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1 (1934) Oeuvre scientifique
s ; les affections des muscles ; l'hystérie et le pithiatisme ; les troubles physiopathiques ; la thérapeutique. PREMIERE
atigue, par exemple, voilà des phénomènes subjectifs. C'est sur des troubles de ce genre que le malade commence d'habitude par
ie, c'est-à-dire la privation du mouvement volontaire, constitue un trouble de ce genre, à moins qu'elle ne réalise quelque
t son sommeil, de sentir ses forces diminuer et d'être gêné par des troubles gastriques, des nausées et des vomissements. De q
nfin d'une maladie simulée ? Assurément, suivant les caractères des troubles subjectifs énumérés, suivant les ren- seignemen
tence d'une lésion organique intra-crânienne, d'un oedème cérébral, trouble ordinairement lié à un néoplasme, auriez-vous a
as vous mettent en mesure d'en déterminer la nature. A la vérité un trouble ophtalmoscopique constitue plus qu'un simple si
tion plus étendue des centres nerveux. Or si l'on considère que les troubles ophtalmoscopiques sont des manifestations fort
ième paire donnent lieu, il est vrai, entre autres symptômes, à des troubles que la volonté peut, en apparence, faire naître
celle-ci, en effet, il y a bien aussi parfois du strabisme, mais ce trouble est peu prononcé quand il existe ; de plus, il ne
'influence de la volonté. J'attire seulement votre attention sur un trouble qui parait être une forme de cette asynergie, loc
érêt ; d'autre part, elle peut exister indépendamment de tout autre trouble oculaire et elle constitue alors, à condition d'ê
réflexe de la convergence est aboli et dans certains cas même, les troubles pupil- laires s'accompagnent d'une paralysie de
ier ordre. Mais je puis dire de ces caractères ce que je disais des troubles ophtalmoscopiques ; ils constituent plus que des
ication diphtérique du système nerveux, qui donne souvent lieu à un trouble oculaire qui lui est spécial; c'est une paralys
té des mouvements pupillaires. On pourrait, à la vérité, feindre un trouble de ce genre, car il s'agit d'un phénomène dont la
d'un sujet considéré comme un névropathe, un hystérique, qui a des troubles de la phonation, et qu'on soit conduit à se deman
endineux est caractéristique d'une lésion du système nerveux, et ce trouble est étranger à la symptomatologie de l'hystérie.
duction, car, en employant une technique spéciale, en analysant ces troubles , en étudiant attentivement les divers caractère
paralysie radiale vulgaire. Enfin j'attire votre attention sur les troubles que les lésions auriculaires apportent dans le
si seulement elle prédomine notablement d'un côté (Babinski). Les troubles trophiques, les troubles circulatoires, les troub
ne notablement d'un côté (Babinski). Les troubles trophiques, les troubles circulatoires, les troubles sécré- toires appor
Babinski). Les troubles trophiques, les troubles circulatoires, les troubles sécré- toires apportent aussi au diagnostic des
e peuvent être simulées. On peut en dire presque autant de certains troubles circulatoires et sécrétoires ; si, par exemple,
que vous avez affaire à une affection organique. Ce sont encore des troubles circulatoires qui constituent un des signes les
mène des orteils, dont je vous ai déjà parlé, et, d'autre part, un trouble d'ordre circulatoire, la lividité de la figure
et état peut résulter d'un simple effort volontaire; il faut que le trouble de la circulation soit plus profond, que les lèvr
e les lèvres soient plombées, livides. Ainsi que vous le voyez, les troubles trophiques, les troubles circulatoires ont beau
ées, livides. Ainsi que vous le voyez, les troubles trophiques, les troubles circulatoires ont beaucoup de prix au point de vu
moins essentiel de savoir déterminer alors avec rigueur la part des troubles que la volonté n'a pu engendrer. Comme je vou
ainsi bien des fois, pour le plus grand profit de vos malades, des troubles qui autrement auraient passé inaperçus, vous se
e ne conteste du reste l'importance des données que fournissent les troubles subjectifs. Le rôle du patient est donc très impo
patient est donc très important. En prévenant à temps le médecin de troubles dont seul il peut avoir notion, il lui donne le
ge des élancements qu'il ressent ; il objective en quelque sorte le trouble subjec- tif ; de plus, pendant votre entretien
nt que les phénomènes névropathiques, qu'ils se manifestent par des troubles sensitifs ou des troubles moteurs, ou bien encore
opathiques, qu'ils se manifestent par des troubles sensitifs ou des troubles moteurs, ou bien encore par des attitudes anorm
il y avait alors dans les salles plusieurs jeunes filles atteintes de troubles hysté- riques et dont l'une avait son franc par
ois d'une névrite sciatique, n'éprouvant plus aucune douleur, aucun trouble dans ses fonctions et ne conservant plus comme
culièrement instructive à cet égard. On admettait autrefois que les troubles hystériques devaient être divisés en deux group
hystériques devaient être divisés en deux groupes : d'une part, les troubles transitoires (crises, paralysies, contractures,
sme, etc.) ; d'autre part, précédant ceux-ci et leur survivant, les troubles permanents qui se développeraient sans que la c
a très grande majorité des observations d'hystérie (observations de troubles moteurs, attaques, tremblements, etc.), l'exist
ttaques, tremblements, etc.), l'existence d'une hémianesthésie avec troubles sensoriels et particulièrement avec rétrécissemen
s esprits et qu'on s'est efforcé de l'écarter dans la recherche des troubles sensitifs que l'hémianesthésie est devenue plus
allait procéder afin d'éviter les suggestions dans la recherche des troubles visuels qui constituent les prétendus stigmates
n vous parlant de l'attaque hystérique j'empiète sur le terrain des troubles objectifs ; l'attaque, en effet, est un phénomè
d'un interrogatoire défectueux ou de propos inopportuns, a créé des troubles moteurs de nature hystérique, je vous en citera
conservation des mouvements des membres inférieurs et l'absence de troubles sensitifs, déclare au père qu'il s'agit sans do
rendre compte des sensations qu'il éprouvera et de l'évolution des troubles . Le père, affolé, ne quitte plus le chevet du lit
ec anes- thésie. Je le vois dans cet état 6 mois après le début des troubles . Ne constatant aucun signe objectif d'affection
ariboisière. consulté à son tour, émet l'opinion qu'il s'agit là de troubles nerveux et me fait l'honneur de me deman- der m
lète et qu'elle s'est maintenue sans aucune récidive, sans qu'aucun trouble hystérique se soit manifesté depuis. Tous les a
nous avons en vue étaient absolument conscients de l'irréalité des troubles accusés ; suggestionnés ou simulateurs-mytho- m
s'opérant suivant le mécanisme que j'ai indiqué pour la genèse des troubles qualifiés hystériques a été souvent la source d
le médecin est souvent tout à fait étranger au développement de ces troubles , véritables obsessions, mais ses entretiens ave
ertitude absolue. Tandis que les erreurs commises dans l'examen des troubles objectifs que la volonté est incapable de repro
ement à l'observateur, celles qui sont faites dans la recherche des troubles subjectifs peuvent être dues au sujet en observ
endancieuses, ses investigations peuvent aboutir à la production de troubles ayant la suggestion pour cause ou à la fixation
vous en réduirez notablement les risques, dans vos enquêtes sur les troubles subjectifs, en vous comportant auprès des sujets
ment d'extension sur le métatarse. Il m'a été donné d'observer ce trouble dans des cas d'hémiplégie récente remontant à q
aux orteils des mouvements volontaires; mais je dois ajouter que ce trouble n'est pas constant. J'ai aussi observé dans plu
a pas chez le malade même de point de comparaison, la réalité d'un trouble est moins manifeste. En résumé, le mouvement ré
rvice il y a un an, et à cette époque il présentait, outre quelques troubles vésicaux et rectaux, une paraplégie spasmodique
alors, d'une façon constante, l'extension des orteils. Depuis, les troubles se sont progressivement atténués, et actuelleme
té droit, où il existe aussi, mais à un degré bien moins élevé, des troubles de la motilité, l'excitation de la plante du pi
rachial, et la méningo-encépha- lite diffuse se manifestant par des troubles psychiques, du tremblement des lèvres et de la
feste- ment de tabes, caractérisé par des douleurs fulgurantes, des troubles vésicaux, le signe de Robertson, l'absence des
cutané plantaire était normal et le côté gauche ne présentait aucun trouble de la motilité. J'ai également observé le signe
uérit rapidement et quarante-huit heures environ après le début des troubles morbides, le réflexe cutané plantaire était red
bservé dans l'hystérie, que cette névrose se fut manifestée par des troubles de la motilité à forme hémiplégique ou à forme pa
as de tabes, sera un indice important, en révélant l'existence d'un trouble dans le système pyramidal, qui, sans ce signe,
de cette idée que le phénomène des orteils est en relation avec un trouble dans le fonctionne- ment du système pyramidal.
le à réaliser ; sans compter les enfants et les malades atteints de troubles mentaux, qui s'insurgent contre l'examen et l'ent
ux et osseux. 48 SÉMIOLOGIE SUBRÉFLECTlVITÉ; IRRÉFLECTIVITÉ Ces troubles sont dus, habituellement je viens de le dire à un
la subréflectivité ou à de la surréflec- tivité quand il existe des troubles fonctionnels unilatéraux. Il va sans dire qu'en
tenu, comme je l'ai établi, par l'abolition du réflexe achilléen. Ce trouble a été autrefois signalé, il est vrai, dans quel
sent à leur tour chez beaucoup de sujets. Ordinai- rement alors les troubles suivent une marche ascendante, le réflexe, d'ex
ant que peu atteints ou restant tous normaux. Pourtant il existe un trouble tabétique, le plus saillant de tous, l'ataxie,
ctivité est précédée habituelle- ment par la disparition des autres troubles caractérisant les névrites (dou- leurs, paralys
tes lésions de l'arc réflexe qui produisent de l'irréflectivité. Ce trouble peut-il être engendré directement par une altér
e abolition des réflexes tendineux des membres inférieurs, mais ces troubles sont passagers. Chez le singe, d'après Sherring
ais constaté l'abolition des réflexes rotuliens sans qu'il y eût de troubles de sensibilité. 60 SÉMIOLOGIE ' ne provoquera
directement ou indirectement le faisceau pyramidal, provoquent des troubles de motilité et déterminent, du moins dans une p
ur des réflexes à l'état normal coïncide aussi avec la guérison des troubles paralytiques obtenue par des moyens médicaux (t
s confusions. On a décrit sous le nom d'hémiplégie cérébelleuse des troubles de motilité unilatéraux sans (') Contribution à
s là d'hémiplégie, c'est-à-dire de para- lysie unilatérale, mais de troubles moteurs d'une tout autre nature (mou- vements d
la région psycho-motrice sans la détruire où, malgré la présence de troubles moteurs très manifestes (épilepsie Bravais-Jaks
aire remarquer ici que les relations de la surréflectivité avec les troubles de la motilité volontaire sont diffé- rentes su
que l'exagération des réflexes est intense, il y a généralement des troubles paralytiques assez accentués ; il n'en est pas de
la syringomyélie est capable de produire aux membres inférieurs des troubles identiques à ceux qu'on observe dans le tabès dor
i, complètement après extraction du néoplasme, ainsi que les autres troubles par lesquels l'affection s'était manifestée. L'
inaux chez les hémiplégiques et a été frappé par le contraste de ce trouble avec l'exagération des réflexes tendineux. Van Ge
re reste normal, à moins qu'à l'affection périphérique se joigne un trouble du système pyramidal, comme cela avait lieu, sa
CTURE La surréflectivité tendineuse ne s'accompagne pas toujours de troubles fonctionnels apparents, comme nous avons déjà e
de véritables mouvements spasmodiques, et, à la phase de début, les troubles méritent moins d'être rangés dans la catégorie de
rologistes admettaient que l'hystérie est capable de déterminer des troubles dans la réflectivité tendineuse; ils s'accordai
extrinsèques seuls permettraient de distinguer ces deux espèces de troubles . Je soutiens une opinion diamétralement opposée
arqua que le membre inférieur gauche était un peu engourdi, mais ce trouble ne l'empêcha pas de marcher et ne dura que 48 heu
le droit. Sauf de légères dou- leurs déjà signalées, il n'y a aucun trouble de la sensibilité. Dans les autres parties du c
ns à la manière d'un pendule. A l'état normal l'activité musculaire trouble presque toujours les mouvements passifs et leur
ux catégories : d'une part les caractères intrinsèques relatifs aux troubles de motilité qui occupent un côté du corps, de l
u à l'absence de certains phénomènes indépen- dants de ces derniers troubles , aux circonstances dans lesquelles la para- lys
ctitude de cette opinion. Le rôle de l'émotion dans la genèse des troubles hystériques est sans doute des mieux établis, m
combien les malades sont enclins l'aire dépendre de ce facteur les troubles dont ils sont atteints et l'on doit se garder d'a
tus) qui se forment du côté paralysé; certes l'existence de pareils troubles , particulièrement des deux derniers, permet pre
et le sourcil est abaissé. On peut facilement se convaincre que ces troubles sont sous la dépendance d'un affaiblissement de
iplégie et ensuite sur le parallé- lisme qu'il y a entre les divers troubles de motilité volontaire. Si, par exemple, les mo
que ce paral- lélisme n'est pas mathématique, chacun de ces divers troubles pouvant être un peu plus saillant que les autre
à des lois, la contracture succédant à la paralysie flasque et les troubles de motilité s'atténuant plus ou moins, suivant le
peut paraître même absolument nor- male ? En ce qui concerne les troubles de motilité que l'hystérie peut engen- drer dan
pérer du côté opposé à celui qu'occupe la paralysie de la face. Les troubles sont rarement limités d'une manière rigoureuse à
dans bien des cas ils sont associés les uns aux autres. De plus les troubles sont susceptibles de s'atténuer et de s'aggrave
médicale('). C'est dans l'hémiplégie organique que j'ai observé ce trouble qui consiste en ce que, dans certains actes où
ction du muscle du côté normal ; je propose d'appeler simplement ce trouble le signe du peaucier. Ce signe peut exister aus
gie, constitue un indice de lésion organique. Passons à l'étude des troubles de motilité qu'on peut observer dans les membre
ement que quelque temps après le début de l'hémiplégie, lorsque les troubles se sont atténués, que ce phénomène apparaît. Da
aités classiques on ne discute même pas la question de savoir si ce trouble peut servir à différencier les deux espèces d'hém
ET HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE 107 Vous voyez par ce qui précède que les troubles de motilité de l'hémi- plégie hystérique diffèr
rie du . reste, ne saurait être considéré comme la conséquence d'un trouble fonc- tionnel limité à un territoire anatomique
e je me proposais d'atteindre, que la paralysie hystérique étant un trouble psychique, le résul- tat d'une perturbation de
ouche ou de flexion du cou. ' Si dans l'hémiplégie hystérique les troubles de motilité de la face sont généralement bilaté
à la fois et que la volonté ne peut que difficilement réaliser des troubles musculaires unilatéraux dans le domaine de la f
reproduire par imitation, au moins d'une manière approximative, le trouble en question; aussi, quoique je ne l'aie jamais ob
variabilité. J'ai été amené à aborder la question du mécanisme des troubles hysté- riques. Comme je vous l'ai déjà dit, je
pourrait donner l'épithète de primitives, par opposition à certains troubles liés à l'hystérie, tels que l'amyotrophie ou les
luence. Voici, résumés dans un tableau, les caractères relatifs aux troubles de motilité qui distinguent l'hémiplégie organi
que s'applique particulièrement à la paralysie de la face, où les troubles sont générale- ment bilatéraux. 2° La paralys
anique du système nerveux central. VII CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES MENTAUX DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ClsllL5l31a
aris, séance du 1 1 juin r, rl. : désire attirer l'attention sur un trouble mental que j'ai eu l'occasion j d'observer dans
i précède, en diffèrent sensiblement. Les fonctions psychiques, que TROUBLES MENTAUX DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 113 je n'ai
ades, par coquetterie, par amour-propre, cherchent à dissimuler les troubles dont ils sont atteints, mais, dans l'espèce, ce
lades et les troubler dans leur quié- tude. Si elle est réelle, les troubles de sensibilité jouent vraisemblable- ment un rô
s du système pyramidal, ce qui ne veut pas dire, d'ailleurs, que ce trouble en soit la condition suffisante. Par leur signifi
de Brown-Séquard peut exister du côté anesthésié (2) ou du côté des troubles moteurs ('). Parfois on les voit apparaître du cô
nique. On le constate ordinairement chez des malades présentant des troubles notables de la motilité volontaire et c'est là
se rapportant à un sujet atteint de paraplégie motrice absolue avec troubles très accentués de la sensibilité superficielle
elles, plus importantes sans aucun doute, qui sont fournies par les troubles de la sensibilité. Autre problème. L'intensité
e réflexes de défense même très prononcés et avec accompagnement de troubles moteurs des plus marqués n'est pas nécessaireme
: « La malade présente une paraplégie spasmodique en extension avec troubles de la sensibilité remontant jusqu'à la ligne ma
sol. « Un examen objectif minutieux ne décèle comme reliquat des troubles d'autrefois qu'une tendance à l'extension des o
curabilité. Les réflexes de défense, après disparition complète des troubles moteurs, peuvent redevenir absolument normaux.
les réflexes de défense patholo- giques survivent à tous les autres troubles . " Entre autres malades de ce genre, j'en puis
gée ; aussi est-il préférable de choisir des malades présentant des troubles de la sensibilité, de manière à éviter les phénom
ment inférieur du corps. J'ai eu l'occasion de décrire moi-même les troubles vésicaux en ques- tion dans mon travail déjà ci
lement étudier les réflexes de défense dans leurs rapports avec les troubles moteurs, la paraplégie spasmodique, la contractur
de véritables mouvements spasmodiques, et, à la phase de début, les troubles méritent moins d'être rangés dans la catégorie de
'il ne serait pas possible de remédier dans une certaine mesure aux troubles de la motilité qui en sont la conséquence, par
yramidal, ils peuvent se manifester égale- ment dans les cas où les troubles de la motilité ont une autre origine. XI - .
conçoit, d'ail- leurs, que cette distinction soit malaisée, car les troubles de sensibilité sont des phénomènes subjectifs,
fut pris brusquement d'une paralysie du membre inférieur gauche avec troubles sen- sitifs du côté droit. Son état s est rapid
168 SÉMIOLOGIE un syndrome de Brown-Séquard gauche léger, avec des troubles de motilité à peine ébauchés et des troubles se
gauche léger, avec des troubles de motilité à peine ébauchés et des troubles sensitifs peu marqués. Du côté droit, on trouve
par contre, si on pince de la même manière le pied gauche (côté des troubles moteurs), on voit apparaître une ou plusieurs sec
de la lésion et se traduisant par une réaction motrice du côté des troubles sensitifs. Cette réaction est accompagnée d'une
essus signalée a disparu ; il est à remarquer que dans l'examen des troubles sensitifs, nous n'avons plus noté alors d'hyperal
s se renouvellent deux ou trois fois. Puis, le malade s'aperçoit de troubles sensitifs à la jambe gauche et de lourdeur dans
te une anesthésie à la température et à la douleur. A droite, le même trouble s'étend de C 7 jusqu'à D 6 environ ; au-dessous
ilité profonde est légèrement atteinte du côté droit. Il existe des troubles moteurs prédominant du côté droit. Au membre supé
table de l'excitabilité électrique. Au membre supérieur gauche, les troubles parétiques atteignent les mêmes groupes muscula
s membres inférieurs sont atteints d'une paraplégie spasmodique ; les troubles moteurs sont relativement peu prononcés à gauch
EN raison de l'importance fondamentale qui s'attache à l'étude des troubles pupillaires, j'estime qu'on ne saurait trop cherc
e à la lumière. Je dirai encore pour compléter la description de ce trouble que les pupilles de cette malade réagissent à l
ère complète par le fez Chaillous, a donné un résultat négatif ; le trouble en question ne me parait donc pas lié à quel- q
nombreuses pour qu'il soit permis d'affirmer qu'il existe entre le trouble qui nous occupe et l'épilepsie ou l'usage du brom
d'une véritable abolition du réflexe des pupilles à la lumière, le trouble persiste quelle que soit l'intensité de la sour
mière, liée à la méningite chronique syphilitique. ? XV : , DES TROUBLES PUPILLAIRES DANS LES ANÉVRISMES DE L'AORTE [J
et Mémoires des Hôpitaux de Paris, séance du 8 novembre igoi. Les troubles pupillaires, en particulier l'inégalité des pupil
ns cas, je me crois en mesure de soutenir que le méca- nisme de ces troubles peut être bien différent. Voici d'abord, briève
malade n'a jamais eu de douleurs dans les membres, elle n'a pas de troubles vésicaux et elle ne présente pas le signe de Romb
droite. Aucun autre signe objectif à noter; pas de douleurs, pas de troubles vésicaux, pas trace d'incoordination motrice. C
que la gauche, et on est porté au premier abord à faire dépendre ce trouble de la compression que l'aorte dilatée exercerai
ien à une lésion du système nerveux central qu'il faut attribuer le trouble pupillaire; ce qni vient à l'appui de cette man
hilis est le lien qui unit chez cette malade la lésion aortique aux troubles pupillaires. Dans l'observation II la pupille g
s été ainsi dans d'autres cas d'ané- vrisme aortique accompagnés de troubles pupillaires, et je voudrais savoir jusqu'à quel
existe une poche, contrairement à ce qu'on enseigne, la présence de troubles pupillaires ne peut en rien contribuer à établi
xostoses syphilitiques. On constate le signe de Robertson. Outre ce trouble il n'existe chez elle aucune mani- festation fo
nerveux. Mais, contrairement aux deux autres malades, il a quelques troubles subjectifs : il est sujet depuis plusieurs mois à
(nous n'avons en vue, bien entendu, que les sujets chez lesquels le trouble pupillaire n'est pas asso- ciés à d'autres mani
Elle décèle l'existence d'un état qui est souvent le précurseur de troubles fort graves et constitue une indication impérie
nce du g novembre 1899. désire entretenir la Société d'une forme de troubles de motilité, t dont la cause anatomique est une
re désignée sous la dénomination d'asynergie cérébelleuse.. ... Les troubles de motilité, dont est atteint H. M. (malade de l'
ment l'attention de la Société sur certains phénomènes relatifs aux troubles de motilité qui, à ma connais- sance, n'ont pas
t deux ou trois fois moins vite qu'un sujet sain l'acte complot, Le trouble devient surtout manifeste quand on fait répéter l
t, car, en faisant fonctionner simul- tanément les deux membres, le trouble du membre supérieur gauche s'impose à l'observa
hez tous les- malades que je viens de faire passer sous vos yeux un trouble de motilité qui n'a pas encore été décrit. Je tie
Je tiens à bien faire ressortir, pour éviter un malentendu. que ce trouble ne peut être considéré comme constitué que quan
areil vestibulaire une part plus ou moins grande dans la genèse des troubles que l'on constate chez un cérébelleux. Il nous
lis sponta- nément. Mais c'est dans certains actes commandés que le trouble appa- raît généralement avec le plus de netteté
s reviendrons plus loin. Nous discuterons alors les rapports de ces troubles entre eux. Pour bien constater le caractère dém
mmairement que des physiologistes avaient antérieurement relaté des troubles analogues dans leurs comptes rendus d'expérienc
part, chez un cérébelleux d'autre part, on pourrait inférer que le trouble en question relève de l'une ou de l'autre cause
BELLEUSE tg3 demandons, c'est si on peut remonter à l'origine de ce trouble de par ses modalités propres, de par ses caract
le but est atteint. Si main- tenant le tabétique ferme les yeux, ce trouble s'accentue de façon très notable. Le mouvement
avouerons que nous ne sommes guère disposés à faire dépendre ces troubles de l'atonie, phénomène primordial d'après Luciani
n plus l'idée de Lewandowsky pour qui l'hypermétrie relèverait d'un trouble du sens musculaire ; car la sensibilité sous to
ue à rassembler, sous la dénomination d'asynergie cérébelleuse, des troubles de motilité d'un mode particulier. Nous voudr
emier cas que nous avons observé et qui, étant donné la netteté des troubles , se prêtait favorable- ment à l'étude des phéno
aractéristique d'un phénomène qui diffère objectivement de tous les troubles de locomotion déjà connus. Une dénomination spé
elquefois sur le bassin. Mais, dans ce que nous décrivons ici comme trouble asynergique, cette flexion de la cuisse est frapp
organique. Il faut donc, pour pouvoir lui attribuer la valeur d'un trouble asynergique, le constater en l'absence de signe
e pourraient être brusques, forts, exagérés, s'il y avait un simple trouble de la mesure. Mais chez le cérébelleux ce qui s
véler uniquement soit l'une, soit l'autre de ces deux catégories de troubles qui coexistent et qu'il appartient à l'observat
à côté de l'hypermétrie, l'asynergie cérébelleuse constitue bien un trouble à part. Mais, certes, elle n'atteint pas chez t
e aux dépens du cervelet. Ultérieurement nous avons observé que les troubles asynergiques tels que nous les avions décrits a
cet égard, il n'en est pas moins incontestable, pour nous, que les troubles de motilité dont nous venons de donner la descr
avons décrite. Il nous a donc paru indispensable, pour désigner ce trouble , de lui appliquer une dénomination particulière
nous l'avons fait remarquer précédemment. L'inter- prétation de ce trouble de la déambulation me paraît donc légitime. Ell
e, pris soin de faire ressortir pour éviter tout malentendu, que ce trouble ne peut être considéré comme constitué que quan
st qu'en effet, comme nous l'avons dit, en le faisant connaître, ce trouble se manifeste surtout aux membres supérieurs.
es phénomènes tardifs ; il décrit d'une part les mouvements forcés, troubles de l'orientation spatiale, et d'autre part les tr
nts forcés, troubles de l'orientation spatiale, et d'autre part les troubles ataxiques SEMIOLOGIE CÉRÉBELLEUSE 201 qui, s'
mme un complexus symptomatique comprenant la presque tota- lité des troubles observés chez l'animal à une période donnée. En
st qui emploient ce mot pour rapprocher les phénomènes observés des troubles ataxiques de la maladie de Duchenne ; et d'aucu
eu de se demander si le terme ataxie ne répond pas simplement à des troubles que nous avons décrits précédemment sous un aut
peut-être une manière commode de résumer, de désigner brièvement un trouble de motilité non-paralytique, mais le lecteur n'
pas toujours facile à l'observateur d'éti- queter rigoureusement un trouble . Il y a des cérébelleux dont les mouve- ments,
lement, les faits qui sont bien connus des cliniciens, y a-t-il des troubles cérébelleux qu'il soit légitime, au point de vu
rébelleux, les mouvements démesurés, par exemple, se distinguent de troubles observés chez les ataxiques. Nous rappellerons
r orientation, et l'occlusion des yeux aggrave considérablement les troubles . Chez lui, les mouvements d'ensemble ne sont pas
pas étendre ainsi l'épithète d'ataxique et ne pas l'appliquer à des troubles cérébelleux que d'autres expressions traduisent
e, on est exposé à faire dépendre d'une altération cérébelleuse des troubles se rattachant à une perte de la sensibilité profo
à l'altération cérébrale, dans la patte anté-' 0 rieure droite, ce trouble serait caractéristique (type Goltz) ; au contrair
ristique (type Goltz) ; au contraire, dans la patte gauche dont les troubles sont dus à l'altération cérébel- leuse, on n'au
t correcte et l'occlusion des yeux n'accentue pas sensible- ment le trouble . Si donc l'on y regarde de près, le diagnostic se
ne différence d'aspect, de plus aucune diffé- rence d'origine : des troubles de sensibilité la provoquent et tout spécia- le
es troubles de sensibilité la provoquent et tout spécia- lement des troubles du sens musculaire. Ces conclusions s'étendent à
est vrai, ne sont pas arrivés à découvrir chez les cérébelleux des troubles de la sensibilité profonde, sauf dans des cas i
e, sauf dans des cas isolés. « Mais l'indubitable insignifiance des troubles de sensibilité dans les affections cérébelleuse
ibilité profonde, aux membres seulement ; 2" par la combinaison des troubles ataxiques du tronc avec les troubles d'orientat
nt ; 2" par la combinaison des troubles ataxiques du tronc avec les troubles d'orientation spatiale ; et 3" par la nature sous
ensibilité profonde, l'objet d'une exploration attentive et que des troubles sensitifs aient pu y être méconnus pour n'avoir p
iente telle qu'on la recherche en clinique, car comment déceler des troubles de sensibilité qui seraient en quelque sorte au-d
seuil de la conscience ? Nous croyons donc pouvoir conclure que les troubles de motilité obser- vés chez les cérébelleux dif
té. Il n'est pas néces- saire pour cela que l'incoordination et les troubles de sensibilité profonde soient très accusés. On
de l'équilibre et que, d'autre part, les données classiques sur les troubles de l'équilibration clans les affections du cerv
arfois considérable, pourra ne se tra- duire par aucun signe, aucun trouble , être latente, rester méconnue et constituer un
rie, l'affection n'est pas latente dès le début ; primitivement des troubles cérébelleux ont existé de façon temporaire. Il
Il résulte de cette expérience que la lésion cérébrale accentue les troubles qui s'étaient atténués et fait par conséquent ces
et et les racines postérieures de la moelle. Après compensation des troubles produits par opération portant sur l'un ou l'au
qu'il provoque par cette seconde intervention, la réapparition des troubles consécutifs à la première et qui s'étaient en par
ales postérieures, mais encore, réciproquement, la compensation des troubles cérébelleux s'appuie sur la fonction des nerfs
Bickel, d'autant plus attacher d'importance à la compensa- tion des troubles dans l'observation sur l'homme que le pouvoir de
i dans les lésions atteignant uniquement l'appareil cérébelleux les troubles peuvent s'atténuer, disparaître ou faire défaut m
sensitive), explique dans certains cas la gravité, la ténacité des troubles cérébelleux. André Thomas, traitant ce sujet, r
lésion bilatérale des pédoncules cérébraux. Or, dans ce fait, « les troubles de l'équilibre, de la station et de la marche, le
ut tenir compte de cette coexistence pour apprécier l'intensité des troubles de l'équilibre. Enfin il est fort possible que
ibre. Enfin il est fort possible que l'intensité, la permanence des troubles cérébelleux provoqués par certaines lésions à s
eurs d'une lésion en foyer du cervelet et présentant de ce chef des troubles de l'équilibre, peu à peu, pendant des mois et mê
teurs, à volume égal, endommage plus d'éléments et provoque plus de troubles qu'un foyer en plein hémisphère. Mais il est au
lésions cérébelleuses, les suppléances ne peuvent s'établir et les troubles ï)e régressent pas ; si elles leur sont consécu
nt consécutives, les effets de la compensation disparaissent et les troubles , après s'être atténués, s'accentuent. L'associa
s régions du névraxe peut être la raison de l'intensité de certains troubles cérébelleux, en particu- lier du tremblement da
pliqué du côté opéré, le passage d'un courant prolongé augmente les troubles pro- voqués par la destruction du labyrinthe (i
la méthode de Barany, en même temps qu'elle provoque du nystagmus, trouble le vertige voltaïque comme le font parfois les
bservation 1. Femme de 6h ans, n'ayant pas présenté pendant la vie de troubles de motilité, morte de tuberculose pulmonaire. E
ique des membres inférieurs, n'ayant pas présenté pendant la vie de troubles de motilité de la face et dont les membres supé
pas de contraction lente. . Il me parait incontestable que les troubles constatés chez le malade qui fait le sujet de l
du nerf sciatique par projectile. Il n'y a pas d'anesthésie. Les troubles de la motilité volontaire ne sont pas très pronon
re en évidence par la comparaison. du côté malade au côté sain, les troubles étant unilatéraux ; la différence est perceptible
tre en évidence par la comparaison du côté malade au côté sain, les troubles étant uni- latéraux ; la différence est percept
on anticipée des secousses sont des caractères connexes. Dans les troubles de motilité d'ordre réflexe, l'hypothermie étant
ctures consécutives à des traumatismes, et rangé dans le groupe des troubles d'ordre réflexe, l'exitabilité mécanique des mu
lenteur de la secousse sont proportionnées dans leur intensité aux troubles vaso-moteurs et thermiques ; lorsque l'hypother
qué les modifications que l'on observe chez les blessés atteints de troubles d'ordre réflexe après immersion des membres malad
utive à une lésion ou, en d'autres termes, qui traduit un véritable trouble de la régulation vaso- motrice et thermique loc
paralysies et contractures réunies antérieurement dans le cadre des troubles dits fonctionnels : parmi ces paralysies et con
physe, quand elles appa- raissent chez l'adulte, peuvent amener des troubles des organes génitaux, la suppression des règles
APILLAIRE GUÉRIE PAR TRÉPANATION CRANIENNE a3 O. G. i/4. A part ces troubles je ne constate aucun signe objectif d'af- fecti
Il est vraisem- blable que c'est grâce à cette disposition que les troubles oculaires étaient 238 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COM
lexes tendineux et le réflexe cutané plantaire sont normaux. Pas de troubles de la sensibilité. En raison de la cécité compl
ue dans lequel il se trouve. La déambulation, difficile à cause des troubles de la vision, ne présente aucune véritable pert
pas d'asynergie, pas d'adiadocosinésie. Il n'existe pas non plus de troubles de la sensibilité générale. La parole, sauf qu'
ne opération, et en raison de la prédominance de la céphalée et des troubles oculaires du côté gauche je propose une cràniecto
e déterminer le côté de la lésion. En raison de la prédominance des troubles oculaires du côté droit, j'avais tenté de dire
yais que la tumeur se trouvait dans le lobe frontal gauche, car les troubles visuels et la céphalée étaient notablement plus
lus marquée du côté opposé à celui où siégeait la tumeur. Quant aux troubles visuels, ils étaient dans un de ces deux cas pl
énorme exostose dont la présence eût suffi largement à expliquer les troubles de compression dont souffrait le malade. - Ma
Il se plaint d'une céphalée vive et permanente. Il n'existe pas de troubles appréciables de la sensibilité. L'examen ophtalmo
que son extirpation ne nécessite pas de délabrements entraînant des troubles fonctionnels graves, et qu'elle n'ait pas pour
els d'atténuer ou de supprimer la céphalée, les vomissements et les troubles mentaux, et quand elle est faite en temps opportu
disparaître la stase papillaire et d'empêcher le développement des troubles oculaires. Cela est encore plus vrai pour ce qu
e, un hystérique ou un dyspeptique ; dans une deuxième phase où les troubles s'accentuent, la gravité du mal devient manifes
eu aujourd'hui. Ainsi que je l'ai déjà rappelé, le plus souvent les troubles oculaires sont précédés par une période parfois
une période parfois très longue où le malade ne pré- sente que des troubles subjectifs, tels que des douleurs et un amoindris
papillaire a la complaisance de prévenir en se manifestant par des troubles ophtalmoscopiques avant d'affaiblir l'acuité vi
insuffisants, si, de plus, l'oedème papillaire s'associe à d'autres troubles graves, tels qu'une céphalée intense, des vomisse
soit pas modifié, mais que la vision soit restée normale et que les troubles subjectifs dont se plaignait le malade se soit at
ieu à de l'hémianopsie. Le cervelet semble plus accommodant, et les troubles qu'entraîne la hernie d'une portion de cet orga
rgement, peut suffire à faire disparaitre la céphalée et les divers troubles que l'oedème cérébral avait produits ; on a pub
yant remarqué que l'ingestion de l'alcool calmait transitoirement les troubles dont il est atteint. Il y a quatre ans, en 18
orter la main gauche derrière le dos, car, dans cette position, les troubles dont il est atteint sont moins intenses. Quand
Il y a une diminution de la force musculaire du côté gauche. Pas de troubles de la contractilité électrique. Pas de troubles
té gauche. Pas de troubles de la contractilité électrique. Pas de troubles de la sensibilité, sauf les picotements déjà ment
'en particulier le spasme musculaire dépend de la même cause que le trouble dans le réflexe plantaire, et je ne vois aucune
ois, ce qui impressionna vivement le malade. Les jours suivants, ce trouble s'accentua et de plus la sensation de tiraillem
l peut par cette manoeuvre atténuer le spasme temporairement. Ces troubles spasmodiques le fatiguent notablement, provoquent
résultats. Il n'existe aucun autre signe objectif, aucun autre trouble fonctionnel. 1 Il s'agit là incontestablement d
d'une perturbation du système pyramidal, mais, a-t-il dit : « si un trouble du faisceau pyramidal intervient à un titre que
rvient à un titre quelconque dans la pathogénie des symp- tômes, ce trouble me semble ne pouvoir être qu'un trouble consécuti
hogénie des symp- tômes, ce trouble me semble ne pouvoir être qu'un trouble consécutif à un phénomène mental ». Tel n'est
r cette action n'est que modérée et transi- toire. Enfin, un simple trouble mental peut-il amener une irritation du système
ment atténué depuis lors. On constatait en outre, chez lui, divers troubles liés à des lésions du système nerveux central e
sion de cette maladie on s'aperçut qu'il avait des exostoses et des troubles moteurs. Il présentait une surélévation de l'ép
u sang), dont la fin semble avoir coïncidé avec une atténuation des troubles moteurs. L'enfant conserva cependant un léger spa
pique d'une durée de 3 à 4 mois. A l'âge de quinze ans, les mêmes troubles moteurs des membres du côté gauche reparurent p
rien d'anormal et la parole n'a jamais été troublée. Tels sont les troubles moteurs que l'on relève constamment du côté gauch
es heures, différences dont on ne peut toujours dire la raison. Ces troubles subissent particulièrement l'influence de l'éta
c'est fréquent dans les cas de ce genre, il existe en même temps des troubles de la croissance osseuse. On relève peu de ch
mi-centimètre). A gauche, côté des plus volumineuses exostoses, les troubles du développement sont plus marqués : l'humérus
les plus fortes dimensions est aussi celui qui présente le plus de troubles du développement osseux (2). Il est intéressant d
intéressant de noter que c'est également le côté où prédominent les troubles moteurs et les modifications des réflexes que n
ait une relation de cause à effet entre ces lésions osseuses et les troubles précédents. Nous avons vu qu'on avait pratiqué au
ni de malformation des vertèbres du. cou. Quelle est la nature des troubles moteurs ? Sont-ils de nature fonction- nelle ?
c'est là un argument qui est loin d'être probant : on sait que des troubles de ce genre, dus à une affection organique, sont
lques contractions involontaires dans les muscles du cou ; mais ces troubles , d'ailleurs intermittents, sont insignifiants à
e se mettre à l'abri de toute récrimination, de les avertir que les troubles sont mêmes susceptibles de s'accentuer ultérieu
séquent étroitement lié à la maladie. Or si l'on se rappelle que ce trouble constitue un des signes objectifs les plus comm
e si ce n'était l'intensité et la modalité particulière de certains troubles qui rentrent dans la catégorie des phénomènes q
ue les variations paraissent particulièrement prononcées et que les troubles atteignent leur intensité maxima. 27fi ' AFFECT
fait, on pourrait se demander si l'on n'est pas en pré- sence d'un trouble mental. Ne s'agirait-il pas là d'une idée déliran
e et deux degrés à la fois (2). Enfin, nous ferons remarquer que ce trouble de la parole avec ses carac- tères originaux n'
que nous possédons actuellement sur les syndromes parkinsoniens, le trouble dont nous occupons semble être lié à une altérati
re, il est vrai, que le syndrome parkinsonien, et il est atteint de troubles de la parole dont les caractères sont, pour la
ormale. N-111 SYNDROME PARKINSONIEN FRUSTE POST-ENCÉPHALITIQUE. TROUBLES RESPIRA TOIRES JJ. Babinski et Charpentier.]
vembre 1[j22. Plusieurs auteurs ont déjà attiré l'attention sur les troubles respi- ratoires constatés chez des malades atte
ement le soir au lit. Après un accouchement normal en mai 1921, les troubles respiratoires ont augmenté de fréquence, d'intens
ont augmenté de fréquence, d'intensité et de durée. C'est pour ces troubles que la malade est venue consulter à la Pitié en m
nombre des inspirations peut descendre jusqu'à six par minute. (') Troubles respiratoires dans les états parkinsoniens liés i
juin 1921. e) Société Médicale des Hôpitaux, 7 juillet 1922. . ? ) Troubles respiratoires dans l'encéphalite- épidémique par
ligé de quitter son école une deuxième fois, parce que, en plus des troubles respiratoires qui ont empiré, il s'endort à chaqu
remier. Si, d'autre part, on prend en considération ce fait que les troubles respiratoires observés chez nos malades sont tr
mble plus particulièrement intéressant, nous pouvons modi- fier ces troubles d'une manière très appréciable, par une action qu
el, la malade devenant capable d'enrayer par un acte de volonté les troubles respiratoires ; cette dernière interprétation est
vraisemblable que cette femme est en mesure par moment d'inhiber ce trouble , sans aucune intervention étrangère, de son propr
é- rapeutique employée n'a exercé qu'une action transitoire sur les troubles respiratoires ; cette action. il est vrai, a ét
la guérison était imminente, mais ce n'était qu'une apparence ; les troubles , après avoir rétrocédé, ne tar- dent pas à se r
la conséquence de la persuasion, on n'est pas en droit de ranger le trouble en question dans la classe des manifestations h
nue depuis cette époque un peu titubante. Peu de temps après, à ces troubles s'associèrent des bour- donnements d'oreille et
membre supérieur du côté gauche. Vers la même époque apparurent des troubles oculaires du côté droit consistant en de l'opacit
au repos. Fig. 1 J. OBSERVATION PRINCEPS 287 n'accentue pas les troubles qui sont à peu près pareils des deux côtés. L'écr
la partie supérieure du corps et les membres inférieurs constitue le trouble le plus saillant que l'on note pendant les effo
vision est normale ; la pupille se contracte à la lumière. Le seul trouble que l'on y OBSERVATION PRINCEPS .<; 29 t c
, néanmoins, il est dans l'impossibilité de marcher, en raison d'un trouble que l'on appelle, à tort selon moi, ataxie céré
lent dans tous les sens d'une manière désordonnée, ce qui dénote un trouble de l'équilibre cinétique, puis, au bout de quelqu
bulbo-protubérantielle), où il a observé pour la première fois les troubles qu'il a décrits sous les noms d'asynergie, adiado
sso- pharyngien, cochléaire ne pouvant avoir aucun rapport avec les troubles de motilité dont il s'occupe ; les altérations
lésions des noyaux du pont à droite. La pureté et l'intensité des troubles cérébelleux s'expliquent bien par ces constatat
te vive du côté gauche et il a été pris brusquement de vertiges, de troubles de motilité graves, ainsi que d'une grande gêne
st nasillarde ; le réflexe du voile du palais est aboli. Il y a des troubles de sensibilité ; tout le côté droit du corps jusq
ntion, l'hémiasynergie, qui chez ce malade constituait le principal trouble de la motilité, est évidemment liée à la lésion d
bservation d'hémiasynergie que l'un de nous a publiée autrefois, le trouble siège du côté de la lésion, contrairement à l'hém
irido-dilata- trices ; mais où siège la lésion qui donne lieu à ce trouble ? Serait-ce dans le faisceau longitudinal posté
ngomyélique ; 3° Une lésion unilatérale du bulbe peut provoquer des troubles oculo- pupillaires qui consistent en un rétréci
re peut, j sans atteindre la motilité volontaire, donner lieu à des troubles i vaso-moteurs et thermiques à forme hémiplégiq
injecté de sang; le malade ne s'en était pas aperçu. C'est pour ces troubles thermiques et oculaires, ainsi que pour une certa
c peine et doit boire presque après chaque bouchée. Il localise ces troubles de la déglutition dans la moitié droite du pharyn
. , 10 So6 AFFECTIONS DU BULBE Il me parait incontestable que les troubles observés chez ce malade sont liés à une lésion
t de penser qu'il s'agit d'altérations peu pro- fondes, puisque les troubles se sont rapidement atténués. Je ne suis pas non
iverses questions il soit impossible de se prononcer. Ce sont les troubles vaso moteurs et thermiques qui me paraissent co
les Comptes-Rendus de la Société de Biologie 26 Janvier igoi. 1" troubles ou vertige voltaïque. Ewald et Pollack ont noté
courant semblable, de quel- ques secondes de durée, peut en cas de trouble labyrinthique provoquer des sensations anormale
exclusivement ou prédo- minent d'un côté, on observe communément un trouble que j'ai appelé : « l'inclination unilatérale »
e les divers phéno- mènes dont j'ai fait l'exposé expriment tous un trouble de l'appareil AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBUL
chez des malades qui n'ont plus trace de nystagmus calorique. 2" TROUBLES DE la déviation ET DES mouvements réactionnels.
qu'il s'agit de différencier une affection auricu- laire vraie d'un trouble imaginaire ayant la suggestion pour cause, ou e
scrite destructive (paralysie et anesthésie des membres inférieurs, troubles dans les fonctions de la ves- sie et du rectum,
minution de l'aptitude au travail et des facultés intellectuelles, de troubles de la vision, de vertiges, de nausées, ainsi qu
a région occipitale et rend le sommeil difficile. L'intelligence se trouble ; la malade devient sujette à des accès d'agitatio
e; la céphalée et les autres symptômes sus-énumérés persistent, les troubles mentaux augmentent encore d'in- tensité, et la
des matières fécales. Au commencement de mars, on note de nouveaux troubles . Il y a de la raideur des membres supérieurs, p
l faut exercer une forte traction pour ouvrir la main. Ces divers troubles persistent et s'aggravent encore dans la suite ;
nt qui a augmenté progressivement. A cinquante-trois ans, les mêmes troubles apparaissent au membre inférieur gauche. Elle a
e et la contractilité élec- trique est diminuée de ce côté ; pas de troubles de la sensibilité aux membres supérieurs. La ma
re de la sonder et elle ne laisse jamais échapper son urine. Pas de troubles rectaux. Trem- blement de la tête, ayant les ca
nt de la tête, ayant les caractères du tremblement dit sénile. Pas de troubles sensoriels. ' La malade quitte l'hôpital aprè
ntraire, l'attitude de la flexion forcée « Je n'insiste pas sur ces troubles de motilité qui sont aujourd'hui de connaissanc
paroi abdominale et les talons avec les cuisses. Pour Frzenhel, ces troubles sont dus, selon toute vraisemblance, à une comp
fois en mai igo4, se plaignant d'éprouver depuis plusieurs mois des troubles de la parole, d'articuler avec difficulté, mais
ux ; l'intelligence est conservée; il n'y a pas de céphalée, pas de troubles sensitifs ni sensoriels. Les crises épileptifor
baires sont successivement pratiquées ; elles semblent atténuer les troubles et en particulier l'oedème papillaire. L'examen c
pital contre l'hypothèse de paralysie hystérique, c'est-à-dire d'un trouble reconnaissant pour cause l'auto- suggestion, c'
léger mouvement d'extension du pied. Je suis donc convaincu que ce trouble est bien réel, et cela est d'autant plus remarq
ique presque inévitablement de rétractions fibro-tendineuses. Des troubles sphinctériens et des ulcérations sacrées se produ
qui ne doit souffrir que peu d'exceptions. : PARAPLÉGIE ORGANIQUE. ? TROUBLES VASO-MOTEURS AU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT, AVEC MÉ
ons à la Société une malade atteinte, depuis huit ans envi- ron, de troubles de la marche liés à une lésion de la moelle dorsa
refroidissait, devenait violacé et enflé. Elle constatait aussi des troubles du même ordre à la main droite, qui s'affaiblis
oblitération artérielle : elles nous conduisent à rappro- cher les troubles observés, dans le membre supérieur droit de cette
ubles observés, dans le membre supérieur droit de cette malade, des troubles pltysiopathiques (hypothermie, cyanose, parésie),
nous avons exposé ces faits, nous avons signalé aussi que ces mêmes troubles pouvaient se voir, et non exceptionnelle- ment,
s paralysés. Nous en avons conclu que la pathogénie « réflexe » des troubles physiopathiques, qu'on observe chez les blessés d
es membres, n'excluait pas une pathogénie « centrale » de ces mômes troubles , l'exci- tation des centres médullaires et gang
- mie assez prononcée du membre inférieur accompagnée de quelques troubles voso-moteurs. Ce malade avait enfin une hémianops
lésion encéphalique. Une explication analogue peut être donnée des troubles physiopathiques que notre malade présente au me
'oblitération artérielle, il nous semble rationnel de rattacher les troubles circulatoires et l'hypo- thermie, notamment pou
sence : 1" D'un syndrome sympathique unilatéral caractérisé par des troubles des réactions sudorales, pilomotrices, vasomotr
us paraît impossible de ne pas tenir compte dans l'étiologie de ces troubles , du traumatisme violent qu'a reçu cette malade. L
éens, le réflexe cutané plantaire sont normaux et il n'existe aucun trouble de la marche. (') J. Babinski,. Société de Neur
Mais l'observation seule pouvait renseigner sur la fréquence de ce trouble dans le tabes, sur son importance au point de v
rées par des intervalles de santé parfaite (pas de douleurs, pas de troubles dyspeptiques) et, à aucun moment, le malade n'ava
aractères appartenant aux lésions articulaires de l'ataxie, soit un trouble trophique dépendant des altérations nerveuses d
n trouve de la lymphocytose. Chez la deuxième on constate les mêmes troubles pupillaires, de la lymphocytose, des troubles uri
on constate les mêmes troubles pupillaires, de la lymphocytose, des troubles urinaires et une abolition des réflexes tendine
de son père et de sa mère d'une prédisposition au développement de troubles nerveux ? Ce ne sont là, que des hypothèses, sur
E DE PSEUDO-TABES (NÉVRITE OPTIQUE RE'TRO-BULBAIRE INFECTIEUSE ET TROUBLES DANS LES RÉFLEXES TENDINEUX) 1 J. BABINSKI. P
uillet igoo. La malade que je présente à la Société est atteinte de troubles oculaires qui se manifestent en partie par une
que la vue du côté gauche était affaiblie ; les jours suivants, ce trouble s'accentua et au bout de deux semaines aboutit
tendon d'Achille est aboli à gauche, conservé à droite. Aucun autre trouble à signaler. La malade fait usage d'iodure de po
'oeil se reposer quelques instants. Pour le reste, même étal. Les troubles observés chez cette femme, sauf la décoloration d
e optique de notre malade, est susceptible, après avoir produit des troubles fonctionnels très prononcés, de s'atténuer et d
l'expression de névrite rétro-bulbaire infec- tieuse, parce que les troubles oculaires présentent les caractères cliniques app
s bulbaires (hémiplégie, paralysie faciale, paralysie de la langue, troubles mentaux) à la névrite rétro-bulbaire. Ce qui
rement intéressant, c'est qu'à la névrite optique s'asso- cient des troubles dans les réflexes tendineux qui, selon toute prob
des ressemblances avec celui du tabès. Il est vraisemblable que ces troubles sont sous la dépendance d'une lésion des nerfs
e la Société sont atteints de tabes bien caractérisé, associé à des troubles qui dépendent manifeste- ment de la syphilis. V
ition des réflexes rotuliens ainsi que des tendons d'Achille et les troubles pupillaires permettent de porter le diagnostic
ique il y a dix-sept ans. Il est atteint depuis plusieurs années de troubles visuels, de quelques troubles vésicaux et souff
st atteint depuis plusieurs années de troubles visuels, de quelques troubles vésicaux et souffre parfois de douleurs fulgurant
née de l'accident (sept ans et demi après), alors qu'une partie des troubles du début a régressé. Nous avons donc pu connait
aires par coup de couteau en trois groupes : le Dès le début, les troubles de la motilité sont unilatéraux ; les trou- ble
é présentent une dissociation syringomyélique. a" Dès le début, les troubles de la motilité sont unilatéraux, mais les COMPR
motilité sont unilatéraux, mais les COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 35y troubles de la sensibilité superficielle ne sont plus diss
anes- thésie complète (y compris la sensibilité tactile). 3° Les troubles de la motilité sont bilatéraux, au moins au début
es troubles de la motilité sont bilatéraux, au moins au début ; les troubles de la sensibilité cutanée prennent tous les modes
te sur le fait que dans les cas de coups de couteau ayant amené des troubles bilatéraux de la motilité, les troubles de la sen
de couteau ayant amené des troubles bilatéraux de la motilité, les troubles de la sensibilité du côté opposé ne présentent
x où la sensibilité tactile se trouve prise, il existe toujours des troubles de la sensibilité profonde du côté opposé, c'est-
sensibilité profonde peut même être atteinte du côté où siègent lès troubles de la sensibilité cutanée ('). Sans faire la
côté, fait d'autant plus intéressant que chez le second malade les troubles étaient nettement unilatéraux. Nous avons essay
nclure que la lésion siège au-dessus de ce segment. La limite des troubles de la sensibilité est plus élevée, surtout si nou
u en hauteur : on se rappelle, du reste, l'importance si grande des troubles du début. Nous croyons donc que le couteau glis
n des sensations produites par la pression ; du côté où siègent les troubles de la sensibilité profonde, la pression ne déterm
ité profonde, la pression ne détermine que la douleur ; du côté des troubles de la sensibilité superficielle, la sensation d
e résumé rapide des observations, avec, pour chacune, le schéma des troubles de la sensibilité. Nous tenons aussi à insister
crémastériens, abdominaux inférieurs et supérieurs sont abolis. Les troubles du sphincter vésical sont légers : on note seul
l'extension du gros orteil, faible à droite, forte à gauche. Les troubles de la sensibilité sont les suivants : La sensibil
ux existent ; la seconde a, au contraire, pour elle, l'existence de troubles manifestement médullaires : extension de l'orteil
ence de troubles manifestement médullaires : extension de l'orteil, troubles sphinctériens ou génitaux, etc. A. Sensibilité
., 32 ans. Cette malade est atteinte de paraplégie spasmodique avec troubles de la sensibilité des membres inférieurs, du me
éflexes cutanés abdominaux inférieurs sont abolis. Il n'existe pas de troubles sphinctériens. La sensibilité (fig. 34) prése
de troubles sphinctériens. La sensibilité (fig. 34) présente les troubles suivants : hypoesthésie simple dans le domaine
probablement fréquente, puisque, chez les trois malades atteints de troubles profonds de la sensibilité, que nous avons exam
tons donc ainsi un nouvel argument en faveur de cette idée que les troubles de la sensibilité dus à des lésions médullaires
nes des racines sacrées chez les malades atteints de paralysie avec troubles de la sensibilité, et ne pas admettre implicite
tré récemment(') que, dans certaines paraplégies médul- laires avec troubles de la sensibilité, l'anesthésie respectait parfoi
lors, nous avons eu l'occasion de trouver là même distribution des troubles sensitifs chez deux autres malades. Le premier, a
up d'égards nettement différent des autres, mais la répartition des troubles de la sensibilité qu'il présente nous parait dign
ensibilité. Les sensibilités tactile et douloureuse, présentent des troubles à répartition presque identique (v. fig. 35, 36).
II" sacrée gauche. Fig.35. - F..., 6 ans. Paralvsie médul- laire. Troubles de la sensibilité tactile et douloureuse. Fig
et douloureuse. Fig. 36. E..., 62 ans. Paralysie médul- laire. Troubles de la sensibilité tactile et douloureuse. COM
nski. a5 -fi Fig. 07. - E..., 62 ans. Parai vsio médul- ]air(,. Troubles de la sensibilité lher- mique. Fiv. 38. -)J..
lher- mique. Fiv. 38. -)J... , 6z ans Paraplégie médul- laire. Troubles de la sensibilité lhcr- nuque. 37o PARAPLEG
, ceux de la main, sont contractures à des degrés divers. Les mêmes troubles : atrophie et contracture, existent aussi au memb
s est également intact ; la sensi- bilité osseuse présente quelques troubles ; la sensibilité thermique est fortement t dimi
us nous empressons de les signaler. Fig. 3). S..., Syringomyélie. Troubles de la sensibilité thermique. Fig. (o. S..., Syr
oubles de la sensibilité thermique. Fig. (o. S..., Syringomyélie. Troubles de la sensibilité thermique. XI SUR LA LOCALI
ra-dure-mériennes, au contraire, quand elles se manifestent par des troubles fonctionnels, ont acquis une grande lon- gueur,
la malade a pu rentrer chez elle et, actuellement (5 novembre), les troubles de la sensibilité ont complètement disparu ; le
imant la moelle pour intervenir chi- rurgicalement avec succès. Les troubles de motilité, malgré leur inten- sité, ont régre
us tard d'une crise d'entérite. En igos, à 4 ans, elle présenta des troubles de la marche se manifestant delà façon suivante :
Service du Pr Dejerine. 38o PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE troubles après avoir duré quelques mois disparurent ; elle
latérale, mais plus marquée à gauche. Nous avons signalé déjà les troubles subjectifs de la sensibilité, les douleurs dont
ans le domaine de C5C'. La malade attire l'attention sur quelques troubles de la vue qui semblent devoir être mis sur le c
douleurs dans la nuque, le cou et les épaules. Il existe enfin des troubles de miction, la malade n'urine qu'avec effort et o
ain, adduction et rotation interne de tout le membre. Il existe des troubles des sphincters : la malade urine par regorgement
des sphincters : la malade urine par regorgement et ses urines sont troubles et purulentes; elle a de la rétention des matière
un demi-coma et meurt au bout de trois jours. L'analyse seule des troubles observés chez cette malade nous avait per- mis
gie progressive par la suite, Le début de cette affection par des troubles radiculaires précédant les symptômes médullaire
dans les compressions de la moelle il n'y avait pas dans ce cas de troubles objectifs de la sensibilité permettant de local
iens et à la base du cerveau (diplopie, diminution de l'ouïe et des troubles vertigineux). Enfin en raison de l'absence de t
uïe et des troubles vertigineux). Enfin en raison de l'absence de troubles de la sensibilité sur les mem- Schéma montrant
is, /t° 9, séance d'arvil ig.2o. L'examen et l'interprétation des troubles de la sensibilité dans les cas j de compression
onstatés (paraplégie totale, avec abolition des réflexes tendineux, troubles sphinctériens, apparition rapide des escarres,
L'examen de l'anesthésie nous montre la disposition suivante de ces troubles : Les membres inférieurs (sauf la plante des pi
d'une hauteur de trois à quatre cen- timètres, présente encore des troubles sensitifs nettement appréciables : il ne distin
poesthésie légère, présentant la même étendue que la précédente, le trouble n'est guère que d'ordre quantitatif, et, à un e
ble n'est guère que d'ordre quantitatif, et, à un examen rapide, ce trouble peut passer inaperçu ; le malade reconnait ici
. 54) : à côté d'une paraplégie complète, nous consta- tons ici des troubles sensitifs, en tous points comparables à ceux que
ns, en passant, qu'il s'agissait là d'une compression récente ; les troubles de la sensibilité ne dataient que de quelques s
ésie complète, durable, on trouve ici une modalité particulière des troubles sensitifs caractérisés par leur inconstance, le
és quant à l'intensité, suivant les ni- veaux ; mais le maximum des troubles sensitifs ne se trouve pas, comme on pourrait l
LLAIRES 393 per le domaine de plusieurs segments et, souvent, les troubles sensitifs s'accentuant d'une matière progressiv
ans un territoire moins atteint. Notons que la même disposition des troubles sensitifs peut s'observer, que l'anesthésie att
le cas de lésion intra-spinale, telles que la syringomyélie où les troubles sensi- tifs prédominent au niveau de la lésion.
euvent provenir de ce qu'on a assigné comme limites supérieures des troubles de la sensibilité celles de l'hypoesthésie légè
valeur démesurée. Par contre, si l'on ne veut tenir compte que des troubles de la sensibi- lité très marquée et de ceux don
pte de la zone d'hypoesthésie marquée, à cause de l'instabilité des troubles , les attribuant à des altérations accessoires,
anifestée par une sensation de lourdeur aux membres inférieurs. Les troubles moteurs se sont accrus ensuite très lentement e
cement de rg24. Son état général est excellent, mais la plupart des troubles précédemment mentionnés ne se sont pas atténu
s forts et leur limite supérieure se trouve nettement en D 8/g. Les troubles sphinctériens sont permanents et néces- siten
e même diagnostic de chordome. Quelques jours après l'opération les troubles sensitifs s'étaient déjà un peu atté- nués ; au
mis en évidence. Il est rela- tif à la lenteur de la régression des troubles de motilité. Nous rappelle- rons que nous avons
compression médullaire par tumeur. La malade rapporte le début des troubles qu'elle présente au mois de juin rgaa ; elle au
après quelques observations faites par les siens, il semble que ces troubles sont de date plus ancienne. La faiblesse des me
et une exagération des réflexes tendineux avec clonus du pied. Les troubles parétiques et la contracture prédominent nettem
flexion transitoire des divers segments des membres inférieurs. Les troubles de la sensibilité sont très légers à gauche, bien
ur territoire à la hauteur de D 8/g ; leur limite atteint celle des troubles sensitifs ou semble même la dépasser quelque peu.
phénomènes de choc on constate une aggravation notable de tous les troubles ; et, contrairement à ce qu'on avait observé avant
ne à droite, où elle est complète, tandis que du côté gauche où les troubles sensitifs étaient très légers, on trouve une anes
que s'aggraver : la paraplégie Fig. 60. Obs. II. Mlle B. Schéma des troubles de la sensibilité thermique et douloureuse. C
e de jours qu'apparaissent les premiers signes de régression de ces troubles : les réflexes reparaissent; la motilité volontai
ation se poursuit de semaine en semaine, et à la fin de juillet les troubles de sensibilité se sont effacés en grande partie ;
tention. 1° D'après les renseignements qui nous ont été donnés, les troubles , après s'être accentués d'une manière progressi
- rage sont affirmatifs à cet égard. Nous savions fort bien que les troubles sensitifs et paralytiques produits par des tume
ais l'observation que nous venons de relater semble établir que les troubles dépendant d'une compression par tumeur non vasc
oplasme, les tractions, qui étaient inévitables, détermi- naient un trouble de la respiration qui devenait à chaque tiraillem
e, parfois presque stertoreuse. Il est permis de se demander si les troubles constatés chez la malade dès son réveil, et qui f
et venir et de marcher sans appui. , Vers le milieu de igo8, les troubles de motilité s'accentuent d'une manière appré- c
et se plient parfois brusquement ». A cette parésie s'associent des troubles de la miction, de la dysurie, une diminution de
région lom- baire et son tronc se renverse en arrière. Ces divers troubles continuent à augmenter el, vers le milieu de févr
n. La malade présente une paraplégie spasmodique en extension, avec troubles de la sensibilité, remontant jusqu'à la ligne mam
s fortes, ne donnent naissance à aucune réaction de ce genre. Les troubles de la sensibilité cutanée remontent à gauche jusq
n travers de doigt au-dessous du mamelon ; à la face postérieure, ces troubles se délimitent par une ligne allant de la Ve apo
la sensibilité est tout à fait normale. Quant à leur intensité, les troubles de la sensibilité ne sont pas répartis d'une ma-
pparaît également la sensibilité tactile. Enfin, sur les seins, les troubles sensitifs deviennent très légers et ne peuvent êt
sont pas les mêmes pour tous les modes de sensibilité : ce sont les troubles de la sensibilité tactile qui atteignent le niv
e perd ses urines et ses matières. Ajoutons qu'on ne constate aucun trouble ni aux membres supérieurs, ni à la tête. Étan
trouble ni aux membres supérieurs, ni à la tête. Étant donné les troubles observés chez cette malade, leurs caractères, l
rs après l'opération, on constate déjà une légère atté- nuation des troubles sensitifs : la malade sent une piqûre d'huile cam
uile camphrée qu'on lui fait à la cuisse droite ; la régression des troubles de la sensibilité se poursuit réguliè- rement,
le sol. Un examen objectif minutieux ne décèle, comme reliquat- des troubles d'autrefois, qu'une tendance à l'extension des
n'est pas encore complètement normale. Enfin, on ne constate aucun trouble ni de la sensibilité cutanée, ni de la sensibilit
lentement et ne se manifester pendant plusieurs années que par des troubles légers ; 2° Une compression de la moelle peut d
les éléments nerveux aient subi des désordres profonds, puisque les troubles fonctionnels sont en pareil cas susceptibles de
iga5. Les premiers symptômes morbides qui apparaissent alors sont des troubles de la sensibilité consistant en hypoesthésie de
ent. En décembre, la malade marche avec une grande difficulté ; les troubles de la sen- sibilité, d'après ce qu'elle nous a
es osso-tendineux égaux et vifs à droite et à gauche. Il existe des troubles de la sensibilité mais, tandis que la sensibilité
Sauf une rétention des urines qui a duré plusieurs jours et quelques troubles pas- sagers du côté du membre supérieur droit,
ériode post-opératoire s'est déroulée sans incidents sérieux. Les troubles moteurs et sensitifs s'atténuent de jour en jour.
endineux avec clonus, signe des orteils, réflexes de défense. Les troubles de la sensibilité ont presque entièrement dispa
t d'une grande partie de l'hémi-thorax du même côté ; 3° enfin, des troubles de la sensibilité profonde à droite qui sont pr
hypothèse s'appuyait sur les caractères de la paraplégie joints aux troubles de la sensibilité objective, à l'état des réflexe
se et à l'évolution de l'affection. Fig. 65. Vlme G... Schéma des troubles de la sensibilité en juin ig26. COMPRESSIONS
avait été vue par M. Foix, c'est-à-dire trois mois auparavant, les troubles étaient sans doute moins prononcés ; toute- foi
rononcés ; toute- fois, la marche était déjà très difficile, et les troubles de la sensibilité pré- sentaient à peu près les
ression étaient encore très peu marqués. Or, chez notre malade, les troubles étaient déjà très accentués. Notre cas montre d
en oppo- sition avec le diagnostic de compression, même lorsque les troubles moteurs et sensitifs, par lesquels se traduit c
s se joignent des douleurs en ceinture. En outre se manifestent des troubles delà marche, des dérobements des jambes provoqu
delà marche, des dérobements des jambes provoquant des chutes. Ces troubles s'accentuent pro- gressivement et, depuis décem
Au membre inférieur gauche, qui est souple et ne présente pas de troubles appréciables de la motilité volontaire, on tr
éflexes tendineux sont ici d'une intensité moyenne. Il existe des troubles de la sensibilité qui, sans être très forts, so
mais surtout la sensiuiiuc a la température et a la douleur; ces troubles s'étendent jusqu'au pli de l'aine ; ils sont bien
a qu'une hypoesthésie légère. Pendant le séjour à l'hôpital, les troubles s'aggravent petit à petit, et, en parti- culier
tôt en flexion. Les réflexes abdominaux inférieurs sont abolis. Les troubles moteurs du membre inférieur droit n'ont pas sub
membre inférieur droit n'ont pas subi de changement appréciable. Les troubles de la sensibilité dite objective se sont notabl
érieurs tous les modes sont touchés ; mais, comme précédemment, les troubles sont beau- coup plus prononcés à droite ; c'est
nt beau- coup plus prononcés à droite ; c'est-à-dire du côté où les troubles moteurs sont plus forts (voir schéma). Le terri
. Le territoire des racines sacrées est moins atteint. De plus, des troubles sudoraux s'étendant jusqu'à la ligne mamelonnaire
ires. Notons enfin que, sauf à la période terminale, il n'y a eu ni troubles sphinctériens, ni escarre. La malade succombe
ous paraissent essentiels au point de vue de l'in- terprétation des troubles présentés par notre malade. i° Il s'agissait d'
le dorsale. C'est à ces dernières lésions que paraissent liés les troubles sensitifs au niveau de l'abdomen, l'abolition d
de l'abdomen, l'abolition des réflexes abdominaux inférieurs et les troubles sudoraux s'étendant jusqu'au niveau des mamelons.
uxquelles il faut attribuer les symptômes les plus importants : les troubles moteurs et sensitifs, les troubles de la réflec
ptômes les plus importants : les troubles moteurs et sensitifs, les troubles de la réflectivité cutanée et tendineuse des me
flectivité cutanée et tendineuse des membres inférieurs. Ces divers troubles considérés chacun en particulier sont assez banau
drome qui mérite de fixer l'attention. On remarque d'abord, que les troubles de la motilité et de la sensibilité sont homolaté
; à gauche, au contraire, exagération des réflexes de défense, sans troubles nets de la motilité volontaire, sans contractur
es affections les unes des autres, c'est que dans les dernières les troubles de la sensibilité font défaut ou sont très peu pr
dis que dans les premières, ils viennent tôt ou tard s'associer aux troubles moteurs. La paraplégie spasmodique en flexion p
qui donne sa marque à cette anesthésie, c'est que le maximum de ce trouble ne se trouve pas au niveau de la lésion, mais en
gie spasmodique en flexion permanente ou en flexion passagère, avec troubles sensitifs sous- lésionnels dont le maximum est
nous venons de signaler lorsqu'on veut utiliser la topographie des troubles sensitifs pour déterminer le niveau supérieur d
elle » ou « c'est comme si ma peau n'était pas vivante », etc... Un trouble de ce genre ne doit pas être considéré comme une
ne doit pas être considéré comme une hypoesthésie légère ; c'est un trouble qualificatif dont il faut tenir compte dans l'a
sthésie nette, tranchant par sa moda- lité ou son intensité sur les troubles sensitifs sous-lésionnels. Nous n'avons pas vu
La limite des réflexes de défense dépasse le 6" segment dorsal. Les troubles sensitifs portent surtout sur la sensibilité au
tion Il. Homme de 66 ans. Mal de Pott. Paraplégie presque complète. Troubles sensitifs (voir fig. 68). L'anesthésie est presqu
et à la douleur, avec conservation de la sensibilité tactile. Les troubles de sensibilité cantonnés dans cette zone semblent
La paralysie crurale était manifestement, ainsi que le prouvent les troubles vésicaux et le phénomène des orteils, sous la dép
ités que détruits. Mais déjà dès le début, mal- gré l'intensité des troubles fonctionnels, et je dirai même en raison de l'i
nnels, et je dirai même en raison de l'intensité de certains de ces troubles , on pouvait supposer qu'il en était ainsi ; c'é
attri- buer à cet agent spécial hypothétique la genèse de tous les troubles obser- vés chez cette malade, il faudrait suppo
chroniques qui existent maintenant encore et se manifestent par les troubles pupil- laires et la lymphocytose toujours prése
ions des nerfs sont primitives, qu'elles sont l'origine de tous les troubles symptomatiques observés et que le système nerveux
leur action patho- gène sur d'autres systèmes anatomiques ; que les troubles fonctionnels qu'ils occasionnent sont causés no
e musculaire ne s'accompagnant pas de dou- leurs, dans celle-là les troubles occupent le bras, se manifestent par des douleu
les caractères intrinsèques, sans nous occuper, pour commencer, des troubles concomitants. a) Les contractions consistent en
à une sorte d'état de mal qui, d'ailleurs, ne s'accompagne d'aucun trouble psychique. b) Il est généralement difficile de
tères permettant d'affirmer qu'il n'est pas sous la dépendance d'un trouble mental, psychique. Quelle en est la cause ? Il
de la corde vocale droite, une hémiatrophie linguale à gauche, des troubles auriculaires et un rétrécissement de la pupille
culaires et un rétrécissement de la pupille également à gauche. Ces troubles ont apparu il y a cinq ans environ et l'hémispasm
marquée et une diminu- tion de la contractilité volitionnelle ; ces troubles atteignent principalement les muscles de la rac
normaux. 11 n'y a pas de secousses fibrillaires. Il n'y a pas de troubles de sensibilité. Les viscères sont en parfait ét
ou même exagérée. 2° Un simple rapprochement montre ensuite que le trouble précédent coïncide avec une perturbation des ré
nt à appeler hystériques, les analyser et les rapprocher des divers troubles nerveux que l'on est unanime à séparer de l'hys
. Quels en sont les attributs communs ? On peut dire que ces divers troubles sont purement fonctionnels, mentaux, qu'ils son
s commotions morales peuvent exercer une influence sur la genèse de troubles mentaux indépendants de l'hystérie, elles sont
e chez les diabétiques des acci- dents nerveux et de déterminer des troubles circulatoires graves chez les sujets atteints d
s malades ; la neurasthénie peut durer des années sans amener aucun trouble de la nutrition ; il en est de même de la maladie
tion. Déclarer à un malade atteint d'une paralysie psychique que ce trouble est purement imaginaire, qu'il peut disparaitre
on est rigoureusement exacte et il est impossible de distinguer les troubles hystériques de ceux qui sont créés par la sugges-
réa- liseront pas et animé d'un ardent désir de se débarrasser d'un trouble qui rend sa -vie intolérable ; admettons de plu
térie. Je crois qu'il est légitime d'appeler encore hystériques des troubles qui, sans présenter les (') Voir : Hypnotisme e
Ce sont là les caractères dont la réunion peut servir à définir les troubles secondaires ; c'est parce qu'ils sont intimement
de s'auto-suggestionner. Elle se manifeste principalement par des troubles primitifs et accessoire- ment par quelques trou
alement par des troubles primitifs et accessoire- ment par quelques troubles secondaires. Ce qui caractérise les troubles pr
e- ment par quelques troubles secondaires. Ce qui caractérise les troubles primitifs, c'est qu'il est possible de les repro-
sous l'influence exclusive de la persuasion. Ce qui caractérise les troubles secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subo
oubles secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subordonnés à des troubles primitifs('). Comme on vient de le voir, j'ai é
r conséquent, la définissent par une analyse comparative des divers troubles sur la nature desquels il n'y a plus de discuss
ystérie, les autres en dehors de ce cadre. Pour ce qui concerne les troubles qui sont l'objet de discussions, j'es- (') Voir
isme. Ce qui distingue ces deux états c'est que dans le premier les troubles sont le résultat de l'autosuggestion, qu'ils so
légie. Je demande qu'on procède de la même manière en présence d'un trouble encore non classé qu'on veut faire entrer dans
hystériques secondaires suffit pour connaître les conditions qu'un trouble doit remplir afin d'être admis dans ce groupe.
tendu. il est nécessaire que la relation de cause à effet entre les troubles en question et une manifes- DÉFINITION DE L'HYS
-il pas essentiel, en effet, de réunir dans un même groupe tous les troubles sur lesquels la persuasion peut avoir une parei
le plus au point de vue du traitement de savoir reconnaître, car un trouble hystérique peut guérir rapidement, instanta- né
t, comme je l'ai déjà dit, légitime et même utile de faire avec les troubles présentant les caractères sur lesquels je viens
rait, en se servant d'un néologisme, leur donner la dénomination de troubles pithiatiques('), qui exprimerait au moins l'un
vec la tradition. Mais si l'on conti- nue à appeler hystériques ces troubles dont la propriété essentielle est leur dépendan
urrait fort bien désigner l'état psychique qui se manifeste par des troubles guérissables parla persuasion et remplacerait ava
goureuse des faits conduisit plus tard à reconnaitre que les divers troubles dits « hystériques » apparais- saient aussi che
ises autrefois, il n'en restait d'ailleurs pas moins établi que les troubles nerveux appelés hystériques avaient un cachet p
ar deux ordres de CONCEPTION DE L'HYSTÉRIE ET DE L'HYPNOTISME 467 troubles , les uns permanents, les stigmates, les autres tr
définit. Il en résulte que, lorsqu'on a constaté chez un malade un trouble présentant un des caractères attribués aux mani
e rechercher les stigmates ; si on les trouve, on n'hésite plus; le trouble est considéré comme hystérique. Beaucoup de méd
omaine qu'on lui assigne lorsque je vous aurai mentionné les divers troubles qu'on lui attribue ; en voici l'énumération suc
vralgies sciatiques. L'hystérie serait capable de donner lieu à des troubles mentaux qui deviendraient parfois des plus grav
é des pupilles et de la mydriase avec abolition des réflexes. Des troubles cutanés et vaso-moteurs seraient fréquemment enge
e pour éveiller dans son esprit l'idée d'une hémianesthésie ou d'un trouble visuel ; il est donc essentiel de prendre toute
ale. Après ce que je viens de vous dire sur l'hémianesthésie et les troubles visuels, je n'insisterai pas sur les autres sti
nu. Le rôle des commotions morales, de l'émotion dans la genèse des troubles hystériques est incontestable, mais ces mêmes c
accidents nerveux chez les diabé- tiques et de déterminer même des troubles circulatoires graves chez les sujets atteints d
faire partie d'une définition. La rapidité dans la disparition d'un trouble n'est pas non plus une propriété spéciale aux p
as à toutes les manifestations de l'hystérie et il s'applique à des troubles incontestablement étrangers à l'hystérie ; une
relle et, d'autre part, certaines formes de vésanie accompagnées de troubles corporels ne sont-elles pas dues à des représen
es à considérer comme hystériques, il faut ensuite les comparer aux troubles nerveux qui, de l'avis de tout le monde, sont é
aire, déclarer à un malade atteint d'une paralysie psychique que le trouble dont il est atteint doit guérir, soit par un simp
TÉRIE ET DE L'HYPNOTISME ! I ï 3 Reprenons notre argumentation. Les troubles incontestablement hysté- riques que j'ai mentio
réa- liseront pas et animé d'un ardent désir de se débarrasser d'un trouble qui rend sa vie intolérable; admettons, de plus
ie. J'estime qu'il serait légitime d'appeler encore hystériques des troubles qui, sans présenter les caractères des accident
ents et lui seraient subordonnés ; mais il faut alors ajouter à ces troubles l'épithète de secondaires. L'atrophie mus- cula
e, le casier des accidents secondaires dans lequel on rangerait des troubles , qui seraient incontestablement liés d'une manièr
le de s'autosugges- tionner ; nous avons vu, en effet, que certains troubles , tels que l'hémi- anesthésie et le rétrécisseme
'lIY ? \'OTIS.IIE 475 peut-être le droit de m'objecter que certains troubles absolument étran- gers à l'hystérie sont aussi
l est, de part et d'autre, bien différent; en voici la preuve : les troubles que l'hystérique s'autosuggère sont susceptibles,
t un état psychique spécial qui se manifeste principalement par des troubles qu'on peut appeler primitifs et accessoirement pa
des troubles qu'on peut appeler primitifs et accessoirement par des troubles secondaires. Ce qui caractérise les troubles pr
cessoirement par des troubles secondaires. Ce qui caractérise les troubles primitifs, c'est qu'il est possible de les repro-
sous l'influence exclusive de la persuasion. Ce qui caractérise les troubles secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subo
oubles secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subordonnés à des troubles primitifs. J'ai déjà eu l'occasion de vous dire
La distinction que j'ai faite entre la suggestion qui engendre les troubles et la persuasion qui les guérit a été critiquée ;
vez donc, me dit-on, considérer comme un caractère spécifique des troubles hystériques la possibilité d'être guéris par pers
es en bien et en mal, n'a jamais disparu depuis, a donné lieu à des troubles tels que l'arythmomanie, le délire du toucher, la
able, afin d'éviter la confusion, de séparer les uns des autres des troubles n'ayant pas les mêmes qualités. ' En possession
s en mesure, main- tenant, de faire une revision utile des nombreux troubles attribués à l'hystérie, que nous avons énumérés
épilepsie spinale par- faite étaient susceptibles de constituer des troubles hystériques primitifs, on devrait être en mesur
s dans la folie hys- térique. La persuasion est sans action sur les troubles de ce genre et on ne peut pas les reproduire pa
négalité des pupilles, qu'il est également impossible de guérir ces troubles par persuasion et qu'on ne les observe jamais,
servation ou d'interprétation. Je prétends aussi que la réalité des troubles cutanés et vaso-moteurs dans l'hystérie est loi
hanger d'avis à cet égard et je serai obligé de reconnaître que ces troubles , présentant les attributs des mani- festations
stériques secondaires. L'hystérie peut produire de l'aphonie et des troubles respiratoires, qui, du reste, ne s'accompagnent
question de fièvre hystérique. L'hystérie. malgré l'élimination de troubles nombreux qui lui ont été attribués à tort, cons
t à reproduire à volonté, suivant leur caprice ou leur intérêt, des troubles qui, au début, étaient le résultat de la suggesti
oculaires, l'injonction verbale de dormir, on a développé certains troubles nerveux, des paralysies, des contractures, des
; suivant ma conception, cette névrose est constituée par tous les troubles qui sont susceptibles de guérir uniquement par
des individus âgés, atteints d'affection car- diaque, n'ayant aucun trouble de la sensibilité et dont la paralysie n'avait
résentaient, ce qui n'est pas rare dans l'hémiplégie organique, des troubles vosomoteurs, de l'hypo- thermie du côté de la p
pas encore tout : si l'hystérie est capable d'engendrer de pareils troubles à la peau, pourquoi n'en produirait-elle pas auss
le second groupe, se rangent des phénomènes qui sont également des troubles fictifs, mais qui se distinguent des précédents p
es oedèmes. La fraude consiste en ce que les sujets atteints de ces troubles prétendent qu'ils se sont développés spontanéme
naissons aussi que, contrairement à ce qu'on pensait autrefois, les troubles vaso- moteurs, sécrétoires, trophiques, les hém
ais cher- cher à le faire à présent. 3° Reconnaître que parmi les troubles que l'on a rattachés à l'hystérie il en est qui
ar suggestion et d'autres qui ne le peuvent pas, c'est dire que les troubles qu'on appelle hystériques ne sont pas tous semb
n, ainsi comprise, implique l'idée que la volonté est maîtresse des troubles qu'elle a produits et qu'elle est capable de fa
T DE L'HYSTÉRIE TRADITIONNELLE 4g3 Comment délimiter le domaine des troubles que la suggestion peut produire ? En observant
ées ainsi acquises. Je ne ferai pas une description détail- lée des troubles qui sont tributaires de la suggestion, car cela m
ts choréiques parfois irréguliers, mais géné- ralement rythmés, des troubles de la phonation, de la respiration, des trouble
ement rythmés, des troubles de la phonation, de la respiration, des troubles de la sensibilité se manifestant par de l'anesthé
ité se manifestant par de l'anesthésie ou de l'hyperes- thésie, des troubles sensoriels, des troubles vésicaux. Par contre, ai
l'anesthésie ou de l'hyperes- thésie, des troubles sensoriels, des troubles vésicaux. Par contre, ainsi que j'ai déjà eu l'
neurologiste expérimenté doit surmonter ; elle ne peut produire de troubles vasomo- teurs, sécrétoires, trophiques, pas plu
ait naître est-il spécifique ou bien peut-il appartenir aussi à des troubles liés soit à une affection organique, soit à une
ymptomati- que seul, les manifestations de la suggestion d'avec les troubles qui dépendent des autres affections. Il faut re
ssance, il n'existe pas d'autre cause pouvant déterminer de pareils troubles . Les autres signes sont d'ordre négatif ; je di
volonté est devenue déjà, dans une certaine mesure, maîtresse de ce trouble . Or, comme je l'ai dit, c'est là précisément, c
érissable, et de désigner par l'adjectif « pithiatique » chacun des troubles qui constitue ce groupe. Sans doute, ce n'est pas
e le mot persuasion pour- rait le faire croire, que l'on guérit ces troubles , et le vocable pithiatisme n'évoque pas non plu
eut d'abord se demander si réellement l'émotion a sur la genèse des troubles pithiatiques l'action qu'on lui prête. S'il en ét
'on lui prête. S'il en était ainsi, la fréquence et la forme de ces troubles devraient être, contrairement à ce que l'on obs
erprétation à proposer. On peut soute- nir qu'un sujet atteint d'un trouble pithiatique joue en quelque sorte un rôle, d'un
ue la volonté est maîtresse ou est capable de devenir maîtresse des troubles pithiatiques, d'en déterminer la forme, d'en do
e mot sug- gestion implique l'idée que la volonté est maîtresse des troubles qu'elle a produits ; ce n'est que par l'intermé
xes qui, en outre, ainsi que je l'ai dit plus haut, ne sont pas des troubles soumis, comme les troubles pithiatiques, à l'ac
e je l'ai dit plus haut, ne sont pas des troubles soumis, comme les troubles pithiatiques, à l'action de la suggestion et de l
s salles d'hôpital, et combien sont communes les associa- tions des troubles pithiatiques avec les afl'ections les plus variée
troisième groupe, d'une part chez tous les individus présentant des troubles pithiatiques et, d'autre part, chez un nombre é
nt être faites sur des sujets qui, sauf la présence ou l'absence de troubles pithiatiques, soient, de part et d'autre, dans
u'à présent, l'habitude d'appeler accidents hystériques primitifs les troubles pithia- tiques et j'ai déclaré qu'il serait lég
t j'ai déclaré qu'il serait légitime d'appeler encore hystériques des troubles qui, sans présenter les caractères des accident
urel de le réserver aux phénomènes pithiatiques qui comprennent les troubles que l'on a toujours considérés comme les plus c
i sont soignées dans leur famille, la durée parfois très longue des troubles qu'elles présentent est due, dans bien des cas, à
sies, ces contrac- tures qui duraient des années et qui étaient des troubles très communs autrefois, sont devenus fort rares
qui lisent, dans les ouvrages de l'époque, la des- cription de ces troubles , ont l'impression qu'il s'agit là de paléopatho-
t très rapidement parvenus à se débarras- ser complètement de leurs troubles par des efforts de volonté, en quelque sorte pa
de guérir ; mais l'observation montre que leur volonté n'a sur ces troubles que très peu de prise ; contrairement aux hysté
obiques, ces psychasthéniques sur l'intensité, la modalité de leurs troubles , sans être nulle, n'est vraiment que bien faible.
immutabilité dans le temps contraste avec l'extrême mutabilité des troubles qui constituent l'hystérie, le pithiatisme. J
organique, on obtient par la psychothérapie la guérison de certains troubles occupant dans l'ensemble symptomatique une plac
it d'associations de l'hystérie avec d'autres affections et que les troubles guéris par la psy- chothérapie sont ceux qui dé
que les phénomènes pithiatiques peu- vent imiter plus ou moins les troubles fonctionnels des maladies les plus diverses, qu
e, par des pratiques psychothérapiques, sur les malades atteints de troubles pithia- tiques ; il s'ingéniera encore pour leu
, un milieu psychique qui leur soit salutaire. 3° Convaincu que les troubles pithiatiques vrais doivent céder rapide- ment à
4° Connaissant les limites du pithiatisme, il saura distinguer les troubles qui ne font, pas partie de ce domaine, et ne se
e sur ses gardes lors- qu'il aura affaire à un sujet présentant des troubles ayant les caractères qui appartiennent à ce gen
- 501, HYS T lRI E-P 1 Tlll,1 TISM E nime, car, je le répète, les troubles hystériques cèdent à une psychothé rapie pratiq
pale entrave à la guérison. b) Bien pénétré de cette idée que « les troubles vaso-moteurs et les troubles trophiques hystéri
) Bien pénétré de cette idée que « les troubles vaso-moteurs et les troubles trophiques hystériques » ne sont que des fictions
ant victimes d'accidents du travail, que la notion de ces prétendus troubles hystériques repose sur des erreurs de diagnosti
S'il lui semble impossible d'établir une relation directe entre le trouble observé et l'accident subi, si le trouble ne lu
relation directe entre le trouble observé et l'accident subi, si le trouble ne lui parait pas dépendre de quelque affec- ti
quences est l'exaltation de la suggesti- bilité. Or, comme certains troubles fonctionnels, certains états morbides peuvent c
même DE L'HYPNOTISME EN THÉRAPEUTIQUE 5og évidence que celle des troubles mentaux cités plus haut. En effet, il varie not
pnotisables et les hystériques sont susceptibles de pré- senter des troubles (phénomènes hypnotiques, phénomènes hystériques)
acture hystérique que d'hypnotiser un individu présentant un de ces troubles . Pourtant, quelques hystériques, après avoir en v
de reproduire expérimenta- C lement d'une manière parfaite tous les troubles hystériques ne prouve sans doute pas, à priori,
e développaient, disait-on, à l'insu des malades, à la manière d'un trouble organique, sans représentation mentale préalabl
rent l'attention et l'inquiétude de l'intéressé, fassent éclore des troubles qui sont du domaine de la suggestibilité. Par
ibilité. Parfois, cette épine organique peut être minime ; c'est un trouble pas- sager, une légère douleur, un petit trauma
stibilité et jouer ainsi un rôle indirect dans le développement des troubles pithiatiques ; mais ces agents ne feraient alor
ique, à faire dépendre de quelque émotion, ancienne ou récente, les troubles dont ils souffrent; de la meilleure foi ils peuve
propres au développement d'accidents nerveux, on se met en quête de troubles hystériques ; on peut dire que c'est une recherch
s qui toutes étaient concordantes : aucun d'eux n'avait constaté de troubles hystériques. Les renseignements communiqués par
isuel de plus de (ioo « rescapés » dont quelques-uns souffraient de troubles nerveux divers constituant un véritable état mo
nous lui avons posées, n'a pas vu se développer devant lui un seul trouble dont la nature hystérique fût avérée ; il se ra
e l'émotion seule, quelle que soit son intensité, n'engendre pas de troubles hystériques. On peut même dire que si les émotion
la santé morale une influence assez grande pour produire de pareils troubles . Cette objection, d'ordre spéculatif, ne saurai
entre les manifestations pithiatiques les plus indiscutables et les troubles d'origine lésionnelle. » D'autre part, dans u
en, et j'ai insisté moi-même sur ce point depuis longtemps, que les troubles hystériques peuvent être associés à des troubles
longtemps, que les troubles hystériques peuvent être associés à des troubles physi- ques, organiques, mais cela ne veut pas
vo-sensoriclle de l'hystérie, qui fait partie de cette catégorie de troubles qu'il est permis d'appeler hystériques primitif
lles que réalisent parfois des lésions cérébrales authentiques. Ces troubles sensitifs étaient considérés comme des stigmate
a été communiquée il y a quelque douze ans par le Dr Morax, sur les troubles visuels dans l'hystérie, les passages sui- vant
l'hystérie. Pour résumer mon impression actuelle sur la nature des troubles visuels, décrits comme stigmates de l'hystérie,
nt de même nature que les précédentes. J'ajoute que la guérison des troubles hystériques, en apparence les plus tenaces, est
lter nettement de tout ce qui précède qu'il existe une catégorie de troubles ayant pour attributs de pouvoir être produits par
chose c'est déter- miner les attributs qui lui appartiennent. Les troubles ne présentant pas les attributs en question ne pe
tre les manifestations pithiati- ques les plus indiscutables et les troubles d'origine lésionnelle ». A mon avis, ces deux o
es troubles d'origine lésionnelle ». A mon avis, ces deux ordres de troubles sont séparés, en ce qui concerne leur nature, n
BABINSKI et J. Froment.] Extrait du livre Ilystérie-Pithiatisme et Troubles nerveux d'ordre réflexe. Masson et C", Paris, 1
uisaient. La guerre a-t-elle réalisé de pareilles conditions et les troubles pithia- tiques se rencontrent-ils souvent dans
tes pour qui veut apprécier le rôle de l'émotion dans la genèse des troubles nerveux. L'émotion-choc devait atteindre là son
u des désordres mentaux qui ont surgi dans ces circonstances, aucun trouble pithiatique ne s'est alors manifesté. Ajouton
bles de déterminer les émotions les plus violentes, on constate des troubles émo- tifs divers, mais on ne voit pas se dévelo
iquement par l'émotion, on ne saurait rete- nir que les faits où le trouble aurait succédé, sans solution de continuité, au
ncomplets. Pour toutes ces raisons on est autorisé à penser que les troubles moteurs étaient au moins en partie d'ordre réflex
roubles moteurs étaient au moins en partie d'ordre réflexe. Or, les troubles de ce genre ne subissent guère plus les influence
en particulier par Bouveret et par Blum. Jus- qu'à cette époque les troubles nerveux de cet ordre (railway-spine, rail- way-
contusion), la question est relativement simple : les douleurs, les troubles de motilité plus ou moins durables qui en résul
re-suggestion vient apporter la preuve de la nature pithiatique des troubles nerveux constatés. Le fait est nettement mis en
neurologique où il est de nouveau examiné par l'un de nous pour des troubles de motilité, rappelant la chorée rythmique, qui
e l'émotion, augmenter la suggestibilité et être ainsi l'origine de troubles hystériques. Ceux-ci varieront quant à leur for
nerveux d'ordre réflexe, de ne pas attribuer à l'hystérie tous les troubles consécutifs au traumatisme et indépendants de t
ette confusion est très regrettable car il s'agit de deux ordres de troubles différents quant à leur mode d'évolution, leur
onception ancienne des stigmates permanents de l'hystérie ? ' Les troubles nerveux qui ont été décrits sous le nom de stigma
sauraient en aucun cas nous autoriser à rattacher à l'hystérie les troubles nerveux qui les accompa- gnent, CRISES HYSTÉR
éviter tout propos susceptible d'être l'origine d'une suggestion. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. Anesthésies hystériques. Les
s nerveux. , ". , ' .. 1 ? ? L'HYSTÉRIE PENDANT LA GUERRE 537 Ces troubles de sensibilité ne provoquent aucune gêne : on ne
avaient prêté à tort, en effet, l'idée que nous consi- dérions ces troubles comme une fiction ou comme l'oeuvre de la simulat
rique le pouvoir de modifier ou d'abolir la réflectivité cutanée. TROUBLES DE LA FUTILITÉ. Paralysies hystériques. Les par
cause : 538 II Y ST É R I E-P 1 T II I AT I S M E l'existence de troubles sphinctériens, d'ailleurs passagers, certaines
oplégies brachiales ou crurales totales et assez souvent encore des troubles moteurs simulant plus ou moins grossière- ment
cture ou pseudo-contracture névropathique n'est accompagnée d'aucun trouble ni de la sensibilité superficielle ou profonde,
motion par éclatement d'obus. Il est fort possible dès lors que les troubles nerveux incriminés ne soient pas de nature hyst
ntaire peut être abolie. Cette irréflectivité semble alors liée aux troubles vaso-moteurs et à l'hypothermie. Il suffit de réc
chambre chaude pour voir le réflexe reparaître. L'instabilité de ce trouble est importante â souligner et nous saisissons cet
pensent, l'idée d'hystérie. Elle n'a cette signification que si le trouble a cédé sous l'influence seule de la contre-sugg
té depuis lors confirmées par plusieurs neurolo- gistes. OEDÈMES, TROUBLES VASO-MOTEURS ET TROPHIQUES ,. PRÉTENDUS HYSTÉRI
. » A ces hypothèses on peut encore en joindre une autre : celle de troubles vaso-moteurs d'ordre réflexe qui toutefois ne s
eut être considéré comme ayant une action uniquement psychique. Les troubles vaso-moteurs étaient considérés autrefois comme t
ts qualifiés d'hystéro-traumatiques, on avait en effet constaté des troubles vaso moteurs marqués. Quelques observateurs ont s
les vaso moteurs marqués. Quelques observateurs ont supposé que ces troubles , sans constituer il est vrai des accidents hystér
que l'un de nous avait réservé pour les phénomènes subordonnés aux troubles hystériques pri- mitifs et qu'il avait appelés
rdonnés aux troubles hystériques pri- mitifs et qu'il avait appelés troubles hystériques secondaires. Mais l'ana- lyse de ce
ires. Mais l'ana- lyse de ces faits nous a permis d'établir que ces troubles circulatoires et thermiques devaient être détac
provoquer une légère thermo-asymétrie, elle ne détermine jamais de troubles vaso-moteurs et thermiques nettement caractéris
rmiques nettement caractérisés; lorsqu'elle s'accompagne de pareils troubles c'est qu'elle s'associe à des phénomènes d'une au
is sans conteste. , Sollier a signalé, il est vrai, l'existence des troubles trophiques osseux dans six cas de contractures
étaient dévelop- pées consécutivement à des blessures. Mais de tels troubles ont été très souvent observés à la suite de fra
hystérique. On peut se demander si. là encore, il ne s'agit pas de troubles trophiques liés à des perturbations du système
qués par une épine organique. » Villaret remarquait de même que les troubles trophiques des phanères (hyper ou hypotrychose)
eu l'occasion de traiter un très grand nombre de sujets atteints de troubles pithiatiques, nous a déclaré les avoir guéris pre
s a déclaré les avoir guéris presque tousQ. ' Dans le domaine des troubles oculaires hystériques, qui sont relative- ment
C'est ainsi que dans un travail tout récent ayant pour titre « Des troubles visuels par commotion crânienne » (Aoc7a. d'ophta
persuasive. » Est-il besoin d'ajouter qu'en cas d'association, les troubles hystériques seuls disparaissent sous l'influenc
à redouter ? L'avenir des soldats ainsi guéris, quand il s'agit des troubles hystériques purs, dépend principalement du milieu
rapidement et définitivement curables, s'applique à combattre tout trouble hystérique à l'étal naissant, il aura bien des ch
l n'est pas rare d'observer, après une atténuation très notable des troubles soumis à des pratiques psychothérapiques, la pers
pareil cas, la psychothéra- pie est beaucoup moins efficace. Si les troubles hystériques sont même alors susceptibles de dis
hystériques dans l'évaluation du degré de l'incapacité. 3° Pour les troubles physiopathiques (troubles nerveux dits réflexes)
ion du degré de l'incapacité. 3° Pour les troubles physiopathiques ( troubles nerveux dits réflexes) consé- cutifs aux trauma
qui ont eu lieu au cours de la réunion que la distinction entre les troubles hystériques-pithiatiques et les troubles dits r
e la distinction entre les troubles hystériques-pithiatiques et les troubles dits réflexes a été généralement admise. La pos
e suspects d'aboulie et même de simulation, des malades atteints de troubles physiopathiques sur lesquels la volonté est sans
dans les dépôts régimentaires un grand nombre de sujets atteints de troubles pithiati- ques purs ou associés. La psychothéra
'un de nous ; « Etant donné l'intérêt yM'<7 y a, dans les cas de troubles pithiatiques rebelles soit purs, soit associés
ire mise en oeuvre avec le maximum d'efficacité. » DIXIÈME PARTIE TROUBLES PHYSIOPATHIQUES 1 TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉ
mum d'efficacité. » DIXIÈME PARTIE TROUBLES PHYSIOPATHIQUES 1 TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE Syndrome physiopathique
. Babinski ET J. Froment.] Extrait du livre Hystérie-pithiatisme et troubles nerveux d'ordre réflexe, Masson, igi8. Parmi
rétiques qui se développent consécutivement à des traumatismes. Ces troubles de motilité ne s'accompagnent d'aucun des signe
modifications des réflexes cutanés pou- (') Hystérie-pithiatisme et troubles nerveux d'ordre réflexe (en collaboration avec J.
ity of London Presse Lid, traduit par J. D. Rolleston -NI. D.). 55o TROUBLES PHYSIOPATHIQUES vant aller jusqu'à l'irréflecti
la surexcitabilité mécanique et parfois électrique des nerfs ; des troubles de la sensibilité objective et subjective (anes
sensibilité objective et subjective (anesthésie et douleurs) ; des troubles de la régulation ther- mique (surtout de l'hypo
- phérie du membre, lorsque la température ambiante est basse); des troubles sécrétoires et enfin des troubles trophiques dive
pérature ambiante est basse); des troubles sécrétoires et enfin des troubles trophiques divers du système osseux, des ligame
en admettant même que cette pathogénie soit encore contestable, les troubles en question, quelle que soit la dénomination qu
vres complètes, traduction de Bichclot. Paris, 83y, t. I, 1). 5111. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 55 confirmées et complé
seurs et s'accompagne d'un état parétique d'intensité variable. Les troubles de motilité ne sont pas toujours aussi étroitemen
tation des réflexes paraît un symptôme commun à ces divers modes de troubles de motilité. Ceux-ci, ajoute Charcot, sont suscep
système nerveux (moelle épinière), 1886, t. II, pp. 541-592. 552 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES gourdissement plutôt qu'une dou
ent plutôt qu'une douleur dans la région. » Vulpian insiste sur les troubles trophiques de la peau et des phanères, les troubl
insiste sur les troubles trophiques de la peau et des phanères, les troubles sécré- toires, le refroidissement du membre, la
tat associé, les modifications de la réflec- tivité tendineuse, les troubles de la sensibilité (anesthésie, névralgies, doul
thésie, névralgies, douleurs à la pression des troncs nerveux), les troubles vaso-moteurs et thermiques, les troubles trophi
n des troncs nerveux), les troubles vaso-moteurs et thermiques, les troubles trophiques, les troubles sudoraux. De plus, il es
s troubles vaso-moteurs et thermiques, les troubles trophiques, les troubles sudoraux. De plus, il est spécifié que ces phén
Keen); les cas d'inflammation dite réflexe (Brown-Séquard), etc. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 553 Le discrédit dans l
conduit à attribuer à l'hystérie, presque sans exception, tous les troubles nerveux consécutifs aux traumatismes et ne releva
ire sans en excepter même l'exagération des réflexes tendineux, les troubles vaso- moteurs, thermiques et trophiques. Avec
e l'hystérie, il faut bien le reconnaître, la distinction entre les troubles nerveux d'ordre réflexe et les accidents hystér
ut même faire complètement défaut. On pouvait encore faire état des troubles vaso-moteurs et thermiques. Dès 1904, dans une
e reproduire, l'un de nous s'exprimait déjà ainsi qu'il suit : «Les troubles trophiques, les troubles circulatoires, les troub
s s'exprimait déjà ainsi qu'il suit : «Les troubles trophiques, les troubles circulatoires, les troubles sécré- toires appor
il suit : «Les troubles trophiques, les troubles circulatoires, les troubles sécré- toires apportent aussi au diagnostic des
on sudorale y est plus abondante et que la peau a une colo- 5 5 ! 1 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES ration rouge violacée, vous pou
asymétrie quand la paralysie est unilatérale, mais en pareil cas le trouble n'est que léger. Je suis d'avis qu'une hypother
'a pas été suffisamment attirée sur la fréquence et l'intensité des troubles vaso-moteurs, de l'hy- pothermie qui se dévelop
ques et qui font partie du groupe des phénomènes dits réflexes. Ces troubles sont communs dans les cas de lésions dues à des
res d'origine psychique. Société de Neurologie, Ier juillet 1915. TROUBLES NERVEUX. D'ORDRE RÉFLEXE 555 indirects avec l'o
ne... Voilà donc une contracture d'origine psychique avec oedème et troubles vaso-moteurs associés. » Il est à remarquer que
d'une contracture consé- cutive à un traumatisme s'accompagnant de troubles vaso-moteurs, d'oedème et d'hypothermie, G. Bal
UERRE Voici comment nous avons été conduits à reprendre l'étude des troubles dits réflexes et comment nous avons été appelés
dehors. Nous constatons de l'atrophie musculaire de la cuisse, sans trouble appréciable des réactions électriques. L'examen d
de la cuisse sur le bassin qui ne semble pas en proportion avec les troubles de motilité. La radiographie ne décèle aucune lés
i clonus de la rotule. Il existe, par contre, au membre malade, des troubles vaso-moteurs marqués et tenaces, et une hypothe
hypothermie locale très nette. En nous fondant sur l'intensité des troubles vaso-moteurs, nous nous étions crus en droit d'
ade à la chloroformisation. Il était d'autant plus légitime, en 556 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES l'espèce, d'avoir recours à tou
oroformique, nous ont conduits ainsi à rappeler l'attention sur ces troubles nerveux d'ordre réflexe consécutifs aux traumatis
bre igi5. (2) J. Babinski et J. Froment, Contribution à l'étude des troubles nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'ane
e po5 et Revue Neurologique, novembre-décembre igi5, pp. j25-933. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 55; Au moment où nous p
riques (main figée), Société de Neurologie, 4 novembre ig 15. 558 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES encore non décrit donna alors à
plaie par balle du 2° espace interosseux dorsal. On constatait des troubles vaso-moteurs et une hypothermie locale très man
l'hystérie ou du moins que, si elle intervenait dans la genèse des troubles moteurs, elle n'était pas seule en cause. Exa
galvanique cl faradique. Académie de médecine, i i janvier igi6. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 55g Nous remarquions en
marquions enfin que, dans la symptomatologie de tous ces faits, les troubles vaso-moteurs et thermiques occupaient généralemen
inaperçus. Nous fûmes frappés aussi par les liens qui unissent aux troubles L'aso- moteurs et thermiques les troubles de l'
es liens qui unissent aux troubles L'aso- moteurs et thermiques les troubles de l'excitabilité mécanique des muscles : surex
ns mis en évidence (observations pendant la narcose, caractères des troubles vaso-moteurs) apportent des argu- ments nouveau
s recherches ont contribué à établir l'existence d'une catégorie de troubles de motilité de nature physiopathique que l'on doi
du rapport présenté par l'un de nous et consacré aux caractères des troubles moteurs dits fonctionnels. Les (') .J. Babinski
vrier i g t 6, p. 83. (2) J. Babinski, J. Froment et ,1. Heitz, Des troubles vaso-moteurs et thermiques dans les paralysies
r la méthode graphique), Société de Neurologie, 29 juin 1916. 56o TROUBLES PHYSIOPATHIQUES neurologistes présents ont acce
n peut être appelé el prendre, il y a lieu de distinguer, parmi les troubles de motilité, dits fonctionnels (c'est-à-dire les
parmi les troubles de motilité, dits fonctionnels (c'est-à-dire les troubles de motilité qui ne présentent aucun des signes
ts nerveux, nettement distincts des précédents, qui sont liés à des troubles physiologiques réels, dont le mécanisme est encor
mécanisme est encore discutable, mais que l'on peut rapprocher des troubles d'ordre réflexe observés à la suite des lésions
servés à la suite des lésions articulaires. SYMPTOMATOLOGIE Les troubles nerveux d'ordre réflexe se développent à la suite
e la main, de la jambe, du pied et, particularité intéressante, les troubles nerveux s'étendent habituellement au-dessus de
nt au-dessus de la région traumatisée. Ajoutons que l'intensité des troubles ne semble pas être en raison de la durée de l'i
provoquer, ou du moins on n'est pas encore fixé à cet égard. Les troubles de motilité d'ordre réflexe se présentent sous de
e parésies et de contractures. Mais, quelle qu'en soit la forme, le trouble moteur est le plus souvent incomplet, partiel,
laquelle tous les segments du membre participent fréquemment. Le trouble moteur réflexe peut-il entrainer une impotence co
mpotence complète ou (') Discussion générale sur les caractères des troubles moteurs (paralysies et contractures) dits « fon
ecteur en garde contre certains malentendus qui ont pu se produire. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 561 presque complète d'
éterminer avec précision le degré d'intensité que peut atteindre le trouble moteur réflexe. Ce que nous sommes en droit d'a
moteur réflexe. Ce que nous sommes en droit d'affirmer c'est que ce trouble , même si l'on fait abstraction des rétractions
qui en sont atteints. Si l'on prend en considération à la fois les troubles de motilité et les autres troubles physiopathiq
d en considération à la fois les troubles de motilité et les autres troubles physiopathiques, il est possible de dégager au mi
bras avec parésie des extenseurs et contracture des fléchisseurs. TROUBLES VASO-MOTEURS ET THERMIQUES. Dans la majorité de
HERMIQUES. Dans la majorité des cas, comme on vient de le voir, les troubles vaso- moteurs et thermiques sont très nets : il
udier ('). Nous faisons abstraction dans cette étude des cas où les troubles vaso- moteurs sont bilatéraux et semblent en ra
rs conséquences ne paraissent pas les mêmes que lorsqu'il s'agit de troubles vaso-moteurs unilatéraux et acquis. Ces trouble
orsqu'il s'agit de troubles vaso-moteurs unilatéraux et acquis. Ces troubles ne correspondent pas à un territoire nerveux bien
extrémités et s'y cantonnent souvent. La main ou le pied atteint de troubles de motilité est cyanosé, marbré ou encore d'une t
le et la tache blanche ainsi produite ne s'efface que lentement. Ce trouble dans la coloration de la peau apparaît nettemen
u apparaît nettement par la comparaison du côté (') Cette étude des troubles vaso-moteurs et thermiques d'ordre réflexe est ex
et thermiques d'ordre réflexe est extraite du travail suivant : Des troubles vaso-moteurs et thermiques dans les paralysies ou
s constatations sphygmométriques et oscillometriques concernant des troubles nerveux purs ou associés à des lésions des troncs
s obtenues après bain chaud ou froid. N. D. L. IL Bauinsm. 30 562 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES sain avec le côté malade. Au me
re et que le godet déterminé par la pression est peu profond. Aux troubles vaso-moteurs s'associe une hypothermie nettement
ure de i à 2 centimètres de mercure à la pression diastolique.) ; TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 563 Voici quelques chif
", 8" pour 12°,5" pour 5", 8" pour 6°. Chez les blessés atteints de troubles nerveux d'ordre réflexe, la vaso- asymétrie est
14°. Nous choisissons là, à dessein, des exemples dans lesquels les troubles étaient très mar- qués (1). Les oscillations
ou même de 1 à 12. Comme on le voit, il y a en général, dans les troubles vaso-moteurs réflexes une diminution de l'ampli
omètres à la série desquels appartient celui qui nous a servi. 56f, TROUBLES PHYSIOPATHIQUES paralytiques ou parétiques, mai
nt à un état paréticlue des plus manifestes, qui est transitoire. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 565 Chez les blessés at
TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 565 Chez les blessés atteints de troubles nerveux d'ordre réflexe, après immersion du mem
D. R. » Nous ne partageons pas cette opinion. Lorsqu'il existe des troubles profonds de la régulation vaso-motrice et therm
lenteur de la secousse sont proportionnées dans leur intensité aux troubles vaso-moteurs et thermiques ; lorsque l'hypothermi
es traces au livre suivant : J. Babinski et J. Froment, Hystérie et troubles nerveux d'ordre réflexe. Collection Horizon, Pari
tion Horizon, Paris, Masson, 1918, pp. 128 à 33. N. D. L. fi. 566 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES tabilité. Mais on peut observer
me la surexcitabilité musculaire, paraît assez étroitement liée aux troubles vaso-moteurs et à l'hypothermie ; elle s'atténu
atiques d'ordre réflexe. Presse Médicale, 24 février ici6, p. 83. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 56 ? Amyotrophie. L'amy
à la suite d'arthrite, l'atrophie peut être accentuée sans que les troubles parétiques soient très prononcés. Par contre, l
que les troubles parétiques soient très prononcés. Par contre, les troubles parétiques et la contracture peuvent être relativ
ntimètres. Malgré la localisation ou la prédominance habituelle des troubles moteurs à l'extrémité, surtout quand il s'agit
r du mouvement comme l'a montré Clovis Vincent('). Dans ces cas les troubles physiopathiques, en particulier la cyanose et l
ent, Variations du réflexe achilléen chez certains hommes atteints de troubles physio- spathiques des membres inférieurs, Soci
es des membres inférieurs, Société de Neurologie, 5 avril 1917. 568 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES S marquée. Après immersion du m
breux malades et elle a toujours donné les mêmes résultats ('). Ces troubles doivent être rapprochés de la surexcitabilité méc
autres avec Babinski et Froment font relever l'aréflexie cutanée de troubles secondaires tels que l'hypothermie. Nous accept
anés plan- taires sans modifier en rien l'anesthésie psychique. » Troubles de la sensibilité. Les malades atteints de contra
t, Abolition du réflexe cutané plantaire. Annslhésie associée a des troubles vaso-moteurs et à de l'hypothermie d'ordre réflex
octobre 1910. (3) Souques, Megevand, Miles : \ardileb et Balba1ls, Troubles de la température locale 1\ propos d'un cas de
té de Neurologie. rz oclohre Igdi. ) IL Gougerot et A. Charpentier, Troubles réflexes et paralysies réflexes consécutifs aux b
ériphériques par blessures de guerre, Masson, J 9 ¡fi, pp. 84-y5. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 56g Dans plusieurs cas
encore à la jambe dont elle occupait les deux tiers inférieurs. Ces troubles de la sensibilité existaient pour tous les modes
les modes d'excitation : tact, piqûre, chaleur. On notait aussi des troubles du sens des attitudes. Après immersion dans l'e
ubles du sens des attitudes. Après immersion dans l'eau chaude, les troubles de sensi- bilité s'atténuaient. Dans quelques
'excitants violents portant sur les régions qui étaient le siège de troubles de sensibilité : la faradisation au moyen d'une
générale ne provo- quaient aucune manifestation douloureuse, aucun trouble vasomoteur du visage, aucune accélération du po
tisme, qu'il s'agit là de phénomènes possédant une autonomie vraie, troubles sensitifs superficiels et profonds qui bénéfici
titre Topographie des modifications de la sensibilité au cours des troubles physiopathiques. Constitution d'un syndrome rad
exe (') écrivent : En examinant avec soin des blessés porteurs de troubles physiopathiques typiques, nous avons pu constat
urnay, Topographie des modifications de la sensibilité au cours des troubles physiopathiques. Constitution d'un syndrome radic
adicnlo-sympathique réflexe. Progrès médical, 10 mars 1917. . 57o TROUBLES PHYSIOPATHIQUES un territoire de nerf périphéri
ement radiculaire. Nous avons éliminé, bien entendu, les cas où des troubles physiopathiques se trou- vaient associés à une
hystérique peut s'associer à des phénomènes physiopathiques ? -- TROUBLES sécrétoires et trophiques. Il n'est pas rare de c
suite d'une transfixion de la partie inférieure de l'avant-bras des troubles réflexes bien caracté- risés, une supersécrétio
très accentuée. De plus cet officier nous a fait remarquer que les troubles sécrétoires, qui étaient apparus du côté malade
s (') J. Babinski et J. Froment, Parésie réflexe do la main gauche. Troubles vaso-moteurs et sécré- toires bilatéraux. Socié
sécré- toires bilatéraux. Société de Neurologie, novembre 19 16. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 5Í[ 1 contractures et p
t habituellement quelques altérations ; chez les sujets atteints de troubles nerveux d'ordre réflexe, leur croissance est mo
, Académie de Médecine, 19 octobre igi5. Contribution à l'étude des troubles nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'anest
rletzungen, verlag Karger. Berlin, t5 avril igi6, pp. 2o3-24o). 572 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES Nous avons montré, autant que n
été en mesure de le faire, comment apparaissent et s'installent les troubles nerveux d'ordre réflexe auxquels nous venons de
d, de' grandes précisions. Mais on peut dire avec certitude que les troubles physiopathiques quand ils sont très caractérisé
e qui peut s'y associer pour une part plus ou moins importante, les troubles de motilité d'ordre réflexe, nous le répé- tons
nt, lorsque les phénomènes physiopa- thiques objectifs tels que les troubles vaso-moteurs, l'amyotrophie avaient été très ac
aura à prendre. Il n'y a d'ailleurs aucune raison de penser que les troubles physiopathiques les plus marqués ne puissent gu
ngue et qu'un retour à l'état nor- mal ne puisse être obtenu si ces troubles n'ont pas entraîné de rétractions fibreuses irr
ifs, dont les mani- festations hystériques sont dépourvues, que les troubles de motilité d'ordre réflexe peuvent être reconn
té, le diagnostic serait relativement simple, mais il est loin d'en TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 573 être ainsi. Les ass
urs qui subsiste même lorsque la main est tenue en ex- tension. Les troubles réflexes nous paraissent aussi s'associerfréquemm
usalgie depuis Weir Mitchell ont été frappés par la diffu- sion des troubles trophiques et vaso-moteurs. P. Marie et I"'e Ath.
de faire rentrer dans le groupe des phénomènes d'ordre réflexe ces troubles qui débordent le domaine du nerf irrité. L'in-
maintenant prendre quelques exemples relatifs à l'asso- ciation de troubles de motilité d'ordre réflexe avec des manifestatio
e déambulation singulier constituant une forme de chorée ryth- 57fi TROUBLES PHYSIOPATHIQUES mée : à chaque pas il fléchissa
accroupir, puis il se relevait. Mais il existait chez cet homme des troubles vaso-moteurs et thermiques du membre inférieur
liquer que par l'as- sociation de manifestations pithiatiques à des troubles nerveux d'ordre réflexe. Et, en effet, la contr
et, la contre-suggestion permit de faire disparaître rapidement ces troubles de la marche qui portaient la signature de l'hys-
ent la signature de l'hys- térie, mais elle fut sans action sur les troubles de la régulation vaso-mo- trice et thermique et
l'on a acquise, sur cette donnée que dans les faits bien avérés de troubles réflexes purs on n'a jamais constaté jusqu'à prés
'intensité, sont incapables de produire une paraplégie crurale. Les troubles moteurs en question, ne s'accompagnant du reste
rie. On ne saurait trop insister sur la fréquence avec laquelle les troubles hystériques s'associent et se combinent avec le
uelle les troubles hystériques s'associent et se combinent avec les troubles réflexes, la par- ticipation de l'hystérie pouv
ion de l'hystérie pouvant être tantôt légère, tantôt prépondérante. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE REFLEXE 55 Il faut toujours avo
gestion fait disparaître, séance tenante, la plus grande partie des troubles paralytiques, et les exercices auxquels le malade
rmie. Frappé par un pareil résultat, on se hâte de conclure que les troubles vaso-moteurs et thermiques étaient d'origine hy
so-motrice subsiste, l'hypothermie se reproduit ; la régression des troubles de moti- lité n'est pas complète et le reliquat
able de marcher sans béquilles. Dès l'entrée, dit Vincent, tous ces troubles sont attaqués avec énergie. Immédiate- ment les
ed, il le fait volontairement, même sans grand effort apparent, 576 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES mais le pied « ne tient pas » e
vent être plus complexes que dans les cas que nous avons cités. Les troubles nerveux constatés chez un malade peuvent dériver
ystéro- e/7< ? .ro-o ? MyMe), et cela n'est pas encore tout. Aux troubles précé- dents peuvent se joindre des perturbatio
s à la suite des blessures de guerre. A vrai dire, les cas où les troubles dans le fonctionnement d'un mem- bre blessé son
ceptibles d'entrer en jeu sont relativement rares. Plus souvent ces troubles sont le résultat de plusieurs facteurs qui peuv
la est possible, dans quelle proportion chacun d'eux y participe. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 577 PATHOGÉNIE C'est
LES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 577 PATHOGÉNIE C'est à l'hypothèse de troubles nerveux d'origine réflexe que se ratta- chent C
tte incitation centrifuge que réclamait Vulpian pour identifier les troubles dits réflexes avec les phénomènes réflexes à pr
eu.c, faites à la Salpêtrière, t. III, 883. l3numsm. i . 37 578 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES ou de contracture avec surréfle
? C'est ce que nous allons étudier main- tenant. L'importance des troubles vaso-moteurs et thermiques, qui nous a depuis l
e perturbation du système sympathique. Quelle est la nature de ce trouble : s'agit-il d'une paralysie ? C'est une hypothè
(opération de Leriche) chez des sujets atteints de causalgie et de troubles nerveux d'ordre réflexe, a été suivie de vaso-d
ives des maladies du coeur, des vaisseaux el du sang, février 1917. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 5 (à de nos observation
tre émises : l'hypothèse d'une névrite du sympathique ou celle d'un trouble réflexe empruntant la voie du sympathique. On p
gument d'une importance peut-être encore plus grande, c'est que les troubles vaso-moteurs et thermiques peuvent s'étendre bi
lésion de la main. Quelquefois même l'autre bras présente quelques troubles vaso- moteurs et sudoraux ('). Tous ces phéno
rmis d'invoquer encore à l'appui de cette idée la mutabilité de ces troubles , susceptibles de se transformer transitoirement
cerne les phéno- (') Cette répercussion sur le membre symétrique de troubles nerveux qui avaient d'abord été localisés au me
elui qui intervient par exemple chez la grenouille décapitée. » 58o TROUBLES PHYSIOPATHIQUES mènes vaso-moteurs et thermique
nnent un peu, mais elles peuvent s'expliquer par la persistance des troubles vaso-moteurs et thermiques. Étant donné le mo
ement exothermiques», pour employer l'expression de Ch. Richet, les troubles de l'excitabilité musculaire (1) Les faits expé
opriétés vaso-constricüves, est susceptible de reproduire les mêmes troubles musculaires mécaniques et surtout électriques d'b
roment et Heilz, par M. Meige, par MM. Marie et Foix, etc., que les troubles circulatoires ont une grande importance dans l'
de importance dans l'évolution de tels symptômes hypertoniques, » TROUBLES NERVEUX D'ORDRE REFLEXE 5tif 1 doivent avoir un
n être qu'une conséquence indirecte. Enfin, il est possible que les troubles de motilité puissent dépendre tantôt d'un état
ctures avec surréflectivité tendineuse manifeste ou latente et sans troubles vaso- moteurs notables, par exemple certaines c
i communs qui prédo- minent aux extrémités et qui s'accompagnent de troubles vaso-moteurs très caractérisés. Les deux mécani
Richet, Chaleur, lu Dictionnaire de Physiologie, t. Il, p. ig3. 582 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES entrer en jeu simultanément, ce
r en jeu simultanément, ce qui explique l'association fréquente des troubles qui appartiennent à ces deux catégories de faits,
ituent un nouvel argument contre la conception suivant laquelle les troubles dits réflexes pourraient résulter d'une simple
ématiquement l'emploi de la psychothérapie même dans les cas où les troubles nerveux d'origine réflexe sont très marqués. Il y
livre suivant : .1. Babinski et J. Froment, Hystérie-pithiatisme et troubles nerveux d'ordre- réflexe, Collection Horizon, P
athogénic, p. 151 et Notes complémentaires, p. 9,3r. '\. D. L. R. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 583 3 d'ailleurs, tout
Cette manière de procéder est particulièrement indiquée lorsque les troubles de motilité semblent hors de proportion avec le
pas se fonder sur l'intensité de ces phénomènes pour considérer les troubles de motilité comme étant de nature purement réfl
Sous l'influence des mouvements exécutés et de leur répétition, les troubles physiopathiques rétrocèdent souvent d'une manière
ires qu'il y a lieu de prendre à l'égard des blessés présentant des troubles nerveux de cet ordre, nous nous contenterons de
e 7 avril 1916, pour clôturer la discussion consacrée à l'étude des troubles moteurs dits fonctionnels (3). «En se plaçant
on peut être appelé à prendre, il y a lieu de distinguer, parmi les troubles de motilité dits fonctionnels (c'est-à-dire les t
parmi les troubles de motilité dits fonctionnels (c'est-à-dire les troubles de motilité qui ne présentent aucun des signes
ts nerveux, nettement distincts des précédents, qui sont liés à des troubles physiologiques réels, dont le mécanisme est encor
mécanisme est encore discutable, mais que l'on peut rapprocher des troubles d'ordre réflexe observés à la suite des lésions
e région, juin 1917. (3) Discussion générale sur les caractères des troubles moteurs (paralysies et contractures) dits fonct
e les distinguer des accidents nerveux de la pre- mière catégorie : troubles vaso-moteurs et thermiques accentués et tena- c
xcitabilité électrique des muscles sans D. R. atrophies musculaires troubles trophiques ostéo-articulaires et parfois cutanés.
co-militaire, de soumettre les blessés atteints de cette variété de troubles de motilité à un examen prolongé dans un Centre
l n'y a pas lieu, semble-t-il, dans tous les cas où, la réalité des troubles physiologi- ques susmentionnés a été bien établ
congé ou même une réforme temporaire est légitime dans les cas où les troubles physiopathiques sont très intenses, particulièr
ment rebelles à la thérapeutique, notamment s'ils s'accompagnent de troubles trophiques et de rétractions fibre-tendineuses, c
tions pour que cette cure soit efficace (J. Babinski et J. Froment, Troubles physiopathiques d'ordre réflexe. Association av
manifes- tations du tabes, telles que les douleurs fulgurantes, les troubles de la marche, sont susceptibles d'être exagérée
é, quand on a obtenu un résultat, d'affirmer que l'on a modifié les troubles qui relèvent direc- tement de la lésion radicul
dans la marche. Au mois d'avril de l'année dernière ont apparu des troubles visuels qui ont été en s'accentuant très rapideme
ement incoor- donnée ; on note le signe de Romberg. Il y a quelques troubles génésiques. La vessie fonctionne d'une façon no
et d'une injection par semaine. Pendant les dix premiers jours les troubles oculaires continuent à s'accentuer, mais au bou
furent faites et la lésion oculaire ne fit plus aucun progrès. Les troubles de la marche se sont aussi atténués. Il est i
visuelle qui n'ont pas été conservées, mais je puis affirmer que les troubles oculaires ont cessé d'évoluer à partir du momen
Il est sujet depuis quatre ans à des douleurs lancinantes. Il a des troubles vésicaux et des troubles génésiques. Le réflexe
e ans à des douleurs lancinantes. Il a des troubles vésicaux et des troubles génésiques. Le réflexe rotulien est normal à gauc
aucune modification ; les douleurs fulgurantes sont très rares, les troubles vésicaux très peu marqués ; les troubles oculaire
antes sont très rares, les troubles vésicaux très peu marqués ; les troubles oculaires sont exactement au même point qu'en f
e nous leur supposons. Dans l'observation I, il s'agit nettement de troubles de compression consécutifs à un trauma- tisme,
ettement de troubles de compression consécutifs à un trauma- tisme, troubles de compression vraisemblablement dus à un épanche
la VIe paire droite). Le quatrième de ces mala- des n'offrit aucun trouble des nerfs crâniens, en dehors de la névrite opti-
névrite optique d'origine intra-crânienne. Amélioration rapide des troubles subjectifs dans certains cas, diminution parfois
par la stase de la papille sans qu'elle se révèle au malade par des troubles de la vision. Plus tard, la continuité de la co
e constater dans les observations V et VI. Dans ces conditions, les troubles subjectifs peuvent être immédiatement améliorés p
édiatement améliorés par la ponc- tion lombaire. L'amélioration des troubles objectifs de l'appareil de la yision, coïncidan
yision, coïncidant avec la diminution ou la disparition des autres troubles dus à la compression intra-crânienne, suffirait
on lombaire dans les cas de stase de la papille. L'amélioration des troubles de la vision parfois si rapide plaiderait en fave
observer M. Dupuy-Dutemps dans sa thèse inaugurale. L'étiologie des troubles nerveux constatés chez nos malades des obser- v
t de fois que l'intervention sera jugée nécessaire, pour éviter les troubles dus à la compression, et en particulier l'atrop
ction lombaire ne serait pas capable d'agir favorable- ment sur des troubles ayant des lésions labyrinthiques pour cause. J'es
autant plus autorisé que les moyens employés d'ordinaire contre les troubles en question sont généralement inefficaces et que,
5 à 20 centimètres cubes. L'influence de cette intervention sur les troubles qui sont liés aux per- turbations de l'appareil
tre qu'il montre jusqu'à l'évidence l'action de la ponction sur les troubles labyrinthiques, il prouve que l'inclination et
l'électrisa- tion est une méthode d'une grande finesse. Quant aux troubles fonctionnels, ils peuvent également s'atténuer au
tenté de voir là l'effet d'une suggestion, il est admissible que les troubles subjectifs s'atténuent immédiatement à l'instar
ue les troubles subjectifs s'atténuent immédiatement à l'instar des troubles objectifs. D'ordinaire, ces effets salutaires s
de plus de 5 ans. La rachicentèse a une action bien moindre sur les troubles dépendant des lésions du labyrinthe antérieur : b
e grâce à des données clini- ques depuis longtemps mises en valeur ( troubles dans les réflexes tendi- neux, douleurs radicul
ITEMENT DES TUMEURS J(i.lTl- : 111 : DULL. : ll1 ? ES 5c1 toire des troubles moteurs ; chez un autre malade (tumeur à la régio
ai en vue, consécutivement à quelques séances de radiothérapie, les troubles moteurs et sensitifs se sont très notable- ment
t suivie très rapidement d'une aggravation considérable de tous les troubles . I)ans un cas de tumeur à la région cervicale que
ux membres inférieurs et un engourdissement à la cuisse gauche. Ces troubles , assez longtemps stationnaires, se mirent à évolu
e- ment comme par une ceinture de fer. En même temps, apparition de troubles sphinc- tériens. Voici le résumé des constata
, mais ne paraissant pas exagérés ; signe des orteils des deux côtés. Troubles de la sensibilité cutanée : dans la partie du t
u-dessus de l'ombilic, jusqu'à la ligne mamelonnaire, il existe des troubles de la sensibilité atteignant aussi les divers m
gments dorsaux. Elle a été suivie très rapidement de régression des troubles : 10 heures après l'inter- vention la rétention
la paralysie avait été totale. Après plusieurs mois, la guérison des troubles , dont le début remontait à 2 ans environ, a été
ment à cause de l'ancienneté de l'affection que la régres- sion des troubles a été si lente. Quant au 4e cas de paraplégie s
ne affection gastrique ces douleurs, qui auraient constitué le seul trouble pendant plusieurs mois. Elles s'atté- nuent alo
ue aux membres inférieurs après une marche un peu prolongée ; puis ce trouble s'accentue. La faiblesse devient progressivemen
is, à d'autres moments, elle paraît nor- male et, en définitive, le trouble sensitif n'est pas nettement caractérisé. Les tro
définitive, le trouble sensitif n'est pas nettement caractérisé. Les troubles de la motilité continuent à s'accentuer, les tr
actérisé. Les troubles de la motilité continuent à s'accentuer, les troubles de la sensibilité deviennent mani- festes ; et
e défense, ayant pour limite supérieure le neuvième segment dorsal. Troubles de sensibilité : aux membres inférieurs, sauf dan
esure d'exécuter quelques mouvements des orteils. La régression des troubles est très rapide ; avant même la guérison de la
avant même la guérison de la plaie opératoire, l'anesthésie et les troubles vésicaux ont disparu ; la malade peut exécuter
rmale et ne tarde pas à guérir complètement. Chez cette malade, les troubles ont rétrocédé avec une rapidité tout à fait rem
prati- quée à un moment particulièrement opportun, aussitôt que les troubles de la sensibilité ont permis de faire une local
rotation de la tète sont impossibles. La face ne présente pas de troubles de motilité, et l'intelligence parait tout à fait
tosiques des orteils. Le membre supérieur gauche présente aussi des troubles de motilité très pro- noncés ; les mouvements v
e flexion assez vive de la main sur l'avant-bras. Il n'y a pas de troubles de sensibilité à gauche. A droite, il n'y a pas
pas de troubles de sensibilité à gauche. A droite, il n'y a pas de troubles de motilité, mais, au membre supérieur et au me
est manifestement moins chaude que la main gauche. Il n'y a pas de troubles sphinctériens, pas de troubles trophiques à la pe
que la main gauche. Il n'y a pas de troubles sphinctériens, pas de troubles trophiques à la peau, pas de fièvre. Dans le
, pas de fièvre. Dans le courant du mois de juin apparaissent des troubles de motilité dans le membre inférieur droit, qui
que le côté gauche est resté à peu près dans le môme état, que des troubles sphinctériens sont venus s'associer aux phénomène
ctériens sont venus s'associer aux phénomènes précédents et que les troubles de sensibité seuls ont disparu. Voici ce que je
e môme de l'amyotrophie et de la raideur. 6o8 THÉRAPEUTIQUE Les troubles de la sensibilité font défaut. La thermoasymétr
le jour où l'amélioration a été constatée pour la première fois, les troubles ont continué sans cesse à s'atténuer et ils ont
. En résumé, un sujet, après un grand traumatisme, est atteint de troubles de motilité qui atteignent d'abord exclusivement
de thermoanesthésie du côté opposé et à de la thermoasymétrie; les troubles de motilité envahissent ensuite tout le tronc, ai
t du corps et s'accompagnent d'une perturbation sphinctérienne. Les troubles de sensibilité disparaissent spontanément, mais l
e. Les troubles de sensibilité disparaissent spontanément, mais les troubles de motilité s'accentuent progressivement, et si
sont développés et leur mode d'évolution semblent montrer que les troubles sont sous la dépendance d'une compression de la m
té causée probablement par une altération des racines motrices. Les troubles de motilité, qui pendant six mois n'ont fait que
a été insolite par sa rapidité. Je ne me rappelle pas avoir vu des troubles de motilité liés à une compression spinale et a
re déformation de la colonne vertébrale dans la région dorsale. Les troubles très tenaces jusque-là ont commencé à s'améliorer
PONDYLOSE ET DOULEURS NÉVRALGIQUES 611 Depuis plus de deux ans, ces troubles se sont reproduits en devenant plus étendus et
ion nette. Actuellement la rigidité de la colonne vertébrale et les troubles observés aux arti- culations coxo-fémorales sub
e la différence entre les deux côtés tient à ce qu'à gauche, ou les troubles de motilité ont été exclusive- ment localisés p
arait bien pondérée au point de vue mental et n'aurait jamais eu de troubles névropathiques. En 19°2, en raison de l'existence
se des membres inférieurs, plus prononcée à droite qu'à gauche. Ces troubles , d'abord très légers, vont en s'accentuant prog
al. Il n'y a pas et il n'y a jamais eu de douleurs, mais il y a des troubles anesthésiques qui occupent les membres inférieurs
sont plus marqués à gauche qu'à droite, c'est-à-dire du côté où les troubles de motilité ont été les moins marqués au début et
rement à l'extrémité inférieure de la jambe gauche. Il n'y a pas de troubles trophiques cutanés. Pas de troubles rectaux. La
a jambe gauche. Il n'y a pas de troubles trophiques cutanés. Pas de troubles rectaux. La vessie fonctionne à peu près bien ; t
tat de la malade ne se modifie pas. Il faut noter seulement que les troubles vésicaux, qui d'ailleurs étaient très légers, n'o
xécuter un petit mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse ; les troubles de sensibilité se sont aussi atténnés, surtout
se soulève bien à chaque pas et ne frotte pas contre le sol. Les troubles de sensibilité se sont très notablement atténués,
quoique légère, dénote une irritation méningée. La prédominance des troubles paralytiques à droite et des troubles de sensib
méningée. La prédominance des troubles paralytiques à droite et des troubles de sensibilité à gauche (syndrome de Brown-Séquar
côté droit. 616 THÉRAPEUTIQUE Il est permis de se demander si les troubles fonctionnels sont exclusi- vement sous la dépen
pas ; à l'appui de cette idée, je rappellerai qu'il n'y a pas eu de troubles trophiques cutanés, que les fonctions vésicales n
jambes et plus spéciale- ment dans le membre inférieur gauche. Les troubles de la marche sont très accentués. Le malade por
forme de pseudo-tabes. Névrite optique rétrobullaire infectieuse et troubles dans les réflexes tendineux (Id., 5 juillet 1900)
01). 77. Définition de l'hystérie (Id., 7 novembre '901). 78. Des troubles pupillaires dans les anévrismes de l'aorte (Socié
ce de la ponction lombaire sur le vertige voltaïque et sur certains troubles auriculaires (Société médicale des Hôpitaux, 7 no
e Neurologie, 3 décembre igo3). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 625 xo3., Troubles pupillaires dans les crises gastriques (M.), 1..
pemphigus hystérique (Id., 5 décembre Ig07). t45. Sur les prétendus troubles trophiques de la peau dans l'hystérie (Société mé
27 153. Quelques remarques sur le mémoire de M. Gordon intitulé : « Troubles vaso- . moteurs et trophiques de l'Hystérie » (
(Société de Neurologie, 5 février 1 gog). 158. Sur la fièvre et les troubles trophiques attribués à l'hystérie (Id.). 15g. D
de Neurologie, 15 février 1(14). z 3. Contribution à l'étude des troubles mentaux dans l'hémiplégie organique céré- brale
de l'avant-bras (Société [de Neurrlogie, 1er juillet 1915). 224. Troubles physiopathiques d'ordre réflexe. Association avec
la- boration avec Froment. Presse médicale, 9 juillet igi5). 225. Troubles nerveux consécutifs aux lésions des nerfs. Troubl
let igi5). 225. Troubles nerveux consécutifs aux lésions des nerfs. Troubles nerveux consé- cutifs aux lésions des centres n
nsé- cutifs aux lésions des centres nerveux. Accidents hystériques. Troubles ner- veux d'origine réflexe (Travaux des centre
té de Neurologie, 4 novembre 1915). 228. Contribution à l'étude des troubles nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'ane
oration avec Froment. Presse médicale, 24 février 1916). 231. Des troubles vaso-moleurs et thermiques d'ordre réflexe (en co
icale des Hôpitaux, 2 mars 1916). 23a. Oblitérations artérielles et troubles vaso-moteurs d'origine réflexe ou centrale. Leu
ion avec Heitz. Société médicale des Hôpitaux, 14 avril 1916). 233. Troubles nerveux d'ordre réflexe ou syndrome d'immobilisat
4. Abolition du réflexe cutané plantaire et anesthésie associée à des troubles vaso- moteurs et à de l'Hypothermie d'ordre réf
e Neurologie, 29 juin 1916). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 63t 1 24 1 Des troubles moteurs et thermiques dans les paralysies et la c
septembre, octobre 1916). a4a. Parésie réflexe de la main gauche. Troubles vaso-moteurs et sudoraux bilatéraux (en collabo
itz. Société de Neurologie, 3 mai J917)' 247. Paraplégie organique. Troubles vaso-moteurs au membre supérieur droit avec mei
a- boration avec Heitz. Société de Neurologie. 3 mai 19 17). z48. Troubles physiopathiques d'ordre réflexe. Association avec
Revue de Neurologie, page 3l¡7, 1917). 251. Hystérie-Pithiatisme et troubles nerveux d'ordre réflexe (en collaboration avec
ume chez Masson. ire édition, 1917, 2e édition, 1918). 252. Sur les troubles physiopathiques et réflexes (en collaboration ave
décembre 1918). 258. Les altérations artérielles traumatiques. Des troubles que détermine la lésion de l'artère dans les fo
ogie, 1er juillet 1920). 63a INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 262. Etude des troubles moteurs dans un cas de choréo-athétose (en collab
août 1922). 273. Syndrome parkinsonien fruste post-encéphalitique. Troubles respiratoires (en collaboration avec A. Charpen
t de l'hémiplégie hystérique.. gi VII. - Contribution à l'étude des troubles mentaux dans l'hémiplégie organique cérébrale (
à la lumière et de la pseudo-abolition de ce réflexe. 175 XV. Les troubles pupillaires dans les anévrismes de l'aorte. 180
onien 275 VIII. - Syndrome parkinsonien fruste post-encéphalitique. Troubles respiratoires... 279 ' CINQUIÈME PARTIE . AFF
- Hystérie-pithiatisme en neurologie de guerre 5a8 DIXIÈME PARTIE TROUBLES PHYSIOPATHIQUES I. Troubles nerveux d'ordre réf
ologie de guerre 5a8 DIXIÈME PARTIE TROUBLES PHYSIOPATHIQUES I. Troubles nerveux d'ordre réflexe r 54g ONZIÈME PARTIE
2 (1911) La pratique neurologique
I'lI xnu TABLE DES MATIÈRES. ' ? ? LA PRATIQUE NEUROLOGIQUE . TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE par le Dr POUL
LAIRE par le Dr POULARD Avant de rechercher la signification d'un trouble fonctionnel dans l'appareil nerveux oculaire, i
mesurer exactement l'étendue. Or, il existe, pour la recherche des troubles fonc- tionnels du système nerveux oculaire, tan
mentation perfectionnée per- mettent de constater avec précision un trouble nerveux oculaire moteur ou sensitif; l'hypothès
siège ou la nature des lésions plus profondes qui sont la cause du trouble constaté. La moindre parésie d'un muscle moteur
j'étudierai les divers moyens dont nous disposons pour explorer les troubles fonctionnels du système nerveux oculaire (nerf
raient être lues par un oeil d'acuilé visuelle nor- male. ! 4 4 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Quand l'acuité
nt si, entre l'objet et la rétine, vient s'interposer un élément de trouble visuel. C'est précisément ce qui a lieu dans le
es conditions, une rétine parfaitement, sensible perçoit des images troubles . C'est encore ce qui se produit quand les milie
nts est impossible. Néanmoins, on peut encore, en tenant compte des troubles qu'ils causent d'habitude dans un oeil sain, po
toujours, en corrigeant le vice de réfraction, éliminer la cause du trouble èt obtenir avec exactitude l'acuité visuelle. '
Il faut, pour cela, une boite de verres contenant au minimum : n - TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL .OCULAIRE. - w 3° Essayez
Dans ce cas il y a probabilité de lésions oculaires. Cependant, le trouble visuel peut encore être dù à de l'astig- matism
50" en dehors du centre. Puis, on fait appa- a [POCLJ ! D,] . il TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. raître au centr
trait ......................... du vert. (Morax.) [POULARD ] '10 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. z nent faire un
nts a, b, c, (1, e : ? g, h. Encoche du CY en E. Scotome en S. 12 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Au début de cer
rsion des champs visuels pour les couleurs). ' ' [POULARD] ] 1 ik TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. 11 importe donc
sont faciles 11 percevoir (hémor- ragies, exsudats inflammatoires, troubles des milieux). Mais, si parfait que soit ce mode
l faut bien savoir qu'une lésion intra-oculaire réelle, amenant des troubles visuels subjectifs, peut assez souvent ne produ
ulaire appréciable ou non à l'ophtalmoscope ne donne pas lieu à des troubles subjectifs. " L'absence de lésions ophtalmosc
médecin, d'expérience modérée, peut apprécier à l'ophtalmoscope. Troubles des milieux transparents. -. Le fond de l'oeil es
d'une manière diffuse qui empêche, de distinguer le fond de l'oeil ( trouble diffus du cristallin, du vitré, de la rétine) ; d
tions de la rétine et de la choroïde sous-jacente donnent lieu à un trouble diffus du fond de l'oeil à des flocons du vitré
t noir très, caractéristique. ' Ces rétinites, ces choroïdites, les troubles des milieux transparents que nous venons d'indi
ce sont des affections qu'il faut éliminer avant d'affirmer que le trouble visuel est le résultat d'une lésion des voies o
avec inLenlion qu'clIcs n'onI1]38 été données. [FOULARD.] 1G ' TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. ? - " II " EXPL
ent; b et b', yeux normaux en fixation normale sur le point 0. 18 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.. suration angul
bligé de se porter dans, le sens d'action des muscles parésiés, les troubles sont nuls; il n'y a pas de déviation, pas de di
e met en mouvement dans le sens d'action des muscles paralysés, les troubles apparaissent. A un moment donné, l'oeil parésié
suivre les aggravations ou les améliorations. Le . [POULARD] 20 - TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.' ? -... périmèt
ent de voir double. Quel- quefois cependant, il accuse seulement un trouble de la vision dans toutes ou dans certaines dire
a fixation est incorrecte, il y a diplopie verticale. ' . 22 " -- TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. .. Mensuration
es différents états de réfringence, sont marqués en quadrillé. 21 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. visuelle. Il se
tion. " Placcz devant lui un verre concave de 1 dioptrie. La vue se trouble : c'est que l'accommodation est nulle. La vue r
nos 2, 5, 4, 5, allez même plus haut jusqu'à cc que l'un des verres trouble franchement la vue. Supposons que ce verre concav
l facile on détermine la puissance d'accommodation de l'oeil. Si le trouble apparaît à 50 centimètres, le sujet n'a pas 2 dio
ù vient le jour, sont couverts par les mains de l'observateur. 2G TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL. OCULAIRE. deux mains les
ait écran, la bougie éclaire lad et la pupille se contracte. 28 ' ; TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . Dans ces épre
ut interrompre brusquement et à volonté la lumière. [POULARD.] aU TROUBLES NERVEUX. DE L'APPAREIL OCULAIRE Réflexe dans le
, ressort : 5, petit pignon; 4 grande roue dentée; 5r platine. 52 . TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . V ' .. EXPL
l'arc périmétrique. - DEUXIEME PARTIE VALEUR SÉMÉIOLOGIQUE DES TROUBLES NERVEUX DE L'OEIL i DIMINUTION DE LA VISION -
i peu- vent produire une diminution de la vue. Vices de réfraction, trouble des milieux transparents intraoculaires (cornée
sont celles de l'amblyopie. PllATIQUB NEUI10L. 5 [POULARD.] 54 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Amblyopie hysté
rie peut se trouver modifiée sous diverses influences (') : ' 1 ° Troubles visuels par action dynamique sur l'accommodation
sur l'accommodation (spasme..., asthénopie, etc.). Dans ce cas les troubles visuels ne sont nullement le résultat d'une lés
t le résultat d'une lésion des voies optiques. Ils proviennent d'un trouble nerveux moteur du muscle ciliaire. Ils peuvent ex
r avec une intégrité parfaite de la sensibilité rétinienne.. ' 2° Troubles ,isuelsJ6sultant d'une lésion organique, circulat
le compte de la névrose. Elles sont peut- être en relation avec les troubles des organes sexuels si fréquents chez la femme,
la femme, mais elles n'ont point de rapport avec l'hystérie. 71° Troubles visuels par action dynamique sur le système nerve
double hémianopsie cérébrale (cécité corticale), de l'alnaurose par troubles cir- culatoires cérébraux. L'embolie de l'artèr
opposé. L'oeil, amblyope à l'état isolé, fonctionne 1. Beaucoup des troubles visuels que je signale ici n'ont rien il faire av
de la dimension véritable des objets qu'on regarde; c'est encore un trouble accompagnant la con- tracture de l'accommodatio
on, longue mais encore incomplète, nous montre la mul- t'phcité des troubles oculaires attribués à l'hystérie. Toutes ces mani
ons de l'organisme, paraissant agir par action réflexe, amènent des troubles visuels avec dimi- nution de la vue. A) Troub
exe, amènent des troubles visuels avec dimi- nution de la vue. A) Troubles oculaires dans les affections du système utérin.
t-à-dire fatigue rapide dans le travail appliqué des yeux. Tous ces troubles sont passagers. Ils disparaissent par le repos, r
e de l'appa- reil nerveux, quand on lui demande de fonctionner. Ces troubles oculaires (comme d'ailleurs toutes les amblyopi
ation des organes génitaux exerce sur eux une bonne influence. B) Troubles visuels dans les affections de la face (nerf trij
consécutives il des caries ou à des abcès, amènent quelquefois des troubles semblables aux précédents. La névralgie des dén
umeau (inflammation, cicatrices) peut avoir un effet analogue. C) Troubles visuels par vers intestinaux. Il manque des obser
: 1111 hlyopie fréquemment signalée par les anciens auteurs. Les troubles visuels que nous avons, suivant l'usage, groupés
nvient donc qu'en partie, il ne désigne qu'une partie seulement des troubles . Quant au mécanisme de leur production, il est,
omb, l'opium, la belladone, la quinine, le salicylate de soude. Les troubles visuels dus à l'intoxication saturnine sont sou
le plus minutieux ne révèle aucune lésion ophtalmoscopique, et les troubles visuels rentrent dans le groupe des amauroses.
esquels l'amblyopie ou l'amaurose se développent brusquement. Les troubles visuels causés par la quinine, l'opium, la bellad
portance primordiale. ' Amblyopie diabétique. Parmi les nombreux troubles ocu- laires du diabète (cataracte, paralysie de
ation, le retour au travail de l'oeil amblyope. z . [FOULARD.] 58 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Amblyopie hémér
uel (Morax). ' Fig : 57. - Lacunes- intermédiaires [moraux]. 40 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Nous avons vu (
gique"leur signification. Lacune centrale. Scotome central. Les troubles subjectifs sa réduisent, en général, à une diminu
u quand l'index va du centre à la périphérie, moins [POULARD.] AI TROUBLES NERVEUX DE l ? 1t'l'11t11L OCULAIRE. étendu qua
ce indéniable sur les (roubles oculaires hystériques connue sur les troubles hystériques en général. On peut dire que la car
ques en général. On peut dire que la caractéristique principale des troubles ner- veux hystériques, c'est leur modification
binoculaires H011OLATÉRALES. 11B111A\OPSIE. L'hémianopsic est un trouble visuel résultant de la lésion des voies optique
niveau du chiasma, au point d'entre-croisement - [FOULARD] ] ? r TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. - des deux fais
e. Il est bien évident qu'une lésion unique ne peut amener de troubles bilatéraux du champ visuel, que si elle siège
atérale. - L'hémianopsie homonyme peut s'installer sans bruit, sans troubles du système nerveux. D'autres fois, c'est à la s
le passage d'une ligne à la suivante. Très nombreux sont les autres troubles visuels éprouvés par l'hémiano- pique conscient
tine nasale de l'OG et donnant hémianopsie temporale de l'OG. - 4(i TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. et, au grand ét
ptiques en avant des noyaux du mésocéphale et vous [FOULARD.] as. TROUBLES . NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE Fig. 41-(-.%).
olatérales, symétriques. Pratique "EUROI" - 4 - . [FOULARD.] 50 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. aurez une cécit
rtions temporales des champs visuels font défaut; sur le schéma, ce trouble visuel prend l'aspect de la figure 42, A. Les t
le schéma, ce trouble visuel prend l'aspect de la figure 42, A. Les troubles visuels qui résultent de l'hémianopsie bitemporal
le de l'OG. Fig. 42 (C). Ilémianopsie hétérolatérale binasale. 52 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. nopsie. La véri
ue fort bien à l'aide des faits et des conceptions modernes sur les troubles du langage. La cécité verbale pure n'est pas, en
signification, son usage, etc. ' Perte du sens de l'orientation. Ce trouble , qui n'est pas rare, se caractérise par la dimi
roit très connu, où il avait l'habitude de passer journellement. Ce trouble ne paraît être qu'une forme de la perte de la m
les de produire des hémianopsies en quadrant, 4 ? [FOULARD.] hA TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. des scotomes sy
ons cérébrales organiques, quelle que soit leur [POULARD.] oli 1; TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. forme nodulaire
oncomitante; état défectueux du coeur, àge avancé du malade. Autres troubles cérébraux de ramollisse- ment : mémoire diminué
térie a pu, dans certains cas discutables, la réaliser. Urémie. Le trouble habituel de l'urémie, c'est l'amaurose, la perte
il a été possible de déterminer la véritable cause [POULARD.] 5S TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. de l'hémianopsi
appa- rente, toujours légère, est physiologique et ne dénoie aucun trouble de l'équilibre des globes. Strabisme non para
nuels aux globes et par suite aux objets fixés. [FOULARD] ] 00 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE., '' - ? Vertige
ée de l'oeil se fait dans le but d'éviter la diplopie et les autres troubles qui en résultent. Moindre netteté de la fausse
ments du globe n'est pas évidente; le malade se plaint seulement de trouble dans la vue, de vertiges, d'étourdissements, de
uffirait, semble-t-il, pour arriver au diagnostic, de constater les troubles produits par le muscle paralysé, et de rechercher
douze muscles moteurs des globes dont la paralysie amène les mêmes troubles . C'est un procédé long. Et, d'ailleurs, la mémo
principes très simples, on peut, connaissant la [POÜGARD.] li3 12 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. fonction physio
Eil en haut, fausse image en bas, paralysie de l'abaissement. gaz TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. trois mètres. I
images dans la para- lysie du muscle droit externe de l'OD. ' Hi TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.. - - Cette expl
exemple, 5* [POULARD.] ] Fig. 49. -7- Schémas de diplopie. 68 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. que, si deux mu
même temps, les trou- bles fonctionnels puissent être modifiés, les troubles diplopiqucs plus complexes. Dans ces conditions
le. Voici, pour chacun des muscles, un schéma des déviations et des troubles diplopiqucs auxquels il donnc lieu. Ces symptôm
48 et ! >-9). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GDOBES. 69 70 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. par le muscle d
n général d'une manière modérée. L'accommodation est paralysée. Ces troubles pupillaires et accommodateurs sont normaux dans
aralysies d'origine pédonculo- protubérantielle s'accompagnent de troubles nerveux qui permettent de les reconnaître avec
drome de Millard-Gubler (oeil gauche en strabisme convergent). 72 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. paralysie de l'
conjuguée). Quelques autres syndromes bulbo-prolubérantiels avec troubles de la motilité oculaire, bien plus rares que le
rne attei- gnant légèrement la force motrice, mais produisant des troubles accen- tués de la motilité volontaire (trem-
tion, mouve- ments athétosiques, asynergie céré- belleuse) et des troubles très marqués de la sensibilité (fourmillements,
é leur nom à ce syndrome, il y avait aussi du nys- tagmus. Tous ces troubles oculaires ont une origine bulbaire. 5° Paralysi
tubérantielles inférieures (les deux yeux regardent à droite). 74 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. ou de lésions p
endant, la musculature intrinsèque reste intacte; il n'y a point de troubles de l'accommodation, la pupille est mobile. Cette
e. Elle [POULARD.] Fig. 51. - Paralysie bulbaire asthénique. 76 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. parait résulter
qui partent des centres CA et CP constituent les oculogyres. L 78 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. 1 divergence. C
mprécises, vont nous aider à comprendre les paralysies associées. Troubles moteurs oculaires associés. Au-dessus des noyaux
ralité sont de beaucoup les plus fréquentes. Dans certains cas, les troubles moteurs oculaires associés amènent une déviatio
s diplopie. C'est la dévia- lion conjuguée des yeux, une variété de troubles oculaires associés. Déviations conjuguées. a) D
s le sens de la déviation. Ce sont là des déviations conjuguées par trouble moteur, des déviations d'origine motrice. Elles s
du centre ovale; c) lésions de la capsule interne, [POULARD.] 80 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. partie antérieu
doit, dans les déviations oculai- res de ce groupe, constater aucun trouble moteur paralytique ou convulsif. Mais le domain
et le stra- bisme convergent qui en résulte sont souvent les seuls troubles appre- cial))es.t'iaie de. l'orbite par project
vomissements, céphalée continue, paralysies multiples et diffuses, troubles de la vue, de l'odorat, de l'ouïe. Ici, connue
morragies des centres ou des l'nAru,us veotcuL. 0 [PODLARD-] 82 TROUBLES XHRVEUX DE L'APPAREIL- OCULAIRE. voies intra-cé
tions au premier rang desquelles il faut placer la syphilis. IV TROUBLES PUPILLAIRES Modifications des dlmexsioxs pupill
e à l'iris, par la voie de l'ophtalmique, branche du trijumeau. ' TROUBLES PUPILLAIRES. 85 La paralysie de l'appareil nerv
es voies irido-clilatatrices. En vert, les voies vaso-motrices. 8 4 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. tenir compte de
pte de l'existence de ces ganglions, quand il s'agit d'expliquer un trouble pupillaire. La dilatation pupillaire peut donc
elles. Les uns, que nous étudierons plus loin, sont fournis par les troubles ner- veux qui accompagnent ces variations pupil
s chimiques : l'atropine produit une dilatation modérée, les deux £ TROUBLES PUPILLAIRES. 85 paralysies (sphincter, dilatate
montrent le chemin qui doit conduire à la connaissance parfaite des troubles pupillaires. De plus, elles sont déjà, nous all
n, etc.), avant la destruction des fibres nerveuses, il existe sou- TROUBLES PUPILLAIRES. vent une période d'irritation, pen
riase souvent très près de son début, sans qu'il existe aucun autre trouble nerveux appréciable. Neuf fois sur dix une mydria
Ensuite seulement pensez aux autres causes. G ? [POULARD.] 88 ' TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. - Si vous ne tr
phtabnie, d'hypotonie et de congestion de la moitié de la face. Ces TROUBLES PUPILLAIRES. 89 altérations du sympathique avec
re déformation pupillaire sans angles rentrants. Dans ce cas, la no TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. portion non sou
sa famille l'infection syphilitique ou toute autre tare morbide. TROUBLES PUPILLAIRES. 91 Anisocorie variable. Anisocorie
aussi pendant la période de régression des paralysies de l'iris. Troubles réflexes DE la pupille. Perte du. réflexe : lum
caïne. Dans le myosis spasmodique (ésérine, pilo- . [PODLARD,] 92 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. carpine) ou par
e de la lésion. Il est encore très utile en cas de simulation ou de troubles nerveux non organiques (amaurose hystérique). D
age des centres Il)(''Sl'IH'(;phaliqlles (lîg. 3 ! 1, J, 2, ,4. . " TROUBLES PUPILLAIRES. 95 Pour expliquer cette dissociati
éral et hétérolatéral existent dans les deux cas. [POULARD.] ] 94 TROUBLES .NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Conclusion : N
) ou même à la simula- tion, s'il y a des présomptions sérieuses. TROUBLES PUPILLAIRES. : la Ralentissement des mouvements
dilatation pupillaire ne reparaît qu'au bout de 1 à 10 minutes. Ce trouble réflexe pupillaire ne s'est vu, rarement d'ailleu
une constriction par diminution d'éclairage. La signification de ce trouble pupillaire très rare est d'ailleurs mal connue. O
rétrécissement, pupillaire dans le regard au loin. [POULARD.] 96 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL. OCULAIRE V TROUBLES DE
oin. [POULARD.] 96 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL. OCULAIRE V TROUBLES DE L'ACCOMMODATION Le mécanisme nerveux de l'ac
erte de l'accommodation avec t'age n'est nullement le résultat d'un trouble nerveux ou musculaire, niais provient du durcisse
us nombreuses, la paralysie de l'accommodation est le résultat d'un trouble nerveux. TROUBLES DE L'ACCOMMODATION. 97 Acti
paralysie de l'accommodation est le résultat d'un trouble nerveux. TROUBLES DE L'ACCOMMODATION. 97 Action de certaines subs
n analogue. Certaines infections générales. La diphtérie, parmi les troubles d'intoxication nombreux auxquels elle donne lie
aralysie de l'accommodation peut être isolée ou associée à d'autres troubles de, inutilité des globes. Affections du système
e une ou quelques dioptries. PnAT ! QUt : 'EUnOL 7 [FOULARD i)8 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. L'iris est en m
vent souvent de très grandes difficultés pour regarder de près. Ces troubles qui peuvent être dus à une insuffisance, à une
'elle quand cette névrose sera mieux connue et bien définie. VI TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES PTOSIS paralytique
ilaté- ral, exister seul, à l'état isolé, ou s'accompagner d'autres troubles nerveux. Ptosis isolé. Les inconvénients du pto
te, élève un peu ses paupières. La contraction du frontal ne dégage TROUBLES DE LA MOTIL1TÉ DES PAUPIERES. 99 pas suffisamme
sis accompagné ou associé. Le ptosis est souvent associé à d'autres troubles nerveux du globe oculaire ou du reste de l'organi
yndrome de [POULARD.1 lig. 59. - Ptosis hilatéral (3lnras. lui) TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. llloc'Ezuen, se
ent le trajet du M. 0. C. Du mésocéphale à l'écorce cérébrale, leur TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES. 101 trajet, encor
ganes de la cavité orbitaire (paralysie des autres nerfs mo- teurs, troubles sensitifs par compression du trijumeau, troubles
s nerfs mo- teurs, troubles sensitifs par compression du trijumeau, troubles visuels par altération du nerf optique, exophta
une paralysie de [POULARDE 1 Fig. 60. - Ptosis myopathique. 102 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. - toutes les br
s (insuffisance de l'élévation des globes, épicanthus, nystag- mus, troubles intellectuels, etc.). On le rencontre quelquefois
e affection débute par des dou- leurs cervicales et s'accompagne de troubles de la vue, de résolution TROUBLES DE LA MOTILIT
urs cervicales et s'accompagne de troubles de la vue, de résolution TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES. 105 musculaire et
erf facial, l'orbiculaire des paupières. Je ne m'occupe ici que des troubles oculaires consécutifs à la paralysie de ce musc
absence de clignement, n'est plus mouillée par les [POULARD.] 104 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. larmes, elle se
. De là, des complications, sou- vent graves, pouvant entraîner des troubles . visuels considérables et même la perte de l'o
sécréteurs des larmes (comme Fig. 61. Paralysie faciale gauche.- TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PAUPrERES. -1 U il contient
faciale gauche. Le malade essaye vainement de fermer les yeux. 106- TROUBLES : Vl;R1 ! iUX 1)l : L'APPAREIL OCULAIRE.. Troub
les yeux. 106- TROUBLES : Vl;R1 ! iUX 1)l : L'APPAREIL OCULAIRE.. Troubles palpébraux dans les pamlysies du facial inférieur
ymal de l'ophtalmique; I, nerf lacry- mal ; li, glande lacrymale. TROUBLES DE LA 310TLLlTÉ DES PAUPIÈRES. 107 : paupières
xclusivement nerveuse, donne cependant naissance à une multitude de troubles nerveux, le goitre exophtalmique. C'est à ce titr
tendue. [POULARD.] Fig. 64. Goitre exophtalmique (E. Boix). 108 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Signe de Roserz
particulière de la maladie de Basedow, on peut rencontrer d'antres troubles oculaires. Modification de la sécrétion lacryma
qui provoque de la sécrétion..11 n'est pas nécessaire d'invoquer un trouble nerveux. Paralysies musculaires. Se voient quel
u nystagmus, en relation sans doute avec le tremblement généralisé. Trouble de la vue. Il existe quelquefois, une certaine fa
ou simulée par certaines affections dyspnéiques comme l'asthme, les troubles circulatoires pul- monaires, d'une manière pass
ne ou plusieurs directions, les champs du regard sont modifiés. Les troubles visuels qui résultent du nystagmus sont souvent
génital s'accompagne d'un affaiblissement de l'acuité visuelle. Les troubles visuels sont très variés : troubles des milieux o
ement de l'acuité visuelle. Les troubles visuels sont très variés : troubles des milieux oculaires (opacités cornéennes, l'l
ées du labyrinthe, les suppurations de l'oreille peuvent amener des troubles analogues. L'introduction d'un instrument dans
ne, à la protubérance, aux tubercules quadrijumeaux, ou au bulbe. TROUBLES DE LA SÉCRÉTION LACRYMALE. 115 IX I TROUBLES
eaux, ou au bulbe. TROUBLES DE LA SÉCRÉTION LACRYMALE. 115 IX I TROUBLES DE LA SÉCRÉTION LACRYMALE Hypersécrétion. L'hyp
male dans la paralysie du PHATIQUE XEUROL. 8 · (foulard. 1 l I¡ TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. trijumeau. Dans
la conjonctive d'un suintement rouge qualifié « larmes de sang ». TROUBLES SENSITIFS DE L'APPAREIL OCULAIRE. 115 X TROUB
mes de sang ». TROUBLES SENSITIFS DE L'APPAREIL OCULAIRE. 115 X TROUBLES SENSITIFS DE L'APPAREIL OCULAIRE PffËXOMÈXES DO
meau se complique souvent d'une véritable kératite attribuée il des troubles nerveux et dénommée pour cette raison kératite ne
tique. La cornée perd sa transparence habituelle, devient mate, se trouble légèrement, répithélium est exfolié. Ces lésion
d une teinte uniformément grise. L'examen il la loupe montre que ce trouble cornéen est formé par de petites taches grises
s les cas, établir le diagnostic de kératite ncurn-haralytinlllu. TROUBLES SENSITIFS DE L'APPAREIL OCULAIRE. 117 î Les vér
eur, ct joindrc son influence mauvaise à celle qu'exercent déjà les troubles sensitifs en facilitant l'introduction des pous
ubles sensitifs en facilitant l'introduction des poussières, et les troubles lacrymo-sécréteurs en provoquant la des- siccat
alytiql1e ne semble pas pouvoir être réalisée exclusivement par des troubles nerveux trophiques. Elle est le résultat, de ca
dessiccation) et infectieuses, dont l'action est facilitée par les troubles nerveux sensitifs, trophiques et lacrYIlIO-sl"c
tiodenscment le Iraill'IIH'll1l'tiologifJl\('. [POULAIW.] ] 118 8 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . - ' XI . TR
W.] ] 118 8 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . - ' XI . TROUBLES DE LA PERCEPTION DES COULEURS La vision des cou
uleurs. Ce sont donc là deux cas très différents l'un de l'autre. Troubles congénitaux de la vision des couleurs. Cécité p
altérations du nerf optique, affections qui dénotent l'existence de troubles graves pendant la vie intra-utérine. C'est d'ai
ut qu'il y a dyschromatopsie. Par une détermination plus exacte des TROUBLES DE LA PERCEPTION DES COULEURS. 110 couleurs de
ser des poudres colorées contenues dans de petits flacons de verre. Troubles acquis DE la vision des couleurs. Tout trouble
flacons de verre. Troubles acquis DE la vision des couleurs. Tout trouble acquis de la vision des couleurs dénote une lésio
du système dioptrique (taies cornéennes, opacités cristalliniennes, troubles du vitré), bien que produisant une diminution con
rable pour toutes les couleurs et même le blanc. [YOULARD.] 120 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Le glaucome alt
qu'un degré dans l'hémianopsie. Enfin, Y hystérie peut donner des troubles de la vision des couleurs caractérisés par le r
et suivantes). TUMEURS CÉRÉBRALES. 12t XII TUMEURS CÉRÉBRALES Troubles oculaires daxs les tumeurs cérébrales. Il est t
daxs les tumeurs cérébrales. Il est très fréquent de constater des troubles oculaires par suite du développement dans la ca
qu'on désigne sous le nom commun de « tumeurs cérébrales ». . Ces troubles oculaires ont, dans la sl'lI1éiologie des tumeurs
de l'existence et du siège de la « tumeur céré- Orale » . De ces troubles oculaires, les uns paraissent communs à toutes le
'cncepate. D'autres sont variables suivant le siège de la lésion. Troubles communs à toutes les tumeurs cérébrales. Obnubi
tions passagères. Très souvent, dès le début, le malade éprouve des troubles visuels passagers, des obscurcissements brusques
, le malade, bien que valide par ailleurs, ne peut sortir seul. Les troubles visuels l'arrêtent brusquement dans sa marche.
progressive de la vue; l'acuité visuelle centrale [POUIARn.] 122 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. baisse, le cham
e en totalité. Il existe souvent une grande disproportion entre les troubles visuels et l'intensité des lésions ophtatmoscop
x se produit à une période avancée dans l'évolution de la tumeur. Troubles variables suivant le siège (syndromes). A côté
r. Troubles variables suivant le siège (syndromes). A côté de ces troubles oculaires communs à toutes les tumeurs céré- br
aractères spéciaux (p. 55); Paralysies associées sou- vent (p. 70); Troubles pupillaires (mydriase, inégalité) (p. 87) : l'o
volontaire. Ce sont les lésions de cet appareil qui déterminent les troubles de l'équilibration et le vertige : ceux-ci ayan
oreille avec les maladies du système nerveux; 2° Etude générale des troubles de l'ouïe; 30 Maladies de l'oreille interne et di
e; 30 Maladies de l'oreille interne et dit 1/(')'/ acous- tique; 4° Troubles nerveux déterminés par les lésions de l'oreille.
Lésions congénitales ou acquises au début de la vie. On observe des troubles de l'ouïe, passagers ou permanents, dans les di
iscères par suite d'apoplexie cérébrale. 4° Tumeurs cérébrales. Les troubles auditifs sont fréquents dans les tumeurs cérébr
] 128 MALADIES DE L'OREILLE. 5° Sclérose en plaques. Tabes. - Des troubles auditifs à évolution rapide et à caractère de s
ont des faits très rares. Le tabes s'accompagne très fréquemment de troubles de l'ouïe : on observe chez les tabétiques de l
nique, des hallucinations. Mais les conditions pathogéniques de ces troubles ne paraissent pas univoques. Pierrot, Marie et
y sur le nystagmus provoqué indiqueraient une certaine fréquence de troubles labyrinthifJues, si toutefois les opinions de cet
Mais dans quelques cas (Pierrot, Collet), il faudrait invoquer des troubles trophiques provoqués par les lésions du trijumeau
meau. En réalité, ces faits sont l'exception : le plus souvent, les troubles auditifs du tabès sont liés aux lésions de l'or
é par le développement de l'affection auriculaire, détermine divers troubles auriculaires (hyporexcitabilite de l'ouïe, ouïe d
ie du muscle de l'étrier. Les lésions du sympathique provoquent des troubles auriculaires. Berthold a constaté directement d
ie. C'est par l'intermédiaire du sympathique que s'expli- quent les troubles de l'ouïe qui- se rencontrent parfois dans la gro
ues des muscles tubaires. L'hystérie est assez fréquemment cause de troubles du côté de ÉTUDE GÉNÉRALE DES TROUBLES DE L'OUÏ
t assez fréquemment cause de troubles du côté de ÉTUDE GÉNÉRALE DES TROUBLES DE L'OUÏE. 129 l'oreille : mais il y a longtemp
de l'anesthésie du conduit et de la membrane tympanique, mais sans trouble sensoriel concomitant. Par contre, l'hystérie d
ois et Chavannc, Moure et Bouycr fils, etc.). Dans l'épilepsie, les troubles auditifs ne sont pas rares : il est fréquent de
litre que certaines paralysies passagères. - II. ÉTUDE GÉNÉRALE DES TROUBLES DE L'OUÏ Colle-ci ne nous retiendra pas longtem
de donner, par les recherches açoumétriqucs, un ÉTUDE GÉNÉRALE DES TROUBLES DE l/OUIE. 13 L moyen de diagnostic entre les l
dagogique. Paracousies. - La surdité est fréquemment associée a des troubles de paracousie. Il y a une paracousie de lieu qu
ti ? m-cnt aux lésions de la caisse (otites, ankyloses, etc.). 1° Troubles circulatoires. Ceux-ci pourront être Yanémie, 1
d'une manière irrémédiable. 5° Labyrinthites toxiques. Ce sont les troubles qui succè- dent a l'administration de certains
nt une surdité complète, une participation précoce du facial et des troubles dans l'innervation du trijumeau et des muscles
u nerf cochléaire. Le plus souvent les symptômes dominants sont des troubles de l'équi- libre et du vertige et traduisent l'
s, comme chez le tabétique ou le vertigineux labyrintlïique;.50 des troubles oculo-mcteurs réflexes (parésie ou paralysie de
sitifs des nerfs mesocephaliques, avec le cervelet, avec la moelle. TROUBLES NERVEUX LIÉS 11 : DES LÉSIONS ORGANIQUES. 159 a
portant sur ce long trajet pourront s'accompagner de vertige et de troubles de l'équilibre. Le nerf cochléaire a ses connex
ité verbale qui ont d'ailleurs été étudiées avec l'aphasie. - IV. - TROUBLES NERVEUX DÉTERMINÉS PAR LES LÉSIONS DE L'OREILLE
plètement élucidée, la paralysie de l'abduccns, par exemple. , I. TROUBLES NERVEUX LIÉS A DES LÉSIONS ORGANIQUES D'ORIGINE
as de cicatrice ou de plaque calcaire sur la membrane tympanique. TROUBLES NERVEUX LIÉS A DES LÉSIONS ORGANIQUES. 141 2° C
à l'intervention (trépanation, ponctions lombaires, etc.). II. - TROUBLES NERVEUX D'ORIGINE OTIQUE SANS LÉSIONS ORGANIQUES
GINE OTIQUE SANS LÉSIONS ORGANIQUES Nous examinerons ici les divers troubles réflexes d'origine otique et les troubles psych
xaminerons ici les divers troubles réflexes d'origine otique et les troubles psychiques. 1° Troubles réflexes. Ceux-ci sont
troubles réflexes d'origine otique et les troubles psychiques. 1° Troubles réflexes. Ceux-ci sont très variés. Nous verrons
au pourtour de l'oreille ou dans le conduit, détermine souvent des troubles de l'ouïe et des bourdonnements, ces derniers not
on lumineuse pour un son donné, mais ce n'est pas constant : d'ail- TROUBLES NERVEUX D'ORIGINE OTIQUE SANS LESIONS ORGANIQUES.
tres visuel et auditif; pour quelques-uns cependant, elle serait un trouble purement psychique, voisin de l'illusion. Inver
uence des perceptions auditives. C) Réflexes sensitifs. Ce sont des troubles d' hyperesthésie (irra- diations douloureuses d
la dysphagie spasmodique, des contractions du voile du palais, des troubles respiratoires . Du côté des yeux on a signalé l
érence dans l' hysté1'ie; celle-ci est facilement déterminée par la TROUBLES NERVEUX D'ORIGINE OTIQUE SANS LÉSIONS ORGANIQUES.
édents, car il est plutôt de la nature des réflexes de produire des troubles d'excitation que des phénomènes de déficit. On
ce point un récent rapport de Lombard au Congrès de Budapesth. 2° Troubles psychiques. L'ouïe, a-t-on dit avec raison, est l
fort d'attention sou- tenue, un jugement moins vif. En dehors des troubles intellectuels, les affections de l'oreille déter-
llectuels, les affections de l'oreille déter- minent facilement des troubles des sentiments affectifs et delà volonté. Le ca
avec des lésions localisées il une oreille et sur la fréquence des troubles de l'ouïe chez les aliénés hallucinés. Ajoutons
ne croyons pas devoir entrer dans la description de ces nerfs. Les troubles de la fonction, respiratoire au niveau des fosses
à trois piliers .(Zucl : erkand-1). Nous décrirons d'abord : 1° les troubles de l'odorat et 2° les troubles nerveux consécut
-1). Nous décrirons d'abord : 1° les troubles de l'odorat et 2° les troubles nerveux consécutifs aux maladies du nez. 1. -
et 2° les troubles nerveux consécutifs aux maladies du nez. 1. - TROUBLES DE L'ODORAT On peut observer des troubles par e
x maladies du nez. 1. - TROUBLES DE L'ODORAT On peut observer des troubles par excès de la sensation olfactive, hYPe1'- os
es troubles par excès de la sensation olfactive, hYPe1'- osmie, des troubles par défaut, hyposmie et anosmie, des troubles par
e, hYPe1'- osmie, des troubles par défaut, hyposmie et anosmie, des troubles par perversion, parosmie. 1° Hyperosmie. - C'
sensation olfactive. L'unité de mesure s'appelle olfaclie. Mais ce TROUBLES DE L'ODORAT. 149 chiffre varie avec la substanc
intermittente ou définitive. Elle s'accompagne presque toujours de troubles de goût, - . Ses causes très ^nombreuses ont ét
bres olfactives : en réalité la lésion du triju- meau détermine des troubles sécrétoires et trophiques qui peuvent gêner le
s d'une véritable hallucina- tion olfactive. Le traitement de ces troubles de l'odorat doit être causal et utiliser la str
it être causal et utiliser la strychnine, l'électricité, etc. II. TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ Les mal
ONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ Les maladies du nez occasionnent des troubles nerveux extraordinaire- ment variés. Les uns s'
entres, les autres sont d'ordre réflexe; enfin on peut observer des troubles psychiques. 1° Troubles nerveux avec lésions or
ordre réflexe; enfin on peut observer des troubles psychiques. 1° Troubles nerveux avec lésions organiques. -- L'in- nerva
ostic de névralgie sus-orbitaire essentielle sans examen des fosses TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ. 151 na
aux membranes et aux milieux de l'oeil (iritis,- irido-choroïdites, troubles cristalliniens, etc.), on trouvera la congestio
halites, 20 abcès, cérébraux et 11 throm- ])oses des sinus. - '2" Troubles nerveux réflexes. Ceux-ci sont - extrêmement no
i, Trousseau, Frankel, Ilack, Garel, Lermoyez, etc., etc., sont les troubles réflexes du nez les plus certains et les mieux ét
établis. Le réflexe se fera encore par le pneumogastrique dans les troubles ner- veux de l'appareil circulatoire avec irrég
qu'il nous faudrait passer en revue,. car on a signalé encore « des troubles oculaires (épiphora, hyperémie et oedème de la
es anomalies de l'audition, des bourdonnements et des vertiges, des troubles de la sphère génitale, des troubles nerveux div
donnements et des vertiges, des troubles de la sphère génitale, des troubles nerveux divers (spasme du facial, névralgies .d
, cauchemars, maladie de Basedow, chorée, hystérie, épilepsie), des troubles vaso-moteurs (congestion cépha- lique, érythème
près les repas, au début ou pendant le travail de la digestion. ' TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ. 155 Ma
cr, celles de la période de dilatation dans l'accouchement ! . 3" Troubles psychiques. L'obstruction nasale, quelle qu'en
, l'apathie et la paresse intellectuelle constituent un ensemble de troubles psychiques auquel Gllye a donné le nom d'apl'osex
ement de ces objets par rapport à notre corps, « la conscience d'un trouble dans la coordination locomotrice » (llughlings
intéressants. 2. Pour Bonnier, au contraire, le vertige, qui est un trouble des centres bulbo-pro- tubérantiets du nerf ves
dans le champ des images conscientes » ; la sensation vertigineuse, trouble psycho-sensoriel subjectif, n'en est qu'un des
n'en est qu'un des éléments. Le vertige proprement dit serait « un trouble objectif d'incoordination motrice résultant d'u
rtigineuses, des attaques syncopales et des crises convulsives. Des troubles sensoriels ou viscéraux divers peuvent s'associer
phénomènes moteurs qui en sont la suite. Les plus fréquents de ces troubles sont des troubles visuels; ils consistent . en
s qui en sont la suite. Les plus fréquents de ces troubles sont des troubles visuels; ils consistent . en impressions lumine
urdonne- ments, des sifflements, des tintements d'oreille, etc. Des troubles gas- triques sous forme de pesanteur, de nausée
triques sous forme de pesanteur, de nausées, de vomissements, des troubles laryngés sous forme de chatouillement, de constri
ment, de constriction de la gorge, sont loin d'être rares. Tous ces troubles peuvent s'observer quelle que soit la cause pro
trajet de l'un d'eux soient très fréquemment le point de départ de troubles portant sur l'autre. De l'accord parfait de tou
de l'équilibre parfait; de leur désaccord naît le vertige. Mais les troubles de chacune de ces variétés de sensation ne déte
pas le vertige avec une égale fréquence et une égale intensité; les troubles du sens musculaire, des sensations ostéo-articu
'espace, ne détermineront guère à eux seuls un vertige notable; les troubles visuels ou auditifs purs le provoqueront bien p
s être souvent multiple. Pour Bonnier, le vertige est toujours « un trouble nucléaire des centres bulbo-protubérantiefs, part
icule », qui se traduit par la désorientation subjective et par des troubles objectifs d'in- coordination motrice. Il peut ê
Le vertige voltaïque avait été attribué par certains auteurs à des troubles de la circulation encéphalique et à une irritatio
bsence d'orien- tation dans la sensation vertigineuse, par les gros troubles de l'équilibre et l'absence relative des bruits
ui dont la tête tombe »). Celle maladie est caractérisée, par des troubles visuels avec vertige plus ou moins net, par des
par des parésies passagères et par des douleurs verté- brales. Les troubles visuels consistent en diplopie, photopsie, photo-
e, photo- phobie ; ils s'accompagnent d'obnubilation de la vue avec troubles de l'équilibre plus ou moins prononcés, mais sa
nc ou des membres, accom- pagnent ordinairement les parésies et les troubles visuels. Tous ces symptômes surviennent par acc
elle, durable ou répétée, comme symp- tôme. révélateur ou non, d'un trouble organique ou fonctionnel plus persistant : dans
des tabétiques, même indemnes de toute incoor- dination : quant aux troubles de la sensibilité profonde, ils jouent sans dou
le centre un les racines de l'auditif. Il peut être dû aussi à des troubles visuels (diplopie, nystagmus, etc.). Un voit
ngoisse, de nausées et de vomis- semons; il s'accompagne souvent de troubles oculaires sous forme de diplopie, d'eblouisseme
de diplopie, d'eblouissements, de Paonnes ou de brouillards, et de troubles auditifs. Ce qui est bien plus caractéristique
ges auriculaires sont précédés, de plus ou moins longtemps, par des troubles subjectifs de l'ouïe, sous forme de bourdonneme
ns de l'oreille, ni sur les signes des affections provocatrices des troubles auriculaires (maladies infectieuses, utenin- gi
accessoires d'origine bulbaire, nausées, vomis- sements, diarrhée, troubles respiratoires, modifications du pouls, nystag-
e l'ouïe, chez des sujets qui présentaient, déjà antérieurement des troubles audi- tifs subjectifs et objectifs; celte évolu
ovoquent quelquefois des ten- tatives de suicide et fréquemment des troubles psychiques et neurasthé- niques très accentués.
r Franid-Hochwart, les formes psychi- ques de Lannois et Chavanne : troubles intenses de l'intelligence et de la volonté, ph
entation dans les sensations vertigi- neuses de déplacement; 20 des troubles de l'équilibre pouvant aller jusqu'à la chute;
e, soit qu'il corrige le strabisme par des verres appropriés. Les troubles de la vision qui précèdent et commandent le verti
caractère cérébral, sans nausées, le peu d'intensité ordinaire des troubles subjectifs et objectifs de l'ouïe, feront rappo
apporter à une hnncur cérébel- leuse les vertiges chroniques et les troubles de l'équilibre. Les tumeurs du cerveau provoque
le lobe frontal ou la région rolamlique. Elles s'accompa- gnent de troubles psychiques et moteurs variables, de céphalalgie,
; mais le, rôle que peuvent jouer dans la production du vertige les troubles , passagers ou permanents (congestion, oedème, c
nes, bourdonnements d'oreille, somnolence ou au contraire insomnie, troubles du caractère, l'aligne physique et mentale, enf
vertige nephrostenique », l' « olo-brightisme », non seulement aux troubles de la circulation labyrinthique, mais aux altéra-
ans le labyrinthe et les espaces sous-aracimddicns : il y aurait un trouble de la sécrétion du liquide labyrinthique et du
uide labyrinthique et du liquide dphalocr : 1chirlien ana- logue au trouble de la sécrétion de l'urine, caractérisé aussi par
difficile de spécifier quelle, part il faut faire dans ces cas aux troubles circulatoires du cerveau, il ceux du cervelet ou
on des lésions méningées à l'oreille interne. Il faut rattacher aux troubles circulatoires de l'arlério-sclérose la plu- par
sation vertigineuse; 2° l'effon- drement par dérobement des jambes, trouble cérébelleux; 3° des trou- bles oculo-motcurs (p
belleux. - Kraf1't-ElJin considère ces sensations connue dues à des troubles vaso- moteurs portant sur le labyrinthe; lIitzi
nthe; lIitzig veut y voir une origine pure- ment mentale, un simple trouble de la conscience du moi, une exagération de cer
t particulièrement l'intoxication des centres de l'espace, soit les troubles circulatoires agissant notamment sur le labyrin
d'une lésion bulbaire pouvant déterminer à la fois le vertige et le trouble laryngé. Dans le premier cas, vertige laryngé e
is dans une même journée. Il ne détermine qu'exceptionnellement des troubles asphyxiques et même la mort. La crise n'est s
pium et ses composés, morphine, etc., qui produisent auparavant des troubles de l'accommoda- tion et la dilatation de la pup
a été massive, un état vertigineux prononcé avec faiblesse, anémie, troubles digestifs, quand l'absorption a été lente et prol
cissement de la vue, brouillards ou lueurs, faiblesse des jambes et troubles de l'équilibre, olJl7lllJillti(Ill mentale. L
missement, est prévenu et guéri par le traitement silllld- tané des troubles gastriques (généralement de ! "hypopepsie) et de
mbre des cas; elle agit souvent favorablement, aussi sur les autres troubles auriculaires du syndrome de Ménière, bour- donn
auf contre-indications spéciales, chez Ions les sujets qui ont. des troubles auriculaires réfractaires aux divers modes de tra
urs d'étal comateux. Enfin, un accident nouveau peut être constaté, trouble trophiquedout l'évolution est à peu près sûreme
rigine cérébrale pré- sentent jamais la profondeur ou l'étendue des troubles analogues consé- cutifs aux myélites. : . On,
cependant par quelque escarre tardive ; il est à remarquer que les troubles trophiques survenant longtemps après l'ictus si
Le rétablissement se fait en d'autres cas, mais demeure incomplet : troubles aphasiques, affaiblissement de la mémoire ou de l
relatifs, il est vrais; mais un examen soigneux met en évidence le trouble prédominant de l'appareil circulatoire. L'hysté
t état réparateur ne s'accompagne ni d'altération des traits, ni de troubles des sensations. Le réveil est facile en général;
ale. Nous insisterons sur les attitudes figées de la catalepsie; ce trouble ne se rencontre pas seu- lement dans l'hystérie
esquille peut même se détacher de la table interne et déterminer un trouble morbide intense que l'examen extérieur n'explique
lombaire est ici d'un secours incomparable. Le plus souvent, les troubles étudiés, ictus et coma, dépendent el' hél1w1Tag
géné- Tale, des ictus dans le tabès et la sclérose en plaques. Ces troubles font aussi partie du syndrome clinique du pouls
rmes, tantôt dilatées. Ces accidents s'accompagnent généralement de troubles gastro-intestinaux à grand fracas. Du reste, il n
survit, est longue, et marquée d'accidents nombreux, polynévrites, troubles trophiques. Des convulsions encore précèdent d'
de et on le fera se lever le plus tôt possible afin de prévenir les troubles tropho-infectieux de la peau, afin de lutter ég
lée, du tremblement lingual, un certain degré de myotonie, mais les troubles [MOUTIER.] 1 \10 SOMMEIL MORBIDE. , pupilla
est autant de traitements que de formes d'insomnie. On traitera ce trouble morbide par la thérapeutique spécifique de la mal
des mentaux en général. I'n.vruye XI : UR01.. 13 [MOUTIER.] LES TROUBLES DE LA PAROLE par le D MOUTIER En dehors de l'
l'objet d'un chapitre spécial, le lan- gage oral peut présenter des troubles variés dans un grand nombre d'états pathologiqu
r des troubles variés dans un grand nombre d'états pathologiques. TROUBLES DU LANGAGE ORAL Une démarcation fondamentale s'
d'enregistrement simple, un acte intellectuel d'interprétation. Le trouble de la compréhension du langage oral peut donc t
peut donc tenir soit à un (rouble sensoriel périphérique, soit à un trouble de l'intelligence centrale. a) Le malade entend
eux saisies que les sons émis avec force et sur un Ion élevé. LES TROUBLES DE LA PAROLE. 1115 b) Le malade ne présente pas
. LES TROUBLES DE LA PAROLE. 1115 b) Le malade ne présente pas de trouble sensoriel. Il entend les paroles, mais ne les c
t compte que l'on cherche à nouer conversation avec lui ? Semblable trouble s'observe chez les idiots, les aliénés, les démen
à commettre des fautes de ce genre. , : : . [MOUTIER.] 100 LES TROUBLES DE LA PAROLE. Quant Il l'attcli-nttclité (aphas
. La suppression du langage oral dépend ici de causes multiples. Le trouble peut être d'origine périphérique ou d'origine cen
gage est encore un peu' distinct, l'effort verbal est tellement LES TROUBLES DE LA PAROLE. 197 pénible il ces malades, que l
a étudiée dans un cha- pitre spécial). Il existe tout il la fois un trouble de la forme extérieure du langage et un trouble
tout il la fois un trouble de la forme extérieure du langage et un trouble intime de l'idéation. C) Le malade ne veut pas
mimique expressive. Mais alors, le fait , [MOUTIER.] ] J ! 1R LES TROUBLES DE LA PAROLE. capital sur lequel on pourra se f
st possible, mais son langage est troublé de diverses manières. Ces troubles peuvent porter sur la phonation et l'articulati
ur la constitution même et la formation des mois on des phrases. A) Troubles de la phonation et de l'articulation. La dysarthr
Troubles de la phonation et de l'articulation. La dysarthrie est un trouble moteur des organes de la phonation ; elle peut êt
, concourent parfois à la réalisation des syndromes morbides. Les troubles observés chez les dysarthiques portent soit sur l
a parésie des muscles bucco-pharyngés, détermine toute une série de troubles à proprement parler dysarthriques. Il y a tremble
ge, rappelons que les dysar- thriques présentent habituellement des troubles de divers ordres : benn- plégie faciale ou tota
de pleurer spasmodiques, affaiblissement intellectuel, gâtisme. LES TROUBLES DE LA PAROLE.. ' 199 1° Dysarthries d'origine p
ulement étouffé. Dans les paralysies linguales existent surtout des troubles de la prononciation de certaines consonnes, des
angue, des commissures labiales, ni sur les symptômes fonctionnels, troubles de la déglutition, de la respiration, etc. Ces
n de l' hypoglossengtamment). Il existe enfin quelquefois.de légers troubles de la formation des labiales dans la paralysie
ter à la façon d'un sac trop grand pour ce qu'il renferme. Dans les troubles bulbaires, le territoire musculaire atteint est
ennent les lèvres, le voile du palais, le larynx enfin. Lorsque les troubles atteignent leur maximum, le mutisme devient abs
ncéphaliles à locali- sation bulbaire. Il coexiste généralement des troubles respiratoires et circulatoires redoutables par
eint dans la paralysie bulbaire familiale. - IMOVTIER.] 200 LES TROUBLES DE LA PAROLE. Dans les dysarthries d'origine cé
us souvent, et la réaction de dégé- nérescence manque toujours. Les troubles du langage, ânonnement, hési- tation, lenteur d
L'hémorragie et le ramollissement cérébraux déterminent parfois des troubles très accusés du langage (aphasie, anarthrie de Pi
affaiblissement intellectuel. Dans la paralysie générale enfin, les troubles du langage sont carac- téristiques et suffisent
rononce pas exactement ce qu'il fallait prononcer, il accroche. Ces troubles portent tout d'abord sur les labiales, puis s'é
à peu près à toutes les formes verbales 'selon que progressent les troubles parétiques des lèvres, de la langue et leur tré
utturaux bientôt inintelligibles se font encore seuls entendre. Ces troubles peuvent être passagers tout d'abord et susceptibl
t par la suite et deviennent irrémédiables. On observe encore des troubles dysarthriques dans la myasthénie et LES TROUBLE
observe encore des troubles dysarthriques dans la myasthénie et LES TROUBLES DE LA PAROLE. 201 dans les myopathies. Dans la
ant subitement même au milieu d'un mot, avec . [MOUTIER.] 202 LES TROUBLES DE LA PAROLE. ou sans claquement de langue et r
d'une; expres- .sion injurieuse ou grossière (coprolalie). - Ces troubles spastiques, si accusés, s'individualisent sous un
ai sont au nombre de quatre (Chervin) : 1° Début dans l'enfance; 2" Troubles respiratoires plus ou moins marqués au moment d
ur retrouver ensuite son langage; normal; 4° Disparition totale des troubles de la parole dans le chant. Le bégaie- ment n'a
t en hésitations, en répétitions lentes et traînantes, plutôt qu'en troubles vraiment spasmodiques. Les anciens auteurs sont
entre la prononciation normale et la prononciation défectueuse. B) Troubles du débit. Ces troubles sont fort nombreux et dive
normale et la prononciation défectueuse. B) Troubles du débit. Ces troubles sont fort nombreux et divers. Le langage est pr
langage est précipité dans la chorée, dans sa maladie des tics. LES TROUBLES DE LA PAROLE. souvent encore dans la maladie de
verbigéraiion, l'emphase et le; pathos, mais il s'agit la plutôt de troubles de t'idéatiou même que de troubles de la parole,
hos, mais il s'agit la plutôt de troubles de t'idéatiou même que de troubles de la parole, et il n'y a pas lieu d'y insister
faut orga- nique des organes laryngiens ou génitaux. Il s'agit d'un trouble , fonc- tionnel dans l'émission et la pose de la
d'origine périphérique ou bulbaire, nous n'y reviendrons pas. D) Troubles constitutifs de la formation des mots ou des phra
préteutieux, l'absence de logique ou même de compréhensibilité. Ces troubles relèvent de l'aliéna- [MOUTIER] ] 2111 LES TR
sibilité. Ces troubles relèvent de l'aliéna- [MOUTIER] ] 2111 LES TROUBLES DE LA PAROLE. lion mentale; beaucoup sont comma
e, c'est une sorte de parler nègre avec verbes à l'infi- nitif. Des troubles analogues avec emploi de mots dénués de sens (jar
ent et commettent ainsi fréquemment de lourdes fautes de syntaxe. TROUBLES DE L'ECRITURE par le D MOUTIER Les troubles d
fautes de syntaxe. TROUBLES DE L'ECRITURE par le D MOUTIER Les troubles de 1 écriture se répartissent en deux groupes. Le
. Les uns intéressent le tracé, la forme de l'écriture; ce sont les troubles calh- graphiques. Nous désignerons avec Jofïroy
ofïroy les seconds, anomalies des idées exprimées, sous le terme de troubles psychographiques. Les premiers répondent aux vi
e, mais incorrecte. -\ou, retrou- vons ici la division signalée; en troubles ealligraphiepies et troubles psy- chographiques
rou- vons ici la division signalée; en troubles ealligraphiepies et troubles psy- chographiques. A) Troubles calligraphiqu
; en troubles ealligraphiepies et troubles psy- chographiques. A) Troubles calligraphiques élémentaires. Le (racé des lettre
s. Le tremblement se révèle par de fines ondula- [MOUTIER.] ] 206 TROUBLES DE L'ÉCRITURE. - tions ou des zig-ziigs anguleu
apier, barrant souvent les caractères déjà tracés. Ces diffé- rents troubles augmentent considérablement lorsque le malade fer
sur les autres ou s'écartent sans raison gram- maticale. , Un des troubles les plus redoutables pour la netteté et même pour
ées ou provoquées le long des troncs nerveux principaux. ' ' '. , TROUBLES DE L'ÉCRITURE.- 207 L'impotence; fonctionnelle
auche chez les gauchers, la paralysie en un mot détermine enfin des troubles considérables de l'écriture. Ces troubles peuvent
n mot détermine enfin des troubles considérables de l'écriture. Ces troubles peuvent être pré- monitoires. Dans l'ictus prog
troubles peuvent être pré- monitoires. Dans l'ictus progressif, les troubles légers de la inutilité du côté qui sera frappé,
souvent de grosse dimension : l'ensemble est fort peu lisible. Ces troubles sont naturellement beaucoup plus complexes lorsqu
up plus complexes lorsque, a l'obstacle mécanique, s'adjoignent des troubles intellectuels et des per- turbations fonctionne
in droite, écrit, le plus souvent comme elle de gauche à droite. B) Troubles psychographiques. Ces troubles dépendent, non plu
nt comme elle de gauche à droite. B) Troubles psychographiques. Ces troubles dépendent, non plus d'un obstacle ou gêne mécan
tracé, mais encore, modifier les idées transcrites. On observe ces troubles psy- rhographiques dans l'aphasie, dans les éta
ntellectuelle (idiotie, imbécillité, démences confusionnelles), les troubles notés dépendent avant tout de la diminution de
ettres, des mots ou des fragments de phrase sont [MOUTIER.] ] 208 TROUBLES DE L'ÉCRITURE. indéfiniment répétés, remplissan
r graphisme stéréotypé. Après la crise d'épilepsie, s'observent des troubles analogues. L'écriture est tremblée, parfois dim
ent, lettre qu'il répétera machinalement des centaines de fois. Ces troubles , cela se conçoit, sont beaucoup plus accusés dans
bie les en empêche (folie du doute). Nous serons très brefs sur les troubles idéographiques proprement dits des aliénés. On
te le plus souvent le style épistolaire. Le contenu est incohérent, TROUBLES DE L'ÉCRITURE.. 20V incompréhensible souvent. D
e dans l'écriture sous dictée et dans les exercices de copie. Aux troubles intellectuels de l'écriture s'ajoutent parfois ch
intellectuels de l'écriture s'ajoutent parfois chez les aliénés des troubles mécaniques. 11 en est ainsi dans la paralysie gén
iques généraux. Joffroy). Nous mentionnerons enfin l'importance des troubles du dessin chez les aphasiques (Voir plus loin)
erspective y l'ail défaut d'ordinaire ('). 1. Pour en Unir avec les troubles du langage, il nous faudrait étudier encore les
r avec les troubles du langage, il nous faudrait étudier encore les troubles du calcul, de la lecture et de la mimique. Ce qui
D' MOUTIER Parmi les désordres du langage d'origine organique, les troubles apha- siques occupent une place prééminente. 11
s altéra- tions fonctionnelles observées ne dépendent enfin d'aucun trouble péri- phérique. On peut définir par suite l'aph
ucun trouble péri- phérique. On peut définir par suite l'aphasie un trouble de la compré- hension et de l'expression des si
t chez ces malades, observer au début un état de prostration et des troubles de l'équilibre qui en imposent pour un ictus cé
lais ? du larynx ? Ces organes présentent-ils de la paralysie ou un trouble quelconque dans teur fonctionnement ? . , i a
, i a-t-il du rirc et du pleurer spasmodiques ? 1 ? istc-(-il des troubles de la déglutition ? quel est l'état du réflexe
té tactile; sens musculaire; sens stéréognostique. La recherche des troubles sensoriels a été pratiquée au cours de l'exa- m
Marie) ou aphasie de Wernicke. Cette forme, carac- térisée par les troubles du langage intérieur et le déficit intellectuel,
limitées. Quelques mots sont compris ou lus correctement, mais les troubles para et jargonaphasiques apparaissent bientôt, en
. Si l'écri- ture persiste à quelque degré, on y remarque les mêmes troubles que dans le langage oral (para et jargouagraphi
intérieur est res- pecte. l'intelligence est intacte. Il existe un trouble unique de l'articula- tion verbale. Le mutisme
n côté . gauche. En résumé, dans 6t) ? < ? ? l'abolition ou le trouble de la pronon- cialion, de l'émission des mois r
et plus complète, les mots émis plus nombreux dans le chant. Les troubles de la lecture (aggravés par la dysarthrie), de l'
ée, la. lecture à haute voix sont abolies, ou très altérées par les troubles de l'émission verbale ou dysarthrie, par la parap
unique, l'impossibilité ou la difficulté de la lecture mentale (le trouble ; de la lecture à haute voix étant simplement so
de la lecture à haute voix étant simplement sous la dépendance du trouble du langage intérieur). On observe toujours en mêm
définition préalablement donnée. Elle consiste, répétons-le, en un trouble des actes volontaires, en une non-adaptation in
llésie, ni ataxie. ni paralysie, ni surdité verbale, ni agnosie, ni trouble du jugement. Un exemple fera mieux comprendre n
aires il la préparation puis à la réalisation de l'acte (absence de troubles mentaux), il peut saisir la brosse et la manier c
pour phénomène apraxique. L'apraxie idéo-motrice de Liepmann est un trouble très nettement psyctio-moteur. Le malade compre
est pas exceptionnelle dans l'hémiplégie du côte droit du corps. Le trouble apraxique peut être complet ou incomplet : comple
ler, ils présentent seulement de la maladresse, et d'autre part les troubles de la mastication et de la déglutition font défau
tout autrement chez l'apraxique. Ce dernier, en effet, présente un trouble aussi considérable, aussi irrégulier des actes dé
aucoup moins franc. L'apraxie idéatoire est, en effet, un véritable trouble de l'attention; elle s'observe, dans les états
de l'intelligence, chez. les déments, les paralytiques généraux. Le trouble s'atténue lorsque le sujet fixe son attention; .i
supérieures ou perceptions propre- ment dites. Elle' représente un trouble de l'idenlificalion secondaire des objets. L'ag
olément sur un ordre donné de sensations. Dans l'agnosie tactile ( trouble de l'identification secondaire ou asyni- hulie)
En fait, il est extrêmement difficile parfois de faire le départ du trouble jt AGNOSIE. 227 sensoriel périphérique (affai
périphérique (affaiblissement du tact, de la vue, de l'ouïe) et du trouble cérébral. Cela est flagrant surtout pour rasynrbo
e diagnostic des agnosies est délicat. II repose sur l'existence de troubles intellectuels purs ou du moins sur l'insuffisance
e de troubles intellectuels purs ou du moins sur l'insuffisance des troubles périphériques éventuellement existants à expliq
lles maladies il a laites, quelles intoxications il a subies, quels troubles psychiques il a déjà manifestés au cours de son
et les actes, puis les principaux phénomènes psychiques ('). LES TROUBLES DU LANGAGE CHEZ LES ALIÉNÉS Nous envisagerons d
ALIÉNÉS Nous envisagerons d'abord le mutisme vésanique, ensuite les troubles du langage articulé, du langage écrit et du lan
é dans le Traité de pathologie mentale de M. Gn.m. : rr BALLET. LES TROUBLES DU LANGAGE CHEZ LES ALlÉ\IS. 231 bruit de leur
n. Il faut enlin toujours penser il la simulation du mutisme. Les troubles du langage articulé. L'intensité de la voix est
de tremblements, d'affections organiques du système nerveux, etc. Troubles du langage écrit. Les écrits chez les aliénés ont
apier, de la forme et de la dimension des lettres, de la signature ( troubles calligraphiques de loffroy). Le contenu de ces
nseignera sur la valeur intellectuelle et sur les idées délirantes ( troubles psycliograptuqucs de Jo111'oy). En examinant la
peuvent avoir leur utilité dans des cas de diagnostic dé- licat. Troubles de la mimique. H faut distinguer la mimique émo-
ndrome peut s'observer à titre épisodique secondairement à d'autres troubles psychiques (délires hallucinatoires, états émotio
e paramnésie de certitude et de paramnésie de localisation certains troubles spéciaux de la mémoire. Le sujet atteint de par
lusion et l'hallucination ne seraient que deux variétés d'un même . trouble psychologique, ne différant que par le point de
fférences de nature, elles ne seraient que .des. variétés d'un même trouble pathologique ; il est d'avis qu'en théorie on peu
s hallucinations unila- Iéralcs mt souvent comme point de départ un trouble fonctionnel ou des lésions matérielles des orga
tilement d'ailleurs le plus souvent; cette lutte est accompagnée de troubles vaso-moteurs, de congestion de la face, d'angoi
e un caractère de mobilité. Elles sont sans doute la conséquence de troubles de la perception. Dans la mélancolie les idées
Très souvent, les idées hypochondriaques coexistent avec d'autres troubles psychiques. Elles se voient dans la mélancolie, s
ques chroniques les idées hypochondriaques sont en rapport avec des troubles de la sensibilité. f Les persécuteurs raisonnan
e délire mélancolique, les idées de damnation et de possession, les troubles de la sensibilité, l'anxiété mélancolique, la f
Il suite, d'un ictus apoplectique et sont alors déterminées par des troubles de la cOEnestMsie. Dans la confusion mentale, l
égation assez fréquentes. LES IDÉES DÉLIRANTES. 245 dépendent des troubles de la perception. Chez les alcooliques, elles ont
ance à des individus tarés et dégé- nères. Chez les prédisposés aux troubles psychiques il faudra éviter toutes les causes d
s différents malades, suivant qu'il existe ou non de la lièvre, des troubles gastro-intestinaux, des (roubles rénaux ou hépa
at médical. Le certificat médical doit spécifier l'état mental, les troubles psychiques de l'aliéné ainsi que les principale
première ou de la seconde enfance, les (roubles intellectuels, les troubles des fonctions, les troubles physi- ques. Nous p
nfance, les (roubles intellectuels, les troubles des fonctions, les troubles physi- ques. Nous passerons ensuite en revue le
s l'idiotie est marquée, plus la parole s'améliore, quelquefois les troubles consistent simplement dans des défectuosités d'
des noix qu'il affec- tiouuait. L'odorat peut présenter les mêmes troubles dus à l'inattention, mais il est cependant des
onychophagie ou manie de manger les ongles, etc. z L'ensemble des troubles que nous venons de décrire constitue les troubl
L'ensemble des troubles que nous venons de décrire constitue les troubles psychiques : il est un ensemble de troubles qui s
e décrire constitue les troubles psychiques : il est un ensemble de troubles qui sont plus parti- culièrement les troubles d
il est un ensemble de troubles qui sont plus parti- culièrement les troubles des fonctions. , Troubles du mouvement. - La pr
es qui sont plus parti- culièrement les troubles des fonctions. , Troubles du mouvement. - La préhension des objets est dif-
ifficiles. Chez les arriérés, ils se rapprochent de la normale. ' Troubles de la digestion. La mastication est incomplète, l
-aussi d'une façon souvent exagérée. 11 n'existe pas en général de troubles de la sécrétion urinaire. Fonctions génitales.
tions de la per- version sexuelle : pédérastie, etc. ' A tous ces troubles psychiques et fonctionnels répondent des anoma-
ondent des anoma- lies de développement physique chez les idiots. Troubles physiques. La taille est souvent inférieure à Cel
ifférencier l'idiotie congénitale, c'cst-à-dire l'idiotie due à des troubles survenus pendant la vie foetale ou au moment de
n, le diagnostic est absolument évident dès que 1 on a constaté les troubles des facultés intellectuelles, les (roubles de fou
pareil ner- veux tout entier est mis à contribution. L'existence de troubles sensitifs peut renseigner sur l'état du système
ion clinique, se conçoit donc d'elle-même. L'apparition de nouveaux troubles sensitifs ou la disparition de ceux préalableme
iale. Dans le cours de cet article, nous ne nous occuperons que des troubles de la sensibilité, générale, et nous renvoyons
goût), aux différents articles de ce Traité, comportant l'élude des troubles sensoriels. Toutefois, conformément à la divisi
es sensations perçues objectivement par le sujet, et l'étude de ces troubles sensitifs objectifs, que nous apprendrons il re
ences (sur le singe) de Ferrier et Turner. de Mott, et l'absence de troubles de la sensibilité dans les af1('('- tions céréb
grise centrale en est l'élément fonctionnel principal. Il n'y a , . TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ 'OBJECTIVE..281, pas lieu d'a
de raison d'être que dans l'observation clinique. CHAPITRE I. z TROUBLES DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE L'élude de la sensi
s stéréognostique. ' 1 ' . TECHNIQUE A SUIVRE POUR LA RECHERCHE DES TROUBLES . DE LA SENSIBILITÉ . - La recherche clinique
HE DES TROUBLES . DE LA SENSIBILITÉ . - La recherche clinique des troubles de la sensibilité, si facile qu'elle puisse par
désir enfin qu'ont certains patients à diminuer ou à exagérer leurs troubles . L'observateur doit s'abstenir le plus possible d
e tact, la douleur et la température, en indiquant par. exemple les troubles tactiles par des hachures, les troubles doulour
indiquant par. exemple les troubles tactiles par des hachures, les troubles douloureux par des points et les troubles thermiq
les par des hachures, les troubles douloureux par des points et les troubles thermiques par des croix, ou bien encore par de
en encore par des traits de crayons de couleurs différentes. Si les troubles sensitifs sont complexes, il est préférable de se
que modalité de sensibilité. 11 est boni, enfin, avant de noter les troubles observés, de vérifier une seconde fois les - ré
thésie, ou exaltée : hypereslhésie. - . Lorsqu'on observe un de ces troubles en un point quelconque du corps, on aura soin d
extrême finesse, a été décrite et désignée par Vaschide et Rous- ' TROUBLES DE W SENSIBILITÉ OB.IECTTVE : 285 seau sous le
lb et Oppenheim ont indiqué un procédé très simple pour révéler les troubles légers de la sensibilité chez les hémiplégiques,
t la pression et agir plus fortement sur la région qui présente des troubles , pour obtenir de son côté une réaction équiva-
lwxies, ,) 888. : 1. TIt ! ' Uril. 111e £ l. journ., 1894. y. 1. 1. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 38 ? portant sur l
rgissement des cercles de sensations* et d'expliquer ainsi certains troubles observés, comme la perte de la perception stéré
',]Je même que pour le tact, on reporte avec soin sur un schéma les troubles observés : ceux-ci peuvent coïncider parfaiteme
ncider parfaitement dans leur distribution ettem intensité avec les troubles tactiles. Il arrive parfois en clinique, dans l
'on recherche pour la première fois chez un malade l'existence d'un trouble de la sensibilité thermique, de prendre des cor
e nous retrou- verons avec le sens musculaire. C) Sensibilité des troubles nerveux. La pression des troncs nerveux éveille
n avec la sensation de contact et n'attachent aucune importance aux troubles de la première en séméiologie nerveuse. Des t
ert d'appareils spéciaux, dits baresthésiomèlres (I : ulenLur). Les troubles observés sont reportés sur un schéma ordinaire,
des Drucksinnes (Deiilsche mes, Woclreusclr., 22 et 24 sept. 1JOz). TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 293 Lulenburg, le
rences de poids beau- coup plus considérables. Séméiologie. = Les troubles de la baresthésie se rencontrent dans un certai
s cet égard, arrive aux conclusions suivantes : ' Dans le tabes les troubles de la haresthésie sont fréquents (24 fois l. Le
1905. - [RODSSY.] Fig. 5. - Tabès. - Topographie radiculahe des troubles de la sensibilité à la pression (1). Fig. 4. -
des troubles de la sensibilité à la pression (1). Fig. 4. - Tabes. Troubles de la sensibilité . à la pression plus étendus.
ch. f. Psychiatrie 1l. Nervenheilk, Bd., 57, 2. Fig. 5. Paraplégie. Troubles scnsitifs à la pression. THOUBLES DE LA SENSI
nt fréquemment en clinique ; tantôt elles marchent de pair avec les troubles des sensibilités superficielles, tantôt elles se
) et Sci1'fcr). Les chiffres indiquent la durée de la perception. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 297 Les altération
Y.] Fig. 9. Ilmianestl : ésic profonde dans l'hémiplégie. A gauche, troubles de la sensibilité il la pression; il droite, tr
ie. A gauche, troubles de la sensibilité il la pression; il droite, troubles de la sensibilité vibratoire (Observ. persan., Bi
s et en imprimant aux segments d'un membre qu'on suppose atteint de troubles de ce sens différentes positions, en. com- menç
coude, et à l'épaule. On fera de même pour le membre inférieur. Ces troubles de la notion de position, comme ceux des mouvem
membres; ils obéissent ainsi à une loi de topographie générale des troubles sensitifs que nous énoncerons plus tard. 2° L
à employer lorsqu'on est en présence de malades présentant de gros troubles de la sensibilité profonde. La perte de la no
omène étant étudié dans une autre partie de ce traité, à propos des troubles moteurs, nous n'avons pas à nous en occuper ici
nous en occuper ici. Signalons simplement les rapports intimes de TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. Ô01 l'ataxie avec
es de TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. Ô01 l'ataxie avec les troubles de la sensibilité profonde et en particulier du
uvent déterminer la stéréoagnosie et sur les rapports qu'affecte ce trouble avec les altérations de la sensibilité périphér
'identification secondaire ou de reconnaissance intellectuelle : le trouble de ce processus constitue l'asymbolie. TROUBLES
ntellectuelle : le trouble de ce processus constitue l'asymbolie. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 505 de localisatio
cérébrales en foyer. Un hémiplégique, en effet, peut présenter des troubles partiels du sens stéréognostique ; il pourra pa
encore d'en reconnaître la forme (stéréoagnosie), présenterait des troubles plus nets des sensibilités périphériques et serai
nicien doit prendre en considération dans l'étude séméiologique des troubles de la sensibi- lité. La stéréoagnosie peut être
n dans Y hystérie. - (ROUSSY.] 504 SENSIBILITÉ. TOPOGRAPHIE DES TROUBLES OBJECTIFS DE LA SENSIBILITÉ Les troubles object
IBILITÉ. TOPOGRAPHIE DES TROUBLES OBJECTIFS DE LA SENSIBILITÉ Les troubles objectifs de la sensibilité générale, superficiel
ique et qui sont subordonnées aux causes mêmes qui ont provoqué ces troubles . La connaissance de cette distribution topographi
ntes affections du svstème nerveux. . ÉTUDE SÉMÉIOLOGIQUE T DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES AFFECTIONS . DU SYST
ue et neurone tlialamo-cortical, soit susceptible de déterminer des troubles sensitifs, dont la disposition et les caractères
s ; 4° dans les affections des nerfs périphériques. A côté de ces troubles sensitifs d'origine organique, il en existe d'a
fonctionnelles de ce système. Nous aurons donc il décrire : 5° les troubles de la sensibilité dans les névroses. Nous termi
ns les névroses. Nous terminerons enfin par quel- ques mots sur les troubles de la sensibilité dans les psychoses. TROUBLES
ques mots sur les troubles de la sensibilité dans les psychoses. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. ;;0 : . t 1. TROUB
les psychoses. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. ;;0 : . t 1. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES AFFECTIONS DE L'ENCÉ
bérance, le pédoncule ou l'hémisphère cérébral. Début. Le début des troubles sensitifs, dans les affections céré- brales peu
s affections céré- brales peut se faire brusquement comme celui des troubles moteurs, à la suite d'un ictus; il peut aussi ê
, à la suite d'un ictus; il peut aussi être lent et progressif. Les troubles sensitifs, marchant alors de pair avec les trou
progressif. Les troubles sensitifs, marchant alors de pair avec les troubles moteurs, s'installent petit à petit et sont pré
nécessaire. En effet, s'il est relativement fréquent d'observer des troubles sensitifs chez un hémiplégique pendant les prem
Recllich; 8 pour 100, Aba). Mais avec Verger, on peut dire que les troubles sensitifs sont la règle dans l'hémiplégie, si l'o
elle ne dure que quelques jours ou quelques semaines, alors que les troubles moteurs persisteront des années ou indéfiniment;
années et suivre une marche légèrement régressive et parallèle aux troubles moteurs (hémianesthésie persistante); d'autres
urs (hémianesthésie persistante); d'autres fois, enfin, ce sont les troubles sensitifs qui persistent indéfiniment et les trou
, ce sont les troubles sensitifs qui persistent indéfiniment et les troubles moteurs qui Pratique veuuoi,. 20 , [ROUSSY] 1
t ainsi aux mêmes lois que celles qui régissent la distribution des troubles moteurs dans l'hémiplégie. Lorsque les troubles
la distribution des troubles moteurs dans l'hémiplégie. Lorsque les troubles sensitifs sont en voie d'améiiu- lei ? 13. - Hé
rplre, avec erreur de loca- lisation, paresthésie à la température. Troubles de la notion des attitudes au pied et il la mai
e l'oper- cule rolandique et de Tl. (Cas Charv ? Bicêtre, 1905).. TROUBLES DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE. 507 ration, ce son
u membre (Dejerine). Dans l'hémianesthésie organique cérébrale, les troubles sensitifs re- vêtent une distribution si réguli
si régulière que l'on peut parler d'une topngra- phie cérébrale des troubles sen- sitifs. Dans de très rares cas, l'anes-
émianestliésie organique; aussi est-il nécessaire de rechercher ces troubles avec le plus grand soin. Ce sont des perversions
de la sensation, des paresthésics, de la [ROUSSI'.] ] Fig. 14. - Troubles de la sensibilité osseuse dans le cas précédent
hémianesthésie sezzsilivo- sensorielle. Dans ce cas, il existe des troubles particuliers du goût, de l'odorat et de la vue
e du même côté que l'hémiplégie. On rencontre assez fréquemment des troubles de l'un ou de plusieurs des sens spéciaux chez
péciaux chez les hémiplégiques hémiancsthésiques au début; mais ces troubles senso- riels ne sont que de courte durée (quelq
s visuelles cérébrales d'un côté, il en résultera pour la vision un trouble définitif et irrémédiable. C'est il ce trouble vi
ra pour la vision un trouble définitif et irrémédiable. C'est il ce trouble visuel, observé chez les hémiplégiques, qu'on d
ssion de la moitié du champ visuel binoculaire. du même côté que 1w TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 3t)i' celui de l'h
apitre traitant de cette question. L'hémianopsie est donc le seul trouble sensoriel, persistant et défi- nitif, qu'on pui
plus dif- ficile sinon impossible de noter chez lui la présence de troubles légers de la sensibilité superficielle; il est
t centrale thalamique. On s'est demandé si les caractères mêmes des troubles sensitifs, leur intensité, leur topographie pou
t complète des perceptions élémen- taires (tact, douleur, etc.), un trouble dans la localisation des sensations et une pert
e persistante sont dus à la participation de la couche optique. l.e TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 5 H thalamus repré
celle du segment postérieur de la capsule interne, que sont dus les troubles sensitifs. A l'hémianesthésie capsulaire doit ê
emps qui suivent l'ictus elle est assez fréquemment associée à. des troubles sensoriels. Ces derniers cependant, à part les
ciée à. des troubles sensoriels. Ces derniers cependant, à part les troubles de la vue, rétrocèdent rapidement, et ne font p
tomatique quelques mois après le début de l'affection : ce sont des troubles fugaces, dont la cause anatomique [ROUSSI'.] .
caractères que les hémianesthésies. corticales : habituellement les troubles de la sensibilité superficielle sont peu prononcé
'y ait en même temps de l'hémi- plégie plus ou moins marquée. Les troubles moteurs peuvent être par- fois très atténués; d
uche optique. (Cas Roy ? Roussy, Revue neurologique, n° 6, IG09). TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVÉ. 515 médian et du p
'être admise d'une façon générale. D'autre part, la persistance des troubles sensitifs, caractère important des anesthésies
ons étendues du centre ovale ou du cortex. Les caractères seuls des troubles sensitifs sont donc insuffisants pour permettre
vent, d'une lésion cérébrale. Nous verrons bientôt, par l'étude des troubles sensitifs dans les névroses, sur quels caractèr
alotte et région sous-optique), de la protubérance et du bulbe, les troubles sensitifs revêtent les mêmes caractères générau
sies oculaires, surtout dans les mouvements associés (Raymond), les troubles pupillaires, visuels, auditifs, les désordres a
le, on peut observer des anesthésies alternes, clans lesquelles les troubles sensitifs siègent la face, du même côté que la
dante du trijumeau) ainsi que sur le tronc el les membres du côte TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. ;; 1 : . 1 opposé.
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. ;; 1 : . 1 opposé. Habituellement les troubles sensitifs se superposent aux troubles moteurs e
1 opposé. Habituellement les troubles sensitifs se superposent aux troubles moteurs et l'on a des « paralysies alternes sez
o-ll1l1lriee croisée (voir article SY : 'i(})\(HOE bulbaire). Il. - TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES AFFECTIONS MÉDULLAIRES
ITÉ DANS LES AFFECTIONS MÉDULLAIRES f' Dans les myélopathies, les troubles objectifs de la sensibilité peuvent 1 revêtir d
'y a donc pas, il proprement parler, de topographie médullaire. Ces troubles intéressent il la fois ou séparé- ment les dive
mi-paraplégique. Comme dans les anesthésies de cause cérébrale, les troubles sensitifs ne sont habituellement pas complets e
sis, cnophtalmie, rétrécissement de la fente palpébrale), enfin des troubles respiratoires, lorsque la lésion siège dans la
s les régions correspondant aux parties paralysées de l'autre côté; TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE.. 517 b) de l'intég
syndrome est peu net ou absent, la non-participation de la face aux troubles sensi- tifs et moteurs plaide en faveur d'une*
is le plus souvent ils le sont à des degrés différents. Parfois les troubles scnsitifs, comme les phéno- mènes moteurs du re
ur, moins marquée à la température (Cas Jouss..., Bicêtre, 1898). TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 519 lancinent dans
cessaire; nombreux sont en effet les cas de paraplégie motrice sans troubles sensitifs. Par contre, les troubles sensitifs à
cas de paraplégie motrice sans troubles sensitifs. Par contre, les troubles sensitifs à type paraplégique n'existent guère sa
e, les troubles sensitifs à type paraplégique n'existent guère sans troubles mo- dans les affections organiques de la moelle
e et l'hématomyélie). Dans l'hystérie, au contraire, on observe des troubles sensitifs sans troubles moteurs. Les rapports d
ns l'hystérie, au contraire, on observe des troubles sensitifs sans troubles moteurs. Les rapports d'intensité qu'affectent
oubles moteurs. Les rapports d'intensité qu'affectent entre eux les troubles moteurs et sensitifs sont également variables.
une paralysie motrice spasmodique intense peuvent correspondre des troubles sensitifs très légers; mais inversement, à une
syrin- gomyélique, etc.). Suivant quelques auteurs, l'intensité des troubles sensitifs pourrait servir à apprécier le degré
s tout à l'heure sur ce point, en faisant l'étude séméiologique des troubles sensitifs à topographie radiculaire. Diagnostic
avec la paraplégie sensi- tive hystérique. Dans ce dernier cas, les troubles sensitifs peuvent exister sans troubles moteurs
e. Dans ce dernier cas, les troubles sensitifs peuvent exister sans troubles moteurs, ce qui ne se voit pas dans les anesthési
myélie ou l'hémato- myélie ; mais, dans ce cas, la dissociation des troubles sensitifs à type syringomyélique permettra de f
ype syringomyélique permettra de faire le diagnostic. Lorsque les troubles moteurs et sensitifs sont associés, on procédera
ésies organiques et fonctionnelles (voir plus loin, page 556). 5° Troubles sensitifs à topographie radiculaire. Cette disp
Troubles sensitifs à topographie radiculaire. Cette disposition des troubles de la sensibilité est réalisée dans les affecti
re supérieur. Schéma, d'après Soulié. . (Territoire des nerfs). - TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 531 sensitifs, éta
r les sensi- bilités superficielles peut également se rapporter aux troubles des sensi- bilités profondes, et en particulier
sté- réognostiquc et au sens musculaire. Valeur séméiologique des troubles sensitifs à topographie radi- culaire. L'import
mptomatologie au cha- pitre suivant, la topographie radiculaire des troubles de la sensibilité se Fig. 22. Distribution des
es libres sensitives des nerfs thoraciques. (D'après Sltcrrington.) TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 525 rencontre dans
adiculaire des nerfs rachidiens, d'après Kodwr. Face postérieure. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 525 riciirc de l'a
mpression médullaire grâce à la connaissance de la distribution des troubles sensitifs. D'après Chipault, pour avoir le numé
bre dor- sale. Dans le tabès (Dejerine, llitzig. Marincsco) les troubles sensitifs objectifs sont souvent des signes p
nt au début, mais fréquemment au cours de l'évolution du tabès, les troubles sensitifs apparaissent aux membres Fig. 27. - A
as (Cvl11 et Dol) chez un fabrique. (Cas Geo.... l31cctre, 1905). TROUBLES DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE. 5'2 ! ) inférieurs
ns les cas exceptionnels de tabcs à début par le cône terminal, les troubles sensitifs se cantonnent au périnée, à l'anus, aux
maine des 2e et 5" cervicales. ' Quels sont les caractères de ces troubles sensitifs objectifs dans le tabès ? Ce sont des
on . [ROUSSY.] Fig. 28 et 29. Tabès. Topographie radiculaire îles troubles de la sensibilité tactile, douloureuse, thermiq
à de l'anesthésie ou de l'analgésie tactiles. Cette association des troubles sensitifs superficiels (anesthésie et analgésie
t analgésie plus ou moins marquées sans thermo-anesthésie), et. des troubles sensitifs profonds très prononcés Fig. 50. Anes
un syringomyélique âgé de 51 ans. (Cas 'liait..., Bicêtre, 1900). Troubles delà sensibilité objective..551 (perte du,sens
qu'on rencontre habituellement dans le tabes, représente un type de troubles sensitifs particulier, le type tabétique qui. e
s lésions des cordons postérieurs, la distribution périphérique des troubles sensitifs est topographiée sui- vant le type ra
ces affections, le fait est facile à constater; dans la suite, les troubles sensitifs envahissant tout un mem- bre, par exe
ant de près, et en s'appuyant sur les diffé- rences d'intensité des troubles observés, on voit qu'il s'agit d'une distri- bu
aitement le territoire distinctif de l'in- Fig. 52. Topographie des troubles de la sensibilité thermique (dissociation) chez
sensibilité thermique (dissociation) chez le malade précédent. " TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 335 nervation cuta
envahissement progressif des différents segments médullaires. Les troubles sensitifs, dans la syringomyélie, occupent le plu
une forme hémiplégique. Rarement. ils sont croisés par rapport aux troubles moteurs. Les modalités d'altération de la sensi
contrer, quoique beaucoup [ROUSSY.] ] Fig. 33. - Distribulion dos troubles sensitifs (lad, douleur, température) chez un syr
sion, les polynévrites. Dans les lésions cérébrales, on l'a vu, les troubles sensitifs, à l'instar des troubles moteurs, pré
sions cérébrales, on l'a vu, les troubles sensitifs, à l'instar des troubles moteurs, présentent habituellement une topographi
g, .Fischer, Goldstein) ('), que l'on doive admettre la présence de troubles de la sensi- bilité à distribution radiculaire
projettent dans la substance grise de la moelle. L'existence de ces troubles de sensibilité du v< type spinal », au cours
imitées à l'encéphale, doit. conduire naturellement, en présence de troubles sensitifs à disposition radiculaire, à recherch
MÉT.AMÉRIE SPINALE En se basant sur la disposition segmentaire des troubles sensitifs au cours de certaines affections de l
resque 1. Voir J. LnEMUTTE, Semaine niécl., 1G juin 1909, p. 277. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 555 en entier est
n d'eux correspond à un métamère primitif). 550 SENSIBILITE. III. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES AFFECTIONS DES RACIN
intéressées dans le trou de conjugaison ou en dehors du rachis, les troubles sensitifs s'accompagnent toujours de paralysie
ésion (compres- sion de la moelle et des racines), apparaissent des troubles sphinclériens, des modifications des réflexes,
ques variables suivant le siège en hauteur de la compression. Les troubles sensitifs dans les lésions radiculaires sont vari
l'hypercsthesie ou des paresthesies. La durée et l'intensité de ces troubles sont fonction de la nature de la lésion ; définit
assagers dans les compressions et peuvent disparaître avec elles. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 557 Les lésions ra
dullaires. Lorsque les racines rachidiennes seules sont lésées, les troubles sensi- tifs s'associent aux troubles moteurs (p
iennes seules sont lésées, les troubles sensi- tifs s'associent aux troubles moteurs (paralysie radiculaire sensilivo- 111Ol
ésie s'avance jusqu'à la ligne médiane (6''et 7" cervicales). Aux troubles sensitil's qui, à eux seuls, suffisent pour établ
dia- gnostic de paralysie radiculaire, s'ajoutent ordinairement des troubles moteurs répondant à l'innervation motrice des m
u long supinaleur, Il) Type inférieur pllile lhjerine-Klumpke), Les troubles sensitifs sont distribués dans le domaine de la
ome sympathique (De je ri ne-KIlim pk l'). Il est constitué par des troubles oculo-pupillaires (myosis, énophtalmic, rétréciss
e du bras conservé sa sensibilité normale ,(2`' et 5e dors.). Les troubles moteurs consistent en une monoplégie brachiale to
t l'être de moins en moins, depuis qu'on recherche avec méthode les troubles sensitifs dans tous les cas de phénomènes doulou-
encore mal connue), on est moins avancé pour les autres racines du TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 559 plexus (L,, et
de la moelle (cône. terminal qui se trouve à ce niveau); aussi les troubles moteurs sont habituels et consistent en une par
ralysie flasque des membres infé- rieurs ; il existe, en outre, des troubles sphinctériens (vésicaux et rec- taux) et génita
mptoma- tique présenté par le malade. , ' La même topographie des troubles sensitifs (type total) peut s'observer dans les
val donne lieu au syndrome de la queue de cheval, constitué par des troubles sphinctériens, génitaux, moteurs et sensitifs, 'à
es racines sacrées et lom- baires inférieures. Dans ce syndrome les troubles de la sensibilité, et en particulier ceux de la
os les divers schémas.) Nous n'avons étudie jusqu'ici, à propos des troubles observés dans les paralysies radiculaires des p
ceux relevant des lésions des racines postérieures de ces racines, troubles sensitifs, qui seuls (levaient nous occuper dan
temps les racines inférieures et postérieures. On observe alors des troubles moteurs à distribution radiculaire corres- pond
racines lésées, lois qu'ils sont décrits au chapitre traitant des « Troubles de la inutilité ». Diagnostic des paralysies ra
dites. Lorsqu'on se trouve one en présence d'une paralysie dont les troubles sensitifs, aussi bien que les troubles moteurs,
nce d'une paralysie dont les troubles sensitifs, aussi bien que les troubles moteurs, revêtent une distribution du type net-
signes qui peuvent aider dans ce diagnostic. " Les caractères des troubles sensitifs sont, dans certains cas, de quelque s
ains cas, de quelque secours : Funilatéralité et l'asymétrie de ces troubles (exception l'aile pour le syndrome de lirmvn-vé
hériques (pseudo-névralbies), et leur présence au cours d'une para- TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 545 lysie seusitiv
ie douloureuse ». Mais ces caractères différentiels tirés des seuls troubles sensitifs sont loin d'être suffisants pour le d
ctériens, trophi- ques, examen de la colonne vertébrale, etc.). Les troubles moteurs prédominent habituellement comme extens
troubles moteurs prédominent habituellement comme extension sur les troubles sensitifs, dans les lésions médullaires, et les
ême des amyotro- phies iL évolution rapide et grave. fc Parmi les troubles sphinctériens, la dissociation de la fonction gén
ns que si, dans quelques cas rares, le clinicien peut, au moyen des troubles sensitifs seuls, porter un diagnostic précis de
st ou paraît être essentiellement primitive et suffit à expliquer les troubles observés. Ne font, par conséquent, pas partie d
de de neuropathologie sur les radiculites. Thèse de Paris, ]t)08. - TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 345 oreillons, l'é
, il existe, en plus de ces phé- nomènes subjectifs (douleurs), des troubles objectifs de-la sensibilité à topographie radic
me celles des nerfs crâniens; mais, le plus souvent, on observe des troubles sensitifs soit au membre supérieur (type cervic
ercuriel donnera de bons résultats. Fig. a7 et 57 bis. Sciatique. Troubles de la sensibilité, à topographie radiculaire, dan
ine de L3, L4, L5. (Cas de Gauckler et Roussy, Rev. de Neur., 190). TROUBLES DE LA .SENSIBILITÉ OBJECTIVE : ' 547 IV. - TROU
Neur., 190). TROUBLES DE LA .SENSIBILITÉ OBJECTIVE : ' 547 IV. - TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES LÉSIONS DES NERFS PÉ
nt sur les nerfs mixtes ou sur les nerfs sensitifs; déterminent des troubles de la sensibilité dans le territoire d'in- ne
dans le territoire d'in- nervation de ces nerfs. Caractères. Ces troubles consistent en des altérations de la sensibili
e, sens stéréo- gnostique enfin peuvent être atteints. Tantôt les troubles sen- sitifs sont associés aux troubles moteur
être atteints. Tantôt les troubles sen- sitifs sont associés aux troubles moteurs (paralysie des nerfs mixtes, névrites
sensitives pures, du trijumeau, par exemple). La topographie des troubles sensitifs, dans les affections des troncs ner
nvahir tout un membre ou un segment de membre. On observe alors des troubles de sensibilité à topo- graphie monoplégique, pa
e. [ROUSSY.] Fig. 58. Névrite du nerf médian. Topo- graphie des troubles sensitifs ; anesthésie com- plète au tact; hypo
, on peut se rendre compte des diverses variétés topographiques %de troubles sensitifs susceptibles d'être rencontrées en cl
ée du bord cubital de l'avant- bras (Cas Jabr..., Bicctre, 1905). TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 549 La topographie
ique, paraplégique. Dans les névrites infectieuses ou toxiques, les troubles sensitifs peuvent se localiser à la totalité d'
névrites des membres inférieurs, revêtir le type paraplégique. Les troubles sensitifs revêtent certains ca- ractères partic
ographie des [ROUSSY.] Vigo 40. Lèpre mutilante. Distribution des troubles sensitifs. L'anesthésie complète pour le tact,
s mem- hres.[Cas(;an...,Bice(re,1886). 550 ' " SENSIBILITÉ.. .. troubles sensitifs dans les affections centrales. Enfin, l
peuvent exister seules (névrites sensitives pures) ou associées aux troubles moteurs (névrite sensitivo-motrice). Dans ce der-
). .. , . Fig. 41. Lèpre. Distribution insulaire et segmentaire des troubles sensitifs. (Cas Bicêtre, '1897). TROUBLES DE
aire et segmentaire des troubles sensitifs. (Cas Bicêtre, '1897). TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 551 Dans la lèpre,
sulaire. [ROUSSY.] Fig. 42 et 4. Gangrène sénile. Topographie des troubles de la sensibilité, au sixième jour (fig. 42), a
. Fig. 44. Même cas, au seizicme jour. ,) : )t) SENSIBILITE. V. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES NÉVROSES Les trouble
SENSIBILITE. V. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES NÉVROSES Les troubles de la sensibilité objective sont fréquents dans l
blement à leur association à l'hystérie. On peut enfin observer des troubles de la sensibilité, présentant les mêmes caractère
niques du système nerveux, par association hystéro-organique. Ces troubles sensitifs doivent être bien connus du praticien d
iculièrement nets dans l'hystérie. I. HYSTÉRIE Anesthésies. Les troubles sensitifs ont toujours paru si fré- quents dans
lade : c'est parce qu'il a vu, chez d'autres malades, de semblables troubles , ou qu'il a entendu parler d'eux, ou plus souvent
ouvent encore parce qu'il a été soumis à un examen médical, que ces troubles apparaissent. Aussi est-il indispensable de pre
plique sur les téguments des corps chauds et des corps froids, tout TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 555 cela tantôt à
d'interrogatoire peut déjà être le point d'une suggestion. » Les troubles sensitifs hystériques rentrent dans le groupe des
n. » Les troubles sensitifs hystériques rentrent dans le groupe des troubles primitifs (Babinski) de cette névrose, caractér
sthésie), exaltée (hyperesthésie) ou pervertie (paresthé- sie). Ces troubles intéressent aussi hien les sensibilités superfici
ingomyéliques, par exemple, se brûler sans souffrir. En un mot, ces troubles sont « sub- conscients », les sensations non pe
lle est tenace et peut persister des mois et des années. Enfin, ces troubles ne modifient en rien l'état des réflexes organiqu
ire apparaître ou disparaître. Leur topographie. La topographie des troubles sensitifs dans les névroses est des plus variab
u et les muqueuses de toute une moitié du corps et s'accompagne de. troubles des sens spéciaux, c'est l'hémialiesthésie dite
ofondes, chez un homme de 50 ans. (Cas Lamb..., Bicctrc, 1905.) . TROUBLES DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE. 555 2° Type segmen
OBJECTIVE. 555 2° Type segmentaire. La disposition segmentaire des troubles sensitifs est presque pathognotnonique de l'hys
urrait servir pour dia- gnostiquer l'épilepsie de l'hystérie. Les troubles de la sensibilité sont également fréquents dans l
et la tétanie, comme, du reste, dans les affections précitées, les troubles sensitifs sont le plus souvent des manifestatio
ANESTHÉSIE CORTICALE Lorsque le médecin constate chez un malade des troubles sensitifs et qu'il cherche à en établir la natu
ez les névropathes, s'il ne veut point exagérer (ou même créer) ces troubles . Il se rappellera ensuite que ce n'est pas la rec
it au contraire à la lésion organique. Il devra connaître enfin les TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 557 signes cliniqu
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 557 signes cliniques particuliers aux troubles sensitifs hystériques, signes (lue nous avons d
il un territoire anatomique. Ces signes aideront il distinguer les troubles fonctionnels des anes- thesies organiques, quel
! e. C'est elle qu'on observe le plus fréquemment en clinique. Les troubles moteurs affectent le plus habituellement, chez
l recherche, sans suivre les préceptes que nous avons indiqués, les troubles sensitifs, il constatera fréquemment l'existence
sthésie s'accompagne d'hémiplégie, on devra, avant de s'occuper des troubles sensitifs, rechercher la nature des troubles mo
avant de s'occuper des troubles sensitifs, rechercher la nature des troubles moteurs. L'examen du malade dénionlre-t-il que
tte hémiplégie est hystérique, on devra penser tout d'abord que les troubles sensitifs reconnaissent la même origine, et ce
st qu'avec la plus grande réserve qu'on approfondira l'étude de ces troubles sensitifs. Si, au contraire, l'hémiplégie est o
sies organique et hystérique. Si rhemiauesthesie existe seule, sans troubles moteurs, sans modifi- cation des reilexes, on p
mais aussi absolue que dans l'hystérie; elle ne s'accompagne pas de troubles des sens spéciaux; elle est habituellement inco
re le diagnostic étiologique de ces anesthésies fonctionnelles. Les troubles sensitifs hystériques peuvent et doivent être g
que. i donc le médecin doit se garder d'attirer t'attention sur les troubles de la sensibilité, chez un hystérique qui n'en ac
doit, au contraire, persuader au malade qui s'en plaint combien ces troubles sont peu de chose et combien ils sont facilement
bles sont peu de chose et combien ils sont facilement curables. VI. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES PSYCHOSES P- Les m
r chez eux l'examen sotnatique. Malheureusement, la recherche des troubles sensitifs, dans les psychoses, présente de grande
donné le déficit inlellectuel du sujet. La valeur séméiologique des troubles sensi- tifs en psychiatrie est donc de peu de s
s en psychiatrie est donc de peu de secours pour le diagnostic. Les troubles sensitifs objectifs chez les aliénés sont : 10 or
les psychonevroses : confusion mentale, hypocondrie, etc. VII. - TROUBLES DES SENSIBILITÉS VISCÉRALES La sensibilité des
est le plus souvent diminuée ou abolie (anesthésie viscérale). Ces troubles TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 559 se
lus souvent diminuée ou abolie (anesthésie viscérale). Ces troubles TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 559 se rencontrent
enfin on est forcé déjuger l'état de l'altération sensitive par les troubles de fonctionnement que présente organe. Sensib
sibilité vésicule, fréquentes dans le tabès, se manifestent par des troubles de la miclion, par un retard ou une disparition
sion du creux epigas- iriquc (moitié des cas) et par les différents troubles du fonctionnement de l'organe. Nous ne faisons
fait. et renvoyons, pour plus de détails, à l'article consacré aux troubles digestifs dans les mala- dies du système nerveu
ilets nerveux 1. 1'oy. Guillain, Revue de méd., mai 1901, p. 429. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 561 cutanés sensit
, p. 451. 4. [ROUSSY] 5 : 02 - SENSIBILITE. CHAPITRE II - . TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE Généralités.' Cont
OUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE Généralités.' Contrairement aux troubles de la sensibilité objec- tive qui sont éveillés
té objec- tive qui sont éveillés par une excitation extérieure, les troubles de la sensibilité subjective relèvent d'une exc
u de les exaspérer. Par leur fréquence et par leurs caractères, les troubles subjectifs de la sensibilité tiennent une grand
o-névralgies par compressions médullaires, Examen et recherche des. troubles subjectifs. Il est donc très important pour le
en quelque peu expert saura déjouer par différents artifices. Les troubles de la sensibilité subjective comprennent : 1° les
bjective comprennent : 1° les douleurs; 2° les dysesthésies; 5° les troubles de la sensibilité organique et les modification
ensibilité organique et les modifications des besoins organiques. TROUBLES DE LA SENSIBILITE SUBJECTIVE. 565 I. - LES DOUL
diagnostic ; ici les malades sont impotents, non pas en raison d'un trouble de l'appareil, locomoteur, mais bien au prorata d
ur ne répond donc pas d'une façon exclusive à un type de maladie. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. M5 Par leur siège
la syphilis, la céphalée peut s'observer soit il la période secon- TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 5C7 claire, soit
tiques des céphalées méningitiques avec leurs vomis- sements, leurs troubles digestifs ; c'est ce qu'on appelle le lIléJlinyis
lalgie, connue les autres sym- ptômes de la migraine (vomissements, troubles digestifs, vaso-moteurs, oculaires, abattement
ils apparaissent toutes les semaines ou tous les mois, par inter- , TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 569 valles à peu
définitive. La migraine ophtalmique doit son nom à ce fait que les troubles ocu- laires y occupent le premier rang. Le scot
spastÙj1le ou srjntpalltico-toztique (duBois-Reymond), ce sont les troubles sympathiques qui dominent : vaso-constriction des
e tabès. Le type le plus fréquent est la crise gastrique (Voir art. Troubles nerveux de l'appareil digestif); mais on peut ob-
associe aux autres sym- ptômes de l'aller lion : adipose, asthénie, troubles psychiques, qu'elle précède souvent. TROUBLES
adipose, asthénie, troubles psychiques, qu'elle précède souvent. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 571 1 III. LES DO
et surviennent par crises; dans l'intervalle il ne persiste que des troubles dysesthésiques : engour- dissements et fourmill
n présence, relativement à la cause intime des douleurs centrales : TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 575 4° les phénom
s'établit de ce fait des confusions de mot avec les pares- thésies, troubles de la sensibilité objective, dont il a été questi
est-il préférable de réser- ver la dénomination de paresthésies aux troubles de sensibilité d'ordre objectif, et celle de dy
esthésies peuvent exister seules ou s'accompagner de douleurs et de troubles objectifs de la sensibilité. Leur siège. Files
éiologie. Si les dyscsthesies s'associent habituellement aux autres troubles sensitifs (douleurs, anesthesies, paresthésies),
faisons ([ne signaler ici, pour les éliminer, les dysesthésies par troubles circulatoires d'ordre local ou général : dyseslhé
troubles circulatoires d'ordre local ou général : dyseslhésics des TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE..575 membres dans
des deux mains, avec phénomènes dysesthésiques très marqués. Tas de troubles de la sensibilité pro- fonde. (Cas lioac..., Bi
s. Aux dysesthésies, se joignent des phénomènes doulou- reux et des troubles de la sensibilité objective (hypoesthésie), qui r
pographie nettement radiculaire (Dejerine et Egger, Thrombert). Les troubles subjectifs que nous avons signalés peuvent égalem
triques et bilatéraux, ils sont quel- quefois unilatéraux. Tous ces troubles surviennent par crises qui appa- raissent ordin
quelle les engour- dissements, les picotements, les douleurs et les troubles sensitifs objec- . TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ S
s, les picotements, les douleurs et les troubles sensitifs objec- . TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 577 tifs réponden
.. - Mais c'est principalement au début des affections spinales par trouble circulatoire, par artérite subaiguë ou chroniqu
'). Ce syndrome est essentiellement caractérisé par ce fait/que les troubles de la marche, la lourdeur, la faiblesse des. memb
ce séméiologique dans la période initiale des affections dues - aux troubles de la circulation artérielle par athérome ou sy
hémiplégie. Dans cer- tains cas, les dysesthésies s'associent à des troubles intellectuels passa- z1. Revue neurologique, n°
de la miction, le besoin sexuel sont très fréquemment touchés (voir Troubles génito-urinaires). Mais c'est surtout dans les
ns les affections organiques du système ner- veux s'accompagnant de troubles marqués des sensibilités subjectives superficie
souvent fort difficile 1)1.a- tiquer. La valeur séméiologique des troubles des besoins naturels et des sen- sations intern
ur le trajet des nerfs sensitifs. A ces douleurs se surajoulcnt,des troubles vaso-moteurs, sécrétoires, trophiques. , J'élim
ps. Les douleurs, en cas de plaie des nerfs, sont accom- pagnées de troubles objectifs de la sensibilité et de troubles trophi
, sont accom- pagnées de troubles objectifs de la sensibilité et de troubles trophiques (causalgie de 1'cir-Iitchcll). La
façon radicale la névralgie et la névrite. Il n'y a entre ces deux troubles morbides qu'une différence de degré. Des névr
rs primitives. Les crises douloureuses sont souvent accompagnées de troubles vaso- moteurs et sécrétoircs. Au début des accè
s souvent à un schéma anatomique qu'à 1 une réalité clinique. Les troubles de la sensibilité objective, observés dans les né
vral- gies anciennes, de l'anesthésie. En réalité, je crois que les troubles de la sensibilité dépendent surtout de la cause
anées soient très vives, c'est l'anesthésie dite douloureuse. Les troubles trophiques accompagnant les douleurs névralgiques
cas de névralgies persistantes et très douloureuses surviennent des troubles psychiques, de l'irritabilité, de l'insomnie, de
éologie abondante, n'amènent pas les mêmes réac- tions et les mêmes troubles que les douleurs réelles; elles ont une allure
ires en l'ab- sence de toute lésion locale, elle semble dépendre de troubles psychiques. C'est une variété d'algie centrale
ent par la toux, 1 etcrnuemcnt (Dejerine, Leenhardt et Norero). Les troubles de la sensibilité (hyperesthesics, anesthésies) p
en bande de la distribution des racines posté- rieures. Parfois aux troubles sensitifs s'ajoutent des (roubles moteurs il to
. Entre les accès les téguments de la face sont hypercsthesies. Des troubles moteurs sont observés (htepharospasme, mouvements
nt pas le siège de contractions. Au cours des accès on constate des troubles vaso-moteurs : pâleur ou congestion de la face,
, hyperemie des muqueuses conjonclivale, pituitaire et buccale. Des troubles secretoires existent : hypersécrétion de larmes
illue (glaucome auriculaire ou surdité névralgique de Celle). Les troubles Irophiques appartiennent aux névralgies faciales
ngue amener un véritable aplatissement d'une moitié de la face. Les troubles trophiques sont fréquents dans cette forme de n
n a dit que le testicule irri- table d'Astley Cooper était dû à des troubles vaso-moteurs provoqués par une névralgie ilr'o-
ouleurs, ce qui s'explique par l'extension du nerf sciatique. Des troubles moteurs sont fréquemment observés. La marche est
es marchent, ils boitent. Dans les cas de névrites, on constate des troubles paralytiques dans le domaine des muscles innervés
ytiques dans le domaine des muscles innervés parle scia- tique. Les troubles de la sensibilité sont très variables : hyperesth
nt très variables : hyperesthesics. anesthésies. La topographie des troubles de la sensibilité est importante à déterminer,
erminer, on peut ainsi reconnaître les sciatiquos radiculaires. Les troubles vaso-moteurs et trophiques sont fréquents dans le
, les dou- leurs seraient le symptôme principal ou même unique, les troubles trophiques feraient défaut. Dans la sciatique-n
, ou observerait, outre les douleurs, de l'atrophie musculaire, des troubles de la sensibilité de la peau, le nerf serait pa
dou- leurs qui prennent fréquemment le caractère fulgurant, par des troubles de la sensibilité à topographie radiculaire. Le
st difficile pendant les crises douloureuses. On ne constate pas de troubles de la sensibilité tactile et thermique. La pathog
fois d'héinianopsie latérale homonyme transitoire, parfois aussi de troubles sensitifs sous forme de paresthésies, d'hyperes
ement. Dans les formes vaso-motrices de la migraine on constate des troubles du sympathique, soit de la pâleur faciale avec
uent. La céphalalgie; d'origine toxique; se constate dans le cas de troubles diges- tifs, de constipation, de troubles hépat
e constate dans le cas de troubles diges- tifs, de constipation, de troubles hépatiques avec vomissements bilieux, dans le c
l'arlério-sclérose cérébrale et souvent existe longtemps avant les troubles paralytiques du ramollissement cérébral sénile.
gnent de céphalées. Nombreuses sont les céphalalgies dépendant de troubles de l'appareil de la vision. Dans le glaucome, l
a vision. Dans le glaucome, la céphalée est très violente. Certains troubles légers de la réfraction amènent parfois des cépha
a préconisé récemment pour ces injections cette formule nouvelle : TROUBLES DES RÉFLEXES par le DU 0. CROUZON Un réflexe
tait le réflexe à l'état normal. Nous allons étudier maintenant les troubles des réflexes et leur signification pathologique
e réflexe rotulien est normal et où l'on constate l'abolition ou le trouble du réflexe du tendon d'Achille. Van Gehuchten e
es réflexes rotuliens un certain degré d'ataxie des mouvements, des troubles sensitifs, l'ensemble des symptômes constitue le
lien du côté atteint par la paralysie. Enfin on peut observer les troubles des réflexes non seulement dans les toxémies ne
paralysie générale est la seule qui offre d'une façon fréquente des troubles du réflexe patellaire. En effet, en dehors de l
es affaiblissements des réflexes. On lient observer également des troubles des réflexes dans des lésions labyrinthiques; P
n rapport avec la gravité de l'état général et avec l'intensité des troubles cérébraux du début. Sur les 55 enfants qui l'on
u- vent liée aux symptômes suivants : paralysie, signe de Babinski, troubles des fonctions des sphincters et quelquefois esc
taux.) .. 45.0 - - REFLEXES. suivies pendant plusieurs années, ce trouble doit être considéré comme étant sous la dépenda
Babinski n'apparaît pas dans l'hémiplégie, il faut tenir compte des troubles de la sensibilité de la plante du pied qui empê
se que toute abolition des réflexes cutanés a pour signification un trouble dans la voie pyramidale, trajet de ces réflexes
idale, trajet de ces réflexes cutanés cortico-spinaux. Toutefois le trouble du réflexe peut s'observer également dans les l
eurs et des voies centripètes, dans ce cas il y a en même temps des troubles de la sensibilité : telles sont les névrites pé
, crémastériens et plantaires. Il y a donc chez les diabétiques des troubles des réflexes cutanés qui concordent avec les tr
abétiques des troubles des réflexes cutanés qui concordent avec les troubles des réflexes tendineux. Dans l'hystérie, au con
teils, qui a une valeur pathologique. Quelle que soit la valeur des troubles des réflexes au point de vue de la topographie
e et Babinski, la localisation n'a pas été précisée. [CROUZON.] J TROUBLES DE LA MOTILITÉ HÉMIPLÉGIE - - Par le D' O. CR
; parfois l'impossibilité de la station debout tient surtout à des troubles de l'équilibre ; parfois enfin il s'agit d'une so
notable de leur force musculaire. Dans un orand nombre de cas, les troubles moteurs du côté réputé sain sont dus en réalité
émiancstbésic de certains hémiplé- giques répond, en réalité, à des troubles sensitifs qui n'ont rien de com- mun avec l'ane
de com- mun avec l'anestbesic vulgaire. * Quoi qu'il en soit, les troubles de la sensibilité à la piqûre ou au pin- cement
riques des membres qu 1\ leur racine; la face peut participer à ces troubles sensitifs, mais ils y sont moins marqués qu'aux m
ils y sont moins marqués qu'aux membres. Un autre caractère de ces troubles sensitifs est d'être transitoires (de quel- que
t le plus souvent d'une lésion thalamique (Dejerine, Roussy). Comme troubles sensitifs du côté des organes des sens, dans l'hé
ien n'est moins certain que leur existence dans l'hémiplégie. Les troubles du sens musculaire sont, comme ceux de la sensibi
tout au moyen des mouvements passifs. La stéréo-agnosie désigne les troubles de la fonction sléréognostiiiiic qui consiste d
reconnaissance des objets au moyen de la palpation. Ces différents troubles sensitifs peuvent se trouver réunis chez un mêm
s comme d'origine trophique. L'atii, ! Iol,7,opliie est encore un trouble trophique qui n'est pas très rare dans 1 hémipl
émiplégiques avec contracture, peut être consi- déré aussi comme un trouble trophique bien caractérisé. Quant à l'oedème qu
hémiplé- gies récentes et très intenses dépendent beaucoup moins de troubles tro- phiques spéciaux que du manque de soins de
que du manque de soins de propreté de la part des infirmiers. Les troubles des sphincters qui s'observent dans certains cas
[CROUZON.] 468 HÉMIPLÉGIE. présenter, en outre du gâtisme, des troubles mentaux divers, mais on ne peut pas dire que ce
isme, des troubles mentaux divers, mais on ne peut pas dire que ces troubles mentaux, dans la grande majorité des cas soient
non sans raison, soutenir que l'aphasie doit être rangée parmi les troubles mentaux ac- compagnant l'hémiplégie, mais, l'ap
de bourrer une pipe, le membre apraxique n'en peut venir à bout. Ce trouble des mouvements est tellement comparable aux tro
enir à bout. Ce trouble des mouvements est tellement comparable aux troubles aphasiques que Pierre Marie a exprimé l'opinion q
d'hémiplégie dans lesquels l'écorce est intéressée sont surtout les troubles de la sensibilité superficielle ou profonde, la
, on constate la diminution ou l'abolition du réflexe pharyngé, des troubles de la déglutition et de l'arli- culation pouvan
uefois des mouvements cluwéi- formes ou riralléatoires, ou bien des troubles de la sensibilité : douleurs, hémianesthésic, o
roubles de la sensibilité : douleurs, hémianesthésic, ou encore des troubles de la mimique, mais ces diffé- rents troubles s
thésic, ou encore des troubles de la mimique, mais ces diffé- rents troubles sont loin de se rencontrer constamment dans les l
ité anormale, et non proportionnelle a celle de l'hémi- plégie, des troubles du coté de la langue et des lèvres, pourrait être
Babinski et Nageottc : d'un côté paralysie des membres, de l'autre, troubles cérébelleux, hémiasynergie, latéropulsion, nyst
Cestan) : d'un côté incoordination, mouvements choréo-athétosiques, troubles sensitifs, paralysie faible, de l'autre paralys
les de présenter une atrophie considérable; on y constate alors des troubles vaso-moteurs accentués. Dans une autre forme, i
fréquente; très souvent aussi il s'agit d'épilepsie. vulgaire. Les troubles (fêla sensibilité sont très rares. Les réflexes
parole embar- rassée, mais il s'agit seulement de dysarthrie et de troubles dans la con- stitution de la phrase. L'intell
al a subi chez ces enfants un retard de développement par suite des troubles de la nutrition générale (Léri).. MOUVEMENTS AS
tout à la période finale de la maladie ; il indique l'apparition de troubles mé- dullaires et esl nn signe d'un pronostic fâ
eurs ? La valeur de ces constatations sera précisée par l'étude des troubles de la sensibilité; l'on notera, s'il y a lieu,
l y a lieu, l'existence d'une dissociation syrin- gomyélique. Les troubles trophiques (cyanose, escarres, ichthyose, etc.),
éciser l'intensité, la répartition des atrophies musculaires et des troubles des réactions électriques au niveau des muscles a
nts. On complétera cet examen local par un examen général du sujet ( troubles des membres supérieurs, état des yeux, signe d'
général de la maladie est à ce prix, et la connaissance précise des troubles de la marche permettra l'appréciation à distanc
ions fibre-tendineuses dont nous avons déjà parlé, ainsi que divers troubles trophiques. cyanose, état ichthyosique de la peau
s peuvent être normaux ou abolis, ils sont rarement exagérés. ' Les troubles de la sensibilité sont essentiellement variables;
ie, hyperesthésie, dissociation syringomyélique, disso- ciation des troubles des sensibilités superficielle et profonde. Ces t
ciation des troubles des sensibilités superficielle et profonde. Ces troubles présentent généralement une topographie radicul
é des paraplégies spasmodiques ne s'accompagnant d'absolument aucun trouble de la sensibilité. PARAPLÉGIE. 489 Les réflex
lis, ils sont rare- ment exagérés. Du côté de la sensibilité, des troubles essentiellement variables peuvent se noter; leu
siège ordinaire des lésions causales de la paraplégie, l'étude des troubles sphinctériens et génitaux acquerra une importan
être que passager et précéder l'impotenlia coeuncli. . Ce sont là troubles du début ; plus tard, on constate le plus souvent
exes cutanés est variable; ils sont en général plutôt diminués. Les troubles des sensibilités superficielles, de la notion de
it impos- sible d'en tracer un tableau précis. Il n'existe point de troubles tro- phiques. si ce n'est dans les paralysies d
fébrile, rapide, telles que les méningo-myélites infectieuses. Les troubles électriques sont des plus variables, nuls ou ca
la sangle abdominale. Comme dans les paraplégies spasmodiques. les troubles de la sensibilité sont très variables et Van Gehu
es accidents moteurs ne se manifes- tèrent qu'après une période, de troubles sensitifs purs. , Paraplégies croisées. Syndrom
utilité est normale. On a bien signalé de l'beunpa- résie : mais ce trouble reste exceptionnel. Il s'accompagne d'une faible
al, la sclérose en plaques, la sclérose latérale amyotrophique, les troubles d'origine vasculaire, les grosses lésions congé
exposerons tout d'abord les éléments du diagnostic différentiel des troubles de la marche; nous séparerons ensuite les paraplé
] 4n2 PARAPLÉGIE. combinaisons multiples que peuvent réaliser les troubles de la inutilité,- de la réflectivité, de la sen
t à proprement parler paralysie. Démarches ataxo-cérébelleuses. Ces troubles de la progression sont en réalité fort différen
ont des névropathes, et les circonstances dans lesquelles débuta le trouble nouveau mettent parfois sur la voie du diagnost
erger peut même être provoqué au lit par flexion brusque du pied. Troubles de la marche par contractures ou rigidités de nat
tte difficulté de progression liée aux contractures, se placent les troubles déterminés par la rigidité musculaire. Il en est
s paraplégies de cause banale non bacillaire. On a même signalé des troubles spasmodiques spéciaux aux rachitiques, d'étiologi
e est peu apparente ou même tout à fait dissimulée. D'ailleurs, les troubles osseux sont les mêmes ou il peu près dans tous ce
on générale, la inutilité est plus atteinte que la sensibilité; les troubles sphinctériens sont inconstants. La sensibilité
atteinte de façon diverse. Ses altérations pré- cèdent parfois les troubles de la motilité; et il n'est point rare d'observer
des alternatives très prononcées dans l'étendue et l'intensité des troubles sensitifs. Cette « anesthésie oscillante » ne s
radiculaires, de la rétention dans les lésions médullaires, et les troubles trophiques sont généralement attri- bués à des
out dans le crural et le sciatique. Elles s'accompagnent souvent de troubles trophiques intenses. Nous ne saurions passer en
ilatation simple du canal épendymaire; c'est une syringomyélie sans troubles de la sensi- bilité. La syringomyélie propremen
parfois même limité à de l'exagération des réflexes. Les principaux troubles intéressent les membres supérieurs : contrac- t
rmo-anesthesie et analgésie, atrophie de la musculature de la main, troubles trophiques des doigts. La main présente des types
e correspond au type de la main de singe ou de cadavre; atteinte de troubles trophiques, c'csl. la main de Jlorvan avec ses pa
rose en, plaques est, en général, typique, d'intensité moyenne. Les troubles des sphincters, les altérations trophiques sont
ions trophiques sont exceptionnels et très tardifs en tout cas. Les troubles de PARAPLÉGIE. 4M la sensibilité sont absents
ux aux membres supérieurs, même lorsque ceux-ci ne présentent aucun trouble fonctionnel. La marche est souvent possible encor
ues. " - 4" Paraplégies shasnirodirjncc ? avec contracture intense, troubles sphinclériens prononcés et précoces; il peut ex
, troubles sphinclériens prononcés et précoces; il peut exister des troubles Il'0- phiqnes souvent effrayants [escarres). Ce
fourmillement, tantôt chez un malade affaibli, asthénique, quelque trouble vésico-urinâire ou génital est très fréquemment
iculté de résister aux envies d'uriner. ' Lorsque surviennent les troubles de la marche, on constate une altéra- tion vari
arie). Les réflexes sont nettement exagérés. Il- n'existe jamais de trouble trophique, escarre ou atrophie. Une des caracté
produisant la spasticité des membres supérieurs, du nystagmus, des troubles de la parole, tout le groupement classique de l
tractures empêchant tout déplacement. En même temps s'observent des troubles génito-urinaires prononcés. Il y a quelquefois
tat définitif. À ce moment, la contracture est des plus fortes. Les troubles sphinctériens et trophiques sont très intenses,
' 6° Paraplégies spasmodiques ne s'accompagnant en général ni de troubles des sphincters, ni de troubles trophiques, ni d'e
s ne s'accompagnant en général ni de troubles des sphincters, ni de troubles trophiques, ni d'extension de l'orteil. Paraplé
si la section de la moelle a été d'emblée ou rapidement totale. Les troubles trophiques, les altérations de la sensibilité (
la sensibilité (anesthésie, dissociation s'I'IIrOrrIV'('111111C), les troubles sphinctériens sont précoces et intenses. Si la
n- tres bulbaires enfin. Les sphincters sont intacts, il existe des troubles vaso-moteurs intenses, et la mort survient par
pes de muscles qui subiront une atrophie définitive. Il n'existe ni troubles des sphincters ni troubles de la sensibilité. P
une atrophie définitive. Il n'existe ni troubles des sphincters ni troubles de la sensibilité. Puis l'atrophie musculaire a
s l'atrophie musculaire aidant, les membres atteints présentent des troubles trophiques souvent intenses. Les moindres sont
ation connue sous le nom de cul-de- jatte. Il va de soi que de tels troubles sont d'autant plus accusés que le membre est pl
teint avec élection les muscles des extrémités et détermine de gros troubles sensitifs accompagnés de douleurs sur le trajet
s poly- névrites. Dans celles-ci encore, signalons la fréquence des troubles vaso-moteurs et trophiques, l'atteinte éventuel
oteurs et trophiques, l'atteinte éventuelle des nerfs crâniens, les troubles psychiques signalés par Korsakow, et la possibili
r semble atteint. ? 5° Paraplégies flasques à évolution lente, sans troubles des sphinc- ters en général. Il existe un degré
trophie, et l'on constate des secousses fibrillaires. Il existe des troubles de la sensibilité, mais ce ne sont en général q
a base de sustentation, des muscles durs, puis mous. Il n'existe ni troubles sen- sitits, sphinctériens ou électriques, ni a
disparate, mais que l'on s'accorde actuellement il faire relever de troubles circulatoires ou toxiques. De ce nombre sont le
des battements artériels de la pédieuse au moment de l'accès et des troubles vaso-moteurs intenses; dans le second cas, il n
e de Erb. Enfin, on a, un peu en désespoir de cause, attribué à des troubles toxi- 'lues certaines paralysies intermittentes
ni d'incontinence ou de rétention, ni d'atrophie musculaire, ni de troubles accusés des réflexes [extension de l'orteil). On
de la tympauite, de la rétention d'urine, de la constipation ou des troubles menstruels. Assez souvent les personnes atteint
des réflexes tendineux avec exagé- ration des réflexes cutanés, les troubles sphinctériens (l'hystérique est propre), l'exag
clonus vrai pathologique, les modifications électriques. Enfin, les troubles de la sensibilité sont différents selon l'étiol
èvre, fourmille- ments, rachialgie osseuse, abolition des réflexes, troubles électriques. Quasi-certitude : escarres, cystit
ffections congénitales. Les enfants présentent un certain nombre de troubles se manifestant dès le jeune. Age et rentrant da
es infé- rieurs. L'intelligence est souvent intacte. Il n'existe de troubles ni dans la sensibilité, ni dans le jeu des sphi
uin revenant se toucher par leur pointe. On rencontre également des troubles spasmodiques dans une autre malformation congén
la chorée, de l'athétose ; la paraplégie n'est que partie de leurs troubles . Parfois se peut noter chez le même individu la c
a flexion de la cuisse avec atrophie en jarretière, peu ou point de troubles électriques. 5° Paraplégie spasmodique familial
t que chez les paraplégiques familiaux, il n'existe ni scoliose, ni troubles de la sensibilité, ni mouvements choréi- l'orme
tisme précoce et accusé. On attribue il l'a ¡¡/l'l'Ollie sënile des troubles réalisant un syndrome sensiblement comparable a
e certaine titubation, un degré très variable d'incoordination. Les troubles sphinctériens n'ont rien de constant ni de path
ndemnes d'ordinaire, il n'y a pas d'amyo- trophie en général, ni de troubles accusés de la sensibilité. La maladie peut pers
(Crouzon). 3° Paraplégies snziles sans modification des réflexes ni troubles du névraxe, gâtisme terminal. Myopathie sénile
dureté des cordes musculaires tendues et rétractées. Il n'existe ni troubles sphinctériens, ni modifications des réflexes te
aire, et dans le tabès enfin, on peut invo- quer, selon le cas, les troubles circulatoires, l'épuisement par hyperalgies, le
meuses paralysies urinaires, bien peu probablement ressortissent de troubles réflexes. Il s'agit le plus peuvent de polynévr
maladie est tenace et le malade réduit à l'immobilité, souffrant de troubles sphinclériens et de graves complications trophi
ction définitive d'un segment central ou périphérique. L'absence de troubles de la sensibilité est également favo- rable en
sur la queue de cheval. On analysera soigneusement les différents troubles présentés par le malade, et l'on apportera un s
IC EN HAUTEUR DU, -SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES. le territoire des troubles sensitifs. De cette délimitation précise dépend
région étu- diée intéressant souvent le bulbe adjacent, et les - troubles bulbaires dominant le tableau morbide. La compr
nature et d'intensité variables selon les causes déterminantes; les troubles peuvent être plus intenses aux membres supérieurs
nstants. Ce sont là. phénomènes banaux : plus particuliers sont les troubles suivants. Il peut en effet exister des pseudo-n
peuvent encore traduire les lésions de ce nerf. Il existe enfin des troubles de la motilité de la tête, flexion, rotation, ext
ullaires. On observe fréquemment le syndrome de Brown- Séquard. Les troubles sphinctériens sont intenses, et d'autant plus p
mplète, avec anesthésie remontant Ù la partie inférieure du ventre, troubles sphinctériens intenses, et souvent escarre au s
tes établit une discordance variable entre la limite supérieure des troubles observés et la hauteur de la lésion médullaire.
e sacrée se traduit par un syndrome sciatique. c'est-à-dire par des troubles de la sensibi- lité des régions externe et post
ssent souffrir de sciatique simple, unilatérale ou double. Mais les troubles de la sensibilité attei- gnant en avant le pli
atrophie rapide, la réaction de dégé- nérescence hâtive. Il y a des troubles trophiques intenses, cyanose, algidité, oedème
approfondi de la sensibilité permettra dans ces cas de dépister des troubles parfois considérables et de parvenir ainsi au dia
pitre, voir plus haut, pp. 558-344, l'étude détaillée de cer- tains troubles sensitifs, et plus loin les figures et le texte d
sensitifs, et plus loin les figures et le texte de la séméiologie des troubles radiculaires. PARALYSIE PÉRIODIQUE FAMILIALE
électrique et des réflexes pendant la paralysie. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité ni de troubles de l'intellige
t la paralysie. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité ni de troubles de l'intelligence ; souvent, la maladie sur- vi
et du pharynx, d'où production de difficulté de la respiration, de troubles de la déglutition, de troubles de la parole.
de difficulté de la respiration, de troubles de la déglutition, de troubles de la parole. Cependant, on peut dire d'une faç
es recouvrent leurs fonctions en sens inverse de l'invasion, et les troubles électriques disparaissent en même temps que les
on, et les troubles électriques disparaissent en même temps que les troubles moteurs. La durée de l'accès peut être de quelq
séniéiologique des paralysies, avant de décrire la topographie des troubles de la inutilité dans les lésions tronculaires,
les fonctions des diflé- rents muscles du corps humain et aussi les troubles qui résultent de leur paralysie isolée. La conn
rapporter à la physiologie normale des muscles pour comprendre les troubles consécutifs à la suppression de la fonction d'un
ant une action semblable il celle du deltoïde, il peut atténuer les troubles produits par la paralysie de ce muscle. Récipro
n muscle d'une puissance faible; aussi sa. paralysie n'amène pas de troubles importants. Sous-scapulaire. Insertions. Le sou
maire, du petit palmaire, du cubital anté- rieur, n'entraîne pas de trouble dans l'attitude de la main, elle abolit la flex
ronation et la supination. La paralysie de ce muscle n'amène pas de troubles appréciables si le triceps est normal. Long abd
très énergique. La paralysie isolée de ce muscle n'entraîne pas de troubles fonctionnels importants. MUSCLES DU MEMBRE IN
r antérieur et l'extenseur commun sont paralysés, il en résulte des troubles de la marche. Le pied ne pouvant se fléchir frott
complète ou presque complète du sterno-mastoïdien n'entraîne pas de troubles fonctionnels bien graves. Babinski a insisté sur
r il manque parfois chez l'homme, et sa section n'est pas suivie de troubles circulatoires. Sterno-thyroïdien. - Insertions.
à la respiration normale, ils peuvent être, atrophiés sans que des troubles respiratoires importants existent, ils ont une ac
ine la tête de son côté. La paralysie de l'angulaire n'amène pas de troubles importants dans la statique de l'omoplate, car
amidal du cordon latéral se traduit par une hémiplégie spinale. Les troubles de la motilité dans certains cas d'hémiplégie s
e constater que tous les muscles du bras ne sont pas paralysés, les troubles sont limités il certains groupes musculaires. Les
facilement que si à la paralysie du muscle deltoïde s'ajoutent des troubles parétiques dans les . muscles grand dentelé, so
lilal, que l'extension est pos- sible. Le triceps ne présente aucun trouble . Prie-t-on le malade dont le bras est étendu de
et du nerf cubital. C'est à la main que se constate le maximum des troubles . Les muscles des éminences thénar et hypothénar
re inférieure et en rend le diagnostic facile, c'est l'existence de troubles oculo-pupillaires sur les- quels a insisté Mine
sceau supé- rieur du muscle trapèze innervé par le nerf spinal. Les troubles de la sensibilité dans la paralysie radiculaire
nt très rares. Les paralysies radicu- laires sensitives pures, sans troubles moteurs concomitants, sont excep- tionnelles.
s jours après leur accident, ils ont généralement disparu., . Les troubles moteurs observés dans les paralysies radiculaires
e se font au niveau des racines hautes, on s'explique ainsi que les troubles des racines basses soient presque toujours en c
Raymond, dans une de ses leçons, en cite plusieurs exemples. Les troubles de la sensibilité dans les paralysies radiculaire
mains, dans les bras, mais il faut alors faire la part de certains troubles subjectifs consécutifs à des lésions trophiques,
ui peuvent survenir dans les paralysies graves et non traitées. Les troubles de la sensibilité cutanée ont été diver- sement
ment interprétés par les auteurs. Dans beaucoup d'observations, les troubles de la sensibilité sont passés sous silence. Les c
iques disent que, dans les paralysies radiculaires supérieures, les troubles de la sensi- bilité font défaut et qu'au contra
que plus tardivement, elle a en partie disparu. On trouve alors des troubles de sensibilité qu'on s'explique mal si on ignor
ulaires traumatiques, j'ai vu souvent la régression progressive des troubles sensitifs, la bande radiculaire diminuer, s'inter
'interrompre, dispa- raitre. Dans les cas de paralysies graves, les troubles de la sensibilité peuvent persister. C'est touj
ter. C'est toujours sous le type radiculaire (pie se mon- trent les troubles sensitifs. J'ai indiqué plus haut quelle était le
adiculaire aura été inégale pour les diverses paires du plexus, les troubles sensitifs pourront régresser plus ou moins rapide
peut dire que dans les paralysies radiculaires trauma- tiques, les troubles de la sensibilité correspondent aux troubles mote
es trauma- tiques, les troubles de la sensibilité correspondent aux troubles moteurs par leur topographie radiculaire. Les t
spondent aux troubles moteurs par leur topographie radiculaire. Les troubles de la sensibilité dans les paralysies graves pe
subsister qu'une paralysie du type Duchenne-Erb, par exemple, sans troubles sensitifs aucuns. Les troubles sensitifs sont m
type Duchenne-Erb, par exemple, sans troubles sensitifs aucuns. Les troubles sensitifs sont moins profonds que les troubles mo
ensitifs aucuns. Les troubles sensitifs sont moins profonds que les troubles moteurs, ils sont moins durables. Ces faits que
s'aplatir sur les transverses, fait qui explique et la douleur et les troubles de la sensibilité. Prolonge-t-on la traction, l
hibition par commotion radiculaire durant peu de temps, puisque les troubles sensitifs ne persistent pas. Donc, on peut conc
dans les paralysies radiculaires trautnatillues, la persistance des troubles de la sensibilité dépend du traumatisme lui-même
ysies radiculaires traumatiques totales ou il type infé- rieur, les troubles oculo-pupillaires existent souvent, mais si, comm
a lésion de la première dorsale se fait sur la pre- mière côte, ces troubles feront défaut. Les réactions électriques sont v
ée, liroca a cité un cas de paralysie radiculaire obstétricale avec troubles oculo-Intllillaircs; j'en ai observé personnellem
ysies sont souvent causées par l'arrachement radiculaire, aussi les troubles trophiques -sont fréquents, les atrophies muscula
re et du plexus sacré seront étudiées dans le chapitre consacré aux troubles de la sensibilité il topographie radiculaire. C
e. C'est, en effet, spécialement par la topographie radiculaire des troubles de la sensibilité que le diagnostic de ces para-
ble parce que le malade le veut ou le croit tel. L amyotrophie, les troubles des réactions électriques, les troubles des réf
oit tel. L amyotrophie, les troubles des réactions électriques, les troubles des réflexes manquent chez l'hystérique ; il exis
d'ailleurs exceptionnels, car on observe presque toujours quelques troubles du côté du membre inté- rieur. La monoplégie d'
ysie infantile se reconnaîtra par son début, fébrile, l'absence des troubles de la sensibilité; la paralysie se localise il ce
laire totale. La paralysie est flasque, les réflexes sont abolis, les troubles SÉMIOLOGIE DES PARALYSIES DES NEUFS CRANIENS. 6
OLOQIE DES PARALYSIES DES NERFS CRANIENS ET DES NERFS SPINAUX LES TROUBLES DE LA MOTILITÉ A TOPOGRAPHIE PÉRIPHÉRIQUE Par
niveau des deux tiers antérieurs de la langue du côté paralysé; ces troubles du goût existent d'ailleurs seule- ment au suje
embrane tympanique. D'après Friedrich, l'hypcracousie et les autres troubles auditifs susceptibles de s'associer à la paralysi
qui détermine dans le canal de Fallope la paralysie faciale. Des troubles trophiques et vaso-moteurs se constatent parfois
du point d'ori- gine de la corde du tympan on constate en outre des troubles de la gus- tation. Si la lésion est au niveau d
u du ganglion géniculé déterminerait, d'après certains auteurs, des troubles du voile du palais, mais il convient d'ajouter
observe le tableau clinique précédent, il l'exception toutefois des troubles du goût. Les paralysies faciales d'origine basila
u du poumon et du tube digestif, de la paralysie du vague, mais les troubles cardiaques et laryngés sont bien connus. Le p
st lésé au-dessus de la naissance du nerf récurrent, on observe des troubles laryngés, une paralysie des. muscles du larynx
e, elle augmente son excursion normale, aussi l'on n'observe pas de troubles très nets de la voix. 11 n'en est pas de même e
cas de paralysie bilatérale, l'aphonie est alors com- plète et les troubles respiratoires très accentués. On trouvera d'aille
a paralysie, de la branche interne du spinal a pour conséquence des troubles de la phonation et, de la déglutition. Lorsque co
k. rJ, l'II, 1', sont difficiles à prononcer. On observe aussi des troubles de la déglutition, les aliments s accumulent en
ypoglosses sont paralysés, ainsi dans les paralysies bulbaires, les troubles moteurs, la difficulté de la phonation et de la
au niveau du coude, les muscles supina- teurs sont respectés. Les troubles de la sensibilité sont fort peu importants dans l
rigore ou par com- pression on ne les observe presque jamais. Les troubles trophiques ne sont pas très fréquents; il faut si
ot. considérait celte tumeur dorsale du poignet comme un véritable, trouble trophique; pour Erb, cette lésion aurait une or
ante dans la paralysie du cubital. Quand elle existe on observe les troubles de la sensibilité au niveau de la région de l'é
s deuxième et troisième phalanges sont dans une demi-flexion. Les troubles de la sensibilité font très souvent défaut dans l
ou l'impossibilité de la marchc, du saut, de la station debout. Les troubles sensitif ? quand ils existent, s'observent à la
r le mouvement, surtout si la jamhe est en extension. t Lorsque des troubles sensitifs existent dans la paralysie du sciatique
in4) ; dans ces conditions, la marche est presque impossible. Les troubles vaso-moteurs et les troubles trophiques sont rela
a marche est presque impossible. Les troubles vaso-moteurs et les troubles trophiques sont relativement, fréquents dans le
ccasion de la retrouver. [LANNOIS] 1 640 MALADIES DU LARYNX. I. TROUBLES SENSITIFS Nous indiquerons ici : 1 u l'anesthés
nx; 2° l'hperesllrésie; 5" les paresthésies 4° la névralgie; 5" les troubles réflexes d'origine laryngée. 1" Anesthésie du
thésie du larynx, liée ou non à l'hémianestlrésic cutanée, mais les troubles plus ou moins gené- ralisés à toute la muqueuse
quides et des aliments dans le larynx. Zieinssen a même signalé les troubles de la sensibilité dans les para- lysies du récu
tbie), les lésions graves du cerveau (paralysie générale), certains troubles démentiels s'accompagnent d'anesthésie du laryn
s, elle disparaît peu il peu lorsqu'il s'agit de névrite comme dans TROUBLES SENSITIFS. 641 1 la diphtérie. L'anesthésic hys
de l'électricité et de la strychnine. Chez les aliénés qui ont des troubles de la déglutition on sera parfois obligé de recou
r les auteurs classiques, n'a pas donné de résultats à Huault. 5° Troubles réflexes d'origine laryngée. Le plus commun est
laryngée. Un cas semblable, syphilitique, a été publié par Ott. Les troubles du larynx sont exceptionnels dans la sclérose en
ès qui est l'affection médullaire se compliquant le plus souvent de troubles laryngés. Sur 7'1 cas delaryngoplégietabé- tiqu
ir grave. Elle s'accom- pagne souvent de spasmes, coïncide avec des troubles gastriques. Le plus souvent il s'agit de lésion
beaucoup plus facilement touché (Lermoyez). Il faut ajouter que les troubles tabétiques laryngés pourraient se rencontrer en d
ent sous l'in- fluence du froid ou d'une laryngite : on a alors des troubles de la sensi- bilité -avec voix rauque ou seulem
pelons seulement que dans les lésions progressives du récurrent, le trouble primitif le plus important est l'altération brusq
anente de la glotte et se traduit, comme son nom l'indique, par des troubles graves de la respiration; 2° le spasme glottique
ut et le malade revient à lui, un peu obnubilé el effaré, mais sans trouble respiratoire apparent. Les conditions de produc
ssi qu'il existe une prédisposition névropathique sans laquelle les troubles réflexes ne se produiraient pas ou n'atteindraien
des nourrissons; 2° la toux nerveuse; 3° le vertige laryngé; 4° les troubles laryngés dans les névroses : 5" le spasme glottiq
de Brown-Sequard sur faction inhibitrice de l'acide carbonique. 4° Troubles laryngés dans les névroses. Nous avons déjà sig
véritable aura laryngée. C'est surtout l'hystérie qui détermine des troubles du côté du larynx, sous forme de toux quinteuse
nt à la chorée. La chorée de Sydenham peut d'ailleurs présenter des troubles laryngés, respiratoires ou phonatoires et plusi
le goitre, etc. Nous aurions pu aussi bien décrire ici certains des troubles que nous venons de signaler dans l'hystérie ou
muscle, tantôt sur un autre et donnant des images très variées. Ces troubles peuvent disparaître par le repos, par le traiteme
cette névrose en effet tous les muscles respirateurs concourrait au trouble fonctionnel et la contracture spasmodique du la
que, cuivrée, enrouée, le timbre désagréable. Elle correspond (le., troubles de l'accommodation musculaire, d'ailleurs variabl
utôt grand, comme celui des barytons ou des basses chantantes et le trouble phonétique est lié à une insuffisance de l'accomm
paraît pas être, connue le pensaient Duchenne et Virchow, un simple trouble trophique, une dégénérescence parenchymateuse : d
elle qui est presque toujours le premier signe, mais le degré de ce trouble est essentiellement différent dans les « paraly
FORMES CLINIQUES. - CLASSIFICATION - L'atrophie musculaire est un trouble trophique. Ce trouble trophique peut être dû à
CLASSIFICATION - L'atrophie musculaire est un trouble trophique. Ce trouble trophique peut être dû à l'altération en un poi
une modification pathologique de la cellule motrice. Enfin, ce même trouble trophique parait pouvoir être dû à une atteinte m
rax, du crâne, absence ou atrophie congénitale de certains muscles, troubles psychiques fréquents, début de l'atrophie par l
tion de ces cas et presque leur dénomination de « myopathies » . Le trouble du développement, peut porter parfois non seule
un groupe il part et qui permet de les considérer comme dues il un trouble congénital de la nutrition, c'est leur caractèr
e chez les malades, chez leurs ascendants ou leurs collatéraux, des troubles mentaux, l'idiotie (Duchenne, Langdon-Down, Mob
s de dégénérescence.) ' Les os paraissent présenter fréquemment des troubles trophiques, mais leur recherche n'a encore été
ur la production de cette déformation, mais il semble certain qu'un trouble trophique de la colonne vertébrale est indispensa
produire les altérations révélées par les rayons X : d'une part un trouble trophique provoquant l'atroplùe des os et les d
, cliniducment indemne. Son altération se manifeste surtout par des troubles psychiques. Les troubles psychiques ont été signa
on altération se manifeste surtout par des troubles psychiques. Les troubles psychiques ont été signalés dans la myopathie a
erger, Benedikt, J. Simon, P. Marie et Guinon. West pliai. Vizioli ( troubles mentaux 18 fois sur 50 malades), Borsari, Menut
éonard, Guthrie, Barlow et Batten, Santé de Sanctis, etc. etc., Ces troubles mentaux sont surtout fréquents dans la paralysi
mes (Fabre, Joffroy, etc.). En 1902, l'association si fréquente des troubles psychiques aux troubles musculaires, et en partic
.). En 1902, l'association si fréquente des troubles psychiques aux troubles musculaires, et en particulier aux altérations
des tics, maladie de Thomsen, myopathie, maladie de Parkinson). Les troubles physiques et les troubles psychiques semblent ê
en, myopathie, maladie de Parkinson). Les troubles physiques et les troubles psychiques semblent être dans ces maladies la c
revue d'ensemble de Joffroy de nou- veaux : cas de myopathies avec troubles psychiques, débilité mentale, stig- mates de dé
n ('), etc.... Joffroy a lui-même 'signalé un cas de myopathie avec troubles mentaux tardifs et passagers et a insisté sur l
ers et a insisté sur la nécessité de rechercher avec grand soin ces troubles à la fois dans l'état actuel et dans les antécé
s ou moins sur le développement de tous les tissus; beaucoup de ces troubles , et parmi les plus fréquents, débilité mentale,
quents, débilité mentale, anomalies dentaires, thorax en entonnoir, troubles circulatoires et secrétoires divers, etc., rent
trent parmi les stigmates ordinaires de la dégénérescence. Tous ces troubles sont plus ou moins accusés, d'ordi- naire d'aut
vidua- lité même s'il est démontré qu'elle doit être attribuée à un trouble fonc- tionnel du système nerveux (Erb), voir à
presque toujours dans la première ou seconde enfance. Le premier trouble est d'ordinaire un affaiblissement des membres
é est d'ordinaire intacte; cependant divers auteurs ont signalé des troubles sensitifs : hyperesthésie (Berger, Moebius), hypo
eption- nellement la mort par elle-même, car on ne connaît guère de troubles viscéraux qui en soient la conséquence immédiat
, de la forme scapulo- humérale déterminent des déformations et des troubles spéciaux des mouvements. L'atrophie des muscles
gouttières vertébrales déter- mine la même attitude et les mèmes troubles de la marche et des mouve- ments que la paralys
de Reinhold une atrophie légère de la langue, surtout à droite, des troubles de la déglutition et une insuffisance des abducte
s (iuinon, de Veriest, etc. D'après ce que nous venons de dire, les troubles de l'attitude et des mouvements sont les mêmes
acces- soires extra-musculaires qui montrent dans les myopathies un trouble du développement portant sur tous les tissus, s
oraciques et vertébrales ne font pas partie du tableau morbide; les troubles psychiques sont exceptionnels et ne consistent
e seule fois un arrêt de développement intellectuel (Sainton) ; les troubles vaso-moteurs et trio- phiques (cyanose des extr
facile à reconnaître par l'examen des membres aurepos v et par. les troubles fonctionnels. .' Les pieds sont en varus équin,
ier. Il est d'ail- leurs remarquable de constater combien, avec ces troubles considérables, les malades sont habiles de leur
encore plus faciles et ceux du coude sont tout il fait libres. Les troubles dans l'exécution de certains petits mouvements
des crampes dans les jambes, dans les mains, dans les cuisses. Les troubles de la sensibilité objective sont plus rares enc
iée, localisée aux pieds, aux jambes ou aux mains. Cette rareté des troubles sensitifs mérite d'être signalée dans une affec-
simple affaiblissement du réflexe lumineux avec ou sans myosis, des troubles de la sensibi- lité objective surtout aux extré
ins intense des quatre membres; un trem- blement intentionnel et un trouble de la parole (parole scandée, bredouil- lée) re
mie avec ébauche du signe de de Grael'e (cas de Pierre Marie) ; les troubles sphinctériens et génitaux ont toujours fait défau
ou spasmo- dique, tremblement intentionnel et massif, nystagmus, troubles de la vi- sion, etc.), la forme amyotrophique
laques se caracté- riserait par la fréquence et la préco- cité de troubles sphinctériens, tro- phiques et mentaux. La sy
chino). 704' Ci ? . - " - -- - rmOPllOESMUSGULA11OES. par les troubles moteurs et trophiques, par la cypho-scoliose parf
sans atteinte des membres inférieurs. L'atrophie, comme les autres troubles , est souvent très inégale d'un côté et de l'aut
est qu'une forme de syringomyélie ou de lèpre avec prédominance de- troubles trophiques (panaris analgésique, etc.). La' lèp
communs avec la syringomyélie, tels que sensibilité disso- ciée, troubles trophiques, etc., et par des symptômes qui lui
te amyotrophie est dite « réflexe » parce qu'on la suppose due à un trouble purement dynamique des cellules motrices de la mo
un trouble purement dynamique des cellules motrices de la moelle, trouble transmis par la voie des filets sensitifs irrités
ieur, la trépidation épileptoïde apparaît, parfois. On n'observe ni troubles de la sensibilité, ni troubles trophiques ou va
e apparaît, parfois. On n'observe ni troubles de la sensibilité, ni troubles trophiques ou vaso-moteurs; pourtant, si l'amyo
cour- cissement de la totalité ou d'une partie d'un membre, et de troubles trophi- ques et vaso-moteurs portant sur les
condaire à une paralysie brusque : elle est toujours accompagnée de troubles de la sensibilité spéciaux (dissociation syring
yringomyélique), parfois du syn- drome de Brown-Séquard, souvent de troubles oculo-pupillaires (myosis, rétraction du globe
de paralysie flasque et de paralysie avec contracture, avec ou sans troubles trophiques variés et troubles objectifs de la s
alysie avec contracture, avec ou sans troubles trophiques variés et troubles objectifs de la sensibilité, complète ou confirme
ans, tous ces cas l'atrophie musculaire n'est qu'un des éléments du trouble du développement qui atteint tous les tissus, e
tensité de la paralysie. Dans la paraplégie cérébrale infantile, le trouble du développement musculaire et osseux est d'ord
de ' l'écorce ou de la couche optique, pour Roth et Muratow à des troubles circu- latoires intramusculaires à point de d
d, Debove ('), Joffroy et Achard, Dejerine), très fréquem- ment des troubles trophiques et vaso-moteurs des téguments. L'amyot
bre de symptômes sensitifs, d'autre part le mode d'évolution. Les troubles sensitifs sont subjectifs et objectifs. Des troub
évolution. Les troubles sensitifs sont subjectifs et objectifs. Des troubles sub- jectifs de la sensibilité sont très fréque
rébrant, et en douleurs à la pression des nerfs ou des muscles. Les troubles objectifs de la sensibilité (anesthésies ou par
ité (anesthésies ou parfois hyperesthésies totales ou disso- ciées, troubles des sensibilités profondes, musculaire, articulai
uite de toutes les lésions des nerfs mixtes, qui sont la règle. Des troubles vaso-moteurs, sécrétoires et trophiques cutanés (
omplètes, des plaies ou contusions, la paralysie, l'atrophie et les troubles objectifs de la sensibilité sont d'ordinaire moin
cées dans tout le domaine du nerf au-dessous du point comprimé, les troubles subjectifs ou objectifs de la sensibilité sont tr
rand dorsal, grand den- telé, grand pectoral, court supinateur; les troubles sensitifs sont localisés au domaine des nerfs m
la main surtout, éminences thénar et hypothénar et interosseux; les troubles sensitifs et trophiques sont limités à la zone
les paralysies radiculaires totales, on observe la combinaison des troubles moteurs, sensitifs et trophiques des deux formes
tion de la région interne innervée par les 2e et 5e inter- costaux, troubles oculo-pupillaires. Les compressions et lésions
ux antérieurs, obtura- teurs, adducteurs et quadriceps fémoral. Les troubles sensitifs siègent dans la zone de distribution
diquer; elles peuvent aussi réduire leur symptomatologie à quelques troubles sensitivo-lnoteurs variables suivant la ou les
rescence s'observe très fréquemment. Il n'y a généralement d'autres troubles objectifs de la sensibilité qu'une hyperesthésie
tableau clinique est complet en un ou deux mois. Plus rarement les troubles sensitifs et moteurs se développent en quelques
resque aussitôt suivie de paralysie complète. Dans tous ces cas les troubles sensitifs peuvent prédominer sur les troubles mot
Dans tous ces cas les troubles sensitifs peuvent prédominer sur les troubles moteurs ou inver- sement. L'atrophie musculaire
férents muscles atteints; les réflexes sont diminués ou abolis, les troubles trophiques, vaso-moteurs et sécrétoires sont il
ne maladie infectieuse (fièvre jusqu'à 40°, frissons, courba- ture, troubles gastriques, etc.), le début se marque par des tro
ourba- ture, troubles gastriques, etc.), le début se marque par des troubles paresthésiques, fourmillements, engourdissement
ttentes, réveil- lées par la pression des nerfs ou des muscles, les troubles de la sensibi- lité objective (ordinaires, mais
t, elle s'accompagne fréquemment de réaction de dégénérescence, des troubles trophiques cutanés se produi- sent : l'évolutio
aitement élucidées. Dans les différentes formes de polynévrites les troubles sensitifs peuvent prédominer sur les troubles m
s de polynévrites les troubles sensitifs peuvent prédominer sur les troubles moteurs ou inversement. Quel que soit le mode d
teigne le phrénique et le pneumogastrique et ne détermine ainsi des troubles respiratoires et cardiaques mortels. La local
e la sensibilité, par l'anesthésie en plaques, par l'importance des troubles trophiques de la peau et de ses annexes, des te
c, le pharynx, le larynx, le phrénique et le pneumo- gastique ; les troubles circulatoires et secrétoires sont constants, on
étoires sont constants, on observe de la dyspnée, de l'aphonie, des troubles cardiaques, la dispari- tion des sueurs, etc.
horax, le cou; elle est caractérisée par une paralysie flasque avec troubles sensitifs objectifs et réaction de dégénérescen
d'emblée à un ou plusieurs nerfs, souvent au seul nerf cubital. Les troubles consistent surtout en paralysies douloureuses c
mogastique, etc. Dans la grippe des névrites provoquent souvent des troubles moteurs ou sensitifs diffus ou localisés avec o
presque constante, la réaction de dégénérescence est fréquente, les troubles sensitifs ne sont pas rares. Les troubles moteurs
scence est fréquente, les troubles sensitifs ne sont pas rares. Les troubles moteurs et trophiques peuvent s'étendre aux mus
les symptômes sen- sitifs et moteurs d'une polynévrite mixte ; ces troubles atteignent le plus souvent les quatre membres,
de de carbone, le sulfure de carbone se manifestent souvent par des troubles sensitifs et paralytiques, mais rarement par de
ement par de l'amyotrophie. Les névrites du diabète déterminent des troubles soit sensitifs, soit f [A. LÉRI.] 724 ATROP
724 ATROPHIES MUSCULAIRES. trophiques, soit moteurs ; mais tous ces troubles sont souvent isolés dissociés, très diversement
lle de bon nombre de polynévrites, mais elle ne s'accompagne pas de troubles sensitifs subjectifs ou objectifs, de douleurs
nte dans le tabes qui certainement en- trent pour une part dans ces troubles moteurs et trophiques; ce sont les lésions vasc
- lysies atrophiques sont d'ordinaire partielles et associées à des troubles crâniens et méningés divers. Il est probable qu
tiques divers et par des chaussures spéciales, on peut diminuer les troubles de la marche dus à la déformation des pieds; de
s membres; évolution lente. 2. Symptômes accessoires inconstants, troubles divers du développement : os : atrophie, aplati
aplatissement du bassin; articulations : pseudo-luxations; peau : troubles trophiques, vaso-moteurs et sécrétoires : - tissu
; système cardio-vasculaire : diminution de la pression artérielle, troubles cardiaques; système nerveux et musculaire : t
artérielle, troubles cardiaques; système nerveux et musculaire : troubles psychiques, dégénérescence mentale; maladies co
dégénérescence; modification des réflexes tendineux; peu ou pas de troubles du développement. TABLEAU DES CARACTÈRES ET VAR
olution lente (sauf sclérose latérale amyotrophique); pas ou peu de troubles trophiques. 2. Variétés analomo-cliniqucs : car
brillaires, ni R. D; paralysie spasmodique, tremblement, nystagmus, troubles visuels. b) Parfois spasmodiques, généralement
généralement flasques : .' , Syringomyélie : anesthésie dissociée, troubles trophiques (panaris , anesthésiques, etc.), cyp
use : étiologie ; symptômes syringomyéliques (anesthésie dissociée, troubles trophiques); symptômes" propres : plaques d'ane
res; tendance il la régression. 2. Caractères associés : paralysie; troubles sensitifs subjectifs constants (dou- leurs), ob
fs constants (dou- leurs), objectifs fréquents (anesthésies, etc.); troubles vaso-moteurs, secré- toires et trophiques cutan
exclusivement muscu- laire, et on en trouve les causes soit dans un trouble de la circulation générale, soit dans une cause
saire par un fonctionne- ment physiologique exagéré ou par certains troubles pathologiques, l'hy- pertrophie du muscle peut
e, différant notamment de la mala- die de Thomsen par l'absence des troubles de la contraction volontaire ou électrique que,
ralement, puisque nous avons dit que l'atrophie n'est pas un simple trouble trophique, niais qu'elle est, d'après les reche
chaque fois que, après un arrêt, le sujet se remet en marche. Ces troubles de la contractilité volontaire ne sont pas limité
les ohserve jamais au niveau des muscles de la vie organique. Les troubles de la contractilité électrique sont de même ordre
s une diminution de la force contractile; les uns s'accompagnent de troubles sensitifs subjec- tifs ou objectifs ou de troub
'accompagnent de troubles sensitifs subjec- tifs ou objectifs ou de troubles psychiques, les autres non; enfin les uns prése
ntée, celle-là diminuée (Babinski). On trouve ou non, associés, des troubles de la sensibilité objective ou subjective. Dans
m- plète, et l'on conçoit qu'elle puisse avoir pour conséquence les troubles les plus différents, d'abord suivant sa localis
a peu de temps pourtant, l'incoordination était considérée comme un trouble uniforme, ne variant que dans son siège et dans
les de la coordination paraissent beaucoup -moins fréquents que les troubles , même très prononcés, de la sensibilité. L'inco
d'ataxie tabétique oit l'on puisse affirmer qu'il n'existait pas de trouble de la sensibilité objective; les quelques cas c
ve; les quelques cas cités autrefois sont sujets à caution, car les troubles de. la sensibilité, cutanée, que i on recnercna
t a peu près seuls, ne sont nullement toujours proportionnels aux troubles de la sensibilité profonde, articulaire, osseus
taxie la titubationetl'asynergie, et celles-ci ne comportent pas de troubles sensitifs. La théorie de l'origine sensitive de
par Mott et Sherrington, par IIering chez le singe. En dehors des troubles de la sensibilité objective, d'autres facteurs
on de leur contraction. L'hypotonie a d'ailleurs même cause que les troubles sensitifs, à savoir la sclérose des cordons pos
rjew, Aurep), elle est peut-être souvent la conséquence directe des troubles de la sensibilité musculaire. La diminution o
ébelleuse est, à l'opposé de l'ataxie, tout à fait indépendante des troubles sensitifs ; sa lésion causale siège, soit dans
ules moyen ou supérieur n'est pas suffisante pour provoquer ce même trouble . Il semble que les syndromes cérébelleux sont dùs
les provoquer parfois. On comprend que la double origine connue des troubles de la coordi- nation, voies sensitives d'une pa
il l'a violemment projeté en l'air comme un obstacle interposé. Le trouble est différemment accusé, toujours bien plus prono
e sur les objets environnants en lui faisant fermer les yeux. Les troubles de la démarche peuvent être dùs uniquement à l'in
git surtout d'une sorte de paraplégie tout à fait transitoire, d'un trouble moteur fonc- tionnel véritable ; peut-être ce s
nes professions prêtent plus volontiers à la découverte précoce des troubles ataxiques des membres supérieurs, celles par ex
tude déterminée; on constate aussi l'accroissement considérable des troubles quand on em- pêche le malade de surveiller ses
diverses attitudes. Elle entre très souvent pour une part dans les troubles de l'équilibre. ' Peut-être l'incoordination de
ou d'autres muscles profonds n'est-elle pas pour rien dans certains troubles viscé- raux et dans certaines crises des tabéti
de la tète ou même son instabilité dans les attitudes de repos. Les troubles de la mimique, les grimaces de la face pendant la
te. Mirallié a attiré l'attention sur la fréquence dans le tabès de troubles de la coordination des muscles oculo-motenrs :
s : ce symptôme est géné- ralement trop peu accentué pour amener un trouble fonctionnel et doit être recherché. L'évoluti
que, joue un rôle plus ou moins considérable. L'ergotisme, dont les troubles médullaires ont surtout été étudiés par Tuczek
u réflexe rotulien, enfin de l'ataxie avec signe de Romberg ; à ces troubles médullaires se joignent souvent des attaques épil
des attaques épileptiformes INCOORDINATION ATAXIQUE. 7(il et des troubles psychiques, en particulier de l'excitation maniaq
sychiques, en particulier de l'excitation maniaque. Il n'y a pas de troubles oculaires, pas d'abolition du réflexe pupillaire,
culaires, pas d'abolition du réflexe pupillaire, pas ou très peu de troubles urinaires et génitaux. Les accidents sont souvent
anémie pernicieuse, on peut voir survenir un mélange d'ataxie, avec troubles objectifs et souvent sub- jectifs de la sensibi
cond plan. Dans le diabète on peut observer la presque totalité des troubles du tabes : abolition des réflexes rotuliens, do
urs et en ceinture, crises gastralgiques, frigidité et impuissance, troubles oculaires, atrophie musculaire, maux perforants
marche mal assurée et talonnante, signe de Romberg; on n'observe ni troubles vésicaux, ni signe d'Argyll, ni atrophie papillai
i troubles vésicaux, ni signe d'Argyll, ni atrophie papillaire. Ces troubles sont très différemment associés, souvent variab
grands accidents du diabète. Il n'est guère facile de rapporter ces troubles , et entre autres l'ataxie, plutôt à une polynév
e sensation de fatigue, une fai- blesse musculaire progressive, des troubles de l'équilibre, de l'ataxie des membres inférie
sements et fourmillements, [de l'exagération des réflexes, quelques troubles sphinctériens légers, pas de signe d'Argyll. pa
oppement durerait de à l 5 jours, elle s'accompagnerait toujours de troubles sensi- tifs et parfois de troubles des réflexes
lle s'accompagnerait toujours de troubles sensi- tifs et parfois de troubles des réflexes; la terminaison serait générale- m
r polynévrite se fera par l'absence du si°ne d'Argyll, l'absence de troubles sphinctériens et génitaux et, en général, de to
sence de troubles sphinctériens et génitaux et, en général, de tous troubles viscéraux, la douleur à la pression des troncs
cles douloureux, la topographie périphérique et non radiculaire des troubles sensitifs, l'évolution généralement rapide, en
partie ; à l'incoordination se joignent toujours des vertiges, des troubles mentaux, fréquemment des troubles sensitifs, qu
ignent toujours des vertiges, des troubles mentaux, fréquemment des troubles sensitifs, quelques troubles de la parole, des tr
des troubles mentaux, fréquemment des troubles sensitifs, quelques troubles de la parole, des troubles par- étiques, des tr
uemment des troubles sensitifs, quelques troubles de la parole, des troubles par- étiques, des troubles gastro-intestinaux.
ifs, quelques troubles de la parole, des troubles par- étiques, des troubles gastro-intestinaux. Cette symptomatologie montre
es grandes oscillations, sa démarche en zigzag, la prédominance des troubles de l'équilibre sur les troubles des mouvements
rche en zigzag, la prédominance des troubles de l'équilibre sur les troubles des mouvements des membres isolés, présente plus
t en effet de l'incoordination cérébelleuse par la prédominance des troubles de l'équi- '' libre, titubation, oscillations d
tères spéciaux. A l'opposé de l'ataxique, le cérébelleux n'a pas de troubles de la sen- sibilité superficielle ou profonde,
- tueuse : l' incoordination cérébelleuse consiste surtout, dans un trouble de la composition des mouvements complexes et d
ns un trouble de la composition des mouvements complexes et dans un trouble de l'équilibre. Pourtant nous avons dit que les
e particulièrement altéré chez certains et il en résulte parfois un trouble même des mouve- ments les plus simples. Avec
ré- helleuse, admirablement décrite par Duchenne de Boulogne, où le trouble prédominant est un trouble de l'équilibre. B) L
décrite par Duchenne de Boulogne, où le trouble prédominant est un trouble de l'équilibre. B) L'asynergie cérébelleuse, tr
remarquablement étudiée par Babinski, où le (rouble capital est un trouble de la composition des mouvements entraînant ou no
et. Du côté des membres supérieurs, on ne constate souvent pas de trouble correspondant à la titubation; on observe cependa
s scandée, à la fois traînante, hachée et explosive. Ces derniers troubles , troubles des membres supérieurs, de l'écriture
à la fois traînante, hachée et explosive. Ces derniers troubles, troubles des membres supérieurs, de l'écriture et de la
l'asthénie, plus ou moins accusée, mais sans paralysie vraie, sans trouble notable de la force de chaque muscle pris isolé
trouble notable de la force de chaque muscle pris isolément et sans trouble de la sensibilité musculaire; les vomissements,
rac, Gribbon, etc.. des tumeurs du vermis n'avaient déterminé aucun trouble de l'équilibre. L'élude de la physiologie du cer-
tre, dans des cas plus ou moins frustes, l'origine cérébelleuse des troubles que présentent certains malades. Mais l'asynerg
lleuse est essentiellement variable; elle peut rester limitée à des troubles peu gênants (petite asynergie), elle peut, au c
t à l'unilatéralité, et ordinairement accompagnée d'épilepsie ou de troubles mentaux graves. L'atrophie Oll.vO-0)t ! o-C('
lubéran- tielles qui intéressent les voies cérébelleuses ; mais ces troubles feraient défaut quand les plaques de sclérose s
des modifications dans les mouvements isolés, mais surtout par des troubles de l'équilibre dans la marche et dans la statio
omme clans le tabès vulgaire par les membres inférieurs : aussi les troubles de la marche sont parmi les premiers symptômes; i
quelquefois seulement diminués. Le signe d'Argyll fait défaut. Les troubles de la sensibilité superficielle et du sens musc
t explosive, saccadée, mais non scandée. Il n'y a presque jamais de troubles de la sensibilité superfi- cielle ou profonde.
troubles de la sensibilité superfi- cielle ou profonde. Tous les troubles de la coordination sont donc à peu près les mêmes
rotuliens; la présence très fréquente de paralysies oculaires ou de troubles ataxiques des mus- cles de l'oeil; la présence
rarement à la cécité complète; 1 absence presque constante enfin de troubles trophiques, de déforma- lions du pied ou de la
is il existe aussi une ébauche du signe de Romberg ()3ouvcrel). Ces troubles , associés aux troubles gastriques et génito-urina
ébauche du signe de Romberg ()3ouvcrel). Ces troubles, associés aux troubles gastriques et génito-urinaires, aux douleurs lo
(astasie-abasie trépi- dante) ; mais ces mouvements compliquent un trouble fonctionnel de la marche, ils n'en sont pas la
ie-abasie : les variétés de cette affection sont à décrire avec les troubles de la marche. [A. LÉRI.] 782 INCOORDINATIONS.
tion de chaque mouvement). 1. INCOORDINATION ATAXIQUE Origine : trouble sensitif : perte de la notion du degré de contrac
nt (Rouchaud). e) Système nerveux entier : intoxications aiguës : Troubles associés nerveux et gastro-intestinaux; Signes
gastro-intestinaux; Signes d'incoordination surtout cérébelleuse : troubles de l'équilibre; ., Signes spéciaux suivant l'in
ue, périphérique ou central : « ataxie labyrinthique » : Mélange de troubles de l'équilibre cinétique importants (d'apparence
ilibre cinétique importants (d'apparence cérébcl- * leuse ? ) et de troubles de l'équilibre statique avec signe de Romberg (d'
ion ou post-rotatoire). II. INCOORDINATION CÉRÉBELLEUSE Origine : trouble de coordination motrice par lésion de l'appareil
et : Atrophie ou sclérose : syndrome pur- ou associé à épilepsie et troubles mentaux z Tumeurs : syndrome associé à vertiges
et galvanique et le massage ont leurs indications surtout dans les troubles parétiques ou atrophiques du tabès, ainsi que p
arétiques ou atrophiques du tabès, ainsi que pour atténuer certains troubles sensitifs et comme tonique général dans cette m
eurs sensitifs, racines et cordons posté- rieurs, est avant tout un trouble sensitif : si le malade exécute mal les mouveme
nts, qu'il sache apprécier dans chaque cas le siège et le degré des troubles sensitifs, la nature des mouvements compromis et
lle facilité peuvent se produire chez les tabé- tiques, atteints de troubles trophiques multiples, les ruptures muscu- laire
peuvent être variés à l'infini, suivant le siège et l'intensité des troubles ataxiques et suivant l'ingéniosité de l'éducateur
et les yeux fermés permettra de se rendre compte de l'intensité des troubles sensitifs et d'établir ainsi, jusqu'à un certai
or celle-ci n'est nullement proportionnelle, nous l'avons dit, aux troubles de la sensibilité cutanée ; comme les troubles
ous l'avons dit, aux troubles de la sensibilité cutanée ; comme les troubles de la préhension sont sou- vent dus, chez les t
e le pronostic de la cure sera d'autant plus favorable que, pour un trouble donné de la préhen- sion, il y aura plus d'atax
fait banale en ses caractères, nous nous attacherons à préciser les troubles observés dans la sphère des nerfs crâniens. En
s précédents se superposent, mais avec une importance variable, des troubles sensitifs. Certains sont banaux : anes- thésie
e et de l'hyperes- thésic croisées associées à l'hémiplégie, ou des troubles sensitifs homo- nymes du trijumeau, compliqués
paralytique. On a signalé une incoordination motrice secondaire aux troubles f sensitifs étendus et intenses; mais il peut s
auteur du bulbe naissent le pneumogastrique et le spinal; aussi les troubles viscéraux et trophiques tiennent-ils une grande p
réas. On a noté d'énormes polyuries : des malades, surtout dans les troubles bulbaires traumatiques, ont uriné jusqu à 8 lit
TIER.) 802 SÉMÉIOLOGIE DU BULBE. Ajoutons, pour en finir avec les troubles neuro-trophiques, que l'on a pu ranger dans les
miplégie croisée fait défaut. 11 est d'abord une série de cas où le trouble bulbaire porte exclusivement sur les noyaux d'o
f. Il ne survient dans cette dernière maladie qu'après une série de troubles spastiques et atrophiques intéressant les quatre
sant les quatre membres. Quoi qu'il en soit, on observe d'abord des troubles de la motilité linguale, de la dysartbric, de l
aircs; la réaction de dégé- nérescence s'observe à leur niveau. Les troubles respiratoires et car- diaques entraînent finale
mois et même plusieurs années, 2 il ;) au grand maximum) le moindre trouble de la sensibilité. La mort survient ordinaireme
c (lerobelllent partiel ou total de l'appareil de susten- tation et troubles oculo-moteurs réflexes, état nauséeux et anxieux,
t parmi ses symptômes, vomissements, vertiges, plyalimne, polyurie, troubles occulaires, auditifs ct vaso-motcurs. Syndrom
ue la mort n'est pas immé- diate, le malade, comateux, présente des troubles prononcés du coeur et des poumons. Il y a fréqu
t dits s'ajoutent des signes d'hypertension crânienne. De plus, les troubles sont souvent fugaces, irréguliers, changeants;
: céphalée, douleurs de la nuque, rigidité du cou, spasmes faciaux, troubles paracousiques, dys- phagie, polyurie, glycosuri
, dys- phagie, polyurie, glycosurie. On peut observer également des troubles sensitifs intéressant le territoire du trijumea
e la myasthénie d'Erb-Goldttam. Dans cette affection également, les troubles sont irréguliers, fugaces, déconcertants; dans
e duquel se manifesta une hémiplégie légère, accompagnée parfois de troubles fugaces de la parole et de la déglutition. II e
e et de la dysphagie apparais- sent, qui ne rétrocéderont plus. Ces troubles moteurs en revanche peu- vent être, nous le ver
malade il ictus successifs, un hémiplégique double, chez lequel les troubles de la phonation et de la déglutition l'emportent
s troubles de la phonation et de la déglutition l'emportent sur les troubles moteurs des membres. Il va de soi que ce malade
aux Parkinsoniens, dont ils ont en effet la passivité. Parfois des troubles de l'équilibre s'ajoutent aux précédents. Dress
au diagnostic 'différentiel de l'affection. Il existe en outre des troubles considérables de l'articulation des mots, troub
ste en outre des troubles considérables de l'articulation des mots, troubles pouvant aller jus- qu'à la suppression complète
sentent qu'un caractère spécial, c'est de n'être accompagnées ni de troubles trophiques, ni de troubles électriques : l'atroph
cial, c'est de n'être accompagnées ni de troubles trophiques, ni de troubles électriques : l'atrophie musculaire et la réact
énérescence font toujours défaut ('hez les pseudo-bulbai- l'es. Les troubles de la mastication et de la déglutition peuvent êt
énéralement conservée. On peut observer du myosis. II n'existe ni troubles des sphincters, ni altérations de la sensibilité.
lution et formes cliniques. Certains malades présentent surtout des troubles de la phonation, d'autres de le dysphagie, d'autr
grimace du pleurer, avec ses crises émotionnelles désordonnées, ses troubles de la mastication et de PARALYSIE PSEUDO-BULBAI
ensité de la dysarthie et de la dysphagie, l'effacement relatif des troubles parétiques la distinguent immédiatement des troub
nt relatif des troubles parétiques la distinguent immédiatement des troubles pa- raplégiques et des hémiplégies simples ou d
existe chez presque tous les hémiplégiques, du moins au début, des troubles de la déglutition et de la mastication, aussi a
l'ictus est unique, sans perte de connaissance le plus souvent. Les troubles qui surviennent ensuite comprennent non seu- le
re ; plus tard se décèleront une atrophie musculaire notahle et des troubles des réactions électriques. Il peut à dire vrai
myotrophie prononcée avec D. R., l'intégrité de l'intelligence, les troubles cardio-respiratoires rendent en général le diag
n de ces malades chez lesquels le déficit intellectuel entraîne des troubles de l'expression de la pensée, pouvant plus ou m
u l'absence de phénomènes paralytiques, sur la nature également des troubles de l'articulation. On distinguera ainsi le pseu
sique de Brocha. On se rappellera l'existence chez l'aphasique d'un trouble de l'in- telligence portant sur les différents
nseurs aux membres et à la tête. En même : temps se.manifestTit des troubles de l'équilibre, des douleurs le long.de la colo
soit, on peut, d'une façon générale, distinguer à la. marche des troubles deux étapes distinctes : l'une bul- baire, l'au
des névralgies et des vertiges, par de la diplopie fugitive, des troubles de la .déglu- tition, de la mastication. Les pu
ont indemnes sous les paupières tombantes. Symptômes spinaux. Les troubles précédents sont définitifs, mais varient d'un j
tissement, intermittences après effort), voire de l'iris. Quand les troubles sont plus accusés, l'aspect du malade est typique
t rapide, pour ainsi dire instantanée. Ajoutons qu'il n'existe ni troubles de la sensibilité, ni troubles des sphincters.
tantanée. Ajoutons qu'il n'existe ni troubles de la sensibilité, ni troubles des sphincters. Les réflexes sont peu ou point
à 4 ans après le début. L'issue fatale relève, nous le répétons, de troubles cardio-bulbaires (cyanose, accélération du pouls)
re qu'augmente, se maintient ou se répète l'effort. Au début, les troubles des nerfs crâniens peuvent faire prendre les my
rsque ce sont les muscles de la vie végétative qui sont le siège de troubles moteurs convulsifs, il est préférable de parler d
sions doivent être soigneusement différenciées d'une série d'autres troubles moteurs, dont voici les princi- paux. Les contr
en qui puisse le faire prévoir. Mais d'autres fois on note quelques troubles moteurs, de l'agitation, des secousses musculaire
IVES. vers les viscères et il en peut résulter des hémorragies. Ces troubles cir- culatoires, puis surtout l'entrave apporté
oeur sont, accé- lères et, du côté des capillaires, on constate des troubles circulatoires périphériques se traduisant par d
observer également dans l'hystérie, l'épilepsie, etc. Enfin divers troubles nerveux ne sont pas des raretés : byperesthésie
sions, un même mécanisme pathologique déclenchant en même temps les troubles convulsifs et les troubles sécrétoires, thermique
thologique déclenchant en même temps les troubles convulsifs et les troubles sécrétoires, thermiques, etc. Manche, durée, te
nerveux par naissance avant terme, la sy- 11111t ? héréditaire, les troubles digestifs, le sevrage prématuré, l'excita- tion
rtout fréquentes chez les nourris- sons élevés au biberon, dans les troubles digestifs; c'est là une question qui reste il t
st tou- jours prudent de prévenir les familles de la possibilité de troubles intel- lectuels et paralytiques, de contracture
onnent des convulsions le plus souvent partielles, accompagnées des troubles de la compression cérébrale, tels que stase pap
rodromes (céphalalgie, doigt mort, barre épigastrique de Chaussier, troubles visuels, etc.) et d'une phase d'invasion (contrac
rchant les signes essentiels de la paralysie générale, tremblement, troubles de la parole, signe d'Argyll-Robertson, etc. On
en réalité le symptôme initial de l'accès et affectent la forme de troubles moteurs, sensitifs, sensoriels ou psychiques et
pilhia- lisntc (Babinski), absents chez les épileptiques; tous les troubles pithia- tiques peuvent être reproduits par sugg
. La peur de trembler, la lI'élllopllObie (Mcigc) peut accentuer le trouble moteur. 6" Évolution du tremblement. Le tremb
asynergie cérébelleuse décrite par Babinski est caractérisée par un trouble dans la faculté d'associer les mouvements des div
s des 1renr ! JI(']lle1ts : ce sont, comme l'a montré Brissaud, des troubles moteurs dépendant d'une irritation siégeant sur
ntie (Revue Neurologique, 15 no- vembre 1909) ont observé les mêmes troubles de la sensibilité et en particulier le tremblem
on fait écrire au malade on trouve dans son écriture, en dehors des troubles psychographiques, des troubles calligraphiques
uve dans son écriture, en dehors des troubles psychographiques, des troubles calligraphiques (Joffroy) qui sont caracté- ris
manifester aux membres inférieurs et entrer pour une part dans les troubles de la marche. Ce tremblement est minime au repo
s : ' M2 TREMBLEMENTS. suivant Brissaud, un argument en faveur du trouble fonctionnel central qui préside il la maladie.
nsonien. la raideur, l'attitude figée, la thermo- phobie, enfin les troubles psychiques pourront concourir à faire faire le
depuis 50 et 40 ans, unis on peut invoquer d'autres arguments, les troubles des réflexes tendineux observés par Syllaba et
orps, c'est l'hemichoree. Chacune de ces localisations entraîne des troubles fonctionnels spé- ciaux, le faciès est grimaçan
sautillement perpétuel (Trousseau), ou bien il s'agit simplement de troubles plus légers consistant clans des inégalités de
a marche, dans l'élévation trop grande de la jambe, quelquefois les troubles peuvent être au contraire heaucoup plus accentu
n 2 ou 5 temps. Tous ces mouvements entraînent un certain nombre de troubles , les frottements répétés amènent des excoriatio
ue des nerfs et des muscles est eu général diminuée. La chorée ne trouble pas d'une façon générale les réflexes tendineux.
ateurs ou des centres excitateurs du système nerveux central. Les troubles de la sensibilité sont inconstants, il existe des
rticulaires, des douleurs au point d'émergence des nerfs ; mais les troubles de la sensibilité objective n'appartiennent pas à
inuée dans cette affection.. La chorée est souvent accompagnée de troubles mentaux, mais il est préférable de faire une de
ux, mais il est préférable de faire une description complète de ces troubles mentaux dans les modalités de la chorée qui y s
ettes. Toutefois il convient dès maintenant de nous demander si ces troubles sont dus à la chorée elle-même, et s'ils ont un
vec Joffroy, Séglas, Breton, que la chorée ne fait que susciter des troubles mentaux qui relèvent du tempérament du malade.
tre faut-il admettre avec Blocq et Grenet qu'il faut distinguer les troubles psychiques réellement très fréquents dès le début
e ou dans un affaiblissement léger de la mémoire; plus rarement ces troubles sont assez accentués pour donner au malade l'as
ur donner au malade l'aspect d'un imbécile où d'un idiot. Enfin les troubles psychiques paraissent directement liés à la cho
étudier, nous voulons parler de la chorée chronique. A côté de ces troubles , Blocq et Grenet pensent qu'il faut classer des m
hallucinatoire aigu souvent caractéristique de l'état de mal : ces troubles psychiques sont peut-être d'origine toxique. Da
relations entre l'intensité (le la chorée et. le développement des troubles psychiques. Le liquide céphalo-mchidien a été é
es cho- réiques (Ollive, Thèse de Paris, 1885), mais, à côté de ces troubles , il existe d'autres cas, où la paralysie domine
de muscles différents, et on constate alors que la diffusion de ces troubles puisse en imposer pour la chorée. suffira de déco
. début est lent, la chorée est précédée de prodromes : ce sont des troubles psychiques, affaiblissement des facultés intell
minants, l'affection est alors constituée. A la période d'état, les troubles moteurs ont les caractères que nous avons décri
s international de Médecine de Paris, section de Neurologie). Ces troubles des réflexes avaient déjà été vus par Joffroy, il
ut y avoir affaiblissement ou suppression des réflexes, c'est là le trouble qui se rencontre chez la plus grande partie des c
t les mouvements involontaires, on constate dans la chorée d'autres troubles moteurs. Nous avons déjà vu qu'il y a rarement in
s ce qu'il y a de spécial dans la chorée de Sydenham, c'est que ces troubles y sont particu- lièrement fréquents. Ces trou
, c'est que ces troubles y sont particu- lièrement fréquents. Ces troubles moteurs peuvent se présenter sous deux formes, ou
l s'agit de la chorée paralytique ou chorée molle dans laquelle les troubles moteurs dominent la scène : le malade semble pa
-articulaires et des douleurs au point d'émergence des nerfs. Les troubles psychiques sont constants, ils sont une des carac
chorée de Sydenham. Blocq pense qu'il faut distinguer parmi eux les troubles choréiques et les troubles non choréiques. 1° L
ense qu'il faut distinguer parmi eux les troubles choréiques et les troubles non choréiques. 1° Les troubles choréiques sont
eux les troubles choréiques et les troubles non choréiques. 1° Les troubles choréiques sont pour lui évidents, quoi qu'en dis
nts, quoi qu'en disent certains auteurs (Joffroy, Séglas, etc). Ces troubles appartenant en propre à la chorée, sont ceux qu
ractère, de l'affection, de la mémoire; , , . 2° Au contraire les troubles non choréiques sont inconstants, ce sont des ps
oréiques anémiques ou chloro- tiques sont une autre modalité de ces troubles cardiaques. 4" Enfin le l'oelU' peut être le si
éc chronique, qu'il s'a- gisse ou non de la chorée héréditaire. Les troubles moteurs n'ont d'autre particularité que de prov
ais, ce qui caractérise avant tout la chorée chronique, ce sont les troubles mentaux; ils ont été étudiés par nombre d'auteu
urologie, 1900) Kattwinkel, Vaschidc et Vurpas. Dutil pense que ces troubles psychiques sont con- stants, et il ne croit pas
ée héréditaire s'accentue, les mouvements augmentent d'étendue, les troubles intellectuels progressent, le malade devient conf
'il (jeu, 70 ou 80 ans. Quelquefois l'évolution est abrégée par les troubles respiratoires (larynx ou diaphragme) ou par des
nt les caractères généraux des myoclonies ; elles s'associent à des troubles inconstants des réflexes, tantôt exagération, tan
réflexes, tantôt exagération, tantôt dimi- nution, il n'y a pas de troubles de la sensibilité, ni de troubles de l'in- tell
tôt dimi- nution, il n'y a pas de troubles de la sensibilité, ni de troubles de l'in- telligence, et il ne semble pas qu'il
s de l'in- telligence, et il ne semble pas qu'il y ait davantage de troubles de la réaction électrique. Chez un enfant de 18
on l'observe en général dans l'exagération des réflexes et par des troubles de la sensibilité. L'intelligence est intacte.
oxysmes, elles disparaissentpén- dant le sommeil. Il n'existe aucun trouble des réflexes ni de la sensibilité, l'état menta
ousses, de véritables attaques convulsives. ' ' Il n'y a guère de troubles de la sensibilité ni des réflexes ; les réactions
ceux-ci se contractent par un mouvement volontaire. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité ni de réflexes. C'est une aff
ux que nous venons de signaler. Les myokymies ne provo- quent aucun trouble dans l'état général, elles surviennent chez les d
ce grimaçante, mais c'est surtout dans la partie inférieure que les troubles sont accentués, l'expression de la physionomie es
ais elle est peu apparente en raison de la raideur musculaire. 5. Troubles intellectuels. Souvent, ces malades sont des idio
aux complications du décubitus, ou enfin il pourra succomber à des troubles de la déglutition. ~2° Hémiathétose. L'hémiathé
nfin, elle est plutôt associée à des hémi- plégies légères dont les troubles sensitifs sont très accentués. L'hémiathétose e
u- vements athétosiques en général, puisque nous avons déjà dit les troubles qu'ils provoquaient au niveau des membres supér
lade est un hémiplégique et il en présentera tous les signes. Les troubles moteurs, nous l'avons dit, sont plus accentués, i
ie est installée et l'hl'Illiathétose apparaît ac(,oll1- pagnée des troubles de développement de l'intelligence comme on l'ob-
ment systématisé, conditionné par un état mental spécial : c'est un trouble psycho-moteur, les défectuosités psychiques sont
ts. Ce n'est pas le cas pour les tiqueurs simples : chez ceux-ci le trouble du développement n'est que partiel, leur évolut
istibilité de l'acte et la satisfaction consécutive témoignent d'un trouble intense de l'émotivité ; l'émotivité joue peut-
au déséquilibre des facultés et contribue pour une part notable au trouble pathologique. « L'image d'un mouvement se prése
de l'insuffisance du contrôle cortical exercé par la volonté et du trouble de l'émotivité ('). Nous avons insisté, dans l'
violents et mal dirigés; une analyse plus atten- tive montre qu'un trouble de la notion de position des membres, Au sens d
n avec le geste initial et avec sa cause, mais encore dans tous les troubles moteurs que nous avons décrits comme conséquences
ssuyage ou de frottement. Le déséquilibre viscéral donne lieu à des troubles très divers : dyspep- sie, constipation, crises
et Meige comme aussi indis- pensable il la définition du tic que le trouble moteur lui-même ; le mou- vement cOl1Yulsil' ne
la- dies ou les (roubles musculaires (moteurs ou trophiques) et les troubles mentaux qui les accompagnent ne sont que des ma
volontaire dû à une irritation locale (gerçure, fissure des lèvres, troubles de la dentition, chute d'une dent, etc.); d'aut
dans un casier (tic du typographe, Baylac), pour corriger certains troubles de la vision, de l'accommodation ou de l'ouïe,
u symptomatiques (affections centrales, épilepsie, toxi-infections, troubles réflexes, hystérie) ; des tics du cou. TICS. 89
endant le sommeil; il est parfois douloureux, parfois accompagné de troubles des réflexes, de la sensibilité, de la trophi-
ommissures labiales tirées en haut et en dehors; il y a parfois des troubles de l'audition (Lannois) (^une poussée de rougeu
leur len- teur, leur développement « ondoyant et serpigineux », les troubles .fréquents des réflexes les feront reconnaître.
s des réflexes les feront reconnaître. TRAITEMENT Le tic étant un trouble psycho-moteur, son traitement logique et ra- ti
TION. - SYNONYMIE On a donné le nom de crampes fonctionnelles à des troubles moteurs très variés qui n'ont comme caractère c
ses fonctionnels ou professionnels, qui ont été appliqués aux mêmes troubles , ne sont d'ailleurs pas plus exacts, car ils ne
, il est le seul qui ne préjuge en rien ni de la forme clinique des troubles moteurs ni de leur pathogénie : or ces troubles
forme clinique des troubles moteurs ni de leur pathogénie : or ces troubles nous paraissent répondre à un ensemble de faits
nnelles. A) Crampe des écrivains. On désigne sous ce nom tous les troubles moteurs qui ne surviennent que dans l'acte d'écri
exceptionnellement survenir chez ceux qui écrivent fort peu. Ces troubles moteurs peuvent se présenter sous des formes extr
ssant échapper; le médius, souvent les autres doigts participent au trouble . Par un effort de volonté, le malade peut résis
s l'autre. Chez tous ces malades, on ne, constate presque jamais de troubles de la sensibilité objective, de la réflectivité
tions électriques. Au contraire, on constate très ordinairement des troubles psychiques; ce sont des névropathes, souvent hé
thes, souvent héréditaires, des dégénérés, des déséqui- libres. Les troubles psychiques sont plus ou moins apparents; dans cer
s psychiques sont plus ou moins apparents; dans cer- tains cas, les troubles moteurs apparaissent nettement comme la consé-
troubles moteurs apparaissent nettement comme la consé- quence d'un trouble mental, parfois au début d'une vésanie ; dans la
titre d'exception, du tremblement librillaire (Poore) et aussi des troubles de la contractilite électrique et la réaction d
lité électrique notablement exagérée. Dans d'autres cas, il y a des troubles vaso-moteurs plus ou moins nets au niveau des m
PES FONCTIONNELLES ET. PROFESSIONNELLES. Assurément-certains de ces troubles pourraient, à la rigueur, s'expli- quer soit co
la crampe des écrivains peut être très généralement attribuée à un trouble du contrôle cortical, à une altération de la volo
pasmodique, parfois trémulente; Cronbach (2) a constaté parfois des troubles vaso-moteurs et sécrétoires. Crampe de la coutu
l- lectuel. La catatonie n'est autre qu'une myotonie accompagnée de troubles - psychiques. C'estun symptôme, et non une mala
du reste, permettre de comprendre mieux certains phéno- mènes les troubles de la marche, le dérobcment des jambes (giving
utre part, la mobilité des vertèbres peut éga- lement provoquer dcs troubles de là marche. L'hypotonie des muscles abdominau
mouve- ments. Enfin, suivant Frenkel, il existerait également des troubles des muscles des yeux, des muscles de la vessie
quc l'on peut mettre sur le compte de l'hypotonie. Dans tous' les troubles que nous venons de décrire, l'hypotonie, sui- v
ômes qui ne peuvent être reproduits par l'hystérie. [O. CROUZON.] TROUBLES TROPHIQUES par le Du MOUTIER Les troubles Iro
érie. [O. CROUZON.] TROUBLES TROPHIQUES par le Du MOUTIER Les troubles Irophiques occupent une place particulièrement im
évrite lépreuse, dans la syringomyélie. La presque tola- . lité des troubles trophiques peut même, il des degrés divers de fré
uptions diverses, du vitiligo, de l'hyperkératose, sans compter les troubles vaso- moteurs, les viciations de la sécrétion s
ails sur l'importance et la fréquence des trophonévroses. Signalons TROUBLES TROPHIQUES. 915 seulement que, si la plupart so
ir signalé le double intérêt pathogénique et théra- peutique. Les troubles trophiques peuvent intéresser la peau et les tégu
s, os et articulations. Nous n'aurons guère à nous attarder sur les troubles tro- phiques viscéraux : ceux-ci sont rares, ma
ue. Tégument et plans sous-jacents. Nous n'étudierons pas ici les troubles vaso-moteurs et les perturbations de la sécrétion
même de la gangrène. Eludions successivement ces deux catégories de troubles trophiques. Nous rangerons, parmi les altératio
, la glossy-skin, la sclérodermie, l'hyperkératose, l'ichtyose, les troubles de la pigmentation. 1 La glossy-skin (ou glan
ncissement de la peau avec état lisse, aspect de vernis luisant. Ce trouble apparaît au niveau des extrémités, tout d'abord
myélie, mais on la PItATIQUE 11EUIIIII.. 58 [F. MOUTIER.] 914 TROUBLES TROPHIQUES. rencontre également dans les névrit
ales. Musée de l'hôpital Saint-Louis, n° 580 (d'après Thibierge). TROUBLES TROPHIQUES. 915 syringomyélie et les névrites,
uvent fami- liales, qui peuvent s'accompagner ou non de nævi, Les troubles de la pigmentation se rencontrent dans un assez p
ur le dermatologiste que pour le neurologue. [F. MOUTIER] ! OI6 6 TROUBLES TROPHIQUES. Certaines éruptions vésiculeuses se
iquide céphalo-rachidien traduisant l'irritation méningée. D'autres troubles trophiques peuvent d'ailleurs coexister avec l'ér
: nous aurons l'occasion de la signaler il nouveau en étudiant les troubles trophiques mutilants des extrémités. On a égale
n. Il faut, en effet, faire table rase aujour- d'hui des soi-disant troubles trophiques de l'hystérie. Huiles, ulcéra- tions
ntanément et vite. On pourra aussi, le cas échéant, ménager une 1 TROUBLES TROPHIQUES. 917 î voie d'accès sous quelque par
Lésions non ulcéreuses du derme et de l'hypoderme. Beaucoup de ces troubles sont congénitaux, tels les n;uvi, les neuro-fibro
ormations, souvent héréditaires et familiales. Ajou- tons que ces troubles existent rarement seuls ; divers stigmates de d
de l'hôpital Saint-Louis, n° 1936, llallopeau (d'après Rist). 918 TROUBLES TROPHIQUES. taches pigmentaires, fibromes, névr
ec atrophie testi- culaire. Mais celle-ci peut-elle être tenue pour trouble trophique ? Chez certains individus les tissus
ez certains individus les tissus hypodermiques présentent seuls des troubles trophiques, sans que le derme et l'épidémie soien
trophiques, sans que le derme et l'épidémie soient intéressés. Ces troubles sont les oedèmes et les adiposes. On ne saurait
l'esse el dans la région trocliantériennc (d'après Pierre Marie). TROUBLES TROPHIQUES. 919 Les oedèmes nerveux ont quelque
pas l'empreinte du doigt, indolores. Il est banal de rencontrer ce trouble trophique chez les hémiplégiques ou les paraplé
sèche, très dure et dans laquelle on ne peut imprimer de godet. Un trouble analogue peut s'observer au niveau du pied. La
saurait déprimer en godet. L'opothé- rapie appropriée influe sur ce trouble trophique de façon très appré- ciable et assez
le cou, la face, et sur celle-ci les joues, - [F. MOUTIER.-] ? 0 TROUBLES TROPHIQUES. les paupières, le front ; on l'obse
guer les trophoedèincs chroniques, observés d'ailleurs comme les - TROUBLES TROPHIQUES. 921 oedèmes de Quincke chez 'des
n est ainsi chez certains hémiplégiques. Doit-on ranger parmi les troubles neuro- trophiques les lipomes, petits ou grands
i\ De même, la maladie de Dercum ou adipose douloureuse est-elle un trouble trophique du système nerveux ou une dys- trop
g. 4. - Trophædème chronique héréditaire (Henry Jeigct. 922 I-) TROUBLES TROPHIQUES. malaises ressentis sont rarement in
es de volume va- riable, symétriques ou non. Il n'existe pas de troubles de la sensibi- lité au niveau des ré- gions a
nsibi- lité au niveau des ré- gions adipeuses. En revanche, les troubles mentaux dépressifs et l'asthénie nerveuse son
des éventualités des plus rares. Nous en aurions fini avec les troubles tro- phiques non ulcéreux des téguments s'il
quelle façon, avec Fig. 5. Maladie de Dercum (d'après G. Ballet). TROUBLES TROPHIQUES. 925 ou sans ulcération, se consti
illain, lésion échancrant l'aile du nez. semble fort rapprochée des troubles de cet ordre. On les observe égale- ment au cou
ou sous la phalange terminale du gros orteil. L'évolution de ce trouble trophique passe par plusieurs stades distinct
t plantaire, attribué il la tuberculose (d'après L. Arnaud). 9M TROUBLES TROPHIQUES. la perte de substance, et gagnent l
l'ulcération. Il peut y avoir des complications, les unes légères, troubles divers de la peaû et des ongles, d'autres beauc
ion commune est souvent délicat, ainsi qu'il est de règle pour tout trouble tro- phiqùe. Le repos au lit, les pansements gu
quer l'im- portance prépondérante du dentier dans la genèse de ce trouble trophique. Fort voisines des maux perforants so
t surtout les hémiplégiques et les paraplégiques qui présentent les troubles les plus graves. Ces troubles font défaut dans
les paraplégiques qui présentent les troubles les plus graves. Ces troubles font défaut dans la poliomyélite, ils s'observe
articulière- ment profonde développée au cours d'une myélite. « TROUBLES TROPHIQUES. 925 tions cérébrales). On voit appa
dans la lèpre aneslliesique (il après Lesage et Ihlcl'ce1m), 926 1 TROUBLES TROPHIQUES. la lèpre notamment, les mains peuve
de l'hôpital Saint- Louis, n° 1690, Jacquet (d'après Lenglet). . TROUBLES TROPHIQUES. 927 sujets, leur étude étant d'impo
ème chronique qu'il est parfois donné d'ob- [F. MOUTIER.] 928 8 TROUBLES TROPHIQUES. server dans le goitre exophtalmique
égularités, des malformations témoins de syphilis héréditaire ou de troubles de la nutrition, il n'est guère à signaler que la
ral indolore. Peut-être d'ailleurs ne s'agit-il pas uniquement d'un trouble trophoneurotique, l'infection des alvéoles vena
lus haut s'im- posent encore à notre attention à propos de certains troubles trophiques du squelette. On ne sait en effet qu
s du squelette. On ne sait en effet quelle part revient au juste au trouble neurotrophique ou il la dystrophie glandulair
l'ingol11yélie, rencontrée, on le voit, à tout propos dès que les troubles tro- phiques sont en cause. peut simuler jusq
pseudo-acnimégalique segmentaire (d'après Chauffard et tirilfun). TROUBLES TROPHLQUES. - 929 réduction globale du volume d
considérable de tout le membre supé- rieur droit. - ! )0 ' 1 TROUBLES TROPHIQUES. aire d'atrophie cutaneo-osseusc, ca
- Iléinialropliie faciale . cas de Romberg ; (d'après Brissaud). TROUBLES TROPHIQUES. 951 En réalité, en présence d'une
athie tabétique du.genou (cas de Glorieux et Van Gehuchten). 95 2 TROUBLES TROPHIQUES. cations sont fré- quentes, ce son
B. Clarcotl. Fig. 1'.). - Arlliropalhie tabétique du pied gauche. TROUBLES TROPHIQUES. 955 ties de ce traité; rappelons se
z les tabétiques. Organes des sens. Les yeux seuls sont atteints de troubles intéressants. Mentionnons l'ophtalmie sympathiq
apersonne et Cantounet). [F MOUTIER.] HYPERTHERMIE, HYPOTHERMIE TROUBLES CIRCULATOIRES & RESPIRATOIRES par le D' CRO
arrêter. HYPERTHERMIE. U55 D'autre part, il existe une série de, troubles fonctionnels qui sont plus évidents cliniquemen
expliquer cet état stationnaire du pouls. La fièvre s'accompagne de troubles circulatoires, de dicrotisme du pouls, puis de
latoires, de dicrotisme du pouls, puis de souffles cardiaques et de troubles vaso- moteurs. La tension artérielle semble a
observée dans la paralysie générale infantile. [O. CROUZON.] 958 TROUBLES SUDORAUX. - La fièvre hystérique, sur laquelle
il n a plus lieu d'admettre l'existence de cette lièvre hystérique. TROUBLES SUDORAUX f ÊÊ TROUBLES SUDORAUX V La sécrétio
re l'existence de cette lièvre hystérique. TROUBLES SUDORAUX f ÊÊ TROUBLES SUDORAUX V La sécrétion sudorale est souvent in
ueur s'appelle anhidrose. L'anidtose est due le plus souvent il des troubles nerveux locaux, elle s'observe au cours de sect
périphériques ou dans l'llémiatrophie de la face. z Il existe des troubles assez caractéristiques de la réaction sudorale
s profuses s'observent au même titre que les salivations exagérées. TROUBLES DE LA PRESSION ARTÉRIELLE. 959 L'hyperidrose a
idrose qui sont quelquefois associées à des affections nerveuses. TROUBLES DE LA PRESSION ARTÉRIELLE La pression artériell
es pour éviter ces varia- tions. Et l'on pourra alors constater des troubles qui seront des troubles d'hypertension ou des t
- tions. Et l'on pourra alors constater des troubles qui seront des troubles d'hypertension ou des troubles d'hypotension.
onstater des troubles qui seront des troubles d'hypertension ou des troubles d'hypotension. Toutefois, pour avoir des mesure
aussi rabaissement de la tension artérielle dans la neurasthénie. TROUBLES RESPIRATOIRES Si l'on excepte les troubles lary
ans la neurasthénie. TROUBLES RESPIRATOIRES Si l'on excepte les troubles laryngées, les troubles respiratoires sont peu
TROUBLES RESPIRATOIRES Si l'on excepte les troubles laryngées, les troubles respiratoires sont peu fréquents dans les malad
s sont peu fréquents dans les maladies nerveuses. Comme l'étude des troubles du larynx en est faite dans un autre chapitre,
st faite dans un autre chapitre, nous nous limiterons a l'étude des troubles respiratoires proprement dits. Rares sont les m
s hémoptysies au cours du tabès liées à des crises thoraciques. Les troubles les plus fré- quents sont ceux du rythme respir
s, quelquefois de ralentissement de la respiration. Quelquefois les troubles respiratoires se manifestent par la suspension
me nerveux, nous allons les passer en revue. Ce sont avant tout les troubles bulbaires ; dans tous les syndromes bul- baires
réquem- ment, c'est avec l'urémie la cause la plus fréquente de ces troubles res- lriradirns. Dans les tumeurs du cervelet o
sympathique ou les lésions du pneumogastrique puissent entraîner ce trouble de la circulation. Dans la tuberculose la tachy
grave; elle peut dépendre des symptômes basedowiens (Crespin) ondes troubles digestifs, de gastro-entéroptose (Reynaud). -
s primi- tives ou secondaires (tabès, sclérose en plaques, etc.). TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE Par le D E DESNOS TROU
aques, etc.). TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE Par le D E DESNOS TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ NÉVRALGIES RÉNALES Sous ce
ales, mais celles-ci prennent un caractère parti- [E. DESNOS.] 9U TROUBLES DE L'APPAREIL URI : \'AIRE. culier dans le tabè
la non satisfaction d'un I'uryri : NEUROL. un [E DESNOS.] i)4(i TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. ' , besoin violent ayan
beaucoup dans leur apparition. . Symptômes. - Des douleurs et des troubles mictionnels les caracté- risent : : . C'est u
ces derniers cas, elles s'atténuent sans cesser complètement . Des troubles mictionnels s'y associent presque toujours, souve
ntion. La contracture du col, peu ou pas douloureuse, détermine des troubles mictiolmels, miction pénible, lente à venir, en
d'autres les calment ou les interrompent. ' . [E. DESNOS.] 918 ' TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. Que la névralgie soit i
a son importance, et la suggestion a réussi; - [E. DESNOS.] .950 TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. NEVRALGIES URÉTRALES ,
ge de l'urine provoque une sensation de brùlure plus ou moins vive. TROUBLES DE LA CONTRACTILITE DE L'APPAREIL URINAIRE RÉ
les ménin- ' RÉTENTIONS D'URINE. 9.')1 gÎtes spinales aiguës; des troubles mictionnels sont de règle, mais il la rétention
leurs l'incontinence est la règle. Aux périodes moins avancées, les troubles mictionnels se confondent avec ceux du tabès qu
ndent avec ceux du tabès qu'il nous reste il étudier. L'étude des troubles mictionnels du tabes, rétention, dysurie, incon-
ion, dysurie, incon- tinence. ne peut être dissociée. Au début, les troubles consistent en une hésitation, une lenteur parti
et il s'agit alors soit d'une miction involon- [E. DESNOS.] 9r»2 TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. faire, c'est-à-dire de
ablie, qui a évolué sans (aire naître la sens ! )- tion il cause de troubles de l'innervation et de l'affaiblissement de la
s d'autres, car des trouhtessensitits se joignent ordinairement aux troubles de la inutilité et les malades souf- Irent moin
rouge (sonde de Netaton) est l'instrument [E. DESNOS.] ] n : : i4 TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. de choix; on la fera bo
dans l'épilepsie jacksonnienne des émis- 1 ' [E. DESNOS.] i)S6 . TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. ' - . sions involontair
re des incontinences essentielles, mais elles [E. DESIVOS.] 058 - TROUBLES .DE.L'APPAREIL URINAIRE. prêtent- si. souvent à
ions de cocaïne, portant sur le col, et dans la TE. DES1VOS.] ouo TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. prostate ne peuvent don
inution de l'influx nerveux rend les tissus moins résistants et les troubles trophi- ques observés dans plusieurs affections
elle n'a pour ainsi dire pas de symptômes propres : ni douleurs, ni troubles mictionnels, mais l'urine louche et trouble en
pres : ni douleurs, ni troubles mictionnels, mais l'urine louche et trouble en masse dégage une odeur fade et fétide, non amm
nique peut être tout à l'ait latente, se traduire seulement par des troubles digestifs, une dysphagie particulière pour les so
l'amaigrissement ; comme symptômes locaux, on observe des urines troubles en niasse, ne s'éclaircissant pas par le repos, u
isser constamment Pil.\TIICI : ¡¡E\JIIOI., (il [E. DESNOS.] 962 TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. ouverte, car les parois
es des maladies nerveuses à cause de la réaction toujours vive, des troubles trophiques possibles et du peu de résistance des
, même : 2;) litres d'urine rendue en 24 heures, [E. DESNOS.] 964 TROUBLES DE. L'APPAREIL URINAIRE. chiffres invraisemblab
iste parfois pendant des mois et des années, sans donner lieu à des troubles notables de la santé. On voit l'urine tomber à
médicaments toxiques, tel que la digitale et ses [E. DESNOS] 966 TROUBLES . DE L'APPAREIL URINAIRE. , succédanés, qui risq
e. 1 : ) . ZD La névropathie urinaire arrive à produire aussi des troubles de la mic- tion : celle-ci devient hésitante, s
augmenter la sen- sibilité au lieu de l'amoindrir. \E. DESNOS ] TROUBLES DE L'APPAREIL GÉNITAL -par le Dr E. DESNOS -
ve. Il en est de même dans la paralysie générale. Dans le tabès les troubles génitaux sont variables. Au début on observe SP
des conditions que nous aurons il déterminer. [E DESNOS ] a170 ' TROUBLES DE L'APPAREIL GÉNITAL. L'écoulement du sperme s
vaincre. Peu il peu ils se reconnaissent une série de sym- ptômes : troubles digestifs, faiblesse générale, palpitations, vert
s cas, le dyspermatisme est tem- poraire. 1 . Sous l'influence de troubles psychiques, l'éjaculation peut être arrêtée : c
uparavant, surtout s'il s'accompagne d'actes . i [E. DESNOS.] 074 TROUBLES DE L'APPAREIL GÉNITAL. publics. Les érections.
cas, restent plus ou moins atteintes et affaiblies. TE. DESNOS. TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF par le Dr MOUT
TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF par le Dr MOUTIER Les troubles nerveux de l'appareil digestif sont de deux ordre
it de maux perforants tabétiques, au niveau des- quels existent des troubles de la sensibilité souvent prononcés (anesthé- s
dentier est la cause occasionnelle de cette ulcération trophique. Troubles de la sensibilité. Il n'est pas rare d'observer d
tionnel dans la sémiologie nerveuse par l'aspect de sa surface, les troubles de sa sensibilité et de sa inutilité, les accid
de morsures se rencontrent chez les épileptiques ou traduisent des troubles de la sensibilité. L'état de la muqueuse varie
: il s'agit là presque de Pratique neurol. 62 EF MOUTIER.] "7S TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. irohltisme (l3r
s profonde. Chez les excités au contraire, la langue est normale. Troubles de la sensibilité. Les uns intéressent la sensibi
lors accompagner ou non une hémiplé- gie, coexister ou non avec des troubles gustatifs, survenir subitement après une crise
spéciale peuvent dépendre d'alté- rations des nerfs crâniens ou de troubles centraux. On se rappellera que le pneumogastriq
rg et dans certaines paralysies Itl)l o- ? l osso-1 aiyn crées, des troubles analogues s'observeront, d'intensité variable.
otitique, des maladies du l'oie ou de l'estomac, un état fébrile. Troubles de la motilité linguale. Parmi ces troubles se ra
tomac, un état fébrile. Troubles de la motilité linguale. Parmi ces troubles se rangent les tremblements, les paralysies, le
liques, la trémulation est violente, s'accompagne généra- liment de troubles vaso-moteurs, de rougeurs, de sueurs. . [F. MOU
e, les secousses fibril- laires, la réaction de dégénérescence. Ces troubles ont pu survenir rapi- dement accompagnés d'hémi
es cas, il est vrai, ainsi que dans les cas de tumeur du bulbe, les troubles sont souvent irréguliers et variables d'un côté
le. Signalons que l'on a attribué il de la parésie de la langue les troubles constants de la paralysie générale, fréquents d
présente sans réaction de dégénérescence, semblable en ce) : ) aux troubles d'origine corticale ou sous-corticale. Au nivea
édominance du géao-glosse intact. Le début de . [F MOUTIER] J 982 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. l'atrophie est
celui du creuse- ment en gouttière. Nous n'insisterons pas sur les troubles des réflexes et de la marche des tabétiques, su
r le diagnostic. Enfin, les paralysies généralement accompagnées de troubles divers, asymétriques le plus souvent, dans la s
et passagère de la fonction est propre à la maladie de 7'honr.çmn. Troubles trophiques. Nous n'avons pas à revenir sur l'alro
onné et saillant. Il existe de la cypho-scoliose et fréquemment des troubles du fond de l'oeil. Enfin, lorsqu'avec une langu
dans le territoire du trijumeau, on sera en droit de conclure à des troubles vaso-moteurs sous la dépendance des lésions de
aso-moteurs sous la dépendance des lésions de la cinquième paire. Troubles de la mastication et de la déglutition. - Les m
mais dans ce dernier cas aux accidents moteurs se superpo- sent des troubles de la sensibilité. Dans les paralysies bilatérale
ptérygoïdiens. Les paralysies du trijumeau peuvent déterminer des troubles directs de la déglutition par paralysie du péri
nfin, les liquides chauds puis froids sont avalés de travers, et ce trouble augmente à la fin du repas. Si l'on examine la
fréquemment des vomissements. Le réflexe pharyngien est aboli; les troubles électriques manquent en général. Tel est le tab
st le tableau d'une paralysie périphérique , [F. MOUTIER.] .] 984 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. d'origine toxiq
st nasonnée dans la paralysie des péris- taphylins seulement. Ces troubles s'observent dans les lésions périphériques dépend
lle dé l'alimentation à la sonde oesophagienne. Pharynx. A côté des troubles de la sensibilité liés à des mala- dies infecti
uche du malade. ' Nous reviendrons sur ces symptômes à propos des troubles de l'oeso- phage. Mais le clinicien doit songer
et d'entretenir un spasme, avant d'admettre l'existence d'un simple trouble fonctionnel. La paralysie du pharynx' est à peu
u de l'oesophage, conduit musculo-mem- braneux, peuvent exister des troubles de la motilité ou de la sensibilité. Les premie
s troubles de la motilité ou de la sensibilité. Les premiers de ces troubles comprennent des accidents paralytiques et des a
e dys- phagie et de régurgitations. Les aliments qui déterminent le trouble peuvent être indifférents : il s'agit, au contr
de déglutition, cherche à refouler du doigt . ' [F. MOUTIER.] 980 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. les aliments qu
t à Pori- lice supérieur du conduit que les malades situeront leurs troubles prin- cipaux. Ce spasme total est continu ou pa
cilement; on la sent violemment serrée sur toute son étendue. Aux troubles de la sensibilité de l'oesophage ressortissent un
ggestion, le repos forcé et l'isolement, seront de rigueur dans les troubles nerveux graves. [F MOUTIER] 988 TROUBLES NERV
nt de rigueur dans les troubles nerveux graves. [F MOUTIER] 988 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. ' Ptyalisme. -
e difficile à reconnaître. Enfin, l' hysté1'ie présente de nombreux troubles de la sécrétion salivaire, expuition accompagné
euse ou organique, explicables en ce cas par une gastrite ou par un trouble du chimisme gastrique. Actuellement, on est oblig
ne se complique d'anorexie, n'entraîne pas toujours directement des troubles fonctionnels accusés. L'inanition est toute rel
res rejet électif de tel ou tel mets, s'associent fréquemment à des troubles plus graves : anorexie mérycisme idées fixes dive
l semble que l'urémie soit fréquente chez eux. [F. MOUTIER] 992 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Troubles gastri
eux. [F. MOUTIER] 992 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Troubles gastriques du tabes. - Le tabes provoque des cris
re modifié de diverses façons; Dejerine et Houx ont insisté sur les troubles dyspeptiques d'origine médicamen- teuse qui com
uqueuse oedématiée PHATIQUE liEunOL. 63 . [F. MOUTI £ R.] ] 994 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Vomissements pa
iter exactement quel est le facteur étiologique en cause : tous ces troubles trahissent une perturbation du bulbe ou de ses
omac peut voir coïncider avec les exacerbations de sa dyspepsie des troubles autres que le vertige; il ne faut pas prendre,
athe une faim nauséeuse doivent être soi- gneusement distingués des troubles giratoires ou oscillatoires. Quoi qu'il en soit
pour un équivalent épileptique; les séquelles, particulièrement les troubles de l'intelli- 1 : ) ,rence, empêcheraient de cr
al de mer. Cette affection n'est autre qu'un syndrome bulbaire avec troubles vaso-moteurs, troubles de l'équi- libration, et
ion n'est autre qu'un syndrome bulbaire avec troubles vaso-moteurs, troubles de l'équi- libration, et phénomènes morbides da
le vertige accompagné de céphalée frontale, de vomisse- ments et de troubles intestinaux. Le pouls est fréquent, et sa pressio
y a plusieurs crises, entre ses paroxysmes le . [F. MOUTIER.] 996 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. malade sommeill
e l'albumine, du sucre dans les urines... On peut relever enfin des troubles persistants de la sensibilité, des troubles tro
peut relever enfin des troubles persistants de la sensibilité, des troubles trophiques (oedèmes, urticaire, herpès, sueurs) e
est absolument exceptionnelle chez d'autres que les tuberculeux. Troubles de la motricité. -.On décrit sous le nom de gastr
musculature viscérale comme dans la myélopathie deDuchenne-Aran. Troubles de la sensibilité. Nous n'avons pas à revenir sur
sus les chocs les plus violents dans la région du plexus solaire. Troubles centraux attribués à des états gastriques. Nous a
issance permet de reconnaître un équivalent épilcptiquc viscéral. Troubles de l'évacuation intestinale. Il saint tantôt de
iscéral. Troubles de l'évacuation intestinale. Il saint tantôt de troubles sécrétoires, tantôt d'anesthésies ou de paralysie
es phénomènes paroxystiques qui coïncident généralement avec divers troubles vaso-moteurs. C'est une diarrhée essentiellemen
s- tinales dans la maladie de ()li«cl : c.. , [F. MOUTIER.] 998 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Dans la maladie
rmine une atonie intestinale chronique avec constipation rebelle. Troubles de le défécation révélant un état mental. Le diag
ait négliger à l'aliéné le réglage volontaire de la défécation. Ces troubles peuvent être pas- SÉMÉIOLOGIE DE L'INTESTIN ET
ysie générale, dans la démence sénile et le coma. (Voir Gâtisme.) Troubles sphinctériens. D'une façon générale il y a plutôt
tions sus-men- tionnécs. Mais au niveau de la moelle cervicale, les troubles sont très inconstants. Dans les lésions de la
Ces différents états dépendent et de l'anesthésie du rectum et des troubles du sphincter. C.-P. Martin a constaté chez tous l
lui une anesthésie totale du sphincter externe de l'anus. Comme les troubles vésicaux et rectaux sont parmi les signes précoce
constipation rebelle avec paralysie du sphincter externe de l'anus. Troubles hystériques simulant une maladie organique. Avant
ériques simulant une maladie organique. Avant d'aborder l'élude des troubles hystériques proprement dits, signalons chez les
ue celle précédemment décrite, et le ventre se [F. MOUTIER.] 1000 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. gonfle simpleme
omprendre plus tard le traitement, faire la sémiologie nerveuse des troubles gastriques serait refaire toute la pathologie d
ogie digestive. Nous nous bornerous à quelques données générales. TROUBLES PSYCHIQUES. 1001 Neurasthénie digestive. Le chi
dromes solaires (d'après Laignet-Lavastine). L'n certain nombre des troubles dépendant des altérations du plexus solaire intér
rique et hypertension. C'est ce que réalise la colique de plomb. jt TROUBLES PSYCHIQUES . ! Nous étudierons surtout les vici
la plus terrible, est l'anorexie. » Anorexie tabétique. C'est un trouble rare (Fournier). Le malade mange par raison; au
Dans ce cas, l'anorexie est plutit secondaire. [F. MOUTIER.] 1002 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. dire, de l'anor
eint terreux, peau sèche, haleine fétide, consti- pation opiniâtre, troubles de la menstruation ne tarderont pas à sur- veni
pris ou mal appliqué son régime, soit parce qu'il éprouve de petits troubles qu'il plus ou moins juste titre il rapporte à s
gtemps le même régime restreint. A côté de ce neurasthénique ') 'ni TROUBLES PSYCHIQUES. 1003 type simple, il convient de di
tériels. Certains paralytiques généraux au début présentent de tels troubles , mais fugaces et instables. Enfin, les abouliqu
s dyspeptiques et les nerveux, Masson, 1905. [F. MOUTIER.] 1004 . TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. malade éprouve
ngoisse prononcée que soulage bientôt l'exoné- ration accoutumée. TROUBLES PSYCHIQUES. 1005 Quoi qu'il en soit, les malade
siter alors une intervention chirur- gicale. [F. MOUTIER.] 1006 TROUBLES NERVEUX. DE L'APPAREIL DIGESTIF, . " Enfin, cer
il a honte de manger, etc. En terminant cet exposé diagnostique des troubles nerveux et digestifs qui se mêlent et s'enchaîn
s délires, les accès dé manie ou de mélancolie, d'irascibilité, les troubles génitaux, les cauchemars, les obsessions, etc.
ce sont, par exemple, des malades atteints d'un [F. MOUTIER] 1008 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. ulcère; le diag
, étudié ailleurs; mais il convient ici de montrer la diversité des troubles sphinctériens que l'on peut observer au cours d
ur permettre de façon précise un diagnostic de. localisation. (Voir troubles digestifs : sphincter anal). Chez les vieillard
guës, il y a gâtisme absolu et précoce. Rappelons qu'il n'existe de troubles des sphincters ni dans la maladie de Landry, ni
aladie de Landry, ni dans les poliomyélites antérieures aiguës. Ces troubles peu- vent, mais très rarement, s'observer au co
u cours des polynévrites aiguës, surtout dans les polynévrites avec troubles vésaniques (syndrome de Korsakow). Le gâtisme
ment céré- bral, ou présente, connue nous le verrons plus loin, des troubles vésani- ques. Quelque multiples que puissent êt
fondre le gâtisme avec les accidents qui pourraient le simuler. Ces troubles sont nombreux à la vérité. Les maladies' de la pr
traction ou par véritable anestltésio (pie gâtent les maniaques. Le trouble est ici irréfléchi : dans d'autres cas, au cont
e de leur étude. Les déformations de la main peuvent être dues à un trouble local du développement embryonnaire ou foetal o
tées par des difformités, presque toujours acquises, dues soit à un trouble vaso-moteur ou trophique prédominant sur les pa
Portant à la fois sur le squelette et les parties molles, certains troubles trophiques peu- vent déterminer de véritables m
de rétractions secondaires, des attitudes vicieuses déterminent des troubles trophiques, des changements de direction et de
à une période plus ou moins tardive, de distinguer s'il s'agit d'un trouble du développement congénital (difformité tératolog
les déformations que l'on peut observer au niveau de la main : 1. Troubles du développement (embryonnaire ou foetal) : A)
main : 1. Troubles du développement (embryonnaire ou foetal) : A) Trouble local : difformité tératologique : a) Par défau
se; paralytique; spasmodique. Acquise : paralytique; spasmodique. TROUBLES DU DEVELOPPEMENT. 1015 B)Des.doigtssur la- main
hémi-athétose, - athétose double. Tétanie. = Crampes. - ' . z I. TROUBLES DU DÉVELOPPEMENT A. DIFFORMITÉS TÉRATOLOGIQUES
rtout de l'appareil vasculaire ; elles s'accompagnent volontiers de troubles tro- phiques cutanés et de nævi vasculaires, qu
s pieds, la céphalée, l'aménorrhée, la cyphose cervico-dorsale, les troubles visuels (hémianopsie 1]iteniporale), la glycosuri
es gros doigts chiro- mégaliques et les doigts voisins normaux. Les troubles scnsitifs et tro- phiques de la syringomyélie,
ait aussi dans nombre d'affections provoquant au niveau du doigt un trouble de la circulation, d'origine soit générale, soi
les déformations du rhumatisme chronique progressif, ainsi que des troubles trophiques intenses (amyotrophies, chute des poil
esco (fig. 11 ), est due à la fois à l'atrophie musculaire et à des troubles trophiques de la peau et du tissu sous-cutané. Pa
re sur l'avani-lras ou le bras; ils présentent la coloration et les troubles vaso-moteurs et thermiques des oedèmes par comp
linique; les cas doivent en être répartis entre deux maladies à troubles sensitifs objectifs tout particulière - men
st aussi parce que ces panaris se développent sur un terrain ou les troubles trophiques sont très intenses. Les phalangettes d
mations, et nous aurions dû décrire cette main-bote au chapitre des troubles du développement de la main si nous n'avions cru
x cotés, elle est irréductible, il n'y a ni amyotrophie marquée, ni troubles trophiques et vaso-moteurs, mais. contrairement
ouvent . , . ATTITUDES VICIEUSES. '1055 d'atrophie musculaire, de troubles vaso-moteurs et trophiques, elle est froide et
durs, la réduction est difficile ou impossible ; on ne constate de troubles trophiques et vaso-moteurs importants que dans
une variété de main-bote acquise, survenant de 15 à 25 ans, dont un trouble de l'ossifica- tion serait la cause déterminant
vement une tumeur dorsale du carpe. tuméfaction indolente due il un trouble vaso-moteur ou à une synovite hyperliopliique.
smes graves seulement ou dans les névrites radiales, on observe des troubles sensitifs dans le territoire cutané du radial (
e la main est très limitée et due seulement au long supinateur. Des troubles sensitifs peuvent intéresser le territoire cuta
brachial,, on observe des trou- bles de sensibilité et. surtout des troubles oculo-pupillaircs, myosis, rétrécissement de la
musculaire générale, des altérations prononcées de Va parole et des troubles profonds de 1 in- telligence qui donnent au mal
celles de la main. Les- détails que nous avons donnés sur certains troubles de la main nous permettront d'être bref sur les
r certains troubles de la main nous permettront d'être bref sur les troubles similaires du pied. Nous noterons pourtant que,
ence et- une importance très différentes à la main et au pied. I. TROUBLES DU DÉVELOPPEMENT A. DIFFORMITÉS TÉRATOLOGIQUE
nt plus fréquents que les mains-botes et sont dus très souvent à un trouble de développement, du squelette : nous y reviend
t héréditaires; ils sont blancs, durs, accompagnés souvent d'autres troubles trophiques et doivent être rappro- chés de cert
ies pathogéniques ayant été émises), on peut dire qu'il s'agit d'un trouble du développement : à cet égard, ce pied-hot aur
ATTITUDES VICIEUSES. 1049 quemment d'autres malformations et de troubles du développement; mais les muscles de la jambe
d'impotence, ou seulement d'une impotence modérée; il n'y a pas de troubles trophiques ou vaso-moteurs. La, variété de beau
mais se reproduit aussitôt, et l'impotence est grande. Il y a des troubles trophiques et vaso-moteurs de la jambe et du pied
impossibles dans les pieds-bots paralytiques ou spasmodiques ; les troubles vaso-moteurs et trophiques peuvent faire leur a
érieurs et du.pied-hot; cette paralysie s'accompagne fréquemment de troubles . sensitifs et trophiques et d'incontinence des
e du triceps sural, exceptionnellement en talus varus; il y a des troubles trophiques et vasomoteurs très accusés, un arrê
ariétés la rigidité spasmodique est étendue aux quatre membres. Des troubles intellectuels prononces, idiotie, imbécillité,
ture envahit souvent secondairement les membres supé- rieurs et les troubles intellectuels ne sont pas rares. Dans tous ces ca
dduction forcée, les genoux se touchent et souvent se croisent. Les troubles trophiques et vaso-moteurs sont presque toujours
sont la cypho-scotiose dorsale, la céphalée, et, chez la femme, les troubles de la menstruation. La face pré- sente un aspec
e syndrome des tumeurs cérébrales. Les crises épilepti- formes, les troubles visuels sont remarquablement fréquents (tumeurs
ul. Cette hypertrophie est irrégulière; il coexiste d'ordinaire des troubles trophiques variables. Traitement. Nous en diron
mme normal. Le raccourcissement de la taille dépend uniquement d'un trouble téralologique des membres inférieurs désigné so
, pour être clair et suffisamment complet . à quelques redites. ' Troubles de la motilité. Ils sont nombreux et leur étiolog
out particulièrement chez les épileptiques et les criminels. , .. Troubles du langage ? Signalons toute la gamme des trouble
criminels. , .. Troubles du langage ? Signalons toute la gamme des troubles de la parole : mutité, balbutiement, nasonnemen
te appréciation de ces stigmates, de là culture du sujet examiné. Troubles sensoriels. Surdi-mutité, hyperacousie. Astigmati
arler, ou d'un défaut d'éducation ? Le milieu dictera la réponse. Troubles sensitifs. Anesthésie. llypoesthésie, hyperesthés
cette mutilation. Viciations de l'aptitude sociale. La plupart des troubles précé- dents ne facilitent guère les relations
on de 45 jours, est apparue la roséole et quelquefois un cortège de troubles secondaires : céphalée nocturne, iritis, érupti
e d'urine par hérédo- syphilis. Nous ne nous arrêterons pas sur les troubles des réflexes pupil- laires déjà décrits dans la
exes pupil- laires déjà décrits dans la syphilis acquise ni sur les troubles des réflexes rotuliens. L hérédo-syphitis peut
te ou incomplète de la chaîne des osselets; enfin la persistance de troubles auditifs. Ces troubles sont caractérisés par
aîne des osselets; enfin la persistance de troubles auditifs. Ces troubles sont caractérisés par leur brusquerie d'apparitio
ur progression rapide et leur intensité habituelle. Quelquefois ces troubles auditifs aboutissent il la surdi-mutité. Stig
vant E. Fournier, des stigmates rudimentaires. Un certain nombre de troubles fonctionnels sont en rapport avec ces stigmates
agité, il retombe plus vite et mouille moins que l'eau. Il devient trouble ou purulent dans les méningites cérébro-spinale
de céphalo-rachi- dien lui donne une coloration inégale d'un aspect trouble . Au microscope, les globules rouges sont intact
traire, la même réaction chez les paralytiques généraux provoque un trouble très prononcé. Cette recher- che avait été l'ai
eur était normal dans les cas bénins; dans les cas graves, il était trouble , albumineux teinté, présentait au début une lég
le cas de lymphocytose arachnoïdienne avec mydriase paralytique et troubles de la sensibilité d'Achard et Grenet (Société de
certains hérédo-syphili- tiques et l'a toujours trouvée liée à des troubles nerveux. 2° Cyto-diagnostic dans la syphilis, s
timètres cubes pour obtenir un résultat. Ponction lombaire dans les troubles auriculaires. Babinski a remarqué que le vertig
nce à ce vertige wllaïdue. Les variations de ce vertige suivant les troubles auriculaires ont amené Babinski il rechercher s
ponction lombaire qui influe sur le vertige influait aussi sur les troubles auriculaires. Il a pu obtenir des améliora- lio
u des bruits subjectifs. Ponction lombaire thérapeutique dans les troubles psychiques et l'hydrocéphalie. Groler, et quelq
s accidents, a été remplacée par la stovaïne. et, d'autre part, les troubles consécutifs à l'injection, qui étaient dus pour
as modifiée. Les sphincters sont presque toujours intacts et, comme troubles vaso- moteurs, on ne peut que signaler les sync
les éléments négatifs essentiels. A maintes reprises, on a noté des troubles de l'équilibre et de la marche qui devenait ébr
ème paire (Mocquin), le nystagmus (Parkes-Weber). Contrairement aux troubles cérébraux, ils paraissent résulter indifféremment
parésie masticatrice ou faciale et surtout la surdité avec ou sans troubles labyrinthiques engendrée par les altérations de l
coup plus significatifs. Au premier rang, il convient de placer les troubles de la respiration et du pouls qui ne font pour
l'ab- sence habituelle de constipation, de rétraction du ventre, de troubles vaso-moteurs. L'absence d'éruptions cutanées n'
re et les convulsions sont plus inconstantes, mais le délire et les troubles bulbaires sont plus fréquents, révolution un peu
SYNDROMES VENTRICULAIRES. 1 157 î sieurs mois durant laquelle les troubles visuels furent seuls il persister. La mort, fut
vulsions oculaires et suivis de cyanose, d'arrêts respiratoires, de troubles du pouls qui devenait petit et rapide. La dif
bien décrite par Loepcr, dans laquelle font complètement défaut les troubles moteurs convulsifs ou paralytiques et la stase pa
méningitique par sa durée, plus longue, l'absence de paralysies, de troubles vaso- moteurs,, de température, du coma apoplec
DE L'AQUEDUC DU SYLVIUS ET DU 4' VENTRICULE Les symptômes sont les troubles pedoncutaircs, protubérantiels et bulbaires que
mment signalés. Nous sommes donc en droit de penser que si certains troubles lml- baires proviennent d'altérations nucléaire
1" Dans le premier cas la radiographie permet d'affirmer que les troubles cérébraux qui auront pu se produire sont dus soit
n d'un contrôle radiographique. Il nous faut dire un mot encore des troubles traumatiques tardifs, ceux-ci particulièrement
ent sur les os du crâne ou du rachis. f Enfin parfois il s'agira de troubles cérébraux ou médullaires, dépen- dant bien réel
ires, dépen- dant bien réellement du traumatisme préalable. ' ? Les troubles cérébraux, et tout spécialement les crises d'épil
Marie et Astie. Elles nous paraissent avoir même pathogénie que les troubles cérébraux post-trauma1.iques tardifs, à savoir
es semblent être d'ordinaire un mélange en proportions variables de troubles trophiques dus les uns il des lésions médullair
a plupart même semblent être dues il des auto-intoxications, que le trouble trophique résulte des déchets toxiques de la nu
ses courtes, des points d'ossili- cation à apparition tardive ; ces troubles sont précocement décelables par les rayons de R
temps que la disparition de la tumeur, une paraplégie complète avec troubles sphinctériens bientôt suivie de mort, sans que l'
loureuse disparaissent avant l'anesthésie thermique (Beaujard), les troubles de la motricité rétrocèdent et les muscles récupè
aires jusqu'aux mouvements fins de l'écriture ou de la couture, les troubles trophiques eux-mêmes rétrocèdent, (panaris, sco-
chez un homme de 29 ans une amélioration notable de la plupart des troubles de la motilité, le tremblement des membres supé
. LÉRI ] 1188 Q8 ' . RACIOLOGIE, . leur disparition complète, les troubles paraplégiques . s'atténuent aussi. Les douleurs
de Béclère, âgée de 16 ans, atteinte de gigantisme avec céphalée et troubles visuels graves, récupéra partiellement la visio
neurasthénie et l'hystérie, alors même qu'elles donnent lieu à des troubles moteurs plus ou moins accentués. Il en est de mêm
lexes d'origine articu- laire ou on n'observe pas la DR. Dans les troubles moteurs des névroses, hystérie, neurasthénie, cho
ions quantitatives, sans DU, indi- quent des lésions légères ou des troubles passagers, disparaissant assez rapidement et ne
de se rappeler, quand on recherche la réaction myotonique, que les troubles de l'excitabilité électrique et mécanique, ainsi
de l'excitabilité électrique et mécanique, ainsi que d'ailleurs les troubles de la motilité volontaire, ne sont pas toujours
il a décrits sous le nom de myotonie acquise, présentant les mêmes troubles de la motilité volontaire que la maladie de Tho
ou moins avancée de la vie et aussi par leur curabilité. Dans des troubles de l'appareil musculaire décrits par Schllltzc so
tée chez deux hystériques et E. Remak chez un malade présentant des troubles des mouvements et de l'atrophie musculaire probab
ASTHÉNIQUE Sous le nom de réaction myasthénique Jolly a signalé des troubles de l'excitabilité électrique observés dans un g
re d'affections qu'il a appelées myasthénie pseudo-paralytique. Ces troubles ont été rencontrés dans les affections particul
on bulbaire sont généralement plus spécialement atteints; les mêmes troubles peuvent exister aussi et parfois même prédomine
·1. Il ne faudrait pas prendre pour de la réaction myasthénique des troubles de l'excitabilité électrique qu'on observe parf
lieu d'exciter un nerf on excite un muscle, on constate parfois des troubles semblables de l'excitabilité électrique. En se
fficace. Dans ces cas, on diminue ou l'on fait même disparaître les troubles observés en modifiant convenablement les conditio
u courant excitateur, on peut voir encore diminuer ou disparaître les troubles dont il s'agit. NERFS SENSITIFS ET SENSORIELS
e nor- male ou si elle se trouve augmentée ou diminuée. Lorsque les troubles portent sur un seul côté du corps l'examen est
tte comparaison, de l'état de la résistance électrique. Lorsque les troubles de la sensibilité portent sur les deux côtés du c
olologique a montré que l'oreille doit être malade, soit de simples troubles fonctionnels comme dans la surdité hystérique,
augmenta- tion de la résistance n'est pas constante, même avec des troubles vaso- moteurs accentués. Dans la poliomyélite
ales. Sous l'inlluence de l'inaction fonctionnelle d'une part et de troubles trophiques d'autre part, on voit assez souvent
alvanique, et on commence par le courant galvanique continu. Si les troubles paralytiques sont assez étendus sur ! un des memb
ssant passer de 3 it 5 minutes dans chaque direction. Lorsque les troubles paralytiques sont moins diffus et se montrent pré
ppelé quelquefois tardivement à traiter lés atrophies muscu- et les troubles moteurs laissés par des poliomyélites, qui n'ont
le on voit parfois se produire des complications occa- sionnant des troubles moteurs qui ressemblent beaucoup à ceux de la p
yélites antérieures aiguës. Dans ces poly- névrites, cependant, les troubles sensitifs. tels que douleurs sur le trajet · [E
s motrices des cornes antérieures. Dans certaines polynévrites, les troubles sensitifs, sensations d'engour- dissement, de f
anesthésies, etc., prennent une assez grande importance, il côté de troubles moteurs assez prononcés aussi parfois, plus eff
la colonne vertébrale et l'autre sur les parties des membres où les troubles moteurs et sensitifs sont prédominants; le bain é
sultats paraissent avoir été assez favo- rables, davantage pour les troubles trophiques et sensitifs que pour les troubles n
s, davantage pour les troubles trophiques et sensitifs que pour les troubles neuro-moteurs; l'état de spasmodicité, lorsqu'il
ion réflexe portant sur les centres médul- laires et entraînant des troubles dans la trophicité des muscles. L'électrt- sati
il y a lieu de prendre aussi en considération le traitement de ces troubles de la sphère motrice. Pendant la période aiguë
ons symptomatiques très atténuées, tandis que d'autres montrent des troubles sensitifs et moteurs plus ou moins prononcés el
ant, il leur appliquer le traitement déjà indiqué'. Contre certains troubles trophiques, les maux perforants en particu- lie
haute tension. L'électrisation peut être employée aussi contre les troubles vésicaux. rétention ou incontinence d'urine. Le
Nous avons déjà parlé de cette affection à propos du traitement des troubles qu'elle entraîne par lésions des neurones moteu
elle entraîne par lésions des neurones moteurs périphériques. Les troubles dus aux lésions des neurones sensilifs, qu'il s'a
issociation syringomyélique de la sensibilité, ou qu'il s'agisse de troubles subjectifs et de crises douloureuses parfois tr
rès des applications électriques mal appropriées; on a vu aussi des troubles hystériques disparaître sur des régions trop él
applications qui varient suivant l'étal des malades et suivant les troubles prédominants; contre les algies on dispose du sou
la friction électrique peuvent donner de bons résultats. Contre les troubles gastro-intestinaux, l'anorexie et la constipation
gros intestin; en cas de dépression plus ou moins généralisée ou de troubles parétiques on peut aussi recourir à l'ei'lluvatio
nsion avec le pinceau ou le rouleau métallique. ' S'il existe des troubles cardiaques, tachycardie, palpitations, mani- fe
e, courant de 5 10 ni. A. pendant 10 à 20 minutes. Dans le cas de troubles dyspeptiques, avec ou sans distension ou dila-
ongtemps comme une maladie nerveuse que l'on rapportait soit il des troubles bulbaires, soit il des troubles dans les foncti
use que l'on rapportait soit il des troubles bulbaires, soit il des troubles dans les fonctions du grand sympathique. Actuelle
ns du grand sympathique. Actuelle- ment on le rapporte plutôt à des troubles dans les fonctions du corps thyroïde retentissa
and sympathique. On rapporte quelquefois aussi celle maladie il des troubles dans les fonctions des glandes parathyroï- dien
uscles produit chez des personnes prédisposées à la névropathie des troubles fonctionnels se manifestant surtout sous la for
anifestant surtout sous la forme de spasmes et de contractures. Ces troubles se développent plus particulièrement à l'occasi
euristes, des pianistes, des violonistes, des dan- seuses, etc. Ces troubles sont souvent graves en ce sens qu'ils entravent
ins étendues, gangrènes symétriques des extrémités. Le siège de ces troubles est le plus habituellement les doigts et les orte
ons, infections, maladies nerveuses ou de la nutrition. Parfois ces troubles précèdent ou accom- pagnent la sclérodermie.
re, suivant les indications de Nothnagel, placer dans le cas où les troubles portent sur les membres supérieurs le pôle négati
lotions froides dans les maladies infectieuses avec lièvre, délire, troubles ataxo-adynann- ques, principalement, dans les f
t cet état morbide est symptomatique d'une lésion organique ou d'un trouble fonctionnel viscéral. On a coutume de conseille
ouches locales périnéales sont utiles aux tahetiqnes présentant des troubles vésicaux. J'ajouterai, pour terminer, que le in
ans de grandes quantités de liquide que l'on renouvelle quand il se trouble , puis ils sont lavés à l'eau distillée et conserv
centrales, 575, 585. et névral- gies, 580. Aliénés. Examen, 228. Troubles du , langage, 250. Troubles de la mi- mique,
l- gies, 580. Aliénés. Examen, 228. Troubles du , langage, 250. Troubles de la mi- mique, 252. Actes, 252. Dé- mences,
l, 181. étiologique, 184. Traite- ment, 187. Appareil digestif. Troubles nerveux, 977. Séméiologie des voies digestives
e de l'intestin et du péritoine, 997. Syndromes as- sociés, 1000. Troubles psychiques, 1001. Thérapeutique, 1008. Appare
Troubles psychiques, 1001. Thérapeutique, 1008. Appareil génital, troubles . Priapisme, 968. Spermatorrée, 969. Dysper- m
per- matisme, 972. Onanisme, 975. Im- puissance, 974. oculaire, troubles nerveux, '1.. - Troubles sensilifs, I'15. uri
me, 975. Im- puissance, 974. oculaire, troubles nerveux, '1.. - Troubles sensilifs, I'15. urinaire, troubles de la sensi
ire, troubles nerveux, '1.. - Troubles sensilifs, I'15. urinaire, troubles de la sensibilité, 945. Troubles de la contract
ubles sensilifs, I'15. urinaire, troubles de la sensibilité, 945. Troubles de la contractilité, 950. Infeclions urinaires,
5. tabéliques. Radiodiagnostic, , 117 ! 4. Articulation des mots, troubles , 198. Articulations, lésions, atrophie muscu-
95. double, 872. Mouvements involontaires, rigi- dité musculaire, troubles intellectuels, 875. Mouvements de la main, 1041
z Hi7, 17 1, 504. 1580 INDEX ALPHABÉTIQUE. Bouche. Examen, 976. Troubles de la sensibilité, 977. Bourdonnements d'orei
C4. Cerveau (Lésions du -) vertiges. 1 Li ! ). (Affections du -). Troubles de la sensibilité, 505. Ataxie cérébrale, 165
59. des adultes, 860. hystérique, sn 1. variable, 861. Chorées. Troubles de la sensibilité objec- tive, 556. Description
ue, 1026. Daltonisme, 118. Débilité mentale, 269. ' Défécation. Troubles révélant un état mental, 998. Défense (Idées
- tion de dégénérescence, Réactions élec- triques. Déglutition, troubles , 983. Délires, Voy. Idées délirantes. lllrila-
coulement prolongé de liquide céphalo- rachidien, 1144. Écriture, troubles . L' - est impossible, 205.-L'-est POSSIBLE, mai
ubles. L' - est impossible, 205.-L'-est POSSIBLE, maisincorrecte. Troubles calligraphiques élémentaires,. 205. Troublespsy
calligraphiques élémentaires,. 205. Troublespsychographiques,207. troubles chez les aliénés, '25l. Examen dans l'aphasie.
innervation, physio- logie, 586. , Encéphale (Affections del'-). Troubles de la sensibilité, 505. radiothérapie, 1188.
vius et du 1V° ven- tricule, 1159. médullaires, l 159. Épilepsie, troubles de la sensibilité objec- tive, 550. Crises conv
Estomac. Séméiologie. Crises paroxystiques avec vomissement, 989. Troubles de la motricité et de la sensibilité, 996. Ex
07. Modification de la sécrétion lacry- male, paralysies oculaires, troubles de la vue, 108. Exostoses M/<'ofyc<H'&l
l 57. Fuchsine. Coloration de de Van Gieson, 1557. G Gangrène trouble trophique, J l 0. sénile. Topographie segmentai
ène trouble trophique, J l 0. sénile. Topographie segmentaire des troubles de la sensibilité, 551. - sénile des orteils, 1
phtalmique. Exophtalmie, 107. " - Signes oculaires, 107, 108. - A Troubles de la sensibilité objective, 550. m - Trembleme
avec flexion des premières phalanges, 1058. H Hallucinations et troubles auditifs, 146. - périphériques ou centrales, z
r séméiologique, 240. Hématémèses nerveuses, 99). z Hématomyélie, troubles de la sensibilité à topographie radiculaire, 55
Ke, d'origine névropalhi- que, 474. . organique. Radiographie des troubles trophiques osseux, 1175. Hémispasme facial al
les lésions dé l'oreille, 145. Hyperidrose, 958. Hyperkératose, trouble trophique. si 1 ). Hypérosmie, 'j.8. ' Hypers
, 909. -Valeur séméiologique, - 11'1'1. Hypnose, 191. Hystérie, troubles de la sensibilité. Anesthésies, JJ2. - Hyperesl
aitement élec- trique, 1525. Voy. aussi Amblyopies. 1 Ichtyose, trouble trophique, 915. Ictères chroniques. Liquide cép
. Exagéra- tion des mouvements hors du contrôle de la vue, 754. - Troubles de la mar- che, 755. - Membres supérieurs, 757.
c, tète et face, 758. - cérébelleuse, 753, 766. - Pas de Romberg, trouble de la composition des mouvements complexes, tro
s de Romberg, trouble de la composition des mouvements complexes, trouble de l'équilibre, 766. - Titubation cérébel- le
logie, 555. Intestin. Séméiologie. Paroxysmes dou- lourez, 997. - Troubles de l'éva- cuation intestinale, 997. - Syndromes
e l'éva- cuation intestinale, 997. - Syndromes asssociés, 1000. - Troubles psychiques, 1001. - Thérapeutique. l00(i. * I
drome de ). 505. Langage oral. Yoy, Parole. Langue. Examen, on. - Troubles de la sensibilité, 978. Troubles de la mo- ti
y, Parole. Langue. Examen, on. - Troubles de la sensibilité, 978. Troubles de la mo- tilité, 979. Traitement électrique
Ancsthesie, 040. llypoesthésie. l'a- reslhésies, 1141. Névralgies. Troubles réflexes, 642. Paralysies. Hémiplé- gie corti
la glotte des nour- rissons. Toux nerveuse. Vertige laryngé. 655. Troubles laryngés dans les névroses, 11J r4. - Slt : mne
naissance des dessins, 215. Lèpre. Topographie paraplégique des troubles de la sensibilité, 549. Topo- graphie segmentai
1. Atrophie, type Duchenne-Aran, 704. Atrophie mus- culaire, 722. troubles trophiques, 925, ! 12ü. - )Iutila tion des pied
phiques, 925, ! 12ü. - )Iutila tion des pieds, 1047. Leucodermie, trouble trophique, 9)5. Leyden (Vomissement périodique
ranl buccal, 92L 977. - perforant plantaire, 925, 1047. Marche. Troubles ataxo-spasmodiques, W2. - Démarches sautillante
xo-spasmodiques, W2. - Démarches sautillantes, a petits pas, 495. Troubles par con- tracture on rigidité, 494. - dans le
ues terminales, coloration de Ra- mon y Cajal, 1570. Mastication, troubles , 985. Mégalodactylie, 1015, 1045. Membres. Me
sme, lll00. Métamérie spinale, 554. - Topographie segmentaire des troubles de la sensi- bilité, 550. Métatarsalgie, 597.
men dans l'aphasie. - conventionnelle, 214. - descriptive, 214. - Troubles chez les aliénés, 252. Moelle (Affections de la
214. - Troubles chez les aliénés, 252. Moelle (Affections de la ). Troubles de la sensibilité, 31 ;1. - (Tumeurs de la -
868. (Main de -), 1029. Motilité. Examen de l'aphasie, 215. - ( Troubles de la -). ). Hémiplégie, 462. - Paraplégie, 486
ralgie, 595. - oculo- gyres, 78. - périphériques (Lésions des -). Troubles de la sensibilité, 547. - Causes. Caractères, 5
ndaires, 719. de type Aran-Duchenne, 706. - Radio- diagnostic des troubles trophiques os- seux, 1175. - Réaction de dégéné
966. ' Névroses, phénomènes auriculaires, 128. - vertiges,. 171. troubles de la sen- sibilité, 3552. - troubles laryngés,
res, 128. - vertiges,. 171. troubles de la sen- sibilité, 3552. - troubles laryngés, 654. incoordination, 781. traitement
652. 11'a1l111ati- ques, tremblement, 847. Nez, maladies, 147. - Troubles de l'odo- rat, 148. - Troubles nerveux consé-
lement, 847. Nez, maladies, 147. - Troubles de l'odo- rat, 148. - Troubles nerveux consé- cutifs aux maladies du nez, 150.
. - Occipito-frontal.- Innervation, physiolo- gie, 582. Odorat, troubles . Ilyperosmie, anosmie, 148. - Parosmie, 150. -
46. OEil (Technique de l'examen du système nerveux de 1' -), 2. - Troubles des milieux transparents, '15. Insuffisance d
a- tion de la motilité intrinsèque, 22. (Valeur séméiologique des troubles ner- veux de V 3a. Phénomènes douloureux, ane
les affections oculaires, 1l ! 0. OEsophage, 985. - Spasmes, z Troubles de la sensibilité, 987. sophagisme, traitement
oïdien. Innervation, physiologie, 558. ' Onanisme, 975. Ongles. Troubles trophiques, 927. Ophtalmie sympathique, 955.
¡¡. - Maladies de l'oreille interne et du nerf acoustique, 132. - Troubles nerveux déterminés par les lésions de l'oreille
- Trou- bles nerveux d'origine otique sans lé- sions organiques. Troubles réflexes, 142. Troubles psychiques, 145. inte
origine otique sans lé- sions organiques. Troubles réflexes, 142. Troubles psychiques, 145. interne, maladies, 152. Troubl
réflexes, 142. Troubles psychiques, 145. interne, maladies, 152. Troubles circulatoires, 155. - Inflammations, syphilis
l'OEUIIOI.. Otites. Complicationsintracraniennes, 1 ! il . Ouïe. ( Troubles de l' -). ). Hyperacousie, 129. - Hypoacousie e
Paralysie par lésion des centres et voies supra-nucléaires, 77. - Troubles moteurs oculaires associés. Dé- viations conjug
rachidienne, 495. - avec démarche ataxo-spasmodique, 498. - avec troubles sphinctériens et trophi- ques, 499. - Maladies
641. Parkinson (Maladie de). Voy. Paralysie agitante. ? Parole, troubles . Toute conversation est impossible avec le mala
conversation est possirle, mais le langage du malade est troublé; troubles delà phonation et de l'articula- tion, l 98. -
troublé; troubles delà phonation et de l'articula- tion, l 98. - Troubles du débit, 202. Variations du timbre, 205. - Tro
tion, l 98. - Troubles du débit, 202. Variations du timbre, 205. - Troubles constitutifs de la formation des, mots ou des
dans l'aphasie. Parole spontanée, 211. - ré- pétée, chant, 212. - Troubles chez les aliénés, 251. - Chez les idiots, 266.
les idiots, 266. Parosmie, 150. - ' Paupières, exploration, 32. - Troubles de la motilité, 98. - Paralysie du rele- veut
ulaire, 146. - de l'insomnie, '195 ? digestives, 1006. Phonation, troubles , 198. Pick (Apraxie idéatoire de -), 225. Pic
éatoire de -), 225. Picro-carmin. Voy. Carmin. Pied. Séméiologie. TROUBLES du D1`ELOP- PEMENT. Difformités tératologiques,
us douloureux, 1057. - tabétiques, 724, 1045, 1055. Pigmentation, troubles , 915. Plantaire grêle. Innervation, physiologie
oy. Nerf pnewno- gastrique. ' 1596 INDEX ALPHABÉTIQUE. Poils. Troubles trophiques, 927. Poliencéphalite inférieure chr
141. Dans les comas, céphalées, tumeurs cérébrales, z. - Dans les troubles auriculaires, dans les traumatismes crâniens et
érapie des compressions mé- dullaires, 1187. Pression artérielle, troubles , 95J. Priapisme, 968. - Traitement, 969. Prog
. Psychiatrie. Séméiologie psychiatrique, 228. Psychiques. Voy. Troubles psychiques. Psychoses et maladies de l'oreille,
oy. Troubles psychiques. Psychoses et maladies de l'oreille, 146. Troubles de la sensibilité objective, 558. Ptérygoïdien
s, 89. - Inégalité pupillaire, 90. - Mo- bilité pupillaire, 91. - Troubles ré- flexes, 91. Pyélite, 900. - Pyélonéphrite
de distribu- tion cutanée, 525, 524, 524. - (Affec- lions des -), troubles de la sensibilité, 556. - Lésions et compressio
l'occlusion des paupières, 50, 95. d'origine psychique, 51, 95. - Troubles . Perte du réflexe lumineux, 91. - Réflexe conse
igine cutanée, , 455. ? Réflexes. Nature et localisation, 457. ( Troubles des.-), 427.- Réflexes ten- : . dineux, . 427. Jf
a résistance dans les états pa- thologiques, 1285. - Respiration, troubles , 940. Rétentions d'urine, étiologie, 950. - R
, 1514. - Sclérodactylie, troublés trophiques, 914. Sclérodermie, troubles trophiques, 914. et sclérodactylie, 1050, 1047.
- pour les cou- leurs, 7. - insulaires, 58. Sécrétion lacrymale, troubles . Hypersé- crétion, 113. - Hyposécrétion, sécré-
on, 113. - Hyposécrétion, sécré- tions anormales, 114. sud orale, troubles , 98. Sénilisme, ·190. ' Sensations internes,
Agnosie et asymbolie, 501. - Rapport de l'astéréoagnosie avec les troubles de la sensibilité périphé- rique, 302. - Recher
sensitives. Yoy. Voies seusilioes. - musculaire, 290. objective, troubles . Technique de leur recherche, 281. - Sensibilit
i- cielles, 282. - Sensibilités profondes, 290. - Topographie des troubles objec- tifs de la sensibilité, 504. - Troubles
0. - Topographie des troubles objec- tifs de la sensibilité, 504. - Troubles dans les affections du système nerveux, 0 . -
oire, 294. - ]te- cherche, 295. - Séméiologie, 29û. - subjective, troubles . Recherche, 562. - Douleurs, 36 ? Dysesthésies,
pathologique, 970. - Itiagnos- tic. Traitement, 971. Sphincters, troubles , 999. Spina leprosa, 1020. - ventosa. Défor-
</i/e,radiodiagnostic, 1175. - radiothérapie, 1188. Squelette. Troubles trophiques. Hyper- trophie, 928. - Atrophies et
s, I U 1 (i. - héréditaire, 1107. Recherche, 1108. Syringomyélie. Troubles de la sensibilité à topographie radiculaire, 55
Tenseur du fascia lala. Innervation, phy- siologie, 542. Tétanie. Troubles de la sensibilité objec- tive, 556. - signes, 9
pographie cérébrale, 592. cranio- cérébrale, 597. - insulaire des troubles de la sensibilité dans les affections des nerfs
ns l'hystérie, 355. - médullaire motrice, 598. - nwnopleyique des troubles de la sen- sibililé, 549. - paraplégique des
leyique des troubles de la sen- sibililé, 549. - paraplégique des troubles de la sensibilité par lésions des nerfs, 549. -
erfs, 549. - périphérique des trou- bles de la motilité, 625. - des troubles de la sensibilité, 548. - radiculaire des tro
té, 625. - des troubles de la sensibilité, 548. - radiculaire des troubles sensitifs dans les affections médullaires, 319.
tion cutanée, 520. Plexus brachial, 521. Valeur séméiologique des troubles sensitifs à z, 522. - Racines spinales, innerva
25, 599. INDEX ALPHABÉTIQUE. 1401 l Topographie segmentaire des troubles de la sensibilité dans les affections des ner
cique. Ceinture pelvienne. Ceinture scapulaire, 1077. Trophicité. Troubles trophiques, 'J12. - Altérations du tégument, 91
des phanères, 026. - Hypertrophie et atrophie du squelette, 928. - Troubles trophiques des articulations, 930.- des muscl
des sens, 955. Trophoedème de Meige, z membres inférieurs, zig. Troubles de la motilité d'origine radicu- )aire, 6)1. to
rophie mus- culaire, 725. Tumeurs bullaires, 805. - cérébrales, troubles oculaires, 121, 12a. - lésions de l'oreille, '1
2. gies, 509. Tremblement, 842. Viscéralgies, 5 in. - Viscères. Troubles des sensibilités viscé- rales, 558. - (Affectio
ère, 9. Per- sistance dans l'hémianopsie, 47. (les couleurs, 7. - troubles . Cécité congéni- tale pour les couleurs, 118. T
uleurs, 7. - troubles. Cécité congéni- tale pour les couleurs, 118. Troubles acquis de la vision des couleurs, 119. - péri
3 (1913) Exposé des travaux scientifiques
PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE « La fibre musculaire, : 1 la suite de ces troubles d'innervation ou de nutrition, reprend, en sens
riques, on est amené à recon- naître : i° que le poison diphtérique trouble profondément le fonction- nement du nerf avant
la méthode de Barany, en même temps qu'elle provoque du nystagmus, trouble le vertige voltaïque comme le font parfois les
t prolongé RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES CUTANÉS 21 augmente les troubles provoqués par la destruction du labyrinthe (inc
ie, j'en ferai l'exposé au cha- pitre consacré à la description des troubles de la réflectivité (voir pp. 27 et 37). 22 II
rt à cause de la fréquence des affections capables d'y apporter des troubles et de la valeur des renseignements que fournit
ET RÉFLEXES OSSEUX 31 a de la surréllectivité lorsqu'il existe des troubles fonctionnels unilaté- raux. Il va sans dire qu'
anifestement de tabes caractérisé par des douleurs fulgurantes, des troubles vésicaux, le signe de Robertson, l'absence bila
cutané plantaire était normal et le côté gauche ne présentait aucun trouble de motilité. ' « J'ai également observé le si
érit rapidement et, quarante-huit heures environ après le début des troubles morbides, le réflexe cutané plantaire était rede-
ant puisqu'il révélera dans le système pyramidal l'exis- tence d'un trouble qui, sans ce signe, aurait pu être méconnu. « A
tion de l'idée que le phénomène des orteils est en relation avec un trouble dans le fonctionnement du système pyra- midal.
e plusieurs sujets présentant le signe d'Argyll et n'ayant, sauf ce trouble , aucun symptôme d'affection organique du systèm
l'appui de l'idée que nous avions émise sur les relations entre les troubles pupillaires et la syphilis (75). Nous arrivions
tabes et à la paralysie générale. Nous fai- sions ressortir que ce trouble , n'apportant aucune gêne dans la vision, n'est
grande, car il décèle l'existence d'un état souvent précur- seur de troubles fort graves et constitue une indication thérapeut
ntensif... ». Dufour, dans un mémoire sur « les relations entre les troubles pupillaires, la syphilis et certaines maladies
« En raison del'imporlance fondamentale qui s'attache à l'étude des troubles pupillaires, j'estime qu'on ne saurait trop cherc
à la lumière. Je dirai encore, pour compléter la description de ce trouble , que les pupilles de cette malade réagissent à
d'une véritable abolition du réflexe des pupilles à la lumière, le trouble subsiste quelle que soit l'inten- sité de la so
orce le réflexe à la lumière, je renvoie le lecteur à la page 22. TROUBLES DE LA CONTRACTILITÉ ÉLECTRIQUE Excitabilité far
les résultats furent très bons » (G. Guillain, in « Médication des troubles de la motilité », p. 408, chez .1.-B. Baillière
ions des nerfs sont primitives, qu'elles sont l'origine de tous les troubles symptomatiques observés et que le système nerveux
leur action pathogène sur d'autres systèmes ana- toriques ; que les troubles fonctionnels qu'ils occasionnent sont cau- sés
nce musculaire ne s'accompagnant pas de douleurs, dans celle-là les troubles occupent le bras, se manifestent par des douleu
j'ai pu tirer parti de son absence et montrer qu'il s'agit là d'un trouble très fré- quent dans le tabes (50,78). J'ai mêm
us ces malades, sauf dans 92 AFFECTIONS DU LA MOELLE un cas où le trouble n'était qu'unilatéral. Or, dans 8 de ces observat
oup de sujets. Ordinairement, ainsi que,je l'ai fait ressortir, les troubles suivent une marche ascendante, le réflexe d'exten
es qu'on observe chez les tabétiques ne sont pas nécessairement des troubles trophiques liés aux altérations nerveuses du tabè
aractères appartenant aux lésions articulaires de l'ataxie, soit un trouble trophique dépendant des altérations nerveuses d
te qu'à la suite d'un traitement par le sous-nitrate de bismuth les troubles disparurent. Il est infiniment probable que, malg
rées par des intervalles de santé parfaite (pas de douleurs, pas de troubles dyspepti- ques) et, à aucun moment, le malade n
rme de pseudo-tabes (Névrite optique rétro- bulbaire infectieuse et troubles dans les réflexes tendineux). Ce travail est fo
re établie au moyen des caractères suivants. i° Tandis que dans les troubles pupillaires propres au tabes, quand ils sont un
re. 3° Enfin, l'évolution de l'affection, l'atténuation notable des troubles visuels sont en opposition avec le diagnostic d
tral avec une dyschromatopsie semblable à celle du tabcs. et où les troubles oculaires sont bilatéraux et symétriques (62).
des ressemblances avec celui du tabes. Il est vraisemblable que ces troubles sont sous la dépendance d'une lésion des nerfs
rite destruc- tive (paralysie et anesthésie des membres inférieurs, troubles dans les fonctions de la vessie et du rectum, e
e de 62 ans chez laquelle s'étaient t installés progressivement des troubles de sensibilité consistant en douleurs et anesth
s troubles de sensibilité consistant en douleurs et anesthésie, des troubles vésicaux et une paraplégie crurale presque tota
L'examen histologique montra que c'était un fibro-sarcome. Tous les troubles régressèrent petit à petit à la suite de l'interv
e était un homme de 60 ans atteint aussi de paraplégie crurale avec troubles de sensibi- lité et troubles vésicaux. Comme da
teint aussi de paraplégie crurale avec troubles de sensibi- lité et troubles vésicaux. Comme dans le cas précédent, il fut pos
« En résumé, un sujet, après un grand traumatisme, est atteint de troubles de motilité qui occupent d'abord exclusivement le
thermo-anesthésie du côté opposé et à de la thermo-asymétrie ; les troubles de motilité envahissent ensuite tout le tronc,
du corps, et s'accompagnent d'une per- tmbation sphinctérienne. Les troubles de sensibilité disparaissent spontanément, mais
e. Les troubles de sensibilité disparaissent spontanément, mais les troubles de motilité s'accentuent progressi- vement... ?
robablement causée par une altération des racines motrices. « Les troubles de motilité, qui pendant six mois n'ont fait que
a été insolite par sa rapidité. Je ne me rappelle pas avoir vu des troubles de motilité, liés à une compression spinale et
a moelle, confor- mément à l'hypothèse qui avait été émise), où les troubles de moti- lité rétrocédèrent rapidement à la sui
rités que détruits. Mais déjà, dès le début, malgré l'intensité des troubles fonctionnels, et je dirais même en raison de l'
nels, et je dirais même en raison de l'intensité de certains de ces troubles , on pouvait sup- poser qu'il en était ainsi. C'
elui de la deuxième n'en contient presque plus. « D'autre part, les troubles fonctionnels ont diminué d'une manière très app
ce qui constitue une rareté. 3° Chez un malade qui, entre autres troubles , présentait des accès d'épilepsie jacksonienne
t autrefois que l'hémiplégie organique, à considérer uniquement les troubles de motilité qui la constituent, ne présente auc
ion du muscle du côté normal ; j'ai proposé d'appeler simplement ce trouble le signe du peaucier. Il peut exister aussi dan
elque temps seulement après le début de l'hémi- plégie, lorsque les troubles se sont atténués. Dans la première phase de l'h
uquel je renvoie le lecteur (p. 128). Parallélisme entre les divers troubles de la motilité volontaire. Considérons, par exe
s troubles de la motilité volontaire. Considérons, par exemple, les troubles de motilité à la face. Si les mouvements unilat
ident que ce parallé- lisme n'est pas parfait, chacun de ces divers troubles pouvant être HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 123 un peu
paralysie est « systématique » (34, 35, 38). Si l'on envisage les troubles de motilité du bras dans l'hémiplégie ou la monop
ci pourrait coïncider avec la conservation de ceux-là. Fixité des troubles de motilité. Il va sans dire que l'hémiplégie o
. Quand on considère, dans un laps de temps relativement court, les troubles de motilité de cette espèce, on est en droit de
du désordre. On conçoit ainsi la parenté qui peut exister entre les troubles cellulaires organiques et dynamiques. Il est im
équence, qu'une névrite périphérique en apparence peut dériver d'un trouble dynamique des centres nerveux. » Joffroy et A
ns à la manière d'un pendule. A l'état normal l'activité musculaire trouble presque toujours les mouvements passifs et les
volume, et c'est à cette compression qu'il y a lieu d'attribuer les troubles de motilité du côté droit. C. J'ai montré que
es altérations du nerf acoustique fréquentes en pareil cas, par des troubles du vertige voltaïque que j'ai fait connaître (v
non syphilitiques ; mais cette influence n'est que passagère et les troubles , après avoir rétrocédé, reparaissent. C'est là un
disparition de la cépha- lée, de la stase papillaire et des autres troubles que l'oedème cérébral avait provoqués, grâce à
xpériences de Flourens. Sauf le tremblement, la parole scandée, les troubles de l'écriture qui, du reste, ont été surtout ét
la titubation ébrieuse, des vertiges, du nystagmus. Certains de ces troubles sont peut-être même particuliers aux lésions ve
mplis spontanément. Mais c'est dans certains actes commandés que le trouble apparaît généralement avec le plus de netteté.
z et à le main- tenir à cette place, le cérébelleux qui présente ce trouble n'y parvient pas ; son doigt, après avoir suivi
e d'imaginer d'autres exercices permettant de mettre en évidence le trouble qui nous occupe. Pour bien constater cette pert
e la contraction musculaire. Je rappelle à ce propos que les divers troubles de motilité d'origine cérébelleuse peuvent se d
s il s'agit là d'un fait isolé et non d'une étude d'ensemble sur ce trouble . Du reste, cette observation, qui n'est parvenu
ui 140 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE les a bien étudiés, a donné à ce trouble la dénomination de « dysmé- trie ». Dans les ca
alentendu, j'ai pris soin, dès l'origine, de faire ressortir que ce trouble ne peut être considéré comme réalisé que lorsqu
mais plus prononcée à droite. Après extraction de la tumeur, tous les troubles , y compris l'adiadococinésie, régressèrent et d
len der nodicinischen Chirur- gie, Bd. XIX, S. igi, 1908) notent ce trouble chez un malade atteint de tumeur cérébelleuse.
un malade atteint -vraisemblablement d'atrophie cérébelleuse, où le trouble était très net au membre supérieur gauche. Max
du centre cortical de l'extrémité supérieure et qui résultent d'un trouble dans les réflexes des antagonistes. En première
qui d'ailleurs possède une vigueur musculaire normale et n'a pas de troubles de sensibilité. Après l'avoir fait mettre debou
é de flexion exécuté par la cuisse. On peut remédier en partie à ce trouble en pre- SYNDROME CÉRÉBELLEUX in nant le mal
tie aux dépens du cervelet. Ultérieurement, j'ai montré que les troubles asynergiques tels que je les avais observés aux
e, qu'elle soit bilatérale ou unilatérale, elle diffère de tous les troubles de locomotion déjà connus. Elle se dis- tingue
xie tabétique, cela doit être tout à fait exceptionnellement. Les troubles dont je viens de donner la description, ayant un
uvements élémentaires peuvent s'accom- plir. L'interprétation de ce trouble de déambulation me paraît donc légitime. Elle s
ion de l'hémisphère cérébelleux droit, décrivent avec précision les troubles asynergiques qui occupaient la jambe droite. Ra
roisement du pédoncule cérébel- leux au-dessous de ce noyau que les troubles de la motilité siégeaient du côté opposé à la l
r- ter le diagnostic d'affection labyrinthique. Gall mit alors ce trouble en parallèle avec un autre phénomène qui chez le
ent : il s'agit dans la marche, comme dans notre phénomène, du même trouble dans la coopération de deux ou plusieurs groupes
entrant en action à l'occasion d'un mouvement compliqué, donc d'un trouble de coordina- tion, ou comme Babinski l'a pertin
20). Il n'est pas nécessaire pour cela que l'incoordination et les troubles de sensibilité profonde soient très accusés. On c
de l'équilibre et que, d'autre part, les données classiques sur les troubles de l'équilibration dans les affections du cerve
tatés chez ce malade. Il fut pris, en pleine santé, de vertiges, de troubles graves de la motilité et d'une gêne dans la dég
en pratiqué quelques jours après le début de l'affection décèle les troubles suivants. On constate de l'hémiparésie à droite
bulbaire peut, sans atteindre la motilité volontaire, produire des troubles vaso-moteurs et thermiques à forme unilatérale
eurs et thermiques à forme unilatérale (118, 13o). A la vérité, ces troubles ne sont pas exceptionnels dans les allections d
-palpébral de Claude Bernard-Hutchinson. Dans un de ces cas, où les troubles avaient rapidement régressé, j'ai pu les faire
s engendrer de paralysie de la moti- lité volontaire, provoquer des troubles vaso-moteurs et thermiques à forme hémiplégique
les sont capa- bles d'engendrer une anesthésie caractérisée par des troubles de la sensi- AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULA
gomyélique. AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE Diagnostic. Troubles du vertige voltaïque. Depuis quelques années le
ent autrefois, alors qu'il reposait seulement sur l'appréciation de troubles fonctionnels. Aujourd'hui on le fonde princip
un courant semblable, de quelques secondes de durée, peut en cas de trouble labyrinthique provoquer des sensations anormale
REIL VESTIBULAIRE 169 dominent d'un côté, on observe communément un trouble que j'ai appelé « l'inclination unilatérale » e
que les divers phénomènes dont j'ai fait l'exposé expriment tous un trouble de l'appa- reil en question et que quelques-uns
rsqu'il s'agit de différencier une affection auriculaire vraie d'un trouble imaginaire ayant la suggestion pour cause ou enco
erçue, ou de dépister une lésion organique ne donnant lieu qu'à des troubles subjectifs insignifiants ; AFFECTIONS DE L'APPA
L VESTIBULAIRE 171 « 2° De différencier une lésion auriculaire d'un trouble psychique : dans le pre- mier cas seul, la form
ions sont conformes aux miennes. Après avoir fait remarquer que les troubles fonctionnels dus à une lésion de l'appareil sta
n qui permette de déterminer, d'une façon tout à fait objective, un trouble dans les fonctions statiques de l'ap- pareil la
ticulier ce fait important sur lequel j'ai insisté à savoir que les troubles du vertige voltaïque peuvent déce- ler l'existe
velle. Ce mode d'examen a été appliqué par Stein à la recherche des troubles « spon- tanés », à celle des troubles « provoqu
par Stein à la recherche des troubles « spon- tanés », à celle des troubles « provoqués » par Barany, Buys, Gèze. Nous avon
Buys, Gèze. Nous avons imaginé un procédé permettant de rendre ces troubles encore plus apparents. Il consiste à faire exéc
e, à chaque trajet, s'additionnent ainsi. De plus, dans l'étude des troubles provoqués, nous avons employé, AFFECTIONS DE L'
encore à l'étude, je me contente de les signaler. Traitement. Les troubles liés aux lésions labyrinthiques sont susceptibles
onction lombaire ne serait pas capable d'agir favorablement sur des troubles ayant des lésions labyrinthiques pour cause. J'
174 AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE d'ordinaire contre les troubles en question sont généralement ineffi- caces et
20 o centimètres cubes. L'influence de cette intervention sur les troubles qui sont liés aux perturbations de l'appareil v
tre qu'il montre jusqu'à l'évidence l'action de la ponction sur les troubles labyrinthiques, il prouve que l'inclination et
l'électrisa- tion est une méthode d'une grande finesse. Quant aux troubles fonctionnels, ils peuvent également s'atténuer
est admissible AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE 173 que les troubles subjectifs s'atténuent immédiatement à l'instar d
ue les troubles subjectifs s'atténuent immédiatement à l'instar des troubles objectifs. D'ordinaire, ces effets salutaires se
us de cinq ans. La rachicentèse a une action bien moindre sur les troubles dépen- dant des lésions du labyrinthe antérieur
(93, io5). Lumineau (De la ponction lombaire dans le traitement des troubles auditifs. Thèse, Paris, ego3), écrit dans ses c
t d'un hémispasme occupant le côté gauche ; au membre inférieur les troubles étaient légers ; ils étaient au contraire très ma
. Cette surréflectivité tendineuse est contraire à l'hypothèse d'un trouble mental et cadre avec celle d'une affection orga
ls concluent que le torticolis dit mental n'est pas l'expression d'un trouble psychique, mais celle d'une irritation encore i
équent étroitement lié à la maladie. Or, si l'on se rappelle que ce trouble constitue un des signes objectifs les plus comm
de Sydenham, il a observé des signes de lésions du système nerveux ( troubles du tonus, flexion combinée de la cuisse et du tro
og,p. g ! ¡5) relatent également un fait de chorée de Sydenham avec troubles organiques (surréflectivité tendineuse, phéno-
du malade, de rapporter à leur véri- table cause l'adiposité et les troubles génitaux. Le travail de Frôhlich date de 1 po 1
la mémoire a beaucoup diminué depuis quelque temps. Il n'y a pas de troubles paralytiques. Les réflexes tendineux sont exagé
pophyse, quand elles apparaissent chez l'adulte, peuvent amener des troubles des organes génitaux, la suppression des règles
e j'ai décrit avant lui, sans, à la vérité, donner à l'ensemble des troubles qui le constituent le nom de syndrome, détail s
l'appareil sexuel, et se dit enclin à établir une relation entre les troubles MALADIE DE BASEDOW 187 de la nutrition, l'hyp
ficacité de cette cure est loin d'être constante et que parfois les troubles , après avoir rétrocédé, reparaissent. Quoiqu'il
IL CARDIO-VASCULAIRE ANÉVRISME DE L'AORTE Anévrisme de l'Aorte et Troubles pupillaires. Les troubles pupillaires, en parti
ISME DE L'AORTE Anévrisme de l'Aorte et Troubles pupillaires. Les troubles pupillaires, en particulier l'inégalité des pupil
l'intensité, ne saurait expliquer. Dans les faits en question, les troubles pupillaires étant permanents, n'étant liés à aucu
e nerveux. J'émettais l'idée que dans les faits étudiés par moi les troubles de la pupille n'étaient nullement sous la dépen
pas été ainsi dans d'autres cas d'anévrisme aortique accompagné de troubles pupillaires, et je voudrais savoir jusqu'à quel
u'à quel point est fondée la notion classique qui fait dépendre ces troubles d'une compression nerveuse. N'a-t-on pas été am
'il voulut bien intituler : « Syndrome de Babinski (Association des troubles de la pupille avec les lésions de l'aorte). »
peut-être aurions-nous hésité à donner à leur association avec les troubles de la pupille le nom de syndrome de Babinski, m
n étio- logique que l'on puisse invoquer, l'existence simultanée de troubles pupillaires montrera la réalité de l'infection
llet 1902 dans les Annales d'oculislique un mémoiie intitulé : «Des troubles pupillaires chez les malades atteints de dilatati
qui met sous la dé- pendance directe de l'anévrisme de l'aorte les troubles pupillaires qui coïncident avec lui...... « \
exprime ainsi : « Il existe donc des anévrismes de l'aorte avec des troubles pupillaires tabéti- ques. On peut en conclure q
res tabéti- ques. On peut en conclure que, dans ces conditions, les troubles pupillaires ne sont pas liés à l'anévrisme, mai
si mes idées et les expose dans un travail qui a pour titre : « Les troubles pupillaires dans les anévrismes de l'aorte (Syn
étines peut exister sans cyanose généralisée, et l'importance de ce trouble local est considérable, car il traduit une pertur
voire do maladies organiques. On la disait capable de produire des troubles de motilité indiscer- nables, à considérer seul
donner naissance à des lésions superficielles ou profondes et à des troubles de toutes sortes : à des érythèmes, des pillyct
englobe des affections organiques. Elle admettait cependant que les troubles hystériques peuvent se développer en l'ab- senc
e d'une paralysie organique. Dès lors la nécessité de soumettre les troubles paralytiques à une analyse plus approfondie et
Il devenait indispensable de soumettre à une revision générale les troubles circulatoires, tro- pliques et caloriques préte
tro- pliques et caloriques prétendus hystériques, car la notion de troubles de cette nature semble avoir en partie pour ori
névi- tablement déduire que l'hystérie a la faculté de produire des troubles circulatoires; de là à conclure qu'elle peut do
personnelles me firent de plus en plus douter de l'authenticité des troubles que je viens d'énumérer : il ne me fut pas donn
fut en mesure de fournir un seul fait qui confirmât l'hypothèse de troubles circulatoires ou trophiques d'origine hystériqu
ériques et qu'il avait décrit sous la dénomination d'oedème bleu un trouble circulatoire qu'il rattachait à la névrose. C
contribué à la désencom- I. Je fais abstraction pour le moment des troubles )aso-moteurs, superficiels, transitoires (ér th
t encore un grand nombre de matériaux. Le reliquat était composé de troubles ayant pour caractère commun l'absence de substr
us haut, on connaissait le rôle de la suggestion dans la genèse des troubles hystériques, et celui de la psychothérapie dans
on et de la contre-suggestion dans leurs rap- ports avec les divers troubles que nous avons en we. Mes recherches HYSTÉRIE.
ents choréiques parfois irréguliers, mais généralement rythmés, des troubles de la phonation, de la respiration. de la sensibi
a respiration. de la sensibilité (anes- thésie, hyperesthésie). des troubles sensoriels, accidents ayant pour caractère comm
ales relatives à ce qu'on appelle l' « hystéro-traumatisme ». Ces troubles sont susceptibles aussi de disparaître, parfois i
. Ainsi donc, un caractère fondamental sépare ces deux groupes de troubles . Voilà un nouveau point bien établi. Cependant,
erait évidemment irrationnel de continuer à appeler hystériques les troubles que nous avons rangés dans le deuxième groupe ; d
dans le deuxième groupe ; du reste, les termes : « dermographisme, troubles vaso-moteurs ou trou- bles de la réflectivité v
roubles vaso-moteurs ou trou- bles de la réflectivité vaso-motrice, troubles émotifs ou troubles de l'émotivité » ne suffise
ou trou- bles de la réflectivité vaso-motrice, troubles émotifs ou troubles de l'émotivité » ne suffisent-ils pas à traduir
, il est légitime de le réserver au premier groupe qui comprend les troubles impressionnants dont ce mot évoque presque auto
ante : « L'hystérie est un état pathologique se manifestant par des troubles qu'il est possible de reproduire par suggestion
que la persuasion ou contre-suggestion serait capable de guérir des troubles névropathiques non hystériques, en particulier
r de reproduire expérimenta- lement d'une manière parfaite tous les troubles hystériques ne prouve sans doute pas, à priori,
développaient, disait-on, à l'insu des malades, à la manière d'un trouble organique, sans représentation mentale préalable
1SME l'attention et l'inquiétude de l'intéressé, fassent éclorc des troubles qui sont du domaine de la suggestibilité. Par
ibilité. Parfois, cette épine organique peut être minime ; c'est un trouble passager, une légère douleur, un petit traumati
stibilité et jouer ainsi un rôle indirect dans le développement des troubles pithiatiques; mais ces agents ne feraient alors
ue, à faire dépendre de quelque émo- tion, ancienne ou récente, les troubles dont ils souffrent; de la meil- leure foi ils p
propres au développement d'accidents nerveux, on se met en quête de troubles hystériques : on peut dire que ces une recherch
s qui toutes étaient concordantes : aucun d'eux n'avait constaté de troubles hystériques. Les renseignements communiqués par
visuel de plus de 600 « rescapés » dont quelques-uns souffraient de troubles nerveux divers constituant un état morbide, une
s lui avons posées, n'a pas \ 11 se déve- lopper devant lui un seul trouble dont la nature hystérique fût avérée; il se rap
e l'émotion seule, quelle que soit son intensité, n'engendre pas de troubles hystériques. On peut môme dire que si les émotion
la santé morale une influence assez grande pour produire de pareils troubles . Cette objection, d'ordre spéculatif, ne saurai
hypnotisables et les hystériques sont susceptibles de présenter des troubles (phénomènes hypnotiques, phénomènes hysté- i. J
e groupe, sont, celles qu'il y a surtout lieu de suspecter, que les troubles discrets HYSTERIE. - l'ITIIIATlS)IE ' 213 don
que posséder des moyens permettant de discerner avec certitude les troubles hystériques des doubles organi- ques est chose
ur de l'hystérie traumatique, enfin à reconnaître plus sùrement les troubles organi- ques et 1 incapacité qu'ils entraînent.
rna- tional de Rome des accidents du travail » et intitulée : « Les troubles nerveux post- traumatiques » (Voir : Revue clin
a dégénérescence du faisceau pyramidal «M. Babinski n'admet pas les troubles trophiques de l'hystérie, en dehors d'une super
s'il n'existe pas encore un seul cas, scientifiquement démontré, de trouble trophique imputable à l'hystérie, quelqu'un affir
mputable à l'hystérie, quelqu'un affirmera-t-il que lous les autres troubles hystériques possèdent des caractères d'authentici
forme de pseudo-tabes. Névrite optique rétrobulbaire infectieuse et troubles dans les réflexes tendineux (Id., 5 juillet i;)0o
1). 77. Définition de l'hystérie (1(1-, 7 novembre igoi). 78. Des troubles pupillaires clans les anévrismes de l'aorte (Soci
de la ponction lombaire sur le vertige voltaïque et sur cer- tains troubles auriculaires (Société médicale des Hôpitaux, 7 no
Neurologie. 3 décembre igo3). `3 : 4 INDEX BIBLIOGRAPHIQUE io3. Troubles pupillaires dans les crises gastriques (Id.). I
pemphigus hystérique (Id., 5 décembre 1907). t45. Sur les prétendus troubles trophiques de la peau dans l'hystérie (Société
). io3. Quelques remarques sur le mémoire de M. Gordon intitulé : « Troubles vaso-moteurs et trophiques de l'Hystérie » (Rev
(Société de Neurologie, 5 février igog). 158. Sur la fièvre et les troubles trophiques attribués à l'hystérie (Id.). 15g. D
Do la pseudo-abolition du réflexe des pupilles à la lumière ti1 i Troubles de la contractilité électrique 64 Excitabilité
e forme de pseudo-tabes (Névrite optique rétrobulbaire infectieuse et troubles dans les réflexes tendineux) 100 Pseudo-tabes
s de balancement du bras......... Iz4 Parallélisme entre les divers troubles de la motilité volontaire..... 124 Fixité des t
e les divers troubles de la motilité volontaire..... 124 Fixité des troubles de motilité 125 Amyotrophie 126 Monoplégie br
166 Affections de l'appareil vestibulaire.. 167 Diagnostic 167 Troubles du vertige voltaïque 167 Désorientation et désé
IBE.. , ..... 18 Ané\risme de l'aorte 189 Anévrisme de l'aorte et troubles pupillaires 180 Cyanose I g a IX. - Hystérie.
4 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e est minime. Nous allons retrouver ce caractère dans l'analyse des troubles de la motilité, de la sensibilité, de l'intelli
te syphilitique ou dans les gommes ». Il existe assez souvent des troubles subjectifs de la sensi- bilité générale : engou
bilité générale : engourdissements, fourmillements, etc. Mais ces troubles sont très passagers, souvent précurseurs de la
paralysie. Ils relèvent de l'irritation corticale par ischémie. Les troubles objectifs de la sensibilité n'appartiennent pas
t ou une hémorragie d'origine spécifique. On observe rarement des troubles des sensibilités spéciales. La vue est habituel
jets n'ayant pas de tares ner- veuses. On observe très rarement des troubles de l'ouïe ou de l'odorat. 1 Thibierge. Gaz. d
te du virus syphilitique sur les nerfs. 6 ¡ CLINIQUE NERVEUSE. C. Troubles intellectuels. Là encore il n'y a guère que des
céphalalgie. Nous avons déjà noté l'absence d'hallucinations. Les troubles du langage ont une place considérable dans la s
servées, surtout l'aphasie motrice. Mais c'est l'évolu- tion de ces troubles qui est surtout caractéristique. Nous y reviend
uivant le cas, une paralysie, des phénomènes aphasiques ou un léger trouble intellec- tuel. Ces phénomènes sont au cerveau
ndiquions au début : flaccidité, abolition des réflexes, absence de troubles objectifs de la sensibilité. B. Forme aphasique
tout de l'aphasie motrice, sans trace d'aphasie sensorielle, sans troubles de l'écriture. Cette aphasie peut être complète,
, oubliait souvent dès choses très importantes. Subjectivement le trouble est plus appréciable; le malade s'est aperçu de
rone moteur périphérique. Dès cette période aussi on peut noter des troubles de la nutrition : amaigrissement, perte des for
plutôt des lésions interstitielles bien décrites par Raymond2. Les troubles intellectuels que nous avons décrits plus haut,
squ'à ce jour. Un oculiste consulté lui conseilla des lunetles. Ces troubles oculaires restèrent d'abord isolés. Il y a tr
t d'abord isolés. Il y a trois mois, la malade commença à avoir des troubles de la marche. Sans avoir perdu ses forces, sans
us, aucun autre symptôme. 'Il n'y a jamais eu de céphalalgie, aucun trouble subjectif de la sen- sibilité, rien qui ressemb
mouvemeuts. Le timbre de la voix n'est pas modifié. Il n'y a aucun trouble de la déglutition. Réflexe pharyngé normal. Le
a donc une paralysie périphérique de la sixième paire gauche. Aucun trouble du côté de la face du côté droit ni du membre sup
le continuellement son lit; la vessie n'est pas distendue. Pas de troubles du côté du sphincter anal. B. Sensibilité. Aucu
Pas de troubles du côté du sphincter anal. B. Sensibilité. Aucun trouble aux membres supérieurs ni il la face. La main d
'acuité visuelle est à peu près normale, un peu de myopie ; au- cun trouble du côté de l'iris ou de l'accommodation. L'exam
men ophtalmoscopique montre une pupille absolument nor- male. Aucun trouble de l'odorat ni de l'ouïe. C. Intelligence norma
urs (phénomènes spasmo- diques, raideurs, exagération des réflexes, troubles de la sensibilité) et des sphincters, manifeste
méningo-myélite spinale présentait comme caractère intéressant des troubles dissociés de la sensibilité. La sensibi- lité t
intacte, il y avait de l'hyperesthésie à la douleur, el surtout des troubles de la sensibilité à la tempé- rature. Cette dis
lésions. L'existence d'une paralysie du droit externe, sans aucun trouble du côté du droit interne opposé, sans déviation c
t en profondeur atteindre le faisceau pyramidal pour déterminer des troubles moteurs du. côté opposé, réalisant ainsi une fo
d penche pour cette dernière interprétation en invo- quant quelques troubles dans le domaine de la troisième paire (mydriase
quelques troubles dans le domaine de la troisième paire (mydriase, troubles de l'accommodation) qui serait atteinte égaleme
l.arslsa, II et III, 1895, analysé in Rev. ? : eu ? 1896, p. 460. TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 21 1 limit
sée par l'ischémie cérébrale. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE. LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE (ÉTUDE CLIN
iption classique, on n'est pas encore d'accord sur la fréquence des troubles trophiques de là para- lysie générale. Pour l
troubles trophiques de là para- lysie générale. Pour les uns,-les troubles trophiques sont rares, acciden- tels. Pour les
nt de vue clinique et anatomo-pathologique, et c'est depuis que les troubles tro- phiques ont pris de l'importance et ont ét
Voisin', dans son traité, décrit les moindres signes et signale les troubles trophiques de la paralysie générale, sans dire
aralysie générale, MM. Christian et Ilitti ne pensent point que les troubles trophiques soient fréquents. Ils croient, au co
oisin. Traité de la paralysie générale des aliénés, 1879, p. 152. TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 23 Pour M.
ROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 23 Pour M. Régis', les troubles trophiques et de dégénérescence des paralytique
pigmentations, des pemphigus, la canitie. Mais, selon lui, tous ces troubles trophiques sont rares. Nous trouvons mentionnée
fois à quoi sont dues ces lésions. Bail ? sans insister, divise les troubles trophiques des paralytiques en troubles générau
? sans insister, divise les troubles trophiques des paralytiques en troubles généraux et troubles locaux. Il observe les pre
se les troubles trophiques des paralytiques en troubles généraux et troubles locaux. Il observe les premiers chez les malade
nt maigrissent; c'est « la fonte » des paralytiques géné- raux. Les troubles locaux, selon lui, sont extrêmement nombreux, m
: le zona et la gan- grène. - Suivant MM. Ballet et Blocq s, les troubles trophiques sont fort rares dans la paralysie gé
et Sérieux 6 que nous trouvons l'énumération complète de tous les troubles trophiques qu'on peut rencontrer : le zona, le
4 CLINIQUE MENTALE. terminale de la paralysie générale, dit que ces troubles « ne sont, à beaucoup près, ni aussi fréquents
'ils ne tombent d'accord ni sur l'existence ni sur la fréquence des troubles trophiques dans la paralysie générale. II. Il e
s trophiques dans la paralysie générale. II. Il est étrange que ces troubles trophiques n'aient pas davantage attiré l'atten
miques, sur la nutrition même en apportant des modifications et des troubles dans les échanges intimes des éléments, et prov
e, mémoire couronné par l'Acad. de médecine; prix Civrieux, 1865. TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 25 raie (1
d (1888), Krafft- Ebing, après avoir fait observer l'importance des troubles de l'innervation vaso-motrice de la paralysie g
tre sujet. Ces névrites sont-elles fréquentes, autre- ment dit, les troubles trophiques sont-ils fréquents dans la paralysie
ues sont-ils fréquents dans la paralysie générale ? On sait que les troubles trophiques sont aujourd'hui considérés comme de
qu'on a trouvé des névrites cutanées dans presque tous les cas de troubles trophiques (Babinski)3. D'après nos observation
les de malades et la statistique que nous rapportons plus loin, les troubles tro- phiques paraissent assez fréquents dans la
n minutieux du corps, des mains, des pieds, etc. Il se base sur les troubles physiques et psychiques qui suffisent am- pleme
édecins aliénistes el neu- rologisles (à Clermont-Ferrand), 1894. TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 27 Dans le
leurs ongles, de la desqua- mation ichthyosique de la peau, et les troubles trophiques en général douloureux, tels que le z
douleur chez eux. (Nous revien- drons plus loin sur l'indolence des troubles trophiques dans la paralysie générale.) Ces m
auvaises conditions entravent les recherches statis- tiques. Si les troubles trophiques de la paralysie générale étaient aus
ques, et nous rapportons l'observation et la sta- tistique de leurs troubles trophiques. Nos malades n'ont pas été choisis,
LINIQUE MENTALE. Sur ces 57 paralytiques, neuf n'ont présenté aucun trouble trophique. Nos observations sont résumées; mais
es maîtres, MM. Magnan, Garnier, Vallon, etc. - II. Il existe des troubles que les auteurs ne sont pas tous d'accord à déc
e des troubles que les auteurs ne sont pas tous d'accord à déclarer troubles trophiques, tels que l'anes- thésie, l'oedème,
éclarer troubles trophiques, tels que l'anes- thésie, l'oedème, les troubles dentaires, non signalés jusqu'au- jourd'hui. No
és chaque fois que nous les avons trouvés' coïncidant avec d'autres troubles chez les mêmes paralytiques. Nous avons noté
t. Noie sur la lm/holortie du goitre exophtalmique. Gand, 1872. ' TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 29 ont pro
n nerveuse ou tro- phique peut produire l'oedème, en dehors de tout trouble circulatoire. « Nous classons dans les dermaton
itre que nous notons l'oedème des paralytiques généraux. D'autres troubles , troubles trophiques, il nous semble, sont l'ab
ous notons l'oedème des paralytiques généraux. D'autres troubles, troubles trophiques, il nous semble, sont l'abrasion et
ons également trouvée chez quelques 1 Mougeot. - Rech. sur quelques troubles de nutrition consécut. aux affections des nerfs
lésions observées chez les tabétiques, du côté du trijumeau, et les troubles fonctionnels pouvant en résulter paraissent plu
Si la chute des dents dans-le tabes était due exclu- sivement à des troubles trophiques, on n'y trouverait point de parasite
les paralytiques généraux, la chute des dents est due d'abord à des troubles trophiques, à la dégénéres- cence du trijumeau,
our la première fois par Bird (1833). On l'a considéré depuis-comme trouble trophique. Il nous serait impossible de citer t
, nous n'insisterons pas sur cette tumeur qui paraît être plutôt un trouble de circulation2, et, « sans vouloir nier l'infl
un trouble de circulation2, et, « sans vouloir nier l'influence des troubles trophiques et vaso-moteurs, nous pensons qu'hab
Etiologic et siège de l'ollaénualonxe (Encéphale, 1881, p. 231). TROUBLES TROPIIIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 31 tismes
ons trophiques des organes des sens sont rares, exception faite des troubles oculaires. L'appareil de la vision, dès les pre
ite optique interstitielle. Nous n'avons pas cherché à vérifier ces troubles , n'ayant aucune compétence vis-à-vis de maîtres
qu'un état pathologique, » disait M. Ballet dans une leçon sur les troubles oculaires de la paralysie générale. Enfin, Char
rs ont été favorisés par le hasard de la clinique. CHAPITRE III Troubles trophiques de la peau et des annexes. Le revête
tc., tantôt des affections chroniques : ichthyose, alopécie, etc. Troubles aigus. L'érlTt·on2élczlgie a été signalée par M
ongestive ainsi que le croient Zacher et Durante7. : . - Tous ces troubles trophiques cutanés proprement dits sont des lés
ordons maintenant le chapitre de nos observations. ' S. Ballet. Les troubles oculaires dans la paralysie générale (Pro- grès
e la paralysie générale (Arch. f'. Psych., Ud. XIV). ' Durante. Les troubles trophiques de la paralysie générale (Gaz. heb.,
les trophiques de la paralysie générale (Gaz. heb., 1894, p. 98). TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 33 Observa
degré. Réflexion. Cette rougeur érylhémateuse est-elle due à des troubles trophiques ? Nous le pensons; elle existait avant
d'éléments voisins. Leur grosseur varie d'une tête d'épingle à un TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 33 petit p
enues au cours de la maladie et ne peuvent être que le résultat des troubles trophiques de la peau. Purpura. - Le purpura es
es trophiques de la peau. Purpura. - Le purpura est considéré comme trouble circu- latoire dans la paralysie générale. Cepe
tion ou de la contraction anormale des vaisseaux sanguins et des troubles de nutrition qui peuvent en être la consé- quen
us la pression du doigt. Ce sont bien 1 Brocq. Loc. cil., p. 818. TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 37 des tac
psych., 1876). . Loc. cit. 8 Ramadier. Contribution à l'élude des troubles trophiques dans la paralysie générale (Thèse de
iété médicale des hôpitaux, s'il n'y avait pas un rapport entre les troubles trophiques du trijumeau et les lésions cortical
édicale des ltûpilaux, séance du 27 novembre (Bull, médis, 1896). TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 39 R... Cé
.. Céline ne conservait aucune trace de zona et ne présentait aucun trouble trophique. Elle eut quelques jours après une at
par le zona qui, chez elle, a précédé de quelques mois les premiers troubles de la paralysie générale, et par l'eschare qui
mal perforant dans la paralysie générale (Thèse de Paris, 1890). TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 41 Le 10r
ique. Pas de sucre ni albumine dans les urines. L'eschare. Un des troubles trophiques de la paralysie générale les plus co
frottement, comme le croit M. Arnaud', mais quel- quefois aussi aux troubles trophiques. Les deux services (hommes et femmes
la moindre eschare. Les paralytiques généraux sont prédisposés aux troubles trophiques de toutes sortes, par la nature même
affection. La malpropreté ne fait qu'accroître cette tendance aux troubles trophiques. L'hygiène la plus parfaite n'empêche
orer. Thèse de Paris, 1882. 3 Vallon (Th.). Thèse de Paris, 1882. TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 43 Observa
apoplectiforme, ainsi que l'a signalé Zacher'. L'apparition de ces troubles aggravait l'état de la malade au lieu de l'amél
actes. Hésitation de la parole. Inégalité pupillaire. » (Magnan.) TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 45 A... Em
substance gélatineuse à la même hauteur pourrait bien entraîner des troubles de la muqueuse buccale. 5° Au u niveau de l'ouv
ibilité. Ce ramollissement du globe oculaire doit êtie tenu pour un trouble trophique et non pour la conséquence de l'anest
ce phénomène de déficit de la sensibilité, se produisaient certains troubles moteurs dont la relation avec les lésions acces
paraîtras modifié. P. KERAVAL. VIII. Contribution A l'étiologie DU TROUBLE DE la sensibilité DE BER- NHARDT .1 LA cuisse;
nt ainsi à la netteté de l'ouvrage. L'auteur y poursuit l'élude des troubles nerveux sans lésions pour en déterminer la genèse
sentielles, et pour chercher s'ils peuvent t arriver à modifier des troubles organiques concomitants ou à pro- duire eux-mêm
des troubles organiques concomitants ou à pro- duire eux-mêmes des troubles organiques. Il définit ainsi l'élément dynamiqu
rie vraie ou fausse. , P. 1\1.. XXVII. Contribution A L'ÉTUDE DES TROUBLES DE la sensibilité cutanée; par L. 1,(rWENrrLD.
te2ll ? XIX, N. F., vu, 1890.) Résumé des phénomènes relatifs aux troubles de la localisation de la sensation; aux trouble
mènes relatifs aux troubles de la localisation de la sensation; aux troubles de l'appréciation des distances de REVUE D'ANAT
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 65 deux sensations; aux troubles de la perception. Conclusions : 1° la localisat
nt la défectuosité est unilatérale; il n'y a pas de paralysie ni de troubles fonctionnels essentiels. Ce sont les mêmes diffic
nd que l'arté- riosclérose généralisée s'accompagne très souvent de troubles fonc- tionnels de l'écorce se traduisant par un
un affaiblissement de la sensibilité et des organes des sens, des troubles de la marche, des modifications dans l'associatio
appréciable. A part un certain amaigrissement, il n'existait pas de troubles trophiques. La malade a eté opérée le 5 avril 1
enta ensuite de se suicider. L'auteur a pu établir que le début des troubles intellectuels remontait à 1870, c'est-à-dire à
sse, soit à une adresse quelconque. M. Vallon, en l'absence de tout trouble intellectuel, de tout stig- mate d'hystérie, co
n détermine des douleurs ; ailleurs ce sont des zones où il y a des troubles paresthésiques, rarement de l'anesthésie complè
, rarement de l'anesthésie complète. Ce qui distingue surtout ces troubles , c'est leur pe2,)îia- nence opposée à la fugaci
ces troubles, c'est leur pe2,)îia- nence opposée à la fugacité des troubles analogues dus à l'ischémie dans la syphilis art
'ischémie dans la syphilis artérielle. 100 CLINIQUE NERVEUSE. Ces troubles de la sensibilité, par leur permanence et leur
urce d'abord d'illusions, puis d'hallucinations et de délire. Les troubles sensoriels sont fréquents. La vue est souvent a
ubles sensoriels sont fréquents. La vue est souvent atteinte : soit troubles moteurs par compression des nerfs au niveau de
anosmie uni ou bilatérale; exceptionnellement, au contraire, des troubles de l'ouïe. D'une façon générale toutes les paires
naisons symptomatiques que nous retrouverons tout à l'heure. 1 C. Troubles intellectuels. L'aphasie se retrouve ici, mais
hilis artérielle. Ajoutons enfin que la méningite s'accompagne de troubles nutritifs précoces, dus soit aux vomissements e
une simple poussée congestive, il est rare qu'elle ne laisse pas un trouble persis- tant, l'hémiplégie incomplète, par exem
ci la base, après cette première période on note des vertiges, des troubles psychiques, des symptômes de compression du côt
. Aphasie passa- gère. Céphalalgie extrêmement vive et persistante. Troubles de la vue par neurorétinile. Douleurs dans les
de la sensibilité -générale. Délire violent. Cécité complète. Aucun trouble objectif de la sensibilité. Crises convulsives.
il y a de très vives douleurs dans les reins et les jambes ; aucun trouble moteur, aucun trouble du tangage, mais augmenta
douleurs dans les reins et les jambes ; aucun trouble moteur, aucun trouble du tangage, mais augmentation des troubles de l
cun trouble moteur, aucun trouble du tangage, mais augmentation des troubles de la vision. Ces troubles de la vision ont d
uble du tangage, mais augmentation des troubles de la vision. Ces troubles de la vision ont débuté peu après son dernier séj
ante. Légère hypéres- thésie généralisée des téguments, sans autres troubles objectifs de la sensibilité générale. Les mouve
musculaires, ne provoquent pas de douleurs. Examen des yeux. Aucun trouble du côté de .la musculature externe ou interne.
ques. Réactions normales des pupilles ; il ne parait pas y avoir de troubles de l'accommodation. Il reste encore quelques tr
y a une exagération manifeste du réflexe rotulien a droite. Aucun trouble du langage. Aucun stigmate d'hystérie. Pas d'albu
21. -11 n'y a toujours aucune amélioration ; céphalée aussi vive, troubles de la vision aussi accentués, persistance d'un ce
nt, puis se dilatent de nouveau rapidement. Il n'y a toujours aucun trouble de la musculature externe de l'oeil. Depuis tro
a pris autour des lèvres de nombreuses vésicules d'herpès. Aucun trouble objectif de la sensibilité. La malade mange peu,
é, avec exagération des réflexes rotutiens. Il n'y a toujours aucun trouble de la sensibilité objective. Il n'y a plus d'ha
ons ne prédominaient pas d'un côté. Céphalalgie très intense. Les troubles bulbaires n'ont pas reparu. 10 août. -Nouvelle
erra par la lecture de l'observation. Seu- lement, dans ces cas les troubles objectifs sont extrêmement minimes, et les mala
- septiques intestinaux. Cette action toxique peut s'exercer sans troubles circulatoires, mais il est probable qu'il faut lu
es du côté du nerf optique de la rétine, ne donne que très peu de troubles fonctionnels : c'est un symptôme qu'il faut reche
tôme qu'il faut recher- cher ; les malades n'accusent souvent aucun trouble fonc- tionnel. Chez une malade dont nous rappor
CLINIQUE NERVEUSE. l'observation, nous fûmes surpris de trouver des troubles visuels très accusés, une diminution considérab
papille typique mais assez peu accentuée. Mais assez rapidement les troubles visuels s'améliorèrent, la .^vision revint à pe
ication, aidée de l'oedème de la papille, dans la pathogénie de ces troubles visuels. 3° L'examen ophtalmoscopique peut appo
Il. SOMMURE : Début par de la céphalalgie, desvomis- seanezzls, des troubles de la vue, des vertiges. Démarche ébrieuse, abo
des vertiges. Démarche ébrieuse, abolition des réflexes rùtttlicns, troubles visuels en disproportion avec les résultats de
; amélioration par les antiseptiques intestinaux : amélioration des troubles visuels, les signes opletulmoscopigues reslunt
débuté il y a un mois par de la céphalalgie, des vomissements, des troubles de la vue, des vertiges et des troubles de la m
lgie, des vomissements, des troubles de la vue, des vertiges et des troubles de la marche. La céphalalgie était intense, bil
nt aqueux, soit immédia- tement après l'ingestion d'aliments. Les troubles visuels consistent surtout en un affaiblisrement
ralysie faciale. Abolition complète des réflexes rotuliens. Aucun trouble des divers modes de la sensibilité cutanée ou des
cé du champ visuel; acuité très réduite, pas d'achromatopsie; aucun trouble de la musculature oculaire, réactions pupillair
alade accuse quelques bourdonnements d'oreille, mais il n'y a aucun trouble objectif; l'acuité auditive parait normale. Auc
'y a plus de vertiges. La céphalalgie seule persiste, ainsi que les troubles de la vue. L'ex(t- men ophtalmoscopique a été f
on à o mètres = : 1/4., 17 Février. La céphalalgie est moindre. Les troubles de la vue s'accentuent : l'acuité est très rédu
La céphalée a presque disparu, ainsi que les vomisse- ments et les troubles de la marche. Les troubles visuels sont bien mo
aru, ainsi que les vomisse- ments et les troubles de la marche. Les troubles visuels sont bien moins accentués, l'acuité a a
1"' Avril. L'amélioration a continué. La malade se dit guérie. Les troubles visuels ont presque entièrement disparu. Cependan
quentes et absolument intolérables. Elle vomit tous les jours. Les troubles de la marche et les vertiges n'ont pas reparu.
L'acuité visuelle est restée bonne. La démarche est normale, pas de troubles de l'équilibre. La force musculaire parait bien
une fatigue rapide et l'épuisé. Réflexes rotuliens abolis. Aucun trouble de la sensibilité, aucun trouble du côté de la
Réflexes rotuliens abolis. Aucun trouble de la sensibilité, aucun trouble du côté de la musculature oculaire. Un peu d'in
ement ébrieuse; les réflexes rotuliens complètement abolis. Aucun trouble oculaire, si ce n'est à l'examen ophtalmoscopique
sparu; il n'y a plus de ver- liges, et la démarche est normale. Les troubles visuels n'ont pas reparu. La malade sort parais
'y a pas eu de nouveau des contractures du côté de la nuque. Pas de troubles visuels, pas de troubles auditifs, pas de troub
contractures du côté de la nuque. Pas de troubles visuels, pas de troubles auditifs, pas de troubles de la marche ci l'exame
la nuque. Pas de troubles visuels, pas de troubles auditifs, pas de troubles de la marche ci l'examen. Démar- che normale, p
arche ci l'examen. Démar- che normale, pas d'incoordination, pas de troubles de la station debout les yeux ouverts ou fermés
ts fibrillaires de la partie droite de la lèvre inférieure. Aucun trouble du côté des yeux, si ce n'est à l'examen ophtal-
'exécutent sans force et provoquent rapidement de la fatigue. Aucun trouble de la sensi- bilité générale. L'acuité visuelle
bilité générale. L'acuité visuelle est restée bonne, il n'y a aucun trouble dans la musculature oculaire ni dans les réaction
parenchyme par intoxication, par infec- tion, d'une altération par troubles du grand sympathique, etc., etc. Peut-être les
n, guérison relative tout au moins, quelques cas de disparition des troubles soma- tiques, pour que l'on songe à diminuer l'
rer comme atteints de folie alcoolique ou de folie saturnine et les troubles somatiques qui leur ont peu a peu valu l'étique
de l'alcoolisme, par exemple, n'est pas nécessairement précédée de troubles intellectuols'manifestes de folie alcoolique dé
délirante et hallu- cinatoire ? J'y souscris volontiers ; mais les troubles mentaux ou de sensibilité sont-ils donc les mêm
phase paralytiforme ou paralytique de l'alcoolisme précédée ou de troubles bruyants ou de phénomènes psycho-sensoriels à c
lysies générales, convulsions épileptiformes, contrac- tures, etc., troubles qui sont peut-être caractéristiques de telles o
a vue d'un homme beau 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. et fort le trouble , le transporte, mais, au contraire de ce qui se
dication ; par le 1)r Cullerre. A côté des gens qui, obéissant à un trouble mental ayant pour point de départ une déviation
ons délirantes, l'auteur donne le nom de délire de revendication au trouble mental de ces malades. Les deux observations
direct, niais simplement comme cause morale, pour déterminer des troubles délirants chez un sujet fortement prédisposé, il
rébrale (gomme, méningite, encéphalite) qui entraîne à sa suite des troubles de l'intelligence. L'auteur en cite plusieurs e
tus initial, lésions localisées (aphasie, hémi- plégie, monoplégie, troubles oculaires, etc.), puis démence. La lésion syphi
corps, ses cheveux étaient hérissés. Cet accès diurne avec vertige, trouble de la conscience, tendance à la chute, et série
t entier, peut être considéré comme un petit accès épileptique avec trouble mental de peu de durée. Le rêve nocture accabla
accès épileptiques la nuit. Il ne se souvenait pas du vertige et le trouble post-épileptique prenait la forme d'un rêve pén
suicide, périodes d'excitation maniaque, arrêt de la compréhension, troubles para- lytiques transitoires du langage, de la m
bservations il a trouvé que 60 p. 100 des aliénées présentaient des troubles des organes pelviens. Il apporte 34 observation
ité, de la dépression, des idées vagues de persécution, et même des troubles de la sensibilité allant jusqu'au délire; mais
blissement dou- loureux des membres, bien avant qu'on remarquât des troubles pcychiques, douleurs d'oreilles ni lancinantes
e malade subit les phénomènes dont il est le jouet passif; 3° Des troubles bien connus du malade, et dans leur nature et d
membre inférieur droit sont légèrement exagérés. Il n'existe pas de trouble de la sensibilité, ni des organes des sens, de
a convalescence d'une rougeole bénigne, est brusquement atteinte de troubles psychiques caractérisés surtout par de la confusi
plus cérébrale que nerveuse, s'accompagnant de symptômes nouveaux, troubles oculo-pupillaires, troubles de la parole, troub
, s'accompagnant de symptômes nouveaux, troubles oculo-pupillaires, troubles de la parole, troubles des réllexes, etc. En so
ptômes nouveaux, troubles oculo-pupillaires, troubles de la parole, troubles des réllexes, etc. En somme, il faut bien le re
e ce nerf ferait disparaître l'anémie cérébrale, et, avec elle, les troubles qui en dépendent. A. FE-4AYROU. IX. Un C%S 1)
nçon nerveux sur une longueur d'environ quatre centimètres. Aucun trouble vaso-moteur ne s'est manifesté après l'opération,
Au moment même de l'opération et les jours suivants, on a noté des troubles cardiaques, une aggravation de la tachycardie e
a morphine dans l'organisme, par A. Antheaume et A. llonueyrat; Les troubles physiologiques et trophiques dus aux rayons X, pa
u coeur paralysé par l'électri- sation, par Prévost et Radzikowski; Troubles trophiques consé- cutifs à la section des racin
s 1898. NG : 2.7 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉ\R : i ? i ? -1 (é
terne de l'Asile clinique (Sainte-Anne). · (Suite e11 fin.) ' II. Troubles TROPuiQUES chroniques. A côté des troubles trop
· (Suite e11 fin.) ' II. Troubles TROPuiQUES chroniques. A côté des troubles trophiques aigus de la peau et des annexes dans
peau et des annexes dans la paralysie générale, il existe d'autres troubles , à évolution lente, pro- gressive et stable, de
d'autres troubles, à évolution lente, pro- gressive et stable, des troubles chroniques, des trophoné-, vroses (Lenoir) chro
vroses (Lenoir) chroniques, tels que l'ichthyose, l'alopécie, les troubles des ongles, toutes des affections consécutives à,
période de la paralysie générale. La sensibilité cutanée est abolie TROUBLES trophiques DE la paralysie générale. 179 sur to
existe une ichthyose, forme légère, à lamelles fines, brillantes. TROUBLES trophiques DES ongles. Les troubles des ongles
, à lamelles fines, brillantes. TROUBLES trophiques DES ongles. Les troubles des ongles dans la paralysie générale ont été s
réquemment dans la paralysie générale. Nous avons observé 17 cas de troubles trophiques des ongles sur nos 57 malades. Ces t
vé 17 cas de troubles trophiques des ongles sur nos 57 malades. Ces troubles peuvent aller de la simple coloration brune ou
lus mince que le premier. Nous rapportons ici dix observations de troubles des ongles chez les paralytiques généraux. Les
ysie générale progressive (Gaz. médicale de Paris, 1884, p. 124). TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 181 Sur to
a peau y est lisse, brillante. L'anesthésie cutanée est complète. TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 183 Les on
s et une dyspepsie tenace. A eu la syphilis à vingt-cinq ans. Les troubles trophiques qu'il présente sont insignifiants : co
que tous des altérations de forme, de coloration et de texture. Ces troubles remontent aux premiers jours de septembre (1896
dépression mélancolique avec idées confuses de persécution. Tur- TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 185 bulenc
avec hallucinations multiples; excitation ; insomnie. Pupilles res- TROUBLES TROPHIQUES DE la paralysie générale. 187 serrée
nq ans, garçon de bureau, est entré à -Villejuif le 18 juin 1896. TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 189 Certif
31 décembre 1896, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 191 attein
lu. Dents légèrement usées. 192 CLINIQUE MENTALE. CHAPITRE IV . Troubles trophiques du système locomoteur. La peau et se
e locomoteur. La peau et ses annexes ne présentent pas seules des troubles trophiques au cours de la paralysie générale : le
Soc. de chirurgie, séance du 11 oct. 1876 et Gaz. hebdom., 1876. TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 193 une so
(congrès de Blois. 1892,et/l ? 'c/t. de nzéd. ea;péz·izn., 1892.) TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 195 Deux a
sieurs points de vue. L'éruption est absolument identique à celle TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GENERALE. '197 qu'ob
ependant dans la paralysie générale, et constitue un des principaux troubles trophiques de cette affection. CHAPITRE V L
incipaux troubles trophiques de cette affection. CHAPITRE V Les troubles trophiques généraux. Statistique. 1. -Outre les
RE V Les troubles trophiques généraux. Statistique. 1. -Outre les troubles trophiques locaux, on rencontre très souvent ch
ocaux, on rencontre très souvent chez les paralytiques généraux des troubles de toute la nutrition, de tout l'organisme, une
int ne dure pas, l'amai- grissement est rapide sous l'influence des troubles trophiques généraux ; c'est la fonte paralytiqu
t plus probants que les dissertations. Répé- tons toutefois que les troubles trophiques que nous avons mentionnés ont été tr
dont 33 hommes et 24 femmes. Neuf d'entre eux n'ont présenté aucun trouble trophique durant nos examens. En présenteront-i
n de nos 57 malades nous permettaient d'arriver à une conclusion. TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. '199 Sur n
ÉRALE. '199 Sur nos 57 paralytiques généraux, 48 ont présenté des troubles trophiques. Dans la majorité des cas, ils ont eu
troubles trophiques. Dans la majorité des cas, ils ont eu plusieurs troubles à la fois. Ainsi, simultanément le zona et l'es
mêmes malades. En les dénombrant, nous arri- vons au chiffre de 102 troubles trophiques qui ont affecté ! r8 paralytiques géné
es que la chute des poils. Nous signalons 19 cas cons- tatés. Les troubles des ongles, au contraire, sont visibles; les on
uis la naissance d'autres ongles atrophiés. Nous avons eu 17 cas de troubles unguéaux. L'ichthyose se passe de tout commenta
chthyose se passe de tout commentaire. Elle est, sans doute, un des troubles trophiques de la paralysie générale. Elle exist
rythème et enfin 1 fois le mal perforant. TABLE STATISTIQUE DES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE RECUEIL DE
et ment., fasc. 10, 1896.) . XXXVIII. Contribution A l'étude DES TROUBLES DE la sensibilité hygrique chez LES aliénés; pa
variait de vingt-huit à quatre-vingts ans, et où l'appa- rition des troubles mentaux était toute récente. Ici l'auteur rap-
résence de ces constatations on peut admettre que chez ce malade le trouble de la parole résultait de l'absence du contrôle
r la lésion du grand sympathique, c'est un symptôme indirect dû aux troubles de circulation des vaisseaux du visage et du re
ôme du même ordre que l'abaissement de la température locale et les troubles de nutrition (Vuillaumier, Rourneville, etc.) ;
(Vuillaumier, Rourneville, etc.) ; il est à supposer que, comme ces troubles , elle résulte d'un ralen- tissement de la circu
raîné la mort. Chez d'autres malades, l'intoxication a engendré des troubles cérébraux simulant un délire vésanique (forme d
a eu son cortège d'affections névro- pathiques. A côté de divers troubles mentaux, de diverses chorées ne pré- sentant au
chorées ne pré- sentant aucun signe qui puisse les différencier des troubles men- taux ou des chorées présentant une étiolog
orexie et l'insommie cédèrent au traitement, mais- l'anxiété et les troubles du rythme respiratoire persistèrent. D'abord an
ratoire persistèrent. D'abord analogue au type de Cheyne Stokes, le trouble du rythme respiratoire se modifia pour être con
thyroïdien. La malade a présenté, à un moment donné, de véritables troubles mentaux avec phobies de toute espèce. Le trai
ions identiques à celles signalées par M. Marinesco : tumé- faction trouble , fusion des granulations chromatophiles, rupture
ènes trophiques des extrémités ; sous l'influence des bromures, les troubles mentaux ont une tendance à se substituer aux cr
fréquence ; enfin à la place des crises se pré- sentent parfois des troubles mentaux nocturnes à forme de som- nambulisme.
ent nerveux suivi par des états vertigineux accompagnés. souvent de troubles sensoriels comparés par les malades au balancem
s, hystériques, alcooliques ; d'autres enfin peuvent échapper à ces troubles ou sur le tard deviennent eux mêmes phitsique3.
s muscles de ces membres, de la trépidation spi- anale, etc. Pas de troubles de la sensibilité. M. de Buck diagnos- tiqua un
ystérie peut, en effet, être la conséquence du traumatisme, mais le trouble sécrétoire peut aussi être la conséquence d'un
sme, mais le trouble sécrétoire peut aussi être la conséquence d'un trouble cérébral. On sait que l'hystérie se combine ave
met pas de la surprendre une seule fois endormie. Elle présente des troubles de la sensibilité (anesthésie, diminu- tion du
antérieure. Absence totale d'attention. De temps à autre, quelques troubles vaso-moteurs. Perturbation des fonctions digest
accident bulbaire ne s'est produit au cours de la maladie. Mais des troubles trophiques n'ont pas tardé à apparaître. L'état
s ont actuellement vingt-six, vingt-trois et huit ans. Les premiers troubles sont survenus à douze et quatorze ans chez les
x ans chez le plus jeune ; ils ont commencé par du nystagmus et des troubles légers de la marche. Ils sont allés s'accentuan
pagnent cette affection et qui sont presque pathognomo- niques. Ces troubles de la mémoire s'observent tantôt sous forme d'o
es forgent par amnésie des his- toires invraisemblables. Tous ces troubles de la mémoire surviennent dès le début de la ma
l la polynévrite. Ce n'est pas l'opinion de M. SoukhanoS' : Que les troubles mentaux soient au premier ou au second plan, le
s d'origine nettement alcoolique qu'on observe une prédominance des troubles psychiques. Ces cas sont également ceux dont le
survenu sans cause appréciable. - Début par une céphalée intense; troubles mentaux consécutifs caractérisés par des altéra
. Il y eut, les jours qui suivirent, une notable amélioration des troubles mentaux, disparition complète de la céphalée et d
. L'ALCOOLISME AU CONGRÈS DE BRUXELLES. 241 Ce cas montre que des troubles mentaux spéciaux, accès de som- meil, automatis
de punir. Il serait grand temps que celle réforme fut réalisée. 6. Troubles de l'état mental atax Antilles; par F.-J.-Ch.-E.
a question : 1° la mémoire, son fonctionnement à l'état normal, ses troubles ;-2°des hypertrophies générales et partielles de
lées hyper- trophies générales ou partielles de la mémoire sont des troubles pathologiques consistant dans le développement
vons alors réservé le terme hypermnésie pour désigner uniquement un trouble de l'évocation des images. La mémoire agissant
Neurologie, nos98 à 102). La simultanéité de symptômes tels que les troubles digestifs, les manifestations épileptiques, et
: 1° Questions mises à l'ordre du jour : z Pathologie mentale. Les troubles psychiques post-opératoires. Rap- porteur : M.
; elle était vigoureuse et bien portante, n'avait jamais éprouvé de troubles névropathiques; elle a deux soeurs qui ont chac
ans. Sa menstruation est toujours régulière. Elle ne présente aucun trouble important de la sensibilité ni de la motilité,
en développée; elle avait été réglée à douze ans et demi sans aucun trouble et la menstruation avait toujours été régulière
a eu des mictions nocturnes jusqu'à huit ans, mais en dehors de ce trouble elle n'a souffert, d'aucun accident nerveux jus
occipitale suffisent à rendre compte de la paralysie gauche et des troubles de la vue. L'hydrocéphale paraît, dans cette ob
fréquemment, tels que douleurs ou engourdissements des extrémités, troubles temporaires du langage, modifications de l'iu l
à laquelle se joindront dans certains cas des hyperesthésies ou des troubles de la sensibilité générale qui constitueront le
néral, les mouvements involontaires ne se rencon- trent jamais sans troubles plus ou moins profonds de la sensibilité niuset
s nerveux et n'en comprimant pas dans son voisinage ; du reste le troubles de la sensibilité n'affectent nullement la zone d
parait complètement; l'expérience du transfert est positive. Ces troubles de sensibilité doivent donc être confondus avec l
n arythmique). Parole mal articulée presque incompréhensible. Aucun trouble de la sen- sibilité. II. Garçon de treize ans
la moelle sont également atteints (Aienzel). F. Baissier. XLIII. Troubles DE la sensibilité au point DE vue spécial DE la
319 dant un temps immodéré, présenta au bout de quelque temps des troubles de paralysie brachiale. Il ne présenta aucun acci
ineux sont atrophiés ; le deltoïde l'est moins. On n'observe pas de troubles de delà sensibilité. D'ailleurs, le malade n'a ja
ogresser jusqu'aux phobies et obsessions les plus accentuées et aux troubles intellectuels les mieux caracté- risés, mais ay
e difficulté particulière d'adaptation au monde extérieur, certains troubles de la mémoire avec incapacité pour comparer les
étaniques. Bientôt les convulsions cessent, et on observe alors des troubles circulatoires avec dyspnée, cyanose et élévatio
s peuvent être identiques. C'est surtout d'après les caractères des troubles intellectuels et la marche de la maladie que l'
e l'auteur s'abstient-il de discu- ter la question de savoir si les troubles sensitifs sont un effet direct de la lésion ell
s situés autre part, par voie inhibitrice ou par l'intermédiaire de troubles circulatoires. Régis et V. lioBERr. VIII. Essai
o-neurasthénie ou états neurasthéniques secondaires ; 4° enfin, les troubles psychopattiques divers, classés à tort dans la
le un assez grand nombre de malades ont conscience de l'invasion du trouble mental. c On peut admettre comme règle générale
ent des phénomènes pénibles dans tout son individu ; il éprouve des troubles du sens musculaire, des spasmes viscéraux, etc.
scéraux, etc. C'est là une première atteinte à sa personnalité. Les troubles émotionnels très intenses qui en résultent cons
er. C'est, en effet, ce qu'on observe lorsque la persistance de ces troubles primitifs conduit les malades à la chronicité.
ses, articulations, muscles, etc., E. Weber). Objectivement, les troubles somatiques réels sont cons- tants ; il n'est ce
avec les mouvements respiratoires (Marcé). Sans insister sur les troubles vaso-moteurs (augmentation de la résistance élec-
s, la main mélancolique (Bail), nous rappellerons la possibilité de troubles trophiques graves. On a décrit, en effet, des g
tc... Du côté des fonctions digestives, nous rappellerons aussi les troubles profonds qui se traduisent par la répulsion pou
e, les constipations opiniâtres. Tous les auteurs insistent sur les troubles sécrétoires non moins caractéristiques. Les s
eur catatoni- que jusqu'au tremblement ordinaire des anxieux. Ces troubles organiques multiples se traduisent par des trou
anxieux. Ces troubles organiques multiples se traduisent par des troubles subjectifs douloureux, sensations pénibles de fou
de mélancolie avec idées de négation souffrait depuis trois ans de troubles divers des fonctions organiques (anémie, palpit
, d'abattement, de tristesse, de crainte, marquant l'apparition des troubles psychiques. Voici d'ailleurs comment la malade
rielles des phénomènes qui sont, en réalité, des illusions ou des troubles psycho-moteurs, ce que Baillarger appelait des
l- sions, des contractures, etc., de même il peut se produire des troubles analogues dans les mouvements de ces membres in
mais il ne tarde pas à perdre la notion du caractère subjectif des troubles qu'il ressent, il se sent tout autre que par le
et alors c'est la dépression qui se dessine tout d'abord, et les troubles de l'esprit ne font que suivre et s'adapter, comm
e suivre et s'adapter, comme des actions réflexes automatiques, aux troubles émotifs pri- mitifs *. Le trouble primordial
ons réflexes automatiques, aux troubles émotifs pri- mitifs *. Le trouble primordial étant un changement dans le carac- t
mais il ne tarde pas à perdre la notion du caractère subjectif des troubles qu'il ressent : c'est alors qu'il trouve égalem
es hantés par des animaux : même dans ces cas on peut découvrir des troubles psychomoteurs atténués. L'évolution ultérieure
tives par cet organisme souffrent gravement. Ce seraient donc des troubles de nutrition qui détermineraient directement la m
e normale des processus nerveux. Ce ne seraient toute- fois que les troubles dus à une interruption totale de la continuité
-deux ans, est entrée à diverses reprises à l'asile de Lafond, pour troubles mentaux consécutifs à des crises nerveuses. J'a
nt ses antécédents héréditaires. En mars 1886, la malade accuse des troubles consistant en suffo- cations, douleurs de tête
s accidents imputables à l'hystérie ou à l'hystéro-épilepsie. Les troubles de la sensibilité ont néanmoins subi quelques mod
diagnostic lui-même permet de rapporter à l'hys- térie majeure les troubles de la vision qui constituent le point particuli
e, absolue, et se manifestait ordi- nairement en même temps que les troubles aphasiques dont j'ai parlé plus haut, en même t
observée plus sou- vent que Briquet (voir Leçons cliniques sur les troubles de la vision chez les hystériques), et comme le
hez les hystériques), et comme le dit encore ce maître éminent, ces troubles de la vision, sans lésion appréciable du fond d
e la vision, sans lésion appréciable du fond de l'oeil, relèvent de troubles dynamiques, du carre- four sensitif, soit de tr
, relèvent de troubles dynamiques, du carre- four sensitif, soit de troubles dynamiques affectant les fibres qui traversent
en soit de cette explication rendue bien plausible par l'étude des troubles similaires observés chez les per- sonnes attein
isparu brusquement au même titre que les paralysies diverses et les troubles aphasiques dont elle a été fréquem- ment attein
imple n'est cependant pas encore complètement élucidée. Résultat de troubles trophiques pour les uns, de compres- sion pour
on de liquides irritants sur une surface molle préparée par quelque trouble trophique ou rendue particulièrement fragile pa
vas- culaires et osseuses ne sont pas sous la dépendance du même trouble dystrophique d'origine inconnue. R. C. 398 REVU
'autre au niveau de la première dorsale. Il s'ensuit un ensemble de troubles dont l'évolution a été suivie pendant près d'un
en différentes caté- gories selon le siège de l'hémisection et les troubles sensitivo- moteurs consécutifs. Il en déduit qu
s. Premier type : .' Paralysie motrice limitée au membre inférieur; troubles sensitifs ne remontant pas jusqu'à la racine de
de la neuvième vertèbre dorsale. Second type : Paralysie motrice et troubles sensitifs remontant au-dessus de la racine des
roisième type : Les membres supérieurs et le thorax participent aux troubles sensitivo-moteurs qui se compliquent fréquemmen
ge au dessus de la sixième vertèbre cervicale. Quatrième type : Les troubles sen- sitivo-moteurs envahissent toute une moiti
amélioration progressive, plus ou moins rapide, se produit dans les troubles sensitivo-moteurs consécutifs di une hémisectio
pied bot tabétique dû à une atrophie des muscles de la jambe et aux troubles trophiques des ligaments articulaires ; ce sont
lades sont à même de s'en- traîner, de lutter efficacement avec les troubles de la sensibilité qui sont la source de leur at
ajoute deux autres indications bien précises qui visent, l'une, les troubles de la nutrition générale, l'autre, les troubles
visent, l'une, les troubles de la nutrition générale, l'autre, les troubles de la motilité. L'expérience a démontré qu'il fau
e a démontré qu'il faut assimiler tous les ataxiques présentant des troubles de la nutrition aux tuberculeux et les soumettr
tion substantielle combinée à la cure d'air et de repos. Contre les troubles de la motilité, le médecin a maintenant dans les
u mois de dé- cembre la maladie entre dans sa phase adynamique avec troubles trophiques très accentués. Mort le 31 décembre.
e fois l'érysipèle laissa après sa disparition, au mois de juin, un trouble vague, du bien être. Le 3 juillet la températur
ras gauche, de parésie du bras droit, faiblesse des muscles du cou, troubles légers de la phonation et de la déglutition, at
tiques, suivies la première d'une hémiplégie gauche, la deuxième de trouble de l'équilibre du corps et de mouvements hémich
vements forcés qui apparaissent à la suite des apoplexies, comme un trouble d'équilibre dans les fonctions établies entre les
et, que le syndrome de Basedow est la mani- festation clinique d'un trouble nerveux fonctionnel primitif, d'une névrose. Ce
primant un symptôme (goitre, tachycardie, dilatations vasculaires), trouble spécial auquel on attribue, pour le cas traité,
nerfs de la queue de cheval. Observation. Résumé. - Début par des troubles subjectifs de la sensibilité au bras gauche et
eurs, égale des deux côtés ; douleurs aiguës non localisées; pas de troubles objectifs de la sensibilité; pas de troubles de
non localisées; pas de troubles objectifs de la sensibilité; pas de troubles des sphincters. Paraplégie devient complète; ap
hives, 21 série, t. V. 28 434 ANAT0M1E PATHOLOGIQUE. inférieurs ; troubles objectifs de toutes les sensibilités cutanées ;
nant sous l'influence de la illoii2cli'e excitation. Apparition des troubles des sphincters. Phénomènes de compression radic
n lit et il ne les sentait plus. Depuis quinze jours ont débuté les troubles moteurs : d'abord simple diminution de force, p
me temps le malade lance un peu le pied en avant et talonne. Pas de trouble de la station debout, pas de signe de Romberg.
les mouve- ments commandés : pas d'incoordination motrice. Pas de troubles de la sensibilité objective. Pas de troubles tro-
nation motrice. Pas de troubles de la sensibilité objective. Pas de troubles tro- phiques, ni d'atrophie musculaire. Aux m
uche : le malade serre beaucoup moins fort que de la droite. Pas de troubles de la sensibilité objective, mais il y a toujou
calisation précise. Pas d'incoordination, ni de tremblement. Pas de troubles tro- phiques, ni d'atrophie musculaire. Les s
cial, très léger, et dont le malade ne s'était jamais aperçu; aucun trouble du côté de la musculature de la face et des yeu
cun trouble du côté de la musculature de la face et des yeux; aucun trouble de la sensibilité générale, ni des sensibilités
de la sensibilité générale, ni des sensibilités spéciales. Aucun trouble encéphalique. Le diagnostic porté à ce moment p
par M. le professeur Teissier fut : Paraplégie spasmodique. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de pliénomènes vésico-re
la nuit, et troublent le sommeil. 11 ne semble pas y avoir d'autres troubles subjectifs delà sensibilité en dehors de ces co
ensibilité en dehors de ces contractions douloureuses. Tronc. - Les troubles de la sensibilité objective s'étendent sur le t
s des mamelons, vers l'extrémité sternale de la cinquième côte. Ces troubles s'atténuent de bas en haut : au niveau de l'ab-
UE. Toophicité. Pas d'atrophies musculaires; pas d'oedème, pas de troubles trophiques. 2° A droite : les troubles de la mo
ires; pas d'oedème, pas de troubles trophiques. 2° A droite : les troubles de la motilité présentent exactement les mêmes
que du côté gauche. Pas de différences pour les autres muscles. Les troubles de la sensibilité sont iden- tiques : même zone
ux phénomènes douloureux. Aucun phéno- mène du côté des yeux, aucun trouble de la musculature externe. Pas de nystagmus. Au
x, aucun trouble de la musculature externe. Pas de nystagmus. Aucun trouble pupillaire : pupilles égales iéa- gissant bien
s égales iéa- gissant bien à la lumière et à l'accommodation. Aucun trouble du côté des autres organes des sens. Pas de tro
modation. Aucun trouble du côté des autres organes des sens. Pas de troubles vaso-moteurs à la face. 26 août. Mêmes phénom
embre. Mêmes phénomènes. La localisation radiculaire très nette des troubles de la motilité et de la sensibilité permet de f
riques n'ont pu être recherchées. 16 septembre. Des deux côtés, les troubles de la sensibilité s'étendent : le pouce seul co
donc être recherchée plus haut, sur le faisceau pyramidal pour les troubles moteurs, sur les voies sensitives intra- médull
ubles moteurs, sur les voies sensitives intra- médullaires pour les troubles de la sensibilité. b). Dans la méningo-myélite
y a quelquefois de l'incoordi- nation motrice au début, souvent des troubles de la sensibi- lité réflexe; plus tard, les tro
t, souvent des troubles de la sensibi- lité réflexe; plus tard, les troubles delà sensibilité consciente sont au contraire p
s nous reviendrons plus loin sur la physiologie pathologique de ces troubles de la sensibilité. c). En remontant, dans les m
cales étaient intacts des deux côtés. Au point de vue sensitif, les troubles étaient moins pro- noncés, nous ne trouvions de
itif, les troubles étaient moins pro- noncés, nous ne trouvions des troubles objectifs que dans le domaine de la deuxième do
de physiologie pathologique; nous insisterons sur deux points : les troubles de la sensibilité, les localisations dans l'axe
la sensibilité, les localisations dans l'axe gris médullaire. Les troubles de la sensibilité offraient une forme assez par
sûrement complètement annihilées, et cependant il n'y avait pas de troubles pupillaires. Etant donné que nous observions de
sion de l'axe gris (syringomyélie, hématomyélite etc.) provoque des troubles de la sensibilité à localisation spé- ciale...,
ruction de l'axe gris sur une grande étendue, il n'y avait pas de troubles de la sensibilité affectant la disposition signal
sse médicale, 1896, p. 17. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 455 Les troubles de la sensibilité aux membres supérieurs d'aill
nt à croire qu'ils personnifient le malin esprit, le diable, si les troubles psychomoteurs se caractérisent et prennent suff
ession ; nous verrons, dans les faits, qu'ils précèdent souvent les troubles sensoriels, non constants d'ailleurs. C'est que
Elle est en proie à des hallucina- tions de tous les sens et à des troubles de la sensibilité géné- rale qui lui font croir
désordres de la personnalité qu'on remar- que ici. En revanche, les troubles psychomoteurs semblent avoir une influence capi
lui lance dans la main un fluide froid qui change son écriture. ( Troubles psychomoteurs graphiques.) Si maintenant nons n
ecte ou éloignée, une simple difformité comme l'exophtalmie, ou des troubles circulatoires déjà sérieux comme la palpitation
es est due à un retard dans le développement du faisceau pyramidal, trouble évolutif caractéristique de la maladie de Littl
des malades atteints de lésions de l'hémisphère droit opposées aux troubles du langage et à l'affaiblissement intellectuel
ant de l'hémisphère droit. Hémianesthésie dépendant plus souvent de troubles dynamiques du cerveau droit. Il semble que l'hé
cerveau droit. Il semble que l'hémisphère droit soit plus sujet aux troubles dynamiques tandis que le cerveau gauche est plu
atteinte de paraphasie syllabique et confond les syllabes. Point de troubles paralytiques de la parole ; elle répète généralem
e les a déjà réoubliés. Elle ne peut plus écrire. Il existe donc un trouble de conductibilité dans le domaine du centre mot
e nez on l'oreille. Cette hémiataxie est surtout en rapport avec un trouble du sens de la localisation des doigts et de la
impuissants de parler, l'autre bras lui-même parti- cipe aux mêmes troubles de la locomotion. Les mouvements vo- lontaires
à un foyer de ramollissement de la troisième frontale gauche. Les troubles de la sensibilité et de la coordination du membre
upramarginal) ; ce qui tendrait à le prouver, c'est la guérison des troubles de la motilité et de la sensibilité com- mune,
dans l'autre cas l'ano- malie congénitale doit être attribuée à un trouble dans le dévelop- pement embryologique de la pea
velop- pement embryologique de la peau. Quelle est la cause de ce trouble ? Névrite intra-utérine par intoxication ou infec
euse entraîne des convulsions par excitation du bulbe parce que les troubles de nutrition du cerveau produits par l'as- phyx
viter les condamnations sifréquentes des aliénés criminels dont les troubles psychiques passent inaper- çus, que chaque incu
durant l'année scolaire 1896-1897. Aba (Isaac). Étude clinique des troubles de la sensibilité géné- rale des sens musculair
ralytiques généraux. Bibard (Camille). Con- tribution à l'étude des troubles de l'odorat. Blottière (Léon). Étude sur les tr
- Bourdicaud-Dumay (Hippolyte-Pierre)' Recherches cliniques sur les troubles de la sensibilité générale du sens musculaire e
z les jeunes enfants. - Deglaire (Léon). Contribution à l'étude des troubles nerveux en rapporl avec la présence de végétati
olutions salines. Fournier (Jean-I3aptiste-Camille). Acromégalie et troubles cardio-vasculaires. - Frère (Emile). Contributi
les cardio-vasculaires. - Frère (Emile). Contribution à l'étude des troubles nerveux par cals exubérants au membre supérieur
ge des arlérioseléreux. Grognot (Eugène) Contribution à l'étude des troubles nerveux précoces du mal de Pott. Ilaopolf.(firi
ée. Le Meignen (Henri). Du syndrome de Little. Levis (Georges). Des troubles de la menstruation dans les maladies du système
e optique par syphilis acquise. Prodhon (Eugène-Pierre-Joseph). Des troubles intellectuels dans l'intoxication par le sulfur
méningite ; seuls manquent ceux qui sont dus à une lésion limitée ( troubles du pouls, de la respiration, paralysies oculaires
é la disparition du sieur Derminot, atteint depuis quelque temps de troubles cérébraux. - Or, samedi 30 avril le cadavre du
trielzow, 169. Traitement des escarres des - , par A. Paris, 394. Troubles de la sensibilité hygrique chez les , par Urb
e, 318. - spi- nale syphilitique, par Pelletier, 508. ' Mental. Troubles de l'état - aux Antilles, par Guilloil, 263.
érique du giand dentelé, pr.Bluineilaou, 323. Paralysie générale. Troubles tro- hiques dans la -, par Cololian, 21, 177.
associées chez les aliénés, par (le Becliterew, 52. Sensibilité. Troubles de la de Bernhardt à la cuisse, par Luzen- be
5 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
plus LE FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GENERAUX. 3 tard de troubles mentaux qui se développèrent au cours de la par
urs de la paralysie générale. En'1883, Hirschberg, s'occupant des troubles oculaires dans la paralysie générale, s'exprime
ervation d'un homme âgé de 44 ans, dont la papille était blanche et trouble , d'un blanc grisâtre à l'image droite, mais à l
rale qui s'affirma par la suite. Uhthoff en 1883 observe un état de trouble (Trubung) plus ou moins intense et symétrique q
IQUE. Jameson Hepburn, de New-York (1895), publie quelques cas de troubles oculaires avant même que tous les autres symp-
es, l'atrophie du nerf opti- que, il signale, d'après Furstner, des troubles ophthalmos- copiques qui seraient la suite de f
ques corps flottants, formaient l'ensemble ophthalmoscopique. Comme troubles fonctionnels, le malade nous dit avoir vu bien
Paralysis. Journal of mental science, 1889. GILBEIIT Ballet. Les troubles oculaires dans la paralysie gêné- rale progress
e à forme de rêve. Il n'y a là, en fait, que l'exagération de ces troubles intellectuels particuliers, de caractère abou-
resque habituel aux obsédés, dans un état de stupeur complète, avec troubles vaso-moteurs, refus d'aliments, manie lectuaire
e qui en résulte une sorte de stabilité, favorisée encore par les troubles intellectuels fondamentaux d'aboulie, les paramné
e pour discuter les rapports de subordination réciproques entre les troubles émotionnels et l'idée obsédante. Cela peut avoi
ions. Que ces modifications se résument dans leur ensemble en des troubles de synthèse mentale, à caractère d'insuffisance,
otion sur les différents éléments de la pensée. Si ces différents troubles psychologiques sont plus faciles à saisir lorsq
ehors d'elle, dans l'exercice général de l'intelligence, dans les troubles de l'attention, les défaillances de la mémoire, l
utissent, en dernier terme, à l'exis- tence, chez les obsédés, d'un trouble de la conscience person- nelle sur lequel nous
er- miner le passage de l'obsession au délire. Que les différents troubles psychiques examinés plus haut figurant à l'orig
mais possible de corriger dans une large mesure un grand nombre des troubles des mouvements, mais bien peu parmi eux se font
mise aujourd'hui. Dans ces dernières années, en effet, l'étude des troubles de la motilité dans les affections chroniques d
rocédés qu'elle met en oeuvre, déduite logiquement de l'analyse des troubles qu'elle combat, de' la connaissance de la physi
ourd'hui fami- liers étaient ignorés, et que toutes les variétés de troubles de la motilité notamment étaient alors confondu
s s'efforçaient d'en faire bénéficier; pour les malades atteints de troubles moteurs on cherchait surtout à atteindre et rec
ait surtout à atteindre et reconstituer l'organe altéré ; quant aux troubles de la motilité dans les maladies nerveuses, ils
est encore étendue par les appli- cations qui en ont été faites aux troubles d'origine psychique (Raymond et Janet) ; le pro
u préalable déterminé d'abord de quels éléments sont constitués les troubles moteurs correspon- dants à chaque cas particuli
e rappeler les LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 57 principaux facteurs des troubles moteurs, d'indiquer sur quels points portera en
ielle au point de vue qui nous inté- resse est de savoir, en cas de troubles fonctionnels, s'il y a altération de la fibre e
es, car 58 THÉRAPEUTIQUE. elles comportent dans la correction des troubles moteurs des conséquences pratiques importantes,
ple que l'hypotonie se corrige moins facilement que l'ataxie et les troubles d'ori- gine cérébelleuse moins facilement que c
our cette raison que, si on veut traiter avec succès la plupart des troubles de la motilité, il faut pouvoir suivant les cas
épendants de l'influence psychique, quand on constate que ces mêmes troubles s'améliorent en raison de l'attention et de la
volonté du médecin à celle du malade, est la rééducation en cas de troubles moteurs d'ori- gine corticale, chez les tiqueur
us vrai, c'est que bien souvent, dans les paralysies notamment, les troubles fonctionnels dépassent en étendue les régions d
ours par l'intermédiaire du système nerveux, or il s'agit en cas de troubles moteurs d'affections essentiel- lement chroniqu
ait-on compter alors sur les réactions spontanées, et, en fait, les troubles de la coordination ne se corrigent pas seuls.
le dia- gnostic établi, déterminer de façon précise la nature des troubles observés, leurs localisations, leur degré pour ch
de tenir grand compte des symptômes observés concurremment avec les troubles moteurs, des troubles sensitifs par exemple, de
des symptômes observés concurremment avec les troubles moteurs, des troubles sensitifs par exemple, de l'état des forces, de
tent dans les mêmes conditions, à grouper entre eux par exemple les troubles d'origine psychopathique ou céré- brale, les tr
r exemple les troubles d'origine psychopathique ou céré- brale, les troubles d'origine cérébelleuse et ceux d'origine médull
erait à de longs développements en nous forçant à analyser tous les troubles des mouvements et à discuter la pathogénie de c
ladie de Parkinson, les chorées, les crampes professionnelles. 3° Troubles de la phonation. a). Troubles fonctionnels : bé
s, les crampes professionnelles. 3° Troubles de la phonation. a). Troubles fonctionnels : bégaiement et autres défauts de
fonctionnels : bégaiement et autres défauts de prononciation. b). Troubles d'origine organique : dysarthries, aphasies. 4°
le strabisme (méthode de Javal). 6° Mouvements respiratoires. a). Troubles fonctionnels; chez les tiqueurs, les bègues. b)
es. a). Troubles fonctionnels; chez les tiqueurs, les bègues. b). Troubles d'origine organique : chez les cardiaques, les
n de ces muscles existe seule ou du moins est seule responsable des troubles de la marche, comme si la station et surtout la
nous pouvons dire aujourd'hui que toutes les fois qu'il existe des troubles de l'équilibre, la statique et les mouvements d
tait pas infiniment variée pour qui l'examine de près, comme si les troubles de la marche, les localisations de l'incoordina
t au système nerveux et quelle part aux muscles dans la genèse de troubles moteurs des ataxiques, mais encore faut-il ne p
urtout d'en déterminer les localisa- tions. Faut-il répéter que les troubles de la locomotion sont infiniment variés chez le
tout, car, à côté de l'analyse, il faut aussi faire la synthèse des troubles observés, afin de comprendre les perturbations
perturbations apportées dans la mécanique de chaque malade par les troubles divers qu'on aura constatés ; c'est même par ce
er et de les justifier un à un. De même que l'ata- xie est faite de troubles élémentaires des contractions de 74 THÉRAPEUTIQ
viennent à chaque malade en particulier. La compréhension exacte du trouble que l'on veut corriger et du mouvement que l'on
tion ne se pose pas en cas de tabes fruste ou de tabes bénin sans troubles moteurs, d'autre part, l'impotence ou seulement
t général, ce sont par exemple la cachexie du sujet, l'existence de troubles cardiaques ou une asthénie trop marquée, d'autr
de certains symptômes, arthropathies, fragilité osseuse, amaurose, troubles psychiques ou seulement défaut d'intel- ligence
ui commande une certaine réserve. On tiendra grand compte aussi des troubles de la 78 THÉRAPEUTIQUE. sensibilité et surtou
s. V. M. Il..., quarante-cinq ans, horloger. Tabétique depuis 1890. Troubles de la marche depuis 1896. Le traitement rééduca
eur mise en oeuvre doivent être exactement déduits de l'analyse des troubles que l'on veut 86 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
r- dination ; à plus forte raison différeront-elles selon que les troubles moteurs seront d'origine médullaire ou d'origine
le, la débilité nerveuse portant sur le cervelet et ses voies ; les troubles cliniques commenceront à se manifester et à s'a
ofond sommeil survient, et, au réveil, tout disparait, y compris le trouble des pupilles, qui s'accompagne d'une dilatation
paralysée ; en deux cas, il y avait réac- tion dégénérative. Pas de troubles de la connaissance. Quand la maladie progresse,
s. Toutes les théories qui essaient d'expliquer ce phénomène par un trouble de fibres centripètes des pupilles se heurtent
, oedème angionevrotiquede la peau, sont constitués par un noyau de troubles vasomoteurs autour du- quel se groupent d'autre
roubles vasomoteurs autour du- quel se groupent d'autres éléments : troubles sensitifs, sécrétoires, trophiques. L'auteur ad
ez les malades congestifs. F. 1301SS1ER. IL Maladie de Basedow avec troubles psychiques provoqués par l'ingestion, de corps
stion exagérée de corps thyroïdes se dérelop- pent tout d'abord des troubles psychiques sous forme d'excitation maniaque ave
sécution, puis des signes de basedo- wisme moins l'exophtalmie. Ces troubles cessèrent avec la cessa- tion de l'usage de cor
e névrite du sciatique avec douleur intense, contractions, parésie, troubles paresthéniques. Un traitement électrique inst
ez l'un des sujets une amélioration rapide, mais chez le second les troubles ont persisté, laissant le membre dans un état d
'impotence fonctionnelle. A noter que l'injection qui fut suivie de troubles névritiques ne fut pas plus douloureuse que les
, un hématome nerveux en même temps que l'appari- tion des premiers troubles peut faire penser à des phénomènes de conpressi
ents à distance. Les deux affections articulaires étaient comme les troubles de la sensibilité dus à la syringomyélie. Or ce
troubles de la sensibilité dus à la syringomyélie. Or ces derniers troubles se superposaient à des zones radiculaires connu
al. Malgré tout M. Brissaud ne pense pas que la disposition de ce trouble soit toujours nécessairement radiculaire, bien qu
scles se fait bien, mais il persiste une certaine déformation et un trouble fonctionnel consistant dans la difficulté de la
uence, que ce signe peut être différenciateur de l'hystérie et d'un trouble organique. Enfin ils ont constaté la diadococin
gée (voie nasonnée) ; langue atrophiée avec secousses fibrillaires; troubles de déglutition, etc. A l'autopsie, à côté des l
ix mois une paraplégie motrice, flasque, avec hypotonie musculaire, troubles sphinctériens, et hypoesthésie remontant jusqu'
au cours de la lente incubation, que le tubercubeux présente des troubles nerveux et mentaux. Ce qui m'a le plus frappé à c
caractère, elle contribue à créer l'optimisme ; elle n'agit sur les troubles somatiques que d'une façon faible et passa- gèr
elles de l'anteur, montrent l'absence de rapport constant entre les troubles de la sensibilité cutanée et ceux de la sensibi
tique chez les hystériques, alors même qu'ils ne présentent aucun trouble delà sensibilité, apparaît évidente dans la plupa
éveiller une hystérie latente et servir d'agent provocateur à des troubles localisés, non seulement sur l'oreille, mais enco
t tué .» D'où la nécessité de surveiller et de traiter de suite les troubles mentaux de ce genre. varia. 119 J Folie inc
l'asile de Saint-Jean-de-Dieu (Lyon). La contagion morbide dans les troubles psychiques peut être définie : l'action de la s
autres, de nouveaux faits cliniques sur la transmission de certains troubles mentaux comme les phobies (Régis3), les obsessi
esprit pour les amener à partager ses conceptions délirantes et ses troubles senso- riels ; 4° la vraisemblance du délire da
ui sontpropres, à côté de ceux que lui impose le sujet actif. Les troubles qu'il présente sont toujours identiques à ceux
suggesti- bilité peut varier, depuis la simple croyance naïve aux troubles délirants, jusqu'à l'hallucination. Cette halluci
persécution et de jalousie, hallucinations de l'ouïe et de la vue, troubles du goût, de l'odorat et de la sensibilité général
former toutle tableau clinique au milieu duquel disparaissent les troubles communiqués. A ces différents cas, on peut ajou
ance d'idées de persécution, illusions et hallucinations multiples, troubles de la sensibilité générale, interprétations dél
de particulier, c'est une femme grande et bien musclée, qui n'a ni troubles cardiaques ni phénomènes pulmonaires. Elle a de
étier de couturière. C'est au mois de janvier 1900 que les premiers troubles apparaissent sous l'influence des habitudes alc
aux phénomènes délirants de la malade. En effet, au mois d'août les troubles hallucinatoires augmentent et pour fuir ses per
tinuent, elle mettra le feu à l'hôtel. Au mois de novembre d'autres troubles sensoriels apparaissent ; ce sont des troubles
de novembre d'autres troubles sensoriels apparaissent ; ce sont des troubles du goût, de l'odorat, de la sensibilité générale,
ûres sur le sein gauche. - Pas d'halluci- nations de la vue, pas de troubles génitaux. Au mois de décembre, à la suite de tr
a vue, pas de troubles génitaux. Au mois de décembre, à la suite de troubles hallucinatoires plus actifs, elle réagit de nou
ce séjour les phénomènes délirants sont toujours très intenses, les troubles hallucinatoires dominent avec de nombreuses int
ue, cette malade est restée persécutée et hallucinée. De nou- veaux troubles sensoriels sont apparus du côté des organes génit
persistent. Son état général est resté bon, mais elle présente des troubles vaso- moteurs de la face et des mains. La mal
lle lorsque cette dernière commença en janvier 1900 à présenter des troubles men- taux.'Pendant les quatre premiers mois, el
d'ordre purement alcoolique, des hallucinations de la vue et des troubles somatiques; d'autre part son affaiblissement inte
gent actif se faisant sentir d'une façon continue elle présente des troubles du goût et de l'odorat. « Ses persécu- teurs lu
mpoisonner aves des grains de pavot réduits. » - A ces différents troubles calqués sur ceux du sujet actif viennent s'ajou
lucinations de la vue, frayeurs, etc.) ; 2° par la réviviscence des troubles délirants du sujet passif sous l'influence sugg
ide. Cette appellation s'appuie sur la pathogénie de ce groupe de troubles mentaux et a l'avantage de comprendre dans un m
és ; quel- ques-uns considèrent ces phénomènes morbides comme des troubles liés aune forme spéciale de neurasthénie (Kraepel
obsessions, im- pulsions, inhibitions, perversions de l'instinct et troubles délirants divers, toutes fonction de la déséqui
ns montrer dans un aperçu succint, les principaux caractères de ces troubles ; les observations ultérieures sui- vies de leur
même terrain. Et si les névroses sont susceptibles d'engendrer des troubles mentaux analogues ; cependant on-peut y reconna
esquels les actes délictueux sont adéquats à leur délire ou à leurs troubles sensoriels. L'idée obsédante chez les dégénérés
croissant petit à petit, elle arrive à un maximum et constitue les troubles DES OBSESSIONS ET IMPULSIONS. 159 morbides, a
iodes de sa vie, soit un nombre plus ou moins considé- rable de ces troubles , qui coexistent à certaines époques de sa malad
elle est imprégnée. Une grand'mère paternelle a présenté de graves troubles men- taux. Après avoir vu à l'âge de vingt ans,
sations à l'état d'ébauche, toutes de nature à faire soupçonner des troubles hystériques. A l'âge de quatorze ans elle eut s
cès véritablement psychpathique de sa maladie actuelle, éclata. Des troubles profonds se montrèrent, troubles imputables à c
sa maladie actuelle, éclata. Des troubles profonds se montrèrent, troubles imputables à ces deux étals maladifs : hystérie d
près sa première apparition, la menstruation s'arrêta, et de graves troubles physiques ouvrirent DES OBSESSIONS ET IMPULSION
dans son esprit et la tourmentèrent à tel point que la série des troubles réapparut dans son entier : second accès paroxyst
éclosion de celui-ci eut lieu à la suite de deux événements : 10 Un trouble moral, un dommage considérable causé par un prê
oisse extrême, respiration entrecoupée, tremblements généra- lisés, troubles vasomoteurs, rougeur de la face, sueurs sut le fr
ente de sa situation, et sa santé était excellente, à part quelques troubles nerveux de nature hystérique, quand, tout à cou
u grand air et le calme la soulagent. mais petit à petit les vagues troubles physiques commencent à prendre une allure manif
e avec beaucoup de force. Ces accès paroxystiques s'accompagnent de troubles assez graves : rougeur de la face, pouls rapide
s douleurs atroces et continuelles dans les régions ovariennes, des troubles gastriques divers, la bouche mauvaise, quelquef
pour disparaître ensuite. Malheureusement elle se décourage, ses troubles physiques, qui continuent à persister, la crainte
ent son état, de sorte qu'actuellement il ne lui reste que quelques troubles somatiques (douleurs abdominales et mal de tête
à la pression dans la région des ovaires, légère boule hystérique ; troubles de la sensi- bilité ; zones d'hyperesthésies ma
e ; pas d'hé- mianesthésie, abolition du réflexe pharyngien, pas de troubles oculaires, sauf un certain degré de myopie. L
ls de la malade on ne trouve ni convulsions, ni maladie fébrile, ni trouble mental nettement caractérisé. Elle a fréquenté
écision et lucidité à nos questions, de sorte que rien ne trahit un trouble quelconque des facultés mentales. Lorsqu'on lui
d'hal- lucinations. Son état mélancolique ne s'expliqne que par le trouble moral auquel £ elle est sujette : se donner la
ets de banque. Toutes ces manifestations morbides lui causaient des troubles physiologiques qui Raccompagnent généralement t
ancienne mauvaise habi- tude. Il y a deux ans, à la suite de ces troubles , il lui surgit l'idée obsédante qu'elle ne voit
inte-Anne. A l'asile, elle est triste, déprimée, anxieuse. Tous ces troubles morbides remontent à une époque ancienne et ont
rqué et plus tenace, qu'elle devait présenter plus tard. Tous ces troubles maladifs actuels pivotent autour de l'idée obsé-
ans une période de cinq années, époque qui marque le début de ses troubles . La maladie a duré longtemps et a fini parla gu
un exemple frappant de la coexistence possible d'une complexité des troubles mentaux syndromiques et névrosiques qui, tant v
nforcer cet état dégénératif héréditaire. OBs. V. Coexistence des troubles variés chez une dégénérée sur- venant à différe
Toutes ces obsessions de doute et de crainte s'accompagnaient des- troubles physiologiques : palpita- tions, angoisse. A la
séjour de trois mois, complètement remise, sans aucune trace de ces troubles , elle quitta l'asile. Après un intervalle de on
01, dans un état de parfaite santé, elle fut prise d'une bouffée de troubles délirants tout différents des premiers ce qui c
ères, implorait Dieu. Elle-n'a jamais tenté de se faire du.mal. Ses troubles s'aggravèrent et on l'interna à l'asile Sainte-An
ans le rectum et qu'elle n'est plus en état d'aller à la selle. Ces troubles diminuent sensiblement et, au bout de trois jou
ans l'intervalle de treize années, trois épisodes morbides avec des troubles nette- ment distincts, qui se sont montrés à de
ce. Relativement au terrain, jamais on ne pourrait considérer ces troubles comme trois maladies distinctes adéquates aux t
umatisme cra- REVUE DU PATHOLOGIE NERVEUSE. 179 uien compliqué de troubles choréiques et d'hémiplégie gauche. Dans toutes
re que l'état du maxil- laire inférieur, et il ne s'y joint que des troubles du côté des adducteurs et des muscles rotateurs
dé ; des symptômes d'asphyxie se sont montrés. La répartition des troubles est la suivante : prédominance sur le maxillair
t l'écriture. C'est une aphasie motrice corticale accompagnée des troubles graphiques en rapport avec celle-ci. Elle peut éc
u crâne, intégrité de la dure- mère. Pie-mère de l'hémisphère droit trouble et épaissie : à gau-- che, elle est trouble le
e de l'hémisphère droit trouble et épaissie : à gau-- che, elle est trouble le long des vaisseaux. A droite, .au niveau de
n manoeuvre, un musicien, nn savant de cabinet, se traduira par des troubles moteurs et sensitifs dissemblables ; dissemblab
mbres supérieurs et inférieurs, de la parésie du diaphragme, et des troubles incontestables de la déglutition et de la phona
a déglutition et de la phonation, pas de paralysie oculaire ni de troubles sensoriels ou sensitifs. Les lésions nucléaires b
présente l'attitude classique de la maladie de Parkinson. Pas de troubles oculaires. Il fut traité sans succès par l'hyos
intéressé. Les intérosseux sont paralysés par suite le cubital. Les troubles de la sensibilité consistent en une anesthésie pr
faut admettre qu'est une entité morbide caractérisée par un simple trouble fonctionnel, une altération encore invisible des
spasmo-paralytiques infantiles. G. C. XXIV. De l'aérophagie et des troubles gastriques qui l'accom- pagnent ; par LYONNET e
yon médical 10 février 1901. n" 6, p. 189). M. Lyonnet étudie les troubles gastriques qui accompagnent le symptôme aéropha
roptose, de la chute des reins, des battements à l'épigastre. Comme troubles fonctionnels, l'insufffisance de la motricité r
, les vomissements sont rares; le sommeil est mauvais. Il y a des troubles fonctionnels du système nerveux, céphalée, vert
mptomatique se rapproche de celui delà dyspepsie nerveuse, mais les troubles gastriques, comme le fait remarquer M. Lyonnet,
toutes les manifestations de l'hystérie. La durée est variable. Les troubles gastriques ont en général, un pronostic bénin.
ur pose trois indications pour le traitement de l'aérophagie et des troubles qui en dépen- dent. 1° Traiter l'état général
it par les antispasmodiques, soit par la suggestion. 3° Traiter les troubles dyspeptiques : l'indication principale est d'au
. Ce jour-là, un observateur, qui n'aurait pas assisté au début des troubles moteurs de la malade, et qui n'aurait pu entend
s de tic des paupières et de bégaiements, qui présente, en outre,un trouble singulier de l'accom- modation. De temps en tem
un signe d'hystérie. On peut se demander s'il ne s'agit pas là d'un trouble convulsif de forme tonique, intermittent, local
nique, intermittent, localisé sur les muscles de l'accom- modation, trouble comparable à ces accidents toniques convulsifs,
orme clonique présentés par les tiqueurs. Il s'agit assurément d'un trouble fonctionnel de' l'accommodation, et l'on sait q
ins excité le tendon. Il présente à l'appui deux sujets atteints de troubles névropathiques purement fonctionnels et insi- g
i- grissement musculaire, mais sans réaction de dégénérescence ni troubles des réflexes du membre inférieur, s'étendant du p
un trophoedème ana- logue aux oedèmes trophiques congénitaux. Les troubles psychiques dans la syringomyélie. MM. Pierre Ma
de neurologie et les observations publiées, on peut croire que les troubles psychiques n'appartiennent pas à la symptomatolog
se avancée de leur affection, les syringomyéliques présentaient des troubles psychiques dont la valeur pronostique, à notre
hallucinations, un état d'excitation cérébrale très spécial. Les troubles psychiques, dans nos cas, sont apparus dans la
un pronostic grave, puisque un de nos malades s'est suicidé. Ces troubles psychiqnes ne sont pas sous la dépendance de l'al
exes tendineux plutôt exagérés. Réflexes cutanés exa- gérés. Pas de troubles objectifs de la sensibilité. Troubles oculaires
es cutanés exa- gérés. Pas de troubles objectifs de la sensibilité. Troubles oculaires (pupilles inégales avec mydriase gauc
minime dans le mus- BIBLIOGRAPHIE. 205 cle jambier antérieur. Les troubles de la contractilité électrique sont allé en s'a
ns sous la déno- mination de psychoses os<-operaot ? '6S que les troubles délirants qui se produisent dans la sphère de l
qui ont écrit depuis sur ce sujet ont cru devoir y ranger tous les troubles nerveux qu'on peut obser- ver à la suite des op
venus à l'asile que parce qu'ils ont présenté après l'opération des troubles cérébraux persistants. Dans une première comm
'est pour bien montrer qu'il ne faut pas conclure de la présence de troubles après une opération, à l'existence d'une psycho
communication *. Même dans les cas publiés par l'un de nous, où les troubles psychiques se sont greffés sur un état neurasth
(obs. IV). 1 . Un malade opéré de cure radicale présente quelques troubles psychiques après son opération : sa femme interro
ion y prédispose particulièrement ; mais comme, d'autre part, des troubles analogues se présentent aussi bien chez l'homme
enir compte de l'âge, des antécé- dents héréditaires, des formes de troubles mentaux présen- tés par la malade, surtout auss
se contentera pas de considérer comme psychose post-opératoire tout trouble de l'idéation pouvant succéder à une opération.
dication chirurgi- cale chaque fois qu'elle se présente; lorsque le trouble men- tal semble étroitement lié à la lésion. Or
es post-opératoires, on ne doit comprendre dans la pratique que les troubles qui se produisent dans la sphère de l'idéation.
édents héréditaires, du degré de la prédisposition, de la forme des troubles mentaux; présentés antérieurement par les malad
nombre considérable de cas, où une opération pourra mettre fin aux troubles cérébraux. Enfin, en terminant et comme conclus
avec un certificat du 01 Séclas, daté du 15 mars 1899. Atteinte de troubles intellectuels survenus brusquement à l'occa- si
'occa- sion d'une opération, d'ailleurs légère et sans gravité, les troubles intellectuels se caractérisent aujourd'hui par
tions. Il n'existe pas de signes physiques contestables, tels que troubles pupillaires, tremblements de la langue, des lèvre
POST-OPÉRATOIRES. 223 Quelques jours après ce simple curetage, les troubles mentaux apparaissent. Le 20 mars, IL le De Pi
à l'idée de l'opération. Environ trois semaines après celle-ci, les troubles commencent, elle croit que ses voisines délit,
e- trois ans de cachexie cancéreuse (cancer de l'estomac). Pas de troubles mentaux. Mère morte à soixante-treize ans, cardia
fréquemment en syncope. Est morte hémiplégique et aphasique. Pas de troubles mentaux. Une soeur aînée encore vivante, cinqua
ngt-cinq ans après pleurésie tuberculeuse. Aucun n'a été atteint de troubles mentaux. Antécédents personnels. Dans son enf
olume et était devenue le siège de vives douleurs. 0 Les premiers troubles mentaux remontent déjà à dix-huit mois environ.
t à côté de la question. Asymétrie faciale droite. Voix nasillarde. Trouble profond de la mémoire portant seulement sur les
lheureusement que peu de détails sur l'état mental et la nature des troubles intellectuels observés. Banquet au Dr Régis. Le
mais non toujours, on retrouvera les points de Valleix. Quant aux troubles moteurs, ils n'existent pas, et il ne faudrait pa
. Dans quelques cas la grande névralgie faciale s'accom- pagne de troubles moteurs, et ceux-ci, bien reconnus, ont permis
amène le plus souvent une « distorsion du visage » (Valleix). Les troubles sécrétoires qui accompagnent la névralgie facia
s périodes d'analgésie, elle disparaît complète- ment. Est-ce là un trouble trophique ? C'est ce que nous n'avons pu déterm
ce que nous n'avons pu déterminer d'une façon précise. Parmi les troubles trophiques que l'on rattache à la névralgie fac
gées de liquide. P. KERAYAL. XV. Contribution à la connaissance des troubles de la conscience avec conservation de la mémoir
fois le- feu, ses incendies doivent-ils être mis sur le compte d'un trouble de la conscience d'origine épileptique ? Avant
il convient de se demander si les incendies ne dépendent pas d'un trouble mental plus profond. Discussion de laquelle il re
. Et effectivement ici la forme du souvenir des incendies prouve un trouble de la cons- cience à l'époque de l'acte ; ces a
la destruction d'une petite portion précise de l'écorce entraîne un trouble exclusif d'une seule espèce de saveur, celle-ci
é dans son service avec les symptômes d'une tumeur cérébrale. Les troubles avaient débuté par une céphalée nocturne, des bou
G. C. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 269 XXII. Troubles du goût dans le domaine de la corde du tympan par
d'une minerve plâtrée. Ce malade, il y a deux mois, se plaignait de troubles de la mastication et de la déglutition. On cons
a quinze jours, il présenta une légère parésie faciale droite avec troubles du goût du même côté et une légère faiblesse de
i- gine apparente à la face antérieure du bulbe. Dans ce cas, les troubles du goût acquièrent un intérêt tout par- ticulie
s se continuent, la portion sensitive du facial. La persistance des troubles gustatifs, alors que la parésie faciale a presq
c'est-à- dire du nerf intermédiaire. Ce fait explique pourquoi les troubles gustatifs n'accompagnent pas habituellement la
x, à côté des altérations secondaires que peuvent leur imprimer les troubles de la circulation et l'inflammation des méninge
de plus que la lésion mentale est en connexion très proche avec les troubles généraux de la nutri- tion. [Revue neurologique
u traumatisme (lacération de la substance cérébrale, hémor- rhagie. trouble trophique, inflammation) dans la production delà
tre membres avec atrophie musculaire et contractions fibrillaires ; troubles de la sensibilité cutanée avec retard des sensati
rieurs. Actuellement on observe de l'obnubilation des facultés, des troubles de la parole, une céphalalgie etune lombalgie i
ymptômes, l'auteur croit devoir conclure à l'existence à la fois de troubles purement névrosiques et de troubles purement or
lure à l'existence à la fois de troubles purement névrosiques et de troubles purement organiques causés par des modification
pieds avec abolition des réflexes rotuliens, sans amyotrophie, ni troubles de la sensibilité. L'auteur incline à croire que
e, ni troubles de la sensibilité. L'auteur incline à croire que ces troubles sont dus non à une polynévrite, mais à une lési
e cause d'irritation a disparu. Tout tic comporte donc à la fois un trouble mental et un trouble moteur : ce trouble mental
a disparu. Tout tic comporte donc à la fois un trouble mental et un trouble moteur : ce trouble mental consiste dans une in
comporte donc à la fois un trouble mental et un trouble moteur : ce trouble mental consiste dans une insuffisance du pouvoi
directe de l'asthme et la rétention vésicale. La pathogénie de ces troubles doit plutôt être attribuée à l'auto-into- xicat
es réflexes et trépidation épileptoïde mais absence d'ictères et de troubles oculaires. La présence de l'arthrite pouvait fa
vec exacerbation par la pression et le glis- sement de la peau. Ces troubles cessèrent avec un traitement ayant amené une am
ubles cessèrent avec un traitement ayant amené une amélioration des troubles neurasthéniques et une diminution de l'embonpoi
héniques et une diminution de l'embonpoint. M. llAMc : L. LI. Des troubles respiratoires en rapportavec les différents degré
personnes ayant présenté une même affection nerveuse et dont les troubles ont été déjà décrits par MM. Klippel et Durante.
les sujets prédisposés des hallucinations, du délire, ou bien des troubles du sentiment apparaissant avant les sensations ga
nogr. de la Sal- pétnière, n° 3, 1899.) Plusieurs observations de troubles trophiques chez des enfants, les uns pouvant êt
n de dégénérescence, atrophie musculaire, etc. Il n'existait pas de troubles de la sensibilité. C'est en se fondant sur le d
n de l'aponévrose dans un pareil cas, que cette rétraction est un trouble trophique dû à une altération du système nerveux
sseur ODDO. Parmi les syndromes familiaux à caractère évolutif, les troubles musculaires occupent par leur fréquence une pla
re essentiel de ces myopathies familiales est l'in- termittence des troubles fonctionnels qu'elles entraînent ; elles mérite
se de maladie de Thomsen ou de paralysie pério- dique familiale, le trouble moteur résume à lui tout seul tout le syndrome
uble moteur résume à lui tout seul tout le syndrome clinique, et ce trouble moteur est lui-môme constitué par la perturbati
evient excessif, l'acte se produit inopportunément. Tantôt c'est un trouble d'une fonction indispensable à la vie, tics res
ut chez certains sujets, tic de sputation. Le tic peut donc être un trouble d'une fonction normale, utile à l'individu. Il
s accidents tics ou crampes dits « professionnels » sont encore des troubles d'une fonction, fonction qui n'est pas com- mun
à tous, mais dont le but est logique, utile. Dans tous ces cas, le trouble fonctionnel parait être sous la dépendance d'un
arfaite, au moins au jugement delà malade; de 1893 à 1895, nouveaux troubles : diplopie laté- rale et en hauteur, spasme fac
ements de latéralité des yeux à droite. Aggravation progressive des troubles , avec cette double particularité que la paralys
n ont disparu chez plusieurs malades ; la nutrition générale et les troubles diges- SOCIÉTÉS SAVANTES. 289 tifs ont été tr
isant et atteint d'insuffisance mitrale, présentait, à la fois, des troubles délirants très intenses et une oligurie excessi
est beaucoup plus lent, en sociétés savantes. 293 dehors de tout trouble auditif. que chez les sujets normaux. Les temps
nsécutivement', ils'est installé une paraplégie spas- modique, avec troubles de la vessie et ébauche du syndrome de Brown-Sé
l'a plus noté ; ce qui contribue encore à établir, son caractère de trouble indépendant d'une lésion organique. Ce cas perm
s; quant à l'empirement nltérieur de l'ataxie, il l'explique par le trouble fonctionnel qui est confirmé : 1° par la guéris
ésie antérograde comme symptôme d'une lésion en foyer, identique au trouble d'orientation, décrit par d'autres auteurs. L'a
as dans ces cas quelque chose de plus simple, comme par exemple, un trouble dans l'appareil oculomoteur commun. ! ' Séance
note les partieu- larité suivantes des psychoses syphilitiques : i. Trouble de cons- cience en forme d'accès de sommeil pat
t tantôt des accerbations, tantôt des rémis- sions. 4. Présence des troubles nerveux spéciaux pour les lésions syphilitiques
re les mains de M. de Père6xe » 1, ce qu'elle fit « avec un grand trouble »1. « Elle étoit alors malade et elle craignoit d
aindre. On a également pu constater à la suite de l'opération des troubles sensitifs sans grande importance il est vrai, e
mportance il est vrai, eu égard à la gravité de l'affection, et des troubles moteurs, mais aussi, et surtout, des complicati
uérison absolue et définitive, 3 cas de guérison obtenue au prix de troubles oculaires graves, et 3 cas avec récidive plus o
famille qui nous donne les renseignements de son observation. Comme troubles moteurs, il y aurait quelquefois quelques léger
se produit une fossette et se localise ensuite aux paupières. Comme troubles sensoriels, on note seulement les bourdonnements
fois il y a des quinzaines d'accalmie complète. On ne constate ni troubles moteurs, ni troubles trophiques, et il n'y a à
nzaines d'accalmie complète. On ne constate ni troubles moteurs, ni troubles trophiques, et il n'y a à signaler qu'un certai
ates bien apparents : pas de rétrécissement du champ visuel, pas de troubles de la sensibilité. Le traitement a été commencé
siée au moment des crises, mais dans leur intervalle il n'y a aucun trouble de la sensibilité. La malade a usé de tous les
gencives sont hyperesthesiées. On note de l'épiphora, mais pas de troubles trophiques. Le malade se plaint parfois d'irrad
l fait saillant est la chute habituelle des cheveux du côté malade, trouble trophique sur lequel, du reste, la malade attir
-à-dire trois mois après le début de la névralgie, sont apparus des troubles gastro-intestinaux survenant par crises et cara
vralgie une sorte de dérivation, car celle-ci s'atténue dès que les troubles gastro-intestinaux apparaissent. Actuellement l
ux apparaissent. Actuellement la névralgie faciale alterne avec les troubles intestinaux et augmente dès que ceux-ci cèdent.
elle se trouve presque complètement guérie. » Ajoutons que pour ses troubles intestinaux et sa constipation nous avons tenté
en raison du spasme des conduits lacrymaux. En ce qui concerne les troubles sensitifs il n'y a à noter qu'une diminution du
odification de la sensibilité, dans aucun de ces modes; il n'y a ni troubles de la sensibilité gustative ni salivation anorm
du cuir chevelu. Hyperesthé'ie de la langue et des gencives. Comme troubles moteurs, il y aurait eu (nous n'avons pu en êtr
d'ordinaire (paludisme, rhuma- tisme, hystérie, tabes, etc). Pas de troubles oculaires, pas de signe 356 CLINIQUE NERVEUSE.
n chapeau ni se coiffer. L'apparition de l'accès est accompagnée de troubles vaso-moteurs, injection de la face, 358 CLINIQU
et le sillet fut radicalement guéri du jour.au lendemain de tousses troubles mentaux. Avec une prudente réserve l'auteur se
qui admettent la présence de parasites de cet ordre comme cause de troubles vésaniques et se demande si un cas aussi net ne
écou- ragement ne doit jamais relâcher la thérapeutique. 1, B. V. Troubles psychiques dans un cas de tumeur du lobe frontal;
déga- gent de l'examen des cas publiés.. Le tableau clinique des troubles intellectuels chez la malade avait présenté deu
urent pour faire place à une période psychique caractérisée par des troubles de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 367 mémoir
r le Dr VIALLON. (Annales médico- psychologiques, juin 1901). Les troubles mentaux consécutifs aux états infectieux avec alb
ions sensorielles, quelquefois des idées de persécution liées à des troubles de la sensibilité. Une hygiène sévère, la diète
370 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. moins longtemps sans présenter de troubles mentaux. Fait sur- tout digne d'être noté : la
oubles mentaux. Fait sur- tout digne d'être noté : la cessation des troubles mentaux a tou- jours coïncidé avec la. disparit
ons délirantes de la malade se rattachaient d'une façon étroite aux troubles albuminuriques. E. B. XI. Deux cas de manie g
ésulterait-elle pas d'un désordre psychique d'ordre supérieur, d'un trouble de la conscience dans le domaine de la vision b
es hallucinations unilaté- rales s'accompagnent très fréquemment de troubles divers de l'ap- pareil sensoriel périphérique d
qui porte atteinte à l'intégrité delà conscience et déter- mine ces troubles de la synthèse psychique d'où résulte l'abstrac-
aut noter l'association à l'angoisse de la tachycardie sans fièvre, trouble bulbaire, et la mort rapide avec dyspnée, autre
ans fièvre, trouble bulbaire, et la mort rapide avec dyspnée, autre trouble bulbaire sans doute, ainsi que la syncope. Ce fai
l'appui de l'opinion qui fait de l'angoisse la manifesta- tion d'un trouble bulbaire (Revue neurologique, juillet 1902). E.
gique, juillet 1902). E. B. XVIII. Des myopsychies (association des troubles musculaires et des troubles psychiques) ; par l
XVIII. Des myopsychies (association des troubles musculaires et des troubles psychiques) ; par le professeur JORFROY. La cho
gomyélie et toutes les amyotrophies dites primitives, ainsi que les troubles mentaux qui les accompagnent fréquemment; ne so
uelle le sujet est tout sensibi- lité, consiste précisément dans un trouble moteur, dans une insuf- fisance ou impuissance
E NEUROLOGIE Séance du 5 mars 1903. Présidence de M. Paul Ricucn. Troubles fonctionnels de la moitié droite de la moelle con
cas de névrite ascendante ayant SOCIÉTÉS SAVANTES. 381 causé des troubles médullaires à la suite de lésions des doigts, ces
ausé des troubles médullaires à la suite de lésions des doigts, ces troubles ont été parfois jusqu'à la syringomyélie. M. Ba
ormes de la sensibilité, et des modifications que la pré- sence des troubles sensitifs entraîne dans la perception de l'espace
la maladie par le caractère et la propagation des convulsions, le trouble nutritif dans les muscles, la modification de leu
s, la modification de leur excitabi- lité électrique, le manque des troubles sensoriels, le manque du caractère hystérique e
cré à l'étude des rapports de l'impotence musculaire et de certains troubles osseux dans l'hémi- plégie infantile. De l'étud
force de prodiguer ce terme de neurasthénie et de l'appliquer à des troubles né- vropathiques dissemblables, on risque de lu
esque toute valeur. D'ailleurs, il parait bien évident que tous les troubles qui ne sont ni hystériques, ni épileptiques, ne
, dans lesquelles l'anxiété habituelle s'exagère et s'accompagne de troubles organiques, tels que battements de coeur, dyspn
qu'un symp- tôme dominant comme les palpitations, la dyspnée, les troubles digestifs, les sueurs profuses, le ténesme vésica
désespère et appelle la mort qui la délivrera de son martyre. Des troubles somatiques accompagnent cet état mental. Céphal
Fatigue, pesanteur des membres, dégoût, de l'action et de l'effort. Troubles digestifs. Entérite muco-membraneuse. Insomnie.
ellent ; une analyse d'urine ne révèle aucun élément anormal, aucun trouble dans les excrétions, de chlorures, de phosphate
étrange. Conformément à sa théorie générale selon laquelle tous les troubles nerveux, ceux de l'hystérie comme ceux de la ne
et à un moindre degré, mais d'une manière égale- ment certaine, des troubles remarquables, ruminations, agitations, angoisse
ille aussitôt. Depuis novembre dernier, il est en outre sujet à des troubles intestinaux, crises de coliques, diagnostiquées
s yeux un peu étonnés et l'esprit un peu agité de distraction et do trouble , lorsqu'un troisième coup, encore plus fort que
sie du larynx. Déjà sont apparus, avec la paralysie du pharynx, des troubles de la déglutition qui facilitent le passage des
le alla « communier toute en larmes= ». Et ce furent dès lors « des troubles et des angoisses incroyables3 », un « trou- ble
tigmates moraux en stigmates obsté- tricaux. Première génération. Troubles mentaux, épilepsie. etc., mais gestations anorm
sique ou morale, mais gestations anormales. Troisième génération. Troubles mentaux, épilepsie, etc. Déjà Bourneville, dans
et de délimitation précises dans les contours des objets amène un trouble de l'attention et jette la distraction dans l'éta
hronique, les auteurs ont recherché avec soin les modifications des troubles moteurs qui se sont pro- duites au cours des de
les Dg PAItHON et GOLDSTEIN. A propos de deux cas d'hémiplégie avec troubles vaso-moteurs, les auteurs font une revue d'ense
ante de l'appareil circulatoire. Cette observation démontre que des troubles circulatoires peu- vent être le point de départ
lit aussi que les pertes de substance produites sous l'influence de troubles vasculaires, indé- pendantes au début de toute
ralytiques, par Kornfeld et 131l : Plès ; 6° De la simultanéité des troubles du goût et de l'affaiblissement d'autres foncti
myélie et polyomyélite infantile) peuvent déterminer en réalité des troubles moteurs, non à disposition segmentaire, mais à
au point de vue mental mais au point de vue somatique, beaucoup de troubles organiques jouant un rôle considérable dans la
tteint de paralysie générale, de méningite chronique, on observe un trouble extrêmement prononcé. Après avoir précipité fro
froid la globuline par le sulfate de magnésie on observe encore un trouble après chauffage. Donc dans le liquide céphalo-rac
méningée, il existe vraisemblablement des sociétés savantes. 473 troubles de la circulation lymphatique qui expliquent le p
cantes de ces racines sont également touchés, comme le montrent les troubles vaso-moteurs de la face et de l'oreille qui se
bles vaso-moteurs de la face et de l'oreille qui se surajoutent aux troubles oetilo-pupillaires qui dépendent du ramus commn
térograde continue de fixation et de conservation Topongnosie, sans troubles visuels. M. Ernest Duphé. Malade de 53 ans, anc
TÉS SAVANTES. lisée au sommet droit, entré dans le service pour des troubles cérébraux qui ont brusquement débuté, sans ictu
ns ictus, il y a trois ans, à l'occasion d'un grand chaa-rin. Ces troubles consistent dans une impossibilité absolue de fixe
ment : il s'y perd, ne peut retrouver son lit, etc. Le seul autre trouble psychique constaté est l'apparition, à l'occasi
s (tremblement, accélération des mouvements cardio-respi- ratoires, troubles vaso-moteurs) d'une émotion que ne ressent pas
émotion que ne ressent pas d'ailleurs le malade, il s'agit là d'un trouble psychoréllexe de la mimique émotive et non de l
t non de l'émotivité elle-même : le malade s'étonne lui-même de ces troubles , auxquels il assiste sans les expliquer. Comm
me de ces troubles, auxquels il assiste sans les expliquer. Comme troubles somatiques : caractère incertain, vaguement ébr
n lombaire, lymphocytose discrète (6 à 7 éléments par champ.) Aucun trouble visuel ni pupil- laire : légère neuropapillite
nt l'impotence et l'anesthésie étaient complètes et accompagnées de troubles circu= latoires faisait présumer qu'il y avait
s sont incomparablement moins accusés que dans l'ataxie du tabes, à troubles sensitifs égaux. Chez l'ata- xique une perte co
e et l'ataxie centrale, doit être cherchée ~~ ailleurs que dans les troubles sensitifs. Dans toute la hauteur de l'axe céréb
e docteur. La phsychologie du stomacal. M. DE Bourgade expose les troubles du caractère et les phéno- mènes nerveux qui ré
es huit ou quinze jours à l'avance ; elles laissent après elles des troubles vatiespendant une quinzaine. La crise de mars 1
ée, cette malade se remet à dormir la nuit et à s'ali- menter ; ses troubles mentaux ne tardent pas à disparaître; en deux m
mblement avec faiblesse des membres inférieurs ; en 1891 survint un trouble de la parole ; on prenait quel- quefois le mala
bide chez le malade donné. Il est possible qu'on a affaire ici à un trouble diffus de la nutrition des éléments moteurs du
ua d'une manière favorable sur les idées obsédantes. Concernant les troubles moteurs et les modifications de conscience, les
iges, dans 5 cas, des accès hystériformes, dans 8 cas, des syncopes trouble de conscience di, courte durée. Les anomalies s
de pair avec les idées obsédantes on peut rencontrer aussi d'autres troubles . Si on peut même admettre une constitution part
alors que d'autres auteurs (Wesphal) tiennent ce symp- tôme pour un trouble à base idéative. Ils résument les caractères gé
ion n'est souvent qu'une phobie ayant perdu son caractère de simple trouble émotif, BIBLIOGRAPHIE. 487 pour prendre par l
APHIE. 487 pour prendre par le fait même de son évolution, celui de trouble à la fois émotif et intellectuel. Plus l'obsess
essantes et des aperçus ingénieux touchant l'interpréta- lion de ce trouble . Dans le chapitre Étiologie sont étudiées les c
nostic. la marche et la durée, le pronostic et le traitement de ces troubles . Les consi- dérations médico-légales sont illus
u maintien des alcoo- liques dans les asiles, après disparition des troubles déli- rants, dit que, à part l'opinion de M. Ke
n ne devait garder les sujets que pendant qu'ils présentaient les troubles mentaux dus à l'intoxication et où il ne conve-
des médecins maintiennent les alcooliques après la disparition des troubles délirants aigus. « 2° La durée de ce maintien e
Dr leravil 12bellaizi hors de l'asile les alcoolique s dès que les troubles mentaux ont disparu, nome croyant pas autorisé
jours avant l'écoule- ment qui était régulier, et sans douleur, ni troubles quelconques, une excitation sexuelle intense qu
n enfant mâle bien conformé et vigoureux, sans avoir présenté aucun trouble nerveux. Elle ne pouvait pas manquer d'accepter
avait été convulsive dans sa première enfance n'a présenté d'autres troubles névropathiques que des migraines sen- sorielles
on psychique. 4" II est des cas dans lesquels on peut rapporter les troubles nerveux de l'enfant aux orages sensoriels provo
nombreuses définitions antérieurement données, il a montré que «les troubles fonctionnels et men- taux capables d'être provo
s par des causes psychiques; de se succéder chez les mêmes sujets ; troubles ne retentis- sant pas gravement sur la nutritio
ues d'avec d'autres manifestations, également mentales, comme les troubles neurasthéniques, les phobies, la maladie du doute
e manifestation psychique ni hystérique. La maladie du doute est un trouble mental ou psychique (ces deux mots étant synony
(ces deux mots étant synonymes, l'un latin, l'autre grec), mais ce trouble n'est pas hystérique. Le spasme musculaire qui
ques (Rétrécissements de 1'urèthre, de l'oesophage, etc. ! ) est un trouble fonctionnel, mais non mental ni hysté- rique. C
erses affections, distinctes les unes des autres, le sont aussi des troubles hystériques comme n'étant pas susceptibles d'ap
au pyramidal et la con- tracture hystérique sous la dépendance d'un trouble fonc- tionnel de ce faisceau,. M. Babinski énum
térie comme un état psychique particulier, le plus souvent comme un trouble de la volonté ' Hypnotisme et Hystérie (1891),
aciale consécutive à une fracture du rocher, associée à l'hystérie ( troubles locomoteurs, démarche ébrieuse, ver- tiges. Dis
roubles locomoteurs, démarche ébrieuse, ver- tiges. Disparition des troubles hystériques sous l'influence de la suggestion),
e névrose trauma- tique ; 2° observation d'hystérie convulsive ; 3° troubles hystériques divers : li-0 observations de ciior
iques ; 10° observation de nervo-arthri- tisme ; il° observation de troubles menstruels; 12° névral- gies ; 13° rhumatismes
12° névral- gies ; 13° rhumatismes ; 1r° affections spinales ; '15° Troubles liés à des affections organiques diverses ; 160
les ; '15° Troubles liés à des affections organiques diverses ; 160 troubles menstruels ; 17° observation de suggestion par
dit M. Dan- nemann, à leur donner des notions plus précises sur les troubles psychiques et à graver plus profondément dans l
complète la cause première de bien des inconvénients et de bien des troubles . Enfin, comme cette salle est utilisée pour la
ans cesse qu'il se lève, qu'il aille et vienne dans la chambre. Les troubles s'aggravent encore s'il est assis devant son ét
siés ; l'autre d'une polynévrite à forme pseudo-tabétique mais sans troubles des réactions électriques et à pronostic très f
ne. En même temps sont apparus les bourdon- nements d'oreilles, des troubles de la vue et une certaine tendance au vertige.
t atteints dans toute leur étendue. Les ongles sont amincis. Pas de troubles de la sensibilité. Subjectivement, la malade n'
int de la même affection : amyotrophie, réaction de dégénérescence, troubles des sensibilités, localisation nette aux membre
é du phénomène myotonique, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 337 avec troubles qualitatifs et quantitatifs de l'excitabilité éle
LXXXIX. Diplégie faciale congénitale avec paralysies oculaires et troubles de la déglutition ; par DECRoLY. (Journ. de Neuro
d'une double paralysie faciale accompagnée d'ophthalmoplébie et de troubles de la déglutition attribuée, d'après l'auteur,
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. faiblesse intellectuelle, troubles du langage) ne s'accuseront que plus tard. G. D
sion périphérique siégeant dans l'iris, quelque chose d'analogue au trouble myotonique de la maladie de Thomsen, le microsc
ladie de Thomsen, le microscope cornéen de Westien ayant décelé des troubles trophiques de l'anneau irien. AI. Nonne apporte
istait diabète sucré et alcoolisme, qui permet- tent de penser à un trouble localisé dans la branche centrifuge de l'arc ré
t augmenter les acquisitions passées, rester normaux que si aucun trouble somatique n'entrave le développement de la vie vé
céphale et modifient plus ou moins le dynamisme mental selon que le trouble viscéral, fonctionnel, survient brusque- ment e
nses, mais qui reposait SOCIÉTÉS SAVANTES. 545 uniquement sur des troubles cérébraux en tout point analogues à ceux que l'
aliénés. Cependant il n'y a aucune différence fondamentale entre le trouble mental de ces aliénés et celui des médiums ordina
La débilité mentale du sujet est le facteur étiologique de tous ces troubles . M. G. Ballet. - Le malade dont il est question
ncontre dans la société et celui qui, à cause de l'intensité de ces troubles délirants, ne peut y vivre. Les hallucinations, l
de ces troubles délirants, ne peut y vivre. Les hallucinations, les troubles de la sensibilité sont attribués à l'influence
iode de cachexie, l'oedème permanent, s'accompagne d'un ensemble de troubles vaso-moteurs et trophiques dus l'alté- ration d
off a aussi observé des cas semblables. SOCIÉTÉS savantes. 549 Du trouble dissocié de la sensibilité cutanée dans la lésion
emier lieu l'analgésie et la thermoanesthésie simultanément avec le trouble de la coor- dination de. type cérébelleux et av
vec le trouble de la coor- dination de. type cérébelleux et avec le trouble de divers nerfs cérébraux. Cas 1. Malade K ?
: vertige, nausée, vomisse- ment, hoquet opiniâtre de longue durée, trouble de la déglutition, 550 SOCIÉTÉS SAVANTES. dou
à droite. Rétrécisse- ment et réaction lente de la pupille gauche. Trouble oculo-moteur compliqué avec difficulté de rotat
depuis seize mois et dont le syn- drome était aussi complet que les troubles étaient profonds, eut l'occasion de rechercher
s faits démontreraient à mon avis que le signe de Babinski est un trouble fonctionnel des voies pyramidales, mais il ne dép
s corriger. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Maxwell (J.). L'amnésie les troubles de la conscience dans l'épi- lepsie. 1 vol, in-
197. Adipose douloureuse, par Féré, 2SO. Aéropiugie. De l' et des troubles gastriques qui l'accompagnent, par Lyonuet et
, par Dromard. Alexie. Etude sur l' sous-corti- cale et sur les troubles similaires, par l'reobrajenshy, 301. Aliénés.
rade continue de fixation et de conservation. To- poagnosie, sans troubles visuels, pai@ Dtil)i,C,, 473. Amyotropiub du
, par Vaschide et Vurpas, 290. BASEDow. Maladie de Basedow avec troubles psychiques provoqués par l'ingestion de corps t
, 103. DIPLIsGIR faciale congénitale avec daralysies oculaires et troubles de la déglutition, parDecroly,5 ? 7. Disparit
gie. Cour de 1903, 20o. Educatiom. Voir Dressage. Emotion. Voir Troubles . Encéphalites. Voir Sclérose céré- Grale. E
1' spinale, par Babinski, 202. Contribution à la connaissance des troubles de la conscience avec conservation de la mémo
tion des centres dndans l'écorce du cerveau. llar Gorschhow, 266. Troubles du - dans le domaine de la corde du tympan, p
72. LITTLE. Syndrome de , par Da- niel, 537. Lobe frontal. Voir Troubles psy- chiques. LOCALIZe1C101ES 111 : DULARES,
, 459. Sensibilité. De la - du squelette, par Egger, li-53 - Voir Troubles . Sommeil, Essai sur la tlsycllo plly- siolo-i
e de -, par Picire Ma- rie et Crouzou, 473. SSItI\GOJIYI;L1F. Les troubles psychi- ques dans la -, par P. Marie et. Guil
, par Lévi et liauer, 3S ? Trijumeau. \'. Sympathique cervical. Troubles respiratoires. Des - en rapport avec les riilfé
6 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
-elle obligée de garder la cham- bre. Peu de temps après, sa vue se trouble ; l'oeil droit est atteint d'abord par l'amblyop
bientôt l'oeil gauche se prend à son tour. Céphalée, vomissements, troubles oculaires, voilà une triade symptomatique qui d
examine immédiatement les autres organes des sens : il n'y a pas de troubles de l'ouïe ; la malade entend parfaite- ment tou
xamen électrique des muscles pratiqué par M. Huet, n'a montré aucun trouble appréciable des réactions électri- ques. Somm
musculaire généralisèe ; il y a bien une légère prédo- minance des troubles du côté du bras droit, mais je n'ai pas là un p
ain degré d'hypotonie musculaire. Cette malade présente aussi des troubles sensitifs impor- tants. Au point de vue subject
cérébral, de la diplopie. Dans le cours des deux derniers mois les troubles oculaires se sont rapidement aggravés et ont ab
gie externe et interne, la paralysie faciale inférieure droite, les troubles parétiques et l'hyperes- thésie du côté droit d
bien plus délicates. Sans doute, on peut observer parfois quelques troubles moteurs, un peu d'incertitude dans la démarche,
s de tension cérébrale, cela se conçoit sans peine. Par contre, les troubles sensitifs sont plus accentués, plus directement
eur comme un symptomo- complexe clinique à part, qui entre dans les troubles psy- chiques les plus variés et ne présente auc
n regarde comme symptôme détermi- natif des formes catatoniques les troubles moteurs typiques, qui se joignent à la maladie
tale et de démence; pourtant quelquefois l'un ou l'autre stade de trouble psychique peut manquer. De pair avec les symptô-
avec les symptô- mes psychiques existent aussi des phénomènes, des troubles moteurs avec caractère de convulsions. » Au n
ènes caractéristiques de la catato- nie, Kahlbaum inclut encore les troubles suivants : z10 les poses sléréotypiques habitue
cours périodique (dont les périodes viennent d'être citées) et avec troubles moteurs. Dans les formes atypiques certaines ph
atypiques certaines phases de psychose isolées, ainsi que certains troubles moteurs peu- vent manquer. Le symptomo-comple
ans de cela, pendant un ou deux jours, il eut un état passager 'du- trouble p.ychique suivant : il avait peur de quelque chos
Le degré de la conscience du malade, nous aurions défini comme un trouble très profond, mais non comme enchaînement, parce
ation très accen- tuée des réflexes jusqu'au clonus plantaire et un trouble de la parole avec le type de disartrie. Ainsi
e mélancolie avec délire épisodique, parfois avec hallucinations et troubles moteurs caractéristiques, ne ressemble à aucune
chaque cas de démence pré- coce qui peut se compliquer par de tels troubles moteurs, comme ici. C'est justement la prédom
troubles moteurs, comme ici. C'est justement la prédominance des troubles moteurs aigus avec symptômes d'inhibition dans
côté des organes internes rien d'anormal n'a été constaté. Aucuns troubles de la motilité et de la sensibilité. Aucuns dér
vec abaissement très marqué de la faculté intellectuelle avec grand trouble d'attention. Vu la courte durée de notre observ
nt très marqué de la capacité productive du cerveau. Ayant un grand trouble de conscience et d'atten- tion, la malade ne fa
qui en sont cause, puisqu'elles manquent, mais c'est à la suite du trouble de l'activité cérébrale des associations que ce
les uns et les autres symptômes dépendent de la 1", alisalion des troubles fonctionnels et du trouble de l'admis réci- pro
tômes dépendent de la 1", alisalion des troubles fonctionnels et du trouble de l'admis réci- proque des uns et des autres c
deux premières observations citées 1 ? ! uni, un certain groupe de troubles de l'activité de l'innervation vo- lontaire, s'
Mit meiner Mandoline » (Fremmer). Pour achever avec l'analyse des troubles moteurs catato- niques, nous voulons nous arrêt
t ce sujet, nous ne pouvons pas donner de pathogénie générale de ce trouble . Il est connu que la catalepsie peut se manifes
nique on ne peut pas tracer de limite très accentuée entre ces deux troubles . Ainsi, par exemple, notre premier malade, qui
omprenait, à un certain degré, les gestes et les paroles, malgré le trouble de l'attention; si après deux ou trois piqûres
hibition de réflexes psychiques pouvant être expliqué encore par le trouble gé- néral de l'activité psycho-motrice. Mais no
ion primordiale de la sphère motrice dans la catatonie, ce sont les troubles d'innervation très stables qui se développent à
sque comme un paralytique général. Lorsqu'il y a un manque total de troubles bulbaires, nous considérons la dysartrie dans l
ez nos Leçons cliniques, vol. II, p. 153- 154) comme un symptôme du trouble de la synergie des centres corticaux. Tout auss
e stable de l'enlèvement de la fonction peut être considéré comme trouble du sens musculaire. Relativement à ce dernier il
contre dans les cas légers de catatonie, ne sont pas accompagnés de trouble stable du sens musculaire (voir notre 3e observ
d'avance que nous sommes loin d'admettre dans la catatonie quelque trouble grossier dans la sphère motrice de l'écorce cér
nts médic. au Recueil maritime, 1889. 8 Serbsscy. Sur les formes du trouble psychique, décrit sous le nom de catatonie. Mos
vue des lésions du système nerveux chez l'homme dans lesquelles les troubles des images colorées sus-indiquées étaient manif
pariétales, temporales, occipitales) n'entraîne pas d'ordn aire de troubles de l'odorat; seulement, dans les premiers jours q
on, l'odorat est un peu affaibli des deux côtés identi- quement. Ce trouble disparaît dès le deuxième ou troisième jour. IV
58 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. question de troubles psychiques. Les symptômes cliniques obser- vés
nt plusieurs avec suppuration, présentant une main de Morvan et des troubles de la sensibilité caractérisés par uue hémia- n
otale dans la moitié inférieure du corps. Plus tard, survinrent des troubles vésico-rectaux. En présence de cette symptomato
bservation 2 a trait à un homme de 45 ans. Il présente . d'abord un trouble absolu, complet, du langage et de l'intelligence
e des vaisseaux : certains d'entre eux se thrombosaient, d'où des troubles nutritifs des parties correspondantes du cerveau.
tiqûe commence fort souvent par la sensibilité pilaire. De plus, le trouble de cette dernière occupe une bien plus grande s
ue celui des autres modes de la sensibilité cutanée, et le degré du trouble de la sensibilité pilaire est plus profond que
s profond que celui des autres, modes de la sensibilité cutanée. Le trouble de la sensibilité pilaire marche plus vite que
Si souvent elle s'observe à une époque où il n'existe pas encore de trouble des autres modes de la sensibilité cutanée,- à
au moins d'une atrophie musculaire du membre inférieur gauche sans troubles de la sensibilité, sans mo- difications des réf
station et la marche à la patiente tout en lui laissant les autres troubles d'incoordination reposant sur une base organique
raitement par la suspension et le plan incliné fait disparaître ces troubles moteurs, mais à ce moment la langue qui jusque-
- XV. Sur deux cas de syringomyélie à topographie radiculaire des ' troubles sensitifs et des troubles moteurs; par les Dra CE
ngomyélie à topographie radiculaire des ' troubles sensitifs et des troubles moteurs; par les Dra CESTAN et HUET. REVUE DE
ion se pose actuellement de savoir si la topographie habituelle des troubles de la sensibilité dans la syringomyélie ré- pon
avancés de syringomyélie, non seulement la topographie précise des troubles sensitifs peut être difficile à déterminer, mai
iger avec soin les observations ;de syringomyélie peu avancée, avec troubles localisés à une partie des membres; elles perme
des membres; elles permettent de mieux préciser la topographie des troubles sensitifs, et souvent aussi des troubles moteurs.
réciser la topographie des troubles sensitifs, et souvent aussi des troubles moteurs. Les deux observations rapportées par l
t aux faits rapportés dans la thèse de Hauser, qui montrent que les troubles sensitifs se produisant au cours de cette malad
ladie, sous l'influence des lésions médullaires, peuvent, comme les troubles moteurs, affecter une disposition radiculaire (Re
en effet, l'affection a revêtu la forme d'un délire alcoolique sans troubles objectifs. D'autre part la tumeur est un adénome
ssue fatale parait proche. En dehors des accès on n'ob- serve aucun trouble gastrique et l'état général est excellent. Pen-
s, 2° série, t. XVII. 6 82 SOCIETES SAVANTES. réflexes tendineux, troubles sphinctériens, thermoanesthésie abso- lue jusqu
ypno- , .SOCIÉTÉS SAVANTES. 83 tisation et de la guérir de divers troubles , tels que crises nerveuses avec perte de connai
our d'elle. Quelques-unes de mes paroles provoquèrent chez elle des troubles vasomoteurs, en particulier de la rougeur de la
indirecte. , , III. Contribution à l'étude de l'idée de grossesse trouble psychopu- thique; par M. Fernand BICHEBOIS (Thè
n de pronostic. Paris. bibliographie. 87> IV. L'amnésie et les troubles de la conscience dans l'épilepsie; par J. Maxwe
justifiée, cela n'empêche que, théoriquement au moins, l'étude des troubles de la personna-f lité entraînant la responsabil
a pas voulu aussi rigoureuses, on pour- rait dire qu'en général les troubles de la mémoire entraînent1'i1'l'es- ponsabilité
aînent1'i1'l'es- ponsabilité pénale, tandis que ce sont surtout les troubles de la cons- cience qui créent ['irresponsabilit
ondes épileptiques); mais dans beaucoup d'autres' circonstances les troubles de la mémoire et de la conscience peu- vent êtr
adé que ce résultat, la suppression des attaques convulsives et des troubles psy- chiques pendant les périodes d'ascension e
e (donc mémoire), et elle n'eut plus de crises convul- sives, aucun trouble épileptique jusqu'à la convalescence de la fièv
uelle et morale, de l'aboulie et de l'apathie du cré- tin, tous les troubles trophiques généraux que l'on ren- contre chez l
s épi- leptiques en apparence le mieux constitués qui offrent les troubles les plus graves. J'ai cherché, dans ce travail, l
uillant. Pendant la sus- jpension du traitement (quatre jours), les troubles s'atténuè- rent, mais la semaine suivante lorsq
aussi chercher à déterminer. Il est d'observation courante que les troubles symptomatiques de l'épilepsie, troubles psychiq
bservation courante que les troubles symptomatiques de l'épilepsie, troubles psychiques ou attaques, sont plus accentués, pl
ie, t. XVII. S 114 ' CLINIQUE NERVEUSE. grins, perte de son mari, troubles intellectuels, idées de persé- cution, craintes
époques menstruelles, évi- demment beaucoup plus accusés alors, des troubles psycho- 116 RECUEIL DE FAITS. sensoriels paro
certainement expliquer la persistance de la périodicité de certains troubles intellectuels chez la femme qui a passé l'âge c
constaté d'accidents syphilitiques. Son affection a débuté par des troubles oculaires : myosis, inégalité pupillaire, et l'
, mais sans délire spécial. « Au milieu de ces divers symptômes les troubles de motilité étaient apparus, caractérisés par u
ouvements, en particulier de son appareil locomoteur. Peu à peu ces troubles s'accentuèrent ; la déchéance intellectuelle et
définitions résument la conception de l'au- teur sur la nature des troubles hystériques et des phénomènes hypnotiques. Le c
abilité, leur caractère souvent théâtral, qu'elles proviennent d'un trouble de la volonté, trouble du centre 0 de Grasset,
souvent théâtral, qu'elles proviennent d'un trouble de la volonté, trouble du centre 0 de Grasset, et que nées tout entièr
e. Ajoutons qu'un certain nombre de faits étiquetés jusqu'à ce jour troubles hystériques de la person- nalité, ressortissent
n. Enfin, toutes les expériences ayant pour objet l'apparition de troubles trophiques par suggestion et que rappelle l'auteu
brille ni par le nombre, ni par la critique expérimentale sont les troubles émotifs. La suggestion provoque une émotion qui
nisme est du 20 degré. C'est ce que Babinski pourrait appeler « les troubles secondaires de l'hypnose » comme l'atrophie mus
res de l'hypnose » comme l'atrophie musculaire est quel- quefois nn trouble secondaire de l'hystérie. Pour terminer cette r
ravail intitulé : Rela- tions qui existent entre la syphilis et les troubles des réflexes piipil-, I 'aires, Stheinheil, 189
représentent deux états mentaux séparés par une nuance seule. Les troubles hystériques ne se différencient en rien des troub
nce seule. Les troubles hystériques ne se différencient en rien des troubles provoqués dans l'hypnose par suggestion et tout
agération des réflexes tendineux, l'épilepsie spinale légitime, les troubles du vertige vol- taïque n'appartiennent pas non
iser à l'état normal. Aussi les paralysies, les contrac- tures, les troubles de sensibilité hystériques ou h3 pnotiques dif-
rtains caractères très nets des paralysies, des con- tractures, des troubles sensitifs observés dans les maladies orga- niqu
ce. Juillet 1902). Il est commun de rencontrer chez les aliénés des troubles des fonctions motrices de l'iris; toutefois la
autant de cas que toutes les autres formes de folies réunies. Les troubles moteurs de l'iris se constatent par des observati
s, ou du moins le sont d'une manière tellement prédominante que les troubles des autres sens sont dou- teux ou masqués. L'au
ont probablement la représentation dans la con- science de quelques troubles de la région. Sensibilité génitale : on lui int
ntes de parésie des membres avec atrophie musculaire accompagnée de troubles intellectuels consistant surtout dans une incoh
de mélan- colie. Cette dernière, qui n'avait jamais présenté aucun trouble mental, est devenue, à la suite de la mort d'un
nt de vague inquiétude. P. Keraval. XI. -Contribution à l'étude des troubles .mentaux périodiques, par ENNEN. (Neurolog. Cent
riosclérose. Il est penser que la marche des phénomènes tient à des troubles vasomoteurs et nutritifs sans qu'on puisse s'ex
. Trapieznikow. (Obozrênié psichiatrii. VI, 1901). - - - ... Ce trouble de la sensibilité consiste, comme on sait, en ce
ème nerveux, survenant pen- dant l'enfance et se traduisant par des troubles moteurs et de la débilité mentale; par W.-Ai. B
enheilk. XVII 1900). On constate de l'ataxie cérébelleuse, avec des troubles de la parole, sans troubles de la sensibilité, qu
tate de l'ataxie cérébelleuse, avec des troubles de la parole, sans troubles de la sensibilité, qui a évolué lentement dès l
re, d'autant que la marche de la malade a présenté dès le début des troubles cer- tains. Depuis les accidents cérébraux, l'é
s phénomènes de débilité mentale, les tremblements des membres, les troubles particuliers de la marche empreints des caractè
'Oboz2-éîtié russe de 1900. Déjà analysé. P. Keraval . XXIII. Des troubles psychiques de la déglutition, ou dysphagie psyc
rouve de l'angoisse à tout mouvement de déglutition : cette anxiété trouble l'acte malgré l'absence de lésions organiques a
évolution spéciale, plus ou moins rapide que les autres); 6° Les troubles d'articulation de la parole, en particulier, co-
ectuel, mais la façon de com- prendre le langage des autres; 8° ces troubles du langage tiennent à des lésions qui peuvent a
les centres du langage restant le plus souvent intacts. 0 9° Les troubles du langage ne sont donc pas toujours incurables,
re sous la direction d'un méde- cin, qui, connaissant bien tous les troubles auxquel il a affaire, appliquera à chacun le tr
es aux pieds, anesthésie profonde et phénomènes paralytiques. Les troubles de la mémoire vinrent compléter les symptômes car
vile, le paragraphe 104, section 2, incapacité pour celui qui a des troubles mentaux caractérisés. § 3. Incapacité pour l'al
ur l'état lypémaniaque de véritables bouffées de mégalo- manie avec troubles moteurs; enfin la démence une fois établie, ne
ls peuvent même guérir définitivement, non de leurs tabes, mais des troubles intellectuels que l'auteur appelle démences par
chiques, ou provoquer, au contraire, tous les de- grés possibles de troubles mentaux. La gravité des troubles men- taux n'es
re, tous les de- grés possibles de troubles mentaux. La gravité des troubles men- taux n'est pas nécessairement en rapport a
moignent. Il est l'occasion fréquente d'erreurs de diagnostic. Tout trouble mental, accompagné de fièvre, doit faire soupço
duire des dé- sordres semblables. Et la susceptibilité du sujet aux troubles men- taux est surtout fonction de son degré de
it ressortir le rôle de la prédispo- sition, dans l'éclosion de ces troubles nerveux et mentaux, la pré- disposition est car
se semble être insuf- fisants encore pour provoquer l'éclosion d'un trouble psychopa- thique organisé, sans l'intervention
, à savoir que la prédisposition expliquait, à elle seule, tous les troubles consécutifs au traumatisme. Plus tard une réac-
nt sur quatre cas très fouillés d'acropa- resthésie, montre que les troubles paresthésiques revêtent Une localisation exacte
atteinte de la même affection : acroparesthésie des extrémités avec troubles radiculaires et disso- ciation delà sensibilité
observer que les malades cités ou présentés ci-dessus ont bien des troubles à disposition radiculaire, mais les aires pares
vérifia la chose. L'examen microscopique provisoirement a donné des troubles importants des nerfs périphériques, de l'épiderme
ue d'étiologie il est intéressant que le malade ne présentait aucun trouble de la sensi- bilité, aucune ataxie, aucun traum
furent considérés comme jouant un certain rôle dans l'évolution des troubles trophiques 4. ïO - SOCIÉTÉS SAVANTES. dans la
que ces deux moments ne concourent pas aussi dans la production des troubles trophiques. - '- Réflexe adducteur du pied. M
ique. Cette paraplégie a débuté à l'âge de sept ans et demi, sans troubles antérieurs connus. Elle ne s'accompagne d'aucun t
demi, sans troubles antérieurs connus. Elle ne s'accompagne d'aucun trouble de la sensibilité subjective ou objective, mais
tite avec opacité et vascularisation de la conjonctive indiquant un trouble trophique par altération du trijumeau. Le liqui
une jeune malade atteinte de la maladie des tics, avec coprolalie, troubles du caractère, perversion des sen- timents affec
comporte un cas de cette nature. BIBLIOGRAPHIE. V. Etude sur les troubles trophiques dans la paralysie générale; par M. P
épuisés à force d'être discutés, on ne saurait en dire autant des troubles trophiques de cette affection. A part quelques ob
lacune, en nous donnant dans sa thèse un exposé très documenté des troubles trophiques dans la paralysie générale. La cla
s dans la paralysie générale. La classification est la suivante : Troubles trophiques muscu- laires (atrophie musculaire);
uivante : Troubles trophiques muscu- laires (atrophie musculaire); - Troubles trophiques osseux (frac- tures) ; Troubles trop
(atrophie musculaire); -Troubles trophiques osseux (frac- tures) ; Troubles trophiques articulaires (arthropathie); Trou- b
- sion et abrasion des dents, mal perforant plantaire, eschare) ; Troubles trophiques viscéraux (vaso-dilatation du poumon,
phiques viscéraux (vaso-dilatation du poumon, du foie et du rein) ; Troubles trophiques des organes du sens (atrophie blanch
s trophiques des organes du sens (atrophie blanche de la pupille) ; Troubles trophiques généraux (fonte paralytique). - Ce
servations viennent compléter chaque description. Une thèse sur les troubles trophiques relève forcément de la physiologie.
igne de compte la notion d'infection. « Tout dans la production des troubles trophiques se résume en trois faits : d'abord u
e en trois faits : d'abord une lésion nerveuse amenant sou- vent un trouble circulatoire, ensuite une infection se produisant
union de deux agents, l'un infectieux, l'autre nerveux, produit des troubles trophiques nettement indépendants de chacun d'e
r. ' Les paralytiques généraux sont d'autant plus prédisposés aux troubles trophiques que, chez eux, la maladie atteint la t
es conditions, il n'est pas étonnant que ces malades présentent des troubles tro- phiques aussi nombreux que variés. Si leur
e la manière suivante : BIBLIOGRAPHIE. 179 180 " BIBLIOGRAPHIE. troubles apparents pour le médecin et même le malade, révé
que, limitée à un ou plusieurs troncs nerveux, et s'accompagnant de troubles subjectifs ou objectifs, parmi lesquels on peut
ff d'origine alcoolique ; caractérisés par l'association des divers troubles névritiques ci-dessus mentionnés avec des désor
leux. Ce qu'on appelle la folie tuberculeuse est représenté par des troubles mentaux sans rapports avec ceux qui accompagnent
nfection bacillaire et ne peuvent suffir à expliquer les différents troubles mentaux du ma- lade. Telle est l'analyse très
s poussières diverses (tabacs,plumassières, ma- telassières). Les troubles psychiques sont fréquents chez les enfants ; déjà
pages, imp. Kreiss, Nancy. ' HÈmssEY (Paul). Etude clinique sur les troubles trophiques dans la paralysie générale. Librairi
903, épo- que de cet examen, elle est en rémission complète ; aucun trouble intellectuel; conscience très nette de son état
ysiques : léger tremblement fibrillaire de la langue et des lèvres. Troubles de la parole. Pupilles légèrement inégales, immo-
Absence d'idées délirantes. Signes physiques très atténués; pas de troubles de la parole : pu- pilles légèrement inégales.
inconscients; elle a mis le feu chez elle. Inégalité pupil- laire, troubles de la parole ; hémiparésie gauche qui a rétrocédé
remblement de la langue, troubles' très légers de la parole ; aucun trouble de la lecture, mouvements fibrillaires des lèvr
règles, cette malade présente parfois de l'hémiparésie droite avec troubles vasomoteurs du même ; côté. A l'ophthaimoscope
tion qui a duré plusieurs jours. Examen du 8 septembre 1903.- Aucun trouble de la parole; tremblements fibrillaires de la l
riées. Examen du 8 septembre 1903. Signes physiques très marqués, trouble léger de la parole : tremblement menu et rapide d
n la pupille gauche pas du tout. Tremblement de la langue. Pas de troubles bien nets de la parole. La malade conserve quelqu
nscience de sa situation. Signes physiques très peu marqués, pas de troubles de la parole; pas de tremble- ment dés mains, n
les dilatées et immobiles à la lumière. Examen du 7 septembre 1903. Troubles de la parole très ac- centués : mouvements de t
, quarante ans; entrée le 30 mars 1903. On constate à l'entrée un trouble considérable de la parole, celle-ci étant presq
te des idées de satisfaction, mais la malade a la mémoire nette des troubles qu'elle a présentés et a conscience d'avoir été
lumière. Réac- tion à l'accommodation lente des deux côtés. Pas de troubles de la parole. A l'ophthalmoscope, papille dro
- tés ; indifférence totale; excitation par intervalles; mutisme. Troubles physiques intenses; tremblement des lèvres, de la
le Luxem- bourg de chaînes d'or. - Signes somatiques très nets ; troubles de la parole très prononcés. Pas de tremblement
immobiles à la lumière et à l'accommodation. La malade n'a que des troubles légers de la parole. L'écriture est tremblée. La
génitales très intenses et idées de suicide; inégalité pupil laire; troubles de la parole. Examen du 9 septembre 1903. Rémis
absence de réaction à la lumière. Tremblement de la langue. Pas de troubles de la parole. A l'ophthalmoscope, la papille ga
coude. Anesthésie de la face et de la langue du côté paralysé. Ces troubles étaient accompagnés d'une amaurose com- plète.
ière, mais bien à l'accommodation. Pas de tremblement de la langue. Troubles de la parole très intenses; bredouillement extr
extrêmement marqué ; certains mots ne peuvent être articulés. Aucun trouble sensoriel. Le gâtisme a disparu. 204 .. CLINIQU
ne se renouvelait plus dans son cerveau ». Gâtisme passager. Aucun trouble de la parole, aucun trouble pupillaire. Examen
son cerveau ». Gâtisme passager. Aucun trouble de la parole, aucun trouble pupillaire. Examen du 7 septembre 1903. Pas de
arole, aucun trouble pupillaire. Examen du 7 septembre 1903. Pas de troubles de la parole ni de la lecture ; aucun trembleme
gnes physiques très nets. Examen du 9 septembre 1903. Rémission des troubles intel- lectuels. La malade est très consciente
trente-six ans, entrée le 24 avril 1903, confuse, stupide, avec des troubles pupil- laires très marqués.. Examen du 9 sept
lumière sont abolies, la réaction à l'accommodation est conservée. Troubles de la parole assez nets. Surdité incomplète. A
fique du 6 avril 1901) signalent la traduction, dans les rêves, des troubles de la menstruation et, en général, des fonction
'un rôle adjuvant dans l'excitence nécessaire pour déterminer les troubles épileptiques bruyants; leur suppression n'a pu
le sang de principes nuisibles ou excitants, que seraient dus les troubles gastro-intestinaux que l'on observe chez beau-
vésaniques et pendant toute la durée de l'exaltation momentanée des troubles psychiques ou sensoriels, on constate une dimin
itabilité, vertige ou convulsions, ou par l'association de tous ces troubles . On comprend aisément que si l'on envoie, en ou
ée la constitution origi- nelle de leur système nerveux, amener les troubles sympto- matiques de l'épilepsie. C'est une acqu
ation plus ou moins profonde des facultés intellectuelles et divers troubles liés à quelque lésion méningo-encéphalique. A c
iège de ces lésions secondaires nous expliquent la prédominance des troubles convulsifs de tels ou tels membres; et la meill
PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 223 sous l'influence des troubles qui précèdent ou accompagnent les grandes et le
par exemple, quelques-uns seulement et non tous soient affectés de troubles épileptiques ? Il y a évidemment une note indiv
u point de vue de la détermination, ou à une suralimentation et aux troubles gastro-intestinaux consé- cutifs ou à une alime
ines diverses par suite d'insuffi- sance d'excrétions, par suite de troubles gastro-intestinaux eux-mêmes d'origine toxique
rité des cas à l'influence des toxines, ainsi que l'attestent les troubles gastro-intestinaux qui trahissent, en même temps
convulsions, la présence de corps étrangers, de lombrics, etc... ? troubles gastro-intestinaux qui précèdent les convulsion
go-corticale du cerveau, par exemple, et de l'observation facile de troubles psychiques avant la grande attaque de l'épileps
e l'at- taque d'épilepsie-type, franche, n'est pas primitive. Des troubles intellectuels ou psycho-sensoriels très manifeste
tes précèdent souvent, en effet, et parfois même de beaucoup, les troubles moteurs de la grande attaque,,confusion men- ta
ou hallucinatoire, divagations hypochon- driaques, rêves spéciaux, troubles que l'on observe assez fréquemment et avant et
el système nerveux central prédisposé pour déterminer à la fois des troubles psychiques et des troubles convulsifs, on compr
prédisposé pour déterminer à la fois des troubles psychiques et des troubles convulsifs, on comprend très bien qu'une stimul
ts de l'épilepsie complète, que chez tel autre, on ne rencontre que troubles psychiques ou de sensibilité et confusion menta
physiologiques dif- férentes, puisque la thyroïdectomie produit les troubles lents du métabolisme menant graduellement à l'é
antôt au contraire, elle les laissait vivre, les adultes sans aucun trouble sérieux, les jeunes avec apparition lente du my
ntrariée par des contractions involontaires antagonistes. Entre ces troubles et ceux qui consti- tuent le négativisme des ca
tremblement au repos, l'auteur émet l'opinion que le premier de ces troubles est d'origine centripète, se rapproche de l'asy
reconnu atteint d'in- suffisance mentale congénitale, avec nouveaux troubles surajoutés, lesquels étaient caractérisés par d
reux (80 à 85 p. 100). Qu'il s'agisse de manie ou de mélancolie, le trouble mental n'est pas ordinairement de longue durée
administration ordi- naire d'un hôpital qu'il en pourra résulter un trouble et un boule- versement de mécanisme administrat
en deux mois. A ce propos les auteurs font remar- quer que certains troubles nerveux apparaissent à la suite de l'érysipèle
t à la suite de l'érysipèle tels que paralysie faciale, névralgies, troubles oculaires paraissent relever d'une imprégnation
bres inférieurs, puis des membres supérieurs en même temps que de troubles digestifs avec odeur permanente de sulfure de car
e sulfure de carbone dans la bouche, céphalée, sensation d'ivresse, troubles de la mé- moire. Après avoir rapporté les sympt
périeurs ont également été touchés. Contrairement à la rè- gle, les troubles de la sensibilité et les troubles d'ordre génital
. Contrairement à la rè- gle, les troubles de la sensibilité et les troubles d'ordre génital ont fait défaut. Les auteurs di
n médecin qui peut écrire spontanément et sous la dictée sans aucun trouble , mais qui en copiant est parfois obligé de s'ar
n d'un imbécile (du service de M. Pierre Marie) atteint aussi de ce trouble . Le malade copie moins bien et moins adroitemen
ade à l'hôpital, elle avait des maux de tête avec vomissement et du trouble des mouvements associés des yeux il gauche et à
émiparosie sinistre, cécité de l'oeil gauche, puis de l'oeil droit, trouble de déglutition, somnolence, la parole devint inin
nscience s'éclaircit et l'assoupissement di- minua, se manifesta un trouble très accentué de la mémoire, un manque presque
ue pour le lues cérébral les symptômes suivants : la somnolence, le trouble de mémoire du type de la psychose de Korsakoff.
dans son rapport, M. le docteur Rave- nez, est atteint de tous les troubles qui caractérisent l'alcoolisme chronique chez u
parents. Depuis trois mois environ, la malheu- refuse souffrait de troubles cérébraux. Elle avait quitté le domicile patern
rche de plus en plus difficile; mais sans para- lysie vraie et sans troubles sphinctériens. En juillet, une toux pénible s'i
depuis le pli du coude jusqu'au poignet. Je vous signale aussi les troubles trophiques qui existent aux doigts : perte de l
et ne peut être qu'imparfaite. Il est superflu d'insis- ter sur les troubles de la sensibilité subjective : paresthésies, fo
cons- titution anatomique; tumeur qui d'emblée est l'occasion de troubles sensitifs, puis moteurs dans le membre supérieur
e membre supérieur correspondant. Malgré une première opération ces troubles nerveux continuent. Un curettage de l'aisselle
'devient complète, sans que pour cela on note à aucun mo- ment de troubles sphinctériens, les douleurs s'étendent à tous l
nt pas en cause; je n'en veux pour preuve que la distribution des troubles moteurs qui n'ont rien à voir avec la paraplégie
oses ? - Enfin, s'il y avait encore quelques doutes; l'absence de troubles sphinctériens, la disposition des troubles sensit
ues doutes; l'absence de troubles sphinctériens, la disposition des troubles sensitifs, sans dissociation des diverses sensi
me, il faut incriminer d'une part, l'auto-intoxication résultant du trouble dans les échanges nutritifs, dans la fonction g
hanges nutritifs, dans la fonction glycogénique ; d'autre part, les troubles circula- toires, les oedèmes cachectiques. Ce
jà très précaire, caractérisé par de la torpeur intellectuelle, des troubles de la mémoire, s'affaiblit de jour en jour. Sur
sence d'une tumeur axillaire ou sus-claviculaire, l'oe- dème et les troubles vaso-moteurs. Toutefois les deux ordres de lési
celle complication enlraînantla tachycardie, la louxquiuteuse les troubles laryngés. - La lésion des nerfs crâniens est in
colonne vertébrale. Une notion classique en découle : c'est que les troubles nerveux divers qui caractérisent la paraplégie
elconque. C'est cette atteinte, en effet, qui, à la cachexie et aux troubles organiques profonds, ajoute les souffrances hor
r arrachement, avec leurs 308 - CLINIQUE NERVEUSE. oedèmes, leurs troubles vasculaires, trophiques ; la prédomi- nance des
mes, leurs troubles vasculaires, trophiques ; la prédomi- nance des troubles sensitifs sur les troubles moteurs et la subord
ires, trophiques ; la prédomi- nance des troubles sensitifs sur les troubles moteurs et la subordination étroite de ceux-ci
attachait qu'une importance relative, préoccupé qu'il était par les troubles subjectifs signalés plus haut. Et cepen- dant i
faisant qu'augmenter nous le revoyons quinze jours plus tard. Les troubles subjectifs de la sensibilité ont alors à peu près
côté des yeux, léger nystagmus, névrite optique ancienne à droite. Troubles de la sen- sibitité : anesthésie douloureuse su
ture siège dans une région où la peau présentait antérieurement des troubles marqués de thermo- analgésie et on sait que ceu
res supérieurs. L'origine de cette fracture doit être attribuée aux troubles tro- phiques osseux. La radiographie a montré
ution notable des règles depuis l'époque où apparurent les premiers troubles syringomyéliques, sensation de brûlure « de feu
emblé résulter qu'à l'insuffi- sance thyroïdienne appartiennent des troubles chroniques (trou- bles de nutrition, myxoedème)
, qu'à l'insuffisance para-thyroï- dienne appartiennent surtout des troubles aigus (troubles convul- sirs), que les accident
sance para-thyroï- dienne appartiennent surtout des troubles aigus ( troubles convul- sirs), que les accidents aigus (convuls
lutition avec hoquet et vomissements et hémiplégie laryngée gauche; troubles de la sensibilité générale, caractérisés par de
s ; deux hypothèses sont en présence. Ou l'oenophtalmie dépend d'un trouble de l'innervation du sympa- thiqne de l'oeil, co
réserve le côté physiologique de la question ? G. Carrier. XXXI. Troubles du mouvement chez un hystérique simulant la mal
uvements passifs s'effectuent normalement et sans raideur. - Pas de troubles de la coordination, ni de l'équilibre les yeux
bles de la coordination, ni de l'équilibre les yeux fermés;- pas de troubles des sphincters. Les réflexes rotuliéus sont plu
venant seulement chez des prédis- posés cérébraux, à la faveur d'un trouble circulatoire fréquent à toutes les périodes du
r de l'ocdéme céré- bral. Il pense en outre, pouvoir établir que ce trouble psychique ne peut jamais être considéré comme l
'origine périphérique ou toxique ont été facilement éliminés. Les troubles vaso-moteurs, si fréquents en général, manquent
dont l'expression clinique est : le caractère moral hystérique, les troubles somatiques passagers et les formes diverses d'une
connexité remarquable entre les hallucinations sensorielles et les troubles cutanés. Le second 33G REVUE DE PATHOLOGIE MENT
produit aucune lésion anatomique caractéristique, non plus qu'aucun trouble physique, exception faite pour le carac- tère c
qu'histologiques. Or, durant la vie, cette malade n'a jamais eu de troubles paralytiques ou convulsifs, ni d'ophtalmoplégie
hallucinations auditives. En même temps se produisent chez lui des troubles de la sensibilité générale et des troubles génita
produisent chez lui des troubles de la sensibilité générale et des troubles génitaux qui développent chez lui des idées de
eules, quelques idées de persécution subsistent en rapport avec ses troubles de la sensibilité générale et de ses fonctions gé
iritisme peut être utilisé par les malades pour s'ex- pliquer leurs troubles mentaux. Croyant innover, ces malades reviennen
ticulier toutes les psychoses, car toutes peuvent donner lieu à des troubles psycho-moteurs. On peut ainsi distinguer des dé
les de l'avant-bras et de la main innervés par le médian. A la main troubles sensitifs (anesthésie totale) et troubles troph
par le médian. A la main troubles sensitifs (anesthésie totale) et troubles trophiques correspondants, caractérisés par une
ion hypnotique peut améliorer la marche, les crises gastriques, les troubles vésicaux et surtout créer un état mo- ral excel
t atteinte du délire de la persécution et on attribue sa mort à des troubles cérébraux. Vendredi dernier, elle avait déjà vo
es symptômes soma- tiques. Les symptômes psychiques consistent en troubles démen- tiels et en troubles délirants ou halluc
Les symptômes psychiques consistent en troubles démen- tiels et en troubles délirants ou hallucinatoires. Mais, ni les trou
- tiels et en troubles délirants ou hallucinatoires. Mais, ni les troubles de la mémoire, ni les troubles de l'attention, ni
nts ou hallucinatoires. Mais, ni les troubles de la mémoire, ni les troubles de l'attention, ni l'affaiblissement des facult
faiblissement intellectuel ne suffit pas en pareille occurence, les troubles délirants sont encore bien plus insuffisants; d
. Il convient cependant de reconnaître que dans certains cas, ces troubles psychiques forment un ensemble tel que -l'on do
rale et qu'on est presque en mesure d'affirmer le diagnostic. Les troubles somatiques eux aussi, sont d'importance tout à
ortance tout à fait inégale : Nous ne dirons que peu de chose des troubles de la pro- nonciation et du tremblement fibrill
de la paralysie générale. Sur ces 227 malades, 212 ont présenté des troubles ocu- laires. Vous voyez tout de suite, combie
é des troubles ocu- laires. Vous voyez tout de suite, combien ces troubles sont fré- quents, Et encore pourrais-je dire qu
ertain que parmi les 15 malades chez lesquels on n'a pas signalé de troubles oculaires, un examen ultérieur à une période pl
trop faible de 212 sur 227, nous pouvons dire que la recherche des troubles oculaires chez les paralytiques généraux s'impo
tant de la plus grande utilité clinique. Mais quels sont, parmi ces troubles oculaires, les plus importants et les plus fréq
peut bien encore trouver parfois chez les paralytiques généraux des troubles de l'accommodation elle-même, on peut bien auss
ulature externe, ou des lésions du fond de l'oeil, mais ce sont les troubles iriens qui sont de beaucoup les plus fréquents.
et, dans la leçon que M. Gilbert Ballet a consacré autrefois aux troubles oculaires de la paralysie générale il en est fait
umineux. Sur nos 227 malades, nous n'avons trouvé que 56 fois des troubles du réflexe à l'accommodation. Il était aboli des
terme idéal qui n'est presque jamais atteint. Indépendamment des troubles de l'iris, on peut encore DES SIGNES OCULAIRES
ARALYSIE GÉNÉRALE. 363 trouver, chez les paralytiques généraux, des troubles de la musculature externe de l'oeil et des alté
emple. Nous avons noté 12 fois un ptosis simple, sans aucun autre trouble des muscles innervés par la Ille paire, 14 fois
e » j'en dirai tout autant, et avec plus de raison encore, pour les troubles oculaires constatés au début de la paralysie gé
lu voir de l'épilepsie, affection motrice, une maladie génitale, un trouble sexuel, soit dans la conformation ana- tomique
ie et de parésie droite, le tout ayant disparu en deux jours. Aucun trouble nerveux depuis. On ne s'est jamais aperçu qu'il
uite par un spasme vasculaire prolongé; dans les cas chroniques, de troubles trophiques com- plexes occasionnés par des alté
d'un côté, tantôt à l'hemibypokinésie du même côté accompagnée d'un trouble sen- soriel, le vertige; ce qui, modifiant les
kow (Moscou) a le premier fait remarquer qu'une forme spé- ciale de trouble mental que l'on avait auparavant décrite comme
caractérisée et héréditaire des types humains (Apert). Ce sont des troubles dystrophiques pour les uns, des intoxications p
92), Il lui semble très vraisemblable qu'il y a eu chez la mère des troubles dyscrasiques temporaires mais inconnus qui ont
nt progressive qui dura un an. Un mois avant la mort apparurent des troubles psychiques, modification du carac- tère, apathi
que, bien décrite par Brault et Loeper, mais font remarquer que les troubles psychiques ont bien peu de valeur , diagnostiqu
à la paralysie générale en particulier. Il n'en est pas de même des troubles paialyliques qui sont un élément de diagnostic im
- ! 1er simplement certaines formes moins connues, marquées par des troubles graves au moins en apparence, que la déglutition,
i une autre forme sévère de , 'aérophagie nerveuse, où il s'agit de troubles de la respiration . « de la circulation caracté
connaissance immé- diate, paralysies, convulsions et tremblements, troubles de la sen- sibilité et troubles psychiques. L
ysies, convulsions et tremblements, troubles de la sen- sibilité et troubles psychiques. Le diagnostic doit être fait avec l
l'appétit est faible, le sommeil troublé et il y a quelquefois des troubles trophiques ; mais ils disparaissent. La marche
e, pour lui attribuer une autre valeur que celle d'un symptôme de troubles mentaux généralisés. R. de lIIUSGU.vVE-CL.1Y. L
doctrine de Kroepelin qui rattache les phénomènes catatoniques à un trouble de l'activité volontaire, mais il estime que cet
Mais l'héré- dité peut les rendre irréguliers et leur associer des troubles men- taux. Une cellule corticale se développe,
rer et de troubler leur activité cinétique, et le troisième fait un trouble de nutrition de divers organes avec développeme
celle-ci sans aucun doute capable d'accentuer et de prolonger les troubles mentaux que d'attribuer à la toxémie une importan
s trois états très différents : 1° les anomalies cérébrales; 2° les troubles cérébraux par traumatisme ou toxémie intra ou e
du Président. Il. DE MUSGW 1'E-CLT. LXXX. Etude clinique sur les troubles de la conscience dans l'état post-épileptique ;
érébrale. Elle présentait il y a neuf ans une stase papillaire avec troubles prononcés de la vision. Une ponction de Quincke
traitement qui ont été employés. R. M.-C. XIV. Le traitement des troubles mentaux à leur début; son ensei- gnement cliniq
M. DÉJËRIKE. l " Sur la prétendue influence de la cécité sur les troubles spinaux sensitifs et moteurs du tabès. MM. P.
ultérieure des symptômes spinaux ordinaires, des douleurs et des troubles de la coordination en particulier, ou en arrête l
nc y avoir aucune espèce de relation entre la date d'apparition des troubles sensitifs et visuels. Quand les douleurs ont ét
huit, onze, douze, dix-sept et vingt ans. Comme les douleurs, les troubles de la coordination apparaissent plus souvent ap
les troubles de la coordination apparaissent plus souvent après les troubles visuels qu'avant eux ou en même temps qu'eux; l
nées (jusqu'à 31 ans dans un cas ! ). La cécité tardive n'a sur les troubles ataxiques déjà développés aucune influence atté
it de phénomènes indépendants, évoluant chacun pour son compte; les troubles spinaux et les troubles visuels du tabes semble
dants, évoluant chacun pour son compte; les troubles spinaux et les troubles visuels du tabes semblent être des symptômes de
tte complication est survenue chez une-femme, et est associée à des troubles de la sensibilité objective et subjective. Par
HOLOGIE Séance du mardi 23 février 1904. PRÉSIDENCE DE M. Voisin. Troubles névropathiques causés par le spiritisme. M. de
ERILLON. Le sujet de cette observation n'avait jamais pré- senté de troubles névropaihiques.jusqu'au jour où elle prit part à
auto-toxique sur les cellules du cer- veau. VI. La fréquence des troubles cérébraux chez les alcooliques chroniques, résu
131BLIOGRAI'lilE. 458 5 L'aspect terne et vitreux, la dé génération trouble , la teinte bleue pdle uniforme (au Nissl) avec
de ses parents semble avoir jeté momentanément du moins un certain trouble dans l'harmonie de ses facultés mentales, néan-
urent vagues, peu précises et ne s'imposèrent pas à son esprit. Ces troubles augmentant, le malade veut, le 8 octobre, se fa
ent quelques illusions, quelques interprétations fausses, de légers troubles de la Personnalité (le malade rapportant à une
qu'il ne se rend pas toujours un compte très exact de la nature des troubles ressentis dans ses ac- cès délirants antérieurs
eulement déterminée par la diminution des désirs, mais est liée aux troubles de tout l'exercice mental; ce n'est qu'après av
ions psychiques que nous pourrons comprendre dans leur ensemble les troubles de la volonté 11. N... ne semble guère ressenti
-il, à lui faire accepter le séjour à la mai- son de santé. , Les troubles intellectuels n'apparaissent pas à un examen supe
usion mentale ou d'imprécision des idées. Il ne parait pas avoir de troubles de la mémoire; il n'est pas désorienté, sait par-
nd un compte exact du milieu, sait tout ce qui s'y passe, n'a aucun trouble de la notion du temps. Très cohérent, ses idées
i, si on ne poussait pas plus loin l'analyse psycholo- gique de ses troubles , si l'on ne savait pas ce qu'il était avant son
omparaison avec des sujets normaux, nous puis- sions en conclure un trouble de la pensée spontanée; en outre si le malade n
orce à les évo- quer. Dans ce dernier cas il ne semble pas avoir de troubles du souvenir ; je lui fais raconter de nombreux
s sans fatigue. Notons ici que l'on peut pas- ser à côté de pareils troubles de la mémoire sans les remarquer; le malade rép
laire alors le fatigue très rapidement. Il s'agit, en résumé, d'un trouble de l'activité spon- UN CAS DE FORME FRUSTE DE D
UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 445 tanée de l'esprit, trouble qui peut être compensé par un effort vo- lontai
scillent entre trente et 50 centièmes de seconde, mais aucun de ces troubles n'est assez accentué pour être considéré comme
erait bien embarrassé pour résumer ou analyser ce qu'il a lu. Les troubles de la compréhension apparaissent très nets quand
suite des calculs de tête de Sommer nous révèlent encore les mêmes troubles . En général lorsqu'il s'agit de multiplications,
sonores, visuelles, oll'aclives, gustatives bien conservées. Pas de troubles de la sensibilité tactile ou à la douleur. Pas de
kilos depuis son en- trée à Ville-Evrard. Il est évident que les troubles psychiques portent sur toute l'étendue des facu
et vulantaires. Je ne chercherai pas à résoudre lequel parmi- ces troubles est le p1'imurn movens, celui qui conditionne t
contenterai de résumer aussi brièvement que possible les différents troubles qui concourent à l'amoindrissement intellectuel
que : j'ai recherché, les lésions élémentaires qui constituaient ce trouble : j'ai observé un état de déficit lorsqu'il s'agi
la douleur morale. La mélancolie est avant tout le résultat d'un trouble affectif, c'est un état de conscience doulou- l
N... étant encore peu marqué, elle nous permet de différencier les troubles primitifs des trou- bles plus accentués que pré
pre état, et d'une diminution de la spontanéité intellectuelle; ces troubles de la spontanéité intellectuelle, nous les avon
malade, depuis la diminution de l'attention spon- tanée, jusqu'aux troubles de l'évocation spontanée des images qui caracté
it à un nombre de plus en plus restreint de représen- tations ; les troubles présentés par 111. N... ne sont pas assez marqu
en quelques idées qui n'étaient après tout que l'interprétation des troubles morbides ? dans cet accès aigu, la pauvreté -in
ndriaques. Les sujets d'Aschaffenburg étaient des paysannes que ces troubles légers n'empê- chaient pas de vaquer à leurs oc
in- drissement intellectuel s'est manifesté dans ses actions; les troubles dont il était atteint l'ont empêché de reprendre
r paralysie générale, c'esL-à-dire par l'exis- tence simultanée des troubles habituels de cette maladie et d'idées délirante
cette époque C... a eu des périodes intermittentes 'le calme et de trouble . Mais quinze jours environ avant son internemen
iagnostic de paralysie générale porté- au début se confirme par des troubles de l'écriture qui n'étaient pas apparents à l'e
çoit qu'il n'aban- donne aucune de ses idées délirantes. A part les troubles mo- leurs signalés plus haut, la santé physique
te. Il présente tous les caractères d'un paralytique général. Comme troubles moteurs on note de l'ophtalmoplégie interne, du
ngue, des mus- cles de la face, un léger embarras de la parole, des troubles psy- chographiques et calligraphiques, du tremb
paux, tremblement des mains et de la langue pouvant se généraliser, troubles de la sensibilité (hypoesthésie, anesthésie), e
e, contrairement au délirant tremens, est capable d'interpréter ses troubles sensoriels, de les systématiser dans la grande
de vue physique, le tremblement est de beau- coup moins accusé, les troubles de la sensibilité générale font habituellement
pothèse de Wernicke et Bonhoffer', que le sujet plus prédisposé aux troubles sen- soriels optiques sera atteint de delirium
en résulterait alors qu'une affection mentale com- portant déjà des troubles graves des centres auditifs du cortex laisserai
s statistiques démontrent que dans les cas de tumeur cérébrale, les troubles mentaux ou intellectuels. se rencontrent dans l
une forme psycho-paralytique de tumeur cérébrale, dans laquelle les troubles psychiques prédominent et apparaissent les prem
uand la circonvolution de Broca est intéressée, il peut y avoir des troubles de la parole. Les tu- meurs cérébrales doivent
er à ceux des tumeurs du cerveau. En résumé, en ce qui touche les troubles intellectuels et les modifications des émotions e
succès on devra employer le pôle négatif surtout s'il existe des troubles trophiques. 8° L'action du courant est due prob
notique est surtout utile pour faire le diagnostic différentiel des troubles purement fonctionnels du cerveau et des lésions
abilité, d'après l'auteur, d'un début de méningite tuberculeuse : Troubles généraux communs à diverses maladies (perte de
ières ; amaigrissement avec pâleure de la face et dépérisse- ment ; troubles du côté de l'encéphale ; changement de caractèr
i ne précise rien à ceux d'hypnose ou de sommeil hypnotique) il y a trouble à la fois de la conscience et de la sensibilité
les neurasthéniques et les névropathes de tous ordres, atteints de troubles nerveux divers relevant de la médication bromurée
ou disparition des signes somatiques, amendement très incomplet des troubles intellectuels : trois observations. 2e groupe :
lète (conscience, attention, mémoire.) Mais persistance de quelques troubles physiques : 5 observations. 4" groupe : Dispari
on n'a eu aucune influence heureuse sur l'évolution du tabès. Les troubles de la vision sont apparus il y a environ quinze a
e. En même temps le tabes a toujours progressé; les douleurs et les troubles de la coordination sont devenus aussi accentués
ion Archives, 21 série, t. XVII. ' 32 498 SOCIÉTÉS savantes. de troubles sensitifs trois ans après le commencement des par
eures. Paralysie du groupe des muscles extenseurs et du deltoïde. Troubles de la sensibilité objective à topographie radicul
vingt-trois ans. Le début avait été rapide, fébrile, accompagné de troubles importants de l'état général et d'albuminurie, co
été celui d'une paralysie ascendante aiguë. 11 n'y avait pas eu de trouble notable de la sensibilité. A la période aiguë d
médecins voient dans l'isolement une sorte de panacée pour tous les troubles névropathiques, je désire faire sur ce point un
iculté d'émettre la parole. Ce terme peut et doit être étendu à des troubles analogues de l'écriture. De nombreuses personne
mme 504 SOCIÉTÉS savantes. l'expression d'un degré moins grand du trouble de l'influence tro- phique ; une telle fragment
hoses récidivantes. Les psy- choses récidivantes apparaissent comme troubles exogènes et les psychoses périodiques, comme tr
aissent comme troubles exogènes et les psychoses périodiques, comme troubles endogènes. L'association de la mélancolie alcoo
oscou en 1892 chez une femme de 29 ans, avec paraplégie inférieure, troubles uri- naires et constipation opiniâtre. Un peu a
symétrique des os des deux avant-bras. .sociétés savantes. 509 Trouble particulier dans la représentation du temps dans
la critique. Le rapporteur ne trouve pas possible de considérer le trouble dans le compte du temps, observé chez le malade,
vé chez le malade, comme une idée démente délirante et voit dans ce trouble un affaiblis- sement spécial ou perversion des
ette catégorie des représentations. A.-N. Bernstein rappelle que le trouble de mémoire dans la paralysie générale ne se pro
pilepsie comme accès convulsifs seulement, oubliant tout à fait les troubles stables, ob- SOCIÉTÉS SAVANTES. 811 serves da
écoce repose sur trois grands ordres de faits : 1° l'apparition des troubles mentaux à l'adolescence; 2° l'évolution cliniqu
ensemble d'états de dépression et d'agitation caractéri-és par des troubles délirants, dont le poly- morphisme est la note
o-accusation. idées de ruine physique ou morale, idées de négation, troubles de la personnalité. Toutes ces conceptions déli
e sympto- malique qui caractérise au premier chef la maladie. Les troubles psychiques s'accompagnent de troubles physiques.
premier chef la maladie. Les troubles psychiques s'accompagnent de troubles physiques. surtout accentués dans les périodes
tabilité mécanique des nerfs et des muscles, dilatation pupillaire, troubles vaso-moteurs, cyanose, cedéme, dermographisme,
hée, modification du rythme du coeur, diminution de la température, troubles de la menstruation, augmentation du volume du c
érentes géné- rations. Quant il la fréquence relative de tel ou tel trouble mental chez les sujets à prédisposition hérédit
connu tel et puni par la loi, par Goodall, 24 ? Déglutition. Voir Troubles psychi- 'lues, Délire. L'évolution du - dans
t de la d'asile, par Jlaciiullan, 416. Dysimiagië psychique. Voir Troubles psychiques. EnnxocnnuE du cerveau, par Fedo-
ar Grieves, 399. Grossesse. Contribution à l'étude de l'idée de trouble psychopa- thique, par Bichebois, 86. Sémélo-
0. - générale à longue durée, par Brunet, 163. - générale, voir Troubles trophiques. Du signe de 1'oil)i(;tlldire dans l
le, par Devay. 19 ? - généiale et grossesse, par Suulcanuff, 507. Trouble particu- lier dans la représentation du temps
pon, par lieitz, 148. l'oST-ÉPILFP11QU ? Etude clinique sur les troubles de la conscience dans l'état -, par l'IC[¡, 411
e, par de Coy- nard, 120. - - Spiritisme. Les dangers du -, \)5 Troubles névropathiques causés par le -, par Jonj (de),
SYRfNGOMYÉI.IE, Sur deux cas de à topographie radlculaite ries troubles semilif, et des trou- bles moteurs, par Cestan
ciale, du -, survenant pendant l'enfance et se traduisant par des troubles et de la débilité mentale, par Bech- terew, 1
de Buck, 399.- Sur la prétendue influence de la cé- cité sur les troubles spinaux sen- sitifs et moteurs du -, par Marie
RATEURS. la dormeuse de -, par Farez, 83, 499. THOIS¡ : N, Voir Troubles . Thyroïde. Voir Sérum. TuYaorDl : C'ronlE. Ef
87. 'I'RICHUTILLU)1.\NIE chez les aliénés, par Iiaplan, ` ? 5J. Troubles mentaux. Contribution à l'étude ries - périodiq
7 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tale. Alternatives d'excita- tion et de dépression. Hallucinations, troubles de la sensibilité générale, prédominance d'idée
u dehors. Observation XII. -Dégénérescence mentale. Hallucinations. Troubles de la sensibilité générale. Idées ambitieuses e
du tout la société de ses amis. ' A vingt-six ans, il prétend qu'on trouble son sommeil, qu'on déplace ses bras pendant qu'
t développés simultanément, s'accompa- gnant d'hallucinations et de troubles de la sensibilité générale. L'onomatomanie s'es
ions, se demandant s'il n'en est point la cause. Cette recherche le trouble et l'angoisse, il reconnaît que c'est absurde, ma
andes de la sensibilité à une lésion des cornes posté- rieures, les troubles fonctionnels de la vessie et du rectum à une gr
quatre extrémités avec participation des nerfs crâniens) ; 2° des troubles paralytiques des sphincters, une eschare sacrée
des troubles paralytiques des sphincters, une eschare sacrée et des troubles de la sensibilité. Vulpian admet la poliomyélit
i sont : la paralysie des sphincters, une eschare au sacrum,- des troubles de. la sensibilité suffisamment prononcés au po
s ; puis à ces symptômes de myélites systématiques s'ajoutent des troubles des sphincters qui dénotent l'extension en pro-
prin- cipal qui intervient plus ou moins dans tous les autres, le trouble de la mémoire. Je vous dois donc de vous indiquer
prochent des idées fixes : un certain nombre seulement dépendent de troubles de la mémoire. L'astasie abasie, telle que l'a
des bras ou même des mouvements de l'oeil paraissent être dus à des troubles psychologiques analogues à l'amnésie systématis
nts la mémoire des événements présents. J'avais remarqué déjà des troubles de ce genre plus ou ' Despine (d'Aix). De l'emp
us le montrer, leur étonnante suggestibilité, dépendent de tous ces troubles de leur mémoire. Je ne puis vous en décrire les
complètement le diagnostic médical. Suivant que nous attribuons le trouble de la mémoire à l'une ou à l'autre des opératio
s de l'esprit et dans l'hystérie comme dans les autres. Mais leur trouble donne lieu à des illusions, à des délires plutôt
gralement, et son absence suffira pour produire chez les malades un trouble de la mémoire qui sera, pour eux, une véritable
et l'on peut être toute sa vie enfermé dans un asile pour un simple trouble de la notion de personnalité. Les amnésies hyst
ument, par un symp- tôme local : aura motrice, douleur persistante, trouble de la parole, etc. En lisant les observations f
le désordre émotionnel, d'où dérivent directement par la suite, des troubles dans la sphère des idées et des actes. Tous ces
taques, et de la criminalité congéniale. Il faut le rattacher à des troubles fonctionnels de l'écorce et des centres optiques.
mptôme essentiel est une conception délirante ayant pour origine un trouble per- manent du jugement et pour aliments des ha
it), mais la conception délirante spontanée, primitive, tenant à un trouble du jugement, finissant par se cristalliser, s'o
rveux, peut, atteignant les centres psychiques, devenir la cause de troubles mentaux. Les psychoses dues à l'in- fluenza son
s que celles qui résultent d'autres affections fébriles aiguës. Les troubles psychiques se reproduisent soit pendant le stad
de longue durée, à issue généralement favorable. Enfin, il y a des troubles psychiques, poslfébriles, revêtant la forme soit
P. K. REVUE DE; PATHOLOGIE NERVEUSE I. CONTRIBUTION A l'étude DES TROUBLES DE la LECTURE basée sur une OBSERVATION DE dysl
s pouvoir les associer en un mot. M. Weissenberg classe ainsi les troubles de la lecture et les explique par un schéma se
t la pie-mère, à la convexité du lobe gauche. Il en résulte que les troubles de la lecture ne peuvent servir à la localisati
l'ouïe. Depuis quatre semaines, l'aliénation mentale a disparu, le trouble de la parole s'est rapidement accentué. C'est l'i
servé la faculté mécanique de lire et qu'il n'existe que de faibles troubles de la parole sponta- née. 11 y a eu aussi une a
l réflexe est plus atteint que son élément moteur. P. K. XII. DES TROUBLES visuels par TUMEUR cérébrale; par F. HIRSCxBERG.
F. HIRSCxBERG. (Neurol. Centralbl., 1891.) Très fréquemment, ces troubles précèdent les symptômes locaux et forment, de c
fois l'accès dure plus d'une demi-heure, voire plusieurs heures. 2° Troubles permanents par lésions de la substance cérébral
plète par tumeur de l'angle antérieur ou postérieur du chiasma. 3° Troubles permanents par lésion de fo;il. a. Agrandissement
e je fais allusion est la chorée grave, ou la chorée accompagnée de troubles psychiques se termi- nant par la mort. On sait
tuellement hospitalisent en commun les personnes qui présentent des troubles intellectuels aigus, généralement passagers et
par leurs idées fan- tastiques ou provocatrices, jettent partout le trouble et l'effroi. Il est impossible de ne pas être f
par épuisement du système nerveux. Et cependant, ils présentent des troubles intellectuels qui, pour être anodins au point de
ernes; on y trouve des gradations insensibles qui nous ramènent aux troubles fonctionnels du système nerveux. Ces maladies men
section de maladies nerveuses qui la complète en lui procurant des troubles intellectuels que ne doit pas recevoir un asile
La Société fera bien de récidiver. M. ANTON lit son mémoire sur les troubles du sens musculaire et présente deux malades. (P
es deux malades qui viennent de nous être présentés, on constate un trouble sensoriel et sensitif hémilatéral que l'on peut
é d'un territoire cérébral irrigué par l'artère choroi- dienne. Les troubles de l'odorat sont également à ranger dans la mêm
malades, il existe une anosmie du côté anes- thésique. Donc il y a trouble fonctionnel de ce territoire vascu- laire. M.
il n'y a en ce moment, ni simulation ni exagération. M. KoemG. D'un trouble de la parole survenant par accès chez une paral
sont distinctes de la première. La première peut se résumer ainsi. Trouble de coordination entre l'intonation et les mouve
oenig n'est sûrement point de l'aphasie corticale motrice; c'est un trouble de l'articulation qui est distinct de l'aphasie
t la manifestation d'une psychose, et l'ivresse qui s'accompagne de troubles de la connaissance, excluent la responsabilité
ment les épilep- tiques aliénés des épileptiques sains d'esprit-les troubles intellec- tuels aigus et les psychopathies chro
t, peu importe ; l'auteur s'exprimera invariablement ainsi : Il y a trouble dans la notion du son du mot. On apprend, d'a
n correspondant à un mot est troublée, il n'existe en même temps un trouble très accentué des mouvements nécessaires - à l'
pression presque complète de l'image du mot. Dans l'espèce donc, le trouble du champ moteur, et par suite de l'expression,
l'activité de l'image sonore des mots est la plus importante; les troubles en retentissent nettement non seulement sur l'int
par la lacune sensorielle en question. Elle doit apporter un grand trouble dans la précision de la pensée de l'indi- vidu,
M. Sommer. La théorie des localisations suffit-elle à expliquer les troubles de la parole jusqu'alors observés ? - Tout récemm
M. Sommer, il est à peu près^impossible d'expliquer certains cas de troubles de la parole par les divers schémas en question
e ne suffisent plus à expliquer tous les faits décrits jusqu'ici de troubles de la parole; -2° A mesure que s'enrichit le ma
l'on forge augmente également; -- 3° Dans les publications sur les troubles de la parole, il faut s'attacher surtout à les
les qu'il faut se montrer d'une extrême prudence dans l'analyse des troubles de la parole à la lumière de ces postulata; -5° L
sme de la parole est de former un point de repère pour l'examen des troubles de la parole; - 6° Il est à souhaiter de trouve
estion; 7° Il convient de s'efforcer d'introduire dans l'examen des troubles de la parole, surtout quand il s'agit d'un rale
A l'exemple de Grasheyt qui a observé par les nouveaux procédés les troubles de la parole, il faut tenir compte de la succes
sie que j'ai décrit il y a six ans, j'ai tenté de le rattacher à un trouble de la mémoire : le même malade a été examiné, s
l trouve que les symptômes actuels ne sauraient être rattachés à un trouble de la mémoire encore existant, sans cependant pou
ceux qui pourraient douter des relations que j'ai établies entre le trouble de la parole et le trouble de la mémoire, qu'à
des relations que j'ai établies entre le trouble de la parole et le trouble de la mémoire, qu'à cette époque j'ai nettement
ne se peut-il pas que cet effort qu'on lui impose, influence les troubles de la parole. Il est bien des malades chez lesque
de M. Grashey sont impuissantes à en rendre compte. Or, entre un trouble de la mémoire si prodigieux et l'aphasie de Grash
une frayeur ou sous l'influence d'un ver intestinal. Ce sont là des troubles fonc- tionnels localisables, mais non localisés
lés et, pour ainsi parler, à l'état épisodique, indé- pendants d'un trouble profond de la personnalité, sans doute il est a
alysé, car les désordres chirurgicaux sont bien moins graves que le trouble fonctionnel. C'est à coup sûr l'idée delà paral
it plus. Bien plus, le territoire paralysé peut devenir le siège de troubles de la circu- lation (anémie), de la tonicité mu
eau et que le traitement par la sugges- tion ne peut guérir que des troubles fonctionnels; 3° Parce que certains symptômes,
qui présentent des perturbations simples de la vie affective; des troubles morphologiques de l'idéation, notamment des obses
icieuses telles que l'onanisme et viendrait à la rescousse dans les troubles de l'idéation et de la volition. Quant aux déli
ges Guinon, est donc précieux à tons égards. P. KERA VAL. VI. Les troubles du langage chez les aliénés ; par J. Séglas. Pari
de l'état de leur activité psychique. A ce point de vue l'étude des troubles du langage, considérés en général, forme donc l
sent aux choses de la psychologie. L'auteur divise tout d'abord les troubles du langage chez les aliénés en troubles du lang
eur divise tout d'abord les troubles du langage chez les aliénés en troubles du langage, parlé, écrit, et mimique. Ceux-ci s
Ceux-ci sont distingués successivement, selon qu'ils résultent : de troubles de la fonction du langage, et de troubles de la
lon qu'ils résultent : de troubles de la fonction du langage, et de troubles de la parole. * En ce qui concerne le langage p
ce qui a trait au langage écrit, et l'auteur y passe en revue : les troubles résultant de désor- dres intellectuels généraux
rticulièrement intéressants sur l'écriture auto- matique, enfin les troubles de la formation des signes graphiques, par vice
ges très curieuses sont consacrées aux dessins des alié- nés. Les troubles du langage mimique forment la troisième partie de
les plus originales de l'ouvrage, comme le paragraphe consacré aux troubles du langage chez les mélancoliques, avec hallucina
sident du comité de direction les irrégularités de caractère et les troubles de l'intelligence qui leur ont été signalés et
ès de folie furieuse. Il s'agit d'un alcoolique qui, guéri de ses troubles intellectuels, a été rendu à la liberté. Le jou
lume in-8° de 93 pages. - Genève, 1892. H. Stapelmohr. RAYNAUD. - Troubles oculaires de la Malaria. Volume in-8" de 100 page
ages. Paris, 1892. - Annales médico-psychologiques. SÉGLAs. - Les troubles du langage chez les aliénés. Volume in-12 car-
Extrait des An- nales médico-psychologiques. Sollier (P.). - Les troubles de la mémoire. Volume in-12 relié, de 262 pages
d'une part l'impossibilité de pré- voir les accès, d'autre part le trouble mental consécutif aux paroxysmes, rendant très
s à prévoir, ou après des accès dont la plupart s'accom- pagnent de trouble mental. Que fait au contraire M. Féré ? Il calc
moment de l'attaque. - Quand, d'autre part, les malades avaient un trouble mental prolongé à la suite des attaques nous av
nviron, injection de 90 c. c. d'urine; à 30 c. c., miction d'urines troubles ; à 52 c. c., agitation; à 75 c. c.; secouasses
s de miction ni de défécation. Autopsie. - Vessie pleine d'urines troubles ; congestion pulmo- naire et rénale. Le coeur c
un quart d'heure, de 90 c. c. d'urines ; à 25, tre miction d'urines troubles ; à 40, 20 mic- tion d'urines troubles. Les mic
; à 25, tre miction d'urines troubles ; à 40, 20 mic- tion d'urines troubles . Les mictions se répètent jusqu'à la mort, clai
, elle était d'ailleurs revenue à son état normal. L'urine est très trouble , en petite quantité, à réaction nettement acide
arctus disséminés. Peu de congestion rénale. Vessie pleine d'urines troubles . L'animal n'a pas uriné, n'a pas dé- féqué pend
s 62 kil., atteinte d'épi- lepsie essentielle. Céphalalgie et léger trouble mental après les accès de peu de durée. - Intel
our de l'injection, elle se trouve bien, répond nette- ment. Pas de troubles gastriques. . A 4 heures de l'après-midi, le 1C
e. Perte immédiate du réflexe cornéen. Mort. Une miction d'urines troubles dans les derniers temps de la vie. Durée de l'inj
uissent pas cependant le papier rouge de tournesol. Elles sont très troubles . Gault... a d'ailleurs beaucoup de pertes blanc
c. c., mort sans nouvelles convulsions. Une seule miction d'urines, troubles au début de l'ex- périence. ' Autopsie. - Le
la nuit. Après une journée d'obnubilation, elle est entrée dans son trouble mental habituel. Pendant plusieurs jours, elle
IQUE NERVEUSE L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES VISUELS DANS LES MALADIES NERVEUSES ; par le
vue des maladies du système nerveux, les am- blyopies et amauroses ( troubles de la vision sans lésion du fond de l'oeil) peu
es et transitoires ; et il faut appeler transitoires, celles, où le trouble de la vision (quelle que soit la forme et l'int
ès court, sous forme de crises, souvent accompagnées par d'autres troubles nerveux. Ces troubles passagers de la vision ont
de crises, souvent accompagnées par d'autres troubles nerveux. Ces troubles passagers de la vision ont reçu les noms de mig
les moins étudiées jusqu'à présent, de les mettre en évidence comme troubles visuels accompagnant différentes maladies nerve
ser- vations recueillies par nous-même, pour indiquer ensuite les troubles nerveux concomitants, étudier enfin la physiopath
lequel le scotôme scintillant se trouve exactement décrit, et où le trouble visuel est considéré comme un symptôme prodromi
les accès, chez les individus qui y sont déjà prédisposés, sont les troubles de la digestion gastrique ou la fatigue intelle
à partir de l'endroit même où le scotôme eut son commencement. Le trouble visuel, qu'il soit monoculaire ou binoculaire, es
is encore de nausées et de vomis- sements. Il y a des cas, où les troubles oculaires en forme de scotôme scintillant ont s
re, qu'un individu qui souffre de la migraine ordinaire, sans aucun trouble du ' Compte rendu de la Société d'ophtalm, de P
, par suite de l'âge, les grands accès douloureux remplacés par les troubles visuels du scotôme scin- tillant (exemple le ca
ques douleurs névral- giques passagères, à la suite de veille ou de troubles gastriques. La durée des accès est en 'général
demie et plus. D'ordinaire le scintille- ment survient peu après le trouble de l'acuité visuelle, se pro- longe seulement p
nt de migraines (hérédité mater- nelle) depuis son enfance, eut les troubles visuels seulement pendant une année (de quatorz
t ans les attaques de migraine vulgaire avaient continué sans aucun trouble visuel. Il peut encore arriver, chez quelques f
compagnées d'amblyopie temporaire, et plus rarement encore d'autres troubles nerveux, tels que l'embarras de la parole ou l'
ement d'un membre (cas de Baralt). La douleur céphalique suit les troubles visuels dans un espace de temps qui varie de qu
cès. Parfois encore on observe de l'aphasie, ou plus rarement des troubles de la sensibilité ou de la motilité. - La march
a durée des accès est aussi très varia- ble, mais, d'ordinaire, les troubles visuels durent d'un quart d'heureà une demi-heu
le mieux, comme nous le verrons, à l'étude physiopathologique du trouble visuel dont nous nous occupons. L'hémiopie tran
miopie homonyme (à droite), est encore celle de ' M. Mazza (45). Le trouble visuel était sans doute bilatéral, et la ligne
phobie ; pas de migraine, seulement des vertiges qui précédaient le trouble visuel. L'hémiopie transitoire latérale monocul
lle est suivie par les photes- ' tésies du scotôme scintillant. Les troubles visuels, tout en occupant la moitié du champ de
n cas d'amblyopie transitoire accompa- gnée de migraine et d'autres troubles nerveux, sous forme de rétrécissement concentri
gourdissement de la main droite, et quelquefois aussi de la gauche. Troubles de la parole seulement à la fin des accès. Migrai
ié du corps, il était bientôt suivi d'embarras de la parole et de troubles dans les idées. Non seulement la malade ne pouvai
ent deux fois par mois environ, et n'ont jamais été accompagnées de troubles visuels. Depuis cinq ans, c'est-à-dire vers l'à
utrefois celles d'épilepsie sen- sitivo-sensorielle, sontsuivies de troubles dans les idées, de sorte que la malade fait une
plitude de l'accommodation. Pupilles réagissent normalement. Pas de troubles des muscles oculaires. Une autre observation, q
'artère centrale, visible jusqu'au delà du disque optique. Pas de troubles gastriques, le coeur normal, les urines aussi.
, avant de parler de ces rapports, de dire quelques mots des autres troubles nerveux qui peuvent en général accompagner les
en général accompagner les accès d'amblyopie transitoire. 1. Ces troubles sont (en dehors du syndrome migraineux, que 'no
ns déjà assez mis en relief) : l'aphasie, ou mieux dys- phasie, les troubles de la sensibilité, les troubles moteurs, les sy
'aphasie, ou mieux dys- phasie, les troubles de la sensibilité, les troubles moteurs, les syndromes épileptiformes. a). Le
lité, les troubles moteurs, les syndromes épileptiformes. a). Les troubles de la parole pendant les accès d'amblyopie. tra
se rencontrent assez fréquemment. Ils tiennent le plus souvent à un trouble de l'intelligence, qui rend au sujet les parole
d'amblyopie transitoire associée à l'épilepsie partielle) est le trouble dans l'articulation des mots, comme si la langue
e l'aphasie, la soudaineté de son appa- rition, coïncidant avec des troubles oculaires, jette un trouble profond dans l'espr
son appa- rition, coïncidant avec des troubles oculaires, jette un trouble profond dans l'esprit du malade. A côté de ce
, jette un trouble profond dans l'esprit du malade. A côté de ces troubles du langage, nous mettons l'espèce d'apraxie qu'
vec du tabac à priser. Dans d'autres cas on pourrait rencontrer les troubles analo- gues de la surdité verbale, de l'alexie
uels les attaques d'amblyopie transitoire sont accompagnés de ces troubles du langage, sont pour la plupart ceux qui démontr
nter d'une façon transitoire, pendant les attaques convulsives, les troubles de la dysphasie et de la dysartrie verbale. l
ent, lorsque dans les formes associées d'amblyopie transitoire, les troubles de motilité et de sensibilité de la face et des
e nous le dirons tout à l'heure, le cas le plus fréquent. b). Les troubles de la sensibilité, qui peuvent accompagner les
qui peuvent accompagner les accès d'amblyopie transitoire, sont des troubles dynami- ques, ceux de l'hystérie en particulier
es troubles dynami- ques, ceux de l'hystérie en particulier, ou des troubles de signification plus grave, tels que les accès
'épilepsie partielle avant-coureurs de la paralysie générale. Ces troubles se manifestent généralement en même temps que l
ivo-sensorielle et la démence paralytique. Ce sont, en général, des troubles loca- lisés de la sensibilité générale (sensati
uïe (bourdonnements, hallucinations acoustiques). Quel- quefois ces troubles de la sensibilité, au lieu de rester limités à
gent de côté dans les accès consécutifs sur le même sujet. c). Les troubles moteurs seront indiqués de même à propos de l'é
accompagnées d'am- blyopie transitoire. Ils sont plus rares que les troubles sensi- tifs, puisque dans les deux maladies men
roubles sensi- tifs, puisque dans les deux maladies mentionnées les troubles moteurs sont en général moins fréquents et moin
oteurs sont en général moins fréquents et moins persistants que les troubles de la sensibilité. 11 s'agit d'ordinaire de paré-
graineux passe en second lieu, ou même fait défaut, par rapport aux troubles visuels de l'amblyopie transi- toire. . Les m
: parmi ces symptômes, il est surtout intéressant de remarquer les troubles de la vue, tels que les éblouissements passager
osée par Levil- lain) [50J peuvent être atteints de migraines et de troubles vi- suels passagers. En outre, comme nous le
rrons tout à l'heure, l'amblyopie transitoire tire sa pathogénie de troubles vaso-moteurs de l'écorce cérébrale; et justemen
ie de troubles vaso-moteurs de l'écorce cérébrale; et justement les troubles vaso-moteurs du . cerveau et de la moëlle jouen
e éprouve une sensation de tremblement de l'aile du nez ou d'autres troubles nerveux, puis survient l'amblyopie et non rarem
umière blanche et pour les couleurs, accompagné souvent de certains troubles secondaires de l'accommodation. Il y a des ob-
core plus sûre que l'amblyopie transitoire est due au même ordre de troubles dynamiques de l'écorce cérébrale, dont l'hystér
dement. D'au- tres épileptiques' immédiatement après l'accès voient trouble , voient les objets grossir ou se rapprocher, de
re et de migraine res- - tent pendant un temps assez long les seuls troubles nerveux du malade, et c'est plus tard seulement
s laquelle une simple migraine périodique avait ouvert la série des troubles nerveux, est re- marquable. Plus tard, il survi
le à l'épilepsie complète, soit le développement parallèle de ces troubles à un point tel, qu'il serait presque impossible d
ine et des attaques épileptiques. Enfin, la nature épileptique du trouble visuel nous parait évidente dans l'observation
de crises d'amblyopie transitoire depuis l'âge de dix-sept ans.-Le trouble visuel se déclare subitement, comme un rideau,
re cette fois pendant neuf heures. Lorsque la vue revient, elle est trouble , les objets environnants ontl'airde se mouvoir, l
trice, ou mixte) M. le professeur Charcot a indiqué le pre- mier un trouble nerveux que nous devons rappeler ici en quelque
ici en quelques lignes. Dans sa manifestation la plus simple, le trouble se présente par accès, qui surviennent à interval
jambe du même côté. Cette forme est la forme brachiale, mais si le trouble débute dans la face pour envahir ensuite le bra
ielle motrice (épi- lepsie corticale, jacksonienne). En outre, le trouble sensitif peut être limité à un membre seulement
a moitié du corps tout entière, et il peut souvent s'associer à des troubles moteurs (formes mixtes sensitivo-motrices) ou à
à des troubles moteurs (formes mixtes sensitivo-motrices) ou à des troubles sensoriels et psychiques (épilepsie partielle s
ion avec l'épi- lepsie complète (petit mal et grand mal). Quant aux troubles psychiques, ce sont les mêmes que ceux qui acco
s cette dernière forme, les symptômes sensoriels sont justement les troubles de la vue qui nous occupent, et que les observa
l) ou quelquefois un peu moins fortes. Accuse toujours faiblesse et trouble de la vue dans l'oeil gauche. ' ' i Observa
u la langue. Quand elle revient à elle, il subsiste encore quelques troubles dans la vue, mais tout disparaît bientôt et ell
spèce de brouillard ou de fumée. Au bout de quelques minules tout trouble disparut, et jusqu'à présent aucune attaque ne s'
la famille était migraineuse, aurait pour ainsi dire condensé les troubles corticaux, de façon à avoir amblyopie transitoire
s crises étaient plus violentes, on était porté de croire que les troubles corticaux se répandaient, pour ainsi dire, de l'é
tentement). Enfin, M. Marie a fait ressortir dans sa thèse (44) les troubles oculaires chez les paralytiques généraux (trois
ez les paralytiques généraux (trois cents cas). Il a trouvé que ces troubles sont d'autant plus importants, qu'ils peuvent p
e de l'amblyopie transitoire, surtout lorsqu'elle s'ac- compagne de troubles sensitifs, moteurs ou psychiques. Il s'agit de
attaques d'épilepsie sensitivo-sensorielle accompagnée de légers troubles moteurs et plus souvent encore d'amblyopie transi
de leurs aptitudes physiologiques spé- ciales, la connexion de ces troubles nous démontre que la cause de l'amblyopie trans
uis longtemps il peut lire aussi bien qu'avant son accident. Pas de troubles visuels. Pas de troubles de la sensibilité. Pas
e aussi bien qu'avant son accident. Pas de troubles visuels. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de troubles moteurs. Réf
Pas de troubles visuels. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de troubles moteurs. Réflexes normaux. L'aspect de la face
é complète les premiers jours, et on se l'explique fort bien par le trouble circulatoire momentané qu'a produit l'embolus d
traversé et subir une vaste perte en substance grise sans qu'aucun trouble s'en suive dans les sensa- tions et la locomoti
t donna issu à une quantité de pus dont l'évacuation fit cesser les troubles . Le malade jouit aujourd'hui après plusieurs an
e que cette mo- dification de l'excitabilité de l'écorce résulte du trouble des échanges nutritifs produit par l'urémie. Il
DES affections EN FOYER DE la protubérance ET, EN particulier, DES - troubles DE la parole ANARTHRIQUES; par ST. MARKOWSKI. (
oitié gauche de la protubérance n'entraînent pas nécessairement des troubles de la parole, alors même que ces foyers ont dét
orsales) de la masse des pyramides.-Il Il en estde même.'pour ' les troubles de la déglutition ; tant qu'il n'y a de foyer pro
la déglutition bulbaire avec le cerveau. Nous expliquerons donc le trouble de la déglutition comme nous expliquerons le tr
uerons donc le trouble de la déglutition comme nous expliquerons le trouble de la parole, par l'interruption, dans le bulbe
êmes foyers, à localisation identique, produisent simultanément des troubles de la parole et de la déglutition. De l'étude
raux avec anarthrie sont plus rares que les foyers unilatéraux sans troubles de la parole du tout. L'anarthrie REVUE d'anato
ent, il est douteux que, dans les deux premières observa- tions, le trouble de la motilité doive être rattaché à une lésion d
gotique, iodique, thébaique, etc.) A l'ivresse se joignent d'autres troubles intellectuels élémentaires : état de stimulatio
tellectuels élémentaires : état de stimulation, état de dépression, troubles du caractère, de l'idéation, insomnie ou hypnos
faillances, syncope, stupeur, coma, céphalalgie, vertiges, etc.) ; troubles de la motilité (contractures, crampes, convulsion
tures, crampes, convulsions, spasmes, paralysies de divers ordres); troubles de la sensibilité pseudesthésies, hypéresthésie
bles de la sensibilité pseudesthésies, hypéresthésies, anesthésies, troubles localises dans les divers sens, etc.). Ce cha
lancinantes. Ulcérations plantaires symétriques aux deux pieds avec troubles [de la nutrition. P. K. XV. UN cas DE POLIOMYI'
contient généralement, sinon toujours, le point de fixation. Les troubles du sens du lieu, qui se montrent dans les lésions
terminées par une parésie permanente des extrémités droites et des troubles de la parole. En revanche, on trouve dans la moel
gie NERVEUSE. zig XXIX. Hémianopsie bilatérale INFÉRIEURE ET autres troubles SEN- SITIVO-SENSORIELS dans une psychose foncti
multiples accidents puerpéraux (fièvre, hémorrhagie intense), puis troubles de la connaissance et hallucinations sensorielles
de la mémoire pour tout le temps passé à l'asile jusqu'au début des troubles visuels. Tous' les autres symp- tômes s'amélior
l'accès est surtout fâcheux quand on voit diminuer l'in- tensité du trouble mélancolique général avec persistance desidées
un fonds hystérique. - Les idées de négation sont l'expression de troubles subjectifs divers, mais de nature identique : a
4° dans les états mélancoliques, les idées de négation indiquent un trouble plus profond que celui accusé par les idées de
En fait cette idée, simple inter- prétation donnée par le malade de troubles psychopathiques plus profonds, n'a pas plus d'i
e de la Salpêtrière. Les premiers symptômes consis- tèrent dans des troubles de la sensibilité générale et viscérale, des ha
u délire des négations mélancolique. Il n'est plus secondaire à des troubles émotionnels; au lieu d'être monotone, il est pro-
idées délirantes de même nature mélanco- lique, soit l'existence de troubles psychiques de même ordre, bien que moins accent
e portent à considérer le délire des négations comme le résultat de troubles hallucinatoires qui doivent être rattachés à un
elle dont j'ai parlé. Cette physionomie s'explique par la nature du trouble fonda- mental d'où l'idée de persécution dérive
a tendance à affecter la marche rémittente qu'ont d'ordinaire les troubles mentaux chez ces malades. Leur évolution parait i
ades. Leur évolution parait intime- ment liée d'ailleurs à celle du trouble fondamental (hypochon- driaque ou mélancolique)
es et cependant ils ne présentent aucun symptôme de mélancolie; les troubles émo- tionnels et abouliques du début, qui sont
erve chez les persécutés par l'apparition primitive du délire, sans troubles émotionnels ou volontaires préalables. Nous ne
s derniers étant toujours les plus mar- qués, et que nous vîmes les troubles intellectuels s'atténuer d'une façon considérab
érapeutique et d'une hygiène appropriées, s'adressant sur- tout aux troubles des fonctions digestives. 312 ruz) SOCIÉTÉS SAV
SOCIÉTÉS SAVANTES. M. F. RAYMOND (de Paris) lit un travail sur les troubles délirants du goitre exophtalmique dans leurs ra
rts avec la dégénérescence, et se résume de la façon suivante : les troubles psychiques de la maladie de Basedow ne font poi
phtalmique lui-même agit, chez un prédisposé, pour faire éclore les troubles psychiques au même titre qu'une cause occasionn
ase de la maladie. Celle-ci n'est souvent qu'un cas particulier des troubles fonctionnels qui, chez les dégénérés, frappent
uilibration des centres vaso- moteurs qui coexiste souvent avec des troubles analogues du côté des autres centres de l'axe c
hyroïde. Or, toutes les fois que cet organe est atteint, il y a des troubles mentaux, témoins les crétins, les myxoedémateux
chez les prédisposés, une influence considérable sur l'éclosion des troubles délirants par suite de l'intoxication qui résulte
fement de M. Luys n'est pas acceptable, pas plus que le résultat du trouble de la nutrition pro- duit par la lésion vascula
l et Baillarger. Ce dernier a démontré que les tabéti- ques ont des troubles psychiques semblables à ceux qui caracté- risen
pagné de phénomènes SOCIÉTÉS SAVANTES. 315 moteurs, tremblement*, trouble de la station ; ces malades devien- nent dément
chez eux des traces de l'ancien délire. D'autre part, la forme de trouble mental qui accompagne la forme de sclérose syst
jeunes sujets présentant, avec ou sans crises épileplifornaes, des troubles moteurs ou psychiques. (Nouv. Iconographie de la
riode d'aura ont complètement disparu. Il existe chez le malade des troubles de la sensibilité : zones hyperesthésiques test
du champ visuel. Il est un fait particulier à noter, c'est que les troubles de la sen- sibilité présentent des variations s
es et montre que ce parallélisme des symptômes d'automatisme et des troubles anesthésiques n'a rien d'étonnant si l'on consi
me à part pour les faits de confusion qui ne sont souvent que des troubles délirants justiciables d'un état de neurasthénie.
hilis torpide ou pseudo-démente. En ce qui regarde les rapports des troubles déli- rants avec un état neurasthénique, M. Cha
exposé au salon de Paris de cette année. ALBIN. Rousselet. X. Les troubles de la mémoire; par le Dr Paul SOLLIER. (Bibliothè
ermine le volume : nous y noterons la part que l'auteur accorde aux troubles psychiques dans cette maladie, ainsi que le rôl
du cerveau : l'hémiplégie, les convul- sions, les contractures, les troubles de la sensibilité générale et spéciale, ceux du
nerveuse. chez les paralytiques généraux. Du reste il n'y a pas de trouble de la parole. - Réflexes. Ils sont égaux des
corps, la langue comprise; paralysie des membres, aphasie motrice, troubles de l'intelligence, rien ne manquait au tableau
dès son enfance. Nous nous croyons donc autorisés à considérer ces troubles de la sensibilité comme de nature identique : l
ence que la pression a toujours manifestée dans la reproduction des troubles de la sensibilité, je pense que c'est dans les
mérées, qu'il faut chercher la cause de la systé- matisation de ces troubles à un côté du corps. b). Pour ce qui est de la p
t sujet à un travail journalier très rude ? La raison de ce que les troubles sensitifs et moteurs s'asso- cièrent pour forme
ble de ce fait. Maintenant nous devons analyser très brièvement les troubles de l'intelligence et de la parole. Parmi les tr
rièvement les troubles de l'intelligence et de la parole. Parmi les troubles de l'intel- ligence, le phénomène qui tient la
rappa les organes les plus fatigués; c'est dans la règle, ainsi les troubles de la motilité, de la sensibilité et de l'intel
us avons cherché à montrer que ses accès d'épilepsie sensitive, ses troubles du langage et de l'intelligence étaient sous la
ge de cin- quante-trois ans est obèse, mais elle ne présente pas de troubles nerveux. La mère au contraire, est très emporté
battent avec violence et ses oreilles sifflent, son intelligence se trouble , les idées deviennent confuses; ces phénomènes
qui leur ont donné origine démontrent bien qu'il s'agit de simples troubles fonctionnels. L'on peut dire la même chose po
ES DU CERVEAU. 407 c'est à l'hystérie qu'il faut attribuer tous ces troubles mo- teurs. c). Dans la même année, Cha... pré
ous en avons d'autres non moins importants, nous voulons parler des troubles oculaires carac- térisés par la polyopie, par l
la polyopie, par la micropsie, par la macropsie mo- noculaire ; ces troubles de l'accommodation, selon le Dr Pari- naud, don
issement se dissipa bientôt et pour un an il n'eut à souffrir aucun trouble digne d'être remarqué. Un L'HYSTÉRIE ET LES MAL
après les autres accès consécutifs, jamais ne se manifestèrent les troubles moteurs. Or cette incohé- rence parmi les phéno
lus caractéris- tiques de la fulguration, à savoir le délire et les troubles de la sensibilité, de la motilité, consécutives
- lepsie partielle). Dans les intervalles, santé parfaite, pas de troubles de la motilité, ni de la sensibilité. L'hystéri
Le troisième jour il s'aperçut qu'il bégayait et bredouillait. Ces troubles du langage persistent même à présent. Le 24 s
à gauche; les crémasté- riques sont très faibles des deux côtés. Troubles de la parole. - F... présente un bredouillement e
es que F... ne réussit pas à se faire comprendre. D'autres fois ces troubles disparaissent presque complètement et F... parl
nuit, persistant pendant des mois, ictus apo- plectiforme suivi de troubles du langage écrit et parlé, attaques convulsives
parait le plus rationnel. Il s'appuie principalement : 1° Sur les troubles du langage; 2° sur le caractère de la paralysie
ifs; 3° sur la présence des stigmates : "- 1° Pour ce qui est des troubles du langage, l'aphasie mo- trice et l'agraphie p
ue, ni des lèvres. Nous nous croyons donc autorisé à considérer ces troubles du langage comme purement fonctionnels et comme
NERVEUSE. L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE ? 1 contribution A l'étude DES TROUBLES VISUELS dans LES maladies ' nerveuses; . par
pinions des différents auteurs sont mieux d'accord sur la nature du trouble visuel dont nous parlons, que sur son siège. En
fet, il est facile de reconnaître dans l'amblyopie transi- toire un trouble passager fonctionnel, maintes fois de nature ré
ssager fonctionnel, maintes fois de nature réflexe, provoqué par un trouble de la circulation. Mais, tandis que les uns aff
irculation. Mais, tandis que les uns affirmaient que le siège de ce trouble résidait dans l'appareil optique même (rétine,
e Parry et Fothergill considéraient le scotôme scintillant comme un trouble réflexe lié aux troubles de la digestion, et Ba
nsidéraient le scotôme scintillant comme un trouble réflexe lié aux troubles de la digestion, et Baralt dans sa thèse (1880)
dans sa thèse (1880) soutient la même opi- nion, affirmant que les troubles gastriques ou la migraine sont le point de dépa
s ou la migraine sont le point de départ du réflexe qui provoque le trouble vaso- moteur dans l'appareil optique. ' « L'Ù
déterminer, en même temps que le scotôme scintil- lant, les divers troubles vaso-moteurs qui caractérisent l'accès de migra
age lorsqu'il se demande : « Cette irritation qui détermine tant de troubles vaso-moteurs pendant l'accès de migraine, est-e
ritation péri- phérique sensitive (sur le pneumogastrique en cas de troubles digestifs, 'sur le trijumeau en cas de migraine
i l'affirmait pour la véritable migraine ophtalmique, lorsque les troubles de la digestion ou de la migraine précèdent l'amb
s, quand la migraine succède (et c'est le cas le plus fréquent) aux troubles de la vue, comment croire que la névralgie est
cès, ce qui arrive presque toujours, comment méconnaître dans ces troubles moteurs de l'appareil digestif, la décharge du
urs de l'appareil digestif, la décharge du réflexe provoqué par les troubles sensitifs de l'appareil optique et du trijumeau
ques et avec l'analyse du phénomène scintillement, que le siège des troubles circulatoires (contraction ou dilatation des va
ces contradictions de l'examen ophtalmoscopique, l'hypothèse que le trouble vaso-moteur puisse porter sur le chiasma, les b
le comme celle-ci et de l'ordre des hallucina- tions. Ce sont les troubles associés de l'amblyopie transitoire qui ont per
u la névrose du nerf optique ou des tractus de Dianoux; on admit le trouble vaso- ' 111. Parinaud a eu l'occasion (1882) d'
qui nous permettrait de comprendre en même temps la pathugénie des troubles transitoires et des troubles qui deviennent que
ndre en même temps la pathugénie des troubles transitoires et des troubles qui deviennent quelquefois permanents. Latham,
i deviennent quelquefois permanents. Latham, pour démontrer que les troubles visuels, en particulier, dépendent bien d'une e
quels l'accès n'est pas migraineux et tient le plus sou- vent à des troubles de la digestion) devaient conduire bientôt à l'
des troubles de la digestion) devaient conduire bientôt à l'idée de troubles circulatoires dans le cerveau. Ce sont les trou
t à l'idée de troubles circulatoires dans le cerveau. Ce sont les troubles du langage et de l'intelligence, la sensation de
s que pour l'anémie cérébrale, et ils s'effacent aussi vite que les troubles visuels, tandis que la migraine (dont la patho-
ection, il restait encore à préci- ser davantage la localisation du trouble circulatoire. Raullet dit : « L'anémie transito
bord plus vrai- semblable, en raison de l'association fréquente des troubles de la sensibilité générale et, spéciale, qui ne
ensibilité générale et, spéciale, qui ne pourraient, dans le cas de trouble de la circulation corticale, coïncider avec l'a
ticale, coïncider avec l'aphasie, sans être suivis en même temps de troubles moteurs, à moins d'admettre des troubles circul
re suivis en même temps de troubles moteurs, à moins d'admettre des troubles circulatoires localisés, mais occupant plusieur
el, que l'on observe dans la migraine ophtalmique, se rapproche des troubles de la vision que l'on rencontre chez plusieurs
uteurs (Nothnagel) nient que ses altérations puissent provoquer des troubles visuels. Même en admettant possible ce cas, l'h
a ligne médiane, pourraient bien difficillement donner lieu à des troubles visuels monoculaires ou hémiopiques, et ces troub
ner lieu à des troubles visuels monoculaires ou hémiopiques, et ces troubles devraient s'accompagner d'une mydriase maxima,
d'une mydriase maxima, avec aboli- tion du réflexe pupillaire et de troubles de la motilité des yeux. Il doit donc s'agir, d
ant les accès, il y a cécité verbale ou surdité verbale ou d'autres troubles analogues. Une observation de Charcot (rapporté
Féré) et quelques autres de Raullet, démontrent l'existence de ces troubles , dont on pouvait déjà se douter d'après les tro
istence de ces troubles, dont on pouvait déjà se douter d'après les troubles de la parole, de la mémoire et de l'intelligenc
s observés pendant les crises d'amblyopie transitoire. Or, tous ces troubles sont encore un signe du siège superficiel (cent
transitoire, dans le lobe occipital (Samelsohn) 2.. Et, même les troubles de la parole, si souvent observés pen- dant les
les crises d'amblyopie transitoire, doivent s'attribuer non pas au trouble de l'activité psychique pour l'articulation des
En effet, il semble, d'après les nombreuses observations, que les troubles de la parole accompagnant l'amblyopie tran- sit
le côté droit du champ visuel. Cela prouverait, d'accord avec les troubles de la parole et avec les observations d'épileps
u de scintillement), elle siège le plus souvent du même côté où les troubles moteurs et sensitifs vont se déclarer, dans le
si peu connue. On rapporte des cas d'amblyopie transitoire, où le trouble de la vue occupait la moitié supérieure du cham
te, accompagnée de mi- graine) nous a prouvé que le plus souvent le trouble siège dans l'hémis- phère gauche. . l'amblyop
ale), les phénomènes de l'épi- lepsie partielle démontraient que le trouble cortical intéressait les deux hémisphères. d)
utre part, le nombre de cas de migraine vulgaire non accompagnée de troubles visuels est beaucoup plus con- sidérable que le
aineux et l'amblyopie transitoire comme des formes rudimentaires de troubles nerveux, le plus souvent stigmates élémentaires
s observa- tions enregistrées, si le syndrôme migraineux n'était le trouble pour lequel le malade plus facilement est amené
syndrôme migraineux peut s'attarder d'une heure et même plus sur le trouble visuel ; et que, chez les individus où ce troub
même plus sur le trouble visuel ; et que, chez les individus où ce trouble précède de quelque temps la migraine, dans les
(migraine à amblyopie), la physiopathologie semble se rapprocher du trouble de circula- lion cérébrale que nous avons admis
sitoire 'est sûrement de nature hystérique ou intimement liée aux troubles superficiels du cerveau qui provoquent l'épilepsi
s, t. XXIV. ' 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. simplement prédisposés au trouble du système nerveux, il n'est pas très rare de v
névropathes, c'est-à-dire chez les individus qui sont ' atteints de troubles nerveux plus ou moins graves et fugaces, très v
c la migraine, ou avec d'autres névralgies, ou bien encore avec les troubles passagers de la sensibilité, de la palpitation
- giques plaident tous, et vaillamment, pour le siège cortical du trouble fonctionnel qui provoque l'amblyopie transitoire.
l du trouble fonctionnel qui provoque l'amblyopie transitoire. Le trouble , très probablement circulatoire (anémie tempo-
sensorielle s'unit à l'amblyopie transitoire, il est clair que les troubles gagnent d'autres centres psycho-sensitifs et psyc
ie partielle, comme dans mon observation à la page 10, c'est que le trouble cortical a changé de territoire, se trans- port
portant sur l'écorce visuelle. Même dans le territoire visuel, le trouble peut changer d'endroit. Chez cette malade, les cr
ions étaient respectés, c'est-à-dire que dans chaque hémisphère les troubles gagnaient de préférence l'écorce visuelle desti
Voilà, ci-dessous résumés, les arguments qui plaident en faveur du trouble circulatoire, plus probablement anémie tem- por
mie tem- poraire : 1° L'apparition et la disparition soudaine des troubles visuels ; 2° Le fait, que même dans le début
toire avec des mala- dies nerveuses (neurasthénie, hystérie) où les troubles vaso- moteurs (phénomènes vaso-constricteurs et
fait que l'anémie générale est certainement capable de produire des troubles visuels passagers, de même que lacon- gestion c
équents qu'elles subissent pendant les accès, devenir le siège d'un trouble de nutrition Leçons sur les maladies du système
de Trousseau, G. Sée, Swanzy ' et Fitzgérald 2, concernant des " troubles visuels persistants chez des choréiques, et enfin
ie transitoire, considérons rapidement les différentes formes de ce trouble , pour les mettre d'accord avec leurpatho- génie
xation, rendant le malade parfaitement aveugle, démontrent que le trouble fonctionnel dans la même hémisphère (plus souvent
VII, 1877, p. 121. . Arch. f. Psclaiat., 1876, p. 142. 5 Robin. - Troubles oculaires dans les maladies de l'encéphale. Paris
438 CLINIQUE NERVEUSE. Et tout cela, même sans migraine et autres troubles acces- soires ! 1 Si, dans le scotôme scintil
ation reste le .plus souvent respecté, c'est justement parce que le trouble visuel a, dans ce cas, la forme hémiopique, et
re anesthésie cortico-visuelle) des hystériques. Le plus souvent le trouble de l'amblyopie transitoire atteint une seule hé
'amblyo- pie transitoire, centraient binoculaire, devait tenir à un trouble dans l'écorce visuelle centrale des deux hémisp
ns la plupart des cas qualifiés de migraine ophtalmique ce sont les troubles visuels qui ouvrent la marche, ' Forster. Ueber
ement à noter dans les cas d'ambliopie transitoire, quelle forme ce trouble visuel présente (scotôme périphérique scintilla
ntral, hémiopie, etc.) et s'il est accom- pagné ou non par d'autres troubles nerveux (migraine, aphasie, épilepsie partielle
ndrome migraineux, ou celui de l'épi- lepsie partielle, précède les troubles oculaires et s'impose davantage par sa gravité,
ée (plus qu'accom- pagnée) lorsque dans les accès il y a encore des troubles de la parole, de l'intelligence, ou de l'épilep
être rangée, dans la plupart des cas, comme la migraine, parmi les troubles nerveux pure- ment dynamiques. Même dans les
e que le tabès ou la démence paralytique, ces accès sont dus à un trouble fonctionnel passager du cerveau. L'analogie entre
nérale), est démontrée soit par la fréquence avec laquelle les deux troubles se présentent ensemble (migraine ophtal- mique)
ent ensemble (migraine ophtal- mique), soit par les cas où les deux troubles s'alternent et se substituent l'un à l'autre.
I. L'amblyopie transitoire est essentiellement caractérisée par des troubles oculaires différents, tels que l'hémiopie, les
ète, comme dans les cas typiques de scotôme scin- tillant. t.. Le trouble visuel se déclare et disparait plus ou moins sou-
ucinations, dû à l'irrita- tion des centres corticaux visuels où le trouble circulatoire a lieu. Puisque le plus souvent le
ypérémie collatérale ? ...) de la région de l'écorce visuelle où le trouble circulatoire provoque le sco- tôme (centre des
es aux deux moitiés rétiniennes du même côté). · Parfois d'autres troubles oculaires accompagnent l'amblyopie transitoire.
ourraient faire songer à une attaque de glaucome (Dia- noux). Les troubles visuels sont souvent accompagnés par le syn- dr
rviennent généralement sur un point limité de la tempe, du côté des troubles visuels, et s'irradient plus ou moins intenses
du côté de la face, des phénomènes divers du côté des membres, des troubles plus ou moins localisés de la sensibilité ou de
ont assez espacés, ont une durée très courte et ne laissent aucun trouble persistant, même lorsque les accès reviennent pen
dans la journée) ou accompagnés de violentes migraines ou d'autres troubles nerveux, le malade se présente à la consultatio
Il peut aussi être amené à consulter, à cause de la persistance du trouble visuel ou de quelque trouble ner- veux qui en c
onsulter, à cause de la persistance du trouble visuel ou de quelque trouble ner- veux qui en complique les accès. Ce passag
uelque trouble ner- veux qui en complique les accès. Ce passage des troubles ner- veux occasionnels à l'état permanent, est
qui ne révèlent aucun autre état morbide, tien- nent toujours à des troubles passagers dans lesquels les trou- bles vaso-mot
nnelles (un travail intellectuel prolongé, un excès quelconque, des troubles de la digestion) et dans plusieurs de ces cas l
nque, des troubles de la digestion) et dans plusieurs de ces cas le trouble vaso-moteur cérébral peut être envisagé comme u
et pendant la sensation de faim, ou même sans cause appréciable, le trouble circulatoire des centres cor- ticaux est idiopa
t ans et quel- ques-unes chez des vieillards, où le plus souvent le trouble visuel a remplacé les attaques migraineuses.
hérédité nerveuse (goutte ou diabète) y joue un grand rôle. V. Le trouble fonctionnel qui cause l'amblyopie transitoire s
e cuneus et la circonvolution occipitale superieure), à la suite de troubles circulatoires, donnerait au malade, d'après la
s autres formes de l'amblyopie tran- sitoire nous démontrent que le trouble peut commencer ou s'étendre dans n'importe quel
(surtout les cas relatés par Féré) démontrent la possibilité que le trouble atteigne les deux hémisphères, alternativement
a une signification plus grave, surtout dans ce dernier cas, où les troubles corticaux tiennent à des lésions qui vont deven
es maladies nerveuses, l'amblyopie transitoire est rangée parmi les troubles subjectifs de la vision, puisqu'ils sont perçus
avorter, surtout s'il survient après un jeûne prolongé ou après un trouble de la digestion à peine com- mencée. Il en est
L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 447 î 18. Baron. - Etude clinique sur les troubles de la vue chez les hystériques. (Th. de Paris,
rose partielle temporaire. (Th. de Paris, 1880.) 21. A. Robin. Des troubles oculaires dans les maladies de l'encé- phale. (
(Progrès médical, 1881-82.) 26. Féré. - Contribution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrale
de Neurologie, 1890.) 44. A. Marie. - Contribution ci l'étude des troubles oculaires dans la paralysie générale. (Th. de P
idées telles qu'elles s'appliquent chez tous les hommes, mais d'un trouble particulier de la volonté. Ce trou- ble, cette
fantastiques, tels que chutes de chevaux, graves accidents..., etc. Troubles gastriques, constipation, douleur de ventre, do
centimètre en faveur du côté droit. - Réflexes rotuliens normaux. Troubles de la sensibilité. Hémianesthé51e gauche très acc
la lumière du jour des ténèbres de la nuit. Pas de nystagmus. Aucun trouble apparent des membranes de l'oeil. Rétrécissemen
er à la sclérose en plaques : vertiges, attaques apoplecti- formes, troubles oculaires, troubles de la parole, tremblement i
plaques : vertiges, attaques apoplecti- formes, troubles oculaires, troubles de la parole, tremblement intentionnel. Cependa
lectiformes rentraient dans la descriptton de Debove et Achard, les troubles oculaires étaient caractérisés par une amorauso
neurasthéniques : agora- phobie, douleur de la nuque et des reins, troubles digestifs. Les deux autres attaques apoplectiqu
es deux catégories principales, l'une dans laquelle prédominent des troubles intellectuels et des manifestations délirantes
trouve des formes mixtes dans lesquelles on rencontre à la fois les troubles de l'intelligence combinés avec ceux de la sensi-
de l'intelligence combinés avec ceux de la sensi- bilité morale. Troubles intellectuels chez les dégénérés psychiques. - En
idus tantôt considérés comme aliénés, tantôt comme malfai- teurs. Troubles moraux chez les dégénérés psychiques. - La perver
peut observer par exemple la conservation de la conscience avec le trouble psychique le plus accentué. La solidarité qui rel
cultés morales et intellectuelles fait le plus souvent défaut : les troubles sont prédominants tantôt du côté moral, tantôt
lir l'existence ou la non-existence d'une maladie mentale ou d'un trouble psychique, il peut et doit préciser les rapports
sateur convaincu et non un partisan de la théorie des psychoses par trouble fonctionne] généralisé,'de l'unité du psuké. Du
ce que l'on peut considérer comme les génératrices ou les foyers de troubles psy- chiques, ou bien, si l'on préfère, comme l
nt à mesure que les isolements se multiplient. L'évolution de leurs troubles intellectuels qui n'est point conforme aux ense
flexe patellaire douleurs lancinantes signe de Romberg z vertiges - troubles de la parole affaiblissement de l'intelli- genc
s l'inversion génitale; en outre on constate chez ces sujets-là des troubles nerveux, de la neurasthénie, du moins chez la p
ion sexuelle n'est pas une maladie mentale quand il n'existe pas de troubles du système nerveux d'un autre ordre ou d'accide
du 13 juillet 1891. - Présidence DE M. JOLLY. M. HIRSCEIBERG. 'Des troubles de la vue par tumeur cérébrale avec présentatio
omberg, l'incontinence d'urine, le signe de Westphal. Ni ataxie, ni trouble de la sensibilité. La paralysie agitante se révél
bes avec le reste de l'encéphale, on ne constate par la suite aucun trouble appréciable dans l'attitude de l'animal. Le D''
rès, a décrit un phénomène assez curieux, que je considère comme un trouble de l'attention. Certaines per- sonnes ne peuven
onvoN et J.-B. CHARCOT. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BLOCQ (P.). Les troubles de la marche dans les maladies nerveuses. Volum
8; -Clinique des maladies du système nerveux, par Charcot, 139; - Troubles du langage chez les aliénés, par Séglas, 140;
ématique et obsession, par Mercklin, 69. GOITRE EXOPHTHAL311QT7E, troubles délirants dans le , par Ray- mond, 312; anato
cé- rébraux de la -, par Bechterew et Mislanski, 263. LECTURE, troubles de la -, par Weissenberg, 76. Localisations c
Paralysie générale, à forme circu- laire, par Rottenbiller, 72; - troubles de la parole par accès dans la par Koenig, 100;
oeppen, 280. PARA3fYCLONUS MULTIPLES, par IIomen, 83. Parole ( troubles de la) insuffi- sance des localisations pour ex
ar Cochez, 470. Secret médical, par Thivet, 293. Sens musculaire ( troubles du), par Auton, 98. SENS génital (inversion d
; pour tumeur cérébrale, par liages Agnew, 272. Tumeur cérébrale, troubles vi- suels par -, par Hichsberg, 83, par Chris
8 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
dre effort, et qui sem- blent liées à une insuffisance mitrale. Les troubles osseux, très typiques, ne permettent aucun dout
- nique, l'élargissement de toutes les phalanges, l'absence de tout trouble articulaire, infirment absolument ce diagnostic
ue lui-même, et nous ne ferions intervenir, pour l'expliquer, aucun trouble surajouté (inflammatoire ou autre) : car, dans
. Aux dires de la malade ce serait surtout depuis cet ictus que les troubles osseux seraient de- venus plus manifestes. NO
ade dut s'aliter : il est remarquable de noter que ce sont pour ces troubles de la sensibilité car- diaque que la malade a d
e se base tout d'abord sur des analogies ; à la suite de cer- tains troubles nerveux peuvent se développer des accidents osseu
arcot et Mor- veau attribuent la scoliose des syringomyéliques à un trouble trophique des vertèbres; et une telle origine e
n cas,certaines manifestations nerveuses (exagération des réflexes, troubles vésicaux) ; Gilles de la Tourelle et Marinesco
EL ET PIERRE-WEIL l'ostéite déformante, être dues par exemple à des troubles vasculaires dans 1 le domaine des artères spina
e la cause de la maladie osseuse. Elles sont liées sans doute à des troubles de l'irrigation vasculaire de la moelle ; certa
ésions médullaires ne sont pas primitives mais bien secondaires aux troubles articulaires. « Il est certain qu'une arthrite
e seraient-elles pas dues à l'athérome des vasa-vasorum ? ' ? Les troubles artériels d'origine artério-scléreuse sont en eff
que la sclérose cardiaque, l'emphysème, la bronchite chronique, des troubles de la vision, déroute, de la fonction hépatique
té des extrémités ailiculaires, ne s'accorde guère avec l'idée d'un trouble trophique d'origine nerveuse ; elle s'explique mi
uente chez les pagétiques que l'on peut assurer qu'elle provoque ce trouble osseux, car, combien n'y a-t-il pas d'artério-s
tisme chronique. La constatation fréquente, chez les pagétiques, de troubles « arthriti- ques » ou « herpétiques » (Lancerea
Lancereaux) ; d'autre part la constatation fré- quente de ces mêmes troubles chez les rhumatisants chroniques, a pro- voquél
r, 1890, p. 52, . A PROPOS d'un cas D'OBSTÉITE DHFORMANTR 3 3 Les troubles arthritiques sont fréquents chez les pagétiques ;
à peu près, il existe de l'hypoesthésie plantaire et aussi quelques troubles sphinctériens caractérisés d'abord par des mictio
s plus tard. C'est postérieurement à cet incident qu'apparurent les troubles de la démar- che : talonnemeut, incoordination,
'à présent bien obscure. C'est assurément la théorie qui invoque un trouble dans la nutrition osseuse, théorie soutenue aus
ui correspond le mieux à la réalité des faits. Mais d'où vient ce trouble , quel est son mécanisme intime ? C'est un point
eloppé. Les organes thoraco-abdominaux ne semblent pas présenter de troubles importants. La malade ne présente pas de tach
ère de voir, mais il considère la scoliose des adolescents comme un trouble de la nutrition en rapport avec une insuffisanc
r.,lcmw. Seulement il 36 PARHON ET JIANO faut se demander si le trouble n'est pas en relation, au moins dans un certain
blable. Kirmisson rapproche la scoliose de l'adolescence d'un autre trouble squeletlique qu'on observe également à cette ép
Il s'agit du genu valgum. Or il ne nous semble pas douteux que ce trouble présente également des rapports avec certaines
surtout dans celle dite de l'adolescence il faut faire la part d'un trouble de la fonction thyroïdienne (et peut-être d'aut
n thyroïdienne (et peut-être d'autres glandes à sécrétion interne), trouble de nature plutôt hyperfonc- tionnelle. Il y a
he Med., Bd. 43, Heft 3, 1901. 13. Il IU611 ILTI : R et GUÉRIN, - Troubles des échanges nutritifs dans le myxoedème in fun-
ormalement. Nous verrons dans la suite comment on peut expliquer ce trouble fonctionnel de l'abaisse- ment de la mâchoire i
r de la langue (glossopharyngien). Chez notre malade on observe des troubles plus ou moins accentués du côté de la phonation
phonation. - La malade parle à voix très basse, presque aphone. Ce trouble s'est constitué peu à peu en même temps que les a
cles arythénoïdes et crico-arytlénoïdes latéraux. En conclusion les troubles laryngiens chez notre malade peuvent se résumer
de même que l'examen électrique des muscles de la langue. Tous les troubles que nous avons constatés chez la malade pendant
itale, palpation d'une saillie osseuse par le toucher pha- ryngien, troubles dans la déglutition et dans la phonation. Etant
santé, pendant le transport d'une lourde charge, est prise par des troubles de la motilité 52 BERTOLOTTI du cou. Ces trou
t prise par des troubles de la motilité 52 BERTOLOTTI du cou. Ces troubles vont en augmentant peu à peu en même temps que
a région cervicale postérieure et des épaules. En plus il existe de troubles laryngiens caractérisés par une paralysie de la
ibilitéd'un liraillement porté sur les racines cer- vicales. Si les troubles de la motilité eussent été seulement à gauche, du
oelle cervico-dorsale a un début bien différent, s'accompagne à des troubles de la sensibilité, à des altérations trophiques
ophie cantonnée au muscle de la région cervicale postérieure et les troubles statiques et dynamiques survenus dans la colonne
de sa grossesse, que notre malade commença à ressentir ses premiers troubles ; elle se sen- tait toujours fatiguée, et tandis
e de l'homme. 56 BERT0L0TTI pendant trois jours à la suite de ces troubles soudains qui l'avaient frap- - pée en transport
jeune femme de 24 ans qui,pendant un grossesse, fut frappée par des troubles de la déglutition et de la phonation, le médeci
61 Il existait un souffle systolique sur la pointe du coeur et les troubles étaient survenus soudainement pendant une gross
. Or il faut noter que, chez le malade en question, il existait des troubles du larynx et du voile du palais. Citons encor
enté une hémiatrophie de la langue, une hémiparésie de voile et des troubles parétiques de la corde vocale du même côté. Les
n bilatérale des noyaux de la XIe paire et la malade présentait des troubles paralytiques symétriques du voile du palais et
re ma- lade ont été retrouvés indemnes, il est bien certain que les troubles laryngiens et du voile du palais doivent être m
ans la musculature du voile et de la portion supérieure du pharynx, troubles parfaitement analogues à ceux produits chez les a
cause. Nous rappellerons la régularité du pouls, l'absence de tout trouble cardiaque ou des troubles vaso-moteurs. Nous av
la régularité du pouls, l'absence de tout trouble cardiaque ou des troubles vaso-moteurs. Nous avons observé, il est vrai,
observé l'intégrité absolue de la Xe paire soit pour l'absence des troubles sensitifs dans l'innervation du larynx, soit pa
spasmes fonctionnels, névroses ou dyskinésies fonctionnelles à des troubles moteurs qui ne se produisent qu'à l'occasion d'
premier propose le terme de spasmes fonctionnels pour désigner ces troubles : « J'appelle spasmes et impotences fonctionnel
nnels exécutés par la main et les doigts, mais on peut observer des troubles analogues aux membres inférieurs et aux muscles
osé parJaccoud (80). Il nous semble répondre mieux à l'ensemble des troubles observés, sans préjuger de leur nature. De même
erait une fâcheuse erreur d'assimiler, ne fût-ce qu'un instant, les troubles moteurs des dyskinésies professionnelles à ceux
que nous garderons l'expression de crampes professionnelles. Les troubles moteurs communs à ces différentes impotences fonc
cousses c Ioniques ; parfois des tremblements et parfois encore des troubles parétiques. Mais, ainsi que le fait remarquer M
eurs qui frappent l'esprit de l'individu, exagèrent par là même son trouble et le mettent dans l'in- capacité bientôt absol
urs qui, comme Sa- vill (198), pensent qu'il existe dans ces cas un trouble de fonctionne- ment de la substance grise céréb
ri- phérique n'est pas visible. Peut-être s'agit-il simplement d'un trouble dynamique, physiologique, passager, de ces cell
le cas des spasmes fonctionnels, ces névroses se traduisent par un trouble du mécanisme de coordination, le terme de névro
approprié- une altération vasculaire localisée au membre atteint du trouble fonctionnel. Voici tout d'abord une observation
écrire vite, et le malade devait s'arrêter encore. Peu à peu les troubles fonctionnels augmentèrent d'intensité. M. B... tr
ge à elle ; l'émotion, l'écriture en public, augmentaient encore le trouble . C'est dans ces conditions qu'il vint consulter
re d'uu rétrécissement mitro-sigmoïdien ou sous-aortique. Quant aux troubles fonctionnels angineux, ils pouvaient être imput
ardait l'impossibilité de marcher vite. Les mois suivants, tous ces troubles fonctionnels diminuèrent progressi- vement : la
in nombre de caractères com- muns : ce sont les fourmillements, les troubles de calorificalion dans les mains ; puis les dou
i de Kronenberg, l'influence du psychisme sur la spécialisation des troubles moteurs ? On sait que l'expérimentation physiol
calisée à l'écorce cérébrale, et chez lesquels on voit survenir des troubles vaso-moteurs dans les membres paralysés, troubl
voit survenir des troubles vaso-moteurs dans les membres paralysés, troubles qui existent toujours à un certain degré (froideu
vaso-moteurs, d'où spasme artériel périphérique venant aggraver les troubles circulatoires d'un membre déjà atteint, et que l'
parce qu'ils augmentaient le spasme vaso-moteur. Ainsi, à côté de troubles circulatoires, d'origine purement artérielle, s
e plus vers l'importance du rôle psychique dans la produc- tion des troubles à la fois moteurs et vaso-moteurs, sans qu'on pui
crivains. Par un examen un peu attentif on pouvait affirmer que les troubles moteurs n'étaient pas la cause du trouble vascu
pouvait affirmer que les troubles moteurs n'étaient pas la cause du trouble vasculaire, et qu'inversement les troubles vascul
n'étaient pas la cause du trouble vasculaire, et qu'inversement les troubles vasculaires n'étaient pas la cause immédiate de
crampe et l'anriospasme parais- saient être sous la dépendance d'un trouble cortical, au même titre que le déséquilibre psy
s, l'observation de Brissaud, Hallion et Meige, nous montre que les troubles vasculaires peuvent être, comme les troubles mo
e, nous montre que les troubles vasculaires peuvent être, comme les troubles moteurs, d'origine centrale. C'est un lien de p
peutique locale appropriée amènera plus rapidement la sédation des troubles . De ces lésions musculaires ou tendineuses on p
es jours, le malade qui s'étu- diait attentivement, observa que les troubles de l'écriture augmentaient d'in- tensité ; la m
geant de porte-plumes, à éviter les contractions des doigts mais les troubles augmentèrent encore d'intensité. Se persuadant
.. restait fortement touché ; plus il pensait à sa crampe, plus les troubles s'accusaient ; s'il était obligé d'écrire en pu
ont rapporté des observations de crampes pro- . fessionnelles avec troubles sensoriels : tantôt douleurs névralgiques, tant
s anesthésies dans le territoire cutané correspondant, soit par des troubles trophiques et la réaction électrique de dégénér
urvenant au moment où les doigts pressaient le pis. On trouvait des troubles de la sensibilité sur le territoire du radial d
19 cas). décrite par Zander (209) chez des joueurs de tambour, avec troubles de la sensibilité, par suite delà contraction r
d'origine névriti- que des crampes professionnelles, c'est que, le trouble sensitif ou mo- teur une fois établi, ne s'obse
ension apparut dans le quatrième doigt, sans aucune douleur et sans troubles de sensibilité. Le jeu du hautbois devint ainsi i
t d'une partie des muscles de l'éminence thénar ; il n'existe aucun trouble de sensibilité. L'impotence fonctionnelle est p
emples dans la littérature médicale; tous ces cas s'accompagnent de troubles mentaux plus ou moins marqués, comme nous l'avo
renoncer bientôt définitivement au travail. On ne constatait aucun trouble de la sensibilité, ni du bras, ni de l'avant-bras
e provoquait aucune sensation anormale, ni aucune recrudescence des troubles moteurs. Et cependant, si l'on voulait faire éc
hydrothérapie, du bromure de potassium, de la psychothé- rapie, les troubles disparurent progressivement au bout d'un mois, et
céréhraleou cérébelleuse, diffuse ou en foyer, ou qu'il y a simple trouble dynamique des cellules nerveuses préposées à te
int. Nous voulons simplement dire que, dans la plupart des cas. les troubles moteurs apparaissent nettement t ÉTUDE SUR LES
UDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES S 89 comme la conséquence d'un trouble mental. On peut voir en effet, dans presque tou
s; c'est l'association fréquente des névroses d'occupation avec des troubles mentaux ; c'est ensuite le passage facile d'une
se crispaient et la plume ne pouvaient tracer les lettres. Ainsi le trouble se localisait sur une fonction déjà affaiblie e
rtant à noter, et qui montre bien encore l'ori- gine mentale de ces troubles , deux ans plus tard survinrent des spasmes de l
atteints de spasme fonctionnel, l'émotion augmente notablement les troubles . Elle peut même suffire à ramener la névrose. Ain
ans, émettre de sons, par impossibilité de remuer la langue : or ce trouble n'apparaissait que lorsque le malade devait jou
rire indéfi- ment. t. 2° Crampes professionnelles associées à des troubles mentaux. Nous avons déjà fait remarquer que, en
, qui, sous l'influence d'une émotion, pouvait avoir deux sortes de troubles : tantôt, devenant agité, il ne pouvait plus te
r à pleine paume, ou bien se servir de la main gauche. Toutefois ce trouble fut très passager, et il n'en subsiste rien actue
tendance à se tourner vers l'épaule droite. Les jours suivants, les troubles se précisèrent, et arri- vèrent au point où nou
u ressort de la mythomanie de Dupré. D'autres phénomènes enfin, les troubles vaso-moteurs et trophiques, ne paraissent plus
ée suffisamment sur certains désordres psychopathiques,tels que les troubles de la cénesthésie,les délires de lazoopathieint
ui n'ont aucun stigmate physique ou psychique de l'hystérie. a Le trouble mental qui constitue les hallucinations psychomot
De telles extravagances pathologiques, de même que les trop fameux troubles trophiques qui firent le succès des anciennes sti
ue de conceptions grandiosement cruelles il la genèse desquelles un trouble mental n'est peut-être pas étranger. (1) Voy.
plaque de mica. La durée d'application varie de 24 96 heures : les troubles sont, d'une manière générale, proportionnels à
ndividuelles. Outre les modifications de la peau, ils consistent en troubles nerveux, presque uniquement d'ordre paralytique,
sont, pour la plupart, que l'ex- pression directe ou indirecte d'un trouble général de la circulation et de la nutrition, p
r la totalité des altérations possibles. Nous n'avons observé aucun trouble ni de la santé générale, ni du sys- tème nerveu
commun et avec le tremblement des extrémités paraly- sées. Mais les troubles pédonculaires peuvent dépasser les limites habitu
and résultat, sauf qu'elle pouvait mieux marcher et n'avait plus de troubles sphinctériens. A l'hôpital et aussi à la maison
n'insistons pas tant sur la nature de la lésion qui a provoqué les troubles décrits chez notre malade, parce que la chose est
e même, est exclue parce qu'on voit que nous avons affaire avec des troubles nettement organiques,et puis il n'y a pas de st
et de la langue. Pas d'atteinte des sensibilités sensorielles, pas de troubles de la déglutition, pas de ptyalisme. L'articu
pose, et il est dès lors facile de se rendre compte qu'il n'y a ni troubles d'élocution, ni troubles de compréhension, ni a
facile de se rendre compte qu'il n'y a ni troubles d'élocution, ni troubles de compréhension, ni atteinte de la sphère psychi
ifférentes sensibilités sont conservées du côté hémiplégie ; pas de troubles trophiques importants. A droite, il y a une exagé
réflexe du genou est vif, le signe de Babinski positif. Il y a des troubles manifestes du côté du langage et de l'articulatio
izon intellectuel un peu vaste, est suffisamment conservé, mais les troubles d'articulation se compli- quent d'un retard not
sont restreintes, mais il en a été, paraît-il, toujours ainsi. Pas de troubles des sphincters. Crises spasmodiques. - Sur ce
événements qu'ont apparu les crises spasmodiques de pleurs. . Les troubles paralytiques persistants sont des troubles de con
odiques de pleurs. . Les troubles paralytiques persistants sont des troubles de contracture très atténuée. Les autres appare
igne de Babinski positif; à gauche ils sont plutôt diminués. Pas de troubles sphinctériens, ni de troubles trophi- ques impo
uche ils sont plutôt diminués. Pas de troubles sphinctériens, ni de troubles trophi- ques importants, pas de paralysies ocul
es de ses tra- vaux et son interprétation s'applique aussi bien aux troubles paralytiques qu'aux troubles spasmodiques où s'
terprétation s'applique aussi bien aux troubles paralytiques qu'aux troubles spasmodiques où s'étale nettement le syndrome rir
on de la mimique, en rapport avec les circonvolutions frontales. Un trouble dans la grande voie cortico-thalamo-bulbaire amèn
lus, quelques phénomènes d'origine bulbaire, et un certain degré de troubles du langage. La thérapeutique employée chez chac
ants. Personne dans sa famille ni dans son entourage ne présente de trouble du langage ; il n'a jamais vu personne qui soit
de 22 il 23 ans se sont produits les phénomènes spasmodiques et les troubles de la parole dont il est aujourd'hui atteint. C
ros effort pour parler. Lorsque l'interrogatoire se prolonge, les troubles , en 5 à 10 minutes, attei- gnent leur maximum.
basse, les mêmes phénomènes spasmodiques se produisent. Tous ces troubles sont intermittents : légers au début d'une conver
a parole devient normale ; dès que le mouvement violent a cessé les troubles reparaissent. A la difficulté de l'élocution s'
r. Pas d'essoufflement, pas de toux, pas d'expectoration ; Pas de troubles de sensibilité ; pas de douleurs ; Force normal
s à vérifier objectivement pendant les crises se traduisent par les troubles dans le son de la voix du malade, sans phénomèn
publi ons diffère des précédents par une extension plus grande des troubles musculaires, par une allure clinique plus délicat
t des membres inférieurs ; elle a de l'infanti- lisme mental et les troubles qu'elle présente sont intermittents ; il faut q
artilage serait secondaire à une dystrophie de cause générale, à un trouble de la fonction ou du développement de quelque o
es génitales soit altérée dans les cas d'achondroplasie pure. Les troubles fonctionnels des glandes à sécrétion interne doiv
he 56 jiihrigen Frau. Berliner. klin. Woch., n. 48, 1903. VARIOT. - troubles de l'ossification dans le myxoedème et l'achondro
ne, même dans le, cas de ESSAI SUR LA PHYSIOLOGIE DE L'ESPRIT 171 trouble circulatoire, dans la syncope. N'avons-nous pas d
e l'ohjet n'a rien perdu de son pou- ,voir excitateur, mais dans un trouble intérieur. Si je devais, à mon tour, tenter d'e
éhensibles si 'on ne les rattache à un vice de fonctionnement, à un trouble , à une inhibition de mouvements automatiques. L
aux postes, est âgé de 27 ans; très neurasthéni- que, souffrant de troubles dyspeptiques, il vit, à l'âge de 23 ans, apparaît
nde majorité des crampes professionnelles ne s'accompagnent d'aucun trouble anatomique appréciable, et semblent relever uni
les faits sont là qui démontrent que très souvent, à l'origine des troubles , on trouve une intoxication, soit professionnelle
me par cela seul amener dans certains cas la cessation complète des troubles . II. SYMPTOMATOLOGIE De toutes les névroses c
nt difficiles à mouvoir ; s'il veut persister dans son travail, les troubles augmentent ; souvent des douleurs apparaissent
l ! Jti- que. Jaccoud distinguait quatre variétés : ]'akinpsie, les troubles de stabilité (tremblements), l'ataxie, et l'7ap
oit ; tous les muscles et tendons semblent normaux ; il n'existe ni troubles vaso-moteurs, ni troubles de la sensibilité. Tous
tendons semblent normaux ; il n'existe ni troubles vaso-moteurs, ni troubles de la sensibilité. Tous les orga- nes sont sain
u d'écrire quel- ques lignes, puis bientôt reparaissaient les mêmes troubles fonction- nels. » En somme, dans celle variét
disparaissent aussitôt, pour revenir à la' première tentative. Ces troubles peuvent relever d'un simple phénomène d'arrêt q
hologiques permettent d'ailleurs de recon- naître la succession des troubles ; on voit d'abord quelques lettres bien tracées,
droit, aucune lésion périphérique appréciable pouvant expliquer ces troubles fonctionnels. M. Br... n'a jamais suivi de trai
limité ri l'acte d'écrire et de jouer du violon ; il n'existe aucun trouble somatique appré- ciable. M. A... a malheureusem
un traitement local qui dans bien des cas amènera la cessation des troubles , surtout si la névrose n'est point encore profo
mitance d'autres spasmes ou d'autres névroses, sur l'ancienneté des troubles , sur l'inefficacité de ÉTUDE SUR LES CRAMPES PR
euse, qui puisse expliquer dans une certaine mesure l'apparition du trouble fonctionnel. Mais ce que l'on doit examiner sur
altérations graphologiques, on pourrait être amené à confondre ces troubles avecceux que l'on observe parfois dans la paralys
tteint égale- ment le membre supérieur gauche, mais actuellement le trouble s'est localisé au membre supérieur droit. Il n'
rouve dans le « mal télégraphique », comme disent les employés, les troubles moteurs de la crampe des écri- vains ; ce sont
blis trop longtemps; les distances ne sont plus observées. Tous les troubles moteurs cessent lors- que le sujet quilte l'app
c évidemment moins favorable qu'une dyskinésie causée par un simple trouble physiologi- que ou dynamique d'origine centrale
rd une enquête minutieuse sur le genre de travail du sujet, sur les troubles que le ma- lade accuse, sur les circonstances d
idents, et bien examiner si, en dehors de l'acte professionnel, les troubles n'apparaissent point. Il sera dès lors facile d'é
cupation, les spasmes banaux, les tics, et il plus forte raison les troubles moteurs des maladies organiques : chorées, tabè
rie, cette grande simulatrice, en par- ticulier dans les cas où les troubles moteurs sont apparus à la suite d'un traumatism
s pouvaient, môme inconsciemment et sans vouloir frauder, avoir des troubles moteurs de nature hystérique à la suite d'accid
DE LÉPINAY crampes professionnelles; mais l'origine hystérique des troubles pour- rait toujours se reconnaître, - en l'abse
ndineuse, vasculaire ou nerveuse qui puisse expliquer l'origine des troubles ; mais même si cette cause périphérique existe,
es de la zone spongieuse, diminution d'épaisseur des diaphyses,sans troubles de l'accroissement en longueur. Les épiphyses s
à marcher vers 2 ans et demi, niais mal, dès le début ; depuis, les troubles n'ont fait que s'accroître. C'est vers 9 ans et d
icile de se rendre compte des altérations, quoique le même genre de troubles puissent être relevés (PI. XXVI). Chez Borg...
tres, elles tirent leur origine, comme la dystrophie musculaire, de troubles trophiques. » L'examen du maxillaire de Borg...
des anky- loses articulaires. Que ces phénomènes soient dus à un trouble trophique atteignant les deux systèmes, ou à un
quatrième a toujours joui d'une bonne santé, n'a jamais présenté de troubles ni de manifestations nerveuses. Il est actuelleme
résente nettement une inversion dans la loi des secousses ». Pas de troubles de la trophicité et de la sensibilité, sauf l'app
d'une noix, apparue spontanément,et de durée très brève ; et quelques troubles douloureux au niveau des sommets. Induration
e 15. La température du soir oscille entre 37° 2 et 37° 4. Pas de troubles fonctionnels du territoire urinaire. L'analyse de
du dos est très amaigri. Les omoplates ne sont point saillantes. Troubles moteurs. - Les mouvements du tronc sont gênés dan
bien. La rotation du thorax sur le bassin est seule très réduite. Troubles sensitifs. - Rien. Troubles trophiques. - Un ce
r le bassin est seule très réduite. Troubles sensitifs. - Rien. Troubles trophiques. - Un certain degré d'atrophie des int
abdominales parait conservée. Les vertèbres ne sont pas saillantes. Troubles de la réflectivité. - Rien. III. Membres supéri
or- mal ; les mains sont larges, aplaties ; les doigts sont gros. Troubles moteurs. La motilité de tous les doigts est conse
nt nor- maux, quoique plus lents. Il n'y a pas de maladresses ni de troubles de la pré- hension. La pronation et la supinati
la main, en s'appliquant et en mettant surtout beaucoup de temps. Troubles sensitifs. - Absolument rien. Les reclierches fai
ontrent qu'il y a intégrité absolue de toutes les sensi- bilités. Troubles trophiques. La peau est légèrement violacée ; hyp
l'articulation huméro-antibrachiale est moins prononcé à gauche. Troubles de la réflectivité. Pas de réflexes au membre sup
tibia se prolonge insensible- ment avec le rebord dorsal du pied. Troubles moteurs. La mobilisation des membres inférieurs e
et de flexion par suite, de certaines rétractions tendineuses. ? Troubles sensitifs. Comme aux membres supérieurs, on ne tr
s de sensibilité. Il n'y a pas non plus de phénomènes douloureux. Troubles trophiques. La peau violacée devient blanchâtre l
nou ; les poils ont presque complète- ment disparu. Il n'y a pas de troubles trophiques plus saillants de la surface cutanée
ineuses du biceps, du demi-tendineux sont saillants et rétractés. Troubles de la réflectivité. Les réflexes rotuliens et ach
nt été plus fortement frappés, et il y a une forte aggrava lion des troubles moteurs et trophiques. La cyphose dorso-lombair
et l'atrophie réparties inégalement dans la jambe et la cuisse, les troubles trophiques des extrémités, le pied-bot, les rétra
épaule, mais la mobilisation de l'avant-bras est aussi réduite. Les troubles de dégéné- .rescence sont nets. Du côté delà
à l'âge de 38 ans à peu près, il commença à ressentir les premiers troubles de la maladie actuelle. Ils se manifestèrent pa
que depuis deux ou trois ans qu'il commença à ressentir parfois des troubles gastro- intestinaux caractérisés par des crises
humide, pâle et légèrement teintée en jaunâtre. Il n'existe pas des troubles trophiques évidents, l'on peut remarquer pourta
esseur Bozzolo de Turin. Il s'agissait d'un homme de 63 ans, où les troubles du squelette avaient débuté à l'âge de 32 ans e
général, dans la maladie de Paget il s'agitseule- ment de quelques troubles articulaires qui sont secondaires aux altérations
Klippel et Weil, se présentait avec une prédominance très nette des troubles trophiques pour le côté gauche. Or nous avons é
des lésions osseuses et articulaires des phalanges, qui révèlent un trouble remarquable dans la nutrition des os digitaux (
s pensent, avec raison, que ces nodosités sont une manifestation du trouble osseux hypertrophique, puisque leur malade ne p
opie on avait remarqué une augmentation nota- ble de l'aorte. Les troubles cardiaques dans l'ostéite déformante de Paget son
echerches cliniques nous portent à admettre dans le cas présent des troubles d'artériosclérose avec hypotension. Dans notre ob
vec hypotension. Dans notre observation, on pourrait croire que les troubles cardio-vasculaires sont consécutifs aux déforma
e de l'os- téite déformante'de Paget qui serait pour ces auteurs un trouble dépendant de la syphilis héréditaire. La théori
te avec diminution des sels minéraux. Il est donc problable que les troubles des échanges organiques dans la maladie de Page
mple rétention des phosphates terreux dans l'organisme, mais que ce trouble est plus grave et porte directement sur la consti
(inflammation chroni- 270 ROUDNEW que plastique de Langhaus). Le trouble vasculaire, la dégénérescence des petits vaisse
e, il arrive à la conclusion que la contracture de Dupuytren est un trouble trophique et doit se rencontrer surtout dans les
acture est seulement t le traumatisme. Nichols croit aussi que le trouble nerveux ou trophique se trouve au fond de la co
m cérébral mais encore peut-être plus souvent par suite d'un simple trouble dynamique. On voit que sur la question de la co
les centres trophiques des différents tissus. Leur maladie donne un trouble de la nutrition de tissu ce qui aboutit aux dif
e un trouble de la nutrition de tissu ce qui aboutit aux différents troubles trophiques. On connaît, d'autre part, l'influence
s cas frappants de l'inlluence de la suggestion sur l'apparition de troubles trophiques sont décrits en grand nombre. Podjap
rition de la structure des tissus et c'estpourquoi, dans les cas de troubles trophiques, faut en tenir compte et ne pas oubl
avec le neurone cortical. L'étude des symptômes particuliers des troubles trophiques dans les maladies du cerveau et de l
ue dans les né- vrites ordinaires,d'après Remak,on n'observe pas de trouble trophique du côté opposé,on peut émettre une au
Strangkontr der Finger. Neu- rol. Centre., 1883, n° 3. 6. Cénas. Troubles nerveux compl. des extr. consec. à une blessure d
ppement du feuillet moyen, d'autres encore à une altération ou à un trouble dans les fonctions des glandes à sécrétion inte
iversaires de ses parents ; aucun événement ne lui échappe. , Les troubles mentaux consistent surtout en un délire de perséc
circulatoire, respiratoire et digestif paraissent ne présenter aucun trouble . Les urines ne contiennent ni sucre, ni albumin
d et au froid est normale, le sens de position est conservé. Pas de trouble de la sensibilité visuelle et auditive. Les ref
upilles sont égales, leurs ré- flexes se font normalement. Pas de trouble de l'équilibre ; la marche est lente ; la malade
emble lever difficilement ses pieds; on ne constate cependant aucun trouble paraplégique. Pas de tremblement de la langue e
égique. Pas de tremblement de la langue et des extrémités. Pas de troubles de la parole articulée et des fonctions du langag
s urines ne contiennent ni sucre, ni albumine. Dans la suite, mêmes troubles mentaux et physiques. A noter des crises de col
ïe est douloureuse du côté droit. Les membres ne présen- tent aucun trouble paralytique. Malgré l'absence apparente de lésion
érébrale. 21 janvier. Les vomissements ont complètement cessé ; les troubles de la parole ont disparu, la paralysie faciale
ion ; chez une femme ovarioto- misée apparaissent simultanément des troubles mentaux, un goitre avec altérations trophiques
inférieurs. Quelques mois plus tard, le goitre disparaît, mais les troubles mentaux persistent, tandis que l'oedème des membr
des membres inférieurs atteint des proportions monstrueuses. Les troubles mentaux ne présentent rien de particulier; il s'a
pénibles; cette asthénie est de règle chez les myxoedémateux, Les troubles trophiques présentés par notre malade sont à rapp
l'éléphantiasis, sont autant de signes que l'on peut rapporter à un trouble de la fonction thyroïdienne. L'abla- tion des o
a été faite aussi 'complète que possible. . 290 MACÉ DE LÉPINAY troubles sont installés de façon durable. Quel traitement
ou psychiques, qui ont amené, de façon durable, la disparition des troubles ; ce sont ces seules méthodes que nous décriron
seul repos, même pro- longé, est incapable d'amener la sédation des troubles : nous avons cité ce malade, atteint delà cramp
e de la main droite depuis quatorze ans, voit encore apparaître ses troubles dès que la main droite veut tra- cer quelques m
qu'à sa profession, à détourner pour un temps son attention de ses troubles pathologiques habituels ; d'autre part il permett
: trinitrine, sérum de Trunecek, etc., combattra fort utilement ces troubles vascu- laires spéciaux. De même un régime lacté
en entendu être aussitôt appliqué. Si l'on'constate par exemple des troubles vasculaires, on pourra ten- ter soi t des immer
S PROFESSIONNELLES 293 ner dans une certaine mesure la sédation des troubles , et la rééducation, comme.dans les autres cas d
èrement engourdie. Il faut ajouter que le sujet ne présentait aucun trouble sensoriel. Au bout de deux mois, le sujet commenç
xécuté, empêchent le malade de penser avec autant d'intensité à ses troubles morbides ha- bituels. L'écriture en miroir, e
t à elle seule amener dans un certain nombre de cas la sédation des troubles . Mais le plus souvent, l'écriture en miroir seu
uvements de la main, quels que soient les actes qu'il exécute. Ce trouble de l'écriture, survenu progressivement, n'a guère
raîner pour le patient, joue un rôle de tout premier ordre dans son trouble graphique. D'ailleurs, on a affaire à un sujet
on la plus correcte. L'examen objectif ne montre aucune espèce de trouble de la motilité, ni de la sensibilité, ni de la
ns toniques et cloniques, soit par des tremble- ments, soit par des troubles parétiques, qui se manifestent seulement à l'oc
génique, deux théories opposées sont en présence pour expliquer ces troubles : Les uns, avec Poore, admettent une origine pé
s ana- tomiques sont insuffisants à expliquer la spécialisation des troubles ; ils ne peuvent être qu'une épine irritative q
ent, de la nature de cette origine. Il s'agit peut-être d'un simple trouble psychique, sans lésions anatomi- que définie ;
préposé à la coordination des mouvements, serait-il le siège de ces troubles phy- siologiques ? Nos connaissances actuelles
s, intervient le psychisme particulier du malade, qui coordonne les troubles , les augmente et les entretient. V. Les tics et
st en général facile. Il importera, avant tout, de rechercher si le trouble fonctionnel est exclusivement' limité à l'acte
les affections organiques, qui se tra- duiraient d'ailleurs par les troubles somatiques correspondants. Le diagnostic se pou
urs strictement localisées au membre supérieur droit. ' Myosis et troubles casomoteurs de la face par compression du sympath
eu pour une hémiplégie droite avec paralysies oculaires, faciale et troubles marqués de la parole et de la déglutition. Anté
parésiée; il se relève, en partie, quand le son a est prononcé. Les troubles de la parole sont intéressants. La malade n'a plu
. On ne note ni trépidation épileptoïde, ni danse de la rotule. Les troubles de la sensibilité consistent en une hypoesthésie
'au 6 septembre 1907, époque a laquelle surviennent brusquement les troubles suivants : La dyspnée est intense, accompagnée
e. La céphalée est intense, tenace, continue, paroxystique. , Des troubles vaso-moteurs assez prononcés se manifestent du cô
e la langue jusqu'à l'orifice pharyngien. On observe, en outre, des troubles vaso-moteurs avec rougeur prononcée surtout du
on naso-génien est très marqué à gauche, presque effacé à droite. Troubles oculaires. La paupière supérieure droite est para
on de la tête avec mouvements rythmés du membre supérieur gauche. Troubles moteurs et sensitifs. - Les mouvements d'abaissem
ons ne dénote aucune lésion et confirme l'origine ner- veuse de ces troubles dyspnéiques. Les bruits du coeur sont sourds, p
le siège d'une manifestation icthyosique, Il n'existe pas d'autres troubles trophiques. Les mouvements convulsifs du membre
la fièvre puerpérale. Cependant, au cours même de la grossesse, des troubles névritiques peuvent se déclarer, troubles qui o
même de la grossesse, des troubles névritiques peuvent se déclarer, troubles qui ont été rattachés par SAENGER à une auto- i
et ce sont les cas les plus habi- tuels, l'infection rétrocède, les troubles névritiques s'amendent puis dis- paraissent.
onnaire ; les mouvements étendus des jambes restant impossible, les troubles vésicaux persistant. Aucune nouvelle escarre ne
eux et des masses musculaires. Dans la paraplégie myélopathique,les troubles sphinctériens sont plus aigus que dans la polyn
qu'au cours des affections polynèvritiques. Or, dans notre cas, les troubles sphinctériens furent dès le début fort sé- rieu
l'absence de réparation rapide de certains muscles, la présence des troubles sphinctériens, de l'obnubilation cérébrale, l'exi
ence de vomisse- ments incoercibles, ayant précédé l'apparition des troubles polynévriti- ques et s'étant terminés par l'exp
nomènes toxiques et aux phénomènes infectieux dans l'apparition des troubles du système nerveux. Dans notre cas, les deux or
lerons la distribution paraplégique des lésions, l'im- portance des troubles recto-vésicaux, l'apparition d'escarres. Ces sy
e, leur action pathogène sur d'autres systèmes anatomiques, que les troubles fonction- nels qu'ils occasionnent sont causés
u- Ides névritiques qui ne sont souvent que la réaction visible des troubles dynamiques de ces centres trophiques. Ce méca
l'invoquer pour expliquer la genèse des névrites dans laquelle les troubles des cylindraxes sont primitifs, tandis que les lé
liquer une lésion secondaire des cellules de Schwann succédant à un trouble dyna- mique léger du neurone. La disposition se
c du sciatique de noyaux d'inflammation ne peut être rattachée à un trouble dynamique des neurones. Nous savons en effet qu
ns et cellules à myéline échelonnées le long des cylin- draxes. Ces troubles dynamiques d'ailleurs hypothétiques-devraient p
d'un agent toxi-infectieux sur les nerfs. De môme l'hypothèse d'un trouble dynamique expliquerait fort mal la localisation
dinaire, fort embarrassant. La plupart des auteurs met en cause les troubles circulatoires, invoquant, soit la diminution du c
ficile, le malade est obligé depousser longtemps pour uriner. Aucun trouble morbide aux membres supérieurs et à la tête, le
le signe d'Argyll n'est pas évident. Rien aux viscères, pas d'autre trouble mental qu'un sentiment de contente- ment de soi
er que l'altération profonde du tissu nerveux relevait à la fois du trouble circulatoire, et de l'action des toxines. C'est
mes amenés à propos du fait qui nous occupe actuellement. Certes le trouble circulatoire existe, mais il ne paraît pas suff
ôté par l'observation clinique qui nous apprend que l'extension des troubles de la motilité est beaucoup plus diffuse immédi
les cas où elle persiste. Je veux aussi attirer l'attention sur les troubles respiratoires qui peuvent se manifester au début
symptômes que présente la maladie déjà développée, c'est-à-dire les troubles moteurs, nous ne les avons pas décrits complète
ne con- cerne que la paralysie des muscles des membres ; quant aux troubles des muscles du tronc et aux troubles respiratoi
uscles des membres ; quant aux troubles des muscles du tronc et aux troubles respiratoires, ils n'ont pas été étudiés jusqu'
linique ont été observés par moi seul (P.) I. Observations ou les troubles moieurs N'ONT jamais atteint PLUS D'UN MEMBRE.
POLIOMYELITE AIGUË 383 sements, obstruction', mal de tête et aussi troubles de la conscience ; il avait quelque difficulté
tait constatée. Peudant ce jour et le suivant il y avait un certain trouble de la conscience, mais la température était seu
hli à droite. 3M PETREN ET EIIREN13ERG II. Observations ou LES TROUBLES MOTEURS (au MOINS au DÉBUT DE la IAL : 1- DIE)
malade. Elle peut maintenant bien marcher sans qu'on observe aucun trouble . L'examen détaillé de la motilité des membres i
résie assez améliorée, mais non disparue. II1.- Observations ou LES troubles moteurs (du moins au début de la maladie) ONT a
nds qu'auparavant, mais il n'a jamais eu une dyspnée nette ! Pas de troubles dans la motilité de la vessie ou du rectum. ' .
cles de l'épaule droite et du bras droit au-dessus du coude. Pas de troubles des membres inférieurs. Le 20 février 1907, je
malade a persisté presque identique pendant une semaine ; seuls les troubles moteurs de la vessie ont disparu au cours de cett
hénomène le plus constant), vomissements (indiqués 7 fois) et aussi troubles de la conscience (indiqués 4 fois), etc. On sai
ible et révèle des ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 399 troubles très petits du seus musculaire. Elle est couramme
ervation des segments sacrés, nous constatons tout à fait les mêmes troubles de la sensibilité qu'aux membres inférieurs, et e
amen répété de la sensibilité des bras ne nous fait constater aucun trouble . Il est évident que, quand elle es- saie de fai
novembre, nous trouvons pour la première fois une amélioration des troubles moteurs du bras gauche. Cela continue les jours s
des bras, avec diffilcuté de parler, mais non de respirer, et sans troubles de la conscience. 400 PETREN ET EHRENBERG L'e
espace intercostal. Un examen répété ne nous a jamais révélé aucun trouble de la sensibilité des bras, ni à leur face inte
e et est maintenant à peu près normale. Il y a aussi maintenant des troubles très marqués du sens musculaire dans les membre
abdominaux n'a qu'une durée très courte et par conséquent aussi ce trouble de la respira- tion qu'il occasionne ne persist
lade pendant les premiers temps passés à la clinique, la marche des troubles moteurs correspond parfaitement à une poliomyél
anal- gésie et de la thermoanesthésie jusqu'au plan mamellàire sans troubles de la sensibilité tactile. Les cas de poliomyél
bilité tactile. Les cas de poliomyélite aiguë où l'on a observé des troubles de la sensibilité sont extrêmement rares. Medin a
e aiguë avec analgésie et thermoanesthésie si complètes, sans aucun trouble de la sensibilité tactile et d'une distribution
ement cervical, mais un examen répété ne nous a jamais révélé aucun trouble net de la sensibilité des bras. Le manque de to
re sur la localisation de la lésion qui a causé ce change- ment des troubles de la sensibilité, nous nous reporterons à un tra
t d'abord que de l'anal- gésie et de la thermoanesthésie, mais sans troubles de la sensibilité tactile ou du sens musculaire
sensibilité tactile ou du sens musculaire ; mais, par la suite, les troubles du sens musculaire et de la sensibilité tactile
ie qui s'est produit à la clinique (c'est-à-dire l'appari- tion des troubles nouveaux : du sens musculaire et de la sensibilit
e. S'il s'est agi d'abord d'une hématomyélie, il faut expliquer les troubles du sens musculaire etde la sensibilité tactile,
e dorsale. Si nous acceptons ce dia- gnostic, il faut expliquer les troubles initiaux de la sensibilité, c'est-à- dire l'ana
i aux cordons posté- rieurs, comme nous l'a montré l'apparition des troubles du sens muscu- laire et de la sensibilité tacti
lus tard spasmodique. Mais cet auteur remarque qu'en môme temps les troubles de la sensibilité vont en diminuant; par conséq
dorsale, on ne peut en outre s'empêcher d'être frappé de ce que les troubles de la sensibilité aient montré au début une dis
t des cas de paraplégie présentant une certaine systématisation des troubles de la sensibilité, par exemple, une dissociatio
wn-Séquard), mais néanmoins une extension aussi sy- métrique de ces troubles reste un fait très remarquable. Pour résumer le
ant net- tement la localisation cérébrale de la méningite, sauf les troubles passa- gers de la conscience qui, dans quelques
ion cérébrale de la méningite (par exemple symptômes pupillaires ou troubles des mouvements des yeux ou convul- sions), nous
de Lasègue-Kernig (nom sous lequel j'ai proposé (P.) de désigner ce trouble ). Certainement tous ces symptômes pourraient êt
ptômes étaient présents dans 4, et sur les 12 cas où il y avait des troubles de la motilité dans les trois membres ou dans t
type, mais il n'est pas rare, comme on sait, que se produisent des troubles per- sistants qui sont la conséquence de l'affe
à droite. L'enfant ne marche pas bien, sans montrer toutefois aucun trouble caractéristique de la marche. Les réflexes tendin
cas XXVIII oedème des papilles ; cas XXIX : pendant quelques jours troubles de la conscience et cris hydrocéphaliques). En
e me reporte à nos observations, je trouve, sur nos 29 cas, la avec troubles moteurs des muscles abdominaux (II, X, XI, XIII,
muscles abdo- minaux dans tous les cas où il y a en même temps des troubles moteurs pour les membres inférieurs et pour un
t, c'est que sur 12 cas (XVI-XXV, XXXII, XXXIII) où il a existé des troubles moteurs pour trois ou quatre membres, nous avon
conséquence, il est très possible qu'il ait existé dans ces cas des troubles moteurs des muscles abdominaux, mais que, par exe
troubles moteurs des muscles abdominaux, mais que, par exemple, ces troubles aient déjà disparu quand on a fait lever le malad
t parésie de plus de deux membres, nous avons toujours constaté des troubles moteurs des muscles abdominaux. En conséquence,
ouvé une paralysie des muscles abdominaux, il y avait également des troubles moteurs pour les quatre membres. Sur les 5 cas de
é atteinte. Si cette conception est exacte, il est bien sûr que les troubles moteurs des muscles abdominaux vont disparaître
ci les cas indiqués par des auteurs antérieurs où l'on a décrit des troubles moteurs provenant d'une paralysie des muscles ab-
ux, pour donner une idée des formes différentes sous lesquelles ces troubles se présentent. Mais, comme ces paralysies peuvent
térale des muscles obliques, mais sans donner aucune description des troubles de la motilité qu'il a observés. Leischner a
Wickman a spécialement insisté sur celle règle. Nous avons vu les troubles moteurs des muscles abdominaux persister dans 7
naux inférieurs ont disparu, mais les supérieurs persistent. Pas de troubles de la motilité de la vessie ou du rectum. Le
nne vertébrale. Parmi les cas cités ci-dessus, où nous avons vu des troubles moteurs des muscles abdominaux persistant penda
résumé, nos expériences sont en faveur de cette conclusion, que les troubles moteurs des muscles du dos sont assez fréquents.
après le début de ces accidents, en septembre 1906, apparurent des troubles du côté des membres inférieurs ; à l'occasion d'e
ment et toute seule sans avoir recours à l'aide d'une personne. Ces troubles du côté des membres inférieurs apparaissaient par
e la cornée et du pharynx ; sur le reste du corps il n'existe aucun trouble de la sensibilité au tact et à la douleur et de l
pos au lit, crise d'étouffement, 26. La malade ne se plaint d'aucun trouble respiratoire ; cependant la respiration est irr
paraître. ' Les réactions pupillaires sont toujours normales. Les troubles moteurs sont toujours aussi marqués du côté des m
ques minutes. Le pouls est régulier à 82. Il ne persiste rien des troubles respiratoires constatés la veille. L'état menta
ères de la myasthénie. Comme cela est presque la règle, c'est à des troubles respiratoires que notre malade a succombé. L'ex
amen du foie et de la rate ne révèle rien d'anormal. Il n'y a aucun trouble respiratoire, aucun signe anormal à l'auscultatio
s ses modes. Les divers réflexes sont normaux. ' Il n'y a d'autre trouble sensoriel qu'une légère dureté d'oreille. On ne
uble sensoriel qu'une légère dureté d'oreille. On ne constate aucun trouble de la vision, ni amblyopie, ni rétrécissement d
s formes de sensibilité superficielle et profonde ne démontre aucun trouble déterminé. Toutes les formes de sensibilité app
édifia la conception nouvelle en se basant sur l'unilatéralité des troubles cutanés et sur leur localisation au niveau de l'é
l, faits sur les- quels Morrow (1) a bien insisté, ou avec certains troubles trophiques, tel ce syndrome que K)ippet et Trén
vi,iles, on peut ranger des lésions vasculaires qui sont dues à des troubles trophiques d'origine nerveuse ; le fait est imp
us vascularite il s'agit d'un angiome ; dans le naevus-névrite d'un trouble trophique, qui peut déterminer l'apparition d'un
s couches sus-jacentes. Si pour une cause ou une autre il existe un trouble dans le développement normal de ces forma- tion
existe un trouble dans le développement normal de ces forma- tions, trouble aboutissant à l'hyperfonclionnement, ces régions
étroite entre le trajet de ces troncs nerveux et la topographie des troubles cutanés. Des observations de cette variété de n
e, entre l'hôpital Tenon, salle âlagen- die le 29 mai 1909 pour des troubles fonctionnels et généraux relevant d'une tubercu
lques signes de la paralysie progressive : faiblesse de la mémoire, troubles de la parole, imbécillité. Il n'y avait pas d
ale, parurent des douleurs dans cette région. L'année dernière, des troubles psychiques l'ont amené à l'asile des aliénés où
ons des grandes articulations) aux lésions locales mais non pas aux troubles de nutrition générale. Cette manière de voir a
sultats de ses recherches. - La pie-mère du cerveau est hypérémiée, trouble , un peu épaissie. Les veines méningées sont dou
inflammatoire ou atrophique qui attaque d'abord l'os, mais bien un trouble mécanique. On a objecté à cette manière de voir
lique. Ils croient que ces lésions os- seuses sont le résultat d'un trouble survenu dans les échanges de matières minérales
chitisme qui ont été considérés jusqu'à présent comme relevant des troubles des échanges minéraux, n'amènent pas une ossifica
al limité à la colonne vertébrale ou bien comme une des suites d'un trouble général ? Comme le malade avait contracté la sy
e en rapport avec les lésions gommeuses des os ; dans le second, de troubles trophiques du système osseux. Les lésions syphili
t. Etant donné la paralysie générale du malade, on peut supposer un trouble général des échanges nutritifs'; ses os étaient a
s du système osseux. Si cependant la sclérose, comme résultat des troubles trophiques, peut expliquer l'évolution des lési
lement intacts. Dans la zone innervée par le médian, il y avait des troubles de sensibilité sous forme d'hypoesthésie au con
n'y avait, ni sur le tronc, ni sur les membres infé- rieurs, aucun trouble objectif des diverses formes de la sensibilité.
de la colonne lombaire. En même temps s'étaient manifestés quelques troubles importants : d'abord une incontinence d'urine a
compagnée de ténesme ; presque à la même date il avait ressenti des troubles de la sensibilité sous forme de cuisson sur la fa
roit et qu'il calme avec de petites doses d'acide santonique. Les troubles de la miction persistent : il ne perçoit pas l'ém
e iliaque antéro-snpérieure droite. 3° Aux membres supérieurs les troubles sont bilatéraux et analogues des deux côtés.
et moins complète le long de la face externe de l'avant-bras. Mêmes troubles pour le chaud et le froid ainsi que pour les vi
utres par- ties des membres inférieurs. Sensibilité articulaire : troubles peu évidents dans les quatre membres. De l'exam
s de transparence anormale ; de même la 5e ver- tèbre lombaire. Les troubles trophiques sont tout à fait évidents sur les autr
variable d'intensité et la façon particulière suivant laquelle les troubles de la sensibilité sont dis- tribués au niveau d
rce que notre malade est un tabétique et qu'il présente de plus des troubles étendus de la sensibilité, même dans d'autres p
un diamètre un peu plus grand dans le sens antéro-postérieur. Les troubles de la sensibilité ne sont pas différents de ceux
de rappeler en dernier lieu ce fait : à savoir que nonobs- tant les troubles très graves de la sensibilité siégeant dans l'un
reil digestif- Dents cariées, langue engluée, haleine fétide. Aucun trouble de la déglutition. Peu d'appétit ; le malade ne t
TREPSAT. La démence précoce est une des affections mentales où les troubles physiques sont les plus accusés, aussi leur étu
ttention de nombreux cliniciens. Parmi ces symptômes physiques, les troubles trophiques se rencontrent avec une assez grande
t-ils déterminés par l'immobilité, la station debout prolongée, des troubles vaso-moteurs ? Nous ne savons rien de précis à
ns l'étiologie de ces accidents. Dans l'observation suivante, les troubles trophiques sont multiples et d'une étendue cons
épistaxis. C'est à 18 ans que ses parents remarquent chez B... des troubles de la lllé- moire. Il retenait difficilement ce
l correspondait de moins en moins. On observe en outre chez lui des troubles accusés du caractère que son père nous décrit a
illerie où il obtient le grade de sous-officier. Au régiment, les troubles de la tenue et du caractère s'accentuent de plus
médecin consulté, à ce moment, constate entre autres symptômes des troubles de la sensibilité, de la dyschro- matopsie, une
ysiques on note chez lui du dermographisme,du pseudu- oedème et des troubles trophiques. Les troubles trophiques sont assez ac
du dermographisme,du pseudu- oedème et des troubles trophiques. Les troubles trophiques sont assez accusés chez B... pour mé
de la face antéro-externe de la jambe et du deuxième orteil. Ces troubles trophiques ont débuté au mois de septembre, par u
indre. La région antéro-externe de la jambe droite est le siège des troubles les plus accusés. Il existe trois ulcérations d
a plaie laisse s'écouler un liquide séro-san- guinolent. Quelques troubles trophiques beaucoup moins accusés se rencontrent
ement fibrillaire très prononcé. On ne constate pas eu ce moment de troubles trophiques, mais les cicatri- ces des plaies an
n'est pas négativiste. B... ne paraît avoir ni idées délirantes ni troubles sensoriels. CLINIQUE MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ D
eur. et L. EHRENBERG, Interne nia clinique. (Suite) Sur les troubles de la respiration. Je remarquerai, d'abord, que
a paralysie des muscles abdominaux cause, si elle est complète, des troubles de la respiration, car elle occa- sionne une di
de la force expiratoire. Dans la respiration calme, ordinaire, ces troubles n'apparaissent pas ; mais, si l'on demande aux
; mais, si l'on demande aux malades de respirer plus fortement, les troubles deviennent manifestes. Des actes respiratoires
apparaissent pas de complications spéciales, il n'y a pas de grands troubles de la respiration et l'importance pratique de c
e grands troubles de la respiration et l'importance pratique de ces troubles n'est pas considérable. Cela a été déjà netteme
ant l'extension indiquée ci-dessus de la paralysie des membres, des troubles de la respiration thoracique, c'est-à-dire ou fai
ou des deux mem- bres supérieurs et où nous n'avons pas observé de troubles respiratoires. Il est vrai que, dans le cas XVI
s les circonstances normales. En outre, il faut remar- quer que ces troubles peu graves de la respiration ont disparu en peu d
s nous n'avons pas observé qu'il ait existé aucune forme typique de troubles respiratoires. En résumé, nos observations rapp
ici ne semblent pas parler contre l'idée qu'il y aura toujours des troubles de la respiration thora- cique quand la paralys
iguë nous donnent en général les meilleures occasions d'étudier les troubles de la respiration. Je donne ici l'hisloire de tro
bes sont libres, le malade est apathique, mais il n'y a pas de gros troubles de la couscience. Le 9 novembre. Aux lèvres, cy
de douleurs dans le dos. La sensibilité cutanée est normale. Pas de troubles de la conscience. Pas de signes que l'on puisse
ns donné du lait, etc. Pendant le cours de ce jour la conscience se trouble progressivement et le ÉTUDES CLINIQUES SUR LA P
les muscles intercostaux et les muscles abdominaux. En traitant des troubles respiratoires causés par des paralysies spinales,
de contraction des muscles abdominaux a une durée si courte que les troubles respiratoires qui en résultent ne semblent pas av
t pas avoir une importance réelle ; en tout cas, c'est une forme de troubles respiratoires qui garde un intérêt théorique et
3 respiration abdominale que de la respiration thoracique, mais les troubles respiratoires étaient déjà au terme de leur dév
malade était tout près de mourir d'une pure suffocation sans aucun trouble de la conscience. Mais l'étal s'est modifié qua
e, remarque que chez la plupart la mort est survenue sans qu'aucuns troubles de la conscience soient apparus. Dans des cas s
emarqué combien il est difficile de faire une distinction entre les troubles de la respiration dus à une lésion du noyau du di
e du noyau du pneumogastrique). Il rapporte des observations où des troubles respiratoires ont apparu sous forme d'attaques
ut-être n'a-t-on pas assez étudié les différents types possibles de troubles bulbaires de la respiration. Par exemple, l'inf
adies bulbaires, s'il peut exister des symptômes se rapportant à un trouble de cette fonction du pneumogastrique. En traita
, je veux attirer l'attention sur une forme tout à fait spéciale de trouble respiratoire qu'on peut voir dans des cas de tu
espondant sur le cerveau) et qui est évidemment la conséquence d'un trouble d'une fonction bulbaire. Il y a déjà quelques a
déjà quelques années que j'ai observé des cas de cette nature où le trouble respiratoire s'est montré par un arrêt soudain
d'une compression du bulbe. Nous avons fait connaître une forme de troubles respiratoires se rappor- tant au centre de la r
ratoires se rappor- tant au centre de la respiration dans le bulbe, troubles qui consistent en un arrêt complet de la respir
ration ar- tificielle. Sans doute, il y a encore d'autres formes de troubles respiratoires qui sont dues à un trouble de fon
encore d'autres formes de troubles respiratoires qui sont dues à un trouble de fonctions du buble (par exemple, la respi- r
e ouverte. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 557 Sur les troubles des sphincters. Avant de finir ce chapitre, je
nt indiqué que l'on a été obligé de cathé- tériser les malades. Les troubles moteurs de la vessie n'ont pas été aussi passag
vent fournir aucun renseignement sur la question de la durée de ces troubles . Il me semble remarquable d'avoir constaté si s
troubles. Il me semble remarquable d'avoir constaté si souvent des troubles mo- teurs de la vessie puisque les 7 cas qui on
lement acceptée. S'il faut sans doute admettre que la fréquence des troubles mo- teurs de la vessie peut être différente dan
bservations nous apprennent qu'il n'est pas exact de considérer les troubles moteurs de la vessie comme un moyen précieux po
e qu'il doit s'agir de poliomyélite. En outre, il est connu que les troubles moteurs de la poliomyélite aiguë peuvent quelquef
de savoir si nous pouvons encore espérer une bonne issue, quand des troubles moteurs ont existé déjà pendant des mois. On répo
certains. En outre, j'ai observé encore deux cas où il persiste des troubles moteurs des muscles abdominaux, mais où la restau
paralysie complète des deux membres inférieurs ; après 12 mois, les troubles moteurs des mem- bres ont presque disparu, mais
nférieurs) ; après deux ans, il n'y a plus que de petites traces de troubles moteurs de l'épaule. - Observation XIII, femme
ES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 561 démontrent que la restauration des troubles moteurs peut se continuer encore pendant plusie
nes après le début de la maladie, mais quelquefois encore quand les troubles moteurs ont persisté plusieurs mois ou même quelq
e soi qu'on 'peut espérer une guérison véritable, surlout quand les troubles moteurs initiaux n'ont pas été trop intenses et n
e nous avons eu l'occasion de suivre pas à pas, depuis les premiers troubles .jusqu'à la cachexie terminale, ne laisse pas d'
le pied droit. Depuis lors, jusqu'au moment de l'examen actuel, les troubles de la marche se sont accentués ; l'équilibre es
e plaint d'aucune douleur. Enfin, dans ces derniers trois mois, des troubles se sont manifestés au niveau du membre supérieu
en ait conscience. L'appareil digestif est normal, il n'y a pas de troubles de la miction ni de la défécation. En résumé,
examen sommaire nous fit constater chez un enfant t de cinq ans des troubles localisés à l'oeil gauche et aux membres droits.
céphalalgie. L'acuité auditive était normale des deux côtés. Les troubles relevés chez ce malade consistaient essentielleme
ées sont le siège d'une pigmentation très intense (fig. 3, p). Le trouble vasculaire est-il l'origine de la néoplasie, on n
e sorte disséqué la protubérance et le bulbe provoquant d'abord des troubles légers des VIe, VIle et XII" paires, puis atteign
n, présentait pourtant un trait commun, celui d'être accompagnée de troubles dystrophiques. Dans les deux cas, ces der- nier
uite avec quelques réflexions sur le mécanisme de la production des troubles dystrophiques. Observation I. I. E. M. entré
il est pris d'un mal de tête atroce, de vertiges et de nausées. Ces troubles ont été tellement intenses qu'il est tombé et n'a
les membres inférieurs sont portés en avant. On constate encore des troubles de diadococinésie des deux côtés, plus accentués
aux de tète très violents et des vomissements. Après 48 heures, ces troubles disparaissent, le malade se sent mieux qu'avant
eut pas ou ne veut pas se soulever seul du décubitus dorsal. Il a des troubles de diadococinésie aux membres supérieurs, plus
e a des parois d'une certaine épais- seur et est plein d'un liquide trouble , contenant de nombreux globules de sang. Le dia
tions normales. Cette infiltration de graisse indique assurément un trouble plus ou moins profond dans la nutrition des muscl
rencontrée chez d'autres cachectiques ; elle dépendait plutôt d'un trouble plus ou moins spécial dans la nutrition des mus
du faisceau pyramidal. Dans les cas d'hydrocéphalie accompagnés de troubles dystrophiques on doit se demander de quelle cau
être une conséquence des al- térations nerveuses. En effet, de tels troubles peuvent se produire, mais chez nos malades, aya
és, et maintenant tous les auteurs sont d'accord pour attribuer ces troubles aux altérations des glandes à sécrétion inlerne.
uerait plutôt un fonctionnement exagéré de l'hypophyse et un simple trouble sécrétoire. On peut rapprocher près de ce cas l
t M. (;09.DSTEI ? Un cas de tumeur de l'hypophyse sans acromégalie, Troubles mentaux el sommeil pathologique. Journal de neuro
dans la production de la dystrophie. Il paraît plus probable que le trouble produit dans la structure et dans le fonctionne
ment les lésions directes de l'hypophyse qui peuvent déterminer des troubles du côté de l'appareil genital, mais aussi les t
sécutives aux tumeurs de la base et dans lesquelles il a trouvé des troubles de la menstruation. L'une de ces malades ne fut
646 MARINESCO ET GOLDSTEIN utérus infantile. L'auteur admet que ces troubles doivent être expliqués par l'influence de l'hyp
incline à mettre sur le compte de la compression de l'hypophyse les troubles géni- taux, cardans deux cas de tumeurs cérébra
ssée et où il n'existait pas d'hydrocéphalie, il n'a pas observé de troubles de la menstruation ni de troubles dystro- phiqu
rocéphalie, il n'a pas observé de troubles de la menstruation ni de troubles dystro- phiques. Fichera (2) démontre expérim
de mentionner que son intervention, dans la production de certains troubles dystrophiques, est très probable. De Sanctis (2
en déduire que la compression de la tige de l'hypophyse, produitdes troubles dans le fonctionnement de cette dernière et qu'il
sont plus dues directement à l'allération de l'hypophyse, mais aux troubles secondaires des autres glandes à sécrétion intern
sem- blent insuffisants, pour décider d'une manière précise si ces troubles sont dus à une exagération ou à une diminution
es testicules dans les cas de chryptochidie et la dispa- rition des troubles produits par l'insuffisance thyroïdienne et testi
e cas la glande,qui a joué le principal rôle dans la production des troubles dystrophiques, c'était l'hypophyse. (1) Areax
, peut-être d'une mé- ningite cérébro-spinale, n'avait jamais eu de troubles nerveux avant sa mort. Elle a eu deux enfants,
difformité ne l'empêcha pas de marcher et ne lui occasionna au- cun trouble dans la marche. Ses pieds étaient restés quelque
roit, surtout en montant l'escalier et en se relevant de terre ; ce trouble a toujours augmenté depuis et s'est étendu auss
mpe et en se sou- levant plus avec ses bras qu'avec ses jambes. Ces troubles diminuent dans les journées froides. Il n'a jam
s froides. Il n'a jamais souffert de douleurs ou paresthésies ni de troubles des réservoirs. Il se plaint d'hyperidrose aux pi
les yeux il a de légers tremblements des paupières. Il n'y a aucun trouble du mouvement dans les muscles du territoire du
sition de Romberg il présente aussi de légères oscillations. Pas de troubles des sphincters. Réflexes : les rotuliens sont a
ne légère hyperesthésie du pied pour la chaleur et le froid. Pas de trouble de la sensibilité musculaire, du sens de vibratio
pital et on n'avait fait qu'un examen électrique sommaire. Pas de troubles physiques. Poumons. Sommet droit, un travers de
cher. Jusqu'à l'âge de 18 ans, il se porta toujours bien sans aucun trouble appréciable dans la marche ; à partir de ce mom
parésie des muscles des jambes et des cuisses surtout à droite ; ce trouble s'accrut jusqu'à présent, et maintenant le pati
ilement se tenir debout sans l'aide d'un appui. Parallèlement aux troubles moteurs s'est développée une atrophie des muscl
environ un an et demi, c'est-à-dire quatre ans après le début, les troubles des membres inférieurs se sont notablement accrus
e R. D. ; l'abolition des réflexes profonds, l'absence d'importants troubles sensitifs, la marche plutôt lente, les secous-
aucune forme d'atrophie névritique (alcool, plomb) vu l'absence de troubles sensitifs, l'évolution et la manière de se comp
ophie musculaire progressive du type Charcot-Marie par l'absence de troubles sensitifs, parce que la marche est relativement
s. Contre la névrite interstitielle hypertrophique est l'absence de troubles pupillaires, du nystagmus,de l'ataxie,de la cyp
e aussi la maladie de Friedreich par l'ab- sence de l'ataxie et des troubles des mouvements oculaires, comme aussi parce que
sé d'exclure une syringomyélie en considérant l'absence de notables troubles sensitifs, la marche relativement rapide et la gr
e l'on a observé pour la première fois la réap- parition tardive de troubles atropbiques et paralytiques chez des individus
ent en grande partie en symptômes de méningite cérébrale aiguë avec troubles marqués de la conscience, convulsions, etc., pres
ertaine ataxie du bras gauche. La sensibilité est normale, sauf des troubles très légers de la sensibilité tactile aux pieds
aux orteilsetaux parties périphéri- ques des doigts : pas d'autres troubles de la sensibilité tactile. Le sens à la dou- le
Le malade peut s'asseoir de lui-même sans s'aider des bras. Pas de troubles de la vessie. Les réflexes patellaires et abd
n des mouvements minimes faits avec les orteils. Aux doigts, aucuns troubles correspondants. xxn 44 670 PETREN ET EHRENBER
ie des parties périphériques des membres supérieurs a augmenté. Les troubles du sens musculaire aux orteils et de la sensibi
il y a toujours une parésie des muscles du tronc, quand il y a des troubles moteurs à la fois des membres supérieurs et infér
remarqué (Baumann et d'autres). J'ai montré dans ce travail que des troubles moteurs de la vessie peu- vent être observés tr
; mais, autant que notre expérience nous permet de con- clure, les troubles de la vessie seraient beaucoup plus rares dans la
é. Tout le monde est d'accord pour recon- naître qu'on ne trouve de troubles de la sensibilité que très rarement dans la pol
effet que c'est le cas assez souvent. D'autre part, la présence de troubles de la sensibilité, surtout aux extrémités des mem
infantile qu'il nomme ataxie aiguë. Car il a observé dans 5 cas des troubles de la marche qu'il veut expliquer comme une ata
9 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
Morvan. (Leçon du 6 décembre 1889). Sommaire. — Étude des divers troubles trophiques des doigts : maladie de Maurice Raynau
uestion. Trois phénomènes sont ici caractéristiques : Io l'absence de troubles des divers modes de la sensibilité ; 2° le genre
n outre, et cela nous intéresse spécialement ici, il existe aussi des troubles trophiques variés, siégeant sur les doigts, pouce
urgien. Enfin, on peut observer au niveau de la main, des doigts, des troubles moins accentués, tels que fentes, gerçures, bulle
is primitives, c'est-à-dire antérieures aux douleurs. Enfin, d'autres troubles tro-phiques surviennent souvent,'sur lesquels nou
Dans ces cas, le seul phénomène constant est le panaris et aussi les troubles trophiques auxquels je faisais allusion tout à l'
douleur. Aux panaris viennent s'ajouter un certain nombre d'autres troubles trophiques variés, tels que des gerçures plus ou
normale. Elle est quelquefois le siège d'une sudation exagérée. Les troubles trophiques ne se bornent pas seulement aux extrém
phie musculaire de Duchenne-Aran. Il y existe aussi, il est vrai, des troubles de la sensibilité, mais ceux-ci sont beaucoup plu
olie et cela sur de grandes surfaces du corps. Cette dissociation des troubles de la sensibilité est caractéristique de la syrin
on ne la retrouve guère, et encore rarement, que dans l'hystérie. Des troubles trophiques analogues à ceux du panaris de Morvan
ns, la névrite périphérique est un fait secondaire, comme le sont les troubles trophiques concomitants, à la production desquels
mes de très petite étendue mais facilement visibles néanmoins. Pas de troubles bien accentués dans la position et les mouvements
déformations persistantes, à une incapacité de travail définitive. Au trouble profond apporté par la maladie, s'est joint chez
e est très diminuée dans la main qui ne peut serrer que fort peu. Les troubles nerveux ne sont pas limités à la main. La flexion
té profonde à la douleur n'ont pas été notées. « Il n'existe pas de troubles trophiques sur le membre ; la température paraît
les membres inférieurs. « Le malade n'a jamais eu d'attaques ni de troubles psychiques. Migraines fréquentes. Fréquents étour
. La pupille gauche est un peu plus dilatée que la droite. « Pas de troubles digestifs. Rien au cœur ni aux poumons. Pas de su
aucun point du membre vous ne constatez d'atrophie musculaire, ni de troubles trophiques. La main présente cette légère défor
s opacités existant sur le tympan suffisent à expliquer ce très léger trouble . L'odorat est normal des deux côtés. Le réfle
n'existait une autre maladie dans laquelle on rencontre également des troubles de la sensibilité distribués de la même manière,
phénomènes peuvent se combiner chez un individu, de concert avec les troubles de la sensibilité, pour simuler la syringomyélie,
autre note qu'il nous a adressée en nous envoyant le malade, sur les troubles de la sensibilité qui lui semblaient hors de prop
ours au plus, il se dissipe spontanément. Chez très peu de malades ce trouble du mouvement reste permanent. Il se reproduit ave
et le goût très émoussé du même côté. Ajoutons qu'il est atteint de troubles très nets de la sensibilité générale. On constate
aux environs d'Auxerre. C'est là qu'il fut pris, il y a deux ans, des troubles pour lesquels il s'est présenté à la consultation
'envoyer. Dans la période antérieure de sa vie, il n'avait eu aucun trouble nerveux. Il n'est ni syphilitique, ni alcoolique.
bruits dans les oreilles, ça lui cogne dans les tempes, puis il voit trouble et perd connaissance. Il se débat très fort, il c
qu'en laissant de la lumière toute la nuit dans sa chambre. Mais ces troubles cessèrent, et plus tard, quand il s'engagea* il n
e la journée ; il avait perdu l'appétit, quoique ne souffrant d'aucun trouble de la digestion. La nuit il avait des étouffement
igué. Dynamomètre : main gauche : 24 kil. — droite : 34 kil. Le trouble de la motilité qui domine chez lui est le tremble
exprimer; douleur revenant par accès et compliquée le plus souvent de troubles des fonctions gastriques. Quelques au-teursajoute
mais où surtout — c'est là le trait particulier — il se présente un trouble spécial de la vision, à savoir : scotome scintill
modification hémiopique du champ visuel. Notons en passant que ces troubles oculaires s'accompagnent, dans bien des circonsta
s un côté des lèvres et de la langue, en même temps que se produit un trouble aphasique temporaire qui cause presque toujours a
Il y a paralysie très prononcée des muscles ciliaires révélée par un trouble profond de l'accommoda tion. Il faut l'interpos
de lire à la distance ordinaire. On n'a constaté, bien entendu, aucun trouble du côté gauche. Il est bon de relever que depui
is encore de supprimer les accompagnements de mauvais augure tels que troubles aphasiques, hémiopiques, parétiques, etc., qui me
llesse. Une tante est morte d'une maladie du foie; e^e a été prise de troubles mentaux à la suite d'une fièvre typhoïde à 28 a
sont peut-être un peu exagérés. Pas de trépidation spinale. Pas de troubles de la sensibilité cutanée au contact, à la douleu
mouvements de l'oeil droit s'exécutent un peu difficilement, mais le trouble du mouvement n'est pas appréciable objectivement.
riques (Leçon du 6 mai 1890). Sommaire. — L'œdème considéré comme trouble trophique hystérique. L'œdème blanc est décrit pa
pour la première fois mentionnée et distinguée à il) Damascbino. — Troubles trophiques dans l'hystérie. Leçon recueillie par
ions de la sensibilité (anesthésie ou hyperesthésie), tantôt avec des troubles du mouvement (paralysies et contractures). Il s'a
eil auditif. Il n'existe pas de rétrécissement du champ visuel, ni de troubles oculaires d'aucune sorte. Enfin la malade a des a
cupe dans l'évolution des phénomènes hystériques. C'est simplement un trouble vaso-moteur, de nature vraisemblablement spasmodi
ou une lésion fort analogue, en apparence du moins, figure parmi les troubles trophiques de la syringomyélie dans laquelle, vou
e la main, présentant les caractères de l'œdème bleu et accompagné de troubles de la sensibilité, pourra, dans certaines circons
a Salpêtriàre, 1889, t. II) et dans la thèse de M. Athanassio sur les troubles tro-phiques hystériques (th. Paris, 1890). et d
i déjà montré qu'il était quelquefois difficile de le distinguer d'un trouble trophique analogue survenant dans la syringomyéli
le est de nouveau contrac-turée, violette et gonflée. Actuellement le trouble ne se reproduit pas avant deux ou trois heures du
ont elles-mêmes été étudiées à leur tour. Nous connaissons les divers troubles trophiques consécutifs à la sciatique, la rougeur
t des Archives de Neurologie, n° 59). l'herpès. Nous savons que des troubles sensitifs peuvent s'y rencontrer, tels que l'hype
eu plus maigre in toto que celle du côté opposé. Il n'existait pas de troubles trophiques ni vaso-moteurs. On constatait seuleme
s et de l'engourdisse-ment dans les deux membres inférieurs. Puis les troubles se sont localisés au membre du côté gauche, pour
ntérieure de la jambe, en dehors du tibia, à la face dorsale du pied. Trouble de la sensibilité également à la face plantaire d
est tombant et traîne sur le sol. Ici nous voyons nettement que les troubles ont porté tout d'abord sur le tronc tout entier d
runtée au même auteur, nous assistons à la localisation graduelle des troubles morbides au nerf sciatique poplité externe. A ce
la suite d'un abcès de la fosse iliaque, une névralgie du crural avec troubles de la sensibilité bien nettement localisés au dom
iste une anesthésie sur laquelle nous reviendrons plus loin. — Pas de troubles sensoriels : la vue, l'ouïe, l'odorat, le goût so
uloureuses les plus aiguës, jamais il ne s'est tenu de travers. Les troubles de la sensibilité qui occupent la jambe gauche so
malade de l'Observation VII. 2° Sensibilité a la température. — Le trouble est distribué de même façon pour le chaud et le f
es douloureux, généralisés sur tout le trajet du nerf, font place des troubles paralytiques localisés au domaine du nerf tibial
bser^ vation qui suit est presque calquée sur la précédente quant aux troubles moteurs, elle en diffère en ce que l'anesthésie,
né est resté intact. Observation VIII (personnelle).—Sciatique avec troubles de . lamotilitè et de la sensibilité dans le doma
'y a pas d'atrophie des muscles de la cuisse ni de la fesse. — Pas de troubles trophiques. — Aucun symptôme de syringomyélie.
s de la région antéro-externe de la jambe. La malade ayant parlé de troubles utérins, d'une métrite avec déplacement de cet or
uelques mois après un accouchement et de plus elle disait souffrir de troubles utérins avec déplacement de cet organe. On aurait
sciatique simple non traumatique. On a vu que chez cette malade les troubles de la sensibilité étaient moins accentués et moin
ent. Dans l'observation qui suit, ils sont à peu près nuls. Seuls les troubles de la motilité dominent toute la scène. Il s'agit
peu de chose près le même développement. Dans I'Observation VIII, les troubles de la sensibilité sont notablement moindres et le
nts la réaction de dégénérescence. Enfin dans I'Observation IX, les troubles de la sensibilité sont à peine appréciables, les
n IX, les troubles de la sensibilité sont à peine appréciables, les troubles moteurs dominent toute la scène. Arrivons mainten
ion X (personnelle). — Sciatique ancienne avec atrophie musculaire et troubles de la sensibilité. Marie B..., âgée de 57 ans,
ode. En résumé, que trouvons-nous chez cette femme ? D'une part des troubles de la motilité et d'autre part des altérations de
ibilité. En ce qui concerne la motilité, nous voyons qu'il existe des troubles de deux ordres : tout d'abord une véritable paral
asse assez marqué des deux segments du membre inférieur. Ces derniers troubles sont ceux que l'on connaît depuis longtemps dans
t le sujet des observations précédentes. Examinons d'autre part les troubles de la sensibilité. Ils se présentent exactement s
ement connexe avec l'amaigrissement général du membre, tandis que les troubles sensitifs profonds, localisés dans le domaine du
ve constatée dans les muscles animés par ce même tronc nerveux. Les troubles moteurs et sensitifs sont donc facilement explica
phénomènes morbides. Observation XI (personnelle). — Sciatique avec troubles moteurs et sensitifs dans le domaine du sciatique
ystérie). Il est à remarquer que le cou-de-pi ed présente les mômes troubles de la sensibilité que le reste du membre, c'est-à
c'est-à-dire que la cuisse et la partie postero-interne de la jambe, troubles eux-mêmes identiques à ceux de la moitié gauche d
oubles eux-mêmes identiques à ceux de la moitié gauche du corps. Ni troubles trophiques,ni troubles vaso-moteurs. Pas d'amaigr
ques à ceux de la moitié gauche du corps. Ni troubles trophiques,ni troubles vaso-moteurs. Pas d'amaigrissement notable du mem
éral est néanmoins assez bon. Nous nous trouvons ici en présence de troubles sen-sitifs et moteurs qui méritent d'autant plus
de partie du [membre inférieur, elle présente identiquement les mêmes troubles sen-sitifs que la moitiégauchedu corps : thermoan
ue identique chez la femme de 1'Observation X, nous avons conclu a un trouble dépendant de la sciatique, analogue à ceux qui on
n l'attribuant à la sciatique dans laquelle nous connaissons déjà des troubles semblables? lien était tout autrement chez M...
ion de ce nerf, le sciatique poplité externe, et caractérisée par des troubles moteurs et sensitifs portant sur le territoire de
comme fou. Rendu à sa famille, depuis lors il n'a jamais présenté de troubles mentaux, n'a jamais eu d'attaque3. Mère, deux soe
servée, sauf dans la zone d'anesthésie. La malade ne présente aucun trouble de la vision, nidiplopie, ni amblyopie, ni dyschr
régulièrement, surtout quand la malade est restée longtemps assise. Troubles trophiques.— Le membre inférieur droit présente d
l'extrémité inférieure de la molleóle externe........ 20 c. 21c. Troubles vaso-moteurs.— Le pied malade est beaucoup plus f
particulier dans la paralysie alcoolique, en outre des œdèmes et des troubles trophiques signalés par M. Lancereaux, il y a sou
esthésie sont venus s'ajouter d'autres phénomènes qui prouvent que ce trouble est dû ici à une complication. L'examen attentif
ve, quelque intenses et graves que soient l'amyotrophie et les autres troubles trophiques qui l'accompagnent. Le malade que vo
éfaut, l'atrophie est moins accusée qu'à gauche et il n'existe pas de troubles trophiques cutanés. En ce qui concerne la sensibi
une sciatique double d'un genre particulier, car elle s'accompagne de troubles paralytiques et amyotro-phiquès. Or, vous savez q
ette ces deux dernières hypothèses, car notre malade ne présente ni troubles de la vessie et du rectum, ni anesthésie dans le
e variété; elle réside dans la durée de l'affection, la scoliose, les troubles trophi-ques ; elle tient moins peut-être à l'étio
iques doubles primitives ? 2° Ces sciatiques peuvent-elles amener des troubles trophiques musculaires et cutanés aussi graves qu
rendent à chaque muscle, et plus spécialement de la dissociation des troubles fonctionnels des muscles internes et externes. La
te par syncope), de Rosenheim (femme de 41 ans atteinte au 6e mois de troubles de la déglutition et de la parole, mort), de de G
jeune Anglaise, dont le père est ataxique, fut prise tout d'abord de troubles de la parole et de la déglutition, puis présenta
té à marcher, à avaler, de l'impossibilité de siffler. Il n'y a aucun trouble , ni de la sensibilité, ni des sphincters. L'aut
bulbaires. Il s'agit là d'une lésion systématique, car il n'y a aucun trouble concomitant de la sensibilité, pas de paralysie d
ous les signes de l'ophthalmoplégie externe. J'ajoute qu'il n'a aucun trouble de la sensibilité ni des sphincters. Tout conco
t (août 1891) le bulbe inférieur commence à se prendre (voixnasonnée, troubles de la déglutition, etc. On trouvera d'ailleurs pl
cousses fi-brillaires. Les réflexes sont absents et il n'existe aucun trouble de la sensibilité ni des sphincters. Ici encore n
nde activité et se surmenait. C'est alors que survinrent les premiers troubles oculaires. Le Dr Meyer, consulté, constate d'abor
cune secousse fibrillaire dans les lèvres ni dans la langue. Pas de troubles de la sensibilité, ni sur la face ni dans la bouc
he. Le réflexe pharyngien est très développé. Pas de céphalée. Pas de troubles intellectuels quelconques. Pas de troubles vésica
é. Pas de céphalée. Pas de troubles intellectuels quelconques. Pas de troubles vésicaux. Rien aux membres ; pas de parésie ni
de nouveaux symptômes bulbaires : pas d'accélération du pouls, pas de troubles cardiaques ni respiratoires. Il n'y avait toujour
la maladie il y a trois ans par l'apparition lente et progressive du trouble de la parole. Il y a deux ans les yeux se prirent
c'est depuis trois ans que l'amaigrissement a fait de tels progrès. Trouble de la parole extrêmement prononcé. Elle ne peut a
ement fibrillaire ni de secousses vermiculaires. Il existe quelques troubles de la déglutition, mais assez peu accentués. Les
boli. Le gauche est à peu près normal. Nulle part on ne constate de troubles de la sensibilité, ni au contact, ni à la douleur
Homme vigoureux en apparence, de haute stature, qui ne présente aucun trouble des fonctions organiques. On l'apporte à la consu
dans le membre inférieur droit. Pas d'adipose sous-cutanée, pas de troubles trophiques de la peau. Le malade ne souffre en
aire n'est pas altéré, non plus que la sensibilité articulaire. Aucun trouble des sphincters (vessie, rectum). Rien à noter du
ses lèvres « en cul de poule » et ne peut siffler. On n'observe aucun trouble de la déglutition, pas de nasonnement, pas d'atro
, et le malade n'y a jamais observé de changement de coloration ni de troubles trophiques véritables. Le malade dit avoir fréq
ie, l'issue fatale ayant été sans doute favorisée par la présence des troubles cardiaques et respiratoires dont il était atteint
celle de tout individu atteint d'atrophie des membres inférieurs. Le trouble peut aller de la simple faiblesse, s'accusant par
, mais qu'il est bien instructif d'observer. Ce sont d'ailleurs des troubles moteurs que l'on rencontre chez tous les amyotrop
t un examen un peu minutieux du malade. Tout d'abord cette absence de troubles dans les réactions électriques dont nous parlions
n la marche de l'atrophie, la durée de son évolution, la présence des troubles oculaires, devaient faire écarter l'hypothèse de
uscles du voile du palais et du pharynx, de l'orbiculaire des lèvres, troubles de la parole. Enfin les quatre membres étaient pa
prédominance de l'atrophie dans tel ou tel groupe musculaire et sans troubles de la sensibilité. La contractilité fara-dique ét
n signe bien caractéristique qui est la dissociation particulière des troubles de la sensibilité. Chez les malades atteints de p
sera d'emblée éliminée, surtout s'il existe en outre quelques-uns des troubles tropbiques, bulles, panaris, arthropathies, scoli
iomyéliques antérieurs, postérieurs et médians). Atrophie musculaire, troubles de la sensibilité, troubles tro-phiques. Formes f
érieurs et médians). Atrophie musculaire, troubles de la sensibilité, troubles tro-phiques. Formes frustes et atypiques. Sympt
tes et atypiques. Symptômes de la maladie de Morvan. Caractères des troubles de la sensibilité, qui ne sont point différents,
x de la syringomyélie, dans laquelle les panaris se rencontrent comme troubles trophiques non d'une très grande rareté. Observ
uable par la prédominance de certains symptômes, et en particulier de troubles trophiques, qui n'entrent qu'à titre d'éléments r
upposées. Quant aux symptômes dits médians, il reste à leur actif les troubles trophiques si accusés dans la syringomyélie. Mais
s exagération des réflexes, d'une évolution symétrique et lente. 2° Troubles de la, sensibilité. C'est parmi ceux-ci que se ra
ons, il forme un ensemble caractéristique, surtout s'il s'y joint des troubles trophiques. Les troubles de la sensibilité sont d
caractéristique, surtout s'il s'y joint des troubles trophiques. Les troubles de la sensibilité sont distribués par segments, e
issement concentrique du champ visuel dans la syringomyélie (1). 3° Troubles trophiques. On sait qu'on range sous cette dénomi
e de Marie et qu'on pourrait appeler chiroméga-lie (1), tels sont les troubles tro-phiques osseux et ligamenteux qu'on rencontre
lique (Charcot et Brissaud) ; on peut citer des cas dans lesquels les troubles trophiques occupent le premier plan, l'amyotrophi
l symptomatique tenir le premier rang. En somme, vous le voyez, les troubles spéciaux de la sensibilité sont seuls les symptôm
une faiblesse et une atrophie plus ou moins prononcée du membre. Ces troubles moteurs sont toujours accompagnés de troubles de
rononcée du membre. Ces troubles moteurs sont toujours accompagnés de troubles de la sensibilité. Mais ceux-ci diffèrent de ce q
est tout un. Et d'abord le grand argument tiré de la différence des troubles de la sensibilité n'est pas aussi absolu qu'on l'
o-analgésie du membre tout entier. Cependant on peut noter quelques troubles trophi-ques qui dépassent un peu le cadre tracé à
rme à la description de M. Morvan. Mais si nous examinons de près les troubles de la sensibilité, sur toute l'étendue de ce memb
nette analgésie, et thermo-anesthésie (1). Donc, de par la nature des troubles de la sensibilité et la limitation monoplégique d
nues qui dans la substance grise centrale président à l'évolution des troubles trophiques. Mais d'autopsie, Messieurs, il n'es
abète sucré véritable. On tentera peut-être d'objecter que certains troubles du système nerveux sont capables de provoquer l'a
sont bien connus aujourd'hui et parfaite- 1 Bernard et Féré. — Des troubles nerveux observés chez les diabétiques. \Arch. deN
de distinguer, mais qui en tous cas, pratiquement, se révèle par des troubles ou sensitifs ou moteurs, quelquefois les deux en
uefois les deux en même temps, occupant les membres inférieurs. Ces troubles sensitifs et moteurs ont été tout d'abord étudiés
ment coordonnés. Réunis un à un et rapprochés les uns des autres, ces troubles divers me paraissent réaliser un type nosogra-phi
sage dans la gouttière épitrochléenne, de l'atrophie des muscles, des troubles trophiques du côté de la peau, qui était lisse, e
ologie de 1882. Suivant Leyden, Althaus aurait le premier signalé les troubles de la sensibilité qui font que, quelquefois, les
eurs seraient caractérisés : 1° par le signe deRom-berg, et 2° par un trouble de la démarche que quelques-uns désignent sous le
le diagnostic de l'ataxie liée à la maladie sucrée que l'absence des troubles oculaires tabétiques (ceux qui dépendent du diabè
tiques (ceux qui dépendent du diabète, hémiopie, rétinite, cataracte, troubles de l'accommodation, étant complètement différents
pendant le cours du diabète, et 2° un tabès également vrai, mais sans troubles oculaires, sans crises gastriques ni laryngées.
t chaque jour l'urine dans des bocaux). Urine très peu colorée, non trouble . D. 4040. Ne contient pas d'albumine, mais une qu
douleurs à ce niveau. Pas de maux de tète. Rien du côté de l'estomac. Troubles de la miction assez nets : quelques rares douleur
de fréquentes balanites ou à de la rougeur du prépuce. Jamais aucun trouble rectal ni anal; constipation habituelle interromp
ale et la temporale droites, moins à gauche. Rien dans les poumons. Trouble du sens musculaire (doigt mis sur le bout du nez)
e réaction partielle de dégénérescence du jambier antérieur. Pas de troubles cérébraux. Quelques sensations dysesthé-siques da
de cette idée. La seule chose qui vous surprenne, c'est l'absence de troubles de la sensibilité, presque toujours présents à un
cinq ans du grand diabète, du diabète constitutionnel, relevant d'un trouble de la nutrition et marqué par la présence dans l'
. des hôp., 1890. 1 Gilles de la Tourette. —De la superposition des troubles de la sensibilité et des spasmes de la face et du
mon chef de clinique, publié déjà un travail sur la superposition des troubles de la sensibilité et les spasmes de la face et du
me l'appelle une chanson de carrefour. sans qu'il s'en suivît aucun trouble nerveux durable. Il fut soigné comme blessé à l'h
ortance des stigmates et en particulier de Tanesthésie superposée aux troubles du mouvement. — Dans le cas en question le ptosis
ue l'hémiplégie des membres. Ajoutez à ces caractères quelques légers troubles de la sensibilité et vous aurez l'image de l'hémi
de prime abord la coexistence de symptômes oculaires d'un côté, et de troubles moteurs des membres du côté opposé, était si impr
réditaires que je n'ai 1 Gilles de la Tourelte. — Superposition des troubles de la sensibilité et des spasmes de la face et du
un malade :'lésion de la moelle, lésion des nerfs du plexus brachial, troubles du mouvement, troubles de la sensibilité suivant
a moelle, lésion des nerfs du plexus brachial, troubles du mouvement, troubles de la sensibilité suivant la disposition dite syn
dre vraisemblable. Au membre supérieur droit existent à la fois des troubles sensitifs et musculaires diversement répartis. Le
nt dans la compression spinale1 ; C'est là, pour la syringomyélie, un trouble sensitif anormal, mais il faut compter avec les i
de l'avant-bras? Ce n'est pas ainsi, en général, que se disposent les troubles de la sensibilité dans la syringomyélie; ils proc
ier nerf dorsal, et vous vous expliquez à merveille non seulement les troubles sensitifs, mais encore la parésie et l'atrophie q
rsal. Il nous est facile d'expliquer aussi, dans cette hypothèse, les troubles observés aux membres inférieurs. Une esquille, un
descendante, de là cette répartition si particulière des symptômes : troubles sensitifs localisés à la moitié gauche du corps a
énomène que j'ai observé dans plusieurs cas d'hémiparaplégie spinale, troubles moteurs et réflexes occupant surtout le membre in
oir clair dans les choses qui nous occupent, au lieu de pêcher en eau trouble . Mais cette détermination d'un diagnostic rationn
rurgicale et elle a permis, un certain nombre de fois, d'apporter aux troubles médullaires d'origine mécanique un utile remède.
jour, on supprime le tout. Le malade (chose curieuse) n'accuse aucun trouble fonctionnel, aucune douleur, aucune limitation da
e rotulien et la trépidation épi-leptoïde provoquée. D'ailleurs, le trouble de la marche est accompagné de crampes douloureus
à gauche, qui, jusqu'à cette date, n'avait apporté que fort peu de troubles dans ses mouvements, se compliqua d'une faiblesse
(de Caen), n'est rétréci dans aucun sens. Il n'existe d'ailleurs nul trouble visuel, si ce n'est une légère diplopie « lorsque
diennes commençantes. Il n'est pas inutile de faire remarquer ;que ce trouble trophique accidentel occupe une région qui depuis
président à l'innervation de ces muscles. Là ne se bornent pas les troubles trophiques. La main gauche, dans son ensemble,
dique, survenue insidieusement dès l'adolescence, se sont ajoutés les troubles de la sensibilité et les troubles trophiques que
l'adolescence, se sont ajoutés les troubles de la sensibilité et les troubles trophiques que nous venons de passer en revue et
nal épendymaire et à gauche a dissocié la sensibilité et provoqué les troubles trophiques. Voilà donc un nouvel aspect sous le
par la photographie), qu'on serait tout d'abord tenté d'assimiler ce trouble trophique, limité à l'extrémité du membre malade,
, il est certain que l'augmentation de volume de la main n'est pas le trouble trophique fondamental : les doigts sont déformés
ikoff (1), de l'avis de M. Marie, serait simplement un exemple de ces troubles trophiques qui se montrent au cours de certaines
par une localisation spéciale, avec une prépondérance corrélative des troubles trophiques périphériques sur les autres symptômes
s l'aphasie dans ses différents modes, une hémiopie peut-être, divers troubles intellectuels, l'amnésie par exemple. Et la théor
ntièrement curable? Parce qu'elle n'est jusqu'ici accompagnée d'aucun trouble permanent du mouvement dans les membres mis en je
exaltation des réflexes avec trépidation spinale, peut-être quelques troubles de sensibilité, légers et limités, mais jamais de
le curable qui est en cause. Chez l'autre, au contraire, il s'agit de troubles moteurs et intellectuels de la plus haute gravité
iétal inférieur a été lésé. Logiquement, nous devions rechercher le trouble visuel qui est le compagnon habituel de la céci
ituel de la cécité verbale, je veux parler de Vhémiopie. Eh bien ! ce trouble existe et de la façon la plus nette : la ligne de
vec quelque difficulté. A la suite d'une application de sangsues, ces troubles disparurent rapidement. La journée du 26 fut norm
nt. La journée du 26 fut normale; mais le soir, vers sept heures, ces troubles de la motilité et du langage reparurent plus accu
iale incomplète du même côté, plus accusée au niveau de la main, sans troubles de la sensibilité, mais accompagnée d'une diminut
urd'hui de celle du côté sain. Les réflexes sont devenus normaux, les troubles vaso-moteurs de la main, qui était froide et viol
rtaines manifestations moins bien connues, et avant tout sur quelques troubles oculaires tels que l'amblyopie et la cécité. Ne v
z survenir une amyotrophie plus ou moins prononcée. D'autre part, les troubles vésicaux, les douleurs, les anesthésies qui n'app
embarras particulier de la parole, vertiges,attaques apoplecliformes, troubles spéciaux de l'intelligence, cette coexistence, di
s durant trois semaines environ. Aucun de ces deux malades n'offre de troubles pupillaires ni de rétrécissement du champ visuel.
) avaient également mentionnés. 3° La recherche, même en dehors des troubles visuels accusés par le malade, des lésions du fon
les lésions les plus nettes de la névrite optique ne produisent aucun trouble appréciable et qu'elles peuvent rester ignorées s
it nécessaire pour découvrir des altérations de la papille dont aucun trouble visuel ne trahit l'existence. Et l'auteur fait re
ès médical, 9 août 1884.) Cet auteur a examiné, sous le rapport des troubles visuels, cent malades atteints de sclérose en pla
r, au point de vue subjectif, quelques-uns d'entre eux accusaient des troubles visuels divers et l'un d'eux — un seul, unique ex
es, porteurs de lésions ophthalmoscopiques, ne se plaignaient d'aucun trouble de la vision. Autre détail bien conforme à nos
ant pu avoir des renseignements sur le mode de début et la marche des troubles visuels chez vingt-quatre de ses malades, constat
s. Or dans un de ces cinq cas on n'avait constaté durant la vie aucun trouble visuel. Il est vrai de dire que les lésions trouv
e l'étendue et de l'intensité des altérations rétro-bulbaires que des troubles visuels eux-mêmes. Je n'ai pas besoin de soulig
lésions papillaires, que les malades accusent ou n'accusent point des troubles de la vision. J'arrive maintenant à l'étude dia
disparut au bout de trois semaines sans laisser aucun reliquat, aucun trouble visuel. Telle est, Messieurs, son histoire pass
Puis des fourmillements apparurent dans la jambe et dans le bras. Les troubles parétiques augmentèrent graduellement jusqu'au mo
rd'hui peu accentués, mais existent encore néanmoins. Il n'y a pas de troubles nets de la démarche, mais une diminution assez no
15 mars 1890, montre qu'il n'existe aucune lésion organique ni aucun trouble de l'accommodation, ni d'un côté ni do l'autre. P
n commune pour un même mouvement. Chez notre malade, il s'agit d'un trouble du même (1) Parinaud. Spasme et Paralysie des m
l'obstacle au mouvement de l'œil droit. Mais là ne s'arrête pas le trouble fonctionnel. Si l'on continue à solliciter le dép
ne fille de porter un diagnostic positif basé sur la connaissance des troubles dont elle est atteinte ? Au premier abord on est
e de cette lésion protubérantielle dont la présence nous explique les troubles présentés par notre malade ? Les symptômes relaté
dire si, à ce moment, elle avait des attaques convulsives. Comme ces troubles persistaient, elle se décida, au bout d'une quinz
t un embonpoint modéré et un bon état de la santé générale malgré les troubles anorexiques et les vomissements dont elle a souff
u'elle présentait à son entrée existent toujours. 15 octobre. — Les troubles précédents se sont notablement amendés. La malade
X..., vingt-cinq ans, vient à Paris consulter le Dr Auvard, pour des troubles utérins (octobre 1888). La mère de la malade a
rd qui, ne trouvant aucune altération de ces organes et pensant à des troubles purement nerveux, voulut bien demander à M. Gille
couvert de pytiriasis versicolor. — Pas de réflexe pharyngien, pas de troubles de la sensibilité générale. Champ visuel normal
puis longtemps déjà, elle ne peut préciser exactement l'époque où ces troubles ont débuté, elle éprouve de petites pertes de con
nt très peu accentués chez cette malade. Il existe néanmoins un léger trouble de la sensibilité, dont la présence acquiert ici
arynx, sensation de boule remontant de l'estomac à la gorge. Pas de troubles sensoriels. La vue est parfaitement conservée et
De la Maladie de Morvan. (Leçon). Sommaire. — Etude des divers troubles trophiques des doigts : maladie de Maurice Raynau
u des hystériques. ) (Leçon). SOMMAIRE. — L'œdème considéré comme trouble trophique hystérique. L'œdème blanc est décrit pa
iomyéliques antérieurs, postérieurs et médians). Atrophie musculaire, troubles de la sensibilité, troubles tro-phiques. Formes f
érieurs et médians). Atrophie musculaire, troubles de la sensibilité, troubles tro-phiques. Formes frustes et atypiques. Sympt
tes et atypiques. Symptômes de la maladie de Morvan. Caractères des troubles de la sensibilité, qui ne sont point différents
x de la syringomyélie, dans laquelle les panaris se rencontrent comme troubles trophiques non d'une très grande rareté. Observat
rtance des stigmates et en particulier de l'anesthésie superposée aux troubles du mouvement. —¦ Dans le cas en question, le ptos
un malade : lésion de la moelle, lésion des nerfs du plexus brachial, troubles du mouvement, troubles de la sensibilité, suivant
a moelle, lésion des nerfs du plexus brachial, troubles du mouvement, troubles de la sensibilité, suivant la disposition dite sy
o-traumatisme, 29, 117, 366; — pronostic, 369. I Intelligence : troubles de 1'—, dans la syphilis du cerveau, 390. L L
es des yeux, 193. Nutrition dans l'hystérie, 453. o Oculaires : troubles —, dans la sclérose en plaques, 400, 403, 407.
Ptosis spasmodique, 323; Signe du sourcil dans le —, 325. Pupille : troubles de la —, dans les lésions du plexus brachial,
arrêts dans l'évolution de la —, 400; Amyotro-phie dans la—,400,412; Troubles vésicaux dans la —, 400 ; Douleurs fulgurantes da
00 ; Douleurs fulgurantes dans la—,400 ; Anesthésies dans la —, 400 ; Troubles oculaires dans la —, 400, 403, 407; Formes fruste
10 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. PARAPLÉGIE SPASMODIQUE. 3 avec exagération des réflexes et sans troubles de la sensi- bilité, on pourrait avec M. Van Ge
ur les paraplégies flasques. Et ces paraplégies spasmodiques avec troubles sensitifs (myélite syphilique et mal de Pott) f
division s'impose. Abstraction faite de l'exis- tence aléatoire des troubles de la sensibilité, deux variétés de paraplégie
6. - Roux et Paviot. Tumeur de la moelle, paraplégie spasmodique el troubles de la sensibilité, p. 848. Revue neurologique,
ersiloff. Deux cas de tumeurs de la moelle, paraplégie spasmodique, troubles de la sensibilité, p. 81. 2 Van Gehuchten. Pres
se plaint de la difficulté qu'il éprouve pour marcher : douleurs et troubles moteurs sont liés à un mal de Pott. PARAPLÉGIE
qu'il éprouvait, un affaissement de la colonne vertébrale, avec des troubles de la respiration et les symptômes d'une parapl
trémulation épileptoïde des deux côtés ; on n'aurait pas observé de troubles objectifs de la sensibilité. A sa sortie de S
sensibilité thermique des deux côtés, mais surtout à gauche où les troubles de la sensibilité sont en général plus accentué
la corde des adducteurs est plus tendue à droite qu'à gauche. Les troubles de la sensibilité objective remontent jusqu'à une
uisses et l'abdomen, plus marqués du côté gauche que du Fig. 3. Les troubles de la sensibilité au contact (t), à la piqûre (2)
raplégie débuta à l'âge de vingt-neuf ans ; elle fut accompagnée de troubles subjectifs de la sensibilité, mais pas de troub
t accompagnée de troubles subjectifs de la sensibilité, mais pas de troubles objectifs (il existait de la contracture, du cl
u moins s'améliora considérablement : Paraplégie spasmo- dique sans troubles de la sensibilité, nous sommes au premier degré
ntéresse plus particulièrement. Malgré quel- ques oscillations, les troubles de la motilité et de la sensi- bilité présenten
à peu près complète, s'accom- pagne du clonus des deux pieds ; les troubles de la sensibi- lité objective remontent jusqu'à
cessaire et suffisante de la conservation des réflexes. Quant aux troubles de la sensibilité (dissociation syringo- myéliq
odique dont M. David Linn Edsall1 a constaté l'association avec des troubles de sensibilité d'une topographie assez singuliè
hors en dedans ou de dedans en dehors (tubercule médullaire). Les troubles sensitifs des paraplégies par compression sont
e extrême fréquence. S'ils n'ont pas la « cons- tance absolue » des troubles moteurs sur laquelle insiste M. Van Gehuchten,
vite, les jambes raidies par un reliquat de méningo-myélite ? Les troubles de la sensibilité, avons-nous dit, sont surtout :
équence des paraplégies chroniques spastiques par compression, avec troubles de la sensibilité objective. De ces paraplégi
s du tabes, en première ligne sur les douleurs fulgurantes, sur les troubles génito-urinaires, sur l'incoordi- nation motric
suspension ; il cite même un cas où la suspension a fait cesser les troubles gas- triques ; mais, il n'admet point que la su
on par l'appareil de Chipault et Gilles de la Tourette provoqua des troubles vésicaux, des étourdissements, de la faiblesse
nt le nombre dépasse 3 000, nous n'avons jamais constaté le moindre trouble , identique à ceux qui sont produit par la penda
es deux derniers procédés n'ont pas tardé de prc quer chez elle des troubles cardiaques et on fut forcé de interdire tout tr
dément intoxiqué et présentant, avec un état parétique général, des troubles intellectuels. Les jours suivants, les troubles
ique général, des troubles intellectuels. Les jours suivants, les troubles intellectuels augmentent et la marche est plus di
a dénommée méralgie paresthésique, et qui est caractérisée par des troubles sensoriels de la surface REVUE DE PATHOLOGIE NE
on de l'excitabilité idio-musculaire et absence presque complète de troubles de la sensibilité. G. D. VI. OEdème scléreux de
la réac- tion myosthénique de Jolies. Il n'existait pas non plus de troubles de la sensibilité ; les réflexes étaient normau
3° l'abolition du réflexe palpébral ; 4° l'abolition du goût et des troubles de la salivation ; GO l'existence de douleurs név
pré- sente ni caractère familial, ni contractures fibrillaires, ni troubles vaso-moteur, ni paralysie avec ataxie, ni troub
fibrillaires, ni troubles vaso-moteur, ni paralysie avec ataxie, ni troubles oculo-moteurs, ni troubles de la sensibilité ;
aso-moteur, ni paralysie avec ataxie, ni troubles oculo-moteurs, ni troubles de la sensibilité ; il ne représente donc ni une
vements choréiques revêtent divers modes qui correspondent avec les troubles choréiques correspondants : hémiplégie choréique,
inance hémilatérale, affai- blissement musculaire généralisé. Les troubles de la sensibilité sont très variables ; les uns d
choréiques (algies parachoréiques), les autres se superposent aux troubles moteurs (algies juxtachoréiques); ce sont surtout
- .Il y a d'ailleurs dans la chorée une indépendance relative des troubles des réflexes, qui ne correspondent pas comme loca
des réflexes, qui ne correspondent pas comme localisation avec les troubles choréiques. M. H. - XXI. Étiologie du vitiligo;
connue chez un homme à antécédents névropathiques héréditaires. Les troubles moteurs furent précédés de troubles de la saliv
évropathiques héréditaires. Les troubles moteurs furent précédés de troubles de la salivation et de la gus- tation. L'auteur
olynévrite tuberculeuse par élimination de toute autre cause. Les troubles moteurs portaient surtout sur les muscles des j
général avec l'âge mûr, est inéluctable et s'accompagne souvent de troubles mentaux, en particulier de démence dans la dern
appui de cette opinion sont des cas de mi- graine ophtalmique. Tous troubles sensoriels de nature jackson- nienne peuvent d'
roite à gauche les per- sonnes qui sont devant lui. Tels sont les troubles qui ont déjà rétrocédé le matin du troi- sième
privations. L'aphasie si particu- lière provenait, selon lui, d'un trouble de la mémoire et de l'atten- tion, dû à une alt
ment aux segments antérieurs des cornes antérieures rend compte des troubles peu accusés de la sensibilité de la peau. Qua
x délicats : épistaxis pendant l'enfance, alcoolisme chronique. Des troubles de l'excitabilité électrique et des réflexes, i
de l'aniline, par suite d'un accident. Prodromes : malaise général, troubles de coordination des jambes. Puis, trois heures
intenses extrêmement douloureuses : albuminurie consi- dérable. Les troubles du côté de l'appareil uro-génital persistent en
uche, de l'absence des réflexes abdominaux et crémastériens, et des troubles sensitifs de la face antéro-externe de la cuiss
ltération des réflexes patellaires abdominaux et crémastériens, les troubles sensibles, la paralysie du péronier, la faibles
péronier) ainsi que des troisième à cinquième segments sacrés. Les troubles de la sensibilité de la cuisse gauche, bien lim
agie, le traumatisme a dans les cellules nerveuses pu déterminer un trouble moléculaire, capable de devenir le point de dép
gressives. P. KERAVAL. XLVI. Contribution à la symptomatologie des troubles trophiques de la syringomyélie (ostéomalacie);
ifficulté de la déglutition et de la phonation. La distribution des troubles moteurs et sensi- tifs intéressant les paupière
usque de ce syndrôme, son apparition dans l'enfance, l'existence de troubles sensitifs à côté des troubles moteurs, l'absenc
rition dans l'enfance, l'existence de troubles sensitifs à côté des troubles moteurs, l'absence de dégénérescence amyotrophi
de la vue avec paralexie, perte de la compréhension des mots lus et troubles de l'écriture. Les troubles hallucinatoires et
rte de la compréhension des mots lus et troubles de l'écriture. Les troubles hallucinatoires et l'excitation maniaque s'amende
ionnel com- mis par un individu sain. Si nous savons que la passion trouble profondément l'équilibre individuel, et que les
rifugation, de lymphocytes dans le liquide céphalo-rachidien ; sans troubles objectifs de la sen- sibilité, ni troubles sphi
céphalo-rachidien ; sans troubles objectifs de la sen- sibilité, ni troubles sphinctériens : telles sont les ressemblances.
agit dans les deux cas d'une monoplégie crurale dou- loureuse, sans troubles objectifs de la sensibili'é, mais accompa- gnée
nus du pied; de la chorée fasciculaire diffuse provoquée, et, comme troubles tro- phiques : de l'oedème des membres et des e
oedème des membres et des escarres du siège et du talon gauche. Les troubles vasomoteurs pulmonaires avec hémop- tysies. L'a
ou d'être suggestionné. « Elle se manifeste principalement par des troubles primitifs, et accessoirement par des troubles s
rincipalement par des troubles primitifs, et accessoirement par des troubles secondaires. « Les troubles primitifs sont cara
primitifs, et accessoirement par des troubles secondaires. « Les troubles primitifs sont caractérisés par la possibilité qu
et de disparaître sous l'influence exclusive de la persuasion.' Les troubles secondaires sont caractérisés par leur subordin
secondaires sont caractérisés par leur subordination étroite à des troubles primitifs. » Torticolis mental surajouté à des
un torticolis mental en rotation à droite, est venu s'adjoindre aux troubles anciens de la motilité, et, comme c'est habitue
sont très limités. 1 Il n'y a aucune altération musculaire, aucun trouble des réflexes, de la contractilité électrique, n
en telle concurrence d'origine nerveuse. A propos des tics et des troubles moteurs chez les délirants chroniques. . Du syn
e sa complexité soit assez grande. Je pense que l'apparition de ces troubles moteurs, véritable syndrome mus- culaire chez u
epilepti- formes, hémiplégie droite, nystagmus, le tout sans ancun trouble de la sensibilité : On porta le diagnostic : tu
lisation. Y aurait-il un rapport quelconque entre l'éclosion de ces troubles et la morsure du chien enragé ? Cela ne semble
e syringomyélie; paraplégie spasmodique des membres inférieurs sans troubles sensitifs marqués; aux membres supérieurs, au c
, les deux trapèzes sont intéressés, surtout le droit. En somme les troubles occupent la région innervée par les 30, 40, 5°
décubitus dorsal, il y a plus que le signe de Kernig et plus qu'un trouble synergique céré- belleux comme le penserait M.
e unique d'une lésion cérébelleuse. Il ne considère pas non plus ce trouble comme dû à l'affaiblissement paralytique, mais
hez des dégénérés et des débiles. Chaque fois, il y a mélan- colie, trouble du caractère, excitation, onanisme, puis dépressi
onsultation, est normal de forme, de couleur, de température : sans troubles trophiques, sans hyperhydrose, mais les trouble
température : sans troubles trophiques, sans hyperhydrose, mais les troubles moteurs en sont très marqués. Alors que sa main
aussi chaude que la peau du bras droit. Pas de contractures. Pas de troubles trophiques ni vaso-moteurs. Le malade lève diff
lus gênés; il continue à travailler durant un mois encore, mais les troubles moteurs s'accentuent de plus en plus : il ne pe
e l'habitude qu'il a de porter sa boite de ce côté du corps. Pas de troubles de la vue. Les réactions pupillaires sont norma
troubles de la vue. Les réactions pupillaires sont normales. Pas de troubles de l'ouïe, pas de troubles du goût. Le cou, le
ctions pupillaires sont normales. Pas de troubles de l'ouïe, pas de troubles du goût. Le cou, le tronc, le membre supérieur
ignaler. CI Seul le bras droit inquiète notre malade, tant pour les troubles de la motricité que pour les douleurs dont il e
siège. Le membre n'est pas diminué de volume. Il ne présente ^ni troubles trophiques, ni troubles vaso-moteurs, si ce n est
t pas diminué de volume. Il ne présente ^ni troubles trophiques, ni troubles vaso-moteurs, si ce n est cepen- dant une légèr
t plus vigoureux que le bras gauche. La peau en est normale. Pas de troubles trophiques ni vaso-moteurs. La mobilité en est
ni vaso-moteurs. La mobilité en est cependant fort troublée, et ces troubles vont s'accentuant de plus en plus. - Les mouv
oire de M. le professeur Pétré. Le résultat est à peu près nul. Les troubles de la sensibilité et de la motilité ne sont pas
t pas. Le 28. Faradisation. même état de la sensibilité, mais les troubles sensitifs inquiètent fort peu le malade qui a hât
é des cas (cinq fois sur six), on a noté sur le membre paralysé des troubles très marqués de la sensi- bilité cutanée, affec
n'existait, du reste, aucun rapport constant entre l'étendue de ces troubles sensitifs et l'extension de la paralysie motrice.
dans nos observations, nous pouvons affirmer qu'indépendamment des troubles de la sensibilité cutanée dont il vient d'être
aire normale. La main paralysée n'a généralement pas présenté de troubles vaso-moteurs ou sécrétoires ; cependant nous avon
s du tabes, en première ligne sur les douleurs fulgurantes, sur les troubles génitaux, urinaires et sur l'incoordination mot
e l'anesthésie : Bonjour, Guttman, Michel Clark. Amélioration des troubles vésicaux et rectaux : Eulenbourg, Mendel, Rosen
ux : Eulenbourg, Mendel, Rosenbaum, Bélougou. -' Amélioration des troubles des nerfs moteurs des yeux : Ber- nhardt, Ladam
: Ber- nhardt, Ladame, Rondel, Moutard-Martin. , Amélioration des troubles oculaires : Darier, Eulenbourg, Mendel, Abadi,
u moyen de la planche inclinée.- De ces 10 cas, 2 virent tous leurs troubles considérablement améliorés, en commençant par l
iorés, en commençant par l'incoordi- nation et en finissant par les troubles oculaires. Chez 4 on obtint une amélioration no
s troubles oculaires. Chez 4 on obtint une amélioration notable des troubles moteurs, des douleurs fulgurantes,' du signe de
employé à la Compagnie du gaz parisienne. Il y a sept ans avait des troubles gastriques : indigestions, gastralgie, crampes
3 grammes par jour. Le malade présentait au cours de son tabes des troubles vési- caux passagers ; la diplopie, qu'il conse
signe d'Argyl-Robertson. 124 ik " THÉRAPEUTIQUE. N'a jamais eu de troubles urinaires, ni digestifs. Travaille à la machine
ement, et seule la gymnastique raisonnée est capable d'agir sur les troubles moteurs par le rétablissement de l'association
'attention du monde mé- dical principalement par l'amélioration des troubles moteurs des tabétiques. Des 14 premières observ
tômes, tels que les douleurs fulgurantes, l'incoordination et les troubles génito-urinaires ». Réunie à la gymnastique rai
Parmi les autres symptômes qui profitent de l'extension sont les troubles vésico-urinaires, les troubles gastriques et le
ui profitent de l'extension sont les troubles vésico-urinaires, les troubles gastriques et les troubles oculaires. ° Voici
sont les troubles vésico-urinaires, les troubles gastriques et les troubles oculaires. ° Voici deux observations de deux ma
endant huit mois lui occasionna une compression de la vessie et des troubles vésicaux. Cette observation montre bien que l'e
est intéressante au point de vue de l'action de l'extension sur les troubles oculaires. Mais avant de donner sa description
uée d'après notre méthode, nous croyons que même l'amélioration des troubles visuels chez notre ma- lade est due dans une gr
, Eulenbourg et Vocothynski notèrent égale- ment l'amélioration des troubles oculaires. Ainsi, nous pou- vons affirmer que s
n des troubles oculaires. Ainsi, nous pou- vons affirmer que si les troubles oculaires s'améliorèrent chez notre malade à la
tre malade venait de la salle seule, en se servant d'une canne. Les troubles moteurs, ainsi que ceux de la vue, dispa- raiss
de résistance aux toxines; auto-intoxication gastro-intestinale et troubles comateux à chaque période menstruelle, puis démen
nsuffisants il la fournir. G. DERNY. IX. Du « réflexe fémoral » par trouble de la conductibilité de la moelle dorsale; par
ion plantaire des orteils. Il est à penser aussi que l'intensité du trouble de la conductibilité joue également un rôle. P.
pendant la vie de l'animal, on n'avait constaté guère que de légers troubles de la motilité des extrémités postérieures. Abs
e raideur des membres inférieurs; au quatrième mois,-apparition des troubles sphinctériens et aggra- vation de l'état paréto
iens et aggra- vation de l'état paréto-spasmodique; on constate des troubles de la sensibilité accompagnant les troubles mot
odique; on constate des troubles de la sensibilité accompagnant les troubles moteurs. A la fin de la première année, amélior
ang parmi les autres théories pathogéniques (congestion irritation, troubles circulatoires de l'encéphale, etc.) ». Ce tra-
re place parmi les facteurs pathogéniques (compression, irritation, troubles vascu- laires) invoqués pour expliquer les symp
ujet à l'Age de trois ans et après laquelle apparurent les premiers troubles . M. RAYMOND a vu deux cas analogues d'origine b
s exagérés, tremblement intentionnel, diminution de la sensibilité, trouble spécial de la parole et paralysie oculaire très
sthésie par la suggestion. M. REGNAULT. - L'automicrosthésie est un trouble hystérique qui résulte d'une erreur de percepti
ique et dans les accidents épi- leptiques n'est consécutif qu'à des troubles de la. mémoire de repro- duction. Des expérie
96.) 5. Bechterew. Rougeur de la face comme forme particulière de trouble nerveux. (Obozrenie psichiatrii il nevrologii, il
can, 1901.) 21. A. Dielil (de Lubeck). Manifestations familiales de troubles tro- phiques vaso-moteurs. (.lIonatsc1u'i{1 f.
ssé de soutenir cette opinion et tout en reconnaissant la valeur du trouble mental dans l'obses- sion, en particulier celle
survient au contraire un ralentissement respiratoire accompagné de troubles caractéristiques de la phase inspiratoire, qui
bie, maladie intellectuelle, a pour point de départ, pour cause, le trouble vaso-moteur, affection physiologique », en d'au
s mains deviennent moites, les yeux humides, voilés. Parfois, je me trouble , je dis des bêtises, je parle z à tort et à tra
lle immédiatement ou après avoir passé par une phase de pâleur; les troubles psychiques disparais- sent. Je ressens un soula
deux) que je ne rougirai pas de dix, quinze minutes. En général, le trouble psy- chique n'est pas prolongé. 2e type. - Le
ensoleillement parfait. Pointes d'aiguilles, fourmillements, sueur, troubles de la vue, affolement, rien ne manque. C'est un
'échelonnent tous les intermédiaires, dans lesquels c'est tantôt le trouble vaso-moteur, tantôt le trouble psychique qui pr
aires, dans lesquels c'est tantôt le trouble vaso-moteur, tantôt le trouble psychique qui prédomine ou existe seul, et avec
t à chaque facteur. 1° Domaine physique. Je n'ai jamais constaté de troubles céré- braux ou spinaux. J'ai des palpitations c
rougir, car je considère que l'éreuthophobie est la conséquence du trouble vaso-moteur. J'ouvre une parenthèse pour essaye
par suite d'un changement organique dont je n'ai pas conscience, le trouble vaso-moteur a lieu plus aisément et alors, immé
obie, maladie intellectuelle, a pour point de départ, pour cause le trouble vaso-moteur, affection physiologique. , . Que
ur, affection physiologique. , . Quelle est alors l'origine de ce trouble vaso-moteur ? Pour ma part, je ne puis la décou
e); une asthmatique (la soeur de mon père); une nerveuse (ma mère) [ troubles gastriques, migraines]. Ma grand'- mère materne
cafés, absorption assez considérable d'alcools variés; résultats : troubles gastriques et cardiaques. Depuis trois ans, ma
ac de ma montre, le froissement de mon journal. Il me dit : Je vois trouble , mais je crois que vous avez à la main gauche un
ement préventif de la folie puerpérale. - Aendant le travail, les troubles mentaux transitoirs rappellent l'épilepsie psyc
ux fort; soigner la maladie dès le début, puisqu'il n'y a alors que trouble fonctionnel; nécessité du repos et puissance de
quée, il n'est pas étonnant qu'une grossesse apporte aux femmes des troubles du système nerveux : gêne physique, gêne mondai
e par ailleurs. Dans presque tous les cas où Tomlinson a trouvé des troubles mentaux aux dif- férentes périodes de la matern
es troubles mentaux aux dif- férentes périodes de la maternité, des troubles mentaux avaient existé aux époques de l'adolesc
e la parturition et non par des intoxications. La plupart ont des troubles durant la grossesse, irritabilité, perte de l'a
plus simple de folie puer- pérale, il y a ordinairement, outre les troubles ordinaires qui accompagnent la grossesse, de la
fants de fous ne sont qu'instables, les enfants de ceux qui ont des troubles somatiques altérant sérieu- sement leur force v
rd par le facteur psychique, douleur ; puis, indirectement, par. un trouble fonctionnel des centres et des vaso-moteurs, d'où
l se produit de la somnolence. Il s'agit la, d'après l'auteur, d'un trouble isolé de l'émotivité, d'une véritable névrose d
ures insupportables. Sa conviction est iné- branlable. Pas d'autres troubles intellectuels. On ne peut obtenir de renseignem
enser à l'encéphalite disséminée ; seuls les commémo- ratifs et les troubles de la sensibilité, de nature hystérique, de con
e progressive ; 2° il n'est pas un seul signe diagnostique tiré des troubles moteurs qui puisse être regardé comme spécifique
-rencontrent également en d'autres affections 3° de même, parmi les troubles mentaux, il n'en est pas un qui soit exclusivem
nir. Mais il ne tarda pas à montrer une combativité sans frein. Les troubles nerveux (migraines, etc.) dont il eut à souffri
ment un tabes. Il a observé à Bicêtre trois malades qui ont eu des troubles cutanés avec perte d'une narine, ces trois sujets
alysie, sans - sociétés savantes. 2't3 stigmates d'hystérie, sans troubles de la sensibilité, sans atrophie, sans troubles
es d'hystérie, sans troubles de la sensibilité, sans atrophie, sans troubles des réactions électriques, il existe seulement un
e dans de tels cas, au cours desquels M. Lortat l'attribue non à un trouble réflexe central, mais à ce que l'action des muscl
te. On voit que la suggestion hypnotique agit non seulement sur les troubles psychiques et sur ceux de la motricité volontai
résentée il y a huit ans à cette même société avec le diagnostic de troubles nerveux relevant du pes planus. La maladie a débu
se distingue par la périodicité des accès, s'accompagne souvent de troubles de la parole ou de symptômes morbides du côté d
cause de cette paralysie doit être recherchée probablement dans les troubles de la circulation intra-cranienne provoqués par
blié par le Dr Mott, porte sur les Relations de la syphilis sur les troubles orga- niques du cerveau et la folie. Cet articl
és, à l'asile et à l'hôpital (dont 22 cas suivis d'autopsie) . - Le trouble le plus fréquemment observé a été la méningite
s lésions communes à la base et à la convexité. La céphalalgie, les troubles oculaires, troubles de l'oculo-moteur (communs)
la base et à la convexité. La céphalalgie, les troubles oculaires, troubles de l'oculo-moteur (communs), les crises épilept
s bras. Nystagmus légère- ment marqué. Incontinence d'urine. Pas de troubles oculaires ni de tremblement. Les troubles de la
ontinence d'urine. Pas de troubles oculaires ni de tremblement. Les troubles de la parole et l'affaiblissement intellectuel
uel ou de Vêlement émotif. L'obsession est-elle la conséquence d'un trouble intellectuel, ou bien l'idée n'est-elle, au con
c'est l'émotion. » Pour M. Ribot également, « la conscience de ces troubles (organiques) est l'état psychique que nous appe
prement dite, et qu'il est nécessaire de faire une large place anx troubles profonds de l'organisme. Seulement, quand elle
vrai de dire que la pensée du malheur, que la brusque perception du trouble qu'il va jeter dans l'exis- tence tout entière
qui n'ont aucun rapport avecl'organisme, qui sont le résultat d'un trouble des« sensa- tions, matière de la vie intellectu
t la fonction intellectuelle. Telles sont certaines phobies; à quel trouble organique primitif, indépendant, peut correspon
ouver, dans tout cela, l'influence d'une tendance organique ou d'un trouble vaso- moteur ? ` ? Nous admettrons donc que l
dances obsédantes se fixent en des idées précises, l'existence d'un trouble préalable du dynamisme mental est nécessaire. L
écessaire. L'émotion ne fournissant pas la raison suffissante de ce trouble , il reste à invoquer une autre condition, un pe
impulsions et d'inhibitions ou phénomènes d'arrêt, c'est- à-dire de troubles moteurs volontaires. Dans les mouvements en gén
ype des obsessions dites intellectuelles, que nous avons étudié ces troubles moteurs. Mais ils se rencontrent également dans
(P. Janet.) Depuis longtemps, Cordes avait signalé l'existence des troubles moteurs dans « l'Agora- phobie », et, bien avan
naud. Sur certains cas d'aboulie avec obsessions in lerrogalives et trouble des mouvements. (Folie du doute avec délire du
tie des fonctions organiques. La condition fonda- mentale en est un trouble primitif et généralisé, affectant, dans leurs a
ynamiques, les éléments communs à la volonté eLà l'intelligence. Ce trouble n'estque la manifesta- tion d'unaffaiblissement
té. S'il est déjà extrêmement difficile, dans les formes banales de troubles mentaux, de découvrir l'origine, le principe du
ettre de pénétrer les parties les plus profondes de son être. Des troubles mentaux purement partiels dans l'enfance consti
'abord à un examen clinique rigoureux , dont le résultat fut que ce trouble mental ne trouvait aucun point t d'appui suffis
vulsions de l'enfance, à plusieurs reprises, qui auraient amené les troubles de la parole. A eu la rougeole, la scarlatine e
erons également ici que ce qui présente un caractère pathologique). Troubles digestifs con- sistant en vomissements sans dou
provoquer; alternativement, constipa- tion opiniâtre et diarrhée. - Troubles cardiaques : bruit de souffle assez prononcé au
elles infectes, pâleur de la face, vomisse- ments caractéristiques, troubles cardiaques, etc. Il est soumis à un régime spéc
riode de mélancolie et de tacitur- nité provoquée sans doute par un trouble des fonctions diges- tives. Un purgatif remet t
1897; prématurément. Réflexions. - I. A... est un malade, et les troubles que nous avons relevés dans son état psychologi
e la conception, le père de l'enfant n'ait pas encore pré- senté de troubles mentaux, l'hérédité paternelle est forte- ment
neurasthéniques tels que douleurs occipitales, douleurs lombaires, troubles gastriques. De nouvelles recherches confirment ce
n de l'acide urique' ? Là est la cause de ia neurasthénie; c'est un trouble de la nutrition. Sinon. II. L'hématoporphyrinur
omplètement influencé l'affection. Par contre il en est résulté des troubles de la - sensibilité (anesthésie, hyperalgésie,
ulaire des extrémités, au moment où Je patient ne se plaint d'aucun trouble de la sensibilité ni d'af- faiblissement de la
ntrons aussi du côté non hémiplégique. Impossible d'at- tribuer ces troubles à des variations individuelles dans la force de
jet, par H. SALOMONSOuN. (Ibid.) , M. Adamkiewicz décrit comme un trouble nerveux indépendant, entoptique, le complexus s
athétique avec des phénomènes initiaux aussi légers, et sans autres troubles du côté des extrémités, du triju- meau, des mus
lus postérieure de la fosse moyenne du crâne. P. Keraval. XXXVII. Trouble et développement de la parole ; par A. LlEmIANN.
s de développement des formes gram- maticales du langage. -III. Les troubles en rapport avec l'inégal développement du'mécan
faussée, dans lesquelles les flexions sont hizarrement mutilées. Ce trouble disparait quand on fait répéter la phrase vicieus
' pilaire. Il semble exister une corrélation entre elle et quelques troubles tro- phiques tels que la kératite et l'alopécie
lques troubles tro- phiques tels que la kératite et l'alopécie. Les troubles de la sensi- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
nerte, l'autre réagit à peine). Il est très rare de consta- ter des troubles unilatéraux permanents. La forme des pupilles e
s, angu- laires, etc. Parfois on observe une marche régulière des troubles pupillaires : paresse des réactions à la lumièr
fois on a noté une exagération des réflexes pupillaires la suite de troubles circulatoires, chez des morphinomanes en état d
hinomanes en état d'abstinence). M. Alocli fait remarquer que les troubles pupillaires sont beau- coup plus fréquents chez
de l'innerva- tion cardiaque ; l'arythmie à son tour a produit des troubles de la cénesthésie, la diminution des échanges"
qui n'était ni syphilitique, ni alcoolique ne présentait aucun des troubles de la matilité accompagnant la para- lysie géné
, par leur prédominance plus ou moins exclusive, au détri- ment des troubles sensoriels, constituer un syndrome commun à un
élires toxiques, la démence précoce. Il est sous la dépendance d'un trouble du jugement qui, sans parler de la prédispositi
tions délirante-, dont l'abondance contraste avec le rôle effacé de troubles sensoriels, occupent dans le tableau symp- toma
presque constante d'hallucinations (ou rôle très efficace de ces troubles ) ; richesse extrême des interprétations délirante
ais il faut avouer qu'il est difficile de faire le départ entre les troubles dus au délire rétrospectif et ceux dont l'appar
tains cas, il est vrai, des hallucinations peuvent apparaître : ces troubles sensoriels dont le rôle reste toujours accessoire
r lucidité, leurs facultés syllogistiques sont moins atteintes, les troubles de la personnalité que ces derniers malades pré
t et plus particulièrement aux hallucinations psycho- motrices, ces troubles sont notablement moins accusés dans la psychose
existence du phé- nomène des orteils permet d'affirmer qu'il y a un trouble dans le système pyramidal ; il semble que c'est
e à plu- sieurs centimètres cubes de liquide, ne fut suivie d'aucun trouble . Il s'agissait d'une jeune fille atteinte de la
uatrième, enfin, présente un mal perforant plantaire bilatéial, des troubles trophiques du pied et quelques symptômes nerveu
é- rentes de syphilis réunies chez un même sujet. Topographie des troubles de la sensibilité dans la syî-iiigoi7 ? y(,"Iie.
qu'il a primitivement observés, il infère que la dis- position des troubles de la sensibilité est plutôt radiculaire que mé
que. , La déformation pupillaire est le premier signe en date des troubles indiquant l'altération de l'innervation de l'iris
la n'est plus dis- cutable. Il s'agit de savoir actuellement si les troubles en question boni susceptibles de se développer
vec dilatation kystique du splénium; ces malades présen- taient des troubles visuels, mais l'un portait des lésions thala- m
a constitution des accès d'épilepsie généralisée et provoquer des troubles cérébraux graves qui ont déterminé la mort. A n
yon, 1900-1901.) \I. Téchoueyres étudie d'une façon approfondie les troubles qui s'associent à la respiration de Cheyne-Stok
bles qui s'associent à la respiration de Cheyne-Stokes. D'abord les troubles psycho-moteurs sur lesquels M. Pic a insisté da
à celle de la respiration. La force musculaire varie de même. Les troubles oculo-pupilluires consistent en modifications du
a pupille (Leube) et des muscles extrinsèques (Ziemssen. Biot). Les troubles sensitifs : sensibilité amoindrie pendant l'apnée
Les troubles sensitifs : sensibilité amoindrie pendant l'apnée. Les troubles de la réflectivité : les réflexes rotuliens varie
les réflexes oculo-palpébraux suivent les mêmes oscillations. Les troubles circulatoires consistent en diminution de la tens
Stokes, qu'il désigne sous le nom de Cheyne- Stokes céphalique. Les troubles respiratoires ne sont qu'un cas particulier d'o
ujours sans aucun résultat. Une seule fois, le 22 janvier 1901, des troubles digestifs (inappétence, constipation, langue sa
réduite à 4 grammes, un lavement fut administré à la malade et les troubles digestifs se dissipèrent ; mais la fièvre n'en
rie. En effet, l'hystérie étant caractérisée par « un ensemble de troubles fontionnels ou dynamiques du système nerveux 3 »,
e titre qu'elles, des manifestations coordonnées et équivalentes du trouble apporté par la né- vrose dans le fonctionnement
iénation mentale. Ce n'est toutefois que six semaines avant que les troubles mentaux devinrent très apparents. « Il ne sait pl
ie se présenta tout à coup, peu de jours avant, sans aucun signe de troubles cérébraux. Exploré par moi, il avait une abolit
accès, mais du côté gauche, et survenu aussi subitement, et sans troubles cérébraux. A première vue, la nouvelle paralysi
: il n'eût non plus rien dans l'ouïe, ni dans la bouche; seulement troubles du goût;. présentait le phénomène de Bell (ne p
s galvanique et de Watteville, et le massage, je n'ai pu éviter les troubles trophiques, et pour cela j'ai employé les coura
e le recommande M. Bordier, arrivant non seulement à cor- riger les troubles trophiques, sinon à la guérison presque com- pl
eillée avec une sensation d'engourdissement dans le bras, mais sans troubles moteurs. Elle avait redouté simplement à ce mom
sensation de chute, se produisant surtout dans un endroit clos. Ces troubles sont moins fréquents et se produisent seulement
pliquer l'hypertrophie du sein dans l'hémiplégie infantile 1; 2° un trouble trophique; il y aurait hypertrophicité comme il y
léchir en supination le bras étendu, bien que péniblement. Quelques troubles de la sensibilité, exclusive- ment limités au n
nsibilité à la pression, et pares- thesie (formications). Les mêmes troubles parfois reviennent en d'autres endroits tardive
C'est un cas de maladie de Thomsen d'une espèce particulière. Le trouble myotonique du mouvement est limité aux avant-bras
s, mais encore sur des muscles des bras qui ne sont pas atteints de trouble moteur myotonique. L'excitabilité mécanique des
conservation des réflexes; l'absence de réaction dégénérative et de troubles de la sensibilité : voilà qui est en faveur d'u
us aisée, le chant et la parole chuchotée ne s'accompagnent d'aucun trouble . C'est une perturbation toute semblable qui, de
ner du cor. L'analyse du tableau symp- tomatique révèle en effet un trouble de l'innervation qui a tous les caractères du b
quelle manière. Tout jeu moteur peut d'ailleurs être le siège d'un trouble de l'innervation de ce genre : cas d'Oppenheim ch
ur 32 : trois présentaient de la parésie, trois étaient affectés de troubles trophiques de la cornée. Il en concluait que, s
ire d'affections accidentelles du système nerveux est possible, les troubles nerveux des descendants peuvent être autres que c
Pathot., XXVII, 1900), sur 23 jeunes, a obtenu : une seule fois, un trouble de la cornée, plusieurs fois de la parésie, jam
n'est point encore nécessaire de rayer de nos concepts la notion de trouble fonctionnel. Nous avons parfaitement conscience
on corticale ayant la prétention d'être le substratum matériel d'un trouble psychique et nerveux fonc- i tionnel. P. KERAVA
ais imparfaitement. Déclaré irresponsable. P. KERAVAL. LXXIX. Des troubles moteurs à évolution aiguë présentant les caract
immédiat de la lésion ; la titubation peut être aussi rattachée aux troubles de la vision en rapport avec la paralysie des mus
mais a entraîné un ramollissement qui a étendu ses ravages. D'abord troubles passagers de la parole, affai- blissement des e
on des genoux, et en partie les accidents cornéens. Persistance des troubles pupil- laires et patellaires. Atrophie commença
lique de la moelle. Ce n'est point un tabes, car il n'existe pas de troubles de la sensibilité au tronc ni sur les extrémité
existe une paralysie dégénérative grave, avec atrophie musculaire, troubles sensitifs, trophiques et vaso- moteurs, des flé
s'en aperçoive; l'idée qu'il s'agit de quelque chose d'anormal les trouble encore davantage et ils craignent les interprét
roupes de nains : dans le premier groupe le nanisme est créé par un trouble local du squelette ; dans le deuxième groupe pa
par un trouble local du squelette ; dans le deuxième groupe par un trouble général de la nutrition. Au premier groupe se r
uents chez un jeune homme, fils d'alcoolique, atteint de tics et de troubles hystériques depuis l'en- fance. Guérison par tr
ie spasmodique : quand elle est syphilitique elle s'accom- pagne de troubles de la sensibilité et des fonctions vésicale et re
at sur les maladies nerveuses est une question ouverte. Ce sont les troubles fonctionnels qui subissent le plus nettement ce
quel- quefois des supérieures. On constate en même temps d'autres troubles de la sensibilité, passagers ou de moindre import
nifeste par l'apparition brusque de faiblesse motrice passagère, de troubles vésicaux, d'ataxie bien accusée et de troubles de
otrice passagère, de troubles vésicaux, d'ataxie bien accusée et de troubles de la sensibilité de moindre importance. Elle p
ure datant de trois semaines fut suivie d'une crise hystérique avec trouble mental, tendance aux idées de persécution. En m
r, alors qu'elle peut, comme c'était ici le cas, donner lieu il des troubles fonctionnels parfaitement capables de compromet
prison préventive, ont .0) REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. présenté des troubles psychiques, nécessitant une observation spé- ci
occuper ici du premier groupe. Le second est plus intéressant : les troubles mentaux y ont une durée et une intensité variab
istes modernes ont une tendance à rattacher iL l'épilepsie tous les troubles mentaux et toutes les impulsions irrésistibles.
and les crises sont suivies d'un sommeil profond et prolongé, les troubles mentaux du réveil sont ordinairement moins accent
en état de manie furieuse. ' 410 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Les troubles mentaux peuvent se manifester : 1° avant les atta
ici plusieurs observations de ce genre; ' 2" Après l'attaque, les troubles mentaux varient dans l'époque de leur apparitio
n grand nombre d'entre eux sont profondément amnési- ques. 3° Les troubles mentaux qui surviennent dans l'intervalle des a
manie violente; leur début est d'une extrême soudaineté; . 4° Les troubles mentaux qui remplacent les attaques et se manif
ie. Or, ces lésions amènent, dès le début, un affaiblissement et un trouble des facultés intellec- tuelles qui vicient tous
à ces ictus des manifestations qui formaient la contre-partie des troubles sensoriels auditifs babituels : aux phénomènes d'
cale complète, suivie ensuite de - surdité verbale pure. Ce dernier trouble ne dura que deux jours, puis l'audition verbale
verbale revint progressivement. Dans les deux der- niers accès les troubles de la sphère du langage réalisèrent le tableau
urèrent pas plus d'une huitaine de jours : la cécité verbale et les troubles paraphasiques régressèrent rapidement, et en de
de vue clini- 420 SOCIÉTÉS SAVANTES. que par la prédominance des troubles sensoriels et des troubles de la sphère du lang
ÉS SAVANTES. que par la prédominance des troubles sensoriels et des troubles de la sphère du langage, et au point de vue ana
ite ? M. Brissaud présente un malade anciennement guéri de légers troubles hystériques qui, dans la nuit du 9 mars, fut pris
sses et subit consécutivement une paralysie des quatre membres sans troubles de la sensibilité, de la dysphonie, de la dysph
escarres. Au bout de huit jours, tout rentra dans l'ordre sauf les troubles d'origine bulbaire. Cette marche écarte l'idée
nt plus que les névrites périphériques sont souvent accompagnées de troubles centraux. 0 ' M. PAI11XAUD. Les paralysies to
ingomyélique; 3° Une lésion unilatérale du bulbe peut provoquer des troubles oculo-pupillaires qui consistent en un rétiécis
. Grippe récente; dans la convalescence, chan- gement de caractère, troubles de la mémoire, légère confusion mentale. Elle e
eurs et qui cependant devrait avoir une impor- tance capitale : les troubles de la vision consécutifs à une lésion soit de l
ropathie syrin- ' gomyélique (ostéo-arthropathie du pied droit avec troubles de la sensibilité, douleurs gastriques, désarti
lade n'a plus d'hallucinations de la vue. Elle ne pré- sente pas de troubles aphasiques : elle parle, elle écrit, elle enten
tteinte notre malade, il en est tout autrement de l'hémianopsie. Ce trouble , si curieux, de la perception visuelle ne peut
ssociée à des accidents épileptiformes. En outre, elle présente des troubles du langage; sans compter qu'elle a eu, à un mom
u cours de sa jeunesse. C ? n'a jamais eu ni convulsions, ni autres troubles ner- veux. Elle a été réglée à onze ans. Elle a
e jours, il ne subsistait plus de traces de la parésie motrice. Les troubles aphasiques se réduisaient à une certaine hésita
ur suite une hypéresthésie cutanée transitoire, il n'existait aucun trouble objectif ou subjectif de la sensibilité superfi
exe massétérin s'exécutait avec une force normale. Il n'existait ni troubles trophiques, ni troubles des fonc- tions sphinct
it avec une force normale. Il n'existait ni troubles trophiques, ni troubles des fonc- tions sphinctériennes. La malade s'
iennes. La malade s'exprimait distinctement, sans bredouiller. De troubles intellectuels proprement dits, elle n'en présenta
euse. , De même, qu'une aphasie motrice implique une lésion ou un trouble circulatoire du centre de Broca, du pied de la
ions. De même encore, l'amnésie verbale implique une lésion ou un trouble circulatoire du centre chargé d'emmagasiner les i
it intacte. Les papilles présentaient11 letfc'S : aspect normal. De troubles de la sensibilité et de la moitilttA,1 z il n'e
que le malade voit et dont il reconnaît parfaitement la nature. Ce trouble amnésique existe, à l'état d'ébauche, chez la s
est particulièrement intéressant, en raison de la multiplicité des troubles du lan- gage, que l'on constate chez lui, en su
é des troubles du lan- gage, que l'on constate chez lui, en sus des troubles de la vision. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 45
réalisé parle malade se résume toujours encore dans cette triade : troubles visuels ; hémipa- résie droite ; aphasie. Occ
suels ; hémipa- résie droite ; aphasie. Occupons-nous d'abord des troubles visuels. Vous voyez que les pupilles du malade
ment cérébral. Il ne présente pas non plus de dysarthrie. Bref, les troubles du lan- gage, que nous rencontrons chez le mala
e d'instruction, il nous est impossible de savoir s'il présente des troubles du langage * intérieur. Toutefois, quand je com
, une cécité verbale très prononcée ; elle prédomine sur les autres troubles sensoriels. Ainsi que vous allez vous en rendre
. Je vous ai dit et je vous répète que le malade ne présente pas de troubles de l'intelligence. Il n'éprouve pas de maux de
e aphasie motrice complète ; incontestablement elle s'accompagne de troubles du langage intérieur. Une légère surdité verbal
ons à la portion avoisinante de la capsule interne, ou encore à des troubles athétosiques, choréiformes. De même encore, l
Assez souvent, on note, en fait de manifestations associées, des troubles aphasiques : cécité verbale, surdité verbale, aph
ue les manifestations associées ne sont plus du tout les mêmes. Les troubles du langage font défaut ; tout au plus peut-on o
'hémiplégie motrice, de l'hémianesthésie sensitivo-sensorielle, des troubles athétosiques, choréi- .formes. Enfin, on peut ê
t sur le sujet lui- ' N. Vaschide et Cl. Vurpas. Recherches sur les troubles psychologiques consécutifs à des hallucinations
même. » Voici encore une autre phrase d'elle qui précise bien - ,on trouble mental et sa manière intellectuelle de réagir. «
térieur peut avoir dans la systéma- tisation ou dans la genèse d'un trouble psychopatique. Notre sujet ignorait sans doute,
e, et ceux qui le peuvent se distinguent de ceux qui présentent des troubles , pathologiques à notre avis, par le fait qu'ils
, se conduisant bien. l.a maladie a débuté il y a trois ans par des troubles gastriques, hématémèses, dyspepsie, ne pouvant
s frappé ; mais c'est seulement quinze jours avant l'entrée que les troubles mentaux apparurent plus marqués : propos incohé
héréditaires, non alcoolique, présente depuis quelques années des troubles de la sensibilité - hyperesthésie générale, doule
traitement ioduré, mais la malade refuse de le suivre, et voit ses troubles s'aggraver peu à peu. Lors de l'internement de so
n conçut un chagrin très vif. Depuis dix-neuf mois, il se plaint de troubles gastriques fré- quents, d'étourdissements et de
rin de voir son mari interné présenta peu de temps après quelques troubles cérébraux. Deux ans après le début de l'affection
la cause ou tout au moins l'agent provo- cateur de l'apparition des troubles cérébraux chez le mari. i. L'affection de la fe
'autant plus que l'absence de la lumière fut le point de départ des troubles intellectuels décrits plus haut. P. KoUtDJY.
ysiquement vite, mais, sans autre symptôme psychique d'ailleurs, le trouble de la mémoire subsiste. Rien du côté de l'écrit
ait y avoir eu une sciatique : à l'asile, il a fait une myosite. Le trouble de la mémoire a, dans les deux cas, porté sur les
écutive à un ictus a complètement rétrocédé. Il ne reste même aucun trouble de la sensibilité doulou- reuse, tactile et the
hronique avec le tremblement classique intentionnel, rémittent sans troubles réflexes ni sensitifs. Songeant aux deux théori
es déments précoces au point de vue psychologique et de ramener les troubles complexes que présentent ces malades à des trou
de ramener les troubles complexes que présentent ces malades à des troubles plus simples. Le fait impor- tant qui lui a par
el. Ces lésions élémentaires engendrent un nombre considérable de troubles variés que l'auteur passe en revue. Les troubles
re considérable de troubles variés que l'auteur passe en revue. Les troubles de l'at- tention frappent l'observateur au prem
ésagréga- tion psychique qui en est la conséquence. A côté de ces troubles de l'attention sensorielle, l'on observe des tr
A côté de ces troubles de l'attention sensorielle, l'on observe des troubles delaréflexion et de la systématisation des idées.
ur a rapproché de ces phénomènes intellectuels un certain nombre de troubles moteurs très fréquents chez les déments précoce
s membres du malade au mouvement qu'on veut lui faire exécuter. Les troubles du souvenir ne sont pas primitifs : ils consist
souvenir ne sont pas primitifs : ils consistent surtout au début en troubles du rappel des souvenirs consécutifs aux trouble
urtout au début en troubles du rappel des souvenirs consécutifs aux troubles de la systématisation des idées : le ma- lade n
: ceux qui subsistent tendent à prendre une forme stéréotypée. Le trouble du souvenir porte primitivement sur le nombre des
l'effacement des images- souvenirs ont pour conséquence de profonds troubles de la com- préhension et de l'assimilation. Les
ne manifestent aucun désir, aucune volonté, aucune curiosité : les troubles de l'at- tention spontanée d'où dérivent un nom
avec sagacité, sont des plus instructives; il s'agit là en effet de troubles dont l'examen avait jusqu'ici été singulièremen
el dont l'intégrité semble avoir été affirmée un peu a priori ; les troubles de la parole, ceux du langage intérieur (les enfa
comme ceux qui commencent à parler), et ceux de l'articulation; les troubles moteurs, les organes périphériques de la parole s
émises. Coën et d'autres auteurs en font un , BIBLIOGRAPHIE. 525 trouble fonctionnel ; c'est soit un défaut de développeme
ur d'autres auteurs comme Waisse, Ledreit de la Charrière, etc., le trouble est dû à une lésion anatomique qui'est bien inc
Le diagnostic doit se faire avec la surdi-mutité, l'idiotie, les troubles des organes périphériques de la parole, les aphas
s, des classes spéciales. G. Carrier. XXV. La névrose d'angoisse. Troubles nerveux d'origine sexuelle ; par le Dr Albert 1
l'angoisse, avec comme phénomènes satellites ou équiva- lents, des troubles fonctionnels des divers appareils, tels que ver-
es troubles fonctionnels des divers appareils, tels que ver- liges, troubles vaso-moteurs, fausse angine de poitrine, dyspnée,
cher à arriver à une connaissance plus approfondie de la nature des troubles psychiques, grâce à une analyse plus soigneuse,
ppartenant à des -, 350. L'AssIstance des - en Algérie, 351. Voir troubles mo- teurs. Remarques sur les contrats et domm
es, par Mar- ton, 395. PAHALÉSIE. Voir Système nerveux. Parole. Trouble et développement de la -. par Liebmann, 309.
Etat des dans la poly- névrite, par Decroly, 4b. - fémo- ral par trouble de la conductibilité de la moelle dorsale, pal
erveux, par Onuf, 393. Syringomyélie. Voir Crises gastri- ques. Troubles trophiques de la , par Nalbandow, 66. - à forme
6. - à forme radiculaire, par Huet et Cestan, 88. Topographie des troubles de la sensibilité dans la -, par Fer- ragus,
nne chez lin pa- ralytique général, pal' Berkley ? ? 1 7, Tics ET troubles .moteurs chez les délirants chroniques, par Duf
333. Tnobil0lARALYSIF tabioforme par Wertheim-Solomonson. 500. Troubles \1071 : LItS. Voir Tics. - a. S42 ' TABLE DES A
11 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hèse de Montpellier, 1878. DU VERTIGE DES ATAXIQUES. S avec des troubles considérables sont soignées sérieusement et son
rice, nous pourrions être embarrassés pour déterminer la nature des troubles qu'il pré- sente. Son histoire est fort courte.
ill Robertson n'existe donc pas. La sensibilité ne présente aucun trouble ; afin de faire cette constatation on a eu recour
moteur. En d'autres termes, nous pouvons souligner dans ce cas des troubles qui le rapprochent du tabès clas- sique et des
ce cas des troubles qui le rapprochent du tabès clas- sique et des troubles qui l'en séparent. Parmi les premiers, je vous
il. Au point de vue des phénomènes psychiques, il n'existe pas de troubles bien appareils. Néanmoins An... appartient à la c
ession, des manies, des idées de doute. Enfin, la mère présente des troubles coprolaliques' 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. dont l
ion. D'ailleurs, dans cette hypothèse, il resterait à expliquer les troubles psychiques et coprolaliques consécutifs. Par ra
conditions, il y a émission des mots : Pardi et voilà, hé ! ho ! Troubles psychiques. Les troubles psychiques ressortissent
ion des mots : Pardi et voilà, hé ! ho ! Troubles psychiques. Les troubles psychiques ressortissent à la maladie du doute.
étaient le siège de contractions. La coprolalie, l'échocinésie, les troubles psychiques font défaut; l'écholalie existe et s
-similé de l'écriture d'une jeune cho- réique (hystérique), dont le trouble fonctionnel dispa- rut en quarante-huit heures.
l y a lieu de faire observer que la maladie n'a pas été précédée de troubles de l'intelligence ni de modifications dans le c
s ; les divers modes de la sensibilité ont été récupérés. Quant aux troubles sensoriels, ils restent ce qu'ils étaient avant
ne vive émotion, caractérisée par des mouvements involontaires avec troubles divers du système nerveux. Les mouvements, d'
accès, sans le moindre rythme, avec l'a rapidité de l'éclair. Les troubles nerveux consistent dans l'émission involontaire
mots ou de bruils (écholalie), de signes (échocinésie), et dans des troubles psychiques tels qu'idées fixes, délire du doute
ivers caractères, à l'exception de la plupart de ceux afférents aux troubles nerveux qui manquent en partie, se retrouvent c
tractions sont lentes, graduelles, progressives 2 ». Arrivons aux troubles du système nerveux. Dans notre cas, l'écholalie
ccompagnant le plus souvent le mouvement convulsif, certainement ce trouble du système nerveux fait défaut chez la malade.
partenant à une certaine classe de la so- ciété, échapperaient à ce trouble . Pareille restriction doit être apportée aux ti
e l'affection, de son évolution, des qualités du mouve- ment et des troubles nerveux. Elle se manifeste dans le jeune âge :
souvent, ces phénomènes s'observent isolés : écho- lalie (Obs. IV), troubles psychiques (Obs. II), ou diversement associés,
(Obs. IV), troubles psychiques (Obs. II), ou diversement associés, troubles psychiques et coprolalie (Obs. I). L'écholalie
paraît intimement liée à l'émission des mots orduriers, lorsque ce trouble existe (Obs. III). La coprolalie peut se manife
ques se trouve retardée par un effort de la volonté (Obs. I). Les troubles psychiques, dans les trois cas où ils ont été n
e. C'est que dans toutes les attaques se montre la reproduction des troubles sensitifs,- moteurs ou émotifs, qui ont marqué
le -quatrième, la céphalalgie. Ceci montre que les souvenirs de ces troubles occupent l'esprit de nos malades avec une persi
serait tenté de le croire, si l'on réfléchit que plu- sieurs de ces troubles ont persisté longtemps comme phéno- mènes isolé
ladies aiguës. Antécédents personnels. AU... n'a jamais souffert de troubles dignes de remarque jusqu'à la maladie actuelle.
s'accom- pagnaient pas d'obnubilation de la conscience, ni d'aucun trouble du sens ou du mouvement; seulement AU... se sen
en haut, la langue fortement déviée ers la gauche. Du reste, pas de trouble du langage parlé ou écrit. 48 PATHOLOGIE NERVEU
nature hystérique de l'hémiplégie nous renseigne sur la nature des troubles cérébraux qui leur donnèrent origine. Il est év
icale est très riche de cas de cette espèce \ Pour ce qui est des troubles du langage, peuvent se vérifier dans l'hystérie
santé était alors parfaite; il n'était resté du grave trauma aucun trouble fonctionnel, sinon que de temps à , autre il av
és de vertiges très légers et de courte durée. C'est à cause de ces troubles qu'il jugea prudent d'abandonner son métier qui
nts nerveux, avec des stigmates hystériques très imparfaits; pas de troubles de l'appareil de la vision, pas de zones hystér
point de vue mental, dont l'état normal est l'hypotoxicité. 6° Le trouble mental des épileptiques parait toujours s'ac- c
- dance. Cette corrélation entre l'hypotoxicité des urines et ces troubles gastriques est donc très importante; elle nous a
, car elle permet au médecin de prendre des précautions en vue d'un trouble mental possible consécutif à un accès. Un malad
phénomènes précurseurs et concomi- tants de l'accès convulsif ou du trouble de l'état mental ? En tenant compte de l'état u
En tenant compte de l'état urinaire, on doit penser que tous ces troubles doivent être dus à l'intoxication du sang par rét
sang pendant les paroxysmes. Cette toxicité du sang explique les troubles mentaux et phy- siques que présentent les malad
ction urinaire a été très troublée pendant l'état de mal et si ce trouble fonctionnel persiste longtemps, la convalescence
borer les opinions émises par MM. Lepine, Mairet et Lemoine sur les troubles de nutrition dans les maladies nerveuses. M. Le
général. Cette prédis- position du système nerveux à contracter ces troubles nutri- tifs est due à l'hérédité qui transmet a
fs est due à l'hérédité qui transmet aussi bien les lésions que les troubles et les aptitudes aux fonctions des organes. Quo
° 9, 20 fé- vrier 1890.) 2 On trouvera l'histoire complète de ces troubles trophiques dans le Traité clinique et thérapeut
ntif montre qu'il persiste dans le membre qui a été contracturé des troubles de sensibilité, de l'exagération des réflexes t
on de la chemise qui a touché au tombeau du diacre Pâris, l'oedème, trouble vaso- -moteur, a disparu presque immédiatement,
s savons avec quelle rapidité peuvent apparaître et disparaître les troubles circulatoires. L'oedème n'existant plus, les co
re véritable faisait considérer comme incurables. Tels ces faits de troubles trophiques d'origine hys- térique qu'on commenc
résie et d'atrophie. Et d'abord il n'y a pas paralysie générale (ni troubles de la parole, ni mégalomanie); ce n'est pas non
l'état normal, puis qu'il avait diminué au sur et à mesure que les troubles psychiques s'étaient accentués. Ils inclinent à
caractérisée par un arrêt de développement et de l'évolu- tion, un trouble nutritif aboutissant à une atrophie générale, ona
été pris à plusieurs reprises d'un sommeil bizarre, accompa- gné de troubles de la sensibilité et du mouvement, de phosphaturi
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. 97 sommeil : sinon, comment expliquer ces troubles de la sensibilité et cette phosphaturie, n'exis
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. '101 XXIII. Aliénation mentale par TROUBLES DE la nutrition; par MM. Mairet et Bosc. Lors
système veineux, poumons en bouillie, inflammation de la pie-mère ; troubles trophiques cutanés. Les injections d'urine path
à toutes ces perturbations; et comme le seul élément commun est le trouble subi par la nutrition, force est de rattacher c
la nutrition, force est de rattacher ces aliénations mentales à ce trouble . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 103 De sorte qu
tales, névroses, doivent prendre place des aliénations mentales par troubles de la nutri- tion lesquelles réunissent dans un
ntia acuta). Trois symp- tômes. Désarroi intellectuel, c'est-à-dire trouble primitif de la connaissance ne dépendant pas de
antôt anxieuse, tantôt gaie, le plus souvent rapidement modifiable. Trouble de l'association dans les idées. Marche caracté
nes traversés, mais est, en soi, des plus constantes. P. K. IX. DES troubles sensitifs ET VASO-MOTEURS dans la paralysie fac
ou grave (types Erb). Ils se décomposent comme suit : 10 : aucun trouble des nerfs sensitifs ou vaso-moteurs. 3 : troubl
uit : 10 : aucun trouble des nerfs sensitifs ou vaso-moteurs. 3 : trouble simultané. 5 : des nerfs sensitifs seuls. 2 :
tous accidents accompagnant la paralysie. Parfois complications de troubles du goût. Excepté en un cas, ces symptômes dispa
s fibres de la substance grise des cavités qu'il faut rattacher les troubles si fréquents de tous les muscles de la physiono
et disparaissant souvent bientôt, (aphasie, hémiplégie, paraplégie, troubles sensoriels), on rencontre REVUE D'ANATOMIE ET D
(Raymond, Revue de Médecine, mai.) Or, cela est simplement dû à un trouble psy- chique de l'attention. Chez les hystérique
Ainsi agit l'occlusion des yeux et même des oreilles; ainsi agit le trouble de l'attention. P. K. XXII. Hypothèse SUR la
n du mot caractère. Il distingue les change- ments du caractère des troubles passagers tels que la colère et 118 SOCIÉTÉS SA
pparition. Chez quelques hypochondriaques plus tard persécutés, les troubles de la sensibilité précèdent le délire de perséc
en est de même de la prédominance dans un sexe ou dans l'autre des troubles de la sensibilité générale. Coexistent-ils avec
scription à part. Un fait capital est la prédominance excessive des troubles psycho- moteurs, hallucinations motrices verbal
verbales et communes, impul- sions ou phénomènes d'inhibition, les troubles de la sensibilité profonde et viscérale sont au
us la forme d'une dissociation psychique rapide. D'autres fois, ces troubles psy- chiques se présentent à un âge plus avancé
mblements, émaciation albuminurie, élévation thermique, insomnie et troubles vaso-mo- teurs ou trophiques qui constituent le
es, au contraire, les idées délirantes, incohérentes, témoignent du trouble profond de la connaissance déjà signalé. Le dés
roncles, entérites catarrhales, retour des règles). M. LuDwiG. Le trouble de la connaissance est un phénomène secondaire
dre dans les idées hallucinatoire aigu. Quelques mois plus tard les troubles intellectuels disparaissaient à leur tour. On c
nt produire de la cécité psychique. Quant à la transforma- tion des troubles centraux de la vue en hallucinations visuelles
les carac- tères des douleurs céphaliques, en les rattachant à des troubles de la circulation. La sensibilité spéciale de
ques, d'autres régions assez grandes de la peau ne présentent aucun trouble de la sensibilité. Le champ visuel est rétréci
rendre.'Le goût est presque ;aboli.- Au bout de trois semaines, les troubles de la sensibilité disparurent, l'ouïe est deven
lgésiques à la piqûre et aux excitations électriques et thermiques. Troubles vaso-moteurs stabiles de la peau. Augmentation
ns, qui, depuis dix-huit mois, eut six rechutes'du même complexe de troubles du système nerveux. Les rechutes se suivirent à
rvalles complètement clairs et pense expliquer tout le complexe des troubles , simulant la gliomatose médullaire, par l'hysté
ar l'hystérie, il considère ce cas, comme appartenant au groupe des troubles hystériques, qui se distingue par l'absence des
et plantaire. Trépidation réflexe des deux côtés. Divers degrés de troubles de la sensibilité. Thermanesthésie en ja- quett
te, analgésie considérable à peu près de toute la surface du corps, troubles du sens du toucher, principalement du côté gauche
é droit du voile du palais et de la corde vocale droite. Différents troubles trophiques et vaso-moteurs. Sudation du côté gauc
emblements des membres, de brûlures et de panaris analgésiques. Les troubles de , SOCIÉTÉS SAVANTES. 135 la marche et du l
il a eu une observation clinique, où l'apoplexie se suivit par des troubles bul- baires et l'hémiatrophie de la langue. M
nts à des animaux, préa- lablement opérés, amenait chez eux de tels troubles fonctionnels, qu'il ne pouvaient dépendre uniqu
ps, revenaient en plus fort après les injections de la cocaïne. Les troubles fonctionnels postopératoires s'affaiblissaient ou
u io mai 1892. I). M. le Dl' A.-A. EGoRov. Pied bot déterminant des troubles de la moelle épinière. Une petite fille de douz
é électrique des nerfs et des muscles. L'auteur croit expliquer ces troubles nerveux par l'excitation de la moelle épi- nièr
t de la goutte, les auteurs examinent les groupes dans lesquels ces troubles sont simultanés, alternants* ou simplement succ
forme principale mais non la seule ; l'arthritisme étant le fait de troubles de l'innervation sensitive, motrice et vaso-mot
t les hémor- roïdes, ce dont nous les remercions. Le chapitre des troubles vésaniques dans leur rapport avec la goutte est
niques dans leur rapport avec la goutte est de plus documentés; les troubles du caractère, les troubles intellectuels, émoti
la goutte est de plus documentés; les troubles du caractère, les troubles intellectuels, émotifs, moteurs, l'amnésie ayant
existence de la dégénéres- cence et de la neurasthénie, lorsque ces troubles intellectuels se présentent chez les neurasthén
ieuses, folie des diathèses rajeuni par l'application à l'étude des troubles mentaux des doctrines mo- dernes, professées pa
t la résistance del'organisme à l'infection, détermi- nant même des troubles mentaux; puis l'influence de la uuit sur l'ap-
lucinations, anxiété mélancolique, terreurs nocturnes...). Mais les troubles les plus caractéristiques ressortissant à la path
la chorée du réveil. A côté de ces désordres moteurs se placent les troubles sensoriels, et les chocs émotionnels, également
et les chocs émotionnels, également signalés par Weir-Mitchell, des troubles vaso-moteurs comme l'oedème hystérique plus fréqu
vaso-moteurs comme l'oedème hystérique plus fréquent le matin, des troubles sécrétoires. D'un autre côté, si l'absence d'ex
onnelles, les excitations excessives peuvent aussi déter- miner des troubles locaux ou généraux, mais qui reconnaissent alor
. Féré, l'ivresse émotionnelle et la mort par émotions morales, les troubles de la circulation, des sécrétions et excrétions,
on, des sécrétions et excrétions, de la nutrition, les oedèmes, les troubles cutanés, la modification de la résistance aux i
l'absence de signes physiques extérieurs, de même le diagnostic des troubles mentaux ne peut être basé que sur les signes ph
nstitution physique et mentale peut influer sur la localisation des troubles physiques d'origine émotionnelle et sur la form
motionnelle et sur la forme spéciale des .roubles psychiques. Les troubles diffus de l'émotivité sont pour ainsi dire de règ
eux; représentant de commerce. M. II. était, dirent-ils, atteint de troubles cérébraux. Ils s'enga- geaient à payer le temps
16 fr. CHERVix. Diagnostic différentiel du bégaiement et des autres troubles de la parole. Brochure in-8° de 11 pages. Paris
ive, jointe à l'état spasmodique des membres inférieurs, à certains troubles bulbaires peut en imposer un instant. 3° La m
çues. Ce n'est pas tout : la scoliose que est ici si prononcée, les troubles tro- phiques, les bulbes pemphigoïdes, les pana
rmi les cas d'amyotrophie progressive anor- maux par l'immixtion de troubles de la sensibi- lité. « Parfois, dit-il, par exc
alors qu'il était au bain. Il remarqua pour la première fois (aucun trouble fonctionnel ne l'avait annoncé) que son membre
volume. Je le répète, il n'avait jamais éprouvé aucune gêne, aucun trouble de la sensibilité dans l'accomplissement des fo
ica- tion de la coloration, ni de la température du membre, aucun trouble de la sensibilité. Les muscles atrophiés sont l
gauche. Il n'y a pas trace de trépidation spinale. Avec cela aucun trouble de la mo- tilité ; la démarche est ferme, assur
'ailleurs ces myélites diffuses déterminent généra- lement quelques troubles de la sensibilité; or, il n'est pas question de
énéraliser. Le réflexe massétérin n'est pas-exagéré; il n'y a aucun trouble de l'innervation bulbaire; nous n'en sommes pas
ux à droite et à gauche. Le réflexe massetérin n'existe pas. Pas de trouble de la phonation ni de déglutition. Les lèvres e
e déglutition. Les lèvres et la langue sont à l'état normal. Pas de troubles du côté des sphincters. Pas de troubles oculaires
ont à l'état normal. Pas de troubles du côté des sphincters. Pas de troubles oculaires. Sensibilité. La sensibilité de la pe
'existe du côté des organes des sens ou des mu- queuses aucun autre trouble , aucun stigmate. DU VERTIGE DES ATAXIQUES (Sign
ie ; il n'y a ni parallélisme, ni propor- tionnalité entre ces deux troubles . « Le symptôme de Romberg, dit Vanlair ? n'a ri
it, tous les auteurs attribuent le symptôme de Rom- berg aux divers troubles de la sensibilité, à l'anesthésie. Je n'ai pas
n, 18S3, p. 651. 184 CLINIQUE NERVEUSE. même toute l'ataxie aux troubles de la sensibilité. J'en dirai autant pour Erb q
; ccpendantle malade était bien tabétique, et dans l'obscurité, ces troubles de la coor- ' Duchenne, loc. cit., p. 781. , .
u professeur Trousseau la différence et l'indépendance complète des troubles de la loco- motion dus à l'insensibilité muscul
bles de la loco- motion dus à l'insensibilité musculaire d'avec les troubles fonc- tionnels de l'ataxie locomotrice progress
onnaît que dans certains cas, le signe de Romberg peut exister sans trouble objectif de la sensibilité. Seulement comme il
le mieux portant. » Dans d'autres cas, la perte du sens musculaire trouble les mouvements (et je ne nie nullement cela), m
n'est pas la théorie physiologique de ce symptôme. Celui-ci est un trouble à part, spécial au tabès, distinct des altérati
carac- tère essentiel du vertige ne se retrouve en rien dans les troubles qu'entraîne la perte du sens musculaire chez les
ention ici de fournir une explication pathogénique complète de ce trouble . Je veux simplement le placer dans sa vraie famil
ant en propre à la cachexie strumiprive, et ils se demandent si des troubles de la glande thyroïde n'auraient pas existé dan
yopathies recon- naîtraient une origine spinale, et traduiraient un trouble dyna- mique des cellules ganglionnaires des cor
pinaux déterminés (groupe d'Erb), sa fréquente coïncidence avec des troubles nerveux comme l'idiotie, l'épilcpsie. - Cette
ales. Quant à la coïncidence de l'atrophie musculaire avec divers troubles nerveux, elle s'explique aisément pour peu qu'on
nt en effet dans l'hypothèse de Erb, c'est-à-dire en admettant un trouble dynamique des cellules trophiques, nous devrions
ostic et le pronostic portés; tandis que, chez d'autres sujets, les troubles auriculaires les plus persis- tants, et la préo
re de la fonc- tion auditive; on peut parallèlement ajouter que les troubles subjectifs les plus terribles de l'ouïe ne prou
sous le rapport de la durée, de l'inten- sité et de la nature; les troubles de l'équilibre les plus variés, depuis le grand
actes et de leurs souf- frances ; la tendance aux lipothymies, les troubles de la vue, des hallucinations de la vue, du tou
hallucinations de la vue, du toucher et du sens muscu- laire ; des troubles vaso-moteurs évidents, de la migraine, des ango
ssion mentale, d'incapacité intellectuelle, qui est parfois le seul trouble observé, durable, et qui va jusqu'à la prostrat
que dans les névropathies, la simultanéité et la bilatéralité des troubles nerveux otiques sont fréquentes, et s'expliquent
et la variabilité et l'inégalité sont surtout remarquables dans les troubles auriculaires liés aux grandes névroses. On voit
ité du dia- gnostic de la surdité nerveuse par exclusion. Aussi les troubles otiques qui reconnaissent une origine nerveuse
ique nécessaire. C'est ainsi que nous avons plusieurs fois vu des troubles subjectifs auriculaires tenaces, céder aux douche
le et fixe. La cachexie exophtalmique s'accompagne quelquefois de troubles auditifs, bourdonnements, battements, vertiges, e
appareils de l'ouïe ; n'est-ce qu'une anémie labyrinthique liée aux troubles vaso-moteurs ? Observation CCLXXIV. (Résumé.) !
açon anormale, cause les phénomènes subjectifs déjà énumérés. Ces troubles fonctionnels otiques s'observent encore chez le
mal de tête constant au-dessus des yeux; si elle fixe, la vue se trouble , il y a des points noirs sur ce qu'elle regarde,
jour la douche d'air' dès la première semaine du traitement. Les troubles subjectifs de l'ouïe s'observent encore dans les
l'asystolie et de l'anémie cérébrale. Il est à remarquer que ces troubles vertigineux, ces bour- donnements sont fréquemm
tomatologie du labyrinthisme et de la neurasthénie. Les moin- dres troubles congestifs de la tête retentissent vivement sur
excellemment la dualité des causes de persistance, et de retour des troubles subjectifs si énervants et si tenaces (bourdonn
nts d'oreilles et sueurs froides, les jambes se dérobent, la vue se trouble . La raréfaction douce redresse aussitôt le tymp
0 0 pathologie nerveuse. difficulté à ne pas les confondre avec les troubles nerveux généraux, quand l'oreille est restée en
ncore attribuer à une affection de l'oreille interne l'ensemble des troubles subjectifs observés, et leur reconnaître une or
la disparition de cette chorée ( ? ) que sont survenus chez lui les troubles bizarres que nous observons aujourd.hui et qui on
arres que nous observons aujourd.hui et qui ont très peu varie. Ces troubles , d'après sa mère, consistent en un besoin fréqu
s convulsifs. Les myoclonies ne sont pas toujours l'expression de troubles fonctionnels du système nerveux. Il existe une va
oudroyantes, dite pour cela myoclonie électroïde, provoquée par des troubles gastriques, d'origine toxique. Le traitement de
tiques doit être un état mental personnel au sujet : par suite d'un trouble profond du mécanisme mental, les sensations et
ondérable, rapide, se relève très promptement et très haut quand le trouble mental dure depuis longtemps. Dans la mélancoli
locale traumatique de Charcot et Slruempell (deux observations); 3° Troubles psychiques consécutifs aux lésions céphaliques,
e majorité des cas, la complication d'une affection nerveuse et les troubles intellectuels n'y sont point rares. P. KERAVAL.
maladie qui serait caractérisée par trois ordres de signes : 1° des troubles de la vision; 2° des parésies momentanées; 3° d
ension ait dépassé une minute et quinze secondes; la diminution des troubles moteurs a été obtenue avec des séances n'excéda
exister; 3° le rôle do l'arté- rio-sclérose dans l'étiologie de ce trouble est loin d'être encore bien défini ; 4° il n'es
ncoliques. Un autre point intéressant de l'observation, ce sont les troubles moteurs ne se déclarant qu'au moment de l'extra
aie guérit très vite sans que le malade ait jamais présenté aucun trouble moteur ou sensoriel. (Ame1'iean journal of insccn
bililé du système nerveux central (cerveau -bulbe - moelle). Les troubles vaso-moteurs sont peut-être le rouage intermédiai
(paralysie 'spinale spasmodique), presque toujours liée à de légers troubles de la sensibilité et de la vessie (J. Ross Seel
lbaire du nerf optique. La régression rapide et presque complète du trouble visuel et l'ab- sence, au début, de toute altér
tion ophthalmoscopique; la cons- tatation chez les malades d'autres troubles nerveux et des Stig- mates de l'hystérie, tels
servés avec soin; parmi eux, on compte quatre femmes présentant des troubles hystériques plus ou moins marqués; l'autre cas
, pent rétrograder rapidement sans traitement, laisse après elle un trouble de la conductibilité des fibres nerveuses cédan
ibres succombent à l'atrophie. Il y a par conséquent des cas où les troubles soi-disant fonctionnels de la vue chez les hystér
Le train pos- térieur est paralysé, mais la peau ne présente aucun trouble de nutrition ; les ulcérations qui se sont prod
faut d'élimination des éléments chimiques de l'urine a provoqué des troubles dans les centres coordinateurs. C'est l'histoire
e la chorée consécutive à des maladies infectieuses. M. Moos. Des troubles de l'équilibre consécutifs ci une affection org
ellules géantes peuvent également jouer le rôle d'angioblastes. Les troubles de l'équilibre émanent dans l'espèce de la lési
journalières, ont subi un arrêt de conductibilité fonctionnelle; ce trouble passager a transformé les mouvements voulus combi
ner. )I. Fuerstner a également observé l'aphonie périodique et un trouble spécial de la parole non paralytique se rattachan
cérébrale des sensations. Il est évident qu'il y avait par suite trouble fonctionnel des centres moteurs, le sentiment en
nt les intoxications alcooliques aiguës; l'association des idées se trouble , il se produit des concep- tions clichées, pour
ldéhyde se rapproche encore davantage de celui de l'alcool, mais le trouble de la connaissance se montre des plus rapides e
l'entrave un peu sans la paralyser, par suite il peut produire des troubles neurasthéni- ques, mais jamais il ne détermine
plus, c'est le delirium tremens, mais, dans le delirium tremens, le trouble de la connaissance est moins profond. L'alcooli
néré exactement à la même place. ' M. PicK. De l'association des troubles oculaires d'origine hysté- j'ique avec des trou
association des troubles oculaires d'origine hysté- j'ique avec des troubles oculaires d'origine organique. (Publié in exten
e la fonction du muscle, puisque l'agitation faisait défaut, ni ces troubles de la nutrition qui se montrent dans la mélancoli
Anal, du Médical Nelas, 24 septembre 1892.) BIBLIOGRAPHIE VI. Les troubles du langage chez les aliénés; par J. Séglas, 1 vol
e, CuaAcoT-DEnovr.) Ruefi", éditeur, Paris, 1892. La question des troubles du langage chez les aliénés ne laisse pas d'êtr
sujet si vaste il a commencé par dresser un tableau synoptique des troubles du langage parlé, qui tiennent à trois choses :
des troubles du langage parlé, qui tiennent à trois choses : 1° des troubles intellectuels avec intégrité de la foncez tion
de la rapidité, de la forme, de la syntaxe et du contenu; 2° à des troubles de la fonction du langage; ce sont BIBLIOGRAPHI
res, hallucinations verbales, impulsions verbales) ; 3° enfin à des troubles de la parole; ce sont les dys- lalies, qui résu
ommuns aux obsessions en général (hallucination obsé- dante). Les troubles du langage écrit sont traités avec même méthode
s d'autographes d'aliénés illustrent cette seconde partie. Tous ces troubles sont les résultats de troubles in- tellectuels
trent cette seconde partie. Tous ces troubles sont les résultats de troubles in- tellectuels avec intégrité de la fonction l
a fonction langage. A côté d'eux se placent ceux qui tiennent à des troubles de cette fonction; ce sont les disgraphies, qui
ques, l'écriture involontaire et inconsciente. Enfin les der- niers troubles du langage écrit sont les troubles de l'écriture
consciente. Enfin les der- niers troubles du langage écrit sont les troubles de l'écriture elle même, qui tiennent à une édu
rmine la seconde partie. z La troisième partie comprend l'étude des troubles du langage mimique. C'est là un sujet encore bi
rait d'avoir peut-être un peu trop négligé, à propos des différents troubles examinés dans le langage, leur valeur séméiolog
e au contraire l'aspect clinique et la pathogénie de ces différents troubles , nous ne pouvons que signaler tout l'intérêt qu
complètes, elles atteignent également les muscles antagonistes; les troubles de nutrition y sont rares, la contractilité éle
ité électrique est conservée, caractere diagnostique important; les troubles de la sensibilité sont très fréquents; tandis q
, qui donnent plus de vie aux descriptions. P. SOLFIER. VIII. Les troubles de la marche dans les maladies nerveuses, par l
On sait toute la valeur qu'ont au point de vue séméiologique les troubles de la marche dans les maladies du système nerveux
maladies du système nerveux. En faisant une étude d'ensemble de ces troubles , M. Blocq, tout dé- signé déjà par son mémoire
vent être atteintes isolément, rend compte de la grande variété des troubles qu'on peut observer dans cette fonction. Il e
idement dans quelles affections du système nerveux on rencontre des troubles de la marche, puis aborde un des cha- pitres le
ants, celui de leur pathogénie. Il désigne d'une façon générale les troubles de la marche sous le nom de dysbasie. Les fonct
élucidée, on ne peut guère, à mon avis, les faire rentrer dans les troubles de la marche. Les dysbasies trophiques se disti
- tante), et hypertrophiques (maladie de Thomsen). Les différents troubles de la marche étant ainsi clairement classés, l'
rect sur les processus spécifiques, de sorte que la persistance des troubles , malgré le traitement montre que ceux-ci se rap
ralysie. Tout à fait singulier chez notre malade est l'absence de troubles de la sensibilité dans le membre paralysé. C'est
tiques, M. le professeur Charcot a pu réaliser des monoplégies sans troubles de la sen- sibilité, mais en suggérant au sujet
es de la sen- sibilité, mais en suggérant au sujet l'absence de ces troubles *. 1 . , ' 1 Nous parlons de monoplégie flasq
ésiques, obtenir la paralysie motrice, sans accompagnement aucun de troubles de la sensi- bilité ; il suffit, pour cela, ain
ations de la sensibilité, anesthésie ou hyperesthésie, tantôt à des troubles du mouvement (paralysies et contrac- tions) cet
e la sensibilité dans le membre paralysé, aujourd'hui il y a peu de troubles manifestes de la sensibilité. Absence du réfl
jambes ni des bras. Il ne tremblait pas encore. 11 n'avait pas de troubles de la parole. Il était seulement très abattu, déb
nel de deux mains; 4° nystagmus; atrophie blanche de la papille; 5° troubles urinaires, miction dif- ficile ; 6° réflexe rot
e de l'anesthésie très particulière qui accompagne ces différents troubles moteurs. Cette anesthésie s'étend à la moitié cor
ganiques qu'il a produites dans le plexus brachial et en partie aux troubles hystériques locaux que le traumatisme a fait na
ique, soit à la suite de fourmillements, d'engour- dissements ou de troubles vasomoteurs, etc., dans le membre intéressé (ci
jus- qu'à présent le premier exemple de cette espèce (observ. I). Troubles trophiques. - Nous avons noté dans neuf cas l'atr
eue a été trouvé chez quatre malades. Les dix-huit autres sont sans troubles tropiques. Réflexes tendineux. TROIS CAS DE
hie s'emparèrent également des bras; la face ne montra jamais aucun trouble . Durant les quel- ques mois qui précédèrent la
l'âge de sept ans. Jusqu'à ce moment, la santé n'avait offert aucun trouble bien manifeste. On aurait tout d'abord constaté
Il en est de même de la digestion. La sensibilité ne présente aucun trouble . Quant à l'intelligence, elle est assez dévelop
t déjà succombé. Elle a commencé à peu près au même âge, et par des troubles fonctionnels identiques, et dans la suite, l'at
r, à notre avis, si c'est à l'altération musculaire, ou bien à un trouble trophique des vertèbres, ou encore à ces deux cau
re intervenir d'autres éléments, et sur- tout, de tenir compte d'un trouble trophique osseux ayant pour siège les vertèbres
e. D'ailleurs, ce cas n'est pas le premier où soient signalés des troubles trophiques. M. Hallion' a déjàpublié un cas sembl
de Friedreich, la sclérose en plaques, etc. L'hérédité d'abord, les troubles trophiques ensuite, cons- tituent des arguments
c ses propres mains les mouve- - ments des membres du malade et les troubles moteurs deviennent plus accusés, plus on veut l
amen objectif de P. S... nous a permis de constater encore d'autres troubles non seulement moteurs, mais aussi sensitifs. L'
es interruptions seule- ment pendant le sommeil. Après ce temps, le trouble moteur dispa- raît tout'd'un coup : le malade s
éflexes tendineux, le caractère et la localisation particulière des troubles sensitifs, leur appa- rition périodique, enfin,
XXXI. Suit CERTAINS CAS D'ABOULIE AVEC OBSESSIONS 1NTERROGATIVES ET TROUBLE DES MOUVEMENTS (FOLIE DU DOUTE AVEC DÉLIRE DU TOU
rt, le mot toucher pourrait laisser croire à tort qu'il s'agit d'un trouble du sens du toucher. g74 REVUE DE PATHOLOGIE MEN
étudié quel- ques-unes des manifestations les plus saillantes de ce trouble mental. Deux ordres de faits ont été presque
riaques et mélancoliques, névralgies diverses, sensations pénibles, troubles digestifs et vaso-moteurs). Ces groupes qui se
ation, le défaut du stabilité des fonctions nerveuses, en un mot le trouble profond du dynamisme mental. Ce trouble primiti
ons nerveuses, en un mot le trouble profond du dynamisme mental. Ce trouble primitif et général qui porte sur les éléments
nomènes d'anxiété et aboutissent au bout d'un certain temps au même trouble des actes correspondant au délire du toucher (lav
une partie de son activité spontanée. En somme, il s'agit là d'un trouble primordial et très général de l'activité mental
ent les aliénés dans ce sens : en effet, pour mettre en évidence ce trouble mental, il faut le rechercher avec soin, interr
logique, on trouverait des états d'anémie, d'oedème céré- bral avec trouble des méninges, en sorte que la confusion mentale
énomènes somatiques qui l'accompa- gnent : épuisement, dénutrition, troubles vaso-moteurs, affaiblis- sement du pouls et du
ur, souvent fièvre mode) ée ou. au contraire, hypothermie ; souvent troubles oeulo-moleurs, crampes, névralgies, mouvements
oubles oeulo-moleurs, crampes, névralgies, mouvements automatiques, troubles des voies digestives, gâtisme irrégulier. Quelq
lier. La paralysie générale, même à marche aiguë, s'accompagne de troubles somatiques plus prononcés et présente une marche
marche spé- ciale. Dans le délire des dégénérés, il n'y a pas un trouble aussi profond de la conscience ni de perturbati
uefois que transitoire et dans beaucoup de cas il s'ac- compagne de troubles intellectuels, de mémoire chancelante. Le diagn
logiques, juin 1892.) XXXVIII. Maladie DE Friedreich accompagnée DE troubles trophiques chez un imbécile épileptique; par le
e nystagmus, l'em- barras de la parole, l'absence de la douleur, de troubles de la sen- sibilité, de troubles trophiques et
arole, l'absence de la douleur, de troubles de la sen- sibilité, de troubles trophiques et par l'intégrité de l'intelligence.
on d'un malade atteint de cette maladie chez lequel il a trouvé des troubles trophiques el un degré marqué de déchéance ment
où la sensibilité au chaud et au froid paraissent se confondre. Les troubles trophiques qui sont le point intéressant de cette
es extrémités chez un LS'l'1 : 31A\LAQUEj par le Dr T.wcowLV. Les troubles vaso-moteurs des mélancolique* sont décrits par
hypochondriaques, découragements, dégoût de la vie, présente les troubles vaso-moteurs suivants : sous l'influence d'une im
eut-être pourrait-on ramener les deux affections à une même cause : trouble vaso-moteur survenant, soit dans la circulation
tercurrente a provoqué la rémission ou la disparition momentanée du trouble mental chez les aliénés; les cas de ce genre so
nt mal définis : malaise inexpliqué, mau- vaise humeur non motivée, troubles du sommeil et de l'appétit, inaptitude du trava
fication de la personnalité se révèle au début non seulement par un trouble de l'aperception, mais aussi par un état émotio
ne pouvait pas, dans un certain nombre de cas, être attribuée à un trouble mental, et qui a pres- crit une enquête médico-
etour à un état analogue à un commencement de convalescence. 5° Les troubles cérébraux d'ordre purement psychique n'ont été
a affaire à une maladie somatique et non pas seulement à un simple trouble des idées : lassitude, impuissance, abattement,
des idées : lassitude, impuissance, abattement, céphalée, insomnie, troubles digestifs. Peu à peu, la dépression disparaît e
'un autre désordre intellec- tuel, le signe extérieur par lequel ce trouble se manifeste : c'est à ces états qu'il faut att
s suivantes : 1° les accidents hystériques sont la conséquence de troubles purement fonctionnels du système nerveux; 2° ils
lades. Il est impossible de nier que bien des discussions sur les troubles de la sensibilité, sur les suggestions, sur les s
S DE L'HYSTÉRIE. 423 de Reynolds', M. Charcot a montré que certains troubles graves du mouvement ne pouvaient être expliqués
ment hystérique 2. Les com- mémoratifs, l'absence de la fièvre, des troubles trophiques et de la réaction de dégénérescence,
umatique Quel que soit le mécanisme par lequel ces idées amèuent le trouble moteur, chorée ou contracture, etc., c'est la r
ls sont les mouvements des membres, les contorsions de la face, les troubles circulatoires et respiratoires qui accom- pagne
, mais pa- raissaient laisser de côté les accidents permanents, ces troubles du mouvement si bien résumés d'autre part par l
ouent dans l'hystérie un rôle capital; elles peuvent déterminer des troubles du mouvement les plus variés, elles donnent lie
erche à les mou- voir, on constate une certaine résistance. Comme troubles subjectifs il y a lieu de relever une sensation d
main et ne se produit que si le malade est émotionné. En plus des troubles de la fonction visuelle, on note : réflexe pharyn
, bien qup, le malade ne s'en soit pas aperçu,, dans la présence de troubles sensoriels et dans l'exagération des réflexes^ te
aladie. Il est permis de se demander si le processus morbide et les troubles fonctionnels ne sont pas aggravés par la pressi
el, relatés par l'auteur, l'opération indiquée dans ces cas par des troubles de la motilité des membres, a été suivie d'une
ne amélioration très marquée de l'état mental en même temps que les troubles de la motilité avaient disparu. Un autre des ma
asile quelques mois après l'opé- ration avec la mention guéri : les troubles de la parole, de la mé- moire et des céphalalgi
OGIE MENTALE. LXIV. BOULIMIE hystérique par accès s'accompagnant DE TROUBLES DE la régularité THERMIQUE; par STEFANI. (Riv.
rentes observations faites sur son malade, qu'il existe chez lui un trouble profond des fonctions régulatrices du calorique
tent sans action. D'ailleurs la question de savoir s'il s'agit d'un trouble dans la production ou la dispersion du caloriqu
iques, et qui fut pris subitement d'un accès maniaque furieux, avec troubles psycho-sensoriels, d'une durée très courte, aya
à l'atteinte morbide, tandis que les autres procédaient plu- tôt du trouble de la santé générale déterminé par cette atteinte
eu aucun rapport entre la gravité de la maladie primordiale et les troubles mentaux dont elle a provoqué l'éclosion ; ce qu
de sujets prédisposés. On a dit que l'influenza pouvait modifier le trouble mental chez un aliéné; l'auteur n'a constaté ce
ès temporaire; en revanche dans quelques névroses anciennes, sans trouble mental, dans la surdité nerveuse par exemple, il
s. R. M.-C. LXXXII. La KATATONIE EST-ELLE UNE forme particulière DE TROUBLE mental; par M. J. NOLAN. (The Journal of Mental
st surtout remarquable sont la céphalalgie, les vomissements, les troubles du langage, les convulsions et les lésions de la
le traitement de la folie; il signale notamment certains cas où le trouble mental est sous la dépendance d'une lésion orga
Il est cependant probable que nombre de personnes ne doivent leurs troubles mentaux qu'à l'épuisement produit par la rétentio
encore quelques observations. Il allègue que chez ces malades, les troubles fondamentaux ne sont point uniformément, sans d
taire, et que ce n'est que secondairement qu'ils s'accompagnent de troubles amalgamés. Ils se distinguent des cas de Veruckth
ront pas des ratiocina- tions théoriques qui décideront du genre de trouble intellectuel qui forge et ajuste ce délire, ce
uper. Ceci prouve que la persistance d'idées délirantes fixes, sans trouble du côté de la sensibilité morale, ne constitue
n cycle, maladie qui était représentée par les symptômes suivants : trouble de la connaissance; 'délire; paralysie plusieur
it affecté sans qu'il en fut résulté ni hémianopsie, ni aucun autre trouble visuel, et il explique comment l'erreur a pu se
eur a pu se procuire, en démontrant que dans les cas accompagnés de troubles visuels, la lésion n'avait pas seulement détrui
écédents que la première de ces parties ne joue aucun rôle dans les troubles visuels; la surface du cuneus et du lobulus lin
e pro- fesseur Bechterev; « De l'influence de la suspension sur les troubles oculaires des malades atteints des lésions médu
s, par de Bocke et Slasse, 93; Sailler, 9. Aliénation mentale par troubles de la nutrition, par Mairet et Bosc, 101. A
r Babès ei Blocq, 142 ; pa- thologie des émotions, par Féré, 142; troubles du langage chez les aliénés, par Séglas, 302; z
2; z paralysies et contractures hystéri- ques, par Richer, 304; - troubles de la marche dans les maladies nerveuses, par
de l'artère vertébrale, par 'l'elforcl Smith, 1·JJ. Equilibre, troubles de 1' consécu- tifs à une affection des canaux
le, 468. FH1EDHEICn, svndrome de -, par Farge, 266; 268 : -avec troubles trophiques,par Szcypiors- l,i,383. Génie et f
par Mouratof. 132; - bul- baire sans lésions, par Senator, 270 ; troubles sensitifs dans la t\n'iaie rhumatismale, par
12 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne des hôpitaux. Nous nous proposons d'appeler l'attention sur un trouble de la parole que l'un de nous a eu l'occasion d
la communication en question. Jusqu'à une époque toute récente, les troubles du langage et de la parole chez les hystériques
moindre mot ou même d'é- mettre le moindre son, n'est pas l'unique trouble qui se puisse observer. Celui sur lequel nous d
brisa le péroné. Mais il ne semble pas que la chute ait ramené les troubles de la parole. 4 PATHOLOGIE NERVEUSE." En juil
nnement par le plomb. po Symptômes nYSréayuc,s. Ils consistent en troubles de la sensibilité générale et spéciale. a. Se
is. Quand le malade mange, il lui semble qu'il mâche du coton. 3° Troubles DE la parole, BÉGAYKMENT. Le symptôme qui attire
ots. Mais il n'arrive qu'avec peine à les articuler, par suite d'un trouble Fig. 1. Fig. 2. 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. mé
- tion à l'improviste en sollicitant vivement une reponse, que le trouble s'accuse. Si on lui demande brusquement le nom d'
out le mot, mais en répétant plu- sieurs fois la même syllabe. 4° Troubles DE motilité. La difficulté de l'articulation coïn
les DE motilité. La difficulté de l'articulation coïn- cide avec un trouble manifeste de la motilité de la langue. En etl'e
ertainement pour une très large part au bégaye- ment. Mais d'autres troubles de la motilité concourent aussi à le produire :
29 novembre 1887 au 31 décembre, c'est-à-dire pendant un mois. Le trouble du langage est allé pendant ce temps en s'amélior
e à droite. De ce côté, la conjonctive est anesthésique, la vue est trouble , le malade ne voit qu'un brouillard ; pour qu'il
de différence entre la contractilité des deux côtés (fig. 5). Les troubles de la parole qui s'étaient déjà montrés lors de l
prononciation. 12 décembre. - Le malade présente toujours les mêmes troubles de la prononciation. Lorsqu'on insiste, il arri
ment déviée à gauche et animée. de tremblements fibrillaires. Les troubles de la parole persistent, mais notablement modifié
ues et se terminent en général parles brèves. la lecture, les mêmes troubles persistent. Du reste, ceux-ci sont plus marqués
taient animés d'un tremblement géné- ral ; ce tremblement joint aux troubles de la parole, avait fait, songer à la sclérose
rebelles au traitement, et sujette depuis la mort de son mari à des troubles intellectuels passagers. Oncle paternel présent
sies, et n'a pas remarqué chez lui, jus- qu'à ces derniers temps de troubles de la sensibilité. Il a un caractère très vif,
ut son côté gauche et une insen- sibilité absolue du même côté. Ces troubles persistent le lende- main. Néanmoins, la parole
fondément altérée. 11 entre alors à l'Hôtel-Dieu. État actuel. 1° Troubles de la parole. - L'orsqu'on interroge le malade,
il le ré- pète immédiatement lorsqu'on le prononce devant lui. 2° Troubles de la sensibilité.-Anesthésie complète du côté ga
té visuelle et le champ visuel sont très diminués au côté droit. 3° Troubles de la motilité. Le membre inférieur gauche, est
iques rapides, plus étendus que les mouvements fibrillaires. Pas de troubles de la DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQUE. 15 motilité d
particulièrement des passages de ces observations rela- tifs aux troubles de la parole, donnera mieux que toute descripti
donnera mieux que toute description didactique une idée exacte des troubles en question. Nous avons cru devoir nous servir
avons cru devoir nous servir du terme bégaiement pour désigner ces troubles . Quelque reproche qu'on puisse - adresser à cet
ité, d'ailleurs, défectueuse. - Chez Cab..., nous trouvons : 1° des troubles de la sensibilité générale : une anesthésie dif
ou- leur, avec zones hypéresthésiques (voir fig. 1 et 2) ; 2° des troubles de la sensibilité spéciale : une diminu- tion c
é spéciale : une diminu- tion considérable de l'ouïe, à gauche; des troubles de l'odorat et du goût (il lui semble, dit-il,
: 1° de la parésie des membres supérieur et inférieur droits; des troubles de la motilité de la face (clignote- ment, rétr
que sa prononciation avait été correcte, jus- qu'à l'apparition des troubles de la parole dont nous nous occupons. Ceux-ci s
gulièrement, dès que le malade était dans un bain. Chez Dr... les troubles de la parole sont survenus brusquement à la sui
ome au mutisme, ainsi que l'indique M. le professeur Charcot^ Les troubles de la prononciation qui constituent le bégaieme
décrire exactement et d'en bien faire ressortir les nuances. Les troubles de la prononciation portent à la fois sur les l
rapproche le bégaiement hystérique du bégaiement vulgaire. , Les troubles de la prononciation portent surtout sur les mot
avons fait chanter un de nos malades (OBs. III) et constaté que les troubles de la parole, sans disparaître, étaient beaucou
s DU bégaiement hystérique. 23 haut, et n'insisterons pas sur les troubles de sensibi- lité que nous avons notés au niveau
cales. Ce n'est donc pas de ce côté qu'il faut chercher la clef des troubles de la parole qu'il a présentés. Nous n'avons
sont autrement importantes. Chez Cab..., nous trou- vons notés des troubles manifestes de la motilité de cet organe. La poi
aux petites oscilla- tions constatées chez le malade. A côté des troubles de motilité de la langue, il est intéressant de
idents et animés de contractions irrégulières. Il est clair que ces troubles doivent entrer pour beaucoup en ligne de compte
uer comme à cette dernière, une origine corticale, et à y voir un trouble dans les représentations motrices néces- saires
ésentations motrices néces- saires à l'articulation des mots. Les troubles que nous avons notés du côté de la langue, du p
du bé- DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQUE. 23 gaiement hystérique avec les troubles de la parole, qu'on observe dans la paralysie g
y avons déjà fait allusion brièvement. Rappelons seulement que les troubles de la parole joints à un tremblement marqué des
la présence des stig- mates hystériques suffiront à différencier ce trouble des diverses variétés du bégaiement vulgaire, s
utorisés à affirmer l'existence d'un bégaiement hysté- rique. Si ce trouble n'a pas été jusqu'à ce jour, décrit par le déta
re pré- v venu du fait, si l'on ne veut s'exposer à confondre les troubles de la parole dus à la névrose, soit avec ceux q
ONS 1. Chez les indiyidus atteints d'hystérie on peut observer un trouble transitoire de la parole, qui 1 Cartaz. - Du mu
s observé le bégaiement hystérique que chez des hommes. Il[. - Ce trouble est d'ordinaire consécutif à une attaque d'apha
t d'aggravation. V. - Nous l'avons toujours vu s'accompagner de troubles de la motilité de la langue (parésie, déviation
s, et qui offrait également, du côté de la tête et de l'épaule, des troubles cloniques constitués par des mouve- ments bizar
er ? D'abord, et dans une première analyse très superficielle, ce trouble étant caractérisé par des contractions anormales
grande difficulté. Durant les sept ou huit mois qui ont suivi, les troubles locomo- teurs ont été remplacés par des sifflem
ver que l'état mental du sujet n'est pas absolument normal. - Les troubles psychiques en question peuvent être fort atté-
taté ni rétrécissement du champ visuel, ni anesthésie pharyngée, ni troubles sensitifs quel- conques. Cette constatation est
nce des urines et des matières fécales. Bientôt, se manifestent des troubles de la nutrition ; il survient un décubitus cous
rieurs et d'in- continence des sphincters. Bientôt, surviennent des troubles tro- phiques : décubitus fessier, oedème des pi
trace de son tétanos. C'est un épileptique en voie de démence avec troubles mentaux. Il y a, outre la coexistence des deux
tes dans un sens déterminé, etc., mais on ne saurait voir entre ces troubles d'é- quilibration et la lésion dû lobule pariét
nes. Pour qu'une relation directe entre le siège d'une lésion et le trouble fonc- tionnel correspondant soit établie il fau
le trouble fonc- tionnel correspondant soit établie il faut que ce trouble se produise chaque fois que le même territoire
. La douleur vertébrale n'est pas caractéristique, pas plus que les troubles nerveux; la gibbosité et la constatation d'un a
égion occipitale, vomissements, vertiges persistants accompagnés de troubles de l'équilibre tilubation céré- belleuse, chute
thotonos), convulsions épilepliformes ou trem- hlement choréiforme, troubles oculaires (strabisme, amaurose pré- ,coce), enf
ois observation personnelles. Dans l'une (Obs. 1), la chorée et les troubles psychiques émanaient du saturnisme. Dans la sec
n haut, mais intégrité de tous les autres mouvements des yeux ; nul trouble de la vision. Impossible de savoir s'il y avait
- Névrite multiloculaire ET ataxie ; par E. Jendrassik(I6ï(Z).; UN trouble PSYCHIQUE combiné A la NÉVRITE multiloculaire (
vingt-neuf (72,5 p. 100) dont l'oreille interne était anormale, les troubles de l'ouïe pouvant se produire à n'im- porte que
ne détermine pas de douleur. Ce signe physique a pour cortège les troubles fonctionnels de la dyspepsie gastru-intestinale,
e organe l'un par rapport àl'autre. M. Heddoeus conclut que : Les troubles de la motilité des pupilles dépendent toujours de
des oscillations rythmiques perceptibles surtout dans la cuisse; le trouble de la locomotion peut entraîner la chute avec imp
et exagération des réflexes tendineux des extrémités droites, sans trouble de la sensibilité. Céphalalgie, sopor, affaibli
utèrent, parésie avec contracture des extrémités gauches sans aucun trouble de la sensibilité. Intégrité du facial jusqu'à la
e. Comme dans toutes les observations de ce genre, ni paralysie, ni troubles de la sensibilité. Etude cri- tique comparative
ctif, même dans le système nerveux ; leur multiplication indique un trouble de la nutrition par pro- cessus inflammatoire.
chez lui la sensibilité du seul côté affecté on n'y remarque pas de troubles ou simplement des troubles légers. P. K. XXVII.
seul côté affecté on n'y remarque pas de troubles ou simplement des troubles légers. P. K. XXVII. Le CONTENU E1TOPTIQUE DE L
s, la neurasthénie entre dans une seconde période qui est celle des troubles mentaux élémentaires. 3° Que ces troubles élé
riode qui est celle des troubles mentaux élémentaires. 3° Que ces troubles élémentaires peuvent, soit avoir une termi- nai
t graduellement aggravés. R. M. C. VII. Sur UNE nouvelle forme de trouble ment\l présentant DES CARACTÈRES BIEN DEFINIS T
a majorité des psychoses curables, dans lesquelles l'existence d'un trouble émotionnel est le trait do- minant, c'est le tr
existence d'un trouble émotionnel est le trait do- minant, c'est le trouble primitif des facultés intellectuelles qui joue
iffère par plusieurs points essentiel- de cette forme de folie. Les troubles mentaux qui précèdent ou accom- pagnent un rapi
furent constitués par cette mo- bilité de l'humeur si spéciale, les troubles de la parole et notam- ment les troubles de l'a
l'humeur si spéciale, les troubles de la parole et notam- ment les troubles de l'articulation des lèvres, de la langue, du
hilitique ? Les accidents tabétiques du para- lytique sont dus à un trouble de nutrition, ainsi que le montre l'épuisement
éclzcllaire constitué par lit thcr- manesthésie, l'analgésie et les troubles sudoraux ou vaso moteurs . (Substance grise lat
syringomyélie, car les symptômes bulbo- spinaux en général, et ces troubles en particulier, sont en rapport non pas avec la
Une des parties les plus intéressantes de l'ouvrage est l'étude des troubles somatiques permanents des épileptiques et des phé
odique, et la griffe radio-tabétique, parfois le tremblement. Les troubles polyomyélitiques médians sont : 1° des troubles
le tremblement. Les troubles polyomyélitiques médians sont : 1° des troubles trophiques cutanés (variétés d'eczéma, d'urtica
e, cre- vasses, hyperliératinisalion ou cannelures des ongles ; des troubles trophiques sous-cutannés, panaris analgésiques
ie de Morvan, des phlegmons, des abcès de la paume de la main ; des troubles trophiques arti- culaires et osseux (fragilité
lonne vertébrale, de préférence la scoliose et la cyphose; - 3° des troubles vaso-externes, cyanose des doigts, oedème de la
us, très importants s'ils existent au début de la maladie; - 5° des troubles oculo-pupillaires : rétrac- tion de l'ouverture
cher du doigt des oeuvres de médecins éclairés '. P. KERAVAL. LES troubles PSYCHIQUES dans l'armée EN TEMPS DE paix et EN TE
rt, d'où la démence précoce en pareils cas souvent accompagnée de troubles moteurs. Il serait à désirer que l'Allemagne eût
t elles-mêmes été éludiées à leur tour. Nous connaissons les divers troubles tro- .\ncmvHa, t. 1\. ' 10 , 146 PATHOLOGIE N
l'accroissement exa- géré des poils, l'herpès. Nous savons que des troubles sensitifs peuvent s'y rencontrer, tels que l'hy
plus maigre in loto que celle du côté opposé. Il n'existait pas de troubles trophiques ni vaso-moteurs. On constatait seule
eure de la jambe, en dehors du '( tibia, à la face dorsale du pied. Trouble de la sensibilité également à la face plantaire
est tombant et traine sur le sol. Ici nous voyons nettement que les troubles ont porté tout d'abord sur le tronc tout entier
ée au même auteur, nous assistons à la localisation graduelle des troubles morbides au nerf sciatique poplité externe. A c
suite d'un abcès de la fosse iliaque, une névralgie du crural avec troubles de la sensibilité bien nettement localisés au d
une anesthésie sur laquelle nous re- viendrons plus loin. - Pas de troubles sensoriels : la vue, l'ouïe, l'odorat, le goût
oureuses les plus aiguës, jamais il ne s'est tenu de travers. Les troubles de la sensibilité qui occupent la jambe gauche so
de la jambe. (V. la fig. 11.) 2 Sensibilité à la température. - Le trouble est distribué de même façon pour le chaud et le
douloureux, généralisés sur tout le trajet du nerf, font place des troubles paralytiques localisés au domaine du nerf tibia
bservation qui suit est presque calquée sur la précédente quant aux troubles Fiy. 13. - Anesthésie au contact chez le malade
né est resté intact. Observation VIII (personnelle). Sciatique avec troubles de la1noti- lité et de la sensibilité dans le d
a pas d'atrophie des muscles de la cuisse ni de la fesse. - Pas de troubles hophiques. - Aucun symp- tômes de syringomyélie
es de la région antéro-externe de lajambe. La malade ayant parlé de troubles utérins, d'une métrite avec déplacement de cet
lques mois après un accouchement et de plus elle disait souffrir de troubles utérins avec déplacement de cet organe. On aura
sciatique simple non traumatique. On a vu que chez cette malade les troubles de la sensibilité étaient moins accentués et mo
t. Dans l'observation qui suit, ils sont à peu près nuls. Seuls les troubles de la mcti- lité dominent toute la scène. Il s'
réaction de dégéné- rescence. Enfin dans l'OBSER- VATION IX', les troubles de la sensibilité sont à peine appré- ciables
, les troubles de la sensibilité sont à peine appré- ciables, les troubles moteurs dominent toute la scène. Arri- vons m
on X (personnelle). -Sciatique ancienne avec atrophie musculaire et troubles de la sensibilité. Marie B..., âgée de 57 ans,
. En résumé que trouvons-nous chez cette femme ? 2 D'une part des troubles de la motilité et d'autre part des altérations
ilité. En ce qui concerne la motilité, nous voyons qu'il existe des troubles de deux ordres : tout d'abord une véritable par
assez marqué des deux segments du membre inférieur. Ces derniers troubles sont ceux que l'on connaît depuis longtemps dan
sujet des observations précé- dentes. Examinons d'autre part les troubles de la sensi- .lacmvES, t. XX. 12 - 118 PATHOL
t connexe avec l'amaigrissement général du membre, tandis que les troubles sensitifs profonds localisés dans le domaine du
tatée dans les muscles animés par ce même ^tronc ner- veux. Les troubles moteurs et sensitifs sont donc faci- lement exp
phénomènes morbides.. Observation XL (Personnelle.) Sciatique avec troubles moteurs et sensitifs dans le domaine du sciatiq
antaire. Il est à remarquer que le cou de pied présente les mêmes troubles de la sensibilité que le reste du membre, c'est-à
'est-à-dire que la cuisse et la partie postéro-interne de la jambe, troubles eux- mêmes identiques à ceux de la moitié gauch
les eux- mêmes identiques à ceux de la moitié gauche du corps. Ni troubles trophiques, ni troubles vaso-moteurs. Pas d'amai-
ues à ceux de la moitié gauche du corps. Ni troubles trophiques, ni troubles vaso-moteurs. Pas d'amai- grissement notable du
e partie du membre inférieur, elle présente identiquement les mêmes troubles sensi- tifs que la moitié gauche du corps : the
e identique chez la femme de l'OBSERVATION X nous avons conclu à un trouble dépen- dant de la sciatique, analogue à ceux qu
attribuant à la sciatique dans laquelle nous connaissons déjà des troubles semblables ? Il en était tout autrement chez M.
e ce' nerf, le sciatique po- plité externe, et caractérisée par des troubles moteurs et sensitifs portant sur le territoire
elle atteint le degré le plus élevé s'accompagne le plus souvent de troubles psychiques et fréquemment de tendances au suici
variété de la chorée chronique. « La chorée chronique présente des troubles moteurs de même ordre que la chorée de Sydenham
ans l'hystérie pathologique, autrement dit dans ces périodes où les troubles hystériques se manifestent soit par la grande a
se en cause, et que l'on rend fréquemment la névrose responsable de troubles réellement organiques. Les deux conclusions sem
primer l'incertitude où l'on se trouve quelquefois de distinguer le trouble fonctionnel de l'altération organique. la névro
n tour une névrosée. Dans ce cas, la ligne de démarcation entre les troubles anatomiques et fonctionnels est encore plus dif
? Six mois après la mort de son père, la jeune fille pré- senta des troubles menstruels très prononcés, puis survint une cép
pathogénie, je me bornerai à conclure que notre malade présente un trouble du système nerveux localisé dans le mésocéphale
est impossible de déterminer d'une façon certaine s'il s'agit d'un trouble purement fonctionnel (la malade n'étant alors q
urs succès, puis lasolanine, Enfin, si la médication rationnelle du trouble fonctionnel reste sans effet, nous devrons conc
inaperçus. Quelques vertiges, des étourdis- sements passagers, des troubles intellectuels (Lan- ceraux') peuvent seuls le r
ceraux') peuvent seuls le révéler. Dans ces cas, on a signalé des troubles paralytiques fugaces qui ont dis- paru dès que
Cette localisation spéciale donnait lieu à une forme , Leude ! . - Troubles des nerfs périphériques il la suite de l'asplty.1
à la suite de l'empoisonnement par lè charbon (Faure, Valentin). Le trouble le plus fré- quent est l'anesthésie localisée à
consécutif à l'in- toxication oxycarbonée. Bien plus souvent, les troubles de la sensibilité viennent compliquer les paral
rmillement paraissent toujours précéder le retour de la motilité. Troubles de nutrition. - Bien plus fréquents sont les tr
a motilité. Troubles de nutrition. - Bien plus fréquents sont les troubles de la nutrition. Ils ont été signalés dans pres
ant sur le trajet du trijumeau paralysé, de vésicules d'herpès ? de troubles trophiques variés. C'est ainsi que dans un cas
chée; quelquefois l'anesthésie subsistait après la disparition 'des troubles paralytiques. La mort ne s'observe que dans des
es sur les névrites provoquées- par l'intoxication oxycarbonée; les troubles paralytiques apparaissent seulement vingt jours
D'abord, localisation à un membre inférieur, ensuite paraplégie, troubles des sphincters, paralysie des membres supérieur
ions des nerfs dans deux ou trois cas où il y eût des eschares sans troubles paralytiques (observations de Klebs, de Leudet,
té de l'hémiplégie et même des paralysies généralisées il y a des troubles moteurs localisés à certains groupes de muscles
par l'inflammation des nerfs périphériques qu'il ex- pliquait les troubles de sensibilité et de nutrition qu'on observe à
seurs du pied et de la main-- puis, dans ces cas, la coexistence de troubles trophiques variés, plaques rouges sur le trajet
t des nerfs, zona, bulles de pem- phigus, vésicules d'herpès, et de troubles limités de la sensibilité, - enfin, la disparit
les désordres de la sensibilité nettement limités, l'existence de troubles trophiques, l'absence de contractilité~fa- radi
provocateur de l'hystérie, celle-ci se manifes- tant alors par des troubles paralytiques. Malheureu- sement la plupart des
'origine névropathique des acci- dents leur disparition rapide, les troubles de la sen- sibilité, l'âge peu avancé des sujet
'apparition est provoquée par l'oxyde de carbone donnera lieu à des troubles sensitifs, à des troubles moteurs ; il est auss
par l'oxyde de carbone donnera lieu à des troubles sensitifs, à des troubles moteurs ; il est aussi naturel d'admettre qu'el
ues que deux éléments étaient nécessaires pour la production de ces troubles moteurs d'origine psychique, à savoir : 1° un é
ts longtemps, parfois même plusieurs mois, après la blessure. Les troubles sensitifs n'occupent point seulement la région
volontaire fut un instant supprimé dans les doigts. La durée de ces troubles ne dépassa pas trois minutes. Bilroth admet 2 q
du membre où le coup a porté, soit sur le membre tout entier divers troubles transitoires de la sensibilité et du mouvement,
e qui nous a semblé indemne d'autres manifestations hystériques des troubles moteurs et sensitifs consécutifs à un traumatis
sés que les phénomènes or- dinairement attribués au choc local, ces troubles ont été tran- sitoires ; ils ont réalisé ce rud
éréditaires. - Rien de spécial à signaler. Il n'y a jamais eu aucun trouble nerveux ni chez ses ascendants, ni chez ses frè
omatopsie.-Le48, MD : 34. MG : 34. Il ne reste plus de vestiges des troubles sensoriels et moteurs des jours précédents. L
, peuvent dispa- raître quelquefois à l'occasion de l'apparition de troubles hysté- riques locaux. Nous ne constatons aucun
parition de troubles hysté- riques locaux. Nous ne constatons aucun trouble de la sensibilité cutanée : la chaleur, le froi
p visuel ni d'achromatopsie. - Dans l'observation précédente, les troubles de la sensibilité ne peuvent être attribués à u
sie nous en dispense. Notre cas doit au contraire par la nature des troubles sen- sitifs être rangé à la fois à côté des phé
quelque sorte entre les conséquences fugitives du choc local et les troubles fonctionnels parfois de longue durée de l'hysté
e (43 femmes, 4 hommes) donl ne donne que 7 cas écourtés à dessein. Troubles subjectifs de la sensibilité existant en perma-
mis,engourdis, picotant,trop épais comme s'ils allaient crever; ces troubles subissent par accès une recrudescence dans l'in-
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. infection, lésions organiques de la moelle, troubles hystériques, alcoolisme, asphyxie locale, éryth
- 06s. V. Névrose diabétique paraissant dépendre de la glycosurie. Troubles cérébraux. Accidents du côté de la motilité de
et des réflexes tendineux. P. K. XXXVI. UNE FORME particulière DES troubles DU mouvement DE la PUPILLE; par SALGO. (Centr.
res nerveux, la convergence demeure in- tacte, tandis que, dans les troubles fonctionnels, la convergence est nettement affe
t d'une espèce de nystagmus des deux yeux. Si l'on en rapproche les troubles de l'équilibre ceux de la déglu- tition concomi
rmie simultanée du même côté, - mydriase droite - indiquent ici des troubles du sympa- thique cervical. L'existence concomit
trijumeau; intégrité de la sensi- bilité, intégrité des os, pas de troubles vasomoteurs. Atrophie simultanée du bras du mêm
anifestations. P. K. LXVII. Un cas DE dyslexie (type-Berlin) avec TROUBLES DE l'écriture; par L. Bruns (Neurol. Centralbl.
par Berlin. Sorte de lexophobie concomitante. - Voici en outre des troubles de l'écriture pour la première fois constatés a
lcoolisme etc.). Ils sont toujours (textuel) accompagnés d'un léger trouble de la connaissance. Deux obser- vations. - ORS.
à la folie. Le mé- lancolique et le stupide subissent en effet des troubles de nutrition et offrent un terrain favorable au
mmun, que la maladie a débuté par de l'épilepsie jacksonnienne sans troubles psychiques, puis finalement, longtemps après, t
t l'appareil symptoma- tique de la paralysie générale (convulsions, troubles somatiques) ; la pie-mère, transformée en une c
personnes provient de ce que les aliénés ne peuvent, par suite d'un trouble fonctionnel, appeler à leur aide la mémoire des
rsque l'intelligence est affaiblie (démence), lors- qu'il existe un trouble de la sensibilité morale et affective (humeurs
res, il manque encore totalement, bien qu'à présent on ne trouve ni troubles de moti- lité, ni troubles de la sensibilité, n
ement, bien qu'à présent on ne trouve ni troubles de moti- lité, ni troubles de la sensibilité, ni modification de la réaction
, malgré l'affaiblissement intellectuel évident, ainsi que quelques troubles trophiques. Si l'on envisage la gravité de l'ép
r l.,NONNE. (Neurol. Centralbl., 1888.) Nouveau fait de guérison de troubles fonctionnels du système nerveux, réfractaires à
las rapproche de ce cas un cas analogue dans lequel la guérison des troubles psychiques eut lieu à la suite d'une ovariotomi
n accouchement et à l'occasion d'accidents puerpéraux, fut prise de troubles intellectuels avec intervalles d'excitation, qu
hallucinations, idées de couleur mystique relatives au spiritisme, troubles de la mémoire et de la marche, qui ont per- sis
ent mystique dans les premiers jours, hallucinations hypnagogiques, troubles de la mémoire pré- dominants et très accentués.
ment de la maladie sur un terrain prédisposé et entaché d'hystérie ( troubles de la sensibilité, boule, attaques convulsives
. D'un autre côté, les auteurs mettent en relief l'importance des troubles de. la mémoire ayant atteint même la mémoire orga
yant perdu même les actions automatiques secondaires. En effet, les troubles de la marche et de la station debout qu'elle pr
intéressante sur les démences précoces. La démence précoce est un trouble mental, incurable et chro- nique, survenant che
iniquement, il les divise en trois groupes, suivant l'intensité des troubles du langage, complets chez les uns, très bornés ch
re droit. M. Dubuisson pense que la perte de substance est due à un trouble vasculaire ayant déter- miné une lésion destruc
rtère sylvienne gauche. Il y a donc lieu de supposer que c'est à un trouble circulatoire qu'il faut rapporter le processus
enus, et une plus longue période d'observation. Chaque fois que des troubles psychiques sont constatés, ou doit prescrire un r
rais, pour le diagnostic certain desquels il faut la démence et les troubles caractéristiques de la parole, alors même que le
suivie de névralgies, convulsions et crampes musculaires, ou autres troubles du système nerveux périphérique des plus pénibl
l'a guéri de sa lésion locale, mais elle parait avoir augmenté les troubles nerveux et psychiques. On le guérit à l'asile e
ières, qu'il n'envisage d'ailleurs que dans leurs rapports avec les troubles sensoriels. Il montre que dans certains cas de
is de mélancolie délirante et de maladie de Basedow. Chez elle, les troubles mentaux étaient des plus caractéristiques.. Ant
apparence épileptiforrne ; puis la suite, nouvelle exacerbation des troubles délirants; elle ne sait ce qu'on lui veut, ne com
réapparu avec l'exa- cerbation du délire. Ce parallélisme avec les troubles délirants et le peu d'intensité des symptômes p
te de connaissance, sauf dans les cas graves; il peut coexister des troubles sensoriels divers et des troubles gastri- ques.
cas graves; il peut coexister des troubles sensoriels divers et des troubles gastri- ques. Les vertiges se modifient suivant
ion intermittente du coeur et du rein pendant la première période ; troubles viscéraux, urémie, troubles nerveux de la deuxi
t du rein pendant la première période ; troubles viscéraux, urémie, troubles nerveux de la deuxième phase de la maladie. Ces t
x, urémie, troubles nerveux de la deuxième phase de la maladie. Ces troubles nerveux peuvent porter sur la moelle (paraplégi
s). Le vertige appar- tient à une période antérieure à ces derniers troubles ; on le rencontre chez beaucoup d'artério-sclér
sont rangés par M. Grasset, comme l'a fait -'1. Huchard, parmi les troubles de l'ar- tério-sclérose à localisation sur le s
moire spécial. (B.) 296 varia. thodes pour étudier les différents troubles de la marche, de la sensibilité, du mouvement,
che, de la sensibilité, du mouvement, des réflexes, du langage, les troubles trophiques, etc., sont décrites avec grand soin
très logique. - Pourquoi décrire d'abord et d'une façon séparée les troubles de la marche, et passer ensuite à ceux de la se
de guide pour l'étude de la physiologie pathologique des différents troubles nerveux, et sur- tout pour les procédés à emplo
tion, de super- cherie, et par une aptitude à reproduire tous les troubles fonctionnels imaginables. De là le dédain manif
elle ne se trouve pas, et à lui attribuer presque exclusivement des troubles fonctionnels dont elle n'est pas l'unique dépos
oursuivons. On se trouve en présence d'un malade qui est atteint de troubles hystériques divers et qui en outre est affecté
r alors, comme dans notre dernière observation de mutisme, que le trouble de la sensibilité relève de l'hystérie ? Assuré-
groupes de manifestations hys- tériques ; à l'un appartiennent les troubles auxquels l'hystérie seule paraît capable de don
ommuns à l'hystérie et à d'autres maladies. Cette distinction des troubles hystériques en deux groupes n'est peut-être pas
et à quelques autres particularités urologiques' quand il s'agit de troubles nerveux qui se manifestent sous forme d'accès.
ende de l'hystérie. On pourrait nous objec- ter, toutefois, que des troubles nerveux peuvent pren- dre la place les uns des
para- lysie faciale'. Je ne veux pas soutenir, pourtant, que les troubles hystériques soient seuls susceptibles d'être re
que le pouvoir de reproduire, avec une exactitude rigoureuse, des troubles fonctionnels, sinon exclusivement, du 1 Voir Sp
Les caractères sur lesquels on peut s'appuyer pour soutenir qu'un trouble nerveux donné dépend de l'hys- térie sont, comm
le encore il a eu une attaque, et comme on le voit, il présente les troubles que nous venons de décrire, depuis plus d'un mo
rynx et le voile du palais sont insensibles. Le malade présente des troubles visuels des deux yeux; il y a de l'amblyopie légè
NTQUE NERVEUSE. et dit que depuis un mois il n'a plus éprouvé aucun trouble . Les signes constatés, lors du premier examen,
a malade fut prise tout d'un coup dans le milieu de la journée d'un trouble de la vue caractérisé par l'ap- parition dans t
son attention de ce côte, qui est venue se plaindre d'éprouver ces troubles visuels. Notre ami M. Parinaud a bien voulu exa
en dirons autant de l'aphasie et de l'hé- miplégie permanente; ces troubles ne sont déve- loppés chez aucun de nos malades,
u d'altérations anatomiques à l'examen oph- talmoscopique, certains troubles fonctionnels de la vue comme diplopie, dyschrom
estphal, signe de Romberg, ataxie, altéra- tions de la sensibilité, troubles de la miction, etc. - DE LA PERCEPTIBILITÉ DIFF
ire et la monoculaire au profit de la première ? S'agit-il ici d'un trouble fonctionnel, causé par l'ha- bitude défectueuse
é parla vision binoculaire; 3° l'éblouissement d'un des deux yeux trouble la perceptibilité différentielle de son congé-
git d'actions destructives, nous n'avons eu à enregistrer que des troubles relativement faibles du côté de la perceptibi-
elle (quand nous disons relativement, cela signifie par rapport aux troubles d'autres fonctions de l'organe sensoriel), tand
n plus élevée, qu'elle aurait dû l'être en rapport avec le degré du trouble de la perceptibilité différentielle examinée à
us crûmes être de grande valeur pour le diagnostic différentiel des troubles liés aux affections rétiniennes, - diagnostic s
e la vision. Aussi nos recherches ne portaient pas autant sur les troubles respectifs de la perceptibilité différentielle
ptôme de relation ». Ce symptôme divise la série toute entière de troubles visuels dans les maladies du système ner- veux
t vis-à- vis de ces deux facteurs. Chez tous les hystériques, les troubles de la perceptibilité différentielle pour la visio
rentielle ajoute un symptôme de plus au diagnostic différentiel des troubles occulaires dans ces deux maladies. - 38 Ik PH
que la perceptibilité diffé- rentielle peut rester normale dans les troubles chroma- tiques les plus accusés ; mais, quant à
optée par nous ne permettant pas facilement la détermina- tion de troubles chromatiques faibles. CLINIQUE MENTALE FOLIE
dans cette communication' n'est pas de faire une étude complète des troubles de la mémoire, mais simplemènt d'attirer l'atte
it débuté peu de temps après son accouchement et indiqué différents troubles de la mémoire qu'elle avait présentés à ce mome
es crises d'aspect épileptique observées par son mari, et aussi les troubles actuels de la sensibilité, prédominant surtout
les actuels de la sensibilité, prédominant surtout à gauche, et les troubles du mouvement. Le caractère même de la malade fa
us n'insistons pas sur ces détails pour arriver tout de suite aux troubles intellectuels plus importants qui ne sont, en som
llectuels plus importants qui ne sont, en somme, que le résultat de troubles de la mémoire très étendus et dans lesquels vie
admis, essayons de déterminer l'étendue, l'origine et la nature des troubles de la mémoire. Nous savons, d'après les travaux
pourraient-elles être restées intactes chez une femme qui, avec les troubles de la sensibilité tactile aux membres inférieur
il est vrai, constaté objectivement dans les membres supérieurs des troubles de sensibilité analogues à ceux des membres inf
oiries différents aspects sous lesquels se présentent chez elle les troubles de la mémoire intellec- tuelle. Pour se rappele
sprit. folie puerpérale; amnésie, etc. 401 dans tous ces cas, les troubles de la mémoire sont justiciables du mécanisme qu
'état mental de cette malade pour montrer qu'il ne s'agit là que de troubles de la mémoire, et que, loin d'avoir affaire à u
erprétation. Sans aucun doute, les pigeons opérés ne montrent aucun trouble ni de la station ni de la locomotion. Ils garde
cherches), régions sur le compte des- quelles on met la perte ou le trouble des fonctions. Un coup d'oeil sur la figure 37,
ntres relatifs peuvent avoir et ont été souvent détruits sans aucun trouble de la fonction avec laquelle ils sont supposés
prise de dou- leurs lancinantes dans la région pariétale gauche, de troubles de la vue (hémianopsie latérale droite), de cri
American Jonrnal of medic. Sciences, 1887, p. 342. P. K. LVI. DES TROUBLES DE la VUE ET DE leur hiérarchie par rapport aux
E. BITOT. (Echo méd. de Toulouse, 1888.) XLII. DE la simulation DES troubles psychiques; par'FUERSTNER. (Arch. f. Psych., XI
le ar- rive à la dernière. Dessins à l'appui. P. KERAVAL. LV. Des troubles psychiques DE la SÉNILITÉ; par Fuerstner. (Arch
en avoir conscience (amnésie). C'est le dé- sordre sensoriel ou le trouble du discernement visé par le para- graphe 2 du C
onsécutive. Plusieurs tentatives de suicide. P. K. LXVI. DES DIVERS TROUBLES mentaux OBSERVÉS dans la névrite alcoolique mul
us gêné z ralement, dure quelques heures, tient probablement il des troubles fonctionnels des centres vasomoteurs et régulat
atomie pathologiqne et aux localisa- tions cérébrales de ces divers troubles du langage articulé. Ce livre est parfaitement
tement au courant de la science actuelle. Georges GUINON. XX. Des troubles trophiques dans l'hystérie; par Al. ATHANASSIO.
es tissus et connus en neuro- pathologie sous le terme générique de troubles trophiques. Le tra- vail de M. Athanassio saper
névroses et en parti- culier de l'hystérie. » L'auteur a classé les troubles trophiques de l'hystérie en quatre catégories :
classé les troubles trophiques de l'hystérie en quatre catégories : troubles trophiques de la peau et de ses dépendances, tr
catégories : troubles trophiques de la peau et de ses dépendances, troubles vaso-moteurs et secrétoires, troubles du tissu
peau et de ses dépendances, troubles vaso-moteurs et secrétoires, troubles du tissu cellulaire, atrophie musculaire. On pour
de vue; les sueurs locales, par exemple, rangées dans la classe des troubles vaso-moteurs et secrétoires, peuvent être consi
les vaso-moteurs et secrétoires, peuvent être considérées comme des troubles des dépendances de la peau; de même les lésions
sys- tème nerveux, par Bianchi, 295; aphasie, par Bateman, 444; troubles trophiques dans l'hysté- rie, par Athanassio, 4
dans le système nerveux de l'homme, par Rosenheim, 86. Cerveau , troubles d'équilibration dans deux cas de tumeurs du l
ent consécutif des - trépanés, par Erluniger. 249. Équilibration, troubles d' dans deux cas de tumeur du lobe parié- tal
multiloculaire et ataxie. par Struempell, Jemlrassilc, 73 , avec troubles psychiques, par Korsakow, î : 4; ascendante a \
dante a \ec paralysie réflexe de la moelle, par 'l'Ilissen, 2H; - troubles men- taux dans la - alcoolique, par 'J'illlig
ague, par Pick, 439. Psychiqui : (Faiblesse) par Wit- towsln, 8t; troubles dans l'armée, par Dietz, 135 ; affai- blissem
TABLE DES MATIÈRES symptômes par Heddoeus, 76 ; forme spéciale de troubles par Salgo, 239 · - immobilité ré- flexe, par
Berkhan, 112. SENS musculaire, par Hitzig, 133. Simulation des troubles psychiques, par Fuerstner, '3G. Société, fran
champ visuel eutoptiqne dans la hallucinatoire, par Hoppe, 96; - troubles de la - et lésions du lobe occipital, par Moore
13 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
nsibilité anormale au froid, et transpiration conservée. ' Pas de troubles moteurs ni sensitifs ; les réflexes sont en génér
ment depuis l'âge de 22 ans ; à la même époque elle a présenté des troubles oculaires. A l'asile, le diagnostic de paraly
ain elle s'affaisse subitement et meurt d'embolie pulmonaire. , ' Troubles oculaires. A 22 ans (1901), la malade se réveille
gonflés. Les milieux de l'oeil ne présentent pas d'altérations. Ces troubles oculaires n'appartiennent pas sans aucun doute au
L'examen des membres au point de vue de la motilité ne montre aucun trouble , c'est à peine si on trouve une raideur passagère
Dans quelques cas on note des hématémè- ses et des hémoptysies, des troubles urinaires passagers, rétention d'urine nécessit
ordant l'étude des mouvements volontaires. Il est bien vrai que des troubles très intensifs de ces mouvemenls sont constatés c
. à -i Après, cette courte relation, commençons la description des troubles que nous avons constatés en étudiant, les mouve
ernick'e);' pour l'absence- de lu titubation 'cérébe))éùse 'et' des troubles de la sensibilité ; 4° pour des' rais'orisfarl'àt
pasmodiques involontaires et passagères ; mouvements athétosiques ; trouble très grave de l'action volontaire des muscles.
dans les corps striés. La méthode d'après laquelle j'ai examiné les troubles des mouvements actifs, dans ces cas, fut inspir
es étaient capables de comprendre le sens de mes ordres et si leurs troubles n'étaient pas causés par l'élément psychique seul
était également rudimentaire, je pouvais pourtant m'assurer que les troubles étaient pro- voqués par l'incoordination, parce
e la fonction musculaire même. Par exemple, après avoir constaté le trouble des mouvements isolés du pouce, j'ai examiné la f
capables de comprendre le sens de nos ordres et qu'il n'y a pas de troubles psychiques empêchant l'exécution des simples mo
psychiques empêchant l'exécution des simples mouvements actifs. Les troubles de la sensibilité ne sont pas constatés ; il y
s se détendent au moindre effort' de 'l'examinateur. Ce- pendant ce trouble -de 'fonction annihilant tout effort n'est pas un
xion qui persiste pendant toute la dùrée'de l'effort/ i ' ? .l Le trouble décrit n'est pas signalé dans les cas seuls où le
r, les phalan- ges se mettent en flexion prononcée. Le caractère dw trouble est démontré par le fait que ce même malade est
ONIE DANS LA DESORGANISATION DES MOUVEMENTS 43 - ? f ; I quent le trouble . Que le malade essaie de mettre l'avant-bras en p
rfois l'effort prolongé n'a pas d'autre résultat que d'augmenter le trouble , pârfois'il 'réussit l'acte désiré. Mais ici no
e trouble, pârfois'il 'réussit l'acte désiré. Mais ici non' plus lé trouble n'est un'fait' invariable; le'même mouvement, i
tionj'rempli'ssàit cet"acte en'fumant une pipe. ' ' En résumé : Le' trouble que montrent rios malades au début d'un acte vo
- . '' '> s l, j l' 11 « " l' . .. t .1 : . , t 44 WOEHKOM les troubles sont expliqués par les éléments caractérisant les
re, l'acte combiné de préhension est exécuté sans difficulté. Les troubles des mouvements actifs simples caractérisant l'éta
son cachet particulier à toutes les fonctions musculaires et que ce trouble peut se manifester sous les formes les plus div
WOERKOM. névraxe n'est pas un facteur indispensable pour amener le trouble de l'élément tonique. Comparons l'état de dys
xe et les mouvements ont le caractère dysmétrique ; mais malgré ces troubles , le malade est capable de continuer une série de
sont pas obtenues par l'excitation de la plante du pied. Quant aux troubles des mouvements volontaires, les malades avec lé
mais chez eux nous ne rencontrons pas cette bataille musculaire, ce trouble profond de la formule d'innervation que nous avon
hrift sur d. Ges. Neur. u : Psych., Bd 23) provoquent également des troubles d'or- dre sympathique (par exemple la perturbat
es racines postérieures ou des voies pyramidales, Dans l'examen des troubles des mouvements actifs, j'ai étudié, en m'ins- t
é, soit du mouvement lent et irrégulier. Nous avons insisté sur les troubles des mouvements périodiques en étudiant la pertu
uscles épitrochléens, par comparaison avec ceux du côté sain. Les troubles vaso-moteurs, secrétoires, caloriques et trophiqu
réquence des paralysies cubitales partielles et la prédominance des troubles moteurs au niveau des interosseux et des hypothén
lle abondante arrêtée par un lien constricteur), la constatation de troubles vasculaires notables conduiront au diagnostic exa
omme fen- dillée. Il est certain que dans la plupart des cas, ces troubles vasomoteurs secrétoires et caloriques doivent ê
par angustie ou oblitération artérielle. Bref, il semble que les troubles vasomoteurs et trophiques consécutifs aux lésio
sistent en une diminution de la vitalité des tissus, tandis que les troubles trophiques et vasomoteurs des formes douloureus
oute une lésion de Tarière humérale ou axillaire, s'accompagnant de troubles vasomoteurs, secrétoires ettrophi- ques caracté
us, selon la nature plus ou moins inflammatoire de la lésion. Les troubles observés au cours de ces lésions partielles des n
TYPE. - Le type le plus fréquent consiste en une prédomi- nance.des troubles moteurs sur les petits muscles de la main et sur
aralysie d'un ou plusieurs nerfs du membre supérieur s'ajoutent des troubles vasomoteurs et trophi- ques importants, il y a
rtérielle con- firmera d'ailleurs bien souvent ce diagnostic. Les troubles vasomoteurs sont caractérisés par une coloration
par une coloration rouge violacée ou bleu noiràtre de la peau. Ces troubles vasomoteurs sont tantôt généralisés à toute la
iègent les altérations vasomotrices caloriques et trophiques. Les troubles trophiques peuvent intéresser tous les tissus.
flexes. Enfin, on peut observer au niveau de la main l'existence de troubles NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XXVI
touchées, la pression artérielle égale à celle du côté opposé, les troubles de la réflectivité et de la sensibilité souvent
té souvent nuls, mais qu'en revanche il existe presque toujours des troubles vasomoteurs et thermiques. Les différentes arti
Société de neurologie, 4 novembre 1915 ; Contribution à l'étude des troubles nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'anest
umatiques d'ordre réflexe. Presse mé- dicale, 24 février 1916 ; Des troubles vasomoleurs et thermiques d'ordre réflexe. Sociét
ociété de neurologie, 2 mars 1916 ; J. BABINSKI, Les caractères des troubles moteurs dits « fonctionnels » et la conduite à
inski et Froment (2) revient le mérite d'avoir montré que parmi ces troubles beaucoup s'accompagnent d'un certain nombre de
rappelait ceux auxquels MM. Babinski et Froment ont donné le nom de troubles réflexes, mais il. n'était pas pur, car il s'acco
e médian un volumineux névrome qui peut irriter l'artère, comme les troubles vaso-moteurs, sudoraux et thermiques fréquents
s avons dans notre service examiné systématiquement tous les petits troubles moteurs des mains susceptibles a priori de rent
n est grossièrement clinique et morphologique. Il limite ces petits troubles moteurs des mains aux attitudes singulières don
e uniforme inspiré du rapport de M. Babinski sur les caractères des troubles moteurs dits « fonctionnels » présenté au Congrès
, mais se produit instantanément. 6. Sensibilité. - Il n'y a pas de troubles objectifs de la sensibilité, mais dans l'éternu
s limi- tés et beaucoup plus douloureux. 6. Sensibilité. - Pas de troubles objectifs. N'a jamais eu de troubles sub- jecti
reux. 6. Sensibilité. - Pas de troubles objectifs. N'a jamais eu de troubles sub- jectifs. 7. Réflectivité. Diminution du
sthésie dans le territoire du médian et du radial à la main. Pas de trouble subjectif de la sensibilité. 7. Réflectivité. R
st beaucoup plus résis- tante. . 6. Sensibilité. - Pas le moindre trouble de la sensibilité objective ni subjective. N'en
itabilité des extenseurs. 10. Vaso-molricité et température. Pas de troubles vaso-moteurs, ni thermiques ; la main malade ga
yses supérieures et inférieures des deux os de l'avant-bras. Pas de troubles , sauf une légère macération de l'épiderme dans le
ouvant être considérées comme réactions réflexes à la blessure. Les troubles parétiques du domaine du cubital ne sont que le p
xième, qui n'est pas tout à fait complète. 6. Sensibilité. - Pas de troubles de la sensibilité. 7. Réflectivité. - ExagéraLi
action de dégénérescence. 10. Vaso-motricilé et température. Pas de troubles vaso-moteurs, ni thermiques. La main malade per
ours sur le tendon des muscles extenseurs. 6. Sensibilité. - Pas de troubles de la sensibilité objective, ni subjective. 7.
de la sensibilité objective, ni subjective. 7. Réflectivité. Pas de trouble de la réflectivité. 8. Yaso-motricité. - La tem
portant, et où le sujet présente en outre depuis cette blessure des troubles purement fonctionnels mais très accusés de la m
ues palmaires méta- carpo-phalangiens. j J 6. Sensibilité. Pas de troubles de la sensibilité objective, sauf une anes- thé
ité. - La radiographie décèle un cal du radius bien constitué, sans troubles trophiques de la main. Amaigrissement notable de
abducteurs et des adducteurs des doigts qui se surajouta aux autres troubles s'est améliorée. ° , R -1- P. Observation X. Ma
phalango-pha- langinienne de ce doigt. ' 6. Sensibilité. - Pas de trouble de la sensibilité objective ni subjective, sauf
eaucoup plus difficile que celle du poignet. 6. Sensibilité. Pas de trouble de la sensibilité objective, sauf une liy- pere
peine l'exécution de tous les mouvements. 6. Sensibilité. Pas de troubles de la sensibilité. 7. Réflectivité, Pas de modi
ricité et température. - A part un dermographisme bilatéral, pas de troubles vaso-moteurs, ni thermiques. SEIZE DÉFORMATIONS
xation de la main dans l'attitude décrite. 6. Sensibilité. Pas de troubles de la sensibilité. 7. Excitabilité électrique.
r refroidissement et cyanose de la main. 10. Trophicité. - Pas de troubles trophiques apparents. Il. Réflectivité. Rien à
ize observations; nous remarquons qu'elles sont constituées par des troubles moteurs de quatre ordres différents : organique
ique, psychique, mécanique, réflexe. Tout le monde s'entend sur les troubles moteurs par lésions nerveuses organiques, quand
t parler, dans le cas d'hypertonie comme dans celui d'hypotonie, de troubles moteurs par lésions organiques, tronculaire ou
aniques, tronculaire ou radiculaire. Claire aussi est la notion des troubles moteurs d'origine psychique, troubles fonctionn
laire aussi est la notion des troubles moteurs d'origine psychique, troubles fonctionnels, c'est-à-dire se manifestant en deho
GNEL-LAVA9PINE ET PAUL COURBON Encore plus simple est la notion des troubles moteurs d'origine zraéca- nique, c'est-à-dire l
erre par Babinski et Froment. De ce groupe relèvent entièrement les troubles moteurs des IV et V, partiellement l'observatio
exemples sur 17 observations. Au contraire, leur association à des troubles organiques, mécaniques ou psychiques est la règ
x causes d'erreurs également préjudiciables : ne pas reconnaître le trouble réflexe quand il existe; étendre son domaine d'
c, à la lumière de nos cas, dans chacun desquels les groupements de troubles moteurs : organiques, psychiques, mécaniques et
ique des manifestations objectives qu'on a données comme signes des troubles moteurs d'ordre réflexe. A. Physionomie cliniqu
se répartir en trois groupes : 1° Hypothermie insignifiante sans trouble vaso-moteur : XIII (P.), VI (R. + V (R.), IV (R
mettent pas de tirer une conclusion sur la valeur sém Íologique des troubles vaso-moteurs. Il est vrai i que nos sujets fure
rapport entre l'intensité des lésions ner- veuses constatées et ces troubles vaso-moteurs, témoins les III, XV, IX où il y a
il y a les signes nets d'une lésion des nerfs de la main et où les troubles vaso-moteurs sont le plus marqués. Par contre,
e guerre ont reconnu à l'immobilisation la capacité de produire des troubles vaso-moteurs considérables. C. - Excitabilité
-à-dire dans les cas où il y avait lésion tronculaire évi- dente ou trouble réflexe. Dans les autres cas où il y avait mécani
it con- sécutive. F. Trophicité. Tous nos sujets n'eurent que des troubles peu marqués de la trophicité : macération légèr
hicité : macération légère de la peau (IV, V, VI, toutes réflexes). Troubles trophiques tendineux, VI (R. '+ M.). Anoler l'abs
chez les malades atteints de grosses lésions nerveuses, il y a des troubles trophiques appréciables, mais le parallélisme d
es autres n'est pas fatal. Le déterminisme de la répartition de ces troubles trophiques sur le squelette, les muscles et la
ccasion, mensonges opiniâtres pour cacher un retard ; VI (R. + M.), troubles hystériques de la marche sura- joutés à la défo
réunissaient pas la totalité des éléments du syndrome réflexe. Les troubles vaso-moteurs et trophiques notamment n'ont jamais
e que l'on puisse établir entre le siège de la blessure et celui du trouble fonctionnel est un rapport topographie- que. La
erforations complètes d'une masse musculaire guérir sans laisser de trouble fonctionnel ; mais cela à la condition que les ré
, les discordances, constatées entre le siège de la blessure et les troubles moteurs produits, s'expliqueraient par l'existe
alors posé, en se basant sur l'apparence du membre et sur certains troubles d'hypoesthésie mal localisés et transitoires, d
e de mouvements passifs paraissent être très dou- lourez. ' Aucun trouble de motililé électrique. Ni albumine ni sucre da
l'attention à apporter aux premiers panse- ments. - II SUR LES troubles VASO-MOTEURS ET TROPHIQUES par LÉSIONS associée
es nerfs mixtes périphériques entraînent d'une façon cou- rante des troubles de la motilité et de la sensibilité objective dan
on assez peu fré- quente, d'une part des douleurs, d'autre part des troubles vaso-moteurs, sécrétoires et trophiques. M. Mei
ires associées aux lésions nerveuses dans la genèse de ces derniers troubles (1), Les quelques faits que nous reproduisons n
des troisièmes, plus marquée pour les doigts externes ; la zone des troubles sensi- tifs se rétrécit légèrement, l'anesthési
t des nerfs. Dans certains cas,nous avons aussi constaté de simples troubles cutanés, doigts rouges, parcheminés, etc., sans o
s, forcément, associée à la lé- sion nerveuse quand on constate des troubles vaso-moteurs et iroplai- ques à la suite de ble
lle-même. Quand il y a une lésion vasculaire, on peut constater des troubles vaso-moteurs et trophiques,même alors que la lé
s croyons à l'importance, limitée sans doute, mais très réelle, des troubles vaso-moteurs et surtout trophiques comme signe
es fibres sym- pathiques intratronculaires suffise à déterminer des troubles trophiques, sans lésion des fibres sympathiques
persistance d'un très petit nombre de fibres pour éviter semblables troubles trophiques. Il est d'ailleurs vrai- semblable q
quoi nombre de sections complètes des nerfs ne donnent lieu à aucun trouble vaso-moteur ou trophique. La question inverse p
plète d'un nerf xxviii 9 130 LÉRI détermine-t-elle toujours des troubles vaso-moteurs et trophiques ? A cette question n
lésion du nerf médian ou du médian et du cubital n'a provoqué aucun trouble vaso-moteur ou trophique.Nous en reproduisons u
elconque de la peau. Tout ce que nous venons de dire concernant les troubles vaso-moteurs peut être appliqué aussi aux gross
asculaire n'a déterminé aucun symptôme douloureux, pas plus que des troubles vaso-moteurs. 11 sem- ble d'ailleurs exceptionn
'une lésion vasculaire eL nerveuse détermine chez le même sujet des troubles vaso-moteurs et trophiques semblables à ceux qu
xcitation, irritation dans l'autre. En résumé, dans la genèse des troubles vaso-moteurs comme des gros- ses douleurs causa
sion vasculaire parait jouer un rôle très important, même quand ces troubles sont limités au territoire de distribution nerveu
ésion vasculaire à une lésion nerveuse ne produit pas forcément des troubles vaso-moteurs ou trophiques ni des manifestation
e : paralysie généralement très réduite ou nulle, pas d'anesthésie, troubles trophiques et vaso-moteurs se caractérisant par
comme à la main, outre la déformation, on observe très souvent des troubles vaso-moteurs et trophiques variés. Quant aux do
ait eu de plaie extérieure ; les douleurs étaient très vives et les troubles trophiques cutanés (peau sèche, écailleuse, rouge
de la plante du pied dans la station debout, un autre parce que le trouble de la marche était dû surtout à la cicatrice de
Tous les réflexes tendineux et cutanés sont normaux et égaux. Aucun trouble de sensibilité objective. Aucune altération ni
d'un stigmate chondro- osseux de syphilis héréditaire, et non d'un trouble trophique pouvant se rapporter à un traumatisme
uise se présente avec une tout autre allure clinique, avec d'autres troubles associés, ne répondant en rien à l'aspect digital
EUSE DES ARTICULATIONS PHALANGINO- PHALANGETTIGNUES DES DEUX MAINS, TROUBLES D'ACROTROPHICITÉ CHEZ UN ADÉNOIDIEN, PAR MM
e 21 ans, a eu; quatre à cinq mois avant les accidents actuels, des troubles gastro-intestinaux. Il a eu la scarlatine à 7 ou
alangino-phalangettienne. Nous avons ten- dance à le rapprocher des troubles d'acrotrophicité que l'on constate assez fréque
es modifications des sécrétions internes ne sont pas la cause de ce trouble trophique, rare et jusqu'ici non décrit des extré
l, sans lare viscérale thoracique ou, abdominale. Il n'existe aucun trouble du système nerveux. Le membre supérieur droit e
t. Peu de mois après, on remarqua que son ventre grossissait. Aucun trouble nerveux ni psychique. Etat actuel (dix-sept moi
laquelle, par son sexe et par son âge, on ne pouvait apprécier les troubles hypogénitaux aussi bien que chez notre jeune ga
elui de Franck, il s'agissait d'un adulte de 39 ans chez lequel les troubles sexuels pouvaient être seulement de type foncti
raissement dans le syndrome adiposo-génital est la consé- quence du trouble génital, en plus grande mesure que de la lésion
, Jourdel), l'infantilisme régressif (Lereboullet), l'alopécie, les troubles sexuels (Schmidt, 2 cas), l'hémianopsie traumat
admettre que les uns et les autres collaborent à la production d'un trouble diurétique déterminé, de même que l'existence de
vé. L'élévation des bras se fait normalemeut. Pollakyurie; urines troubles avec dépôt floconneux. Le malade accuse une trè
neux. Le malade accuse une très grande fatigue. 26. Urines rares, troubles . Constipation. Le malade soulève très difficile
s au toucher, à la piqûre et à la température sont normales. Pas de troubles trophiques. Réflexes rotuliens très exagérés de
acture avec une sorte de steppage surtout marqué à gauche. 'Aucun trouble sphinctérien. Pas d'astéréognosie. Langue blanc
alée intense, ni coryza, ni mal de gorge. Inappétence. Pas d'autres troubles digestifs. Symptômes à l'entrée. T. : 37°2. F
racture. Force musculaire amoindrie. Pas d'asté- réognosie ; pas de troubles sphinctériens. Une ponction lombaire très diffi
es rotuliens des deux côtés ; 3 on 4 trépidations anx pieds. Pas de troubles de sensibilité. Mammite gauche. MYÉLITES AIGU
a été notée, caractérisée par un état de malaise, de courbature, de troubles digestifs, de fatigue. Dans l'observation I, le
gnalé dans un cas par Hellier (1). ' En somme, souvent période de troubles d'aspect indéterminé, ressem- blant plus ou moi
déterminé, ressem- blant plus ou moins à un embarras gastrique. Ces troubles digestifs ont été signalés déjà par Hellier.
us parce qu'il a mal, mais parce qu'il fléchit. - L'intensité des troubles paralytiques a été très variable. Dans les cas
dre une para- typhoïde, et l'attention n'a été attirée que vers les troubles douloureux ; les mouvements ne paraissaient pas
és qu'au cours d'une mala- die générale grave ; mais apparurent les troubles des réflexes, et au mo- ment des premiers lever
te, avec fatigue et impossibilité de la marche après quelques pas : troubles qui, après quelque temps, ne se produisent plus
le 8° jour, les muscles étaient flasques, nettement atrophiés. Les troubles sensitifs, surtout sous forme douloureuse, sont c
e, par atténuation progressive des accidents moteurs, alors que les troubles sensitifs ont disparu depuis déjà plus ou moins l
on. En résumé, on voit que la symptomatologie a été assez diffuse : troubles moteurs avec paralysie totale ou parésie ; état
ubles moteurs avec paralysie totale ou parésie ; état spasmodique ; troubles sen- sitifs ; en somme, symptômes de paralysie
es ». Le cas 2 s'est terminé rapidement par l'apparition brusque de troubles bulbaires mortels ; le cas 1 a été extrêmement
intéressant de noter l'opposition entre la grande prédominance des troubles paralytiques dans l'épidémie de mai 1916 (obs. I
a phase d'état. Le diagnostic de myélite est net quand existent les troubles paralytiques et les modifi- cations des réflexe
gnalant les constata- tions de Leishman, ne fait aucune mention des troubles paralytiques ou spasmodiques, ni des modificati
ression sur le grand nerf sciatique cause un peu de douleur. Pas de troubles de la motilité aux jambes. Sensibilité au tact
malade est assez grande, mais quand il est éveillé, il n'y a pas de trouble de conscience. Quelquefois il se plaint de douleu
s exagérés ; symptô- mes correspondants à une polynévrite, mais les troubles de la motilité sont plus développés aux membres
peu de temps, mais ensuite est venue une parésie des bras, avec des troubles légers de la sensibilité. Ces symptômes ont per
nguent mercuriel. Il présenta de la stomatite, plus tardivement des troubles cachectiques, du tremblement et des symptômes cor
oique fort intelligent et observateur, il ne s'était aperçu d'aucun trouble fonctionnel. Mais vers le mois de juillet, il se
à l'attitude des doigts qui, au repos, est en demi-flexion. Aucun trouble vaso-moteur ou tropbique cutané; les deux mains o
e même volume; les ongles ne sont pas dé- formés ni striés. Aucun trouble de la sensibilité subjective ou objective ; aucun
rsion de la formule galvanique ni lenteur de la secousse. - Aucun trouble oculo-pupillaire ; ni ptosis, ni myosis, ni rétra
s, ni rétraction du globe ; réflexes pupillaires très bons. Aucun trouble trophique, moteur ou réflexe des membres inférieu
s et il n'y a jamais eu de paralysie. Il n'y a et il n'y a eu aucun trouble sensitif ni vaso-moteur. A cette atrophie pur
ru 256 LÉRI intéressant d'appeler l'attention sur une 'variété de troubles névro-muscu- laires post-traumatiques dont l'ét
le moignon de l'épaule et la partie correspon- dante du tronc. Ces troubles ne l'ont empêché ni de continuer sa profession sa
alable, et qu'il n'existe encore actuellement ni paralysie ni aucun trouble de sensibilité objective ; 2° que cette amyotroph
té maternel ; il n'a jamais entendu dire qu'aucun parent ait eu des troubles de la marche ou de l'atrophie des membres. Le
du trauma- tisme et avec son ancienneté relative quand ont paru les troubles . De plus, il nous a été facile de constater que
mblement des membres inférieurs et du tronc. Il n'y a nulle part de troubles de la sensibilité objective, si ce n'est peut-
très léger, il datait de six mois avant l'appa- rition des premiers troubles fonctionnels et il n'avait déterminé aucune lés
Editeurs ""P, CATALA FiltRES, PAIII$. DIPLÉGIE FACIALE 273 Vue trouble , nuages devant les yeux, pas de diplopie. Légère
rie ou de dysarthrie. Céphalée frontale intermittente. Pas d'autres troubles de la sensibilité sub- jective. d b ... f.. M .
enfant, le premier, né à terme et mort à six semaines. Le début des troubles actuels est difficile à préciser. Ils seraient su
zone des armées. N'a pas fait de service militaire à cause de ses troubles oculaires ! Examen. - Pas d'asymétrie faciale.
un peu en arrière. Pas de spasme ou d'hémispasme facial.' Pas de troubles de la sensibilité. La parésie semble plus accen
de trépidation épileptoïde. Réflexes crémastériens normaux. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de tremblement. Coeur
seule toute la symptomatologie. Elle s'accompagne toujours d'autres troubles de déficit moteur ou intellectuel. Le mode d'ap
symptômes caractéris- tiques : l'absence du réflexe cornéen et les troubles de l'excitabilité mus- culaire qui ne se rencon
pourraient mettre sur la voie du diagnostic. Nous ne notons aucun trouble moteur ou sensitif associé. Ce n'est par conséq
r et du marteau. Une fracture, une exostose du rocher amèneront des troubles variés suivant t'atteinte ou l'intégrité de ces
d'engouement. L'examen auriculaire nous a bien montré chez D... des troubles assez marqués de l'ouïe avec atteinte de la mem
, mais par un mécanisme différent de leur production normale. Les troubles moteurs remontent au minimum à quinze ans, peut-ê
e la lagophtalmie et l'épiphora n'ait pas amené depuis le temps des troubles oculaires graves. La conjonctive est à tout ins
de la joue droite et de la moitié' correspondante de la langue. Les troubles dont cette malade est atteinte sont congénitaux.
e et trop complète pour qu'elle prête à une confusion avec un autre trouble tel que l'éléphantiasis, un oedème par compress
st comme ces dernières congénitale. Nous avons donc à faire avec le trouble trophique connu sous le nom de hémi-hypertrophi
tant pas de godet à la suite de la pression digitale, représente un trouble identique, à notre avis, avec le trophoedème de
e un trouble identique, à notre avis, avec le trophoedème de Meige, trouble dont la localisation faciale est très rare, il
de la langue fait, de ce cas* comme de ceux qui lui ressemblent, un trouble plus complexe que le trophoedème habituel. '
omplexe que le trophoedème habituel. ' Pourtant, à notre sens, le trouble lingual et ceux de la face, etc., sont identiqu
ution de capacité fonc- tionnelle qui se traduit par un ensemble de troubles d'une grande cons- tance, mais que l'examen met
besoin impérieux de repos. L'atonie gastro-intestinale explique les troubles dyspeptiques et la constipation. La bradycardie e
l., 1913, Il, année ; BENON (B.), Traité clinique et médico-légal des troubles psy- chiques et névrosiques post-traamatigues,
ce syndrome et en relation avec lui, se développent fréquemment des troubles dysthymiques (de l'inquiétude, de la tristesse,
nger convenablement, à s'habiller seule et même à coudre malgré les troubles de la motricité de ses membres supérieurs. Il
ation est difficile, la main plane avant de saisir un objet. Pas de troubles sphinctériens, ni de troubles de la sensibilité.
lane avant de saisir un objet. Pas de troubles sphinctériens, ni de troubles de la sensibilité. La démarche est nettement sp
de l'accouchement; ce serait donc l'étiologie de Little. , . Les troubles de l'articulation des sons réunis sous le nom de
ment malade, avec des malaises, des vomissements, de la fièvre, des troubles d'esprit et il a été inconscient pendant plusie
infectieux cérébral très grave, une méningo-encépllalite aiguë. Les troubles graves, l'hémiplégie et l'aphasie, qui persistè
GÉES 331 i faisceaux pyramidaux de l'hémisphère gauche, amenant les troubles hémi- plégiques et ceux de la parole, a été pen
ntôt pour une opération chirurgicale suivant que l'on attribuait ce trouble vocal à une lésion du récurrent ou à une compre
'exemple de Stewart nous avions projetée sur Georges. Aucun autre trouble nerveux fonctionnel ou organique n'est à signaler
sympathique orga- nique persiste, mais n'est associé à aucun autre trouble pathologique et par ? n-, '- ) Nouvelle Icono
associée au syndrome sympathique oculo-pupillaire de paralysie sans troubles vaso-moteurs, nous avons fait quel- ques expéri
e (myosis, énophtalmie, rétrécissement de la fente palpébrale) sans troubles vaso-moteurs et sans hypotonie du globe oculaire
it fait avec Cantonnet (2). Comme nous il oppose à la constance des troubles oculaires moteurs (ptosis, myosis, énophtalmie)
de François Frank (3). ' Puisque dans notre cas il n'existe aucun trouble vaso-moteur, il est naturel de noter l'intégrit
obe oculaire. 3° Hémianidrose cervico- faciale. L'association des troubles sudoraux avec le syndrome de Claude Ber- nard-H
n aurait pu voir dans l'aphonie l'expression fonc- . tionnelle d'un trouble vaso-moteur du larynx lié à la lésion de cette an
trophies segmentaires desmembres supérieurs, souvent compliquées de troubles trophiques cutanés, osseux ou articulaires, cas
axant passé près des racines du plexus. Cliniquement on observe des troubles musculaires et des troubles tro- phiques du mem
du plexus. Cliniquement on observe des troubles musculaires et des troubles tro- phiques du membre supérieur. Les trouble
musculaires et des troubles tro- phiques du membre supérieur. Les troubles musculaires du membre supérieur sont quelquefois
moins marquées, les atrophies prédominant sur les parésies. - Les troubles trophiques affectent une distribution et des aspe
NON ET ROGER . s , mique (obs. IV). Les ongles, participent à ces troubles . Ils sont striés, cassants, déformés, recroquev
s sont striés, cassants, déformés, recroquevillés. L'importance des troubles trophiques cutanés dans les lésions irritalives
causalbique-et non les syndromes frustes qui nous intéressent. Les troubles trophiques portent aussi`souvent sur les os et le
effacés. Rappelons que M. et Mme Déjerine ont observé et décrit des troubles et déformations analogues dans le cours de névrit
s causalgies. On ne saurait donc trop insister sur la fréquence des troubles trophiques dans les syndromes frustes d'irritat
ns de l'irritation nerveuse et en particulier à la douleur. , Les troubles de la sensibilité en paieil,cs sont assez peu mar
as par conséquent une atteinte nerveuse grave. L'évolution de ces troubles constitue un autre de leurs caractères. Ils son
nique et faradique. - On est ainsi amené à faire le diagnostic de troubles réflexes purs du (1) Presse médicale, 1915, nos
ées de tel ou tel muscle dumembre supérieur, qu'il existe enfin des troubles trophiques considé- rables de la peau et des os
électriques. La participation du plexus brachial dans la genèse des troubles obser- vés peut être mise en lumière par un exa
exus brachial dans des cas d'atrophie musculaire, de parésies et de troubles trophiques du membre supérieur pour lesquels les
n. C'est, en plus petit, les mêmes atrophies musculaires, les mêmes troubles trophiques cutanés, osseux ou articulaires. L'hyp
ui domine, ce sont la parésie et surtout l'atrophie musculaire, les troubles trophiques cutanés et ostéo-articulaires; Les d
prenant à peu près à l'avant- bras la localisation du médian. Des troubles trophiques superficiels existent en outre et prod
avec des ongles un peu incurvés. Enfin on constate à la main des troubles circulatoires importants liés la la ligature de
antes. Au coude et'à l'épaule on constate une mobilité normale. Les troubles trophiques et vaso-moteurs de la main sont import
gauche. Parésie et atl'o- phie prédominant à t'épaule et à la main. Troubles trophiques cutanés dans la région de l'épaule e
ques cutanés dans la région de l'épaule et du bras' (sclérodermie). Troubles trophiques muscu- laires au niveau de la main (
sa course, provoque quelques douleurs. A signaler enfin comme autre trouble moteur un tremblement total et intermittent de
étendant parfois au membre inférieur du même côté. L'importance des troubles trophiques doit surtout retenir l'attention. Ils
iveau de la main, et dans la région de l'épaule, où prédominent les troubles moteurs. , La main présente un aspect spécial.
s'agit donc pas de contracture comme il semblait d'abord, mais d'un trouble trophique très spécial des muscles rappelant l'
u de l'épaule et du bras, surtout sur la face externe, existent des troubles trophiques cutanés sous forme de sclérodermie. La
re de défense des muscles élévateurs contre la douleur. Aucun autre trouble organique nerveux n'est à signaler chez ce malade
e violent du bras. Douleurs consécutives de l'épaule et de la main. Troubles trophiques de la main sous forme d'un pseudo-rh
u niveau de l'épaule, plus tard la main. Elat en mars 1916. - Les troubles sont localisés à la main et sont surtout d'ordr
e, car la radiographie ne montre aucune altération osseuse. c Les troubles trophiques portent également sur la peau qui est
ues normales pour tous les nerfs et muscles du plexus brachial. Les troubles trophiques de la main pourraient donc être consid
et cette hémiplégie est facile à mettre en évidence, sinon par les troubles de la voix qui ne sont pas toujours appréciable
n au laryngoscope; mais la lésion du nerf récurrent peut amener des troubles moteurs laryngés analogues. Le siège anatomique
. ' - 25. - Pouls : 108-120, même état de la plaie pharyngée, aucun trouble de la motilité de la langue, du voile ou de ses
S... Plaie par éclat de grenade à la région latérale droite du cou. Troubles de la respiration avec quintes de toux ayant né
tracé du pouls radial et de la jugulaire montre qu'il n'y a pas de trouble de la conduction auriculo-ventricu- laire, il n
une arythmie d'origine sinusale et dans d'autres cas on notait des troubles de l'excitabilité cardiaque se traduisant par l
ui du reste concorde avec le siège de la blessure et la présence de troubles moteurs laryngés. Nous y voyons aussi une confir-
roncs nerveux, avec prédilection pour les régions atteintes par les troubles trophiques et moteurs. , UN CAS DE NÉVRITE HYPE
e des nerfs précède nettement les phénomènes d'atrophie et les gros troubles fonctionnels. Par ailleurs,l'examen des organes
e, lentement progressive, mais à prédilection unilatérale. 2° Des troubles de la motivité également progressifs suivant la m
re dans d'importantes proportions la valeur fonctionnelle. 3° Des troubles de la sensibilité subjective (douleurs fulgurante
s troubles de la sensibilité subjective (douleurs fulgurantes) sans trouble de la sensibilité objective. 4° Une augmentatio
l'atrophie peuvent s'observer en pareil cas, elles comportaient des troubles de la sensibilité objective, notamment là disso
t insidieux méconnu, il n'en reste pas moins indis- cutable que les troubles fonctionnels étaient nuls, alors qu'il serait cla
u'on estgéné- ralement averti de la névrite hypertrophique .par des troubles de la marche. L'affection décrite à la Salpêt
est héréditaire ou familiale, condition qui manque ici. Enfin des troubles oculaires, tels que le nystagmus et le signe d'Ar
tremblement in- tentionnel, nystagmus). On note ici l'absence de troubles oculaires, et des troubles moteurs différents.
el, nystagmus). On note ici l'absence de troubles oculaires, et des troubles moteurs différents. é) Par des signes de la s
ne saurait à notre sens être question ici en raison de l'absence de troubles sensoriels et de toute notion étiologique. Des-
es deux membres supérieurs sont atrophiés d'une façon globale, sans troubles des réactions électriques. Il n'existe aucun sy
ses sensibilités superficielles sont intactes; on ne constate aucun trouble de la sensibilité articulaire ou de la sensibilit
ns et des épiphyses atteintes, aùcune incoordination motrice, aucun trouble trophique ; aucun trouble sphinctérien, aucun t
tes, aùcune incoordination motrice, aucun trouble trophique ; aucun trouble sphinctérien, aucun trouble visuel ; les pupilles
otrice, aucun trouble trophique ; aucun trouble sphinctérien, aucun trouble visuel ; les pupilles sont égales, et les réact
normal . Il y a près de huit ans le malade commença à ressentir des troubles de la vision qui s'aggravèrent avec le temps :
ué d'intensité,' et pris un caractère latent. Il n'y avait point de troubles de la vue. L'examen révélait une taille moyenne
er qu'à côté de l'adiposité proprement dite, on. doit considérer le trouble du métabolisme des lipoïdes dont le rôle est si
enser que dans la dystrophie génito-glandulaire, parmi i les divers troubles du métabolisme, il faut compter celui des lipoïde
éclaireront définitivement sur ce point. En relation aux effets des troubles du métabolisme sur le développe- mens somatique
cliniques différents. 396 SOUZA ET DE CASTRO En rapport avec les troubles du métabolisme, il faut considérer encore leurs
, délicats, maigres, d'aspect maladif, chez lesquels on observe les troubles provenant de l'hypoplasie de l'appareil 1 cardi
ait Brissaud. La possibilité de l'infan- lilisme, relevant d'autres troubles endocriniques, a été admise, et c'est à Henry M
DYSTROPHIE GÉNITO-GLANDULAIRE lisme, dont la pathogénie dépend de troubles des glandes endocrines. Si dans certains cas d'
ées. Il est enclin à s'associer avec la cryptorchie ou avec quelque trouble de développement correspondant des ovaires produi
me semble que deux facteurs opposés soient ici en jeu. L'un est le trouble génital : celui-ci provoque le gigantisme et l'
eg- ment inférieur, en regard du segment supérieur ; l'autre est le trouble du développement, en conséquence du manque de f
souffrir. Il a eu à partir du premier jour, et pendant 21 mois, des troubles urinaires, qui ont, paraît-il, nécessité un son
par jour. Depuis trois mois, il urine seul. Il faut ajouter que ces troubles étaient antérieurs à la guerre et tenaient à-un
pendant de quelques vagues maux de reins, de temps en temps. Pas de troubles urinaires. L'examen radioscopique est tout à fait
mbaire , lorsqu'il est couché ou pendant la marche ; il n'y a aucun trouble de la sen- sibilité superficielle ou profonde.
aucun trouble de la sen- sibilité superficielle ou profonde. Pas de troubles trophiques, ni vaso-moteurs, ni sphinctériens.
10e vertèbres dorsales. La réflectivité est normale ; il n'y a pas de troubles moteurs ni sensitifs. Le malade se plaint seule
de rentre à Paul Brousse, le 14 novembre 1916. Il ne présente aucun trouble moteur ni réflexe. Les réflexes sont normaux. Il
réflexe. Les réflexes sont normaux. Il a eu du côté gauche quelques troubles anesthésiques passagers. La tête est en extension
ectivité tendineuse et cutanée est normale. Pas d'anesthésie. Comme troubles de la sensibilité subjective, pas de douleurs sau
ux des membres supérieurs et des réflexes cutanés. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité subjective, aucune anesthésie n
ême des mouvements des membres supérieurs et inférieurs. ) Pas de troubles de la sensibilité superficielle ni profonde ; pas
Pas de troubles de la sensibilité superficielle ni profonde ; pas de troubles de la sensibilité subjective, sauf quelques cép
t touchant le sol. Pas de déviation de la colonne vertébrale, ni de troubles de la morphologie dorso-lombaire. La percussion
colonne vertébrale ne présente aucune déviation pathologique, aucun trouble de la morphologie. La percussion de la colonne ve
n. On ne voit pas de plis transversaux sur l'abdomen. Il n'a pas de troubles moteurs ni sensitifs. La réflectivité est norma
r le rachis, ni sur les masses musculaires lombaires. Il n'a pas de troubles organiques moteurs ni sensitifs, à part quelque
ion n'était pas scientifiquement consacrée, ont eût pu réserver aux troubles pathologiques de l'imagination le vieux mot de ph
cenure, lors- qu'il se loge dans l'encéphale, détermine souvent des troubles giratoires connus sous le nom de tournis. En to
(PI. LXIX). , Nous sommes encore dans l'officine d'un guérisseur de troubles men- taux. C'est un homme vénérable, copieuseme
, nous apprenant que les blessures du cerveau peuvent engendrer des troubles graves. L'expression « cerveau fêlé » n'est-ell
es délires d'excitation, favorisés par l'alcool ; les vertiges, les troubles de l'orien- tation que peut entraîner une local
nkylose osseuse des arti- culations plaalangino-phalangettiennes, troubles d'- chez un adénoïdien), par Rimbaud et REVAULT
e des articulations phalan- gino-phalangeitiennes des deux mains, troubles d'acrotrophicité chez un adértoi- dien, par RIB
halangino - phalangettiennes (Ankylose osseuse des articulations -, troubles d'acrotrophicité chez un adénoïdien), par Rim
14 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
nerfs périphériques, s'il s'agit d'une myopa- thie ou, enfin, d'un trouble d'ordre purement dynamique, d'une névrose. Je v
tant des varicosités que l'on doit consi- dérer comme de véritables troubles vasomoteurs, au même titre que la sensation de
semblent présenter aucune altération ; bref, nous ne relevons aucun trouble de la nutrition générale, qu'un amaigris- semen
péniblement, d'une voix faible et monotone, mais c'est tout ; les troubles psychiques se réduisent, chez elle, à ces changem
idité. En voici un exemple. Nous ne relevons, chez ce malade, aucun trouble de la sensibilité, aucun phénomène d'ordre vaso
ère de l'excitabilité électrique. Nous ne relevons, chez lui, aucun trouble de la sensibilité; pas de phénomènes vaso-mo- t
ns sont seuls exagérés; 1 orteil est en flexion ; on ne constate ni troubles sensitifs, ni troubles vaso-moteurs; le malade
1 orteil est en flexion ; on ne constate ni troubles sensitifs, ni troubles vaso-moteurs; le malade accuse de l'affaiblisse
us voisins et, peut-être, même réaction inflammatoire par suite des troubles de nutrition de la moelle. Ce serait parfait si
nt expliquer la rigidité ; les lésions des cordons postérieurs, les troubles de la sensibilité et de l'équilibre. Nous arriv
au, fréquents, d'après lui et auxquels il rapporte quelques-uns des troubles attribués à la rigi- dité, et- les paresthésies
0 no- vembre 1902. Le 20 janvier 1903 la marche est impossible; les troubles de sphincter se montrent vers le 10 mai. Le 8 a
s'accentue tellement qu'à partir de 1881, il ne peut plus se lever. Troubles vésicaux et rectaux ; douleurs rectales. Perte de
ns, incoordination des membres infé- rieurs, pupilles irrégulières. Troubles urinaires. Force musculaire diminuée dans le me
rinaires. Force musculaire diminuée dans le membre inférieur droit. Troubles de la sensibilité du trijumeau, de la peau, des
hie du membre gauche est manifeste à la cuisse et à la fesse.Pas de troubles vasculaires, cyanose notable à la peau du membre.
de début, l'exagération des reflexes tendineux du côté malade, les troubles de la sensibilité cutanée au membre sain, la guér
me de Brown-Sequard. J'admettrais plus volontiers qu'il s'agit d'un trouble de sensibilité de nature hystérique, quoique je
Affection ayant évolué en 15 mois : début par céphalée occipitale, troubles moteurs (parésie et maladresse des memhres), tr
e occipitale, troubles moteurs (parésie et maladresse des memhres), troubles psychiques (affaiblissement intellectuel progress
s), troubles psychiques (affaiblissement intellectuel progressif). - Troubles de la parole ; tremblement ; parésie généralisé
M. le Dr Devic ; elle vient à l'hôpital, parce qu'elle présente des troubles nerveux qui la rendent incapable de gagner sa vie
ouvements passifs. Réflexes rotuliens paraissent diminués. Pas de troubles nets de la sensibilité. Pas de paralysie oculai
re aux questions. Elle est encore capable de cet effort, mais les troubles de la prononciation sont assez accusés pour qu'
e externe. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 111 Pas de troubles de la mastication ni de la déglutition. Les pup
raux. La sensibilité subjective ou objective semble normale. Pas de troubles sen- soriels. Incontinence de l'urine et des
irante ou l'existence d'hal- lucinations. - Le spasme facial et les troubles de la parole s'accusent davan- tage. Le 20 ma
ent (1). Pendant longtemps les auteurs ontparu disposésà grouper en troubles constants et communs à toutes les tumeurs céréb
troubles constants et communs à toutes les tumeurs cérébrales et en troubles va- riables dépendant de la localisation de la
troubles va- riables dépendant de la localisation de la tumeur, les troubles psychiques qui accompagnent les néoplasies céré
ou au contraire comme un territoire dont la lésion donne lieu à des troubles mentauxinten- ses (2) etsi caractéristiques que
entauxinten- ses (2) etsi caractéristiques que la forme même de ces troubles devait fixer le diagnostic de localisation. Mai
ions du cerveau (3). M. Vigouroux (4) a fait une étude complète des troubles psychiques observés et il semble démontré que l
ubles psychiques observés et il semble démontré que l'aspect de ces troubles n'est rien moins que pathognomonique de la loca
et si l'on consi- dère que toutes les tumeurs peuvent entraîner des troubles mentaux sura- joutés, dus, soit à une compressi
taux sura- joutés, dus, soit à une compression générale, soit à des troubles vascu- laires altérant la vitalité de tout un t
s contredisent l'opinion émise par Phelps à savoir que l'absence de troubles mentaux dans les cas de tumeur cérébrale indiqu
s délicat par la res- semblance de l'étal démentiel progressif, des troubles de la mémoire, des troubles moteurs (paralysie
nce de l'étal démentiel progressif, des troubles de la mémoire, des troubles moteurs (paralysie et inégalité pupillaires, trem
mblements, parésie généralisée, exagération des réflexes rotuliens, troubles de la parole). La déchéance des facultés intell
nalogie clinique totale et non plus seule- ment la ressemblance des troubles mentaux est à rapprocher de l'opinion émise par
evait nous rendre suffisamment compte des symptômes mor- bides. Les troubles de la marche et l'exagération des réflexes rotuli
ule ; -, mais les lésions cérébelleuses rendent mieux compte de ces troubles , car les mouvements volontaires persistaient et
résie musculaire, la déviation du corps et de la tête à droite, les troubles de la marche, les troubles de la parole, voire
ion du corps et de la tête à droite, les troubles de la marche, les troubles de la parole, voire les tremblements : Déjerine e
s atteintes portées dans sa sphère ambiante expli- quent partie des troubles moteurs, mais semblent en contradiction avec l'
horéïques des muscles de la moitié de la face opposée (Duchek), des troubles de l'articulation des mots (7 cas de Ladame), l
du facial situé précisément en arrière de la tumeur. Au surplus les troubles de la parole constitués surtout par l'articulat
u de volume ou le peu de diffusion de celle-ci expliquerait que des troubles plus généralisés, tels qu'une hémiplégie, ne se s
e l'intellectualité spontanée et de l'activité volontaire (2) : ces troubles mentaux se retrouvent au complet chez notre malad
cations néoplasiques. Tirant leurs conclusions de l'analogie de ces troubles avec les lésions et les symptômes des toxi-infe
disent-ils, vaut bien celle de la compression comme explication des troubles si divers observés au cours de l'évolution des
rce, sans appétit, chétif et malingre, quoique sans présenter aucun trouble intellectuel, A 14 ans, il fut pris de vertiges
fficile de se tenir debout, sa démarche était cé- rébelleuse. Ces troubles s'accompagnaient de céphalée généralisée à toute
omplètement. A la même époque, vers 14 ans, le malade ressentit des troubles de la mar- che : ils apparurent d'abord la nuit
plus en plus, et à 15 ans ils existèrent pendant la jour- née. Ces troubles survinrent petit à petit, sans soubresauts, et sa
fut obligé de s'ali- ter. Egalement sont venus petit à petit les troubles de la parole, qui ont débuté vers l'âge de 20 a
nant, sans que le malade ne présentât rien de particulier, tous ces troubles s'augmentèrent peu à peu, surtout ceux de la pa
actères qu'autrefois. Les lèvres et la langue ne présentent aucun trouble de la motilité. La parole e est saccadée, les m
lexes : réflexe rotulien seulement ébauché du côté gauche. Pas de troubles de la sensibilité, réflexe plantaire diminué, réf
lité, réflexe plantaire diminué, réflexe crémas- térien nul. Pas de troubles trophiques pas d'atrophie musculaire. La pointe
e. Arythmie manifeste. Rien aux poumons. La vue est bonne, pas de troubles de la musculature de l'neil ; les pupilles réag
. Mais ce qui marque surtout les progrès de la maladie, ce sont les troubles de la voix, qui, actuellement, est suspineuse,
timbre sourd. Depuis quelques temps, incontinence d'urine. Pas de troubles subjectifs, ni objectifs de la sensibilité, conse
dème aux deux bases. 28. - L'administration de digitale a calmé les troubles gastriques; le coeur s'est ralenti : 80 quoique
e titubante et ataxique, les mouvements spontanés, le pied bot, les troubles de la parole, l'abolition des réfléxes tendineu
les obser- vations des auteurs : une arythmie très marquée, et des troubles assez accentués de l'audition. On a bien sign
endait pas les bruits d'une montre à plus de dix centimètres. Ces troubles cardiaques et auditifs pouvaient déjà faire pense
sse, de l'auditif et du pneumogas- trique explique suffisamment les troubles de la parole et de l'ouïe, de même que l'arythm
e malade. La lésion de la Xe paire permet d'expliquer également les troubles respiratoires et gastriques de la dernière péri
aux lésions du rein et du foie, que l'on puisse rattacher, soit aux troubles cardiaques et circulatoires, soit également aux t
, soit aux troubles cardiaques et circulatoires, soit également aux troubles de l'innervation pneumogastrique. Enfin nous
es-ci, quel que soit le désordre fondamental de la nutrition, ou le trouble des organes ou des centres nerveux qui les comman
et presque toujours entraînent une décadence somatique aiguë et des troubles de la vie végétative. z - 144 BIANCHINI TABLE
dans l'acromégalie. Et, qui plus est, ce sont les mêmes. Ainsi, un trouble de l'ostéogénèse, qui n'est, en somme, qu'une exa
Pierre Marie ? ' ? Peut-être, les années aidant. Mais,chez lui, le trouble de la fonction ostéo- génique d'où dépendent le
dant, plus l'on étudie cette question, plus l'on s'aperçoit que les troubles de la croissance et de la nutrition d'ori- gine
rien de particulier que quelques va- rices de la jambe et quelques troubles trophiques de la peau, comme on en voit souvent
.CROUZON. Il n'est pas rare de constater chez les hémiplégiques des troubles vaso- moteurs et trophiques variés, mais l'appa
ée des deux membres inférieurs. Cette malade est atteinte aussi des troubles respiratoires qui se traduisent- par des crises
t dans la discus- sion qui a suivi, 1\'kPierre Marie rapprochait ce trouble des tumeurs dor- sales du carpe). - Et il fau
é- giques des oedèmes névropathiques qui tantôt ont le caractère de troubles vasomoteurs passagers, tantôt témoignent d'un d
e main succulente que Gilbert et Garnier ont appliqué plus tard aux troubles vasomoteurs et trophiques observés par eux dans
urnit donc de nombreux exemples d'oedèmes ou de pseudo-oedème ? par troubles vasomoteurs et trophiques. Les expériences de Cla
llules nobles des organes une action véritable- ment trophique. Les troubles de l'influx nerveux retentissent donc à la fois
nt cé- rébral sont à eux seuls assez peu capables de déterminer les troubles mé- caniques et trophiques, la stase sanguine e
r les troubles mé- caniques et trophiques, la stase sanguine et les troubles de perméabilité et d'activité cellulaires d'où
dème sans l'intervention de la lésion ner- veuse : celle-ci, par le trouble nouveau qu'elle apporte brusquement à l'équilib
faire l'oedème dans beaucoup de cas, ne fait que rendre apparent un trouble de la filtration et des échanges dans les espac
phoedème (II. Meige), d'oedème segmentaire (Debove), on désigne des troubles trophiques d'un ou de plusieurs membres se tra-
e bonne santé habituelle ; il a cependant une certaine tendance aux trouble vaso- moteurs. Ses extrémités se refroidissent
ire; mais il est certain que le père de l'enfant a une tendance aux troubles vasomoteurs, il a remarqué, et nous avons pu le
trois mois à l'asile de Ville-Evrard ; jaloux, persécuté, atteint de troubles mentaux ayant nécessité l'internement, ce buveu
ne s'étonnera pas de l'absence de tumeurs des nerfs et de certains troubles fonctionnels tels que la fatigue physique et le
sthésie aux membres inférieurs. En dehors de cela il u'existe aucun trouble de la sensibilité superficielle ou profonde. Réfl
rement dans le tronc et dans les bras. - Eu 1896 on constate peu de troubles de la marche : l'ataxie fait défaut, mais la fa
des réflexes tendineux. ' Exagération du réflexe cutané plantaire. Troubles radiculaires de la sensibi- lité aux membres su
euls symptômes jusqu'en 1897. A cette époque se mani- festèrent des troubles sphinctériens, puis il y a six mois un affaibliss
s devenant plus prononcée les yeux fermés. Sensibilité peu altérée. Troubles légers de la marche et de la station debout les
x. Atrophie des muscles de la main. Sensibilité à peu près normale. Troubles sphinctériens. Myosis plus prononcé à droite ;
ans par un mal perforant plantaire ; il y a cinq ans apparition des troubles sphinctériens et des troubles de la marche. Dep
aire ; il y a cinq ans apparition des troubles sphinctériens et des troubles de la marche. Depuis deux ans douleurs très vives
s douleurs très vives dans les jam- bes, survenant surtout la nuit, troubles oculaires, la malade se plaint d'avoir un broui
des vertiges, du dérobement des jambes, de l'agoraphobie; puis les troubles de la marche s'installent et en quelques semaines
ieurs. Hypotonie aux membres supé- rieurs et inférieurs. - Peu de troubles de la sensibilité : zone d'hyperesthésie au tact
merie de la Salpêtrière, salle Pinel. Début il y a sept ans par des troubles de la vue qui progressèrent rapidement et produ
mendèrent lorsque la vue com- mença à baisser. Après survinrent les troubles de la marche qui allèrent tou- jours en s'accen
myosis. Incoordination très accusée aux membres inférieurs. Peu de troubles de la sensibilité cutanée (sensibilité au tact
, en collabo- ration avec Cathelineau. Contribution à l'étude des troubles trophiques dans l'hysté- rie (atrophie musculai
térique, en collaboration avec Cathelineau. De la superposition des troubles de la sensibilité et des spas- mes de la face e
ge de 14 ans, elle a souffert périodiquement de maux de tête, avec. troubles gastriques et parfois vomissements, diagnostiqués
ents et durée de 12 à 16 heures ; quelquefois ils étaient suivis de troubles paralytiques analogues à ceux déjà indiqués, à
roite, tantôt à gauche, mais plus souvent à gauche. Chaque fois les troubles oculaires étaient plus durables et la vision do
urs mois déjà, la malade éprouve, avec de légères oscillations, les troubles suivants : chute incomplète de la paupière supéri
fre d'une maladie qui, précédée et ac- compagnée d'hémicranie, avec troubles gastriques, débuta par une oph- talmoplégie ext
ons des facultés cérébrales, ni sensorielles, ni sensitives; pas de troubles à la vessie, ni au rectum; pasde signes d'atrophi
rtson, ou d'ophtalmoplégie interne et d'autres si- gnes tabétiques ( troubles sensitifs, abolition de réflexes, signe de Romber
tiques et des symptômes concomitants, s'associent d'ordinaire à des troubles pupillaires, et ne présentent pas le caractère
ilaires, qui produisent des ophtatmoptégies, occasionnent aussi des troubles sensoriels et sensitifs, et se distinguent très
- phalangiennes des deux doigts auriculaires. Pour en arriver aux troubles nerveux qui ont amené le malade à consulter, di
du nys- lagml1 bilatéral : aucune lésion du fond de l'oeil, pas de troubles des sphinc- PARALYSIE DES NERS CRANIENS D'UN CÔ
roit sont atteints, chez ce malade, par le processus morbide. Ces troubles nerveux, vu leur étendue, ne peuvent être rattach
oindre mouvement et cependant il n'y a pas de refroidissement ni de troubles de la sensibilité. Le pansement est renouvelé p
ie dans la jeunesse, Début de la maladie à l'âge de 33 ans, par des troubles de la motilité des jam- bes, titubation et chan
Douleurs extrêmement violentes dans la région lombaire et les fesses. Troubles de la sensibilité au niveau des membres inférie
vite. Ensuite dou- leurs dans les reins. Peu à peu apparaissent des troubles de la locomotion : des oscillations pendant la
ire, secousses fibrillaires dans la même région, la localisation de troubles de la sensibilité aux membres inférieurs, diminut
nt tardif, la persis- tance très longue des réflexes rotuliens, les troubles visuels et auditifs, les troubles de la sensibi
ongue des réflexes rotuliens, les troubles visuels et auditifs, les troubles de la sensibilité et de la parole très marqués et
z François Hand... existait une atrophie de l'éminence thénar et de troubles trophiques sous forme d'une chute des ongles. D
e voir une relation entre les lésions des cornes antérieures et les troubles de la motilité et de la trophicité des muscles.
ppement clinique et dans les autopsies de l'ataxie héréditaire, ces troubles musculaires et ces lésions des cellules ganglio
es ; aussi il donne pour cause à l'amaurose du tabes l'atrophie par trouble de nutrition des cellules ganglionnaires réti-
prédispositions congénitales ou acquises des hallucinations et des troubles psychiques) : ces phénomènes semblent peu en rapp
l'application de ceux qui sont affligés de divers stades d'un même trouble mental, les données mentionnées plus haut acqui
rieurs sont : mania, ps. periodica ; dans les deux cas précédents le trouble a revêtu la même forme. La malade est affligée
affligés de l'amentia. Vu la fré- quence beaucoup plus grande de ce trouble par rapport à la manie, nous dis- posons dans c
entières tranquillement étendue ; elle éprouvait manifestement des troubles sensoriels très riches. La 'période vio- lente
s que l'on observe dans l'amentia consistent comme on le sait en un trouble général très accusé des associations d'idées, ce
ées, ce qui amène leur incohérence plus ou moins considérable et un trouble plus ou moins profond du raisonnement ainsi que
enter ; en d'au- tres termes, pour employer les termes courants, le trouble mentionné provo- que l'incohérence de la consci
tes. Des hallucinations variées viennent, généralement augmenter le trouble de l'activité mentale en donnant comme ré- sult
isse, etc. Soumise à l'in- fluence de fluctuations constantes et de troubles sensoriels variés qui dominent complètement le
pour elle àKazan. Ce délire sem- ble manifestement alimenté par des troubles sensoriels; les « phantasmes » ne lui laissent
a chronica. Les caractères fondamentaux, typiques de cette forme de trouble mental viennent d'être indiqués : délire de la
ues violentes qui se rapportent la plupart du temps à des formes de trouble psychique appelées curables, ne se terminent malh
ce de l'imbécillité secondaire de différentes formes pri- maires de trouble mental. Nous reproduisons ici l'ouvrage d'une mal
un état d'excitation pendant le- quel elle manifeste l'existence de troubles sensoriels et d'un délire incohérent, sans suit
leurs noms les personnes de son entourage, puis sous l'influence de troubles senso- riels et du délire elle confond tout ce
ons pas d'ouvrages tant soit peu marquants dus à d'autres formes de trouble mental telles que la mélancolie, la paralysie pro
, Platon avait constaté que les prétendus prophètes éprouvaient des troubles mentaux particuliers, qu'il n'hésitait pas à rapp
cle. On désignait sous le nom de corybantisme ou corybantiasme, les troubles hallucinatoires dans lesquels certains démoniaque
ntes, le moral était très abattu, et à cette période se placent des troubles psychiques dont notre malade a gardé à peine le
nd'chose il ajouter à ces phénomènes spasmodiques. Il n'y a aucun trouble de la motilité; aux membres supérieurs il existe
La recherche des zones hystérogènes reste sans résultat. . Pas de troubles des organes des sens; la vue est normale, sans ré
emarqué de modifications depuis le commencement de la maladie ; les troubles qu'il avait présentés un moment, au début, aura
crit dans des cas d'artério-sclérose cé- rébrale, la dégénérescence trouble , granuleuse, fibrillaire, hyaline avec ou sans
début se ferait dans la rétine. Berger (2) croit trouver dans des troubles vaso-moteurs d'origine bul- baire la cause de l
s colorées, de phosphènes, parfois d'hallucinations visuelles ou de troubles mentaux. La deuxième période dure un temps le p
ERF OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 375 des hallucinations et des troubles mentaux, l'aspect ophtalmoscopique de la papill
n. Cypho-scoliose cervicale infé- rieure, à concavité droite. Les troubles de la sensibilité cutanée n'ont guère varié depui
re , (1) Cette observation clinique a été relatée déjà à propos des troubles de la sensibilité dans la thèse de Georges Haus
e justifie par l'intégrité relative des cornes antérieures. Quant aux troubles de la sensibilité ils s'expliquent par les lési
premier plan. Remarquons en passant qu'elle ne saurait produire des troubles circulatoires tels que ceux qu'on in- voque hab
une dégénérescence et un émiettement progressif sous l'influence de troubles circulatoires ou autres. Les limites de la pert
les rapportions plutôt à un. oedème périvasculaire ou quelque autre trouble circulatoire. En tout cas, cette systématisation
peut à la rigueur attribuer la formation d'une cavité centrale aux troubles circulatoires, ce mécanisme ne peut être invoqué
aux, ce n'est pas dans le sens que l'on entend ha- bituellement par troubles circulatoires, mais plutôt par le fait d'une lési
pas qu'elles agissent autrement qu'en engen- drant par ischémie des troubles de nutrition qui entraînent la désintégration d
hologique du vaisseau ne puisse être conçu autre- ment que dans les troubles de sa fonction circulatoire. Or justement il est
ation lente des tissus ne saurait être imputée avec certitude à des troubles circulatoires. Quant à la dégénérescence hyalin
RE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES {ASILE DE SAIN1E-AN};E) . DES TROUBLES DELA LECTURE, DE LA PAROLE, ET DE L'ÉCRITURE
sieurs, Il y a plus de dix ans, je consacrais une de mes leçons aux troubles de l'écriture chez les paralytiques généraux, e
de l'écriture chez les paralytiques généraux, et je les divisais en troubles cal- ligraphiques et troubles psychographiques.
iques généraux, et je les divisais en troubles cal- ligraphiques et troubles psychographiques. Ces deux termes, que vous con-
ur ces modifications physiques de l'écri- ture non plus que sur les troubles psychographiques, qui sont tout aussi intéressa
ui de la pa- role, nous nous trouvons en présence de deux ordres de troubles tout à fait comparables à ceux que nous venons
fait comparables à ceux que nous venons d'examiner : d'une part des troubles a ? o/a/MM, d'autre part des troubles psycholaliq
s d'examiner : d'une part des troubles a ? o/a/MM, d'autre part des troubles psycholaliques. Les pre- miers ont trait à l'él
l'élément purement physique de la parole et plus spé- cialement aux troubles de l'articulation des mots ; les seconds, au con-
telligence. De même pour la lecture, la même dualité se retrouve : troubles ar- throlexiques et troubles psycholexiques. En
lecture, la même dualité se retrouve : troubles ar- throlexiques et troubles psycholexiques. En sorte que dans les trois modes
la réalité concrète il est souvent diffi- cile de faire la part du trouble physique et du trouble mental, parce que très s
est souvent diffi- cile de faire la part du trouble physique et du trouble mental, parce que très souvent le trouble physi
du trouble physique et du trouble mental, parce que très souvent le trouble physique traduit du même coup un fonctionne- me
ail de mon sujet, et je veux m'attacher, tout d'abord à l'étude des troubles de la lecture chez les paralytiques généraux. En
les paralytiques généraux. En même temps nous prendrons notion des troubles physiques de la parole spontanée, c'est-à-dire
ion des troubles physiques de la parole spontanée, c'est-à-dire des troubles de l'articulation des mots. En écoutant lire le
e je vais vous présenter, vous n'aurez pas de peine à constater ces troubles physiques : lenteur, bredouillement, achoppemen
ion des syllabes, etc. Vous remarquerez aussi que d'ordinaire ces troubles vont en s'accen- tuant mesure que l'épreuve se
re est pro- longée. C'est là un phénomène tout à fait comparable au trouble plus accusé de l'écriture que présentent ces mê
e l'écriture que présentent ces mêmes malades à la fin d'une lellre TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 411
ne incom- préhension absolue de 'ce qu'ils lisent, soit au moins un trouble profond dans le mode réactionnel vis-à-vis de l
nous permet donc de constater, chez les paralytiques généraux, des troubles de l'intelligence proprement dite et des troubl
ues généraux, des troubles de l'intelligence proprement dite et des troubles de la mémoire plus ou moins accentués ; et à ce p
qué, au cours de la lecture qu'elle vient de faire devant vous, ces troubles nombreux de l'articulation ; vous avez aussi ét
des nombreux malades qui ont servi à la démonslration clinique des troubles de la parole, de la lecture et de l'écriture. 4
monotone et tout à fait incolore de son débit. Notez encore que les troubles de l'articulation sont très peu marqués par rappo
à ceux de la mémoire. Il n'y a pas en effet parallélisme entre les troubles physiques et les troubles psychiques de la lect
n'y a pas en effet parallélisme entre les troubles physiques et les troubles psychiques de la lecture. - Cette autre paralyt
ture. - Cette autre paralytique, âgée de 49 ans, ne présente pas de troubles de la parole très accentués au cours de la lect
loir diagnos- tiquer l'âge de la maladie en se basant sur les seuls troubles de la lecture ou de la mémoire. La même amnés
même amnésie après la lecture est tout aussi accusée chez ce malade TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 413
articuler les mots. Peut-être seriez-vous tentés de croire que ces troubles arthrolexiques et arthrolaliques correspondent à
ans la paralysie générale, entre la déchéance intellectuelle et les troubles de l'articulation. L'examen de ces divers malad
ous avez constaté, au cours des diverses épreu- ves de lecture, des troubles physiques et des troubles intellectuels. Je vous
s des diverses épreu- ves de lecture, des troubles physiques et des troubles intellectuels. Je vous ai indiqué la significat
des uns et des autres ; j'ai surtout insisté sur la solidarité des troubles de la mémoire et l'absence de compréhension. Il
l'absence de compréhension. Il est certain, par exemple, que divers troubles de la lecture (mots, lignes oubliés) reconnaiss
preuve nous a fourni d'utiles indica- tions, en particulier sur les troubles de la parole, qu'il va nous être facile mainten
JOFFROY Parole. Nous avons, dans notre dernière leçon divisé les troubles de la parole en deux catégories : les troubles
ère leçon divisé les troubles de la parole en deux catégories : les troubles arthrolaliques et les troubles lJsyc1lOlali- qu
e la parole en deux catégories : les troubles arthrolaliques et les troubles lJsyc1lOlali- ques. Ces deux modes de perturbat
le proprement dite méri- tent d'appeler séparément l'attention. Les troubles arthrolaliques, troubles physiques, troubles mé
tent d'appeler séparément l'attention. Les troubles arthrolaliques, troubles physiques, troubles mécaniques, sont surtout ce
ément l'attention. Les troubles arthrolaliques, troubles physiques, troubles mécaniques, sont surtout ceux de l'articulation.
qu'on observe si souvent chez les paraly- tiques généraux entre les troubles physiques et les troubles mentaux. Ces perturba
hez les paraly- tiques généraux entre les troubles physiques et les troubles mentaux. Ces perturbations physiques de la paro
avent plus, ne peuvent plus se faire obéir. On comprend dès lors le trouble de la parole, irrégulière, in- coordonnée, trem
préhensible. Cette trémulation des lèvres et de la langue, avec les troubles de la parole qui l'accompagnent, est assez typi
articulier dans l'alcoo- lisme aigu ou subaigu on peut observer des troubles très analogues. Le diagnostic dans ces cas devr
ostic dans ces cas devra être très prudent, d'autant que le paraly- TROUBLES DE LA LECTURE, .DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 415
la lym- phocytose du liquide céphalo-rachïdien. Ordinairement les troubles d'articulation des paralytiques généraux appara
ste pas sur ce point, car je veux tout de suite vous entretenir des troubles psychiques de la parole, des troubles psycholal
de suite vous entretenir des troubles psychiques de la parole, des troubles psycholaliques. Je vous ai déjà fait remarquer,
pport avec l'objet de la lecture. J'ai'suffisamment insisté sur les troubles de la mémoire chez les malades que nous étudion
malades que nous étudions. Je veux vous dire seulement ici que ces troubles por- tent non seulement sur les idées,mais sur
ou même ordurière. Cette tendance au langage vulgaire que révèle ce trouble dans le choix des expressions, et que l'on retrou
pent pas. Il faut tenir compte du reste, dans l'appréciation de ces troubles de la mémoire des mots, de la grande difficulté
un défaut de coordination psychique qu'on pourra i t rapprocher des troubles physiques de la parole, et qui exagère les propor
réelle. J'ai réservé pour la fin une variété très particulière des troubles psy- chologiques qui mérite plus' que toute aut
toute autre de retenir toute votre atten- tion ; je veux parler des troubles aphasiques. 416 JOFFROY L'aphasie, sous certa
çante. Chez les artério-scléreux, on peut aussi parfois observer un trouble du langage analogue, à la suite d'un petit ictu
ent : L'hémorrhagie cérébrale en revanche ne donne guère lieu à des troubles aphasiques, au moins d'après les classiques ; m
t diminuant de volume, l'aphasie s'effacera il son tour. Voilà donc TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 417
rique ou autre se révèle tout à coup sous forme de vomissements, de troubles oculaires, d'aphasie mo- trice, etc. S'agit-il
il s'agissait (nous le savons bien depuis Bail- larger) d'un simple trouble psycholalique. Parfois aussi cette atteinte d'a-
années. 418 JOFFROY . Ecriture (i). Nous pouvons, à propos des troubles de l'écriture chez les paralytiques généraux, r
ues généraux, reprendre la division que nous avons adoptée pour les troubles de la parole. Il y a, dans l'un comme dans l'au
ne limite bien nette entre les deux variétés de phénomènes. , Les troubles physiques de l'écriture, ceux que nous désignons
ques de l'écriture, ceux que nous désignons sous l'ap- pellation de troubles calligraphiques sont la conséquence d'un fonction
noncé un seul mot ; de même, il nous serait possible de prévoir les troubles physiques de l'écriture d'après l'état des muscle
és ou obéissent mal ; mais il convient de faire la remarque que les troubles de l'écriture constituent l'une des premières e
tations de la perturbation du fonctionnement des muscles. Quant aux troubles psychiques de l'écriture, troubles psychographiqu
ionnement des muscles. Quant aux troubles psychiques de l'écriture, troubles psychographiques, ils concernent les idées expr
la vitesse, qui sont des plus fréquentes, elles peuvent dépendre de troubles moteurs ; elles peuvent dépendre aussi de l'état
avant tout de la clinique, vais-je attirer votre attention sur les troubles de l'écriture dans l'ordre où nous les observer
un graphologue distingué, le Dr E. Mesley (Thèse de Paris, 1899). TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 419
e si la plume avait eu de la peine à s'arrêter. Le papier Fig. 2. TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 41
à disparaître ; ils on complètement disparudans Fig. 6. Fig. 7. TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE El' DE L'ÉCRITURE 423
a der- nière leçon, et je vous ai fait remarquer que, chez lui, les troubles arlhro- laliques sont plus apparents que les tr
chez lui, les troubles arlhro- laliques sont plus apparents que les troubles psycholaliques. L'écriture est modifiée d'une f
ans l'écriture de cette paralytique démente nous notons de nombreux troubles , et je vous ferai plus particulièrement remarqu
sur certains points, et tout d'abord j'insis- terai sur ce que les troubles calligraphiques et même psychographiques appara
écoce sans que ce soit là une règle absolue. Il en est en effet des troubles de l'écriture comme de tous les autres symptôme
euvent se montrer aux stades les plus divers de l'affec- tion ; les" troubles oculaires par exemple, comme ceux de la parole pe
de noter qu'on observe en général un certain parallélisme entre les troubles de la parole et ceux de l'écriture. Cette varia
marquer qu'il n'y a aucune relation constante entre l'intensité des troubles de l'écriture et l'ancienneté de la maladie. Vo
l'af- Fig. S. - Ecriture spontanée. Fig. 9. - Ecriture copiée. TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 425
de la paralysie générale. - La malade a essayé d'écrire son nom. TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE.3 42
it ce qui suit, en cinq minutes (fig. 14) : Ici nous constatons des troubles calligraphiques très accusés et des troubles ps
ci nous constatons des troubles calligraphiques très accusés et des troubles psychographiques tels qu'ils constituent une véri
vous montrent une fois de plus qu'il ne faudrait pas croire que les troubles de l'écriture chez les paralytiques généraux in
e à envisa- Fig. 94. Il 19. 1b. 428 , JOfFROY ger un ordre de troubles très particulier, je veux parler de l'agraphie.
des membres du côté droit. Voici deux exemples de cette variété de troubles de l'écriture. Le premier vous est fourni par c
de la mémoire graphique dont le degré se modifie parallèlement aux troubles aphasiques. Ce malade ayant sous nos yeux, au c
te 0117pletepenclantquelduessecon- Fig. 16. Fig. 17. Fig. 19. TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCIlITUnl<
Messieurs, vous avoir montré l'intérêt qui s'attache à l'étude des troubles de la parole, de la lecture et de l'écriture chez
lant que les symptômes qui se Fig. 19. 430 -" JOFFROY Fig. 20 TROUBLES DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE LA L'ÉCRITURE 4
ude et qu'il est possible de les grouper tous sous deux chefs : les troubles physi- ques (arthrolalies, arthrolexies, troubl
deux chefs : les troubles physi- ques (arthrolalies, arthrolexies, troubles calligraphiques) et les troubles psychiques (tr
ques (arthrolalies, arthrolexies, troubles calligraphiques) et les troubles psychiques (troubles psycholaliques, psycholexi
arthrolexies, troubles calligraphiques) et les troubles psychiques ( troubles psycholaliques, psycholexiques etpsychographiques
trer par un seul exemple combien grande est la différence entre les troubles calligraphiques et psychogra- phiques de l'écri
de contracture des membres. Atrophie des membres inférieurs, pas de troubles trophiques, pas d'escha- res ; légère atrophie
r le genou, mais il y arrive sans "mouvement ataxique. Il n'a aucun trouble de la sensibilité, pas de Romberg, etc. Au re
ibilité, pas de Romberg, etc. Au reste, l'explication de tous ces troubles se trouve-t-elle tout simplement dans l'atrophi
ns que le malade s'est aperçu de cela, peu après l'appa- rition des troubles de la démarche. Lorsque, en conduisant ses chevau
re aussi bien dans la maladie de Thomsen que dans les myopathies. TROUBLES VASO-MOTEURS CHEZ UNE HYSTÉRIQUE, 'PAR JOSEPH
e malade, entre autres manifestations, eut à plusieurs reprises des troubles de la circulation périphérique qui amenèrent une
er un tel nombre de phénomènes susceptibles d'être rappor- tés à un trouble de la circulation. Les premières manifestations
de la préparation des examens, la malade se plaint de vertiges, de troubles de la vue (scotomes divers, éblouissements) ; e
tion, de suicide. Améliorée par l'isolement, elle rentre. Fig. 1. TROUBLES VASO-MOTEURS CHEZ UNE HYSTÉRIQUE 461 de nouveau
vouloir reprendre ici les discussions auxquelles ont donné lieu ces troubles trophiques variés d'origine hystérique, nous pouv
e spasme vasculaire peut être considéré comme la cause de Fig. 3. TROUBLES VASO-MOTEURS CHEZ UNE HYSTÉRIQUE 463 plusieurs
en parlant de l'oedème bleu des hystériques : « C'est simplement un trouble vaso-moteur de nature vraisemblablement spasmod
thanassio (2) développe ses idées en les appli- quant à de nombreux troubles trophiques (pemphigus, ecchymoses spon- tanées,
névrose vaso-motrice. Dujardin-Beaumetz (3) dit qu'étant donné les troubles « de la circulation vaso-motrice de la peau, on p
la circulation vaso-motrice de la peau, on peut se demander si les troubles analogues ne pourraient pas se reproduire du cô
ispasmodique vasculaire ». Mais s'il est possible de rapporter à un trouble circulatoire, périphé- rique ou central, certai
ait pu être ainsi réalisée.- Mais a-t-on réalisé davantage d'autres troubles trophiques dont la nature hystérique est pourta
Touchard, Léopold Lévy rapportent les observations, faisant de ces troubles des manifestations hystériques évi- dentes. I
aissent pour cause un spasme vasculaire pro- longé, c'est-à-dire un trouble fonctionnel plus intense, bien que de même natu
la pathogénie des délires. Dans cet ordre d'idées, la recherche des troubles trophiques survenant au cours des diverses psyc
oint de vue somatique, pour voir combien sont nombreux chez eux les troubles tro- phiques. M. Dide a groupé sous le terme
ils et cyanose intense. A cet oedème sont venus se surajouter comme troubles trophiques, chez l'un du pemphigus, chez l'autre
l'âge de 16 ans une méningite qui n'aurait pas laissé après elle de troubles cérébraux persistants. Les premiers troubles me
laissé après elle de troubles cérébraux persistants. Les premiers troubles mentaux apparus deux mois 'environ avant son in
an- cienne, a des bords très nettement limités. 10 juillet. - Les troubles trophiques de la jambe commencent à se cicatri-
ntelligent et actif dans sa jeunesse, aurait manifesté les premiers troubles cérébraux à 21 ans. Ses parents constatèrent d'ab
ade plongé depuis sept mois dans une stupeur complète avec nombreux troubles vaso-moteurs (oedème, cyanose et refroi- dissem
hare à la jambe gauche. Nous sommes certainement ici en présence de troubles trophiques. Comme le dit M. Ilérissey clans la
le dit M. Ilérissey clans la thèse : « Tout dans la production des troubles trophiques se résume en trois faits : d'abord une
s : d'abord une lésion nerveuse 470 TREPSAT produisant souvent un trouble circulatoire, ensuite l'inertie de l'organisme
in une infection (1). » On comprend dés lors facilement combien les troubles trophiques doi- vent être fréquents chez les al
es meilleures conditions voulues pour offrir un jour ou l'autre des troubles trophiques. Ce qu'il importait de mettre en évide
qu'il importait de mettre en évidence, c'est que la présence de ces troubles vaso-moteurs et trophiques est la signature de
olo- giqueet la confirme. (1) P. HÉRissEY, Elude clinique sur les troubles trophiques dans la paralysie géné- rale (Thèse
s, qui semblent commandées par des déviations embryogéniques ou des troubles du développement de l'in- dividu. Les causes
ques, les symp- tômes somatiques ou stigmates physiologiques et les troubles psychiques de la dégénérescence. Nous avons e
anatomiques de dégénérescence puisqu'elles peuvent être l'indice de troubles psychomoteurs (tics et sté- réotypies) ou de né
observés par A. Pastore et E. Bertetti sur des chevaux atteints de troubles psychiques variés (3), qui indiquent bien que l
plus instructif de rappeler ici la valeur séméiologique de certains troubles fonctionnels du pavillon de l'oreille. Le cheval
alies dentaires sont communes chez les équidés qui présentent 1 des troubles psychomoteurs (tics et stéréotypies). On constate
ires clans la poche de la joue),- elles ne sauraient constituer des troubles de nutrition comme la carie den- taire précoce
J. SÉGLAS, in G. Ballet, p. 97. (3) Nous avons placé à dessein les troubles fonctionnels des oreilles et de la bouche au ch
ure, du nez, des dents, qui, rencontrés sur des chevaux atteints de troubles psy- chiques variés (chevaux épilepliques, chev
et d'un chapitre fort docu- menté de Cornevin (3) qui signale des « troubles delà coloration dits tro- phiques d'origine ner
ui, dans quel- ques cas (tics et stéréotypies), ont paru liés à des troubles psychiques. Il importe donc de grouper ces symp
aleur sé- méiologique. A. Système nerveux (6). 1. Motilité. Les troubles de la motilité ne sont pas rares chez le cheval
eur, en ce qui nous concerne, que l'action de trottiner et d'autres troubles psychomoteurs observés fréquemment chez les tique
barre, toutes manifestations motrices unies chez les liqueurs à des troubles psychopathiques nettement accentués. On pourrai
ubles psychopathiques nettement accentués. On pourrait désigner les troubles de la motilité ainsi groupés sous le titre géné
ffisamment par lui-même que nous considérons, dans tous les cas, le trouble moteur comme lié indissolublement au trouble ment
dans tous les cas, le trouble moteur comme lié indissolublement au trouble mental. Il existe d'autres troubles des fonctio
ur comme lié indissolublement au trouble mental. Il existe d'autres troubles des fonctions motrices connus de longue date en
l, Eludes sur les tics. DE la DÉGÉNÉRESCENCE chez l'animal 481 de troubles psychomoteurs laissent supposer que les réflexes
s pu qu'ébau- cher et qui est à constituer peu près en entier. 3. Troubles de la sensibilité. - Les troubles de la sensibili
constituer peu près en entier. 3. Troubles de la sensibilité. - Les troubles de la sensibilité générale sont considérés comm
e l' hypoesthésie cutanée dans les tics en l'air et à l'appui. 4' Troubles trophiques et vaso-moteurs. Bien peu étudiés enco
réotypies. B. Fonctions génésiques. Il existe, chez l'animal, des troubles de=. fonctions génitales qui, dans certains cas
ns digestives. L'aérophagie ou aéropinie (Goubaux) est le principal trouble des fonc- tions digestives qui puisse être ratt
constitue l'élément moteur, l'effort convulsif de déglutition, d'un trouble psychomoteur, le tic proprement dit avec ou san
sont, comme le tic de l'ours et les sté- réotypies de léchage, des troubles psychomoteurs, et constituent, du fait même, un
cence (2). Le météorisme ou pneumatose intestinale est également un trouble di- · gestif lié aux tics aérophagiques. Les
artifi- ciel provoqué par des actes d'inhibition mentale. 1. LEs troubles DE la mimique, ou troubles psychiques émotifs se
r des actes d'inhibition mentale. 1. LEs troubles DE la mimique, ou troubles psychiques émotifs se tradui- sent, chez le che
but rendent le cheval d'un entretien difficile. L'agitation est un trouble psychique fréquemment observé chez les chevaux
a colère. Pour que ces actes revêtent les caractères d'un véritable trouble psychique, il faut qu'ils soient fréquents, irr
leur brutalité. Les actes impulsifs des équidés psychopathes, leurs troubles émotifs se complètent par des troubles correspo
équidés psychopathes, leurs troubles émotifs se complètent par des troubles correspondants du caractère et de la volonté. O
L 483 miers produits. La jument Pythonisse (Mlle Lupin) offrait des troubles psy- chiques tellement accusés qu'elle « ne pou
x contacts cutanés... signalés dans nos études sur les tics. ' 4. Troubles de la volonté, du caractère. Nous avons examiné a
lsifs l'action de-la volonté uniquement motrice. Il existe d'autres troubles qui se rapportent plus spécialement à « l'affaibl
tivité. -La méchanceté et la rétivité permanentes cons- tituent des troubles psychopathiques. « La méchanceté est quelquefoi
gmates psychiques de dégénérescence du cheval se rap- portent : aux troubles de la mimique, aux actes impulsifs, à l'hérédité
actes impulsifs, à l'hérédité nerveuse accumulée (nervosisme), aux troubles de la volonté et du carac- tère, aux phobies et
comme ces stigmates peuvent manquer chez des che- vaux atteints de troubles nerveux ou psychomoteurs ou se rencontrer sou-
e de la parole et de l'écriture chez les paralytiques généraux (des troubles de la) (10 fig.), par A. JoFFROY, 409. Maladi
asme bilatéral de la face et du cou (2 planches), 337. Genévrier. Troubles vaso-moteurs chez une hystérique (3 figures), 4
et les malades dans l'art byzantin (1 planche), 159. JoFFnor. Des troubles de la lecture, de la parole et de l'écriture ch
15 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
er. Celui qui les pense, les analyse ; il en creuse en rumine, sans trouble , la base même ; il les vérifie méthodique- ' ?
nèse de l'idée' fixe pathologique est presque tou- jours issue d'un trouble intellectuel primitif L'hallucination est rare
trer (LAURENT), l'erreur du malade, renforcer, pour ainsi dire le trouble cérébral ; Y hallucination n'est pas la cause pro
e propre de l'idée fixe. Nous avons précédemment touché un mot du trouble intel- lectuel en question. Mais nous n'en avon
ormation des sentiments et des intérêts habituels du patient par le trouble qui conduit à l'idée fixe fausse ou pathologiqu
e, en outre, la sphère intellectuelle inconsciente, excitée par des troubles fonctionnels organi- ques extra-cérébraux, réag
es combinaisons de raisonnements. C'est évidem- ment une lacune, un trouble dans le fonctionnement de l'enchaînement des id
ce cas, l'événement en ques- tion n'a rien à voir avec l'espèce du trouble émotif)). Inver- sement des idées prévalentes n
e, et s'affirme progressivement tyrannique, Admettre qu'il y a un trouble profond de la raison, de la critique, du jugeme
isie de son imagination, surex- citée déjà par la notion confuse du trouble qui le frappe. L'idée fixe pathologique est don
Archives, 21 série, t. VIII. 2 lao CLINIQUE mentale. théorie du trouble affectif inhérent au souvenir, ce critérium ne
les caractères que voici : L'idée fausse normale résulte, soit d'un trouble dans le débit des associations d'idées, soit d'
bsessions, des impulsions, des idées fixes, et aussi du délire. Ces troubles , transitoires, disparaissent quand il n'existe
tte excitation spéciale s'accompagne bientôt, à son tour, de légers troubles de la sensibilité dans les membres du côté droit
rouve à la suite d'une compression, avec mêmes frémissements. Ces troubles montent à la moitié droite de la face. La motilit
t céphalique cor- respondant à l'hémisphère cérébral originaire des troubles . Cette céphalée est comparable à une douleur ob
l (599), que l'idée de la perdition sans autre complication et sans trouble sen- soriel est incontestablement plus fréquent
èrement accusées au membre supérieur ; on constatait, en outre, des troubles de la sen- sibilité musculaire, de l'hémianesth
s de la sen- sibilité musculaire, de l'hémianesthésie gauche et des troubles visuels (diplopie, strabisme interne de l'oeil
ce et de la mémoire. La situation s'aggrava progressive- ment ; les troubles visuels surtout s'accentuèrent : perte de la vi
s postérieures de l'écorce cérébrale. Les s auteurs pensent que les troubles de la vision sont probablement dus à l'oedème l
r se cantonner à la région du facial inférieur avec persistance des troubles de la parole. Malgré le traitement antisyphilit
s avoir présenté une agitation violente bientôt suivie de coma avec troubles respiratoires et vaso- .moteurs, troubles des s
entôt suivie de coma avec troubles respiratoires et vaso- .moteurs, troubles des sphincters, et élévation extrême de la tem-
s autres psychoses par auto-intoxication,. 6'est tou- jours le même trouble à base de confusion mentale, le même ensemble d
terrifiant, la même perte plus ou moins accentuée des sou- venirs, troubles variant peut-être avec la nature ou la durée d'ac
oxique. La polynévrite peut elle-même, d'ailleurs, exister sans les troubles mentaux. Ce qui me paraît surtout dominant dans
on, avec ou sans polynévrites, c'est la persistance fort longue des troubles amnésiques, alors même que les autres troubles,
ance fort longue des troubles amnésiques, alors même que les autres troubles , les troubles névritiques en particulier, ont d
ue des troubles amnésiques, alors même que les autres troubles, les troubles névritiques en particulier, ont disparu. A l'ap
ades qui ont guéri après avoir conservé pendant assez longtemps des troubles de la mémoire. ' Voir le dernier numéro, juin,
895), confusion mentale avec intermittence de calme et d'agitation, troubles hallucinatoires à forme zoophique, paraplégie s
société des êtres susceptibles de devenir une cause de danger ou de trouble . Depuis quelques années, les idées humanitaires
utir à des résultats inespérés, en faisant cesser brusque- ment des troubles organiques graves, survenus à la suite de lésions
érations peu graves mais supprimant certaines souffrances, certains troubles exagérés ou mal interprétés par des imagination
ureuses et ressemblent quelquefois à des obsessions. En effet, le trouble et l'arrêt dans le débit des idées sont favorab
rir, se sent abattu, tour- menté d'angoisse cardiaque, se plaint de troubles divers et redoute d'être atteint de la syphilis
tout son empire sur elle-même pour ne rien laisser paraître de son trouble . Aussi, appréhende-t-elle de recevoir un homme
autant que la malade peut préciser, commencèrent il apparaître des troubles psychiques d'ordre neurasthénique si l'on veut,
hronique à une période avancée. Le plus habituellement les premiers troubles se montrent dans la sphère intellectuelle, et c
vation XIV (personnelle). Idée fixe installée dès le jeune âge sans trouble sensoriel (hallucinations apparues postérieuremen
ntécédents personnels . - Méningite à l'âge de trois ans ( ? ). Les troubles psychiques semblent remonter chez lui il son jeun
ance des acquisitions faites à cet âge, sans l'intervention d'aucun trouble sensoriel. Dès lors, B... mène une existence
e dénonce. Observation XVI (personnelle). Idée fixe développée sans trouble sensoriel aboutissant au délire systématique. H
ons dans l'enfance; des excès alcooliques fréquents. Le début des troubles psychiques remonte à l'année 1834. A ce moment
onner à chaque mouvement. Voici com- ment il raconte les différents troubles qu'il éprouve : « Asile d'Armentières, 12 avril
e. Observation XVJII (Personnelle). Idée fixe développée avec des troubles hallucinatoires, servant de base à un délire syst
u ». Les hallucinations de l'ouïe ont augmenté de fréquence et le trouble a gagné les autres sens et aussi la sensibilité g
nerfs, elle a une sorte de paralysie du bras gauche accompagnée de troubles de la sensibilité : ce bras '11 Z RECUEIL DE FA
deux côtés : il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel. Les troubles trophiques sont peu nombreux. L'humérus gauche
res plus anciens de Vogt", Bruns3, Jetter4, etc... L'hy- pothèse de troubles trophiques consécutifs à une lésion arti- culai
t à fait identiques à celui- ci. Dans les faits étudiés par lui, le trouble trophique est plus marqué aux membres supérieur
exerce sa véritable influence. Son véritable domaine est celui des troubles fonctionnels des' principaux appareils. Il faut
es (aspect crétinoïde de la face, index céphalique très faible), de troubles intellectuels secondaires et de simulation. Fol
ur l'ouïe, et le malade en a conscience, peut en rendre compte. Ces troubles de la sensibilité sont pour lui l'origine d'un
aleur diagnostique car il n'est pas démontré qu'elles précèdent les troubles moteurs et n'ont pas davantage de signification
st qu'ils sont une seule et même conséquence du même phénomène : le trouble de dévelop- pement embryonnaire du feuillet ect
it (défaut de l'intelligence, etc.), un clioc peut faire éclater un trouble intense de cette portion incluse et le choc (ac
térisé par une altération du système nerveux amenant à sa suite des troubles nutritifs ou intellectuels plus ou moins profon
l'assistance des épileptiques : 20 le professeur Kojevnikolf : Les troubles de la circulation sous l'in- fluente des émotio
type anatomique de l'oreille, mais sans rapport manifeste avec les troubles mentaux. Discussion. \V. Jakovenko fait remarqu
de l'ataxie manifeste, les signes de Romberg et de Westphall et des troubles de la sensibilité (hypo- esthésie). En outre, s
e une notable asymétrie faciale. Toutefois, dans son enfance, aucun trouble pathologique ne faisait prévoir les perversions
ngereuse, car la résection des sympathiques, est toujours suivie de troubles trophiques, surtout chez les sujets jeunes '. m
le trijumeau. Mais cette lésion ainsi localisée n'explique pas les troubles de la moitié du bras et de la jambe gauche. Fau
l'irritabilité, de l'égoïsme, de la cruauté, etc.; d'autre part des troubles intellectuels, diminution de la mémoire, de la
rrésistibles et parfois subites, instinctives; 3° puis viennent des troubles psy- chiques nocturnes : mauvais sommeil, rêves
hemars, illu- sions, hallucinations, délire et impulsions; 4° Des troubles psychiques diurnes marquent le maximum de gravi
lsions et délire quelquefois aigu; 5° enfin sous l'influence de ces troubles , et en particulier des impulsions, des hallucin
esponsabilité reste naturellement subordonnée à la constatation des troubles psychiques et de leur gravité. On peut 'établir
lui des intoxications. L'on trouve très peu de différence entre les troubles mentaux de l'abstinence et ceux des intoxications
mêmes modifications générales de l'intelligence et du moral, mêmes troubles nocturnes, et à un degré plus marqué mêmes trou
moral, mêmes troubles nocturnes, et à un degré plus marqué mêmes troubles diurnes. Le raisonnement, la clinique, l'expéri
e de préciser dans quelles conditions exactes et par suite de quels troubles de nutri- tion se produit cette auto-intoxicati
econdaires psychiquenzent bien entendu, c'est-à-dire précédées d'un trouble mental préalable qui leur a préparé la voie, tels
es aboulies les auteurs étudient les délires coenesthé- siques, ces troubles subjectifs de la personnalité où les altérations
sions formeut la transition entre la première partie qui traite des troubles psychiques purs et la seconde où on les voit se
ubles psychiques purs et la seconde où on les voit se compliquer de troubles somatiques. En effet, entre les idées fixes cla
ive la thérapeuthique. Attaques de som- meil, fugues, vagabondage ; troubles divers de la sensibilité et du mouvement ; trou
, vagabondage ; troubles divers de la sensibilité et du mouvement ; troubles du langage reproduisant avec plus de net- teté
ur le pharynx et le larynx, nous pouvons trouver d'un seul côté des troubles légers de la motilité dans les lésions unilatér
IONS A LA PATHOLOGIE Nous aurons à examiner successivement : I, les troubles des mouvements oculaires et palpébraux dans les
s sont à considérer : 1° la déviation conjuguée des yeux ; 1° les troubles moteurs des paupières. . g Je". Déviation conju
demi- coma, c'est un excellent signe qui permet de soupçonner le trouble de la vision. Son explication psychologique est t
s précédents nous avions de l'anesthésie sensorielle. De ce que les troubles objectifs de la sensibilité manquent souvent en
les suppléances, en ce qui concerne la sensibilité générale § 11. Troubles de la motilité des paupières. Les mouvements de
Les uns et les autres peuvent avoir ' Voir en particulier Brissaud, Troubles de la sensibilité dans les hémiplégies cortical
tion sensitive du trijumeau. Nous rechercherons donc quels sont les troubles produits soit par une lésion du lobe occipital,
les lésions du, lobe occipital. Lorsque celles-ci sont isolées, les troubles sont peu appréciables, car peu nombreux sont le
eur antérieur2. Lorsque celles-ci sont isolées et unilatérales, les troubles sont encore peu importants. Dans l'hémiplégie m
E CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 189 ne doive provoquer aucun trouble ; en fait, ces troubles exis- tent, mais sont tr
CORTICALE, ETC. 189 ne doive provoquer aucun trouble; en fait, ces troubles exis- tent, mais sont très légers. ' A l'état
leurs fibres de projec- tion) du même côté peut ne produire que des troubles légers, puisque ceux du côté opposé continuent
de même qu'une lésion unilatérale peut quelquefois déterminer des troubles bulbaires assez accentués. En résumé, la lésion
la lésion isolée d'un des centres oculo-moteurs ne produit que des troubles très minimes du côté des pau- pières ; chez la
des individus, la lésion des deux centres du même côté produit des troubles légers ; dans quelques cas rares, la lésion des
Se Il 1 ? 1 , 1 807. 1" mai. n° I. p. 4j. 192 PHYSIOLOGIE. . II. Troubles des mouvements oculaires dans les lésions hémis
ralysies pseudo-bulbaires que nous devions chercher l'existence des troubles djs à une double lésion du centre oculo-moteur
ubles djs à une double lésion du centre oculo-moteur antérieur. Ces troubles paraissent très rares, peut-être parce qu'ils s
E. son regard se fixait sur les personnes qui l'approchaient. Les troubles du côté des yeux pouvaient très facilement passer
z, les joues et la peau du menton, etc. ». Il existait en outre des troubles de la mastication, de la déglutition, de la par
tableau clinique que nous avons décrit. Il assimile absolument ces troubles aux paralysies pseudo-bulbaires, et propose le
ans les mouvements volontaires. Cela nous expliquerait pourquoi les troubles oculaires sont .si ' rarement signalés dans les
ntérieur peut produire : a) la déviation conjuguée des yeux; b) des troubles légers des mouvements palpébraux. 4° La lésio
brutale. En dehors des cas où elle peut ne se traduire que par des troubles paralytiques, il en est d'autres dans lesquels
est le plus habituellement accompagnée 41'héi ? 21a)iesthésie. Les troubles de la sensibilité suivent assez généralement la
es cas où la paralysie s'est établie progressivement, la marche des troubles sensitifs n'est pas toujours bien indiquée ; ma
avec une hémiplégie complète. Il peut se faire au contraire que les troubles sensitifs prédominent au début sur les troubles
contraire que les troubles sensitifs prédominent au début sur les troubles moteurs : dans l'observation IV de Broadbent, l
cet ordre, à attribuer le syndrome de l'apoplexie progressive à des troubles cérébraux liés à l'urémie ou à quelque autre au
re en discussion ce fait que les lésions du cervelet produisent des troubles plus ou moins accentués de l'équilibre, mais ce
contradictoires, c'est le méca- nisme physiologique qui produit ces troubles . Le cervelet est-il, pour ne parler que d'opini
fération conjonctive, ? /) à l'hydropisie qui survient aisément par trouble de la circulation de la veine de Galien qui se
ment au-dessus de l'artère rénale droite (exp. III à V) produit des troubles graves de la motilité et de la sensibilité dans
rale par les artères spinales situées plus haut; c'est pourquoi les troubles moteurs sont bien plus marqués après un pinceme
tten). Dans les huit premiers jours qui suivent l'intervention. les troubles moteurs et sensitifs sont revenus à la normale.
ément. L'emploi simultané d'autres médicaments s'explique par les troubles de la nutrition du système nerveux et d'autres or
en particulier la strychnine, sont indiqués. L'hypnose agit sur les troubles fonc- tionnels, notamment sur la volonté. P. KE
res inférieurs peuvent être contusionnés, ce qui peut expliquer les troubles dans les membres inférieurs. Frend explique ain
ans l'écorce et dans les noyaux du nerf moteur oculaire commun. Les troubles de la vue relèveraient d'une névrite rétrobulba
il y a un an, admettent la possibilité de la nature hystérique des troubles psychiques, bien qu'une lésion organique primit
dipsomanie, enfants vicieux ou dégénérés, obsessions, neurasthénie, troubles mens- truels, aliénation; il montre qu'à August
de cette région. L'existence de ces lésions donne l'explication des troubles nerveux réflexes pour lesquels il est poursuivi
e autre médication. Les mêmes résultats ont été obser- vés dans les troubles qui suivent la castration ovarienne. L'amé- lio
- tiques est constante. L'influence de l'extrait d'ovaire sur les troubles mentaux qui accompagnent les lésions génitales
lconque, dans tous les cas où il est indiqué, c'est-à-dire dans les troubles de la ménopause naturelle ou post-opératoire, d
urologie, t. VIIT, no H. p. 461. - ) 1.,k BIBLIOGRAPHIE. dans les troubles psychiques provoqués par un défaut de sécrétion
s l'ienpalittlisine, par le Dr CIIABAL. Les auteurs ont signalé des troubles psychiques imputables à l'impnludisme. Ils ont
ychiques imputables à l'impnludisme. Ils ont toujours considéré ces troubles jusqu'ici comme des délires d'aliénation commun
sme, con- fusion naturelle, car dans ces cas, l'on a affaire à. des troubles similaires. Le délire palustre est un délire
élire de rêve. Ce délire en effet est en tous points comparable aux troubles délirants de l'alcoolisme, et l'on y retrouve,
ssive (stupeur intense) et l'agitée (convulsions, puis coma). Les troubles lointains de l'impaludisme n'ont pas de caractère
es efforts qu'il tente à cet égard n'aboutissent qu'à augmenter son trouble et son angoisse » (Régis). Ce phénomène peut se p
ude historique). Aghavnian (Krikoris). Contribution à l'étude des troubles trophiques dans l'hémiplégie organique. Ameline (
e de la névrite canzotrophique des tuberculeux. Attal (Joseph). Des troubles vasomoteurs dans l'hystérie. Audureau (Jules).
(Félix). Du délire dans l'érysipèle. Bélianine (MllG Catherine). Troubles de la parole dans l'hémiplégie infantile. Bloch (
xations de l'épaule. Fachatte (Raymond). La puberté et les premiers troubles mens- lruels. Etude clinique. Fauvet (Adolphe).
oïse). Sur la nature de la sclérodermie. Malliotis (Démétrius). Les troubles visuels graves après les pertes de sang. Margoliè
près les pertes de sang. Margoliès (11°l Hebecca), née Iiaménetzky. Troubles psychiques consécutifs aux opérations pratiquée
pathogénique). Margouliss (Abraham). Contribution ci l'étude des troubles nerveux dans la tuberculose pulmonaire . - Martin
s formes utérines secondaires de la névrose. - Sterlin (Henri). Des troubles sensitifs dans la lèpre. - Sulzer (Da- vid). Co
- Vivier (Henry). Sur l'infantilisme. - Volper (NI'le liaïssa). Des troubles trophiques dans la lèpre. Wetterwald (Félix). L
faiblesse générale, la paraplégie transitoire, l'oesophagisme. les troubles digestifs, les algies multiples et variées, cép
tralgie, entéralgie. la suré- motivité, la tristesse chronique, les troubles de la sensibilité psy- chique, les phobies, les
de la sensibilité psy- chique, les phobies, les hallucinations, les troubles du jugement et du raisonnement, les altérations
travaux qui ont été consacrés en ces dernières années à l'étude des troubles psychiques post- opératoires, et les discussion
is encore sur le sens précis qu'il faut attribuer à l'expression de troubles psychiques post-opératoires, et, par suite, sur
malades ni des intoxiqués ». D'après lui, dans ces derniers cas les troubles cérébraux - se manifestent sous la'forme d'état
c. M. le D'' Régis', au contraire, distingue, dans l'ensemble des troubles psychiques post-opératoires, deux ordres de fai
troubles psychiques post-opératoires, deux ordres de faits : 1° les troubles psychiques survenant à l'occasion d'une opérati
troubles psychiques survenant à l'occasion d'une opération; 2° les troubles psychiques relevant, comme cause fondamentale,
ération. Selon lui, les derniers, seuls, doivent être retenus comme troubles psychiques post-opéra- toires ; les autres sont
nies qui affectent nécessairement une forme quelcon- que, les vrais troubles psychiques post-opératoires répondent à un même
tique d'une intoxication endogène ou exogène. Cet auteur classe les troubles psychiques post-opératoires en trois groupes :
les troubles psychiques post-opératoires en trois groupes : 1° les troubles psychiques immédiats, qui surviennent aussitôt
'intoxication chloroformique agissant à la faveur du shock ; 2° les troubles psychiques secondaires, qui éclatent du deuxièm
au dixième jour, et qui sont dus soit à la septicé- ' D' Régis. Les troubles psychiques post-opératoires. (Discussion au Con
opératoire : ce sont les plus nombreux et les plus typiques; 3° les troubles psychiques tardifs, qui n'apparaissent que plus
ne à sécrétion interne tel que le corps thyroïde ou l'ovaire. Les troubles psychiques post-opératoires sont donc, dans tous
pératoires sont donc, dans tous les cas, d'après M. Régis, dus à un trouble de nutrition ou à une intoxication de l'organis
de psychose que l'on pourrait étiqueter folie post-opératoire. Les troubles psychiques post-opératoires présentent les symp
ntielles que nous venons de signaler dans la façon de concevoir les troubles psychiques post-opératoires, on relève encore b
atées, en détail, dans son remarquable travail. ' De Rayneau. Les troubles psychiques posl-opéraloires. (Rapport au Congrè
liénistes et neurologistes. Angers, 1898.) - Pro- fesseur Jott'roy. Troubles psychiques post-opératoires. (Leçon clinique pu
es. (Leçon clinique publiée dans La Presse médicale, 19 mars 1898.) Troubles psychiques post-opératoires. (Discussion au Con
omplètes que possible, et contiennent non seulement l'exposé des - troubles délirants actuels, mais encore celui des antécéde
ans l'étiologie de ces accidents. Or, parmi la multitude des cas de troubles psy- chiques post-opératoires qui ont été publi
ienne. Infection de la plaie opératoire. Septicémie. Apparition des troubles mentaux huit jours après l'opération. Confusion
on et de dépression. M bout de huit mois, amélioration progressive. Troubles de la mémoire. Guérison sans affaiblissement in
ait de sérieux excès de boisson, mais jamais il n'avait présenté de troubles mentaux. La mère, décédée par suite d'une affec
rnières années de sa vie. Nous ignorons quelle forme ont revêtu les troubles mentaux signalés chez cette parente de notre ma
t. En même temps que ces symptômes psychiques se développaient, les troubles somatiques persistaient, au point de compromett
sont très limités et très douloureux. Dans la sphère psychique, les troubles ne sont pas moins accentués. Un élément semble
e l'ensemble des faits qui se sont écoulés pendant cette période de trouble cérébral. Peu à peu, en même temps que son inte
Il est incapable de dire comment et à quel moment ont apparu les troubles mentaux. 11 ignore ce qui s'est passé à l'hôpital
la lignée maternelle une de ses proches parentes avait présenté des troubles mentaux. Bien que nous n'ayons pas eu connaissa
orption du poison. L'influence de l'éthylisme sur la production des troubles psychiques constatés chez notre malade, s'est d
'infection de la plaie opératoire, et il semble que l'évolution des troubles psychiques ait été, dans une certaine mesure, s
ychiques ait été, dans une certaine mesure, subordonnée à celle des troubles d'ordre physique ; d'une part, les désordres cé
té stérile. La participation de ces facteurs au développement des troubles psychiques post-opératoires, ne constitue pas une
urs, de vrais ou de faux délires post-opératoires, ou simplement de troubles psychiques post-opératoires; de même, l'intoxic
la folie post-opératoire... Dans la pathogénie de la production de troubles psychiques consécutivement à une intervention c
et celle-ci ayant revêtu le type habituel des folies toxiques, les troubles psychiques constatés chez noire sujet, rentrent
les mômes raisons, ils se rangent dans le deuxième groupe des vrais troubles psychiques post-opératoires de M. Régis (groupe
vrais troubles psychiques post-opératoires de M. Régis (groupe des troubles psychiques secondaires). Pour nous, il nous par
ous paraît inutile d'adjoindre un qualificatif à la dénomination de troubles psychiques post-opératoires. Abstraction faite
ubles psychiques post-opératoires. Abstraction faite des cas où les troubles mentaux sont la conséquence d'opérations pratiq
que les facteurs d'ordre psychique auxquels M. Picqué attribue les troubles mentaux qu'il appelle les vrais délires post-op
st-hémiplégiques est fort discutée. Faut-il les concevoir comme des troubles purement fonctionnels d'origine probablement hy
son iclus. Chez ce malade dont la zone motrice était inaltérée, les troubles de la motilité ne peuvent s'expliquer que par u
re de la capsule interne par le foyer hémorragique ; du reste ces troubles de motilité diminuaient de jour en jour. Ne pou
res et personnels n'offrent aucun intérêt, était en traitement pour troubles dyspep- 17S 8 CLINIQUE NERVEUSE. tiques consé
ensibilité conjonctivale. La malade ne paraît pas avoir présenté de troubles de la vue. Nous n'avons pas songé à rechercher
; la malade ne s'est plainte d'aucun phéno- mène subjectif. Pas de troubles de la parole. Pas d'aphasie. L'in- telligence e
t facile. Du côté droit non paralysé, nous n'avons à signaler aucun trouble de sensibilité ou de motilité. La trépidation é
es douleurs s'étendent au côté droit. Pas de modifications dans les troubles de sensibilité. 19. En recherchant de nouveau l
vécut ainsi jusqu'au 19 février 1899. Depuis le dernier examen, les troubles de la sensibilité ne se sont pas modifiés. Du c
e du membre inférieur du même côté. Ces accidents survinrent sans troubles de la parole et se présentèrent dès le début avec
Amélioration notable de la motilité, mais pas de modifi- cation des troubles de sensibilité. Sous l'influence d'une piqûre Ou
oit, et pour le membre inférieur du même côté. A gauche, pas de troubles de la sensibilité. Pas de trépi- dation épile
pas de trépidation rotu- lienne. Pas de contrac- tures. Pas de troubles trophiques. Mort dans la journée du 25 mars. Au
hez les sujets atteints de psychoses diverses, sur la fréquence des troubles de la menstruation. Ces troubles, chez les alié
ses diverses, sur la fréquence des troubles de la menstruation. Ces troubles , chez les aliénées, revêtent une allure un peu
encore inexpliqués mais si fréquents qui existent entre certains troubles psychiques et les fonctions vaso-motrices. Ces
doute qu'un certain nombre de psychoses ont leur origine clans les troubles de l'irrigation cérébrale. Ainsi s'ex- pliquera
Nous laissons de côté l'hystérie, qui entraîne si fréquem- ment des troubles inexpliqués de la menstruation, comme de bien d
ante-deux ans, à la suite de chagrins après avoir présenté quelques troubles mentaux. La mère et les six frères ou soeurs so
ée. Jamais d'épistaxis, ni d'autre hémorragie supplémentaire. Les troubles délirants du jour d'entrée disparaissent rapideme
une crise de manie aiguë franche. Le suicide du père après quelques troubles mentaux, il y a quinze ans, en fait une dégénér
uée à trois causes : l'état d'anémie; la congestion cérébrale ; les troubles de l'innervation génitale. La malade a toujou
par l'anémie géni- tale. Il reste la troisième hypothèse, celle des troubles de l'innervation utéro-ovarienne, et voici l'ex
ssent avec assez de souplesse ; les réflexes sont nor- maux. Pas de troubles sensoriels. Démarche un peu lourde. La miction
rénaux, hépatiques, oculaires, cérébro- spinaux, etc., simulent des troubles organiques définis des viscères correspondants
e qu'une ischémie ou une hyperémie capillaire locale, ou tout autre trouble plus intime encore de l'innervation sympathique
Certains signes pourraient cependant différencier ce qui relève des troubles sym- pathiques de ce qui appartient à l'hystéri
s deux membres supérieurs, précédée de douleurs et accompagnée de troubles de la sensibilité, d'atrophie musculaire et de ré
insuffisance nasale, il en arriva à penser qu'il avait affaire à un trouble d'ordre psy- chique et à soupçonner l'hystérie.
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 311 1 manifestent particulièrement les troubles du labyrinthe. L'impor- tance de cette spéciali
ité bien supérieures il d'autres signes comme le nystag- mus et les troubles .de la miction et de la défécation. R. C. XXXII.
le terriloire du nerf atteint. Ce cas de névralgie traumatique avec trouble trophique, rappelle à l'auteur une obser- vatio
s et achil- léens, 3° l'intégrité de la sensibilité cutanée, 4° des troubles dans la notion de position, 5° l'intégrité des
ité des réflexes vésicaux et rectaux, 6° du nystagmus, '7° un léger trouble de la parole, 8° le pied de Friedreich. En outr
t associés à l'ataxie, inconscients comme ces derniers, à cause des troubles du sens musculaire. Traitement. Alimentation
suit pas que la lésion du cor- don postérieur ne dépende point d'un trouble primitif de la cellule du ganglion spinal. En e
ermet d'admettre que la lésion des cordons postérieurs émanait d'un trouble primitif des cellules des ganglions spinaux. P.
le résultat de lésions organiques, mais encore comme le produit de troubles dynamiques qui en font une épilepsie para- syph
intercalaires. En même temps que les observateurs constataient les troubles mentaux ; ils notaient l'apparition de troubles
rs constataient les troubles mentaux ; ils notaient l'apparition de troubles physiques du côté delà démarche et de la parole
es deux malades étaient invités à diner, fut prise du même genre de troubles . L'auteur croit qu'il s'agit ici d'une polyencé
oue naturellement aussi un rôle important dans la pathogénie de ces troubles . Des remarques ont été faites par MM. Korniloff
accusée dans le domaine du plexus sacral et du nerf musculo-cutané. Troubles de la sensibilité très prononcés aux jambes et
es cornes postérieures ne sont presque pas intéressées, puisque les troubles de la sensibilité sont insignifiants. Il conviend
affaiblissement progressif de l'intelligence, inégalité pupillaire, trouble paralytique de la parole, assymétrie faciale. L'é
lus tard et sont moins pronon- cés, mais on observe plus souvent un trouble du sens musculaire des extrémités postérieures.
a paralysie, ne se compliquant ni de phé- nomènes convulsifs, ni de troubles intellectuels, et susceptibles sinon d'une guér
égies cérébrales proprement dites. La spasticité, la paralysie, les troubles intellectuels, les mouvements bibliographie. 34
isins le visitèrent et le trou- vèrent dans l'état actuel. Il a des troubles de la phonation et s'exprime difficilement, d'u
raconter que sa maladie a commencé le i avril, brusquement, par des troubles de la motilité des membres inférieurs ; ceux-ci
sés et le malade ne put quitter son lit ; en même temps, il eut des troubles généraux, de la fièvre, de la céphalée, pas de
ux, de la fièvre, de la céphalée, pas de rachialgie. Rapidement les troubles paralytiques gagnèrent les membres supérieurs,
rynx ; depuis un jour la parole est gênée et très difficile. Pas de troubles subjectifs de la sensibilité. Nous n'obtenons p
rand, bien constitué. Faciès coloré, fébrile, couvert de sueur. Les troubles paralytiques attirent tout d'abord l'attention.
stérien et abdominal. Pas d'atrophie des masses musculaires. Pas de troubles vaso-moteurs sauf une conges- tion très marquée
tion très marquée de la face avec sueurs abondantes en ce point. Troubles de relâchement des sphincters ; le malade urine s
sont fortement congestionnés. L'épithélium des tubuli contorti est trouble , ses noyaux se colorent peu ou pas. On remarque
s faciles à obtenir et, à propager en bouillon à + 3 î°, donnant un trouble uniforme et très accentué, sans voiles ni pelli-
une susceptibilité plus grande, réagit la première et entraîne des troubles mortels. Mais resterait toujours inexpliqué ce
ndry qu'aux cas de paralysie extensive exclu- sivement motrice sans troubles de la sensibilité, ni réaction de dégénérescenc
fréquente. La forme médullaire pure ne s'accompagnerait jamais de troubles sensitifs, présenterait une marche plus rapide, u
aliénistes français et étrangers. Mais ce n'est que récemment qu'un trouble hallucinatoire spécial, dénommé aujourd'hui hal
es, inférieures, sans langage parlé ». Maudsley le premier nomma ce trouble « hallucination motrice ». Avant ces auteurs
é de ces modalités de l'hallucination de l'ouïe, prennent place des troubles spéciaux, moins sensoriels que psycho-moteurs,
erdâtre; ses mains tremblaient : C'est à cette époque qu'elle a des troubles hallucinatoires. , - Elle a eu d'abord des hall
père et père alcooliques. Habitudes alcooliques depuis longtemps. - Troubles hallucinatoires nocturnes et diurnes vers la fi
i ; les voix ne le tourmentent plus autant. Les jours suivants tout trouble hallucinatoire a disparu, M... est revenu à l'éta
coo- lique devient alcoolique à son tour; il boit, son sommeil se trouble , l'appétit se perd, et un jour il entend des voix
ons psycho-motrices verbales, hallucinations de l'ouïe, de la vue : troubles de la sensibilité générale. B... Pierre, soixan
tremblement des mains. Quelques mois après ce début, B... avait des troubles psychiques, de la jalousie mor- bide, des idées
d'hommes. Il voyait également des animaux. B... avait en outre îles troubles de la sensibilité générale; il se sentait élect
des excès de boissons, et s'alcoolise à son tour. Parmi tous les troubles de l'alcoolisme, celui qui attire notre attenti
ouvent de loin, ce sont « des frémissements » dans les pieds, des troubles de la sensibilité générale qui provoquent la voix
retentissement sur l'ensemble des idées délirantes, que les autres troubles hallucinatoires. En Jéfintiive les hallucinatio
ns. Elles sont relativement très rares. Elles sont comme les autres troubles hallucinatoires, la conséquence de l'éréthisme
igent, a très souvent des cauchemars, « c'est aussi un candidat aux troubles nerveux ». Notre malade. Au moment de la conc
hors de service. Dans toute compression médullaire s'observent des troubles moteurs; c'est que les fibres motrices sont plu
t, si, dans le cours d'une paraplégie flasque, on voit survenir des troubles de la sensibilité, ceux-ci retentissent tout d'
s, atypiques : telles sont, par exemple, celles dans lesquelles les troubles sensi- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
e reçu d'explication physiologique certaine, on observe, il côté de troubles moteurs plus ou moins accusés, une exagéra- tio
sme an- cien suivi, longtemps après, d'accidents paralytiques et de troubles de la sensibilité lents et symétriquee, rapproc
les cellules cérébelleuses géantes de Purkinje. Pathogénie. - Les troubles de la sensibilité sont donc d'origine centrale,
us à la rescousse. Mais la myotomie ne serait-elle pas l'effet d'un trouble dans la nutrition du muscle puisqu'on trouve ch
EUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. FOYERS DE RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES ; 'Par Je D' R.OiARON, Médecin d
nt brièvement qu'aux phénomènes physiques «.peuvent s'ajouter des troubles intellectuels, tels que du délire, qu'on peut,
mentionné que dans un très petit nombre d'observations ; que « les troubles intellectuels qu'on observe le plus souvent con
e montre que la question n'a pas été éclaircie : Cotard dit que les troubles psychiques qu'on observe le plus souvent dans l
es de ramollissement cérébral étendu (écorce et centre ovale), avec troubles maniaques transitoires, corres- pondant à la pé
sénile. » Pour André, le ramollissement cérébral ne produit pas de troubles intellectuels très marqués et ne se traduit que
iblissement intellectuel progressif. Nothnagel, sur la question des troubles psychiques liés aux lésions nécrobio tiques du
u centre ovale, lorsqu'ils se montrent isolés, ne produisent pas de troubles psychiques, quel que soit le segment dans leque
«lorsqu'à la suite d'un ictus apoplectique, on voit se produire des troubles psy- chiques non systématisés, obnubilation déf
iques non systématisés, obnubilation définitive de la mémoire, sans troubles moteurs, on a tout juste le droit de suspecter
es du cerveau, le ramollissement cérébral est celle qui produit les troubles intellectuels les plus prononcés; que ces troub
ui produit les troubles intellectuels les plus prononcés; que ces troubles comprennent généralement une période prodro- mi
n'affectent pas l'écorce, peuvent se produire sans entraîner aucun trouble psychique, mais sou- vent cette complication a
agitation périodique passagère, causée par des irritations et des troubles de la circulation. » II. Les documents recueill
si bien que les enquêtes adminis- tratives signalent comme cause de troubles psychiques (non spécifiés d'ailleurs ! ), un ra
de localisation des facultés intellectuelles, il ne produit que des troubles dont les caractères n'ont pas été, jusqu'à ce j
ou d'invo- lution. Existe-t-il un état mental, un enchaînement de troubles psychiques particuliers, dont l'étude puisse co
ans hérédité connue, alcoolique. A été atteinte il y a trois ans de troubles qua- lifiés « Fièvre cérébrale » par la famille
claré subitement, avec hyperthermie considérable, céphalée intense, troubles gastriques, mouvements désordonnés et incoercib
striques, mouvements désordonnés et incoercibles, délire chaotique, troubles hallucina- toires terrifiants. Cette agitation
es : se voit poursuivie par des hommes.. RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES. 437 A l'admission la malade est en
ts épileptiformes, plus accentués à droite. Hyper- thermie : 40°,4. Troubles gastro-intestinaux. Saburration des voies diges
auto-intoxica- tion. - Deux jours après l'agitation est tombée. Les troubles moteurs, sensibles et sensoriels persistent ave
agitation chaotique pendant douze heures, avec hyperthermie, 39°,3, troubles sensoriels péni- bles, particulièrement de la v
isme. - Huit jours plus tard, démence absolue, avec persistance des troubles hallucinatoires et attaques épileptiformes fréq
tellectuelles sont restées un peu obnubilées. Il n'a été noté aucun trouble moteur. En 1892, nouvel accès d'agitation à for
vel accès d'agitation à forme maniaque avec hyper- thermie : 39°,3, troubles gastriques. Suburration et fétidité des RAMOLLI
gastriques. Suburration et fétidité des RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES. 439 voies digestives. Pas de symptô
table chaos des idées avec insomnie, anorexie, hyperther- mie et troubles gastro-intestinaux, auto-intoxication, troubles
, hyperther- mie et troubles gastro-intestinaux, auto-intoxication, troubles hallucinatoires à forme terrifiante, particuliè
nos observations, l'extrême variété des RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES. 441 symptômes objectifs de l'agitat
r la délivrance d'un certificat médical constatant qu'en dehors des troubles psychiques, il ne présente aucun symptôme d'inf
aiguës. Ces états sont en effet toujours associés étroitement à des troubles soma- tiques : tels sont par exemple les délire
rale, l'âge avancé, l'état puerpéral, la chlorose, les anémies, les troubles circulatoires, sans parler des états fébriles o
aigus, peu importe. Toutes ces psychoses sont en rapport avec des troubles plus ou moins graves de la nutrition de l'écorce
ions motrices. Il favorise le sommeil ; il diminue l'acti- vité des troubles hallucinatoires en restreignant les causes prov
es mouvements actils perçue à l'occasion 1 Abba. Elude clinique des troubles de la sensibilité générale, des sens musculaire
e cause cérébrale. Thèse de Paris, 1>i96. 2 Bourdicault-Dumay. Troubles de la sensibilité générale, du sens murs- eulai
Médecin adjoint de l'Asile des aliénés d'Eerew. Si on élimine les troubles sensoriels d'origine alcoolique que présentent
ements des dents, et un délire des per- sécutions entretenu par ces troubles psycho-sensoriels. L'au- topsie montra, entre a
de l'ouïe et d'hallucinations psycho-motrices. Par intervalle, ces troubles sensoriels devenant très actifs déterminent des
lade dont le père présenta également des idées mélancoliques. « Ces troubles psychiques accessoires' ne sont pas en relation
aques d'anesthésie à la plante des pieds. Pas d'hémiparésie. Pas de troubles trophiques. L'auscultation du coeur ne dénote a
ions fantastiques des jours d'agitation et conserve seulement comme troubles morbides un certain affaiblissement intellectue
1898. Persistance des hallucinations de la vue et de l'ouïe et des troubles de la sensibilité générale : des voix lui disen
l'escalier, sous les tables, craignant qu'on lui fasse du mal. Ces troubles sensoriels déterminent parfois des accès d'ango
ctuel est de plus en plus considérable, l'inconscience absolue. Les troubles physiques sont les suivants : embarras de la pa
une teinte terreuse. L'alimentation est cependant bonne sans aucun trouble gastrique apparent, du reste X... a toujours bi
pseudo-acromégalique segmentaire de tout un membre supérieur, avec troubles syringomyéliques ayant la même topographie; par
éressante : d'une part, par la coïncidence topographique exacte des troubles syringomyé- liques et de l'hypertrophie ; en se
, d'après laquelle la respiration de Cheyne-Stockes serait due à un trouble de l'activité fonctionnelle du bulbe, siège des
té ou à la lenteur de la sédimentation de ce liquide, rappelant des troubles semblables dans les maladies fébriles, les affe
lles qui nous occupent. Rapprochant et différenciant ces signes des troubles d'oxydation constatés dans l'hystérie et la neu
mptomatiques, secondaires, consécutifs à l'action des produits d'un trouble d'oxydation primitif sur le système nerveux. Elle
ue, à des' processus d'oxydation anormaux de l'organisme. il y a un trouble d'oxydation spécifique de l'uricémie, du diabète,
'oxydation spécifique de l'uricémie, du diabète, etc., il existe un trouble d'oxydation spécifique de l'hystérie. L'hys- té
hlorose et la goutte existe parce qu'il se produit simultanément un trouble d'oxydation hystéro- gène ; l'hydrémie de la di
de l'hystérie et de la neurasthénie, ni le point de départ de ces troubles d'oxydation névropathiques. Il doit y avoir vice
essie et du rectum. Difficulté de marcher : ataxie prononcée. Aucun trouble psychique. L'auteur conclut : Il y a soit névrite
eux. Trois jours plus tard il est presque totalement aveugle. Aucun trouble mental. Paresthésies diffuses dans l'occiput et l
eure du corps réagit bien. La queue est elle-même paralysée. Pas de troubles de la nutrition, pas d'incontinence vésicale ou
ce vésicale ou rectale. On dirait d'une myélite transverse sauf les troubles recto- vésicaux. Un beau matin la servante, pou
, succédant à des douleurs instantanément disparues, l'ab- sence de troubles de la sensibilité, sauf au courant faradique qui
ilité, sauf au courant faradique qui n'est plus perçu, l'absence de troubles vésicaux, rectaux, sexuels ; enfin la continuit
e point; intégrité de la sensibilité, absence de paresthésies et de troubles trophiques correspondants. Il ne reste plus qu'
hémisphère gauche. L'absence de 494 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. troubles sensitivo-sensoriels dénonce la moitié antérieure
ère avec destruction du lobule pariétal supérieur gauche. Ici les troubles sensitifs du côté droit (hémi-anesthésie du tact
a tumeur (Landouzy) ; à cause des symptômes permanents tels que les troubles de la sensibilité, l'hémianopsie, la parésie lé
ation dans la substance blanche du lobule pariétal supérieur. Les troubles du sens musculaire et de la perception du relief,
C'est l'émotion qui suspend ou arrête l'évacuation commencée. Aucun trouble de ce genre ne se produit en présence des proch
rocéphalie interne extrême avec gra- nulations de l'épendyme, léger trouble de la pie-mère à la base. L'auteur pense que l'
Il s'agit de ces cas où on enregistre une disproportion entre le trouble moteur peu ou pas marqué et l'extrême altération
u médian au niveau de l'articulation du poignet produit souvent des troubles plus considérables de la sensibilité de la peau
rmie d'une zone circonscrite de l'avant-bras malade, constituant un trouble vaso- moteur fugitif et récidivant. lIyperhidro
pement n'en fut terminé ; elle a donc produit, non pas seulement un trouble dans l'activité fonctionnelle, mais un arrêt de
e dans l'activité fonctionnelle, mais un arrêt de développement. Le trouble de la nutrition des cellules a nui aux fibres s
rès sensibles au tiraillement et à la pression, mais il n'existe ni troubles fonc- tionnels, ni réaction électrique anormale
indique qu'elle est psychique. L'évo- lution lente et graduelle des troubles parétiques ne saurait se rat- tacher à un épanc
déjà l'atrophie de la langue était considérable, parce qu'enfin les troubles ont continué à progresser. Une lésion bulbaire ch
ntôt-0°,G-'r0°,8. Il se-produit de l'herpès labial. L'urine devient trouble . P=1 ? G; ;Il. 26. On\entend des râles secs dans
sociée à une hémianopsie de l'autre ; toute» les autres variétés de troubles oculaires connues, dépendent de l'action plus par
boutissant à l'ammt1'ose bilatérale complète. Les mêmes variétés de troubles oculaires se voient aussi dans l'acromégalie; ell
ans la struc- ture de son corps pituitaire, s'étant accusée par des troubles nu- 508 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tritifs
gne de Westphal, le signe de Romberg, les douleurs lancinantes, les troubles subjectifs de la sensibilité bilatéraux marqués
ar altération du nerf trijumeau. Mais, surtout, ce malade offre des troubles particuliers de la marche : la station debout e
r ainsi certaines formes de syringomyélie. M. Paul Londe. Sur les troubles moteurs du goitre exophtalmique. Théorie de l'h
amentaux sont attribuables à l'asthénie, à la parésie : ce sont des troubles de déficit. Ils peuvent coïncider avec un défaut
aitement du - par l'ovanne, par Uelaunay, 132. - par t'opou, 338. Troubles mo- teurs dans le-,par P. Londe, 514. Gynécol
eudo-acroméga- lique segmentaire de tout un membre supérieur avec troubles syrmgomyéliques ayant la même topographie, pa
s, par Stadebnann, 161. Ramollissement. Foyers de cé- réblal et troubles psychiques par Charon, 433. Respiration de Ch
16 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
x de cette trypanosomiase se caractérisent prin- cipalement par des troubles moteurs généralisés et, en règle générale, bi-
ible de trouver, rarement d'ailleurs, des cas avec prédominance des troubles moteurs d'un seul côté du corps. Dans la forme
s ; mais on ne les observe pas chez des malades ne souffrant pas de troubles nerveux, lorsqu'il n'existe pas de déficit de l
e. Celle-ci se présente, quelquefois, d'une façon complète, par les troubles de la parole, l'ouverture de la fente inter-rab
ans ses différents degrés d'intensité, observée dans des cas où les troubles moteurs sont minimes (PI. III, IV, V). Chez des
ourue- ville. Ici, les idiots complets présentent simultanément des troubles delà motilité, dénonciateurs de lésions cérébra
s rare que l'on constate des convulsions chez des malades dénués de troubles moteurs et qui ne présentent que les signes d'ins
ide. Nous avons encore observé, dans cette maladie, quelques cas de troubles mentaux intenses, liés à des perturbations de l
s tard d'une crise d'entérite. En 1908, à 41 ans, elle présenta des troubles de la marche se manifestant de la façon suivant
même époque elle était sujette à de fréquentes migraines. Ces divers troubles après avoir duré quelques mois disparurent; ell
atérale, mais plus marquée il gauche. Nous avons signalé déjà les troubles subjectifs de la sensibilité, les dou- leurs do
ans le domaine de C° CI. La malade .attire l'attention sur quelques troubles de la vue qui semblent devoirêtre mis sur le co
ouleurs dans la nuque, le cou et les épaules. Il existe enlin des troubles de miction, la malade n'nrine qu'avec effort et
adduc- tion et rotation interne de tout le membre. Il existe des troubles des sphincters : la malade urine par regorgement
des sphincters : la malade urine par regorgement et ses urines sont troubles et purulentes ; elle a de la rétention des matièr
n demi-coma et meurt au bout de trois jours : » L'analyse seule des troubles observés chez celle malade nous avait permis de
légie progressive par la suite. Le début de cette affection par des troubles radiculaires précédant les symptômes médullaire
dans les compressions de la moelle il n'y avait pas dans ce cas de troubles objectifs de la sensibilité permettant de local
iens et à la base du cerveau (diplopie, diminution de l'ouïe et des troubles vertigineux. Enfin en raison de l'absence de tr
l'ouïe et des troubles vertigineux. Enfin en raison de l'absence de troubles de la sensibilité sur les mem- bres inférieurs
es de sa vie à l'Hospice de Bicêtre, où il avait été admis pour des troubles médullaires affectant le type de la sclérose comb
Or, ce malade n'a jamais exhibé la moindre trace d'aphasie. Le seul trouble de la parole qu'on ait pu constater était un pe
eureusement, n'a jamais été con- firmée au périmètre. Du côté des troubles paralytiques, 'il se fit une amélioration progres
frontale, et l'on sait le rôle très important que peuvent jouer ces troubles circulatoires secondaires ; en second lieu, il
service du professeur Rauzier, salle Fouquet, N 20, pour de légers troubles de la-parole. Au début du mois de juillet 1911,
récédents, il n'avait constaté aucune anomalie du langage, ni aucun trouble d'aucune sorte. Il trouve très bien les mots qu
dre. Mais récemment, depuis trois semaines à un mois, il éprouve un trouble très léger de l'articulation des mots (par exem
ans l'épaule et le genou droit, sans gonflement articulaire. Pas de troubles de l'ouïe, pas de bourdonnements d'oreille. Pas
la vue, corrigée par le chan- gement de verre du lorgnon. Pas de troubles trophiques. Les appareils circulatoire,respirat
également perçu par le malade tant à gauche qu'à droite. Malgré les troubles de la motilité de la langue, la déglutition n'est
ans signes objectifs nets, dans la moitié droite du corps, quelques troubles du goût et une diminution légère de la sensibil
ment rétrocédé ; mais, depuis quelques jours, ont réapparu quelques troubles dans l'articulation de certaines lettres (1). L
e ce tableau, correspondent bien aux descriptions classi- ques. Les troubles fonctionnels sont réduits au minimum ; pas de dif
a face. Généralement l'hémiatrophie linguale ne s'accompagne pas de troubles sensitifs : soulignons chez notre malade certaine
(Arclt. de neurol., 1891, p. 296), un rôle vaso-moteur, facteur de troubles trophiques. Une lésion cérébrale et non une hém
ions des neurones moteurs bulbo-médullaires, et les quelques autres troubles susceptibles d'être interprétés par une altérat
re interprétés par une altération bulbaire, déviation de la luette, troubles légers du goût et de la sensibilité tactile de
y manque la para- lysie laryngée, et il y a,en plus,d'une part, les troubles homonymes de la sensibilité linguale, qui ne re
terno-cléido-mastoïdien et trapèze, unit une paralysie faciale et des troubles sym- palhiques du même côté. En outre, la malad
a compression médullaire. La démarcation supérieure segmentaire des troubles de la sensibilité ainsi que le rôle prépondérant
malade commence à se servir de la voiture d'Eulenbourg. Retour des troubles cardiaques (allorythmie et arythmie). Dans le mil
s les commencemets de novembre réapparition pour quelques jours des troubles cardiaques (allorythmie et ary- thmie). Dans
jusqu'au dernier moment avant l'opé- ration, ^'absence complète de troubles dans le fonctionnement de la vessie ; il y avai
bsence de corps pa- thologiques) est rendue avec un certain effort. Troubles de la sensibilité : lé- ger affaiblissement de
éto- spastique ; il ne peut déjà plus marcher sans aide; limite des troubles de la sensibilité sans changement. 2 octobre.
ans le cours ultérieur de la maladie,surviennent successivement des troubles dans le fonctionne- ment de la vessie, l'affaib
force des mouvements est minime. Des deux côtés, dans les orteils, troubles profonds de la sensibilité; réflexes tendineux
ors, les mouvements libres gagnèrent en force et en amplitude ; les troubles de la sensibilité douloureuse, tactile et thermiq
e gauche, durant 9 mois,. sans aucun symptôme doulou- reux avec des troubles de la sensibilité sous forme de changements disso
douleurs dans le cours subséquent de la maladie. Du reste même les troubles de la sensibilité du type des changements dissoci
dans'la maladie subséquente. Aussi, vu l'évolution irrégulière avec troubles de la sensibilité à type de modifications dissoci
enue après l'ablation de la tumeur. En effet simultanément avec les troubles cardiaques caractéristiques, apparaissaient toujo
on de ces douleurs était suivie graduellement de la disparition des troubles du coeur. Il est possible que la cicatrisation
s formes cliniques en sont fournies par l'association avec d'autres troubles affectifs (délire mé- lancolique, délire hypoch
e parcourir les publications de ces dernières années, relatives aux troubles de la croissance, pour s'apercevoir immédiatement
plus ou moins altérées, et trahir leurs altérations par différents troubles , on pensait que ces altérations étaient très se
l infantilisme une origine hypophysaire, en le faisant relever d'un trouble de la pituitaire qu'on considérait jusqu'à ces de
développement musculaire. Station debout et marche correctes. Aucun trouble de la coordination, aucun mouvement anormal. II
ntaire, crémastérien, abdominaux, normaux. III. Sphincters. - Aucun trouble des sphincters vésicaux et rectaux. IV. Sensibi
ique bilatérale plus accentuée à droite. Acuité visuelle : 0. VI. Troubles t1'ophiques. - Peau un peu sèche. Engelures fréqu
'instruction qu'il a reçue, l'entrave apportée à la lecture par ses troubles visuels, l'intelli- gence de L... peut être con
a donc perturbé, tari peut-être la sécrétion hypo- physaire, et ce trouble a entraîné à la fois et l'arrêt de développement
t être considérée, selon nous, comme ayant déclenché ces différents troubles , elle ne saurait être rendue responsable de la
Organes génitaux externes et internes atrophiés. Absence de poils. Troubles visuels. Autopsie : Tératome calcifié de l'infu
ongénitale. A l'ouverture du kyste, 45 grammes en- viron de liquide trouble s'écoulent. Résultats post-opératoires : Amélio
e trouble s'écoulent. Résultats post-opératoires : Amélioration des troubles visuels. Cas de Raymard. - Homme de 17 ans, inf
es et physiologiques sur la marclie, Paris, 1885 (3) Maiunesco, Les troubles de la marche dans l'hémiplégie oiganique étudiés
e Mann de l'hé- miplégie) qu'on doit, d'après Grasset, attribuer le trouble décrit par Schüller pendant la marche de flanc
ed) et à celle des adducteurs de la cuisse, qu'on doit attribuer le trouble , chute du bord interne du pied, et par conséque
ner plutôt dans la direction du membre malade. La démonstration des troubles que nous venons de signaler se trouve très faci
ce type hystérique est le manque d'uniformité, de façon à ce que le trouble n'a pas les caractères de fixité qu'on observe da
édecins de l'Asile d'Aliénés d'Amiens. La question de la nature des troubles vasomoteurs que l'on rencontre parfois chez les
stations. Pour certains auteurs, partisans de l'Ecole ancienne, ces troubles seraient essentiellement symptomatiques de la n
s semble permis de conclure que chez notre sujet, la production des troubles vasomoteurs ne saurait être attribuée à d'autre
autorisent pas, croyons-nous, à les rattacher à autre chose qu'à un trouble purement fonctionnel du système nerveux. Il ne
ées, d'étudier une famille royale dont les membres présentèrent des troubles mentaux nfultiples : les Habsbourg d'Espagne. N
e la position normale, et en paraissaientde beaucoup plus petits.Ce trouble de l'ossification était localisé aux deux os ci
dances hypocondria- ques. Il est bon observateur et décrit bien ses troubles . Il s'intéresse aux re- cherches dont il est l'
imètres. Le grand diamètre des testicules : 5 centimètres. Pas de troubles de la sensibilité. Les réflexes rotuliens exagéré
normal. Il a suivi l'enseignement inférieur (8 classes). ' Pas de troubles viscéraux apparents. Sur les téguments quelques n
rtout celui du côté gauche sont plats. Le malade ne présente pas de troubles de la sensibilité. L'existence des réflexes rot
isponible. En tout cas, ils ne se produisent pas facilement. Pas de troubles viscéraux impor- tants. Le pouls plutôt rare, 6
). Cette malade a été internée dans l'hospice Màr- coutza) pour des troubles mentaux. Nous donnons ici les quelques rensei-
t pas réduit ainsi qu'on peut le voir sur les photographies. Pas de troubles des réflexes, de la sensibilité et de la motilité
cas à un état d'achondroplasie fruste. Cette malade a présenté des troubles psychiques qu'on peut étiqueter, pensons-nous,
, n° 1, 1910. G. Cnesrlrr et BONNET. - Micromélie rhizomélique avec troubles mentaux chez une jeune arabe. Nouvelle Icon. de
te une exagération du volume des épiphyses.On note en même temps un trouble de l'ossification portant sur l'ensemble du tissu
x démontrée. Peut-on, à la suite de nombreux auteurs, incriminer un trouble des glandes vasculaires sanguinaires ? Pour d
e travailler. Ces diverses particularités indiquent l'existence des troubles pluri-glandulai- res, sans cependant permettre
re, à une diminution de l'activité ostéogénique du périoste et à un trouble du métabolisme des substances calcaires et phos
des substances calcaires et phosphatées. 2° Elle provoque divers troubles de la nutrition, soit en modifiant elle- même l
recherches analomo-cliniquesonldémonlré l'existence chez l'homme de troubles et de lésions entièrement superposables à ceux qu
pement des animaux ayant subi l'extirpation du corps pituilaire. Le trouble dystrophique porte à la fois sur le cartilage,
er l'achon- droplasie comme une variété d'atéliose dans laquelle le trouble sécrétoire hypophysaire entraînerait simplement
e adiposique, d'une asthénie profonde, de bouffées de chaleur et de troubles circulatoires. (1) ASCOLI ET Legagm (de Pavis),
l'état normal et les yeux à paraître plus saillants que d'ordinaire, troubles qui ne furent cependant pas accompagnés d'autre
mai, sans cause apparente, le père s'aperçut que l'enfant avait des troubles dysarthriques très évidents. Environ 8 jours ap
plaint de douleurs dans aucune partie du corps, il n'a pas accusé de troubles de la vue, et a toujours donné l'impression de
mbent lourdement sur le lit. Dans les membres on ne remarque pas de troubles tropbiques et il n'y a pas tendance à aucune po
adie actuelle commença vers les premiers jours de mai 1912 avec des troubles dysarthriques, auxquels fit suite une forte dimin
vraie tétraplégie. Dans les derniers temps, le malade présenta des troubles de la respira- tion, des sanglots et de la diff
culté à la déglutition des aliments solides. On n'observa jamais de troubles vésicaux ni de la défécation. L'examen pratiqué
en doute au sujet des deux maladies. Chez mon malade, en somme, les troubles de la vue étaient très prononcés, il n'existait
aquelle se présenta l'ensemble symptomatique,entre l'apparition des troubles dysarthriques et l'apparition de la tétraplégie,
s, ni aucun mal à la tête. La forme spéciale du crâne, les notables troubles de la respiration, les résultais de la ponction
qu'à envahir tous, ou presque tous les troncs nerveux, l'absence de troubles sensitifs est exceptionnelle, de même qu'une au
semble symptomatique en somme, lequel, faisant abstraction d'autres troubles , ne se pouvait certainement invoquer comme base d
es mouvements de la langue, déglutition, dif- ficile ou impossible, trouble de l'innervation oculaire, respiration difficile
le de l'innervation oculaire, respiration difficile et stertoreuse, troubles de l'équilibre, allure ébrieuse, avec ou sans d
éacu- tisée en prenant des proportions notables, jusqu'à donner des troubles gra- ves. Que cette augmentation se soit vérifi
améliorent encore, pendant que des mouvements choréi- formes et des troubles cérébellaires se rendent évidents. Une troisième
es jours qui suivent la troisième et dernière ponction que tous les troubles disparaissent ou s'améliorent tellement que, le 1
utres considérations me sont permises au point de vue clinique. Les troubles de la parole et les symptômes cérébelleux furent
lement, chez mon malade,les premiers à apparaître devaient être les troubles du langage, et les symptômes cérébelleux, furent
pirait que rarement, ses mains pas du tout. Sa peau ne montre aucun trouble vasomoteur, tel que refroidissement ou chaleur. I
dies mentionnées. Il n'y avait guère de raison de diagnostiquer des troubles amyotrophiques. Contre ces der- 28 HNATEK niè
. Revenue complètement de son état comateux, elle se plaint de voir trouble . Rétention d'urine : 600 grammes en 24 heures, go
paralysie, aussi complète qu'au premier jour, semble définitive. TROUBLES DE L'ÉCRITURE PAR ARTHROPATHIE DE L'ÉPAULE CHEZ
es muscles moteurs des articulations des doigts ou du poignet, elle trouble du sens musculaire, la diminution, perle ou perve
du sens musculaire, la diminution, perle ou perversion dé Fig. i. TROUBLES DE L'ÉCRITURE PAR ARTHROPATHIE DE L'ÉPAULE 243
s réflexes automatiques et volontaires. Nous venons d'observer un trouble scriptural encore plus accentué. Le cas en est
de habitude delà plume. -Il a 40 ans, son chancre date de 1892, ses troubles urinaires (lenteur de miction), de 1900, et les
plus aucune direc- tion. Quelle est, ici, la cause efficiente du trouble ? ' ? Nous faisons déshabiller le malade,un peu
ment de la moelle épinière. Nous pouvons rattacher à ces signes les troubles de la mic- tion, le malade se trouvant en plein
enot, Saint-Dizier (Haute-Marne). GIGANTISME EUNUCHOÏDE Étude DES TROUBLES DE la SÉCRÉTION INTERNE DU TESTICULE. -j Dissoc
interne. par R J. REBATTU, et L. GRAVIER, de Lyon L'étude des troubles du développement du squelette a donné lieu ces
à usités, des appellations plus exactes tirées de la nature même du trouble . Mais les problèmes pathogéniques ne se solutio
iques et anatomo-pathologiques, nous per- mettent de rapporter à un trouble de sa fonction certains syndromes jus- qu'ici m
dernier, une dysorchidie fréquente, sans éliminer complètement les troubles des autres glandes à sécrétion interne, notamme
autorisent à admettre, à côté du gigantisme acromé- galique dû à un trouble hypophysaire, un gigantisme causé par un trouble
é- galique dû à un trouble hypophysaire, un gigantisme causé par un trouble de la sécrétion interne du testicule. C'est ce
condaires, et sont de plus affligés d'une remarquable obésité et de troubles psychiques. Il semble que Widal et Clerc aient
effet, si les eunuques ont assez souvent, mais secondairement, des troubles glandulaires divers, thyroïdiens, hypophysaires,
de réserver le terme d'eunllchisme ou toute épithète dérivée, à un trouble pur immédiat de la sécrétion interne du testicule
us les castrats (naturels ou opératoires) qui ne présentent que les troubles classiques de l'insuffisance testiculaire : gigan
igantisme infantile dont la tare squelettique est le seul indice du trouble de la fonction glandulaire du testicule, tandis
ier. Mais si ce dernier terme indique bien le caractère passager du trouble glandulaire mis en cause, il a le double tort,
oute congénitale. Absence de la sécré- tion externe du testicule. - Troubles de la sécrétion interne du testicule : 1° Exagé
olu- ment normaux, et on sent bien l'isthme thyroïdien. : i Aucun trouble non plus qu'on puisse rapporter aux surrénales. I
llaires sont normaux. Aucune névralgie. L'abdomen est normal. Aucun trouble des fonctions digestives. Matité hépatique norm
Pi. XXXIX, XL, XLI). (Service du D'' LECLEnc.) Diagnostic résumé. Troubles de la sécrétion interne du testicule : exagé- r
peu abon- dante. L'appétit est bien conservé, et il n'existe aucun trouble digestif. Les urines ne contiennent pas d'album
u'à partir de 13 ans, et il fut alors un peu fatigué. On parla de « troubles de croissance ». 266 REBATTU ET gravier Lorsq
défaut ; . 3° L'absence de tout symptôme pouvant être attribué à un trouble fonc- tionnel d'une autre glande endocrine. I
ous n'avons relevé aucun signe qui puisse permettre d'incriminer un trouble de la fonction thyroïdienne : non seulement il
l n'y a pas d'hémianopsie. D'autre part, à supposer qu'il existe un trouble de la sécrétion interne, sans hypertrophie de l
du maxillaire inférieur. Il n'est pas impossible toutefois que des troubles acromégaliques sur- viennent ultérieurement, pa
harger le tableau du gigantisme eunuchoïde. Par contre, les seuls troubles que nous avons pu mettre en évidence chez nos s
s secondaires : système pileux, mue de la voix, etc... Enfin, les troubles squelettiques que l'on a observés chez les eunuqu
ns retard de soudure des carti- lages de conjugaison. Mais si ces troubles sont actuellement assez bien connus, et si on sai
odalités cliniques. Les cas de gigantisme eunuchoïde pU ? dus à des troubles testiculaires isolés, sont peu nombreux. Nous n
(2) Pmscus, Thèse de Lyon, 1902-1903. 27o , REBATTU ET GRAVIER trouble fonctionnel persiste : aucun des caractères sexue
t supérieure à la moyenne. Peut-être bien y a-t-il eu aussi quelque trouble , probablement un retard, de la sécrétion intern
ons donner une classification des divers syndromes réalisés par les troubles des sécrétions testiculaires pour situer le gigan
Les dimensions exagérées de ses os restent là comme la cicatrice du trouble fonctionnel. De plus ses caractères sexuels secon
ssent pas. Il n'est pas rare dans ces cas de voir survenir d'autres troubles glandu- laires, mais il convient de ne pas les
articulière, nous reste à envisager. C'est le cas de sujets dont le trouble testiculaire s'établit, non plus dans l'enfance
euvent varier à l'infini, suivant le mode de combinaison des divers troubles . D'un syndrome testiculaire pur on passe ainsi
ssez grand nombre de cas où la sclérodermie s'est associée fui. des troubles basedowiens. En effet, à côté des cas présentan
phtalmique, il y en a encore toute une série où l'on a constaté des troubles sclérodermiques associés il des manifestations d'
n doit donc en déduire que la relation entre la sclérodermie et les troubles thyroïdiens est probablement plus compliquée qu
ertaines variétés de dermato-sclérose, doit être recherchée dans un trouble de la nutrition cutanée relevant d'une perturba
oitre, de l'exophtalmie, de la tachy- cardie, des tremblements, des troubles oculaires, des crises de diarrhée, des bouffées
ant, avec le diagnostic de Basedow. Depuis deux ans elle souffre de troubles cardiaques, de la mala- die de Raynaud et de sc
érodermie en relation avec des lésions nerveuses, produites par des troubles thyroïdiens. Môller (3) a publié un cas d'assoc
feld (3) présente une femme chez laquelle il est apparu d'abord les troubles sclérodermiques, puis les symptômes de Basedow, a
sion ou une névrose du sympa- thique à laquelle il s'ajouterait des troubles glandulaires et des autotoxi- nes intestinales,
tions dites rhu- malismales (Rhumatisme chronique, artériosclérose, troubles vaso-moteurs et lrophi- ques des extrémités, sc
le. ' Huismans (1) a noté dans un cas de sclérodermie, parmi divers troubles des glandes endocrines, ceux de l'insuffisance
altérées et que le sympathique intervient dans la production de ces troubles . Cependant la sclérodermie ne serait pas, dans
le syndrome sclérodermique beaucoup plus uniforme. Or les cas avec troubles thy- roïdiens sont très fréquents, tandis que c
ervical. Celte hy- pothèse est applicable aux cas où coexistent des troubles thyroïdiens avec la sclérodermie de la face et
ications des systèmes sympathique etaulonome sont secondaires à des troubles thyroïdiens. Nous ne sommes pas les partisans d
la totalité des cas. La cause la plus fréquente est sans doute les troubles thyroïdiens. Mais (1) L. HUIS11AN8, Ueber die B
s sympathiques ainsi que para-sympathiques.C'est à peine, quand les troubles s'étendent aux centres de la sécrétion interne, q
ffé- rents segments du système végétatif. Leur cause réside dans un trouble héréditaire ou acquis de ce système. De l'exi
héréditaire ou acquis de ce système. De l'existence fréquente de troubles thyroïdiens dans des nombreux cas de scléroderm
s atrophiques du corps thyroïde, on doit de même ad- mettre que les troubles sclérodermiques apparaissent seulement dans les
ement la tendance qui s'est accusée parmi les auteurs d'en faire un trouble consécutif à une altération des glandes à sécré
landes surréna les (Licht- witz, Haushalter, Spillmann), soit à des troubles des ganglions mésentéri- ques (Schwerdt), soit
uës quand elle touchait l'eau froide. Depuis le commencement de ses troubles , ses règles sont devenues incons- tantes d'abor
e cuir chevelu. La malade a noté une exacerbation très nette de ces troubles et de ces dou- leurs pendant l'hiver; alors ell
blanchâtres assez épaisses. Les ongles sont atteints par les mêmes troubles trophiques que nous avons décrits aux doigts de
dineux et périostés aux membres supérieurs sont plutôt vifs. Pas de troubles du côté des sphincters. Du côté du système lympha
des sphincters. Du côté du système lymphatique, il faut relever les troubles vasomoteurs, les crises sudorales et les altérati
ien aux poumons, coeur en limites normales, rythme régulier, pas de troubles du côté de l'innervation cardiaque, pas de signes
es (Voir PI. XLIII, Fig. 4 et 5), montre qu'il s'agit de véritables troubles trophiques qui n'intéres- sent pas seulement le
gne métacarpo- phalangienne, se présente au contraire, complètement trouble par un processus ankylosant qui rappelle absolu
. - Pieds. Ici encore la radiographie met en évidence de véritables troubles trophiques, surtout au niveau des dernières pha
é de son con- tour, les interlignes articulaires des phalanges sont troubles . Les altérations osseuses s'arrêtent au niveau
L'acrocyanose et la sclérodactylie sont encore accompagnées par des troubles d'asphyxie locale des doigts, identiques à ceux q
avons obtenu aucun résultat appréciable, ni aucune modification des troubles trophiques. Nous croyons que si le doute de syr
beaucoup pour savoir si, dans la sclérodermie, il y avait ou non un trouble de cette sécrétion, et si ce trouble consistait
rodermie, il y avait ou non un trouble de cette sécrétion, et si ce trouble consistait en diminution ou exagération des sue
Les auteurs sur ce point s'ac- cordent généralement à dire que ces troubles sont peu accusés, bien que le plus souvent on r
tre comment ces dyschromies pigmentaires relèvent certainement d'un trouble profond de la nutrition générale. A propos de l
rtrophie et l'atrophie consécutive de cette glande sont liées à des troubles de la circulation thyroïdienne, commandés eux-m
phalanges. Ainsi donc, tandis que dans l'acromégalie il s'agit d'un trouble d'hy- pertrophie progressive, dans la scléroder
e d'hy- pertrophie progressive, dans la sclérodermie nous voyons un trouble de résorption endogène atteignant les mêmes par
lus facile d'admettre qu'elle soit vraiment sous la dépendance d'un trouble thyroïdien . Je passe enfin à traiter la ques
graves concomitants, caractérisés par de l'atrophie musculaire, des troubles vaso-moteurs, tro- phiques et des troubles de l
atrophie musculaire, des troubles vaso-moteurs, tro- phiques et des troubles de la sensibilité. En plus nous ajouterons qu'i
ent scléroder- miques il existe encore des taches pigmentaires, des troubles thermiques, des lésions atrophiques, des altéra
s articulations, qui auraient une tendance à l'ankylose. Tous ces troubles d'ordre trophique ont donné lieu à des erreurs de
ine au plus), il est facile de constater parmi elles l'existence de troubles trophiques de la peau à allure franchement scléro
s musculaires sont atrophiées, le facies est adénoïdien, il y a des troubles articulaires et la peau est sclérémateasse. Dan
juil- let 19C0. ETUDE RADIOLOGIQUE D'UN CAS DE SCLERODERMIE 307 troubles articulaires, limitation des mouvements, troubles
SCLERODERMIE 307 troubles articulaires, limitation des mouvements, troubles de la sensibi- lité, troubles vaso-moteurs et t
iculaires, limitation des mouvements, troubles de la sensibi- lité, troubles vaso-moteurs et trophiques ; les extrémités sont
s la maladie dite : pierres de la peau, très fréquemment il y a des troubles franchement sclérodermiques. Pour mieux établ
production de ces dépôts calcifiés. La sclérodermie serait donc le trouble trophique initial qui entraînerait à sa suite la
e multiples symptômes (je syphilis tels que déformations tilriales, troubles laryngés, réaction de Wassermann et en même tem
aucher (2) le soutient, comme la conséquence des intoxications, des troubles de la nu- trition générale, des infections tell
ésions nerveuses. Pour Gaucher la syphilis agi t en déterminant des troubles de la nutri- tion. Pierre Marie et Crouzon (3
accentuée. On notait encore une double atrophie de la papille avec troubles du réflexe pupil.- laire. Ils rappellent à cett
insiste sur lerôle de cette dernière maladie dans l'étiologie de ce trouble trophique. L'infection spécifique agirait par l'i
matiques banales. Enfin la syphilis pourrait déterminer parfois des troubles de la pigmentation, rappelant ou simulant le vi
nt dans le même sens, car la syphilis est cer- taine. Mais comme le trouble trophique cutanéest congénital, il faut admet-
tiologie ou dans la pathogénie du vitiligo on a incriminé aussi les troubles delà nutrition, produits dans certains cas par de
l'avons vu, Gaucher pense que la syphilis agit en déter- minant des troubles de la nutrilion. En ce qui concerne ces trouble
éter- minant des troubles de la nutrilion. En ce qui concerne ces troubles , nous pensons qu'ils pourraient agir de deux fa
ligo par une atteinte directe du système nerveux. L'influence des troubles nerveux dans la pathogénie du vitiligo nous sem
rgyll,du myoss,une paralysie de la corde vocale gau- che, mais sans troubles des réflexes tendineux et sans douleurs fulguran-
le atrophie des'nerfs optiques. Deux malades ne présentaient pas de troubles du névraxe. Les auteurs pensent que dans les qu
suivit les communications précédentes, fit re- marquer que pareils troubles de développement se rencontrent dans la syphili
du sympathique à une région déterminée de la moelle épinière. Les troubles de sensibilité, bien que légers, notés dans ce ca
ait être faite pour notre ma- lade, car elle nous a affirmé que son trouble existe depuis sa naissance, ce qui nous a été c
haut décrite, semble indiquer el jp aussi que l'a topographie de ce trouble pigmentaire n'est pas accidentelle. On pourrait
cas de Delmas et Roger, on peut penser, dans le nôtre aussi, à des troubles endocrines constituant une cause générale pour le
, à des troubles endocrines constituant une cause générale pour les troubles de la pigmentation. La petite taille de la malade
les de la pigmentation. La petite taille de la malade ainsi que ses troubles menstruels justifient cette manière de voir. Ma
; mais après un examen précis, on a constaté qu'il n'y avait pas de troubles du ses- tème nerveux. Le malade n'est pas hysté
est dans la plupart des cas symétrique, et qu'il y a des signes de troubles trophiques, tels que les petits ulcères sur les
autre, et que chez ceux qui ont été atteints d'aphasie motrice avec troubles du langage intérieur, autrement dit d'aphasie d
cédés pédagogiques, ayant pour base la physiologie pathologique des troubles du langage. Chez ces deux malades le langage s'ét
truit difficilement des phrases, cherche long- temps ses mots ; les troubles augmentent sous l'influence de l'émotion. Le 28
en les mots en général; elle sépare chaque syllabe, mais n'a pas de troubles d'articulation, ni d'omission ou d'altération de
l n'est lu qu'horizontalement les lettres accolées. Il y a donc des troubles latents de la lecture mentale très prononcés; l
'étaient compris qu'après avoir été prononcés (par consé- quent les troubles de la lecture mentale persistaient). Enfin l'écri
chez elle un cer- tain degré de cécité verbale. Il y a aussi des troubles latents de la lecture mentale. Les mots PARIS et
oculaires. La langue et le voile du palais ne sont pas déviés. Pas de troubles pupillaires. Vue bonne. Diminution notable de l
DRÉ-THOMAS fluence de la grippe il y eut une recrudescence dans les troubles du lan- gage - ; la restauration de la lecture
t l'examen de la face de la malade, on ne constate d'aucun côté, de troubles trophiques ou vaso-moteurs, pas de sudation, pas
e hyperesthésie très marquée qui a disparu complètement depuis. Les troubles du goût qui se mon- trèrent au début de la para
05. Elle est atteinte de paralysie faciale ancienne et se plaint de troubles cérébraux divers. On ne trouve rien à signaler
pendant huit jours et disparurent ensuite pour ne plus revenir. Des troubles de la vue apparurent aussi en même temps : les gl
un moment; il n'y eut cependant jamais de paralysies oculaires; ces troubles de la vue persistèrent pendant dix-huit mois et s
voile sont normaux et nullement déviés à droite ou à gauche. Pas de troubles de la déglutition. Le peaucier se contracte trè
l'autre. L'examen de la face ne révèle l'existence d'aucun côté de troubles trophi- ques ou vaso-moteurs ; ni sudation ni l
mois après l'apparition de sa paralysie faciale. Elle n'a pas eu de troubles de l'ouïe. Le goût et l'odorat sont normaux. Ex
gauche. En poursuivant l'examen de la malade, on ne constate aucun trouble de la motilité des globes oculaires. Les pupill
idation épi- leptoïde du pied ni de la rotule. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité cutanée du tronc ou des mem-
roubles de la sensibilité cutanée du tronc ou des mem- bres; Pas de troubles du sens stéréognostique ni à droite ni à gauche.
auche. - Les organes splanchniques fonctionnent normalement. Pas de troubles des sphincters. Rien au coeur ni aux poumons. H
trie du visage. Examen de la motilité de la face. Il n'existe aucun trouble de la moti- lité de la face du côté gauche. D
otilité des membres est parfaite. Les réflexes sont normaux. Pas de troubles de la sensibilité ou des organes des sens. Les
organes splanchniques sont normaux. On constate seulement quelques troubles digestifs et une augmentation du volume du foie.
er. Dans ses chutes elle ne s'est jamais fait mal. Il n'y a aucun trouble moteur portant sur les bras ou les jambes. La par
ues traces d'albumine.Or l'urémie peut s'accompagner de céphalée,de troubles visuels, de paralysies plus ou moins complètes,
rvés en deux grandes catégories, des symptômes cérébraux (céphalée, troubles visuels, paralysies de la face et du membre sup
t du membre supérieur gauches) des symptômes médullaires (Kernig et troubles sphinctériens),nous nous trouvons en pré- sence
it pas y avoir eu infection puerpérale nette. Il n'a été noté aucun trouble utérin (réten- tion de membranes, hémorragies),
tuberculomes multiples de l'encéphale (7 fois sur 41 cas). Si les troubles paralytiques et jacksoniens pouvaient être expliq
MES MULT1PLFS DU CERVEAU ET DES MÉNINGES 4 os et de la face; si les troubles visuels trouvaient leur justification dans la l
la couche optique, il n'en reste pas moins que nous n'avions pas de troubles psychiques malgré l'atteinte des lobes frontaux
tie postérieure des cavités crâniennes nous n'avions pas le moindre trouble des sensations gustatives. Enfin, seul l'hémisp
se, dans les néoplasmes (1) de l'encéphale, que tout autant que les troubles de l'équilibre sont augmentés parla position co
rculome du cervelet. Province médicale, 7 janvier 1911. Sctlotrz. - Troubles des sensations gustatives à la suile des tumeurs
de ces dernières années, sur les syndromes liés aux lésions ou aux troubles fonctionnels des glandes à sécrétion interne. Dan
sément, depuis plusieurs mois, un malade qui présente un mélange de troubles dystrophiques à type d'infantilisme, et de trou
e un mélange de troubles dystrophiques à type d'infantilisme, et de troubles métaboliques à type de diabète insipide. Certaine
e, nous induisent à admettre en l'espèce, comme ]J1'imum movens des troubles observés, une altération de l'hypophyse, sans nie
ment craquelée, froide et sèche; du côté des ongles il n'y a pas de troubles trophiques. Les aisselles sont presque entièrem
es masses mus- culaires ; la peau est normale et il n'existe pas de troubles trophiques du côté des ongles des pieds. Les
es sont normaux. Il n'y a pas d'hémianopsie bitemporale ni d'autres troubles de la vision ; l'examen du fond de l'oeil ne ré
s morbides diverses que l'on peut ranger- sous deux chefs : 1* Un trouble du développement portant sur le squelelte et le s
t aboutissant à un habitus général d'infantilisme eunuchoïde; 2° Un trouble de la nutrition générale caractérisé non seulemen
ophyse, puis à son tour intervenir dans la constitution de certains troubles trophiques, comme l'agénésie pilaire. Même dans
tifs de tumeur hypophysaire (signes de compression infra-crânienne, troubles graves de ,la vue, élargissement de la selle tu
(2) concernant un syphilitique qui à l'âge de 24 ans fut alteint de troubles oculaires graves, de céphalée et d'accidents déli
de Schiifer (1) ont montré l'influence sur la diurèse, soit par un trouble général du métabolisme de l'eau, soit par une aci
le sperme contenait des spermatozoïdes vivants. Il n'existait aucun trouble de la vue. La radiographie montra une balle sié
que subite- menlpolydipsique elpolyurique chez lequel, en raison de troubles d.pstro- phiques encore assez discrets (étant d
pide vient corroborer notre hypothèse de la nature hypophysaire des troubles dystrophiques qu'il présente. Il est en effet s
r le siège de la lésion glandulaire qui nous pa- raît commander les troubles observés, il y aurait lieu de rechercher si l'o
ue, Schüller (10) publia de nouveaux cas, Ponfick (11) attribua les troubles oculaires à une stase papillaire par ré- trécis
sur l'oxycéphalie est due à ce que celte malformation n'entraîne de troubles mentaux qu'autant qu'elle se com- plique de mic
a étaient en effet porteurs, soit de végétations adénoïdes, soit de troubles de la thyroïde, soit d'hypotrophie sexuelle, so
bilatérale très prononcée, datant de la première enfance, mais sans troubles visuels graves, conclut, lui aussi, en présence
xycéphalique incomplet (PI.LIX). Ni l'un, ni l'autre ne présente de troubles fonctionnels ou physiques des glandes pha- ryng
organique ne décèle rien : corps thyroïde non perceptible mais sans trouble thyroïdien. Testicules et système pileux normaux.
alades se distinguent de ceux de l'auteur italien par leman- que de troubles glandulaires. Notre enfant a bien une déformation
rd, Erdheim, Weicliselbaum et Escherich. Mais si la coexistence des troubles fonctionnels glandulaires avec les signes class
2) qui les compare aux adénopathies tuberculeuses et syphilitiques. Troubles glandulaires, troubles osseux, et troubles intell
adénopathies tuberculeuses et syphilitiques. Troubles glandulaires, troubles osseux, et troubles intellectuels ne pourraient
leuses et syphilitiques. Troubles glandulaires, troubles osseux, et troubles intellectuels ne pourraient-ils pas être envisa
LE FAMILIALE 447 Notons tout de suite que le malade n'éprouve aucun trouble fonctionnel, de quelque espèce que ce soit. Son
Les réflexes, quels qu'ils soient, sont normaux. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité cutanée, aucun trouble trophiqu
normaux. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité cutanée, aucun trouble trophique soit au niveau de la peau soit au niv
us éliminerons également vite l'oxycéphalie. Notre sujet n'a ni les troubles fonctionnels ni les caractères osseux de celle dy
e est normale. Rappelons pourtant, à cause du caractère familial du trouble qui nous occupe, l'observation d'OEttinger et A
ace rapetissée par contraste, pourrait nous arrêter davantage ; les troubles intellectuels peuvent y être absents (le diplom
ssissemeut uniforme delà boite crânienne ; 4° l'absence complète de troubles fonctionnels. ÉTUDE DE LA BASE DU CRANE DANS
éra- lion de cette base n'est pas sans jouer un grand rôle dans les troubles morphologiques et peut-être dans les troubles b
n grand rôle dans les troubles morphologiques et peut-être dans les troubles biologiques qui surviennent au cours de cette a
TUDE DE LA BASE DU CttANE DANS LA MALADIE DE PAGET 467 que bien des troubles , assez fréquemment signalés dans le cours delà ma
s le crâne ou qui en sortent : il en est ainsi sans doute de divers troubles mentaux, de troubles auriculaires ou oculaires,
sortent : il en est ainsi sans doute de divers troubles mentaux, de troubles auriculaires ou oculaires, de troubles vaso-mot
divers troubles mentaux, de troubles auriculaires ou oculaires, de troubles vaso-moteurs et tiopliiques, peut- être aussi d
s vaso-moteurs et tiopliiques, peut- être aussi de quelques-uns des troubles circulatoires et respiratoires dont cerlains so
s. Les mains sont tout à fait acromégaliques (type large), avec des troubles trophiques aux ongles, excepté pour les pouces.
ont tous les caractères des pieds acromégaliques, et y a .aussi des troubles trophiques sur les ongies Il y a de la macrogloss
sont faibles. Le signe d' \ rgyll-Roht'I'tsou est très net. Pas de troubles de la sensibilité objective. Le malade se plaint
ent de la rétine. La vision est presque abolie de ce côté. Pas de troubles psychiques. Rien de remarquable en ce qui conce
s symptômes qui sont communs aux deux maladies : l'impuissance, des troubles trophiques, des troubles de la vision, des doul
uns aux deux maladies : l'impuissance, des troubles trophiques, des troubles de la vision, des douleurs, qu'il est important d
bolie pour le squelette de la moitié inférieure du corps. - Comme troubles sphinctériens, le malade présente incontinence de
leurs, il avait recours chaque soir aux injections de morphine. Les troubles vésicaux nécessitaient un cathété- risme journa
frissons avec ascensions thermiques. 15 décembre. On constate un trouble du rythme respiratoire. A quelque intervalle, d
écembre 1911. Il se présente à l'hôpital avec une paraplégie et des troubles de motilité dans les mains. Comme antécédents,
éteint le cierge à une distance de 16 centimètres. Il présente des troubles du sens coenesthé- sique, ainsi, il dit sentir
. De même les réflexes abdominaux. Pas de signe de Babinski, pas de troubles sphynctériens. 9. Le signe de de Graefe n'est p
et la majorité dus cas observés par divers auteurs ont présenté des troubles des membres inférieurs - paraplégie - et l'examen
nter toutes les variantes possibles, de la forme légère avec petits troubles de la démarche, douieurs lombaires et sur le tr
symptômes étant l'expression d'une lésion tout à fait il diffuse. Les troubles ont paru trois jours après une rachianesthésie
ssi par Sicard dans le mal de Pott, fut attribué par Mestrezal à un trouble mécanique, il la stase du liquide céphalo-rachidi
oration avec Ravaut et Aubourg ont cherché une explication pour les troubles de différente nature, ottsetvés en telles occas
phocytes, sorties des vaisseaux de la pie-mère, en rapport avec les troubles méningés observés. On trouve même parfois des liq
n dehors de la réaction méningée, notre malade a présenté aussi des troubles indiquant 'des lésions notables des éléments ne
t êlre passagère, réversible ; en certaines occasions pourtant, des troubles de plus longue durée et même persistants, peuvent
la suite du grattage d'une ostéite bacillaire. On a mis parfois les troubles observés sur le compte des infections par les m
, par Leuebocllet, FAUllr.-BEAULH : U et AUCitEn, 410. Ecriture ( Troubles de l'- par arthropathie de l'épaule citez un ta
, pur n'BATTU et GR.IIOEII, 251. Gigantisme eunuchoide (Etude des troubles de la sécréttort interne du testicule. Dissocia
8. Tabes et acromégalie, par ALOr,co de CASTRO, 469. Tabélique ( Troubles de l'écriture par arihro- pathie de l'épaule ci
on du pied chez une -), par Marie et BOUT11r : U, 473. Testicule ( Troubles de la sécrétion interne du -. Gigantisme eunuch
A propos d'un cas de névrome d'amputation, 324. Manheimer Gommés. Troubles de l'écriture par arthopathie de l'épaule chez
17 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
temps à uriner qu'avant d'être malade, mais il ne présentait pas de troubles des sphinc- ters. Cette gène de la miction tena
vons recueillis de la bouche de sa femme, Ch... n'a pas présenté de troubles de l'intelligence ou de la mémoire ; son caract
mais moins qu'au début de sa maladie, à ce qu'il prétendait. Les troubles de la parole, présentés par le malade, reconnaiss
cte de donner un baiser. Il ne présentait pas, non plus, le moindre trouble de la sensibilité ob- jective superficielle; au
vait pas de douleurs spontanées. Il ne présentait pas non plus de troubles de la gustation et de l'audi- tion. Le réflex
-pied, au genou, au poignet, au coude. 01 On ne constatait pas de troubles vaso-moteurs bien nets; toutefois la températur
aux réflexes rotuliens, ils sont abolis des deux côtés. En fait de troubles vaso-moteurs, on ne constate pas de refroidisseme
issement diffus des muscles. Elle ne s'accompagnait pas non plus de troubles de la sensibilité objective bien accusés, ni de
on plus de troubles de la sensibilité objective bien accusés, ni de troubles vaso-moteurs, ni de troubles des fonctions sphinc
sibilité objective bien accusés, ni de troubles vaso-moteurs, ni de troubles des fonctions sphinc- tériennes, ni de troubles
vaso-moteurs, ni de troubles des fonctions sphinc- tériennes, ni de troubles des fonctions intellectuelles. Par contre, il y
une paralysie exclusivement motrice, sans douleurs spontanées, sans troubles concomitants de la sensibilité objective, sans co
dire surtout des cas où une poliomyélite antérieure se complique de troubles cardiaques et respira- toires, sous la forme d'
- rieure aiguë se présentent presque toujours sous cette forme. Des troubles en rapport avec une paralysie des muscles de l'
èse d'une polynévrite. On en peut dire autant du peu de gravité des troubles cardiaques et respira- toires qu'il a présentés
n finir avec ce qui concerne l'état de la sensibilité, l'absence de troubles objectifs que nous constatons chez notre malade
nce très nette, certains groupes de muscles, et de l'absence de ces troubles vaso-moteurs qui, dans les cas de poliomyélite an
vie sont donc con- sidérables. Aussi bien, chez notre malade, les troubles cardiaques et respiratoires, qui impliquaient u
s réllexes rotuliens sont diminués mais non abolis. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité. Le malade est légèrement con
tude et de fai- blesse semblable il celle qui a marqué le début des troubles du côté des mem- bres inférieurs. Un seul phé
manifestations qui attirent d'abord l'attention. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité; pas de troubles trophiques ; p
l'attention. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité; pas de troubles trophiques ; pas de modifica- tions du côté des
iffèrent essentiellement, c'est dans l'absence chez notre malade de troubles de la sensibilité, de troubles vaso- moteurs et
dans l'absence chez notre malade de troubles de la sensibilité, de troubles vaso- moteurs et trophiques, dans l'ahsence sur
Idem. Idem, (des membres tout à fait normale. supérieurs). Pas de troubles ob- jectifs. Les troncs nerveux ne sont pas
le. existe, assez pro- électrique. ( . nonce. Sensibilité. Pas de troubles \\ objectifs de la sen- sibilité. I Subject
as, est légère- ment rétréci (concentriquement) chez Michel. Pas de troubles d'accommodation ni de rétraction. Ouïe. norma
re grossesse laquelle, grâce au traitement, vint à terme sans aucun trouble ; l'enfant qui naquit heu- reusement est le suj
enfant est de bonne venue ; la dentition s'est complétée sans aucun trouble ; les fonctions gastro-intestinales sont excellent
urs il une saignée. Après guérison,G... n'accusait aucune espèce de trouble dans la locomotion, dans le fonc- tionnement de
debout est impossible sans point d'appui. Depuis longtemps déjà ces troubles de la marche s'accentuaient progressivement; le t
utres termes, si nous devons à ces auteurs de pouvoir localiser les troubles des étages aadic2tlaires ou rhi- zomères, le jo
- zomères, le jour me semble prochain où nous saurons localiser les troubles des étages ou myélomères. I. Les trophonévros
te proposition, car elle renferme toute la question. Bref, sans les troubles de la sensibilité qu'on observe dans la syringo
e (Fig. 1). Enfin à la suife de l'éruption, se mon- trèrent des troubles de sensibilité repro- duisant encore la même di
l'altération portant au niveau métamérique de la cuisse gauche, les troubles sensitifs et cutanés Fig. 1.- Les lignes obliqu
ais non pas de toutes - peuvent se dé- clarer sous l'influence d'un trouble nerveux, ce qui diminue d'autant leur prétendue
ue ses imperfections ou ses défaillances favorisent l'apparition de troubles divers, dont il ne saurait être tout seul respo
'en est pas moins vrai que la participation de plusieurs nerfs à un trouble trophique procédant régu- lièrement de l'extrém
ion du réseau muqueux qui les recouvre (1) ». Tel est l'ensemble du trouble trophique, ainsi qu'il résulte des observa- tio
celui-là non publié encore, de tout point identique au premier. Le trouble trophique étant, sans contestation possible, so
nière de voir. On ne peut en effet s'expliquer autrement que par un trouble de l'innervation trophique la disposition zoni-
cision topographique que dans les dermato- ses. Et ici cependant le trouble dystrophique ne semble pas jouer le rôle princi
, telle qu'on l'observe dans les onyxis, n'a rien de commun avec ce trouble de nutrition. Mais il l'opinion que je soutiens
II. Certaines éruptions ont les apparences et donnent l'illusion de troubles trophiques métamérisés conformément à la segmenta
spinale, on doit le considérer comme relevant bien plus souvent de troubles localisés aux départements périphériques du systè
n. Aussi les causespathogéniqucs ne peuvent- elles produire que des troubles de formation, de développement, c'est-à- dire a
ie et ses fonctions, que par des actes de développement, et que les troubles de sa vie et de ses fonctions ne peuvent être que
es du tégument comme celles de l'appareil musculaire, relèvent d'un trouble FIA'. 15. - Sujet amyélencéphate, né à l'hôpita
88 B. BRISSAUD plus on moins grave de la segmentation des cellules. trouble autochtone, et dont la persistance est comme la
a dystrophie est familiale : indice qu'elle est inhérente à un même trouble morphogénique. La même viciation des phénomènes
possible d'invoquer ici une prédisposition anatomique créée par un trouble circulatoire antérieur ou par une myélopathie. D'
-dessus rapportés grosso modo persistant mais sans s'accompagner de troubles permettant de songer à des lésions cérébrales. La
nc le plus grand intérêt à recueillir les faits de cet ordre où les troubles moteurs s'associent aux troubles sensitifs et d
llir les faits de cet ordre où les troubles moteurs s'associent aux troubles sensitifs et de donner à ces observations le plus
'à, cinq litres de vin dans une même journée. Il a, de ce chef, des troubles gastro-intestinaux qui out nécessité récemment so
e ce malade sont vivants et en - excellente sauté ; ils n'ont eu ni troubles paralytiques, ni chorée, ni accidents nerveux d
e l'autre quant il leur aspect extérieur et leur musculature. Aucun trouble de la marche. La station debout sur un pied est f
ralysie du diaphragme. La tète est mobile dans tous les sens. Aucun trouble dans la musculature du cou. ' L'abdomen est t
malade souffle et siffle bien). Pas de déviation des traits. Aucun trouble de la muscu- lature de la face. Le réflexe mass
correspondant, après une immobilisation de 40 jours. On connaît les troubles nerveux consécutifs à ces luxations. Au nivea
suc- cède un engourdissement de la main. On note la persistance des troubles sen- sitifs constatés avant la réduction. Ce
dans le bras malade que dans le bras sain. Faut-il mettre tous ces troubles sur le compte du traumatisme déter- miné par la
de leurs trous de conjugaison respectifs. Lors de la réduction, les troubles nerveux étaient limités aux nerfs cubital et mé
i d'un processus local de polio- myélite expliquant l'extension des troubles moteurs à tout le bras ? la diminution rapide d
musculo-cutané, radial ; mais ils n'éclairent pas la pathogénie des troubles dépendant des branches collatérales du plexus b
uefois la lésion tronculaire se traduit par une simple parésie sans troubles sensitifs. L'hyperalgésie a été rarement signalée
l'op- pression labyrinthique, qui sont les symptômes cardinaux des troubles la- byrinthiques, on a signalé, et j'ai quelque
accommodation à la distance, les combinaisons les plus diverses des troubles de l'oculo-mo- tricité, la forme spasmodique du
oscillations paraly- tiques des globes, etc., sans compter d'autres troubles purement auditifs, comme le retard unilatéral d
t la diplacousie échoa- cousique, etc. On doit se demander si ces troubles , qui sont si souvent d'origine laby- rinthique
ctions nerveuses en général, et plus particulièrement du tabes. Ces troubles au- (1) L'oreille, anatomie I, coll. Léauté.
s tiennent relativement peu de place dans la clinique nerveuse. Les troubles labyrinthiques tiendront, j'en suis convaincu, un
s'exercer l'action prolongée des intoxications chroni- ques et les troubles trophiques dus aux intoxications, aux infections
absolument comme sur les endothé- liums du rein. Il en résulte des troubles dans la quantité et la qualité des excrétions q
ulaires et circumvasculaires. Collet (1) insiste avec raison sur un trouble auriculaire très fréquent dans le tabes. C'est
ore son anesthésie, son analgésie, l'engourdissement, ou encore les troubles trophiques dépendant de ce nerf^qui donne la sens
e l'ouïe chez certains tabétiques s'explique, (1) F. J. Collet, Les troubles auditifs du tabes, Lyon, 1894. (2) Loc. cit., p
lique non seulement les faits d'ostéoporose du maxillaire, mais les troubles trophi- ques de l'oeil et de l'oreille, l'atrop
ver une image, - quand je veux maîtriser un mouvement ré- flexe, un trouble moral ou organique ou quand je veux réaliser un g
are cette cause d'erreur. Cette erreur d'appréciation, ou plutôt ce trouble résultant des deux procédés d'orientation révélan
lusion visuelle est nette. Il y a ici plus qu'une illusion due à un trouble moteur de l'oeil, et j'y vois une véritable hal
c'est, remarque-t-il, le seul malade chez lequel il ait trouvé des troubles auditifs. Un certain nombre d'auteurs, Carre, Rem
iques, Marie et Wallon ont observé 17 cas de vertige et souvent des troubles auditifs. Voit n'a trouvé de surdité que 2 fois s
il auriculaire, et comme je le remarquais, il ne faut pas confondre troubles auditifs avec troubles labyrinthiques. D'ailleu
e je le remarquais, il ne faut pas confondre troubles auditifs avec troubles labyrinthiques. D'ailleurs la surdité peut être
et de plus les grandes différences observées dans la proportion des troubles auditifs dans les deux séries de malades peuven
que le vertige, dû à l'irritation du noyau interne, s'accompagne de troubles visuels et oculomoteurs, de nausée, de palpita-
ssion, d'anxiétés de tout genre, d'alfre cardiaque ou gastrique, de troubles viscéraux, sécrétoires et vaso-moteurs, etc. In
a moindre fatigue sentie au niveau des yeux ; il peut provenir d'un trouble stomacal qui ne sera aucunement localisé ni per
al. C'est à cette période qu'appartiennent le plus grand nombre des troubles réflexes que je vais énumérer. Jemebornerai à
roubles réflexes que je vais énumérer. Jemebornerai à relever les troubles qui peuvent apparaître comme symp- tômes foncti
ils n'en semblent pas moins être le plus souvent symptomatiques du trouble labyrinthique, el caractérisent la forme ou la
es, comme d'autres en définissent la forme ou la phase dorsale. Les troubles auditifs consistent en insuffisance fonctionnelle
e. Il ne suffira donc pas de demander au malade s'il a ou non tel 1 trouble auditif, il faut le rechercher méthodiquement. In
sens des attitudes céphaliques et totales de l'organisme, c'est un trouble de l'orientation sub- jective. Il a donc, nous
g chez un ataxique sans qu'il nous ait été possible d'incriminer un trouble labyrinthique. Il sera particulier dans la rech
ous nous orientons, et par le sens des attitudes. Or il suffit d'un trouble labyrinthique pour nous troubler dans notre orien
é paroxystique et des anxiétés plus direc- tement provoquées par le trouble des perceptions ampullaires, comme la peur des
le vertige, et c'est sans doute ce qui a poussé Mendel à donner aux troubles oculaires une telle importance dans sa théorie
de fixation oculomotrice,à l'occasion des mouvements de la tête. Ce trouble est fréquent chez les labyrinthiques. Je l'ai tro
hargé de la coordination et de l'appropriation oculomotrices. Ces troubles oculomoteurs réflexes, apparaissant quand l'ocul0
nous trouverons que beaucoup de ses caractères sont associés à des troubles oculomoteurs ré- flexes. L'irritation d'origine
ux plus haut placés, enjambant certains d'entre eux, provoquant des troubles de l'accommoda- tion avec illusion de distance
, et qui peut être le seul symptôme vertigineux, sera due soit à un trouble de l'ac- commodation et résultera de l'irritati
ique, sans symptômes du côté des noyaux ampullaires eux-mêmes, sans trouble de la sixième paire, ni de la quatrième, enjamb
uand à côté de l'anatomie normale théorique, celle qui explique les troubles constants et définis, nous pourrons systématise
de considérer comme très variées. Nous voyons, en résumé, que les troubles ampullaires peuvent emprun- LE TABES LABYRINTHI
iations oculomotrices, comme aux fonctions d'équi- libration. Les troubles oculomoteurs sont fréquemment symptomatiques d'af
plus complexes, parfois durables. Il faut donc, en présence de ces troubles oculomoteurs, songer à l'appareil am- pullaire
, qui ne sont pas rares dans le tabes. Mais je ne pense pas que les troubles oculomoteurs réflexes d'origine rétinienne, à par
ux qui ont pour origine une lésion labyrinthique. D'une part, des troubles du domaine du trijumeau peuvent provoquer simul
mpagne volon- tiers do celle de l'oeil correspondant. Peut-être ces troubles vasculaires et périvascùlaires réflexes dans le
e ou bulbaire (trijumeau) constituent-ils la base de la théorie des troubles d'origine trop exclusivement périphérique. Ce q
ns les affections laby- rinthiques ; et vu la presque constance des troubles labyrinthiques dans le tabes et l'irritabilité
s le bras et la nuque. Six à huit semaines après, elle constate des troubles dans la motilité du bras droit. L'observation,
s'agit d'un homme très musclé qui, vu de dos, au repos, présente les troubles sui- vants : omoplate droite plus rapprochée du
après, on lui fit remarquer la déformation de l'épaule droite. Les troubles de l'attitude de l'épaule ressemblent à ceux du p
atique de l'omoplate. Sa paralysie doit nécessairement entraîner un trouble de cette statique. L'action tonique des autres
ecture des observations publiées, que le déplacement est minime, et trouble peu la morphologie de la région sca- pulaire. O
ment du frontal avec diminution de résistance à la pression. Pas de trouble de sensibilité au niveau do la tache. La malade
placé à angle droit sur la jambe. L'extension est impossible. Aucun trouble de sensibilité. Les différents appareils sont nor
boiterie, l'enfant doit porter une bottine à haute semelle. Pas de troubles de sensibilité au niveau des taches. Pas de dou
oubles de sensibilité au niveau des taches. Pas de douleurs, pas de troubles de la motricité. - Fig. 1. - Sclérodermie dis
tous deux au même âge. Il s'agit bien chez ces deux enfants d'un trouble trophique des extrémi- tés, trouble symétrique
bien chez ces deux enfants d'un trouble trophique des extrémi- tés, trouble symétrique prédominant à la périphérie des doigts
que que les faits de Neumann et de Cruse. A ces 5 observations de troubles trophiques de la peau à forme de sclé- rodermie
e gauche, deux taches larges comme une pièce de 50 centimes. Pas de troubles sensitifs et moteurs. Dermographisme très accentu
ions a d'ailleurs été constatée chez un même individu. L'origine du trouble de pigmentation dont le vitiligo est la marque, n
goitre et avec une albuminurie fort prononcée, existant sans aucun trouble fonctionnel. Le hasard nous a permis d'observer
elle ne pèse plus que 180 kilogs. Etat général excellent : pas de troubles de la miction, ni de la déféca- tion, pas de tr
lent : pas de troubles de la miction, ni de la déféca- tion, pas de troubles cardiaques, pas de gène à la respiration... La ma
'y prêtait, serait absolument impossible. Nous n'avons relevé aucun trouble delà sensibilité ou niveau des mem- bres inféri
s dans sa conception du mal d'ai- mer, Sauvages y reconnaît déjà un trouble psycho-physiologique, ayant, à la façon d'une a
plus antique théorie de la febris amatoria attribue en effet à des troubles de l'appareil génital la plupart des symptômes qu
La rétention du sang dans la matrice, et, d'une façon générale, les troubles de la menstruation furent pendant de longues an-
Sennert et bien d'autres, ont con- tribué à accréditer le rôle des troubles menstruels dans la patbogénie de la chlorose.
maladie virginale » ou « chlorose » semblaient intimement liées aux troubles de l'appareil génital féminin. On admettait aus
savante de notre temps, que l'émotion amoureuse se traduit par des troubles cardio-vasculaires et des phéno- mènes vaso-mot
itatives et quantita- tives du pouls qui permettent d'apprécier les troubles circulatoires. On voit que les médecins des mal
des ma- lades d'amour ? ... Les chlorotiques souffrent encore de troubles digestifs parmi lesquels l'inappétence attire f
un' gros chapitre de la chlorose est consacré à la description des troubles de l'appareil génital. Nous avons déjà vu que,
e aux strumiprives, n'est qu'une jaunisse atténuée et dé- pend de troubles biliaires. La femme C... (PI. XLIII, 6) nous
hevelure très bien conservée ; les dents sont bonnes et belles. Les troubles trophiques du côté des cheveux et des dents sont
es symptô- mes les plus constants du myxoedème. La calculose et les troubles biliai- res sont tout aussi fréquents. Que de t
que. - y. La même. Après guérison. 16. Mme H. My'\ : oeJème fruste; troubles trophiques des cheveux. 17. La même. Après six
e analytique et synthétique du grand myxoedeme, à signaler quelques troubles trophiques qui tombent plus directement sous le
. XII. PL. XLVI. VIY»D11E FRANC (Hertoghe) 18. My,oedème franc, troubles trophiques des cheveux et des sourcils. - 19. Mêm
le cas bien plus souvent qu'on ne le pense. Il en est de même des troubles trophiques du tégument et du système épithélial
pendamment des douleurs sacrées et dorso-lomhaires attribuables aux troubles utérins, il existe dans l'hypothyroïdie bénigne c
e. Les douleurs anginiformesaucoeur disparaîtront complètement. Les troubles hémorrhagiques de l'utérus obéissent merveilleuse
Les émotions morales et pathologiques s'accompagnent souvent de' troubles de la circulation et de la motilité de la peau pl
ovocateur dans l'étiologie des affections cutanées et bon nombre de troubles trophiques sont liés à leur évolution. J'ai déj
ordre (1). Chez les paralytiques généraux, on a signalé souvent des troubles tro- phiques de la peau (2) se manifestant tant
lalgie, les escha- res, le mal perforant peuvent être rattachés aux troubles trophiques de la peau. En dehors de ces manif
hiques de la peau. En dehors de ces manifestations grossières des troubles de la nu- trition de la peau on peut observer c
la guérison peut plus facilement se compren- dre si on admet que le trouble peut être attribué à une altération du sang ser
ables à l'oeil nu; au (1) Cil. ri : Ri ? Contribution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrale
s qu'il connaissait. Il affirmait que lui-même n'avait jamais eu de trouble nerveux ou mental jusqu'au début de l'affection
au tiers moyen de l'avant-bras. Nous n'insiste- rons point sur les troubles fonctionnels qui en résultent pour signaler un
VAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ÉTUDE SUR LES TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES DANS
DANS LE TABES PAR LES Drs André RICHE ET de GOTHARD L'étude des troubles de la sensibilité dans le tabes est hérissée de d
bes est hérissée de diffi- cultés tant à cause du polymorphisme des troubles en question qu'en rai- son de leur caractère er
recher- ches que nécessite l'exploration de la sensibilité. Comme troubles de la sensibilité subjective on trouve des douleu
thrales, clitoridiennes, etc... On trouve ensuite dans le tabes des troubles objectifs de la sensibilité superficielle, de l
les excitations électriques. En troisième lieu il peut y avoir des troubles , des sensibilités profondes, viscérales, muscul
mal fixé sur le point de savoir à quelle période de la maladie ces troubles se montrent, sur les sièges d'élection de ces m
ie ces troubles se montrent, sur les sièges d'élection de ces mêmes troubles , leur mode de distribution et de circonscription;
faire ressortir les difficul- tés auxquelles se heurte l'étude des troubles de la sensibilité dans la cli- nique du tabès e
nt eu pour objet cette étude. * . " DIFFICULTÉ DE L'ÉTUDE DES TROUBLES OBJECTIFS DE LA SENSIBILITÉ CHEZ LES TABÉTIQUES
orie de malades essentiellement suggestionnables qui présentent des troubles de la conscience beaucoup plus souvent qu'on ne
entent des troubles de la conscience beaucoup plus souvent qu'on ne TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 329 s
excitations tant soit peu vi- ves (1). Le caractère changeant des troubles de la sensibilité dans le tabes doit donc nous
e du pied qui peut être un obstacle à la perception. CARACTÈRES DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUPERFICIELLE. Voyons mainten
ons, contradiction dans les locali- sations, rappel des sensations, troubles du nombre de perceptions par rapport à celui de
de mettre en lumière le polymorphisme et le caractère changeant des troubles objectifs de la sensibilité qu'on observe dans
bjectifs de la sensibilité qu'on observe dans les cas de tabes; ces troubles varient d'un malade à l'autre, ils varient chez
ssayé de faire la lumière sur les caractères de la dissociation des troubles objectifs de la sensibilité qu'on observe dans
la piqûre. Hyperesthésie à la piqûre. Anesthésie à la chaleur. TROUBLES DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES DANS LE TABES (
sie au froid. Hyperesthésie au froid. Thermoparesthésie P1. I TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De
(A. Riche et De Gaillard) Obsemation I. MASSON ET C", Éditeurs. TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 331 s
ques. Enfin avec Laehr (2) (1895) et Patrick (3) (1897) l'étude des troubles ob- jectifs de la sensibilité chez les tabétiqu
phase nou- velle ; nous avons appris que dans les cas de tabès ces troubles objectifs affectent une distribution segmentair
esco (4) reprenant les recherches de Læhr conclut en disant que les troubles observés confirment la théorie radiculaire du tab
par Philippe. Chez tous les tabétiques que nous avons examinés les troubles de la sensibilité superficielle se sont montrés
s dans huit observations du service de M. le professeur Raymond ces troubles sensitifs. Nous avons établi des figures schémati
on lui fait suivre le traitement ioduré. Jamais elle n'a éprouvé de troubles oculaires et vésicaux ; depuis deux ou trois mo
isparu. Etat actuel. - Il est très satisfaisant. On ne relève aucun trouble gastri- que, intestinal, laryngé, urinaire. A
amens oculaires de ces malades ont été faits par M. Kônig. illi. il TROUBLES DES SENSIBILITES DANS LE TABES PL ICI PI. II
(A. Riche et De Gothari.) Observation Il. L MASSONHTC" Editeur' TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 333 I
t de la maladie. - Il y a quatre ans, en avril 1895. La malade voit trouble et double à la fois. Ces modifications de la vue
t des douleurs en ceinture ; vers la même épo- que se déclarent des troubles de la miction qui devient difficile, la malade es
ormal, les artères sont souples. Le pouls bat 76 à la minute. Les troubles de la miction sont très peu accusés. Elle doit qu
oups d'épingles, à des brûlures, et aussi des douleurs en ceinture. TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPER FICIELLES 335
aisseaux, le pouls bat 80 pulsations, la radiale est souple. Pas de troubles gastriques ni laryngés. Il reste des envies fréqu
dans les urines, les rè- yles sont toujours régulières. Pl. III TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De
A. Riche et De Gaillard.) Observation Il L MASSON ET C ? h,dil, TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 337 L
tion du contact avec le sol. Il y a trois ans, étaient survenus des troubles vésicaux, consistant en envies fréquentes d'uri
s il n'y a eu d'incontinence. Il y a deux ans, la vue était devenue trouble , il y a même eu de la diplopie qui a cessé depu
t ridée», l'amaigrissement est manifeste. Sans avoir eu jamais de troubles gastriques, elle a de l'anorexie assez pro- non
née aux différents modes provoque des éruptions variées, indices de troubles vaso-moteurs. Les fonctions vésicales sont norm
conservé à gauche ; à droite il est très affaibli ; ceux l'1. IV TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De
ILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.) Observittion IV. TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 339 d
rs Malades d'Amour, Hoogstraaten et Gérard Dow n'ont évoqué que les troubles produits par l'amour pla- tonique et malheureux
die. Il en note les moindres détails, les altérations du corps, les troubles de l'esprit, le désordre produit dans son entou
ement à ce torticolis; il y a une foule de grimaces, de spasmes, de troubles du mouvement d'ap- parence plus ou moins compli
d'années plus tard, c'est-à-dire il y a 7 ans, elle pré- senta des troubles oculaires que le médecin, probablement avec raiso
e, c'est un spasme des orteils. Cette jambe ne présente aucun autre trouble du mouvement ; si le malade est étendu, la forc
r les ongles a disparu complètement au moment où s'est développé le trouble de la marche, il y a à peu près s trois ans. Ce
éveloppé le trouble de la marche, il y a à peu près s trois ans. Ce trouble aurait commencé, comme dit le malade, parce qu'il
alades ont compris qu'il s'agissait d'une mauvaise habitude et d'un trouble de leur propre vo- NOTE SUR DEUX TICS DU PIED 3
petits muscles de la main, surmenés'; évolution rapide en 18 mois ; troubles bulbaires ; mort par bronchopneumonie intercurren
plaint de ne pas pouvoir serrer au niveau des commissures labiales. Troubles de déglutition, le malade avale de travers mais m
le nez. La trophicité n'est pas modifiée ; pas J'eschares ; pas de troubles du dévelop- pement des poils, ni arthropathies.
; début scapulo - hmnéral (type Vulpian) par les muscles surmenés. Troubles bulbaires ; mort. Poull..., 65 ans, manoeuvre (
accentués. 16 décembre. État actuel. - Intelligence nette, pas de troubles de la mémoire. L'acuité visuelle semble un peu
le semble un peu diminuée, pupilles égales, réagissant bien. Pas de troubles auditifs, Déglutition difficile. Quand le malade
cles de la gouttière vertébrale ne semblent pas atrophiés. Pas de troubles trophiques de la peau, pas de troubles vaso-moteu
lent pas atrophiés. Pas de troubles trophiques de la peau, pas de troubles vaso-moteurs. Rien dans les muscles de la face.
ès pur d'atrophie myélopathique type Aran-Duchenne se compliquer de troubles trophiques exceptionnels : arthropathies d'abor
ue ; début classique par les petits muscles de la main, surmenés. - Troubles trophiques : Artlaropa- thies de l'épaule, esch
, intelligent ; a vécu assez largement. (1) PRAUTOIS ET G. Etienne. Troubles trophiques osseux et articulaires chez un hom-
e. Eczéma localisé aux membres inférieurs et au niveau du coccyx. Troubles trophiques. - Atrophie totale des éminences théna
sensation de soif continue. Appareil génito-1t1'inaire. - Pas de troubles vésicaux ; on note une diminu- tion considérabl
tes. Cette poche renfermait un demi-litre de liquide brunâtre, très trouble . Articulation scapulo-humérale droite. - La cap
réelle- (1) P. LoNDE, De 1'(i ? ,thi,opathie nerveuse vraie et des troubles trophiques articulaires d'apparence rhumaloïde.
ns ces cas la même loi fixant le point de départ; l'intervention de troubles trophiques articulai- res ou tégumentaires ne m
ques articulai- res ou tégumentaires ne modifie pas l'évolution des troubles de trophicité musculaire; etc. Toules ces obs
on ne trouve que 21 centimètres à droite. Le malade n'a que peu de troubles de la sensibilité subjective, il n'a jamais eu
fibrillaire ne se remarque sur les muscles envoie d'atrophie, aucun trouble trophique sur les membres supérieurs du malade.
ystérie. 390 G. GUILLAIN Le champ visuel est normal, il n'a aucun trouble oculaire. Tous ses orga- nes sont sains. La pre
t une atrophie musculaire s'étant dévelop- pée progressivement sans troubles de sensibilité, sans troubles trophiques, sans
ant dévelop- pée progressivement sans troubles de sensibilité, sans troubles trophiques, sans réaction de dégénérescence mai
urvenue après un traumatisme, qu'elle ne s'est pas accompa- gnée de troubles de sensibilité, de troubles des réactions électri
, qu'elle ne s'est pas accompa- gnée de troubles de sensibilité, de troubles des réactions électriques, par AMYOTROPHIE DOUB
en était notablement exagéré du côté malade. Pas de douleurs, aucun trouble de la sensibilité. Le malade marchait sans diff
roite. Il n'y avait pas de trépidation du pied, il n'existait aucun trouble de la sensi- bilité, aucune douleur ni spontané
réflexes rotuliens sont exagérés des deux côtés. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité. Chez un autre malade de Char
art d'une amyotrophie avec exagération des réflexes et ab- sence de troubles de sensibilité. Quand Charcot publia des observat
l'atrophie musculaire rhumatismale. Th. Paris, 1873. (3) Descosse, Troubles nerveux locaux consécutifs aux arthrites. Th. Par
adiculaires des cornes antérieures de la moelle, mais fonction d'un trouble dynamique des corps cellulaires. Pour que la ce
dents héréditaires des acromégalie- ques, et d'examiner de près les troubles psychiques, les névroses et les stigmates de dé
arrive à la conclusion que 25 0/0 des acromégaliques présentent des troubles psychiques, et que, chez ces malades, l'aliéna-
nte que chez les individus normaux. Au point de vue de la forme des troubles mentaux, Brunet sépare nettement les psychoses
les psychoses confirmées (l'internement lui sert de critérium), des troubles plus légers, compatibles avec la vie commune. P
scence mentale doit seule être incriminée dans leur pathogénie. Les troubles moins accentués se rangeraient en deux catégori
. Brunet n'hésite pas, par analogie avec le myxoedème, à mettre ces troubles sur le compte des altérations du corps thyroïde,
parfois jusqu'à la dépression mélancolique avec idées de suicide. Ces troubles , comme les psychoses confirmées, ressortiraient
ux lésions thyroïdiennes. Tout en reconnaissant l'influence que les troubles des fonctions thyroïdiennes (et hypophysaires)
dans la forme de l'hérédité la condition de ces difl'é- rences. des troubles psychiques ; et de même que nous voyons des paral
taires des malades qui en sont l'objet; nous étudierons ensuite les troubles du caractère notés fréquemment chez les acromégal
ires pèsent souvent sur les acromégaliques, et à nous expliquer les troubles de l'intelligence et du caractère, les psycho-
ignalées chez ces malades et que nous allons passer en revue. II. Troubles du caractère et de l'intelligence . Nous serons
'intelligence . Nous serons bref sur ce sujet, car la notion de ces troubles est devenue classique. « Le caractère des mal
citations, mais nous préférons passer immédiatement à l'examen des troubles les plus prononcés du sys- tème nerveux chez le
é muet pendant trois ans. D'db2cndo (1) appelle l'attention sur les troubles psychiques d'un acro- mégalique observé par lui
VAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ETUDE SUR LES TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES DANS
ises laryngées. Depuis le commencement de la maladie, elle dit voir trouble et elle a eu de la diplopie. Au début également
gré moindre, la malade parvenant à uriner seule. Elle a éprouvé des troubles gastriques revenant par crises dans lesquelles
quelque temps par la méthode de Frenkel. T, XII. PL, LXVI. PL V TROUBLES DES SENSIBILITES DANS LE TABES (A. Riche et De
IBILITES DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.) Observation V. TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 409 Etat actuel.
LE TABES 409 Etat actuel. - L'état général est bon, il n'y a pas de troubles de l'appareil digestif, l'appétit est seulement
de jours. Un an après elle eut du ptosis de la paupière gauche. Les troubles dans la jambe gauche sont restés à peu près sta
ps elle a subi 27 séances d'élongation à deux fois par semaine. Les troubles urinaires ont disparu. Elle a suivi également u
quelques exercices de rééducation. Etat actuel. -Il est bon : aucun trouble des fonctions digestive, respira- toire, urinai
e, comme aux flancs, à la face antéro-externe de la cuisse Pu. vu TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De
TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.) TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 411 droite; à la
sans anesthésie du sphincter. Rien au larynx ni aux poumons. Pas de troubles cardiaques, l'artère radiale n'est pas dure; le p
dermiques dont la trace persiste encore quatre jours après. ° Les troubles urinaires ont disparu, il n'y a plus d'insensibil
partir de deux tra- vers de doigt au-dessus du sourcil. Pl. VII TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et'De
he et'De Gaillard.) Observation VII. ' Masson et CI., Éditeurs. TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 413 B. Face post
au, il lui semblait être coupée en deux; elle eut en même temps des troubles de la vue, elle voyait double : tous ces phénom
nsité telle qu'elle ne pouvait dormir. Jamais elle n'a éprouvé de troubles urinaires. Elle entre à l'hôpital le 12 janvier
'appétit et la régularité actuelle des fonctions digestives. Pas de troubles laryngés. L'auscultation des poumons et du coeur
artère radiale est un peu dure, l'artère temporale sinueuse. Pas de troubles urinaires. Le signe d'Argyll Robertson existe d
pour les muscles de l'émi- nence hypothénar du même côté. VIII TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De
ITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.) Ou sen atioa VIII. TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 415 La force mus
y a 2" de retard. Chez tous ces malades on voit l'importance de ces troubles de la sensibi- lité dans le tableau de leur aff
é- matiques fait apprécier les caractères communs que réalisent les troubles 416 ANDRÉ RICHE ET DE GOTUARD sensitifs super
se retrouvent pas constamment et partout. Valeur diagnostique DES troubles objectifs DE la sensibilité superficielle. Il n
entaire par rapport à la disposition générale- ment radiculaire des troubles de la sensibilité au tact et à la douleur. L'ex
ialion syringomyél ique. Dans les cas de sclérose en plaques, les troubles objectifs cle la sensibi- lité sont relativemen
és mais fugaces, sujets à des changements rapides, nulle part aussi TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 417 7 la tendanc
manifestations du tabes incipiens. Cette valeur complémentaire des troubles objectifs de la sensibilité est surtout à utili
douleurs fulgurantes, l'incoordination aux membres inférieurs, les troubles urinaires font défaut. Enfin la constatation de
diagnostic du tabes vrai et celui du pseudo-tabes périphérique. Des troubles objectifs de la sensibilité qui se présentent à
ctions physiologiques. La tendance à la disposition segmentaire des troubles en question auto- rise en premier lieu à conclu
es ne nous expliquent pas non plus le caractère de dissociation des troubles de la sensibilité non moins accusées dans les c
. 3, p. 688 et t. XXVIII, fasc. 3. (6) SIICIIIiING'rON, loc. cil. TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 419 gent les pre
la substance grise centrale donnent habituellement naissance à des troubles dissociés de la sensibilité. Les troubles obj
llement naissance à des troubles dissociés de la sensibilité. Les troubles objectifs de la sensibilité, anesthésies, hyperes
ordons postérieurs et la substance grise centrale. En résumé, les troubles objectifs de la sensibilité se traduisent chez
statation sera utile dans bien des cas Enfin, la disposition de ces troubles montre qu'ils sont sous la dépen- dance sinon e
plégie droite avec hémi-anesthé.çie. - Attaques épi- leptiformes. - Troubles psychiques de forme circulaire. - Mort par hémor-
leptiformes généralisées qui paraissent avoir été indépendantes des troubles psychiques susdits (ceci sous toutes réserves).
ur sensitif), mais du moins à aucun des symptômes se rapportant aux troubles apha- siques (1). La lésion est en somme presqu
aphasie. Le mot de dgsarlhrie n'exprime peut-être pas exactement le trouble parti- culier de la parole dont il s'agit. Il y
la salive ; quand on la fait parler elle bave et cra`cbotte. Pas de troubles de la respiration. Pouls fort et rapide (90).
xaminer et qu'elle réponde aux interrogatoires. Au point de vue des troubles du langage cette malade se rapproche beaucoup d
voir sur la photographie (Pl. LXXIX). D'autre part la nature des troubles visuels ne peut être bien déterminée, et l'hémi
arrêtée aux deux genoux. Ici. pas de poussées douloureuses, pas de troubles de la sensibilité. Rien qu'une difformité symét
d'origine parasitaire, et que l'on s'accorde à considérer comme des troubles trophiques d'origine névropathique (1). . * .
dèmes par intoxication qui sont, eux aussi, sous la dépendance d'un trouble de l'innervation vaso-motrice. Quelques exemple
ties génitales ; oedème dur, d'apparition soudaine, accompa- gne de troubles généraux ; mais peu douloureux et de courte durée
anglais semblait donc s'appliquer à merveille. La superposition des troubles sensitifs aux troubles vaso-moteurs parlait enc
'appliquer à merveille. La superposition des troubles sensitifs aux troubles vaso-moteurs parlait encore en faveur de la nat
seuclo- acromégalique segmentaire de tord un membre supérieur, avec troubles syringomyé- liques ayant la même topographie, R
ndant, il est rare que l'oedème demeure blanc et dur; de nou- veaux troubles trophiques s'y surajoutent le plus souvent. Geo
s. D'abord l'oedème était blanc et dur. Plus tard sont survenus des troubles trophiques des mains et des pieds (cyanose, pet
matiée comme celle d'une myxoedéma- teuse. Mais il n'y avait pas de troubles de sensibilité ; simplement un ar- rêt de la tr
'émergence et sur le trajet des sciatiques était douloureuse. Aucun trouble de la sensibilité. Rien d'anormal dans les orga
également oedématiée, dure, mais normale au- dessus du genou. Aucun trouble de la sensibilité. Par le repos au lit, la comp
ssi l'hypothèse d'un oedème par lésion mécanique. D'ailleurs, aucun trouble de la sensibilité ni de la motilité ne permet-
Là, on pouvait soutenir avec vrai- semblance qu'il s'agissait d'un trouble trophique consécutif à une ancienne lésion nerv
le. 3° Elle est permanente. 4° Elle ne s'accompagne d'aucun autre trouble local ou général. Et voici la répartition dans
olore, apgrélique, chronique et permanente qui n'en Irai ne au- cun trouble de la sanlé générale et peut même persister jusqu
origine thyroïdienne, la localisation et tous les autres symptômes ( troubles circulatoires, intellectuels, altérations du sy
'll1ométri ! IUeS, auxquels souvent viennent se surajouter d'autres troubles trophiques cutanés, éruptions ou ulcérations.
n ne peut guère qu'émettre des conjectures sur la pathogénie de ces troubles de nutrition. Existe-t-il une lésion ? Siège-t-
lle et tout spécialement la syringomyélie. Dans cette dernière, les troubles sensitifs et trophiques occupent des segments d
cuisses). , Si une seule moitié du métamère spinal est atteinte, le trouble , tro- phique reste unilatéral. La théorie s'acc
euvent avoir leur utilité. Le tropltaedème étant considéré comme un trouble trophique du tissu cellulaire sous-cutané, on p
ence. Le tropheedéme ne devrait-il donc pas prendre place parmi les troubles si variés du développement ? A l'appui de cet
de cette idée, si l'on admet l'opinion courante sur les causes des troubles de l'évolution : à savoir des altérations des c
pement du tissu cellulaire. En envisageant le trophaedème comme un trouble du développement, on n'est pas surpris de le vo
es thérapeutiques ne demeurent-elles pas impuissantes à enrayer les troubles du développement ? ... Nouv. Iconographie DE la
as de dou- leurs de tête non plus que sur le trajet du nerf, pas de troubles de la sen- sibil.i[é) X... présente un signe qu
nts héréditaire nuls. Antécédents personnels : rachitisme, quelques troubles gastro-intestinaux, métier exposant à toutes le
es, avec atrophie des divers groupes musculaires ; dissociation des troubles de la sensibilité avec distribu- tion segmentai
s été bonne, par la suite, sauf une constipation légère et quelques troubles gastriques. Marié il 37 ans, II... a eu 3 enfan
à la surface des doigts et de la main. Distribution segmentaire des troubles sensitifs. Le calibre des deux nerfs cubitaux p
et acromégalie, par Sabrazès (4 phot.), iS9. Tabes (Etude sur les troubles objectifs des sensibilités superficielles) par
moelle (2 phot.), 95. Gotiiard (de) et A. Riche. Etude sur les troubles objectifs des sensibilités super- ficielles dan
du pied (3 phot.), 3;i3. BICIIE A. et de Gotiiard. Etude sur les troubles objectifs des sensibilités super- ficielles dan
tude de prédicateur et acromégalie (Sa- BRAZÈS), LXXXV. Tabes ( troubles des sensibilités superfi- cielles dans le) (A.
18 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
erve. C'est ainsi que chez la plupart de ces malades, on relève des troubles oculaires qui appartiennent plutôt au tabes qu'
qu'à la paralysie générale ; il est vrai que l'on relève aussi des troubles intellectuels susceptibles d'être rapportés à l
ce progressive. Du reste, à aucune autre période de la maladie, les troubles paraplégiques n'ont permis de s'ar- rêter à ce
LE. pas appréciable à son début, lorsqu'il n'existe encore que le trouble organique initial, antécédant à la désintégration
4 PATHOLOGIE MENTALE jours. Persistance de la mélancolie. Pas de troubles sensitifs. Amaurose par section du nerf optique
Tous ces événements ont joué un rôle impor- tant dans la genèse des troubles mentaux et sous l'intluence de ces chagrins rép
in- zaine de malades). Elle sent qu'elle est venue pour mettre le trouble . Elle sert de jouet, tout le monde rit d'elle dan
vagues préoccupations l1ypoehon- driaques en rapport avec de légers troubles gastriques réels : « elle a de la diarrhée, mai
, le tremblement de la main est moins accentué. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité. Les réflexes rotuliens sont tr
possession. Guérison ( ? ) par disparition subite du délire. Pas de troubles sensitifs ( ? ) Hérédité niée. Mm0 II..., née e
le bassin). Il y eut d'abord perte absolue de sommeil et quelques troubles digestifs. La malade se plaint d'avoir la bouche
nts chez les négateurs hypocondriaques, les idées de suicide et les troubles de la sensibilité, mais il faut dire que, si de
LE - livraient à ce propos à la plus vive surveillance. Quant aux troubles de la sensibilité si je n'en ai constaté aucun, i
à l'époque où elle se disait ossifiée et morte, il a pu exister des troubles de la sensibilité. Enfin des idées d'immortalit
us rapide, on ne le voit guère apparaître si vite. Ici les premiers troubles mentaux datent d'avril IS9; les prodromes consi
yrou. III. Syndrome 57R11GOV1'kLIQCE A\EC hlmiatbophie faciale ET TROUBLES OCULG-l'Ul'ILL : 11RES; par MM. L. QUEYRAT et E.
tait pas à proprement parler de dissociation delà sensibilité ; les troubles partant à la fois sur toutes les formes de la s
distinctes (la suppression de la glande ne don- nant lieu qu'à des troubles trophiques, et celle des glandules amenant les
-il, que les glandules ne fussent pas suffisantes pour empêcher les troubles nutritifs àévolution lente qui,aboutissent au myx
illiélium paralhyroïdien, elle ne donnerait lieu peut-être qu'à des troubles intellectuels. A. Fenayrou. VI. Sclérose diff
ête. On l'ap- porte à l'hôpital dans un état semi-romateux avec des troubles moteurs et sensitivo-sensoriels qui font croire
. lésion cérébrale : hémiplégie purement motrice ou compliquée de troubles sensitifs et sensoriels, hémiplégie alterne infér
EURASTHÉNIE; pal' AUNET. (Bévue de médecine, septembre 1897.) Les troubles vasomoteurs ont déjà été décrits dans la neurasth
orment les hémorragies; il est incoutestable qu'il se pro- duit des troubles vaso-moteurs, mais y a-t-il rupture vasculairc
fois il y a lieu d'appeler l'attention sur l'apparition précoce des troubles mentaux (état démentiel progressif) et les phénom
énital qui sont même chez les sujets normaux quelquefois suivies de troubles passagers, peuvent pro- duire chez les prédispo
teints de névroses, hystériques, épileptiques, neurasthéniques, des troubles sensoriels ou moteurs sensations douloureuses a
taques étaient suivies de paialysie transitoire etqui éprouvait des troubles analogues à la suite d'un rapprochement sexuel ;
les mêmes conditions une paraplégie durant plusieurs heures : ces troubles disparurent à la suite d'une cure hydrothérapique
onner. Ces névrites doivent vraisemblablement être attribuées a des troubles d'auto-intoxication. M. Hamel. XVIII. Polynévri
s inférieurs, dans ce cas, il y a paralysie des exten- seurs. Les troubles sensitifs sont des douleurs lancinantes, fourmill
'ailleurs spéciaux aux polynévrites, ne se confondront pas avec des troubles d'origine central; quant an dia- gnostic de pal
e la région lombaire; deux ans plus tard, apparition des premiers troubles de la maladie, qui se déroulent pendant trente an
ermanentes, les phénomènes observés pourraient être attribués à des troubles de nutrition définitifs produits par la répétit
age très étroit du nerf et des vaisseaux, être attribués plutôt aux troubles de l'appareil circulatoire de l'oculo-moleur, q
, de la calotte grise et, aussi, sans doute. accessoirement par des troubles circulatoires dans le réseau des artères piales
de maladie de Basedow, caractérisée par un goitre très gros et des troubles nerveux très accentués (tremblement des mains,
uitter l'hôpital; elle était alors complètement débarrassée de tout trouble nerveux ; le goitre, encore sensible à la pressio
endre la coordination des mouve- ments et à l'aider à compenser les troubles ataxiques par un sys- tème nouveau de coordinat
nte et rapide; lorsque l'état général, les symptômes viscéraux, les troubles tio- phiques offrent une gravité exceptionnelle
ité exceptionnelle ; lorsque le tabes s'ac- compagne d'amaurose, de troubles intellectuels, de paralysies réelles ou d'hyper
r l'hypnotisme et la suggestion la constipa- tion, la diarrhée, les troubles de la menstrualion, les douleurs rhumatismales,
orotiques, des migraineux, des hystériques, dans la constipa- tion, troubles de la menstruation, dans le somnambulisme spon-
, et une anesthésie incomplète de la jambe droite. Le lendemain ces troubles disparaissaient, mais le malade pré- sente de l
ou l'autre. Il pense que le début habituel de la. maladie par des troubles psychiques, est de nature à faire admettre l'anté
TRIE DE MOSCOU Séance du 20 février 1898. L. 1111N0R. -- Sur un trouble moteur qui accompagne la douleur lombaire (trau
lgie scia- tique. , L'auteur attire l'attention sur la valeur des troubles moteurs SOCIÉTÉS SAVANTES. 69 (dyskynésies)
ÉS SAVANTES. poser que les névrites sont secondaires et relèvent du trouble de la nutrition des cellules motrices. IL.- .
place, on voit de nombreuses bulles remplies de sérosité ou de pus. Troubles vasomoteurs sous forme d'apparition de taches ble
rvicale et dorsale supérieure de la moelle (anesthésie partielle et troubles trophiques). Ce qui est intéressant dans cette
ique une véritable démence paralytique ; c'est enfin l'existence de troubles de la nutrition, faisant ici une rapide dénutri
mation par les méthodes révulsives, dérivatives et résolutives, aux troubles cir- culatoires par les médicaments cardio-vasc
, les auto-intoxications digestives, hépati- ques et urinaires, les troubles cardio-pulmonaires. Cette analyse bibliographiq
dans les moelles de paralytiques dont l'évolution a été rapide sans troubles moteurs graves. Vraisemblablement, quand le sys
'une des voies sensitives les plus importantes, sachant combien les troubles de la sensibilité sont graves dans la paralysie
ie de janvier 1898, un travail inté- ressant de M. Cololian sur les troubles trophiques de la para- lysie générale, qui sont
nifester. Nous avons noté fréquemment, dans nos observations, des troubles de la réflectivité; mais ces troubles ne sont pas
t, dans nos observations, des troubles de la réflectivité; mais ces troubles ne sont pas tou- jours de même ordre dans chaqu
es périphériques. Mais il n'est pas toujours aisé de rechercher les troubles de la sen- sibilité chez un paralytique général
dément qui ne sait pas nous rendre compte de ses impressions et des troubles de sa sensibilité. C'est à peine si sa force mu
e, présentent LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GENERALE. 99 des troubles moteurs et sensitifs contemporains, tout au moins
les moteurs et sensitifs contemporains, tout au moins, des premiers troubles psychiques, s'ils ne les précèdent pas. Conclus
nterie a eu, dans ces observations, une influence salutaire sur les troubles psychiques. En France nous ne connaissons que d
pondante; l'infection a détruit l'équi- libre relatif, tant par les troubles de la circulation que par l'in- toxication immé
de l'oculomoteur, puisque la paralysie musculaire s'accompagne d'un trouble -de la réaction pupillaire à la lumière comme à
és ainsi que, tôt ou tard, d'autres nerfs crâniens. Il n'y a pas de troubles fonc- tionnels des membres; donc il n'y a pas l
occupe la substance du pédoncule cérébral. Enfin, il faut noter un trouble marqué de la sensibilité afférente au nerf sus-
milaires : anesthésie géné- rate, torpeur intellectuelle, céphalée, trouble des fonctions cuta- nées ; les mêmes anomalies
nerveux. Il est possible que la lésion primitive se trouve dans un trouble du métabolisme du corps. Le professeur Ilamil
ert Hutchison pense que le goitre exophtalmique est provoqué par un trouble de méta- bolisme des tissus, trouble dû à un vi
phtalmique est provoqué par un trouble de méta- bolisme des tissus, trouble dû à un vice de fonctionnement des centres nerv
alors que la rate est hypertrophiée, et qu'il est possible que des troubles vasculaires soumis à une altéra- tion du systèm
er- mettent de la désigner sous le nom de main succulente; 2° Les troubles trophiques cutanés qui sont permanents consis-
(épigas- triques, abdominaux, plantaires) en partie absents. Pas de troubles objectifs de la sensibilité; léger engourdissem
nue, mort. P. KERAVAL. XLVII. LÉREUTHOPHOB1E, forme particulière DE trouble névropa- thique; par W. DE BECHTEREW. (Neurolog
orale, un seul et même foyer morbide aurait peine à causer ces deux troubles ; ils sont par suite indépendants l'un de l'aut
on toxique, n'ayant subi aucune maladie cérébrospinale, présente du trouble de la démarche du côté de la jambe gauche, il c
r, on constata des lésions centrales, mais il s'était produit des troubles de la déglutition et, plus tard, des symptômes ou
sez bonne au-dessous. Il s'agit donc d'une lésion et non de simples troubles fonctionnels. De plus, quelques jours après l'a
roubles fonctionnels. De plus, quelques jours après l'admission, le trouble . de la sensibilité disparaissait, au moyen du t
ration des nerfs (la maladie date d'un an et demi). Absence de tout trouble de la sensibililé, mais l'observation montre qu
l'hémichorée, comme d'ailleurs la chorée essentielle est due à des troubles de centres encéphaliques spéciaux dont les lési
scrites produisent la chorée localisée ou hémi- chorée, et dont les troubles bio-chimiques (infections, dyscrasies, défauts
de prévoir l'attaque ; les mêmes phénomènes annonçaient aussi les troubles psychiques, courts du reste, qui remplaçaient les
on considérable de la plupart des symptômes (particu- lièremeut des troubles douloureux et génito-urinaires et de l'incoor-
mettre à l'ordre du jour du Congrès de 1899. Première question : La troubles psychiques postopératoires. Rappprteur, M, Rayn
ident du Comité de direction les irrégularités de caractères et les troubles de l'in- telligence qui leur ont été signalés,
externe de la jambe; traces de réaction de dégéné- rescence. Pas de troubles électriques dans le domaine du nerf péronier.
d'Achille sont assez prononcés; phénomène du pied à droite. Comme trouble vasomoteur, cyanose des membres inférieurs. De
autre, incontinence d'urine, plus souvent rétention absolue. Urines troubles , ammoniacales; pas d'albumine. Consti- pation o
les, ammoniacales; pas d'albumine. Consti- pation opiniâtre. Pas de troubles mentaux. Evolution de l'affection. Malgré le tr
Au bout de deux mois, on constate que l'atrophie musculaire et les troubles électriques dans les membres inférieurs ont notab
. Les causes de cette altération sont évidentes : non seulement les troubles circulatoires qui résultaient des lésions vascu
es la mission de poursuivre les crimes ou les délits soupçonnent un trouble de l'es- prit chez le délinquant, c'est au méde
fini, aura dans une observation sévère, analysé les symptômes d'un trouble mental, il pourra s'élever à la notion des mobile
du Congrès. -1. lue D'l3ExntEau résume son rapport officiel sur les troubles psychiques post-opénatoires. SOCIÉTÉS SAVANTE
ost-opénatoires. SOCIÉTÉS SAVANTES. 209 Première question : Les troubles psychiques post-opératoires. 11. RAYNEAU, médec
11. RAYNEAU, médecin-chef de l'asile d'Orléans.- Sous le titre de troubles psychiques post-opératoires, on doit comprendre t
troubles psychiques post-opératoires, on doit comprendre tous les troubles intellectuels qui peuvent survenir à la suite d'u
qu'il peut exister diverses causes suscep- tibles de provoquer des troubles psychiques après une opération et qu'il faut le
squ'à ce jour, nous verrons les différentes formes que revêtent les troubles psy- chiques post-opératoires. Nous recherchero
qu'Ambroise Paré et Schrcelter (1804) eussent déjà signalé que des troubles mentaux pouvaient survenir après les opérations
lroth (1868), mais il déclare aussi que l'on peut voir survenir des troubles psychiques constituant une véritable aliénation
Amérique, pendant l'année 1889, 1'illlebrown mentionne trois cas de troubles mentaux à la suite des opérations gynécolo- giq
oter également des observations de Polaillon de ilafaélo Gucci. Des troubles psychiques post-opératoires sont signalés après
déclare que snr 92 opé- rés, il n'a vu que trois fois snrvenir des troubles psychiques. M. Debove communique, la même année
détails, des opérations gynécologiques ayant été suivies bientôt de troubles psychiques plus ou moins graves. Il faut acco
u'en dehors des délires toxiques (iodoforme, septicémie, etc.), les troubles psychiques s'observent principalement chez les vi
Si l'on parcourt les observations destinées à mettre en relief les troubles psychiques post-opératoires, on est frappé tout
âgée de trente-cinq ans, avait des vésaniques dans sa famille. Les troubles psychiques com- mencèrent huit jours après l'op
fesses, indices certains de l'ébranlement du système nerveux et du trouble profond de la nutrition; mais l'éminent chirurg
ation d'une psychose actuelle. Etiologie. Terrain de production des troubles psychiques post-opé- 1'/Jtoil'es. - Il ne suffi
pensent que ce sont les alcoo- liques qui sont surtout exposés aux troubles psychiques post-opéra- toires. Or, par le fait
constitue définitivement. Enfin, en raison de la grande variété des troubles psychiques post-opéra- toires, on ne saurait le
aire ou acquise les autres fac- teurs susceptibles de provoquer les troubles psychiques post-opéra- toires, l'importance qui
outer celle des suites de l'intervention ? On a pensé aussi que les troubles psychiques post-opératoires étaient dus à une a
génitaux de l'homme donnaient lieu, assez fréquemment aussi, à des troubles psychiques. Mais ce seraient les opérations gyn
lus bénignes, prolapsus, déchirures du périnée, qui sont suivies de troubles psychiques, il est bien évident que la nature d
iseptiques et principalement l'iodoforme peuvent aussi produire des troubles mentaux, Koenig, Krcemer, M. le P'' Berger et M
dicament, tout rentre dans l'ordre. On revient à l'iodoforme et les troubles psychiques se montrent à nouveau. En même temps
lorsqu'ils ont à intervenir chez des buveurs. La majeure partie des troubles psychiques post-opératoires relevés chez les homm
l y a corrélation constante entre l'extirpation de la glande et les troubles consécutifs toujours les mêmes. Mais doit-on in
s toujours les mêmes. Mais doit-on interpréter de la même façon les troubles psychiques qui succèdent à l'ablation d'autres
Jayle, ont songé à attribuer à la suppression de cette fonction les troubles momentanés après l'ova- riotomie et qu'ils ont
e ce traitement ont été souvent [incomplets ou nuls. De plus, les troubles mentaux consécutifs à l'ovariotomie sont rares et
oïdectomie, dans lesquelles l'intervention seule peut engendrer les troubles mentaux, le rôle principal dans leur genèse revie
es opérations gynécologiques n'exposent pas plus que les autres aux troubles psychiques post-opératoires. 5° Les troubles so
s que les autres aux troubles psychiques post-opératoires. 5° Les troubles sont peu fréquents ; leur évolution et leur prono
ne à sécrétion interne, les ovaires par exemple. La prophylaxie des troubles psychiques post- opératoires consistera doue à
'élève avec énergie contre la théorie de M. Régis. Il n'admet comme troubles psychiques post-opératoires que les troubles du
is. Il n'admet comme troubles psychiques post-opératoires que les troubles dus à l'acte opératoire seul. Les troubles toxiqu
post-opératoires que les troubles dus à l'acte opératoire seul. Les troubles toxiques, infectieux ou autres, ne rentrent pas
dans la question. L'opé- ration en elle-même peut-elle produire des troubles psychi- ques ? Tel est le problème. Il cite com
n, le col. le périnée, qui, chez les prédis- posées, provoquent les troubles psychiques. M. le Dl' il ! ONTPl\OFIT partage l
roisième. M. JoprnoY fait entrer dans le délire post-opératoire les troubles psychiques provoqués par l'opération tout entiè
dehors du rôle joué par l'opé- ration elle-même, dans la genèse des troubles psychiques, il faut tenir compte de la qualité
de l'organe enlevé. Or si l'ablation du corps thyroïde produit les troubles que l'on sait, l'ablation des ovaires ne produi
ellectuelle. M. LADA : 11R (de Genève), revenant sur l'analogie des troubles psychiques post-opératoires avec les paralysies
Pailhas communiquait les observations de trois malades atteints de troubles mentaux, liés disait-il, à une déviation de l'i
e quelques signes de démence, de l'inégalité pupillaire et quelques troubles légers de la parole. Passé dans le service du P
e la névroglie et de fibrilles fines. Les auteurs insistent sur les troubles mentaux et sur la topogra- phie de la lésion.
is dans quelques névroses, le goitre exophtalmique, etc. C'est un trouble trophique, attribuable au sympathique. L'auteur r
sculaire. Je l'ai décrite dès 1885 sous le nom de tabès moteur. Les troubles intellectuels .sont peu accentués, les malades
ents de leur situation, mais sans délire bien net. En revanche, les troubles moteurs sont très accentués. C'est une parésie
toires au point de vue- médico-légal. - M. Vallon étudie tous les troubles mentaux transitoires, tous les- états passagers
e médico-légale. Il les classe ainsi : 1° vésanies transitoires; 2° troubles mentaux transitoires de la sphère émotive : émo
ues; 3° im-, pulsions irrésistibles conscientes de courte durée; 4° troubles men- taux de la puerpéralité et de la menstruat
4° troubles men- taux de la puerpéralité et de la menstruation; 5° troubles mentaux- liés à une intoxication : alcoolisme,
5° troubles mentaux- liés à une intoxication : alcoolisme, etc.; 6° troubles mentaux liés- à une névrose : épilepsie, hystér
pilepsie, hystérie, neurasthénie, migraine oph- thalmique, etc.; 7° troubles mentaux liés à une affection des centres nerveu
tres nerveux (traumatisme, lésion en foyer, etc., ou des nerfs); 8° troubles mentaux dans les maladies autres que celles du sy
entaux dans les maladies autres que celles du sys- tème nerveux; 9° troubles mentaux liés à des troubles du sommeil : état i
res que celles du sys- tème nerveux; 9° troubles mentaux liés à des troubles du sommeil : état intermédiaire à la veille et
mité la question, il trace la conduite- de l'expert dans les cas de troubles mentaux transitoires et arrive- enfin à exposer
ait de faire l'objet d'un rapport spécial. J'avais déjà éliminé les troubles mentaux à début brusque, mais à. évolution dura
u double point de vue du droit criminel et du droit civil, mais les troubles mentaux transitoires, eux, ne sont guère de nat
civile telle, par exemple, que la contestation d'un testament, ces troubles mentaux, en effet, semblent acquérir en intensi
soudre est relative- ment simple : il consiste à reconnaître si les troubles mentaux sont réels ou simulés, c'est-à-dire, da
masque. Dans l'immense majorité des cas, au moment de l'examen, le trouble mental qui a donné lieu à l'acte incriminé a di
son jugement. 2° Examen de l'inculpé. Il peut révéler, à défaut de troubles mentaux caractérisés, quelques vestiges, par ex
res, de torticolis mental, d'acromégalie, de myxoedème avec ou sans troubles psychiques, de nanisme. Ces deux dernières séri
eur oculaire commun. ligature de l'artère humérale au pli du coude. Troubles paralytiques - consécutifs. M. IALLY (de Pari
nservation de l'excitabilité faradique). L'auteur considère que ces troubles paralytiques ne peuvent s'expliquer ni par un t
d'hystéro-traumatisme. Il lui semble plus logique d'admettre que le trouble circulatoire résultant de l'oblitération artéri
il est logique d'admettre qu'il en est de même lorsqu'il s'agit de troubles affectant des vis- cères dont les centres corti
ement intellectuel, qui présentait depuis l'Age de dix-huit ans des troubles spasmo- diques rythmiques multiples, continus,
médecins'. '. Séance du vendredi 5 août. Présidence DE M. Motet. Troubles psychiques post-opératoires. M. TERRIEN (de la
s post-opératoires. M. TERRIEN (de la Vendée) rapporte trois cas de troubles psy- chiques post-opératoires. 1 Des circonst
e ; les caractères sont les mêmes et le traitement est le même. Aux troubles psychiques de l'hystérie, il faut une médicatio
males du tabétique. Paralysie périphérique d'origine traumatique. Troubles réflexes concomitants. M. Mally (de Paris) ra
éralisé. (Electrisation statique.) , . SOCIÉTÉS SAVANTES. 287 Î Troubles délirants post-opératoires. MARIE et VIGOUROUX
d'observations cliniques concernant des malades ayant présenté des troubles délirants après qu'elles eurent subi une opérat
xiste, mais est beaucoup moins accentuée, surtout à gauche ; pas de troubles de la sensibilité ni des sphincters ; le facies
eloppée et proportionnée à la chaleur reçue; le. liquide contenu se trouble ; la suppuration s'éta- blit plus tard et il re
, à peine acide, char- gée de pus et de phosphates. Au début de ces troubles le malade , , 280 CLINIQUE NERVEUSE. ne p
ilité de maintenir la tête dans la position verticale; de plus, les troubles vaso-moteurs et sudoraux et l'incurvation de la
iolents maux de tête et de la con- fusion mentale avec anxiété. Les troubles intellectuels s'accentuent très rapidement et,
nettement guérie le '2 février 1898, ne présentant plus le moindre trouble intellectuel, sa santé physique étant très bonne.
'asile, j'ai observé une infirmière tuberculeuse qui a présenté des troubles intellectuels analogues, à début brusque, absol
mentale avec anxiété et, de plus, hallucinations terrifiantes. Ces troubles se sont dissipés sans amé- lioration de l'état
isage de cette malheoreuse. Cette dernière malade vit encore et ses troubles intellectuels n'ont pas reparu, bien que la san
uleuse, entend dire qu'elle est perdue; aussitût apparaissent des troubles intellectuels qui commencent à se dissiper dès qu
l-à-dire dès qu'elle retrouve de l'es- poir. Chez la seconde, les troubles intellectuels, développés dans les mêmes condit
e la débilité physique de nos deux malades lors de l'éclosion des troubles intellectuels, mais il n'en est pas moins évident
diagnostic « folie tuberculeuse » lorsque l'on se trouve en face de troubles intellectuels survenant chez des tubercu- leux
hez qui se sont manifestés, en même temps qu'une angine légère, des troubles de la sensibilité et une grande faiblesse des m
his, à leur tour, par la paralysie; peu après, se sont produits des troubles cérébraux : délire tranquille avec hallu- cinat
suivantes : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 291' lo Apparition de troubles cérébraux très accentués, précédant même les tr
Apparition de troubles cérébraux très accentués, précédant même les troubles bulbaires; ces troubles étaient certainement so
érébraux très accentués, précédant même les troubles bulbaires; ces troubles étaient certainement sous la dépendance des lés
ale ; la phobie des espaces vides pourrait être considérée comme un trouble , sinon périphérique, du moins bulbaire, par - i
éloignaient l'idée d'une infection ; mais il est possible que les- troubles constatés aient été le produit d'une action mécan
art les lésions des centres de la parole, droit et gauche, puis les troubles fonctionnels secondaires aux lésions des images
niveau de la région sacrée, suivie de paraplégie incomplète avec troubles vésicaux et génito-urinaires; l'autre d'origine é
rédité névropa- 292 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. thique ou des troubles nerveux personnels; qu'avec les recherches expé
r, comme les autres affec- tions cutanées qui se traduisent par des troubles de kératinisation est provoqué par des désordre
ue de la pachyméningite cervicale hypertrophique : prédominance des troubles parétiques du côté des muscles extenseurs des m
nte, coïncidant avec une paralysie vésicale subite, l'extension des troubles nerveux à la région dorsale. Il y a lieu, sans
e généralement le nom de main de Duehenne-Aran. Malgré l'absence de troubles de la sensibilité, l'auteur croit pouvoir ratta-
avant même que ces lésions organiques ne soient constituées par le trouble amené dans la nutrition des cellules nerveuses
éralion intellectuelle s'accentue, il y a lieu- de l'attribuer à un trouble mental. La microcéphalie se reconnaît à des signe
sensation de tension dans le côté gauche du cou et de la tête, sans trouble céphalique véritable. Il ne présente d'ailleurs p
s de para- lysie, du côté des membres ni des nerfs craniens; pas de troubles oculaires ; pas de vomissements. Les mouvements
es sont conservés et exagérés. L'in- telligence est intacte. Pas de troubles respiratoires ni circulatoires. En l'absence de
t. La mort survint deux jours après l'opération par exagération des troubles cardio-respi- ratoires. A l'uutopsie le cerve
de l'épendyme pour irradier de là vers la périphérie. Les premiers troubles obser- vés se rapportent à là sensibilité, car
ts s'aggravent jusqu'en 1895. Déjà, en décembre 1894, il existe des troubles de la déglu- tition. En janvier 1895, le malade
res du facial des deux côtés, paré- sie avec atrophie de la langue, troubles de la déglutition, aphonie absolue, immobilité
gante que la marche ordinaire et susceptible même de produire des troubles cardiaques. L'intérêt médical et artistique qui s
segment sacré. ' G. D. XXI. Etude critique ET expérimentale SUR LES troubles vaso-moteurs PRODUITS PAR LA SUGGESI'lON DANS D
Archives, 2e série, t. VI. 21 t REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1. TROUBLES psychiques I'oST-oIL`R.1TOIRES; par M. le profess
occasion d'étudier dans une de ses leçons cliniques l'étiologie des troubles psychiques post-opératoires. L'une de ces malad
nement et hallucinations terri- fiantes de la vue et de l'ouïe. Ce* troubles mentaux ont persisté sans modification apprécia
. Deux ans avant ces accidents, cette femme avait déjà présenté des troubles psychi- ques. Ses antécédents héréditaires sont
e suicide, idées de persécution et hallucinations terrifiantes. Ces troubles persis- tent encore. S'appuyant sur ces obser
éterminer le myxoedème post-opératoire. Si l'on a pu croire que les troubles mentaux sont plus fréquents dans les maladies c
er : ce sont les alcooliques, chez qui la fréquence et la forme des troubles mentaux, à l'occa- sion d'un traumatisme, d'une
ulsions, sans altération de la connaissance; elles consistent en un trouble limité de l'appareil moteur. Cela commence par de
des éléments corticaux sensitifs; sans doute chez ce malade, les troubles sensitifs prodromiques manquent parfois, mais c'e
Le plus souvent on constate chez les épileptiques de nos asiles un trouble mental; soit l'excitation maniaque, soit la rel
tion et de : mysticisme, des hallucinations des sens, jointes à des troubles musculaires, à un embarras pro- noncé de la par
des membres. A la quinzaine, je mentionne dans mon certificat des troubles musculaires qui peuvent se rattacher à la paralys
fférentiel de la paralysie générale et de l'épilepsie compliquée de troubles muscu- laires ; surtout lorsque s'y joignent le
(souvent ambitieux ou hypochondriaque, etc), et sous le rapport des troubles de la motilité et de la sensibilité. Aussi ne d
s, des membres, inégalité pupillaire, affaiblissement mus- culaire, troubles de la sensibilité, etc. (obs, 2, 3, 4, 11 et 12).
inaires était réduite au minimum. La malade maigrit et présenta des troubles gastro-intestinaux. Elle entra dans la clinique
895, avec les symptômes suivants : douleurs fulgurantes aux jambes; troubles de la sensibilité générale aux jambes, au tronc
. \'1. 23 354 CLINIQUE mentale. prédisposition héréditaire aux. troubles hépatiques et chez les aliénés atteints de cett
r de cet agent pathogène et même il est permis de se demander si le trouble hépatique et le trouble mental, au lieu d'être
et même il est permis de se demander si le trouble hépatique et le trouble mental, au lieu d'être subordonnés l'un à l'aut
, dit M. Léopold Lévy, à qui l'on doit une importante étude sur les troubles nerveux d'origine hépatique, on voit survenir,
ctionnement imparfait du foie. Dans ce cas, le délire est-il lié au trouble hépatique ? C'est là une question qui se pose ;
sur le compte du délire ? Enfin, hypothèse plus vraisemblable, les troubles cérébral et hépatique ne doivent- ils pas être
ion hépatique (Revue de psychiatrie, sept. 1897). * Léopold Lévy. - Troubles nerveux d'origine hépatique (Archives gén. de M
à résoudre. Nous pensons cependant que même dans l'hypothèse où les troubles nerveux et hépatiques relè- vent de la même cau
re hépatique sur le système nerveux est très vraisem- blable. Les troubles fonctionnels du foie ne sont pas seuls à incri-
cancers, cirrhoses, peuvent aussi intervenir dans la production des troubles mentaux. Nous citerons plus loin une observatio
idus atteints de cancer et de cirrhose '. L'influence pathogène des troubles et des lésions hépa- tiques sur le cerveau une
ntervient concurremment avec d'autres causes dans la pathogénie des troubles mentaux, pouvant entretenir et développer le dé
lésions rétiniennes, certaines interprétations délirantes liées aux troubles cardiaques ou pulmonaires concomitants, quel- q
du foie : la tuméfac- tion et la douleur. Il ne suffira pas que les troubles mentaux paraissent liés à ces manifestations hé
teint de mélancolie avec crises panophobiques et concurremment d'un trouble hépa- tique qui a évolué peu à peu dans le sens
infectieux fébrile qui s'est manifesté longtemps après le début du trouble men- tal, ne semble pas avoir eu grande influen
'uricémie, la migraine, le rhumatisme vague, états qui résultent de troubles nutritifs auxquels le foie ne reste pas étrange
s retrouvons la coïncidence d'un état de souffrance du foie et d'un trouble mental, ce dernier, consécutif et, en apparence
obable d'un choc moral, d'une peur ; et elle semble si bien liée au trouble hépatique que ce dernier conti- nue à évoluer a
hépatique que ce dernier conti- nue à évoluer après l'explosion des troubles mentaux et que nous assistons successivement, a
as pourquoi ces mêmes méca- nismes ne pourraient pas déterminer des troubles intellec- tuels. - Nous répugnons cependant à
tuels. - Nous répugnons cependant à voir dans le cas présent un trouble mental sympathique ou réflexe. La nature de ce
présent un trouble mental sympathique ou réflexe. La nature de ce trouble mental est-elle du moins de nature à nous éclai
façon absolue. Il ne nous semble pas démontré, en effet, que les troubles psychiques en question soient un cas de folie du
équents intervalles pseudo- lucides ; et enfin elle s'accompagne de troubles nerveux qui ont un cachet hystériforme assez ma
ifie ordinai- rement ni la marche ni les symptômes. Tout au plus le trouble hépatique intervient-il, par l'intermédiaire de
is non guéri. L'accès actuel n'est donc qu'une recrudescence d'un trouble mental déjà ancien. Le malade est agité, avec d
ancien. Le malade est agité, avec désordre des idées et des actes, troubles de la sensibilité générale, idées vagues de per
maigrir, perdre ses forces et s'aliter. Elle se plaint de fréquents troubles digestifs. En avril 1875, ictère généralisé int
r, la cirrhose, l'hépatite sont fréquemment le point de départ de troubles délirants chez les gens jusqu'alors réputés sains
importance réelle, au point de vue étiologique, aux lésions et aux troubles fonctionnels du- foie dans les maladies mentale
du- foie dans les maladies mentales. Dans la majorité des cas, le trouble hépatique vient se joindre à d'autres causes po
xication, et la fragilité de la cellule nerveuse provient soit d'un trouble de sa nutrition impu- table à la défaillance ép
as que nous avons observés, nous n'avons jamais vu se superposer au trouble mental primitif de nouveaux phénomènes psychiqu
si seulement il est possible de connaître l'évolution de chacun des troubles ; ainsi seulement enfin il est possible de rappr
s troubles; ainsi seulement enfin il est possible de rapprocher ces troubles les uns des autres. Ce travail, qu'à notre co
xistait une anesthésie presque complète qui disparaissait quand les troubles de la mobilité devenaient manifestes. Ce travai
ment complète et durable. M. Grasset et M. Cullerre croient que les troubles de la sensibilité sont à peu près constants mai
secondaire. Ils acceptent une anes- thésie cérébrale précédant les troubles moteurs, et ajoutent qu'on constate parfois une
ible d'arriver à une formule générale et nous nous demandons si les troubles de lasensibilité, lorsqu'ils apparais- sent ne
Traité des maladies mentales ? A cette ques- tion il répond que ces troubles sont difficiles à constater et que nous ne poss
le du Traité de médecine de Charcot et Bouchard, trouvent que les troubles de la sensibilité générale sont tout à fait excep
plus récents, M. Magnan et M. Sérieux qui s'expriment ainsi : « Les troubles de la sensibilité ne sont pas rares, mais leur
personne ne s'est imposé la tâche de rechercher méthodiquement les troubles du sens tactile chez les mêmes paralysés généra
r le diagnostic différentiel avec l'alcoolisme chronique mais les troubles de la sensibilité augmentent à mesure que la mala
n côté de Kraff-Ebing résume ainsi ses constatations : « A côté des troubles vaso-moteurs et moteurs les troubles de la sens
s constatations : « A côté des troubles vaso-moteurs et moteurs les troubles de la sensibiltié jouent un rôle insignifiant.
exact des fonctions est très difficile à cause de la démence et du trouble de la conscience des malades. » D71cl : le est
est de tous les auteurs celui qui s'est le plus appe- santi sur les troubles du tact et si certaines de ses assertions ne so
rand nombre de malades du début à la terminaison de la maladie. Les troubles du tact semblent avoir été observés de chic, qu
l l'est le moins ; si toujours ou seulement dans certains cas ces troubles impriment une direction particulière au délire ;
rares à la première période, une fois moins rares à la seconde, les troubles du sens tactile se notent dans plus de la moiti
bsence complète à la phase ultime. Y aurait-il un rapport entre les troubles du sens tactile et la variété mentale expansive
ns suivantes,- démontrant que c'est dans la forme expansive que les troubles du sens tactile sont les plus fréquents, ensuit
s réunies ». Dr J. SIBBALD. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LXXXVI. Troubles 'gastriques DE nature hystérique. - Clinique du
rique, avec vomissements de liquide blanchâtre. Depuis cette époque troubles gastriques fréquents caractérisés par une douleur
[amélioration progres- sive de tous les symptômes, disparition des troubles gastriques; la malade reprend ses occupations.
sitoire avec parésie faciale persistante du même côté. Pas d'autres troubles pbysi- 'ques ou psychiques. Depuis deux ans, à
te observation est intéressante par le réveil, après trente ans, de troubles fonctionnels résultant d'une lésion de l'enfance,
n haut et en dehors. L'auteur a déjà cité huit cas dans lesquels ce trouble était nette- ment associé à des phénomènes d'or
e dernier attribuait exclusivement à l'irritation labyrinthique les troubles oculo-moteurs observés. Or, M. Bonnier, en parlan
lection purulente dans la région mastoïdienne gauche, l'analyse des troubles de la parole, de la mimique, de l'ecriture, de
ure, de l'audition des mots, de l'état intellec- tuel, l'absence de troubles moteurs permirent dès l'arrivée du ma- lade, de
- porale, bilatérale, accompagnés de nausées, de vomissements, de troubles de la vue. Ces accès se reproduisent à intervalle
dyscrasie diabétique ou purpuriq'ue en rapport probable avec des troubles neurotrophiques centraux et périphériques simulta
uestra- tion doit suivre d'aussi près que possible l'apparition des trouble mentaux. ' Pour réaliser ces internements pré
e, mange et dort bien, puis confesse au médecin qu'il a simulé un trouble mental pour quitter la prison; il raconte en rian
ier abord; mais il avait simulé d'une façon si nette, si précise un trouble mental bien défini, que le médecin le maintint
une période d'agi- tation au cours de laquelle revinrent les mêmes troubles délirants qu'il avait prétendu simuler; cet éta
gieuse étroite, ayant présenté à la suite d'un violente émotion des troubles de nature épileptique (pertes de conscience sui
u traitement par la strychnine est l'amélioration incontestable des troubles gastro-intestinaux et neu- rasthéniques. Le som
ors que le retour à la santé paiaissait évident, apparaissaient des troubles nerveux nécessitant l'emploi du bromure et de la
'empêchement de penser et de se mouvoir) et accessoires (les divers troubles délirants), puis les divers modes de terminaiso
latérales et typiques, témoignent de leur origine corticale et d'un trouble du sens mus- culaire. 3° Ce sont des mouvements
ion en question est parfois si opiniâtre qu'elle dure nuit et jour, trouble le sommeil, détermine de l'in- somnie, devient
ette opinion est qu'une interruption dans ces connexions produit un trouble mental. Nous connaissons la marche des excitation
eilaire est, au point de vue de la fréquence, en raison inverse des troubles de la parole. 6. Cette exagération n'est pas du
pport quelconque entre les altérations du réllexe patellaire et les troubles de la sensibilité à la douleur et du tact. (A ?
emblement des mains en écrivant, un engourdissement des doigts. Ces troubles physiques étaient du resle annoncés par la voix
n vertigineuse, d'accès d'angoisse précordiale (Mendel) et d'autres troubles du côté du système nerveux ; 12° la marche et le
eaux pyra- midaux depuis les ascendantes jusque dans la moelle. Les troubles variés de la sensibilité constatés pendant la v
motilité de la partie correspondante du corps. La simultanéité des troubles de la sensibilité et de la motilité observée ch
ité observée chez ces malades permettrait donc ici de rapporter les troubles sensibles à la lésion corticale des centres mot
de tic généralisé, le malade était obsédé. Donc ces deux espèces de troubles se suppléent. S. Freud, de son côté, dans sa tr
apport avec l'intensité et le développement plus ou moins récent du trouble psychique. ' J. S. XXVIII. La démence paralytiq
Il met en présence les opinions contradictoires qui expliquent les troubles mortels consé- cutifs à l'extirpation double (t
ion ; la deuxième supposant, avant toute intervention capsulaire un trouble primitif du système sympathique de cause inconnue
trice chez quatre chats ; extirpation bilatérale chez un cinquième. Troubles habituels typi- ques. Entre la deuxième et la c
l'aorte. (JV6M)-o<oy. rem6/. 1895.) Tout cela prouve qu'il y a trouble de nutrition de la cellule, et que la substance
fréquemment réunies sous forme d'amas, ce qui permet de supposer un trouble local de nutrition. Dans un cas de mélancolie s
sion musculaire normale ou un peu augmen- tée) peut accompagner des troubles cérébraux. Il est des cas où elle est combinée
r des troubles cérébraux. Il est des cas où elle est combinée à des troubles convulsifs tels que l'athétose ou la paramyoton
yotome chez un jeune homme de dix neuf ans. Vraisemblablement les troubles myotoniques n'ont ici de commun avec la myotonie
VI, 1897.) L'ataxie du tabétique tient-elle exclusivement au simple trouble fonctionnel des nerls centripètes ? Mes expérie
apables d'en traduire le sens. L'aphasie comporte donc : A, soit un trouble de la mémoire sensible (motrice, sensorielle, e
orielle, et visuelle des lettres) : aphasie sen- sible ; B, soit un trouble de la mémoire d'association des centres d'assoc
n moyen ou postérieur : aphasie d'association. Dans chaque genre le trouble peut être organique ou fonctionnel. A. Aphasie
ve, ou auditive; l'outil de la parole étant intact, il doit y avoir trouble partiel des associations entre le centre des mots
qui existent déjà dans la mémoire. Cette cécité psychique dénote un trouble des associations qui vonl de tons les sens au c
mmet le crime, soit sous l'action de l'ivresse, soit sous celle des troubles intellectuels et moraux de l'alcoolisme chroniq
llnt,r. Etendue de la spé- ciaUté -, par Iiello, 126. Psychiques. Troubles postopéra- toires, par Reyneau, 209 ; par Ter
atow. 6 ! 1'aeum.enew essentiel héréditaire, par Bonnelli, 410. Trouble moteur. Sur un - qui ac- compagne la douleur lo
egrini, 91. Vagabondage mystique, par Donati, 485. Vasomoteurs. Troubles - produits par la suggestion, par Schrenck- N
19 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re mort de tuberculose.] Mère : fièvre typhoïde à douze ans, pas de troubles intellectuels consécutifs; céphalalgies mais pa
à cause de son embonpoint qui est assez prononcé. Appétit bon, sans trouble de la digestion. Elle s'endort assez lentement,
it éprouver à Trousseau qu'un peu de céphalalgie, d'incertitude, de troubles de l'ouïe, de la vue et de la motilité, on en c
énomènes qu'elle provoque reproduisent d'une maniè- re générale les troubles qu'on la destine à combattre; une excitation ab
ontient de petits flocons à peiner.. visibles. La culture garde son trouble . Peu ou pas de dépôt. Réac-un tion acide au bou
ons qu'elles présentent dans le sang. ^ Gélatine. Par piqûre, léger trouble à peine visible le long du trait. Rien à l'orif
, répond intelligemment à toutes les questions et ne présente aucun trouble de la sensibilité ni de la motilité. Tout ici i
e Fleclisig; les centres sensoriels sont lésés, ce qui entraine des troubles correspondants. Dans la seconde, prédomine la f
érieure des lobes frontaux. .1 1 1 Il ne saurait être question de troubles moteurs, de troubles sen- sitifs, de troubles d
rontaux. .1 1 1 Il ne saurait être question de troubles moteurs, de troubles sen- sitifs, de troubles de la parole. Les trou
rait être question de troubles moteurs, de troubles sen- sitifs, de troubles de la parole. Les troubles de la parole et de la
les moteurs, de troubles sen- sitifs, de troubles de la parole. Les troubles de la parole et de la déglutition du début tena
n à distance de la lésion ; ils ne tardèrent pas à disparaître. Les troubles des muscles des yeux furent trop mobiles et, ul
n constata des phénomènes psychiques persistants. Ce furent : u) un trouble de l'attention entraînant de l'amnésie; b) l'ou
acntNr et Thomas présentent un jeune garçon de onze ans, atteint de troubles de l'audition depuis six mois et de troubles de
e onze ans, atteint de troubles de l'audition depuis six mois et de troubles de l'équilibre depuis deux mois, avec surdité v
Il ne com- prend plus que le mot Gustave qui est son prénom. Les troubles de l'équilibre s'accentuent pendant le mouvement
ur expliquer la sur- dité verbale pure. Il n'y a d'autre part aucun trouble du langage intérieur. Les lésions périphériques
t il n'en subsiste pour caractériser le « lacunaire » que' quelques troubles : la « marche à petits pas », l'impossibilité d
ement passés en revue : , 1° Le 'syndrome des cordons postérieurs : troubles sensitifs et ataxie ; 2° le syndrome des cordon
stérieur : dissociation, dite syringomyétique, des sensibilités (et troubles vasomoteurs) ; 70 le syndrome associé des corne
musculaire, dissociation dite syringomyélique des sensibi- lités et troubles vaso-moteurs ; 8° le syndrome d'une moitié latéra
n spinale, sans signe de Babinski. Asynergie cérébelleuse à droite. Troubles de la parole. Hypoesthésie du côté droit. Néopl
est atteint d'un syndrome de Weber un peu particulier consistant en troubles oculaires et en troubles de la motilité (ftq. 4
de Weber un peu particulier consistant en troubles oculaires et en troubles de la motilité (ftq. 4). · 1° Troubles oculai
n troubles oculaires et en troubles de la motilité (ftq. 4). · 1° Troubles oculaires. L'oeil gauche est en ptosis paralytiqu
ur la pupille gauche, mais fait contracter la pupille droite. Ces troubles ont persisté toujours avec la même intensité ; au
sociés de latéralité (examen de M. Sauvineau) (fig. 5 et 6). t 2° Troubles de la motilité. Il n'existe pas à proprement parl
ré d'hémiparésie motrice droite. Cendant le malade présente de gros troubles moteurs ainsi faits : ' ' a) La démarche est
ptosis permanent) ne pai ait pas avoir une grosse influence sur ce trouble de l'équi- libre. c) Les mouvements des mains
ale, ni paralysie du voile du palais, ni déviation de la langue, ni troubles laryngés. L'intelligence est intacte ; la santé
Notre malade présentait des paralysies oculaires associées à des troubles moteurs des membres et à des troubles de la par
ies oculaires associées à des troubles moteurs des membres et à des troubles de la parole. L'explication de ces paralysies
ventriculaire et comme conséquence une névrite oedé- mateuse. Les troubles moteurs du bras et de la jambe du côté droit ne
pédoncule gauche et de la voie motrice pyramidale médullaire. Les troubles moteurs, cependant très prononcés, consis- taie
e cette jambe analogue à-la description donnée par M. Babinski. Ces troubles mo- 96 CLINIQUE NERVEUSE. 1 teurs ont été sig
est un nouvel exemple des plus nets, puisque chez notre malade ces troubles moteurs existaient indépendants de toute paraly
e des membres pro- prement dite. Quelle peut être la cause de ces troubles ataxiformes ? On a pu invoquer dans certains ca
or, chez notre malade, il était normal, en flexion. Au surplus, ces troubles moteurs ne ressemblent pas aux trou- bles moteu
ne, soit de la perte du sens des attitudes, alors que cependant les troubles ataxiformes étaient très pronon- cés. Au surplu
ous avons pu constater plusieurs fois chez d'autres malades que des troubles sensi- tifs profonds (perte du sens stéréognost
s, ne s'accompagnaient pas forcément d'ataxie de mouvements et de troubles d'incoordination semblables à ceux présentés pa
s à ceux présentés par notre malade. Si, par suite, l'existence des troubles sen- sitifs favorise l'apparition. de l'ataxie
t indispensable. Or chez notre malade, dès le début, ont apparu des troubles d'in- coordination et le noyau rouge gauche a é
ule cérébelleux supérieur droit que l'on doit surtout attribuer les troubles ataxiformes et le tremble- ment intentionnel ob
o-médullaire ne paraît pas s'entrecroiser, il est natu- rel que les troubles d'asynergie siègent du côté de la lésion bulbo-
er singulièrement le syndrome de Millard- Gubler en déterminant des troubles moteurs des membres du même côté que la paralys
fie légèrement au contraire le syndrome de Weber puisque, comme les troubles moteurs consécutifs à la lésion de la voie motr
let. A l'hémiataxie droite étaient associés chez notre malade des troubles du langage. Ces troubles peuvent en effet s'ob-
ite étaient associés chez notre malade des troubles du langage. Ces troubles peuvent en effet s'ob- server dans le syndrome
usement analysés dans son article précité. Bien qu'as- sociés à des troubles moteurs des membres du côté droit, on les disti
s en est un exemple. La dy- sarthrie n'est pas alors associée à des troubles parétiqùes des organes d'émission des sons, lèv
e paire gauche, croyons-nous cependant préfé- rable d'assimiler les troubles de la parole aux troubles moteurs ataxiformes d
us cependant préfé- rable d'assimiler les troubles de la parole aux troubles moteurs ataxiformes des membres et d'adopter po
atteint d'un syndrome de Weber très particulier en ce sens que les troubles moteurs des membres du côté droit, asso- ciés à
cté entièrement le pied des deux pédoncules. Il semble donc que les troubles moteurs des membres ont été déter- minés par la
du pied détermine un léger relèvement des orteils Il n'y a pas de troubles apparents de la sensibilité. L'enfant voit bien
. G = 11 (il s'agit d'un dynamomètre pour adultes). Il n'y a pas de troubles de la sensibilité. Les réflexes patellaires son
e tremblement de la tête, du corps ou des mains, il n'existe pas de troubles de la sensibilité. D'après le dire de la mère,
euve une ébauche de clonus caractérisée par 2 ou 3 ressauts. Pas de troubles de la sensibilité. Le nystagmus remonte à la na
réformé pour varices des membres inférieurs. Il ne présente pas de troubles de la sen- sibilité. Les réflexes patellaires s
ilité. Les réflexes patellaires sont normaux. Il ne présente pas de troubles nerveux ni de signes d'une affection des centres
'y a pas d'atrophie, pas de modifications du thorax, aucun signe de troubles du côté du système nerveux. Observation IV. A
es réflexes patellaires sont normaux. Il ne parait pas exister de troubles de sensibilité. D'après le père, le tremblement
a voix, il n'a pas de rire ni de pleurs spasmodiques. Il n'a pas de troubles de la sensibilité. Il n'y a pas de tremblement
d'asymétrie faciale, le thorax est bien conformé. On ne constate de troubles trophiques nulle part. Les organes géni- taux s
part. Les organes géni- taux sont bien développés. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité à la piqûre et de la sensibil
té thermique. On ne constate pas de tremblement des membres, pas de troubles vaso-moteurs. Réflexes patellaires. Le réflexe
- douzy, où, dans certaines affections cérébrales accompagnées de troubles de la motilité des muscles de l'oeil, la lésion
ement soit par des altérations des fibres musculaires, soit par des troubles nutritifs des muscles résultant de lésions vasc
Blocq, Lemke). Il est certain, dit M. Achard, que l'hypothèse d'un trouble primitivement musculaire ne saurait être admise
sujet à une insomnie fré- quente, à de violents maux de tête, à des troubles digestifs de toutes sortes. Inquiet de sa santé
qui, très goûtées, furent imprimées plus tard. Mais dans l'état de trouble et 'd'angoisse morale où la maladie la plongeai
aux. Se fondant sur ces différents caractères l'auteur admet que le trouble moteur de son malade doit être attribué à une l
au d'un point quelconque du membre inférieur. G. U. XXII. Sur les troubles mentaux qui sont sous la dépendance de la toxém
st possible, à discerner leurs rapports avec les diverses formes de troubles mentaux. R. de hIUSGRAV1 CLAY. REVUE D'ANATOM
(Nezii-olog. Ceniralblatt, XIX, 1900.) Il existe deux espèces de troubles de la sensibilité : des (roubles objectifs et d
pèces de troubles de la sensibilité : des (roubles objectifs et des troubles subjectifs. Les premiers sont en rapport avec l
e central. C'est pourquoi on observe des cas de polynévrite, où les troubles psy- chiques sont peu marqués et au contraire d
ytiques généraux et surtout chez les idiots. Ce qui caractérise les troubles du système musculaire dits cata- tomques si fré
ation soit entre eux, soit avec une idée directrice quelconque. Ces troubles sont donc dans les deux cas le produit ou l'exp
du début; 20 parallélisme des conceptions délirantes et des autres troubles psychopathiques ; 3° spontanéité du délire chez
urs délusions étaient toutes de nature dépressive et révélaient des troubles de l'inner- vation splanchnique. Chez deux d'en
lité faradique localisée aux muscles de l'épaule et du bras. Pas de troubles marqués de la sensibilité, pas d'altération des
. Au moment de la guérison, on voit rétrocéder successivement les troubles de l'ouïe et de la sueur, du goût, de la salive,
lontaire. Dans la paralysie faciale rhumatismale, il ne survient de trouble lacrymal que lorsque la paralysie siège dans le
orsque la paralysie siège dans le voisinage du gan- glion géniculé ( trouble simultané des larmes et du goût). Dans la paral
Dans la paralysie faciale d'origine basale, on observe également le trouble de la sécrétion lacrymale, mais naturellement s
ement le trouble de la sécrétion lacrymale, mais naturellement sans trouble conco- mitant du goût. D'autres observations cl
à plusieurs reprises l'existence des hallucinations de l'ouïe. Les troubles aphasiques durent une huitaine de jours, puis l
aphasie, cécité verbale, paragraphie. Comme les premières fois, les troubles apha- siques durent une semaine, et à la suite
nations (phénomènes d'excitation) explique d'une façon tangible des troubles qui sont habituellement mis sur le compte de l'
e générale, comprenant les cas caractérisés par la prédominance des troubles sensoriels et des troubles de la sphère du lang
s caractérisés par la prédominance des troubles sensoriels et des troubles de la sphère du langage (symptômes d'excitation o
nt constaté la coïncidence d'insuffisance hépatique passagère et de troubles mentaux également passagers, éta- blissent une
retrouvé la plupart de ces signes chez des sujets présen- tant des troubles psychiques, intermittents ou passagers," et n'ac-
ils ont vu l'insuffisance hépatique évoluer parallèlement avec les troubles psychiques; ils ont vu en particulier disparaître
e, qui leur servait de pierre de touche quand dis- paraissaient les troubles mentaux (confusion mentale, délire oni-. rique.
75 de nombreuses observations, les auteurs notent la fréquence de troubles pupillaires variés, de troubles des réflexes et d
les auteurs notent la fréquence de troubles pupillaires variés, de troubles des réflexes et de la sensi- bilité cutanée. Il
et de la sensi- bilité cutanée. Ils notent par ordre de fréquence : troubles de l'ac- commodation, du réflexe lumineux, dila
ance aussi grande que àlàl. Sérienx et àlds- selon l'affirment. Les troubles de la sensibilité cutanée sont peut- être plus
te un déve- loppement énorme des veines, avec ulcères variculeux et troubles trophiques secondaires, de plus, sur la moitié
culaire traurualique du plexus brachial avec al2-opiies osseuses et troubles de la pression artérielle dans le membre para-
'avant-bras et de la main, en plus de l'hémiatrophie faciale. Aucun trouble de la sensibilité. La pression artérielle sur l
érielle sur le membre sain. Les auteurs insistent sur l'absence des troubles de la sensibilité dans cette paralysie radicula
otension artérielle du côté paralysé trouve son explication dans un trouble de l'innervation sympathique vasculaire. Quant
alysie infantile et les paralysies radiculaires, la topographie des troubles moteurs dans la paralysie infantile affec- tant
ait tombé en 189 d'une hauteur de 10 mètres et avait été atteint de troubles sphinctériens, de troubles de l'éjaculation, d'an
eur de 10 mètres et avait été atteint de troubles sphinctériens, de troubles de l'éjaculation, d'anesthé- sie des muqueuses
apparition, trois semaines après l'inoculation, de para- lysie avec troubles sphinctériens et amyotrophie, qui reproduisent
giques de l'épilepsie (1862). Puis, viennent les recherches sur les Troubles du langage et de la mémoire des mois dans les tif
musculaire, des pupilles étroites avec réaction faible et un léger trouble de la parole. Voulant définir, en nous basant s
long séjour à l'hôpital de Béziers et après lequel persistèrent des troubles mentaux. Dans ces derniers temps seule- ment ce
èrent des troubles mentaux. Dans ces derniers temps seule- ment ces troubles auraient dégénéré en accès de fureur et tels qu
érébrales sus- ceptibles d'influencer le tissu cornéen, non par des troubles trophiques dérivant d'une action propre au gang
sans lésions anatomiques appréciables, quoique en relation avec des troubles encéphaliques, toujours graves. 2° Cette dépres
anormal : perte sanguine ordi- naire, sans grosses coliques; pas de troubles nerveux concomitants. Depuis quatre ou cinq moi
est une exagé- ration manifeste des réflexes rotuliens. Quant aux troubles menstruels, ils peuvent reconnaître comme cause
mais eu jusqu'alors de manifestations convulsivantes ou mentales; troubles de la fonction cataméniale provoquant un accès
sein hys- térique ont rapporté ces phénomènes de gonflement à des troubles de la menstruation qui est irrégulière et dou-
nations du tact. Certains aliénés, surtout des hystériques, ont des troubles du tact qui, au lieu d'être localisés aux extré
STERIE DE SAINTE THÉRÈSE les autres tissus intérieurs : ce sont des troubles de la sensi- bilité générale, anesthésies ou hy
le libre arbitre. Néanmoins tous, aujourd'hui, vous considérez les troubles de la moelle et ceux du cerveau, du même point
se, de thrombose, bien souvent l'azloizloxicalioz. Vous ramenez les troubles de la pensée, aussi bien que ceux de la sensibi
domaine de la physiologie. Vous cherchiez a démêler l'écheveau des troubles mentaux, et ce sont les lois physio- logiques d
ent, par la force des choses, physiologiste. Déjà l'observation des troubles moteurs de la mala- die d'Addison a mis sur la
té se présente sous forme de malaises dus à un très grand nombre de troubles qui atteignent l'organisme tout entier et intér
ns sont physiques, les autres affectifs et intellectuels. Parmi les troubles physiques, nous signalerons ceux de la sensi- b
ement musculaire, l'incoordination des' mouvements volontaires, les troubles de l'élocution, le vertige de locomotion. Les t
ntaires, les troubles de l'élocution, le vertige de locomotion. Les troubles circulatoires sont au premier rang des symptômes
rait être en rapport avec un phénomène vaso-moteur cérébral. Les troubles respiratoires sont dus à la contraction des muscl
uelquefois il y a suspension de la respi- ration en expiration. Les troubles digestifs sont principalement caractérisés par
ifs sont principalement caractérisés par l'attaque de diarrhée. Les troubles secrétoires sont de la polyurie, de la séborrhé
persécutés mélanco- liques, dans les psychoses d'intoxication, les troubles mentaux névropathiques, la paralysie générale.
n et ses élèves, ont encore augmenté la confusion; l'importance des troubles mentaux est très grande mais les troubles moteu
nfusion; l'importance des troubles mentaux est très grande mais les troubles moteurs ne sauraient être négligés. Le tic pure-
c'est un spasme ; ce clignement persiste sans cause et sans but, ce trouble de la fonction de nictitation est un tic. Le ti
de la fonction de nictitation est un tic. Le tic est donc soit un trouble d'une fonction normale, soit d'une fonction anorm
même temps une expli- cation. J'ai soutenu avec M. Feindel que le trouble mental prédominant est une imperfection de la v
iéna- tion mentale », j'appelle mental le phénomène et par suite le trouble qui a pour siège les centres psychiques supérie
qu'il soit toujours un mental. Dans l'hystérie, il y a toujours des troubles du psychisme inférieur, polygonal ; s'il y a en m
bles du psychisme inférieur, polygonal ; s'il y a en même temps des troubles de 0 (ce qui arrive souvent), c'est une complicat
développe- ment. Bien plus, il existe des sujets chez lesquels les troubles qui donnent naissance aux tics ne sont plus d'o
de départ de nouvelles mauvaises habitudes, et quelquefois même de troubles nerveux. Cette donnée explique comment agis- se
oxysme de l'accès. Alors il y eut de nouveau régression de tous les troubles , disparition progressive et guérison dans un in
de ces espèces de mouvements. Le tic doit être considéré comme un trouble delà représentation mentale d'un mouvement qui es
remarquer M. Joffroy, ne sont au fond que l'expression mimique d'un trouble psychosensoriel. La mimiqne est le type le plus
trée ne restait en parfaite concordance avec le caractère propre du trouble mental. Tant que cette concordance existe, on ne
s moteurs volontaires sont corrects, et ils ne semblent avoir aucun trouble des sensibilités cutanée, musculaire, articulai
positif très pratique pour faire disparaître des anesthésies et les troubles nerveux qu'elles conditionnent. Ilypcracuilé
a physiologie et la psychologie pathologiques qui nous révèlent des troubles dynamiques du sys- tème nerveux. L'hystérie se
usculaires, parésie, paralysie, diarrhée nerveuse, pollakiurie. Les troubles somatiques et psychiques de l'hystérie. M. Tesd
érie. M. Tesdorpf (de Munich). On a tort de considérer à part les troubles somatiques et les troubles psychiques de l'hystér
ich). On a tort de considérer à part les troubles somatiques et les troubles psychiques de l'hystérie et de considérer cette
arcot, a contribué à montrer qu'il s'agit surtout varia. 281 1 de troubles d'association. La psychologie a rendu à la médeci
étrer la nature intime de l'hystérie et de donner un traitement des troubles même somatiques pour lesquels se manifeste cett
. Jusqu'en mai, on n'a pas remarqué de perte de connaissance, ni de troubles moteurs. Le 22 mai, G... est ramené à la maison
10000 hospices; celui-ci est à lui. Au milieu d'avril apparaît un trouble marqué de l'équilibre. Debout, G... se tient as
pas tomber, surtout dans les changements brusques de direction. Ces troubles de l'équilibre s'exagèrent quand le malade ferm
aissent normaux. G... n'accuse aucun phénomène douloureux. Pas de troubles urinaires. Il est imparfaitement conscient de ces
ersonnes imaginaires qui lui causent au travers du plafond ; et ces troubles de l'ouïe eux-mêmes sont professionnels : ses i
Il parait ne plus y avoir de difficulté dans la prononciation. Ces troubles du langage persistent quelques jours en s'attén
: Influence de la lésion cérébrale due à l'al- coolisme chronique, troubles circulatoires de l'encéphalo- SUR UN CAS DE PAR
oolisme que l'on doit la prédominance et l'irrégularité de certains troubles et de certaines lésions : crampes, étourdisseme
nce, hallucinations, illusions, perversions des sens, tels sont les troubles variés de cette période. Après la crise révulsi
des sont à faire dans cette voie. Les trau- matismes antérieurs aux troubles mentaux et nerveux peuvent appeler l'interventi
ntion chirurgicale. Celle-ci peut être faite avant l'apparition des troubles mentaux et nerveux pour remédier aux conséquenc
t trouvé encore un nombre élevé d'éléments dans 4 cas de tabès avec troubles mentaux, et dans un cas d'excitation maniaque a
s analogue au délire alcoolique, de la confusion, de l'amnésie, des troubles de la parole et parfois de l'inégalité pupillai
résentaient de l'excitation sans affaiblissement intellectuel, sans troubles de la mémoire. La parole élait normale, comme l
élé- ments blancs. Par exemple, lorsqu'un tabétique présente des troubles mentaux, on doit se demander s'il s'agit de troub
e présente des troubles mentaux, on doit se demander s'il s'agit de troubles pas- sagers, ou si l'on doit incriminer des lés
ivalents de la crise d'angoisse et crises rudimenlaires, tels que : troubles cardiaques, troubles respiratoires, troubles dige
d'angoisse et crises rudimenlaires, tels que : troubles cardiaques, troubles respiratoires, troubles diges- tifs, vertiges,
imenlaires, tels que : troubles cardiaques, troubles respiratoires, troubles diges- tifs, vertiges, paresthésies, phénomènes
nomènes musculaires, phénomènes sécrétoires, phénomènes congestifs, troubles urinaires, variations de la nutrition générale,
tique et de l'état mental sous-jacent dans chaque cas particulier : troubles de la synthèse mentale, plus ou moins complexes
verses ; fréquence des paroxysmes obsédants, intensité et durée des troubles émotionnels. En terminant, M. Séglas indique le
rôle important dans la genèse de ces diarrhées vertes, et dans les troubles dont elles se sont accompagnées. - Ces observ
s étaient des épileptiques ou des aliénés atteints de lésions ou de troubles graves du système nerveux central ; or, l'influ
efficacité de la suggestion hypnotique peut s'étendre à tous les troubles psychiques d'origine toxique, non seulement à ceu
y a une raison à cela, ainsi que je l'ai démon- tré. C'est que les troubles psychiques des intoxications sont iden- tiques
que les troubles psychiques des intoxications sont iden- tiques aux troubles psychiques de l'hystérie et constituent de véri
isme peut donc être utilisé, je le répète, non seulement contre les troubles psychiques de l'alcoolisme, mais aussi contre c
sement associés par suite de la diffusion des lésions. De plus, les troubles moteurs sont en général moins marqués que les t
De plus, les troubles moteurs sont en général moins marqués que les troubles sensitifs par suite de la résistance des troncs
tomatique, assez longue, avait été celle d'une méningite basilaire ( troubles cérébelleux; paralysie faciale périphérique ; o
bles cérébelleux; paralysie faciale périphérique ; ophtalmoplégies, troubles vaso-moteurs du côté de la face, kératite neuro
nante au niveau de la base de l'encéphale (syndrome cérébelleux ; troubles auditifs précoces et rapidement progressifs jusqu
érieures, il sera tout indiqué de rechercher plus attentivement les troubles moteurs, sensitifs et trophiques qui vraisembla
nt trop d'expérience pour ne pas avoir alors quelques soupçons d'un trouble mental; mais souvent ces troubles ne sont qu'éb
oir alors quelques soupçons d'un trouble mental; mais souvent ces troubles ne sont qu'ébauchés. 11 faudrait l'oeil d'un alié
e l'infraction et dans l'interrogatoire du prévenu; les signes d'un trouble mental possible. Il me semble que le Congrès fe
lin- - quant poursuivi pour la première fois. 4° Qu'il marque des troubles quelconques de la mémoire. J'in- sisterais volo
un certain écartement involontaire du petit doigt de la main et des troubles du langage articulé M. Pailiias (d'Albi). Ce sy
nile, aphémie congénitale. L'auteur estime que cette corrélation de troubles fonctionnels ne peut qu'être rapportée à une co
eile. M. BoLTi3y (d'Alger) signale la possibilité de l'existence de troubles mentaux chez plusieurs personnages ayant joué u
deux côtés. Léger tremblement intentionnel du bras gauche. Pas de troubles de la sensibilité. Crises épileptiformes à caract
sieurs particularités intéressantes : 1° rage de la malade dont les troubles ont débuté à sept ans; 2° le début mono, puis h
st de savoir si la catotonie est, selon l'opinion de Régis, due aux troubles nutritifs ou si les troubles nutritifs sont la
est, selon l'opinion de Régis, due aux troubles nutritifs ou si les troubles nutritifs sont la conséquence de la vapeur. La
tés, d'abaissement des fonctions circulatoire et respiratoire ; ces troubles généraux et trophiques sont plutôt la conséquen
nce que la cause de la catotonie ; peut-ëtte en est-il de 'même des troubles urinaires. Discussion : MM. Dupré et Régis. D
éralisée, elle rend les fibres volumineuses et leur donne un aspect trouble , finement grenu, qui n'est pas de la dégénéresc
rescence, mais ce que l'auteur distingue sous le nom de tuméfaction trouble . Telle est la cause de la formation des fibres
encore bien striées, soit dans l'iutérieur de fibres en tuméfaction trouble , le protoplasma jusque- là, à l'état de plasmod
débute par une véritable anarchie inlra-cellulaine : par suite d'un trouble dans l'harmonie qui doit régner entre les diffé
signa- ture d'accidents toxiques (maladies infectieuses, cachexie, troubles digestifs, intoxications diverses) qui viennent
isme et l'acromé- galie ne sont que deux étapes successives du même trouble de développement; 1' gigantisme se manifeste pe
appelle, en outre, que la grande majorité des géants présentent des troubles trophiques, qu'ils ont des accidents circu- lat
iloire, semblent bien montrer qu'il s'agissait, dans ces cas, de ce trouble fonctionnel de l'écorce auquel on attribue actu
ne sont pas toxiques, s'ils peuvent de nouveau, sans appor- ter de trouble , faire partie d'un organisme similaire de celui q
e, père de cinq enfants, était depuis près d'un mois en proie à des troubles cérébraux. C'est dans un moment de crise qu'il
isonnement aussi nettement conscient qu'on pourrait l'imaginer. Les troubles qui existent dans l'exercice volontaire de l'in
avant d'écrire les Planètes. Peut-être s'agit-il là de véri- tables troubles sensoriels, peut-être de simples rêves, embellis
e par son hérédité et sa constitution psychique : l'incohérence des troubles délirants, la coexistence des idées de persécut
dans la folie maternelle, ont été considérées par M ? J... comme le trouble d'nn cerveau malade, à tel point qu'elle a dema
tion, intermédiaires entre la raison et la folie et qui exemptes de troubles physiques caractérisés ne se prêtent qu'à une a
nel alcoolique, épileptique, dément, mort interné; mère atteinte de troubles car- diaques et de goitre exophtalmique probabl
s auteurs donnent une description complète. H. C. XX. Etude sur les troubles objectifs des sensibilités superficielles dans
(Nouv. lconorr. de la Salpélrière, nos 4 et 5, 1899.) L'étude des troubles sensitifs dans le tabes est toujours difficile,
ils présentent, mais celle dif- ficulté est grande surtout pour les troubles objectifs et il en résulte que, si l'on sait qu
per, ticielles, les ont conduits aux conclusions'suivantes : A. les troubles objectifs de la sensibilité se traduisent chez
constatation sera utile dans bien des cas; C. la disposition de ces troubles montre qu'ils sont sous la dépendance, sinon ex
névrose et à qui il a été appelé à donner ses soins à l'occasion de troubles nerveux parti- culièrement pénibles (douleurs,
occasion de troubles nerveux parti- culièrement pénibles (douleurs, troubles de la motilité et de la sensibilité localisés s
avec l'hystérie dans un grand nombre de cas. A. Fenayrou. XXVIII. Troubles nerveux secondaires portant sur les fonctions de
ût 1899). - Il n'est pas rare d'observer des malades présentant des troubles nerveux secondaires à des âastropatbies ; ces t
ésentant des troubles nerveux secondaires à des âastropatbies ; ces troubles occupent parfois dans le tableau clinique une p
haturie, ou diminution des éliminations effectuées par cette voie ; troubles de la calorification (sensibilité insolite au f
vespérale plus forte que de coutume et pouvant atteindre 1 degré) ; troubles circulatoires (pouls faible, dépressible, tantô
squelette, d'inaptitude au travail, ou- encore il se combine à des troubles nerveux prove- nant des centres supérieurs (dou
. ' De plus, cette statistique montre une prédominance énorme des troubles de la parole chez les hystériques atteints d'acci
gauche et dans l'hystérie droite, il est surprenant de voir que les troubles respiratoires, la polypnée, le hoquet, la toux,
s du langage. E. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE' 435 XXXIII. Les troubles de la sensibilité dans le tabes ; par les Drs F
ans les Archives de psychiatrie et neurologie de Westphal. 1° Des troubles de la sensibilité sont un symptôme constant dan
t la sensibilité profonde articulaire et musculaire. 3° Parmi les troubles de la sensibilité cutanée, ceux du toucher sont c
s de la sensibilité cutanée, ceux du toucher sont constants. 4° Les troubles de la sensibilité se trouvent d'une façon cons-
et peuvent être considérés comme un signe initial du tabes. 5° Des troubles de la sensibilité aux membres supé- rieurs sont
le dans le cours du tabes ordinaire. G° Aux membres inférieurs, les troubles de la sensibilité cutanée sont exceptionnels da
tions, à savoir que les différentes régions de la peau atteinte des troubles de la sensibilité chez le même malade sont sépa
us haut intérêt clinique, décrit pour la première fois une forme de troubles de motihté dont la cause anatomique est une lés
i peuvent contribuer à établir le diagnostic, et, d'autre part, les troubles de motilité engendrés par une altération du cer
laire. E. B. XXXVI. Un cas de syringomyélie. Main de prédicateur. Troubles oculaires. Anesthésie segmentaire ; par le Du'
B. XXXIX. Note sur un cas de plaie de la région parotidienne avec troubles dans le territoire de la branche externe du spina
lexus cervical ; mais le fait le plus intéressant consiste dans les troubles moteurs, rarement signalés en pareil cas et occ
Syndrome de Brown-Séquard avec début d'amyotrophie Aran-Ducheune et troubles pupillaires au cours d'une méningo- myélite syp
ime, n'ayant en apparence aucune relation de cause à effet avec les troubles observés. 11 s'agit, en effet, d'un tuberculeux
PEUTIQUE. Vit. L'usage et l'abus des voyages dans le traitement des troubles mentaux; par G. H. S1YAGE. (The Journal of Ment
que des mécomptes. Il convient aussi de considérer les causes du trouble mental ; et si le voyage peut être utile, par e
ils le seront aussi dans la convalescence ou après la guérison des troubles men- taux. Mais ici encore il faut être prudent
I. Sur les lésions cellulaires corticales observées dans six cas de troubles mentaux infectieux; par le Dr ! II. IeonE. (Revue
'auteur communique les résultats de l'étude de deux nouveaux cas de troubles mentaux, d'origine toxi-infectieuse, à forme de
s la voie arachnoïdiennc, de puissants moyens d'action sur certains troubles du névraxe. - En somme, petit livre dont la l
conception de Morel. Pour ce dernier l'obsession étant toujours un trouble essentielle- ment émotif, tellement émotif qu'i
doute, le délire du toucher, l'écholalie, sont sans aucun doute des troubles du fonction- nement de l'écorce. Enfin, les p
tate que, selon les cas, il y a dans les obsessions prédominance du trouble de la pensée, de la DES OBSESSIONS EN PATHOLOGI
ui prévaut toujours : « L'idée impérative est le grand facteur, les troubles émotifs pouvant être considérés comme secondair
1. Marrel dans une thèse récente fait une classification d'après le trouble mental et distingue aussi trois classes : '10 P
ental et distingue aussi trois classes : '10 Phobies relatives à un trouble sensoriel ; 2° Phobies rela- tives à un trouble
bies relatives à un trouble sensoriel ; 2° Phobies rela- tives à un trouble de la perception ou de l'imagination ; 3" Phobi
le de la perception ou de l'imagination ; 3" Phobies relatives à un trouble dans les idées ou les senti- ments. 2° Y a-t-
ion n'est souvent qu'une phobie ayant perdu son caractère de simple trouble émotif pour prendre par le fait même de son évo
le émotif pour prendre par le fait même de son évolution celui de trouble , à la fois émotif et intellectuel ainsi M. Régis
enfin à parler et raconte les faits suivants, qui montrent bien les troubles profonds survenus dans son intelligence déjà an
le ou isolément. Aussi trouve-t-on à la période de début, soit un trouble de la sensibilité cutanée sans autres modificatio
n de la sensibilité cutanée, soit simplement de l'ataxie seule sans troubles de la sen- sibilité, soit enfin, ce qui est le
oies sensi- tives et cérébelleuses à la fois, par l'association des troubles delà sensibilité à l'ataxie, déterminée par la
les excitations de la peau. Par là se pro- duit l'ataxie dénuée de troubles de la sensibilité. La dégénéres- cence du systè
la suite d'une frayeur brusque, d'un choc mental, ou de tout autre trouble émotif de nature déprimante, ou enfin dans les
observe fréquemment dans les protubérances pariétales est due à un trouble trophique qui accom- pagne l'état de mélancolie
ion de la pression sanguine, les altérations de la sensibilité, les troubles de la vision et la cécité corticale peuvent acc
autet. (Revue de méde- cine, 190 ? ) - Signalant la fréquence des troubles de la mimique faciale chez les nerveux, les aut
rveux, les auteurs appellent en même temps l'attention sur certains troubles de la mimique dans les altérations qui atteignent
st sérieusement défectueuse, de rencontrer simultanénément d'autres troubles moteurs. Tous les degrés de l'inattention, d'ai
xpliquer la diversité du caractère de l'homme, ni la variété de ses troubles mentaux; ils sont le substratumdes centres mentau
seulement on a noté une aggravation. R. DE jMfJaGRAVË CL\Y. XIII. Troubles mentaux dans le cours des affections cardiaques,
use à effet qui peuvent exister entre les lésions cardiaques et les troubles mentaux. Les autopsies n'ont pas sensi- blement
éclairé la question. On peut avancer toutefois que le caractère des troubles mentaux peut, dans une assez large mesure, dépe
ou l'hyperémie passive, que dans le rétrécissement aortique, où les troubles mentaux seront plutôt ceux qui relèvent de l'an
n prenait soin de les rechercher, on rencontrerait plus souvent des troubles cardiaques dans les cas de folie puerpérale.
, n° 4, 1899.) , Soit à l'état aigu, soit à l'état chronique, les troubles trophiques de la peau se manifestent chez les p
de leur état mental et l'obscurité qui entoure la pathogénie de ce trouble trophique, il y a lieu de supposer qu'il n'est pa
nit à la folie son tribut de systèmes déli- rants secondaires à des troubles psycho-moteurs. La médiumnité n'étant qu'un ent
es spirites simples de ce genre, ayant ultérieurement souf- fert de troubles somatiques ou dysesthésiques, ou de troubles pa
eurement souf- fert de troubles somatiques ou dysesthésiques, ou de troubles pathologiques, tels que hémiparésie, hémianesth
parésie, hémianesthésie par foyers cérébraux, peuvent étendre à ces troubles l'hypothèse qu'ils invo- quaient pour les phéno
llèlement une auto-intoxication d'origine gastro-intestinale et des troubles mentaux caractérisés par un état de mélancolie
ntale relèvent, à son avis, de l'auto-intoxication. L'évolution des troubles céré- braux a paru subordonnée à celle de l'aut
eurs premières années, n'ont jamais présenté un signe quelconque de trouble moral ou d'anomalie intellectuelle. L'auteur
n qu'il s'agit chez son malade. G. D. XXV. Évolution comparée des troubles de la sensibilité aux trois périodes de la para
réflexes plantaire et achilléen, etc. En même temps on constata des troubles de la mémoire portant à la fois sur les faits r
es et l'inattention à l'égard des choses ambiantes. Le siège de ces troubles se trouve probablement dans l'écorce, mais ici
tiers battus... Les rapports de ses -souffrances nerveuses avec son trouble mental ne sont pas clairs, mais il n'est pas dout
érale (autointoxicatiou). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 531 XXXIV. Troubles moteurs chez les paralytiques généraux ; par -
raux ; par - MARANDOK de l10,NTYEL (Revue de médecine, 1899). Les troubles moteurs ont été observés chez 108 sujets paraly-
auteur pense devoir dégager les conclusions suivantes : d'abord des troubles moteurs excessifs peuvent se montrer de pré- fé
ontrer de pré- férence à la première période et réciproquement, les troubles légers à la seconde. L'intégrité du sphincter n
econde. L'intégrité du sphincter n'a pas de rapport direct avec les troubles moteurs. En somme on ne peut savoir par la seul
conde période de la maladie. A la seconde période, la fréquence des troubles est d'autant plus grande que le degré d'altérat
es troubes moteurs ont été bien moins accusées qu'à la seconde. Les troubles moteurs ont été trouvés beaucoup plus accusés aux
s la tardive. Enfin, parmi les éléments étiologiques accentuant les troubles , moteut-s, l'alcool semble jouer le principal r
scniDE et VURPAS. (Revue de médecine, mai 1903.) Il s'agit ici du trouble angoissant qu'éprouvent les sujets prédis- posé
ut enlevée chirurgicalement et l'opération amena la disparition des troubles subjectifs et objectifs de la sensibilité. -
ie radiculaire rigoureuse des trois p ? 'e- Ntteres lombaires, avec troubles de la sensibildé dans le même le ? .- l'il01)'e
après-midi, amène une hémiplégie gauche avec dysarthrie, dysphonie, troubles de la déglutition, rire spasmodique, qui ont ré
nerveux intéressants : tétraplégie spasmodique coïncidant avec des troubles paralytiques des appareils de mastication, de d
raisemblablement une origine également corticale. Il s'agit donc de troubles pseudo-bulbaires acquis chez un enfant, et l'on
te du névritique en raison de l'absence d'atrophie musculaire et de troubles des réactions électriques. Atrophie musculaire
jours parallèlement à l'amaigrissement sans jamais s'accompagner de troubles sensitifs ni d'aucun phénomène spasmodique. L'a
. J. Babinski. Je désire attirer l'attention de la Société sur un trouble de motilité qui n'a pas été décrit jusqu'à présen
l cérébelleux et qui présentent très nette- ment ce phénomène. Ce trouble est donc la conséquence d'une lésion cérébelleuse
peuvent se succéder avec rapidité. La titubation cérébelleuse, les troubles de l'écri- ture, etc., sont dus (li partie à la
; l'internement des buveurs d'habitude, même ne pré- sentant pas de troubles mentaux, l'assimilation de l'ivrognerie a l'inc
atiques, verbigération, écholalie, altitudes singulières, etc.); d) trouble de l'activité volontaire. Sur les 40 déments pr
scence men- tale, par Farnarier, 429. Affections cardiaques. Voir troubles mentaux. AGENÉSIE. Voir spina bificla. Aima
re, 280. La causedes phénomènes hystériques, par Delius, 280. Les troubles somatiques et psychiquesde l ? par Sesdorpr,
2. Larmes. Voir Mystiques. LÉSIONS CELLULAIRES CORTICALES. Voir Troubles mentaux. LEUCOMAINES. Les de la substance ner
laire trau- matique du plexus brachial avec atrophies osseuses et troubles de la pressionartélielle danslemem- bre paral
a - générale; par Féi é, 514. -;é nérale Voir Délire. 517. Voit Troubles de la se7asibililé.- géné- iale. Voir Troubles
Délire. 517. Voit Troubles de la se7asibililé.- géné- iale. Voir Troubles moteurs. psychique, par Hauser et Lostat Jaco
brale, par Obre,,ia, 371. Plaie de la légion parotidienne avec troubles dans le territoire de la branche, externe du sp
7. Voir Paralysie générale. Syringomyélie. Main de prédicateur. Troubles oculaire, asnesthésit's-eg- mentaire. par Boucl
Cancer. - Voir Sai-coi2e. Tares. Voir Massage. Etude sur les , troubles objectils ses sensibilités superficielles dans
. - Traitement et guérison,. par Hartenberg, 447. » Toxémie. Voir Troubles mentaux. Traumatisme. Voir Folie. Tremblement
ti-OPIliClUe to- tale et familiale, par Raymond et Sicard, 175. Troubles mentaux sous la 'dépen- dance de la toxémie, pa
. Vertige psychique, par Vaschide et Vurpas, 531. Voraces. Voir Troubles mentaux. VESTPHA1.L. La contraction parado- x
phique radiculaire rigoureuse des trois premières lombaires, avec trouble de la sensibilité dans lemémeterri- toire,'pa
20 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des petites malades, deux d'entre elles ont rapidement présenté des troubles qui ont nécessité leur renvoi. C'est une preuve
onvulsives fréquentes, surtout quand les crises s'accompagnaient de troubles intellectuels graves. Ce fut d'après ces donnée
autant qu'on en pouvait juger.ne s'accom- pagnait pas davantage de troubles sensoriels, et semblait bien quelque chose d'ar
Parmi les onze autres enfants,certaines se présentaient avec des troubles morbides qui me préoccupaient bien davantage,et
dure quelques secondes etl'enfant revient immédiatement à elle,sans troubles mentaux : consécutifs. Mais la nourricière avait
ne peuvent, dans les cristallisations se produire qu'à la suite de trouble venu de l'extérieur, sont au contraire ici la rè-
ar exemple, que, dans une observation citée par l'A. comme cas de trouble alternatif des deux hémisphères, certains symptôm
ternatif des deux hémisphères, certains symptômes té- moignaient du trouble de celui supposé sain (p. 308) ; à rappeler que
t L. DALMAS médecin interne à l'Asile SI Picrre (Marseille) Les troubles trophiques et vaso-moteurs fournissent à la par
), Athanassio (3), Villard (4), Namadier (5) lié rissey (G) sur les troubles trophiques chez les paralyti- ques généraux, et
qu'au cours de ce premier internement le sujet avait présenté des troubles vaso-moteurs caractérisés par l'cccléme des régio
marbrée de la p ! m ! , au niveau des quatre membres. Il) Bonnets Troubles trophiques dans la paralysie générale {Encéphal
ues dans la paralysie générale {Encéphale, 18S3). (2) DU11.\NTE.- Troubles trophiques dans la paralysie générale (Ga; he6d
ale (Thèse Paris, 1869). , (3) Namadier. Contribution à l'élude des troubles trophiques dans la paralysie générale (Thèse Pa
générale (Thèse Paris, 1884). 16) Ukhissey. Elude clinique sur les troubles trophiques dans la paralysie générale (Thèse de
de la paralysie générale apparaissent. Aujourd'hui A.. présente des troubles profonds de la mémoire. Il est incapable de rép
ion malléolaire. survenu en avant-coureur, ainsi que ¡'existence de troubles analogues ou assimilables au cours d'un interne
stances nous font incliner à pen- ser que nous sommes enprésence de troubles vraisembla- blement en rapport avec des modific
oquer une lésion du système nerveux périphérique pour expliquer des troubles vaso-moteurs ou trophiques chez un paralytique
section d'une seule racine postérieure ne produit pas le plus léger trouble moteur dans le membre correspondant. La section
eurs des racines postérieures correspondant à un membre produit des troubles ataxiques, une certaine gaucherie, surtout dans
exus brachial sont épargnées, on peut assister à la disparition des troubles moteurs consécutifs à la section de toutes les au
ans les cordons antérieurs.des dégénérations disséminées dues à des troubles circulatoires de la subsance grise ou à des lés
n secondaire de ces racines et de leurs cellules pour expliquer les troubles moteurs. Dans le bout médullaire des racines po
n des racines postérieures produit dans le membre correspondant des troubles dits trophiques que l'on rat- tache généralemen
erruption joue probablement un certain rôle dans la produ- tion des troubles dits trophiques. Les expériences de T. mettent
tique, la section des racines postérieures d'une patte entraîne des troubles moteurs, tantôt passagers et à peine marqués, t
sur la face dorsale ; dans ce cas seulement on voit apparaître les troubles dits trophiques : excoriations, callosités, épa
, la section de ses racines postérieures ne cause jamais le moindre trouble dans ses mouve- ments ni dans l'état apparent d
ieurs ; toujours plus accusé du côté où prédominent l'ataxie et les troubles du sens musculai- re et la diminution du réflex
états spastiques s'opposent à sa production. L'A. se demande si le trouble de la coordination ne dépend pas en partie des
'élasticité des ligaments et des muscles, en faisant abstraction du trouble des sensations dues au fonctionnement (Signalem
ées en arrière, et notamment dans Fa : légèreté et courte durée des troubles de la sensibilité, d'après Monakow (Gehimpatho-
ogie, 1905, et F. Muller, les foyers limités à Fa ne donnent pas de troubles de la sensibilité. Chez le singe, Brodmann (1905)
e, Brodmann (1905), à vu l'ablation de Fa ou de Pa suivie des mêmes troubles graves de la sensibilité, mais ce résultat, con
uls symptômes nerveux consistaient en tremblement de la parole sans troubles de l'articulation et en une démarche chancelant
rte un autre cas, moins convaincant, où, chez une débile, le même trouble physiologique aurait abouti à des idées de perséc
i cheminent au voisinage immédiat de la racine descendante du V : troubles cérébello-ataxiques que Babinski et Nageotte, l'A
côté les unes des autres,et en arrière et en dehors des olives. Les troubles oculo-pupillaires notés dans le cas de l'A. et da
ore la pathogénie du nystagmus (lésion du no- yau de Deiters) ; des troubles du goût, et, à propos de ceux-ci, le trajet cen
ssociation syrin- gomyélique de la sensibilité. L'amytrophie et les troubles de la sensibilité sont en faveur de la syringom
troubles de la sensibilité sont en faveur de la syringomyélie, les troubles cutanés appartiennent à la lèpre. Le diagnostic
ogénie de cette arthropathie sont obscures, celle-ci semble être un trouble de trophicité osseuse et articulaire. F. TissoT
raie, mais bien un état de dépression en rapport avec la nature des troubles épisodiques et survenu en même temps qu'eux à la
e. V. Sensibilitütstaerungen bei Paralysis progressiva incipiens ( Troubles de la sensibilité au début de la p. g.) ; par J.
sensibilité à la douleur est très variable. L'A. aurait observé des troubles localisés, analogues à ceux du tabes,par exempl
te. On a noté en outre,au cours de la maladie des oscillations, des troubles psychiques, beaucoup plus marquées que chez les
plus ou moins complets. F. TISSOT. VIII. Contribution à l'étude des troubles mentaux de la ma- ladie de Basedow ; par Parrho
tent deux observations en faveur de l'origine thyroïdienne de ces troubles ; bien plus, ils émettent l'hypothèse que dans le
ien plus, ils émettent l'hypothèse que dans les cas de Basedow avec troubles psychiques et dégénérescence, l'ensemble des tr
Basedow avec troubles psychiques et dégénérescence, l'ensemble des troubles peut reconnaître pour point de départ une modiiic
rt une modiiica- tion primitive de la fonction thyroïdienne. Si les troubles mentaux du basedowisme apparaissent fréquemment
nne, y a hyperthyroidisme et trou- bles mentaux symptomatiques. Les troubles psychiques basedo- wiens apparaissent surtout d
ctive sur les centres psychiques supérieurs et qu'il respecte ou ne trouble que passagèrement et au début les centres de pr
24.) On sait que Liepmann a décrit sous le nom d'apraxie certains troubles dans l'exécution des mouvements volontaires qui s
entrer dans les discussions pathogéniques, M. Deny rap- proche les troubles vasculaires des troubles psychiques, la cardio-
ons pathogéniques, M. Deny rap- proche les troubles vasculaires des troubles psychiques, la cardio- ' pathie pouvant à la lo
x, c'est-à-dire sociétés savantes. 85 présentant,à côté des leurs troubles mentaux,des perversions, des manies impulsives,
ques sont des pseudo-hallucinations.que les malades atteints de ces troubles n'éprouvent pas de sensations, n'entendent pas de
iscipliné et les tendan- ces perverses sont une cause permanente de troubles pour les au- tres malades et pour le fonctionne
. DENY. Surdité complète par lésion bilatérale des lobes temporaux. Troubles aphasiques concomitants. llI.ClitRPENTIER et
ici pour la mise en applica- tion de la théorie de Pierre Marie aux troubles aphasiques qu'a présenté leur malade.Mais à l'é
rurgie, il reste que la plupart des cas de stérilité sont dus à des troubles fonctionnels de la circulation, des organes sécré
musculaire ou moteur,du système nerveux ou de la sensi- bilité. Ces troubles fonctionnels sont susceptibles d'être traités p
pages intéressantes sur l'apoplexie, les diverses perversions, les troubles de la perception de la person- nalité, de l'int
ubles de la perception de la person- nalité, de l'intelligence, les troubles moteurs et sensitifs, les chapi- tres spéciaux
n'a gardé aucun souvenir de ce qui s'est passé. En dehors de ces troubles mentaux, elle se montre acariâtre 100 MEDECINE
INCENDIAIRE PENDANT l'ÉTAT SOMNAMBULIQUE. 10L se plaint de quelques troubles neurasthéniques, dyspepsie, névralgies abdomina
est ramenée le 10 septembre 1900 pour cause de « morphinomanie avec troubles mentaux hystériques ». Elle est retirée au bout
ie pure et simple : phénomènes nerveux polymor- phes et incessants, troubles utérins, névralgies, cépha- lalgies, dyspepsie,
'il y a des degrés dans la maladie ; il y a donc des degrés dans le trouble de la fonc- tion ; si la responsabilité est une
e l'état mental de l'inculpé et du rôle joué par les lacunes ou les troubles psy- chiques dans la perpétration du délit. Le
ont commis pour examiner les délinquants ou incul- pés suspectés de troubles mentaux, dit simplement qu'il n'y a ni crime ni
n, seul compétent pour se prononcer sur la réalité et la nature des troubles mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que c
ture des troubles mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces troubles ont pu jouer sur les déterminations et les acte
ment tributaires de l'automatisme. D'après cela, on conçoit que les troubles men- taux les plus affectés de périodicité régu
'est établi entre les aggravations de symp- tômes cardiaques et les troubles cérébraux montrent bien le rapport intime exist
n caractère sombre ont dominé la scène durant la première phase des troubles men- taux. Durant la seconde période, les phéno
signalés dans la folie cardiaque. Chez notre troisième malade, les troubles psychiques ont consisté seulement dans un accès
omme un témoin de l'affaiblissement intellec- tuel engendré par les troubles de la circulation cérébrale ou par l'intoxicati
s'agit en somme que de modalités réac- tionnelles différentes à des troubles de nature et d'origine identique. , Contribut
es trop étroites. Elle n'est pas justifiée par une démonstration du trouble psychique inhérent à l'hystérie. Certes, elle s
'une définition qui n'est nullement l'ex- pression de la nature des troubles qui constituent la névrose, c'est faire une cla
s qui resteraient facilement latentes si l'hystérie.amplifiant le trouble fonctionnel, ne le faisait apparaître d'une maniè
les efforts tentés jusqu'ici pour faire rentrer les innom- brables troubles qualifiés d'hystérie dans le cadre d'une entité
n commandement. Ainsi M. Babinski nie la fièvre hystérique, nie les troubles vaso-moteurs dans l'hystérie, nie les troubles
hystérique, nie les troubles vaso-moteurs dans l'hystérie, nie les troubles trophiques dus à l'hystérie. Je lui ai cité u
atrième celui que j'ai peut-être contribué à provoquer. Quant aux troubles vaso-moteurs dans l'hystérie, j'en ci- terai un
hénomène hystérique. Dès lors, puisque l'hystérie peut produire des troubles vaso- moteurs dans le sens de la vaso-constrict
ion, l'hystérie, il est rationnel de le penser, pourra produire des troubles vaso-mo- teurs dans le sens de la vaso-dilatati
ée instantanément de cette paralysie. Cette malade a présenté des troubles trophiques de la peau très caractéristiques. Su
, quelques unes at- teignaient le volume d'un oeuf de poule, et ces troubles de la peau ont persisté pendant trois mois envi
sous l'influence exclusive de la persuasion. Il ne suffit pas qu'un trouble se développe sous une in- fluence psychique, te
, les attaques dites hystériques. Il ne suffit pas, non plus, qu'un trouble dispa- raisse à la suite d'une intervention psy
persuasion) me semble bien délimité. Il est un certain nombre de troubles morbides qu'il est im- possible de mettre sous
estion l'état des réflexes tendi- neux, cutanés, pupillaires. Les troubles circulatoires, les troubles dans les réflexes v
endi- neux, cutanés, pupillaires. Les troubles circulatoires, les troubles dans les réflexes vaso-moteurs peuvent, il est
n ne peut trouver là un caractère de délimitation. En résumé, les troubles du premier groupe, que j'appelle pithiatiques,
s du premier groupe, que j'appelle pithiatiques, se distinguent des troubles du second groupe et aucun fait clinique ne perm
M. Bernheim a insisté fout à l'heure sur le fait que la plupart des troubles dits hys- tériques se rencontrent sous une form
st natmellement possible que le déséquilibré mental produit par ces troubles (primaires) de réaction inhibitive engendre des
fs de service pourraient lui montrer des hystériques présentant des troubles trophiques et vaso-moteurs tels qu'oedème, phly
lle était l'opinion de chacun d'eux sur la nature hystérique de ces troubles . Il résulte de ces recherches que, dans aucun s
tion du prof. Gaucher, ne croient à la nature hystérique de pareils troubles . M. Sollier (de Boulogne-slr-Seine). - Ce qui c
ré- dominance de telles ou telles manifestations hystériques, les troubles disparaissent en général très rapidement. L'hys
dans la démence par ramollissement lent des artério- scléreux. Le trouble psychopathique de J.-J. Rousseau n'est donc en
te et des reins. 2° Obs. : Début de la paralysie générale à 35 ans. Troubles du caractère et de la mémoire. Léger ptosis dou
se, à seule charge pour le radiothérapeute de ne pas pro- voquer de troubles trophiques de la peau, l'ectoderme ner- veux, d
t une affection générale toxi-infectieuse. Les arthro- pathies, les troubles trophiques cutanés, les crises gastriques ' etc
ECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 163 tion des réflexes rotuliens, troubles viscéraux et signe d'Ar- gyll-Robertson. Ici en
. DE Rothschild présentent l'obser- vation d'une enfant atteinte de troubles musculaires de nature et d'origine discutables,
vieillard hémiplégique avec hémichorée du côté opposé et absence de troubles sensitifs du côté choréique. Syringomyélie av
ifs du côté choréique. Syringomyélie avec phénomènes bulbaires et troubles trophiques intenses. MM. Raymond et LE.TONNE
avec phénomènes bulbaires constituant un syndrome de Jackson et des troubles trophiques caractérisés par sclérose, arthropathi
, et sans unité - · par suite de sa perte de mémoire. Hystérie et troubles trophiques ; simulation. MM. BRISSAUD et Sicard
t un malade souffrant apparemment de névrite crurale, mais avec des troubles spéciaux montrant qu'il s'agit d'une radiculite
oute conventionnelle en ce qui concerne les signes visuels, car les troubles prodromiques immédiats font partie de l'attaque
romiques immédiats font partie de l'attaque elle-même. Pour nous, troubles prodromiques, veut dire toute manifestation ocu
tés, dans la thèse d'agrégation de Robin (1) au- raient observé des troubles de l'accommodation. Despa- gnet (2) rapporte le
t, d'autant plus que le malade n'est jamais tombé à la suite de ses troubles visuels. Du reste, à cause de l'obnubilation in
tuelle, le malade étant sous le coup d'un ictus cérébral, dont le trouble visuel est pour ainsi dire la première manifesta-
tre mise sur le compte de l'alcoolisme ou de l'hystérie est bien un trouble pro- dromique de l'état de mal. Pour noter le
st bien un trouble pro- dromique de l'état de mal. Pour noter les troubles visuels colorés pendant l'aura, la difficulté e
ant que symptôme prémonitoire éloigné de la crise,ressemble au même trouble constaté au début de la crise d'hystérie. En pa
elle, se croyant environnée de flammes. Bail (5) enseignait que les troubles hallucinatoires vi- suels sont les plus communs
vent le seul prodrome qui annonce l'attaque, et c'est pour eux un trouble de la vue dont ils gardent le souvenir. M. Magn
iège d'une « impression de froid glacé » fort pénible. La vision se trouble , comme « si le temps se. faisait sombre ». La m
contraire, le cortex a été altéré, on a les cas qui constituent les troubles mentaux chroniques de la démence précoce. Doutr
u physique, au mo- ment de la puberté, ou bien encore à la suite de troubles puerpuéraux. ' Conclusions. En réalité se mon
MM. Dupré et P. Camus (de Paris). - Les cénesthopa- Lhies sont des troubles de la sensibilité générale, à localisations var
nibles plutôt que douloureuses, dont la nature insolite inquiète et trouble les malades. Ce syndrome, propre aux dégénérés,
e primitif ei souvent unique de leurs malaises, in- dépendantes des troubles de l'humeur et de l'intelligence, par le manque
ours. On peut conclure de ces recherches que dans l'évolution des troubles consécutifs à la thyroparathyroïdectomie il faut
d'abord au développement de la diplopie ; mais, plus tard, quand le trouble moteur a cessé ou diminué, c'est cette neutrali
symptômes de grave fatigabilité physique etmentale, de céphalée, de troubles digestifs, d'émotivité exaltée, la psychothérap
aladie psychique, due à une représentation mentale, mais exprime un trouble fonc- tionnel de la cellule nerveuse. Quant aux
exprime un trouble fonc- tionnel de la cellule nerveuse. Quant aux troubles psychiques qui l'accompagnent, - anxiété, scrup
nie n'est pas une maladie de la cellule, qu'il s'agit avant tout de troubles fonctionnels et que tout malade qui mérite le n
EIM (Nancy).-Pour. lui, il n'y a pas de neuras- thénie ; il y a des troubles nerveux qui sont émotifs, auto- suggestifs. Ceu
t aussi un strabisme avec diplopie qui ne peut être expliqué par un trouble névri- tique ou musculaire, mais par le mécanis
épileptoïde, signe de Ba- binski. Cette paraplégie s'accompagne de troubles génito-uri- naires. Impuissance totale et légèr
ale très marquée. La soeur présente une paraplégie accompagnée de troubles urinaires.Lesparents de ces malades ne sont pas d
seront l'objet de rapports au Con- grès de 1J0. Ce sont : 1° Les troubles mentaux par anomalie des glandes à sé- crétion
e, une fonction est une idée de nos ancêtres qui a vieilli. Le même trouble peut s'appliquer aux deux phénomènes et le muti
pas de clonus dans les paraplégies, pas de signe d'Argyll dans les troubles de la vision. J'ajouterai aujourd'hui qu'après l'
rtaines dilatations des pu- pilles ne soient pas en rapport avec ce trouble de la fonction disso- ciée.Quoiqu'il en soit, c
en quelque sorte en même temps qu'elle s'estémanci- pée. Certains troubles viscéraux sont indiscutables et ont exacte- men
e la constipation, à propos des palpitations du coeur, à propos des troubles vaso-moteurs et en particulier des lésions cuta-
emblent bien peu précises et pouvoir s'appliquer à toutes sortes de troubles mentaux. Les définitions dans lesquelles on f
présente celte maladie. - Nous considérons ici l'hystérie comme un trouble dynamique du système nerveux. Et d'abord, il n'
èrement en vue du fonctionne- ment normal. L'hystérie est un simple trouble de l'équilibre du sys- tème nerveux, cela resso
uent, se compenser l'une par l'autre, et nous pouvons trouver leurs troubles combinés ; ainsi, une contracture, augmen- tali
meitée de l'autre, trouve dans tous les cas,sa compensation dans un trouble opposé, ce qui donne raison à la définition que
comprendre le double caractère physiologique et psycholo- gique des troubles hystériques ; la seconde, c'est que cela nous fou
res anatomiques du cerveau tels qu'on les délimite actuellement les troubles fonctionnels hys- tériques, j'abandonne d'autan
tiges, et les vomissements,qui en sont les symptômes cardinaux, des troubles de l'équilibre et du nystag- mus. L'insuffisanc
nt trans- mises au cervelet par les nerfs de la huitième paire. Ces troubles s'accompagnent, dans l'état normal, de nystagmu
veau des membres inférieurs. Rétention d'urine qui dura un mois et troubles trophiques au niveau des membres inférieurs. A
ractions fibrillaires, réaction de dégéné- rescence. Presque pas de troubles sensitifs et absence absolue de tout phénomène
ic. Pas de dissocia- tion thermique. Constipation accentuée. Pas de troubles vésicaux actuels. Rétention d'urine il y a un a
emeurant sentier des Houes, était depuis quel- que temps atteint de troubles cérébraux. Seul, hier soir, dans son logis, il
il y a aussi des plaques d'auesthésie et d'analgésie. Pas d'autres troubles objectifs du côté du système nerveux. La ma- la
ème nerveux on ne trouve aucun signe de lésion organique, quant aux troubles de la nature hystéro- dégénérative il faut note
demment pathologiques de la coquetterie s'observent aussi dans les troubles de la conscience, dans la dé- mence ; enfin, l'
a modification » de la coquetterie n'est qu'un symptôme partiel des troubles plus étendus, si elle n'a pas une origine secon
de tête, impossibilité de tra- vailler etc.), la cause de tous ces troubles , pourtant, n'était pas banale, surtout pour le
héréditaires, pas de signes morphologiques de dégénéresence, pas de troubles du côté des organes internes ni du côté du syst
lle élastique bien tendue. Les ventri- cules contenaient un liquide trouble ; la surface des ganglions de la base était vel
donc vraisemblablement une lésion du cerveau postérieur, ou bien un trouble de l'arc réflexe cérébral générale- ment admis.
is l'hémorragie très abondante avait vi- vement ému lo malade ; ces troubles et ceux du même ordre qui subirent, d'origine i
ite d'un ictus, vit persister comme reliquat de son hémiparésie des troubles ocu- laires ainsi caractérisés ; ils attribuent
ophique en raison de l'évolution ; quoiqu'ils n'aient pas relevé de troubles sensitifs, ils admettent une syringomyélie lésant
obtenu par ce procédé une amé- lioration notable : disparition des troubles de la sensibilité, pos- sibilité de la marche.
e du mardi 15 octobre 1907.- Présidence de M. le Dr Jules Voisin. Troubles trophiques dans l'hystérie ; brûlures par suggest
onnent le succès ou l'insuccès dans la pro- vocation suggestive des troubles trophiques chez les hystériques : la suggestion
la suggestion expérimentale ne doit solliciter une sensation et son trouble trophique concomitant que si l'une el l'autre ont
emma- gasinés déjà dans l'acquis psycho-physiologique du sujet ; le trouble trophique que l'on voudra obtenir par suggestio
utanés et que, parmi les accidents cutanés, ce seront sur- tout des troubles trophiques qui se seront manifestés ; on devra
Paul Chez Charcot, des hystériques reproduisaient par imitation les troubles trophiques qu'elles voyaient survenir chez leur
éritables « hallucinations du souvenir » (Krafft-Ebing). Malgré les troubles sensoriels, le délire reste à prédominance in-
humilité, sentimert d'innocence côtoyant la tendance à l'indignité, troubles de la nutri- tion importants dans l'étiologie,
ectives, dues chez l'une à l'humilité déjà connue, chez l'autre aux troubles de l'association des idées (paralogie, intuitio
es. Marie Forel n'a pas d'activité mégalomane, 11 ? Granet a peu de troubles de la sensibilité générale, elle ne connaît pas
ul hypoalgésie à la piqûre et hypoesthésie très, marquée : Légers troubles de l'équilibre vraisemblablement dénués de toute
ues rapports, mais physiquement fatiguée, vieillie, se plaignant de troubles dyspeptiques. » Je ne vis plus, depuis des mois
rapport avec la facilité de leur formation. Mais il y a plus. Les troubles les plus délicats de la perception et de l'idéa
ral et c'est plus particulièrement à la suite de ces ennuis que les troubles mentaux deviennent très apparents. Il est diffi
pparents. Il est difficile de fixer très exactement le début de ces troubles à cause du délire rétrospectif actuel de Louise
Président de la République ». On ne trouve pas chez la malade de troubles hallucinatoires ; à aucun moment nous n'avons o
udes quelque chose, pouvant être, après examen, considéré comme des troubles sensoriels. De même les facultés intellectuelle
. Quelques-unes de ses interprétations sans doute font songer à des troubles psycho-sensoriels. Ainsi, elle a entendu la voi
fois, lorsqu'on examine avec attention, à plusieurs reprises, ces troubles , on n'y trouve rien de sensoriel. Elle n'a pas
r une parole, ou pris une attitude qui puisssent faite songer à des troubles psycho-sensoriels. MM. Sérieux, Deny, admettent
persécutés-persécuteurs, on a affaire à une idée obsédante. à u'i trouble de la volonté. Dans le délire d'interprétation.
très peu de temps après la nais- sance peuvent avoir pour suite des troubles intellectuels tardifs,et constituent une nouvel
nostic se pose entre l'im- mobilité réflexe des deux pupilles et le trouble fonctionnel des fi- bres pupillaires centripète
ternativement à la lumière et à l'obscurité, on met en évidence les troubles du M. O. C.;en appliquant la même manoeuvre à u
en appliquant la même manoeuvre à un seul oeil, on peut déceler les troubles du nerf op- tique. Ch. B. XXXIV.-Ueber den Ab
e fixée. Quant à la névroglie, elle présente dans différents cas de troubles psychiques des cellules à cytosome volumineux,
eeinflussung des Bewegungsab- laufs bei Erkrankung des Stirnhirns. ( Trouble des mouvements par lésion du lobe frontal) ; pa
représentations cinesthétiques) et prouve que cette apraxie est un trouble transcortical. (Réunion annuelle de la Soc. de
aryngoscope dans l'étude des maladies nerveuses; il insiste sur les troubles sensitivo-sensoriels pour éclairer le diagnostic.
pport avec le sub- conscient, aussi bien que les hyperesthésies.les troubles systémati- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 373
nnel mis en branle par un concept mental lui-même subconscient, les troubles circulatoires et trophiques qui ne doivent poin
du moi le somnambulisme et la fugue, l'amnésie, l'aboulie et les troubles de caractère. Le Prof.Raymond définit ainsi l'h
sulte d'une modification du dynamisme nerveux caractéri- sée par un trouble du régime des réflexes corticaux ou sous-corti-
éningite cervicale hypertrophique. Le pronostic du mal de Pott avec troubles nerveux n'est pas toujours mauvais, la guérison s
d'appréciation plus difficile, consistent en phénomènes ataxiques, troubles divers des sensibilités subjective et objective
n irrégularité et sa résistance-aux antithermiques.par l'absence de troubles généraux concomitants ou la discordance de ceux
l'effet, non pas d'une résis- tance amoindrie à la fatigue, mais de troubles des processus voli- tionnels ou de la vie affec
hème noueux, pelade, pemphigus, eczéma nummulaire. On rencontre des troubles de même nature du côté de l'épanchement chez le
tuberculeux au début, vit ses crises augmenter sous l'influence des troubles dyspeptiques ca- ractérisés par de l'hyperchlor
u. Psychi., XXIX, f. 220, p. 665 à 680, 1er sept. 1906.) 5 cas de troubles vasomoteurs,moteurs et trophiques rappelant, pa
Pas d'hystérie. II. Femme : 29 ans, début par vertiges, céphalée et troubles vi- suels ; diplopie, etc. La parole devient le
jets par le toucher est incomplète : sueurs pro- fuses fréquentes ; troubles de la pigmentation de la face. Pas d'hys- térie
ien au coeur. Sueurs continuelles des ex- trémités ; puis céphalée, troubles de la vue, paresthésie de la main gauche; paral
lpitations ; puis akinésia algera des deux jambes pen- dant 2 mois. Troubles de la vue à droite, puis l'amaurose probable- .
existence de signes cardiaques, dans un cas et, dans deux autres,de troubles physiologi- ques des 2e et 6e nerfs crâniens,te
physiologi- ques des 2e et 6e nerfs crâniens,tend à démontrer qu'un trouble des nerfs périphériques peut être ramené à des
ontrer qu'un trouble des nerfs périphériques peut être ramené à des troubles vasomoteurs. D'autre part dans 4 cas, l'hystéri
émi-tonoelonique post-hémiplégique ; ses rap- ports avec les autres troubles moteurs post-hémiplégiques ; par Etienne. (L'En
avec modifications du sens musculaire ; formes où pré- dominent les troubles sympathiques (syndrome sympathique) ; formes av
nent les troubles sympathiques (syndrome sympathique) ; formes avec troubles trophiques (syndrome des cornes antérieu- res.)
de rétractions. F. Tissot. LV11. - Quelques considérations sur les troubles oculaires de l'épi- lepsie et de l'hystérie au
nce de l'absence de récidive. F. TissoT. LX. - Aphasie motrice avec troubles psycho-sensoriels au cours de la démorphinisati
casionnelle par para- plégie insidieuse, précocité et intensité des troubles sphinctériens oedème trophique des membres infé
folie religieuse, l'hystéro-démo- nopathie, on notait une série de troubles sensitifs et moteurs particuliers à l'hystérie
boîtes.Ataxie aiguë, polynévritique associée à de l'acronévrite. Troubles partiels de la sensibilité articulaire. Guériso
resse dans la bouche et dans le pharynx mais il n'y avait pas de troubles de la déglutition ni de la parole ; pas d'exanthè
s de bismuth. Le quatrième jour après l'empoisonnement, lorsque les troubles gastro-intestinaux n'existaient plus, le malade
mités inférieures en entier et sur le bassin. Abstraction faite des troubles signalés, la sensibilité est normale. Chose à n
: la perception stéréognostique est conservée et on ne trouve aucun trouble objectif de la sensi- bilité aux membres inféri
onjonctival, ainsi que les réflexes cutanés, sont normaux. Pas de troubles de la miction ni de la défécation,, les fonctions
es articulations des doigts est diminuée encore davantage, mais les troubles ont toujours le caractère partiel : la sensibilit
s le tourmentèrent énormément, la marche devint plus difficile, les troubles de la per- ception stéréognostique s'augmentère
t des orteils manquent tout à fait, la flexion est très faible. Les troubles objectifs de la sensibilité cutanée et articulair
et la même localisation ; entre au- tres, le caractère partiel des troubles de la sensibilité articulaire au niveau des art
arche s'est améliorée, le signe de Domberg est moins prononcé ; les troubles de la sensibilité cutanée et vibratoire saris cha
rétablir, surtout du côté gauche, mais le caractère partiel de ces troubles reste toujours, comme le montre le tableau suiv
sensibilité articulaire des orteils dans tous les mouvements ; les troubles de la sensibilité cutanée des mains on t. dispa
es orteils. Dans l'examen ob- jectif, on n'a constaté ni ataxie, ni troubles quelconques de la sen- sibilité cutanée et prof
nerfs à la pression, les douleurs et les paresthésies locales, les troubles objec- 40S CLINIQUE NERVEUSE. tifs locaux de
igne de Romberg, qui a été constaté au moment où il n'y avait aucun trouble de la sensibilité ni de la mobi- lité dans les
à la pression, il n'y a pas de dou- leurs ni de paresthésies,ni de troubles objectifs de la sen- sibilité cutanée, ni de pa
ore plus fortement souligné dans ,1'acronévrite, notamment dans les troubles de la sensi- bilité articulaire (sens des mouve
et qui consiste en ce que, pendant tout le cours de la maladie, les troubles de la sensibilité articulaire se manifestaient
'amélioration considérable de tous les symptômes né- vritiquos, les troubles de la sensibilité articulaire ont disparu compl
- fondes, cela est prouvé par le manque de parallélisme entre les troubles de la sensibilité cutanée et les altéra- tions
lité articulaire dans notre cas : au mo- ment de la disparition des troubles de la sensibilité arti- culaire (cinquième exam
main étant présente, nous ayons observé (21', 3e et 4e examens) les troubles partiels de la sensibilité ar- ticulaire, c'est
- cossus plus léger et non étendu - pourrait exister sans au- cun trouble de la sensibilité articulaire. Mais los troubles
xister sans au- cun trouble de la sensibilité articulaire. Mais los troubles partiels et en même temps constants dp ladite s
oubles partiels et en même temps constants dp ladite sensibilité, troubles qu'on observait pendant une longue durée et dan
ngue durée et dans les mouvements des doigts bien déterminés, ces troubles ne peuvent pas dépendre d'une lésion des bran-
ltanément, sont affectées des branches nerveuses plus fortes (les troubles diffus de la sensibilité cutanée de la main, sens
nsi- bilité à la pression des espaces interosseux, etc.),mais les troubles partiels de la sensibilité articulaire montrent
minces dans le voi- sinage des articulations mêmes {2}. Ainsj les troubles partiels.de la sensibilité profonde (ar- ticula
n russe). 1 (2) Il serait intéressant de porter l'attention sur le§ troubles , par- tiel plus nu jupius constants du la sensi
petites branches périphériques. Les données que nous avons sur les troubles objectifs de la sensibilité cutanée sont aussi
'apparition et (relativement) la prompte disparition des différents troubles de la sensi- bilité à la face dorsale de la mai
a- gérée des nerfs de la main et du pied à la pression et par les troubles locaux de la sensibilité, de la motilité et de la
t dans les deux formes nous trouvons aussi le caractère partiel des troubles , ce caractère se manifestant surtout dans les t
partiel des troubles, ce caractère se manifestant surtout dans les troubles de la sensibilité articulaire (l'acronévrite).
exion clinique étroite qui existe entre l'ataxie généralisée et les troubles locaux dus à l'acronévrite; cette connexion par
net (l'élévation de la température, l'affaiblis- sement des forces, troubles de l'état général) et s'accom- pagne d'une hémo
he de la maladie, c'est-à-dire la disparition en quelques jours des troubles gastro-intestinaux, contredit ce diagnostic. Da
redit ce diagnostic. Dans l'in- toxication aiguë par le cuivre, les troubles gastro-intes- tinaux restent pendant des semain
liniquement notre cas d'empoisonnement par les homards. Outre les troubles gastro-intestinaux, on observe sou- vent dans «
ntaux douteux. La première partie passe successivement en revue les troubles intellectuels, les troubles affectifs et les tr
artie passe successivement en revue les troubles intellectuels, les troubles affectifs et les troubles originels de la volon
en revue les troubles intellectuels, les troubles affectifs et les troubles originels de la volonté, sous les titres d'insu
ici d'ailleurs, comme exemple, le résumé du chapitre concernant les troubles de l'intelligence. L'insuffisance distinctive q
sont utiles au développement des associa- tions conscientes. Les troubles qualitatifs de la mémoire comprennent les défor-
ison associative de sou> venirs déjà faussés ? D'autre part, ces troubles peuvent être com- binés avec des troubles quant
ussés ? D'autre part, ces troubles peuvent être com- binés avec des troubles quantitatifs. Ceux-ci comprennent l'affai- blis
ntations : désorientation, incohé- rence complète ou dissociation ; troubles de la reconnaissance, entraînant la pseudo-para
s ; désordre des actes, paramimie. L'auteur rappro- che même de ces troubles les inversions de lettres et de syllabes à l'in
ou verbigéra- tion, salade de mots.A l'incohérence primaire, due au trouble dans la liaison des représentations, est opposé
e affective », parfaitement distincte de tous les autres groupes de troubles mentaux : les seules formes intermédiaires conn
logiques qui se développent sur un fond neurasthénique. » Parmi les troubles secondaires d'insuffisance distinctive et appét
eurs syndromes, il n'y a plus qu'une psychose bien définie, un seul trouble fondamental, commun non seulement aux deux form
valle lucide ni de cons- tatei, longtemps après un accès isolé, des troubles )rappelant la forme affectée par celui-ci et tra
ituel antérieur à la première manifesta- tion, mettre en lumière un trouble élémentaire logiquement ca- pable de présider à
ore le contraste avec le délire chronique de Lasègue et de Magnan : trouble intellectuel (; : o : pC1. vow) exclusive- ment
ité précoce, sans aucune analogie avec l'involution de la femme,... trouble affectif à début lent, mani- festé par des état
développent sur le terrain de la neurasthénie », englobe tous les troubles mentaux pour lesquels les racines grecques sont s
nvisage et redoute les suites, forme qui conduisit à rapprocher les troubles mentaux par obsessions des états différenciés par
n moi ». Tout se rapporterait à une perversion de l'inner- vation : troubles par exagération (algies), perversion ou dimi- m
algies), perversion ou dimi- minution passagère de la sensibilité ; troubles moteurs, tous dus à ce que « les impulsus sont
ion en désac- tcord avec la représentation volontaire réelle ». Ces troubles (pa- ralysies, tremblement, spasmes, pseudo-con
il faut savoir la recon- naître et pouvoir la traiter. Une foule de troubles mentaux légers passent ainsi inaperçus pour abo
. D. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE : XII. -Traumatismes craniens et troubles mentaux; par Jotfroy ? (L'Encéphale, 1907, n° 2
ité complète (par déchirure probable des lobes occi- pitaux) et des troubles mentaux à forme de démence précoce hé- béphréni
a d'établir chez un individu l'existence d'une prédisposition à des troubles mentaux, surtout de prévoir vers quelle forme c
Cette question des rapports entre les traumatismes crâniens et les troubles mentaux, la P. G. en particulier, doit être envis
u la diversité et l'incons- tance des faits : il y a des cas où les troubles constatés, tout en rap- pelant la P. G., s'en é
me. Or si le traumatisme devient un jour la cause déter- minante de troubles pathologiques.'il est évident qu'il devient res-
version des facultés morales survenant avant toute manifestation de troubles intellectuels et déterminant des actes délictue
e plaint de névralgies multiples, d'éblouissements, de vertiges, de troubles digestifs et en particulier de boulimie, de tro
e vertiges, de troubles digestifs et en particulier de boulimie, de troubles génitaux qui sont plus peut- être en relation a
tismes, les maladies infec- tieuses, les affections chroniques, les troubles génitaux. Elle peut être acquise ou congénitale
elle et la forme confusionnelle hallucinatoire, dans lesquelles les troubles des perceptions com- '- mandent des réactions m
ques sont de beaucoup les plus impôt tantes. t F. TtssoT. XX. Les troubles digestifs considérés dans leurs rapports avec -
X. Les troubles digestifs considérés dans leurs rapports avec - les troubles mentaux; parM. Page. (Bulletin médical, n° 7 1906
babilisme. Page a montré qu'il existe un rapport constant entre les troubles men- taux et les troubles digestifs; il semble
u'il existe un rapport constant entre les troubles men- taux et les troubles digestifs; il semble admettre, ce qui peut paraî-
ui peut paraî- tre un peu. excessif à certains, que, pour avoir des troubles men- taux, il faut, non seulement une prédispos
édisposition héréditaire et une cause occasionnelle mais encore des troubles digestifs. On peut faire disparaître ces dernie
ssier, cette modification amè- nerait rapidement la disparition dès troubles mentaux. L. 'WAHL. XXI. Crises d'anxiété avec
funktionellen Psychosen mit Aus schluss der aphasisehen Stoerungen ( Troubles de la parole dans les ps. fond, à l'exclusion d
erungen (Troubles de la parole dans les ps. fond, à l'exclusion des troubles aph.), par IIErr.srtoNNEn, d'Utrecht. (Ctrh/. r
s questions connexes, travaux dont est donnée la bibliographie. Les troubles sont répartis en deux catégories : symptômes de
dans les cas contraires. La nature pri- maire ou secondaire de ces troubles est à discuter dans chaque cas. On a pu se dema
s chaque cas. On a pu se demander si la fuite des idées est bien un trouble du langage'; mais il est incontestable que le t
s est bien un trouble du langage'; mais il est incontestable que le trouble psychique auquel elle correspond ne peut se man
t dont la pathogénie est d'ailleurs inconnue. II. distingue de ce trouble le « besoin de communiquer » des maniaques ; il
es les diverses lormes de néologis- mes et élimine ensuite certains troubles complexes tels que la confu- sion pseudaphasiqu
ette affection sans photophobie et avec acuité visuelle normale. Le trouble disparaît la nuit ou dans l'obscurité ; il cesse
eint depuis trois ans de paralysie double avec atrophie musculaire, troubles des réactions électriques dans la région du ple
ns la région du plexus sacré, anesthésie à disposition radiculaire, troubles sphinc- tériens, perte du sens génital ; flasqu
ue ; outre les symptômes classiques, il faut y noter la présence de troubles parestbésiques et douloureux, la présence de næ
onsabilité. Constatant que certains cou- pables étaient atteints de troubles mentaux, ce qui se traduisait par des réponses
l'alcoolisme : 1° Intoxications alcooliques, causes exclusives de troubles cérébraux chez les femmes, situation au 1 cr janv
pour les hommes : jo Intoxication alcoolique cause déterminante des troubles cérébraux chez les femmes ; ! l° Même tableau p
érations sur l'éducation des -, par Mulot, p. 92. H sEDOw. Voir Troubles men- taux. B 11< ÉDiCKT. Syndrome de ? -,
Elnlflstc. Défi- nition et nature de l' -, par Claude, p. 143. et troubles trophiques. simulation, par Brissaud et Sicar
métrique eL-pé- riostidue, par \Iayct, p. 362. LOlm frontal. Voir Troubles . Localisations, motrices corti- cales. Voir S
. Va- rioté congénitale unique du -, par Courtellemont, p. 466. Troubles de la sensibilité au dé- but de la paralysie gé
21 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
casion, dans le cours de l'été 1912, de soigner un homme atteint de troubles trophiques particuliers des quatre extrémités.
écanicien, est un homme de 38 ans, grand, robuste, intelligent. Les troubles dont il se plaint sont apparus depuis 3 à 4 ans ;
chent des lamelles cornées. En résumé les ongles sont le siège de troubles trophiques intenses ; ils sont en partie détrui
de la selle turcique. Le malade ne/se 6 CHEVALLIER plaint d'aucun trouble de la vision, mais il ne s'est pas soumis à l'exa
mal. C'était le plus jeune de six.garçons dont aucun ne suufrit de troubles nerveux et qui moururent tous très vieux. La
es tendineux, cutanés et oculaires sont normaux ; il n'existe aucun trouble nerveux. Les organes génitaux sont bien dévelop
athogéniques. Le plus souvent, quand le malade devient inquiet, les troubles sont déjà considérables. Les pieds et les mains
ssus qui attei- gnent également les quatre extrémités relèvent d'un trouble du régime trophique général. Il n'y a plus ici
Chez notre malade, nous n'avons trouvé ni foyer infectieux (3), ni trouble nerveux (4), ni trouble vasculaire. Le champ des
n'avons trouvé ni foyer infectieux (3), ni trouble nerveux (4), ni trouble vasculaire. Le champ des hypothèses est t donc
nous est racontée a particulièrement orienté nos recherches vers un trouble tro- phique par lésions de la base du crâne. Dé
que chez l'adulte le même dérèglement du centre se traduira par des troubles différents, mais toujours généralisés aux quatre
pertrophiante de l'acromégalie, tendent à admettre l'influence d'un trouble hypophysaire. Les documents que nous apportons
usieurs anomalies tératologiques qui assez souvent sont liées à des troubles des glandes à sécrétion interne. Si l'on consid
s extrêmement intéressants d'oxycéphalie congénitale associés à des troubles tératologiques tels que le bec-de-lièvre et l'i
ssez fréquentes que l'appareil génital peut présenter dans certains troubles des glandes à sécrétion interne : dans cet ordre
qui doivent coexister entre les anomalies du déve- loppement et les troubles de certaines glandes à sécrétion interne chez n
très importantes des os acroméliques, anomalies correspondantes aux troubles pro- fonds des valeurs anthropométriques de ce
ômes cérébraux caractérisés parde la céphalée,des vomissements, des troubles psychiques (torpeur intellectuelle), et par des m
posé le diagnostic de tumeur de la tige pituitaire et constatés les troubles d'insuffisance hypophysaire, nous allons étudier
existants entre cette dystrophie glandulaire d'origine foetale et les troubles de l'acrométagénèse présentés par cette malade.
e simple cause mécanique, aurait retenti sur la main opposée par un trouble réflexe de l'acrométagénèse. Celte interprétati
fluences mécaniques qui peuvent agir sur la production des certains troubles acrométagénétiques, et nous en avons apporté quel
; ce qui est intéressant à con- sidérer dans l'espèce, ce sont les troubles piluitaires fréquents qui accompagnent de tels
el peuvent avoir sur le développement soma- tique du foetus . à des troubles de cette espèce on pourrait appliquer le nom de
l'os- téogénèse. Je tiens en effet, à bien faire remarquer que les troubles ostéogénétiques ici son t'tel le'ment profonds,
blir un lien entre les altérations acro- métagénéliques et certains troubles hypopbysaires. Dans le cas illustré dans le pré
3. ' 30 BERTOLÛTTt anormale des membres et particulièrement à des troubles de l'acrométa- génèse. A peu près à des concl
ement fonctionnelle ? Distinguons avant tout les deux catégories de troubles : l'amaurose droite, des phénomènes irritatifs de
dus dont un oeil ne peut se fermer séparément, il y a en général un trouble de l'autre oeil dont la fers meture estpossible
sies spasmodiques, les trémulations, la lenteur des mouvements, les troubles de la parole d'une part, l'irrita- bilité et la
trémités, passagère ou durable, ob- servés chez des aliénés (2). Ce trouble essentiellement somatique peut s'associer à tou
u après la mort de son mari. Mme R... n'aurait jamais présenté de troubles morbides avant le début de la psychose actuelle
ade, des symptômes d'asphyxie locale symétrique des extrémités. des troubles ont assez vite progressé, au point de réaliser en
e, surtout décelable au niveau des orteils, mais on ne notait aucun trouble évident de la sensibilité objective locale, pas
matome à l'oreille gauche, et une cataracte de l'oeil gauche. Aucun trouble apparent des sécrétions glandulaires internes; au
mois, et en dépit de froids rigoureux, la malade n'a présenté aucun trouble physique analogue ; son état mental ne semble pas
semble pas avoir subi de variations parallèles ou consécutives aux troubles somatiques que nous venons de rapporter. Voic
s de rapporter. Voici donc une malade, internée depuis dix ans pour troubles démen- tiels, qui a présenté, à un mois d'inter
d, ni par les classiques (1). Quant à préjuger de la pathogénie des troubles ci-dessus, nous croirions téméraire d'avancer l
dehors de toute constatation anatomique. Disons seulement qu'aucun trouble circulatoire objectif ne peut faire songer à un
ne nous autorise à rattacher cette asphyxie locale passagère à des troubles des glandes endocrines analogues à ceux qui ont
jours que la clinique, en associant ces phénomènes somatiques à des troubles psycho- moteurs assez bien déterminés, nous per
minute en station ver- ticale et 78 en station horizontale. Pas de troubles de la sensibilité cutanée. Réflexes rotuliens t
e la sensibilité cutanée. Réflexes rotuliens très augmentés. Pas de troubles des organes de la poitrine ni de l'abdomen. Tré
utre, un certain retentissement sur la moitié opposée (compression, troubles circulatoires). Cependant, la nature même de ce
t suivi du peu. Nous n'insistons pas davantage sur cette partie des troubles que présen- tait notre patient, mais nous devio
es névralgies. Il semble bien qu'il n'y ait eu à cette époque aucun trouble grossier de la sensi- bilité ; le malade pouvai
ies moyenne et supérieure du même côté de l'abdomen. Il y a donc un trouble des réllexes cutanés abdominaux inférieurs, en ra
thésie au tact et à la douleur, avec retard net des perceptions. Ce trouble de la sensibilité s'étend peu à peu en montant de
déclare ; la température atteint 39° à 40° le soir; les urines sont troubles , on est obligé de sonder le malade plusieurs fo
haut était unique, ce qui per- met de lui rapporter l'ensemble des troubles paralytiques observés. D'autre part l'examen mi
la lésion des cordons pos- térieurs de la moelle rendent compte des troubles sensitifs à type tabéti- que que présentait la
langue n'est pas hypertrophiée. On ne relève chez ce sujet aucun trouble visuel ; l'examen pratiqué par notre confrère l
présente aucun symptôme parti- culier pouvant éveiller l'idée d'un trouble de sécrétion uni ou pluriglan- dulaire. A l'e
e hôpital et de pellagreux récents, qui manifestaient seulement des troubles somatiques. J'ai observé cette catégorie de mal
ypie y est fournie, d'une façon manifeste, par la guérison même des troubles physiques qu'elle avait oc- casionnés. - Pend
erfs, ou des centres cérébraux. Et même, lorsque nous concevons ces troubles comme étant purement fonctionnels, nous commett
i atrophie de cause centrale, ni anesthésie de type segmentaire, ni troubles ataxiques d'origine médul- xxvii 9 126 RIRItA
l'hyperalgésie avec l'anesthésie; ensuite viennent d'ordinaire les troubles moteurs. Ces phé- nomènes sont accompagnés de f
sité, ni suivant l'époque de leur apparition. Dans certains cas, le trouble sensitif précède le premier, et dans d'autres l
sensitif précède le premier, et dans d'autres l'atrophie précède le trouble sensitif. Mais il la fin les deux processus se
celle aneslhésie, on peut se rendre compte de l'origine de certains troubles moteurs qui existent chez le : labéliques où il y
manière brus- que et il dépasse avec son doigt le point désigné. Ce trouble a lieu aussi avec les yeux ouverts. Tous nous
our ce motif, et à cause des connexions labyrinthiques, souffre des troubles moteurs adéquats aux lésions propres il sa mala
les formes aiguës ou actives de labyrinthisme dans les- quelles le trouble moteur est impulsif comme clans l'ivresse et dans
on debout. Avant tout, il faut convenir avec Bonnier que lorsque le trouble am- pullaire ou labyi-iritliiqtie est seulement
son tour engendre la sensation illusoire de déplacement et d'autres troubles accompagnant le vertige. Aussi, à ce point de v
n'imporle lequel des trois départements de l'appareil auditif. Les troubles cérébraux, el surtout ceux du cervelet, peuvent p
preuse uniquement les branches musculaires des nerfs faciaux. Les troubles moteurs dans la lèpre nerveuse dépendent de la lé
tte maladie l'absence de paralysie existe le plus souvent malgré le trouble trophique musculaire. Mais nous ne pouvons pas
- lysie, l'atrophie et la conlraclure. Dans le but de spécifier les troubles ocu- laires, j'adjoins la noie de l'examen prat
ent léprologue turc, le Dr Zambaco, dans ce qu'une bonne partie des troubles trophiques que beaucoup avaient considérés comm
ple immobilisation prolongée d'une extrémité peut élre l'origine de troubles nutritifs. Le phénomène est produit par des név
même, lorsque les mala- des la remarquent ou plutôt remarquent les troubles fonctionnels qu'elle commande, à savoir uneênè,
ophie extrême des membres ; il n'y a aucune lésion viscérale, aucun trouble ni sphtnoérien ni génital, aucun trouble intell
ne lésion viscérale, aucun trouble ni sphtnoérien ni génital, aucun trouble intellectuel. Toutseborneaune amyotrophiedes qu
de.contractions fibrillaires dans les muscles en voie d'atro- phie. Troubles vaso-moteurs des segments de membres atteints. Pa
au prorata de l'atrophie. C'est l'atrophie, en effet, qui régit les troubles moteurs. Chez F..., la motilité volontaire est
e de l'atrophie musculaire, il faut signaler le peu d'intensité des troubles fonctionnels. Ces deux malades ne peuvent se te
s tendons d'Achille, qui a nécessité une ténotomie, et j'arrive aux troubles vasomoteurs, réduits au minimum chez F... chez le
ose très abondante. Chez l'un de nos malades : F..., il n'y a aucun trouble de la sensibilité ni subjective, ni objective,
gnostique est intact Ni chez l'un ni chez l'autre on ne constate de trouble du côté des organes des sens, du côté des yeux
e dégénérescence, soit diminution pure et simple. Les degrés de ces troubles électriques se superposent topographie- quement
troubles électriques se superposent topographie- quement à ceux des troubles trophiques et moteurs et leur sont compa- rable
troubles trophiques et moteurs et leur sont compa- rables Comme les troubles trophiques, moteurs et réflexes, ils diminuent
forme péronière ou « pero- neal-type » de Tooth, dans laquelle les troubles restent indéfiniment limi- tés aux membres infé
rfait, n'entraînant qu'une infirmité relalive, c'est-à-dire que des troubles fonctionnels légers, non adéquats au degré d'amyo
sordres de la molilité tels que les convulsions épileptiformes, les troubles athétosiques et cboréiformes, les tremblements
ous- lhalamique. Il ressort donc très neltemeut que dans ces divers troubles de la motililé le siège de la lésion déterminan
noyau rouge, il se fait un retour vers l'automatisme. Du reste, ce trouble d'innervation du facial inférieur que l'on a décr
érentes du noyau rouge. On peut donc se demander si dans ces cas le trouble de la motilité ne relève pas, soit de l'irritatio
oyau. Quanta l'aspect clinique si différent que revêt chacun de ces troubles de la motilité, on pourrait peut être l'expliqu
même à tous les niveaux. Du reste, il faut bien le dire, ces divers troubles de la motilité ne sont peut-être pas aussi auto
ble vraiment y avoir des liens de parenté assez intimes. Ces divers troubles présentent entre eux de nombreuses analo- gies
ée de plusieurs facteurs pathogémques. Il est certain aussi que ces troubles de la motilité ne se LES CONNEXIONS CORTICALES
diverses perlurhationsde la molililé. Nous savons également que ces troubles ne surviennent que lorsque la voie cortico- spi
t dans la genèse de certains désordres de la motilité, tels que les troubles athétosiques et choréiformes, les tremble- ment
ses de dormir; sa somnolence à ces moments est invincible. Pas de troubles moteurs. Réflexes cutanés, tendineux et muqueux
les moteurs. Réflexes cutanés, tendineux et muqueux normaux. Pas de troubles objectifs de la sensibilité; subjectivement, pr
alisé, intense et fréquent. Dans la sphère psychique, on relève des troubles très nets se jugeant par de la dépression, alla
nons, pouropposés qu'ils soient, sont cependant interprétables. Des troubles fonctionnels ne se superposent pas forcément à
l'obésité, une haute tolérance pour les hydrates de carbone et des troubles profonds du côté des organes génitaux. Tous ces
ette à l'obésité, une somnolence et une asthénie très marquées, des troubles génitaux accentués, qui i (l priol'i semhlenL rel
tale, de l'aslhénie, sans qu'on songe à incriminer autre chose que le trouble nutritif initial. Nous pensons donc que, dans n
voqué un retentissement thyroïdien plus ou moins discret et que les troubles génitaux et la tendance à l'obésité, loin de rele
e a évolué un certain temps avant de se compliquer d'asthénie et de troubles génitaux ; nous voyons là une raison indirecte
on du syndrome adiposo-génital. Ils ont, chez le chien, réalisé des troubles génitaux, à l'exclusion toutefois de l'obésité, e
as particulier, l'hypothèse de Claude cl Baudouin, pour lesquels le trouble hypophysaire conduirait à la glycosurie par l'int
limination et. peut-être dans la production de l'acide urique â des troubles hypophysaires en plus ou en moins. Les dosages
, on peut noter au cours de l'acromégalie, des signes traduisant un trouble fonctionnel au niveau des organes hémato- poiét
se formait immédiate- ment et qui en quelques minutes donnait un « trouble virant à la colora- tion gris sale » correspond
sa place de petites cicatrices arrondies, pigmentées en rouge brun. Troubles moteurs. Tous les mouvements actifs du poignet et
ièrement limités. Le malade dit avec la plus grande netteté que ces troubles dans la motilité de sa main gauche sont apparus
ge de l'épaule gauche que de la droite. Ces douleurs légères, ces troubles moteurs au niveau des deux épaules sont antérie
Membres inférieurs. La démarche est normale, la force est intacte. Troubles sensitifs. Sensibilité subjective : Jamais de dou
e à la Salpêtrière, le 31 mars 4914, a montré l'absence complète de troubles trophiques osseux. 5 mai 1914. - L'éruption n'a
ai 1914. - L'éruption n'a laissé que des cicatrices pigmentées. Les troubles moteurs ont persisté : ils sont exactement superp
n. Ainsi au dynamomètre, on a : 0 à gauche pour 18 à 20 à droite. Troubles sensitifs. - Sensibilité subjective : Mêmes phéno
sur le bord interne. Réflexes : Mêmes résultats que précédemment. Troubles trophiques : Atrophie visible des muscles de l'av
Troubles trophiques : Atrophie visible des muscles de l'avant-bras. Troubles vasomoteurs : Très accentués. Depuis environ troi
la première dorsale, avec atteinte relativement légère de C. 5. Les troubles objectifs de la/sensibi 1 i té occupent ce même t
la paralysie. Il y a par conséquent superposition topographique des troubles érup- tifs, sensitifs, moteurs, électriques, et
ifs, moteurs, électriques, et disposition radiculaire de ces divers troubles . Les paralysies consécutives au zona du membre
ier), d'une tendance a la réversion, à l'atavisme (Claparède), d'un trouble du régime des réflexes corticaux ou sous-corti-
ovoque la torpeur du cerveau organique dans la thèse de Sollier, le trouble des réflexes corticaux ou sous-corticaux dans c
tpasà leur origine une cause affective ; on observe parfois que les troubles hystériques, même les plus rebelles il la psycho-
aplégies, les crises convulsives, les aphonies, le vomissement, les troubles vaso-moteurs etc., ne sont très souvent que la
oquent et ne guérissent aucun phénomène hystérique. Le fait que les troubles hystériques sont très rares après les émotions
sont à même d'accomplir le même mouvement par un (1) Brissaud, Les troubles nerveux post-tmmnatiques, Bulletin Médical, 1906.
ême qu'elle blesse notre person- îialilé, entraîne -les plus graves troubles psychiques; les tendances affec.- tives au cont
teints des plus fortes crises émo- tives accésconvulsifa,etn) ou de troubles psychiques (delirium, etc.) témoi- gnant l'alté
réaction de défense (Claparède) (1 ) vis à-vis des émotions el des troubles psychiques qui en résultent C'est pour cela que
vives ou excessivement prolongées eu, trainent plus facilement des troubles psychiques, représentant un phéno- mène de désa
ves se traduisent en phénomènes somatiques anormaux, par exemple en troubles vaso-moteurs, sécrétoires et parfois trophiques
stérie traumatique entre la réaction myasthénique et la présence de troubles vaso-moteurs (2), coïncidence qui constitue un
ganique, ce qui expliquerait parfaitement la fréquence spéciale des troubles vaso-moteurs et sécrétoires dans cette affection.
llonnes et d'au- tres. On a pu provoquer parfois par suggestion des troubles somatiques anormaux, des troubles vaso-moteurs,
voquer parfois par suggestion des troubles somatiques anormaux, des troubles vaso-moteurs,'sécrétoiresqui ne sont que traduc-
alée et d'éblouis- sements, comme si elle avait son origine dans un trouble vasculaire tran- sitoire du cerveau. Les rappor
trouble vasculaire tran- sitoire du cerveau. Les rapports entre les troubles vaso-moteurs et les phénomènes hystériques sonl
es, même des plus légères, comme une petite lésion périphérique, un trouble vaso-moteur d'origine émo- tive, etc... En ré
ène hystérique; enfin cela éclaircirait aussi la faculté qu'ont les troubles hystériques créés par des émotions ou par des idé
et par- fois dans des phénomènes somatiques anormaux, tels que des troubles vaso-moteurs, sécrétoires, etc., lesquels ne so
an L : YS58LSl'EIN ; Chef de labor. : D' .IOSSELIN de JONG. SUR LES TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS DEUX CAS DE LÉSION B
in- terne et le noyau lenticulaire sont frappés simultanément, les troubles d'ordre moteur sont maintenant attribués exclus
ne certaine influence du corps strié sur l'action muscu- laire. Les troubles dans ces cas (lenteur des mouvements actifs, raid
ment, montraient une affection des corps striés fort prononcée, les TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
rovoquent pas de symptômes manifestes. D'autres expliquent certains troubles de la motililé (ceux qu'obser- vaient par exemp
rtains animaux. J'essaierai de donner une description détaillée des troubles fonction- nels dans un cas où les corps striés
jamais observées par un médecin. Elles n'auraient pas influencé les troubles dont le malade se plaint. La femme du malade me
s excuses parfois ingé- nieuses pour ses mauvais tours. A cause des troubles de la parole Ku. n'aime pas causer avec les aut
très peu d'expression ; seulement, quand il y a quelque chose dans TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
alade est souvent capable de le faire spontanément. - A gauche le trouble est moins prononcé, le malade est capable de port
ant NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. 11VII. hL. 1LVIII TROUBLES MOTEURS DANS LES LÉSIONS DU CORPS STRIÉ (W. van
BLES MOTEURS DANS LES LÉSIONS DU CORPS STRIÉ (W. van Woerkom.) -- TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LESION DU CORPS STR
xion et d'extension, mais le ma- lade reste figé à la même place. TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
ROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 281 Les troubles que j'ai décrits, quoique en principe toujours le
ns que dans la coupe précé- Si'rie normale Observation 1 FiG. 1 TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
myéline sont d'une finesse Série normale Série ohs, I - Fm.2 2 TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
he optique montre la défor-, Série normale Série obs. 1 Fn,.3 3 TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
quelques faits physiologiques. 1>- 1 r. Pt& S ' ' , raton TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA L Si0 (liiPS STRIE
nique son caractère du début à la fin. En procédant à l'analyse des troubles que montrent les mouvements actifs chez notre m
it intacte. Notre malade ne montre pi de parésies véritables, ni de troubles de la sensibilité-. Et pourtant l'exécution des a
ts que le ma- lade est capable de faire un effort. L'intensité du trouble que nous avons décrit (la difficulté de mobi- l
istes produit également le commen- cement du mouvement inverse. Les troubles de notre malade sont, en partie, expliqués : 1°
eviviscence de cette ancienne fonction chez un individu montrant le trouble du « slatotonus » à un tel degré. La symptomato
à coup, mais des deux côtés. Dans notre deuxième observation, les troubles de l'action musculaire se sont développés d'une
rtant le (1) Sur la signification... lte%ue Neurol., n° 11, 1912. TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
caudé et du noyau lenticulaire nous remarquons un réseau capillaire TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
n bilatérale du corps strié, reprenons la question du caractère des troubles que mon- traient nos deux malades. L'infirmit
de ces malades n'est causée ni par la simple paralysie, ni par les troubles de la sensibilité, ni par l'apraxie. Par contre e
e montre quelque ressemblance avec le syndrome cérébelleux. - Ces troubles peuvent être résumés ainsi : 1° Il y a une pert
la fonction dynamique des muscles à leur fonction statique (1). Ce trouble est fort variable en intensité. En général l'at
e perturbation très spéciale de la fonction musculaire, qui par les troubles des mouvements actifs montre quelque ressemblan
ions la lésion des corps striés seuls est en état de provo- quer ce trouble . ' HOSPICE DE B7Cy/<&' DEUX CAS D'AMYO
nversement, et manque ainsi plusieurs fois de se faire écraser. Ces troubles durent quatre ou cinq mois, puis disparaissent
grande netteté qu'à cette époque la main gauche ne présentait aucun trouble fonctionnel', pas plus que le membre supérieur
lexe plan- taire se fait en flexion ; il n'y a pas de clonus. Les troubles trophiques très accentués,sont constitués par l'a
ont constitués par l'amyotrophie et l'adipose déjà signalées. Comme troubles vaso-moteurs, il faut signaler un état spécial
lle que la sensibilité profonde, à tous les modes. On ne note aucun trouble du sons musculaire, ni de la stéréognosie. Le mal
ons musculaire, ni de la stéréognosie. Le malade ne présente pas de troubles sphinctériens, ni viscéraux. A noter la faiblesse
e de Nageotte. L'examen électrique pratiqué par M. Duhem montre les troubles suivants : abolition de l'excitabilité faradiqu
plus se guider aW 6 'q 6 et manque plusieurs fois s de tomber. Ces troubles ataxiques prisent lentement. En 1908, pendant u
u'il met le pied à terre qu'il doit garder complètement le lit. Ces troubles s'atténuent, mais il lui reste une impossibilité
amais il n'a perdu connaissance. Enfin, toujours en 1911, sa vue se trouble . Il voit mal, mais non double. Ces troubles vis
jours en 1911, sa vue se trouble. Il voit mal, mais non double. Ces troubles visuels se sont plutôt améliorés récemment. Eu
norectales dont souffre encore le malade se sont manifestées. Les troubles moteurs se sont accentués progressivement : jusqu
muscles de la face, de la langue, les peauciers sont indemnes. Les troubles de la sensibilité subjective sont importants : le
ur, sensibilité thermique. Au niveau des jambes et des cuisses, les troubles de la sensibilité superficielle sont moins import
piaule. On ne note ni clonus du pied, ni réflexes de défense. Les troubles des sphincters, les troubles trophiques ont été n
s du pied, ni réflexes de défense. Les troubles des sphincters, les troubles trophiques ont été notés. Comme troubles vasomo
oubles des sphincters, les troubles trophiques ont été notés. Comme troubles vasomoteurs, il faut signaler une sensation subje
puisqu'il n'a pas eu d'érections depuis un an environ. Il n'a aucun trouble viscéral. La tension prise au Pachon est 17/9.
carres de la région sacrée. La vessie, qui contenait un peu d'urine trouble , présentait une hypertro- phie accusée de sa pa
e se serait propagé au faisceau pyramidal gauche pour expliquer les troubles moteurs. Celait, en quelquesorle, un chapitre des
uelle persiste, mais, indifférente aux laxatifs, elle semble due à un trouble péristaltique, un refoulement du bol fécal qui
ertes sanguines dues à des polypes et fihromes utérins, enfin par des troubles urinaires. Une nouvelle analyse faite par le
antité rendue dans les 24 heures, 730 grammes. Couleur jaune clair, trouble ; réaction faiblement acide. Densité 1010 ; Urée
endance au redressement du gros orteil. Sensibilité cutanée. Pas de troubles appréciables dus il l'eflleura ! (e au pinceau ni
on peut diviser en trois périodes. La première caractérisée par des troubles sensitifs et moteurs des membres inférieurs, déjà
et discutée dans l' « Iconographie » de 1905. Dans la seconde, les troubles sensitifs et moteurs, qui ont déserté ces extré
PAR Al. OBREGIA, C. I. URECHIA et A. POPEA (de Bucarest). Les troubles produits par l'insuffisance de l'hypophyse se tra
se manifestent par des maux de tête, des nausées, des vertiges, des troubles psychiques, des attaques épileptiques, etc. Von
ère variable et Schüller cite un cas de névralgie du trijumeau. Les troubles psychiques sont très fréquents (Schûller) el peuv
ces tumeurs (Soca, Parhou et Goldstein, ScIW Iler, Williams). Des troubles du sens olfactif et gustalif peuventse rencontrer
ns 60 0/0 des cas. Les symptômes en foyer sont caractérisés par des troubles de la vue : stase papillaire, névrite optique,
Wernicke. L'incontinence vésicale n'est pas très rare. Parmi les troubles vaso-moteurs nous rencontrons : le dermographisme
écrétion sudorale, même après admi- nistration de pilocarpine ; des troubles dans la sécrétion salivaire ou lacry- male. Par
ition- née par une néoformation bénigne. Considérant le manque de troubles delà pari de l'appareil génital, nous assimilon
ui intéressent secondairement l'hypophyse on trouve quelquefois des troubles de la croissance. Le cas de Mû ! ter. Le cas
ce, infantilisme, démence, UN CAS DE DYSTIIOPHIE HYPOPHYSAIRE 325 troubles de la vue; à l'autopsie, un tératome de l'hypophy
Falta décrit un cas chez un enfant de 15 ans, avec hydrocéphalie et troubles dans l'ossification ; laille : 102 centimètres.
doigts chez notre malade, on est d'accord pour les attribuer à des troubles trophi- ques du squelette à la suite de l'insuf
premiers symptô- mes de l'affection actuelle. Il y a neuf ans, des troubles révolutionnaires for- çaient la famille à s'exp
ofession de marchand d'habits. Actuellement, la malade présente des troubles fonctionnels nombreux, des tumeurs et des pigme
s. Pas de vomissements, mais une constipation opiniâtre. . Pas de troubles respiratoires ni circulatoires. 328 nOUHINOVITC
en des urines n'a montré ni sucre ni albumine. La malade accuse des troubles menstruels, ses règles durent longtemps et surv
ate irrégulière. ' L'examen des fonctions nerveuses ne révèle aucun trouble moteur, aucun trouble de sensibilité superficie
xamen des fonctions nerveuses ne révèle aucun trouble moteur, aucun trouble de sensibilité superficielle au contact, à la piq
éflexes achilléens ; pas de clonus, ni d'extension d'orteil, pas de troubles des réflexes cutanés. Du côté des organes des s
Les pupilles réagissent à la lumière et à l'accommod,Uion ; pas de troubles auditifs ; la malade se plaint seulement de tro
,Uion ; pas de troubles auditifs ; la malade se plaint seulement de troubles visuels ; sou acuité visuelle est diminuée et par
é visuelle est diminuée et parfois un nuage vient rendre les objets troubles à ses yeux. L'étude du fonds mental a montré un
fait son ménage, sait compter, répond rapidement aux questions. Lss troubles morphologiques sont ici la dominante du tableau c
l'autre. Pas de maladies dans l'enfance, sauf une rougeole. Aucun trouble fonctionnel : ni céphalée, ni douleurs, ni troubl
rougeole. Aucun trouble fonctionnel : ni céphalée, ni douleurs, ni troubles visuels. Pas de trouble digestif, respiratoire,
fonctionnel : ni céphalée, ni douleurs, ni troubles visuels. Pas de trouble digestif, respiratoire, ni circulatoire. Les ur
semble présenter aucune perversion instinctive. Chez cet enfant les troubles cutanés et les déformations sont assez parti- c
: chez elle l'évolution a été celle d'une dystrophie bénigne et les troubles nerveux d'ordre fonctionnel qu'elle pré- sente
ésente une tumeur unique, mais une pigmentation déjà diffuse et des troubles des réflexes. DEUX CAS DE NEUROFIBROMATOSE FAMI
ue de la main et de trois doigts, avec succulence et hypotonie. Ces troubles doivent-ils être rattachés à la neurofibromalose
'hypertrophie des extrémités en long et non en large avec céphalée, troubles intellectuels, signes de la série diabolique :
entraîneraient la soudure. L'ulcération pourrait aussi résulter de troubles trophiques d'origine indéterminée. Suivant tout
conduit intestinal), par des parasites intestinaux ou par d'autres troubles digestifs, comme la constipation habituelle, l'
mme il suit : 1° Les putréfactions intestinales, ainsi que lous les troubles possibles de la digeslion, comme constipation h
raisemblable que, dans l'épilepsie cérébrale, c'est-à-dire dans les troubles provenant d'anomalies dans le cerveau et dans l
sies et cause, par une pression directe sur l'écorce cérébrale, des troubles de circulation qui provoquent des attaques. Il
ons pupillaires normales, pas de limitation du champ visuel, pas de troubles de l'ouïe, de l'odorat ou du goût. Réaction de
essentielle ; seulement dans la syphilis cérébrale congénitale, les troubles de l'intelligence précéderont presque toujours
encore si peu étudiée : dans l'épi- lepsie cérébrale on n'a que des troubles de circulation (hyperémie veineuse et accumulat
malade, atteint d'épilepsie essentielle, au contraire, souffre d'un trouble complet du métabolisme général. Et c'est dans c
qui se présentent souvent dans le cours de la maladie (équivalents, troubles psychiques, changements de caractère, démence s
ie céré- brale ; quant à sa théorie qui en découle, c'est-à-dire le trouble dans la décomposition albumineuse intermédiaire
'excitabilité du système sympathique, état qui se manifeste par des troubles trophiques, le ralentissement des mouvements inte
t du tractus intestinal. Si donc la glande thyroïde, par suite d'un trouble quelconque (troubles congénitaux dans le ganglion
nal. Si donc la glande thyroïde, par suite d'un trouble quelconque ( troubles congénitaux dans le ganglion inférieur du nerf
ux privés des glandes paralhy- roïdes se molliraient clairement des troubles dans le métabolisme calcaire : la formation de
glan- des parathyroïdes. Cooke pense avoir déterminé également des troubles du métabolisme et, plus exactement, de celui de
ns l'urine serait fortement augmentée. Il range la tétanie dans les troubles des processus calalyliques et veut en rapporter l
de létanie, mais qu'elle peut être provoquée non seulement par des troubles du métabolisme, mais aussi, pour une partie, pa
attaques épileptiques. Curschmann admet un rapport étroit entre des troubles dans la fonction des glandes thyroïde et paralhy-
agit pas directement sur l'écorce cérébrale, « mais il provoque des troubles dans d'aulres glandes à sécrétion interne qui pro
lres glandes à sécrétion interne qui pro- duisent, à leur tour, des troubles du métabolisme qui sont la cause des attaques é
l'ablation des glandes parathyroïdes cause immédiatement de graves troubles du métabolisme. qui provoquent les symptômes de
la téta- nie expérimentale ; cette épilepsie est donc la suite des troubles thy- 394 BOLTEN roïdiens. La clinique confirm
otre thèse, à savoir que l'épilepsie essentielle est causée par des troubles chroniques du métabolisme à la suite d'hypo- th
umulation de sérosité dans les méninges, etc., se sont produits des troubles circulatoires importants, c'est seulement en ce
on qui agit en diminuant la pres- sion dans des cas où existent des troubles circulatoires (c'est-à-dire hyperé- mie veineus
tielle où elles proviennent du métabolisme de tout l'organisme, les troubles circulatoires doivent être très intenses. A l
sse, par exemple avant leur quarantième année, ou qui, par suite de troubles psychiques, avaient été internés dans des asiles,
rânienne, soit par des processus locaux de sclérose, provoquent des troubles étendus de circula- tion dans l'écorce cérébral
proviennent du cortex cérébral lui-même dans lequel, à la suite des troubles de la circula- tion, se produit un refoulement
meur, d'idées, d'émotions, pareslhésies et né- vralgies fréquentes; troubles sécrétoires fréquents ; tontes ces manifesta- t
ble- ment celui qui a le plus de contact avec la débilité nerveuse. Troubles de type dyspeptique, hyperesthésies des plexus
roubles de type dyspeptique, hyperesthésies des plexus abdominaux ; troubles mot teurs -- atonies et spasmes ; déviations sé
du mucus; crises c1'hypo-hépatie, d'hyper.hépatie, etc., lotis ces troubles peuvent s'observer dans le do- maine de la débi
s élémentaires, les loxi-infectioils répétées, comme la grippe, les troubles gastro-intestinaux, etc., mettent le système nerv
hénie : paresthésies diverses, irritabilité, céphalalgie, insomnie, troubles de la mémoire, suggestibilité, etc. El comme le m
t pas la règle, car je parle ici des réactions générales et non des troubles d'origine locale. En faisant ces commentaires,
tains cas, des phénomènes stbénopathiques post-traumatiques. Si ces troubles sont relativement rares, ils méritent cependant
es périodiques. (1) BENON (R.), Traité clinique et médico-légal des troubles psychiques et névrosi- que.. post-lraumatiques.
chez des sujets d'âge moyen, par W. van Woerkom, 43. Corps strié ( Troubles des mouvements actifs dans deux cas de lésion b
écutives il une lésion de la -), par Long, 61. Mouvements actifs ( Troubles des dans deux cas de lésion bilatérale du corps
évoluant chez des sujets d'âge moyen, 43. (de Rotterdam). Sur les troubles des mouvements actifs dans deux cas de lésion
à LXII. Moelle, compression (Révccr,IOn), LII. Mouvements actifs ( Troubles des - dans deux cas de lésion bilatérale du cor
22 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, t. III. 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. on le sait, d'un sentiment de trouble et de confusion. Ce senti- ment est parfois trè
que bien des jeunes gens avaient éprouvé, à un degré quelconque, ce trouble émotif, et c'était pour eux comme un soulagemen
nt. A dix-huit ans, crise de B pathologie NERVEUSE. neurasthénie, troubles gastriques, maux de tête, névralgies, dimi- nut
quelques instants. - Dès le début, les sujets sont dans un état de trouble et d'an- goisse inexprimables. Plusieurs pensée
'obsession de la rougeur se complique, chez les ma- lades, d'autres troubles psychiques, mais rarement d'obses- sions différ
ier : à savoir que, devant une femme, je n'éprouve aucune espèce de trouble , tandis que des jeunes gens que je connais et q
n évidence, dans certaines affections mentales, la prépondérance du trouble émolif, de l'angoisse (névrose angoissante de F
que cela change rien à cette conception psychopathologique que le trouble émotif est l'élément fondamental de l'obsession.
ur main dirigée par lui (hallucinations motrices graphiques). Ces troubles de la motilité graphique nu d'articulation n'ex
ui ne sont que des illusions du démon causent des inquiétudes et du trouble 3 ». 1 Carré de Montgeron. La vérité des miracl
ctilité du système musculaire. . A. M. V. Névrite alcoolique avec TROUBLES mentaux caractérisés; par D. NEIR, 0, d'Oxford.
dienne était relativement faible, mais fut longtemps continuée. Les troubles mentaux consistaient en hallucinations multiple
parétique très marqué. Les symptômes physiques cédèrent avant les troubles mentaux par la suppression de toxique, les massag
contraire triste et paresseux, et toujours ainsi. Avec le temps ce trouble intellectuel se transforma en une folie alterna
diminution de l'élimination de l'acide phosphorique, précédant les troubles psychiques, elles ne leur succèdent pas. Le tab
ue pas l'élimination de l'acide phosphorique. C'est au contraire le trouble nutritif qui se manifeste dans les REVUE DE PAT
bé- tiques, qu'il y a des agents morbigènes entraînant de simples troubles fonctionnels, qu'il y en a d'autres qui produisen
périphérique liés à des altérations du système nerveux central avec troubles trophiques. A. M. XI. Cas DE paralysie DE LANDR
ulière qui aboutit à des arthropathies avec fractures spontanées et troubles ostéo-trophiques caractérisés par l'hypertrophi
purement tonique et se terminant bien ou mal mais sans coma et sans trouble de l'intelligence, d'avec la tétanie urémique f
des muscles que l'on doit chercher la physiologie pathologique des troubles les plus divers de la motilité, de la sensibili
neurol., anuo XIV, fasc. III, IV.) XXVI. Contribution A l'étude DES troubles DE la sensibilité 11YGItIQUE; par le D'' 111u1G
(Anrt. eli neu1'ol., anno XIII, fasc.1, 2.) Nouvelle observation de troubles de la sensibilité hygrique chez un paralytique
ie atrophique avec abolition des réflexes des mem- bres supérieurs; troubles de la sensibilité pareils à ceux de la syrien-
la longue durée, l'influence d'une chute, la ressemblance avec les troubles de la syringomyélie et l'absence de fortes doul
ec dyses- thésie très marquée, même état du côté gauche de.la face. Troubles de même ordre mais très légers dans le membre i
ne homme avait eu un chancre induré. 2° Symptômes témoignant d'un trouble mécanique de l'irrigation cérébrale. Confusion me
es que le pense M. Christian. Elles reconnaisent deux causes : un trouble trophique caractérisé par des phlyctènes se montr
rapports de l'âme et de l'organisme et publia en 1818 une étude des troubles de l'âme, titre qui indique bien les convic- ti
D'une part, l'aliéné qui a commis un crime sous l'influence de son trouble mental ne diffère pas de nos malades des asiles
ment, l'excitation ou les lésions des zones motrices, provoquer des troubles de la sensibilité. L'hypothèse de Tamburini (1876
é sans s'en douter, et sont amenées à s'en apercevoir quand quelque trouble nerveux, les privant de l'écri- ture normale, l
a eu des attaques convulsives; une soeur, quatorze ans, a guéri de troubles névropathiques.) Des revers de fortune.ont augm
de troubles névropathiques.) Des revers de fortune.ont augmenté les troubles du caractère de la malade, qui recherche la sol
vention chloroformique ou hypnotique, exploratrice ou curative. Les troubles trophiques se montrent : peau sèche, froide, minc
enser à des auto-intoxi- cations. Elles résulteraient peut-être des troubles apportés par le tabes dans la nutrition de la c
a dent elle-même. La chute spontanée des dents parait être due à un trouble du système nerveux dans le territoire du trijum
ances. Dans cette psychose, les idées de vol, d'empoisonnement, les troubles de la sensibilité générale, les hal- lucination
n plus avoir une origine toxique infectieuse. L'étude attentive des troubles psychiques de la chorée,'depuis les simples hal
a perte des glandes testiculaires semble déterminer constamment des troubles psychiques, si bien que l'au- teur va jusqu'à d
es testicules sont aussi et avant tout les mutilés de l'esprit. Les troubles psychiques obser- vés sont ordinairement des tr
l'esprit. Les troubles psychiques obser- vés sont ordinairement des troubles mélancoliques, allant depuis la simple hypocond
des recherches expérimentales, a étudié l'influence qu'exercent les troubles du système nerveux dans les infections de l'appar
t à manquer, infection d'autant plus sûre et plus pro- fonde que le trouble nerveux est plus grave. Expérimentalement, l'au
constatation journalière d'infections pulmonaires succé- dant à des troubles nerveux réflexes, démontrent les relations entre
es, démontrent les relations entre les infections pulmonaires elles troubles du système nerveux. BIBLIOGRAPHIE. 155 Ce son
térie, l'épi- lepsie, par les affections mentales et encore par des troubles pure- ment dynamiques, en particulier par ceux
nerveuses livrent le système pulmonaire à l'infection : 1° Par les troubles vasculaires neuro-paralytiques, dont dépendent
t les perturbations de la diapédèse et de la phagocytose ; 2° les troubles glandulaires, qui modifient la quantité et la qua
ifient la quantité et la qualité des sécrétions bronchiques; 3° les troubles de nutrition des tissus et des éléments cellula
° les troubles de nutrition des tissus et des éléments cellulaires ( troubles trophiques) auxquels se rappor- tent la diminut
gastrique et au grand sympathique, mais il semble cependant que les troubles du pneumogastrique sont plus préjudiciables que c
'ont été constatés nettement chez aucun d'eux), tous présentent des troubles fonctionnels variés : de l'abaissement intellectu
ignes objectifs des hallucinations visuelles nous fit remarquer ces troubles et interroger le malade au moyen d'un de ses co
op. des Se. médicales. Dechambre, vol. XII, p. 79. - J. Seglas. Les troubles du lan ! Jage,etc" Paris, 1892. 168 PATHOLOGIE
. De plus, toutes les oeuvres citées s'occupent de préférence des troubles du langage, et seulement incidemment elles par-
Du langage et de la musique. Paris, Alcan, 1885. 4 Kussmaul. - Les troubles de la parole. Pans, Baillière, 1881. » Mary-Swi
te. Nous avons nous-même suivi celui d'entre ces malades dont les troubles mentaux ont persisté. Il figure au rapport de 189
si fréquentes chez ces dégénérés s'allient aussi très souvent à des troubles mentaux de teinte mystique. Moreau (de Tours) s
la fin, stertor, et retour assez rapide de la connaissance ; pas de troubles psychiques consé- cutifs. Dans la journée, pas
ahis par elle, et cet état de choses donne lieu naturellement à des troubles men- taux et à des troubles somatiques. Si, au
e choses donne lieu naturellement à des troubles men- taux et à des troubles somatiques. Si, au moment où l'état cérébral ag
dans un temps relativement court, des névroses traumatiques, et des troubles du langage consécutifs à la, frayeur. Les troub
matiques, et des troubles du langage consécutifs à la, frayeur. Les troubles nerveux des écri- vains et des artisans cèdent
fait nor- male. (Revue neurologique, oct. 1896.J J E. B. XIX . DU TROUBLE MENTAL DANS LE GOITRE EXOPHTALMIQUE; par le Dr
e de complication secondaire. Dans le plus grand nombre des cas, le trouble mental qui accompagne le goitre exophtalmique p
la circulation cérébrale. Dans les deux cas cités par l'auteur de trouble mental accom- pagnant le goitre exophtalmique,
. 1, 2.) Ces caractères sont surtout relatifs à la prédominance des troubles graves de l'aperception, des phénomènes d'irrit
uels l'aliénation mentale s'est caractérisée et révélée non par des troubles intellectuels mais par un désordre manifeste de
, en faire un cas de manie traumatique chez uu homme prédisposé aux troubles mentaux par l'action toxique de l'alcool sur le
ue; ce sont ceux dont on va s'occuper, et, parmi eux, seulement des troubles sensoriels et émotifs. Le premier de ces états
modifications de l'attention, de la mémoire et du caractère. Ces troubles mentaux sont associés à la présence de douleurs
la peau. Les douleurs locales d'autre nature ne provoquent pas ces troubles mentaux : c'est ainsi que chez un des malades o
locale causée par un point pleurétique n'a nullement déterminé ces troubles mentaux, qui se sont développés quelques semaines
y a il l'heure actuelle trois ans et demi qu'il n'a présenté aucun trouble intellectuel, et sa santé mentale et sa santé p
it les peines et anxiétés morales étaient signalées comme cause des troubles cérébraux. Dans les douze cas aigus, sauf un, i
des altérations du même ordre dans certains éléments du cerveau et trouble ainsi les diffé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 2
eau n'est pas le seul organe atteint chez les' aliénés ; nombre d'e troubles psychiques sont Archives, 2e série, t. III. 16
e spéciale : il lui faut seulement pouvoir mettre en évidence les troubles psychiques élémentaires des malades (mémoire, enc
a, chez les aliénés, des mobiles qui relèvent directement de leurs troubles psychiques. Tels sont : a) les hallucinations ;
e idée obsédante à laquelle il leur est impossible de résister ; e) troubles de la conscience. Des incendies sont commis par
e, devront le décider à provoquer une expertise médico- légale : 1° troubles intellectuels observés chez l'inculpé; 2° signes
es ces circonstances ne constituent qu'une présomption en faveur de troubles psychiques et ne suffisent point pour affir- me
'acte et 244 sociétés savantes. le mobile doit faire penser à des troubles psychiques. Certains alié- nés cependant invoqu
des questions légales qui leur sont posées. Les juristes parlent de troubles psychiques partiels quand un sujet accomplit un
être interdits. Les alié- nistes ne peuvent admettre la théorie de troubles partiels : l'esprit est chose indivisible. M.
sont pour l'aliéniste des aliénés, et non des individus atteints de troubles partiels. Tous les aliénés sont irresponsables
a proposé de substituer à l'expresion « maladie mentale » le mot « trouble psychique », afin de ne point paraître laisser
les alcoo- liques. L'alcool altère surtout le système nerveux et en trouble les fonctions sensorielles, motrices et psychiq
, des aliénés. Des doses minimes d'alcool suffisent à provoquer des troubles profonds de la conscience chez les épilep- tiqu
anvier 1892, d'un projet de loi contre l'alcoolisme. L'ivresse, les troubles psychiques transitoires déterminés chez les pré
inution de la mémoire et de l'application au travail. Excitabilité, troubles de la parole, puis, en mai 1896, ictus aphasiqu
ycéphalie). Pupilles normales; léger strabisme et nystagmus. Pas de troubles de la mobilité et de la sensibilité, sauf des t
gmus. Pas de troubles de la mobilité et de la sensibilité, sauf des troubles de la parole. Le malade se plaint surtout de la
n connaît toute une série de cas dans lesquels il se compliquait de troubles du côté des nerfs. optiques et en particulier d
me on le voit pour SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 d'autres organes où des troubles congénitaux sont la condition du développement
rente six ans entre à l'asile d'alié- nés de Düren en 1894 pour des troubles psychiques ayant débuté cinq ans auparavant, et
te quelques hallucinations, des idées de persécution basées sur des troubles de la sensibilité géné- rale, des interprétatio
cinations, alors que l'autre n'est qu'un écho atténué de ces divers troubles psychiques. Toutes deux d'ailleurs sont des dég
chez les femmes et aliénation mentale, par Rohe ; Signification des troubles moteurs de la folie, par Richardson ; - Médicatio
ar Richardson ; - Médication thyroï- dienne dans quelques formes de troubles mentaux, par Clarkee; - Observations cliniques
qui a évidemment prolongé et obscurci la controverse, c'est que les troubles mentaux présentés parle poète n'ont jamais été
RVEUSE. DGS TROUBLGS DU GOUT I : T DG L'ODO)taT DANS Ll : i ? DES TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TAÎ Par le D' M.
fibre motrice. La maladie fait cette distinction. En décrivant les troubles olfactifs et gustatifs du tabes sur lesquels l'
le du Dictionnaire encyclopédique, écrit : « On trouve signalés des troubles de l'odorat et du goût Ce sont là des manifesta
st due aussi à l'altération des « nerfs du goût. « Ces différents troubles sensoriels sont en somme assez rares, peu accus
, p. 21G. o Topinard. Traité de l'ataxie locomotrice. Paris, J8GL TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES 259 note l
de Duchenne(de Boulogne), d'Althaus, etc., ne font pas mention des troubles de l'odorat et du goût des tabétiques, ou n'en
r Raymond comme contenant quelques observations où sont relatés des troubles de l'odorat et du goût. Le même auteur cite éga
Cité par Althaus, p. 62. ' Cité par Althaus sous la dénomination de troubles mentaux, p. 61. 8 Thèse de 1896. 0 Erben. Wie
de connaître toutes les observations où un auteur a pu relever des troubles du goût ou de l'odorat. Les précédentes seront
le pense généralement, d'autant plus que dans beaucoup de cas ces troubles ne sont pas mentionnés parce qu'ils n'ont pas été
catégorie de malades chez les- quels il existe en réalité quelques troubles du côté de la pitui- taire et de la muqueuse li
même temps, moins d'un an, nous en avons rencontré une dizaine de TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 261 cas.
du goût. Délire de persécution tabétique à point de départ dans les troubles du goût. (Sphère du glosso-pbaryugien.) Anest
linguale, uni ou bilatérale. Perversions du goût consécutives à des troubles d'innervation et de trophicité dans la sphère d
tion du réflexe salivaire (surtout dans les perversions du goût.) Troubles probables de l'action réflexe de la gustation sur
r quelques points. L'énumération précédente sépare et distingue les troubles de la pituitaire et de la muqueuse buccale qui
sthésies dans la sphère du trijumeau. Mais il y a bien plus : les troubles qui nous occupent ne sont pas fatalement le résul
ur le glosso- pharyngien, ainsi qu'on serait tenté de l'admettre. TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES 263 L'olfa
: c'est pourquoi dans cette étude nous avons sans cesse en vue les troubles et les altéra- tions du nerf nasal et du nerf l
ion en suivant la technique employée chaque jour pour constater les troubles sensoriels de l'hystérie. Par le même examen le
stater les troubles sensoriels de l'hystérie. Par le même examen le trouble présenté sera reconnu facilement être bilatéral
xe du suc gastrique. Il parait seulement fort vraisemblable que les troubles du goût et de la sensibilité de la langue des t
absence de l'objet qui a cette saveur ou cette odeur. Ici encore le trouble doit porter essentiellement soit sur la sensibi
soit sur leur appareil de sen- sibilité spéciale; mais l'un de ces troubles , rappelons-le encore, est assez rarement isolé
chez un homme âgé de quarante-deux ans, malade depuis trois ans. TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 265 Du cô
e et l'éternuement se répète à ce moment de sept à dix fois. Pas de troubles vaso-sécréteurs notables. Il n'y a pas d'écoule
ales dans la sphère du trijumeau dispa- raissent à ce moment. Les troubles de la sensibilité et l'enchifrènement n'existent
ois dans la joue droite, mais seulement à l'état d'ébauche, le même trouble qu'à gauche. Aucune odeur spéciale pendant la c
. Il semble donc certain que la crise nasale est provoquée par un trouble de la sensibilité générale, et non de la sensibil
que l'éternuement ne soit provoqué dans l'un et l'autre cas par des troubles de la sensibilité nasale. Mais les différences
es paresthé- sies du tabes. En second lieu, en dehors des accès des troubles persistent du côté de la pituitaire (abolition
un point d'anatomie normale que nous ne pouvons pas pré- ciser. TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 267 b). P
arquée; mais dans la sphère du trijumeau, à la face, il y avait des troubles des plus nets. Le malade sentait incomplé- teme
e cou, au lieu de la joue. D'ailleurs il existait encore d'autres troubles impliquant la participation du bulbe. Ces fauss
rtout capital pour l'interprétation des faits, de rapprocher de ces troubles l'état physique de la langue 268 CLINIQUE NERVE
at saburral de la langue. Il en est quelquefois de même lorsque les troubles sont passagers et que tout semble indiquer un e
'assez bonnes digestions, relève du tabes lui-même. Il constitue un trouble de nutrition, un trouble trophique de la muqueu
relève du tabes lui-même. Il constitue un trouble de nutrition, un trouble trophique de la muqueuse linguale sous l'unique
étude du 1 Vulpian - loc. cil., semble admettre la possibilité d'un trouble tro- phique delà langue pouvant entraîner des t
sibilité d'un trouble tro- phique delà langue pouvant entraîner des troubles du goût. TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS L
e tro- phique delà langue pouvant entraîner des troubles du goût. TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 269 goût
probable qu'il existe également du côté de la mu- queuse nasale un trouble trophique analogue à celui de la langue et qui
et qui lui aussi, dans bien des cas, tient sous sa dépen- dance les troubles de l'olfaction. Nous avons déjà indiqué combien
tions les plus douloureuses qui soient. Dans quelques cas ces mêmes troubles comportent des conséquences d'un autre ordre et
ions délirantes à caractères spéciaux, reconnaissant pour cause les troubles de leurs sensations. Les douleurs fulgurantes v
squé par le délire et qu'on recherche l'abolition des réflexes, les troubles de la sensibilité, les dou- leurs, les symptôme
des deux maladies. Il semble en présence de toutes les variétés de troubles qui viennent d'être cités et en consé- quence d
tion complète de cette maladie. Autres symptômes accompagnant les troubles du goût et de l'odorat. - Un autre point qui se
se sont rencontrés à notre observation notablement altérés, il y TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 271 avait
ymptômes bulbaires. Nous n'avons jamais vu, en d'autres termes, ces troubles quand ils étaient intenses, attester à eux seul
n olfactive et gustative, de poisson pourri, on trouvait : 1° Des troubles de la déglutition, avec parésie du voile du pal
on des nerfs dont la fonction est la sécrétion salivaire ; 3° Des troubles de la sensibilité dans la sphère du triju- meau
pagnés d'autres signes habituels à ces formes que s'observent les troubles du goût et de l'odorat, du moins dans tous les ca
et de l'odorat. 272 CLINIQUE NERVEUSE. Marche des symptômes. Les troubles du goût et de l'odo- rat peuvent se montrer dès
On sait que dans la grande majorité des cas de tabes ce sont les troubles de la sensibilité qui ouvrent la scène. Les moda-
ômes peuvent apparaître assez brusquement et s'accompagner d'autres troubles bul- baires De même une crise laryngée, par e
ue pas dans cette étude se rencontrent, pour la sphère du goût et TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 273 de l'
correspondante, consistant en un état catarrhal de la langue, en un trouble trophique de la langue, qui précisé- ment ont f
ouble trophique de la langue, qui précisé- ment ont fait naître les troubles du goût, non pas tous les troubles du goût que
cisé- ment ont fait naître les troubles du goût, non pas tous les troubles du goût que nous décrivons, tant sans faut, mais
ionnelle attei- gnant de S à 6 litres en vingt-quatre heures. Les troubles de l'olfaction envisagés dans leur marche pré-
re l'autopsie d'un ma- lade ayant succombé après avoir présenté les troubles les plus intenses et les plus manifestes du côt
landulaire. Voir Klippel et Lefas, Soc. de Biologie, 6 fév. 1897. TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 275 osmiq
es internes et externes, sur les temporales (que quelques auteurs TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 277 consi
PATHOGÉNIE. - Quel est maintenant le mécanisme qui pré- side aux troubles de l'odorat et du goût chez les tabétiques ? Qu
s de leur dégénérescence (Au- chives de Neurologie, juin 1896). ' TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 279 sont
'est ainsi qu'une sécrétion trop abondante recouvrant la pituitaire trouble l'olfaction. En un mot le trijumeau est un nerf
eau lésé dans le tabes peut donc à lui seul créer indirectement les troubles de l'odorat et du goût. C'est dans ce dernier c
s conceptions tristes ou gaies. Mais cette dernière explication des troubles tabétiques qui nous occupent, ne peut s'appliqu
ci nous sommes en présence d'une simple hypothèse. CONCLUSIONS. Les troubles de l'odorat et du goût sont fréquents et multip
a nutrition des muqueuses pituitaire et linguale, soit peut-être un trouble primitif du sens muscu- laire entraînant le dég
t. Ils s'associent toujours lorsqu'ils sont très marqués à d'autres troubles d'origine bulbaire. REVUE CRITIQUE. HISTOIRE
es modifications de la composition chimique des fibres nerveuses, ; troubles physico- chimiques sans altération anatomique o
NSKY. (New- Yorl. Médical Journal, 11 avril 1896.) La plupart des troubles fréquents et multiples qui accompagnent la pneu
t un fait connu, sur lequel l'auteur insiste d'autant moins que les troubles mentaux n'empruntent à cette origine aucune all
ubliés depuis la première description donnée par Brown-Sequard. Les troubles moteurs ont généralement été caractéristiques de
t mal; les équivalents psychi- ques ne sont pas rares non plus. Les troubles psychiques post-épi- leptiques sont moins fréqu
phie musculaire typique. Hypertrophie des mollets et des deltoïdes, troubles de la marche : le malade, pour se lever de terr
(les bras ne sont pas inté- SOCIETES SAVANTES..)2 1 ressés), des troubles de la parole qui est scandée, un état d'imbé- c
oplectique. L'aphasie motrice totale avait succédé à de très légers troubles de l'articulation, considérés par Oppenheim com
ascible, est sujet, depuis plusieurs années, à des accès annuels de troubles digestifs compliqués d'ictère et qu'accompagnen
ta- tions mélancoliques et hypocondriaques disparaissant avec les troubles digestifs et l'ictère. En novembre de l'année der
ifs et l'ictère. En novembre de l'année dernière appa- raissent des troubles digestifs avec une certaine irascibilité; ces p
énérale, ni de psychose sénile, La coïncidence de l'ictère avec les troubles psychiques étant mani- feste, on peut admettre
psychose ; on sait d'ailleurs que l'ictère peut-être accompagné de troubles cérébraux graves. Damsch a observé la catalepsi
maladiede Basedow résulteraient de l'augmentation de calibre et des troubles de la circulation des artères thyroïdiennes infér
a thyroïdectomie une cachexie carac- téristique avec hypothermie et troubles trophiques du système pileux; à l'autopsie, inf
cellules de nos tissus, et ses altérations amènent soudainement des troubles de ces diflérentes fonctions par l'absence de s
s commotions morales ont pu amener, par un mécanisme semblable, des troubles trophiques immédiats comme la canitie subite du
sur le même sujet : Des relations des maladies corporelles avec les troubles intellectuels; ainsi crue M. H. Head, sur les é
toire et les anomalies des processus mentaux. Dans certains cas les troubles de l'appareil circulatoire sont une cause de foli
beaucoup plus souvent c'est la maladie mentale qui détermine les troubles circulatoires] : mais dans un cas comme dans l'au
ystème vasculaire, il est d'une importance capitale de remédier aux troubles circulatoires avant qu'ils aient revêtu un cara
nous en relevons seulement les points les plus remarquables. Les troubles sensoriels les plus marqués ont porté sur la vue
parition de la maladie; premiers symptômes; marche de la maladie; troubles somatiques prédominants ; - réflexes patellaires;
e, maladresse des mains. A dix-neuf ans, chorée et augmentation des troubles de la marche. Démence progressive. Incontinence
olontaires de la tête sans perte complète de connaissance) suivi de troubles de la marche et d'affaiblissement intellectuel.
ations. 1889. Accès fréquents de caractères variés. Aggravation des troubles psychiques. Pupilles inégales, pares- seuses ;
avation des troubles psychiques. Pupilles inégales, pares- seuses ; troubles de la parole et de l'écriture, tremblement des
rès précoce de la maladie (à neuf ans) par un ictus, l'existence de troubles , du côté du système nerveux dès la première enf
enfance, la fréquence et l'im- portance des ictus suivis tantôt de troubles moteurs, tantôt de troubles psychiques, la natu
- portance des ictus suivis tantôt de troubles moteurs, tantôt de troubles psychiques, la nature de ces troubles moteurs et
e troubles moteurs, tantôt de troubles psychiques, la nature de ces troubles moteurs et leur pré- dominance au détriment des
ulgurantes, perte des réflexes. A vingt-six ans accès d'excitation, troubles de la parole, tremblement fibrillaire de la langu
té, dans les anté- cédents héréditaires. la paralysie générale, les troubles d'origine syphilitique, on obtient comme propor
80 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cours de la maladie, tandis que les troubles psychiques se dévelop- pent plus lentement et r
dernière affection a en géné- ral, pour symptômes prodromiques, des troubles neurasthéniques : à la clinique des maladies me
ents d'affaiblissement intellectuel. Mais, en l'absence même de ces troubles , il est habituellement possible de faire le diagn
ents.. En général, chez les neurasthéniques, on ne constate que des troubles de forme dépressive. Au contraire, chez le para
alentissement de la pensée, une diminution de la mémoire. Parmi les troubles les plus caractéristiques et les plus frappants
aindre la para- lysie générale chez les sujets qui ont présenté des troubles psychi- ques pour la première fois, à l'âge adu
nt que maladie des facultés intellectuelles propre- ment dites, aux troubles de la sphère affective. Ziehen considère égalem
de cas dans lesquels, à la suite de blessures, se montrèrent des troubles nerveux parfois assez graves. Ces faits sont inté
eau au pouce gauche. La blessure guérit, mais laissa après elle des troubles fonctionnels notables (faiblesse du membre supé
grammes, il présente une monoplégie du bras droit avec névralgie et troubles de la sensibilité dans le même membre, de l'ins
frappé d'un coup de canif dans le dos. La blessure guérit, mais des troubles neurasthéniques et hypocondriaques se manifestè
me crânien. On n'a pu déceler chez ce sujet aucun autre facteur des troubles neurasthéniques. Les sept cas qui précèdent,
tériques survenues chez des infirmiers frappés par des aliénés; les troubles psychiques, plus ou moins accentués, sont de na
umatisme est souvent un agent provocateur de l'hystérie ou d'autres troubles nerveux. L'apparition fréquente de ces mani- fe
nommé président. M. Wildermuth (Stuttgart), lit un rapport sur les troubles psy- chiques de l'épilepsie au point de vue du
dre ces questions : 1° Comment reconnaître la nature épileptique de troubles psychiques donnés ? - 2° Peut-on, en dehors de la
! llorel et Falret ont les premiers étudié consciencieusement les troubles psychiques de l'épilepsie; puis vinrent les trava
lution, et qui n'exige pas, pour admettre la nature épileptique des troubles , l'existence d'an- técédents épileptiques. Ce d
ng, qui ne consi- dèrent comme étant de nature épileptique, que les troubles psy- chiques survenus chez des épileptiques avé
leptiques et plus spéciale- ment le petit mal. * Parmi les divers troubles dits épileptiques il faut distinguer : 1° l'épi
r : 1° l'épilepsie vraie, caractérisée par des accès périodiques de troubles maladifs de la conscience, c'est-à-dire par des
uel se développent les psychoses épileptiques spécifiques. 2° Les troubles épilepti formes consécutifs aux intoxications chr
s derniers sujets et aussi parfois chez les adultes. on observe des troubles psychiques élémentaires, étroitement en rap- po
port avec les accès épileptiques et que caractérise l'absence de troubles de la conscience. On peut les diviser en trois gr
Pas d'amnésie, pas de désorientation. Enfin l'auteur a observé des troubles psychiques analogues comme équivalents de l'acc
ou identiques ; perte du souvenir ou souvenir incomplet. Quant aux troubles psychiques élémentaires dans lesquels fait défa
t aux troubles psychiques élémentaires dans lesquels fait défaut le trouble de la conscience, ils n'ont rien de caractéristiq
e. La présence, SOCIÉTÉS SAVANTES. 389 durant les intervalles, de troubles moteurs, sensitissou sensoriels, doit même fair
n mélange particulier de démence, plus spécialement d'amnésie et de troubles dans les conceptions, avec une notion exacte de
lectuelles et morales expliquent les attentats aux moeurs. 2° Les troubles psychiques au sensoriels élémentaires servent de
peuvent abandonner brusquement leur service (désertion etc.). Les troubles consécutifs sont un état d'obtusion, de stupeur,
- que d'apparition et de l'aspect symptomatique. On dislingue des troubles post-épilepliques (les plus fréquents), antéépile
aniaque sont plus rares. Toutes ces formes sont accom- pagnées d'un trouble plus ou moins profond de la conscience, de tend
iquer l'existence de l'épilepsie, démontrer qu'il s'est produit des troubles psychiques de nature épileptique ét rattacher l
sychiques de nature épileptique ét rattacher l'acte incriminé à ces troubles psychiques. On cherchera si l'état mental habit
égénérescence psychique épileptique ; - si le prévenu a déjà eu des troubles intellectuels par accès; si le délit a été commis
changement dans le contenu de la conscience. - Au point de vue des troubles de la conscience, la persistance du souvenir pr
souvenir présente un intérêt particulier ; suivant le degré de ces troubles , elle est plus ou moins grande. La nature des act
pense, lui aussi, qu'il n'y a pas de rapport entre la profondeur du trouble de la conscience et la persistance du sou- veni
ent nous renseigner, ainsi que Pick l'a montré, que sur le degré du trouble de la cons- cience. L'amnésie ne peut suffire à
n tirerait de la présence SOCIÉTÉS SAVANTES. 393 de ce signe. Ces troubles peuvent se rencontrer dans toutes les psychoses
manifestation épileptique, c'est qu'on observe chez ces malades un trouble très caractérisé de la conscience. Quant aux mo
es, l'anorexie avec diminution progressive de l'alimenta- tion, les troubles vaso-moteurs consécutifs. Dans la production de
ourage comme complètement guéri; les autres avaient encore quelques troubles (absence de la notion de leur mala- die, etc.).
te de ces faits que la catatonie détermine, en règle géné- rale, un trouble psychique durable qui peut se manifester de nou-
psychoses périodiques, par la persistance, dans les intervalles, de troubles accentués; par le nombre restreint des accès, p
eurasthéniques, chloro- anémiques. - M. ScHULE n'a pas constaté ces troubles d'une façon fréquente. M. Ganser. La question
aliénistes, l'occasion de diagnostiquer des tumeurs du cerveau. Les troubles psychiques prodromiques d'une tumeur cérébrale (d
Plus lard, la céphalée, les vertiges, les paralysies motrices, les troubles de la vue conduisent le malade dans un service
la fin de la maladie, la démence s'ins- talle, la prédominance des troubles paralytiques et de la somno- lence dispense de
s dans lesquels les symptômes psychiques sont au premier plan : les troubles moteurs, qui pourraient faire penser à une lési
vant la mort, ou, s'ils sont moins tardifs, restent masqués par les troubles psychiques. Chez les premiers malades où prédom
, en outre, quelques traits du caractère hystérique. Plus tard, les troubles s'accentuè- rent : démence progressive, gâtisme
rile, sans cause appréciable, (39°, b pouls; 140); enfin stupeur et troubles paralytiques avec eon- tracture du côté droit.
s tubercules quadrijumeaux du même côté. On a cherché à décrire les troubles psychiques caractéristiques des tumeurs cérébra
ce qui explique qu'une tumeur cérébrale ait déterminé chez eux des troubles psychiques. Au point de vue clinique, on a obse
e trional, c'était la partie centrale. M. BEYER (Strasbourg). Les troubles psychiques dans l'artériosclé- rose. L'auteur é
re remis des suites immédiates des atta- ques (et aussi parfois des troubles aphasiques et hémiplégiques), se montraient apa
jets. Parfois se montraient des manifestations hypocondriaques. Les troubles de la parole étaient fréquents (le plus souvent
affaiblissement qui ne va jamais jusqu'à une démence accentuée, les troubles de la parole et les symptômes physiques. L'aute
oins complètes, les paraplégies le plus sou- vent spasmodiques, les troubles sphinctériens, jusqu'aux troubles moteurs et se
plus sou- vent spasmodiques, les troubles sphinctériens, jusqu'aux troubles moteurs et sensitifs qui caractérisent les affe
t aussi des poisons. Les aliments altérés donnent encore lieu à des troubles variés d'empoisonne- ment aigu qui portent le n
le fonctionnement des sens, l'état psychique sont modifiés par les troubles 'digestifs. Ces accidents seraient plus graves et
Les polyuries et albuminuries transitoires relèvent directement de troubles vaso-moteurs, contric- tion artérielle rénale s
se et enfin de dilatation artério-veineuse réactionnelle. Quant aux troubles psychiques, il faut faire des réserves sur les no
our conséquence une mise hors de fonction des centres cérébraux. Ce trouble fonctionnel passager se manifeste par l'au- tom
les centres supérieurs sont seuls affectés, et par le coma quand le trouble de la nutrition plus profond est plus gé- néral
suivie de stase veineuse dans les cas compliqués, explique tous les troubles d'origine épileptique. Le cerveau enfin ne subi
l'influence de l'altération du système nerveux, ils présentent des troubles trophiques et de dégénérescence divers, tels qu
pyémio due à un décubitusgangréneux(p. 281). Pour Schüle ? » les troubles ataxiques observés au début dans les muscles du
aralysie géné- rale toute espèce d'influence dans la production des troubles trophiques. Comme toute maladie chronique grave
a- lysie générale altère la nutrition dans son ensemble. Mais ces troubles ne sont, à beaucoup près, ni aussi fréquents, ni
des nerfs périphériques). Quant aux eschares, qui constituent le trouble trophique le plus sérieux et le plus souvent obse
t les plus expresses réserves ; ils pensent que la production des troubles trophiques, des eschares, des gangrènes, etc., es
ils en sont la cause naturelle et la plus fréquente. III. Quant aux troubles trophiques, si libéralement attribués à la para
up. Il ne se passe pas une semaine que nous n'ayons à soi- gner des troubles de gastro-entérite contractés lors des visites
la démarche, mais sans paralysie, sans perte de connaissance, sans trouble du langage : l'abaissement mental devint tel qu'i
espiration courte et diplo- pie. Marche impossible sans assistance. Trouble des idées pendant un ou deux jours. Pas de naus
e qui paraîtrait confirmer cette dernière hypo- thèse c'est que les troubles de la motilité sont généralisés et ont débuté d
mais, selon lui, il est pourtant possible que dans certains cas les troubles dyspeptiques soient primaires et puissent cause
ois occasionner la neurasthénie, il faut citer particulièrement les troubles de l'appareil digestif et des parties sexuelles.
de l'appareil digestif et des parties sexuelles. Comme on sait, les troubles des parties génitales ont été considé- rés comm
linique médicale d'Helsingfors, démontrant qu'il n'y avait point de troubles des parties génitales dans la plupart des cas de
s crises l'enfant s'amuse, son intelligence est normales; il n'a de troubles ni oculaires ni auditifs, ni sensitifs ni moteu
NT, rétraction DE l'aponévrose PALM aire ; par E. FEINDEL. Certains troubles trophiques d'origine nerveuse peuvent présenter
hez qui un traumatisme du nerf cubital droit détermina, en plus des troubles paralytiques, esthésiques, trophiques, conséque
t plus légitime de cher- cher à expliquer cette déformation par des troubles trophiques portant soit sur les ligaments et le
ve ou si, en raison de l'altération de l'influence nerveuse, il y a trouble de la fonction des organes hématopoiétiques.
- laire, tandis que la lésion des cornes postérieures produit des troubles sensitifs divers. Les conducteurs des sensations
ls que douleurs, incoordination, ataxie, contractions spasmodiques, troubles réflexes, se rattachent à des lésions plus éten
aralysie motrice quand la lésion siège dans la substance grise. Les troubles senitifs varient suivant le siège de la lésion
postérieures (tabès). ou des cornes antérieures (polyomyélite). Les troubles trophiques ont aussi une grande valeur; mais il
interosseux). Excitabilité électrique, sensibilité normale; pas de troubles trophiques. Ves- sie et rectum intacts. Au prin
dont le siège serait à la limite de la moelle dorsale et lombaire; troubles de la sensibilité. Plus tard, tout le renflemen
le. Opération le 22 octobre 1892. On ne trouve pas de tumeur. Les troubles de la motilité s'étendent jusqu'au domaine delà h
tilité s'étendent jusqu'au domaine delà huitième paire dorsale, les troubles de la sensibilité jusqu'aux racines dor- sales
parole se continua pendant une semaine et le second deux Jours. Ce trouble était caractérisé : 1° Par une tendance à for
l'amentia manicans. En se basant sur ces cas l'auteur pense que les troubles de la parole, accompagnant la confusion mentale
e de l'issue de la maladie. M. le professeur KORSAKOW pense que les troubles du langage dans la confusion mentale peuvent dé
ation pro- gnostique très grave du diagnostic différentiel entre le trouble aphasique et le trouble pseudo-aphasique. M.
s grave du diagnostic différentiel entre le trouble aphasique et le trouble pseudo-aphasique. M. Rossolimo fit une communic
éceler; il en est ainsi quand l'état d'anxiété est provoqué par des troubles physiques (oblitération des fosses nasales, entér
s ou acquises, soit à des infections, soit à des intoxications. Les troubles mentaux sont identiques, ou à peu près à ceux qu'
ment où éclate le délire, le malade n'a généralement présenté aucun trouble psychique, souvent même il n'a pas d'antécédent
à ces deux derniers types morbides. Leur délire est obsédant, sans troubles sensoriels, sans évolution régulière. Ils peuve
itieuse est analogue aux idées obsédantes, il n'y a toujours pas de troubles sensoriels, ni d'évolution régulière. Le délire
lles se développent non d'emblée mais graduellement, passant par le trouble fonctionnel, l'illusion, puis l'hallucination v
327. - Un cas d' - amnésique, par Simpson, 457. Artériosclérose. Troubles psychi- ques de l ? par Beyer, 405. Asiles. D
y, 325. Traitement de Il -, par le sérum, par Vogelgesang. 383. Troubles psychiques de l' -, au point de vue du dioit cr
s de - ¡,ponta- née, par Ilortoii, 230. GOITRE EXOI'IITIL111()liL Troubles men. taux dans le -, par 60\lldlanoll', 225.
lle, par Riche 333. Gocr. Méthode de -, par Weber. 331. Goût. Troubles du - et de l'odorat dans le tabes, par Kllppel,
ubles du - et de l'odorat dans le tabes, par Kllppel, 257. GRHES. Troubles mentaux dans la maladie de, parMaude, 322. Ha
l dans les maladies, par Clouston, 373. Névrite alcoolique avec troubles mentaux, parNeil, 3fui. -périphé- rique, parS
s, 470. Obsession de la rougeur, par Pitres et Régis, 1 Odorat. Troubles du goût et de 1' - dans le tabes, par Klippel,
IERES. lepsie consécutives par Bourne- ville, 186. Sensibilité. Troubles de la hygrique par Mingazzil1l, 58. Sexuelles
, 62. Chute spontanée des dents dans le -, par Lafon- taine, 150. Troubles du goût et de l'odorat dans le-,par Klippel,
, 466. Tumeur cérébrale ayant procédé par attaques spéciales et troubles de l'ouïe, par Luhrmann, 49. Un cas de -, par
23 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
t dans l'idiotie myxoedémateuse une maladie cérébrale compliquée de troubles trophiques,-disons : demyxoedè- me à divers deg
tion, de la fonction thyroïdienne. Supposons le suprême degré de ce trouble fonctionnel : l'enfant vient au monde, et la; g
analogues, M. Gandy suppose que la cause de cet état réside dans un trouble thyroïdien, peut-être compliqué par la dysorchidi
tète fréquents, l'apathie générale ne sont pas en rapport avec des troubles importants de l'élimination urinaire. Longtemps l
familières des constatations analogues. Ici encore, il s'agit d'un trouble de la fonction thyroïdienne. Pierre-Marie a démon
me façon dans sa fonction complexe, et que, suivant les variétés de troubles , régies elles-mêmes par les variétés d'altérati
tonner de certains phénomènes où apparaît confusément l'action d'un trouble en 'sens inverse, de la même fonction glandulai
ns fondamentales peuvent leur être opposées. La première est que le trouble thyroïdien, appelé hypothyroïdie par Hertoghe,
érale dont les premiers symptômes remontent à 4 ans à peu près,avec troubles du caractère, excitabilité, besoin d'activité s
d'admission suivant : « Dégénérescence mentale avec hallucinations, troubles de la sensibilité générale, préoccupations hypo
a femme et son divorce, en juin 1904, il a commencé à présenter des troubles nerveux ; agitation, insomnie ; fugues ; idées
ées. Pas d'embarras de la parole, pas de signes pupillaires, pas de troubles des réflexes. Attitudes cataleptiformes. Les me
sieurs reprises sur ses' anciennes idées de persécu- tion. Pas de troubles nets de la parole ; pas de signes pupillaires, pa
excitation, violences. 24 SÉGLAS 2 février 990ô. - Rémission des troubles délirants ; affaiblissement sim- ple des facult
1905. Depuis quatre mois environ, sa femme a remarqué chez lui des troubles du caractère, irritabilité, mobilité d'humeur,
e la parole ; signe d'Argyll ; réflexes tendineux plutôt exagérés ; troubles de l'écriture. Dès les jours suivants, en obser
ire, mais jamais de douleurs vives, rien au niveau du coccyx. Ces troubles s'aggravent lentement mais d'une façon continue,
en- tendu dire) du rachis, qu'il n'y avait aucune anesthésie, aucun trouble des . sphincters et que les réflexes étaient co
l'esquisse de quelques pas lorsqu'elle est soutenue. Il n'y a aucun trouble des sphincters, aucun trouble de la sensibilité o
squ'elle est soutenue. Il n'y a aucun trouble des sphincters, aucun trouble de la sensibilité ob- jective cutanée et profon
ONNEIX siers, ni dans les muscles de la cuisse et de la jambe aucun trouble des réac- tions électriques. La peau est sèche,
des régions malades. La malade d'ailleurs ne présente aucun autre trouble fonctionnel ou or- ganique ; c'est une femme de
rarement, atrophie des muscles des extrémités ; 4) inten- sité des troubles sensitifs : anesthésies, hyperesthésies, paresthé
d'ailleurs percevoir par le toucher buccal, peuvent déterminer des troubles de la déglutition. Quant aux articulations de l
s sont intactes. Ces ankyloses osseuses déterminent un ensemble [de troubles fonction- nels très particuliers. Le thorax, ap
ne s'agirait-il pas, dans notre cas, d'une auto- intoxication, d'un trouble de la nutrition plus ou moins bien défini (2),
on pourrait, avec quelques réserves, placer à l'origine de tous ces troubles ! En faveur de cette hypothèse, nous pouvons fa
s vasculaires sanguines. Ces lésions ont, à leur tour, provoqué des troubles de la nutrition générale : aplasie vasculaire, né
. La face, le tronc et les membres inférieurs sont indemnes de tout trouble paralytique ou atrophique. Réflexes patellair
e paralytique ou atrophique. Réflexes patellaires normaux. Pas de troubles sphinctériens. Sensibilité. Aucune altération d
e la a main. Etat mental. - A cette époque la malade présente des troubles psychiques sans grande gravité, exagération d'u
a pas de secousses fibrillaires dans les muscles atrophiés. Pas de troubles objectifs de la sensibilité. La malade dit ne pas
s longtemps dans son évolution. En 1903 la malade est atteinte de troubles digestifs graves avec ictère chro- nique. Elle
mps que l'atrophie musculaire prédominant aux extrémités il y a des troubles de la sensibilité et des douleurs du type fulgura
énomènes douloureux, intermittents et d'intensité moyenne mais sans troubles objectifs de la sensibilité cutanée. Telle est la
alade n'a jamais eu de douleurs dans les mem- bres inférieurs ni de troubles sphinctériens. Des examens du malade qui ont ét
le malade ont consisté et consistent presque exclusi- vement en des troubles de la démarche, troubles qui ont montré une progr
consistent presque exclusi- vement en des troubles de la démarche, troubles qui ont montré une progres- sion lente dans les
bien à la lumière et à l'accommo- dation. Pas de nystagmus. Aucun trouble des sensibilités superficielles ; sens des attitu
. L'affection actuelle débuta vers 1902, à l'âge de 70 ans, par des troubles de la démarche qui progressèrent dans les année
e présente aujour- d'hui. Le malade n'a jamais eu de douleurs ni de troubles sphinctériens. 11 ne peut marcher sans un doubl
n conservé. Pas de nystagmus. Motilité des yeux normale. ' Pas de troubles de la sensibilité (superficielle et profonde : le
survenaient pendant une demi-journée tous les 3, 4 ou 5 jours, les troubles de la démarche allaient en augmentant de même q
les troubles de la démarche allaient en augmentant de même que les troubles dans les membres supé- rieurs ; quant à la paro
it en s'améliorant. Dans l'année suivante même progression dans les troubles , mais depuis 1899 son état n'a pas beaucoup cha
nt un peu analogue à celui de la sclérose en plaques. Il existe des troubles de la diadococinésie dans le membre supérieur gau
crémastériens. Réflexe abdominal conservé des deux côtés. Pas de troubles de la sensibilité marqués : il existe seulement u
progressive. Ce qui caractérise surtout cette affection ce sont les troubles particuliers de la démarche. Si en effet le fai
e Romberg (Obs. 111). Il y a encore chez les trois malades quelques troubles de la synergie musculaire, dont la valeur diagn
les affections cérébelleuses a été mise en relief par Babinski. Ces troubles se manifestent chez nos ATROPHIE PRIMITIVE PARE
ccommodation est conservé. Dans un seul cas (Obs. III) existent des troubles de la sensibilité sub- jective et objective sou
malade, âgé de 60 ans, est aussi le seul qui ait présenté quelques troubles sphinctériens d'ailleurs très légers, se manifest
est facilement expli- quée par les lésions du cervelet. De même les troubles de la synergie musculaire, le tremblement parti
, le tremblement particulier dans les extrémités supérieures et les troubles de la parole, faits assez fréquemment consignés d
ésentés par le malade, tels que le phénomène de Romberg, les légers troubles urinaires, les douleurs et la légère hypalgésie
ompte de lésions médullaires du même ordre que les nôtres, quelques troubles de la motilité, de la réflectivité et de la sensi
re devient aveugle au bout de 7 ans. - Deux mois après le début des troubles oculaires, elle éprouva dans tous les membres d
, le sens stéréognostique ne sont pas modifiés ; mais il existe des troubles notables de la sensibilité osseuse, le temps de p
sont : les signes d'in- coordination, l'abolition des réflexes, les troubles de la sensibilité osseuse, les phénomènes ocula
l'hypo- thèse que l'ostéite déformante de Paget n'était autre qu'un trouble trophi- que placé sous la dépendance de lésions
digne de la plus grande attention, non seulement par la rareté des troubles qu'il présente, mais aussi et surtout par l'imp
'importance des.problèmes de phy- siologie et de pathologie que ces troubles soulèvent. Nous avons trouvé ce malade exposé d
'un enfant de son âge. Le malade ne nous a pas semblé présenter des troubles psychiques. Il comprend facilement ce qu'on lui
de cette observation. Discutons maintenant un peu la pathogénie des troubles présentés par ce malade. Il est d'abord un géan
antisme et l'acromégalie ne sont que l'expression d'un seul et même trouble qui commence dans le premier cas avant la cessa
même sens plaident les cas de puberté, précoce coexistant avec des troubles cérébraux et survenus précisément à la suite d'
nitaux. Mais, ce qui dans notre cas nous a fait surtout penser à un trouble de la fonction hypophysaire, c'est surtout l'ac
e ? Nous estimons qu'il faut en chercher la raison toujours dans un trouble des sécrétions internes. Au point de vue de c
vers l'époque de la puberté plaide, pour nous, mieux en faveur d'un trouble dans les glandes à sécrétion interne, et nous a
essive. Une pareille polysarcie peut-elle reconnaître pour cause un trouble hypophysaire ? - Nous sommes disposé l'admett
é l'admettre. Car il nous semble peu probable que dans notre cas le trouble général du développement reconnaisse deux cause
ituitaire a amené, outre la disparition ou la diminution des autres troubles tels que l'arythmie cardiaque, les maux de tête
e de 45 kilogrammes en six semaines. Dans ce cas le diagnostic de trouble pituitaire est donc corroboré aussi par l'opoth
ue dans les cas pareils aux nôtres et à celui de Lemos il s'agit de troubles hypophysaires nous semble digne d'être prise en
e est tombante à droite. Jamais, dit-elle, elle n'a éprouvé d'autre trouble quelconque de la santé ; en particulier jamais
rd elle mange lentement et avec peine; mais elle ne présente pas de trouble de déglutition. Elle est incapable, cela va' de
s atrophiée et présente une mobilité normale en tous sens. Pas de troubles cardio-respiratoÏ1'es, jamais de vomissements.
lanci- nantes, ni de maux de tête. La marche est normale ; aucun trouble de coordination des membres, pas de paralysie.
olécranien normal. Réflexe massétérin nul des deux côtés. Pas de troubles des réservoirs ; ni sucre, ni albumine dans les u
it même dire que la poliencéphalite est totale, car il y a quelques troubles dans le domaine du faciai inférieur. Ce fait méri
présente cette hypothèse qu'avec réserves. Il n'y a en effet aucun trouble de sensibilité, pas de douleurs fulgurantes, ni d
et aucun trouble de sensibilité, pas de douleurs fulgurantes, ni de troubles sphinc- tériens. On ne note ni douleurs, ni ane
. Ici, l'atrophie et la paralysie des masséters l'emportent sur les troubles dans le domaine du facial. S'il s'agit, dans le
s segments du membre une paralysie presque absolue. . Il existe des troubles vaso-moteurs très manifestes, accusés surtout au
es réflexes pupillaires sont conservés. Il n'existe, nulle part, de troubles de la sensibilité subjective ou objective (tant
ctive (tant superficielle que profonde). 126 ITALO ROSSI Pas de troubles sphinctériens. Le malade ne présente pas de tro
ROSSI Pas de troubles sphinctériens. Le malade ne présente pas de troubles de la parole. Quoique étant « minus liabens » i
r examen fait peu de temps avant sa mort a confirmé la présence des troubles moteurs, trophiques et de la réflectivité ci-de
vomissements, convulsions, trou- bles gastro-intestinaux, etc. Les troubles de motilité qui font suite à ces prodromes sont
t démonstratif. Un enfant de 6 mois, S ou 6 jours après le début de troubles gastro-intestinaux graves, avec fièvre élevée,
ent, et parle en faveur d'une lésion du neurone moteur central. Lés troubles de la motilité se limitent ici aux muscles péroni
lorsque les foyers siègent dans le domaine des noyaux du bulbe, les troubles de la circulation et de la respiration sont telle
. L'examen minutieux des autres organes n'a permis de révéler aucun trouble fonctionnel. .- Le diagnostic de trophoedème
areil sympathique ou le protoneurone centripète nous expliquent les troubles sécrétoires, les troubles vaso-moteurs, certain
otoneurone centripète nous expliquent les troubles sécrétoires, les troubles vaso-moteurs, certains troubles oculo-pupillaires
quent les troubles sécrétoires, les troubles vaso-moteurs, certains troubles oculo-pupillaires observés parfois dans le tabe
ué depuis les extrémités des doigts jusqu'au milieu du bras. Pas de troubles de la motilité, ni de la sensibi- lité cutanée,
aits, nous pensons .158 LONG qu'il n'est nul besoin d'invoquer un trouble trophique d'origine myélo- pathique. Une malfor
QUE PAR . C. PARHON et S. FLORIAN (de Bucarest) . L'étude des troubles trophiques relevant d'une altération du système
eine effleurées. Nous ignorons bien souvent le lien qui rattache le trouble trophique à la lésion, le plus souvent centrale,
ous celui d'oedème segmentaire. Le nombre de cas appartenant à ce trouble trophique, publiés jusqu'à présent est encore a
préciables, Ni eux ni personne de leurs parents n'ont souffert d'un trouble semblable à celui dont est affectée cette malad
uite de maladies infectieuses. Ceux qui restent ne présentent aucun trouble de la santé et surtout rien rappelant le e trou
présentent aucun trouble de la santé et surtout rien rappelant le e trouble trophique dont est atteinte leur soeur. La mala
reins et des poumons. Le foie et la rate un peu volumineux. Pas de troubles de la sensibilité ou des réflexes. Etat intelle
otique aigu de Quincque vu la chronicité et la durée déjà longue du trouble chez cette malade. L'éléphantiasis peut être for-
phoedème chronique ainsi que l'a si bien conçu Henry Meige. Dans ce trouble trophique, comme dans notre cas, il s'agit d'un o
rouge des téguments. ' De même dans une observation de Follet, les troubles ont débuté par des douleurs vives dans la cuiss
dernier ne devient persistant qu'à la troisième poussée. ' , j Des troubles , en moins, de la sensibilité ont été également ob
ause de l'hémianesthésie qu'elle présentait, si la présence du même trouble trophique chez d'autres membres de sa fa- mille
gents thermiques. Notons en passant que cette malade présentait des troubles mentaux et que les cas de Dide (12) et celui de
peut-être ne faut-il voir dans l'un et l'au- tre qu'un seul et même trouble morbide. L'adipose sous-cutanée qui existe dans
re la vraie cause nous échappe. Nous pouvons pour- tant penser à un trouble évolutif en rapport peut-être avec des fonctions
pposé. , Le début brusque, fébrile de l'affection, l'alternance des troubles trophi- ques font supposer à l'auteur cité qu'i
isation. D'autre part, le fait que l'on peut observer isolément des troubles tro- phiques du système osseux, musculaire et c
oedème. Ce caractère parle donc aussi pour l'origine centrale de ce trouble trophi- que, bien qu'il ne faut pas exclure d'u
rcément penser aux vaso-moteurs. Pourtant le caractère variable des troubles va- so-moteurs quand ils existent dans une phas
), qu'il pourrait bien s'agir dans le syndrome qui nous occupe d'un trouble dans l'innervation des vaisseaux lymphatiques.
ssible d'un terrain d'hypothyroïdie, détermine la lo- calisation du trouble . Nous voulons dire que l'hypothyroïdie à elle s
eints de trophoe- dème la présence des malformations dentaires, des troubles trophiques des cheveux, des noevi, des verrues,
pti- que sur lequel a évolué la maladie, des lésions oculaires, des troubles vaso-moteurs et trophiques nous semblent donner
sous les aisselles et presque point aux régions génitales. - Les troubles vaso-moteurs et trophiques sont importants ; les
t que la chevelure est abondante), l'as- thénie, l'extrême apathie, troubles qui font tous partie du tableau symp- tomatique
oïde et certains ont vu la pathogénie du syndrome de Dercum dans un trouble de la sécrétion interne de cette glande. Ces lési
rome « accidentel » de simples algies survenant chez une obèse. Les troubles accessoires trophiques, vaso-moteurs, sécrétoires
ont bien plutôt de nature à faire considérer cette adipose comme un trouble dystrophique du tissu cellulaire sous-cutané à ra
dème, maladie de Dercum semblent avoir une pathogénie analogue : un trouble de l'innervation sympathique sous la dépendance
plaque rouge sur le thorax ; pas de ro- séole ni de céphalée. Les troubles paralytiques ont débuté à l'âge de 32 ans, précéd
il éprouvait une sensation de violente brûlure. Il n'a jamais eu de troubles sphinctériens. Etat actuel (mai 1903). ' SY
ané plantaire se fait en extension à droite, en flexion à gauche. Troubles trophiques : Il existe une atrophie très marquée
u milieu du bras, mesure 3 centimètres de plus que le droit. Pas de troubles sphinctériens. Le malade ne présente aucun sign
elligence est bien conservée; la voix est légèrement enrouée. Aucun trouble viscéral, à part la hernie inguinale. A la ponc
che centrale de 10 degrés environ correspondant à la macula. Pas de troubles objectifs ou subjectifs de la sensibilité général
maux. Forte diminution de volume dans les membres paralysés. Pas de troubles sphinctériens. Pas de dysar- thrie ni d'aphasie
premier digne d'être relevé dans notre observation est l'absence de troubles de la sensibilité générale, bien que, nous l'avon
la région de la calotte participe à la lésion, on peut observer des troubles de la sensibilité générale du côté de l'hémiplé
de la formation réticulée grise soient complètement détruites. Les troubles sensitifs par contre peuvent manquer, ou ne per
lle se fait lentement, comme dans les cas de tumeur. L'absence de troubles sensitifs dans notre cas, où il existe les condit
il existe les conditions ci-dessus décrites pour la production des troubles sensitifs, est donc loin SYNDROME DE WEBER AVEC
es ? Pent-être aussi - ce qui est beaucoup plus vraisemblable - les troubles sensitifs ont-ils existé à un moment donné chez n
notre malade.Nous avons vu il est vrai, qu'il n'avait jamais eu de troubles sensitifs subjectifs, de douleurs d'origine cen
que dans l'histoire de sa maladie on ne retrouvait signalés, comme troubles objectifs de la sensibi- lité, que quelques phé
éphalique, (par lésion du ruban de Reil médian) ce sont surtout les troubles de sensibilité profonde qui prédominent. Il est d
qui prédominent. Il est d'ailleurs facile de comprendre que de tels troubles puissent parfaitement exister à l'insu d'un mal
légie avec con- tracture. Quoi qu'il en soit, l'absence certaine de troubles sensitifs cons- tatée 23 ans après le début de
cessèrent. La fièvre continua jusqu'à la fin. Les urines devinrent troubles et contenaient du pus. A toutes les parties soumi
lus net ; on voit les granulations. Le protoplasma des cellules est trouble et présente un degré avancé de chromatolyse. Les
rs d'hémorragie. Les cellules nerveuses des cornes antérieures sont troubles , leurs noyaux sont pâles ou invisibles ou rejet
ire. Les lésions sont moins intenses. Les cellules ner- veuses sont troubles , les fibres nerveuses gonflées, les vaisseaux con
arche spasmodique et quel- quefois impossible, du moins sans appui, troubles trophiques diffus des muscles contractés et de
ovembre 1905 une légère indisposition, avec un peu de fièvre et des troubles gastriques ; au bout de trois jours, il fut consi
se 14 218 JACINTO DE LÉON général, fièvre légère, coryza, toux, troubles gastriques, influenza peut-être ; il garda le l
s et extenseurs du tronc, suppression des réflexes tendineux, aucun trouble de la sensibilité, légère diminution des réacti
il y eut réapparition d'une légère fièvre, environ 38°, et quelques troubles gastri- ques qui se prolongèrent plusieurs jour
ce. Lorsqu'on peut déterminer la topographie de la paralysie ou des troubles objectifs de la sensibilité, comme dans le cas
cette mala- die, mais alors elle est plus étendue et accompagnée de troubles profonds de la sensibilité objective. HOSPICE
ent lente. Pas d'inversion de la formule polaire. Il n'existe aucun trouble sensitivo-sensoriel ou des sphincters. Les viscèr
ade, sa démarche, l'absence de contractions fibrillaires, de DR, de troubles sphinc- tériens nous dispensent de discuter le
rement hippocratiques, et cette déformation nous paraît relever des troubles de l'hématose dus à la déforma- tion thoracique
er- vations antérieures. 4° Quant au caractère héréditaire de ces troubles , nous n'avons pu le retrouver chez notre malade
on, ViIlIretetFrancoz). 2° Notre malade présente en second lieu des troubles importants de la dentition. Quoique âgée de 1
st à remarquer que chez les malades atteints de cette affection les troubles de la dentition sont assez fréquents. En nous b
leurs premières communications Marie et Sainton avaient observé des troubles de la dentition. Obs. de A.. 39 ans (S. M. hôp.
e ou deux dents sont déjà cariées ». Ils retrouvèrent également des troubles de la dentition sur les deux malades qu'ils obs
tait très peu developpée. De ce court aperçu il paraît bien que les troubles de la dentition sont un symptôme presque consta
ânienne, principalement la gibbosité très marquée de la malade, les troubles de la dentition, le retard de l'ossification et l
er qu'il est exceptionnel, qu'il n'a même pas été si- gnalé, un tel trouble de la dentilion dans le rachitisme, et que la mal
ie périostale et la dysostose cléido-crânienne comme résultant d'un trouble glandulaire ou trophique, à la suite d'une lésion
re (hérédo-intoxication), soit du foetus (auto-intoxication). Les troubles de la dentition que nous avons observés seraient
deux affections chez le même malade. En tout cas, à la base de ces troubles dystrophiques, et quelle qu'en soit la nature,
lève deux des symptômes de la triade d'Ilutchinson, la surdité, les troubles de la dentition. Mais le Dr Gellé qui a examiné M
firmer l'origine spécifique de la surdité; et, d'autre part, si les troubles dentaires doivent faire penser à l'hérédo-syphili
e dit pas « origine cons- tante », et nous avons déjà signalé qu'un trouble de sécrétion glandulaire suffit à les détermine
de rapporter l'arrêt de développe- ment physique et psychique à un trouble de la fonction thyroïde, à l'hy- pothyroïdie qu
") marquée. Les réflexes cutanés et tendineux sont normaux ; pas de troubles appréciables des sensibilités viscérales, tendi
ais l'irritation du grand sympathique entraîne très fréquemment des troubles vaso-moteurs de la face. L'épreuve des collyres
ion. Mais la plupart des auteurs, qui discutent la pa- thogénie des troubles pupillaires, ne tiennent compte que de ces deux
en- dance d'un nerf moteur ». Donc, au lieu de rapporter tous les troubles moteurs de l'iris à des lésions siégeant en amo
mont du ganglion ciliaire, il est logique d'admettre l'existence de troubles fonctionnels ou organiques ayant leur origine soi
eureusement nous ignorons à peu près to- talement les symptômes des troubles morbides, qui peuvent se produire dans ce gangl
ue nous avons observé chez notre malade un cas de mydriase due à un trouble paralytique siégeant soit dans le ganglion cili
e peut l'expliquer. Il nous faut donc rattacher cette mydriase à un trouble de l'innervation locale. 9 Causes organiques. -
d'auteurs ne l'admettent pas. Dans son important article sur « les troubles oculaires dans l'hystérie », Parinaud (1) ne pro-
c'est qu'ils ont voulu expliquer la mydriase maximale par les seuls troubles du moteur oculaire commun ou du grand sympathiq
t : . ï = ? > lQlVOIYÉLIIi; AVEC PHÉNOMÈNES BULBAIRES K - ET TROUBLES TROPHIQUES INTENSES, par F. RAYMOND et P. LEJ
du Système Nerveux à la Salpêtrière. Les phénomènes'bulbaires, les troubles trophiques sont des manifesta- tions bien connu
ertainement plus \' froide au toucher que celle du côté opposé. Ces troubles vasomoteurs s'exagè- \. 'rent lorsque la tempér
tracter ainsi que le diaphragme et les muscles respiratoires. Ces troubles ont une origiue complexe : avant tout il faut met
ur les muscles les plus atteints. Du côté du cou, il n'existe aucun trouble de la motilité ; la face est de même absolument
che et présente une parésie évidente. Le malade n'a jamais eu aucun trouble de la parole et sa voix ne s'est pas modifiée";
cun phénomène dou- loureux. Objectivement, on constate de très gros troubles des sensibilités sv- pe1'/icielles, ainsi qu'en
pte le schéma ci-joint. On peut dire d'une manière générale que les troubles occupent toute la moitié droite du corps, la mo
la face, et en arrière la zone de distribution de CI et de C2, les troubles sensitifs, très légers, consis- tent simplement
la reconnaissance du chaud et du froid. Une seconde zone, où les troubles sont plus marqués, comprend en avant le territo
x trois modes est évidemment il FIG. 1. Hachures horizontales = troubles de la sensibilité thermique. Hachures verticale
tales = troubles de la sensibilité thermique. Hachures verticales = troubles de la sensibilité tactile. Hachures obliques .=
rticales = troubles de la sensibilité tactile. Hachures obliques .= troubles de la sensibilité aux trois modes. ) 2GG RAYMON
sque abolie, au niveau des FIG. 2, 2. '1\ Hachures horizontales = troubles de la sensibilité thermique. Hachures verticale
tales = troubles de la sensibilité thermique. Hachures verticales = troubles de la sensibilité tactile. Hachures obliques =
erticales = troubles de la sensibilité tactile. Hachures obliques = troubles de la sensibilité aux trois modes Sln1\GO\(1'GL
t si l'objet est très gros. A gauche il existe simplement de légers troubles du sens des attitudes aux doigts 1 et aux ortei
le réflexe crémastérien affaibli des j deux côtés. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité au niveau de la cavité buccale
ite, chronique dont nous avons parlé. Nous avons déjà signalé les troubles trophiques accentués que présente F... : (scoli
chiromégalie du côté droit, atrophie J musculaire diffuse), et les troubles vasomoteurs (rougeur et refroidissement du memb
r et refroidissement du membre supérieur droit). 1 Il n'y a aucun trouble sphinctérien. 1 L'état psychique est satisfaisa
t par des symptômes moteurs, sensitifs, tt'oplii-I ques, et par des troubles bulbaires. \ 4° Les symptômes moteurs consisten
upérieur droit, -accompagnée d'affaiblissement des réflexes. 2° Les troubles sensilifs, en une hémi-hypoestbésie aux trois mod
ibilités profondes sont très troublées sur- tout à droite. 3° Les troubles trophiques en une scoliose à convexité droite, un
hypertrophie du poignet et de la main du même côté, accompagnée de troubles vaso-moteurs. 4° Enfin les troubles bulbaires s
du même côté, accompagnée de troubles vaso-moteurs. 4° Enfin les troubles bulbaires sont surtout constitués par une hémiatr
mpte que de certains symptômes, la déformation '\ vertébrale et les troubles de sensibilité pourraient à la rigueur en impo-
Pott s'accompagnent de paraplégie spasmo- ' clique, de scoliose, de troubles de la sensibilité, même avec dissociation dite
des phéno- mènes, à part la paraplégie bilatérale, presque tous les troubles siègent à droite (hémi-anesthésie , troubles tr
rale, presque tous les troubles siègent à droite (hémi-anesthésie , troubles trophiques et bulbaires, parésie du bras) ; c'e
, deux ordres de symptômes nous seront particulièrement utiles, les troubles de sensibilité et les phénomènes bulbaires. N
phénomènes bulbaires. Nous ne reprendrons pas l'étude détaillée des troubles de la sensibilité, (1) At.Jmcrs et LnawuTre, Re
ion radiculaire et qu'on peut au point de vue de l'intensité de ces troubles diviser la moitié droite du corps en trois zone
ile est,; plus émoussée que la sensibilité douloureuse /<$ Les troubles des sensibilités profondes sont plus considérable
que cx" qu'on signale d'habitude : il existe à droite de très gros troubles (le sensibilités superficielles, tandis qu'à ga
sensibilités superficielles, tandis qu'à gauche on observe de légers troubles du sens des attitudes aux doigts et aux orteils
la sensibilité superficielle est normale à tous les modes. ` Les troubles bulbaires consistent en premier lieu en une hémia
he interne du spinal et le noyau de l'hypoglosse. Il n'existe aucun trouble dans la sphère du pneumogastrique, la respirati
ssopharyngien, ni le facial ne sont touchés. Quant à l'auditif, les troubles de l'ouïe présentés par le malade sont dus à des
e valeur à faire cette hypothèse ; dans le cas qui nous occupe, les troubles de sensibilité ont une disposition ra- diculair
osseuse sont normales ; tandis que brusquement à partir de C'' les troubles de sensibilité deviennent in- tenses et atteign
région cervicale droite et il faut donner la même signification aux troubles trophiques et vaso- moteurs qu'on remarque au n
moelle, la lésion paraît atteindre avant tout la corne postérieure ( troubles des sensibilités superficielles, troubles trophiq
out la corne postérieure (troubles des sensibilités superficielles, troubles trophiques), mais le cordon postérieur ne paraî
t dans le tableau clinique présenté par F..., c'est l'intensité des troubles trophiques puisque l'on observe à la fois chez
e d'un certain nombre de muscles de l'omoplate et du dos ; mais ces troubles musculaires sont en général bilatéraux, ils ne
oublées au ni- veau des muscles malades, ils paraissent surtout des troubles secondaires, incapables d'avoir produit une par
et que selon l'opinion de Nalbandofl" (4) il s'agit avant tout d'un trouble trophique des os eux- mêmes. Nous n'avons malhe
ter avant tout un processus d'ostéite condensante, c'est-à- dire un trouble trophique véritablement primitif de la colonne do
use surtout un processus de décalcification. La chiromégalie est un trouble trophique beaucoup plus rare ; c'est un cas par
est souvent taciturne, quelquefois il est désorienté. Toutefois ces troubles ne durent jamais plus de 2 à 4 jours. Depuis plus
lleux. Fin 1902, amanrose totale, maux tête, nausées. Janvier 1904, troubles psychiques nets, tremblement accentué du bras et
ine au cerveau, accompa- gnée de maux de tête des plus violents, de troubles de la conscience, etc. Il semble que des observ
rès abondante sans cause appréciable. Dans ces derniers temps les troubles gastriques sont allés en augmen- tant d'une faç
ce propos la monographie de Kiuus dans ['Encyclopédie de Nothnagel. TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR PAR
pénible et l'épuisement du système nerveux atteignit son apogée. TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 341 Nos
t morales, ne pouvaient manquer de fournir un terrain favorable aux troubles men- taux. Dans 26 cas, la maladie se développa
d'aliénation, elles peuvent se répartir de la manière suivante : TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 343 344
s les quatre un haussement des réflexes rotuliens, dans deux cas le trouble de la sen- sibilité, sous forme d'hyperalgésie
and l'atmosphère cessa d'être ébranlée par le (1) A. Ozeretskowsky, Troubles mentaux causés par la guerre russo-japonaise, pen
emière année, Journal de médecine militaire (Russe), 1905, livre X. TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 345 bru
Le début et le développement de la mala- die étaient brusques. Les troubles cérébraux se firent remarquer à la suite d'un l
ie de forme légère, ce que Korsakoff nomme dysthymia melancholica : trouble du sentiment, état émotionnel pénible. 1 L'hume
le siège, tous deux réservistes devaient avoir depuis longtemps des troubles cérébraux. Jusqu'au départ de Port-Arthur, tout
. De sorte qu'un résumé sommaire nous donne dans 22 cas sur 38 un TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 347 bru
8 un déran- gement primaire et indépendant de l'intelligence, sans troubles particu- liers dans la sensibilité morale. Dans
à ce qui vient d'être dit plus haut, que sur 37 soldats atteints de troubles cérébraux pendant le siège, il y avait 17 réservi
des ne faisant pas partie du nombre de ceux qui étaient atteints de troubles psychiques pendant le siège, mais ayant malgré
és. A peine l'eut-on dé- sarmé qu'il fut tué par un éclat d'obus. TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 349 20
9 mai 1905, nous en trouvons 39 (officiers et soldats) atteints de troubles cérébraux pendant le siège, dont 2 moururent et
eur village. Conclusions : 1° Le nombre de militaires atteints de troubles cérébraux pendant la période du siège (officier
gumen- taires bien connus avec leurs rythmes saisonniers ni sur les troubles vis- céraux dominants qui les accompagnent (tro
ers ni sur les troubles vis- céraux dominants qui les accompagnent ( troubles gastro-intestinaux divers, gastrorrhées et diar
hobies diverses. La sitophobie est fréquente et coïn- cide avec les troubles gastro-intestinaux, gastralgie, crampes, nausées,
est pas moins très accusé; on ne peut interpréter correctement ces troubles de la marche des séniles où les désordres de l'
tologiques relativesau cervelet sénile, nous rappelle- rons que les troubles de l'équilibration ne sont pas négligeables dans
dit des étals lacunaires, est considérée par Grasset (li) comme un trouble d'équilibre susceptible de s'observer chez des
du crâne. Il n'y eut jamais de vertiges, ni de convulsions, ni de troubles moteurs du côté de la face ou des membres. Il
droit, remontent jusqu'à l'aine et durent deux à trois minutes. Ces troubles d'épilepsie partielle sensitive ne s'accompagnert
avec engorgement veineux et névrite optique double. II n'y a pas de troubles auriculaires appréciables ni de troubles gustatif
ue double. II n'y a pas de troubles auriculaires appréciables ni de troubles gustatifs (il sent le salé et le sucré). Il sem
du rachis. La sensibilité subjective ou objective ne présente aucun trouble appréciable. La percussion du crâne ne révèle a
des réflexes ten- dineux et osseux des membres supérieurs. Pas de troubles vaso-moteurs ni trophiques. L'état général est ex
taux sont normaux. Son état intellectuel est intact. Il n'y a aucun trouble de la parole, aucune lenteur ni dans la compréh
nus du pied à droite, avec signe de Babinski des deux côtés. Pas de troubles de la sensibilité. Ces phénomènes sont surven
musculaire est diminué ainsi que le sens stéréognostique. Quelques troubles vaso-moteurs de ce côté. , 25, juin 1906. - Dep
e hémiplégie. Il y a une légère hémihypoesthésiedu côté droit, sans troubles subjectifs de la sensibilité. Les réflexes ro
ne de Babinski à droite. A gauche ce signe est inconstant. Pas de troubles des nerfs crâniens. Pas de troubles vaso-moteurs.
ce signe est inconstant. Pas de troubles des nerfs crâniens. Pas de troubles vaso-moteurs. Le pouls est régulier et hat à 68
'quel- quefois. La torpeur cérébrale est assez accusée, sans aucun trouble de la rai- son. Le malade n'est ni gai ni trist
pression extraordinaire des hémisphères contraste avec l'absence de troubles intellectuels, et montre bien l'extrême tolérance
suffisante. Pas d'atrophie musculaire. Il ne semble pas y avoir des troubles grossiers de la sensibilité, autant du moins qu
côtés : l'incontinence des sphincters est complète. Il n'y a aucun trouble bulbaire, en particulier, du côté du pouls ni de
nostic assez difficile, si la malade avait été moins âgée et si les troubles mentaux et sphintériens ayaient été moins accentu
protubérance. 2° En pareil cas, on peut voir apparaître, à côté des troubles intellec- tuels qui indiquent l'existence des l
IE SUIVI D'AUTOPSIE PAR J. LHERMITTE et ARTOM (de Turin). Les troubles trophiques comptent certainement parmi les symptô
uisse expliquer le développement de ces symptômes. En dehors de ces troubles trophiques, il en est d'autres, moins fréquem-
d d depuis le IVe segment cervical jusqu'au IXe segment dorsal. Les troubles moteurs aussi bien que les troubles de la sensi
usqu'au IXe segment dorsal. Les troubles moteurs aussi bien que les troubles de la sensibilité permettaient déjà de localise
éveloppement des macrosomies partielles et la syringomyélie par les troubles sensitifs qui sont toujours superposés à la cheir
e dans la syringomyélie ; si l'on ajoute que dans l'acromégalie les troubles moteurs et sensitifs font défaut tandis que les d
ider : c'est, d'une part, la juxtapo- sition sur le même membre des troubles trophiques divers, de la macro- 382 LHERMITTE E
dante d'une affection surajoutée, comment expliquer la genèse de ce trouble trophique ? Ainsi que [le remarque Schlesinge
trice d'une névrite qui, chez d'autres malades, se tra- duit par le trouble trophique de l'éruption zostérienne. Et entre ces
éterminer soit la vasodilata- tion extrême avec ecchymose, soit les troubles trophiques zostériens. Un autre mécanisme pourr
ts d'ordre sympathique, tels que de la vasodilatation exagérée, des troubles trophiques ou des oedèmes (1). (1) G. ETIENNE,
de notre observation. Nous le ferons d'abord en ce qui concerne les troubles que la dissection nous a fait reconnaître. Ensu
riphérie et plus les lésions sont intenses et marquées. Ainsi les troubles sont relativement plus marqués dans le membre que
ssi- fication. B. Au niveau du bras où il y a relativement peu de troubles , les anomalies sont de celles qui sont reconnue
que peu banales, semblant indiquer que celles-ci sont l'ébauche des troubles que nous ob- servons chez notre sujet et qu'ell
variétés de l'état normal, sont ici présentes dans les points où le trouble pathologique est à son minime degré. ' Au bra
econnue des auteurs classiques, Au niveau de l'avant-bras, où les troubles sont beaucoup plus marqués, nous pouvons répart
e de formation des cavités, et serait peut-être attri- buable à des troubles circulatoires (compression de la veine de Galien)
retrouve pas de reliquat manifeste d'une lésion des vaisseaux ; le trouble circulatoire aura été transitoire, et il a dû se
uise,elle peut être en définitive rattachée aux mêmes causes, à des troubles circulatoires el à des processus encéphalitiques
points symétriques permettent de les regarder comme dépendant d'un trouble fonctionnel des centres trophiques, le trouble
comme dépendant d'un trouble fonctionnel des centres trophiques, le trouble fonctionnel étant peut être lui-même imputable
nt d'une même cause générale. Il s'agit très vraisemblablement d'un trouble fonctionnel de l'appareil régulateur qui présid
Marie émet, nous l'avons rappelé en commençant, l'hypothèse « d'un trouble de la fonction ou du développement de quelque o
OEDÈME PAR C. PARHON ET P. CAZACOU (de Bucarest). L'étude des troubles trophiques constitue certainement une des plus in
t grand l'intérêt qui s'attache à tous les problèmes concernant les troubles trophiques. Parmi ces derniers le trophoedème c
sur le front, le tronc et les membres. Depuis l'apparition de ces troubles la malade a exclu la viande de son ré- gime.
des - membres d'une autre malade (âgée de 19 ans) atteinte du même trouble mais d'un seul côté et dont l'un de nous a publ
graphie segmentaire du trophoedème, plaide hautement en faveur d'un trouble nerveux, d'origine médullaire. Certaines dispos
nner une explication suffisante de la topographie segmentaire de ce trouble trophique. Nous ne reviendrons pas sur ce point,
ement elle est congénitale et familiale ». * Celte hypothèse d'un trouble dans la circulation lymphatique sous la dépenda
lle hypothèse ne nous explique pas la topographie segmentaire de ce trouble trophique. Mais elle ne doit pas être non plus re
re l'apparition de l'urti- caire comme de l'oedème aigu et certains troubles du métabolisme calcique. Or ainsi que le remarq
Cela nous amène à émettre l'hypothèse d'une relation entre certains troubles du métabolisme calcique et le trophoedème chroniq
leet pouvant être indé- pendante du système nerveux, par exemple un trouble du métabolisme calcique général d'origine gland
E TROPHOEDRAME CHRONIQUE 455 5 dans certains cas,en rapport avec un trouble du métabolisme calcique, ce qui favoriserait un
énieuse idée d'attribuer la constipation des hypo- thyroïdiens à un trouble du même genre. M. NETTER pense également que la
nçoit que dans ces conditions on peut s'attendre à l'apparition des troubles tels que ceux de l'urticaire, de l'oedème aigu ou
bre calcique a fait cesser, précisément par ce fait selon nous, les troubles ci-dessus mention- nés. La conception ci-dessus
PIN) et dont un des membres 456 PARUON ET CAZACOU affectés par ce trouble a été amputé pour une tumeur. Il trouva du tissu
its semblent de nature à éclairer jusqu'à un certain point certains troubles trophiques et certains faits physiologiques d'un
l'adiposité dans l'hypothyroï- disme comme une conséquence du même trouble du métabolisme calcique en vertu duquel la tran
nalogue. Il s'agit de la même transsudation de lymphe à la suite du trouble dans le métabolisme calcique. Mais ici il semble
tion de cette lymphe est plus défectueuse. Donc non seulement les troubles de la croissance, de la dentition, de la coagul
ef de l'action multiple de la glande thyroïde et son absence ou ses troubles nous expliqueront le tableau clinique complet o
do oedème catatonique, l'adipose douloureuse, le myxoedème sont des troubles qui ont beaucoup de connexion entre eux au point
que. SUR UN NOUVEAU CAS DE TRO'PHOEDÈME CHRONIQUE ' · 47 C'est le trouble du métabolisme calcique et la transsudation lymph
mouvement de ro- tation de la tête vers la gauche a persisté. Ces troubles visuels et auditifs ont-ils vraiment provoqué une
- suivant les moments, mais qui paraît bien'témoigner d'un certain trouble du contrôle des actes musculaires volontaires.
ir des fâcheuses attitudes compensatrices qu'ils prennent. 3° Les troubles respiratoires sont fréquemment associés au tortic
une dizaine de jours, je suis très gêné par une recrudescence d'un trouble moteur de date déjà ancienne (12 ans environ) q
des mouve- ments plus amples et plus violents. Hier j'ai éprouvé ce trouble , mais un ins- tant seulement, en me rasant. Dep
nouveau dans les conditions de persistance que je vous indique, le trouble ancien. Est-ce une simple coïncidence ? Je serai
idence ? Je serai heureux d'avoir votre opinion sur la nature de ce trouble fonctionnel et de savoir si je dois m'en préocc
assez souvent au cours des torticolis convulsifs. Le plus souvent ce trouble moteur précède le torticolis ; parfois ce derni
une imperfection organique, mais une imperfection fonctionnelle. Un trouble fonctionnel s'est produit, sans que pour cela l
7. LEJONNE et RAYMOND. Syringomyélie avec phénomènes bulbaires et troubles tro- phiques intenses, 261. Léon (JACINTO DE)
28 Raymond et Lejonne. Syringomyélie avec phénomènes bulbunes et troubles tro- phiqups (4 pl.. -' fig.) 261. Raymond et
d y·petruphie mammaire illustré par Horace Vemrt, 41R. Wladyczko. Troubles mentaux pendant le sieye d ' Port-Arlhur, 340.
ace VPrnet (1 pl.), par L. HAHN et WICIOERSHEBIER), 418. Mentaux ( troubles ) pendant le siège de ('or-l-Artltrrr, par WLADI
ERMITTE et ARTOM, 314. Syringomyélie avec phénomènes bulbaires et troubles trophiques intenses (4 pl., 2 fig.), par Raymon
ussy), XXXVII a XXXIX. Syringomyélie avec phénomènes bulbaires et troubles trophiques intenses (RAY- MOND et Lejonne), XLV
24 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
rvation. - Bracco Guiseppe, 19 ans. A 1 ans ont débuté ses premiers troubles : maux de tête, affaiblissement de la vue, ano-
ien cartilage épiphysaire du radius. J'interprétai ce fait comme un trouble d'hypercalcification des épiphyses. Il nous r
sque de développement des os longs doit être mis en rapport avec un trouble survenu dans l'activité sécrétrice de certaines
nes glandes et de la glande pituitaire en particulier. En effet, ce trouble serait dû à la calcification de l'hypophyse. 11 n
aire était séduisante, en effet, si l'on se rappelle quels sont les troubles que l'hypo- thyroïdisme peut amener dans le sen
ue le gigantisme infantile peuvent être secondaires uniquement à un trouble thyroïdien. Telle est la conclusion qui se déga
mation, mêmes détails somatiques) et chez lequel l'hy- pothèse d'un trouble hypophysaire n'est pas seulement soulevée. Les de
ypertrophiée et calcifiée. Il est donc logi- que d'admettre que les troubles du développement osseux survenus chez Michel, s
e rides nombreuses du visage et des mains. Il s'agit donc là d'un trouble général de tous les téguments et des glandes du
ais non abolis, de telle façon que l'on pourrait penser plutôt à un trouble réflexe qu'à une altération directe des glandes
ants, l'infan- tilisme apparaît d'une façon précoce, tandis que les troubles acroméga- liques seraient plutôt tardifs. En d'
Il resterait à expliquer quelles sont les causes qui produisent ce trouble étrangement caractéristique qu'est l'acromégali
qui veut que le gigantisme et l'acromégalie soient dépendants d'un trouble hypo- physaire. Toutefois j'ai cherché à démont
iologiques sur les géants. Paris, 1904. LAIGJOEL-L.\VASTIIOE. - Des troubles psychiques par perturbation des glandes à sécréti
e de la Salpêtrière 1895, * , n° 4. SUR LE CHÉT1VISD1E 27 qu'un trouble des fonctions de l'hypophyse en soit toujours dir
). On entend par dystrophies (5ùS) mal, et °pop'h, nourriture) « un trouble de la nutrition, localisé à un organe, à un sys
tion classique; mais il faut reconnaître qu'en général, ce sont les troubles de la nutrition ou plutôt du dévelop- pement d'
entend ? on le sait, une maladie caractérisée physiquement par des troubles delà; UN CAS 1)'ACHOiNbIlOPfASIE 33 nutrition
'ACHOiNbIlOPfASIE 33 nutrition et du développement du tissu osseux, troubles entraînant des déformations diverses du squelet
ute à leur adaptation à la mécanique générale du corps et non à des troubles intrinsèques comme c'est certainement le cas pour
collatéraux, comme on voit par son obser- vation. Les signes et les troubles qui seraient à considérer comme des stigmates d
t d'abord par la brièveté- de sa taille, 115 centimètres, et par le trouble caractéristique des proportions habituelles du
es limites ordinaires. Un simple calcul nous montre clairement le trouble des proportions normales du corps et prouve ci
te plus haut que d'ordinaire (Pierre Marie), ce qui crée un certain trouble de la forme de la région de l'articulation du g
existe aussi dans notre cas. La forme du thorax ne présente pas de troubles appréciables. Notons encore que les organes gén
nt qu'auparavant, il se tenait tout il fait droit. Il n'eut jamais de troubles d'urines ; toujours constipé Jamais sérieusemen
ble que du côté opposé, il y avait une constipation opiniâtre (sans troubles urinaires). Mais c'est trop peu pour se prononc
lumière. Les membres supérieurs et inférieurs ne présen- tent aucun trouble dans ces mouvements et dans la sensibilité. La fo
ullaires. Il nous faut surtout rappeler que le malade n'a pas eu de troubles urinaires ou de défécation. Malgré son état grave
lus faibles, surtout le gauche La fonction génitale est abolie, les troubles urinaires se sont installés. A l'exa- men du ma
rs fonl présumer que les racines sacrées sont restées intactes. Les troubles moteurs cadrent bien avec cette localisation.
presque pas de lésion des racines sacrées. D'autre part les faibles troubles dépendant de racines sacrées inférieures (absen
ubles dépendant de racines sacrées inférieures (absence d'érection, troubles urinaires) parlent en faveur de lésion de la qu
ette dernière supposition parle l'absence absolue de douleurs et de troubles sensitifs sur la face postérieure des jambes et
aires en de- hors du canal rachidien par une masse néoplasique. Les troubles urinaires minimes de même que les troubles plus
e masse néoplasique. Les troubles urinaires minimes de même que les troubles plus considérables dans la sphère gé- nitale pe
sie du périnée (bilatérale) tellement typique pour ces racines, les troubles de la fonction des sphincters vésical et anal, et
semaines le malade ne peut plus marcher. Depuis quelques semaines, troubles urinaires minimes (rétention d'urine de faible de
nimes (rétention d'urine de faible degré). Du côté du rectum pas de troubles . Pas de maladies dans l'anamnèse. Elat actuel.
membres inférieurs surtout du gauche. Depuis quelques semaines des troubles urinaires légers. Etat actuel. Les nerfs crân
mptômes apparurent peu à peu sans dis- continuer, en présentant des troubles toujours plus profonds. Le syndrome de Brown-Sé
doigts), hypoalgésie sur le tronc (plus notable du côté gauche) et troubles considéra- bles sur la jambe et le pied gauche
oubles considéra- bles sur la jambe et le pied gauche (à droite les troubles seulement sur les doigts). La sensibilité therm
ment ; dans le premier cas nous voyons une para- lysie flasque avec troubles profonds des sphincters, avec perte des réflexes
appellent ceux qu'on observe au cours de la carie vertébrale. Les troubles trophiques (herpès) et vasomoteurs (oedème) survi
mbres inférieurs, sans affaiblissement de la force musculaire, sans troubles sensitifs ou sphincte- riens ; à côté des doule
imprimées à la colonne vertébrale parlent en faveur du cancer. Les troubles trophiques de la peau et le zona parlent en fav
décompression radiculaires peuvent apparaître sans qu'il y ait des troubles du côté de l'os ou de la moelle épinière (Bruns).
nique simule entièrement celui d'une tumeur vertébrale maligne avec troubles mé- dullaires et où l'autopsie démontre qu'il y
ion chimique et dynamique sur la cellule nerveuse et provoquent des troubles dans son fonctionnement, sans produire toutefois
t atteint comme les extenseurs et ce signe, joint à la présence des troubles de la sensibilité des extrémités, aurait au besoi
TIVE DU SYSTÈME NERVEUX ASSOCIATION DE L'IDIOTIE,'DE L'AMAUROSE, DE TROUBLES MULTIPLES BULBO - PROTUBÉRANTIELS ET DE L'ATROP
peu de temps. Jamais aucun membre de sa famille n'avait souffert de troubles nerveux plus ou moins analogues à ceux de ses f
e divergent. - Défaut de convergence et d'accom- modation. Légers troubles bulbo-prolubéranliels (facial-hypoglosse) Aucun t
on. Légers troubles bulbo-prolubéranliels (facial-hypoglosse) Aucun trouble du côté des autres sens spécifiques. Aucun trou
ypoglosse) Aucun trouble du côté des autres sens spécifiques. Aucun trouble dans la sphère cérébelleuse. Atrophie muscula
ère, elle se fâchait facilement avec tout le monde. A 13 ans, les troubles paralytiques dus à l'atrophie musculaire avaient
s tendineuses débutaient aux extrémités inférieures. Les premiers troubles visuels n'auraient commencé que plus tard, c'est-
oter qu'en même temps que la vue baissait, il se serait produit des troubles paralytiques dans les muscles extrinsèques des ye
n. Les ongles sont profondément rongés ; ils présentent en plus des troubles trophiques évidents; toute la main est cyanosée
et aux'pieds, la peau se présente rouge, cyanosée et froide. Les troubles trophiques des téguments des extrémités inférieur
Atrophie complète bilatérale de la papille avec amaurose complète. Troubles dans les mouvements associés des globes oculaires
des yeux. Diminution des autres sens spécifiques (goût, odorat). Troubles bulbo-prolubérantiels à la charge des nerfs facia
à-dire quelques années plus tôt que chez la soeur, débutè- rent les troubles visuels. Actuellement Aurélie est complètement av
nte des masses musculaires. Il est très important à relever que les troubles trophiques qui semblent s'ar- rêter au tiers mo
tuelle en train d'évoluer. Parole lente, monotone (bmdylalie), avec troubles graves dans la prononciation. Atrophie assez av
à l'accommodation parfaitement conservés. Convergence bonne. Aucun trouble des autres sens spécifiques. Troubles bulbo-pro
és. Convergence bonne. Aucun trouble des autres sens spécifiques. Troubles bulbo-protubérantiels ( ? ), sialorrhée, rire tra
des réflexes osseux. Atrophie musculaire débutant par les mains. Troubles trophiques en train d'évoluer. Contractions fib
mmencé à peu près à celle époque. Ce qui est certain, c'est que les troubles visuels sont apparus les derniers. Etat actue
déjà relevée chez ses soeurs. Elle présente à l'état d'ébauche les troubles psychiques qui chez Marguerite et chez Aurélie
au toucher aucune trace d'hypertrophie des troncs ner- veux. Les troubles vasomoteurs et trophiques sont déjà assez accusés
ALE 121 Tous les mouvements passifs sont complètement libres. Les troubles trophiques chez Elisabeth sont encore à peine éba
ésentent pas ce degré excep- tionnel d'atrophie des téguments et de troubles vasomoteurs que nous avons relevé chez les deux
ychique, l'amaurose, le strabisme, le nystagmus, la bradylalie, les troubles de la déglutition et l'atrophie des membres, so
cot-Marie. Je dis ceci, non seulement à cause de la topographie des troubles tro- phiques des extrémités, mais encore en rai
hette à l'avant-bras et en jarretière à la cuisse. Aux jambes les troubles trophiques sont plus accusés dans le tibia anté
particulière de la jambe de coq (Sainton). ' On connaît de même les troubles vasomoteurs très caractéristiques que l'on renc
rétractions tendineuses, rien n'y manque jusqu'à la disposition des troubles vasomoteurs, au caractère des altérations de la
rme Charcot-Marie, peuvent être résumés de la façon suivante : le Troubles visuels constitués par l'atrophie primitive de la
lle avec amaurose plus ou moins avancée (symptôme de Vizioli). 2° Troubles bulbo-protubérantiels caractérisés par l'anosmie,
r certaines altérations particulières de l'équilibre statique. 3° Troubles dans le domaine du caractère et dans la sphère in
u caractère et dans la sphère intellectuelle, 126 BERTOLOTTI 4° Troubles de la réflectivité profonde avec exagération de c
rt jusqu'ici d'une importance clinique secondaire. Parmi tous les troubles atypiques de l'amyotrophie Charcot-Marie, les p
de Vizioli il y avait une atro- phie localisée aux extrémités, avec troubles trophiques, troubles vasomo- teurs, abolition d
une atro- phie localisée aux extrémités, avec troubles trophiques, troubles vasomo- teurs, abolition des réflexes tendineux
tions de l'équilibre statique, des contrac- tions fibrillaires, des troubles des réactions électriques, des troubles de la s
ac- tions fibrillaires, des troubles des réactions électriques, des troubles de la sensibilité objective à la périphérie des
oir une valeur pathognomonique. On a confondu un peu en réalité les troubles oculaires de l'amyotrophie Charcot-Marie avec l
lité les troubles oculaires de l'amyotrophie Charcot-Marie avec les troubles oculaires de la névrite hypertrophique de Dejer
arolo (2). Il y aurait donc une systématisation différente dans les troubles ocu- (1) DEJERl ! OE et SoTTAS, Névrite interst
peut retrouver dans la forme Charcot-Marie. En ce qui concerne les troubles bulbo-protubérantiels quel'onpeutobser- ver d'u
s la forme spino-névritique de Charcot- Marie, il faut rappeler les troubles de la déglutition. La dysphagie, bien que rare,
s masticateurs à l'a- trophie et enfin il faut encore ajouter à ces troubles d'ordre bulbo-protubé- rantiel, des altérations
extrême- ment grave; il en est de la déchéance psychique comme des troubles visuels, (1) DUDREUILH, Sur quelques cas d'atro
asmodique constatée chez l'une de mes malades (observation II), les troubles bulbo- protubérantiels, les paralysies oculaire
l est certain que dans mes trois observations les tremblements, les troubles de la synergie musculaire, les altérations de l
majorité des cas, toutes ces altérations se réduisent à des légers troubles anesthésiques des extrémités. Des altérations s
e termes, il s'agissait vraiment d'une dystrophie consécutive à des troubles médullai- res et névri tiques. J'ajouterai en
e de la papille, les alté- rations des autres sens spécifiques, les troubles trophiques et les troubles intellectuels, bien
rations des autres sens spécifiques, les troubles trophiques et les troubles intellectuels, bien que d'une façon exceptionne
ver un cortège des symp- tômes tabétiformes (douleurs, anesthésies, troubles trophiques, troubles de l'équilibre, etc.), qui
mp- tômes tabétiformes (douleurs, anesthésies, troubles trophiques, troubles de l'équilibre, etc.), qui sont là pour démontr
TRAUMATISME CRANIEN, ÉPILEPSIE JACKSONIENNE, MÉLANCOLIE DÉLIRANTE, TROUBLES 'I'ROPHIQUES; GUÉRISON. -- - PAR - L.MARCHA
e la paralysie est survenue à un âge plus jeune. Chez l'adulte, les troubles trophiques d'origine cérébrale, sans être très
teurs et mentaux apparus à la suite d'un traumatisme crâ- nien, des troubles trop.hjques de la main d'origine cérébrale ont ab
tié droite de la face et du bras droit ; M. A. resta aphasique. Ces troubles persistèrent pendant cinq jours, puis les mouveme
usieurs essais le mot « omelette » (fig. 1). Les mois suivants, les troubles s'atténuèrent progressivement ; cependant Fic.
1 TRAUMATISME CRANIEN, ÉPILEPSIE JACKSONIENNE 137 il persista des troubles de la mémoire des mots et des troubles de l'écrit
SONIENNE 137 il persista des troubles de la mémoire des mots et des troubles de l'écriture. L'urine examinée régulièrement t
le sont conservés. Les sensibilités profondes sont intactes. Pas de troubles de l'ouie, de la vue, du goût et de l'odorat. Le
dation ; la pupille gauche est plus dilatée que la droite. Pas de troubles de l'audition verbale et de la vision verbale. La
de sucre. Le traitement ioduré est ordonné de nouveau. 28. Mêmes troubles mentaux et physiques. Les réflexes patellaires so
épaule droite ; parésie du bras droit et de la jamhe droite. Pas de troubles de la sensibilité objective. Les troubles de la
e la jamhe droite. Pas de troubles de la sensibilité objective. Les troubles de la parole sont les mêmes que ceux observés à
uver de fortes douleurs dans tout le membre supérieur droit. Pas de troubles de la sensibilité objective. 9. La main droite
mais immortelle comme lui. Au point de vue physique on constate les troubles suivants : la sensibilité tactile et douloureus
lles persistent pendant le sommeil, mais sont moins accusées. Les troubles de la parole sont exactement les mêmes que ceux q
us avons constatés au moment de l'entrée du malade à l'asile. Les troubles trophiques se sont accentués. Les articulations d
ore du tremblement intentionnel. Les douleurs sont moins vives. Les troubles tro- piques sont stationnaires. Mêmes idées mél
met plus d'idées de négation et d'immortalité. 20 janvier 1904. Les troubles mentaux sont en voie de disparition. Les douleu
u niveau des articulations. 27 février. M. A. ne présente plus de troubles mentaux ; il persiste seulement un affaiblissem
; il persiste seulement un affaiblissement léger de la mémoire. Les troubles paralytiques et trophiques sont très améliorés.
, M. A. sur notre demande se soumet à notre examen. Nous notons les troubles suivants. Un léger affaiblissement de la mémoire
aux, Le réflexe patellaire est absenta gauche, faible à droite. Les troubles trophiques sont en partie disparus, mais il per
ne durée d'une heure. Maux de tête les jours suivants sans au- tres troubles . Douze jours après l'accident, engourdissement du
e et Nouvelle Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE. T. XXIII. PI. XIV TROUBLES TROPHIQUES D'ORIGINE CÉRÉBRALE (Marchand) Mas
s, absence de sucre dans les urines. Dans la suite, disparition des troubles paralyti- ques,mais persistance des troubles de
suite, disparition des troubles paralyti- ques,mais persistance des troubles de la mémoire des mots et des troubles de l'écr
i- ques,mais persistance des troubles de la mémoire des mots et des troubles de l'écriture ; la parole est légèrement scandé
s d'immortalité, un délire d'énormité. Cinq mois après le début des troubles mentaux, douleurs violentes localisées à l'articu
on scapu- lo-humérale, parésie du bras droit et de la jambe droite, troubles trophi- ques des articulations et de la peau de
des secousses convulsives localisées au membre supérieur droit; les troubles trophiques s'accentuent. Dans la suite, améliorat
s'accentuent. Dans la suite, amélioration lentement progressive des troubles paralytiques, trophiques et mentaux. Dix mois a
es paralytiques, trophiques et mentaux. Dix mois après le début des troubles mentaux, il ne persiste plus qu'un léger affaib
iblissement de la mémoire et une légère scansion de la parole ; les troubles trophiques sont limités au médius droit. Les di
nsuite une nouvelle phase pendant la- quelle il ne persista que des troubles de la mémoire des mots et des trou- bles de l'é
matisme crânien qu'apparut une succession d'accidents consistant eu troubles psychi- ques, paralytiques, convulsifs et troph
tre considéré comme guéri. La lésion cérébrale, cause de ces divers troubles , est difficile à préci- ser. D'après l'évolutio
apport avec une lésion de nature inflammatoire. La prédominance des troubles sensitifs, paralytiques, convulsifs et trophiqu
divers symptômes s'accorde avec cette hypothèse. La pathogénie des troubles mentaux est plus obscure. Ceux-ci n'ont débuté
ations que nous avons rencontrées chez plusieurs sujets atteints de troubles mentaux aigus. A cette inflammation cérébrale dif
ès d'é- pilepsie jacksonienne et qui plus tard se traduisit par les troubles moteurs, convulsifs et trophiques du bras droit
nnel chez l'adulte de voir une lésion corticale don- ner lieu à des troubles trophiques aussi localisés et aussi prononcés que
d'affaiblissement de la vue et de bourdonnement d'oreilles ; pas de troubles intellectuels.Des crises avec chute et perle de c
lexes rotuliens étaient exagérés. L'auteur admet comme cause de ces troubles une lésion corticale très superficielle. De n
e celle de M. André, il ressort nette- ment que, chez l'adulte, des troubles cutanés et articulaires graves peu- vent être s
difformité des doigts. \1) ANDBÉ, Cas d'épilepsie jacksonienne avec troubles trophiques graves. Congrès de Toulouse, 1897, v
e des membres inférieurs est devenue flasque ! ,le 26 sep- tembre), troubles sensitifs aux membres inférieurs et dans la moiti
ent et croissaient par accès. Les sphincters ne présentaient pas de troubles . Eschare sacrée ; les mem- bres inférieurs et l
membres supérieurs ni les inférieurs ne présentent d'oedèmes. Les troubles sensitifs consistent en ce que la malade sent moi
actile et douloureuse est affaiblie. Au membre supérieur gauche les troubles sensitifs se localisent surtout du côté radial.
e, à droite l'épi est présent quelquefois, l'hypogastrique manque). Troubles sensitifs (tactiles : sur les pieds et les jambes
TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 163 avec troubles urinaires. Depuis, le tableau clinique ne présent
l'hôpital c'est-à-dire onze mois après le début de la maladie, les troubles urinaires ont commencé et l'affaiblissement des
e quelques nerfs en particu- lier. Des atrophies musculaires et des troubles sensitifs diffus ou limités à la région de cert
urs et le tronc. Simultanément ou un peu plus tard apparaissent les troubles sensitifs (affaiblissement, abolition), urinair
s. Quelquefois on voit des rémissions (Kollarits). Apparaissent les troubles sphinctériens, les eschares et la mort. Dans un
a décrit un cas simu- lant la polioencéphalite subaiguë (diplopie, troubles de déglutition et de mastication, douleurs des
certaines substances toxiques produites par la tumeur causaient les troubles médullaires. Les lésions médullaires nées à dis
ésions il arrive à la con- clusion que la plupart du temps c'est le trouble circulatoire lymphatique provoqué par la compre
ux lymphatiques de la moelle même. Mais elles peuvent engendrer des troubles circulatoires dans la moelle et comme suite de
rer des troubles circulatoires dans la moelle et comme suite de ces troubles , des lésions en foyers et diffuses. Quanta la d
ésions du tissu nerveux doivent être expliquées de la même manière ( troubles dans la circulation lymphatique et san- guine).
faciles à démontrer ? 2° Est-il possible d'attribuer la priorité au trouble psychique ou à la lésion organique dans la genè
maladies mentales, on souleva dès lors la question de priorité des troubles psychiques où des lésions histologiques. Nous e
ce soit une modification passagère dans le chimisme cellulaire, un trouble dynami- que ou une altération plus profonde et
modifications physico-chimiques de la substance cérébrale ou qu'un trouble psychique est constamment lié à la lésion d'une
en présence de coupes provenant de cerveaux d'individus atteints de troubles psychiques chroniques, chez lesquels l'affectio
servons au microscope sont- elles bien l'image réelle et fidèle des troubles qui provoquent ou accom- pagnent une psychose ?
elconque (idées délirantes, hallucinations, etc., etc.). - 7° Les troubles fonctionnels les plus légers et les plus fugaces
plus fugaces sont certainement conditionnés ou accompagnés par des troubles correspondants dans les échanges nutritifs et p
nt la deuxième question. Est-il possible d'attribuer la priorité au trouble psychique ou ci la lésion anatomique dans la ge
u ci la lésion anatomique dans la genèse des psychoses ? C'est le trouble psychique qui est primaire, disent les uns, c'est
iers venus, attachent une importance considérable à la priorité des troubles psychiques dans la genèse des psychoses. Ils so
iés. Ce phénomène est en quelque sorte l'analogue de la tuméfaction trouble du parenchyme du rein ou des autres organes du
ion et LA BASIC -4NA['ONIIQUE DES PSYCHOSES 193 conséquemment,les troubles organiques ont précédé l'apparition des symp- t
éléments cellulaires en modifiant leur formule bio-chimique par le trouble qu'apporte la toxine dans les échanges nutritifs
il donner la priorité aux processus anatomiques ou au contraire aux troubles psychologiques ? '¡ 196 LADAME En dépit des a
ent au point de vue pathogénique que la priorité soit attribuée aux troubles psychiques plutôt qu'aux lésions or- ganiques.
ndérant; déjà 11'Ieinert avait étudié et dé- montré l'influence des troubles de la circulation du sang dans le cerveau sur l
tion locale. Outre ceci, le sujet présentait au plus haut degré les troubles vasomoteurs, des rougeurs in- tenses ou la pâle
ovoquer l'apparition des deux dermographismes sont sujets aussi aux troubles vaso-moteurs, tels que l'état cyanotique des ma
- percherie consciente et plus ou moins volontaire les oedèmes, les troubles trophiques, la fièvre que l'on croyait autrefoi
ie ; 3° que cette maladie était également incapable de produire des troubles viscéraux tels que hémoptysies, hématémèses, héma
sies, quelques contractures, certains mouvements anormaux, quelques troubles de la sensibilité. Ce démembrement de l'hystéri
mands, Bade, 1891. DE L'HYSTÉRIE TRAUMATIQUE 20a hies trophiques, troubles organiques... il ne nous avait jamais été donné
mpu- ter le bras, une simulation consistant à faire passer pour des troubles tro- phiques des ulcérations dues à l'applicati
ent en y ajoutant de son crû, presque toujours en l'exagérant, d'un trouble , dont évidemment il méconnaît la nature. Cepend
ents anormaux, des anes- thésies, des hyperesthésies, peut-être des troubles psychiques. 1° Les crises. Les crises, assez ra
t des plis cutanés.... 2° La volonté est impuissante à produire des troubles trophiques ou vaso-moteurs : Dans la paralysie
inactivité ; ni modification des réactions élec- triques ; ni aucun trouble de la nutrition des tissus. 3° La volonté est i
onnement un peu trop simpliste, l'hystérique s'imagine que les deux troubles doivent aller de pair. , 3° Les contractures
e rotulien ; une contracture des deux membres inférieurs sans aucun trouble des sphincters ; une contracture du membre supéri
disparaît dans le sommeil, soit naturel, soit anesthésique. 4° Les troubles de la sensibilité. En dehors de ces hyperesthésie
avail, puisque leur caractère est précisé- ment de n'apporter aucun trouble . En quelques années, ils auront disparu de la s
enquête pour son accident du travail. Il présentait entre autres le trouble suivant : pendant la marche, la cuisse gauche é
lade exagère et c'est ce qu'il devra mettre dans son rapport. LES TROUBLES MENTAUX DANS LA LÈPRE L'ÉTAT PSYCHIQUE HABITUEL
de l'Hôpital Saint-Louis Ancien interne Médaille d'Or. L'étude des troubles mentaux dans la lèpre a été une des parties les
nt avoir eu que de rares occasions d'observer jus- qu'à présent des troubles psychiques au cours de cette maladie. Dans les
découragement, l'expression de tristesse, la tendance à la solitude, troubles observés depuis la période d'in- vasion jusqu'à
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.. . T. XXIII. Pl. XVIII LES TROUBLES MENTAUX DANS LA LEPRE (de Beurmann et Govaerot)
Govaerot). Masson & Cie, Editeurs. Phototypte Berthaud LES TROUBLES MENTAUX DANS LÀ LÈPRE 221 nullement ; ils ne
oin, et même lorsqu'il est abandonné à son sort, ne manifeste aucun trouble mental dépressif. Au moment de l'invasion de la
nt là des notions importantes car elles éclairent la pathogénie des troubles mentaux et des psychoses que l'on peut observer c
que loxémique sui- vant l'idée pathogénique que l'on se fait de ces troubles . Ce syndrome était caractérisé, disions-nous :
39 et 254, Lepra, 1906, vol. '1, fasc. 2 et 4, p. 107 et 231. LES TROUBLES MENTAUX DANS LA LEPRE 223 de Janet, insidieuse,
t mental anté- rieur habituel des lépreux européens. Les études des troubles mentaux chez les lépreux, qui ont si peu attiré
ué à la périphérie, parfois presque dans son squelette. Ce sont des troubles secondaires. L'état des centres, voilà ce qui e
ement en Sicile. Arrivé à l'âge d'environ 38 ans, il fut atteint de troubles intestinaux avec douleurs, constipation et fièv
apporté que la grossesse a évolué normalement ; que s'il y a eu des troubles , ils se sont manifestés dans les dernières péri
cé à grossir pour arriver au volume actuel. Et cela sans le moindre trouble morbide, c'est-à-dire sans aucun de ces caractère
ec les caractères du goitre exophtalmi- que ; on ne constate pas de troubles cardiaques ; pas de tremblement, pas de trouble
ne constate pas de troubles cardiaques ; pas de tremblement, pas de troubles gastro-intestinaux; pas d'amaigrissement (au cont
sme est causé : 1° par un dérangement local du squelette; 2° par un trouble général delà nutri- tion. Au premier groupe app
déterminer un accrois- sement des os chez les individus jeunes; des troubles intestinaux (entéro- colites) peuvent déranger
tant de sa conformation même. Il paraît désormais acquis que des troubles digestifs peuvent aboutir à cette affection mor
asie foetale. L'Obstétrique, 1908, ne 4, p. 392. ' J. et R. Voisin. Troubles de l'ossification dans le myxoedème et Pachondrop
térioscléreuses. Pas de veines variqueuses. Système nerveux : Aucun trouble objectif de sensibilité ; les nerfs super- fici
mollisse- ments) qui sont, dans certains cas, capables d'amener des troubles tro- phiques. Et il faut en plus noter que les
a paralysie du facial droit, de l'hypoglosse et des extrémités, des troubles de la vue et une hypoesthé- sie partielle dans
ie, quelques mois après, malgré un traitement mercuriel intense, de troubles du labyrinthe, de céphalée, de vertige et neuf
mois après, fut pris de céphalée, d'hémiplégie totale droite et de troubles de la parole. Deux mois [après, les symptômes p
manifesta des douleurs aux membres de droite, des dysarthries, des troubles psychiques, et mal- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR
chez lui. Mais, deux mois plus tard, il revint à l'hôpital avec des troubles des nerfs céré- braux de droite (ophtalmoplégie
céré- braux de droite (ophtalmoplégie partielle, baisse de l'ouïe, troubles de la vue). Malgré un traitement énergique, le
ions de sublimé, au calomel et au iodure de po- tassium. Les autres troubles ne subirent pas de changement. Il vint s'y ajou
nche du trijumeau de gauche pour toutes sortes de sensibilités, des troubles de la parole, confusion, voix faible, marche impo
e intense. Le 5 février 1897, elle eut un ictus incomplet, avec des troubles de la parole, et suivi d'une hémiparésie qui, l
cé- phalée, une parésie du facial et de l'hypoglosse de gauche. Ces troubles s'améliorèrent après une cure spécifique. Malgr
miplégie gauche. Un mois plus tard, nouvelle attaque d'apoplexie et troubles psychiques. A la fin, carie du processus mastoï
nt à l'état normal. Membre supérieur droit. L'on ne remarque pas de troubles trophiques. Circonférence du bras, à la centimè
s opposent une résistance plus grande que la normale. Pas de grands troubles dans la marche. On XXIII 20 Fio. 1, - Montre
ntre pas préoccupé ; il semble même qu'il n'a pas conscience de ses troubles mentaux, tandis qu'il attache une grande import
par terre sans aucune préoccupation et sans boute. Le fait que ces troubles sont épisodiques ferait penser à des crises de
r les lésions osseuses, mais elle n'a pas en- travé la guérison des troubles nerveux. » Les photographies (pl. XXXIII et sui
rsale moyenne; 10 à 11 mois avant la mort, étaient apparus quelques troubles de la motilité, avec exa- gération des réflexes
s. La trépida- tion épileptoïde des pieds se voit de deux côtés.Les troubles sensitifs de même. Il n'y pas de zone d'hyperes
A l'autopsie on constata macroscopiquement les méninges ramollies, troubles . Examen microscopique. - La coupe de la moelle
ieurs et de l'abdomen. En même temps, affai- blissement des jambes. Troubles urinaires et troubles du côté du rectum. Trois
En même temps, affai- blissement des jambes. Troubles urinaires et troubles du côté du rectum. Trois semaines avant l'opéra
membres inférieurs, le droit était plus faible que le gauche ; les troubles sensitifs dans la partie inférieure de l'abdomen
elques jours après l'opéralion. Dans la moelle on constata un léger trouble des méninges molles. L'exa- men microscopique d
lissement desmembres inférieurs surtout de celui du côté droit, les troubles sensitifs allant jusqu'à une li- mite nette sur
on de la tumeur pouvait également être déterminée ave facilité. Les troubles sensitifs indiquaientque(suivantla loi de Sherrin
s se paralysent de plus en plus, et tout à fait au début, quand les troubles sensitifs s'installaient à peine, la para- lysi
caractère nettement spastique. Dès ce moment aussi on nota que les troubles moteurs prédominaient du côté droit, les sensitif
he était devenue tout à fait impossible et la limite supérieure des troubles sensitifs atteignait la VIIIe côte en avant et le
iques ne présentent pas un élargisse- ment évident. Dans ce cas les troubles circulatoires consistaient en une stase sanguin
uscles ad et abducteurs de la cuisse et extenseurs du genou gauche. Troubles sensitifs : à gauche le toucher, la douleur, le
entis du tout, excepté au pied où la sensibilité est affaiblie (ces troubles envahissent les membres inférieurs et l'abdomen à
e de mercure. 17 novembre. - La paraplégie reste dans le même état; troubles sensitif$ 324 4 1 FLATAU comme au début. La m
s en masse, ni ceux de l'articulation du genou et de la cuisse. Les troubles sensitifs atteignent en avant t jusqu'à l'épiga
e et des crampes douloureuses des mollets. Quelques mois plus tard, troubles urinaires et constipation. Neuf mois avant l'op
phénomène de Babinski bilatéralement, ré- flexes abdominaux abolis. Troubles du côté de la vessie et du rectum. Immédiatemen
us touché que le droit. Il nous paraissait pourtant étrange que les troubles sensitifs fussent plus considérables du même cô
le tissu en partie en désagrégation. Ce phénomène a pour cause les troubles circulatoires, c'est-à-dire les troubles proven
phénomène a pour cause les troubles circulatoires, c'est-à-dire les troubles provenant de la compression ou de la méningite pu
deux hanches et des douleurs dans le sacrum et le côté gauche c Les troubles urinaires (difficulté d'uriner) datent de quelque
s prononcées dans la jambe gauche. Des crampes dans les jambes. Les troubles moteurs et sensitifs sont les mêmes. Le sens des
tres abdominaux abolis. Elle urine difficilement. Constipation. Les troubles sensitifs sont les mêmes. Le maximum de douleur
nière est un peu aplatie et amincie. Les méninges molles légèrement troubles dans le portion proximale. Nulle part des adhér
fs encore, mais moins vifs qu'aupara- vant. Babinski bilatéral. Les troubles sensitifs sont les mêmes. Une grande escarre su
constata que la Ve vertèbre dorsale élaitla plus dou- loureuse. Les troubles sensitifs à droite dépassaient la ligne ombilical
e transforma en paralysie complète, l'hypertonicité musculaire, les troubles sensitifs profonds et franchement délimités, to
scu- laire, affaiblissement suivi de paralysie complète des jambes, troubles urinaires et de la défécation, anesthésie des j
rs localisés dans les cordons latéraux; de même l'anesthésie et les troubles profonds des sphincters ne pouvaient pas être m
e est minime dans l'oeil droit, abolie dans le gauche. Pas d'autres troubles dans le fonctionnement des nerfs crâniens. Me
ntra insensible). Jamais de traces de Brown-Sequard. En général les troubles moteurs n'ont pas eu le caractère d'origine médul
es moteurs n'ont pas eu le caractère d'origine médul- laire. Pas de troubles du côté de la vessie et du rectum. Sous l'inlluen
ètre de volume, nous ont bien étonné au cours de l'autopsie, vu les troubles minimes constatés pendant la vie. Ce n'est que
s dans la théorie du pithiatisme est la ' question de savoir si les troubles vasomoteurs, circulatoires et trophi- ques, peu
tachés à l'hystérie ; certains auteurs admettent l'existence de ces troubles d'ori- gine hystérique, contrairement à l'opini
riences faites sur un malade atteint d'hystérie grave, chez qui les troubles trophiques ont été reproduits il y a quelques ann
on môme. - Conclusions : La suggestion n'a aucune influence sur les troubles cir- culatoires, trophiques, thermiques. Si l'o
actement re- produits par la suggestion », on peut soutenir que ces troubles (cir- culatoires, trophiques, etc.) ne peuvent
rétés. L'émotion n'a pas l'action qu'on lui prête sur la genèse des troubles hystériques ; sur ce point, comme sur d'autres le
ichie A... Notes cliniques. 60 ans, hémiplégie droite complète avec troubles de la sensibilité et psychiques. Durée de la mala
liniques. 60 ans, hémiplégie droite complète avec aphasie totale et troubles de la sensibilité. Examen macroscopique. Foyer
e et dans la dernière année de sa vie il en a eu un second suivi de troubles de la parole. Il pouvait marcher soutenu. Exame
exitus il a un second ictus suivi d'hémiplégie gauche complète avec troubles intenses de la sensibilité. Examen macroscopiqu
cond ictus, suivi d'une parésie droite et d'une dysarthrie intense, troubles de la déglutition, rire et pleurer spasmodiques
d'hémiparésie droite. La malade qui pouvait marcher présentait des troubles intellectuels. Durée de la maladie : 3 ans. E
5 ans ; second ictus 2 ans avant l'exitus. Dysarthrie très accusée, troubles de déglutition, rire et pleurer spasmodiques ; ne
vec atrophies intenses aux mem- bres supérieurs ainsi que de grands troubles bulbaires ; il est mort suffoqué après trois an
et en général, dans les cas de sclérose latérale amyotrophique avec troubles bulbaires, les membres supérieurs étant égaleme
de avec les figures que j'ai données autrefois (1) en décrivant les troubles moteurs produits chez deux épilep- (1) MARINIOE
rn, IIead,les naevi présentant un défaut de superposition entre les troubles trophiques et les régions nerveuses, ainsi que Br
évrites, les premiers dus à une lésion vasculaire, les seconds à un trouble trophique, étant entendu d'ailleurs que les neevi
rs territoires ner- veux ; il y a défaut de superposition entre les troubles trophiques et les régions nerveuses. Ici, sembl
an- glion. Ces données nous permettent de comprendre pourquoi les troubles tro- phiques s'observent uniquement dans les zo
s. Mais comment une lésion du nerf sensitif nous explique-t-elle un trouble trophique ? Chez l'adulte, la théorie de Marine
'influx nerveux apporté à ces cellules par des neurones altérés, le trouble trophique se produit, ainsi que je l'ai montré
onditions, nous comprenons très simplement le retentisse- ment d'un trouble sympathique embryonnaire sur la trophicité des dé
segmen- taire, et réagiront par conséquent à la périphérie par des troubles trophi- ques segmentairement distribués. Mais
e le protoneurone centripète et la moelle. Et alors le mécanisme du trouble trophique peut se produire par transmission aux c
rouverions ici le même mécanisme déjà étudié à l'égard de cet autre trouble trophique de la vie adulte qu'est l'arthropathi
écurrent dans le neurone centripète. Ou bien, d'autre part, ce même trouble trophique pourrait s'expliquer par une lésion i
e s'étendent à toutes les couches sus-jacentes. Mais s'il existe un trouble de l'organe nerveux de ces territoires cutanés
l'organe nerveux de ces territoires cutanés en voie de conjonction, trouble capable d'altérer la trophicité, selon les cond
ifférenciation, pourront être dans certains cas le siège électif du trouble trophique. Ainsi peuvent s'expliquer des dispos
ieuse légère, trop bénigne pour interrom- pre la grossesse ; ou des troubles gastro-intestinaux si fréquents chez la femme e
èrent presque sans effet. Depuis lors, la patiente n'a plus noté de troubles , en dehors de ceux que nous venons de rapporter.
mieux accomplis par la moi- tié droite du voile du palais. Aucun trouble dysarthritique, ni dysphasique, ni dysphonique. B
ométrie : D. 12, G. 12. Les membres supérieurs ne présentent pas de troubles ataxi- ques ou diadococinésiques. Les mouveme
frappe légèrement les talons, et a tendance à lancer les pieds. Ces troubles s'accentuent lorsque la déambulation est accompli
chilléens,l'ataxie statiqueet dynamique des membres inférieurs, les troubles de la sensibilité à type principale- ment radic
abolition des réflexes rotuliens et achilléens, et l'absence de ces troubles de la parole qui sont caractéristiques de la ma
IES TABÉTIQUES DE LA COLONNE VERTÉBRALE 421 myélie, l'existence des troubles .de la sensibilité tactile et dolorifique à typ
adiculaire et non à type segmentaire ou désassocié, et l'absence de troubles moteurs et trophiques à charge des membres. . .
à la pression des troncs périphériques, la manière de marcher, les troubles recto-vésicaux, etc. Ce qui, au contraire, me p
ner l'exposé du cas par moi observé, en fai- sant remarquer que les troubles se sont montrés, chez notre malade, brus- DES A
es mouvements des doigts et des mains sont un peu maladroits. Aucun trouble de la sensibilité tactile, ni anestbésie, ni hypo
bilité à la température est normale. Il n'existe nulle part d'autre trouble trophique : pas de varicosités superficielles,
u ses mains devenir livides; pas de crises d'asphyxie locale. Ces troubles ont débuté au moment même de la ménopause : à 45
tre malade, la preuve réelle de la relation du trophoedème avec des troubles ovariens est-elle encore à faire ; cette relati
udée. Les réflexes, tendineux et cutanés,sont normaux ; il n'y a ni troubles seusi- tifs, ni troubles sphinctériens. L'appét
neux et cutanés,sont normaux ; il n'y a ni troubles seusi- tifs, ni troubles sphinctériens. L'appétit est depuis un an environ
ins jours même refuse toute nourriture. Il n'existe cependant aucun trouble digestif. L'état mental est celui d'un enfant :
s. Quelques semaines après les premiers symptômes, apparaissent des troubles peu consi- dérables du côté de la vessie et du
membre supérieur droit et au-dessus jus- qu'à la liane ombilicale. Troubles du sens des attitudes dans les orteils du côté
ec un bon résultat), Medycynn, 1908. 458 FLATAU tique complète. Troubles sensitifs assez symétriques jusqu'au IIIe espace
Les réflexes tendineux ne se sont pas affaiblis après l'opération. Troubles sphinctéripns. Un mois après l'opéra- tion, la
bre supérieur gauche, surtout la main, est plus faible que le droit. Troubles sensitifs da le membre inférieur droit. 2 mois
ents dans le membre supérieur gauche. En ce moment, on constate des troubles sensitifs depuis les mame- lons vers le bas et
rière depuis les IlI°,IVe jusqu'aux XIe, ELLE segments dorsaux. Les troubles de la sensibilité douloureuse sont moins pro- n
. Aux membres supérieurs, la sensibilité tactile est conservée. Les troubles de la sensibilité douloureuse arrivent en arrière
'analgésie se porte également sur le membre gauche supé- rieur. Les troubles de la sensibilité thermique s'élèvent encore plus
e la moelle. Par suite de la compression toujours croissante et des troubles circulatoires consécutifs, survient la période
s de Oppenheim et Bruns, les muscles atrophiés ne présentent pas de troubles de réaction électrique. Dans nos cas il n'y ava
lité dans les deux membres inférieurs, mais d'un côté prévalent les troubles sensitifs, de l'autre les moteurs du type Brown-S
ervé un phénomène étrange : l'affaiblissement de la motilité et les troubles sensitifs ont frappé le même côté. Schultze et
anière suivante : Une tumeur molle croissant rapidement produit des troubles circulai- res et de l'oedème dans toute la coup
. Par conséquent le tableau de l'affection transverse de la moelle ( troubles sensitifs et moteurs) n'a pas pu réaliser le type
he toujours de plus en plus du type de la paraplégie spastique. Les troubles moteurs s'installent plus vite que les sensitif
la tumeur (en prenant en considération la loi de Scherringlon). Les troubles sensitifs consistent alors en un affaiblissement
umeur se trouve dans la moelle cervico-dorsale (Roux-Paviot). Les troubles moteurs consistent en un affaiblissement toujours
diquant que la moelle est lésée transver- salement apparaissent des troubles des sphincters (besoin d'uriner son vent, incon
ale, incontinence des matières fécales). Quelquefois pourtant ces troubles n'entrent en jeu que plus tard dans le cours de
a maladie. Dans le cas de Heilbronner on n'a pas pu consta- ter ces troubles malgré la paralysie des membres inférieurs ! De m
alysie des membres inférieurs ! De même clan, le cas de Koster ce ? troubles ont apparu très tard. Dans le VIe cas de Schult
oubles ont apparu très tard. Dans le VIe cas de Schultze ()903) les troubles du côté de la vessie et du rectum se sont manif
heval. 1. Les contractions musculaires spontanées appartiennent aux troubles qui dépendent de l'interruption de la continuit
la 1110ellc épinièrc. Dans des cas exceptionnels on a constaté des troubles vasomoteurs : c'était une paralysie des vaissea
tout dans les cas où la tumeur sié- geait dans la moelle cervicale ( troubles circulatoires). Quelquefois pourtant ils appara
apparues d'un coup avec un rapide affaiblissement des jambes et des troubles uri- naires. Dans le cas décrit il n'y a pas lo
ion de dégénérescence du muscle releveur de l'anus, Oppenheim), des troubles sphinctériens et des troubles trophiques de la
e releveur de l'anus, Oppenheim), des troubles sphinctériens et des troubles trophiques de la peau (mal perforant). TUMEUR
lation graduelle de paralysies (après une période de douleurs), les troubles des fonctions génitales aussi bien que des fonc
ûment et la toux. On peut citer en faveur de la syringomyélie : les troubles vaso-moteurs et trophiques de la peau, des os et
oteurs et trophiques de la peau, des os et des articula- tions, les troubles sensitifs du type segmentaire avec dissociation d
enses et l'évolution graduelle toujours progressive de la maladie : troubles moteurs et sensi- tifs toujours croissants inte
mprimé et dans son voisinage se forment des cavernes à la suite des troubles circulatoires et des hémorragies. Bielschovsky me
e qu'on appelle la. myélite par compression, naissent par suite des troubles circulatoires, les stases, provoquées par les c
ont lésées à droite produisent, le plus souvent sinon toujours, des troubles semblables à ceux qui s'observent chez les droi
il y a environ deux ans, l'occa- sion d'étudier, intra vitaln, les troubles aphasiques d'un gaucher, mort dans la suite, j'
93 Membre inférieur gauche. Le patient ne présente aucune espèce de troubles trophiques ni d'attitudes vicieuses ; aucune ré
sie sensorielle partielle. DE L'APHASIE CHEZ LES GAUCHERS 497 Ces troubles ont persisté sans changement jusqu'à la mort. A
de la Ti droite. Cette lésion concourt-elle, ou non, à produire des troubles aphasiques sensoriels ? Il est difficile de le
c'est-à-dire que les lésions de l'insula pro- duisent seulement des troubles paraphasiques dans la répétition des pa- roles.
la gau- che serait encore plus frappante puisque, dans mon cas, les troubles paraphasiques étaient fréquents. - Mais une a
ève ce parallélisme. L'examen du pa- tienta démontré l'existence de troubles paraphasiques multiples, tant dans le langage s
atomiquement, dans lesquels le sens des mots n'était pas com- pris ( trouble d'association), mais où était seulement possible
surdité verbale partielle plus ou m'oins accentuée, associée à des troubles paraphasiques seulement (1) QUENSEL, loc. cit.
ent, avec ce qu'on observe chez les droitiers, concourt l'étude des troubles qui se manifestent dans la lecture. De l'étude
lis par Quensel, on tire la conclusion que, chez les droitiers, des troubles graves, dans la lecture ne sont pas nécessairem
ulement une infiltration du revêtement épendymaire, mais aussi des' troubles circulatoires dans le domaine de la couche péri
it réduite à une impotence complète et restait confinée au lit. Les troubles de la sensibilité profonde étaient ex- trêmemen
ll Robertson, puis abolition du réflexe à la convergence. Mydriase. Troubles sphinctériens. Douleurs fulgurantes, crises gas
iques, mais l'impossibilité d'établir un rapport constant entre les troubles visuels et l'état du réflexe photo-moteur a fai
a paralysie générale et sur ses rapports avec l'irrégularité et les troubles réflexes de la pupille, suppose que cette atrop
bles réflexes de la pupille, suppose que cette atrophie dépend d'un trouble tro- phique consécutif à des altérations très l
écutif à des altérations très lentes des nerfs ciliaires, et que le trouble du réflexe photo-moteur est dû vraisemblablement
tabes, mais il s'agissait d'un tabes beaucoup plus avancé, avec des troubles visuels très prononcés, et je ne puis garantir
t de la paralysie générale. Ses rapports avec l irrégularité cl les troubles réflexes de la pupille. Annales d'Oculistique,
réflexes tendineux aux membres inférieurs, le signe de Romberg, les troubles sphinctériens, l'ataxie des membres inférieurs. L
myosis et ne réagissaient pas à la lumière, mais déjà avant que les troubles visuels ne fussent très accusés. Elle est mor
essus dystrophiants. Mais l'existence d'un centre bulbaire, dont le trouble entraînerait l'acro- métagénèse, est tout hypot
jours au clinicien l'hypothèse d'une origine embolique. Quant aux troubles dans la croissance du tissu squelettogèI1e conséc
éralisée, que l'intoxication soit née dans le foetus lui-même, d'un trouble glandulaire par exemple, ou bien dans le placen
faits d'hyperpha- langie. Le processus toxique ou infectieux qui trouble , chez le foetus, la chon- drogénèse peut se gén
disparaissent vite, dans les premiers jours après l'opération. Les troubles urinaires également peuvent disparaître rapi- d
im). Quant aux symptômes sensitifs, les plus persis- tants sont les troubles du sens de la pression (bathyanesthésie) (Oppen-
réflexes exagérés, la trépida- tion, la rétraction des membres, les troubles du sens des attitudes, l'alfai- blissement, etc
pération les symptômes morbides peuvent s'aggraver. Par exemple les troubles urinaires qui ont déjà disparu reviennent de no
arait possible que dans ces cas le rôle important soit joué par les troubles de la pression habituelle de liquide cépllalo-ra-
précision et clarté de l'étude des documents : c'est l'existence de troubles mentaux, dont l'apparition eut lieu à une époqu
e, est souvent fort embarrassé pour déterminer la nature exacte des troubles psy- chiques en cause, et pour formuler un diag
Hugues', et d'y joindre d'autres récréations de nature à dominer le trouble mental du peintre (1). « Malgré tout ce que l
produire ici, sur les causes de l'éclosion et de la persistance des troubles psychiques chez le grand artiste. Après avoir r
facile des opinions de Wauters sur l'étiologie et la pathogénie des troubles psychiques pré- sentés par Hugo van der Goes.S'
, la maladie ayant duré huit ans en- viron. Le début se fit par des troubles de la marche qui augmentèrent petit à petit, pu
qui augmentèrent petit à petit, puis survinrent du tremblement, des troubles de la parole. Quelque temps après, le tableau s
stagmus. Il existait un véritable état d'asynergie cinétique et des troubles très marqués de la diadococinésie pour la main
ière et à l'accomodation. Il faut noter comme point particulier des troubles sphinctériens sur- venus d'assez bonne heure, c
epsie jacksonienne (Traumatisme crâ- nien, -, mélancolie délirante, troubles trophiques ; guérison) (1 pl.), par MAR- CHAN
Lèpre, paralysies radiales, par DE Beurmann et Gouobrot, 90. - ( Troubles mentaux dans la -. L'état psychique des lépreux
lancolie délirante (Traumatisme crânien, épilepsie jacksonienne, -, troubles tro- phiques ; guérison) (1 pl. par Marchand,
yant débuté à la -) (2 pl.), par BAUER et DESDOUIS, 426. Mentaux ( Troubles - dans la lèpre. L'état psychique des lépreux)
aumatisme crânien, épilepsie jaclcso- nienne, mélancolie délirante, troubles 1/'opltiques,gllé/'ison (1 pl.),par Marchand,
e du système nerveux. Association de l'idiotie, de l'amaurose, de troubles multiples bulbo- protubérantiels et de l'atroph
AVN (de) et GOUGEH01'. Paralysies radiales lépreuses (1 pi.), 90. Troubles mentaux dans la lèpre. L'état psychique habitue
ItOT et Beurmann (de), Paralysies radiales lépreuses (1 pl.), 90. Troubles mentaux dans la lèpre. L'état psychique habitue
Lèpre, paralysies radiales (de 1 ! EUleamN et GOUGEI10T), IX. , troubles mentaux (de Beurmann et UouccrsoT), XVIII. Ma
phoedème des membres supérieurs (Bauer et DEsaoLls), XLV et XLVI. Troubles trophiques d'origine cérébrale (Marchand), XIV.
25 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
é` niié`rétèntionld'uri)ie3d'abord partielle, puis totale;' et les' troubles intellectuels sont causés selon toute' probabil
déîire;violént éclate ;'la"*rétention d'urine' devient complète; le trouble mental et : rétat'généralfs'aggravent jus'-5^ q
aux, du, mal de.,Bright, met en premièret;ligne4des,variétés,de ces troubles , l'attaque plus ou.'moins soudaine,de,stupeur q
En 1852, Lasègue invo- quait déjà l'alcool comme cause possible des troubles psy- chiques dans l'urémie;et; si1 eettei,opini
.Nous voyons tous les jours l'alcoolisme produire.deux ordres , de troubles mentaux : ceux, qui relèvent exclusivement de l'i
rmations' physiques des extrémités'des membres et de la tête. Comme troubles fonction- nets le malade présentait l'atrophie
après,, sept, ans, avec physionomie inexpres-ive (2 photographies), troubles de la parole par difficulté de prononciation de
ieurs, les' parties génitales et diverses autres régions. En outre, troubles anormaux de la céneslhésie, comme par exemple l
conde vertèbre lombaire ? , , ? J) L'hyperthricose localisée est un trouble trophique en rapport avec une( affection des ne
imitée peut être un stigmate de dégénérescence, la conséquence d'un trouble d'évo- lution congénitale de nature inconnue. .
uffisante.' 11 repousse l'électro-diagnostic. Il pense que tous les troubles périphériques de l'innervation sont organiques et
37.) . ;r,-fFT.^r,^u m1'.t3Y 4 1 k ? IV -M. "unau ami .Ÿla Si les troubles oculaires présentés par le malade qui fait le suj
i.i'i ? r> r· w ItrVV[`HJ Deux cas'd'hémiplégie transitoire avec troubles persistants de la vue,' se rapprochant de ceux'
ceux'de Guglino; Boucheron; Féré (Ai,ch., de Neurologie, 1885). Les troubles visuels consistaient ici en'hémia- nopsie latér
- nopsie latérale homonyme du côté paralysé, amblyopie croisée et troubles de la vision des couleurs. L'auteur conclut qu'en
très* exagérés," trépidation , spinale, crampes -dans. les mollets. Troubles urinaires. peu, prononcés., Le traitement spéci-
tout aux membres inférieurs. , Pas de phénomène pupillaire ; pas de troubles sensitifs, absence complète des réflexes rotuli
pas de troubles sensitifs, absence complète des réflexes rotuliens; troubles urinaires légers,,diminution de, l'excitation é
puncti- formes, pas d'atrophie papillaire. - ,'i»,i(, 4V) -0 . . Troubles . trophiques. .Les dents ont toutes tombé, à trent
tique, tabès ancien avec les symptômes ordinaires, marche ataxique. Troubles urinairesl etoculaires. Crises apoplectiformes.
exe en arrière et concave en avant. Pas d'autre arthropathie, ni de troubles trophiques. 3e cas. Il s'agit d'un cas fruste d
oplectiques ? La paraplégie est apparue, en même temps que quelques troubles céphaliques comme le strabisme qui, eux, furent
nges seules, c'est la période prodromique, est caractérisée par des; troubles de la sensibilité, la rachialgie syphilitique d
rès l'examen des crânes des douze criminelles, on note une série de troubles patho- logiques indiquant, une vie .cérébrale m
res ayant subi, plus que toute autre classe sociale, toute sorte de troubles de,nutrition et l'action des excès de mille,espèc
8, a< terminé son évolution,, mais ellëa ? laissé après elle des troubles fonctionnels. Les symptômes nerveux, généraux o
e par des hallucinations sensorielles et des idées délirantes' sans trouble profond' de la connaissance, à évo- lution, ! a
i ou six mois. Le passage à la démence secondaire s'annonce par des troubles de la mémoire et du jugement, une conscience im
st obligé de le serrer fortement pour ne pas le laisser tomber. Ces troubles .ne durent habituellement que quelques instants.
e pose est donc de savoir si X...a réellement par inter- valles des troubles cérébraux, de déterminer la nature de ceux-ci e
IOGRAPHIE. 71 plus considérable ; certains symptômes, notamment les troubles de la personnalité y sont étudiés, qui ne figur
Pas de symptômes d'ataxie. Jamais de douleurs fulgurantes. Pas de troubles de la marche. Garçon de café de seize à vingt-t
ue en 1891 ; commencement. Quatrième attaque en mai 1892. Jamais de troubles digestifs ni d'urination, jamais de maux de têt
upillaire. Pas de signe de Robertson ; 3° tremblement de la langue. Troubles de la parole caractéristiques. Tremblement de.s
ses jambes. Affaiblissement psychique sans délire.- 26 avril 1893. Troubles de la marche. Station debout peu so- lide ; Tre
essions nerveuses d'élé- ment à élément, c'est-à-dire un retard, un trouble ou une perversion dans la marche de l'influx ne
te, pourra, jusqu'à un certain point, éclairer la pathogénie de ces troubles si nombreux de l'innervation, qui constituent l
ls, tout différents de ceux qu'on ressent dans les pays chauds. Ces troubles peuvent passer et reparaître avec ou sans pério
rasthénie palustre. ' La neurasthénie palustre consiste : a) en des troubles psy- chiques ; b) en des troubles amyosthénique
nie palustre consiste : a) en des troubles psy- chiques ; b) en des troubles amyosthéniques; c) en des troubles vaso-moteurs
roubles psy- chiques ; b) en des troubles amyosthéniques; c) en des troubles vaso-moteurs; d) et en d'autres troubles qui so
d'avoir la même constance que dans la neuras- thénie commune. a) Troubles psychiques. Ils affectent la sphère intellec- t
ormales. Dans les cas avancés, la mémoire peut aussi faiblir. Les troubles de la sphère morale consistent en un découra- g
ques présentent sensiblement la même force qu'à l'état normal. c) Troubles vaso-moteurs. Ces troubles, à eux seuls, peu- v
ent la même force qu'à l'état normal. c) Troubles vaso-moteurs. Ces troubles , à eux seuls, peu- vent être l'unique expressio
ses, dont il ne sera pas question ici. Je me borne à mentionner les troubles vaso-moteurs qu'on rencontre habituellement dan
le corps, des battements artériels, etc. Dans les cas anciens, ces troubles acquièrent une localisation plus ou moins fixe
fourmillement et de sécrétion sudorale plus ou moins abondante. Ces troubles vaso-moteurs sont souvent périodiques et toujou
guine oscillait entre 0,021 et 0,023. C'est sur ces trois ordres de troubles , et surtout sur l'état psychique, que la neuras
lants qu'on doit les cher- cher pour les constater. Ce sont : Les troubles du sommeil, qui manquent dans plus de la moitié
tante, soit, plus rarement, en une insomnie ou sommeil agité. Les troubles digestifs, très peu accusés, qui consistent en
tremble- ment, les palpitations, les oppressions, les vertiges, les troubles de sécrétion et, deux fois, il y avait une légè
stent par une aggravation de leur état; ou, d'autres fois, quelques troubles isolés peuvent survivre au paludisme et per- si
et même dans les pays salubres, sans pouvoir se débarrasser de ses troubles protéi- formes, si leur nature reste méconnue.
e dans le sang, germe qui peut rester silencieux, sans causer aucun trouble appréciable, mais toujours en éveil, prêt à écl
des intoxications palustres qui se manifestent uniquement par des troubles fonctionnels, comme par exemple : les diverses
intoxication palustre qui se manifeste uniquement par l'ensemble de troubles que nous venons de décrire sous le nom de neura
m de neurasthénie palustre. Pour admettre la nature palustre de ces troubles , on a, croyons-nous, tort de s'attacher trop à
ou un paysan ne vient pas réclamer l'assistance médi- cale pour des troubles qui ne l'empêchent pas de travailler. Le surmen
affections hépatiques d'origine non palustre sont accompa- gnées de troubles neurasthéniques ? Poncel, dans son ouvrage « De
estion chronique du foie sur la genèse des maladies », rattache les troubles neurasthéniques au mauvais fonctionnement du fo
, et où le paludisme sévit pourtant, sous ses formes larvées. Les troubles digestifs manquent dans la moitié des cas, ou i
ssait vite. Il y a quinze jours qu'il commença à sentir de nouveaux troubles , mais celte fois beaucoup plus accentués et pro
ux. Insomnie. Légère céphalée. Diminution de l'appétit. Aucun autre trouble du côté des voies digestives. Pas d'amyosthénie
tre trouble du côté des voies digestives. Pas d'amyosthénie. Pas de troubles vaso- moteurs, aucun trouble de la sensibilité
digestives. Pas d'amyosthénie. Pas de troubles vaso- moteurs, aucun trouble de la sensibilité générale, ni des sens. Apophy
igestives régulières. Pas de. plaque spinale, ni de céphalée. Aucun trouble vaso-moteur. Aucun igne d'hystérie. Foie et rat
que d'autres fois elle se sent très bien. Depuis deux semaines ces troubles ont reparu plus accentués, ce qui l'engagea à v
la troisième injection, elle se sent tout à fait normale; tous ses troubles psychiques ont disparus. L'appétit est revenu,
tifs. Cette guérison a duré deux mois, au bout desquels les mêmes troubles recommencent, et la malade vient elle-même réclam
e deux ans, cinq fois la malade est venue se faire traiter pour des troubles identiques et par la même médication qui donnai
n'a jamais eu la fièvre franche, mais elle a de temps en temps des troubles ana- logues à ceux de l'observation précédente.
logues à ceux de l'observation précédente. Depuis deux jours ses troubles psychiques ont reparu avec une intensité inacco
escrit, un fort accès de fièvre éclata qui fut vite guéri, avec les troubles neurasthésiques, par deux injections de quinine
raconte que depuis trois mois, elle éprouvait de temps en temps des troubles moraux analogues à ceux des observa- tions préc
es, qu'elle attribuait à sa grossesse. Mais après sa délivrance ces troubles au lieu de s'amender, se sont accentués et en m
sons erratiques avec des bouffées de chaleur. Mais en dehors de ces troubles qu'on rencontre dans les autres observations, l
ait mieux; ses accès de terreur ont perdu de leur intensité, et les troubles neurasthé- niques se sont atténués. Comme trait
e s'est trouvée tout ce temps-là assez bien. Parfois elle avait ses troubles neurasthésiques avec des inquiétudes vagues, ma
e peut plus le supporter. Elle présente en outre au comble tous les troubles psy- chiques de la neurasthénie. Je lui. fais u
ième jour, et elle se leva du lit bien portante, ne gardant de, ses troubles neurasthéniques qu'une indifférence pour son en
lle se sentait souvent énervée, apathique, triste, faible, avec des troubles vaso-moteurs divers, des troubles digestifs, et
athique, triste, faible, avec des troubles vaso-moteurs divers, des troubles digestifs, etc., mais tous ces troubles passaient
es vaso-moteurs divers, des troubles digestifs, etc., mais tous ces troubles passaient vite, et la malade gardait sa répugna
ns un sommeil profond. Examen de la malade.- Elle présente tous les troubles de la neu- rasthénie palustre, à savoir : état
la neu- rasthénie palustre, à savoir : état psychique, amyosthénie, troubles 'vaso-moteurs. Outre cela, troubles digestifs l
: état psychique, amyosthénie, troubles 'vaso-moteurs. Outre cela, troubles digestifs langue unpeu chargée, anorexie légère
igestifs langue unpeu chargée, anorexie légère, constipation, léger trouble de sommeil. Céphalée parfois en casque, plaque
fois en casque, plaque spinale, et surtout ombilicale. Aucun -autre trouble , ni du côté des sens, ni de la sensibilité généra
accès, beaucoup atté- nués, persistaient quand même, ainsi que les troubles neurasthé- niques, et je lui ai conseilléde cha
était parfaitement toléré. Cet état dura à peu près quatre ans. Les troubles subjectifs de malaria larvée avec des douleurs di
s elle n'a plus d'accès de fièvre. Depuis un an elle se plaint de troubles pour lesquels elle me NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 10
lle me NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 107 consulte pour la première fois, troubles qui périodiquem ent s'ag- gravent à un degré fo
penser lui provoque des tiraillements douloureux intra- craniens ; troubles du moral, dégoût pour tout, tristesse, irritabi-
tout, tristesse, irritabi- lité du caractère, etc. - Amyôsthénie. Troubles vaso-moteurs; pâleur habituelle presque cadavériq
1 dive commença graduellement et le sixième jour, quand tous les troubles précédents se sont considérablement aggravés, j'a
res de la langue et de l'oedème des cordes vocales, disparition des troubles respiratoires et phoné- tiques. A. Marie.' II
innervées par les nerfs malades la triade : paralysie, anesthésie, troubles tro- phiques, sans compter la douleur inconstan
en peu de jours, la paralysie et l'anesthésie se dissipèrent, les troubles trophiques disparurent, et l'organe impotent, la
eur et de l'hy- peresthésie, suppression plus ou moins complète des troubles fonc- tionnels vésico-rectaux, atténuation de l
centimètres environ de son origine sur la frontale ascendante. Les troubles présentés par le malade consistaient en crises
° l'ophtalmo- plé-ie interne (l'auteur désigne ainsi l'ensemble des troubles moteurs de l'intérieur de l'oeil, inégalité et
de l'intérieur de l'oeil, inégalité et déformation des pu- pilles, troubles des réflexes dans les muscles ciliaires, dans l'i
e cérébrale. La parésie de ces muscles dans la démence provient des troubles qui affectent, dans cette affec- tion, la subst
arthrites. La malade n'est atteinte d'aucune diathèse, il s'agit de troubles trophiques sous la dépendance de la maladie men
sous la dépendance de la maladie mentale. Il est probable que les troubles trophiques de ce genre doivent se rapporter plus
ie pure et simple, sans association d'autres phénomènes mor- bides ( troubles congestifs, intellectuels, moteurs) ; 3° Elle e
estait douteuse et on pouvait se demander s'il ne s'agissait pas de troubles trophiques : chez ces malades, il existait des
tions étiologiques de ces vergetures lombo-sacrées. Il n'y a pas là trouble trophique, mais développement disproportionné d
ue tous étaient des indi- gents. D'autres étaient affaiblis par des troubles morbides variés ; vomissements avec diarrhée ;
position créée par l'alién a- tion mentale. Il s'agit pour lui d'un trouble de la nutrition et on peut considérer l'hypothe
le et de la systématisation (Wahnsinn et Verrùcktheit) résulte d'un trouble morbide de l'activité intellectuelle c. Dans la
compli- quées, par contraste avec les anomalies de l'humeur et les troubles de la sensibilité morale, représente, sous le t
er simultanément ou presque simultanément un même délire, les mêmes troubles , alors que cependant ils ne vivent pas dans une
core très nombreuses. Parmi elles, celles qui se rapportent à des troubles de la mémoire, consécutives à des émotions morale
' Féré. La pathologie des émotions, 1892, p. 325. * Sollier. Les troubles de la mémoire, p. 188 et suiv. Souques. - Essai
anquait d'éner- gie ; cependant elle ne paraissait atteinte d'aucun trouble nerveux ni mental apparent... . L'incendie de
rôle de cause plus ou moins efficiente. Au moment de son entrée, le trouble mental principal que présentait Mme B... était
nou- veaux souvenirs ». En d'autres termes, Je diagnostic de ces troubles de la mémoire pouvait se formuler de cette manièr
uelque temps sur l'acte commandé. La sensibilité ne présente pas de troubles notables. Elle sent sur .tous les points de son
; l'acide acétique lui paraît salé. En somme, il n'existe pas de troubles bien nets de la sensibilité, ou tout au moins l
uses, s'exécutent bien. L'appétit est satisfaisant; il n'y a pas de troubles gastriques ni intestinaux. Mm0 B... n'oublie pas
et qui cependant n'ont pas sa raison ! Chez eux, il'ÿ'a en plus du trouble , de la confusion' dans les idées. Quoi qu'il en
d'autres obser- vateurs ont remarqué dans des cas analogues où les troubles de la mémoire, ordinairement transitoires et di
- AMNÉSIE RÉTRO-ANTÉROGRADE. 183 Quant à la cause objective de ce trouble delà mémoire, il faut, vraisemblablement, la vo
'est autre, en 'résumé, que celle du mécanisme psychologique de ces troubles morbides. , , 9 ri ? ·'( 1 -'t i, 1 1 .Ilty a
trémités, ataxie, modification des divers réflexes, palpitations et troubles vaso-moteurs(cyanosesetaspliyxieslocales). (Bi,
ns lésion microsco- pique appréciable à l'autopsie. Ni paralysie ni troubles des sens spé- ciaux.Les malades eurent leurs pr
'n., 19 mai 1894.) A. 111ARIE. " XXXIV. Chlorose ET aménorrhée avec troubles cérébraux, par CRAWFORD THOMSON. Observation
at, eu égard à la nature de la paralysie. La localisation nette des troubles aux extenseurs de la jambe, la bilatéralité des
, de tabes avec une paralysie de presque tous les nerfs crâniens et troubles respiratoires (dyspnée, crises laryngées, dysph
4 malades atteints de diabète grave dont un avec névrite double et troubles trophiques. P. K. XLVII. Du tabès chez la fem
d, d'engourdissement, d'horripilation, avec sueur dans les membres ( troubles circulatoires) ; de l'insuffi- sance des sphinc
esophagienne; de l'insomnie. Observation. En'pareils cas, c'est le' trouble somatique préalable qui produit l'émotion morale
us tardive(après la vingtième année) et ne présentant en général ni troubles trophiques, ni pied bot, en même temps que les
lexes rotuliens sont conservés ou exagérés et que se présentent des troubles visuels qui consistent eu rétrécissement du cha
ation scoliotique de la colonne vertébrale; nys- tagmus, sans autre trouble visuel; parfois du tremblement de la tête; emba
s par l'incertitude des membres inférieurs. Pas de douleurs, pas de troubles sphinctériens, pas de troubles de la sensibilité,
inférieurs. Pas de douleurs, pas de troubles sphinctériens, pas de troubles de la sensibilité, mais tristesse et irritabili
et de la folie ne saurait plus consister à énumérer simplement les troubles mentaux variés qui se peuvent observer chez une
urd'hui une définition à peu près précise, l'autre à un ensemble de troubles fort vagues à la vérité; fort variables de phys
écidément une psy- chose, peu importe : c'est un fait avéré que les troubles qui la constituent sont d'ordre psychique. Pers
manifestations comme des désordres réactionnels consé- cutifs à des troubles de l'utérus ou de ses annexes. Mais cette notio
ion exacte et précise. Ni l'étiologie, ni la symptomatologie, ni le trouble psychologique fondamental qui, tout constant qu'i
e domaine de l'hystérie, du moins à nous montrer les principaux des troubles qui la constituent. En clinique, en effet, on n
1 forment les éléments constitutifs d'un tout nosographique : les troubles de la sensibilité générale et spéciale (je rappel
mnésies et aboulies, les attaques, les crises de somnambulisme, les troubles vasculaires et trophiques, pour ne citer que le
t d'affirmer leur communauté d'origine : elles dérivent d'un même trouble du mécanisme cérébral qui parait être la caractér
nières années, différents auteurs ont mis en relief ce fait que les troubles de nature hystérique tiennent à un état mala- d
Janet. C'est un fait qui paraît aujourd'hui avéré et établi que le trouble mental élémentaire de l'hystérie, celui auquel
re à un spasme, à une idée fixe, à l'attaque ou au délire, tous ces troubles paraissent résulter ,non d'une simple représent
chologiques qu'il de- vient possible de démêler dans l'ensemble des troubles mentaux complexes qu'on a, à tort ou à raison,
érescence. D'ailleurs, cette association relativement fréquente des troubles hystériques et dégénératifs ne semble pas purem
tenait à ce qu'on avait négligé de faire la dis- tinction entre les troubles qui relèvent de l'hystérie et ceux qui dépenden
oulie avec les erreurs, les indé- cisions, les impuissances que ces troubles entraînent, c'est la diffi- culté de concentrer
cependant de certaines émotions automatiques. Mais à côté de ces troubles qui relèvent directement de l'hystérie, il en e
térie une folie. On trouve d'ailleurs dans l'attaque d'hystérie des troubles délirants qui appartiennent exclusivement à l'h
érie. SOCIÉTÉS SAVANTES. 225 C'est dans la grande attaque que les troubles délirants se mani- festent avec le plus de nett
ique, pendant la troisième et la quatrième période de la crise. Les troubles psycbiques,de la phase prodromique consistent en
né et déterminent des manifes- tations de différente nature. Divers troubles somatiques, les hyperes- thésies, les paralysie
aralysies, des contractures ou des attaques. Pour en finir avec les troubles mentaux qui ressor- tissent en propre à l'hysté
qu'on y observe si communément. Chez les hystériques, à côté des troubles mentaux qui relèvent directement de l'hystérie,
oit pas sur- prenant de voir chez les hystériques se juxtaposer aux troubles qu'elles présentent d'habitude, les divers déli
t faire ce diagnostic en s'appuyant : 1° sur la pré- pondérance des troubles psycho-sensoriels, ainsi que cela s'observe dan
, due indirectement à l'altération des centres nerveux par suite du trouble diffus delà nutrition qui est la consé- quence
pliquer la symétrie à peu près constante et complète aussi bien des troubles moteurs que des troubles sensitifs; comment exp
près constante et complète aussi bien des troubles moteurs que des troubles sensitifs; comment expliquer aussi l'in- congru
pliquer aussi l'in- congruence de la localisation de ces différents troubles avec le trajet des troncs nerveux ? Anesthésie
ynévrite le cerveau est souvent atteint, ainsi qu'en témoigneut les troubles psychiques dont il a été question plus haut. No
olynévrite, sans que cependant les malades aient présenté aucun des troubles moteurs ou sensitifs propres à la polynévrite.
, à savoir que toutes deux impliquent l'idée qu'il ne s'agit pas de troubles Archives, t. XXVIII. 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES
parfois, dans la moelle des sujetsayantprésenté pendant la vie des troubles nerveux qu'on a l'habitude de rattacher à des n
on trouve à l'autopsie d'un sujet qui a présenté pendant la vie des troubles nerveux, de grosses lésions de la périphérie de
ions des nerfs sont primitives, qu'elles sont l'origine de tous les troubles symptomatiques qu'on observe et que le système ne
e, leur action pathogène sur d'autres systèmes anatomiques; que les troubles fonctionnels qu'ils occasionnent sont causés no
définitives ont compromis l'in- tégrité de l'organe et déterminé le trouble durable de ses fonc- tions. » . Si on nous de
rer l'attention du Congrès. Le voici : l'alcoolique guérit vite des troubles morbides qui ont nécessité son internement. Une
ue le rôle de cause occa- sionnelle pour déterminer l'apparition de troubles mentaux passa- gers. C'est surtout pour les mal
dans l'asile d'alcooliques tous les prédisposés qui présentent des troubles mentaux, à la suite d'excès de boisson, cet asi
lusieurs auteurs, surtout étrangers, ont décrit, comme on sait, des troubles mentaux de la polynévrite. Ces troubles mentaux
décrit, comme on sait, des troubles mentaux de la polynévrite. Ces troubles mentaux peuvent se présenter avec des manifesta
'il lui soit spécial, encore moins subor- donné, et considèrent que trouble mental et polynévrite sont deux conséquences po
xication ou l'in- fection. 1 Certains faits dans lesquels le même trouble mental s'est observé à la suite d'une maladie i
masses musculaires sont également douloureux. 11 y a aussi quelques troubles de la sensibilité, notam- ment de l'hypo-esthés
être et il me semble qu'étant donné la persis- tance si longue des troubles post-infectieux, on peut admettre que l'infecti
ar conséquent, on ne peut la considérer comme véritablement liée au trouble mental. Ce fait vient donc à l'appui de cette o
certains cas une amélioration qui peut porter sur les douleurs, les troubles oculaires, la faiblesse des membres. , E. Régis
cience, phénomène qui, mieux que tout autre, permet d'expliquer les troubles de leur état men- tal et certains de leurs stig
on, très étroitement liées ; il a des hallucinations de l'ouïe, des troubles de la sensibilité générale. D'invisibles ennemi
ire de toutes pièces, enveloppé dès sa naissance de son ornement de troubles sensoriels. Le malade est-il per- sécuté ? -Tou
arition des psychoses. Ce rôle n'est pas moindre dans la genèse des troubles intellectuels survenus dans ces états mixtes.
. L'excitation corticale ne s'apaise pas complètement chez lui, les troubles sensoriels se limitent au sens de l'ouïe, le dé
que le sujet atteint est- un prédisposé. Dans son étude sur les « troubles intellectuels liés aux lésions circonscrites du c
rivée à l'asile, au-dessus de l'affaiblissement mental, escorté des troubles somatiques classiques, ce malade n'avait qu'un
la possession; que toutes les visions, tous les spectres, tous les troubles de conscience étaient pour les quinze dernières
tout ce qui devait être sacré à leurs yeux. Maintenant, à côté des troubles positifs auxquels se rattachaient évidemment le
mars, de leurs hallucinations, de leurs visions obscènes, de leurs troubles viscéraux, soit diurnes, soit nocturnes, il ne
e qui présentait tous les symptômes du tabes : crises douloureuses, troubles urinaires, signes de Romberg et d'Argyll Robert
inaires, signes de Romberg et d'Argyll Robertson, etc., etc., aucun trouble cérébral. L'année suivantej'envoyai ce malade à
à Lamalou, et, à son arrivée, on remarqua qu'il présentait quelques troubles cérébraux survenus inopinément pendant le voyag
retourne à Lama- lou deux ans plus tard, et l'on constate alors des troubles de la parole, de la mémoire et de l'intelligenc
ité absolue de travail, vertiges, insomnie, amyosthénie matutinale, troubles dyspeptiques, constipation, etc. La plupart de
t de vue médical, en ce qu'elle suffit à faire disparaître tous les troubles nerveux simulant l'aspect clinique du rein flot
ordination musculaire dans les membres inférieurs etsupérieurs avec troubles de la parole et symptômes neurasthéniques. Le f
e son frère. Ces observations diffèrent, pourtant, par l'absence de troubles visuels du type morbide décrit par M. Marie : il
x, les douleurs d'oreilles qui existent dans la moitié des cas, les troubles de l'ouie, elc. Il y a donc intérêt à examiner
pression des fonctions cutanées, la raréfaction des poils, etc. Les troubles de l'intelligence sont peu accusés. La malade s
ons avec lésions destructives nous n'avons eu à enregistrer que des troubles relativement faibles du côté de la perceptibilité
lé le symptôme de relation. Ce symptôme divise, au point de vue des troubles visuels, les maladies du système nerveux en deux
rdante dans la sphère des autres fonctions sensorielles, ni d'aucun trouble de l'intelligence. Il s'agit d'un phénomène psy
rement de ce que'cette personnalité désormais étrangère l'insultât ( troubles psycho-moteurs probables). A la différence du c
nus une dizaine de jours auparavant et dont le plus saillant est un trouble de la mémoire, se présentant sous la forme dite
erfs qui furent les premières manifestations névropathiques, et des troubles digestifs dont le caractère est assez difficile
la façon la plus nette les stigmates classiques de l'hystérie. Les troubles de la sensibilité sensitivo-sensorielle sont au
retrouve guère que le clou qui est très net. D'après l'examen des troubles de la sensibilité, la malade se présente donc à
mentaux qu'elle présente d'autre part. Les plus saillants sont les troubles amnésiques auxquels nous avons déjà fait allusi
étrécis- sement du champ de conscience; ne peut qu'entretenir les troubles anesthésiques, abouliques et amnésiques par les-
troisième période, ajoute M. Voisin, l'urine est souvent fétide et trouble et contient quelquefois de la bile ou des cris-
ransparente; elle est presque toujours au moins louche, quelquefois trouble , et ne s'éclaircit pas complètement même après
e rencontrent donc aisément dans la paralysie générale et cela sans troubles de la miction et sans rétention prolongée d'uri
nes ont une faible densité et sont de coloration claire, légèrement troubles , avec un dépôt muqueux assez abon- dant. L'excr
oureuse de cet organe qui ne perçoit plus le froid et le chaud, les troubles de la phonation, et, plus rarement, de la respi
, à cause de cela, marcher plus d'une demi-heure. Ce n'est pas au trouble de la sensibilité qu'il faut attribuer ce tour
rnée à gauche); alalie, anarthrie, contracture des lèvres, trismus, troubles de la déglutition et de la mastication; impossi
à la fixation ; 2° la bradylalie, une monotonie de la voix; 3° les troubles spasmodiques des mouvements des extrémités. '
érieures. Action favorable de la galvanisation. P. K. 1,XVII. Les troubles unilatéraux DE la vision centrale ET leurs rapp
(Neurolog. Cen- tralbl., 1893.) Cette monographie établit que les troubles de la vision d'origine 400 REVUE DE PATHOLOGIE
r la plupart, unilatéraux et que, ce qui les dis- tingue des autres troubles visuels centraux, c'est qu'ils ne sont pas hémi
suel, à tous les degrés, qui ne correspond pas toujours au degré du trouble de, la vue ; - 4° La dyschromatopsie typique,
de concert avec d'autres symptômes hystériques, notamment avec des troubles de la sensi- bilité de la cornée, de la conjonc
ujet. Le fond de l'oeil reste normal, . Evidemment ils émanent d'un trouble de l'innervation des vais- seaux du cerveau. To
acunes de l'innervation vasculaire, ainsi produites, engendrent des troubles dans la conductibilité des nerfs qui passent pa
hoc des médecins de districts stylés à cet égard; 7° pour tous les troubles intellectuels acquis, les magistrats devront envo
flexes communes) semble vivre en rêve quoique éveillé. P. K. XXI. Troubles mentaux dans la syphilis; par P. IOIVALI,NSIil'.
OLOGIE MENTALE. mobilité pupillaire bilatérale, sont, comparées aux troubles unila- téraux, plus fréquentes chez les syphili
ntes chez les syphilitiques. Chez ces malades aussi prédominent les troubles des muscles des yeux ; quant aux formes morbide
E DE PATHOLOGIE MENTALE. 409 centripète et la manière dont celle-ci trouble l'activité organique. C'est toujours un complex
e et d'une incapacité absolue de remuer les membres et la tête. Ces troubles ont duré jusqu'au matin et tout s'est peu à peu
ntes d'accès périodiques de dépression mé- lancolique profonde avec troubles de la conscience tout à fait sem- blables aux f
e; les bat- tements de coeur, l'accélération de la respiration, les troubles de l'innervation, les tremblements musculaires,
de l'innervation, les tremblements musculaires, les vertiges, des troubles circulatoires avec paresthésies, des sueurs, con-
plus importants de la neurasthénie. On en peut rapprocher un autre trouble de la sensibilité morale, la terreur des hystér
e à la stupidité (la terreur vous stupéfie), la convulsibilité, les troubles de la sensibilité et d'autres nerfs sensoriels
ion psychomotrice. Hallucinations du goût , de l'odorat, de la vue. Troubles de la sensibilité générale. Systématisation du
mité des ouvriers de la Belle- Jardinière, concierges. Néologismes. Troubles de la sensibilité générale : électricité, magné
. Troubles de la sensibilité générale : électricité, magnétisme'. Troubles de la personnalité. Diminution de la résis- tan
antaine sans que rien ait pu déceler, aux yeux de leurs proches, de trouble mental, ils n'entrent pas d'emblée dans la foli
hronique, celle des hallucinations multiples de nature pénible, des troubles de la sensibilité générale et du délire de pers
bles de la sensibilité générale et du délire de persécution. . Le trouble sensoriel auditif ne se traduit au début que par
res, ses écrits, ses pensées. En résumé, l'hallucination de l'ouïe, trouble sensoriel secon- daire, né sous l'influence d'u
de l'ouïe, trouble sensoriel secon- daire, né sous l'influence d'un trouble intellectuel primitif, s'est progressivement ét
é de ces modalités de l'hallucination de l'ouïe, prennent place des troubles spéciaux, moins sensoriels que psycho- moteurs,
tiques les plus importants, elles ne sont pas exclusives des autres troubles sensoriels. Assez souvent, en effet, se montrent
s ceux-ci n'en manifestent pas moins leur haineuse animosité. Les troubles de la sensibilité générale sont, en effet, très
flues, car loin de diminuer, le champ des persécutions s'étend; aux troubles de la sensibilité générale s'allient, surtout c
Illusions, interprétations délirantes, hallucinations de l'ouïe, troubles de la sensibilité générale, toute une accumulatio
. 443 des ouvriers de la Belle-Jardinière ; concierges. Néologisme. Troubles de la sensibilité générale : électricité, magné
contracta en 1873, à vingt-neuf ans, mais qui ne fut suivie d'aucun trouble intellectuel. En 1886, à quarante-trois ans, el
e de Savoie. Nous sommes en 1889. La malade a quarante-six ans. Les troubles de la sensibilité générale font leur apparition
'interprétation délirante marchait de pair, comme on voit, avec les troubles sensoriels. Un jour, au mont-de-piété, elle sen
1892, à quarante-neuf ans. A l'asile, ni les hallucinations, ni les troubles -de la sensibilité générale ne s'atténuent. Les
avant qu'elle ait fini d'en comprendre le sens. Parallèlement à ces troubles hallucinatoires, les troubles de la sensibilité
mprendre le sens. Parallèlement à ces troubles hallucinatoires, les troubles de la sensibilité générale vont leur train, l'é
ions profondes. Ces lésions de la personnalité sont dues, moins aux troubles sensoriels hallucinatoires qu'aux troubles de l
ité sont dues, moins aux troubles sensoriels hallucinatoires qu'aux troubles de la cénesthésie, des sensations organiques, «
tronc et des autres membres, on ne constate rien d'anormal. Comme troubles sensitifs, on trouve une hémianesthésie gauche
IQUE MENTALE. visuelle normale. Le malade se plaint parfois de voir trouble mais exclusivement à la suite de fatigues visue
DE DE LA POLYURIE HYSTÉRIQUE. 4S5 Les réflexes sont normaux. Pas de troubles sphinctériens. Les désirs et les aptitudes géné
e quantité constante (10 à 45 centimètres cubes) d'une urine acide, trouble , dont la densité varie entre 1,030 et 1,050. En
s, 1888, et Soc. nzdd. des /top., 1891. - Louis Guinon. De quelques troubles urinaires de l'enfance. Thèse de Paris, 1889. D
éclosion de la polyurie qui ne débute que bien des années après. Ce trouble urinaire n'indique dans l'enfance qu'un état né
continence, lui rappellent sans cesse le désagréable souvenir de ce trouble urinaire. Point n'est besoin d'insister sur ce
le. 11 est logique de supposer qu'elle [le fait en détermi- nant un trouble vaso-moteur du côté des reins. Si ce trouble va
it en détermi- nant un trouble vaso-moteur du côté des reins. Si ce trouble vaso-moteur se localise sur les reins, c'est pa
bligé entre l'idée fixe et le syndrome urinaire semble donc être un trouble vaso-moteur localisé aux reins. Certains exempl
tre un trouble vaso-moteur localisé aux reins. Certains exemples de troubles vaso-moteurs localisés dans l'hystérie, provoqu
émoignage et nous dispensera de plus longs commentaires, car ici le trouble vaso-moteur est visible, indiscutable et se fai
'observateur qui a suggéré l'idée d'un gonflement oedémateux. Si le trouble vaso-moteur rénal, déterminé par l'idée d'un an
Si le trouble vaso-moteur rénal, déterminé par l'idée d'un ancien trouble quantitatif de la miction, ne peut être constaté
. Ce qui prouve, au surplus, l'exis- tence et le mécanisme d'un tel trouble , c'est, comme l'ont montré M. Babinski d'abord'
xe a son origine dans l'exis- tence antérieure, chez le sujet, d'un trouble urinaire polla- kiurique ou hypersécrétoire (ex
alors généralement les premiers en date. Ce sont des céphalées, des troubles de la vision, et des paralysies dans le domaine
qui précèdent, accompagnées de paralysie absolue des sphincters, de troubles profonds de la sensibilité et surtout compliqué
rs, de troubles profonds de la sensibilité et surtout compliqués de troubles trophiques graves (eschares à extension rapide)
ous les renseignements qu'elles sont susceptibles de donner sur les troubles vasculaires de la moelle. Actuellement déjà les
ler à la confusion ( Veî,ivii,î,ttng), et dans ce cas il existe des troubles moteurs correspondants. Enfin la même maladie p
tiaeit mérite la qualifi- cation d'abontive, cela importe peu et ne trouble en rien l'interpré- tation du niotverrücktheit
démontré que la section du lobe cérébelleux médian s'accompagne de troubles semblables qui ne peuvent alors s'expliquer par
s en contact avec le cervelet portion médiane; on observe alors des troubles circulatoires et respiratoires marqués, sans pa
sans paralysie. Le malade précité présentait l'un et l'autre de ces troubles (parésie et troubles respiratoires); il mourut mê
lade précité présentait l'un et l'autre de ces troubles (parésie et troubles respiratoires); il mourut même dans un accès de
ants. La pathologie confirmerait cette théorie qui expliquerait les troubles circulatoires : hypothermie, oedèmes, cyanoses,
it les troubles circulatoires : hypothermie, oedèmes, cyanoses, les troubles vaso-trophiques et les troubles des fonctions c
hypothermie, oedèmes, cyanoses, les troubles vaso-trophiques et les troubles des fonctions cérébrales et respiratoires dans
ne action mécanique. 0 P. Keraval. XXVII. LA DYSLEXIE EN TANT QUE TROUBLE FONCTIONNEL; par SOMMER. (Arch. f. Psychiat., X
NEL; par SOMMER. (Arch. f. Psychiat., XXV, 3.) La dyslexie est un trouble fonctionnel. Il y a donc intégrité ana- tomique
l'alexie lui permettent de conclure ce qui suit : 10 Il existe un trouble complexe de la lecture caractérisé par : a. de
eux désignée peut-être sous le nom de perturbation et à de nombreux troubles mentaux qui ne sont qu'approximativement caract
t qu'approximativement caractérisés par toutes ces expressions. Ces troubles intellectuels ont un caractère commun; c'est l'
e de conceptions anormales, comme dans la folie systé- matique, les troubles de la sensibilité morale étant de nature su- bo
et prennent aussi un déve- loppement morbide. Puis apparaissent des troubles intellectuels incompatibles avec l'intégrité de
amais dans la folie s3·sté matique chronique : ils sont le jouet de troubles morbides, tels que tics, actes impulsifs, agita
ntrer intermittentes, si bien que l'on pourrait presque croire à un trouble cérébral isolé, à une excitation du centre auditi
umérer de l'amentia ont pour signes distinctifs communs : l'état de trouble de la connais- sance qui peut aller jusqu'à la
pas question ici. A côté de ces formes morbides constituées par un trouble des sources de l'idéation (Voistelliii2gssphoei
si- dérer à part comme formant un groupe parfaitement séparé, des troubles primitifs de la sensibilité morale ou affective (
ention soutenue qu'on y mette, de faire la part de la prio- rité du trouble . On en peut dire autant pour quelques cas de foli
marqué et persistant. Il est donc établi que les formes aiguës des troubles psychiques, dont il est question ici, envisagée
étermine l'évolution de la maladie en plein développement, c'est le trouble de l'activité con- ceptuelle. Mais il n'est pas
s à une intoxication ou, ce qui est peut-être la même chose, à un trouble de la nutrition cérébrale, à l'épuisement du cerv
s modifications imprimées aux con- ditions de la vie voir surgir un trouble que l'on puisse pleinement rattacher à l'une de
e, il a en termes exprès indique qu'assez souvent il se produit des troubles morphologiques indé- pendants dans l'émission d
logiques indé- pendants dans l'émission des conceptions, et que ces troubles affectent l'apparence phénoménale de la confusi
ations mutuelles, dans leur coordination; de mettre en évidence les troubles de l'identification (Rieger) ; de rechercher l'in
entification (Rieger) ; de rechercher l'influence que chacun de ces troubles exerce secondairement sur le méca- nisme de l'a
s relations de la personnalité. Je pense encore aujourd'hui que les troubles morbides quiproduisent ce phénomène, notamment
ue normal, quand elle se rattache à la sensibilité morale, ou à des troubles de l'iden- tification ou encore à des idées dél
serrée, l'auteur rend évident que les polynévrites accompagnées de troubles psychiques ne représentent qu'une phase de synd
s. Par un procédé didactique contestable et malgré la fréquence des troubles cérébraux et des névrites, associés à l'alcoolism
de rap- 512 BIBLIOGRAPHIE. procher les névrites périphériques des troubles cérébraux qui les accompagnent, les précèdent,
phérique et central. L'étude critique des symptômes périphériques : troubles de motricité, de sensibilité et trophiques, mon
iquées. Les phénomènes d'ordre cérébral sont de deux sortes : les troubles mentaux et d'autres phénomènes d'ordinaire rattac
sphère cérébrale, les vomissements, les vertiges, le nystagmus, les troubles de la parole, etc. Tous les auteurs attribuent un
que ce symptôme est dû à des causes variées, souvent banales. Les troubles mentaux sont caractérisés, d'après M. Korsakow,
ou moins profond de l'association des idées, et finalement par les troubles de la mé- moire, qui sont toujours sensiblement
iblement les mêmes : amnésie des faits anciens. Malheureusement ces troubles ne sont pas spéciaux à la psychose polynévritiq
u cortex vis-à-vis de l'intoxi- cation générale de l'organisme. Les troubles de la mémoire sem- bleraient se rencontrer seul
, en particulier, fièvre typhoïde, influenza, on constate aussi des troubles de la mémoire, pertes partielles ou totales ave
léger avec tendance à l'hypocondrie, quelques hat- lucinations, des troubles de la mémoire et des sentiments affectifs, des
s autres commémoratifs, ne permet pas, à lui seul, de déterminer le trouble des fonctions psychiques et à l'aide duquel on
la spinale, par Ranson et Thomson, 482. Dyslexie, la en tant que trouble fonctionnel, par Sommer, 484. Elongation du n
, par Lamy, 48. Syphilis, sur un cas de cérébrale, par Bitot, 41; troubles mentaux dans la -, par Kowalewski, 402; paral
ertige auriculaire, par Maekensie, Dalby et Withers, 392. Vision, troubles unilatéraux de la centrale, par Knies, 399. V
Visites dans les asiles, par Dittmar et Schnele, 416. VISUELS, troubles dans les hémi- plénies, par Fromaget, 40. TAB
26 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
imulta- nément chez un sujet dont la mobilité de caractère et les troubles nerveux purement subjectifs en faisaient d'ores e
suite du réveil conscient de ces mêmes images motrices. L'étude des troubles du sens musculaire pourrait donc ainsi logiquem
re deux divisions principales. Dans la pre- mière on étudierait les troubles mnésiques résultant de la perte de ces images c
t de la perte de ces images conscientes dont nous venons de parler, troubles qui seraient au sens musculaire ce que la cécit
sens de la vision. Dans une seconde viendraient prendre place les troubles de perception sensorielle, où l'impression née à
à ces impressions. En fait il vaut mieux distinguer d'une part les troubles du sens muscu- laire consécutifs à des lésions
ôler l'exécution de ses mouvements volontaires, et d'autre part les troubles consécutifs aux lésions des centres, en prenant
tion intégrale de la force musculaire, est l'exemple clas- sique de troubles du sens musculaire par lésion des voies de con-
était peu après reproduit expérimentalement par Veyssière 2. Les troubles du sens musculaire faisaient partie intégrante du
s ou moins sur la couche, optique et les noyaux du corps strié, les troubles du sens musculaire sont extrêmement fréquents. Ic
la lésion or- ganique. Il n'en est pas de même lorsqu'il s'agit des troubles in- finiment moins saillants et plus difficiles
t déjà été signalés par Tripier en 1880 '. Redlich 2 a trouvé des troubles des sens musculaire et stéréo- gnostique dans 2
t l'une sans l'autre. Bourdicault-Dumay 3 confirme la fréquence des troubles de la 1 Tripier. De l'anesthésie dans les lésio
hémiplégie cérébrale et admet lui aussi l'indépendance relative des troubles du sens musculaire et de ceux de la sensibilité
elative de ces trois syndromes. D'autre part, dans la production du trouble spécial qu'il étudie sous le nom d'hémiataxie p
egré. A côté de ces auteurs qui admettent la grande fréquence des troubles de la sensibilité générale et du sens musculaire
venons de citer 3 et nous sommes arrivé à cette conclusion que les troubles de la sensibilité générale 1 hoc. cil., p. 133.
ébral. (Nell1'ologischen Cecilrcclblall, 1898.) 3 Henri Verger. Les troubles de la sensibilité générale dans l'hémiplé- gie
ion de ces idées. Toutefois, s'il nous est permis de croire que les troubles du sens musculaire sont pour ainsi dire la règl
ulier, que pour ceux de la racine. il se confirme également que les troubles du sens musculaire ont une importance beaucoup
dans la formation de cette notion complexe. « Il y aurait, dit-il, trouble du sens stéréognostique toutes les fois qu'il y
assertion est absolument vraie, mais il ne faut pas oublier que les troubles du toucher actif existent également avec des lé
dangereux devraient être maintenus en traitement jusqu'à ce que les troubles mentaux aient disparu. (The A îie ? ica2z Journ
e pendant la période florissante de la syphilis. C'est une forme de trouble mental assez peu fréquente et toujours caracté-
servation d'un homme de soixante-quatorze ans, qui a été atteint de troubles psychiques, quatre jours après avoir subi une l
rsistait encore sept mois après l'opération. M. Duplay attribue les troubles psychiques ob- servés chez ce malade, à une pré
pération. A. Fenayrou. 46 6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. V. Des troubles comparés du patellaire, du crémastérien et du p
agents étiologiques de cette affection, et, d'autre part, avec les troubles de la sensibilité à la douleur et au loucher et
ec les troubles de la sensibilité à la douleur et au loucher et les troubles du sens génital qui s'observent chez les sujets
u début du mal, pour faire le diagnostic, dans les cas douteux. Les troubles de ces réflexes ne fournissent aucune indi- cat
en est plus lente, la durée plus prolongée. P. Keraval. VII. Des troubles nerveux et psychiques chez les travailleurs du
'une cinquantaine de malades et de la bibliographie existante. I. Troubles somatiques généraux. - Catarrhe chronique des mu-
; urine pâle, peu dense, d'odeur douceâtre. Rien dans le sang. IL Troubles Mft'MMa ? a) Par contact direct : anesthésie loca
ubital, parésieavecdégénérescence partielle du médian; b) névrose ; troubles nombreux de la sensibilité par action centrale
t- ter l'atmosphère morbigène, au moins dans les cas légers. III. Troubles psychiques. - Ils peuvent être directement produi
ectement produits par le poison, ils se confondent souvent avec les troubles nerveux (voyez l'état neurasthénique et hypocho
d'une absence des réflexes tendineux, de l'analgésie des jambes, de troubles de la parole ou de l'écriture à peine mar- qués
très accentué et étendu il tout le corps, insomnie intense et enfin troubles digestifs très accentués. Pour admettre la natu
mmun. En somme, selon 11. Miguel Bombarda, « la constatation d'un trouble fonctionnel du cerveau, anesthésie, paralysie, co
es somatiques de l'hystérie est remarquablement infidèle contre les troubles purement psychiques; le grand hypnotisme est im
loyée avec avantage chez un certain nombre de malades atteints de troubles mentaux divers : Ainsi M. Van Renterghem attribue
ux tels que névralgies, crampes, douleurs indéter- minées, etc., de troubles fonctionnels dus à des maladies internes ou ext
nels dus à des maladies internes ou externes, de la chlorose et des troubles menstruels, etc. L'au- teur fait remarquer, que
otivité, le traitement moral. Les aboulies géné- rales, indice d'un trouble général et permanent des fonctions volontaires,
isième accouchement température très élevée, congestion de la face, troubles mentaux. insomnie, pouls à 116, dur, irrégulier
rocessus inflammatoire de la moelle et de ses membranes, et sur des troubles circulatoires provoqués par l'athérôme artériel
de l'ouïe; aphasie motrice. Sensi- bilité partout conservée. Pas de troubles trophiques. Tous ces symptômes indiquent un néo
talement absent des deux côtés. 80 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Pas de troubles de la vessie ni du rectum. l'as d'attaques épilep
t spécifique a d'ailleurs amélioré le malade. Il faut, pour que ces troubles soient appréciables que, malgré la localisation
ypnotique chez un jeune homme de vingt-deux ans qui souffrait de ce trouble depuis sept ans. M. Paul FAREz. Je connais un c
nt très facilement hypnotisables; la suggestion les guérit de leurs troubles nerveux, et, en outre, les rend plus dociles, p
rillon présente une jeune fille de seize ans qui a manifesté divers troubles hystériques : tels que aménorrhée, crises convul-
responsable, cette responsabilité étant il peine atténuée par les troubles psychiques antérieurs, » Ces conclusions ont en
images ou rites, l'irrévérence aux lieux saints indépendamment du trouble de l'ordre dans les églises. De plus elle défend
ier 1900. N° 50 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE. Des troubles psychiques dans la chorée dégénérative (Choré
ns le groupe des chorées. Avant de traiter la symptomatologie des troubles psychiques dans la chorée dégénérative, il est
ensuite les degrés les plus élevés et conduit le plus souvent aux troubles psychiques, avec impulsions fréquentes au sui-
n, spécialement t quant aux conditions héréditaires, à la nature du trouble mental et à l'époque de l'apparition de la mala
bler le tableau symptomatologique, déjà suffisamment compliqué, des troubles psychiques dans la chorée hérédi- taire dégénér
e, devenue folle, actuellement internée dans une maison de santé. TROUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHOREE DÉSÉNÉRAT1VË. 101 La
d'apparence chétive, âgé de quarante-huit ans, est de petite taille TROUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNERATIVE. 103 ama
ui était impossible de répondre. Il souffrait depuis longtemps de troubles ataxiques de la déglutition. Le malade mangeait
du 9 mai 1881. Fig. 2. Spécimen de l'écriture du 5 février 1895. TROUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DEGÉNÉRATIVE. IOJ tra
un des malades de Facklam, et dans un cas rapporté par Osier. Les troubles de la déglutition s'aggravèrent beaucoup pen- d
Ceci nous amène au coeur même de notre sujet, à la description des troubles psychiques. Notons encore que le malade n'offra
es troubles psychiques. Notons encore que le malade n'offrait aucun trouble de la sensibilité et que l'exploration des orga
rieur. Il n'avait pas d'accès de jalousie contre sa femme, qui du TROUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 107 res
qu'elle nous apparaît aujourd'hui. Nous nous occuperons d'abord des troubles psychiques élémentaires qui s'observent dans la
horée de Huntington, avant de discuter la question de savoir si ces troubles carac- térisent une forme déterminée de psychos
spéciale à cette maladie. Les premiers auteurs qui étudièrent les troubles mentaux des choréiques en général, Rilliet et B
u caractère comme un des signes les plus habituels de la chorée. Ce trouble psychique élémentaire est mentionné dans la trè
i représentait un type très pur de chorée de Huntington, offrait ce trouble du caractère au plus haut degré. Nous avons vu
ro- nique où il n'est pas question d'idées de suicide, ni même de troubles mentaux. ' En 1885 King, dans le Neiv-York médi
entaux. ' En 1885 King, dans le Neiv-York médical Journal, publie TROUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 109 l'h
uverez dans les auteurs que King a particulièrement insisté sur les troubles mentaux et les idées de suicide dans la chorée
as de cas personnels, se borne à dire, d'après les auteurs, que les troubles psychiques sont en général légers ( ? ) dans ce
ans, ancien soldat, puis gendarme, qui avait eu beaucoup à souf- TROUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNGR1T1'E. 111 fri
'en avait pas été empêchée par sa fille. Peut-être les impulsions TROUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 113 au
ves de suicide n'appartiennent pas au tableau symptomatologique des troubles mentaux dans la chorée de Huntington. Il n'exis
t des malades atteints de chorée de Huntington des poussées tran- TROUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 1 ha si
facultés intel- lectuelles est avec l'irritabilité du caractère le trouble men- tal caractéristique de la chorée héréditai
sumé sommaire des résultats de l'autopsie que j'ai faite. - - Les troubles psychiques peuvent-ils faire défaut dans la cho
ire ? Arndt, en 1868, prétendait qu'il n'y avait pas de chorée sans trouble mental. ilalloclc, tout récemment (Journal of n
f nervous and mental disease, 1898, XXV, p. Soi) constatant que les troubles moteurs s'accom- pagnent presque régulièrement
que les troubles moteurs s'accom- pagnent presque régulièrement de troubles intellectuels dans la chorée de Huntington, pro
citer les auteurs qui ont publié des cas de chorée héréditaire sans troubles mentaux. Les deux cas de Ewald d'abord, où l'on
bord, où l'on n'a constaté ni affaiblissement de l'intelligence, ni troubles intellectuels. Toutefois il ne paraît pas que c
. ' J'ai déjà parlé du cas de Kornilow, dont je n'ai pu consulter TROUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 117 le
alade, arrivé à la vieillesse, après avoir souffert toute sa vie de troubles cho- réiques, avait conservé aussi ses facultés
erminaison démente, une autre forme plus légère de la maladie, sans troubles intellectuels. il faut attendre de nouvelles ob
pense qu'on fera bien de s'en tenir provisoirement à classer les troubles psychiques de la chorée de Huntington sous le nom
ace interne est par- ' faitement lisse. Les méninges sont épaisses, troubles , infiltrées, oedémateuses. Les sinus et le rése
A 10 grammes. Après un mois de séjour dans le liquide de Muller : TROUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. '1 9 .M
le tremblement intentionnel. Le mouvement intentionnel résulte d'un trouble de la contraction intérieure de chaque muscle, ta
ymptômes sensitifs, et quant à la paralysie de la vessie, quant aux troubles rectaux. La diminution considérable de l'acuité
Pas du tout de tremble- ment intentionnel, pas de nystagmus, pas de troubles de la parole. La parésie spasmodique des jambes
cher en détail. P. KERA VAL. XIV. Contribution à la connaissance du trouble de la sensibilité de Bernhardt ; par ADLER. (Ne
rdt ; par ADLER. (Neurolog. Crntm'Lbl., XVII, 1897.) Observation de trouble de la sensibilité de Bernhardt à la cuisse ; pa
live inférieure. P. KERAVAL. XIX. Contribution à la connaissance du trouble de la sensibilité de Bernhardt; par M. DE N,\RT
n du côté gauche. Cette calcification qui a évidemment déterminé un trouble de la nutrition cérébrale (thèse de Coulbault,
s aient été originairement moins résistants. P. KERAVAL. XXIV. Du trouble des échanges nutritifs dans la neurasthénie ; p
t notamment dalis celles de l'oxydation des substances azotées. Les troubles intestinaux pourraient bien d'ailleurs être pro
ble, quelle que soit l'origine de cette instabilité, présentent des troubles nerveux très accusés lorsqu'elles passent d'une
passent d'une altitude faible à une altitude très considérable. Ces troubles prennent surtout la forme d'agitation générale,
du sys- tème nerveux. L'air de la mer aggrave certaines formes de troubles nerveux fonctionnels, mais beaucoup moins souve
e aigu chez deux soeurs. Enfin, il peut y avoir des combinaisons de troubles mentaux (démence en particulier) et de maladies
al déterminée. Les dermatologistes les ont consi- dérées comme 'des troubles trophiques : le malade présente plu- sieurs sig
de présomption en faveur du tabès. M. Pierre Marie n'a jamais vu de troubles trophiques semblables dans le tabès et demande
connaissance pendant dix-sept heures, pendant deux mois il eut des troubles de la parole et de la vue ; enfin il lui est re
des troubles de la parole et de la vue ; enfin il lui est resté ce trouble de la vision. L'examen de l'appareil de la visi
cture des muscles droits inférieurs ou droits supérieurs, mais d'un trouble de la fonction de l'élévation ou de l'abaisseme
onctionnelle ni organique. L'état mental est affaibli sans qu'aucun trouble psychique ou somatique ait pu faire porter un d
ade soit un paralytique général. Pour lui, d'ailleurs, quand il y a trouble des muscles extrinsèques de l'oeil, toutes les
te fracture du sternum et ce tabès dorsal. Comme symptômes : pas de troubles oculaires, pas d'ataxie locomotrice des membres
u 19 décembre 1899. Présidence DE M. PAUL llncmN, vice-président. Troubles psychiques d'origine tuberculeuse. M. Samuel 13
même, la phtisie se termine par la paralysie générale ; -, 2° Les troubles mentaux et la tuberculose peuvent marcher de fr
re Janet, à Paul Blocq, à Sigm. Freud, une mala- die mentale. » Les troubles de l'intelligence ne sauraient natu- rellement
actes dont on ne saurait être responsable. M. Dallemagne étudie les troubles de la volonté dans toutes les formes de l'alién
temps, la mère donnait des signes de dérangement cérébral; mais ces troubles étaient bien loin de faire prévoir le drame qui
le 16, service de M. le professeur Pitres, le 12 décembre 1895 pour troubles de la miction. Son père est mort à l'âge de qua
ces tribulations, qu'apparurent chez lui pour la première fois, des troubles de la miction. Il éprouvait le jour un besoin p
ouloureuse. M... n'y attacha d'abord aucune importance, mettant ces troubles légers sur le compte du changement brusque de c
uvertes par des téguments d'aspect et d'épaisseur habituels. Pas de troubles de la motilité des mem- bres. Pas de tremblemen
oureuse à la percussion en aucun de ses points. On ne cons- tate ni troubles trophiques, ni troubles vaso-moteurs. La sensib
en aucun de ses points. On ne cons- tate ni troubles trophiques, ni troubles vaso-moteurs. La sensibilité cutanée est normal
cependant, sans que ses rêves même évoquent quoi que ce soit de ses troubles unitaires. Il n'est pas sujet aux maux de tète,
lifiées peut-être à tort d'hystériques, car elles s'accompagnent de troubles de la ' A Souques. Contribution il l'élude du r
de ce centre déter- minent des modifications de la fonction et les troubles ainsi produits ont été décrits par M. J. Janet
les ainsi produits ont été décrits par M. J. Janet sous le nom de troubles psychopathiques de la miction' : parmi eux, se ra
alade n'est cependant pas comparable à l'un de ces trois groupes de troubles analogues. Il se distingue du premier par une h
la miction est dû, pour Kûss et Duval à une excita- ' J Janet. Les troubles psychopathiques de la miction. Thèse, Paris, 18
ent hypnotisable et accepte merveilleusement les suggestions. Les troubles moteurs gastriques, dont elle est atteinte gêne
u'elle a sus- citées, poser les conclusions suivantes : Parmi les troubles urinaires dus à l'hystérie, il existe une polla
ans la journée, elle ne peut fixer un objet brillant sans voir tout trouble devant elle, sen- tant ses paupières devenir tr
ublions pas d'ailleurs que le poignet droit a été frac- turé. Les troubles de la sensibilité sont plus intéressants : du côt
ste pas d'autre zone hystérogène. Pas de sensation de boule. Pas de trouble des sphincters ; pas trace d'atrophie musculair
lade trouve facile- ment ses mots et les articule nettement ; aucun trouble d'aphasie motrice ou sensorielle. A la région
rd'hui le malade a dix-neuf ans ; son épilepsie s'est compliquée de troubles mentaux assez graves pour nécessiter autour de
u'on aurait pu prendre pour une « psychose onirique » n'était qu'un trouble post-paroxys- tique. L'auteur rapproche ses « s
positivement de la connaissance de ces faits, c'est que lorsque des troubles nocturnes de cet ordre existent chez un malade,
tration considérable, s'accompagnant d'expectoration abondante, de troubles digestifs intenses, de perte d'appétit, d'émaciat
s, et trop peu sur le caractère protéiforme des premiers indices de trouble mental, qui sont ordinairement plus apparents p
ensemble bien défini de symptômes psy- chiques. Au point de vue des troubles locaux, les symptômes ocu- laires occupent ordi
une suspension ou d'une inhibition de l'impulsion volontaire. Les troubles moteurs sont ordinairement transitoires et suscep
cles de la face et de ceux des extrémités est un signe précoce; les troubles de la parole dépendent de deux élé- ments, l'un
ulbaire. Dans bien des cas les symptômes bulbaires font défaut. Les troubles psychiques de la parole et de l'écriture sont h
initiaux sont reconnus plus tôt. Parmi ces symptômes les signes de trouble mental ont surtout une importance prépondé- ran
mes physiques. Mais lorsque les signes physiques coïncident avec un trouble mental quelconque, ils prennent une ' L'auteur
ux. Il disparait complètement pendant le sommeil. Il n'existe aucun trouble de la contractilité électrique; il n'y a pas d'
'en particulier le spasme musculaire dépend de la même cause que le trouble dans le réflexe plantaire, et je ne vois aucune
fère dans l'athétose ; je ne nie pas la prépondérance originelle du trouble mental,je constate seulement la'présence de l'i
tré que, dans le cas de M. Gilles de la Tourette, il se soit agi de trouble moteurs hystériques; du reste. ne serait-ce qu'
ues, réflexes exagérés, secousses de toutle corps, sans douleurs ni troubles objectifs de la sensibilité; à l'autopsie : ramol
aires : névralgies des membres supérieurs et du globe oculaire avec troubles accommodatifs, phénomène de doigt mort. La pré-
nente, presque complète, de la cécité verbale, de l'agraphie et des troubles très notables du langage parlé (diminution du v
is de surdité corticale totale passagère. Il existait également des troubles moteurs, sensitifs et trophiques plus ac- centu
épilepsie; alors que d'autres avec des excès énormes présentent des troubles profonds, mais pas . SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 d
e observation une myélite disséminée, celle-ci pouvant évoluer avec troubles minimes du côté de la sen- sibilité. M. HOTU cr
nférieurs on note des phénomènes de névrite, à savoir, faiblesse et trouble de tous les modes de la sensibilité à type péri
éoïdienne, etc.. ; 3° il peut se développer très rapidement dans le trouble brusque de la circulation dans l'écorce cérébra
e les prolon- gements protoplasmatiques des cellules nerveuses avec trouble de nutrition quelques heures après la mort de l
otoplasmatiques des cellules nerveuses. Quelle est donc la forme du trouble de nutrition dans l'écorce cérébrale qui mène à
de manquer. Cependant c'est la pre- mière fois qu'elle présente des troubles mentaux graves. L'étiologie de la maladie actue
rotuliens normaux. Force muscu- laire égale des deux côtés. Pas de troubles de la station debout, ni de la marche. Pas d'in
marche. Pas d'incoordination. Léger tremblement des doigts. Pas de troubles de la sensibilité subjective; sensibilité tac-
ite. Rien au goût. Etat mental. Mémoire un peu paresseuse, pas de troubles de la parole, pas d'incohérence des idées ou de
es par un processus d'artério-sclérose. Il existait dans ce cas des troubles trophiques des mains et des pieds, en rapport d
and le tableau clinique est dominé longtemps avant l'apparition des troubles moteurs, par les troubles psychiques, qui peuve
t dominé longtemps avant l'apparition des troubles moteurs, par les troubles psychiques, qui peuvent être même le seul symp-
e que celle des membres inférieurs; quand il y a dans la marche des troubles rappelant l'ataxie cérébelleuse. On soupçonne
minée, on est en droit de les attribuer à ces intoxications. Les troubles pupillaires (mydriase, inégalité, troubles des ré
à ces intoxications. Les troubles pupillaires (mydriase, inégalité, troubles des réflexes) sont fréquents dans les maladies
ne pronostique de valeur. Con- trairement à l'opinion courante, les troubles pupillaires seraient très rares chez les tuberc
onstant. Dans les tumeurs cérébrales il existe presque toujours des troubles pupillaires graves et complexes. Dans les hémor
inerv., fasc. I-11, 1899). L'approche de l'accès épileptique ou des troubles équivalents, augmente la quantité des éthers su
normale. On doit admettre que dans les cas de sitio- phobie il y a trouble des fonctions intestinales et spécialement putr
de droite. La malade, dont provient cette pièce, avait une série de troubles nerveux des plus graves, mais pas de symptômes
9.) E. B. IV. Tympanite gastrique, vomissements nerveux et autres troubles gastriques nerveux; par EWALD. Résumé, d'après
n cas de myélite transverse, d'origine traumatique, dans lequel les troubles sensilivo-moteurs des membres inférieurs étaient
par des lignes circulaires bien tranchées; il existait en outre des troubles trophiques remarquables aux mains et aux pieds,
ui d'ailleurs délaissée. Il rappelle l'importance à ce propos des troubles pharyngiens et termine par le diagnostic différen
« engourdie », avec des mou- vements limités, imparfaits, pénibles. Troubles marqués de la dé- glutition surtout celle des s
ctions fibrillaires. La force des extrémités semble normale. Pas de troubles sensitifs. Réflexes. Réflexes superficiels norm
as de rétrocession. Le tableau clinique montre qu'il s'agit là d'un trouble purement moteur, d'un arrêt de la fonction motr
trouble purement moteur, d'un arrêt de la fonction motrice. Pas de troubles sensi- tifs superficiels ou profonds. L'ophtalm
nervation de la septième paire; l'état paralytique qui entraine les troubles de la phonation, de la vocalisation, de l'artic
a corne antérieure, tandis que le douzième nerf est responsable des troubles moteurs de la langue. Diagnostic. -La différenc
, mais aussi, à un certain degré, dans tout l'organisme. Absence de troubles sensitifs ou sensoriels. POUL1RD. XXVI. Paralys
ervés et, en apparence, ne s'épuisent pas par la répétition. Pas de troubles sensitifs. Les muscles répon- dent au courant f
droit de supposer que ces altérations cellulaires peuvent amener un trouble fonctionnel. 11 est probable qu'une relation exis
fait montre que la chromatolyse n'est pas nécessairement facteur de troubles fonc- tionnels. XXIX. Tumeur de l'hypophyse s
ianopsie, un des principaux signes d'affection de l'hypophyse ; des troubles visuels augmentant paral- lèlement aux modifica
r et de la puissance ; dans 10 cas, fonctions sexuelles normales. Troubles du sens musculaire : dans 38 cas sur 44 examinés.
ns, 5 cas ; gonfle- ment suspect des jointures dans 3 autres cas. Troubles mentaux : dans 7 cas. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCI
re exophtalmique. La malade après avoir présenté toute sa vie des troubles névropathiques prodromiques fut prise en 1899 de
cipité. Elle n'est pas hystérique. N'y a-t-il pas lieu devant ces troubles particuliers d'admettre, pour la pathogénie, l'hy
SOCIÉTÉS SAVANTES. 347 jusqu'à la mort, sans modifications. Donc trouble isolé et permanent de la sphère du langage : de
es étaient très douloureuses à la pression et que le territoire des troubles sensitifs différait quelque peu de celui de la
uxième et peut être troisième racines lom- baires. A gauche, où les troubles sensitifs occupaient plusieurs SOCIÉTÉS SAVANTE
a pseudo-méralgie tabétique. Elle se distingue par le caractère des troubles sensitifs, plus hypoesthésiques que paresthésique
ce qui est rare ; plus variables d'inten- sité et d'étendue que les troubles sensitifs de la méralgie ; je dirais de topogra
es variations n'étaient, vraiment décevantes ; enfin associés à des troubles sensitifs d'un'autre siège et il d'autres sympt
ur elle est atteinte de diphtérie grave ; pour com- battre certains troubles cardiaques, le médecin fait des injections hypo
que chez une glycosu- rique ; traitement hypnotique et guérison des troubles mentaux mal- gré la persistance de la glycosuri
luci- nations, on peut, par une excitation externe, réveiller des troubles hallucinatoires dans la sphère- de tel ou tel sen
ur la nature des aliments qu'on lui sert : ils sont empoisonnés. Le trouble de la dégustation, l'hallucination gustative év
ouble de la dégustation, l'hallucination gustative éveille un autre trouble , celui de la membrane olfactive, et l'interprét
nir de nos malades. Pour- tant, dans la sphère de la gustation, les troubles provoqués sont, en général, de nature désagréab
re désagréable. On pourra remar- quer que les alcooliques ayant des troubles gaslro-intesti- naux, ont communément la bouche
urs nécessaire de recourir à une action mécanique pour éveiller les troubles . Chez certains malades, fortement intoxiqués, l
itation périphérique. Celle-ci provoque et réveille aux centres des troubles hallucinatoires qui durent, comme dans la premi
épond facilement aux questions posées sur sa vie. Interrogé sur les troubles éprouvés par lui dans ces derniers temps, il ré
atoires, après une légère irritation des nerfs sensoriels. Mais ces troubles ne durent pas. Le lendemain tout disparaît. B
athogéniques de cette névrose. Dès 1700, Théodore Bonet ' parle des troubles de la digestion et des lésions des organes dige
malades bien avant de commencer à délirer... ; sur quelques-uns les troubles de la digestion ne se déclarent que pendant le
mme réaction de l'estomac sur le cerveau. Pour Bail - ce sont les troubles de la circulation qui sem- blent dominer l'état
corps. A cet ordre de faits, il faut rattacher la mélancolie et ses troubles divers qui ne sont qu'une manifestation à un de
ésentant le phéno- mène de la corde, 8 étaient en outre atteints de troubles gastro-intestinaux, 1 avait de l'albuminurie.
rois ans, atteinte d'hémiplégie gauche, avec épilepsie corticale et trouble du sens musculaire (1895), un fait analogue a é
fondes dues à un processus dégénératif limité ne sont suivies ni de troubles du sens musculaire, ni d'accès d'épi- lepsie. L
t, dans la dernière observation de 1897, de paralysie générale avec trouble du sens musculaire à forme hémiplégique, la cou
de l'atrophie musculaire; un arrêt de développement du squelette ; troubles de la sensibilité ; trouble du sens musculaire ;
arrêt de développement du squelette ; troubles de la sensibilité ; trouble du sens musculaire ; attaques d'épilepsie hémil
usculaire est le plus fortement atteint, et, comme la paralysie, le trouble de la sensibilité est surtout marqué sur l'extr
forme hémiplégique, le sens musculaire demeure normal ou bien le trouble du sens musculaire s'accompagne d'accidents des o
formes accompagnée de dégénérescence secondaire ou tout au moins de trouble fonctionnel de l'écorce qui explique qu'ils gag
ble fonctionnel de l'écorce qui explique qu'ils gagnent la face. Le trouble du sens musculaire est le résul- tat d'une lacu
érescence des fibres arciformes sous-corticales entraine- t-elle un trouble du sens musculaire et de l'ataxie dans les mou-
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 419 vements appris. Le trouble du sens musculaire est donc un phénomène de déf
musculaire; on constate en outre : des paresthésies tabétiques, des troubles fonctionnels des organes du bassin, l'absence d
s des artères affectées par le poison. Les uns sont affectés par le trouble circulatoire même ; les autres par les exsudats
t persister si toute autre forme de sensation cutanée se perd ou se trouble . 3° Le centre de perception peut être atteint p
es furent : des céphalées progressives augmentant de violence - des troubles visuels nombreux : asthénopie, perte du champ R
é des trou- bles attribués à une atteinte des racines rachidiennes ( troubles de sensibilité objective et subjective, faibles
l a au contraire l'impression que la manifestation primitive est un trouble musculaire. Les dou- leurs ressemblaient beauco
névralgique irradiée dans les extrémités; (6) précoce apparition de troubles trophiques sous forme d'une eschare. ' P. LXX
faibles. Atro- phie au niveau de l'articulation de l'épaule. Pas de troubles sensi- tifs. Excitabilité faradique perdue pour
par les conclusions suivantes : Certains sujets sont atteints d'un trouble mental caractérisé par 428 REVUE DE PATHOLOGIE
un délire, le délire de la jalousie. Cette affection débute par des troubles du caractère, puis des soupçons ridicules se fo
us les cas. Enfin on peut signaler l'hystérie, la neurasthénie, les troubles des fonctions génitales chez la femme, les trau
perd le plus souvent entre le début de la maladie et le début des troubles mentaux un temps qui serait précieux à utiliser p
in- testinal existait. R. de 111USGRAVE CLAY. XLIX. Etude sur les troubles de la conscience dans l'épilepsie; par Pierce C
e et ses modalités, l'auteur fait remarquer que lorsqu'on parle des troubles de la conscience comme d'un symptôme essentiel de
entiel de l'épilepsie, cela ne veut pas dire que l'on considère ces troubles comme le dernier terme de la symptomatologie, c
comme le dernier terme de la symptomatologie, car au-dessous de ces troubles et plus profondément, il y a des modifications da
tent en effet dans les centres supérieurs. La nature et le degré du trouble mental ont une bien autre importance que l'état
peut dire qu'il y a dans les attaques épileptiques trois degrés de troubles de la conscience : 1° La perte complète de la con
est probablement très rare. 436 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Les troubles mentaux que l'on observe chez les épileptiques so
absolument tels que la logique les fait prévoir : le premier de ces troubles c'est la difficulté et la lenteur avec lesquelles
moyen d'appareils de précision, l'énergie de cette convulsion. Les troubles de la conscience, et leurs déplorables effets,
e jetterait pourtant une grande lumière sur le mécanisme d'autres troubles mentaux, et particulièrement de ceux qui se ratta
irritations périphériques sont la cause d'une grande partie de nos troubles nerveux, et que le surmenage oculaire figure au
différents : la faiblesse intellectuelle (meiopsychie) ou le simple trouble (dyspsychie). La meiopsychie comprendra toutes
épaisse de tissus mous affaiblit quelque peu cette sensation. Les troubles de cette sensation consistent d'abord dans ceci,
ns de vibration. Dans l'immense majorité des cas, on a constaté des troubles manifestes de ce mode de sensibilité ; ces trou
a constaté des troubles manifestes de ce mode de sensibilité ; ces troubles coïncident souvent avec d'autres troubles des d
mode de sensibilité ; ces troubles coïncident souvent avec d'autres troubles des divers modes de sensibilité, mais parfois i
sibilité, mais parfois ils sont isolés, sans rapports avec d'autres troubles de la sensibilité. S. NALBANDOFF. Contribution
a sensibilité. S. NALBANDOFF. Contribution à la symptomatologie des troubles tropleiques dans la syringomyélie (ostéomalacie
bservation offre un grand intérêt au point de vue de l'histoire des troubles trophiques dans la syrin- gomyélie. Discussio
est intacte. Dans toutes les autres maladies qui s'accompagnent de troubles de la sensibilité, on voit la sensibilité vibra
utre sens. Dans les affections du système nerveux périphérique, les troubles de la sensibilité cutanée et de la sensibilité vi
e des lésions. De même dans les maladies de la moelle épinière avec troubles de la sensibilité cutanée on a toujours observé
e avec troubles de la sensibilité cutanée on a toujours observé des troubles de la sensibilité vibratoire. Dans les myélites
ans les cas graves, on a observé une concordance complète entre les troubles de ces deux espèces de sensibilité, tous les de
t; ainsi lorsque l'insensibilité cutanée est en forme de veste, les troubles de la sensibilité vibratoire se manifestent aux
tte et en plus aux os des membres inférieurs; dans quelques cas les troubles vibratoires ne se manifestent que dans les os d
de la façon normale. Dans le labes dorsale on observe toujours des troubles vibratoires très prononcés dans les os du bassin,
ut le corps. Les arthropathies tabétiques ne donnent pas lieu à des troubles locaux particuliers de la sensibi- lité vibrato
oire. Dans les affections cérébrales avec anesthèsies cutanées, les troubles vibratoires correspondaient presque à celles- l
s des membres. Dans les cas d'hystérie avec anesthésie cutanée, des troubles vibratoires ont été trouvés de la même nature e
t non « le sens vibratoire. M. Rorn fait remarquer l'importance des troubles précoces de la sensibilité osseuse (encore avan
s précoces de la sensibilité osseuse (encore avant l'apparition des troubles de la sensibilité cutanée) qui peuvent rendre c
es troubles de la sensibilité cutanée) qui peuvent rendre compte de troubles « trophiques » de la substance osseuse. Ont pri
dernières conditions pourraient, en effet provoquer l'éclosion d'un trouble mental plus accentué. M. Jules Voisin. - Dans c
le est passée graduellement dans le domaine visuel au point que son trouble peut servir de mesure à la cécité psychique. L'
f) est aussi devenue presque exclusivement visuelle ; si bien qu'un trouble très étendu du territoire visuel diminue toujours
l humain. Les associations d'agnoscies qui constituent l'asymbolie ( trouble général de la reconnaissance des objets) consti
erf postérieur et de ses branches terminales; Jaboulay. D'un cas de troubles trophiques du pied et de la jambe traité avec s
urs et un frère plus âgés que lui, qui ne présentèrent jamais aucun trouble . Sa mère avait quarante-huit ans quand elle le mi
gueur et très friables. Ceux des orteils sont également le siège de troubles trophiques. Tous sont épaissis en massue, hyper
up plus de lenteur et d'hésitations que la première. - - , Pas de troubles notables de la sensibilité, bien qu'elle soit un
a respiration, le plus souvent normale, présente, par instants, des troubles dans le rythme, ces troubles sont manifestement
t normale, présente, par instants, des troubles dans le rythme, ces troubles sont manifestement causés par des spasmes du di
aigrit, devint susceptible, hargneux. Il y a quelques semaines, des troubles intellectuels plus graves se manifestent chez l
e, ni de symptô- mes aigus d'alcoolisme ; il se rend compte que les troubles éprou- vés par lui étaient dus aux excès de boi
il crache, recrache sa quinine. A quoi pourrons- nous attribuer ce trouble hallucinatoire ? Au hasard ? Quel hasard ? C'es
s chez lequel nous pou- vons réveiller plusieurs jours de suite des troubles halluci- natoires, jusqu'à l'extinction complèt
le pincement a produit, au milieu des hallucinations de la vue, des troubles auditifs : notre malade a entendu un roulement
aires, de la membrane du tympan, et du nez ne produisent plus aucun trouble . Seule, la langue reste encore excitable pendan
parlerons pas de l'hérédité paternelle, indiscutable. Ce sont les troubles hyperesthésiques qui attirent notre attention.
citation de la vue, des oreilles, de la langue, du nez, produit des troubles hallucinatoires. HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L
aborder la physiologie de l'hallucination. Nous prétendons que les troubles , les sensations que nous avons provoquées chez
allucination. « L'hallucination est donc toujours et constamment un trouble cérébral, d'origine cérébrale centrifuge, et ja
t un trouble cérébral, d'origine cérébrale centrifuge, et jamais un trouble périphérique. » (Ch. Vallon.) . M. Ballet con
nt de départ, examinons les causes primitives et secondaires de ces troubles . Les hallucinations que nous avons étudiées ont
est pas ainsi. Si beaucoup d'entre eux ne manifestent plus aucun trouble vingt-quatre ou quarante-huit heures après l'entr
'agite sourdement comme les vagues de l'Océan. Cette ténacité des troubles hallucinatoires est proportionnée à la dégénére
oplexie. - Grand-oncle excès de boisson. - Grand' tante, gibbosité, troubles mentaux. - Grand-oncle, aliéné. - Deux cousins
r la conception. - Grossesse accidentée par des vomissements et des troubles car- diaques ; ni émotions, ni oedème, etc. - A
u et d'autres parties de l'hémisphère du même côté, tient, non à un trouble fonctionnel des centres opti- ques ou à des tro
tient, non à un trouble fonctionnel des centres opti- ques ou à des troubles dans la conductibilité, mais à l'excitation pro
par A. BOETTIGER (Neurolog. Centralbl., XVII, 1898.) Début par des troubles de l'équilibre, des vomissements, une papille é
à démontrer et depuis les travaux de Ross, Allen, Stear, Head, ces troubles peuvent être localisés dans les différents étag
, issue d'une famille dont plusieurs membres avaient présenté des troubles paralytiques, très nerveuse, présentant même des
t on pou- vait penser à mettre sur le compte de cette habitude, les troubles visuels. Mais l'absence de scotome central, la
. par 'r les bras. Les nerfs craniens sont rarement atteints et les troubles oculaires font presque toujours défaut. A une p
ont presque toujours défaut. A une période avancée, surviennent des troubles du rectum et de la vessie. L'anémie est d'ordin
uée, l'absence d'atrophie musculaire et de douleur, l'apparition de troubles du rectum et de la vessie. Dans un cas de Dana,
Peau 520 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. . toujours très sensible. Troubles vaso-moteurs (tâche cérébrale). Peau perd son é
ire moins aigu, moins de fièvre, pas de névrite optique, moins de troubles généraux. Méningite séreuse de Quincke et Boenn
auteur rapporte quatre observa- tions d'épileptiques présentant des troubles marqués de la réfrac- tion du milieu de l'oeil,
t au moins pour un temps, grâce à l'usage de verres corrigeant leur trouble visuel. A. V. XXXIX. Syringomyélie avec mains s
mme une dys- trophie spéciale, tt'o/,hoedëme et qui, comme tous les troubles de développement, résiste jusqu'à ce jour à tou
we a essayé de faire la symptomatologie de ces tumeurs, ce sont les troubles de l'intelligence, de la parole (sans l'aphasie)
rissaud, soutiennent que le signe prédominant de ces tumeurs est le trouble de l'intelligence. D'ailleurs le diagnostic ne
s il était- toujours bien portant. L'anamnèse difficile à cause des troubles de l'intelligence. Consti- tution bonne, les pu
affaiblie, la perception et l'association des idées difficiles, ces troubles ne sont survenus qu'à la suite de pénétration d
aire qui est survenu à la suite de compression. On cite parfois des troubles dans la vision, ainsi, que le pré- tend Martin.
ncien foyer de myélite. 11. C. XLVI. Un cas de syringomyélie avec troubles de la sensibilité à topographie radiculaire et
e avec troubles de la sensibilité à topographie radiculaire et avec troubles moteurs à marche ascendante; par van GEIIUCIITE
ile nettement caractérisée, on voit se développer simultanément des troubles laryngés comme ceux que détermine la paralysie
és comme ceux que détermine la paralysie d'un nerf récur- rent. Ces troubles laryngés apparaissent brusquement au moment de
ns l'émis- sion de la voix. Tout donc dans le mode d'apparition des troubles laryngés, dans leur évolution, et dans leur rel
ar Deganello, 307. Tu- meur du -, par Libertini, 312. CHantE. Des troubles psychiques dans la- dégénéiative, par La- dam
. Epilepsie essen- tielle. , par Mil allé, 226. Crémastlrien. Des troubles du ré- 11·ae patellaire et du réflexe - dans
s l ? par L. P. Clark, 433. - et digestion, par Spratllng, 434. Troubles de la conscience dans 1' -, par Clark, 434. llv
i- pation du nerf récurrent, par Huet, 532. Paralysie générale. Troubles com- parés des dlvels réflexes aux trois péri
7. Protubérance. Tuberculose de la . par Sano, 520. Psychiques. Troubles d'origine tuberculeuse, par Bernheim, ni. Psy
ues travaux récents, par Verger, 32. Sensibilité. Connaissance du trouble de la - de 13ernhdl'dt. par Adler. 150; par \
tion syringomyélique de la - dans les mypltles. liai, linor, 139. Trouble de la-, à la cuisse, par Good, 150 - A la doule
, par Lombardi, 306. Pathogénie de la bulbaire, par Dionisi, 332. Troubles trophiques dans la -, par \albandoff, +il. hé
ro- mésaiie, par Sabrazès, 3.1. avec sensibilité radiculaire et troubles moteurs à marche ascen- dante, par Van Gehuchte
erew, 159. Tnoettoenéw chronique héréditaire, par illelge, 512. Troubles nerveux et psychiques chez les travailleurs du
27 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
1NGITIQUES ET CÉRÉBRALES DES OREILLONS [Contribution ci l'étude des troubles nerveux consé- cutifs aux maladies aiguës) ;
s fait d'autopsie. Trenel 2 rapporte deux cas de mort dûs à des troubles cérébraux mal déterminés, et Astley Coopter 3 a
urlienne, ou coïncidant avec celle-ci, on voit parfois survenir des troubles cérébraux très intenses, rappelant la méningite
le. Les phénomènes méningitiques du début sont donc suivis ici de troubles persistant pendant six mois : z, troubles de la
sont donc suivis ici de troubles persistant pendant six mois : z, troubles de la parole, agraphie, parésie et incoordina-.
lescence ne s'accuse que peu à peu ; en même temps apparaissent des troubles du langage. Les réponses sont lentes ; la langu
rt de l'hôpital le 2 juillet; ses forces restant amoindries, et les troubles du laugage persistant, bien qu'atté- nués, il e
d'un an il s'était placé dans nne ferme. Quelle est la nature des troubles nerveux que nous venons de décrire au cours des
pposé à l'oreillon, ou d'observations dans lesquelles on voit les troubles cérébraux survenir précisément au moment où la
après le début de la para- lysie on ne pouvait plus remarquer aucun trouble dans les mouvements des muscles de l'oeil, mais
vertigineux. Les viscères, notamment l'estomac, ne présentent aucun trouble . L'examen des yeux fait par Ealès le 6 septembr
tion des phénomènes paralytiques, contractures : tardives, etc., sans troubles sensitivo-sensoriels. Bur... (Adolphe), soldat
tres de hauteur sur 4 ou 5 centimètres de large), au sacrum (où les troubles trophiques ont déterminé une perte de substance
ions constituent les centres moteurs ; mais elle n'engendre que des troubles passagers et peu marqués de la sensibilité, car
est revenue au=si nette qu'auparavant; la parole n'a conservé aucun trouble . Ne voulant pas rester à charge à sa famille, l
s (aphasie). B... n'a jamais eu d'hémichorée, ni d'athétose; pas de troubles des organes des sens : pas de cécité unilatéral
et Longet affirment que la lésion expérimentale ne détermine aucun trouble appréciable, soit moteur, soit sensitif. La pat
a en faire une véritable entité morbide, et qu'ils ont rangé ces troubles singuliers sous l'étiquette de mono- manie. Mai
pas à se convaincre que bon nombre des ascendants ont présenté des troubles psy- chiques analogues. II y a une véritable ta
. Le certificat d'un médecin de la ville porte : « Epilepsie avec troubles intellectuels ». Le malade présente en effet depu
des attaques fréquentes d'épilepsie, suivies la plupart du temps de troubles psychiques. Il présente, en outre, tous les att
urinait pas au lit. La première attaque d'épilepsie fut suivie de troubles psychiques. G... courait partout; s'il voyait u
alles très irréguliers; et toujours elles étaient suivies des mêmes troubles intellectuels. Puis, les attaques survinrent se
troubles intellectuels. Puis, les attaques survinrent seules, sans troubles consécutifs, si ce n'est un léger égare- ment t
otre observation montre donc en outre un cas de coexistence de deux troubles intellectuels. REVUE CRITIQUE TROUBLES NERVEU
cas de coexistence de deux troubles intellectuels. REVUE CRITIQUE TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE^CHEZ LES FEMMES '; Par
;MHeH Me diètes. Prag.Yiertetjalar.,485. 1 Voy. tome X, page 395. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 51 Kau
a (liab. Cen- lralbl. nied. 117zsseh. Lecot'ch6. -.Diabète. 1885. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 53 Est
me; mais de quelle nature est-il ? Il est difficile d'ad- mettre un trouble analogue à celui qui détermine l'intoxi- cation
manière plus ou moins passagère, sans qu'il en résulte le moindre trouble cérébral dyspnéique. La théorie de Sanders et de
it aussi, mais en moindre abondance, dans les reins et les autres TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 55 org
itée par le perchlorure de fer donne. la réaction rouge-bourgogne TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 57 et
a- logue. Mais nous ne voyons, dans l'état actuel de nos connais- TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 59 san
étone, substance volatile, s'élimine surtout par les poumons; peu TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 61 imp
s par les auteurs, depuis Prout, et rangés indifféremment sous le TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 63 nom
heures. Dans une autre observation toutefois, le collapsus parait TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 65 avo
1° La réaction spéciale de l'urine et l'odeur de l'haleine ; 2° Des troubles gastro-intestinaux ; 3° Des troubles respiratoi
'odeur de l'haleine ; 2° Des troubles gastro-intestinaux ; 3° Des troubles respiratoires ; t° Des troubles nerveux. Ces
ubles gastro-intestinaux ; 3° Des troubles respiratoires ; t° Des troubles nerveux. Ces différents symptômes se rencontren
coma ou se plaignant de ma- laises nerveux divers, de vertiges, de troubles dyspeptiques, la constatation de l'haleine acét
t l'on voit se déve- lopper lentement une coloration violette. 2° Troubles gastro-intestznaux. Ces troubles marquent en gé
tement une coloration violette. 2° Troubles gastro-intestznaux. Ces troubles marquent en général la période de début de l'in
ême que pour l'urémie gastro-intestinale. En tout cas, ils ne mé- TROUBLES NE11VKUX DANS LE I)lAliÈ'IE CHEZ LES FEMMES. 67
lle et sans aucune relation avec l'intoxication acétonémique. Ces troubles digestifs sont parfois à peine accusés; il faut
le ventre est sen- sible à la palpation, légèrement ballonné. 3° Troubles respiratoires. La dyspnée est un des phéno- mèn
que pour cela l'intoxication acétonémique soit moins évidente. 40 Troubles nerveux. Il faut distinguer ici deux ordres de
, qui manquent d'habitude chez l'adulte. Chez celui-ci, ce sont les troubles psychiques qui dominent; un changement brusque
e, qui ne dépasse pas, en général 380 à 38°,2; nous avons observé TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 69 38°
on cérébrale anormale, semblables à celle d'une légère ivresse, des troubles digestifs, parfois quelques vomissements, avec
tionnels décrits plus haut; tantôt, et le plus souvent, ce sont des troubles digestifs : langue chargée, embarras gas- triqu
e. . Puis, au bout de quelques jours, ces symptômes se dissipent, TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 73 la
à 20 ou 25 grammes. Ils se produisaient d'ordinaire à la suite de troubles digestifs et ne duraient que quelques jours. Sous
l'influence du régime seul, on voyait rapidement disparaître les troubles fonctionnels en même temps que la réaction acét
malade la réaction acétonurique. Ce qui est certain, c'est que ces troubles convul- sifs n'étaient pas liés à une lésion cé
émie suraiguë. 1 Voir Bourneville et Teinturier, Progrès médical. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 75 Aff
end le pronostic presque nécessairement fatal. Parfois, ce sont des troubles digestifs qui semblent provoquer l'intoxication
l'intoxication ; mais ici l'étio- logie n'est pas aussi nette, les troubles digestifs faisant eux- mêmes partie du tableau
élongation bila- térale modérée du sciatique. Le jour suivant, les troubles de la sensibilité augmentent, il se produit des
s et demi à deux mois, sur- viennent dans les quatre extrémités des troubles moteurs et sensitifs. Ce sont : de l'affaibliss
étrique- ment distribués dans les quatre membres ; en même temps, troubles de la sensibilité subjectifs ou objectifs, dont l
é subjectifs ou objectifs, dont l'intensité est en rapport avec les troubles de la motilité. Intégrité des nerfs céphaliques
gique. Caractères cliniques. Marche ascendante de la paraly- sie ; troubles de la sensibilité bornés à des formications pas-
t éminemment variable. 5" Il n'existe pas de rapport fixe entre les troubles fonction- nels de chacun des appareils sensorie
sthésiesensoriette présentent des anomalies psychiques déterminées ( troubles de la connaissance, hallucinations, rêveries, obn
aissance demeurant intacte, ou quand l'attaque laisse après elle un trouble de la connaissance; àla suite des équivalents p
du champ visuel pour le blanc et toutes les couleurs, accompagné de troubles de la sensibilité cutanée occu- pant d'ordinair
les allures psychi- ques; 2° à certains malaises nerveux; 3° à des troubles de la sensibilité dans le sens le plus large du
-Qu'll y ait ou non un substratum anatomique défini, on observe des troubles sensitivo-sensoriels ; l'élément le plus consta
s de l'encéphale confirmées ou diagnostiquées pendant la vie. - Les troubles de la sensibilité cutanée émanent de lésions de l
terne. L'hé mi anesthésie, y com- pris les organes des sens, est un trouble purement fonctionnel résultant de la cessation
1884, t. XL VI.) Il s'agit d'un ataxique chez lequel, entre autres troubles tro- phiques, on a noté une tuméfaction de deux
st revenue subitement après une abondante hémorragie utérine. Aucun trouble mor- bide ne s'est manifesté depuis. M. Charp
voir dans ce fait la manifestation épileptique on conges- tive d'un trouble mental ; de la sorte s'expliquerait la chute dans
TÉS SAVANTES. M. Rou[LL,1111) fait remarquer que l'épilepsie ou les troubles con- gestifs ne sont que des hypothèses dans le
les rapports des maladies des organes sexuels de la femme aveu les troubles psychiques. D'abord deux observations. Une femm
emment celle-ci est consécutive à la maladie psychique, à raison de troubles nutritifs et d'onanisme. En réalité, il n'y a que
s dans lesquels l'affection génitale est démontrée être la cause du trouble psychique. Mais il ne faut pratiquer l'examen g
e psychique et somatique générale, produite par cette affection, du trouble de nutrition de même ori- gine, d'un réflexe me
ocalisent dans la région duvertex, doivent-ils être rapportés à des troubles circula- toires semblables à ceux qui engendren
, STRUEMPFLL. Les modifications circu- latoires en rapport avec les troubles nerveux n'ont d'ordinaire qu'un rôle secondaire
auquel on a sectionné le trijumeau présente dès le jour suivant un trouble cornéen très accentué. En nettoyant avec soin et
s qu'à force de soins; pour peu qu'on se relâche, il se produira un trouble léger qui rétrocédera un peu à son tour. HO SOC
favorables : 3o les réactions entre les n', 9 et 4, produisent des troubles déjà perceptibles, surtout quand, en même temps
encore i<2 SOCIÉTÉS SAVANTES. plus faible entraîne souvent des troubles tout a fait remar- quables du côté de l'état gé
du côté paralysé, de l'athétose dans les extrémités paralysées, du trouble de la parole. Assez souvent on note des trouble
ités paralysées, du trouble de la parole. Assez souvent on note des troubles intellectuels évidents, des lacunes morales. La
ureux résultats qu'il a obtenus de cet agent dans le traitement des troubles auriculaires, parfois si pénibles et toujours d
uel genre d'aliénation mentale avons-nous à faire dans ce cas ? Des troubles physiques, l'embrouillement de l'intelligence,
ives d'agitation et d'affais- sement. Cependantà ]afin de juin, les troubles psychiques ont beaucoup perdu de leur intensité
MENTALE; GUÉRISON. 135 tuméfaction périphérique. En même temps, les troubles psy- chiques s'atténuent rapidement, l'agitatio
ébrale peu marquée, et plus particulièrement carac- térisée par des troubles organiques du cerveau limités, apparaît un accè
relation qui a existé entre la guérison de ces lésions et celle des troubles psy- chiques. Si nous suivons comparativement l
ons sont de même âge. Il faut donc chercher ailleurs la cause des troubles cérébraux qu'a présentés B... C'est à la suit
ou longtemps continuées, et même alors existent géné- ralement des troubles physiques et plus particulière- ment des troubl
é- ralement des troubles physiques et plus particulière- ment des troubles de la nutrition qui aident leur action étiologi
tement de l'étude des rap- ports qui existent entre l'évolution des troubles céré- braux et l'évolution des lésions inflamma
qui ont abouti à l'abcès ouvert par l'oreille. Nous avons vu ces troubles et ces lésions apparaître et disparaître en mêm
coïncidence entre les lésions inflam- matoires périphériques et les troubles psychiques qui existent chez B...; elle prouve
qu'à l'évidence une commune origine et une commune nature. Si ces troubles ont rapidement disparu à la suite de l'ouver- t
, car ici nous n'avons plus les mêmes raisons de doute que pour les troubles psychiques l'état fébrile sous l'influence duqu
ue le prouve la marche sui- il,,) PATHOLOGIE MENTALE. vie par les troubles cérébraux. Les troubles somatiques disparaissen
ui- il,,) PATHOLOGIE MENTALE. vie par les troubles cérébraux. Les troubles somatiques disparaissent en effet, la maladie r
ammatoire du travail pathologique qui tenait sous sa dépendance les troubles cérébraux qui existent chez B..., s'est imposée
e à nous par l'étude du mode de développement pathogénique de ces troubles . Ce n'est qu'une fois la nature inflamma- toire
ysie géné- rale, une vésanie simple à laquelle se surajoutent des troubles circulatoires pouvant, d'après ce savant maître
, on retrouve, comme chez notre malade, associés à ces lésions, des troubles psychiques qui ont une grande ressemblance avec
exercer les lésions de l'oreille sur la production de dif- férents troubles psychiques. Ici, parles tentations subjec- tive
m d'hallucinations unilatérales. Là, ces lésions pro- duisent des troubles délirants passagers, mais reve- nant par accès,
uence exercée par les lésions de l'oreille sur le développement des troubles cérébraux n'est qu'un côté, le plus important i
, de la question des rapports qui existent entre ces lésions et ces troubles . Cette question, pour être complète, doit être
re complète, doit être envi- sagée à deux autres points de vue. Les troubles céré- braux ne sont-ils pas susceptibles de ret
ont-ils pas susceptibles de retentir sur l'appa- reil auditif ? Les troubles cérébraux et les lésions de l'oreille ne peuven
ne plus nette et précise, à une des questions qui précèdent, les troubles cérébraux et les lésions de l'oreille ne peuven
us fait envisager le problème des rapports entre ces lésions et ces troubles par un côté jusqu'ici laissé dans l'ombre. è
hoïde et de la fièvre intermit- tente, etc., peuvent apparaître des troubles psychiques constituant de véritables aliénation
seuls recons- tituants, trahissant ainsi leur commune nature, par trouble de la nutrition. Ainsi encore, peu importe la n
ncore, peu importe la nature de la maladie qui en est la cause, les troubles psychiques consécutifs aux maladies aiguës revê
ies aiguës donnent lieu à l'aliénation mentale, mais encore par les troubles nutritifs qu'elles produi- sent, ou par un de l
exagérés, desparé- sies et des tensions musculaires avec de légers troubles de sensibilité et de vessie, etc. Il en a vu tr
e est marquée, mais sans parésie et sans réflexes tendineux, légers troubles de la sensibilité et de la vessie. Il admet qu'
symp- tômes tabétiques se présentent; tantôt seulement de légers troubles subjectifs de sensibilité avec un peu de faible
nce immé- diate. Dans les jours suivants, le malade se plaignait de troubles de la vision. Dix jours après la blessure, pert
les auteurs le virent, en 1870, il n'y avait plus ni para- lysie ni troubles intellectuels. Le malade se plaignait de trouble
ni para- lysie ni troubles intellectuels. Le malade se plaignait de trouble de la vue de l'oeil droit. Les pupilles, les mu
ormaux. Vision centrale du côté droit = I, du côté gauche = 2/3. Le trouble dont se plaignait le patient fut reconnu être u
lus lente sur la moitié droite de la tête et la main droite. Pas de troubles du sens mus- culaire ; le malade, les yeux ferm
bituellement de la main gauche que de la droite; mais cela tient au trouble de la vision qui existe du côté droit. - Il n
. Vas d'hémianopsie dans lesquels la relation entre la lésion et le trouble visuel n'était pas évidente. Cas mal rapportés ou
à gauche. Je ne pense pas que ces faits aient aucun rapport avec le trouble visuel, qui est central, comme vous le dites. J
208 PATHOLOGIE NERVEUSE. « occipito-angular région » produisent des troubles de la vue sans troubles des autres sens ni du m
« occipito-angular région » produisent des troubles de la vue sans troubles des autres sens ni du mouvement. 2° La seule lé
rper la plus grande partie d'un ou de deux à la fois sans amener du trouble visuel. 6° La destruction du lobe occipital e
analogue géométriquement du champ visuel, avec hémianesthésie et troubles ataxiques ou choréiformes du mouvement dans une
ALE. 9t3 d'une moitié du corps, surtout si elle est associée à un trouble quelconque du sens musculaire, serait [.robableme
ré, Ça. Trois autopsies pour servir 1 la localisation cérébrale des troubles de la \ision. Cas iii (du service de Charcot).
rte à soixante-dix ans, à la suite d'une paralysie généralisée avec troubles de la parole et de la déglutition, avec sialorr
s envies fréquentes d'uriner (pollakiurie), avoir eu la vue souvent trouble (des brouillards) et des peurs imaginaires; deu
troisième attaque rhumatismale; cette insomnie serait-elle déjà un trouble précurseur de la récidive rhumatismale ? Deux m
ne pas avoir eu de disposition à l'obésité et ne présente pas aucun trouble de la sensibilité générale du genre de ceux des
nsjours, d'où diminu- tion variable de leurs rides normales. Pas de troubles des autres sens. Réflexes cutanés et tendineux
fet, tandis que dans d'autres moments, la conversation de A et B ne trouble pas le petit travail de la malade, à l'occasion
ités que comporte le présent cas. A l'âgé de sept ans, alors que le trouble sérieux des fonctions digestives, l'anémie, qui
c'est au même moment que la fonction menstruelle de notre malade se trouble le plus; on voit des retards énormes des règles
goutte '. » Notre malade offre des névralgies à la tête, certains troubles nerveux (gastralgie, hypothymie, etc.) analogues
ue MM. Thomson et Oppenhein se sont trom- pés en prétendant que les troubles visuels des hystériques se trouvent également c
ns le courant de la journée, elle commence à accu- ser les premiers troubles d'une maladie sérieuse qui va évoluer et dont l
'excitation. Il convient maintenant de chercher quelle est, dans un trouble quelconque de l'innervation, la perturbation in
s, ma méthode est appelée à rendre service puisqu'elle constate des troubles qui échappent à l'obser- vation directe. Cette
s pratiques. Il existe trois classes de neurasthénies consistant eu troubles de l'innervation vaso-motrice sous l'in- fluenc
es les fois qu'on ne relèvera pas ces causes, il s'agira de simples troubles fonctionnels de l'innervation. Le surmenage som
Six tableaux à l'appui. P. K. XVIII. Contribution A la QUESTION DES TROUBLES trophiques DE la peau chez LES tabétiques ; par
ent à une cécité absolue; en 1882, ces phénomènes se compliquent de troubles légers dans l'évacuation vésicale. Au commencem
3, mégalomanie avec agitation maniaque, inertie des pupilles, léger trouble de la parole; absence de phénomène du genou : p
d attribue la plus grande importance à la priorité d'apparition des troubles mentaux; les héréditaires sont avant tout des c
rs distinguer entre eux : les héréditaires d'ordre congestif ou par trouble circulatoire; les héréditaires d'ordre vésaniqu
7 temps qu'il s'évacue une copieuse quantité de liquide; méninges troubles , notamment dans les parties postérieures. Poids d
issure de Sylvius, permet de supposer qu'il y a eu, à la suite d'un trouble circulatoire, une encéphalite dontle facteur pour
nce de la parésie à droite. Peut-être con- vient-il de rattacher le trouble thermique vaso-moteur à la lésion du lobe parié
la symétrie, quoique incomplète, de la lacune plaide en faveur d'un trouble nutritif consécutif à une lésion artérielle. En
précédente. Ce délire, bien modéré en somme, accompagné d'un faible trouble de la con- naissance, l'absence complète de con
rien. On ob- serve très fréquemment l'hystérie et l'épilepsie sans troubles psychiques proprement dits; M. Sakaky n'a jamai
de et les tentatives de suicide y sont pratiqués tantôt à raison de troubles psychopathiques, tantôt pour d'autres motifs (p
phénomènes ner- veux qu'ailleurs, qu'en un mot l'acétonurie et les troubles ner- veux mis en relief ne sont pas dans un rap
été. M. Schroeter (11.). Deux ces de blessure grave du crâne avec trouble mental. Il est quelquefois difficile de rattacher
t osseux. Ou ne connaît aucune tare héréditaire dans la famille. Le trouble mental, qui nécessite son entrée à l'asile (13
s on voit survenir une douleur locale excessive, de l'insomnie, des troubles oculaires, des troubles de l'ouïe, et, somme to
ouleur locale excessive, de l'insomnie, des troubles oculaires, des troubles de l'ouïe, et, somme toute, une psychose présenta
- possible de rattacher à la lésion du crâne et de son contenu le trouble mental, postérieur à elle, parce qu'il faut tenir
ue qu'il appartient de faire cesser le vague, de bien spécifier les troubles pathologiques de l'innervation ainsi dési- gnés
glandes, dans les viscères, dans les organes des sens, etc.; 5° les troubles de l'inner- verlion, qui relèvent de ces affict
état de décider si la gangrène symétrique des extrémités résulte de troubles dans l'innervation des nerfs vasomoteurs ou tro
substance, provoque une réaction de l'organe, qui se révèle par le trouble des fonctions de certains appareils ou de certa
substance nerveuse, nous devons dire que le nystagmus et les autres troubles font - z tionnels sus-énoncés sont des phénomèn
compressibilité de cette substance compatible avec son intégrité : troubles fonctionnels spéciaux à un troisième degré, il
ur le diagnostic des dégénérescences hématiques. N. Hallager. Les troubles psychiques dits équivalents d'épilepsie. (En fr
spécial à Langenhagen. Augmentation de la paralysie générale et des troubles mentaux imputables à l'épi- lepsie. La progress
le sol; peut, les yeux fermés, marcher et se tenir debout, aucun trouble de la sensibilité; pour fléchir le genou, il s'in
rodromes, il est pris brusquement de fai- blesse, d'inappétence, de troubles digestifs. Puis, tout se dissipe, .et l'on repr
atellaires. Le second malade, indemne aussi de syphilis, accuse des troubles de la marche depuis à peu près deux ans, à la s
ontale, occipitale, voy. Griesinger); c'est l'his- toire encore des troubles succédant aux accès d'épilepsie ou rem- plaçant
piratoires se raltache étiologiquement le développement de certains troubles psychiques : psychopathie spéciale des phthisiq
énomène du ge- nou, des réflexes plantaires eterémastériens; pas de troubles de la sensibilité ; excitabilité électrique nor
ue normale; pendant quatre jours légère paralysie de la vessie, nul trouble de la.défécation. Puis, pendant quelques jours,
M. HITZIG. iN'a-t-on pas trouvé, dans les deux cas en question, de troubles de la parole ? M. 11,Rj3. Il n'existait pas de
stion, de troubles de la parole ? M. 11,Rj3. Il n'existait pas de troubles de la parole proprement dits. Les garçons ont s
même ordre ; la grossesse avait déterminé des vomissements et des troubles très prononcés de 'la nutrition générale ; on pro
ans. Dans tous les cas on a trouvé des anomalies du crâne, un état trouble diffus de la pie-mère (on put cependant, après
énérale, des anomalies psychiques va- riables d'un autre ordre, des troubles de la parole, des aphasies 'Voy.)'c/<.deA)fr
tremblement à l'occasion des mouvements voulus, le nystagmus et le trouble de la parole, si typiques dans la sclérose en p
lée dans un cas de démence sénile indéniable, ce qui prouve que les troubles somatiques et le trouble de la parole de la par
sénile indéniable, ce qui prouve que les troubles somatiques et le trouble de la parole de la paralysie générale ne sont pas
érale n'exister que partiellement, et à un faible degré; tels : les troubles de la pupille, les troubles dans l'innervation
ement, et à un faible degré; tels : les troubles de la pupille, les troubles dans l'innervation du facial, ceux de la pa- ro
ateur a pu constater que l'on observe au premier plan, tantôt les troubles moteurs, tantôt les troubles intellectuels, tantô
on observe au premier plan, tantôt les troubles moteurs, tantôt les troubles intellectuels, tantôt les troubles de la parole
s troubles moteurs, tantôt les troubles intellectuels, tantôt les troubles de la parole. Forel a, sur cette constatation cli
ontales, sur celle des régions de la parole. Dans quelques faits de trouble psychique sénile, Zacher a rencontré la dispari
relevé à l'égard de quelques idiots. Eh bien ! la parenté entre les troubles psychiques delà paralysie générale et ceux de l
amais le délire ne succède immédiatement aux excès. Avec les autres troubles de l'innervation peu accusés, on trouve des hal
ntale ordinaire. La forme et la durée de l'affec- tion, le degré du trouble de la connaissance, l'abondance des hallu- cina
nsistant mais épisodique, comme conçu en rêve, se mani- festent des troubles digestifs, des tremblements, des visions, multi
décèle le concours del'abstiuence, des accidents, des malaises. Les troubles digestifs revêtent à ce sujet une fréquence toute
des cas, elles s'évanouissent à leur tour. Il peut s'y joindre des troubles de la sensibilité morale primitifs, de la stupe
prise d'une angoisse légère; consécuti- vement elle est atteinte de troubles de la motilité dans les extré- mités supérieure
compliquent de phénomènes bulbaires : paralysie du voile du palais, troubles de l'innervation du larynx, dysphagie. La malad
mbault à cette curieuse lésion; elle explique aisément l'absence de troubles moteurs chez les animaux dont les nerfs périphé
; paralysie du voile du palais ; paralysie, des quatre membres avec troubles de la sensibilité. Parésie du dia- p/; ? 'aM :
ésicatoire se cicatrise lentement. ' 6 août. Le malade se plaint de troubles de la vue dont le début parait remonter au mome
des pieds ; le malade croit toujours marcher sur du coton. Au- cun trouble du côté des sphincters. 3 septembre. - Paralysi
ité cutanée de ce segment est intéressée dans tous ses modes. Les troubles de la vue ont complètement disparu et le fonc-
ent une dyspnée per- manente entrecoupée par des accès d'apnée. Ces troubles , que n'expliquent aucune lésion pleurale, pulmo
endant l'expiration. A ces symptômes s'ajoutent le 2t septembre des troubles cardiaques caractérisés par de l'angoisse préco
Fresque aussitôt se produit une amélioration croissante, rapide des troubles respiratoires et cardiaques : la paralysie du d
E LA NÉVRITE SEGMENTAIRE. 345 persistent dans le bras gauche. Aucun trouble de la vessie et du rectum. La cicatrice du vé
néralisée, complète de la motilité. Cette paralysie s'accompagne de troubles profonds de la sensibilité caractérisés par de
ibue d'ordinaire aux paralysies diphthéri- tiques, le début par les troubles de l'accommodation et la paralysie du voile du
E SEGMENTAIRE. 361 lésions, en apparence minimes, déterminent des troubles sensitifs et moteurs considérables. Elle peut f
is atteinte des jambes, surtout de la gauche. Actuellement pas de troubles de sensibilité, jamais d'anes- thésie plantaire
vement : l'incoordination motrice, les douleurs et anesthésiés, les troubles céphaliques, mésocéphaliques et divers. 1. De
ters et de l'appareil génital, tro- phiques et vaso-moteurs). Les troubles oculaires (diplopie, paralysie oculaire, amblyo
5, 7, 10, 11, 12, 15, 18, 23, 24, 26, 27, 28, 29, 30 et 31); les troubles méso-céphaliques (toux, dyspnée) dans 4 (11" 2,
11,12, 14, 15, z 17, 18, 19, 21, 22, 23, 26, 28, 29 et 31) ; les troubles trophiques et vaso-moteurs dans 13 (n08 9, 10,
'affaiblissement moteur. Dans 3 autres cas (nous 17, 25 et 30), les troubles moteurs sont mentionnés (dans les membres infér
d'affai- blissemënt moteur. Seul, le malade du n° 23 n'a eu aucun trouble se rapportant aux cordons latéraux; et encore n
ns latéraux; et encore nous trouvons dans le tableau, pour lui, « troubles de la marche » sans détails; ce qui est in- suf
tenso les fera suffisamment connaître, et déterminera la nature des troubles nerveux que uous avons constatés. 400 MÉDECINE
., âgée de vingt-six ans, est depuis près de treize ans atteinte de troubles nerveux qui paraissent avoir eu pour cause déte
époque, elle n'eut pas d'accidents nerveux,- elle eut du moins des troubles du sommeil, dont on ne se préoccupa pas. A trei
auquel était arrivée cette jeune femme sous la double influence des troubles nerveux dont elle' est atteinte depuis si longt
la misère et de la faim. Elle n'a pas pensé à mettre au compte d'un trouble intellectuel un acte qu'elle apprécie comme il
importait, tout d'abord, de déterminer rigoureusement la nature des troubles nerveux dont Annette G... pouvait être atteinte
toute l'instabilité d'humeur. Ses souffrances, la longue durée des troubles nerveux l'ont souvent découragée, et c'est dans l
e religieuse. Incontinence d'urine, conscience des vertiges, pas de trouble de sensibilité ni de plaques anesthé- siques. P
uscultation du coeur, les signes d'une insuffisance mitrale. Pas de troubles de sensibilité ni de motilité. RAMOLLISSEMENT D
upille gauche est plus dilatée que la droite. Le malade présente un trouble des sentiments affectifs. Lamé- moire est dimin
latés par les auteurs, cette intégrité coïncidait avec l'absence de troubles sensitifs. Quoi qu'il en soit, ces faits tenden
juillet 1884.) . Femme de soixante-quatorze ans, dont les premiers troubles in- tellectuels remontent à un an; elle est inc
e en novembre d'une hémiplégie droite incomplète et passagère, avec troubles du lan- gage articulé, mais sans aphasie amnési
i accompagnent cette observation, l'au- teur fait remarquer que les troubles moteurs de 1880 étaient pro- bablement dus à un
s. Quelques semaines plus lard, amélioration suivie d'aggravation , troubles de coordination , alaxie. signe de Romberg. Fin
n-omnie, accidents du décubitus; mort. Au- topsie. Congestion, état trouble et adhérences en dedans et en dehors de la dur"
r été d'un caractère accidentel, et ne s'être accompa- gnée d'aucun trouble intellectuel : elle a eu six enfants; quatre, (
t à considérer comme patho- logiques, et l'autre a seul échappé aux troubles intellectuels. . R. M. Ç. XVIII. Discours pré
d'un aliéné de 42 ans, chez lequel on notait en même temps que des trouble ^ cérébraux, les signes parfaitement caractérisé
d'un accès de folie temporaire; depuis ce moment, on n'a noté aucun trouble mental. D'autre part, il résulte de l'enquête f
liénistes allemands à Eisenach,16sept. )882)'. P. K. XXIX. SUR LE TROUBLE DU langage écrit chez LES DEMI-IDIOTS, et sa re
nteur du pouls, il y avait chez cette malade, du côté du coeur, des troubles rythmiques caractérisés par des battements deux
ie musculaire progressive. - On prend souvent pendant longtemps des troubles nerveux pure- ment fonctionnels, hystériques, p
ue-là. Son ingestion pendant des mois n'a provoqué ni ergotisme, ni troubles de la menstruation. Les matériaux d'observation
s services. » « 3° Lorsque les phénomènes cérébraux sont liés à des troubles des « viscères abdominaux ou pelviens (paresthé
esthésies viscérales, torpi- « dite, etc.) corriger ou atténuer ces troubles par l'application de « l'un ou l'autre courant,
ive, du moins momentanée. G. D. VIII.DR l'apomorphine dans certains troubles nerveux; parle Dl E. Weil, chef de clinique méd
né manifestement héréditaire avec signes physiques, mais sans aucun trouble intellectuel antérieur. Une telle observation fai
crite destructive (paralysie et anesthésie des membres inférieurs, troubles dans les fonctions de la vessie et du rectum, esc
n des mouvements volontaires, exagéra- tion des réflexes tendineux, troubles de la parole et absence de troubles dans les fo
tion des réflexes tendineux, troubles de la parole et absence de troubles dans les fonctions organiques, et dans laquelle c
eu à des phénomènes douloureux, et qui sont souvent masqués par les troubles propres à l'infec- tion cérébrale concomitante.
lettres indicatrices, on supprime tout malentendu. P. K. XI. Des troubles nerveux dans l'intoxication par le sulfure de c
Paris, 4885.) L'intoxication par le sulfure de carbone produit des troubles nerveux divers qui peuvent atteindre la sensibi
accidents convulsifs, paralytiques, unilatéraux, ambilatéraux), des troubles des organes des sens. Ces accidedts aflectent u
sion psychique, quelquefois elle devient la cause occasionnelle de troubles mentaux variés. Cu. F. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE.
rairie A. Delahaye etE. Lecrosnier. LANOAILLE de LtcutSE. Tarassis, Troubles de l'Ame et du corps chez l'homme dans les temp
thropologie par Topinard, 124. Apomorphine dans l'hystérie et les troubles nerveux, 445. Apoplexie séreuse, 421. Artère
Delirium tremens et folie, 434; - (opium dans le), 458. Diabète ( troubles nerveux dans le chez les femmes), par Lécorcli6
Mélancolie de famille, 430. lfénière (malalie de), 458. Mental ( trouble consécutif à une blessure du crâne), par Schroe
Savage, 427. Sexuels, (maladies des organes - chez la femme, et troubles psychi- ques), par Hasse, 99. Société de psyc
), 92 : suicide à deux, par Chpolianski, 454. Sulfure de carbone ( troubles ner- veux dans l'intoxication par le). 459.
28 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t lésés. Parfois cette parésie peut aller jusqu'à la paralysie. Ces troubles du facial supérieur confirment la loi qui règle
La face est très peu touchée. La malade n'aurait jamais présenté de troubles de la parole. Cependant la commissure buccale dro
st plus marqué du côté droit; la langue est déviée à gauche. Pas de troubles de la déglutition. Le facial supérieur est beau
ore aujourd'hui très accentuée aux membres supérieur et inférieur ; troubles de la sen- sibilité, contracture, exagération d
de la bouche et ne lui fait guère dépasser les arcades dentaires. Troubles de la déglutition. Le facial supérieur est intére
e droite, prédominante sur le membre supérieur. Contracture. Pas de troubles de la sensi- bilité. Le facial inférieur droi
droite. Le malade ferme isolé- ment l'un et l'autre oeil. Pas de troubles de motilité ni de sensibilité des membres, mai- !
e cérébrale il y a une différence considérable dans l'intensité des troubles moteurs. Et si, à notre avis, on ne peut plus p
ation du facial supérieur à l'hémiplégie, son parallélisme avec les troubles du facial inférieur viennent combattre la conce
centres nerveux paraissent absolument indemnes. On note parfois des troubles circulatoires (ischémie ou congestion passive),
), ou des altérations viscérales qui par sympathie pro- duisent des troubles cérébraux. 30 PATHOLOGIE MENTALE. La mélanc
es thermiques et vaso- moteurs étant intéressés, nous assistons aux troubles de la température, aux troubles vasomoteurs (cy
tant intéressés, nous assistons aux troubles de la température, aux troubles vasomoteurs (cyanose et refroidis- sement des e
oreilles, sont re- froidies, cyanosées, violacées. On observe des troubles des fonctions organiques et prin- cipalement de
iminuées, de même que l'activité génitale. Enfin ils présentent des troubles du .sommeil, ce qui constitue parfois un des pr
ralenti, cyanose des extrémités, température abaissée) ; ces divers troubles abou- tissent à la misère physiologique, qui am
sistance que nous mettons à la questionner. Les yeux et le regard troubles , dirigés en bas. On note aussi un léger mouveme
e fait normalement, La figure est congestionnée. Il n'existe pas de troubles moteurs dans les muscles de la face et de la lang
s nerfs pneumogastriques, phréniques et facial inférieur droit. Les troubles uerveux observés ont consisté en une paralysie
de ce muscle, et produisant une gêne notable de la respiration; des troubles cardiaques (tachycardie); les signes classiques
classiques de la paralysie du facial inférieur droit, et enfin des troubles subjectifs de la sensibilité (sensation de froid,
nutton du tonus de certains groupes mus- culaires, et en dehors des troubles de la coordination, des mouve- ments anormaux p
ique des muscles hypotoniques pourrait peut-être expliquer certains troubles ocu- laires (paralysie apparente de certains mu
ces mêmes muscles), ou laryngés (paralysie des cordes vocales avec troubles respira- toires et intégrité de la voix), obser
toires et intégrité de la voix), observés chez les tabétiques. Les troubles de la vessie et du rectum chez ces malades sont p
hypotouique que parétique; il en est sans doute de même de certains troubles cardiaques ou vasculaires, en particulier de la
tte particularité, qu'elles se sont localisées du même côté que les troubles nerveux préexistants. M. Etienne rapproche ses
», hydropisie qui endort. Dans les deux affections, s'observent des troubles menstruels. L'une et l'autre ont une évolution
es REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 65 et réflexes normaux. Pas de troubles trophiques ni viscéraux, affai. blissement des
ont la sensibilité est le plus atteinte. Là où existe le plus grand trouble de la sensibilité, existe la plus grande ataxie.
er, tandis que lorsqu'il a les yeux fermés et est atteint de grands troubles de la sensibilité, il ne le peut plus. Quand le
de grands troubles de la sensibilité, il ne le peut plus. Quand le trouble de la sensibilité n'est encore que faible, l'exag
ique que pour les mouvements difficiles. C'est en réagissant sur le trouble de la sensibilité du système musculaire et articu
rare de voir la coordination améliorée, malgré la per- sistance de troubles sensibles extrêmes ; l'exercice augmente mécani
de tout l'organisme. Surtout chez les enfants on peut observer les troubles nerveux d'une vie en commun. Sans que l'enfant
cation du côté droit. Les autres nerfs crâniens sont intacts. Aucun trouble non plus dans l'intelligence, les autres organe
omination générale de délire post-opératoire, on doit désigner tout trouble intellectuel qui peut survenir à la suite d'une
d'une opération, quelle que soit la forme ou l'origine réelle de ce trouble psychique. Lorsqu'après une opération un malade
entres nerveux; 2° état apoplectique sous la dépendance d'un simple trouble fonctionnel ou d'une maladie générale, intoxica
nts de la nuque, état des pupilles, plaque sacrée, vertige, sur les troubles . des fonctions viscérales, en particulier sur l
uliers tels que les attaques, les paralysies, les contractures, les troubles tro- phiques et l'hystérie viscérale avec l'acc
assium, succédera souvent une période de dépression, accompagnée de troubles gastro-intestinaux, de sialorrhée ; le coeur do
e ne pas oublier que la lésion est d'ordre secondaire, que c'est un trouble trophique qui prend sa source dans le système n
la nature du tabès, les symptômes cardinaux : crises douloureuses, troubles urinaires, troubles oculaires, abolition des ré
es symptômes cardinaux : crises douloureuses, troubles urinaires, troubles oculaires, abolition des réflexes rotuliens, inco
abolition des réflexes rotuliens, incoordination motrice; puis les troubles trophiques : mal perforant, arthropathies, atro
cadres de l'armée tous les individus susceptibles de présenter des troubles intellec- tuels quelconques ? Nous avons ouï di
teur à Koroy. M. Davenne était atteint depuis quelque temps déjà de troubles cérébraux et avait mani- festé à plusieurs repr
uvelles au point de vue de la sensibilité générale des malades. Les troubles de la sensibilité sont, en effet, très fréquent
lque autre partie de l'orga- nisme, et leur existence au cours d'un trouble mental aigu n'a avec ce trouble mental qu'un ra
me, et leur existence au cours d'un trouble mental aigu n'a avec ce trouble mental qu'un rapport d'association, et non de cau
o-organismes, la présence de ces derniers n'a aucun rapport avec le trouble mental et n'a de rapport plus ou moins constant
associé à d'autres paresthésies ou à des douleurs, et souvent à des troubles vaso-moteurs évidents. 150 REVUE D'ANATOMIE E
le au patient qu'un objet froid repose sur la partie sensible. Ce trouble peut être déterminé par un traumatisme, combiné
e de projection. N'empêche que la clinique ne montre la relation de troubles de la sensibilité ou de la motilité avec l'alté
lésion d'autres territoires s'accompagne le plus habituellement de troubles d'association. Si imparfaite que soit encore la
e, et, probablement thalamopète ; or elle ne produit pas du tout de troubles de la sensibilité ni du sens musculaire. Est-il
le segment supéro-anté- rieur de la première pariétale ; de là les troubles du sens muscu- laire en pareils cas, etc., etc.
ue de vingt-cinq minutes, la plus courte de moins d'une minute. Les troubles physiologiques ont tous disparu, seul le coeur,
chement; deux jours après l'accouchement elles sont libres de tout trouble ; ces animaux sont toujours rachitiques. Dans la
ndique fut porté avec d'autant plus de certitude qu'il existait des troubles sensitifs et que déjà le Dr Oliver avait souten
er la paralysie générale elle pourra tout aussi bien déterminer des troubles ner- veux chez les enfants des paralytiques. Je
SOCIÉTÉS SAVANTES. 1G9 Folie sympathique. Laparatomie. Guérison des troubles intellectuels. M. Febvré donne lecture d'une
uns des secousses, des attaques, tandis qu'elle ne produit aucun trouble chez les autres. Pourquoi la morphine' dans les
constate le plus et l'anes- thésie totale le moins dans les cas de troubles de cette per- sonnalité ; mais il n'est pas pas
t les 84 p. '100 d'exagération du tact existant en même temps qu'un trouble de la person- nalité physique, mais il ne faut
ités, il nous est arrivé de trouver le sens tactile exagéré avec un trouble expansif de cette personnalité, affaibli ou abo
n trouble expansif de cette personnalité, affaibli ou aboli avec un trouble dépres- sif, mais ce fut l'exception, et étant
ple coïncidence, permettant d'appliquer le : ab uno disce omnes. Le trouble de la personnalité était unilatéral, or l'aboli
as d'une altération du tact et est due à d'autres causes. Que les troubles du tact croissent parallèlement aux troubles de
es causes. Que les troubles du tact croissent parallèlement aux troubles de la motilité, c'est ce qui ressort nettement d'
tableau précédent, lequel montre l'augmentation progressive de ces troubles avec le développement de la maladie. Mais aux d
a deuxième période de l'affection paralytique, avec un minimum de troubles moteurs. Voyons donc si les altérations du sens
rmal à la première et à la seconde période, non seulement quand les troubles moteurs sont légers et modérés, mais encore qua
la diminution progressive de la normalité du tact à mesure que les troubles moteurs sont plus accusés et la marche croissan
on de ceux-ci. Il est même remarquable que c'est surtout avec les troubles moteurs excessifs que l'écart est fortement accen
fait est surtout frappant à la première période. Si on envisage les troubles légers et modérés de la motilité à celte phase,
ltérations du sens tactile qu'une différence de 1 p. 100; entre les troubles modérés'et les troubles marqués l'écart est un
qu'une différence de 1 p. 100; entre les troubles modérés'et les troubles marqués l'écart est un peu plus accusé, 2 p. 100;
es marqués l'écart est un peu plus accusé, 2 p. 100; mais entre les troubles marqués et excessifs on voit cet écart 'élever
joutons à cela que c'est seulement à la seconde période et avec les troubles excessifs de la motilité que nous consta- tâmes
t à la première période, mais encore chez les paralytiques dont les troubles moteurs n'étaient pas excessifs. De cet ensembl
res périodes de la paralysie générale sont l'apanage des sujets à troubles moteurs accusés. Voir nos deux tableaux détaché
, avons-nous vu plus haut, seraient assez disposés à croire que les troubles du tact chez les paralytiques Première périod
me le rôle joué par ces deux éléments, car on sait la fréquence des troubles du sens tactile chez les buveurs. En quatrième
auquel on ne s'attendrait pas est l'absence à peu près complète de troubles du tact chez les paralysés généraux qui ont à l
e diagnostic et le pronostic. En ce qui concerne le diagnostic, les troubles du sens tactile que nous venons d'étudier n'app
et qui permettrait de reconnaître la maladie avant l'apparition des troubles moteurs. Mes constatations tendent ensuite à ét
lysés généraux, dans lesquels on constate à la première période des troubles du tact, n'auront ni une marche aiguë ni une lo
aiguë ni une longue évolution de leur maladie; il semble que ces troubles seront l'apanage de ceux dont la maladie est dest
, nous n'avons jamais relevé ni exagération ni abolition ; ces deux troubles n'ont été notés que durant les crises d'agitati
fût l'état des malades. XIII. C'est dans la forme expansive que les troubles du tact sont les plus fréquents, d'après nos co
été constatées de beaucoup le plus souvent chez les sujets dont les troubles moteurs étaient les plus accusés. XVII. Dans
la paralysie générale, c'est l'anesthésie transitoire'précédant les troubles moteurs que signala le Dr de Crozant; mais ce f
ar M. G. Tiiidierge. (Presse médicale, 9 juillet 1898.) Parmi les troubles nerveux dont le point de départ réside dans l'a
rouges se développer dans cette région, doivent être distingués de troubles provoqués par la crainte de la congestion facia
nde d'associer le traitement des lésions cutanées existantes et des troubles fonctionnels réels, au traitement moral, à la s
s du début sont ensuite décrits et analysés : inégalité pupillaire, troubles de l'accommodation, modifications des réflexes,
épileptiformes, migraine ophtalmique, parésie motrice, tremblement, troubles de l'articulation des mots, de l'écriture, céph
iagnostic parfois fort difficile ; avec l'alcoolisme chronique, les troubles cérébraux consécutifs aux traumatismes crâniens
us la même rubrique à cause de l'identité du terrain sur lequel les troubles mentaux de ces malades ont évolué et parce qu'e
s. Les altérations constatées du système nerveux sympathique et les troubles vaso-moteurs secondaires donnent la clef des ic
uit pas. L'amaigrissement est très rapide ; pas de paralysie, ni de troubles gastriques ; il y a de la constipation et de la
la maladie rend loquaces. Après avoir fait une étude d'ensemble des troubles élémentaires psychiques (accélération des repré
émentaires psychiques (accélération des représentations psychiques, troubles du langage écrit et parlé, troubles de la mimiq
des représentations psychiques, troubles du langage écrit et parlé, troubles de la mimique, troubles de la volonté, troubles
hiques, troubles du langage écrit et parlé, troubles de la mimique, troubles de la volonté, troubles de l'attention) et des
age écrit et parlé, troubles de la mimique, troubles de la volonté, troubles de l'attention) et des troubles organiques de l
la mimique, troubles de la volonté, troubles de l'attention) et des troubles organiques de l'agitation, l'auteur, dans un tr
dent à devenir de plus en plus rares; 2° Celles qui s'adressent aux troubles subjectifs accompagnant REVUE DE PATHOLOGIE M
me nature avec amnésie ne peut-elle se produire en conséquence d'un trouble psychologique profond des centres supérieurs .d
Rt ? U1 : DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 225 X\1. Du myxoedème et des troubles qui s'y rattachent ; par W. Ord. '1;iitish ? ed
de ces mêmes muscles; ensuite apparurent la thermo-auesthésie, des troubles trophiques des mains, de la scoliose et la diss
ute cause infectieuse et à faire de celle maladie une affection par trouble de nutrition. Spilliiiez et 1,'Iientie vienne
é récemment émises par M. Lépine et M. Branly sur la pathogénie des troubles moteurs chez les hystériques. L'hypothèse de M.
prononcée dans la station assise et le décubitus hori- zontal, sans troubles des sphincters; hypoesthésie et anesthésie cuta
celle d'une irritation réflexe secon daire des nerfs ciliaires avec troubles vasotrophiques consécutifs. Le deuxième article
les contractures, les réflexes tendineux, l'astasie et l'abasie, ce trouble fonctionnel des membres inférieurs beaucoup plus
mblement, les tics convulsifs, la chorée rythmique, les crises, les troubles vésicaux, dont le type est l'incontinence d'uri
stic à l'égard de l'hystérie peuvent avoir deux causes : soit qu'un trouble organique grave, particulière- ment du système
ème nerveux, soit considéré par erreur comme hystérique, soit qu'un trouble organique du système nerveux, de l'estomac, du
moins 50 aliénés nouveaux. La séquestration des malades atteints de troubles intellectuels acquis y a crû de 122, de 4889-18
On ne peut personnellement se présenter pour se faire traiter de troubles intellectuels conscients dans une clinique. Aucun
Pforzheim, il est prescrit de recevoir les ma- lades atteints d'un trouble psychique compliqué d'affaiblissement intellect
n de la paralysie générale et de ceux conçus après l'apparition des troubles mentaux. M. Arnaud croit, en effet, que cette d
paraissaient aux doigts et aux orteils, en même temps avec d'autres troubles trophiques (bulles, gangrène des phalanges term
inor. Courte notice à propos delà lettre du professeur Pick sur les troubles de la sensibilité dans les myélites transverses.
'est lui, Pick, qui le premier a décrit, il y a longtemps déjà, des troubles syringomyéliques de la sensibilité au-dessus de
érent. En effet, le travail de M. Minor où se trouvent signalés les troubles syringomyéliques dans les myélites transverses,
ral par des inflammations chroniques des vaisseaux, ce qui amène un trouble dans la sécrétion de la lymphe et aboutit à une
a un an. Pendant un séjour à la clinique a pré- senté une série des troubles du côté de l'appareil neuro-muscu- laire et des
. La mélancolie type, religieuse ou non, a en effet, pour base un trouble du fond émotionnel qui change absolument l'état
me ; par suite de l'origine primitive des idées délirantes et des troubles psycho-sensoriels qui les accompagnent. Ces exp
inte mystique'ou non) sont des délires primitifs, car ce sont des troubles primitifs de l'idéation, se combinant à des phéno
dépend le sens dans lequel s'opérer a la systématisation. Si les troubles psycho-moteurs sont primitifs, la person- nalit
rmes dépressive (systématisation des mélancolies chro- niques). Les troubles psycho-moteurs y sont primitifs par rapport aux
ques). Les troubles psycho-moteurs y sont primitifs par rapport aux troubles sensoriels consécutifs et non constants, désagr
ou hypocondriaques vrais antérieurs). Évolution vers la théomanie, troubles sen- soriels, primitifs, par rapport aux troubl
ers la théomanie, troubles sen- soriels, primitifs, par rapport aux troubles psychomoteurs secondaires possibles (dédoubleme
« Il n'est aucune forme de maladie mentale, dit Cotard ', où les troubles de l'activité motrice se manifestent avec autan
fond mental hystérique. Dans ces cas, on pourrait objecter que les troubles psycho- moteurs, par exemple, relèvent de l'hys
e. Nous avons nous-mêmes suivi celui d'entre ces malades dont les troubles mentaux ont persisté. Il figure au rapport de 1
e plus ou moins près la paralysie générale. Signalons enfin : les troubles gastro- intestinaux (état saburral, inappétence
, constipation, fétidité de l'haleine et des matières fécales), les troubles circulatoires (altérations du coeur et du pouls
oeur et du pouls, cyanose et refroidissement des extré- mités), les troubles des sécrétions et des excrétions (anhy- drose,
ériorisé. Cet oni- risme peut être nocturne et il consiste alors en troubles du sommeil : rêves, cauchemars, illusions et ha
t de confusion profond à développe- ment excessivement rapide, avec trouble des sens analogue s celui du rêve, avec idéorrh
là on trouve encore d'autres allusions. Par exemple : « Lorsque le trouble pathologique est à son plus haut degré, il semb
e- mands, à l'Aiîie2lict de Meynert : « ..... L'idéation subit un trouble plus ou moins prononcé parce qu'elle n'est plus
la surface dorsale du gland; il montrait aussi que, dans les cas de troubles des fonctions génitales, la présence de ce réfl
bord par rapport au thorax. Si le bras s'élève volontairement , les troubles sont très accusés : impossibilité d'élever les
s le marasme après un temps assez court de faiblesse générale et de troubles parétiques avec perte du réflexe patellaire, al
quelle s'associent la blépharoptose, la fatigue de la nuque, les troubles de la parole et de la déglutition. A noter l'ab
e délicate des cas qu'elle présente amène à cette conclusion que le trouble des émotions sexulles joue un rôle important da
ne lésion des centres nerveux ; le processus ossifiant constitue un trouble trophique particulier; 7° Le début de la maladi
pathogénie de cette affection montre qu'elle ne s'accompagne pas de troubles intellectuels, qu'elle n'est pas héréditaire, q
gmentés de volume. On a cherché la clef de ces hypothèses, dans les troubles de la circula- tion veineuse et lymphatique, ou
es et la produc- tion de l'analgésie épigastrique profonde. Le seul trouble fonc- tionnel lié le plus habituellement à ce p
absolue. L'étude du membre fracturé explique cette impotence. Les troubles de la motilité (incoordination) et de la sensibil
atisme et l'immobi- lisation qui ont été la cause occasionnelle des troubles moteurs, sensitifs et trophiques, ostéo-articul
et trophiques, ostéo-articulaires -qui sont venus se surajouter aux troubles tabétiques généraux et déterminer l'impo- tence
cularités de l'état mental du sujet, observé avant l'apparition des troubles plus apparents de l'intelli- gence ou pendant s
tion est abdominal. Les douleurs au dos sont insignifiantes. Pas de troubles sensitifs, pas d'amyo- trophies, pas de trouble
gnifiantes. Pas de troubles sensitifs, pas d'amyo- trophies, pas de troubles des réflexes. La démarche est normale. Ankylose
ilepsie qui surviennent sous l'influence d'une émotion vive ou d'un trouble digestif. Elle présente de l'hémianesthésie sen
nte un délire particulièrement incohérent, activé- par une série de troubles sensoriels multiples et variés, avec prédominan
multiples et variés, avec prédominance visuelle manifeste; mais ces troubles sont en grande partie masqués par une exaltatio
nde, l'exaltation cérébrale légè- rement diminuée ; par contre, les troubles sensoriels, principa- lement ceux de la vue, qu
rec- tement à quelques questions simples; les hallucinations avec troubles de la sensibilité générale persistent, au contrai
demain, le calme relatif persiste, entrecoupé seulement de quelques troubles sensoriels du même caractère pénible. Par momen
être la cause de ses souffrances. Dans les jours qui suivent, les troubles sensoriels généralisés persistent; 111 ? H... e
qu'on lui sert ont un goût atroce. A d'autres moments, quand les troubles sensoriels sont moins prédominants, elle se met à
toute évidence, que le reflet du caractère pénible et déprimant des troubles sensoriels du moment. Il en serait de même de
fait assez brusquement, ordinairement la nuit ; c'est un assaut de troubles sensoriels multiples, visions de feu, d'animaux
, hallucinations de l'ouïe ; coups de ton- nerre, menaces insultes; troubles de la sensibilité générale ; idées délirantes d
d'ordre mélancolique ou mégalomaniaque, réactions en raison de ces troubles multiples et polymorphes ; de temps en temps, m
remière, au début, où l'exaltation cérébrale masquait en partie les troubles sensoriels, où les symptômes somatiques étaient
ès un intervalle très court de calme relatif, une deuxième phase de troubles sensoriels prédomi- nants, avec réactions conco
oubles sensoriels prédomi- nants, avec réactions concordantes, mais troubles multiples, variés, mobiles, polymorphes. L'em
accouchements, ni pendant l'allaitement, Mm0 Il ... n'a présenté de trouble mental. Depuis quinze mois environ, Mm0 II... é
c'est là précisément le point particulier de cette observation, les troubles sensoriels persistent et ils persistent avec un
pénible, comme dans l'alcoolisme, avec une prédominance marquée de troubles de la vue comme dans l'alcoolisme et dans l'hys
l'action du poison passée, mais continue à rester sous le coup des troubles sensoriels primitifs, et peut, dès lors, partir d
sparaît, les hallucinations visuelles tendent à s'effacer, mais les troubles de l'ouïe persistent, accom- pagnés de nombreus
r et nuit, elle brasse ses draps et ses couvertures, en proie à des troubles sensoriels manifestes, s'imaginant qu'elle lave
qu'on peut affirmer, en tout cas, c'est que consécutivement à ces troubles hallucinatoires, notre malade ne présentera vrai-
pides d'accalmie et d'excitation, avec une tendance progressive des troubles sensoriels à s'effacer pour faire place à une f
s qui s'accentue progressi- vement sans s'accompagner d'aucun autre trouble physique ou intellectuel. R. Cii.Ro". LXV. Po
t esprit, une action, souvent extrême- ment puissante, soit sur les troubles psychiques, soit sur les troubles physiques. Ce
e- ment puissante, soit sur les troubles psychiques, soit sur les troubles physiques. Ces procédés se divisent en deux grand
les plus gra- vement atteints. La coexistence chez le malade des troubles trophiques muscu- laires et de certaines malfor
n certain nombre de cas leur guérison peut amener la disparition du trouble mental. Les statis- tiques de l'auteur apporten
chez les aliénées. Sur 1G hysté- rectomies, il y eut 4 guérisons du trouble mental et 3 améliora- tions ; Sur 12 ovarioto
3 améliora- tions ; Sur 12 ovariotomies, il y eut 7 guérisons du trouble mental et 4 améliorations; Sur 22 redressemen
orations; Sur 22 redressements de l'utérus, il y eut 4 guérisons du trouble mental et 9 améliorations; Sur 30 opérations
l'utérus, principalement des amputations, il y eut 13 guérisons du trouble mental et 9 amélio- rations ; Sur 21 curettag
rations ; Sur 21 curettages de l'utérus, il y eut 12 guérisons du trouble mental et 2 améliorations ; Enfin sur 8 opéra
pour des lésions vaginales, il y eut seule- ment 3 améliorations du trouble mental. Les affections les ovaires, du col utér
de la muqueuse utérine paraissent donc avoir dans la production des troubles mentaux un rôle plus actif que les autres affec
us fréquemment accom- pagnée de la guérison ou de l'amélioration du trouble mental. (Arnel-icel2z joiii,ital of iiisanity,
évrotique, qui survivent à la psychonévrose, quel- quefois même aux troubles sensoriels dont elles sont l'interpré- tation.
mélancolie, chez des sujets à antécédents héréditaires chargés. Les troubles de la sen- sibilité générale et spéciale y occu
its pour contredire cette manière de voir. Il est possible que -les troubles viscéraux,, qui se rencontrent fré- quemment au
délire systématisé, lié à une névrose, se reconnaîtra toujours aux troubles de la sensibilité. Ceux-ci porteront le cachet de
on pourra donner lieu à un délire systématisé. Mais, encore ici, le trouble sensoriel seul dépend de l'alcoolisme. L'interp
es délires systématisés post-mélancoliques sont en rapport avec des troubles sensoriels intenses. 11 prouve aussi que, contrai
sous l'influence de l'auto-intoxication ou d'autres causes ont des troubles gastro-intestinaux, de l'anesthésie viscérale, ou
anatomo-pathologique dont la guérison suffit à faire disparaître le trouble mental. Que devient, dans ce cas, la constituti
de la question : M. Ballet. Lorsqu'en 1889 Ko'rsakofl' décrivit les troubles mentaux accompagnant les polynévrites, un senti
n sentiment de surprise accueillit cette opinion ; l'association de troubles cérébraux et d'une lésion polynévritique parut
psychose, car dans ses leçons il faisait observer l'existence de troubles amnésiques dans les polynévrites alcooliques. Cet
par psychose polynévritique ? On doit comprendre sous ce nom des troubles mentaux à physionomie clinique variée qui s'assoc
les lésions névritiques et les lésions cérébrales produi- sant les troubles mentaux ne sont que deux manifestations juxta-
naire un agent toxi-intectieux qui peut produire isolément soit les troubles polynévritiques, soit les troubles céré- braux.
peut produire isolément soit les troubles polynévritiques, soit les troubles céré- braux. Les formes cliniques de la psychos
ras très nombreuses. Quelle est maintenant la palhogénie de pareils troubles ? Il est évident que ces troubles sont d'origin
intenant la palhogénie de pareils troubles ? Il est évident que ces troubles sont d'origine toxique (toxi-infectieux, endo-t
nséquence de l'empoisonnement de la cellule. Mais il semble que ces troubles ne devraient durer qu'autant que les toxines agis
1... avait été gravement atteinte; elle avait eu une pneumonie, des troubles gastro-intestinaux et, disait-elle, n'avait jam
mi environ et c'est au moment où la malade se sentait mieux que les troubles , dont j'ai parlé ci-dessus, ont apparu. Il se
aire; abolition des réflexes tendineux. Iu° 1... présente aussi des troubles mentaux graves ; presque dès le début de son ma
l'amyotrophie, la paralysie d'un des muscles du globe oculaire, les troubles psychiques. -Toutefois, j'acquis la conviction qu
de Brown- Sequard (hémiparaplégie avec anesthésie croisée) ; pas de troubles de la vessie et du rectum ; pas d'eschares de l
me dans la poliomyélite antérieure. D'un autre côté, il y eut des troubles psychiques, ce qui ne se voit guère dans la polio
de l'af- faiblissement de la vision, atteignant les deux yeux, des troubles psychiques qui ne ressemblent en rien à ceux qu
comprenons guère qu'une polynévrite pût à elle seule déterminer des troubles cérébraux, et quand on lit les ob- servations d
s trophiques, comme les zonas et certaines der- matoses, et sur les troubles sensitifs, tels que les anesthésies, to- tales
malade pourraient faire penser à l'hystérie. Mais les vertiges, les troubles de la parole, les patésies durables à gauche, l
classer ainsi : 1 supérieur, 32 normaux, 24 morts d'éclampsie, 20 à troubles physiques (5 ont de l'arthrilisme, 4 de la débili
permet d'expliquer la production des mouvements cho- réiques et des troubles mentaux dans la maladie d'Huntington. Intervent
exagérés et trépidation épileptoïdes plus marquée à droite. Pas de troubles de la sensibilité, mais dans les derniers temps
prement dite ; 2° celles dans les- quelle il agit en supprimant les troubles psychiques, l'excitation, la fureur épileptique
té, depuis six mois, dans leur vie intime et si loyalement unie, le trouble occasionné par les préoccu- pations multiples e
l lié à l'ablation partielle ou totale du cervelet consiste dans le trouble de l'équilibre très prononcé au commencement, e
complet même dans les cas d'abla- tion complète du cervelet; 2° Le trouble de l'équilibre tient appa- remment à la perte d
de qui amène souvent la mort; 9° L'ablation du cervelet amène des troubles graves de la sphère psychique ; l'animal opéré de
versés de la question, les auteurs s'efforcent de démontrer que les troubles mentaux et notamment ceux de la mémoire dans la
iques sont légèrement douloureux à la palpation. Du côté psychique, trouble de la mémoire sous forme d'amnésie et de faux s
stipation. Les réflexes rotuliens sont exagérés. Du côté psychique, troubles de la mémoire sous forme d'amnésie et de faux s
ipation des nerfs facial et lingual. Les auteuis rappellent que les troubles des sphincters et l'exagé- ration des réflexes
(entre autres, observations de Ballet et Faure). D'autre part les troubles psychiques dans ce cas sont caractéristiques pour
mois de novembre 1892, on constate des symptômes névritiques et des troubles psychiques caractéristiques. Ensuite survient une
alcoolisme dans ce cas. M. Tokarsky ne croit pas l'amélioration des troubles de la mémoire comme un signe pathognomonique. M
de lfontyel). Associée aux délires, elle est souvent accompagnée de troubles trophiques organiques nets (Séglas et Chaslin),
e. Il estime que si la biologie peut expliquer un grand nombre de troubles psychiques, il est des psychopathies premières, q
lité mentale qui ne sera pas considérée comme une forme larvaire de troubles mieux déterminés et plus connus, mais comme la
rieurs et la désagréga- tion physiologique. Nous étudions ici les troubles psychologiques indépendants de tous troubles bi
Nous étudions ici les troubles psychologiques indépendants de tous troubles biologiques, bien qu'ils aient souvent avec eux u
oins prononcées, a une im- puissance de synthèse donnant lieu à des troubles du jugement et du raisonnement. Elle peut s'a
PHIE. 421 donc pathologique : on l'observe chez l'enfant au moindre trouble psychique, chez le maniaque désordonné dans ses
elligence ou de la sensibilité; tels les convulsions, les tics, les troubles de la marche, les paralysies psychiques, qui ne
pas toujours être attribués à des causes physiologiques, comme les troubles de l'innervation, mais qui peuvent trouver leur
Ce n'est pas seulement par des inhibitions que se manifestent les troubles psychiques de la motricité : c'est encore et plus
motricité : c'est encore et plus sou- vent par des déviations. Les troubles de la parole, de l'écriture, les atechnies font
t naître d'habitude. Au point de vue particulier des atechnies, ces troubles de la motricité poussent le malade à vouloir chan
tuelle et affective vient s'ajouter à l'instabilité pratique. Les troubles mentaux étudiés jusqu'ici ne doivent pas être con
des cas,exception faite de l'épilepsiejacksonienne, un véri. table trouble psychologique, dont l'intoxication, la compressio
ands neuro- logues, il faut donc voir dans tous ces phénomènes, des troubles psychiques, et le somnambulisme, qui n'est en s
e est de ne pas abandonner exclusive- ment aux médecins l'étude des troubles de l'esprit » ; la péda- gogie doit venir en ai
physique du corps humain, la pédagogie rationnelle en prévenant les troubles psychiques, même et surtout chez l'enfant fera
oin, lorsqu'il essaie de rame- ner à l'instabilité mentale tous les troubles psycho-pathologiques; il existe certainement en
les troubles psycho-pathologiques; il existe certainement entre les troubles psychiques et les troubles biologiques des rapp
giques; il existe certainement entre les troubles psychiques et les troubles biologiques des rapports qui ne sont pas seulem
i pourra seule atténuer chez l'adulte et prévenir chez l'enfant les troubles psychiques. Ce livre, très documenté, est d'u
tement, progressivement, provoque une prédis- position mentale. Les troubles psychiques succèdent à la longue aux phénomènes
malades diffèrent : chez les dégé- nérés héréditaires, ce sont les troubles psychiques qui ouvrent la scène, les symptômes
et à la longue seulement apparaissent d'une manière insidieuse des troubles mentaux. La symptomatologie est à peu près la m
s (hallucinations de l'ouïe beaucoup plus fréquentes que les autres troubles sensoriels) ; 3° la guérison ou la terminai- so
e des actes commis par le persécuté, de démontrer les relations des troubles hallucinatoires avec ces actes. Après avoir rap
élancolie, l'interprétation secondaire de phénomènes primordiaux ( troubles cénesthésiques, douleur morale, arrêt psychique),
ents. Et c'est alors que subite- ment, sans avoir présenté d'autres troubles psychiques préalables, il commença à émettre de
uitté le malade ne nous ont pas permis de retrouver avant elles ces troubles particuliers qui constituent l'état mélancolique
i, dans la mélancolie vraie, servent de fondement au délire. Pas de troubles physiques, pas de désordres coenesthé- tiques,
e parait excellente : de fait, n'y a pas d'amai- grissement, pas de troubles vaso-moteurs, digestifs, etc.; le som- meil lai
entir tout aussi vigoureux qu'autrefois. Il n'accuse non plus aucun trouble émotionnel permanent, qui ressemble même de loi
toujours le symptôme prédominant et même exclusif. Il n'y a pas de troubles émotionnels perma- nents. Par intervalles seule
aines suivantes, une amélioration progressive se manifeste dans les troubles mentaux, sans qu'ils aient d'ailleurs changé de
aire, du moins en ce qui concerne la forme clinique revêtue par les troubles déli- rants. En effet, deux ans auparavant la m
g qu'elle occupe parmi ces dernières. Il faut avoir en vue quatre troubles principaux de la parole : le nudisme, le balbut
sorielle de celle d'association. Pour nous, le mutisme constitue un trouble de la mémoire verbale sensorielle (auditive, op
ssus étant moins compliqué que le premier ; dans d'autres cas de ce trouble , il est impossible de faire la lecture à haute
n ce que la perte de la parole spontanée tient dans la première aux troubles de la mémoire motrice sensorielle, et dans la sec
ue chaque enfant présente jusqu'à la fin de la troisième année ; ce trouble tient alors à la faiblesse tempo- raire des mém
ennent aux lésions pathologiques du tissu célébrai en l'absence des troubles mentaux. C'est en seconde ligne seulement qu'il
igne seulement qu'il faut incriminer les causes accidentelles : les troubles de l'ouïe, les affections de la cavité naso-pha-
subitement la vue ; les jours précédents il n'avait éprouvé aucun trouble du côté des yeux ; il se sentait seulement très f
ompagna ni de paralysie, ni de surdité et de cécité verbales, ni de troubles de l'écriture. Aussitôt guéri, P... revient à P
de P... et recevoir dans un service d'aliénés un homme exempt de troubles mentaux. Depuis nous n'avons plus eu aucune nouve
Notre homme était porteur de stigmates permanents d'hys- térie : troubles de la sensibilité cutanée et rétrécissement du
s un Cas rapporté par Ilarlan , elle persista pendant six années. Trouble purement fonctionnel, la cécité hystérique donne
ompagés ni de paralysie, ni de cécité et de surdité verbales, ni de troubles de l'écriture : cela montre bien leur caractère
ymptômes qui n'auraient pas existé dans les précédents. Ce sont les troubles de la mastication et le ptyalisme. Les troubl
ents. Ce sont les troubles de la mastication et le ptyalisme. Les troubles de la mastication, très légers, se bornaient à
ntaires. Celle explication se trouve corroborée par ce fait que les troubles de la mastication sont survenus seu- lement qui
t quatre-vingt-sept jours. La salivation doit être rapportée à un trouble vaso-moteur comme on en rencontre si souvent ch
s prisons et corps d'épreuve n'est pas de nature à faire éclore des troubles psychiques chez des héréditaires prédisposés qu
, où l'aliéné a été méconnu parce que les experts ont méconnu les troubles mentaux. Il en rapporte un cas au nom de M. Samue
sans qu'il soit bien facile de démontrer qu'ils étaient atteints de troubles mentaux antérieurement à leur condamnation. A mon
ilité, mais il n'existe pas de RD. Paralysie des réservoirs. Pas de troubles trophiques. Pas de déformation rachi- dienne. 1
rnir à la folie son contingent de systèmes délirants explicatfis de troubles hallucinatoires. De plus, la médiumité spirite, q
Rrissaud, avec paralysie de la langue, parésie du voile du palais, troubles de la respiration, rires et pleurs spasmodiques
abolition totale des mouvements phonétiques de la langue et divers troubles trophiques. La troisième présente une ophtalmop
lire alcoolique. Les phénomènes intellectuels consistent surtout en troubles hal- lucinatoires, de nature pénible, s'étendan
prédomine habituellement dans les accès de delirium tremens, où les troubles hallucinatoires, d'une vivacité extrême, s'asso
longtemps signalé par Baillarger comme favo- rable à l'éclosion des troubles hallucinatoires. On ne trouve ensuite que des c
oolique, fait presque entièrement d'illusions, d'hallucinations, de troubles de la sensibilité générale, s'exagère dès que l
, la raie méningitique y est plus accusée. Il existe aussi quelques troubles vaso-moteurs. Le 2 septembre. Les mouvements cl
s et des jambes douloureuses à la pression ; pas d'atrophie, pas de troubles trophiques ; intégrité des sphincters, urines nor
, sensation de constriction à la gorge, pupilles normales, pas de troubles soit du côté de l'intelligence, soit du côté des
he impos- sible, pieds tombants; la malade ne peut se tenir debout, troubles ' Voir sur les hémorragies méningées : Clarcot,
e est dans l'état actuel de nos connaissances, symptomatique d'un trouble organique ou dynamique du système nerveux, d'une
uccès variables, dans le deli- rium tremens (Deneffe, de Gand), les troubles génito-urinaires, en particulier dans la blenno
- phie prostatique. De même, dans la spermatorrlzée (Desnos), les troubles de dentition de l'enfance, la coqueluche, la chor
lbald). Extraits de rate et de thyroïde en clinique (Bois et Kerr). Troubles oculaires et paralysie générale (Dawson et Ramb
dique, par Hoche, 213. - sympathique. La- paratomie. Guérison des troubles intellectuels, par Febvré, 169. 1-OI.Lr. Le s
entre la maladie du sommeil et le -, par Briquet, 62. Du - et des troubles qni s'y rattachent, par \\ ? Ord, 225. Rappor
lité. Comte notice propos de la lettre du professeur Pick sur les troubles de la dans les myélites transverses, par Miuor,
29 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
ICONOGRAPHIE A 'q DE LA SALPÊTRIÈRE D'UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX DES EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES . 1 Dans
ue et des altérations de la sensibilité des extrémités supérieures, troubles généralement symétriques, et paraissant occuper
nchniques. La santé géné- rale restait bonne, et il ne survenait ni troubles des sens, ni altération des sphincters, ni gène
ables/mais moins accentuées. t'ic. 1. UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 3 Au point de vue de la motilité : à d
seuls ceux des interosseux sont complètement abolis. Il existe des troubles de la sensibilité très caractérisés. A droite le
ible et les parties saines une sorte de zone intermé- diaire où les troubles sont moins marqués. (Fig. 2, 3.) A gauche on co
les sont moins marqués. (Fig. 2, 3.) A gauche on constate les mêmes troubles , mais l'anesthésie aux divers modes n'est pas a
e. Il n'y a pas de secousses fibrillaires. 11 n'existe pas d'autres troubles tro- phiques que l'atrophie musculaire. . Ons
attaque qui dura deux mois. Cette fois, il remarqua qu'il avait des troubles de la sensibilité. Étal actuel. - C'est pour un
; les autres appareils sont sains. [, : il; FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 5 Ces. 111. - Lucie L..., âgée de ving
e sur le bord interne des deux mains, mais il n'existe pas d'autres troubles . Les réflexestendineux sont faibles d es deux r
en il noter du côté des autres appareils. UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX 7 II Relevons tout d'abord les partic
che ensuite, des mêmes acci- dents de parésie, d'amyotrophie, et de troubles de la sensibilité can- tonnés dans la zone du n
lle a gagné ensuite la main gauche, occasionnant symétriquement des troubles paralytiques et atrophiques, et des altérations
côté droit. Ce sont toujours de la paralysie, de l'atrophie, et des troubles de la sensibilité symétriques, et répondant pre
teinte. L'auteur conclut qu'il s'agit très vraisemblablemement d'un trouble nutritif (névrite), à la suite de la lièvre typ
nnelle apparente, au milieu d'un état général satisfaisant, par des troubles de la sensi- bilité dans la main droite. Les ma
à cette période de la maladie que la main UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. gauche, jusque-là plus ou moins indemn
X. gauche, jusque-là plus ou moins indemne, se prend. Dès lors, les troubles 'progressent parallèlement, mais le côté gauche
e peut se faire, de même l'adduction du pouce est em- pêchée. Les troubles de la sensibilité sont constants, mais plus ou mo
absolue que dans ces mêmes limites. Surviennent en dernier lieu des troubles plus profonds, rétractions et troubles trophiqu
viennent en dernier lieu des troubles plus profonds, rétractions et troubles trophiques, qui augmentent les déformations, et l
périodes dans cette évolulion, l'une de début caractérisée par des troubles de la sensibilité, la seconde ~ d'état avec de
ysie atrophique, la troisième terminale avec des rétractions et des troubles trophiques; ces accidents se développant en 10
e de M. le professeur Charcot. Elle demande nos soins pour divers troubles survenus dans sa main gauche. Il ya six ans, à
st très peu de temps après cette opération qu'apparurent les divers troubles de la main. ; Insensiblement, et sans douleurs
ire l'état actuel. Pendant le cours de celte évolution, aucun autre trouble ne se produisit dans la santé générale, ni sur
NtRR ET DA13(, ÉDITEURS 1 1 ? 1\" 1 j UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 11 fléchies. Les autres doigts un peu
OBS. VI LECROSNIER ET Barye, ÉDITEURS UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. la professeur Panas qui m'apermis d'en
r du premier, parésie du cubital antérieur. Il existait de plus des troubles de la sensibilité, fourmillement et engourdisse
es études {Archives de neurologie, 1888). UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 15 La sensibilité au tact, à la piqûre
nt. Les réflexes tendineux sont abolis à droite. 11 n'existe pas de troubles trophiques. Si dans ce cas l'influence de cau
ntres nerveux, et le domaine du nerf est atteint et seul atteint de troubles que nous sommes habitués à rencontrer lors des
n de la colonne cervicale. Les quatre membres sont atteints, et les troubles prédominent dans les membres supérieurs. Obse
mois.- Contracture en voie de diminution. - Déformation des mains. Troubles trophiques ( ? ) de la main droite. Le nommé
constate aujourd'hui, et qui fut considérée, à son début, comme un trouble trophique. L'oedème de la main a disparu depuis
urent soulagées par l'application de ventouses scarifiées. Pas de troubles de la respiration, pas de palpitations. D... épro
rviennent surtout le soir. Nous en avons parlé plus haut. Quant aux troubles d'ordre trophique, on peut sans doute ranger sous
rdison (The Lancet, 21 oct. '1882) montre une guérison complète des troubles nerveux graves, six mois après une fracture des
er des lésions tenaces produites parlefroid sur des orteils que des troubles nerveux préalables avaient mis en état d'inféri
nt à cinq ans. Paralysie. z Crampes. Douleurs. Atrophie musculaire. Troubles tro- phiques cutanés. Engelures.. Ces phénomène
éciser, une atrophie musculaire des deux membres inférieurs. Pas de troubles trophiques cutanés. Enfin, environ huit mois ap
ente d'ailleurs aucun 26 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. trouble fonctionnel notable, en dehors des symptômes que
symphyse : 105 millimètres. Angle sacro-vertébral accessible. Les troubles nerveux consécutifs à cette lésion du sacrum sont
ue la malade peut produire dans la hanche. Elle accuse, comme autre trouble moteur, des mouvements involontaires des orteil
e; bord externe du pied et moitié externe de sa face plantaire. Ces troubles sont symétriques. La sensibilité au contact,tla s
ltérées dans les mêmes points que la sensibilité à la piqûre. Les troubles trophiques sont les suivants : atrophie sensiblem
Ainsi donc, paraplégie, anesthésie, douleurs, atrophie musculaire, troubles trophiques des extrémités inférieures que la mala
Intelligence vive ; bonne santé ordinaire ; pas de douleurs; pas de troubles de la sensibilité; intégrité des fonctions vésica
phénomènes s'amender progressivement jusqu'à l'époque actuelle. Les troubles recto-vésicaux, rétention d'urine et de matière
e décrois- sance. Cette diminution progressive dans l'intensité des troubles nerveux se poursuivra peut-être jusqu'à leur co
tous les cas, nous avons constaté, comme conséquences éloignées des troubles nerveux d'abord observés, des désordres durable
nt datait de plusieurs années. Or, dans tous, nous avons relevé des troubles persistants de l'innervation. ' S'il est perm
ractures de la colonne vertébrale entraînent après elles, outre les troubles nerveux qui les suivent immédiatement, des désord
ue. Ces désordres, variables suivant les cas, sont les suivants : Troubles de la sensibilité. - Les membres atteints sont so
ré), la fracture de la colonne dorsale avait déterminé en outre des troubles sensitifs de la région antérieure de la cuisse,
la cuisse, dont l'innervation ne relève pas du plexus sacré : - . Troubles de la motilité. - Dans tous les cas, il avait sub
issance. Elle avait déterminé des altitudes vicieuses des doigts. Troubles vaso-moteurs. - Dans plusieurs cas, il y avait un
anés des extré- mités inférieures (antérieurement atteintes par les troubles nerveux .primitifs). Troubles trophiques. - I
s (antérieurement atteintes par les troubles nerveux .primitifs). Troubles trophiques. - Ils n'ont manqué dans aucun cas.
ait de l'atrophie musculaire, généralement asymétrique. ' . Comme troubles trophiques cutanés, on trouvait : de l'épaississe
nt la croissance n'était pas terminée à l'époque de l'accident. Les troubles génito-uriaaioes et les troubles de la défécation
inée à l'époque de l'accident. Les troubles génito-uriaaioes et les troubles de la défécation, constants chez tous nos malad
édominance de certains symptômes- : paralysie, atrophie musculaire, troubles trophiques cutanés, surun côté du corps. 36 NOU
ce constante, à la suite des fractures de la colonne vertébrale, de troubles nerveux tardifs, entraîne pour ces fractures, m
favorablement et peut se cicatri- '- ser d'une façon complète. Les troubles de la sensibité et de la motricité s'atténuent
. - Cepen- dant quelques blessés ont survécu, parfois même avec des troubles paré- tiques peu marqués, à des fractures de la
ordres nerveux nous ont surtout préoccupés. Indépen- damment de ces troubles , il existe, par le fait même de la lésion osseu
raumatisme médullaire. Ainsi peuvent se constituer, par le fait des troubles nerveux, des lésions permanentes du squelette, qu
rveux, des lésions permanentes du squelette, qui survi- vraient aux troubles nerveux eux-mêmes, si ces derniers venaient à d
blement s'étend à tous les muscles et est capable de déterminer des troubles du langage. On en retrouve la trace lorsque l'o
on de la vue est incertaine, mais la malade croit que .sa vue a été trouble depuis qu'elle a eu ce qu'elle appelait sa diph
de même que les réflexes cutanés et ten- dineux. Il n'existe pas de troubles de l'urine ou de la miction. L'examen minutieux
n progressive des sens de la vue et de l'audition, ainsi que par le trouble que tout cela a apporté à l'exercice de sa prof
scles normale, le réflexe tendineux du'triceps existe. ' , Légers troubles de la sensibilité surtout au contact sur les avan
orge, par des soubresauts des hypocondres et de l'épigastre, par le trouble et l'éga- rement des yeux, par des cris perçant
nt d'une façon cyclique et présentant comme phéno- mène capital des troubles du système nerveux moteur ayant le carac- tère
teurs, on trouve dans les stades les plus graves de la maladie, des troubles vaso-moteurs, de l'oedème, de la cyanose des extr
eurs, de l'oedème, de la cyanose des extrémités, de l'anorexie, des troubles de la défécation, des congestions viscérales, l
attaque de raideurs, l'état cata- leptoïde, et du côté physique des troubles vaso-moteurs 1 rès accentués. En revanche, d'au
stérie nous semble mise en évidence par l'anesthésie pharyngée, les troubles de la sensibilité générale, le rétrécissement b
extrémités, mains et pieds, sont froides, cyanosées, présentant des troubles vaso-moteurs très accentués. Dans le même ordre
roduites, ne nous paraissent pouvoir être considérées que comme des troubles trophiques, marchant, de pair avec le ralentissem
Par ordre chronologique l'amélioration porte ensuite sur les divers troubles vésicaux si fréquents chez les tabétiques. La mic
nt pas sans inté- rêt, tant au point de vue des déformations et des troubles fonctionnels qu'elles peuvent entraîner qu'au p
e génitale, sauf que les testicules sont petits. Il n'existe pas de troubles évidents de la sensibilité générale ou spé- cia
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ ET DES SPASMES DE LA FACE E
n précise, cette notion générale, du lien commun tiré de l'état des troubles de sensibilité - qui réunit les spasmes des diffé
DE LA SUPERPOSITION DES 'l'IIUIiI>LIsS. JOU Elle présente les troubles suivants de la sensibilité générale (fig. 38, 3J)
HYSTÉRIQUE .C.0 SN i.R ET PAPI', EDITEURS DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES . 111 Réflexes tendineux normaux, réflexe pharyn
111 Réflexes tendineux normaux, réflexe pharyngien conservé. Aucun trouble du goût, ni de l'odorat. Diminution de l'acui
oeil, comparée à celle de l'oeil droit, est DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES . 11 Il; bien faible. On prend immédiatement le
fet immédiat dès qu'on la réveille. . r DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES . Dans la dernière quinzaine du mois de décembre
s autres accidents se reproduisent d'ail- : DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES . 117 leurs au bout d'un certain temps après que
ERIQUE GUERI LECROSNIER 6T BABÉ, ÉDITEURS DL LA SUPERPOSITION DES TROUBLES . 119 du reste, toujours par suggestion qu'on le
la paupière et l'orbiculaire, paraissent intéressés par suite d'un trouble complexe difficile à analyser. Dans un récent m
bdomadaire de médecine, 1877, n°° 4G et A7. DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES . I°31 1 M. Landolt, a rapporté un certain nombr
à une contracture de l'orbiculaire. De plus, il s'ac- compagnait de troubles particuliers, capitaux dans l'espèce, car ce sont
ttention. Mais il n'en est pas toujours ainsi en ce qui regarde les troubles de la sensibilité oculaire ou cutanée qui nous
Cette omission involontaire de la part du malade de l'existence des troubles sensitifs tient à plusieurs causes. D'abord ces t
stence des troubles sensitifs tient à plusieurs causes. D'abord ces troubles veulent être cherchés avec soin; ensuite le blé
pour les raisons précédemment indiquées. DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES . 123 L'oeil gauche reste alors fermé par une co
des bons symptômes du blépharospasme hystérique consistait dans les troubles de sensibilité qui se superposaient au spasme.
t l'observation suivante qui montrera en toute évidence combien les troubles de sensibilité sont liés aux phé- nomènes hysté
'est là un phénomène absolument de même ordre, de superposition des troubles de sensibilité à la contracture des muscles sou
il n'eut prohahlement pas, dans un but eu- DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES . 125 ratif, sectionné les deux nerfs sus-orbita
réquente. Le malade qui en est l'objet présente d'ailleurs quelques troubles mentaux intéressants. Boul... (Louis-Jacques-Ma
n, et l'apparition des premières dents ne fut accom- pagnée d'aucun trouble ; mais les molaires percèrent difficilement, on f
conservé, il mange beaucoup à tous ses repas, et ne présente aucun trouble digestif. La nuit, en dehors des accès, la phase
liquement de haut en bas et d'arrière en avant. Malgré cela, pas de troubles dé l'audition. Le thorax est normal, on ne trou
pas altérées ; on ne trouve ni anesthésie ni hyporesthésie. Aucun trouble du coté des organes sensoriels; il entend, ,oit,
prouvé, il la vue de certaines femmes, une « sensation spéciale », un trouble qu'il ne peut définir, mais qui est plutôt péni
voir peut- être même été la cause des idées de suicide par suite du trouble des facultés mentales que sa présence avait dû
émeut de compassion une femme qui assiste à l'opération, mais ne trouble point le chirurgien dont le calme et le sang- fro
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE FAITS POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE DES ALIÉN
stauration ou à des constructions nouvelles. Les faits relatifs aux troubles somatiques sont particulièrement précieux parce
- sulter que je rapporte les faits suivants où on trouve quelques troubles trophiques qui m'ont paru dignes d'intérêt, mais
ont la cause anatomique reste indéterminée, faute d'autopsie. Les troubles trophiques attribués à la paralysie générale sont
ière aux hématomes de l'oreille est attribuée depuis longtemps à un trouble de nutrition. La friabilité des os, admise par
s raison que M. Christian a fait ses réserves sur l'évidence de ces troubles de nutrition des os. Les troubles trophiques
réserves sur l'évidence de ces troubles de nutrition des os. Les troubles trophiques de la peau et de ses annexes sont mieu
lie par M. Pcrruchct, interne du .service). - Paralysie générale. - Troubles trophiques. -1JI a 1 perforant plantaire. - ] chl
Neurologie, ]883. I. VI, p. 305) FAITS POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES TROUBLES TROPHIQUES..157 - En 1866, il avait alors' 23 a
es dettes et n'ayant même pas conscience de sa ruine. Peu à peu les troubles intellectuels s'accentuent. A cet orgueil qu'il m
dre exer- cice; il devient sale dans sa tenue et en mangeant. Les troubles de la parole s'accentuent de plus en plus. 158.
illeurs avec la plus grande difficulté. La parole se ressent de ces troubles moteurs; 1... est incapable de pro- noncer une
ICONOGRAPHIE T. II PL. XXV Cliché HU8 £ RT Phototypie BER1'HAUn TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GENERALE (ÉTAT ICH
) E C n OS NIMR & ÉDIEURS FAITS POUR SERVIR A, L'HISTOIRE DES TROUBLES TROPHIQUES. , 159 une table. L'écriture est abs
ns l'incapacité de mettre ses vê- tement, non seulement à cause des troubles moteurs, mais aussi par perte d'intelligence; i
se de Lille, 1886, p. G2. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. Il. PL. XXVI TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE LBCROSNIE
CROSNIE ET BABÉ, ÉDITEURS NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. Il. PL XXVII TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE LECROSNIE
E LECROSNIER ET BABÉ, EDITEURS FAITS POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES TROUBLES TROPHIQUES. Ici depuis. C'est il peu près de ce
malade est femme de ménage), ainsi que le reste des doigts. Pas de troubles du côté des ongles. Du côté gauche, une plaque
ras des cheveux et qui offre une décoloration assez marquée. Pas de troubles du système pileux à ce niveau. Au niveau du cou
de la peau. 162 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA,5.\ LPt,TI\I I\E. Des troubles trophiques de la peau on peut rapprocher la décol
t seulement au mois de juin 1886 que B... a commencé à éprouver des troubles de la parole. En même temps son émotivité était r
e, Thèse 1889, p. 48. 1 1. 1 , FAITS POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES TROUBLES TROPHIQUES"'1 la parole, qui avait commencé dep
déjà, resta plus accentué. On eut alors l'occasion de constater des troubles de l'écriture qui était trem- blée. En outre, l
ut reprendre son travail qu'il avait dû cesser pendant deux mois; les troubles de la parole eux-mêmes s'étaient atténués, et d
onc assez difficile en l'absence d'autopsie. En ce qui concerne les troubles trophiques cutanés la détermination de la localis
s été d'une santé irrépro- chable jusqu'à l'apparition des premiers troubles qui marquèrent le début de la maladie actuelle.
installer définitivement et devint à peu près continuel. Ces divers troubles s'accentuèrent progressivement et dans les premie
u membre supérieur. Les membres du côté droit sont indemnes de tout trouble fonctionnel. Leurs mouvements sont rapides cl'p
e. n'a jamais éprouvé de véritables douleurs.- ' . Il n'y a aucun trouble du côté des sphinclers. L'intelligence et la mé
Clinique des maladies du 5%stèitic nerveux. DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. ET DES SPASMES DE LA FACE
nature, ne se comportaient pas d'une façon analogue par rapport aux troubles de sensibilité locale. En premier lieu, notre
3. Nouvelle Iconogarphie, t. I, ,,1. XIV, 1688. SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 171 la langue, nous voyions
on remarque que la commissure labiale gauche est SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 173 élevée et de ce côté la
ORIGINE HYSTÉRIQUE LECROSNIER ET DA13, ÉDITEURS SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 175 et qui consiste en une c
le môme pour une égale distance de la bougie et, aucun caractère du trouble oculaire n'autorisait un autre diagnotic el per
ttaque de grande hystérie qui dure deux heures. SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 177 Le lendemain matin, 12 m
pinion sur la superposition des spasmes de la face et du cou et des troubles localisés de la sensibilité. La première (Obs.
même temps que la langue est fortement déviée il SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 179 droite; la moitié droite
e par M llacq (Progrès médical, 28 janvier 1888). SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 181 cembre 1888. Pas d'antéc
siégeant toujours à gauche. Nous avons observé à SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 183 plusieurs reprises ces
ce d'hypnotisation fait disparaître la contracture et avec elle les troubles de la sensibilité. Les faits que nous avons rap
s, de même le torticolis; l'ic. 58. - (Obs. X), SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 185 et si le spasme glosso-l
qu'auparavant. Enfin, on pourra s'en étonner, ce sont peut-être les troubles de sen- sibilité de la langue qui permettront p
. A la vérité, on pourra nous répondre que ces superpositions des troubles de sensibilité et du spasme ne sont pas d'une con
puis longtemps montré, au point de vue de leur topographie, que les troubles de la sensibilité dans l'hys- térie ne se super
a région contracturéc. - Dans les cas que nous avons décrits, les troubles de sensibilité sont in- dépendants topographiqu
adies du système nerveux, t. III, p. 290 et suiv. SUPERPOSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 187 turc est d'origine purem
lètement. 198 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. A côté des troubles physiques se placent, dès cette époque, les trou-
us admirables. Mais il n'en reste pas moins toujours souffrant; les troubles du système nerveux dominent la scène. La paraly
oduire, est le résultat d'une hallucination et porte la marque d'un trouble intellectuel profond : Pascal y invoque en term
e pendant la vie. Il n'est pas douteux que Pascal ne fût atteint de troubles mentaux ; or, on sait quelle importance attache
veloppement de certaines régions céré- brales, occasionneraient les troubles intellectuels observés pendant la vie. Mais l
Gilles de la Tourette a, de plus, récemment établi que souvent des troubles de sensibilité se superposaient au spasme, ce qui
térique. Progrès médical, nOS 5,7,1887.' 3. De la superposition des troubles de la sensibilité et des spasmes de la face et du
tude d'extension. Disparaît la nuit. Instabilité musculaire. Pas de trouble de la sensibilité. Résiste à toutes les médicat
ent dans la forme spinale. Elles sont étranges, inusitées. d) Les troubles de la sensibilité, très fréquents dans la forme s
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE ATROPHIE MUSCULAIR
it que l'hystérie ne donnait que très exceptionnellement lieu à des troubles trophiques. On avait bien la notion d'éruptions
ition, établit nettement dans un excellent mémoire 1 l'existence de troubles trophiques en étudiant l'atrophie musculaire des
nce dans le membre inférieur. » Puis il donne les caractères de ces troubles nutritifs. « L'atrophie musculaire se présente
rie (Société médicale des /¡Ûpitallx, il octobre 1889). ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. -253 « , 1889-189
durait un jour, quelquefois plus; il était intermittent. ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. 2 ? Le malade après
Le périmètre de la main pris à la base du pouce mesure : ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS 1.'HI'STIItIE. 257 Le périmètre
CROSNIBR ET 8ABF, DITSUh6 1 . ( " 'Q 1 \ \ Il t91E ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DAKS L'IIYSTÉ .1 E' Z : le bras droi
généralisées d'emblée aux quatre membres; en même temps, la vue se trouble ; ces phénomènes sont surtout accentués lorsqu'i
ne, blond, d'aspect vigoureux. Pas de syphilis, pas d'alcoolisme. Troubles sensitifs. - IIémianesthésie gauche complète à la
il gauche. rétrécissement concentrique du champ visuel. ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. M3 Ni sucre ni albu
antérieurement ou actuellement par le malade. Parmi celles-ci, les troubles de sensibilité tiennent la princi- pale place.
de la névrose. Évidemment non, et la réaction de dégéné- ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. 265 rescence, pour
té. le plus fréquemment le siège de manifestations hystériques, les troubles de sensibilité en particulier. 2° Il peut exi
énomène. Cet oedème, de nature hystérique, constitue, lui aussi, un trouble trophique très intéressant et encore peu étudié
n° 9, à la Salpêtrière, service de M. le professeur Charcot. 1. Des troubles trophiques dans l'hystérie (Gazette des hôpitaux,
Il' 31`3, 1888, mais l'auteur est trop préoccupé do rapporter à des troubles menstruels ce qui appartient peut-être a l'hyst
t des cas d'oedènie par refroidissement chez des enfants. ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. 267 Pas d'antécéden
HYSTERIQUE DE L'" MAIN LkCJI ! OSNIER ET 8ABÉ, tDITbUh$ ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. 269 jours, il recou
haleur déjàdécrites et auxquelles il est encore sujet, pas d'autres troubles fonctionnels à relever que la paralysie delà ma
il ne peut pas, par exemple, porter son verre plein a sa bouche. Les troubles de la sensibilité restent les mêmes. 28jwùi.
e bouffie, cyanosée, paralysée à peu près complètement. ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'il STEI'11-l. 'il Les 12-13-1
ait pu crier au miracle. » Efforts de déglulion puis... ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'11YST$IiIE. 273 Troisième att
erligne radio-carpien. La main droile est également plus ÉTUDE DES [ TROUBLES TROPHIQUES DANS l'IIYSTERIE. 275 faible que d'o
ure. Elles sont assez intenses pour empêcher le sommeil. Tous ces troubles : oedème, cyanose, sensations douloureuses, hy-
sage, la contracture a commencé ü céder, et dès lors, l'oedème, les troubles vaso-moteurs et l'hyperes- thésie se sont effac
t et au membre inférieur gauche, étaient les suivants : ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. 577 278 NOUVELLE IC
rition de manifestations d'hys- térie locale. (G. T.) . ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'111S'l'I : PIC. 279 tentative
portion avec la bouffissure constatée; c'est que, sans doute, il ce trouble vaso-moteur se joignaient des troubles de sensibi
c'est que, sans doute, il ce trouble vaso-moteur se joignaient des troubles de sensibilité. Un oedème sous-cutané beaucoup
térique observée par nous il y a deux ans; il coïn- cidait avec des troubles de la circulation pulmonaire, oedème ou congestio
le peut précéder l'apparition de l'oedème. Aussi M. Char- ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTERIE. 281. cot propose-t-
qu'il peut toutefois précéder ; il s'établit en permanence avec les troubles moteurs subissant des alternatives fréquentes d
n habituelle de l'oedème il une paralysie ou à une contracture avec troubles de sensibilité. Dans un cas, rougeur inflammato
devront pas faire' négliger la recherche tant des stigmates que des troubles urinaires permettant de corroborer le diagnostic,
Min. Wochen- sclt rift, 1875). 3. Dujardin-Beaumetz, Note sur les troubles vaso-moteurs de la peau observés chez une hysté
t mal toléré par l'estomac; et il est probable que les nausées, les troubles gastriques, qu'il a provoqués chez nos deux mal
e brûlait le pouce avec sa cigarette sans s'en apercevoir. Mais les troubles de la sensibilité n'étaient pas faits pour embarr
tre sentiment semble se joindre 1. Lanoaille de Laclièze. Tarassis, troubles de t'lime el du corps chez l'homme dans les tem
u en mai ; dès lors ce ne furent plus que des accès rudimentaires : troubles de connaissance, convulsions toniques passagère
(d'une forme particulière de - des extrémités supérieures), 1, 2. Troubles trophiques (dans la paralysie géné- rale), 25,
21, 25, z6, 27, 28, 29, 30, 31, 32. Saignée (la) miniature, 49. Troubles nerveux (d'une forme particulière de -) 1, 2, 3
urette et Cathelineau), 306. Hystérie (contribution à l'étude des troubles trophiqnes dansl ? .atrophie musculaire et oe
165. Paralysie générale (faits pour servir il l'his- toire des troubles trophiques dans la - des aliénés), par Féré, 15
maladies du système nerveux), par Gilles de la Toui reste, 85. Troubles nerveux (d'une forme particulière de - des extr
30 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
, le gigantisme et l'acromégalie représentent deux formes d'un même trouble du développement de l'individu, le premier, sur
ébut, exceptionnellement précoce, l'évolution et la na- ture de ces troubles . Le cas que nous rapportons nous semble intéres
et profonde) et spéciale sont intactes, excepté la vision. Il a des troubles très importants de l'appareil visuel. Le prof.
us. Mais nous avons quelque chose de mieux : ce sont les importants troubles oculaires, la céphalalgie, et surtout le développ
s mains, des pieds et des malléoles, accompagnée de céphalée et des troubles oculaires, que nous avons décrits, n'est autre
T ACROMÉGALIE 21 1 la petitesse du corps représente, elle aussi, un trouble de la fonction du développement, qui peut-être,
ur les examiner encore une fois, et pour discuter la pathogénie des troubles morphologiques pré- sentés par José Lopes. I.
né les autres glandes à sécrétion interne. Mais, en admettant qu'un trouble de la sécrétion thyroïdienne soit bien nécessaire
oit bien nécessaire pour expliquer l'infantilisme de José Lopes, ce trouble ne saurait évidemment pas rendre compte des aut
pophyse, quand elles apparaissent chez l'adulte, peuvent amener des troubles des organes gé- nitaux, la suppression des règl
s le gigantisme que dans l'acromégalie. C'est, enfin, qu'il a des troubles oculaires qui dénoncent une compres- sion de la
part, l'acromégalie de l'autre, représentent deux formes d'un même trouble du développe- ment de l'individu, le premier su
péremptoire, à cause de ses maux de tête, et surtout à cause de ses troubles oculaires (fonctionnels et ophtalmoscopiques),
assurément du moins pour la ma- jorité des cas puisse relever d'un trouble de la sécrétion hypophysaire dans le. type infa
dans ce recueil. Pas autre chose. Il faut donc admettre,soit que le trouble delà fonction hypophysaire est suffisant pour p
e des choses que ces glandes à fonc- tions analogues produisent des troubles analogues, rien d'étonnant, à priori, : ') ce q
rfois, sinon constamment, une association plus ou moins complexe de troubles glandulaires ce qui est plus problable ; car non
qui se plaignait t de maux de tôle « entre les yeux », de quelques troubles visuels, et qui présentait une certaine obésité
sur ces faits, si on ne doit pas incriminer comme cause de tous ces troubles une hypertrophie de l'hypophyse consécutive à l
ns activement, par lésion di- recte ou secondaire, voire par simple trouble fonctionnel, le corps thyroïde, l'hypophyse, le
ne de ces glandes dans le résultat final (1). Et dans l'ensemble de troubles évolutifs qui se' donnent rendez-vous, s'enchev
i, en définitif, consti- titue, elle aussi, comme le gigantisme, un trouble de la fonction du'déve- loppement ? ` ? On pe
te multiplicité des lésions glandulaires, avec l'âge et le degré du trouble , expliquerait peut-être mieux que la multiplicité
lier. En tout cela, il va sans dire, c'est l'âge auquel survient le trouble du développement, qui y joue un rôle de tout pr
galie. peut être parfois congénitale, comme semblent le prouver les troubles oculaires de José Lopes. 5° Le gigantisme et l'
etc.) agissant après la nais- sance il faut, dans l'étiologie de ce trouble de la fonction ostéogéaicue, et comme sa cause
alacie ont invoqué surtoutdeux grands facteurs : l'infection et les troubles de la nutrition générale. Nous avons eu l'occ
signaler. En résumé, il s'agit, de trois femmes présentant comme troubles com- muns des altérations osseuses considérable
oïncidence, ou existe-t-il par contre une relation plus étroite, le trouble dans le fonctionnement thyroidien étant un fade
ubstance. Or la scoliose, quand elle ne peut pas s'expliquer par un trouble d'ordre pa- ralytique ou par une anomalie osseu
ous pouvons citer d'abord la coexistence de l'ostéoma- lacie ou des troubles voisins avec le syndrome de Basedow. Il en étai
et douleurs rhumatiques dans les jambes. Il présente lui aussi des troubles psychiques, phénomènes d'exci- tation. Le mal
mais pas tou- jours fréquent. Tremblement des mains. Les premiers troubles basedowiens dataient depuis 8 ans. L'examen ana
paraplégie avec pied-bot, exagération du réflexe rotulien mais sans troubles de la sensibilité et des sphincters. La radiogr
'attention sur les rapports étroits qui unissent l'ostéomalacie aux troubles de la fonction thyroïdienne. Outre la coexist
cas récent de Haberkant (31) qui, dans un cas d'ostéo- malacie avec troubles mentaux, trouva des altérations très évidentes du
ore si les altérations thyroïdiennes ne sont pas la conséquence des troubles généraux des échan- ges nutritifs qui produisen
uées dans la pathogénie de l'ostéomalacie. On a fait intervenir des troubles dans d'autres glandes à sécrétion interne. No
du thymus dans la croissance doivent marcher de pair avec certains troubles du métabolisme calcique. D'autres glandes inter
des glandes endocrines sur la nutrition osseuse et le rôle de leurs troubles dans la pathogénie de l'ostéomalacie. On peut a
né aussi des mé- tastases dans le foie. La théorie discrasiquepar troubles glandulaires et la théorie infectieuse ne sont
Mais quel est le mécanisme intime qui produit l'ostéomalacie ? Les troubles glandulaires comme les maladies infectieuses peuv
ésassimilation ou en empêchant son assimilation ou amenant ces deux troubles en même temps. On peut penser aussi à une actio
bles en même temps. On peut penser aussi à une action indirecte, le trouble glandulaire ame- nant par exemple une réaction
On peut penser aussi à l'intervention dans une certaine mesure des troubles du système nerveux - des altérations vasomotrices
tre dans l'ostéomalacie. Il est vrai que dans ces cas de tabes avec troubles osseux si marqués, il serait intéressant de con
kl. Med, 43, Bd. Hef.3, und 4, 1901. 58. IL1NSI1.ILTEa at Guérin. Troubles des échanges nutritifs dans le myxoedème i» fan-
de, cause de la diffor- mité du poignet, doit être classé parmi les troubles de croissance des articulations et des os parmi
matismes), ou par la théorie de l'ata- visme, ou par la théorie des troubles trophiques consécutifs aux altéra- tions du sys
male donnée et qui se fixent par loi d'hérédité. S'il se produit un trouble dans la lutte entre l'ontogonie et la philogoni
t robustes. » « Nous (1) observons aussi dans la presbyophrénie des troubles ac- centués de la mémoire de fixation et d'évoc
ile dans lesquelles les symptômes prédominants sont précisément des troubles de la mémoire, et la fabulation. » 1 Enfin, u
f cerveaux examinés, morts sans qu'on ait pu ob- server chez eux de troubles psychiques (1). Les lésions décrites par Fische
fecture de police ; malade depuis 15 ans ; insomnies, irritabilité, troubles gastro-intestinaux, diminution de la mémoire, m
: ou se récuser, ou fabuler. L'illusion delà fausse reconnaissance, trouble complexe, où l'activité de l'imagination supplé
ne peut (t) DUPAI : , Amnésie antérograde continue, topo-agnosie et troubles de la psycho-réflec tivilé émolzue, consécutifs
et rêve normal, qui l'un et l'autre, relèvent essentiellement d'un trouble d'ordre hallucinatoire ; souvenir de l'onirisme e
oire ; souvenir de l'onirisme et souvenir du rêve qui relèvent d'un trouble complexe, à la fois d'ordre hallucinatoire et m
ique; souvenirs plus ou moins exacts de la vie réelle, relevantd'un trouble plus ou moins isolé de la mémoire; enfin, fabulat
us ou moins isolé de la mémoire; enfin, fabulation proprement dite, trouble qui n'est ni sensoriel ni mnésique, mais uniqueme
e. La confabulation paramnésique comporte fréquemment un maximum de troubles du souve- nir, l'imagination se bornant presque
ratique nous paraît donc résider, en défi- nitive, dans l'élude des troubles si multiples, si riches, si nuancés, et, en mêm
tions locales des os et des articulations et aussi par l'absence de troubles de la sensibilité objective. En se basant exclu
ankylosées sont douloureuses. Le système nerveux ne présente aucun trouble objectif. Observation X. Jean K..., 37 ans, c
articulation de l'épaule gauche et douleurs en ceinture. Absence de troubles objectifs de la sensibilité ; sensibilité dou-
nerveux, au point de vue clinique et anatomique, ne présente aucun trouble objectif dans la sphère sensitive ou motrice, s
ou motrice, sauf une faible exagération des réflexes tendineux. 23° Troubles trophiques. Dans presque toutes nos observations,
23° Troubles trophiques. Dans presque toutes nos observations, les troubles du côté des muscles sont manifestes : le plus sou
t fibrillaire et de réaction électrique de dégénérescence. Tous les troubles atrophiques des muscles doivent être mis sur le c
au et Bourdet (6), il y a lieu d'attacher une grande importance aux troubles concomitants de la nutrition et de l'innervatio
développèrent des masses graisseuses douloureuses et plus tard des troubles mentaux. Le Meignen et Levesque (10) ont relevé
t passé l'âge de la ménopause et qui n'ont présenté cependant aucun trouble rappelant le syndrome de Dercum. Il est intéres-
ur et de rapidité, n'est cependant pas abolie. Pas d'aphasie, ni de troubles de la vision, au début. Neuf jours après l'admi
ent étonné de la justesse de ses réponses. . Il me semble que les troubles visuels de F. out eu un caractère abso- lument
duisit-elle à l'hôpital, où, à la suite d'un traitement ioduré, les troubles moteurs s'améliorèrent. Il y était en traitemen
langue, prenez le porte-plume, etc...; ce qui prouve que, malgré le trouble mental et l'aphasie motrice, il entend la signi
résie droite intéressant le facial inférieur et les mem- bres, sans trouble sensitif, ni trophique appréciable, une incontine
nombre varie pour chaque individu. Leur dégénérescence explique les troubles patho- logiques du côté non hémiplégie, et ceux
ole observée par Raviart et Tonneil. On peut en conclure que si les troubles trophiques sont les plus fré- quents dans la mo
il y aurait eu de la diplopie et de l'hémiopie intermittentes, ces troubles n'ont pas reparu depuis. L'examen, pratiqué r
t pas reparu depuis. L'examen, pratiqué rentrée, ne révéla pas de troubles moteurs, en particu- lier, pas d'ataxieou d'asy
pileptifonnes, vomissements fréquents, et attaques de vertiges sans troubles de la vue, de l'ouïe, de la parole, de l'état men
e de 32 ans ayant présenté des signes d'hypertension cérébrale avec troubles mentaux les 15 der- niers jours, ne trouve pas
laire dr. plus fort qu'à g. Raideur de nuque, amaurose transitoire, troubles de la conscience. Exitus après 4 mois. A l'auto
es du système ner- veux, celle qui donne lieu le plus souvent à des troubles trophiques. Laissant de côte les troubles troph
ieu le plus souvent à des troubles trophiques. Laissant de côte les troubles trophiques articulaires et osseux et les trou-
les trou- bles sécrétoires sudoraux, nous considérons seulement les troubles tro- phiques cutanés ; il est remarquable de no
ques cutanés ; il est remarquable de noter la grande variété de ces troubles dans leur expression clinique. La main type Mor
ons déjà dit plus haut que la pupille droite est en myosis). Pas de troubles sphinctériens, ni vésicaux, ni intestinaux, ni gé
ous appuyez ». Il ne sent jamais de douleur vive. Il y a donc là un trouble dans la notion de l'intensité de la douleur. Le
s'en aperçut dès le début de sa maladie. 212 Z BOVERI Aucun autre trouble trophique cutané, en dehors de celui que nous avo
cutané, en dehors de celui que nous avons décrit plus haut. Comme trouble vaso-moteur, il y a lieu de rappeler un léger deg
ors de la syringomyélie, on n'a pas décrit, autant que je sache, de troubles trophiques semblables à celui qui nous occupe et
s plus sèche que d'habitude chez l'individu sain. Il y a donc là un trouble trophique de la peau, comparable aux autres de
nc là un trouble trophique de la peau, comparable aux autres de ces troubles déjà connus dans la syringomyélie et dont la path
/e/te, thèse de Paris, 1891. 4. G. Ballet et DUTIL. - Noie sur un trouble trophique de la peau, etc., Progrès médical, 18
s mouvements pour s'habiller, se lever. A les mains froides, pas de troubles vaso-moteurs. Même aspect, mais oeil méfiant, imp
nvoyé à Sainte- Anne avec le certificat suivant de l'un de nous : « Troubles intellectuels carac- térisés par des interpréta
neux. G. aurait maigri d'une vingtaine de kilos depuis le début des troubles mentaux en septembre. 16 décembre 1908. -- Entr
se, puis s'espacent et cessent complètement. En résumé, début des troubles mentaux à l'âge de 17 ans. De juillet à septemb
à la suite d'une légère intervention chirurgicale, réapparition des troubles mentaux, d'aspect catatonique, qui nécessitent
observation précédente, on ne constate au niveau des placards aucun trouble de la sensibilité. Ici encore, il semble bien q
que la théorie radiculaire permet à elle seule d'expliquer tous les troubles que nous venons de dé- crire ; c'estelle qui no
t assez naturel d'invoquer une lésion nerveuse pour interpréter les troubles variés que nous venons de décrire. En résumé, l
ale ; mais les déformations, luxation ou fracture de vertèbres, les troubles radiculaires ou médullaires désignent la nature
s anesthésies, les atrophies d'ori- gine radiculaire et, enfin, des troubles de la moelle épinière. li Le rhumatisme articul
inguée de la spondylose rhizomélique par l'absence dans celle-ci de troubles fonctionnels et d'altérations anatomiques du syst
l'angle droit, une ankylose de la colonne vertébrale, une série de troubles nerveux (paresthésie, hyperesthésie, douleurs,
FF leurs comme une forme nosologique spéciale, est le résultat d'un trouble général constitutionnel de l'organisme et, souv
rononcée du rachis, des saillies osseuses anormales et une série de troubles radiculaires (douleurs aiguës, anes- thésies, p
bsence d'altérations des tissus mous périarticulaires, l'absence de troubles de sensibilité et, enfin, la persistance d'un é
part de l'organisme qui tend instinctivement à remédier au premier trouble ana- tomique ; après l'ossification des ligamen
la spondy- lose rhizomélique. ' LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 255 troubles chroniques de la nutrition générale qui ont pour
in- fectieuse ou toxi-infectieuse (P. Marie). Les résultats de ces troubles généraux portent surtout sur le système osseux.
uit chez les lapins survivants aucun symptôme, en particulier aucun trouble de l'évolution des organes génitaux. Les recher
its on pourrait admettre qu'en dernière analyse tout se réduit à un trouble de l'équilibre nutritif de la cellule nerveuse
acteur nocif quelconque (microbes, toxines, virus), qui l'irrite et trouble son équilibre nutritif, cherche à réagir contre c
ce lente- 304 FOIX ment, comme une sénile, mais ne présente aucun trouble caractérisé de la dé- marche. Elle n'a pas en p
présente en effet, dans le domaine des nerfs bulbaires une série de troubles paralytiques strictement unilatéraux portant sur
mer, les deux pneumogastriques possédant un territoire commun. Les troubles qui accompagnent cet hémisyndrome se réduisent à
e marche avec lenteur comme une grande sénile, mais il n'y a pas de trouble caractérisé de la locomotion. En particulier l'
auche l'on n'obtient pas de réponse nette. ' Sensibilité. - Aucun trouble de la sensibilité superficielle ou profonde, sa
oite et ;i gauche. Mise sur le tabouret tournant, on ne note pas de troubles d'origine lahyrin- thique. .Elle présente une
. Il semble certain quepour une telle lésion, l'on constaterait des troubles bulbaires graves que notre malade ne présente p
, ni syndrome cérébelleux rap- pelant celui deBabinski-Nageotle, ni troubles sensitifs à type syringomyél i- ques comme on e
point de vue pathogénique, s'a- git-il, comme pour l'acromégalie de troubles liés à l'altération fonction- nelle des glandes
de, la surrénale, interviennent-elles ? Enfin, chez ces sujets, les troubles res- tent-ils toujours à l'état d'ébauche ? N
souffrir de maux de tête intenses ; au bout d'un certain temps, les troubles psychiques apparurent sous la forme d'une forte
nt déjà depuis 8 ans au moins Nous constatons chez notre malade des troubles du côté du corps hypophysaire, des organes génita
est la coexistence de l'acromégalie avec une maladie mentale. Les troubles psychiques dans l'acromégalie sont fréquents. Bru
lien de Nancy le 30 octobre 1879 pour des accidents névropathiques, troubles parétiques et tremblement, qui avaient nécessit
é abdominal. Phénomène de l'orteil en extension des deux côtés. Troubles trophiques . Amyotrophie diffuse, moins marquée q
de, lorsque l'on pique diverses zones cutanées des jambes. Pas de troubles sphinctériens. NOUVELLE Iconographie DE la SALP
modiques. Parole lente, scandée, explosive. Pas d'aphonie. Pas de troubles de la déglutition. Réflexe massetérin conservé.
Pas de troubles de la déglutition. Réflexe massetérin conservé. Troubles psychiques. Démence. - Obtusion, apathie, torpeur
rence. Réactions violentes : paroxysmes de colère, crises de larmes. Troubles de la sensibilité générale, sensations de paill
uisses, pied gauche en varus équin ; réflectivité exaltée. Tous ces troubles ne cessent de s'accentuer. On a noté de tout te
er un exemple. Aujour- d'hui les physiologistes considèrent que les troubles consécutifs aux lésions du cervelet provoquent
ns, depuis Du- chenne de Boulogne, n'ont jamais voulu confondre les troubles de mot i I i té, provoqués par les lésions du c
l'ataxie tabétique, il faut, limiter le terrain des recherches aux troubles que l'on a décrits en clinique sous ce nom ; car,
premier : Il y a des ataxiques tabétiques, qui ne présentent pas de troubles de sensibilité objective consciente, ou qui en
n lui recommande de se maintenir sur une seule jambe, etc. Tous ces troubles deviennent plus accentués, c'est-à-dire les osc
t. Nous allons exposer ici une observation d'alaxie tabélique, sans trouble de sensibilité objective, et dans laquelle on v
es supérieurs, rien d'anormal. Quoique ce malade ne présente ni des troubles de sensibilité superficielle ou profonde, ni de
es cas incontestables de malades tabétiques et ataxiques sans aucun trouble de sensibilité objective consciente. L'examen d
des tabétiques nous a con- duit iL la conclusion : que les premiers troubles ataxiques qui apparaissent sont ceux indiqués p
et ceux-là ont pour nous un tout autre mécanisme, nous trouvons les troubles décrits plus haut. Mais, même plus tard, quand
malades pareils il celui de l'observation précédente, même avec des troubles ataxiques plus accen- tués et toujours sans auc
raver l'ataxie. Il est bien entendu que ces malades, avec de légers troubles de sensibilité, sont des malades de transition
lions contester ce phénomène au cours du tabes, ni l'importance des troubles consécutifs à l'hypotonie dans la station bipèd
cée. C'est alors qu'en voulant chercher la vraie cause des premiers troubles ataxiques, nous avons remarqué que si, pendant
autrement dit, il pré- sentait le signe de Romberg, sans avoir des troubles de la sensibilité pro- fonde. L'explication est
ent et de fatigue. En fermant cette parenthèse, nous dirons que les troubles d'équilibre 350 NOICA statique et cinétique,
narthroses et les arthrodies). Si nous appliquons ces principes aux troubles ataxiques précédents, il nous est facile de com
le tronc se mettra à osciller. Mais ici il s'agit seu- lement d'un trouble des mouvements nécessaires à l'équilibre statique
qui arrive en effet chez le malade ataxique. Faut-il considérer ce trouble comme un phénomène incoordonné ? Et faut-il alo
ts qu'en se balançant involontai- rement, il ne s'agit pas ici d'un trouble des mouvements coordonnés, mais seulement d'un
pas ici d'un trouble des mouvements coordonnés, mais seulement d'un trouble d'équilibre cinétique. Il est si peu incoordonné
marcher, le corps oscillera lui aussi. Est-ce qu'il s'agit là d'un trouble de coordination ? Nous croyons qu'il s'agit, là
coordination ? Nous croyons qu'il s'agit, là aussi, seulement d'un trouble dans l'équilibre cinétique, provoqué par la mêm
En résumé, tous les phénomènes ataxiques décrits jusqu'ici sont des troubles de l'équilibre statique ou cinélique. Le mécani
ander pourquoi se produisent ces contractions ? Quel est le premier trouble ataxique, qui est la cause de l'apparition de c
ique, qui est la cause de l'apparition de ces contractions et de ce trouble d'équilibre statique et cinétique ? Il faut nou
défaut. Probablement il faut rapportera celle cause une partie des troubles qui intéressent les sphincters de la vessie et
et c'est par le deltoïde gauche qu'elle débuta. Au même moment, les troubles iriens s'accentuaient et atteignaient à l'immob
te même année 1895, le malade souffrit dans les organes pelviens de troubles qui ne devaient plus le quitter pendant tout le
, survenu en 1897, à la 37° année d'âge du malade; il détermina des troubles des nerfs crâniens VI, VII et X du côté droit et
tral, il est besoin, avant toute autre considération, de penser aux troubles circulatoires. Oppenheim a publié un seul cas d
ont décrit un fait analogue, ont mis l'atrophie en rapport avec les troubles en question. Dans le cas de ces derniers auteur
tudié par nous, la cause de l'atrophie n'avait rien à voir avec des troubles de la circulation. La cause de l'atrophie ne po
notre atrophie médullaire a une cause qui n'a rien à voir avec des troubles circulatoires, quels qu'ils soient, de l'axe ne
'existe pas trace de sclérose et rien qui puisse éveiller l'idée de troubles circulatoires pou- vant être la cause de l'atro
sont normaux. Le système pileux est normalement développé. Aucun trouble trophique ; le corps thyroïde est normal. Pas d
é. Aucun trouble trophique ; le corps thyroïde est normal. Pas de troubles du côté des organes des sens. Etat psychique. A
mois. Elle n'a jamais subi de césarienne. La peau ne présente aucun trouble . Il n'y a pas trace de myxoedème ; le corps thy
de sclérose ne permet pas d'éliminer une affection, ou au moins un trouble fonctionnel des glandes à sécrétion interne, ayan
donc permis de penser que c'est une lésion différente, ou plutôt un trouble fonctionnel en sens contraire du système glandu
e de la thyroïde, du thymus, etc..... mais étant donné l'absence de troubles thyroïdiens, étant donnés les faits sur lesquel
l'hypofonctionnementde la thyroïde, etc.... La lésion, ou plutôt le trouble fonctionnel des glandes à sécrétion interne, ré
(achondroplasie dite physiologique) ; c'est la cause prochaine due trouble de croissance, l'intermédiaire nécessaire par leq
ie foetale. L'Obstétrique, 1908, n* 4, p. 392. Vaiuot. Note sur les troubles de l'ossification dans le myxoedème et l'achondro
d. des hôp. de Paris, 14 février 1901, n- 5. - J. et R. VOISIN. - Troubles de l'ossification dans le myxoedème et l'achondro
E NOUVELLE OBSERVATION, D'ACHONDROPLASIE PEUT-ON, DE LA FORME DES TROUBLES PSYCHIQUES DANS CETTE MALA- DIE, TIRER QUELQUE
suffisant pour faire abandon- ner la théorie endocranienne, car un trouble fonctionnel peut exister sans altération access
es symptômes conco- mitants de la dystrophie. De ce nombre sont les troubles psychiques. Nous nous proposons dans cet articl
n rencontre d'ordinaire chez les achondroplasiques. Cetle étude des troubles psychiques dans l'achondroplasie est en somme a
r tout à l'heure et qui, elle aussi, explique logiquement les mêmes troubles . Si l'on veut tirer des caractères des altérati
us aisée puisqu'on peut balancer au moins entre deux hypothè- ses : troubles de sécrétion interne ou dégénérescence. Il y aura
r qui serait de montrer la dégénérescence comme la conséquence d'un trouble des sécrétions internes, mais la démonstration
ure actuelle, dans l'état présent de nos connaissances, l'étude des troubles psychiques de l'achondroplasie ne conduit à aucun
si remise au jour où nous serons mieux fixés sur la nature même des troubles psychiques, à moins que par un renversement for
ement fort vraisemblable de données de la question la nature de ces troubles ne vienne à s'éclairer par la découverte certai
On peut aussi épuiser d'embléè la discussion en montrant que si les troubles psychiques coïncident toujours avec les symptôm
lité instables, portés à la tristesse et à l'hypocondrie; est-ce le trouble des sécrétions internes ou la lésion nerveuse (
demander s'il << s'agit bien là, comme on l'a prétendu, d'un trouble mental et s'il ne suffirait pas d'y voir la con
té péni- ble et cruellement méditée » (Grasset et Rauzier) (2). Ces troubles ne sont- ils pas « la conséquence légitime de l
c une maladie pour laquelle il n'a pas paru étrange d'expliquer les troubles psychiques par les désordres phy- siques ; pour
econd ordre d'argument est plus contestable, Lauze qui a (1) DUTIL, Troubles psgehiques dans la maladie de Parkinson, in Gilbe
cerveau ne sont pas insuffisants à leur lâche, ne présentent aucun trouble hypo ; mais nous ne pouvons affirmer que leur t
sentent aucun trouble hypo ; mais nous ne pouvons affirmer que leur trouble hyper ou para, s'il existe, soit à la base même
pensons avoir montré qu'il ne faut pas chercher dans la nature des troubles psychiques de l'achondroplasie la clef de l'origi
ne au moins que l'on ne peut contester : c'est que la nature de ces troubles psychiques n'étant pas à l'abri de toute discus
Plusieurs auteurs ont insisté sur ce fait. Voisin le note parmi les troubles observés chez les idiots. Dans le traité des mala
s doigts surnuméraires rudimentaires : La malade ne présente pas de troubles de la sensibilité objective générale. Au point
llaires normaux. La sensibilité douloureuse semble diminuée. Pas de troubles apparents des viscères thoraco-abdominaux. Le c
femme.atteinte de créti- 3') G PAR H ON ET URECHIA nisme dont les troubles cérébraux représentent un vice très probablement
ns l'étal somatique et psychique qui caractérise le crétinisme, les troubles de la fonction thyroïdienne ont certainement leur
actylie a été observée par Cyon (1) chez des malades présentant des troubles trophiques atribuables à une altération hypophy
pathologique de la polydactylie chez l'homme. En admettant que le trouble thyroïdien a pu avoir un rôle dans l'appari- ti
n effet que la polydaclylie représente chez.ce malade la trace d'un trouble congé- nital du développement, trouble que nous
chez.ce malade la trace d'un trouble congé- nital du développement, trouble que nous considérons comme pathologique. L'unil
élancements assez vifs. La chaleur et le repos au lit amendent ces troubles ; aussi le matin le nez est moins gonflé et sa
ténulaire que nous avons signalées, nous n'avons jamais constaté de trouble oculaire. Nous n'avons pas observé d'altération
rie que nous avons signalée, l'urine a toujours été normale. Pas de trouble de la motilité, ni de la sensibilité, ni des réfl
lui faisaient se demander si la glande thyroïde était à la tête des troubles observés,ou si les glandes sexuelles en étaient r
antérieure, fait passer en première ligne l'habitus général et les troubles relatifs à la sexualité; la participation des a
en- sation de lassitude, d'oedèmes fugaces au niveau de la face, de troubles trophiques cutanés, enfin de paresse intellectu
rs de conteste et ne garde qu'un intérêt symptomatique, l'élude des troubles cutanés est de piemière importance : c'est en par
du myxoedème ? C'est bien de myxoedème qu'il faut parler et non de troubles hypothyroïdiens, car ceux-ci sont hors de doute
ou, si particulier aux myxoedémateux con- génitaux ou acquis. Les troubles de la pigmentation vont être étudiés dans un inst
ysique et moral. - C'est encore le puérilisme qui carac- térise les troubles intellectuels : il est à noter que presque tous l
facilité. La mémoire est conservée. La conversation ne décèle aucun trouble ; la riposte est vive. Ceci pour la plupart des
as et au moins dans un premier slade : car lors- que s'accusent des troubles thyroïdiens, la mémoire devient infidèle et la
même un peu d'indifférence, d'apathie s'installe ; mais encore ces troubles , tardifs comme nous l'avons dit, ne s'étahlisse
sation très rare. Mais à défaut de ce symptôme, on décèle de petits troubles cutanés : sécheresse, ichthyose, état cassant e
est signalée que trois fois. De tout ceci on peut retenir que les troubles thyroïdiens ne manquent pour ainsi dire jamais,
ne semble intervenir que d'une façon très accessoire. Pourtant les troubles pigmenta ires sont fréquents : on voit souvent me
l'orbite en blanc pâle (obs. XVIII). Plus intéressants seraient les troubles du pouls trop rarement notés : la baisse de pre
- tribution par contre-coup et d'une façon toujours tardive ? Les troubles osseux du massif facial (voûte palatine, nez et m
se rapporte aux expériences de Thaon et à celles de Delille sur les troubles osseux d'origine hypophysaire, on ne trouve rien
n ne réalisant pas l'insuffi- sance diastématique, ne créent pas de troubles comparables. Bref, ni l'expérimentation ni la c
- Ihérapj(IUe testiculaire : il en obtint d'heureux effets pour ses troubles de la mémoire, pour sa faiblesse générale et sa
u'il puisse être dé- terminé, ne provoque pour ainsi dire jamais de troubles aussi sévères de la fonction et des organes sex
ones, qui châtrés dans l'adolescence ou dans l'enfance, offrent des troubles constants et caractéristiques de la croissance
adultes : l'objection est plus difficile à éliminer. En effet, les troubles obtenus dans les deux cas devraient logiquement
onviction : les femmes castrées adultes ne présentent guère que des troubles des désirs sexuels, une invo- lution de l'utéru
s suffisantes que la castration chez l'homme adulte n'amène que des troubles insignifiants. Si bien que l'on est amené à adm
mblances singulièrement prononcées, et que les nuances subtiles des troubles de l'instinct sexuel, la présence de mamelles hyp
te compris sous cette dénomination, viendraient se classer tous les troubles imputables au fonctionnement défectueux (diminué,
e, dans la plupart des observations de déterminer la glande dont le trouble est le premier en date; l'examen attentif des m
glande, sans avoir la prétention d'expliquer la répercussion de son trouble fonctionnel sur tout le système endocrine. Rien
d, deJosserand. Le corps thyroïdien primitivement lésé entraîne des troubles et des lésions des glandes géni- tales. A la dy
outefois une orchite. Dans le cas de Dalché également, le début des troubles fut marqué par une orchite syphi- litique bilat
lande qui a été primitivement lésée et dont la lésion a entraîné un trouble dans le fonctionnement des autres glandes à séc
server un état d'infantilisme incontestable. Mais il va souvent un trouble léger des fonctions génitales. Les troubles men
e. Mais il va souvent un trouble léger des fonctions génitales. Les troubles menstruels sont parfois signalés, et même l'atr
a diminution de l'instinct sexuel. Von Eiselberg écrit même que les troubles des organes génitaux font défaut « puisqu'il s'
'il s'agit d'adultes ». * Il est en somme exceptionnel de noter des troubles ^génitaux impor- tants dans le myxoedème de l'a
tent pas une survie très longue ; si bien qu'on ne peut étudier les troubles à distance de la castration, et ce sont préciséme
es troubles à distance de la castration, et ce sont précisément ces troubles éloignés qui sont les plus intéressants à connaît
ppe- ment des seins, constituant un certain degré de féminisme. Les troubles mentaux sont rarement très marqués : ils résult
tre que l'atrophie testiculaire d'or- dre pathologique entraîne des troubles très voisins de ceux qui sont la conséquence de
'il y ait sup- pression complète de la fonction diastématique ; les troubles thyroïdiens 428 CORDIER ET REBATTU sont alors
et thyroïde, Ql même d'autres glandes à sécrétion interne, dont le trouble peut être aussi la conséquence de l'atteinte te
et l'on peut voir aussi des symptômes d'insuffisance hypophysaire ( troubles du squelette) ou surrénale (hypoten- sion, trou
e hypophysaire (troubles du squelette) ou surrénale (hypoten- sion, troubles pigmentaires, etc.). Enfin la mentalité se modi
daire. On ne peut prétendre déterminer le mode de retentissement du trouble d'une glande à sécrétion interne sur le reste d
ans ; blennorrhée à 24; excès alcooli- ques et vénériens. A 30 ans, troubles nerveux avec lassitude, chute des che- veux, po
ot, mous. Désirs sexuels absolument nuls. Pas d'érections. Pas de troubles intellectuels ni vocaux. Le corps thyroïde et l
vocaux. Le corps thyroïde et les seins paraissent normaux. Pas de troubles du squelette. Urémie gastro-intestinale. . Ob
émastériens, les réflexes bulbo-caverneux sont très faibles. Pas de troubles intellectuels appréciables. 434 CORDIER El' HEB
ans. Les réflexes cutanés de la région génitale sont abolis. Aucun trouble psychique. Le corps thyroïde n'est pas percepti
eloppés. Impuissance absolue. Pas d'érection depuis 4 ans. Pas de troubles intellectuels. Il est difficile d'apprécier le
ible. On ne sent pas la thyroïde. Pas d'infiltration cutanée, ni de troubles trophi- ques. Les seins ne sont pas hypertrophi
cheveux et ses poils et s'atrophier ses testicules. Il eu aussi des troubles de la voix ; il ne put reprendre ses relations se
e 10 ; pigmentation diffuse sur le front et la base du nez ; pas de troubles du squelette. En outre, lésions tuberculeuses p
frigidité; la peau est lisse, un peu épaissie et blafarde ; pas de troubles intellectuels signalés. . Pigmentation du fro
ble au toucher. L'étal mental est très modifié : a) On constate des troubles de la mémoire pour tous les événements de la vi
de sang ou d'un examen radiographique. d) Il n'y a ni délire, ni troubles de la lecture ou de l'écriture ; la parole est
nt des bacilles de Koch nombreux. Le tube digestif, à part quelques troubles fonctionnels en rapport avec les lésions pulmon
diminution de la taille interprétée dans ce sens. Le mien avait des troubles visuels remontant environ au huitième mois de l
région génitale ; le pouls à 68, la tension 12 (au Potain). Pas de troubles du squelette. Légère diminution de l'acuité vis
lisme réve ? -sif. Lyon Médical, 8 janvier 1911. Laionel-Lavastine. Troubles psychiques dans les syndromes génitaux mâles. Rev
b lomadaire de médecine et de chirurgie, 1817. LERCHE et C'>tte. Troubles consécutifs à la castration bilatérale chez l'adu
edème et du goitre exophtalmique, de l'hypo-ovarie et peut-être des troubles surrénaux. Ce sont donc Claude et Gougerot qui
ILLE, Insuffisance thyro-ovarienne et hyperactivite hy- pophysaire ( troubles acroméyaliques). Amélioration par l'opothérapie r
la thyroïde, ou sur les testicules. Le malade ne se rappelle aucun trouble ni du côté du cou, ni du côté des bourses ; il
ils, modification du teint ne datent que de la maladie de 1904. Ces troubles ne font que s'accentuer dans les années qui suive
indéterminée. Immédiatement après, s'ins- tallent une asthénie, des troubles d'impuissance sexuelle, des modifications des t
est absolue, il n'a plus ni désir ni érection. On ne trouve pas de troubles de la motilité, pas de troubles de la sensibilité
ir ni érection. On ne trouve pas de troubles de la motilité, pas de troubles de la sensibilité, sauf une paresse de la sensi
ubles de la sensibilité, sauf une paresse de la sensibilité. Pas de troubles des réflexes moteurs et sen- sitifs, pas de tro
bilité. Pas de troubles des réflexes moteurs et sen- sitifs, pas de troubles sensoriels ni pupillaires. Les réactions électriq
la tension artérielle est à 12°, le pouls est à 75. Il n'y a pas de troubles des fonctions gastro-intestinales et l'appétit es
ainsi qu'en témoignent les cris et les larmes du pauvre homme. Les troubles généraux et locaux s'accentuent. La teinte bist
lant les tubes. Les tubes contournés sont at- teints de tuméfaction trouble avec quelques fois dissociation des cellules (lé-
utanées, complètent très heureusement les notions anciennes sur les troubles objectifs et subjectifs consécutifs aux lésions
aux lésions nerveuses, en signalant l'im- portance dans ces cas des troubles des réactions vaso-motrices et sudorales. Nous
tismes dans lesquels aucune atrophie musculaire systématisée, aucun trouble sensitif localisé ne permettent de soupçonner la
sé ne peut expliquer. Pour Sudeck, la lésion des os s'accompagne de troubles trophiques et vaso-moteurs des muscles et de la
mixtes périphériques. Considérations sur la technique concernant les troubles des sen- sibililés,les modifications des réacti
e du radius et du cubitus. A la suite de cet accident, évolution de troubles trophiques semblant avoir débuté par les os ou
e la position de la main, son aspect extérieur, les dou- leurs, les troubles objectifs de la sensibilité étaient dès cette épo
faible, car le blessé perçoit le contact d'une boulette de coton, Troubles vaso-moteurs. Dans la position de repos, à l'abri
violacée. Elle est plus sensible au froid que la main gauche. Ces troubles circulatoires auraient existé dès le début. Ils n
aires; la sensibilité était à peu près normale; il n'y avait pas de troubles vaso-moteurs. Comment dans ces conditions songer
er également l'atrophie osseuse post-traumatique comme un véritable trouble trophique. 3° Les dystrophies osseuses peuvent
les trouvons seulement chez des malades qui pré- sentent de grands troubles de sensibilité, et en particulier du sens des att
Jade atteint d'une hémiplégie droite, qui présentait, avec de grands troubles de sensibilité superficielle et profonde surtou
mbres inférieurs. Le malade souffre de constipation, mais jamais de troubles de mictions. Le malade présente des troubles tr
pation, mais jamais de troubles de mictions. Le malade présente des troubles très grands de sensibilité générale, car il ne
ou articulaire. Nous allons passer maintenant à une autre série de troubles que présente ce malade, et que nous attribuons
complètement ce doigt, il est obligé d'ouvrir toute la main. Ces troubles , on les observe quand le malade a les yeux ouvert
e passe maintenant aux membres inférieurs, pour voir quels sont les troubles moteurs provoqués par la perte de la sensibilité
uvements.combinés, il n'empêche pas que nous avons trouvé de grands troubles de ce côté-là, comme nous le verrons plus loin,
ades - que nous verrons immédiatement il intervient aussi de grands troubles d'équilibre cinétique -troubles ataxiques du pr
ement il intervient aussi de grands troubles d'équilibre cinétique - troubles ataxiques du premier groupe on comprend alors com
jouter que celui-ci présentait aussi au membre inférieur gauche des troubles du premier groupe, parce que, en relevant la ja
de 20-30 centimètres. En plus, le malade présentait de très grands troubles ataxiques du tronc, qu'on ne pouvait expliquer qu
tronc, qu'on ne pouvait expliquer que par le même mécanisme que les troubles ataxiques du premier groupe, c'est-à-dire qu'ils
ataxiques du premier groupe, c'est-à-dire qu'ils consistaient en un trouble d'équilibre statique. Comme ces troubles ataxique
e qu'ils consistaient en un trouble d'équilibre statique. Comme ces troubles ataxiques du tronc étaient très démonstratifs,
açon de s'asseoir, ou la façon de se lever chez ce malade, c'est un trouble très grand d'équilibre statique et cinétique. N
et la démesuration des mouvements volontaires. A quoi peut tenir ce trouble ? Si nous nous rappelons les troubles ataxiques d
ontaires. A quoi peut tenir ce trouble ? Si nous nous rappelons les troubles ataxiques des membres supérieurs que présentait
il sent un léger engourdissement aux doigts des deux mains. Pas de troubles de sensibilité objective, sauf une légère diminut
ne pouvoir disposer d'un cinématographe pour pouvoir enregistrer ces troubles , comme l'a fait M. le Professeur Marinesco. Nou
e notre travail qu'il existe un. second groupe de phénomènes, ou de troubles , que nous observons chez les tabétiques ataxiqu
qui présentent ces phénomènes ont, en même temps que ceux-ci, des troubles que nous avons décrits dans la première partie de
alades décrits dans la première partie, car la maladie évoluaut,ces troubles ont augmenté d'intensité. En d'autres ter- mes,
pensons que généralement, sinon toujours, l'ataxie commence par des troubles d'équilibre statique et cinétique 1er groupe des
s - et que ce n'est qu'après que l'ataxie se complique par d'autres troubles , consécutifs ceux-ci à des pertes de sensibilité
xiques présentant ces derniers phénomènes, sans présenter aussi des troubles d'équilibre statique ou cinétique. Si mainten
ger qui a insisté sur ce point -dans lesquels on ne trouvait ni des troubles de sensibilité superficielle, ni des troubles d
on ne trouvait ni des troubles de sensibilité superficielle, ni des troubles de sensibilité profonde, ce qui n'empêchait t p
que nous avons dit avoir trouvés chez les mala- des avec de grands troubles du sens profond. Senlement,Duclienne se con- te
s pertes de sensibilité profonde et sans saisir le mécanisme de ces troubles . Si aujourd'hui on examine de nouveau les exemp
est caractérisée, au début, par des phénomènes consistant dans des troubles d'équilibre statique et ciné- tique. Ces phénom
ment normale. Nous pou- vons citer quelques-uns de ces phénomènes : troubles ou pertes des mou- vements isolés des doigts, p
battu, 368. - {Nouvelle observation d' -. Peul on de la forme des troubles psychiques dans celte maladie tirer quelques éc
nouvelle ohser- vation d'achondroplasie. Peut-on de la forme des troubles psychiques dans cette maladie, tirer quelque éc
nouvelle obser- vation d'achondroplasie. Peut-on de la forme des troubles psychiques dans cette maladie, tirer quelque éc
31 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ions, c'est-à-dire la défor- mation du crâne et ce qui concerne les troubles des nerfs optiques. En d'autres termes, l'on pe
qui constitue l'anneau lymphatique de Waldeyer et, de plus, par des troubles il peu près constants de la ÉTUDE DU SYNDROMie
Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière deux cas d'oxycéphalie avec troubles visuels (7). L'anatomie pathologique de celte m
ique important qu'il est utile de bien retenir. Au point de vue des troubles fonctionnels pouvant être rapportés à cette mal
bien retenir que, ni les lésions des nerfs optiques, ni les autres troubles nerveux concomitants, ni tous les autres symptôme
els, en dehors de la malformation cranienne extérieure, aucun autre trouble fonctionnel n'était décelable. C'est là un fait
me donner la clef de cette anomalie. Disons-le tout de suite : les troubles fonctionnels de l'oxycéphalie (névrite optique,
pas de semblables altérations de la base ne sont atteints par aucun trouble , ni de la vue, ni de l'intelligence. Il reste
rep- siqne, avec un ventre énorme et ballonné; il était sujet à des troubles gastro- intestinaux continuels, mou, flasque, s
BERTOLOTTI De deux à trois ans, Joseph souffrit continuellement de troubles gastro-intes- tinaux caractérisés par des vomis
l'âge de 4 ans, les parents s'aperçurent que le petit accusait des troubles visuels assez graves. Cette diminution de la vu
ns cet état il vécut jusqu'à l'fige de trois ans, toujours affligé de troubles gastriques et de diarrhée. Les altérations para
e à l'âge de 7 ans, c'est-à- dire en pleine période d'évolution des troubles oxticéphalicrues, on a assistée une véritable r
jà signalé par quel- ques auteurs (Bourneville, Patry). Donc, les troubles circulatoires doivent être excessivement marqués
TQUT. q ! ) retard de la première dentition et de la marche, vu les troubles gastro- intestinaux de la première enfance, vu
-J1ost-sphénoi'rle survenues dans la première enfance. A propos des troubles des glandes à sécrétions internes on pourrait e
uels l'hydrocéphalie survenue dans la deuxième enfance, en plus des troubles cl assiques dus à la compression cérébrale (név
s, les altéra- tions rachitiques qui les accompagnent, et enfin les troubles adénoïdiens qui constituent un apanage constant
de la gly- cosurie, avec la densité de 1030. Enfin, il existe des troubles oculaires, une diminution de la vision, surtout
rtout à gauche. Le malade ne sait préciser l'époque du début de ces troubles . L'exa- men du fond de l'oeil, dont s'est charg
es se réduisaient à l'aspect caractéris- tiques de la tête et à des troubles visuels, sans aucun des signes accessoires de c
te. Le langage est à peine intel- ligible, le malade présentant des troubles aphasiques. Le membre inférieur droit est égale
gémir et elle est localisée toujours à la même-région du crâne. Les troubles aphasiques et la paralysie du côté droit ont au
les membres du côté gauche. Il ne peut plus être nourri à cause des troubles de la déglu- tition. Jusqu'à présent le malade
is, il a encore des maux de tête, mais qui cèdent au pyramidon. Les troubles de la parole ont disparu, le malade est au cont
s, de sorte que c'est la famille qui attire notre attention sur ces troubles mentaux, pendant que le malade nous les cache.
Nos exhortations le tranquillisent un peu ; à certains moments, ces troubles ont des périodes d'exacerbation. Sa famille rec
malade commence à s'agiter et que sa face se congestionne. 19. Les troubles paralytiques ainsi que la céphalée ont disparu pr
ade se plaint de la céphalée et commence à présenter de nouveau des troubles psychiques. Observation II C. V., 17 ans, étu
ssements bilieux. Il reste au lit pendant deux jours après quoi ces troubles ont cessé, sauf les maux de tête qui persistent.
sez développé pour son âge. Son faciès est peu expressif, le regard trouble , de temps en temps il fait une grimace provoqué
fait de petits pas irréguliers en suivant une ligne en zig-zag. Ces troubles sont plus manifestes quand le malade est fatigué.
a des bourdonnements dans les oreil- les. Le malade présente des troubles sphinctériens. Pendant la journée les mic- tion
nd cet écoulement cessait il avait des attaques épileptiques et des troubles meutaux. Il s'écoulait, en 24 heures, approxima
e méningite. Dans notre premier cas nous avons noté l'existence des troubles psychi- ques. Pendant que nous rédigions ces li
mort plutôt que d'en arriver à être l'amusement du monde (1). Des troubles mentaux ont déjà été notés dans la méningile sére
1909, ne 41-42. 70 tI Wn;Wrsco FT 0(.IS'l'RTN sur l'existence des troubles psychiques dans'les méningites, surtout dans le
rmes chroniques tuberculeuses. Sterling (1) a observé récemment des troubles intellectuels chez une femme de 46 ans, atteinte
u cerveau ou du cervelet. (I) Sterling, Un cas d'hydrocéphalie avec troubles psychiques. Soc. de neurol. el de psycho de Var
l'asile de Clermont vers )'age de 34 ans, après plusieurs années de troubles mentaux à forme maniaque qui s'aggravèrent à la s
festes. C'est environ trois ans après son mariage qu'apparurent les troubles mentaux sous la forme de chan- gement du caract
li- gence était considérablement affaiblie sans idées délirantes ni troubles vésa- niques d'aucune sorte ; cet état démentie
ion, mais cette prétendue impossibilité semble plutôt ressortir à des troubles apraxirlues. L'examen de la sensibilité ne ré
ters sont intacts et le sont restés jusqu'à la fin. Il n'existe nul trouble appréciable des sens, pas de nystagmus dans aucun
s phénomènes parétiques dans la sphère lahio-glosso-pharyngée, sans troubles de sensibilité, sans nystagmus ni déformations sq
utre que les réflexes tendineux existent, on ne trouve chez J... ni troubles sensi- lifs caractérisés, ni symptômes oculaire
une âge, l'ataxie statique, les mouvements athétoïdes, l'absence de troubles sensitifs, la parole suspirieuse et explosive; pa
e considérée comme une hérédo-alaxie cérébelleuse ; on y trouve les troubles de la station et de la marche désignés sous le
Raymond el Rose, de la pré- cocité d'apparition dans l'enfance des troubles de l'équilibre chez certains sujets atteints de
es douleurs lancinantes et en ceinture, de la parésie vésicale, des troubles de la sensibilité et des fonctions génitales, d
femme de48ans, tabétique depuis 10 ans, sans symptôme moteur, avec troubles de la sensi- bilité el artltropatlhie ; le seul
lement de douleurs en ceinture, de crises rectales et nasales et de troubles de la sensibilité à disposition radiculaire,nepré
e en Algérie. C'est un malade amaigri, asthénique, qui se plaint de troubles gastriques datant du début de juillet 1909. Ils
s, ils n'ont revêtu le caractère de vomis- sement pylorique. Pas de troubles intestinaux nets, à part une lientérie pas- sag
ns normaux des deux côtés. Réactions pupillaires intac- les. Pas de troubles oculaires. Peu de température. Quelque 38°, pui
nous trouvons très juste et les résultats obtenus dans l'étude des troubles de la sensibilité chez les tabétiques par )1. Egg
démyélinisation lente et progressive, on acquiert l'opinion que les troubles de la sensibilité, quels qu'ils soient, résident
comprend des tabéti- ques classiques avec ataxie, signe de Romberg, trouble delà nutrition générale; clans la deuxième form
elà nutrition générale; clans la deuxième forme, il n'existe pas de troubles trophiques, les malades ont un bon état général
due et localisations des lésions, ne présentent pas égale- ment ces troubles gastriques ; et inversement, on observe des crise
plutôt rares, et le cas présentant, en outre, un certain nombre de troubles cérébraux intéressants, il nous a paru mériter d'
à s'apercevoir de l'existence chez le malade d'un certain nombre de troubles cérébraux dont la description sera donnée dans la
est anesthésique (au tact et à la douleur) : ce sont là les seul.; troubles objectifs de la sensibilité. ' Durant le séjour
objectifs de la sensibilité. ' Durant le séjour à I'Ilùpital, aucun trouble n'a été constaté au cou, ni dans la région scap
de l'ischémie ou des hémorragies collatérales ne provoquassent des troubles dans d'autres régions de l'hémisphère intéressé.
querait, en grande partie, l'issue particulièrement heureuse. Les troubles constatés chez B... se limitent au domaine psychi
reste possil3le, voire facile, dans des cas d'alexie causée par des troubles optiques. Les dessins qu'a.confectionés B... so
s, est véritablement une femme débile. Etat mental. - L'étude des troubles mentaux du malade est dans cet ordre d'idées ri
én. de méd., octobre 1902. MICROMÉLIE RHIZOMÉLIQUE PARTIELLE AVEC TROUBLES MENTAUX CHEZ UNE JEUNE ARABE PAR R 1 MM. J. C
ues) alors le tronc reste normal ; au point de vue clinique, par un trouble d'ossifica- tion enchondrale, une intégrité de
risée aussi par la micromélie au point de vue cli- nique, et par le trouble de l'ossification périostale, au point de vue ana
avons donné de l'ovarine, qui n'aurait amélioré que légèrement les troubles mentaux. : Certaines observations permettraient
alement les glandes génitales. Rappelons pour notre malade, que des troubles men- taux ont éclaté chez elle au moment de la
la première menstruation qui du reste aval tété très retardée. Ces troubles mentaux sont analogues à ceux pré- sentés par u
naître le rôle sur le développement squelettique. » Sans doute, les troubles mentaux ne sont pas fréqnentsdans l'achondro- p
chitiques dans les antécédents desquels on ne trouve nulle trace de troubles digestifs dans la première enfance ? L'accroiss
rès bonne heure les malformations sdne- letliques, et plus tard les troubles mentaux. C'est l'explication que Parhon proposa
hondroplasique au point de'vue mental, en cherchant à savoir si les troubles psychiques observés dans cette dysostose pouvaien
èse qu'ils envisagent avec quelque complaisance, en rapprochant les troubles mentaux des achondroplasiques des mêmes trou- b
qui sépare ces diverses dysostoses s'abais- sera, une cause unique ( trouble des glandes endocrines) étant parfaite- ment ca
uire par des malformations osseuses d'iniquement analogues, par des troubles mentaux variés, et par des altérations histo- l
une nouvelle observation d'achondroplasie ; peut-on de la forme des troubles psychiques dans celle maladie, tirer quelque écla
ones, et avec une symétrie indiscutable pour certains points. Les troubles de coloration constatés sur la peau donnent deux
nt étant, répète-t=il, de ne pas souffrir. Il n'accuse du reste aucun trouble fonctionnel en dehors de la toux, de la dyspnée
èvre, pas de sueurs. Le malade déclare qu'il n'a pas maigri. Pas de troubles thyroïdiens ou hypophysaires. La motilité est b
bres, pas d'engelures en hiver. Il voit bien, et entend bien ; pas de troubles de son intellectualité qui paraît avoir toujour
On ne trouve pas, si l'on. excepte l'épaississement des téguments, de troubles trophiques du côté des poils et des ongles, et
nés ont disparu, le ré- flexe plantaire se fait en flexion . Pas de troubles pupillaires, pas de paralysies oculaires ; un l
pas de paralysies oculaires ; un léger strabisme divergent. Pas de troubles sphinctériens. Les nerfs ne semblent pas augmen
part d'entre elles une symétrie indiscutable. et si l'on excepte le trouble partiel des sensibilités tégumentaires, trouble e
si l'on excepte le trouble partiel des sensibilités tégumentaires, trouble en partie peut-être déterminé par l'épaississem
ntaires, diabète bronzé et autres, elles maladies s'accompagnant de troubles généralement plus différenciés, plus systématis
a sclérodermie, etc. Notre malade n'a ni l'aspect extérieur, ni les troubles concomitants, ni les différents facteurs de ces
as augmentés de volume, ils ne sont pas douloureux, il n'y a pas de troubles trophiques musculaires ou osseux, pas de douleurs
Mais pendant de très longues années la ma- ladie s'est limitée aux troubles de la coloration des.téguments qui en sont la p
certain nombre de cas, l'absence du réflexe est associée à d'autres troubles et peut être rattachée à une affection déterminée
lléen ou du réflexe rotulien chez des sujets indemnes de tout autre trouble nerveux est mal connue. Les sta- tistiques publ
xes ach i Ileens et rotuliens peuvent être trouvés nuls sans autres troubles nerveux à un âge avancé, vieillesse (Mubius),au
'ab- sence bilatérale ou unilatérale du réflexe rolulien sans autre trouble ner- veux n'a été trouvée que Il fois. La propo
illéens ou des réflexes roluliens constatée en dehors de tout autre trouble nerveux ? ' ? Quelle est la nature et quelle es
que sur des gardes faisant leur service et ne se plaignant d'aucun trouble ; elles ne comprennent donc pas les cas d'abolit
coolis- me chronique, et d'affirmer la nature éthylique de certains troubles car- diaques (hearl-failure) ; à ce titre ils c
chronique suspecte 3, érysipèle 4, paludisme 2, fièvre typhoïde 3, troubles gastro-intestinaux graves 1, ictère 1, appendic
il gauche, nul à droite. Les autres réflexes existent. Pas d'autre trouble . Ons. IL -B..., musicien, 31 ans ; troubles gas
es existent. Pas d'autre trouble. Ons. IL -B..., musicien, 31 ans ; troubles gastriques avec amaigrissement il 30 ans ; vari
ien, fort à gauche, est diffi- cile à trouver à droite. Pas d'autre trouble . Ous. III. - P..., fantassin, 25 ans ; blennorr
Le réflexe achilléen est nul à gauche, normal à droite. Pas d'autre trouble . Cas IV. - D..., cavalier, 30 ans, bronchites f
Le réflexe achilléen, faible à gauche est nul à droite. Pas d'autre trouble . Ons. V. - S..., fantassin, 30 ans, varices moy
réflexe achilléen, normal à droite, est nul à gau- che. Aucun autre trouble . 0ns. VI. if..., fantassin, 27 ans. A 22 ans, c
Le réflexe achilléen, normal droite, est nul à gauche. Pas d'autre trouble . Ous. VII. M..., cavalier, 25 ans. Il y a 3 moi
Le réflexe achilléen, faible à droite est nul il gauche. Pas d'autre trouble . uns. VIII. 1\1..., aspirant de gendarmerie, 31
normal ainsi que les achilléens et les autres réflexes. Pas d'autre trouble . Les observations suivantes peuvent servir de t
e la jambe droite que de la gauche. Il ne s'est jamais plaint de ce trouble léger, mais il me le signale spontanément lorsq
st beaucoup plus fréquente que l'irréflectivité associée à d'autres troubles nerveux. Elle existe dès la 25e année. Le nombre
existent toujours chez l'homme normal el parfaitementsain. Quelques troubles très légers peuvent être associés à l'absence du
près les infections et les intoxications, même en l'absence de tout trouble de la sensibilité et de la motilité, il faut ex
s le psychisme de la plupart des glandes à sécrétion interne et les troubles nerveux dont s'accompagnent leur hy- perfonctio
u ba- siques les cellules des ganglions spinaux s'il y a un certain trouble dans l'équilibre des granulations colloïdales.
es protéiques en solution. La dilution réalisée par l'eau distillée trouble l'équilibre de ces derniers et les matières alb
n.erfs rachidiens cervi- caux ; mais comme nous n'avons noté aucun trouble d'innervation, nous devons penser que le nombre
tuent le type habituel. C 7;D 4` ? ;L = 5 ;S 5;C 5-l. Mais, qu'un trouble survienne, que l'action du processus diminue ou
anomalies réversives sont des arrêts de développement causés par un trouble de la nutrition, conséquence d'une maladie locale
tèrent les observations des deux malades, père et fils, atteints de troubles de développement très analogues, intéres- sant
à laquelle ils donnèrent le nom d'héréditaire et semblant due à un trouble du développement, donc devant être distinguée des
aviculaire SUR UN CAS DE DYSOSTOSE CLliIDO-CRAN1ENNE 253 certains troubles fonctionnels étaient présents. C'est ainsi que la
ire, le mot dysostose « n'ayant autre prétention que de désigner un trouble clans l'ossification, quelle qu'en soit la natu
lirtz et Louste), une tendance au genu valgum, des pieds plats, des troubles trophiques des ongles des or- teils qui sont ép
s phénomènes notés dans les différentes observations,outre les deux troubles fondamentaux qui ont valu le nom de dysostose clé
er, ainsi que dans le cas de Guzzoni degli Ancarani. Comme autres troubles osseux,nous trouvons nolés les suivants : la cage
t SLll UN CAS DE DYaOS'rOSE CLCIL)O-CltA[NIENNE - 259 signalé des troubles osseux dans l'enfance ; dans le troisième, le ste
l'état du crâne ; nous trouvons signalés dans les cas suivants des troubles osseux : Chez l'enfant observé par Morand, enfa
dépression sternale ayant les dimensions d'une orange. A côté des troubles de l'ossification, il convient de citer les troub
ge. A côté des troubles de l'ossification, il convient de citer les troubles dentaires. Signalés dans les observations de Pi
res. Signalés dans les observations de Pierre Marie et Sainton, ces troubles avait été déjà notés dans l'observation de et ult
oss, Villaret et Francoz, Voisin, Macé de Lépinay et Infroil. Ces troubles sont également très accentués dans notre cas. D
tenant que poussent les incisives de la seconde dentition. Un autre trouble de la nutrition est la tendance à l'obésité ou l'
ier à ce point de vue, mais comme il est entré à l'hôpital pour des troubles rénaux et ignorant son état dénutrition antérie
térieur, il nous est difficile de nous prononcer. Notons encore les troubles des ongles signalés dans le cas de Hirtz et Lou
cas de Hirtz et Louste. Dans notre cas, on trouve aussi de pareils troubles au moins en ce qui concerne les orteils. Rapp
périostale et dans la palhogéniede cetteder- nière ils invoquent un trouble trophique ou glandulaire. C'est vers relie inte
vérité. Il est plus difficile de dire quelle est la glande dont le trouble fonction- nel intervient dans la production de
ophie. Voisin, de Lépinay et Infroit remarquent avec raison que les troubles de la dentition qu'on observe dans cette dystro
valgum bilatéral et la déviation des pieds en varus. Voici tous les troubles , auxquels il faut ajouter la petite taille el J'o
core d'autres glandes et on doit tenir compte aussi-du moment où le trouble se produit. En effet, un trouble agissant à un
tenir compte aussi-du moment où le trouble se produit. En effet, un trouble agissant à un moment plus précoce du développemen
ue Peter Kranz (44) ont repris la ques- tion des rapports entre les troubles dentaires et les altérations des glandes endocr
ch. f. klinische Medicin, 1901, 70 Band, p. 86). (3) Marinesco, Les troubles de la marche dans l'hémiplégie organique étudiés
diés à l'aide du cinématographe (Sem. méd., 1899, p. 255) ; Sur les troubles de la marche dans les paraplégies organiques (S
rche dans les paraplégies organiques (Sem. méd., 1900, p. 71) ; Les troubles de la marche dans l'ataxie locomotrice progress
ant convenablement de son intérieur et ne présentant aucun signe de troubles psychiques. Ce cas tire son caractère rare et i
ance aux exagérations démonstratives qui caractérisent les états de troubles hystériques. Il est à noter que Caroline contin
agnostic et pronostic. La vieille conception de l'hystérie comme un trouble psycho-sexuel re- vêt constamment de nouvelles
as d'autres phénomènes morbides que de l'atrophie musculaire et des troubles de la motilité. Membre supérieur gauche : A l'é
uche est moins forte que la droite, et depuis un mois, les lé- gers troubles parétiques de la main droite, relevés à l'examen
s crémastériens et plantaires, nuls également. Sensibilité. - Aucun trouble objectif de la sensibilité (contact, tempéra- t
s sciatiques de points particulièrement douloureux à la pression. Troubles vaso-moteurs. - Refroidissement des extrémités. L
lus froides que la cuisse et la jambe droites. Sphincters. - Pas de troubles vésicaux. Réactions électriques,faites avec le
t de là qu'il est envoyé à l'hôpital le 26 juillet 1910, à cause de troubles digestifs graves, dus à un cancer de l'estomac.
riceps crural et une atrophie en masse des muscles de la jambe. Les troubles moteurs qui en résultent produisent la dé- marc
produisent la dé- marche classique du steppage. A droite, les mêmes troubles trophiques exis- tent, maisatténués. Les réfl
és. Les réflexes tendineux sont abolis aux quatre membres. Pas de troubles objectifs de la sensibilité. Quant aux contract
ons douloureuses intermittentes dans les membres inférieurs. Pas de troubles objectifs de la sensibilité, ni d'in- coordinat
objectifs de la sensibilité, ni d'in- coordination motrice. Pas de troubles sphinctériens. Réactions pupillaires normales.
diminution des réactions électriques, phéno- mènes douloureux sans troubles objectifs de la sensibilité. A l'examen histolo-
lancinantes pendant plusieurs années, atrophie des mains à 19 ans. Troubles de la sensibilité cutanée et profonde. Diminuti
ux extrémités des membres du côté gauche ; secousses fibrillaires ; troubles mentaux. Examen histologique : Dans la moelle, sc
t le tronc et la face. Réflexes tendineux abolis ; pas d'ataxie ni de troubles de la sensibilité. Troubles vaso-moteurs périph
s tendineux abolis ; pas d'ataxie ni de troubles de la sensibilité. Troubles vaso-moteurs périphériques. Insuffisance mentale.
ires daus la langue ; diminution des réactions électriques ; pas de troubles de la sensibilité ; psychose mania- que-dépress
ordination motrice ; douleurs peu fréquentes ; sphincters intacts ; troubles mentaux, mort à 59 ans. Hypertrophie des raci-
ose, perte des réflexes tendineux, hypertrophie des troncs nerveux, troubles de la sensibilité cutanée : pas de phénomènes dou
n. Intégrité de la face, du tronc et des membres inférieurs. Pas de troubles de la sensibi- lité cutanée. Douleurs intermitt
e et Sottas, la symptomatologie de nos cas est restée limitée à des troubles trophiques des muscles et à de légères douleurs.
nsuffisantes pour expliquer par une dégéné- rescence secondaire les troubles trophiques des nerfs et des muscles. Dans le dé
k et Deroubaix, Westphal, Dejerine et Sottas, Long), l'exislence de troubles psychiques, va- riant depuis le déséquilibre me
igine spinale ou myopathique sont indolentes dans la règle. Or, ces troubles subjectifs de la sensibilité sont inconstants, fo
s altérations des nerfs qu'il faut attri- buer la pathogénie de ces troubles de l'étal statique des muscles.. Le peu d'impor
t touchés ; un examen électrique pratiqué par le Dr Huet décèle des troubles électriques bilatéraux dans les muscles innervé
lièrement mous au mollet et à la face postérieure de la cuisse. Les troubles moteurs sont toujours limités à la jambe gauche
t disparu, elles sont toujours spontanées et Fig. 1 A. - Schéma des troubles de la sensibilité constatée en septembre 1906,
che est violacé, toujours froid et la sudation y est abondante. Des troubles sphinctériens sont apparus ; lès mictions sont im
une légère lymphocytose. Au mois de septembre de la même année, les troubles moteurs sont apparus à la jambe droite, surtout
s contractions fibril- laires dans tous les muscles atteints et les troubles électriques sont très mar- qués. Le réflexe ach
ure. Topographie de l'anesthésie en 1911 4.5, S', SI, S', S' et SI. Troubles égaux des deux côtés. 312 THOMAS EN JUMENTlÉ
alement disparu, en tout cas il n'y a pas de signe de Babinski. Les troubles de la sensibilité sont très développés : il exist
Phénomènes de compression dus à la tumeur graisseuse s'ajoutant aux troubles circulatoires, les augmentant et venant ainsi fac
est continuée pendant 13 ans, l'apparition relativement tardive des troubles urinaires (l'incontinence des urines n'a été comp
un simple dé- pôt, occasionné, en grande partie,sans doute, par les troubles circulatoires dans les régions correspondantes.
urtout en montée, et il ressentait de la fatigue dans le tronc. Ces troubles se sont manifestés chez le sujet jusqu'à aujourd'
tandis que vers la droite il s'esquissent à peine. On ne sent ni troubles ni difficultés chez le sujet lorsqu'il parle. Il
s lè- vres se meut à peine. L'action d'avaler se produit sans aucun trouble . Au toucher, l'on sent bien la partie supérieur
sujet ne peut contracter le peaucier ni à droite ni à gauche. Aucun trouble dans les mouvements passifs de la tète. Le sujet
s bien à droite malgré la grande éner- gie qu'il y emploie. Aucun trouble affectant le trophisme, les mouvements passifs et
idère que le sujet n'a jamais eu de paresthésies,que chez lui aucun trouble n'affecte quelque forme que ce soit de la sensibi
, l'on aurait toujours le droit de deman- der pour quelle raison un trouble chimiotaxique devrait plutôt frapper les muscle
devait provenir ou bien de lésions vasculaires périphériques ou de troubles de l'inner- vation du système sympathique. Or,
de plus en plus nombreux, mettent l'ostéo- pathie sur le compte de troubles trophiques dus à une lésion primitive soit des
soit des vaisseaux. C'est à des lésions de ce genre, surtout à des troubles trophiques d'origine vasculaire, que paraissent p
actuelles, qui font entrer en ligne de compte dans la production de troubles trophiques observés dans les tis- sus et les or
T SYNDROME DE PAGET 341 se trouvant ainsi brusquement tiraillé. Ces troubles auraient ainsi une pathogénie plus ou moins ana
es auraient ainsi une pathogénie plus ou moins analogue à celle des troubles trophiques que Roger et Garnier (1) ont observé
s naturel pourtant qu'une lésion osseuse,qui indique uniquement des troubles trophiques, soit mise sur le compte d'une affec-
ner de gros- ses lésions vasculaires ou nerveuses dont d'importants troubles trophi- ques peuvent être la conséquence, et il
agitation anxieuse. Pas de confusion mentale à proprement parler ; troubles de l'attention liés au développement considérab
hallucinations. Après le retour à l'état normal, récit détaillé des troubles psycho-sensoriels. Etiologie. Prédisposition, é
feu ». Il sort de l'hôpital, mais présente à partir de ce moment des troubles psychiques très nets : il croyait que tout le m
joie, de l'extase ; celles-ci étaient également en rapport avec les troubles psycho- sensoriels. Lorsque le sujet était en p
stic néanmoins doit être réservé. 1 Quelle fut l'étiologie de ces troubles psych o-sensoriels Nous sommes en présence d'un
édité, assez mal développé physiquement, chétif, qui fait de légers troubles gastro-intestinaux au début de son second accès
cinatoire, qui présente de l'otite moyenne après la disparition des troubles psychiques, mais enfin qui travaillait régulièr
ompte de l'exubérance du tissu con- jonctif. ÉPILEPSIE TARDIVE ET TROUBLES MENTAUX CONSE- CUTIFS A UN `'fOLEVT TRAUMATISME
après une longue période de latence, des crises convulsives et des troubles mentaux observés chez notre ma- lade. Observa
ateur, entre le o juillet 1908 à l'asile de Blois, pour épilesie et troubles mentaux. Antécédents héréditaires et collatérau
lus irascible et plus violent depuis une dizaine d'années. Mais les troubles mentaux n'ont éveillé l'attention de son entourag
rce qu'il a prêté quarante-sept milliards à la ÉPILEPSIE TARDIVE ET TROUBLES MENTAUX 387 France et racheté l'Alsace et la Lo
laire des muscles de la face quand le malade ferme les yeux. Pas de troubles de l'articulation des mots ; l'écriture n'est pas
e plus en plus fréquentes, et qui s'accompagnent vers (le 35 ans de troubles mentaux sous forme d'idées délirantes poly- mor
ternement du malade dans un asile d'aliénés, à l'âge de 41 ans. Les troubles mentaux s'accentuent rapidement et paraissent a
s en plus marqué. ' La pathogénie des accidents convulsifs et des troubles mentaux relevés chez notre malade nous paraît e
e, d'abord localisée au point frappé et ne s'ac- compagnant d'aucun trouble moteur ou psychique; mais, dans la suite, en ve
e d'excès alcooliques, les crises convulsives et ultérieurement les troubles mentaux que nous avons rapportés. Ce processus à
abcès froid latent ou visible causé par la dépression, ou bien des troubles nerveux provenant de la compres- sion médullair
ormation plus ou moins accentuée de l'épine dorsale,- alors que les troubles radiculaires et médullaires ou bien n'apparaiss
ose des vertèbres. Alquier, dans son travail Principales formes des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité, lâc
d. Le phénomène de Babinski bilatéral est facile à provoquer. Les troubles de la sensibilité (à la douleur, au chaud et au f
la douleur, au chaud et au froid) comme sur la figure 1. Fit. 1. Troubles de la sensibilité (d'après les schémas de Flatau)
ion. Contractions spontanées douloureuses des extrémités. 16. Les troubles sensitifs augmentent. Ils envahissent également t
aires. Rétention d'urine ; incontinence des matières fécales. Les troubles de la sensibilité au toucher comme sur la figure
scence (muscles de l'éminence thénar, hypothénar et interosseux) et troubles sensitifs (types dedissocia- Fig. 3. Troubles d
ar et interosseux) et troubles sensitifs (types dedissocia- Fig. 3. Troubles de la sensibilité tactile (10 mai 1904). CARIE
mme résultat final, on a des symptômes de parésie spas tique et des troubles variés de Ja sensibilité sur toutes les parties
de la faiblesse des jambes, malgré les oscillations constatées des troubles progressifs dans le fonctionnement de la vessie e
s mois après son entrée à l'hôpital, nous voyons chez le malade les troubles de la sensibilité tactile s'ajouter aux troubles
chez le malade les troubles de la sensibilité tactile s'ajouter aux troubles de la sensibilité douloureuse et thermique noté
la sensibilité tactile troublée a été parallèle- à celle des autres troubles , mais un peu moins haute ; les douleurs se sont
douleurs (souvent très vives même à l'o- rigine de la maladie), des troubles sphinctériens, des contractions sponta- nées, d
fluence prépon- dérante de l'oedème de la substance nerveuse et des troubles circulatoires. Il y a lieu de souligner le fait
phénomènes spasti- xxv 21 402 ' ROTSTADT ques transitoires, des troubles de la sensibilité à limite circulaire comme cel
fections transversales de la moelle. Au début, il n'y avait que des troubles de la sensibilité à la douleur (Voir sch. I), a
té tactile se trouvèrent égale- ment soumises à la compression. Les troubles des sphincters sont un phé- nomène habituel et
r, de fourmillements et contractions comme symptômes subjectifs des troubles de la sensibilité qui accompagnent ordinairement
l'atrophie des muscles de la main gauche du type Aran-Duchenneetdes troubles de la sensibilité sous la forme de dissociation
Nouv. Icon., 1906, t. XIX. 3. Alquier. Les principales formes de troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité. Nou
is. Il ne s'est jamais plaint de douleurs et il n'a jamais eu aucun trouble des sphincters. Maintenant il est obligé de se
rs. Maintenant il est obligé de se servir de lunettes pour lire. Ce trouble date de l'année dernière. Le malade est entré d
ucune douleur. Il n'y a pas d'amyotropbie, nulle part, pas d'autres troubles trophiques, pas de troubles sphinctériens. L'im
d'amyotropbie, nulle part, pas d'autres troubles trophiques, pas de troubles sphinctériens. L'impuissance sexuelle persiste.
te, et surtout dans sa reconnaissance secondaire. On ne voit pas de troubles vaso-moteurs. , Urine. L'examen n'a révélé ni s
malade les symptômes d'une probable compression osseuse sont : des troubles très légers de la sensibilité subjective et objec
a vu les objets tourner devant lui, mais il les voit osciller et se trouble quand il les fixe. Il sent de la faiblesse dans
as ; incomplète dans le second cas, avec latéralisation de Weber. Troubles dans le domaine du facial. Il est atteint du côté
ades yUppenlieim). , Le IX. nerf est pris chez les trois malades. Troubles cérébelleux. Dysmétrie surtout très accentuée dan
ez les trois malades. Pas d'as,ljncrgie et pas de parole scandée. Troubles des voies motrices. Accentués à droite. Parésie d
tat dans un deuxième examen en 1908. On note des vertiges, quelques troubles de l'équilibre. Les troubles de la marche sont
n 1908. On note des vertiges, quelques troubles de l'équilibre. Les troubles de la marche sont disproportionnés avec les sig
tôt en flexion. En tout cas, pas de signe de Babinski net. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de douleurs fulgurantes. P
a pas à ce point de .vue de différence d'un côté à l'autre. Pas de troubles de,la sensibilité. En 1910, à un nouvel examen,
es et réagissent à la lumière et à l'accommodation. Il n'y a pas de trouble de la vue, pas d'hémianopsie. Ponction lombaire
un peu affaiblie au niveau de l'adducteur du pouce. Dans l'ensemble troubles à peu près exclusivement limités au territoire du
diminué du côté gauche, existe du côté droit (côté atteint). Pas de troubles de la sensibilité, superficielle ou profonde. Pas
as de troubles de la sensibilité, superficielle ou profonde. Pas de troubles de la sen- &o)'t/t<6. Troubles sphinctér
rficielle ou profonde. Pas de troubles de la sen- &o)'t/t<6. Troubles sphinctériens et tropbiques nuls. Pas d'autre amy
nction lombaire refusée par le malade. Wassermann négatif. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de signe Rien du côté de l
lonus, pas de raccourcissement. Pas de signe de Romberg net. Pas de troubles marqués de la sensibilité. Du côté des yeux, si
normaux. Les réflexes olécraniens, radial, cubital existent. Pas de troubles objectifs nets de la sensibilité. Le malade per
et du côté gauche au niveau des trois premiers doigts. Pas d'autres troubles sensitifs. L'examen somatique du système nerveux
as d'inégalité pupillaire, ni de paralysie ocu- laire. En résumé, troubles subjectifs de la sensibilité dans les trois premi
sion vers les autres groupes musculaires. Nous ajouterons enfin les troubles de réactions électriques. Par contre l'état d
riques. Par contre l'état des réllexes, l'existence ou l'absence de troubles sensi- tifs, constituent des éléments variables
tte dernière est de règle dans les muscles les plus atteints. Ces troubles sont importants pour éviter de confondre une amyo
en clinique. Nous arrivons maintenant aux éléments variables. Les troubles de la sensibilité objective sont rares. Ils manqu
r d'une façon convenable il la recherche de la sen- sibilité. Ces troubles manquent également dans nos (i cas uniquement cli
uent également dans nos (i cas uniquement cliniques. Par contre les troubles de la sensibilité subjective sont fréquents. Ce
eure, poliomyélite par méningo-myélite syphilitique. L'existence de troubles objectifs de la sensibilité constitue évidemment
cepen- dant qu'il existe des névrites chez les tabétiques, mais les troubles qu'elles déterminent sont d'ordinaire plus diff
de, on conclura à la lésion centrale, médullaire. 3° L'existence de troubles subjectifs de la sensibilité n'a pas de valeur,
bles subjectifs de la sensibilité n'a pas de valeur, l'existence de troubles objectifs est en faveur de la névrite ou de la ra
lors, elle menait une vie normale, se plaignait de temps à autre de troubles de la vue, et de céphalée. Mais néanmoins elle se
a plus encore. Il n'est pas rare de noter chez les acromé5ales des troubles carclio-vascnlaires. Fournier (2) a consacré sa
illet 1902, no 27, p. 634, vol. 39. (2) FOUIINIEII, Artomégalies el troubles cai-dio-v(iqc ? ilaires, Thèse de Paris, 1896-189
ent de Psychiatrie, chef du Laboratoire de l'Hospice Marcoutza. Les troubles de la nutrition dans les psychoses et dans la par
s rappellerons que Kraepelin considère la maladie de Bayle comme un trouble général de la nutrition ayant certaines analogies
essayer à chercher le mécanisme qui préside à la pro- duction de ce trouble trophique général et le lien qui l'unit à la mala
e a suivi les quatre classes de l'école élémentaire. Les premiers troubles psychiques ont commencé au mois de mai 1911 par
criait, déchirait ses vêtements, cou- rait après les enfants. Ces troubles ont déterminé son internement. Dans l'hospice o
doigts et l'exagération des réflexes rotuliens. On ne trouve pas de troubles pupillaires prononcés. L'examen du liquide cé
persécution ont été précédées par un délire de grandeur absurde avec troubles psychiques beaucoup plus importants. L'un de no
manifester. A ce point de vue notre malade représente un exemple du trouble que l'un de nous a décrit sous le nom de parano
u la syphilis. Il a une fillette de 6 ans. Est veuf. Ses pre- miers troubles mentaux se sont manifestés deux ans avant son int
onsidération car Apert a noté l'obésité dans la symptomatologie des troubles en rapport avec les tumeurs de la corticale sur
ement leur part, en agissant sur un terrain déjà prédisposé par les troubles des fonctions des autres organes. D'autres fa
état du tube digestif, à la vasodilatation des organes ainsi qu'aux troubles de l'innervation végétative et à ce point de vu
un grand nombre de cas qu'on arrivera à trouver la pathogénie de ce trouble nutritif. Au point de vue symptomatique, notons
a première observation que nous avuiis observé une amélioration des troubles psychiques en même temps que l'apparition de l'ob
ou une station debout prolongées, mais pas de douleurs vives. Ni troubles nerveux, ni troubles psychiques. L'exploration
out prolongées, mais pas de douleurs vives. Ni troubles nerveux, ni troubles psychiques. L'exploration des viscères et des d
ans une forme généralisée, avec le facies lunaire et le cortège des troubles d'insuffisance thyroïdienne, est trop caractérist
e segmentaire rhizomélique, qui s'accompagne de plus d'asthénie, de troubles mentaux et souvent de lésions nodulaires sous-cut
rissement (perte de 10 kil. en quelques mois), de l'asthénie et des troubles digestifs avec anorexie. Un traitement par le rep
très forts. Le réflexe plantaire se fait en flexion Il n'y a pas de troubles sensitifs. Les masses mus- culaires ne sont pas
ement conservée. Les réflexes tendineux sont forts. Il n'y a pas de troubles sensitifs. L'examen électrique a été négatif en
et des nerfs ; pas de réaction de dégénérescence. A la face, pas de troubles musculaires ni de paralysie. Pas de troubles sen-
nce. A la face, pas de troubles musculaires ni de paralysie. Pas de troubles sen- sitifs. Les lèvres et les orbiculaires des
arquée des réflexes tendineux. D'autre part l'absence complète de troubles sensitifs ne permet pas de pen- ser à la syring
orter ni à la moelle, ni aux nerfs, ni aux muscles l'origine de ces troubles trophiques. Il nous semble logique de penser qu
VIAIiD Nous devons faire remarquer qu'il ne parait y avoir eu aucun trouble ovarien ou thyroïdien. , D'autre part chez no
de tuberculose. ' Il semble qu'il s'agisse dans ces divers cas de troubles régionaux de l'adiposité tégumentaire, peut-êtr
à sécrétion in- terne, et la part qui revient dans leur genèse aux troubles de la nutrition en général et du système endocr
N cas D'ADRNOLIPOIllATOSE 480 comprimante ; il se plaint parfois de troubles dyspnéiques, mais intermit- tents et cela depui
(3 pi.), par KLIPPEL et Fr..IL, 223. Crânien (Epilepsie tardive et troubles men- taux consécutifs a un traumatisme -) ) (
4 pl.), par ANDRÉ- Thomas et JouENTIt', 309. Epilepsie tardive et troubles mentaux consé- cutifs il un traumatisme crdnien
ar Awrs-1'noxas et .1 UMENTIÉ, 309. Mentaux (Epilepsie tardive et troubles ? consécutifs à un traumatisme crânien) (1 pl.)
Bonnet et CRESPIN (J.). Micromélie rhizo- mblique partielle avec troubles mentaux chez une jeune arabe (2 pl.), 137. BR
e hémi- latérale (J¡NGAZZINI ? XLV il XLVII. Epilepsie tardive et troubles mentaux con- sécutifs à un traumatisme crânien
32 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d'irritation réflexe (vomis- sements), et en phénomènes sensoriels ( troubles oculaires et auriculaires). Les troubles intell
en phénomènes sensoriels (troubles oculaires et auriculaires). Les troubles intellectuels ont été précoces, ce qui n'a pas
zone psychique du cerveau. Mais ce n'est que tardive- ment que les troubles moteurs ont apparu : d'abord intermit- tents, i
u malade, qui était auparavant travailleur et dur à la peine. Des troubles oculaires et auriculaires, siégeant du côté gauch
laires, siégeant du côté gauche, ne tardèrent pas à apparaître. Ces troubles oculaires étaient carac- térisés par une diminu
ent passager, sans que cepen- dant l'oeil fût rouge ou injecté. Les troubles auriculaires, qui sié- geaient exclusivement à
t à tituber surtout quand il venait d'avoir des vomisse- ments. Les troubles intellectuels' s'accentuèrent progressivement e
e, le malade bredouille et ne peut pas toujours être compris. Les troubles intellectuels sont des plus marqués. Ils sont car
ommença à diminuer; de temps en temps il allait sous lui. Enfin les troubles de la parole augmentè- rent encore ; le malade
e la corne frontale, nous rend compte de l'ap- parition précoce des troubles psychiques, et de l'installation tardive d'une
orbide si volumineuse n'avait déterminé, pendant longtemps, que des troubles symptoma- tiques relativement légers; le cervea
de plusieurs recherches; nous y avons fait allusion en parlant des troubles de nutrition dans l'épilepsie. Hénocque avait r
ux tubes de gélatine ne paraissent pas avoir poussé malgré l'aspect trouble et louche du point d'ensemencement que nous pen
tement restent négatives. Un tube de bouillon. Température, 39°, se trouble nettement au-bout de trois jours; on y voit de
bouillon (température, 39°). Au bout de deux jours, ces tubes sont troubles et contiennent d'abondants flocons granuleux qui
sang restent négatives. Un tube de bouillon (température, 39°), se trouble le troisième jour, puis donne un dépôt blanc sa
tits et prenant le Gram. Un tube de bouillon (température, 22°), se trouble le quatrième jour, puis dépose au fond, comme l
e de bouillon (température, 39°) a poussé le quatrième jour. Il est trouble et un dépôt sale se fait au fond du tube. Au mi
ant le Gram. Un tube de bouillon (température, 22°). Ce bouillon se trouble le cinquième jour et dépose un peu au fond. A
. Ils prennent le Gram. Un tube de bouillon (température, 22°) se trouble le troisième jour et montre un dépôt sale et gr
être posées, et d'abord on nous fera observer qu'on peut avoir des troubles vaso-moteurs sans être épileptique. D'accord, m
peut être provoquée d'une façon ou d'une autre sans qu'il y ait des troubles digestifs sur lesquels nous avons tant tenu à i
'emblée, l'épi- lepsie dite idiopathique précédée et accompagnée de troubles digestifs ; mais nous avons fait remarquer que
gué deux genres d'épileptiques : ceux chez lesquels il n'y a pas de troubles gastro-intestinaux, ni d'état saburral de la la
bien ces poussées successives répon- dent aux accès accompagnés de troubles gastriques, tandis que les rémissions survienne
s gastriques, tandis que les rémissions surviennent quand ces mêmes troubles font défaut. On peut donc voir chez un même mal
'alimentation doit être surveillée avec soin. Nous avons vu que des troubles digestifs sont presque toujours l'indice d'un a
OGIE MENTALE. 35 36 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. rose double. Les troubles pupillaires ont été notés dans 82 cas sur 100;
100. Sur 100 paralytiques des deux sexes on ne note l'absence de troubles pupillaires que chez 17 (hommes 13,4; femmes 33,9
bles pupillaires que chez 17 (hommes 13,4; femmes 33,9 p. 100). Ces troubles sont moins fréquents chez les paralytiques syph
p. 100; le ptosis dans 12,3 p. 100; - le le nystagmus est rare. Les troubles auditifs ne sont pas fréquents (1,3 p. 100). La
ents (1,3 p. 100). La voracité a été notée dans 2,1 p. 100. ' Le- troubles de la sensibilité générale se rencontrent dans 43
nt se répartir ainsi : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 37 Les autres troubles de la motilité ont été observés dans la pro- po
ier l'arrêt de développement intellectuel con- génital. Le lype des troubles intellectuels fonctionnels endo- gènes eslla dé
spéciales du crâne dont il s'agit d'établir les relations-avec les troubles intellectuels. Voici par exemple une observation
ce genre concernant trois frères présentant des degrés divers des troubles psychiques qui nous occupent. L'affaiblissement p
embre 1893, a présenté les symptômes d'une fracture de la base avec troubles intellectuels d'origine cérébrale, et au sujet du
ocalisations. Il s'agit, d'après M. Sommer, d'une lésion en foyer à troubles périodiques. . L'auteur fait sontourune nouvell
bigération incohérente, un certain degré de tension musculaire, des troubles vasomoteurs. 4. Deux cas de parole double. Dé
rantes et non d'ob- sessions. P. K. X. Contribution A l'étude DES TROUBLES mentaux CHEZ LES dégénérés ; par 0. DORN13LUTII
énérés ou des hy popsychopathes. Leur histoire, le développement du trouble mental, le texte de leurs conceptions délirante
'est le plus souvent un symptôme de dégénérescence : lacune morale, trouble psychique spécial, construction psychosexuelle
t une prédisposition préalable. P. K. XVIII. DE l'hypnotisme ET DES troubles mentaux; par F. JOLLY. (Archiv. f. Psychiat., X
crânien ne peut être admis que dans des cas excep- tionnels. Les troubles nerveux et psychiques consécutifs aux traumatisme
au choc psychique provoqué par la blessure ou par l'émo- tion. Les troubles nerveux sont très variés et ne réalisent que rare
ui doivent faire supposer l'origine traumatique de l'affection. Les troubles nerveux tantôt se développent immédiatement après
driaque; le tableau clinique est parfois modifié par l'existence de troubles neurasthéniques locaux, périphériques, provoqué
matique. Parmi les symptômes somatiques les plus fréquents sont les troubles de la nutrition, les désordres gas- triques et
traumatique, l'expert, lorsque le sujet exagère l'intensité de ses troubles morbides ou même en invente d'imaginaires, doit
a diminution de l'intelligence, les maux de tête, les vertiges, les troubles de l'émotivité, les tendances aux actes de viol
r un état d'affaiblissement intellectuel progressif avec parésie et troubles de la coordination, ou par un accès maniaque qu
er des désordres cérébraux périodiques (obnubilation passagère avec troubles vaso-moteurs). Les facultés psychiques ne prése
es de folie morale. L'émotivité est extrême et se manifeste par des troubles vaso-moteurs de la face, un état d'obnubilation
ertigineux, présentés par l'inculpée, états qu'accompa- gnaient des troubles visuels et une paralysie de toutes les fonctions
un état de dégénérescence héréditaire, accompagné de chorée et de troubles périodiques de la conscience et de l'activité cér
n morbide ou d'une hallucination ? E. B. VI. TROIS rapports SUR LES TROUBLES morbides consécutifs .1 DES accidents; par S. M
anéité éclate souvent en dehors de tout accident. L'hystérie ou les troubles fonctionnels nerveux s'ajoutent fréquemment à d
in, les deux modes de l'écriture (spontanée et dictée) subirent des troubles graves. La surdité verbale termine la scène; co
es comparatives à ce point de vue d'autres affections y compris les troubles et névrites du nerf cubital. 11 est à supposer
galement songer aux foyers de dégénérescence traumatique diffus par trouble direct de L. Bruns, siégeant comme il vient d'êtr
se des jambes, elle court d'une façon ridi- cule qui fait rire. Les troubles de la marche vont en s'accentuant, à dix-huit a
id, les sensations de contact et de pression sont conservées. Ces troubles de la sensibilité dépassent le membre et on les
t normaux des deux côtés, il n'y a pas d'atrophie musculaire, ni de trouble trophique, pas plus à gauche qu'à droite. Pas d
pas plus à gauche qu'à droite. Pas de symptômes céphaliques, pas de troubles oculaires, on note seulement quelques vertiges et
es se prononcent de plus en plus, en même temps qu'apparaissent des troubles vési- caux, du gâtisme et une eschare au sacrum
phie primitive accompagnée DE réactions ÉLECTRIQUES ANORMALES ET DE TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ; par - M. Thomas-D. SA VILLE
olue. Il faut noter que ces lésions articulaires commencent par des troubles trophiques osseux périostiques ou médullaires.
ques, en présence de certaines excitations des nerfs sensitifs. Les troubles trophiques ne sont donc pas primitifs, ils sont s
ifs, ils sont secon- 70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. daires, les troubles sensitifs sont toujours les premiers en date. -
ogiques appartiennent au labes et on peut déjà saisir la raison des troubles trophiques dans cette affection. Du reste le ta
seule maladie nerveuse qui justifie la loi de corrélation entre les troubles trio- phiques et les conducteurs nerveux centri
nterrompu. Un malade atteint, au contraire, de tabes sensitif a des troubles tro- phiques articulaires etsurtout osseux, par
les arthrites des petites articulations, les panaris, sont bien des troubles trophiques, mais les auteurs ne s'occupent ici
Leur apparition est souvent précédée de douleurs lancinantes ou de troubles trophiques cutanés, qui siègent parfois au nive
sont ces lésions, on sait seulement qu'il y a corrélation entre les troubles sensitifs et trophiques. Quand on sait que le s
: l'atro- phie musculaire, la dissociation de la sensibilité et les troubles trophiques. Chaque symptôme peut prendre une im
scoliose, Déformations cicatricielles des doigts. Der- mographisme. Trouble de la sécrétion sudorale. Pas d'atrophie muscul
endant l'évolution de l'affection ner- veuse, infection surajoutée, troubles trophiques graves, nature. chirurgicale de l'af
fréquentes céphalalgies. A vingt ans, la douleur se com- plique de troubles visuels, hémiopie et ensuite des vomissements.
- nérale, la motilité de la langue est demeurée intaete. Quelques troubles mentaux. Plus tard aphasie. Gâtisme. La nature de
moraux et les impulsions criminelles existent à l'étal isolé, sans trouble de l'intelligence et sans qu'on puisse les consi-
elles l'hystérie peut s'associer mais sans jamais se fusionner. Les troubles trophiques sont traités avec la profusion de dé
étails qu'ils méritent; M. Gilles de la Tourette décrit d'abord les troubles trophiques cutanés puis les hémorragies de la p
i, faut-il faire rentrer la diathèse vaso-motrice cause de tous ces troubles trophiques dans le fond commun de la névrose to
naires étant encore assez fréquentes. L'auteur s'occupe ensuite des troubles trophiques des annexes de la peau et des tissus
traitement, tiennent une grande place dans ce volume. A propos des troubles gastriques nous signalerons les travaux de l'au
ime sur son enfant nouveau-né ? Mais Tardieu ne connaissait pas les troubles mentaux de l'hystérie. Le terme de folie hystér
nt l'accident, elle se soit accrue depuis par la superposition d'un trouble d'autre nature, car, en effet, l'inculpée accuse
nt l'accident qui parait avoir été chez elle le point de départ des troubles hystériques, avait toujours nié la grossesse et
facultés de l'inculpée peu de temps avant l'acte incriminé; que ces troubles retentissaient encore quelques jours avant notre
de toutes les fonctions c'est celle qui présente chez l'idiot les troubles les plus nombreux comme les plus profonds. Elle e
accès convulsifs sont transformés le plus souvent en vertiges et en trouble mental avec obtusion intellectuelle profonde.
ement dans des états de mal ou dans des périodes d'excitation ou de trouble mental consécutifs aux accès. Ces lavages ont p
s chez Soliv... en particulier, à qui nous en avons fait pendant le trouble mental. Ce trouble a rapidement t disparu en qu
particulier, à qui nous en avons fait pendant le trouble mental. Ce trouble a rapidement t disparu en quelques jours au lie
eux sont restées pendant ces deux mois sans avoir d'agitation et de trouble mental, alors que la pre- mière était troublée
sie par intoxication; 3° L'épilepsie réflexe ne s'accompagne pas de troubles gastro-intestinaux, ni d'état saburral. Elle es
employés à des doses variées et suspendus quand parais- sent les troubles gastriques. Il faut y joindre une hygiène et un
LE; par M. KOEPPEN. (drchiv. f. Psychiat., XXVI, 1.) Observation I. Troubles de la parole. Attaques congestives; réaction pu
c les symptômes des nerfs crâniens, le masque de la physionomie, le trouble spécial de la parole. Quant au tremblement, sym
leur sensibilité générale. Quel en est le mécanisme ? Est-ce par un trouble de nutrition des éléments sensoriels ? On n'en co
sensoriels ? On n'en constate pas. Il vaut mieux l'attribuer à des troubles vaso-moteurs. L'auteur a constaté un rétrécisse
arriver et ne fait que des gestes incohérents, non parce qu'il y a trouble de la motricité, mais parce qu'il ne sait où pr
clusivement la nuit. 5° Etat mental : on a constaté dans 36 cas des troubles mentaux caractérisés par de l'affaiblissement d
s la même proportion que s'accroit l'âge du sujet à l'apparition du trouble mental : toutefois, la guérison peut être obtenue
nettement apparente : dans les cas héréditaires, l'apparition du trouble mental est ordinairement plus précoce, les rechut
00 (20 p. 100 pour Krafft-Ebing). Les modifications mentales et les troubles somatiques qui accom- pagnent chez les femmes b
existe de l'hérédité névropathique. Nous n'insisterons pas sur les troubles somatiques, qui sont bien connus, mais les modi
e viennent ensuite. Parmi les autres symptômes, on peut citer : les troubles gastro-intestinaux (pouvant donner lieu à des i
ue qui unit les modifications de l'appareil génital de la femme aux troubles intellectuels de la ménopause demeure inconnue
généralement un état de douce satisfaclion, modérément accusé. Les troubles moteurs existaient dans tous les cas, mais à un
cère. A son entrée à Broadmoor, il présenta des signes évidents de trouble mental, des idées de richesse et plus tard de per
ur les caractères physiques particuliers des femmes atteintes de ce trouble moral. Les femmes qui présentent de l'inversion
c celles de la poitrine. Comme exemple il montre que la plupart des troubles psychiques de la démence paralytique peuvent re
portions. (American journal of insanity, avril 1895.) E. B. XXXV. TROUBLES délirants DE nature alcoolique, chez DEUX SOEURS;
e des soeurs, âgée*de trente et un ans, d'idées de persécution avec troubles de la sensibilité générale et chez la seconde,
à l'apparition des phobies, et il ya là en outre l'exacerbation des troubles intellectuels au moment des accès de dyspnée ca
nion de certains auteurs qui pensent que la condition dominante des troubles intellectuels chez les car- diaques est la préd
rt qui revient à la cardiopathie, non pas dans la production de ces troubles intellec- tuels, mais dans leur entretien. Il
persistance de l'affection psychique. M. Charpentier pense que les troubles mentaux liés aux affections 168 SOCIÉTÉS SAVANT
de la tare dégénérative qu'il attri- bue à sa malade. Pour lui les troubles décrits relèvent de l'arthritis et non de la dé
morbide est d'une interprétation assez obscure. Tantôt il s'agit de troubles dystrophiques frappant à la fois le générateur
se montre le plus souvent ? C'est que le facteur qui a éveillé les troubles psychiques porte son influence sur eux. Mais .
argerite', un des élèves de Raymond, s'étend en particulier sur les troubles sensitifs dans la tuberculose aiguë et les rat-
s laquelle il faut rattacher ces douleurs et ces paresthé- sies aux troubles fonctionnels cérébraux par suite de l'excitation
- que la dégénérescence secondaire. 1 A. Margerite. Elude sur les troubles sensitifs dans la tuberculose aiguë (thèse de P
pagnait d'un certain degré de faiblesse des membres inférieurs. Ces troubles persistèrent t par la suite avec des périodes d
ne ceinture la partie inférieure de l'abdomen et les flancs. Pas de troubles trophiques. Pas d'oedème. Rien aux membres supé-
x membres supé- rieurs. Pas trace de fièvre. Rien à la face. Pas de troubles oculaires. Facies pâle. La malade tousse un peu
main droite, Fourmillements. Elancements douloureux, mais pas de troubles bien nets de la sensibilité provoquée. Les lésion
tous les aliments. Commen- cement d'escarre au sacrum. Pas d'autres troubles trophiques. L'amaigrissement fait des progrès r
roite (racines antérieures atteintes). La mort a été causée par les troubles généraux provenant de la tuber- culose pulmonai
, la marche n'a pas le caractère spasmodique. Il n'y a pas de vrais troubles de la coordination. Le malade se plaint de sens
sions provenant de l'interruption des cordons... En considérant les troubles trophiques, il faut tenir compte encore des tro
onsidérant les troubles trophiques, il faut tenir compte encore des troubles des vaisseaux lymphatiques. Dans la pie-mère, o
ent parfois, n'en four- nissent pas moins l'explication de certains troubles mentaux chez le vieillard. C'est de cette façon
l'ouïe sont appa- - rues ; en dernier lieu, sous l'intluence de ces troubles multiples se sont développées des idées de pers
jusqu'à l'âge de soixante-dix-huit ans, on n'avait cons- taté aucun trouble mental, elle était intelligente, très sensée; sa
vée, ne s'étonne pas d'être séparée des siens. Elleneprésente aucun trouble de la parole. La faiblesse musculaire est assez
les maladies, les lésions du cerveau ? Elles se traduisent par des troubles du mouvement, des troubles de la sensibilité et
cerveau ? Elles se traduisent par des troubles du mouvement, des troubles de la sensibilité et des troubles de l'intelligen
ar des troubles du mouvement, des troubles de la sensibilité et des troubles de l'intelligence, confondant souvent en un mêm
rivés au dernier âge de la vie et restés jusque-là indemnes de tout trouble psy- chique. Les psychoses le plus souvent obse
a plus grande impor- tance dans les psychoses de la vieillesse. Les troubles de la circulation, les lésions cardiaques, les
ez les prédisposés, elle se compliquera souvent d'idées de vols, de troubles génitaux et d'idées ambitieuses. - 3° La mélancol
r, d'hallucinations de la vue si rares chez le persécuté adulte, de troubles variés de la sensibilité générale, et en particul
e troubles variés de la sensibilité générale, et en particulier des troubles de la sensibilité génitale. L'évolution du déli
caprices, ne fait pas exception à la règle. L'explosion tardive des troubles délirants chez les héréditaires et chez les dés
pensa tout d'abord ¡que l'hyper- trophie de cet organe résultait de troubles vaso-moteurs et de fait il diminue toujours de
ruire le long des voies lymphatiques. Alors apparaîtront aussi 'ces troubles fonctionnels précurseurs, émotivité, anxiété des
la maladie, tremblements, contractures et convulsions, paralysies, troubles respiratoires, digestifs, oculaires, etc., s'ob-
ne conjonctivite cons- tante, en un amaigrissement rapide et en des troubles digestifs divers. La diarrhée, sanguinolente ou
rattacher la maladie à des lésions destructives du corps thyroïde ( trouble de son fonctionnement). Comme M. Renaut, comme
tle fonctionnement exagéré de la glande thyroïde, par conséquent un trouble humoral. Cette sécrétion exagérée met en branle
- taire, présentait outre les signes physiques de la maladie, des troubles mentaux caractérisés par des idées vagues d'empoi
en cinq semaines, la nôtre, grâce à sa boulimie, a pu absorbersans troubles connus 1 kg, 500 de thymus crus en deux mois en
nouveaux accidents qui ont apparu, une modalité nouvelle d'un même trouble pathologique ? Le mal de Graves serait alors un
ec cette malade, en plein domaine hysté- rique. Le tremblement, les troubles sensoriels cutanés, la suppres- sion de certain
ué par des recru- descences et par une aggravation concomitante des troubles men- taux. A ces crises correspondait un gonfle
es signes de la cirrhose hypertrophique du foie : ictère chronique, troubles digestifs profonds, selles et urines bilieuses,
es relatives à l'épilepsie larvée : suivant les uns, cette sorte de trouble mental dont l'impulsion irrésistible est le carac
ivant les autres, les impulsions ne sont jamais indépen- dantes des troubles convulsifs. La question ne pourra être tranchée
n et qui concernent des faits dans lesquels un individu sujet à des troubles mentaux divers, ne fussent-ils d'ailleurs pas i
s mentaux divers, ne fussent-ils d'ailleurs pas impulsifs, voit ces troubles disparaître au moment où il pré- sente des atta
constatée avec certitude, permet-elle de caractériser nettement le trouble morbide auquel elle se rattache. Dans quelques
ement dite est assurément le meilleur moyen d'établir la nature des troubles impulsifs qu'il s'agit de juger; mais il peut s
tablir cliniquement et irréfutable- ment la nature .épileptique des troubles mentaux impulsifs ou autres. Il ne faut pas oub
pierre de touche pour la distinction de la nature hysté- rique des troubles mentaux et nerveux. Il estime, en effet, que les
aralysie progressive par le manque de rapport entre l'intensité des troubles de la parole et de la coordi- nation d'une part
ent. On observe des accès d'obnubilation, d'anxiété, accompagnés de troubles circula- toires. Dans un cas, le début a été su
s membres inférieurs, l'exagé- ration des réflexes patellaires, les troubles des réflexes pupillaires, de l'embarras de la p
que la démence est moins accusée chez eux, que ce sont surtout les troubles de la mémoire qui prédominent. Les lacunes morale
illusions de l'ouïe ont été constatées chez tous les malades; des troubles sensoriels visuels dans la moitié des cas; des tr
alades; des troubles sensoriels visuels dans la moitié des cas; des troubles de la sensibilité générale dans un quart. Les h
llucinations du goût et de l'odorat ont été rarement observées. Les troubles auditifs étaient de nature élémentaire ou consi
spécifier qu'il entendait et d'où on lui parlait. La plupart des troubles hallucinatoires ont provoqué des conceptions déli
ciles ; les mains sont maladroites et tremblent également. Pas de troubles de la sensibilité ni des sens, sauf de l'odorat q
t; il n'existe pas d'ataxie des membres supérieurs. En résumé les troubles somaliques et intellectuels permettent de diagn
sculaire prend, par l'hématoxyline, une coloration bleu gris un peu trouble ; on y distingue encore assez bien les contours
taires. On avait naturellement songé au tabes, mais en l'absence de troubles de l'équilibre et de phénomènes ataxiques, le d
de l'impuissance complète ; rien de laryngé actuellement. Quelques troubles trophiques existent aussi - de l'atrophie des m
ue complètement, sauf pourtant les crises entéralgiques, mais les troubles de la marche ont continué à faire des progrès, si
rectales s'atténuent et disparaissent vers le mois de juillet; les troubles de la marche au contraire s'accentuent au point d
de diarrhée avec coliques. En juillet, la marche devient difficile; troubles urinaires. , En janvier 1891, dérobement des ja
tardive des symptômes ? L'auteur admettrait plus volontiers que les troubles observés ont été le mode de réaction d'un cerve
, douloureuses et thermiques qui jouent le plus grand rôle dans ces troubles trophi- ques articulaires; 3° le mécanisme par
ont déterminées par l'influence médiate du système nerveux central ( troubles vaso- moteurs, etc.) combinée à l'influence imm
contrent chez la malade : douleur, paralysie, atrophie musculaire, troubles trophiques. La première atteinte a eu lieu en 187
comme une mala- die de la fonction de l'équilibration. Les mêmes troubles de l'équilibration qui les caractérisent seraie
de spasmes toniques dans les extrémités droites et le facial droit. Troubles fréquents de la circulation et de la température.
acée sous la dépendance du tabes dorsalis; 2° elles sont dues à des troubles trophiques ; 3° elles constituent des lésions d
es quatre personnes qui ont échappé à la contagion sont exemptes de troubles hystériques d'une autre forme. (Revue neurologiqu
mpagnent.dans la règle, d'aucune idée délirante et consti- tuent un trouble psychique isolé : elles peuvent se manifester sou
certain degré d'ataxie dans les mouvements des membres supérieurs; troubles de la miction et de la défécation, élévation de
ée d'exaltation des réflexes rotuliens et de clonus des pieds ; les troubles sensitivo- sensoriels, trophiques, électriques,
le et des sens spéciaux dans les deux états. P. S. XXXVI. SUR LES TROUBLES DE la sensation ET principalement la DOULEUR da
aboulique et dégoût de la vie, pas de délire proprement dit, ni de troubles neu- rasthéniques, ni de troubles sensitivo-sen
s de délire proprement dit, ni de troubles neu- rasthéniques, ni de troubles sensitivo-sensoriels. Constipation opi- niâtre.
'du coeur, l'instabilité des jambes, la maladresse des mains et les troubles digestifs (dilatation d'entéroptose, etc.). Ajou-
t avec délire hypocon- driaque, ou de négation, ils n'ont pas eu de troubles moteurs de la paralysie générale. - La premiè
troisième malade contracte la syphilis à l'âge de dix-neuf ans. Les troubles mentaux ont apparu vingt ans après et sont cara
ie de ce qu'on a appelé pseudo-paralysie générale, par l'absence de troubles mo- teurs et se rapproche de l'obsurvation suiv
spécifique précoce peut être suivi de guérison, surtout lorsque le trouble intellectuel est contemporain des poussées seco
très douteux. M. IIfARINESCO. La syringomyélie caractérisée par des troubles de sensibilité et des amyotrophies du type Aran
s de la syringomyélie s'ajoutent des phénomènes insolites comme des troubles paralytiques très intenses et la perversion de
ment des cas très nombreux où il y a participation du trijumeau aux troubles de dissociation dite syringomyélique de la sens
llon, etc., ont établi le changement de volume des membres dans les troubles circula- toires ainsi que de la manière d'enreg
e forme convul- sive spéciale une place déterminée parmi les autres troubles mo- teurs, des cas intéressants ont été publiés
comme étant ceux de la chorée vulgaire : dans cette affection, les troubles moteurs sont d'abord limités à un côté du corps,
la chorée sont essentiellement brusques et étendus, tandis que les troubles moteurs de notre malade se caractérisent avant to
tention de quelqu'un. La face offre aussi chez R... deux espèces de troubles moteurs : l'athétose avec ses contractions exce
avant en arrière et de latéralité de la langue sans hypertrophie. Troubles de la parole, mouvements de rotation du cou, conv
t nouveau puisque la coexistence de ces SOCIÉTÉS SAVANTES. '. 339 troubles oculaires a été signalée dans tous les cas où ell
ulaires de la syphi- lis cérébrale.- M. LE FILLFATRE. Essai sur les troubles moteurs dans l'alcoolisme aigu, subaigu et céré
Tous les ans nous recevons des enfants ou des adolescents dont les troubles intellectuels sont occasionnés par l'alcoolisme
t à sa troi- sième tentative de suicide; elles sont attribuées à un trouble des facultés mentales. (Petit Parisien, 31 août
er un sujet inculpé de possession démo- niaque comme en proie à des troubles cérébraux. Cependant Nider (mort en 1440) est c
des parents de ce dernier, un certi- ficat constatant l'absence de troubles intellectuels. Il rédige en 358 asiles d'aliéné
ose a été prescrit, ont souffert d'une aggravation notable de leurs troubles sensoriels, même visuels, malgré la propriété don
lose, à côté d'inconvénients, a donc deux avantages sérieux : il ne trouble pas lqs facultés digestives et n'a pas d'action
difficultés dans la mastication et de la déglutition, ainsi que des troubles de l'articulation des mots, donnant à la maladi
raître ensuite de nouveau; dans d'autres la mort est causée par des troubles respiratoires subits. Les autopsies qui ont p
aralyti- ques était différent dans les deux cas. Dans le second les troubles fonctionnels des nerfs crâniens avaient ouvert
de neuf ans présenta à la suite d'une angine, de la diplopie et des troubles de la déglutition et de l'articulation; depuis
culation; depuis deux ans ptosis droit. Un an après on constate des troubles de la parole, de la déglutition et de la mastic
un peu ner- veuse qui présenta en 1887, à la suite d'un typhus, des troubles de la déglutition et de la parole qui rétrocédè
tre semaines. En 1892, troisième accès pendant t lequel on nota des troubles de la parole et une faiblesse généralisée le ré
En 1894, maux dé tête, grande faiblesse, insomnie. - Février 1891, troubles de la déglutition, parésie des muscles labiaux,
eux malgré la bonne conservation de la force des mouvements, pas de troubles de la sensibilité, conservation des sphincters,
oportion de z8 p. 100, Kaes dans une proportion de 10,2 p. 100. Les troubles et les épaississe- ments des méninges existèren
t la parésie musculaire. Reste il déterminer la cause primitive des troubles circulatoires du début : dans l'état actuel de
eaux. Relations DES TUBERCULES quadrijumeaux postérieurs avec LES TROUBLES DE l'ouïe; par E. `ŸEINLAND. (A1'chiv. f. Psychia
tatait cliniquement : de la mydriase avec inégalité pupillaire, des troubles de l'accommodation à la convergence du côté dro
à court trajet. Quant au tabes lui-même, il est la résultante de troubles de la nutrition exerçant une action élective sur
AUGE; par Chr. HASCH. (Neurolog. Cent2,albl , XIII, 1894.) C'est un trouble psychique propre à la race malaise de Sumatra,
nique du système nerveux. Il détermine au contraire un cortège de troubles nerveux par son action sur les nerfs périphérique
es idées observées dans les psychoses chro- niques sur le compte de troubles fonctionnels; il est probable que souvent il s'
rantes de la paranoïa peuvent également être mises sur le compte de troubles dans l'association des idées provoqués eux-même
confirmés. Il est prématuré de vouloir rapporter un grand nombre de troubles psychiques à la lésion des fibres corticales. P
iques sous le coup d'une intoxication chronique qui a déterminé des troubles graves de la nutrition. L'hystérie alcoolique r
ressemble de tous points à l'hys- térie ordinaire ; seuls certains troubles moteurs, sensitifs, visuels, nécessitent quelqu
sthésie alcoolique a été fréquemment observée par Magnan. Parmi les troubles visuels, il faute noter le rétrécissement conce
l'estomac. Dans ce cas il faudrait attribuer un rôle important aux troubles caslri- ques dans l'étiologie des manifestation
.. est sans doute un être anormal, mais comme il ne présente pas de troubles psychiques, comme il est intelligent et a la noti
crivent dans un style ampoulé. Dans leurs actes- on ne relève aucun trouble notable : ils se montrent laborieux, mais bizarre
ions pénibles, qui entretiennent un état d'excitation. En 1876, les troubles sen- soriels deviennent rares et faibles; le sy
du système nerveux. A signaler particulièrement la contracture, les troubles du sens musculaire et l'ataxie qui permettent a
e. . Le courant nerveux n'influence d'une façon favorable que les troubles fonctionnels qui accompagnent ce processus. Une a
u suffisamment organisé; - les faibles d'esprit auront toujours des troubles délirants élémentaires et peu compli- qués, for
ierret, l'auteur a fait une étude, basée sur sept observations, des troubles de lasécré- tion urinaire chez les aliénés, ou
absolument comparable à une intoxication. - M. Toy conclut : aux troubles urinaires si fréquents chez les aliénés, on doi
dus à l'Ecole de la Salpêtrière, notamment pour ce qui concerne les troubles mentaux multiples si singuliers qui accompagnen
qui, ainsi, n'est pas troublé par ses voisins qu'à son tour il ne trouble pas. Mais, par contre, je la condamne absolument
e bien changée». 458 THÉRAPEUTIQUE MÉDICO-PÉDAGOGIQUE. APHASIE ET TROUBLES CIRCULATOIRES. 459 caractérisés par de la copro
IE DE LANDRY D'ORIGINE INTLUENZIQUE SUIVI DE GUÉRISON. APHASIE ET TROUBLES CIRCULATOIRES, LÉGÈRE RECHUTE; Par le D' PAILHA
ées, sans doute, à l'asthénie car- diaque, sont moindres. Quant aux troubles de l'articulation et à la parésie des membres i
rs, permettant la marche. Absence totale du réllexe rotulien. Les troubles de la parole ont à peu près disparu. - En cette v
les phénomènes de la névrite multiple (paralysies, amyotrophies, troubles de la sensibilité), présente une forme clinique b
idées, parfois d'agitation, de délire. Dans une catégorie de cas le trouble de la mémoire apparaît presque d'une façon aigu
s, en même temps que l'amnésie grave, prédominent pour un temps des troubles de la conscience, de l'incohérence, un rétrécis
l'idéation. Enfin, chez une troisième catégorie de malades, sur les troubles de la mémoire, de l'idéation et de la conscience
ction. C'est une amnésie isolée, parfois indépendante de tout autre trouble intellectuel et déterminée par la perte de la f
ue le complexus des symptômes psychiques dépend principale- ment de troubles fonctionnels du système de fibres nerveuses des
cellules de la substance corticale du cerveau. Parallèlement aux troubles cérébraux se montrent les symptômes de la névri
des muscles du tronc, du diaphragme, des muscles oculomoteurs, des troubles de la miction, de la tachycardie, de la paralys
ssion des im- pressions) ; d'ordinaire, abolition des réflexes. c). Troubles vaso- moteurs et trophiques (cyanose, oedème, a
les, escarres au sacrum, aux talons, etc.). d). Symptômes généraux ( troubles dyspeptiques, vomissements répétés, troubles de
). Symptômes généraux (troubles dyspeptiques, vomissements répétés, troubles de la sécrétion urinaire, inappétence sexuelle,
s répétés, troubles de la sécrétion urinaire, inappétence sexuelle, troubles menstruels, amaigrissement excessif, e). Tout l
, sensibilité des nerfs à la pression, hypereslhésie cutanée. Les troubles cérébraux et les symptômes de la polynévrite pe
caractéristiques sont : le début la plupart du temps aigu, avec des troubles de la sensibilité, désordres de la mémoire, agi
ptômes ressemblant au delirium tremens, suivis de para- lysie et de troubles caractéristiques de la mémoire. Il est possible
tielle, continue, des nombres, attribuable vraisembla- blement à un trouble circulatoire de l'écorce chez un individu de vi
infectieuse grave dans laquelle les symptômes d'excitation et de trouble profond de la conscience sont suivis de symptômes
ause à effet. Cetle constatation témoigne seulement à coup sûr d'un trouble grave et profond de la nutrition, constituant u
466 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tions du système nerveux, dont le trouble maximum est le délire hallucinatoire. Les rés
n caractère spécial relativement aux tares dégénéra- tives ou à des troubles nerveux spéciaux. L'accès rotatoire est parfois
les autres soient troublés. Dans les affections de l'écorce, les troubles de la sensibilité gé- nérale confirment la théo
cepter les enfants à l'école, un certificat constatant l'absence de troubles nerveux ou moraux, tout aussi bien qu'un certif
de psychose polynévritique. Il s'agit d'une malade alcoolique. Les troubles psychiques furent les premiers en date, sous fo
nc et de la nuque et atrophie seulement bien nette aux mains. Les troubles délirants disparurent les premiers, mais l'amnési
troubles délirants disparurent les premiers, mais l'amnésie et les troubles névritiques ne disparurent que lentement et dans
cer- taines formes de délire systématisé à caractère affectif, les troubles de la personnalité pourraient de leur côté cons
dans ce cas, la démence précoce qui est la règle, semble, comme les troubles mentaux surajoutés, devoir être attribuée moins
vec la folie hébéphrénique, elle est capable aussi de provoquer des troubles mentaux chez des sujets adultes. La forme de
l'affection spinale sans en être toutefois exclusive; que de légers troubles psychiques ne sont pas incompatibles avec le ta
TALE. Breslau, 25 novembre 1893. M. FUEUND (de 13reslau). Sur les troubles psychiques de la névrose traumatique (avec prés
uvements du globe de l'oeil gauche sont limités, surtout en dehors. Troubles de la convergence. Autopsie. L'hémisphère gau
end jusqu'au noyau de l'oculo-moteur commun. L'auteur pense que les troubles de coordination des mus- cles de l'oeil peuvent
yaux des muscles des yeux. M. VERNICâE, est d'avis de rattacher les troubles des mouvements volontaires des globes oculaires
observé un cas dans lequel une altération du raphé a déterminé des troubles dans les mouvements des yeux. M. FREUND (de Bre
trente-huit ans, sans antécédents syphilitiques, qui a présenté des troubles psychiques depuis février 1893 : insomnie, inco
illaire, abolition du réflexe pupillaire à droite, parésie faciale, troubles de la parole, tremblement] des - lèvres et de l
certain nombre de muscles. Pas de tremblements fibrillaires. Pas de troubles de la sensibilité aux membres supérieurs. Dans ce
comprenait les paroles qui Lui étaient adressées. Tandis que les troubles de nature sensitive s'amendèrent rapidement, les
ssagère de rapidité. Après que les physiologistes eurent décrit les troubles fonction- nels produits par l'alcool dans le co
humain, il restait à montrer les conséquences pathologiques de ces troubles , c'est-à-dire à faire connaître les maladies qu
es idiots, des épileptiques et d'autres individus chez lesquels les troubles psychiques n'étaient que l'expression d'une mal
ré accentué ne paraissait pas en rapport avec l'étal psychique, les troubles moteurs et les auties modifications de la sensi
des cas. Il est à noter que dans ces cas, il existait en outre des troubles de la sensibilité dans le territoire du cubital ;
t songer qu'un grand nombre de causes congéni- tales telles que les troubles de nutrition durant la grossesse, les émotions,
ions de la mère pendant la gestation, etc., peuvent prédisposer aux troubles mentaux; que l'enfant, par l'édu- cation, les h
entres nerveux eux-mêmes, le shock émotif produit fréquem- ment des troubles psychiques. Les causes pathologiques compren- n
erculose, syphilis, blennorrhagie, rhumatisme, etc.) provoquent des troubles psychiques qui rentrent dans les cadres ordinaire
s a trait aux maladies nerveuses donnant lieu dans leur cours à des troubles mentaux (goitre exoplUalmique, tabès, chorée, épi
oulait s'assurer de sa personne. Depuis quelque temps, en raison de troubles céré- braux, le premier-maître avait été gardé
? et de l'hypoglosse, par Turner et Bul- loch, 154. Accidents. Troubles morbides consé- cutifs il des -, par S. \Ieyer
6. han- port de la question de l ? par Sommer, 407. Alcoolique. Troubles délirants de nature - chez deux soeurs par Ze
11'OTIiOPIIIC primitive avec réac- tions électriques anormales et troubles de la sensibilité par Sa- ville, 67. Analgési
DES MATIÈRES. muscles de laface, par Bernhardt 59. - nerveuses et troubles de la sensibilité, par Brissaud, 68. - muscul
ard, 419. GUItARIriE dans la tétanie par Hoche, 377. DécÉW nés. Troubles mentaux chez les ? par Dombluth, 42. Dégénére
l'intervention mé- I dicale en -, par Delmas, 336. Hypnotisme et troubles mentaux par Jolly, 45. Séances publiques d ?
onsécutive il l'influenza, par Macphail, 311. Névrose traumatique troubles psy- chiques de la -, par Freud, 476. Obsessi
Séniles. Etat mental de quelques par A. Marie, 334. Sensation. Troubles de la-et prin- cipalement de la douleur dans
33 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
symptôme resta stationnaire et la malade nepré- senta pas d'autres troubles nerveux. Il y a quatre ans qu'une atro- phie ac
ions. Les organes internes sont normaux. La peau ne présente pas de troubles trophiques, le squelette n'a pas subi d'altérat
s musculaire est conservé. Les nerfs crâniens n'ont pas subi de troubles fonctionnels. Les nerfs sciatiques et cruraux s
ns chauds (27-28°R.) et de l'iodure de potassium à l'intérieur, les troubles moteurs des membres inférieurs s'étaient consid
nts de la langue et la déglutition sont libres et il n'y a pas de troubles de l'articulation, de phonation, de mastica- ti
ires sont 30 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE. faibles. Il n'y a pas eu de troubles trophiques cutanés. La nutrition générale s'est
uée d'un certain degré de méningite chronique, dont dépendaient les troubles moteurs des membres inférieurs, la paralysie at
c- tion cellulaire des cornes antérieures par un néo- plasme. Les troubles trophiques des nerfs étaient moins profonds éta
t admettre qu'avec plus ou moins de probabilité. Dans ce cas, les troubles trophiques de la peau ont fait défaut, mais les
i- blement dans la sphère de la sensibilité normale. Le degré des troubles de la sen- sibilité thermique n'est pas le même
ence de 2°. La main droite est frileuse. La peau ne présente pas de troubles tro- phiques. Les organes des sens ne présent
Jaquelin, qui, selon toute apparence agissent de préférence sur les troubles subjectifs. La thermanesthésie est, dans ce c
ndant long- temps. Mais alors les douleurs, les paresthésies, les troubles vaso-moteurs de la cavité crânienne, etc., doiv
tion au mois de mai 1886. Avant cette époque, il n'a pas observé de troubles locomoteurs; du côté delà sensibilité, il signa
Anoff et Clratalof signalèrent ce qui suit : État présent. Pas de troubles du côté des nerfs crâniens, excepté les mouveme
nsidérable. On n'observe pas ces tremblements du côté droit. Pas de troubles moteurs au tronc (diaphragme, thorax, muscles a
épinière , provoquant néanmoins des symptômes aussi électifs que le trouble partiel du sens de la température, ne peut dépe
lèle des lésions anatomiques d'un système cérébro-médullaire et des troubles fonctionnels qu'occasion- nent ces lésions; en
urs concluent que la lésion de ces différents cen- tres amenant les troubles de la fonction, la perte plus ou moins absolue
maul. Die Sldrutgezz der Sprache. Leipsig, 1S77. Autre définition : Trouble pathologique d'une faculté spéciale qu'on pourr
ine. Rev. de méd., 1882, p. 848. ' Féré. Contribution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrale
alade et condamnation de sa femme. - Internement et progression des troubles paralytiques. Mal perforant du pied dans les de
nsidère l'apparition de l'affection chez, ses paralytiques comme un trouble trophique. Nous rappellerons aussi qu'un certai
s ' More). Loc. cit., p. 1-q. LA CATATONIE. 88 héréditaires des troubles psychologiques à certaines époques biologiques
quer, au moins dans certains cas. la production de quelques-uns des troubles moteurs. On sait combien fréquentes sont chez l
Kalhbaum et chez laquelle nous avons constaté, bien que légers, des troubles du sens mus- culaire. Observation IV. 111'1 L
gardent les positions diverses qu'on leur imprime successivement. Troubles du sens musculaire au bras gauche. De ce côté, el
ésistance systématique à ce qu'on veut lui faire faire, mais pas de troubles d'ordre moteur. Se promène un peu seule, pleure
ts de même nature analogues à ceux constatés avant l'apparition des troubles délirants. V. Nous avons vu en somme ce que c
de vue somatique, le phénomène prédo- minant c'est la présence des troubles du système nerveux moteur, au point de vue psyc
pide de la sensibilité thermique trois observations de rémission du trouble de la sensibilité une observation de répartitio
de la sensibilité une observation de répartition toute spéciale du trouble de la sensibilité deux ob- servations d'ataxie
associés et des mouvements spontanés paraissant en rapport avec les troubles delà coordination. P. KLRIVAL. IL DES rapports
s'est étendue aux nerfs voisins, d'où les symptômes oculaires, les troubles de la mastication, la parésie du facial inférie
hépatique. Il résulte en outre de l'étude de ces deux faits que les troubles de la sensibilité se montrent dès la période in
s sur le plancher du qua- trième ventricule, peut donner lieu à des troubles urinaires spé- ciaux ; 2° ces troubles urinaire
cule, peut donner lieu à des troubles urinaires spé- ciaux ; 2° ces troubles urinaires peuvent consister tantôt en polyurie,
iplégie droite progressive ; crises épileptiformes, aphasie, graves troubles intellectuels. Guérison à peu près complète des
gauche, mais destinée probablement à se généraliser. G. D. XI. DES TROUBLES DE la motilité posthemiplégiques ; par . B. GRE
inquantaine) pour généraliser et fonder l'anatomie pathologique des troubles de la motilité posthémiplégiques et leur locali
tionnel est l'électrisation galvanique. Classification générale des troubles molcurs-posthémiplégiques. 72 REVUE DE PATHOLOG
on voit appa- raître le syndrome de la paralysie spasmodique, sans troubles de la sensibilité, il faut penser à cette combi
vraie (intégrité des parois, ni embolies, ni thromboses). C'est un trouble fonctionnel vasculaire d'origine infectieuse, d
GIE MENTALE. ans. Un seul demeura guéri ; il n'avait pasprésenté de trouble de la parole au cours de son affection (diagnos
t qui rappelle la para- lysie générale bien plus par l'ensemble des troubles moteurs que par les manifestations psychiques (
es par l'intermédiaire de l'angoisse, de la torpeur générale, des troubles de l'accommodation. L'angoisse, associée, de même
L'angoisse, associée, de même que dans l'angine de poitrine, à des troubles vasomoteurs (battements de coeur, lipothymies,
ui de l'ivresse (méconnaissance des chambres, des person- nes). Les troubles de l'accommodation, les troubles de l'innervation
es chambres, des person- nes). Les troubles de l'accommodation, les troubles de l'innervation des muscles du globe oculaire
nalogue à celui relaté par l'auteur. Dans d'autres cas, ce sont des troubles intellectuels prolongés chez la mère qui'peu- v
souvent continues pendant un temps plus ou moins long. Comment les troubles de l'esprit de la mère agissent-ils sur le foet
et le foetus, que ce que ressent l'un, est transmis à l'autre. Les troubles nerveux chez l'enfant dont la mère a reçu quelq
s liés à la cognition, et peuvent être rapportés à cette forme de trouble mental que l'on désigne habituellement sous le no
rg). Des rapports qui existent entre la méningite aiguc et certains troubles de l'ouie d'ordre nerveux qui, après s'être ins
ien privé de la moitié du cer- veau présente de la paralysie ou des troubles de la sensibilité nulle part. Chaque pédoncule
la périphérie au centre. Du reste, jamais d'hémorrha- gies, pas de troubles visuels, à raison de l'état anatomopalholo- giq
comme le montre la diminution de leur volume, toute cette série de troubles de nutrition s'est effectuée et les éléments se s
l'étal d'anémie générale, la contracture ait été pro- duite par un trouble dans l'irrigation sanguine des jambes; on voit
lusieurs conditions concurrentes : elle peut dépendre aussi bien de troubles dans le développement des 96 SOCIÉTÉS SAVANTES.
venir de toutes ses périodes d'état second, ce qui, on le comprend, trouble singulièrement son existence. Son caractère dev
nférieurs, et n'entraîneraient pas comme conséquence nécessaire des troubles notables dans les fonctions de motricité ou de se
trois périodes, l'une de début caractérisée par la prédominance des troubles de sensibilité, BIBLIOGRAPHIE. 123 l'autre d'
, BIBLIOGRAPHIE. 123 l'autre d'état dans laquelle s'observent des troubles moteurs et trophiques, la dernière s'accompagna
oton dans la gaine du nerf, à la dose de deux ou trois gouttes. Les troubles parésiques, sensi- tifs et trophiques apparaiss
riphériques. On s'expliquerait ainsi la possibilité dans ces cas de troubles sensitifs ou moteurs indépendants, suivant que
ue telle émotion morale influera sur l'un et développera en lui des troubles men- taux, tandis qu'un autre pourra réagir.
voir une prédisposition de la cellule cérébrale à être lésée et les troubles psychiques ne se mani- festent que chez l'adult
ons du coeur et du poumon présentent un chiffre de l 87 p. 100, les troubles digestifs celui de ? ,91 p. 100, enfin, ceux de
travail inspiré par le Pr Bail, l'auteur se propose d'étu- dier les troubles de la mémoire d'origine toxique en eux-mêmes et
e en eux-mêmes et quant aux rapports qu'ils affectent avec d'autres troubles psy- chiques. Tout d'abord les amnésies toxique
s'arrête lorsque l'intoxication cesse; elle s'accom- pagne enfin de troubles psychiques : affaiblissement de l'attention et
s : il n'y a que les maladies ner- veuses capables de provoquer des troubles trophiques, telles que l'ataxie locomotrice, la
leurs nztcscu- laires ou les arthrites, les otites et otalgies, les troubles gastriques et un cas d'Iaémorr7aagie nasale. Co
omplètement paralysés et anes- thésiés : mais cette fois-ci, pas de troubles urinaires ou rectaux. Une demi-heure après, la
pérature. Nulle trace de paralysie du membre supérieur droit : Nuls troubles vaso-moteurs. Nuls troubles trophiques. Les mem
alysie du membre supérieur droit : Nuls troubles vaso-moteurs. Nuls troubles trophiques. Les membres sont bien musclés et l'
qu'ils se con- tractent très bien. Sens musculaire normal. - Pas de troubles vaso-moteurs. L'extrémité supérieure gauche ne
s. L'extrémité supérieure gauche ne présente rien d'anormal. Pas de troubles de la vessie du rectum et des organes génitaux.
droite. Le sens musculaire ne présente aucune altération. Pas de troubles trophiques : l'état des muscles est satisfaisant
at des muscles est satisfaisant : examen électrique négatif. Pas de troubles vaso-moteurs. Vessie et rectum normaux. Comme
e malade perd tout à fait la vue ; aussitôt après, il est pris d'un trouble du langage, il ne pouvait plus articuler un seu
. Examen du malade, le 15 février 1884. - Il n'y a pas le moindre trouble , ni de la motilité, ni de la sensibilité des memb
t une légère exaltation du réflexe rotulien des deux côtés ; pas de troubles trophiques ni vaso-moteurs ; les fonctions de l
revient à lui, n'ayant plus les mâchoires serrées, ni vertiges, ni trouble de langage, ni enfin aucun autre symptôme cépha
taient complètement paralysés et anesthésiés. Il n'existait plus de troubles urinaires ou rectaux. Du côté des organes génit
). Cortège symptonzatiquc de la paraplégie spastique, avec quelques troubles urinaires et abolition notable des fonctions gé
INIQUE NERVEUSE. Au bout de dix minutes, ses douleurs ainsi que son trouble de langage ont complètement disparu. Six heures
lités a été trouvée parfaitement normale. Il n'y a pas le moindre trouble trophique. Les membres du malade ont leur volume
gatif. Le sens musculaire ne pré- sente aucune altération. Pas de troubles vaso-moteurs. Le malade a quelquefois un peu de
e, ce qui a sur- tout décidé le malade à venir me consulter. Pas de troubles du rectum. Pas de symptômes céphaliques. J'ai
s réflexes rotuliens existe encore, mais bien moindre. Les petits troubles urinaires qui existaient ont disparu. Les érect
s et très soigneuse- ment, a été trouvée parfaite. Pas le moindre trouble du sens musculaire. L'état trophique des membre
à désirer, les muscles répondent très bien à l'électricité. Pas de troubles vaso-moteurs. L'examen des urines a montré une
1884. Syndrome de la paraplégie spastique ; anesthésie en plaques; troubles vaso-moteurs et urinaires. Le nommé D. Soutsos,
ut de ce temps, le malade revient à lui, sans avoir ni vertiges, ni trouble de langage, ni bourdonnements d'oreilles, ni ét
e Romberg. Les parties anesthésiées sont froides et livides. Pas de troubles trophiques. Le malade a quelquefois un peu de d
sans suite ; mêmes condi- tions de travail. Symptômes d'invasion : troubles respiratoires ; éblouissement avec obscurcissem
u'il tournât aussi avec eux; pas de perte de connaissance, pas de trouble du langage, enfin, aucun autre symptôme céphaliqu
. Le 27 juillet, la dyspnée avec le sentiment de suffocation, les troubles oculaires et les vertiges ont disparu petit à pet
le gauche que le droit, ont gardé leur volume normal ; pas d'autres troubles trophiques. Comme troubles vaso-moteurs, le mal
ardé leur volume normal ; pas d'autres troubles trophiques. Comme troubles vaso-moteurs, le malade se plaint seulement d'une
ssent un malaise; tous les objets lui paraissent se mouvoir. Pas de troubles aphasi- ques ou sensoriels ou autre symptôme cé
s satisfaire; pas de douleurs ou de gonflement de l'estomac; pas de troubles respiratoires. A 5 heures et demie du soir, c'e
alade avait le sentiment du besoin naturel de la défécation, pas de troubles plus sérieux du côté du rectum; rien du côté de
embres inférieurs, plus fortement le droit. Il n'y a pas le moindre trouble trophique. La sensibilité est tout à fait norma
Syndrome symptomatique de paraplégie spastique exempt de tout autre trouble . Excès d'alcool, tremblement toxique. Histoir
spiration. Pas de douleurs ou gonflement de l'estomac. Pas d'autres troubles respiratoires. Pas de symptômes céphaliques. Ci
e, l'examen élec- trique ayant été tout à fait négatif. Enfin aucun trouble trophique. Il n'y a pas de troubles vaso-moteur
tout à fait négatif. Enfin aucun trouble trophique. Il n'y a pas de troubles vaso-moteurs. La vessie fonctionne bien. Selles
pidation épileptoïde. Diminution de la sensibilité au membre droit. Troubles urinaires. Trwi- tement, travail dans l'air com
enfin pas de symptômes céphaliques, pas de J84 CLINIQUE NERVEUSE. troubles respiratoires ni gastriques. A ce moment, pas de
le canne. Il avait des secousses la nuit. Aucun changement dans les troubles urinaires. D'un jour à l'autre, le malade senta
très bien aux courants électriques ; il n'y a pas non plus d'antres troubles trophiques. - Aucune trace de troubles vasomoteur
n'y a pas non plus d'antres troubles trophiques. - Aucune trace de troubles vasomoteurs. Le malade éprouve un peu de diffic
u membre droit. La difficulté d'uriner n'existe presque pas. Pas de troubles de la sensibilité. Depuis lors, nous avons vu p
autres symp- tômes céphaliques d'origine sensorielle à savoir les troubles oculaires et les bourdonnements d'oreilles. Ce
sements chez ce malade ont duré environ sept heures et demie. e). Troubles du langage. Parmi les différentes espèces nosol
Troubles du langage. Parmi les différentes espèces nosologiques de troubles du langage c'est seulement l'aphasie motrice qu
es mouvements graphiques, car ils ne savaient ni lire ni écrire. Ce trouble du langage est survenu brusque et complet, dès
seulement par un vocabulaire aussi riche qu'avant l'invasion de son trouble du langage. Nous revien- drons plus loin sur le
qui ont figuré deux fois parmi nos observations consistent en des troubles de la vue, qui ont varié depuis un simple éblou
ssociée à l'aphasie motrice et chez l'autre de l'OBSERVATION X le trouble oculaire coexistait avec des bourdonnements d'o
s en deux catégories distinctes; la première a son origine dans les troubles gastriques concomit- tants, telle est la gêne d
à la région épigastrique. La deuxième catégorie est celle dont les troubles respiratoires ne résultant pas des troubles gas
orie est celle dont les troubles respiratoires ne résultant pas des troubles gastriques ont leur genèse aux organes mêmes de
chapitre de physiologie pathologique le mode de cette genèse. Ces troubles respiratoires n'ont existé qu'une seule fois ch
sans qu'il y ait de sifflement. Chez ce malade, il n'y avait pas de troubles gastriques. Il peut très bien se faire qu'on re
la moitié gauche pa- rait être légèrement atrophiée. Point d'autres troubles moteurs. DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 197 Sen
. Le malade ne soupçonnait pas d'avoir de la thermanesthésie. Les troubles moteurs et les amyotrophies se sont progressiveme
l'anestlcéie thermique isolées, ou les deux simultanément; 2). Des troubles subjectifs de la sensibilité ; 3). Troubles mot
simultanément; 2). Des troubles subjectifs de la sensibilité ; 3). Troubles moteurs, paré- sies limitées à des régions peu
à des régions peu étendues, des mouve- ments convulsifs, etc.; 4). Troubles trophiques et vaso- moteurs : atrophie musculai
use de leur fré- quence relative, mais aussi en vue de ce que les troubles primitifs et constants de l'affection décrite se
pérature est très rarement recherchée et alors qu'on a constaté des troubles d'autres espèces de sensibilité. Dans sept cas
d, il y a eu analgésie partielle en même temps qu'il existait des troubles du sens thermique. L'anesthésie se limi- tait à
ristiques, atteinte d'analgésie et d'anesthésie thermique ; mais le trouble des deux dernières espèces de sensibilité était
hésie thermique est complètement originale : on peut constater ce trouble , distribué d'une manière asymétrique, par régio
idérable d'anesthésie thermique dans toute la moitié du corps, ce trouble de sensibilité n'est pas ordinairement limité à
plètement détruits, tandis qu'au début de la maladie existaient des troubles partiels de sensibi- lité que nous reconnaisson
s exacerbations, elle n'interrompt même pas leur sommeil. 3). Les troubles vaso-moteurs ne sont pas rares; leur caractère
nes internes au nombre de symptômes, observés chez ses malades. Les troubles vaso-moteurs paraissent être la source de quelq
nflement de l'épaule. Morvan a trouvé chez ses malades, outre les troubles trophiques locaux, un abaissement de nutri- tio
ture du corps. Nous n'avons pas l'intention d'énumérer tous les troubles trophiques, observés dans la gliomatose. Ils so
rêterons pas non plus sur l'examen détaillé de la pathogénie de ces troubles disons seulement que nous ne nous voyons pas fo
manière plus intime les relations réci- proques existant entre les troubles vaso-moteurs pro- duits dans la sphère de sensi
moteurs pro- duits dans la sphère de sensibilité d'un côté et les troubles trophiques de l'autre. La plupart de ces dernie
z la plupart des malades avec un caractère typique remarquable. Ces troubles sont liés à la maladie d'abord parce qu'elle ne
férentes causes pathogé- niques externes et internes provoquent tel trouble ou tel autre. Par exemple : une blessure insign
in le plus souvent) elle atteint parfois un degré élevé. (4). Les troubles par étiques des mouvements se loca- lisent surt
blesse prédomine habituellement sur l'atrophie. Ces deux espèces de troubles atteignent rarement une étendue considérable. P
troubles atteignent rarement une étendue considérable. Parfois les troubles moteurs se bornent pour longtemps à une certain
d, comme le prouve notre premier cas, l'atrophie des muscles et les troubles moteurs peuvent être plus accusés du côté où le
té où les altérations de la sensibilité sont moins développées. Des troubles moteurs plus étendus se rapportent à cette sort
du processus à la moelle allongée et plus haut on peut observer des troubles bulbaires et oculo-moteurs. La paralysie atro
mier 218 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. symptôme; ensuite viennent des troubles subjectifs de la sensibilité ou l'analgésie, ou
nt des troubles subjectifs de la sensibilité ou l'analgésie, ou les troubles moteurs et l'atrophie des muscles. Plusieurs an
trac- tion de cette pression normale provoque d'après Magendie le trouble des fonctions locomotrices. Ma- gendie, a remar
; ils tombaient tantôt d'un côté, tantôt de l'autre. Pour Longet le trouble des mouvements est dû à la section des muscles
couché. Pour Béclard la section des muscles de la nuque provoque le trouble des mouvements très pro- bablement par la suppr
du liquide céphalo-rachidien. Cette promenade du liquide amène le trouble circulatoire du cerveau, d'où les symptômes du
les symptômes du vertige sur un terrain préparé déjà à subir ces troubles , attendu que l'air raréfié du navire, etc., y p
ttendu que l'air raréfié du navire, etc., y prédisposent aussi. Les troubles de la circulation et de la respiration qui surv
é crânienne comprime en même temps les vaisseaux du bulbe, d'où les troubles circulatoires et respiratoires paraissent avec
pre- mière région, dont les lésions produisent manifestement des troubles moteurs variés et une deuxième région, dont la lé
n, dont la lésion reste à peu près silencieuse, au point de vue des troubles de de la motilité. La première est la zone motr
e gauche (agraphie) La zone corticale latente au point de vue des troubles de la motilité, comprend toute l'étendue de l'é
trer, au contraire, les premières en ligne de compte à propos des troubles de la sensibilité ». En outre, des observations d
e lésions corticales du côté des circonvolutions frontales avec « troubles légers de la sensibilité » ; des lésions de la pl
mo-clinique désigne comme une zone dont la lésion se révèle par des troubles psychiques (zone intellectuelle). Ce sont ces f
moelle. Leur lésion expérimentale en outre répond toujours à des troubles moteurs ; les faisceaux pyramidaux et les cornes
r la question des rapports entre le siège de la lésion et celui des troubles moteurs, destructive et non simplement irritati
u segment moteur de la capsule interne, surviennent constamment des troubles tro- phiques représentés physiologiquement parl
REVUE CRITIQUÉ. Nous n'avons pas à insister sur le premier des deux troubles trophiques : la perte de l'excitabilité directe
ie annonce 270 O REVUE critique. autres symptomatiquement par des troubles sensitifs très mar- qués. (Douleurs fulgurantes
rtaines lésions de la moelle révélées en clinique sur- tout par des troubles de la sensibilité, par ce fait même qu'elles se
ubilation de la connaissance, des rêvasseries, de la sommation, des troubles de la perception avec des hallucinations; l'acc
pro- posé de rechercher, d'après des données positives : 1° si le trouble mental qui accompagne les attaques d'épilepsie ex
cavité stomacale contient les trois quarts d'un verre d'un liquide trouble de couleur verdàtre. La muqueuse est friable, e
ssez souvent des cellules avec un protoplasma granuleux d'un aspect trouble , dans lequel il est impossible de distinguer le
sortie prématurée, principalement à propos des persécutés spinaux ( troubles de la sensibilité générale avec interprétation
ssion. M. PELMAN : Si l'asile constitue un agent d'exci- tation qui trouble la guérison , ou s'il a donné une suffisante im-
de causes connues de cette derma- tose, il y a lieu de penser à un trouble fonctionnel des nerfs ré- gulateurs des vaissea
a mère de cette enfant, dans la famille de qui on ne constate aucun trouble mental, présente exactement les mêmes phénomène
tisfaisant présentera de la diacéturie et pourra même guérir de ses troubles intellectuels en pleine phase diacéturique. M
s événements saillants, qui s'accomplissent chaque jour, jettent le trouble dans beaucoup d'esprits faibles, qui s'en préoc
connu dans l'his- toire des convulsionnaires. Chez cet enfant, les troubles étaient beaucoup moins profonds que chez la mèr
a paraplégie. Durant ce temps, le scaphandrier n'a absolument aucun trouble quel- conque, il se porte à merveille. Cet inte
ux sont ceux qui ont existé chez nos malades et qui consistaient en troubles : 1° de la sensibilité, 2° de 382 ' CLINIQUE NE
ore plus d'une fois, quand on a transpercé la peau. L'existence des troubles de la sensibilité est toujours recherchée par l
tribuent à cette épreuve une certaine importance pronostique. 2). Troubles de la vessie. Les troubles vésicaux qui ont été
une certaine importance pronostique. 2). Troubles de la vessie. Les troubles vésicaux qui ont été présentés par nos malades
pendant la durée de la perte de con- naissance. Pour finir avec les troubles vésicaux, il faut mentionner le catarrhe vésica
de l'OBSERVATioN VIII avec les douleurs de l'orifice externe. 3), Troubles du rectum. Ici encore, comme pour la vessie, la
omme pour la vessie, la rétention est presque toujours le premier trouble du rectum qui apparaît et qui, à de rares ex- c
mblée, durant sa perte de connaissance, a rendu ses matières. 4). Troubles génitaux. Ces troubles sont bien loin d'avoir l
de connaissance, a rendu ses matières. 4). Troubles génitaux. Ces troubles sont bien loin d'avoir la même fréquence que le
dire jamais, elle n'est progressive. b). Symptômes sensitifs. Les troubles sensitifs que nous avons vus exister presque co
vons vus exister presque constamment et marcher de concert avec les troubles de la motilité, sous forme de paralysie plus ou
d'une hypéresthésie extrême au froid. Enfin, pour en finir avec les troubles sensitifs, nous allons faire observer qu'ils pe
so-moteurs. - Le système vaso-mo- teur est quelquefois troublé. Les troubles vaso-moteurs figurent trois fois sur douze obse
ême temps était le plus spasmodique et le siège de prédilection des troubles sensitifs. Quant aux neuf autres observations,
ux neuf autres observations, on voit qu'il n'y avait pas le moindre trouble vaso-moteur. d). Symptômes vésicaux. Les troubl
t pas le moindre trouble vaso-moteur. d). Symptômes vésicaux. Les troubles très mar- qués de la vessie que nous avons vus
ils disparaissent tout à fait. En effet, sur les douze cas, où les troubles de la vessie vraiment graves ont existé au comm
ade de l'OBSER- VATION VII, le 15 mai 1884, présentait encore des troubles de la vessie bien que très atténués, consis- ta
août, il était guéri. A côté de ces cas, il en est d'autres où les troubles de la vessie persistent, bien qu'atténués. Ains
chronique qui a compliqué l'accident. e). Symptômes rectaux. Les troubles du rectum, qui rarement font défaut au moment d
nuait et finalement a presque disparu; carie 15 février 1886, les troubles du rectum ont consisté dans l'accomplis- sement
inemment rétrogressive de la maladie. 0 f). Symptômes ? a ? y.Les troubles des organes génitaux peuvent figurer quelquefoi
ganes génitaux peuvent figurer quelquefois, mais comme les autres troubles , ils ont aussi une tendance naturelle à s'attén
ont disparu complètement. Il est des cas où la rétro- gression des troubles génitaux ne va pas jusqu'à la disparition. C'es
tion. C'est ainsi que le malade de l'OBSERVATION I avait encore des troubles génitaux consistant à des érections incomplètes
se manifeste par un complexus clinique toujours identique, à savoir troubles moteurs sous forme de paralysie, troubles de la
jours identique, à savoir troubles moteurs sous forme de paralysie, troubles de la sensibilité sous AIICIIIVES, t. XVI. 21
ICIIIVES, t. XVI. 21 370 CLINIQUE NERVEUSE. forme d'anesthésie et troubles de la vessie et du rec- tum. Finalement, cette
t couvulsif; au bout de trois heures, le malade revient, n'ayant ni troubles de la parole, ni troubles oculaires, ni symptôm
ois heures, le malade revient, n'ayant ni troubles de la parole, ni troubles oculaires, ni symptômes auditifs, enfin, aucun
es, ni symptômes auditifs, enfin, aucun symptôme céphalique; pas de troubles du côté de l'estomac ou des organes respiratoir
he devient impossible, il n'y a pas d'atro- phie musculaire, pas de troubles vaso-moteurs. Vessie, rectum et organes génitau
ion. Elles choisissent comme siège de prédilection la jambe. Pas de troubles trophiques. Sauf un certain degré d'hypéridrose
gré d'hypéridrose à la plante du pied gauche, il n'y a pas d'autres troubles vaso-moteurs. Rien du côté de la vessie, du rec
rs. Secousses. Douleurs en ceinture. Le 20 mars, clispa- iitio)2 de troubles urinaires et rectaux. Contractures passagères. Le
s- triques. Impossible de rendre ses urines et ses selles. Pas de troubles respiratoires, pas de douleurs articulaires ou mu
marcher dans l'obscurité, perte de notion de position des membres, troubles étranges de la sensibilité. Histoire. ? Le nomm
l'obscurité. 11 perd la notion de position de ses membres. 11 a des troubles étranges de la sensibi- lité, seulement au memb
le de tout le membre et que le malade ne peut définir. Pas d'autres troubles sensitifs. 11 n'y a aucune trace d'atrophie mus
ifs. 11 n'y a aucune trace d'atrophie musculaire, il n'y a pas de troubles vaso-moteurs, il n'y a pas de symptômes céphaliqu
considérable qui l'étoull'ait. Pas de symptômes céphaliques, pas de troubles gastriques ou autres. Cette douleur aussi bien
utte à goutte. Parfois, il rend involontairement ses selles; pas de troubles des fonctions sexuelles. Les crises de douleurs
a aucune trace d'atrophie musculaire. Nous n'avons pas rencontré de troubles vaso-moteurs. 11 n'y a aucun symptôme céphalique.
. Pas de perte de connaissance ni autre symptôme céphalique. Pas de troubles de la respiration, ni gastriques. A 10 heures
eds qui existe même quand il fait très chaud; il n'y a pas d'autres troubles vaso-moteurs. Rien aux membres supérieurs, rien d
e la perte de connaissance du malade de 1'0] ! SËRVAT[ON XVI. d). Troubles du langage. - Nous n'avons rencontré ces troubl
VAT[ON XVI. d). Troubles du langage. - Nous n'avons rencontré ces troubles que chez le malade de l'OBSERVATION XIX. Nous f
rons la même remarque qui a déjà antérieure- ment été faite, que le trouble de ce malade consiste aussi en aphasie motrice.
re contient les symptômes qui doivent leur.origine, leur genèse aux troubles gastriques con- comitants : telle est la gêne d
et tantôt à l'incontinence (OBs. XVII et XVIII). Avant de finir les troubles vési- caux, n'oublions pas de noter la décompos
ion de selles marche de pair avec la réten- tion d'urines, c'est le trouble initial du rectum; une fois dissipée, tantôt el
e la partie centrale de la moelle épinière (cas de Krauss) quelques troubles de sensibilité marqués dans les régions innervé
ie partielle dans mes observations et leurs ana- logues que par des troubles nutritifs des éléments nerveux dans les cornes
gré d'influence de ces deux facteurs servira à déterminer celui des troubles de sensibilité; leur qua- lité servira à déterm
ensibilité; leur qua- lité servira à déterminer le caractère de ces troubles , l'anesthésie thermique ou l'analgésie, ou bien
né à de l'analgésie. Le diagnostic est facile dans les cas oui) des troubles de sensibilité plus ou moins étendus de ce genr
es distrophies de la peau et du tissu cellu- laire sous-cutané, les troubles vaso-moteurs, les altéra- tions de la sécrétion
Si nous venions à les rencontrer sans qu'ils soient accompagnés de troubles de sensibilité notables et d'atrophies musculai
plus ou moins partielle des membres inférieurs combinée à certains troubles de l'appareil locomoteur. Il est possible de su
s in- nervées par toutes les racines situées plus bas'. Là où les troubles caractéristiques de sensibilité partiels et les
Là où les troubles caractéristiques de sensibilité partiels et les troubles moteurs dans lesquels l'atro- phie des muscles
gliomatose de la moelle épinière entraîne souvent après elle des troubles de circulation et de nutrition de la peau, des
OMATOSE MÉDULLAIRE. 413 aussi dans les cas qui ne présentent pas de troubles locomoteurs bien accusés s'il existe une therma
ner la sensibilité à la température et à la dou- leur : 1) dans les troubles trophiques énumérés plus haut, les abcès, les p
sante; 3) dans différentes' pares- thésies indéterminées, douleurs, troubles de la sécré- tion sudorale et vaso-moteurs ; 4)
lle et sur la physiologie de la sensibilité des vaso-moteurs, des troubles trophiques, etc., et en même temps sur l'archit
s symptômes d'élection insignifiants (d'anes- thésie partielle, des troubles trophiques). En considérant ce qui vient d'être
pilepsie : au moins huit ans. Mort à quarante ans. Autopsie. Etat trouble de la pie-mère de la convexité. Adhérence de la
853 pour épilepsie à l'hôpital de Schwetz, transféré plus tard pour troubles mentaux à l'asile d'aliénés. Observé de 1857 à sa
43G 6 pathologie- NERVEUSE. irrésistibles qu'ils rattachent à des troubles de l'inuer- vation cérébelleuse. C'est ainsi qu
athologiques, leur parenté avec ceux que j'ai signalés à propos des troubles de l'innervation cérébelleuse; on ne peut s'emp
rd, Charcot, Flechsig ont tranché les deux premières questions. Les troubles moteurs posl-béiiiiplégiques se jugent générale
alement pris. L'atrophie musculaire pro- gressant, apparaissent les troubles sensibles et l'ataxie du muscle, le signe de Ro
tteints à leur tour : douleurs spontanées, réaction dégénéra- tive, troubles de la sensibilité cutanée, diminution et abolitio
(oubli de cer- taines syllabes), parésie du voile du palais, légers troubles mo- teurs dans les jambes qui oscillent pour un
à la galvanisation de la moelle, l'auteur étudie principalement les troubles nerveux consécutifs à la fièvre typhoïde. Nous
vulsives après la fièvre typhoïde. Puis M. Lunz examine ensuite les troubles nerveux par inllam- malion infectieuse (quatre
omique : une attaque apoplectiforme suivie d'hémiplégie gauche avec troubles de la sensibilité par tout le corps. Deux semai
pasmodique des deux jambes, amblyopie, ralentissement de la parole, troubles de la digestion, de la vessie, accidents gangre
Diagnostic : Myélite pure, dès l'origine interstitielle, mais par trouble circulatoire préexistant. P, I\. XXXI- DE la po
? '6, isolées, dans le cours même du tubes; paralysie brusque, sans troubles delà sensibilité, évolution favorable. Les dégé
roduisit une myé- lite symptomatique d'une violence extrême; 4° les troubles de la sensibilité prédominèrent. P. K. XXXVII
Présentation du malade. M. Lwofî présente un malade atteint d'un trouble vaso-moteur qu'il désigne du nom d'Urticaire gra-
es et halluci- nations sensorielles relativement supportables) sans troubles de la motilité ? ' Vov. Arclciees de Neurolog
ant les diverses régions. 4o2 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. IIUBERTY. Des troubles psychiques qui succèdent aux mauvais traitement
ltérations récentes de l'épendyme du quatrième ventricule, tuméfié, trouble , infiltré .de leucocytes; sclérose sous-épeudym
énés en deux grandes clauses : la première comprend ceux qui ont un trouble dans leurs idées, c'est la folie intellectuelle
rent qu'une valeur discutable. P. B. XV. Contribution à l'élude des troubles médullaires chez les cithéi,o- . rnateux; par M
ormes que la folie affecte chez les enfants, mais aussi de tous les troubles nerveux qu'ils peuvent présenter tels que convuls
paralysie faciale dite à fi,igoî,e. z Lefèvre : De la révulsion des troubles médullaires ci frigore. Du délire des grandeurs
, par Lacoste, 136. Epilepsies particulières, par Bi- gorre, 481. Troubles médul- laires chez les athéromateux, par Copi
j0, Morphinisme (psychoses dues au), par Schmidt, 76. Motilité ( troubles de la-) posthémi- I plégiques, par Grerdenberg,
convulsifs (maladie des), par Guinon, 6J. Traitements corporels ( troubles psy- chiques consécutifs aux mauvais), par Il
34 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
elle pas une preuve remarquable de la simulation par l'hystérie des troubles caractéristiques des névrites périphériques ? M
tologie générale est essentiellement caractérisée par la triade des troubles sensitifs, moteurs et trophiques. Eh bien, il n'e
re rencontrée dans l'hystérie a\ec des caractères similaires. Les troubles moteurs : paralysies, convulsions, incoordination
ec unefréquenceconsidérable et avec des caractères analogues. Les troubles sensitifs : douleurs, névralgies, anesthésie, hyp
., appartiennent à la fois à l'hystérie et aux rnyélopathies. Les troubles trophiques et vaso-moteurs : vésicules, bulles, z
es trophiques et vaso-moteurs : vésicules, bulles, zona, érythèmes, troubles de la calorification, amyotrophies, etc., ont lon
n que cette barrière n'a plus de raison d'être; qu'on rencontre ces troubles trophiques dans la névrose; que l'amyot1'ophie
ccessoires que l'on constate parfois dans les affections spinales : troubles digestifs, res- piratoires, génito-urinaires, e
si on réfléchit à la nature de leurs manifestations : amyotrophies, troubles paralytiques, etc. Dans cette appréciation, il
ines pour venir il la Salpèlrière. Etat actuel (27 juillet 1890). Troubles moteurs. - Lorsque le malade est assis, on ne r
attaques sur- viennent de préférence quand il est ému ou fatigué. Troubles delà sensibilité. Le malade présente de l'héîiiia
nce de l'oreille de plus de cinq centimètres). L'odorat est normal. Troubles oculaires. Examen pratiqué par M. le D' Parinaud.
d'embarras de la parole; bientôt surviennent le tremblement et les troubles de la vue. Et cependant toutes ces manifestatio
de puistrois ans les réflexes sont plutôt diminués qu'exagérés. Les troubles de la vue rentrent aussi dans la catégorie hyst
redoublée, plus bégayante en un mot. Cette dysarthrie rappelle les troubles du langage bien étudiés récemment par MM. Ballet
deur. La face est respectée, sans aucune espèce d'asymétrie. Pas de troubles tro- phiques. Le malade dit avoir maigri depuis
, du coude et du poignet sont égaux des deux côtés, plutôt faibles. Troubles de la sensibilité. Ilémianesthésie gauche totale
à vingt minutes et se répètent une ou deux fois par semaine. Pas de troubles trophiques. Troubles vaso- moteurs localisés à
répètent une ou deux fois par semaine. Pas de troubles trophiques. Troubles vaso- moteurs localisés à la moitié droite de l
e, scandée. Pas de nystagmus. Le malade se plaint de vertiges et de troubles de la vision. Sa vue a beaucoup baissé; il ne p
salle, reste solitaire et ne veut jamais descendre au jardin. C. Troubles de la sensibilité. Hémianesthésie droite complète
ent, outre ces phénomènes, il présente encore de l'am- blyopie, des troubles de la mémoire et de l'écriture. C'est bien là un
de sclérose multilocu- laire. Du reste, deux ans après, ces mêmes troubles moteurs se repro- duisent dans des conditions a
ysie sensitivo-mo- trice, tout dépend de la névrose hystérique. Les troubles psychiques, l'abattement du visage, la tristess
connue. Pour la dysarthrie, les vertiges, les étourdissements, les troubles de la vue, nous ne répéterons pas ce que nous a
mais il restait alors une miclion absolument impérieuse. Quant aux troubles gastriques ils consistaient en vomissements et
lition des réflexes patellaires. Pas de trépi- dation spinale ni de troubles trophiques. Les pieds sont en varus équin. Aux
e. Anesthésie plus marquée à droite. Réflexes rotuliens exagérés. Troubles oculaires. Réduction considérable de l'acuité vis
te. Mais en raison de la durée des accidents, de leur ténacité, des troubles urinaires, ocu- laires, etc., on a pu se demand
u'il rendait la marche impossible. Enfin, il a eu des vertiges, des troubles de la vue, tels que défaut de perception des co
ole est un peu bredouilles, mais elle n'est ni lente ni saccadée. Troubles de la sensibilité. Il n'existe sur le corps aucun
l affaibli. La santé générale est bonne, et il n'accuse aucun autre trouble fonctionnel. Durant son séjour à l'hôpital Neck
er, amélioration sensible du tremblement intentionnel et des divers troubles . N'est-ce pas là un tableau morbide qui ressemb
ce de tremblement au repos, oscillations graduellement croissantes, troubles sensitifs ou sensoriels imputables il des plaques
ons de la parole et de la vue, exagération des réflexes, absence de troubles trophiques. L'analogie est grande. Cependant, l
rigine névropathique des accidents. Tout ici, en un mot : vertiges, troubles de la parole spéciaux, tremblement, faciès, etc.,
diminution de la sensibilité dans aucune partie du corps, ni aucun trouble des sens spéciaux. Les muscles de l'oeil, de la l
nel des membres supérieurs remontant à deux ans, de l'absence de troubles de la sensibilité générale et spéciale, de l'abse
de troubles de la sensibilité générale et spéciale, de l'absence de troubles de la nutrition, du faciès abattu, en dessous,
rose; il faut donc reconnaître qu'il existe, dans certains cas, des troubles fonctionnels capables de donner lieu à un ensembl
uze ans mange du boudin avarié; les jours suivants, on constata des troubles pharyngés et laryn- gés, delà faiblesse muscula
s portant exclusivement sur les cor- dons moteurs ne produit pas de troubles de la sensibilité, on rencontre, chez ce malade
tats semblables. Des plaques et des pointillés rouges, tenant à des troubles des nerfs vaso-moteurs, se voient sur les régio
es jambes et les bras des deux côlés. Céphalalgie et facies hébété. Troubles el difficultés du langage. Douleurs et faiblesse
t son entrée, sa marche était incertaine dans l'obscurité, accès de troubles oculaires et vertiges. Perte de connaissance à
rapidement. Il fut alors observé par l'auteur. Il présen- tait des troubles du langage, du tremblement dans les mouvements vo
un léger tremblement dans les mouvements volontaires avec quelques troubles légers de la sensibilité. Parfois sensation de ve
ychique. II paraît certain « scheint es sicher » qu'il n'y a pas.de troubles grossiers. La vessie et le rectum sont intacts.
omme soudées et l'affaissement musculaire est incontestable. Pas de troubles de la sensibilité. Exagération des réflexes ten
mental bizarre : le malade est pleureur et peu intelligent. Pas de troubles visuels, mais pupilles paresseuses. Rien à l'op
partout intacte. La parole n'est pas embarrassée ; il n'y a pas de troubles visuels. Mais la sensibilité réflexe tendineuse e
est hystérique à n'en pas douter. Le tremblement intentionnel, les troubles paralytiques, les accès apoplectiformes sont su
réflexe patellaire, très exagéré. Le côté gauche était normal. Ces troubles fonctionnels cédèrent rapidement au bromure et
persiste néanmoins dans son opinion, et pense qu'il s'agit là d'un trouble organique et vraisemblablement de sclérose en pla
'aspect malade ; elle se plaint de difficultés dans la marche et de troubles oculaires. Je remarque qu'elle ne peut marcher
t fibrillaire ni de. secousses vermiculaires.. , Il existe quelques troubles de la déglutition, mais assez peu accentués. Le
li. Le gauche est à peu près normal. » Nulle part on ne constate de troubles de la sensibilité, ni au contact, ni à la doule
mme vigoureux en apparence, de haute stature, qui ne présente aucun trouble des fonctions organiques. On l'apporte à la consu
l'une est migraineuse comme la mère. 1. Contribution à l'élude des troubles trophiques dans l'hystérie, atrophie musculaire
par ·Georges Guinon (Progrès médical, n', .il, 42, 1890). 3. Des troubles trophiques dans l'hystérie. Th. Paris, 1890. m.
ain et des doigts sauf le pouce. Anesthésie pharyngée; pas d'autres troubles de la sensibilité; pas de rétrécissement du cha
sme. Le D' Raymond interprétait le cas de la façon suivante : a Ces troubles s'expliquent suffisamment, nous le pensons du moi
'une influence nerveuse à peu près problématique pour expliquer les troubles de nutrition auxquels nous faisons allusion. Il
n l'interprétation que nous venons de donner de l'anesthésie et des troubles trophiques. Ces causes de l'abaissement de la t
due jusqu'au milieu de l'avant-bras. Cette fois encore pas d'autres troubles de la sensibilité, sauf l'absence du réflexe ph
oc- cupé de son état. ,Motilité. Moyennement musclé. Pas d'autres troubles musculaires que FiG. 6. Fig. 7. CONTRIBUTIO
e : autre manifestation de l'hystérie. Cette éclosion successive de troubles somatiques nous rappelle le passage suivant de l'
es nettement et pour ce qu'elles étaient réelle- ment, à moins d'un trouble morbide quelconque tel que la dyschro- matopsie
S JEUNES SUJETS PRÉSENTANT AVEC OU SANS CRISES ÉPILEPTIFORMES , DES TROUBLES MOTEURS ,. OU PSYCIIIQUES i Le titre de ce tr
trophie cérébrale partielle ou la porencéplialie peuvent amener des troubles moteurs variés, de l'épilepsie et,jusclu';1 l'i
ces affections, causes certaines d'un retard dans l'évolution et de troubles variant jusqu'à l'idiotie; mais nous ignorons a
i-même, est peu fait pour frapper. Par contre, la généralisation du trouble moteur, sa localisation aux deux membres inféri
ments mercuriels, les conditions de leur apparition, les différents troubles névropathiques qui presque toujours accompagnen
ques du système nerveux périphérique, qu'ils sont de l'ordre de ces troubles purement fonctionnels qui figurent d'ailleurs d
le tremblement se présente seul, sans accompagnement d'aucun autre trouble hystérique. Et c'est à l'étude des faits de cet
cependant à travailler tant bien que mal, régulièrement. Ces divers troubles persistaient sans s'atténuer le moins du monde,
ments d'oreilles, des battements dans les tempes; peu après il voit trouble , il chancelle, tombe et l'attaque commence. L
hôpital ne diffèrent en rien de l'attaque provoquée.) Motilité. Les troubles permanents de la motilité qu'on observe chez B.
nt pas exagérés, mais plutôt affaiblis. 3° Tremblement. De tous les troubles de la motilité qu'il présente, le plus marqué,
époque, il eut une blennorrhagie assez intense, qui s'accompagna de troubles vésicaux et de douleurs rhumatismales aux genou
etc.). Il n'a cependant jamais abusé des boissons alcooliques. Ces troubles divers persistèrent. Tel était l'état du malade
s jambes. Les sphincters fonctionnent nor- malement. Il n'y a aucun trouble de la motilité, ni à la face ni aux membres sup
de la suffocation, une rougeur très vive de la face; puis la vue se trouble , le malade chancelle, demande à s'asseoir. Mais i
able ! La démarche, la parole lente et scandée, les ver- tiges, les troubles si spéciaux de la vue, enfin tous les symptômes c
aitée à la Charité en 1887, il existait depuis plusieurs années des troubles de la vue, de l'embarras de la parole ; de lemp
s est plutôt gai, il a le rire facile et désordonné. 7° Quant aux troubles oculaires, leur différence dans la névrose et la
TÉRIQUES « SIMULATEURS ». 137 leur rachidienne, la délimitation des troubles de la sensibilité. etc., sont des éléments de p
bre de types intermédiaires. Elle se complique, suivant les cas, de troubles sensitifs, vésico-rectaux, trophiques, etc. On
avait jadis craché le sang, se plaignait de douleurs en ceinture, de troubles des fonctions urinaires; il était chétif, et on
é de la hanche. Sa démarche est celle de la paralysie hystérique. Troubles de la sensibilité. Le membre inférieur est insens
e des membres inférieurs. Cette paralysie motrice s'accom- pagne de troubles de la sensibilité cutanée dont la délimitation es
lique et le même traumatisme donne lieu à la même para- plégie. Les troubles moteurs sont identiques aux précédents. L'anesthé
le tombe brusquement avec une paralysie des membres inférieurs. Les troubles moteurs sont analogues à ceux des deux expérience
'est là un caractère qui, joint à la délimitation supérieure de ces troubles de la sensibilité, suffirait pour en ré\éler l'or
rmillements douloureux, rachialgie osseuse, abolition des réflexes, troubles électriques; 2° Des signes de qltasi-certitude
s lèvres « en cul de poule » et ne peut siffler. On n'observe aucun trouble de la déglutition, pas de nasonnement, pas d'at
le malade n'y a jamais observé de changement de colo- ration ni de troubles trophiques véritables. Le malade dit avoir fréq
és paresseux. Et cependant n'y a ni ataxic, ni signe de Romberg, ni troubles de la sensibilité. L'état général du malade est
s de paralysie interne des yeux, pas d'altération de la vue, pas de troubles du fond de l'oeil. Le masséter droit est un peu
n que celles des nerfs rachidiens n'ont nullement été touehées. Les troubles de la sensibilité font complètement défaut et les
douleur lancinante au- dessus de la hanche gauche. Au reste, les troubles de la sensibilité (anesthésie, paresthésie) ont c
rs gastralgiques. Sa mère, âgée de quarante- sept ans, présente des troubles mentaux; ces troubles auraient débuté en 1868 à l
ère, âgée de quarante- sept ans, présente des troubles mentaux; ces troubles auraient débuté en 1868 à la suite d'un accouch
on. Sauf cet état mental qu'elle raconte, il n'y a aucune espèce de trouble intel- lectuel ou affectif. Elle ne présente
èce de trouble intel- lectuel ou affectif. Elle ne présente aucun trouble de la motilité; elle vaque quotidiennement aux
r la généralisation du tremblement, sa longue durée et l'absence de troubles de la sensibilité. Seulement il existait chez ce
hésie vési- cale avec incontinence d'urine. Paraplégie flasque sans troubles trophiques. Réflexes rotuliens normaux. Sympt
ystériques. Rétrécissement concentrique à 15° pour les deux yeux. Troubles visuels. -Achromatopsie binoculaire, diplopie mon
tion des réflexes pupillaires, diminution de l'acuité visuelle. ' Troubles auditifs. Diminution de l'acuité auditive (surtou
e dysménorrhée très douloureuse. Elle n'avait jamais présenté aucun trouble nerveux bien caractérisé, lorsqu'il y a un an ell
le 19 mai, date à laquelle il apparut.brusquement.(précédé par les troubles qui caractérisent l'aura hystérique, et quelque
t touché. Absence de douleurs et de démangeaisons d'aucun ordre, de troubles trophiques ou vaso-moteurs. Les ongles sont d'a
ésenter des altérations fonctionnelles bien sensibles en dehors des troubles sudoripares. Les divers appareils de l'économie
ont ni sinueuses ni athéromateuses. Les poumons ne présentent aucun trouble respiratoire. Le tube digestif n'offre aucune a
me alimentaire de notre malade, sont normaux et ne trahissent aucun trouble de la nutrilion. Le volume (1200 gr.), l'aspect
evenu incessant; la jambe droite commençait aussi à trem- bler. Les troubles dyspeptiques, la céphalée constrictive, le point
crises devinrent un moment moins fréquenles. De- puis lors tous les troubles que présentait le malade lors de sa première atta
complètement aboli sur toute la moitié droite de la langue. Pas de troubles oculaires. Zone hystérogène. Lorsqu'on exerce u
ssion, sa santé resta parfaite. Il n'éprouvait aucun malaise, aucun trouble nerveux notamment, lorsqu'il fut victime d'un a
tait pris d'un besoin de sommeil irrésistible. Il attribua tous ces troubles à la vie sédentaire qu'il menait depuis son acc
lée occipi- tale, constrictive, elle a encore la plaque sacrée; les troubles dyspeptiques persistent. Elle est triste, apath
eprendre ses occupations. Tremblement. Indépendamment de ces divers troubles , elle présente d'ailleurs un tremblement très i
oir. En septembre 1888, il y a un an, elle commença à ressentir les troubles suivants : faiblesse générale, céphalée constri
travail lui devenait insupportable. Au mois de mai 1889, ces divers troubles s'accentuèrent. Elle avait beau- coup de peine
e, les membres infé- rieurs, la face, la langue ne présentent aucun trouble de la motililé. Il n'existe aucune zone hystéro
ues jours après cet accident, elle commença à éprouver une série de troubles qui ont toujours persisté depuis lors et qui sont
uque. Une nuit vers onze heures, les douleurs redoublent, la vue se trouble et elle perdit connaissance. La personne qui ét
u champ visuel, nous firent porter, malgré la bizarrerie des autres troubles nerveux (crises de douleurs céphaliques accompagn
aul moyens à notre disposition pour pénétrer la nature intime des troubles de la pensée. L'examen morphologique des aliéné
ce qui s'explique aisément lorsqu'on réfléchit qu'en dehors de tout trouble pathologique il suffit pour la produire d'un dé
- phalie, etc.), ou à des lésions osseuses (syphilis), à de simples troubles de la circulation sous l'influence d'une attitu
TERNE. 223 bulbaires ou spinaux. Les douleurs dans les membres, les troubles gastriques ou intestinaux, les phénomènes fébri
réflexes, l'absence de douleurs, de tremblement, de contracture, de troubles de la sensibilité, complètent le tableau cli- n
le de tout individu atteint d'atrophie des membres infé- rieurs. Le trouble peut aller de la simple faiblesse, s'accusant par
is qu'il est bien instruc- tif d'observer. Ce sont d'ailleurs des troubles moteurs que l'on rencontre chez tous les amyotr
un examen un peu minutieux du malade. Tout d'abord cette absence de troubles dans les réactions électriques dont nous parlions
la marche de l'atrophie, la durée de son évolution, la présence des troubles ocu- laires, devaient faire écarter l'hypothèse
es du voile du palais et du pharynx, de l'orbicu- laire des lèvres, troubles de la parole. Enfin les quatre membres étaient
rédominance de l'atrophie dans tel ou tel groupe musculaire et sans troubles de la sensibilité. La con- tractilité faradique
signe bien caractéristique qui est la dissociation particulière des troubles de la sensibilité. Chez les malades atteints de p
ALPÊTRIÈRE. éliminée, surtout s'il existe en outre quelques-uns des troubles tro- phiques, bulles, panaris, arthropathies, s
ssement des deux mains, puis des IlIle6mlu ? e.s ? riellrsLdyspnée, troubles de la déglutition, embarras de la*po1e** *Lc I(
t inférieurs. Pas de paralysie dc la langue. Pas d'atrophie. Pas de troubles de la sensibilité. Réflexe rotuliou conservé. Pas
nts bilieux qui revenaient presque tous les jours, le matin; pas de troubles moteurs, sauf une certaine incertitude de la marc
ossible. Jamais le malade n'a éprouvé de douleurs fulgurantes ni de troubles de la motilité. A son admission (15 avril 1885)
un embarras de la parole, de la parésie du voile du palais. Pas de troubles bien prononcés de la sensibilité générale et de
successive- ment un ptosis droit et gauche, et en 1886 une série de troubles intellectuels sur lesquels nous croyons inutile
es autres sens. L'intelligence est bien développée, il n'y a pas de troubles génito-urinaires, toutes les fonctions s'exécuten
PHOTOTYPE négatif A. LONDE PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne de Longuet. TROUBLES TROPHIQUES DANS LA SYRINGOMYÉLIE NOUVELLE Icono
ototype NÉGATIF A . LONDE PHOTOCOLLOGRAFHIE CHÈNE & Longuet T TROUBLES TROPHIQUES DANS LA SYRINGOMYÉLIE Lecrosnier &am
touchés et le champ visuel, en particulier, n'est pas rétréci. Les troubles vaso-moteurs sont identiques à ceux signalés par
sance très obscurcie, délire, faiblesse parétique des extrémités et troubles particu- liers dans les mouvements des yeux.
ns devinrent plus violents; c'est à cette époque qu'on remarqua des troubles dans les mouvements des yeux; la santé du malad
it de l'un et de l'autre oeil; on ne peut pas non plus remarquer de troubles de l'accommodation. Malheureusement il n'était pa
embre. Dès le 4 octobre, paralysie du voile palatin; le 2 novembre, troubles visuels et fai- blesse des quatre membres. Pt
inférieur. Sur l'oeil gauche : paralysie des muscles droits. Aucun trouble de l'accom- modation, aucun rétrécissement du c
us fortement atteint. Excitabilité électrique normale. Pas d'autres troubles de la sensibilité que de l'hyperesthésie des memb
s réflexes cutanés vésicaux et rec- taux sont intacts. Pas d'autres troubles vaso-moteurs qu'un refroidissement des membres
ce à ce qu'on appelle i la polioeacéplzaLomélite. ! 5° L'absence de troubles de la sensibilité, de paralysie de la vessie ou
d'origine congénitale à l'absence des cartilages tarses. Quant aux troubles fonctionnels, blépharospasme, ptosis, etc., je n'
dentaire doit être examiné au point de vue de ses anomalies et des troubles pathologiques. Cette élude dans ses rapports av
définitive, ils constituent, suivant l'opinion de Arndti, autant de troubles de développement et devien- nent ainsi des sign
e l'électricité et l'engagea à entrer à l'hôpital. État actuel. - Troubles moteurs. Membres inférieurs. - 1° Membre inféri
me. Les membres supérieurs et le reste du corps ne présentent aucun trouble moteur. Dynamomètre : main droite, 46; main gau
squ'on fait marcher le malade, il va en traînant la jambe droite. Troubles urinaires. Depuis quatre jours, le malade souffre
rine d'aspect normal. La sensibilité uréthrale était conservée. Ces troubles urinaires per- sislaient encore huit jours aprè
à l'hôpital Necker, à la consultation de M. le professeur Guyon. Troubles de la sensibilité. - Hémihypoesthésie droite très
ES « SIMULATEURS ». 303 partout conservé. 11 n'y a en dehors de ces troubles sensitivo-sensoriels aucune douleur subjective
avec une hémianesthésie droite. Quelque temps après surviennent des troubles oculaires qui font penseràune affaire spécifiqu
riels. Que faut-il de plus pour affirmer l'ori- gine hystérique des troubles moteurs et urinaires qu'il présente ? L'hystéri
ait pas l'intégrité du membre supérieur, la monoplégie crurale, les troubles vésicaux, etc. Etlaparalysie faciale qui a pu d
supérieurs ne présentent rien de spécial à noter. Sensibilité. Les troubles de la sensibilité, absents à l'entrée de la mal
Les paraplégies syphilitiques n'évo- luent pas ainsi; en outre, les troubles de la sensibilité y sont diffus et irréguliers
roit n'est pas atrophié. Les réflexes patellaires sont normaux. . Troubles de la sensibilité. Il existe une hémianesthésie s
t. Cette claudication, qui n'était accompagnée ni de douleurs ni de troubles de la sensibilité, disparut brusquement après d
é. Si on considère enfin que cette jeune fille présente en plus des troubles de la sensibilité cutanée, on arrivera, il nous
n cou, comme si elle étouffait; les yeux restent entr'ouverts. 1° Troubles moteurs. Les membres supérieurs sont parfaitement
s, pendant ses attaques laryngées, on est obligé de la sonder. 20 Troubles de la sensibilité. - La sensibilité est'normale d
sion. Elle a remarqué quelque temps après qu'elle était voûtée. Les troubles de la marche ont été en pro- gressant peu à peu
corps, pour tous ses modes. En outre, il existe à la main gauche des troubles trophiques très marqués. La main entière est au
886. La malade est prise d'épistaxis, de céphalalgie, de fièvre, de troubles cérébraux ataxiques. On pense d'abord, étant donn
t que les antécédents paternels ren- daient très vraisemblable. Les troubles trophiques et la sensibilité furent mis très vr
tement hystérique et nous sommes entièrement convaincu que tous ces troubles qui existent dans l'hystérie relevaient de la g
rs que cette observation présente quelques contradictions, mais les troubles oculaires constatés à deux reprises différentes
plégie avec contracture et douleurs vives au niveau des genoux, des troubles de la sensibilité : hyperesthésie cutanée, allant
urs et du ballonnement du ventre. La paraplégie était complète avec troubles des sphincters. On essaye, mais sans succès, de
ns vue le 10 août 1890 et nous avons trouvé les signes suivants : Troubles de la sensibilité. Hyperesthésie en plaques, |pou
ienne droite; la pression réveille des phénomènes d'aura. Quant aux troubles des sens, l'ouïe est abolie du côté gauche, mai
l est rétréci concentriquement et de chaque côté à 65° en dehors. Troubles moteurs. 1° Chorée rhythmée classique du bras gau
normaux et égaux des deux côtés. Pas de trépidation spinale. Pas de troubles trophiques. Dysurie ayant fait place à l'incont
ue la marche à quatre mains, etc. Pas d'abasie en un mot. Outre ces troubles moteurs et sensitifs et ces signes probables d'hé
spéciale explorée avec' soin, il diverses reprises, ne révèle aucun trouble . Le goût, l'odorat, l'ouïe, le champ visuel, so
ête dès qu'on fléchit'le pied dans la flexion plantaire. Absence de troubles vésicaux ou rectaux. Pas de troubles trophiques
flexion plantaire. Absence de troubles vésicaux ou rectaux. Pas de troubles trophiques. Rien a noter dans les divers viscères
situé à 3 centimètres au-dessous de la ligne bimamelonnaire. Pas de troubles fonctionnels. Dans la troisième observation due
st pas portée de ce côté, et aussi à l'absence presque constante de troubles fonctionnels qui la laissent parfois ignorée du
x soeurs ont été aliénées, dont les fils ont également présenté des troubles mentaux, a toujours été regardé comme un excent
llie latérale et symétrique du thorax à sa partie inférieure. Aucun trouble fonctionnel. Taille, 160, Diamètre sterno-ver
es trois malades. Le thorax en entonnoir ne paraît pas entraîner de troubles fonction- nels sérieux, ni pour l'appareil resp
mais le sujet pouvait mar- cher, courir, monter des escaliers, sans trouble aucun de la respiration. Deux de nos malades so
cement congénital du coeur à gauche. Eggel croit que, par suite des troubles de' la nutrition ou du développement, il se produ
illes sont le siège d'un refroidissement souvent douloureux, et les troubles de la circulation s'objectivent par une coloratio
jusqu'à l'âge de quarante et un'ans. Etant enfant, il n'a eu aucun trouble névropathique, ni aucune affection scrofuleuse,
bite avec perte de connaissance et miction involontaire, sans aucun trouble prémonitoire. Depuis cette époque jusqu'à son e
les doigts, mais il est incapable de fixer l'époque du début de ces troubles . Il a eu, il y a cinq ans, ce qu'il appelle un pa
En somme, chez ce malade, les manifestations épileptiques et les troubles de la circulation cutanée paraissent s'être dével
permis d'établir une rela- tion d'origine entre ces deux ordres de troubles . Cette coïncidence mérite d'être rapprochée de
double forme avec l'asphyxie locale des extrémités, où il a vu les troubles circulatoires se manifester exclusivement dans la
de son âge.' Jusqu'à celle époque, on n'avait remarqué chez lui ni troubles oculaires ni phénomènes paralytiques d'aucune e
tte même époque, la déviation des yeux, la paralysie faciale et les troubles du langage. Ces divers accidents semblent, au d
9 geste derrière le sternum. Il a eu, toujours depuis le début, des troubles de N la mastication et de la déglutition. L'int
Les divers appareils, circulatoire, respiratoire, ne présentent aucun trouble appréciable. Nous n'avons pas depuis cette de
ne bulbo-prolubérantielle ressortissant au type Millard-Gubler. Les troubles des yeux et du lan- gage qui la compliquent mér
outeuse; la paralysie de l'hy- poglosse se traduit en effet par des troubles de la parole, de la mastica- tion et de la dégl
t le par- quet ; elle a plutôt l'air de glisser. Décembre 1889. Les troubles moteurs se sont encore amendés un peu; elle sou
s spasmodiques. La sensibilité explorée avec soin ne présente aucun trouble sensitif ni sensoriel. La malade n'accuse du re
t glisser seule d'un lit à l'autre dans la salle. En mars 1890, les troubles moteurs sont toujours en amélioration croissante.
Etat a2t 5 octobre 1890. Monoplégie brachiale droite complète sans troubles de la sensibilité. Le mouvement est revenu tout à
des caractères propres et de l'évolution de la paraplégie. 1 ° Les troubles de la sensibilité sont différents. Dans le cas de
rie. L'anesthésie cutanée, au contraire, accompagne fréquemment les troubles moteurs de la névrose. Or cette anesthésie se p
élimitées par une ligne perpendiculaire il l'axe du tronc. 2° Les troubles moteurs, l'exagération des réflexes, les trépidat
t dans les paralysies spinales. Mais il ne faut pas oublier que ces troubles électriques peu- vent se rencontrer aussi dans
vent se rencontrer aussi dans les paraplégies hystériques. A. Les troubles trophiques, tels que esclaccres, ulcérations prof
n peut donc, en résumé, rencontrer chez l'hystérique deux ordres de troubles moteurs : 1° L'astasie-abasie qui fera rarement
LATEURS ». 381 diagnostic. D'ordinaire, elle coexiste avec d'antres troubles simula- teurs. Il faut savoir en effet que les
, sont chose fréquente dans la névrose, non moins que divers autres troubles de la sensibilité : hyperesthésies, anesthésies,
thésies, anesthésies, perte du sens musculaire, etc. ; qu'enfin les troubles vésicaux (réten- tion, incontinence d'urine, pa
bles vésicaux (réten- tion, incontinence d'urine, par exemple), les troubles oculaires (am- blyopie, diplopie, dyschromatops
de douleurs qui s'accompagnaient très souvent de vomissements. Les troubles moteurs étaient si accusés qu'elle faisait à pe
rétention ni incontinence d'urine. Étal actuel (février 1890). 1° Troubles de la motricité. - Paraplégie complète tenant l
du coude et du poignet, sont normaux et égaux de chaque côté. 2° Troubles de la sensibilité. Dans le courant de cette année
dans les membres. En dehors de ces douleurs, la malade présente des troubles de la sensibilité caractéristiques : une anesth
comme les jambes d'un tabétique arrivé à la période paralytique. Troubles sensoriels. L'odorat, l'ouïe, le goût, sont norma
es qui la font disparaître varient selon les différentes distances. Troubles urinaires caractérisés simplement par un peu de p
naires caractérisés simplement par un peu de paresse vési- cale. Ni troubles trophiques ni troubles vaso-moteurs. L'examen éle
plement par un peu de paresse vési- cale. Ni troubles trophiques ni troubles vaso-moteurs. L'examen électrique pratiqué par
u reste du corps, l'anesthésie pharyngée, la microméga- lopsie, les troubles oculaires, la perte totale du sens musculaire et
exus morbide nous semble relever de l'hystérie seule. En effet, les troubles de la vue : diminution de l'acuité visuelle, di
délire avec vision d'animaux effrayants durant toute la soirée. Ces troubles ont disparu à la suite d'une application de gla
e : main droite, 19; main gauche, 16. Ce malade présente encore des troubles vésicaux caractérisés par une rétention d'urine
deux calhétérismes quoti- diens. Les selles sont régulières. Les troubles de la sensibilité sont très caractéristiques L'an
tinuait. Rien n'est plus redouté du malade que cette exploration. Troubles oculaires (Examen pratiqué par M. le D,. Koenig).
ement abolis des deux côtés. -L'ouïeesl très affaiblie. Outre ces troubles sensoriels, le malade est sujet à des attaques sp
'avons suffisamment démontré. En outre, il n'est qu'hystérique. Les troubles moteurs, l'incoordination motrice ne sauraient
la paraplégie qui tient sous sa dépendance l'incoordination et les troubles vésicaux. La démarche de ce malade qui s'avance c
al quatre jours après son entrée. Pas de lésions cardiaques. Pas de troubles viscéraux. Les urines ne renferment ni sucre ni
s, des crises gastriques, les signes de Romberg et de Westphal, des troubles oculaires, vésicaux, un peu d'incoordination mo
chenne. Mais, d'autre part, cet homme est un hystérique avéré : les troubles de la sensibilité générale et spéciale, les hyp
e, et à la suite de cette jaunisse une paraplégie est survenue avec troubles dans la sensibi- lité. L'incoordination motrice
le signe de Romberg, les douleurs dans les membres inférieurs, les troubles oculaires, etc., pouvaient bien faire songer à
absence ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». , 395 de troubles électriques. En somme, il est fort vraisemblable
es manifestations ». En effet, les vraies douleurs fulgurantes, les troubles oculaires, vésicaux, sont absents. L'existence
ontre, il y est parlé d'une hémiparésie gauche, de l'apparition des troubles moteurs à la suite d'une émotion morale, de la
moteurs à la suite d'une émotion morale, de la disparition de ces troubles coïncidant avec le retour de la sensibilité plant
et un ans, atteinte des symp- tômes classiques de l'hystérie et de troubles psychiques; qui mourut de tuberculose. Au lieu
: douleurs fulgurantes, crises viscérales, incoordination motrice, troubles vésicaux, etc., tous signes qui peuvent avoir leu
e comparative des manifestations hystériques et tabé- tiques. '1° Troubles sensitifs. (a) Les douleurs fulgurantes du tabes
Oulmont' au moyen de la méthode graphique. D'après cet auteur, ces troubles sont fréquents, généralisés, symétriques, et occu
e progressive. Il nous semble inutile d'insister sur ce point. 2° Troubles moteurs. (a) L'incoordination des mouvements pré-
i spé- ciaux qu'elle prête rarement à la confusion. Et pourtant les troubles moteurs, l'incoordination même, ne sont pas exc
e, ne sont pas exceptionnels dans 1. Oulmont, De la répartition des troubles de la sensibilité dans le labes dorsal, etc. (S
'"près Pitres). 406 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. 3° Troubles vésicaux. Ici encore la différenciation est malai
ison d'une paraplégie, comme dans le cas rapporté par Briquet. 4° Troubles oculaires. Les éléments différentiels tirés de l'
ir être rapide comme son développement. » L'existence de ce nouveau trouble trophique dans l'hystérie était à peine signalé
is, 1889, p. 416. 9. Thibaut, loc. cil. 10. Chantcmosso et Widal, Troubles trophiques liés à l'hystérie... (Soc. urétl.llop.
été le plus fréquemment le siège de manifestations hystériques, de troubles de sensibilité en particulier. 2° Il peut exi
re une place 1. Gilles de l.i et Dutil, Contribution ri l'élude des troubles trophiques dans 2. Babinski, loc. cil., p. 476.
prétation plus logique, plus conforme il la pathogénie générale des troubles trophiques et à l'expérimentation. Rien, a prio
duit l'atrophie musculaire ne puisse amener, du côté des nerfs, des troubles trophiques analogues. M. Mousseuse dans ses rec
s lésions musculaires, l'auteur ne les considère-t-il pas comme des troubles trophiques survenus dans les nerfs pour la même
ubles trophiques survenus dans les nerfs pour la même cause que les troubles trophiques survenus dans les muscles ? Dans tou
r, et c'est précisément à cause de son existence que l'hypothèse de troubles trophiques du côté des nerfs nous paraît défendab
l est évident que, au double point de vue de la localisation et des troubles électriques, ces divers faits ne sont nulle- me
des attaques de nerfs. La contracture était accompagnée de quelques troubles vaso-moteurs; la peau était, parait- il, rouge
t la chorée de Sydenham. L'an dernier, elle aurait déjà éprouvé des troubles analogues. État acfMe ? ÏYoMM de la sensibilité
oli à droite; le goût et l'ouïe notablement affaiblis du même côté. Troubles oculaires (examen de M. le D1' Koenig). OEiI ga
e, mais beaucoup plus du côlé droit, ce qui est en rapport avec les troubles de la sensibilité qui siègent à droite. Il s'
nés à l'atrophie. Elle siège exclusivement ou prédomine du côté des troubles delà sensibilité cutanée. Elle a évolué avec rapi
gente. Sa démarche est normale et ne trahit aucun (rouble moteur. Troubles de la sensibilité. 7létnàcttestltésie droite comp
on suppurative, adhérences du tympan ; audition bonne à droite. » - Troubles oculaires (examen des yeux pratiqué par M. Pari
mouvements fibrillaires provoqués par le passage du courant. Aucun trouble électrique. 20 Membre inférieur. Du côté gauche,
té droit déjà hémiplégie. C'est en effet de ce côté que siègent les troubles sensitifs généraux et spéciaux, c'est de ce côt
odorat et la vue sont abolis et que se trouvent l'hémispasme et les troubles amyotrophiques. L'hémianesthé- sie permanente,
développée et a bientôt dominé la scène morbide, en déterminant des troubles sensitifs, sensoriels, trophiques, et une amyotro
es principales fonctions s'accomplissent bien; il ne présente aucun trouble de la miclion ni de la défécation. Si l'on exam
nutrition et de la sensibilité, on constate des lésions nombreuses. Troubles moteurs et trophiques de la moitié gauche du corp
t un aspect violacé dès qu'on les expose quelque temps à l'air. Ces troubles vaso-moteurs s'exagèrent dès que le malade se tie
volume. Au cou, on ne trouve rien de par- ticulier à signaler. 2» Troubles moteurs et trophiques de la moitié droite du corp
ni- festation sensible. Le réflexe cornéen n'existe plus. Quant aux troubles sen- soriels, on ne constate que l'absence tota
sence totale du goût et de l'odorat. Du côté de la vue, il n'y a ni troubles de la motilité, ni troubles de l'accommodation.
'odorat. Du côté de la vue, il n'y a ni troubles de la motilité, ni troubles de l'accommodation. Le champ visuel est légèrem
métrique, comme dans l'observation LXVIII, c'est encore du côté des troubles de la sensibilité qu'elle est plus accusée et p
ar des lignes à contours nets. Jusqu'ici, la ressemblance entre les troubles de la sensibilité cutanée dans la névrose et da
r dans l'hystérie; ce ne sont donc ni le siège, ni le degré, ni les troubles électriques qui établiront une séparation entre
ssi reproduire les symptômes poliomyéliques mé- dians, à savoir des troubles vaso-moteurs, des oedèmes, la scoliose, 1. Pitr
A SALPÊTRIÈRE. les rétractions (ibro-cicatricielles, etc., elc. Les troubles vaso-moteurs de toute sorte sont trop fréquents
syringomyélique delà sensibilité, l'amyo- trophie, les oedèmes, les troubles vaso-moteurs, la scoliose, etc., se retrouvent
cet homme n'avait pas d'attaques, pas de zones hystérogènes, pas dc troubles des sensspé- ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES «
vers ce diagnostic qui explique plus facilement le petit nombre de troubles nerveux. Il pense qu'il n'y a pas de bonnes rai
se et les bulles constatées sur la main droite, mais ce sont là des troubles trophiques dont l'existence dans l'hystérie n'e
étude. La perte du sens musculaire, la parésie, la prédominance des troubles sensitivo-moteurs du côté gauche, plaident dans
phénomènes extrinsèques tels que oedème violacé du dos de la main, troubles trophiques cutanés, sco- liose, etc... Nous ne
sens de la névrose isolée ou du moins associée. La coexistence de troubles sensoriels exception faite jusqu'à nou- vel ord
gliomatose médullaire (Archiv. ile Neurol., 1888). G. 1)aumschino, Troubles trophiques dans l'hystérie (Cas. des //lip" 1880)
guère du reste que chez des sujets franchement hystériques. 4° Les troubles trophiques : éruptions cutanées diverses, bulles,
ique, peuvent exister dans l'hystérie et dans la syringomyélie. Ces troubles trophiques sont cependant l'exception dans la n
ité thoracique a été trouvée la même qu'au précédent examen. Pas de troubles 'de la parole. L... raconte qu'en 1883 aussi,
nt d'aucune souffrance particu- lière, il n'a pas de fièvre, pas de troubles gastriques, mais ses mouvements 1. Ch. Féré et
ment des muscles et de la peau du côté opposé semble en faveur d'un trouble d'évolution remontant a une époque très précoce
mmeil, l'amélioration de l'état général, du signe de Romberg et des troubles de la miction. Ils n'ont constaté que beaucoup pl
ca- taleptique du grand hypnotisme, 6, 7, S, 9. 9. Syringomyélie ( Troubles trophiques dans 'la), 29,30. Thorax en entonn
35 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
diumnique » ? Quoi qu'il en soit, il semble pour l'instant, que ces troubles mentaux se présentent sous trois modalités diff
tes de ce délire, débutant et finissant avec lui. Dans ce cas, le trouble mental ne diffère de la médiumnité commune que
e, elle devint plus agitée, plus absorbée ; un soir, elle sentit un trouble plus pro- fond et vit une grande lumière se fai
écoce et doulou- 8 CLINIQUE MENTALE. reuse au moindre effort, des troubles vasomoteurs, de la tachycar- die, de l'insomnie
ne, chaleur et sécheresse de la peau, pouls contracté, tachicardie, troubles vasomoteurs, bouffées con- gestives avec picott
t, comme les proliférations osseuses endofrontales le résultat de troubles inflammatoires intracrâniens, ayant exagéré la ci
la moitié du crâne insuffisamment développé on trouve également les troubles d'ossification (épaisseur plus grande) rencontr
ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des lésions cérébrales et à la diversité des troubles patholo- giques. Mais qu'on se rappelle ce que
clusions tirées de ce cas. Il faut probablement placer le siège des troubles 52 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. donnant li
avec paralysie du droit supérieur. On attribua pendant la vie, ces troubles au tabes. L'autopsie dé- montra qu'ils étaient
Déjerine et A. Thomas à la Société de neurologie comme atteint de troubles de l'équilibre et qui, selon lui, serait atteint
se ramener à troisformespriucipales : 1° Celle avec prédominance de troubles sensitifs (acrocyanose chronique à forme sensit
trique. Ce cas présente en outre un phénomène rarement signalé, des troubles de la sensibilité objec- tive et subjective, do
sie de la face. Réflexions sur l'étendue des anesthésies et sur les troubles trophiques et moteurs de la face d'origine symp
rvation que rapporte l'auteur l'a conduit à étudier la question des troubles sensitifs et de l'hémiatrophie faciale, d'ori-
muscles du bras et de l'épaule avec réaction de dégénérescence, de troubles trophiques de la peau de la main. Il présentait
bilité était conservée à l'épaule et dans presque tout le bras, les troubles sensitifs n'étaient pas superposables aux troub
out le bras, les troubles sensitifs n'étaient pas superposables aux troubles moteurs et trophiques. Il y avait enfin du myos
traumatique du plexux brachial, l'explication de la répartition des troubles sensitifs doit être cherchée dans des anastomos
cas (asthénie, vomisse- ment incoercibles; accès de grande tétanie; troubles nrinaires fort variés : polyurie ou anurie, alb
cines antérieures correspondantes. Pas de zone d'anes- thésie : les troubles de sensibilité consistaient uniquement en 64 RE
rité de la sensibilité générale est constante, pathognomonique. Les troubles intellectuels, s'ils existent, sont consécutifs.
et non croisés, comme pour celles des hémis- phères cérébraux ; les troubles dits cérébelleux (perturbation de l'équilibre,
t la même loi : pour les tumeurs du lobe mé- dian et du vermis, les troubles occupent les deux côtés du corps. (Revue neurol
ollissements emboliques ; elle est, le plus souvent, associée à des troubles aphasiques, à la cécité verbale, ou à des hémip
uire de la surdité physique ou de la surdité verbale, ou encore des troubles d'aphasie sensorielle ; dans d'autres cas enfin,
e peut provoquer une attaque d'épilepsie. L'au- teur estime que les troubles qui accompagnent le début de la crise épileptiq
finition suivante : L'épilepsie est une maladie caractérisée par un trouble brusque de l'inhibition régulatrice normale qui
gulatrice normale qui s'exerce entre les centres nerveux corticaux, trouble qui est originairement provoqué par une excitatio
d'origine auriculaire. M. Bonnier présente deux malades atteints de troubles bulbaires d'origine optique. Dans l'un des cas,
lisée surtout à la racine des membres accompagnée de douleurs et de troubles psychiques suffit à justifier l'autonomie d'un
tique qui serait tout à fait banale si elle ne s'accompagnait de troubles de la sensibilité à topographie radiculaire. L'ex
s de la sensibilité à topographie radiculaire. L'existence , de ces troubles de la sensibilité jointe à la présence d'une lymp
étaient exa- gérés, sans clonus net, avec orteil en flexion. Aucun trouble sensitif vaso-moteur ou trophique. La vue a not
qui est dû à une névrite optique par stase papillaire. Pas d'autre trouble psychique qu'une diminution considérable de la mé
cécité et sept syphilitiques sans signes de tabes mais avec ou sans troubles visuels. Nous avons trouvé dans la plupart des
nerf optique, de phosphènes qui peuvent être le point de départ de troubles mentaux, pendant laquelle le malade perd toute
e, sans aucun appui. Il est probable que cet enfant présentait un trouble fonctionnel des centres associés et que la sugges
être provoquée encore par la fièvre typhoïde, par l'ictère, par des troubles gastro-intes- tinaux, par des tumeurs malignes,
éfinition des symptômes différentiels de cette maladie, puisque des troubles de mémoire analogues peuvent s'observer aussi d
omme, par exemple, la paralysie générale est une asso- ciation d'un trouble psychique avec des modifications organiques du
es et des accès de polypuée.. z BIBLIOGRAPHIE. 91 Comparant les troubles consécutifs à la parathyroïdectomie chez les an
a différence qu'il y a entre eux. Dans la thyroï- dectomie on a des troubles trophiques affectant une marche chro- nique, ta
raduisant par des symptô- mes digestif (vomissements, diarrhée) des troubles nerveux : con- tractures, convulsions épileptif
usions de ce travail : On trouve constamment dans l'acromégalie des troubles des échanges nutritifs, Ces troubles sont repré
tamment dans l'acromégalie des troubles des échanges nutritifs, Ces troubles sont représentés par une rétention marquée de c
s très faibles. L'examen de la sensibilité fait constater de gros troubles objectifs occupant la main et l'avant-bras ; ce
sie prédomine, la bande interne est la moins touchée des trois. Ces troubles consistent en anes- thésies et portent surtout
je place sous vos yeux, vous rendre compte de la disposition de ces troubles de la sensibilité objective. J'ajoute qu'au niv
purement mécanique, la face n'est plus aujourd'hui le iiège d'aucun trouble mo- teur : le malade peut siffler, souffler, ri
au lait très clair - je remarque qu'il n'existait à ce niveau aucun trouble de sensibilité -; à la face posté- rieure du co
. i L'étude de la sensibilité n'était pas moins instructive : les troubles constatés intéressaient* les trois modes de la se
ion, et vous verrez tout à l'heure quelle est l'impor- tance de ces troubles . Fig, 22, DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 115'
e Chez l'un comme chez l'autre, ils consistent essentiellement en troubles moteurs paralytiques débutant par la périphérie
xes tendineux en rapport avec l'amyotrophie, dans l'existence des troubles sensitifs à la fois subjectifs et objectifs, ces
çon à reproduire une véritable dissociation de la sensibilité, en troubles trophiques ponvant aller jusqu'à l'ulcération, en
ents nous avons les mêmes caractères cliniques objectifs, les mêmes troubles des réac- tions électriques : vous retrouvez do
est indemne, mais surtout nous avons relevé chez nos malades des troubles très marqués de la sensibilité : anesthésies, h
trophie musculaires, dans lesquelles on notait expressément que les troubles de la sensibilité faisaient défaut, répondent à
démontré le bien fondé de cette manièire de voir. Du moment que des troubles de sensibilité un peu importants sont superposé
phie débutant par les petits muscles des mains et s'accompagnant de troubles profonds de la sensibilité; or ces signes sont
dire, la présence et les caractères de l'atrophie mus- culaire, les troubles des réactions électriques, l'existence de troub
- culaire, les troubles des réactions électriques, l'existence de troubles de la sensibilité objective, leur nature et leurs
yringomyéliques, des examens ultérieurs ont bien démon- tré que ces troubles affectent en réalité une répartition radi- cula
rieures. L'association clinique de la paralys des analgésies et des troubles trophiques pouvant aller jus- qu'à la chute des
e aussi nous avons des paraly- sies, des atrophies musculaires, des troubles sensitifs, l'hy- pertrophie des cordons nerveux
à la paralysie se joint l'in- coordination motrice, nous avons des troubles oculaires et notamment un ptosis accentué; du c
es ayant débuté au niveau des membres par les extré- mités, par dés troubles de la sensibilité objective intéressant inégale
isposition périphérique, par des douleurs, par des éruptions et des troubles trophi- ques du côté de la peau, enfin par l'hy
je viens de mettre sous vos yeux. La nature et la répartition des troubles trophiques que DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. t25
, la pigmentation dont la- valeur diagnostique est bien connue, les troubles de la sécrétion sudorale, l'hypersécré- tion sé
la nutrition des tissus intéressés. Mais il est un autre groupe de troubles trophiques qui ne relèvent qu'indirectement du
indirectement du bacille de la lèpre et ne s'expliquent que par les troubles de l'innervation en rapport avec l'invasion des
t d'atrophies musculaires. Faut-il ajouter que les deux ordres de troubles trophiques s'associent fréquemment entre eux, r
tique pour permettre de faire le diagnostic à distance. Quant aux troubles trophiques qui ont été observés chez les descen
rite périphérique, laquelle tient sous sa dépendance la plupart des troubles trophiques mus- culaires. cutanés, osseux même,
ubles trophiques mus- culaires. cutanés, osseux même, ainsi que les troubles sen- sitifs ; mais par quelle voie se fait l'ar
le à l'extension et à l'aggravation : aux anesthésies succèdent les troubles trophiques, les paralysies, les ulcé- rations e
ons génésiques. Sensations de lévitation. E1'otisme mystique. - Les troubles de la sensibilité générale revetent aussi des f
xieux alors que sa sensibilité interne est encore altérée, c'est un trouble coenesthesique qui lui donne l'illusion de la l
de mai, il redevient absorbé et préoccupé de métaphysique. 11 a des troubles anesthésiques bizarres, tantôt il il ne sent pa
graisseuse de la cel- lule nerveuse. Les états dits de tuméfaction trouble ne se voient ni dans les composants nerveux, ni
effet, ont une topographie périphérique et' d'autres métamérique. Troubles auditifs dans les tumeurs cérébrales. M. Souque
pression et de la macération on pouvait en observer qui relèvent de troubles trophiques consécutifs en particulier aux ictus
s vingt ans dans son service ; toutefois il ne nie point le rôle du trouble trophique. ' La prétendue bienveillance des par
-25 avril. - Présidence de M. Brunet. , Aperçu médico-légal sur les troubles mentaux ]Jost-tmumatiques. MM. Marie et VIOLET,
recueilli une centaine de cas de trauma- tismes crâniens suivis de troubles mentaux. Ils en tirent l'aperçu médico-légal su
ail, les experts seront plus souvent appelés à enquêter au sujet de troubles men- taux ayant suivi immédiatement, ou à longu
es de traumatisés aliénés ' demanderont des indemnités au sujet des troubles mentaux consécutifs. Ces trou- bles peuvent êtr
uivants de la loi. Incapacité immédiate et passagère de travail par trouble mental suivi de guérison. Incapacité passagère
ouble mental suivi de guérison. Incapacité passagère de travail par trouble men- tal non suivi de récupération totale des f
GOUROUIi. - Les relations pathogéniques d'un trauma- tisme avec les troubles psychiquessont bien difficiles àétablir; dans p
quelle mesure un traumatisme a déterminé ou hâté l'apparition , des troubles mentaux, et dans la pratique, ce problème se pose
ements par obsession ont un certain retentissement en exagérant les troubles de la sensibilité et l'état hypocondriaque. Ain
d'une obsession acquise ; la malade n'a présenté auparavant aucun trouble analogue et on ne rencontre chez elle aucun stigm
itude devenue une obsession. Cette dernière est née à l'occasion de troubles de la cénesthésie et, à ce point de vue, elle e
rtient t au groupe d'amentia de Meynert. Dans l'artériosclérose, le trouble de mémoire porte un caractèré progressif, est a
fs périphériques n'ont pas été examinés dans ces cas. Il existe des troubles psychiques, où il n'y a point de maladie de KoR
LON appuie ces observations en invoquant la périodicité de certains troubles délirants. Un cas grave d'hystérie. 11. BÉniy
tions, actes subsconscients. idées fixes, aboulie, entêtement. Ces troubles neurasthéniques nécessitent souvent des passages
chez les dégénérés. Ces modifications seraient en rapport avec des troubles d'évolu- tion du système nerveux. Les naevi acq
it 142 atteints de lésions cutanées : 196 PATHOLOGIE. indemmes de troubles mentaux, n'en a trouvé que 34 atteints de noevi
, ses extrémités se glacent, ses mem- bres tremblent, son esprit se trouble , ses pensées se brouil- lent, sa conscience se
eux et rencontrant ses propres regards le mettent dans un état de trouble intense. - La conséquence naturelle de ce malai
de de Caïn. Parfois aussi elle s'aggrave en se compliquant d'autres troubles psychiques : l'anthropophobie, la « Beachtungsw
elqu'un qui se posent sur moi, sur mon corps, sur mon visage, je me trouble et je perds toute pensée. Ce regard étranger, j
puis alors regarder de nouveau, mais aussitôt que je regarde, mon trouble s'exagère. Mon interlocuteur s'aperçoit bientôt q
- teurs, aussitôt ses paupières battent, sa vision se voile et se trouble , son angoisse redouble. Alors, elle baisse ses pa
;)Imq F... ne sait pas si elle rougit sensiblement au moment de son trouble ; en tous cas, elle ne s'est jamais inquiétée de
de préférence les jeunes sujets, s'accompagne presque toujours de troubles psychiques variés et se termine dans l'immense ma
tation, de confusion, de stupeur, des conceptions délirantes ou des troubles sensoriels. L'affaiblissement des facultés qui
a para- lysie générale, et la volonté dans la démence sénile. Les troubles de la sphère affective et morale des déments pré-
nt pas à commettre en public les actes les plus dégradants. A ces troubles de la vie affective, qui dénotent une disparition
toujours conservés et surtout exagérés. C'est à la réunion de ces troubles de l'activité volontaire et auto- matique que l
de mouvements, leurs gesti- culations désordonnées, sans but, sans troubles émotionnels adé- quats ; leur impulsivité, leur
nation à la superposition, à cet affaiblisse- ment intellectuel, de troubles psychiques variés : conceptions délirantes, hal
rénie et dans la démence paranoïde de Kraepelin que s'observent des troubles sensoriels et des concep- tions délirantes. '
vec des idées délirantes ou des hallucinations et indépendamment de troubles émotionnels. Quand on interroge, en effet, les
survenant sans cause appréciable (Séglas), du der- mographisme, des troubles de la menstruation, etc., etc. Le liquide cépha
éveloppe le plus souvent permet de rattacher vraisemblablement à un trouble de la sécrétion des glandes sexuelles (testicul
ces préten- dués guérisons ne visent que l'épisode délirant et les troubles sensoriels qui l'accompagnent. Le plus souvent,
atives de cengestion et d'anémie de la papille. Puis vien- nent les troubles réflexes : exagération des réflexes tendineux,
bilité de l'état moyen de la pupille. Il faut mentionner encore les troubles génito-urinaires (troubles de la fonction génit
pupille. Il faut mentionner encore les troubles génito-urinaires ( troubles de la fonction génitale, modifications de la form
jours d'une même direction. Si ces malades présentent plus tard des troubles mo- teurs et sensitifs post-apoplectiques du mê
le schéma clair et précis qui viendra éclairer les divers types de troubles périphéri- ques à distribution segmentaire, rad
mem- bres ; 2° le type à distribution radiculaire (Déjerine) où les troubles 238 SOCIÉTÉS SAVANTES. occupent des zones lim
et a trois groupes de centres dont la lésion produit trois types de troubles périphériques. Le noyau, ou origine réelle du n
e .centres superposés. De même, dans la moelle, la distribution des troubles périphériques des lé- sions médullaires à ses c
) vient rapporter des observations très détaillées concernant les troubles moteurs (rétractions, amyotrophies, contractures,
suite penser à la forme catatonique de la démence pré- coce, où ces troubles musculaires s'observent avec une fréquence tout
es mala- des ayant présenté, au cours du délire aigu pyrétique, des troubles gastro-intestinaux analogues à ceux de la fièvr
de dix-sept ans, enfant assistée, conduite à l'asile d'aliénés pour troubles mentaux, caractérisés par du mutisme, de la sit
e et tibiale postérieure). Résultat négatif. Réflexions : Hystérie ( troubles trophiques) ou tuberculose (intoxication des ce
cas peuvent, à la longue, entraîner dans les muscles intéressés des troubles trophiques plus ou moins graves, rétractions te
es à apprécier. Dans ce cas il arrive que les malades atteints de troubles de la sensibilité ou de la motilité trouvent l'un
e : 1° la cécité est rare dans la paralysie générale confirmée avec troubles mentaux marqués, mais les troubles légers de la
aralysie générale confirmée avec troubles mentaux marqués, mais les troubles légers de la vision n'y sont pas rares; 2° la c
° la cécité a été assez fréquemment signalée avant l'apparition des troubles mentaux de la paralysie générale progressive. B
apillaire assez rapidement complète, accompa- gnée non seulement de troubles tabétiques minimes, mais très fréquemment aussi
ment de troubles tabétiques minimes, mais très fréquemment aussi de troubles mentaux minimes tout à fait ana- logues à ceux
être aussi bien considérée comme une cécité « paralytique » si les troubles mentaux minimes de la méningo-encéphalite diffuse
use légère avaient dans la nosographie la même importance que les troubles physiques et fonctionnels minimes de la méningo-m
deux aliénés présentant les mêmes conceptions délirantes, les mêmes troubles sensoriels, etc., réagir d'une façon différente
aliénés ayant commis un crime avant ou après l'apparition de leurs troubles mentaux. La question de la mise en liberté de c
gravité de leur état et aussi qu'ils ne présentent pas encore de troubles mentaux accentués que le dispensaire anti-llcooli
plus capables de soutenir l'énergie du malade, de neutraliser les troubles fonctionnels et d'arriver à la rééducation de sa
logiques et psychiques qui con- sistent dans des malformations, des troubles intellectuels, un état de déséquilibration part
c et les mem- bres. Stigmates physiologiques. 1° Système nerveux, troubles de la 266 SOCIÉTÉS SAVANTES. motilité, de l'a
IÉTÉS SAVANTES. motilité, de l'activité réflexe, de la sensibilité, troubles trophi- ques et vaso-moteurs ; 2° Troubles des
lexe, de la sensibilité, troubles trophi- ques et vaso-moteurs ; 2° Troubles des fonctions génésiques ; 3° Troubles digestif
ques et vaso-moteurs ; 2° Troubles des fonctions génésiques ; 3° Troubles digestifs, aérophagie, météorisme, perversions di
iges- tives. -0 . . . Stigmates psychiques se rapportant : 1° Aux troubles de la mi- mique ; 2° Aux actes impulsifs ; 3° A
actes impulsifs ; 3° A une hérédité nerveuse capi- talisée ; 4° Aux troubles de la volonté et du caractère ; 5° Aux phobies
nes de compression des fibres nerveuses qui prennent le pas sur les troubles inflammatoires. Cliniquement, on trouve ou bien
râne, chez lequel se sont développés sous des influences multiples ( troubles de nutrition, hypothyroïdi- sation, etc.) des p
pu porter le diagnostic de sclérose latérale amyotro- puisque avec troubles bulbaires. Le malade ne présentait d'ailleurs a
e avec troubles bulbaires. Le malade ne présentait d'ailleurs aucun trouble trophique ou sensitif faisant penser à la syringo
ris). Comme contribution à l'étude des rapports du diabète avec les troubles mentaux, les auteurs insistent sur l'importance
propriée a mené très rapide- ment la sédation et la disparition des troubles psychiques. 272 sociétés savantes. De quelque
ipes de discipline psycho-motrice sont applicables à ces différents troubles fonction- nels ; 3° Il y a lieu de distinguer
troubles fonction- nels ; 3° Il y a lieu de distinguer parmi les troubles respiratoires observés chez les tiqueurs ceux q
observations ; 6° Les tiqueurs ne sont pas seulemeni exposés à des troubles de la fonction motrice. On observe chez eux des
osés à des troubles de la fonction motrice. On observe chez eux des troubles fonctionnels SOCIÉTÉS SAVANTES. 275 viscéraux
tentive des fonctions viscérales s'impose. On arrive à corriger des troubles des fonctions digestive, sécrétoire, vaso-motri
graine accompagnée. Tous ces phénomènes peuvent être attribués à un trouble vasculaire transitoire dont la localisation doi
me des ramifications artérielles de la Sylvienne peut expliquer les troubles de la parole, la parésie faciale, la sensation
YET. Le diagnostic de la cause des états vertigineux et de certains troubles de l'équilibre est assez difficile et parfois i
pratique de traitement. Les états vertigineux qui proviennent de troubles de'l'oreille ne sont pas toujours d'un diagnost
festes de fonctions auditives. Cette absence absolue ou relative de troubles auditifs peut se trouver en particulier dans le
suscita des ennuis et ne fut sans doute pas sans influence sur les troubles psychiques, dont il souf- frit par la suite. Pa
telle infirmité à son âge ; mais assez rapidement apparut un autre trouble urinaire qui vite, prit un grand développement
ur lui un tourment et une grande gêne. J'appelle l'attention sur ce trouble physiologique, car on verra plus loin, le rôle
façon. A partir du second mois, il constata une aggravation de ses troubles nerveux. Il fut plus enclin à se croire sous le
n faire comprendre toute l'impor- tance aux obsédés d'abord dont le trouble intellectuel est conscient et ensuite à leurs c
e, où ils sont prédominants et où on ne peut parler d'aucun autre trouble mental. Outre les états obsédants essentiels, exi
manifestée dans une forme très accentuée; un temps il y avait même trouble de conscience ; le malade se trouvait dans un é
time ici, car le malade comprenait très bien, du moins lorsque le trouble de conscience temporaire s'était dissipé, toute l
e moins apparent présente cepen- dant un grand intérêt, ce sont les troubles du sommeil. La nuit, dès que la malade ferme le
s ou moins vio- lent. Tout le monde connaît les cauchemars liés aux troubles de la digestion, aux troubles cardiaques, aux t
monde connaît les cauchemars liés aux troubles de la digestion, aux troubles cardiaques, aux troubles intes- tinaux... chez
ars liés aux troubles de la digestion, aux troubles cardiaques, aux troubles intes- tinaux... chez notre malade il ne se pas
en on voit que ceux- ci sont sous la dépendance la plus étroite des troubles de la sensibilité, troubles qui déterminent un
sous la dépendance la plus étroite des troubles de la sensibilité, troubles qui déterminent un état spécial, état de défisc
rie et somnambulisme sont des manifestations identiques d'un même trouble des centres nerveux : tous les somnambules ne s
uestion des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 325 troubles de la circulation et des fonctions de cet organe
rritation chro- nique comparable à ce que l'on voit dans les cas de troubles ner- veux graves et chroniques consécutifs à la
phère visuelle occipitale de Munk. I. Lésions unilatérales. 1° Le trouble visuel disparaît totale- ment plus ou moins vit
le visuel disparaît totale- ment plus ou moins vite. 2° Toujours le trouble de la vue dis- paraît d'abord sur la ligne médi
t subi une première expérience unilatérale; ce n'est que lorsque le trouble visuel a complètement disparu qu'on a exécuté u
ère. 1° Cette seconde opé- ration fait invariablement reparaître le trouble de la vue de l'oeil qui a été le premier endomm
e trouble de la vue de l'oeil qui a été le premier endommagé. 2° Ce trouble visuel est sou- vent tout aussi accusé et même
ur endommagé par la seconde opération. 3° On observe parfois que le trouble visuel de l'oeil qui correspond au côté opéré e
its annoncés par la théorie de Munk : c'est de l'hémio- pie. 5° Les troubles visuels consécutifs aux extirpations corti- cal
fausse. L'absence de scotomes circonscrits indélébiles, et même de troubles visuels permanents y contredit également. P. KE
t également. P. KERAVAL. XLVIII. Nouvelles communications sur les troubles de perception des distances en profondeur; par
èce une hémianopsie latérale homo- nyme qui n'a rien à voir avec le trouble en question et qui peut exister sans ce trouble
rien à voir avec le trouble en question et qui peut exister sans ce trouble . Les faits montrent encore que l'anomalie de pe
lie de perception des dis- tances en profondeur est indépendante du trouble de la conscience consécutif à l'attaque congest
01.) Excellente observation bien analysée. Pas d'aphasie motrice. Trouble sensoriel acoustique simplement indiqué, notammen
branche maxil- laire inférieure du même nerf. Il existait un faible trouble du goût sur les deux tiers antérieurs de la lan
a fonction gustative. Au moment de son dé- part, persiste encore un trouble très marqué de la sensibilité dans le territoir
l'acide et du sucré, du salé et de l'amer. Dans les cas nombreux de troubles dans le territoire de la cin- quième paire, l'a
e primitif; ils reconnaissent difficilement leur entourage, et ce trouble tient à l'absence de la qualité du phénomène de l
e la con- naissance, du sentiment de la pénétration consciente. (le trouble d'emblée produit parfois un état d'angoisse ass
Altéra la dualité du protoplasma en question. P. KERAYAL. LX. Du trouble de la marche de flanc chez les hémiplégiques; par
es lésions sous- corticales du centre du bras se traduisent par des troubles de la motilité, des troubles de la sensibilité,
u centre du bras se traduisent par des troubles de la motilité, des troubles de la sensibilité, de l'ataxie, de l'atrophie m
de la sensibilité, de l'ataxie, de l'atrophie musculaire. 1. Les troubles de la motilité sont : a, une paralysie complète d
irritatifs et des spasmes susceptibles de rétrocéder. 2. En fait de troubles de la sensibilité, on constate : a, avant tout
il localise moins difficilement les impressions douloureuses. Les troubles de la sensibilité sont en somme tout aussi graves
guë portant sur l'appa- reil moteur du côté gauche, déterminant des troubles de la sensi- bilité de la jambe droite ainsi qu
qu'une paralysie dégé- nérative de la main gauche et des traces de troubles sensitifs. Cela ressemble a une hématomyélie. L
ique constituent les éléments les plus importants du diagnostic des troubles syphilitiques de la sphère nerveuse et mentale.
veau remarquablement préparé, a déterminé sur l'écorce entière un trouble fonctionnel excessif; nerfs sensoriels, sphère ps
érie même. Il en est tout autrement chez le catatonique. Ici pas de trouble de la conscience, pas de sommation, pas d'état
hoïde et ce n'est qu'un examen ultérieur qui permit d'attribuer les troubles à une lésion syphilitique de la base du crâne.
ans l'écorce, l'absence de convulsions faciales, plaident contre un trouble moteur toxique. On n'a pas examiné l'urine parla
rétraction aponévrotique se montre chez eux avant l'apparition des troubles trophiques qui leur sont propices peut amener à
avec succès à un nombre énorme d'affections constitutionnelles, de troubles de la nutrition, de maladies nerveuses. 4. La p
tomatologie, elle est soigneusement décrite, appareil par appareil ( troubles sensoriels, sensitifs, moteurs, cir- culatoires
ar une action réflexe d'origine castro-intestinale (Leven), par les troubles vaso-moteurs (G. Dumas), par un trouble intime
stinale (Leven), par les troubles vaso-moteurs (G. Dumas), par un trouble intime dans la nutrition des éléments nerveux (Er
r pense que, dans l'état actuel de nos connaissances, c'est dans un trouble primordial des éléments cellulaires nerveux qu'
rles Duvry, âgé de soixante- douze ans, cultivateur, en proie à des troubles cérébraux, s'est jeté dans la mare située dans
scutable, par M. le pro- fesseur Budin2 notamment, que les moindres troubles ner- veux chez les nourrices ont un retentissem
ue et dont la nourrice peut être exposée ou sujette elle-même à des troubles nerveux. Si la mère est épileptique, il est don
ons intestinales, rénales, etc., que l'on remédiera sans retard aux troubles mêmes les plus légers qui éclateraient du côté
grandes causes d'épilepsie en se basant précisément sur ce que les troubles digestifs sont assez fréquents chez la femme au
même moment ? Mais on oublie, en faisant cette déduc- tion, que les troubles gastriques sont aussi très fréquents à la ménop
certaines maladies infectieuses, dans lesquelles prédo- minent des troubles gastro-intestinaux, comme la fièvre typhoïde, s
lie trop qu'il y a, à côté de l'attaque convulsive, avant elle, des troubles de l'intelligence et de la sensibilité, une irr
nt les grandes attaques d'épilepsie devenaient plus rares, mais les troubles psychiques, les idées de suicide et l'excita- t
compte des symptômes présentés par la malade tels que les divers troubles de motilité. Mais il est un symptôme qui attire
'Asile d'Armentières qui, à notre connais- sance, aient présenté ce trouble sur près d'un millier de pensionnaires. Cette f
complir normalement. Ce n'est qu'au bout de quelques années que les troubles survinrent, et à en croire l'entourage, ils serai
près normales. Ce n'est pas à dire cependant qu'il n'existe pas de troubles digestifs chez lui. La quantité d'aliments qu'i
aliments provenant de l'avant-dernier repas. Très probablement des troubles du chimisme stomacal existent chez ce malade do
a faculté psychique susdite. Foerster soutient au contraire que les troubles de la conscience personnelle sont primaires et
ns la perception réelle du monde extérieur, il se produit aussi des troubles dans l'appréciation de ce dernier. Stock interp
perte du sentiment du réel, ils relèveraient également les uns des troubles de la perception proprement dite (obsession de
ue le phénomène des orteils semble être absolument indépendant îles troubles sensitifs. G. D. LX.TXVII. Hémimélie et dégénér
é- site pas à rattacher à une dégénérescence acquise ab utero les troubles mentaux et les anomalies physiques de son malade.
variétés d'angoisses assez diverses. Elle accompagne aussi certains troubles abdominaux, la colique hépatique ou néphrétique,
somatique ou psychique ; elle peut souvent mettre sur la voie d'un trouble somatique. L'angoisse peut revêtir diffé- rente
ce. Mais c'est peut-être trop d'exclusivisme de ranger, d'après ces troubles , des intelli- gences de premier ordre avec de s
ésentent un terrain particulièrement favorable au développemen t de troubles mentaux. Ceux-ci, caractérises par des hallucinat
aucoup qu'elles se puissent améliorer ou guérir. P. Keraval. XIV. Troubles de la sensibilité dans les états neurasthéniques
e diagnostic de la paralysie générale à la constatation de certains troubles de la sensibilité, notamment d'une hyperesthésie
des formes mixtes de la folie maniaque-dépressive. . G. D. XXIII. Troubles dysarthriques permanents chez un enfant épilep-
ques mais resta sans effet sur la dysarthrie. La persistance de ce trouble après l'atténuation des autres symptômes fait sup
eints de formes plutôt légères de la maladie et n'of- fraient aucun trouble de l'état émotionnel; l'auteur les considère co
et des anomalies graves dans le domaine de la volonté. G. D. XXV. Troubles intellectuels et catatonie; par le Dr PEETERS.
ce n'était pas davantage un hystérique, car il ne présentait ni les troubles moteurs, ni les troubles sensitifs caractéristi
un hystérique, car il ne présentait ni les troubles moteurs, ni les troubles sensitifs caractéristiques de cette affection.
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. Malgré ces considérations et bien que les troubles mentaux offerts par le malade correspondent ass
strat. Et alors l'expert trouvera souvent dans l'étude du sujet des troubles plus ou moins profonds de l'intelligence, des f
forme hystériques graves avec épi- sodes plus ou moins prolongés de troubles psychiques, parlois avec des anomalies profonde
contrera plus de difficultés, si l'hystérique accusatrice manque de troubles intellectuels évidents de forme ou de contenu, et
ensitivo- motrice que psychique, quand on ne rencontre chez elle ni troubles intellectuels, ni anomalies du caractère, ni dé
s'affaiblit au bout de plusieurs jours, qu'il peut déterminer des troubles cardiaques et respiratoires inquiétants, que l'ef
s premières règles eurent lieu le 28 février et s'accompagnèrent de troubles nerveux (énervement, céphalée, insomnie). Les s
rognathisme du maxillaire supérieur, voûte palatine ogivale). Aucun trouble de la sensibilité, aucun symptôme d'hystérie. A
ce malade est à redouter; c'est moins chez l'aliéné une affaire de troubles morbides que de caractère, et l'observation quo
aires des aliénés dan- gereux est inadmissible. C'est un élément de trouble qui · apporte une réelle entrave au bon fonctio
s à signaler pendant la grossesse, ni traumatismes, ni ennuis, ni troubles morbides d'aucune sorte, ni maladies infectieuses
obe frontal gauche a été presque complètement latente, en dehors de troubles intellectuels vagues et de phéno- mènes papilla
r M. Noyer (Société d'anthropologie de Lyon, 7 février 1903.) Des troubles psychiques se présentent assez souvent au cours
nt, progressant sans bruit et évoluant constamment sans ictus, sans troubles de la sensibilité. Les malades présentent, en o
cutanés sont souvent normaux; signe de Babinski inconstant. Pas de troubles de la sensibilité. Le psychisme est rarement in
server des phénomènes cérébraux z qui sont directement fonction des troubles circulatoires et des scléroses médullaires, sou
la face inférieure du lobe frontal, expliquaient au contraire les troubles sensoriels. " L'auteur fait remarquer que ces c
et intrinsèques des globes et des releveurs de la paupière, pas de trouble de la respiration, coma terminal. Al'autopsie l
ervention de lésions du pancréas (Dallemaque, Hauseman) d'une part; trouble de la secrétion interne de l'hypophyse d'autre
14 décembre 1903) D'après M. Destot on peut décrire deux formes de troubles tro- phiques tabétiques. Les uns, tout à fait a
e caractère chronique et congénital, la coexistence fré- quente des troubles intellectuels font penser qu'il s'agit bien d'une
songe que dans les oedèmes névropathiques, il y a, d'une part, des troubles vaso-moteurs marqués, que d'autre part, l'oedéme
is d'un tremblement de la main droite qui le gêne pour écrire, à ce trouble s'ajoute de la gêne dans les mouvements du bras
ctoraux et quel- qu'atrophie du biceps. Le malade'ne présente aucun trouble de la conscience, aucune affection organique, i
ontré normal au point du physique et mental est pris tout à coup de troubles qui proviennent de la confusion mentale. Cet ac
cérébral très fréquent. 4° Pour le pseudo-oedème catatonique, d'un trouble cérébral probablement primitif et atteignant ulté
estations objectives présentent les plus grandes analogies avec les troubles de même genre observés chez l'homme. Tics et st
se rencontrant également chez des animaux présentant à la fois des troubles psychopatiques et des stigmates physiques analo
le- acquérir l'au- tomatisme. De plus les lésions de la bouche, des troubles de la dentition, peuvent se rencontrer à l'orig
: 120; tremblement considérable; le cou mesurait 35 centimètres; troubles digestifs, diarrhée, troubles menstruels. La pa
able; le cou mesurait 35 centimètres; troubles digestifs, diarrhée, troubles menstruels. La partie inférieure du ganglion ce
n'y a plus de tremblement. La diarrhée a disparu. Il n'existe aucun trouble trophique. Pas de troubles vaso-moteurs. Le cou
La diarrhée a disparu. Il n'existe aucun trouble trophique. Pas de troubles vaso-moteurs. Le cou a diminué de 3 centimètres
l prétend que les lésions du nerf optique sont consécutives à des troubles circulatoires rétiniens et rétro-bulbaires, qui e
gt-un ans. Pas d'antécédents spécifiques prouvés. Il y a trois ans, troubles de la vue : signe de Romberg. Depuis lors, affa
rgent. Abolition des réflexes pupillaires, rotuliens et plantaires. Troubles de la sensibilité et des fonctions vésicales. E
rmal est conséquence d'une intoxication préexistante). - Pre- miers troubles mentaux (leur traitement dans les hôpitaux géné-
es illégitimes. Rôle de la primiparité, etc. 2° Epoque de début des troubles mentaux, et forme de l'aliéna- tion selon celle
de l'oeil. Malgré cette cyanose locale, la vision ne souffre aucun trouble chez ce jeune sujet. L'hippas dans la chorée.
dans lesquels la suggestion expressément dirigée conlre cer- tains troubles fonctionnels ayant échoué, l'amélioration, puis l
de stupéfaction, il joue facilement, avec entrain, sans hésitation, trouble ou appréhension; en même temps, ses idées noire
e est devenue une excel- lente institutrice et n'a souffert d'aucun trouble nerveux pendant dix-huit ans. Ces jours-ci, à l
e 1904 S24 faits divers. aggravation de catalepsie, anesthésie et troubles qui l'obligèrent à garder le lit deux mois dura
ajoute qu'au- cun des sujets qu'il a endormi n'a éprouvé le moindre trouble . L'interrogatoire terminé, M. Couchepin, procur
relation avec la première mens- truation, par Mucha, 350. Voir Troubles intellectuels. Con- sidérations sur la -, par C
la ligature des carotides, par Beutter, 485. Hémiplégiques. Du trouble de la marche chez les -, par Schuller, 338.
ektorsky, 170. MyopATHiE. Un cas de atrophi- que progressive avec troubles de la sensibilité, par Lamion et Po- rot, 57.
ançon, 495, chronique chez une épileptique, par Lan- nois. 493. Troubles . Voir Tumeurs. Aperçu médico-légal sur les ment
. Deux cas de du nerf auditif, par Lépine, 60. Voir Vomissements. Troubles au- ditifs dans les cérébrales, par Souques,
36 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Les maladies du système nerveux, qu'elles se ma- nifestent par des troubles psychiques, sensoriels ou moteurs, offrent entr
yées par ce fait que les intoxications provoquées ne déterminent de troubles cérébraux que chez les sujets prédisposés : dan
dans les expériences de M. Moreau (de Tours) sur le haschich, les troubles psychiques n'ont été observés que chez les suje
on pathologique contribue à activer la dégénéres- cence. Certains troubles psychiques passagers peuvent, lors- qu'ils exis
rminer des états anor- maux non héréditaires, mais congénitaux. Les troubles nerveux et mentaux, si fréquents chez les sujet
er une forme mixte névro-psychopathique, en ce sens que souvent les troubles moteurs et sen- soriels, les phénomènes d'ordre
et d'ailleurs elles offrent parmi leurs manifestations de nombreux troubles psychiques. Les manifestations mentales de l'ép
quelquefois avant, sous forme d'aura psychique. D'autres fois, les troubles mentaux constituent à eux seuls toutes les mala
eptiques, quelle que soit leur forme, amène la démence. Outre les troubles mentaux qui font partie du mal comitial et ceux
appartienne légitimement la qualification d'hys- térique. Quant aux troubles psychiques qui se montrent chez les hystériques
permanents de l'hystérie que l'on qualifie d'hystériques ces divers troubles psy- chiques ; mais la forme de la psychose n'a
hystériques un tempérament fou, une véritable insanité morale, ces troubles mentaux ne sont pas un apanage nécessaire de la
ou de- viennent épileptiques, d'autres aliénés. La fréquence des troubles mentaux chez les crimi- nels, déjà constatée pa
iquent guère par l'atavisme, mais dont rendent fort bien compte les troubles du développement dus à des états morbides de l'
THIQUE. 19 Pascal ' a bien montré la réalité de la coexistence de troubles mentaux avec un grand développement intel- lect
bécillité sont des états anormaux de l'es- prit correspondant à des troubles de sensibilité psychique, quel est donc l'état
rie que nous avons déjà considérées, offrent dans leurs cours des troubles mentaux qui ne sont point considérés comme des
24 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. tuel. Nous voyons que, dans la chorée', ces troubles mentaux sont loin d'être rares. Dans la paral
le goitre exophthalmique avec lequel on voit souvent coïncider des troubles mentaux signalés par Solbrig, Geigel, Van Deuse
sur le tremblement sénile. (Thèse, 1S82.) '- G. Ballet. De quelques troubles dépendant du système nerveux central ob'e¡'vé,
développé de ce côté. Le torticolis pourrait donc être une cause de trouble fonctionnel du cerveau, et jouer un rôle dans l
vaso-motrice; cependant, il existe des exemples de transmission de troubles vaso-moteurs : Darwin cite l'hérédité de la pro
aison avec la paralysie générale, on a depuis longtemps signalé des troubles mentaux coïncidant avec le tabes ataxique (Horn
tion uni à un état lypémaniaque, apparaissant en général avec les troubles céphaliques du tabes et disparaissant avec eux,
ych., 187 ? lie série, t. XIV.) 3 Gruet. - Etudes cliniques sur les troubles intellectuels dans l'ataxie locomotrice. (Thèse
existe entre l'évolution anato- mique et la vésanie; pour nous, les troubles sensoriels n'influent que sur la forme du délir
leurs affec- tions cérébro-spinales, c'est que, quelquefois, les troubles psychiques se sont montrés avant les phéno- mèn
efois une maladie de famille °, et elle pourrait s'associer à des troubles mentaux 6. Observation LIX. - M. D... Paralysie
quarante-deux ans. La sclérose en plaques s'accompagne souvent de troubles psychiques que l'on peut grouper en trois ordre
otie par MM. Bourneville et Brissaud. D'autres se rapprochent des troubles mentaux de la paralysie [générale et peuvent s'
éveloppement de telle ou telle partie du système nerveux subisse un trouble quelconque, il y LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 43
fectés. Etal actuel (22 février 1882). - La malade, par suite des troubles de la vue et de l'impotence des membres est confi
ble pas y avoir à proprement parler d'atrophie musculaire. Pas de troubles du côté des réservoirs. Cependant, il y a quatr
r les douleurs (fulgurantes ou autres), et les diverses variétés de troubles sensitifs (hyperes- thésies et anesthésies); ce
taille moyenne et d'une intelligence ordinaire. Elle ne présente ni troubles nerveux, ni affections cons- titutionnelles ; e
ors des attaques et de l'état d'hypnotisme, nous n'avons observé de troubles de la sensibilité générale chez notre malade et
le est déterminée par la pression, mais il n'y a ni irradiation, ni troubles hyperesthé- siques ou vaso-moteurs de la peau;
J4 le recueil DE faits. étoulfrment. En même temps le malade voit trouble ; il entend des «ding... ding... ding... » et ép
t passé. » Toutes les fonctions sont normales; il ne présente aucun trouble de la sensibilité générale et spéciale. Sa mère
testicules sur la production ou l'arrêt des attaques; l'absence de troubles de la sensibilité. V. Les expériences instituée
ues jours, on a temarqué chez l'en- i iO REVUE CRITIQUE. fant des troubles digestifs qui n'existaient pas à l'entrée; l'appé
mment con- vulsif ; il est, à ce titre, involontaire. Ce fait et le trouble mar- qué qui l'accompagne exige qu'on le consid
uvent agréable, se produit presque sans effort, n'intro- duit aucun trouble dans les fonctions digestives, ni dans l'as- si
changements dans la position de l'oeil apparaissant avec les autres troubles moteurs (perte d'équilibration du corps et mou-
te d'un choc sur le crâne. Cette lésion de la moelle allongée, ce « trouble bulbaire», expli- querait les symptômes de la c
occasion d'observer, dans le cou- rant de l'année, plusieurs cas de troubles de la parole, par paralysie des muscles articul
de l'aphasie. Le présent travail se divise en quatre parties. Les troubles de la parole par paralysie des muscles articu-
al peuvent donner lieu à deux variétés par- faitement distinctes de troubles de la parole. Si la lésion occupe le pied de la
six faits, nous ne dirons pas de glossoplé- gie corticale, mais de troubles divers de motilité de la langue par lésion des
a bouche et de la langue. La déglutition réflexe subsistait. Pas de troubles de la sensibilité de la peau, ni de la muqueuse
ssement de la motilité du côté gauche, sans atrophie musculaire, ni troubles de la sensibilité. Rien du côté des yeux. Ouïe
s sont souvent rejetés par le nez. Pas de paralysie faciale. Pas de troubles du côté des sens spéciaux (vue, ouïe, goût, odo
entué. Intelligence très af- faiblie ainsi que la mémoire. Pas de troubles de la respiration. Pouls régulier, sans inter-
miplégze des membres, , "'1 f ..1 ? 1 If n, '" \t -0 1 h avec des troubles etue tels que ceux que t on , * 1 f, "t' 1 / 1
e symptômes bulbaires qui font défaut dans la première. Ce sont les troubles du côté du larynx (af- faiblissement progressif
remonte le long du membre .' Pas ' de perte de connais- sance, mais trouble du langage, ne pouvant prononcer que des fragme
ours, le langage se réta- blit complètement. Vers la fin d'octobre, troubles du côté de la miction, l'urine s'écoulant goutt
5 décembre, nouvelle attaque avec perte de con- naissance suivie de troubles mentaux qui durent deux semaines. Actuellement
gé- nital* se rencontre fréquemment chez les sujets at- teints de troubles mentaux ou hystériformes. Nous avons noté plusi
du sys- tème pileux, par excès ou par défaut, coïncider avec des troubles nerveux ou psychiques. Ireland rapporte deux gé
lusion, peut- être prématurée, que' l'herpétisme"est le 'fait 'de troubles de l'innervation sensitive, motrice, mentale, v
erie et leur intensité ; la mort peut en être la conséquence. Ces troubles peuvent affecter le système nerveux central et
t à peu près exactement repro- duites dans la goutte '. Parmi les troubles prémonitoires, on rencontre fré- quemment le ve
veux dus à la lithémie. A côté du vertige, il faut placer parmi les troubles prémonitoires' : la gastralgie, l'irritabilité
outte et de la paralysie agitante dans la même famille. Parmi les troubles dits métastatiques que l'on voit le plus souven
qu'elles sont attribuables à des lésions vasculaires et non à des troubles spontanés du cerveau. Il en est cependant d'in-
ertain nombre de cas au moins, ces phénomènes sont dus à de simples troubles dyna- miques. L'hémiplégie accompagne quelquefo
sont plus sujets à ces sortes d'accidents, et il dit que quand les troubles cérébraux se manifestent, on trouve généralemen
goutte. Lynch rap- porte deux faits analogues, dont l'un d'eux, le trouble de la parole, s'accompagnait de convulsions mom
'un façon inopinée quand les jointures sont prises de nouveau. Le trouble mental le plus fréquent chez les goutteux est s
M. Potain '. Dans trois cas où il existait chez des lithémiques des troubles rappelant ceux de la sclérose disséminée, on au
le sans dépôts uratiques. Albers de Bonn cite plusieurs exemples de troubles de la motilité et de la sensibilité des membres
elles sont brusques et capricieuses, et souvent en rapport avec des troubles de la digestion ou des écarts de régime. A cô
., 1877, t. If, p. 28.) 5 Dyce Duckwortli. On insom711a and other troubles connectée ! willc sleep in persans ofgoztl ! l
r à l'ap- parition d'une attaque de goutte articulaire. Parmi les troubles sensoriels attribuables à la goutte, on a cité
rmi les troubles sensoriels attribuables à la goutte, on a cité des troubles de la vision. lllorgaui, Stoll, Barthez, Guilbe
he à la goutte par une parenté aujourd'hui bien établie, et que les troubles nerveux sont loin d'être rares chez les diabéti
anzes aacl Ga ? IS78, t. I, p. 401.) , D. Bernard etCh. Féré. Des troubles nerveux observés chez les dia- bétiques. (Arch.
'agrégation. Paris, ISSJ. 190 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. que tous ces troubles nerveux qui se combinent avec la goutte ou le d
o- niques n'agissent pas autrement lorsqu'elles détermi- nent des troubles nerveux psychiques, sensoriels ou mo- teurs ; e
plupart des maladies sont susceptibles de s'accompagner de quelque trouble nerveux chez les névropathes. L'arthritisme n'a
athèse névropathiques sont-ils deux états congénères résultant d'un trouble de la nutrition diffé- remment spécialisé ? C'e
malade, il y a dix-huit mois, en même temps que se sont montrés des troubles de la vision, de' la perversion des fonctions g
atteint également. Les mouvements de la face sont conservés. Pas de troubles de la sensibilité de la langue ni de la face. P
as de troubles de la sensibilité de la langue ni de la face. Pas de troubles circulatoires ni respiratoires. » M. Cuffer c
ras gauche de l'engourdissement et des fourmillements, sans aucun trouble de la motilité. Cet état a persisté pendant deux
gène pour parler et avaler ses aliments. Du côté des membres, des troubles se montrèrent aussi à gauche : perte presque co
nfé- rieur gauche avait recouvré son activité. Mais au bras les s troubles de la sensibilité et la parésie persistaient enco
vraisemblablement de l'hémiatrophie linguale comme de bien d'autres troubles , qu'on a cru tout d'abord exceptionnels, à l'ép
ière; atrophie de la papule au début a droite, s'accusant par des troubles fonctionnels sans modification appréciable du
sensation évidemment moins vive du côté droit que du côté gauche. Troubles dans la sphère du trijumeau. - Le malade n'a ja
jamais eu de douleurs fulgurantes à la tête, mais il a éprouvé des troubles sensitifs très marqués du côté droit. Ces trouble
il a éprouvé des troubles sensitifs très marqués du côté droit. Ces troubles occupaient la joue, la région temporale et le c
M. Cuffer on voit signalés, avec peu de précision, il est vrai, des troubles de la vision;' dans celui' de M. Vidal, une par
Au premier abord, on serait tenté d'invoquer l'appa- rition de ces troubles , dans la sphère motrice, contre la systématisat
llèle avec les phénomènes similaires de l'ataxie spinale. Or, les troubles que détermine le tabes dans le jeu normal des m
quelques faits anatomo- pathologiques. Le caractère transitoire des troubles moteurs, l'absence des phénomènes qui d'ordinai
Or, ces diverses atrophies musculaires qui amènent à leur suite des troubles fonctionnels irrémédiables, doi- vent, cela se
'avons examiné spécialement' à ce pointlde vue, l'exis- tence de troubles , de la sensibilité. dont quelques-uns persisten
s de la langue ou des muscles des yeux, on ne trouve relaté aucun trouble de la sensibilité. Nous pensons que ces trouble
ouve relaté aucun trouble de la sensibilité. Nous pensons que ces troubles n'ont pas'été suffisamment recherchés. Et il im
nir que, en présence de tous les cas de tabes se traduisant par des troubles moteurs ou tro- DE L'HG\IIaTROPIIIr nE LA LANGU
lité du ventricule dans laquelle proéminc, au milieu d'une sérosité trouble , un caillot fibrineux en forme de clou. La tête
endyme ventriculaire, la présence de ce bouchon expliquent bien les troubles apportés dans la sécrétion et la circulation du
rangée inférieure, mesurant Il millimètres. REVUE CRITIQUE DES TROUBLES URINAIRES DANS LES MALADIES DU SYS- TÈME NERVEU
nerveux, les or- ganes urinaires sont assez fréquemment le siège de troubles très divers par leur nature, leur siège et leur
ans les maladies du système nerveux en général, étudierons-nous les troubles urinaires du tabes dans un chapitre spécial.
es troubles urinaires du tabes dans un chapitre spécial. I. Ces troubles peuvent porter sur les fonctions de sécrétion o
plus ou moins permanente et peut persister des séries de jours; DES TROUBLES URINAIRES. 225 alors, malgré le ralentissement
aturie dans la maladie tic l'arkinson. Thèse de Paris, 1R7.1. DES TROUBLES URINAIRES. 229 Ces troubles peuvent se résumer
'arkinson. Thèse de Paris, 1R7.1. DES TROUBLES URINAIRES. 229 Ces troubles peuvent se résumer en deux groupes, rétention e
ement avec l'état apo- 230 REVUE CRITIQUE. plectique. Lorsque les troubles paralytiques se localisent, lorsque le sujet de
sujet devient hémiplégique, l'impuissance vésicale disparaît : les troubles vésicaux sont exceptionnels, même quand l'hémip
dégénération des faisceaux latéraux de la moelle n'entraîne pas de troubles des fonctions urinaires ; il 'est d'ailleurs co
es myélites aiguës ou subaiguës surtout de la partie inférieure, ce trouble est fréquent; il est même prédominant dans cert
ne telle rapidité, qu'il n'est guère possible de ne pas admettre un trouble t1'O- phique, d'autant plus qu'il se produit en
richsen. On concussion nf thespine, etc. l.mlon, 188Q, p. 6n. , DES TROUBLES URINAIRES. 231 pousser violemment, mais quand l
ui s'accompagnent de contracture des membres peuvent offrir ce même trouble de la miction. C'est, en général cette forme de
orsqu'elle est durable, détermine, au bout d'un temps variable, des troubles inflammatoires de la vessie. Si l'on n'y porte
efforts, la sensation du besoin est à la fois impérieuse et pé- DES TROUBLES URINAIRES. 233 nible. Tantôt il y a une sensati
conti- nence nocturne est parfaitement indépendante de tout autre trouble nerveux caractérisé contemporain ; mais fréquemme
ne se présente le plus souvent que d'une façon passagère. C. Les Troubles de la sensibilité varient de forme et de siège.
s tahétiques, mais qui semblent beaucoup moins fréquentes. b) Les troubles sensitifs des organes excréteurs sont plus vari
e, s'accompagne fréquemment d'incoordination vésicale, ce qui DES troubles urinaires. 235 semble indiquer que le sens musc
uréthrales de l'ataxie. Notons, pour terminer, ce qui a trait aux troubles de l'ex- crétion urinaire, les hémorrhagies vés
faisant, les différentes affections dans lesquelles on observe les troubles de la miction. Il convient de remarquer que ces
bserve les troubles de la miction. Il convient de remarquer que ces troubles n'existent d'une ma- nière continue dans aucune
arétique que d'une para- lysie proprement dite (Charcot,); n'y a ni troubles sensitifs, ni troubles trophiques, et il se pro
lysie proprement dite (Charcot,); n'y a ni troubles sensitifs, ni troubles trophiques, et il se produit souvent une modifica
s sur les maladies du système nerveux, t. II, 3e éd., p. 295. DES TROUBLES URINAIRES. 237 (Stephanini, Dieu, etc.) ou chez
. \\"" ¡. 1 .. fla ? \ " 1 . A. Dans l'ATAXIE locomotrice, les troubles de la sécrétion , ,'f l, t.tt" .JI ? ,..... l,
ous contenterons de rappeler que, chez les ataxiques qui ont eu des troubles vésicaux prolongés, on voit à fin de la vie se
olyurie d'abord limpide, puis pu- 1 C. Putnam. - Recherches sur les troubles fonctionnels des nerfs vaso- moteurs dans le ta
sensitif. Thèse, 1882. '23, . 1"E% UE CRITIQUE. rulente; mais ce trouble de sécrétion n'est pas en rapport avec l'affect
Signalés par Duchenne (de Boulogne), M. Charcot a fait figurer les troubles de l'excrétion urinaire à titre de symptômes or
es ataxiques ont eu, à une époque quelconque de leur maladie, des troubles de la miction ». Ces troubles sont très variés,
que quelconque de leur maladie, des troubles de la miction ». Ces troubles sont très variés, et ils ont été dans ces dernier
réhensif, n'étudie guère en réalité que l'ataxie locomotrice. Les troubles de la motilité du tabes sont, en grande partie
de l'urine; aussi étudierons-nous d'abord ces altérations. a) Les troubles de la sensibilité de l'urèthre et de la vessie se
ie, dysesthésie, et crises douloureuses, qui, comme tous les autres troubles urinaires, trouvent leurs analogues, non seulem
motrice d'origine syphilitique, 1882. , = Geffrier. - Elude sur les troubles de la miction dans les maladies du système nerv
la miction dans les maladies du système nerveux. Thèse, 1884. DES TROUBLES URINAIRES. 239 rarement en partie compensée par
nes génitaux au cours de l'ataxie locomo- trice. Thèse, 1882. DES TROUBLES URINAIRES. 'S4f 1 que la variété singulière de
cutif à des crises qui avaient surtout pour siège l'urèthre. b) Les troubles sensitifs commandent souvent, nous l'avons vu,
b) Les troubles sensitifs commandent souvent, nous l'avons vu, les troubles moteurs qui sont variables comme eux; mais de m
e la sensibilité, de même il peut-'exister du côté de la vessie des troubles paralytiques indépendants. Quoi qu'il en soit,
e est certainement l'affec- tion du système nerveux qui 'offre' les troubles les plus variés de la miction. ' t 1 . 1 1° L
e reste toujours vide est tout à fait rare. 3° Signalons enfin un trouble urinaire, sorte de combinaison de rétention etd
a dénomination plus vague d' incoordination vésicale, par ce que ce trouble n'est point spécial à l'ataxie, mais peut se ren-
itaire ou maladie de Z%riedreicla, cette maladie de famille qui DES TROUBLES URINAIRES. 1 243 par ses symptômes céphaliques,
céphaliques, se rapproche de la sclérose en plaques, tandis que ses troubles spinaux ont pu permettre de la confondre avec l
henne; les fonctions vési- cales ne sont nullement affectées. Les troubles des voies urinaires dans l'ataxie locomotrice p
vant d'avoir ses premières dou- leurs fulgurantes ; quelquefois ces troubles apparaissent avec les douleurs fulgurantes; mai
au cours de l'ataxie. Souvent dans les deux premières périodes, ces troubles sont t transitoires au même degré que les paral
une manière continue pendant des années et même définitivement. Les troubles d'excrétion qui arrivent à la troisième période
iode sont plus ou moins permanents et si nissent par déterminer des troubles inflammatoires de la vessie et du rein qui cons
ut ce qu'on peut dire c'est qu'il est des sujets qui présentent des troubles de la miction dont les voies urinaires sont int
tactes, ce sont des « faux urinaires », comme dit M. Guyon', et les troubles dont ils sont affectés reconnaissent pour cause
n. (Fiance médicale, t, I, 1882.) Sous ce nom, l'auteur décrit un trouble permanent du système nerveux, caractérisé par d
ale, t. I, 1882.) Cette observation est intéressante, parce que les troubles intel- lectuels (idiotie presque complète) étai
tie presque complète) étaient beaucoup plus consi- dérables que les troubles somatiques (hémiplégie faciale incom- plète et
out le côté gauche, accompagnée de vomissements et de vertiges. Les troubles mo- teurs ne durèrent que quelques heures, les
rtiges. Les troubles mo- teurs ne durèrent que quelques heures, les troubles sensitifs, au contraire, persistèrent une vingt
endineux, diminution quantitative de la réaction électrique. Pas de trouble de la sensibilité, nuls troubles aussi du côté de
e de la réaction électrique. Pas de trouble de la sensibilité, nuls troubles aussi du côté de la vessie ou du rectum. Atroph
associée pendant les dernières périodes de la vie, ainsi que les troubles de la parole qui ont notablement augmenté quelque
odeur de chloroforme répandue par l'haleine et l'urine des malades, troubles gastriques ou intestinaux : le tout aboutissant à
fit aucune difficulté de considérer l'acétonémie comme la cause de troubles nerveux. On raisonnait par analogie en assimila
et même à des hommes de fortes doses d'acétone sans observer aucun trouble notable et n'a pas mieux réussi à extraire l'ac
d'après lui, auraient subi une sorte de nécrose qui amènerait un trouble dans l'élimination des substances extractives et
de la mort en pareil cas n'est pas unique. Pour le premier groupe ( troubles circulatoires graves, collapsus sans délire), i
a coïncidence de l'altération fonctionnelle des sens spéciaux et de troubles de la sensibilité des téguments qui les re- cou
ut d'abord la coincidence fréquente des symptômes tabétiques et des troubles psychiques de la para- lysie générale. Toutef
naires d'ataxie locomotrice progressive. Mais il est bon nombre de troubles nerveux autres que ceux de la paralysie générale
e nerveux des ataxiques est frappé d'une tare qui le prédispose aux troubles les plus variés ? C'est là un fait que M. Charc
re tardive en rapport avec une dégénération descendante (Féré). Les troubles de la sensibilité sont inconstants et variables
.), de chorée molle (West). Il existe en effet, dans la chorée, des troubles paralytiques plus ou moins complets ou étendus dé
s ou étendus déjà signalés par Bouteille, Todd, Trousseau, etc. Ces troubles parai} ti- ques qu'il faut distinguer du simple
considérer la négation systématisée, comme un délire greffé sur le trouble psycho-sensoriel, comme une interprétation mala
capsule renferme un faisceau dont les lésions se traduisent par des troubles intellectuels; A ces quatre faisceaux peuvent
est-à-dire du faisceau intellectuel) coïn- cident toujours avec des troubles purs et simples de l'intelligence, sans aucune
rare. D'autre part, l'aphasie peut exister et existe souvent sans troubles paralytiques, mais accompagné de troubles intel
et existe souvent sans troubles paralytiques, mais accompagné de troubles intellectuels. Dans le premier cas, le fais- ce
é et le faisceau intellectuel. 4° Lésions de la protubérance. Les troubles de la parole auxquelles donnent habi- tuellemen
nt habi- tuellement lieu les lésions de la protubérance, sont des troubles dans l'articulation des mots, par lésion du fai
des liquides). Réflexes conservés ainsi que la sensibilité. Pas de troubles de la vue, de l'ouïe, ni de l'odorat. Pas de pa
que réflexes et contractilité faradique. Pas de contractures ni de troubles trophiques. Paralysie complète de la jambe gauc
roubles trophiques. Paralysie complète de la jambe gauche. - Pas de troubles de la sensibilité. Exagération du réflexe patel
racture ni d'épilepsie spinale. Absence d'atrophie musculaire et de troubles trophiques. Contractilité électrique plutôt aug
is observations se trouve signalée une paralysie de la langue, avec troubles dans l'articulation des mots; dans l'Observatio
e deux à trois fois par an. En 1813, elle fut placée, à la suite de troubles intellectuels dans une maison de santé, d'où, a
La pie-mère, surtout dans sa portion antérieure, est hypérémiée, trouble et oedémateuse et se sépare facilement de la subs
jacentes et, au point de vue clinique, par des maux de tête et des troubles dans les fonctions des régions cérébrales corres-
onctions des régions cérébrales corres- pondantes, c'est-à-dire des troubles dans la motilité et dans l'activité intellectue
s dahs la vie psychique de la malade peuvent être expliqués par les troubles de la circulation du sang, provoquée par la tum
la rumination était héréditaire et qu'elle succédait parfois à des troubles de la digestion. L'observation suivante due à M
l'une simple ou idiopathique ; l'autre symptomatique et liée à des troubles dyspeptiques. Voici les caractères sur lesquels
serve un complexus symptomatique absolument opposé, dans lequel les troubles spasmodiques et paralytiques prédominent, alors
smodiques et paralytiques prédominent, alors qu'il n'existe plus de troubles de la sensibilité. Y a-t-il une ataxie locomo
idées de Charcot et Pitres sur le rôle de l'écorce occipitale. Les troubles de la motilité du côté droit sont en rapport av
généralisent, elles sont accompagnées ou suivies d'agitation, de troubles de la connaissance, de délire, de pleurs ou de ri
(renseignements incomplets sur ce point), évoluant sans douleur ni trouble de la santé générale. On signale à l'âge de vin
rt une légère attaque d'hémiparesie gauche bientôt disparue, et des troubles (trophiques ? ) qui ont amené la perte de l'oei
ais appellent mealle breack. Nous ne vous ferons pas l'histoire des troubles cérébraux dési- gnés sous le nom d'encéphalopat
mie de médecine, 1856), Hugenin (thèse 1876) ont fait ressortir les troubles intellectuels dus au dégagement du sulfure de c
sulfure de carbone (travail du caoutchouc); l'a- mélioration de ces troubles , après la cessation de la profession a été noté
onstaté chez des mi- neurs californiens. M. Delasiauve a relaté des troubles mentaux dans une famille exposée aux vapeurs de
zer a retrouvé le mercure dans les cerveaux. L'arsenic expose à des troubles intellectuels comme l'ont observé M. Lancereaux
le travail des écorces d'oranges dans cette localité, a décrit des troubles intellectuels qu'il attribue à l'essence d'aman
83) et M. Proust dans son Traité en rapportent chacun deux cas. Des troubles analogues ont été observés dans des fabriques de
s M. Jules Bergeron (1865) (Académie de médecine) a bien décrit les troubles intellectuels chez les ouvriers qui fabriquent
me groupe, nous avons réuni toutes les profes- sions exposant à des troubles d'ordre physique : froid brusque ou prolongé, g
chose surpre- nante, la seule nette que nous ayons pu trouver. Les troubles cérébraux désignés sous le nom de The horror (D
iénation mentale partempérature excessive ; toutefois rappelons les troubles cérébraux observés chez les ouvriers qui travai
dans les soins de la maison; ces vertiges dont la relation avec les troubles cérébraux est aussi bien démontrée font compren
pour les professions prolongées à un âge trop avancé, alors que les troubles organiques de la vieillesse rendent la professi
l'encombrement, l'insalubrité des ateliers et usines, ainsi que les troubles apportés au sommeil et au repas. ces auxiliaires
ressortissant à la sphère de distri- bution de la cinquième paire. Troubles de la parole se rappro- chant de ceux de la par
é de- se tenir debout et de mar- 36t SOCIÉTÉS SAVANTES. cher. Les troubles intellectuels étaient constitués par de l'affaibl
inquième qui, vers la fin de sa vie seulement, était en proie à des troubles psychiques, perdait l'usage complet de tous les
nérale. Mais l'origine de ces désordres doit être cherchée dans des troubles circulatoires insignifiants. Comme le dit M. Bi
a, pour la première fois, pénétré dans la connaissance. Quant aux troubles moteurs de la démence paralytique, les uns dérive
icaments, on est effrayépar les symptômes psychiques surajoutés aux troubles sensi- tifs, moteurs, etvaso-moteurs. A ce mome
nscience à l'égard des manifestations mor- bides, et la présence de troubles psychiques vrais. L'épuisement fonctionnel de l
vage. Un menu journalier très chargé déterminerait du dégoût et des troubles digestifs si l'on n'alternait les repas entre l
t, dans l'espèce, plutôt secondaire, et résulterait d'oedèmes et de troubles de la nu- trition dans le pourtour du noyau len
matique chronique. Les psychoses simples n'avaient en- gendré aucun trouble intra-oculaire. Trente-cinq cas d'affaiblis- se
a démence sénile qui, comme on sait, s'accompagne souvent d'un état trouble de la rétine. Sur trente épileptiques, quatre fon
re. Sur cinquante-quatre alcooliques, quatre présen- taient un état trouble de la rétine, quinze de la décoloration des moi
Sur cent paralysées générales, dix-sept offraient un fond de l'oeil trouble qui prouvait une modi- fication morbide de la c
révélait point l'origine anatomo-pathotogique. Somme toute, l'état trouble de la rétine se voit de beaucoup plus fréquemme
iagnostic de la paralysie pro- gressive, il nous apprend que l'état trouble de la rétine est parti- culièrement fréquent da
), t. VI, p. 404. SOCIETÉS SAVANTES. 379 sans qu'il ait existé de troubles delà vue. Toutefois, ceux-ci devront être cherc
udier la question de savoir si, et dans quelles circons- tances, un trouble psychique doit être considéré comme un motif de
convolution du corps calleux. M. Sakaki suppose qu'il s'agit d'un trouble circulatoire (stase), -ayant amené une transsudat
e) ; par Martinet. Thèse de Paris, 1884. Contribution a l'élude des troubles nerveux périphériques dans les entorses et en p
. Prix : 7 fr. Paris, 1881. J.-B. Baillière. KussMAuL (Ad.). -Les troubles de la parole. Traduit par le Dr A. RUEFF. Précé
hétose, 3.15. Ataxie (hémiatrophie de la langue dans l'), 191; - ( troubles uri- naires dans l'), z24 ; - (hérédité nerve
Syphilis cérébrale, par Chante- messe, 249. Système nerveux (des troubles uri- naires dans les maladies du), par Féré,
umeurs tuberbuleuses du cerveau, par Heubner, 329. Urinaires (des troubles dans les maladies du système nerveux et en pa
37 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e ocu- laire et des convulsions de celui-ci ; les yeux deviennent troubles , n'aperçoivent rien, le regard erre d'une ma- n
thologie du système dit cortico-extra-pyramidal com- prend tous les troubles de la sensibilité et de la motricité réflexes c
s hypo et abouliques, confusion- nels, stuporeux et démentiels, les troubles de la personnalité, de l'aflectiyité, etc. Cett
ite, une pa- résie faciale gauche et de la corde vocale gauche avec troubles de la phonation et de la respiration, delà rapi
é du pouls et des lésions du voile du palais. Ni incoordination, ni troubles vésicaux, mais paraplégie spasmodique avec réfl
urable et est dangereuse quand il y a (le l'artério-sclérose et des troubles vasomoteurs. Sclérose en plaques infantiles.
présentent une fillette de treize ans atteinte depuis trois ans de troubles de l'écriture, puis de lamar- che ; ébauche de
nien. Il y a ophtalmoplégie totale et paralysie faciale gauche sans troubles de la sensibilité. Syphilis probable ; lésion péd
e et d'as- surer le traitemenL individuel et continu aux adultes de troubles aigus ne manquera pas d'accentuer dans des prop
pressionnabilité, agoraphobie, anxiété, asthénie neuro- musculaire, troubles digestifs, vertiges, troubles de la sensibilité
anxiété, asthénie neuro- musculaire, troubles digestifs, vertiges, troubles de la sensibilité générale, troubles circulatoi
troubles digestifs, vertiges, troubles de la sensibilité générale, troubles circulatoires, tension artérielle, troubles de
a sensibilité générale, troubles circulatoires, tension artérielle, troubles de la vision et de l'ouïe. Nous ne suivrons pas
d'auto-intoxication. Ce sontordinairement les toxines provenant de troubles digestifs qui viennent impres- sionner les élém
taient de porter un diagnostic ; on n'explique pas, en effet, les troubles sphinctériens, on parle d'atrophie des mem- bre
éthy- Lisme habituel. Vers la fin d'av ril 190' ? , il éprouve des troubles dyspeptiques consistant en crampes d'estomac co
santé. Tête : Rien à noter. 'Tronc : Courbature lombaire, pas de troubles moteurs ou tro- phiques, les 3 points d'une név
es ; force musculaire bien conservée dans les autres segments Aucun trouble sensitif, subjectif ou objectif. Réflexes (des fl
muscles des mains et des avant- bras. ' n 0 Membres inférieurs : Troubles moteurs : Le malade marche avec peine et peu lo
haque mouvement semblant lui procurer des douleurs assez intenses. - Troubles sensitifs : Douleurs que l'exa- men montre être
xterne de la jambe droite, dans sa moitié inférieure, mais C'est un trouble léger, sans limites précises : peut-être aussi
té cutanée est légèrement émoussée à la plante du pied droit. Aucun trouble sensitif ailleurs : Trou- bles trophiques : Peu
s trophiques : Peut-être légère atrophie musculaire diffuse. Pas de troubles trophiques cutanés : Réflexes : Rotuliens légèrem
e des deux côtés. Pas de clonus, ni de contractions fibrillaires. Troubles sphinctériens : Une certaine lenteur et dilficult
semble pas di- laté ; constipation légère. Pas de lièvre, pas de troubles psychiques. Depuis la lin de janvier jusqu'à la
hémoptysies dans la jeunesse, grands excès alcooliques habituels, troubles dyspeptiques caractéristiques s'y rattachant, e
le. Les antécédents alcooliques du malade, l'intensité légère des troubles trophiques et moteurs dans les membres infé- ri
un tableau symptomatique constitué presque essentiellement par des troubles nerveux : dans le domaine des deux sciatiques c
qui entrent dans la constitution du nerf sciatique ; le manque de troubles sensitifs objectifs diffus et nets dans le terr
vé par les racines sacrées et lom- baires inférieures, le manque de troubles sphinctériens marqués, la légèreté des troubles
eures, le manque de troubles sphinctériens marqués, la légèreté des troubles moteurs et trophiques, peuvent bien relever du
ement du gauche. et, dans la lésion des 3e et 4e sacrées,les légers troubles vésicaux que le malade semble avoir présentés,
queue de cheval était bien plus évidente, bien plus complète ; les troubles moteurs, les troubles trophiques, les troubles
bien plus évidente, bien plus complète ; les troubles moteurs, les troubles trophiques, les troubles sensitifs objectifs, s
plus complète ; les troubles moteurs, les troubles trophiques, les troubles sensitifs objectifs, soit par leur intensité,so
tribution, plus caractéristiques ; presque toujours il existait des troubles sphinctériens ncts. Dans la majorité des cas, o
est une perturbation mentale, ayant des connexions intimes avec les troubles organiques. Ce n'est pas une vésanie ou une psy
organes premièrement envahis et quels rapports existaient entre les troubles physiques et les troubles psychiques. C'est enc
et quels rapports existaient entre les troubles physiques et les troubles psychiques. C'est encore l'observation qui nous
sent avant toute perturbation mentale. La mélancolie débute par des troubles physiques : courba- ture générale, faiblesse et
le moindre effort ; céphalalgie, bourdonnements dans les oreilles ; troubles vaso-moteurs, troubles digestifs ; constipation
halalgie, bourdonnements dans les oreilles ; troubles vaso-moteurs, troubles digestifs ; constipation, insomnie ou somnolenc
serve le ralentissement de la res- piration, de la circulation, les troubles gastro-intesti- naux. Mais le foie paraît être
foie est atteint dès le début, non de lé- sions saillantes, mais de troubles assez caractéristiques pour qu'ils soient recon
ctéristiques pour qu'ils soient reconnus cliniquement. Parmi ces- troubles , la cholémie tient la première place. Dans une
documents, qui démontreront que la mélan- colie est le résultat de troubles de tout l'organisme.et du foie en particulier.
- choses. ' Quant aux états mélancoliques, directement liés aux troubles hépatiques, ils sont également étudiés par cer-
la ponction, en guérissant le mal local, fait disparaître* les . troubles mentaux. Aussi conseille-t-il, dans tous les cas
dans cette étude, à démontrer que les mélancoliques présentent des troubles physiques et des signes cliniques, qui attesten
rattacher à une pigmentation due à une hématose incomplète. » Les troubles gaslro-intestinaux dominent souvent dans la cho
es, avec ou sans refroidis- sement et cyanose des extrémités. Les troubles objectifs du foie et de la rate existent et che
le huitohsenalions personne fies. Dans les cas cliniquement nets de troubles men- titin séiiiles, de démence arlério-scléreu
nctionnelle (3 cas, II ponctions), ou enfin de préciser l'espèce de trouble mental inhérent à la polynévrite cas,l ponc- ti
de ce dernier. Une femme atteinte de gomme ramollie du pharynx sans troubles ner- \eux, présente une énorme profusion de glo
ale de l'Ouest, 1904.) L'auteur étudie, sous ce fifre, une série de troubles trophiques accompagnant ordinairement lepseudo-
d'une affection mentale en par- ticulier et l'on peut observer ces troubles dans la paralysie géné- rale, la mélancolie sén
ui s'était graduellement développée sans per- te de connaissance ni trouble de la parole, mais après avoir été précédée lon
langue àgauche, une paralysie du voile du palais du même côté, des troubles de la déglutition, une atrophie bilatérale du ner
ans perte de connaissance. Ce n'est que plus tard qu'apparurent les troubles mentaux typiques et les symptômes locaux de la
. L'atrophie de la langue, l'hémi-paralysie du voile du palaiseLles troubles de la déglutition indiquaient déjà la méningite
re de la pupille.Contre eux plaide encore l'absence si fréquente de troubles du grand sympathique d'un autre ordre dans l'oe
de détaillée de 3 observations et des travaux des auteurs. 1. Les troubles de la sensibilité thermique et algique peuvent
ur 30 ; dans sept folies périodiques sur 18. Ce phénomène tient aux troubles physiques qui ont déterminé la maladie men- tal
t de la masse musculaire. Ces particularités sonten rapport avec le trouble du métabolisme de la myotonie [voyez Obozrénié
'IIEIGE, un parkinsonien atteint de tremblement des paupières et de troubles de la déglutition, chez qui le début par des ph
, et avoir évolué insidieusement jusqu'à ces derniers temps. Pas de troubles trophiques, quelques contractions fibrillaires
té normale. Anesthésie pharyngée, cor- nt : enne, anosmie... Pas de troubles pupillaires. Pas d'antécédents ni de stigmates
s pas pu retrouver la trace dans les commémoratifs. L'adjonction de troubles sensitifs, quelque en soit la nature, est à not
e parésie spasmodique avec amyotrophie des membres inférieurs, sans troubles cérébraux ni pseudo-bulbaires. L'angiosclérose
ire dans le membre supérieur avec contracture des fléchisseurs sans troubles électriques avec thermo-anesthésie croisée. Ils
t dcvenirun moyen d'in- vestigation médicale, au même titre que les troubles de la parole, de la marche, de l'attitude et de
s, par exemple, que la paralysie générale iL son début ; même les troubles de l'écriture, évoluant parallèlement à ceux de c
e désharmonie fonctionnelle, de déséquilibre mental, avec angoisse, troubles va- somoteurs ou secrétoires, incapacité foncti
oment de l'audition, le trac se manifeste avec tout le cor- tège de troubles énoncés ci-dessus ; dans l'intervalle des audi-
- mentes séniles avaient également des parents ayant présenté des troubles mentaux dans leur vieillesse. Enfin la tante mate
ans une deuxième partie, la réédu- cation motrice, d'abord dans les troubles delà coordination (ata- xie). La méthode consis
diquée pour mettre en jeu des suppléances naturelles et pallier les troubles fonctionnels, et aussi pour lutter contre l'amn
ation dans le traitement des tics (affec- tion qui consiste dans un trouble portant à la fois sur le système moteur et sur
immobilisation des mouvements (Brissaud). La rééducation dans les troubles du langage s'adresse à l'apha- sie, la surdi-mu
us ou moins durable : il s'agit donc d'éduquer la volonté. Pour les troubles de l'appareil respiratoire, il faut réapprendre
hérie- quepar les mouvements passifs des membres, le massage. Les troubles des fonctions d'émonction ne peuvent faire appel
re domicile en elle. Généralement, elle commence par éprouver des troubles ner- veux, tels que douleurs en diverses partie
réoccupations, des sensations réelles ou imaginaires S'agit-il d'un trouble intellectuel, d'une obsession psychique, d'une
chique. L'hypochondriaque grossit dans son imagination les nombreux troubles fonctionnels qu'ils ressent comme nous autres :
structurales ou chimiques; il est même dangereux de rechercher les troubles périphériques locaux chez les hypochondriaques,
curieusement illustrée par le ré- cent mémoire de Head sur certains troubles mentaux qui ac- compagnent les affections viscé
l'ouïe ou de l'odorat. Chez tous les malades qui pré- sentaient ces troubles mentaux (Inobservations dont aucune ne fut suiv
quait, au contraire, chez tous les cardia- ques et tuberculeux sans troubles mentaux, serait donc la cause directe des modif
t en dehors de la cons- cience et nous restons ignorants des légers troubles de son fonctionnement ; maissi, dans les troubl
orants des légers troubles de son fonctionnement ; maissi, dans les troubles graves et prolon- gés, la douleur viscérale réf
ont supprimé la distinction nettement établie par Ilead entre les troubles mentaux des véritables aliénés etceux des cardiaq
end les liens étroits qui unissent les états hypochondriaques aux troubles coenesthésiques.. · Tout le monde admet l'exist
liénistes ET neurologistes. giques, on peut établir l'existence des troubles viscéraux dans l'hypochondrie à l'aide d'un gra
rs des travaux de Ilead, beaucoup d'observations confirment que les troubles sensitifs de la paroi révèlent la lé- sion visc
iques des tabétiques, la dilatation d'estomac, etc.). En outre, les troubles locaux des nCllrasthéni- que et des hypochonclr
ique de la paralysie générale, caractéri- sée par la coexistence de troubles viscéraux et de concep- tions hypochondriaques.
A côté de tous ces faits qui établissent nettement l'existence des troubles viscéraux dans les états hypochondriaques, il c
influence souvent- considérable que prennent, dans certains cas les troubles proprement psychi- ques. Il ne suffit pas,en ef
roprement psychi- ques. Il ne suffit pas,en effet, de présenter des troubles orga- niques pour aussitôt devenir hypochondria
t pas dire que le délire hypochondriaque soit dû exclusivement à un trouble fonc- tionnel du cerveau (hypochondrie essentie
ssaires et suffisantes : une constitution psychique spéciale et des troubles coenes- thésiques. Ces deux facteurs pathogéniq
ions, en particulier dans l'alcoolisme ' chronique, l'intensité des troubles de la sensibilité générale explique la fréquenc
tion. 4° A côté des paranoïaques, à interprétations délirantes, à troubles hallucinatoires, etc., il existe un groupe de î)s
dominant, il importe de ne pas négliger néanmoins le traitement des troubles locaux réels et indispensables pour de l'hypoch
NGRÈS DES MEDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. proportion avec les troubles coenethésiques accidentels, il est permis de co
t parfois absolument identiques. M. Régis a recherché,lui aussi,les troubles de la cénesthésie chez les hypochondriaques par
l'inlerprélalion, par un cerveau prédisposé à l'introspec- tion de troubles soniatiqucs réels », et aussi « que lous les ét
ntale qu'il fera de son état deviendra morbide; il en résultera des troubles mentaux, qui pourront, dès lors, le mener ul'in
upprimant la lésion pourra, par voie de conséquence, mettre fin aux troubles mentaux, c'est la voie ouverte l'espérance, mai
Etal local. Reste l'étude de l'état local. Dans certains cas, les troubles viscéraux sont grossièrement symptomaliques.Le
es lésions concomitantes des annexes ? P Dans ce dernier cas, les troubles fonctionnels sont-ils exac- tement en rapport a
r la nature de la lésion et de déterminer l'importance réelle des troubles fonctionnels. M. DFNY (de Paris). - Sans méconn
ke, Sol- lier, Luciani, Tamburini, etc.. Or c'est avant tout à un trouble , à une perturbation fonc- tionnelle de cette cé
doctrines tout à fait opposées pour expliquer la genèse de certains troubles mentaux et c'est à ce titre seulement qu'ils on
e bien difficile d'apporter quelque rigueur dans la re- cherche des troubles de la sensibilité chez les aliénés, puisqu'on e
es dans trois catégories distinctes, selon que : il). L'idée d'un trouble de la santé et l'idée de persécution évoluent p
firmer qu'elles réagissent notablement l'une sur l'autre ; B). Le trouble imaginaire de la santé est considéré par le suj
le sujet comme résultant des persécutions qu'il a subies ; C). Le trouble de la santé est considéré par le sujet comme le
s ici, conservées ab- solument normales. Valeur séméiologique des troubles pupillaires dans les affections cérébro-spinale
s dans les affections cérébro-spinales. DI' JocQS (de Paris). Les troubles pupillaires s'observent le plus souvent dans le
tabétiques. Mais tous les tabétiques ne sont pas syphilitiques. Les troubles pupil- laires sont ceux qui sont constitués par
accommodateur, ou des deux à la fois.) Les lésions causales de ces troubles pupil- laires dans la syphilis sont rarement d'
ouvent d'origine basale. Ils n'ont rien à voir avec le tabès. Les troubles de la paralysie générale sc rapprochent beau- c
eux de la syphilis. L'inégalité pupillaire correspond toujours à un trouble dans la motricité de l'iris. Le signe d'Argyll-
» semble devoir être remplacée par ces mots : « ne présente pas de troubles nerveux carac- térisés ». Cette modification a
ou moteurs. Peut-être même, dans les rares observations où quelques troubles nerveux localisés et rayonnants au loin de la p
degrés. Les signes de la névrite se ré- vèlent par la douleur, les troubles trophiques, moteurs, sen- sitifs, objectifs, pa
d'immobiliser le membre atteint, les variations topographiques des troubles de la sensibilité objective, et surtout par l'a
au- cun phénomène douloureux (un peu d'engourdissement) ; pas de troubles sphinctériens. " Lorsque je vois pour la premiè
is le signe de Babinski. Tous ces paralytiques généraux avaient des troubles de la marche depuis le simple tremblement des j
g existait au début de la paralysie générale, il n'y y avait pas de troubles de la marche et l'on peut admettre qu'il tradui
u dans la moelle tout à la phase de début, alors qu'il n'y a pas de troubles de la marche ; moins rare à la phase d'état, il
xiste fréquemment la phase finale pendant laquelle apparaissent les troubles de la marche qui peuvent même confiner le malad
us, une évolution rapide de la maladie et l'apparition prochaine de troubles médullaires. 202 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNIS
elconque,elle parvient à occuper l'attention,peut être l'origine de troubles vasomoteurs amenant eux-mêmes des réactions émo
yeux n'apparaît dans aucune autre occasion. Dis- cussion du cas. Un trouble émotif paraît bien être à la base du trouble va
- cussion du cas. Un trouble émotif paraît bien être à la base du trouble vaso-moteur, indépendant de l'émotion subsé- qu
de notre obser- vation, doivent être, à notre avis, attribués à un trouble mé- canique de congestion passive, favorisé d'a
sur les ictus épileptiformes de certains paralytiques et sur leurs troubles de nutrition (escarres, maux perforants, etc.)
l'ac- coutumance en est faible et sa suppression n'entraîne aucun trouble appréciable. Le mauvais goût en peut être facilem
. » La rage est unefolie infectieuse. M. l'IERRE'C (de Lyon). Les troubles de la sensibilité sont MOUVEMENTS INVOLONTAIRES
es sensitifs à tous les étages du système centripète. L'étude des troubles intellectuels chez les tabétiques à né- ,rites
e l'infection et des actions à distance, de sorte que l'étude des troubles psychiques et sensitifs chez les rabiques éclaire
(Bonnefous) ou d'acide phénique (Reinhard) contribuera à parer aux troubles dys- trophiques des tissus (eschares, phlegmons
ophiques des tissus (eschares, phlegmons, etc.), lorsque d'au- tres troubles organiques ne viendront pas contre-indiquer l'e
ppliqués quand l'état général, très défectueux, s'ac- compagnera de troubles profonds de la circulation (cyanose, refroidiss
lose au début, les accidenls dus à la scrofule, au lymphatisme, les troubles circulatoires (engelures, gonflement des pieds
ONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Une observation de troubles mentaux liés à l'existence de lésions chronique
ves à des accidents syphilitiques secondai- res de cette région les troubles mentaux le plus habituelle- ment observés au co
état d'anxiété marqué. Surceca- nevas sont venus se broder d'autres troubles délirants ou des interprétations erronées qui o
MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. constate objectivement aucun trouble en plus ou en moins des sensibilités. Il s'agi
t, et accepte la présidence du Congrès de Lille. ' Observation de troubles mélancoliques d'origine t"hino-pharyngienne. -
l- culaire pyramidale, comme le veulent certains auteurs, qu'à un trouble mécanique de congestion passive, favorisé d'ail-
et l'on pourrait croire qu'il n'existe, chez ces malades, d'autres troubles respiratoires que les troubles laryngés. En réa
n'existe, chez ces malades, d'autres troubles respiratoires que les troubles laryngés. En réalité, il n'en est point ainsi et
il déprimer le thorax lors- qu'il se dilate.Nous avons observé des troubles correspondant aux fonctions de ces trois groupe
, et qu'ils' se gonflent dans l'expiration. Les conséquences de ces troubles sont : A) l'in- suffisance respiratoire, avec l
ns diges- tives, la constipation, la gêne de la miction et tous les troubles abdominaux qui résultent de l'insuffisance' dia
rissement, l'émaciation des masses musculaires thoraci- ques et les troubles respiratoires que nous venons d'énumé- rer.- Da
e ou compromise chez lesataxiques. Il est possible de traiter ces troubles moteurs par des exercices méthodiques. On peut
e, la bonne volonté de l'ataxique bien guidée peuvent triompher des troubles que nous venons de décrire. Dans les cas que no
- Les accès périodiques des folies intermittentes, de même que les troubles mentaux qui se substituent fréquemment aux accè
ET NEUROLOGISTES. anatomo-clinique d'un malade, âgé de 28 ans. Ses troubles ont débuté par des vertiges. Une fois, le verti
es, l'atrophie est surtout la conséquence de deux facteurs : 1° les troubles vaso-moteurs ; 2° la perte du tonus musculaire.
tre de commun l'élévation de la température du côté atteint par les troubles moteurs, il existe également, outre les autres
ontrent l'importance des altérations thalamiques dans la genèse des troubles de la sensibilité dans les lésions LÉSIONS DU C
tation ? ) du thalamus. Dans ce cas, il pourrait servir avec les troubles de la sensibilité (objectifs ou subjectifs, et pe
a sensibilité (objectifs ou subjectifs, et peut- être avec certains troubles de la mimique à faire diagnosti- quer une lésio
e dans les asiles, de la promiscuité où se trouvent les malades, du trouble apporté au sommeil de chaque aliéné par le brui
256 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE BEKOX. Les troubles psychiques chez les hémiplégiques orga- niques
ALE Sur un cas de délire métabolique de la personnalité lié à des troubles de la coenesthésie ; Par G. DEXY et PAUL CAMU
ntinuellement sur sa situation, se reproche sa conduite, etc. Ces troubles s'accentuant, M... entre pour la première fois al
certain degré d'amaigrissement ayant coïncidé avec l'apparition des troubles psychiques. On ne noie rien d'anormal du côté d
où elle semble un peu diminuée. Pas de zones hystérogènes, pas de troubles des sensibilités spéciales. Légère exagération de
affection, la malade n'a attiré notre attention sur l'existence de troubles viscéraux, digestifs, respiratoires, etc. : aux
sure que se développent et s'amplifient les idées délirantes. Aux troubles de la perception interne s'ajoutent des trouble
délirantes. Aux troubles de la perception interne s'ajoutent des troubles de la perception externe : les personnes et les
- quels nous nous sommes appuyés récemment pour inter- préter les troubles psychopathiques d'une malade qui, sans croire à
nous venons de faire allusion, nous pensons qu'en l'absence d'aucun trouble objectif de la sensibilité, d'aucun signe d'une
altérations de l'affecti- vité et de la sensibilité morale. ' Le trouble de la cénesthésie cérébrale ayant envahi peu à
les deux cas sont dues uniquement à ce que dans l'un il s'agit d'un trouble a ou hypo, et dans l'autre d'un trouble para de
ue dans l'un il s'agit d'un trouble a ou hypo, et dans l'autre d'un trouble para de la cénes- thésic. Une même formule peut
sfigurée du monde extérieur. En faisant jouer le principal rôle aux troubles de la cénesthésie cérébrale dans la genèse du d
«que les idées hypochondriaques dénégation sont en rapport avec des troubles cénesthésiques, se relient ' 1 il l'altération
n a été critiquée dernièrement par 1\1.P. Bonnier (3) pour qui « le trouble par lequel certaines par- ties de nous-mêmes ce
alcation faite de leurs éléments accessoires, commè des exemples de troubles hypo et parafonctionnels de la somatopsyché des
ent d'apparition. Division. Dans toutes les in- fections aiguës,les troubles psychiques peuvent apparaî- tre à quatre moment
oxication qu'il faut surtout re- courir pour combattre et guérir le trouble mental. Parmi les indications spéciales, celle
r au malade un sommeil assez profond et assez prolongé pour que les troubles délirants et hal- lucinatoires ne puissent s'y
ce n'est guère que depuis les grandes épidémies récentes que les troubles psychiques de l'influenza ont été étudiés. Citons
ment dite et quelquefois même assez tardivement qu'apparaissent les troubles psychiques. Aussi a-t-on vu dans ce délire un p
les sont rares et jamais complètes, nous pouvons observer que des troubles partiels de la connaissance sont attachés ,à des
e sont confondues (1). Les altérations de la conscience liées à ces troubles organiques sont analogues à ceux observés chez
nce et finit l'homme raisonnable, qui fixera la part réservée aux troubles microscopiques et aux troubles macroscopiques d
ble, qui fixera la part réservée aux troubles microscopiques et aux troubles macroscopiques dans les altérations de la menta
xacte, nous disons que l'absence d'écorce cérébrale peut, comme les troubles des voies conductrices, produire le phénomène d
hicr antérieur n'est pas dû, comme on pourrait le sup- poser, à des troubles secondaires du faisceau pyramidal, puisque ce m
ce de pareils faits démontrerait d'autre part que c'est plutôt à un trouble fonctionnel, suite d'une lésion organique du ce
sceau pyramidal n'est pas indispen- sable, pas même nécessaire ; ce trouble fonctionnel peut être réalisé par intoxication
lésion matérielle du faisceau pyrami- dal, mais qu'il résulte d'un trouble fonctionnel de ce faisceau. » (I\RIXESCO, ibide
teux au huitième mois. Au neuvième, il devient évi- dent (2). Les troubles que nous observons chez les Jacksonnicns opérés
pérés peuvent se retrouver, moins nets il est vrai, dans des cas de troubles organiques du faisceau pyra- midal. L'organe ce
Marinesco pour notre conception de la conscience est accrue par les troubles de perception que l'on observe chez les deux su
s nécessaires. Enfin, nous avons réservé un caractère spécial des troubles observés chez nos Jacksonnicns opérés pour le r
animaux ne perdent pas définitivement la faculté de marcher, les troubles primitifs de la motilité s'effacent avec le temps
de la na- ture myopathique de la maladie de 'l'homsen. F. T. Il. Troubles vasomoteurs chez une hystérique ; par GENÉVRIER
asthénie sans atrophie, sans réactions électriques anormales, sans troubles de la sensibilité, de la réflectivité ni des sp
e parles membres inférieurs; douleurs lombaires, localisation des troubles de lasensibiliLé aux membres inférieurs, diminuti
t'mha¡'dt. Centralbl. f. Neurologie 1889, n 2.) Enfin, en dépit des troubles trophiques les plus accusés et des lésions avan
. Il y a perte du sens stéréognoslique de la main gauche sans autre trouble des autres modes de la sensibilité qu'une ano-
iitienttlans la psychose de Korsakow peuvent être le résul- tat des troubles fonctionnels. P. K. XIV. Poliomyélite antérieur
il y a de la dyspnée et une température abondante et fétide. Les troubles du système neuro-musculaire sont variables, il y
t un élément étiologique. Le pre- mier consiste dans un ensemble de troubles psychiques et ner- veux de nature hystérique et
ujets réellement trauma- tisés les blessures ont été légères et les troubles nerveux ou psychiques nullement en rapport avec
suppose pas de prédisposition névro- pathique manifeste. Enfin, les troubles digestifs ne jouent qu'un rôle secondaire ; ils
ningites insidieuses qui nedonnent naissance chez l'adulte qu'à des troubles mentaux ; chez l'enfant, elles provo- quent sou
he la tête inclinée, le corps penché. (Fia. 19.) 1 Juin. - Pas de troubles vaso-moteurs. Affaissement phy- sique de plus e
années par des doses énormes de boisson qui ne présentent point de troubles psychiques, tandis qu'un simple appoint pousse
s son mariage, elle eut une métrite, qui fut le point de départ des troubles névropa- thiques. Les préoccupations tournèrent
ut rendu à sa femme. Pendant 8 ans, il ne donna plus aucun signe de troubles psy- chiques. En 1900, il fut repris d'une dépr
ns les cas de guérison de mélanco- lie que nous avons observés, les troubles du foie ont dis- paru en premier lieu ; la chol
veau, dans laquelle le foie est atteint avant toute dépression. Les troubles et les lésions du foie pa- raissent influencer
presque identique pour les mélancoliques et les cltulémiclues. Les troubles gastro- intestinaux étant semblables dans les d
Enfin, l'analyse exacte des laits montre que. le plus souvent, les troubles intel- lectuets ne sont pas précoces, mais cons
de la Salpétrière, l\)04, no 6.) L'ulcération esl l'aboutissant de troubles d\; : trophiques prémo- nitoires, qui sont Fér)
tion en raison de leur inertie organique (1). F. Tissot. III. Des troubles de la lecture, de la parole et de l'é- criture
pratique à une indépendance réciproque de ces deux facteurs, car le trouble physique traduit souvent du même coup un foncti
ation des mots, qui sont les tnê- mes pour la lecture à haute voix ( troubles arthrolevitlues)que (1) L'hydrothérapie locale
3.). REVUE DE PATHOLOGIE. lENIALE. 3ci5 pour la parole spontanée ( troubles arlhrnlaliques) reconnaissent comme principale
l et, oublient vite ce qu'ilslisenf, aussi lisent-ils fort peu. Les trouble * oiil fi-ail à la monotonie du débit, au choix
ut savoir qu'il Il'y a aucun rapport constant entre l'intensité des troubles du langage et de la déchéance in- tellectuelle.
gage et de la déchéance in- tellectuelle. Comme les précédents, les troubles calligraphiques trahissent un défaut dans la co
éfaut dans la commande ou l'obéissance du sys- tème musculaire. Les troubles p·cltograp11111ueJ concernent les idées exprimé
processus synchrones. C'est celte ·weriu rlui est supprimée par des troubles fonctionnels de nature, inconnue. Et la décaden
des ca ? le phénomènes nerveux, surtout au il( ? but, masquent les troubles pulmonaires aussi bien pour le ma- lade que pou
ion à la fois corticale et, sous-corticale qu'il faut rattacher les troubles du langage, ce qui est d'ailleurs conforme il l
omme un ataxique, rarement comme un cérébelleux. On renconlre des troubles trophiques : tendance aux suffusions 408 BIBLIO
te l'{'I l'ohulhail'e 3lrcolirlue, ou de névrite optique l'aie; les troubles papillaires, le nystagmus. ne sont également po
cement des dents, rapidité du pouls par rapport à la tempe- rature; troubles de la respiration et de la déglutition. Enfin tro
geration (en certain point) du processus pathologique diffus. Les troubles du langage consistent en accrocs transitoires, en
avec ce texte. Du côté de l'écriture et de la copie, on trouve des troubles ana- logues, mais le plus souvent s'agit de tro
on trouve des troubles ana- logues, mais le plus souvent s'agit de troubles amnésiques (le malade oubliant des mots ou ne s
ons nombreuses), l'agraphie où laparagraphif sont plus rares. Les troubles du jugement se manifestent sous forme de cécité
d'anorexie psychique ou sous celle d'asymbolie uu d'agressie. Ces - troubles agnostiques débutent souvent par une attaque ap
uelque temps dépassé Cbarlres, quand la jeune fille, sujette il des troubles cérébraux, alla s'enfermer dans les uater-closc
s divers facteurs répondit une étape de l'histoire pathogénique des troubles médullaires au cours du mal de Pott ; il ne nou
locales mais encore des lésions il distance par l'intermédiaire de troubles circulatoires (stase et oedème). Cette manière
tte manière d'agir de la compression osseuse principalement par des troubles circulatoires est aussi invoquée par STROEBE (/
'une telle flexion et une telle tension suffisent pour apporter les troubles de nutri- , i (1) (;HtP.ltJI.T.-( : Iriruryir
osseuse relativement lente, en partie aussi par l'intermédiaire de troubles circulatoires, est un fait qui tend il être adm
aires est joué par la péri-pachyméningitc pur l'inter- médiaire des troubles circulatoires qu'elle produit, que lamoellc soi
isante pour compri- mer directement la moelle, elle y a produit des troubles circulatoires. Il est donc évident que,dans les
ment le premier en date des lésions médullaires consiste dans les troubles circulatoires amenés par la compres- sion. - (
irait sur elle, selon la majorité des auteurs, uni- quement par les troubles 'Circulatoires qu'elle \,amène. Ces troubles ci
uni- quement par les troubles 'Circulatoires qu'elle \,amène. Ces troubles circulatoires peuvent être d'ordre divers : sta
voies sanguines et lymphatiques ell'érentes ; dans les deux cas. le trouble cir- culatoire est simplement l'effet mécanique
qui pourrait être invoquée aussi bien seule que conjointement à des troubles circulatoires d' ordre mécanique pour expliquer
guine, ne donnent pas le droit d'interpréter comme con- séquence de troubles ischémiques. Pour ces cas, les trou- bles circu
ertain rôle dans la grande majorité des cas de mal de Pott où les troubles circulatoires mécaniques semblent suffire à exp
ne lésion nerveuse, comme le ramollisse- ment, est produite par des troubles circulatoires mécani- ques ou par un processus
elle dans 4 cas de mal de Pott. chez des malades ayant présenté des troubles médullaires. Ces cas ont été recueillis dans la
La rétention disparaît et t'ait, place à l'incontinence. Egalement, troubles du cûlé du rectum : il y a de l'incontinence de
phénomène de l'orteil en flexion à gauche, en extension à droite) ; troubles sphinctériens (incontinence anale et W sicalu)
rès fortes de température : persiste l'abolition des réflexes ; les trouble » sphinctériens (rétention alternant avec l'incont
es comme l'expression d'une lésion des racines postérieures par des troubles circula- toires (stase) au niveau de la moelle
s d'investigation. Cette lésion serait produite, selon lui, par des troubles circulatoires dus à la compression des artères
orBon s, pOUl' notre cas, il dire que nous n'avons pas constaté ces troubles cir- culatoires dans la moelle inférieure. , '
pas de clonus du pied, phénomène des orteils indifférent : pas de troubles delà sensibilité (réserves pour l'état mental del
sensibilité (réserves pour l'état mental delà ma- lade) ; jamais de troubles sphinclériens. Mort le '23 mai 1',)0. Autopsie.
encore que la compression osseuse a ici agi plutôt en amenant des troubles de nutrition diffuses de la moelle, par l'intermé
oubles de nutrition diffuses de la moelle, par l'intermé- diaire de troubles circulatoires, que par action mécanique directe
des racines postérieures, celles-ci restant intactes, ni par des troubles ischémiques, les vaisseaux ne présentant d'alté
admettre que cette dégénération des cor- dons postérieurs relève de troubles circulatoires secon- daires à la compression de
ingite, les conditions né- cessaires et suffisantes pour amener des troubles circu- latoires d'ordre mécanique, capables d'e
rop faible et trop limitée pour ex- pliquer par la seule action des troubles circulatoires mé- caniques les altérations obse
donnent à penser que, même pour ceux où la présence et l'action des troubles circulatoires mécaniques provoqués par la pachy
sait ainsi contraste avec les dimen- sions exagérées delà face. Des troubles visuels comme Le sang dans l'acromégalie et le
ications hématopoiétiques distinctes af- férentes à l'un et l'autre trouble somatique. Les prélèvements du sang ont été mul
ans doute plus exact. Le bouil- lon garde un certain temps ce léger trouble uniforme, (1) L.MiEnnE.CowM-)'MdM< ? Société
tation, mais je tiens dès maintenant il attirer l'attention sur des troubles vaso- moteurs qui m'avaient échappé et qui parl
deux poumons, les ganglions trachéo-bronchiques et qui présenta des troubles de la démarche du type cérébelleux, des vo- mis
e crisesl'épilepsie jacksonnienne limitées adroite, de vertiges, de troubles de la démarche avec rétropulsion et latéro- pul
ez porté à supposer que les suppurations peuvent (téter ? miner des troubles intellectuels se manifestant surtout par de ' i
délire sans le secours du chirurgien. J'admets, cependant, que tout trouble somatique peut avoir un retentissement fâcheux su
visuelles, mais avec des hallu- cinations verbales auditives et les troubles somatiques de l'éthy- lisme réduits au minimum.
céd partiellement, surtout à gauche. Les réflexes sont normaux, les troubles delà sensibilité ont com- plètement disparu. At
xes rotulicns et achil- léens, signe de Babinski. Nystagmus; pas de troubles sensoriels. Douleurs et troubles de la sensibil
gne de Babinski. Nystagmus; pas de troubles sensoriels. Douleurs et troubles de la sensibilité générale.' Pas de troubles tr
ensoriels. Douleurs et troubles de la sensibilité générale.' Pas de troubles trophiques. Instabilité mentale. Lésion cérébel
s'estattaclié à mettre en lumière dans plusieurs leçons -- que les troubles de BIBLIOGRAPHIE. 493 l'écriture jouent un rô
dessin, et des centres qui président à l'élaboration des idées, les troubles calli et psy- chographiques fournissent en effe
copie ou sous dictée. L'auteur y passe successivement en revue les troubles calligra- phiques élémentaires, c'est-à-dire l'
ire qui peut être lui-même défi- intif ou transitoire. Les autres troubles calligraphiques élémentaires étudiés dans celle
l'arriération et la dégénérescence men- tale, etc., etc. ' , Les troubles graphiques particuliers à chacune de ces affectio
oup d'aliénés pour exprimer leurs conceptions délirantes ou leurs troubles sensoriels. Ces dessinssont quelquefois de simp
iers, ont une localisation mal déterminée, ne s'acompagnent d'aucun trouble de la sensibilité et ne sont mo- difiées par au
acteurspathogéniques : 1° uneconstitution psychique spéciale et des troubles de la coenesthésie, 20 que l'hypo- chondrie n'e
trent une constitution psychique spéciale capable d'interpréter les troubles de la coenesthésie. Une importante discussion s
184. Sur un cas de - métaboli- que de la personnalité lié à des troubles de la ccenesthe- sie par Deny et Camus, p. 257.
p. ,192, ECRITS. Voir Maladies 11fr- reuses.. z Ecriture. Voir Troubles . Eléments XEHVEUX. La forme des de l'écorce d
avaux de- psychologie de -, par Weygiindt, p. 40. Lecture. Voir Troubles . Voir Tic. Lésions du cerveau et du cer- ve
-. VoirCo'n)nof)0;ttMCfh(<N')f. Paralytiques généraux. Voir Troubles . général. Voir; Tluombo-plébite. Paraplégie f
s l'amaurose tabétique, par Lé- ri, p. 315. Rhino-pharynx. Voir Troubles . Rhumatisme chronique, par Gauckler, p. 492.
38 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
ORATOIRE DE il. LE PROFESSEUR RAYMOND. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX DANS LE MAL DE POTT SANS GIBBOSITÉ '
la Clinique des Maladies Nerveuses. Au cours du mal de Pott ci les troubles dépendant des racines nerveuses prennent souven
ssez rare, la tuberculose vertébrale peut s'accuser d'abord par des troubles médullaires : difficulté de la marche, liée à une
iculté de la marche, liée à une parésie des membres inférieurs. Les troubles paraplégiques devancent, de plusieurs mois, la
'elle attaque, et des disques intervertébraux qui les séparent; les troubles nerveux sont, le plus souvent, consécutifs à la
, Etude sur le Mal de Poli. Paris, 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 3 pour le diagnostic. Chez l'adulte, au
vertébraux, et se pro- pager à l'espace épidural, occasionnant des troubles nerveux avant l'ap- parition de la déformation
posons d'exposer succinctement les principales formes cliniques des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité, afi
anatomique des symptômes, et, avant tout, de pouvoir distinguer les troubles d'origine radiculaire et ceux d'origine médullair
tte « pachyméningite externe caséeuse o est la cause habituelle des troubles nerveux, en déterminant la compression de moell
a compression médullaire, Touche (1) dit avoir souvent constaté des troubles dus à la compression radiculaire dans des cas vér
r, des paresthésies; la compression médullaire produit toujours des troubles d'innervation des muscles volontaires, fatigue, d
ts, ataxie aboutissant plus ou moins rapidement à la paralysie. Les troubles sensitifs sont très variables; enfin, plus tard,
enfin, plus tard, à la constipation, signe précoce, s'ajoutent des troubles sphinctériens et des signes d'excita- tion motr
ure de la moelle, ce qui expli- que, disait-il, la prédominance des troubles moteurs sur les troubles sensitifs. Ces quelq
expli- que, disait-il, la prédominance des troubles moteurs sur les troubles sensitifs. Ces quelques citations suffisent p
es données assez vagues sur l'origine radiculaire ou médullaire des troubles nerveux du mal de Pott ; nous (1) Touche, Soc.
rvenheilkunde, t. xvi (1899), 110 pages. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX S savons seulement que la spasmodicité
de Chipault (9 ) puisque la distinction sur laquelle il se basait ( troubles sen- sitifs radiculaires à limites parallèles à
paraplégie spasmodique, avec rétention des réservoirs, avec ou sans troubles de la sensibilité, et des troubles trophiques var
ion des réservoirs, avec ou sans troubles de la sensibilité, et des troubles trophiques variables, non seulement d'un malade
jours, (1) CHARCOT, loc. cü., p. 122. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 7 une paraplégie spasmodique, bilatéral
l rachidien ; la localisation était possible grâce à l'existence de troubles vésicaux et rectaux et d'une anesthésie surmontée
» (Jl. Brissaud ne dit pas ce que sont devenus la paraplégie et les troubles sphinctériens). Malheureusement Chipault, dans
eurs qui avaient été rapportées il une né- vralgie phrénique et des troubles vésicaux ayant fait croire à l'existence d'un c
urmillements et une légère parésie des membres inférieurs. Tous ces troubles disparaissent et se reproduisent alternativemen
Ci-, Editeurs Pootot)1ue Bert6aud, Pa^us LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 9 9 mois après le début on constate une
à noter du côté des membres supérieurs de la tête et du cou, pas de troubles intellectuels. Sommet droit douteux. Quelques j
DE POTT SANS GIBBOSITE (L. Alqitier.) LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 11 compression de la moelle et des raci
atiques, dou- leurs fulgurantes, etc. précédant ou accompagnant les troubles moteurs. Ceux-ci apparaissent de façon très var
tion des sphincters et, seulement dans un certain nombre de cas, de troubles objectifs de la sensibilité, hyperesthésie ou a
aubie (notre obs. III) sont des exemples de paraplégie flasque avec troubles objectifs de la sensibilité permettant de diagn
laire. Le cas de Wert montre jusqu'où peut aller la variabilité des troubles nerveux : dans celui de M. Achard, comment aura
comprend, fort heureusement, qu'un petit nom- bre de faits, car les troubles nerveux dus à un mal de Pott lombo-sacré sans s
DE POTT SANS GIBBOSITE (L..Alr¡uier.) LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 13 des douleurs dans le genou gauche, a
sont exagérées par la pres- sion, rendent la marche pénible. Aucun trouble du mouvement ou de la sensi- bilité objective;
retard à la per- ception des sensations. Mort 6 semaines après les troubles abdominaux. A l'autopsie,le corps de la XIIe ve
eurs au sacrum, irradiées le long des deux sciatiques. Un an après, troubles sphinctériens et paraplégie flasque. 6 ans plus
x, 1901, p. 169. 14 ALQUIER siers, inclusivement. Il existait des troubles sensitifs dont nous reproduisons le schéma; de
ves de Neurologie, 1905, p. D'après Cestan et Babonneix. Schéma des troubles sensitifs chez leur malade. ' LES PRINCIPALES
troubles sensitifs chez leur malade. ' LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 15 rotuliens forts, achilléens forts à
es cervicales. Dans le mal sous-occipital, on observe un mélange de troubles bul- baires et spinaux dont nous ne ferons que
apporter aucune observation nouvelle de ce genre. Au contraire, les troubles nerveux engendrés par la tuberculose des vertèb
survint une paraplégie avec anesthésie étendue aux 4 membres, sans troubles sphinc- (1) Decroly Journal de Neurologie, 1903
cesser la profession de graveur, qu'il exerçait jusque-là, pour des troubles moteurs progressifs apparus 3 ans avant dans les
gressifs apparus 3 ans avant dans les membres supérieurs. A 36 ans, troubles analogues dans les membres inférieurs. A 43 ans
embres su- périeurs, de l'ataxie dans les mouvements délicats, avec troubles du sens sté- réognostique, sans atrophie muscul
ercle médical de Bruxelles, 2 mars 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 17 aucun trouble du côté des membres in
2 mars 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 17 aucun trouble du côté des membres inférieurs ; l'observation de
e s'ac- compagne d'atrophie musculaire des membres supérieurs et de troubles . de la sensibilité. Un homme de 35 ans, dont
u membre supérieur droit. 8 mois après, paraplégie spasmodique sans troubles vésicaux, parésie du membre supérieur droit sur
on des vertèbres dorsales supérieures (Il n'est pas fait mention de troubles sensitifs). Amélioration par un traite- ment to
POTT SANS GIBBOSITE (T. ? lt ! ! Cl ? LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 19 fléchit sous le poids du corps ; la
a thermo-anesthésie. Incontinence des urines et des matières. Aucun trouble céphalique sen- soriel ou psychique. Quelques
vical, comme dans la tuberculose des autres segments du rachis, les troubles moteurs et les modifications objectives de la s
nce pour le diagnostic ne saurait être trop mise en évidence. Les troubles nerveux ultérieurs se présentent sous deux aspect
rs radiculaires, puis paralysie flasque avec atrophie musculaire et troubles sensitifs aux membres supérieurs, sans troubles
ophie musculaire et troubles sensitifs aux membres supérieurs, sans troubles notables de la partie inférieure du corps. 2e P
ines du grand sympathique. Comme telles, je vous mention- nerai les troubles pupillaires (myosis, mydriase), leralentissementp
une de mes précédentes Leçons du .vendredi. « Pour ce qui est des troubles de la miction et de la défécation, ils peu- ven
§ 2. - Diagnostic. Tel sont les principaux aspects cliniques des troubles nerveux dans le mal de Pott; ils peuvent, on le
servations avec autopsie. Plus tard, aux douleurs, s'ajoutent des troubles moteurs et, d'une façon moins constante, des tr
'ajoutent des troubles moteurs et, d'une façon moins constante, des troubles objectifs de la sensibilité et des troubles sph
on moins constante, des troubles objectifs de la sensibilité et des troubles sphinctériens, sans parler des troubles trophiq
fs de la sensibilité et des troubles sphinctériens, sans parler des troubles trophiques (eschares, oedèmes) qui i ne sont d'
qui attire surtout l'attention du malade et du médecin, ce sont les troubles moteurs, qui se présentent sous l'un des quatre a
ou des nerfs, comme dans le mal de Pott. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 23 c'est-à-dire dans le mal de Pott lom
rtout sensi- tive en raison de la prédominance des douleurs sur les troubles moteurs. Notons que, chez ces quatre malades, l
inférieurs avec intégrité habituelle des supérieurs, le fait que les troubles moteurs ne prédominent pas nettement aux extrém
ou les lombes, et, tôt ou tard, dans bien des cas, l'apparition de troubles du sphincter vési- cal, ne cadrent guère avec l
ter vési- cal, ne cadrent guère avec l'hypothèse d'une névrite. Les troubles objec- tifs de la sensibilité et l'atrophie mus
tte dernière affection n'est pas douloureuse et ne détermine pas de troubles vésicaux contraire- ment au mal de Pott. b) E
irrégulières, à des alternatives d'aggravation et d'amélioration, les troubles objectifs de la sensibilité sont moins fréquent
s troubles objectifs de la sensibilité sont moins fréquents que les troubles moteurs : Les troubles sphinctériens sont varia
la sensibilité sont moins fréquents que les troubles moteurs : Les troubles sphinctériens sont variables : rétention ou incon
du segment cervical, située au-dessus de LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 25 l'origine des racines du plexus brac
mpression de la moelle supérieure s'accompagne, habituellement, des troubles bulbaires signalés plus haut. 4° Paralysie sp
ont les principales causes d'erreur que rencontre le diagnostic des troubles nerveux survenant au cours du mal de Pott, sans g
el représentent seulement les aspects les plus caractéristiques des troubles nerveux du mal de Pott, qui peuvent varier à l'
if. Les signes positifs, permettant de rapporter au mal de Pott les troubles nerveux constatés, sont de deux ordres : les un
tébrale, si l'examen des viscères est négatif, tandis qu'il y a des troubles nerveux pouvant dépendre d'une tuberculose ver-
ps, Buffalo med. Journ., septembre 1901. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 27 Effectivement, dans les 5 cas person
hez lequel une paraplégie spasmodique des membres infé- rieurs avec troubles sphinctériens, hypoesthésie limitée par une ligne
ins chez une jeune fille atteinte de paraplégie spas- modique, avec troubles de la sensibilité, légère incontinence des sphinc
iver à diagnostiquer le mal de Pott avec LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 29 troubles nerveux sans gibbosité, il
e mal de Pott avec LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 29 troubles nerveux sans gibbosité, il arrive parfois que le
on les voit chez tout cyphotique, Paget ou autre. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité ni des réflexes ; les contracti
n'est en effet a priori rien d'impossible à ce qu'avec le temps un trouble d'abord pure- ment musculaire s'adjoigne des lé
e les recherches de Lorenz (2) ont montré la fréquence spéciale des troubles vertébraux chez les tuberculeux. Dans ses stati
ie tout à fait banale. Nous disions en 1899 qu'il s'agissait d'un « trouble trophique à développement lent, d'origine sans
ouleurs par compression des racines rachi- diennes et peut-être les troubles trophiques accusés du côté des extrémités et le
une grande clarté sur la genèse de l'infantilisme envisagé comme un trouble de la fonction du développement individuel, ce
les hallucinations auditives, qui parfois le jetaient dans un grand trouble . Il n'y avait pas de mots de consolation pour s
arrivé avec une intense poussée eczémateuse aux jambes, et avec des troubles gastriques assez importants. Se trouvant déjà r
s d'un coup d'oeil général, l'infantilisme nous appa- raît comme un trouble spécial, anatomique et psychique du développe-
ode de la dentition se passa tout à fait régulièrement, excepté des troubles digestifs ( l'âge de 18 mois) avec fièvre et ma
r jamais eu des palpi- tations, des vertiges, des maux de tête, des troubles visuels ou des accès d'épi- lepsie. Les organes
cris de surprise et d'étonnement. On est stupé- fait en voyant les troubles remarquables dans le développement de l'organis-
maître Charcot, et à laquelle il a donné le nom susdit. Les autres troubles trophiques, secrétoires, vaso-moteurs et sensitif
nerveux central. Comme on rencontre aussi dans la syringomyélie des troubles dans la croissance des extrémités, surtout un a
eurs rhumatismales. La sécrétion sudorifique constamment augmentée, trouble nullement rare chez les acromégaliques, nous mo
aires, car nous n'avons pas pu trouver de défaut des valvules ni un trouble congéni- tal ou une dilatation du coeur de quel
, ensuite à l'asthénie considérable de la musculature, ainsi qu'aux troubles du côté du système nerveux, je ne pourrais que ra
mensions relativement grandes des mains et des pieds, d'abord sans troubles de fonction, et Bregman (1) a fixé l'attention
acromégalie serait du gigantisme à l'âge adulte et le gigantisme un trouble de croissance, opinion qui, me semble-t-il, est b
nt que l'acromégalie se développe de préférence là où il existe des troubles congénitaux dans le développement du corps, et au
rt causal entre l'acromégalie et l'infantilisme chez notre F... Les troubles de la vie sexuelle et dans les organes génitaux
lever qu'un tout petit bout du voile, qui couvre la pathogénèse des troubles de croissance et de développement qu'on vous a
mégalie que la glande thyroïde dans le myxoedème ? et est-ce que le trouble de sa fonction serait la cause de l'acromégalie
, qui possède en ce moment déjà une littérature très étendue. Si le trouble de fonction de l'hypo- physe est en effet la ca
trop abondante et pervertie de la glande thyroïde, acromégalie d'un trouble fonctionnel de la glande pituitaire, maladie d'
hutzdrüsen fiir die Regulung des f3lutlanfs des Hospoechsels ». Les troubles fonction- nels de l'un ont pour conséquence des
. Vous voyez donc, Messieurs. rapport remarquable,qu'ily a entreces troubles différents ; sans connaître les détails de-cett
rédisposition héréditaire, la glycosurie avec ou sans polyurie, les troubles nerveux, la myasthénie générale. Lorand (1) a fix
e thyroïdea, pancréas) les expériences au sujet des conséquences du trouble fonctionnel de la glandula thyroïdea, ne soutienn
on héré- ditaire ou de tuberculose si manifeste on voit souvent des troubles de croissance, qui ont quelque ressemblance ave
jamais per- mis de déceler ni sucre, ni albumine. L'urine est jaune trouble , la quantité moyenne est de 800 grammes, la réa
jets à stéréodermographisme intense et sont précédées (1) Etude des troubles physiques dans la Démence précoce hébéph),éno-cat
ompagnant des .mêmes symptômes, et liés, eux aussi sans doute, à un trouble des centres vaso-moteurs et trophiques. HOSPI
ours pour écrire, mais en tout autre but emploie sa main gauche. Ce trouble dura une année : la jeune fille avait donc 13 a
s d'achondroplasie, il existe toute une gamme de sujets atteints de troubles de l'ossification relevant d'une dyschondro- pl
muscle, ce nerf, etc. et au point de vue clinique sans aucun autre trouble fonctionnel que ceux qui peuvent résulter d'un mo
ropathique). Ce qui permet surtout de rattacher les premiers de ces troubles à l'atrophie numérique, c'est l'absence de tout
alange est rudimentaire (fig. 2) (voir radiographie, Pl. XXIV). Ces troubles sont congénitaux, ainsi que la famille de la mala
s musculaires et osseuses sont encore douloureuses à la pression. Troubles de la marche : la marche est anormale. La malade
e dans ses jambes et ne peut rester plus d'une demi-heure debout. Troubles de la parole : la parole est légèrement embarrass
rtout l's et ch et confond le b et le p, sauf attention soutenue. Troubles de l'ouïe : la malade présente depuis son enfance
actuelle- ment des phénomènes nerveux accentués. Actuellement les troubles de sensibilité sont nuls, sauf cependant une anes
lade prenait sans douleur, dit-elle, des objets sortant du feu. Les troubles de la motilité consistent en diminution des masse
e ainsi que les réflexes. Réactions électriques normales. Enfin les troubles psychiques sont apparents. La malade est instruit
très souvent ce que ses maîtres lui avaient ordonné de faire. D. Troubles viscéraux. Il n'existe aucune lésion organique
ri- ques, épileptiques, dégénérés mentaux) se lie très souvent à un trouble du développement même. On sait que chez beauc
oit. Phototypie Berthaud, Pans HYPOTROPHIE D'ORIGINE BACILLAIRE Troubles de la voie pyramidale. ........... -3mr-im, - 5
SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS- HYPOTROPHIE D'ORIGINE BACILLAIRE. TROUBLES DE LA VOIE PYRAMIDALE, PAR H. CLAUDE et P. LE
ère, salle Charcot, dans le service du professeur Raymond, pour des troubles de la marche. On est tout d'abord frappé par la
e la colonne vertébrale, fait défaut. On ne trouve chez elle ni les troubles de croissance, ni les anomalies congénitales, n
sulter à la Salpêtrière : elle présente depuis plus de deux ans des troubles de la marche ; au printemps de l'année 1903, el
De guerre lasse elle vient à la Salpêtrière en juillet 1905. Les troubles moteurs présentés par cette malade consistent tou
vives mais diffuses, apparaissant pendant la marche, il n'y a aucun trouble de la sensibilité et en particulier la sensibil
t en flexion et les réflexes cutanés sont nor- maux. Il n'y a aucun trouble du côté des organes des sens. L'état psychique
ntes (1). Reste à élucider la pathogénie des accidents moteurs, les troubles de la marche, la spasmodicité caractérisée par
co, à Bucarest. A la lecture d'un cas de myopathie progressive avec troubles de la sen- sibilité, article publié par MM. Lan
r malade avait présenté des douleurs subjectives très fortes et des troubles de sen- sibilité objective, surtout une hypoalg
avons aussi reproduite dans notre article) qu'il n'existait pas des troubles de sensibi- lité, nous en avons trouvé au contr
es intervalles de cinq mois et il est intéressant de voir comme les troubles de sensibilité ont progressé d'un examen à l'autr
es mains, des plantes des FiG. 1 et 2. 17 mai 1905. Topographie des troubles de la sensibilité au toucher. La même, le 10 no
u poignet donne la sensation d'une seule piqûre. Il n'existe pas de troubles sensoriels. Les couleurs, violette, bleu-pâle,
e sens stéréognostique. FIG. 8 et 4. 17 mai 1905. Topographie des troubles de la sensibilité à la dou- leur. Hypoalgésie.
ques (Fig. 6 et 7). FiG. 5. - 10 novembre 1905. - Topographie des troubles de la sensibilité au toucher. FiG. 6 et 7. 10
bilité au toucher. FiG. 6 et 7. 10 novembre 1905. Topographie des troubles de la sensibilité à la douleur. Analgésie. Hypo
x (Fig. 8 et 9. OBS. IL - Le malade M... T... Le 17 mai 1905. Les troubles de sensibilité objective chez ce malade, sont m
e sur les membres supé- rieurs et inférieurs. Sur les premiers, les troubles sont limités en haut par une ligne horizontale
y compris celle FiG. S et 9. - 10 novembre 1905. - Topographie des troubles de la sensibilité à la pression. Sur les dos de
centimètres. Nous avons cherché aussi, comme chez le précédent, des troubles sensoriels et nous n'avons trouvé rien d'anormal,
e l'odeur d'asa-fsetida n'était pas sentie. Le 10 novembre z. - Les troubles de la sensibilité se sont accentués et ont gagn
sente cette fois-ci un com- mencement d'hypoesthésie et surtout des troubles de localisation. La peau de la tête, du cou, ce
t restées nor- males. FiG. 10 et 11. 17 mai 1905. Topographie des troubles delà sensibilité au toucher. DEUX FRÈRES ATTE
e inter-fessière. est seulement hypoesthésique (Fig. 12 et 13). Les troubles de sensibilité thermique au chaud sont chez ce
jambes que sur les FiG. 12 et 13. 10 novembre 1905. Topographie des troubles de la sensibilité tactile. Les troubles thermiq
embre 1905. Topographie des troubles de la sensibilité tactile. Les troubles thermiques, algésiques ou à la pression, ont à pe
ur les bras. z Ainsi qu'au premier examen nous ne constatons pas de trouble de sens mus- culaire et le malade a son sens st
stique normal. Au contraire on cons- tate aussi chez ce malade, des troubles intenses de sensibilité à la pression, reprodui
é à la pression, reproduisant presque en entier la, topographie des troubles de la sensibilité tactile. - Les membres supé
'avons trouvé exempt d'éléments cellulaires. Après avoir décrit les troubles de sensibilité chez les deux frères, voici main
ns à nos observations deux nouveaux faits : que nos malades ont des troubles de sensibilité superfi- cielle et profonde et q
s lésions pathologiques. D'après nos schémas on voit encore que ces troubles de sensibilité pa- raissent être disposés d'apr
trouvons très embarrassés d'inter- préter nos cas. Certainement ces troubles de sensibilité objective et ces lésions patholo
athies à la suite de ces nouvelles constatations ? Certainement les troubles de sensibilité ob- jective et les lésions des n
es de l'écriture qui est celle d'un homme écrivant rarement. Pas de troubles psychiques carac- térisés. Facies quelque peu f
asculai- res. Muqueuses normales. Symptômes fonctionnels. Aucun trouble de motilité : pas de vertige ; pas de trembleme
des doigts, pas de tic ni de convulsions ; pas d'asthénie. Pas de trouble subjectif ou objectif de la sensibilité : les sen
ou d'hyperesthésie. Réflexes tendineux et cutanés normaux. Pas de troubles trophiques autres que les tumeurs cutanées et la
sans lésion grossière ; cepen- dant il n'existe en même temps aucun trouble intellectuel appréciable. Au lieu de prurit on
les sujets atteints des trichotillomanie souffrent plus ou moins de troubles de leur sensibilité, de'paresthésies, prurit ou
mpulsion est une réaction réflexe. Mais certains sujets atteints de troubles mentaux paraissent agir sans excitation locale pr
sensation subjective peut-elle être une cause -de crainte d'autres troubles mentaux dissimulés ? J'ai observé, dans un cour
il n'était entré que depuis 15 jours à Ste-Anne ; mais il avait des troubles de la parole et de la mémoire depuis au moins t
t, qu'il a prise à 18 ans. Mais en quelques jours il fut atteint de troubles de la marche et il garda le lit. C'est alors qu
puis 7 mois il avait dû cesser de travailler. Depuis son entrée ses troubles somatiques et psychi- ques se sont aggravés len
on entrée dans notre service, dataient d'environ deux semaines. Ces troubles constitués par des sensations de fourmillement et
pour le plupart, le siège au moins d'une légère parésie. Point de troubles oculo-pupillaires. A part ceci, tout l'ensemble
la- biale, effacement des plis cutanés' de la face à droite. Pas de troubles pupillai- res, pas de syndrome méningitique. Ni
ni albumine dans les urines, abolition des réflexes tendineux. 8. Troubles sphinctériens. 9. - Légère amélioration. Le mal
plus souffert (fig. 2) ; que, malgré cette déformation notable, les troubles moteurs des yeux n'aient pas été plus graves.
du vieillard valide, mais de celui chez lequel on peut relever des troubles de la motilité. De plus, dans l'interprétation
es ; aussi bien, d'une extrême fré- quence sont chez ces sujets les troubles ressortissant aux altérations du système muscul
ncés, la marche devient impossible et l'alitement nécessaire. A ces troubles de la motilité se joignent des phénomènes gé- n
t tendent à faire admettre au contraire que cet état ressortit à un trouble plus général. En raison du peu de modifications
rome de la chlorose des jeunes filles ; tous deux s'accompagnent de troubles généraux et sont in- dépendants d'un substratum
il est im- possible d'expliquer par la minime lésion médullaire les troubles qu'a présentés cette malade et,d'autrepart, l'a
t toute cette période qui peut durer des mois, on ne constate aucun trouble des sphincters pas plus que de la sensibilité obj
claire, le fonctionnement des réservoirs n'est jamais troublé. Les troubles trophiques cutanés sont l'exception, la peau es
ptômes révélateurs d'une dégénération de la voie motrice, enfin des troubles sphinctériens, un léger début d'affai- blisseme
é- morrhagies cutanées et sous-cutanées, d'oedème des extrémités,de troubles cardiaques importants, suffit à la différencier
oli- fération de leurs noyaux, certaines présentent la dégénération trouble par hyperplasie de leur sarcoplasma masquant ai
ifférence alors qu'autrefois il en a été très affecté. Le début des troubles mentaux est impossible à préciser. La seule chose
ar jour; ce qui est certain, c'est qu'il n'avait jamais présenté de troubles de la marche avant d'être atteint de l'artlarop
es urines reprennent leur cours. Pendant son séjour à l'hôpital les troubles psychiques s'accentuent dans le sens de la déme
st agité,. veut partir, il arrive près de son lit, renverse tout et trouble le sommeil de ses voisins. Après une journée de
ospital Reports, 1892. (2) BRISSAUD., Arthropalhies tabétiques et troubles de la sensibilité. Leçons sur les maladies nerv
ar son étiologie familiale. 3° Par une prédominance unilatérale des troubles trophiques el de cer- tains troubles fonctionne
e prédominance unilatérale des troubles trophiques el de cer- tains troubles fonctionnels. Observation. Eugène B ? 31 ans,
ce malade, ce qui frappe tout d'abord, ce sont, des tumeurs et des troubles de la pigmentation. Des fumeurs : la plus impor
isséminées sur le reste du corps, sur- tout au niveau du dos. Des troubles de la pigmentation : troubles diffus, taches de v
ps, sur- tout au niveau du dos. Des troubles de la pigmentation : troubles diffus, taches de vitiligo, por- tions de peau
mé- rite d'être relevée : c'est l'unilatér alité de la plupart des troubles trophi- ques. Remarquons en effet que la luxa
infériorité relative de l'hémisphère droit. Ici, au contraire, les troubles dystrophiques ont leur maximum ou même siègent
sommeil ; ils existent sans qu'on puisse trouver chez le malade de troubles de la sensi- bilité, des réflexes ou delà troph
indiquant un état de myopsychie de Joffroy, de prédispo- sition aux troubles psychiques, notamment une émotivité anormale et u
cutanée correspondant aux racines sectionnées, d'ulcérations ou de trouble trophique d'aucune sorte.. Quelques auteurs qui
eph (1), Bonne (2), Küster (3)]. Il est à noter à ce propos que ces troubles tropbiques s'étaient produits très rapidement,
Autopsie faite le 13, il 8 heures du matin. Aucune ulcération, aucun trouble trophique dans les régions correspondant aux ra
tobre 1904, où il est sacrifié. Autopsie. - Pas d'ulcérations ni de troubles trophiques. Brèche osseuse refermée partielleme
e jusqu'au 13 novembre 1904, où il est sacrifié. Autopsie. Pas de troubles trophiques ni d'ulcérations. Canal rachidien co
ès bien jusqu'au 21 avril 1905, où il est sacrifié. Autopsie. Aucun trouble trophique, aucune ulcération. Le canal rachi- d
cines 10° et lie tho- raciques). Réunion sans suppuration. Pas de troubles consécutifs de la marche. L'animal reste en bon
jusqu'au 15 mars 1905, où il est sacrifié. Pas d'ulcérations ni de troubles trophiques. Autopsie. Le canal rachidien n'étai
ne santé jusqu'au 6 août 1905, où il est sacrifié. Autopsie. -Aucun trouble trophique. Nous prélevons facilement le bout in
ne santé jusqu'au 30 août, où il est sacrifié. Autopsie. - Pas de troubles trophiques. Du côté droit, les racines posté- r
de paralysie consécutive. L'animal est sacrifié le 24 mai. Pas de troubles trophiques cutanés. Autopsie. Nous recherchons,
sont restées protégées par une couche de bourgeons charnus. Pas de troubles tro- phiques. Autopsie. On prélève, comme che
classiques de la sclérose en plaques, notamment le tremblement, les troubles de la parole, les troubles oculaires, etc. ; elle
n plaques, notamment le tremblement, les troubles de la parole, les troubles oculaires, etc. ; elle s'accompagne plutôt de p
litique. Quatre ans après le début de la syphilis elle présenta des troubles visuels, une paralysie progressive de la jambe
troubles visuels, une paralysie progressive de la jambe droite, des troubles de la sensibilité et du sens musculaire, une ce
ieurs et de l'im- puissance génitale ; ensuite se manifestèrent des troubles visuels et des altérations de la parole à type
gens à moins qu'ils ne soient très rapprochés. Souvent il voit très trouble . Pendant deux ans et jusqu'à juin 1901 il a pré
les mouvements fibrillaires. La parole est spasmodique, scandée. Troubles passagers de la mémoire. Il pleure très facilemen
Troubles passagers de la mémoire. Il pleure très facilement. Pas de troubles de la déglutition. Pas de vomissements. Il ne
lexe du poignet est plus fort à gauche qu'à droite. Il n'y a pas de trouble de la sensibilité ni du sens stéréognostique. L
lesse du bras du même côté. Plus tard,paralysie de la jambe gauche et troubles moteurs qu'on considère comme de l'ataxie. Exag
ans la myélite disséminée syphilitique on a maintes fois décrit des troubles , tels que la diplopie, la parésie spastique, l'at
, la parole scandée, le tremblement intentionnel, le nystagmus, les troubles vésicaux, tout comme on les rencontre dans le t
le, d'ailleurs, elle s'associe habituelle- ment ». L'étude de ces troubles est récente, parce que rarement on les observe
ui ont éduqué, en plus, l'exécution instrumen- tale. Dans ce cas le trouble est perceptible et ses effets sont plus sérieux
hèse sur le langage intérieur reconnut cependant l'indépendance des troubles du lan- gage musical : « Quelques faits, dit-il
n provoquèrent d'autres ulté- rieures qui ont mieux différencié les troubles du langage musical et celles du langage courant
ropre et se spécialise dans l'étude de la psychophysio- logie de ce trouble . En se basant sur de nouvelles observations clini
te ans, qui, depuis- trois ans souffrait de migrai- (1) Brazier, Du trouble des facultés musicales dans l'aphasie, Revue phil
de psiquiatria y criminolo.. gia. Buenos-Aires, avril 1903 ; - Les troubles du langage musical chez les hystériques . Journ
io. Nocera inferiore, Anno XXI, no 3 '; - Le langage musical et ses troubles hystériques. Revue de psychiatrie. Paris, mai 190
es objets que l'on voit, perte des re- présentations visuelles, des troubles de la parole et de l'écriture volon- Jaire, per
usies. L'étude de la psychophysiologie du langage musical et de ses troubles pathologiques, prouve sa corrélation intime ave
usical. Bien que les amusies ou aphasies musicales représentent les troubles in- trinsèques du mécanisme psychophysiologique
es données brièvement énoncées suffisent à compléter le tableau des troubles du langage mu- sical. X. Schéma général. -
n de cette revue générale nous proposons le schéma suivant pour les troubles du langage musical. Nous combinons la division
cette déformation est certainement, d'après les radiogra- phies, un trouble de trophicité osseuse et articulaire, et l'hypoth
icité osseuse et articulaire, et l'hypothèse d'un rapport entre ces troubles et l'état de la moelle sénile semble pouvoir se
un symptôme paraissant lié à cet état d'acromégalie, il n'y a aucun trouble de la sensibilité, aucun trouble sensoriel (en pa
état d'acromégalie, il n'y a aucun trouble de la sensibilité, aucun trouble sensoriel (en particulier pas d'hémianopsie bit
ni l'atrophie du corps thyroïde, ni les altérations cutanées,ni les troubles mentaux du myxoedé- mateux. Il n'est guère ut
ient intacts. Il paraît donc logique d'invoquer une fois de plus un trouble du fonc- tionnement normal de la glande pituita
rniers auteurs,ces deux états pathologiques sont fonction d'un même trouble de la glande pituitaire, l'acromégalie serait le
e. Sa hauteur en certains points est de 2 et 2 1/2 centi- mètres. Troubles intellectuels assez légers. Difficulté de l'artic
hernie cé- rébrale de la grosseur de la pulpe de l'index. Pas de troubles intellectuels, moteurs ou sensitifs. PI. LX. n°
hernies cérébrales à l'entrée et à la sortie du projectile. Pas de troubles intellectuels. Troubles de la vision à droite. Di
entrée et à la sortie du projectile. Pas de troubles intellectuels. Troubles de la vision à droite. Distingue à peine les ob
roubles de la vision à droite. Distingue à peine les objets. Pas de troubles de la motilité. Pl. LX, n° 4. Hernie cérébrale.
7 centimètres de longueur et de 2 centimètres de hauteur. Pas de troubles moteurs, sensitifs ou intellectuels. . PI. LXI.
ie des extrémités des membres supérieur et inférieur gauche. Pas de troubles intellectuels. 110 ' MATIGNON PI. LXI. na 2.
e de centimètres de long sur 2 de large. Hernie du cerveau. Aucun trouble , si ce n'est une légère dilatation pupillaire.
une légère hernie. ' Parésie légère des membres inférieurs. Légers troubles de la sensibilité. La force de constriction des
e la sortie probable, volumineuse hernie. Paralysie des extrémités. Troubles intellectuels et de la sensibilité. Pas de trou
des extrémités. Troubles intellectuels et de la sensibilité. Pas de troubles oculaires. PI. LXI. n° 5. Hernie cérébrale. P
trale et souveut état poussiéreux de toute la cellule. Le noyau est trouble , poussiéreux, le nucléole est excentré et se co
x et les fonctions organiques continuèrent à s'accomplir sans aucun trouble . A l'examen,on constata chez cette enfant de dé
ou 3e année de maladies infectieuses diverses, avaient présenté des troubles parétiques analogues. C'est en se basant sur ce f
ains et sans tare nerveuse, dont seul le leur né avait présenté des troubles parétiques des muscles du tronc et de la nuque.
lité n'est pas touchée, on n'observe ni paralysie bulbaire ni aucun trouble cérébral. La mort survient dans les premières a
emontant déjà à huit ans, et qui se caractérise aujourd'hui par des troubles objectifs de la sensi- bilité et une déformatio
eulement la jambe droite est un peu faible. A cause des progrès des troubles trophiques au niveau des mains, cet homme a dû
niveau du tronc ou de la face. Sensibilité. - il n'y a jamais eu de troubles subjectifs de la sensibilité, ni douleurs, ni p
sujet sont la syringomyélie et la lèpre. A ne considérer que les troubles de la sensibilité, l'amyotrophie, on pense immé
et présentant la dissociation syringomyélique des sensibilités ; ce trouble trophique cutané sur lequel nous avons déjà ins
èpre. Ces placards ne sont pas signalés dans la syringomyélie comme troubles trophiques, la plupart des ouvrages traitant de
d), on peut encore rencon- trer des dystrophies dans lesquelles les troubles de la conformation consis- 'tent en des vices d
dolescence, jusqu'à l'époque actuelle. Elle présentait en outre des troubles inlestinaux, des diarrhées périodiques, si impé-
ophies en deux groupes. Dans le premier, le nanisme est créé par un trouble local du squelette (rachitisme, achon- droplasi
ans le second, la cause à mettre en jeu est d'ordre plus gé- néral, troubles de la nutrition (2), myxoedème (3), hérédo-syphil
ais cette dystro- phie osseuse peut être la conséquence de tous les troubles dénutrition du jeune âge; et si elle se manifes
ives ; puis une bronchite chronique avec asthme et em- physème. Les troubles intestinaux qu'elle éprouve depuis son jeune âge
ifesta des idées de grandeur et de satisfaction en rapport avec des troubles de la sphère .génitale. Il se disait possédé pa
son corps qu'elle habite et possède (idées de possession à base de troubles cénesthésiques probables, combinées à l'érotism
ment et a pu être porté sortant en 1905. La- seule sur- vivance des troubles mentaux observés consistait dans la persistance d
s suivants : ataxie des quatre membres avec atrophie muscu- laire ; troubles très marqués de la sensibilité avec retard dans l
OBSERVATION Homme de trente-quatre ans. Atrophie musculaire avec troubles de la sensibilité et douleurs fulgurantes, ayan
malade. Intégrité des sphincters et des fonctions génitales. Pas de troubles trophiques cutanés. Syphilis à l'âge de vingl-q
elle qui l'empêchait de prendre les lettres dans les cassetins. Les troubles de la marche avaient continué à progresser, surto
d séjour de trente jours à l'hôpital. A partir de cet accident, les troubles de la motilité des membres supérieurs et inférieu
ns jusqu'à aujourd'hui, il a fait quelques excès alcooliques. Les troubles de la motilité allant toujours en augmentant, le
on l'autre sens. La vue est bonne, la malade lit facilement. Pas de troubles des autres sens spéciaux. Pas de troubles gén
lit facilement. Pas de troubles des autres sens spéciaux. Pas de troubles génito-urinaires. État général satisfaisant. Pas
. L'incoordination des membres supérieurs a également augmenté. Les troubles de la sensibilité et les douleurs fulgurantes pré
ex- ploration de la sensibilité avec le stylet on ne constate aucun trouble et le larynx réagit normalement. La voix est ab
ophique avec cypho-scoliose et hypertrophie des troncs nerveux. Les troubles de la sensibilité, souvent 496 DEJERINE ET ANDR
une question à étudier sur de nouveaux cas. Quoi qu'il en soit, ces troubles de la sensibilité peuvent être très accusés et c'
Femme de 45 ans, soeur du malade précédent. Atrophie musculaire et troubles de la sensibilité chez une femme de quia- rante
enne, diminuant également de bas en haut. Cypho-scoliose excessive. Troubles très marqués de la sensibilité avec retard dans
e de vingt ans. Début de l'affection entre sept et huit ans par des troubles de la marche. Atrophie musculaire des quatre memb
ée de tous les nerfs des membres accessibles à la palpation. Pas de troubles trophi- ques cutanés. Intégrité des sphincters.
act aussi nette que lorsqu'on lui touche la face. Desdeux côtés les troubles de la sensibilité tactile sont les mêmes. Membr
ompagné d'un certain degré d'hyperesthésie. Membres supérieurs. Les troubles de la sensibilité douloureuse ont la même topog
rois observations on peut se rendre compte combien sont marqués les troubles de la sensibilité dans la névrite interstitielle
e rigole à diamètre antéro-postérieur. Aux membres inférieurs les troubles fonctionnels sont la conséquence de l'atrophie
existe constamment une cypho-scoliose,du nystagmus dynamique et des troubles delà réaction pupillaire, variant depuis l'extr
ot-Marie, il n'est fait mention d'incoordination des mouvements, de troubles intenses de la sensibilité, désigne d'Argyll-Ro-
n du réflexe à la lumière n'est pas encore complète. L'absence de troubles sphinctériens et d'impuissance rapproche encore c
rie dit que dans la famille qu'il a observée l'ataxie fait défaut; le trouble moteur serait très analogue à celui de la sclér
ans, j'ai pratiqué l'autopsie de 15 pottiques ayant pré- senté des troubles nerveux, dans le service de M. le professeur Ray-
du lit, et sont le siège de douleurs intermittentes. Clonus. Pas de troubles sensitifs ni sphinctériens. Rien aux membres supé
avec exagération des réflexes rotuliens, orteil indifférent, pas de troubles sphinctériens. Gibbosité dor- sale inférieure d
eurs diffuses dans les membres inférieurs, qui s'affaiblissent. Les troubles moteurs progressent, tandis que les douleurs dimi
s genoux et des cuisses. Léger oedème péri-malléolaire droit,pas de troubles sphinctériens.Rien aux membres supérieurs et à
ments, fourmillements et légère parésie des membres inférieurs. Ces troubles appa- raissent et disparaissent à plusieurs rep
surtout des fléchisseurs avec exagération des réflexes rotuliens ; troubles sensitifs avec dissociation syringomyélique (th
ns bien conservées, sans DR. Rien aux membres inférieurs : pas de troubles sphinctériens ; examen oph- talmoscopique négat
espectée; les mé- ninges molles sont légèrement épaissies, d'aspect trouble opalescent, sur toute NOUVELLE Iconographie DE
ches Cliniquement : pamplégie spasmo- dique des membres inférieurs, troubles sensitifs et sphinctériens, inégalité pupillair
cines et aux lésions des cellules motrices dans la patho- génie des troubles moteurs des membres supérieurs (atrophie musculai
s avec signe de Babinski bilatéral sans amyotrophie. Signe d'Argyll, troubles sphinctériens par moments. Escarre fessière, fi
oblème est particulière- ment complexe, pour le dernier cas, où les troubles nerveux semblent indiquer l'évolution simultané
semble pas que cette oblitération puisse causer dans la moelle des troubles circulatoires bien accentués ; nous n'avons pu tr
premiers cas de mal de Pott cervical, comment distinguer, parmi les troubles des membres supérieurs, les symptômes radiculaire
permet 538 1 ALQUIER de comprendre en partie, la multiplicité des troubles moteurs sensitifs et sphinctériens, et quelques
itifs et sphinctériens, et quelques-unes de leurs variations. Des troubles médullaires nous dirons peu de chose : . - La p
aient à rechercher dans les cas de compression osseuse intense. Les troubles sensitifs ont une intensité et un siège des plus
e de difficultés ; on ne sait trop sur quels éléments se baser. Les troubles sphinctériens peuvent disparaître une ou plusieur
prochaine ; il en est de même pour l'escarre sacrée. Cependant ces troubles doivent être considé- rés, d'une manière généra
gie intense, apparue rapidement, s'ajoutent à court intervalle les troubles sensitifs, sphinctériens, l'escarre fessière.
troubles sensitifs, sphinctériens, l'escarre fessière. Parmi les troubles viscéraux susceptibles d'aggraver le pronostic, n
ystématisation des fibres cérébelleuses et le mécanisme de quelques troubles moteurs. Au point de vue de la systématisation
iles des cel- lules de Purkinje. Au point de vue du mécanisme des troubles moteurs, l'examen histolo- gique de ce cas atte
aisceau olivo-ciliaire du même côté. Nous pensons d'ailleurs que ce trouble de l'équilibration cinétique peut être fonction
cause de cela, que la rétraction palmaire est rarement le fait d'un trouble trophique ? L'objet de cette étude est de prouv
stence de la rétraction palmaire avec une amyotro- phie et avec des troubles sensitifs et trophiques qui dérivent sûrement des
e comme dans tous les autres orga- nes, produisant, avant tout, des troubles de fonctionnement (méiopragies), et après des l
- t-on pas dire que celle-ci peut déterminer, dans ces régions, des troubles fonctionnels, lors même qu'elle n'arrive pas ju
elles que l'asphyxie symétrique (Luzzatto), le vililigo(Tesli), les troubles vasomoteurs et l'hyperhydrose (Tranquilli et Te
ne peut-il pas avoir une action à travers la moelle, produisant le trouble par une voie ré- xix 37 558 JARDINI flexe ?
'elle est fréquemment accompagnée d'autres symptômes mé- dullaires, troubles sensitifs et trophiques. Son évolution est aussi
e. BIBLIOGRAPHIE Pic ET BONNA1JOUII : Revue de médecine 1901. Des troubles médullaires de l'artério- sclérose. Grasset :
eur vitalité est compromise sur une étendue variable; enfin que des troubles cir- culatoires ; tant peu considérables qu'il
2 pl.), 466. CLAUDE et LEJONNE. Hypotrophie d'origine bacillaire, troubles de la voie pyramidale (1 pl.), 147. Dejerine
2 pi.), 466. LEJONNE et CLAUDE. Hypotrophie d'origine bacillaire, troubles de la voie pyramidale (t pl.), 147. LEJONNE e
Pierre Marie et F. Moutier, 383. Hypotrophie d'origine bacillaire ; troubles de la voie pyramidale (1 pL), par CLAUDE et L
Féré, 115. Mal de Pott sans gibbosité (les principales formes des troubles nerveux dans le) (4 pl.), par ALQUIER, 1. Mal
39 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
stoire déjà si riche des manifestations locales déterminées par les troubles du système céré- bro-spinal. Comme les faits
et dont l'origine parait devoir être principalement rapportée à des troubles préexistants du système nerveux. Ces faits avai
est généralement considérée comme se produisant sous l'influence de troubles nerveux. Ce serait donc à juste titre qu'on l'a
e n'était plus réglée et avait éprouvé à diverses reprises quelques troubles dans sa santé. Je l'exami- nai attentivement :
liques. Après avoir longtemps et vainement cherché la cause de ce trouble cérébral, on finit par apprendre, par une femme
le Pr Charcot m'adressa une malade présentant au plus haut point ce trouble mental qu'il a caractérisé du nom d'obsession d
façon à la couper. Cet accident était pour elle la consé- quence du trouble apporté dans son articulation dentaire. De plus,
1 17 éprouvera un grand dommage. Cependant, ajoute-t-il, avant le trouble apporté dans son esprit par ces opérations il n'a
pas une origine dentaire, qu'il fallait la mettre sur le compte des troubles généraux dont elle se plaignait et soigner ceux
erveuse et mentale, c'est pour avoir méconnu la véritable cause des troubles qu'elle présentait qu'on a fait subir ultérieur
vait se résoudre à sortir. Cet état de choses ne fit qu'aggraver le trouble mental de la ma- lade ; sa contracture ou plutô
as, ou ne pourra intervenir uti- lement qu'après la disparition des troubles nerveux et mentaux qu'elle présente. Il est cer
osition, l'auteur attribue à l'éther lui-même le déve- loppement du trouble mental observé. Il est délicat de faire la part
sujets étaient des candidats sérieux aux accidents cérébraux. Les troubles nerveux et mentaux ayant succédé pendant un tem
bien étu- diées par Buccola, font comprendre la pathogénie de ces troubles ; 4° par excitations fonctionnelles des résidus
où cette altération de la moti'.ité est constamment rapprochée des troubles psychiques du même genre des idées et des émoti
membres inférieurs 1. » Weir Mittchell décrit égale- ment les mêmes troubles sous le nom d'Ataxie motrice hysté- risque 5. E
onze ans, qui souffrait depuis 3 ans d'atta- ques d'épilepsie; les troubles de la marche dataient de la même époque. La mar
, examinés dans la station assise, ne présentaient pas le moindre trouble . ni anesthésie, ni incoordination. Différentes cr
l avait présenté à une époque an- térieure, au mois de janvier, des troubles également spasmodiques, indépendants toutefois
cas; à la suite d'une émotion vive ou d'un léger trau- matisme, le trouble s'établit soit d'emblée, soit progressive- ment
née passée dans sa Leçon à la Salpêtrière 1, M. Charcot dit : « Les troubles neu- 1 Loco citato. , ' Loco citato. ' Char
e marcher, d'abord par crises intermittentes pendant huit mois ; le trouble s'installa d'une façon perma- nente après. Un
les mou- vements des globes sont absolument libres. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité ni de la motricité des membre
rt ce léger défaut de la vision, l'animal ne présentait aucun autre trouble dans ces facultés et se porta bien jusqu'à sa m
deux lobes frontaux. Cette seconde opération n'a causé aucun autre trouble de la vision, faits d'une grande importance pou
de la scissure pariéto-occipitale et le pli courbe, je pense que le trouble de la vision est dû à cette cause ; car, lorsque
ipitaux était bien séparée de cette scissure, on ne percevait aucun trouble de la vision. Ainsi on a mis à nu les lobes occ
imal mourut le cinquième jour. Le lendemain de l'opéra- tion, aucun trouble de la vision ne put être noté, car l'animal pre-
ser sous les tuyaux d'eaux du laboratoire. On ne put observer aucun trouble de la vision, ni amblyopie ni hémiopie,. , »
d'un côté ni de l'autre. -On ne pouvait alors trouver le plus petit trouble de la vision, et il pouvait ramasser les plus pet
Résultat. - Aucune paralysie musculaire. L'animal semble avoir un trouble de la conscience visuelle des images, des objets
ou n'est pas remarqué, ou sa nature n'est pas aussitôt reconnue. Ce trouble , d'abord très marqué au début, s'améliora progres
valle de quatorze jours entre les deux opérations, il n'y eut aucun trouble général de la percep- tion visuelle, sans, auta
o et les miennes, sauf mes premières, toutefois, mon- trent que les troubles hémiopiques sont transitoires, tandis que dans
vations confir- ment l'opinion de Munck que cette lésion produit un trouble hémiopique de la conscience visuelle. Mais la v
t ceux de Yeo, que la des uction du lobe occipital ne produit aucun trouble appréciable de la vision tandis que la destruct
t a été aussi confirmé par les recherches de Lannegrâce. A part les troubles d la vision, la destruction des plis courbes ne
faits observés chez cet animal auraient été mieux expliqués par un trouble ou une perte de la vision centrale ; car on sait
maux inférieurs, mais cela n'exclut pas la possibilité de quelques trouble de la vision du même côté non perceptible avec le
de l'hémiopie homonyme Non seu- lement c'est la caratéristique des troubles visuels notés daris l'heiiiia- nesthésie hystér
. Les lésions des fibres sensorielles produisent l'amblyopie et des troubles sensitifs dans l'oeil. Un pareil résultat se pr
ue les affec- tions de la cinquième paire, qui cause la perte ou un trouble de la sensibilité de l'oeil, fréquemment amène
essaire; et même quand l'oeil est absolument anesthésique, si aucun trouble trophique ne survient, la vision n'est nullemen
é visuelle subnormale dans la moitié affectée. La pathogénie de ces troubles visuels en forme de secteurs est un sujet de co
ologie dans le cas auquel j'ai fait allusion tout à l'heure, car ce trouble arriva chez un malade qui a eu une soudaine att
eu une soudaine attaque d'hémiplégie avec hémianesthésie et quelque trouble de la parole. Il est douteux qu'on ait publié d
due à la tendance spéciale de cette région à être affectée par les troubles vasculaires coïncident avec des lésions, des ra
bilatérales ont eté trouvées dans les lobes occi- pitaux sans aucun trouble visuel d'aucune sorte. - ' Amer. Jourt. Med. Sc
le » (Kussmaul). La cécité verbale ne s'accompagne pas forcément de trouble notable des sensations visuelles, quoique dans
autre côté, l'hémiopie droite pure ne s'accompagne pas forcément de troubles dans l'idéation visuelle. Ce serait là un argu-
la région occipitale chez les chiens, et en 1881 Goltz décrivit un trouble de la vision à la suite de lésions destructives d
ement au lobe occipital, rapport qu'il a admis plus récem- ment. Le trouble en question était, à son avis, non pas une cécité
périences, arrivait essentiellement à la même con- clusion : que le trouble de la vision, résultant d'une lésion au point A
rtable, est celui d'un hémiopique homonyme vers le côté opposé : le trouble dans l'oeil opposé étant beaucoup plus considérab
produisent invariablement uni) cécité de l'oeil opposé, sans aucun trouble de la vision de l'oeil du même côté. Ces auteurs,
n anormale de l'oeil ou par l'habitude que l'animal peut éviter les troubles qui en résultent. Munk décrit comme les effets
m'est arrivé parfois, que là où par mes essais j'avais pensé que le trouble le plus grand de la vision était dans l'oeil ga
sont en rapport avec des points spéciaux du centre visuel. Quand un trouble de la vision se produit par lésion du lobe post
u tractus sensoriels ou moteurs. Dans les expériences de Goltz, les troubles de la vision à la suite de lésions des régions
avoir été presque invariablement associés avec d'autres formes de troubles sensitifs, mais la façon dont il produisait ses l
a plus atro- phiée, celle des ascendantes; de plus, la question des troubles de nutrition ne saurait être agitée puisque les
ent qu'un mode de la cécité psychique; elle provient en un mot d'un trouble fonctionnel de l'imprégnation cellulaire, la ce
ue l'auteur attribue la guérison de la psychopathie. P. K. X. DES TROUBLES DE la connaissance ET DE LEURS rapports avec la
sceaux pyramidaux ont dégénéré. Planche à l'appui. P. K. XII. Des TROUBLES MOTEURS QUI présentent CHEZ LES aliénés un CA-
hallucinations, couvulsions. P. K. XVIII. Deux cas DE simulation DE TROUBLE mental; par DE Krafft KBING. (Juhrbitch. f. Psy
s de la menstruation (aménorrhée, dysménorrhée, ménorrhagie) et les troubles mentaux. L'aménorrhée peut précéder de quelques
bateur, (la ménopause) qui était intervenu. R. M. C. XXV. Sur les troubles mentaux liés aux fiançailles; par Geo.-H. z Siv
lesquels les fiançailles avaient été l'occasion de l'apparition de troubles mentaux. Ces troubles sont variables ; cependan
les avaient été l'occasion de l'apparition de troubles mentaux. Ces troubles sont variables ; cependant, la forme qu'ils rev
nalysent pas. En terminant, M. Savage exprime la conviction que ces troubles mentaux, pourvu qu'ils soient diagnostiqués en
naire, disparaît; l'angoisse, qui s'était montrée, s'évanouit ; les troubles de la connaissance avec hallucinations et cauch
festé l'intention de se suici- der ; elle se plaignait seulement de troubles névropathiques et était sujette à des accès de
onclure qu'au moment du suicide, la malade était sous l'empire d'un trouble mental réel. Les conclusions furent confir- mée
cas d'affection chronique de la moelle avec ataxie inhérente ci des troubles très pro- noncés de la sensibilité.- Il s'agit
la théorie de l'ataxie sensorielle. En effet ce malade, malgré les troubles prononcés de la sensibilité cutanée et du sens mu
vident, mais ce sont justement ces éléments qui sont imputables aux troubles de la sensibilité. Duchenne les a décrits; ce n
tique ; pourquoi qualifierait-on d'ataxique toute incertitude, tout trouble de coordination des mouvements volontaires ? M.
ntes, puis par des contractions normales. C'est donc plutôt dans un trouble des échanges chimiques intramusculaires que dan
grande majorité des malades, elle parait être en rapport avec des troubles du sens de la pression et de la faculté d'appréci
pon- dérale dans la main paralysée. Un degré tiès accentué de ces troubles entraine la seconde erreur d'estimation; chez que
n; chez quelques- uns de ces derniers malades, il n'y avait que des troubles insigni- fiants de la sensibilité. Il est impos
ième groupe de malades est constitué par ceux qui, pré- sentant des troubles de la sensibilité et de la motilité d'un côté,
eur parait lourde dans la main pa- ralysée, du côté où existent des troubles considérables de la sensi- bilité ; chez eux l'
isolé des extré- mités décèle que, dans la pluralité des cas, tout trouble du sens de la pression marche de pair avec un t
des cas, tout trouble du sens de la pression marche de pair avec un trouble minime du sens de' ` la force. Ce qui prouve qu
jeu dans l'estimation de la force quand il existe en même temps des troubles du sens de la pression; ceci s'applique naturel
acher à cer- taines altérations fonctionnelles de l'écorce certains troubles psy- chiques (faiblesse irritable) et Naso-mote
yperthermie immo- tivée) que l'on rencontre dans cette maladie. Les troubles visuels ont été étudiés par Kast et Willerand d
De même que les palpitations de coeur, l'irritabilité générale, les troubles thermi- ques et vaso-moteurs, le rétrécissement
s que resteraient un peu d'affaiblissement intellectuel et quelques troubles de la motililé, signes révélateurs de la dé- me
riencéphalite chronique et peuvent s'expliquer alors par de simples troubles circulatoires; cas où la paralysie générale aya
es deux ordres de symptômes psychiques et somatiques, on voit les troubles musculaires disparaître pour ne plus revenir et l
é mêlée. Après son réveil, on lui raconte ce qu'elle a dit" Elle se trouble , mais finalement affirme que son récit est exac
ncées pour que tout mouvement soit impossible, enfin compliquées de troubles trophiques musculaires, fibreux, tendi- neux, c
trophiques musculaires, fibreux, tendi- neux, cutanés, etc., et de troubles vaso-moteurs ou sécrétoires. ' Leçon du 8 août
à une sorte d'ecchymose persistante, qui, elle aussi, était bien un trouble trophique. On n'en est plus à compter aujourd'hui
notre malade. Presque en même temps que les douleurs apparurent des troubles de la marche ; il y a donc de cela trois ans en
entés et tels que vous pouvez les constater encore aujourd'hui, les troubles de la sensibilité et de la locomotion qui ramèn
douleurs et de sa paralysie. D'autre part, ce n'est pas le premier trouble trophique dont il avait été atteint. Déjà il av
uestion. En effet, si au premier abord la démarche du malade et les troubles de la sensibilité qu'il accuse ont pu vous fair
pieds heaucoup plus haut qu'il ne ferait s'il était indemne de tout trouble musculaire ; il regarde avec attention où il ma
e ces phénomènes, n'en est pas moins affectée elle-même de certains troubles fonctionnels ; elle est indécise, un peu faible
il faut attribuer ici une impor- tance de premier ordre à certains troubles psychiques sur- venus presque dès le début, et
e vous le savez, dans une atrophie musculaire, liée ou non à divers troubles de la sensibi- lité, se compliquent à un moment
ure subaiguë. Cette hypothèse était d'autant plus plausible que les troubles de la sensibilité font défaut aussi bien dans l
estable. C'est d'elle, selon toute vraisemblance, que résultent les troubles sensitifs et moteurs. Mais peut-être serait-ce
caractérisées par la dimi- nution de la substance grise et un état trouble des cellules. Sharkey Korsakoff 3 signalent des
érations dites dynamiques des centres nerveux sur l'ap- parition de troubles trophiques divers. On qualifie ainsi les modifi
que les altérations des nerfs périphériques peuvent provenir d'un trouble exclusivement fonctionnel des centres trophiques.
façon. Dans ce cas, la section du grand nerf sciatique détermine un trouble de l'influence 12,o- phique des cellules motric
bstance grise dans la ré- gion d'où ce nerf tire son origine, et ce trouble sans altéra- tion reconnaissable, est suffisant
du reste, de nouvelles observations nous font voir l'influence des troubles dynamiques des centres nerveux sur la nutrition
int de vue symptomatique, tous les auteurs mettent en relief que le trouble porte exclusivement sur les actes associés pour
sou- vent avec ces désordres du mouvement, indiquant la nature du trouble ; mais il n'est pas impossible que le syndrome ast
trer dans le cadre tracé par la définition de M. Charcot; les mêmes troubles de la station et de la marche des autres observ
té moins l'intensité du désordre des mouvements, que la qualité des troubles , ramène les cas à trois types distincts, troubl
la qualité des troubles, ramène les cas à trois types distincts, troubles occasionnés par la faiblesse, par l'incoordinatio
OLOGIE NERVEUSE. hystériques, mais ne déterminent pas en réalité le trouble abasique. ' Nous serons très court sur le dia
, mais que cette perte d'une fonction entière dé- montre plutôt des troubles spécifiques de l'association ? En séparant de l
n, des contractures cloniques des muscles pou- vant occasionner des troubles de la station et de la marche, ainsi les cas où
ort qu'on puisse établir ici, est qu'il s'agit dans les deux cas de troubles psy- chopathiques. Toutefois, sans même insiste
im- puissante chez lui. - L'autre ne se préoccupe en rien de ses troubles pathologiques, et c'est pour ce motif qu'il prése
mo-électrique dans la pulpe céré- brale détermine nécessairement un trouble local plus ou moins grave de la région explorée
les lésions de ce « centre des centres », entraînant à la fois des troubles de la vision, de l'audition, de l'olfac- tion e
e sensation auditive subjective. La détermination, cependant, des troubles de l'oreille n'est pas si facile que celle des tr
endant, des troubles de l'oreille n'est pas si facile que celle des troubles de la vue chez les animaux inférieurs. Il est d
es sur le lobe temporal 2 qu'on ne pouvait trouver au- cun signe de trouble de l'ouie, quand tout le lobe temporal était dé
(fig. 19), sont emmagasinées. Fréquemment, cependant, avant que les troubles secondaires créés par la lésion primaire aient
gion auditive . ' LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 2SI ). plus léger trouble de l'ouïe. Et il considère que la portion supé-
irpation uni ou bilatérale de cette région je n'ai pu trouver aucun trouble de la sensibilité de l'oreille. Luciani et Tamb
ne comprennent aucune partie de la troisième, il ne survient aucun trouble de l'ouïe, qui paraît en effet quelquefois plus
ation du centre auditif d'un hémisphère j'ai observé la perte ou un trouble de l'ouïe de l'oreille opposée, je n'ai jamais pu
e de l'oreille opposée, je n'ai jamais pu décou- vlir le plus léger trouble de l'ouïe de l'oreille du même côté. Lu- ciani
me âgée de qua- rante-trois ans, qui avait souflertde surdité et de trouble de la vi- sion, eut une attaque le 22 juin 1880
que les impressions oeuslllveo peuvent se transmettre en haut, sans trouble apparent des rapports normaux, quand la tota- l
. Malgré une légère paralysie dans le même côté, il n'y avait aucun trouble de la sensibilité tactile ou douloureuse dans l
tés postérieures le jour suivant, on n'a pu découvrir le plus léger trouble de la sensibilité tactile ni du sens musculaire
et comme le cordon pyramidal peut être entière- ment sclérosé sans trouble de la sensibilité, nous sommes amenés en procéd
t 1890.) La récente épidémie d'influenza a occasionné de nombreux troubles du système nerveux central et périphérique. L'aut
te ans progressivement. Puis à cin- quante-cinq ans, apparurent des troubles mentaux, dépression mentale, mélancolie avec ag
nd sympathique et que la chorée rythmique hystérique provenait d'un trouble vaso-moteur et devait reconnaître pour cause un
on d'hémorrhagies cérébrales , de thromboses oblitérantes, et les troubles de nutrition de l'organe. Un seul fait témoigna d
effet, pendant près d'un an, aucun accident ne se montra, puis des troubles psychiques apparurent, mais sans symp- tômes se
, ne les désigne qu'en les touchant. C'est ce qu'on peut appeler un trouble de la vision psychique. Il résulte ou de la lés
e perturbation toute spéciale du mécanisme de la conception ou à un trouble dans la faculté d'exprimer ses conceptions parl
veloppement, dans la cata- tonie. P. K. XVIII. Recherches SUR LES TROUBLES oculaires QUI SURVIENNENT dans la sclérose EN p
escriptions cliniques. Planches à l'appui. III. Allure clinique des troubles de la vue. Champ visuel. Vingt-quatre observati
des altérations scléreuses du nerf. La même réflexion s'applique au trouble de la vue et au champ visuel. Les troubles de la
e réflexion s'applique au trouble de la vue et au champ visuel. Les troubles de la vue sont constitués par le scotome centra
UCHE CHEZ UN DÉ- MENT, SANS QUE PENDANT La VIE L'ON AIT CONSTATÉ DE TROUBLES lVfO- TEURS OU SENSORIELS, par J. JENSEN (Allg.
anciens malades renvoyés- guéris durent être réintégrés à cause de troubles psychiques con- sécutifs à-fa grippe épidémique
ès violente sur le personnel secondaire. Une infirmière éprouve des troubles intel- lectuels passagers. , AI. GELSTENBERG.
struction d'une partie de l'écorce n'entraîne pas nécessairement un trouble e dans la nutrition des muscles qui se trouvent
délire, il montre l'importance de l'automatisme dans la genèse des troubles conceptuels, dont il attribue l'origine à l'exe
l'hémiplégie des membres. Ajoutez à ces caractères quelques légers troubles de la sensi- bilité et vous aurez l'image de l'
pasme hystérique'. Nous ' Gilles de la Tourelle - Superposition des troubles de la sensibilité et des spasmes de la face et
rime abord la coexistence de symp- tômes oculaires d'un côté, et de troubles moteurs des membres du côté opposé, était si im
la Société médicale des Hôpitaux de Paris quelques observations de troubles de la parole auquel il a donné le nom de bégaye
ence est notoire chez tous. D'un autre côté, il existe toujours des troubles respiratoires plus ou moins importants, plus ou
intelligent que les autres et que le bégayement n'est lié a aucun trouble des organes sensitifs ou moteurs. Donc, voici q
principaux du bégayement or- dinaire : 1° début dans l'enfance, 2° troubles respiratoires plus ou moins marqués; 3° intermi
disparition totale dans le chant ; 5° indépendance absolue avec des troubles quelconques des organes sensitmo-moteurs. Tels
encient que par la cause), qu'entre le bégayement hystérique et les troubles de la parole, de la sclérose en plaques, de la
ire pour borner mon examen aux trois autres symptômes, savoir : les troubles respiratoires, 1 inter- mittence et la disparit
rmittence ni de la disparition dans le chant. Il n'est parlé que de troubles respiratoires : « Si on examine attentivement C.
dinaire. Mais les considérations qui précèdent nous montrent que le trouble respiratoire de C. n'a rien de commun avec le t
ntrent que le trouble respiratoire de C. n'a rien de commun avec le trouble respiratoire d'ordre purement fonctionnel que n
bègues. En effet, 1\1. Ballet a rangé ajuste titre sous la rubrique troubles de motilité 3, les troubles respiratoires et vo
t a rangé ajuste titre sous la rubrique troubles de motilité 3, les troubles respiratoires et voici ce qu'il dit : « La diff
i ce qu'il dit : « La difficulté de l'articulation coincide avec un trouble manifeste de la motilité de la langue. En effet,
sujet est-il bien atteint de bégayement ? On vient de comparer son trouble de la parole au tremble- ment de la paralysie g
certainement pour une très large part au bégaiement, mais d'autres troubles de la motilité concou- rent aussi à le produire
ur régularité habituelle ». ,. Si j'ai insisté sur le cortège des troubles de motilité qui accom- pagnent les troubles res
isté sur le cortège des troubles de motilité qui accom- pagnent les troubles respiratoires, c'est pour m'éviter d'avoir à réfu
res, c'est pour m'éviter d'avoir à réfuter l'assimilation entre les troubles respiratoires de C. et les troubles respiratoir
éfuter l'assimilation entre les troubles respiratoires de C. et les troubles respiratoires du bégaiement ordinaire; les fait
s ne trouvons pas grand'chose non plus. Rien en ce qui concerne les troubles respiratoires; l'intermittence est indi- quée à
vons fait chanter un de nos malades (Observ. 3) et constaté que les troubles de la parole sans disparaître étaient beaucoup
ous avons tracées, nous entrons dans le détail, nous voyons que les troubles de la pronon- ciation constatés chez les malade
uis placé et dont je ne veux pas sortir. Je n'examinerai pas si les troubles de la parole cons- tatés par M. Ballet relèvent
rdinaire. Mais M. Pitres a trouvé concurrem- ment chez l'enfant des troubles de sensibilité qu'il rattache à l'hys- térie, e
dre des causes connues pour produire le bégaiement vulgaire; 2° les troubles res- piratoires sont parfaitement indiqués par
. Moutard-Martin dans son Rapport à l'Académie de médecine', que le trouble de la fonction respira- toire, au moment de la
oration avec M. P. Tissier, qu'on rencontre chez les hystériques un trouble spécial de la parole, se reliant étroite- ment
émontrer la relation non douteuse, suivant moi, qui existe entre ce trouble et la névrose. M. Chervin ne conteste pas en ef
snos, ni M. Gérin-Roze n'ont mis en doute la nature hystérique du trouble que j'ai décrit. Quant M. Féréol, si ses objectio
e j'y ai déjà répondu. M. Chervin n'examinera pas, dit-il, « si les troubles de la pa- role, constatés par M. Ballet, releva
amené à proclamer formellement avec moi la nature hysté- rique des troubles indiqués. Je ne puis que prendre acte de son ad
ésion et répéter une fois de plus qu'on observe dans l'hystérie des troubles de la parole dont la physionomie est très frapp
e est très frappante. M. Chervin s'étonne de me voir « donner aux troubles de la parole une place plus large qu'elle ne mé
n vient de lire. J'ai eu tort, d'après lui, d'appeler bégayement le trouble que j'ai décrit. Je ne puis pas, dans une simpl
on qui puisse caractériser plus exactement que le mot bégayement le trouble que j'ai décrit. Or, Littré et Robin, dans leur
s comme je tiens beaucoup à la chose, c'est-à-dire à la notion du trouble de l'articulation chez les hystériques et qu'il m
rticulation chez les hystériques et qu'il me faut pour désigner ces troubles recourir à la dénomination qui, en l'état de la
z aucun d'eux il n'y avait une perte totale de la sensibilité ou un trouble plus grand que celui Imputable à la lésion céré
excitations légères. L'animal etait en parfaite santé et sans aucun trouble de la motricité; qnoique immédiatement après l'
pe ainsi que l'ablation partielle de la corne dAmmon produisent des troubles de l'olfaction, d'abord une perte presque total
hémisphère gauche, produisit une paralysie de la jambe droite, sans trouble de la sensibilité, suivie de contraction dans l
SATIONS CÉRÉBRALES. 408 unilatérale de ces centres ne produit aucun trouble et il est nécessai- re que ces centres soient d
ont montré que l'extirpation unilatérale des centres du larynx, ne trouble pas d'une façon perceptible l'adduction des cor
et qui de plus est inutile. Quoique les chiens semblent guérir des troubles de la motilité qui étaient manifestes après une
A part la paralysie motrice, je n'ai jamais pu découvrir le moindre trouble de la sensibilité tactile, spéciale ou genérale
Archiv., Bd. XXXV, 1885, p. 137. 408 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. le trouble produit par la destructiou des centres soi-disant
tructiou des centres soi-disant mo- teurs s'accompagne au dépend de troubles de la sensibilité géné- rale, musculaire ou tac
ar l'incapacité motrice que par l'altération sensitive, ou bien ces troubles sensitifs sont dus à la lésion d'autres parties q
e la sensibilité tactile et génerale coïncidaient, de sorte que les troubles sensitifs, quel- ques fois au moins sinon toujo
seul cas de paralysie par lésion de la zone motrice corticale sans trouble de la sensibilité est suffisant pour renverser un
es en acceptant les tumeurs et les lésions capables de produire des troubles à distance n'est pas certaine- ment en faveur d
de l'incapacité d'indiquer la position des doigts de cette main. Ce trouble de la sensibilité disparaît enfin pendant t que
trice causant une paralysie complète peuvent se produire sans aucun trouble du sens muscu- laire et la perte du sens muscul
rganique des conduits sensitifs dans la capsule interne et dans les troubles fonctionnels décrits sous le nom d'hémianesthésie
incapacité de mouvoir la tête et les yeux, il n'y avait aucun autre trouble , ni sensitif ni moteur. Dans ce cas, les corps
ent pas spontanément dans le champ de la vision. C'est une forme de trouble mental qui me parait dépen- dre de la perte de
dans les cas de sciatiques chroniques, de rhumatismes et surtout de troubles articulaires. Avec les doses indiquées les aute
l importe de se rappeler que la con- séquence la plus fâcheuse d'un trouble mental est la perte du libre arbitre. Dès lors,
: le symptôme saillant et essentiel des folies mélancoliques est le trouble morbide des sen- timents. Or les sentiments acc
a première caractérisée par la prédominance presque exclusive des troubles sensoriels (hallucinations des sens musculaires e
blèmes à résoudre parmi lesquels se placent en pre- mière ligne les troubles de la digestion et en particulier ceux de l'est
t elles ne sont, après tout, que la manifestation extérieure, Les troubles de la sensibilité générale sont un des symptômes
.-Ils sont extrêmement marqués chez les alcooliques persécutés. Les troubles de la sensibilité génitale se remarquent plus f
fréquemment chez les femmes que chez les hommes. - En dehors des troubles de la sensibilité générale, on observe quelques
les interprétations délirantes, les hallucinations de l'ouïe et les troubles de la sensibilité générale en sont les caractèr
es cas, les autres symp- tômes, les hallucinations de l'ouïe et les troubles de la sensibilité générale. La systématisatio
période- ambitieuse revêt la forme d'un accès maniaque intense avec troubles vaso-moteurs; on voit alors arriver plus rapide
, ou à la suite de quelque contrariété ou d'un accès de colère. Les troubles de la sensibilité générale sont plus accusés :
génitaux, dont on a parlé incidemment tout à l'heure, à propos des troubles de la sensibilité chez les persécutés, présente
urs : ce sont ceux dont le délire s'alimente exclusivement dans les troubles de la sen- sibilité génitale. b C'est contre
matisé s'assimile pour en faire une idée délirante, on rencontre un trouble mental analogue mais qui diffère cependant d'un
obsessions : M. Magnan, dans ses études remarquables, considère ce trouble mental comme un signe direct et immédiat de l'h
E XXIX. L'INFLUENCE DE LA MÉNOPAUSE SUR LA GENÈSE ET LA FORME DES troubles mentaux; par 1lLTUSCU. (alla. Zeitsch., f. Psych.
champ visuel pour les couleurs dans leur ordre si particulier, les troubles cardiaques. Avec eux pas de simulation, ni d'ex
re des cas après la convulsion.- Du coté de la motilité, il y a des troubles dans la marche, l'écriture, et la contractilité é
ditaires étaient très chargés et qui, sans avoir jamais présenté de troubles intel- lectuels, était tombé à la fin de sa vie
rrhagique dans le noyau lenticulaire qui n'avait donné lieu à aucun trouble moteur ou sensitif. M. Magnan fait remarquer qu
ation des conditions de leur nutrition qualitative ou quantitative, trouble de l'innervation musculaire, arrêt dans le fonc
l'innervation musculaire, arrêt dans le fonctionnement des muscles, trouble dans les condi- tions mécaniques normales de l'
s de la corne antérieure de la moelle et détermine ainsi un certain trouble dans leur activité nutritive nor- male. Dans le
ivité nutritive nor- male. Dans les irritations de longue durée, ce trouble aura une action destructive sur les muscles cor
e tableau clinique de la paralysie alcoolique se caractérise par un trouble de l'activité psychique- obnubilation de la consc
es en deux grands groupes : confusion aiguë avec prédomi- nance des troubles du côté de la conscience et folie aiguë pro- pr
olie aiguë pro- prement dite (paranoia acuta) avec prédominance des troubles du côté de l'intelligence. La confusion aiguë s
côté de l'intelligence. La confusion aiguë se caractérise par un trouble de la conscience, un état affectif, un trouble da
e caractérise par un trouble de la conscience, un état affectif, un trouble dans l'asso- ciation d'idées, un grand nombre d
és et attentifs ne pou- vaient découvrir des signes déterminés d'un trouble mental quel- conque. Sur sept malades, six n'av
L'auteur a recueilli vingt-quatre observations de développement des troubles psychiques sous l'in- fluence d'une inflammatio
eur examine à l'état normal et pathologique. J. Dagonet. XIV. Des troubles trophiques dans l'hystérie; par Al. Athanassio.
es tissus et connus en neuro- pathologie sous le terme générique de troubles trophiques. Le tra- vail de M. Athanassio saper
névroses et en parti- culier de l'bystérie. D L'auteur a classé les troubles trophiques de l'hystérie en quatre catégories :
classé les troubles trophiques de l'hystérie en quatre catégories : troubles trophiques de la peau et de ses dépendances, tr
catégories : troubles trophiques de la peau et de ses dépendances, troubles vaso-moteurs et sécrétoires, troubles du tissu
a peau et de ses dépendances, troubles vaso-moteurs et sécrétoires, troubles du tissu cellulaire, atrophie musculaire. On po
de vue; les sueurs locales, par exemple, rangées dans la classe des troubles vaso-moteurs et sécrétoires, peuvent être consi
les vaso-moteurs et sécrétoires, peuvent être considérées comme des troubles des dépendances de la peau; de même les lésions
nés, par Roscioli, 4.°u. Atixie, héréditaire, par Erb, 132; - par troubles de la sensibilité, par Baumler 132. ' Athétos
érale, spéciale et ré- lle-,e chez les), par .\osUni, 455. Folie ( troubles de la connaissance dans la-) systématique, par
Hémisphère (lésions des lobes pa- riétal et frontal d'un - sans troubles moteurs ni sensoriels), par Jensen, 276. Hôpi
, 766. Ménopause influence de la, - sur la genèse et la forme des troubles mentaux, par Nlattuscli, 119. 11 : SI'llU,\'I
rphinomanes (traitement des -) à l'étranger, 157. lIIOTILtI'i : , trouble de la - chez les aliénés, par Binder, 118. Mu
ut de la - en plaques et de la myélite aiguë, par Cra- mer, 267; - troubles oculaires de la -eu plaques, par Ulillioff, 269
fonctions) et aliénation, par Campbell Clark, 120. Simulai-ion de trouble mental, par Krafft-Ebing, 119. Société médico
40 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
; Par Léopold LÉVI, Interne des hôpitaux de Paris. 7 /. Les troubles vaso-moteurs sont fréquents» dans j-1 ? y-gt4rfe.
ie chez des hystériques hypnotisables qui présentaient en outre des troubles urinaires de nature hystérique. L'hyp- nose a p
ois saisir ses enfants pour les tuer. C'est sous l'influence de ces troubles que pour la première fois elle eut une crise ne
orrespondant. L'examen de la sensibilité objective ne relève pas de troubles aux différents modes (contact, piqûre, froid) s
néen existe. On constate le réflexe plantaire. Il n'existe pas de troubles trophiques. L'examen des yeux ne font rien cons
ection et a modifié considérablement la névrose vaso-motrice et les troubles uri- naires. Sous son influence, l'anurie a é
ètement abolie. Drosdoff, cité par OEttinger2, affirme même que des troubles de la sen- sibilité faradique peuvent s'observe
ant tout signe d'inflam- mation articulaire. Barbillon attribue les troubles de la sensi- bilité à une action sur les tégume
rein, à des phéno- mènes d'hypersécution « relevant sans doute des troubles vaso-moteurs et qui, dans un certain nombre de
teur, crée un centre d'appel pour la manifestation ulté- rieure de troubles hystériques. Quelle que soit la valeur de cette
e en deux ans. Deuxième période à 44 ans. Hallucinations de l'ouïe, troubles de la sensibilité générale. Systématisation de
ssi bien que moi ce qui se passe, » nous répond-elle. Depuis, aucun trouble ne s'est atténué, et quand, poussée à bout par
le récit de ses malheurs. On voit alors que, ni hallucinations, ni troubles de la sensibilité générale n'ont diminué. Roger
rme des idées de persécutions, mais la dissociation des facultés ou trouble de la conscience s'oppose à leur cohésion, à leur
leur cohésion, à leur amal- game, quel que soit le mécanisme de ce trouble , tandis que la folie systématique cristallisée
ts vrais. La maladie mentale en ques- tion a donc pour pivots : des troubles dans le domaine de la conception, représentés p
i le produisent et l'entretiennent, et qu'il est en rapport avec un trouble de la pensée, de la vie conceptuelle. Le moi es
e chronische Wahnsinnsform) a, d'après Schuele, pour caractères, un trouble partiel de la conscience, compatible avec la co
a vie intellectuelle normale du Moi sain. Dans le Wahnsinn aigu, le trouble de la conscience est plus ou moins profond et p
DE LA PARANOÏA. 31 mentale (V erwirrtheit) produit rapidement un trouble profond de la conscience ; en même temps survie
te un état d'angoisse. Le Wahnsinn de Kroepelin a pour éléments des troubles in- tellectuels machinés (idées délirantes et h
c la prédisposition hérédi- taire. Fréquemment, il a été précédé de troubles psychiques antérieurs. Il se distinguerait de l
mélancolie par le dévelop- pement plus accentué et plus inventif du trouble intellectuel, et des psychopathies séniles par
uble intellectuel, et des psychopathies séniles par l'intensité des troubles de la sensibilité affective, la plus grande abo
u des éléments d'activité fructueux; ceux-ci sont falsifiés par les troubles sub- jectifs les plus variés. Le symptôme le pl
nd il s'agit d'anesthésie que d'hyperesthésie. P. S. 111. SUR LES TROUBLES SENSITIFS PRODUITS par UNE LÉSION localisée DE
e ophtalmique du cinquième nerf n'en- traîne pas nécessairement des troubles trophiques dans le globe oculaire. Ces troubles
nécessairement des troubles trophiques dans le globe oculaire. Ces troubles sont vraisemblablement dus à l'irritation infla
bien marquée dans la jambe droite. Pas d'atrophie musculaire ni de troubles sphinctériens. Au bout de deux mois, paraplégie
de cette idée qu'à la base des attaques d'épilepsie se trouvent des troubles vaso-moteurs dans le cerveau avec tendance à l'
im- puissance consécutif à l'expérience que le malade a faite des troubles morbides qui apparaissent lorsqu'il veut se tenir
hystérie, car c'est un symptôme purement hystérique. Il est dû à un trouble fonctionnel des centres corticaux coordinateurs
alement sommeil d'un quart d'heure : réveil avec grand malaise sans troubles intel- lectuels. Les mêmes accidents à peu près
r d'idées de persécutions, mais il présente dans toute sa pureté un trouble psychique élémen- taire. Toute une série fixe d
il énu- mère et ramenant toujours l'erreur à sa véritable cause, le trouble des facultés. Intelligence d'élite, travailleur
par Charles Ménard. (Thèse de Montpellier 1894, n° 44.) Parmi les troubles survenant au cours ou à la suite des infections
liées à une lésion du système nerveux central ou périphérique; ces troubles nerveux résultent ou de l'action directe des mi
intellectuelles », rien déplus. VARIA. 77 '1 Il y a dans l'espèce trouble mental partiel; c'est donc un conseil judiciair
totale. Or, une interdiction n'est légitime que suivant le degré du trouble mental. Une maladie mentale partielle, fût-elle
interdire tout malade chez lequel le médecin établit l'existence de troubles mentaux partiels. L'interdiction est parfaitement
itement capable de gérer ses affaires et d'exercer son jugement. Le trouble mental dont il est atteint n'a pas jusqu'ici di
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE QUELQUES OBSERVATIONS DU TROUBLE DE L ? 1LII ? DYSBASIES D'ORIGINE NERVEUSE. P
Les quelques observations que nous allons rapporter ont trait à des troubles de la marche, liés à des affections ner- veuses
intrigué de ce qui vient de se pro- duire. De ce moment datent les troubles de la marche qui persistent encore aujourd'hui.
ant lui donne confiance, et il se tire mieux d'affaire. Aucun autre trouble vésanique. Caractère parfai- tement normal; int
ai- tement normal; intelligence intacte. L'origine mentale de ces troubles de la marche nous parait indiscutable malgré l'
que M. Brissaud nous a obligeamment communiquée, se rapporte à des troubles de la marche liés à la neurasthénie; elle est é
vons pu examiner le malade et que nous ne connaissons guère que les troubles subjectifs dont il se plaint. C'est encore la n
d'excès d'aucune sorte. En mars 1890, se montrèrent associés à des troubles dyspeptiques, divers phénomènes nerveux : lassitu
jacents. Ces phénomènes s'amendèrent, mais en septembre 1890, des troubles nouveaux apparurent. A cette époque, M. X..., dut
apparaisse d'abord. Au bout d'un quart d'heure environ, un certain trouble se manifeste, mais si léger qu'il passerait ina
ie était manifeste chez ce malade, mais elle était peu accusée. Les troubles de la marche étaient d'ailleurs infiniment moin
main gauche, et, depuis quelque temps aussi, dans la main droite. Troubles de la marche. En même temps que les phénomènes
temps que les phénomènes douloureux, ou à peu près, ont apparu des troubles de la marche. Après une heure, deux heures de m
Pieds légèrement violacés, jambes et cuisses un peu marbrées ; ces troubles de la vascularisation cutanée prédominent beaucou
ceps. Réactions électriques (faradiques et galvaniques) normales. Troubles de la sensibilité. Nous avons noté plus haut les
dication intermittente par artérite. Les phénomènes douloureux, les troubles vaso-moteurs, l'atro- phie musculaire, prédomin
en question précipite les malades dans une profonde démence. Les troubles de la catatonie sont, en pareils cas, désignés so
patient. Mais ce serait violenter les faits que de leur imputer le trouble de la conscience, souvent si profond qu'il para
, souvent si profond qu'il parait tout bonnement impossible que les troubles sensoriels DE LA PARANOÏA. 93 agissent sur la
s de toutes sortes, après quoi s'installe un délire général, avec trouble considérable de la conscience. Ce délire s'accomp
tion des phénomènes aigus de la paranoïa. M. Kirchhoff divise les troubles psychiques simples, d'après nous fonctionnels,
rantes cohérentes, organisées, systématisées. 1° Le Wahnsinn est un trouble in- tellectuel composé de conceptions délirante
nt évoluer rapidement et favorablement; 2° La Verrücktheit est un trouble intellectuel dans lequel les conceptions délira
erwirrtheit astlaénique (à l'exemple de Mayser), survenant dans les troubles psychiques aigus consécutifs à la neurasthénie.
aigus consécutifs à la neurasthénie. Cette division des vésanies ou troubles psychopathiques sans lésions est particulièreme
lement, relèvent de la paranoïa, le rôle principal est joué par des troubles dans le jeu de l'écoulement des conceptions. «
ation des idées; on la désigne sous les noms de déso- rientation ou trouble de la conscience. Très fréquent dans la paranoï
Ce second groupe mérite une place à part dans la paranoïa, car le trouble de la conscience ou désorientation est non la c
pour symptômes cardinaux : la confusion mentale [Verwirrtheit), des troubles de la sensibilité morale permanents ou intermit
bilité morale permanents ou intermittents, ou, plus exactement, des troubles des senti- ments mobiles, kaléidoscopiques, enf
nguerait l'amentia aiguë de la paranoïa aiguë, ce serait le profond trouble de la conscience de la première et la lucidité
lire que la forme, elles ne sont pas agencées, cons- truites, et le trouble de la conscience est très vif. D Eickholt accen
n cas, dû à Lamotte, de para- lysie traumatique, avec anesthésie et troubles vaso-moteurs chez un garçon de billard. Ces phé
aits ? Chez tous les sujets une émotion morale vive détermine des troubles vaso-moteurs, soit congestion ou pâleur d'une par
n ou pâleur d'une partie plus ou moins étendue de la peau, soit des troubles sécréteurs ou glandulaires. Archives, t. XXIX
remier point. Et du fait de l'hystérie, la grande exagératrice, les troubles vaso-moteurs deviennent chez eux plus intenses
t en septembre (9), dans le British Médical Journal. A. Marie. Vil. Troubles cérébraux dans la chlorose ET l'aménorrhée ; pa
système nerveux, avec leurs habitudes spéciales et y déterminent un trouble qui reste seulement dynamique ou fonctionnel, t
r source les lésions syphilitiques des vaisseaux céré- braux et les troubles trophiques encéphaliques qui en résultent. Le t
'agit d'une femme de cinquante-trois ans. Le début eut lieu par des troubles sensitifs subjectifs, des picote- 126 REVUE DE
n certain nombre de faits dans lesquels on a noté la coïncidence de troubles hystériformes, d'angine de poitrine, de goitre
(côté opposé à la la lésion). Etant données d'une part l'absence de troubles sensitifs et l'hé- miplégie plus prononcée à la
'explique aucune cause locale. L'influence de l'attention sur les troubles athétosiques est des plus manifestes : dans les
que les paralytiques sans attaques. En dehors de la lésion et du trouble congestif contemporain, j'ai pensé qu'il exista
nt dans le foie et dans les reins ; ce qui per- met de croire à des troubles profonds de la nutrition et de ! 'ex- crétion f
la paranoïa ou des paranoïas, est caractérisé par l'existence d'un trouble de l'intelligence, folie intellectuelle compren
du 12 avril, accidents para- lytiques dans les jambes et le tronc, troubles lents du côté de la sensibilité; paralysie vési
mé cet organe. Ainsi s'expliquaient les accidents paralytiques, les troubles de la sensi- bilité, les accidents gangreneux d
himisme stomacal est altéré; il en est de même de la motricité. Les troubles gastriques imputables à ces deux causes se prés
iverses de dyspepsie. il semble qu'il existe une relation entre ces troubles etles variétés de lypémanie : dans les formes d
qui l'a provoqué, alors que cet acte a été commis en dehors de tout trouble mental. Il est constant, en effet, que la secou
est faite : Maumy est un simulateur, il l'a avoué et d'ailleurs les troubles intellectuels qu'il affecte ne présentent les c
n, le sommeil est calme, l'appétit régulier. Il y a absence de tout trouble de la sensibilité et delà motilité. En résumé
re est conservée. La réflectivité est normale. Il existe quelques troubles passagers de sensibilité. On constate un matin
'y a pas d'anesthésie nette localisée, ni d'hypereslhésie. Pas de troubles des sens spéciaux. Pas de rétrécissement du cha
ors dormir, puis les phénomènes de coloration de la peau, enfin les troubles de sudation. La malade eut au neuvième jour du
ote l'impuissance, l'anes- thésie plantaire, une soif insolite, des troubles visuels, des crises de sommeil. Le malade éprou
de contribution à l'étude des maladies par émotion et à l'étude des troubles vaso-moteurs de l'hystérie. Nous ne voulons pas
tions dans le domaine vaso-moteur ne nous arrêtera pas davantage ( troubles urinaires, aedème2, etc.). Nos cas ajoutent de
oire de l'hys- térie. Elles s'ajoutent à la liste déjà longue des troubles vaso-mo- teurs de l'hystérie. L'intérêt de no
l'hystérie. Dans tout accident hysté- rique, dit Janet, un certain trouble des fonctions psycholo- giques joue un rôle imp
besoin, ce serait là encore un argument en faveur de la nature des troubles étudiés. L'influence de la suggestion somnamb
par la cha- leur extérieure et le travail de la digestion. " Les troubles fonctionnels sont nuls. Il n'existe pas de dou-
cas peut être résumé : érythromé- lalgie sous forme de crises avec troubles vaso-moteurs persistants, siégeant au niveau de
de la théorie de Raynaud on peut d'ailleurs faire valoir, outre les troubles papillaires sur lesquels il a insisté à juste t
s sur lesquels il a insisté à juste titre les phénomènes urinaires, troubles vaso-mo- 1 Berliner Kiiiiische Wochenschrift, 1
soit l'hystérie ou toute autre. On peut encore mettre en ligne les troubles encéphaliques concomitants. Déjà Raynaud avait
occupe la péri- phérie. » Bien plus, on a noté la coïncidence des troubles vaso-mo- teurs paroxystiques et des troubles co
oté la coïncidence des troubles vaso-mo- teurs paroxystiques et des troubles convulsifs de l'épilepsie, par exemple. Féré '
éré ' a publié plusieurs cas, dont un d'asphyxie c disséminée ». Le trouble asphyxique a diminué considérable- ment depuis
epuis que les accès ont disparu. Dans la paralysie générale, où les troubles vaso-moteurs sont très nombreux, où bon nombre
action spasmodique. Il nous faut surtout retenir la coexistence des troubles des extrémités et de l'encéphale, ce qui indiqu
nte; fait important au point de vue théorique, car il rapproche les troubles vaso-moteurs d'autres phénomènes hystériques ;
des maladies par émotion. Ils s'ajoutent à la liste déjà longue des troubles vaso-mo- teurs de l'hystérie ; Ils ne constit
omènes qui se passent du côté de la papille. Nous insistons sur les troubles urinaires et encépha- liques, et nous appuyons
on. Cet auteur prétend, en effet, dansson excellent ouvrage sur les Troubles de la mémoire, que l'amnésie rétrograde ne se m
mènes convulsifs et l'amnésie que Wagner mettait sur le compte d'un trouble de nutrition dû à la strangulation. Quoi qu'il
, résistance aux excitations électriques, exagération des réflexes, troubles vaso- moteurs, etc. Ces signes de névroses s'ac
ue avéré, après une longue suc- cession d'épisodes douloureux et de troubles trophiques provoqués, selon toute vraisemblance
es normales. (Iteuiteneu7-ologique, 1893.) H. B. XLIV. NOTE SUR LES troubles DE la motilité DES organes DE la voix et DE l'a
ire avec la fonction spéciale du langage articulé. La réalité des troubles de la motilité indépendants de la fonction d'ar
On peut admettre, en effet, que le traumatisme en déterminant un trouble de la circulation du cerveau, modifie la nutritio
par l'alcool, pouvait intervenir à son tour dans la production des troubles mentaux. L'alcool peut avoir terminé depuis long-
borer ces notions intéressantes. Il s'agit d'une malade atteinte de troubles attestant une intoxication chronique par l'alco
c ou sans fureur. Cette manie s'accompagne d'hallucinations et d'un trouble profond de l'idéation, ce qui est tout en faveu
ns la pre- mière enfance paraissent avoir été le point de départ de troubles psychiques qui ne se sont montrés qu'à l'époque
entourage jusqu'alors psychiquement saines; 2° la transmission d'un trouble mental par contagion est un phénomène relativem
ique constitue le principal facteur étiologique pour la genèse d'un trouble mental induit.; 6° les éléments étiologiques qu
contaminée ; 7° le phénomène psychologique de l'implantation d'un trouble mental provient de l'imitation en vertu d'une imp
et ne présentant pas les caractères de la démence primitive aiguë. Troubles somatiques relativement minimes (analgésie, dim
ivement minimes (analgésie, diminution des réflexes cutanés) pas de troubles moteurs sensitifs ou sensoriels. Ceci indique une
t intéressé, et « leur pensée aussi leur est retirée ». 2° De ces troubles psycho-moteurs se rapprochent ceux qui se prése
sensibilité générale ou viscérale. Il est à remarquer que tous ces troubles coenesthétiques ont chez le persécuté moteur un
rquée, souvent un véritable dé- doublement de la personnalité. Ce trouble psychopathique est réduit à son minimum chez les
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. A mesure que la maladie progresse, les troubles de la person- nalité ne font que s'accentuer. S
es négations des possédés systématiques n'est plus secondaire à des troubles émo- tionnels, comme chez le mélancolique, mais
tion de désordres hallucinatoires spéciaux : l'absence de ces mêmes troubles émotionnels lui enlève également tout caractère
aient été condamnés, pour divers délits, malgré l'évidence de leurs troubles intellectuels. M. B. Séance du 28 janvier 1895.
longtemps des idées de persécution, des idées de gran- deur et des troubles très accusés de la sensibilité générale. Afin d
XXIX. 15 226 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Christian admet l'existence de troubles purement fonctionnels (oblitération artérielle)
lades sont en proie aux incommodités si fréquentes de la ménopause, trouble nerveux, céphalalgie, etc... Le terrain étant a
ent les malades eux-mêmes s'en aperçoivent et s'en plaignent. Les troubles de la sensibilité morale et l'agitation motrice n
ts symptomatiques qui se succèdent. La démence aiguë a pour elle le trouble profond de l'intelligence ainsi qu'une évolutio
s terminerons par le traitement de cette redoutable affection. 1° Troubles de l'appareil digestif. Les troubles de l'apparei
cette redoutable affection. 1° Troubles de l'appareil digestif. Les troubles de l'appareil digestif et plus spécialement de
ux ; elle permet d'affirmer ou non la fin d'une série d'accès ou de trouble mental consécutif. Chaque fois qu'un épileptiqu
t. C'est seulement lorsque la langue redevient nette, lorsque les troubles gastro-intestinaux disparaissent que l'on peut di
e. Il est des accès isolés et des accès sériels qui entraînent un trouble mental consécutif d'une durée et d'une intensité
de nouvelles crises survenaient dans le premier cas, ici c'est le trouble mental qui s'établit. La langue devrait donc rest
e état. C'est ce que l'on constate invariablement; tant que dure le trouble mental, l'état saburral persiste et il augmente
ngue commence à devenir meilleure, et c'est l'indice certain que le trouble mental touche à sa fin. Chaque jour la langue s
épileptique quelle que soit sa nature ou sa forme, vertiges, accès, trouble mental ou accidents larvés, est annoncée et acc
e d'une violente migraine. Mais en tout cas, il y a constamment des troubles gastro-intestinaux avec coprohémie. Ces phénomè
périodes, tantôt avant l'accès, tantôt pendant la série, pendant le trouble mental et, enfin, quand les accidents viennent
t apporté la certitude que, comme l'état saburral de la langue, les troubles gastriques qui marchent de pair vont en augment
sion sérielle. Jamais ils ne manquent, pen- dan t toute la durée du trouble mental, augmentant si un nouvel accès doit surv
ajoute cependant : « Il faut remarquer, d'ailleurs, que certains troubles gastriques font partie du paroxysme intellectuel.
oxysme intellectuel. » Mais il n'insiste pas davantage et passe aux troubles intesti- naux qui peuvent apparaître, détermina
se pas l'idée d'une intoxication. Il ressort donc de ceci que les troubles gastro-intestinaux et leur cortège sont absolum
ns l'état de mal épileptique dont la gravité est bien connue. Les troubles gastriques manquent d'ordinaire dans l'épilep-
à l'épilepsie générale. Chaque fois qu'il en est ainsi, on voit les troubles gastriques apparaître en même temps que la géné
, n'est ni moins intéressante, ni moins instructive que celle des troubles gastro-intestinaux dont nous venons de parler. L'
tion.de la toxicité urinaire est par conséquent en sens inverse des troubles de l'appareil digestif, puisque l'hy- potoxicit
l'appareil digestif, puisque l'hy- potoxicité apparaît lorsque ces troubles se manifestent, tandis que leur disparition acc
xicité. Cela a son importance, car. la toxicité urinaire, comme les troubles gas- triques, permet de déterminer les accès en
dans la totalité des'vingt-quatre heures. En outre, lorsqu'il y a trouble mental consécutif aux accès ou agitation maniaque
après les accès. Volume, 1450 grammes. Couleur jaune ambré. Aspect trouble et sale. Dépôt peu abondant. Odeur ammoniacale
ssions extérieures et intérieures (de Krafft- Ebing, Kroepelin), un trouble partiel de la conscience ou une espèce d'infirm
'identifie1 'encore = davantage' entre elles les' formes aiguës' de trouble paranoïque fquand il dit que'la'confusion' ment
ou paranoïa, est une affection de l'intelligence, dans laquelle les troubles de la sensibilité mo- DE i LAt. PARANOÏA' ! -t
s seulement elle a vomi après l'at- taque. Jamais elle n'offrait de troubles psychiques post-épilep- tiques. La céphalalgie
éilexesrotulions, rien du côté de la vue. Par intervalles, quelques troubles de la déglutition, léger tremblement des mains et
ômes bulbaires : bouche entr'ouverte, écoulement continu de salive, troubles de déglutition, affaiblisse- ment de la respira
lle dorsale. P. K. XXIV. nIICItOCÉPH.1L1$' AVEC FENTE simienne sans trouble intellectuel; par H. PrisTER. (Allg. Zeitsch. f
é ses propor- tions normales. Nulle altération pathologique, pas de troubles de développement locaux, pas de sillons rappela
pendent des organes nerveux atteints par les lésions de ce dernier. Troubles de la pa- role en rapport avec l'hypoglose; ral
évelop- pement de la région operculaire gauche, il s'est produit le trouble de la parole, surtout moteur, constaté pendant
unique. » (The alienist and neunologist, avril 1894.) E.' D. XXVI. Troubles vaso-moteurs ET trophiques dans la démence para
r le Dr Hoyt. , . r. Une étude clinique et auatomo-pathologique des troubles va : o- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 313 mote
ique aigu produit par un choc nerveux ou une maladie générale, sans trouble émotionnel, avec abattement marqué du pouvoir m
en même temps que de dépression physique; il existe quelquefois des troubles vaso- moteurs et la maladie se termine le plus
uérison complète. ;Le symptôme fondamental auquel tous les autres troubles men- taux sont subordonnés, est la confusion me
D'une manière générale;'ce ' sont des types simples de>folie; le trouble mental le plus commun est une forme tranquille,
i l'abla- tion des ovaires et des trompes détermina l'apparition de troubles délirants. L'auteur institua, comme traitemen
vertiges. Il oscille, titube en marchant. Absence d'ataxie et de troubles de la sensibilité. Pas de syphilis antérieure. La
de l'oeil. Rien du côté du pouls ni de la température. Aucun autre trouble morbide. Si au début on avait pu croire à une a
x. Il s'agit de trois cas de névralgie de la i cinquième paire avec troubles passagers de l'activité cérébrale. Le premier c
NTES. 331 1 sans appétit, un peu somnolent, mais ne présente pas de trouble intellectuel; sommeil agité. Aucun signe d'urém
plus tard tout avait disparu. Tous ces exemples témoignent donc de troubles purement fonctionnels, consécutifs à l'irritati
fusion mentale, désordre dans les idées, em- barras de la parole et troubles de l'écriture comme ceux des para- lytiques, im
l'écriture et le dessin de ces malheureux. Il n'y a pas chez eux de troubles de la conception proprement z 1 - T - ! f ' i
llaires repa- rurent bien qu'encore faibles notamment à droite, les troubles de la sensibilité cédèrent, l'amélioration fut
it complètement impossible. Chaque jour elle éprouvait des accès de troubles bulbaires graves, impossibilité de déglutir, la
ne paralysie bulbaire asthénique. 1 'M. WGIL. De la simulation de troubles vésicaux. Unjeunesoldat de vingt et un ans prét
tte malgré lui. C'est ce que l'on constate en effet mais sans autre trouble matériel ou fonctionnel. ' ' ' ' Le jeune hom
esse dans les jambes et le tronc. A partir de 1878, il présente des troubles moteurs intenses et des douleurs sacrées. En 18
ation de tous'les mouvements des bras, incordination associée à des troubles spasmodiques, ces mouvements n'étant au surplus,
ntrôle des sens spéciaux intégrité des jeux de la physionomie léger trouble de la vessie et du rectum. ' < Il fut impo
on des cordons postérieurs qu'il faut avant tout faire remonter les troubles du tact et du sens musculaire. II y a lieu d'ad
ts, chez lequel se inani- » testèrent, quelques mois plus tard, des troubles cérébraux. '' Après cette déposition, M° Dasque
ouard. De l'hémianopsie. Paris, 1880. ' 1·'éré. Conl. à l'élude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrale
s amenèrent un affaiblisse- ment considérable à la suite duquel les troubles ^nerveux et mentaux-qui; avaient disparu depuis
ant. ' ' '' '> . ' R' *lm,'inG Je n'insisterai pas sur 'd'autres troubles visuéls; sur1 une sorte d'asthénopie qui empêch
pour qui connaît son histoire. Justine-présente depuis longtemps un trouble de la vision ;très intéressant que, j'ai étudié
rise tous les phénomènes hystériques ? Quoi qu'il en soit, c'est le trouble de la vision binoculaire, symptôme hystérique,
e'de' la^nain droite, nous démoai'r" gre1 il ? S,à,git"là ne e d'un trouble "de la perception personnelle, d'une anesthésie
hémianopsie nasale de cette nature, une localisation anatomique du trouble sin- lt. -»él li ? u . 'i' à Fig. 3. 3. , a 4
ce lui-7(îi-depuis fort longtemps a ete,atl--în- 1 e t de tous les « troubles les plus, marques. L'oeil droit,sur' tout dont no
rité, elle reste toujours en con- traction f exagérée ^c'est * un"1 trouble dés" "réflexes"1 par'spasme plutôt que parparal
'Quoi Iqu'ilcenrsoit;Yétte'-inéââlité>pulüllaire;"ce myosis;' ce trouble 'des'réflexes;' efirïcl ! hémiiopsie"doht'sè1-p
tômes'même ? ).... ? r; ? ' 1 'il il" (FI ts .if4rt .011b i-1p, les troubles pupillaires, sont transitoires. Le myosis augment
ignaler dans l'oeildroit ? Cet oeil présente au plus haut point les troubles detaccom. modation qui/1 ont^été ? si1 bien0 ét
bable ? ) <i''i, -)i ? Jf ? tM m .<t ? i tnft ? 1 1 ? que ces troubles de 1 oeil droit, ont'pour origine une intériorité
6 ? i «tnn.viov r<a .oi ? u : , Ajoutez a ces remarques. sur les troubles , présentes par 1 oeil . 1 1 r , ? v -I-sillo -i
f W ·1 4t. ? ... ' , ' L t .' z mentTparvl oeil. gauche,, tous ces , troubles ,t(maçrpp.sie, , microp- 'siequi dépendaiént én
l4tt 1 L c,U tl.arr ? f,· , . ·f 11·. i.,l|i|i,. 1 ? lH"l' tant; de troubles persister, si longtemps .dans un oeil du même c
roubles persister, si longtemps .dans un oeil du même cote, que ces troubles ne sont pas d ordinaire aussi remarques, Mt')t
érielle doivent aussi'nous arrêter un instant/ Dans'l'épilepsie les troubles vaso-moteurs ont été W ..i .rrop ."iiiim L.^it.
oir dtii3 l'éilepsi»des r a( .. rr, rrr.. , l t, - 1 , "1' 1, t 1 troubles dans la circulation, de. 1 encépliale, de 1 isché
aaoqnsl 51-il~ôr . noimiiqt Il ajoute que pendant l'agitation et le trouble mental, la . " * *- . r ,)< ? < T-.1R 't)
rait intéressant de savoir s'il y a dans ces fractures répétées des troubles nu- tritifs'-se ! traduisant7 pari dés m'ôdific
, , o*j, G ? iix .oxlx . - -- À tt^.jl, «|J.. J.- i z par certains, troubles , de la parole, qui peuvent-jpèmel dan xio-v ? i
.) i r PL, JM1 ^ r u-.dlHr,' . j w le (juxwli tn . 1 a ! r JvJ Ces troubles du langage ont déjà,été mentionnes dans 1 en- ? ,
° ,i -j"'ir' r....» ····r Jr trfl9 ! ! nIT ? l', x ? O Lorsque ces troubles du langage sont plus .accentues, ils ,.<...-
»u , < x i ,f .iil, i - 1,1gus)verrons toutj)à)-l'heure quef-ces troubles peuvent^ la longue, s'accentuer, de plusten-plu
manents.. Lorsqué,.les accès; sont rares, et;, peu violents', le trouble ,de,la parole;est très faible et très fugace,il du
fatigués de cet effort. Cette aphasie s'accompagne en général de troubles moteurs du côté droit, troubles moteurs qui peu
aphasie s'accompagne en général de troubles moteurs du côté droit, troubles moteurs qui peuvent, comme nous l'avons déjà di
glosso-dynamètre, modification dusphygmomètre de M. Blocli, que ces troubles du langage sont en grande partie dus à des trou
Blocli, que ces troubles du langage sont en grande partie dus à des troubles de la motilité de la langue. Nous disions en co
ité de la langue. Nous disions en commençant cette rapide étude des troubles du langage, qu'ils apparaissaient d'abord après
tôt ils deviennent persistants d'une manière définitive. A côté des troubles temporaires de la parole, il faut donc placer l
côté des troubles temporaires de la parole, il faut donc placer les troubles permanents ; ce sont du reste les mêmes qui ont
urs efforts. En somme, il semble qu'il y ait chez eux à la fois des troubles moteurs du côté des or- ganes de la phonation e
du côté des or- ganes de la phonation et de la confusion mentale. Troubles de la H ! o< ! 7<<e. Des troubles divers
de la confusion mentale. Troubles de la H ! o< ! 7<<e. Des troubles divers de la moti- lité plus ou moins graves, p
ifester consécutivement aux accès épileptiques. Ici, comme pour les troubles de la parole, nous verrons des phénomènes passa
fin définitifs et perma- nents. M. Ch. Féré a mis en évidence les troubles moteurs que l'on voit apparaître du côté de la
- roxysmes épileptiques. Cela jouerait un rôle important dans les troubles de la parole. M. Beevor a signalé aussi la dévi
OGIE PATHOLOGIQUE. plégie doit être d'origine corticale et due à un trouble dyna- mogénique des cellules de l'écorce ou à d
Les mouvements de la langue se font bien mais avec lenteur. Pas de troubles de la déglutition. L'obtusion intellectuelle es
avoir aucun but. La motilité de la langue n'est guère gênée. Pas de trouble de la déglutition, pas de nystagmus; les pupill
LOGIQUE. état dura à peu près quinze jours; les accès disparus, les troubles de la parole s'amendèrent etvers le 10 janvier
vêtir un air béat ou un aspect sardonique et diabolique. Il y a des troubles de la déglutition très marqués; parfois le spas
avoir marqué le début. Chez les autres épileptiques on voit bien le trouble de l'intel- ligence progresser aussi par poussé
e son langage devenait fort peu intelligible. En même temps que ces troubles de l'articu- lation se présentaient de l'engour
de l'aphasie et bien constater que nulle parésie n'accompagnait ce trouble de la parole. C'est le 27 février seulement qu'
entendus. Selon lui (et cela est bien con- firmé par sa femme) les troubles de prononciation sont moindres lorsqu'il s'est
survinrent des mouvements de la face ayant tous les caractères des troubles spéciaux à l'alhétose. Cette malade appartient do
génital de l'intelli- gence (dégénérescence) portant surtout sur un trouble de l'associa- tion des idées. Exemple : les pre
normale est grande, voilà l'homosexualité mâle ou femelle. C'est un trouble congénital. Les urninges ne sont pas des femmes
mme celle, par exemple, qui consiste à la mettre sur le compte d'un trouble dans la nutrition de l'écorce... Nous raconteri
acement. Demandons seule- ment] que tous les inculpés soupçonnés de troubles intellectuels soient, de droit, examinés par un
onfu- sion mentale détermine en outre dans le système nerveux des troubles consécutifs plus ou moins graves. L'historique es
la manière suivante : « On peut admettre l'existence d'une forme de trouble menlal dans laquelle le symptôme psychique préd
ve pour les autres formes d'aulres particularités, tantôt, c'est le trouble mental qui prédomine dans le tableau clinique,
u'en définitive le symptôme confusion se présente dans une série de troubles mentaux les plus différents. 11 peut se présent
plus ou moins longtemps, et qui peut être suivie d'une période de trouble mental ou d'agitation d'une durée variable. Mais,
L'examen nous montre la langue recouverte d'un enduit saburral, les troubles gastriques se manifestent; les lavages de l'est
à l'accumulation d'un produit toxique. Chez les hémorroïdaires, des troubles analogues ne se produisent-ils pas quand la con
le cas où les attaques se présentent en série et sont suivies de trouble mental, de folie épileptique. Pendant tout le tem
'épilepsie pourront varier, les accès remplaceront les verliges, le trouble mental succédera aux accès, il y aura de l'agit
pas. C'est seulement quand les accidents vont prendre fin que ces troubles digestifs commencent à diminuer progressive- me
ison. C'est là un fait très important à notre sens. L'évolution des troubles digestifs parallèle à celle des acci- dents épi
avec l'hypothèse d'une intoxication. L'apparition anticipée de ces troubles peut être considérée comme la première manifest
la torpeur alcoolique. Quand l'épileptique est gai, il éprouve des troubles de la sensibilité générale et des troubles du sys
est gai, il éprouve des troubles de la sensibilité générale et des troubles du sys- tème moteur qui le poussent à faire les
s jamais présenter de délire, d'autres, au contraire, présentent du trouble mental et de l'ivresse, après l'absorption d'un
ent une réaction normale. Mais lorsqu'il y a anomalie, avec ou sans troubles visuels, on trouve soit laprédominance de la se
édominance de la secousse négative d'ouverture, sans qu'il y eût de troubles visuels, dans un autre cas le même phénomène co
l'impuissance sexuelle résultant de l'onanisme^ les névralgies, les troubles vésicaux et les troubles de la sensibilité cuta
sultant de l'onanisme^ les névralgies, les troubles vésicaux et les troubles de la sensibilité cutanée chez les tabétiques.
. Chez les tabétiques, l'emploi du pinceau galvanique dissipe les troubles urinaires plus sûrement et plus vile que la suspe
ssent par auto-conduclion restent inefficaces contre la plupart des troubles hystériques et contre quelques névralgies localis
Aussi exercent-ils une action modificatrice considérable dans les troubles provoqués par le ralentissement ou la perversion
ience, janvier 1894.) Après avoir rappelé la grande variabilité des troubles mentaux qui accompagnent le myxoedème l'auteur
remède fut administré, la maladie datait de cinq ans au moins : les troubles mentaux suffisamment caracté- risés pour consti
dinaire que, suivant l'auteur, lorsqu'un ma- lade, interné pour des troubles intellectuels dus à l'abus des prépa- rations d
données qui peuvent conduire a la déter- mination de l'origine des troubles nerveux réflexes; C . .' ' - ' REVUE DE THÉRA
est d'ailleurs important, avant de rechercher les autres causes de troubles réflexes périphériques ou d'instituer un traiteme
e traitement ophtalmologique des épileptiques qui pré- .sentent des troubles visuels n'a pas jusqu'ici attiré l'attention que
ations associativement plus rapprochées sont éliminées par suite du trouble pathologique. Mais pour qu'elles se consolident
ître avant les accidents des causes d'auto-intoxication, telles que troubles gastro-intestinaux (indigestion, embarras gastriq
de voir dans certaines de ces manifestations les conséquences d'un trouble grave de la nutrition sous la dépendauce de lés
. Semelaigne, 331 ; situation des -, par Iloppe, 491. Aménorrhée, troubles cérébraux dans la chlorose et l' -, par Janning
uttleworth, Beach, We- ,,Iesworth et Niclle, -li92. Articulation, troubles de la voix et de l' chez les sourds-muets, pa
Chirurgie de la moelle épinière, par Thornburn, 119. Chlorose, troubles cérébraux dans la et l'aménorrhée par Jan- ni
my, 470. Démence paralytique sans paralysie. par Belliowslz 217 ; troubles vaso-moteurs dans la -, par Iloyt, 312. Dir
iectomie pour ? <, par Jacobi, 209; avec fente "V simienne, sans trouble intellec- 'i' tuel, Iar Pfister, 303. Miracle
héorie de la représenta- tion - corticale, par i ? wens, 3G. Vox, troubles de la - et de l'arti- culation chez les sourds-
41 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
() PATHOLOGIE MENTALE. un prédicateur fameux,jette immédiatement le trouble dans son âme. De l'agitation, des terreurs, sug
désordre dans ses facultés. Mais quel est le caractère des premiers troubles ? S'agit-il d'une mo- nomanie ? Justine a des h
auxquels il résiste, jouit de la vie commune, a conscience de son trouble et souvent l'apprécie. Les convictions du mo- n
en est d'autant plus porté à supposer une fixité mono- maniaque. Le trouble délirant est susceptible d'enrayer l'essor des
. PITRES, - Pmfesseur à la Faculté de médecine de Rordeaui. , Les troubles fonctionnels, qui se produisent dans les membre
82), M. Browi)-Séquard a attiré l'attention sur la distribution des troubles paraly- tiques chez les malades atteints d'hémi
-t-on quelquefois à la suite de lésions unilatérales du cerveau des troubles bilatéraux et permanents dans les associations
ces deuils successifs l'impressionnent vive- ment ; son sommeil se trouble , le travail lui paraît plus pénible et plus fat
qui, malgré ses soixante-seize ans, veut lui donner des soins. Les troubles cérébraux augmentent, le malade ne dort pas, et
scent et rendu au même milieu, a été promptement repris des mêmes troubles intellectuels; 3' Que l'événement malheureux qu
légie motrice était complète; mais on ne peut savoir s'il y eut des troubles de la sensibilité. Au bout de peu de jours, les
is il n'y a guère qu'une différence de dix à quinze grammes. Pas de troubles des sens spéciaux, rien en particulier du côté
aitement, l'appétit est bon, les digestions sont faciles. Jamais de troubles de la défé- cation. Le sommeil est seulement ag
ntait, avec une certaine faiblesse intermittente des jambes, divers troubles céphaliques permettant de faire recon- naître u
es il existe une hyperexcitabilité réflexe analogue due à un simple trouble fonctionnel. Il n'est pas très rare de voir che
édical 1882, p. 'il.3. REVUE CRITIQUE LE FAISCEAU SENSITIF ET LES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES CAS DE LÉSIONS CÉRÉB
Recherches anatomiques et cliniques sur le faisceau sensitif et les troubles de la sensibilité dans les lésions du cerveau. Pa
la sensibilité dans les lésions du cerveau. Paris, 1881. II. DES troubles DE la sensibilité dans leurs rapports avec les v
araissent mieux sous leur véritable point de vue. La question des troubles de la sensibilité dans leurs rapports avec les
les détails anatomiques pour les be- soins de la cause. II. DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ CONSÉCUTIFS AUX DIVERSES LÉSI
f cortical, en revanche les couches grises peuvent être le siège de troubles passagers, né- vrolytiques ou dynamiques comme
es chiens et chez le singe. Entrons dans quelques détails. A. Des troubles de la sensibilité dans leurs rapports avec les
ymptomatologie présentée par la malade et la coïn- cidence avec les troubles de lasensibilité d'hémichoréeoud'hé- miathétose
fût intacte, comme nous l'avons rapporté, et qu'il n'existât aucun trouble apparent des sens. Quoi qu'il en soit, le fait
a constaté comme nous, sans y insister toutefois, la possibilité de troubles profonds de la sensibilité générale, sans altér
ieures auront à en confir- mer ou à en infirmer la valeur. B.-Des troubles de la sensibilité dans leurs rapports avec les
ifs affectent un dédain peu justifié, nous rendait dans l'étude des troubles de la sensibilté d'origine cérébrale les mêmes
gine cérébrale les mêmes services que nous lui devons en matière de troubles du mouvement. Aussi est-ce à l'observation qu
ves à relever : « Il n'existe pas encore, dit-il, d'observations de troubles auditifs dans les maladies cérébrales, principa
aux relations cliniques entre les altérations de l'écorce et les troubles de la vue. Ferrier, il est vrai, a cru trouver
des circonvolutions tempo- rales. Mais l'aphasie sensorielle est un trouble complexe bien différent des simples altérations
points de l'écorce cérébrale, peuvent évoluer sans s'accompagner de troubles , au moins marqués, de la sensibilité spéciale,
uvent être, chacune isolément, dé- truites, sans qu'il s'ensuive de troubles de la sensibilité géné- rale et spéciale. Les
fois à la suite des lésions corticales récentes. Il s'agit la de troubles inconstants, souvent peu marqués et toujours pas-
t-il qu'en rapprochant les uns des autres les cas dans lesquels ces troubles ont été observés, nous avons pu légitimement, c
(la circonvolution fron- tale ascendante exceptée), il n'y a pas de troubles de la sensi- bilité ; A la suite des lésions
athogénie de la maladie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 87 Î Les troubles cardiaques précédant l'engorgement du corps thy
a commencé à dix-huit ans à avoir de la difficulté à marcher : les troubles tabétiques se sont accentués depuis. Le sixième
itième est un fils de vingt-deux ans paraissant bien, mais il a des troubles de l'équilibration dans l'obscurité, il a de te
faits de ce genre ; Friedreich a noté dans ce cas la fréquence des troubles du langage qui dans cette série ont été presque
d'affections médullaires, mais encore d'affections cérébrales ou de troubles psychiques. Cn. F. REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
la démence épileptique aux grands accès et non au petit mal. Les troubles de la connaissance en rapport avec l'épilepsie so
pense qu'il s'agit précisément en tous les cas de la limitation des troubles angioparalytiques ou anctospastiques à tel ou t
- que les mêmes proportions de fréquence qu'en ce qui a trait aux troubles de la sensibilité postparoxystiques. Ce sont just
onctions de l'organisme sont atteintes. I. Au premier plan sont les troubles de la nutrition. Après six, huit, douze mois de
i les oblige à changer de linge plusieurs fois par jour. III. Des troubles vaso-moteurs s'ajoutent aux précédents : le pou
que le malade compare à un coup de couteau dans le coeur. IV. Les troubles de la motilité sont observés sans exception. Ce
parésie des mus- cles de l'oeil (diplopie), et du muscle ciliaire ( troubles de l'ac- commodation) ; d'autre part, l'immobil
ns le tabes classique. V. Du côté de la sensibilité, on observe les troubles les plus variés, tels qu'engourdissements, four
cations du goût (sa- veur amère des aliments), et plus rarement des troubles de l'ouïe et de l'odorat (bourdonnements d'orei
céphalalgie sourde, particu- lière, des syncopes, des vertiges, des troubles de la respiration ; et, dans l'ordre psychique,
lièrement ralenties. Les hallucinations de la vue sont rares. Ces troubles somatiques et psychiques conduisent fréquem- me
ction tonique et trophique sur les centres nerveux, et il calme les troubles gastriques. Le patient reçoit encore un soir so
du réflexe tendineux; exagération des ré- ilexes cutanés; - urines troubles , sédimenteuses, albumine appré- ciable. La ma
une sale de la peau, oedème très marqué des extrémités inférieures, troubles cardiaques, alté- ration des globules sanguins,
'ailleurs l'accompagne souvent, donne lieu bien plus rarement à des troubles psychiques. M. Kroepelin n'a pu en relever que
èvre éruptive serait la cause essentielle et non pas l'occasion des troubles nerveux, puisque \\ p. 100 des patients avaient
ine. Pronostic absolument favorable. 3° Rougeole. Très rares, les troubles psychiques s'y mon- trent pendant lej eune àge
l'aponévrose épicrànienne. C'est bien la localisation céphalique ( troubles de circulation) et l'hyperthermie, jointe à l'act
re typhoïde. C'est la maladie aiguë par excellence du délire et des troubles psychiques. La division comporte les manifestat
progressivementles éléments pathogénétiques : fièvre, hyperthermie, troubles circulatoires, dégénérescences parenchymateuses
s individus prédisposésexa- gère leurs côtés faibles et produit des troubles profonds, voire irréparables danslanutrition du
oses pendant le stade prodromique, leur rareté excessive malgré les troubles circulatoires (stases vei- neuses) émanant de l
si les résultats cliniques n'y contredi- saient pas, à penser à un trouble dans la réception des sensations sonores ; sur
de la paralysie générale ; on constatait en même temps chez lui les troubles de la motilité appartenant au tabes, de la blép
chiques oblitérées, que le symptôme observé provienne d'un simple trouble fonctionnel ou d'une affection du cerveau ? A int
la totalité de ses premiers accidents, a d'ailleurs été reprise de troubles mentaux quelques années plus tard et se trouve
rite exige le concours des oedèmes rapides, des douleurs, de l'état trouble carac- téristique d'une urine fréquemment sangl
e la période de début, préataxiquo du tabès; en particulier sur les troubles oculaires etgénito-urinaires. Au début de la pé
nd il l'a cherchée même au début de la pé- riode préataxique. Les troubles oculaires peuvent rester plusieurs années à l'éta
s années à l'étal d'isolement ou du moins n'être accompagnés que de troubles fort peu accentués; il en découle, dans l'ordre
n affaiblissement visuel, et en outre d'analyser minutieusement les troubles fonctionnels de l'oeil au point de vue de leurs c
volution, puis de considérer l'état de la pupille. Très souvent les troubles de la vision débutent par un seul oeil; ils ont
t seule- ment à gauche une légère diminution de sensibilité; sans trouble visuel. En réalité, ce n'était pas à une véritabl
ger. « Sous l'influence du malaise moral profond qui constitue le trouble psychique essentiel de la mélan- colie, dit cet
e des vrais mélancoliques; il ne semble pas qu'il y ait en eux ce trouble profond de la sensibilité morale que Griesin- g
ité avancée, que le délire de négation survive en quelque sorte aux troubles généraux du début et que les malades, comme cel
élancoliques correspond à peu près à la division en mélancolie avec trouble général de l'intelligence et en monomanie trist
nostic est également fâcheux lorsqu'on voit diminuer l'intensité du trouble mélancolique général, tandis que les idées déli
de l'utérus et de ses (lll ? lexes,1858. 1 Boussi. Etude sur les troubles nerveux réflexes observés dans les maladies uté
Thèse de Paris, 1880. 3 Boyé. - Essai clinique sur les rapports des troubles génitaux à la folie chez la femme. Thèse de Mon
le voit, si, d'après les données d'un certain nombre d'auteurs, les troubles génitaux chez la femme sont une des causes les
ps, les formes gynécologiques qui s'associent le plus souvent aux troubles mentaux, on pourrait aussi, par cela même, juge
être observées que pendant la vie, comme des phénomènes d'ovarie, troubles de la menstruation, et aussi, les légères formes
s étaient représentées comme suit : idiotie, un cas; épilepsie avec troubles mentaux, quinze; hystérie avec aliénation menta
rouverait qu'avant le retour d'âge, la folie est compliquée par les troubles génitaux dans 84 p. 100 à peu près. Après la mé
eil générateur, qui se présentent prin- cipalement sous la forme de troubles de la menstrua- tion, de symptômes d'ovarie et
- cience s'appliquent aux seuls malades qui réfléchissent sur les troubles semoriels et psychiques dont ils sont frappés e
fait défaut, car en revenant à la vie le malade est sous le coup de troubles d'une acuité telle que toute appréciation de so
ogressive à la première période, datant de deux ans. Conscience des troubles psychiques et physiques. Idées de suicide. M-
bas âge, l'un de la coqueluche, l'autre d'une fièvre cérébrale. Les troubles intellectuels datent de deux ans. Mme C... a la
ésordres physiques sont appréciés. La malade les rap- proche de ses troubles psychiques et en conclut à un ramollisse- ment
fiance absolue dans leurs halluci- nations, ne se doutent point des troubles de leur intellect et cèdent avec conviction à t
i pas eu occasion de les observer. Chez l'aliéné qui a basé sur ses troubles sensoriels une systématisation délirante, leret
ission depuis six mois. Conscience nette durant quelques heures des troubles physiques et psychiques y compris le délire des
te de sa situation. Non seulement il se rend un compte exact de ses troubles paralytiques, tels que tremblement des RECHERCH
ue. Avec le printemps, une rémission incomplète se produisit. Les troubles physiques s'amendèrent considérablement, les ten-
écents et l'observation de plusieurs malades de la Salpêtrière. Des troubles auriculaires variés, la surdité, quelquefois in
puis il passe en revue les divers groupes syrnptomatologiques. 1° Troubles intellectuels. -Fréquents et pouvant varier depui
de Neurologie; n" 7, p. 100. 328 REVUE DE pathologie nerveuse. 2° Troubles moteurs. Contractures, convulsions, paralysies,
durée plus ou moins persistante, sa va- leur diagnostique. - - 3° Troubles de la sensibilité. Il peut y avoir intégrité des
ement soudains. La céphalalgie est assez fréquente et précoce. 4° Troubles de la sensibilité spéciale. Ouïe : on a constaté
mpossibilité d'articuler nettement jusqu'à l'aphasie complète. 5° Troubles de l 'appareil digestif - La présence de l'écume
as. La constipation est la rigle : elle est souvent opiniâtre. 6° Troubles circulatoires. Le pouls ne saurait être consi-
rapide et faible; dans quelques cas rares, il demeure normal. 7° Troubles de la respiration. La respiration stertoreuse e
de cas pour que l'on puisse utiliser ces données incomplètes. 9° Troubles des fonctions urinaires. Ils sont sans importance
s se rencontrent tout à fait dès le début. Erlenmeyer pense que les troubles dysgrammatiques de l'écriture doivent être ratt
uniquement aux altérations corticales organiques, à l'exclusion des troubles circulatoires qui peuvent survenir. E. CH. XI
it le plus souvent noté. L'intensité des angoisses consécutives aux troubles de la conception augmente de plus en plus ; bie
hées spontanées nocturnes et même diurnes); de la constipation; des troubles de l'appareil digestif, de l'insomnie, de la dy
1't,ilepsie; qu'il s'agisse de l'accès complet, du petit mal ou des troubles mentaux, l'amnésie absolue des patients témoign
ense de 600 francs sera accordée à MM. Azam pour un mémoire sur les Troubles intellec- tuels consécutifs aux traumatismes du
notre service, atteint d'alcoolisme, et qui ue présente plus aucun trouble intellectuel. 11 s'est emparé du sabre d'un ser
pèce. M. SENATOR désire qu'on insiste désormais davantage sur les troubles vésicaux, constants en toutes ses observations de
spèce, la parésie du muscle .droit-interne est bien moindre que les troubles de la motilité qui ressortissent à gauche à l'a
on observe dans la région du nerf cubital gauche l'expan- sion des troubles de la sensibilité auparavant limités à droite.
'agissait notamment dans l'espèce d'une lésion de l'écorce avec les troubles caractéristiques de sensibilité et de motilité du
faible élévation thermique ; au mois de mai de la même année, des troubles dans l'innervation du facial également à gauche.
marquer à cet égard comment, en des conditions spéciales d'un léger trouble dans la circulation, s'opèrent les transformati
x rapports de l'hystérie en général avec divers états morbides, aux troubles vaso-moteurs et sécré- toircs de la névrose, à
aso-moteurs et sécré- toircs de la névrose, à sa thérapeutique, aux troubles intellectuels, au caractère, aux mceurs et à l'
as est beaucoup plus pris que la jambe. Elle ne s'accompagne pas de troubles de la sensibilité. Cn. F. 1 Arclt. de Netcrol
ller jusqu'à une véritable para- 261 se BIBLIOGRAPHIE. lysie. Les troubles moteurs et sensitifs des extrémités sont remar-
ce d'un épisode aigu, ou en conséquence d'une lésion cérébrale. Les troubles digestifs sont analogues à ceux de l'alcoolisme
ré/fees; par OLLIGn. Tlièse de Paris, 1882. Etude clinique sur les troubles intellectuels dans l'ataxie locomo- trice proyr
THAUs, London, 1882, 20 édit. Contribution ci l'étude de quelques troubles trophiques dans l'ataxie locomotrice ; par 13 :
énéral nos malades, à part les accidents d'équi- libration et leurs troubles auditifs, jouissaient d'une santé parfaite. La
7 7 être atteint de nécrose et éliminé, sans qu'on ait observé de troubles d'équilibration. J'ai montré à la Société de bi
constitution ternaire, nous offre une séparation sem- blable. Aux troubles de l'équilibre s'ajoutent le bour- donnement d'
mière ! Il est possible, en effet, de faire naître chez l'homme des troubles ana- logues au vertige, et jusqu'à des troubles
re chez l'homme des troubles ana- logues au vertige, et jusqu'à des troubles de l'équilibre, comme on les a produits sur les
nt, est nécessaire pour expliquer la réaction plus énergique, et le trouble plus général. Mais c'est, en définitive, l'inte
e migraines violentes avec vomissements. En 1879, il se plaignit de troubles de la vue, de brouillards devant les yeux; il a
13lacé à Vanves au mois d'avril 1880, on constate chez M. C... un trouble mental profond. M. C... ne se rend compte ni de
ant de maux. Suicide relativement rare. Homicide plus fréquent. Troubles de la 'sensibilité très rares. Hallucinations
Suicide et mutilations très fré- quents. Homicide plus rare. Troubles de la sensibilité. Anesthésie. Hallucinations
GIE MENTALE. rien dans ses relations ordinaires ne trahissait son trouble mental '. Pour notre malade également, dont on
survenir une aggravation, sans que rien au dehors vienne trahir ce trouble inté- rieur ? Westphal, dans son excellent Mé
acilité plus grande avec laquelle celles-ci parviennent à cacher ce trouble ins- tinctif. Toutefois, nous avons deux observ
à lui, il note que, treize fois sur dix-sept cas, se montraient des troubles névro ou psychopathiques ; c'est, on le voit, l
urriture et sur les vêtements. Il est d'une timidité extrême, il se trouble et balbutie devant les clients, il est incapabl
le ne s'écroule sur lui. Chez ce malade, véritable héréditaire, les troubles psychopathiques sont nombreux. Dès l'âge de cin
de coté les autres tlésprdre$I2scliopatl,iclues, arrêtons-nous aux troubles sexuels. i^pçpuisjiuit ans, elle est sous le co
force extraordinaire aux'dépehs de la moelle, sans provoquer aucun trouble de ce côté : ' 1,tiri Le fait était trop import
entent. Il s'en suit que les sarcomes provoquent de bonne heure des troubles fonctionnels, tandis que les neuroglio- mes ne
a colonne grise antérieure du côté gauche. , REVUE CRITIQUE DES TROUBLES NERVEUX OBSERVÉS CHEZ LES DIABÉTIQUES; Par D. B
es diabétiques, on les a regardées comme primitives sans même DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. : ;37 se demander
» A la même époque, On-le rapportait aussi au diabète cer- tains troubles nerveux observés pendant le cours de cette mala
e certainement un grand intérêt; mais l'étude épisodique des divers troubles nerveux que l'on rencontre, on peut dire si fré
peuvent s'expliquer, soit par des altérations humorales, et par le trouble de la nutrition cérébrale qui peut en être la c
pas tant, sous la dépendance du diabète lui-même que sous celle du trouble général de la nutrition que détermine la glycos
raux précisément au moment où ils ne sont plus glycosuriques. Ces troubles sont du reste très divers et peuvent atteindre la
ait impré- vu. A. Troubles de la )M07<<e. Il n'est guère de troubles du mouvement qu'on n'ait observés dans le cours
bservation du régime approprié. Divers phénomènes l'accompagnent, troubles de l'intelligence et des facultés affectives, etc
ournal de médecine et de chirurgie pratiques, lévrier 1882. ' ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LLS DIABETIQUES. 33J complet, qui
scléreuse de M. Rigal). Ouskuvvtion IV. M. P..., diabétique, sans troubles fonctionnels bien marqués, s'affaiblit tout à c
litils. (Saint Georges Ao.spatal Hcpurls, L. 1, 18G, [. 1G0.) DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 'il 1 Les troub
, [. 1G0.) DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 'il 1 Les troubles de la parole que l'on observe dans le cours du
la mort arrive par la cessation de l'acte respiratoire. Un autre trouble moteur fort intéressant au point de vue séméiol
peuvent faire penser à tort à des phénomènes tabétiques. Parmi les troubles des organes de la locomotion, on- doit encore r
ter sur cette insomnie fatigante qui semble le premier indice des troubles de la circulation cérébrale et peut être l'avant-
1 LécorchG et Tfttamon. Etudes médicales, etc., 1881, p. 27, ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 343 3 Ces trouble
81, p. 27, ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 343 3 Ces troubles moteurs, comme du reste les troubles sensitifs
HEZ LES DIABÉTIQUES. 343 3 Ces troubles moteurs, comme du reste les troubles sensitifs que nous allons étudier ensuite, sont
éveloppées primitivement et qui sont de nature à expliquer tous les troubles limités. Ce sont des excavations miliaires qui
cher sur des filets de corde à larges mailles. Il n'y a pas que ces troubles de la sensibilité, nous le verrons plus loin, qui
),/oe. < ? ? p. 3 : ,3. ' Loiidel. Clin, mi'/l. ]i. 279. , DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3)5 5 rebelle ; m
DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3)5 5 rebelle ; mais les troubles de ce genre, dans le cours du dia- bète, sur le
, car ces dou- leurs dont on peut concevoir la combinaison avec des troubles de la station, l'anesthésie plantaire, ou des h
tabes ataxique. Les organes des sens, les viscères même offrent des troubles de leur sensibilité spéciale. Pour la fréquen
faut avant tout citer la frigidité. Bouchardat a pu dire que « les troubles de la vue et l'impuissance sont les deux thermo
La perversion de l'odorat est mentionnée par Lécorcfé. Quant aux troubles gustatifs, le même auteur n'y voit qu'un effet
? . · 0 Annales des maladies de l'oreille et du larynx, 1882. DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 li 7 Troubles o
u larynx, 1882. DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 li 7 Troubles oculaires. Ils ont la plus grande importance pour
her la kératite, l'iritis, l'irido-choroïditeau diabète et même aux troubles ou aux lésions concomitantes du syst( me nerveu
'ouvrage célèbre de Rollo 1 que l'on trouve la première mention des troubles oculaires chez les diabétiques, mention due à W
l'albuminurie. La proportion des cas de diabète où se montrent les troubles oculaires est considérable. Poueliardat l'évalu
ies de la vision, 18 cas ainsi répartis relèvent du diabète : DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 le ! ) place à
a corrigeront. Au cas de paralysie incomplète, on conslate tous les troubles caractéristiques de l'asthénopie accommodativc,
amblyopie se montre dans les cas de glyco- surie faible, quand les troubles de la santé générale sont peu marqués, selon M.
edans tous les cas. Parfois, il fau- drait incriminer la rétine, un trouble fonctionnel ou circula- toire de cette membrane
ula- toire de cette membrane, et même du centre optique ; car ces troubles de la vision s'observent également dans les hémor
. - Lue. cil., p. 2oS. Wickerslieiiner. Thèse de l',ma; 187 ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 351 optique. Le c
rétinite glycosurique s'observe dans les cas graves, alors que les troubles nutritil's et l'amaigrissement général ont fait
o rétinienne serait le pré- lude d'une hémorrbagie cérébrale. Des troubles oculaires pareils ont été décrits dans la plios-
alurie, la benzourie, les pertes sémi- 1 Bellouard. Loc. cit. DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 353 nales (Desmar
- tiques (saturnisme, alcoolisme, nicotinisme, chlorose...)1. Les troubles de la vue sont rares chez les enfants. Leroux'
des terreurs qui peuvent conduire au sui- cide. D'autres fois, sans trouble mental caractérisé, le malade se trouve dans un
excitation morale est beau- coup plus rare. La plupart du temps ces troubles mentaux doi- vent être rattachés à l'affaibliss
ttachés à l'affaiblissement général. (Durand-Fardel.) A la suite de troubles nerveux divers, on peut voir survenir chez des
aulle), il faut bien admettre une relation entre les deux ordres de troubles . 1 Wickersheimer. Paris, 1874. - Legrand du S
decine, 1877. AitcuivEs, L. IV. 23 . 3j ! 1, REVUE CRITIQUE. D. Troubles trophiques. Certains diabétiques offrent des lé
s offrent des lésions qui présentent une certaine analogie avec les troubles trophiques que l'on observe dans des affections
s plusieurs affec- tions du système nerveux Il est possible que ces troubles trophiques localisés reconnaissent pour cause u
bser- uces chez des névropathes. (7roy)M ! t : edica/, 1881.) DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 355 OBSERVATION I
urtour de leurs touffes, est si fréquemment le siège d'altérations, troubles et d'épaississements ? C'est, dit M. Loehr, qu'
du sinus latéral. C. T. XXVI. L'ATAXIE locomotrice différenciée des troubles fonctionnels qui la simulent; par A.-D. ROCIi\V
érature médicale, admet REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 379 que les troubles de la digestion, et en particulier ceux qui rés
es gens -vigoureux, bien portants d'habitude, tandis que les autres troubles atteindraient les sujets d'un âge mûr. anémiés
possédaient leur volume normal et il n'y avait aucune apparence de troubles trophiques du côté de la peau, des os ou des jo
de dix semaines, parésie de la jambe gauche qui présente les mêmes troubles de la sensibi- lité que le bras droit. Quelques
paralysie de la jambe avec rigidité/Phénomènes tendineux ac- cusés. Troubles modérés de la sensibilité. Cystite ; contracture.
rition 3J 4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des réflexes tendineux. Troubles de sensibilité ( ? ) dans les extrémités inféri
mités inférieures. En 1878, bruit systolique au coeur. En 1880, nul trouble de la sensibilité ; de temps à autre, tensions
signe psychique se soit montré,' la pupille change, témoignant d'un trouble de circula- tion précédant ceux de l'innervatio
attaque de rhumatisme articulaire qui paraît avoir été subaigu; les troubles mentaux datent de ce moment ; ils étaient carac
nt elle aurait été choréique depuis un mois, et aurait présenté des troubles intellectuels depuis une semaine; on n'aurait p
de M. Clouston. On remar- quera ici le caractère très accentué des troubles de la sensibi- lité spéciale, qui se sont montr
a sensibi- lité spéciale, qui se sont montrés plus rebelles que les troubles qui affectaient ou détruisaient momentanément d
ifique),'par Fournier, 139. Ataxie locomotrice différenciée des troubles fonctionnels qui la si- mulent, 377. Ataxie l
otard, 152, 282. Dessiccation du cerveau, 249. Diabétiques (Des troubles nerveux observés chez les), par Bernard et Fé
, 143. Négations (délire des), 152, 282. Nerveux. 372. Nerveux ( troubles - observés chez les diabétiques), par Bernard e
elles, par Charcot et Magnan, 296. Sensitif (le faisceau), et les troubles de la sensibilité dans les cas de lésions cér
42 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nfluences circulatoires. Certaines formes de névralgies, certains troubles fonctionnels, s'expliquent par des variations c
idées ambitieuses; il se croit toujours riche à millions, mais les troubles de la sensibilité générale dominent. Tout le mo
urs ; ce sont ceux dont le délire s'alimente exclusivement dans les troubles de la sensibilité génitale. Ces malades n'arriv
par le même mécanisme, chez tous il est permis d'admettre le même trouble fondamental de l'intelligence. Dans cette famil
. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE. le rôle principal ne revient-il pas aux troubles si variés de la sensibilité organique ? En port
cre. Il venait consulter pour des douleurs névralgi- ques, pour des troubles oculaires, avec une ordonnance des Quinze-Vingt
tenir soit à la fracture ancienne vicieusement consolidée, soit aux troubles de la vue. Les troubles delà sensibilité sont m
ncienne vicieusement consolidée, soit aux troubles de la vue. Les troubles delà sensibilité sont multiples. Le malade se pla
ou- reux d'aspect. L'appétit est exagéré, la soif augmentée, sans troubles stomacaux ou intestinaux. Il porte au niveau de l
NERVEUSE. que nous voulons établir l'existence du tabes vrai. Les troubles vésicaux plaident bien pour l'ataxie locomotric
fisamment caractéristiques et on pourrait objecter que de pareils troubles urinaires ont été observés dans le diabète. Par
roubles urinaires ont été observés dans le diabète. Par contre, les troubles oculaires nous semblent lever ici toute espèce
é- tiques. Non pas qu'on ne rencontre point dans le dia- bète des troubles et des lésions oculaires; mais combien différen
la paralysie de l'accommodation et des muscles extrinsèques; 3° les troubles hémorrhagiques du corps vitré; 4° des rétinites
résumé, si quelques accidents nerveux : perte du réflexe rotalien, troubles de la sensibilité, frigidité génitale, troubles
u réflexe rotalien, troubles de la sensibilité, frigidité génitale, troubles vésicaux même ne peuvent être équitablement par
he avec une canne. C'est à la même époque que se sont montrés des troubles uri- naires caractérisés par une paresse vésica
ser fortement, de se tirailler la verge et de pisser accroupi. Ces troubles n'ont pas cessé depuis lors; s'il veut résister a
uelques gouttes dans son pantalon. Depuis une dizaine d'années, les troubles moteurs se sont nota- blement accrus; fréquemme
rique, le tout par litre, sans aucune trace d'albumine. L'urine est trouble , acide, d'une densité normale, et laisse dépose
ns contractions fibril- laires, sans atrophie appréciable. Pas de troubles de la sensibilité autre que les engourdissements
ssible dans l'obscurité. Le coeur est normal, le pouls a 76. Pas de troubles digestifs. Troubles urinaires dejà signalés. Ri
é. Le coeur est normal, le pouls a 76. Pas de troubles digestifs. Troubles urinaires dejà signalés. Rien au foie ni dans les
ans plus tard, est survenue une incoordina- tion motrice, avec des troubles urinaires bien spéciaux. Ce n'est que vingt ans
ire, le signe d'Argyll, les signes de Rom- berg et de Westphal, les troubles urinaires. Notre malade est en outre un véritab
égalité pupillaire, lesignedeRobertson, la démarche ataxique, les troubles vésicaux, qui ne peuvent être mis sur le compte
nous sommes déjà expliqués sur la plupart d'entre eux. Quant aux troubles moteurs, nous ferons remarquer en pas- sant, qu
de cerlains signes habituels, concomi- tants : fréquence du pouls, troubles sensitifs dans le domaine du trijumeau, etc., q
iolentes, maintenant plus fréquentes mais beaucoup moins sévères. Troubles vésicaux, rétention d'urine; ne peut uriner qu'à
s ce fait est assez difficile à préciser à cause de la présence des troubles vésicaux tabéliques qui existaient déjà à cette
1). Homme d'aspect assez robuste, d'embonpoint ordinaire. 1 Comme troubles de la sensibilité, il se plaint des douleurs à ty
Sa bouche n'est ni sèche ni amère; deux dénis font défaut. Pas de troubles appréciables de la sensibilité objective, général
ables de la sensibilité objective, générale ou sen- sorielle. Les troubles génito-urinaires sont une impuissance absolue et
bsolue et une légère incontinence d'urine de temps à autre. Comme troubles moteurs, incoordination absolument tabétique. L
verts, sans osciller et sans menacer de tomber. Il n'accuse aucun trouble oculaire ; aucun trouble gas- trique ou laryngé
sans menacer de tomber. Il n'accuse aucun trouble oculaire ; aucun trouble gas- trique ou laryngé. Le coeur est sain, le p
coïncide précisément avec l'ap- parition de phénomènes tabétiques; troubles de la sen- sibilité, incoordination motrice à é
flexes aux bras et aux genoux. Anes- thésie de la plante des pieds. Troubles du tact. L'urine a une densité de 1,028 et renf
s mentionnées, mais qu'on suspende la pression, ins- tantanément le trouble de l'équilibre renait. ASTASIE-ABYS1E A TYPE CH
epuis un mois et à la suite d'un embarras gastrique fébrile, que le trouble s'est ac- centué et est arrivé à son apogée.
e plus la pression des zones postérieures du tronc qui supprime les troubles musculaires relatifs à la station debout n'exer
lésé 'par la tumeur comme le trijumeau, aussi y avait-il un léger trouble de la motilité et de la moitié gauche de la face
rvation de myxoedème au début offrant ceci de saillant : absence de troubles de la parole et de la voix, de troubles trophi-
ci de saillant : absence de troubles de la parole et de la voix, de troubles trophi- ques des cheveux et des dents (à cause
viennent l'obtusion intellectuelle et le 'sopor. Les aphasies, les troubles de la motilité, les troubles de la sensibilité,
tuelle et le 'sopor. Les aphasies, les troubles de la motilité, les troubles de la sensibilité, les paralysies des muscles d
nq mois de galvanisation améliorent singulièrement la motilité; des troubles trophiques, qui s'étaient produits dans l'épaul
re de potassium. P. K. XIX. GONFLEMENT DES phalangettes DES DOIGTS. TROUBLE trophique encore inconnu; par 0. ROSENBACH. (Ce
rtainement nerveuse (prolification du périoste et des ligaments par trouble trophique). P. K. XX. Contribution A la casuist
dité sans spasme paroxystique. La force musculaire a diminué. Aucun trouble de la sensibilité ni des réflexes. C'est une af
as ce caractère. Il est probable que ces dernières pro- viennent de troubles de nutrition qui déterminent de l'irritabilité
our suspendre momentanément les fonctions de ces centres. Puis, les troubles de nutrition progressent et finalement interrom
on cours normal. P. IERAVAL. XXVIII. CONTRIBUTION A la question DES TROUBLES DE la SENSIBILITÉ dans les affections EN foyer
ésion tuberculeuse. P.KERAVAL. XXIX. Contribution ,1 L'I.TUDE DES TROUBLES trophiques DES ongles dans L\ névrite multilocu
N. 0. absence du signe de Romberg, de parésies, de contractures, de troubles de la sensibilité, de troubles des réflexes.
rg, de parésies, de contractures, de troubles de la sensibilité, de troubles des réflexes. Le frère le plus atteint (quara
le cas ne soit original. . P. KERAVAL. XXXI. DE L'OCCURRENCE DES TROUBLES DE la SENSIBILITÉ dans la SCLÉ- rose EN plaques
dont trois avec autopsie. Vingt-neuf, soit 88 p. 10o, dénotent des troubles indéniables de la sensibilité. Dans 48 p. 100,
uis, tout à coup, comme dans une attaque apoplectique, arrivent ces troubles qui, quelle que soit la progression dans l'en-
- rose en plaques, c'est le caractère passager, temporaire de ces troubles . Il en est ainsi pour des troubles de la vue, et
tère passager, temporaire de ces troubles. Il en est ainsi pour des troubles de la vue, et de la motilité (hémiparésie, para
ois, cependant, le cylindraxe reste altéré et perd sa fonction; les troubles de la sensibilité deviennent alors irrémé- diab
.-S. 110PS : 1KON. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLVII., 3-r.) . Les troubles intellectuels qui accompagnent la polynévrite se
a, la malade qui fait le sujet de cette observation présenta, comme troubles sensitifs, des névralgies des parties molles de
forme de douleurs térébrantes et une diminution des réflexes; comme troubles moteurs, une dimi- nution notable de la force m
force musculaire et des phénomènes de rigi- dité tendineuse; comme troubles trophiques et vaso-moteurs, des sueurs, de l'at
ce qui permet de supposer que l'origine doit en être rapportée à un trouble médul- laire datant de la vie foetale ou du tra
ervation presque entière de l'intelligence; avec cela l'absence des troubles des sen- timents, d'excitation motrice et de st
ier, et qu'elle fait son apparition immédiatement après l'action de troubles moraux, de surexcitavité intellectuelle ou d'un
hez ces malades un état épisodique d'une grande excitation, avec un trouble de sentiment 118 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
un fait acquis à savoir que la personne internée était atteinte de troubles intellectuels justifiant son placement. La loi de
A signaler particulièrement les deux chapitres qui ont trait aux troubles oculaires dans l'hystérie. On y trouvera minutieu
ite par Clay Shaw, et à quel titre peut-on bien la classer dans les troubles d'origine extra-cérébraux ? Les phénomènes hystér
ante de nos distingués con- frères envisage donc principalement les troubles mentaux dans leurs rapports avec l'arthritisme
nt-ils guère arrêtés. Ils ont insisté au contraire, sur l'étude des troubles intellectuels des arthritiques chez lesquels on
endent à se confondre, la part qui revient au système nerveux ou au trouble de la nutrition, comme cause première; mais que
re à l'action primordiale du système nerveux dans la production des troubles de la nutrition. En résumé, MM. Mabille et La
que cette division des pouvoirs administratif et médical apporte un trouble profond dans le fonc- tionnement de la maison,
te-neuf ans ; elle était d'un naturel calme, n'avait présenté aucun trouble d'ordre névropathique. Elle a eu quatorze garço
l'ordinaire. Mais cet affaiblissement du membre inférieur droit, ce trouble de la parole disparurent le soir du même jour.
nt l'année 1891, l'état du malade ne s'améliora nullement. Tous les troubles que nous avons déjà mentionnés persistèrent. Ma
épidation spinale. 150 CLINIQUE NERVEUSE. - On ne constate pas de troubles de la sensibilité autres que les fourmillements
utres que les fourmillements sus-indiqués. Pas de vertiges Pas de troubles lrophiques. On a recherché avec soin, et sans e
jà indi- quées. Ces modifications dans l'habitude extérieure, ces troubles de la marche ne sont points étrangers au tablea
ppa- raissent les premiers indices de la maladie. Jusque-là aucun trouble nerveux, aucun incident particulier. L'on peut
i pendant leurs années d'enfance, son cours régulier. Ce sont les troubles psychiques qui ouvrent la scène. Les malades pe
la cénesthésie. Dans la troisième période, qui manque parfois, aux troubles précé- dents s'ajoutent des idées de grandeur.
ophobie, des hallucinations et des illusions de la vue,, et;par des troubles deikisensibi- lité générale. Je, néglige rémuné
, et sa constatation est bien capable d'induire en erreur. 4° Les troubles trophiques : maux perforants (Kir- misson), chu
es existent, dans le diabète vrai. 2° L'incoordination motrice. Les troubles de la démarche n'ont rien de commun dans les de
majorité des cas de pseudo-tabes jusqu'ici observés ' i » ; 3° Les troubles vésicaux. Si la rétention d'urine peut survenir
s vésicaux peuvent s'y montrer 2, ils n'ont rien de commun avec les troubles uiinaires du tabes; il est inutile d'insister s
le d'insister sur ce point; ' Charcot, loc. cit., p. 315. * Bazy. Troubles urinaires chez les glycosuriques, Congrès françai
ris, 1890. ASSOCIATION DU TABÈS AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 185 4° Les troubles oculaires. Les différences sont ici ti ès accen
s. Les différences sont ici ti ès accentuées et la fréquence de ces troubles dans le. tabes comme dans le diabète leur donne
ue. Les auteurs signalent à peu près tous une atrophie simple, sans trouble bien manifeste de la papille. L'atrophie était
étaient filiformes. Dans les cas de cette espèce, on a trouvé des troubles de l'achromatopsie en somme de même nature que
tte terminaison (Lecorché, Testelin-Piéchaud) '. » En résumé, les troubles oculaires du diabète n'offrent qu'une analogie
lysies de l'accommodation et celles des mus- cles extrinsèques, les troubles hémorrhagiques du- corps vitré, des rétinites,
d ordre les signes suivants : 3° Crises gastriques et laryngées; 4° Troubles dans les fonctions des cordes vocales; o° Toux
es tels que : pertes des reflxes rotuliens, douleurs fulgurantes, troubles divers de la sensibilité objective... signes de
survient au cours d'un diabète des signes de la seconde catégorie : troubles oculaires, vésicaux, mo- teurs... le diabète vé
age sera très délicat pour ceux de la première : signe de Westphal, troubles de la sensibilité... L'influence du traitement
ultérieure de certains signes tabétiques : incoordination spéciale, troubles vésicaux, oculaires, transformeront ces présomp
sous forme d'incertitude, puis avec les caractères ataxi- formes ; trouble de la parole; absence de douleurs fulgurantes, de
OCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 19J' crises viscérales, de troubles de la sensibilité. Cependant quelques- uns des
disparu; elle a un assez fort embonpoint et ne présente aucun autre trouble de santé générale. Sa descendance est particulièr
eu à l'àge de dix-sept ans, une chorée grave de longue durée avec troubles intellectuels. La troisième génération compte 1
ondant « sur la théorie qui fait de l'hallucination en général un trouble fonctionnel des centres corticaux 2 », il est ais
n des centres de la fonction du langage pouvait être le siège de ce trouble fonctionnel, de cet état d'éréthisme qui provoq
s au bout de quelques jours, hallucina- tions de l'ouïe, de la vue, troubles de la sensibilité générale, délire mélancolique
as d'hallucinations de la vue ni de l'ouïe. Examen physique. Pas de troubles vaso-moteurs. Dédouble- ment du deuxième bruit
uelle de cet oeil droit est moindre que celle de l'oeil gauche. Ces troubles de la vision parais- sent remonter à l'enfance.
elle augmente de poids, et cependant sa faiblesse augmente et les troubles mentaux restent très accusés. Eu avril la peau es
eu la z syphilis, et cela au moment de l'apparition des premiers troubles intellectuels. Au point de vue de l'état d'aném
d'erreur, c'est l'ataxie locomotrice; mais dans cette dernière, les troubles intellectuels sont ordinairement tout à fait ca
inante; l'existence concomitante d'nne hématurie paroxystique, d'un trouble de la vision et de fortes dou- 1220 REVUE DE pa
d'aphasie (peut-être serait-il plusjuste de dire de dysphasie). Le trouble du langage, reposant ici surtout sur des perversi
fet pour qu'une opération n'agisse pas à la manière de tout autre trouble physique ; or l'intervention chirurgicale agit au
ifs. Enfin il existe un dernier facteur, encore plus important, des troubles physiques, c'est la réaction mentale, trop souv
t sur lequel l'auteur insiste et qu'il se propose de démontrer, les troubles intellectuels ne se manifestent pas immédiateme
tés, chez une dame qui avait subi deux opérations assez graves, les troubles mentaux ne firent leur apparition qu'au bout de
et on a accusé, l'anesthésie de jouer un rôle dans l'apparition des troubles intellectuels; elle ne saurait cependant être m
rapporte avec soin et avec détail une observation intéressante. Ce trouble men- tal a été considéré par quelques auteurs f
eunes enfants, en sorte que l'on pourrait à la rigueur voir dans ce trouble cérébral un phénomène de physiologie régressive
caractères. Notons à ce propos que l'auteur n'a 1- met pas que ces troubles psychiques soient toujours et fatalement des st
énésique, le développement exagéré de la force musculaire, certains troubles de la iiiotilité (tremblement, blépharospasme),
ou d'hallucinations, surtout au début de l'accès. Mais ce sont les troubles de la conscience qui sont les plus importants, su
difficile ; souvent, du reste, on se trouve aidé par la présence de troubles trophiques. La recherche de ce symptôme est i
re dans les phases initiales de la folie. ' Le début de beaucoup de troubles mentaux est dû à des épui- sements locaux de fo
après avoir négligé son estomac, en arrive, sous l'influence des troubles de nutrition des nerfs spéciaux ganglionnaires, à
s viscéraux et il faut en particulier considérer chez la femme tout trouble , quelque bénin qu'il soit, des organes de repro
RAPEUTIQUE. ' III. SUR l'emploi DU bain TURC dans LE traitement DES TROUBLES mentaux. (Notes fournies par une expérience de
mes de mélancolie qui s'accompagnent de sécheresse de la peau et de troubles de la fonc- tion hépatique; D, dans la folie pu
ns organiques du cerveau, la sclérose médullaire, la méningite, les troubles hallucinatoires, la paralysie générale, la pneu
t une certaine attention. Il se peut en effet d'autre part, que les troubles que l'on croit décéler aient précédé l'accident
public s'imagine par exemple que le côté lésé doit être le siège de troubles de la sensibilité. Quand il accuse un trouble d
oit être le siège de troubles de la sensibilité. Quand il accuse un trouble de la sensibilité, il se peul par conséquent qu
nor ; sa main droite était mutilée; on ne constatait chez lui aucun trouble du champ visuel ni de la sensibilité. Une des o
la réaction lumineuse qu'il était difficile de considérer comme un trouble purement fonctionnel. Le traumatisme peut donc
trouble purement fonctionnel. Le traumatisme peut donc produire des troubles nerveux très variés. La névrose traumatique n'e
il dut prononcer le diagnostic d'aggravation par le traumatisme de troubles antérieurs à lui. Quant aux nuances et à la quo
e à vingt et un - ans et ayant depuis cette époque éprouvé quelques troubles nerveux, de la rétention d'urine, de la dysurie
nce; c'est ainsi qu'elles se manifestent aujourd'hui. M. JOLLY. Des troubles trophiques dans les maladies de la moelle. - Vo
l'articulation radiocubitale gauche est prbe, il se produit même un trouble de la motilité des articulations de la main qui
nnaissance n'est pas abolie. Il peut se produire simul- tanément un trouble de la vue qui occupe la moitié du champ visuel
e du cerveau et tuer l'animal sans qu'on observe ni para- lysie, ni trouble visuel. 3° Le même foyer inflammatoire, déve- l
dans le lobe occipital du chien, engendre une amaurose croisée sans troubles moleurs. Tous ces phénomènes ont terminé leur p
le système vasculaire de l'encéphale. L'absence, dans l'espèce, de troubles sensitifs et moteurs montre qu'ils ne sont pas la
'ils constituent un groupe nosologique distinct. Discussion sur les troubles nerveux consécutifs au traumatisme. M. Ef8E1VL0
ppenheim, de l'élever à la dignité de symptôme de valeur. Parmi les troubles nerveux qui survivent aux traumatismes, il en e
érapie et à l'électrothérapie on est arrivé aie guérir, à.guérirdes troubles traumatiques graves et légers. M. SCHULTZE es
lément auxiliaire de l'influenza. - M. HOFFMANN. Le pronostic des troubles nerveux post-trauma- tiques n'est pas aussi fâc
ayr;r.n. Le traumatisme est simplement la cause occasion- nelle des troubles nerveux. Leur persistance tient à certaines in-
inaccoutumés. M. LEBËR. Dans les fractures du crâne, on observe des troubles nerveux avec diminution de l'acuité visuelle et
t-être celle décoloration papillaire est-elle plus tardive dans les troubles fonctionnels. Quand à différents éloigne- ments
nts. Thrombose puerpérale de quelques varices de la jambe droite; troubles de la respiration soit du fait du coeur soit de p
nesthésie complète des membres paralysés. Il se produit de nouveaux troubles respira- toires ; nouveaux infarctus pulmonaire
La cataracte survenue aussi en pareils cas doit être rattachée à un trouble fonctionnel des nerfs trophiques. Le mémoire se
n primordiale. M. A. Schmidt a noté d'autres anomalies indiquant un trouble profond dans la constitution chimique du sang c
glande thyroïde (trem- blement, hyperexcitabilité neuro-musculaire, troubles mentaux) il est ' Voir Archives de Neurologie,
i qui, après avoir extirpé les capsules surrénales, a observé des troubles de circulation de la moelle, des hémorrhagies et
nne, la vacuité des artères, la pâleur de la papille, un très léger trouble de la rétine autour de la papille et de la macu
En guise de préambule il examine comment l'association de certains troubles moteurs, sensitifs et trophiques de l'hystérie
onique 260 BIBLIOGRAPHIE. à lésions variées, caractérisée par des troubles des fonctions intel- lectuelles, sensitives et
runte son caractère spécial particulièrement en ce qui concerne les troubles intellectuels, qu'au ~ jeune âge des sujets qu'
et de l'imbécile. Dans le domaine de la sensibilité, il étudie les troubles de la vision, depuis le simple regard vague, qu
la surdité vraie et la pseudo-surdité par défaut d'attention, les troubles et perversions du goût, la voracité si fréquente
est la différence à ce point de vue wec les imbéciles, chez qui les troubles de la sensibilité « sont sous la dépendance d'u
dées, et dans-la mémoire est tel quel'auteur a pu faire du degré de trouble de cette faculté la base de sa classification.
degré de trouble de cette faculté la base de sa classification. Ce trouble se manifeste bien nettement dans les degrés div
Lorsqu'elle apprit qu'il était marié, il se manifesta chez elle des troubles cérébraux. Elle n'eut plus conscience de ses acte
n'est fait pour la traiter et la surveiller, alors qu'il s'agit de troubles intellectuels qui, par leur nature, peuvent pro
nt dit sont au nombre de cinq, savoir : 1° début dans l'enfance; 2° troubles respiratoires plus ou moins marqués; 3° inter-
disparition totale dans le chant; 5° indépendance absolue avec les troubles quelconques des organes sensitivo- moteurs. ZD
honoraire de l'Hôtel-Dieu. En 1872, il y a vingt ans, alors que les troubles nerveux du somnambulisme, loin d'être acceptés
seize ans et demi elle a pré- senté pour la première fois quelques troubles nerveux, assuré- ment de nature hystérique, bie
de douleur; Elle a depuis longtemps une légère toux nerveuse, sans troubles appréciables à l'auscultation. Sa menstruation
nt sur la nécessité du déplacement nous provoquions de nou- veaux troubles , comme il était arrivé à chaque contra- riété.
eraient assurément à des considérations intéressantes : ' Sur les troubles multiples des sensibilités et des sens; SOMNA
s et des sens; SOMNAMBULISME SPONTANÉ ET HYSTÉR IE. 303 Sur les troubles de la locomotion tantôt abolie, tantôt surexcit
depuis une trentaine d'années sur les HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 307 troubles nerveux consécutifs aux maladies aiguës. Fritz,
avec des obsessions, des impulsions, des perversions sexuelles, un trouble fonctionnel en un mot, que l'influence hérédita
a ré- tine, unnoevus, quelques tics. Chez d'autres, on trouve des troubles beaucoup plus accentués : c'est la con- tractur
nséquemment des êtres fort dangereux. ' Pour mieux comprendre les troubles fonctionnels observés dans les différents group
ditaires dégénérés à des perver- sions morales et affectives et aux troubles fonctionnels les plus étranges. L'idiot chez
arente, du moins avec nos moyens actuels d'inves- tigation, car les troubles fonctionnels que la clinique révèle sont tellem
e de déséqui- libration cérébro-spinale; chez elle, en effet, des troubles fonctionnels distincts, désignaient successive-
nts types de mémoire, des visuels, des audi- tifs, des moteurs, des troubles du langage, et font au tableau noir un schéma c
i gênantes. Elles ne s'accompagnent pas, du moins à l'ordinaire, de troubles de la circulation, de la nutrition des parties,
el est rétréci. Ces efforts exagérés amènent des souffrances et des troubles dans les mouvements des paupières et de l'oeil.
ifférents des précédents et que chez eux l'anesthésie n'est plus un trouble de la perception personnelle, mais une .suppres
ies localisées, l'indifférence des malades, puisque la maladie ne trouble que la perception consciente et laisse intacts to
es paroxysmes ; d'autres affirment n'avoir jamais vu se produire ce trouble de sécrétion à la suite des manifesta- tions co
cétique; on chauffe l'extrémité supérieure du liquide. Le moindre trouble indique sûrement la présence de l'albumine. On pe
uinze minutes au plus après le début des convulsions; la période de trouble mental ayant été extra- ordinairement courte, l
présente pas d'albuminurie, post- paroxystique. : . Deux jours de trouble mental consécutif aux accès. Une urine recueill
nt terminées depuis deux jours. La série actuelle a été précédée de troubles gastriques. Diminu- tion de l'appétit, bouche p
accès pour laisser filtrer l'albumine'mais qui finit par amener des troubles sécrétoires suffisants pour que l'albumine appa
rritable ; amblyopie double, mais surtout marquée à droite ; enfin, troubles de la mémoire. Nous arrivons maintenant à la re
ment l'état mental actuel de A... : Dépression mélancolique légère, trouble dans les idées, préoccupations un peu vagues et
de vomissements ; par l'affaiblissement rapide de la vue ; par des troubles de la mémoire ; enfin par certaines modificatio
ment lésion profonde, élémentaire, et ne se manifestant que par des troubles fonctionnels ? C'est peu probable, mais on ne d
ngs mois déjà, et caractérisé par de l'angoisse, de la terreur, des troubles de la sensibilité générale, des hallucinations
nterprétations délirantes; et si la confusion est possible pour les troubles de l'ouïe elle l'est aussi pour la vue, le goût
opi- nion. - P. KERAVAL. VIII. Contribution A la connaissance DES TROUBLES fonctionnels DE L'ÉCORCE du cerveau; par K.-O.
essortit aux centres du cerveau provoque des hal- lucinations ; les troubles de la connaissance qui, eux, sont insi- gnifian
ondaires, émanent d'irrégularités de l'innervation vasomotrice, les troubles du jugement dérivant des hallucinations sensori
jugement dérivant des hallucinations sensorielles. P. K. IX. DES TROUBLES vaso-moteurs DE la peau dans la NÉVROSE TBAU- M
sie avec aphasie optique, hémianopsie droite (Obs. I). Aucun de ces troubles n'existant dans l'observation II, il s'ensuit qu'
mètre et demi à deux centimètres; en revanche, il y a déterminé des troubles congestifs et de petiteshé- l1Jorrhagies, Il s'
nd coma; on constate les signes d'une convulsion épileptiforme, des troubles vaso-moteurs, une tem- pérature de 39°, la disp
t rompue ou a élé lancée dans le courant san- guin. P. K. XVI. UN TROUBLE DE l'innervation DE L'OESOPHAGE dû A UNE tumeur
une contusion. Quoique démente, la malade pouvait rendre compte des troubles subjectifs qu'elle ressentait; or, jusque-là el
tête, ni nausées, pas plusqu'on n'avait remar- qué chez elle aucun trouble oculaire ni des sens spéciaux, aucun signe de p
vements volontaires. Les lésions du cervelet peuvent déterminer des troubles trophiques, mais ne s'accompagnent ni de modifica
ves. Les cas de mort peuvent s'expliquer plutôt par l'asphyxie, les troubles de la circulation encéphalique, les lésions et
et les commotions des centres nerveux que par cette inhibition. Des troubles fonctionnels transitoires très marqués comme la d
ont manifestées, convulsions unilatérales croisées et localisées et trouble dans le développement des membres du côté oppos
enmeyer. Vous n'avez pas observé non plus à la suite des accès, des troubles de la motilité dans les extrémités atteintes. M
fs, relativement longs, représentés par des cris spasmodiques, avec troubles de la connaissance, tym- panite, paralysie des
quels les anomalies sensitives et sensorielles sont combinées à des troubles de la motilité; 3° Ceux où il n'y a que des tro
ombinées à des troubles de la motilité; 3° Ceux où il n'y a que des troubles fonctionnels de la motilité. (Irritabilité cons
émence, impotence fonctionnelle, tremblements ataxiques, anarthrie, troubles de la déglutition, sans accidents hémilatéraux.
uvements, et l'oblité- ration du toucher, est probablement due à un trouble du sens musculaire. L'hémiopie accompagne souve
l'espace pleural droit et le médiastin antérieur. M. DICTER. Des troubles intellectuels d'origine épileptique. Dan la Sil
pris d'une attaque d'épilepsie et présentait, consécutivement, des troubles intellectuels. Le mé- decin de la prison le ten
nations de la vue et de l'ouïe survenues la nuit, se montrèrent les troubles intel- lectuels ; ils disparurent après la supp
un rapport avec la présence ou l'ab- sence de l'arthropathie et des troubles de la sensibilité. Il n'y a qu'une modification
atifs. Dans les signes présents, ce qui frappe d'abord, ce sont les troubles de l'intelligence, puis ceux qu'accuse le malade,
de l'intelligence, puis ceux qu'accuse le malade, c'est-à- dire les troubles de la sensibilité. Viennent ensuite ceux constaté
ous consti- tuent les signes directs. L'étude des signes indirects, troubles tro- phiques. signes généraux et anttliropologi
rés aux sommeils pathologiques, à l'asymbolie qui comprend tous les troubles du langage, et où l'aphasie est pré- sentée sou
i sont toutes originales ne se bor- nent pas à représenter certains troubles objectifs ou à certains schémas, mais encore ce
e, par Borgherini, 404 ; par Alzheimer, 426. Bains turcs dans les troubles men- taux, par Baker, 234. Banquet à M. le pr
tscli, 256; - capillaires lymphatiques du -, par Kronthal, 39f; troubles fonctionnels de l'écorce du , par Dees, 399; -h
ussana, 235; - bromure de potassium dans 1 ? par Agostini, 235; - troubles in- tellectuels de l ? par DII1 ! er, 138. Ep
127; - concours des -, 132. Mérycisme, par Roller, 433. Moelle, troubles trophiques dans les maladies de la -, par Jolly
r Quénu et Lejars, 1. Neurasthénie, par Kowalewski, 111. NÉVRITE, troubles trophiques des ongles dans la- multi-loculaire,
nza, par Brosset, 108. NÉVROSESTRAUMATIQUES,parSchultze, 238; - troubles trophiques de la peau dans la-, par Krieger, 39
e, embolie de l'artère centrale de la par Manz, 251. Sensibilité, troubles de la dans les foyers cérébraux, par Darksche-
iques, par Charcot, 69. Tumeurs- cérébrales, par Oppen- heim, 98; troubles de l'inner- vation de l'oesophage dus à une ,
43 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
st constant que Leyden en attribuant l'ataxie, dans le tabes, à des troubles de la sensibilité, entra dans la voie de la vérit
) ; 4. Après Chartes Bell, Longet, Claude Bernard, l'importance des troubles de la sensibilité sur la inutilité avait été dé
ssaire à la coordination normale des mouvements ; 5. La gravité des troubles de l'ataxie est, dans le tabès, en rapport avec
rver l'équilibre, tombe ou menace de tomber, il existe toujours des troubles manifestes de la sensibilité articulaire. Ainsi
ressions de l'ouïe y ont quelque influence. Quoi qu'il en soit, les troubles de la sensibilité ne manquent jamais dans l'ata
ncapables de fonctionner. » Il estime que l'ataxie est l'effet d'un trouble dans la tension musculaire réflexe. D'accord av
on musculaire réflexe. D'accord avec Tschirjew, il a insisté sur le trouble de la tension réflexe des antagonistes. Contrai
efois, pendant que l'extrémité gauche exécutait ses mouvements sans trouble apparent, il en était autrement de l'extrémité
racines de moins que le précédent. En outre, ce singe présentait un trouble de coordination des mouvements des doigts pour
e manifestement Sous les désignations variées de compensation des troubles , de restitution de fonctions, de suppléance d'une
xpressions, on entend autre chose qu'une dimi- nution partielle des troubles de la motilité. Avec Munk et Mering, nous devon
ou de restitution complète de ces fonctions, d'une disparition des troubles de coordination après la section des racines po
ultats d'un travail de Laehr2. - Laehr a montré, par l'examen des troubles de la sensibilité de soixante tabétiques, qu'il
t en haut, partant aux bras, soit en bas, et déterminer ainsi des troubles de sensibilité dans les jambes. Quoique'ces hypes
la. symptomatologie clinique. Dans la plupart des cas de tabes, les troubles de localisation des sensations et les altératio
a moelle lombaire, il n'existe, en dépit d'une ataxie prononcée, de troubles du sens musculaire, de la sensibilité à la doul
phénomène de nom- berg, l'ataxie des extrémités inférieures et des troubles du sens musculaire . Or, pour que le réflexe
eté, la coordination exacte des mouvements subit le contre-coup des troubles de ces fonctions : l'ataxie en résulte, l'ataxi
es mouvements des articulations du pied et du genou, accompagnée de troubles très peu accusés de la sensibilité, intéressant
ise. Nous rapporterons à la disparition de ces dernières fibres les troubles de régulation inconsciente, réflexe, de la moti
ité d'Exner et les résultats des expériences d'IIering touchant les troubles de la motilité consécutifs à la section des rac
cutifs à la section des racines postérieures. Lui- même signale les troubles si graves de la motilité qu'on observe aux stad
ême dans des cas d'ataxie grave, on ne constate quelquefois que des troubles relativement légers du sens muscu- laire. Plus
dans leurs segments périphériques, que se manifestent les premiers troubles . Redlich a confirmé le fait qu'une dégénération
. Aussi, parmi les symptômes du tabes, le phénomène de Romberg, les troubles manifestes de la démarche, paraissent devoir êt
leux accompagne nettement la forme spinale de cette affection; les troubles du sens musculaire n'y sont point rares non plus.
la section des nerfs mixtes elle-même peut ne pas déterminer des troubles de la sensibilité, ou ces troubles peuvent dispar
-même peut ne pas déterminer des troubles de la sensibilité, ou ces troubles peuvent disparaître bientôt. Il doit donc exist
er beaucoup au tabes, il existe une ataxie prononcée accompagnée de troubles d'ailleurs relativement faibles de la sensibili
utané conservent encore un nombre suffisant de fibres saines, aucun trouble considérable de ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLO
compensations fonctionnelles de la sensibilité cutanée. Pour que le trouble de la sensibilité devienne manifeste, il faut q
nèrent, et d'une façon très grave. Dans quel ordre se succèdent les troubles de la sensibilité dans le tabès et quelle inter
rdinaire apparaissent d'abord les sensations de dou- leur, puis les troubles de localisation des sensations ; en même temps,
que nous percevons comme sen- sation de douleur. De même pour les troubles de localisation de la sensibilité tactile : les
dans le tabes, que les altérations de la sensibilité cutanée. Des troubles de cette nature pourraient-ils aussi s'observer,
e 40° les six derniers. Il y a eu au début du traitement quel- ques troubles qu'on a évités en mouillant la tête avec de l'eau
par télégramme ou autre- ment, qu'un individu vient d'être pris de troubles intellectuels (manie aiguë, tentative de suicid
igus, peu importe : toutes ces psy- choses sont en rapport avec des troubles plus ou moins graves de - la nutrition de l'éco
ions motrices. Il favorise le som- meil ; il diminue l'activité des troubles hallucinatoires en restrei- gnant les causes pr
an- coliques, comme elles excitent les maniaques, ou activent les troubles sensoriels des hallucinés, toutes ces influences
eux qui un an au moins après leur sortie n'ont donné aucun signe de trouble mental et ont repris à la fois leur place dans
a dose du matin. Au bout de ce temps elle est prise de malaises, de troubles gastriques et l'urine prend une teinte violet f
lement commencé avant l'accident, et était la cause de cer- · tains troubles mentaux observés avant le traumatisme ; celui-ci
ug- mentation de la pression de la liqueur cérébro-spinale et les troubles circulatoires et nutritifs qui en résultent, l'al
l a été complètement paralysé de tout le côté droit et présente des troubles d'aphasie qui ont duré plusieurs semaines. Aupa
hémiplégique du côté droit. Cette hémiplégie ne s'accompagne pas de troubles sensitifs, de perte, du sens stéréo- gnostique.
e ramollisse- ment hémorragique : lésion qui est la conséquence des troubles circulatoires réalisés' par les agents toxiques
debout. Pas de phénomène du pied. Exagération du réflexe rotulien. Troubles du sphincter vésical, incontinence d'urines. L'
leurs persistantes, de contractions fibrillaires, la stabilité des troubles trophiques, anesthésiques et moteurs, l'intégrité
'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE. Séance du mardi, 20 novembre 1900. Troubles psychiques en rapport nvec la compression cérébra
; rôle des vaso-moteurs. M. RECrrAtrLT. Cène sont pas seulement les troubles variés de l'hys- térie qui peuvent être guéris
urdes, c'est- à-dire par la suggestion; ce sont aussi de véritables troubles orga- niques, témoin l'observation détaillée qu
des ver- rues, un sycosis, des plaies cancéreuses, etc. L'étude des troubles vaso-moteurs donne la clef de ces succès thérap
ncer, il ne s'a- gissait pas de cancer véritable, mais cependant de troubles mani- festes dont la suggestion a triomphé. Cel
lité mentale native et même de l'imbécillité que se développent les troubles intellectuels des jumeaux. L'apparition prématu
troubles intellectuels des jumeaux. L'apparition prématurée de ces troubles intellectuels, leur polymorphisme, leur évoluti
. La mère, d'apparence à peu près normale, se plaint cependant de troubles névropathiques. Son père, alcoolique, est mort de
188 : i, âgée par con- séquent de près de vingt ans. Peu à peu les troubles mentaux de la dix-septième année avaient fait d
b. Prudence G... a été admise d'office le 10 avril 1891, mais le trouble mental remonte à plus de six ans, ayant débuté à
bservation, de deux débiles présentant à peu près en même temps des troubles intellec- tuels spontanés qui sont comme le sig
s qui sont comme le signal de la faillite de leur intelligence. Ces troubles , qui consistent d'abord en une per- version de
s par les membres de leur famille comme des faibles d'esprit. Les troubles intellectuels ont commencé à apparaître chez les
ervice militaire. Depuis l'âge de vingt ans, il donne des signes de trouble mental. On ne pouvait s'aider de lui. 11 ne son
ta l'atrophie et la pigmentation de ces cellules ainsi que l'aspect trouble ou sombre de leur protoplasma 3. Stroebe, avec le
t plus prudents. En fait, on admet que la chromatolyse indique un trouble de la vitalité de l'élément nerveux. On doit donc
principe qui parait devoir être toujours mieux établi que, dans les troubles des cellules nerveuses résultant d'une dimi- nu
e plus périphérique du neurone. Ce n'est qu'avec les progrès de ces troubles que, de la périphérie, les altérations structur
o- lution de la substance chromatique est un indice anatomique du trouble .de la vitalité de la cellule». Que faut-il penser
altération des granula est pour nous une expression anatomique d'un trouble anatomique intracellulaire plus ou moins aigu q
IOLOGIE PATHOLOGIQUES DU TABES. 123 avec la nature ou le degré d'un trouble quelconque de 121olililé. » Peut-être pourrait-
tabes, inégalité et rigidité pupillaires, atrophie du nerf optique, troubles de sensibilité sous forme de douleurs, de pares
sthésies et 'd'anesthésies, ataxie, perle des réflexes tendineux et troubles vésicaux; 2" symptômes étrangers à la symptomat
est atteint presque aussi fréquemment que celui de la vision ; les troubles sont souvent précoces et se montrent, comme ceu
abétique, comme il y a une névrite optique tabétique. » Outre les troubles variés relevant des sphères visuelles et audi-
Archives de Neu- rologie, 1897, III, 2° série, : ! 1>i-281 : Des troubles du goût et de l'odorat dans le tabès, et les te
ns d'hyperthermie passagère avec péritonisme et coïncidant avec des troubles menstruels. L'hyperthermie semble due à l'irrit
és, les névrites paludéennes semblent caractérisées d'abord par des troubles moteurs de la sensibilité, puis par des trouble
es d'abord par des troubles moteurs de la sensibilité, puis par des troubles avec faiblesse dans les membres aboutissant pro
ssivement à une paralysie plus ou moins complète des mem- bres. Les troubles trophiques ne manquent presque jamais, sur- tou
es nerfs intéressés serait plutôt spéciale à cette affection. Les troubles surviennent à des périodes diverses de l'infectio
tion à la dissociation fasciculaire ou hersage des ' nerfs dans les troubles angio-neurotrophiques ; par le Dr de . 13UCK, (
urnes. La peau elle-même n'était pas modifiée, mais il existait des troubles trophiques des ongles. Tous ces accidents ont d
de cette lipomatose par métaplasie, l'auteur la considère comme un trouble ueurolrophique dont la cause pre- mière nous éc
ation des réflexes tendineux et du réflexe cutané plantaire; 3° des troubles vasomoteurs et trophiques ; 4° des douleurs ful
uleurs fulgurantes spontanées, exagérées par les mou- vements, sans troubles de la sensibilité objective; 5° de légers trou-
leurs malades en trois groupes : Premier groupe. Malades ayant des troubles de la sensibilité tactile et douloureuse (ou de
ndance de la sensibilité pilaire. Deuxième groupe '. Coexistence de troubles de la sensi- bilité tactile, douloureuse, pilai
nsibilité aux mêmes régions. Deux observations de tabès dorsal; les troubles de la sensibilité cutanée étaient surtout marqués
e des mêmes snrfaces. était privée de la sensibilité pilaire. B Les troubles de la sensiblililé douloureuse et tactile n'occ
té du système pileux, ou plutôt, les sarfaces cutanées affectées de troubles de la sensibilité douloureuse et tactile ne coï
l, myélite par compression, névrite. Les figures de répartition des troubles de chaque espèce de sensibilité sont particuliè
ticulièrement intéressantes. Troisième groupe : Malades affectés de troubles de la sensibilité du système pileux sans alté-
spinale spasmodique, la poliomyélite antérieure. Locali- sation du trouble sensitif également curieuse. Les auteurs y joig
de sclérose en plaques clas- sique (2 h. et 1 f.) indemnes de tout trouble de la sensibilité du système pileux. P. Keraval
ieures. Le pro- nostic des paralysies radiculaires, l'existence des troubles d'anes- tliésie radiculaire, la persistance des
stence des troubles d'anes- tliésie radiculaire, la persistance des troubles de la .sensibilité dépendent du traumatisme qui
A la suite de ces accès ou de ces étals de mal elles présentent des troubles moteurs et intellectuels pro- noncés, mais pass
roubles moteurs et intellectuels pro- noncés, mais passagers. Les troubles moteurs consistent en paralysies partielles (mono
ique, et diffère de l'apoplexie vraie entre autres par l'absence de troubles circulatoires, respiratoires ou thermiques. 3
nairement des particularités caractéristiques. 7. La diminution des troubles paralytiques se fait d'une manière régulière :
estes des mitres sens supérieurs. VIII. - L'ÉTAT PSYCHIQUE. IX. Troubles circulatoires thermiques. X. D6CUD11US acutus.
lement présenter une certaine valeur séméiologique, se rapporte aux troubles de la vue que l'on observe dans l'hystérie et d
nclure, que ce symptôme de relation divise la série tout entière de troubles visuels dans les maladies du système nerveux en
ceux-là, admettent avec moi que ce signe est caracté- ristique d'un trouble dans le système pyramidal et qu'il n'appar- tie
s succès par la résection bilatérale du grand sympathique cervical. Troubles de pigmentation cutanée. Infiltration pachydcrm
mbes. Abolition des réflexes rotuliens; signe d'Argyll- Ilobertson; troubles de la sensibilité; douleurs fulgurantes; crises
ne portait que sur la jambe droite. Deux cas de Paralysie alterne. Troubles de la sensibilité; par Cn. 11lIRALLlÉ (de Nante
millements. Dix-huit mois après l'attaque, le ptosis a disparu; les troubles de la sensibilité persistent exactement comme a
fatigue de l'oeil dans la position en dehors de l'oeil gauche; les troubles de motilité des membres droits ont disparu, sauf
embres droits ont disparu, sauf un léger degré de spasmodicité; les troubles sensitifs persistent, mais atténués. Pu cas d
n jeune garçon de seize ans, atteint de paraplégie spasmodique avec troubles de la sensibilité dans' les membres inférieurs
et intensité, et diminution transitoire de la sensibilité tactile), troubles des sphincters et déformation considérable du t
s auteurs qui ont écrit sur la neurasthénie sont très brefs sur les troubles respiratoires de cette névrose. A peine signalent
une circons- tance passagère et de minime importance met en jeu un trouble respiratoire purement névropathique qui sera pr
influence du traitement moral et qui ne conservait à la fin que des troubles de la sensibilité géné- rale. Il admettait d'ai
e un mode spécial d'évolution de certains cas de mélancolie, où les troubles profonds de la cénesthésie conduisent naturelle
mme ils en présentent d'autres et non pas des anxieux chroniques. Troubles du langage dans la paralysie générale. M. DIDE
gnait de paralexie, de perte de la compréhension des mots lus et de troubles de l'écriture. L'état maniaque s'amenda rapidem
e à divers points de vue : 1° La nature de la cause déterminant les troubles observés est exceptionnelle. 2° Les cas de su
me de déchéance et diminuent sa résistance. De même, que les divers troubles mo- teurs, sensitifs, circulatoires, provoqués
fs, circulatoires, provoqués par les causes ci-dessus énoncées, les troubles sudoraux présentent les distributions et les lo
t d'inhibition ou de dynamogénie. S'agit-il d'une hyperhidrose ? Ce trouble est en rapport soit avec l'excitation du centre
, pas d'exagération des réflexes rotuliens. On ne constate pas de troubles trophiques à la jambe jadis atteinte, sauf au n
s vive à la jambe gauche, surtout en marchant. Il n'existe pas de troubles des sphincters. Il n'y en aurait jamais eu, mêm
e malade parle avec une certaine volubilité, mais ne présente aucun trouble de la parole. Le sujet ne parle que le breton. Il
e de la parole. Le sujet ne parle que le breton. Il n'existe pas de troubles sensoriels : la vue est très bonne, il n'y a ni
peu plus relevée que la plante du pied droit. Il n'y a pas d'autres troubles trophiques apparents, ni des poils, ni de la pe
poils, ni de la peau, ni des ongles. Sensibilité. 11 n'y a pas de troubles de la sensibilité objective au tact, à la piqûr
la piqûre, ni de la sensibilité thermique. Il n'y a pas non plus de troubles de la sensibilité subjective. Le sujet se plaint
s de mouvements intentionnels des muscles des membres supérieurs. Troubles sensoriels. Pas de nystagmus. Pupilles égales, ré
. fond d'oeil normal. En somme, examen purement négatif. » Pas de, troubles de l'odorat ni de l'ouïe. Troubles vaso-moteurs
men purement négatif. » Pas de,troubles de l'odorat ni de l'ouïe. Troubles vaso-moteurs. - Pas d'oedème des jambes. Pas de t
lante. L'appétit est excellent, les digestions se font bien. Pas de troubles des réservoirs ni des sphinc- ters. Pas de trou
nt bien. Pas de troubles des réservoirs ni des sphinc- ters. Pas de trouble de la sensibilité au niveau du périnée. Le coeur
a pas de signe de nervo- sisme ou de neurasthénie. 11 n'y a pas-de troubles de la parole. Obseuvation III. G ? Jean-Marie,
beaucoup' mieux. Jamais, pendant tout ce temps, il n'a présenté de troubles des sphincters. ' ' - Etat actuel. Note clini
s de clonus. Il 'existait du. signe de Hombergr Il n'y avait pas de troubles de la sensibilité, pas de troubles sphinctériens,
de Hombergr Il n'y avait pas de troubles de la sensibilité, pas de troubles sphinctériens, pas de- nystagmus. Les membres s
lorsqu'il reste debout sans marcher. Sensibilité objective. Pas de troubles de la sensibilité au tact ni à la piqûre. Pas d
e. Pas de troubles de la sensibilité au tact ni à la piqûre. Pas de troubles de thermesthésie. Le malade éprouverait des dou
tération de la peau ni de ses annexes : poils, glandes, etc. Pas de troubles vaso-moteurs. Le sujet n'accuse qu'une fatigue
anc et les couleurs. Pas de scotome central ». Il n'existe pas de troubles auditifs, pas de troubles de l'odorat, pas de t
e scotome central ». Il n'existe pas de troubles auditifs, pas de troubles de l'odorat, pas de troubles du goût. Il n'y a
xiste pas de troubles auditifs, pas de troubles de l'odorat, pas de troubles du goût. Il n'y a pas de troubles des sphincters.
s de troubles de l'odorat, pas de troubles du goût. Il n'y a pas de troubles des sphincters. Le sujet a eu il y a quatre sem
spasmodique avec exagé- ration des réflexes et clonus du pied sans troubles de la sensibilité ni des sphincters (Lorrain).
a première. La sensibilité restait normale. On ne constatait pas de troubles des sphincters. Les accès pouvaient être incomp
,' le troi- sième jour, d'une paralysie, de- tout# le- corps,- sans troubles de la parole et avec conservation de la conscie
e reparaît pas ; il subsiste de la sécheresse de la gorge, un léger trouble de la vue, quelquefois, et un peu de mal de têt
n de cette tumeur : vers le dixième jour de la naissance quelques troubles musculaires apparurent, et la vitalité de l'enfan
248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'élévation de la température, de troubles gastro-intestinaux, d'anarsaque généralisée et
e, le tout aboutissant au tableau de la névrite sans fièvre et sans troubles généraux. Enfin la mala- die peut débuter par d
ablement dues à des complications. Presque toujours on constate des troubles digestifs, qui mas- quent momentanément la névr
aissent en même temps que REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 249 les troubles de la sensibilité ou très peu après, sont la raid
hie on constatait la réac- tion électrique de dégénérescence. Les troubles vaso-moteurs et trophiques, sauf l'oedème des r
nt les altérations de dégénérescence que déterminent communément le trouble de l'innervation mus- culaire. R. DE MUSGRAVE
hénie : la céphalalgie, l'inaptitude au travail intel- lectuel, les troubles de la digestion, l'irritabilité nerveuse et le
me ou crampe; l'incoordination du groupe musculaire malade ; et des troubles vaso-moteurs et sensoriels. L'analogie est comp
nage sont peut-être les causes déterminantes les plus communes. Les troubles digestifs, surtout la constipation, précipitent
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'éclairer : on l'a considérée comme- un trouble vaso-moteur, comme une affection névralgique, c
rticulaires et osseuses, ayant vraisemblable- ment pour origine des troubles trophiques : ces altérations s'ac- compagnent o
rches expéri- mentales sur la rage; de Martines, Recherches sur les troubles du goût et de l'odorat dans les paralysies géné
ages. Berlin, 1900. Verlag von S. Iiurger. ' Mignot (R.). Élude des troubles pupillaires dans quelques maladies mentales. In
nçu : « Est atteint de sclérose cérébro-spinale, qu'il présente des troubles marqués et incurables des facultés cérébrales e
fois et avec une extrême faci- lité. [Son père, soixante ans, sans troubles névropathiques, fai- sait des excès de boissons
ni balancements, ni cognements de tête, ni grincements de dents, ni troubles vaso-moteurs. Le palais est creux et étroit. La
i semble dominer chez elle, ce sont des accidents hystériques, avec troubles intellectuels. Rappelons qu'une soeur du malade
ienne lésion spécifique. Ni diar- rhée, ni constipation. n Pas de troubles de la sensibilité sauf peut-être un peu d'hyperes
iomusculaires des biceps. Membres inférieurs normaux sans oedème ni troubles trophi- ques. Sphincters continents, constipati
; 2° des nausées; 3° de la. raideur de la nuque ; 4° l'existence du trouble vaso-moteur connu sous le nom de raie 2 ? 1é)li
édoncule cérébral 96 - CLINIQUE NERVEUSE. - '0 ! < (parésie et troubles de la sensibilité à gauche), le tri- jumeau et
che des phénomènes : la parésie faisant place à la paralysie, les troubles pupillaires faisant leur apparition à droite, la
mpagne d'autres pares- Lliésies, ou bien de douleurs, et souvent de troubles vaso-moteurs ; dans l'autre forme, oupsychro-es
Ii. 111.-C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIX. Recherches sur les troubles du goût et de l'odorat dans la paralysie généra
i 15 fois, sur le point de devenir nul 2 fois et intact 3 fois. Les troubles de la gestation sont plus rares; cependant la p
nter des variétés très différentes de maladies mentales ou d'autres troubles nerveux. Une forme de folie déterminé chez un m
d'une part par un degré variable de démence, et de l'autre par des troubles fonctionnels généralisés; ces troubles por- tan
mence, et de l'autre par des troubles fonctionnels généralisés; ces troubles por- tant sur des viscères qui fournissent la b
gard du poison alcoolique une susceptibilité particulière, et leurs troubles jouent un rôle très important dans la productio
sur sa nature, mais il est très vraisemblable qu'elle résulte d'un trouble de la circula- tion. Aucun signe ne plaide en f
faveur d'un néoplasme. Ce qui fait l'intérêt de ce cas, ce sont les troubles de motilité qu'on observe dans les membres et q
Séance du mardi 19 février 1901. Présidence. de M. Jules Voisin. Troubles psychiques en l'apport avec le vaginisme. M. AR
Esquirol. beaucoup trop compréhensif, puisqu'il renfermait tous les troubles psychiques, tous les délires partiels accompagn
pathogénie des faits où la lésion mentale semble seule en cause. Ce trouble morbide, uniquement psychique en apparence, n'e
mélancoliques,de signes physiques dont les plus importants sont les troubles pupillaires et l'hypotension artérielle ; signes
2 avril. Al'autopsie, dure-mère adhé- rente, liquide cérébro-spinal trouble contenant des lilaires à l'état larvaire vivant
ar ce centre, contrairement à ce qu'on eût pu prévoir a priori. Les troubles qu'on voit survenir dans ces conditions revêten
s techniques. Une circonstance me rend perplexe, la voici : - Les troubles sensitivo-moleurs, qu'on observe à la suite de
avec profit se reporter au mémoire intégral. il. M. C. XLIX. Des troubles moteurs à évolution aiguë, à forme d'ataxie cér
psichiutnü, III, 1898.) Trois observations. Hyperémie des méninges troubles , par pla- ces, hyperémie de la snbstance blanch
ion, ils subissent la dégénéres- cence secondairement, par suite du trouble de la nutrition, de l'augmentation de la pressi
res nerveuses, et à la leucocytose des cellules. P. 11ERAVaL. LU. Troubles de l'équilibre consécutifs à une tumeur de la rég
N.-A. Wyroubow. (0&oz ! 'eH : psi- chiatrii, III, 1898.) Les troubles de l'équilibre dépendaient, en l'espèce, de la lé
zote augmente; peut-être aussi celle du phosphore et du chlore. Les troubles graves, nerveux ou digestifs, indiquent plutôt
ore. Les troubles graves, nerveux ou digestifs, indiquent plutôt un trouble fonctionnel qu'une véritable altération anatomi
ce une action spéciale sur la fonction de la glande. L. D. LVIII. Troubles trophiques et troubles de la sensibilité chez les
e sur la fonction de la glande. L. D. LVIII. Troubles trophiques et troubles de la sensibilité chez les hémiplégiques; par C
hémiplégiques; par Ciiatin. (Bévue de médecine, octobre 1900). Les troubles trophiques doivent-ils faire supposer l'existence
travaux on tendrait plutôt à rejeter cette idée et à attribuer les troubles trophiques à un défaut d'équilibre réflexe sens
es trophiques à un défaut d'équilibre réflexe sensitivo-moteur. Des troubles moteurs seuls peuvent s'ac- compagner de dystro
eurones, sensitif et moteur, comme la syringomyélie, présentent des troubles trophiques plus accentués ; la paralysie infant
auteur apporte 19 observations d'hémiplégiques. 11 présentant t des troubles trophiques avaient en même temps des troubles n
. 11 présentant t des troubles trophiques avaient en même temps des troubles notables de la sensibilité. La sensibilité étai
e très peu atteinte chez les huit autres qui ne présentaient pas de troubles trophiques. , M. HAMEL. LIX. Sur l'inhibition
rysme développé lentement chez un ancien syphilitique a produit des troubles qui ont pu être suivis pendant plusieurs années
vestiges avec angoisse cardiaque, démarche titubante, agraphie sans troubles notables des facultés intellec- tuelles. Deux
s causer d'autres accidents que ceux dus à la compression ; aucun trouble viscéral ; pas de modifications de l'état général
tre l'existence d'un tabès trophique, tout en reconnaissant que des troubles sensitifs viennent le plus souvent se joindre a
que des troubles sensitifs viennent le plus souvent se joindre aux troubles de nutrition, comme Brissaud le premier en a fa
penser que ce centre, étant données les associations fréquentes de troubles sensitifs aux troubles tro- phiques, se trouve
étant données les associations fréquentes de troubles sensitifs aux troubles tro- phiques, se trouve dans un territoire médu
elles, l'auteur croit pouvoir établir les catégories suivantes : 1° troubles nerveux ne rentrant pas dans le cadre de la pol
le de tracer l'histoire clinique de cette affection : apparition de troubles nerveux à la période secon- daire variant de un
t réclusion des syphilides secondaires ; installation rapide de ces troubles selon la forme sensitivo-motrice aiguë ou la fo
; évolution selon la'forme ascendante lente ou disséminée ; pas de troubles intellectuels ; pronostic favorable à moins de
aralysie médullaire' chez des nouveaux nés syphilitiques sans aucun trouble cérébral. Il y avait paralysie des membres supé
ralysie des membres supérieurs et quelquefois des infé- rieurs. Les troubles moteurs des membres supérieurs étaient variable
sence de syphilis hérédi- taire, le début au même âge, l'absence de troubles antérieurs, 'indépendance de toute influence ex
très favorables. , - Observation III. Veuve de cinquante-cinq ans, troubles nerveux depuis quatre ou cinq ans, a fait un us
es se rapportent à la sensibilité générale, à la nutri- tion et aux troubles des diverses sensibilités spéciales. Si les thé
nt un signe très précoce et toujours un signe constant. Beaucoup de troubles trophiques peuvent être aussi des signes très p
ènes plus rares du tabès au début, il faut encore mentionner divers troubles viscéraux : gastralgie ou entéralgie paroxystiq
es d'une sen- sation douloureuse dans le bassin et l'abdomen. Les troubles nerveux, consistant dans de la dépression mentale
mieux vaudrait se souvenir que le malade est surtout atteint d'un trouble nerveux qui se manifeste par un besoin constant o
a variabilité conduisent naturellement à penser qu'il s'agit d'un trouble fonctionnel et non organique. L'auteur examine et
caractéristique, et la maladie se prête à la définition : c'est un trouble du système nerveux caractérisé par des symptôme
ot dans son sens générique, est intimement associée à des formes de troubles mentaux que nous rencontrons quotidiennement, e
arquera encore que la malade avait 35 ans au moment où les premiers troubles mentaux se sont manifestés alors qu'ils apparai
rer avant de prendre ou de conseiller une détermination : nature du trouble mental, antécédents dans les deux familles, et
aucoup de .ceux qui s'ôtent volontaire- ment la vie sont en état de trouble mental : d'ailleurs la'plupart des causes qui p
u'elles accompagnent le plus communément; elles sont la marque d'un trouble mentalpro- .fond : sur les quatre-vingt-quinze
l'ouvrier, il faut que celui-ci soit attiré vers le médecin par des troubles quelconques. Or, dans les névrites alcooliques
es. Or, dans les névrites alcooliques et arsenicales, il existe des troubles précoces de la sensibilité. Secrétaires des s
et et soumis à la douche électrique. ' La constatation exacte des troubles de sensibilité dans l'hystérie. M. Paul Joire (
major du régiment et par le capitaine commandant sa batterie les troubles psychopathiques que présentait L... depuis son
ncore discutée, et je me borne à dire qu'il serait étrange que ce trouble trophique seul ne put se produire dans la maladie
lité de la même cause adjuvante que pour la fracture spontanée : lé trouble de nutrition. THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. Hém
fet, aucun critérium, surtout à l'égard des buveurs modérés ; les troubles digestifs ou nerveux qui sont fréquents chez les
lytiformes avec steppage, quatre enfin ne présentaient plus que des troubles mentaux divers. Sur neuf cas négatifs, trois fo
ptôme prémonitoire, tout au plus un peu de mal de tête ou de légers troubles gastriques; mais le plus souvent la mort survie
du traitement; 16" Les préparations thy- roïdiennes provoquent des troubles digestifs, que l'on réussit ordi- nairement à é
l n'a jamais eu d'accidents sérieux, tels que hémato-porphyninurie, troubles gastro-intesti- naux, éruptions cutanées, dépre
n des grandes villes sait, par expérience' qu'une grande partie des troubles fonctionnels du système nerveux de la grosse ar
ose de six classes. On y reçoit, avant tout, les élèves, ndemnes de troubles visuels et auditifs, qui dans les écoles com- R
e d'autres hallucinations complexes et que, comme tous les autres troubles sensoriels elles sont sujettes à des rémissions e
la malade urine sous elle et se mord la langue ; ils sont suivis de troubles somatiques et psychiques, tels que : hémiparésie
e entre les tempes, par un engourdissement de tout le corps, par un trouble vague de la respiration et des tiraillements de
e a une interprétation souvent délicate. Il en est de même pour les troubles de l'instinct sexuel, pour les actes irrésistib
\I ? 11L.. et 11 ? T... vont voir leur soeur M1110 C... atteinte de troubles mentaux, Pendant toute une semaine elles soigne
manifestent chez elle. Le huitième jour Mme T... dont la raison se trouble est emmenée par son mari. Les deux malades ont
guéri chez elle avait souffert de céphalalgies périodiques et de troubles gastriques. Elle n'avait pas d'enfants; 6° les tr
us tard les attaques apoplec- tiformes, laissèrent à leur suite des troubles paralytiques passa- gers (hémiplégie à gauche).
s intellectuelles, hésitation de la parole, inégalité pupillaire et troubles delà réflec- tivité pour ne parler que de ses p
'opinion que certaines formes de la maladie du doute tiennent à des troubles de la mémoire : quelques douteurs croient n'avo
cette discontinuité n'est pas un fait primitif : elle résulte d'un trouble momentané de la conscience. On peut alors se de
même façon dans la crise obsédante : elle est fiéquemment due à des troubles de mémoire, non primitifs, mais secondaires ten
résultats habituels, malgré ses essais répétés. En avril 1900. des troubles mentaux deviennent manifestes. La malade exprim
surde. Les signes physiques de paralysie générale consistent' en un trouble d'ailleurs léner, de la parole, de troubles pup
nérale consistent' en un trouble d'ailleurs léner, de la parole, de troubles pupillaires,' de l'exagé- ration des réflexes.
nnaissance d'une hérédité plus ou moins chargée, qu'elle ait eu des troubles psychiques. Un paralytique général peut se prés
étrorrhagies, actuelle- ment il y a des épistaxis ; il n'y a pas de troubles thyroïdiens. Ce cas vient donc compléter les de
clinique de ce malade. Il existe bien un syndrome consistant en des troubles de moti- lité qui occupent un côté du corps, qu
j'ai combattu l'hypothèse qui avait été émise d'après laquelle les troubles oculaires dont il est atteint devraient être cons
ent seulement qu'il s'agit non d'une affection organique, mais d'un trouble fonctionnel qu'il tend à rattacher à l'hystérie e
rait parfaitement avec l'ictus, l'affaiblissement intellectuel, les troubles de motihf.e, l'em- barras de la parole, je le r
iés des yeux qui ont été publiées jusqu'à ce jour. Le critérium des troubles hystériques consiste en ce qu'ils sont suscepti
rprétation de ce phénomène, d'après MM. Marie et Guillain, tous les troubles nerveux observés chez ce malade sont de nature
gomyélie, ni dans les autres affections médullaires serait due à un trouble de l'innervation du coeur; trouble d'origine sy
ions médullaires serait due à un trouble de l'innervation du coeur; trouble d'origine sympathique. Dans deux cas de maladie
mblement est donc congétinal mais non héréditaire. Myopathie avec troubles faciaux particuliers. AI. P. nhme présente un m
un certain zézaiement. Le ptosis date de l'enfance, tandis que les troubles masticateurs remontent à trois ou quatre ans. D
, encore les uns n'avaient- ils que le ptosis et les autres que les troubles masticateurs. Pour éviter toute confusion, M. M
es derniers jours où se sont manifestés de la dyplopie et de légers troubles pupillaires. 11 est aboli aussi chez une femme qu
Babinski. Celle-ci a eu des crises de douleurs à l'es- tomac et des troubles nerveux qui l'ont d'abord fait prendre pour une
fait prendre pour une hystérique, mais qui présente aussi de légers troubles pupil- laires. C'est donc une tabétique au débu
lytiques. Si l'on trouve en effet noté, de ci de là, l'existence de troubles pupillaires chez d'autres aliénés, il n'a pas é
l'hypothèse du retentissement, sur les mouvements de l'iris, des troubles fonctionnels de l'écorce. Il résume ensuite les n
bres pupillaires. Dans le chapitre suivant, Minot décrit les divers troubles pupillaires (inégalité, troubles des réflexes,
suivant, Minot décrit les divers troubles pupillaires (inégalité, troubles des réflexes, déformations, réaction paradoxale,
la physiologie pathologique, et insiste sur ce point, qu'à côté des troubles , résultant d'altérations manifestes des centres e
rations manifestes des centres et fibres pupillaires, il existe des troubles , considérés comme fonc- tionnels, signalés dans
uses dont ils dé- pendent. Vient ensuite une revue historique des troubles pupillaires dans la paralysie générale. En comp
2,1 p. 100 des cas. Seuls, Verga et Casliglioni considèrent que les troubles pupillaires ne sont spéciaux à aucune forme d'a
t des altérations dans 74 p. 100 des cas. 1 Vignot a constaté des troubles pupillaires chez les déments organiques, les dé
0 p. 100) ; en outre, il constate au=si l'inégalité (32 p. 100) des troubles du réflexe à la lumière (G2 p. 100), du réflexe
ations (2 p. 100). Ce qui dans la plupart' des cas, caractérise ces troubles , c'est leur inconstance et leur variabilité; de
Mignot trouve avec une grande 622 ) BIBLIOGRAPHIE. fréquence des troubles pupillaires et, surtout, l'altération du réflexe
es cas. Ici encore, il signale une variabilité très grande dans les troubles des réactions : par exemple, dans une observati
d'un jour à l'autre. Dans ce chapitre, l'auteur démontre que les troubles variables qu'il observe ne peuvent, être attribué
nt également dans toutes les formes morbides, mais, tandis que le trouble observé est constant ou progressif dans la paraly
mélancolie sénile et la démence précoce. Constater l'existence d'un trouble pupillaire. sans en spécifier les caractères, e
uxquels est arrivé l'auteur, en particulier pour ce qui a trait aux troubles pupillaires de la paralysie générale, de la mél
de célibataires est relativement élevé parmi les habitants; 20 les troubles mentaux subis par les jeunes gens les empêchent
- 529. Ataxie. Anesthésie du tronc dans il-, par Patrick. 246. Troubles moteurs à forme il'- cérébelleuse chez les iv
elle méthode de de la névroglie. par Atiglt(le, 3î6. Compression. Troubles ps;chiques dus à la - cérébrale, par Aubeati,
403. -spas- modique infantile, par Esteves, 460. Hémiplégiques. Troubles troplnqiies et de la sensibilité chez tes,par
ongé par tumeur de l ? par Soca. 101.- Hystérie. Constatation des troubles de la sensibilité dans l' -, par Joue, 440.
lose rhyzomé- hque, par 1,. Levi et Follet, 86. 111von.ruu : avec troubles faciaux, par 1, 1 Marie, 511. Nécrologie. Le
, 118. - syphi- litique à gommes osseuses, par l' A. Nlarie, 177. Troubles du lan- gage dans la -, par Dide. 181. Troubl
A. Nlarie, 177. Troubles du lan- gage dans la -, par Dide. 181. Troubles du goût et de l'odorat dans la -, par de Martin
ation des nerfs par de Btick et van der Linden, 234. Vagintsme. Troubles psycli'ques en rapport avec le -, par Aragon,
psycli'ques en rapport avec le -, par Aragon, 317. VLATRICCLES. Troubles de l'équilibre consécutifs à une tumeur du troi
44 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ple. Les réflexes rotuliens existent, mais sont peu marqués. Pas de troubles appréciables des organes des sens, qui n'ont du
Constipation habituelle. Diagnostic. Artério-sclérose généralisée. Troubles de la circulation dans le cervelet et le tronc
artère vertébrale gauche), chez un homme de 61 ans, qui offrait des troubles bulbaires très caractéristiques et un souffle trè
le contact du côté analgésie comme du côté gauche. Il offre donc ce trouble dissocié de la sensibilité qu'on a appelé à tort
ncé, il est vrai, mais continu. Bientôt s'ajoutent à ce tableau des troubles de la déglutition, le malade s'engoue à tous le
n ? que les autres, véritable attaque apoplectil'orme sui- vie d'un trouble de la marche qui devint nettement titubante (titu
côté plutôt que de l'autre. Peu après on observa chez lui un léger trouble de l'articulation des mots (dysarthrie 1'1'0- t
troite que la droite. Vers la fin de sa vie le malade souffrit de troubles de la déglutition. Au milieu de septembre il fi
895, dans la stupeur et le coma, après une aggravation sensible des troubles de la déglutition et l'apparition du phénomène
du corps à gauche, ataxie des mouvements et analgé- sie il droite, troubles de la sensibilité il la température, troubles ocu
nalgé- sie il droite, troubles de la sensibilité il la température, troubles oculaires à gauche). On pouvait supposer qu'il
utopsie, n'ait pas provoqué de symptômes notables, tout au moins de troubles géné- raux plus marqués, par suite de la compre
la protubérance, c'est-à-dire avant tout l'ataxie cérébelleuse, les troubles des mouvements des yeux, ceux de la sensibilité
he. C'est alors que l'on constata aussi la présence de ce singulier trouble de la dissociation de la sensibilité dans tout
complètement défaut. Chez notre malade les premiers symptômes d'un trouble encéphalique ne se manifestèrent que trois mois
uche. La lésion n'était toutefois pas assez grave pour entraîner un trouble des fonctions des divers faisceaux nerveux touché
peine à maintenir son équilibre lorsqu'il était assis ou debout. Ce trouble bilatéral indique probablement que la circulati
e cérébelleux supérieur, la lésion du ruban de Reil, etc. Quant aux troubles proprement bulbaires, ils n'apparaissent que tout
it ou était déjà dans le sopor. C'est alors que se produisirent les troubles de la dé- glutition et de la respiration ; puis
doncule cérébelleux moyen. Nous avons constaté chez notre malade un trouble tout à fait particu- lier de la sensibilité, la
- nues. ' Ainsi que nous l'avons déjà relevé, il n'existait aucun trouble hémiplé- gique, ni à droite ni à gauche. Ceci e
e. Il en résulta que l'ataxie cérébelleuse ne fut pas compliquée de troubles de la motilité proprement dits. Le malade, inca
proprement bulbaire, ou du moins on ne put constater que de légers troubles qui pouvaient se rapporter à une semblable lési
dysarthrie. Ce fut à la fin de la vie seulement qu'appa- rurent des troubles sérieux de la respiration et de la déglutition.
RALISÉE 27 En dehors de ces douleurs, FI... ne se plaignait d'aucun trouble viscéral. La miction et la défécation étaient n
atiques accumulés dans cette région. Ils consistent généralement en troubles respiratoires peu marqués, raucité de la voix,
e. Nous ajouterons que l'adéno-lipomalose ne s'accompagne d'aucun trouble viscéral et ne retentit pas sur l'état général de
métriques à la partie supérieure de la nuque. Rien ailleurs. Pas de troubles viscéraux. Les tumeurs de la nuque ont été exti
de la fosse jugulaire. Les tumeurs ne causent pour ainsi dire aucun trouble fonctionnel. A la demande du malade cependant, le
mamelle, il existe un nombre considérable de tumeurs grais- seuses. Troubles de compression des organes du, médiastin (voix, r
s douches sont très mal supportées, la consti- pation persiste, les troubles de la digestion aussi, elle maigrit à ce moment
table diminution du réflexe pharyngé. Il n'y a actuellement que des troubles passagers de la motilité ; dès que la malade es
ela se dissipe en quelques instants. 54 -1. - " GEORGES GASNE Les troubles vasomoteurs sont uniquement constitués par la cya
ui est revenu el lorsque nous l'avons observée, elle n'avait pas de trouble de la sensibilité de la paroi abdominale au nivea
u l'hyperesthésie de cette région ac- compagne en effet souvent les troubles sensitifs profonds. Il n'y a pas là d'ailleurs
e de blessés. Malgré les douleurs dans le bas-ventre, et les autres troubles qu'il accuse, pollakiurie, dysurie, etc., on ne
ensibilité. A part les douleurs déjà indiquées, S... n'accuse aucun trouble dans la sensibilité. Dans l'exploration de la sen
un des stigmates de la grande névrose, et, en particulier aucun des troubles sensitifs (anesthésie ou hyperesthésie) dont la
ces paroxysmes par le travail qui ne nous autorise à considérer ces troubles transitoires comme relevant, ainsi que nous le
sie hystérique. Axenfeld et lluchard(12), dans leur description des troubles intestinaux UN CAS DE TYMPANISME ABDOMINAL D'OR
de la neurasthénie que de l'hystérie, Cherchewsky (15) a décrit des troubles intestinaux aujourd'hui très connus consistant en
ques. Mer- credi médical, 2 octobre 1895, p. 469. Du même : Sur les troubles digestifs des hystériques. Thèse de Bruxelles,
a malade qui devait, de ce fait, se pencher en avant. C'est le seul trouble fonctionnel observé. Il y a 6 ans, à la suite d
(depuis une tête d'épingle jusqu'à une pièce de 0,50 cent.). Aucun trouble de la motilité'ni de la sensibilité desmembres in
sibilité desmembres inférieurs, réflexes patellaires normaux, aucun trouble des sphincters. L'intervention décidée immédiat
mettait cette interprétation ; cependant, l'absence absolue de tout trouble nerveux du côté des membres inférieurs, de la v
- comme sur celles du tube digestif- d'où l'ictère émotif et autres troubles intestinaux ! ... Au surplus, si l'on veut être
lectuelles se réalisent avec une lenteur extrême. Elle n'a pas de troubles marqués de la parole. Au point de vue intellectue
. En décembre 1894 céphalalgie frontale droite. Quelque temps après troubles psychiques, diminution de la mémoire. Réponses le
malade de la Salpttriére, âgée de cinquante- trois ans, atteinte de troubles de la motilité des membres inférieurs, chez laq
marquables et leur examen seul permet de penser sans nul doute à un trouble trophique de même nature que les précédents. M.
las de la sensibilité. Les réflexes rotuliens sont abolis. Pas de troubles vésicaux ni gastriques, ni visuels. L'applicati
antes dans les membres et le tronc; douleurs en ceinture. A 29 ans, troubles vésicaux. A 33 ans, arthropathie de la hanche d
rophie unguéale, Existence de crises clitoridiennes intenses-Pas de troubles de la sensibilité ou des sens spéciaux. Deuxièm
les membres supérieurs. Diminution des crises clitoridiennes et des troubles vésicaux. Développement d'une énorme arthropath
à peu pres normale. Quelques douleurs constrictives. Disparition du trouble des sphincters et des sensations clitoridiennes.
Deux ans après l'apparition des premières douleurs, survinrent des troubles de la vessie caractérisés par une légère incont
gauche seul. Abolition du réflexe rotulien des deux côtés. Aucun trouble des membres supérieurs, sauf l'existence de quelq
n perçu. La sensibilité est relativement bien conservée. Quelques troubles vésicaux existent encore : la malade perd quelque
de la muqueuse vaginale ou clitoridienne. . Il n'existe enfin aucun trouble de la vue, de l'odorat ou de l'ouie. Un deuxièm
La sensibilité cutanée par ailleurs est toujours normale. Quelques troubles de la vue, consistant en diminution de l'acuité
rvien- nent au moment da époques qu'elles semblent remplacer. Les troubles vésicaux ont disparu : cependant il persiste, une
che, sèche, écailleuse,sans oedème, sans adipose sous-cutanée, sans troubles trophiques à sa surface. La hanche droite est vol
TÉO-ARTHROPATHIES VERTÉBRALES DANS LE TABES 141 Il n'existe plus de troubles de la miction ou de la défécation. Les crises c
t sur lui-même et tombe. ' ' En 1897, un an après le début de ces troubles nerveux, il commence à boiter du côté droit. Et
opie, ni amblyopie. Les autres organes des sens ne présentent aucun trouble morbide, sauf le sens génésique entièrement dis
n trouble morbide, sauf le sens génésique entièrement disparu. e) Troubles viscéraux. - Crises de diarrhée. Déjà, à deux rep
ise est très courte, le malade n'en con- serve aucune souvenance. Troubles trophiques. - Le membre inférieur droit est le se
s dans la chemise ; les lavements ne peuvent pas être gardés. Les troubles trophiques dominent tout ; ils consistent en deux
ère, entrée à la salle Achard-Esperonnier, le 13 mai 1899, pour des troubles de la marche. Dans sa famille, rien de patholog
e. Les jambes sont démesurément enflées, et on y constate de vastes troubles trophiques : éruptions polymorphes, ulcères. Le
et IV). Il est, en effet, très remarquable de noter qu'à part ces troubles trophi- ques essentiels, le tabes s'est manifes
e l'existence d'un tabes trophi- que, tout en reconnaissant que des troubles sensitifs viennent le plus sou- vent se joindre
ue des troubles sensitifs viennent le plus sou- vent se joindre aux troubles de nutrition, comme Brissaud le premier en a fa
enser que ce centre, étant données les associa- tions fréquentes de troubles sensitifs aux troubles trophiques, se trouve da
ant données les associa- tions fréquentes de troubles sensitifs aux troubles trophiques, se trouve dans un territoire médull
rs du poignet le 14 nzai ; atrophie musculaire avec DR ; absence de troubles de la sensibilité et des sphincters. Amélioration
nte ; bientôt apparition de la paralysie dans la main gauche et ces troubles sont survenus sans douleurs, sans engourdissement
dissements. Le malade ne pouvait manger seul à cette époque. Pas de troubles de sphincters, pas de douleurs dans les jambes.
pas les caractères du délire alcoolique, sans hallucinations, sans troubles de la mémoire. Les urines ne renfermaient pas d'a
a- ture de la joue et les yeux, des pupilles normales, l'absence de troubles intel- lectuels. Le malade se plaint d'une légè
leurs spontanées ou provoquées des masses musculaires du mollet, ni trouble de la sensibilité objective. Les 156 R. CESTAN
eurs le long des trajets nerveux ou dans les masses musculaires, ni troubles de la sensibi- lité, ni troubles trophiques. En
ou dans les masses musculaires, ni troubles de la sensibi- lité, ni troubles trophiques. En résumé, le malade est atteint de p
avons obtenu une amélioration aussi bien de l'état général que des troubles moteurs. M. le docteur Huet a bien voulu pratiq
paralysie le Il octobre ; atro- phie musculaire avec DR, absence de troubles de la sensibilité et des sphincters. Améliorati
it. A ce moiiielit-là,c'est- à-dire deux mois après l'apparition de troubles moteurs, apparition de syphi- lides de la peau
fait des frictions mercurielles ; l'éruption cutanée disparaît, les troubles moteurs s'amendent de telle façon que le 1er janv
state avec la lenteur de la secousse que NFC=PFC'. - Il n'existe ni troubles trophiques, ni troubles de sphinc- ters, ni dou
la secousse que NFC=PFC'. - Il n'existe ni troubles trophiques, ni troubles de sphinc- ters, ni douleurs subjectives et obj
muscles des mains, de l'avant-bras droit avec secouse fibrillaire. Troubles moteurs prédominant du côté gauche du corps. Am
des. Réflexes normaux. Mais, huit jours après, apparition des mêmes troubles dans le cubital droit. On trouve RD dans l'adduct
mberg, démarche ataxique. Un traitement iodo- mercuriel aggrave les troubles nerveux ; le malade s'est rétabli peu à peu. Ce
parésie généralisée^avec abolition des réflexes rotuliens mais sans troubles pupillaires, et sans troubles des sphinc- ters.
tion des réflexes rotuliens mais sans troubles pupillaires, et sans troubles des sphinc- ters. Albuminurie abondante. Aggrav
les des sphinc- ters. Albuminurie abondante. Aggravation rapide des troubles nerveux mal- gré des injections de calomel. Bie
thésie intense des troncs nerveux et des masses musculaires. Pas de troubles objectifs de la sensibilité. Abolition des réllex
bre 1834 parésie des jambes et engourdissements et élancements. Les troubles moteurs vont en s'aggravant progressivement. St
flasque complète avec atrophie musculaire et chute du pied. Pas de troubles des sphincters. Pas de troubles de la sensi- bi
musculaire et chute du pied. Pas de troubles des sphincters. Pas de troubles de la sensi- bilité objective. Réaction de dégé
e des 4 membres avec engourdissements, diplopie, gêne de la parole, troubles qui s'exagèrent malgré la suppression des frictio
raitement par l'injection de salicylate de mercure. Exagération des troubles moteurs. Parésie des 4 membres avec abolition des
m. Disparition rapide des manifestations cutanées.Persis- tance des troubles de la sensibilité. Insensibilité des 2 mains avec
ataxie. Pas de réflexe plantaire ; réflexe rotulien normal. Pas de troubles de la vue ni du goût. Céphalée presque constant
e, douleurs de la colonne vertébrale, etc. Enfin, sans nier que les troubles décrits ne soient peut-être la résultante d'alt
nger dans le groupe dénommé polynévrite. Nous y voyons en effet des troubles trophiques très prononcés, ecchymoses, bulles,
de phalanges, des anesthésies cutanées complètes, accompagnées des troubles parétiques ou au contraire peu prononcées. No
e question a pu se poser dans ces dernières années à l'occasion des troubles nerveux d'origine périphérique qui apparaissent a
Or le tableau clinique est souvent complexe. Avant l'apparition des troubles moteurs, le malade peut être syphilitique et auto
peut, en effet, créer, en dehors de tout accident, hystérique, des troubles moteurs sous la forme de névrites multiples chr
hroniques ou aiguës. En 1887, Letulle par- ticulièrement étudié les troubles moteurs de l'hydrargyrisme chronique, névrites
e, les auteurs n'in- sistent pas sur la possibilité d'apparition de troubles moteurs. Sur 8.000 vérolés traités par des inje
r des injections de sublimé, Lewin a observé seulement une fois des troubles moteurs imputables à une névrite ; c'était un cas
bien l'intoxication est suraiguë et pour expliquer l'apparition des troubles moteurs, il faut faire la part des lésions hépa
llmann et Etienne, enfin nos deux cas personnels, chez lesquels les troubles moteurs ont fait leur apparition avant le trait
OLYNÉVRITE SYPHILITIQUE 165 piqûres de peptonate qui améliorent les troubles moteurs. Quant au 2° malade, on ne découvre la
° malade, on ne découvre la syphilis qu'au mois de décembre, et les troubles moteurs ont apparu le 15 octobre,un mois après le
résumées précédemment. Nous avons mis dans un premier groupe les troubles nerveux qui ne rentrent pas dans le cadre de la p
pidement l'histoire clinique de la polynévrite^ syphilitique. Les troubles nerveux font leur apparition pendant la période s
ts secondaires et qu'on est dès lors très porté à faire rentrer les troubles moteurs observés dans ce même groupe. Notre mal
faut réduire au minimum l'influence de ces causes favorisantes. Les troubles nerveux s'installent rapidement et nous pouvons a
dineux, atrophie muscu- laire, intégrité des sphincters, absence de troubles intellectuels. La mala- die a débuté par les ex
el la maladie a évolué sous le type du pseudo-tabes avec parésie et troubles de la 'sensibilité des membres inférieurs, sign
rieurs, signe de Romberg, signe de Wesphal, démarche ataxique, tout trouble amélioré par un traitement antisyphilitique. Enfi
t des exemples d'une polynévrite presque exclusivement motrice. Les troubles moteurs se sont installés rapidement avec quelque
on faite des malades de Sorrenlino et Taylor qui ont pré- senté des troubles trophiques et sensitifs permanents très graves et
te, soit sous la forme disséminée, elle ne s'est pas accompagnée de troubles intellectuels ; les nerfs de la face n'ont pas pa
racines médullaires, en somme poly- névrite radiculaire. Enfin les troubles moteurs ont cédé plus ou moins rapidement au tr
les dou- LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE 167 leurs généralisées, les troubles des sphincters, les paralysies rapides, dis- sé
e. La myélite aiguë se reconnaît à des douleurs lombo-dorsales, des troubles sensitifs Ù topographie médul- laire et non pér
ite avec paralysie précédant et dominant l'atrophie musculaire, les troubles des sphincters. Mais la question devient délica
on essaie d'interpréter le rôle de la moelle dans la production des troubles moteurs. Sans aborder ici une discussion encore
ter en suspens. Nous voyons en effet que chez nos deux malades, les troubles sensitifs ont été très légers, nous voyons au s
a question, cependant dans notre premier cas la dissémi- nation des troubles des réactions électriques sur les muscles de plus
polynévrite n'est pas surtout sensitive et ne s'ac- compagne pas de troubles de l'idéation et de la mémoire comme on l'ob- s
tent pour affirmer la nature alcoolique, saturnine, diphtérique des troubles moteurs, ne fait que res- treindre sans le réso
stait pas de signe clinique différentiel ni dans la physionomie des troubles moteurs, ni dans les réactions électriques, puisq
isseaux doivent jouer un rôle très secondaire dans l'apparition des troubles moteurs. Si des examens venaient confirmer cett
elle n'est pas luisante, l'épidémie n'est pas altéré, n'existe aucun trouble trophique.De nombreuses varicosités se montrent
modation, D'autre part, on constatait une hémiparésie droite et des troubles de l'oeil gauche. L'hémiparésie était moins mar
mmodation. ' · Fio. 1. 178 . M. G. MARINESCO Il n'y a pas eu de troubles vaso-moteurs ou trophiques du côté des membres
er soulèvement du talon avec abaissement cor- (1) G. Maiunesco, Les troubles de la marche dans l'7aeo71ylé,rie organique étudi
ns mon travail antérieur publié dans la Semaine Blérlicale, sur les troubles de la marche dans l'hémiplégie organique, j'ai
se distingue par la consistance des tumeurs, par les douleurs, les troubles fonctionnels et généraux et par la marche progres
e l'organisme se faisant en partie par les glandes de la peau, tout trouble survenu dans leur fonctionnement se traduira pa
s le seul cas de lipomes symétri- ques venu à sa connaissance, tout trouble sécrétoire cutané faisait défaut. Curschmann ém
Steinkopf admet que l'adé- no-lipomatose évolue sous l'influence de troubles nerveux d'origine alcoo- lique. Virchow concède
is, comme on ne constateaucunemodification de la sensibilité, aucun trouble trophique superficiel, aucune diminution de la fo
ence générale vague, appréciable seulement dans la distribution des troubles trophiques. » La théorie nerveuse, sans satisfa
la- quelle il rentre à Bicêtre. Etat actuel. Novembre 1899. Aucun trouble de la vue, l'ouïe est conser- vée, l'odorat peu
s fort à gauche, la trépidation épileptoïde disparait rapidement. Troubles sensitifs. - La sensibilité au toucher, à la piqû
chique, l'intelligence et la mémoire sont demeurées intactes, aucun trouble pour lire, écrire ou compter. Le caractère s'es
être si petite ou située de telle manière qu'elle n'entraîne aucun trouble fonctionnel. Cependant nous sommes amenés à con
teint d'hémianopsie homo- nyme droite. Il présentait aussi quelques troubles dans le sens stéréognostique et de l'alexie. Il
tatée. Elle peut être complète, incomplète, alterne. On trouve les troubles moteurs à tous les degrés et avec leurs variant
survient le plus souvent avec le passage à l'état chronique. Les troubles de la sensibilité sont également les mêmes que da
ureuse intervention ou même dans le décours de la période aiguë les troubles de la parole s'améliorent, l'aphasie, qui est par
ons qui lui sont posées. La sensibilité cutanée est intacte, pas de troubles de la miction ni de la défécation. Le sixième jou
eurs, de mauvaise humeur ni de colère. L'auteur ne mentionne pas de troubles dans le développement osseux ou musculaire, il
'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 231 Nous avons vu dans l'observation II des troubles de l'intelligence très accentués. Il y avait ch
r que ceux-ci ignorants de son état se fâchassent contre lui. Ces troubles ont été bien étudiés par MM. H. A. Abel et W. Col
ons constaté, outre les mo- fications portant sur le caractère, des troubles de la mémoire et spéciale- ment de la mémoire d
p sur la tête, on le relève, il se relève même seul et après que le trouble causé par l'accident est passé, on ne constate
se développe une hémiplégie, des douleurs de tête apparaissent, des troubles de la parole, etc. Il ne s'agit pas là d'hystér
son, puis la sienne comme d'ha- bitude. Il se déshabilla sans aucun trouble , prit une chemise de nuit et roula une cigarett
e pied quitte cependant le sol et ne traîne pas. Il n'y a plus de troubles de la sensibilité cutanée au tact et à la douleur
ns expectoration. Ja- mais d'hémoptysie. Pas d'oppression. Pas de trouble de la déglutition (1). Les fonctions digestives s
e. Le malade n'a ni céphalal- gie, ni bourdonnements d'oreilles, ni troubles de la vue, ni troubles sen- sitifs ou moteurs d
halal- gie, ni bourdonnements d'oreilles, ni troubles de la vue, ni troubles sen- sitifs ou moteurs dans les membres. Mais i
x ; pas de nævi étendus. Tous les réflexes sont conservés. Pas de troubles de sensibilité. La respiration est un peu rude,
s artères sont un peu athéromateuses. Les urines n'ont jamais été troubles ni lactescentes. L'examen, fait il y a quelques
ridien- nes. Elle a de tout temps été, dit-elle, très passionnée. Troubles psychiques. La malade considère son état comme in
ans la jambe gauche, avec sensation de raideur musculaire. En 1868, troubles de la sensibilité dans les mains et les pieds. Se
paupières, di- plopie transitoire, diminution de Vacuité visuelle, troubles subjectifs de l'ouie. Deux petits maux perforan
eux petits maux perforants symétriques aux talons. A 39 ans, premiers troubles de la marche. Depuis l'âge de 40 ans, amaigriss
-André le 17 octobre 1898, service de M. le professeur Pitres, pour troubles ataxiques. Son père est mort à l'âge de quarant
tiques sur l'un et l'autre talon. En 1892, surviennent les premiers troubles de la marche. Le sol lui paraît moins résistant
ments d'oreille. L'odorat et le goût sont normaux. Il n'y a pas de troubles trophiques apparents. La peau est sèche, mais trè
nnement des grands appareils splanchni- ques. En particulier pas de troubles des sphincters. Enfin la malade ne présente auc
ut de l'ataxie des membres inférieurs. A 45 ans, marche impossible, troubles passagers de la miction, troubles de la vue. Inzp
urs. A 45 ans, marche impossible, troubles passagers de la miction, troubles de la vue. Inzpuis- sance génitale. Quelques do
nue complètement impossible. A cette époque, se montrent encore des troubles passagers de la miction, réten- tion d'urine, e
e des troubles passagers de la miction, réten- tion d'urine, et des troubles de la vue, diplopie transitoire. Cette diplopie r
48 ans, douleurs' en ceinture, crises gastriques. 49 ans, premiers troubles de la marche . A 52 ans, déviation progressive
amaigris. La force musculaire y est intégralement conservée. Pas de troubles trophiques apparents. Pas de chute ni de dystro-
e est normale sauf dans les membres inférieurs où elle présente des troubles profonds : la piqûre en particulier est perçue av
et crises gastriques. A 54 ans, douleurs nettement ful- gitrantes, troubles des sphincters. Suppression des érections. Phénom
oit d'abord, puis du pied gauche. En même temps, apparaissaient des troubles des sphincters, incontinence puis rétention d'uri
gardent leur caractère d'intensité remarquable. Il n'existe pas de troubles trophiques apparents. Nulle part on ne rencontr
chute spontanée des dents. A 53 ans, strabisme et ptosis. A 54 ans, troubles vésicaux. Signes de tabes. Peu d'incoordination
siste sans la moindre modification. Il n'a existé à aucun moment de troubles de la motilité. Le malade n'a jamais présenté d
moment de troubles de la motilité. Le malade n'a jamais présenté de troubles de la vision ou de la musculature de l'oeil. Ja
de troubles de la vision ou de la musculature de l'oeil. Jamais de troubles urinaires ou génitaux. Etal actuel le 24 novemb
affai- blie. Les érections sont conservées. Il-n'a jamais existé de troubles des sphinc- ters. Les membres supérieurs ne p
le malade, après une violente crise de douleurs. Il n'existe pas de troubles trophiques apparents. Les pieds ne sont pas déf
ion. LES 0STÉ0-ARTHR0PATHIES VERTÉBRALES DANS LE TABES 291 Pas de troubles subjectifs des organes des sens. L'examen direct
t sains. Les artères sont cependant un peu athéromateuses. Pas de troubles psychiques. Le malade a une mémoire parfaite, il
un second article publié par la Semaine médicale (2) étu- diant les troubles de la marche dans l'hémiplégie organique, après q
ce qui re- garde un troisième article (1) de M. Marinesco sur « les troubles de la marche dans les paraplégies organiques ».
ans l'exposé des recherches scientifiques. (1) Marinesco, Sur les troubles de la marche dans les paraplégies organiques. Se-
palais s'élève avec une très grande énergie. Il n'y a d'ailleurs ni troubles de la déglutition, ni de la mastication : les m
n'y a pas de trépidation -epJleptoïde 1lI du p..ëd;-ulde fiïfotüle. Troubles de l'équilibre et de la marche. Au moment de se l
s les derniers temps, l'occlusion des yeux augmentait davantage les troubles de la statique et de l'é- quilibration. A cau
ouze livres ; d'après ce qu'il raconte il présentait certainement des troubles neurasthéniques, son état physique et moral éta
ause de l'intensité de ses étourdissements. Depuis cette époque les troubles de la station et de la marche ne firent qu'em-
commencerons par en faire un exposé et nous étudierons ensuite les troubles de la marche et les troubles de la sta- tion co
exposé et nous étudierons ensuite les troubles de la marche et les troubles de la sta- tion consécutifs aux mouvements pass
ut dire que l'occlusion des yeux n'augmente que très légèrement les troubles de la marche. Il avance ordinairement sans rega
tation il droite que pour la rotation à gauche. D'autre part, les troubles de la marche et de la statique n'augmentent- pas
examiné de nouveau le 18 juillet 1899. Son état s'est aggravé, les troubles de l'équilibration se sont accentués, et les memb
survient plus rapidement. L'occlusion des yeux augmente un peu les troubles de la marche, mais c'est surtout pendant la sta
de nous. Le diagnostic s'appuie dans les deux observations sur les troubles de l'équilibre dans la station el dans la march
nergie musculaire.' Le signe de Romberg fait défaut de même que les troubles sensitil's ou sensoriels. xm 23 350 J. DEJE
sitil's ou sensoriels. xm 23 350 J. DEJERINE ET A. THOMAS Les troubles de la parole : parole lente, scandée, traînante;
c- tions exagérées des muscles de la face qui ont pour résultat des troubles de la mimique, une expression d'étonnement. La
ne période de fièvre et de frissons ; puis il 3 ans il présenta des troubles de la parole et de la vue ; cependant à une inves
lade, avait déjà un voile devant les yeux dès l'âge de 22 ans ; les troubles de la vue ont beaucoup augmenté à l'âge de 36 ans
nt la marche, l'incertitude des extrémités dans tous les actes, les troubles de la parole et les troubles visuels. Au repos, l
es extrémités dans tous les actes, les troubles de la parole et les troubles visuels. Au repos, l'expression du visage était
culaire ne sont pas troublés. Les sphincters fonctionnent bien. Les troubles de l'équi- libre allèrent toujours en augmentan
s sphincters se prirent ; il eut des vomissements, de l'oedème, des troubles cardiaques auxquels il succomba. A l'autopsie
Nonne; mais leur abolition chez le malade de Miura, de même que des troubles de la sensibilité doit être vraisemblablement att
ïncidence d'un traumatisme ou d'une infection, de l'épilepsie ou de troubles mentaux dans l'atrophie non familiale, oubien l
restent pures : atrophie olivo-ponto-cérébelleuse. L'apparition de troubles de l'équilibre, analogues à ceux des atrophies
ubation, la plus grande fréquence de l'asymétrie, la coexistence de troubles oculaires et plus spécialement la stase papillair
rnicieuse, la moindre intensité de la titubation, la coexistence de troubles nerveux de nature différente faciliteront le diag
t au point de vue anatomique qu'au point de vue clinique. Les mêmes troubles de l'é- quilibration qui les caractérisent sera
ses. Lorsque les plaques de sclérose sont limitées à la moelle, ces troubles font défaut. Sans nous prononcer d'une façon dé
plaques. Les malades atteints de paralysie pseudo-bulbàire ont des troubles de la marche, « marclie à petits pas », associé
ui peuvent t en imposer pour une lésion du cervelet ; peut-être ces troubles ont-ils pour cause l'existence de petits foyers
rajet intra-protubérantio) ; les symptômes de duplégie faciale, les troubles de la déglutition, la dysar- thrie, la parésie
velet. On a signalé chez certains individus atteints de surdité des troubles de la statique et de la locomotion qui présente
reilles n'est pas davantage suivi de vertige ou de nys- tagmus. Des troubles de l'équilibration il est vrai moins prononcés et
micirculaire : le malade atteint de surdité complète présentait des troubles de l'équilibre rappelant ceux d'un cérébelleux, m
di di fisiologia nomzale e l'alologica. Firenze, 1891. (3) Euoea, Troubles vestibulaires. Etude physiologique et clinique. R
ations brusques dans l'intensité des symptômes, le nystagmus et les troubles de la parole sont plus rares; la maladie est pl
avec les résultats obtenus par la physiolo- gie expérimentale : les troubles de l'équilibre et de la locomotion et l'in- tég
compagnent cependant de quelques symp- tômes qui sont étrangers aux troubles de l'équilibre : ce sont un léger tremblement d
encore qu'hypothétique. L'un de nous avait émis l'hypothèse que les troubles de la parole sont en rapport avec une fixité im
rs hémorrhagiques... » , Signalons, en passant, que pour Kocher les troubles de la conscience, en dehors du sopor et du coma
Elle peut consister en une sorte de suffusion san- guine, sorte de trouble vaso-moteur qui se manifeste sur un territoire
ce territoire et si la lésion gagne du ter- rain, on peut voir les troubles moteurs s'accentuer et s'étendre. Il paraît dif
u corps strié, de la couche optique, dupédoncule) oucompliquée : de troubles psychiques (région antérieure de la capsule), de
sswald qui a étudié sur des chiens vivants les modifications et les troubles qui atteignent le cerveau blessé. Les expé- rie
t, qui ressort tout entier du crâne. On verra que la coïncidence du trouble oculaire et de la paralysie s'ex- plique nature
T. Poore de New-York dans lequel la guérison de la paralysie et des troubles de la parole a lieu, mais où il survient de l'é
trépaner afin d'enlever l'héma- tome diagnostiqué comme causant les troubles moteurs et sensitil's par compression. L'hémi
remontent à la même époque ou s'ils se sont faits peu à peu. Les troubles fonctionnels du diabète paraissent remonter seule
d'enfant. Il éprouve assez rare- ment de la céphalalgie, n'a pas de troubles visuels ; l'ouïe est un peu affaiblie à droite,
s haut. Les réflexes rotuliens sont très affaiblis. Il n'y.a pas de troubles de la sensibilité. La réflec- tivité et la sens
bien des signes ordinaires de l'acro- mégalie. En particulier, les troubles oculaires font défaut, la céphalalgie n'existe
brile, de toute affection vénérienne qu'il se produisit. Sans aucun trouble de la sensibilité générale, de l'appétit ni du so
ent de la main raccourcie et épaissie, mais il est probable que les troubles trophiques osseux ont commencé plus tôt. Pendan
de six au doigt correspondant opposé (Pl. LVIII). Il n'y a aucun trouble trophique de l'épiderme ni des ongles ou des po
si que les réflexes cutanés (plantaire, crémastérien etc.). Aucun trouble des sphincters. Nous avons naturellement radiog
e en octobre 1898. Nous avons constaté de nouveau l'absence de tout trouble de la sensibilité cutanée ou profonde, la persi
athogénie d'une telle maladie serait purement gratuite puisqu'aucun trouble concomitant ni de la santé générale, ni de la r
re s'ouvre et les doigts se mettent en extension forcée. Malgré ces troubles fonctionnels multiples et la marche lentement pro
e en dehors. La sensibilité est normale, ni douleurs spontanées, ni troubles sensoriels. Les réflexes tendineux sont normaux
troubles sensoriels. Les réflexes tendineux sont normaux. Pas de troubles vaso-moteurs ; la pigmentation spéciale du cou et
tion spéciale du cou et des lom- bes pourrait être considérée comme trouble trophique. L'examen des urines effectué par M.
(1) 'a spécialement étudié les rapports avec les myopathies. Les troubles ont commencé dès le Loti[ jeune âge aux membres i
e légère prédomi- nance à gauche. Ni contractions fibrillaires ni troubles de sensibilité. Grâce il la réunion de ces cara
qu'en outre il n'a : ' Ni contractions fibrillaires prononcées, ni troubles vaso-moteurs très accentués comme dans le type
Tooth, ou des trois cas de Bosc. Ni contractions fibrillaires, ni troubles vaso-moteurs, ni altérations de la sensibilité,
e musculaire progressive neurotique de Hoffmann, car il n'y a aucun trouble de sensibilité; Ou un cas d'amyotrophieprogress
en reste pas moins vrai qu'il existait antérieurement chez tous des troubles évidents de la statique vertébrale. Ces troubles
ment chez tous des troubles évidents de la statique vertébrale. Ces troubles se traduisaient par une inclinaison progressive
s para-vertébraux. Enfin signalons, en terminant, la possibilité de troubles fonctionnels s dus aux compressions viscérales
ont été peu étudiés dans les observations : nous voulons parler de troubles de compression dus aux lésions mécaniques des par
té pelvienne : d'où la perturbation des fonc- tions digestives, les troubles des sphincters. La compression peut aussi s'exe
n (de noxa tabaci sternutatorii). L'auteur envisage en médecin, les troubles que peut causer l'abus du tabac. En premier lie
Pétophiles (1) être incapables de distinguer les odeurs. Mais les troubles de cet organe peuvent être plus considérables : D
rrive jusqu'à l'endroit où siège l'Archée (1) et le cor- rompt. Les troubles qu'on peut observer sont les suivants : d'abord u
ieil- lards ; 6° Ils sont exposés aux fièvres, aux délires ; 7° Troubles de la vue, visions étranges ; 8° Dureté de l'ou
upière arrive bientôt il sa situation régulière (Pl. LXX). Pas de troubles dans les mouvements de l'oeil droit ; à gauche, c
ervées, les réflexes sont normaux, pas la moindre atrophie ; pas de troubles vésicaux. Tous les organes, tous les viscères s
e activement. Tels sont les symptômes de la maladie actuelle; aucun trouble de la part des autres nerfs crâniens, ni des ne
ranucléaire ; il y a des lésions bien nettement isolées, mais aucun trouble des mouvements associés. Il s'agit incontestabl
ps ensemble avec l'augmentation de l'excitation maniaque apparut un trouble de conscience et diverses idées déli- rantes, s
el accès épilep- toide. L'existence d'un lues est très possible. Le trouble de la parole portait un caractère propre à la p
toïde, à peu près deux ans après le commencement de la maladie. Les troubles moteurs étaient beaucoup plus prononcés dans le
t dans les voies conductrices spinales, etc. Dans le cas second les troubles moteurs étaient moins mar- qués et correspondam
cation de la pression dans la cavité du système nerveux central, le trouble de la circulation régulière de la lymphe, peuve
ns la paralysie générale et, peut-être, dépend-elle à son tour d'un trouble de circulation du sang et de modifications vascul
s la première catégorie de ces cas fait attention à l'existence des troubles moteurs chez les malades (des paralysies, des p
tarlinger, comme nous l'avons vu plus haut, souligne la liaison des troubles moteurs avec l'intensité de la dégénérescence sec
térie et du goitre exophthalmique (3). La prédominance latérale des troubles hystériques est bien connue. Dans (1) Debove, H
sedow, on observe aussi quelquefois une pré- dominance latérale des troubles fonctionnels et des déformations. Cepen- dant i
elle a une grande difficulté à mouvoir les parties engourdies. Ces troubles se reproduisent quelquefois au réveil du matin. Q
re un certain temps ou qu'elle s'est frottée avec la main libre ces troubles disparaissent. Cependant il lui reste une hémiane
Mais les effets heureux furent transitoires en ce qui concerne les troubles du syndrome basedowien. Quand les symptômes hys
es du côté gauche. Le fait est que la fille décrit tous les anciens troubles nocturnes et matinaux dont la mère souffrait autr
la fille). Nous avons revu cette malade à différentes reprises. Les troubles sensitifs sensoriels du côté gauche n'ont pas r
sistance de ces derniers peut s'interpréter par la sur- vivance des troubles de la sécrétion thyroïdienne qui, une fois instal
sécrétion thyroïdienne qui, une fois installés sous l'influence des troubles vaso-moteurs hystériques sont devenus per- mane
e offert, de tous les accidents de la série tabétique, que quelques troubles sensitifs légers. Les désordres de la marche re
e défendue par Brissaud (1), de la fréquence de l'as- sociation des troubles trophiques aux troubles sensitifs dans le labes.
(1), de la fréquence de l'as- sociation des troubles trophiques aux troubles sensitifs dans le labes. Si, à l'exemple des Pi
phénomènes d'arthropathie vertébrale d'un côté, et de l'autre, les troubles de motilité, des sens spéciaux ou de la sensibili
res sont altérés, il y a insuffisance de réactions vaso-motrices et troubles nutritifs de ces articulations. A la suite de Ma-
encore que, dans les arthropathies de cause né- vritique pure, les troubles articulaires se localisaient de préférence dans
tatée chez une tabétique, ne reconnaissent pas pour seule raison un trouble trophique dû aux altéralions de sa moelle. D'où
tion, mais les mouvements de la hanche sont conservés presque sans troubles , La musculature est flasque La sensibilité de l
tation de chemin de fer, il remarqua pour la première fois quelques troubles de la parole. Il ne pouvait pas dire ce qu'il v
acile- ment, il saisit rapidement une plaisanterie. Il y a un grand trouble de la pa- role, l'effort le jetant parfois dans
nsibilité auditive à gauche. Aucune modification des autres sens. Troubles vaso-moteurs. La moitié inférieure de l'avant-bra
si un abaissement de température très notable pas de sueurs locales troubles trophiques peu accusés , . Observation XXVII.
ale. Des deux blessures s'échappe une petite quantité de sécrétions troubles opération Au moi d'avril il persistait une para
sie de la jambe droite...,. Au mois de mai de l'année suivante les troubles de la motilité sont surtout accentués à la jamb
s inférieur et supérieur droits. Il est impossible de constater des troubles de la sensibilité Au 3 juillet de l'année suiva
lade est mousse dans la marine autrichienne. Il n'a plus éprouvé de troubles de la parole sauf pour les mots difficiles ou lor
as lire, son écriture est très défec- tueuse. Janvier 1898. - Les troubles de la parole ont diminué, mais subsistent encor
nt une chaleur à la tête, ou des maux de tête et en même temps, les troubles de la parole augmentent beau- coup. Il faut alo
tique 549 la bouche et le mouvement de déglutition, il n'y a pas de troubles dans les mouvements de celle-ci. Le bras gauche
onduire à l'atelier. Elle présente en outre à diverses reprises des troubles passagers de la parole et reste plusieurs jours
t paupière), qui ne dure que 48 heures. Evolution. - 18 mars. - Les troubles de la sensibilité du côté gauche sont notableme
ent diminués, mais ceux de la' motilité persistent. Il n'y a pas de troubles trophiques, la température est normale. L'aphas
est incontestable que ce ramollissement est sous la dépendance des troubles circulatoires ainsi que cela résulte de l'étude
mollissement de la moelle, mais il est probable qu'en dehors de ces troubles circulatoires, il faut tenir compte de l'action
générale : fièvre, etc., à laquelle vinrent s'ajouter plus tard des troubles sphinctériens et une parotidite double, de sorte
été attribué par Bouchard et ses élèves Charrin, Roger et Gley aux troubles vaso-moteurs ; tandis que Metchnikoff considère
iv. 5. - Coupe transversale de la moelle dorsale d'un chien mort avec troubles ner- veux paralytiques, suite de la maladie du
ltérations des cellules et des fibres nerveuses dépendent aussi des troubles circulatoires qui existent dans la myélite. L
estations nerveuses doit surtout s'accompagner dans quelques cas de troubles ressortissant à la myélite, ainsi qu'il résulte
senté tous les phénomènes de la myélite aiguë, paraplégie complète, troubles sphinctériens, abolition des réflexes tendine
, abolition des réflexes tendineux, dans les membres para- lysés, troubles qui ont fait leur ap- parition subitement. Comm
peut tuer un lapin dans l'espace de 8 à 12 heures avec paraplégie, troubles sphinctériens ; et dans la moelle, on trouve un
reptocoques dans le canal verté- bral sans avoir observé le moindre trouble ni la moindre lésion ; d'autres fois le strepto
rift, écriture en miroir). Buchwald crut d'abord avoir affaire à un trouble pathologique, opinion que devait adopter, sans
s qui peuvent dépendre du degré plus ou moins marqué d'intensité du trouble fonctionnel des di- vers muscles. C'est à propr
ue cet article sera consacré) qu'elle peut être associée à d'autres troubles paraly- tiques congénitaux (paralysie faciale c
Au moment où il a quitté le lit, il était très faible, sa vue était trouble et ce n'est qu'après deux mois de convalescence
ticles de la chaîne manque ou se développe mal, il en résultera des troubles plus ou moins profonds et durables dans la moti
dans l'évolu- tion de l'un des chaînons nerveux, il en résultera un trouble de la moti- lité, mais avec intégrité des fibre
dolore, apyrétique, chronique et perma- nente, qui n'entraîne aucun trouble de la santé générale et peut même persister jus
e malade j'appris que sa mère et une de ses soeurs présentaient des troubles analogues aux siens, quoique moins mar- qués, e
s, les malléoles et le dos du pied. Aucune lésion viscérale. Pas de troubles de la sensibilité. Cas. IV. - Victorine P..., â
parole, l'absence de bouffissure des pau- pières et des doigts, de troubles menstruels marqués, etc., devaient faire écarte
és, etc., devaient faire écarter ce diagnostic. La localisation des troubles aux membres inférieurs n'était pas en faveur de
le dos se voûta petit à petit ; jamais il n'y eut de douleurs ou de troubles intellectuels ; au début de la maladie, il y eut
e montre aucune altération des vertèbres. . Système nerveux. Pas de troubles , intellectuels. Motricité.- Pas de troubles mot
Système nerveux. Pas de troubles, intellectuels. Motricité.- Pas de troubles moteurs notables dans les membres supérieurs ;
n épi- leptoïde des deux pieds, par redressement brusque du pied. Troubles trophiques. Atrophie légère des muscles des deux
s trophiques. Atrophie légère des muscles des deux mollets ; pas de troubles trophiques de la peau. Sensibilité. - Strabisme
zones où existe la dimi- nution de la sensibilité tactile. Pas de troubles du sens musculaire. Nous, ICONOGRAPIIIE DE LA S
ises, demeure à peu près stationnaire ; aux différents examens, les troubles de la sensibilité dans la moitié inférieure du
ieurs, même maladresse légère dans les mouvements de la main. Les troubles de la sensibilité thermique en particulier sont m
sverse, ou à une forme fruste de sclérose en plaques, compliquée de troubles trophiques de la colonne vertébrale ou de ses mus
ie un peu anormale il est vrai : nous basions notre opinion sur les troubles de la sensibilité et surtout sur la déformation d
ale si fréquente dans les syrin- gomyélies était à son maximum. Les troubles moteurs se réduisaient à une paraplégie spasmod
optique droit et le moteur oculaire externe gauche. L'existence de troubles du système nerveux central au cours de la der-
savons quelle variété, suivant la localisation, peuvent revêtir ces troubles , depuis le syndrome du para- clonus jusqu'à la
. C'est dans les signes d'une paraplégie spasmodique accompagnée de troubles de la sensibilité, que se résumaient dans notre
se résumaient dans notre cas les phénomènes spinaux ; et comme les troubles sensitifs prenaient parfois en certaines régions,
ui peut survenir à la suite d'infection, d'intoxication et d'autres troubles généraux. Or c'est précisé- ment le cas dans le
le motriceréagit par la dissolution de sa substance chromatique. Ce trouble cellulaire dure environ 1D jours, puis tout rentr
e réagit aussi par la dissolution de la substance chro- matique. Ce trouble cellulaire est même plus précoce que dans la cell
ôles de la cellule ? On bien est-ce par le gonflement ou les autres troubles dans la substance achromatique que le noyau est e
un instant. Il faudrait sans doute pouvoir tenir compte des autres troubles de la partie achromatique du protoplasma pour c
au, mais à l'heure actuelle on ignore abso- lument la nature de ces troubles . Il nous semble que dans la théorie de la migra
45 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
inence d'urine des enfants. Thèse de Paris, 1889. 1 J. Janet. Les troubles ]Jsychopathiques de la miction. Thèse de Paris,
s du crâne, de la face, de la voûte palatine et des oreilles. Les troubles névropathiques auxquels ils sont sujets débutent
pour nous, l'incontinence qui débute dans l'en- fance est due à un trouble fonctionnel du cerveau avant quelque rapport av
la nature psychique de ce syndrome et de son analogie avec certains troubles psychiques de l'hystérie ? : ' Une seule sugges
survenues pour la première fois dans l'intervalle, sans causer de troubles . 21 décembre 1893.- Elle revient parce que depu
tique et névro- pathe, onirodynique, m'a été amenée depuis pour des troubles hystériques en rapport avec l'évolution menstru
e faire sans souffrance. La rechute doit ètre mise sur le compte du trouble de la menstruation, les sensations utérines ano
ne véritable maladie fami- liale. L'incontinence est l'effet d'un trouble psychique analogue à quelques-uns de ceux que l
iques de la peau doivent être accompagnés, au moins fréquemment, de troubles de la sensibilité. C'est pourquoi l'on doit, da
ovenkoff a pu constater que la plupart d'entre eux présentaient les troubles sensitifs caractéristiques de l'hystérie. Expos
ue chacune des grandes névroses énumérées a pour cause immédiate un trouble particulier de l'économie ner- veuse et que ces
ux les cellules de Purkinje avaient disparu, peut-être par suite du trouble apporté dans la circulation. Cet angiome du c
s la circulation. Cet angiome du cervelet n'avait déterminé aucun trouble fonc- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1)1 tionn
rreurs nocturnes, des vertiges, des phobies de toutes variétés, des troubles digestifs, des paresthésies associées en un cor
ils veulent en faire une nouvelle psychopathie. Pour nous c'est un trouble d'origine hystérique, rien de plus. En effet, e
s sensibles. Violentes douleurs spontanées dans tous les mem- bres. Troubles passagers de la vessie et du rectum. Accidents du
ander si la névrose n'a pas un rapport purement accidentel avec les troubles locaux, et si les deux éléments (fonctionnel et
nnel et organique) ont une source com- mune dans la syphilis. Les troubles locaux n'apparaissent que dans le cours et dans l
rritation spinale soit sous la dépendance de la syphilis. Quant aux troubles locaux, ils appartiennent à ceux qu'il faut imp
urasthénique ; par J. ALTAQ.1S. (L Siglo medico, mars 1895.) , Le trouble le plus habituel est l'impossibilité de fixer lon
cela dû à la congestion passagère des procès ciliaires par suite de troubles vaso-moteurs neurasthéniques. F. BOISSIER. RE
(six hom- mes et une femme) atteints d'épilepsie idiopathique avec- troubles psychiques consécutifs aux accès. On a donné l'
ble : humeur plus paisible, disparition des phases d'agitation. Les troubles provoqués par l'administration de l'opium, à ha
ues, décembre 1895.) E. B. VIII. Alimentation thyroïdienne dans LES troubles mentaux ; par le Dr CLARKE. L'auteur a expéri
sur un fonds commun qui semble être l'émotivité morbide. Les divers troubles qui accompagnent les obsessions : aboulie, trou
e. Les divers troubles qui accompagnent les obsessions : aboulie, troubles sensitifs, anesthésiques, etc., ont servi de base
tions qui, toutes, sont justes à un certain point de vue. Parmi ces troubles , il" en est un sur lequel on n'a pas insisté beau
s'il l'a réellement faite. Dans ces cas, j'ai toujours constaté un trouble plus ou moins prononcé de la mémoire, tant pour
pour apprendre des choses nouvelles que pour évoquer des anciennes, trouble apparaissant souvent antérieurement à l'obsessi
r ces cas. La volonté n'a rien à y voir. Il reste donc seulement le trouble de la mémoire pour en expliquer le développemen
s survint un ictus apoplectique avec hémiplégie droite passa- gère, troubles de la parole. Mort par pneumonie. A l'autopsie, p
signes de dégénérescence psychiques et somatiques et l'absence de troubles intellectuels proprement dits. Les stigmates de
.1'hrladelpltia, 1896. - W. B. Saunders. Veriioogen (P..). Sur les troubles digestifs el hystériques. Volume in-8° de'184 p
'obsessions et de phobie ? . Il y a dans ces cas une combinaison de troubles fonction- nels organiques et de réactions monia
PROGRESSIVE; par M. FÉRÉ. (Joum. de Neurologie, 1896, n° 6.) Les troubles de l'appareil digestif ne sont pas seulement des
es minutes. Les crises douloureuses ne laissent après elles aucun trouble , quelquefois seulement un peu de diarrhée; dans
et que sa mère est également atteinte de migraine ophtalmique avec troubles paralytiques et convulsifs. Chez la petite fill
pport à la folie, un rôle étiologique dont il faut tenir compte. IL Troubles de l'odorat dans la folie. Les troubles de l'olfa
nt il faut tenir compte. IL Troubles de l'odorat dans la folie. Les troubles de l'olfaction ont peu attiré l'attention des c
onique. (American journal of insanily, octobre 1895.) ' E. B. XI. Troubles moteurs dans la folie; par le D1' Richardson. L
raison de croire qu'un usage modéré de l'alcool doive conduire à un trouble mental un individu normal et même, à priori, la
à un âge avancé; mais il n'est pas démontré qu'il s'agisse là d'un trouble fonctionnel, puisqu'on con- naît la fréquence d
la démonstration ne peut venir que de la mise en évidence d'autres troubles pathologi- ques, et avant tout de conceptions d
s. La preuve de la maladie il faut la tirer de la présence d'autres troubles maladifs, de conceptions déli- rantes. 1 M. S
e l'impor- tance que doivent prendre en neuropalhologie l'élude des troubles radiculaires, susceptibles d'expliquer des phén
symptôme le plus gênant de sa maladie, on triomphe rapide- ment des troubles neurasthéniques qui compliquent et aggra- vent
ensi- tive de Leyden, qui subordonne l'incoordination motrice aux troubles de la sensibilité, a certainement gagné du terrai
certainement gagné du terrain depuis que nous connaissons mieux les troubles de la sensibi- lité articulaire et musculaire d
eints de la maladie de Friedreich, c'est-à-dire, des ataxiques sans troubles de la sensibilité. Selon nous les hystériques n
s tabétiques. On devrait trouver un autre mot pour caractériser les troubles de 170 CLINIQUE NERVEUSE. l'équilibre, dont c
if nous avons des raisons pour ad- mettre chez les Friedreich's des troubles de la sensibilité mus- culo-articulaire,'surtou
aucune relation proportion- nelle entre le degré de l'ataxie et les troubles de la sensibilité musculo-articulaire. On peut
Mais il n'existe pas de relation'intime de cause à effet entre les troubles de la motilité et les troubles de la sensibilit
on'intime de cause à effet entre les troubles de la motilité et les troubles de la sensibilité dans le tabes. Néanmoins, com
dination, et chez le tabétique les yeux cherchent à com- penser les troubles de la sensibilité tactile et de la sensibilité
ur but de compenser par la vue et par une attention plus grande les troubles de la sensibilité musculo-articulaire. Le fait
enseigne à l'ataxique, comment il doit s'y prendre pour déjouer les troubles de sa sensibilité musculo- articulaire et arriv
on chez un tabétique par la méthode de Frenkel sont données par les troubles de la sensibilité musculo-arti- culaire. Mais q
nsibilité musculo-arti- culaire. Mais quel que soit le degré de ces troubles une certaine amélioration de l'incoordination s
st en développement rapide, le malade ne pourra pas com- penser les troubles de la sensibilité, puisque ces troubles chan- g
pourra pas com- penser les troubles de la sensibilité, puisque ces troubles chan- gent et s'aggravent pour ainsi dire tous
s'arrête définitivement, le malade s'adaptera plus facilement à ses troubles de la sensibilité musculo-articulaire, et arriv
on étudie les tabé- tiques de près', on peut se convaincre, que les troubles tabé- tiques ne se manifestent, jamais au même
'ataxie, on constate chez nos malades une certaine amélioration des troubles de la sensibilité. Cependant il faut reconnaîtr
nuation du signe de Romberg, on constate peu de changement dans les troubles de la sensibilité. Les douleurs fulgurantes son
a suite de notre traitement des modifications objectives dans les troubles de la sensibilité cutanée. En revanche la sensibi
a des malades chez lesquels l'ataxie s'améliore, pendant que les troubles de la sensibilité ne subissent aucune modificatio
bétiques qu'on veut soumettre au traitement de Frenkel. Parmi les troubles propres au tabes qui défendent le traite- ment
de rendre la marche impossible à la suite de notre traitement. Les troubles articulaires forment donc une contre-indication
i les aveugles en seront exclus. De même les tabétiques atteints de troubles psychiques n'arriveront pas à corriger leur ata
nt, chronique. En effet nos exercices ont pour but de compenser les troubles de la sensi- bilité musculo-articulaire et cuta
che rapide, comment le malade pourra-t-il arriver à s'adapter à ces troubles , qui ne restent pas constants. Il s'épuisera in
ndre les exercices et le malade s'adaptera très vite à ses nouveaux troubles de la sensibilité. Nous avons dit plus haut que
ni de blépharoptose. A aucun moment de sa maladie, il n'a eu aucun trouble du côté de la vessie, ni du rectum. Il n'a jama
184 , CLINIQUE NERVEUSE. dans la région thoracique gauche. Aucun trouble du côté de la vessie, ni du rectum. Pas d'impui
imprime aux genoux et aux articu- lations coxo-fémorales. Seuls les troubles dans les articulations des pieds n'ont pas boug
accentuée. (A suivre. ) RECUEIL DE FAITS. Deux OBSERVATIONS DE TROUBLES VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE; Par Marcel
rne 'des Asiles de la Seine. - Les deux observations qui suivent de troubles vaso-moteurs d'origine hystérique ont été tout
Brain, 1893. * Higier. S7cl·l'élersbu·'s IVocheîischi,ifi, 1894. TROUBLES VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. 187 27 févri
age très serré, au pli du coude, donne, au bout de quatre minutes TROUBLES VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. 189 environ,
doigts sont gros, rouges, totalement raidis. La flexion ou l'exten- TROUBLES VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. 191 sion du
es, s'ils avaient été suffisamment recherchés. Les oedèmes hvsté- TROUBLES VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. '193 riques
ature vespérale, elle tendrait plutôt à atténuer les différences. TROUBLES VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. 191> méni
cence mentale avec attaques hystéro-épileptiques graves, suivies de troubles intellectuels et d'actes violents et automatiques
d'ascension droite, sommet aigu, ligne de descente d'inclinaison TROUBLES VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. 197 moyenne,
n alimentaire chronique, chez un individu n'ayant jamais éprouvé de troubles digestifs, et dont l'état général, d'ailleurs,
, d'ailleurs, est excellent. Il y a donc chez ce malade, en plus de troubles sécrétoires (hyperhydrose) indépendants, en par
partie du moins, des phéno- mènes vasculaires proprement dits, des troubles vaso-moteurs que l'on peut attribuer : 1° pour
férence dans les nerfs périphériques où sa présence déterminait les troubles sensitifs, les atrophies musculaires, les ulcèr
ciation hallucinatoire. Il peut y avoir association concordante des troubles hallucinatoires, l'oeil voyant le personnage que
l est donc logique de considérer l'hallucination elle-même comme un trouble d'origine cérébrale. Une autre preuve delà na
indique bien l'origine et la nature du phénomène. La synthèse des troubles de la sphère auditive peut être repré- sentée p
sphère auditive peut être repré- sentée par le tableau suivant : Troubles . SOCIÉTÉS SAVANTES. 213 214 SOCIÉTÉS SAVANTES
dans sa thèse inaugurale, en 1862, a le premier décrit une série de troubles circulatoires aboutissant à la gangrène symétri
ains cas atypiques les douleurs sont surtout marquées alors que les troubles circulatoires paraissent insignifiants. La gang
ux, des syphilitiques, des diabétiques, le froid, les émotions, les troubles menstruels ont paru en être souvent la cause.
s hystériques ; aussi croyons-nous que ces phénomènes dépendent des troubles circulatoires vaso-moteurs provoqués par la név
longement de l'internement pour les alcooliques délirants, dont les troubles intellectuels ont disparu. On s'est agité beauc
méliora- lion au début, ne tarde pas à laisser reparaître les mêmes troubles . Les malades ne songent plus absolument qu'à le
pareil digestif est mise en évidence, outre l'état mental, par des troubles de sensibilité de la zone gastrique, et par le re
s grave au point de vue de la vie, mais il est sérieux en raison du trouble apporté dans l'exercice de toutes les fonctions
donne un coup de fouet à la maladie. M. Pierre PARISOT. De quelques troubles psychiques, et particu- lièrement de la transfo
rmation de la personnalité au cours de la démence sénile. - 11, Des troubles psychiques indépendants de toute vésanie peuven
vésanie peuvent se produire au cours de la démence sénile; 2° ces troubles (transformation de la personnalité, conceptions d
éaliser les conditions d'auto-suggestibilité qui donnent lieu à ces troubles psychiques. MM. Pierre PARISOT et Lvy. - Déme
ne, d'ano- rexie et de torpeur cérébrale. M. Laurent. Analyse des troubles psychiques de l'opium fumé.- Les troubles causé
M. Laurent. Analyse des troubles psychiques de l'opium fumé.- Les troubles causés par l'opium fumé durèrent des effets de l'
rdâtre de la peau et coloration noire des urines. Dès ce moment les troubles psychiques et moraux apparurent et abou- tirent
l'état actuel caractérisé par des ictus apoplectiques répétés, des troubles de l'intelligence, de la parole, de la mémoire, d
. Octobre 1896.. N° 10. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE TROUBLES MOTEURS PRÉCÉDANT L'ARTICULATION DE LA PAROLE C
t, ses parents qui n'avaient jamais remarqué chez lui le plus léger trouble de la parole, furent fort étonnés en s'aperceva
Institut où l'on traitait et guérissait le bégaiement il voulut s'y TROUBLES moteurs DE l'articulation DE la parole. 259 ren
de son évolution et on n'a relevé chez ses ascendants directs aucun trouble de la parole. Il n'a jamais eu de vertiges ni d
olisme. Actuellement l'état général est excellent, et sauf quelques troubles dyspeptiques intermittents, suite probable de l
et que le raisonnement et la réflexion n'y prenaient aucune part. TROUBLES MOTEURS DE l'articulation DE la parole. 261 Nou
ée chez lui, nous aurons l'occasion d'en parler longuement avec les troubles moteurs que nous allons décrire. Les phénomènes
er, et ses efforts pour le proférer s'accusenten même temps que les troubles respiratoires et l'agitation des membres s'accroi
r pronon- ciation très ardue et qui sont proférés avec aisance. Les troubles de la parole ne se montrent pas d'ailleurs plus
se déclenche. Pour peu que l'interrogatoire se prolonge, on verra TROUBLES moteurs DE l'articulation DE la parole. 263 bie
le prie de chanter, ce qu'il fait volon- tiers, il n'éprouve aucun trouble du langage, aucune secousse con- vulsive dans l
une sensation profonde de soulagement et de bien-être. La durée des troubles moteurs est loin d'être fixe, et il serait impo
parlé ou un temps relativement long. 264 CLINIQUE mentale. Les troubles respiratoires se montrent en même temps que les
hrase, et cela fait, il prend une ample inspiration, mais les mêmes troubles recommencent et selon la succession des mêmes p
es le ma- lade, se trouvant toujours dans les mêmes conditions, les troubles de la parole et les accidents convulsifs dispar
es dans l'état de A. K... depuis son entrée à l'Asile clinique. Les troubles moteurs étaient, à son arrivée, très accusés, t
dance à diminuer d'intensité; celte tendance s'accenlua de plus en TROUBLES MOTEURS DE l'articulation DE la parole. 265 plu
lsifs semblent se faire depuis quelque temps plus fréquentes. Les troubles de la parole dont nous venons d'esquisser les p
la dis- parition dans le chant de tout phénomène défectueux, les troubles respiratoires très accusés et jusqu'aux périodes
près l'âge de onze ou douze ans ' 1 n. Or, chez notre malade, les troubles de la parole ne sont sur- venus que vers quator
n'ont jamais offert pour notre malade la moindre difficulté. Les troubles moteurs associés au bégaiement ne sont pas extr
une assez grande ressemblance avec les accidents convulsifs dont TROUBLES moteurs DE l'articulation DE la parole. 267 K..
de l'action spécifique du langage articulé dans la pro- duction des troubles moteurs. On a décrit des tics hystériques et le
mouvements coordonnés. Le terrain sur lequel se sont développés les troubles divers que nous avons décrits n'est pas d'aille
grité fonc- tionnelle absolue de la vision; nous n'avons noté aucun trouble dans les autres organes sensoriels et il ressor
s'extérioriser. Quant au mécanisme qui préside à la production des troubles complexes que nous avons décrits, on ne peut en
présentés par notre malade soient assurément sous la dépendance de troubles fonctionnels et que l'épilepsie jacksonienne so
ion des trois centres moteurs de la face, du membre supérieur, du TROUBLES MOTEURS DE l'articulation DE la parole. 269 mem
clonique; à la face la période to- nique existe seule; de plus les troubles moteurs affectent une localisation sinon franch
et l'hypothèse anatomique : si, en effet, on veut bien admettre un trouble provoqué par l'élaboration de la phrase dans le
ion pourrait être rapprochée des nombreux cas de tics compliqués de troubles de la parole, recueillis dans le service des en
articularités ? Les conséquences ? Le malade a-t-iljamais de grands troubles vaso-moteurs (rougeur de la face, pâleur, palpi
ses proches ? 284 li. asiles d'aliénés. Durée des causes ? Le trouble actuel est-il la première attaque ou d'autres ont
? De l'aura ? Des sensa- tions précordiales ? De la dysesthésie ? Trouble de la parole ? Pouvoir de l'attention ? Mémoire ?
ulaires, une anesthésie cutanée assez net- tement circonscrite, des troubles de la miction et de la défécation. A ces symptô
mes primordiaux s'en ajoutent d'autres secondaires et inconstants : troubles trophiques, certains troubles génitaux, certain
d'autres secondaires et inconstants : troubles trophiques, certains troubles génitaux, certaines modifications des réflexes
elques mots sur les principaux caractères de ces symp- tômes : 1° Troubles de la sensibilité. La douleur, ordinairement loca
oelle atteint par la lésion. On observe ordinairement encore divers troubles paresthésiques, engourdissements, fourmillements,
millements, sensation d'un corps étranger dans le rectum, etc. 2° Troubles de la motilité. - Ils se résument en la paralysie
Enfin il peut arriver que des muscles paralysés s'atrophient. 3° Troubles génilo-urinaires. - Les troubles génito-urinaires
muscles paralysés s'atrophient. 3° Troubles génilo-urinaires. - Les troubles génito-urinaires et du rectum ne manquent jamai
Les troubles génito-urinaires et du rectum ne manquent jamais. Les troubles urinaires sont carac- térisés par de l'ischémie
tinence, par suite de paralysie du sphincter, la vessie pleine. Les troubles génitaux sont variables : impuissance, absence
er le tableau clinique actuel noté à son entrée à la Sal- pêtrière. Troubles de la sensibilité ; Douleurs lancinantes, par-
mer ainsi : anesthésie douloureuse à dis- tribution bien définie. - Troubles de la motricité et de la trophi- cité : Le pied
pa- raissent des symptômes généraux de l'hystérie, strangulation, troubles céphaliques, etc., et enfin viennent parfois, non
tes et grosses comme des oeufs de poule. Suivant l'impor- tance des troubles vaso-moteurs, la peau est blanche, rosée ou vio-
e de jours sans phémonène prémonitoire. Paraly- sie des sphincters. Troubles dissociés de la sensibilité remontant jusqu'au
nts nerveux syphilitiques, enlre autres une hémiplégie faciale avec troubles de la sensibilité des membres inférieurs, -dont
ains muscles, réflexes conservés, réac- tions électriques normales. Troubles de la sensibilité nettement hystériques, incont
due à une prolifération considé- rable du tissu fibreux. Quant aux troubles de la sensibilité, qui manquent dans la myopath
ré l'endartérite oblitérante de plusieurs gros vaisseaux. Quant aux troubles de la sensibilité, on les comprend en remarquan
e niveau, atteignent supérieurement deux racines diffé- rentes, les troubles moteurs et sensitifs sont également dénivelés à
sinage du foyer, de là l'hyperes- thésie du territoire innervé. Les troubles syringomyéliques, eux, ont une explication moin
n quelques semaines la malade -devient complètement impotente, puis troubles vésicaux et rectaux. Au mois d'octobre 1896, la
signe de Romberg. Conservation des réflexes patellaires. Absence de troubles de la sensibilité générale et spéciale, sauf en
spéciale, sauf en ce qui concerne la vue. La malade voit les objets troubles , confus, elle n'a plus de diplopie. L'examen op
'il n'y a ni contracture, ni exagération des réflexes tendineux, ni troubles vésicaux ou rectaux. Ce sont précisément ces ca
nique est conservée. La malade est triste et irritable. Aucun autre trouble nerveux. Bord libre des gencives saignant, ramo
, plus rapide- ment à droite qu'à gauche, le septième mois tous les troubles sen- sitifs avaient disparu. Quant à la motilit
alement la nuit, pen- dant le sommeil. 11 ne se produisit jamais de troubles trophiques. Le point intéressant de cette myéli
umeur cérébrale ET SUR LES rapports DES TUMEURS du cerveau avec LES troubles psychiques; par le De Luhrmann. (Allg. Zeitschr
, t. LU, fasc. 4.) Les tumeurs du cerveau peuvent donner lieu à des troubles psy- chiques dont la physionomie clinique est b
as de traces. Mais une deuxième attaque survient, qui est suivie de troubles psychiques (inquiétude, anxiété). Un accès de c
mes caracteristiques d'une lésion en foyer (maux de tête, parésies, troubles de la parole). Ces symptômes dispa- raissent so
iguë. Chez le sujet en question la tumeur existait dès le début des troubles psychiques et ne s'est pas montrée consécutivem
lésions en foyer du cerveau sont capables de déterminer certains troubles psychiques et plus particulièrement des états man
ne tendance au sommeil. Jastrowilz déclare qu'il est une forme de trouble psychique, un état de démence avec excitation et
limitée au niveau de la tempe gauche, les phénomènes de parésie ( troubles de l'articulation, parésie dans le domaine du ner
èse que les altérations osseuses de la maladie de Paget étaient des troubles trophiques dépendant de lésions médullaires. Il
voir durcie, on trouve des lésions des cordons postérieurs qu'aucun trouble , pen- dant la vie, n'avait pu faire prévoir. En
n de Bicêtre. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, 1895, na 4.) Les troubles trophiques du système pileux, à la suite de chocs
nt généralement vite et sans trai- tement. On peut supposer que ces troubles trophiques sont d'ori- gine nerveuse, mais il e
ce processus sont encore assez obscures : peut-être y a-t-il là des troubles trophiques dus à des modifications du système s
ophiques dus à des modifications du système sympathique ou bien ces troubles sont-ils plus directement en rapport avec les a
le tabes des altérations périphériques remar- quables, c'est que le trouble résultant des altérations les plus pri- mitives
e leur longueur, de la cellule jusqu'aux terminaisons, parce que le trouble trophique résultant de la diminution de l'énerg
sujets pendus on observe parfois des convulsions, de l'amnésie, des troubles psychiques passagers, et l'amélioration de psyc
t donc les manifes- tations ci-dessus (crampes et amnésie) pour des troubles hysté- riques, c'est-à-dire d'origine psychique
ement des attaques paraissant de nature hystérique; il présente des troubles caracté- ristiques de la sensibilité ; l'accès
econd chapitre (cinquième de l'ouvrage entier) comprend l'étude des troubles élémentaires de l'esprit, classés en quatre gra
Serrigny (René) : Psychoses génitales. Contribution ci l'étude des troubles men- taux dépendant des affections utérines. M.
lsdruckerel Bericluhans. SEEUGMANN (A.). Contribution à l'étude des troubles mentaux consécutifs aux opérations gynécologiqu
se servir de ses mains. On était forcé de la nourrir. Peu à peu les troubles dans les extrémités supé- rieures diminuèrent,
he. Rien d'anormal aux articulations. Sensibilité. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité cutanée. La malade sent le mo
oncé à gauche et à droite. Motilité. Jambe droite. Il n'y a aucun trouble d'incoordination dans celte jambe. La malade ex
otuliens et cutanés plantaires sont absents des deux côtés. -Pas de troubles du côté de la vessie, ni du rectum. Rien d'anor
r à la langue, au goût, à l'odorat. La malade a toutes ses dents. Troubles de la sensibilité.- Le toucher. - La malade ne se
Les réflexes rotuliens et plantaires sont absents. Il n'y a pas de trouble du côté de la vessie, ni du rectum. La ma- lade
ne modification dans les autres symptômes du tabes. Notamment les troubles de la sensibilité cutanée et profonde (articulair
mouvements, aussi lui arrive-t-il de tomber fréquemment. La vue se trouble , un léger brouillard apparaît devant les yeux.
paraît devant les yeux. Elle n'a pas eu de diplopie, ni aucun autre trouble oculaire. La malade n'a présentéaucun trouble d
lopie, ni aucun autre trouble oculaire. La malade n'a présentéaucun trouble du côté de la vessie. Il y a deux ans elle avai
s réflexes rotuliens et plantaires sont complètement abolis. Aucuns troubles des sphincters. Coeur et poumons normaux. Estom
s cessent brusquement. En février 1893 premiers symptômes d'ataxie. Troubles de la marche débutant par de la fatigue; lassit
CLINIQUE NERVEUSE. sans appui et sans se tenir aux meubles, légers troubles de la vue amaurose passagère). Soumise alors au
t moyenne, l'humeur très égale, plutôt gaie. Aucune anomalie, aucun trouble trophique de la peau ou de ses annexes, les den
. Les yeux sont facile- ment larmoyants. Du côté de l'ouïe quelques troubles se manifes- tant par des vertiges fréquents, un
tuse. Le pincement et la piqûre sont toujours con- fondus. Tous ces troubles existent aussi au tronc, mais peut-être moins a
ent abolis. Le réflexe rotulien, comme le réflexe plantaire. Pas de troubles du côté des sphincters. Commencement du traitem
même les plus compliqués, il n'y a aucune modification du côté des troubles de' la sensibilité, tant cutanée, que profonde
ires et crémastériens sont abolis des deux côtés. Il n'y a pas de troubles du côté de la vessie, ni du rectum. 11 rr'v a q
s. Ac- tuellement, il a des selles régulières tous les jours. Les troubles de la sensibilité cutanée et profonde (musculaire
n effort quelconque ou s'il est émotionné. 11 n'existe pas d'autres troubles de motilité, ni de sensibilité aux membres supé
que dans les autres articu- lations des membres supérieurs. Aucun trouble d'incoordination motrice dans tous les mouve- m
surtout les mouvements d'adduction et d'abduction de la cuisse. Ces troubles sont à peu près égaux à gauche et à droite. Les
travail qui n'a jamais été traduit du russe, avait pour titre : Un trouble de l'activité psychique dans la paralysie alcooli
té psychique dans la paralysie alcoolique et ses relations avec les troubles analogues dans la névrite multiple non alcooliq
dt (1886), Oppenheim, la même année, avaient signalé la présence de troubles mentaux chez les alcooliques et, de plus, loin
er une origine certaine dans les centres nerveux. j) En effet, le trouble de la mémoire qui constitue presque en entier l
ion et d'aperception (Wundt), c'est-à-dire que ce n'est pas tant un trouble de la mémoire qu'une altération de l'attention
et changeant, accom- pagné de modifications pupillaires, mais sans trouble marqué de la parole. L'un de ces malades a guér
(l1l/ll. de la Soc. de Méd. ment, de Belgique, juin 1895.) XXIV. Troubles psychiques après l'opération DE la cataracte; par
4.) \ Le médecin aliéniste a rarement l'occasion d'observé; des troubles psychiques consécutivement à l'opération de la ca
érente, veulent arracher leur pansement, insultent l'entourage. Ces troubles ne se produisent que le soir et durent toute la
marquer que dans tous les cas où il s'est agi de malades jeunes les troubles psychiques ont duré long- temps, parfois leur a
portant dans la patho- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 385 génie des troubles psychiques observés aux lésions des nerfs du gl
des nerfs (névralgies) et les psychoses et les faits déjà connus de troubles psychiques consécutifs à des blessures du globe d
cacher dans des endroits où on ne pouvait le trouver. A quinze ans, troubles uri- naires particuliers ; dès qu'il se sentait
sations d'Heusen, Walkers et V. Gellucliter., étudie les différents troubles oculaires qu'on observe dans la périencéphalile
des extrémités des membres inférieurs; ataxie faciale marquée avec trouble extrême de la parole; crises épilep- tiformes a
e. Pas de symptômes oculaires fixes nets.'Pas de contractures ni de trouble de la motilité ni de la sensibilité; marche et
morale; b) ceux qui ne présen- tent ces symptômes que par suite de troubles survenus dans leur activité psychique; 6° au po
git d'un déséquilibré avec idées de persécution, idées de grandeur, troubles de la sensibilité générale, et dont le délire ne
ALE. 391 d'influences malfaisantes. En réalité il divaguait sur les troubles de la sensibilité générale qu'il ressentait. Vo
musculaires correspondants. A la suite de cette opération, tous les troubles de perversion morale et alfec- tive cessent, ai
bservations et des nécropsies il semble résulter que les soi-disant troubles trophiques seraient plutôt des symptô- mes d'in
cas confirmatifs de cette 394 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. absence de troubles trophiques cornéens, malgré l'ablation du gangl
sez affaiblie. La mimique est aussi affaiblie en raison directe des troubles intellectuels. Tels sont les signes cliniques q
e diagnostic de l'aphasie consiste : 1° à reconnaître l'aphasie des troubles qui peuvent la simuler ; 2° à distinguer entre el
istinguer entre elles ses diverses variétés. Le diagnostic avec les troubles du langage des paralytiques généraux, bulbaires
. L'aphasie transcorticale est hypothétique. Il existe encore un trouble désigné par Bertin sous le nom de dyslexie qui
facile à distinguer de l'aphasie sensorielle vraie, tiendrait à un trouble fonctionnel au niveau du pli courbe. M. Miral
rait dû être atteint d'agraphie pure, mais fobservation indique des troubles de la parole avec ceux de l'écriture. Enfin M.
ent par leur bouche ; mais auparavant on observe ici, en règle, des troubles sensoriels multiples, essentiels et primitifs,
le, des troubles sensoriels multiples, essentiels et primitifs, les troubles psy- chomoteurs étant secondaires, tardifs et m
ble pour un dia- gnostic précis. En effet, chez les persécutés, les troubles de la sensibilité générale et viscérale peuvent
vier 1889. 422 CLINIQUE MENTALE. tive des idées délirantes et des troubles psycho-sensoriels qui les accompagnent. Ces t
antes et des troubles psycho-sensoriels qui les accompagnent. Ces troubles primitifs de l'idéation s'appuient, souvent, sur
délirante des tendances parti- culières natives de l'individu. Ces troubles de la sensibilité générale n'entament pas la pe
de défense, de résis- tance. C'est eux-mêmes qu'ils accusent et les troubles psycho- moteurs initiaux montrent que les lésio
bat qui se passe hors d'eux-mêmes, et présententspulement, avec des troubles sensoriels différents, de nouvelles altéra- tio
exaltée la prédominance d'hallucina- tions visuelles aux dépens des troubles auditifs prédominant au contraire dans les autr
frappant et typique de ce genre de phénomènes hallucinatoires. Ces troubles manifestes dans la sphère visuelle n'excluent p
et transportés par lévitation au sein de la divinité. C'est là un trouble de la sensibilité générale analogue à celui du tr
. On peut même observer, au cours de ces phénomènes extatiques, des troubles de la sphère génitale pouvant aller jusqu'à l'o
si, les phénomènes psycho- moteurs se mettent-ils d'accord avec les troubles sensoriels prédominants en dernier lieu (vision
LIGIEUSES. 433 contraires se contre-balancent en quelque sorte, les troubles psycho-moteurs peuvent apparaître. On peut alor
x ; c'est une autre épileptique qui, placée à l'hospice de Vendôme, trouble la tranquillité de l'établissement et incommode
e localisée. Le résultat est tou- jours le même, il consiste en des troubles multiples du fonction- nament de la moelle. Voi
t plus possible. Un traitement approprié commence la guérison des troubles dyspeptiques et le tremblement disparait avec eux
vice a la mer, mais sur un navire à l'ancre et ne naviguant pas. Le trouble urinaire reparaît, mais un peu différent. L'uri
fait impossible. Il se passe là, en somme, ce qui se passe dans un trouble analogue du rectum, dû également à des contractio
ué d'un seul coté. Rien d'anormal du côté des sens spéciaux, pas de troubles vésicaux, ni rectaux. A l'hôpital, l'affection
on diagnostic d'une façon absolue. CAMUSET. LII. DE l'influence DES TROUBLES DE l'innervation sur la localisa- TION ET LA MA
t eux, voulu savoir s'il existait une relation quelconque entre les troubles de l'innervation du rem et la localisation et l
ur les désigner par un nom : ces chorées en- globent la plupart des troubles moteurs vulgairement et vague- ment désignés so
en laryngoscopique de-23 hémiplégiques qui, par l'existence soit de troubles du langage, notamment de dysarthrie, soit de dy
ie ou de paralysie du voile du palais, semblaient devoir offrir des troubles laryngés. Or, chez 19 de ces malades, l'examen
les laryngés. Or, chez 19 de ces malades, l'examen n'a révélé aucun trouble des mouvements des cordes vocales; chez 4 seule
mouvements des cordes vocales; chez 4 seulement il y avait quelques troubles inté- ressant la corde vocale droite. Les reche
es sensitifs à topographie nettement radiculaire; 2° dans G cas des troubles sensitifs à topo- graphie médullaire ; 3° dans
agit d'une expertise très facile au sujet d'un cas d'épilepsie avec troubles mentaux caractéristiques ; ce qui la complique un
nd l'anthropologie complèle de l'accusé et une vraie 1-çoti sur les troubles mentaux dans l'épilepsie, avec examen cri- tiqu
Selon lui, l'absence de la faux du cervelet est l'expression d'un trouble pathologique important, cette anomalie s'accompag
va sans dire qu'il distingue la nervosité de la prédisposition aux troubles psychiques. D'ailleurs les difformités crânienn
que l'administration des bains dans la salle peut être une cause de trouble . M. FREY (Schwetz). Désodorisation par lu forma
ulations des extrémités; pupilles rétrécies, réagissant mal, pas de trouble de la parole, réflexe du genou normal. Démence
STYLO(DE chez les anor- maux, par Zuccarelli, 315. Articulation. Troubles moteurs pré- cédant l' - de la parole, par Pla-
ment de il- par la mé- thode de par Habbas, 61 ; Davenport, ! i2. Troubles L'antri- ques dans l' -, par Féré, 120. Epile
MOE chez la femme, par illelge, 318. Infectieuses. Influence des troubles de l'innervation sur les maladies - , par Tra
OI'IITALIIOPLG1E externe, par Ray- mond et Souques, 46. Opium. Troubles dus il l'- fumé, par Laurent, 253. Os. Fragil
socmnmnrc. Sereice - dans les prisons par Moiel, 158. Psychiques. Troubles après l'o- pération de la catat acte, lar l.owy
érapeutique. Revue de -, 57. Thyroïdien. Alimentation ne dans les troubles mentaux, par CIarl.e, 64. De la médication ? ne
46 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
874, cherche à établir que la folie à dou- ble forme est due iL des troubles trophiques. L. Kirs, en 1878, range la folie ci
déclara 20 ' THÉRAPEUTIQUE. être atteint depuis la années d'un trouble de l'écriture, qu'un neurologiste diagnostiqua
s'amplifie également sous l'influence des émotions. Tels sont les troubles dont le malade souffre depuis 15 années, avec d
nsoriels et psychiques, dans les formes d'épilepsie déterminant des troubles du caractère et de la conscience, sans crises con
auche. Le réflexe plantaire était dimi- nué du côté droit. Pas de troubles de la sensibilité, sauf au niveau du pied droit
t une aholition complète de la sensibilité à la cha- leur. Pas de troubles sphinctériens. Atrophie très légère des muscles
ntes. Parmi les lésions cérébrales microscopiques accompagnées de troubles mentaux.il en est qui sont franchement inflammato
ychoses purement toxiques. Les psychoses d'origine toxique sont les troubles mentaux pro- duits par l'action du poison sur l
d'individus ayant présenté des affections diverses accompagnées de troubles men- taux, Faure et Laignel-Lavasline n'ont pas
i, etc., au cours de divers empoisonnements accompagnés ou non de troubles mentaux appréciables. 11 ne paraît pas possible,
ellulaires profondes, et qu'aueou- traire, une longue maladie, avec troubles mentaux plus effacés, peut aboutir insidieuseme
es et cliniques, il de-, ient nécessaire de rechercher la série des troubles tabétiques dans tous les cas de démence précoce
ni) ; 7° dans l'obésité, dont la pathogenèse est souvent liée à des troubles fonctionnels de l'hypophyse (lrowUich-L'uchs/ ;
onctionnelle de toutes les sécrétions. Noire hypothèse explique les troubles qui se vérifient pendant le sommeil dans les ma
ypophyse et les glandes génitales (Fichera) on pourra expliquer les troubles du sommeil dus aux modifications de la ie sexue
ques des voies nasales avec l'hypophyse (Lyon) expliquent enfin les troubles du sommeil, jusqu'à présent inexpliquabtes, d'o
s. Pour ( Illpenlreim et Israël les lésions constatées seraient des troubles agoniques et ils insistent sur la fragilité ext
E. 39 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1, - Contribution à l'étude des troubles physiques particuliers dans l'état de stupeur ;
u'il purgeait en prison une condamnation pour crime politique, de troubles mentaux (hallucinations, idées de persécution, co
e fu- gace) ; par Antheaume et PARROT. (L'Encéphale 190fi, n" 1.) Troubles mentaux survenus chez un psychopathe constitution
. L'auteur rapporte l'observation d'un malade chez qui les premiers troubles se mon- trèrent en décembre 1887. A ce moment.o
ubles se mon- trèrent en décembre 1887. A ce moment.on constata des troubles mentaux (excitation maniaque, affaiblissement i
eur) et des signes physiques (dysarthrie, tremblement de la langue, troubles de l'écriture). L'état maniaque a disparu, mais
troubles de l'écriture). L'état maniaque a disparu, mais les autres troubles ont persisté ; le malade a pu néan- moins se ma
pu néan- moins se marier. En novembre 1904, la dys.lrth1'Íc et les troubles de l'écriture se sont accentués, il y a de l'in
délire fébrile proprement dit, qui ne se caracté- rise que par des troubles intellectuels, une confusion simple des idées s
maladie do 11av1ecsLexceptionnelle. L'impaludisme n'occasionne des troubles délirants que dans ses formes chroniques et pour
, (;, Le saturnisme chronique prédispose d'une façon spéciale aux troubles psychiques éthyliques. On admet assez généralamen
une cause fréquente de la folie sous toutes ses formes, surtout des troubles iL caractère démentiel et 46 REVUE DE PATHOLO
' L'insolation dans les pays chauds semble causer fréquemment des troubles intellectuels il semble y avoir de nombreuses cau
ant cessé l'ilJ11dclI1entcL sans amener l'apparition d'aucun attire trouble mental, comme cela se voit souvent lorsqu'il y
e un état anliloxique spécial, dé- terminé suivant Kraepelinpar des troubles dans les échanges nu- tritifs, pouvant réaliser
Hémiplégie avec paralysie du moteur oculaire commun du même côté et troubles splainctériens. 11. Cantonnet. Homme, trente an
y (de Trêves). M. K. est née en 1889. En août 1900, elle souffre de troubles stomacaux, de douleurs de tête et de ven- tre.
u lieu de s'installer d'emblée, a été précédé et préparé par divers troubles somatiques et psychi- ques, ce qui est le cas l
ée (Anglade) ; aucune notion ne se dégage encore de leur étude. Les troubles pupillaires sont fréquents, mais variables plig
oit apparaître aussi comme un syndrome,) ! . Mas- selon analyse les troubles élémentaires de l'esprit communs à tous les éta
d'un symptôme se retrouvant par- tout où se trouve le symptôme. Ces troubles de l'esprit sont dhi- BIBLIOGRAPHIE. 55 ses
s de l'esprit sont dhi- BIBLIOGRAPHIE. 55 ses en i groupes : 1° troubles intellectuels ; 2° troubles volon- taires ; 3°
BIBLIOGRAPHIE. 55 ses en i groupes : 1° troubles intellectuels ; 2° troubles volon- taires ; 3° réactions affectives : 4° dé
volon- taires ; 3° réactions affectives : 4° délire. la Dans les troubles intellectuels, le phénomène le plus appa- rent
lle est possible lorsque le malade est capable d'effort mental. Les troubles de la synthèse se réduisent aux troubles de l'é
pable d'effort mental. Les troubles de la synthèse se réduisent aux troubles de l'évocation des idées : l'application de nou
ffective, est en- core pauvre dans son sein ». Reste à savoir si le trouble del'évo- cation est primitif ou le résultat d'u
s images mentales. L'atten- x tion est spontanée ou volontaire. Les troubles de la première ne se différencient pas des trou
volontaire. Les troubles de la première ne se différencient pas des troubles généraux de l'activité intellec- tuelle : elle
umé, le ralentisse- ment psychique des mélancoliques se ramène à un trouble d'évo- cation des idées. Ce trouble ne paraît p
es mélancoliques se ramène à un trouble d'évo- cation des idées. Ce trouble ne paraît pas toujours, comme pré- tend Schule,
'une inhibition créée par la douleur morale (2 observations). Comme troubles intellectuels, il y a en- core les troubles de
(2 observations). Comme troubles intellectuels, il y a en- core les troubles de la sensation et de la perception. La sensibi-
a sensibi- lité est presque toujours affectée ; mais il s'agit d'un trouble cen- tral plutôt que périphérique, trouble de l
ée ; mais il s'agit d'un trouble cen- tral plutôt que périphérique, trouble de la perception de l'im- pression ; les troubl
que périphérique, trouble de la perception de l'im- pression ; les troubles de la perception (imprécision vague, im- possib
ence des précédents (sensation, attention et images). 2° Dans les troubles volontaires, les phénomènes moteurs sont caract
iblissement des images motrices). L'aboulie est conditionnée par le trouble des éléments psychiques qui concourent aux acte
ire, la douleur est antérieure au délire ; elle a pour origines les troubles de la coenebthésie et l'arrêt psychique (Séglas
es causes déprimantes et créatrices d'épuisement cérébral. Et ces troubles somatiques peuvent engendrer un état psychique, c
ques ou non (syphilis, tuberculose, fièvre thyphoïde, vérole, etc., troubles , alcool, morphine, opium haschich, etc.) b) ind
s mois après l'entrée, il présenta du « délire inconscient », des « troubles in- tellectuels ». Interné ultérieurement à l'a
st la lésion de ces derniers centres que les auteurs rattachent les troubles car- diaques qui ont entraîné la mort. Les li
essus surajouté (paralysie générale), on vit apparaître de nombreux troubles de la coordination, surtout du côté droit. On a
einte d'idiotie et d'épi- lepsie congénitales, ne présentait pas de troubles de la locomotion, et, dans les attaques, la chu
de Médecine de Montpellier. Pour établir une revue d'ensemble des troubles oculo- pupillaires de la paralysie générale, il
e,et, à chacune de ces périodes, étudier suc- cessivement. : 1° les troubles pupillaires; 2° les trou- bles visuels ;- 3° le
l'oeil; 5° les symptômes oculaires accessoires. Première période, TROUBLES PUPILL 11RES. -y L'inégalité des pupilles est l
u double, suivant qu'il y'a ou non inégalité pupillaire; c'est un trouble paralytique et non spasmodique. En effet, l'ins
e dilatée à l'instillation d'atropine est faible et s'accompagne de troubles du réflexe con- sensuel. En revanche, ainsi que
n,puis paralysie de ce réflexe accommodateur, très souvent aussi le trouble oculaire suit une marche irrégulière et les deu
offroy (1) et Shrameck ont insisté avec raison sur l'intérêt de ces troubles pupillaires. Du reste, ces signes se retrouvent
ant un ictus ou il la suite d'un ictus, et dès lors s'accompagne de troubles hémi- plégiques et aussi du blépharospasme et d
e et il est très difficile de se rendre compte de l'existence de ce trouble visuel à cause de l'état du malade. La isolé, s
au début de la paralysie générale, elle n'est pas accompagnée de troubles vasculaircset nutritifs (il on est de même dans
s cas, un signe très précoce du début de la pa- ralysie générale. Troubles de la vision. Ils sont très difficiles à étu- d
auf des cas rares (horloger obligé de cesser (1) HUUN c6 iltott.vs. Troubles de la vision et Traité de palholo- gie générale
lis, la vue est conservée presque intacte jusqu'à la fin (1). Les troubles visuels du paralytique général, lors- qu'ils ex
sus-orbitairc, vomissements), ou accompagnée (mêmes symptômes avec troubles passagers d'Itr : nZio21e ou d'aphasie ou d'épi
ortance du scotome ou lacunes du champ visuel consiste en ce que ce trouble est fréquent surtout chez les intoxiqués par le
es de la rétine. Deuxième période. - Tandis qu'à la première, les troubles oculaires présentent une intermittence et une v
et des ictus plus ou moins fré- quents, à la deuxième période, les troubles pupillaires deviennent presque toujours définit
sclérose en plaques ; 2' Incomplète, et c'est (1) Baux et Morax. - Troubles de la vision, in Traite de patho- logie général
tic. La déco- loration commence par le côté temporal. Lorsque ces troubles débutent, l'aspect trouble et louche de la papill
mence par le côté temporal. Lorsque ces troubles débutent, l'aspect trouble et louche de la papille lui a fait donner le no
e général, lorsqu'elle existe, de l'atro- phie du tabéliqite et des troubles visuels dans l'alcoo- lisme chronique . En même
paralysie générale, se vérifie en général cette loi que, « si les troubles de la vision ne suivent pas une marche parallèl
l'oeil évoluent parallèlement aux lésions du cerveau.» ·> Les troubles pupillaires sont très nets et immuables , qu'il
néral aux divers stades de sa maladie. Cette revue d'ensemble des troubles oculo-pupillai- res dans la paralysie générale
ne surviennent qu'à la fin. De sorte que le ta- bleau clinique des troubles visuels du paralytique géné- ral est complet qu
es va- riables conditionnés par la méta-toxi-infection et par des troubles physiques progressifs régis par altérations para-
en cherchant, dans le sang et dans les humeurs, une explication des troubles mentaux. La recherche des microbes porta sur 20
l'énormité de la tare nerveuse et à l'intensité des lésions et des troubles fonction- nels du système nerveux. Sans doute
la digestion, le repos ou l'exercice, le régime lacté ou mixte, les troubles vasomoteurs (états émotifs, hallucina- tions),
céphalalgies, bourdonnements d'oreille, som- nolences ou insomnies, troubles du caractère, fatigue physique et mentale rapid
dysarthrie, de ladysphagie, durire et des pleurs spasmodiques, des troubles psychiques, donnent assez souvent aux hémiplégi
uvénile, avec ou sans quelques modifications symptomatiques ; les troubles mentaux seraient plus constants et plus rapides.
ce d'insuffisance fonctionnelle par le fait de l'athérome. 2° Les troubles mentaux de l'artério-sclérosL'\ spéciale- ment
et des conceptions. Les formes graves se manifesteraient par des troubles mentaux sérieux ayant pour caractère do- minant
rde très longtemps conscience de son état. Ces diverses variétés de troubles mentaux de l'artério - sclérose s'accompagnent
stion complexe du cerveau sénile. C'était de considérer d'abord les troubles psychiques qui, lorsqu'il s'agit du cer- veau,
rations anatomiques. Il est vrai que le rapporteur, s'il a mis les troubles psychi- 120 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES E
s,des accidents convulsifs, mais encore par des trem- blements, des troubles delà réflectivité, de la sensibilité gé- nérale
inski se produit, habituellement, en flexion. Les tremblements, les troubles sensoriels et sen- sitifs, etc., ont été passés
ls et sen- sitifs, etc., ont été passés sous silence. Pourtant, les troubles de l'olfaction, de la vision et de l'audition s
s qu'aux états lacunaires corres- pondent plus particulièrement les troubles de la motilité, de la sensibilité, de la réflec
est pas moins très accusé. On ne peut interpréter correctement ces troubles de la marche des séniles 122 CONGRÈS DES MÉDE
ie aux lacunes, la faculté d'être, dans certains cas, l'origine des troubles mo- teurs, et dans l'espèce de paraplégies. A
signale étaient confirmées, on pourrait conclure qu'il s'agit d'un trouble de l'automatisme moteur, de la marche inconscie
giques lacu- naires forme, en effet, un contraste frappant avec les troubles de la marche ; il était très intéressant de sig
attaque dans ses différen- Les variétés, paralysies etcontractures, troubles sensitifs, mu- tisme, accidents viscéraux, somn
es hysté- riques. 1 Quels que soient les actes commis pendant les troubles men- taux associés aux attaques : hallucination
minel par suite d'impulsions déréglées, sans qu'on puisse parler de troubles mentaux proprement dits. Quelquefois l'automati
a solution souvent adoptée par les experts lors- qu'il n'y a pas de trouble pathologique évident au moment de l'acte. La lo
nomètre est un instrument qui permet de constater et de mesurer les troubles du système nerveux dans un certain nombre de ma
qui le provoque et son intensité doit être mise sur le compte des troubles de sensibilité de la muqueuse. Les efforts de tou
Neurologie (Rennes, août 1905), nous avons décrit et expliqué les troubles respiratoires des tabétiques, précisément par l'i
cisément par l'in- coordination des muscles du cou et du tronc. Les troubles de la miction et de la défécation s'expliquent
. Si l'incoordination des muscles des membres inférieurs produit le trouble de la marche, si l'incoordination des muscles d
si l'incoordination des muscles des membres su- périeurs produit le trouble de l'écriture et de la préhension, - il n'est p
rdination des mus- cles du bassin et du périnée se traduise par les troubles de la miction et de la défécation, - que l'inco
, - que l'incoordination des muscles thoraciques se traduise par le trouble de la respira- tion, et que l'incoordination de
AlberLoni. Enfin l'iodure de calcium peut produire un phénomène qui trouble l'expérience, en provo- quant une congestion de
choses aiguës, comment ce pouvoir 'augmente ou diminue, et parquets troubles somatiques il est ac- compagné. Les recherches
s parents soumis à l'intoxication alcoolique peut occa- fionner des troubles de l'évolution ovulaire régulière, troubles (lu
peut occa- fionner des troubles de l'évolution ovulaire régulière, troubles (lui se traduisent par des arrêts où des anomal
i. .1. S. XXVIII. Sur la- manière de faire un examen objectif des troubles nerveux dans les traumatismes; par LoRsrNwo Ros
atérielles ou dy- namiques des cellules des cornes antérieures, des troubles vaso- moteurs, des arthropathios fréquentes.-\l
s résultais. In-S" de 32 pages. Imp. Levé, Paris. CHEIIVlN. - Les troubles de la parole. lit-8* de 16 pages, .\S80' ciatio
sous la dépendance d'une intoxication par le brome ; d'autres, des troubles mentaux, d'une interprétation plus difficile ;
malade, si tels phéno- mènes de compression traduisent seulement un trouble fonctionnel, ou encore si tels autres traduisen
ont diminués, les réflexes cremasteriens abolis. 11 n'existe pas de trouble de miction ou de défécation. On le traite dans
la marche des membres inférieurs sont absolument normales. Plus de trouble desensibilité, le sens mus- culaire est revenu
asmodicité, avec clonus et extension des doigts sur la présence des troubles sphinctériens et sur un commencement de syndrom
'il traduisait une lésion de dégé- nérescence, mais tout au plus un trouble fonctionnel du faisceau pyramidal. (1) Tumeur
riche de détails, concernant plus de la moitié des maladies ou des troubles psychiques que nous observons, et dans lequel l
élire avait amenées et, au bout de deux mois, je n'ai quasi plus de trouble intérieur de parole. Nous voici au mois d'octob
ntécédents héreditaÏ1'cs,- Fille d'Espagnols, ne présentant au- cun trouble de la santé ou de l'intelligence, et professant l
malade marche librement (en apparence). Le tabétiqueatteintdeces troubles du tronc, ne saurait être comparé, pour la sémé
entière vers le maintien de son équilibre compromis, ne traduit son trouble . Les esprits non prévenus ne peuvent deviner po
e, a besoin d'un appui presque constant. L'accentuation brusque des troubles , lorsque cet appui manque, ou en face d'une tra
de la sensibilité, du sens des attitudes, on arrive à corriger les troubles du tronc, comme on corrige les troubles moteurs
on arrive à corriger les troubles du tronc, comme on corrige les troubles moteurs des jambes et des bras, depuis 10 ans. po
s techniques que nous avons ré- glées dans ce but; mais la cure des troubles moteurs du tronc dans le tabès est plus longue
étant considéré comme un névropathe, un phobique,et n'ayant pas de troubles moteurs apparents, la iééducation n'a semblé êt
n très petit résultat puisque nos malades n'ont que peu ou point de troubles mo teurs des membres inférieurs, et que leur in
vant qu'ils aient pu obtenir des bénéfices intéres- sants. A chaque trouble moteur doit correspondre un exercice spécial (r
ble moteur doit correspondre un exercice spécial (ruine vise que ce trouble moteur, ne convient qu'à celui-là et reste sans
émotionnelle est très précoce et elle constitue la base de tous les troubles psychiques. Les troubles de 1 atten- tion, l'ap
coce et elle constitue la base de tous les troubles psychiques. Les troubles de 1 atten- tion, l'apathie, l'aboulie,sont dif
es caractères distinctifs. Les lugues sans motif, les grimaces, les troubles de la conduite, les tics, les gestes, les attit
des bizarres, les impulsions subites, l'entêtement opi- niâtre, les troubles psychographiques complètent les tableaux \ clin
te ans, n'a eu, pendant huit mois, comme unique symptôme, que des troubles mentaux spéciaux, puis, deux mois et demi avant s
situées en dehors du corps calleux et qu'en som- me il n'y âge les troubles mentaux qu'on puisse considérer comme un symptô
ymptôme à proprement parler d'origine calleuse. Et encore parmi ces troubles mentaux, il y a un départ à faire. L'obnubilati
ntaux, il y a un départ à faire. L'obnubilation intellectuelle, les troubles démentiels que certains auteurs ont décrits, da
caractéristique, un syndrome mental spé- cial : il consiste en des troubles du caractère, de la bizarrerie dans les manière
de l'intelligence qui peut faire illusion à l'entourage. A part ces troubles mentaux spéciaux pour soupçonner la localisatio
té de fer dans le sang et les viscères vienne à se prolonger, les troubles légers et intermittents qui se manifestent dès le
cours de la paralysie géné- rale, par A. Marie. Appréciation des troubles nerveux au moyen d'un appareil nouveau, le stén
ie vraie el la dystrophie périostale. L'achondroplasie vraie est un trouble de développement du squelette intéressant parti
hysaire et de l'hyperfonction des glandes sexuelles, associés à des troubles des autres glandes sécrétion interne. 1. T. V
en l'évolution parallèle des symp- tômes du côté de l'oreille et du trouble moteur oculaire. Des recherches auxquelles se s
d'une otite, il ne faut pas d'emblée trouver dans l'apparition des troubles oculaires l'indication d'une intervention immédia
ifs : on sait d'ail- leurs combien est riche la symptomatologie des troubles réflexes dans le décours des pleurésies (par ex
e relevant de névrites : il semble (Friedreich) qu'il y ait soit un trouble fonctionnel des cornes antérieures de la moelle,
sculaires et parfois de trépidation épiloploidc. Souvent il y a des troubles vasomoteurs qui peuvent allerjusqu'à l'existenc
e.; BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE ROUIA (G.). Enquête scolaire sur les troubles de la parole chez les écoliers belges. In-8° de
ait conserver ce nom, devient une forme particulière, sinon par les troubles intellectuels qui la constituent et qui peuvent
, pas de traumatisme, pas d'in- fection. Sans doute,on constate des troubles intellectuels chez des jumeaux et des jumelles
vivaient séparés, devinrent alié- nés en même temps. Le tableau du trouble mental chez l'un et l'autre présentait la plus
ue l'organisation physique semblable du système ner- veux donne des troubles pathologiques identiques el qu'il existe une dé
fesseur expliquent parfaitement la si- multanéité et l'identité des troubles psychiques, elles n'expliquent pas du tout le f
ce centrale ne se fuit pas non plus voir. VII. Recherches sur les troubles apportés par une distraction. On a voulu expé
tats psychiques correspondants. As Mémorisation DES syllabes avec TROUBLE . Un tableau \ : SI) du travail de L&#x152;W
s la section I, celles qu'on a apprises pendant un quart d'heure de trouble (désordre) et un quart d'heure après. Il est in
e aussi de l'examen des chiffres une habitude progressive avec le trouble dans la première série, plus rapide et moins évi-
qui considère l'habitude comme une propriété personnelle. Que le trouble ait influencé réellement l'opération, il en rés
ela d'autant plus que, après l'omission 2S4 ÉTUDE CRITIQUE. des troubles , l'opération augmente de plus en plus. On a sup
me n'est inférieure à celle des jours normaux, après l'omission des troubles , donc le brome n'a produit aucune diminution de
r si cette influence n'est pas attribuable aussi a la cessation des troubles ,ce qui néces- sitait des nouvelles recherches s
r, plutôt paralysante que facilitante. B. Mémoire DES chiffres avec trouble . Après l'interruption des troubles on a continu
e. B. Mémoire DES chiffres avec trouble. Après l'interruption des troubles on a continué à ap- prendre encore pendant une
e. Chaque jour pris séparément, l'opération augmente, pendant les troubles , apparemment à cause de l'habitude; mais les pr
se de l'habitude; mais les premiers chiffres, après la cessation du trouble , montrent une si notable augmentation de l'opér
l'on peut conclure que, dans ces deux épreuves, la cessa- tion du trouble montre tout d'abord une influence nette- ment f
conde expérience normale, l'opération montre après la cessation des troubles pour redescendre un peu seulement vers la fin.
pération atteint une hauteur extraordinaire après la ces- sation du trouble ,etmonte au double de l'opération obte- nue à la
e, tandis que la mémorisation des chiffres après la cessation des troubles l'est favorablement pour le brome. De cette man
'ALIENES. 28' ? ' 60 Dès que le travail est rendu difficile par des troubles distractifs, l'action d'apprendre des chiffres
le est accélérée dans la mémorisation des syllabes avec ou sans des troubles distractifs ; 8° Tout cela peut se résumer ai
arqué les rapports existant entre les affections pulmonaires et les troubles mentaux. Esquirol (1) et (1) Esquirol. Des mala
ne présentant plus de délire, mani- fester brusquement de nouveaux troubles psychiques sous l'in- lluence de l'inhalation d
naler, nous constatons chez D ? l'existence de toute une série de troubles aphasiques plus ou moins accentués : aphasie mo
nuscrit, de l'imprimé, etc. Nous avons fait précéder l'étude do ces troubles divers de celle de l'amnésie rétro-antérograde,
e pendant de si longues années il avait dû abandonner. AMNÉSIE. - TROUBLES DU langage. Amnésie rétro-antérograde. Les tr
AMNÉSIE. - TROUBLES DU langage. Amnésie rétro-antérograde. Les troubles de la mémoire dominent l'histoire de notre mala
prit, il se souvient à présent de ce qui s'est passé le jour où les troubles débu- tèrent : il disait à ses enfants qu'il av
voir au cours de l'ob- servation que ce n'est que peu à peu que ces troubles al- lèrent en diminuant. MUTISME, APHONIE,
uellement D ? est complètement guéri, mais il présente toujours les troubles du caractère si dncnlvss, 2' série 1906, t. XXI
se laisse facilement entraîner par ses camarades. , Sensibilité. Troubles objectifs. Durant toute la durée de son séjour
r il l'hôpital, D ? présenta parfois avec de grandes variations des troubles multiples de la sensibilité. C'est ainsi que le
ue ce jour- là, l'anesthésie cutanée était plus marquée à droite. Troubles subjectifs. 7 août. Dès notre premier examen, D
souvenirs réapparaissaient. Signalons pour terminer l'absence de troubles du côté de la sphère génitale. D ? ne présentai
nous déclara du reste qu'il avait toujours été plutôt t frigide. Troubles sensoriels. Goût. La sensibilité au tact et à l
es vertigineux, et se sentait entraîné en avant. Il existe quelques troubles subjectifs. On dirait, dit-il, que j'entends pa
asme gauche présenLé par le malade. On ne constatait pas d'autres troubles de la musculature ocul-iire. Cependant les exam
onoculaire. Pas de scotome central. Le fond de l'oeil est normal. TROUBLES MOTEURS. On a trouvé au début de cette observat
dineux et cutanés étaient normaux, le reflexe pharyngé également. TROUBLES TROPHIQUES Bien que le retour de la sensibilité
onsécutivement à quelques excès alcooliques, le malade présente des troubles men- taux passagers, que nous croyons être de l
passagers, que nous croyons être de l'onirisme hallucinatoire. Ces troubles ne durent que quatre jours; il présente ensuite
a main droite avaient été antérieurement brisées par nous -, et des troubles sensitivo-sensoriels multiples, variant fréquem
sie retro- antérograde, l'aphasie irrégulière, survenus après des troubles mentaux que nous considérons comme des équivale
entaux que nous considérons comme des équivalents de l'attaque, les troubles si variés et si mo- biles de la sensibilité, to
cette observation qui montre bien que l'hystérie peut réaliser les troubles les plus divers do la fonction du langage. Pe
es ac- cidents. Dans les cas non mortels, on a observé tantôt des troubles per- manents, tantôt des troubles passagers : l
mortels, on a observé tantôt des troubles per- manents, tantôt des troubles passagers : les uns comme les autres ont consis
un épileptique à la dose de 10 centimètres cubes, il n'amène aucun trouble immé- 390 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
s épileptiques, mais moins inten- ses, et sans être accompagnés des troubles psychiques et des cri- ses épileptiques. 5° L'a
iL) On peut observer, dans certains cas de démence primitive, des troubles du langage.parlé comme du langage écrit. Un ne pe
, mais on peut observer fréquemment des trou- bles de ce genre. Les troubles de la parole et des écrits dans la dé- mence pr
on de cas analogues pourra peut- être justifier la fréquence de ces troubles . J. S. XX. Un cas de paralysie générale juvénil
anthropométriques faites par l'auteur sur 33 en- fants atteints de troubles divers (infirmités physiques, troubles du carac
sur 33 en- fants atteints de troubles divers (infirmités physiques, troubles du caractère, insuffisance mentale) confirment
iamètres céphaliques et il y en axait un seul pour la taille. Les troubles qui retentissent sur le volume du cerveau et par
chez les Arabes : c'est, d'une part, la difficulté de constater les troubles de la parole à cause de la pro- nonciation gutt
ale de leur langue et, d'autre part, la difficulté de constater les troubles oculo-pupillaires à cause de la pigmenta- tion
lexes accommodateurs des deux yeux sont simultanément atteints d'un trouble identique, l'exagération de ces réflexes étant
uéris jusqu'ici compor- taient tous, en outre de la phobie, quelque trouble somatique con- comitant : spasmes respiratoires
cardie, hypertension artérielle, aso-constriction périphérique. Ces troubles conditionnent le trac ; ils lui servent, en que
tion est le véri- table agent curateurdutrac; mais en opposant aces troubles une médication physiologique appropriée, soit a
l'admission à l'asile et d'autant plus rapidement que le début des troubles intellectuels est plus récent : ce sont aujourd
prolon- gés qui s)IIt un des moyens les plus eflicaces cinti-e les troubles de l'activité générale. « 1.100 douches en je
urs. - L'enfant est gauche dans ses mouvements, mais il n'y a aucun trouble moteur ; pas de tremblement, ni de mouvements a
remière quinzaine et 1 gr. 50 pendant la seconde. On n'a noté aucun trouble , ni du côté de la circulation, de la respiratio
eich, morte de congestion pulmonaire el qui présentait en outre des troubles cardiaques. L'autopsie révéla une myocar. dite
avec hypertrophie de l'hypophyse et qu'il faut plu- tbt v voir des troubles de fonctionnement. Il est à remarquer d'ailleur
e. Surdité et cécité ver- bales sans cécité psychique avec quelques troubles d'amnésie. Hémiplégie et hémianesthéaie droites
s d'amnésie. Hémiplégie et hémianesthéaie droites. Dissociation des troubles d'aphasie pour les langues française et alleman
autres mutismes. Son caractère principal est d'être causé par un trouble de la volonté, si hien que le sujet, non seulemen
n d'un enfant de 13 ans qui présenta à la suite d'une otorrhée avec troubles du côté de la mastoide, un abcès cérébral. Il p
nation motrice, crises gastriques, douleurs fulgurantes, ébauche de troubles sphinctériens. D'au- tres symptômes prouvent l'
sclérose combinée avec association do symptômes spasmodiques et de troubles labéliques. G. C. .\\.\1.\, - Tie douloureux de
lombaire' pratiquée l'avant-voille delà mort donnaun liquide un pou trouble avec léger rellel rougoùlre, contenant hcaucoup
sont souvent observées dans les rhino- pharyngites latérales. Les troubles circulatoires et respiratoires d'origine otiquo o
l on retrouve les mêmes dilata- tions vasculaires violacées. Pas de trouble moteur, sensitif, ré- flexe, ni trophique. Pas
rné neuf jours dans le bulbe, sans que la malade ait présenté aucun trouble fonctionnel apparent. Cette observation montre
ogallois et Flourens, car il est bien certain que pour produire des troubles graves il faut des lésions très étendues au niv
a lésion dans ce cas été fixe et assez limitée et n'a donné que des troubles passagers et passés inaperçus, pour rester en-
lennorragie, on retrouve un terrain arthritique caractérisé par des troubles de la nutrition générale. Ces troubles de la nu
itique caractérisé par des troubles de la nutrition générale. Ces troubles de la nutrition ont une conséquence, parmi bien
ent exercer sur le système nerveux central et on s'explique que des troubles névropathiques puissent résulter de la r('púli-
ces actions déprimantes. La plupart des timides ont la sensation du trouble apporté dans leur organisme parle choc émotionn
bre de malades m'a appris que pres- que tous les sujets atteints de troubles hystériques et neuras- théniques, bien avant le
miplégie avec paralysie du moteur oculaire commun du même côté et troubles splunc- ténes, par Cantonnet, p. 47. Hémispas
ent de l'épilepsie par déchloruration, p. 158. Traumatismes. Voir Troubles . - . Voir Paralysie générale. TABLE DES MAT
e du pied pendant l'anesthésie, par Lannois et Clément, p. 460. Troubles . Contribution à l'é- tude des - physiques dans
47 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t de l'ouïe; ses-pupilles sont égales et on ne note pas chez lui de troubles de la sensibilité générale. ' . ', ' . , . Qu
e présentent ni incohérence ni idées de grandeur. On ne note pas de troubles de la sensibifité générale ou spéciale chez le
nous porte à voir un lien in- time entre les faits reprochés et les troubles nerveux divers de 111 ? X... Car, comme ditLegr
ux étalages. Or, 111 ? X... est, avant tout, une héré- ditaire avec troubles hystériques et vaginisme avec métrite chronique
a du reste à observer que par une sorte d'hérédité homochrome, les troubles nerveux de lI ? X.... ont eu leur summum à ving
, 111m X... a repris possession de ses facultés; son aphasie et les troubles variés qui la constituaient ont disparu. Elle a
cependant, boit et urine beaucoup. Son urine est ambrée, légèrement trouble et saquantité varie de 1500 à 2000 cen- timètre
vec la papule d'urticaire spontané, elles ne s'accompagnent d'aucun trouble de la sensibilité, d'aucun prurit. A leur nivea
le était connue dans le service. Si l'hystérie semble favoriser les troubles vaso- moteurs de la peau et notamment la stéréo
Resterait à étudier le mécanisme, c'est-à-dire le com- ment de ces troubles vaso-moteurs dont l'expression la plus complète
nt existé que chez les malades des Observations XIV et XVI. p). Troubles du sens musculaire. Ces troubles ont consisté c
des Observations XIV et XVI. p). Troubles du sens musculaire. Ces troubles ont consisté chez nos malades : 1° au signe de
). Symptômes sensitifs. Nous avons vu qu'à la deuxième période, ces troubles marchent de compa- gnie avec les troubles de la
a deuxième période, ces troubles marchent de compa- gnie avec les troubles de la motilité, sous forme de paralysie, c'est-
sous forme de paralysie, c'est-à-dire d'aneshcsie. Plus tard ces troubles peuvent, soit disparaître complètement (OBS. XV
tions rapportées il n'y en a guère que trois qui aient présenté des troubles vasomoteurs, ayant con- sisté en une hypéridros
'noN XIX. d). Symptômes vésicaux. Tandis.qu'au commen- cement les troubles de la vessie accompagnent pres- que constamment
II. DES ACCIDENTS PAR 1.'EriPL01 DES SCAPHANDRES. 27 -1 Quant aux troubles du côté du rectum, nous ne les rencontrons plus
e un peu diminuée. Il n'y a pas trace d'atrophie musculaire; pas de troubles vaso-moteurs. Il y a une abolition complète de
t pas la moindre ressemblance avec un ongle normal. Il n'y a pas de troubles vaso-moteurs. Il n'y a aucune trace de myatropl
tives qui coexis- tait avec les autres symptômes céphaliques. c). Troubles du langage. Parmi les différentes espèces de tr
liques. c). Troubles du langage. Parmi les différentes espèces de troubles du langage, nous avons à noter seulement la sur
ibilité aurait été complètement abolie. b). Symptômes vésicaux. Les troubles de la vessie que nous voyons figurer chez nos t
e l'O13SER\'A1'ION XXII, en rétention. c). Symptômes rectaux. Les troubles du rectum figurées dans les trois observations
ifficile, parfois même impossible sans le concours de la vue. Aux troubles du sens musculaire, nous devons ne pas oublier
l'invasion de l'accident, le malade de l'OcsERVATtONXX n'a plus de troubles géni- taux. Celui de l'OBSERVATION XXI avait de
ar une symptomatologie presque inva- riable, paralysie, auesthésie, troubles de la vessie et du rectum. A une étape plus ou
itement bien. Pas de perte de connaissance; pas de vertiges; pas de troubles du langage; pas de maux de tête, enfin aucun sy
aucune trace de paralysie des membres ou de la face. Pas de moindre trouble , soit de la vessie, soit du rectum, soit des or
ntervalles très réguliers et variables d'intensité. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité et du sens musculaire aux mem
. Il n'y a nulle part la moindre trace de paralysie motrice. Pas de troubles myatrophiques, les muscles de son corps étant m
muscles de son corps étant même parfaitement bien conservés. Pas de troubles vaso- moteurs. Rien du côté de la vessie, -du ]
, pas de symptômes céphaliques, pas de symptômes gastriques, pas de troubles respi- ratoires, pas de douleurs soit musculair
ent constituée par des picotements d'aiguille et en général par des troubles de la sensi- bilité, par des troubles du sens m
iguille et en général par des troubles de la sensi- bilité, par des troubles du sens musculaire et par l'abolition des réfle
conservés que ceux du gauche. Pas de symptômes tabétoïdes. Pas de troubles vaso-moteurs ou trophiques ou des organes gé- n
a friction. On l'avait pincé aussi et il n'aurait pas senti. Pas de troubles de la vessie, du rectum et des .organes génitau
les sont troublées, les érections sont rares et incomplètes. Pas de troubles du rectum. Il n'y a aucun symptôme céphalique.
ur droit. La sensibilité de ce membre aurait été émoussée. Pas de troubles du côté de la vessie ou du rectum. Il s'est ali
nt bien conservés et la contractilité faradique est normale. Pas de troubles vaso-moteurs. Rien du côté de la vessie, du rec-
épaule gauche et suivi de douleurs aux autres articu- lations. b. Troubles de là parole. Ces troubles qui ont existé chez
ouleurs aux autres articu- lations. b. Troubles de là parole. Ces troubles qui ont existé chez le malade de l'OBSERVITION
c). Elourdissements. Ce symptôme céphalique a figuré, associé aux troubles de la parole chez le ma- lade de I'Observation
s lui paraissaient se mouvoir, la durée a été la même que celle des troubles de la parole. d). Symptômes gastriques. Comme s
ie de ces quatre malades sont l'altération de la sensibilité et les troubles vésicaux. a). Altération de la sensibilité. Ell
inférieur droit et l'anesthésie, au membre inférieur gauche. b). Troubles vésicaux. La vessie qui est presque constamment
HANDRES. Il valions, il n'y en a qu'une seule où l'on observe des troubles vésicaux, qui, dans le cas en question, ont con
, anesthésie, soit du même membre, soit du membre opposé et parfois troubles vésicaux ; enfin, à une étape ultérieure, cette
er la tête, son cou étant immobilisé. Dans l'après-midi, d'autres troubles de la sensibilité viennent se joindre à ces dou
avec le membre supérieur droit, n'oublions pas de noter quelques troubles trophiques des ongles qui étaient atrophiés, amin
conservés, la contractilité électrique est normale. Il n'y a pas de troubles vaso-moteurs ni du sens musculaire. Rien du côt
ssi bien de la paralysie radiculaire de notre malade que des autres troubles . En effet, la guérison n'a pas exigé plus de tr
veux spécial caractérisé par des contractures, des paralysies, des troubles divers de l'intelligence. Cet état nerveux, décri
ulier et on constate de profondes et rapides dépressions, signes du trouble de la respiration qui accom- pagne le phénomène
euvent faire défaut. L'attaque est constituée exclusivement par des troubles psychiques. L'analogie avec l'hypnotisme se pou
, XIX, 1.) Dans les maladies mentales, il existe invariablement des troubles du système vaso-moteur. Or, chez OS p. 400 des
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 10'J ductrice des troubles vaso-moteurs, c'est en elle que consiste celte
nique disparaît lorsque la folie s'établit, et reparait dès que le trouble mental devient chronique. Dans la seconde, l'asth
l'aberration mentale une autie cause que la lésion cardiaque ou le trouble général de l'appa eil circulatoire : dans les c
. M. Séglas communique l'obser- vation d'une hystérique affectée de troubles intellectuels d'une certaine gravité et consécu
équestration des morphino- manes. M. 13.r,u n'est pas surpris des troubles gastriques signalés par AI. Christian. L'estoma
utre, peu de temps après avoir fait usage de cocaïne, de singuliers troubles de la sensibilité ont fait leur-apparition : c'
s qu'une voix les appelait. Plus tard enfin, se montrèrent d'autres troubles de la sensibilité : il leur semblait qu'elles m
par les régions inférieures de l'encéphale, se manifestant par des troubles des sens. L'orateur se base .')Ur ce que l'affect
lie de la masturbation, influence de celle-ci sur l'intel- ligence, troubles nerveux et mentaux de la grossesse, manie tran-
D'' IL Sa v mie entretient le congrès des SOCIÉTÉS SAVANTES. 123 troubles mentaux associés aux engagements matrimoniaux : m
ifestant chez des indi- vidus nerveux, chez les dégénérés. Tous les troubles mentaux de l'adolescence et de la puberté, sont
lions ou malformations des membres, enfin des différents signes de troubles nerveux ou de dégénérescence. Ces recherches élim
t; : «;cnosco) : ) : ttt4XM ? ! ccs en matière de la simulation des troubles psychiques. Conclusions : Les cas de simulation
t avec l'absurdité la plus parfaite. Puis vient la simulation des troubles de la connaissance ou d'inconscience totale, l'ac
tner et Fischer. M. Euminghaus se charge défaire un rapport sur les troubles des processus de la pensée. M. l\L1DL1'sR (d'
e, etc.), ou bien, soit à une lésion cérébrale organique, soit à un trouble fonc- tionuel, névrosique, de l'encéphale (épil
neuro- pathiques, crises gastriques, intestinales, clitoridiennes, troubles cardiaques et vésicaux, anomalies de la salivat
les modifications pro- duites par leurs altérations, ainsi que les troubles fonctionnels déterminés par la lésion des diver
ela même rend l'examen ultérieur difficile. La formation d'un léger trouble autour de la préparation sert d'indice qu'il fa
ut pas donné un nom spécial, il a entièrement décrit ces singuliers troubles psychiques, ainsi que les rôles importants joué
ntre les centres visuels et auditifs 2. Ces formes particulières de troubles cérébraux peuvent être considérées comme des ty
son centre auditif.' La surdité verbale, pour cette raison, est un trouble purement psychique; le malade entend ce qui se
mment associée à la cécité verbale, jointe aussi à plus ou moins de troubles moteurs. L'histoire cli- nique de la malade don
Dans l'histoire ci-dessus, nous avons un type remar- quable d'un trouble psychique caractérisé par une impossibilité de
és en sa pré- sence. Grant Allen a rapporté un cas dans lequel le trouble psychique était exclusivement musical 5. » De l
dont j'ai déjà donné ailleurs plusieurs exemples, dans lesquels le trouble dans la mémoire des représentations auditives é
ent d'optique, est parfait, et l'ophtalmsocope n'y découvre aucun trouble . Le malade voit les mots ; mais ne com- prend p
ible, de les désigner par leurs noms. Au bout de trois semaines, le trouble de la parole avait presque entièrement disparu,
sortie ou la fonction cen- trifuge ; en d'autres termes, c'était un trouble moteur ou un trouble de transmission. Ross. -
en- trifuge ; en d'autres termes, c'était un trouble moteur ou un trouble de transmission. Ross. - On Aphasie, 1887, 1).
psie, et delà un léger degré d'inflammation, et consécutivement des troubles de la substance grise, en rapport direct avec l
pli courbe, d'un côté d'abord, puis de l'autre, sans produire un trouble appréciable, ni' dans les perceptions visuelles
le, dans la substance du cerveau. Cette opération fut suivie d'un trouble des perceptions visuelles, mais ce trouble n'é-
pération fut suivie d'un trouble des perceptions visuelles, mais ce trouble n'é- tait pas de l'amblyopie; c'était distincte
CAPHANDRES. 227 nutes; pas de refroidissement, pas de repas, pas de troubles res- piratoires avant l'immersion. Dix minute
On sait déjà que, parmi les symptômes de la période du début, les troubles de la parole ont plus d'une fois figuré comme c
non plus à titre de symptômes, mais à titre de forme clinique. Les troubles de la parole font alors à eux seuls tous les fr
s d'aphasie motrice simple et pure dégagée de toute autre espèce de trouble du langage. , Observation XXXII. ` Nicolas
i bouche de travers, ni autres symptômes paralytiques. Pas d'autres troubles cép.haliques. La sensibilité, la vessie et le r
ement du casque, et le malade se portait très bien et n'avait aucun trouble du langage. Au bout de ce temps, il était à peu
es. Pas de bouche de travers. Pas de paralysie de membres. Pas de troubles de la sensibilité, du sens musculaire, de la ve
- dents cérébraux, j'ai prédit au malade et à ses parents que ses troubles de la parole disparaîtraient très rapidement. 1
ne savait ni lire ni écrire. Au bout de trois à quatre minutes, ce trouble de la parole disparait subitement et complè- te
l ne peut plus continuer sa con- versation, il criait. Ce nouveau trouble du langage, qui consistait dans l'impossibi- 23
uement et complètement. Au bout de six à sept minutes, un troisième trouble de la parole, tout à fait pareil aux deux autre
au bout de six à sept minutes d'intervalle, un quatrième et dernier trouble de la parole a atteint le malade, exactement sous
spect clinique que les trois autres. Après cinq minutes environ, ce trouble de la parole disparaît et le malade n'avait plu
bilité absolue de conee- voir tout ce qu'il entendait. Pas d'autres troubles du langage. Durée de trois heures. Histoire.
n plus ni bouche de travers, ni paralysie des extrémités, ni autres troubles quelconques. Cet élat n'avait pas duré plus de
. Il n'y a aucune trace de paralysie nulle part. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité générale et sensorielle et du
, ses compagnons voient non sans étonnement qu'il n'avait plus de troubles du langage ; c'était à cinq heures du soir. Il vi
A propos de ces caractères qui spécialisent en quel- que sorte les troubles du langage de cette origine, n'ou- blions pas d
érée. 2. forme SENSORIELLE. Le lecteur aura déjà remarqué que des troubles oculaires et auditifs peuvent figurer dans la s
termes, à titre de symp- tômes. Nous allons maintenant voir que les troubles sensoriels peuvent survenir chez les plongeurs
onnaissance, ni étour- dissements, ni bourdonnements d'oreilles, ni troubles de la parole, ni paralysie, soit de la face, so
e aucune. Le tableau clinique était exclusivement constitué par les troubles oculaires. -- Etat actuel. Rien. Les observat
hives, t. XVII. 16 .242 CLINIQUE NERVEUSE. a été brusque ; 2° les troubles oculaires ont le maxi- mum de leur intensité dè
s soudaine, Observations V et XXXVII. B. Variété auriculaire. Les troubles auditifs occupent une place importante parmi le
scaphandres. Je trouve quatre cas de ce genre dans mes notes. Les troubles auditifs présentés par mes malades con- sistent
riculaires (bourdonnements, tintements, etc.). On sait déjà que les troubles auditifs ont figuré une fois Observation X (bou
'accident étant unique- ment et exclusivement caractérisée. par les troubles auditifs. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAP
s céphaliques. Pas de phénomènes paraly- tiques, enfin pas d'autres troubles quelconques. Cet état de cophose complète n'a d
ée. Pas de vertiges ni autres symptômes céphaliques, pas d'autres troubles quelconques. ' Au bout d'une semaine, il a comm
quelles il est pris d'une paralysie du membre inférieur droit, sans troubles de la sensibilité, car le malade sentait bien,
u sans paralysie faciale apparente, paralysie précédée toujours des troubles oculaires, brûlure, rougeur, frottement, accomp
ffectés ; pas d'autre symptôme céphalique, pas d'anesthésie, pas de troubles urinaires ou génitaux ou rectaux, enfin rien. -
mbe gauche et bientôt d'une hémiplégie gauche. Il n'y aurait pas de troubles de la sensi- bilité. ZD c - Il avait en même
des extrémités. Pas de vertiges, ni de perte de connaissance, ni de troubles du langage, ni autres symptômes céphaliques. 11
gauche, il sent des engourdissements dans les doigts. Pas d'autres troubles de la sensibilité. Le sens musculaire est affec
é électrique est normale. GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 25H Pas de troubles vaso-moteurs. Il n'y a pas de symptômes cépha-
lais complète- ment paralysé; luette déviée un peu à gauche. Pas de troubles de la déglutition ni du côté des mouvements de
érés. Maladies congénitales. Tantôt ces malformations amènent des troubles fonctionnels généraux ou locaux, tantôt elles r
d'une orange était à la naissance, grosse comme une cerise. Pas de troubles de la marche de la parole, de la sensibilité ni
ystématisation des lésions pathologiques ou expérimen- tales et des troubles fonctionnels causés par ces lésions. Voies cond
onstant entre les alté- rations d'un système anatomique et certains troubles fonction- nels. Or le professeur Popoff a relat
les régions considérées à des intervalles de temps très courts. Les troubles de la conductibilité, les changements de l'irri
a nuque et du diaphragme. Disparition des réflexes tendineux. Aucun trouble de la sensibilité, ni des réflexes superficiels
éditaire, une émotion ou tout autre cause générale. P. K. IX. Des troubles DE l'ouïe en DES cas DE paralysie faciale périp
ormes légères de paralysie faciale rhumatismale, il peut exister un trouble assez considérable dans le domaine des percepti
ion pathogéuétique entre les deux ordres de manifestations, car les troubles de l'ouïe diminuent de concert avec la diminuti
t de la discussion du diagnostic, il résulterait qu'il s'agit -d'un trouble paralytique fonctionnel et périodique du centre
r l'idée d'une perturbation dans le développement anatomique d'où trouble fonctionnel des nerfs périphériques ( ? ), mais i
anormale du corps cal- leux. Idem ». M. Tuczek (de Marbourg). Des troubles nerveux dans la pellagre (avec démonstration).
s, les convulsions épileptiformes (épilepsie corticale), ni sur les troubles d'origine spinale (paresthésies, phénomènes d'exc
ent les principales psychoses pellagreuses, l'affection cutanée les troubles trophiques de la langue (fissurée, crevassée, dép
que dans l'ergotisme, l'alcoolisme et les autres intoxications les troubles nerveux du maïdismeoude tapsyehoné- vrose maïdi
Guyp (d'Amsterdam). De 1'ttp ? ,osei,ie, psychose produite par des troubles nasaux. Cette maladie consiste en l'impossibilité
0. 111uEr,Lr·;a. Des formes initiales des psychoses.- Les premiers troubles de la santé mentale qui suivent les maladies épui
ables à ces causes qui ont affaibli le système nerveux. Ce sont des troubles gastriques, de l'atonie du tube digestif, de l'
et la restauration physique et mentale. Mais, si la dyserasieet les troubles de la cir- culation engendrés établissent l'ins
onne aux neurasthéniques ou aux hypo- chondriaques qui accusent des troubles gastriques et abdomi- naux de l'eau de Carlsbad
ue les seuls symptômes essentiels de la paralysie générale sont les troubles de la parole (Werner, Nasse), que la mégalomani
de Wernicke et des sous- genres de ces deux types tout un groupe de troubles de la parole d'ordre aphasique formant une caté
pré- sentent des lacunes. En effet, on constate en même temps des troubles de la vue d'origine cérébrale : hémianopsie du cô
troubles de la vue d'origine cérébrale : hémianopsie du côté droit, trouble grave de la lecture et de l'écriture (ataxie opti
enfin, voulant adopter tous les enfants qu'il rencontre. Ces divers troubles se manifestent après un excès de boisson, et, l
r suite de l'anorchidie ou de la cryptorchidie chez l'homme, et des troubles menstruels chez la femme. Un chapitre fort impo
n faits, est celui de l'état intellectuel des héréditaires, que ces troubles soient de nature constitutionnelle ou de nature
de l'instabilité mentale, de l'excitation passionnelle. L'étude des troubles fonctionnels nous bibliographie. 329 9 présen
tat de somnolence léger passager, inconstant et qui s'accompagne de troubles graves du côté de la motilité; à dose toxique e
sversales de la moelle : au cours de ses expériences, il a noté les troubles fonctionnels provoqués par les hémisections. Ains
is rigides, et privés de sensibi- lité. Après la disparition de ces troubles du début, il reste une paralysie du membre corr
hénomènes : « Par phénomènes de déficit, j'entends le minimum des troubles qu'on observe, en quelque temps et en quelque c
dans les phé- nomènes de déficit de Goitz, « la somme de tous les troubles dépendant de l'abolition de la fonction de l'or
onction de l'organe détruit », il faudrait y voir le « minimum de troubles que les organes homonymes du cerveau demeurés i
de suppléer ». Objecte-t-on que la disparition progressive de ces troubles résulte, non d'une suppléance véritable, mais d
s résulte, non d'une suppléance véritable, mais de la cessation des troubles de nutrition et de l'inhi- 'bition fonctionnell
extirpations des différentes parties du cerveau. On a vu que les troubles consécutifs à la destruction d'une région du ce
r une région déterminée de l'hémisphère gauche, amène à droite un trouble de l'audition; ce trouble s'amende peu à peu et
de l'hémisphère gauche, amène à droite un trouble de l'audition; ce trouble s'amende peu à peu et, autant que nous pouvons
- ble de l'audition à gauche, mais de la réapparition de l'ancien trouble de même nature à droite. « Voilà une preuve irr
onctions du cerveau humain en ouvrant les yeux du clinicien sur les troubles partiels de cet organe. Nier que les faits géné
lesquels cette circonvolution était lésée et où il exis- tait des troubles de la motilité du membre supérieur du côté oppo
tique ont échappé jusqu'ici à l'observa- tion des animaux. Certains troubles de la vision que Goltz avait considérés comme d
continue à voir sans pou- voir reconnaître ce qu'il voit. « Or ces troubles de la vision seraient demeurés obscurs et de si
(à ce qui semble, accès de fièvre intermittente) et après cela, les troubles dans la marche devinrent si violents qu'il ne put
out, quelle est donc l'étiolo-ie de cet inté- ressant assemblage de troubles nerveux que nous retrouvons chez notre malade ?
trouvé la sensibilité normale, un léger déran- gement psychique, un trouble anarthrique dans la parole ; nystagmus. Enfin,
ment nous baser pour voir dans la fièvre intermittente la cause des troubles nerveux que nous avons relevés dans notre malad
paroles de M. Vulpian " : « Il convient de dire toute- fois que ces troubles font défaut dans un certain nom- bre de cas, »
nerveuses dit que dans un tiers de ses sujets il n'a pas trouvé de troubles des muscles oculaires. Enfin, il n'y avait égal
it aucune apparence d'amélioration ; 4) dans les pseudo-tabes Jes troubles des organes génito-urinaires sont très rares; d
avons )a description faite ces temps derniers par M. Vierordt de troubles dans les faisceaux postérieurs de la moelle épi
cas, forte dégénération des nerfs périphéri- ques), il y avait des troubles dans les cordons posté- rieurs de la moelle épi
a peu de temps, on a indiqué, dans la littérature, l'existence des troubles 'pathologiques des faisceaux postérieurs dans l
pour ne plus reparaitre. Pas de bourdonnements d'oreilles ni autres troubles auditifs. Le 7 septembre 1877, ce qui fait deux
l'oreille droite dure. 11 n'y a pas de titubation. Il n'y a pas de troubles visuels. Enfin, sauf un certain degré de lourde
s de myatro- phie.' La contractilité électrique est normale. Pas de troubles vaso-moteurs. Il existe une parésie vésicale qu
sent très rares. Je n'entends pas qu'il est rare de constater des troubles viscéraux et surtout respiratoires, cardiaques et
frottait, on le touchait, il sentait très bien. Il n'y avait pas de troubles de la vessie, du rectum, ou des organesgénitaux
, ou des organesgénitaux. 11 n'y avait non plus ni palpitations, ni troubles respiratoires, ni symptômes gastriques. Le ma
ucune trace d'aphasie ; il parlait comme avant son accident. Pas de troubles , ni de la motilité ni de la sensibilité. Le mal
lade ne sait ni lire ni écrire. -- i Au bout de vingt minutes, le trouble du langage et dans l'espèce l'aphasie motrice,
; sa bouche aurait été de travers. En même temps le malade avait un trouble du langage assez prononcé, il ne pouvait arti-
os- phériques. Sensation désagréable à la région lombaire. Pas de troubles trophiques ou vasomoteurs. Il est quelquefois obl
é leur motilité intacie.-La sensibilité aurait été émoussée, pas de troubles de la vessie ou du rectum. Fonctions génitales
ur. Nous terminerons ce chapitre par une courte des- cription des troubles trophiques et urinaires des para- plégiques sca
RIERS ACCIDENTS MORTELS. Je ne veux pas insister beaucoup sur les troubles trophiques et urinaires qui se rencontrent dans
ées déjà des cas de ce genre Eschares sacrées à formation rapide. Troubles uriuaires : l'urine est albumineuse, ammonia- c
é à la mort, il n'en est pas moins vrai que l'appari- tion de ces troubles , comme toujours du reste, est redoutable, car l
untée aux mêmes auteurs, qui est relative à un scaphandrier mort de troubles urinaires. 11. D..., de Kalymnos, âgé de vingt-
s pour le sauver ; pas d'es- chares. Le cas échéant, soit que ces troubles trophiques et urinaires ne font pas du tout leu
RESTREINT AVEC EXACERBATIONS GÉNÉRALES , LESIONS DE SENSIBILITÉS ; TROUBLES TABÉTIQUES ET DE NUTRITION, par H. Bonnet, méde
festation avortée. - La dénutrition peut bien avoir déterminé des troubles périphériques, comme nous le voyons dans un cer
M. MoRAx, externe du service. Nous diviserons en quatre groupes les troubles oculaires observés dans les affections cérébro-
ctions précédentes. Nous ne consignons dans ce compte-rendu que les troubles SERVICE OPHTHALMOLOGIQUE. 437 oculaires perma
graine ophthalmique n'y figurent pas. La neurasthénie pro- duit des troubles d'innervation de l'appareil musculaire assez ca
stique. HYSTÉRIE. Les hystériques chez lesquels on a constaté des troubles oculaires sont au nombre de 79, dont 49 femmes
érie était associée à une autre affection nerveuse, déterminant des troubles visuels propres. L'examen des yeux, chez les hy
On constate encore, mais plus rarement, chez les hysté- riques, des troubles des muscles moteurs des paupières et du globe o
oit externe gauche avec strabisme. Ce malade présente en outre un trouble du mouvement des paupières assez singulier. Il
l'oeil, cornée, conjonctive, paupière; ne s'accom- pagnant d'aucun trouble trophique vient à l'appui de l'opi- nion de Sch
V. DES LÉSIONS PATHOLOGIQUES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL' DANS. LES TROUBLES DE LA NUTRITION. Depuis un certain nombre d'ann
sont désagrégées, ratati- nées, vacuolisées. Pour M. Korsakoff, les troubles psychiques ne sont pas une complication, ils so
s. La nature atrophique des lésions dans cette affection indique un trouble profond dans la nutrition des éléments nerveux.
rviennent dans le cours des intoxications; elles résultent soit des troubles apportés dans la nutrition des cléments par les
é- rieurs jusqu'aux épaules; pas de mouvements fibrillaires ni de troubles du côté des sphincters, ni hypéresthésie cutanée
exactement les mêmes lésions du sympathique. Il en résulte que les troubles trophiques sous la dépendance du système nerveu
e âge. - h·clt. de Kouulcwsky, t. IV, n° i, 1887. Deehteren'. Des troubles trophiques dans le domaine du nerf sus-orbitair
feu. Le Médecin, n° 29, 1887. l'l;ctonoff. Un cas d'hémiplégie avec troubles intellectuels occa- sionnés par des cysticerque
e ; Contribution à l'élude des folies toxiques. M. SAURY. Parmi les troubles fonctionnels si variés que la cli- nique et l'e
A. - Le délire cocaïnique est essentiellement hallucinatoire. Le trouble des idées n'est jamais primitif; il se greffe tou
uble des idées n'est jamais primitif; il se greffe toujours sur des troubles sensoriels (illusions et hallucinations). B. -'
peuvent être affectés, mais ils le sont d'une manière inégale. Les troubles de la sensibilité générale prédo- minent le plu
leur tour, sur les hallucinations de l'odorat et du goût. C. Les troubles sensoriels sont pénibles, multiples et mobiles
de la sensibilité paraphérique (analgésies totales ou par- tielles, troubles inhibitoires de la vision, de l'audition, etc.) ;
sieurs auteurs et entre autres Erlenmayer, dans son mémoire sur les troubles intellectuels du cocaïnisme, ont déjà décrit de
élire cocaïnique comme très dissemblable du délire morphinique. Les troubles observés par M. Saury semblent à M. Pichon être
M. Magnan. Les accidents les plus saillants de la cocaïne sont les troubles de la motilité, les attaques épileptiformes et le
ont les troubles de la motilité, les attaques épileptiformes et les troubles de la sensibilité générale qu'on n'observe pas av
à une malade qui avait été prise d'hallucinations de la vue et des troubles de la sensibilité générale après application, s
névrite qu'un an après l'empoi- sonnement. M. Pichon compare ces troubles de la vision aux amblyopies professionnelles de
ient contractée de vivre dans le voisinage d'un poêle mobile. Des troubles intellectuels consécutifs aux pratiques inopportu
doses indiquées par les auteurs qui l'ont préconisé, produit des troubles intellecfuels se manifestant surtout par une sort
vertiges, céphalies, paralysies transitoires, nausées et aussi des troubles digestifs'assez intenses. Si la dose est moin-
RR dit qu'il est fort difficile de juger des lésions entraînant les troubles de la sensibilité, à cause du voisi- nage de l'
enlever des points de l'écorce cérébrale chez des chiens, avec des troubles d'anesthésie. Il a souvent constaté l'aura sens
étude du tremblement musculaire. M. le Dl Pinnp C. z (de Boston). Troubles moteurs hémiplé- giques chez les enfants. M.
de mémoire et des autres facultés, et à peu près en même temps les troubles si connus des sphères motrices sensibles circulat
-elles à la rigueur passer pour de simples métaphores désignant les troubles de l'appareil visuel ou du système moteur. Pour
ls deviennent toujours insuffisants. P. KEHAVAL. XIV. De quelques troubles moteurs post-hémiplégiques chez les enfants ; p
antile avec contrac- ture, qui ne semblent être autre chose que des troubles de sclérose cérébrale. Ces hémiplégies ont été
88. Cupples et Hurd, édit.) Cette étude comprend douze cas de ces troubles ; l'auteur émet des doutes sur la commotion méd
mot, à la suite des traumatismes ; ceux-ci pourraient entraîner des troubles musculaires, de l'irritation spinale et des név
rocessus dégénératifs typiques. Fréquemment, ils sont les causes de troubles nerveux tels que l'hystérie, la neurasthénie, les
eur à leur suite a rencontré un complexus symptomatique type avec troubles psychiques, anesthésie, lenteur des mouvements, e
réflexes dus sans doute à une lésion organique. Le pronostic de ces troubles est grave ; ils peuvent s'amender mais non pas
ndt, 496 ; - cerveau et activité céré- brale, par Herzen, 197 ; - troubles moteurs post-hémiplégiques chez les enfants,
Beiiedilit, 308. Délire restreint, avec exacerbations cérébrales, troubles tabétiques, : etc., par Bonnet, 433. Dermoneu
r Môbius, 289. Paralysie diphtêritique, 465. Paralysie faciale ( troubles de l'ouïe dans la) par Rosenbach, 291. Paraly
URS. 507 veux central dans le vernissage de la), 468. Pellagre ( troubles nerveux dansla), par Tuielizek, 299. Physiono
ents par l'usage des), par Catsaras, 22, 225, 392. Simulation des troubles psychiques, par Fuerstner, 126. Société, médi
48 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
aladie, permanents, non douloureux, sont surtout constitués par des troubles divers de la sensibilité, de la mémoire, de la
ctères compliqués dont le sujet n'a aucune idée. Soupçonne-t-il les troubles bizarres des mouvements qu'amène avec elle l'an
res partiellement analogues aux stigmates, des anesthésies ou des troubles du mouvement pourront être déterminés par sug-
de l'écorce cérébrale et se rattachent-elles par con- séquent à un trouble général des fonctions psychologiques ? Nous ne
qui était déjà signalé d'une manière plus ou moins vague parmi les troubles du caractère des hystériques, mais qui nous par
l, syndrome important chez les hystériques, relève directement d'un trouble du fonc- tionnement du cerveau. Il faut donc ad
ouvrage, MM. Charcot et Marie, rattachent également l'hystérie à un trouble dans le fonctionnement des régions cérébrales l
medicine, t. I, p. 628. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L'HYSTÉRIE. 13 troubles vaso-moteurs et secrétoires; 3° les troubles tro-
NTES DE L'HYSTÉRIE. 13 troubles vaso-moteurs et secrétoires; 3° les troubles tro- phiques. Les accidents viscéraux sont tr
. Il est facile de constater des anomalies de diverses espèces, des troubles de la déglutition, des spasmes de l'oesophage à
ements du ventre, des paralysies ou des spasmes des sphincters, des troubles du même genre dans l'émission et même dans la s
rations des fonctions vaso-motrices sont déjà mani- festes dans les troubles si communs des phénomènes mens- truels, dans ce
chercher des observations aussi rares, on constate bien souvent des troubles de la sécrétion chez les hysté- riques. Les mag
ences du même genre ont provoqué des modifications, des règles, des troubles vasculaires graves, capables de produire sur la
ntimement des phénomènes physiologiques et psychologiques. Certains troubles physiologiques de l'hystérie ressemblent tout à
s troubles physiologiques de l'hystérie ressemblent tout à fait aux troubles qui accompagnent les émotions . MM. Oppenheim e
fonctionnement cérébral ne s'accom- pagne pas de beaucoup d'autres troubles . On les constate dans les mélancolies et les ma
s il a été appliqué à des enfants, à des hommes, à des malades sans troubles génitaux et sans attaques, en un mot à un bien
vail sur les stigmates mentaux de l'hystérie, nous ayons décrit les troubles de la volonté et de l'attention, les hésitations
on croit en la voyant et elle croit elle-même- qu'il s'agit d'un trouble de la déglutition et d'un accident simplement phy
t la conscience, se mêlent avec les autres idées et produisent un trouble général de la pensée beaucoup plus considérable.
trôle dé la conscience personnelle et qui se mani- festetit par les troubles les plus variés, d'apparence uniquement physiqu
elle perdra son caractère de monoplégie pure et s'ac- compagnera de troubles moteurs dans la jambe ou la face. Elle ne peut
es paralysies hystériques s'accom- pagnent beaucoup plus souvent de troubles de la sensibilité que les paralysies organiques
y avait vacuolisation des cornes antérieures. Pathogénie. Le plomb trouble d'abord les fonctions des centres spinaux, puis
chez un individu gaucher qui pendant la vie n'avait présenté aucun trouble du langage, entendant bien, com- prenant bien l
par les maris, les femmes devinrent enceintes et guérirent de leurs troubles intellectuels. Chaque couple eut plusieurs enfa
s l'âge de quatre ans; il est mort à neuf ans de la scarlatine. Les troubles de la marche ont commencé chez le malade dès l'
deux ans, à la suite de la rougeole. A sept ans, on a remarqué des troubles dans la parole et dans les mouvements des extré
s et inférieures. Signe de Romberg. Démarche tabético-cérébellaire, troubles du sens musculaire dans les extrémités supérieu
. L'aliénation mentale syphilitique a pour critérium clinique les troubles moteurs et sensitifs de la syphilis cérébrale, et
matique de la folie simple, mais bientôt au délire s'ajou- tent des troubles révelant la nature organique de la folie; de mê
if; le délire peut exister seul ou associé à de la démence ou à des troubles paralytiques, d'où quatre formes : folie simple,
a constata- tion des phénomènes propres à la syphilis, antécédents, troubles NÉCROLOGIE. 65 moteurs partiels (muscles de l
qui s'est écoulée entre le début des symptômes et l'apparition des troubles classiques de la sensibilité. Le diagnostic, ég
er de travailler. Peu à peu, il s'affaiblit, et il éprouva quelques troubles de la miction et de la défécation. Finalement i
La sensibilité est complètement intacte sous tous ses modes. Pas de troubles actuels des sphincters. Vue, ouïe, normales. Le
nique, dans les maladies chroniques de la moelle. L'absence de tout trouble de la sensibilité m'empêcha de conclure à la sy
c pièces anatomiques à l'ap- pui, dans lesquelles il n'y a eu aucun trouble de sensibilité. D'ailleurs à l'époque où j'obse
modes; il n'existe pas d'anesthésies, ni d'hyperesthésies. Pas de troubles de la miction. La défécation est un peu pénible.
bien. -La parole est devenue un peu plus difficile; il n'y a pas de troubles de la déglutition. Le malade n'a pas d'appétit.
ses membres inférieurs, puis du côté de ses membres supérieurs des troubles nerveux dont l'intensité rapidement croissante
ntensité rapidement croissante le réduit bientôt à l'impotence. Ces troubles nerveux comportent dès le début un élément dou-
124 PATHOLOGIE NERVEUSE. considérable. Il existe également quelques troubles des sphinc- ters, mais toujours assez légers. T
époque, -j'attire l'attention sur ce fait, il n'existe encore aucun trouble de la sensibibilité qui est absolument intacte da
ité musculaire est extrême. Deux ans après, en octobre '1891, les troubles caractéris- tiques de la sensibilité se montren
pas bien loin. Ce fait montre, avec la dernière évidence, que les troubles sensitifs, et en particulier la dissociation di
et de Par- mentier (thèse de Critzman, 1892), où il n'y a eu aucun trouble de la sensibilité pendant toute la durée de la
bilité pendant toute la durée de la maladie. Plus tard, lorsque les troubles de la sensibilité ont apparu, nous notons encor
se rendre un compte exact des lésions qui amènent les différents troubles sensitil's. D'abord la déformation extrême de la
ent à la partie supérieure du renflement cervical, et cependant les troubles trophiques faisaient complètement défaut. Pou
rophiques faisaient complètement défaut. Pour ce qui concerne les troubles moteurs, il est infiniment plus aisé d'établir
mmation chronique (myélite cavitaire de Joffroy et Achard), soit de troubles circulatoires amenant la désagrégation médullai
aible rétrécissement du, champ visuel (moitié, supérieure), pas, de troubles moteurs, sensitifs ou sensoriels. Intégrité de l'
n pourrait être. considéré comme ayant' détermine l'apparition du ! trouble "menta)/ou'p)utôt comme en ayant été la véritable
de substance nerveuse, suivie de> méningite" chronique : ' les' troubles psychiques 'ont'été consécutifs'à cesflésiohs'e
1g li' j ? i- P11 .'t : ;1d - ? 1)1 X. Contribution' a' l'étude DES troubles DE la' parole; ` ' l 0(. ? W m. , ? , XXlll,"3.
ante-deux jans ; il Y a dix ans, léger ictus (hémiplégie^gauche''et trouble de la parole) : récidive il y a quatre ans ; tr
nce ; signes fd'àtite .moyenne suppurée,' n'expliquant J ¡'Jas ¡Je) trouble 1 de la perception auditive.)Au lieu de parler,
i,ou un/siffle- .'ment; si, on l'émotionne,) il-. arrive à parler : Trouble très prononcé de l'intelligence des.mots ! et d
gt;' «j vù '< a. XI1. DES paralysies du' plexus 'brachial et 'du trouble de la sensibilité QUI se montre "dans rL.1"P.1R
t sous-scapulaire : , ? ? ' : 1 [ 111/ u. 4 il 1' , ca. 1 ? [ t Les troubles ) de la sensibilité,,1 étendus dans les paralysies
mme particularités principales l'absence d'hérédité, la présence de troubles de la sensibilité, et de la glycosurie; L'auteu
eich constitue une véritable entité morbide par sa causé, par 'ses' troubles particuliers' du- mouvement et de la sensibilit
aison dans la diffusion des, lésions à tout le système nerveux. Les troubles sensitifs, la céphalée, les vertiges s'explique-
oduite pari conséquent par. le. système nerveuxiseul, est due à des troubles dans la fonction des centres thermiques (fièvre
ême temps. cÓphalées"siégeallt à gauche du ventre.,Insomnie. Pas de troubles de la parole. L'iodure n'est pas supporté... Pa
. ` ' Diagnostic : tumeur du centre ovale, basé sur l'absence des troubles mentaux et convulsifs ? J ? " ? 1 da y L 1 ¡ .1
rande de l'état morbide.' Sou observation5 dans laquelle à côté des troubles moteurs caractéristiques du para ? myoclonus se
par SCARANO`. ? (llmtcnivlnio; fasc. -3, 489; )` , , " · XXXII. DES troubles 'fonctionnels dans LE domaine DU facial ET de L
e la paresie faciale hystérique est peU|intense et s'accompagne^ de troubles de, la sensibilité, est con- firmée,par nos obs
yau du facial du côté gauche, peut-être ne s'agit-il aussi que d'un trouble dans le'déve- loppement d'un noyau isolé de ce
sedo"les']'p]us"éaràclél'istiqù't3s"âvec;1 de temps" à' autre,' des troubles ne'rveu'x' : 'parésie'. Óú'pa'ràparésiés7 n'on hy
ps' à' autre,' à tel point'que la malade ne peuf'plus'se -mouvoir.' Troubles intermittents de' la sensibilité cutanée, du go
eai- tants, mécaniques. Peu de sommeil. Appétit, passable. Pas de troubles dans les organes internes. Pas de modifications,
- gnant-des difficultés que le médecin.éprouve à caractériser les troubles de la,parole et le diagnostic de l'état' mental l
role et le diagnostic de l'état' mental lui-même. Il y a évidemment trouble fonctionnel dans les centres qui enre- gistrent
j8fs «l nxp ? uu 1 t, - h Les épileptiques aliénés sont atteints de troubles dans l'articula- 'tion, d'aphasie motrice, de d
1 - - 'tify tl 'IA1 nitn'1 1(Li ! bv . ,t ,1·,.i, f : ' Modèles des troubles de l'écriture des aliénés, des sourds-muets, d'
a sensibi- J¡lité du 1 côté' gauche" amaurose des deux yeux.<Les troubles mo- 8 teurs 'rétrocèdent," il reste" des troubl
ertains délires de persécutions. Il parait se ,p-retfer¡¡sut'.des r troubles esthesiques encore- mal connus et lorsqu'il appar
'ti1 .'¡1ùqb ? Il...-;11.,< : , Si 6 u - cl7w,· ' -* " ' XI. DES TROUBLES DE la parole DUS al'hypochondrie ET DES TROUBLES
· ' -* " ' XI. DES TROUBLES DE la parole DUS al'hypochondrie ET DES TROUBLES SEMBLABLES DANS LA FORME DE LA PAROLE ARTICULEE
nie durant chacune un jour juste Puis, nouvelle attaque congestive, troubles trophiques, déchéance psy- chique et physique,
romure avec beaucoup d'eau et de le boire lentement pour éviter les troubles gastriques. L'eau légèrement alcalinisée et le
and. C'est à cette époque qu'il fit ses remarquables leçons sur les Troubles tro- phiques consécutifs aux maladies du cervea
1868, avaient paru dans la Gazette des Hôpitaux; les leçons sur les troubles trophiques venaient de paraître dans le Mouveme
ur ses propres travaux. Il reprit la composition des leçons sur les troubles trophiques parue dans ce der- nier journal et l
périons de pouvoir jamais parvenir au but. Après les leçons sur les troubles trophiques, venaient les leçons sur la paralysi
t presque toujours, pour ne pas dire toujours, associées à un autre trouble , celui-là très inquiétant, la dénutrition. Il est
Action phy- siologique assez marquée : dilatation des pupilles avec troubles de la vue, sécheresse de la gorge, diminution d
duboisine. Action physiologique : dilatation des pupilles et légers troubles de la vue, en plus, avec les doses les plus éle
ologique : séche- resse de la gorge et dilatation des pupilles avec troubles de la vue au début du traitement; et aussi amai
sement, sécheresse légère de la gorge, dilatation des pupilles avec troubles de la vue les premiers jours, perte de l'appéti
de cho- léra enleva le sujet en deux-jours; il n'avait jamais eu de troubles digestifs. De même, les trois cas suivants, d
siologique : sécheresse de la gorge et dilatation pupillaire avec troubles passagers de la vue. Ainsi, sur huit cas de lyp
siologique : sécheresse de la gorge et dilatation pupillaire avec troubles passagers de la vue. Le malade a toujours protest
Pendant ce temps là, il a eu deux fois la fièvre, sans aucun autre trouble , qui a passé sans traitement, ou avec un peu de
ns traitement, ou avec un peu de quinine. L'origine palustre de ces troubles ne laisse à l'esprit aucun doute, et la quinine
la sclérose en plaques ; mais la brus- querie de l'invasion de ces troubles et la guérison si prompte de mon malade éloigne
où la suggestion verbale pendantl'état hypnotique peut corriger un trouble mental encore léger. Au point de vue disciplina
iqués, il est à peu près certain qu'il de- meure impuissant sur les troubles mentaux, et il ne saurait, du moins à l'heure a
ord les trois grandes causes d'intoxication qui peuvent résulter de troubles dans la nutrition de l'organisme : 1° productio
toxication qu'il faut surtouts'adresser pour combattre et guérir le trouble mental. M. Gilbert Ballet (de Paris) en son nom
, M. Ballet cite quelques expériences qui sont de nature à jeter le trouble et à faire naître des doutes sur la va- leur du
celle d'un homme hystérique, sans manifestation délirante et sans trouble apparent de la santé, autre que l'hystérie. M.
détente. Les cas d'hypotoxicité continués semblent correspondre aux troubles mentaux permanents. Un trouble gastrique profon
ntinués semblent correspondre aux troubles mentaux permanents. Un trouble gastrique profond précède et accompagne toujours
rapport direct, de cause à effet, entre l'auto-intoxication et les troubles intellectuels : ce sont ces derniers seuls que M.
ence de la pré- disposition héréditaire, la cause occasionnelle des troubles psy- chiques a toujours été aussi vague et peut
yphoïde, diarrhée cholériforme), des désordres neurasthéniques avec troubles dyspeptiques, constipation, la mi- sère et l'hy
llectuelle à la stupidité complète. En même temps on a pu noter des troubles somatiques parfois accentués du côté des divers
dican est rencontré égale- ment souvent chez ces malades, indice de troubles gastro-intesti- naux profonds : ce sont donc au
ions n'offrant guère de phénomènes particuliers, sauf déjà quelques troubles psycho-moteurs, impulsions et phéno- mènes d'ar
es et un dédoublement de la personnalité des plus nets. Ce sont ces troubles qui maintenant dirigent la scène psy- chique. L
dirigent même la scène délirante. Ce sont d'une façon générale des troubles psycho-moteurs (hallucinations motrices, im- pu
utôt par des idées de possession que le malade interprète alors les troubles psychopathiques qu'il accuse. On peut même ren-
usieurs fois; sa parole est lente, comme tous ses gestes, mais sans trouble de l'articulation ; sa réponse est insignifiant
orte le diagnostic de tumeur cérébrale. Les 76 CLINIQUE NERVEUSE. troubles de l'équilibre et les symptômes oculaires sont lo
elet. L'absence de symptômes paralytiques, la douleur frontale, les troubles mentaux prédominants sont au contraire suffisamme
curoblastes arrondis, avec un noyau excen- trique et un protaplasma trouble ; 3 neuroblaste plus développé; 4 cellule nerveuse
logues, entourés d'uue couche assez épaisse d'un prbtoplasma un peu trouble , très avide de carmin; le tout forme des cellul
282 . ,CLINIQUE NERVEUSE. longements nombreux, à leur protoplasma trouble , à leur noyau volumineux, finement- réticulé, m
d'autre part on trouve de grandes cellules arrondies, à protoplasma trouble qui contiennent jusqu'à huit ou dix noyaux (14,
nd Neurologist, Saint-Louis, avril '1890) n'a pas constaté d'autres troubles qu'un change- ment de caractère et d'humeur dan
llules arrondies, ou munies d'un court prolongement, à protoplasma» trouble et avide de carmin, à noyau volumineux, reprodu
xtérieur est un phénomène primitif, résultant de toutes pièces d'un trouble morbide, c'est là le symptôme cardinal de la pa
s. Pas d'albuminurie automatismes. Puis, faiblesse généralisée avec troubles de. coordination des muscle du tronc et du cou.
nt les mêmes qu'en France. Les criminels chez qui l'on soupçonne un trouble mental sont diriges sur un asile du gouvernemen
en Norvège et en Angleterre. R. DE MUSGRAVE-CLAY. XXXII. SUR LES TROUBLES psychiques dans LES NÉVRITES périphériques; ' p
ériphériques multiples ont quelquefois pour effet de déterminer des troubles psychiques : lorsqu'ils se manifestent, ces tro
déterminer des troubles psychiques : lorsqu'ils se manifestent, ces troubles psychiques présentent quatre périodes : 1° une pé
lie, par exemple l'idiotie, ou encore certaines formes spéciales de troubles musculaires ou sensoriels. Il est important de
ntement du reste du système locomoteur, le patient succombait à des troubles de la circulation et de la respiration après de
en Allemagne. Elle est fréquente à Wurzbourg, rare à Berlin. Les troubles de la voix sont dus aux troubles respiratoires.
te à Wurzbourg, rare à Berlin. Les troubles de la voix sont dus aux troubles respiratoires. M. GOLDSCHEIDER rappelle que M.
ésie d'origine organique. Puis, en certains cas, il peut y avoir un trouble physiologique dans l'innervation du facial. Enf
première observation témoigne non de l'hystérie mais'd'un' de ces. troubles fonctionnels semblables à ceux qui' se produise
érose, et que l'on a coutume de considérer comme engendrés par des' troubles de la circulation. .-Elle ressemble aussi à ces
res observées parfois - la suite d'accès de migraines, avec ou sans trouble de la parole. On connaît quelques faits dans le
droit, tandis que les exacer- hations périodiques et notamment les troubles de la parole seraient considérés comme fonction
oute complication. Sur les trois autres cas, il est douteux que les troubles de l'innervation faciale soient en rapport avec
M. Oppenheim, présente une légère parésie faciale; s'agit-il de ces troubles que l'on ren- contre fréquemment chez les paral
nnaissance, mais plus tard SOCIÉTÉS . SAVANTES. 339 il y a eu des troubles de la connaissance qui ont persisté plusieurs j
re l'innervation des deux côtés), y-compris l'hémianesthésie et les troubles sensoriels. 1 - 1 l Passons aux observations de
qui se promènent », disent-ils. L'insomnie, les rêves pénibles, les troubles dyspeptiques, les troubles de l'appareil génita
s. L'insomnie, les rêves pénibles, les troubles dyspeptiques, les troubles de l'appareil génital, etc., tous ces symptômes r
tômes relèvent de la neurasthénie. A l'hystérie se rattachent les troubles de la sensibilité : anesthé- sies localisées, t
ttachent les troubles de la sensibilité : anesthé- sies localisées, troubles oculaires, troubles sensitivo-sensoriels. Hémip
s de la sensibilité : anesthé- sies localisées, troubles oculaires, troubles sensitivo-sensoriels. Hémiplégies ou monoplégie
evue générale ' J. Collet. Le tremblement des cordes vocales et les troubles de la phonation dans la sclérose en plaques. Fé
L'affection actuelle a débuté il y a dix-huit mois; les premiers troubles se seraient manifestés dans le membre supérieur d
devenant manifeste à l'occasion des mouvements du globe oculaire. Troubles de la parole très marqués, n'existant que depuis
qu'il veut prononcer, sans en oublier et sans en transposer. Aucun trouble de la sensibilité. L'appétit et la digestion so
pétit et la digestion sont normaux ; un peu de constipation. Pas de troubles de la miction. Rien aux poumons. Rien au coeur.
mo- ments. Trépidation épileptoïde très nette, surtout à droite. Troubles de la parole toujours très accusés; le malade ne
r de la sclérose en plaques : tremblement, trépidation épileptoïde, troubles de la parole, etc. En janvier 1892 le ma- lade
ire, coexistant cepen- dant avec le tremblement de la langue et les troubles de la parole. Le même contraste se retrouvait d
refuser un rôle sensitif, contre lequel plaide l'extrême rareté des troubles de ce genre dans les lésions cérébelleuses. Les
ie; titubation cérébelleuse et mala- dresse des membres supérieurs; troubles de la parole; nys- tagmus dans un cas, dans l'a
eurs; troubles de la parole; nys- tagmus dans un cas, dans l'autre, troubles oculaires qui pour- raient se rapporter au fonc
dans l'autre céphalalgies; mais sensibi- lité intacte et absence de troubles trophiques; symptômes bilatéraux et sensiblemen
e habituellement comme des arguments contradictoires, parce que les troubles moteurs n'y sont pas suffisamment mis en relief
s. Le vertige est beaucoup moins fréquent; il constitue, avec les troubles de la vue et le vomissement, une triade sympto-
lésions de déficit pures, comme l'atrophie, où sont si marqués les troubles de la coordi- nation, montre l'indépendance rel
hénomènes douloureux étaient absents ou non mentionnés. Quant aux troubles de la sensibilité proprement dite, nous en avon
caractéristique de la sclérose dans les lésions du cervelet : les troubles de la parole 3. Nous avons retrouvé ces troubles,
du cervelet : les troubles de la parole 3. Nous avons retrouvé ces troubles , si nets chez notre malade, dans les cas suivan
parole tremblante; Pierret : embarras de la parole ; Schultze : a troubles très prononcés de la parole. Les mots étaient p
analysé in R. des Sc. méd., 1891). Kyste hydatique du cervelet avec troubles de l'articulation. * Meynert. Wien. med. Jahrbu
concomitant : les altérations des olives. En effet, les cas où les troubles de la parole étaient les plus mar- qués sont pr
s-mêmes); dans les deux cas de Combette et de Verdelli, on note les troubles de la parole coexistant avec l'atrophie du cerv
ent' où la sclérose bien nette d'une olive ne s'accompagnait pas de troubles de la parole, comme celui de Vulpian, cité par
a malade. A citer encore contre cette théorie les cas où il y avait troubles de la parole sans altération des olives, ou du
, mais il n'y a provisoirement aucun inconvénient à ratta- cher les troubles de la parole au cervelet lui-même, organe coord
d'autant plus de probabilité que dans les cas connus jusqu'ici de troubles de l'articulation avec sclérose olivaire, il y av
ôme. En décrivant trois cas de sclérose en plaques accompagnés de troubles laryngés, il en cite un où, à l'examen laryngosco
gnalé dans la mala- die qui nous occupe, comme elles expliquent les troubles de l'équilibre, etc. Cette interprétation génér
s, les trépidations épileptoïdes, le tremblement, le nystagmus, les troubles de la parole, bref tous les symptômes habituels
ve. Il est des cas où rien dans ce trem- blement, ce nystagmus, ces troubles de la parole, ne peut déceler de différences av
t déceler de différences avec le tremblement, le nystagmus ou les troubles de la parole de la sclérose en plaques. Le diagno
les symptômes douloureux (céphalalgie, etc.), le vomissement, les troubles de la vue et de l'ouïe, manquent dans l'atrophie,
ression intra-cranienne : il ne reste donc que la titubation et les troubles de la coordination qui puissent' mettre sur la
ventualite d'autres désordres. Ou bien encore comme pour les autres troubles de cet ordre, l'accident est demeuré latent, ex
ait encore fait aucun geste. Mais l'obsession est à son comble et trouble toutes les facultés du malheureux; elle absorbe t
trouvé dans le jardin des Tuileries. Quand ça m'a I,ris, je voyais trouble et je n'ai pas pu résister de me mettre sur un
lus laisser redouter pour le malade l'imminence possible d'autres troubles épisodiques, s'il ne se tient en garde contre les
près. ' . J. T...n'a jamais eu ni maladie grave, ni convulsions, ni troubles nerveux reconnus pendant sou enfance. Son dével
resserre 2, douloureusement. « Il sent qu'il est tout pâle. » A ce trouble général s'ajoute une excitation génésique. Il e
à s'alcooliser, et progressivement cet abus a donné essort à divers troubles dont l'hérédité avait préparé la base. Les épis
OBSÉDANTE. 385 sans pronostiquer l'invasion éventuelle de nouveaux troubles épisodiques. Notre malade, comme on l'a vu, n'a
la maladie s'éteint sur place. Dans le 4 grand mal au contraire le trouble physiologique s'étend aux organes oui président
erveau qui est primordialement et essen- tiellement affecté, et les troubles moteurs ne sont que consécutifs et secondaires.
le embrouille la conception et supprime les facultés d'analyse. Les troubles de la mémoire et de l'éducation empêchent enfin
ouvelles idées de grandeurs. Cet ensemble de symptômes est dû. à un trouble de la circulation de la lymphe cérébrale. De là
û. à un trouble de la circulation de la lymphe cérébrale. De là des troubles de nutrition des cellules nerveuses, des modifi
t; excès bachiques et vénériens; hystérie avec accès périodiques de troubles nerveux et psychiques complexes associés. Perve
s, la suppo- sition est plus contestable, bien que certainement les troubles mentaux aient une laarge part dans la genèse de
énés; 3° Il n'est pas rare de voir le cancer précéder et causer les troubles mentaux, indépendamment de toute production can
les diverses régions du cer- veau et les couches envisagées. 5° Les troubles de la nutrition générale paraissent arrêter le
imer par des pleurs ses besoins, d'où le rapporteur conclut que les troubles des organes pelviens ont dû provenir ici d'un t
ut que les troubles des organes pelviens ont dû provenir ici d'un trouble du langage ou de la sphère psychique. Les mouveme
n seul pro- cessus ; en effet, cette hypothèse est démentie par les troubles des organes pelviens et par le fait que, en dép
aux extrémités inférieures; dans la moitié des cas on a observé des troubles passagers et peu importants des organes pel- vi
endineux ont été exagérés. Un tiers des malades a présenté quelques troubles vaso- moteurs des extrémités inférieures (oedèm
trémités inférieures (oedème, abaissement de la tem- pérature ; les troubles trophiques ont fait défaut. La sensibilité cu-
ard ; dimensions variables des pupilles; hippus intermittent; aucun trouble de la sensibilité ni de la motilité. Intégrité de
tabes qu'il a présenté à la Société en 1880 ; il y avait, outre un trouble notable de la sen* sibilité avec ataxie du memb
mentionnée, mais aussi par une diminution de l'acuité centrale, des troubles de l'accommodation, de la paresse des muscles de
emarqua que, dans ces conditions, l'individu atteint présentait des troubles de percep- tion variables suivant les méridiens
le rétrécissement concentrique considérable, du côté ou existe le trouble de la sensibilité rétinienne que de l'autre côté.
urologie, n° 73, p. t. 426 6 BIBLIOGRAPHIE. lysé, il n'y a pas de troubles du mouvement du côté du temporal T, ces muscles
nfin, l'état de déséquilibration psychique. Il étudie ensuite les troubles élémentaires, de l'activité psychique dont les
les états psychopathiques que nous venons d'indiquer. Ce sont : les troubles intellectuels, avec toutes les modifications qu
mémoire : hy- permnésie, amnésie, paramnésie. Ce sont encore les troubles de la conscience de soi-même, tels que l'incons
que l'inconscience de l'état morbide, la somnolence, le coma; les troubles de la sensibilité psychique; la faiblesse irritab
de l'état anesthé- sique, les émotions. L'auteur parle ensuite des troubles élémen- taires de la volonté avec les modificat
ersonnalité, les phobies, les déviations de l'instinct génital; les troubles de l'atten- tioiz; les troubles moteurs avec le
viations de l'instinct génital; les troubles de l'atten- tioiz; les troubles moteurs avec leurs diverses manifestations : ex
bilité, immobilité, tics, catalepsie, tétanie, mimique bizarre; les troubles du langage tels que la logorrhée, le mutisme, l
du langage tels que la logorrhée, le mutisme, les néologismes; les troubles de l'écriture. Un grand chapitre est consacré a
mes; les troubles de l'écriture. Un grand chapitre est consacré aux troubles somatiques des alié- nés et en tête est placée
stations physiques. 428 BIBLIOGRAPHIE. L'auteur passe ensuite aux troubles très nombreux qui s'observent du côté des fonct
sensitif, sécrétoire et vaso-moteur. C'est dans l'étude de tous ces troubles qu'on voit combien la pathologie mentale est ét
des systèmes autres que le systèmo nerveux, on observe souvent des troubles chez les aliénés, mais leur importance n'est pa
est convaincu que le rapport entre les affections psychiques et les troubles physiques peut être très considérable, d'où rés
s psychoses en trois grandes classes. La première comprend tous les troubles psy- chiques symptomatiques et transitoires tel
s ai enten- dues en moi-même. » La malade éprouve encore d'autres troubles inverses, sorte de phénomènes d'arrêt. « On la
obstacles à l'accomplisse- ment de certains actes volontaires), des troubles de la sensibi- lité profonde (sensations de pes
nsations de pesanteur, de légèreté, de vide, de rapetissement), des troubles de la sensibilité viscérale, des hallucinations
s tard. » Le fait capital est alors la prédominance excessive des troubles psycho-moteurs avec les altérations de la person-
l'oreille adhérent. PERSÉCUTÉS AUTO-ACCUSATEURS ET POSSÉDÉS. 443 troubles psycho-moteurs : hallucinations motrices, impulsi
t traduisent en quelque sorte la con- trainte qu'ils éprouvent, les troubles de leur personnalité. Ils attribuent leurs tour
neur et leur fondement psychologique cons- titué par les différents troubles psychomoteurs énumérés tout à l'heure, ces idée
riété. Mais ces idées même de possession ne sont que l'étiquette de troubles psychologiques plus profonds, en particulier le
quette de troubles psychologiques plus profonds, en particulier les troubles psycho-moteurs se résumant en' un dédoublement
e l'individu hanté par les esprits ' D . ' ' z D'autres fois, les troubles phycho-moteurs, les'altérations de la personnal
hui elle en est convaincue. Sa conviction repose sur une série de troubles intellectuels dont les plus saillants sont des tr
ne série de troubles intellectuels dont les plus saillants sont des troubles psycho- moteurs, hallucinations et impulsions.
dirigent même la scène délirante. Ce sont d'une façon générale les troubles psycho-moteurs (hallu- cinations motrices, impu
ôt par des idées de possession que le malade inter- prète alors les troubles psychopathiques qu'il accuse. On peut même renc
les trois quarts des malades venant me consulter viennent, pour des troubles nerveux. Si cette fréquence des névroses chez l
e l'hystérie s'y trouve associée et que c'est l'effa- cement de ces troubles hystériques qui, en améliorant le sujet, a fait
après un examen rapide du sujet, le diagnostic fut vite établi. Les troubles de la sensibilité, hémianesthésip sensitivo-sen
le spasme, tout cela rentrait bien dans le cadre de l'hystérie. Les troubles moteurs eux-mêmes, astasie et abasie, la malade
cela, s'affaissant aussitôt quand on veut la maintenir debout, ces troubles moteurs, dis-je, se rattachaient bien à l'hysté
tous les phénomènes hystériques avaient disparu, sauf peut-être les troubles de la sensibilité que je n'ai pas songé à étudi
et me forcent à crier. J'examine le malade. Rien qui m'indique les troubles ataxiques, sauf les douleurs; tout, au con- tra
. Je vis une jeune fille bien constituée, ne présentant, malgré ses troubles dyspeptiques, qu'un léger degré d'amaigrissement
tère irritable. Rétrécissement concentrique du champ visuel. Pas de troubles de la sensibilité générale. Ces vomissements co
ses convulsives. Jusqu'à l'âge de seize ans, n'avait présenté aucun trouble nerveux, quand, à la suite d'une vive contrarié
r, ou eut souvent recours à l'hypnotisme pour faire cesser certains troubles qu'elle présentait : anorexie, contractures, su
plus tard, c'était une rétention d'urine, avec douleurs vésicales, troubles qui persistèrent pendant près d'un an. 11 y a q
es antécédents de la malade, l'histoire de cette paraplégie, de ces troubles de la vessie me firent penser aussitôt à l'hyst
ntant à la gorge. J'en avais assez pour voir que c'était bien a des troubles hysté- riques que j'avais affaire. J'endors la
es aliments les plus indigestes, et cela sans éprouver les moindres troubles dyspeptiques. L'histoire pathologique de cette
C'était bien certainement une hystérique car elle présentait des troubles de la sensibilité générale et sensorielle : perte
ultats puisqu'elle peut amener la cessation du phénomène. Ainsi les troubles psychiques dus à l'hystérie sont presque toujours
nutes je fais disparaitre 458 CLINIQUE MENTALE. immédiatement les troubles psychiques. Je lui enlève trop bien même, puisq
, etc. Pas de signe de dégénérescence ni de dé- bilité mentale. Ces troubles psychiques je les rapporte à l'hystérie. Or, on
t tout à fait symétriques. Je n'ai pas examiné les réflexes. Pas de troubles marqués de la sen- sibilité sauf une plaque trè
buccale. En présence des antécédents de cette malade, des quelques troubles nerveux présentés jadis (cons- triction à la go
est partie guérie. CHAPITRE III HYSTÉRIE ASSOCIÉE. GUÉRISON DE TROUBLES HYSTÉRIQUES PAR HYPNOTISME. PERSISTANCE DES TRO
E. GUÉRISON DE TROUBLES HYSTÉRIQUES PAR HYPNOTISME. PERSISTANCE DES TROUBLES DUS AUX MALADIES CONCOMITANTES. J'ai dit dans
ément hysté- rique était surajouté et que c'est l'effacement de ces troubles hystériques qui faisait croire à l'action bienf
er que la plu- part de ces malades étaient des hystériques, que des troubles rapportés à certaines lésions organiques pouvai
notisme des accidents hystériques. Contractures. Persistance des troubles neurasthéniques. G..., trente-huit ans. Les ant
tôt sa contracture. J'essaie de lutter par le même moyen contre les troubles neurasthéniques, céphalée, gastralgie, atonie g
stérie et neurasthénie. Elle est très sensible à la suggestion; les troubles hystériques s'effacent instantanément et le résul
ré- cissement du champ visuel cependant, mais j'étais fixé par le trouble particulier qu'elle venait de manifester. J'ai eu
aux pratiques de l'hyp- notisme. Toutefois j'ai reconnu que, si les troubles effacés par la suggestion faite à l'état de vei
és; par le Dr P. NORBURY. L'idiotie, la microcéphalie, dues à des troubles survenus dans le cerveau aux cinquième et sixiè
cte des pôles. P. K. XXI. DE L'INFLUENCE DE la SUSPENSION SUR LES TROUBLES DE la vue dans les affections DE la moelle; par
ynski, le suspension, en cer- tains cas, agit favorablement sur les troubles de la vue, même quand ils sont produits par des
« ...f «j-l'.l.'M i; u.l. ? ,l( ut développement ultérieur en a été trouble , de sorte qu v â,"eû i·ei,es 1 sion des, partie
yul Il rtri, , , , ,H)M,j 1 r,l ? LIX." Contribution A' l'étude DES troubles , DE la', pondération DE '4 l'activité musculair
altérée, dans le tabès, que tout a fait à la fin; par conséquent un trouble ^ accentué è, cette nature sur les téuménts`dû trô
chez une femme du type delmorvaii-et chez un, homme indemne de tout trouble de la sensibilité qui avait le masque d'un r. n
stitielleset si eile n'est pas 'semblable aux trophonévroses'ou'aux troubles angio- . ,d, .. 1.1fi i , , (1 7 ? l il, ` '
ychoses qui procèdent de l'épuisement et, qui se rat- tachent à des troubles graves dans les fonctions organiques, g02 £ 1 B
sions par asso- nances et résonances incohérentes. En un mot, les troubles dus à l'épuisement physiologique sont tout à fa
s dus à l'épuisement physiologique sont tout à fait comparables aux troubles dus à l'épuisement psychique d'ordre pathologiq
traité en une brève compilation de trente-trois pages. L'étude des troubles mentaux et des névroses y est particulière- men
riphérique, le mode de produc- tion est le même et consiste dans un trouble nutritif de l'axe médullaire. Le pseudo-tabes n
nes, par A. Ty- '1 1er, 51. ,, ., ? Il tt eIÇIIV11'L .musculaire, troubles de la 1 pondération de Il ' chez 'les sourds-
e, par Harold, 58. Exorcisée, jeune fille -, 270. 1 Facial; des troubles fonctionnels dans le domaine du et de l'typog
ploi do l'- chez les aliénés, par Hobertson, 237. HI'IOGLOSSL des troubles fonction- nels dans le domaine du facial , et
que 'd'origine alcoolique, par J. Clarke Fenwick, 134;. sur ( lqs troubles , psychiques `dans les - , périphériques, par'J.
'Bajeno%% ? et minot, 60; contribution, à l'exa- men objectif des troubles de,, la ,, .sensibilité dans la^-, traumatique
pro- agressive, par Homen,' 49 ; de.s, du plexus brachial, et du trouble de ;la sensibilité) dans la ,'axil; ^ laire,'
. >;O, ,h·W nt ' È n Suspension," de l'influence de la sur les troubles de la vue dans les affections de' la moelle, pa
49 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
tion. Pas de signede Rom- berg ; pas de phénomènes douloureux ni de troubles de la sensibilité locale, générale ou sensoriel
rement bien que cela puisse se voir toutefois, dans l'hystérie, des troubles vésicaux, peu marqués à la vérité mais cependan
dans tous les cas elle est toujours insidieuse et il moins que les troubles urinaires aient été très marqués dès le début,
la deuxième période, c'est-à-dire à l'é- poque où sont survenus des troubles sérieux de la marche. Le malade en effet éprouv
constamment dans le décubitus dorsal ; elle répond péniblement sans troubles toutefois de la parole, aux questions qu'on lui
nées. Absence absolue des réflexes rotuliens des deux côtés. Pas de troubles de sensibilité aux divers modes. Il est diffici
immédiatement le vase ; de même pour les fonctions rectales. Pas de troubles sensitifs ou sensoriels ni de rétrécissement du c
ie avec l'apparition des syphilides papulo-squamens, l'existence de troubles des sphincters et l'absence de troubles sensiti
lo-squamens, l'existence de troubles des sphincters et l'absence de troubles sensitifs toujours rares d'ailleurs dans ces pa
émettre deux hypothèses : l'empâtement des membres inférieurs, les troubles trophiques et vaso-moteurs de la peau et peut-ê
, la paralysie semblait avoir débuté insidieuse- ment ; de plus les troubles vésicaux et rectaux sont rares dans les paraplé-
t rapidement complètes, s'accompagnant de phénomènes douloureux, de troubles très marqués des sphincters, et d'es- chare au
ne femme une paralysie presque complète des membres inférieurs avec troubles vé- sicaux s'accompagnant de douleurs spontanée
e palpé- bral ferme bien les yeux : il n'y a pas d'épiphora. Pas de troubles de la motilité des yeux. Les plis naso-géniens
a luette est un peu déviée il droite par sa pointe. Il n'y a pas de troubles de la dégluti- tion. Le malade u'a pas remarqué
ion de dégénérescence. Les réflexes rotuliens ont disparu. Pas de troubles de la sensibilité. Il me semble réellement que
ns qu'ils le soignent à distance. A noter encore à cette époque des troubles de la miction et de l'incontinence des matières
strabisme interne de l'oeil droit. Mais ce n'est en- core là qu'un trouble passager, qui disparaît au bout de 3 ou si jours
usculaires. Le muscle deltoïde droit est particulièrement touché. Troubles raso-moteurs el secrétaires du côté paralysé. '
ient apparus sans raison et avaient disparu de même. L'existence de troubles de la sensibilité générale, au défaut d'au- tre
générale, au défaut d'au- tres stigmates hystériques, l'absence de troubles intellectuels et d'aphasie pesaient également d
ce point de vue. Le parfait état de santé de l'enfant, l'absence de troubles intellectuels bien caractérisés et d'aphasie ;
tion partielle, dont la résolution spontanée devait amener celle des troubles nerveux produits par elle L'hypothèse de l'hysl
organique, il est logique de proposer la même explication pour les troubles de sensibilité rencontrés dans l'hémiplégie cor
de perte de connaissance. Depuis un mois, il faut encore noter des troubles psychiques assez marqués : agitation, cris, dél
nouvelle étape de l'hémiparésie primitive ? Car enfin, il s'agit de troubles trophiques dans les deux cas et l'on ne voit pa
une contracture de cause organique. Le plus souvent d'ailleurs des troubles divers de sensibilité et autres stigmates d'hysté
ystérie se surajou- tent à la contracture primitive, tandis que les troubles trophiques sont rares. Enfin, la marche de cett
n équilibrée, chez lesquels l'hystérie borne ses manifestations aux troubles delà motilité et de la sen- sibilité ; pas de p
ie, on trouvera d'ordinaire un ictus, quelquefois de l'aphasie, les troubles de la sensibilité seront com- plètement absents
stater les modifications des réflexes, l'atrophie musculaire et les troubles trophiques qui sont le cortège habituel des mo-
de début, quoique ce ne soit pas un début ordinaire, et de par les troubles de sensibilité qui accompagnent cette monoplégi
ec la dif- ficulté d'articulation des mots qui est produite par des troubles divers dans les mouvements combinés des lèvres,
eur de l'hystérie, le début brusque du mutisme, ses caractères, les troubles de la sensibilité et peut-être même les attaque
éné- ralisée dans la pratique. Il est évident en effet que tous les troubles des mouvements ou du sens de la vision ne relèv
us com- mune. La plupart du temps, on trouvera l'explication de ces troubles dans des dispositions spéciales du globe oculai
ous occupons que des cas très restreints où, l'analyse des di- vers troubles sensoriels et moteurs de l'appareil de la vision
hercher à modifier également, par une intervention rationnelle, les troubles tropliiques développés dans le territoire du nerf
ital le 25 mai, porteur maintenant ; d'ulcérations qui dénotent des troubles trophiques dans la sphère du nerf médian. En ef
nc avec la triade symptomatique suivante : paralysie, anesthésie et troubles trophiques dans le territoire du médian. Il éta
l était clair qu'il n'avait pas été lésé à ce niveau. Cependant les troubles trophiques étaient manifestes : il y avait donc
le constater tout à l'heure dans la salle, entièrement guéri de ses troubles trophiques, moteurs et sensitifs. Quatre jours
èse nous semble la plus rationnelle; car le seul fait qu'il y a des troubles de nutrition indique que la section du nerf a dû
. Phototype négatif A. LONDE Photocollographie Chêne ET LONGL-1 T TROUBLES TROPHIQUES CONSÉCUTIFS A UNE BLESSURE J DU NERF
emi à trois mois après-le traumatisme. On constate, en outre de ces troubles trophiques, une insensibilité abso- lue des deu
e sensibilité. En résumé, ce second malade nous présente : : I° des troubles trophiques ; 2° des troubles de la sensibilité
second malade nous présente : : I° des troubles trophiques ; 2° des troubles de la sensibilité ; 3° des troublés de la motilit
qui semble éminemment favorable au développement de la névrite avec troubles trophiques. Voici donc deux malades chez lesque
la paralysie consécutives à l'accident, ont présenté tous deux des troubles trophiques. Or ces troubles trophiques à la suite
l'accident, ont présenté tous deux des troubles trophiques. Or ces troubles trophiques à la suite de 70 NOUVELLE ICONOGRAPH
massue que prennent les extrémités des doigts, forme qui résulte de troubles trophiques différents de ceux dont nous par- lo
e troubles trophiques différents de ceux dont nous par- lons. Les troubles trophiques les plus curieux et les plus difficile
difficiles à expliquer sont les éruptions que l'on observe dans les troubles trophiques consécutifs aux lésions nerveuses ;
rapprochement entre ÉLONGATION ET RÉSECTION DU NERF MÉDIAN 71 ces troubles trophiques par blessure des nerfs et le mal perfo
e de toute sensibilité. Dans la syringomyélie, on observe aussi des troubles trophiques analo- gues à ceux des névrites. Cet
ornes antérieures peuvent être atteintes, et alors s'ensuivront des troubles de la motilité, avec atrophie et paralysie des
cornes postérieures que s'étendra le pro- cessus gliomateui, et des troubles de sensibilité spéciaux en seront la con- séque
troubles de sensibilité spéciaux en seront la con- séquence. Les troubles de la sensibilité ont un caractère spécial ; ils
. Mais il y a encore, et c'est là que je veux en venir surtout, des troubles trophiques exactement comparables 72 NOUVELLE I
ement comparables 72 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. aux troubles trophiques de cause périphérique et traumatique.
ois qu'il y a plaie ou cicatrice de plaie, et dans le voisinage des troubles nerveux trophiques, le diagnostic s'impose. Mai
erait autre chose qu'une lèpre larvée. Il y aurait donc en face des troubles trophiques localisés dus à des névrites traumatiq
névrites traumatiques comme celles que nous venons de décrire, des troubles trophiques, identiques comme aspect extérieur,
, ayant longtemps marché à l'aide de béquilles, voient survenir des troubles trophiques du membre supérieur ; il faut alors sa
évrite se déclare peu à peu, ayant pour conséquences visi- bles des troubles trophiques dont l'interprétation pourra devenir e
une indication précieuse dans les cas embarrassants. En face de ces troubles trophiques, de ces névrites périphériques trau-
y a six mois, se rappellent m'avoir vu opérer un malade, atteint de troubles trophiques dans la sphère du nerf médian, à la su
pliqué pour maintenir la main en flexion assez prononcée. Quant aux troubles trophiques de l'index et du médius, nous appliq
dixième jour, et de ce côté rien d'intéressant à noter. Du côté des troubles trophiques des doigts, au contraire, nous observo
rt qu'à l'autre main. L'ongle du médius a repoussé : toute trace de troubles trophiques a dis- paru, et l'on ne voit plus qu
CAS D'ARTHROPATHIES MYÉLOPATIIIQUES Observation I. Tabès dorsal. Troubles de la station, de la marche et de la sensibilité.
nait pas. Les réflexes patellaires sont totalement.abolis. Les troubles de la sensibilité sont trèsmarqués. Ce sont des
eurs et sueurs fréquentes. Parfois incontinence nocturne d'urine. Troubles trophiques. Les dents, excellentes jusqu'à l'âge
iable. Observation II. Tabès dorsal chez un syphilitique. Ataxie. Troubles oculaires et urinaires. Crise upoplectiforme. A
d'urine fréquente. Pas d'albuminurie ; pas d'ar- thropathie, pas de troubles vaso-moteurs, le malade reste quelques jours à
arrière, concave en avant (PI. XI). Pas d'autre arthropathie, ni de troubles trophiques. Le traitement par la suspension n'a
u voûtée, quoique sans scoliose du rachis ; poids 34 k. 500, Pas de troubles de la parole. Pupilles égales, moyennes, réagis
rabi- que, alternant, mais la vueestbonne. Pas de nystagmus. Pas de troubles dans la perception des couleurs; pas de rétréci
question. Depuis cette époque, la connaissance plus approfondie des troubles fonctionnels du système ner- veux, si fréquents
MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS (9 ). Si les troubles hystériques de l'appareil de la vision ont été ob
., 1879). 2. Lésions motrices. Dans la question si complexe des troubles moteurs de l'appareil de la vision qui sont en
es centres moteurs de l'oeil, on peut commencer par établir que ces troubles sont constamment le fait de paralysies des muscle
pos des ophtalmoplé- gies sus-nucléaires et corticales : « 1° Les troubles moteurs oculaires, ayant une origine sus-nucléair
muscles de l'oeil : c'est qu'à l'inverse de ce qui a lieu pour les troubles moteurs de cause organi- que, la paralysie de c
ord avec MM. Parinaud et Morax, objecte avec raison que beaucoup de troubles moteurs oculaires sont indécis, qu'on ne saurai
le confon- dre avec le même syndrome de nature organique. Le seul trouble hystérique des muscles de l'oeil qui puisse prête
ondant. Enfin, M. Gilles de la Tourette a noté la superposition des troubles moteurs hystériques et des troubles de la sensi
tte a noté la superposition des troubles moteurs hystériques et des troubles de la sensibilité de la région oculo-palpébrale,
mem- bres. Pas de paralysies. Réflexes rotuliens conservés. Pas de troubles sphinc- tériens. Sensibilité normale à la pea
egard un peu vague, mais sans déviations. Raie méningitique. Pas de troubles sphinctériens. La température reste normale. Le
ne méningée ; ce qui domine au contraire, c'est la bilatéralité des troubles moteurs, leur distribution incohérente, la vari
des troubles moteurs, leur distribution incohérente, la variété des troubles oculaires (nystagmus, strabisme), et enfin la f
roubles oculaires (nystagmus, strabisme), et enfin la fréquence des troubles intellectuels qui peuvent aller jusqu'à l'idiot
oit. Extension graduelle de ces plaques. A 42 ans, développement de troubles trophiques variés : maux perforants plantaires, e
t récidives multiples jusqu'à 46 ans. Etat actuel.* Persistance des troubles trophiques ou de leurs cicatrices. Dis- (1) Séa
nt adhérents. Sur la peau et sur les muqueuses il n'existe point de troubles sensitifs, de nodules, de ta- che pigmentée, de
l affectionnait beaucoup le café en in- fusion. Il n'a jamais eu de troubles de la mémoire, de l'intelligence, des organes d
t pour la fin la description des principales lésions et l'étude des troubles sensitifs et des réactions électriques. La tê
le du nez. Une exploration attentive ne découvre pas sur la face de troubles de pigmentation, d'érythème, de nodules cutanés
nystagmus, de saillie anormale du globe oculaire. On ne note aucun trouble du côté des organes des sens ; champ visuel un
lade l'attribue aux ardeurs du soleil ; elle présente toutefois des troubles sensitifs très importants indiqués ci- dessous.
tit doigt. Dans ces diverses régions, pas de lésions cutanées ni de troubles de pigmentations autres que deux plaques brunât
agérée sur les membres ; les mains et les pieds sont plutôt secs. Troubles sensitifs (fig. 9, 10). Tête et con. Sensiblité t
ntact soit conservée. Membre inférieur gauche. Même topographie des troubles sensitifs. La dissociation existe sauf sur le m
; fourmillements et picotements sur les pieds pendant la marche. Troubles du sens musculaire. B..... éprouve de grandes dif
u siège des lésions premières qui tenaient sous leur dépendance les troubles trophi- ques et sensitifs et surtout à la cause
ûmes alors de faire l'examen bacillaire d'un filet nerveux ; si les troubles trophiques n'étaient que le reflet de lésions ner
faiblies, excepté sur la plaque sternale où elles sont abolies. Les troubles sensitifs ne sont d'ailleurs pas exacte- ment l
e la dis- (1) Thibierge. Un cas de lèpre systématisée nerveuse avec troubles sensitifs se rappro- chant de ceux de la syring
e le diagnostic très difficile sinon impossible de prime abord. Les troubles trophiques n'ont rien de caractéristique ; on les
, Neurologisches Cen- tl'alblatt, 4 août 1884. (2) Quinquand. Les troubles de la sensibilité chez les lépreux, Bull. de la S
ve occupait les régions sus-orbitaire et frontale. Sans doute ces troubles céphaliques ne sont pas sans importance, mais a
èpre ? Force est de répondre par la négative. Pour ce qui est des troubles sensitifs, M. Roth a noté (1) la participation
au début et ne se manifeste, dans la majorité des cas, que par des troubles de la sensibilité du côté de la face et des muq
oute nodosité. 6- La présence de larges macules hyperhémiques et de troubles sensitifs à leur surface est un symptôme qui, j
matique (Jelly), pachy-méningite spinale (1). On la range parmi les troubles tro- phiques, et on l'assimile aux hypertrichos
couleur violet foncé. Les mains sont aussi cyanosées, épaisses. Ces troubles de la circulation augmen- tent l'hiver; ils par
de contracture, ni de phénomènes spasmodi- ques quelconque, pas de troubles grossiers de la sensibilité, pas de dou- leurs
chez notre malade le développe- ment anormal des poils soit dû à un trouble d'évolution congénital dont la nature résle à é
eurs (1). Vers 1887 ou 1888 (2). Il eut aussi vers cette époque des troubles diges- tifs. Les digestions ont été pénibles pe
rait une demi-journée environ et revenait tous les 2 ou 3 mois. Ces troubles de la voix ont disparu en 1889 depuis sa première
é à droite. Réflexe du poignet également diminué à droite. Pas de troubles de la sensibilité au loucher, même pas de retard.
de retard aux jambes pour la sen- sibilité à 50° ou à 0°. Pas de trouble du goût, ni de l'odorat, ni de l'ouïe. Constipa
qu'il ne s'agit ici que d'une petite série de faits. Par contre les troubles de la sensibilité aux membres inférieurs ne par
me état au point de vue de la motilité des membres inférieurs : des troubles trophiques (eschares fessières) commen- cent à
directe de l'infiltration méningée à la moelle, soit par suite des troubles circula- toires qui résultent des oblitérations
taine réserve à cet égard, tout en étant favorable à l'idée que les troubles circulatoires sont en cause. Les opinions des a
e la démence apathique : inégalité des pupilles, forme irrégulière, troubles dans les réflexes des muscles ciliaires et des
, savoir : des variations dans la circulation et aussi peut-être un trouble trophique. Pour ce qui concerne la circulation
te son expression oedémateuse et replète. Pour ce qui est des des troubles trophiques en particulier, l'examen (1) a prouv
lui. Les muscles ne subissent aucune dégénérescence ; toutefois des troubles tro- phiques dans les tissus sont possibles.
t des mus- cles, le ralentissement de la circulation du sang et les troubles trophiques des tissus étant les causes de la ru
la paupière supé- rieure, de tous les muscles faciaux, par certains troubles trophiques et enfin par une ophthahnoplégie int
usculature dans la démence découle indirectement ou directement des troubles qui affectent l'écorce cérébrale. Cette conclusio
iminution de volume évidente des thénars et hy- pothénars. Pas de troubles de la sensibilité sauf une légère hypoesthésie da
aux nourriciers de la moelle, ayant pour conséquence inévitable des troubles circulatoires et une nutrition insuffi- sante d
t et Lion), cette période prodromique consiste es- sentiellement en troubles de la sensibilité : douleurs rachidiennes plus ou
ainsi dire, celle qui doit nous occuper tout spécialement ici. Les troubles cérébraux graves ont disparu ou à peu près ; le
220 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. 15 janvier 1892. - Les troubles observés sont franchement médullaires. Il ne s'
L'hémiparaplégie spinale persiste. Cystite purulente. Par deux fois troubles cérébraux congestifs subits. Douleurs en cein-
un peu moins fermes, que celles du membre inférieur gauche. Pas de troubles de sensibilité. La malade ne peut marcher qu'en
ujette il de légères syncopes ou évanouissements, sans aura. Pas de troubles sensitivo-sensoricls. Depuis le 6 juillet, pren
lentement, exactement comme cela avait eu lieu du côté gauche, sans troubles de la vue d'ailleurs. Marié en 1888, il a eu de
l'état normal. Il n'existe pas d'atrophie musculaire, ni le moindre trouble de sensibilité aux membres ; mais à la face, il y
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. conséquence l'anesthésie signalée et des troubles trophiques du côté de l'oeil. L'examen des yeux
ffet 11 ans avant l'infection syphiliti- que, graduellement et sans trouble de la vision d'ailleurs : la chute de la pau- p
])fable à la première, et elle a été manifestement indépendante des troubles nerveux dont il vient d'être question. - ' On
douleur dans les membres inférieurs. Du côté de la vessie pas de troubles bien nets, sauf que, il y a deux mois, pendant
l'emporte dans tel ou tel groupe des muscles. Il n'existe pas de troubles trophiques marqués du côté de la peau et des ongl
l n'y a pas la moindre ataxie, même les yeux fermés. Sensibilité. Troubles subjectifs : La malade a des douleurs de deux sor
ue dans les doigts (deux derniers de la main gauche surtout). Les troubles de la sensibilité objective sont beaucoup moins i
coup la forme la plus fréquente. - Dans un grand nombre de cas, les troubles prémonitoires de l'affection médullaire offrent
rétendent n'avoir éprouvé comme symptôme pré- curseur que de légers troubles subjectifs de la sensibilité dans les mem- bres
Chancre induré, 2 ans avant les accidents médullaires. Début par des troubles de sensibilité dans les membres iifé)-ieiiis et
cette épo- que il n'a pas présenté, dit-il, d'autres accidents (ni troubles oculaires, ui para- lysie d'aucune sorte). De
se une vive douleur. Comme phénomènes céphaliques, on note quelques troubles de la vision. Voici le résultat de l'examen ocu
directions latérales externes du regard. Il n'y a cepen- dant aucun trouble paralytique du côté des muscles des yeux ; et la
ation des deux papilles. - DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 23j Troubles du côté des sphincters. La paralysie du sphincter
Amélioration légère de la paralysie motrice, surtout à gauche. Les troubles objectifs de la sensibilité sont très accentués m
our de l'entrée, et jamais elle n'a at- teint 38°. Pas le moindre trouble trophique, pas d'atrophie musculaire aux membres
observateurs, mais sur un ensemble de stigmates physiques tirés des troubles de la sensibilité, de la marche de la températu
dans le rachis ; de la faiblesse et de la raideur des jambes ; des troubles vésicaux. Ceux-ci peuvent précéder tous les autre
ès exagérés et qu'il existe presque delà trépidation spinale. Les troubles de sensibilité sont toujours relativement légers,
légers, parfois même à peine indiqués. Les plus constants sont les troubles subjectifs : les malades se plaignent d'engourd
mités ; mais, règle générale, ils ne souffrent pas. Par contre les troubles objectifs manquent souvent; ou bien s'ils exist
de la paralysie spinale syphilitique d'Erb. L'auteur ajoute que les troubles trophiques, les eschares du décu- bits font déf
membre inférieur gauche, im- puissance génitale et persistance des troubles vésicaux. Pas de phénomènes cérébraux. CIIaf.
out de 2 ou 3 secousses. Les membres supérieurs ne présentent aucun trouble du mouvement et de la sensibilité ; les réflexe
e anomalie dans les yeux, ni dans la sphère des nerfs crâniens. Les troubles urinaires persistent (inconti- nence légère).
ccompa- gnée de parésie vésicale plus prononcée du côté droit ; les troubles de la sensibilité objective se bornent à une pa
ement descendante. Ultérieurement paraplégie spamodique légère avec troubles vésicaux. 1 ? xa- aération des réflexes aux mem
hilitique absolument typique. Dans d'autres cas, alors même que les troubles de sensibilité de la pé- riode prodromique sont
rébraux. C'est avant tout, dit-il, une maladie cérébro-spinale. Les troubles cérébraux en question peuvent d'ailleurs être t
sies oculaires, lésions ophtalmoscopi- clues; ou bien encore ictus, troubles psychiques, étals comateux passa- gers, etc.
veux accompagné d'observations personnelles, il est fait mention de troubles ocu- laires légers (inégalité pupillaire, anoma
même année, paraplégie spasmodique développée gra- duellement, avec troubles vésicaux. Diplopie transitoire. Etat du malade
ent normale- ment aux excitations électriques. Il n'existe pas de troubles appréciables de la sensibilité : le contact, la t
uit adroite comme à gauche. De ce côté-ci elle est inépuisable. Les troubles vésicaux existent toujours, bien qu'ils soient mo
onsidérable des réflexes tendineux, des raideurs passagères. Or les troubles vésicaux étant dans ce cas très peu importants, l
dans ce cas très peu importants, les douleurs peu intenses, et les troubles subjectifs de la sensibilité absolument nuls, d
d'une paraplégie légère accompagnée de spasmepresque dès le début. Troubles de la sensibilité et troubles du côté des sphinct
pagnée de spasmepresque dès le début. Troubles de la sensibilité et troubles du côté des sphincters extrêmement légers. Actu
début de la paraplégie) paraplégie spasmodique très accentuée sans troubles de sensibilité et sans troubles vé- sicaux. Exa
gie spasmodique très accentuée sans troubles de sensibilité et sans troubles vé- sicaux. Exagération notable des réflexes au
urs dans le même état. Même dé- marche spasmodique, môme absence de troubles de la sensibilité aux membres inférieurs, même
férieurs, même exagération des réflexes aux membres supérieurs. Les troubles vésicaux sont si légers, qu'ils méritent il peine
; mais le tableau clinique est singu- lièrement plus accentué. Les troubles du mouvement sont assez importants pour condamn
ailleurs tôt ou tard de con- tracture comme précédemment. Quant aux troubles de la sensibilité, ils (1) UeberHlickenmarksyph
ils se retrouvent au grand complet dans l'ob- servation VIII. Les troubles subjectifs de la sensibilité s'accentuent en prop
de un, deux, trois ans du fait des infections secondaires, dont ces troubles trophiques constituent la porte d'entrée la plu
immédiatement pratiqué amène 1 litre d'urine char- gée en couleur, trouble , fortement ammoniacale. Prescription : un grand b
u jour où il tombe paralysé. Ou bien les accidents débutent par des troubles vésicaux : dans l'observation qui pré- cède, no
sur la moelle ensuite. La période prodromique est marquée par des troubles de la sensibilité en relation avec la méningite
ÈRE. modiques généralement incomplètes, accompagnées constamment de troubles dans le fonctionnement des sphincters de la ves
es, qui changent de place : « des rhumatismes qui se promènent ». Troubles gastriques divers : digestions pénibles, ballonne
sement une bouteille de verre blanc il moi- tié pleine d'un liquide trouble d'odeur alcoolique : « C'est un cordial, nous dit
ne tendance il l'affectation. Peu de temps avant l'ap- parition des troubles psychiques, elle eut une grossesse suivie d'un av
, elle eut une grossesse suivie d'un avorte- ment. L'apparition des troubles psychiques eut lieuen 1885, vers le 17 avril. L
verses formes de maladies mentales et se rap- portent en partie aux troubles trophiques, en partie aux troubles vaso- moteur
et se rap- portent en partie aux troubles trophiques, en partie aux troubles vaso- moteurs. En passant en revue les troubles
ques, en partie aux troubles vaso- moteurs. En passant en revue les troubles trophiques qui accompagnent les maladies mental
ceux qui ont été solidement éta- blis au point de vue clinique. Ces troubles comprennent des modifications de la peau et des
orner il constater son existence. Passons maintenant à l'examen des troubles observés chez notre malade dans la région de l'ar
rejetées, vu l'absence ici de symptômes cardinaux se rapportant aux troubles qui accompagnent ces affections. En outre l'is-
s conditions analogues, parce que chaque fois qu'il est question de troubles somatiques d'une certaine nature chez les aliénés
contredisant en cela ceux qui affirment que, chez les aliénés, ces troubles peuvent se dé- velopper par une voie purement o
sions faisant défaut. Ces considérations, ainsi que l'existence des troubles trophonévrotiques qui précédent (periostites cl
c21lae) qui accompagnent (herpès Lerbialis pe- rio.sf,iLis cricris, troubles des nerfs de l'intestin) et qui suivent (phlegmon
'elles. Il n'entre pas dans notre plan d'examiner les causes de ces troubles trophiques ; c'est pourquoi nous ne parlerons pas
pas des théories qui s'y rattachent. Actuellement, l'existence des troubles tro- phiques n'est plus mise en doute par perso
ne, et rien n'est mieux établi en pathologie que l'existence de ces troubles et leur développement dans les affections des c
des nerfs (Charcot) où se trouvent les lésions qui déterminent les troubles trophiques dans les maladies menta- les. De que
s cas analogues et l'étude attentive du tableau symp- tomatique des troubles trophiques qui s'offrent avec une telle abondance
oux ploient alternativement, surtout en marchant » (Dutil). ' Les troubles dyspeptiques manquent rarement : sensations de lo
hénomènes de dépression psychique tiennent une large place dans les troubles mentaux. Mais ils ne sont pas toujours les seul
oc. cit. vt 24 lue 354 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. troubles permanents de la psychose ». On peut en dire auta
ée, XXXII. Trépanation . Notes iconographiques , XXXVIII à XLI. Troubles trophiques consécutifs à une bles- sure du nerf
hiques, 33, 34, 35, 36, 31, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46. Troubles trophiques, chez un aliéné, 49. Voies optiques,
50 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns sa forme, parfois inégal comme degré. Pendant toute la durée des troubles hallucinatoires, le rétrécissement persiste dan
2. Fig. 2. O. G. Elal de dépression. 4 CLINIQUE MENTALE. tique du trouble hallucinatoire, portant on haut, en haut et en
4). Le tracé n° 3 pris le 11 juillet, la malade n'épiouvant aucun trouble , est normal. Le tracé n° 4, pris le 31 juillet-
ractéristique hallucinatoire, dix-sept heures après la cessation du trouble . ' y. d'intoxication avec hallucinations de la
ours dans les états dépressifs. 2 Dans les étais s' accompagnant de troubles de l'activité Ons. 67, Fin. 6. - Q. G. Hallucin
Il est parallèle à l'état même du sujet, et cesse d'exister avec le trouble . On le trouve dans tous les états - mélancoliqu
il est associé à d'autres varia- tions du champ visuel, dues à des troubles surajoutés. ! ' 1 a. Etat mélancolique délirant
B. Champs constamment élargis. - Dans les états s'accompagnant de troubles de l'activité générale. a) Ma- niaque simple ;
normale, qui permettent de prévoir les va- riations d'intensité du trouble d'un jour à l'autre, ainsi que la cessation ou
schéma des' variations en haut du champ visuel, en rapport avec les troubles de l'activité générale (fig. 24). Le 24 août.
avail de MAL A. Rodiet, Dubos et P. Pansier, en ce qui concerne les troubles de la vision. Nous y ajouterons cependant que l
erne les troubles de la vision. Nous y ajouterons cependant que les troubles hallucinatoires et de l'activité générale s'acc
ue du champ visuel, que chez tous les autres aliénés. 1° Avec les troubles de l'activité générale. -On s. 116 ? 11. R...,
de l'accès. Toutefois leur étendue paraît être en rapport avec les troubles de l'activité générale, précédant ou suivant la
ons avant de parler d'irrégularité, d'inégalité des pupilles, ou de troubles des réflexes. Bien des inégalités pupillaircs c
mment gardés contre toute idée préconçue. A. Paralysie générale. 1° Troubles pupillaires. Nous a ons noté l'irrégularité des
té pupillaire en tant que symptôme isolé ne s'accom- pagnant pas de troubles des réflexes à la lumière ou à l'accomodation,
'elle soit due uniquement, comme cela parait être probable, à des troubles des réflexes ou à toute autre cause, est un sig
d'intoxication avec hallucinations de la vue. il) Pupilles. -- Les troubles pupillaires sont beaucoup moins fréquents que d
ntraire, il nous a été donné de constater en même temps que lui des troubles de la papille et de la vision. Sur 16 maladps
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OEIL CHEZ LES ALIENES. 33 C. Etat avec troubles DE l'activité générale. a avec dépression (Méla
-à-dire les variations d'étendue en rapport avec les variations des troubles hallucinatoires d'une part et les troubles de l
avec les variations des troubles hallucinatoires d'une part et les troubles de l'activité générale d'autre part, nous pouvo
uvons dégager les faits suivants : 1° Que chez tous les aliénés les troubles hallucinatoires et les troubles de l'activité g
1° Que chez tous les aliénés les troubles hallucinatoires et les troubles de l'activité générale s'accompagnent de va- ri
estent de quelques heures à 24 heures au plus avant l'apparition du trouble , l'accotrt- pagnent pendant toute sa durée, et
isparaissent de quel' ques heures à.24 heures après la cessation du trouble . 3° Que l'importance de ces variations est en r
e l'importance de ces variations est en rapport avec l'intensité du trouble hallucinatoire ou de l'activité géné- rale. 4
, souvent dès la veille ; et de noter dans les mêmes conditions les troubles de l'activité générale qui précèdent, accompagn
s mémoires pré- sentés et traitant : (De la valeur diagnostique des troubles ocu- laires aux différentes périodes de la para
e de Saint-Ve- nant). Archives de neurologie, 1905.- Brun et MORAX. Troubles de la vision. In Traité de pathologie générale,
es dégénérés. Thèse de Paris, 1893. Jojos. Valeur séméiologique des troubles pupillaires dans les affections cérébro-spinale
e. Journ. deméd. de Bordeaux, N° 13 et 14.- lIhGNOT (R.). Etude des troubles pu. pillaires dans quelques maladies mentales.
ellent deux remarques intéressantes. On rapporte à l'alcoolisme des troubles intellectuels ou des réactions, motrices ou mor
ux est normal ou inférieur au taux normal ; 4° dans quelques cas de troubles mentaux, l'indoxyl est en excès aussi bien pend
- que de 39 ans. Lulenburg qui a été un des premiers à ranger le, troubles du système nerveux vaso-moteur parmi les variétés
par la fatigue saine, il en résulte que l'msomnie est causée par un trouble intervenu dans leur fonction- nement physiologi
dentiques chez un même sujet,de plus la crise laisse après elle des troubles de la réflectivité, généralement de la diminuti
sculaire, du tremblement, de la parésie des membres inférieurs, des troubles de la parole qui rappellent ceux de la paralysi
situation en tant qu'entité clinique, ses rapports avec 'les autres troubles mentaux, et la valeur de l'assertion suivant la
et la valeur de l'assertion suivant laquelle elle constituerait un trouble primitif de l'intelligence par opposition avec
elligence par opposition avec les maladies que l'on a qualifiées de troubles mentaux affectifs. Les conclusions de ce discou
rconscrit. En particulier, la doctrine qui fait de cette maladie un trouble primitif de l'intelligence a été, durant ces de
e : d'ailleurs ce serait une faute grave lorsqu'on étudie un cas de trouble mental, de laisser de côté l'examen des différe
sé en compar- timents étanches. Suivant l'auteur, la séparation des troubles primitivement affectifs d'avec les troubles pri
teur, la séparation des troubles primitivement affectifs d'avec les troubles primitivement intel- REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
désordre primitif de l'intelligence qui exclurait ou précéderait le trouble affectif. 3° En admettant l'existence de cas ai
l a employé la psychothérapie. L. WAHL. Xl7. - Paralysie générale ; troubles trophiques cutanées ; par MM..1. Lh4PINE et M.
venu au dernier degré de la cachexie et chez lequel apparurent des troubles trophiques des membres. Leur caractère principal
d sans doute à des traumatismes extrêmement légers. G. C. XV. Les troubles mentaux dans la lèpre à propos d'un cas de psyc
membres, de la paralysie faciale, de l'irido-choroïde double et des troubles REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 71 mentaux carac
n affectaient le type de la persécution, mais mal systématisée. Ces troubles intellectuels débutent tardivement et aboutissent
a psycho et la neuro-pathologiè ne doivent pas être sépa- rées. Les troubles des sensations, des perceptions 'hallucinations
es et illusions du souvenir, l'auto- suggestion obsessionnelle, les troubles nerveux qui ne sont pas des maladies mentales,
la possibilité de se prononcer d'un côté au sujet du traitement des troubles hystériques et de l'autre côté sur l'origine de
ion maniaque, manie aigué ». Père et mère morts de vieillesse, sans troubles mentaux ; un frère et une soeur sont morts poit
esanL6 de ' Ville-Evrard au mois de mars 1905 avec leriiagnoslic de troubles nerveux caractérisés par des impulsions, par de
conscience et la mémoire des fugues sont intactes ou plus ou moins troubles comme les autres actes des débiles, Les fugues
enfants dont il relate l'histoire, l'auteur conclut qu'il existe un trouble primitif de l'orientation chez toutes les perso
ons où soit la somno- lence, soit l'insomnie paraissent liées à des troubles de font. tionnement de l'hypophyse et il émet c
mptômes dominants étaient une atrophie progressive accom- pagnée de troubles vasomoteurs des mains (main succulentel. Mort p
contre surtout chez de vieux tuberculeux à lésions fibreuses et ces troubles paraissent être en raison directe de l'étendue
u est au grand complet : de la dyspepsie secrétaire et motrice, des troubles cardiaques divers, de la dyspepsie : lorsque le
sujets aux hallucinations ; toutefois certains cas ac- compagnés de troubles hallucinatoires ont été observés depuis ; on a
nt fonction du développement cé- rébral. Le régime alimentaire, les troubles digestifs, la constipa- tion jouent- ici un rôl
s banal mais non le moins significatif de tous, le mal de tête, les troubles moteurs, la neurasthénie (qui est au moins proc
he parente des psychoses), l'insomnie, les attaques d'hystérie, les troubles de la circulation, les altérations du sang et l
s de la circulation, les altérations du sang et la leucocytose, les troubles de la nutrition et de la digestion,les modifica
rition et de la digestion,les modifications menstruelles, enfin les troubles mentaux eux-mêmes. Il conclut <le celle élude
on qu'ils ont faite du véronal, dans différentes formes mentales. Troubles mentaux dans la sclérose en plaques. (Présentatio
Il s'agit d'une jeune fille, atteinte de sclérose en plaques et de troubles intellectuels qui paraissent liés aux lésions d
homme, âgé d'une quaran- taine d'années, chez lequel éclatèrent des troubles intellectuels à forme mystique, consécutivement
M. LworF. Un cas comparable a encore été communiqué par M. Dheur. Troubles mentaux consécutifs à un accident de travail. M
lmas rapportent les observations de deux hommes -ayant présenté des troubles intellectuels à la suite d'un accident de trava
a possibilité d'un rapport de cause à effet entre l'accident et les troubles mentaux consécutivement constatés. M. VALLON.
b) les délires à base d'interprétations erronées ; c) les délires à troubles perceptifs ; ces derniers peuvent à leur four s
t à leur four se subdiviser en deux groupes : les délires à base de troubles cynesthésiques (folie hypochondriaque) et les d
les cynesthésiques (folie hypochondriaque) et les délires à base de troubles sensitivo-sensoriels (délire chronique.) En pré
au moment de son accident. Celle-ci on effet cons- tilue, avec les troubles oculaires, un symptôme important de trau- matis
ale. .\1. \'IGOUROU-1. Le malade ne présenta, tout d'abord, aucun trouble intellectuel et put reprendre son travail, mais à
ntpeut s'expliquer par la théorie qui rattache la gly- cosurie à un trouble de sécrétion hypophysaire plutôt qu'à une compr
se. Ces lésions destructives peuvent expliquer la progres- sion des troubles mentaux chez les épileptiques, et la sclérose d
erofiques ; les impulsions ( ! I même homicides, les aboulies, les troubles de la cénesthésie, de l'idée du moi, du psychis
o-pathologique de l'arthritisme. Celle influence se traduit par des troubles de statique utérine (atonie de l'appareil suspens
ique, suivies depuis 10 ans). Comme asiles publics d'aliénés. 1G3 troubles circulatoires et trophiques, il décrit : ies cong
éories faites sur ce sujet et basées surtout sur l'observation de troubles mentaux, notamment d'hallucinations unilatéra-
, c'est-à-dire un hémisphère creux, tantôt une blastula normale, le trouble de la segmentation disparaissant rapidement ; m
écorce cérébrale sans altérations ma- croscopiques, et l'absence de troubles moteurs graves (épilepsie, paralysie) et d'autr
t tout par une faiblesse énorme de la synthèse mentale. L'étude des troubles de la mémoire et de la volonté chez les hystéri
ù l'intoxication alcoolique aété reconnue comme cause exclusive des troubles cérébraux. B) Le second groupe comprendra les c
couvrir les traits fondamentaux de la démence précoce au milieu des troubles aigus fortement dissem- blables les uns des aut
s : états mixtes (mélancolie et agitation). (1) Trepsat. Etude des- troubles physiques dans la démence pré- coce. Thèse de P
al,dans les conceptions délirantes etdans les réactions morbides. Troubles intellectuels. Lorsque le déficit intellectuel
ehen (2) et d'h.bbinghaus (3), permettent de déceler les moindres troubles de la synthèse mentale : attention volontaire,
moment donné, prépondérants : ce sont les premières stéréotypées. Troubles affectifs. L'intensité de la douleur morale n'a
ostique ; il en est de même de l'angoisse précordiale et des autres troubles physiques qui accompagnent les crises paroxysti
és dans les deux affections. Par contre le début et l'évolution des troubles affectifs sont de la plus haute importance. Dan
neurasthénie, on ne trouve pas toujours de causes mo- rales et les troubles psychiques (amour contrarié, cha- grins, jalous
uses Je maladie (Daraszkiewiecz, Christian). La discontinuité des troubles affectifs est le caractère le plus important de
ormation et les idées de négation. Elles sont en rap- port avec des troubles cénesthésiques profonds et visent il la fois le
des idées de transforma- tion, représentent le plus haut degré des troubles cé nesthésiques. Kraepelin considère les idées
rsonnalité physique et intellec- tuelle. Elles sont secondaires aux troubles cénésthési- ques et aux premières lésions delà
soins dans leur recherche et analyser minutieusement le moin- dre trouble accusé parles malades. Il est souvent diffi- ci
cin. La multiplicité, la fré z quence et la persistance de tous ces troubles sensoriels, et leur combinaison avec les troubl
tance de tous ces troubles sensoriels, et leur combinaison avec les troubles cénesthésiques (idées de transformation, idées
la personnalité des déments précoces sont dues particulièrement aux troubles des perceptions sen- sorielles et cénesthésique
t général se maintenait. Elle mangeait bien. Pas de céphalée. Aucun trouble digestif. De temps à autre, dit-elle, elle prés
- citation. Elle se cache dans les placards « pour s'en aller Les troubles cencsthesiquessnnt profonds, elle a de nombreuses
» ; sa poitrine est jaune etc. Plusieurs tentatives d'évasion. Le- troubles cenesthesiques et ces phénomènes délirants se dis
lle ne se rend pas compte qu'elle a des aliénées autour d'elle. Les troubles délirants n'uni laissé aucun souvenir dans son
é par 11. le I)' L\\ 011'. Observation II. (Personnelle). Résumé. Troubles cénesthési- ques variables. niées de culpabilit
régiment, une congestion pulmonaire double. , Début. -Le premiers troubles paraissent en 1894, l'âge de 22 ans. Ce sont de
e d'idées de persécution et de grandeur. Hallucinations nombreuses, troubles cénesthé- siques profonds, il s'imagine èlre hy
alcoolique s'est suicidé. Croissance normale. Depuis longtemps des troubles neurasthéniques. Un mois avant l'internement, p
is, je dois expier tout ce que j'ai fait, j'avais tout à l'heure un trouble de la pensée, je sais, que ce que je viens de d
s d'auto-accusation et de grandew' passo{/13res. Prédominance des troubles cénésthésiques et des idées de persécution. Démen
internement. Lesinterpretations délirantes, les hallucinations, les troubles cénestbésirlues, la dépression morale avec des
ffocation, des bourdonnements d'oreille qu'il con- sidère comme des troubles d'empoisonnement par le CO. ll Iait plusieurs t
2(i Juin 1899. Attaques hystéJ'i/'onnes de 7, 8, minutes. Pas de troubles consécutifs. Août. Il reste inerte des journées
demi-stupeur et d'immobilité. Le malade a présenté fréquemment des troubles trophiques. Actuellement, il est dans la demi-s
(p. 26). C'est donc à la simple analyse de quelques observations de troubles de la personnalité que l'Auteur va demander la
itdepuis longtemps quelles sont les conditions psy- chologiques des troubles de synthèse mentale observés à l'état normal ou
dégénérée, les hystériques, les spirites, au coins de l'hyp- nose, troubles qui, de la simple impression non connue sur le
nt produit le retour apparem- ment spontané de la personnalité, les troubles organiques survien- nent en même temps. L'exemp
non plus ne montre mieux l'absence de toute corré- lation entre les troubles organiques à localisation hémiplégique et la to
nilatérale des centres du lan- 298 PSYCHOLOGIE. 1 gage. Aussi les troubles aphasiques de cette fonction ne font-ils pas pa
, surviennent-ils dans des circonstances (coïncidence avec d'autres troubles ) qui mettent elles-mêmes en évidence leur origi
tion ne se borne pas à agir sur la topographie et le groupement des troubles organiques : on peut encore déceler son rôle da
s troubles organiques : on peut encore déceler son rôle dans chaque trouble considéré isolément et, montrer ainsi que ce tr
le dans chaque trouble considéré isolément et, montrer ainsi que ce trouble diffère essen- tiellement du trouble organique
ément et, montrer ainsi que ce trouble diffère essen- tiellement du trouble organique au premier abord identique.Ainsi, que
L'alliance entre certaines séries d'états de conscience etcertams troubles organiques dépend donc de circonstances fortuites
u fonction- nement des 'organes atteints-. Mais la localisation des troubles or- niques peutêtre modifiée par des causes int
e de la survenance de lésions' viscérales unilatérales aiguës : les troubles de la sensibilité, passagers ou permanents, peu
ermanents, peuvent en outre présenter la même to- pographie que des troubles moteurs, vasomoteurs, trophiques etc. L'auteur
uble conscience simultanée » (p. 29) ; ils ont eux-mêmes décrit des troubles dans lesquels, de leur propre aveu « il semble
entière. La valeur probante n'est pas même restreinte aux cas de troubles de la synthèse psychique accompagnés de symptôm
ces symptômes,que la dualité des hémisphères est en cause pour les troubles de la per- sonnalité, des plus simples aux plus
ditions de la relation entre nos deux co-êtres se modifient, il y a trouble moral ...léger... ou très grave,comme chez cett
re gauche, tant que cet hémis. phère à la direction. Par contre, le trouble (des centres de l'Itémis- phère gauche) n'aurai
té malade et le côté sain. Comme dans les agnosies (voir p. 000) le trouble fonctionnel reste relativement localisé, mal- g
re, au duplicisme ? Ou bien est-ce par ce que il faut qu'il y ait « trouble moral » pour que la biindividua- lité devienne
ditions de la relation entre nos deux co-êtres se modifient, il y a trouble moral en nous» (p. 47). Or l'état - ou les état
. 47). Or l'état - ou les états - dans lesquels il n'y avait pas de trouble moral se sont présentés chez Louis V... tantôt
de réveil des sentiments moraux, absolu- ment semblable, moins les troubles de la parole à certai- nes des périodes envisag
llement d'ailleurs, puisque le membre supérieur est indemne de tout trouble . Mais la perte de la lecture et de l'écriture é
ites que l'Auteur considère comme indiquant d'une façon certaine le trouble et l'in- fériorité de l'hémisphère gauche et la
ontrer, non seulement que la coexistence de tel état mental avec un trouble donné de la senso-mo- tilité était purement con
onné de la senso-mo- tilité était purement contingente (paraplégie, troubles du langage), mais encore que cette coexistence
effet cadrer avec sa théorie. On a d'ailleurs remarqué que tous les troubles dimidiés étaient de nature hystéri- que, et, pa
e, et, par conséquent, qu'il est impossible de les ratta- cher à un trouble fonctionnel d'un hémisphère, comme l'hémiplégie
er à loisir (Bérillon, 1884, p. 183 et 184.) A propos du rôle des troubles de la mémoire dans les variations de la personn
l'origine des altéra- tions de la personnalité,on peut observer des troubles du 314 PSYCHOLOGIE. . raisonnement et des v
314 PSYCHOLOGIE. . raisonnement et des volitions, on sait que Ces troubles ne sont pas primitifs, mais secondaires à des m
coenesthésie ou de la sensibilité tactiles, modifications dont des troubles organiques donnent sou- vent la raison d'être.
l'on peut ainsi parler, est particulièrement exposé à ces sortes de troubles , dans les formes paternelles de transmission. D
pou près au même point qu'il y a dix ans. Pour les uns, c'est un trouble psychologique, variable d'ailleurs, qui entrain
les accidents somatiques et psychiques; pour les autres,' c'est un trouble physiologique de l'é- corce cérébrale, unique d
oir de représentation qui en- hystérie'et SOMMEIL. 355 traîne les troubles hystériques ; pour les autres, c'est au contrai
contraire une représentation exagérée, obsédante, une idée fixe du trouble observé. Avec cette dernière manière de voir, l
ychiques ? La question vaut la peine d'être discutée sinon résolue. Trouble de représen- tation est une formule insuffisant
sante, et, d'ailleurs, com- ment une représentation amène-t-elle un trouble soma- tique ? Comment les fonctions dont nous n
jet nous voyons survenir également, à des époques diverses, le même trouble qui sera rattachable dans chaque circonstance à
e qu'il faut chercher la véritable nature du phéno- mène, et que le trouble psychologique n'est qu'un attri- but secondaire
psychologique n'est qu'un attri- but secondaire dépendant,comme le trouble somatique lui-même, d'un état des centres fonct
'ailleurs, dans ce domaine des interprétations psy- chologiques des troubles hystériques,il faut être très cir- conspect. Il
t de découvrir des causes très banales et très physiologiques à des troubles pour lesquels on aurait pu édifier, et dans cer
s psycho- logiques, on pourra donc juger très diversement un même trouble hystérique au point de vue de son soi- disant m
ment un peu vague ; l'hystérie est une maladie psychique ; ou : les troubles hystériques sont d'origine psychique ou d'ordre
tiques aussi importantes que l'hystérie on ait ainsi subordonné les troubles physiques aux troubles psychiques. Et pourquoi,
que l'hystérie on ait ainsi subordonné les troubles physiques aux troubles psychiques. Et pourquoi, d'ailleurs, les su- bo
- sidérer tout simplement comme la double manifestation d'un même trouble fonctionnel du système nerveux cen- tral ? Au l
actures, d'anesthésies que nous sommes habi- tués à rattacher à des troubles du système nerveux cen- tral ? M. Pierre Marie
é- mentaire que j'ai été amené à rechercher s'il n'y avait pas un trouble de'cerveau, des centres cérébraux - où tout le
où tout le monde. est ,'d'accord,je crois.pour placer le siège du trouble hystérique - capabled'expliquer à la fois 300 c
lication psychologique n'est que l'énoncé d'une des conséquences du trouble fondamen- tal physiologique. Si, maintenant,au
rois catégories principales : 1° les acci- dents viscéraux ; 2° les troubles vaso-moteurs et sécré- toires ; 3° les troubles
viscéraux ; 2° les troubles vaso-moteurs et sécré- toires ; 3° les troubles trophiques. » C'est un gros mor- ceau, et il fa
c'est sur la valeur relative des phé- nomènes psychologiques et des troubles somatiques, et sur la prééminence des premiers
aire essentiellement physiologique, qu'il faut chercher la clef des troubles hystériques. Au surplus, comme je le disais plu
moi de l'engourdissement des centres cérébraux comme fondement des troubles hysté- riques. Nous ne sommes donc pas si loin
'analyser l'enchaîne- ment des phénomènes psychiques inhérents à un trouble hystérique,nul mieux que M. P. Janet ne, l'a fa
ysiologie, dont la psychologie n'est au surplus qu'une branche. Les troubles psychiques de l'hystérie sont conséquence et no
ue, dont il s'agit maintenant de définir la nature. J'ai dit que le trouble fondamental de l'hystérie est constitué par une
causes. On a ainsi l'explication de la disparition de cer- tains troubles sous l'influence de la disparition do certai- n
ces idées disparaissent par ce que l'état cérébral qui amenait ces troubles les entrete- nait en même temps : il n'y a pas
il n'y a pas de rapport do cause à effet entre l'idée fixe et 'le* trouble hystérique, il n'y a qu'un rapport de concomita
elles de sensibilité qui permettent, étant donnés une sensation, un trouble sensitif quelcon- que, de savoir à quel degré e
4 370 PSYCHOLOGIE. de changement dans la forme et l'intensité des troubles hystériques, et les réactions du réveil nous fo
e nettement le rapport existant entre ces variations parallèles des troubles hystériques et de l'engourdisse- ment cérébral.
, une véritable incoordina- tion morale » (p. XII). Mais de pareils troubles sont-ils spéciaux à de telles tumeurs ? Ne s'ex
contraire d'une infection ou d'une intoxication qui produisent des troubles simultanés sur les organes hématopoié- tiques e
es lésions diffuses de l'écorce surtout frontale. Un re- trouve des troubles psychiques très analogues chez les cancéreux mo
r entrée à l'hôpital pour accidents méningiliques et l'éclosion des troubles psychiques.il appartiendrait auxaliunis- les de
des rapports entre les dpux ordres de faits. F. TISSOT. LUI. Les troubles psychiques dans les altérations des glandes à s
t 4.) Importante revue générale, bibliographique et critique, des troubles psychiques liés aux altérations des glandes à séc
est à elle qu'il faut rapporter l'état mental des haserlowiens, les troubles psychiques plus marqués fêtais d'excitation le
individus castrés à la suite d'affection testiculaires : quand des troubles psychiques existent, il est ce- pendant diffici
st en effet fort difficile de préciser le rùle de l'ovaire dans les troubles mentaux de la menstruation et de la'ménopause, co
pothérapique peuvent seuls donner des indications sur ce point. Les troubles psychiques dus aux altérations de la pi- tuitai
perfonction crée l'hypertension et l'athérome artériels, origine de troubles mentaux. Trop rares sont les documents sur les
origine de troubles mentaux. Trop rares sont les documents sur les troubles psychiques liés à la persistance du thymus. Les
x liés leurs altérations sont ordinairement complexes, résultant de troubles concomitants dans le fonctionnement de plusieur
tracture catatonique, la tachycardie, l'hypothermie et les autres troubles des échanges organiques seraient donc sous la dép
ymptôme dominant, presque unique, -puisqu'il faut lui rapporter les troubles de la sensibilité, des réflexes, de la parole,
omatosc, rhumatisant lui-même, et qui présente deux catégo- ries de troubles trophiques différenciés par leur origine embryolo
- mon, abaissement du foie, du testicule et des bourses. Tous ces troubles trophiques siègent du côté droit : or chez cet
territoire des deux dernières lombaires et delà première sacrée des troubles moteurs à type radiculaire. Ils ont L noté la l
scence accentuée surtout au membre inférieur droit; il n'y a pas de troubles de la sensibilité, pas de troubles sphinge- tér
inférieur droit; il n'y a pas de troubles de la sensibilité, pas de troubles sphinge- tériens, pas de fièvre ni d'infection,
it seulement, avec intégrité du peaucier et disproportion entre les troubles fonctionnels accentués et les signes vagues de
ée par MM. LEJONNE et F. Rose sur un malade âge do quinze ans, avec troubles des réactions électriques, exagération des réfl
c troubles des réactions électriques, exagération des réflexes sans trouble de la sensibilité ; ils posent la question d'un
part des malades observés . ont présenté un épuisement rapide ; ces troubles , qui affectent une topographie radiculaire, son
n culotte de zouave et la douleur pro. voquée par la palpation. Les troubles psychiques sont ici assez art. ténués. llcrèd
ne enfantde douze ans et demi atteinte de cette affection, avec des troubles auditifs intenses laissant supposer une lésion
séance du 7 janvier ; il s'agit d'un syndrome, caractérisé par des troubles myotoniques de la musculature des yeux, de la l
mes observés sont ceux qui sont décrits chez les auteurs. Quant aux troubles mentaux, ils paraissent offrir un pronos- tic p
ue aux- quels on peut se placer dans son étude : L'hystérieest un trouble physique fonctionnel du cer- veau, consistant d
exerce cette fonction est fatalement et immédiatement modifiée. Les troubles de la sensibilité tant objective que subjective
bjective que subjective sont donc constants et leur absence dans un trouble d'une fonction quelconque suffit à écarter l'id
suivant le rôle du centre cérébral intéressé, nous observerons des troubles de sensibilité, de motricité, ou des troubles s
nous observerons des troubles de sensibilité, de motricité, ou des troubles sensoriels, cénesthésiques et vaso-moteurs.Par
ins grand, nous allons avoir une variété infinie de combinaisons de troubles hystériques, d'où l'apparence de fantaisie, d'i
t,des aspects multiples, des variétés en nombre indéterminé, chaque trouble individuellement présente au contraire un déter
eulement l'hystérie revêt des aspects multiples, mais encore chaque trouble pris en particulier présente des degrés divers
st que la sommation, en quelque sorte, ou la synthèse de tous ces troubles localisés. Enfin ce centre atteint l'est tantôt
re atteint l'est tantôt d'une façon per- manente, et alors tous les troubles objectifs et subjectifs HYSTÉRIE ET sommeil.. 4
comme dans le domaine psychique, sont permanents, et c'est à ces troubles permanents qu'on donne le nom de stigmates ; il
cela ne change en rien la nature et le méca- uisme fondamental des troubles (1). (1) On a trouvé que j'exagérais le détermi
ivée et de départ des fibres de pro- jection, doivent entraîner des troubles de la périphérie s'ils sont modi- fiés dans leu
odi- fiés dans leur activité, d'une part, et que, d'autre part, les troubles cons- tatés à la périphérie doivent être rappor
Il y a lieu d'ailleurs de considérer deux ordres distincts dans les troubles psychologiques hystériques : d'une part ceux qu
omènes psychologiques, alors que d'au- tres présentent de très gros troubles psychiques. Si donc l'état hystérique consiste
ros troubles psychiques. Si donc l'état hystérique consiste dans un trouble loca- lisé d'un ou plusieurs centres du cerveau
que la généralisation d'états locaux, si, comme je le soutiens, ce trouble hys- térique consiste dans un état d'engourdiss
ont aucune importance dans la ques- tion,qui se résume à ceci : les troubles fonctionnels observés dans l'hys- térie sont-il
tés physiologiques et biologiques. Je me suis demandé si certains troubles hystériques ne pouvaient pas résulter de l'inhi
it permettant de justi- fier cette hypothèse, et, pour ma part, les troubles hystériques sont ex- clusivement dus à des modi
les deux il y a une foule de degrés, mais la nature fondamentale du trouble hysté- rique est toujours la même naturellement
psychique (méthode psychothérapique proprement dite), ou, si les troubles somatiques concomitants sont accessi- bles, com
et qui permettent de mettre en évidence l'enchaînement de tous les troubles hystériques, soma- tiques et psychiques, depuis
atteinte, et qu'il est dif- ficile de déterminer la prédominance du trouble sur tel ou tel point d'autant qu'il faut tenir
perfectionne- ment. , Et maintenant, j'en reviens à ma théorie du trouble HYSTÉRIE ET sommeil. 455 primitif de l'hystér
eil, l'état où se trouve plongé un individu présentant une série de troubles somatiques et psychiques, lorsqu'en enjoignant
s, on constate que l'on passe par des transitions insensibles de ce trouble général aux troubles les plus limités et les pl
n passe par des transitions insensibles de ce trouble général aux troubles les plus limités et les plus localisés, que ceu
ces excita- 456 CLINIQUE nerveuse. tions locales dans des cas de troubles localisés sont iden- tiques à celles qui se pro
ral chez des vigilambules, je me crois en droit d'af- firmer que le trouble local, comme le trouble général, est de même na
s, je me crois en droit d'af- firmer que le trouble local, comme le trouble général, est de même nature et consiste essenti
pas parce qu'il y a de l'anesthésie ou de la paralysie ou tel autre trouble , mais parce que ces troubles sont le témoignage
sthésie ou de la paralysie ou tel autre trouble, mais parce que ces troubles sont le témoignage objectif de l'état d'engourd
l'était le nerf, et pour le prouver je le réveille; je dis que ces troubles hystériques sont dus à ce sommeil, à cet engour
ment spécial de cerveau, et pour le prouver je les fais (1) « Les troubles de la mémoire a ? HuPff, 1893. 462 CLINIQUE NER
éprouvés dans son cours, et enfin se réveiller définitivement, sans troubles , sans stigmates, guéris et ayant recouvré le so
comprendre le double caractère physiologique et psychologique des troubles hystérique'. ; la seconde, c'est que cela nous
res anatomiques du cerveau tels qu'on les délimite actuellement les troubles fonctionnels hys- tériques, j'abandonne d'autan
894, Paris, F. Alcan. LEBAR (L.). - Hyperesthésies systématisées et troubles connexes, thèse de Paris, 1906, 311 pages (sous
s éléments anatomiques qui composent cet organe et sans aucun autre trouble fonctionnel que ceux qui peuvent ré- sulter d'u
ements par exemple). F. T. XXIV. Hypotrophie d'origine bacillaire ; troubles de la voie py- ramidale ; par CLAUDE et LEJONNE
pprocher des cas de nanisme mitral. La malade présente en outre des troubles mo- teurs et réflexes indiquant une lésion du f
ue. A l'appui, observation d'un homme tuberculeux qui, au milieu de troubles nerveux vagues, fait quelque ictus successifs e
qui est le plus tôt et le plus facilement compromis dans le cas de trouble mental ; 3° que lorsque le système moteur insti
n rapport rigoureux, nécessaire, entre la lésion cellulaire et le trouble mental; l'un et l'autre exprimeraient chacun à le
aitement thyroïdien a été à peu près nulle. Ces oedèmes relèvent de troubles vaso-moteurs et trophiques. F. T. REVUE DE PA
ditéejusqu'à présent. M. HAMEL. LXX. -- -Contribution à l'étude des troubles de l'association vi- suelle dans la folie ; par
X. (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, aoùt 1906). Les troubles spinaux sont très fréquents dans la démence pré-
a voie pyramidale. Mais d'autre part on a notéaussi fréquemment des troubles de la sensibilité qui, d'une façon géné- rale e
é qui, d'une façon géné- rale est obtuse, surtout à la douleur. Ces troubles spinaux se rencontrent aussi bien dans les form
influence sur le degré de fréquence ou la systéma- tisation de ces troubles médullaires. G. Dl : nv. REVUE DE PATHOLOGIE NE
1906, n° 129, l'auteur ajoute deux nouveaux faits : l'existence de troubles sen- sitifs et la constatation de lésions certa
vant ces divers tissus. F. TISSOT. XXXV. Les principales formes des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité ; pa
lut enfin que parfois, et malgré une analyse conique minutieuse des troubles nerveux, il est absolument impossible, en l'absen
petit-fils et la petite-fille, qui sont tout enfants, ont déjà des troubles moteurs accentués ; ils en concluent que dans c
traîna dans l'étude de la neuropathologie. Sa thèse (1882) sur les « Troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrale
,à à 1' Evolution et à la dissolution de l'instinct sexuel » aux « Troubles de l'intelligence », a 1' « Aphasie et à ses dive
Du cancer de la vessie, 1 vol., 1881 ; Contribution et l'étude des troubles fonctionnels delà vision par lésions cérébrales
anglaise. Londres, 1900, traduction tihé- que, Prague, 1902; - Les troubles de l'intelligence (traité de pathologie général
tire un type dévot; le dévot esl un être ma- ladif, prédisposé aux troubles du système nerveux, smémutil, triste, humble .c
ECRITUBI'. Quelques considéra- tions sur ! ' -- pu miroir. Les troubles de l'orientation et son éducation ; par Bouleng
ifférentes formes de folie ; par Atilson Rhodes, p. -131. -, Voir Troubles . Fonction cérébrale. Etudes his- tologiques s
r Conolly Norman, p. 43 1. Glande pituitaire.Voir Sommeil. - Voir Troubles psychiques. GLOSSOPI,1 : GIE. Un cas de - uni
s. Voir Atrophie optique. HVPOTROPIIIE d'origine bacil- laire ; troubles de la voie pyra- mygale ; par Claude et Le- j
ins-directeurs ; par Dubour(licu, p. 401. Voir Loi. Lèpre. Voir Troubles mentaux. Lésions. Sur la coexistence des syph
ie de la générale, p. 65. - générale ; voir Angoisse. gé- nérale. Troubles trophiques cutanés ; par Lépine et Loup, p. 7
Lapersonne, p. 500. Porencépiialie. Voir Amaurose. l'OTT. Voir Troubles nerveux. Pouls. Voir Atropine. l'sr..ono-angi
Psychoses. Voir Fugues. Voir Korsakow. polynévri- tique ; voir Troubles mentaux. Les prodromes des et leur si- gnific
IIOEDÈAIE. Cas de chro- nique ; par I'arhou et Florian, p. 157. Troubles trophiques. Voir Pa- ralysie générale. Les - me
51 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
de Thomsen se caractérise essentiellement, comme l'on sait, par des troubles des mouvements volontaires. « Le symptôme capital
ses membres (-1) ». Le professeur Erb a dési- gné l'ensemble de ces troubles par la dénomination de « trouble myotoni- que (
Erb a dési- gné l'ensemble de ces troubles par la dénomination de « trouble myotoni- que (2) ». Les principaux caractères
temps plus ou moins long leur souplesse ordinaire. En plus de ces troubles dans la contraction volontaire des muscles, la
carac- téristique dans la maladie de Thomsen, et, les comparant aux troubles myo- toniques des mouvements volontaires, il le
rouvé pendant quelques mois de la difficulté pour marcher, mais ces troubles ne dé- pendent pas de la myotonie. Le grand-pèr
as-âge, l'autre à 14 ans, de phthisie. Antécédents personnels : Les troubles des mouvements volontaires existent chez Boul..
sans trop de difficulté. En août 1885, aggravation considérable des troubles moteurs aux jambes et aux bras. Il en arrive à
le service de M. Fournier, Boul... est pris de houlimie sans autres troubles digestifs, sans glycosurie. Il est mis alors au
taires sont troublés à un haut degré par le spasme de Thomsen ; ces troubles myotoniques sont très étendus et se rencontrent s
ait donner un coup de poing ou lancer un coup de pied, etc. ' Ces troubles de la motilité volontaire entraînent une gêne not
être resté quelque temps en repos. Aux membres inférieurs les mêmes troubles se rencontrent et sont très accusés. Ainsi il é
i fait rapprocher, il vacille et ne peut garder cette position. Ces troubles augmentent encore par l'occlusion des yeux. Si,
SALPÊTRIÈRE. au début des mouvements, et, il en résulte un certain trouble de la parole, après un silence assez prolongé.
pières, ceux du globe de l'oeil paraissent aussi indemnes. Tous les troubles que nous venons de signaler dans la contractilité
alcooliques. Nous nous contenterons do rappeler brièvement ici les troubles de l'excitabi- lité mécanique et électrique des
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. La santé générale est bonne. Aucun trouble du côté de l'appareil circulatoire. Les fonctio
fonctions digestives sont actuellement normales. Il n'existe pas de troubles psychiques accusés. Cependant le malade, qui étai
ions. On peut, en effet, employer : cles extrinsèques de l'oeil aux troubles myotoniques une communication de M. Ray- mond à
générale, comme un muscle normal. (Ce phéno- mène est comparable au trouble myotonique des mouvements volontaires dans le c
scle et décontraction lente consécu- tive. (Phénomène comparable au trouble des mouvements volontaires dans le cas d'une se
s éléments nerveux par le tissu conjonctif proliféré et 2° quand le trouble des fonctions des fibres nerveuses est lié à un
morbides sont provoqués par la mort des éléments nerveux ou par un trouble de nutrition irrépa- rable. La suspension doi
ins très souvent. La paralysie spasmodique est caractérisée par des troubles de la motilité TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈ
MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 25 et des phénomènes spasmodiques. Les troubles de la motilité (paralysie) sont déterminés par
vo- qués par la compression; les autres dépendent de la mort ou des troubles de la nutrition des tubes nerveux contre lesque
aru après 22 jours d'interruption, dans l'autre après 15 jours; les troubles de la marche et le signe de Romherg étaient plu
Déjà Brochin (1) admet seulement comme caractères des névroses le trouble spécial des fonctions nerveuses et la dépendance
que- fois que tout allait se terminer et qu'il ne s'agissait que de troubles fonctionnels. Le type de la fièvre a été le mêm
x, p. 275, 398, 1886. (2) A. Fabre. Les relations pathogéniques des troubles nerveux, p. 120, 1880. FIÈVRE HYSTÉRIQUE. ' " .
eux, qui apparurent en l'année 1885. Il n'est point douteux que les troubles vaso-moteurs si fréquents chez les hystériques
e l'athétose double sont tantôt les trou- ])les moteurs, tantôt les troubles intellectuels qui s'offrent à l'attention de l'
éer ainsi dans une certaine mesure, lorsque cela est nécessaire, au trouble de l'articulation des mots. Clay Scliaw et Mass
s, lobule pas adhérent. Sensibilité générale bien conservée. Pas de troubles tropbiques. Réflexes des poignets normaux. Ré-
tronc (Massalongo). Un de nos malades (obs. 1) présentait quelques troubles de la dégluti- tion el de la respiration, que n
it en troubler le jeu. Il ne s'agit donc pas à proprement parler de troubles adhérents à la maladie elle-même mais n'étant q
lit ou leur chaise longue ; et cela d'autant plus facilement qu'au trouble proprement dit de la démarche s'ajoutent quelqu
rella qui est frappant sous tous les rapports et qui nous offre ces troubles exceptionnels de la démarche au plus haut degré
souvent à terre sans qu'il pût se retenir à quelque objet. » Les troubles de la marche peuvent s'installer de bonne heure,
ité générale conservée. Pas de nystagmus ; pas de signe de Romherg. Troubles vaso-moteurs : les mains et les pieds sont toujou
iner les altérations osseuses de la colonne vertébrale. Mais si les troubles trophiques osseux sont inconnus dans l'athétose
s derniers. Parole. La parole est fréquemment altérée par suite des troubles moteurs de la langue, des lèvres, du voile du p
Pilliet ont beaucoup insisté sur les différences qui sépa- rent les troubles vocaux de l'athétose double de ceux de la scléros
dans lesquels on reconnaît facile- ment l'état spasmodique. « Les troubles de la parole, dit Audry, quel que soit le degré f
s ces dernières conditions. Il faut, il est vrai, remarquer que des troubles légers peuvent passer inaperçus à un examen rap
troubles légers peuvent passer inaperçus à un examen rapide ». Le trouble de la parole peut être accentué à ce point que le
sa NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dont se produisent les troubles en question. On voit chez eux la parole comme r
malades sont atteints à des degrés très divers ; chez les uns, les troubles de la parole sont assez légers pour passer inap
) ; elle peut devenir aussi de plus en plus gênée jusqu'à ce que ce trouble reste stationnaire à un certain degré. En génér
lorsqu'il s'agit d'un sujet atteint d'une affection nerveuse avec des troubles de la parole ou du mouvement. Aujourd'hui on
ont rencontré les mêmes phénomènes sous des formes différentes. 2, Troubles intellectuels. État mental. Clay Schaw, tout en
ent rarement leur intelli- gence. Si l'on cherche l'époque où les troubles intellectuels ont fait leur appa- rition, on tr
prennent, emportés par leurs mouvements involontaires et surtout le trouble de la parole assez accen- tué dans certains cas
et suivre une marche progressive. De plus, on peut rencontrer ces troubles alliés à l'épilepsie (cas de Warner et Mitchell
lades, autrement dit dans presque le quart des cas. La présence des troubles intellectuels existe donc dans la majorité ; ma
stérique, elles sont excessivement 3. - Symptômes accessoires. I. TROUBLES MOTEURS. Contractures. Nous avons vu qu'on obse
restes d'une paralysie faciale. Le cas de Rau est du même genre. Troubles vaso-moteurs : Ces troubles, qui sont presque la
ale. Le cas de Rau est du même genre. Troubles vaso-moteurs : Ces troubles , qui sont presque la règle chez les idiots, ont
r un rôle important il la fois sur les s3 mptômes locaux et sur les troubles épileptiques. M. le D1' Boucheron si qui nous a
conditions que nous venons d'é- tudier, rappellent de très près les troubles myotoniques de la contraction volontaire, dans
ouvements volontaires être plus ou moins en- través au début par le trouble myotonique, quelquefois même ils sont complètem
tations électriques sur la diminution et la disparition de certains troubles de la réaction myotonique avait déjà été signal
il a fait ressortir à ce propos t'ana- logie qui existait entre les troubles myotoniques des mouvements volon- taires et cer
, suiv ies des décontractions lentes, n'é- puisent que lentement le trouble myotonique du muscle; ainsi la ligne C inscrite
en pareil cas (voir plus Imlll, section A). A la cuisse droite les troubles myotoniques étaient beaucoup plus ac- centués,
ce qui se voit mieux sur les Iracés de la fignre Hi, par su i te dll trouble myotonique plus accentué du muscle du côté droi
ntes qui succèdent aux excitations faradiques courtes avec certains troubles myotoniques des mouvements volontaires, ceux prod
ar l'exécution du mouvement. C'est là, pensons-nous, deux sortes de troubles qui se res- semhlent et présentent l'nn avec l'
dans l'exci- tabilité des muscles par les courants faradiques-. Ces troubles avaient été- signalés déjà par Bernhardt (1) et
e aussi à une augmentation dans le degré de la maladie, quoique les troubles myo- toniques des mouvements volontaires, loin
mptômes lntlúaires et céphaliques ; 3° symptô- mes viscéraux, et 4° troubles trophiques. Leurs combinaisons variées repré- s
syndromes de notre série et no- tamment de ceux de la catégorie des troubles trophiques, des fractures, des arthropathies, d
avait éprouvé à plusieurs reprises, et cela depuis l'apparition des troubles articulaires, des douleurs dans les pieds et da
crois, un nombre suffisant de symptômes : signe d'Argyll Robertson, troubles vésicaux, douleurs fulgurantes, pour établir no
tion, comme vous pouvez l'imaginer, est atroce, insupportable. Aces troubles s'ajoutent d'habitude de l'anosmie et l'abolition
n'était pas due il une carie, était accompagnée de paraplégie et de troubles urinaires. (1) Cnuveilluer, Atlas d'anal, palho
e sens de cette dernière et le mode de début du. de répartition des troubles trophiques ou parétiques musculaires. Nous avon
déviation scoliotique dorsale était il convexité droite, 3 fois les troubles musculaires avaient 'débute par )e'côté,,droit, 2
é gauche. Sur 6 cas avec convexité dorsale' gauche, début des mêmes troubles 1 fois par le côté droit, 5 fois parlé/côté gauch
ons recherché, sans nous préoccuper cette fois du siège initial des troubles 140 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP1 ? rItIRE.
e prédominance unilatérale ou une symétrie assez nette de ces mômes troubles . Sur 7 cas de convexité dorsale droite, nous av
tion, quelques râles de bronchite, sans localisation suspecte. Pas de troubles cardiaques. Les bruits du coeur sont exagérés :
ffectionne pas la position couchée. Nous avons signalé l'absence de troubles cardiaques objectifs et subjectifs r.l la gêne
atteint le premier et demeuré le plus profondément atteint par les troubles musculaires, con- trairement à ce qui parait êt
ème et dernier enfant L mort-né. A. P. A l'âge de 22 ans, il a vu trouble pendant 15 jours, il la suite d'un refroidissem
vers janvier 1891, jambe gauche. La relation entre l'intensité des troubles actuels dans les divers membres répond à l'ordr
uche. La pupille droite présente un très léger degré de mydriase. Troubles vaso-moteurs et irophiques. Les engelures antérie
urs et irophiques. Les engelures antérieures étaient peut- être des troubles trophiques. La main droite. qui en était le siège
ose l'ail partie 148 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. des troubles dits trophiques : elle est favorisée sans doute p
médians ; c'est dire qu'il tend à la considérer comme relevant d'un trouble trophique. MALADIE DE MORVAN. Les déviations
er les autres symptômes, et dans un cas de Friedreich, les premiers troubles ataxiques apparurent à l'âge de 17 ans, alors que
ns. Les premiers symptômes tabétiques nefs semblent dater de 1870 : troubles de la marche, douleurs fulgurantes. « A la fin de
Le corset lui rendit la marche facile, toute réserve faite pour les troubles d'incoordination, et la canne devint inutile. K
tions purement cliniques de Kroenig, rentrent dans la catégorie des troubles trophiques osseux el articulaires que M. Charcot
xtenseurs du rachis. MM. Bourneville et Guérard. croient plutôt" un trouble de nutrition des os. Maladies spinales ne s'a
début des accidents avait été marqué par une « attaque » suivie de troubles urinaires ; puis le rachis s'était fortement in
. II EXCITABILITÉ DES MUSCLES PAR LES COURANTS GALVANIQUES. Les troubles de l'excitabilité galvanique des muscles, dans la
CE DE M. LE PROrr CHARCOT) 3. Symptômes accessoires [suite)*. II. TROUBLES SENSITIFS Sensibilité générale. Le plus souvent
II. TROUBLES SENSITIFS Sensibilité générale. Le plus souvent les troubles sensitifs sont absents; cependant dans quelques
s'observer au niveau des glo- bes oculaires, il s'agit toujours des troubles moteurs plus ou moins mar- qués dans le jeu des
olfaction. Elles peuvent être émoussées quelquefois, en raison des troubles psychiques ou autres ; mais en somme les troubles
is, en raison des troubles psychiques ou autres ; mais en somme les troubles sensitifs en général sont fort peu fréquents.
tions crâniennes et en particulier les microcéphales présentent les troubles intellectuels à un plus haut degré que les athé
les. De plus on observe des athétosiques sans déformations avec des troubles intellectuels en plus haute. Il paraît d'après
DOUBLE. 187 bien constant entre les déformations crâniennes et les troubles intellec- tuels chez les athétosiques. III. F
cations fortuites. Il semble qu'on doit considérer comme telles les troubles digestifs graves qu'Eulenburg a signalés chez s
ent chez les athétosiques doubles. Un de nos malades présentait des troubles de la déglutition, de temps en temps, il avalai
u dus à des complications. Les auteurs n'ont pas non plus noté de Troubles du côté de l'appareil respiratoire; Adseren dit
pas de (roubles notables de la miction ni de la défécation ; pas de troubles du côté des sphincters ; l'incontinence des matiè
e prolonge presque toujours dans ce dernier. D'habitude ce sont les troubles moteurs qui ouvrent la scéne consistant' essent
régions ou les extrémités envahies les dernières (Massalongo). Les troubles intellectuels se développent aussi lentement et
ement, et suivent dans une certaine mesure une marche parallèle aux troubles moteurs. Au début l'in- telligence est souvent
Nous n'a- vons pas obtenu de modifications appréciables du côté des troubles moteurs. '. Dreschfeld et Bourneville conseille
efforts thérapeutiques devront être dirigés plus encore contre les troubles intellectuels. Comme l'ont remarqué Clay-Schaw et
fié dans les deux tiers des cas d'a- près Marcé (1). On observe des troubles intellectuels, diminution de la mémoire, mobili
émoire, mobilité des idées, impossibilité de fixer l'attention. Les troubles plus graves qui peuvent survenir dans certains ca
nir dans certains cas ne nous occupent pas ici. Le plus souvent les troubles intellectuels cessent avec les mouvements convu
cessent avec les mouvements convulsifs. Dàns l'athétose double les troubles de l'intelligence datent de l'enfance (imbécill
double qu'appartiennent les déformations crâniennes et autres. Les troubles sensitifs nuls chez les athétosiques, existent ch
lus régulièrement progressive dans la chorée. Au point de vue des troubles de l'intelligence on peut les caractériser en d
le, au moins dans la majorité des cas où la maladie s'accompagne de troubles mentaux. En tout cas dans la chorée chro- nique
rs gesti- culations a pour effet de leur permettre d'accomplir sans troubles des actes intentionnels mais alors leurs mouvem
tics convulsifs, il est fréquent de rencontrer des idées fixes, des troubles émotifs, divers mots obsédants, arithmomanie, a
. Pourquoi une pareille confusion serait-elle possible ? à cause du trouble de la parole et du tremblement qui caractérisen
e et du tremblement qui caractérisent la sclérose en plaques. Les troubles de la parole ont en effet quelque ressemblance av
BE & C'E EDITEURS NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE TROUBLES TROPHIQUES SYMÉTRIQUES DES MAINS ET DES AVANT-B
i que nous avons observé et qui ont été nettement rappor- tés à des troubles trophiques d'origine hystérique. A... est venue
ait alors d'une infection secondaire. .Nous avons alors songé à des troubles trophiques. Cette dernière hypo- thèse est bien
venant chez les hysté- riques. Obs. XI de la thèse d'Athanasio. Des troubles trophiques dans l'hystérie. NOUVELLE Iconograph
r. V. PL. X"{V. CtICHF x. PHOTQCOLLOGi ? APHIE CHIlNF lOT LONGUr TROUBLES TROPHIQUES D'ORIGINE probablement Hystérique LO
GINE probablement Hystérique LOUIS BATTAILLE & C,E EDITEURS TROUBLES TROPIIIQUES SYMÉTRIQUES 203 Paris, 1890. Deux c
tion, tant comme répartition que comme intensité et comme mode des troubles musculaires et tropbiques. Chez aucune de ces mal
ions médul- laires associées à la vésanie l'agent intermédiaire des troubles trophiques osseux et en particulier des trouble
intermédiaire des troubles trophiques osseux et en particulier des troubles vertébraux. Les déviations vertébrales sont en
la scoliose de Balth..... D'abord il ne saurait être question d'un trouble bilatéral égal et symétrique de l'action musculai
scoliose ressemble fort à certaines déviations qui re- lèvent d'un trouble trophique osseux. Elle se rapproche par ses carac
ôté du corps envahi le premier et le plus fortement atteint par les troubles musculaires syringomyéliques. Peut-être, au mom
ompensation. L'existence assez fréquente, dans la syringomyélie, de troubles trophi- ques osseux et articulaires variés, con
chirurgiens français, nous croyons que cette affection relève d'un trouble portant sur le squelette du rachis et non sur son
vation VIII (Personnelle). Hypertrophie des mains et des pieds avec troubles vaso-dilatateurs de ces extrémi- tés chez un hy
t appareils de l'organisme, défaut de résistance d'où résultent des troubles du système osseux, aussi bien que des troubles
e d'où résultent des troubles du système osseux, aussi bien que des troubles du système nerveux; ces deux systèmes seraient fr
e sa compagne. Veut-il changer de di- rection, faire volte-face, le trouble est encore plus marqué. Si on l'observe de plus
de bien-être. Les réflexes tendineux sont normaux. Il n'y a pas de trouble de la sensibilité. La parole est lente, tramant
es, il semble qu'il y ait un peu- moins de mobilité. -. ' Pas de, troubles de. la sensibilité, pas de rétrécissement du cham
t de la maladie de Parkinson, mais pendant longtemps, alors que les troubles étaient limités au côté droit, et surtout au me
tions par les courants faradiques, présentait chez notre malade des troubles de la réaction myotonique beaucoup plus accusés q
ainsi que nous l'avons constate plus haut, présentait également des troubles myotoniques plus prononcés de la contractilité él
, et il nous parait être la marque d'un degré plus accentué dans le trouble myotonique. Il n'est pas sans intérêt, non plus
10, 30 secondes ou davantage. Quelques auteurs admettent parmi les troubles de la contractilité galva- nique, dans la réact
prochent de plus en plus des secousses normales. Enfin un dernier trouble dans la contractilité galvanique des muscles, d
aux conditions de l'excitabilité hormale. - Nous avons observé ces troubles de la contractilité musculaire sur un ma- lade
action puisse être d'une grande importance dans certains cas où les troubles myotoniques de la motilité volontaire sont peu
re pen- dant la grossesse, accouchements difficiles), ainsi que les troubles intellec- tuels. En prenant les observations "e
dans l'a- thétose double et ne s'accompagnent naturellement pas de troubles intel- lectuels, ni de troubles de la parole. E
s'accompagnent naturellement pas de troubles intel- lectuels, ni de troubles de la parole. Enfin la démarche spasmodique des
et le 12 août elle sortait de l'hôpital complètement guérie de son trouble moteur. On ne peut nier cependant que l'hystéri
arition rapide et brusque, les symptômes accessoires, l'absence des troubles cérébraux, des secousses de la face et des déso
ls n'occupent pas la face el ne s'accompagnent nalurellemenl pas de troubles cérébraux. De plus, ces mouvements athétoïdes p
LA SALPÊTRIÈRE. UN CAS D'HYPERTROPHIE DES PIEDS ET DES MAINS AVEC TROUBLES VASOMOTEURS DES EXTRÉMITÉS CHEZ UN HYSTÉRIQUE N
géré des mains et des pieds accompagné de douleur, de parésie et de troubles vaso-dilatateurs. Ce cas nous a paru intéressant
E ( ? H £ NE & LONGUET Hypertrophie DES PIEDS ET DES mains avec TROUBLES VASO-MOTEURS CHEZ UN HYSTÉRIQUE (COMPARAISON
n). Il n'y a pas de tremblement. On ne constate pas actuellement de troubles trophiques, mais D... raconte qu'il a eu, il y
s grands et très gros (PI. XXXIII) ; ils présentent égale- ment des troubles vasomoteurs caractérisés par de la cyanose qui re
itaux n'offrent rien de particulier à signaler. Enfin il n'y a pas de troubles psychiques, mais l'intelligence est plutôt au-d
offrant en outre, au niveau des extrémités, de l'hypertrophie, des troubles parétiques, douloureux et vasomoteurs. Il ne se
arétiques, douloureux et vasomoteurs. Il ne semble pas que tous ces troubles relèvent de la névrose, bien que les phénomènes
une part, dans l'érythromélalgie il n'y a pas d'hypertrophie et les troubles vasomoteurs se caractérisent non plus par la cy
observation : c'est le prélude par la syn- cope locale, ce sont les troubles trophiques sur l'existence desquels nous ne pou
se sur le compte de l'hystérie, pas plus que sous la dépendance des troubles vaso- moteurs ; quant à ces troubles vasomoteur
lus que sous la dépendance des troubles vaso- moteurs ; quant à ces troubles vasomoteurs eux-mêmes, à la rigueur, ils pourra
e Dr Monod. A cette époque il présentait aux mains et aux pieds des troubles trophiques et des déformations qui ont été minu
évrite périphérique. Depuis la publication de cette observation les troubles morbides ont évolué. Ce malade a eu un quatrièm
ements passifs de flexion, d'exten- sion et d'abduction. Malgré ces troubles moteurs, la marche est possible : elle est cepe
T, V PL. XXXVI. Phototype X PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne & Longuet Troubles TROPHIQUES dans la syringomyélie TYPE MORVAN
esthésiques, la sensibilité musculaire et articulaire est abolie. Troubles trophiques et déformations. - Les planches ci-joi
t. V. PL. XL. PHOTOTYPE X. PHOTOCOLLOGRAPHIE CHLNC & Longuet TROUBLES TROPHIQUES dans la syringomyélie TYPE MORVAN
ennent assez souvent dans le jeune âge et laissent à leur suite des troubles cérébraux. Pareils faits semblent se rencontrer q
rébrale, il est incontesta- ble que certains malades présentent des troubles moteurs (mouvements involontaires), presque ana
éciale sont indemnes. Contractilité électrique, n'est pas explorée. Troubles vaso-moteurs, les mains surtout toujours rouges e
leur bilatéralité, la présence de tous les symp- tômes accessoires ( troubles du langage, de l'intelligence, etc.) suffisent po
inaire qui doit décider de la nature organique ou fonctionnelle des troubles neneux, le chirur- gien lui-môme qui doit faire
. Mais son point de vue est un peu spécial et trop subor- donné aux troubles psychiques. Parmi les médecins actuels qui s'oc
M. Hardy et Peter ont af- firmé, contre M. Magilot, l'existence des troubles de la dentition chez les enfants, mais sans pou
est très difficile d'apprécier et de limiter ce que l'on entend par troubles psy- chiques chez de jeunes enfants, alors que
rs et rires faciles, et qui sont regardés par les auteurs comme des troubles psychiques. Celle impressionnabilité qui constitu
tremblements, une rémiz plégie ou une monoplégie, encore moins des troubles profonds de la sen- sibilité. Enfin, pour enlev
ns prononcées des membres, l'hé- michorée et 1'liéniialliétose, les troubles delasensibilité, lesattaques épilep- tiformes,
se, les troubles delasensibilité, lesattaques épilep- tiformes, les troubles intellectuels et l'aphasie. Il entre donc dans le
rie simulatrice, nous devons retenir encore l'existence possible de troubles de la sensibilité dans la maladie organique et à
a maladie organique et à plus forte raison dans l'hystérie dont ces troubles constituent un des stigmates essentiels. Enfin,
ces troubles constituent un des stigmates essentiels. Enfin, si les troubles intellectuels et l'aphasie manquent souvent dans
ie ne produira chez les enfants, à notre connaissance du moins, des troubles trophiques aussi graves que ceux qu'on rencontr
est jamais aussi grande que dans l'hémianesthésie hys- térique. Les troubles des sens spéciaux sont extrêmement rares dans le
s, ils sont fréquents dans le second. Enfin, si on était en face de troubles intellectuels et d'attaques comitiales, ce qui
bonne santé et les principales fonctions s'accomplissent bien ; aucun trouble de la miction ni de la défécation. De plus, la
ensibilité et de la nutrition donne les résul- tats suivants ; I. Troubles DE la motilité. Attitude de repos. Dans l'attitud
lexes sont normaux du côté gauche, la force musculaire intacte. II. Troubles DE la sensibilité. - Sensibilité générale. La sen
es des membres et même, à un examen superficiel, d'une apparence de troubles trophiques avec raccourcissement du membre infé-
dé repos et dans les actes volontaires ; l'absence d'épilepsie, de troubles intellec- tuels et d'aphasie, l'absence de défo
iques, et, chose curieuse ! jusque dans les moindres détails de ses troubles fonctionnels. Vous avez observé la marche du ma
s deux yeux. (Fig. 45). L'étude de la vue nous a en outre révélé un trouble intéressant. Il y a quelques années» le Dr Pari
mal. Telle est la polyopie monoculaire spéciale, qui associée à des troubles sen- soriaux ou sensitifs produira une base d'a
III. Poursuivons notre examen. Jusqu'ici nous avons rencontré : un trouble de la sensibilité qui intéresse la moitié gauche,
ine. A côté de ces altérations de la sensibilité, nous trouvons des troubles sensoriels de l'ouie, de l'odorat, du goût et d
pas ici de phénomè- nes capricieux, des symptômes incohérents, des troubles désordonnés, per- mettez-moi l'expression ; mai
sug- gestion traumatique. Au moins dans quelques-uns de ces cas, le trouble nerveux est le résultat d'une lésion réelle des
te de la sensibilité. D'autre part l'explication de l'ataxie par un trouble de la coordination des LA FARADISATION THÉRAPEU
ue. Les mouvements anormaux des tabétiques ne res- semblent pas aux troubles de la coordination qui suivent l'extirpation des
a coordination qui suivent l'extirpation des organes coordinateurs, troubles qui sont décrits par les physiologistes. Dans l
n phénomène d'un autre ordre que l'ataxie proprement dite. C'est un trouble de l'innervation. Chez les tabétiques l'innervati
bilaté- rale -), par Delprat, 38 ; (Fièvre -), par Estevès, 43 ; ( Troubles trophiques symé- triques des mains et des avant
Veillon, 201 ; (Un cas d'hypertrophie des pieds et des mains avec troubles vaso-moteurs chez un -), par Souques et Gasne,
xie ), 1, 33, 36, 3-1 ; Ilypertrophie des pieds et des mains avec troubles vaso-moteurs chez un -), 38 ; (Syndrome simulan
(Syndrome simulant l'hémiplégie spasmodique enfantile), 41, 42 ; Troubles trophiques des mains et des avant-bras d'origin
ableau égaré de -), 15. Syringomyélie (Scoliose dans la -), 23 ; ( Troubles trophiques dans la -), 39, 40. Ventouseuse (La)
52 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
e très petite étendue, mais facilement visibles néan- moins. Pas de troubles bien accentués dans la position et les mouve- m
t seize ans, d'un accident grave qui semble avoir été l'originè des troubles divers qu'il- a présentés depuis. Voici ce qu'i
ses mouvements, lorsqu'il fut pris trois mois après d'une série de troubles qui se développèrent successivement dans' le co
embre inférieur et du membre supérieur du côté droit; ' Enfin des troubles Irophiques qui ont pour siège la main droite le
ôté correspondant. ]Nous avons pu observer à plusieurs reprises ces troubles trophiques depuis que le malade est entré dans
in droite que l'éruption se produit le plus souvent. ' Ces divers troubles , faiblesse des membres du côté droit, douleurs
et l'épaule droite, crises névralgiques accom- pagnées de diplopie, troubles trophiques, etc., tiennent depuis quinze ans ce
fait progressivement . dans le cours de ces dernières années. Les troubles de la motilité sont les suivants : nystagmus très
tre eux de nombreuses analogies. Chez tous deux nous retrouvons des troubles trophiques fort accentués, panaris véritables c
es supérieurs et infé- rieurs. En même temps, elle eut une série de troubles oculaires d'ordre inflammatoire (sur lesquels d
tranversal ; mais il n'y a ni modifications pupillaircs, ni autres troubles oculaires quelconques. Cette exophthalmie donne
ite patiente. Elle ne souffre plus de ses articulations, n'a pas de troubles car- ut. 2 18 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
de surdité, dé date récente paraîtrait-il/ Il n'y a non' plus aucun trouble de la sensibilité soit générale ou spéciale- (f
E MUSCULAIRE CONSIDERABLE RHUMATISME ARTICULAIRE CHRONIQUE. 10 de troubles visuels, aucun autre symptôme qui puisse faire cr
le service de M. le professeur Potain et qui présentait, à côté de troubles hystériques, un tremblement du membre supérieur
e dissipe spontanément. Il est très peu de malades chez lesquels le trouble des mouvements reste permanent, mais il se repr
entend des sifflements dans ses oreilles; et quand cet ensemble de troubles qui caractérisent l'aura hystérique s'est prolong
que de reconnaître la nature hystérique d'un tremblement lorsque ce trouble fonctionnel coexiste avec les diffé- rents stig
e heure ou deux. Ce n'est alors qu'un phénomène post- convulsif, un trouble moteur passager qui n'attire pas toujours l'atten
mois. En pareil cas, s'il est quelque peu accentué, il constitue un trouble moteur impor- tant, un symptôme marquant et ten
des membres inférieurs ne laissaient rien à désirer. Tels sont les troubles moteurs que nous avons vu se développer à plusi
crudes- pence, du tremblement. - . Cette remarque étant faite, ce trouble fonctionnel très particulier (dérobement des ja
vibratoire qu'a décrit M. P. Marie. C'est précisément parce que ce trouble moteur (dérobement de jambes) se voit communéme
avons cru devoir signaler avec quelque insistance l'existence de ce trouble fonctionnel chez nos deux hystériques. On compren
Lui-même n'avait jamais été malade avant l'apparition des premiers troubles nerveux qui marquèrent le début de son 44 NOUVE
attacha pas d'importance, n'est pour rien dans le développement des troubles nerveux qu'il a présentés plus tard. Le fait est
te du nom de « purpura » lors qu'il existe con- curremment d'autres troubles vaso-moteurs, épistaxis, meloena, phéno- mènes
ation. C'est le rêve de l'attaque qui peut produire directement les troubles physiques, une paraplégie si le malade a cru to
e de course prolongée ». «Hystériques, dit M. Mobius3,sont tous ces troubles morbides du corps qui sont causés par les idées.
cas associés', nous voudrions dire quelque mots de l'influence des troubles , des stigmates physiques,sur ce que nous appell
subitement sa force dyna- mométrique normale, en l'absence même de troubles trophiques, et les stigmates sensitifs persiste
nsitifs persistent bien longtemps encore après la dispa- rition des troubles moteurs. Telles sont les réflexions que nous in
pèces de pollutions féminines « sont habituellement accompagnées de troubles névropathiques tels que des névralgies, de l'hy
corps vertébraux par le tissu cancéreux. De là toute une série de troubles dans lesquels l'élément pa- raplégique est rela
ris le lit ou le fauteuil, elle est sujette de temps en temps à des troubles vésicaux consistant en envies fausses d'uriner.
les gênent la malade pour marcher, sont en grande partie cause du trouble de la démarche que nous allons décrire plus bas e
taines manoeuvres, ainsi qu'on le verra plus loin. Démarche. - Le trouble de la démarche consiste en ceci : la malade s'é
Il existe plutôt un certain degré d'amaigrissement général. Pas de troubles de la sensibilité. La piqûre, le contact sont par
qu'aux membres, au contact, à la température, à la douleur. Pas de troubles grossiers de la vision, de l'audition, du goût,
veau. Enfin le malade maigrissait, il avait peu d'appétit. Tous ces troubles per- sistèrent pendant les mois de décembre 188
' d'aslasie-abasie incomplète ou en voie de guérison. Toutefois ces troubles n'existent pas chez IIacq... d'une façon perman
gêne que peu ou point les mouvements du sujet, il apporte alors un trouble notable dans l'accomplissement des actes usuels
s battements dans les .tempes, sa face se con- gestionne, sa vue se trouble , le regard devient fixe et l'attaque commence..
ques secousses dans les membres. Il ne perdit pas connaissance. Ces troubles se calmaient pendant quelques heures, puis repa
des effondrements l'ont précipité à terre. Avec l'amélioration des troubles fonctionnels dont ses membres inférieurs avaien
ire si, à ce moment, elle avait des attaques convulsives. Comme ces troubles persistaient, elle se décida, au bout d'une qui
un embonpoint'modéré et un bon état de la santé générale malgré les troubles anorexiques et les vomis- sements dont elle a s
présentait à son entrée exis- tent toujours. 1 z15 octobre. -Les troubles précédents se sont notablement amendés. 1 1 L
X... vingt-cinq ans, vient à Paris consulter le Dr Auvard, pour des troubles utérins (octobre 1888). La mère de la malade a
qui, ne trouvant aucune altération de ces organes et pensant à des troubles purement nerveux voulut bien demander à M. Gill
rères sont actuellement bien portants et n'ont jamais eu le moindre trouble nerveux. . Antécédents personnels. - Quoiqu'il
ettres qu'il écrivit dans les premiers mois ne témoignaient d'aucun trouble psychique et sa famille ne remarqua rien de parti
à partir de ce moment qu'on commença à constater chez lui quelques troubles psychiques. Il écrivit peu à sa famille et son
son père, n'était plus la même, mais rien cependant ne révélait de trouble mental. Bientôt, il ne donna plus de ses nouvel
uvert de pytiriasis vcrsicolor. - Pas de réflexe pharyngien, pas de troubles de la sensibilité générale. Champ visuel normal
où III.. 8 114 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DÈ LA SALPÉTRIEttË. ces troubles ont débuté, elle éprouve de petites pertes de con
très peu accentués chez celle malade. Il existe néanmoins un léger trouble de la sensibilité dont la présence acquiert ici
ynx, sensation de boule remontant de l'estomac à la gorge. Pas de troubles sensoriels. La vue est parfaitement conservée et
n à 20 et la température oscille entre 37° et 37°2. Il existe des troubles vaso-moteurs assez marqués aux extrémités qui s
ités qui sont toujours froides et violacées, mais il n'existe aucun trouble trophique. Toutefois il perd ses cheveux d'une
tiques avec masturbation effrénée, et au point de vue physique, les troubles vaso-moteurs, la cyanose des extrémités, tout cel
gâtisme dans lequel est tombé notre malade prouve également bien le trouble profond de la volonté chez lui. La mémoire es
culièrement les douleurs fulgurantes, l'incoordination motrice, les troubles génito-urinaires, sans qu'il y ait de changement
troubles génito-urinaires, sans qu'il y ait de changement dans les troubles oculaires et le signe de Wcstphall. 30 à 35 res
lle; les névrites multiples observées dans quel- ques-unes sont des troubles trophiques à l'égal de l'atrophie muscu- laire
des muscles des yeux, de la langue, du pharynx et de la face. Aucun trouble de la sensibilité ni des organes des sens, ni d
a température oscille entre 38 et 39°; on observe de -plus quelques troubles vésicaux et la formation d'une escarre. Dès le
es. Les réflexes tendineux sont abolis. Sensibilité intacte. Pas de troubles des sphincters ni de décubitus. Peu de temps
cher et de se servir de ses membres supérieurs. Il n'existait aucun trouble ni de la sensibilité, ni des sphincters. A l'
trée de la malade à l'hôpital, en février 1887, on constata que les troubles portaient exclusivement sur la motilité. Il exist
ns de la vessie et du rectum sont respectées. , Il n'existe aucun trouble dans la sphère des nerfs crâniens ni bulbaires.
et les lèvres restassent indemnes. 11 survint en der- nier lieu des troubles de la respiration, et la malade succomba trois
le se plaint de fatigue, est découragée, mange peu. Il n'y a pas de troubles sphinctériens; ceux-ci se montrèrent plus tard,
A SALPÈTRIÈRE. En octobre, cette petite rémission disparaît, et les troubles aug- mentent. Elle accuse quelques douleurs aux
lexes cutanés sont conservés à la plante du pied et aux jambes. Les troubles s'aggravent, la respiration est de plus en plus d
orsque la paralysie résulte-d'une section totale du nerf facial. Ce trouble est moins marqué dans la paralysie dite a frigo
rté un exemple chez un homme d'une quarantaine d'années, sans autre trouble d'ail- leurs. Ce singulier spasme coïncide géné
e physique par M. Byrom l3ramwell°- chez deux individus affectés de troubles mentaux et le même auteur a observé la combinai
ion n'avait pas été appelée sur'ses yeux'; il n'est pas sûr que les troubles actuels soient de date récente. Depuis quelques
lement assez facile de. l'étudier.. ? ', ' Il ne présente aucun des troubles viscéraux qu'on peut rattacher au goitre exopht
bles viscéraux qu'on peut rattacher au goitre exophthalmique, aucun trouble cardiaque; 'le pouls, examiné à différentes rep
et de de Graefe sont bien carac- térisés et il n'existe aucun autre trouble pouvant être rattaché au tableau du goitre exop
endue de sclérotique. Ces deux malades ne présentent non plus aucun trouble qui puisse être rapporté au goitre exophthalmique
lmique. cl. Féré, Médecin de Bicètre. 1. G. Ballet. De quelques troubles dépendant du système nerveux central observés c
ois ans. Jusqu'à sept ans, elle a été continuellement sujette à des troubles digestifs, vomissant tout ce qu'elle prenait. O
laques dysesthésiques aux deux poignets. Il n'existe en outre aucun trouble du côté de la peau. L'ouïe, l'odorat et le go
des maladies du système nerveux. ÉTUDE PHYSIOLOGIQUE DE QUELQUES TROUBLES D ARTICULATION L'opinion généralement admise qu
LQUES TROUBLES D ARTICULATION L'opinion généralement admise que les troubles de l'articulation peuvent exister sans altérati
ervation tout à fait superficielle. Si en effet, dans bon nombre de troubles de l'articulation, la langue paraît capable d'e
dans l'hémiplégie par lésions organiques que dans l'hémiplégie par trouble soi-disant dynamique des hystériques. Lors- qu'
. 170 N0U\ELLE ICONOGRAPHIE DE LA Salpêtrière. Cartaz) d'un autre trouble d'articulation qui s'accompagne aussi de parési
oient dues à des lésions anatomiques grossières du cerveau ou à des troubles dits fonctionnels d'origine indéterminée. La fa
é l'affaiblis- sement de la langue dans ce vice d'articulation, les troubles grossiers de la motilité de la langue chez les
plus simples paraît en effet indiquer la voie du traitement de ces troubles , qu'ils soient congénitaux ou acquis. Lorsqu'il
et les Epileptiques, in-8°, 1890, p. 172. ÉTUDE PHYSIOLOGIQUE DE TROUBLES D'ARTICULATION. 171 procède par des exercices q
érêt au point de vue de l'étude des conditions physiologiques des * troubles de la parole et, en particulier, de l'articulatio
A la suite des attaques, les épileptiques présentent souvent des troubles de l'articulation, du bégayement, du bredouilleme
tiques d'ailleurs conservent d'une manière permanente ces divers troubles qui ne font que s'exagérer dans la période postpa
s'exagérer dans la période postparoxystique. Quelquefois ces divers troubles se combinent; mais le plus remar- quable et le
n particulier sur lapénultième des mois polysyllabiques. Ces divers troubles de la parole coïncident avec une faiblesse très é
aroxysmes, ou appa- raissent seulement alors s'il n'existait pas de trouble permanent de la prononciation. La faiblesse et
permanente de la parole : les caractères de ÉTUDE PHYSIOLOGIQUE DE TROUBLES D'ARTICULATION. 173 Fie. 48. - Courbe de la pro
comme on le voit .sur la figure 50. 'Il est il remarquer que ces troubles de la motilité de la langue ne 'sont pas les se
aussi la fatigue des muscles chargés de régler l'expiration'. Les troubles de la parole des épileptiques et en particulier l
usqu'à une période avancée et même quel- quefois jusqu'à la finales troubles moteurs qui'ilsi présentent sont sur- tout de f
ulture intellectuelle. 'Pas plus que l'instabilité des mains et les troubles de la marche, les ' troubles du langage ne sont
lus que l'instabilité des mains et les troubles de la marche, les ' troubles du langage ne sont dus chez les paralytiques géné
nt dus chez les paralytiques généraux à tune paralysie. Ce sont des troubles ataxiques ou spasmodiques. Les graphiques fourn
sflénéraux (/lev. scienli ? 1881, p. 74). Christian, De la nature des troubles musculaires dans la paralysie générale, 1881. -
lltoyralia (Heggio-Eillilia, 1885, p. 20). ÉTUDE PHYSIOLOGIQUE DE TROUBLES D'ARTICULATION. 175 Fig. 53. rIG..n'4. FIO.
autés, mais je serai assez heureux si je puis mettre en lumière les troubles nerveux, les phénomènes respiratoires et les lé
ficilement. Certaines cellules présentent une véritable tuméfaction trouble : toutes offrent des différences de volume entre
res où elle est froide, et où la malade a constamment l'onglée. Ces troubles vaso- moteurs, oedème des pieds et de la main g
btient une crépitation qui indique une arthrite peut-être due à des troubles trophiques. 19 janvier. Partie à la Salpêtrière
duit de notable au point de vue des phénomènes nerveux sinon que le trouble nerveux amyotrophique, tout en y restant canton
n voulu nous communiquer : Etat de A. P... le 2janvier 1889. - Ni troubles de la sensibilité, ni troubles trophiques. Ma
at de A. P... le 2janvier 1889. - Ni troubles de la sensibilité, ni troubles trophiques. Mains : atrophie localisée presque
flexes rotu- liens abolis. Pas de contractions fibrillaires. Pas de troubles vésicaux, ni oculaires, ni sensoriels. Etat sta
réseau très riche de capillaires dont l'endothelium est tuméfié et trouble . On remarque aussi, entre les cellules sériées qu
comyéliques postérieurs rappelant le tabes, d'un cas de tabes avec troubles anormaux de la sensibilité, ou encore d'une combi
rendre en plusieurs fois. ' En même temps apparurent les premiers troubles trophiques cutanés, caractérisés par des bulles
beaucoup de peine à se boutonner; mais cela tient beaucoup plus aux troubles de le sensibilité qu'aux désordres moteurs, non
is par instants il lui semble que la face plantaire est glacée. · Troubles de la sensibilité. Sensibilité tactile (Fig. 64,0
établie du même coup pour un temps très court, comme la première. Troubles oculaires (examen de M. Parinaud). - Pas de dévia
les doigts à dix centi- mètres. A l'ophtluUmoscope on distingue un trouble laiteux qui pourrait tout d'abord faire croire
élancements par accès dans les membres inférieurs; il présente des troubles vésicaux, une abolition des réflexes, une démarch
t diversement modifiée dans les né- vrites. Dans un travail sur les troubles de la sensibilité d'ori- gine périphérique et l
J, XIV, p. 33G. 222 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTHICRE. Les troubles de la sensibilité présentés par notre malade pour
is des fourmillements apparurent dans la jambe et dans le bras. Les troubles parétiques augmentèrent gra- duellement jusqu'a
'hni peu accentués, mais existent encore néanmoins. Il n'y a pas de troubles nets de la démarche, mais une diminution assez
une pour un même mouvement. '\ Chez notre malade il s'agit d'un trouble du même ordre mais qui détermine une symptomato
l'obstacle au mouvement de l'oeil droit. Mais là ne s'arrête pas le trouble fonctionnel. Si l'on continue à solliciter le d
fille de porter un diagnostic positif basé sur la connaissance des troubles dont elle est atteinte ? Au premier abord on es
de cette lésion protubérantielle dont la présence nous explique les troubles présentés par notre malade ? Les symptômes rela
et spéciale, explorée avec soin à diverses reprises, n'offre aucun trouble appréciable. , . Le malade, est traité par la s
r, chez les sujets atteints de sciatique déformante, l'existence de troubles névropathiques héréditaires ou acquis, et de voir
n aux dartres, chez les sujets qui souffrent il un certain degré de troubles gastriques, avec fétidité de l'haleine, état sahu
iques, avec fétidité de l'haleine, état sahur- ral, etc. Contre ces troubles les purgatifs salins constituent un palliatif i
les intestinaux déterminée par le médicament. Une grande partie des troubles digestifs et des troubles généraux du bro- mism
par le médicament. Une grande partie des troubles digestifs et des troubles généraux du bro- misme peut êlre mise sur le co
e il cause des manifestations cutanées, souvent douloureuses et des troubles gastro-intestinaux, quelquefois précur- seurs d
et variées des membres dans une période très avancée ; 5° Pas de troubles des sphincters, ni de la santé générale. 1. Voy
usquement; ce sont tout d'abord, pendant une huitaine de jours, des troubles généraux de la nutrition, et des désordres du côt
ique. ' Ce sont l'état général grave, le délire, les oedèmes et les troubles vaso-moteurs. Cet état d'adynamie, de cachexie
troubles vaso-moteurs. Cet état d'adynamie, de cachexie même, avec troubles gastriques très accusés, diarrhée et vomissemen
est ainsi du délire intense nécessitant l'emploi de la camisole. Ce trouble est signalé dans l'observation de M. Déjerine et
dans notre observation, ils paraissent avoir été cachectiques. Les troubles qui ont été surtout l'objet des études attentives
nt exactement la nature de ces oscilla- : tions thermiques. Or, des troubles vaso-moteurs tout à fait compa- rables ont été
érébrale. Ce sont, d'une part, des paralysies amyotrophiques et des troubles de la sensibilité, d'autre part de l'agitation
encore laisse une paralysie amyotrophique stationnaire. Ce dernier trouble présente aussi des améliorations. On voit que n
t plus ou moins ou restent stationnaires. Quoi qu'il en soit, les troubles de la nutrition et les phénomènes cérébraux ont
Èltl : . dans la pathologie humaine, rapportait des observations de troubles trophiques bilatéraux survenus chez des chiens
riques et de la moelle épinière lui a fait rapporter logiquement le trouble amyotrophique à l'altération du cerveau. Ce fai
es cas de ce genre (polynévrites amyotro- phiques s'accompagnant de troubles psycho-moteurs). 5" Il ne nous paraît pas possi
s de réseauveineux superficiel, pas de cordons lymphatiques. Pas de trouble trophique ni de la sensibilité, sauf une douleur
parésie légère du nerf facial de chaque côlé. Urine normale. Pas de troubles de la sensibilité. Organes des sens normaux. Rien
Ophthalmoplégie unilatérale avec anesthésie du trijumeau et divers troubles de la déglutition (Hirschberg2). Un homme vigou
tassium, la strychnine et d'autres médications n'ont pu modifier les troubles morbides, qui sont devenus stationnaires. Vu
ette attaque subaiguë continua sans vertige, sans céphalalgie, sans troubles du sensorium ni vomissements. Plus lard seulement
e activité et se surmenait. C'est alors que survinrent les premiers troubles oculaires. Le Dl' )lever consulté, constate d'a
cune secousse fibrillaire dans les lèvres ni dans la langue. Pas de troubles de la sensibilité, ni sur la face ni dans la bouc
Le réflexe pharyngien est très développé. Pas de céphalée. Pas de troubles intellectuels quelconques. Pas de troubles vési
Pas de céphalée. Pas de troubles intellectuels quelconques. Pas de troubles vésicaux. Rien aux membres; pas de parésie ni d
nouveaux symptômes bulbaires : pas d'accélération du pouls, pas de troubles cardiaques ni respiratoires. II n'y avait toujour
la maladie il y trois ans par l'apparition lente et progressive du trouble de la parole. Il y a deux ans les yeux se prirent
c'est depuis trois ans que l'amaigrissement a fait de tels progrès. Trouble de la parole extrêmement prononcé. Elle ne peut a
de la Tourette, 94. Articulation(Etude physiologique de quelques troubles d' -), par Ch. Féré, 168. Bromuration et antise
ose en plaques, 44, 45, 46. Syringomyélie, 47, 48, 49, 50. Tabes ( Troubles trophiques dans le -), 33. Tombeau de sainte Ma
erne de la cuisse, 13,14. Articulation (Tracés représentatifs des troubles d'-), 45, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56.
53 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
délires étudiés par MM. Klip- pel, Lévi et M. Faure, il existe des troubles délirants, d'al- lure plus tranquille, en rappo
dans des cas plus aigus 3. IL- Dans une excellente revue sur « les troubles mentaux de l'urémie», M. le docteur Toulouse 's
plication de ce fait, attirent assez rarement l'atten- tion sur les troubles de leurs fonctions physiologiques, aussi est-il
tal seul attire toute l'attention du médecin. Toute- fois parmi les troubles psychiques par auto-intoxication, les délires d
du doigt mort, les sifflements et les bourdonnements d'oreille, les troubles visuels, les épistaxis, les vomissements, la dy
De plus il ne suffit pas de constater chez un sujet, d'une part des troubles psychiques, d'autre part des signes d'in- suffi
le professeur Joffroy 1, la coexistence de trou- bles rénaux et de troubles délirants peut se rencontrer dans trois cas 1"
sa vésanie ; 3° Une albuminurie existante crée de toutes pièces des troubles mentaux, temporaires ou définitifs, suivant la
cadre de notre étude. Suivant la classification de Koeppen1, les troubles mentaux accompagnant l'albuminurie peuvent être
mélancolie survenant depuis 9 ans. D'après leur allure clinique les troubles délirants d'origine ' Koeppen. De l'albuminurie
e consécutif aux grandes infections, délires autotoxiques, tous ces troubles psychiques d'origine toxique qui frappent des s
équemment incriminé, n'agissent directe- ment sur la production des troubles cérébraux que dans les cas aigus (ivresse délir
ns organiques produites par l'alcool. L'insuffisance hépatique, des troubles gastriques d'origine éthylique peuvent développ
qu'une perméabilité douteuse ; et que le retard correspond « à des troubles purement fonctionnels provoqués par un spasme d
insi dire «déflorés. » Dans les cas chroniques il peut constater un trouble mental persistant après une lésion rénale guéri
des Ca... et Sch..., aujourd'hui déments et également atteints de troubles rénaux ? Il faudrait pour déterminer au juste ce
fisait a le rendre malade. Il y a un an, il fut brusquement pris de troubles respira- toires qui le forcèrent à suspendre so
ne s'est jamais rétabli complètement depuis cette époque. Mais aux troubles d'abord exclusivement physiques qu'il présenta
ée, oedème généralisé) s'a- joutèrent, au début du mois de mai, des troubles délirants dont l'apparition coïncida, a remarqu
inte d'un certain degré de tremblement fibrillaire. Il n'y a pas de trouble de la parole, mais le malade cherche ses mots,
it de la gauche. La langue est saburrale. La parole rare, mais sans troubles réels. Le malade qui est d'origine suisse parle
la démarche est normale. Les grands appareils ne présentent pas de troubles notables, toute- fois, le foie parait à la perc
part, il est impossible de ne pas être frappé de la coïncidence des troubles délirants et des troubles urémiques et de leur
ne pas être frappé de la coïncidence des troubles délirants et des troubles urémiques et de leur disparition simultanée. L'
ut à remplir au point de vue de l'enseignement et du traitement des troubles psychiques ne nécessitant pas l'internement et po
ofesseur Sommer. M. Sommer, après une vue d'ensemble sur les divers troubles psychiques, a étudié en premier lieu les psycho
opatho- logie a été inspirée par le désir d'appliquer à l'étude des troubles psychiques la méthode expérimentale et de combl
our analyser, mesurer et reproduire les diverses manifestations des troubles cérébraux, mais il en a montré les utiles résul
rique est annexée une clinique externe pour les nerveux atteints de troubles psychiques. II. Admission des malades. § 2. La
rais de séjour. c. Un certificat du maire constatant l'existence de troubles psychiques et relatant les faits qui motivent c
tégories de mouvements, et de la suggestibilité qui consiste en des troubles morbides de l'activité volontaire. En réalité
le. A l'asile on constate une faiblesse musculaire généralisée, des troubles du lan- gage, de la confusion mentale; on diagn
granulations de Pacchioni très accusées. La pie-mère épaissie et trouble s'enlève très aisément. Circonvolutions grosses.
chloroforme fut examinée et repoussée, heureusement, en raison des troubles cardiaques. 3° Il est très difficile chez les a
ausée par l'abcès. Chez le premier malade, c'est la constatation de troubles allô- niques, des vertiges, du strabisme qui a
encontre ordinairement, il convient de mettre en première ligne les troubles visuels dus, soit à l'hypérémie, soit à l'eedèm
uro-rétinite. Dans l'observation qui fait l'objet de ce travail les troubles visuels concomitants des symptômes cérébelleux
ie que présentait la malade survécurent à la disparition des autres troubles organiques ce qui semble prouver qu'ils n'étaie
s deux types cliniques (nystagmus, déviation vertébrale, absence de troubles de sensi- bilité, intégrité du goût, de l'ouïe,
ière de la compression ; 4° Le mécanisme par lequel surviennent des troubles fonctionnels ou des lésions histologiques de la
lexe, car il est vrai- semblable que, dans la majorité des cas, des troubles vasculaires (ischémie, stase sanguine, oedème)
une ulcération de la face inférieure du gros orteil gauche. Pas de troubles radiculaires de la sensibilité. Incoordination lé
es quatre membres. L'intelligence était intacte, il n'y avait aucun trouble moteur de la face, pas d'épilepsie, pas de trou
n'y avait aucun trouble moteur de la face, pas d'épilepsie, pas de troubles de la parole, rien du côté des sphinc- ters, se
e ou tronculaire associée à une hémiplégie alterne sensitive, à des troubles moteurs consistant non dans la perte de la forc
rs consistant non dans la perte de la force segmentaire mais en des troubles de la motilité tels' qu'in- coordination, asyne
ente deux malades atteints de raideur de la colonne vertébrale avec troubles des mouvements des membresinfé- rieurs abolitio
i- quement à la suite d'un traumatisme. Plus tard, apparurent des troubles mentaux sous la forme de catatonie agitée. Réac
es phénomènes catatoniques ou échopraxiques sont par excellence des troubles psycho-moteurs, qui témoignent d'une insuffisan
rice est une méthode de traitement qui a pour but la correction des troubles moteurs. Elle tend à suppri- mer les actes auto
-motrice n'est pas moins profitable aux sujets, qui, par suite d'un trouble mental, se croient dans l'impos- sibilité d'exé
roduire sans l'intervention d'une toxine, simplement par suite d'un trouble fonctionnel des centres nerveux. La répétition de
efforts à corriger leurs fautes. Comme il n'existe chez eux aucun trouble sensitif, superficiel ou profond, capable d'exp
udes vicieuses comme de leurs mou- vements convulsifs : ce sont des troubles psyclio-moteurs, les uns permanents, les autres
aux hallucinations de l'attaque, ou à des rêves noc- turnes, à des troubles de la conscience, de la mémoire et de la person
oppement desphobies. Le traitement doit porter, d'une part, sur les troubles somatiques et d'autre part sur les désordres ps
Faure (Maurice). Résultats de la rééducation dans le traitement des troubles du mouvement. 111-81 de 36 pages. Librairie Dûii)
que ces conditions se présentent : le myxoedème s'accompagne d'un trouble considérable du pouvoir ossificateuret.de plus, l
à l'asile, il a perdu la vue : ce n'est qu'un an plus tard que les troubles mentaux apparurent, caractérisés qu'ils étaient
alade syphilitique et alcoolique, qui, un an avant de présenter les troubles mentaux de^ la paralysie générale fut atteint d
ine quantité d'albumine, D... n'a pu u reprendre son travail et les troubles psychiques ont été en s'ac- crois<ant sous l
un peu plus fort). Le réflexe plantaire est normal. Il n'y a pas de troubles de la sensibi- lité générale. La force musculai
d de 74 ans atteint de néphrite chronique, apparaissent d'abord des troubles délirants (hal- lucinatious et idées de persécu
et a pré- senté de l'albuminurie intermittente. Jamais il n'eut de troubles cérébraux. Soigné pour ses accidents cardiaques
ire. Ce détail a quelque intérêt au point de vue de l'étiologie des troubles rénaux que nous avons constatés : . Examiné a
l respiratoire et l'appareil digestif ne parai-sent pas atteints de troubles appréciables. Les artères sont dures, athéromateu
l'automtoxication par insuffisance rénale venant se greffer sur les troubles dus à l'évolution de la méningo-encéphahte ? 2
ire les injections avec per- sévérance. Chose curieuse, ce sont les troubles psychiques qui s'améliorent les premiers. Les t
ce sont les troubles psychiques qui s'améliorent les premiers. Les troubles pupillaires disparaissent avec une très grande
ient des sujets affectés d'épilepsie depuis 10 à 20 ans. On vit les troubles moteurs, psychiques et sensoriels s'améliorer ou
qui le sont très peu. C'est le plus souvent vers la puberté que des troubles nerveux plus précis font leur apparition Si l'o
lades libres affectés de formes de psychoses légères, et les cas de troubles mentaux non justiciables de la séquestration, à
excuse plutôt en disant que l'enfant sera plus heureux au ciel. Les troubles mentaux qui dépendent de la gestation sont commu-
confir- ment pas cette manière de voir.-La folie puerpérale est un trouble mental qui survient dans une période courte con
s commis plus tardivement dans la période puerpérale sont dus à des troubles mentaux de type mélan- colique. Par leurs carac
pour la folie puerpérale. Dans les cas d'homicide se rattachant aux troubles mentaux qui accompagnent la gestation, certaine
existe une dysphagie nerveuse propre aux héréditaires dégénérés. Ce trouble de la déglutition survient à l'âge où se développ
uatorze. Immobilité des pupilles, signes de West- plial et Homberg, troubles vé-icaux, troubles du côté de la sensi- bilité
des pupilles, signes de West- plial et Homberg, troubles vé-icaux, troubles du côté de la sensi- bilité et de la coordinati
rofuleuse, mais ni le père ni la mère, ni celle-ci ne présentent de troubles nerveux. Le jeune garçon est pris en outre, de
ités inférieures, d'une incontinence de l'urine et des matières, de troubles trophiques et vasomoteurs (bulles de pemphigus
, le cerveau et la moelle. Les mêmes symptômes, de concert avec des troubles légers de la sensibilité, de concert aussi avec
esseur Raymond note : sensibilité normale, réflexes normaux, pas de troubles tro- phiquesni vaso-moteurs, aucun trouble mote
éflexes normaux, pas de troubles tro- phiquesni vaso-moteurs, aucun trouble moteur dans le domaine des muscles innervés par
essentiellement motrice : ptosis, paralysie des muscles de l'oeil, troubles de la mastication, de la déglutition, de l'arti
exacerbations, vomissements, amuzwose progressive, titubalinn. Ces troubles de- viennent permanents et engagent le malade à
erversion de la sensibilité objective, intelligence parfaite, aucun trouble de la parole ni de l'écriture. La station debou
usculaire et du gâtisme intermittent, ni albuminurie, ni sucre. Les troubles sensoriels loca- lisés au niveau des yeux consi
r à l'urémie, car la scarlatine ancienne n'a pas été accompagnée de troubles rénaux et la perméabilité rénale est normale.
des réflexes tendineux coïncidant avec l'hypotonie musculaire, les troubles oculaires, la céphalée, les vomissements sont u
parle degré, le première étant plus violente et raccom- pagnant de troubles moteurs généralisés, mais de nature noncon- vul
cation contraire. Leur opinion penche vers la nature hystérique des troubles constatés. M. l3asmsRr trouve à gauche l'abduct
, surtout à gauche, demeurée stationnaire depuis. A vingt- septans, troubles paréto-spasmodiques et ataxiques dans les mem-
paréto-spasmodiques et ataxiques dans les mem- bres supérieurs; ni troubles sensitifs, ni troubles trophiques ; mais altéra
ataxiques dans les mem- bres supérieurs; ni troubles sensitifs, ni troubles trophiques ; mais altération marquée de la perc
stéréognostique, surtout à gauche. A trente-six ans, extension des troubles moteurs aux membres intérieurs, entraînant de l
exes très exagères : signe de Babinski à gauche. Agé- nésie. Pas de troubles des sphincters. Pas d'hystérie. Santé géné- ral
ers ou même des trois quarts. Ce fait explique- rait la latence des troubles aortiques chez les tabétiques. M. MËDËA envoie
abes à la période d'incoordina- tion motnce. Le malade présente des troubles gastro-intestinaux (dyspepsie sensitivomotrice
vec dilatation d'estomac, aérophagie, spasme du gros intestin). Les troubles douloureux et spasmodiques de l'estomac et de l
s'explique par la débilité mentale. L'interprétation délirante des troubles anesthésiques donne ici la mesure du niveau men
logiques. en particulier aux atteintes toxiques; B) dans les cas de troubles profonds de la nutrition générale, ceux-ci para
ccasion presque unique de se familiariser avec la séméiologie de ce trouble de la perception visuelle, ques- tion aride ent
es causes multiples des psychoses, il entre dans la séméiologie des troubles cérébraux : troubles de la perception, troubles
psychoses, il entre dans la séméiologie des troubles cérébraux : troubles de la perception, troubles de la conscience, de l
la séméiologie des troubles cérébraux : troubles de la perception, troubles de la conscience, de la mémoire, etc., tout cel
chargé du discours de rentrée, a pris pour texte de son étude les troubles de la mémoire dans leurs rapports avec la médecin
ions médicales, les rapports de ces maladies de la mémoire avec les troubles de la conscience et de la personnalité, en les
es alcooliques anciennes. Depuis quatre ans déjà, il avait quelques troubles cérébraux, du délire nocturne. Il avait de plus
ancolie ou d'excitation, qui ont coïncidé avec une augmentation des troubles rénaux. OBs. VIII. S... (Eugène), âgé de soixan
res en flexion, les réflexes crémastériens faibles. Il n'y a pas de troubles objectifs de la sensibilité générale mais le ma
générale a toujours été satisfaisante, sauf des bron- chites et des troubles respiratoires, probablement de nature ner- veus
xis abondantes, sans hémoptysie. Ni céphalalgies, ni ver- tiges, ni troubles vaso-moteurs de la face, ni rêves, etc. V... ra
le n'est qu'une des modalités déjà si nombreuses et si variées d'un trouble de l'évolution du système nerveux, la question
ujets normaux, bien doués intellectuellement avant l'apparition des troubles mentaux, ou au 222 ), SOCIÉTÉS SAVANTES. cont
cela suffit pour affirmer le carac- tère de non-contingence de ses troubles mentaux. Je crois donc qu'avant de se prononcer
désire examiner, au seul point de vue de leur pathogénie, certains troubles moteurs qui font partie du syndrome catanonique
tomatisme céré- bral. Chez deux catégories de sujets, en effet, ces troubles moteurs revêtent les mêmes caractères : ils son
les différentes formes d'échokinésie ou d'écho- praxie. Ces deux troubles de la fonction motrice existent aussi, à des de
urs ce même phénomène, on peut y voir la preuve de l'existence d'un trouble de la fonction motrice. Et cette inaptitude au
'examen bactériologique des urines, soit la toxicité du sang et les troubles de l'équilibre leucocytaire combiné à la pré-,
modes de début sont par- fois assez divers. Ainsi, les délires, les troubles moteurs corticaux et bulbaires, les localisatio
ment atteints les premiers, car il est impos- sible de concevoir un trouble sensitif, moteur ou psychique, sur- venant en d
ive, à la condition toutefois qu'il s'agisse d'émotions vives, avec troubles physiques et intellec- tuels sérieux : lypolbym
rachitisme et de l'idiotie. Existe-t-il alors un rapport entre les troubles déjà nutrition que présente le rachitisme et son
ème nerveux, les rayons blancs et rouges favorisent la guérison des troubles trophi- ques ; les rayons bleus provoquent une
la photo- thérapie, un régime approprié. Traitement mécanique des troubles viscéraux chez les tabétiques (crises laryngées
nique des troubles viscéraux chez les tabétiques (crises laryngées, troubles delà respiration, de la digestion, de la miction,
(Lamalou, Hérault). Il y a lieu d'employer, dans le traitement des troubles viscéraux des tabétiques, les exer- SOCIÉTÉS SA
réflexes glottiques, et des fonctions motrices respiratoires : tes troubles de la miction et de la défé- cation, dus à l'in
tat général du sujet s'altère, et sans qu'il apparaisse de nouveaux troubles . Il y a peu d'amaigrissement. pas d'atrophies,
oïncidence de l'acrocya- nose et de la crampe des écrivains ; 10 le trouble vasculaire est la cause immédiate des désordres
te des désordres moteurs; 2° les désordres moteurs ont déterminé le trouble vasculaire ; 3° les deux symptômes relè- vent à
ose que l'acrocyanose est d'origine corticale au même titre que les troubles moteurs. La physiologie enseigne en 264 SOCIÉTÉ
le. Un outre, la pathologie a fait connaître depuis long- temps les troubles vao-moteurs des sujets porteurs d'une lésion ex
ent corticale (hémiplégiques); d'autre part, l'hystérie réalise des troubles vaso-moteurs dont la disparition rapide sous l'
ins et l'angios- pasme paraissent bien être sous la dépendance d'un trouble corti- cal. Le deséquilibre psychique évident d
ations reconnues mal fondées. Sur la forme la plus habituelle des troubles de mentalité qui se pi,o- duisent au cours des
s mentales à la Faculté de Lyon. De très nombreuses observations de troubles nerveux, en relation avec'les maladies du nez,
délires. Les maladies qui les ont causées, comme aussi la forme du trouble mental, étaient diverses. Cependant, si on met à
M. X..., trente-huit ans. Polypes,muqueux ignorés jusqu'à l'examen, troubles mentaux assez accentués, obnubilation intellect
- vement facile, la malade devient docile. ' La pathogénie de ces troubles mentaux peut s'expliquer : 1° par des modificat
ngoisse, etc., et qui a sur la digestion une influence néfaste. Les troubles dyspeptiques peuvent aussi secondairement accen
but et des phénomènes moteurs chorée, tics, etc., et aussi par des troubles du sommeil, agitation, lrayeurs nocturnes, etc.
! tes dans un cas de sclérose en plaques. IL Laknois (de Lyon). Les troubles intellectuels légers (opti- misme, dépression m
scandée, exagération des ré- Ilexes, etc.). Assez brusquement, sans troubles psychiques anté- rieurs bien marqués, il se pré
t de richesse, parle de ses maisons, t'ait des testaments, etc. Ces troubles sont très voisins de ceux que l'on rencontre dans
yant été prise pour de la démence paralytique et inversement. Ces troubles peuvent s'expliquer par l'extension et la général
e et Joués. Il faut aussi faire intervenir dans la pathogénie des troubles présentés par ce malade l'existence de tares né
effet que c'est aux lésions de cette région que l'on a attribué les troubles vaso-moteurs et sécrétoires du tabès (Pierret),
dent un bulbe et que nous proposons de dénommer bulbanencéphales. Troubles de la sensibilité dans les étals neurasthéniques
'est là une erreur. Au cours des psycho-neuroses on ren- contre des troubles analogues. Trois cas de neurasthénie ayant · SO
us intenses, reposant unique- 278 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment sur des troubles cérébraux en tout point analogues à ceux que l'
liénés. Cependant, il n'y a aucune différence fondamentale entre le trouble mental et celui des médiums ordinaires. Délir
La débilité mentale du sujet est le facteur étiologique de tous ces troubles . M. Ballet fait remarquer combien cette observa
riode de cachexie, l'eedème permanent s'accompagne d'un ensemble de troubles vaso-moteurs et trophi- ques dus à l'altération
dans les faits dits de télégonie elle/, l'homme et chez l'animal. Troubles utérins guéris par la suggestion hypnotique; obse
rveuses et mentales; elle a sa place dans le traitement de certains troubles fonctionnels des divers organes, aussi bien qu'
langage parlé. L'état de conscience dans lequel se manifestent ces troubles ner- veux repose sur deux éléments principaux :
ctères de cette neurasthénie sont les suivants : 1° fré- quence des troubles vaso-moteurs; 2° intensité de l'amyosthénie; 3°
vent s'associer entre elles. Elles peuvent de plus s'accompagner de troubles psychiques, qui sont ceux de toutes les psychos
eux des établissements médico-pédagogiques spé- ciaux. XXIII. Les troubles du sommeil dans les név7,oses ; par le D DAUCLOS.
ue. Enfin dans les cas où les névroses se trouvent asso- ciées, les troubles du sommeil varieront suivant la névrose prédo-
dit que le malheureux donnait, depuis quelque temps, des signes de troubles cérébraux. (L'Aurore du 13 août 1903.) Suicide.
rbosité 1. Deux tantes à D... du côté paternel ont été atteintes de troubles mentaux. L'une d'elles a été internée à l'asile
d'aliénation mentale. Le docteur Garnier, tout en reconnaissant le trouble de ses facultés, dit qu'il exagérait dans le but
mal organisées pour conserver de pareils malades; ils y jettent le trouble , aussi s'empresse-t-on de les remettre dehors q
ivée dans cet établissement, D... paraît véritable- ment atteint de troubles mentaux. A chaque instant il appelle les gardie
oyé de l'ordre mental; un dégénéré débile, dépourvu de jugement Ces troubles persistants,s'exagèrent encore sous l'influence
stent toute la vie car l'art médical est impuissant à modifier leur trouble organique. Ce qui distingue ces malades des cri
ces phénomènes d'excitation nerveuse, ni à plus forte raison quels troubles phy- sico-chimiques les produisent on peut reco
rne peut se montrer, avec la dernière évidence, en rapport avec les troubles de l'innervation motrice et sensorielle ; et no
», qui s'éveillent au lever du soleil et ne se rendorment plus. Le trouble du sommeil est tel que certains de ces malades vo
c'est l'état de la circulation générale dans ses rappotts avec les troubles du sommeil. On sait que dans le sommeil la fréque
rtir; mais on doit constater cependant que l'importance de ce grave trouble par rapport aux phénomènes morbides concomitant
pendant aux doses thérapeutiques il ne parait pas donner lieu à des troubles circula- toires importants et le sommeil qu'il
ctif que le chloral, déprime autant la pression et donne lieu à des troubles digesttifs. VEthyl-chloral-uréthane (somnal) es
ques, à un abaissement de tem- pérature (jusqu'à 35°) et à quelques troubles circulatoires (irrégu- larités cardiaques), il
es dangers de leur emploi sont trop certains elles cas de mort avec troubles moteurs, respiratoires et cardiaques, avec héma
ment de céphalalgie, d'une sensation de fatigue, de vacillement, de troubles digestifs, symptômes le moins marqués pour le tri
ôt de l'anorexie mentale (Sollier). Cette forme est assez rare; les troubles psychopathiques du ma- lade sont étrangers à so
nt puis devient total et peut se prolonger indéfiniment. Absence de troubles digestifs; modification progressive de l'état m
nom de symptôme solaire d'excitation ou de paralysie, à chacun des troubles , pris isolément, qu'il constate, après excitati
nombreuses années, deux d'entre eux, dès le début de la maladie. Troubles de la sensibilité dans la démence 'précoce M. P
: 1° à distin- guer la démence des états qui la simulent (stupeur, troubles anec- tifs) ; 2° à reconnaître les signes d'une
ne certain; il faut se baser surtout sur la disproportion entre les troubles affectil's et le trouble intellectuel et sur la
er surtout sur la disproportion entre les troubles affectil's et le trouble intellectuel et sur la marche de la maladie; il
ysioiogique, hau- tement recommandable pour l'étude approfondie des troubles mentaux, ne peut pas encore être généralisé.
t rapporté de nombreux cas dans lesquels coexistaient avec elle des troubles mentaux de diverse nature. La syphilis, l'alcoo
térêt. Mais à côté de ces cas. il en est d'autres dans lesquels les troubles mentaux observés semblent en rapport avec la sy
certains malades, notamment par ceux chez lesquels prédominent les troubles tro- 352 SOCIÉTÉS SAVANTES. phiques ; ces mal
t publié quelques observa- tions de syringomyéliques présentant des troubles analogues. L'observation suivante, jointe à cel
contribuer à montrer l'existence chez certains syringomyéliques de troubles mentaux de nature mélancolique. Il s'agit d'un
main de prédicateur, tremblements, dis- sociation syringomyélique, troubles subjectifs de la sensibilité, arthropathies des
subjectifs de la sensibilité, arthropathies des membres supérieurs, troubles trophiques cuta- nés et troubles sphinctériens.
hropathies des membres supérieurs, troubles trophiques cuta- nés et troubles sphinctériens. Quelque temps après le début de
normaux. L'intérêt de cette observation réside dans ce fait que les troubles mentaux présentés par le malade, semblent en ra
arait intimement lié à l'apparition des symptômes douloureux et des troubles sphinctériens qui vinrent le tourmen- ter et le
erveau dans un état de moindre résistance favorable à l'éclosion de troubles mentaux. Aussi, rapprochant notre cas de ceux p
s la vie des malades l'apparition de certains symptômes (douleur, troubles sphinctériens par exemple), sa production serait
tries faciales et corporelles ; quelques tares acquises. Il y a des troubles de la dentition (surdents, dents cariées). La nut
syndrome mental vraiment très cu- rieux : elle semble atteinte d'un trouble régulièrement périodique, assez semblable à cer
litique ; celle-ci, d'une intelligence peu développée, présenta des troubles nerveux dès l'époque de la puberté ; aboulique,
rais- sent pendant vingt-quatre heures tous les deux jours. A ces troubles mentaux s'ajoutent des symptômes physiques grav
horoïdite peu intense, peut-être avec kératite parenchymateusc. Ces troubles oculaires semblent bien en rapport avec une syp
port avec une syphilis héréditaire ; les auteurs recherchent si les troubles nerveux et mentaux ne peuvent être rattachés à la
ésions syphi- litiques des centres nerveux et indiquent comment les troubles psy- chasténiques et l'agitation périodique, ai
raitement spécifique, le résultat a été des plus remarquables : les troubles intellectuels ont à peu près disparu. Cette améli
dure depuis le mois de février de cette année : c'est-à-dire que le trouble périodique ayant duré dix mois est arrêté depuis
comme un argument en faveur de l'intervention chirurgicale dans les troubles du langage. Les faits rapportés gardent toute leu
des médecins dans la question du traitement du bégaiement et des troubles du langage, dépréciation dont il ne s'est pas enc
pour le bégaiement l'est plus encore pour la ma- jorité des autres troubles du langage, où l'élément psychique do- mine et
ômes ne sont le plus sou- vent que la manifestation extérieure d'un trouble , d'une lésion plus ou moins grave des centres c
très nette de la langue, des lèvres et du voile du palais. Or, ces troubles sont tels qu'ils empêchent tout langage articul
il faut être très circonspect en matière de traitement sanglant des troubles du langage, qu'on ne peut se baser sur un seul
hystériques et les phénomènes morphiniques. La morphine masque les troubles hystériques; ceux-ci reparaissent dès que l'usa
e est chargée, l'urine a la réaction presque neutrale et est un peu trouble . 11 y a Fin. 21>. UN CAS DE GUÉRISON COMPL
ce en mai 1903, atteinte, disent les parents qui l'accompagnent, de troubles intellectuels analogues à ceux qu'elle aurait p
rès améliorée dans sa famille. Le père fait remonter les derniers troubles , qu'il considère comme une nouvelle maladie, à
uinze jours, comme me l'avait dit le père, que remonte le début des troubles mélanco- liques, mais à une époque beaucoup plu
e, en somme, dans ce cas, qu'un cer- tain temps après le retour des troubles intellectuels, après une longue période de préo
arrive dans le service en mai 1902. malade depuis quatre mois. Les troubles intellectuels ont éclaté a la suite d'une fraye
ment en la tirant par les pieds. Les règle-* cessent de couler, des troubles mélancoliques apparaissent presque aussitôt; id
le arrive à Marévilte quatre mois après l'appa- rition des premiers troubles intellectuels; nous constatons aloi, de la dépr
on de l'état physique, l'activité cérébrale reparait peu à peu, les troubles automatiques (crises de rire sur- fout) s'espac
accès d'agitation, se dit possédée du diable, refuse les aliments, trouble le repos des malades, et, trouvant une fenêtre
pée, avec verbigération absurde, absolument stéréotypée aussi, tous troubles ayant un cachet bien caractéristique d'automati
uant progressivement, efface en quelque sorte progressivement les troubles primitifs. A cette période intermédiaire de con-
pitalisée deux fois, à plus de dix ans d'intervalle, pour les mêmes troubles (catatoniques), entrée dans mon service fin sep
, l'accouchement et les suites se passent très bien sain* retour de troubles mentaux. En 1899 seulement réapparaissent les t
retour de troubles mentaux. En 1899 seulement réapparaissent les troubles qui ont motivé la première hospitalisation : al
ques, absolument sans motif. Je l'ai interrogée maintes fois suries troubles qu'elle a pré- sentés si longtemps, qu'elle pré
. 1'. KlR ? VAL. XX. L'examen, à l'aide des rayons de Roentgen, des troubles tro- phiques du tabès et de la syringomyélie, p
e ans d'une dyspepsie qui a nécessité des lavages de l'estomac. Ces troubles prennent une l'orme aiguë le 21 décembre 1900. Il
et des capil- laires. P. Keraval. \111 ? Les signes objectifs des troubles de la sensibilité suggérés pendant l'état hypno
tions des cavités et des processus générateurs. La dissociation des troubles de la sensibilité ne peut être regardée comme le
optique se trouve un centre sous-cortical de la rate. 11° Tous les troubles delà respiration et de la circulation se réper-
uctuations décevantes. Presque toujours les malades se plaignent de troubles des sensa- tions (engourdissements, fourmilleme
ces réactionnelles électriques). On constate quelqufois de légers troubles mentaux, plutôt des changements de caractère, m
ais surtout une somnolence qui s'accompagne au réveil, d'un certain trouble des idées, quelquefois d'un peu de délire court
le dans l'anémie. Les névralgies sont fré- quentes. La durée de ces troubles dépend naturellement de celle de l'état anémiqu
pas en mangeant. On ne constatait chez lui aucun autre symptôme de troubles nerveux sauf la névrite optique. R. de Musguave
e Musguave-Clay. XLI. Sur les rapports des lésions locales avec les troubles nerveux et en particulier avec la neurasthénie,
t entre les phénomènes et et les mouvements stéréo- typés et autres troubles fonctionnels du système musculaire qui sont si
modes; l'anes- thésie remonte jusqu'à la hauteur du mamelon. Les troubles des réservoirs ont disparu Le sens génésique es
ien loin du point excité. La sensibilité thermique est revenue. Les troubles trophiques se multiplient de ce côté. Escliari-
enue com- plète, eu s'aceompagnant d'une anesthésie totale et "de troubles vésico-rectaux très accusés ? ; ' Nous avons pr
iiiiitérienne et nous savons que le malade a eu, dès le début, îles troubles des réservoirs. 11ÉM1SECTI0N TRAUMATIQUE DE LA
e, de ce mode de sensibilité. Nous n'avons point à insister sur les troubles trophiques, musculaires ou cutanés, qui s'expli
ux. Notre maître, le De Séglas, a montré dans son livre sur les « Troubles du langage chez les aliénés » combien l'étude d
, tant au point de vue du diagnostic que du pronostic.- Il est un trouble du langage qui semble n'avoir fixé qu'in- cidem
nations auditives ou motrices verbales, d'impulsions verbales, de troubles spéciaux de la conscience, de manifestations du
ent alors des monologues se reliant à des affections dénotant des troubles plus ou moins accentués de la conscience qui sont
minâmes du f6M gauche. Otite fxte7,lte du même côté. Diminution du trouble eto)' ! t : 7at'a</e/<'a/'HM<t : h'o)'t'
elin. Mais l'intérêt de cette observation réside surtout dans les troubles auditifs, leur unilatéralité et leur évolution. L
qui porte atteinle à l'intégrité de la conscience et détermine ces troubles de la synthèse psychique'd'où résulte l'abstrac
l'envisage dans ses testions avec les lésions de l'oreille. « Un trouble organique ou fonctionnel du sens, dit M. Régis,
te 2. Au contraire, si la prédisposition hallucinogène existe. le trouble sensoriel apparaît. La lésion auditive périphériq
ar les bruits entotiques unilatéraux est effacé, par la violence du trouble sensoriel cortical ; l'hallucination est bilaté
M. Séglas. C'est par une association d'idées subconciente, par un trouble de l'attention, comme l'indique l'éminent alién
e peut frapper que cette unitateraiité sans modifier autre- ment le trouble sensoriel lui-même, d'où la bilatéralilé con- s
es, des sujets à la maladie organique desquels s'ajoutent quelques troubles mentaux, des cas bizarres qui ne rentrent dans
an point de vue mental mais au point de vue somatique, beaucoup de troubles organiques jouant un rôle considérable dans la
oxines agissant sur la cellule cérébrale et le malade guérit de ses troubles intellectuels. M. LicavN compare au malade de M
d'illusions ou de véritables hallucinations, fait remarquer que ces troubles senso- riels ont le caractère démentiel des hal
à la suite d'une chute grave le 28 juillet 1903. Il fut atteint de troubles nerveux multiples qui semblaient d'abord se rap
me cérébelleux de Babinski (awnrrgie et catalepsie cérébel- leuses, troubles de la diadococinéme). Une hémianesthésie sensi-
demi, n'a jamais eu ni para- lysie oculaire, ni strabisme, ni aucun trouble visuel. Placé à cinq mètres d'un tableau sur le
sième malade moins ataxique que les deux autres n'a jamais eu aucun trouble oculaire et ne présente pas à l'examen spécial
dination latent, une ataxie latente, insuffisante pour provoquer un trouble subjectif quelconque de la vision dans les cond
ordination motrice est un symptôme de toute la musculature. 3° Ce trouble de la coordination des muscles oculaires est un
s morts à un âge adulte, et n'ayant présenté pendant leur vie aucun trouble pouvant dépendre d'une altération médullaire. C
. 551 nistremeutdela pression sanguine e par Strauss, 27. - voit, Troubles nerveux. F ROI 11111011%rOSF. La - par Cestan
re. Voir Noyau. Roentgen. L'examen, d l'aide des rayons de . ries troubles trio- plspues du tabès et de la syrin- gomyél
27. Sclérose des olives bulbaires, par rlalie P et Guillain, 180. Troubles psychiques dans un ca, de - en plaques, par L
, partoutielil(iiie, 532. Sensibilité. Les signes objectifs des troubles de la - suggérés pen- dant l'état hypnotique, p
ur uniforme par- uculive lit ! -, par Cullerre. 336. Sommeil. Les troubles du - dans les névroses, par L)aiyielon, 28,7).
. Von incontinence d'urine. Voit- Impuissance génitale. - 1'u,r Troubles utérins De la - mate- mallsrr a l'état de veill
mécanique des trou- bles viscéraux chez les - (crises lalyngées, troubles de la respira- lion, de la digestion, de la mic
54 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
(4) parle d'une tumeur du corpus callosum. On pouvait observer des troubles psychiques et des troubles de la vue. La tumeur
corpus callosum. On pouvait observer des troubles psychiques et des troubles de la vue. La tumeur commençait au milieu du co
conclusion qu'on peut constater chez les porteurs de néoplasmes des troubles psychiques importants, avec changement de carac
ions voi- sines seulement semblent être constamment accompagnées de troubles psychiques. Comme nous l'avons vu, les observ
cerveau (Flechsig, A. Gianelli) sont généra- lement accompagnées de troubles psychiques et que d'un autre côté la perle cons
eau, se trouvent ces tissus, dont la maladie provoque justement des troubles des fonctions psychiques supérieures. Le célè
p. 312. LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 31 ce membre, et même des troubles de la motilité volontaire chez l'homme. Mais si
a fait antérieurement qu'un court séjour à l'hôpital, en 1898, pour troubles urinaires (hypertrophie de la prostate). En 1899,
de contracture. Réflexes tendineux affaiblis des deux côtés. Pas de troubles de la sensibilité cutanée. Le diagnostic à appl
es sur la 2e phalange, très nombreux sur la. Ire . 11 n'y .a pas de troubles des sensibilités, sauf hyperesthésie dès que l'on
du doigt est lisse et tendue sur la 3° phalange. Il n'existe aucun trouble des sensibilités sauf hyperesthésie au niveau de
gie si spéciale appartient au groupe de faits encore si obscurs des troubles trophiques au cours des vascu- larites chroniqu
t Sée, que des gangrènes sèches li- mitées et surtout précédées des troubles vasculaires de l'asphyxie locale ». En dehors d
hie musculaire. Réac- tions électriques normales. Il n'existe aucun trouble dans le reste du corps ; la malade a les artère
pporta' dans le fonctionnement du membre inférieur qu'un minimum de troubles . Son volume était toujours plus considérable le
s considérable le soir que le matin, et c'est le soir aussi que les troubles fonctionnels apparais- saient ou s'exagéraient.
rdit, il ne la sent plus, il remue difficilement le pied ; lous ces troubles fonctionnels n'existent, ainsi que l'oedème, qu'a
, pas plus sur la jambe gauche qu'en un autre point du corps, aucun trouble de sensibilité objective cutanée ou articu- lai
se et elle conserve dans celte attitude sévère et calme que rien ne trouble ,l'expression d'un sentiment de dignité bien défin
core, dans les crânes dysostosiques, d'autres signes, indiquant des troubles dans le développement des os de la base. Les di
hondroses et l'élargissement des fissures autour du rocher. B. -j Troubles dans le développement des os dermiques de la voût
bablement à plusieurs causes mentionnées ci-dessus (A et B). , D. Troubles dans le développement des os de la face. 1° Réd
la flexion combinée de la cuisse et du tronc font défaut. Pas de troubles de la sensibilité objective, mais ce malade se pl
stériens et abdominaux sont conservés. Il n'y a pas actuellement de troubles notables du goût ni de l'odorat. Mais, en 1872,
t nulle, le malade ne pourrait distinguer le jour delà nuit. Pas de troubles de l'intelligence ni du caractère, d'aucune espèc
ans apathie, d'intel- ligence normale et de jugement sain. Pas de troubles viscéraux. Le pouls est égal, régulier, peut-être
régulier, peut-être un peu lent (60). Rien dans les urines. Pas de troubles sphinctériens. En juillet 1907, le malade revie
et de crises de céphalée très intenses. Il présente, en outre, des troubles mentaux qui semblent remonter à un an environ. Il
xagération des réflexes tendineux. Rien non plus à la tête ; pas de troubles intellectuels. Examen des yeux négatif. 114 R
ation suivante est double, clinique et anatomique. En clinique, les troubles sensitifs et moteurs de la queue de cheval sont
faiblesse gauche diminue les jours suivants, sans douleurs et sans troubles sphinctériens. Depuis le 14 février, rétention
qu'à son centre. Il n'y a pas d'amyotrophie appréciable ni d'autres troubles trophiques, en dehors de cicatrices circulaires
sillon naso-labial est peine moins marqué à gauche. Il n'y a pas de troubles pupillaires. On fait le diagnostic d'hémiparési
ujours la nécropsie (4). C'est que la topographie radicu- laire des troubles est la même, que la lésion porte sur la racine ou
IGNL~L-LAVASTINE Paraît avoir plus d'importance l'unilatéralité des troubles , et c'est cette unilaléralité qui m'avait fait
ue le centre de Westphal est situé dans ces segments lombaires. Les troubles des sphincters, sans lésions médullaires de leu
on n'avait pas encore donné une in- terprétation satisfaisante des troubles sensitifs, moteurs et trophiques qui se manifes
nte ; la névrite amyotrophique ; la névrite avec prédomi- nence des troubles .sensitifs. Depuis lors les observations de ces di
une bande qu'on avait passée sous les bras. On ne constatait aucun trouble de sensibilité, de trophisme, de circulation da
sont éteints. Mêmes conclusions que pour le bras droit au sujet des troubles de la sensibilité. Les membres inférieurs ne so
yotrophie est accompagnée de la perte des réflexes et de RD. Pas de troubles notables de la sensibilité subjective et objectiv
parésie et de l'atrophie musculaire, elle est caractérisée par des troubles trophiques et sphinctériens, par des escarres,
car l'asymétrie de la paralysie initiale et l'absence ou presque de troubles sensitifs, semblaient plaider plus en faveur de l
postérieures. Il considéra cette altération comme l'expression d'un trouble de la moelle. hahlden (1901) en étudiant 6 de c
nerfs périphériques. On ne le pourrait expliquer qu'en admettant un trouble extrêmement grave de la fonctionnalité cellulai
k der Kreislauf und Athmungsorgane, 1856. 3. LEUDET. Le zona et les troubles des nerfs périphériques dans la tuberculose pul
OS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 149 4. LEUDET. - Etude des troubles nerveux périphériques survenant dans le cours des
ique. Thèse de Paris, 1814. 9. AMEMAiRE. Contribution à l'étude des troubles périphériques de sensibilité sur- venant dans l
re der Polyneurilis. Archiv f. Psy- chiatrie, 1893. · 45. Weil. - Troubles nerveux chez les tuberculeux. Revue de méd., 1893
amyotrophies des tuberculeux. Thèse de Paris, 1899. 58. C.\IOEXE. Troubles nerveux périphériques chez les tuberculeux. Nord
vous system. The Practitio- ner, vol. 67, 1901. 70. Carrière. Les troubles nerveux périphériques de la tuberculose pulmonair
lynévrites tuberculeuses. Maladie da Landry, 1906. 89. Gelli. Les troubles nerveux périph. au début de la tuberculose pulmon
LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 161 hémiparésie du même côté. Ces troubles tenaient probablement à une pla- que de méningo
tracture qu'au membre inférieur, là où il y avait en même temps des troubles graves de la motilité volontaire, tandis qu'au
e qui coïncidait avec ce fait qu'il n'yavaitpas dans ce mem- bre de troubles de la motilité volontaire, - sauf une certaine fa
résence est indispensable, - mais il faut en- core qu'il existe des troubles graves de la motilité volontaire du côté malade.
de vue qui nous occupe. Les phénomènes de mouvements associés et de troubles de motilité vo- lontaire, nous les avons recher
doivent exister toujours ensemble : les mouvements associés et les troubles graves de la motilité volontaire du côté malade.
jambes devenaient énormes. La petite malade ne présentait d'autre trouble qu'une inflammation chronique des paupières, la
ucune difficulté à respirer; pas de tendance aux engelures ; pas de troubles gastro-intestinaux capables d'attirer l'attention
tive- ment dues à des micro-organismes, mais qu'il s'agit plutôt de troubles vaso-moteurs. S'il en est ainsi nous comprenons
s jam- bes absolument indolore, et qu'ils' n'avaient pas du tout de trouble géné- ral de leur santé, alors que pendant les
étaient bien angioneurotiques de nature. La coexistence d'autres troubles nerveux dans la famille. C'est toujours une cho
deux jambes survenant apparemment sans cause, et en dehors de tout trouble constitutionnel de la santé. La maladie a reçu de
ice Wherrell. Il y a souvent une histoire d'é- pilepsie ou d'autres troubles nerveux dans la même famille. Nos malades, diff
le trophoedème. Gazette hebdomadaire, n" 45, 1902. Al,iNIIEI31EIt. Troubles vaso-moteurs d'origine hystérique. Archives de Ne
le mem- bre inférieur du même côté ne présentent à aucun degré ces troubles de la sensibilité, pas plus d'ailleurs que le c
onne faisaient remarquer que la cl)ieromégaliequi est évidemment un trouble trophique tout à fait analogue à celui-ci ,peut ê
chiv, t. 8, CXIX. (4) Schlesingbr, Die Syringomyélie, p. 134. LES TROUBLES PHYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS ' P
E, Médecin des Hôpitaux de Paris (1). Dans une revue critique des troubles psychiques observés dans les syn- dromes cliniq
é en août 1908 au Congrès des aliénistes et neurolo- gistes sur les troubles psychiques par perturbations des glandes à sécrét
s psychiques par perturbations des glandes à sécrétion interne. LES TROUBLES PRYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 205 C
'insuffisance, d'excitation et de perturbation thyroïdienne. 1. les TROUBLES PSYCHIQUES dans LES SYNDROMES d'insuffisance TH
fisance thyroïdienne, selon qu'elle est congénitale ou acquise; LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 207 t
rd'hui bien connues chez les différents types de myxoedémateux. Les troubles psychiques, qu'on relève dans les formes non my
ur l'état mental des myxoedémateux,pour m'étendre davantage sur les troubles psychiques des insuffisants thyroï- diens non m
ance thyroïdienne caractérisé par la tuméfaction des téguments, des troubles intellectuels et l'atrophie du corps thyroïde,
qu'à la forme la plus atténuée de l'infantilisme myxoedémateux sans trouble intellectuel, myxoedème partiel de Brissaud, dans
des facultés intellectuel les parait parfaitement voisiner avec des troubles squelettiques intenses. L'état mental du myxoedém
s uns sont arriérés, à l'intelligence bornée, d'autres n'ont pas de troubles intellectuels. Survenant chez l'adulte, l'insuf
nce thyroïdienne massive produit le myxoedème de l'adulte, dont les troubles psychiques consistent, avant tout, en torpeur c
xoedème que la torpeur et l'apathie. Parfois il s'y ajoute d'autres troubles , des idées fixes, des hallucinations, comme l'a
Pilez (de Vienne), du délire, des cris d'excitation, identiques aux troubles qui se produisent dans les psychoses d'intoxicati
es qui se produisent dans les psychoses d'intoxication et quand ces troubles psychiques précèdent les symptômes physiques, on
iles, maladroits et d'aspect idiot. Inversement, la disparition des troubles psychiques des myxoedémateux par l'opothérapie
e fille, intelligente, prise à 49 ans de myxoedème, perd la mé- LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 209 m
la cure sont supérieures à celles de lamoyenne normale. - 2. Les troubles psychiques dans les syndromes frustes d'hypothy
ielles, et il est inutile, d'après M. Brissaud, de supposer que des troubles des glandes vasculaires sanguines autres que la
aire. L'état mental est lié à une anomalie de structure et non à un trouble de fonctionnement. 2. L'arriération physique
tres à peine malades, mais presque toujours souffrants, cépha-1 LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 211 l
S SYNDROMES THYROÏDIENS 211 lée, rachialgie, lassitude, somnolence, troubles "digestifs, constipation, palpitations, bourdon
remarquable efficacité de l'opothérapie thyroïdienne sur ces divers troubles est l'argument sur lequel on table pour les rappo
petits signes de l'insuffisance thyroïdienne : oedèmes transitoires, troubles de la calorification, constipation, fatigue, an
e, douleurs musculaires et articulaires, obésité, sénilité précoce, troubles pileux, si- gne du sourcil de L. Lévi et II. de
auto-intoxications périodiques, vomissements, vertiges, urticaire, troubles menstruels, nervosisme. On arrive ainsi à la fi
, nervosisme. On arrive ainsi à la fin de la série décroissante des troubles qui ne sont plus suffisants pour former une mal
LAIGNEL-LAVASTINE une extrême fatigue, de l'asthénie cérébrale, des troubles digestifs, de la constipation. L'opothérapie th
alée occipitale, douleurs dans les membres, verti- ges, somnolence, troubles digestifs, constipation. Parmi les multiples va
r démontrer le rôle de l'insuffisance thyroïdienne relative sur les troubles psychiques. Ainsi, Blum (de Francfort) a conser
tiellement thyroïdectomisés qui ont présenté des signes évidents de troubles psychi- ques plus ou moins durables et parfois
- portants dont les perturbations secondaires peuvent entraîner des troubles cérébraux. Ainsi, dans des expériences semblabl
de rapporter certainement à la seule insuffisance thyroïdienne les troubles psychiques relevés dans les syndromes que je vi
ue. Néanmoins, cette hypo- thèse d'une origine hypothyroïdienne des troubles psychiques portant surtout sur le caractère, a
s syndromes d'insuffisance thyroïdienne forment deux groupes. LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 213 i
CHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 213 i Dans le premier, les troubles psychiques myxoedémateux font partie intégrante
thyroïdienne que l'expérimentation rend tout à fait probable,et les troubles psychiques, qui fréquemment s'observent dans ce
ger de l'état curateur, la contre-épreuve est impossible. II. LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES d'excitation THYR
ement et les autres probablement, à l'insuffisance tyroïdienne, les troubles psychiques ne sont pas tous dans un même degré
dépendance certaine vis-à-vis de cette insuffisance. Le rapport des troubles psychiques à l'insuffisance thyroïdienne est dé
sent diamétralement 1 le syndrome de Basedow au myxoedème. 1. Les troubles psychiques des basedowiens. L'étude clinique de
1. Les troubles psychiques des basedowiens. L'étude clinique des troubles psychiques des basedowiens peut être aujourd'hu
on se sert peu, les connaissances scientifiques, les mots d'une LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 215 l
ammes de thyroïdine. A des pal- pitations se joignirent bientôt des troubles psychiques graves sous forme de confusion menta
u goitre exophtalmique. Cette intoxication peut se traduire par des troubles psychiques, du dé- lire, des psychoses, comme c
ceux résultant des poisons exogènes. Il ne s'agit pas d'ailleurs de troubles psychiques basedowiens, mais de véritables psyc
oxication thyroïdienne médicamen- teuse peut donner naissance à des troubles psychiques qui revêtent la forme habituelle des
lance de ces psychoses toxi-thy- roïdiennes expérimentales avec les troubles psychiques des basedowiens permet de penser que
tat mélancolique pousse parfois les malades au suicide. Souvent ces troubles se mélangent et l'agitation maniaque existe avec
xiste avec la mélancolie (Cane, Savage, Collins). D'autres fois les troubles se succèdent au lieu de s'associer. Le troisi
e déshabiller, puis des phobies. D'autres malades ont des peurs LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 217 m
faits en trois groupes, selon qu'on retrouve dans les psychoses des troubles mentaux de la même série que les nuances psychi
ychoses toxi-thyroïdiennes, avant de passer aux interprétations des troubles psychiques chez les basedowiens donnés par les au
térie peut créer instantanément l'hyperthyroïdation ; elle amène un trouble sécrétoire comparable à la polyurie d'origine ner
mblent, au contraire, acces- soires, et lorsque, en même temps, les troubles psychiques surviennent par crises correspondant
orme est l'observation de 7.alplachta, où il existait simultanément troubles des perceptions, hallucinations, illu- sions, i
l, Paul Geigel, Morel-Mackenzie, Andrews, Solbrig, Meynert, Ro- LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 219 b
mentale de toutes pièces, « aliénation qui survient par le fait des troubles profonds de la nutrition que le goitre entraîne a
eur clini- que en faveur d'un lien étroit entre ces deux groupes de troubles . C'est aussi la conclusion que Parhon et Marbé
si la conclusion que Parhon et Marbé tirent de deux observations de troubles maniaques et mélancoliques chez deux basedowiens.
morbides ou physiologiques, tel l'émotivité constante indiquant un trouble considérable des fonctions nerveuses, qui peut re
nclut aussi : « Il y a un état mental spécial qui est l'apanage LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 221 d
wiens n'est donc pas niable. Elle est démontrée par l'effet sur les troubles psychiques en même temps que sur les symptômes
net, Ferranini) que j'ai déjà citées. On peut donc conclure que les troubles psychiques élémentaires des base- dowiens sont
que certaines de leurs psychoses sont taxi-thyroïdiennes. 2. Les troubles psychiques dans les syndromes de la série based
ure basedowiforme produit par l'hyperthyroïdie. Il se distingue des troubles nerveux ordinaires par un nervosisme plus spé-
ervé six cas de syndrome de Basedow complet ou fruste compliqués de troubles mentaux allant depuis l'excitation simple jusqu'à
l'anxiété paroxystique de Brissaud et la névrose d'angoisse. LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LLS SYNDROMES THYROÏDIENS 223 3
bre des caractères notés dans cette observation sont à l'opposé des troubles myxoedémateux. C'est en s'appuyant sur pareille
psychiques parallèles aux améliorations fonctionnelles. III. LES TROUBLES PSYCHIQUES dans LES perturbations THYROÏDIENNES
LEXES ET ENCORE DISCUTÉES. Dans ce groupe, je passerai en revue les troubles psychiques observés dans les états rapportés pa
old Lévi et II. de Rothschild à la dysthy- roïdie, c'est-à-dire aux troubles de la thyroïde entraînant des symptômes aussi b
ue, car on pourrait voir là le début d'une étude patho- génique des troubles nerveux fonctionnels qui ne forment encore qu'un
ue, car l'opothérapie thyroïdienne agissant non seu- lement sur les troubles nerveux ressortissant à la série myxoedémateuse,
e sont pas liées à la rétention de la colloïde, proviendraient d'un trouble dela véritable sécré- tion interne. Le myxoed
yroïdiens sont dans deux conditions différentes en rapport avec les troubles psychiques. D'une part, il est des troubles psy
tes en rapport avec les troubles psychiques. D'une part, il est des troubles psychiques élémentaires qui font partie intégra
es autres, du syndrome de Ba- t i, sedow. . ' La constance de ces troubles permet de dire qu'ils sont causés par les pertu
thèse que je soutiens me paraît démontrée. D auh'e part, il est des troubles psychiques complexes, des syndromes psychiques,
, produit, selon son intensité et la résistance cérébrale, soit des troubles élémentaires, soit des psychoses. - Les trouble
ébrale, soit des troubles élémentaires, soit des psychoses. - Les troubles psychiques élémentaires, surtout marqués dans les
sychoses, dont les diverses modalités ne sont que l'exagération des troubles psychiques élémentaires, rentrent dans l'allure g
A indique la bibliographie des généralités et B la bibliographie des troubles psychiques. (2) L'absence d'indication de vil
L'absence d'indication de ville indique qu'il s'agit de Paris. LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 227 V
chiatrie und spychischgerichtliche medicin. Berlin, 1817. Boetteau. Troubles psychiques dans le goitre exophtalmique. Th. 1892
e goitre exophtalmique. Th. 1892. BOINET. - Maladie de Basedow avec troubles psychiques provoqués par l'ingestion de corps t
grave de maladie de Basedow avec hémiplégie, symptômes bulbaires et troubles mentaux. Arch. f. Psych., XXXIII, f. 3, 1900, p
lie et du goitre exophtalmique. Soc. méd. psyclzol., 3 mars 1890. Troubles psychiques et hallucinations dans la maladie de B
une el traitement de la maladie de Basedow. Progrès méd., 1893. LES TROUBLES .PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 229
ré par l'iodothyrine. Soc. méd. des hôp., 3 avril 1903. MARTIN. - Troubles psychiques dans la maladie de Basedow. Th. 1890.
MEME. - L'infantilisme. Gaz. des hôp., 22 février 1902. MEYNEM'. Troubles mentaux dans le goitre exophtalmique. Psychiatric
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NEL-f.A VASTI : iE Renaut. Observation pour servir à l'histoire des troubles cérébraux dans la maladie de Basedow. Soc. méd.
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. Allgemeine Zeitschrift sur Psychiatrie, 1871. Soukhaxoff. - Du trouble mental dans le goitre exophtalmique. Revue neurol
t pas de mouvements compensateurs, ou bien, cherche à compenser ses troubles locomoteurs par des mouvements exagérés et absu
nostic. Dans l'hystérie on rencontre encore bien d'autres formes de troubles de démarche les plus variées, comme l'abasie, d
ganique compense d'une manière rationnelle et presque constante son trouble soit sensitif, soit paralytique ; chaque hystér
la coxalgie. MANNEsco. Application du cinématographe à l'élude des troubles de la marche dans les maladies nerveuses. ROM
lantes. La nuque et le cou étaient intacts. Du 24 au 30. Tous les troubles persistent; la diplopie s'atténue légère- ment.
de rétraction, d'élévation et d'abaissement. Si l'on recherche les troubles qui résultent de ces modifications apportées à
émastériens. De même pour les réflexes cornéen et pharyngien. Des troubles vaso-moteurs sont survenus à diverses reprises so
dehors de la gêne apportée à l'alimenta- tion, vue plus haut. Aucun trouble de la sécrétion salivaire. L'appétit est conser
errer un objet. L'élocution est normale. 260 BRISSAUD ET GY Les troubles oculaires seuls ne sont que très légèrement améli
droite et en haut et à gauche (Parésie des VI° paires). Absence de troubles paralytiques de la convergence. Les réactions p
malade a présenté à la suite d'une légère infection, un ensemble de troubles paralytiques intéressant les quatre membres, la m
al et du spinal. Par contre, les sphincters ont été respectés ; les troubles de la sensibi- lité (en dehors des vagues doule
s ces épidémies de paralysie infantile où s'associèrent parfois des troubles bulbaires et mésencéphaliques (Bucelli-Coverley-K
ite; dans l'une, outre la paralysie des quatre membres, on nota des troubles de l'ouïe, des convulsions, de l'aphasie passagèr
facial, du spinal et surtout des nerfs moteurs de l'oeil, d'où ces troubles encore si apparents aujourd'hui dans le domaine
pas exceptionnel dans la spondylose rhizomélique. L'existence de troubles nerveux est fréquente dans le rhumatisme ankylo
les myalgies, les amyotrophies, et, dans les formes cervicales, les troubles vaso-moteurs cardiaques et oculo- moteurs. To
ches : dans cette situation il ne sent plus le rebord du siège. Ces troubles sensitifs, s'accentuant, il a de l'anesthésie e
flexes crémasté- riens, plantaires abdominaux sont conservés Pas de troubles sphinctériens. Les pupilles sont inégales, mais
llement : avril 1907, nous relevons aux membres inférieurs : a) des troubles sensitifs très accentués ; ce sont surtout des ph
t avec le bout du pied, il fait des efforts considé- rables. L'es troubles sphinctériens sont constatés pour la vessie, par
abolis. Les pupilles sont maintenant immobilisées en myosis. Pas de troubles visuels, pas de scotome. Les membres supérieurs
malade, d'un tabès vrai, caractérisé par les signes les plus nets : troubles sensitifs accentués, incoordination motrice, myo-
s : troubles sensitifs accentués, incoordination motrice, myo- sis, troubles sphinctériens et abolition des réflexes. Quels
aspect d'un véritable échassier, ses genoux sont cagneux ; il a des troubles profonds de l'ossification qui se traduisent par
a un an, il s'aperçut que la vue de son oeil gauche bais- sait. Le trouble de la vision s'accentua de telle façon que le pat
olentes accompagnées de vertiges. Il n'eut jamais ni convulsions ni troubles de la vue. En même temps il s'aperçut du développ
aussi bien que des parties molles ; les ongles ne présentent pas de troubles trophiques, ils ,sont assez courts et robustes. A
ticulièrement au matin, localisée à la région fron- tale. Jamais de troubles de la vue ni de phénomènes convulsifs ; pas de vo
çais des aliénistes et neurologistes à Dijon, il a été question des troubles psychiques causés par des perturba- tions des g
ustement, il mon avis, Laignel-Lavastine (8) a affirmé que tous les troubles psychiques des acromégaliques ne sont pas d'origi
hthatmie, le signe de Graëfe, le goitre, les sueurs abondantes, les troubles gastro-intestinaux, la légère hypo- pyrexie, re
cé,que viennent d'apparaître les vomisse- ments, les céphalées, les troubles de la vue ; l'examen ophtalmoscopique, qui aupa
se de l'acro- mégalie un dérangement fonctionnel de ces glandes, le trouble de la fonction glandulaire engendrerait une int
rôle principal aux deux premières glandes. Quelle est celle dont le trouble est primitif ? Quelle est celle dont le trouble e
e est celle dont le trouble est primitif ? Quelle est celle dont le trouble est secondaire. Il n'est pas aisé de répondre.
vingt ans, qui conti- nue à travailler sans se plaindre du moindre trouble . Dans un quatrième cas où l'on a fait la radiog
lo- cytes et d'éosinophilie surtout bien vérifiée, est un indice de troubles fonctionnels des organes hématopoiétiques,(Ie l
rganisme ; par conséquent de petites altérations peuvent causer des troubles très graves. Échanges matériels dans l'acroméga
alpêtriere T. YTI. Pl. LVIII OXYCÉPHALIE Crâne « en tour » avec troubles visuels. (Pierre Merle). Masson et Cm, Editeu
ES « EN TOUR » DES AUTEURS ALLEMANDS MALFORMATION S'ACCOMPAGNANT DE TROUBLES VISUELS (1) PAR R PIERRE MERLE La malfromat
Elle présente un grand intérêt parce qu'elle peut s'accompagner de troubles oculaires et en particulier d'atrophie des nerfs
quait la difformité crânienne. Vers )'age de 12 ans "apparurent des troubles de la vue du côté gauche. Il signale vers cette
une maladie grave : il nie la syphilis. Il est entré à Bicêtre pour troubles de la vue et affaiblissement général. De- puis
nt vifs et sen- siblement symétriques. Pas de paralysie faciale, de troubles de la sensibilité ni des sphincters. Le réflexe
érablement gênée et le malade dort la bouche ouverte. Il existe des troubles de l'odorat que le malade a remarqués depuis une
Erysipèle à l'âge adulte. .. Dès l'âge de deux ans il présenta des troubles de la vue. Ne voyait pas de loin, sauf quand le
eu aucun phénomène inflammatoire.C'est peut-être à cette période de troubles que l'on peut trouver une cause dans la déforma
un homme intelligent qui répond bien à toutes les questions. Aucun trouble fonctionnel ni viscéral. L'audition, l'olfactio
nt se montrer indépendamment les unes des autres, conséquences d'un trouble profond de nutrition : la circulation y jouerai
ur la plupart des enfants de Meltzel. qui faisaient à ce moment des troubles oculaires. Pour Pommerolle (1), il existe une s
de est plus considérable et descend plus bas. Au point de vue des troubles fonctionnels pouvant être rapportés à l'affecti
et peut-être peut-on faire la même remarque en ce qui concerne les troubles moteurs (sorte de paraplégie avec prédominance
fois le nez fortement rétréci chez les enfants qu'il a étudiés. Les troubles de la vue et même de l'odorat sont plus important
diminution d'ouverture de la fente palpébrale. Le nystagmus. Ces troubles accessoires peuvent se rencontrer à l'étal isolé.
UX cas d'oxycéphalie 357 dans tous les sens, à un rapport entre ces troubles (troubles accessoires de Patry) et la déformati
xycéphalie 357 dans tous les sens, à un rapport entre ces troubles ( troubles accessoires de Patry) et la déformation crânien
vant cette époque et depuis l'âge de 3 ans, le sujet présentait des troubles de la vue progressifs dont la nature reste in-
vé de documents que dans le travail de Meltzer et il semble que les troubles ne soient pas très rares : 12 fois sur 20 cas i
rfs olfactifs et les déformations osseuses. Nos malades n'ont aucun trouble de l'audition. Meltzer parle de l'at- teinte po
ngue déviée à gauche. Bras gauche parésie : c'est à la main que les troubles moteurs sont le plus accusés, moins au coude, e
tion durable fut la parésie du bras gauche. C'est à la main que les troubles moteurs furent le plus ac- centués, moins au co
eut-être le type variable des accidents éplepliformes. En fait de troubles psychiques nous ne pouvons guère analyser que les
e la région motrice du bras. Cela explique l'apparition précoce des troubles moteurs. Plus tard la tumeur pénètre dans la su
a seule manifestation. Après, il est vrai, sur- vint une période de troubles psychiques intenses, au point de rendre l'exame
ie des jambes. 1903, hémiparésie et anesthésie du côté gauche, sans troubles de cons- cience. Les deux fois il y eut rémis
plus Po., puis K seule. Il faut y rapporter une partie au moins des troubles visuels observés chez la malade. La compression
elles et à se transformer en névrose. Que de diarrhées rebelles, de troubles dyspeptiques persistants, de toux tenaces, de d
les semblent n'être que la continuation psychi- que, biologique des troubles organiques qui les ont précédés et dont l'être
vu que certains mouvements, attitudes ou occupations, que certains troubles , douleurs ou symptômes s'imprimaient dans la ma
des imbrications. Entre le vomissement hystérique incoercible et le trouble dyspeptique couramment confondu avec une affect
e sans chute occasionnelle apparente, Pierre manifesta les premiers troubles psycho- pathiques qui l'ont amené à l'hôpital.
r l'explosion brusque, paroxystique, intermittente ou rémittente de troubles psychiques variés, en particulier par des alterna
ste des mouvements automatiques. 11 n'y a ni état catatonique, ni troubles de la contraction musculaire, mais la marche es
nt, avec peine, comme accablé de fatigue. L'écriture présente des troubles calligraphiques, mais non psychographi- ques. E
ne répond rien. Il fait difficilement une addition très simple. Ses troubles de mémoire consistent surtout en amnésie d'évocat
laisser partir sans un mot d'adieu. Il n'y a pas en ce moment de troubles de -l'idéation, mais au cours de ses deux .prem
oderne il ne nous semble pas qu'on ait donné assez d'importance aux troubles pshychiques. Lasègue au contraire en écrivant
base et surtout celles de l'hypophyse peuvent être liées à de graves troubles des fonctions menstruelles et à des arrêts du d
ur de la base furent justement l'atrophie des nerfs optiques et les troubles menstruels ; dans aucun de ces cas l'atrophie opt
! . Annali di Nevrologia, I, II, 1908. 5- LAIG\EL-LAVASTINE. - Des troubles psychiques par perturbation des glandes d se cr
-ci eut une évolution assez rapide, puisque en 1904 on constata des troubles de la miction,une ataxie assez marquée et une a
ns et des modifications de caractère. Il n'y a pas, i) est vrai, de troubles de la parole ou de l'écriture, et le tremblement
uf à la langue où l'on a noté quelques mouvements fibrillaires. Les troubles intellectuels, sauf immédiatement après les crise
faut quand nous examinâmes l'enfant l'année suivante. Il n'y eut ni troubles de la démarche, ni incoordination motrice, ni dou
la démarche, ni incoordination motrice, ni douleurs fulgurantes, ni troubles trophiques, ni troubles urinaires. L'examen du
nation motrice, ni douleurs fulgurantes, ni troubles trophiques, ni troubles urinaires. L'examen du fond de l'oeil pratiqué
l'amblyopie, l'incontinence d'urine, les douleurs fulgurantes, les troubles sensitifs. Ce sont de plus les symptômes initia
sez étrange : l'Ecole neurologique moderne a établi l'existence des troubles trophiques et vasomoteurs chez les hystériques
et vasomoteurs chez les hystériques ; ses cliniciens ont étudié ces troubles sous tous les points de vue ; ses thèses, ses mém
es les langues, ont répandu partout la notion de l'existence de ces troubles avec toutes ses modifications cliniques. Il exi
e traduit d'une façon indéniable à l'obser- vateur attentif par des troubles trophiques analogues à ceux qui se voient dans
ien de causalité ou d'interdépendance entre ces phé- nomènes et les troubles hystériques ». ! M. Raymond seul a levé sa paro
rome morbide dont nous poursuivons l'étude appartient au groupe des troubles qui « peu- vent être exactement reproduits par
é. Mais cela n'est pas toute l'hystérie. Pour ce qui concerne les troubles trophiques, et particulièrement le plus profond
de la Société de Neurologie de Paris ont attiré l'attenlion sur les troubles trophiques attribués à l'hystérie. A propos des f
M. liabinski, qui, à plusieurs reprises, a contesté la réalité des troubles trophiques attribués à l'hystérie. Nous remerci
e mes définitions ». Contrairement à moi, M. Valobra estime que les troubles hystériques ne sont pas seuls pithiatiques ; qu
ance du 9 avril 1908 de la Société de neurologie, où la réalité des troubles trophiques a été discutée, voici comment il s'est
a été discutée, voici comment il s'est exprimé : « Je crois que les troubles trophiques cutanés sont des plus rares dans l'h
cueillies dans les hôpitaux parisiens qu'a été fondée la notion des troubles trophiques hystériques. Or, depuis plusieurs anné
urs années, on assiste à ce spectacle singulier : on signale de ces troubles en province et à l'étranger, tandis qu'à Paris
(1)... (1) Voir à ce sujet l'enquête approfondie Sur les prétendus troubles trophiques hys- tériques, faite auprès des méde
ie et de la chorée. il avait été amené à envisager l'importance des troubles psychiques dans ces affections. La maladie de Bas
lui doit une très intéressante étude sur les corrélations entre les troubles psychiques et les troubles moteurs, dont il- a
nte étude sur les corrélations entre les troubles psychiques et les troubles moteurs, dont il- a proposé de désigner l'allia
go-radiculite syphilitique (3 pl.), 117. LAIGNEL-L \VASTlIOE. Les troubles psychiques dans les syndromes thyroïdiens, 204.
s en tour des auteurs allemands, malforma- tion s'accompagnant de troubles visuels (1 pl.), 349. Morisetti et APERT. Abs
et FRENCH, 111. Oxyréphalie (crâne en lour) s'accompa- quant de troubles visuels (1 pl.), par Merle, 349. Paralysie gé
des pl'Oeessus-conscie/lls (3 p1 ? par TCllllllEV, 1. Psychique ( Trouble - dans les syndromes thyroïdiens), par Laignel-
par l3oorcarv·m.Le. KINODEIIG et Richet lits, 475. Thyroiitiens ( Troubles psychiques dans les syndromes-J, par Laignel- L
à la présence de-) (6 pl. par Weber, 359. Visuels (Oxyréphalie avec troubles ), par Merle (i pl.), 349. Vertébrale (Elude d
XLIX. OEdème persistant (HOPE et French), XXXII. Oxycéphalie et troubles visuels (Merle), LVIII. Poli-encéphalomyélite
55 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
érale, sans qu'on puisse connaître la genèse de cette élection du trouble morbide sous l'influence de tel ou tel toxique.
igieuses, dépressives ou expan- sives se traduisent souvent par des troubles psycho-moteurs précoces chez les mélancoliques
prête à des interpréta- tions nombreuses. D'abord, on en a fait un trouble périphé- rique purement sensoriel, puis oni en
un trouble périphé- rique purement sensoriel, puis oni en a fait un trouble psy- chique pur. Baillarger fusionna ces deux i
es deux interprétations et attribua comme base à l'hallucination un trouble psycho-senso- riel. Plus récemment, Tamburini,
ination les acquisitions relatives à l'aphasie corticale, en fit un trouble fonctionnel des centres corticaux. « L'hallucin
ongue éducation et synthèse de fonctions de centres superposés ; le trouble hallucina- toire peut porter sur les images mot
et on a l'hallucination, psycho-motrice verbale'proprement dite, le trouble hallucinatoire peut porter sur les images HALLU
on psycho-motrice graphi- que. Chez -les délirants systématisés, le trouble hallucina- toire va généralement du simple au c
ations dites psy- chiques peuvent être considérées comme des cas de troubles psycho-moteurs. Il a surtout étudié les mélanco
ina- tion d'arriver à ce degré de différenciation que la durée du trouble favorise, et, d'autre part, à l'état démentiel tr
s observations que nous avons pu recueillir dans les auteurs sur ce trouble morbide au cours de la paralysie générale. La
allucinations motrices verbales de nature pénible. Absence d'autres troubles hallucina- toires et en particulier d'hallucina
ements involontaires de mastications ou de grincement de dents. Ces troubles jouent un rôle dans la genèse des idées de perséc
ssiste à la désintégration des neurones centraux d'où résultent les troubles psycho-moteurs et leur paraphrase délirante.
inue, la mémoire très affaiblie. L'écriture trahit manifestement le trouble de la mémoire par les mots qu'il oublie et l'in
de signe de Romberg, mais instabilité dans la station debout, aucun trouble de la mar- che, aucun trouble de la sensibilité
abilité dans la station debout, aucun trouble de la mar- che, aucun trouble de la sensibilité. Au point de vue somatique, a
base, et une légère rigidité des artères radiales. Obésité, pas de troubles des sphincters, a engraissé beaucoup pendant so
ters, a engraissé beaucoup pendant son séjour à l'asile. A côté des troubles de la mémoire, de l'attention, nous notons des
le droit, et il y a de la trépidation épileptoïde à droite, pas de trouble de la marche, instabilité légère les yeux fermé
coordination motrice; au dynamomètre 40 à droite et à gauche, aucun trouble sensitif. La pupille droite est plus grande que
e à effet n'était qu'une coïncidence. On a prétendu aussi que les troubles du sens génital n'étaient pas sans rapports ave
Si avec les altérations en moins nous avons trouvé au contraire des troubles identiques dans l'im- mense majorité des consta
par le sens génital, mais encore très élevée et y a-t-il entre les troubles de ces deux sens des rapports étroits ? Dans '1
son de la maladie, ils auraient constaté l'indépendance absolue des troubles de ces trois sens ? - Il semble plus* rationn
itales, expansives et dépressives, sont en intime relation avec les troubles du sens génésique, les premières, relevant des
es de la paralysie générale sont proportionnelles à l'intensité des troubles moteurs qui est, comme chacun sait très variabl
s avons trouvé le sens génital d'autant plus souvent normal que les troubles moteurs étaient moins accusés. 24 CLINIQUE ME
e paraît pas que l'étiologie ait une influence bien marquée sur les troubles du sens génital . Reste la question du pronosti
. Il n'est pas douteux pour nous qu'à la période prodromique, les troubles génitaux par leur précocité, leur accentuation et
ent souvent de prévoir la maladie longtemps avant son éclosion. Les troubles sont très précoces et quand ils sont constitués
u diagnostic quand la santé est bonne. De même la persis- tance des troubles durant la rémission est bien la preuve que la g
t au pronostic, il ne nous a pas semblé beaucoup 'éclairé par les troubles du sens génital; nous avons eu, en effet, toutes
é de perversion génitale provenant du fait de la maladie. IV. Les troubles fondamentaux observés furent l'exagéra- tion ou
t l'impuissance. 26 CLINIQUE MENTALE. · V. En dehors de ces trois troubles fondamentaux nous avons noté d'autres secondair
uns seulement pouvaient encore éjaculer à l'état flasque. VI. Aux troubles énumérés ci-dessus, il convient d'ajouter les p
premier sur le second. Le retard dans l'éjaculation est ensuite le trouble qui s'est surtout présenté à cette période, deu
surtout présenté à cette période, deux fois plus fré- quent que le trouble inverse et l'impuissance avec libido et possibi
u sens génital. Seule l'expansive agitée a présenté un chiffre de troubles plus élevé que l'expansive calme. XIV. Nous n'a
s génital et les transformations de la personna- lité physique, les troubles du sens tactile et du sens algésique, voire mêm
avons trouvé le sens génital d'autant plus souvent normal que les troubles moteurs étaient moins accusés. Le maximum des a
nt moins accusés. Le maximum des altérations en plus a été avec les troubles moteurs modéré, le minimum avec les troubles mo
en plus a été avec les troubles moteurs modéré, le minimum avec les troubles moteurs excessif et vice versa pour les altérat
que la conscience fitt profondément troublée (petites attaques avec troubles respiratoires, etc.). On peul s'étonner, dit Ka
t différente. Il n'y a cependant rien qui empêche de considérer les troubles pupillaires de l'attaque hystérique comme un ph
l'occasion des mouvements volontaires. D'après l'auteur, tous ces troubles moteurs sont dus à des lésions [scléreuses d'or
ntes : 1° 11 existe une folie partielle, et la forme et le degré du trouble mental influent directement, dans chaque cas pa
emeurent au milieu des malades calmes, dont le bruit qu'ils font ne trouble pas le sommeil, il l'a maintes fois constaté. I
ère de jambe rappelle beaucoup plus qu'on ne le dit d'ordinaire des troubles trophiques. On y note, du reste, souvent des tr
ordinaire des troubles trophiques. On y note, du reste, souvent des troubles de la sensibilité, surtout de la sensibilité th
ubles de la sensibilité, surtout de la sensibilité thermique et des troubles de la calorification. " D'autre part, l'importa
ils se font des éraillures. Chez les indigènes syphili- tiques, les troubles des réflexes oculaires n'ont jamais été ren- co
ion MM. TOFARShY et HOTH. G. RossoLlMo. Une forme particulière du trouble de la déglu- lition. Sous le nom de dysphagie
ition. Sous le nom de dysphagie amyotaxique, l'auteur comprend un trouble spécial de la déglutition, occasionné par un trou
ur comprend un trouble spécial de la déglutition, occasionné par un trouble de la fonction des appareils nerveux correspond
écrivains et autres tics d'ordre supérieur, avec prédominance de troubles moteurs, sensitifs ou'psychiques (dysphagie amiot
hique). En se basant sur huit observations, l'auteur conclut que le trouble en question s'observe oïdinairement chez des pe
d'hérédité tuberculeuse et alcoolique ; il existe en même temps des troubles vasculaires très prononcés. On observe SOCIÉTÉS
63 parfois chez ces malades des phénomènes hystériques, d'autres troubles amyotaxiques et des obsessions. Parmi les trouble
riques, d'autres troubles amyotaxiques et des obsessions. Parmi les troubles sen- sitifs, observés en rapport avec cette dys
tic, car l'interrogatoire seul suffit pour établir l'existence d'un trouble fonctionnel daus le mécanisme de la déglutition
es. Chez les G4 -il SOCIÉTÉS SAVANTES. uns la cause principale du trouble réside dans la suggestion psychique, chez d'aut
ues, ce qui indique l'existence de lésions dégénératives. Quant aux troubles de la sensibilité, la plupart des auteurs admet a
re volonté est faite pour vouloir le bien. Dans l'état primitif les troubles pro- fonds produits par des représentations vio
doctrine qu'un état infectieux peut engendrer de toutes pièces des troubles mentaux et non seulement des délires aigus, mai
re de ces formes se produirait de préférence quand l'apparition des troubles psychiques est tardive; la deuxième quand le dé
sionné par la toxine tuberculeuse. Cette toxine entraine-t-elle des troubles vaso-moteurs, des troubles dynamiques simplemen
uleuse. Cette toxine entraine-t-elle des troubles vaso-moteurs, des troubles dynamiques simplement ou crée-t-elle des lésion
. Dans ce nombre nous faisons entrer 3 malades qui présentaient des troubles Archives, 2' série, t. XII. 6 82 CHIRURGIE DE
ans l'ordre orthopédique les attitudes vicieuses donnent lieu à des troubles variés souvent irrépa- rables et apportent une
cide par l'oxyde de carbone ; Par MM. TRUELLE et PETIT. Parmi les troubles mentaux qui peuvent surveniràlasuite d'une into
ission de l'Asile clinique (Sainte-Anne), le 3 avril 1900, pour des troubles intellectuels consistant surtout en affaiblisse
appréciable le premier mois, on ne constate chez Il... aucun autre trouble intellectuel ; pas trace de délire, aucune illu
t est sain, l'affectivité n'est pas émoussée ; la conscience de son trouble de mémoire lui est bien vite revenue. Voici p
mémoire. Sans doute, les exemples d'amnésie survenant à titre de trouble mental isolé ou prédominant, à la suite d'une int
'est de constater, lorsqu'il persiste après un aussi long temps des troubles mentaux, un affaiblissement généralisé des facu
lissement'. Récemment, M. Greidenberg2 reprenant cette question des troubles mentaux consécutifs aux empoi- sonnements aigus
laps de deux à quinze jours, évoluants d'après ce mode habi- tuel : troubles de la mémoire mal déterminés, puis amnésie marq
raux. De plus l'amnésie ne s'est jamais accompagnée chez lui de ces troubles concomitants relevés chez les malades de 11Z..I
t un empoisonnement aigu par l'Oxyde de carbone peut provoquer un trouble partiel de l'entendement aussi persistant. Ici le
écriture n'est donc pas uniquement propre à ceux qui présentent un trouble marqué des facultés intellectuelles; 2° elle es
nte, à l'action du froid humide. Les phénomènes douloureux et les troubles trophiques pré- cèdent de longtemps les trouble
douloureux et les troubles trophiques pré- cèdent de longtemps les troubles vaso-moteurs. La position déclive des membres p
e. On sait du reste combien cette infection est apte à produire des troubles névralgiques et vaso- moteurs de diverse nature
ues et vaso- moteurs de diverse nature. Quant au mécanisme de ces troubles vasculaires, les auteurs ne pensent pouvoir inv
e indivi- duelle. De petites doses de suc capsulaire produisent des troubles respiratoires et. circulatoires qui deviennent
gtemps s'il ne reçoit pas d'injections de suc capsulaire. Quant aux troubles ob- servés pendant la vie : respiratoires, circ
sculaire et non hypertonicité. Elle est d'autant plus nette que les troubles de la motilité sont plus marqués. La résistance
itude de ce diagnostic. Immédiatement après cette intervention, les troubles sensitifs disparurent, seuls, les troubles mote
cette intervention, les troubles sensitifs disparurent, seuls, les troubles moteurs ont persisté, ce qui n'a pas lieu de su
utres suicides. L'intoxication alcoolique^ chronique pro- voque des troubles généraux des fonctions viscérales qui modifient
Perversions de l'odorat dans la folie avec délusions, indiquant un trouble de fonction ou.un défaut d'association dans les
, myosis et rétrac- .tion des paupières (supérieures); indiquant un trouble fonctionnel ' dans le troisième noyau ou l'un d
d'hémorragie cérébrale avec hémiplégie droite, et réapparition des troubles mentaux : il rentre à l'asile, en état d'hémipl
ntrent pas dans l'épilepsie. Le mot dysphasie s'appliquer mieux aux troubles épileptiques du langage : l'auteur admettra de
mémoire; nous les résumons ici : Il est généralement admis que des troubles du langage d'une c taine importance se rencontr
e d'une c taine importance se rencontrent dans l'épilepsie, que ces troubles sont analogues entre eux, et cependant divers s
les examine sur ce point', montre suffisam- ment l'inquiétude et le trouble que leur cause cet examen, et leurs efforts pou
nter. De même que l'on peut voir l'aphonie hystérique résulter d'un trouble émotif, ainsi l'on peut trouver chez l'épilepti
ement avant et après l'accès Le mot' dysphasie s'applique mieux aux troubles épileptiques de la parole. On peut 'admettre d'
pour l'humanité. A diverses reprises, il fut menacé de récidive des troubles mentaux dont il avait été atteint; il essayait d'
sation, ni dans ses actions ni dans ses écrits, la moindre trace de trouble intellectuel ou moral- ou d'aliénation mentale
semaines. On constate en général des stigmates d'hystérie, mais les troubles sensitifs dus à l'hystérie peuvent se rencontre
vec perte de connaissance dans le premier âge, la réap- parition de troubles psychiques à la puberté, la déviation conju- gu
taxiques sérieux, mais parésie marquée des extrémitées inférieures. Troubles sensitifs d'un seul côté, dénotant une tumeur d
t basé sur la distribution bila- térale de la douleur, l'absence de troubles rectaux et vésicaux. Le point sensible de la co
x, à la gorge, avec une certaine atteinte des sphincters, de légers troubles de la sensibilité (douleur, sensibilité exagéré
eux de la mastication et de la déglutition. Réflexes perdus. Pas de troubles marqués de la sensibilité. Il y eut plus tard d
146 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. sphincters demeurent intacts. Les troubles sensitifs, sauf des sensations douloureuses, fo
sauf des sensations douloureuses, font défaut. Dans la névrite, les troubles sensitifs sont plus marqués. Le mal est moins s
se de préférence sur le neurone moteur, il faut se souvenir que des troubles sensitifs, consistant en une anesthésie des pie
trémités des doigts, existaient dans le cas original de Landry. Les troubles sensitifs sont beaucoup moins marqués, mais ils
motrices, bien qu'il y ait prédominance sur les libres motrices. Le trouble des sphincters noté dans deux des cas, n'est pa
ie spasmodique sans atrophie des muscles de la jambe, et sans aucun trouble vésical ou rectal. La dissocia- tion des sensib
on des branches du plexus brachial, consistant plus spécialement en troubles sensitifs et moteurs dans la région de distribu
t altérés d'un côté et dont la face est asymétrique. Après quelques troubles mentaux très légers (idées vagues de persécutio
- ques antérieurs. Hémiplégie droite incomplète avec contracture, troubles dysarthriques et dysphasiques,écoulement de saliv
'attaques partielles du côté droit d'autre part, par la présence de troubles psychiques particuliers. En effet, à l'autopsie
rales quel qu'en soit le siège, et permettaient ainsi, associés aux troubles moteurs, de lo- caliser la tumeur dans le lobe
théoriques indispensables pour le diagnostic et le traite- ment des troubles de la réfraction. Son livre a le grand avantage
st consacré à l'étude des muscles de l'oeil et particulièrement aux troubles de convergence et de divergence si souvent et s
les sécrétions. Elles sont alors indiquées dans tous les cas où les troubles men- taux paraissent liés à des infections, à d
et lé liquide céphalo-rachidien (projections) ; 2° Nouveaux cas de troubles mentaux toxi-infeetieux avec examen histologiqu
s caractères spéciaux et que, en parti- culier, ce sont surtout les troubles d'ordre spasmodique qui sont le plus souvent ob
n qui est appelé auprès d'elle émet, de prime abord, l'hypothèse de troubles méningés. Mais ces phé- nomènes aigus ne tarden
és. Pas de lésion ophtalmoscopique, pas de 180 CLINIQUE NERVEUSE. trouble de la vision des couleurs. L'acuité visuelle indi
midi, courait, s'amusait, quand tout à coup elle s'arrête, dit voir trouble de l'oeil gauche ; quelques minutes après, elle n
rche de la zone segmentaire hyperesthé- sique de Lied qui, dans les troubles organiques de l'ovaire, cor- respond généraleme
, cette zone d'hyperesthésie, en rapport vraisemblablement avec des troubles fonctionnels seuls, semble empiéter un peu plus h
; nous n'y reviendrons pas. Mais nous insisterons davantage sur les troubles de sensibilités plus spéciales, celles des organe
présente comme la négation parfaite de la fonction de l'ouïe. Les troubles du côté de l'appareil de la vision sont extrême-
es suivantes. Toujours nous avons trouvé identiques, constants, les troubles de sensibilité géné- rale ou spéciale ; les tro
constants, les troubles de sensibilité géné- rale ou spéciale ; les troubles parétiques seuls se sont montrés moins accentué
cité de notre ami M. Ginestous). L'examen indique qu'il n'y a aucun trouble de réfraction ; emmétropie des deux yeux; pas d
verses particularités au moment de la discussion. La plupart de ces troubles paraissent sous la dépendance d'une hypoesthési
émianesthésies cutanées avec prédominance plus ou moins marquée des troubles sensoriels du côté où le tégu- ment externe est
De fait, si l'on élimine tous les cas dans lesquels il y avait des troubles auditifs propres concomitants (bouchon de cérum
cas, il n'y a que ceux de Walton, Rosenthal, Collet et l'un 1 Les troubles auditifs dans les maladies nerveuses. Gneycl. Léa
c. 1879. 7 Soc. médic. des hôpitaux, 188. " Cité par Strzeminski. Troubles ocul. de l'hystérie. (Recueil d'oph- 0 Revue mé
u un peu plus grands qu'avec l'oeil droit, nous savons bien que ces troubles ne sont pas assez consi- dérables ordinairement
médecine de Bordeaux, 2r juin 1900, p. kJH-o7.) 3 Il. Parinaud. Les troubles ocul. de l'hystérie. (Annales d'oculistique, ju
produire, s'il était bien établi auparavant. En second lieu, que le trouble visuel ne gêne pas l'hystérique, lorsqu'il se p
on bino- culaire, ou bien la fonction de ce système, ou enfin les troubles qui peuvent venir rétrécir, plus ou moins, le cha
vision binoculaire dans l'hystérie. Cela tendrait à prouver que les troubles hystériques de l'appareil visuel sont absolumen
es hystériques de l'appareil visuel sont absolument comparables aux troubles hystériques des autres appareils sensoriels, et
nçais, avril 1901). ).. PSYCHOLOGIE MORBIDE. Recherches sur les troubles psychologiques consé- cutifs à des hallucinatio
verse. Nous avons tenté d'étudier expérimentale- RECHERCHES SUR LES TROUBLES PSYCHOLOGIQUES. 209 ment, ce que pouvait provoq
ons essayé également de saisir les rapports qu'il y avait entre les troubles psychologiques et la quantité d'une part et la
i sommeil ; G... était alors comme assommée, comme abasourdie ». Ce trouble persiste toujours. Les .crises de sommeil aurai
résentant des spectacles terrifiants, la mettent RECHERCHES SUR LES TROUBLES ! PSYCHOLOGIQUES. 211 1 à la torture. Lorsqu'on
eu près normale, le jugement est juste. La malade ne présente aucun trouble mental. Elle se rend parfaitement compte de son
s possible d'étudier, comme en une véritable expérimentation, les troubles dus aux hallucinations et imputables seulement à
teur seul varie dans des conditions déterminées. RECHERCHES SUR LES TROUBLES PSYCHOLOGIQUES. 1.3 IV ' Voici maintenant les
oyenne ; b) les hallucinations sont très intenses; c) le passage du trouble hallucinatoire de la conscience à l'état normal
plus exactement l'image mentale. L'hallucination par son intensité trouble la plupart des, processus psychiques. et provoq
r- taine contribution à la pathogénie de la maladie, ou plutôt du trouble morbide, dans le cadre duquel l'observation cli-
tématisation dans le délire ou plutôt une simple RECHERCHES SUR LES TROUBLES PSYCHOLOGIQUES. 217 orientation constante dans
ésente en somme une succession dans le temps de trois catégories de troubles morbides, qui parais- sent avoir chez G... la v
anatomique des reins, la fonction rénale est liée chez les fous aux troubles généraux qui produisent et maintiennent chaque fo
sent et maintiennent chaque forme morbide; et c'est en raison deces troubles que varient la qualité et la quantité de l'élim
constatée. Enfin la cause du tremblement pouvait être attribuée aux troubles venant modifier l' « influx égal des impulsions
e. Il est probable, cependant, que d'autres facteurs tels que des troubles fonctionnels ont aussi joué un rôle dans la produ
tés par la malade. On peut concevoir, en effet, que, par suite d'un trouble fonctionnel de la glande thyroïde, une substanc
dilatations variqueuses de la face antérieure n'aient pas causé de troubles moteurs par cette double considération qu'elles
as d'exercer une compression assez considérable pour déterminer des troubles fonctionnels. R. DE Musgrave-Clay. Ll. L'étud
médullaire, jusqu'à celles des cen tres psycho-moteurs : depuis les troubles de la sensibilité liés à d'évidentes altération
apparent que réel- Cette prédisposition qui rend compte de tant de troubles , n'est-elle pas elle-même, le plus souvent, com
es travaux récents en pathologie mentale établissent l'existence de troubles mentaux particuliers accompagnant les infection
particuliers accompagnant les infections et les intoxications. Ces troubles sont constitués par la confusion mentale décrit
t7césie sensorielle très 'accentuée intéressant tous les sens. Le trouble mental consiste en un délire général dont l'incoh
e et l'agitation cessent; les malades tombent dans la stupeur ; les troubles trophiques apparaissent avec des sou- oerbcesau
ou épileptiformes, les états cataleptiformes ou catato- niques, les troubles des réflexes, l'inégalité pupillaire, le tremble-
llaire, le tremble- ment généralisé, l'altération de la parole, les troubles des fonctions organiques (gastro-intestinale, c
s insister sur certains d'entre eux, à savoir : la céphalalgie, les troubles des fonctions organiques, la confusion mentale,
qui peut donner au malade le cachet d'un paralytique général. Les troubles des fonctions organiques sont très importants dan
peuvent s'accompagner, comme l'a fort bien signalé 11. Carrier, de troubles circulatoires et respiratoires. Les urines sont t
allaitement, de septicémie consécutive à un gros abcès du sein. Les troubles mentaux initiaux ont consisté, après une insomn
ion de la mens- truation, la malade avait déjà présenté un accès de troubles psy- chiques d'une durée de trois semaines, car
cellules très nerveuses, on ne puisse constater cliniquement aucun trouble nerveux. M. FAURE. Comme l'a fort bien mis en r
estion des rapports entre l'acte opératoire et le développement des troubles psychiques a été dis- 'cutée au Congrès d'Anger
cès impulsifs. En somme, je note immédiatement après l'opération un trouble mental passager, puis, le huitième jour, un vér
u point de vue physique que mental, qui ne présentent pas de graves troubles mentaux mais qui cependant frisent la vésanie.
tion de l'état physique. M. Briand met en relief le caractère des troubles psychiques des malades atteints de torticolis m
s malades atteints de torticolis mental. M. Meige insiste sur les troubles mentaux chez ies dégénérés atteints de torticol
e temps que le début de l'amélioration de la phtisie, apparition de troubles de l'intelligence. Diminution de l'attention, a
extrémités digitales. Parole lente, ànonnée. Inégalité pupillaire. Troubles de l'écriture. Léger nystagmus, exagération des
, exagération des réflexes rotuliens. Affaiblissement intellectuel, trouble de la mémoire, délire de satis- - faction. Accè
du temps bénéficiaires d'ordonnances de non-lieu' en raison de leur trouble mental et envoyés dans un asile d'aliénés. De l
l'amusie est la perte ou la perversion de la faculté musicale sans troubles de l'intelligence ni des organes de la phonatio
honation. L'anatomie et la clinique démontrent l'indépen- dance des troubles de la faculté musicale. De l'ensemble des faits
1901.) Boulevard des Batignolles, la dame Jules M..., atteinte de troubles cérébraux, a mélangé à du thé une infusion de pav
cependant chez un tabétique, qui, avant l'injection, n'avait aucun trouble du sens des attitudes ; 'l'Il' Les sensibilités
: les observations con- tradictoires étant en très petit nombre. Troubles des sphincters. - Avec les doses modérées de co
cocaïne que nous avons employées, nous n'avons jamais observé de troubles des sphincters. Dans aucune de nos obser- vatio
'a été remarqué, chez nos malades, ni phénomènes vaso-moteurs, ni troubles secrétoires ; 8° Les nausées, les vomissements
atrophie parétique précoce du malade hémiplégique. Ce sont là des troubles du mouvement post-hémiplégiques, puisque les co
USE. niennes sont plus ou moins tortueuses ; on perçoit de légers troubles dans la choroïde. Au bout d'un temps plus ou mo
es modifica- tions électriques bien marquées, l'absence complète de troubles sensitifs,et la santé parfaite dans l'intervall
mblyopie ou amaurose hystérique contribue à le démontrer puisque le trouble ou la perte de la vision ne sont pas le résultat
s de la moelle : la même forme de rai- sonnement est applicable aux troubles de la sensibilité spéciale ou générale : la pea
névrose primitive, alors qu'elle est le plus souvent le signe d'un trouble nerveux profond), les crises de larmes ou de colè
gauche. Plus tard encore douleur localisée il la tempe gauche. Puis troubles de la \ue (diminution processive - à gauche du
centripète. il. II. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. c ? ll'1 XLIII. Troubles nerveux intermittents d'origine palustre ; par
ent une paraplégie flaccide, soit par un état de shock, soit par un trouble circulatoire par l'intermédiaire de l'arbre spi
se. En cela, comme en toutes choses, il faut donc se surveiller. Le trouble de l'esprit peut pénétrer par les yeux, par les
bjecte que l'idée ne devient obsédante que grâce à l'existence d'un trouble préalable : les obsédés sont des malades avant
e ou émotive (Lange, H. James, Ribot, etc.) exagère l'influence des troubles vaso-moteurs et de 1,'expression émotive, au dé
le essentiel, dans la genèse de l'obsession morbide, appartient aux troubles de la volonté. En étudiant l'état des obsédés en
, à cet égard, très instruc- tive chez les obsédés. On retrouve ces troubles moteurs dans la folie du doute, type des obsess
t un phénomène très complexe, dont la condition fondamentale est un trouble primitif et généra- lisé, affectant les élément
ffectant les éléments communs à la volonté et il l'intelligence; ce trouble est une aboulie permanente qui préexiste aux obse
pneumonie, tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles mentaux plus ou moins accen- tués. On constate
mal, ce qui démontre une fois de plus, que l'on peut avoir certains troubles fonctionnels cérébraux, même accentués, sans qu
en évidence le parallélisme d'intensité des lésions corticales, des troubles mentaux et des accidents généraux de la maladie
ux de la maladie. Si donc l'hypothèse qui impute l'apparition des troubles men- taux dans les maladies générales (délire f
jection, intoxication, etc.); il en est ainsi, d'ailleurs, pour les troubles mentaux qui les accompagnent, et qui varient peu
8. - Sur les lésions cellulaires corticales observées dans G cas de troubles mentaux toxi-infectieux. Revue neurologique, déce
enlève rien de leur valeur ni de leur importance. , - Deux cas de troubles mentaux loxi-infeclicux avec examen hislotogiqu
GXEL Lavastine, interne des hôpitaux de Paris, rapporte deux cas de troubles mentaux toxi-infectieux avec lésions cellu- lai
ement, pour ainsi dire, sur la source même de l'évolution et de ses troubles , sensitifs, les racines postérieures. Or d'aprè
nes chez les idiots ; par BOUnNEYILLE (sera publié ultérieurement). Troubles unilatéraux de la mimique faciale (hEmi.mintie) c
'importance que les aliénistes et les neurologistes attachent à ces troubles en leur donnant.une origine centrale, les auteurs
ous cas, lorsqu'on aura à examiner des malades qui présen- tent ces troubles , même s'ils sont hystériques, il est indispensabl
ore incomplètement oxydé, pouvant aussi être sous la dépendance des troubles profonds que nous constatons. A partir de ce mo
nds que nous constatons. A partir de ce moment-là, et en raison des troubles constatés du côté de la fonction "rénale, nous
ace, l'attention des observateurs. M. Régis rappelle l'existence de troubles cérébraux consécutifs ! une insolation. Les tro
l'existence de troubles cérébraux consécutifs ! une insolation. Les troubles observés furent d'abord de la confu- sion menta
ion provoque un état d'intoxication ainsi que l'aspect clinique des troubles mentaux semble le mon- trer. Astoso-basophie.
ore faire de l'orthopédie mentale et morale dans les cas suivants : troubles du caractère, mensonge, klepto- manie, onanisme
us la dénominationd'alcooliques, ils n'ont compté que ceux dont les troubles mentaux ne s'étaient produits qu'à la suite d'e
rme. Démence simple, sans euphorie. Cons- cience de l'état maladif. Troubles de la motilité à droite. Durée de la maladie di
énés, il faut penser aussi à ceux qui sont de simples malades, sans trouble mental. Le premier asile pour les épilep- tique
oins définie. Au début de l'attaque, à la période d'agitation et de troubles mentaux aigus, cette pres- sion était élevée et
dans les phénomènes dont il s'agit, le facteur fon- damental est le trouble de la sensation organique : ce trouble engendre
facteur fon- damental est le trouble de la sensation organique : ce trouble engendre une action morbide et une pensée morbi
aniques d'origine alcoolique; 2° à remédier au besoin d'alcool, aux troubles intellectuels, à l'abaissement moral, à la tend
èmes cérébro- spinal et lymphatique, et celles qui accompagnent des troubles nerveux fonctionnels. Ces dernières sont celles
manquait ou était embarrassé, sans rien toutefois qui rappelât les troubles d'articulation de la paralysie générale. Le réf
e est conservée. L'auteur aborde enfin la question des rapports des troubles pupillaires avec l'hérédité syphilitique. L'ori
des asiles rhénans les aliénés criminels, qui sont des éléments de trouble et de désordre, et les rassembler dans un quart
l'influence d'excès alcooliques. Le malade n'est pas alcoolique. Le trouble mental actuel est la conséquence d'une vive déc
r ALBERT CAIIEN, interne des hôpitaux. I. D'une façon générale, les troubles moteurs chez les aliénés sont bien étudiés. C'e
en but aux pour- suites des « Reluquets ». Une autre, souffrant de troubles de la sensibilité générale, se plaint de sensat
me, mais des idées de grandeur sont appa- ' Cit. par J. Séglas. Les troubles du langage chez les aliénés. Rueff. Paris, 1892
délires systématiques. Aussi les prendrons-nous comme ' J. Seglas. Troubles du langage, p. 230. ' J. Séglas. 1(l., p. 241.
qu'il se noyait et appelait au secours, le malade s'éveilla dans ce trouble et se servit de sa propre voix pour rendre grâc
ent à la période de développement individuelle à laquelle débute le trouble fonctionnel ; 3° la nature de l'excès de dévelo
itisme et les formes naines du crétinisme; 5° il est possible qu'un trouble réflexe des fonctions de cet organe ait une par
prenne naissance au siège d'une vieille hémorrhagie et soit dû à un trouble de la circulation cérébrale. R. DE MusGRAVE-CLAY.
rn. de Neurologie, 1900, nu 22.) En présence de malades atteints de troubles nerveux, contre les- quels la suggestion dans l
auteur en conclut que cette aboli- tion ne peut pas être le fait de troubles circulatoires et que les artères spinales antér
quelles maladies est-il essayé ? 2° L'avez-vous employé dans les troubles chroniques avec de bons résultats ? 3° Quel est l
es par le liquide thyroï- dien. - En face d'un myxoedémateux avec troubles mentaux, trois questions peuvent se poser : la
élire des actes dans la paralysie générale, d'où il résulte que les troubles de l'activité, dans l'encéphalite diffuse chron
toutes les discordances de l'activité, comme elle le fait pour les troubles intellectuels proprement dits. M. Marie a obser
i inclinerait à faire admettre la dernière hypothèse, c'est que les troubles mentaux observés se rapprochent beaucoup du tab
s se rapprochent beaucoup du tableau que M. Chante- messe trace des troubles intellectuels de la méningite tubercu- leuse. ,
ependant citer le cas d'une déli- rante chronique chez laquelle les troubles de la sensibilité géné- rale et les interprétat
s localités, par Pailhas, 313. Béglltition. Forme particulière du trouble de la -, par Rossolimo, 62. Délire. Du aigu a
sile de Ville-Evrard. par ricqué et Febvré, 81. 1 Hallucinations. Troubles psycholo- giques consécutifs à des pro- voqué
ËMNGO-MyEUTE tuberculeuse avec autopsie, par Crocq, 116. Mentaux. Troubles - toxi-infec- ticux, par Lalgnel-Lavastine, 3
1. Relations entre la et l'épilepsie, par Spiller, 144. Mimiques. Troubles unilatéraux de la -- faciale, par Lannols et Pa
Traitement des vertigineux de l' -, par Libotte, 534. Palustre. Troubles nerveux d'ori- 'gille -, par Brocquet, 311. Pol
56 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
ait rien d'anormal à relever dans la sphère des nerfs crâniens. Les troubles vésico-rectaux consistaient en une incontinence i
avaitpas conscience, et en une constipation opiniâtre. En fait de troubles vaso-moteurs, on ne notait, en dehors d'une rouge
rophie. La paralysie et l'atrophie mus- culaire s'accompagnaient de troubles vésico-rectaux (incontinence d'urine et constip
ait pas amendée ; l'ancsthésie conservait les mêmes li- mites ; les troubles vésico-rectaux persistaient. Par contre, l'oedème
ie, l'impotence motrice complète dont est frappée la' mala- de, les troubles trophiqueseoncomitantsnepourraientquefortifierce
çon. Par contre, l'évolution des accidents, la gravité de certains troubles présentés parla malade, et en particulier les t
de certains troubles présentés parla malade, et en particulier les troubles sphinctériens, les caractères de l'eschare plai
'étend aux muqueuses; elle s'accompagne souvent d'hypéresthésie, de troubles vaso-moteurs et trophiques, souvent aussi de dé
ar la paralysie motrice, l'atro- phie musculaire, t'anesthésie, des troubles trophiques cutanés, il ne reste plus que la syr
dans sa thèse, a porté son attention d'une fa- çon spéciale sur les troubles de la sensibilité tactile dans la syringomyé- l
ue je viens de vous exposer ? C'est que, étant donnés l'étendue des troubles moteurs, la distribution et les ca- ractères de
cordon postérieur était plus prononcée à gauche qu'à droite. Or les troubles de la sensibilité tactile avaient fait défaut dan
de C'affection. Le début des symptômes actuels remonte à 3 ans. Les troubles de la ne apparurent les premiers : la malade voya
s. Les troubles de la ne apparurent les premiers : la malade voyait trouble et ne pouvait se diriger dans la rue. En même tem
du sens musculaire ni articulaire. Sensibilité. Il n'existe pas de trouble de la sensibilité tactile. La pi- qûre est bien
nsation de brûlure. Mais à un deuxième et à un troisième examen ces troubles ne se sont pas reproduits.V... étant d'une suscep
ne susceptibilité nerveuse exagérée il faut mettre sur le compte de troubles psychiques cette sensa- tion pervertie. Il n'
oubles psychiques cette sensa- tion pervertie. Il n'existe pas de troubles de l'odorat. Pas de troubles du goût. Pas de
tion pervertie. Il n'existe pas de troubles de l'odorat. Pas de troubles du goût. Pas de troubles de l'ouïe : la montre
iste pas de troubles de l'odorat. Pas de troubles du goût. Pas de troubles de l'ouïe : la montre est entendue à un mètre de
les même dans les posi- tions extrêmes des yeux. Mais elle les voit troubles , ils lui semblent confus avec des contours flou
pas de crises gastriques. Elle n'a jamais eu de crises laryngées. Troubles de la motilité. La malade marche sans jeter les p
exécuter certains ouvrages délicats : tricot, dentelle, couture. Troubles trophiques et vaso-moteurs. Il n'en existe absolu
t, pas de desquamation cutanée improprement dite psoriasis,. Pas de troubles trophiques articulaires. Etat de l'intelligence
telligente, raconte facilement son histoire. Elle ne présente aucun trouble de la parole, elle lit facile- ment. Son écri
ble s'être produite : la ptose est moins marquée : la vue est moins trouble . Les phénomènes paralytiques sont cependant peu
de bacillose pulmonaire. Sans raison apparente, se manifestent des troubles oculaires à évolution rapide, aboutissant aux p
maux de tête si spéciaux en pareil cas. Ellen'a jamais présenté de troubles gastriques, surtout elle n'a jamais eu de vo- m
a maladie de Duchenne n'évolue avec ses symp- tômes primordiaux les troubles oculaires, variables avec chaque individu, anno
Il est rare que l'on ne constate pas du .côté de la vessie quelques troubles , par exemple des mictions impérieuses. Tous ces
urses séreuses ont un rôle trophique, et nous trouvons en effet des troubles trophiques. Le malade se plaint en effet d'un f
de la lésion la sensibilité est intacte. En outre il n'y a pas de troubles des sphincters. Les réflexes tendineux sont exa
cause interne, c'est ce que nous avons recherché avec grand soin. Troubles musculaires. Il n'y a pas eu à proprement parler
- cher le malade de se servir aisément de ses membres. Il y a des troubles de la marche, mais qui tiennent sans aucun doute
nifestement rétrécie. Fond d'oeil normal. Enfin nous n'avons pas de troubles psychiques, pas d'amnésie notamment, ni ancun t
avons pas de troubles psychiques, pas d'amnésie notamment, ni ancun trouble respiratoire, circulatoire, digestif, urinaire, g
st de 37°4. 1 Examen du système nerveux : ' , I. Motricité. Les troubles moteurssont caràctérisésessentiellement par une
usculature faciale fonc- tionne normalement. II. Sensibilité. Les troubles de la sensibilité sont moins francs que ceux
tion de corps chauds ou froids, comme sensa- tions de contact : ces troubles sensitifs correspondent très nettement à la dis
partie supérieure du thorax, on atteint Fio. 10. - Répartition des troubles moteurs : Hémiparaplégie double à limite supéri
erve exactement, avec une différence Fic. 11 et 12. Répartition des troubles sensitifs : 54 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
s : il n'existe pas de clonus du pied. ' ' ' IV. Réservoirs. Les. troubles de la miction observés par le malade pendant le
: la'pupille droite a un diamètre double de celui,de la gauche. VI. Troubles trophiques. Il n'existe pas d'eschare sacrée, ni
n postérieur, dont l'altération aurait déterminé de bonne heure des troubles paralytiques des membres inférieurs et des phénom
jambes, des fourmillements, une certaine difficulté de la miction, troubles qu'on peut mettre sur le compte d'une simple irri
maintenant à l'interprétation plus' complexe et plus déli- cate des troubles de la sensibilité et de leur association avec les
cate des troubles de la sensibilité et de leur association avec les troubles moteurs. - . Cette association répond, physio
que sur les particularités qui font de notre cas un exemple rare de trouble nerveux : c'est-à-dire la bilatéralité et la diss
hauteur et atteignant' supérieurement deux racines différentes, les troubles moteurs et sensitifs sont également dénivelés à
E LA SALPÊTRIÈRE . élevée (-1 re racine dorsale), correspondent les troubles moteurs plus marqués du bras gauche et une anes
t des racines, on a figuré deux bandes verticales correspondant aux troubles moteurs (M) et sensitifs (S) du corps. Pour toute
nesthésie AD. L'explication précédente s'applique identiquement aux troubles pro- uits par la seconde tumeur T', avec les co
celles de Lasche- witz (2) et de Fournier (3), il existait bien des troubles de la motilité in- dépendants de lésions cérébr
e crânienne in- tacte, pie-mère de la convexité fibreuse, épaissie, trouble . Gommes et pe- tits foyers de ramollissement da
aux questions posées. Phénomène particu- lier, il n'existait pas de troubles de la motilité. L'enfant mourut de diphtérie. O
dullaires. Les symptômes cérébraux paraissent prédominer : avec les troubles des fonctions intellectuelles, les accès d'épil
st pas moins certain, et l'autopsie de Jürgens en fait foi, que les troubles de la motilité des membres inférieurs lorsqu'il
égie spasmodique. Qu'on y joigne, comme dans les cas précédents,des troubles fréquents de l'intelligence allant de la débili
8 110 NOUVELLE 1C0N0GHAPUIE DR LA SALPlhHIÈl11J : s'accompagne de troubles intellectuels, il n'est pas douteux que le cervea
de la trépidation spinale. Jamais,chez cet enfant,il n'a existé de troubles cérébraux, l'intelligence z est remarquablement
te molaire saine. La 2e grosse molaire, atrophie cuspidienne. Les troubles de la locomotion sont très accentués. S.présente
quelque temps, survint une paraplégie avec incontinence d'urine et troubles de la sensibilité, au moins du côté gauche. Bar
e des membres inférieurs avec ataxie des bras et des jambes. Pas de troubles de sensibilité. A il ans, on la place dans une
s où elle apprend bien, est intelligente et ne donne aucun signe de troubles psychiques. , A 12 ans (avril 1886) surviennent
d'impaludisme. Mouvements convulsifs des globes oculaires ; pas de troubles de la sen- sibilité spéciale. Voix nasonnée. Pa
s réflexes rotuliens et do la trépidation spinale des côtés. Pas de troubles de la sensibilité. Les ré- flexes plantaires et
tement antisyphilitique. L'enfant est intelligent ; il n'y a pas de troubles cérébraux. Nous pourrions faire remarquer qu'il
essions qui paraissent bien être d'ori- gine cicatricielle. - . 1 Troubles de sensibilité. On note une hyperesthésie très ma
en'demi-ceinture, à droite au niveau de la base du thorax. Pas de troubles des organes des sens ; pupilles égales, réagissan
ent. ' - - D'aussi loin qu'il pouvait se souvenir, sa vue avait été trouble ; elle était de- venue encore plus mauvaise pend
plopie qui persiste pen- dant trois semaines ; puis aurait aussi vu trouble ,'ne pouvant distinguer cor- rectement les objet
s à 2 mètres de distance ; ni douleurs de tête ni vomisse- ments. Troubles de l'articulation des mots ; se faisait difficile
en ce sens qu'il prononçait les P pour les B et vice-versa. Pas de troubles de dé- gtutition ; les liquides n'étaient pas r
. Vers le 20 octobre, il peut marcher sans canne ; la vue qui était trouble re- vient peu à peu à la normale comme les autr
eurs et inférieurs est normale ; pas d'atrophie musculaire ; pas de troubles de la sensibilité. , Les pupilles sont égales e
et il l'accommodation. Il existe, depuis plusieurs années,quelques troubles des fonctions circulatoires 134 ' NOUVELLE ICON
u'au début, au moins, a existé de la diplopie, des vertiges, et des troubles de l'articulation des mots, permettant de penser
se dissipa bientôt. A la même époque, elle commença il éprouver des troubles de la marche 'qui devint par'moments incertaine
de la marche 'qui devint par'moments incertaine et vacillante; ces troubles étaient surtout marqués lorsqu'elle traversait
ne hyperesthésique cutanée dans la région mammaire droite. Pas de troubles sensoriels. Toutefois la malade perçoit constamme
alogue au bruit de l'eau qui bout. Champ au- ditif normal. Pas de troubles cérébraux ; mémoire conservée ; intelligence nett
itiques du squelette que nous avons signa- lées, il n'existe pas de troubles trophiques si ce n'est un durillon situé la par-
marquée. Pas LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 141 de troubles de sensibilité, ni d'atrophie musculaire des memb
t accommodateur abolis). Il n'y a pas de synéchies iriennes, pas de troubles des milieux transparents. Myopie 0. D. - 13 dio
muscles des membres inférieurs semble en relation directe avec les troubles articulaires. ' ' Intégrité des sphincters vési
ticulaires. ' ' Intégrité des sphincters vésical et rectal ; pas do troubles laryngés. Il n'en est pas de même en ce qui reg
s oreilles; n'a jamais eu d'écoulements ni de bourdonne- ments. , Troubles trophiques. --Nous avons déjà signalé l'atrophie
é à 18 ans, à 20 ans, à 31 ans. Dans ce dernier cas il existait des troubles trophiques osseux, une fracture spontanée. Re
gauche et presque aussi marqué à droite. Le malade n'accuse aucun trouble de sensibilité subjective. Il y a une hyperesth
ui n'impressionnent d'abord que comme de simples contacts. Pas de troubles trophiques cutanés.' Pas de troubles vaso-moteurs
de simples contacts. Pas de troubles trophiques cutanés.' Pas de troubles vaso-moteurs. Tronc. L'hyperesthésie des jambes
spirations énergiques nécessitées par la malformation thoracique. Troubles vésicaux. Il y a de l'incontinence nocturne d'uri
nts à recueillir sur les antécédents, l'histoire de la maladie, les troubles subjectifs et les désordres fonctionnels. De tous
corporelles dont nous aurons à nous occuper sont la conséquence de troubles évolutifs portant sur les différents systèmes^
l au moment de la naissance, entraîne l'infantilisme, tandis ^qu'un trouble évolutif de même nature, survenu à l'époque de
inution de volume, c'est peut-être demander l'im- possible. , Les troubles trophiques n'ont pas coutume d'obéir aux lois de
, etc.), retenons seulement la caractéristique morphologique que ce trouble nu- tritif imprime au corps des nains. D'aill
nctions qui sont le propre des vrais myxoedémateux.. Chez eux,,le trouble évolutif, qui a menacé leur corps de toutes les i
ennent par- fois compliquer le nanisme, nous signalerons encore les troubles trophi- ques qui portent sur les articulations
x, il n'est pas suffisant pour établir un diagnostic définitif. Les troubles fonctionnels et psychiques ont une grande importa
utre part insisté sur les accidents du traitement par le borax (1), troubles gastriques, troubles vaso-moteurs, accidents cuta
les accidents du traitement par le borax (1), troubles gastriques, troubles vaso-moteurs, accidents cutanés, et surtout com
e 4 à 5 et 6 grammes par jour, sans aucun résultat heureux pour les troubles nerveux. Il commença alors à se produire de l'i
t. Le médicament est bien supporté ; le malade ne se plaint d'aucun trouble gastrique, ni même de dégoût ; il ne pré- sente
presque au milieu du mollet. Pas d'albumine dans les urines, aucun trouble général. Suppression du borax. L'oedème est res
ture du mal dont était atteinte la Fille de St-Géosmes. ' Sur les troubles sensitifs et sensoriels, Morand reste muet. Il fu
'il faut rattacher ces accidents. Ils appartiennent il la série des troubles vaso-moteurs si variés chez les hystériques et
cas de Geneviève Martin, l'hésitation n'est pas possible. Parmi les troubles que l'hystérie apporte à l'appareil digestif, le
maturie chez une malade aussi féconde que la Fille de St-Géosmes en troubles vaso-moteurs hystéri- ques, si cetle hémorrhagi
il n'y a pas là de quoi infirmer le diagnostic. Le « délire », les troubles respiratoires, la « fièvre » même peuvent apparte
fort judi- cieusement fait ressortir la nature pathologique de ces troubles de l'esprit et du caractère. Il prononce formel
esque tous les appareils : pour mons, estomac, reins, vessie. Les troubles vaso-moteurs, affectent tantôt forme éruptive, ta
t à l'âge de trois ans, comme on l'a écrit, que se sont montrés les troubles dystrophi- ques : la mère nous dit très explici
de ces manifestations prémonitoires, B... a eu, il y a G mois, des troubles vésicaux marqués par une légère incontinence d'ur
al, dont la symptomatologie ne com- porte qu'exceptionnellement des troubles de paralysie motrice et le tabès bulbaire qui a
ontrer que les muscles de la face delà langue peuvent présenter des troubles de la coordination analogues à ceux que nous ve
des membres supérieurs ; de plus chez B..., on ne cons- tate pas de troubles de la sensibilité spéciale ou générale de l'organ
chiv. sur klinische Chirurgie, 1888. (6) Arlhropathies nerveuses et troubles de la sensibilité. Nouvelle Iconographie de la
mère crânienne intacte, pie-mère de la convexité fibreuse épaissie, trouble ; gommes et petits foyers de ramollissement dans l
place ces cellules ne se colorent plus du tout, il reste un espace trouble sans structure apparente; en d'autres endroits
NERVEUX. HOSPICE DE LA SALPLTIi7LIiD. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENS1TIV0- MOTEURS CONSÉCUTIFS A L'EMPOISONNEME
reprocher des lacunes et des erreurs ; C'est ensuite qu'en fait de troubles moteurs qui traduisent le retentis- (1) Leçon d
oulu voir que cette dernière. Or, quand on considère l'ensemble des troubles sensitivo-moteurs et psychiques qui peuvent se
s im- médiates, bruyantes, de l'empoisonnement, et l'apparition des troubles moteurs. Toujours est-il que la connaissance de
que, 1889, t. XXII, p. 13'7, 356 et 4G0. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 323 Pour toutes ces raisons e
dorsal, comme un bloc inerte. De temps en temps elle était prise de troubles de la déglu- tition ; il lui arrivait d'avaler
musculaire appréciable. Dès le 25 mai on notait la disparition des troubles en rapport avec la paralysie des sphincters, ains
sse, l'excitabilité électrique est sensi- PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 325 blement affaiblie dans le
sègue est plus accusé à gauche qu'à droite. A cela se réduisent les troubles de la sensibilité subjective. Vous allez voir q
à vous signaler une manifestation qui rentre dans la catégorie des troubles trophiques, et ce sera tout. Cette fillette, au c
erveux, ire série, Paris, 1896, p. 269. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 327 paralysies arsenicales so
ls l'histoire des paraly- sies arsenicales ou, plus exactement, des troubles sensitivo-moteurs qu'on voit se développer à la
(1) P. Brouardel et G. Pochet, loc. Cil. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENS1TIVO-MOTEURS 329 enfin de troubles de la s
PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENS1TIVO-MOTEURS 329 enfin de troubles de la sensibilité, qui ont bien leur valeur, en l
eau, qu'on leur ronge les chairs. Habituellement ils présentent des troubles de la sen- sibilité objective, sous la forme d'
Fig. 30. Fig. 31. Fig. 32. Fig. 33. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 331 par M. F. Vluller, de ces
écutives à un empoisonne- ment aigu s'accompagnent assez souvent de troubles trophiques cutanés, sous la forme d'érttplions(
s la forme de cet état luisant connu sous le nom de glossg skin, de troubles vaso-moteurs (érythème vaso-paralytique), quelq
haleur. Les muscles et les troncs nerveux PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SE\SITIVO-11OTEURS 333 étaient un peu sensibles
nieux. Dans le cours de ce trai- tement, l'enfant vint en proie des troubles digestifs passagers. Denx jours plus tard on co
détail, j'y reviendrai dans un instant. En outre on a constaté des troubles de la sensibilité, l'a- bolition des réflexes t
's Ilopkins Ilospital, avril 1893, ne 30. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 335 Je considère qu'il est su
apporte à la description que MM. Brouardel et Marie ont donnée, des troubles moteurs consécutifs à des empoisonnements crimi
garçons fut pris de la même manière. \ PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS H37 Voilà donc un exemple bie
s accidents qui rappelaient ceux de l'acrodynie, c'est dire que les troubles de la sensibilité prédominaient sur les troubles
c'est dire que les troubles de la sensibilité prédominaient sur les troubles mo- teurs. Voire qu'au début de l'épidémie, lap
ibilité et du mouvement, aux membres inférieurs, sans préjudice des troubles gastro-intestinaux symp- tomatiques de l'empois
e médecine légale, 1874, t. XLII, p. 406. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSIT1V0-liOTEURS . 339 s'observe à l'état end
Romberg, des douleurs lancinantes, de l'anesthésie, et jusqu'à des troubles oculaires tels que la diplopie, l'aboli- tion d
arsenical oisonin7. Brain, janvier 1887. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 341 C. Tremblement arsenical.
ation de l'empoisonnement arsenical. i D. Epilepsie arsenicale ET troubles INTELLECTUELS. Je crois devoir vous signaler en
s ai dit déjà que l'empoisonnement arsenical peut donner lieu à des troubles intellectuels, en tête desquels figure l'amnésie.
tions ont été publiées par Erlicki et Rybalkin. Tableau général DES troubles SENSITIVO-MOTEURS causés par L'EMPOISON- nement
plus ou moins considérable s'écoule avant l'apparition des premiers troubles sensitivo- moteurs. Pendant cette période on pe
ule façon, et avant que la paralysie soit nettement constituée, des troubles de la sensibilité ont fait leur apparition : engo
; presque toujours la paralysie est, à ses débuts, chiropodale. Les troubles de la sensibilité persistent. Les muscles, quelqu
s muscles innervés par des nerfs crâniens, donnant ainsi lieu à des troubles de la mastication, de la vision, à des troubles
nt ainsi lieu à des troubles de la mastication, de la vision, à des troubles respiratoires, à de la tachy- cardie. Bientôt l
if à un empoisonnement arsenical aigu . PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-nIOTEUIiS 343 rétablissement fonction
celui qu'elle a observé au moment de s'établir ; il arrive que les troubles de la sensibilité se dissipent plus tardivement e
ensemble, se passent habituellement de la même façon, sauf que les troubles gastro-intestinaux du début affectent une moin-
e au même titre que la paralysie de même origine. Enfin parmi les troubles sensitivo-moteurs consécutifs il une intoxica-
enre. Mais il s'agit ta de faits exceptionnels. Parallèle entre les troubles sensitivo-moteurs DE L'AHSE : ,\ICISlIOE et LES
entre les troubles sensitivo-moteurs DE L'AHSE : ,\ICISlIOE et LES troubles SGNSI'fI\-0-lfOTh : UItS DE l'alcoolisme. Voilà u
Voilà un tableau, aussi 'fidèle que possible dans sa concision, des troubles sensitivo-moteurs que peut laisser à sa suite u
on observe, mais, à titre tout à fait ex- PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 345 ceptionnel, l'abolition d
nnel, l'abolition des réflexes pupillaires ; dans les deux cas, les troubles de la sensibilité, mais surtout les douleurs spon
Que les accidents soient imputables à l'arsenic ou à l'alcool, des troubles intellectuels peuvent se manifester, et parmi eux
rodromique d'une polynévrite alcoo- lique. Dans ce dernier cas, des troubles digestifs sont habituels, mais ils ont une expr
ux. Il est rare aussi que dans les cas de paralysie alcoolique, les troubles sensitifs, phénomènes de paresthésie, dou- leur
sache. dans un cas de paralysie arsenicale, l'amnésie et les autres troubles intellectuels n'en sont venus à dominer la scèn
s (fi.3G); ces mouvements sont Fig. 36. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTNURS 347 gênés à un moment où les
caractères (liffé- rentiels que je crois pouvoir relever entre les troubles sensitivo-moteurs de même ordre, symptomatiques
nt par l'arsenic, l'ataxie occupe une place prépondérante parmi les troubles sensitivo-moteurs. Un auteur allemand, le docte
ft, Breslau, 1889). Fig. 39. Fie. 40. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 349 topsie a révélé l'existen
uelque sorte pour trame, pour fond commun, la triade suivante : des troubles tro- phiques et uccso ? aotezcrs, qui comprenne
ycténoïde, des pa- naris, des artropalhies, des oedèmes, etc. ; des troubles sensitifs, qui se résument dans ce qu'on a appe
ement arsenical, avant l'apparition de la para- lysie et des autres troubles sensitivo-moteurs. Fig. 41. Fig. 42. 350 NO
omme, la paralysie arsenicale, ou, pour parler plus exactement, les troubles sensitivo-moteurs consécutifs à un empoisonnement
ROU.111UEL et POUCHET, loc. cit., p. 471. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 351 tion considérables, about
ntérieures sont assez visibles mais le protoplasma est d'une teinte trouble uniforme, le noyau indistinct au lieu d'être cl
éditeurs. Nouv. Icwwanrttts de la SmriTanat. r. lx, PT. \T \'111 TROUBLES TROPHIQUES DES ONGLES ! ),\I1S 1,11N.Stéi-ie. M
eurs. Nouv. Iconographie de L.\ SAl.pClIULl<1 T. 1 ? PI.. xlix TROUBLES TROPHIQUES DES ONGLES Dans la maladie de R.V'll
tions et qu'il était intéressant de mettre ici en relief. ix ' 24 TROUBLES TROPHIQUES DES ONGLES AU COURS DE L'HYSTÉRIE ET
et de publier à la suite les unes des au- tres ces observations de troubles trophiques des ongles au cours d'affec- tions d
oïncidence au moins entre l'intensité de ce processus et celles des troubles de sensibilité qui, toujours se sont montrés conc
ité qui, toujours se sont montrés concomitants. C'est ainsi que les troubles trophiques atteignent leur maximum dans les obs
hiques atteignent leur maximum dans les observations I et IV où les troubles de sensibilité sont les plus marqués et qu'ils
uchés à des degrés divers dans les observations II, III et V où les troubles de sensibilité sont moindres. Observation 1 (H
latérales, d'aspect et de coloration cornés, tendent à s'incarner. TROUBLES TROPHIQUES DES ONGLES 371 Par ce caractère et p
Le réflexe pharyngien est aboli. La malade ne présente pas d'autres troubles . Antécédents héréditaires. Le père, grand alcoo
ofesseur Fournier, la certitude de cette affirmation], il s'agit de troubles trophiques des ongles citez une hystérique qui, p
e coïncide avec une localisation presque exclusivement digitale des troubles sensitifs. ' Il n'y a pas lieu d'insister sur l
mmun : l'aspect grenu de la couche profonde adhérente de l'ongle. TROUBLES TROPHIQUES DES ONGLES 373 Observation III (mala
té une plaque de gangrène. Ce malade, la vérité, ne présente pas de troubles sensitifs objectifs ; il a, et très marqués, le
te pas de troubles sensitifs objectifs ; il a, et très marqués, les troubles subjectifs et vaso-moteurs de la maladie de Ray-
digitales à tous les doigts, sauf aux pouces. De plus, en outre des troubles vaso-moteurs classiques, elle présente des trou
s, en outre des troubles vaso-moteurs classiques, elle présente des troubles sensitifs uniquement digitaux. Subjectifs, ces tr
résente des troubles sensitifs uniquement digitaux. Subjectifs, ces troubles consistent en douleurs spontanées, cryesthésie,
gêne, d'engourdissement et de fourmillement dans les doigts. Les troubles sensitifs purement subjectifs sont à la vérité mi
avec conservation des réflexes (un cas de), par E. LEXOBLE, 17. Troubles trophiques des ongles au cours de l'hystérie et
ec photo- graphie Roentgen, cliché A. Londe), 152. DELAMARE (G.). Troubles trophiques des ongles au cours de l'hystérie et
rthropathies des hanches, des genoux et des pieds), XVIII, XIX. Troubles trophiques des ongles dans l'hys- térie, XLVIII
un possédé, 18. Syndrome de Brown-Sequa1'd bilatéral (schémas des troubles moteurs et sensi- tifs), 10, 11, 12. Syringom
57 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
emblement des mains. Cauchemars. Cris. Février 1898 : torticolis et troubles de la parole; perte de la vision à droite en 3
itié droite; le pli na- solabial est moins marqué iL gauche. Pas de troubles de la sensibilité cutanée. Pouls régulier, à 80
crum. En bas, elle se prolonge à droite. Le pied droit présente des troubles trophiques, est violacé, très froid, et à peu p
re. 21 gratter ses plaies. Le chloral a calmé l'agitation.- Aucun trouble vaso-moteur de la face, qui est d'une pâleur cada
Basedow ; Par les J)" (i. DHOMAHU et J. LrwsJr. La fréquence des troubles mentaux chez les bascdo- wiens a frappé de long
ns trop d'exagération, qu'il n'y a pas de goitre exophtalmique sans troubles psychiques conco- mitants. Mais il n'est pas ex
adie de Basedow ne peut créer de toute pièce un état vésanidue. Les troubles mentaux qui l'accompa- gnent sont sous la dépen
établi n'est guère applicable aux observations dans les quelles les troubles psychiques précèdent l'affection goi- lreuse.La
que remon- tent les accidents dont elle souffre al1joUl'd'hui. Les troubles men- taux paraissent les' premiers en date et s
u'en 1905. En 1898, c'est-à-dire six à huit mois après le début des troubles mentaux, survinrent des manifestations canlio-v
progressive, sans concorder avec l'allure plutôt intermittente des troubles cé- rébraux. En particulier, la rémission de l'
tefois, la ménopause donna une forte poussée à ce dernier comme aux troubles mentaux, qui prirent comme nous l'avons dit un
tômes, a) Le début de l'affection est exclusivement psychique : les troubles psy- v chopatiques apparaissent à une époque où
t difficile de rattacher cette psychose à une auto-intoxication par trouble de la fonction glandulaire. Par contre, syndrom
rudescences sous l'in- fluence des mômes causes, ictus émotionnels, troubles DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE ET MALADIE DE BASEDOW.
ificative de « psychose basedowienne », sans refouler néanmoins les troubles mentaux qui nous intéressent dans tel ou tel ca
tre capable d'influer d'une façon secondaire sur la physiononie des troubles mentaux en les exagérant ou les modifiant ; san
autre, en raison de leur tendance commune à se manifester par des troubles de l'équilibre. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE ME
primordial. L'érotomanie qui est le propre de sujets présentant des troubles de l'image motrice proprement dite, semble conf
nsuffisance de cette assimilation qu'il faut chercher la raison des troubles de l'ossification et par suite de l'ar- rêt de
uence de la rétention du calcium provoquée par ce traitement. Les troubles de l'assimilation du calcium, élément qui entre
il peut être uti- lisé avec profit comme soporifique, et, dans les troubles fonctionnels du système nerveux il donnf parfoi
les Voisin. La suggestion peut ainsi guérir un très grand nombre de troubles relatifs à l'alimentation ou à la digestion.J'ai
e a été souvent guérie par des moyens empiriques. Dcsguérisonsde ce trouble nerveux ont été également obtenues à la grotte
iugues eut lieu dans l'état second. En août 1904, elle présente des troubles dy- sesthésiques, de l'oedème ains i que la gan
- bies obsédantes et surtout de la rougeur constitue un véritable trouble mental. Un est autorisé à la considérer comme une
Elle se traduit par du bégaiement, de l'aphonie, du mutisme et des troubles divers de l'articulation de la parole. D'au- tr
ie. 69 les diverses maladies mentales. Signalons entre autres les troubles de l'idéation (idées délirantes, troubles de la m
ignalons entre autres les troubles de l'idéation (idées délirantes, troubles de la mé- moire et de l'attention), les trouble
(idées délirantes, troubles de la mé- moire et de l'attention), les troubles de la perception (hallu- cinations), les troubl
l'attention), les troubles de la perception (hallu- cinations), les troubles de l'affectivité (émotions patholo- giques, anx
tivité (émotions patholo- giques, anxiété, obsessions, phobies) les troubles de la conscience et de la personnalité, ceux de
roubles de la conscience et de la personnalité, ceux de l'activité ( troubles de l'activité générale, troubles du langage, tr
personnalité, ceux de l'activité (troubles de l'activité générale, troubles du langage, troubles des actes : impulsions). V
e l'activité (troubles de l'activité générale, troubles du langage, troubles des actes : impulsions). Vient ensuite l'étude
angage, troubles des actes : impulsions). Vient ensuite l'étude des troubles du système nerveux, suivie de celle des trouble
nsuite l'étude des troubles du système nerveux, suivie de celle des troubles des fonctions organiques. Enfin, M. Régis expos
adies comprennent : A. Les psychoses générales (dans lesquelles les troubles psychiques s'accompagnent de troubles de l'acti
énérales (dans lesquelles les troubles psychiques s'accompagnent de troubles de l'activité générale et des di- verses foncti
fusion mentale. B. Les psychoses essen- tielles dans lesquelles les troubles du psychisme existent seuls ou à peu près : dél
s psychopathiques analogues. La nature de l'otopathie, la forme des troubles mentaux, la prédispo- sition cérébrale, l'âge d
elle quitta l'It0- pital. Cette escarre dura 8 mois. Peu à peu les troubles aIle5111l;- aitlues diminuèrent on intensité et
t se lever et vaquer, quoique péniblement, à ses occupations. Les troubles sphincteriens persistèrent : la malade sentait le
nt d'environ 1 mois 1 ? . L'état de la malade au point du vue des troubles nerveux ne s'est pas modifié. La malade, minée
ines sacrées et de l'in- continence de l'urine et des matières. Ces troubles sphinc- tériens n'avaient d'ailleurs subi aucun
s observer que la limitation de la lésion correspond exactement aux troubles moteurs ob- servés, tandis que les troubles sen
rrespond exactement aux troubles moteurs ob- servés, tandis que les troubles sensitifs sont beaucoup moins étendus que ceux
tard, peut-être sous l'influence débilitante de l'escarre, que les troubles moteurs se sont de nouveau accentués. Le plus
roubles moteurs se sont de nouveau accentués. Le plus souvent les troubles des sphincters ont plus de tendance à la rétroc
ubles des sphincters ont plus de tendance à la rétrocession que les troubles moteurs. Ici, ce fut juste le contraire; et les
on que les troubles moteurs. Ici, ce fut juste le contraire; et les troubles sphinctériens ont persisté sans changement, mal
mois seulement dans l'observation de Touche) que se développent les troubles sensitivo-mo- teurs. Nous ne connaissons pas d'
8 ans. Imbécillité et épilepsie, hémiplégie spasmodiquc, nystagmus, troubles de la parole, accès répétés et escharres. Ant
rès précises. La pa- role est embarrassée, traînante, scandée ; ces troubles sont égale- ment plus sensibles aprèsles accès.
nts où elle se trouve sous l'influence de 92 CLINIQUE NERVEUSE. troubles épileptiques, elle reste calme, mais irascible, n
acrum et les dernières côtes. L'état mental a peu varié, mais les troubles de la parole se sont accrus, les mots sont bred
ée dans son évolution, est restée longtemps sans causer de nouveaux troubles créant seulement quel- quespoints d'irritation
ions osseuses suppura- tives du côté hémiplégie coïncidant avec des troubles trophiques et vaso-moteurs. Le diagnostic exact
lement des paupières; les pupilles réagissaient normalement. Pas de troubles senbitifs. L'analyse des urines ne donnait rien
Motilité. Sauf la gêne spéciale décrite plus haut, il n'y a aucun trouble des mouvements volontaires, la force est normale
ts. Insomnie. Idées délirantes de richesse. Inéga- lité pupillaire. Troubles de la parole. Mal perforant du pied gauche. »
urteloup (t) au Midi. Depuis 15 ans ? Tabès ; douleurs fulgurantes, troubles de la marche. Alcoolisme ; 2 litres de vin au m
forant : la théorie nerveuse, d'après laquelle lemal perforantestun trouble trophique lié assez souvent à de graves lésions
sa valeur. Certes elle n'est pas la seule, clil faut y joindre les troubles résultant de lé- sions du système nerveux, soit
les et en rapport avec un élément périphérique, local (pressions et troubles tro- phiques des tissus comprimés) ; les eschar
de la convulsion musculaire. Les muscles raccourcis par suite d'un trouble nutritif ne don- nent pas de son, parce qu'il n
acine postérieure jusque dans le ganglion spinal. On note aussi des troubles trophiques tels que chute des poils, ulcérations,
lli et cer- taines de Gorschkow, cite a été seule atteinte, mais le trouble fonctionnel s'est montré moindre que dans les a
tre et la clinique montre que cette in- duction est fondée, que des troubles fonctionnels très légers qui préludent à une cr
de crises épilepti- formes. L'épilepsie peut être provoquée par des troubles cardia- ques de même que des troubles cardiaque
e peut être provoquée par des troubles cardia- ques de même que des troubles cardiaques peuvent déterminer l'épilepsie : ce
ues-unes ne sem- hlent pas très démonstratives. Cette apparition de troubles épi- 1('Pli(tues signalés par beaucoup d'auteur
on manifestée par des symptômes antérieurs, peut, à l'occasion d'un trouble de la nutrition cellulaire locale liée il une c
me. L'état intellectuel de ralentissement disparaît de même que les troubles physiques par l'influence d'un traitement mécan
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 147 ,linner sur lus rats, il se produit des troubles nutritifs dans les racines postérieures, une gr
ne (le Romberg, l'alaxie, celle-ci d'ailleurs fort légère. Point de trouble du senti- ment de position et de mouvement des
niveau sous l'influence des excitations mécani- ques. C'est donc un trouble acquis de l'innervation volontaire de certains
ssement ou une oblitération des artères affè- rentes des jambes, un trouble fonctionnel des vasomoteurs et une ischémie rel
r, ou bien, elle a été le jouet d'une illusion, peut-être même d'un trouble plus profond, d'un étal morbide en un mot. Un
cessivemenL delà céphalalgie, de l'irritabilité, de l'insomnie, des troubles dyspeptiques, de la constipation ; puis il eut
us les délires toxiquesprésententbeaucoup de symptômes com- muns. Troubles du langage musical chez les hystériques. 1. iNG
et ceux avec conservation de la conscience. Maladie été Dercum sans troubles psydtiques. M. LE l'LAV,à propos d'un cas surve
rite antibrachiale au cours d'un cancer intestinal , et, des cas de troubles graphologiques che· desparkiazsonazierzs. M. Me
s graphologiques che· desparkiazsonazierzs. M. Meige a vu ces mêmes troubles chez des gens normaux. )1. Dupré n'y voit qu'un
epuis 172 CLINIQUE NERVEUSE. quelques années sur l'existence de troubles choréiques chez les femmes enceintes, les cas p
hésie pharyngée. L'examen des fondions sensorielles ne révèle aucun trouble . L'audition est normale. L'acuité visuelle est
l de celle-ci. S ? estime débile intellec- tuelle congénitale ; les troubles choréiformes, installés depuis plusieurs années
r de l'inquiétude anxieuse, dont l'intensité se mesure il celle des troubles choréiques. La malade n'a jamais été atteinte d'a
ni stigmates, ni lésions de syphilis anciennes ou ré- centes. Les troubles choréiques, par leur intensité et leui fréquence,
enu, qui n'intéresse pas la masse de l'organe et, ne produit pas de trouble de la parole. Les mains présentent un trembleme
- cheur : D'après les renseignements fournis par la malade, les troubles moteurs auraient subi une certaine exaspéra- ti
disposition nerveuse individuelle favorise la prédomi- nance des troubles fonctionnels du système nerveux sur ceux des au
dé- veloppée, ils sont capables de la perdre et de réagir par des troubles psychiques, - on déduit forcément de cette conc
ble : c'est elle qui rend le mieux compte de l'exacerba- tion des troubles moteurs, prodromiques de l'attaque d'épilepsie
intoxica- tion gravidique que présentait notre malade. Enfin, les troubles nerveux n'ont exercé chez notre malade aucune i
néces- saire de faire intervenir une prédisposition spéciale aux troubles mentaux ; il n'y a qu'un choc moral trop fort p
Papadaki. (Nouv. Ieo7aog>. de la Salpêtrière, 1905, n° 2.) Les troubles cliniques déterminés par les fumeurs cérébrales
sous la dépen- dance du système nerveux qui agit en provoquant des troubles de la sécrétion el de la circulation lymphatiqu
et au Van Oiesuu. Au point du vuu clinique, on observe surtout des troubles mo- teurs et trophiqucs. Quant aux lésions hist
uer que l'atrophie des tissus profonds se fait en même temps que le trouble trophi- 'lue (Il' la peau, mais sans lui être s
myxoedème, mais taille extrêmement petite(0 m. 92 clin, à 10 ans). Troubles circulatoires ; intelligence endormie, paresseu
ment rapide des différentes parités du squelette, dispa- rition des troubles circulatoires, et réveil des fonctions psyclil-
214 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2c cas ; Surtout marqué par des troubles psychiques. Fixa- tion du système nerveux par d
gine rhumatismale de la téta- nie. G. C. - Maladie d'Addison avec troubles sympathiques ; par M. CHAYIGNY. (Soc. Méd. desl
de Lyo'n, 11 avril 1905.) Jlaladie d'Addison bien caractérisée avec troubles de la con- traction irienne et instabilité card
pulsations à la minute. L'auteur rattache ces deux symptômes à des troubles du sympathique. C. C. - Un cas de maladie d'Add
s troubles du sympathique. C. C. - Un cas de maladie d'Addison avec troubles sym- pathiques ; par IIDI..1. COURMONT, LESIEUR
os, respec- lant la face, les mains, les jambes et les pieds. Les troubles nerveux étaient caractérisés par de l'exophtalmie
; sensation fré- quentes de vapeurs à la face et même au tronc sans troubles vaso-moteurs appréciables. Les réflexes rotulie
otuliens sont très exa- gérés, la parole est lente, traînante, sans troubles intellectuels. Tremblement de la langue et mouv
ent, dit l'autour, d'un phénomène de rappel sous la dépendance d'un trouble circulatoire de l'encé- phale. Pour l'auteur, o
\'pt"l'0-l;pllCl)sl(' datant de IIL11tI1701S, il.l crises par jour, troubles psychiques, rétention d'urine, anorexie hystéri
de l'hystérie est que la lésion cardiaque crée l'hysté- rie par un trouble circulatoire cérébral. C'cstia pathogénie de l'
es étaient toujours accompagnées de phénomè- nes vaso-moteurs et de troubles congestifs internes du côté de la face. A 21 an
) L'auteur rappelle que l'élément fondamental dans le tic est. le trouble mental, le désordre de la volonté, facteur mental
culeux, et contracta plus lard la syphilis. A de 36 ans, il eut des troubles qui débutèrent lentement, et qui se carac- téri
S. de la cuisse, de la jambe et du pied. Plus tard apparurent des troubles urinaires, rectaux et génitaux, qui nécessitèrent
itaux, qui nécessitèrent son ad- mission. On notait à eu moment des troubles des réflexes, des douleurs, du l'hypocsthésie,
et des muqueuses uréLhoale et 1'1'('- tale. 11 avait également tles troubles de la sensibilité au chaud el au froid par régi
s furent normales, la réunion se fil par première intention, et les troubles signalés plus haut guérirent rapidement..1. S.
iculaire. MM. LEENHARDTet Noréro présentent une syringomyélique à troubles prédominants au membre supérieur droit dans les r
aphasique qui réapprit il parler mais qui présente encore certains troubles : parole hachée, lente, exigeant tout un travai
i après infection des symptômes (le paralysie ascendante aiguë avec troubles sphinctériensft menace d'accidents bulbai- res.
ents bulbai- res. Lymphocytose positive. D. IL amyoll'ophic, pas du troubles de la sensibilité. Guérison par l'électrisation
du trou stylo-mastoïdien ; l'hémispasme durait depuis seize ans. Trouble du langage musical. M. i\Al HAN. - 11 s'agit d'
BR\O\'1TCH et, Gougerot rapportent le cas d'un lépreux chez qui les troubles psychiques délirants hal- lucinaloircsel amnési
LIOGRAPHIE nI. - Revue des thèses de Nancy, hal ? l'nRr'. 1,-Di,s troubles oculaires surtout fonctionnels causés par la foud
'nl'- lion (les ultra-violets. Il étudie ensuite spécialement les troubles fonctionnels intérussanls pour lu nel1l'ologisll'
nel1l'ologisll', ri dont 1'inlcrprélalion reste assez délicate. Ces troubles ne tlillt'l'rnl IH ! " du ceux déjà décrits à l
nombre; variables, par leur aspect (hémianopsie, scotoll1e, cécité. troubles delà vision des couleurs) eLpar leur étiologie ;
qui rejetant le diagnostic tl'hysL{I'o-lr'aumal¡sl11e attribue lus troubles présentes, à une psycho-névrose oculaire d'orig
? 11 lie oculaire. VI. De la psychose aiguë post -infectieuse avec troubles du ltm- gage chez l'enfant ; Par le IPE. R. D
Ce travail, exécuté à la Clinique infantile, a en vue l'étude des troubles mentaux posttebriles chez l'enfant au-dessous de
troubles mentaux posttebriles chez l'enfant au-dessous de 15 ans. troubles décrits habituellement sous le nom du délire du r
avis de l'auteur, malgré le titre du sa thèse) que l'association de troubles du langage avec la confu- sion post-infectieuse
ssez variable, s'accompagne ou non du manifestations délirantes, de troubles physiques, mais rentre bien dans le cadre du la
,lonLcurtles concep- liona, obnulrilation. (luoi qu'il un soit, ces troubles du langage et du l'écriture sont bien décrits p
u moindre signe d'impatience, à la plus légère remontrance, il se trouble et ne sait plus rien faire. 1897. - L'améliorat
dation Vallée en juillet 1904, à l'âge de 6 ans 1/2. - Idiotie avec troubles du langage et turbulence par intervalles, avec
ns cru pouvoir en tirer quelques considérations générales sur les troubles mentaux en rapport avec ces traumatis- mes crân
exige que le médecin connaisse la pathogénie et le pronostic des troubles mentaux consécutifs au traumatisme. Au point de
vue pathogénique, il faut naturellement envisager deux variétés de troubles mentaux : ceux qui surviennent chez les sujets
ystique ultérieure. Pas d'hérédité, persistance de l'épilepsie avec troubles mentaux associés, mais pas de trou- bles moteur
e la voûte ayant entraîné le trépan dans les deux cas. Epilepsie et troubles mentaux associés (trépa- nation sans disparitio
ie et troubles mentaux associés (trépa- nation sans disparition des troubles physiques ni mentaux). Dans le deuxième de ces
1894, sans succès d'ailleurs au point de vue de l'épilepsie, ni des troubles mentaux, puisqu'il passa à l'asile. La hromurat
, le 19). Père mort de rupture d'anévrisme. Plu- sieurs frères sans troubles nerveux ou mentaux. Observation V. - Cerf ? qua
ion attestent bien nettement qu'ils sont en rapport direct avec les troubles mentaux, indépen- damment et sans préjudice des
nts, le 9 juillet 1900, sur la demande de sa femme. Il s'agit là de troubles mentaux transi- toires immédiats ; reste' savoi
es. 3° Date d'apparition. Pour transitoires que parais z sent les troubles mentaux immédiatement consécutifs, ils n'en son
traumatisme ancien, devient surtout délicat, d'autant plus que les troubles mentaux crui se montrent plusieurs mois ou plus
e de l'oeil gauche. Embarras de la parole, état démentiel simple. Troubles sphinctériens notables. La ponction lombaire est
de la FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 315 parole. Trouble paralytique de l'écriture. Inégalité pupillaire :
t, imputer à M. Régis laconfu- sion d'un délire alcoolique avec des troubles mentaux autres, consécutifs aux traumatismes. O
n évidente entre le traumatisme, leschok, physique ou mental,et les troubles consécutifs. Cette forme s'observe surtout chez
s comme de nature secondaire. La m. primitive doit son origine àdes troubles de circulation dus à un processus morbide artér
n nombre plus restreint de grandes cellules. L'interprétation des troubles de l'équilibre et du nystagmus est facile ; ils
e lé- sion réparable du centre spinal réflexe. P. KERAVAL. XXXIV. Troubles congénitaux des mouvements des yeux; par AtENFE
de Babinski n'a été trouvé qu'une seule fois. Il n'y a jamais eu de troubles intellectuels même dans les types paralysie lab
sations. Aussi la méningo-encéphalite qui chez l'homme,provoque des troubles prédominants dans la sphère de la mémoire et du
duit chez le chien l'abolition des perceptions et secondairement le trouble intellectuel. Les lésions observées chez le chi
IE Séance du mardi 20 mars 1906. Présidence de M. Jules Voisin. Troubles fonctionnels causés par un kyste hydatique de l'e
t par la simple suggestion. ;\1. Paul FAREZ. - Qu'il y ait simple trouble fonctionnel ou lésion organique, la sollicitati
nt de la lec- ture à l'usage des enfants arriérés ou présentant dos troubles de la parole, par Joseph Boyer. Edition illustr
eux cas observés dans le service nous ont paru/cor- respondre à des troubles mentaux développés à assez^n- gue échéance (3 o
se traduisaient par une dépression psy- chasthénique accompagnée de troubles somatiques tels que ceux de la mélancolie attén
énique et douleurs erratiques variées (rougeurs et dermographisme), troubles vasomoteurs. Préoccupations monotones relatives
e réel dont il est difficile d'établir le rapport effectif avec les troubles nerveux et mentaux actuels;une partie semble to
13 juin 1903.) - Hospitalisé dans le service depuis plus d'un mois, trouble actuel- lement le repos des malades, dangereux
lle amnésie ne ressemble pas a celle que l'on observe à la suite de troubles épileptiques, de lésions circonscrites du cerve
entrée à l'Asile. Il.; n'ait pré- senté aucun accidenl rappelant un trouble comitial. Il convient d'observer encore que la
ibré, n'a joué qu'un rôle occasionnel accessoire dans révolution du trouble intellec- tuel dont est atteint [tous ? Ce mala
ouble intellec- tuel dont est atteint [tous ? Ce malade exagère ses troubles intellectuels en ce qui concerne ceux de la mém
celui-ci de plus ou moins réagir étant sus- éeptible d'aggraver les troubles dont il se plaint. (Tribunal civil de Valencien
toire clinique de la malade montre chez elle une prédisposition aux troubles mentaux qui se révèlent pal' quelques tares et
ourrait admettre des accidents cérébraux traumatiques réalisant des troubles mentaux analogues à ceux des dé- générés, sorte
bides héréditaires et personnels, en même temps que , la nature des troubles moteurs et psychiques relèvent manifestement d'
e mériterait d'être étudié par un spécialiste. » Sur le terrain des troubles cérébraux ou mentaux as- sociés au traumatisme,
emi-conscience du malade pourrait lui permettre d'exagérer certains troubles nerveux ou cérébraux réels, et par difficulté d
er blessé à la tête par une voiture aurait éprouvé ensuite certains troubles des facultés. Une demande d'indemnité ayant été
ce des- quelles l'expert se trouve placé lorsque l'éventualité de troubles psychiques est à prévoir (traumatisme du crâne
u malade, ou tout au moins un sympôme phy- sique, tel que céphalée, troubles moteurs ou sensitivo- sensoriels. Il faut, en o
chologi- que comportera de même ces deux points de vue, celui des troubles mentaux spéciaux en rapport avec le shock récen
peuvent se succéder : 1° Il peut y avoir incapacité temporaire par troubles mentaux passagers immédiatement consécutifs à l
ubles mentaux passagers immédiatement consécutifs à l'acci- dent, troubles susceptibles de guérir ; 2° Après sortie de l'a
vec ou sans incapacité partielle intermédiaire. Nous savons que les troubles psychiques tardifs sont particulièrement graves
ssi des relations de causes à effets possibles entre la folie et le trouble accidentel, ne manqueront, pas, dans un avenir
s psychoses de la migraine et de l'épilepsie. Il en est de même des troubles vasomoteurs, sécrétoires, trophiques, ainsi que
us l'influence d'un état impulsif ou d'une perversion sexuelle avec trouble du domaine mental. C'est le premier groupe de c
rose palmaire. Ce syndrome paraît être lié à la pellagre et être un trouble trophique du système nerveux comme les syndrome
rencontre certains signes qui ne trom- pent pas un médecin exercé, troubles digestifs, arythmie du pouls, hypothermie, trou
médecin exercé, troubles digestifs, arythmie du pouls, hypothermie, troubles persistantsdu caractère. Les rémissions ont tou
ujet manifesta des phé- nomènes syncopaux à la suite d'un coït avec troubles neurasthé- niques graves qui ont persisté longt
tres lier- veuxproduisant la suracliv ité thyroïdienne, et due à un trouble de fonctionnement de l'hypophyse. )1. IL RE
sont en hyperextension et en supination forcée. Otosclérose avec troubles labyrinthiques. M. BONN 1ER présente une malade
nt l'un en voie de guérison,accusant la mobilité et la fugacité des troubles parétiqueset leur accroissement par la fatigue.
re progressive, l'atrophie des phalanges. M. EGGER relate un cas de troubles des mouvements conjugués de la tète et des yeux
al. F. 1301SSIER. BIBLIOGRAPHIE Y, - Enquête scolaire sur les troubles de la parole chez les éco- liers belges : par R
flexions suivantes. Les écoliers de première année présentent des troubles de la parole : mais, au cours des études, les blé
garçons et 1.5 "0 des filles qui ne soient pas débarrassés de leur trouble après six ans. lln'en est pas de même du bégaie
qu'un institut central soit né dans chaque région pour corriger les troubles graves et servir d'école d'application aux futu
utre de quelques graphiques indiquant clairement la progression des troubles de la parole sui- vant l'âge, l'état intellectu
. XXI. Juin 1906 No 126 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Troubles mentaux dans la sclérose latérale # amyotrophiq
r-Médecin de l'Asile d'aliénés de la Roche sur-l'on. L'existence de troubles mentaux dans la maladie de Charcot n'est pas ad
ymond et Cestan dé- clarent n'avoir trouvé chez leurs malades aucun trouble intellectuel, ni perte de la mémoire, ni idées
de psychiatrie les plus récents, un seul consacre un paragraphe aux troubles mentaux de la sclé- rose latérale amyotrophique
ndent à démontrer que, dans la sclérose latérale amyctrophique, les troubles mentaux peuvent exister, non seulement sous la
é absolument normale. Prolapsus rectal dès fréquent, engendrant des troubles dans lamiction et desbesoins fréquents. Pas de
clérose latérale amyotro- phique, ce malade présente un ensemble de troubles mentaux qui constituent une véritable psychose
emps mais néanmoins progressive et de plus en plus accusée. A ces troubles démentiels et affectifs s'ajoutent des raptus m
ques observées chez ce malade : d'un côté les symptômes démentiels, troubles de déficit dus à la participation précoce du co
t de se faire comprendre. Il y a trois ans environ que parurent les troubles mentaux à la suite d'une accusation de vol port
bservation, l'élément démentiel est tout à fait au second plan. Les troubles vésaniques, bien que rappelant encorela psychos
déjà de sclérose laté- rale à évolution lente, se met à accuser des troubles men- taux d'une gravité menaçante et nécessitan
teint depuis six mois de paralysie générale avec accès délirants et troubles men- taux qui nécessitent son internement ». Dr
des centres nerveux (sclérose latérale amyotrophique) compliquée de troubles mentaux de nature dé- mentielle et d'excitation
. Tous les modes delà sensibi- lité sont intacts; notamment, pas de troubles de la sensibilité thermique. Aucun phénomène oc
rauque et sonore. La bouche est presque constamment béante. Pas de troubles de la respiration ni delà circulation. Pendan
rvation, nous voyons évoluer à la fois l'affection médullaire et un trouble mental dont la physio- nomie est vraiment remar
es crises d'a- gitation pendant lesquelles il apporte le plus grand trouble dans la salle ». L'enquête révèle les faits s
que la sclé- rose latérale amyotrophique peut être accompagnée de troubles mentaux d'un caractère plus ou moins grave, dep
des débi- les. Cette induction s'accorde bien avec la nature des troubles mentaux observés, qui sont ceux de la démence g
u contraire, avec Marinesco, qu'elles doivent être attribuées aux troubles nutritifs cellulaires qui suivent la suppression
ntensité sans modifications appréciables objectives de sensibilité, troubles des réservoirs, grosse rate, pas d'adéno- pathi
t la dernière semaine de la vie, coïncidant avec l'ap- parition des troubles de la sensibilité, à type syringomyélique. Hype
s, ce qui indique une action du foie dans la pathogénie de certains troubles délirants, ce qui nous ramènerait à la vieille
ladie, soupçonnée pour d'autres raisons comme étant à l'origine des troubles mentaux : c'est ainsi que les déli- res des alc
u cordon postérieur. L'hérédité vient du côté maternel seulement. Troubles vaso-moteurs hystériques. M. CLAUDE montre un h
oite. Syringomyélie avec hystérie. Astasie-abasie associée il des troubles organiques. MM. Raymond et LEJONNI : . Jeune ti
s moteurs et sensitifs. Ce sont tles hémiplégies avec un minimum de troubles moteurs et un maximum de troubles sen- sitifs,
es hémiplégies avec un minimum de troubles moteurs et un maximum de troubles sen- sitifs, avec hemi-ataxic, astéréognosie, e
rite interstitielle hyperlrophique avec tremblement intentionnel et troubles de la parole. , 504 asiles d'aliénés. Clonu
rdeaux 1905-190G.) , On observe, chez les paralytiques généraux, un trouble parti- culier du caractère, communément désigné
s sympathiques, par Chavi- gny, 215. - Un cas de maladie d'- avec troubles sympnthi- ques, par Courmont, Lesieur et 'l'h
ac- cidents du travail, par A. Ma- rie, 305, 353. Foudre. Voir Troubles oculaires. Gangrène. Voir Névrite. Gasser. Vo
écissement mitral, par Roque et Corneloup, 217. Hystériques. Voir Troubles , - (Phénomènes spasmodiques). Idiotie amaurot
la dure-mère il parois ossifiées, par Aubry et Lucien. SJ. - Voir Troubles fonctionnels. Laboratoires. Organisation des
drome de ? par Sicard et 131111ci,, 423. Langage l11usbal. Voir Troubles . Lépreux. Vnir Korsakoff. Lésions cellulaires
justifiée en nosologie, par Lundborg, ]44. Myosthésiomètre. Voir Troubles . Myotonie congénitale, par \feens, 108. p'tne
Ophtalmoplégiëg systématisées, par Ballet, 225. Otosclérose avec troubles labyrin- thiques, par Bonnier, u22. Oreille.
aement, par Deroulrtix, 52. De la - aiguë post-infec- tieuse avec troubles du langage chez l'enfant, par Daiche. 232. El
, - A propos de la dé- finition de la -, par Favre, 229. - - Voir Troubles fonctionnels, Neurasthénie. Suicide d'adolesc
dorsal, sans complication d'hé- miplégie, par Donath, 329. Voir « Troubles . - Etude critique sur le - infantile juvénile,
tentionnel limité du membre supérieur gauche, par Bouchaud, 46. Troubles du langage musical chez les hystériques, par In
58 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
e la localisation topographique et de la prédominance de tel ou tel trouble , sensitif, vasomoteur ou trophique. Grâce à ces
andes classes d'asphyxie chronique : 1° Celle avec prédominance des troubles sensitifs. C'est l'acro-cyanose chronique ci fo
) Souques et GASNE, Un cas d'hypertrophie des mains et des pieds avec troubles vasomoteurs des extrémités chez un hystérique (
er les objets.... ,. Dynamomètre : 14. Il n'y a pas actuellement de troubles trophiques, mais il y a deux ans, sur les doigt
faute de renseigne- ments précis. Les pieds sont grands et gros ; troubles vasomoteurs envahissant seulement les orteils e
ps thyroïde, organes génitaux : rien de spécial à signaler.' Pas de troubles psychiques, mais l'intelligence est au-dessous de
t (1) Meyer, Sur un gonflement éléphantiasique des deux jambes avec troubles vaso- moteurs d'allure particulière aux mains e
que car le sque- lette facial est normal ; il n'y a ni céphalée, ni troubles de la vue. Et, d'autre part, on ne relate pas d
'âge de 2 ou 3 ans. L'acuité visuelle est un peu diminuée. Pas de troubles de l'audition, du goût ou de l'odorat. NOUVELLE
s, il éprouve des picotements et des lancées. On ne constate pas de troubles de la sensibilité tactile, ni de la sensibilité à
ême des doigts et non sur l'extrémité même; de plus, l'existence de troubles vasomoteurs suffit à exclure l'idée d'un syndro
ement et considérablement inté- ressée : il y a de la céphalée, des troubles visuels, tous symptômes qui manquent dans l'acr
contraignant à passer un long temps au froid, sont plus exposés aux troubles vasomoteurs. Dans maints cas, les antécédents h
peut, dans la majorité des cas, préciser exactement l'année où les troubles se sont montrés, et répond que son affection re
acquis toutefois : c'est que la cyanose locale est produite par un trouble atteignant les vasomoteurs, paralysant les vaso
le. Par le mécanisme de cette stase sont engendrés, rapidement, des troubles nutritifs des tissus : d'où névrites légères, a
insi que la sécrétion nasale. La muqueuse du nez ne présente pas de trouble d'aucun mode de sa sensibilité. La rhinoscopie a
logie pathologique, car elle ouvre des aperçus fort curieux sur les troubles trophiques en général. En somme, voilà une affe
alité pupillaire, ni inégalité des pouls carotidiens, ni surtout de trouble vasomoteur manifeste. En présence d'une affecti
du rétrécissement mitral s'affirmant avec l'unité de son cortège de troubles locaux et généraux ; le type acquis, au contraire
eau de la jambe gauche, blanche, lisse, douce au toucher était sans troubles de la pigmentation ou du système pileux. Son cont
était un peu douloureuse de même que la marche. Il n'y avait aucun trouble de la motilité, de la sensibilité, ou des différe
RESSIF 33 Circonférences : 34 SICARD ET LAIGNEL-LAVASTINE aucun trouble des sensibilités objectives tactile, douloureuse
ique des nerfs et des muscles pratiqué par M. Huet n'a montré aucun trouble qualitatif ou quantitatif des réactions électriqu
intérêt les récentes obser- vations que Fôrster a publiées sur les troubles de la localisation tactile chez divers hypoesth
inesse de localisation soit émoussée et vice versa. Par contre, les troubles de localisation tactile marchent toujours de pa
. Sans doute le malade est tuberculeux des poumons, mais s'il a des troubles digestifs, des ballonnements passagers, c'est par
acromégale dans son ensemble et le sujet n'est pas gaucher. Aucun trouble fonctionnel des membres inférieurs. Vers l'époq
à la douleur. L'examen de la sensibi- lité permet de constater les troubles suivants. La sensibilité tactile est simplement
he m'est pas déformée, mais on y retrouve quelques craquements. Les troubles de la sensibilité sont approximativement les même
ou tardive, peut se révéler sur un même individu, à la fois par des troubles de nutrition, des dystrophies, et par des lésio
es de mouvement fébrile passager. Plus tardivement apparurent des troubles sensoriels : amaurose avec de l'exophtalmie ass
, ou de lésions destructives localisées, évoluent parallèlement des troubles généraux, des symptômes de déchéance intellectu
a localisation des centres visuels, mais elle montre les différents troubles déterminés chez l'homme par la sclé- rose symét
le urinait souvent au lit. Après ses crises, la malade présentait des troubles mentaux graves : elle était violente et menaçai
Rien à noter du côté de la sensibilité et de la motricité. Pas de troubles de la parole articulée. La malade s'exprime facil
elle n'est pas conci- liable avec les faits anatomiques. Le premier trouble que présenta notre malade fut une diminution de
els qui devaient dans la suite devenir insensibles à la lumière. Ce trouble fut toujours le premier à apparaître. La reconnai
rde au contraire avec l'opinion de Vialet(2) qui soutient « que les troubles dans la perception des couleurs résultent de lési
E MEDECINE DE LYON UN CAS DE MYOPATHtEATROPHtQUE PROGRESSIVE AVEC TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ, PAR R M. LANNOIS, Agrégé
ais présentant un phénomène rarement signalé dans la myopathie, des troubles de la sensibilité subjective el objective : dou
e dans une cave). Mais n'eut dans cette période d'alite- ment aucun trouble de la motilité et de la sensibilité. Vers l'âge
pied, il repartait pour retomber plus loin. En même temps que les troubles parétiques, douleurs dans tous les mem- bres, l
rière. T. XVI. PI. XXIII MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE .tvec troubles de la sensibilité. (Lannois et arot.) MYOPATH
face. L'expression du visage est normale et intelligente. Pas de trouble de la mimique. Cou et tronc. Pas d'atrophie des
s nombreuses quand le malade est assis. Senibilité. Il existe des troubles non douteux de la sensibilité. Sensibilité subj
dination. - Pas de mouvements cboréïques ou atliétosiques. Pas de trouble des spliincters. Pas de symptômes oculo-pupilla
ouble des spliincters. Pas de symptômes oculo-pupillaires. Pas de troubles psychiques : intelligence et caractère normaux.
de troubles psychiques : intelligence et caractère normaux. Pas de troubles de la parole. Le malade présentait à son entrée
omène cadre mal ici avec le reste du tableau : c'est la présence de troubles de la sensibilité, troubles à la fois subjectifs
reste du tableau : c'est la présence de troubles de la sensibilité, troubles à la fois subjectifs et ob- jectifs. Les douleu
eux. Mais ce qui est tout à fait exceptionnel, c'est la présence de troubles objectifs de la sensibilité ; nous avons trouvé
que simple. C'est aussi un nerveux : nerveux par la présence de ces troubles de la sensibilité, nerveux aussi par ses antécéde
es frères ou soeurs sont morts de mé- ningite ; une soeur avait des troubles psychiques et s'est suicidée; lui- même avait c
ex- pliquerait ainsi les cas où, comme dans le nôtre, on trouve des troubles de la sensibilité. Pareille explication ne pour
gne d'Argyll, de la lymphocytose du liquide céphalo- rachidien, des troubles urinaires et une abolition des réflexes tendineux
St-André de Bordeaux, salle 12, lit 32. Il a, depuis deux ans, des troubles gastriques intermittents qui se traduisent par
. Depuis la même époque, cet homme a de la diplopie. Il n'accuse ni troubles génito-urinaires, ni incoordination motrice ; i
membres supérieurs ont conservé leur dexté- rité. Il n'existe aucun trouble du sens de la direction. Tous les objets mis da
eux étant fermés, sont immédiatement reconnus. On ne constate aucun trouble de la sensibilité de la peau et des muqueuses,
la forme la plus commune des crises gastriques du tabes ; 2° Des troubles oculaires avec diplopie caractérisés par l'abolit
tion tardive de l'liérédo- syphilis. Ce labes s'est traduit par des troubles oculaires, par des crises gastriques, par l'abo
lexes tendineux. Le signe de Romberg, l'incoordination motrice, les troubles sensitifs faisaient défaut : il en est souvent
. C'est une fille de con- stitution robuste. Elle ne présente aucun trouble intellectuel et répond nette- ment aux question
tuel et répond nette- ment aux questions qui lui sont posées. Aucun trouble de la vue ni de l'ouïe. Pas de céphalée. . On
, 189.'i. 160 SPILLMANN ET RIOCTIE deuxième phase, survinrent des troubles respiratoires (bronchite capil- laire), qui emp
mbe droite,puis dans la jambe gauche ; mais les carac- tères de ces troubles sensitifs ne sont pas précisés par l'observation,
r leur caractère névralgique, paroxystique, leurs irradiations, les troubles mo- teurs et trophiques rapidement consécutifs,
qu'il représentait un type de géant pur, bien proportionné et sans troubles fonctionnels, c'est-à-dire sans acromé- 164 LAU
uses des poumons, la suppuration due à une fistule anale, enfin des troubles nerveux divers furent les derniers incidents pa
a patbogénie du diabète, Rendu relevait l'absence de céphalée et de troubles visuels contre l'hypothèse d'une tumeur pituitair
t avec les dimensions exagérées de sa stature. On constate quelques troubles parétiques du côté des membres supérieurs et une
abondante, datant de plusieurs mois et indiquant par elle-même des troubles de l'assimilation. En même temps K. est devenu
iminution ou augmentation de la fonction, mais est le résultat d'un trouble combiné de cette fonction. L'histoire de notre
s peuvent s'associer, en raison de la situation de l'hypophyse, des troubles oculaires. Ces derniers manquent dans no- tre c
ls après. l'excitation de' la plante des pieds, il n'y avait pas de troubles de la miction, ni de nystagmus aux yeux, ni de
vait pas de troubles de la miction, ni de nystagmus aux yeux, ni de troubles de la parole. Aussi avons-nous écarté la pensée d
veux et avons-nous. été tout naturelle- ment conduits à songer à un trouble névropathique et tout d'abord à une contracture
mmes pas bien certains qu'il n'y ait pas quelques rapports entre le trouble présenté par ce malade et la paralysie agitante.
niens. Il a noté, dans ces périodes et chez ces individus, bien des troubles ana- logues à ceux que nous observons ici et il
s avons notée chez la jeune femme. Il n'y a pas de nystagmus, ni de troubles de la parole : cela reste bien pour nous un tre
les entérop- toses, etc. Vers cette époque surviennent aussi des troubles moraux, des obsessions hypocondriaques, des peu
érie. Il n'y a pas lieu d'attirer l'attention des malades sur leurs troubles ; ils n'ont pas perdu la sensibilité, ni la consci
. Il n'y a pas d'incoordination des mouvements les yeux fermés. Les troubles moteurs cessent pendant le sommeil. Tous les
e point de contact de l'arme est en dehors du point de Erb. Aucun trouble de la sensibilité dans le membre supérieur droit,
ystérie. Tous les réflexes sont intacts et égaux des deux. côtés. Troubles vasomoteurs : poussées de rougeur du visage rares
des poils ni des ongles, pas de tumeur dorsale du poignet. - Pas de troubles sécrétojres, pas de sueurs plus abondantes ni p
un grand nombre d'éphélides disposées sous forme ponctuée. Aucun trouble visuel, pas d'anesthésie cornéenne, pas de rétréc
champ visuel, pas de paralysie des muscles moteurs de l'oeil, ni de troubles de l'accommodation, ni de troubles pupillaires.
muscles moteurs de l'oeil, ni de troubles de l'accommodation, ni de troubles pupillaires. Etat mental : L... est intelligent
ouvements respiratoires sont normaux, rien à l'auscultation. Pas de troubles circulatoires ni urinaires. Pas de troubles de
l'auscultation. Pas de troubles circulatoires ni urinaires. Pas de troubles de l'état général. Le diagnostic peut hésiter e
de troubles de l'état général. Le diagnostic peut hésiter entre un trouble fonctionnel du membre su- périeur et une affect
règle dans ce cas ; dans le type Duchenne-Erb, en particulier, les troubles paralytiques d'origine névritique n'atteignent
tacts dans notre observation. Nous ne consta- tons pas davantage de troubles de la sensibilité très communs au contraire dan
la sensibilité très communs au contraire dans les névrites, pas de troubles des réflexes, sécrétoires ou trophiques, à pein
troubles des réflexes, sécrétoires ou trophiques, à peine quelques troubles vasomoteurs (poussées de rougeur au visage, eng
e du biceps brachial, l'effacement des pectoraux à droite, quelques troubles fonctionnels du grand dorsal, nous condui- sent
faisceau claviculaire du grand pectoral, et, d'autre part, par des troubles fonctionnels du muscle sous-épineux (adduction
cas de Giraudeau : paralysie des muscles sus- et sous-épineux, sans troubles de la sensibilité, ni troubles cutanés trophiques
s muscles sus- et sous-épineux, sans troubles de la sensibilité, ni troubles cutanés trophiques ou oculo-papil- laires (cité
uel de Path. int., t. III, p. 841). Mais il est à remarquer que les troubles fonctionnels des muscles élé- vateurs de l'épau
ait agi à un moment donné sur le plexus brachial ? Le diagnostic de trouble fonctionnel des muscles élévateurs de l'épaule
es déterminés, l'intégrité des réactions électriques. l'absence des troubles de la sensibilité et des réflexes, enfin" l'évolu
itation matérielle des centres ou conducteurs nerveux, ou d'un tic, trouble psycho-moteur ? (Brissaud, Meige et Feindel). A
nce même du tic ; ce dernier n'est constitué que par la réunion, au trouble moteur, d'un trouble mental lié, lui-même, à de
dernier n'est constitué que par la réunion, au trouble moteur, d'un trouble mental lié, lui-même, à des imperfections psych
n'appartient pas exclu- sivement aux névroses professionnelles; des troubles de cette fonction marquent souvent le point de
ité longtemps pour un gmphospasme. Le caractère pathognomonique des troubles moteurs professionnels est, de « se produire à
, et uniquement en celte occasion » (3). Or, chez notre malade, ces troubles primitivement localisés à la main et limités à la
que celui de porter la main à la bouche pour manger. De plus, le trouble moteur est double en quelque sorte, et constitué
anifestent pas toutes les fois que le sujet essaie d'é- crire ; les troubles de l'écriture sont infiniment plus accusés quand
lacement de la main droite en hauteur et sur sa paume reflétant les troubles moteurs de l'épaule et du bras indépendamment de
u type ordinaire de la crampe des écrivains. Selon 11. Meige, Les troubles dans la fonction de l'écriture sont extrê- meme
bras en dedans. Quelles conclusions tirer de ces remarques ? Ces troubles ne relèvent certainement pas d'une lésion organiq
tifiée lui permet alors de corriger ses mou- vements vicieux. - Les troubles dans la fonction de l'écriture s'expli- quent d
orme tonique. Un autre caractère distinclif est tiré de l'élude des troubles de la sensi- bilité, des réactions électriques,
ète de l'état mental entraînant des modifications très heureuses du trouble moteur. N'est-ce pas là encore une vérifica- ti
n peu accusée. Il y a, dans l'espèce, deux faits il con- sidérer,le trouble moteur d'une part, et ensuite l'habitude prise pa
, conséquences d'hyperac- tivité musculaire dépendant uniquement de troubles fonctionnels; les unes et les autres peuvent êt
tude analogue à celle du torticolis mental ou du trismus mental. Le trouble moteur « se manifeste par l'immobilisation exag
). Les contractions musculaires sont souvent très fortes, et si les troubles moteurs de l'épaule disparaissent facilement, c
ule de mouvements du membre supérieur droit qui semblait relever de troubles fonctionnels du muscle sous-épineux, provenait en
e contrôle du miroir a d'ailleurs corrigé assez facilement tous ces troubles moteurs. (1) Meioe et Feindel, Tic clonique el
sous la double surveillance médicale et maternelle, au point que ce trouble a presque complètement disparu. Nous attendon
temps une tuméfaction analogue, qui évolua toujours sans amener aucun trouble fonctionnel ou douloureux. Un médecin pratiqua
e asymétrie crânienne. Examen du système nerveux. - Il n'y a pas de troubles moteurs ; les mus- cles conservent leur tonicit
ni au niveau des lésions, ni en dehors d'elles. Mais par contre les troubles sensitifs sont accusés au niveau de la lésion a
it croire l'aspect inflammatoire de la région. En résumé : pas de troubles sensitifs nets en dehors delà région tibio-tarsie
hors delà région tibio-tarsienne où il existe une superposition des troubles sensitifs et trophiques. Pas d'incoordination m
s sont égales. Pas d'anesthésie cornéenne ; léger nystagmus ; aucun trouble moteur du globe oculaire. Le réflexe pupillai
rthropathie trophique. Il suffirait de rappeler la superposition de troubles sensitifs aux lésions articulaires, et le contr
existait entre les désordres anatomiques et le peu d'intensité des troubles fonctionnels. Mais il y a plus. Au processus de
es musculaires plus considérables, enfin souvent on trouve d'autres troubles trophiques. Restent alors le tabes et une myé
qui présentait une arthropathie de l'épaule gauche avec différents troubles nerveux qui ont fait admettre la nature syringo
uscle biceps et s'ouvre dans l'articulation ; elle donne un liquide trouble , et dans cette articulation on a trouvé des corps
i ne font ni un simple tremblement ni un mouvement choréique, ni un trouble de l'équilibre ataxique, mais quelque chose de
ent dite ? Il y a des auteurs qui nient absolument l'existence de troubles mentaux non paralytiques dans le tabès; cependa
ntes dont le point de départ, peut-être, doit être cherché dans les troubles fonctionnels et sensitifs des malades, et fort
aires. réflexes rotuliens et réflexes plantaires abolis. Il y a des troubles de la sensibilité, troubles des fonctions vésical
réflexes plantaires abolis. Il y a des troubles de la sensibilité, troubles des fonctions vésicales : il faut sonder la mal
électrique et volontaire n'est pas modifiée et on ne constate aucun trouble de la motilité. Il n'existe également aucune al
la glande thyroïde et l'absence de métrorrhagies, d'attri- buer les troubles trophiques de D... à une insuffisance thyroïdienn
loppement lentement progressif, comme on le verra plus loin, de ces troubles et l'absence de stigmates suffisent pour éliminer
mari, elle n'existait pas lorsqu'il a été obligé, en raison de ses troubles mentaux, de placer sa femme à l'asile Ste-Anne.
, et, d'autre part, la coexistence de ce processus adipeux avec des troubles psychiques, à la vérité d'origine alcoolique, c
'années après, c'est-à-dire vers l'âge d 47 ans, que débutèrent les troubles intellectuels, caractérisés d'abord par des mod
ièce d'ivro- gnes, ivrogne elle-même, qui, après avoir présenté des troubles intellec- tuels d'origine manifestement alcooli
définitif. Tant par l'aspect morphologique de la malade que par les troubles psychiques dont elle est atteinte, notre observ
sans cesse qu'il aille et 292 HASKOWEC vienne dans sa chambre. Le trouble s'aggrave encore s'il est assis devant un établ
ptômes décrits par M. Haskowec : des secousses, de l'agitation, des troubles de la respiration, de l'angoisse qui sur- vienn
ui vont peut-être nous mettre sur la voie d'une interprétation. Les troubles que nous venons d'observer sont assurément exa-
ais ils ne sont pas tout à fait absents dans d'autres attitudes. Le trouble se manifeste également dans la station debout : s
tics de la bouche parce que son métier était de parler. Tous ces troubles , tics, crampe des écrivains, impulsions à la marc
ble examen clinique. On recherchait surtout chez eux l'existence de troubles de la sensibilité, l'anesthésie à la piqûre, et c
sur son corps les stigmata diaboli : oedèmes, ulcérations cutanées, troubles trophiques d'origine nerveuse, ou simplement des
squ'à la paume de la main, et sans possibilité de régénération, les troubles fonctionnels ont été peu importants. L'op- posa
servait régulièrement de la main gauche et ne se plaignait d'aucun trouble fonctionnel. Nous renvoyons à l'observation du
l'observation du Dr Péraire pour tous les détails con- cernant ces troubles moteurs et sensitifs qui ont été recherchés, ains
eurs irradiées dans le territoire de ce nerf. A l'âge de 23 ans les troubles sensitifs nécessitent une intervention, et le Dr
OME ADIPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 333 A la suite de cette opération, les troubles moteurs sont limités à une paralysie des muscle
ement observé des faits de section complète du tronc du médian sans troubles sensitifs consécutifs. On peut en rapprocher le
. Mais nous croyons qu'il faut. en tout cas, tenir grand.compte des troubles vasomoteurs, constants après la névrectomie, qui
aire.Kraepelin, à la vérité, a signalé dans la démence précoce, les troubles vasomoteurs, la cyanose, les oedèmes, mais les
(cataleptoides, flexibilité cireuse) sont moins importantes que les troubles précédents, car elles se peuvent rencontrer dan
essayer de rendre le diagnostic plus clair. Etudions d'abord les troubles mentaux. L'idiotie myxædérnateuse ne nous arrêt
lûi', étant même probablement, tout au moins indirectement liée aux troubles encéphaliques. Dans tous les cas, la régression s
diagnostic est simple puisque dans le pseudo-oedème catatonique les troubles mentaux sont primitifs et très spéciaux ; que l'o
de la même famille peuvent être atteints de cette affection. Les troubles mentaux n'avaient point été signalés à l'origine
act d'attribuer une valeur diagnostique quelconque à l'existence de troubles mentaux qui souvent manquent et qui, quand ils
on dans la rapide revue symptomatique que nous allons tenter. Les troubles mentaux sont très fréquents mais non constants ce
rtant de cas examinés dans ce sens, nous fixerait sur la nature des troubles mentaux, la plupart des observations présentant
hésitante (Oddo et Chassy), la parésie de la 3e paire (Dercum), des troubles secrétoires comme l'hypohydrose (Henry), des tr
(Dercum), des troubles secrétoires comme l'hypohydrose (Henry), des troubles trophiques comme la xérodermie (Jiudiceandrea).
le corps thyroïde altéré retentit sur le cerveau, d'autre part, les troubles cérébraux auront grand'chance de retentir sur le
s individus qui présentent du pseudo-oedème catatonique, et que ces troubles sont eux-mêmes consécutifs aux troubles de la cir
ème catatonique, et que ces troubles sont eux-mêmes consécutifs aux troubles de la circulation cérébrale- On voit donc que d
irculation cérébrale- On voit donc que d'après cette conception les troubles mentaux seraient primordiaux. Les altérations t
ter dans le domaine des faits très admissibles, nous dirons que des troubles de la circulation cérébrale peuvent agir sur le
mérie spinale. Dans notre conception, l'importance considérable des troubles cérébraux n'échappera pas et'si nous avons prop
ue les manifestations de la catatonie soient seuls en jeu; d'autres troubles cérébraux comme la pa- ralysie générale, la mél
cérébral très fréquent. 4° Pour le pseudo-oedème catatonique. d'un trouble cérébral probable- ment primitif et atteignant
t au pâturage ne saurait répondre à la définition clinique du tic : trouble psychomoteur. Un tic de léchage n'est constitué q
st-à-dire soumis aux conditions les plus diverses. A la vérité, les troubles moteurs présentés par ces chevaux ne sont pas d
ctions musculaires. L'étude clinique établira à quelle catégorie de troubles moteurs appar- tiennent nos lécheurs ; disons d
ervés par nous sous les rubri- ques suivantes : phénomènes moteurs, troubles psychiques, troubles de réflec- tivité, etc., s
es rubri- ques suivantes : phénomènes moteurs, troubles psychiques, troubles de réflec- tivité, etc., stigmates physiques.
ces cas particuliers, les mouvements des mâchoires appartiennent au trouble moteur lui-même qu'ils ne font que précéder ou
DEL, IOC. cit., p. 458. TICS ET STÉRÉOTYPIES DE LÉCHAGE ' 373 des troubles moteurs très compliqués dans leurs formes, le che
e cheval est capable de manifestations psychomotrices variées. 2. Troubles psychiques. - Les stéréotypies de l'homme se prod
libre mental. Pour la première fois, à notre connaissance , que des troubles de ce genre sont décrits chez l'animal, il impo
on de l'écorce cérébrale. Dans le même travail, nous avons noté des troubles du caractère (nervosisme, émotivité, impressionna
omme, à employer des expressions, telles que phénomènes psychiques, troubles psychiques, état psychopathique, etc. Ceci di
ychiques que nous avons noté chez les sujets atteints de tics ou de troubles psychomoteurs simi- laires. « Ce qu'on appelle
lants, claustrophobie) se rencontrent également chez le cheval. Les troubles psychomoteurs de l'homme et du cheval présentent
er, la discipline psychomotrice au traitement d'un tic animal. 3. TROUBLES DE RÉFLECTIVITÉ, DE sensibilité. - TROUBLES TROPH
ent d'un tic animal. 3. TROUBLES DE RÉFLECTIVITÉ, DE sensibilité. - TROUBLES TROPHIQUES ET VASO-MOTEURS. Cette étude comport
ic de léchage, et, de plus, la recherche des réflexes généraux, des troubles trophiques, vaso-moteurs et secrétaires. Nous a
bre de sujets non tiqueurs. Les anomalies de la bouche, cicatrices, troubles de dentition sont exa- minées au chapitre intit
cuse l'intégrité de la résistance de la queue au soulèvement. Les troubles vaso-moteurs se manifestent par une hypersécrétio
de causes futiles et indépendantes du travail. Il n'existe pas de troubles trophiques marqués chez les lécheurs. La mani-
erie (garnison, écoles à feu, manoeu- vres). Tout au plus, quelques troubles de la nutrition, peu importants en vérité, méri
incipalement au retour du travail. A été soumis autrefois, pour des troubles digestifs, à un régime spécial : division des r
uche est sensible au point que le mors de bride est inu- tilisable. Troubles de nutrition : appétit capricieux, salivation abo
cale, petites cicatrices d'érosions de la lèvre inférieure ; pas de troubles de denti- tion. Ons. V. NoTUS. 13 ans. Cheval
autrefois, sans cause apparente ; ne pré- sente actuellement aucun trouble trophique ou secrétaire. Pas de stigmate d'asym
e sont pas des sujets anormaux ; ils ne sont pas plus atteints d'un trouble moteur que l'enfant qui a l'habitude de lécher la
t, chez nos sujets, la réunion d'une anomalie motrice évidente à un trouble psychique très caractérisé, et le tic de léchage
ique (Lai- ton, léchage d'une pierre de sel destinée à atténuer des troubles digestifs), ou un vice d'éducation (Notus, léch
ude de lécher. Celle-ci devient, en effet, une habitude morbide, un trouble moteur psychopathique. Sans doute,-l'acte moteu
n'importe pas moins de considérer tics et sté- réotypies comme des troubles psychomoteurs très proches parents, reliés les
amment des gerçures et des excoria- lions labiales ou à la suite de troubles dentaires. Les mêmes auteurs ont rapporté le ca
use à effet entre les causes provocatrices que nous signalons et le trouble moteur lui-même. Nous estimons, en effet, que d
ns banales de la langue, des barres, des lèvres et commissures, des troubles de dentition, peuvent (1) A. Cahen, cité par MM
rticulière de barres et des irrégularités des tables dentaires, des troubles variés de dentition. Il'n'est pas inadmissible qu
hysiques, autorisent à le con- sidérer comme un prédisposé. Or, ces troubles psychopathiques appar- tiennent à la fois aux t
estations objectives présentent les plus grandes analogies avec les troubles de même genre observés chez l'homme. Tics et st
e rencontrent également chez des animaux pré- sentant à la fois des troubles psychopathiques et des stigmates physi- ques, a
mble acquérir l'automatisme. De plus, des lésions de la bouche, des troubles de la dentition, peuvent se rencontrer à l'origin
usé pendant un temps assez long de boissons fortes; très souvent ce trouble mental se manifeste dans la dipsomanie; presque
uelques maladies occasionnelles somatiques, et aussi, peut-être, de troubles endogènes quelconques dans la région des centre
es, principalement auditives, comme seul reliquat de la maladie. Le trouble mental, décrit il y a peu de temps par le profe
côté, et à la paranoïa alcoolique, d'autre part, est peu défini. Le trouble mental, noté en 1847 par Marcé (1), et qui s'ob
s cas transitoires et ceux où l'on pouvait remarquer ou supposer un trouble mental d'un autre genre, étaient éliminés. En dét
délire alcoolique se renconlre dans 0,69 p. 100 de lous les cas de trouble mental ; c'esl donc comparativement une maladie
u délire alcoolique continu, par rapport au nombre total des cas de trouble mental, sera chez les hommes 0,96 p. 100 et che
collogr.), par Apert, 193. Myopathie atrophique progressive avec troubles de la sensibilité ( t pf. et 2 sché- mas), par
Lannois et POROT. Un cas de myopathie atrophique progressive avec troubles de la sensibilité (1 pl. 2 schémas), 108. LAU
POROT et LAUNOIS. Un cas de myopathie atrophique progressive avec troubles de la sensibilité (1 pl., 2 schémas), 108. RA
actylie ((,AYLA), VIII, IX. Myopathie atrophique progressive avec troubles de la sensibilité (LANNois et Po- BOT), XXIII.
59 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ou mieux lachypnêe hystérique; 4° Grand tic convulsif ; Coprolalie; Troubles psychiques concomitants. M. Cuarcoï : Messieurs
ant trois mois. De l'âge de neuf ans jusqu'à l'époque présente, les troubles nerveux s'effacent complètement. Ils ont reparu e
tigmates, c'est-à-dire pas d'anesthésie cutanée, pas d'ovarie, pas de troubles sensoriels, etc. Le symptôme sur lequel j'appelle
, impulsives, comme vous voudrez les appeler. Il est clair qu'ici, le trouble survenu dans le mécanisme de l'idéation, reprodui
ain point,je ressens l'envie de le faire. J'ai aussi une manie qui me trouble beaucoup : il me prend souvent une envie irrésist
maladie, et que souvent derrière le tic il y a lieu de rechercher le trouble psychique qui ne saute pas toujours aux yeux. O
le psychique qui ne saute pas toujours aux yeux. Or, messieurs, les troubles psychiques dont il s'agit sont, dans la majorité
lente, chronique par exemple, marquée souvent par l'accompagnement de troubles trophiques de siège musculaire ou cutané et où l'
ction dégénérative, peut bien être considéré comme la conséquence des troubles trophiques qui accompagnent la névrite. Enfin l
s, il ne faut pas voir là à proprement parler une complication. Aucun trouble de la sensibilité n'existe sur ces membres inerte
moins rapide parfois avec réactions dégénératives ; — 5° Quelquefois troubles trophiques articulaires (arthrite du genou). B.
ice, pas d'atrophie, pas d'exagération des réflexes; — 4° Quelquefois troubles trophiques cutanés, (eschare fessière). C. Pas
lquefois troubles trophiques cutanés, (eschare fessière). C. Pas de troubles vésicaux. Tel est l'ensemble symptomatique lors
té possible pour la plupart d'entre elles. B. Côté droit: 1° Pas de troubles du mouvement, jamaisiln'èn a existé ; — 2° Réflex
'est pas l'anesthésie proprement dite qu'on y rencontre, mais bien un trouble équivalent qui signale généralement l'existence d
ulation sur laquelle, lors de la chute, le choc a porté, — absence de troubles de la sensibilité. J'ajouterai, comme détails com
ns, quand, bien entendu, il s'agit des membres inférieurs ; enfin des troubles de la sensibilité manifestés spontanément on prov
sans douleur. Tous les symptômes plus haut signalés, y compris les troubles de sensibilité, se retrouvent au plus haut degré
e l'acte de la marche moins difficile. Là, dans ce même membre, les troubles vasomoteurs sont beaucoup plus prononcés que part
, une anesthésie presque absolue sur la jambe et le pied gauches. Les troubles sensoriels sont de leur côté très-bien caractéris
quelque perturbation mentale. Mais, désormais, chez notre malade, les troubles de ce genre dépassent évidemment les limites ordi
ts choréiformes, comme aussi pendant le cours de l'affection, par des troubles psychiques plus profonds que cela n'a lieu d'ordi
xaltation mentale poussée au plus haut degré, ou encore de véritables troubles vésaniques. On pourrait formuler ces résultats
inte jaunâtre et pâle des téguments ; liséré saturnin très net. Les troubles permanents de la sensibilité sont disposés comme
ère elle comprend la fesse. Le membre inférieur gauche est indemne de troubles de la sensibilité, tandis qu'à droite, au contrai
inférieur, soit de la face. Remarquez que sur le membre parésié, les troubles de la sensibilité, déjà très prononcés en ce qui
sans produire la moindre sensation. Il y a là un contraste entre les troubles de la sensibilité et ceux des mouvements, fort re
t qu'elle reste des heures entières à s'habiller,à se peigner. Pas de troubles de la sensibilité générale ou spéciale ; pas de r
s le moment de l'accident, jusqu'à son retour à la connaissance, t. Troubles intellectuels provoqués par les traumatismes céré
aincu qu'il les reprendra par l'action : ce qui l'inquiète, ce qui le trouble profondément c'est que dans la gare où il s'est r
urs s'étaient introduits dans sa maison. Vous n'ignorez pas que les troubles nerveux qui constituent la neurasthénie cérébro-s
s (fig. 31), ses étourdissements, sa syncope. D'ailleurs pas d'autres troubles de la sensibilité, pas d'autres stigmates, pas d'
ns les oreilles, des battements dans les tempes ; peu après ma vue se trouble , je chancelle et je suis menacé de perdre connais
t en quelque façon parallèlement à elles, car précisément ce sont ces troubles fonctionnels qui constituent à proprement parler
pas à.observer, — à moins d'anomalies méritant une étude à part, — de troubles de la sensibilité soit objectifs soit subjectifs
es, et confirmé par l'histoire même de la paralysie infantile. Pas de troubles vésicaux, du moins dans la règle, dé troubles tro
lysie infantile. Pas de troubles vésicaux, du moins dans la règle, dé troubles tro-phiques cutanés ou sous-cutanés pouvant surve
cas, on fait ressortir l'importance pour le diagnostic de l'étude des troubles oculaires.) 3e Malade. — Chorée molle chez un e
ères. 3° Diplopie monoculaire, micropsie et macropsie (Parinaud). Troubles pupillaires. Signe de Vincent, Goingt et Argyll
atrophie blanche consécutive. (Cas d'Eulenbourg, de Gnauk). 0. 0. Troubles fonctionnels consécutifs à l'affection du nerf op
d'une esquisse à traits rapides et non d'une étude régulière. Un des troubles oculaires classiques dans la sclérose en plaques,
cité-là, on ne sort jamais. II n'en est pas tout à fait de même des troubles visuels liés à la névrite optique dans la scléros
ui le phénomène du pied) était entre autres très marquée (1) ; pas de troubles marqués de la sensibilité dans les membres inféri
gulière de la paraplégie par mal de Pott, quelques-uns des principaux troubles fonctionnels qui s'y rattachent. Et d'abord,jev
ent de particulièrement remarquable, c'est la prédominancemarquée des troubles moteurs dans la plupart des cas, sur les sensitif
s mouvements les douleurs du dos et de la poitrine augmentent. Pas de troubles vésicaux d'ailleurs. Pas de fièvre. Toute cette
de compression spinale. Nous savons en effet que, dans celle-ci, les troubles de la sensibititéunpeu sérieux se manifestent seu
de la substance grise centrale et dans ce cas-là, nécessairement, les troubles moteurs seraient prononcés à l'avenant ; or vous
ée aux diverses parties du membre; j'ajouterai enfin, même absence de troubles sérieux dans le domaine du mouvement.Tel n'eûtpas
erne vers le renflement cervico-brachial : dans ce cas, en effet, les troubles anesthésiques, — expression d'une lésion des raci
absolument défaut dans l'histoire de notre cas; en même temps que les troubles du mouvement se fussent montrés beaucoup plus acc
part de l'auto-suggestion. En même temps, comme cela devait être, les troubles parétiques ainsi produits se sont accompagnés des
être, les troubles parétiques ainsi produits se sont accompagnés des troubles particuliers de la sensibilité cutanée et profond
ronc, on pourrait être conduit à penser que l'étude méthodique de ces troubles de la sensibilité fournirait des résultats confor
par contre, la moindre trace du phénomène du pied, et il n'y a aucun trouble à noter du côté des fonctions de la vessie. San
malade, sans canne, peut monter facilement un deuxième étage; 3° les troubles permanents de la sensibilité qui existaient aux m
Dans aucun cas, nous n'avons vu reparaître les réflexes rotuliens.Les troubles vésicaux ont été modifiés heureusement dans la pl
Au contraire,l'incoordination motrice, les douleurs fulgurantes, les troubles vésicaux divers, la faiblesse générale, le signe
la dix-septième séance, un œdème des membres inférieurs résultant de troubles circulatoires cardiaques sans lésion orificielle
e, il existe aux membres inférieurs un certain degré de parésie, sans troubles concomitants de la sensibilité, sans parésie vesi
quatrième cas : absence ou diminution des réflexes rotuliens; pas de troubles de la sensibilité quels qu'ils soient ; intégrité
xamen électrique ne donne rien qui s'éloigne de l'état normal ; aucun trouble fonctionnel,soit de la vessie, soit du rectum; pa
asedow, dans lequel les membres inférieurs sont également le siège de troubles du mouvement ; mais, dans ce dernier cas, il nous
à-dire durant une période de six mois, les crises nerveuses, avec les troubles psychiques que vous savez, n'ont pas cessé en que
onté. Il ne peut même pas penser à ses affaires sans que sa tête se trouble .Enfin, au bout d'un mois la plaie et les abcès so
isent de temps à autres dans les cuisses et dans les mollets ; pas de troubles vésicaux. Les réflexes rotuliens sont normaux et
rairement à ce qui a lieu dans la majorité des cas du même genre, les troubles digestifs font à peu près complètement défaut : p
ant après les repas, ce qui montre bien, soit dit en passant, que ces troubles gastriques ne sont pas nécessaires à la constitut
riques ; rien qui rappelle les attaques ou leurs équivalents ; pas de troubles permanents de la sensibilité générale ou spéciale
te époque que date la céphalée dont il se plaint continuellement. Les troubles oculaires ont diminué ou du moins la gêne qu'ils
qu'ils produisaient a disparu au bout d'une huitaine. Mais alors des troubles du côté de la langue se sont manifestés. Il y a
ne sentent plus rien ; il lui semble qu'il mange de la terre. » Les troubles de l'articulation ont disparu au bout d'une huita
la 6e paire à droite. Enfin depuis six mois environ sont survenus des troubles de la miction consistant en ce que la malade est
é spasmodique : l'absence d'une lésion quelconque des jointures ; les troubles de la sensibilité cutanée et leur mode de limitat
ur la ligne du chemin de fer de Paris-Lyon-Méditerranée (1). Quelques troubles nerveux plus ou moins vagues, surtout des insomni
dynanomètre donne pour la main droite 18 et pour la gauche 25. Pas de troubles gastriques bien prononcés. Ainsi étaient les ch
9 et 70. Perte du sens musculaire, de la notion de position, etc. Les troubles de la sensibilité sont tels qu'on ne les observe
s'était pas agi là d'une maladie primitive de l'estomac, mais bien de troubles gastriques subordonnés à l'affection spinale. L
sence de la maladie tabétique et se trouver conduit à y rattacher les troubles gastriques. Mais pour en arriver là, il eût fallu
avec un ou plusieurs des autres syndromes de la série tabétique, ces troubles gastriques si particuliers peuvent permettre d'ét
le mérite d'avoiraffirmé qu'ily a une véritable con-nexité entre ces troubles viscéraux et la lésion spinal e, appartient à M.
Raynaud (1). Cependantla description caractéristique, répon- \. Des troubles gastriques dans Vataxie locomotrice progressive.
ermes au type prédominant, et permettant de séparer clinique-ment les troubles gastriques réellement subordonnés au tabès, de ce
s, comme vous savez, se perpétue indéfiniment sans jamais aboutir aux troubles locomoteurs,la dénomination beaucoup plus appropr
iption, les crises gastriques figurent au premier rang àcôté d'autres troubles viscéraux du même ordre tels que les crises vésic
it à la région de l'estomac, soit le long de l'œsophage (2). 3° Les troubles gastriques apparaissent tout à coup, le plus souv
près les observations de MM. Pierret, Jean, Démange et Oppenheim, les troubles laryngés tabétiques aussi bien que les troubles g
nge et Oppenheim, les troubles laryngés tabétiques aussi bien que les troubles gastriques, relèvent d'une lésion plusieurs fois
des douleurs rapides dans les membres », accompagnant ou suivant les troubles gastriques; d'autres fois, les malades ont présen
our ainsi dire, en permanence, pendant un certain temps du moins, des troubles des fonctions de l'estomac qui rendent l'alimenta
que, entre autres, est parfaitement accusée, malgré la persistance de troubles digestifs dans l'intervalle des accès. Pour ce qu
chez notre patient, même dès l'origine de la maladie, reconnaître les troubles gastriques pour ce qu'ils sont, et éviter de tomb
eux côtés, des muscles qui remplissent le premier espace interosseux. Troubles urinaires consistant dans la nécessité de faire e
l'hystérie seule en effet, autant qu'on sache, que l'on rencontre des troubles de la sensibilité de ce genre aussi accentués et
ndant; c'est là encore la contracture spasmodique qui est en jeu. Les troubles de la sensibilité sont, également sur ce membre,
e malade peut être considéré comme à peu près complètement guéri. Les troubles sensitifset sensoriels ont disparu ainsi que les
guéri. Les troubles sensitifset sensoriels ont disparu ainsi que les troubles moteurs. La santé générale est excellente. lìti
conséquence de cette intoxication. Mais il y aura à rechercher si les troubles fonctionnels que nous allons décrire appartiennen
absolument normal. Pas de rigidité, pas de contracture, pas traces de troubles quelconques de la sensibilité cutanée ou profonde
pas non plus ataxique... En quoi consistent donc, me direz-vous, ces troubles fonctionnels si particuliers dont vous dites le m
e : Ataxie par défaut de coordination automatique, l'auteur décrit un trouble moteur consistant en ce que « les mouvements sont
stérique décrite par Briquet (2) et par Lasègue (3), dans laquelle le trouble moteur est sous la dépendance immédiate de l'anes
x, de la nutrition des muscles, etc., etc., et surtout l'absence d'un trouble quelconque dans l'exécution des mouvements de ces
chez les tabétiques dans la période préataxique. Dans la marche ces troubles atteignaient leur maximum. En efïet, à chaque pas
ter sur les caractères qui permettront de distinguer cliniquement les troubles moteurs abasiques de ceux qui se voient dans l'at
les prédisposés par hérédité à contracter des maladies nerveuses. Les troubles moteurs abasiques se manifestent d'ailleurs chez
a formation de bulles pemphigoïdes, de vésicules d'herpès ou d'autres troubles trophiques encore. On s'accorde assez généralemen
n s'accorde assez généralement à faire dépendre ces paralysies et les troubles trophiques concomitants de l'existence de névrite
érison dans un court espace de temps. Un second groupe comprend des troubles cérébraux apparaissant tardivement, à longue éché
entends lire un passage pathétique, je me mets à sangloter ». A ces troubles divers, il faut ajouter un sentiment de grande fa
, tandis que dans un autre ce sera la paraplégie avec le concours des troubles plus ou moins accentués delà sensibilité qui en g
t homme guérira, vous disais-je, ou, pour parler plus exactement, les troubles abasiques qui font son tourment disparaîtront rap
e, le résultat observé n'est pas encore absolument parfait puisque le trouble moteur se retrouve, à un certain degré, dans cert
jours vous montrer le malade complè- 31 tement débarrassé de ces troubles de la marche qui, jusqu'à aujourd'hui, n'avaient
nte-Anne avec un certificat portant : « atteinte de manie aiguë, elle trouble lé repos des autres malades. » Elle ne resta à
ement ici, mais nous ne négligerons pas cependant, et pour cause, les troubles cérébraux,aujourd'hui atténués et relégués en q
ensibilité. Il y auralieu aussi d'accuser l'existence concomitante de troubles trophiques. Vous êtesfrappés tout d'abord, en exa
diminution de volume des masses musculaires correspondant à certains troubles trophiques révélés par l'électro-diagnostic. Il e
conduire au diagnostic étiologique. Nous ne reviendrons pas sur les troubles trophiques musculaires déjà signalés, mais nous v
rtainement pas de plus de deux ou trois mois. Eh bien, Messieurs, les troubles trophiques qui viennent d'être énumérés, et parti
ue, n'est pas chose faite pour surprendre lorsqu'on sait que d'autres troubles tropbiquesou vaso-moteurs,tels que l'œdème, l'emp
oborer nos prévisions à cet égard. En réalité,Messieurs,l'étude des troubles de la sensibilité présentés par notre sujet, va f
n quelque sorte, par suite de la Fig. 14 Fig. 75 Distribution des troubles de la sensibilité' cutanée chez la nommée Be ...e
t qui leur survit pendant quelques secondes. Remarquons enfin que ces troubles de la sensibilité se retrouvent avec tous leurs c
ieurs, il me semble que, en ajoutant à ce qui a été dit plus haut des troubles moteurs et destroublestrophiquesobservéschez notr
roubles moteurs et destroublestrophiquesobservéschez notremalade, les troubles particuliers de la sensibilité que nous venons de
rien la description classique des douleurs fulgurantes; l'absence des troubles vési-caux, la réaction des masses musculaires, le
un peu partout leur imprimer volontairement quelques mouvements. Les troubles de la sensibilité sont eux aussi beaucoup moins p
t une teinte bleuâtre, et en un mot, par le fait de l'intervention de troubles bulbaires que rien ne peut conjurer, survient rap
corps,môme en ce qui concerne le voile du palais et le pharynx. Les troubles sensoriels ne sont pas moins accusés. L'examen du
ral,en effet c'est du côté où se montrent la paralysie motrice et les troubles de la sensibilité que siège l'amyotrophie hystéri
int du corps, à part les fourmillements dont il a été question, aucun trouble permanent de la sensibilité cutanée ou profonde ;
ente une atrophie musculaire à marche progressive, non accompagnée de troubles marqués de la sensibilité, doit être immédiatemen
Aran-Duchenne : marche lente de l'amyotrophie progressive, absence de troubles permanents de la sensibilité, pas d'exagération d
evé avec soin l'existence de secousses fibrillaires, et l'absence des troubles delà sensibilité. Enfin,je ne vois pas qu'il y ai
s entr'actes d'amor-phinisme, alors les malades accusent une série de troubles qu'il faut bien connaître. Notre malade est, en c
'est la diarrhée du morphinisme. Il se gratte de tous côtés. Puis des troubles psychiques se manifestent. Il devient insolent, i
s présenter un sujet chez lequel nous pouvons étudier ensemble divers troubles nerveux qui relèvent plus ou moins directement de
que, Paris, 1855. 59 peut produire chez l'homme, on a signalé des troubles nerveux divers et plus particulièrement des paral
concorde fort bien, il faut le remarquer, avec ce que dit Sestier des troubles psychiques immédiats produits parle foudroiement.
t, assure-t-il, que les individus frappés par la foudre éprouvent des troubles plus ou moins profonds, plus ou moins durables da
étre; dans son effroi, elle saute par la fenêtre (Feltstrôm). Dans le trouble de leur esprit, les foudroyés se livrent souvent
rmir. 11 ne saurait vous échapper qu'il y a lieu de se demander si ce trouble psychique mérite véritablement d'être spécifié so
ysies produites immédiatement après le choc, sont marquées 1° par les troubles de la sensibilité à savoir : anesthésie cutanée e
jusqu'au lendemain : elle s'y rapporte encore par la concomitance de troubles de la sensibilité. L'anesthésie cutanée ou profon
rmes : c'est depuis lors que le bégaiement s'est établi. Ces divers troubles à savoir : sensation de boule, battement, des tem
réexistait à l'accident. Et puis, il faut se demander si les premiers troubles nerveux apparus immédiatement après la fulguratio
es actuelles concernant l'hystérie, l'hystérie masculine surtout, les troubles nerveux divers qui s'observent chez les foudroyés
ment à la Symptomatologie de l'hystérie, sont souvent cités parmi les troubles nerveux qui se développent en conséquence de la f
fet, est seulement dans le degré d'intensité et de généralisation des troubles moteurs. Ainsi, il se peut faire qu'un individu
ections radicalement distinctes, en même temps que, cliniquement, les troubles moteurs quiappar tiennent à l'une, diffèrent fo
tre espèce : qu'enfin, les modifications psychiques concomitantes des troubles moteurs sont accusées ici dans le sens de la déme
omène du pied n'existe pas ; pas de douleurs dans ces membres; pas de troubles urinaires, etc., rien en un mot qui révèle l'une
ère manifestement à l'occasion des divers mouvements exécutés, ne les trouble pas notablement. Maintenant deux personnes sont
rsal, rien ne pouvait faire remarquer dans les membres inférieurs, un trouble fonctionne] quelconque. Sans effort, il soulevait
e la marche qui constitue, en somme, le caractère le plus saillant du trouble abasique; mais cette incoordination spéciale à la
uis longtemps, il n'en reste plus de traces ; mais dès l'origine, des troubles cérébraux sérieux se sont produits et depuis, ils
ence plus ou moins directe, le syndrome abasie; ou, au contraire, ces troubles sensitifs et sensoriels relèvent-ils d'une lésion
n à intéresser surtout le faisceau sensitif? Dans ce dernier cas, les troubles de la sensibilité en question seraient vraisembla
Distribution et intensité de l'Hyperesthésie suivant les régions. troubles moteurs hémiplégiques, survenus il y a huit ans,
s d'où relèvent l'hémiplégie transitoire, l'hémi-hyperesthésie et les troubles psychiques. Cette extension aura eu pour résultat
ce jour, on y trouverait probablement, associés peut-être à d'autres troubles moteurs, les éléments du syndrome abasie trépidan
tes, des desiderata, et qu'il montre bien que dans la séméiologie des troubles de la marche, il reste beaucoup à faire. 1. Sur
cause connue, progressivement, sans accompagnement de vertiges ou de troubles cérébraux quelconques. Il se produisit alors, dan
ur gauche n'a jamais présenté, dans l'exécution des mouvements, aucun trouble appréciable. Les choses sont restées telles que
deux côtés et la sensibilité y est indemne dans tous ses modes. Aucun trouble des fonctions vésicales. Le malade se tient deb
ou, pour le moins, comme un original fieffé. A n'envisager que les troubles de la marche considérés en eux-mêmes et indépenda
n symptôme d'ordre nerveux surajouté à l'abasie. Entre autres, pas de troubles permanents de la sensibilité, pas de rétrécisseme
ntre chez le sujet, en dehors de l'incoordination abasique, aucun des troubles de l'intelligence, de la sensibilité ou du mouvem
appris à rattacher à la lésion syringo-myélique un certain nombre de troubles fonctionnels ou organiques qui, lorsqu'ils se pré
querai seulement ce qui est utile à connaître pour l'intelligence des troubles fonctionnels qui seront énumérés tout à l'heure.
il est facile de reconnaître, par la lecture du cas, que l'étude des troubles de la sensibilité n'a pas été faite en connaissan
des cornes antérieures de substance grise ne sont pas accompagnées de troubles permanents de la sensibilité. Relativement aux
ous-cutanées et autres qu'on désigne assez communément sous le nom de troubles trophiques. Par tout ce qui précède, vous prévo
yéliques médians, groupe jusqu'ici fort problématique encore : divers troubles trophiques autres que ceux qui sont relatifs au s
symptômes leucomyéliques postérieurs : phénomènes tabétiques divers, troubles de la sensibilité tactile, etc. Nous allons voi
nne-Aran : ils ne valent, en somme, que par leur association avec des troubles sensitifs, vraiment particuliers cette fois, pour
é l'attention sur la combinaison de l'atrophie musculaire, « avec des troubles particuliers de la sensibilité dans les cas où l'
s membres où siège l'atrophie musculaire, l'existence concomitante de troubles très particuliers delà sensibilité. C'est à savoi
gnostic est fait: c'est d'un cas de syringomyélie qu'il s'agit. Ces troubles de la sensibilité, dont nous venons de mettre en
st point le plus commun, et l'on peut même dire que dans la règle les troubles de la sensibilité dont il s'agit, se montrent rép
être-relevées, à propos du mode de répartition et de distribution des troubles de la sensibilité syringomyéliques, rapprochent s
ais, jusqu'à ce jour du moins, on n'a vu, dans la syringo-myélie, les troubles sensitifs accompagnés de ces troubles sensoriels,
vu, dans la syringo-myélie, les troubles sensitifs accompagnés de ces troubles sensoriels, tels que rétrécissement du champ visu
s ou ligamenteuses, que l'on appelle vulgairement du nom générique de troubles trophiques, sans plus préciser,bien qu'en faisant
certaines parties des centres nerveux ou des nerfs périphériques. Ces troubles trophiques sont vulgaires dans l'histoire cliniqu
la doctrine unitaire (2). 2° Une troisième catégorie est celle des troubles trophiques articulaires et osseux. Il faut citer
yelic und Sooliose. 15 janvier 1889. les catégories précédentes des troubles vasomoteurs accompagnés ou non de sueurs partiell
s régions de la substance grise siègent les lésions d'où dérivent les troubles trophiques divers qui viennent d'être énumérés. D
ques, en ce sens qu'ils représentent en quelque sorte directement les troubles fonctionnels produits par la lésion gliomateuse d
a, etc. American Journal, of med. Science, May, 1888. 3. E. Putnam. Troubles fonctionnels des nerfs vasomoteurs dans l'évoluti
a téphro-myélite antérieure chronique (1). La présence de ces mêmes troubles si particuliers de la sensibilité dans un cas don
ue, contrairement à une opinion assez généralement répandue, quelques troubles de la sensibilité peuvent, comme le font remarque
ngourdissements, de fourmillements passagers.Jamais on n'y observe de troubles permanents de la sensibilité comparables à ceux q
mpagnée, en outre, de l'atrophie musculaire à marche lente, de divers troubles trophiques, tels que bulles, fractures spontanées
e critérium. D'ailleurs, on n'observe point dans la syringomyélie les troubles oculaires, pupillaires ou autres, propres aux tab
udie méthodiquement, comme l'a fait M. Debove à propos de ce cas, les troubles de la sensibilité qui jusque-là étaient restés da
jusque-là étaient restés dans l'ombre. Voici en quoi consistent ces troubles sensitifs ; je vous engage, pendant l'ex- Fig.
urs mois à se parfaire. Tels sont, dans toute leur originalité, les troubles sensitifs observés chez notre malade. On voit qu'
été remarquée dès l'âge de 17 ans, représentent ici la catégorie des troubles trophiques. Il est impossible de déterminer exa
déterminer exactement si les symptômes amyotrophiques ont précédé les troubles sensitifs ; ni si c'est l'inverse qui a eu lieu.
ire. Vous voyez (fig. 115) comment l'amyotrophie et les Fig. 115. troubles moteurs occupent exclusivement les deux membres s
yélie, on a procédé enfin à l'étude méthodique jusque-là négligée des troubles de la sensibilité. Voici ce que cette étude a fai
ésie se superposent à peu près exactement. Le mode de répartition des troubles sensitifs, dans ce cas, rappelle la dispo- Fig.
te » signalée dans quelques-unes des observations deM.Roth(l). Pas de troubles sensoriels. Les troubles trophiques, en dehors de
es-unes des observations deM.Roth(l). Pas de troubles sensoriels. Les troubles trophiques, en dehors des amyotrophies, sont repr
i plusieurs fois ont entraîné la chute des ongles. Il n'existe pas de troubles vési-caux. Les quelques détails qui vont suivre
ns intervention d'aucun artifice. Ainsi, cela est bien entendu, les troubles sensitifs particuliers qui distinguent la syringo
ue jamais, autant qu'on sache, on n'observe dans la syringomyélie les troubles sensoriels qui dans l'hystérie s'associent si fré
roubles sensoriels qui dans l'hystérie s'associent si fréquemment aux troubles sensitifs ; mais la règle pour celle-ci n'étant
ité par ce seul fait que l'on ne rencontrera pas dans l'hystérie, ces troubles trophiques musculaires ou autres qui sont unaccom
ou autres qui sont unaccom -pagnement pour ainsi dire nécessaire des troubles sensitifs, quand il s'agit de la syringomyélie. E
ns montré, M. Babinski et moi (1) en 18S6. Il y a, comme on sait, des troubles vasomoteurs, des œdèmes hystériques (2) et j'ai f
nt multiplier les exemples ; mais c'en est assez pour montrer que les troubles trophiques ne font pas défaut dans la névrose hys
morceau de glace) sont complètement abolies. Veuillez relever que ces troubles de la sensibilité sont uniformément répandus sur
es de MM. Remak et Rotb, figure à titre d'accident fréquent parmi les troubles trophiques syringomyeliques. N'en voila-t-il pas
ement, j'aurais cru à un miracle. » Toutefois,si la disparition des troubles moteurs a été littéralement soudaine, celle des t
parition des troubles moteurs a été littéralement soudaine, celle des troubles de la sensibilité, —ainsi que cela me parait être
t obnubilées dans les doigts de la main. Il est remarquable que les troubles , ci-dessus signalés, de la sensibilité qui autref
fession, sa santé resta parfaite. 11 n'éprouvait aucun malaise, aucun trouble nerveux notamment, lorsqu'il fut victime d'un acc
était pris d'un besoin de sommeil irrésistible. Il attribua tous ces troubles à la vie sédentaire qu'il menait depuis son accid
it devenu incessant; la jambe droite commençait aussi à trembler. Les troubles dyspeptiques, la céphalée constrictive, le point
ces crises devinrent un moment moins fréquentes. Depuis lors tous les troubles que présentait le malade lors de sa première atta
st complètement aboli sur toute la moitié droite de la langue. Pas de troubles oculaires. Zone hystérogène. — Lorsqu'on exerce
néral, de la tristesse, la mémoire amoin drie, voilà quels sont les troubles qu'il a tout d'abord accusés. En quoi cet état di
existent pas toujours nécessairement dans l'hystérie de la femme. Ces troubles ne sont donc pas caractéristiques de l'hystérie.
e livrer à leurs occupations habituelles ? Qu'ont donc de spécial les troubles psychiques des traumatisés ? En réalité, ils ress
, ainsi que M. Lancereaux et moi nous l'avons fait ressortir, que les troubles trophiques sont chose vulgaire dans les membres i
ie est une lésion inflammatoire des nerfs périphériques. De fait, les troubles vasomoteurs, l'œdème, l'empâtement, les lésions d
te de rire, grincer des dents, souffler, etc., on ne découvrait aucun trouble de la mobilité de telle ou telle partie du visage
hypnée hystérique....... 11 4°. Grand tic convulsi!" ; coprolalie ; troubles psychiques concomittants.............. 13 DEU
cas on fait ressortir l'importance pour le diagnostic de l'étude des troubles oculaires. . . 162 3° malade. — Chorée molle chez
énique, 136. (Voy. Neurasthénie , Hystero-Neurasthénie,) Cérébraux ( Troubles ) dans l'empoisonnement par l'oxyde de carbone, 37
103.— Suivant les âges, 109, 110.— Paralytique ou molle, 38, 171. — ( Troubles de la parole dans la), 38, 104. Chorée chroniqu
ie et syringomyélie.— (Diagnostic), 489. — Sensibilité, 516, 517. — Troubles sensitifs, 497. —Troubles trophiques, 518, 519.
gnostic), 489. — Sensibilité, 516, 517. — Troubles sensitifs, 497. — Troubles trophiques, 518, 519. Hystérie et Tabès, 161, 2
ent des contractures, 282. — Transfert, 283.— Tremblement, 471, 472. — Troubles trophiques, 519. — (Unité de F), 36, 121. — Varié
. — (Ramollissement cérébral dans l'empoisonnement par 1'), 370. — ( Troubles cérébraux dans l'empoisonnement par 1'), 370. — (
'), 370. — (Troubles cérébraux dans l'empoisonnement par 1'), 370. — ( Troubles trophiques dans l'empoisonnement par 1'), 370.
es, 382, 539. — (Rêves dans la), 389. — (Sensibilité dans la), 386. — Troubles bulbaires, 391. —Troubles thermiques, 85. — Troub
s la), 389. — (Sensibilité dans la), 386. — Troubles bulbaires, 391. — Troubles thermiques, 85. — Troubles trophiques, 383, 384,
dans la), 386. — Troubles bulbaires, 391. —Troubles thermiques, 85. — Troubles trophiques, 383, 384, 386, 540. — Troubles vasomo
Troubles thermiques, 85. — Troubles trophiques, 383, 384, 386, 540. — Troubles vasomoteurs, 86. Paralysie amyotrophique, 76.
de réparation, 143. — Réactions électriques, 143. — Symptômes, 142. — Troubles trophiques, 143, 144, 409. Paralysie par fulgur
onvulsif, 464. — Paralysies, 281. — (Stigmates) dans le tic, 16. — ( Troubles ) chez le tiqueur, 13, 15 17; — dans la chorée g
25. (Station assise dans la), 23. — (Station debout dans la), 23. — ( Troubles trophiques dans la), 24, 25. — (Zona dans la), 25
. — et hystérie. — (diagnostic), 489. — Sensibilité, 497, 517, 519. — Troubles trophiques,518, 519. Syringomyélie. — et maladi
496. — Terminaisons, 500. — Tber-moanesthésie, 495, 496, 507, 513. — Troubles sensitifs, 495, 506, 512. — Troubles sensitifs (d
nesthésie, 495, 496, 507, 513. — Troubles sensitifs, 495, 506, 512. — Troubles sensitifs (distribution),496. — Troubles trophiqu
sensitifs, 495, 506, 512. — Troubles sensitifs (distribution),496. — Troubles trophiques, 497. — Troubles vasomoteurs, 499. T
Troubles sensitifs (distribution),496. — Troubles trophiques, 497. — Troubles vasomoteurs, 499. T Tabaraud, 392. Tabes. —
oculaires et suspension, 201, 202, 211, 212. — Traitement du), 199. — Troubles de la miction, 278. — Vomissements, 156. — Vomi
on, 385, 535, 537, 540, 543. Tessier, 243. Testaz, 101. Thermiques ( Troubles ) dans la paralysie alcoolique), 85. Thermoanest
e, 421. Utérus et hystérie, 37. V Valleix, 24. ' Vasomoteurs ( Troubles ) dans la paralysie alcoolique, 86. Vertige de m
s, 289. Vertigo ab aure l.esa. Voy. Vertige de Ménière. Vésicaux( Troubles ) du tabès, 157. Vibert, 287. Vigouroux, 58, 239
60 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
car il paraissait alors impossible de confondre la distribution des troubles sensitivo-moteurs créés par des lésions des racin
cines médullai- res ou des nerfs périphériques avec celle des mêmes troubles dus .à des lésions intra-médullaires; à ce poin
fréquente, au niveau xv 1 2 CESTAN ET DUE ! ' des membres, des troubles de sensibilité causés par les lésions médullaires
ux théories entraient en lutte, la théorie de la disposition de ces troubles en bandes transversales, perpendiculaires à l'axe
llaire d'origine d'un membre déterminera au niveau de ce membre des troubles de sensibilité périphériques à disposition transv
e des racines postérieures est la seule lésée, la dis- position des troubles de sensibilité sera uniquement longitudinale. On
à cette théorie le nom de théorie de la disposition segmentaire des troubles de la sensibilité d'origine médullaire, et encore
aire, et encore le nom de théorie de la disposition métamérique des troubles de la sensibilité, mais cette der- nière, croyo
étudié quelle disposition radiculaire ou segmentaire affectent les troubles de sensibilité des membres provoqués par les lési
n ce qui concerne la motilité, se poser dans les mêmes termes : Les troubles moteurs des membres, paralysie ou atrophie muscul
conséquence forcée, très différente aussi serait la disposition des troubles moteurs consécutifs à une lésion localisée de l
sations cérébrales : étudier avec soin et détail la disposition des troubles moteurs consécutifs à des lésions pri- mitives
voulons pas aborder ici en détail le problème de la topographie des troubles moteurs et ci fortiori des troubles sensitifs de
problème de la topographie des troubles moteurs et ci fortiori des troubles sensitifs de la syringomyé- lie. On pourrait ob
bjecter en effet que dans les observations où la distribu- tion des troubles moteurs revêt la forme radiculaire, on peut, en l
psie, supposer que si l'on constate une disposition radiculaire des troubles sensitivo-moteurs, cette disposition est créée no
rtains cas, malgré le défaut d'autopsie, on peut soute- nir que les troubles sensitivo-moteurs sont créés non par la pachyméni
é et des réactions électriques : dans les cas de pachyméningite les troubles moteurs et les altérations des réac- tions élec
c- tions électriques marchent davantage de pair que dans les cas de troubles moteurs relevant des lésions cellulaires des co
ans ces derniers cas, en effet, il est fréquent de ren- contrer des troubles moteurs déjà très prononcés, avec atrophies muscu
difications des réactions électriques corres- pondent davantage aux troubles moteurs et les manifestations de réaction de dé
hyméningitique. On a pu objecter que la disposition radiculaire des troubles de sensibilitédans la syringomyélie pouvait s'ex-
cette zone d'entrée. Mais cet argument ne sau- rait s'appliquer aux troubles de la motilité : la substance grise de la corne
vention à peu près certaine de pachyméningite, elles présentent des troubles sensitisset moteurs à disposition radiculaire t
spinale et signe des orteils en extension, il n'existe cependant ni troubles sphinctériens ni modifications de la sensibilité
ette paraplégie spasmodique exclusivement motrice s'asso- cient des troubles sensitifs et moteurs des membres supérieurs. Le
ière. T. XV, YI. I SYRINGOMYELIE AVEC TOPOGRAPHIE RADICULAIRE DES TROUBLES MOTEURS ET SENSITIFS (Cesfma et Huet). A. Pos
ypoexcitabilité faru- dique et galvanique surtout à gauche. A ces troubles parétiques et atrophiques s'ajoutent des secousse
ette disposition motrice visiblement radiculaire se superposent des troubles de sensibilité disposition radiculaire. ils consi
e est atteinte indiscutablement de syringomyélie ; or chez elle les troubles moteurs et les troubles sensitifs prédominent ave
blement de syringomyélie ; or chez elle les troubles moteurs et les troubles sensitifs prédominent avec une netteté remarqua
s du groupe radiculaire inférieur du membre thoracique droit. A ces troubles de motilité se superposent les troublés de la s
haud. TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 11 Les troubles sensitifs occupent la moitié interne de la main,
eure de cette hypoeslhésie thoracique se trouve vers l'ombilic; ces troubles sont disposés d'une façon symétrique à droite et
rès vraisemblablement atteinte de syringo- myélie ; cliez elle, les troubles sensitifs et les troubles moteurs sont nettement
inte de syringo- myélie ; cliez elle, les troubles sensitifs et les troubles moteurs sont nettement localisés au territoire
des paralysies définitives avec atrophie musculaire accompagnée de troubles des réactions électri- ques assez nets pour per
iculaire. Malgré ces faits épars, la question de la topographie des troubles para- lytiques n'est pas encore soulevée, les a
QUES (Ces/an et flrml). Paralysie infantile avec localisation des troubles moteurs dans le territoire radiculaire inférieu
ernières années surviennent les discussions sur la distribution des troubles sensitifs observés dans la sy- ringomyélie et q
a démarche est normale ; les membres inférieurs ne présentent aucun trouble dans leur force, leur musculature,leur sensibilit
ées chez notre petit malade auraient vraisemblablement entraîné des troubles oculo-pupillaires que nous n'avons pas rencontrés
de compte, quelle conclusion faut-il adopter sur la disposition des troubles moteurs périphériques causés par les lésions des
ion des troublés moteurs de cause médullaire différait de celle des troubles moteurs de cause radiculaire et on a introduit de
ie et po- liomyélite infantile, pouvaient déterminer en réalité des troubles moteurs, non à disposition segmentaire, mais à
la marche, la jambe droite étant particulièrement maladroite ; ces troubles se sont rapide- ment accentués, et, après un re
nt limités. Les réflexes sont abolis. Le malade ne présente aucun trouble de la sensibilité, il urine normalement, dort
Du côté de l'appareil visuel sont survenus depuis quelques mois des troubles qui ne paraissent pas être en relation avec l'a
opique prati- qué par M. le professeur Ifaltenholf n'a révélé aucun trouble paralytique des muscles moteurs du globe oculai
ni d'altération des milieux transparents ou de la rétine. Pas de troubles subjectifs de la sensibilité, aucune douleur sur
quin légèrement varus. Etude détaillée des membres et du tronc. Les troubles sont symétriques et d'une égale intensité des d
de la marche. La peau est normale, sans adipose sous-cutanée, sans trouble trophique. Elle laisse voir les reliefs muscula
s osseux et tendineux sont très faibles. La peau ne présente pas de troubles trophiques. La sensibilité est normale. Face. L
sculaire modifiant au prorata les réflexes, ne s'accompagnant ni de troubles de la sensibilité, ni de secousses fibrillaires,
de troubles de la sensibilité, ni de secousses fibrillaires, ni de troubles des réactions électriques, donnant à la palpati
ssaient et aussi la partie inférieure des cuisses. Par la suite ces troubles s'accentuèrent très lentement jusqu'à la phase
pas non plus d'une amyotrophie myéiopathique il type Aran-Duchenne ( troubles de la sensibilité, distribution de l'amyotro- p
difications des réactions électri- ques ; 3° Fréquente existence de troubles de la sensibilité. Ce qu'il y a de plus caracté
ien absence à peu près complète de toute réaction électrique. Les troubles de la sensibilité sont manifestes, et ainsi que c
sont manifestes, et ainsi que cela s'est vu dans quelques cas, les troubles objectifs diminuent de l'extrémité à la racine,
MM. Char- cot et Marie ont donnée de ce phénomène : - « Tous ces troubles fonctionnels, sont bien évidemment dus à la dispa
eloppée, cependant nous rapportons des cas, où sans présenter des « troubles mentaux, proprement dits, les malades avaient une
rêt de dé- « veloppement aussi marqué. » C'est probablement à des troubles cérébraux, plus ou moins voisins de ceux-là, qu
tale, appartenant au groupe des maladies qui se manifestent par des troubles anatomiques et fonctionnels, exceptionnels et p
e symptomatologie tout il fait caractéristique. Elle com- prend des troubles paralytiques des fondions de la vessie et du rect
fonctionnait encore. Pas plus que la veille, D... ne présentait de troubles objectifs de la' sensi- bilité, dans l'étendue
iner pour la première fois D..., le 20 janvier ; indépendamment des troubles que je viens de mentionner,nous avons constaté
s orteils jaunâtres, épaissis mais néanmoins fragiles. En fait de troubles objectifs de la sensibilité, on constatait une an
s intestin. L'anus est relâché ; le réflexe anal est aboli ; z" Des troubles des fonctions génitales ; depuis son accident, 'l
plus eu ni érections, ni éjaculations, ni désirs vénériens ; 4° Des troubles trophiques, c'est-à-dire une sécheresse insolite
e musculaire diffuse des membres inférieurs, déjà signalée ; 5° Des troubles de la sensibilité : les uns, objectifs, consisten
te leçon. En fait d'éléments fondamentaux, elle comprend : a) Des troubles de la motilité ; ils consistent en une paralysie
est précisé- ment ce que nous observons chez notre malade. b) Des troubles des fonctions génito-urinaires et dit gros intest
s diverses manifestations, se rencontrent chez notre malade. c) Des troubles sensitifs, c'est-à-dire, des douleurs spontanées
s la symptomatologie des affections de la queue de cheval. d) Des troubles des réflexes tendineux; l'abolition du réflexe ac
oli. C'est ce que nous avons constaté chez notre malade. - e) Des troubles trophiques : ils consistent dans une atrophie, le
ore, la progressivité dans l'appa- rition et dans l'aggravation des troubles vésico-rectaux, les alternatives d'aggravation
modifications qualitatives des réactions électriques, l'absence de troubles trophiques cutanés. Au surplus, aucun des car
lu- mière la pluralité des facteurs étiologiques dans la genèse des troubles de la croissance; et, en montrant le rôle disti
XV). Le coeur est normal, le pouls régulier, un peu rapide. Pas de troubles diges- tifs ; L'appétit, au dire de la mère,
aler. Les anomalies et malformations précédentes n'ont pas amené de troubles fonc- tionnels sérieux. L'absence des muscles p
iculaire. L'absence congénitale des muscles pectoraux n'amène aucun trouble fonctionnel appréciable dans les mouvements du
t une série d'observations relatives à des ma- lades présentant des troubles de la motilité et du système nerveux (De- formi
ontractures dans les membres avec augmentation des réflexes et sans troubles du côté de la sensibilité ou des sphincters. Po
autopsies (porencépha- lies, atrophie des névromes centraux) et les troubles intellectuels, états de compréhension diminuée,
dystrophique dont l'intelligence ne ressente pas le contre-coup du trouble physique. La distinction en forme spinale et céré
ation des réflexes patel- laires. Pas d'atrophie musculaire, pas de troubles sensitifs ou vésicaux. Enfin, au bout de 3 ans,
les faisceaux médullaires : les membres inférieurs présen- tent des troubles de la motilité, de la sensibilité et de la motric
elques lignes de mon livre sur l'Orientation (1) l'ont jeté dans nn trouble profond. « Autant de points de contacts périphéri
l. Mais qu'une variation vive ou ex- trême se produise, et tous les troubles , surtout s'ils sont douloureux, sont ins- tanta
de vivacité quand tout est en ordre et en bon état. Mais le moindre trouble , le moindre malaise réveille cette vigilance et
ien-aise se réinstaller progressivement, envahir le domaine dont le trouble les avait chassés, s'y établir de nouveau, et n
pour un organe moins mobile et Verger, dans son bel ouvrage Sur les troubles de la sensibilité géné- rale consécutifs aux lé
vons-nous des sensat. spécifiques, etc. 1901, p. 261. - (4) Verger, Troubles de la sensibilité générale, consécutifs aux lésio
ouver une image, - quand je veux maîtriser un mouvement réflexe, un trouble moral ou orga- nique - ou quand je veux réalise
u. Ils appartiennent donc à l'exercice du sens des attitudes ; leur trouble , le vertige, est précisément la per- turbation
sychique serait évoquée par elle ' La pathologie réalise souvent ce trouble , cette dissociation corticale, soulevant la cro
ont des centres de repré- sentation d'attitudes. Munck attribue les troubles de la motricité volontaire, par lésion des régi
uvent avoir, au milieu des désordres pathologiques multi- ples, les troubles apportés par le mal, quel qu'il soit, à une fonct
re les symptômes de l'embarras gastrique fébrile : douleur de tète, troubles de la vue, bouche amère, courbature gé- néralis
sanble, se Diex m'amant. Qu'el me soit par pièce fendue Et si me trouble la véue Sovent si que je ne voit goûte ; Si a
l'a alté- rée que progressivement, il n'y a pas eu, ou très peu, de troubles du lan- gage. La seconde se rapporte à un très
, chez un homme de 53 ans, de céphalée, hémiparésie droite, léger s troubles de la parole, mais pas d'aphasie; marche rapide,
ce qu'il présente depuis quelque temps de la paralysie faciale, des troubles de la parole, des troubles des sphinc- ters et
elque temps de la paralysie faciale, des troubles de la parole, des troubles des sphinc- ters et un certain degré d'affaibli
xagérés. Sensibilité subjective. Le malade ne présente pas d'autres troubles que les douleurs des membres inférieurs signalé
excellente. Il n'y a ni paralysie de la musculature extrinsèque, ni trouble de la musculature intrinsèque de l'oeil (pas de
endant 2 ans. Retour apparent à l'étal de santé, puis céphalée avec troubles tro- phiques du cuir chevelu dans la région par
kilog., main gauche 9 ki- log.) ; également des deux côtés ; pas de troubles des membres inférieurs, mais lorsqu'on appuie s
rteil. , ? t Les réflexes tendineux sont normaux. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité objective,, à part une zone d'h
yperes- thésie dans toute la région temporo-pariétale gauche. Les troubles de la sensibilité subjective consistent en crises
x sont faibles des deux côtés, mais égaux. Le malade prétend voir trouble . Dans la vision monoculaire, il dit voir nor- m
as de parésie motrice, les quatre membres remuent très bien, pas de troubles de la sensibilité. Si on le pique ou le pince,
qu'elle avait amené un amincis- sement de la voûte crânienne et des troubles trophiques au niveau du cuir chevelu, troubles
ûte crânienne et des troubles trophiques au niveau du cuir chevelu, troubles qui paraissent relever beaucoup plus de condition
s, celle-ci pouvant fort bien s'expliquer par la compression et les troubles trophiques de la région du cuir chevelu où se t
ormait et la situation qu'elle occupait, on eût pu s'attendre à des troubles plus que suffisants pour permettre de diagnosti
extrinsèque et épilepsie jaclcsonnienne. Aggrava- tion progressive. Troubles de la déglutition. Torpeur profonde. Coma et mo
ésente aucune manifestation morbide autre que de la céphalée et des troubles oculaires. La céphalée est aussi vive que les j
ons. Les jours suivants, il n'y a pas de crises, la céphalée et les troubles oculaires persistent ; on constate de plus de l
Au commencement du mois de septembre, le malade éprouve quelques troubles de la déglutition ; vers le milieu du mois, cette
La sensibilité objective est normale. j Le malade n'accuse aucun trouble de la sensibilité subjective, il n'y a pàs de c
sensibilité subjective, il n'y a pàs de céphalée. Il n'y a pas de troubles vaso-moteurs ni de troubles trophiques. Examen
'y a pàs de céphalée. Il n'y a pas de troubles vaso-moteurs ni de troubles trophiques. Examen de l'appareil oculaire. Il y
ebâillement de la fente palpé- brale. Le malade se plaint de voir trouble , mais s'il relève ses paupières avec les doigts
e, mais s'il relève ses paupières avec les doigts, il trouve que le trouble disparaît presque complètement, mais il lui sem
L'acuité audi- tive est normale. Appareil digestif. - A part les troubles de la déglutition, les fonctions di- gestives s
uis huit jours, le malade n'est pas allé à la selle. Il n'y a aucun trouble respiratoire ; les contractions du coeur sont trè
t très éner- giques, mais il n'y a pas de bruits anormaux. Pas de troubles urinaires, pas de fièvre, mais un certain degré d
is- sement. Pendant la durée du mois de novembre,apparaissent des troubles de la pho- xv 15 218 BALLET ET ARMAND DELILLE
lésion cérébrale sont apparus au bout de huit jours, sous forme de troubles de la vue et de la musculature oculaire. Les sy
e oculaire. Les symptômes de la période initiale, bientôt suivis de troubles de la déglutition, on fait songer pendant un ce
sans cesse qu'il se lève, qu'il aille et vienne dans sa chambre. Le trouble s'aggrave encore s'il est assis devant un établ
tômes décrits par M. IIaskowec : des secousses, de l'agitation, des troubles de la respiration, de l'angoisse qui surviennen
ui vont peut-être nous mettre sur la voie d'une interprétation. Les troubles que nous venons d'observer sont assurément exag
ais ils ne sont pas tout à fait absents dans d'autres attitudes. Le trouble se manifeste également dans la station debout :
tics de la bouche parce que son métier était de parler. Tous ces troubles , tics, crampes des écrivains, impulsion à la marc
gère inspira- tion soutenue chez le sujet droit, en A, provoque des troubles sensibles dans sa respiration, troubles à peine
t droit, en A, provoque des troubles sensibles dans sa respiration, troubles à peine visibles chez le sujet gauche. Les tracés
le domaine des fonctions circulatoire, respiratoire et motrice. Des troubles importants peuvent se produire dans chaque organi
absolument dépourvus de tous mouvements spontanés. Il n'y a pas de troubles trophiques de la peau, sauf un peu d'hyperlro-
u côté maternel. Un oncle de sa mère, berger de son état, avait des troubles de la marche depuis son enfance ; le malade le
ersécution et de grandeur s'était sys- tématisé sous l'influence de troubles sensoriels d'une activité très grande (hallucin
symptômes de déficit (surdité corticale, puis surdité verbale). Ces troubles duraient quelques jours,puis disparaissaient grad
s délires systématisés ordinaires. Les phénomènes de défi- cit, les troubles aphasiques se sont produits devant nous à quatre
gère d'ailleurs, suivie ensuite de surdité verbale pure. Ce dernier trouble ne dura que deux jours, puis l'audition verbale r
ÉRIEUX ET MIGNOT progressivement. Dans les deux derniers accès, les troubles de la sphère du langage réalisèrent le tableau
ymptômes régressèrent rapidement : d'abord la cécité verbale et les troubles paraphasiques et, en dernier lieu, la surdité v
verbale : Rares sont les observations de paralysie générale avec troubles de la sphère du langage pouvant servir à l'étud
d'hallucinations au cours de la paralysie générale : pour nous ces troubles reconnaissent des facteurs plus tangibles, à savo
terprétation n'est-elle pas unanimement acceptée quand il s'agit de troubles des centres sensi- tivo-moteurs ; chez notre ma
évi- demment dus à l'action tantôt irritative, tantôt inhibitrice ( troubles vaso-moteurs ? ) d'une lésion du même centre.
générale, comprenant les faits caractérisés par la prédominance des troubles sensoriels et des trou- bles de la sphère du la
la morphine. En 1882, crises gastriques. En 1888, accentuation des troubles de la marche. En 1895, zona intercostal (6e esp
nation extrême aux membres inférieurs comme aux membres supérieurs. Troubles de la sensibilité : retard dans la transmission d
Robertson. Acuité visuelle diminuée. Diplopie à plusieurs reprises. Troubles sphinctériens intermittents. Elle succombe à un
III. Bliem..., âgé de 61 ans. Tabes ayant débuté à 41 ans par- des troubles sphinctériens transitoires. Quatre ans plus tar
a marche était devenue impossible. Dans les 8 dernières années, des troubles des réservoirs sont réapparus : inconti- nence,
es supérieurs. Abolition des réflexes tendineux aux quatre membres. Troubles très marqués de la sensibilité superficielle et
mberg. Abolition des réflexes patellaires et du tendon d'A- chille. Troubles très légers de la sensibilité aux membres inférie
férieurs. Aux membres supérieurs incoordination très légère, pas de troubles de la sensibilité. Conservation des réflexes te
ters intacts. Affai- blissement de la mémoire et de l'intelligence. Troubles de la parole. Examen anatomique. - Les ganglion
seraient survenus lentement et progressivement. - Etat actuel 1900. Troubles de la marche, la malade talonne et lance les ja
signe d'Argyll-Robertson. Pas de diminution de l'acuité vi- suelle. Troubles sphinctériens transitoires. Mort en 1001. Exame
3 ans. Tabes classique. Début de la maladie à l'âge de 37anspar des troubles de la marche : cependant à l'âge de 30 ans elle
uche d'origine périphérique qui a récidivé à 40 ans. Il y a 4. ans, troubles des sphincters : incontinence d'urine ; à la mê
jambes. Etat actuel (1896). Incoordination des membres inférieurs, troubles de la marche; abolition des réflexes tendineux
mière et à la convergence ; diminution de l'acuité visuelle. Légers troubles sphinctériens. Troubles gastriques avec douleurs.
e ; diminution de l'acuité visuelle. Légers troubles sphinctériens. Troubles gastriques avec douleurs. En 1900 la malade pré
a 8 ans par un mal perforant plantaire; il y a 5 ans apparition de troubles sphinctériens, et des troubles de la marche. De
lantaire; il y a 5 ans apparition de troubles sphinctériens, et des troubles de la marche. Depuis deux ans douleurs très vives
ans douleurs très vives dans les jambes survenant surtout la nuit, troubles oculaires, la malade se plaint d'avoir un broui
seuls symptômes jusqu'en 1897. A cette époque se manifestèrent des troubles sphinctériens, puis il y a six mois un affaiblis-
s devenant plus prononcée les yeux fermés. Sensibilité peu altérée. Troubles légers de la marche et de la station debout les
phie des petits muscles de la main. Sensibilité à peu près normale. Troubles sphinctériens. Myosis plus prononcé à droite; a
d'une façon cyclique et pré- sentant, comme phénomène capital, des troubles du système nerveux moteur ayant le caractère gé
sente pas d'ailleurs dans l'exécution des mouvements volontaires de troubles de l'équilibre ciné- tique (i). Echokinésie i
nes objectifs d'idées délirantes, ni d'hallucinations. Au physique, troubles vaso-moteurs des extrémités extrêmement accentués
4 SÉGLAS Dermostéréographisme très net. Il ne semble pas y avoir de troubles de la sensibilité cutanée, sauf un retard énorm
sencederelation avec des idées délirantes, des hallucinations, des troubles émotionnels. Que l'on interroge ces malades d
toujours indolores, mais sont cependant capables de déterminer des troubles de compression dans leur voisinage. Quant à l
En même temps existent et persistent pendant deux mois environ des troubles assez marqués de la parole, se manifestant surt
es de la main gauche, nous avons été amenés à étudier avec soin les troubles de la sensibilité. Il nous a été facile de cons
n que toujours très obtuse. De ce même côté on note encore d'autres troubles de la sensibilité objective : hémianesthésie de
droite. Du côté gauche encore, où se seraient produits en 1894 les troubles paraly- tiques, la force musculaire est notable
ont accompagnées de suppuration, présentant une main de Morvanetdes troubles de la sensibilité caractérisés par une hémianesth
auche. Une cause unique est-elle capable d'expliquer ces différents troubles , quelle est leur pathogénie, de quelle interpré
on phalangienne est bien anormale ; en la voyant s'ac- compagner de troubles de la sensibilité, en particulier d'une thermo-
e ; en d'autres termes, selon moi, cette affection serait liée à un trouble trophi- que consécutif à une lésion non encore
là, en effet, d'après Erle que se trouve le centre qui préside aux troubles trophiques du système osseux. n Toutefois, ma
nt à soulever l'hypothèse de la lèpre, en tenant surtout compte des troubles sensitifs et trophiques que présentait le malad
on plus jusqu'à pré- sent signalé les exostoses multiples parmi les troubles trophiques divers que détermine, dans l'organis
s un temps de marche. M. Marie a fait la même remarque au sujet des troubles de la marche dans l'hérédo-ataxie. (2) Sclérose
depuis quelque temps. Il se serait produit, il y a quatre mois,des troubles vaso-moteurs de la jambe gauche, que nous n'avo
paraplégie spasmo- dique. Au contraire, ce symptôme du début, ce trouble de l'écriture prenant le caractère d'un spasme
faite dans la maladie de Friedreich et l'hérédo- ataxie (2), où les troubles de la motricité des membres supérieurs peuvent
des mouvements complexes de l'écriture (3). Mais, dans ce cas, le trouble ne se produit pas sous la forme d'un spasme, ma
do-ataxie, nous trouvons : Le début dans la seconde enfance ; Les troubles de l'écriture, précédant, de longtemps, les autre
et illogique en apparence. Nous considérons le torticolis comme un trouble du tonus, pouvant être modifié par les lois qui
ambe, à gauche d'abord, et plus tard des deux côtés, entraînant des troubles de la marche. Nous assistons à la même évolutio
que du bras droit ; Les mouvements involontaires de la face ; Les troubles de la parole ; . Les contractions fibrillaires
la parole ; . Les contractions fibrillaires ; ... De très légers troubles de la sensibilité objective, et l'abolition de la
e 3 mètres, et garde le lit pendant 4 jours. En janvier 1900, les troubles de la marche reparaissent, cette fois dans les
es brisées. A main levée, l'écriture est à peu près impossible. Les troubles de l'écriture Sont moins marqués pour la maiu g
t le spasme de la joue apparaît. Il est facile de s'assurer que ces troubles de la marche sont plutôt le fait de l'asynergie
acte de souffler, faire la moue, mais, dans la parole, il existe un trouble des mouvements bien systéma- tisé. Dans la pron
pour femme, « hilant » pour vivant. Sensibilité. - Il n'y a pas de troubles subjectifs de la sensibilité. La sensibilité ob
u premier cas, sur l'analo- gie qui, d'après nous, existe entre les troubles de l'écriture et les mouve- ments de la tète ch
us grande facilité. » Les caractères sont encore les mêmes pour les troubles de la parole, dans les deux cas : lenteur, gêne
ficulté pour prononcer certaines lettres. L. K. V. I. (Soca). Les troubles de la vision, plus nombreux dans l'hérédo-ataxie,
ig. il ne se produit que dans l'ab- duction forcée du regard. Les troubles de la sensibilité se bornent chez noire malade à
utres phénomènes sont identiques : pied-bot, sco- liose, nystagmus, troubles de l'articulation, etc. ' - Cela est si vrai qu
te judicieuse remarque par laquelle VI. Brissaud (1) caractérise le trouble des mouvements dans la maladie de Friedreich et l
se, la préhension des objets, l'articulation des mots, etc.» , Ce trouble très spécial de la coordination des mouvements co
Leç., 1883-1894, p. 58. LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 407 troubles de la coordination des mouvemenls complexes des j
ons déterminées (marche, écriture, parole). On peut concevoir les troubles les plus variés, suivant la profession et les o
niste, etc, etc. Ce qui domine encore dans les deux cas,ce sont des troubles de l'équili- bmtion ; désèquilihralion du tonus
r certains symptômes. Nous trouvons chez Vig. l'ataxie du bras, les troubles de la parole, le nystagmus, semblables on tous
é- ration anatomique bien déterminée. est-on autorisé à en faire un trouble psychique ? - On ne voit pas trop à quelles l
héorie mentale, dit M. Féré (1), qui tend à envahir l'étiologie des troubles nerveux dont on ne connaît pas la cause physique,
la force musculaire. Au repos et dans les mouvements simples, le trouble disparaît. Or, nous savons, depuis les travaux
empêchent de pousser plus loin la comparaison. Si nous admettons un trouble du tonus, nous serions mal venu à pré- tendre p
philes. Bien que Wollenherg et Redlich aient cru voir dans l'aspect trouble et sombre de certaines cellules un caractère LÉ
ées : la clinique laisse cependant soupçonner un tel contraste; les troubles de la sensibilité sont en effet habituellement be
traction), sur l'aspect de son protoplasma (va- cuolisation, aspect trouble et sombre, surcharge pigmentaire, ou de son noy
ie cellulaire. Ne peut-on en effet invoquer toujours l'existence de troubles dynamiques ou fonctionnels, inaccessihles à nos
e cellulaire du tabes et plus particulièrement celle qui invoque un trouble dynamique ou fonctionnel des cellules du ganglion
tauration des éléments, cette névrite donneplutôt l'impression d'un trouble dystrophique que d'une altération inflammatoire
térations vasculaires qui les accompagnent, et qui occasionnent des troubles circu- latoires et le ralentissement des échang
rajet du sciatique ; le signe de Lasègue faisait défaut. En fait de troubles objectifs de la sensibilité, on notait : De l'a
gauche. Les réflexes 'achilléens sont abolis des deux côtés. Les troubles objectifs de la sensibilité,que je vous signalais
depuis la fesse jusqu'au pied, de chaque côté (figures 1 et 2). Les troubles de la mixtion sont restés stationnaires ; voire q
r que le réflexe anal est aboli. A part cela, on ne constate pas de troubles des fonctions du gros intestin. - - - L'eschare
p plus intenses à gauche qu'à droite. ' - . Un peu plus tard, des troubles de la marche sont apparus. Leur aggra- vation p
points de pénétration des racines motrices. On conçoit donc que des troubles de l'innervation motrice de la vessie puissent
per, dans un cas de névrite radiculaire de la queue de cheval, sans troubles concomitants de l'innervation sensitive, ainsi
ervé, des deux côtés ; le réflexe achilléen est aboli. En fait de troubles subjectifs de la sensibilité, nous notons ce qui
ions névritiques. Le malade a eu, à titre purement transitoire, des troubles de l'urination et de la défécation. Or, la duré
es de l'urination et de la défécation. Or, la durée éphémère de ces troubles des fonctions de la vessie et du gros intestin
RAYMOND Il a, présentement, de l'anesthésie uréthro-vésicale, sans troubles con- comitants des fonctions motrices de la ves
'anesthésie de la portion la plus inférieure du gros intestin, sans troubles concomitants des fonctions more trices. Or, j
plantaire. La sensibilité objective est intacte partout. En fait de troubles de la sensibilité subjective, le malade éprouve
ération la nature exclusivement motrice des accidents, l'absence de troubles objectifs de la sensibilité. Ces caractères s'o
achilléen et du réflexe plantaire ; Le caractère rudimentaire des troubles vésicaux qui s'explique par l'unilatéralité de
te vive du côté gauche et il a été pris brusquement de vertiges, de troubles de motilitégraves, ainsi que d'une grande gêne
st nasillarde ; le réflexe du voile du palais est aboli. Il y a des troubles de sensibilité ; tout le côté droit du corps jusq
che interolivaire était plus atteinte que la région antérieure, les troubles sen- sitifs prédominaient aux membres inférieur
rce que le malade est mort très peu de temps après l'apparition des troubles cliniques. Or il existe des lésions déjà ancienne
ation de foyers de mortification dont dépendent exclusive- ment les troubles cliniques qui ont été observés, et c'est au mode
ient à la lésion de chacune des voies sensitives dans la genèse des troubles de sensibilité. Dans deux autres cas, sans cont
'on observe dans les lésions du sympathique cervical. Toutefois ces troubles paraissent être moins accentués que lorsque le
ter sur ce point que dans l'asynergie il n'existe pas le plus petit trouble de la notion de position ; le malade reconnaît
ynergiques. Aussi l'occlusion des yeux ne modifie-t-elle en rien ce trouble ; que le malade ait les yeux fermés ou les yeux o
eau du corps dentelé, de telle sorte que l'on peut supposer que les troubles moteurs observés n'étaient pas de l'asynergie p
animal ; on doit donc s'attendre à ce que leur altération amène des troubles importants. Quels sont-ils ? Dans notre cas, le
vers la moelle est sec- lionné, semble jouer un grand rôle dans les troubles observés. Ses rela- tions intimes avec le nerf
onc devient t vertical. La force musculaire est conservée. Pas de troubles trophiques. Sensibilité intacte. Pas de trouble
conservée. Pas de troubles trophiques. Sensibilité intacte. Pas de troubles sphinctériens. Les réflexes rotuliens sont très
la chute et les mouvements toniques et cloniques. Il n'a d'autre trouble somatique appréciable qu'une légère atrophie de l
cyanose très apparente. Au dynamomètre, 10 il D. et 20 à G. Aucun trouble de la sensibilité. Les réflexes tendineux des d
publique. Il n'y a rien aux viscères, rien dans les urines. Pas de troubles trophiques. La voûte est légèrement en ogive av
ne des hôpitaux de Paris. Le gigantisme et l'infantilisme sont deux troubles de l'évolution assez disparates, pour qu'il sem
ilité objective, sous tous ses modes, est intacte ; il n'y a pas de troubles sensoriels. Mais, depuis l'apparition du genu val
ant. Déjà à l'époque où il l'observait, Papillault concluait que ce trouble systématique dans les proportions du corps deva
par nuit, et cela pen- dant deux années. Au boutde ce temps, des troubles commencèrent à se mani- fester : l'éjaculation
sions de l'hypophyse qui produisent chez l'adulte (acromégalie) des troubles des organes génitaux (suppression des règles, a
Cependant, tous les géants ne deviennent pas acromégaliques, et le trouble du développement, qui débute par le gigantisme po
roportions harmonieuses, une force au-dessus de la moyenne, et sans troubles sérieux de la santé. Mais ce sont là des except
61 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ait présenté au moment de ses différentes entrées quel- ques légers troubles mentaux dus à l'alcoolisme, il en serait de lui
La .première fois que nous voyons Delannoy, à Mazas, il simule les troubles de la marche que l'on observe chez les individu
n sorte que si nous avions pu avoir quelque doute sur la nature des troubles locomoteurs observés chez lui, nous serions mai
sciemment, il ne saurait y avoir de doute à cet'égard. Quant aux- troubles des mouvements présentés par Delannoy pendant t
le compte COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 33 d'un trouble cérébral quelconque, car il ne présente en rien
our Delannoy d'avoir simulé devant nous l'ataxie locomotrice et des troubles intellectuels permet d'avoir au moins des doute
artie essentielle du tube nerveux, ne saurait devenir le siège d'un trouble important sans que la myéline s'altère à son to
me nerveux central puissent souvent ne donner lieu qu'à très peu de troubles fonctionnels. Mais en général ils tuent très ra
nes permanents on nota de la parésie, une hémianopsie droite et des troubles de la parole. La compréhension de la parole, le
ve des difficultés pour désigner les objets qu'on lui présente. Les troubles de l'écriture n'ont été REVUE DE PATHOLOGIE NER
ns, 1'ecw'l'iny utterance de Jackson. Ce malade présentait aussi le trouble que Freund a décrit sous le nom d'aphasie optiq
nantes. Il meurt à quarante-un ans de phtisie pulmonaire. Jamais de troubles vésicaux, ni rectaux; jamais d'ataxie. L'autopsie
ion du segment inférieur des ascendantes) ou accompagnée d'autres troubles . Le rire, dit l'auteur, surtout le rire franc,
ctrothérapie font en quatre semaines disparaître le sucre, mais les troubles nerveux persistent. Puis reparaît la glyco- sur
aire,y est précoce,et qui manque, dans le pseudo-tabes, ce sont les troubles vésicaux (Obs. 111). P. K. XXXIV. Contribution
z rarement nécessaire au bout d'un assez court espace de temps. Les troubles sensoriels persistent longtemps. Les affections
: 1° Les détenus aliénés cessent, aussitôt qu'ils présentent des troubles psychiques, d'appartenir aux établissements pénit
nations et craniectomies dans l'idiotie microcéphalique. Pour les troubles mentaux d'origine traumatique en revanche, les
ce qui concerne la cure des épilepsies jacksonniennes avec ou sans troubles mentaux consécutifs (la cure des troubles menta
cksonniennes avec ou sans troubles mentaux consécutifs (la cure des troubles mentaux eux-mêmes étant subordonnée au temps pl
interruption. Ce cas est remarquable par la tardive apparition des troubles mentaux, et l'absence de toute lésion pathologi
enses. Presque simultanément à la première attaque, appari- tion de troubles mentaux d'abord légers, et aboutissant à des hall
teint d'épilepsie jacksonnienne, de para- lysie du bras gauche avec troubles de la sensibilité, de céphalalgie et de névrite
et permettait de les localiser. La paralysie du bras gauche et les troubles sensoriels dont il était le siège, alors que la
voir dans ce fait un phénomène inverse. La malade éprouverait des troubles de la sensibilité générale déterminant des mouvem
I. Je désire vous montrer aujourd'hui un malade qui pré- sente des troubles hallucinatoires assez peu communs et dont la pa
ool et la cachexie, il ne devait pas tarder à présenter de nouveaux troubles cérébraux. Merc... est entré dans notre service
eau. Mais c'est surtout du côté de l'audition que nous trouvons des troubles prononcés, très prédominants du côté gauche. Le
très appréciable du goût et de l'odorat. Voilà donc un ensemble de troubles sensoriels, parmi les- quels il convient de dis
soit excité. Mais il peut l'être de bien des manières, soit par un trouble vaso-moteur, soit par l'irrigation de sang vici
nt à soigner une femme qui présentait un délire mélanco- lique avec troubles hallucinatoires de l'oreille droite, examina l'
s qu'on se demande comment elles auraient pu donner naissance à des troubles hallucinatoires, qui supposent, je le répète, u
time de les rattacher à la lésion centrale, t Lwoff. Études sur les troubles intellectuels liés aux lésions circons- crites
e erronée par la patiente en proie depuis longtemps déjà à d'autres troubles hallucinatoires. En résumé, la lésion de la rég
omme, la lésion cérébrale donne lieu dans les cas de ce genre à des troubles subjectifs de la sensibilité, à de fausses sens
produit que des fourmillements, des engourdissements, en un mot des troubles subjectifs de la sensibilité, c'est-à-dire la m
t hémianopsie droites, avec aphasie motrice et surdité verbale. Les troubles moteurs et sensitifs s'amendèrent dans les troi
eu à des phéno- mènes hallucinatoires. Dans les deux cas il y a des troubles sensitifs et des sensations subjectives, qui so
lisme prolongé que nous voyons se développer la prédisposition aux troubles hallucinatoires. Et à ce point de vue il est inté
réduisant au silence, obtenir un amendement et même la guérison des troubles vésaniques. Quelques mois après cette leçon Mèr
quel que soit l'interrupteur employé. M. Ettlinger, étudiant les troubles de l'excitabilité électrique dans les polynévri
ion musicale; mais ceci est plus rare. On conçoit tou- tefois qu'un trouble apporté dans des associations de ce genre puiss
sculaires périphériques seraient secondaires, et consécutives à des troubles de nutrition déterminés eux-mêmes par des altér
paralysie générale, dans lesquels les altérations cérébrales et les troubles mentaux n'avaient pas eu le temps d'atteindre u
ues; il en est de même pour l'atrophie des muscles et ponr divers troubles cutanés, sensoriels et trophiques, et la même int
et la même interpréta- tion pathogénique est encore applicable aux troubles de la parole - et de la déglutition. R. de 111U
'une façon monotone des phrases dé- pourvues de sens. En somme, les troubles du langage sont du mutisme, alternant avec de l
gération ou de la déclamation emphatique de paroles sans suite; les troubles moteurs sont de la catalepsie et l'exécution mo
automati- ques. La sensibilité générale paraît au moins obtuse. Les troubles trophiques et vaso-moteurs sont manifestes. Les
C. XIX. LES EFFETS DES maladies somatiques INTERCURRENTES SUR LES troubles mentaux ; par E. GOOD.1LL et Saint-John 13CLLEN.
motrices (circonvolutions centales). Il montre ensuite, comment les troubles fonctionnels, soit de ces divers centres, soit
t. XXVII, liv. 1.) On peut provoquer chez les alcooliques aigus des troubles senso- riels de divers genres en exerçant une p
(écholalie, coprolalie, tic, etc.) ; d) Etat d'arrêt psychique - e) Troubles somatiques ; f) Lucidité habituelle et angoisse.
seaux est favorable sur l'état mental. P. S. XXVII. Fréquence DES TROUBLES FONCTIONNELS DU pneumogastrique dans LES affect
umogastrique dans LES affections mentales ; par le Dr KELLOG. Les troubles fonctionnels du pneumogastrique se rencontrent
l'aura épilep- tique, l'hypocondrie; paralysie et spasme du larynx, troubles de l'innervation cardiaque; paralysie des fibre
e; paralysie des fibres de l'oesophage, dans la paralysie générale; troubles gastriques dans la mélancolie, la paralysie gén
XXVIII. POIDS du corps ET aliénation mentale; par le Dr MOUTON. Les troubles mentaux sont fréquemment accompagnés de troubles
le Dr MOUTON. Les troubles mentaux sont fréquemment accompagnés de troubles de la nutrition : aussi, dans la folie aiguë, l
a nécessité d'un examen physique complet des aliénées en raison des troubles , affection ou malformation des organes génito-u
liénées examinées par le Dr Barrus, trois seulement se plaignent de troubles des organes génitaux, alors que soixante en pré
par le Dr FÉRÉ. L'auteur rapporte une intéressante observation de troubles men- taux survenus chez un cheval et répondant
spasme intermittent des muscles du cou, associé ou subordonné à des troubles psychiques chez des sujets névropathes, en dehors
. (American Journal of insanity, oct. 1894.) E. B. XXXIV. SUR LES troubles mentaux dans la maladie DES TICS CONVUL- siFS;
moins intenses, et 20 fois des délires furieux. Il y a donc eu des troubles psychiques dans le quart des cas de fièvre typh
73 typhiques, a observé 43 cas p. 100 de délires ; Louis a noté des troubles de ce genre dans les trois quarts des cas. Vuil
as. Vuillemin (Thèse, Paris 1874) a étudié la date d'apparition des troubles psychiques dans la fièvre typhoïde ; Kraepelin a
2° la forme maniaque. Dans la première on note, avant le début des troubles psychiques, des maux de tête, une sensation de
, de rapport entre l'élévation de la température et l'intensité des troubles psychiques. Liebermeister et rr.ntzel ont même
ychiques. Liebermeister et rr.ntzel ont même noté la coïncidence de troubles cérébraux graves avec une température peu élevé
nt défaut. On ignore si les délires initiaux peuvent être suivis de troubles psychiques du- rables. Une chose certaine, c'es
une dimi- nution du liquide encéphalo-rachidien ne détermine pas de troubles accusés, tandis que l'augmentation de la quanti
r était partisan du rôle actif de l'hyperthermie dans la genèse des troubles délirants. Baumler fait intervenir, en outre de
rappelle les observations de Gerhardt, dans lesquelles on voit des troubles psychiques graves se produire au moment où la t
uerie du début, de l'existence d'une épidémie dans la localité, des troubles de la mémoire ; les accès épileptiques ou délir
rédité mentale très chargée : à un certain moment il a présenté des troubles hys- tériques très accusés et a toujours vagabo
lui de Cachexie sl1'umip1'ive. Reverdin attribua, sans hésiter, ces troubles à la sup- pression des fonctions du corps thyro
pagnées de vomissements avant ou après les règles. Etourdissements, troubles de la vue, « je vois double, comme du brouillar
es accidents observés chez cet enfant consistaient beaucoup plus en troubles moraux, qu'en troubles intellectuels. L'irrita-
hez cet enfant consistaient beaucoup plus en troubles moraux, qu'en troubles intellectuels. L'irrita- bilité croissante du c
itation par les voies nasales. Il n'y avait pas d'aphasie, mais les troubles musculaires ren- daient l'articulation de la pa
hez les imbéciles; il ne serait donc pas téméraire de rattacher les troubles intellectuels à la lésion cérébelleuse. Beaucou
'atrophie avec diminution de l'irritabilité faradique, avec ou sans troubles sensoriels objectifs, et en l'absence de tout sym
it ni antécédents névropathiques, ni syphi- lis, ni alcoolisme. Les troubles trophiques que présentait cette ma- lade différ
ions de fréquence ou de caractère du pouls et de la respiration, le trouble ou l'abolition de la fonction muscu- laire, et
rdinaire aucun changement. Les paralysies générales ou locales, les troubles de l'action musculaire peuvent être des symp- t
TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. quelque soit leur siège. Les troubles sensoriels tels que le délire ou l'irritabilité
oma et à la mort. La période primitive est très souvent suivie d'un trouble ou d'un atlaiblissement mental qui peut se term
désordres concomitants prend une véritable valeur diagnostique. Les troubles psychiques n'exis- tent que si les lobes fronta
'une manière si fréquente que, pratiquement, on peut considérer ces troubles comme des signes de l'existence d'une lacération.
tout sur la présence de certaines particularités de température, de troubles psychiques, du relâchement involontaire des sph
bilité des os et les altérations dentaires sont autant d'indices de troubles de la nutrition dus à la dégénérescence des art
nt elles sont primitives et précèdent de longtemps l'apparition des troubles mentaux. Il pense donc que l'état vacuolé et la
lésions pulmonaires paraissent moins actives dans la production des troubles mentaux. Parmi les causes les plus puissantes a
sources les plus ordinaires de ces réflexes épileptogènes sont les troubles de l'appareil de la vision, les affections de l
la parole embarrassée, l'écriture incertaine et maladroite. Pas de troubles psychiques, conscience intacte. Pour expliquer
te. Pour expliquer les défaillance, l'auteur admet l'hypothèse d'un trouble périodique des fonctions de l'écorce, de nature
vorables d'une intervention chirurgicale, puisque l'on sait que des troubles nerveux ou psychiques graves ont été guéris ou
s ne déterminent que des améliorations, ou laissent après elles des troubles fonctionnels plus ou moins pénibles, et cependant
n d'inter- venir. Seule l'ovariotomie ne devrait pas être suivie de troubles de ce genre. On oublie que cette opération déte
eut provoquer des psychoses, n'est pas de nature à guérir ces mêmes troubles . Mais on sait que toute opération chirurgicale, e
chements ultérieurs qui sont souvent chez ces femmes la cause de troubles du système nerveux. Certains auteurs ont attrib
ne présentent pas de signes d'altérations : il leur suffit que les troubles génitaux aient joué un rôle dans le développeme
e cas, des organes ne paraissant point altérés ont pu provoquer des troubles nerveux accusés, tandis que des lésions considé
nt restées silencieuses. - ~ Certains auteurs ont soutenu que les troubles de l'appareil génital n'étaient que la conséque
aque qui persiste pendant environ une année, viennent s'ajouter des troubles sensoriels. Les idées de ri- chesse et de persé
Les lésions eczémateuses ont produit une calvitie complète. Pas de troubles de la motricité, ni de la sensibilité cutanée.
petite avec écoulement sanguin peu abondant qui se traduit par les troubles décrits plus haut (syncope, vomissement, refroi
jamais présenté ni incoordination des mouvements, ni vertiges, ni troubles de la sensibilité générale. Mais, après avoir pré
ez les indi-, vidus porteurs de lésions cérébelleuses anciennes des troubles du caractère, et des idées mélancoliques avec d
t une déviation de la langue à droite : bientôt survinrent quelques troubles de la déglu- tition, de l'enrouement et de la t
nts qui peuvent'alors subsister sont d'origine spinale. - Quant aux troubles mentaux qui accompagnent, tôt ou tard, mais inva-
réflexe du genou et des autres réflexes; il montre l'importance des troubles oculaires dans la sclérose posté- rieure, et l'
x dans 10 cas, exagérés dans 12, diminués ou absents dans 12. Les troubles de la sensibilité générale n'ont été que trop rar
négatifs comprendraient les modifications des désirs sexuels, les troubles de l'intelligence et des sensations, et la variab
rtérile syphilitique des ramifications de la sylvienne gauche, avec troubles passagers de la circulation au niveau du bras,
langage. Ce cas était intéressant, car on pouvait hésiter entre des troubles fonctionnels de nature hystérique et des lésions
c, et qu'elle risque surtout d'être con- fondue avec les névroses à troubles fonctionnels, telles que la neu- rasthénie, l'h
t quelquefois chez les hystériques, et peut aussi constituer un pur trouble fonctionnel du système nerveux. L'auteur s'est at
toute misère intestinale. Mais le spasme rectal fut remplacé par un trouble d'ordre absolument différent, que l'auteur décr
nt, que l'auteur décrit, mais ne se charge pas de définir : dans le trouble nouveau, pour lequel le malade a consulté nombr
n qui progressait à mesure que le malade approchait de New-York. Ce trouble a été caractérisé au début par l'apparition bru
être incriminée. Toutefois il demeure convaincu qu'il s'agit là de troubles trophiques de la peau ayant la même origine név
débuterait par de l'ataxie de la marche. P. Iil : nnvaL. LVII. Des troubles DE la sensibilité ET DE LEURS localisations dans
trie und iYo'venk1'al1kheiten, t. XXVII, 1. 3, 1893.) ' Parmi les troubles de la sensibilité, l'hypesthésie du tronc appa-
et la notion de position qui diminuent tout d'abord. Au tronc, les troubles apparaissent d'abord dans la zone d'inner- vati
elle se double des crises choréiformes, athétoides, réflexes, avec troubles de la sensibilité, qui sont de l'amyotaxie, de l'
'atteinte du nerf jusqu'au point d'émergence de'la corde du tympan ( troubles du goût); six mois après, récidive du même côté
int de paraplé- gie à tendance spasmodique avec thermo-analgésie et troubles des sphincters. Pendant plusieurs années l'affe
membres inférieurs. Les sphincters ont recouvré leur intégrité. Les troubles sensitifs ont disparu. Puis paralysie transitoi
sensitif pur de Brissaud : douleurs lancinantes, crises gastriques, troubles génito-urinaires, troubles de l'ouïe, in- sensi
douleurs lancinantes, crises gastriques, troubles génito-urinaires, troubles de l'ouïe, in- sensibilité à la pression du ner
a pression du nerf cubital, sensation de coton à la plante du pied, troubles de sensibilité douloureuse et thermique, signe
question, si le rachitisme n'a pas été une cause prédisposante aux troubles articulaires du tabes. (Revue Neurologique, sep
, tremblement inten- tionnel, nystagmus, décoloration des papilles, troubles de la parole, troubles vésicaux, etc. L'auteu
onnel, nystagmus, décoloration des papilles, troubles de la parole, troubles vésicaux, etc. L'auteur estime qu'il y a lieu d
es portions intéressées de l'écorce étaient bien le siège exact des troubles sensitifs observés. " F. B. LXVII. UN cas D'OPH
oureux. Anesthésie remontante jusqu'à la huitième vertèbre dorsale, troubles sphinctériens. Mort quatre mois après le début
int d'une paralysie spasmodique, de contractions douloureuses et de troubles sensitifs variés dans les membres inférieurs, c
ans un milieu identiques. Cette illusion très intense, complique et trouble toute l'existence du malade ; elle entraine secon
ritique le terme de fausse mémoire. Pour lui, il s'agit plutôt d'un trouble de perception, que d'un trouble de la mémoire.
re. Pour lui, il s'agit plutôt d'un trouble de perception, que d'un trouble de la mémoire. Il a observé des phénomènes anal
de vue bien différents : la clinique et la médecine légale. « Les troubles nerveux consécutifs aux traumatismes ne pré- se
e ressortir l'utilité pour le médecin de connaître exacte- ment ces troubles nerveux, si complexes, parfois si bizarres, susce
re fois par Brodie, décrits ensuite par Duchesne et par Robert, ces troubles nerveux ne furent sérieuse- ment étudiés qu'en
oppement de ces névroses, et celle de Charcot, qui ne voit dans les troubles nerveux consécutifs aux traumatismes que des form
mporte cependant de faire une dis- tinction : dans la catégorie des troubles nerveux graves, où Jes symptômes fonctionnels s
rveux graves, où Jes symptômes fonctionnels semblent se mêler à des troubles orga- niques, il faut noter cette circonstance,
ance, démontrée par l'observa- tion, c'est que presque toujours ces troubles graves sont consécutifs à une secousse considér
névroses traumatiques est très complexe; elle comporte une foule de troubles nerveux, tantôt simples et locaux, tantôt compl
de la première catégoriê, les .phénomènes caractéristiques sont des troubles intellectuels, sensitifs, moteurs et généraux,
fréquemment des caractères : névrite optique, atrophie papillaire, troubles de la vessie, inexcitabilité de la pupille à la
importance et est quelquefois insignifiant, où le plus souvent les troubles nerveux ont été précédés chez les ma- lades d'u
tre et d'apprécier la nature, la forme, la marche et la gravité des troubles si complexes et si variés, dont le traumatisme
es deux côtés. Dans la cavité crânienne, la pie-mère est légèrement trouble avec léger oedème des espaces sous-arachnoï- di
alentissement de la circula- tion capillaire, d'où anémie locale et troubles inévitables de nutrition des parois vasculaires
me suit la disparition de la paraly- sie ou de la contracture ; les troubles que cette paralysie ou cette contracture a prov
re périvasculaire. Les nerfs sont soumis aux mêmes conditions des troubles de la nutrition, de là ces lésions de névrite a
ne névrite à peine pro- noncée ne peut dans aucun cas expliquer les troubles paraly- tiques de tout le membre ; d'autre part
omme la phase tout à fait initiale de ce processus provoqué par les troubles trophiques des parois, troubles consécutifs à l
le de ce processus provoqué par les troubles trophiques des parois, troubles consécutifs à la stase. Etant donnée l'absence
sidéré comme favorable. Ainsidans mon cas, quoiqu'il n'y ait pas de troubles trophiques nets, les hémorragies dans le tissu
-- Grossissement de 350. RECUEIL DE FAITS. GUÉRISON APPARENTE DES TROUBLES PSYCHIQUES CHEZ DEUX MANIAQUES ATTEINTES, L'UNE
aliénés est depuis longtemps reconnue et, si GUÉRISON APPARENTE DES TROUBLES PSYCHIQUES. 331 les aliénistes d'aujourd'hui n'
ssez souvent devoir une amélioration plus ou moins considérable des troubles psychiques se produire, sans autre cause appréc
du fait de la maladie intercurrente d'une véritable suppression des troubles psychiques qui s'est maintenue pendant environ
e longue durée. Au cours de cette affection, disparition subite des troubles psychiques. Guérison apparente pendant trois se
lement absolu. Insomnie. Mélange chaotique d'idées délirantes et de troubles sensoriels. Pas d'hyperthermie. Hérédité névrop
ses médicaments spontanément, s'entretient ! GUÉRISON APPARENTE DES TROUBLES PSYCHIQUES. 333 convenablement avec nous : syll
dès le début, et sont même antérieures à l'apparition des premiers troubles mentaux. , Le délire des persécuteurs raisonnan
R. M.-C. XXXV. QUELQUES indications relatives ALLA prophylaxie DES TROUBLES mentaux; par Curven. (The jou1'1ll[l of mental
tique et curatif, s'efforce de découvrir les premiers symptômes de trouble dans les fonctions les plus obscures et les plus
e mais plutôt la cause d'une auto-intoxication qui entraînerait les troubles mentaux secondaires. (British médical journal,
autre aliéné. P. K. LIV. Paralysie hystérique avec contracture ET troubles mentaux ; par le Dr II. Bonnet. Il s'agit d'u
timètre cube et demi chacune de sérum. Au bout de trois mois, les troubles de la motilité et de la sensibi- lité avaient d
le sont survenus, consé- cutivement à une infection puerpérale, des troubles hystériques caractérisés par des phases diverse
parait son terrain, manifestant seulement son sourd travail par les troubles cérébraux et nerveux. (Annales médi';o-psyclwlo
adhérente et amincie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 363 dorsale, troubles sphinctériens. Mort quatre mois après le début
int d'une paralysie spasmodique, de contractions douloureuses et de troubles sensitifs variés dans les membres inférieurs, c
pas la marche intermittente 4° il persiste pendant que cessent le trouble respiratoire et les convulsions des muscles de la
d'autres signes de l'hystérie (Higier, Remak). Pathogénie. Tous les troubles de la parole hystériques, surve- nant à la suit
ussi, avec une période intermittente de bégaiement. A cet égard les troubles de la parole hystériques ressemblent aux troubl
. A cet égard les troubles de la parole hystériques ressemblent aux troubles moteurs poslhémi- plégiques. Ceux-ci tiennent à
quand la restitution du courant nerveux a lieu. C'est une sorte de trouble comparable aux troubles moteurs posthémi- plégi
u courant nerveux a lieu. C'est une sorte de trouble comparable aux troubles moteurs posthémi- plégiques c'est-à-dire une al
-dire une alternance entre, la période de paralysie complète et les troubles moteurs variés, alternance produite par exemple
des crises, dans le centre de la surface où se manifes- taient les troubles sensitifs, étaient ressentis parfois de véritable
e les symptômes marquants furent les vertiges avec vomissements des troubles visuels et vaso-sécré- toires, puis le coma fin
vocale gauche, volume plus grand de la moitié gauche de la langue, troubles de sensibilité dans le domaine delà première et
delà première et de la deuxième branche du trijumeau gauche. Les troubles du sens thermique et la sensibilité à la douleur
taient moins. Absence des réflexes cornéen et conjonctival gauches, troubles de la sensibilité à la douleur et du sens therm
roite du patient. L'accès passe, tout est rentré dans l'ordre. Le trouble fonctionnel trophique ou circulatoire des centres
centres visuels cortico-occipitaux qui d'ordinaire, en pareil cas, trouble la perception centrale des stimulus rétiniens (
iat., XXVI, 3.) Parésie faciale gauche; vertiges ; vomissements ; troubles de la déglutition, paralysie du mouvement du pl
calotte comme tractus moteur. Ce sera à examiner. P. K. LII. D'un TROUBLE VASO-MOTEUR HÊMILATËRAL d'origine cérébrale; pa
lieu du noyau caudé. 11. Kaiser attribue à cette dernière lésion le trouble vaso-moteur, et, au noyau caudé la fonction vas
t, au noyau caudé la fonction vaso-motrice croisée. P. K. LUI. LE TROUBLE DE la sensibilité de BERNHARDT au niveau DE la
me. P. K. LIV. SUR un complexus symptomatique caractérisé par des troubles DE la COORDINATION, CONGENITAUX ou acquis; par
pathologiques. Ces formes intermédiaires sont caractérisées par des troubles de coordination dans les mouvements des muscles
aux ou exagérés; il peut survenir de la rigidité musculaire; pas de troubles de la sensibilité ni de troubles sphinc- térien
de la rigidité musculaire; pas de troubles de la sensibilité ni de troubles sphinc- tériens. Ce complexus symptomatique a
bsence des réflexes tendineux; paralysie de la vessie et du rectum; troubles vasomoteurs; troubles psy- chiques (hallucinati
ndineux; paralysie de la vessie et du rectum; troubles vasomoteurs; troubles psy- chiques (hallucinations terrifiantes, culp
é des centres nerveux. Ces malades peuvent, en effet, présenter des troubles trophiques graves, portes d'entiée d'infections
rapports au point de vue anatomique, physiologique et clinique. Les troubles ampullaires sont intéressants à connaître, car
ître, car ils peuvent plêler leur symptomatologie à toute espèce de troubles oculo-moteurs, et qu'en présence de ces dernier
ations oculo-mo- trices, comme aux fonctions d'équilibration. Les troubles oculo-moteurs sont fréquemment symptomatiques d
eaux cliniques les plus complexes. Il faut donc, en présence de ces troubles oculo- moteurs, songer à l'appareil ampullaire
. Il 396 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 2° Des troubles de la circulation cérébrale liés à des altération
NDO j par W. 'I'URNER. (train, été et automne 1895.) Cette lésion trouble la sensibilité dans le domaine du trijumeau d'u
ien ayant conservé un petit fragment de sa glande n'a éprouvé aucun trouble quoique n'ayant reçu aucune injection. Ces inje
une injection. Ces injections, même à haute dose, n'ont amené aucun trouble chez des chiens intacts, tandis que leur effet
neux et de la réaction dans les mouvements de conver- gence. Pas de troubles de la parole. Réflexes rotuliens conservés. Syp
tement : aucun indice d'atrophie. L'aisselle droite est le siège de troubles trophiques cutanés. La peau est brunâtre, épais
ni le froid, ni la douleur [dissociation de la sensibilité). Pas de troubles de la sensibilité sur le tronc et les membres i
(urti- caire artificielle) réunies par une bande érythémateuse. Ces troubles vaso-moteurs sont plus accusés à gauche qu'à dr
de nous parait appartenir à la maladie de Morvan. Tout d'abord, les troubles de la sensibilité sont ana- logues à ceux qu'a
oid, à la chaleur est abolie. Nous devons faire remarquer que les troubles de la sensibilité semblent quelquefois varier. C'
sensibilité peut parfaitement exister. » (Loc. cit., p. 194.) Les troubles trophiques sont aussi très nets. Le malade a eu
nts histologiques de l'écorce ; chez les autres aliénés elle est un trouble fonctionnel. P. K. LXXXV. Contribution .1 la QU
nt un temps indéterminé. Elle est probablement en rapport avec un trouble vaso-moteur dépendant de l'excitation du symphati
: soit que l'on attribue la toxicité spéciale du suc gastrique à un trouble primitif de l'estomac, ou quel'on admette que l
mâchoire inférieure, du nez, de la langue et des clavicules. Pas de troubles oculaires. Urine normale. La malade est soumise
est légè- rement moins développée que l'autre. A part cela, pas de troubles trophiques. M. Bruns présente ensuite un sarc
oculaires d'apparence nucléaire, du tremble- ment intentionnel, des troubles de la parole et des pupilles. La tête s'était c
à gauche on sent la masse cérébrale s'appliquer sur la paroi. Comme troubles qui ont per- sisté malgré l'opération on note d
rémulantes ; puis vient la dystasie à type cérébelleux, ensuite ces troubles de la marche qui ne se produisent qu'au début de
i est de la nature de l'hystérie, Bruns considère celle-ci comme un trouble psychique dans la plus large acception du mot.
ion de Moebius qui admet qu'on ne rencontre dans l'hystérie que des troubles fonctionnels qui pourraient être pro- duits vol
érique que dans des cas de contracture, ce qui fait supposer que ce trouble est d'origine mécanique. Quant aux troubles tro
qui fait supposer que ce trouble est d'origine mécanique. Quant aux troubles trophiques de la peau, il faut penser aux auto-
utre que celles-ci sont déterminées par des représenta- tions : ces troubles intéressent en effet des membres entiers ou des
lus attentif est parfois insuffisant. Bruns a lui-même pris pour un trouble hystérique un cas de cysti- cerque du quatrième
enfant le temps d'être malade ; il faut attaquer vigoureusement les troubles fonctionnels ; souvent la simple affirmation suff
es sujets entrés dans ces vingt dernières années à l'asile pour des troubles psychi- ques provoqués par l'alcool, est de 15
équestrés d'office dans des asiles de buveurs, même en l'absence de troubles psychiques. L'organisation de ces établis- seme
itement pasteurien pour une morsure de chien enragé, fut atteint de troubles rabiformes d'ori- gine netlement hystérique : C
té) existe dans la maladie de Morvan, mais y est plus fugace. Comme troubles trophiques, l'atrophie mus- culaire prime dans
les ataxiques. L'auteur étudie un phénomène rare dans l'ataxie, un trouble tout spécial qu'il propose d'appeler ataxie sta
téressant de connaître le siège exact de la lésion qui entraîne ces troubles . , Du vertige des alaxiques. Sous ce titre M. G
lard. J. Noir. XIII. Considérations générales sur la pathogénie des troubles psychi- ques. Examen critique d'une hypothèse (
mé- decins aliénistes de France, par Régis, 313. Coordination. Troubles de la - congénitaux et acquis, par Nonne 389.
'en- fance, par Muratow, 369. Effets des - intercurrentes sur les troubles mentaux, par Goodall et Bullen, 140. - mental
rogressive, par Schuter, 354. - hystérique avec contrac- tures et troubles mentaux, par Bonnet, 35ï ? bulbaireumlatérale
E ERB. Paralysie complète du -, par Weber, 474. Pneumogastrique . Troubles fonc- tionnels du dans les affections mentale
ure de la -, par Jolly, 380. Psychiques. Guérison apparente des troubles chez deux maniaques, par Charon, 330. Pathogéni
s troubles chez deux maniaques, par Charon, 330. Pathogénie des troubles -, par Santenoise, 495. Psychologie morbide com
p visuel dans le - scintillement, par Berger, 385. Sensibilité. Troubles de la de Bernhardl à la cuisse, pat Freud, 38
56. ou diabète TABLE DES MATIÈRES. 505 sucré, par Grube, 58. Des troubles de la sensibilité et de leur locali- sation d
on emploi en médecine interne, par Metzler, ri3. Tics convllsifs. Troubles mentaux dans la maladie des -, par Ke- moncha
Vagin. Corps étrangers du -, par Bussel Strapp, 139. Vaso-moieur. Trouble - unilatéral d'origine cérébrale, par Kaiser,38
62 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
n-Séquard revient ce double mérite : D'avoir précisé l'ensemble des troubles sensitivo-moteurs qui se déve- loppent à la sui
n de continuité d'une moitié de la moelle, donnent lieu à ces mêmes troubles sensitivo-moteurs (1). Dès 1846, Brown-Séquard
re locale, dont la valeur peut dépasser 1°. e) Enfin on observe des troubles viscéraux qui varient éI' cc le siège, avec le
d l'hémisection intéresse la moelle cervicale, on peut observer des troubles respiratoires d'ordre paralytique, la dilatation
rigidité complète; il n'avait que très rarement des érections. De troubles trophiques, il ne paraissait pas' en exister; en
Dès main- HEMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE. ( Répartition des troubles moteurs et sensitifs {Syndrome de Brown-Sequard).
temps en temps des crises convulsives localisées dans ce côté, des troubles oculaires surtout marqués du côté gauche (pupille
cord, February, I, 1896. DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE 75 des troubles variés de la tension intra-crânienne; ce sont des
les signes irrécusables de la compression,qui s'an- noncent par des troubles visuels, et que l'ophtalmoscope révèle fatalement
teurs ». DE LA MAIN « SUCCULENTE » PAR G. MARINESCO I Les troubles trophiques de la syringomyélie sont si variables
rs avec l'acromégalie. Mais ce n'est pas tout, il existe encore des troubles trophiques vaso-moteurs qui, pour être plus rares
ce travail de montrer qu'il existe au cours de la syringomyélie des troubles trophiques vaso-moteurs particuliers qui, assoc
re, M. Marie, celui de main succulente. Ce n'est pas à dire que les troubles vaso-moteurs dont j'aurai à parler n'aient pas
ription com- plète et lâcher de la dégager des types voisins. Les troubles vaso-moteurs dans la syringomyélie ont été signal
élie avec autopsie. Leur cas est intéressant en ceci, c'est que les troubles vaso-moteurs pouvaient être provoqués à volonté.
les Archives de neurologie, il est question à plusieurs reprises de troubles vaso-moteurs. Aussi dans l'observation II de ce
Dans les observations IX et X du même au- teur on trouve notés des troubles vaso-moteurs consistant en une cyanose légère d
t t tuméfié, cyanosé et donnait une sensation de froid intense. Ces troubles de la circulation persistent, en partie même ap
ail sur la syringomyélie a noté à plusieurs reprises la présence de troubles vaso-moteurs, mais je n'ai trouvé dans son arti
s, mais je n'ai trouvé dans son article qu'une seule observation de troubles trophiques cutanés, qui pouvaient être comparab
esque tous les documents que j'ai pu recueillir au point de vue des troubles trophiques cutanés et vaso-moteurs dans la syring
elle ont débuté d'une façon insidieuse. Il paraît cependant que les troubles de motilité ont débuté presque en même temps qu
e les troubles de motilité ont débuté presque en même temps que les troubles de sensibilité. Déjà en 1848 il avait éprouvé de
auesthésie est indiquée sur le schéma suivant (Fig. 1 et 2). Pas de troubles sensoriels d'aucune sorte. La vue, l'ouïe et le g
, les réflexes-rotuliens sont' très exagérés. Il ne présente pas de troubles de miction ni d'albumine dans l'urine, ni de br
ller, se boutonner, etc. Presqu'à la même époque, il a constaté des troubles caractéristiques de sensibilité. Il s'était brûlé
sans qu'il éprouvât la moindre douleur. En 1889, il a remarqué des troubles de la marche plus ou moins intermittents. Il lu
maire. Ces mensurations s'appliquent aux mains des deux côtés Les troubles delà sensibilité, chez Gass., sont ceux qu'on con
ie ; en effet au niveau de la face interne du bras, il n'y a pas de troubles de sensibilité, la topographie de cette bande nor
de marche sans difficulté, pas de signe de Romberg. Il n'y a pas de troubles sensoriels. L'acuité visuelle est intacte et le c
l'observation III. ou dans les bruits du coeur. Il n'existe pas de troubles qui feraient penser a une affection anale ; pas
. Une particularité sur laquelle je tiens à insister, c'est que ces troubles vaso-moteurs et surtout les petites taches rouges
tendue, lisse et luisante, comme collée sur les os. Il n'y a pas de troubles sensoriels. Les pupilles réagissent bien à la lum
matité précordiale, ou dans les bruits du coeur. Il n'existe pas de troubles qui feraient penser une affection rénale; pas d
erai que c'est une main froide et tou- jours sèche. Il n'y a pas de troubles des glandes sudoripares. Il s'agit en somme d'u
mannel Joseph 0'CarroI,iVIassius,etc., on emploie pour désigner les troubles trophiques cutanés dont nous avons parlé, le term
onner lieu il une confusion. Et tout d'abord, comme pour tout autre trouble nerveux, il faut se délier de l'hystérie, la gran
ulente. Les facteurs étio- logiques qui favorisent l'apparition des troubles trophiques de la main succulente nous sont peu
fection, contribuent dans une certaine mesure à l'apparition de ces troubles . Ainsi les 3 premiers malades présentant la mai
nie. - Il est difficile de se faire une idée exacte du mécanisme de troubles trophiques cutanés et vaso-moteurs dans la syring
a substance grise postérieure qu'il faut chercher l'explication des troubles moteurs de la syringomyélie. L'histologie fine
eurs pour la nulrition des téguments et du tissu des os. Les divers troubles trophiques de la main dans la syringomyélie, co
ssus et d'autres facteurs que nous ne connaissons pas. Ces divers troubles trophiques seraient de nature à prouver que pour
pport avec un segment moteur et vaso-moteur. Chez nos malades les troubles vaso-moteurs sont localisés principale- ment à
is, je pense, de conclure de cette discussion sur la pathogénie des troubles trophiques et vaso-moteurs qu'on rencontre dans
paralysie. Si on veut bien tenir compte du caractère rythmique des troubles vaso-moteurs chez Corr..., qui se traduit par l
a présence de taches rouges et la dilatation cyanotique des veines, troubles qui apparaissent et disparaissent, on est obligé
it que la perte de calorique que subissent les malades il cause des troubles vaso- moteurs, produisent une sensation de froi
d'une idée fixe consciente ou subconsciente dans la persistance des troubles morbides. Il nous a été donné d'observer récemm
hyperesthésie extrême, accompagnée de conslriction thoracique et de troubles respiratoires.. Le malade ne peut y supporter le
vif, très expressif en paroles et en gestes. Il ne présente aucun trouble moteur, ni trophique, ni vaso-moteur. Ses réfle
mination osseuse (exemple de tabes), dans lesquelles on observe des troubles trophiques du côté des os ». Depuis, M. Pic (1) d
moelle épinière et l'ostéite déformante de Paget. Nous croyons que troubles médullaires et osseux coïncident chez un même suj
ns vasculaires et os- seuses ne sont pas sous la dépendance du même trouble dystrophique, d'o- rigine inconnue. Les lésions
utre part les réflexes sont normaux, il n'existe ni contracture, ni troubles de la sensibilité. Ce fait né- gatif peut s'int
lièrement les douleurs fulgurantes, l'incoordination mo- trice, les troubles génito-urinaires, sans qu'il y ait de changements
troubles génito-urinaires, sans qu'il y ait de changements dans les troubles oculaires et le signe de Westphall, 30 à 35 resse
ont des douleurs, de l'anesthésie, de la faiblesse musculaire, des troubles vésicaux. Vorotensky (2) arrive de son côté à d
urantes dans les mem- bres, crises viscérales, anesthésies variées, troubles génitaux et vésicaux ; si l'on n'intervient pas
nsemble des phénomènes dou- loureux : crises à caractère fulgurant, troubles de la sensibilité. En second lieu, nos malades
malades ont retiré un grand bénéfice de la méthode par rapport aux troubles urinaires, la rétention en particulier : l'incont
d'un attentat, comme chez l'animal utilisé pour une expérience, les troubles sensitivo-moteurs, consécutifs à une hémisectio
émisection siège à certains niveaux, des manifestations surajoutées troubles des fonctions vésico-rectales, mydriase, dilata
tions vésico-rectales, mydriase, dilatation de la fente palpébrale, troubles locaux de la sudori- fication et de la calorifi
SUR UN CAS D'HÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 167 moelle où les troubles sensitivo-moteurs, en rapport avec la lésion spin
e, et de l'exagération des ré- flexes rotuliens des deux côtés. Les troubles de la sensibilité, hyperesthésie à droite, anes
e; l'abolition du mouvement subsistait encore en grande partie. Les troubles de la sensibi- lité remontaient jusque vers le
senté de l'hyperesthésie et gauche et de l'anesthésie à droite. Les troubles de la sensibilité remontaient presque. La par
faits qui nous fe- ront assister à l'envahissement du tronc par les troubles sensitivo-moteurs à disposition croisée, sans p
on croisée, sans participation des membres supérieurs à ces mê- mes troubles . Les faits du précédent groupe nous avaient fait
s montrer que lors- que la moelle est entamée au niveau susdit, les troubles de la sensibilité envahissent la paroi abdomina
la 4e vertèbre dorsale, donnant lieu aux phé- nomènes suivants : Troubles sensitivo-moteurs, remontant jusqu'au niveau du l
paralysie motrice, à droite, s'était can- tonnée dans le pied. Les troubles de la sensibilité subsistaient encore, quatre a
r le degré d'alimentation dont sont susceptibles, chez l'homme, les troubles sensitivo-moteurs consécutifs à une hémisection
nt une paralysie motrice incomplète du membre inférieur gauche. Les troubles de la motilité et de la sensibilité se sont dissi
e détail, que les membres supé- rieurs n'ont pas été envahis parles troubles sensitivo-moteurs qui, chez cet homme, se sont
niveau des deux dernières vertèbres cervicales peut occasionner des troubles sensi- tivo-moteurs du côté des membres supérie
e du traumatisme médul- laire les membres supérieurs présentent dcs troubles du mouvement et du sentiment, mais à titre pure
même niveau (6e vertèbre cervicale, à gauche), peut occasionner des troubles sensitivo- moteurs aux quatre membres, égalemen
e se trouve entamée, l'envahissement des membres supérieurs par les troubles du mouvement et du sentiment est un fait obligato
on rapide qu'on a observée dans ce cas; au bout de six semaines,les troubles sensitivo-moteurs ne subsistaient plus qu'à l'é
le qui remontait jusqu'au cou. Au bout de 18 mois la régression des troubles sensitivo-moteurs était très avancée. Une obs
ur et au niveau de la lu.' vertèbre cervicale. Or, dans ce cas, les troubles con- sécutifs se sont réduits à une paralysie m
a gauche. ' , Dans une observation publiée par Bornlnr-ger (3), les troubles sensi- tivo-moteurs, survenus à la suite de deu
é correspondante du thorax et de l'abdomen, et surtout,parce qu'aux troubles sensitivo-moteurs s'associaient une éléva- tion
tatait une anesthésie qui remontait jusqu'au cou. Dans la suite les troubles moteurs se sont notablement amendés. Je note qu'a
observation de Rûhl (2), l'amélioration subséquente a porté sur les troubles sensitifs et sur les troubles moteurs. A vrai dir
lioration subséquente a porté sur les troubles sensitifs et sur les troubles moteurs. A vrai dire l'expression clinique, dan
ore les deux mêmes par- ticularités : amélioration considérable des troubles sensitivo-moteurs sur- venus à la suite d'un co
u sentiment, superpo- sée à une paralysie motrice des membres ; les troubles du sentiment con- sistaient dans un engourdisse
e en quoi que ce soit de celle d'une paume saine. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité, aucun trouble trophique. Qua
une paume saine. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité, aucun trouble trophique. Quant aux troubles fonctionnels, il
aucun trouble de la sensibilité, aucun trouble trophique. Quant aux troubles fonctionnels, il est certain que ces mains malfor
des nerfs (sauf cause extérieure bilatérale) sans intervention d'un trouble au moins dynamique des centres nerveux. Je ne v
ent réalisée par la rétraction de l'aponévrose palmaire, elle aussi trouble trophique. Est-ce bien là l'explication qui con
vec son talent bien connu la même manière de voir. Les différents troubles trophiques que l'on constate dans la syringomyé-
ous explique pourquoi dans la maladie de Morvan, il y a surtout des troubles trophiques et un peu de parésie de la main. Ce
de métamérie qui a été appliquée par Brissaud CI) et Ballel(2) aux troubles de la sensibilité dans lasyringomyélieestapplicab
l'envahissement des muscles de la main-griffe Aran-Duchenne, et des troubles variables des membres inférieurs, quelquefois exa
de qui avait présenté pendant sa vie des atrophies musculaires avec troubles de la sensibilité ; le diagnostic n'a pas été p
yélie, au début de l'affec- tion comme dans les stades tardifs, des troubles trophiques cutanés et vaso-moteurs qui associés
qui permet de la désigner sous le nom de main succulente. IL - Les troubles trophiques cutanés qui sont permanents, consisten
ême ne paraît pas épaissie. Elle est lisse, luisante et unie. A ces troubles cutanés permanents s'ajou- tent des troubles va
uisante et unie. A ces troubles cutanés permanents s'ajou- tent des troubles vaso-moteurs variables qui dépendent surtout de l
onnus sous les noms d'écholalie, d'échokinésie, de coprolalie ou de troubles psychiques qui consistent le plus souvent dans
clienne de Boulogne penche pour l'hy- pothèse qui fait dépendre ces troubles fonctionnels d'un élal morbide quelconque d'un
c possible, et c'est parce que le phé- nomène est cortical, que les troubles qui le constituent sont fonctionnels. Or, il n'
us le nom de « spasme et impotence musculaire fonctionnels ». Les troubles pathologiques sont variés, mais ils sont souvent
semblent bien aux nôtres : « n'existe-t-il pas, dit-il, de nombreux troubles fonctionnels de l'écorce cérébrale qui ne peuve
écarte donc le mot mental, mais fait du torticolis spasmodique « un trouble des fonc- tions du centre cortical de la rotati
as où le myxoedème se manifestait dès l'enfance. Du moins les seuls troubles intellectuels que présentait le ma- lade - lent
elles, dans les cas analo- gues, ne signifie rien autre chose qu'un trouble général de la nutrition. Ces femmes, quoiqu'ell
nt compliqué d'une certaine débilité générale sans malformations ni troubles de l'appareil génital. Je revien- drai encore d
icace et de beaucoup la plus fréquente est celle qui consiste en un trouble trophique vasculaire congénital tel que l'aplas
t des recherches à l'aide des rayons de Roentgen sur les causes des troubles de la croissance et ils ont constaté que, chez
edéme - complet ou fruste - doive entraîner nécessairement soit des troubles psychiques soit une simple apathie intellectuelle
rathyroïdienne provoque les accidents nerveux et en particulier les troubles intellectuels associés au myxoedème. Je vous ai
l'influx nerveux sur la nutrition de la peau peut déter- miner des troubles trophiques neuro-paralytiques aboutissant à l'hyp
couches sus-jacentes. Si, pour une cause ou une autre, il existe un trouble dans le développe- ment normal de ces formation
existe un trouble dans le développe- ment normal de ces formations, trouble aboutissant à l'hyperformation, ces régions int
e dans l'autre cas, l'anomalie congénitale doit être attribuée à un trouble dans le développement embryologique de la peau.
loppement embryologique de la peau. Quelle peut être la cause de ce trouble de développement ? Il y a hypertrophie de diver
de l'influx nerveux sur la nutrition cutanée puisse déterminer des troubles trophi- ques neuro-paralytiques aboutissant à l
rrait-on faire jouer un rôle à l'inloxication foetale résultant des troubles digestifs si fréquents chez la femme enceinte.
ieurs territoires nerveux. Il y a défaut de superposition entre les troubles trophiques et les régions nerveuses. Ici, il se
ion,' en croisant d'autres territoires ner- veux apparents, par des troubles trophiques. Cette interprétation des anomalies
loppement cutané sous l'in- fluence d'une névrite ou d'une myélite, trouble des nerfs périphériques ou de la moelle, paraît
mme dit Feindel (1). Au moment du développement de l'individu les troubles du côté de l'appareil nerveux se répercutent do
vue de certains naevi de la face, quand on les compare à cet autre trouble de pigmentation dont la dispo- sition est si si
Bd 58, h. 1, p. 85. Gastou. - Na3 ! ) ! vasculaires zoniformes avec troubles trophiques consécutifs. Soc. dermat., 1894. G
'homme. D'autre part, considérés au point de vue de l'extension des troubles sensitivo-moteurs, les faits que j'ai passés en
ice est limitée au membre inférieur, du côté de ]'hémisection.; les troubles de la sensibilité ne re- montent pas jusqu'à la
deçà de la 9°. 2° Dans un second type, la paralysie motrice et les troubles sensitifs re- montent au-dessus de la racine de
rend les cas où les membres supérieurs et le thorax participent aux troubles sensitivo-moteurs ; cette éventualité se trouve
tement au-dessus de la protubérance occipitale. Dans ces cas-là les troubles sensitifs et les troubles moteurs envahissent t
tubérance occipitale. Dans ces cas-là les troubles sensitifs et les troubles moteurs envahissent toute une moitié du corps, nu
au nombre des faits que je vous ai exposés, il s'en trouve, où les troubles sensitivo-moteurs consécutifs au traumatisme diff
élioration progres- sive, plus ou moins rapide, se produit dans les troubles sensitivo-moteurs consécutifs à une hémisection
bre infé- rieur droit s'était dissipée. La paralysie motrice et les troubles de la sen- sibilité subsistaient tels qu'avant.
, Son état général était excellent. Il ne présentait pas le moindre trouble intellectuel. Il n'était pas sujet aux douleurs
eur moindre que son congénère. On constatait encore quelques vagues troubles de la sensibilité. · Vous êtes maintenant à m
endu que dans les cas d'hémisection trau- matique de la moelle, les troubles sensitifs étaient plus prompts à se dis- siper
les troubles sensitifs étaient plus prompts à se dis- siper que les troubles moteurs. L'inverse s'observe parfaitement, le cas
les gan- glionnaires n'y participent nullement. 2° Une partie des troubles consécutifs à une lésion traumatique de la moel
de Brown-Sequard, en ce qui concerne notamment la distribution des troubles de la sensibi- lité. Or il n'y a pas à se dissi
s vif, en- treprenant, fut pris de phénomènes de neurasthénie, avec troubles psychi- ques et physiques, asthénie musculaire,
ucun phénomène morbide. On ne note aucune paralysie oculaire, aucun trouble pupillaire. Parfois devant les yeux pas- sent d
trophie et de déformation. La peau qui les recouvre est atteinte de troubles vaso-moteurs. Sans compter une température infé
ur la lre. Les réflexes rotuliens sont abolis. Il n'existe pas de troubles de sensibilité. OBs. IL Paralysie spinale infan
de torsion, une rotation de dehors en dedans. Il n'existe pas de trouble de sensibilité. Jamais le malade n'éprouve de d
iculier de l'urlicaire, on peut citer les oedèmes de la peau et les troubles trophiques, le vitiligo et la décolo- ration de
les états émotionnels morbides, dans la folie, on observe aussi des troubles trophiques de la peau et des poils. Le système pi
les formes graves de la mélancolie on observe quelquefois aussi des troubles de nu- trition des ongles qui présentent des si
ssesse (4) s'accompagne aussi quelquefois de mélanodermie. Certains troubles tro- phiques de la peau peuvent'encore coïncide
c la curcunose abdominale (6). Toutes ces pigmentations liées à des troubles généraux ou locaux de la nutrition diffèrent pa
ropre à montrer les liens qui existent entre la mélanodermie et les troubles généraux de la nutrition à l'exclusion de toute
ures). Deux soeurs sont impressionnables, pleurnicheuses, mais sans trouble ner- veux caractérisé. Antécédents personnels
une analgésie bien marquée. Il présente des formes très variées de troubles paroxystiques : 1° des attaques convulsives com
tions cuta- nées et n'a souffert que de longs intervalles de légers troubles gastriques. Avant son entrée il avait eu pendan
gorge, de quelque^hallucinations de la vue ; bien qu'il n'eut aucun trouble pupillaire, on supputa le médicament qui n'avai
aissa dans les premiers mois de 1897, bien que l'amé- lioration des troubles convulsifs persistai comme on peut le voir dans l
les membres hémiplégies sbnt, du fait de la paralysie, sujets à des troubles trophiques : l'amaigrissement général des muscles
rtent presque toujours un pronostic fatal ; ce sont de véri- tables troubles trophiques d'origine centrale. Elles sont aussi r
immédiate d'un poison sur les cellules nerveuses ou à la suite d'un trouble de leur nutri- tion. Les modifications primitiv
ns corporelles nous le montrent. ' Quelle est l'origine de tous ces troubles ? Nous ne savons pas grand'chose sur la famille
aissance. Il y a évidemment des accidents pendant la grossesse, des troubles de l'évolution du foetus dans ces grossesses gé
çon et vivent parfois fort vieux(l). Ainsi, dans l'acromégalie, les troubles généraux qui s'étaient mani- festés à la périod
aille moyenne (lm70). DE L'ARTHROPATHIE NERVEUSE VRAIE ET DES TROUBLES TROPHIQUES ARTICULAIRES d'apparence rhumatoïde
: il n'y a pourtant pas une différence nettement tranchée entre les troubles trophiques articulaires des névrites, des myélite
t, comme dit M. Talamon, et de l'opposer à la banalité relative des troubles trophiques articulaires d'apparence rhumatoïde. -
plégiques : c'est l'auto-intoxication ou l'infection d'une part, le trouble nerveux d'autre part. Une revue complète des ob
hie. Cette arthropathie évolue isolé- ment, indépendamment d'autres troubles trophiques mèmedans la syringo- myélie,exceptio
isation de la lésion dans les nerfs, la moelle ou le cerveau. II. TROUBLES TROPHIQUES articulaires d'apparence RHUMATOIDE.
Verhoogen. Enfin il est des déformations articulaires, résultat des troubles trophi- ques, musculaires et autres,qui ne sont
de M.SPILUIANN) d'atrophie musculaire myélopathique com- pliquée de troubles trophiques osseux et articulaires. Il s'agit évid
peresthé- sie, c'est-à-dire précisément du côté où apparaissent les troubles trophi- ques dans le syndrome de Brown-Séquard.
montant des deux côtés jusqu'à mi-cuisse. Il semble s'agir ici d'un trouble vaso-moteur exclusif, contrairement il la plupa
il la plupart des faits précédents. Nous avons vu cependant ce même trouble vaso-moteur coïncidant avec l'infection dans l'
esque toutes ont été douloureuses, qu'elles se sont accompagnées de troubles moteurs plus ou moins accentués, que jamais on
ler au rhumatisme subaigu ou chronique. B. Dans les névrites. Les troubles trophiques articulaires ne sont pas plus fréquent
d'un doigt, de la main, du membre tout entier soient atteintes. Les troubles de nutrition du membre, parmi lesquels rentrent
nt les arthropathies coïncident toujours, dit W. Mitchell, avec des troubles de la motilité et de la sensibilité. D'autre pa
combien il est difficile d'établir une démarcation nette entre les troubles trophiques articulaires et la polyarthrite rhum
arthropathies spinales simulent le rhumatisme, coïncident avec des troubles de la motilité et avec d'autres troubles trophiqu
tisme, coïncident avec des troubles de la motilité et avec d'autres troubles trophiques (cutanés) ; 3° que les arthrites név
la lèpre, la sclérodermie ; on peut voir aussi, consécutivement aux troubles trophiques cutanés, se développer des troubles tr
consécutivement aux troubles trophiques cutanés, se développer des troubles trophiques articu- laires. La pathogénie n'est
s voulons établir ici est que ce genre d'arthropathies, liées à des troubles trophiques cutanés très accentués n'a rien à voir
dans la syringomyélie. Il n'est pas un auteur qui ait assimilé les troubles trophiques articulaires et osseux des doigts, acc
bles trophiques articulaires et osseux des doigts, accompagnant des troubles trophiques cutanés, aux grandes arthropathies de
on est accompagné d'oedème par- ticulièrement du dos de la main, de troubles vaso-moteurs et parfois d'au- tres troubles tro
t du dos de la main, de troubles vaso-moteurs et parfois d'au- tres troubles trophiques, tout comme dans les formes spinales e
pas d'arthropathies nerveuses au sens propre du mot. Sans doute un trouble trophique d'origine centrale mais pure- ment fo
une affection régionale dont les districts relèvent sans doute d'un trouble tro- phique d'origine centrale (d'où l'influenc
ans ces différents cas doit-elle établir un rapprochement entre les troubles trophiques que nous avons étudiés et la véritab
s phénomènes d'hyperémie neuro-paraly- tique qui sont distincts des troubles trophiques et qu'on retrouve dans les viscères,
distinguer, elles n'en ren- treraient pas moins dans le groupe des troubles trophiques articulaires d'apparence rhumatoïde
nt le territoire correspondant en état d'infériorité nutritive ; le trouble nutritif aurait passé inaperçu sans l'infection
'hémiplégie, de la paralysie ou de la névrite. Est-ce à dire que le trouble trophique ne puisse jamais par lui-même créer l'a
e que la lésion nerveuse périphéri- que par exemple puisse créer un trouble trophique articulaire comme elle crée des troub
e puisse créer un trouble trophique articulaire comme elle crée des troubles trophiques cutanés. Alors les troubles trophiques
iculaire comme elle crée des troubles trophiques cutanés. Alors les troubles trophiques ne s'adressent pas à la totalité de
Il nous suffira d'avoir démontré, nous l'espérons du moins, que ces troubles trophiques ne sont jamais comparables cliniquemen
, il est rationnel d'en déduire .qu'elle est due à une lésion ou un trouble fonctionnel permanent, siégeant ailleurs que da
anche, sou- ple, sans développement exagéré du système pileux, sans troubles tro- phiques, sans réseau veineux apparent, ses
ant de la racine du doigt à l'extrémité. L'ongle ne présente pas de troubles trophiques, mais de grandes dimensions, me- sur
s'hypertrophier en mas- se, devenir rouges et dou- loureux ; ces troubles n'ont jamais traversé une période aiguë, mais
ouloureuse alors que l'extension détermine une vive souffrance. Les troubles cutanés consistent uniquement en troubles vaso-
une vive souffrance. Les troubles cutanés consistent uniquement en troubles vaso-moteurs; la sensibilité est normale.Les autr
de macrodactylie, nous insis- tons plus volontiers sur l'absence de troubles vasculaires, sensitifs et tro- phiques ; à ce p
leur raisonnement d'une part sur l'existence chez leurs malades de troubles vasculaires tels que mevi, varices', élévation de
is sur toutes les parties constitutives du doigt et on ne relève ni troubles vasculaires ni troubles trophiques et sensitifs
s constitutives du doigt et on ne relève ni troubles vasculaires ni troubles trophiques et sensitifs. Si l'on veut bien se r
ous n'avons pu faire d'exa- men électrique des muscles. - . Aucun trouble de la sensibilité. Les sphincters sont intacts. P
. Pas de constipation ni d'incontinence d'urine. Bon appétit. Aucun trouble de la déglutition. Il n'a jamais eu de vives
s il s'essouffle vite. Rien au coeur, ni dans les poumons. Quelques troubles trophiques aux membres inférieurs : rougeur éry
sions semblent porter surtout sur les nerfs, et qui s'accompagne de trouble ; sen- sitifs, moteurs et trophiques, suivis de
r ALBERT LONDE et Henry MEIGE, 36. Arthropathie nerveuse vraie et troubles trophiques articulaires d'apparence rhumatoid
hes), 198. LONDE (Peur.). De l'Arthropathie nerveuse vraie et des troubles trophiques articu- laires d'apparence rhumatoïd
aire, XXX. Hémisectiou traumatique de la moelle : répartition des troubles moteurs et sen- sitifs (syndrome de Brown-Séqua
63 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
us tard, atrophie de l'énzzinence thé- nar droite, augmentation des troubles de la parole. - Puis paralysie complète avec ph
qui dispa- missent ensuite. Augmentation de l'atrophie des mains. Troubles de la déglutition, de la respiration, de la circu
blement paraly- tique et qui ne semble pas devoir être attribué aux troubles cardiaques constatés aujourd'hui seulement. Ces
tribué aux troubles cardiaques constatés aujourd'hui seulement. Ces troubles car CAS DE SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 7
tre mois plus tard, attaque apopledlforme suivie d'augmentation des troubles bulbaires. Parésie puis- atrophie des membres s
frant en outre d'une inflammation vési- cale. Après l'opération les troubles moteurs et ceux de la sensibilité s'aggravèrent
Berlin Klin. Woch., 1871. * Fiesler. - Voy. Etienne : Essai sur les troubles médullaires qui peu- vent entraîner les lésions
papille ; mais enfin, malgré cela, ils sont presque guéris de leur trouble visuel. Nous croyons inu- tile de répéter la mê
considérer comme guéri qu'après la disparition complète de tous les troubles nerveux. J'irai même plus loin, et je dirai qu'
e l'ouïe, du goût et de l'odorat a été complètement négatif; pas de troubles du rectum, de vessie et des organes génitaux ;
s de troubles du rectum, de vessie et des organes génitaux ; pas de troubles de la sensibilité; pas d'embarras de la parole.
naud, qui a si bien décrit dans plusieurs travaux successifs, les troubles oculaires de la sclérose en plaques, qui fourniss
ps genouillé externe. Dans ces conditions, il ne se pro- duit aucun trouble de la motilité ni de la sensibilité. Seules les
ux en arrière. Il en résulte une paralysie complète de la queue, un trouble évident du mouvement dans les extrémités pestér
lieu entre les deux der- nières lombaires, on remarque en outre un trouble marqué du mouvement dans les deux extrémitéspos
rnes antérieures et postérieures) rapprochée de l'absence de tout trouble imputable à une action traumatique dans le voisin
n sans aucun processus inflammatoire prouverait qu'il s'agit d'un trouble trophique qui, après la section des ganglions, se
endante rapidement mortelle (durée totale : trois mois) sans grands troubles de la sensibilité; atteinte successive des extr
ut oedème. Pathogénie probable; dyscrasie déterminant finalement un trouble de nu- trition des cylindraxes. P. K. VII. SU
ue l'hypothèse d'après laquelle la névrite multiple a succédé à des troubles fonctionnels des organes centraux ; ce qui sign
nd lieu, presque toujours la maladie en question commence par des troubles de la sensibilité (violentes douleurs); puis très
spectable d'aliments, mai- grissent à vue d'oeil, sans présenter de troubles subjectifs gastro- intestinaux. Ces malades von
eur prétend que les tabétiques sont, sans exception, en proie à des troubles de la sensibilité (hyperalgésie au début, hypoe
hésies sensorielles (rétrécisse- ment concentrique du champ visuel, troubles de l'ouïe, de l'odorat, du goût, du sens muscul
l) que quand il procède par du délire ou des hallucina- tions (sans trouble de la connaissance) entamant la vie affec- tive
arfait, quant à la durée, à l'intensité, à l'évo- lution, entre les troubles de la sensibilité et les épisodes en question.
sociées), comprend les psychoses fonctionnelles ajoutées, soit à un trouble cérébral organique persistant, soit à un troubl
joutées, soit à un trouble cérébral organique persistant, soit à un trouble cérébral par affection somatique momentanée ; e
ue, et à des tableaux de transition épisodiques anormaux. Ainsi les troubles psychiques greffés sur une anomalie de développ
elle appartient non au domaine de l'hallucination, mais à celui des troubles intellectuels. Quant aux hallucinations de l'ou
observations sont consignées en détail : 1° grande hys- térie avec troubles psychiques intenses. Castration : atrophie et d
ême sens en un cas d'agitation maniaque très vive, appartenant à un trouble psychique secondaire (total : sept résultats fa
gommeuse. En juin 1883, accès maniaques, avec idées de grandeur et troubles de la parole; à ce moment, il est porteur d'une
. Archives de Neurologie, t. VIII, p. 382. SOCIETES SAVANTES. 117 troubles vésicaux'sans importance. Il lui semble impossibl
ment en : disparition de la transparence de la cellule, tuméfaction trouble de son noyau, résistance du protoplasma à l'act
stéateuses (lapins, cellules endothéliales) ; névroglie tuméfiée et trouble 118 ô SOCIÉTÉS SAVANTES. sans altération de s
physique a lieu. Discussion : M. Westphal. Le mot de tuméfaction trouble n'est pas très exact. M. ROSENR : 1CII. Evidemm
en relation avec des fibres du grand sympathique, expliquent les troubles vaso-moteurs et atrophiques. M. Westphal. A l'e
Le cas de Thomsen constitue un astigmatismede l'oeil droit. Si les troubles de la vue eussent été ceux qu'indiquent les tra
ision absolue ; ce graphique rappelle celui des hystériques. Un tel trouble de l'acuité visuelle ne saurait dépendre exclusiv
n rétrécissement concentrique du champ visuel; dans la genèse des troubles oculaires des hystériques interviennent comme gén
ion : .' M. L;vmN. L'audition des témoins démontre l'existence de troubles de la connaissance de courte durée et d'accès d'é
e la Charité montre que cet homme était atteint d'épilepsie et de troubles psychiques entraînant le diagnostic de folie post
ines, put être déshabituée du médicament en quatre jours sans aucun trouble résultant de ce sevrage ; de plus, le calme obt
eur des extrémités, de l'insomnie, de J'angoisse précordiale, des troubles de la parole, une coloration gris bleu de la peau
sensation de lourdeur avec convulsions cloniques, de vertiges, de troubles de la parole, d'irrégularité du pouls, de météori
e trois heures, puis survinrent de l'agitation, du tremblement, des troubles de la parole; la mor- phine seule put rétablir
celle de la folie proprement dite, et celle d'un certain nombre de troubles mentaux envisagés isolé- ment, et enfin son Ana
ômes dans lequel le mot ou le nom jouent un rôle prépondérant ; ces troubles psychiques s'observent habituellement chez des
Cette observation est un exemple frappant de la multiplicité des troubles cérébro-spinaux auxquels peut successivement êt
t, toujours, mal équilibré, dès dix-huit ans, surgit brusquement un trouble général de l'intelligence, un accès de mélancol
jet, mais qui peuvent, nous le verrons, se montrer isolément, comme troubles distincts, chez dif- férents individus. Dans'
le calme se rétablit en apparence et l'on .ne se douterait point du trouble profond dont elle est l'objet. Elle a, d'ailleu
oit d'excès ou de toute autre cause, il se produirait de nouveaux troubles . M. M..., en effet, est un prédisposé chez lequ
1884. Il existe donc un intervalle de six mois entre le début des troubles bulbaires et celui de la parésie des mains, et
icités, une émotivité anormale. Ces indi- vidus, sans présenter des troubles assez nets pour être classés dans telle ou tell
ments. Vers l'âge de quinze ans, Mule M... se rappelle avoir eu des troubles analogues à ceux dont se plaint 202 RECUEIL DE
essemblant physiquement à leur père, n'ont' jamais présenté- aucun ^ trouble appréciable de la motricité; les trois, dernier
tes sont minces, chétives, d'une santé délicate, mais n'ont'aucun trouble du système musculaire' ni aucune'1maladie''du sys
pour inquiéter sérieusement le malade. Jusqu'à il. a deux.ans, Jes, troubles muscutaires n'acquéraient une certaine intensit
(Fig. 4, B). Les muscles des membres ne sont pas seuls atteints des troubles fonctionnels que nous venons de décrire. 7 ?
nous sommes assurés alors que cette gêne ne pro"enait point d'un trouble dans la motilité de la langue qui a toujours été
rt seulement. Les mouvements de la langue n'ont jamais présenté les troubles de la motilité que nous venons de décrire pour
es réflexes testiculaires. , On ne constate chez notre malade aucun trouble trophique : la peau est fine, le tissu cellulai
as augmenté d'épaisseur , les ongles ne sont pas dystrophiés. Aucun trouble non plus du côté des sphincters anal et vésical
droite est également contracturée. Le malade entend bien, mais voit trouble , et ne distingue aucune couleur. La thoracalgie
a circonvolution de Broca, tandis que les causes qui provoquent les troubles de la sensibilité ne paraissent pas influencer
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XX. Occlusion intestinale, gastrotomie, TROUBLES PROVOQUÉS par l'excitation du grand sympathique
de la face intacte, atrophie des petits muscles des deux mains avec troubles de nutrition, de la peau, des phalanges, anomal
orteils, absence de toute espèce de phéno- mènes paralytiques et de troubles de l'équilibre. L'ensemble de ces éléments perm
te des divers muscles des quatre extrémités. P. K. XXXII. SUR LES TROUBLES oculaires dans la SCLÉROSE 111ULTI- loculaire;
spasmodique. Parmi ces cinquante ma- lades, treize présentaient des troubles des muscles de l'oeil, dix-neuf des perturbatio
ons de raideur immobile de l'écran), vingt-deux n'offraient aucun trouble visuel. Vingt-huit étaient atteints de diminution
ilepsie, consis- tant en une paralysie pure, momentanée, sans aucun trouble de la connaissance, sans phénomène convulsif, t
XVII) ; il émet la possibilité dans l'espèce d'une lésion ou d'un trouble fonctionnel de la substance grise centrale du pla
ie, mais de la combinaison des symptômes psy- chiques avec d'autres troubles nerveux, souvent tout à fait passagers (convuls
phalo-rachidien, et la circulation propre du cer- veau. Ce sont les troubles dans l'équilibration compensatrice REVUE DE PAT
t elle. A cela rien d'étonnant, puisque la grossesse par elle-même ( troubles de circulation, perturba- tion chimique du sang
lle-même (troubles de circulation, perturba- tion chimique du sang, troubles de nutrition en rapport avec cet état) met souv
VUE DE pathologie mentale. XIII. COURTE communication SUR UN cas DE TROUBLE mental douteux ; parGpUNEWALD (Allg. Zeitsch.f.
W t `rtt 1 rigoureusement dans le cadre de la,psychiatrie, tels ces troubles intellectuels chez deux fillettes, atteintes de
d'ordinaire entretenu par une ingestion alimentaire défec- tueuse ( troubles digestifs réels ou imaginaires). On soumet ces
du nerf vague, a)ors que l'ingestion ljçpqqtfijF;e en exagère les troubles ? Doit-on dans l' ! 1spècel de but en blanc, fprc
la Charge, Le. badigégnnags de la région épigastrique chasse'des troubles gastriques intenses. 11 çQnyftm simplement de se
conclus. 12 et 13). M. Wildersiutii. Quelques observations sur les troubles de la pa- role chez les idiots. Les différentes
s formes de l'idiotie ne présentent pas, relativement à l'étude des troubles de la parole, un champ aussi profitable qu'on l
ourrait prétendre à priori. Il y a chez ces malades, association de troubles intellectuels, sensoriels et P1oteqr, qui forme
z les idiots se décomposent en'deux grands groupes : I ? Cas. où le trouble de la p{H'/Ûe est i ! ? .$prçssion 1 Comparer a
diot complètement muet, .jusqu'iL l'arriéré capable d'éducation, le trouble dp la parole cor- respond au cercle étroit de l
res syllabes)'- tous faits à pronostic défa- vorable, 2° Cas pilles troubles de la parole sont, non pas la cause directe, l'
mpnçant par les dyslalis fÎ1'cpiq[1s, nous, rencontrons d'abord un' trouble de farticujation très ré- pandu pliez les idjpt
ec leur valeur,articulée;,à Iu,diétée,elleilesééryL o;ité; ds ! Les troubles de d'articulation qui s : eq'eclilI,L aU ? }IOI.u
tellectuel1 relatif, ''si bioiyu'iliy,allieu de sei.demajider si ,1e, trouble 'de 1 la J 'pàrol'¡d en ""bopposanll à' : Iéclu
ur : l'auteur'n'a lpu le : renconlrer.ndaus r l'idiutie., Quant aux troubles de 'la' parole qui rappellent la> paralysie gé
11 : .1 ? j'if.W'1LDP : rIüUTHUn eufant;olservépar,luiprésentait;le trouble 'que vôicif : 'ilr ne=plaçyitl jamais, l'ajecti
rais fois l'occasion de nécrop- sier dés patients ayant souffert de trouble très pédnohëé de la parole. Dans le premier cas
hs- parentes en plusieurs endroits. Méninges molles d'une couleur trouble en plusieurs points, notamment à là convexité, av
calmes, mais obnubilés, dans les hospices; ceux qui- présentent un trouble de la connaissance grave ou qui sont dangereux( p
iQuc ,momclltulle (Allg.'ZeïLtschr. r psych"ftXXXVll), ,sans "autre trouble , s'observe 1) ( 11ft. ',1 -rd ,1 i IL .... ....
tie' de I*encé- phale; à ce moment'se montrent les convulsions, le' trouble "'de' la' connaissance', etc ? par exception, el
que,' mais. dans l'association des symptômes psychiques à' d'autres troubles nerveux souvent tout'à fait passagers, troubles
chiques à' d'autres troubles nerveux souvent tout'à fait passagers, troubles qui peuvent affecter les formes de convul- sion
ral); si les phénomènes convulsifs prédominent, s'il se produit des troubles vasomoteurs directs, c'est la mydriase qui se p
bien fréquemment, les interruptions respiratoires s'accompagnent de troubles ner- veux d'un autre ordre. Tel est également m
a très souvent observé l'ictus apoplectiforme. Le rêve résulte d'un trouble de coordina- tion moteur. - - M. WiLUERMUTit.
dans les accès, mais il-existe<des ! équivafehts psychiques sans troubles moteurs. Deux exemples à l'appui; la températur
\VThowshl. Evidemment il est difficile de constater sûre- ment des troubles du mouvement. Il existe aussi fréquemment des m
l rapporte impose le diagnostic d'é- quivalents ayant succédé à des troubles moteurs graves." -, , ' 1 'à M. STARK se rappel
point de vue médico- légal n'est-il pas nécessaire de constater des troubles de la moti- lité ? SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 t
SOCIÉTÉS' SAVANTES . 2 67 Î Observation Il Grande hystérie, avec troubles psychiques intenses. Castration. Les ovaires so
e explication ne se présente.'Est-ce'ce foyer qui'a 'déterminé, les, troubles tropfuquesnip l'oeil' gauche ? ,L'évolulÎon clini
amen ulthtlralmoscolrique, décèle que l'hémianopsie s'accompagne de troubles trophiques de la rétine' (observations de Wilbr
la couche superficielle du lobe occipi- tal, tout en produisant des troubles visuels, ne peut pas être regardé comme l'origi
le. M. Mendelsoun. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Essai descriptif sur les troubles psychopathiqut's avec lucidité d'esprit; par (T
n'était répondu d'ordinaire que par des sévices ! En voyant que les troubles de l'esprit pouvaient conduire à un pareil état d
ope de Bicêtre, sans que « l'éclat du bienfait soit terni. Plus les troubles de laraison se « multiplient, plus la science p
nements. Contre le tabes dorsal spasmodique parleraient aussi les troubles de la sensibilité et de la vessie, mais M. Charco
ux-ci ne doivent être placés qu'au second plan, comparativement aux troubles des mouvements comme nous le voyons justement c
quelques cellules nerveuses des cornes antérieures semblent un peu troubles et gonflées. Dans le pro- toplasma de quelques-
e cours du tabes dorsal spasmodique, c'est-à-dire des douleurs, des troubles de la vessie et du rectum, différentes paresthé
iale des actes dont il était accusé. Je ne constatai chez lui aucun trouble intellectuel. Huit jours après, à ma seconde vi
son système de négations et ne laissa percer ni hallucinations, ni trouble intellectuel, ni perversion instinctive. On aur
e d'une contrariété d'a- mour-propre, elle eut pendant six mois des troubles semoriaux de la vue (phosphènes). Elle voyait p
qui n'ait vu disparaître, sous l'influence du traitement moral, les troubles fonctionnels si communs chez les hystériques, p
là, la plupart des expérimentateurs se sont bornés à s'adresser aux troubles somatiques, et si quelques- uns ont étudié les
iquer au traitement des malades de cette catégorie présentant des troubles vésaniques quelconques, les résultats de l'expéri
peut, à un moment donné, susciter des idées d'empoisonne- ment. Tel trouble de la sensibilité générale et viscérale, anes-
est quelquefois à propos d'une de ces attaques que surviendront les troubles intellectuels. Dès lors, chaque nouvelle attaqu
que M. Ch. Féré appelle la médecine d'imagination. Or, si tous ces troubles fonctionnels ont été l'occasion de symptômes dé
directement; les périodes d'agitation sont aussi souvent dues à des troubles hallucina- toires intenses qui constituent pres
empoisonnement, de suicide que la malade rat- tache d'elle-même aux troubles de la sensibilité, violences, agita- tion extrê
hamp visuel du même côté, sans achroma- topsie. Tympanisme. - Aucun trouble des appareils digestif, respiratoire, circulato
science au réveil. 20. - Très calme mais toujours délirante : les troubles de la sensibilité sont revenus; hallucinations
s'adresser à ses causes génératrices; attaquer toujours d'abord les troubles somatiques exaspérant le délire, tel a été notr
surtout aux époques menstruelles et toujours sous l'influence de troubles sensoriels divers. Nous espérons qu'on nous par
attend et les reçoit bien. - Polyurie depuis quelques jours. Aucun trouble de la sensibilité. 11. - Hallucinations du sens
zigzag ; nausées, vomissements : parésie de la jambe gauche, pas de troubles cynesthétiques. 7. Les maux de tête et les scot
iendra pas; tremblements du côté droit surtout dans le bras. Pas de troubles delà sensibilité, dou- leur profonde au niveau
aire pour ne pas retomber malade. Juin. Cet état persiste : aucun trouble somatique ni psychique. - Travaille un peu, sor
peu apathique et incertaine au sujet de ses projets d'avenir. Aucun trouble ni physique, ni psychique, pas d'hallucinations
revenu complètement. 1er septembre. - Aucune idée délirante, pas de troubles soma- tiques : sommeil très bon. TABLEAU DES
raires, la suggestion imposée qui détruit son idée délirante, et le trouble physique qui la produit. Or fatalement uu jour
e. Le seul point réellement difficile, c'est, encore une fois, la TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 395 fa
e observation minutieuse pourra faire reconnaître. REVUE CRITIQUE TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES ; Par M
ES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES ; Par M. LECORCUÉ. Les troubles nerveux qu'on observe chez les diabétiques, sig
leau varié des manifestations les plus importantes. A priori, ces troubles peuvent être rapportés soit à des lésions matér
ou d'une circulation arté- rielle insuffisante. Ces deux ordres de troubles névropathiques ' Des troubles nerveux chez les
elle insuffisante. Ces deux ordres de troubles névropathiques ' Des troubles nerveux chez les diabétiques. Féru et l3ernarl. A
bétiques, et pourraient sinon servir de substratum anatomique aux troubles névropathiques, dits sine ? nate2,i*a, relevés ch
re les symptômes liés mani- festement à des lésions en foyer et les troubles multiples de ce qu'on pourrait appeler la névro
u sys- tème vasculaire. A. Manifestations nerveuses directes. Les troubles de cet ordre que nous avons observés chez nos m
rvés chez nos malades sont des plus variés ; nous les diviserons en troubles sensitifs, troubles mo- teurs et troubles intel
s sont des plus variés ; nous les diviserons en troubles sensitifs, troubles mo- teurs et troubles intellectuels. 1 Troubl
; nous les diviserons en troubles sensitifs, troubles mo- teurs et troubles intellectuels. 1 Troubles sensitifs. - Les trou
oubles sensitifs, troubles mo- teurs et troubles intellectuels. 1 Troubles sensitifs. - Les troubles sensitifs affectent les
mo- teurs et troubles intellectuels. 1 Troubles sensitifs. - Les troubles sensitifs affectent les sens spéciaux ou la sen
opie, plus ou moins prononcée est le symptôme le plus souvent ob- TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 397 Î
is, la vue et l'ouïe sont compromises en même temps (OBS. LVI). Les troubles de l'odorat et du goût, sont encore plus rares
onner lieu à la sensation des deux pointes. 398 REVUE CRITIQUE. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 399 ma
'est le plus souvent sous forme de névralgies que se traduisent les troubles de la sensibilité générale. Ces névralgies diab
vralgies dues à des lésions de la moelle; 5" L'apparition rapide de troubles vaso-moteurs dans la zone des nerfs affectés;
érines (Cas. XXXIV), la névralgie de l'ovaire (OBS. XXXVIII). Ces troubles si variés de la sensibilité coexistent fréquem-
s crises de névralgie de l'ovaire (Cas. XXXVIII). Ce qui démontre TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 01 bie
s. Elles résistent le plus souvent à toute autre médi- cation. 2° Troubles moteurs. La motilité paraît moins souvent attei
pendant un certain nombre de cas de diabète où se sont produits des troubles paralytiques qui ne paraissaient pas liés à des
ois même un muscle isolé ; en général elles sont associées à divers troubles sensitifs, anesthésie ou hyperesthésie. Nous de
s limitées au membre supérieur. Dans un cas, nous avons observé des troubles de motilité qu'il nous parait intéressant de si
rines. Elles se dissipèrent avec l'abaissement de la glycosurie. 3° Troubles intellectuels. L'intelligence peut être plus ou
en' voie d'évolution. Il apparaît dans des cas où l'anémie n'est TROUBLES NERVEUX dans LE diabète CHEZ LES femmes. 403 po
tigineux, et chez des malades qui bien souvent ne présentent pas de troubles gastriques. Tout porte donc à croire qu'il peut
atant ce fait, nous nous demandons s'il s'agit bien réellement d'un trouble essentiellement dynamique et de provenance diab
dans d'autres cas, elle se produit spontanément et paraît liée à un trouble nerveux (OBS. LXXII). Il est parfois difficile de
tation (OBS. XIX, XX), une sensibilité exagérée. La fréquence des troubles cérébraux et intellectuels trouve son explicati
i, avant l'apparition des accidents céré- braux, avait présenté des troubles de la vue accompagnés d'une polydipsie telle qu
a présence du sucre dans ses urines antérieurement à l'éclosion des troubles nerveux. Les manifestations symptomatiques de l
ssent brusquement. Dans le premier cas, elles sont souvent précé- TROUBLES NERVEUX dans LE diabète CHEZ LES FEMMES. 405 dé
ave quand on voit per- sister d'une manière anormale ces différents troubles névro- pathiques'. Dans d'autres cas, les sym
is elle succomba quatre ans après à une nouvelle hémorragie. . C. Troubles oculaires. Bien que les troubles oculaires dans
ès à une nouvelle hémorragie. . C. Troubles oculaires. Bien que les troubles oculaires dans le diabète ne relèvent pas tous
taracte chez nos malades, nous engage à étudier de préfé- rence ces troubles de la vue à la suite des manifestations ner- ve
a vue à la suite des manifestations ner- veuses proprement dites. TROUBLES NERVEUX dans LE diabète CHEZ LES femmes. 407 La
z les diabétiques a été cependant bien établie par de Graefe. Ces troubles visuels sont souvent passagers, d'autres fois ils
ons de Seegen. Mais elles peuvent aussi s'aggraver et aboutir à des troubles permanents de la vue. - (A suivre.) REVUE DE
malformation congénitale, il est permis d'admettre qu'il s'agit de troubles trophiques pou z vant légitimement prendre plac
si souvent notées dans le cours de l'ataxie. G. D. XXXIX. SUR LES TROUBLES DES associations ; par R. DE Pfun- GEN. (Jahrbù
ésions en foyer des manifestations en foyer de lésions diffuses des troubles de nutrition dans la folie systématique aiguë,
érale, la méningite chronique, les névroses constitutionnelles, des troubles d'association considérés comme émanés des centr
auche passagère, ultérieure- ment suivie d'attaques semblables avec trouble dans .l'articu- lation des mots, et aphasie amn
ession du sens musculaire dans les extrémi- tés paralysées, sur les troubles vaso-moteurs des mêmes membres et la diminution
l'atrophie la plus prononcée ont été dans l'espèce hantées par les troubles les plus notables de la sensibilité, comme les
taire. Jadis petit mal, et plus tard hystéro-épilepsie (attaques et troubles psychiques). Puis insomnie, qui cède à son tour
firmer, i ! faut que la paralysie générale succède directement à un trouble mental simple existant depuis un temps plus ou
endre les attaques épileptiformes ; celles-ci sont le résultat d'un trouble purement fonctionnel. Ou bien il se produit une
(colloïde) des cellules ner- veuses ; premier stade : tuméfaction, trouble ; hypertrophie, gonflement de la cellule, hypert
ant, c'est d'étudier les signes physiques qui cor- respondent à ces troubles intellectuels et moraux. Si ces aliénés ont l'a
jeunes dégénérés en proie à des obsessions, à des impulsions, à des troubles psychopathiques de diverse nature et M. Briand no
elà de la papille. Ces anomalies n'entraînent pas habituellement de troubles sensibles de la vision; mais, de même que l'adh
eporter aux tra- vaux publiés depuis une vingtaine d'années sur les troubles nerveux consécutifs aux maladies aiguës. Thor
té, de la sensibilité générale ou de la sensibilité spéciale et aux troubles fonctionnels qui en découlent; chez les hérédit
s pas de grosses lésions anatomiques, la clinique, du moins par les troubles fonctionnels qu'elle révèle, nous montre les pro-
le agir comme une véritable crise. Je ne rappellerai pas les autres troubles psychiques et la perver- sion sexuelle que prés
semble. Cette observation, par la réunion chez le même sujet de ces troubles médullaires et psychiques, a l'avantage de faire
. Comme dans l'état précédent, le malade est débarrassé de tous les troubles du mouvement et de la sensibilité. Essais dyna-
certains malades, l'hypnotisme fait passagèrement dispa- railre des troubles moteurs périphériques; donc il représente un él
ériphériques; donc il représente un élément de diagnostic entre les troubles centraux et périphé- riques ou plutôt entre les
écifiques. Dans le cas spécial de l'auteur, y avait-il en outre des troubles de la parole ? il importe toujours de noter avec
ns irrésistibles. ' /. j 1 M. Friedmann. Sur ce que l'on entend par troubles de la connais- sance dans les maladies psychiqu
dans les maladies psychiques. Imprimé à part'. M. ROLLER. Sur, les troubles de la motilité dans la folie simple. Publié à p
nent pas à la manie transitoire ; leur modalité caractérisée par le trouble de la connaissance relève de l'épilepsie, de l'
gereux de conclure d'une amnésie relative à un crime, qu'il y avait trouble de la connaissance au moment de l'acte. L'intox
consécutive à la manie et à la mélancolie, pas plus que dans les troubles psychiques de la sénilité. Elle serait bien plus
e de Paris, 1884.) . Cette thèse a pour but de montrer que tous les troubles vésa- niques peuvent se rencontrer chez les vie
es), S>3; - (grands et petits), par Shaw. 415. Associations ( troubles des), par de Pfungen, 408. Ataxie locomotrice
hez des détenus), par Krcdlt-Ehin ? 419. Diabète chez les femmes ( troubles nerveux dans le), par Lecorché, 395. Digest
emmes (troubles nerveux dans le), par Lecorché, 395. Digestifs ( troubles d'origine ner- veuse), par \Icehms; 96. Doigt
diots (des familles d'), par Bour- neville et Séglas, 186, 47; - ( troubles delà parole chez les), 250. Imbécillité (rapp
es), 250. Imbécillité (rapport médico-légal), 420. Inanition ( troubles nerveux dans l'), M7. Incendies multiples, au
aques (curabilité de )a),parCatsaras,S6. Sclérose nndtiloculairc ( troubles oculaires dans la), par Gnauck, 228; - (avec
64 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mps des faits d'interpréta- tion difficile, faits dans lesquels des troubles fonction- nels, quelquefois assez graves pour a
a atteint la moelle, sans y produire de lésions en foyer, et où les troubles COMMOTION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 5 fonctionne
la sensation du froid. Urine neutre, les dernières portions un peu troubles . 12e jour. La quantité d'urine rendue dans les
rition presque complète de l'hyperesthésie cutanée, Encore quelques troubles dans les sensations thermiques ; un corps chaud
obtuse aux membres inférieurs. 39° jour. - Urines beaucoup moins troubles . Exploration électrique au moyen de l'appareil
ts qui n'avaient aucun sens, mais tout cela sans délire, sans aucun trouble des facultés mentales. Des mois et des années s
qui en est atteinte de toutes les douceurs de la société, car le trouble qu'elle y porte est en raison du plaisir qu'elle
onservera la plus grande reconnaissance. Il n'existe chez lui aucun trouble de sensibilité : le coeur est sain ; le champ v
rès satis- faisant. Ajoutons qu'il n'a jamais existé chez lui aucun trouble de la sensibilité et que l'examen du fond de l'
er- çait la profession de clerc d'huissier : il ne présente aucun trouble de sensibilité, le champ visuel est normal; les o
aule. - Tous les organes, y compris le coeur, sont sains ; pas de troubles de sensibilité. Son institutrice nous apprend qu'
et il n'y a jamais de paroles involontairement proférées. Pas de troubles appréciables de la sensibilité, pas de parésie
s pendant huit heures. Après un accès à l'hôpital, on observa des troubles intellectuels et une espèce de perle de connais
accès où les symptômes convulsifs restent les mêmes, mais où les troubles psychiques l'ont déjà défaut, quoiqu'ils aient ét
up. A l'âge de sept ans elle recommença à marcher sans appui, les troubles disparaissant d'une façon progressive, quoique 'l
Dans la suite, une fois la menstruation établie, nous en voyons des troubles constants et marqués venir s'ajouter et rendre
sait d'un vieillard de soixante-dix-neuf ans n'ayant présenté aucun trouble moteur. M. W. fait remarquer que les calcificat
affaiblissement et l'atrophie lente des extrémités supérieures, des troubles légers de la sensibilité, l'ab- sence des réfle
s réflexes tendineux, rarement la rigidité et la contrac- ture, les troubles trophiques, l'analgésie, la diminution du sens
ution du sens thermique et du tact, les symptômes vaso-moteurs. Les troubles du mouvement sont toujours peu importants. Dans
alors même que les muscles étaient très diminués de volume, pas de troubles pupillaires ni cardiaques, dans la forme que Kabl
irmé d'ailleurs par la suite de la maladie. Insiste aussi sur les troubles vésicaux qui pendant longtemps (des années) peu
sur le front et la joue gauche une tache brune (premier signe d'un trouble de la Archives, t. IX. S 66 REVUE DE PATHOLOG
'hyperalgésieetaussi d'anesthésie. Pas d'atrophie musculaire, ni de troubles trophiques. Mais le symp- tôme qui incommode le
rait bien difficile de les rat- tacher à autre chose qu'à un simple trouble fonctionnel; d'autres, au contraire, sont telle
le résultat dans 40 à 0 p. 100 des cas. Ou peut aussi observer des troubles men- taux chez les individus qui vivent dans un
ins. En pra- tiquant autour d'un centre une section complète, on ne trouble pas non plus la marche normale des convulsions
ou extra-céphaliques qui ifs tour- mentent, à faire disparaître les troubles de la sensibilité générale, les vertiges, et l'
sou- mettre ces trois cas; s'ils appartiennent à la même forme de trouble mental, ils diffèrent quant à l'évolution du déli
de soixante ans, bien portant; rien, au premier abord, ne trahit le trouble profond dont cet homme est atteint; il prétend
z longtemps dans l'espèce. Terminologie. Les deux grands groupes de troubles aphasiques méritent les noms d'aphasie motrice
t difficile d'en dégager l'autonomie quand elle accompagne d'autres troubles de la parole, mais parfois elle do- mine tellem
ntrifuges. M. LICllTIIGI)I. « L'homme observé par moi présentait un trouble paraphasique avant d'être frappé de l'attaque d
augmente, les règles deviennent irrégulières. On constate alors des troubles digestifs non motivés; tout aliment 96 SOCIÉTÉS
uer, car il n'existait pas de conceptions délirantes à l'époque des troubles nutritifs, car, la connaissance restant indemne
s de la parole. de la déglutition, de la respiration présentent des troubles sem- blables a ceux de la paralysie bulbaire, e
dans lequel les altérations macroscopiques consis- tent on un état trouble avecépaississemenl delà pie-mère, accom- pagné
é en ce sens qu'il est souvent fort difficile de savoir s'il y a un trouble pathologique réel ou une simple différence phys
ou des vaisseaux rétiniens, car il n'existe pas, dans l'espèce, de trouble de la vue. Ces anomalies sont le résultat, ou d
dies du système nerveux central, les unes sont symptomatiques d'un trouble mental congénital, d'une lésion des organes nerve
ints traités de psychiatrie les consi- dèrent comme les produits de troubles trophiques. On rencontre également des anomalie
il n'y arrivera qu'incomplète- mont au point de vue psychique. Les troubles de la nutrition générale peuvent, pendant la pé
ves, nerveuses ou non, de l'atl et du cerveau, d'où : tantôt un pur trouble fonctionnel, tantôt une altération - inatoiniqt
- te,, surtout occipitales, à la suite desquelles se montrent des troubles de tasanté généralement du même mois, ces céphala
e temps à autre, agitation avec gémissements, suivie d'hébétude, de troubles du côté de la mémoire, de desordre dans les idé
rs, jusqu'au jour où leur l'accroissement a de nouveau entraîné des troubles graves, les uns témoignant de l'augmentation de
ation, le type de l'hystérie mortelle aiguë de L. Meyer (absence de troubles moteurs). Ce qui le frappe SOCIÉTÉS SAVANTES. 1
i, à plusieurs reprises, pendant des accès d'épilepsie transformés ( troubles psychiques) avaient devant des enfants découver
, ce n'est qu'après des condam- nations répétées que l'on flaira un trouble mental. L'examen médico-légal, en annulant la p
l était en tournée de voyage); en même temps, il aurait présenté un trouble de la parole. En reconstituant son histoire à l'a
t d'anomalies; il a pu, même sous l'influence de phénomènes graves ( troubles de la parole), renseigner convenablement un fon
une aggravation considérable compliquée bientôt d'hémiplé- gie avec troubles de la parole. Discussion : M. Zixx contraint
os, l'épigastre; en même temps tendance à la lipothy- mie, dyspnée, troubles digestifs. Eu conséquence, les malades sont con
c des fougues laborieuses presque impulsives et disconti- nues, des troubles du sommeil, de la constipation, de la lenteur,
es de Schneller. Une observation d'hémiopie latérale droite, avec , trouble de la sensibilité, termine cet important mémoir
une oppression passagère, des palpitations, et presque toujours des troubles dyspeptiques. A cette période, la maladie conve
tive. Sur le tube digestif, l'hystérie ne provoque pas seulementdes troubles fonctionnels; mais aussi des lésions anatomique
ces recherches, le rapport entre des désordres ana- tomiques et les troubles fonctionnels n'est nullement éclairé ; mais cro
ur- dissement et de la faiblesse dans les membres inférieurs. Les troubles de l'ataxie se caractérisèrent et il succomba t
rd et lentement se développe de la faiblesse dans les épaules/ sans troubles de l'in- telligence ni de la sensibilité -génér
alentiner, ajoute^Roberts, rapporte un cas dans lequel les premiers troubles de santé, suivirent une chute sur le dos.d'une
t XI de l'ouvrage d'Erichsen où la commotion de la moelle amena des troubles attribuables à la myélite chronique, parmi lesq
t au premier rang du tableau syinptomatologique l'instantanéité des troubles fonctionnels; mais les des- criptions pathologi
Néanmoins jusqu'à qua- torze ans il n'avait jamais présenté d'autre trouble morbide caractérisé que des terreurs nocturnes
ts, pas plus sensibles l'un que l'autre; du reste il n'existe aucun trouble de la sensibilité générale ou spéciale. On ne c
mportance de son témoignage : « Sous l'influence de je ne sais quel trouble de l'inner- vation, cet enfant était pris de mo
ngers sont éga- lement muettes sur l'existence de ces variétés de troubles . On conçoit déjà combien le diagnostic diffé- r
, il existe toujours, ou des crises convulsives antérieures, ou des troubles de la sensibilité, ou un rétrécissement du cham
mples, même isolés, elles se caractérisaient suffisamment par des troubles mentaux, et des actes insolites, des accès conv
au et la tempe gauche).-Après les accès, il a eu plusieurs fois des troubles intellectuels; ainsi, un jour, il est allé ouvrir
TROIS AUTOPSIES POUR SERVIR A LA LOCALISATION CL : ltL.13R1LL : DES TROUBLES DE LA VISION; Par Cii. FÉRÉ. Bien que les rec
E LA VISION; Par Cii. FÉRÉ. Bien que les recherches relatives aux troubles de la vision d'origine cérébrale se soient mult
t résolue. On discute encore les caractères symptomatiques de ces troubles , sur lesquels la physiologie expérimentale et la
ablir que les lésions du cerveau ne peuvent déter- miner qu'un seul trouble fonctionnel de la vision, l'hémianop- des troub
miner qu'un seul trouble fonctionnel de la vision, l'hémianop- des troubles DE la vision. 223 sie. La clinique humaine au c
dans le doute en ce qui les concerne ; et d'ail- leurs ce sont les troubles observés chez l'homme qui nous intéressent excl
n demi-ilexion sur le bras, 1 Cil. Foré. Contribution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésioiis cérébral
ue coupant la partie pos- térieure de la capsule in- terne. DES TROUBLES DE LA VISION..227 illiplégie droite datant de 1
re de M. Ber- nard.) Elle s'exprime avec difficulté et présente des troubles de perception des signes écrits (cécité verbale
jaunâtre au centre, déco- lorée et fibroide à la périphérie. DES Troubles DE LA VISION. 229 Observation II1. Hémiplégie d
ce de M. Charcot), a présenté dans sa jeunesse un certain nombre de troubles hystériformes. En novembre 1883, elle éprouva u
fait pas- sagère.- A son entrée dans le service il n'existe plus de troubles moteurs, mais la sensibilité au froid et à la d
stérieure de la deuxième e circonvolution temporo-occipitale. DES TROUBLES DE LA VISION. 231 Cette observation nous offre
On remarquera qu'en somme toutes les lésions qui déter- minent des troubles delà vision, siègent dans la partie posté- rieu
autopsies on peut voir des lésions assez rapprochées déterminer des troubles différents. Il est donc permis de se demander s
permis de se demander si tous les sujets sont aptes à éprouver des troubles identiques en conséquence d'une lésion destruct
es encore ne peuvent avec une lésion identique ne présenter que des troubles com- binés. L'existence bien établie des variét
s que chez les adultes. L'ensemble de ces allures s'explique par un trouble de l'innervation du grand sympathique cervical
nfectés et cinq sujets sains. P. K. XIX. Contribution A L'ÉTUDE DES troubles DE coordination dans L'EN- FANCE; par A. Erlenm
pathique) le slrabisne disparait; une saison à Wildbad améliore les troubles de la parole. Les autres symptômes persistent.
es images corn iiiénioralives des impressions visuelles, résulte de troubles moléculaires et circulatoires dans les postes t
comitances accidentelles. Il. L'auteur passe à l'examen de quelques troubles de la motilité qui se rattachent aux attaques c
s, la tête et les yeux regardent le côté opposé à la lésion; 3° les troubles du sens musculaire, assez fré- quents, mais dif
s paralysés. Nec plura. 111. Ce dernier paragraphe est consacré aux troubles de la vue ', qui accompagnent et suivent les at
attaques congestives se traduisent certainement par deux genres de troubles visuels : 1 par de la cécité psychique pure, sa
décider si elle est constamment bilatérale, si elle s'accompagne de troubles de la motilité du côté droit, de dysphasie etc.
semblable; ces deux forment s'associent probablement bien des fois ( trouble visuel combiné). L'existence d'une amaurose exc
eau postérieur; on ne peut préciser la nature du processus, mais le trouble étant transitoire, on peut affirmer que la lési
z deux malades, pendant l'évolution de leurs attaques, un singulier trouble vasomoteur ; en effleurant la peau à l'aide d'u
du trop petit nombre d'autopsies existant. En ce qui concerne les troubles psychiques, on rencontra soixante fois l'affaibli
75 femmes révélant des signes de dégénérescence, 59 souffraient de troubles dans le domaine du système nerveux, psychoses o
I et IV) : en tous cas, ce jeûne est très souvent le symptôme d'un trouble somatique réel contre lequel la sonde oesophagi
ns une analyse critique très attentive, l'auteur fait ressortir les troubles de la motilité en rapport avec l'atteinte des c
outes les observations connues actuellement 1. P. K. XXI11. Sur les troubles psychiques consécutifs aux blessures c'éphaliqu
s représentent, soit la prolongation affaiblie, le (lot mourant dos troubles fonctionnels du cerveau, surtout de la sphère int
la pathogénie étiologique; on constate aussi, à cette période, des troubles sensoriels, sensibles et moteurs. La vésanie pr
SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDICO-PSYCHOLOGIQUE Séance du 20 janvier. Des troubles mentaux dans la sénilité précoce et rapide; par
semble pas avoir fixé suffisamment l'attention au point de vue des troubles mentaux qui l'accompagnent, surtout s'il ne s'y
us qui en sont frappés, la marche est rapide quand il s'y joint des troubles mentaux; ainsi se trouve justifiée l'expression d
continuent à vivre, et ils ne sont pas malades, et ils n'ont pas de troubles intellec- tuels ; ils vivent au même titre que,
s précoces est étranger à notre sujet, puisqu'il ne présente pas de troubles mentaux. Nous n'y insistons pas davantage. No
ongtemps non plus sur les sujets atteints de sénilité précoce et de troubles mentaux chez lesquels l'étioiogie est déterminé
és. Dans tous ces états, la séni- lité précoce est fréquente et les troubles mentaux ont été souvent signalés. Le délire mél
et syphilitique, la morphiomauie, et surtout l'immense groupe des troubles cérébraux alcooliques ont été successivement étud
maladies. Nous ne ferons au-si que passer légèrement sur d'autres troubles mentaux qui existent à l'âge mûr en même temps qu
sénilité précoce apparaît ou bien celle-ci succède, accompagnée de troubles intellectuels, aux suites d'une fièvre typhoïde
e glisser en y étant confon- dus parmi les déments sénilisés. Les troubles mentaux que nous avons à décrire et que nous dé-
aux que nous avons à décrire et que nous dé- signons sous le nom de troubles mentaux de la sénilité précoce simple, pour les
pposer, tant s'en faut, à l'apparition de la sénilité précoce et du trouble mental. La véritable caractéristique de la cond
condition qui préside au développement de celte sénilité et de ces troubles mentaux, c'est l'incapacité d'adaptation de l'ind
e des frayeurs, les traits de la sénilité marchant de pair avec les troubles intellectuels et enfin apparition d'une pneumonie
ppement rapide des carac- tères de la ,vieillesse et apparition des troubles mentaux qui an- térieurement n'existaient pas;
tif, absence d'hallucinations. D'autres sujets présentent aussi des troubles mentaux associés à la sénililité prématurée; ma
t un troisième groupe de sujets présentant aussil'as- sociation des troubles mentaux et de la sénililité prématurée. Nous en
ses pour être constatées. Elles peuvent être ou non accompagnées de troubles mentaux que les auteurs ont décrit, mais sans m
assez en relief la précocité de la sénilité concomitante ; 3° Les troubles , mentaux de la sénilité précoce peuvent exister s
t, ce n'est que comme épisode terminal incapable d'expliquer ni les troubles mentaux, ni la précocité de la sénilité. Ces
quer ni les troubles mentaux, ni la précocité de la sénilité. Ces troubles mentaux sont à forme dépressive avec certaine c
uvent consister dans l'état d'affaiblissement intellectuel ; 4° Ces troubles mentaux, qu'ils reconnaissent pour cause le cha
gie entretenue jusqu'alors par une idée intensive déterminante, des troubles mentaux ont toujours pour condition causale com
pèces; cette incapacité d'adaptation apparaît très marquée dans les troubles mentaux de la sénilité précoce ; Il y a lieu,
tice. 6° Enfin il existe une sénilité précoce sans maladies, sans troubles mentaux. Les hommes qui en sont frappés savent vi
action du nerf ulnaire pour remédier à une altération motrice et un trouble de la sensibilité obser- vés dans l'extrémité s
pt ans, qui accusait, depuis sept ans, une névralgie accompagnée de troubles de la motilité et de la sensibilité. Une second
sseaux sous-arachnoïdiens; c'est assez dire qu'elle s'accompagne de troubles graves persis- tants, et les quelques faits rar
e. Notons, en outre, qu'il n'y eut aucun accident primitif, que les troubles consécu- tifs, ne se montrèrent que plusieurs m
larité dans un certain nombre d'observations. La distribution des troubles sensitifs ne répond pas exactement à celle des
ution des troubles sensitifs ne répond pas exactement à celle des troubles moteurs, nous voyons l'anesthésie épargner la p
pas réveillée spontanément dans un délai si court. . La marche des troubles fonctionnels est graduelle- ment décroissante.
craindre pour plus tard des lésions plus profondes. Ces premiers troubles n'ont pas empêché la guérison de s'accentuer, m
ntorse. Si, en outre, nous rattachons à la commotion les cas où les troubles du premier moment manquent complètement ou sont
et de la com- pression produite par un épanchement sanguin ? Les troubles fonctionnels de la contusion ont un degré de pe
nique deux périodes, celle des phénomènes primitifs et celle des troubles tardifs, les premiers appartenant à la commotio
ec violence, un état fébrile des plus accen- tués et amène tous les troubles de la motilité, de la sensibilité et de la nutr
e. Nous devons d'abord signaler, dans un grand nombre de cas, des troubles cérébraux de début, tenant à la commotion du ce
ns complète et plus ou moins longue, le malade revient à lui, les troubles de sensibilité spéciale disparaissent et la sph
sent et la sphère pathologique se circonscrit de plus en plus aux troubles fonctionnels du centre médullaire. Une remarque
remarque qu'il n'est pas inutile de faire d'a- bord, c'est que les troubles moteurs et sensitifs sont beaucoup plus persist
égers ou nuls. Si, comme dans les cas de Leu- det, on peut voir les troubles consécutifs disparaître plus ou moins rapidemen
à la moelle. On le retrouve dans la pathologie du cerveau, dans ces troubles que Lasègue l a décritscomme manifestation tard
commotion peut exister à l'état latent et ne se révéler que par des troubles secondaires, variant depuis la simple congestio
pas d'accidents locaux, sauf par- fois une légère ecchymose, pas de troubles généraux ; - hier le malade s'est plaint de cép
sé (gauche) des indurations qui n'ont pas été observées à droite ( troubles trophiques) ; 3° enfin que, si la sensibilité au
psule interne, de l'avant- mur, etc., ce qui explique en partie les troubles de la sen- sibilité. Ce résumé justifiera cer
tions psychiques doivent figurer celles des centres thermiques. Les troubles de la calorification, dès qu'ils atteignent une
malade qui avait à peine maigri. On no peut donc supposer ici qu'un trouble des centres thermiques du cerveau promptement e
atal. Aussi, ne doit-on pas admettre avec certains auteurs, qu'un trouble thermique de cette nature dépend de modifications
l'élimination de l'acide phosphorique ne peut nous éclairer sur les troubles que l'aliénation mentale est susceptible de fai
dant une seconde période d'agitation (novembre 1879), alors que les troubles somatiques étaient aussi marqués et les trouble
), alors que les troubles somatiques étaient aussi marqués et les troubles intellectuels un peu moins accentués que précéd
ant les cas. Pendant la période d'état de la maladie, alors que les troubles cérébraux sont intenses, que les idées sont très
rmal. Pendant les périodes de déclin de la maladie, alors que les troubles cérébraux sont peu intenses, l'acide phosphorique
Pendant l'état de dépression, alors que, à part l'agitation, les troubles cérébraux persistent et s'accusent par de l'apath
lins ; mais encore ici faut-il distinguer les cas dans lesquels les troubles cérébraux sont très marqués de ceux dans lesque
les troubles cérébraux sont très marqués de ceux dans lesquels ces troubles sont superficiels. Dans le premier cas, qui cor
marque, d'une part, que c'est dans la période d'état, alors que les troubles cérébraux sont le plus intenses, que le chiffre
t les périodes d'agitation du déclin de la maladie, alors que les troubles cérébraux sont moins marqués que pendant l'état d
que pendant l'état de dépression, on est obligé de rattacher à ces troubles l'augmen- tation des phosphates terreux. Et si
e compte des rapports qui existent entre l'acide phosphorique etles troubles cérébraux. En effet, si ces résultats nous port
ystérique aliénée. Si l'achromatopsie, qui est très probablement un trouble fonctionnel de l'écorce cérébrale, met le même
M. RITTI ; secrétaires annuels : MM. Charpentier et Garnier. Des troubles mentaux dans la sénilité précoce; par M. CHARPEN-
éments, ce sont des lents. Quand ils deviennent actifs, c'est qu'un trouble cérébral nouveau s'est pro- duit. II n'y a donc
es. M. Charpentier. J'ai voulu surtout décrire ces gens qui, sans troubles organiques apparents, autres que de la faiblesse
e dont nous parle M. Charpentier ; mais là encore, il s'agissait de troubles cérébraux se traduisant par des paralysies. M
des délires variés à début rapide et à évolutions irrégulières. Les troubles intel- lectuels de ces dégénérés, exercent une
eptique sous la forme vertigineuse, ayant toute sa vie présenté les troubles du caractère des épileptiques ; il in- sistait
es olifices buccal et nasal. Il était, depuis un an, en proie à des troubles digestifs (plusieurs selles la nuit) ; incertit
sont pas encore en pleine paralysie. Exclusion absolue de tous les troubles psychiques aigus, des psychopathies chroniques
'a lieu l'instruction. M. Loehr, tout en exposant magistralement le trouble mental de la baronne, lui conseille dans son in
yer expliquait le symptôme; car, il faut tenir compte également des troubles du pourtour du foyer qui rétrocédèrent; en ce qui
cBOEFER; son malade n'était pas en proie à une démence avancée. Les troubles moteurs rapportés disparurent dans le cours de
ité électrique), de l'ataxie des extrémités inférieures avec légers troubles de la sensibilité et absence du phénomène du ge
nerfs cruraux. Le retour de lamo- tilité à la normale, l'absence de troubles de la sensibilité, l'ab- sence de tremblement,
AK. lise pourrait qu'on ait affaire à un hys- térique. L'absence de troubles moteurs et d'atrophie plaide contre l'existence
omment expliquer la participation de la moitié droite de la face au trouble de la sensibilité ? M. BERNHARDT. 11 y a un an
e l'extrémité inférieure droite quanta la sensibilité. L'absence de troubles de la motilité et d'atrophie s'ex- pliquerait d
vrite primitive non compliquée, en ce qui concerne l'étiologie, les troubles de la vue, les champs visuels, etc. La démence
maxillaire inférieur, les oreilles, l'occiput, la région pariétale ( trouble plus intense à droite); une diminution prononcé
te : Indifférence de l'animal qui demeure au repos dans sa niche, troubles de la motilité des membres postérieurs, perte de
5 culaires du tronc et du facial, modifications dans l'aboiement, troubles de la sécrétion urinaire. Rien du côté de l'appar
notion de conception irrésistible, comme indépendante de tout autre trouble psychique ; elle se produit isolément chez un i
onvolutions ascendantes et de la région pariétale. Ressemblance des troubles de la motilité avec la mala- die de Thomsen (ri
e succès. DENY. BIBLIOGRAPHIE. 441 XI. Contribution à L'étude des troubles trophiques dans la paralysie générale; par J. R
MADtER (Thèse 1884). Les paralytiques généraux, offrent souvent des troubles de la nutrition générale, amaigrissement ou eng
u'il n'est pas toujours facile de mettre en rapport avec les autres troubles psychiques ou somatiques. Certains appareils et
prenant de voir signalés dans le cours de la première maladie des troubles qui ont été observés dans la seconde, nous voulon
altération atrophique des os qui favorise les fractures. -Parmi les troubles de nutrition, il faut citer encore les escarres
e l'), par lVitl : owsl : y, 59. Enfants (ataxie chez les), 252; ( troubles de coordination chez les), 254. Epilepsie spi
rébelleuse, par Sommer 261. l . Sénilité précoce et rapide (des troubles mentaux dans la), par Charpentier. 275, 395.
), pai' l3erger, G2 ; 1* (c)ei ! lesfemmes),pnr.Moebius, 253 avec trouble mental, 263; du), 429. Température (importanc
Ro- senheim, 258. Trijumeau (anection du), par Sena- tor, 63. Troubles trophiques, 332. Vision (trois autopsies pour s
ion (trois autopsies pour servir à la localisation .cérébrale des troubles de la), par Ch. Féré, 22. Visuelle (sphère), pa
65 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
al dans ce district de- vront donner lieu à un plus grand nombre de troubles ou à des troubles plus intenses que ceux observ
de- vront donner lieu à un plus grand nombre de troubles ou à des troubles plus intenses que ceux observés dans les deux p
nche artérielle donnera lieu à l'hémiplégie vulgaire et à un simple trouble de la parole, tandis que l'hémorrhagie limitée
extra-nucléaires amènera la perte absolue de la parole et un simple trouble paralytique. Signalés par M. Duret, ces vaissea
petites; elles contiennent quel- ques gouttes d'une sérosité un peu trouble . Dans cette observation, la lésion occupe sans
que les faisceaux capsulaires extra-nucléaires ont été détruits. Le trouble paralytique, qui s'est montré sur les muscles d
et quand elle apparaît dans une famille, indemne jus- qu'alors de troubles nerveux, elle a été, à coup sûr, préparée de lo
vent fortifiée et occassionnera d'autant plus facile- ment d'autres troubles qu'elle en a déjà produit. Cette triste vérité
effet, elles relèvent souvent d'une absorption de l'esprit par les troubles sensoriels et les conceptions délirantes. Les m
st pas rare que les sujets qui en ont été atteints offrent d'autres troubles nerveux ou qu'ils produisent dans leur descenda
s nerveuses, dont il guérit, et aucun de ses enfants n'éprouve de troubles nerveux. -- La malade a eu la scarlatine vers l
riage, à vingt-quatre ans, elle éprouvait presque tous les mois des troubles nerveux légers, caractérisés par du clignotemen
s convulsifs, plus tard par des phéno- mènes hystériques ou par des troubles plus ou moins bizarres de l'innervation, il est
èrent peu à peu pour dis- paraître au bout de six mois. Aucun autre trouble nerveux jusqu'à sa grosessse. -Au huitième mois
nt. Thèse de Nancy, J879. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE. n'ajamais eu de troubles nerveux ni d'autre maladie, jusqu'à l'âge de vi
En 18u1, la malade avait cinquante-six ans et souffrait de divers troubles liés à la ménopause, quand elle fut prise, à la
ù ont commencé les accidents actuels, elle n'avait souffert d'aucun trouble nerveux, pas de migraine ; elle était d'un cara
tiges, se produisant de une à trois fois par jour, furent les seuls troubles observés pendant deux ans et demi. ÉCLAMPSIE ET
eproduisirent pas pendant trois mois. Depuis lors, sous prétexte de troubles gastriques, le bromure, qui n'avait jamais été
ieures viennent montrer que les éclampsies ne constituent point des troubles purement accidentels, et qu'ils dépendent, au c
s dans l'enfance. Deux accès de mélancolie. H««MC ! ) : ft<ions. Troubles de la sensibilité générale. Six tent(ilives de
paternelle ont aussi présenté CAS DE MÉLANCOLIE ANXIEUSE. 57 des troubles sérieux du côté de l'intelligence. Mère : nerveus
rachitisme. La sensibilité spéciale est conservée, mais il y a des troubles notables et variés de la sensibilité générale. Ce
ôlement de la peau devient douloureux. Eu même temps, il existe des troubles vaso-moteurs et la plus 60 RECUEIL DE FAITS.
onsidérant la longue durée de la maladie ? 2 D'un autre côté, les troubles de la sensibilité spéciale et générale, relatés
ns très intenses de la vue, des illusions du goût, de l'odorat, des troubles très graves de la sensibilité générale donnant
rtainement la mélancolie qui présente le plus souvent ces sortes de troubles de la sensibilité; et si, chez cer- tains persé
tour, entretiennent l'état mélan- colique. Cette prédominance des troubles sensoriels commence donc déjà à distinguer cett
e de la réunion des symptômes suivants : prédominance excessive des troubles de la sensibilité générale, différentes idées s
déjà eu des accès mélancoliques antérieurs guéris ou en proie à des troubles mélancoliques. Si quelquefois le début est brus
iquée par le vocabulaire spécial du malade, la prédominance que les troubles délirants prennent alors sur les troubles mélan
, la prédominance que les troubles délirants prennent alors sur les troubles mélancoliques, la fréquence des tentatives de-s
ociation est surtout heu- reuse quand il existe des douleurs et des troubles de la sensibilité et que l'ataxie n'est pas trè
Le jour suivant la parole est encore un peu em- barrassée, niais ce trouble n'est que de courte durée; il est vrai que pend
és généraux, on peut, comme l'auteur, admettre qu'ils dérivent d'un trouble céré- bral en rapport immédiat avec le tabès. D
IIh : LL. (Neurol. Ccrtlrtlt ! , 18`i' ? .) Faisant abstraction des troubles de la motilité et de la sensibilité qui furent
. Cirrhose hépatique. Très violents accès de dyspnée accompagnés de troubles de la motilité qui se montrent vingt-deux jours
rs, et du facial entier, ainsi que l'étendue des phénomènes. Pas de troubles de la sensibilité; pas de paralysie franche. Au
lle, est atteint d'accès d'épilepsie avec perte de connaissance, de troubles intellectuels avec perte de la mémoire, d'agitati
; ces décharges s'effectuent à l'occasion des actes intentionnels. Troubles de la vue : papilles étranglées. Deux mois et d
s, soitde rétrocessions complètes de certains symp- tûmes, tels que troubles de la sensibilité, douleurs, crises laryn- gées
2.) Rien de nouveau, si ce n'est que les os ue participent pas au trouble trophique ; cette particularité s'explique par ce
ans son ouvrage sur les tumeurs du cerveau, avait rapporté certains troubles audi- tifs à l'augmentation de la pressioniutra
ment un peu de céphalalgie et une légère surdité, mais pas d'autres troubles cérébraux. Des tentatives furent faites pour ex
s ou con- comtants. Comparaison avec le tabès : même pathogénie par trouble dans la nutrition de certains systèmes de fibre
placer. » P. K. VI. Contribution A LA QUESTION DE la simulation des troubles PSYCHIQUES; par F. (,17ch. f. Psych., XIV, 1.)
s PSYCHIQUES; par F. (,17ch. f. Psych., XIV, 1.) .) L'origine des troubles psychiques et l'observation dans un asile penda
es. Les conditions dans lesquelles se manifes- taient ces prétendus troubles , l'ostentation mise par l'inculpé à les étaler,
imule la stupeur, mais ce qu'il est incapable d'imiter, ce sont les troubles vaso-moteurs et trophiques, la dépres- sion pro
céphalalgies opiniâtres et fréquentes, une emotivité exagérée, des troubles de la mémoire, des convulsions pendant les premiè
NTALE. les motifs de cette déclaration, car il n'est pas rare qu'un trouble psychique préside à de prétendus aveux. Tantôt
apoptecti- formes ou épilepliformes, sous l'influence manifeste de troubles vaso-moleurs et trophiques, on est incapable d'
du moins, de l'établir dans une thèse, se manifeste d'abord par les troubles intellectuels qu'on observe dans la manie simpl
nt capables de rendre compte de leurs sensations n'ont accusé aucun trouble et ne se souviennent pas d'avoir ressenti d'eff
omotrice, quelques symptômes suffisent, et. en dehors de tout autre trouble nerveux, la coïncidence del'abolition du réflexe
précoces du tabes observé et décrit d'une fa- çon très fine est un trouble spécial dans les fonctions des membres inférieu
e constipation opiniâtre, de l'anorexie, un sommeil irrégulier, des troubles du caractère et un abaissement de la températur
us un peu de faiblesse., du côté, gauche, mais très légère ; pas de trouble de la sensibilitéiini générale, ni spéciale. Il
tères : 1° Que souvent les lésions insulaires s'accompagnent d'un trouble du langage plutôt que. d'une véritable aphasie.
- dérable, la paralysie accompagne l'aphasie. En d'autres termes, troubles aphasiques seulement, d'une part ; aphasie véri
mple, pourquoi dans les lésions insulaires,,observe;t-on,souvent un trouble du langage plutôt qu'une aphasie proprement dit
nt (hé- morrhagie), d'où ébranlement, de nature congestive ou par trouble de voisinage sur les faisceaux capsulai- y7rèsw
e fait il y a eu aphasie. On n'avait pas fait attention qu'ici le trouble de la parole n'avait été qu'ér7aénèré.'Q ? r ?
, en trer ses : ] ésidus en ligne de compte pourcl'explication des troubles cérébraux, et rapporter tousicesiderniers à. l'
,q chacun de ces cas, la lésion eût été plus profonde; cee simple trouble de la parole n'eût fait place à une , .' ' . u/
onnera tellement vivement qu'il surgira du même coup un ensemble de troubles somatiques, fatigue générale, angoisse épigastr
strique, lenteur des digestions, cons- tipation, pesanteur de tète, troubles vaso-moteurs et un éré- thisme particulier qui
pochondrie vulgaire,1 il s'est ajouté chez ces prédisposés certains troubles spéciaux qui feront reconnaître la maladie; il
eux, 1 îndille^ rcîice1, la perte du sentiment etFairgravation des troubles intellec- tüéls, ac sorte que les malades en pr
émence complète arrive avec la dissociation intel- lectuelle et les troubles profonds du côté des viscères et de la nutritio
suivant, de M. llLcw;v : « Délire chronique (teec hallucina- tions, troubles de la sensibilité générale et prédominance d'idée
ir parcouru très rapidement l'étape de la phase d'inquiétude. Comme troubles généraux, elle éprouve des lourdeurs de tête qu
fférents asiles de province : elle chronique avec hallucinations, troubles dé 1 ti zs "il)iiité générale et idées' de perséc
on du reffexe. 2° Dysphasie. En considérant l'ensemble des cas, les troubles du langage sont sensiblement égaux dans les deu
eKque* dansoc6 : cas,llu3 ruptiiro'tarlérielle a 'été précédée d'un trouble de la nutrition cérébrale, reconnaissant prob'a
à cesser tounq travail intellectuel..Il3aquati·ecmois,lapparitiondè troubles in ? q tell ectlels iinarqués. On la conduit ch
son rapport, outre l'absence des signes ordinaires.propres à divers troubles mentaux, la'présence de deux formes de délire q
central,6de`foÿershémorrhaôi`lues`et`emboliques, ellncidemment dé troubles 'généraux1 de la1 nutrilionJ'A'ssez souvent1 on m
hypérémie passive du système vasculaire céphalique entraînant ,unr trouble de'la"'connaissance, et, finalenïent ? la ? pâéal
on "générale) 'de''violentesrdouleursèdàns^les 'membres, de légers' troubles psychopalhiqùes ! Quant a'ia produc- tion d'une
lisse.o Le (pronostic 8 dépend' ri'aturellemént,7'del la durée' 'du troubles Lesj rechutes doivent être aussi1 dangereuses q
9 du nom de névrite. 111 inclinerait à en, rapporter, la à à «des troubles du côté des centres trophiques., Ce 'sont, (du re
9J[ ? tq tuavu ? b ? n.)'. 9r 1° Il est possible etprobalrleque des troubles purement fonctionnels 'affectant les centres tr
x Marchand sous le nom de névrite'01 parenchymateuse. La rareté des troubles sensitifs dans la paralysie01'1 saturnine s'exp
eint ? or, dans la paralysie traumatique > ? du nerf radial, les troubles de la sensibilité sont, de primé ahold ? Jf,, t
mélancolie avec hallucinations sensorielles, idées de persécution, troubles de la sensibilité générale et instincts pervers.
une disposition radiaire. M. Grunewald. Communication sur un cas de trouble mental (loti- Une' courte discussion s'engage à
masque répond à l'état de déchéance psychique, et en même temps aux troubles de la motilité; souvent on a devant soi un sour
e ressortit aux imbéciles, et même aux gens non psychopathes. Les troubles dans le rapport entre le jeu de la mine et les in
contre de véritablement convulsifs dans les formes dégénératives de troubles psychiques. C'est à des troubles de l'innervati
dans les formes dégénératives de troubles psychiques. C'est à des troubles de l'innervation que doivent être rapportées les
péciale qui déforme un beau visage (bouche béante des déments). Des troubles trophiques s ajoutant finalement à ces perturba
soit àhrmodincation pathologique des facultés nioritles, soit à un trouble dans l'évolution des facultés intellectuelles ;
erminées (kleptomanie, dipsomanic) pyromanie, etc.)..Voilà pour les troubles négatifs, synonymes d'absence de'sons moral, il
tions anatomiriues. On que llenet u lout récemment prétendu que les troubles vaso-moteurs et trophiques émanaient, de la lés
et un ans. malade depuis cinq ans, présentait depuis trois ans des troubles de la marche. Quatorze jours avant son entrée à
e fond de l'ceil ne présente que de la pâleur des papilles, un état trouble de moyenne intensité de la rétine, un rétréciss
- pause s'accompagna, dans l'espèce, de la guérison complète d'un trouble psychique ayant débuté en 1 83.'i, et ayant néces
ssement pendant les cinq ou six premiers BIBLIOGRAPHIE. 267 mois. Troubles psychiques : torpeur intellectuelle générale, apa
livperestliésie générale fréquente; hyperexcitabilité des réflexes. Troubles des sens ; vue : oeil morne reprenant son éclat
lles souvent rétractées, anémie permanente de la rétine (Parinaud), troubles de l'odorat et du goût (saveur acre et métalliq
acre et métallique); parfois hallucinations de la vue et de l'ouïe. Troubles de la vie de nutrition : torpeur de la vie végéta
sychique, il y a impulsion irrésistible pour la morphine, mais sans troubles réels si la morphine est suppri- mée. Cette t
ne observation d'amorp/tMtMmc dans le cours d'une grossesse ; les troubles douloureux déterminés par la suspension de la mor
é pelvienne, peuvent déterminer du côté des membres inférieurs, des troubles moteurs d'une étendue très variable. Tantôt, il
rand sympathique produite presque toujours par hérédité/diathese ou troubles digestifs ; elle exerce son action sur la circu
ermanents. Ang... présente lors de son arrivée à la Salpêtrière des troubles marqués de la sensibilité générale et spéciale.
st affaibli, particulièrement au niveau des membres supérieurs. Ces troubles de la sensibilité générale sont là à l'état per
al. Ce qu'il y a aussi de remarquable dans la distribution de ces troubles , c'est leur généralisation à tout le corps, avec
des symptômes afférents à la névrose (hémoptysies sans tuberculose, troubles de la sensibi- lité générale, points douloureux
température) est conservée des deux côtés du corps. 11 n'y a pas de trouble marqué de la sensibilité spéciale. Pas de zones
Mère, trente-trois ans, ménagère, assez intelligente, sujette à des troubles digestifs et nerveux (gastralgie) : depuis quinze
; la sensibilité dans ses divers modes y est conservée. 11 n'y a ni troubles de nutrition, ni modi- fication du côté du syst
and le malade était distrait. Grar... se plaignit plusieurs fois de troubles visuels à gauche; ceux-ci ne furent que momenta
tement en question se sont traduites exclusivement, tantôt par un trouble du sens musculaire des extrémités opposées, tantô
hez le chien, du segment antérieur de la couche optique produit des troubles de la vue tout à fait passa- gers ; la destruct
optique dans le chiasma du chien.- Les allures de la pupille et les troubles de l'équilibre notés dans l'espèce par l'auteur d
s et sont remplacées par des parésies des membres inférieurs et des troubles de coordination ; bientôt .paralysie véritable
. La paralysie et les anesthésies s'évanouirent ultérieurement, les troubles de coor- dination persistèrent pendant quelque
on constate à droite une ophthalmie neuroparalytique, ainsi que des troubles de la sensibilité, mais ceux-ci limités aux bra
tremblementavec affaiblissement des jambes, parésie des sphincters; trouble de la parole. Quatre ans plus tard, ce sont des
ur thorax (détails et ligures dans le mé- moite), l'analogie de ces troubles avec l'idiotie et la surdi-mutité ont servi de
entation de la fréquence du pouls; hyperthermie vespérale. Soudain, trouble respiratoire, cyanose, mort. La nécropsie montr
ction de l'aponévrose palmaire de Dupuytren) ? R Labitatératité des troubles , leurs allures, leurs rapports topo- graphiques
e secondaire ; pas de paralysie complète ; quelques- uns eurent des troubles de la sensibilité. La capsule interne cou- tien
fibres à myéline dans les circonvolutions ascendantes et cependant troubles moteurs précoces des paralytiques généraux en r
is traitements de la part d'un maître d'école furent les suivants : troubles paralytiques delà parole, céphalalgie, état nau
a colonne vertébrale à la nuque. Au bout de quatre à huit semaines, troubles de la dégluti- tion; hypersécrétion salivaire;
plus. On distingue trois stades : un pre- mier stade de tuméfaction trouble du protoplasme, qui masque le noyau, est suivi
s cellules endothéiiaies.Lanévrogtie est le siège d'une tuméfaction trouble dans les régions que nous venons d'envisager, m
osé. Aucun traitement ne réussit d'abord. L'examen ne révèle pas de troubles de la motilité de la sensibilité, de l'excitabi
s dans des salles sépa- rées. M. Savage avuun cas dans lequel des troubles nerveux ont fait leur apparition au même moment
nd compte ni de sa situation ni du milieu où elle se trouve. Pas de troubles de locomotion. Intégrité apparente des sens spé
umultueux qu'il s'est hâté de réveiller le patient; toute- fois les troubles cérébraux quelque peu sérieux paraissent très r
sans perte de connaissance, puis une agitation croissante et les troubles psychiques et somatiques de la paralysie générale
de dents au niveau des articulations de la main. P. K. L. Sur LES troubles DE la vue dans la ? .1R9LYSIE progressive ; par
tions recueillies par lui, l'auteur peut dire que trois formes de troubles de la vue se montrent chez les paralytiques génér
remarquer que cette diversité peut tenir aussi à l'intervention de troubles délirants appartenant à des espèces morbides di
laquelle le délire vésanique reviendra prendre son rôle, quand les troubles délirants coma- teux se seront dissipés. On c
ainsi, par exemple, que pourront trou- ver place dans ce cadre les troubles intellectuels développés sous l'influence des i
e (clavicules, côtes, tibia) sont le siège d'exos- toses. Quant aux troubles circulatoires (refroidissement, oedème des memb
âge de trente-deux ans, le 14 avril 1882. Elle n'avait jamais eu de troubles de la mo- tilité ; elle avait appris à marcher
général; amnésie très accentuée. C'est alors que se produisent des troubles de la motilité et des troubles de coordination
C'est alors que se produisent des troubles de la motilité et des troubles de coordination de toutes sortes; ce sont : la pa
ations sen- sibles, aboutissant à une augmentation considérable des troubles de la coordination, notamment à droite, et à l'
ant, remar- quons que l'absence de cervelet n'avait pas entraîné de troubles de coordination; l'idée que le cerveau avait da
'au dernier jour, la voracité a persisté, jamais on n'a constaté de troubles ocu- laires, ni de paralysie, tandis que les at
intervention sur l'écorce déter- SOCIÉTÉS savantes. 373 mine des troubles manifestes des mouvements ou de la vue, alors q
ement agir à distance. M. Hitzig ajoute qu'il a souvent observé des troubles considé- rables de la vue sur l'oeil opposé, de
servé des troubles considé- rables de la vue sur l'oeil opposé, des troubles de la motilité dans les extrémités, des lacunes
t destinée, pour prendre leur nourriture, etc.... Faut-il, pour les troubles de la motilité, invoquer la participation secon
ard. En tout cas, M. Hitzig refuse pareille interprétation pour les troubles de la vue, troubles qui cessent après plusieurs
Hitzig refuse pareille interprétation pour les troubles de la vue, troubles qui cessent après plusieurs jours. L'auteur ajo
dez-vous sous l'écorce est bien ar- tificiel, il n'explique pas les troubles des mouvements après la destruction superficiel
rapide compensation. Dans cette catégorie, il faut faire entrer les troubles visuels promptement passagers qui se manifesten
quel le symptôme prédominant, le symptôme caractéristique, était un trouble de la lecture plus ou moins soudaine. Que le te
s (prodromes), l'aphasie (2 cas), l'hémianopsie droite (I cas), des troubles de la motilité dans la langue (2 cas), des pare
présentait aucun résidu anatomopathologique capable d'expliquer les troubles passagers; dans un second cas, une inflammation
éaction latente fut visi- blement allongé. Au stade initial, légers troubles delà sensibilité; mais jamais de perturbations
les allures des réflexes dans la pa- ralysie progressive et sur les troubles de la vue qui suivent les «t- taques congestive
fection, très vigoureuse et très flo- rissante, ne présentait aucun trouble du système nerveux, et ce- pendant, sans qu'on
Elle est en général bien plus certaine chez les malades atteints de troubles de la connais- sance. Les meilleurs résultats o
xtrémités supérieures. Intégrité de la vessie et du rectum ; pas de troubles de la sensibilité ; pas d'ataxie, pas de troubles
u rectum ; pas de troubles de la sensibilité ; pas d'ataxie, pas de troubles du sens musculaire ; conservation des réflexes
, des névralgies viscérales, l'ab- sence du phénomène du genou. Nul trouble de la sensibilité, du sens musculaire. Tel fut
a quatre mois, sans cause appréciable, ictus aploplectiquc grave ; trouble de la connaissance, paralysie faciale complète,
nnement. La psychose a été précédée et en partie influencée par des troubles de la motilité et de la sensibi- lité. C'est ai
sens de l'espace. L'anesthésie qui nous occupe repose sur un simple trouble fonctionnel, comme le démontrent les fluc- tuat
nt concentrique du champ vi- suel, et qui s'allie fréquemment à des troubles de la sensibilité cutanée et des sens spéciaux,
t purement motrice, c'est-à-dire quand elle ne s'accom- pagne ni de trouble de connaissance, ni de dépression effective. On
n rétrécissement concentrique du champ visuel, accompagné ou non de trouble de la sensibilité cutanée, des nerfs sensoriels
e presque tous les équivalents de l'attaque accom- pagnés ou non de trouble de la connaissance (accès d'angoisse et d'oppre
ais non toujours, à une diminution de l'acuité visuelle. C'est à un trouble circulatoire de l'écorce du cerveau qu'il convi
ïn- cide avec un rétrécissement concentrique du champ visuel ; le trouble circulatoire en rapport avec ce dernier n'est com
liquée à la psycbophysio- log'ie générale; en un mot, l'analyse des troubles fonctionnels élé- mentaires et des symptômes ou
énormément (hyperpraxie), mais il n'a pas de fonds de volition. Les troubles delà parole, des mouvements organiques, de la f
dans un état de chronicité telle qu'il y a évidemment sous roche un trouble de nutrition avancé du système nerveux; les man
mission ; tel est le mécanisme des affaiblissements psychiques, des troubles de l'âme secondaires, par exemple : la folie circ
ilatation de l'estomac; par LAPRFVOTTF. Thèse de Paris, 1884. Des troubles trophiques de la période p)'cBa<n.BtM6 du tabè
- logique de la), par Mendel, 234, (par lésion du crâne), 351; ( troubles trophiques dans la), par Ramadier (an. Ch. Féré
Séquestration des aliénés dans leur famille, 105. Simulation des troubles psychi- ques, par Siemens, 93 ; (chez un déte
en Dancmark. en Suède et en Norvège, par Clans, 109, 255. Vue ( troubles de la - dans la pa- ralysie progressive), 362.
66 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eur nombre en ait été exagéré, car il n'est peut-être pas un seul trouble fonctionnel qu'on n'ait dans certains cas rappo
la tempe ; il revient du Tonkin affaibli, mais sans éprouver aucun trouble nerveux, sinon des maux de tête assez fréquents
sent très bien et n'éprouve pas ce jour-là de céphalalgie ni aucun trouble d'aucune sorte, quand tout à coup, sans avoir é
on s'explique en effet très bien de cette façon la prédominance des troubles fonctionnels dans le membre supérieur, le peu d
examinons en particulier la paralysie brachiale, en négligeant les troubles moteurs du membre inférieur qui sont tout à fai
ire; or, si dans les paralysies corticales il peut y avoir quelques troubles sensitifs, ces troubles sont très légers; jamai
alysies corticales il peut y avoir quelques troubles sensitifs, ces troubles sont très légers; jamais l'anes- thésie n'est s
eur sont presque complètement paralysés. La face ne présente pas de troubles de la motilité. ,Le côté 20 CLINIQUE NERVEUSE.
nser à un tabes combiné; mais alors il y aura en général d'autres troubles sensitifs qui enlèveront toute difficulté au di
d'excitation motrice) et des symptômes communs à tous les tabes ( troubles céphaliques et méso-cépha- liques). Anatomiqu
one corticale est indemne on peut observer tous les degrés dans les troubles de la motilité. G. D. IX. DES LOCALISATIONS M
cereaux désigne sous le nom d'herpétisme, et auquel il rattache des troubles nerveux multiples. l'arthrite déformante, les v
mais chez tous les épileptiques. Quant a la folie épileptique sans troubles de la connaissance, sans aucune lacune de la mé
sans anomalies de l'exci- tabilité électrique, sans atrophies, sans troubles de la sensibilité générale, sans perturbation d
on : pneumonie alimentaire), parce que cette lutte entraînerait des troubles trophiques et provoquerait de nouvelles idées d
et d'agitation : affaiblissement de la mémoire. Il y a trois mois, troubles de la vue, suivis de complète cécité. Aphasie.
omissements; il y a quatre ans, cécité. Phéno- mènes paralytiques ; troubles de la sensibilité et de la parole. Autopsie. Un
'action excitante du ferment bactério-typhoide. P. K. IX. SUR LES TROUBLES DE la faculté DE LIRE CHEZ LES paralytiques gén
ccalmie. Il s'agirait d'une paralexie spéciale indépendante d'aucun trouble de la parole, différente de la pa- ralexie par
En dehors des symptômes ordi- naires de la manie il a présenté des troubles spéciaux du langage. L'articulation était parfa
onstater l'existence de symptômes mentaux. Dans ces quatre cas, les troubles intellectuels étaient caractérisés par des idée
tique de trente ans. qui, après un surcroît de travail, fut pris de troubles intellectuels caractérisés surtout par de la mé
lques années, on tend à faire de la. masturbation un symptôme des troubles cérébraux bien plutôt qu'une cause d'aliénation.
e dix-neuf ans, très bon sujet, n'ayant présenté jusques là que des troubles mentaux à peine appréciables et méritant plutôt
antsur les preuves de l'aliénation, alors que le moindre soupçon de trouble intellectuel suffit au magistrat pour annuler u
de et étendue; peu de fièvre. A mesure que l'érysipèle gagne, les troubles psychiques rétrocèdent. Finalement, l'accident so
émoire. P. K. XXXII. De l'influence exercée parla grossesse sur LES TROUBLES PSYCHIQUES; par J. PERETTI. (Arch. f. Psych., X
k and Brack oder Licht im Scllatten. E. Stadion. P. K. XXXVI. DES troubles DE la motilité volontaire dans IA folie 0 simpl
convulsions, ni paralysies, ni ataxies. L'auteur passe en revue les troubles de la voix, les troubles de la parole, les acte
s, ni ataxies. L'auteur passe en revue les troubles de la voix, les troubles de la parole, les actes impulsifs, les actes para
n sortir), les mouvements occasionnés par des hal- lucinations, les troubles de la motilité chez de très jeunes aliénés (tro
motilité jouerait, d'a- près lui, un grand rôle dans la genèse des troubles psychiques, de même que les perturbations psych
de même que les perturbations psychiques sont les génératrices de troubles moteurs. a Une grande catégorie de troubles moteu
ont les génératrices de troubles moteurs. a Une grande catégorie de troubles moteurs - sont réellement primitifs, parce qu'i
res; 2° sur les aliénés confiés à des soins particu- liers dont les troubles psychiques et les manifestations extérieures on
dent, lorsque le malade reprend con- naissance, qu'on s'aperçoit du trouble de la parole. Il bégaie quand il s'agit de répé
885.; Les dyscrasies chroniques qui sont capables d'engendrer des troubles psychiques se groupent sous deux catégories : 1e
de Rumpf '); la même exception doit être faite en faveur des divers troubles fonctionnels du système nerveux cen- tral (neur
cas de mélancolie; sous leur action, les sensations anormales, les troubles parétiques, les tremblements ont complètement dis
persistent. Malgré l'institution d'un traitement anticongestif, les troubles augmentent; il se produit une paraly- sie compl
ore, puis guérit. La paralysie de Landry ne résulterait-elle pas de troubles vaso-moteurs ? P. K. X. Encore UN cas DE paraly
lade est incompréhensible ; ralentissement mar- qué de l'émission ; troubles de la déglutition (régurgitation nasale et toux
débilité mentale congéniale. Intégrité des muscles des yeux. Aucun trouble électrique, excepté dans les muscles tout à fai
te enfin un patient atteint de névralgie de la cinquième paire avec troubles trophiques du côté droit, qui dure depuis plusi
surtout prononcées dans les branches maxillaires des nerfs ; et des troubles trophi- ques portent sur la gencive et les dent
as de névrite multiloculaire chez un alcoolique, remarquable par un trouble de coordination extrême dans les extrémités inf
a dernière séance, il y avait aussi névrite optique bilatérale sans trouble fonctionnel considérable. Cela a déjà été signa
u nerf sous-orbitaire à son point d'émergence, pen- dant longtemps. Troubles de la sensibilité dans le domaine de la branche
évralgies de la maxillaire supérieure du trijumeau. M. 11RAUSE. Des troubles fonctionnels du larynx dans les affec- tions du
alades à la clinique neuropsychiatrique de Berlin. On rencontre ces troubles dans la syphilis spinale, la chorée, les tumeur
4 cas, un des malades observé pendant cinq semaines présentait des troubles de la motilité du larynx, aggravation crois- sa
ons- tricteurs pharyngiens, de la charpente musculaire du larynx, troubles de la sensibilité, parfois aussi des cordes vocal
acture bilatérale des adducteurs. - Tabès : sur trente-trois cas de trouble fonctionnel grossier, l'orateur à observé 13 pa
parfois viennent, s'en vont, reviennent; souvent il n'existe aucun trouble grossier de la voix. Voici, par exemple, un pro
érale visés par l'orateur il y avait eu, bien avant l'apparition de troubles psychi- ques, des accès de dyspnée et des parés
ons électro-musculaires, l'absence du phénomène du genou, de légers troubles de la sensibilité, l'inté- grité de la vessie e
ien a fait défaut dans ces observations, sans qu'on ait constaté de troubles marqués dans les phénomènes éleclio-musculaires
ves médicales ou chirurgicales dans les rémissions incomplètes; les troubles qui persistent le plus souvent sont l'embarras
es qui persistent le plus souvent sont l'embarras de la parole, les troubles pupillaires; la débilité men- tale. - Les rémis
ité relative de l'acuité visuelle; par la coexistence habituelle de troubles de l'ac- commodation et de la polyopie monocula
s ataxiques, par Munschina. (Thèse de Paris. 1885.) Etude sur les troubles sensitifs dans la tuberculose aigue, par Margue
(Thèse de Paris, 1885.) Contribution à l'étude des paraplégies par troubles de circulation de la moelle, par Meunier. (Thès
Dr Rouillard, pour sa thèse : Essai sur les amnésies. Etiologie des troubles de la parole. Prix Belhomme. - Ce prix, de la
utres sens il ne peut donner de renseignements. Il n'y avait pas de troubles psychiques. Huit jours après le début de cette
rticulier, elle n'était pas déviée, mais la vue lui paraissait plus trouble à gauche qu'à droite. Le membre supérieur était
ur la par- tie antérieure de la capsule interne pour produire les troubles moteurs. Mais une pareille hypothèse nous sembl
el (18 mai 1886). - Homme de taille moyenne, bien constitué. Pas de troubles viscéraux. Ne présente rien d'insolite au point
amentale. Mais il faut aussi bien remarquer que l'expression de « trouble trophique » n'implique pas fatalement l'idée d'
ure de la nuque. Les pre- miers jours, le malade a senti un certain trouble dans la parole. Certains mots et certa : nes sy
ant, ne pouvant articuler le mot quoiqu'il l'eût sur les lèvres. Ce trouble de la parole a duré pen- dant des mois. Aucune
s. Aucune déviation de la face, de la langue ni de la luette. Aucun trouble dans les mouve- ments de la langue et des lèvre
ien souffler et siffler. Les pupilles réagissent normalement. Aucun trouble de la vision, de l'ouïe, de l'odorat ou du goût
rvation parfaite de l'in- telligence, de la vision et de l'ouïe. Le trouble dans l'écriture a diminué un peu, de telle sort
tion a été continuée jusqu'au 27 janvier 1884; pendant ce temps, le trouble de l'écri- ture a beaucoup diminué, de sorte qu
sentiment anormal dans le bras droit est devenu aussi très rare. Le trouble de la parole a presque disparu. Pourtant l'amél
gère altération bien limitée de l'écorce cérébrale, c'est-à-dire le trouble peu marqué de la parole et les secousses des do
. Mais ce qui doit être ici tout spécialement relevé, c'est que ces troubles moteurs sont absolument limités aux doigts de l
nsibilité dans les doigts mêmes. Il faut rattacher probablement ces troubles à une légère altération d'une partie bien circo
onvolution de Broca; altérations provoquées sans doute par certains troubles de la circulation dans l'artère syl- vienne gau
ère syl- vienne gauche ou dans quelques-unes de ses branches. Ces troubles , difficiles à préciser, pourraient être produits
ans), qui à la suite d'excès de travaux intellec- tues, est pris de troubles circulatoires encéphaliques (insomnie, excitati
assitudes, élancements dans les jambes, affection rhumatismale avec troubles mentaux, diminution de J'acuité au- ditive bi-l
lutions, etc. De l'analyse de ce fait, M. Reinhard tire que : 1° le trouble de l'équilibre (sans vertiges) et le tremblemen
té et à la vie mentale; 3° il n'y avait dans l'espèce ni ataxie, ni troubles proprement dits de la motilité (pa- ralysie), d
rapidement surviennent : une parésie des membres supérieurs, des troubles de la sensibilité dans les quatre extrémités, sur
la sensibilité dans les quatre extrémités, sur le tronc, à la face, troubles de la sensibilité subjectifs et objectifs qui s
taines apophyses épineuses et d'une partie des muscles de la nuque, troubles trophiques de la peau.) Intégrité de la vessie
persistance des perturbations subjectives du côté du trijumeau sans troubles objectifs, la parésie de l'oculomoteur externe
auche, souvent inca- pacité de se vêtir. Il ne s'est pas aperçu des troubles de la face. Allure : corps exagérément fléchi e
e travaux physiques. Cette constatation, jointe à l'absence de tout trouble de la sensibilité et de l'excitabilité électriq
é coor- dinatrice (faisceaux coordinateurs). Quant à la théorie par trouble delasensibilité, elle tombe devantlesfaitsqui t
ibilité spinale sans ataxie, soit d'une ataxie spinale marquée sans trouble de la sensibilité. Voici, par exemple, un cas d
forcément; impossible de localiser les douleurs lancinantes et les troubles vésicaux. Tels sont les points prin- cipaux de
Tels sont les points prin- cipaux de ce travail. P. K. XXIV. Des troubles nerveux observés A la suite DE l'empoisonne- ME
les symptômes d'un Labes quelconque et leur fréquence, soit comme troubles du début, soit comme perturbations se montrant au
ent quand ils demeurent tranquilles et cepen- dant, ni diplopie, ni troubles de l'accommodation, ni modifica- tions pupillai
novembre, commencèrent à se produire des accidents oculaires et des troubles delà m otiii té volontaire aboutissant aune par
eures, on voit s'installer une paralysie incomplète, accompagnée de troubles de la sensibilité et d'atro- phie dégénéiative
s des membres inférieurs; absence de phénomènes tendineux; démence; trouble de la parole; tremblement à l'occasion de mouve
ane de la constatation des douleurs ini- tiales, de l'existence des troubles de la sensibilité qui, d'abord considérables, o
ec laquelle la névrite est le plus souvent confondue, en ce que les troubles de la sensibilité étaient très accentues, les t
n ce que les troubles de la sensibilité étaient très accentues, les troubles de la molilllé et de la réaction électrique n'a
but par les extrémités supérieures et l'épaule, l'insignifiance des troubles moteurs, surtout par comparaison avec les trouble
nsignifiance des troubles moteurs, surtout par comparaison avec les troubles de la sensibilité excessifs, la diplopie (insuf
. t. xu, p. '207. 226 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. et des pieds ( troubles vasomoteurs), la rapidité du pouls (atteinte du
ou anciens de névrite quelconque ou traumatique où prédominent des troubles de la sensibilité. Au point de vue de l'étiolog
dès le début, avec diminution extrême de l'excitabilité électrique, troubles minimes de la sensibilité, suppression du réfle
nce de fixité, d'immobilité pupillaire, de douleurs en ceinture, de troubles vésico-rectaux), et l'ataxie d'un tabes (atroph
ica- tions qualitatives ; pupilles inertes, douleurs en ceinture, troubles vésico-rectaux). Il est impossible de déterminer
ue de la nosographie et de l'anatomie. P. K. XLII. SUR une FORME DE trouble DE la sensibilité DÉCOU- verte dans LES LÉSIONS
ze ans ayant présenté, il y a un an et demi, un ictus apoplectique ( troubles de la motilité à droite affaiblissement de la m
ion excessive des réflexes tendineux, clonus dorsal des deux pieds, troubles de la sensibilité justifie- raient en quelque s
t affectant particulièrement les bras. Ni perte de connaissance, ni troubles de la sensibilité, hyperexcitabilité mécanique
suivie de para- lysie complète des mêmes membres avec anesthésie et troubles vasomoteurs; sur ce, parésie, puis paralysie ab
t ans présentant du nystagmus bilatéral, de la bradylalie, quelques troubles de l'innervation dans les extrémités supérieure
se heurte aux passants. Si on ne le gêne pas, il ne s'ensuit aucun trouble ; mais, arrêté, il de- vient violent, frappe, s
adie. Il a perdu son emploi, non pour in- conduite, mais à cause du trouble que sa maladie apportait 343 REVUE DE PATHOLOGI
accidents nerveux; pendant plus d'un an, on constate des accès de trouble rapidement passager de la connaissance, voire d
elevé les malades qui, avant l'intoxication, ont été en proie à des troubles nerveux, ou chez lesquels d'autres causes ont p
issue finale, quoique, dans la première observation, on constate un trouble profond de la sensibilité générale (le malade se
possibilité de rapporter l'ensemble des dérangements nerveux à un trouble organique du système nerveux, m'a fait recon- n
n remarque un état paralytique qui ne dure pas. Le 11 mai, tous les troubles du mouvement et de la sensibilité ont disparu.
n'éprouve presque aucune douleur dans l'épine dorsale; pas d'autres troubles ner- veux. Traitement : galvanisation du dos et
us trouvons les accès d'hystéro- épilepsie nettement accusés et les troubles capricieux de la sensibilité qui ne peuvent avo
chis; les muscles des reins sont contracturés. Vers le 13 juin, les troubles de la sensibilité ont disparu; la difficulté de
'hémiopie, chose qu'on ne peut simuler. N'avait-on pas affaire à un trouble orga- nique du cerveau ? Mais je suis obligé d'
ne dura, du reste, que quelques mois, et alors apparurent d'autres troubles . Le caractère de D..., devint tout autre; il de
té gauche sont aussi émoussés. Ainsi je trouve que le malade a un trouble de sensibilité connu sous la forme de parahémiane
s, mais la réaction aux deux espèces de courants ne fait voir aucun trouble dans l'excitabilité des muscles et des troncs n
s fléchir les genoux; il s'y ajoute une trépidation des jambes. Les troubles de la sensibilité sont restés les mêmes. L'amen
anvier/ 11 février 1886). L'apparition subite des contractures-, le trouble étrange de la sensibilité qui ne correspond à a
i eu un accès et le médecin m'a effrayé. » Il n'existe pas d'autres troubles ni de la sensibilité ni delà motilité. Le - jan
rrivé un . AI(CIIIVES, t. Xll. 1. 19 282 --) CLINIQUE NERVEUSE. trouble convulsif suivant : le malade, avec une force et
cte; les réflexes tendineux ne sont pas exagérés. On ne remarque de troubles de sensibilité que sur la conjonctive des paupi
fait bien portant. A l'examen, on ne retrouve même plus les légers troubles de la sensibilité, observés le 22 décembre. Il
lète cutanée et anesthésie des muqueuses sur tout le corps, avec un trouble de la sensation musculaire, de même que le 9 ja
le système nerveux. Le champ visuel est rétréci concentriquement ; trouble dans QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES R
un défaut d'énergie pour articuler les sons, ou bien, peut-être, au trouble de l'accord d'activité des cordes, causé par un
es, ensuite pour la droite seule; 286 CLINIQUE NERVEUSE. 4. Des troubles de la vision sous forme de rétré- cissement con
ire, et, dans les cas 10° et 11°, une macro- pie. Ces deux derniers troubles ont été indiqués par M. le professeur Charcot,
rtains cas (7, 9 et 10), l'anesthésie du pharynx présentait le seul trouble de la sensibilité; dans le 10e, cas cette anest
le de la conjonctive étaient les avant-coureurs de l'accès. 6. Le trouble de la sensibilité cutanée sous la forme d'une a
snes- thésie a été observée sur trois malades (cas 2, 6 et 8); un trouble tout particulier de la sensibilité a été cons-
s 1 cl, 3" et 4° présentaient des cas d'analgésie, accompagnée de troubles de motilité sous forme de paraplégie. L'hy- per
entes parties du corps, de maux de tête étaient constants. 7. Des troubles de la motilité sous la forme d'hémi- plégie (ca
malades et se change parfois chez le même patient. Vers la fin du trouble , on voit le sujet en proie à des hallucinations
ns les cas 1,3,4, 7, 8, 9, nous avons eu affaire à des récidives de troubles hystériques qui avaient eu lieu auparavant; les
tribue considérablement à porter un diagnostic certain, ce sont les troubles par- tiels de la sensibilité, troubles parfois
gnostic certain, ce sont les troubles par- tiels de la sensibilité, troubles parfois très capricieux, par exemple l'abolitio
ouloureuse seule; les anesthésies des muqueuses (du pharynx) et les troubles bizarres de la vision (la ma- cropie, la diplop
à l'hôpital comme épileptiques, où le caractère des accès et les troubles de la sensibilité étaient typiques pour l'hysté
cas dans un article pro- chain, où je me propose de considérer les troubles de la sensibilité dans l'épilepsie. DE L'IDIO
s sous-jacen ts sur lesquels on parvient à la faire glisser; pas de troubles appréciables de la sensibilité cutanée. Les car
omènes scrofuleux, pas de manifestations syphilitiques. Quant aux troubles intellectuels, qui sont des plus-manifestes, ce
debout : Depuis son entrée aucun changement ne s'est produit, aucun trouble n'est survenu. Voici le» renseignements que nou
- deur du genou gauche. Le 2 février 1886, hémiplégie droite avec trouble de la parole qui était devenue indistincte ; la p
eloppé ; dans l'abdomen, environ 100 gr. de liquide jaune, très peu trouble . Lntre les muscles, il y a encore beaucoup de g
ACHEXIE PACHYDERMIQUE. 357 La substance corticale est par-ci par-là trouble et gris jau- nâtre. Rein droit (1415 gr.), même
M. Grundler croit que l'extirpation de la glande thyroïde amène des troubles du sytème nerveux cen- tral surtout en ce qui c
(la guérison de la plaie fut complète en trois jours) produit des troubles nerveux généraux : convulsions, paralysie fonct
tend avoir éthyroïdisé huit chiens sans qu'il s'en soit suivi aucun trouble fonctionnel. Ces chiens avaient été opérés les
cautère actuel, méthode barbare qu'ac- compagnent naturellement des troubles inflammatoires secon- daires, comme le prouvent
ndel, .TOLLY. Ces expériences sont propres à éclairer la genèse des troubles psychiques consécutifs à l'extirpation de la gl
sentent les altérations suivantes : à un premier degré, tuméfaction trouble et boursouflement du noyau, dont le contenu fin
ages du bain faradique s'étendent-ils chez les neurasthéniques, aux troubles du sommeil. Réponse. L'a- mélioration maintes f
ur s'il veut se mettre en garde contre l'extension qu'ont prise les troubles psy- chiques qualifiés d'épileptoïdes. M. Kuo
- sordre stéréotypé. Le désordre dans les idées est, du reste, un trouble de l'intelli- gence qui se traduit par les acte
Le complexus symptomatique en ques- tion, qui résulte, en effet, de troubles de la perception (altérations des impressions e
- ment morbide. M. KRPEL1N. Evidemment, il résulte d'une somme de troubles élémentaires. M. RULPF (de Bonn). Du traiteme
produisait des accès convulsifs dans le membre atteint sans autres troubles de la motilité, L'auteur porte sur les deux pre
ment (il en était de même pour un cas de monoplégie brachiale) ; le trouble de la nutrition portait sur les os et les mus-
outre les orteils (trois cas) ; deux d'entre eux présentaient des troubles intellectuels, un garçon devint, quatre ans après
mpulsive), par Green, 79; (transitoire), par Krallt Ebing, 82; - ( troubles de la motilité volontaire dans la- simple), p
01 . Inversion du sens génital, par Kralft Ebing, 83. Laryngés ( troubles - dans les atleclions du système nerveux cent
dans les atleclions du système nerveux central), 119. Lectures ( troubles de la chez les paralytiques généraux), 67. Li
pour servir à t'histoire des), par llomen, 204. Manie aiguë (avec troubles du langage), par llitchell, G9; - (chez un ga
u- berculeuse), 59 ; (cérébro- spinale chronique), 60. Mentaux ( troubles dans les affections cérébrales ordinai- res,
nes (de la cocaïne dans le sevrage des), 99. Motilité volontaire ( troubles de la - dans la folie simple), par lioller, 8
médian(paralysies du), 226. Névralgie de la cinquième paire avec troubles trophiques, -1 14. Névralgie des plexus lombair
222, 223. Optiques (origine des nerfs), 40 1. Oxyde de carbone ( troubles nerveux à la suite de l'em- poisonuement par
- (sa- turnine), 238; -(syphiliques), 409. Paralysie générale ( troubles de la faculté de lire dans la), 67 ; - (et sc
), 233 ; (multdocu- laire), 236. Sensibilité (forme nouvelle de troubles de la dans les lé- sions unilatérales du cervea
67 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
assez fréquents; mais on les mettait, en général, sur le compte de troubles digestifs, l'estomac étant toujours resté fort
te là 'l'appui de, la th éoriet contra ire ;* la'- quclIefdonne aux troubles , sensoriels le rôle principal dans laproduction
ueront lés autres ? / j, ., ? 1 f .. 1 Et,* en effet, soit que. les troubles de la sensibilité diminuent, peu à peu et vienn
,,qui ? suivant., ? {,<t..ntl ¡tq1.9tJ pélÜb)e,ltaptàt .expajLs troubles ,de la sensibilité; les ¡interpréta- tions, les
c conscience' parfaite, les malades assistent en spectateurs'1 aux' troubles qui 1 tf rm, : · ·, ". d' I ? ? 11; 1 aflkW 'f
e leur loquacité désor- donnée, déclarent qu'ils sont fous, mais le trouble de leur intelligence ( est' trop grand pour qu'
questions, Mm° Lou. ? (m'apprend que -,sa mère a présenté aussi des troubles intellectuels. Dans le cou- rant de janvier, la
tale enrayèrent le mal. M-0 L ou..... guérit. Ala convalescence lés troubles antérieurs reparurent'avec les mêmes ' caractèr
nés^ conscients du dé- sespoirï'de1 leur 'impuissance vis-à-vis des troubles qúils'ne/peuventt surmonter;)'malgré une exacte
' S .. - n fT.- l' ,,(,>( "F .' ? r)) ? ,'nl- monomanies : des troubles .sensoriels et des .troubles psychiques. -Ils.s
lr,U. t11. ajouter à ceux déjà enregistrés. Plus heureux avec les troubles psychiques isolés, j'en^ai^réuni cinq cas, dont
A part cette ° , - ? vi ->., ? Rlq ? n'ajamais présenté d'autres troubles des sentiments, il n'est donc pas possible de l
lendemain tout avait dis- paru. Huit jours après, retour des mêmes troubles , il a comme le pressentiment d'une mort 'procha
nxiété indépendante du jugement et de la volonté, voilà les, seuls ( troubles psychiques. Il guérit au bout d'un an. m. ? '1
l'anxiété déterminée chez les malades par la cons- cience.de leurs troubles , psychiques ; seule une éroto- mane a- fait exc
1- - 't \\ t; 1 1 .WT 1 1 i,t 1 les cinq cas que j ai observes. Les troubles psychiques isolés laissent, en effet, une grand
? Obitiz*o2z intellectuelle ? i,avec, conscience. - S oumission\auX' troubles sensoriels H(us - de x'a'MeM<e ? ? 7<{ees
ec conscience. Idées lpénaniaques avec cons- cience. Soumission aux troubles sensoriels. Idées de suicide. Mort par rhumatis
tellectuelle, de n'être plus psychiquementla même,' etpourtant, ces troubles intellectuels qu'elle raisonnait exerçaient sur
tions' de l'ouïe' avec \ cons- science. Soumission involontaire aux troubles . - Idées de suicide. non a9tl1GrU )'J't ? %o'
, je. les, considérais suivant l'as- sociatioii ou- l'isolement des troubles psychiques -et sensoriels : * "' '' - -J ? ",fl
ndJ.t t jl m fltlllh)J th IL"\4}l ? l1T (f,f H1hJtdf('l j Avect les troubles psyçhiquesjisoiés, quand da,,systé- matisation
? ? rTt/ ? J -IP .1 1 ni chien. S Suppression l'l,II ? l' "dlYl/ ? Troubles psychiques chien. - upp/'esslOn G ¡¡enZO/T¡tOl
ents héréditaires très, 'accentués dans la ligne patÕrnele.' Pas de troubles psychiques antérieurs ; bonne santé ? sauf/ des
rs,' elle fut'toujours plus ou moins atteinte'de' dysménorrhée avec troubles nerveux- va- riés : Péu intelligente; très scru
Il Ilrutl Observation XXIII. -'Père viveur. Chagrins domestiques. Troubles psychiques avec conscience. llallucinations iil
'état' de.là conscience est resté"le'J ! llême,'I.intactr quant aux troubles -^psychiques, nul quant' aux perversions sensor
omme domestique'dans une,maisomoit.elle fut fort mal nourrie. Les troubles revinrent, avec l'anémie. En-janvier,t88t; prenan
s cesse en s'aggravant. Le jour; Alez ? n'avait d'ordinaire que des troubles .psychiques dont elle était consciente,1 du. va
- ti) to',1. r 1 ¡If ? \ ? IJ .' ( ? ) ? 1 : : 0 Itl' . f 1 i leurs troubles sensoriels et psychiques, ils apprécient. '1 '
, ,1XXX^> , . X\ I nfT,;nTH-' depuis cinq mois, présentait des, troubles psychiques. Mmo. Elisa .'x.uX.xHx.SA1 ? : >.
ice comme par le passe. Elle se rend aussi un comptefêxact' dei ses troubles sensoriels;"et'râppôrte à` dôs liai-- lucin ! \
e trois ans'à l'asilede"Toulouse. A"cette. époque,.conscient de ses troubles ..psychiques et sensoriels ? ) il- 60 -ar'r`1`J
laGVie, né chez les malades do leur impuissance à se débarrasser de troubles dontfdts reconnaissent le caractère morbide, ab
,déf50 à,55ausa ? ÇerchifTresi,sontréloqûents : 'W8 ? Quels 1911t les troubles intellectuel,s¡les plus suscep- tibles de .yeni
' intellectue1Jes'proprBment : di'tès'rsoiÍt justiciables du' seul1 trouble ele 1 'affa ibl iss'eineIlt,il aétabli par,icel
d'inaptitude ! au travail ¡éstp çqntrelltoute¡' : ¡')révision,élé trouble qui est le plus sainement apprécié; des,mai a des
it.q..çe par- 'faite;1 les.malades assistent, en .spectateurs] aux, troubles - qui"selqéclàrent dans;leur esprit,. eU) spect
le délire, .partiel,, la conscience se trouve --soit' avec : f des ( troubles ; sensoriels isolés,. soit, ? troubles i psychique
trouve --soit' avec : f des (troubles; sensoriels isolés,. soit, ? troubles i psychiques, isolés,, soit avec, q ? oubles psy-
no ? - )(lfXVI. Quandi-la, conscience parfaite. existe avec, .des troubles sensoriels isolés, il s'agit d'hallucinations J
I9 ! b ail XVIII. Quand la conscience parfaite existe aveçi,des - troubles : psychiquescet sensoriels combinés, les malades
sellsoiellesJtÎsolées,V carD,lle, £ suppose" paplsa;n[ltu6e même un trouble iiitellectuel)concomita.iit ? 1, rr .7fJ' : \ n
.lI'17 oJ11fXII ,-Quand : , la};demi-conscience existe i avec des troubles psychiques et des .troubles sensoriels combinés,
cas .exceptionnels, ]es.,ma- " lades ont-conscience de tous- leurs; troubles psychiques -let ? sensoriels ! et- de, cette ,c
ns, le, sens purement conventionnel d'affection caractérisée par un trouble des fonctions nerveuses d'une nature spéciale,'
ru un travail fort intéressant de notre'ami'G. Ballet, sur quelques troubles dépendant du système nerveux central dans lé co
die de Basedow. Thèse de Paris, 1883. . Gillert Dallet. De quelques troubles dépendant du système nerveux central observés c
1 Il 1 ï un ? ? des symptômes dépendant très vraisemblablement d un trouble des fonctiôns dû systèâlé nérvéüx central. Diar
même malade -'simultané- ment, quand on les voit coïncider avec des troubles psychiques Archives, t. VI. ( 82 1. REVUE CRI
ements étaient saccadés,5 irréguliers, tout' à fait'choréiques ; ce trouble des fonctions motrices persistait pendant' le s
tinei)) : dl croitdrouver pi dans ce fait l'explication de quelques troubles , fonctionnels, l'achrqma- topsve oh particulier
mettent après ? ? ? (, y tW f it t r , h n mr·r. y.,9 m -JU ? ? des troubles aussi profonds le retour de la fonction. A traver
La ressemblance existant entre le processus ulcératif et celui des troubles trophiques d'origine nerveuse ressort bien],d'a
... ? ., r,-...,I ? 1 -, l, l ,'1 ; XI. Contribution A L ETUDE DES troubles de LA sensibilité ET "'1'"ri If' ,II' "1 h nt :
perte de,, connaissance et,ne.sont imputables, en somme, qu'à 1 des troubles de la sensibilité excluent,- dit)M : "Bernhardt,"
le droite, contracture du coude gauche en,tlexion, sans,, ictus ni, troubles de la connaissance. Quatre jours <plus. tard,
chiques équivalentes'' dés',1 accès spasmodiques ? àl'ataxie'et aux troubles de)la parole succédant aux crises. Tous les mal
'eti qüe l,r'lésion deslfiBres-qûi les' reliéntf'doime11lieu"à 'des troubles °dennaturè s éciàlè 1'coIÍsistIÍt [ dans l' Ià
-IFI,,i raissent à leur tour; enfin l'intelligence s'obscurcit, les troubles trophiques apparaissent'et la malade succombé d
"l'incertitude de la, démarche et des tremble- ments des mains, des troubles de la parole s'aggravant à l'occasion de, viole
re considérés comme issus de perturbations, fonctionnelles dues aux troubles de nutrition de même cause. 3, ., , P.. K.'1 " .
de 'la paralysie des- muscles de la : nuque ? Miç- a'tion pénible; troubles purement' subjectifs de la'sensibilité des 8 'o
ue, semble de toute i évidence) aux fauteursqde ce ! 1 travail. Les troubles prononcés de l'excitabilité' électrique cons-1
point à.ajouter, aux travaux de ces auteurs en ce qui concerne les troubles spontanés de.l'intelli- gence dans l'hystérie ;
e, 5 novembre 1881.) , ' , . Ch. Fére/ Contribution' il l'étude des troubles fonctionnels de la visiozz ar lésions cénéLrale
ories de vétérans aliénés ont, par suite de la nature même de leurs troubles intellectuels consécutifs au service de guerre, é
ptômes intervallaires : Le' premier fait concerne de l'aphasie, des, troubles de la'vue, de l'anesthésie 'de'la muqueuse phar
dans l'encéphalite et plus légères' dans la paralysie générale, les troubles sont plus caractérisés dans -la première que' d
econslant et.l'amnésie,,n'est-elle pas path()gnOI1 ! gni,qu,e,d ! 1 trouble de la connaissance de l'épileptique, : Inversemen
suivantes : ' 10 Rippiug. Rapports des maladies de femmes avec les troubles psy. chiques de ces dernières. Publié in extens
blement généralisé, tremblementfibrillaire de la face, titubation,' troubles légers de la parole, violentes'palpitations de
on a désigné sous le nom de délire d'épuisement et d'inanition des troubles psy- chiques à caractère dépressif qui succèden
phénomènes sensitifs de l'hystérie, l'hys- téro-épilepsie, certains troubles mentaux , certaines céphalalgies : , 1°' Les na
, SOI t assocIées à ., ? ? ? LJ.' 1, , -J. 1. si f'l 1 ti ? " des troubles menstruels, étaient en connexion avec des trouble
f'l 1 ti ? " des troubles menstruels, étaient en connexion avec des troubles mentaux, le plus souvent là''hiéIan'colie,Jqui;
onséquence, mais non toujours,,(,non)Í1écessairement. Il existe des troubles de la parole qui,de.plus habituellement est rem
able de travailler le lendemain. En dehors de ses vertiges et des troubles psychiques ou hallucinatoires qui les accompagn
dangereuses ; 2° le 21 octobre 1882, il était affecté d'un grand trouble de la raison et ne jouissait aucunement de sa l
dites.) DU DÉLIRE L.IRa L.1 VÉSANIE. Ii J diverses, peu à peu les troubles de la sensibilité ont pu s'émousser et un à un
a scène délirante soit devenue de plus en plus pauvre; bien que les troubles de la sensibilité ayant il peu près cessé ne se
ansif. Chez certains déments, encore, persistent, de plus, divers troubles de la sensibilité; ceux-ci seront alors interpr
t l'une après l'autre affaissées; il ne subsiste plus avec quelques troubles de la sensi- bilité qu'une hypochondrie incohér
souvent avec elle la vieillesse, et peut-être par la persistance de troubles dans la sensi- bilité viscérale ou dans la sens
par une diminution de l'activité délirante. Pour inter- préter ces troubles de la sensibilité par quelque idée ambitieuse o
ement débile; c'est elle, au sur et à mesure que se développent les troubles de la sensibilité, au 1 Voyez Cerise et Morel,
ire. Altérations des divers nerfs péri- phériques correspondant aux troubles trophiques 2. Jean Cour ? âgé de quarante-cinq
forme. A partir de cette époque Cour.. commença à éprouver quelques troubles du mouvement. La sensation de résistance du sol
devant amener bientôt la mort. 1 Il présente en outre une série de troubles nerveux qui font diagnostiquer chez lui une ata
nt diagnostiquer chez lui une ataxie locomotrice progressive. Ces troubles sont les suivants : Le malade ne ressent plus,
s transversales peu pro- fondes. La sensibilité présente quelques troubles au niveau des pieds. Les piqûres sont faiblemen
er nous paraît extrêmement- instructive. Elle nous montre plusieurs troubles trophiques (maux perforants plantaires, dystrop
s se distribuant à toutes les parties sur lesquelles siégeaient ces troubles trophiques. Tiiste-t-il entre ces deux phénom
deux phénomènes, c'est-à-dire entre les névrites d'une part et les troubles trophiques d'autre part, un rapport de cause à
tance de ce rapport. Dans tous les cas, s'il est probable que les troubles trophiques sont sous la dépendance directe d'al
téraux du pouce et de l'annulaire droits n'ont donné lieu a aucun trouble trophique de la peau, ni des tissus pro- fonds
doigts correspondants. Il semble, en d'autres termes, que tous les troubles trophiques soient provo- qués par des altératio
es les altérations des nerfs ne provoquent pas néces- sairement des troubles trophiques. 188 PATHOLOGIE NERVEUSE. Notons i
un moment donné de leur évolution, de névrites périphériques et de troubles trophiques cutanés. Observation VIII. - Mal d
sont un peu hématiques, d'une odeur fortement ammoniacale, louches, troubles , et renferment une proportion notable de mucus
cours d'une myélite par compression, on voit se déve- lopper des troubles trophiques cutanés consistant en eschares sacré
de névrites périphériques, ayant provoqué l'ap- parition de divers troubles trophiques cutanés. Dans les deux cas enfin, ce
c'est-à-dire dans les points où se développent presque toujours les troubles trophiques cutanés consécutifs aux affections c
rmal. Toutes les névrites périphériques ne donnent pas lieu à des troubles trophiques ou sensitifs appré- ciables. Ces tro
s lieu à des troubles trophiques ou sensitifs appré- ciables. Ces troubles n'apparaissent probablement que lorsque la prop
I), des dystrophies des ongles (OBs. VII, IX). Le plus souvent, ces troubles trophiques s'accompagnent d'anesthésie locale d
tées d'ar- thropathies dans l'observation VI ne présentait pas de troubles appréciables de la sensibilité. Telles sont les
propageait pas aux yeux et ne s'accompa- gnait que par exception de troubles de l'estomac. La migraine ne procède d'ailleurs
s mûr examen, avaient déclaré ne pouvoir rattacher leur état à un trouble de l'accommodation. Pour quelques-uns de nos ma
ectures sur l'état des centres nerveux. Chaque fois qu'il s'agit de troubles purement fonctionnels. - 306 CLINIQUE NERVEUSE.
cilement, ils étaient pâles et anémiques. Chez d'autres, de pareils troubles étaient moins manifestes. Mais pourquoi le proc
à différents de- grés, présentant tantôt seulement une tuméfaction trouble du protoplasma, se colorant par les réactifs d'
us éloignées des vaisseaux ne présentaient alors qu'une tuméfaction trouble , avec ou sans conservation du noyau et du nuclé
au contraire, la lésion se borne à différents degrés de tuméfaction trouble . La présence de cel- lules offrant un degré d'a
e-à peu près semblable, un traumatisme, qui provoque l'éclosion des troubles de la digestion. Observation X. - M. Boucher, m
irme n'avoir jamais eu de rapports sexuels avant son mariage. Les troubles fonctionnels de l'estomac paraissent aussi jouer
eloppé, ayant attaqué la structure même de l'estomac ait apporté un trouble dans les fonctions habituelles de cet organe, s
les Observations IX et XIII. Nous avons signalé tout à l'heure les troubles des fonctions digestives comme pouvant occasion
ne favoriser l'apparition du mérycisme qu'en provoquant d'abord des troubles dans les fonctions de l'estomac. Observation
de mérycoles qui existent de par le monde, car, le plus souvent, le trouble fonctionnel dont sont atteints les mérycoles ne
êlements trop serrés . Mais, le plus souvent, c'est à l'occasion de troubles survenus dans les fonctions digestives que se d
se trouve rempli instantanément. A la voracité se rattachent les troubles de la mastication, très fréquemment observés ch
la voracité, comme chez Gren.. , et doit occasionner par suite des troubles de la digestion. Il n'y aurait donc rien d'éton
diques et circu- laires avec agitation qui sont entretenues par des troubles de la sensibilité. C'est en agissant sur cette
éno- mènes psychiques ou de l'abolition de la pensée, la forme du trouble de la connaissance ne pouvant servir à pareille d
x (Charité-Annal., sixième année). L'intensité plus grande dans les troubles de la conscience qui ressortit pour Blus- wange
ions de la paroi interne du troisième ventricule entraîneraient des troubles dans l'équilibration, comme celles du labyrinthe.
pas de s3,philis. Publie 11, extenso3. Cette observation, outré les troubles neuroparal l'tiques elles ..11, , - ? - l >
neuroparal l'tiques elles ..11, , - ? - l > lU ú f >', 1'" troubles .-du goût localisés aux deux tiers antérieurs de l
résente un J màlade .qUi9lui vserl d'ÍnLrodpcLidn pour traiter d'un trouble de^ huvuei chez1 un paralytique : <$cnérulM !
' SAVANTES ? . (231 i ,socIFsliaax rappelle ? cepropbs tatform'o'do trouble dilllarvudrdé- cri tel pai'iFùrs.tnei'j chez le
ble, et celte grande exci- tabilité se trahissait au dehors par les troubles physiques qui carac- lérisent la névrose hystér
aient être rapportés soit à une paralysie des vaso-moteurs, soit au trouble trophique des parois des vaisseaux (Baelz), soi
fait. Parmi les accidents consécutifs, les plus constants sont les troubles de la phonation (raucité de la voix, aphonie) e
a déglutition (dysphagie), l'hypertrophie de la cicatrice, quelques troubles circu- latoi1'es (refroidissement, petitesse du
et le développement de la névrose a coïncidé avec l'apparition de troubles menstruels. Chez une autre malade, au contraire,
blesse générale, de la maladresse dans les mouvements et « quelques troubles intellectuels plus ou, moins accusés (lenteur de
e Paris, 1883. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. 293' Considérations sur les troubles trophiques des ongles dans quelques maladies de
; par Roux. Thèse de Paris, 1883. ' ' Des paralysies, névralgies, troubles trophiques et vaso-moteurs qui surviennent sous
par Francesciu. Thèse de Paris, 1883. Contribution à l'étude des troubles cérébraux consécutifs ci la duthié- nentérie; p
ection. Observation I. - .Ataxie locomotrice. - Crises laryngées. Troubles de la miction.- Douleurs fulgurantes, anesthésie,
is des deux côtés. Myosis (pupilles petites et égales). -- Pas de troubles gastriques. Les deux pieds offraient exactement
nt par des douleurs fulgurantes dans la face, et qui présentait des troubles urinaires, l'incoordination motrice, l'abolitio
ice ; début à dix-huit ans, pas de syphilis ; Douleurs fulgurantes, troubles vésicaux et oculo-pupillail'cs, incoordination.
eux dans la famille, dit-elle. Elle-même n'a jamais offert d'autres troubles névropathiques que ceux qui constituent la mala
autour des membres. Il a trois ans, elle a commencé à éprouver des troubles vési- cauz ; rétention et crises douloureuses ;
qu'elle ne pouvait plus marcher dans l'obscurité ; elle avait des troubles de l'équilibre sitôt qu'elle fermait les yeux
rement, nous voyions une dame de trente-six ans qui fut affectée de troubles visuels pour h'r.4. - AI llrropatlne du pied
ncoordination motrice, d'anesthésies, de douleurs en cuirasse, de troubles des fonctions urinaircs et génitales, de perte
xie locomotrice. - Hérédité, syphilis, émotions morales pénibles. - Troubles de la vision, inca01'- dination, douleurs fulgu
- Troubles de la vision, inca01'- dination, douleurs fulgurantes ; troubles urinaires, a ? ? 0'ONa- thies des genoux. Défor
USE. maternels aliénés. Elle-même n'a jamais, dit-elle, offert de troubles névropathiques. Elle s'est mariée une première fo
Dix-huit mois ou deux ans plus tard, elle commença à éprouver des troubles de la vision, elle vit double de temps en temps
uleurs paraissent avoir beaucoup dimi- nué, mais il est survenu des troubles urinaires ; au moindre effort l'urine s'échappe
voit pas, elle ne reconnaît point les mouvements communiqués. Ces troubles n'existent pas aux mem- bres supérieurs. Cepend
- dant à droite s'atténuent insensiblement. D'autre part, un même trouble fonctionnel, une son- nerie, se produit dans l'
nantes et se montrent parfois seules mais, toujours à gauche. Les troubles sensoriels unilatéraux ou bilatéraux de caractè
s rares. Rien en un mot ne semble, dans l'organisme, souffrir de ce trouble patho- logique qui semble presque physiologique
me : Altérations considérables du système dentaire. - - Voracité. - Troubles de la mastication. - Description du mél'Y- cism
Troubles de la mastication. - Description du mél'Y- cisme. - Pas de troubles digestifs.- Santé générale bonne. - Idiot grimp
graves. [Père, mort par accident, buvait beaucoup, n'a jamais eu de troubles nerveux. - Mère : cinquante-six ans, con- cierg
sans influer beaucoup sur la production du mérycisme par suite des troubles de mastication qui en résultent; puis la unraci
t quelquefois ? 2°, 3°, 4°; états passa- gers sous la dépendance de troubles de la circulation cutanée. Ces manifestations,
il faut, de concert avec la pathologie expérimentale, admettre les troubles d'un centre régulateur de ! a chaleur siégeant
la réaction pupillaire des paralytiques généraux. P. K. XIX. LES troubles dans L\ sphère DU système nerveux périphérique
ctions sensorielles de la peau et de la sensibilité musculaire, des troubles moteurs et vasomoteurs que l'on observe chez le
r est plus grande (mélancolie, folie systématique, épilepsie) ; les troubles trophiques et fonctionnels propres à la psychos
ains cas, le cerveau qu'il faut dans l'espèce incriminer. Parmi les troubles moteurs qui appar- tiennent à la lypémanie, il
plus rares. De ces symptômes, les uns sont des réflexes issus des troubles de la sensibilité avec lesquels ils coïncident qu
ïncide avec la diminution de la sensibilité à la douleur. Parmi les troubles vaso-moteurs assez fréquents dans la mélancolie
rculaire; par SCHOEFER. (Neurol. Cent7,itlbl., 1882.) Ce sont les troubles de la circulation qui donnent à l'observation s
idu. Telle est du moins l'opi- nion de M. Schoefer qui attribue aux troubles circulatoires les complications somatiques (her
de vingt-trois ans par des attaques d'hémiplégie consécutive à des troubles vaso-moteurs (pâleur, frigidité), avec impossibil
s pour la simulation. P. K. XXIX. Contribution A la casuistique DES troubles psychiques transitoires ; par L. LowENFELD. (Ne
inion qu'il avait affaire à un équivalent d'hémicranie, à un simple trouble cérébral fonctionnel remplaçant la migraine. P.
lique pourquoi la pa- ralysie générale se trahitd'ordinaire par des troubles de la parole. P. K. XXXIV. Sur LES troubles s
itd'ordinaire par des troubles de la parole. P. K. XXXIV. Sur LES troubles spinaux chez LES fous PELL1GREUY ; par Silvio 1
ns l'arachnoïde spinale chez les pellagreux, qui ont présenté des troubles moteurs et sentitifs prononcés. Il a rencontré ce
sure de la langue, ni délire, jamais de paralysies, contractures ni troubles de la sensibilité. De moins en moins apte au trav
le avec les in- firmières, mais ne peut lire, ni coudre à cause des troubles de la vue. M. Charpentier élimine l'hypothèse d
imine l'hypothèse d'une coïncidence simple entre l'amélioration des troubles mentaux et celle des manifesta- tions syphiliti
chez tous les épileptiques simples, l'attaque peut être suivie d'un trouble passager de la parole. Pour ma part, je n'ai pa
les mots, puis enfin un paralylique psalmodiant. Eh bien ! tous ces troubles de la motilité ont un air de famille, et quand
sement ou d'hémorrhagie cérébrale, des sujets avec des tumeurs, les troubles de la parole sont tout autres et c'est là que n
ontrent des phénomènes accessoires surajoutés : congestion, oedème, troubles vasculaires de tout ordre sans compter l'irrita-
ent durer plus de huit jours, comme il l'a observé dans un cas; les troubles sensoriels survenaient, dans l'espèce, quand on s
le second. Les phénomènes caractéristiques furent constitués par un trouble profond dans la connaissance des sujets atteint
bides. Pronostic défavorable. L'auteur aborde en troisième lieu les troubles psychiques qui, se présentant la plupart du tem
ue, chez les individus dont les fonctions de l'ouïe ont baissé, les troubles psychiques passent facilement inaperçus, parce
citer des observations analogues pour la a vue ; parfois de petits troubles dans les milieux réfringents deviennent l'occas
es sujets; chaque injection était suivie des mêmes phénomènes; 2° Troubles dans la perception sensorielle. Les uns, légers,
ormes : grimaces, caricatures, spectres; de là des angoisses ; 3° Troubles sensoriels proprement dits ou directement psychiq
ucinations disparussent définitivement; 428 SOCIÉTÉS SAVANTES. 4° Troubles intellectuels. Le délire h3-oscyaminique consiste
ion, grimacements et rires immotivés, radotages de diverses sortes, troubles dans la perception,- sensations vertigineuses b
on encéphalique; elle devrait être, dans le second, im- putée à des troubles de la nutrition du cerveau, à raison de son évo
ans les idées ; il semble que le moi soit simplement spectateur des troubles psycho-sensoriels; aussi n'y a-t-il pas de déli
les éléments du rêve. Hughlings Jackson a cherché à expliquer les troubles intellectuels qui suivent ces accès épileptiques
trophies des ongles dues aux mêmes causes et accompagnées des mêmes troubles . Cu. F. IX. Palho[Jénie et accidents nemeux du
ré le rôle du foie, il a bien vu que le diabète est, avant tout, un trouble de nutrition. La théorie nerveuse nous a fait p
e prochaine » et exclusive. Les théories rattachant le diabète à un trouble de nutrition, et, en particulier celle de M. Bo
e réveillée et mise en action par des causes occasionnelles, par un trouble sur- venu dans l'évolution du sucre, dans sa pr
orbides antérieurs, méconnus ou oubliés, mais certains. Passant aux troubles de motilité, l'auteur décrit l'affaiblissement
é est seule atteinte tout d'abord, il n'y faut 1 Bernard et F6ré.DM troubles nerveux observés chez les diabétiques. (,17,ch.
e de la sensibilité peut présenter les mômes carac- tères. D'autres troubles de sensibilité, tels que l'hyperesthésie, les n
cturne (Dreyfous), curable par le traitement anti-diabélidue. Les troubles des fonctions génitales et des organes des sens s
suite décrits. Mentionnons quelques faits nouveaux dans l'étude des troubles oculaires. A l'ophthalmoscope, on rencontre desti
sagères, associées comme celles des membres (Parinaud). Parmi les troubles cérébraux, le plus important est « un chan- gem
ertiges, syncopes, BIBLIOGRAPHIE. let 1 apoplexies, puis quelques troubles vaso-moteurs et trophiques parmi lesquels la ré
plaques disséminées : début (ipoplecti- - forme, hémiplégie droite, troubles de la sensibilité; pns d'autopsie; par M. LECOQ
ntale dans l'enfance ; - 8. Perversité de l'instinct sexuel; 9. Les troubles psychiques qui peuvent remplacer un accès épi-
s secondaires dans le cerveau et dans la moelle épinière ; - 3. Les troubles de la parole d'origine corticale ; - 4. Les tro
ère ; - 3. Les troubles de la parole d'origine corticale ; - 4. Les troubles de la vision d'origine corticale ; 3. Epilepsie
nes'pél'Îphél'Îques,(surtout les organes sexuels) pour produire des troubles fonctionnelles des nerfs, spécialement l'hystér
tive à une leucorrhée, 424. Aliènes (hors de l'asile), 140 ; ; ( troubles dans la sphère du sys- tème nerveux périphériqu
let (atrophie avec sclérose du), 118. Circonvolutions cérébrales ( troubles de la sensibilité et de l'antité vi- suelle d
s dans les affections de l'organe de l') 425. Paralysie générale ( troubles de la vue dans la), 280; chez la femme, 154;
énés, 283. TABLE DES MATIERES. nib Paralytiques généraux (les troubles de ta vue d'origine cérébrale chez les), 402.
l'ergotisme), 1 1 1 . Tabes (accidents apoplectiformes du-),279;- troubles vertigi- neux dans le), 101. t. Tabétique (pi
68 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, et seulement depuis deux ans perte de connaissance. Vomissements. Troubles mal définis de la marche depuis deux ans. Amaur
la malade à la chambre. Mais antérieurement étaient survenus des troubles oculaires; la vue s'affaiblit peu à peu; enfin
hallucinations visuelles s'accompagnant d'agitation nocturne et de trouble du sommeil. En juillet 1892, la malade alla con
ée de s'asseoir. Il a été impossible de faire un examen complet des troubles de la marche, tant à cause de l'affaiblissement
ent une tumeur située dans la région du facial et du trijumeau. Les troubles subjectifs de la sensibilité et la parésie géné
estion passagère de la face, dans les derniers jours de la vie, des troubles vaso-moteurs particuliers, sous forme de plaque
me de plaques rouges de la face. Ils font remarquer la rareté des troubles vaso-moteurs dans les lésions de la protubérance
velet : au début, le diagnostic d'hystérie fut un instant posé. Les troubles men- taux consistaient en une démence progressi
ssible de la lésion vers le trijumeau, nous avons noté l'absence de trouble de la sensibilité ; du moins on ne put jamais c
la protubérance. » Il ajoutait' qu'on n'avait pas encore décrit les troubles vaso-moteurs de la face dans les cas de ce genr
rtout à un défaut d'observation. II. Il y a lieu d'insister sur les troubles psychiques et hallucinatoires présentés par la
été ni la cause ni la con- séquence. A quoi faut-il rattacher les troubles mentaux observés, ou, en d'autres termes quel r
r que malgré la similitude de la localisation et des symptômes, nul trouble mental n'est survenu en l'absence de la dégénér
uvent observer, outre l'affaiblissement des facultés psychiques, un trouble de la mémoire, en forme d'amnésie et de réminis
rçons-nous d'appliquer la théorie des neurones à l'ex- plication du trouble de l'association des idées sous l'influence de
obs- tacle, doit s'élancer par une autre voie, ce qui produit un trouble très marqué dans le cours des associations des id
re. Un plus grand nombre de contacts détruits amène un plus profond trouble de la conscience. La théorie des neurones nous
us savons que nos organes sensoriels sont sujets à trois espèces de troubles , notamment : illusions, hal- lucinations et pse
tution physique; 2° par la faiblesse de l'intelligence ; 3° par des troubles nerveux passagers ou durables; 4° par une tradi
t important ici, la sensibilité est at- teinte, on constate des troubles accen- tués sur les membres inférieurs et l'a
de loca- lisation, erreur de sensation. Et l'on re- trouve des troubles analogues au bord REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
e diagnostic anatomi- que, de quelles lé- sions dépendent ces troubles ? M. le professeur F. Raymond rappelle d'ab
re d'origine spinale, les autres et c'est là qu'in- tervenaient ces troubles plus rares, d'origine cérébrale. Ces vues prire
n'a jamais du reste été signalée congénitaiement, il pense que les troubles de la sensibilité, que les troubles des sphinct
ngénitaiement, il pense que les troubles de la sensibilité, que les troubles des sphincters doivent être mis sur le compte d'u
, mais ce n'est qu'en sep- tembre 189o que se montrent les premiers troubles , embarras de la parole d'abord puis gêne de la
vements et bientôt le bras gauche se prend de même façon, 'fous ces troubles sont brusquement augmentés par l'éclosion d'une
u de leur force, n'étaient pas atrophiés et ne présentaient pas des troubles élec- triques, mais les réflexes roluliens étai
étaient très forts et il y avait de la trépidation spinale. Pas de trouble des sphincters. Depuis la maladie fait des prog
fois en avril dernier d'une certaine gène de la parole, bientôt les troubles de la déglutition le portent à consulter un lar
ue visible- ment atrophiée et agitée de secousses fibrillaires, les troubles de la parole nasonnée et embarrassée, la diffic
rs de l'affection. Aux symptômes accessoires se rapportent : 1) les troubles psychi- ques ; 2) les mouvements impulsifs; 3)
t l'alcoolisme. Chez ce malade se développèrent très rapidement des troubles moteurs du côté des yeux : un ptosis médiocre b
moleur. A tout cela s'ajoutèrent encore les symptômes suivants : un trouble mental manifesté par une forme d'amnésie très m
s les membres et dans le corps, avec phénomènes paraly- tiques. Les troubles oculo-moteurs disparurent assez vite, de sorte
de polynévrite alcoolique (celle-ci s'accompagnant très souvent de troubles de l'intelligence et revê- tant les formes clin
és de poliomyélite antérieure, de pseudo-tabes, de prédominance des troubles sensitifs, de paralysie générale), de paralysie
enlever les douleurs, lutter contre l'in- somnie et surveiller les troubles ano-rectaux; on activera la nutri- tion des ner
ressées tout près de leur émergence, car il existe du myosis et les troubles sensitifs manquent. Dans la leçon suivante, le
de développement du membre, atrophie musculaire, 84 BIBLIOGRAPHIE troubles vaso-moteurs, mais sans troubles de la sensibilit
hie musculaire, 84 BIBLIOGRAPHIE troubles vaso-moteurs, mais sans troubles de la sensibilité. Les membres inférieurs prése
entent des manifestations spasmodiques. 11 n'existe pas de trace de troubles cérébraux. Le professeur admet avec réserve l'e
le traitement a été suivi de la dispari- tion presque complète des troubles du mouvement et de la sta- tique ; les troubles
resque complète des troubles du mouvement et de la sta- tique ; les troubles de la sensibilité articulaire et de la sensibilit
été moins franche; aussi dans un troisième; dans un quatrième les troubles moteurs seuls ont été atténués. La méthode n'infl
hode montre que la théorie qui fait dépendre l'ataxie tabétique des troubles de la sensibilité superficielle et pro- fonde n
s minimes. Les deux dernières leçons sont consacrées à l'étude de troubles psychiques. Une extatique est atteinte de contr
contracture systématique en rapport avec l'idée de crucifixion. Les troubles psychopa- thiques de la miction sont plus fréqu
teur se propose de montrer qu'il existe dans la syringomyélie des troubles trophiques, vaso-moteurs et cutanés à caractères
'atrophie musculaire de la syringomyélie. Le plus intéressant des troubles trophiques est celui de la main à laquelle l'au
rend la symptomatologie de l'arseni- cisme chez l'homme, soit : les troubles de l'appareil digestif (con- sécutifs à l'absor
s'aggravent t progressivement et insidieusement. TI n'existe aucun trouble de la sensibilité, ni anesthésie, ni douleurs,
zote très faible ; 5° L'examen du système nerveux nous montre des troubles multiples. La mémoire est un peu diminuée par
NIQUE NERVEUSE. orteil gauche existe une ulcération assez profonde ( trouble trophique). Aux membres supérieurs et inférie
e-quatre ans, qui depuis quel- ques années présenté quelques vagues troubles nerveux et depuis quatre ans un diabète d'inten
difficile entre unicistes et dualistes. Quand on voit survenir des troubles psychiques chez un tabétique ou des symptômes d
rs. Cette dernière n'est pas de nature inflam- matoire, elle est un trouble de nutrition, tandis que les sclé- roses étudié
» Et on développait l'idée de l'artériosclérose faisant d'abord des troubles circulatoires dans l'organe, déterminant la cla
que sa vue était excellente, il fallait bien qu'il y eût quelque trouble dans son intelligence, pour qu'il ne trouvât pas
de la langue. La sensi- bilité était normale et il n'y avait pas de troubles des organes sensoriels. Il s'habillait, mange
atrisation plus ou moins complète de ce foyer, à la disparition des troubles ischémiques ou hypérémiques qui ont été la caus
e ne peut exister que lorsqu'elle est due unique- ment à de simples troubles circulatoires. Dans celle observation il ne par
t surabondamment démontré qu'une violente colère peut déterminer un trouble hépatique ou cardiaque. Aussi l'auteur attache-
une grande importance au degré, à la durée, et aux intervalles des troubles mentaux. Le monologue d'Hamlet met en relief le
ravés par d'autres causes, inconnues du malade. Il y a plus : si le trouble somatique vient à prendre une allure périodique
t un sens plus juste de la vérité scientifique en ce qui touche les troubles psy- chiques, et un progrès dans le traitement
gine hépatique ; l'aspect delà malade, les signes d'arthritisme les troubles biliaires, l'impuissance du régime viennent à l'a
cte simultanéité de la disparition du sucre et de la guérison des troubles mentaux. Cette dernière a été si brusque et si co
vait une hérédité assez chargée, telle qu'alcoolisme, neurasthénie, troubles mentaux chez les ascendants direct ou collatéra
nétration des sensations par une ou plusieurs racines postérieures ( troubles segmentaires); 2° en rompant la continuité des
après cette dernière attaque état très satisfaisant et pas d'autres troubles post-opératoires que faiblesse relative du bras d
rente-trois ans, en état de démence : bonne santé générale sauf des troubles gastriques : jusqu'à huit jours avant la mort o
a brosse galvauique a été recommandée par M. Witrowski con- tre les troubles génilo-urimtires ; en effet, dans 3 des cas cités
es incon- vénients des bromures et l'on peut voir se développer les troubles suivants : arrière-goût amer ou salé, hypersécr
'hallucinations. C'est bien le brome qui parait être l'agent de ces troubles , car l'ac- tion des bromures de sodium, de pota
2° Dans les ma- ladies nerveuses qui, généralement, ne sont que des troubles fonc- tionnels du cerveau et qui ni'ntéressent
privation du poison habituel suffisant pour amener la cessation des troubles mentaux avec une rapidité qui est, à elle seule,
aux avec une rapidité qui est, à elle seule, patho- gnomonique. Ces troubles se caractérisent souvent par des illusions ou d
donc à une paralysie sensitive et motrice du trijumeau droit. Les troubles du goût observés portent l'auteur à admettre que
e doit intéresser le trijumeau à sa racine, car on n'observe pas de troubles oculaires trophiques comme dans les lésions du
paralysie totale et isolée du trijumeau. On note cependant que les troubles gustatifs sont moins prononcés qu'au début. Il
au moins très accentuée. 230 REVUE DE pathologie NERVEUSE. XV. Troubles amnésiques DE l'écriture ; par F. MAACK. (Cenlr
ACK. (Cenlralbl. f. Nervenheilk., XIX, KF. vu, 1896.) Il n'y a de troubles amnésiques de l'écriture que quand, le méca- ni
ent le diagnostic d'agrnphie amnésique partielle. Il n'existe aucun trouble de la parole, mais l'oubli des événements récents
it ans atteint de tremblement, sans ataxie, complète la nature du trouble , c'est une amnésie sénile. Si l'on voulait, ter
axillaire, musculo-cutané, radial, médian, cubital ; il existe des troubles correspondants de la sensibilité. Les six pre-
dian et le cubital ne le sont que partiellement. La comparaison des troubles de la sensibilité et de la motilité permettent
on de la force musculaire sans atrophie - démarche aty- pique). Les troubles sensitifs, ou, bien sont nuls, ou bien sont ceux,
omie spéciale ; dans l'ordre physique, l'embarras de la parole, les troubles oculopupillaÍ1'es (ophtalmoplé- gie interne, gr
ée observés en ville, il y en a 20 qui n'ont jamais été atteints de troubles délirants. C'est surtout chez les femmes et les
est là, enfin, que sont posées ces deux principes capitaux, que les troubles psychiques persistants ne sont qu'un prolongeme
diverses formes de l'hystérie à cet âge, notamment le début par les troubles des facultés affectives. L'auteur insiste sur l
qu'elle peut être méconnue parce qu'elle se réduit sou- vent à des troubles psychiques et digestifs. En avril 1880 paraît l
NTES. les petites filles avant la puberté. L'auleur insiste sur les troubles psychiques et préconise le bromure et l'hydroth
très favorable à l'éclosion, dès les premières années de la vie, de troubles nerveux très variés (perversions instinctives, ac
ie. Par contre l'hystérie se révèle fréquemment par l'apparition de troubles psychiques qui sont par ordre de fréquence le d
aisance du milieu, non seulement l'état mental se modifie, mais les troubles spasmo- diques et les perturbations fonctionnel
aits nombreux, rigoureusement contrôlés, sont les suivants : 1° les troubles symptomatiques de l'hystérie, associés ou isolé
se ronger les ongles (onychophagie), la kleptomanie, etc. ; 3 ? les troubles psy- chiques relevant de l'émotivité exagérée,
llanimité, mensonge, terreurs nocturnes, somniloquie, etc. ; 4° les troubles psychiques survenant dans le cours des maladies
t le diagnostic et le pro- nostic en permettant de différencier les troubles fonctionnels qui dépendent de l'hystérie infant
en état d'hypnose. Je connais plusieurs enfants atteints de légers troubles psychiques, qui, après une ou deux séances d'hy
rquée du trapèze. L'orateur attire spécialement l'attention sur les troubles nutritifs qui ont été la conséquence de ces émo
es trois cas. M. Pailhas (d'Albi). - A côté des hémorrhagies et des troubles trophiques que M. Bézy a rattachés à l'hystérie
à l'hystérie infanlile, il convient, je crois, de grouper certains troubles circulatoires et sécrétoires de la peau. Chez d
l'apparition de l'hys- térie ; 2° elle s'accompagne de remarquables troubles de la nutri- tion générale (amaigrissement, pâl
apporteurs ne laissent rien à désirer. En voici l'énumération : Des troubles psychiques post-opéra- toires : rapporteur, M.
ison. Voilà donc des individus qui sont un péril ou une source de troubles incessants dans leur milieu, et il n'y a rien de
ement lent, avec amaurose. En mai 1896, nouvel accès, accompagné de troubles de la parole. .Etat présent à la fin du mois d'
e du trijumeau. M. le professeur KojEWKOEOFF indique encore que les troubles de la déglutition dans divers cas peuvent être
ulues ; par le Dr G. Dupuis. Lyon, 1897. Ce travail est l'étude des troubles que l'action de la volonté peut amener dans le
celle-ci s'exerce auto- matiquement en dehors de la volonté. Les troubles de la mimique sont dus, soit à des causes patholo
on dont elles aboutissent progressivement dans cer- tains cas à des troubles mentaux de nature spéciale, quelquefois même à
nt à la partie sociale fortunée sont plus communé- ment victimes de troubles congestifs que les paralytiques anciens manoeuv
ie infantile ; mais dans la polyomyélile antérieure il n'y a pas de troubles de la sensibilité, la réaction est nulle sous les
Cet homme ne présente d'ailleurs pas d'autres accidents nerveux, ni troubles réflexes, ni troubles de la parole. L'absence
d'ailleurs pas d'autres accidents nerveux, ni troubles réflexes, ni troubles de la parole. L'absence des phénomènes spasmodi
l'epilepsie est assez fréquente pour qu'on ait souvent attribué les troubles nerveux aux troubles de la circulation. Mais
fréquente pour qu'on ait souvent attribué les troubles nerveux aux troubles de la circulation. Mais l'epilepsie peut aussi
oubles de la circulation. Mais l'epilepsie peut aussi provoquer des troubles cardiaques : on peut regarder comme prouvé que
'un surmenage physique ou d'une émotion intense ou prolongée où les troubles peuvent aussi se manifester chez des individus
graves qui peuvent accompagner les symptômes précités, comme des troubles de l'intelligence, du langage, etc. L'auteur ad
tte manière de voir, c'est qu'il exis- tait chez la malade un autre trouble de fonctionnement, une autre dyspragie, celle-c
dyspragie, celle-ci d'ordre cutané : la peau était le siège de ce trouble congénital de la kératinisation qui se traduit so
) Jeune homme de vingt et un ans, fantassin. Il présente : 1° des troubles de la sensibilité à localisation spécifique ; 2°
t auditif externe. Dyspnée à240 à la minute, avec 108 pulsations et trouble de la connaissance. Respiration très superficie
igne de paralysie musculaire, pas d'altération élec- trique, pas de troubles sensitifs, pas de troubles trophiques. Cet état
e, pas d'altération élec- trique, pas de troubles sensitifs, pas de troubles trophiques. Cet état porte surtout sur les homn
stériques. P. IEaA ? 1L. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 329 XXVII. Troubles DE l'écriture occasionnés par UNE alexie centrale
ement colorée. 11 con- viendrait de rechercher chez les aliénés les troubles qui pourraient correspondre à ces lésions qui p
ent accidentellement, sont curables et doivent être attribuées à un trouble passager du dyna- nisme 'psychique. Trois varié
lie, folie du doute, phobies. Traitement. La suggestion opposée aux troubles d'une fonction essentiellement active, telle qu
pied de cheval reçu sur la partie antérieure de la région frontale. Troubles mentaux consécutifs, état maniaque, mort en éta
s états hyposthéniques : tels par exemple, la neurasthé- nie et les troubles qui sont sous sa dépendance. ` SOCIÉTÉS SAVANTE
ttacher essentiellement l'hystérie, et à amender, au contraire, les troubles matinaux de la neurasthénie ou de l'hyposthénie
certain nombre peut se remettre rapidement; mais chez d'autres les troubles de l'état mental per- sistent et nécessitent le
de cachexie paludéenne, je ne me souviens pas d'avoir observé des troubles cérébraux persistants. Sans nier l'existence de c
vé des troubles cérébraux persistants. Sans nier l'existence de ces trouble ? je pense donc qu'ils doivent être assez rares
ls doivent être assez rares. Je pense aussi que, relativement à ces troubles , il faut faire deux groupes de manifestations p
vent accompagnés de lésions de la méningite, peuvent être suivis de troubles psychiques, il parait difficile d'admettre que
nient à exagérer l'influence du paludisme dans l'étiologie de ces troubles psychiques, au point de vue de la pension de réfo
ente, sans retentissement sur l'état général et n'ayant amené aucun trouble encéphalique, les auteurs ont employé la médica-
défaut de mémoire et d'imagination du dément sénile. Au début des troubles délirants, elles se manifestent de préfé- rence
visuel. Or, la malade qui a donné lieu à ces remarques avait eu des troubles visuels très accentués d'origine cérébrale- imm
, trois ans après une conta- gion de syphilis, apparurent de légers troubles des organes pel- viens ; dans la durée d'une an
succéda bientôt une aggrava- tion aiguë, survinrent de très graves troubles bulbaires, mais qui, grâce au traitement mercur
u tronc (plus bas que la clavicule) et des mem- bres du côté droit, troubles de sensibilité musculaire du membre supérieur d
continuelles dans la branche inférieure du perf facial droit et des troubles de la sensibilité mus- 358 SOCIÉTÉS SAVANTES.
as confirme l'ancien avis du rapporteur concernant la dépendance du trouble du sens musculaire de la destruction des fibres
allucinatoires au début. Le dynamisme psychique défigure cer- tains troubles organiques, fait hésiter le diagnostic dans quelq
pas toujours sans danger. On voit, en effet, des névroses et divers troubles mentaux s'aggraver sous l'influence de l'hypnotis
. 60. Iéna, 1897. Verlog, G. Fischer. ' ' - Collet. (F. -J.). Les troubles auditifs d'ans les maladies nerveuses. Volume i
le comprend quand on songe combien sont difficiles à apprécier les troubles psychiques chez les.enfants dont l'intelligence
he des stigmates si difficile chez l'enfant. Le bébé peut avoir des troubles de la sensibilité générale et spéciale sans qu'
me le point touché n'est nullement douloureux. Pour constater les troubles visuels achromatopsie, dyschro- matopsie, rétré
es rendus de Bicêtre de 1880 à ce jour. 13. CLINIQUE MENTALE. LES TROUBLES TIIOPIIIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE ; Par
Marcoutza (Bucarest), Chef de clinique mentale ù la Faculté. Les troubles trophiques sont fréquents dans la paralysie gén
par une vaso-paralysie des vaisseaux capillaires des glandes et un trouble d'inner- vation. Les démangeaisons de la peau
uc- tives vont quelquefois plus loin, ainsi certains paralytiques TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 391 géné
algré l'état cachectique avancé du malade. Signalons encore comme trouble trophique du périchondre et du cartilage, l'o&l
bera. Signe de Biemacki (analgésie du nerf cubital des deux côtés). Troubles de la sensibilité générale. Etat psychique. Affai
nces, obsession dentaire. - Mai 1897. Apparition de contusions, des troubles trophiques bigarres, leur étendue. Termi- naiso
s oreilles bien dégagées, normales, les lobules grands, mous, non TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 393 ' ad
e transverse lo centimètres. Les parois osseuses sont minces, les TROUBLES TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 390. sut
e des névrites périphériques comme cause, origine et pathogénie des troubles trophiques survenus chez notre malade. Nous n'a
ésie en manchettes au niveau des articulations podaliql1es ; légers troubles de la motilité. L'appétit revient cependant, la m
rès nette.de la conscience de l'état morbide par le sujet; plus les troubles symptomatiques indiquent une paralysie générale
omme toxique on trouve de l'hémato- porpliyrine dans l'urine et des troubles gastro-intestinaux. L'obser- vation présente es
s sur ce qu'ils peuvent faire pour obvier dans une large mesure aux troubles intellectuels et moraux de l'enfance, et pour e
io des Italiens sans être pris, à l'audition de certains motifs, de troubles émotionnels qui se tra- duisaient par des pleur
'est donc souvent qu'une phobie ayant perdu son caractère de simple trouble émotif pour prendre, par le fait même de son év
le émotif pour prendre, par le fait même de son évolution, celui de trouble à la fois émotif et intel- lectuel. Au reste,
, lesphylies et les impulses morbides. IV. L'impulse morbide est un trouble pathologique des dégé- nérés, non pas un stigme
fatigue, et, par autovolition, dont son but est la disparition du trouble , une très légère émotivité. 428 SOCIETES SA
t en fonction à but inconnexe avec l'idée fixe, il y a arrêt du trouble . V. L'idée fixe est une activité qui, par ell
leur étude clinique doivent être rangés dans les divers cadres des troubles intellectuels. 5. La présence d'hal- lucination
rvicaux étaient engorgés; les conjonctives congestionnées et pas de troubles du côté des voies aériennes. - Le quatrième j
ion qui peut être primaire ou secondaire et dépendre elle-même d'un trouble du système nerveux. Quoi qu'il en soit, les exp
ion de l'exophtalmie ; z) Amélioration graduelle, assez rapide, des troubles de l'innerva- tion cardiaque, jusqu'à la réinté
asculaire; mais aussi dans la subs- tance blanche de la moelle, des troubles dégénératifs se sont éta- blis d'une manière pl
a maladie elle-même, mais elle tend', à soulager ou à mettre finaux troubles de coordination au moyen d'exercices méthodique
toléré (hypercrinies des muqueuses oculaire et nasale et surtout troubles gastriques), on le remplacerait par la teinture d
lques cas sur les douleurs fulgurantes, mais a peu d'action sur les troubles de la marche ». J'ai personnellement l'habitude
en ceinture, des constrictions pénibles de la base du thorax et des troubles urinaires amendés par ce traitement au bout de
s, en clinique, par une recrudescence de crises doulou- reuses, des troubles des sphincters, des aggravations motrices, etc.
ctriques, l'hydrothérapie et certaines eaux minérales. 5° Enfin les troubles vésico-rectaux, les troubles oculaires, les tro
certaines eaux minérales. 5° Enfin les troubles vésico-rectaux, les troubles oculaires, les troubles trophiques, les trouble
5° Enfin les troubles vésico-rectaux, les troubles oculaires, les troubles trophiques, les troubles circulatoires, les crise
ésico-rectaux, les troubles oculaires, les troubles trophiques, les troubles circulatoires, les crises bulbaires sont le poi
sidérable de la température, avec amaigrissement progressif, sans troubles fonctionnels. Du côté mental, un accès passager
s d'agitation très violente, avec série d'attaques très nombreuses, troubles sensoriels, hallucina- tions terrifiantes. Son
tion de 30 cent. cubes suivie d'hyperthermie relative, 37,8. Pas de troubles fonctionnels. Diminution de l'excitation habitu
sans modifications autres. Le 11, injection de 30 cent, cubes, sans troubles consécutifs. Série de 41 attaques, de 10 heures
IV. Les 15, 17, 18, 19, 22, injections de 30 cent. cubes. Pas de troubles consécutifs. Le 23, sans prodromes, série de 26
: amaigrissement progressif plus ou moins considérable, sans aucun trouble fonctionnels Au point de vue mental : apparitio
des tendances maniaques. Pour la plupart des cas : accentuation des troubles psy- chiques post-paroxystiques. D'une façon
'est plutôt pour les augmenter. 5° Elles aggravent généralement les troubles psychiques post-paroxystiques et provoquent dan
ébut de la maladie de Basedow; que celle-ci peut se compliquer de troubles vésaniques qui empruntent leur forme et leur ori-
ous a suggéré ce travail : SoMM.\iRE. tUë/(U : co'eaH<eM6'<'. Troubles anciens de l'estomac. Goitre. Tremblement. Palp
intercostale, accompagnée ou suivie (le malade ne peut preciser) de troubles de la digestion, qui était lente et pénible. Le t
it à quarante ans, la santé a été relativement bonne, sauf quelques troubles de la digestion, mais à de rares intervalles.
ont élé excessifs. Après le gain du procès, il y a trois ans, les troubles de la digestion ont reparu, cette fois très accen
que peu d'angoisse. La mémoire est moins fidèle. En décembre, les troubles mélancoliques s'accentuent; le tra- vail devien
a trois ans, mais'il devait exis- ter depuis de longues années; les troubles de l'estomac, qui ont apparu à l'âge de vingt-c
Devay. Contribution il l'étude de la dilatation de l'estomac et des troubles psychiques qu'elle provoque. Lyon, 1892. 496 RE
ons du système nerveux. \ Malgré l'exislence, chez notre malade, de troubles gas- triques, nous avons peu de tendance à les
de maladie de Graves n'ait apparu qu'au moment de la guérison des troubles mentaux. Voici les raisons qui nous guident : le
pas de grandes modifications de l'excitabi- lité électrique; pas de troubles de la sensibiité Diaan, : myopathie progressive
t de la branche motrice de la cinquième paire; de la dysphagie ; un trouble carac- téristique de la parole; une parésie des
plaint seulement de lourdeur dans les cuisses et les jambes. Pas de troubles vésicaux ni rectaux. Toute idée de myélite fut éc
seuls pouvaient se mouvoir. Il n'y avait pas de contracture. Pas de troubles vésicaux. Dès le troisième jour, la malade consta
nt accompagnée de douleurs localisées, d'excitation maniaque ,et de troubles de la mémoire caractérisés par une amnésie de l
harcot), il y a un nombre énorme d'observations dans lesquelles les troubles moteurs des extrémités supérieures et inférieur
rare de constater chez le tabétique une ataxie prononcée sans aucun trouble simultané de la sensibi- lité, dans la sclérose
, dans la sclérose en plaques on rencontre la plus vive ataxi- sans trouble de la sensibilité, ce qui prouve que ce dernier s
' ce ganglion et le noyau du facial. Mais l'ouïe est troublée, ce trouble n'a pas précédé la paralysie faciale, car, autr
-être n'y a-t-il rien dans le labyrinthe, puisqu'on n'y constate ni troubles subjectifs ni troubles objectifs de l'équilibre.
ans le labyrinthe, puisqu'on n'y constate ni troubles subjectifs ni troubles objectifs de l'équilibre. Sans doute il n'y a p
(iYetM'0. CezlralLl., XV, 18cJ6.) Trois séries de symptômes : 1° Troubles moteurs ; atrophie et parésie des muscles de la c
; atrophie et parésie des muscles de la cein- ture scapulaire ; 2° Troubles de la sensibilité; paralysie partielle de la se
ns la partie supérieure du tronc et dans les membres supérieurs; 3° troubles trophiques ; modification de la consistance de
ion du réflexe patellaiie, de nystagmus, de ver- tiges violents, de troubles sensitifs et moteurs disposés en seg- ments ; o
ralysie faciale périphérique de nerfs sensibles à la pres- sion des troubles oculaires et laryngés typiques, d'éruptions pig-
n de l'exoph- talmie ; b) amélioration graduelle, assez rapide, des troubles de l'innervation cardiaque, jusqu'à la réintégr
t il persiste assez longtemps au-dessous de la normale. Quant aux troubles trophiques tardifs, je n'en ai jamais ren- cont
ilatation, pupillaire pré-opératoire était indiscutable. Les autres troubles oculaires, signe de Graefe, signe de Stellwag, si
réglant la circulation encéphalique troublée, fait disparaître les troubles ner- veux si caractéristiques des basedowiens.
éries, et la troisième, récente qui a vu disparaître la plupart des troubles oculaires et diminuer les autres (goitre, pouls,
e déve- loppement du larynx, des poils, il faut faire intervenir un trouble local du système nerveux se généralisant et se
ter chez un certain nombre de malades atteints de syringomyélie des troubles des mouvements volontaires, qui présentent un c
rables ou plus fréquentes que chez les sujets ordinaires et que les troubles observés sont insuffisamment caractéristiques pou
cultés de l'observation, elles passent facilement inaperçues. Les troubles de perception de la paralysie générale ont les ca
es formes mélancoliques sont les plus riches en hallucinations. Les troubles sensoriels forment la base des idées délirantes
par Sutherland, 516, Alcoolisme. Répression de l' -, 172. Alexie. Troubles de l'écriture cau- sés par une centrale isolée
iberté, 286. Amnésie. Ln cas d' -, par Bishop, 503. Amnésiques. Troubles de l'écri- ture, par Maack, 230. Angoisse. Tr
s par Carrier, 332. Eiiologie de la -, par Mairet- et Vires, 336. Troubles trophiques dans la -, par Atha- nassio, 390.
69 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
sous la bienfaisante influence du soleil du Midi, il y fut atteint de troubles cardiaques de la plus haute gravité. Loin de Pari
des épilep-tiques confirmés. Lorsqu'on les amène, ils présentent des troubles mentaux caractérisés par de l'aboulie, de la dimi
ience m'a démontré que la discorde chez les surveillants amène le trouble chez les enfants pervers, amoureux eux-mêmes du b
e de recevoir pour ne pas aggraver son état et le précipiter dans des troubles mentaux de la plus haute gravité. Ce n'est pas
anormaux, il y a une catégorie nombreuse d'enfants chez lesquels les troubles ne revêtent qu'un caractère transitoire et passag
tion, à l'état de veille, puisse exercer la moindre influence sur les troubles fonctionnels, car à ses yeux le sommeil jouait le
te préoccupation d'hygiène est venue s'ajouter à toutes ces causes de trouble dans l'adaptation naturelle du vêtement au but po
troublesfonctionnels, c'est la stérilité qui reconnaît pour cause le trouble d'une des fonctions qui entrent en jeu dans la fé
curables. Nous rapporterons à quatre fonctions différentes tous les troubles fonctionnels qui peuvent être la cause de la stér
nctionnels qui peuvent être la cause de la stérilité. Ce sont : Des troubles de la circulation ; Dès troubles des organes sé
e de la stérilité. Ce sont : Des troubles de la circulation ; Dès troubles des organes sécréteurs : Des trpubles du systèm
s sécréteurs : Des trpubles du système musculaire ou moteur ; Des troubles du système nerveux ou de la sensibilité. Nous d
e nerveux ou de la sensibilité. Nous dirons maintenant que tous ces troubles sont justiciables du traitement hypnotique ; en e
ce directe de la suggestion et les effets de l'hypnose. En tête des troubles de la circulation qui sont une cause de stérilité
es de la circulation qui sont une cause de stérilité, nous voyons les troubles des fonctions menstruelles. Nous savons depuis
erreur de croire qu'il n'y a que chez la femme qu'il peut exister des troubles de la circulation qui sont une cause de stérilité
er des troubles de la circulation qui sont une cause de stérilité. Le trouble de la circulation chez l'homme peut aussi être la
iste une paresse de la circulation qui rend l'érection incomplète. Ce trouble de la circulation chez l'homme est le plus souven
guérisons par la suggestion hypnotique. Nous arrivons maintenant aux troubles de sécrétions qui peuvent être cause de la stéril
troubles de sécrétions qui peuvent être cause de la stérilité. Ces troubles peuvent aussi se présenter chez l'homme comme che
torrhée est aussi une cause qui chez l'homme peut être rattachée à un trouble des sécrétions ; et enfin l'aspermatisme. Les mal
ourrait induire en erreur sur la vraie cause de leur stérilité. Les troubles des sécrétions chez la femme peuvent aussi être c
forte raison, quand les anomalies de ces sécrétions seront dues à des troubles nerveux, comme cela arrive fréquemment. En guéris
re ou l'inertie musculaire spéciale, momentanée, ou habituelle. Les troubles de cet ordre, chez l'homme comme chez la femme, n
à la quatrième classe des causes de la stérilité qui réside dans les troubles des fonctions nerveuses ou de la sensibilité. Ce
vant leur énergie. Nous trouverons ensuite, dans ce même ordre, des troubles de la sensibilité générale ; névralgies, sensibil
au moyen du sthénomètre, nous montrera qu'il existe en même temps un trouble général de l'équilibre du système nerveux, auquel
nt ces malades à l'état normal. Je signalerai en troisième lieu des troubles nerveux qui ont une grande importance parmi les c
n des meilleurs moyens à utiliser dans les cas de stérilité dus à des troubles de la sensibilité ou de l'innervation des organes
s reste enfin une dernière catégorie des causes de la stérilité ; les troubles nerveux spéciaux qui sont sous la dépendance d'un
épendance d'une affection générale très commune, l'hystérie. Tous les troubles de la sensibilité peuvent y être représentés ; so
il faut nous adresser. En guérissant l'hystérie, nous corrigerons les troubles nerveux qui sont sous sa dépendance ; et, dans le
arce que la stérilité n'est pas autre chose que la manifestation d'un trouble morbide ; mais aussi parce que cet état devient l
ombreux malaises a ta malade et la tourmente beaucoup. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité cutanée superficielle et profon
aussitôt à lui, comme avant la venue du Polong, mais il lui reste un trouble maladif et son corps est dans un état de faibless
émêler de l'homme de science et de strict devoir, sans plus. Si les troubles nerveux sont causés par une affection organique e
mais je lui apprends que la psychothérapie peut seulement guérir les troubles fonctionnels et que la lésion organique réclame u
tion d'un premier rebouteur, la disparition momentanée des différents troubles grâce à la bonne suggestion d'un second rebou-
isser dans un coin sans s'en occuper ; il se- -tient tranquille et ne trouble pas la classe. L'instable, au contraire, qui est
phère physique, correspondent les atrophies, paralysies et paré-sies, troubles de la parole, de la physionomie, de la préhension
cerveau et, le plus souvent, aux désordres physiques s'associent des troubles de l'intelligence, classant l'enfant parmi les dé
re limite approximatif entre l'idiotie et l'imbécillité. A côté des troubles moteurs chez les débiles, nous avons vu qu'on
s du mouvement sous formes de tics, spasmes, etc. De même, à côté des troubles de l'intelligence qui forment te subtsratum, la n
le,on peut rencontrer des perversions de l'intelligence sous forme de troubles mentaux ; ces derniers sont loin d'être chose nég
n'étant pas spécialement prédisposé, le débile présente à l'égard des troubles mentaux et surtout à l'égard du vice, une récepti
orrespondent pas à la nature intime du mal, en s'adressant alors à un trouble apparent sans atteindre sa véritable cause. La pr
jours auparavant, à la suite d'une hémorrhagie. C'est sans doute aux troubles digestifs causés par l'entérite, les vers, la dil
s phobies nocturnes des jeunes enfants. Chez les sujets atteints de troubles cardiaques ou respiratoires, le motif habituel du
er de l'Hystérie un de ses chapitres les plus intéressants, celui des troubles trophiques. M. le professeur Raymond, à qui est
dème, d'ecchymoses, etc., desquels il résulte que l'existence des troubles veso-moteurs, au cours de l'hystérie, est inconte
sur ¡a psychothérapie, en Vendée — a aussi traité cette question des troubles iroohiques dans l'hystérie ; et il a présenté que
ts sont commis pour examiner les délinquants ou Inculpés suspectés de troubles mentaux, dit simplement qu'il n'y a ni crime, ni
ecin seul compétent pour se prononcer sur la réalité et la nature des troubles mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces
nature des troubles mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces troubles ont pu jouer sur les déterminations et les actes
ur que le diagnostic soit complet, il faut rechercher la nature de ce trouble . La première question que vous devez poser à ce
t inquiétante chez une dame, considérée jusqu'alors comme atteinte de troubles hystériques, et que je traitais, en conséquence,
ux de la Salpêtrière. la présence de cette tumeur qui causait les troubles de la déglutition. Ce néoplasme malin fit du rest
: influence de la suggestion sur la longévité. Dr Paul Farez : Les troubles trophiques dans l'hystérie, etc., etc. L'autops
Revue D. J. Ingenieros (de Buénos-Ayres). Le langage musical et ses troubles hystériques. G. in-8, 208 pages. Alean, Paris 190
dre dans son acception restreinte ; vous prévenez « qu'il désigne les troubles mentaux, quels qu'ils soient, susceptibles d'infl
ègle rigoureuse de s'en tenir à la « simple constatation médicale des troubles existants », vous êtes amené à écrire : « Restrei
thénie pure et simple : phénomènes nerveux polymorphes et incessants, troubles utérins, névralgies, céphalalgies, dyspepsie, ano
ns instinctives. Chez certains sujets, l'impulsivité est liée à des troubles du système nerveux tels que la chorée, l'épilepsi
une médication efficace contre les divers symptômes, et n'apporte aux troubles psychologiques qu'une attention secondaire, c
, c'est généralement le contraire qui arrive, les enfants atteints de troubles nerveux étant souvent, par cela même, privés des
l'ordre du jour sont faites ainsi qu'il suit : 1. M. Paul Farez. — Troubles trophiques dans l'hystérie : brûlures suggérées.
ures sont adoptées à l'unanimité-La séance est levée à 6 h. 45. Les troubles trophiques dans l'hystérie ; brûlures suggérées,
hystérie, on a, de nouveau, soulevé la question très controversée des troubles trophiques dans l'hystérie. Pour M. Babinski, u
e, 2° de disparaître sous l'influence exclusive de la persuasion. Les troubles trophiques rapportés jusqu'ici à l'hystérie l'ont
enait. Je rappelle seulement, sans les rapporter en détail, que des troubles vaso-moteurs divers, œdèmes, ecchymoses, hémorrag
suggestion directe, pendant le sommeil hypnotique. D'autres fois, ces troubles sont apparus à la suite des trau-matîsmes physiqu
ion expérimentale est incapable de produire par ses seules forces des troubles de ce genre. » Voilà la thèse. La littérature
a thèse. La littérature médicale possède cependant des relations de troubles vaso-moteurs provoqués par la seule suggestion. N
indiens de passage en ceite ville, les a vus produire, à volonté, des troubles vaso-moteurs de la peau de tel ou tel de leurs me
bulles de telle dimension. On ne saurait, pour la provocation de ces troubles trophiques, réclamer une rigueur qui n'est pas to
st pas toujours possible dans la provocation beaucoup plus facile des troubles sensitifs ou musculaires. Certains ont essayé d
ubles sensitifs ou musculaires. Certains ont essayé de produire ces troubles trophiques chez la première hystérique venue ; ay
aissent ou indispensables ou seulement favorables à la production des troubles trophiques par suggestion pourraient être, à ce q
, la suggestion expérimentale ne doit solliciter une sensation et son trouble trophique concomitant que si Vune et l'autre ont
e bonne santé générale que se réalisera facilement la suggestion d'un trouble trophique, mais au moment des accidents hystériqu
lisent plus aisément ou plus pleinement, par suggestion, celui-ci des troubles musculaires, celui-là des troubles viscéraux, un
ment, par suggestion, celui-ci des troubles musculaires, celui-là des troubles viscéraux, un autre des troubles sensoriels. Or l
s troubles musculaires, celui-là des troubles viscéraux, un autre des troubles sensoriels. Or les troubles vaso-moteurs seront d
i-là des troubles viscéraux, un autre des troubles sensoriels. Or les troubles vaso-moteurs seront d'autant mieux réalisés par s
ent précisément consisté en gangrènes multiples de la peau. Donc le trouble trophique que l'on voudra obtenir par suggestion
ut&nés et que, parmi les accidents cutanés, ce seront surtout des troubles trophiques qui se seront manifestés. III. — Pou
antage de faire la suggestion le soir. Le plus souvent, en effet, les troubles vaso-moteurs apparaissent, non pas sur le champ,
nforce : c'est, chaque fois, le matin au réveil, que sont apparus les troubles vaso-moteurs chez les sujets de M. Podiapolsky. E
xin. — Chez Charcot, des hystériques reproduisaient par imitation les troubles trophiques qu'elles voyaient survenir chez leurs
n, seul compétent pour se prononcer sur la réalité « et la nature des troubles mentaux chez les inculpés et sur le rôle que o ce
ature des troubles mentaux chez les inculpés et sur le rôle que o ces troubles ont pu jouer sur les déterminations et les actes
cela que querelles de mots ! C'est le mot de responsabilité qui nous trouble , rejetons-le et remplaçons-le par autre chose qui
uérit sous l'influence de la divinité, c'est-à-dire par suggestion. Troubles mentaux. — Il semble que la pathologie mentale ai
rcle noirâtre entourant les yeux était en rapport avec la gravité des troubles nerveux présentés par les sujets. Je l'ai égaleme
D' Vigouroux, médecin de l'asile de Vaucluse, ont signalé des cas de troubles mentaux survenus à la suite de séances de spiriti
e. « II est très difficile de comprendre C... ; il est atteint de trouble de l'articulation des mots.Il est très difficile
'était à Paris, dans une église, je ne sais pas. » « J'ai parlé des troubles de l'articulation des mots, je dois ajouter que s
é morbide, réaction impulsive, faiblesse et infidélité de la mémoire, troubles du langage, vocabulaire restreint, sont tous les
ts sont commis pour examiner les délinquants ou inculpés suspectés de troubles mentaux, dit simplement qu'il n'y a ni crime, ni
ecin seul compétent pour se prononcer sur la réalité et la nature des troubles mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces
nature des troubles mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces troubles ont pu jouer sur les déterminations et les actes
nce dans laquelle ils concevaient la persistance dé la disposition au trouble mental, c'est lorsqu'il s'agissait de la vente d'
, l'absence de responsabilité ne peut être invoquée qu'autant que les troubles de l'intelligence sont très accentués et que le p
des intérêts légitimes. Quand ils eurent constaté que l'existence de troubles mentaux chez certains accusés constituait un obst
on. Il n'attribue pas ce signe à la pratique de l'onanisme, mais à un trouble de la nutrition. Sur douze sujets qu'ilaobservés,
sont les divergences lorsqu'il s'agit de définir la nature intime des troubles fonctionnels dont les manifestations hystériques
contrôle de la conscience personnelle, et qui se manifestent par les troubles les plus variés d'apparence uniquement physique »
ri. J'avoue que cette prétention d'expliquer toute l'hystérie par des troubles génitaux de l'enfance me semble bien extraordinai
es troubles génitaux de l'enfance me semble bien extraordinaire ; ces troubles ne s'observent que chez quelques sujets et n'ont
ns le voir que se développent les idées et les sentiments et c'est le trouble phy- * sique qui est primitif. C'est une erreur d
l'hystérie une maladie mentale ; elle doit être considérée comme « un trouble physique, fonctionnel du cerveau, consistant dans
oduite a tendance à persister ; elle nous explique les caractères des troubles hystériques, elle nous fournit les. indications d
tres anatomiques du cerveau, tels qu'on les délimite actuellement les troubles fonctionnels hystériques, l'auteur y renonce d'au
n en langage vaguement anatomique d'observations psychologiques et le trouble physique fût-il primitif, l'idée n'en joue pas mo
sentimentale. Il ne faut considérer comme aliénés que ceux dont les troubles mentaux peuvent être rattachés à une forme défini
l'histoire. Il n'en est pas de même des souverains chez lesquels les troubles psychopathiques se rattachent plutôt à ces formes
le d'adhérents. Le premier des sultans ottomans chez lesquels des troubles mentaux confirmés se soient manifestés est Sélim
s à l'érythrophobie remontent assez loin. D'après Hoche, en effet, ce trouble fut décrit par Casper vers 1840. D'autres auteurs
ide et Marchand. Considérant que, chez les sujets dont il s'agit, des troubles vasculo-nerveux, avec accompagnement d'un état ém
euvent se produire rien que par l'effet du souvenir, ils admettent un trouble primitif des fonctions intellectuelles. Pitres et
ne saurait prouver d'une manière concluante que l'érytrophobie est un trouble pur et simple des fonctions intellectuelles. En e
rs, en particulier Arnaud, estiment que les obsessions répondent à un trouble complexe de l'activité psychique, lequel, en plus
a possibilité d'une chute. Puis le malade fut pris d'agoraphobie. Ces troubles s'accentuèrent surtout l'an passé. Depuis lors, l
; les paupières s'abaissent et paraissent trembler. Actuellement, ces troubles se produisent non seulement quand on regarde lé m
t caractéristique dans ce cas, c'est le lien qui unit les phobies aux troubles somatiques. Ainsi les vertiges sont en rapport av
es sont en rapport avec l'agoraphobie et I'érythrophobie est liée aux troubles vaso-moteurs. Comme traitement, j'ai eu recours
passer des nuits blanches. Il rougit souvent. Au sujet de ce dernier trouble , ce malade s'exprime de la façon suivante : « Dès
ent mon infirmité, c'est-à-dire de mes parents. Je suis timide, je me trouble sans raison. Toute visite au médecin provoque de
pathologique. Un second point à considérer, c'est qu'ils accusent des troubles de la circulation lesquels, chez l'un d'eux, se r
e quelconque de phobie obsédante, entre ce symptôme ner-' veux et les troubles somatiques. C'est ainsi que le professeur Bekht
, liées apparemment à des affections génitales, cas dans'lesquels les troubles mentaux disparurent sous l'influence d'un traitem
vaincre qu'elle cède difficilement au traitement. Cependant, là où le trouble est lié à l'hystérie, il est impossible d'obtenir
l de pathologie générale du professeur Podvyssotzky d'après lequel ce trouble serait lié à l'onanisme. Venue, le 2G septembre,
st tranquillisée. Je l'ai rencontrée récemment : elle m'a dit que ses troubles avait disparu définitivement(1). De l'influence
ête, mais ils sont restés intacts aux racines. Cf. aussi Du-breuilh ; Troubles Trophiques des cheveux. (Ann. de Derm. et Syph. 1
e père. Des neuf enfants de sa fille aînée, les cinq premiers ont des troubles trophiques de pigmentation. Le premier, le second
tions organiques profondes et ne présentent, pour ainsi dire, que des troubles fonctionnels, on peut espérer obtenir le rétablis
commencer le traitement, par un laryngologiste, en raison de quelques troubles laryngés sans importance ; on découvrit un épithé
elles du système nerveux : les névroses sont fréquentes ainsi que les troubles mentaux qui se compliquent de phénomènes hallucin
rents est tellement enracinée, que la démonstration de l'existence de troubles nerveux graves ne parvient pas à les convaincre,
e de s'auto-suggestionner. Elle se manifeste principalement par des troubles primitifs et accessoirement par quelques troubles
ncipalement par des troubles primitifs et accessoirement par quelques troubles secondaires. Ce qui caractérise les troubles pr
soirement par quelques troubles secondaires. Ce qui caractérise les troubles primitifs, c'est qu'il est possible de les reprod
sous l'influence exclusive de la persuasion. Ce qui caractérise les troubles secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subord
troubles secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subordonnés à des troubles primitifs. » A cette manière de voir, on pouvai
juin 1907, est un état psychique spécial capable d'engendrer certains troubles ayant des caractères qui leur sont propres, » L
cial et se trouve réduite en somme aux caractères qu'elle assigne aux troubles primitifs, savoir « qu'il est possible de les rep
reille objection M. Babinski répond qu'il ne prétend pas assigner aux troubles hystériques le caractère d'être engendrés par sug
tte conclusion que la suggestion armée du sorcier fait disparaître le trouble créé par l'auto-suggestion ou la suggestion d'aut
dans le champ de la conscience l'idée subconsciente cause de tous les troubles . La forme même de ceux-ci n'a fréquemment aucun r
mérite d'avoir permis de distinguer, grâce à des signes certains, les troubles hystériques des affections organiques avec lesque
hro-matopsie, clou hystérique au vertex, point mammaire droit, pas de troubles auditifs, dermographisme très prononcé. Pas de se
l'or, à. l'argent ou aux pièces de métal, pas d'interversion des troubles de la scnsiblité sous l'influence de l'aimant.
aques d'hystérie depuis sa dernière visite et je ne constate plus les troubles de la sensibilité ni l'anesthésie pharygienne. Le
e manies religieuses : manie de la prière, remords de conscience ; de troubles mentaux se montrant à l'âge critique du climactér
e entité morbide, mais, contrairement à M. Bernheim, il pense que les troubles regardés comme lui appartenant (stigmates sensiti
ubles regardés comme lui appartenant (stigmates sensitivo-sensoriels, troubles moteurs, viscéraux, etc.) constituent, au même ti
e modification particulière du dynamisme nerveux, caractérisée par un trouble du régime des réflexes corticaux ou sous-cortiaux
, M. Claparède se demande si les manifestations cutanées hystériques ( troubles trophiques et vaso-moteurs) ne peuvent pas être r
es plus légitimes de cette conférence pourrait être de décider si des troubles mentaux survenant chez un souverain ne constituen
somnambulisme, la som-niloquie, le bégaiement, la pusillanimité, les troubles moraux, les phobies diverses et surtout l'onanism
ics de la respiration ou de la déglutition, et avoir pour origine des troubles circulatoires ou sécrétoires, fréquents chez les
sont déterminées, soit par une petite lésion objective, soit par des troubles vaso-moteurs (d'où hypoesthésie ou hyperesthésic
cette sensation finit par ne plus pouvoir l'en distraire. A côté des troubles sensoriels, un état mental particulier est indisp
u un automatisme moteur, un tic. Le terrain sur lequel évoluent ces troubles est un terrain caractérisé par la faiblesse nerve
raiter ces patients de malade imaginaire, de crainte d'exagérer leurs troubles ; on déclarera l'examen satisfaisant, rassurant,
e l'intérieur et de l'extérieur. Il y a, en effet chez ces malades un trouble 1res particulier qui porte sur les sources de l'é
la diminution de l'énergie ; les symptômes moteurs et sensitifs : les troubles de l'équilibre : les symptômes chimiques et therm
ollègue passe à des observations particulières, notamment k celles de troubles vaso-moteurs, tels que l'hyperhidrose palmaire, t
aditions et mœurs persanes, p. 95. Trophiques dans l'hystérie, (Les troubles ), par Paul Farez, p. 179. Tympanisme hystérique
70 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ment, de la lésion d'organes produite par ces causes, l'émotion, le trouble , la perturbation morale instan- tanée, qui en o
ques exemples (art. Hallucination du Dict. ecyc/o ? Voilà pour les troubles sensitifs. Des troubles de la motilité peuvent
cination du Dict. ecyc/o ? Voilà pour les troubles sensitifs. Des troubles de la motilité peuvent également se manifester
d'une opération qui fait disparaître la com- pression. Quant aux troubles intellectuels, ils peuvent aller du simple vert
sacrés, presque exclusivement. Je n'ai pas ici à décrire tous ces troubles inflamma- toires. Ceux-là seuls m'intéressent q
uand d'aventure, après un temps plus ou moins long, surviennent des troubles nerveux. Le malade finit, alors son existence d
s- tertiaires, qui se manifestent principalement sous la forme de troubles cérébraux chroniques, appartien- nent-ils à la
ts primaires et secondaires peut être définitive, et telle qu'aucun trouble cérébral, imputable au trauma- tisme, ne se man
la présence de ce corps étranger n'entraîne pas nécessairement des troubles 1 Un exemple tout à fait extraordinaire se trou
commotion cérébrale. 11 y a plus et il y a autre chose : il y a un trouble profond porté dans la trame même de l'organe cé
cérébral, et, s'il n'est pas possible de dire exactement en quoi ce trouble consiste, il faut néan- moins l'admettre. Sta
que la meilleure épreuve, au dire des auteurs, pour découvrir les troubles partiels ou généraux de la vision, la prova del
suelle toutes les aires cérébrales dont la destruction provoque des troubles de la vision, cette sphère paraît s'étendre à t
ns destructives des lobes temporaux et frontaux ont déterminé des troubles de ce genre, comme celles des lobes pariétaux e
i- tées, des lobes pariéto-occipitaux, déterminent tou- jours des troubles évidents de cette fonction. Faut- il en conclur
qu'on devrait attribuer à des effets à distance du traumatisme les troubles 1 Cette tendance à étendre ou même à supprimer
ructives des lobes frontaux et temporo-sphénoïdaux ? Mais, dans les troubles de la vision observés par Hitzig après l'ablati
la décortication isolée de ces cir- convolutions ne produit que des troubles légers et transitoires de la vision (singe E).
poro-sphénoïdal du singe donnerait lieu, comme chez le chien, à des troubles transitoires de la vision, ce qui paraissait pr
partielle corres- pondante bien nette; on n'observe alors que des troubles diffus des deux rétines; 3° enfin, les phéno- m
occipital, pariétal ou temporal, sont aussi peu permanents que ces troubles diffus de tout le champ rétinien : les uns et l
portance des lésions des régions occipitales dans la production des troubles de la vision, et avant Wilbrand, Mauthner et Ex
Il suffira de noter avec une exactitude toujours plus grande les troubles de la motilité et de la sensibilité dans l'hémi-
er, avec Hitzig, Exner, Landoltet tant d'autres, l'existence de ces troubles bilatéraux, d'intensité iné- gale, mais réels,
rappelle l'attention qu'excita le grand travail de Fùrstner sur un trouble particulier de la vision chez les paralytiques
ité pure et simple, quelquefois de cécité psychique. Voilà donc des troubles unilatéraux et croisés de la vision .consécutif
aux lobes frontaux ou aux lobes temporaux ne provoquent point de troubles visuels permanents avec le carac- tère de cécit
manents avec le carac- tère de cécité psychique. » A la rigueur, ce trouble de la vision devrait donc être attribué à une a
d'abord, avant tout essai d'inter- prétation, de la réalité de ces troubles unilatéraux et croisés de la vision ? Ces obser
auteurs ont établi que, chez les paralytiques généraux aussi, ces troubles de la vue étaient en réalité bila- téraux. No
u moins accusée de l'ouïe, mais point de surdité com- plète ; ces troubles s'amendent bientôt avec les effets du traumatis
ation bilatérale, même incomplète, sont toujours plus graves : le trouble auditif peut atteindre d'emblée le degré de la
araît tantôt seule, tantôt associée à l'aphasie motrice, ou à des troubles paralytiques de la motilité et de la sen- sibil
x et les vaso-moteurs sont d'abord excités puis paralysés. Tous ces troubles s'unissent pour produire une chute complète de
engagent les embolies gazeuses; c'est ce qui me fait penser que les troubles et les lésions qui caractérisent la décompressi
à son imbécillité et à son instabilité men- tale, se joignaient des troubles psychiques consistant en des interprétations er
accentué ; abolition des réflexes rotuliens ; signe d'A. Robertson. Troubles vésicaux. Difficultés considérables pour uriner
sivement se débarrasser complètement de l'usage de la morphine. Les troubles vésicaux et sexuels sont restés stationnaires.
faire 30 piqûres de morphine par jour. A la même époque début des troubles vésicaux; difficulté, irré- gularité dans la mi
nence nocturne passagère. Défé- cations involontaires; ces derniers troubles ont disparu il y a trois ans, et depuis un an l
derniers troubles ont disparu il y a trois ans, et depuis un an les troubles vésicaux se sont aussi amendés spontanément. Ma
ie, enraye manifestement les symptômes douloureux et la plupart des troubles moteurs du tabes. Chaque suspension a lieu, nou
ne dépassant jamais 8 à 10 minutes. L'amélioration manifeste des' troubles ataxiques se produitrarement avant la 8°ou'10° sé
puis sur les douleurs fulgurantes, l'anesthésie plantaire, sur les' troubles viscéraux et l'impuissanee sexuelle. M. le l'r Ch
s aucun cas, nous n'avons vu reparaître les réflexes rotuliens. Les troubles vésicaux ont été modifiés heureusement dans la
dans l'ataxie LOCOMOTRICE. 137 facilement un deuxième étage; 3" les troubles permanents de la sensibilité qui existaient aux
plusieurs fois la suspension chez les tabétiques : dans un cas, les troubles de la miction ont cessé rapidement, et il a obt
ent, et il a obtenu des résultats encourageants au point de vue des troubles visuels. Les remarques de M. Desnos concordent
alles de ce dernier médecin : c'est celui d'un tabétique atteint de troubles moteurs oculaires chez lequel ceux-ci ont dimin
a suspension entraînant une plus grande fréquence respiratoire. Les troubles cardio-vasculaires sont une contre-indication ; t
pouvant influencer la dyspnée, la tendance syncopale. Du côté des troubles nerveux, on n'est pas encore bien fixé quant aux
zone des mouvements oculaires J. HOUlll : -10VITCII. III. Sur LES troubles DES sensualités générale et spéciales dans CERT
énérale et spéciales. Il est arrivé aux conclusions suivantes : Les troubles de la sensibilité générale et leur durée se trouv
état psychique du malade. Si l'état psychique est stationnaire, les troubles de la sensibilité générale le sont également et
du malade, immédiatement l'état de la sensibilité change. Quant aux troubles fonctionnels des organes des sens, la première
nt du champ visuel. On observe aussi, mais moins fréquemment, des troubles gustatifs, acoustiques et olfactifs. J. RoumnoYiT
ieur des deux lobes frontaux n'a amené aucune paralysie, ni aucun trouble delà sensibilité, ni modification de l'intelligen
dans les traumatiques dont il vient d'être question, non plus à des troubles émanés du cerveau, mais à une bémorrhagie dans le
rtains. Persistance normale des réflexes patellaires. Ni ataxie, ni troubles de la sensibilité. Diagnostic encore impossible
n'empêche pas les agents chez d'autres sujets de produire d'autres troubles mor- bides. 1 Cela veut dire que M. Wernicke
culaire aigu ; le diabète, le paludisme et la syphilis (l'étude des troubles de la sensibilité dans la syphilis mérite une m
nts produisent l'hystérie ou bien par auto-sugges- tion ou bien par troubles de la nutrition générale se confinant de préfér
e la Maison nationale de Cliaretitoti. V. Preuves cliniques. et). Troubles des facultés intellectuelles (arrêt de développ
nie qui revient à chaque printemps et dure quelques semaines. b). Troubles pathologiques permanents. - Ces trou- bles sont
a forme de la maladie mentale. DES TRAUMATISMES DU CRANE. 201 des troubles cérébraux, céphalalgie, vertiges, éclipses de m
tion, que la chute, au lieu d'être la cause, a été le résultat d'un trouble mental déjà bien prononcé et qui doit être ratt
ysés et insensibles; la vessie était légèrement prise. Pas d'autres troubles . Cet état paralytique a disparu au bout de troi
illie; en même temps sur- vinrent des douleurs très fortes avec des troubles respiratoires consécutifs. Ces symptômes ont du
eurs commencent à se fléchir et à s'étendre tout d'un coup. Plus de troubles de la vessie. Un peu plus tard, son membre infé
prononcé au membre inférieur gauche. Sensibilité normale. Pas de troubles vésico-recto-génitaux. Pas de symptômes céphali
D'après Hadden, l'altération mentale de ces maladies dépendait des troubles du système sympathique ayant pour résultat l'al
ités peuvent agir sur le moral des femmes et déterminer parfois des troubles de l'intelli- gence. Dans le cas actuel, il s'a
té réalisé par lui à Brème. P. K. VI. Intoxication saturnine avec TROUBLES DE L'INTELLI- GENCE ET DU système nerveux; par
uatorze ans REVUE DE pathologie mentale. 27l 1 dont il s'agit, le trouble mental avait plutôt la forme du délire que cell
utefois, plus de trois semaines s'étant écoulées entre le début des troubles cérébraux et le moment où l'exa- men ophthalmos
et des muscles auxquels ces fibres se distribuent. La guérison des troubles intellectuels conduit à penser que les ganglion
débute de trente-cinq à quarante-cinq ans, ne s'accompagne d'aucun trouble objectif normal, et aboutit à la démence paraly
que if l'halluci- nation psychique de Baillarger est avant tout un trouble fonc- tionnel des centres moteurs du langage ar
nts en ce qui concerne l'hyoscine. M. BRIAND lit un travail sur les TROUBLES DE la mémoire dans L'IN- T031C : 1TION par L'OX
s formes aiguës ou subaiguës du rhumatisme cérébral et en outre les troubles de la nutrition des arthritiques. Ceux-ci sont
ibilité d'intoxications secon- daires. Tout cela peut aboutir à des troubles psychiques dont l'in- terprétation causale est
souvent beaucoup plus étendue, elle s'accom- pagne cliniquement de troubles moins accentués que la poren- céphalie vraie qu
habituelle ; l'ivresse pa- thologique, c'est-à-dire d'une part les troubles mentaux aigus ou chroniques dus à l'intoxicatio
ues. AI. GASCARD étudie l'INFLUENCE DE la SUGGESTION sur certains TROUBLES delà menstruation. Il a pu guérir par l'hypnotism
e, l'onanisme, le blépharo- spasme, les attaques hystériques et les troubles sine materia du système nerveux; 3° aucun résul
s anomalies sur le compte du développe- ment. Certaines autres, les troubles de la sensibilité par exemple, si fréquents che
RT, dans un travail sur ce sujet, constate en bloc l'exis- tence de troubles nerveux cérébraux ou médullaires, sans les clas
École de la Salpêtrière, est beaucoup trop compréhensif. Il y a des troubles semblables aux symptômes décrits chez les traum
sur les urines de ces individus, il semble qu'il y ait chez eux un trouble de la nutrition par suite d'une véritable auto-in
'est fait pendant le somnambu- lisme est du à la disparition de ces troubles de la sensibilité et des images qu'ils auraient
onseille d'administrer le sulfonal loin des repas afin d'éviter les troubles gastriques qui ont été signalés. M. Marandon
douloureux, qui se sont compliqués de dépression et finalement, de troubles psychiques graves. Les accès sont ainsi constit
ent les symptômes précoces de la maladie suffisant, en l'absence de troubles de la parole et de démence trop accusés, pour é
AVANTES. 301 glosso-pharyngien. On constata des paresthésies et des troubles de la sensibilité sur la face, des difficultés
est demeuré intact. Le second fait est surtout remarquable par des troubles mar- qués dans le territoire des deux trijumeau
d'une glycosurie persistante (proportion, 5 p. 100), fut atteint de troubles psychiques (folie systématique hallucinatoire a
dies du svstemc uerveuc. Constituée par des douleurs de tête et des troubles visuels dans sa forme simple, par les mêmes sym
succès un examen de droit devant la Faculté de Paris. Les premiers troubles qui ont surtout frappé l'attention, remontent au
liée M. Parinaud. n'est pas moins intéressante. - Observation II. Troubles visuels à forme hémianopsique,. revenant par ac
hes. En juillet 1881, sans prodromes, il est pris brusquement de- troubles de la vue avec engourdissement du côté droit et e
personnes qui ne sont pas habituées à ce genre d'observation. Le trouble visuel a duré un quart d'heure environ. L'engourd
l'engourdissement a aussi envahi le membre inférieur gauche, et le trouble de la vue s'est généralisé à tout le champ visu
s'est qu'amélioré, sans que l'élocution revînt à l'état normal. Les troubles intellectuels et moraux restant en l'état. . Mi
ît plus que son âge. L'expression de la physionomie est insipide. Troubles psychiques. - Quoique par l'interrogatoire on obs
lement. Les réflexes rotuliens sont forts à droite. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité; les pupilles sont inégales,
. - l'as d'insomnie. Les autres fonctions s'accomplissent bien : ni troubles digestifs, ni troubles génésiques ni menstruels
s autres fonctions s'accomplissent bien : ni troubles digestifs, ni troubles génésiques ni menstruels. Quoique notre inten
que chez les enfants. - Ar- chives de physiologie, 1873. Hutinet. Troubles de la circulation veineuse chez les noweau- nés
e menaçante, ou s'en servir avec adresse pour saisir un os. Ces troubles de la motilité volontaire, ni Hitzig, ni Munk n
ée dans certains actes ». Mais encore quelle est la nature de ces troubles du mouvement volontaire consécutifs aux destruc
Hitzig, dans deux travaux de 1837 et de 1876, comme l'expression de troubles de l'activité représen- 364 PHYSIOLOGIE. tati
e mus- culaire, il y a la théorie de Schiff, suivant laquelle les troubles de la motilité d'origine cérébrale résultent de
au coin du génie éclectique des Italiens. Loin de subordonner les troubles du mouvement aux altérations des organes centra
ns centrales et pariétales. Dès 1882, Lisso avait réuni 88 cas de troubles de la sensibilité générale observés dans les lé
ces phénomènes sans être frappés de la rencontre fré- quente des troubles de la sensibilité générale et de la motilité vo
ce qui déterminent des paralysies motrices entraînent après soi des troubles de la sensibilité cutanée. Nothnagel incline ce
érine. Etude sur l'aphasie. (Rev. de médecine, 1885, p. 183.) « Ces troubles de la sensibilité cutanée... accompagnent le débu
Maragliano, Bianchi z, 'Palmerini \ Tonnini, etc., considèrent ces troubles ^moteurs comme parétiques ou paralytiques. Ains
nutieux permet de constater des traces de la persis- tance de ces troubles . D'autre part, ils répètent que- l'examen des d
nces des fonctions motrices détruites, le caractère transitoire des troubles moteurs et le retour de la motilité volontaire
. 106, p. 258 sq. 380 PHYSIOLOGIE. Ces auteurs ont trouvé que les troubles du sens musculaire, la diminution de la tension
l'animal survit assez longtemps au traumatisme opératoire, tous ces troubles d'inner- vation motrice, dus aux lésions du noy
ui suivent les destructions de l'écorce. Tels sont les principaux troubles , - avec une excitation psychique très vive de l
sait peut-être que d'un symptôme bien connu de l'hémi- plégie, de troubles vaso-moteurs locaux, et non d'une augmentation
motrice, mais d'une para- lysie de la sensibilité tactile. Tous les troubles de la motilité observés, ceux de la position et
'a fait Munk, les idées de Schiff et de Hitzig sur la nature de ces troubles , puisqu'il constate à la fois des lésions de la
réflexe ailleurs que dans l'écorce, mais sans 1 Schiff attribue ces troubles des sens de la pression et de la tempéra- ture,
onde des choses connues ou connaissables. Si Hitzig a découvert les troubles moteurs consécutifs aux lésions de la zone exci
ont tombés dans l'explication banale d'une paralysie véritable. Les troubles de la motilité volontaire, tous deux les ont ra
Hitzig : tous deux rappor- tent les altérations du mouvement à des troubles de la sensibilité générale. On pourrait donc re
u mouvement », au sens de David Ferrier. Jamais il n'a observé un trouble quelconque de sensibilité dans ses expériences
ntenant, l'insensibilité au froid (Herzenl), répétait que les mêmes troubles ataxiques qu'on .observe chez le chien après l'
fort et d'une plus longue durée; leur destruction n'entraîne pas de troubles manifestes de la motilité; enfin, les mouvement
des expériences de Raymond Tripier (1877, 1880) et de Goltz sur les troubles de la motilité et de la sensibilité générale, c
iés. Cette compensation, toutefois, reste toujours incomplète : les troubles per- sistants de déficit, les altérations résid
cutanée et musculaire ? - Oui, car dans' aucune des expériences les troubles les plus nets de la sensibilité générale n'ont
efois abolies. Quant au sens ou à la conscience musculaire, dont le trouble se manifeste souvent par l'indifférence absolue
t être- permanente. Puis, comme le prouve l'amendement rapide des troubles fonctionnels, certaines parties du centre enlev
sibilité générale et du mou- vement. Les phénomènes de déficit, les troubles de la sensibilité tactile et musculaire, ou les
ux concordent avec les faits cliniques. Chez l'homme, en effet, les troubles de la motilité volontaire, qui succèdent aux lé
pied, la contracture tardive permanente du membre inférieur, les troubles de l'équilibration et de la marche : ces dernie
r, les troubles de l'équilibration et de la marche : ces derniers troubles seraient en rapport avec une distri- bution bil
bien. Fièvre typhoïde à onze ans, avec accidents cérébraux. Pas de troubles intellectuels consécutifs. 1 Elle a eu depuis c
des deux yeux. Quand il fixe des objets un peu éloignés, sa vue se trouble et plus vite à gauche qu'à droite, puis peu après
u plusieurs vertiges, dont l'un a été très prolongé. 11 voyait tout trouble : « C'est à peine si j'y voyais assez pour me dir
de valériane, bromure de camphre. Etourdissements : La vue devient trouble , tous les objets tournent DE L'HYSTÉRO-ÉPILEPSI
par un affaiblissement graduel de la vue. La forme dépressive des troubles émotifs s'est accusée dans ce cas avec une nett
in nombre des grands symptômes de la maladie, le tremblement et les troubles vaso-moteurs en particulier, relèvent directeme
onction. G. D. XIII. UN cas d'ataxie locomotrice avec début par DES troubles trophiques; par 111. II. 111OLLIERG.. (Lyon méd
u facial .gauche ; 2° les deux noyaux d'origine de la 6° paire. Les troubles fonctionnels observés pendant la vie étaient do
raient isolées sur un même tronc. Parmi les malades affectés de ces troubles vasculaires, il n'y en avait que deux qui ne pr
ie de la gaine à l'extrémité du nerf optique a produit les premiers troubles de circulation générateurs des altérations patho-
ques (infiltration oedémateuse, tuméfaction, gonflement). De là les troubles fonctionnels àoscillations multiples coïncidant m
ion d'acide nitrique sont demeurées sans ac- tion sur elle, elle se trouble en se refroidissant et précipite. Le précipité
, que le sulfonal n'exerce sur lui aucune influence. M. Kast. Des troubles des facultés musicales chez les aphasiques. - I
correctement, il avait parfaite conscience de son impuissance. Ces troubles persistèrent alors que la parole s'était consid
coup affecté de deux attaques d'apoplexie. La seconde fut suivie de troubles très marqués de la parole (type Broca) avec tro
fut suivie de troubles très marqués de la parole (type Broca) avec troubles accusés de l'écriture. La parole s'améliora gra
la paralysie bulbaire franche et la pseudo-paralysie bulbaire. Les troubles de la respiration, de la circulation, du larynx
une hémiplégie alterne. En conséquence, bien qu'il n'existe ici ni troubles trophiques, ni troubles de l'excitabilité élec-
En conséquence, bien qu'il n'existe ici ni troubles trophiques, ni troubles de l'excitabilité élec- trique, les lésionsprin
s en foyer, 'un tabes, une névrite périphérique, l'association d'un trouble de la parole incontestablement bulbaire avec un
s et que, parmi les actes qu'il exécute, les uns se rattachent à ce trouble morbide, les autres, et parmi eux celui dont on
ique; celle-ci devient alors le terrain sur lequel germent d'autres troubles qui affectent un autre déve- loppement mais ils
t plus de l'asthénie simple. L'as- thénie cérébrale se complique du trouble de l'énergie de la puis- sance du travail et de
s affections en foyer de l'enfance, ne se traduisent jamais par des troubles du sens musical ou des facultés d'exécution quand
s'accompagne quand elle se montre dans la première enfance, d'un trouble ou de la disparition de la faculté d'exécution et
parfaitement subsister quand il n'existe que de la dysphasie, des troubles de la parole tendant un développement défectueux
urles légers accidents de parésie et d'excitation de la moelle avec troubles de la seiisiblité atteinte des réflexes tendine
de temps, présenta sur les trois derniers doigts de chaque main un trouble dans la croissance des ongles, ayant débuté au
sonnelles. Il s'agit de malades atteints de diffé- rentes formes de troubles psychiques (démence à la suite d'un traumatisme
s les autres exemples, nous les considérerons comme l'expression de troubles d'innervation et de pertubations trophiques pro
Le tabes doit être soupçonné chez un hémiplégique qui présente des troubles oculaires, du pus muscu- laire, de la sensibili
sie habituelle du côté paralysé et par les stigmates de l'hystérie ( troubles de la vision, zones hystérogènes, plaques d'ane
s, la sensibilité, le sens musculaire sont intacts; il n'y a pas de troubles cérébraux. Enfin il y a l'aspect empoté, la propu
Anthropologie criminelle (congrès d'), 171, 291, 408, Aphasiques ( troubles des facultés musicales chez les), par Kast,153.
del. 456 ; - Grashey, 456. Saturnine (intoxication saturnine avec troubles de l'intelligence et 474 TABLE DES AUTEURS ET D
r Castaras, 80, 207. Sens musculaire, par Gley, 285. Sensibilité ( troubles de dans cer- taines formes de maladies men- t
eruhardt, 152; -(pathologie du), par Oppenheim, 300; - (début par troubles trophiques du). par Ioilière, 'r30. Thrombose
71 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
habituelles. Vers la même époque, le malade commença à éprouver dos troubles dyspeptiques ; après les repas il se sen- tait
une modification; on ne constate ni d'éruption d'aucune sorte ni de troubles vaso-moteurs. Il y a un DE LA DÉFORMATION DU TR
c'est-à-dire du côté sain. Du côté des téguments, il n'y a pas de trouble trophique, mais les muscles du membre inférieur g
la fin de la journée. Le membre atteint no présente pas d'autres troubles : la sensi- bilité est normale; il n'y a pas d'
nt sur la station et sur la mar- 26 PATHOLOGIE NERVEUSE. che » ce trouble caractéristique. D'après l'avis'éclairé de M. G
Il y a évi- demment dans cette description la différenciation du trouble que nous étudions, mais l'interprétation pa- th
e-pied, est possible. Le pronostic est générale- ment favorable, le trouble disparaît lentement ou brus- quement et est suj
Weir-Mitchell décrit sous le nom d'ataxie mo- trice hystérique des troubles analogues et appuie sa description sur un certa
ier est la forme étudiée par Briquet et Lasègue3 3 dans laquelle le trouble est sous la dépendance de l'anesthésie et ne s'
s aucune espèce de paralysie. La malade, dans ces cas, n'a pas de troubles de la sensibilité dans les membres infé- rieurs
plus, l'excitation corticale qui semble en- gendrer l'un et l'autre trouble , serait primitive lors de convulsion statique,
ien- nent qu'à titre de complication; mais, dans tous les cas, le trouble fonctionnel est toujours le même, par- faitemen
par- faitement original, et différant à tous égards des di- vers troubles de coordination jusqu'ici décrits et caté- gori
s. Il y a eu aussi quelques douleurs dans les deux flancs. Quelques troubles visuels seraient survenus récem- ment, caractér
ua à se bien porter. Le 4 octobre, il fut repris subitement du même trouble , sans aucune cause apparente, et se plaignit de
se tenir debout. Depuis, son état général resta excellent, mais le trouble moteur persista tel quel, et l'enfant fut condu
. Les jambes ne présentent rien d'anormal : ni amaigrissement, ni troubles trophiques d'aucune sorte. La sensibilité général
is, il y a un léger rétrécissement du champ visuel. Il n'y a pas de troubles des réactions électriques. Les organes génitaux
evant, il a encore un peu d'hésitation dans la démarche. Depuis. le trouble disparaît complètement. 5 septembre. Nous avons
truérison s'est maintenue depuis, et qui n'a soutfert d'aucun autre trouble ner- veux. Observation IV. (Dr Serafeno ROM
uivis de sensations désagréables et de secousses cloniques. Aucun trouble actuel de la vision : il aurait vu gris (achroma-
achroma- topsie) pendant un temps. L'état général est bon : aucun trouble des autres appareils. Observation VII. (Rédig
la région dorsale, la malade se tient courbée. Puis survinrent les troubles des membres inférieurs qui empêchèrent la march
ied n'existe pas. Il n'y a aucune modification de la force, aucun trouble de la coordination. Les membres ne sont pas rig
chissent alors, et le malade est menacé d'une chute. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité cutanée. Observation IX. (R
le à l'â ? e de deux ans. Depuis son enfance elle a fréquemment des troubles gaslro- intestinnux légers. Elle a été réglée à
improviste un coup sec sur le creux du jarret. Dans la marche les troubles atteignent leur maximum. A chaque pas que fait
claudication; mais dès qu'elle veut marcher comme tout le monde, le trouble réapparaît. Elle peut également oxéruler snnsin
nd hypnotisme. Par suggestion je fais disparaître immédiatement les troubles de la marche, et la malade peut descendre un es
autre, elle ressentit de vives douleurs lombaires, sans fièvre, ni trouble des sphincters, qui la forcèrent à s'aliter. -
ans leur leur motilité, dans ( leur sensibilité, existe de plus des troubles de la station et de la marche paraissent indépe
és, car alors la malade s'affaisserait si on ne la soute- nait. Les troubles sont plus prononcés du côté gauche. La malade m
re bien des poins obscurs. Nous nous proposons d'étu- dier ici un trouble assez rare et encore peu connu du système nerve
faciale droite. Mydriase du côté correspondant. Thermanesthésie et troubles de la sensibilité dans le membre supérieur droi
mbé. Il n'accuse ni douleurs de tête, ni perte de mémoire, ni aucun trouble de sensibilité spéciale. Du côté de la vue no-
urvenait sur le côté gauche du front. Il y avait chez ce malade des troubles oculaires. Roque rapporte le cas d'un jeune hom
e la face et du cou. La peau n'était pas rouge : il n'y avait aucun trouble pupillaire, aucun trouble de sensibilité. La pr
n'était pas rouge : il n'y avait aucun trouble pupillaire, aucun trouble de sensibilité. La pression au niveau des apoph
Il est à remarquer toutefois que les symptômes de para- lysie ou troubles vaso-moteurs étaient intermittents, ce qui tend
te partie de la face; pas d'aug- mentation de la température pas de troubles pupillaires. Les pupilles sont égales; elles se
réagissent également bien à la lumière et à l'accommodation. Pas de troubles de sécrétion lacrymale. - Rien d'anormal dans l
s de rougeur de la face avec hypéridrose et hyperthermie sans autre trouble apparent de la santé. M. Leudet (de Rouen) a
ous l'influence de toute préoccupation. Il n'y avait ni rougeur, ni troubles pupillaires, mais amblyopie du même côté. En
es observations d'éphidrose de la face, il est possible de noter un trouble dans le fonctionnement du système nerveux. Ces
Lésion des nerfs de la face (facial ou surtout tri- jumeau) ; 4° Trouble réflexe dont le point de départ réside dans une
heure. A dix mois, il eut des convulsions sans cause connue et sans troubles physiques et intellectuels consécutifs. Il étai
lus intense, dit-il, aux convulsions les plus violentes, succède le trouble le plus effrayant delà res- piration et de la c
nte grave, à évolution prolongée, au moment de la convalescence, de troubles intellectuels, revêtant, le masque de démence a
enne obscure conduisant à une conception fausse. P. K. VIII. D'un TROUBLE précoce DE L1 sensibilité dans la démence para-
démarche. Un an encore, et petits accès épileptiformes. Finalement trouble de la parole consistant en hésitations, ra- len
res. Huitième groupe : Idées de persécutions avec hallucinations et troubles de la sensibilité générale. (Ce groupe comprend
la paralysie générale. - M. Christian, énumère un certain nombre de troubles morbides qu'il a notés chez beaucoup de malades
ique et avoir une signification pathologique bien déter- minée. Ces troubles morbides sont tantôt des troubles de la vision
thologique bien déter- minée. Ces troubles morbides sont tantôt des troubles de la vision (diplopie, strabisme ou ptosis), t
des intestins, de la vessie, etc. Il faut y joindre également les troubles trophiques dont le mal perforant est un eemple et
Christian propose-t-il de réunir dans un chapitre nouveau tous les troubles morbides qu'il a énumérés et d'en constituer la
ion sur un cas d'hallu- cinations auditives survenues à la suite de troubles de l'ouïe. il s'agit d'un malade âgé de trente-
raison aux auteurs qui subordonnent certaines hallucinations aux troubles des organes des sens. Mais il n'y a là qu'une app
lles se traduisent par des impulsions. M. Ballet ne croit pas qu'un trouble sensoriel puisse de toute pièce engendrer des h
le sensoriel puisse de toute pièce engendrer des hallucinations. Ce trouble intervient au plus comme cause occasionnelle. C
voix qu'il entend. M. BALL n'a pas la prétention de dire que les troubles des organes de l'ouïe suffisent à déterminer de
tifs, les dyscrasies ne regardent que le traitement médical; G° les troubles psychiques qui se montrent chez maints idiots s
animaux qui ont survécu à des destructions symétriques offrent des troubles extrêmement marqués dans l'in- gestion alimenta
d'une myélite lombaire des cornes grises antérieures; l'absence de troubles de la sensibilité implique l'intégrité de la mo
M. le Docent TuczET (de Marbourg). Nouvelles communications sur les troubles nerveux permanents consécutifs à l'ergotisme. - I
erg (1879-1880) (Archiv. f. Psych. XI, VIII)1, caractérisés par des troubles intellectuels, des convulsions épileptiformes, la
émet spontanément, qu'il peut répéter. Intégrité de la vision, ou troubles de la vue n'ayant rien à voir avec cet accident.
ment dites; elle représente une aphasie dans un sens plus large, un trouble de la faculté signatrix de Kant. Ce qui la diff
iant, si facile à confondre, si on ne l'analyse pas à fond, avec un trouble simple de la vue, qui, dans tous les cas observ
atteints d'obsessions, tandis qu'à.côté de cela ils disent que les troubles psychiques sont exclus deleurs éta- blissements
alysie générale chez un épileptique (1879); Des relations entre les troubles de la motilité dans la paralysie générale et le
e nettement accusée dans la sphère de l'anesthésie partielle, des troubles trophiques de la peau, un panaris dans les anté
OLOGIE NERVEUSE. des soubresauts musculaires, de la scoliose, des troubles subjectifs de la sensibilité, de la préoccu- pa
éprouvée dans la cuisse droite et des paresthésies antérieures. Les troubles objectifs de la sensibilité ont considérablemen
é une thermo-anesthésie et une analgésie considé- rables. Ces mêmes troubles se sont étendus à la sphère du sus- scapulaire
musculaire ni à l'épaule gauche, ni dans d'autres endroits. Pas de troubles trophiques de la peau. La région de l'anesthési
source alcaline n° 17 avec du lait. Le caractère hémiplégique des troubles existants chez ce malade dans le premier stade
es régions à sensibilité altérée (sur la nuque et le thorax), des troubles prédominants des membres supérieurs, la partici
Etat actuel. La malade est pâle, maigre, mais ne présente pas de troubles du côté des organes de la digestion, de la circu-
par moi dans le courant de l'année suivante. 8 Janvier 1883. Les troubles du mouvement et de la sensibi- DE LA GLIOMATOSE
e ; à la suite d'une émotion vive ou d'un léger trauma- tisme, le trouble s'établit soit d'emblée, soit progres- sivement
intenir l'équilibre autant que possible et à prévenir la chute. Ces troubles s'accen- tuent de plus en plus pendant la march
dépas- sent le but.. Ajoutons, enfin, qu'à son moindre degré, le trouble peut ne consister qu'en une sorte d'incertitude
egré, parce que leur impo- tence était insuffisante à expliquer-les troubles de la station et de la marche, qu'on pourrait c
hypéresthésiques, analgésiques, rétrécis- sement du champ visuel , troubles sensoriels divers, attaques, qui devront, par s
e. La marche de cette affection est assez capricieuse ; ainsi, le trouble , déjà établi depuis plusieurs mois, a pu, dans
nférieurs. Enfin, il existe d'autres signes : absence des réflexes, troubles oculaires, douleurs fulgurantes, troubles vésic
s : absence des réflexes, troubles oculaires, douleurs fulgurantes, troubles vésicaux, etc., tout à fait spéciaux. Lors de
che même de la maladie ne permettront pas de douter longtemps. Le trouble que Briquet puis Lasègue ont nommé Archives, t.
ux et vingt- cinq ans. Nous avons même constaté l'existence de ce trouble chez une femme de cinquante-deux ans. La cause
pement, DE l'astasie ET DE l'abasie. 201 soit à la disparition du trouble moteur, plaiderait en faveur de l'origine corti
e avec les mêmes caractères. Lorsqu'après avoir fait disparaître le trouble par suggestion on lui dit : « Tu ne sais plus m
ses liées à des modifica- tions de la circulation capillaire, à des troubles vaso- moteurs. , ' Il en est d'autres absolum
au ni- veau du bulbe et même dans l'encéphale a donné lieu à des troubles vaso-moteurs ou sudoraux. Des observa- tions te
dans le tabes : crises douloureuses viscérales, crises de diarrhée, troubles sécréteurs ou vaso-moteurs observés sur le tégu
arition de tous les symptômes qui, de près ou de loin impliquent un trouble circulatoire ou une alté- DES ÉPHIDHOSES DE LA
i répond en clinique à deux types : 1° syndrome, éphidrose, myosis, troubles vaso-moteurs; 2° éphidrose seule ou le plus sou
ssortir en premier lieu la persistance de la mydriase alors que les troubles sudoraux sont temporaires et passagers. Tandis
laire; la mydriase ou le myosis n'augmentent pas. Puis bientôt, les troubles sudoraux ou vaso-moteurs, suivant les cas, disp
centres bulbaire ou spinal. Elle se présente au même titre que les troubles pupillaires et les phénomènes vaso-moteurs. Ceu
est plus rapide s'il essaie de tourner à gauche. On ne note pas de troubles de la sensibilité et de la motilité. Le malade
lle présente successivement les formes principales qu'affectent les troubles intellectuels, mélan- Kalilbatini. - Die Katalo
mation cutanée abondante; l'anorexie, la fétidité de l'haleine, les troubles de la défécation : la chloro-anémie est fréquen
quatrième ventricule.. Dans les autres cas, elle était constamment trouble en cet « endroit, et, de plus, il y avait une t
our Kahlbaum, les maladies mentales en général sont causées par des troubles nutritifs qui, débutant par l'hypé- rémie, l'ex
ndis que d'un autre côté apparaissent, comme phénomène capital, les troubles du système nerveux moteur présentant le caractè
s symptomatique changeant d'une façon cyclique et s'accompagnant de troubles du système nerveux moteur qui, dans ce cas, aur
résente soit dans un état de santé com- plète, soit dans un état de trouble mental durant depuis un certain temps et qui, s
développe du mutisme sans raideur musculaire et sans changement des troubles intellectuels mélancoliques. Des signes importa
yphoïde, mais la caractéristique pathologique pourKiernan serait un trouble primitif dans les centres vaso- moteurs, amenan
rima^y insanities) dans le sous-ordre des états caractérisés par un trouble émotionnel fondamental expansif : (manie), J dé
ait une forme de délire systématisé (Wahn- sin). Car, pour lui, les troubles moteurs sont primitifs et fon- damentaux, les m
FAT Première analyse (lor avril, septième jour de sommeil). Urine trouble , très colorée, très acide; légère odeur. Poids
ps avant l'attaque, les hystériques présentent presque toujours des troubles de la sen- sibilité, qui se traduisent le plus
la sensibilité dans tout le côté droit sans faire disparaître les troubles de sensibilité à gauche (hémianesthésie). » Si
l ajoute « ..Chez les autres, il y avait eu soit du délire, soit du trouble dans les idées, soit de la pesanteur de tête. »
ors des phénomènes les plus graves et les plus persistants, que des troubles dyna- miques inappréciables, tout au moins avec
dans beaucoup d'eau n'ont aucun inconvénient. Il faut se défier des troubles vaso-moteurs, causés par la paraldéhyde, surtout
aisseaux de la base présentant des exsudats circonscrits, pie-mère, trouble à la base se détache à droite en gros lambeaux fa
enlever sans léser la substance corticale. Pie-mère cérébelleuse trouble ne se détache qu'en petits morceaux. Hémisphère c
ne peut lire l'écriture, quoique l'on ne puisse cons- tater de gros troubles de la vue. A partir du jour où survint l'aphasi
définitives ont compromis l'intégrité de l'organe, et déterminé le trouble de la fonction. La responsa- bilité peut être a
um; il peut être pris pendant plusieurs années sans occasionner des troubles de l'esto- mac. D'après lui, il guérit quelques
uire des crises viscéralgiques ; elles peuvent enfin déterminer des troubles de la coordination des mouve- ments ressemblant
e Rorn6eg. Excitation génitale suivie de frigidité. De 1 88 ci 886, troubles de la miction, tenesme rectal, crises gastriques.
fulgurantes types. Persistance de l'incoordination motrice. Pas de troubles de la vue, ni de troubles trophiques. Réflexes ro
tance de l'incoordination motrice. Pas de troubles de la vue, ni de troubles trophiques. Réflexes rotu- liens conservés. Mor
e le pied lui paraissait solidement fixe sur un plan résistant. Les troubles de la coordination motrice augmentaient considé
l n'y a pas d'atrophie musculaire, ni d'adipose sous-cutanée, ni de troubles trophiques de la peau ou des ongles. La sensati
sont toujours perçues en deux temps (-1 contact, 20 piqûre). Pas de troubles de la vue. Pas de troubles trophiques. Etat génér
ux temps (-1 contact, 20 piqûre). Pas de troubles de la vue. Pas de troubles trophiques. Etat général bon. Dans le courant
r exemple, que la conservation des réflexes rotuliens, l'absence de troubles des réactions pupillaires auraient dû faire éca
qu'il existe, dans certains UN CAS DE PSEUDO-TABES. 353 cas, des troubles fonctionnels susceptibles de donner lieu à un e
e lésion organique préexistante ou s'il est le résultat d'un simple trouble fonctionnel. Les accidents qui paraissent relev
veux. L'apoplexie elle-même est quelquefois le résultat d'un simple trouble dynamique de l'encé- phale et rien ne ressemble
- apoplexies. Nous ne comprenons pas encore le méca- nisme de ces troubles fonctionnels, mais qu'importe ? 2 Nous en somme
paralysie faciale n'a pas été chez elle un accident isolé, c'est un trouble nerveux de plus à ajouter à ceux qui l'avaient
équemment des attaques de nerfs; il y a trois uns elle présenta des troubles vésaniques qui nécessitèrent son admission dans
t trois mois. La paralysie faciale est totale, elle s'accompagne de troubles du goût. A l'exploration électrique pratiquée p
, il convient d'ajouter l'affaiblissement des organes génitaux, des troubles vésicaux (incontinence d'urine) et de la diplop
stérieurs fait exception à cette règle, mais ne sait-on pas que les troubles psychiques sont fréquents dans le tabes et que
puis- sante pour amener la dégénérescence du nerf, et partant des troubles marqués dans l'état de la con- tractilité. »
on, elle n'est qu'une verrucktheit aiguë un peu particulière, les troubles moteurs ne sont pas des crampes et ils n'ont pas
du contenu mystique (Morell) ou érotique et même en dehors de tout trouble délirant, dans l'imbécillité, par exemple; on l
de la sensibilité au tact, à la dou- leur, à la température. Pas de troubles du sens musculaire. Ce malade a la faculté sing
'hystérie, aucune perte de sensibilité ou du sens musculaire. Ces troubles moteurs sont encore accentués dans la mélan- co
lus graves d'excitation, et en particulier dans le délire aigu, les troubles du système nerveux moteur peuvent être des plus
de ces symptômes il en est d'autres en rapport plus étroit avec les troubles psychiques et que Kalh- baum donne également co
la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques, on observe des troubles de la vue : diplopie, amblyopie, nystagmus, exa
équents dans la dernière maladie, sont absents dans la seconde. Les troubles psychiques (hallucinations, délire mélan- coliq
aques ne paraissent pas se rencontrer dans l'athétose double. Les troubles de la parole se ressemblent au premier abord. T
chez les malades atteints de sclérose en plaques et tandis que les troubles de'la parole vont en s'aggravant dans la scléro
On n'a pas encore observé, que nous sachions, dans l'athé- tose les troubles viscéraux (crises gastriques, laryngées, néphré-
ryngées, néphré- tiques, vésicales, parésie vésicale, cystite), les troubles 12-oplti*- ques (arthropathies, fractures, atro
réditaire, maladie de la puberté et non de la première enfance, les troubles moteurs, qui ont le caractère ataxique et ne s'
he s'améliore et n'est pas modifiée par l'occlusion des yeux. Les troubles de la parole qu'on remarque chez les athéto- si
hé- tosique la direction générale du mouvement est conservée. Les troubles cardiaques, la diathèse rhumatismale, si com- m
éminée (en plaques), stationnaire ou passagère, de concert avec des troubles semblables des fonctions sensorielles (vue, ouï
re. Sous le titre d'aliénés, M. Thomsen entend désigner en bloc des troubles psychiques passagers ou permanents, idiopathiqu
ordinaire et coloré); huit dyschromatopsies, trois achromatopsies; troubles uni ou bi-lalé- raux, parfois passagers; le rét
e, les parois osseuses ne conduisaient plus le son ; dans le cas de troubles du sens musculaire on a toujours noté l'anesthé
psychoses. Le relevé dans les anamnestiques de l'alcoolisme, des troubles céphaliques, de l'épilepsie, qui constituent, dan
uence favorable exercée PAR LES MALADIES AIGUËS SUR L'ÉVOLUTION DES TROUBLES PSYCHIQUES ; par G. Leiimann. (Allg, Zcilsclv.
autres de ces derniers sont détruits ou lésés, il se produit des troubles dans les différents phénomènes de cette nutrition
n faites pour faire penser à une action nerveuse, comme cause de ce trouble de la pigmentation cutanée. De nombreux auteurs
vitiligo de nombreux traits de ressemblance avec certains faits de troubles de la pig- mentation cutanée, dans lesquels l'a
dix lunatiques, quatre épileptiques. Il cite un cas dans lequel les troubles de coloration se montrèrent, là où le malade re
atrophie du bulbe pileux des cheveux, fait qui explique bien les troubles de coloration exposés plus haut. (The alienist an
nous voyons d'après l'observation de M. Séglas : Débilité mentale, troubles de la parole; ignorance profonde, inversion sex
s très rares de la névrose convulsive, n'offrent absolument aucun trouble intellectuel. J'ai eu récemment l'occasion de d
iode avec des halluci- nations de l'ouïe, du goût, de l'odorat, des troubles de la sensibi- lité générale et des idées stéré
ue notre excellent collègue nous permette de faire observer que les troubles de la sensibilité générale se montrent assez sou-
dégénéré dont les anté- cédents fournissent habituellement d'autres troubles nerveux. Le pronostic devient dans ce cas beauc
qu'on lui fait des misères et qu'auparavant il ne présentait aucun trouble intellectuel, j'écarte l'idée du délire chronique
et sera célébrée par un banquet. M. Thomsen lit son mémoire sur les troubles de la sensibilité chez les aliénés. Il sera pub
élec- trique. Discussion : M. LHTHOFF fait ressortir combien les troubles de la vue de ces malades ressemblent à ceux des
e que M. Bernhardt a vu en pareil cas de l'ataxie, de très grands troubles de la sensibilité, de la démence psychique (Berli
e la motilité. Intégrité des bras. Dans les extrémités inférieures, troubles considérables de la sensi- bilité et du sens mu
Ralentisse- ment de la conductibilité des impressions. Paresthésie. Trouble accusé du sens de position. Absence de réflexes
ipation de la substance blanche, est-elle capable de déterminer des troubles moteurs ? 2° Y a-t-il trouble de la sensibilité
, est-elle capable de déterminer des troubles moteurs ? 2° Y a-t-il trouble de la sensibilité ? - 3° La dégénérescence seco
à droite, et, à plusieurs reprises, attaques épilepti- formes avec trouble de la connaissance (convulsions cloniques du cô
nalytiques. - 478 8 sociétés savantes. Faiblesse des extrémités ; troubles de la parole comme ceux des lésions bulbaires,
xtrémités ; troubles de la parole comme ceux des lésions bulbaires, troubles de la mastication et de la déglutition, aggrava
ative, n'ont pas dépassé le territoire de ce nerf à la main, et les troubles de la sensibilité se sont limités à ce domaine
es tubérosités de ces régions. La mikrophthalmie simultanée et le trouble des nerfs olfactifs marquent l'époque à laquelle
. Dans le cas de M. Oppenheim,le bras atrophié ne pré- sente pas de trouble de sensibilité non plus que l'extrémité supé- r
ainsi que des céphalalgies occipitales, une titubation légère, des troubles peu accentués de la déglutition, de la faibless
peu accentués de la déglutition, de la faiblesse des jambes et des troubles dans l'évacuation de l'u- rine. A l'examen, on
ieux, à l'opposé de ce qui concerne les excitations cérébrales. Les troubles moteurs consécutifs aux lésions expérimentales
72 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
appelant ; sous l'influence de la station debout prolongée et, des troubles vaso-moteurs, les jambes et les mains sont très
ns ajouter que celle malade a pris du véronal il un moment où les troubles intellectuels' étaient en régression et où l'inso
uellement, après 5 mois d'emploi, il n'ya a pas d'accoutumance. Les troubles mentaux se sont améliorés, mais on ne peut, ces
vertiges qui ont été si- gnalés chez certains sujets. Malgré leurs troubles men- taux, quelques-uns de nos malades n'auraie
x ; la température est redevenue normale. Malgré la persistance des troubles physiques,, le délire et les hal- lucinations,
es troubles physiques,, le délire et les hal- lucinations, tous les troubles mentaux s'amendent. Du 15 au 18, le prurit pers
ce blanche cL de l'axochromatenine qui lui est liée, par suite d'un trouble de nutrition, par défaut d'une matière nutritiv
système nerveux central est lésé, l'aclil ité mentale présente des troubles parce que les communications étant anéanties, l
encore au pédoncule cérébelleux moyen, il convient de rattacher les troubles de l'é- quilibl'e constatés ; une lésion du tro
x canaux semi-circulaires altérés d'un côté on pourrait imputer les troubles de coordination des membres droits, qui dispara
par l'auteur-peuvent se résumer ainsi : Dans la chorée chronique le trouble hyperkinélique est fonction du faisceau extra-p
rencontre jamais avant la trentième année, s'accompagne toujours de troubles psychiques dénature démentielle et se termine i
teurs qui font rentrer dans le syn- drome de Raynaud la plupart des troubles angio-lrohho-neuru- tiques (asphyxie des extrém
- flexes tendineux), puissent provoquer à la longue de semblables troubles angio-tropho-neurotiques, l'auteur incline à croi
ontiersincriminées, sont plutôt le résultat que la cause de pareils troubles . Ceux-ci seraient conditionnés tantôt par un sp
eurolog. Ct'Mft-M ? XX, 1901.) Prenez un individu indemne de tout trouble du côté de l'appa- reil optique, dioptrique, lo
20 et 30 ans : la démence précoce (précoce eu égard au dé- but des troubles mentaux plutôt qu'au point de vue de lage) sera
rie aboulique des obsessions, qu'il s'efforce d'expli- quel' par un trouble particulier de l'émolivité consistant dans une
tération de la substance grise péri- épendymaire qui donne lieu aux troubles vaso-moteurs, lrultlti- ques, sécrétoires, et a
comme une forme morbide autonome, caractérisée il la fois par des troubles psychiques (amnésie des faits récents et de la vi
rfrequenccet leur intensité. » (1). G. 1). VU, - Action toxique des troubles viscéraux dans la ge- nèse des psychoses ; par
s sujets prédisposés sont susceptibles de provoquer l'apparition de troubles mentaux par insuffisance fonctionnelle du foie. L
n de troubles mentaux par insuffisance fonctionnelle du foie. Les troubles psychiques offerts par le malade correspondaient
e nature toxique, que, dans l'espèce, il convient de rattacher à un trouble grave de la glande hépatique. noter que les lés
niu aromatique. Un petit nombre de ces composés pro- ,0111H'nl. des troubles psychiques. L'acide salicylique détermine du dé
pour la morphine et ses dérivés : il celte dernière appartiennent : troubles psychiques aigus l'l pâs- siou du malade pour l
sonnes anémiques et. délicates, chez celles qui présentent certains troubles cardiaques, il est moins nuisible que l'hydrate
avoir trouvé de foyer au niveau de la cicatrice crânienne. Tous les troubles disparaissent soudain. P. Keraval. SOCIETES S
ngt-six ans que je pré- sente est atteinte depuis l'âge d'un an dl' troubles 111()Iilité du côté tlroil. Ce qui frappe surto
lement artérioscléreux, est porteur d'une hémiplégie organique avec troubles hystériques'surajoutes et syndrome cérébelleux,
des objets, qu'elle n'a certainement jamais vus antérieurement. Ce, trouble 71 SOCIÉTÉS SAVANTES. se présente chez des in
rliges, la([\- sal'lhl'il', etc. Acluullrnnenl, acconfualion de ces troubles , avec nyslagmus, amblyopie, asynergie cérébelle
amblyopie, asynergie cérébelleuse, dladokokinésie, démarche l'as du troubles de l'équilibre, ,011liol1lH'1 statique, Au synd
1 statique, Au syndrome de la sclérose en plaques, s'a- joutent des troubles hysléro-neuraslhéniques et phobiques qui compli
le. Réflexes tendineux abolis, contractions lilrrillai- res, Pas du troubles de la sensibilité, pas de signes du paralysie b
atrophie musculaire diffuse. Comme cette femme a présenté de légers troubles proprement bulbaires et médullaires, les auteur
léon,.· rra luques à prnho. d'un malade S) phi li- tique atteint de troubles bulhn-eérébelleuw lfélllOl'rlw[Jie 1/léitil1,qé
t cortège à l'attaque anxieuse, on a particulièrement signalé des troubles du côté de la circulation, delà respiration, de
sthénie pure et simple. Il existe aussi dans un certain nombre de troubles psyehopalhiqucs accompagnés d'anxiété ou d'ango
t slirloul malade depuis cinq semaine-, mais les premier- signes de trouble mental remontent àuu moins six mois. C'est une
oulcvcraer a·. idées. Elle présente depuis plusieurs semaines des troubles mentaux que l'on peut ranger sous deux chefs :
hélix : crâne tourmenté. Depuis trois mois environ, il présente des troubles intellectuels, d'abord légers, puis' de plus en
perçoit qu'il a l'esprit troublé. De- puis quatre mois surfout, ces troubles n'ont fait clu'aunlo·nlur : il s'excite, des mo
nts ; mouvements désordonnés comme de'faire l'exercice militaire. Troubles vaso-moteurs, surtout du côté des membres inférie
nte émotion, d'où suppression menstruelle l'1]Jll'nlil'l'e crise de trouble mental de peu de durée qui disparut sans laisse
dents névropalbiques avec dé- les·ion ly luwllniaync..1 19 uns, ces troubles deviennent l'un- tinus, l'affectivité s'altère,
ère emporté, mais il n'a jamais présenté d'accidents nerveux, ni de troubles mentaux proprement dits. Nous manquons de ren
nviron ; el depuis car sa fa- mille rattache naturellement tous ses troubles ultérieurs il ce traumatisme crânien on lui con
elevons enfin une exagération des réflexes rotuliens. A côté de ces troubles , le malade accuse d'autre part des peurs noctur
la nourri- 1 t Il'1'. Ji Comment donc comprendre cet ensemble de troubles morbides. La manière même dont nous les axons e
t les signes physiques qui l'accompagnent, embarras de la parole et troubles pupillaires. indiquent suffisamment que nous av
s avons à faire à une paralysie gé- nérale en pleine évolution. Les troubles sensoriels péni- bles que nous observons la nui
ésent au suicide ne sont qu'une expression de la prédisposition aux troubles mentaux que le récit de son existence nous mont
, des répétitions et presque à des radotages. Ce retentissement des troubles morbides les uns sur les autres n'est cependant
et pupillairos restent les mêmes que les premiers jours ? Ainsi, troubles délirants avec idées répétées de suicide liés i
tre un pronostic relativement meilleurquanl a la rétrocession et au trouble fonc- tionnel. On a signalé encore la papile ét
l'altéra- tion du sens musculaire des muscles oculaires et avec un trouble de l'accommodation ; principalement quand les v
Il existe une seule zone, dont les lésions ne produisent jamais de troubles sensoriels ou moteurs, et provoquent au contraire
les rapportera deux grands types : celles qui l'expliquent par des troubles d'origine centrale, théories toujours plus ou m
'illStlla. L'auteur insiste sur la persistance sans amélioration du trouble de la parole pendant l'année qui s'écoula à par
vrai qu'il y a des cas intermédiaires constitués par un mélange de trouble moteur, de trouble sensoriel, et même de paraly
cas intermédiaires constitués par un mélange de trouble moteur, de trouble sensoriel, et même de paralysie tactile ; il n
lités organolultliyles se trouve oblitérée. S'il n'y a pas alors de trouble dans les complexus conceptuels verbaux, il faut
bien qu'elle se rende compte de ce qui se passe autour d'elle. Ces troubles disparaissent il leur tour mais après un interv
I/JI" \\1LL,1904.) La catato- nie en tant que forme indépendante de trouble mental ; par \\'.l'. Osstpow. (0o : t) ? t6).s'
nsations' et d'idées délirantes. Dans le premier cas, i ! e.\isteun trouble de la balance normale entre les muscles protagoni
tation d'une perturbation de la motilité que les conséquences de troubles intra-psychiques dans une localisation qui rigour
tion des centres corticaux du facial supérieur ne détermine pas des troubles moteurs notables dans la partie supérieure de la
;)0 dans la ménin- gite infectieuse le liquide d'abord séreux puis trouble , puis séro- tihrineux, devient purulent, sa cou
e croit que les escharres, étant le plus souvent la conséquence des troubles trophiques,la malpropreté n'est qu'une cause oc
, même en dehors de ses accès, \ ienL à l'appui de celte thèse. ' Troubles psychiques d'origine probablement sulfo-carbonée.
- Lion sanguine qui a causé l'hypertrophie. Paralysie agitante et troubles labio-glosso laryngés. M. Souques ayant souvent
le sens actuel nous échappe. 1 c) Stéréotypies de la mimique. Les troubles de la mi- mique constituent dans leur ensemble
idc-quc la maladie devra ses symptômes révélateurs et le malade ses troubles les plus accusés. Eh bien ! le processus, dont
e n'a pas lieu de nous surprendre. puis- que c'est chez eux que les troubles psycho-moteurs en général, atteignent leur maxi
les actes dont il s'agit restent en parfaite , concordance avec les troubles idéo-alfeetifs, et tant que STÉRÉOTYPIE DES DÉM
sc 1-11.) Toute hémiplégie est presque constamment accompagnée de troubles de la sensibilité proportionnels à l'intensité de
ébut de la maladie. Dans les formes moins graves d'hémiplégie, .les troubles de sensibilité sont moins marqués et ont la mêm
ont moins marqués et ont la même distribution topographique que les troubles moteurs. Le rapport de fréquence et de pa- rall
e fréquence et de pa- rallélisme existant entre l'hémiplégie et les troubles sensitifs tendraient à confirmer ce que les der
ns h piques, plus ou moins com- plètement étudiés. L. W. XL1. Les troubles vaso-moteurs dans les névroses ; "* par GrtACnE
riques. Un : le groupe est celui des psy- chasthéniques qui ont des troubles trophiques au ni\eau des ex- trémités, des sueu
comme l'a démontré Lussana des phénomènes de déficience dus à des troubles du sens musculaire. Un sait ce qu'on entend en ph
n sait ce qu'on entend en physio- logie par ces mots. Peu à peu ces troubles se localisent à un côté du corps en rapport a\e
es expériences de Pagano a ec le curare semblent indi- quer que ces troubles relèvent de l'excitation et non de la dépres- s
nature motrice. Pour Stefani, il y a ressemblance absolue entre les troubles cérébelleux et ceux dus à des lésions du labyri
s lisses et striées, un cartilage hyalin. C'est un tératome dû à un trouble de construction d'un seul embryon. L'étude du d
rs de la jambe. La répartition de la para- lysie, l'absence de tout trouble de la sensibilité, de sensibilité à la pression
ns classiques de la maladie de Uupu)- tren étaient accompagnées des troubles s)ringomYl'liques de la sensibilité. Donc la ré
même d'hypertrophie qui peuvent elles-mêmes de- venir l'origine de troubles cardiaques organiques graves. On met ces troubl
enir l'origine de troubles cardiaques organiques graves. On met ces troubles en lumière en fatiguant le malade surtout dans le
a élévation de la tempe- rature jusqu'à 43° sans accompagnement de troubles quelconques. Avant d'assurer un pareil diagnost
a, 1UOIJ, n° 10.) Ce syndrome est caractérisé par des vertiges avec troubles oculo- moteurs ; insuffisance totale ou partiel
tielle de l'équilibration du corps, des nausées, de l'angoisse, des troubles auditifs passagers, des phénomènes douloureux d
.-Répliqne aux critiques de M. Kienboeck sur ma symptomatologie des troubles trophiques de la syringo- myélie (ostéomalacie)
og. Cenl1'alúlatl, XX, 1901.) Le travail de M. Kienboeck intitulé : Troubles trophiquesdans le tabès et la s ! JI' ! JI1 ! J
lupart des arthropa- thies syringomyeliques ; le point de départ du trouble de la nu- trition, la cause des atrophies, doiv
pathie, la démence ; il n'existe pas de lésions anatomi- ques ; ces troubles sont probablement de nature toxique.. , , Les s
s d'e.\citation et de précocité, irritabilité, tendances perverses, troubles moteurs, tics, peurs et . obsessions. Troubles
tendances perverses, troubles moteurs, tics, peurs et . obsessions. Troubles vaso-moteurs, sensoriels' et lrophiques" etc...
eloppement : soit par des des causes physiques, catarrhe chronique, troubles chroniques de la nutrition, de la vision, etc..
ce; autrement dit, ils peuvent, s'ils sont délaissés, présenter des troubles permanents, mentaux uu normaux : 5° Enfants pse
fait que notre- malade présente plusieurs lares qui se lient il des troubles de développement. t. Sclérose en plaques elle :
hez ce malade, dans la zone du trijumeau, des Iroub les scnsi tifs ( troubles delà sensibilité tadilc) et des troubles frophi
des Iroub les scnsi tifs (troubles delà sensibilité tadilc) et des troubles frophiques (cataracte précoce, chute spon- tané
sexuelle pendant la grossesse un rôle important dans l'étiologie de troubles nerveux chez des enfants indemnes de toute héré
tensité et de variété. Les tt'aulllaLislI1cs lcs plus légers, les troubles somatillucs quelconques constituaient des provo
le considérer comme un dégénéré . Mous n'insisterons pas sur les troubles variés que nous signalons. Les troubles psychiq
s n'insisterons pas sur les troubles variés que nous signalons. Les troubles psychiques (épileptiques) peuvent se rencontrer
enfants indemnes d'épilepsiedes hallucinations diurnes il propos de troubles intestinaux, liés il l'appendicite (Vergely, de
ise ; la guérison en 24 heures après un lavage (2). L'origine des troubles nerveux de cet enfant et de ses particularités
sitions. - 266 CLINIQUE NERVEUSE. Pendant qu'évoluaient ainsi les troubles mentaux, des accidents \ de nalUl'e lI1anil'pll
légie gau- che hyslérique en 1894. ? Actuellement, ces dill'éreiits troubles sont en décroissance, la malade ne buvant plus
e être intervenue chaque fois comme le facteur occasionnel de ses troubles mentaux et de ses accidents hystériques. Ce qui
l'intérêt, à notre avis, de celte ob- servation, c'est que tous les troubles éprouvés par la malade, à la faveur de son alco
, ou spasme en extension courl. Deux chiens qui étaient affectés de troubles psychiques périodiques de quelques jours de dur
pas de paralysie des extrémités, titubait et était affecté d'autres troubles ataxiques, SUI tout à gauche, c'est-à-dire du m
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES dont la destruction provoque des troubles de la vue est extrême- ment large : elle s'éten
ès le début qu'une hémiamblyopie ; d'ordinaire, en pareils cas, les troubles visuels sont discontinus et l'hémianopsie ne tard
, il n'y a ni simultanéité ni parallélisme entre la disparition des troubles oculaires d'un oeil et celle des troubles de l'
entre la disparition des troubles oculaires d'un oeil et celle des troubles de l'aulce. Dans les lésions limitées, par exem
dant disparaît plus lût que celle de l'oeil opposé. Si, quand les troubles oculaires provoqués par une première destructio
les dites sensations organiques peu- vent s'hallucineret amener des troubles gravesde la personnalité, tant dans le domaine
altérer n'a ni augmenté ni diminué par les progrès du mal, mais les troubles vocaux ont eu une bien moins grande fixité à la
la première période qu'à la seconde. Chez le même parah tique, les troubles delà voix n'ont pas évo- lué de la même manière
sive d'évolution pour les deux phases. Ce ne sont pas seulement les troubles vocaux en général qui sont plus nxesalasecondep
epériode qu'à la première, mais aussi le de- gré d'intensité de ces troubles . Soit pour chaque période isolément, soit pour
deux prises ensemble, l'évolution des divers degrés d'intensité des troubles vocaux fut aussi variable el aussi capricieuse
caux fut aussi variable el aussi capricieuse que l'évolution de ces troubles eux-mêmes. G. Derny. XVI II. Syndrome de Korsâk
alcooliques, qui fut atteint, à la suite d'unictusapoplectique, de troubles démentiels il marche progressive. (Quelque temps
ut tout d'abord distinguer les cas dans lesquels la confusion estle trouble mental primitif de ceux dans lesquels c'est un
re familial, début à la suite d'une fièvre infectieuse, arythmie el troubles de l'audition. Particulari- tés de l'autopsie :
ologue légère». Guérison et redressement complet. Il s'agirait d'un trouble de sensibilité de nature hystérique, ayant prod
du Iroplui'dème. Pas d'hérédité sinon chez le père une tendance aux troubles vaso-moleurs. IL C. XIVI11. Nouveau cas d'ach
uits pathologiques à se déposer en différentes parties du corps. Le trouble de nutrition sous-jacl' ! Ü l'sI préci- pite pa
gies, epistaxis, spasme de la glotte, dyspnée, battements de coeur, troubles , de l'appétit; gastralgie, incontinence d'urine
et de l'angine de poitrine dans leurs rapports avec la goutte : le trouble de la nutrition des élé- ments nerveux par lési
des épistaxis répétées, de l'asthénie lH'UI'O-l11llbculail'e el des troubles psychiques il forme dépressive allant jusqu'à une
e des pupilles, absence du réflexe du tendon d'A- chille d'un cote, troubles de la sensibilité cutanée) (assurent le diagnos
'épilepsie fonctionnelle, soif tlue le aamlrmne ait lieu sans aucun trouble cérébral, soif (pic des troubles cérébraux préc
lue le aamlrmne ait lieu sans aucun trouble cérébral, soif (pic des troubles cérébraux précèdent ou suivent l'atta(me. Deux
e qui peu peu se transforme en altitude tétanifol'Ille persistante. Troubles digestifs 1res accentués, alternatives de diarr
avec une morale éprouvée, la criminalité se pouvant grelfer sur des troubles de la sensibilité, et de la volonté, et non sur
casionnelle non moins nécessaire, et pensant, d'autre part, que les troubles mentaux présentés par la femme aux diverses pé-
ho- ses puerpérales en trois grandes classes écologiques : 1° les troubles par épuisement; -2o les troubles par infection; 3
andes classes écologiques : 1° les troubles par épuisement; -2o les troubles par infection; 3° les (roubles par auto-intoxic
n propre et sans le secours de la huet'hér'aliL3, d'occasionner des troubles mentaux, qui sont la conséquence directe des pe
nts étudiés ci-dessus. Le pronostic vital dépend de l'intensité des troubles physiques ; le pronostic mental, sur- tout de l
ulfate de cuivre. Dès ce moment, la kéralile esl gué- rie, mais les troubles fonctionnels persistent : l'enfant n'y voit pas
nuit, ladi- plopie augmente, la vue elle-même, surtout à droite, se trouble et un guide devient indispensable pour conduire
a fille en octobre à JI. (alwnnes, Celui-ci, consla- tant alors des troubles de sensibilité dans le côté droit, pense à l'hy
3, ne paraît pas davantage avoir provoqué de modifications dans les troubles visuels. Mentionnons toutefois que les perles m
de la tête, des yeux et de l'épaule droite déjà mentionné. Pas de troubles trophiques, ou vaso-moteurs, en particulier pas d
e dans le liquide céphalo-rachidien des rabiques. G. C. 1C11. Les troubles de la psycho-motilité; par le 1}' ! JE Bucks (J
es volontaristes ou apperceptionnistes d'autre part, expliquent les troubles de la psycho-motilité. Pour les premiers, à la
que faculté spéciale, il ne saurait y avoir à proprement parler de troubles de la volonté, mais seulement des troubles des
r à proprement parler de troubles de la volonté, mais seulement des troubles des sensations, des to- nalités affectives, des
s et surtout de l'association des idées ; et ce sont ces différents troubles que l'on retrouverait à l'origine de toutes les
t de ses déterminations. Mais l'étude de l'apperception et de ses troubles s'est enrichie dans ces dernières années de donné
logues que l'auteur explique les syncinésies psychiques et tous les troubles psychomoteurs qui constituent le syndrome catat
amollissement bilatéral des ganglions en question s'ac- compagne de troubles caractéristiques de l'équilibre et de phéno- mè
elui de l'irritation est toujours plus saturée, plus fon- cée, plus trouble que l'urine de l'autre coté. 9" Les portions (l'u
rgés. « L'intérêt que peut présenter la recherche de la durée des troubles mentaux avant l'internement consiste en ce que le
au de la moyenne de leurs condisciples ; 5" les enfants atteints de troubles de la parole ; 6- les enfants atteints de malad
de feu ; : )0 à M. le J)"lIIUSIOENS, d'Amstertlam : Etudes sur les troubles de la sensibi- lité ci la douleur de type radic
atteint qu'un oeil,notre méthode nous permet encore de savoir si le trouble unilatéral fut persistant ou s'il n'a eu qu'une
. Le fait se constate également pour l'affaiblisse- ment comme seul trouble et c'est ce résultat qui diffère de celui fourn
1 : \1 lui outre, jamais l'exagération ne fut observée comme seul trouble au cours de l'affection, sa durée a toujours ét
vie par l'affaiblissement, et deux fois plus souvent par les deux troubles en moins. Les deux degrés de l'altération en mo
sive, double de la somme des deux altérations en moins comme seuls troubles . Quant à celles unilatérales, ce n'est jamais l
qu'à la première pé- riode et a été deux fois plus souvent l'unique trouble qu'as- sociée à l'affaiblissement. Les affaibli
diverses cavités dol'organisme sont fréquents chez les aliénés. Les troubles de l'intelli- gence s'ajoutant aux vices nature
IENES. 433 dans ce conduit ne relève pas toujours directement des troubles de l'intelligence. On peut ce point de vue dist
ceptique sur la réalité de cet accident qui ne se traduit par aucun trouble objectif. Cependant, le jour même, 31me G..., est
ert. Cette malade est tout il fait calme, nullement angoissée, sans troubles respiratoi- res ; elle déglutit facilement sa s
la pupille sous l'influence de l'accommodation semble évoluer sans trouble . Quant à la réaction de la pupille à REVUE D'AN
subitement d'une hémiplégie incomplète du côté droit avec quelques troubles de la sensibilité n droite. À gauche, conservat
eptibles de guérison, les cas graves se terminent par la mort ; les troubles sensitifs sont rares dans cette affection. Cli-
orte une observation avec examen histo- logique.. L. \VAH . LXXX. Troubles médullaires de l'artério-sclérose. La parésie s
SAVANTES. tion de la fente palbébrale et enfoncement de l'mil sans trouble des réflexes lumineux, et à gauche une anesthés
ux, et à gauche une anesthésie totale y com- pris le trijumeau sans troubles sensoriels, lésion probable de l'is- thme de l'
et sensitive gauche. 11 s'agit d'une hématomyélie spontanée. Les troubles radiculaires de la sensibilité permettent de loca
cooliques portant une contracture du cou et des quatre membres sans troubles des sphincters, ni nystag- mus. Le facies est
/¡'èl;oma c ? bl'((I, , tlL'l'. Marie a observé un homme atteint de troubles passagers de la parole qui fut, pris dans la su
: 8 ans qui, trois semaines après une infection grippale, subit des troubles labio-giosso- laryngés, puis de la céphalée, de
l, mastication et parole difficiles, faible' nystagmus, mais pas de troubles électriques, pas d'altérations de la sensibilité,
iation et immobilisation des globes en dehors, léger nystagmus sans troubles des réflexes ni de l'acuité., Sur cinq enfants
acial gauche et hémiatrophie linguale du môme côté sans aucun autre trouble moteur de la face et des membres, aucun trouble
té sans aucun autre trouble moteur de la face et des membres, aucun trouble de la sensibilité, ni des réflexes ni des vasom
attention et la volonté peuvent les faire disparaître : ce sont des troubles fonc- tionnels de la mimique faciale, tandis qu
- santes que la volonté ne peut ni produire ni faire disparaître. Troubles thermiques. M. Babinski présente un homme qui i
tronc avec polyurie. albuminurie, escarre, incontinence fé- cale et troubles cardiaques. Il se guérit d'ailleurs rapidement.
saurait trop demander que l'inter- nement soit ordonné sitôt que le trouble psychique s'est mani- festé. Nous ne sommes pas
liberté relative, tout en leur continuant l'assistance, dès que les troubles mentaux tendent à disparaître. « ... Un certain
t la sclérose en plaques, par Rodolico, 239. ATHÉIIO)lATEUX. Voir Troubles Atrophie. S'agit-il d'une mus- culaire d'orig
, par Pasini et Madia,140. La en tant que forme indépen- dante de trouble mental, par Ossipow, 146. Contribution à l'ét
sthésiomètre. Un , par Collucci, 138. PSYCIIO ? 10'rlLl'ril. Voir Troubles . Psychopathies. Voir Excitation. . Psychoses.
Voir Troubles. Psychopathies. Voir Excitation. . Psychoses. Voir troubles vis- céraux.De la théorie des-d'o- rigine tox
Réplique aux critiques de Kienboeck sur la symptomato- logie des troubles trophiques de la -. par Nalbandoff, 242. Répl
rieur droit chez un enfant de onze ans, par Weill et Pehu, 390. Troubles viscéraux. Action toxique des - - dans la ge-
73 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Ainsi il semble que l'on doive expliquer la rareté relative des troubles de motricité du côté des membres ou de la face, a
du pouls et de la res- piration (irrégularité, ralentissement). Les troubles morbides durent ordinairement assez peu et s'ef
ne dit rien de la pliase terminale. M. Gilbert Ballet ne parle des troubles du sens génital qu'à la période prodromique. On
paralysie générale confirmée. Cet auteur, lui aussi, ne signale les troubles du sens génital ni à la deuxième, ni à la trois
mique. Est-on autorisé après cela il se dire bien éclairé sur les troubles de la fonction génitale chez les paralytiques ? j
lue et relative selon les diverses formes mentales, l'intensité des troubles moteurs aux phases initiales, l'étiologie ou de
phases initiales, l'étiologie ou des malades, l'inlluence de ces troubles sur le délire, leurs rapports avec les sensations
st facile à com- prendre, le paralytique cachant d'autant moins les troubles de ce côté que son inconscience est plus marqué
s 108 sujets nous n'avons trouvé que des anomalies simples et des troubles dans le mécanisme de la copulation. Tout d'abord
n'aboutissaient jamais à l'éjaculation. Le plus sou- vent ces deux troubles de la copulation étaient associés à une excitat
séminales involontaires, nous aurons la nomen- clature complète des troubles génitaux que nous avons rele- vés. Ces pertes f
écis par leurs femmes ou leurs maîtresses et tous les 95 ont eu des troubles de la fonction génitale, 60 fois, ces troubles
les 95 ont eu des troubles de la fonction génitale, 60 fois, ces troubles furent en moins et 35 fois seulement en plus; l'a
e l'altération en plus. Le retard dans l'éjaculation est ensuite le trouble qui s'est surtout présenté : 9 fois contre 4 fo
ite le trouble qui s'est surtout présenté : 9 fois contre 4 fois le trouble inverse. Parmi les 60 impuis- sants il n'en est
phénomène pathologique. Nous avons été à même de vérifierions ces troubles durant le séjour des paralytiques à l'asile en
e, nous allons mainte- nant rechercher dans quelles proportions les troubles que nous avons notés se répartissent aux trois
démentielles, dans lesquelles il faut au contraire rechercher ce trouble , si on veut le constater qui nous ont fourni le
réquence moindre des mani- festations fébriles, des eschares et des troubles trophiques. Enfin les attaques apoplectiformes
LE. suivis d'affaiblissement musculaire généralisé et progressif; troubles de la parole caractéristiques de la paralysie gén
table mine à exploiter.) IL M. C. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 45 5 X. Troubles psychiques de la ménopause virile ; par le Dr Mig
nastique pour réveiller la sensibilité des parties atteintes par un trouble hysté- rique quelconque, et comme d'après lui,
res que du côté des viscères. Comme d'autre part on rencontre des troubles plus ou moins marqués de la sensibilité dans to
pement de phénomènes psychiques. G. D. IV. Traitement de certains troubles mentaux par l'extrait thyroï- dien ; par le De
lorsque l'exaltation et la dépression peuvent être attribuées à un trouble dans la circulation générale. - A. Vicoosoos.
Y¡J1lotismus, novembre 1899 et mars 1900.) Neuf malades atteints de troubles nerveux et psychiques ont été traités par l'hyp
eptiques avec une perle- complète de connais- sance, non suivies de troubles de la motilité, ni de la sensibilité. On consta
s les formes d'idiotie et quelques cas curieux de difformités et de troubles nerveux. Les malades sont bien nourris, convena-
au moins singulièrement exagérées par la neurasthénie du sujet. Des troubles oculaires, circulatoires, respiratoires, digest
as, a eu 15 améliorations portant à la fois sur les crises et les troubles psychiques ; et sur ce nombre, il y eut deux fois
, a eu 55 p. 100 d'améliorations et 2,5 p. 100 d'aggravations ; les troubles psychiques n'ont pas été influen- cés. Il conse
n notable de leur nombre et de leur intensité ; aucun effet sur les troubles psychiques. Ces différents auteurs signalent bi
s mois. Le fait est surtout évident pour le malade G... Quant aux troubles psychiques nous devons dire que ces malades, pl
évolution dentaire s'est passée sans incidents, elle n'a subi aucun trouble intellectuel, infectieux ni traumatique jus- qu
de la mère, l'enfant passa ensuite huit jours au lit en proie à des troubles que le médecin de la fa- mille aurait qualifiés
encore de fréquence et d'intensité, quelques-unes furent suivies de troubles mentaux et de la Charité l'enfant fut trans- fé
à fait songer à l'intervention chirurgicale, seule l'ancienneté des troubles avait fait hésiter, mais devant l'imminence d'u
déterminant par leur intensité du dérobement subit des jambes; ces troubles sensitifs sont bientôt suivis de parésie vésica
spasmodique. Le malade est grand, bien constitué, ne présentant ni troubles cardiaques, ni troubles pulmonaires. Son intell
est grand, bien constitué, ne présentant ni troubles cardiaques, ni troubles pulmonaires. Son intelligence est normale, il r
igne de Romberg fait défaut. 11 n'existe ni atrophie musculaire, ni troubles trophiques. Les mouvements volontaires des main
ait en extension des deux côtés. Constipation opiniâtre. Absence de troubles de la sensibilité objec- tive ou subjective ; s
trice et de signe de Romberg. Absence d'atrophie mus- culaire et de troubles trophiques. Les mouvements volontaires des main
eurs lan- cinantes dans les jambes, une paraplégie progressive, des troubles des sphincters. A l'heure actuelle, la démarche
plantaire se fait en extension des deux côtés. On constate quelques troubles sphnictériens, mais on ne relève ni atrophie musc
hnictériens, mais on ne relève ni atrophie musculaire des jambes ni troubles objectifs de la sensibilité; la force muscu- la
des bras sont exagérés; il n'existe ni tremblement intentionnel, ni troubles de la parole, ni nystagmus, ni incoordination c
neux, la trépidation spinale, le signe des orteils de Babinski, les troubles urinaires, les douleurs lom- baires ; d'autre p
sous le nom de myélite pseudo-tabéti- que, mais par l'existence de troubles sphinctériens, du signe de Romberg et de douleu
à la trépidation spinale. « C'est chez ces malades qu'on trouve des troubles oculo-pupil- laires fréquents consistant en myo
ps un certain degré de rétrécissement de la fente palpébrale, » Ces troubles oculaires seraient causés par une lésion de la
sympathique se rendant à la pupille. En somme, tous ces accidents, troubles pupillairès, douleurs fulgurantes, exagération
oubles pupillairès, douleurs fulgurantes, exagération des reflexes, troubles des sphincters sont sous la dépendance de l'inf
acquise, ont pu observer le signe d'Argyll en dehors de tout autre trouble du système nerveux. Faut-il, dès lors, faire de
dique ; prend la syphilis, pré- sente des douleurs fulgurantes, des troubles sphinctériens, le signe de Romberg, le signe d'
malades sont des spasmodiques médullaires par l'absence d'ictus, de troubles bulbaires et cérébraux, par l'évolution lente e
articu- lièrement intéressant : homme syphilitique présentant des troubles pupillaires, des douleurs fulgurantes et l'exagér
LIE DE L'ADOLESCENCE. 113 affaiblissement de la mémoire. - Premiers troubles intellectuels, hallucinations visuelles, folie
es, elles sont devenues plus rares. A l'aige dé vingt-sept ans, des troubles mentaux sont venus s'ajouter à ces crises et on
es. Hallucinations de l'ouïe, refus d'a- liments, idées de suicide. Troubles de la parole. Incohérence et enfantillage. » -
de me trouver là. » En réalité, on avait dû la faire interner pour troubles mentaux. Le 20 mai, on la trouva chez elle, les
it dans une bonne période, car depuis un mois elle a été reprise de troubles intellectuels et d'incohérence dans les idées.
se serait beaucoup ennuyée de sa mère » et elle présenta quelques troubles cérébraux, sur lesquels nous reviendrons, ce qui
ale. Oxyures, rendus par le rectum et par la bouche. Les premiers troubles intellectuels se sont montrés pendant le séjour
ars 1899. Le Dl' Legras donna le certificat suivant : « Atteinte de troubles intellectuels qui parais- sent liés à l'hystéri
de cils longs et bruns. Les yeux ne présentent pas de lésions ni de troubles de la réfraction. Iris marron, pupilles non dil
pas de progna- thisme du maxillaire inférieur. L'enfant n'a pas de troubles du goût. Les oreilles n'ont rien de particulier
on note une \ 118 RECUEIL DE FAITS. cicatrice de vaccin. - Pas de troubles de la sensibilité. Les ongles sont normaux, sau
ass . fait des progrès sous tous les rapports. On n'a observé aucun trouble intellectuel depuis la fin du mois. Elle est d'
huit jours (28 avril). - A partir de là, Gas... n'a plus eu aucun trouble intellec- tuel. Sa santé s'est affermie sous to
éflexe. La seconde catégorie renferme les mouvements associés par trouble de l'association idéo-motrice; dans cette classe
être éliminées, elles se déposent dans les organes, produisant un trouble de nutrition, une détérioration spéciale qui nous
L. WALLON. (Brain, vol. XX, p. 109.) Homme cinquante-trois ans ; troubles présentant d'abord les signes de la paralysie g
voie motrice cortico-médullaire était anatomique- ment intacte. Les troubles moteurs ne peuvent donc étre attribués qu'à une
presque égale sur les voies motrices des deux côtés du névraxe, les troubles moteurs ne peuvent pas avoir été la conséquence
que celle-ci n'intéressait que l'hémisphère gauche. La cause de ces troubles doit être attribuée, d'après l'auteur. à la cotir
ompression, des pédoncules cérébraux que doivent être rattachés les troubles , moteurs, c'est l'abolition des réflexes rotuli
le même. La genèse de ces atrophies ne peut s'expliquer, ni par un trouble de l'activité trophique de la cellule nerveuse
es cornes antérieures, car tous les phénomènes se sont bornés à des troubles moteurs et sphinctériens. 11 s'agirait donc d'un
hystérie est une neuro-psychose qui se manifeste par un ensemble de troubles fonctionnels de l'un des centres ou de tous les
cécité, rétrécissement du champ visuel, hémianopsie, surdité) : c) troubles moteurs (para- lysies des extrémités, paralysie
ysies des extrémités, paralysie des muscles laryngés, aphonie) ; d) troubles viscéraux et vaso-moteurs (affections du tube dig
t (Progrès médical, 17 juin 1893). Paralysies des muscles des yeux; troubles dans le domaine du trijumeau ; atrophie du nerf
paresseuse, atrophie des nerfs optiques ; alaxie faible mais nette, troubles vésicaux ; analgésie des pieds et des jambes. D
cas où, à côté de la faiblesse mentale, on constate l'existence de troubles mentaux pouvant faire soup çonner la coexistenc
présentant d'une part des signes de tabes, abolition des réflexes, troubles de la marche, troubles capillaires, douleurs fu
des signes de tabes, abolition des réflexes, troubles de la marche, troubles capillaires, douleurs fulgurantes et d'autre pa
rnement des malades aliénés aussitôt que se produisent les premiers troubles intellectuels. Dans ce cas encore les malheurs
s matières fécales. Au bout de trois semaines, la fièvre tombe, les troubles moteurs et sensitifs s'amé- liorent progressive
ans les altérations de l'appareil moteur périphérique. 3° Quant aux troubles de la sensibilité, Landry les recherchait. et d
les recherchait. et dans un des cas qu'il rapporte, il y avait des troubles très nets de la sensibilité. C'est nous qui avo
s une bonne mesure, assumé l'opmiull contraire d'après laquelle les troubles de la sen- sibilité n'existeraient pas en règle
ide de la maladie. Dans des cas plus lents dans leur évolution, les troubles trophiques et les modifications électriques se so
es suivis, le premier d'une hémiplégie passagère et le dernier de troubles glosso-labio-laryngés. 11 existe une atrophie des
des réflexes tendineux, conservation des réflexes cutanés. Pas de troubles sensitifs, pas de paralysie des sphincters, aucun
he et la destruction des fibres de la calotte, ren- dent compte des troubles oculaires, de la perte de l'équilibre de l'hémi
bien grande, hyperémie cu- tanée, sensations anormales de chaleur, troubles du sommeil avec hallucinations hypnologiques, a
sistance psychique très diminuée. La malade n'ayant pas présenté de troubles délirants propre- ment dits, on ne pouvait conc
té dans le REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 231 sens de la loi. Mais les troubles nerveux que présentait M-9 S..., son faible niv
ration nutritive incomplète peuvent, sans doute, provoquer certains troubles psychiques, de la confusion, de l'obtu- sion me
l'on comprend l'hésitation à attribuer à une même cause toxique des troubles si variés ; c'est qu'à côté du poison, il y a le
ujets avec des degrés variables de prédisposition et par suite, les troubles psychiques qui survivent à l'accès peuvent affe
Toutes ces recherches ont l'avantage d'attirer l'attention sur les troubles somatiques dont s'accompagne la folie, troubles a
l'attention sur les troubles somatiques dont s'accompagne la folie, troubles autrefois, sans doute, un peu trop négligés et
ce parmi les aliénés ordinaires est presque toujours une cause de trouble , et il ne semble guère possible de différer plus
a puberté pro- duit, sont les suivantes : une débilité exagérée des troubles affec- tifs (« dissociation affective »,, une «
tifs (« dissociation affective »,, une « discrépance » entre ces troubles et les réactions mimiques (« paramimie hébéphréni
notable sur la vie psychique, qui se manifeste soit en donnant aux troubles mentaux préexis- tants des caractères qu'ils n'
faire dériver la source d'un processus d'auto-intoxication par des troubles des voies gastriques; 4° De l'époque pubère et
ns favorables puissent en effacer l'évidence; 5° La prophylaxie des troubles mentaux exige que l'on prête la plus grande att
des psychoses d'auto-intoxi- cation, et il est presque sûr que les troubles de la nutrition de l'adolescence sont les cause
s abus génésiques (platoniques ou matériels) dans la production des troubles psy- chiques de la puberté. M. Gilbert Ballet
sKAR VOGT (Berlin). - L'hystérie n'est qu'un syndrome et les divers troubles hystériques se rencontrent soit seuls soit asso-
trouvé que des phénomènes psychiques prenaient part à la genèse des troubles observés. Ces phénomènes psychiques sont surtou
malement de la pudeur et de la honte. Elle peut donner lieu à des troubles morbides de trois degrés. Au premier degré, c'e
oire d'un ancien délirant persécuté devenu paralytique général avec troubles pupil- laires caractéristiques, embarras de la
à et pour cause. Aussi, s'attachait-on principalement à l'étude des troubles fonctionnels qui figurent dans la symptomatologie
roses on se mit à étudier, dans autant de chapitres spé- ciaux, les troubles delà sensibilité : anesthésies, hype ? 'esthésies
s troubles delà sensibilité : anesthésies, hype ? 'esthésies; - les troubles delamotilité : paralysies, contractures et spasme
e la lésion isolée de chacun de ces terri- toires se révèle par des troubles particuliers et caractéristiques. La méthode an
s du cerveau et de ses enveloppes, nous en viendrions à opposer les troubles mentaux qui se prêtent à un diagnostic topo- gr
voir des indications vitales à l'appliquer chez des malades dont le trouble mental se rattache à une infection, une haute t
iel et de la sub- stance colloïde, à laquelle nous rattacherons les troubles observés dans le cas présent, ou enfin, la sclé
MM. Roger et Garnier chez les tuberculeux '. Notons enfin que ces troubles sont survenus chez un homme qui ne semble pas a
nues, il n'en est pas de même des cas, où elles s'ac- compagnent de troubles basedowiens. Nous n'en avons trouvé dans la lit
la paresthésie des mains. Il considère ce signe comme l'indice d'un trouble fonctionnel de la glande thyroïde, car il exist
diminution de sécrétion qui se traduit par le myxoedème, tantôt un trouble spécial dans les fonctions thyroïdiennes, qui,
urs et des ulcérations, produites, chez les idiots, dans les cas de troubles mentaux. Finalement, Esquirol dans le chapitre
, Beach et les autres. Passant maintenant aux cas dans lesquels les troubles se mani- festent à une époque importante du dév
l'âge de dix-huit mois et de deux ans, sans toutefois présenter de troubles mentaux, des alté- SECTION DE PSYCHIATRIE. 309
es par le D1' Wilmurth (Communication sur le traitement précoce des troubles mentaux chez l enfant in Annales de l'associati
d'excitation ou de dépression ; 2° tous les malades souffrant d'un trouble de la nutrition générale; 3° tous les malades q
oduisait aucun effet utile ; ou bien parce que se manifestaient des troubles physiques ou psychiques (perte d'appétit, anémi
tous les cas; 2° La plupart du temps il est inutile, ou produit des troubles physiqnes ou psychiques qui sont des indication
phénomènes connexes, il montrer de vraies actions d'arrêt et leurs troubles dans le domaine des faits psychiques ou des phéno
s son ensemble par un système de mécanismes frénateurs et par leurs troubles , Wernicke et Broadbent ont fourni la démonstrat
itives du centre auditif dans sa relation avec le centre moteur, le trouble de cette relation expliquant manifestement, pou
e survenue brusquement présen- tent, en dehors de la paraphasie, un trouble tout spécial, une q logorrhée » : ils bredouill
auditif et ses environs; mieux encore, on peut prouver que d'autres troubles en partie fonctionnels du même genre, certaines
aphasies motrices proprement dites. Réservant le nom d'aphasie au trouble provoqué par la lésion des neurones d'associati
es. Il résulte de cette complication une ccplzérnie-a2urthrie, avec troubles moteurs des organes de l'articulation des mots,
sont détruites, on dit qu'il y a aphasie totale. 3. Aphasie avec troubles intellectuels. Lésions multiples et variées des
le ne parait. Ni l'attention, ni la faiblesse intellectuelle. ni un trouble moteur ne suffisent à l'expliquer. Si on examin
ve chez les hystériques montrent qu'on doit l'attribuer aussi il ce trouble de la représentation. Expérimentale- ment, on p
galement interverti chez les gens atteints d'écriture en miroir. Ce trouble de l'écriture, qui se montre aussi pour la lect
e montre aussi pour la lecture, tient très vraisemblablement à un trouble de représentation et de perception. Sur la phys
partisans de la théorie des localisations du cer- veau ont noté des troubles de la vue aussi bien dans les lésions du cervea
lésions du cerveau antérieur que dans celles de la sphère visuelle, troubles qui, d'après Munie, seraient uniquement dus à d
isuelle, troubles qui, d'après Munie, seraient uniquement dus à des troubles de voi- sinage, portant sur la sphère visuelle,
l'application sur le gyrus sigmoïde de ces diverses mé- thodes, des troubles de la vue se sont montrés avec évidence, qui ne
gion de Munie vient à être lésée et si on attend la disparition des troubles qu'entraîne cette lésion, et qu'on inté- resse
ne altération superficielle le gyrus sigmoïde, on n'ob- serve aucun trouble visuel. Ces troubles peuvent apparaître cepen-
icielle le gyrus sigmoïde, on n'ob- serve aucun trouble visuel. Ces troubles peuvent apparaître cepen- dant après des extirp
d'abord sur le gyrus sigmoïde, et qu'ensuite, après réparation des troubles ainsi provoqués, on lèse le point A. I. et son
e coupe entre ce point et la substance blanche, dans la règle aucun trouble visuel ne se produit. ' Par ces opérations de
r à signaler dans ses antécédents hériditaires ou per- sonnels. Les troubles de la parole, qui furent les premiers symp- tôm
e folie de la période d'involution sénile, l'auteur groupe tous les troubles psychiques qui sont en rapport, au point de vue
ations dues à l'àge avancé. Sans aucun doute, il reste une série de troubles psychiques qui peuvent apparaître aux diverses
lgré certains traits communs avec les psychoses de la sénilité, les troubles psychiques de la période d'involution s'en dist
sidérées comme des phases d'autres formes de la folie. En outre des troubles de la vie affective, le tableau cli- nique de l
anormales, catalepsie, écholatie. Ces symptômes sont accompagnés de troubles accusés de la conscience. Ces formes, dont les
paresseuse, parésie faciale, tremblement de la langue et des mains, troubles aphasiques, sur- dité plus ou moins accentuée,
minution du poids du corps, de l'abaissement de la température, des troubles circula- toires. - La mélancolie telle qu'ell
accentué. Enfin il existe un petit groupe de cas dans lesquels des troubles dépressifs se sont manifestés au cours de la qu
Frenkel. De l'exercice cérébral appliqué au traitement de certains troubles moteurs. (Semaine médicale, 489fi, p. 123-124.)
les exercices rationnels agissent d'une façon bienfaisante sur les troubles moteurs des hémiplé- giques, les troubles sensi
açon bienfaisante sur les troubles moteurs des hémiplé- giques, les troubles sensitifs restent souvent -sans grande modifica
ccès d'agitation se déclare chez un des patients de cette salle, et trouble le repos des autres, ou bien si le malade a lui
tion générale de la personnalité psy- chique, avec prédominance des troubles de l'intelligence, ceux-ci étant eux-mêmes plus
tteint. D'autre.part chez quelques paralytiques flasques, ayant des troubles vaso-moteurs très prononcés et une hypersécré-
iste un paral- lélisme complet. Dans les paralysies simples 'sans troubles trophiques ou avec atrophie musculaire, la vari
l'a trouvé seulement décrit dans une communication d'Arton sur les troubles du sens muscu- laire, par lésion cérébrale, où
llélokinésie. Pick conclut alors que ce syndrome constitue pour les troubles du mouvement des extrémités un phé- nomène anal
rapide des douleurs, rétrocession des accidents pupillaires et des troubles trophiques ; chez les syrin- gomyéliques la dis
ues la disparition des douleurs rachidiennes, la rétroces- sion des troubles sensitifs et trophiques; enfin dans certains cas
u être ainsi traités, la rétrocession pour. ainsi dire complète des troubles trophiques. Il va de soi que dans les myélopath
ERNATIONAL DE MÉDECINE. Application du cinématographe à l'élude des troubles de la marche dans les maladies nerveuses; par M
calisation de ces lacunes, détermine une hémiplégie incomplète avec troubles dysarlhriques et dysphagiques, assez souvent au
te avec troubles dysarlhriques et dysphagiques, assez souvent aussi troubles psychiques, rire et pleurer spasmodiques. Ces f
u. M... a observé des formations lacunaires analogues dans certains troubles circu- latoires à la suite d'hémorragies méning
par le professeur Brissaud (de Paris). Présentations de malades. Troubles de la parole recueillis au moyen du phonographe ;
neumonie, 'tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles mentaux plus ou moins accentués. On constate qu
al, ce qui démontre, une fois de plus, que l'on peut avoir certains troubles fonctionnels cérébraux; mêmes accen- tués, sans
évidence le parallélisme d'intensité des lésions cor- ticales, des troubles mentaux et des accidents généraux de la maladie
x de la maladie. Si donc l'hypothèse, qui impute l'apparition des troubles men- taux dans lesmaladies générales (délires f
ection, intoxication, etc.) ; il en est ainsi, d'ailleurs, pour les troubles mentaux qui les accompagnent, et qui varient pe
l est im- posant de pouvoir baser la perversion comme telle sur des troubles profonds de la vie sexuelle tout entière. L'e
quelconque, en dépit d'une résistance angoissante s'accompagnant de troubles physiques déterminés (sueurs, palpitations, con
du siège de la lésion anatomique du zona, et malgré la présence de troubles sensitifs nullement en rapport avec la distribu
antaire s'exagère surtout chez les paralytiques géné- raux dont les troubles psychiques l'emportent sur les (roubles somatiq
ur une raison ou pour une autre, présen- taient, surajoutés à leurs troubles moteurs, des troubles paralytiques nettement lo
une autre, présen- taient, surajoutés à leurs troubles moteurs, des troubles paralytiques nettement localisés, tels qu'une h
perturbation dans l'inten- sité du réflexe plantaire, mais aussi un trouble dans la forme de cette réaction motrice. Ceci r
déformation de la colonne vertébrale. Il n'existait chez lui aucun trouble paraplégique indiquant une altération médullair
propos DE l'éducation DES enfants arriérés. 4G1 1 l'existence d'un trouble latent du système pyramidal, mais tout à fait i
s les cas de paralysie généralisée syphilitique, il existerait un trouble unilatéral ou bilatéral des fonctions du faisceau
e unilatéral ou bilatéral des fonctions du faisceau pyra- midal. Ce trouble relèverait, évidemment, d'une lésion ner- veuse
coup d'épilepliques, la majo- rité assurément, ne présentent pas de troubles mentaux. Que d'épilepliques ont tenu des places
nouvelle loi à faire, loi sur l'éducation des enfants qui par leurs troubles on leur faiblesse intellectuels ne peuvent trou
e de malades transférés de l'hôpital pour délire alcoolique ou pour troubles délirants survenus au cours de mala- dies somat
ue les brûlures graves et étendues peu- vent donner naissance à des troubles psychiques se manifestant sous la forme de conf
ngée, des instincts égoïstes, persistant pendant toute la durée des troubles intellec- tuels, et, se prolongeait même souven
pneumonie, tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des troubles mentaux plus ou moins accentués. On constate qu
, ce qui démontre, une fois de plus, que l'on peut avoir cer- tains troubles fonctionnels cérébraux, même accentués, sans que
de la cellule. ' Si donc l'hypothèse qui impute l'apparition des troubles men- taux dans les maladies générales (délire f
qui comprend les cas dans lesquels existent chez les ascendants des troubles du caractère por- tés à un haut degré, sans tou
tologiques actuels, mais elle est prouvée par l'entrée en scène des troubles trophiques graves : -. décubitus aigu, cystite
rophiques graves : -. décubitus aigu, cystite et pyélite septiques, troubles vasomoteurs, atrophie musculaire, etc. Donc l'a
aphasie), mots nouveaux incompréhensibles (jar- gonaphasie), pas de troubles d'articulation ; tous les objets sont parfaitem
l'état isolé, suns a graphie, sans cécité ou surdité verbale, sans trouble sensitif* ou moteur; d'antre part, lésion corti
egré le plus souvent très prononcé avec ataxie, signe de Rom- berg, trouble de la nutrition générale. Dans l'atrophie papilla
malades sont bien nourris, ont un air de santé, il n'existe pas de troubles trophiques. Les symptômes cliniques du tabès :
ues. Les symptômes cliniques du tabès : les douleurs, l'ataxie, les troubles vésicaux se montrent à un très faible degré de
uer en donnant naissance à de l'incoordination, ainsi qu'à d'autres troubles tabétiques. Si les cas de ce genre sont relativ
xie est bien plus fréquente que l'association de ces deux ordres de troubles , c'est peut-être bien, non pas parce que, pour
sent l'atteinte du centre ovale ou des ganglions de la base, pas de troubles attribuables à la capsule interne (hémianesthét
sculaire, des accidents gangreneux du décubitin avec oedème et état trouble de la pie-mère adhérente à la substance du cerv
les-de la circulation dans le territoire de certains vaisseaux. Ces troubles étant essentiellement mobiles, le phéno- mène d
sche Cen- tralblnlt XVII. 1898 Déjà analysé. P. KERAVAL. XXXV. Du trouble des échanges nutritifs dans la' neurasthénie ; v
E. Séance du 8 novembre 1900. Présidence de M. JorroS·. Un cas de troubles de la sensibilité chez un amputé. M. Touche rap
ue avec signe d'Argyll- ltobertson, pai Cestan, 102. Ménopause. Troubles psychiques de la - virile, par Bombarda, 15.
brale an- térieure, par Bllceles, 156. Thyroïdien. Traitement des troubles mentaux par l'extrait -, par Lee- per, 16.
74 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
française. BoURNEVILLE. 14 Juillet 1892. PREMIÈRE PARTIE Des troubles trophiques consécutifs aux maladies du cerveau et
aux maladies du cerveau et de la moelle épinière. PREMIÈRE LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions des nerfs. S
épinière, que l'on observe le plus habituelle-ment à la Salpêtrière.— Troubles de nutrition consécutifs aux lésions de l'axe cér
e de ces altérations au point de vue du diagnostic et du pronostic. — Troubles de nu-trition consécutifs aux lésions des nerfs p
s passives des nerfs ou de la moelle ne produisent pas directement de troubles trophiques dans les parties périphériques : expé-
l'inflammation des nerfs ou des centres nerveux sur la production des troubles trophiques. — Les troubles trophiques consécutifs
des centres nerveux sur la production des troubles trophiques. — Les troubles trophiques consécutifs aux lésions traumatiques d
e. — Lésions ar-ticulaires ; lésions osseuses : périostite, nécrose. — Troubles trophiques con-sécutifs aux lésions non traumatiq
se. —Troubles trophiques con-sécutifs aux lésions non traumatiques. — Troubles trophiques de l'œil, dans les cas de tumeur compr
iverses parties du corps et y déterminent, par la voie des nerfs, des troubles variés de la nutrition. Ces affections secondaire
? Pour limiter notre champ d'études, nous n'envisagerons que ceux des troubles trophiques qui apparaissent dans le domaine périp
e d'être traité à part. 11. Eu m'entendant parler, Messieurs, des troubles de la nutrition qui naissent sous l'action des lé
pathologie,yesipèYevous]e démon-trer du moins, que l'existence de ces troubles trophiques con-sécutifs aux lésions des centres n
ésions passives résultant de la seule inactivité fonctionnelle et les troubles trophiques qui surviennent à la suite de cer-tain
er van der Kolk^qui, un dés premiers, l'a instituée, attribuait les troubles de la nutrition qui se produisent assez rapidemen
ur des cochons d'Inde et des lapins, est parvenu à faire voir que ces troubles trophiques, surve-nant au bout de quelques jours
ttner, on se contente de le recouvrir d'une plaque de cuir épais, les troubles trophiques ne se montrent pas dans la cornée ; un
quelque peu durable de l'organe, ne sont pas immédiatement suivies de troubles delanutrition dansles mem-bres paralysés. M. Brow
ue pas, dans les éléments anatomiques des membres paralysés, d'autres troubles nutritifs que ceux qui se développeraient, dans c
trition d'origine neuro-paralytique ne sont nullement comparables aux troubles trophi-ques qui sont l'objet spécial de cette étu
pas le pouvoir de l'aire naître dans les régions éloignées d'autres troubles de la nutrition que ceux qui dépendent de l'inact
ésions irritatives des tissus nerveux sont capables de déterminer des troubles trophiques variés dans les parties auxquelles il
et de Buttner, invoquer l'anesthésie pour expliquer l'apparition des troubles trophiques survenant dans l'œil non convenablemen
a sensibilité (2). Nous avons vu dans les expériences de Samuel les troubles trophiques survenir dans l'œil en conséquence de
s où les libres les plus internes du nerf avaient été respectées, les troubles trophiques ne se sont pas développés dans l'œil,
ur le but que nous nous proposons actuellement (1). 1. Les faits de troubles de la nutrition de l'œil, consécutifs aux lésions
mais recouvert cependant par la paupière supérieure paralysée. Cornée trouble ; iris-t,rès immobile, contracté, de couleur brun
e voiries lésions expérimentales des nerfs déterminer l'apparition de troubles trophiques dans les parties périphériques. Nous r
toutes ces conditions (1). Je pourraism'étendre longuement sur ces troubles trophiques liés à l'inflammation traumatique de l
, de nature, sous de certaines conditions, à provoquer à distance les troubles tro-phiques les plus variés. Par quelle voie, p
'in-flammation autour du point lésé, qu'il convient d'interpréter les troubles qui sur-viennent quelquefois dans la nutrition de
s, des effets si opposés, en apparence môme si contradictoires. Les troubles trophiques que nous nous proposons de passer en r
be ; 3° enfin, par des lésions de certaines parties de l'encéphale. troubles trophiques consécutifs aux lésions des nerfs Ar
d'irritation, et c'est alors, alors seulement, qu'on voit naître ces troubles trophiques sur lesquels j'appelle votre attention
le Dr Dastrc 1874). 2. J.-B.-A. Mougeot. — Recherches sur quelques troubles de nutrition con-sécutifs aux affections des nerf
s sous l'influence des- 1. Mougeot, lac. cit., p. 30, quelles les troubles trophiques se développent à la suite des lésions
qu'une irritation, capable de déterminer à distance la production de troubles trophiques. ne puisse exisler dans le nerf sans s
n'entraîne pas, tant s'en faut, néces-sairement, la manifestation des troubles trophiques; il faut, pour que ceux-ci se produise
soit, l'influence de l'irritation d'un nerf sur le développement des troubles trophiques qui nous occupent, est bien mise en lu
es ukérations repa-raître (1). B. Il me reste à vous entretenir des troubles trophiques qui s'observent en conséquence de lési
évidemment d'après ce dernier mode que se produisent quelquefois les troubles trophiques de l'œil consécutifs aux lésions du tr
z. hebdomadaire. 1866, nos 4, 5, 6. 3. Leudel. — Recherches sur les troubles des nerf s périphériques et surtout des vaso-mote
ment défaut (2). Nous n'avons pu que passer rapidement en revue les troubles de la nutrition qui résultent des lésions irritat
s y reviendrons en-core, mais nous insisterons principalement sur les troubles tro-phiques qui se rattachent à des lésions du ce
Review. 1854, April, p. 496» cité par M. Virchow. DEUXIÈME LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions des nerfs (sui
consécutifs aux lésions des nerfs (suite). Affections des muscles. Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
homme ; ils n'infirment en rien la proposition de M. Brown-Séquard. Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
prédomminanl des lésions delà substance grise dans la production des troubles trophiques musculaires. — La proposition de M. Br
la dernière séance, j'ai évité à dessein, en faisant l'his-toire des troubles de la nutrition consécutifs aux lésions des nerfs
nsi-tives (1 ). A ces douleurs s'adjointfréquemmentrapparition de ces troubles trophiques de la peau (éruptions pemphigoïdes, pe
u 7 mai 1871, in Gazette médicale, p. 257, n° 25, 1871.) — « L'un des troubles de nutrition les plus remarquables, produits par
. Celte atrophie peut exister seule ou se montrer associée à d'autres troubles nutritifs du même genre occupant la peau ou ses a
ependant, déter-minent rapidement, dans les muscles, l'apparition des troubles trophiques les plus prononcés. C'est ainsi qu'a
t proportionnées, quant àleur éten-due et quant à leur intensité, aux troubles musculaires. Nous reviendrons ultérieurement sur
aralysies consécutives aux lésions traumatiques des nerfs mixtes, les troubles fonctionnels portent moins sur la sensibilité des
s ramifications nerveuses. La rapidité avec laquelle se produirait ce trouble trophique n'est pas un argument à invoquer contre
on irritative, de réagir sur la fibre musculaire et d'y déterminerdes troubles trophiques. Il y a lieu de faire remarquer à ce p
où elle a été présentée dans cette leçon. (Note de la 2e édition.) troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle
ux, comme celles des nerfs, ont le pouvoir de produire à distance des troubles tro-phiques dans diverses parties du corps. Dans
ticulations, les os, les viscères enfin, peu-vent devenir le siège de troubles trophiques variés, consécuti-vement aux lésions d
re qui ont pour conséquence, à peu près inévitable, de déterminer des troubles plus ou moinsprofonds dans la nutrition des muscl
grise, siégeraient alors dans les membres et se traduiraient par des troubles fonctionnels et par des modifications dans la for
ce mode d'évolution des lésions spinales. Ainsi, il est rare que les troubles trophiques portent simultané-ment sur tous les fa
sions de cellules nerveuses antérieures jouent dans la production des troubles trophiques musculaires consécutifs aux altération
é d'exposer devant vous, Messieurs, les principaux faits relatifs aux troubles trophiques qui se mon-trent consécutivement aux a
r le temps que nous devrons encore lui consacrer. TROISIÈME LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
rophie musculaire progressive. Messieurs, Lorsque j'ai traité des troubles de la nutrition déterminés par les lésions des ne
it pas toujours ici d'une reproduction servile ; en général même, les troubles trophiques de cause cérébrale ou spinale, ainsi q
dence fortuite. Quoi qu'il en soit, à défaut du zona, il est d'autres troubles trophiques de la peau, dont l'existence peut être
n the central nervous System Philadelp.,1868, p. 248. — Gouyba. — Des troubles trophiques, etc. Thèse de Paris, 1871, p. 43. 2
es qui donnent naissance à l'atrophie musculaire rapide et aux autres troubles du même ordre. Le développement à peu près simul-
autre côté, il ré-sulterait d'une statistique de J. Ashhurst, que les troubles de nutrition deviennent plus fréquents à mesure q
tiles concernant la pathogé-nie dudécubitus aigu et dequelques autres troubles trophiques de cause spinale. On sait, par les tra
on peut voir survenir encore, dans les membres des deux côtés, divers troubles trophiques, lesquels semanifestentpresque toujour
n à la base du thorax. 5 mars (17e jour.) Le malade accuse quelques troubles de la vision ; la pupille gauche est plus contrac
iques de la myélite descendante. L'apparition simultanée des divers troubles trophiques, si-gnalés dans ces observations et da
se rapportent à ce genre de lésion. Pour expliquer la production des troubles trophiques qui aboutissent à la morti-fication sa
ébut brusque, figurer sur lascène morbide ; 3° Lacoexistence d'autres troubles trophi-ques de même ordre, tels que les eschares
'affection articulaire dont il s'agit est, elle aussi l'expression de troubles trophiques relevant directement de la lésion du c
aussi Benedikt. —Eleklrothérapie, t. II, p. 384. QUATRIÈME LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
influence directe du système nerveux. Théorie de la production des troubles trophiques consécutifs aux lésions du système ner
des nerfs vaso-moteurs; hypôrémie consécutive; elle ne produit pas de troubles trophiques. — Exceptions à la règle. — Irritation
ns eu maintes fois l'occasion de reconnaître que le développement des troubles trophiques survenant à la suite des lésions du sy
par une influence nerveuse. Mais en ce qui concerne spécialement les troubles trophiques qui font l'objet de nos études, j'espè
rties où elle siège, une disposition particulière à la production des troubles trophiques : il semble même qu'au contraire ces p
corps, à la face par exemple, sans qu'il s'en soit jamais suivi aucun trouble de la nutrition. M. Perroud a réuni un certain no
ces dernières années sur \es.Anr/ioneuroses, pour reconnaître que les troubles de nutrition sont-un accompa-gnement plutôt rare
phériques, dans les conditions où elles déterminent ordinairement les troubles trophiques, paraissent s'accompa-gner plutôt d'un
, il est vrai que parfois les membres sur lesquels se développent les troubles trophiques — atrophie musculaire rapide,éruptions
ressive, par exemple (4). Vous voyez, d'après ce qui précède, que les troubles trophiques liés aux lésions irritatives des centr
fs vaso-moteurs. L'hypérémie neuro-paralytique et la production des troubles trophiques sont donc, dans les conditions commune
871, n° 13. La température des membres sur lesquels se produisent les troubles trophiques les plus divers est d'abord plus élevé
rvés chez les animaux et l'on peut se demander si quelques-uns de nos troubles trophiques ne se produisent pas en réalité de cet
, vol. II, 1860-72, p. 89 et scq. de la face, la moindre trace d'un trouble de nutrition (1). Les faits relatifs àlapathologi
ple, une ischémie par-tielle très prononcée et très persistante : les troubles trophiques nesemontrentcependantjamais en pareil
aso-moteurs proprement dits qu'il faudrait rapporter l'apparition des troubles trophiques qui surviennent en conséquence de lési
de la section complète des nerfs vaso-moteurs, n'est pas la cause des troubles trophiques, il ne saurait évidemment en être autr
uite sur des nerfs doués de pa-reilles propriétés serait de porter le trouble dans la nutrition intime des parties innervées et
a moelle épinière, ou même dans l'encéphale, provoque l'apparition de troubles trophiques dans les parties périphériques. Il fau
ologique les excitations volontaires. Un certain nom-bre au moins des troubles trophiques consécutifs aux lésions du système ner
(stati-ques ou dynamiques). Période terminale. — Confinement au lit. Troubles de la nutrition. — Affai-blissement de l'intellig
témoignent assez du malaise profond qu'elles ressen-tent. Malgré ces troubles divers, la transmission des impres-sions sensitiv
t de l'incoordination motrice de l'ataxie. Symptômes céphaliques. — Troubles de la vue : diplopie, amblyopie, nystag-mus. — Em
es, par opposition aux symptômes spinaux. Ce groupe comprend certains troubles de la vue, de la parole et de l'intelligence. A
ue, de la parole et de l'intelligence. A. Occupons-nous d'abord des troubles cle la vision. Ce sont la diplopie, l'amblyopie e
re contraction, comme convulsive, des lèvres. Quoiqu'il en soit, ce trouble dans l'articulation des mots, sur lequel j'appell
essivement, surtout dans les périodesavancées de la maladie, certains troubles de la déglutition, de la circulation etmême de la
lus de voir éclater, au milieu de cet état de dépression mentale, des troubles psychi-ques qui revêtent l'une ou l'autre des for
e la maladie, et auquel il ne s'adjoint, le plus ordinairement, aucun trouble marqué de la sensibilité. En général, l'un des
dois revenir un instant, pour y insister sur l'absence déjà notée des troubles de la sensibilité. Les malades se plaignent bien,
ections spinales où l'on voit, au contraire, de très bonne heure, des troubles de la vessie et du rectum venir se joindre aux au
éter le tableau, nous devons l'aire ressortir l'absence habituelle de troubles trophiques musculaires dans la paraplégie liée à
ait par trop imparfaite, si je ne signalais pas à votre attention les troubles de la circulation et de la calorification qui, en
ominerait sur les cordons postérieurs,— efle ne s'accom-pagne d'aucun trouble delà sensibilité, d'aucun trouble appré-ciable da
urs,— efle ne s'accom-pagne d'aucun trouble delà sensibilité, d'aucun trouble appré-ciable dans la nutrition des masses muscula
minés de accidents susceptibles, peut-être, d'être rangés parmi les troubles trophiques. Tels sont : 1° un ramollissement des
dements passngers, cessa dans le courant de décembre, —1870, janvier, Troubles psychiques ^Yoirpag Après les détails dans lesq
séparer, par une appli-cation de recherches préalables concernant les troubles trophi-ques liés à une influence du système nerve
er pendant des semaines, des mois, sans qu'il en résulte jamais aucun trouble appréciable dans la santé générale. Mais je ne ve
e à peu près certaine et Yischurie hystérique, qui laisse vivre, sans troubles notables de la santé générale, pendant de longs m
is qu'a duré l'observation ? A aucune époque nous n'avons remarqué de troubles dignes d'être notés. L'alimenta-tion, vous le com
fisante, sans perdre de leur embon-point et sans qu'il en résulte des troubles notables delà santé. Il serait assurément intéres
et dans une grande partie de son étendue, sans qu'il s'en suive aucun trouble spécial, dans la transmission des impressions sen
mblable par là, si je me trompe, que lTiê-mianesthésie complète, avec troubles des sensspéciaux, el telle, par conséquent, qu'el
ne analyse attentive permet de reconnaître, le plus souvent, certains troubles céphaliques qui ne sont évidem-ment que la contin
ses en sont à cepoint, laconscience s'affectepiofondément et,dansleur trouble , lesmalades n"ont plus la faculté de décrire ce q
pas alors d'anesthésie ; la malade, tout en avouant avoir éprouvé des troubles nerveux bizarres, niait l'existence passée des vé
congestion papillaire ; — 2° les contours de la papille sont effacés, troubles , en raison d'une exsudation séreuse diffuse, qui
^.jus-qu'au matin du 22. Température o7(,,76: selles normales; léger trouble albu-mineux de l'urine. Les jours suivants de 8
peu aplaties : susbtancc cérébrale un peu dure. Léger épaississement trouble de la pie-mere de la base. Cavités cérébrales de
orée rythmique hystérique. Sommaire. — Symptômes. —¦ Caractères des troubles moteurs. — Analyse des mouvements du tronc, des m
açon permanente à un certain degré, on ne constate chez M. R... aucun trouble de la sensibilité : pas d'anesthésie. pas d'hyper
des membres supérieurs, notamment quand il buvait ou écrivait. A ces troubles se joignirent une diminution de la mémoire, de l'
mil-limètres. — Les nerfs optiques sont durs et résistants. (B) Des troubles de la vision chez les hystériques. (Voir Leçon
M. Charcot a appelé l'attention de ses auditeurs sur quelques-uns des troubles de la vision qui s'observent le plus habituelleme
jour leur réalisation dans la clinique. Il est bien entendu que ces troubles visuels de l'hystérie sont tout fonctionnels et q
Charcot, dans cette même conférence, a insisté sur un autre genre de trouble visuel, depuis longtemps remarqué par lui, qu'il
rrait facilement multiplier ces exemples. Ce sont là les principaux troubles de la vision qu'on rencon-tre d'une façon habitue
réquemment, dans l'hystérie vulgaire (Hys-teria minor). Bien d'autres troubles visuels peuvent s'observer encore dans ces mêmes
rielle et sensitive, ovaralgie, crises convulsives caractéristi-ques, troubles particuliers dansledomainepsychique, etc., etc. D
l. Imp. Lemercier Cie Paris TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions des nerfs. S
épinière, que l'on observe le plus habituelle-ment à la Salpêtrière.— Troubles de nutrition consécutifs aux lésions de l'axe cér
e de ces altérations au point de vue du diagnostic et du pronostic. — Troubles de nu-trition consécutifs aux lésions des nerfs p
s passives des nerfs ou de la moelle ne produisent pas directement de troubles trophiques dans les parties périphériques : expé-
l'inflammation des nerfs ou des centres nerveux sur la production des troubles trophiques. — Les troubles trophiques consécutifs
des centres nerveux sur la production des troubles trophiques. — Les troubles trophiques consécutifs aux lésions traumatiques d
e. — Lésions ar-ticulaires; lésions osseuses : périostite, nécrose. — Troubles trophiques con-sécutifs aux lésions non traumatiq
e. — Troubles trophiques con-sécutifs aux lésions non traumatiques. — Troubles trophiques de l'œil, dans les cas de tumeur compr
ite lépreuse, lepra mutilans.....................1 DEUXIÈME LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions des nerfs (sui
es consécutifs aux lésions des nerfs (suite). affections des muscles. troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
homme ; ils n'infirment en rien la proposition de M. Brown-Séquard. Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
prédomminant des lésions delà substance grise dans la production des troubles trophiques musculaires. — La proposition de M. Br
on de ces faits................................33 TROISIÈME LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
hie musculaire progressive.................... 75 QUATRIÈME LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
influence directe du système nerveux. Théorie de la production des troubles trophiques consécutifs aux lésions du système ner
des nerfs vaso-moteurs; hypérémie consécutive; elle ne produit pas de troubles trophiques. — Exceptions à la règle. — Irritation
(stati-ques ou dynamiques). Période terminale. — Confinement au lit. Troubles de la nutrition. — Affai-blissement de l'intellig
t de l'incoordination motrice de l'ataxie. Symptômes céphaliques. — Troubles de la vue : diplopie, amblyopie, nystag-mus. — Em
horée rythmique hystérique. Sommaire. — Symptômes. — Caractères des troubles moteurs. Analyse des mouvements du tronc, des mem
observation (Pl. VII et VIII).......................... 425 V. Des troubles de la vision chez les hystériques................
ophie musculaire progressive, 69. — Rôie des — dans la production des troubles trophiques, 72. — Dégénération jaune des cellules
rritation (Rôle de 1') des nerfs au point de vue de la production des troubles trophiques, 26. Ischémie hystérique, 303. Isc
la nutrition, 11, 21 ; — irritations des —, 139. Névrite, 26, 27. — Troubles trophi-ques liés à la —, 28. Névroglie (De la),
rieurs dans la scélrose en plaques, 239. — Rémissions, 240. Parole ( Troubles de la) dans la pa-ralysie agitante, 168 ; — dans
se en plaques, la sclérose descendante, 350 (Note). Trismus, 287. Troubles trophiques. Siège, 4. — Différences qui les sépar
us la sclérose en plaques, .236, 258 ; — épileptiques, 375. Vision ( Troubles delà) dansl'hvsté-rie, 427. — Historique, 427'. —
75 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
s). Le 17 mars 1885", S... était en train de lire lorsque sa vue se trouble brus- quement; il appelle ses parents et perd c
tion, pres. que obèse, et ne paraît pas avoir beaucoup soulfert des troubles gaslro-intesli., naux qu'elle accusa pendant si
ngle. Les) jambes auraient un peu maigri; elles ne présentent aucun trouble trophique de la peau et de ses dépendances ; ex
ectement. La malade ne présente aucun stigmate hystérique, ni aucun trouble des autres appareils. 1 Elle passe dans le serv
stance de la contracture. - Complications, rétractions fibreuses et troubles trophiques. Anna M..., âgée de dix-neuf ans, en
contracture, mais encore la jambe malade offre depuis ce temps des troubles divers : douleurs, phénomènes vaso-moteurs, atrop
'âge de treize à quatorze ans que ses parents ont remarqué quelques troubles dans sa- démarche, mais ces troubles sont restés
parents ont remarqué quelques troubles dans sa- démarche, mais ces troubles sont restés peu accusés jusqu'à l'année dernièr
de l'ataxie loco- motrice proprement dite. La parole présente un trouble très manifeste se rapprochant de celui de la .
ET BABÉ, DtTHURS CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 49 Jamais de troubles vésicaux. Organes génitaux bien conformés. Le m
pas lorsque le verre arrive près de la bouche. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité. Les réflexes rotuliens sont
ité. Les réflexes rotuliens sont abolis. Il n'existe pas d'autres troubles urinaires que des mictions nocturnes in- volont
isant exécuter des mouvements actifs a la malade qu'on constate des troubles . * Si l'on dit à la malade de porter son doigt
uche que du côté droit. L'occlusion des paupières exagère un peu le trouble . L'incoordination motrice se montre encore avec
langue n'était pas paralysée. C'est de cette époque que dateraientles troubles de la parole qui existent aujourd'hui; la march
s accentués lorsque Blanche marchait dans l'obscurité.. Depuis, ces troubles n'ont fait que progresser et ce sont eux, en pa
persiste. Le coût, l'odorat et l'ouïe sont normaux. Il existe des troubles de la vision qui seront analysés plus loin. La
ous les sens. Elle participe du reste à l'instabilité générale. Les troubles de la parole auraient débuté à l'âge de seize a
et à l'accommodation. Il n'a jamais existé de diplopie ni d'autres troubles oculaires; le fond de l'oeil est normal; le champ
jacu- lalion normale. ' Il n'existe en aucune partie du corps des troubles des diverses sensibilités, toutes réserves fait
rement, souffrant le plus habituelle- ment de douleurs et de divers troubles au moment de ses règles. Début. Il y a une diza
ussi à ce temps; mais, t cet égard, Pasc... ne peut préciser. Les troubles de la parole, eux, ne sont apparus qu'il y a troi
'il y a trois ans. A aucun moment ne se sont montrés ni douleurs ni troubles organiques. Etat actuel. Il s'agit d'une jeune
. De môme, elle ne peut mettre promptement le doigt sur son nez. Ce trouble est plus manifeste du côté gauche que du côté dro
rapprochées et les yeux fermés, est impossible (signe de Romberg). Le trouble paraît augmenté par l'occlusion des yeux. La
aux. L'individu atteint de maladie de Friedreich et chez lequel les troubles de la locomotion sont suffisamment marqués (Obs
rver aucun signe a) testant la période initiale inflammatoire de ce trouble . Aussi serais-je disposé à supposer qu'il s'agi
e sorte que nous serions ainsi disposé à admettre une fragilité par trouble trophique du ten- don comme prédisposition ; la
trouble trophique du ten- don comme prédisposition ; la rareté des troubles trophiques chez DES RÉTRACTIONS IIB1.0-'flNDIN1
très ^caractéristique. Cn. FÉRÉ, . Médecin de 131cCti,e. DES TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS aux : fractures de LA tète
et Puiusot, Traité pratique des fractures et luxations. 188.1. DES TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS 77 sur la tête du péroné, d
tation. Enfin, on a, dans la plupart des observations, constaté des troubles nerveux : avant d'analyser ces derniers, nous c
cident, il peut sortir de chez lui en s'appuyant sur une canne. Les troubles de sensibilité et de calorification durent pendan
nt absolument in- demnes. L'articulation du genou ne présente aucun trouble du mouve- ment. Sensibilité. Au niveau de la
nsibilité à la piqûre est entièrement revenue. Il n'y a pas d'autre trouble de la sensibilité. DES TROUBLES NERVEUX CONSÉCU
rement revenue. Il n'y a pas d'autre trouble de la sensibilité. DES TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS. 79 Douleurs. - A l'heure a
, il n'existe plus de douleurs, ni sponta- nées ni à la pression. Troubles 'Vaso-mote1l1'S. Au niveau de l'ancienne bande d'
que dans les parties saines. Cette observation confirme ce fait DES TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS. 85 que, lorsque deux nerfs
affectés n'est pas propre à faire espérer une guérison rapide. Les troubles de 86 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
sensation assez intense d'engour- dissement. Il en est de même des troubles vaso-moteurs qui ont cessé depuis plusieurs jou
e cervicale hypertrophique, etc., peuvent également occasionner des troubles musculaires avec contractures, et' laisser à' l
ridée. Muscles émaciés. État cachectique. Poids 56 kilog. Pas de troubles de la motilité et de la sensibilité; pas de troub
kilog. Pas de troubles de la motilité et de la sensibilité; pas de troubles . sensoriels. Pas de tics. Facultés intellect
ers le quatrième mois de la vie intra-utérine que sont survenus les troubles de nutrition qui ont eu pour conséquence, à la
lentigo et les phénomènes hémi- plégiques, il faut admettre que le trouble trophique a eu pour résultat de mettre obstacle
s particulièrement trait à l'étude de la sensibilité cutanée et aux troubles de la vision. Si l'on veut bien se reporter à l
Nous n'ignorons pas que plusieurs auteurs ont également observé des troubles de la sensibilité, « une anesthésie plus souvent
embres inférieurs' ». Mais ce sont presque là des exceptions et les troubles si accentués présentés par notre malade nous fire
te et le schéma suivants (fig. 43) : « Chez Iloud... (obs. III) les troubles oculaires consistent en une 1. Brousse, loc. ci
eil gauche ne distingue pas le violet à la vision centrale. a Les troubles oculaires sont identiques iL ceux de l'hystérie.
nt si importants qui se passent du côté du pied donnent lieu il des troubles plus ou moins marqués dans la marche de l'ataxi
nservé toute sa sensibilité au froid et à la piqûre. Notons que ces troubles de scn- sibilité ne sont pas spéciaux au pied a
érieurs; abolition des réflexes rotuliens : signe de Rombcrg. Les troubles trophiques sont très marqués chez cette malade.
influence du repos au lit. Le cou-de-pied du même côté présente des troubles analogues; l'articula- 110 lVOfJ\'l'sLLI;-ICONO
Les mouvements communiqués sont très limités. Il n'existe pas de troubles trophiques. Les muscles réagissent nettement pa
sie alcoolique occupant les muscles des deux jambes, avaient eu des troubles trophiques du groupe mus- culaire postérieur; d
ix-huit ans qui, dans le cours d'une fièvre typhoïde grave, eut des troubles trophiques des deux membres inférieurs. Après l
toutes les épreuves connues. L'occlusion des yeux exagère tous ces troubles . Les troubles des mouvements dans les membres s
reuves connues. L'occlusion des yeux exagère tous ces troubles. Les troubles des mouvements dans les membres supérieurs s'ac
aude la réveille exactement aux mêmes endroits que la pression. Les troubles par diminution de la sensibilité sont plus accent
ution de la sensibilité sont plus accentués. Ce qui caractérise ces troubles , c'est que, tout en étant très légers, ils sont r
nfluence de la contagion.' Le bâillement est souvent un symptôme de troubles digestifs. 11 peut encore se produire dans un g
del'ennui, 12 166 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. d'un trouble digestif produisant, grâce à la dilatation de l'e
té visuelle est très peu réduite : V= 1o pour les deux yeux; pas de troubles pour l'appareil musculaire et les pupilles. Mais,
c'est uniquement à la disposition des surfaces articulaires que ces troubles dans les mouvements extrêmes des genoux semblen
sibilité aux membres supérieurs est très légèrement émoussée, et le trouble s'accuse seulement par l'incertitude des réponses
omènes vaso-moteurs sont représentés chez notre malade par certains troubles dans la circulation des pieds. Les orteils, sur
es qu'une induction sérieuse était possible, m'ont convaincu que le trouble était général. C'est qu'en réalité, il est exce
rien autre chose, malgré l'opinion contraire de Musso. Parmi les troubles des mouvements actifs, je décris ici le premier
ue j'ai trouvé chez mon malade. Mais je tiens surtout à relever les troubles de la sensibilité. Mon malade n'a pas de douleu
e quinzaine de fois, surtout en Italie (Vizioli, Musso). Enfin, les troubles par diminution de la sensibilité; dans presque
une hystérie dont il n'a pas le moindre symptôme pour expliquer des troubles de la sensibilité dont les caractères, et, nota
faut-il s'élever contre ce que l'on lit partout : à savoir que les troubles de la sensibilité sont rares; tardifs, quand ils
cent cas de la maladie de Friedreich, il y en a quatre-vingts où un trouble quelconque de la sensibilité est relevé. Sur so
nt paru utilisables à ce sujet, j'en ai trouvé trente-deux où aucun trouble n'est signalé, et vingt-neuf où la diminution é
son évolution. Ce qu'il est utile de faire remarquer, c'est que les troubles de la sensibilité peuvent être très précoces et
ie ou à toute autre cause étrangère à la maladie de Friedreich. Ces troubles se caractérisent parleur médiocre degré, parleu
a même originalité de disposition. Cependant, il y a des cas où les troubles de la sensibilité relèvent de l'hystérie : ce n
t certain que c'est là l'exception. J'appelle l'attention sur les troubles de la circulation vasomotrice que j'ai constaté
tard est la seule chose qui soit authentique chez ces malades comme trouble génital. Beaucoup d'auteurs disent bien le cont
de Friedreich, au moins assez précoce pour qu'on soit sûr que ce trouble relève réellement de la maladie non altérée, non
plaignait de douleurs dans les aines, mais il pouvait marcher sans troubles apparents. Outre sa rétention d'urine, on cons-
ceinture au niveau des branches lombo-abdominales, et bien qu'aucun trouble d'incoordination ne pût être constaté, nous pensâ
mal de Pott. Les douleurs irradiées sur le trajet des nerfs et les troubles vésicaux antérieurs ne suffisent pas d'ailleurs à
ribuer la déformation lombaire et l'attitude si particulière, à des troubles neuro-musculaires, à des contrac- tures, et nou
presque entièrement sur le sol, elle est déformée, aplatie. Pas de trouble du côté des ongles. La sensibilité à la piqûre
mammaire. Sur toutes les autres parties du corps il n'existe pas de troubles de la sen- sibilité. Ons. IV. - Ataxie locomo
d'abord légers; . . DES ARTHROPATHIES TABÉTIQUES DU PIED. 201 2° Troubles plus graves; . - 1 i 3° Désorganisation permane
s du tibia et du péronné, tout le squelette du pied, présentent des troubles destructifs que la déforma- tion observée sur l
ivant de près le texte sacré a excellemment rendu le désarroi et le trouble d'un homme plongé tout à coup au milieu d'épais
e conduit seul et d'ordinaire avec plus d'assurance. Mais l'émotion trouble le vieil- lard, et ce trouble n'a-t-il pas été
avec plus d'assurance. Mais l'émotion trouble le vieil- lard, et ce trouble n'a-t-il pas été très finement noté par Rembrandt
hez quelques malades qui se sont présentés à notre observation, les troubles nerveux tardifs qui peuvent résulter des lésion
ous rapporterons concernent des cas de fractures du rachis. . Les troubles nerveux qui suivent de près ces accidents ont été
té complètement abolie dans ce membre; quelques soubresauts. Enfin, troubles trophiques notés dès le cinquième jour; l'amaigri
ompagnée à trois reprises d'éjaculation. Il est remarquable que ces troubles digestifs, génitaux et urinaires n'ont laissé a
fut réformé. Il persistait, dans le membre inférieur droit, divers troubles de la sensi- bilité ; ainsi le mollet était pre
s reprises le malade tomba. L'atrophie restait stationnaire; pas de troubles trophiques cutanés. En 1885, le sujet, trouvant
Sobre jusque-là, il présente alors divers symptômes d'alcoo- lisme, troubles digestifs, cauchemars. Le membre malade s'affaibl
qui a précédé et suivi son mariage, quelques excès rame- nèrent des troubles de la santé générale, et C... éprouva, vers le me
Persuadé que les excès de boisson entraient pour une part dans ces troubles de la santé, C... devient plus tempérant. La sant
ade. -Réflexes. - Réflexe patellaire complètement aboli à droite. Troubles trophiques. Pas de changement de coloration de la
omparatifs suivants : CLICHÍ; A. LON Dl : PHOTOTYPIE 13kli'rHUD Troubles TROPHIQUES CONSÉCUTIFS A UNE Fracture DE la COL
de l'oeil montra les pupilles parfaitement égales. Du reste, pas de troubles de la vision. Prescription. Courants continus t
ui se montrait d'une manière intermittente sans qu'il existât aucun trouble fonc- tionnel de la vision. Ayant eu l'occasi
plète des deux membres inférieurs, ayant ensuite diminué peu à peu. Troubles passagers de la miction (on a dû, pendant quelque
gauche (beaucoup plus prononcée qu'elle ne l'est au- jourd'hui). Ni troubles trophiques cutanés notables, ni eschare sacrée.
nté générale. Quelques phénomènes d'alcoolisme : cauchemars légers, troubles digestifs. Pas de tremblement. Rachis. Aucune d
és par les muscles. De légers obstacles font trébucher le malade. Troubles trophiques. - La cuisse gauche est un peu moins v
ant devant les yeux. Pupilles égales. Ainsi donc, chez ce malade, troubles de la motilité relativement légers, troubles de
donc, chez ce malade, troubles de la motilité relativement légers, troubles de la sensibilité cutanée et quelques douleurs, e
ers, troubles de la sensibilité cutanée et quelques douleurs, enfin troubles de la nutrition musculaire plus accentués, sinon
III. -Fracture du rachis dans la région dorsale datant de onze ans. Troubles trophiques. - Engelures, accidents épileptiformes
t les purgatifs une constipation opiniâtre. Il n'y aurait pas eu de troubles génitaux. Enfin la nutrition des membres éprouva
me assez rapidement. Quelquefois diplopie passagère. Pas d'autres troubles intellectuels ; pas de changements de caractère,
été assez facile à émouvoir. Les sens spéciaux ne présentent aucun trouble , sauf la vue. Ajoutons que le sujet n'a jamais eu
jamais eu la vue bien bonne; il a toujours été myope. A part les troubles que nous venons de passer en revue, la santé rest
ait très nettement remonter àl'époque de sa chute ? 2° Les divers troubles trophiques que l'on trouve aux deux pieds, prin
sions aient été favorisées dans leur production par l'existence des troubles nerveux antérieurs; on se rappelle qu'il avait
t établi lentement à la suite des accidents douloureux, et pour les troubles consécutifs de la marche qu'il vient ré- clamer
ains du malade, quoiqu'il n'attire lui-même l'attention que sur les troubles moteurs dont il se plaint. Face (pl. XLVI). - L
sont assez notablement gonflés. Sensibilité. - Il n'existe d'autres troubles de la sensibilité que quelques douleurs peu int
deux côtés; il n'y a pas de trépi- dation spinale. Il n'existe ni troubles des sphincters ni troubles vaso-moteurs ou tro-
trépi- dation spinale. Il n'existe ni troubles des sphincters ni troubles vaso-moteurs ou tro- phiques. Les autres appa
me un peu difficiles. Les organes respiratoires ne montraient aucun trouble ... Il y avait de temps en l ? ICItOJI$C11.I1 ?
dons de Goll, 31, dans un cas d'arthropathie du pied. Trophiques ( troubles dans les fractures de colonne vertébrale), 45.
alytique (le de Raphaël), par Cnarcot et Richer, 170. Péroné (des troubles nerveux consécutifs aux fractures de la tête du
76 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
es névroses, la paresse intellectuelle, en un mot un grand nombre des troubles mentaux et des instincts pervers qui, dans un ave
on sur un organe et utiliser l'initiative du sujet pour remédier à un trouble fonctionnel. C'est ce qui arrive dans le traiteme
on que la suggestion trouvait son application dans un grand nombre de troubles fonctionnels. Les observations que nous avons r
mbreux et rigoureusement observés, en plusieurs catégories : 1° Les troubles psychiques survenant dans le cours de maladies ai
articulier l'insomnie, l'agitation et le délire nocturnes et quelques troubles fonctionnels tels que les vomissements incoercibl
et des matières fécales survenant dans les mêmes affections; 2° Les troubles fonctionnels liés aux affections nerveuses : chor
t hystérique, blépharospasme, incontinence nocturne d'urine; 3° Les troubles psychiques tels que l'onanisme irrésistible, l'ha
pusillanimité et les diverses manifestations de l'émotivité morbide, troubles qui se présentent le plus souvent associés et que
onsidérer comme des stigmates de la dégénérescence mentale ; 4° Les troubles mentaux envisagés comme complication des diverses
tolet dans le but évident de la tuer, mais sans manifester le moindre trouble ni avant ni après son horrible forfait imaginaire
ma de l'aphasie. Lagelouse: Influence de la suggestion sur quelques troubles fonctionnels à l'appareil visuel. Schmeltz (de
que, pouvaient donner l'idée d'une cause organique. Mais l'absence de troubles digestifs, la régularité des selles, le retour pé
if des plus frappants. Dans les névralgies utéro-ovariennes, dans les troubles menstruels, le massage de la région abdominale em
ent passionné davantage l'opinion que Nicole, do Vervins. Quant aux troubles névropathiques, rien de bien particulier : halluc
ze ans, « d'un homme noir et hideux ayant de longues dents », jeta le trouble dans son esprit et dans celui de ses parents, qui
e la suggestion hypnotique, de faire disparaître un certain nombre de troubles fonctionnels de l'ataxie locomotrice. Cette act
orrélatifs de la nutrition des tissus ; 5° En limitant le champ des troubles fonctionnels et en réduisant ces troubles aux jus
5° En limitant le champ des troubles fonctionnels et en réduisant ces troubles aux justes proportions que comporte la lésion ;
croit ses biographes (1), qu'Ignace de Loyola fut souvent atteint de troubles nerveux ou mentaux. (1) Voy. en particulier : P
me l'existence d'une lésion nerveuse (élongation ou contusion) et des troubles associés d'ordre purement dynamique relevant de l
e, la motilité revenue, mais la force musculaire était moindre et les troubles trophiques encore très apparents. Tout traiteme
nsibilité était parfaite ainsi que la contractilité et que les divers troubles trophiques de la peau et surtout des ongles, si m
, j'avais cru reconnaître chez ce sujet l'existence de deux sortes de troubles , les uns purement dynamiques, les autres organopa
n que je vous avais proposée. Tout depuis a confirmé ces vues : les troubles dus à la lésion nerveuse traumatique ont continué
re et il y a quelques mois qu'il n'en reste plus de traces. Quant aux troubles dynamiques, sous l'influence de nouvelles causes
souvent en pareil cas. Les exemples ne sont pas rares, en effet, de troubles dynamiques qui compliquent de véritables organopa
ons; mais il était toujours incapable de marcher seul et il avait des troubles urinaires. Je l'examinai attentivement dès son
ué. L'exploration par le toucher confirmait ces renseignements. Les troubles de la sensibilité étaient aussi singulièrement di
ons me firent penser, dès le premier jour, qu'une part, au moins, des troubles présentés par ce malade était d'ordre purement dy
ion centrale ou périphérique ne pouvant expliquer la distribution des troubles sensitifs. Je résolus donc de recourir à la théra
its lavements contenant une petite quantité de sulfate de cuivre. Les troubles de la sensibilité guéris, les troubles de la moti
tité de sulfate de cuivre. Les troubles de la sensibilité guéris, les troubles de la motilité disparurent graduellement et le ma
s en ajouter d'autres, mais cela me parait inutile, l'association des troubles purement dynamiques et des organopathies étant dé
suggestion thérapeutique doive toujours réussir, quand il s'agit d'un trouble dynamique susceptible d'être réprimé par la sugge
pendant la nuit. Il mange bien, digère bien, ne présente pas d'autres troubles fonctionnels ; il n'a jamais été malade, dit-
igestion est bonne. La persistance de la douleur en l'absence d'autre trouble fonctionnel nous fait penser qu'il ne s'agit que
l'existence. Il n'existe ni idées hypocondriaques, ni délire. Pas de troubles neurasthéniques [céphalée, insomnie, rachialgie,
s neurasthéniques [céphalée, insomnie, rachialgie, dyspepsie). Pas de troubles de la sensibilité générale ou sensorielle. Pas do
nt l'impres-sionnabilité individuelle de chacun, je n'ai jamais aucun trouble nerveux. Les grandes hystériques seules peuvent a
ancy et à son initiateur M. Liébeault. On concède encore que certains troubles nerveux sont justiciables de la suggestion. Ce so
ion fonctionnelle. Tout ce qu'il est permis de conclure, c'est q'un trouble fonctionnel rapidement amendé par la suggestion n
usées* crée des désordres réels et non fictifs ; mais c'est là un trouble passager qui se répare spontanément. C'est une pe
se répare spontanément. C'est une perturbatior du sensorium, c'est un trouble psychique momentané ; c'es une imagination dérang
'atrophie musculaire, ni autre lésion trophique. Sont-elles dues à un trouble circulatoire? On sait que l'ischémie veineuse ou
es lésions peuvent accompagner la tuberculose. On ne constate aucun trouble circulatoire; les deux membres ont la même te
me pouls ; une affection vasculaire datant de quatre ans engendre des troubles fonctionnels visibles et tangibles. Donc aucune
entissement de l'emphysème sur le système nerveux du poumon, c'est un trouble dynamique greffé sur la lésion et qui peut à son
blée quand cette ligne se trouve en bifurcation avec une autre ligne, trouble qui ne se produit pas quand la ligne est parallèl
onsidérable. Une lumière vive ou apparaissant brusquement produit des troubles profonds dans l'état du sujet, accélération de la
voit se développer une insomnie persistante, susceptible d'amener des troubles nerveux plus ou moins graves. L'occlusion des ore
première observation Cas d'onanisme invétéré et d'onychophagie, — troubles du caractère, indiscipline, etc., chez une fillet
BSERVATION Onanisme invétéré — onyc/iop/iagze — habitude de fumer — troubles du caractère.—Guérison assez prompte par la sugge
opposée, la claustrophobie, a le plus souvent pour point de départ un trouble de l'appareil labyrinthique périphérique ou centr
ations d'origine externe ou d'origine interne qui peuvent éveiller un trouble nerveux gênant ou douloureux, laissant à sa suite
ettement qu'il est actuellement possible de le faire, ce mécanisme du trouble phobique ; il nous sera alors plus facile de reco
ières il peut naître de l'appareil labyrinthique. La nature même du trouble phobique doit impliquer que si nous l'observo
semble quelque peu oiseux et naïf d'établir une distinction entre un trouble et la conscience de ce trouble, entre un état ner
aïf d'établir une distinction entre un trouble et la conscience de ce trouble , entre un état nerveux et la perception de cet ét
avoir, sans le sentir, et ne le reconnaître qu'objectivement soit aux troubles de la station ou de la marche, soit aux troubles
jectivement soit aux troubles de la station ou de la marche, soit aux troubles bulbaires irradiés. Et il en est ainsi non pas
ment pour le vertige, mais pour la nausée, l'oppression, qui sont des troubles fonctionnels, pour la faim, la soif, etc., qui so
on moins vraisemblable que le siège de ces états fonctionnels, de ces troubles , de ces besoins, est inférieur à la corticalité,
n'avait fait désirer ni même prévoir ? D'autre part, ces états, ces troubles , ces besoins peuvent au contraire solliciter notr
la faim, la soif, le dégoût, la colère, etc. En revanche, certains troubles n'entreront jamais dans le champ de notre conscie
s troubles n'entreront jamais dans le champ de notre conscience : les troubles vaso-moteurs, secrétoires, moteurs, etc., ne se r
rs que l'on commence à étudier et qui, eux, sont localisés en des troubles périphériques, dont la signification est extérior
; l'angoisse laryngée, gutturale, celle de l'asthme, etc. Ce sont des troubles nucléaires, la plupart pneumogastriques, et des é
ls sont l'anxiété paroxystique, l'angoisse fugitive du frisson, et ce trouble particulier que l'on appelle si exactement la « p
eur bulbaire, avec toutes ses irradiations dans le domaine des autres troubles bulbaires, frissons, pâleur, sueurs, palpitations
ns, anxiétés diverses, gutturales, laryngées, gastriques, viscérales, troubles secrétaires, moteurs, vasculaires, sensoriels, et
et son image dans la conscience. Avoir peur est éprouver, sentir, ce trouble ; avoir la peur est la subir simplement. A voir p
la subir simplement. A voir peur de quelque chose est tomber dans ce trouble , senti ou non, à l'occasion de cette chose. On
eur. Et il est si connu que la peur se révèle non seulement par des troubles bulbaires irradiés manifestes, mais aussi par des
nt par des troubles bulbaires irradiés manifestes, mais aussi par des troubles également inconscients, qu'il est de règle dans n
si. On est peureux quand on présente une grande susceptibilité à ce trouble , de même qu'on peut être enclin au vertige, à la
oit le siège de la localisation bulbaire, il est hors de doute que le trouble bulbaire peut être senti en haut lieu, et qu'il e
me figurant simplement que je m'approche d'une fenêtre ouverte, et le trouble labyrinthique, purement nucléaire dans ce cas, pe
t disparait, la vue objective concrète combat et neutralise en moi le trouble vertigineux et agoraphobique; livré à mes centres
». Cet homme n'avait rien qui pût faire soupçonner l'épilepsie. Ces troubles d'identité somatique sont assez fréquents chez le
de peur, de la peur elle-même ; nous avons fait de cette dernière un trouble bulbaire ; est-ce un état isolé, ou bien n'est-ce
ouble bulbaire ; est-ce un état isolé, ou bien n'est-ce pas plutôt le trouble d'un état physiologique ? Nous n'hésitons pas à c
tat physiologique ? Nous n'hésitons pas à considérer la peur comme un trouble fonctionnel; et, de même que nous avons dû consid
tionnel; et, de même que nous avons dû considérer le vertige comme le trouble d'une fonction que nous avons baptisée l'orientat
en pleine activité ; et nous sommes si habitués à n'apprécier que les troubles et les douleurs, que quand nous souffrons, nous a
aspects de notre vie physique, c'est la vie elle-même. Quand elle se trouble , sa défaillance constitue ce trouble particulier
la vie elle-même. Quand elle se trouble, sa défaillance constitue ce trouble particulier que l'on appelle la peur. Mais si l
rouble particulier que l'on appelle la peur. Mais si la peur est un trouble fonctionnel, si la sécurité est un état fonctionn
hygiénique et social des prescriptions religieuses de Manou. Divers troubles d'origine psychique guéris par suggestion à l'é
re. Il n'est pas resté chez ma petite malade à l'état isolé. D'autres troubles du même ordre sont venus s'y ajouter dans la suit
elle été vraiment guérie, au point d'être assurée contre le retour de troubles névropathiques analogues ? Je ne le crois pas. So
nervée, je ne sais, je ne puis « dire ce qui se passe en moi ! » Le trouble mental ainsi décrit pourrait être la conséquence
» Le trouble mental ainsi décrit pourrait être la conséquence d'un trouble organique primitif ; car si le moral peut agir su
uleurs subjectives », ma santé se dérangea et présenta un ensemble de troubles singuliers. La sensibilité cutanée des bords oppo
seule séance peut-être. Et aurait-on affaire ici au contraire à un trouble mental symp-tomatique d'une lésion somatique, la
é. La fatigue arrive vite chez ces sujets ; elle se manifeste par des troubles psychiques, dans lesquels les phobies entrent pou
son teint, frais et coloré, devient pâle et jaune. Elle ressent des troubles gastriques qui provoquent un état d'hypocondrie m
ni syncopes, ni sueurs profuses, ni douleurs épigastriques, ni aucun trouble fonctionnel ; sa santé redevint excellente sous t
et le fonctionnement des follicules pileux. Si sous l'in-llucnce d'un trouble nerveux ces follicules s'enflamment, ils présente
ertains cas la sycose staphylogène se développe sous l'influence d'un trouble nerveux et que l'influence des microbes est alors
de l'affection, la disparition de la maladie causale, c'est-à-dire du trouble nerveux, estindispensable. Dans le cas présent on
faut que patienter pour le trouver ; on ne peut donc supposer que les troubles nerveux étaient secondaires à la sycose. Le malad
érée jusqu'à présent comme d'origine nerveuse, dépend directement des troubles du système nerveux et incite à un traitement qui
é psychique non seulement dans l'hystérie, mais aussi dans les autres troubles du système nerveux. Cette communication a fait
qui dénotent qu'au niveau de cette même région il devait y avoir des troubles fonctionnels caractéristiques et qui ont dû modif
va sans dire que j'ordonnais un lien pas trop tendu, pour éviter des troubles nerveux. — D'autres expériences s'appliquaient au
dique qu'il faut un terrain propice et une certaine prédisposition. Troubles oculaires d'origine hystérique. Claude. Société
te ou plutôt d'hémiparésie, d'hémia-nesthésie droite incomplète et de troubles oculaires des deux côtés. II existe en même temps
ènes moteurs s'amendent rapidement, l'hémianesthésie persiste, et les troubles oculaires évoluent de façons différentes : 1° L
'œil est normal. L'état général de la malade est très bon. Tous ces troubles sont de nature hystérique ; les uns ont eu une év
ut particulièrement ce nouveau moyen de prévenir le développement des troubles mentaux. La sieste et la digestion. Une petit
t en rapport de contiguïté. Que cette contiguïté soit imparfaite, des troubles spéciaux se produiront, différents de ceux qui so
ication nervine modifiait fréquemment les retentissements nerveux des troubles fonctionnels de l'estomac. Lorsque la dilatation
me fonctionnel. 11 faut savoir que nombre de maladies débutent par un trouble fonctionnel, quelquefois général, souvent localis
Cette thérapeutique n'est pas hasardeuse. Son but est de modifier le trouble fonctionnel en agissant directement ou indirectem
des visions et dos hallucinations ; dès sa jeunesse, il présenta des troubles intellectuels marqués; il était incapable d'une o
-à-dire fabriquées de toutes pièces par auto-suggestion et sans aucun trouble , si minime soit-il, de l'innervation cardiaque, e
ité et la fréquence plus grande des accès, l'adjonction à ceux-ci des troubles respiratoires tels que dyspnée, respiration bruya
s le bulbe et les ganglions du grand sympathique. Le coma résulte des troubles apportés dans le fonctionnement de ces centres.
notiques ; il en sera de même dans les cas de délire résultant de troubles circulatoires. Lorsque l'insomnie est due à l'e
cations résultant de la forme : si l'absence de sommeil est due à des troubles nerveux sans lésion anatomique, les hypnotiques,
n a bâti tant d'hypothèses, qui, par ses variations, engendre tant de troubles et de changements dans les phénomènes vitaux; tan
ces expansions, d'où des qualités et des défauts, des progrès et des troubles , suivant que ces connexions se développent dans u
ste plus ou moins ancrée dans le système nerveux après la guérison du trouble anatomique qui lui a donné naissance ; à force de
épinière peuvent présenter des caractères de dégénérescence, devenir troubles et granulées, ce qui indique l'altération ou la p
ajal, touchant les mouvements automatiques de certaines maladies, les troubles nerveux qu'entraîne la vieillesse, les idées fixe
lique l'efficacité delà suggestion dans beaucoup de circonstances: le trouble fonctionnel dans les maladies des centres nerveux
ilité interrompue, rétablie, restaure la fonction... D'autre part, le trouble fonctionnel peut survivre à la cause ou à la lési
vre à la cause ou à la lésion organique qui lui a donné naissance; ce trouble n'est plus entretenu par la lésion, mais retenu,
u collège analyse avec méthode les manifestations et le mécanisme des troubles fonctionnels, reconnaissant pour cause la présenc
els, reconnaissant pour cause la présence d'une idée morbide, que ces troubles accompagnent et compliquent une maladie organique
Après une brillante introduction où il établit ß qu'en théorie chaque trouble organique — maladie locale ou générale — doit tou
ganique — maladie locale ou générale — doit toujours s'accompagner de troubles psychiques, M. le D' P. Hartenberg entre dans le
le D- Pau! Hartenberg. -battue à temps, provoquer à la longue des troubles organiques-réels graves, et quelquefois incurable
t de mal hystérique. Attaques coiivulsives. Hallucinations et délire. Troubles moraux. Début il y a 3 ans. Hypersensibilité de l
e émotivîté. Le 20 février, céphalalgie générale des plus intenses. Troubles de la vue, diplopie. Puis cécité momentanée, vue
qu'il divise en quatre catégories: 7 cas d'alcoolisme chronique, 5 de troubles sexuels, 6 de neurasthénie et de légers troubles
isme chronique, 5 de troubles sexuels, 6 de neurasthénie et de légers troubles nerveux, 7 d'insomnie et do troubles du sommeil
6 de neurasthénie et de légers troubles nerveux, 7 d'insomnie et do troubles du sommeil. Il a traité, en outre, un cas d'épile
tement échouent, comme par exemple dans l'alcoolisme chronique et les troubles sexuels. Mais, pour que la suggestion donne un bo
phobiques en poussent même quelques-uns au suicide sans motif. Car un trouble mental permanent, tel que l'entendent les profane
fiant de leur histoire pathologique, fait qui se produit par suite de troubles temporaires de la circulation. Par contre, des
ar suite de troubles temporaires de la circulation. Par contre, des troubles épisodiques sont possibles dans la neurasthénie,
contre, des troubles épisodiques sont possibles dans la neurasthénie, troubles qui se présentent brusquement, durant des heures
suffisante. Le substratum des symptômes cliniques est évidemment le trouble grave de l'activité chimique des cellules ganglio
qu'un traitement essentiellement psychique dût surtout convenir à des troubles psychiques, et que ce dût être là le triomphe de
peu efficaces d'ailleurs, auxquels on ait recours d'habitude quand le trouble mental ne saurait comporter, comme ici, l'interne
miers, nous donnions des observations de kleptomanie, de mensonge, de troubles du caractère, d'onanisme irrésistible, d'onychoph
ctéristique de la nommée Jeanne SchafT.., âgée de 22 ans, atteinte de troubles moraux et d'impulsions irrésistibles au mal. Celt
t obtenu encore en haut et en dehors. Après deux autres séances, ce trouble visuel a complètement disparu sous l'influencé de
mois, absolument guérie de ses hallucinations, idées de persécution, troubles de la parole, de la mémoire, de la vision. Je l'h
« D'abord, les séances fausses introduisent un élément d'erreur ou de trouble dans la situation, en ce sens qu'elles permettrai
Sur les affections mentales chez les animaux Par M. Cadiot. Les troubles des facultés intellectuelles chez les animaux for
paniques (3), les Aberrations sexuelles [*) sont les plus connues des troubles mentaux observés chez les sujets des diverses esp
. L'action de la peur chez les animaux ne produit pas seulement des troubles passagers des facultés intellectuelles ; il peut
rver, dans mon service, un setter irlandais, âgé de 3 ans, atteint de troubles intellectuels survenus à ta suite d'un long traje
blessure ou de contusion, ni à la tête, ni aux autres régions. Pas de troubles de la miction; l'urine est normale. L'animal est
pour lesquelles il ne manifestât pas une indifférence absolue. Les troubles cérébraux survenus chez ce chien, dans les circon
port. Consulté sur la question de responsabilité, je déclarai que ces troubles avaient bien été provoqués par la longue durée de
rtance de la fièvre typhoïde comme élément étiologique de beaucoup de troubles psychiques plus ou moins sérieux. Notre malade no
elle idée, juste et raisonnable, à l'idée fausse, point de départ des troubles psychiques. Vous arriverez ainsi quelquefois, en
anquet de la Société d'Hypnologie et dc Psychologie, 91. Caractère ( troubles du), [guérison par la psychothérapie], 136. Céc
ogique du sommeil (la), par Ch Pupin, 289. Thermomètre muet, 316. Troubles d'origine psychique guéris par suggestion à l'éta
que guéris par suggestion à l'état de veille, par Go-rodichze, 152. Troubles oculaires d'origine hystérique, par Claude, 214.
77 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rsions du sens génital qui souvent prennent leur source -dans des troubles de la sensibilité générale,^ mais * bien d'un o
erveuses de notre malade ne se sont pas seulement traduites par des troubles psychiques, des aberra- tions morales, il a off
ctuels sont accompagnés d'un batte- ment continu des paupières. Ces troubles se montrent dès le réveil soit pendant la nuit,
et demi ; le lendemain du jour où le mal a com- mencé vers midi, le trouble de l'intelligence et le battement des paupières
nque. Les convulsions ne semblent pas exercer d'influence sur les troubles intellectuels, après lesquels d'ailleurs, 'elles
udori- pares, l'abaissement de la température périphérique et les troubles de la sensibilité observés pendant la vie. La p
terne, comme sur l'externe ; par suite, on peut lui attribuer les troubles de la digestion et de la nutrition et la cachex
de la température au-dessous de la normale, l'auteur signale des troubles très variés du système nerveux : caractère tris
x hallucinations proprement dites. Dans un cas cité par Savage, les troubles psychiques ont abouti à une véritable manie, av
ons cutanées telles que celles du myxoedème, puissent entraîner des troubles des facultés psychiques. A la rigueur, et bien
dit-il, les anesthésies ou la perte d'un sens spécial entraîner des troubles intellectuels ; le contraire se produirait plut
vue, ouïe, goût ne semblent pas atteints. Enfin, il n'existe pas de troubles digestifs et le sommeil 70 PATHOLOGIE NERVEUSE.
s prononcé et on note à côté d'une constipation habi- tuelle, les troubles psychiques suivants : affaiblissement de la mém
eux central. En effet, dit-il, dans tous les cas on a observé des troubles intellectuels variables, du reste, depuis .l'ir
squ'à la manie agressive et au délire des grandeurs. Bien que ces troubles intellectuels surviennent toujours à quelque ph
du cerveau qui entraînent souvent, mais non nécessaire- ment, des troubles intellectuels. Inglis considère le myxoedème co
étion de l'urée. Il rappelle que, pour lui, la maladie tient à un trouble profond du grand sympathique. Dyce Duck- worth
oedème est une maladie d'origine centrale , sous la dépendance de troubles de la nutrition. Enfin Hammond vient de publier
sage particulièrement 76 PATHOLOGIE NERVEUSE. au point de vue des troubles nerveux et cérébraux'. Les phénomènes de cet or
personnelle tout particulièrement intéressante au point de vue des troubles nerveux. Il s'agit d'une femme de 41 ans. Au pr
i faisaient le récit des tortures qu'elle devait subir. Quant aux troubles psychiques, les voici tels qu'ils ront rapporté
eure à 96° Fahr. (35°,5 c.) En ce qui concerne l'interprétation des troubles nerveux, Ham- mond rejette l'hypothèse de Ord.
'excitation maniaque observées dans certains cas. » Il rattache les troubles cérébraux à une lésion de l'encéphale, caractér
uqueux autour des cellules nerveuses. Dans le cas qu'il publie, les troubles psychiques avaient précédé l'apparition de l'oe
es avaient précédé l'apparition de l'oedème spécial. En résumé, les troubles nerveux résulteraient de deux ordres de lésions
on nécessités) ? ) par sa profession. Une tarda pas a présenter les troubles digestifs et cérébraux habituels aux alcooliques
s sentie à gauche, pas plus que le pincement Mais il n'y a pas de troubles sensoriels; la vue, le goût, l'odorat (chloroform
écèdent, puis accompagnent la marche graduelle- ment croissante des troubles moteurs; dans leur intervalle on note un trembl
it atteinte d'un trem- blement généralisé et continuel compliqué de troubles céré- braux graves, avec délire de persécutions
citation mentale se calma rapidement. A la fin du second mois tout trouble cérébral avait cessé ; en même temps la rigidité
merican journ. o/' ? He. se, avril 1881 , p. 382.) La fréquence des troubles oculaires de la syphilis cérébro- spinale a été
e Fournier. Les paralysies des muscles de l'oeil aussi bien que les troubles visuels, amblyopies, amauroses, sont des faits
a neuro-rétinite peuvent exister sans qàe,lé malade ac- cuse aucun- trouble de la vue : Cette névrite optique peut s'ac- co
ique dans le bout central par rapport au lieu de préhension. Pas de troubles trophiques, même aux muscles ; troubles de la l
lieu de préhension. Pas de troubles trophiques, même aux muscles ; troubles de la locomotion variables et passagers. Macros
re quelques autres symptômes qui sont relégués au second plan : les troubles vésicaux du tabes pren- nent quelquefois une te
'administration du tartre stibié chez les persécutés; parce que les troubles gastro-intestinaux qu'il déter- mine "peuvent"
incre pour se diriger un peu sûrement dans ces graves questions des troubles psychiques, il y a lieu de méditer ces quelques
partielle saillante, on rencontre d'autres phénomènes annonçant un trouble intellectuel plus général. Mais en pratique, di
r le moral devient pour lui, l'élément fondamental pathogénique des troubles psychiques. On entre dans la folie bien plutôt
du sentiment, de la sensibilité' morale, du sens émotif, que par un trouble de l'esprit. Cette manière d'interpréter les fa
orie de Ord. Elle indique en effet une subordi- nation complète des troubles nerveux aux lésions cuta- nées. Les troubles ne
nation complète des troubles nerveux aux lésions cuta- nées. Les troubles nerveux vont croissant à mesure que se développ
aliénation mentale avec délire des persécutions. Puis, on voit ces troubles psychiques et nerveux s'amender progressivement
des poils au début de la maladie. On a même constaté de véritables troubles trophiques du système pileux. Les cheveux et le
es poils perdent leur éclat, deviennent laineux, plus fragiles. Des troubles trophiques analogues ont même été constatés du
ment sains et les urines ne contiennent pas d'albumine. Quant aux troubles digestifs signalés dans plusieurs observations,
symptomatique constante : anémie profonde, lésions tégumentaires et troubles nerveux, on peut dire aussi que, sur ce fond mo
es formes très variées. Ceci s'ap- plique tout particulièrement aux troubles du système nerveux. Véritable prothée, la malad
atologie du système nerveux tout entier. Trou- bles de la motilité, troubles de la sensibilité générale et spéciale, symptôm
ensibilité générale et spéciale, symptômes do l'ataxie locomotrice, troubles psychiques depuis les plus légers jusqu'aux plu
ons ne sont pas indispensables pour expliquer la majeure partie des troubles nerveux et particulière- ment les troubles psyc
la majeure partie des troubles nerveux et particulière- ment les troubles psychiques. les immenses progrès réalisés par l
? D'autre part, doit-on, avec Ord, subordonner absolument tous les troubles psychiques aux lésions cutanées ? Accepté dans
L'infiltra- tion des téguments externes ou internes entraîne des troubles fonctionnels analogues, suivis des mêmes trou-
ions. dureté, desquamation en divers points, colo- ration spéciale, troubles anesthésiques, abaissement de la température, d
rver comme dans la cachexie pachydermique des hallucinations et des troubles psychiques allaiitjusqu'à un véritable délire s
pourrait, si cette relation était bien démontrée, rappro- cher des troubles vaso-moteurs, des rougeurs qui constituent quel
c'est l'épuisement général du sujet qui amène la dis- parition des troubles nerveux, si la fièvre suffit pour amener ce rés
nt considérable n'est pas nécessaire pour produire une sédation des troubles hystériques. La coïncidence de l'hystérie et du
e soir. Par l'application de l'aimant, on a obtenu le transfert des troubles visuels. 6. T. 40°, 1 le matin, 39°, 8 le soir.
symptômes localisés ni dans la poitrine, ni dans l'abdomen. Pas de troubles de la sensibilité (ventouses sèches sur le thor
ne considérer cette lésion, dans le cas actuel, que comme un simple trouble trophique d'origine centrale. On pourrait donc
jaloux sur la description complète des accidents con- vulsifs, des troubles sensitifs et moteurs, des phénomènes viscéraux,
etc. Les hystériques peuvent présenter pendant leur existence des troubles intellectuels ou de simples aberrations de carac-
ations sans nombre et sans nom; delà, dans le foyer domestique, des troubles et des discussions sans cesse alimentées par le
ses sensibilités, et cependant elles ont si peu conscience,de, ce trouble profond qu'elles n'en parlent jamais, qu'elles pe
ts de la névrose, tels que les cou-, tràctures, les paralysies, les troubles de la sensibilité, et qui pré-, sentent une pon
lsives. Il faut insister sur les dispositions du caractère, sur les troubles divers du système nerveux, qui permettent dès l
sure delà synostose prématurée. Celle-ci bientôt effectuée par des troubles collatéraux dans le feuillet du blastoderme aurai
valle ), l'hypérémie papillaire (un cas mortel), quelquefois des troubles de la sensibilité (tensions, élancements, démange
uccession des vésanies aux symptômes ergotiques, la disparition des troubles nerveux périphériques avant l'explosion des psy
s, en dehors des faits même du procès, sont les suivants : 1" les troubles des facultés intellectuelles et affectives, manif
rès malheureuse dans sa famille, présentant depuis quinze jours des troubles intellectuels, et qui avait été internée dans u
médications locales. Dès lors chaque jour trois ou quatre accès de troubles vaso-moteurs, selon l'expression de M. Bernhard
décèle de la dilatation des veines, de la tuméfac- tion et un état trouble de la rétine en bas et en dedans. Ces phé- nomè
re diminution à l'acuité visuelle centrale, coïncidant avec un état trouble de la rétine étendu, l'orateur rappelle que les d
groscopique s'oedématie de ce chef par imbibition ; de là l'état de trouble et de tuméfaction décelé par l'ophtalmoscope et l
qui, éphémère, échappe à nos in- vestigations cliniques. Quant aux troubles de la vue d'une durée quelconque, prononcés et
gions rétro-oculaires sur la portion orbitaire du nerf optique. Les troubles optiques qui suivent les blessures du crâne par
ainsi que les délires proprement dits, avec leur cortège habituel ( troubles de perception, hallucinations). Aussi doit-il a
t toujours lorsqu'il est arrivé. Pas de phénomènes généraux, pas de troubles intellectuels. Cette affection se distingue de la
te affection se distingue de la cho- rée vulgaire par l'absence des troubles psychiques du début, de ces gesticulations non
on, mais jusqu'à une période très avancée lorsqu'il existe déjà des troubles trophiques du côté des articula- tions des extr
aleur relative, qu'il tire surtout de son association avec d'autres troubles tabétiques. M. Charcot a fait remarquer qu'il peu
forme lente ne s'accompagnent point de phénomènes généraux, ni de troubles de l'intelligence ou de la parole qui caractérise
es d'augmentation et de diminution, et qui ne s'accompagne point de troubles de la sensibilité. A quoi sont dus les accident
lescence de la paralysie diphthéritique, on observe quelquefois des troubles cardio-pulmonaires se traduisant par un état sy
à des douleurs abdominales et à des vomissements alimentaires. Ces troubles succèdent d'habitude à une paralysie du voile d
dès qu'il y a de la dyspnée la mort est inévitable. Ordi- nairement troubles cardiaques et troubles pulmonaires vont en- sem
pnée la mort est inévitable. Ordi- nairement troubles cardiaques et troubles pulmonaires vont en- semble, mais exceptionnell
nes. L'auteur pense qu'une lésion bulbaire n'explique- rait pas les troubles isolés ; il croit que si la théorie bulbaire étai
t nous a engagé à publier. Observation. - Iléniil)a7-aplégie avec troubles de la sensibilité, dans les deux membres inféri
la sensibilité, de la vaso-motricité et des diverses fonctions. Les troubles paralytiques se réduisent à une hémiparaplécie.
as de retard appréciable dans la transmission des sensations. A ces troubles sensitifs, se joignent des douleurs et sensa- t
on thoracique, de pesanteur épigastrique, de chaleur dorsale. Les troubles vaso-moteurs sont très marqués, et ont entraîné
e du membre. L'insensibilité ther- mique seule demeure entière. Les troubles génito-urinaires présentent à peu près les même
malade peut presque soulever sa jambe. Le 21 mars, les urines sont troubles , muco-purulentes. Le 23 zzzazs, survient une hy
sibilité aux températures est encore presque totalement abolie. Les troubles vaso-moteurs se sont très atténués. Le membre i
inférieur gauche est très légèrement t atrophié. Il n'existe plus m trouble génito-urinaire, ni trouble circulatoire ou dig
gèrement t atrophié. Il n'existe plus m trouble génito-urinaire, ni trouble circulatoire ou digestif. Comme on le voit, l
la moelle dorsale; notre observation prouve une fois de plus que ce trouble génital n'est point spécial aux lésions de la m
s de la moelle cervicale, comme l'out cru beaucoup d'auteurs. Les troubles de la miction n'ont présenté aucune particulari
peut seule expliquer, car cette lésion a été absolument isolée. Ces troubles du pouls ont duré une semaine à partir du trois
ervations de Viguès et de Joffroy et Salmon. C'est du reste le seul trouble tro- phique qu'il nous a été permis de constate
), par exemple, qui dans les cas d'anesthésie com- plète, offre des troubles caractéristiques, allant quel- quefois jusqu'à
comme les hystériques, les hémianesthésiques cérébraux qui ont des troubles de la sensibilité des membranes extérieures de
ensibilité des membranes extérieures de l'oeil, ont également des troubles visuels, soit achromatopsie, soit rétrécisse- m
d'une hémidysesthésie 2 ; mais dans ce cas encore, s'il existe des troubles de la sensibilité spéciale, ils sont eu tout an
iologie, 4 novembre 1881.) si Ch. Férié. Contribution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par les lésions céréb
er à la partie supérieure d'un côté de la face, et s'accompagner de troubles analogues des sens. Le rapport qui existe ent
7te : <e ? t, Berlin, 4881. Ch. FËRE. Contribution a l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales,
gulaire de la bandelette optique. (Fere. Contribution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision, etc., p. 5.) AMBLYOP
mporaire, que l'ablation d'un lobe occipital peut ne produire aucun trouble visuel, tandis que la destruction de ces deux r
it-il pas qu'il a constaté que les mêmes lésions produisaient des troubles divers chez des chiens de race différente. Il n
les- quels nous trouvons des défauts visuels coïncidant avec des troubles imputables à une lésion unilatérale du cerveau ;
mputables à une lésion unilatérale du cerveau ; nous voyons que ces troubles visuels répondent à deux types bien distincts,
re, dans l'hémianesthésie des hystériques, qui semble bien due à un trouble unilatéral du cerveau. Ce trouble visuel est le
ériques, qui semble bien due à un trouble unilatéral du cerveau. Ce trouble visuel est le seul que l'on puisse ren- contrer
s lésions céré- brales ; et, sauf le fait de Petrina dans lequel le trouble visuel est en rapport avec une lésion corticale
égion qui avoisine l'oeil. Quand une lésion cérébrale détermine des troubles seusitifs des téguments de l'oeil, il faut cher
es troubles seusitifs des téguments de l'oeil, il faut chercher les troubles sensoriels de l'organe et on les trouve ; ces t
chercher les troubles sensoriels de l'organe et on les trouve ; ces troubles sensoriels manquent au contraire lorsque l'hémi
face, comme nous en avons rapporté un exemple. Cette relation des troubles sensoriels et des troubles sensitifs des tégument
rapporté un exemple. Cette relation des troubles sensoriels et des troubles sensitifs des téguments AMBLYOPIE CROISÉE ET HÉ
ont presque la même valeur que les faits suivis d'autopsie, car le trouble visuel ne peut guère être déterminé à distance
a face et du bras, etc., phénomènes qui peuvent être attribués à un trouble circulatoire de la sylvienne par irrita- tation
équentes qu'on ne le croit générale- ment. Le caractère général des troubles laryngés tabétiques, 3b0 REVUE DE PATHOLOGIE NE
isolés ; mais souvent même lorsqu'ils se sont asso- ciés les autres troubles pathognomoniques du tabes dorsal, leur intensit
pparaît d'emblée avec tous ses ca- ractères. Exceptionnellement les troubles oculaires s'entent sur une migraine habituelle
uquel l'auteur étudie les migraines apthalmiques frustes. Alors les troubles oculaires constituent seuls, pendant longtemps,
us fâcheusement le malade. Puis viennent par ordre de fréquence les troubles de la sensi- bilité (fourmillement, endolorisse
nécrobiose même pourraient la suivre et ainsi s'expliqueraient les troubles permanents. D. BERNARD. XXIII. CONTRIBUTION A l
lium pigmenté de la rétine, ainsi qu'en une décoloration et un état trouble de la rétine. , E. C. SOCIÉTÉS SAVANTES SOC
ier de ces prix, et ont envoyé les mémoires suivants : Azam : Des troubles intellectuels consécutifs aux traumatismes du c
on malade dans la catégorie des incorrects. S'il offre, dit-il, des troubles intellectuels, c'est dans l'ordre de la volonté
aurait pas, par hasard, une simple coïncidence entre l'otite et les troubles intellectuels présentés par le sujet. M. Régis
de la face interne du cerveau, dont l'altération peut produire des troubles de la motilité; mais aussi qu'il existe certaines
on de l'aire corticale, dont les modifications ne produisent pas de troubles moteurs; mais ils ont du même coup servi à cir-
oir que la région coiticale , dont les lésions ne produisent pas de troubles de la motilité, et que l'on peut appeler région
le dont la destruction totale ou partielle entraîne quelquefois des troubles moteurs. Enfin la région absolue est celle dont
nt les localisations morbides produisent toujours et fatalement ces troubles . A pre- mière -vue, il peut paraître singulier
mala- dies guéries qui ont laissé dans les fonctions cérébrales un trouble plus ou moins durable ; on les rencontre dans l
mes qui lui sont propres, (embonpoint, coloration rouge de la face, troubles gastriques divers, troubles visuels, attaques é
mbonpoint, coloration rouge de la face, troubles gastriques divers, troubles visuels, attaques épileptiformes ou apoplecti-
rs, troubles visuels, attaques épileptiformes ou apoplecti- formes, troubles intellectuels particuliers); 2° par des particula
ille est presque tou- jours immobile et plus ou moins déformée. Les troubles de la sen- sibilité sont la règle dans la pseud
E. Lecrosnier. Prix : 1 fr. Fini fih.). Contribution à l'cliulc des troubles fonctionnels de la vision par lésions cerébiale
78 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
appelle, un exemple d'aphasie vulgaire, c'est-à-dire dans lequel le trouble porte sur le langage considéré dans son accepti
ngt ans il remarque que la douleur de tète s'accompagne de certains troubles de la vision, il savoir obnubilation du champ v
moitié des objets et rapporte ainsi que cela a lieu en général, ce trouble à l'oeil droit tandis qu'en réalité il appartie
nt partiel de la vision, survient tout à coup à son grand effroi un trouble céphalique portant chez lui sur tous les modes de
n et d'expression du langage, langage parlé, langage écrit, etc. Ce trouble cé- phalique est transitoire, il dure une heure
six heures du soir. Le premier phénomène qu'il atteste alors est le trouble visuel. Les personnes, les choses, semblent cou
terne. C'est.a)ors-qu'apparaissent tes trou- bles du langage. Ces troubles chez le malade portent sur tous les éléments de l
en finir avec la description des grands accès qu'il présente. Le trouble aphasique dure environ une heure; alors survient
connue sous le nom de mi- 0 cri,.tliieoplitliiliiiiqije à cause des troubles visuels qui en sont un desprillei- MIGRAINE OPI
s nombreux, ou le scotome scintillant, existe à peu près seul, sans troubles gastriques, sans hémiopie bien marquée, sans cé
lée. Des cas ou la céphalée s'accompagne seulement-d'hémiopie et de troubles gastriques. Ce sont là des exemples de ce que l'o
i des cas d'aphasie transitoire, des convulsions él71leptoïdes, des troubles de la sensibilité et du mouve- ment d'un côté d
faute d'interro- ger le malade suffisamment en ce qui concerne les troubles visuels, ou parce que ces troubles sont peu acc
fisamment en ce qui concerne les troubles visuels, ou parce que ces troubles sont peu accentués. Il est possible même que ces
e que ces troubles sont peu accentués. Il est possible même que ces troubles fassent défaut et que le trouble aphasique existe
ués. Il est possible même que ces troubles fassent défaut et que le trouble aphasique existe seul. Je suis disposé a1 admet
rcher si l'aphasie est due à une migraine ophtalmique, c'est que ce trouble qui passe en général avec raison pour très rare
ès Ù retour d'ailleurs fréquent est. marque par l'accompagnement de troubles aphasiques très pro- nonces; et, pendant cette
aphasiques très pro- nonces; et, pendant cette longue période, ces troubles du langage ont tou- jours disparus sans laisser
e de symptômes plus ou moins inquiétants tels que aphasie, parésie, troubles de la sensibilité etc. L'épilepsie même, liée a
e à la suite d'un accès. Il en est de même pour ce qui concerne les troubles de la sensibilité et du mouvement et enfin de l
nément l'hémiopie, le scotome, les formes variées de l'aphasie, les troubles moteurs ou de sensibilité, les accidents épilepti
olutions frontale et pariétale ascendantes pourra rendre compte des troubles moteurs, sensitifs, et des accidents épilepti 1
pérémie également transitoire; on comprendra par conséquent que les troubles symptomatiques liés il ces désordtes de canalis
a dit avoir vu chez un maladeatleint de migraine opltllalmillue des troubles permanents delà vision s'établira la suite d'un
à l'heure, la raison de ces détails. Du côté de la sensibilité, les troubles objectifs commencent il s'atténuer. Les douleurs,
our mieux souligner, chez notre malade, l'absence de ces différents troubles et faire ressortir par contraste l'existence, d
limitée aux centres trophiques des deltoïdes. Enfin l'existence de troubles de la sensibilité : douleurs, hy- poestllésie,
et qui présentent comme particularités remarquables l'apparition de troubles cérébraux longtemps après le début des accident
telligence; la parole n'était pas modifiée. On ne constatait aucun trouble notable des divers appareils de l'organisme, sa
e irrégulière et des habitudes d'intempé- rance, qu'il présente des troubles gastriques, de la lenteur de la digestion, des
ime, il se pro- duisit presque subitement une aggravation telle des troubles moteurs que le malade ne pouvait plus se tenir
à ce point de vue. Mais ne constatant ni perte de connaissance, ni troubles de l'intelligence, ni modifications de la parole,
mai le diagnostic de tabes dorsalis vulgaire. Je ne constatai aucun trouble intellectuel notable, mais je fus cependant fra
bétiques : signes de Homberg, d'Argyll Roberston, et de West pliai, troubles urinaires, douleurs fulgurantes, incoordination
e porter un autre diagnostic que celui de 13bes; if n'y avait aucun trouble intellec- tuel. Puis quelques années après le d
jours par une des- quamation épidermique, accompagnée en général de troubles généraux, et évo- luant d'une façon plus ou moi
porter les bras en avant ou en arrière est extrêmement limité. Ces troubles paralytiques sont tellement marqués que le mala
paraison, qu'au niveau des autres points du corps. Il n'y a aucun trouble trophique cutané, aucun trouble vaso-moteur. L'
res points du corps. Il n'y a aucun trouble trophique cutané, aucun trouble vaso-moteur. L'état général est excellent ; les
voque également des douleurs. Il existe chez cette femme d'autres troubles de la sensibilité qui, en l'espèce, ont une imp
s modes. (V. fig. G et 7) En poussant plus loin la recherche de ces troubles de la sensibilité, nous avons acquis la preuve
ans jamais sentir le passage de l'urine. En somme, l'ensemble des troubles de la sensibilité que nous relevons chez cette
mbres inférieurs de cette femme, nous allons mettre en évidence des troubles très accusés de la molililé et de la troplaicit
lleurs, elles n'ont été précédées d'aucun étourdissement, d'au- cun trouble spécial ; et, il n'en est point résulté d'indispo
e pièce de Nouv. ICONOGR, DF LA SALPtTRI1'T<F T. VIII YL. XIV. TROUBLES TROPHIQUES dans un cas de lésion de la queue de
ar des branches nerveuses détermi- nées, l'atrophie musculaire, les troubles vésico-anaux, t'eschareunitatératc. Dans le pre
a caractéristique clinique de ces deux cas, c'est la coexistence de troubles unilatéraux, de troubles de la sensi- bilité et
e de ces deux cas, c'est la coexistence de troubles unilatéraux, de troubles de la sensi- bilité et de la trophicité, et de
les deux réunies. L'eschare au siège peut manquer, de même que les troubles du côté de la vessie ou du rec- tum, l'anesthés
ez des éléments suffisants de différenciation dans la recherche des troubles vésicaux, de l'anesthésie du périnée, de l'eschar
à )'age de 10 à 11 ans. Au mois de ,juillet 1893, il a été pris de troubles urinaires, dysurie et polla- kiurie. Puis, pend
de Rom- ber, une incoordination motrice peu marquée d'ailleurs, des troubles de la sensibilité objective qui, comme ceux d'o
ties homologues du côté opposé. Les cuisses restent épargnées ; les troubles vésicaux et rectaux font défaut. Dans la myél
uë, vous observez, au début, de la paraplégie en même temps que des troubles ano-vésicaux et mie eschare au siège. Seulement
te, n'affectant que les muscles innervés par le plexus sacré, et de troubles de la miction et de la défécation, en rapport, à
sie de la vessie et du rectum. Ajoutez, à ces symptômes, certains troubles trophiques, certains trou- bles des fonctions g
asser en revue, dans un or- dre systématique, en commençant par les troubles de la sensibilité. A. TROUBLES DE la sensibilit
s de muscles, aux membres inférieurs. Je trai- terai séparément des troubles moteurs qui ont pour siège la vessie et le rect
le secours de béquilles. Voici d'ailleurs ce que l'on peut dire des troubles de la démarche, dans les cas d'affections de la
de la démarche, dans les cas d'affections de la queue de cheval. Troubles de la démarche. Ces troubles de la démarche n'ont
d'affections de la queue de cheval. Troubles de la démarche. Ces troubles de la démarche n'ont rien de bien caractéristiq
l importe de savoir et de retenir, c'est que jamais on n'observe de troubles de la coordination chez ces malades. Tout au plus
notre malade. Cette atrophie est, le plus souvent, irréparable. , Troubles des réflexes tendineux. On a noté : L'intégrité
centres trophiques de ces muscles ou des nerfs qui en émanent. 1 Troubles des (onctions génito-urinaires et du gros intesti
1 Troubles des (onctions génito-urinaires et du gros intestin. Ces troubles ne manquent jamais. Voici leurs caractères :
our ce qui concerne les fonctions du gros intestin. Quelquefois les troubles de la défécation se réduisent à une constipatio
es malades souffrent d'un ténesme très pénible. Pour ce qui est des troubles des fonctions génitales, ils ne sont pas aussi
paralysés. Ce sont là des particularités intéressantes à connaître. Troubles trophiques. Je vous ai déjà dit qu'une atrophie p
ptomatologie vous est connue après ce que je viens de vous dire des troubles des fonctions génito-urinaires el du rectum dans
et la portion terminale du névraxe. Elle se réduit, en effet, à ces troubles , ainsi que le démontrent des observations publi
que que, du vivant du malade' les symptômes se soient réduits à des troubles de la miction et de la défécation : incontinence
sence d'un malade qui réalisait ce môme syndrome, c'est-à- dire des troubles limités exclusivement à la sphère d'innervation d
bas du dos. Puis, au bout de très peu de temps, ils présentent des troubles de la miction et de la défécation, en rapport ave
vous en ai dit précédemment. La parésie motrice, l'anesthésie, les troubles de la miction,' de la défécation et des fonctions
, siégeant aux membres inférieurs, sont ou ne sont pas associés aux troubles de la miction et de la déféca- tion, dont je vo
tion, il est indispensable de procéder à une analyse minutieuse des troubles de la sensibilité- et de la mo- tilité. a) Un
est incomplète aux membres inférieurs. Je suppose que l'analyse des troubles sensitifs et moteurs aboutisse aux constatations
C'est celle où les manifestations pathologiques se réduisent à des troubles de la miction et de la défécation, en rapport ave
ure de potassium par jour. Plus tard, il y aura à se préoccuper des troubles trophiques, en parti- culier de l'atrophie musc
e, à notre avis, qui est aussi celui de Fabre (1), rangée parmi les troubles trophiques liés à l'hystérie et rapprochée de l
e association presque constante d'une zone hystérique cutanée et de troubles trophiques nous servira singulièrement dans l'int
ons qui unissent les mamelles à l'appareil de la gestation, que les troubles de ce dernier pourront influ- encer singulièrem
tre les phénomènes de l'aura propagée : sensation de strangulation, troubles céphaliques, etc., elle irradie, comme l'avait
pas contradictoires pour nous qui connais- sons la filiation de ces troubles vaso-moteurs, qui vont de la congestion simple
la mamelle droite ». ' D'après ce flue nous savons aujourd'hui des troubles trophiques dans l'hystérie, ce cas est d'une in
pas la réunion par première intention, sous un seul pansement, sans troubles trophiques proprement dits. A la suite de not
mprimant, la résection intra-durale de sa par- Fio. z Cicatrices et troubles trophiques du membre avant la résection des rac
atteinte, par l'intensité beaucoup plus grande, à leur niveau, des troubles sensitifs (fig. 22 et 23). Au nouvel examen pra
26. Etat du membre le surlendemain de l'opération : l'oedème et les troubles trophiques préopératoires ont complètement dispar
t que notre malade a repris ses fonctions d'employé de bureau : les troubles tro- phiques cutanés ont complètement disparu.
n même temps qu'il prend une teinte violacée. Il n'y a pas trace de trouble oculo-pupillaire ni d'altération du fond de l'oei
ticulières de techni- que, nous craignîmes, avant d'intervenir, des troubles trophiques post- opératoires rapides et graves
possibles, nous supplia de passer outre. Bien lui en a pris : aucun trouble trophique n'est survenu et ceux mêmes qui exist
-mère, une racine, sans constater à la suite de cette sec- tion des troubles sensitifs. Peut-être avons-nous eu tort : il est
un premier séjour dans cet hospice. Il ne présentait alors que les troubles vé- sico-rectaux dont je viens de vous parler.
intégrilé de ses mem- bres inférieurs et l'étroite localisation des troubles morbides. J'aurai l'oc- casion de '0111'1 les r
ns que je voulais sou- ligner et que je vous prie de retenir. Les troubles très accusés de la sensibilité contrastent étrang
suite d'efforts infructueux de défécation. J'arrive maintenant aux troubles objectifs de la sensibilité et je vous demande
L 153 opiniâtre, par une incontinence d'urine incessante et par des troubles gé- nitaux significatifs. Ajoutez à ce complexu
e les modifications trophiques de la peau sont toujours liées à des troubles de la sensibilité et non du mouvement (James Rass
raliquede ce qui précède découle celle proposition générale que les troubles trophiques de la peau doivent être accompagnés,
iques de la peau doivent être accompagnés, au moins fréquemment, de troubles dans la scnsihilité, c'est pourquoi (1) Max Jos
, Bulkley et autres) indiquent cette affection comme corrélative de troubles primitifs dans le système nerveux. Cependant, dan
ompagnés de planches. , vin 11 LÉGENDE EXPLICATIVE DES SCHÉMAS DE TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ £ Fig. 34 Fin. 35 l"ig. ;
d'origine nerveuse. Paris, 1sus2. (2) Alexandra .lthauassio, Des troubles trophiques dans l'hystérie. Paris, 1890. (3) Ad
seule et unique lésion parfaitement limitée, pouvait commander aux troubles fonctionnels des membres droits et de l'hypogloss
mières paires crâniennes indique leur état normal. Il n'y a pas de troubles vaso- moteurs, ni sphinctériens. Rien a noter d
ste de la grandeur d'une, lentille, contenant un liquide légèrement trouble et dont la paroi est for- tement pigmentée en b
coupe, la substance corticale est assez large, relative- ment pâle, trouble , traversée par des nombreuses stries blanches, ja
t un déséquilibré avec des idées de persécution, idées de grandeur, troubles de la sensibilité générale, et dont le délire ne
lexes rotuliens avaient été constatés normaux. Il n'avait existé ni troubles des sphincters ni phénomènes sensitifs, objec-
us a révélé l'existence de lésions des cordons postérieurs qu'aucun trouble pendant la vie n'avait pu nous faire prévoir. E
tions osseuses (exemple le tabès), dans lesquelles on ob- serve des troubles trophiques du côté des os, mais encore parce que
r une affection du système nerveux : paralysies, douleurs diverses, troubles des sphincters. Les membres inférieurs étaient oe
ait admettre que les lésions médullaires seraient ,aussi dues à des troubles de circulation. Cependant il importe de faire r
se, sous toutes réserves, que ces altérations osseuses seraient des troubles tro- phiques dépendant des lésions médullaires.
ELADE POST-ÉPILEPTIQUE, par CH. FÉRÉ, Médecin dé Bicétre. Les troubles trophiques du système pileux à la suite des chocs
(2). A la suite des paroxysmes épileptiques, on observe encore des troubles trophiques des cheveux : Reinharta cité un enfant
ayant des accès fréquents et qui en général n'étaient pas suivis de troubles trophiques de ce genre. Un seul malade a été at
La pathologie des émotions, 1892, p. 2ai. (2) Ch. Féré, Note sur un trouble trophique des cheveux survenant à la suile des
tion rappellent la pelade nerveuse méritent d'être rangés parmi les troubles trophiques post-paroxystiques de l'épi- lepsié.
hez la femme, comme on l'observe chez l'homme, en dehors d'au- tres troubles du développement. Ici encore le corps conserve
epré- sente une anomalie évolutive qui peul coexister avec d'autres troubles du développement tels que le gigantisme ou l'ob
porelsanormaux aux affec- tions dyslrophiques qui s'accompagnent de troubles du développement. Elle permet de discerner, au
nt insister sur ce chapitre; j'arrive immédiatement à l'origine des troubles actuels. Au mois de mai 1894, le jeune Th.... c
s ce rapport, de renseignements précis. 11 est très possible que le trouble de la démarche relevàt d'une double cause : de
yeux. Je tiens à souligner, en passant, l'apparition simultanée des troubles oculaires et de la paralysie motrice, apparitio
semaines, est envoyé il la campagne. C'était au mois d'août. Là les troubles , au lieu de s'amender, s'accentuent. Ainsi l'en
sultation de. la Salpêtrière. Il nous a été facile de contrôler les troubles que je viens de' vous raconter. Du côté des yeu
une hémiplégie droite, avec participation du facial inférieur, sans troubles sensitifs ni vaso-moteurs, sans autres troubles t
ial inférieur, sans troubles sensitifs ni vaso-moteurs, sans autres troubles trophiques qu'un léger amaigrissement de la mai
tentionnel, assez faible du reste, dans la main droite. Quant aux troubles oculaires, ils sont aujourd'hui notablement amen-
oite avec tremblement intentionnel, par de la titubation et par des troubles oculaires ; d'un syndrome nerveux qui s'est dév
ires, qu'elle se produit rapidement, qu'elle ne s'accompagne pas de troubles électriques et qu'elle se localise très fréquem
es. Mais il a de fréquents étourdisse- 1 (1) Gilles DE la Tourette, Troubles trophiques cutanés d'origine hystérique; état m
e, à la face dorsale des quatre derniers orteils. Il s'agit donc de troubles dissociés de la sensibilité et non d'une anesthés
s dissociés de la sensibilité et non d'une anesthésie complète. Ces troubles sensitifs persistent jusqu'à la fin ; une dernièr
es paraissent globuleuses dans leur ensemble ; leur protoplasma est trouble et homogène, ou au contraire tacheté ; leur noy
différentes ? ' ? 336 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Les troubles trophiques et la paralysie des sphincters sont ha
ivement et persiste encore actuellement ; il n'y avait encore aucun trouble du côté du sphincter anal. Deux jours après l
nt libres. L'intelligence est intacte. Il n'existe aucune trace des troubles céphaliques antérieurs. La voix est rauque, mai
paraît fort juste. On ne saurait trop insister sur ce fait que les troubles circulatoires ne sont pas, dans le cas actuel,
te ? Suicide et désertion relèvent-ils dans la circonstance du même trouble mental ? A notre avis ces deux actes doivent êt
rtains muscles, réflexes conservés, réactions électriques normales. Troubles de la sensibilité nettement hystériques, in- co
qui les lui rappelle aujourd'hui. Un an se passe environ sans aucun trouble de la santé, puis surviennent des douleurs, ass
le avoir une allure plus ra- pide. Notre malade présente donc des troubles sensitifs et des atrophies musculai- res ayant
tences fonctionnelles variées. Nous nous débarrasserons d'abord des troubles de la sensibilité objective qui, si nous rappel
, De ce même côté gauche le malade ne distingue aucune couleur. Les troubles de la sensibilité subjective sont caractérisés pa
t le siège d'une anesthésie totale. , . Avant d'aborder l'étude des troubles du système moteur de la face et des membres dis
hez notre malade à l'affec- tion musculaire : tels sont d'abord les troubles de la sensibilité cutanée abolie aussi bien pou
ns thermi- ques, et dont le mode de distribution, l'association aux troubles des orga- nes des sens ne sauraient laisser de
on même éloignent toute idée d'une cause organique. , Restent les troubles vésicaux caractérisés en ce moment par l'inconti-
- tement hystériques nous permettent de rattacher il l'hystérie les troubles vésicaux. Quant aux douleurs accusées par le
la parole. La langue se meut continuellement d'avant en arrière. Troubles vaso-moteurs. La salivation est très abondante av
h), XLIX. (David Teniers), L. (Jan Steen). LI. Queue de cheval ( troubles trophiques con- sécutifs aux lésions), XIV. S
lle, 63, 64, 65, 63. Myopathie progressive chez un hystéri-- que. Troubles de la sensibilité, 67, 68. Névralgie de la VIII
, 58. D. Teniers, 59 et 60. Jan Steen, 61 et 62. Queue de cheval. Trouble de sensibilité, 67. Disposition anatomique des
79 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
onyme latérale. Il n'avait ni paralysie, ni aphasie sensorielle, ni troubles de la parole, excepté un léger bégaiement. On p
blée autant qu'à son entrée à l'hospice. Le malade avait en outre des troubles cérébraux. L'examen du malade, pratiqué le 2 fé
centrale du champ visuel. 5) Quant à la sensibilité, on trouve les troubles du sens musculaire du côté droit tandis que du
e, la malade s'est accoutumée à son mal chronique. Les principaux troubles se trouvent sur la partie inférieure de la face ;
use du nez est normal, mais l'odorat est totalement aboli. Pas de trouble du côté de l'ouïe. Les réflexes rotuliens et cuta
. Les réflexes rotuliens et cutanés sont nor- maux, il n'y a pas de trouble de la sensibilité, ni de la motilité dans les aut
nèrent qu'une légère amélioration. En résumant et en analysant les troubles que nous avons décrits, nous trou- vons que la
ryngien. L'anesthésie de la gorge et du voile du palais dépend d'un trouble des fonc- tions du glosso-pharyngien et du nerf
l'enfance ; 3° Un état stationnaire absolu depuis douze ans ; 4° Troubles du sens tactile à côté des paralysies du mouvemen
nous n'hésitons pas à re- jeter l'idée d'une origine corticale des troubles nerveux, cette supposition serait en effet très
cas d'un enfant de 8 mois et demi dont la maladie commença par des troubles viscéraux et par la fièvre, le son de la voix s'a
e poliomyélite. Mais dans aucun de ces cas il n'est pas question de trouble de la sensibilité. Les cas qui nous semblent
xiv 2 18 KOLLARITS au début, devint normale plus tard. Outre ces troubles le sens tactile de la langue était un peu affai
e. Le développe- ment du bras droit fut arrêté. Il n'y avait pas de trouble de la sensibilité. Cet état persiste pendant 14
a rencontre souvent après l'encé- phalite des enfants. En outre les troubles de la sensibilité dans notre cas et dans celui
'absence de l'atrophie dégénérative et d'autre part l'existence des troubles sensitifs prouvent que dans ces cas il ne peut êt
au peut manifester sa souffrance, céphalée, vertiges, vomissements, troubles oculaires, épilepsie Bravais-Jacksonienne, para
phénomène, elle n'a ni vomissements, ni épilepsie jacksonienne, ni trouble de la vue. Une cure de frictions mercurielles et
crises convulsives périodiques suivies, dans les derniers temps, de troubles psychiques durant 3 ou 4 jours. Le 30 novembre 19
pagne de paralexie, de perte de la compréhension des mots lus et de troubles de l'écriture. L'excitation maniaque et les tro
ts lus et de troubles de l'écriture. L'excitation maniaque et les troubles hallucinatoires s'amendent assez rapidement, ma
re, de l'affaiblissement intellectuel et - depuis quelques mois des troubles déli- rants post-convulsifs, durant deux ou tro
verbale, ou de surdité due à l'inattention d'un sujet en proie à un trouble assez accen- tué des idées. Non seulement le ma
inte de l'excitation ma- niaque, mais ne permet pas de constater de troubles paraphasiques : « Ce sont des travaux de huit j
près correctement. Voici quelques exemples permettant de juger des troubles de la lecture. 42 sérieux ET MIGNOT Questions
». j L'heure est lue correctement à l'horloge. , 5° Il existe des troubles de l'écriture, mais le malade ne se prête pas à c
répété... il y a quelqu'un en dessous qui entend tout ». Ces divers troubles auditifs et paraphasiques furent constatés à main
eau des 1", 2° et 3c temporales gauches. 48 SÉRIEUX ET MIGNOT . Troubles de l'écriture. - Plusieurs fois nous avons essayé
ter son nom. Nous ne pouvons donc nous prononcer sur l'existence de troubles agraphiques ; en tout cas signalons ce fait qu'il
gnalons ce fait qu'il exis- tait un kyste dans le pied F2 gauche. Troubles de la vue. - Nous n'avons pu rechercher l'hémiopi
e rolandique des deux hémisphères expliquent l'épilepsie motrice. Troubles délirants. - Sans insister sur ces symptômes, rap
lgie, le malade déclare n'avoir jamais eu d'affection autre que les troubles suivants : à quatre reprises (trois fois en 1899,
u genou soit fréquemment exagérée, par suite du repos au lit et des troubles trophiques (ligamenteux, etc.) dont tout le mem
urviennent chez des mala- des débiles et sur des membres frappés de troubles trophiques. On peut comparer tous ces exemples
m, genu varum, genu recurvatum) survenues sans lésion osseuse, sans trouble musculaire (faiblesse, hypotonie, atrophie), et
ls montrent en effet qu'on peut observer, sans qu'il y ait tabes ou trouble musculaire quelconque, une mobilité articulaire b
avec elles, n'excite pas la débauche, n'abat pas la vigueur, ni ne trouble le sommeil. Assurément, Hermippus n'était' pas un
e ou douloureux. Les membres supérieurs et la face sont indemnes de troubles moteurs ou sensitifs. Pas de troubles des sen
et la face sont indemnes de troubles moteurs ou sensitifs. Pas de troubles des sens spéciaux. Troubles psychiques : loquacit
troubles moteurs ou sensitifs. Pas de troubles des sens spéciaux. Troubles psychiques : loquacité, incohé- rence dans les
, les mouvements des membres inférieurs sont plus étendus. Mais les troubles de la sensibilité per- sistent ainsi que l'exag
ensibilité per- sistent ainsi que l'exagération des réflexes et les troubles sphipctériens. Puis de nouveau l'état du malade
riens et aggravation de l'état paréto-spasmodique ; on constate des troubles de la sensibilité accompagnant les troubles moteu
dique ; on constate des troubles de la sensibilité accompagnant les troubles moteurs. A la fin de la première année améliora
nt nous consulter, et plus particulièrement ceux qui présentent les troubles nerveux que nous allons étudier. Il est, certes,
l'intérêt de notre sujet et toute la difficulté du traitement. Ces troubles nerveux sont très fréquents dans la pratique jo
nom affections nerveuses professionnelles, nous comprenons tous les troubles fonctionnels, nerveux ou musculaires, survenant à
e. Mais dans aucun cas, cette dernière affection ne s'accompagne de trouble de la sensibilité et, depuis presqu'un an que ce
la malade ressent une contraction douloureuse, mais il n'y a aucun trouble objectif de la sensibilité, ni de contractions
e est perma- nente. Pendant de longues années, elle a souffert de troubles gastriques (atonie- gastroptose), ce qui expliq
RAMPE DES ÉCRIVAINS 153 à l'hôpital depuis le mois de janvier ; les troubles gastriques ont été soignés le mieux possible, e
t une fausse position des muscles de l'épaule, qui est la cause des troubles nerveux. Devenant incapable d'assurer, dès lors
uelquefois on trouve une histoire familiale de crises nerveuses, de troubles mentaux, de paralysie, etc. Le nervosisme et l'
t, dans beaucoup de cas, )'inf ! uenza.Une<o.renn'6,provenantdes troubles digestifs, ne se rencontre qu'accidentellement co
parmi les autres théories pathogéniques (con- gestion, irritation, troubles circulatoires de l'encéphale, etc.). Voici tout
érébrales : d'abord cépha- lée, quelques vertiges et vomissements : troubles de la mémoire et torpeur psychique, amblyopie p
s localisation nette, avec sensation de serrement de tête; puis des troubles psychiques consistant en un affaiblissement intel
tique ne révèle, du côté des grands appareils, aucune lésion, aucun trouble fonctionnel. Le second temps aortique est un peu
ALE (Ernest Dupré et Albert Devait. TUMEUR CÉRÉBRALE 175 quelques troubles de caractère hystérique : hyperesthésie mammaire
de sa cécité et le développement de sa lé- sion cérébrale. Aucun trouble des sphincters. Sommeil bon et régulier. Du côté
en position externe, du globe oculaire. Du côté du langage, légers troubles paraphasiques intermittents, a propos desquels
de toute paralysie localisée et notamment d'aphasie. L'étude des troubles mentaux présente aussi, dans cette observation,
t, en effet, il semble bien résulter de la statistique comparée des troubles mentaux, au cours des lésions encéphaliques, qu
plus grave aux fonctions intellectuelles. ` Chez notre malade, les troubles intellectuels n'ont pas fait défaut. Ils ont co
nconscientes et automatiques. Ainsi, on peut résumer l'ensemble des troubles psychiques présentés par notre malade dans l'én
u sens de l'orien- tation et de l'activité automatique. Aucun autre trouble psychique : notamment ni hallucination, ni déli
était définitive. Une particularité intéressante de l'histoire des troubles visuels, a été l'influence, brusque et décisive
inférieure, avec un léger degré de strabisme externe, à gauche. Ces troubles semblent pouvoir être rapportés à l'action de v
'écorce présentait un grand intérêt -d'abord cause de la nature des troubles psychiques observés et ensuite à cause de la natu
troubles psychiques observés et ensuite à cause de la nature de ces troubles qui n'étaient pas, au moins pendant longtemps, de
lement admise. « C'est la première révélation, dit Ballet (3), d'un trouble de la nutrition dans les cellules, et elle cons
les considérer comme deux effets contemporains, ou à peu près, d'un trouble de l'équilibre physico-chimique du système cell
sence dans la constitution delà cellule. *- Il doit se produire des troubles dans l'équilibre osmotique de la cellule, vis-à
est la plus com- mune. Dans d'autres cas plus rares on trouvera des troubles cutanés plus sérieux à allure de malformation c
lanodermie relevée par Féré, par moi-même, par Crespin. Ce sont les troubles vaso-moteurs les plus divers qui sont en somme
s crises elle ne présente aucun phénomène anormal, ni paralysie, ni trouble de la parole, etc. Un examen somatique très compl
onnant 30 au dynamomètre à droite, et 35 à gauche. Elle n'a aucun trouble sensoriel (ouïe, vue, goût et odorat). Pas de tro
Elle n'a aucun trouble sensoriel (ouïe, vue, goût et odorat). Pas de troubles sensitifs, pas de zones hyperesthésiques ou hys
pharyngien peu marqué, le conjonctival et le cornéen abolis. Pas de troubles trophiques. Pas de troubles psychiques. L'ind
njonctival et le cornéen abolis. Pas de troubles trophiques. Pas de troubles psychiques. L'indice céphalique est de 84.9, br
s, peu- vent déterminer un certain nombre de phénomènes à distance, troubles intellectuels, pseudo-méningites, mouvements ch
un rapprochement t entre la plaque d'urticaire et la possibilité de troubles vaso-moteurs ana- logues se produisant brusquem
i eût aussi bien pu se produire par les divers mé- canismes connus, troubles généraux de la nutrition, dépuration urinaire i
'aliter pendant vingt-quatre heures. Cet homme présente en outre un trouble vaso-moteur que nous allons re- trouver chez le
rache jour et nuit, et se plaint de douleurs thoraciques. Anorexie. Troubles gastro-intestinaux. Vomissements. Les vomissement
d ; 2° l'érythromélalgie; 3° l'aedéme bleu des hystériques ; 4° les troubles vaso-moteurs consécutifs aux lésions trau- mati
uge. 4° De l'asthénopie accommodative. il Du dermographisme, et des troubles vaso-moteurs analogues survenant sous l'influen
ue, les neuro-diélectriques qui déter- minent chez notre malade les troubles en question se trouvent situés au- dessus du di
eux-ci et ceux-là rendraient compte à la fois de ces deux sortes de troubles . L'étal' de la sensibilité tactile chez notre m
en outre une légère contracture du droit interne à gauche. Ces deux troubles mus- culaires jouant d'ailleurs le principal rô
es caractères de l'asthénopie hysté- rique. - A quoi sont dus ces troubles musculaires ? Tout d'abord je ferai remar- quer
cteurs. On sait du reste qu'il existe un rapport fréquent entre les troubles vaso- moteurs, la lenteur du pouls et les attaq
ississement de ce tissu. Recklinghausen avait déjà remarqué que les troubles neuro-paraly- tiques de la peau déterminaient u
u crut-elle en avaler une que plus tard elle se figura rejeter, les troubles fonctionnels observés étant pu- rement dus à de
i-même. » Voici encore une autre phrase d'elle qui précise bien son trouble mental et sa manière intellectuelle de réagir. «
vraies au moins au début de l'affection. ' . Lorsque les premiers troubles psychiques apparurent L... sentait que des bras
,suffisamment au moins d'après nos connaissances. A la suite d'un trouble intellectuel quelconque, probablement puissant,
u- mon droit et excavations au sommet gauche. Elle souffre aussi de troubles diges- tifs liés à de l'insuffisance gastrique
ne révélait absolument aucune anomalie sous-jacente. De plus aucun trouble sensitif, aucun trouble trophique, troubles qui
aucune anomalie sous-jacente. De plus aucun trouble sensitif, aucun trouble trophique, troubles qui sont si fréquents dans le
s-jacente. De plus aucun trouble sensitif, aucun trouble trophique, troubles qui sont si fréquents dans les cas de spina bif
nte de multiples autres stigmates anatomiques de dégénérescence, de troubles mentaux spéciaux aux dégénérés, vient justifier c
, n" 53. , 4 Homme de 26 ans, spina bifida latent révélé par divers troubles nerveux et trophi- ques. Pas d'hypertrichose
ci a parlé et marché à l'âge de 16 mois, et n'a jamais présenté des troubles digestifs. On peut donc affirmer que l'affectio
ains en deux groupes dans le 1`° groupe, le nanisme est créé par un trouble local du squelette ; dans le Il, groupe par un tr
nous rattachons le myxoedème, l'hérédo-sy- philis : or ici le même trouble général de la nutrition crée et le nanismeet la
me est une maladie acquise, une ossification vicieuse relevant d'un trouble de nutrition sous l'influence d'intoxications e
re. En un mot l'achondroplasie ne se comporte pas à la manière d'un trouble mor- bide de la nutrition comme le rachitisme.
er avec M. P. Marie « si ce n'est pas du côté d'une affection, d'un trouble de la fonction ou du développement de quelque o
e. Pression sphygmomanométrique, 14. La malade n'accuse pas d'autre trouble . que de la dyspnée d'effort et un peu de ballon
st occupé à l'étudier. Etat actuel. - Le 12 janvier 1901 tous les troubles présentés par W... se réduisent à un mouvement
eure inaccoutumée. Dans ce cas le tremblement s'installe sans autre trouble . Rarement l'accès dé- bute par un dérobement de
ché, il a un simple sursaut, mais ce spasme insignifiant suscite un trouble mental très particulier. W... trouve il ce phén
pour découvrir l'idée fixe subconsciente d'où dépendaient tous ces troubles . Le temps ayant manqué et l'intérêt direct du m
au cours de la convalescence. Cette dissociation thérapeutique des troubles n'implique certainement pas une différence de n
' xiv 2.3 326 BERNARD Il est intéressant de noter à côté de ces troubles permanents, stigmates ou non, que les stigmates
, puisque porteur de stigmates évidents, il faut donc croire que ce trouble fonctionnel qu'est l'hystérie n'a pas dérangé c
ler jusqu'à la syncope (1). D'autres fois les odeurs produisent des troubles durables ; des pypotomies, des paralysies qui se
eraient sujets à une sorte de démence précoce (3). En dehors de ces troubles qui paraissent liés à une susceptibilité parti-
er d'en rapporter l'origine à la compression de l'encéphale, et aux troubles circulatoires intracrdniens provoqués par la tu
faire totale- ment abstraction. Il nous paraît certain que certains troubles visuels, les amauroses transitoires des urémiqu
un ensemble de symptômes diffus : céphalée, vertiges, vomissements, troubles psychiques, troubles de l'équi- libre ; et de s
mes diffus : céphalée, vertiges, vomissements, troubles psychiques, troubles de l'équi- libre ; et de signes de localisation
ychiques, troubles de l'équi- libre ; et de signes de localisation ( troubles de la parole et inégalité des pupilles, la gauc
quide périencéphalo-médullaire aurait pour première conséquence des troubles dans les échanges osmotiques et la circulation
hanges osmotiques et la circulation capillaire de l'écorce, que ces troubles compromettraient la nutrition des cellules et p
ulier, c'est l'origine toxique des accidents. La nature toxique des troubles cérébraux de l'urémie est bien plus démontrée q
n par diffusion des toxines résorbées au niveau de la tumeur, et de troubles profonds de la nutrition, atteignant tous les org
s diffus présentés par le malade, P. Marie proposa de rattacher les troubles psychiques non pas seulement à la localisation
atisme de la région occipitale suivie de perte de connaissance, les troubles de la vue augmentent à un tel point qu'il ne peut
e colère, il va jusqu'à briser les meubles. En 1900 surviennent des troubles de la marche, des hallucinations de la vue, de
ond à peine aux questions. La parole est lente mais il n'y a pas de trouble du langage : pas de surdité verbale, pas de parap
de la maladie. Début en 1883, à l'âge de 33 ans, insidieusement par troubles de la motilité : buttait à chaque instant, se sen
amblyopie, ni diplopie, ni achromatopsie. Véritable ataxie verbale. Troubles trophiques des ongles des orteils; ils sont friab
e difficile- ment dans l'extension à gauche, pas à droite. Pas de troubles de la sensibilité. Ouïe et goût intacts. - Re
correspondait à celui de l'hérédo- ataxie cérébelleuse, excepté les troubles du côté de la vision qui n'existaient pas dans
e de 39 ans. La maladie actuelle a débuté à l'âge de 26 ans par des troubles de la marche. Actuellement sa marche est très dif
ée. Les réflexes tendineux et cuta- nés conservés, plutôt exagérés. Troubles de la sensibilité. Chez ce malade le diagnostic
le cervelet et ses voies. Jusqu'à un certain âge il n'existe pas de troubles du côté du système nerveux, du moins pas de tro
'existe pas de troubles du côté du système nerveux, du moins pas de troubles appréciables, caries vaisseaux, quoique débiles
llement les parties débiles commencent à réa- gir. Dès le début les troubles sont peu significatifs, des vertiges,étourdisse-
icatifs, des vertiges,étourdisse- ments, etc., premiers indices des troubles cérébelleux. Plus Lard, le système nerveux comm
pigment à leur intérieur. Néan- moins elles semblent présenter des troubles à des degrés divers. Chez certaines le noyau pr
sions médicales estropiées et risibles... Elle ne paraît pas avoir de troubles psychiques. Elle a des fringales subites et m
et également lentes et augmentées. . 3 novembre 4900.- Les mêmes troubles fonctionnels persistent et,en outre, les espace
oné. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 417 7 tions osseuses,ni troubles trophiques d'aucune espèce de la peau ou des ongl
sion. Nous n'avons malheureusement aucun renseignement au sujet des troubles sensitifs, tant objectifs que subjectifs, qu'a
u tibia et du péroné droit, fusion qui semble être l'aboutissant du trouble profond de la nutrition de ces os. Nous pouvo
ompte de l'ostéoporose sénile, de tout processus de raréfaction, un trouble de l'in- nervation explique peut-être mieux le
s transitoires, accompa- gnées parfois de phénomènes thermiques, de troubles de la sensibilité, de douleurs, de changements
rs, de changements de couleur de la peau, et souvent aussi d'autres troubles trophiques cutanés, éruptions, ulcéralions, etc.
'un accident dystrophique. La participation du tissu conjonctif aux troubles trophiques est un fait avéré. On l'observe conj
es autres les centres de ces différents systèmes, la coexistence de troubles trophiques osseux, musculaires et conjonctifs, à
isation. D'autre part, le fait que l'on peut observer isolément des troubles tro- phiques du système osseux, musculaire ou c
iformes, encore persistants (à 49 ans) et qni présente en outre des troubles psychiques. L'enflure a aujourd'hui tous les ca
s (sauf pour les agents thermiques). Nous avions noté également des troubles sensitifs des membres inférieurs chez une de nos
nt l'axe gris (1). La répartition segmentaire de l'oedème, - et des troubles sensitifs qui s'y superposent dans quelques cas
on héréditaire. Le Trophoedème peut se trouver associé à d'autres troubles trophiques, osseux, comme dans un cas de Vidal
les familles des trophoedemateux, les malformations dentaires, les troubles trophiques des cheveux, les naevi, les verrues, e
sé au seul membre inférieur gauche, ne s'accompagnant d'aucun autre trouble (1) JI. 11r.I\I'UúIlE a également signalé la po
discutés. Le fait que nous présentons ici, nous offre un exemple de troubles de nutrition indépendants de tout désordre mote
rès vigoureux, n'ayant jamais été atteints de convulsions ou autres troubles nerveux. Accouchement facile à terme. Père et m
ouloureuse du bras. En clinique, nous ne manquons pas d'exemples de troubles trophiques dont la première apparition n'est deve
montrer que la production de tissu cellulo-graisseux, à la suite du trouble apporté dans les fonctions médul- laires, n'est
ogie du système nerveux, ni dans les études sur la nutrition et les troubles trophiques des tissus, on ne trouve de ren- sei
s cas une liaison entre t'épaississement du tissu cellulaire et les troubles nerveux, une subordination du premier aux se- c
'à un très faible degré dans les muscles atrophiés. » Au nombre des troubles trophiques de la paralysie infantile, P. Ma- ri
e montrer sans elle, en vertu de l'indépendance dont témoignent les troubles tro- phiques les uns vis-à-vis des autres. Parf
entation. Dans le cas particulier, nous serions donc en présence de troubles trophiques consécutifs à des lésions encore mal d
vateur. L'on ne remarque pas de compensa- tions adéquates entre ces troubles de nutrition ; les uns ou les autres, nous le r
nctif interstitiel qui la caractérise et qui constitue chez elle le trouble primordial, la pseudo-hypertrophie fût moins ét
d'une façon cer- taine de la diversité et du degré d'intensité des troubles fonctionnels qui en ont été la suite fatale. To
1) : « La lésion spinale, qui est le point de départ nécessaire des troubles nutritifs à la périphérie, résulte d'une action p
ans la nutrition du tissu conjonctif, c'est-à-dire le résultat d'un trouble trophique : « L'on chercherait en vain cette adi-
chée ailleurs. Pourquoi cette adi- pose ne relèverait-elle pas d'un trouble d'innervation centrale ou périphé- rique au mêm
t selon la présence ou l'absence de l'adipose dans la diversité des troubles de nutrition, il est disposé à admettre que « les
leurs lé- gitimes soupçons à l'endroit de la moelle en présence de troubles trophi- ques de cette nature, ne pouvaient que
onde de la nutrition cutanée; l'absence encore de contracture et de troubles de la sensibilité. Ces divers symptômes étrange
d'autre part, l'on considère le rash comme une hyperémie liée à des troubles nerveux, selon l'opinion de quelques auteurs, l
ution, comme si elles apparte- naient à deux formes distinctes. Les troubles trophiques du bras ont débuté brusquement, avon
l'enflure du bras trouverait son explication, semble-t-il, dans un trouble vaso-moteur qui rapprocherait cette forme des hyp
du tissu con- jonctif. Nous aurions donc là l'exemple typique d'un trouble de nutrition cité paraît avoir été plus particu
ne peut guère qu'émettre des conjectures sur la pa- thogénie de ces troubles de nutrition ? Existe-t-il une lésion ? Siège-t-e
le du membre infé- rieur droit, M. Meige admet que le diagnostic de troubles trophiques consécutifs à une ancienne lésion ne
aches sanguines. Il n'y a jamais eu de phénomènes douloureux, ni de troubles dans la locomotion. Mme G... ne peut supporter
er en outre que chez notre malade l'affection s'accompagne d'autres troubles trophiques : la décoloration en zone des cheveux,
prédominent du côté droit ; la face est souvent grimaçante. Pas de troubles oculaires, ni de zones hystérogénes. L'état de
mouvoir elle-même dans son lit. Toutefois elle ne présente aucun trouble du côté de la miction ; elle est restée propre.
nflées. On ne notait cependant chez elle ni affection cardiaque, ni troubles rénaux. X... indique elle-même que ses jambes o
ait ses jambes plus tendues, devenir plus rouges, luisantes, et ces troubles l'obligeaient ai rester alitée pendant des mois
ibilité thermique subsiste dans son intégralité. Je n'ai noté aucun trouble de la sensibilité dans les autres parties du co
n a trait à l'accroissement in- solite du membre inférieur. , Les troubles de cette nature ont fait l'objet de travaux récen
ion segmentaire. Cette répartition plaide évidemment en faveur d'un trouble trophique analogue à celui que l'on rencontre d
embre atteint est lui-même plus haut. Dans notre observation, les troubles trophiques observés semblent donc sous la dépen
troubles trophiques observés semblent donc sous la dépendance d'un trouble « cum materia » du système cérébro- spinal, aff
'enfant ce qui se passe au début de la crise, elle dit qu'elle voit trouble , qu'elle voit drôle, ou bien qu'elle ne voit plus
é du médius descendrait bien au-dessous du genou. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité, ni des sens spéciaux, ni des r
80 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
a longue comme conséquence éloignée, mais nullement néces-saire, d'un trouble fonctionnel prolongé. Plusieurs d'entre vous ont
ment un peu plus tôt ou un peu plus tard, il se produit en outre, des troubles divers dans la transmission des impressions sensi
oins fort analogues à ceux sur lesquels je veux appeler votre 1 Des troubles gastriques dans l'ataxie locomotrice. 2 Étude s
uel nous reviendrons ailleurs. Jusqu'à ce jour, Coud... n'offre aucun trouble de la locomotion. 3°La femme Deg..., âgée de 52
ille : 1° à l'état normal ; 2° dans l'induration grise progressive. — Troubles fonctionnels qui accompagnent l'induration grise
e trouvent généralement combinées, en proportions diverses", avec des troubles des nerfs bulbaires ou des nerfs optiques. J'ajou
-dents, — et c'est là une circonstance bien propre à faire res- Les troubles visuels dans l'ataxie peuvent être rangés sous de
axie peuvent être rangés sous deux principaux chefs. Ce sont : 1° des troubles de l'accommo-dation, la diplopie, liés à des lési
ie, liés à des lésions plus ou moins transitoires et fugaces ; 2° des troubles visuels dépendant d'une lésion par-ticulière du n
écifiques, d'après quelques auteurs, et tels que — en dehors même des troubles fonction-nels concomitants qui, eux aussi, offren
nq ans. Elle est entrée à la Salpêtrière, comme aveugle, en 1855. Les troubles de la vue, accompagnés de douleurs de tête, ont p
mot d'abord concernant la lésion anatomique à laquelle se rattache le trouble visuel qu'il s'agit d'étudier. A. l'œil nu, l'a
d'une façon décisive. Il convient néanmoins de ne point négliger les troubles fonctionnels qui, eux aussi, ont bien leur import
ids à l'impression ressentie par l'observateur. D'ailleurs, parmi ces troubles fonctionnels, il en est quelques-uns qui, même à
emier lieu la limitation concentrique et unilatérale du champ visuel, trouble fonctionnel qui ne se retrouve pas dans la névrit
erve dans la névrite optique. De plus, dans le tabès, l'évolution des troubles visuels est, dans l'immense majorité des cas, len
ut s'opère assez sou-vent d'une façon à peu près subite. Les autres troubles fonctionnels qu'il nous reste à signaler sont plu
r lesquels j'ai insisté aujour-d'hui. QUATRIÈME LEÇON De quelques troubles viscéraux dans l'ataxie locomo-trice. — Arthropat
s l'ataxie locomo-trice. — Arthropathies des ataxiques. Sommaire. — Troubles des organes génito-urinaires. — Envies fréquentes
de voir se mani-fester, au moment des accès de fulguration, certains troubles des organes génito-urinaires qui ont bien leur im
au, soit dans les parties plus profondes, telles que les muscles, des troubles variés de nutrition. Les os et les articulations
erpès, la peau lisse, l'atrophie muscu-laire rapide, et tant d'autres troubles trophiques du même genre. Les observations de pla
ques jours seulement après la lésion spinale et ac-compagnée d'autres troubles trophiques, tels qu'escarres, mo-difications des
phiques, tels qu'escarres, mo-difications des propriétés des muscles, troubles trophiques qui ont évidemment la même origine. N'
s des névralgies, est aussi à noter. Enfin se mani-feste la série des troubles trophiques qui n'appartiennent guère aux névralgi
De la Compression lente de la moelle épinière. — Symp-tômes. — Des troubles de la motilité et de la sensibilité liés à la com
Premier cas: Succession des symptômes. — Prédominance, an début, des troubles moteurs : parésie, paralysie avec flaccidité, rig
con-tracture permanente des membres, exaltation des actes réflexes. — Troubles de la mixtion ; — théorie de Budge. — Modificatio
ômes qui vont inaugurer la série des accidents nouveaux ? Sont-ce les troubles moteurs ou les troubles sensitifs ? Cet ordre de
la série des accidents nouveaux ? Sont-ce les troubles moteurs ou les troubles sensitifs ? Cet ordre de succession, Messieurs, e
luence des excitations, aucune espèce de sensations. En revanche, les troubles purement moteurs, la parésie ou la paralysie plus
Quoi qu'il en soit, Messieurs, la réalité paraît être que tan-tôt les troubles moteurs (parésie des membres inférieurs), tan-tôt
moteurs (parésie des membres inférieurs), tan-tôt, au contraire, les troubles sensitifs, en particulier les sen-sations rapport
riction, douleurs articulaires, etc.), ouvrent la marche. IV. Les troubles moteurs, en tout cas, ne tardent pas à prédo-mine
tardent pas à prédo-miner, dans les premiers temps du moins, sur les troubles sensitifs. A part les quelques phénomènes subject
on, Ie parties centrales de la moelle. Arrêtons-nous un instant aux troubles de la motilité. A. Au premier degré, il s'agit
re quand le malade urine ou va à la selle. Je n'insiste pas sur ces troubles de la motilité qui sont au-jourd'hui de connaissa
nctions pendant un laps de temps relativement considérable ; mais des troubles vésicaux plus ou moins accentués peuvent enfin su
u'il en soit, voici l'exposé de quelques particularités relatives aux troubles de la transmis-sion des impressions sensitives, l
ie, ce qui n'aurait pas lieu dans l'hé-miplégie spinale. De plus, les troubles moteurs concomitants — parésie, paralysie avec ou
oir les symptômes d'hémiplégie spinale se compliquer de divers autres troubles trophiques, tels que ar-thropathies, escarres fes
ptômes particuliers de la compression lente de la moelle cervicale. — Troubles oculo-pupillaires. — Toux et dyspnée. — Vomisse-m
omisse-ments à retour fréquent. — Gêne de la déglutition. — Hoquet. — Troubles fonctionnels de la vessie. — Attaques d'épilepsie
joindre une hyper-esthésie plus ou moins prononcée des téguments, des troubles vaso-moteurs variés, diverses éruptions cutanées
tion clinique de l'affection spinale. a) Vous n'ignorez pas que des troubles oculo-pupillaires plus ou moins accusés se produi
Leudet. — Mém. de la Société de Biologie, 1863, p. 105. — Rendu. -Des troubles fonctionnels du grand sympathique observés dans l
it en une induration qui occupait le renflement cer-vical 2. c) Des troubles gastriques variés et, en particulier, des vo-miss
développé dans la même région de la moelle. Il convient de mettre ces troubles digestifs en parallèle avec les crises gastriques
et plus ou moins persistante, le hoquet, peuvent être rapprochés des troubles gastriques dont il vient d'être question. Us surv
'apparition de la paralysie des membres 2. On peut en dire autant des troubles fonctionnels de la vessie et du rec-tum 3 et ce d
ui a lieu dans la myé-lite ordinaire de voir des escarres ou d'autres troubles de nu-trition de la peau se produire dans les myo
, au contraire, les muscles affectés sont, dès l'origine, le siège de troubles trophiques très accentués et l'impuissance motric
chir. Transactions, t. LI, 1868. sibilité, de nécrose dermique, ni troubles fonctionnels soit du rectum soit de la vessie l.
ns un certain nombre de muscles frappés de paralysie. 3° Absence de troubles marqués de la sensibilité, — de pa-ralysie du rec
a-ralysie du rectum ou de la vessie, — absence d'escarres ou d'autres troubles trophiques cutanés. Deuxième période. Messieurs
ême dans la paralysie infantile très limi-tée et très incomplète, les troubles trophiques dont il s'agit peuvent affecter le mem
la peau n'était nullement affectée. Jamais non plus on n'ob-serva de troubles durables de la mixtion ; jamais enfin il n'y eut
ambe gauche : à part quelques fourmillements, il n'a jamais existé de troubles de la sensibilité ; la vessie et le rectum ont to
res paralysés, phénomènes contrastant avec l'absence d'anesthésie, de troubles durables de la vessie ou du rectum, d'escarres sa
it pour manger, soit pour tenir un livre. Ja-mais il n'a existé aucun trouble dans l'exercice des fonctions de la vessie ou du
logie, 1872). Le corps, volumineux et comme renflé, est en même temps trouble et. opalescent. Les prolongements sont plus épais
à l'absence, constamment relevée dans les observa-tions cliniques, de troubles durables de la sensibilité cutanée, de paralysie
de la sensibilité cutanée, de paralysie du rectum ou de la vessie, de troubles trophiques cutanés ou viscéraux, elle tient, vous
(Type Duchenne-Aran). — Symptômes: atrophie individuelle des muscles, troubles fonctionnels, persistance prolongée de la contrac
ve pas au même degré dans les amyotrophies deutéropathiques. b) Les troubles fonctionnels que présentent les muscles en voie d
impossible que depuis cinq ou six ans. — Pas de contractures, pas de troubles de la sensibilité : contrac-tions librillaires tr
paralysie motrice. — Contracture permanente spasmodique. — Absence de troubles de la sensibilité. — Déformations paralytiques; a
— Para-lysie du voile du palais, de l'orbiculaire des lèvres, etc. — Troubles graves de la respiration. Résumé des symptômes.
trophie primitive. Enfin, dans cette dernière maladie, l'absence de troubles quelconques de la sensibilité est la règle, tandi
on de l'envahissement des noyaux d'ori-gine des pneumogastriques, des troubles graves de la respira- Lion et delà circulation
moelle épinière que les muscles demeurent, dans la règle, indemnes de troubles nutritifs, ou tout au moins ne s'amai-grissent qu
ymptômes de la sclé-rose postérieure tels que : douleurs fulgurantes, troubles ocu-laires, incoordination motrice, etc., seraien
xcepte quelques fourmillements passagers elle ne se complique d'aucun trouble de la sensibilité. Les fonc-tions de la vessie et
il n'est pas rare d'observer, dans la paralysie générale spinale, des troubles gasiriques, survenant par crises, analogues à ceu
e et de la trépidation dans le tabès dorsal spasmodique. — Absence de troubles de la sensibilité. — Début. — Évolution. — Mode d
tôt ou tard l'impuissance des membres, sans s'accom-pagner jamais de troubles notables de la sensibilité. 1 Tabès dorsalis (S
paraisse l'incoordina-tion motrice d'où l'affection tire son nom, des troubles divers delà sensibilité : douleurs fulgurantes et
s sur certains points ; aneslhésies et hyperesthésies partielles. Les troubles dits cephaliques tels que l'amblyopie ou l'amauro
ibilité reste intacte : pas d'aneslhésie, pas d'hyperesthésie ; aucun trouble de la sensibilité cutanée considérée dans ses div
nt, eux aussi, complètement défaut ; il en est à peu près de même des troubles quelque peu accentués de la vessie et du 1 Quan
où les phénomènes d'incoordination motrice viennent se surajouter aux troubles de la sensibilité et aux autres symptômes dont no
ture, en redressant les phalanges des doigts de la main. (J.-M. C.) troubles de la sensibilité, déjà si accentués lors des pre
ou s'aggravent. On peut en dire autant des symptômes céphaliques, des troubles fonctionnels du rectum et de la vessie. Très comm
emne chez eux jusqu'au dernier terme ; il ne se manifeste chez eux ni troubles de la vision, ni strabisme, ni, en un mot, aucun
bisme, ni, en un mot, aucun des symptômes dits céphaliques. Les seuls troubles dans l'émission des urines qui se produisent, s'o
de complication for-tuite, toute affection spinale dans laquelle des troubles de la sensibilité ou de l'intelligence, des désor
as cessé d'exister depuis. Quelques jours après l'apparition de ces troubles de la sen-sibilité est survenue la parésie, à laq
emploi du cathéter ; qu'enfin les urines sont habituellement fétides, troubles , et laissent constamment déposer un sédiment muco
atéraux. Il me paraît inutile d'insister pour faire ressortir que les troubles sensiiifs variés, énumérés plus haut, que la paré
spasmodique, la parésie suivie de rigidité des membres, l'absence de troubles de la sensibilité, de désordres de la vessie et d
iculier de la parole, les verliges, les attaques apoplectiformes, les troubles spéciaux de l'intelligence, cette coexistence, di
le centre spinal, et y déterminer soit une lésion organique, soit un trouble superficiel, se tra-duisant d'ailleurs, dans les
voie des nerfs, sur diverses parties du corps, pour y déterminer des troubles trophiques. Le phénomène inverse s'observe égalem
l. 111 bis, p. S04.) 2 11 est l'ait allusion ici aux Leçons sur les troubles trophiques consécutifs aux lésions du système ner
p sûr, dans ce membre, une trépidation très accentuée. laire et les troubles variés de la sensibilité paraissent être des phén
mme l'anesthésie, font toujours défaut; il se produit ni escarres, ni troubles trophiques d'aucun genre ; on note expressément l
aits cliniques. — Trou-bles de la sensibilité générale et spéciale. — Troubles moteurs : leur ressemblance avec les mouvements c
es membres affectés d'hémichorée post-hémiplé-gique. — Caractères des troubles musculaires au repos et dans les mouve-ments. L
ques. b) J'aborde maintenant le second point à savoir : l'étude des troubles moteurs que présente cette femme. Ces troubles so
à savoir : l'étude des troubles moteurs que présente cette femme. Ces troubles sont très particuliers. S'ils manquent à la face,
en définitive, cet état en ce qui concerne du moins le caractère des troubles moteurs ne s'éloigne par aucun trait essentiel de
prostration des forces, de l'inaptitude au travail intellectuel, des troubles dyspeptiques très accentués, très tenaces et qui
sence chez lui de paralysie motrice, — et à part la céphalalgie, — de troubles quelconques de la sensibilité, soit à la face, so
e cou-rant de l'année. En outre de la douleur de tête, il y avait des troubles dys-peptiques très accentués, souvent des vomisse
différences souvent si prononcées dans l'ex- tait d'ailleurs aucun trouble delà sensibilité dans la partie paralysée : ni an
nt je vais faire connaître les détails offre un nouvel exemple de ces troubles trophiques des parties pé-riphériques, produits e
malade n'y avait res-senti aucune douleur. Vers la même époque, des troubles de la vision sont remarqués pour la première fois
compléterai cet exposé par quelques détails relatifs surtout à divers troubles de la sensibilité et du mouvement et à l'état gé-
nte, du côté droit. L'appétit est bon ; la déglutition facile. Au-cun trouble de la défécation. La malade a éprouvé, à plusieur
n mettre en relief, on ne saurait invoquer non plus l'exis-tence d'un trouble de nutrition du tissu osseux résultant d'une inac
plusieurs fois tombé dans la rue. Il se relève presque aussitôt, sans trouble marqué dans ses idées, mais ne conservant aucun s
s inférieurs ; formation d'une escarre sur la fesse gauche. —8e jour, troubles de la respiration ; urines fétides. La contractil
e. Un certain affaiblissement progressif ne s'accompagnant d'au-cun trouble de la sensibilité marqua pour les membres supérie
conservé son volume normal et la liberté de tous ses mouvements. Les troubles du côté de la parole doivent donc être attribués
ès limités, ne s'accompagnent pas de trémulation. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité aux membres infé- rieurs, où
bio-glosso-pharyngée s'étaient aggravés sans qu'il s'y fut adjoint de troubles notables des fonctions respiratoires. Au tronc,
7 oct. P. 120. 10 oct. P. 130. Extrémités froides. Les urines sont troubles , ne contiennent ni sucre ni albumine. — Rétention
n an déjà, elle s'exprimait de temps en temps très difficilement. Les troubles de la déglutition se seraient manifestés vers le
de de celle-ci est tout à fait normale. Il ne paraît pas exister de troubles de la vision; les orifices pu-pillaires sont des
des deux côtés de même diamètre. Nulle part il n'existe chez B... de troubles de la sensibilité. — Le pouls est fai-ble, mais n
rmette de constater. En terminant, j'appellerai l'attention sur les troubles circu-latoires très remarquables qui, chez notre
e a fait reconnaître dans notre cas, nous paraît rendre compte de ces troubles cardiaques qui n'ont pas peu contribué sans doute
es muscles des commissures qui paraissent surtout agir. — Au cou, les troubles moteurs semblent siéger dans les muscles peaucier
ations qui précèdent, il ressort que ces trois malades présentent des troubles moteurs anormaux semblables ou ne différant qu'en
épilepsie partielle. Ainsi, nous avons une analogie dans la forme des troubles moteurs, une analogie dans les conditions de déve
ille : 1° à l'état normal; 2° dans l'induration grise progres-sive. — Troubles fonctionnels qui accompagnent l'induration grise
htalmoscopi....................... 42 QUATRIÈME LEÇON de quelques troubles viscéraux dans l'ataxie locomotrice. — arthro-pat
s l'ataxie locomotrice. — arthro-pathies des ataxiques. Sommaire. — Troubles des organes génito-urinaires. — Envies fréquentes
de la compression lente de la moelle épinière. ?— symptomes. — des troubles de la mot1l1té et de la sensibilité liés a la com
Premier cas : Succession des symptômes. — Prédominance, au début, des troubles moteurs: parésie, paralysie avec flaccidité, rigi
con-tracture permanente des membres, exaltation des actes réflexes. — Troubles de la miction; — théorie de Budge. — Modification
ptômes particuliers de la compression lente de la moelle cervicale. — Troubles oculo-pupillaires. —Toux et dyspnée. —Vomisse-men
omisse-ments à retour fréquent. — Gêne de la déglutition. — Hoquet. — Troubles fonctionnels de la vessie. —Attaques d'épilepsie.
Type Duchenne-Aran). — Symptômes : atrophie individuelle des muscles, troubles fonctionnels, persistance prolongée de la contrac
paralysie motrice. — Contracture permanente spasmodique. — Absence de troubles de la sensibilité. — Déformations paralytiques; a
— Para-lysie du voile du palais, de l'orbiculaire des lèvres, etc. — Troubles graves de la respiration. Résumé des symptômes.
e et de la trépidation dans le tabes dorsal spasmodique. — Absence de troubles de la sensibilité. — Début. — Évolution. — Mode d
aits cliniques. — Trou-bles de la sensibilité générale et spéciale. — Troubles moteurs : leur res-semblance avec les mouvements
es membres affectés d'hémichorée post-hémi-plégique. — Caractères des troubles musculaires au repos et dans les mouvements. Lé
ro-topathique, 9, 74, 217, 218. — A. individuelle des muscles, 219. — Troubles fonctionnels, ¿20. — Mo-des d'invasion, 220. — Ma
ptômes de la compres- sion de la —, 105. — Pseudo-né-vralgie, 109.— Troubles de la mo-tililé, 125. — De la sensibilité, 129.
225, 415, 430, 437, 458, 460. névro-rétinite, 52, 53. Nutrition ( Troubles de la) dans les paraplégies par compression, 131.
Postérieures 5, 117, 107. Ramollissement du cerveau, 237. Rectum ( Troubles du) dans la com-pression de la moelle, loi. (V. D
lite trans-verse, '17. — Des hémiplégiques, 362. (V. Tabès dorsal.) Troubles des organes génito-urinaires dans l'ataxie, t 0.
tive à l'action du sys-tème nerveux sur les fonctions de la —, 127. — Troubles de la — dans la compression de la moelle, 127. —
81 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
ond une symptomatologie particulière qui révèle, en quelque sorte, le trouble de fonctions spéciales à chacune des régions affe
uvements respiratoires ; profondes et rapides dépressions, indices du trouble de la respiration qui accompagne le phénomène de
ts autre chose à signaler que l'existence, chez un oncle maternel, de troubles mentaux pour lesquels il avait dû être placé dans
ement. L'affection dont il est atteint consiste exclusivement dans un trouble de la marche, et c'est, comme vous allez le voir,
un peu de refroidissement relatif de la cuisse et du genou, mais sans trouble accentué de la sensibilité cutanée. Ajoutons, p
t fait une amélioration. Notons en passant qu'il n'a jamais existé de troubles , ni de la miction, ni de la défécation. Il s'ag
n qualitatives, de la contractilité électrique. La localisation des troubles suffit déjà pour guider le diagnostic. On sait au
et il ne sera pas nécessaire d'aller chercher plus loin la raison des troubles observés; à l'origine de tous les accidents, il y
omme dans notre cas, une arthrite légère peuvent déterminer les mêmes troubles . Un y a aucune relation nécessaire entre l'intens
s oublier non plus que la parésie et l'atrophie ne sont pas les seuls troubles deutéropalhiques qui puissent résulter d'une lési
nomène qui puisse être rapporté à une affection spinale. Aussi, aucun trouble de la sensibilité cutanée, pas de douleurs en cei
trouble de la sensibilité cutanée, pas de douleurs en ceinture, aucun trouble dans l'émission des urines, etc. Ainsi, vous le
e croise facilement la gauche sur la droite. Les commémoratifs et les troubles fonctionnels encore existants metteut hors de dou
n différente de celle des monomanes ambitieux, qui sont logiques. Ces troubles psychiques s'accompagnent d'une certaine difficul
uvent ni avaler, ni uriner, que leurs conduits sont bouchés, etc. Ces troubles peuvent marquer le début, mais il y a bientôt de
iblissement de la mémoire. Il y a, dans cette forme, prédominance des troubles moteurs, embarras de la parole, tremblement des m
'autres cas de migraine, dite accompagnée, on voit s'ajouter d'autres troubles variés, sur lesquels Piorry a, le premier, appelé
cas demi-graine ophthalmique. (Empruntée à la thèse de M. Féré : Des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales,
c succès un examen de droit, devant la Faculté de Paris. Les premiers troubles qui ont surtout frappé l'attention remontent au m
moins à un certain degré. Permettez que j'insiste un instant sur ce trouble de la sensibilité. Voici la jeune Bl..., qui pr
de l'odorat. Mais je réclamerai spécialement votre attention sur les troubles visuels, si intéressants au point de vue du diagn
é du corps et de la face, il se manifeste dans l'œil correspondant un trouble de la vue, plus ou moins marqué, une sorte d'ambl
champ visuel des deux côtés, mais beaucoup plus marqué du côté où les troubles de la sensibilité générale sont plus accentués. C
gérer, et il n'est pas rare qu'il soit très accentué, alors que les troubles de la sensibilité générale sont peu accusés. — 2°
iminution de l'acuité de la vision ; il existe, en outre, souvent des troubles dans la perception des formes ; on relève encore
z notre jeune garçon hystérique. Je ne discuterai pas la nature des troubles visuel de l'hystérie ; je vous rappellerai seulem
l'œil ; il n'y a même pas de modifications vasculaires, il s'agit de troubles exclusivement dynamiques, comme l'on dit. Je dois
sans qu'il s'y ajoutât de l'épilepsie, et sans qu'il persistât aucun trouble intellectuel, malgré la répétition fréquente des
l'autre, et elle offre une teinte bleuâtre assez marquée, dénotant un trouble manifeste des vaso-moteurs. Il existe une atrophi
ques font défaut chez notre malade, elle présente cependant nombre de troubles nerveux qui constituent autant de stigmates carac
e tous les caractères de l'hémianesthésie hystérique avec ovarie. Ces troubles sen-sitifs ne pourraient être déterminés que par
fin ; il n'y a rien, par conséquent, absolument rien qui rappelle le trouble respiratoire, qui caractérise le le phénomène de
lement dans la partie contracturée un sentiment de crampe pénible qui trouble quelquefois son sommeil. Il s'agit donc maintenan
ntermittentes. — Impuissance motrice précoce. — Atrophie musculaire.— Troubles de la miction, de la défécation, des fonctions gé
essier est inexcitable faradiquement ; ce qui revient à dire que le trouble fonctionnel de ce muscle est lié à une lésion org
ergiques, il n'y a pas d'exagération des réflexes ; il n'existe aucun trouble fonctionnel ni de la vessie, ni du rectum. c) E
e double; a) Dans le diabète, il n'est pas très rare d'observer des troubles nerveux très divers1, parmi lesquels il convient
s une paralysie ou uneparésie des membres 1. Bernard et Féré. — Des troubles nerveux observés chez les diabétiques* In Arch. d
un peu au-dessus du sourcil ; b) elle ne paraît pas s'accompagner de troubles de la vision; il ne connaît ni l'hémia-nopsie pas
savoir si la bouche et la langue ont été déviées, ni s'il y a eu des troubles de la sensibilité. Au bout de quatre jours (14
-être, bien qu'il ne rentre pas d'une façon absolue dans le cadre des troubles du langage. Vers le 9 novembre, c'est-à-dire un m
...... 7'i — — main gauche................ — On ne constate aucun trouble de la sensibilité tactile, pas d'analgésie, pas d
de la lecture. Je dirai d'abord que notre malade ne présente aucun trouble dans les mouvements de la langue et des lèvres, d
n des mots; aucune altération notable dans l'intelligence ; les seuls troubles appartiennent à la catégorie des signes (Facilita
pas oublié l'exposé que je vous ai fait, dans la dernière leçon, d'un trouble partiel de la faculté d'expression par le langage
ique, pour ainsi dire, à l'état d'isolement, et qu'elle représente le trouble pathologique d'une faculté spéciale qu'on pourrai
eau de Mussy)1 sans complication d'hémiplégie* ...^1»'»«*^^ 2° Etes troubles visuels sont vaguement signalés, dans un certain
inet ophthalmologique de la clinique : Pas de lésions oculaires ni de troubles fonctionnels objectivement observables, si ce n'e
56 ans, qui, il y a quelques mois, sans accompagnement d'aucun autre trouble morbide, remarqua, à son grand chagrin, qu'il ava
pas, flotte comme un voile inerte. Elle présente également un certain trouble de la parole, quelques lettres sont particulièrem
uvres complètes, t. iii, Système nerveux. li Irophie, il existe des troubles des mouvements des muscles de la face; mais dans
s des mouvements des muscles de la face; mais dans les cas légers ces troubles ne sautent Fig. 34. — Elle montre l'occlusion i
ans, à la suite de sa dernière couche, elle a commencé à éprouver les troubles suivants : Souvent, après le dîner, elle ressenta
rd'hui passée à gauche, sans modifications du champ visuel, ni autres troubles sensoriels. Elle n'a jamais eu d'ovarie. Ce sont
e près ou de loin au retour des accidents actuels. Il n'existe pas de troubles sensoriels, pas de modifications de la sensibilit
la provoquer de celte façon. La peau, à ce niveau, ne présente aucun trouble de la sensibilité. Jacques, âgé de douze ans, p
stématiquement toute nourriture, bien qu'il n'existât chez elle aucun trouble de déglutition, aucun désordre gastrique. C'était
suis pas très sûr d'elle et je crains que la vue de l'assemblée ne la trouble au point de provoquer quelques accidents. Donc, s
Reynolds, de passage à Paris, me proposant de lui faire constater ces troubles de la gustation. Je vous avoue que je fus très ag
La vision, vous le savez, présentait également chez cet enfant des troubles tout à fait spéciaux qui, s'il est vrai qu'ils n'
atiqué, il y a dix jours, par M. Parinaud, nous a montré que tous ces troubles s'étaient évanouis, et que la vision était redeve
s modificateurs thérapeutiques, croiront, je suppose, s'il existe des troubles sensoriels avec crises nerveuses simulant plus ou
que l'état psychique des malades n'est pas celui des hystériques. Les troubles de cet ordre, chez ces malades, n'ont pas les all
de MM. Oppenheim et Thomsen, et j'espère vous démontrer : 1° Que les troubles sensoriels hystériques peuvent, chez la femme ell
est complète, absolue, en ce qui concerne la sensibilité commune. Les troubles sensoriels de ce même côté gauche sont aussi très
mais il ne présente pas au reste, à part cette débilité psychique, de troubles mentaux bien caractéristiques. Il avoue avoir bu
que l'absence d'amyolrophie, à elle seule, ainsi que l'intensité des troubles de la sensibilité, permettaient de rejeter l'idée
endineux ; elle ne se fût pas accompagnée enfin très certainement, de troubles de la sensibilité cutanée et pro- 1. Brain. avr
nificatifs du sujet, sur son état psychique et sur ses mœurs, sur les troubles de la sensibilité répandus bien qu'inégalement su
n degré de parésie, mais elle s'était complètement amendée. Seuls les troubles de la sensibilité persistaient au même degré que
elle persiste encore cependant à un assez haut degré. D'ailleurs, les troubles de la sensibilité sont ce qu'ils étaient, non seu
modes de sensibilité, suivant une délimitation particulière ; pas de troubles trophiques, pas de modifications dans les réactio
: zone d'anesthésie correspondant au territoire des nerfs atteints ; troubles trophiques, modification des réactions électrique
t de la chute, soit après, aucune trace de perte de conscience, aucun trouble intellectuel d'une nature quelconque, aucune dévi
xiste aussi sur ce membre, en outre de la paralysie du mouvement, des troubles profonds de la sensibilité. La sensibilité au con
, que les muscles pas plus que la peau ne présentent aucune marque de troubles trophi-ques, bien que, je le répète, la monoplégi
... mouvements d'élévation de l'épaule étaient conservés. Quant aux troubles de la sensibilité, ils paraissent avoir été, dès
petit nombre de séances. J'appellerai donc votre attention sur les troubles de la sensibilité. Celle-ci est éteinte absolumen
pp. 70 et s.) miné, en ce qui concerne la paralysie motrice et les troubles trophiques, tant musculaires que cutanés, les sym
ez ce dernier, il y a lieu d'admettre également, en tenant compte des troubles moteurs et des troubles trophiques qui seront tou
eu d'admettre également, en tenant compte des troubles moteurs et des troubles trophiques qui seront tout à l'heure indiqués, un
ille circonstance, contrairement à ce qui se voit dans notre cas, les troubles de la sensibilité sont peu marqués, éminemment tr
ienne et irréparable du plexus brachial, nous relevons d'ailleurs des troubles trophiques, musculaires et cutanés et quelques au
cutanés et quelques autres phénomènes encore qui, tout autant que les troubles de la sensibilité contrastent singulièrement avec
ition de l'anesthésie cutanée et profonde, ainsi que sur l'absence de troubles trophiques et de la réaction de dégénération dans
la moelle, pourrait sans doute déterminer dans le membre paralysé des troubles plus ou moins graves de la sensibilité. Mais une
ment dans les parties antérieures de la capsule et par conséquent les troubles de la sensibilité y feraient défaut. C'est donc
e, quatre mois après le début de l'affection. Enfin, Messieurs, les troubles de la sensibilité, si fortement accusés chez Por.
ont rassemblé un certain 1. G. Ballet, Le faisceau sensitif et les troubles de la sensibilité dans les cas de lésions cérébrc
ans empiéter sur les régions limitrophes du lobe pariétal, ces divers troubles de la sensibilité se sont montrés très peu accent
lacer. De plus, pour rendre compte de l'étendue et de l'intensité des troubles delà sensibilité, on doit supposer, en s'appuyant
erveux. 21 Je relèverai tout d'abord ce fait que, chez Porcz...,les troubles de la sensibilité cutanée ne sont pas exactement
normal. Telle est la polyopie monoculaire spéciale qui, associée aux troubles sensoriels et sensitifs que nous venons de rappel
ée au plus haut point dans toutes les parties insensibles. Ces divers troubles de la sensibilité d'ailleurs ne sont pas encore m
utrefois, elle persiste encore à un assez haut degré. D'ailleurs, les troubles de la sensibilité sont restés, je le répèle, ce q
car, en somme, ces impuissances motrices développées par le fait d'un trouble psychique sont, objectivement, tout aussi réelles
plète, très régulière ; au contraire, il n'existe du côté droit aucun trouble appréciable de la sensibilité. Nous pourrons donc
ar la sensibilité, dans ses différents modes, pendant l'évolution des troubles de la motilité que nous allons provoquer. Je vous
que les doigts qui ont conservé leurs mouvements ne présentent aucun trouble de la sensibilité. Oui, l'imitation que nous avon
oduite est redevenue sur tous les points, tant en ce qui concerne les troubles de la sensibilité qu'en ce qui concerne les tro
i concerne les troubles de la sensibilité qu'en ce qui concerne les troubles du mouvement, ce qu'elle était dans notre premièr
hé-siques, obtenir la paralysie motrice, sans accompagnement aucun de troubles de la sensibilité ; il suffit pour cela, ainsi qu
. Ce dernier agent est destiné surtout, vous le savez, à modifier les troubles de la sensibilité. L'expérience nous a appris dep
chez lui, dans les mouvements du membre supérieur gauche, les divers troubles de la sensibilité et 1. Voir plus haut la note
ché, Messieurs, de relever, puisque l'occasion s'en présente, que ces troubles sensitifs et moteurs sur lesquels j'appelle ici v
trouvent le plus souvent associés, en proportions diverses, d'autres troubles du langage intérieur, tels que cécité et surdité
ire, d'une façon générale et dans des proportions variables, d'autres troubles du langage intérieur. L'aphasique ne sait plus li
nt: rétrécissement du champ visuel, hémianes-thesie simple ou double, troubles sensoriels divers, anesthésie pharyngée, voilà le
iens, pas de trépidation par redressement de la pointe du pied. Les troubles de la sensibdité observés aux membres inférieurs
et de leur extension sur toute la surface des membres inférieurs, les troubles de la sensibilité offrent donc un contraste profo
troubles de la sensibilité offrent donc un contraste profond avec des troubles moteurs. D'ailleurs, pas d'atrophie des muscles d
du membre où le coup a porté, soit sur le membre tout entier, divers troubles transitoires de la sensibilité et du mouvement, t
chez une femme hystérique, l'engourdissement serait remplacé par des troubles beaucoup plus accentués, beaucoup plus étendus et
On remarquera que ces divers phénomènes rappellent de tous points les troubles psychiques qui, avec ou sans l'accompagnement de
tendineux ne sont pas exaltés; ils seraient plutôt un peu diminués. Troubles de la sensibilité remarquables. 1° La sensibilité
bre, il ignore si l'on meut tel ou tel doigt individuellement, etc. Troubles trophiques. On a déjà parlé de l'amaigrissement d
n'a jamais eu rien qui ressemble à des attaques hystériques, mais les troubles sensitifs et sensoriels, permanents (stigmates hy
artout ailleurs le malade ne sent pas le froid (fig. 88 et 89). Les troubles sensoriels sont très remarquables : 1° Rétrécisse
elques sujets une paralysie motrice complète sans accompagnement d'un trouble quelconque de la sensibilité cutanée ou profonde,
é considéré jusqu'à présent comme absolu. Il consiste en l'absence de troubles trophiques. Ce caractère négatif a été élevé à la
jeter du cadre de l'hystérie tout syndrome auquel se rattache quelque trouble trophique. Des faits récemment observés dans le
fondamentale. Mais il faut aussi bien remarquer que l'expression de « trouble trophique » n'implique pas fatalement l'idée d'un
s malades que j'ai pu suivre permet de reconnaître dans ce mutisme un trouble psychique central, analogue à celui qui amène la
n. Les mouvements de la langue sont très libres ; il n'existe aucun trouble de la déglutition et le malade est très affirmati
lui pose par écrit, ou en parlant très haut. Pas de paralysie, pas de troubles de la sensibilité. Les mouvements de la langue et
-Dieu. Elle n'a pas de boule hystérique, pas d'hémianesthésie, pas de troubles des organes des sens. Les ovaires et particulière
ovaire gauche sont douloureux à la pression. En un mot, en dehors des troubles laryngiens et de la douleur ovarienne, la malade
0 et 1874 deux attaques subites de perle de connaissance, en 1877 des troubles passagers de la vision, des amau-roses fugitives
ne aphonie hystérique. L'intérêt du fait réside dans la continuité du trouble fonctionnel qui a résisté à tout traitement jusqu
é à expliquer par une simple paralysie d'un des muscles du larynx les troubles observés chez le malade qui fait le sujet de la p
egré d'aneslhésie de l'isthme du gosier et du vestibule de la glotte, troubles dépendants d'une paralysie du larynx supérieur. L
e dans cette dernière observation, on peut voir des variétés dans les troubles laryngés survenant dans le cours de la maladie, s
utisme. On l'observe fréquemment chez les hystériques qui n'ont aucun trouble de la phonation ou de la parole. Ainsi donc, da
nce, et quand ils le sont dans une mesure plus ou moins prononcée, le trouble fonctionnel qui résulte de cette parésie ou paral
s voyez bien que je ne peux pas. » C'est la représentation exacte des troubles observés chez nos malades, mais je ne fais que si
attaque suivie d'un simple embarras de la parole, caractérisé par des troubles transitoires de l'articulation. Enfin, dans le co
s, la notion de Yarnne'sie doit être la clef de toute la question des troubles du langage que nous étudtanjjcw. Cette notion
termittentes. — Impuissance motrice précoce. — Atrophie musculaire. — Troubles de la miction, de la défécation, des fonctions gé
s modes de sensibilité suivant une délimitation particulière ; pas de troubles trophiques, pas de modifications dans les réactio
ci: zone danesthésie correspondant au territoire des nerfs atteints : troubles trophiques, modification des réactions électrique
419. Méthode nosologique, 10 ; — ana-tomo-clinique, 11. Miction ( Troubles de la) à la suite d'une contusion du sciatique, 1
s lésions vertébrales, 143. Scotome scintillant, 75. Sensibilité ( Troubles de la) chez les hystériques, 253, 255; — dans les
tions dia-thésiques,37, 97 ; — leur influence sur le développement de troubles nerveux en dehors de l'hystérie, 399; — et hystér
82 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
voir débuté plus tardivement. Depuis 4 ans elles ont occasionné des troubles dans le fonctionnement des organes y contenus,
siège d'un oedème rouge (éry- sipèle ou périostite). Bientôt les troubles cardio-pulmonaires reviennent à nouveau et il ent
esque généralisé; sur- tout énorme aux membres inférieurs. Pas de troubles apparents du système nerveux ; point de fréquente
s dans les mem- bres inférieurs. Réflexes rotuliens normaux. Pas de troubles de sensibilité appréciables tout au moins, car
e l'exploration exacte des diverses sen- sibilités cutanées. Pas de troubles sensoriels. La vue a baissé depuis quel- ques a
nnées, mais l'acuité visuelle est encore relativement bonne. Pas de trouble de l'intelligence. Le malade meurt emporté par
les depuis 5 ans. A 60 ans, atta- que d'asystolie consécutive à des troubles respiratoires et circulatoires : il est traité
jà les déformations thoraciques étaient' accentuées, ont apparu des troubles pulmonaires. Emphysème ; bronchites répétées. L
'60. L'examen des organes thoraciques révèle l'ensemble complet des troubles Cal'C110-1)I11111011a11'eS. Du côté des poumons
ade. Cependant l'état général est relativement satisfaisant; pas de troubles digestifs. Pas de troubles du système nerveux
est relativement satisfaisant; pas de troubles digestifs. Pas de troubles du système nerveux; ni paralysies, ni douleurs il
elle-ci dé- pend de la projection fonctionnelle. C'est pourquoi les troubles visuels, adjoints aux hémianesthésies hystériqu
e. On désignait sous le nom de coryúantis- me ou coryúantiasme, les troubles hallucinatoires dans lesquels certains démoniaq
eurs farandoles échevelées. C'est lui qui répand l'enthousiasme, ce trouble mental qui surprenait si fort les anciens, et d
i Platon avait constaté que les prétendus prophètes éprouvaient des troubles mentaux particuliers, et il n'hésitait pas à les
thènes, au retour du printemps, étaient l'origine des plus violents troubles nerveux. Elles remontaient à une antiquité très
marche a toujours été possible, et le malade n'a jamais éprouvé de troubles vésicaux. Pendant que l'amaigrissement des musc
distribution de l'atrophie. Réflexes tendineux du coude normaux. Troubles trophiques très prononcés du côté de la peau des
est sujet à une constipation habituelle, mais il ne présente aucun trouble vésical. État du malade au 20 SEPTEMBRE 1892. I
acilement par l'existence d'altérations névritiques anciennes et de troubles profonds dans la nutrition des muscles, dénotés p
était abolie là comme ailleurs, d'une manière absolue. Outre ces troubles objectifs, la malade accuse des troubles subjecti
manière absolue. Outre ces troubles objectifs, la malade accuse des troubles subjectifs de la sensibilité : au niveau de l'h
n'y a donc pas d'atrophie muscu- laire du membre paralysé. Pas de troubles trophiques. Les fonctions vésicales sont peu to
- leptoïde. Le réflexe plantaire est aboli des deux côtés. Pas de troubles oculaires ; jamais de diplopie; les pupilles so
gauche, ajoute-t-elle, a toujours été plus faible que la droite. Ce trouble de la motilité du côté des membres inférieurs é
Désormais elle ne put courir. Jusqu'ici il n'a été question que de troubles de la station et de la marche. A 18 ans les mem
r moment d'apparition. Quand la cépha- lée est très forte sa vue se trouble quelquefois. La sensibilité au tact, à la doule
pérature est bien conservée. Le sens musculaire est intact aussi. Troubles trop/tiques. Les membres sont froids au toucher s
'elles jouent dans le mécanisme de la station, non plus que sur les troubles de la mar- che, étudiés par M. P. Richer (2). C
nesques, sont des faits qu'il est bon de noter et de rapprocher des troubles de la vision des couleurs que nous avons signal
isme, pas de maladies vénériennes. Etat actuel (avril 1894). Pas de troubles de la sensibilité objective ou subjective ; pas
Pas de troubles de la sensibilité objective ou subjective ; pas de troubles vésico-rectaux ou génitaux. Absence de troubles
subjective ; pas de troubles vésico-rectaux ou génitaux. Absence de troubles intellectuels. Les divers viscères : coeur, pou
IMITIVE. ACCOMPAGNÉE DE RÉACTIONS ÉLECTRIQUES ANORMALES ET DE , . TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. (I). ' a , ' " I Nos conna
des difformités. Pas d'attaques, pas de paralysies tardives, pas de troubles mentaux. Elle a eu 8 grossesses : 1° Une fill
eux n'étaient pas sensibles au moment de l'entrée de la malade. Les troubles électriques existaient certainement à celle époqu
t une des premières places. Il est peu de maladies qui apportent un trouble plus profond dans la mor- phologie du corps et
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Nous n'insistons pas sur les troubles de la mimique bien décrits égale-~ ment : le ri
. Parmi eux, Albrecht Durer a rendu avec une vérité saisissante les troubles atrophiques de la maladie. Sur une eau forte ti
ence immédiate des altérations do la sensibilité en général sur les troubles de la nutrition des tissus. Je vais faire passe
tait en effet la révélation inattendue de tout un nouveau groupe de troubles nutritifs jusqu'alors incon- nus en neuropallio
ue jour, nous voyons rattacher à une lésion des centres nerveux des troubles multiples qui semblent n'avoir avec celle-ci au
es maladies-là, elles aussi, sont de celles qui donnent lieu il des troubles trophiques parmi lesquels les arthro- pathies f
rticulaires sont presque toujours, sinon toujours, consécutives à des troubles dont le siège primordial est le périoste ou la
e qui rappelle assez bien le pied cassé delà chi- noise. Ainsi, les troubles tro[Oiclucs osseux c'est là que j'en veux venir
ous n'ignorez pas que si les symptômes du labes consis- tent en des troubles de la sensibilité et de la motilité, la proportio
constante et invariablement égale. 11 est des cas dans lesquels les troubles moteurs font presque totalement défaut; il en est
nomènes Ilue j'éuumèrc, quel- ques-uns doivent être rapportés à des troubles de la sensibilité musculaire, aucune autre form
ordons postérieurs. Or ceci nous conduit à l'étude pathogénique des troubles du tabès, et je vais, Mes- sieurs, vous montrer
des parois vasculaires est peut-être une dystrophie tabétique ? Un trouble vaso- moteur d'origine spinale ajoute peut-être
s étroite et je suis tout disposé il les rapporter au même ordre de troubles vaso-moteurs. L'occasion est propice pour soute
s prouver par des faits purement cliniques les rela- tions de leurs troubles trophiques avec leurs douleurs fulgurantes. Cela,
des conducteurs sensitifs. Ceci revient il dire qu'il n'y a pas de troubles Irophiqucs primitifs : les (roubles trophiques
primitifs : les (roubles trophiques sont toujours secondaires ; les troubles de la sensibilité sont tou- jours les premiers
début du tabès actuel semble remonter à 1862 et s'être fait par des troubles rectaux : constipation opiniâtre, alternant ave
ue beaucoup plus lard. Vers la même époque, se fait l'apparition de troubles vésicaux sons forme de mictions impérieuses et
sition est tout à fait abolie dans lés membres inférieurs. : Pas de troubles vaso-moteurs ni Lroplliques, cutanés ou vasculair
o ne peut pourtant pas élever ses bras jusqu'à l'horizontale. Les troubles de la sensibilité cutanée objective ne sont pas p
ises dou- loureuses. A aucune époque, elle n'a eu de diplopie ni de troubles oculaires. Ja- mais de troubles vésicaux... Pas
oque, elle n'a eu de diplopie ni de troubles oculaires. Ja- mais de troubles vésicaux... Pas d'incoordination motrice. Début
rice. Début des arthropathies. La malade n'avait jamais remarqué de trouble moteur du côté des membres inférieurs : ni paré
de ces mêmes déformations, il est difficile de rapporter les légers troubles de la démarche il l'incoordination motrice. L
épanchement absent. Dans les membres inférieurs, on ne constate ni troubles Irophiqucs ou vaso- moteurs, ni amyotrophie not
génitale absolue. C'est vers cette même époque qu'apparaissent des troubles dans la marche, la sensation d'épais tapis sous
tés par M. Charcot). Le signe d'Aryll-Robertson est très net. Aucun trouble de la mobilité dans les membres supérieurs : da
es dans ce type morbide. Ces arthrites sans doute rentrent dans les troubles trophiques mais elles sont souvent secondaires
ans les troubles trophiques mais elles sont souvent secondaires aux troubles trophiques cutanés. D'où la difficulté de leur cl
re. Malgré cette divergence d'opinions, la scoliose rentre dans les troubles trophiques et les signes polio-myéliques médian
2° parce que par sa fréquence (50 z0 ]31,iilil) elle cons- titue un trouble trophique spécial qui mérite d'être étudié à part
re et également localisés, nous trouvons signalés mais rarement des troubles trophiques cutanés dans la région même de l'art
tanée, ni douleur a la palpation de l'articulation, en un mot aucun trouble subjectif de la sensibilité. Nous verrons que p
Nous verrons que par contre il existe souvent dès celte période des troubles objectifs de la sensibilité. Le gonflement gardai
uide que l'on retire de ces hydarthroses est tantôt limpide, tantôt trouble , quel- quefois sanguinolent. Au bout d'un cer
ptomatique : atropine musculaire, dissociation de la sensibilité et troubles trophiques, est nécessaire pour établir le diagno
nale par sa localisation monoplégi- que et par la prépondérance des troubles trophiques des appareils articu- laires ; les a
oliose. - Déformations cicatricielles des doigts. Dermogra- phisme. Troubles de la sécrétion sudorale. Observation. P.....
l'analgésie avec conser- vation relative du tact, la sciolose, les troubles trophiques diverses et les arthropathies, appar
évidente, plusieurs signes vien- nent témoigner de l'existence des troubles amyolrophiques, tels : la contrac- tion lente,
bilité dans l'hystérie; mais dans le cas actuel, il y a absence des troubles sensoriels, une disposition spéciale de J'anest
S DE SYRINGOMYÉLIE ATYPIQUE 271 Mentionnons la lèpre nerveuse ; les troubles de la sensibilité, les lésions trophiques, des
sthésie au ni- veau des taches lépreuses, localisation spéciale des troubles moteurs etc., l'ont défaut dans notre cas. Es
ladies médullaires suivantes ? L'absence d'amyotrophie visible, les troubles trophiques, la cypho-scio- lose, la marche lent
e ataxique et de douleurs ful- gurenles, des crises viscérales, des troubles visuels font également écarter l'ataxie. Nous n
panaris, l'unilatéralité de la lésion. D'autre part, nous avons les troubles trophiques considérables, la sciolose, les arthro
ensuite les panaris mul- tiples suivis de grosses déformations; les troubles sensitifs ont dû être tardifs, étant donné que
ffection a débuté à droite, côté où sont actuellement localisés les troubles trophiques et sensitifs. On sait que la cause d
(Suite et fin). Les arthropathies ne sont pas, Messieurs, les seuls troubles trophiques qu'on observe dans le tabès. Je vous
st la suivante : Existe-t-il un rapport constant entre le siège des troubles de la sensibilité en général et celui des altér
faire une petite incursion dans le domaine des psychoses. Certains troubles dynamiques, d'ordre purement viscéral, se manifes
e n'est pas une affection des nerfs périphériques, mais purement un trouble cérébral. Je ne le nie pas a priori mais rien n
ve. En tous cas, hypothèse pour hypothèse, j'incline à croire qu'un trouble cérébral où les sensations viscérales dominent, n
s viscérales démon- trant que l'ataxie n'entraîne pas seulement des troubles scnsitivo-sensoriels. J'en pourrais dire autant
onc la direction dans la- quelle il faut chercher l'explication des troubles trophiques, c'est-à-dire nutri- tifs en général
fort ori- ginale à l'influence de la sensibilité organique sur les troubles trophiques d'o- rigine nerveuse (2). Je vous y
; et Sur un cas de lésion traumatique du trijumau et du facial avec troubles (rophiques consécutifs, in Arch. clelasiol., ju
nsisté sur- ces formes rares de labes sensitif, dans lesquelles les troubles trophiques et spécia- lement les arthropathies
Chez cette femme, nous avons également assisté plusieurs fois à des troubles vaso-moteurs caractérisés par des oedèmes transit
t aux rapports réciproques des altérations de la sensibilité et des troubles trophiques, inc semble plus facile à résoudre.
sculaire proprement dite. Un malade atteint de tabes sensitif a des troubles trophiques articulaires et surtout osseux, parc
n'exerce aucune inlluence sur ces tissus ; aussi, chez l'adulte, les troubles trophiques d'origine corticale ne sont-ils jama
qui fait le fond du tabès. Je voudrais vous avoir démontré que le trouble trophique, envisagé a son point de vue le plus
ion fonc- tionnelle. S'il est des états morbides dans lesquels le trouble de la fonction dépend du trouble de la nutritio
es états morbides dans lesquels le trouble de la fonction dépend du trouble de la nutrition, il peut exister aussi tels états
uble de la nutrition, il peut exister aussi tels états morbides où le trouble de la nutrition dépend du trouble delà fonction
r aussi tels états morbides où le trouble de la nutrition dépend du trouble delà fonction. Dans ce tout petit coin du vaste
agrégé. DES ARTHROPATHIES SYRINGOMYÉLIQUES [Suite et fin) (1). Troubles objectifs de la sensibilité. Dissociation localis
de la localisation de l'arthropathie et de la loca- lisation de ce trouble objectif de la sensibilité. Dans l'observation si
diagnostic et comment ils éclairent la pathogénie de l'affection. Troubles subjectifs de la sensibilité. - 'Troubles vaso-mo
rrélation comme entre i'arthropathie d'une part, l'analgésie et les troubles de la sensibilité thermique d'autre part. Che
une infection dont l'origine serait dans le cas de Karg la pustule ( trouble trophique cutané), qui a précédé t'arthropathie,
her le rapport qu'il y a entre la lésion médullaire inconnue et les troubles trophiques articu- laires. Ces derniers se prod
conditions analo- gues à celles qui accompagnent la production des troubles trophiques cutanés : ces conditions sont l'anal
ie cutanée n'existait certai - ne ment pas il y avait cependant des troubles subjectifs de la sensibibilité à la température
ns de chaleur). M. Marinesco établit une étroite relation entre les troubles trophiques d'une part (1), les troubles de la s
étroite relation entre les troubles trophiques d'une part (1), les troubles de la sensibilité la la douleur etn la températ
syringomyélie sont d'après Mareslang (-I) : « la disso- ciation des troubles sensitifs, dite syringomyélique; l'intégrité des
lique est plus exposée à la suppuration, probablement en raison des troubles trophiques cutanés, ce n'est qu'une nuance. '
on des troubles trophiques cutanés, ce n'est qu'une nuance. ' Les troubles trophiques cutanés localisés au niveau de l'arthr
tendue des destruc- lions osseuses, l'indolence, la concomitance de troubles centraux divers, sollicitent dès l'abord son at
nent de l'empalement irrégulier des tissus péri-articulaires et des troubles trophiques; imitant, surtout au genou etau coude,
atisme à son début ou pendant son évolution; infection surajoutée : troubles trophiques graves ; nature chirurgicale de l'affe
ire des déviations des orteils, toujours ou même ordinairement, des troubles trophiques. Bien souvent, au contraire, il s'ag
ns effets de l'intervention est la disparition ou la diminution des troubles trophiques : les troubles tro- phiques articula
n est la disparition ou la diminution des troubles trophiques : les troubles tro- phiques articulaires lorsqu'ils existent p
ment légitime, quelle que soit l'intensité et la mul- tiplicité des troubles trophiques articulaires. Mais les arthropathies d
ant un ou deux mois, d'une manière d'ailleurs très irrégulière. Ces troubles n'avaient ni altéré sa santé ni sensiblement dimi
iquement et psychiquement notre malade ne présente aucune espèce de trouble . On peut la considérer comme guérie de tous ses
cience, devient très vive et, par association d'idées, entraine des troubles divers : ballonnement du ventre et vomissements o
tiqué la laparotomie. L'apparition et l'enchaînement de tous ces troubles , consécutivement à l'hyperesthésie de la hanche
stes incohérents trahissent l'incoordi- nation motrice due non à un trouble de motricité, mais à des erreurs d'ap- propriat
andent des mouvements compensateurs des globes oculaires; comme les troubles labyrinthiques provoquent desréactionsoculomotr
droit = 20 cent. 1/2 Avant bras droit t = 18 Il n'y a pas d'autres troubles trophiques ni vaso-moteurs appréciables. 2° Du
qu'à droite. L'acuité visuelle est simplement diminuée. 3° Comme troubles accessoires, il faut signaler une certaine torpeu
nucoïdes de la voix de tête, comme si le larynx était paralysé. Ces troubles durent quelques jours et disparaissent. 21' fév
rs complet; eh dehors des vestiges de sa paralysie du voile, de ses troubles de la voix'et de la vision, là malade ne' prése
résentait à son entrée le syndrome de Weber typi- que, compliqué de troubles de la vision par névrile optique. Depuis son entr
n'y avait pas de trépidation épileptoïdc. Il n'y a pas non plus de troubles de la sensibilité du côté paralysé. Le contact y
le légèrement diminuée il la main droite. Il n'existe pas non plus de troubles subjectifs de la sensibilité, engourdissement o
tout d'abord on serait tenté d'en con- clure à tort qu'il en a les troubles intellectuels. En effet il parle lentement, bre
lade perd facile- ment l'équilibre. Actuellement il n'existe pas de troubles vasomoteurs. On a vu qu'il y en aurait eu, au d
e tous les auteurs ne sont pas d'accord sur l'interprétation de ces troubles de la parole. La plupart ne voient pas là une a
ints. Le membre inférieur droit présentait sa motilité normale. Les troubles de la sensibilité, caractérisés par de l'anes-
érale de la vertèbre et la partie Fig. 94 et 93. - Distribution des troubles sensitifs chez le malade de l'obs. I. - Les lig
tion du quadriceps, insuffisante pour soulever le talon du lit. Les troubles sensitifs du membre inférieur gauche ont dispar
siège d'une légère hyperesthésie cutanée; il n'y avait pas d'autres troubles de la sensibi- ité (Fig. 97 et 98). Les réflexe
des membres inférieurs ou des organes vésico-rectaux, le siège des troubles sen- sitifs du même côté du corps que les troub
ux, le siège des troubles sen- sitifs du même côté du corps que les troubles moteurs, l'exagération des uns et des autres pa
t dans la déglutition', qui, à une période avancée, se complique de troubles de la respiration, .dans la- quelle eiirin-les
triques anormales, par T. Savill, 184. Arthropathies nerveuses et troubles de la sensibilité, par E. BI11SSAUD, 209, 273.
au dit : Bandelette sous- optique, 99. Arthropathies nerveuses et troubles de la sensibilité, 209, 273. BRISSAUD et A. S
Trépans perforatifs, et exfoliatifs, d'Am- broise Paré, 38, 39. Troubles de la sensibilité après traumatisme rachidien,
83 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
générée ». « Elle doit encore, ajoute- [-il, se manifester comme un trouble de développement, c'est-à-dire être indépendant
onvales- cence n'a été, immédiatement tout au moins, suivie d'aucun trouble de la marche pouvant faire soupçonner une myéli
sa fièvre typhoïde, sans fièvre nouvelle, sans douleur aucune, sans troubles cérébraux ou sphinctériens, la démarche devint, p
la tête appa- rurent peu après ; beaucoup plus tard seulement, les troubles de la pa- role. Sans l'adjonction d'aucun aut
Elle n'éprouve ni céphalées, ni vertiges, ni vomissements, ni aucun trouble des organes de l'ouïe, de l'odorat ou du goût.
laire et du sens stéréognostique sont absolu- ment normales. Pas de troubles trophiques; rien à noter au sujet des troncs ne
. Il n'y a aucun tremblement de la langue, ni des lèvres, et pas de troubles de la déglutition* 10 RAYMOND Dans les regard
s personnels, l'absence de période préataxique, la non-existence de troubles de la sensibilité objective ou subjective, de c
e Friedreich, rares d'ailleurs, que les douleurs fulgurantes et les troubles de la sensibilité peuvent rapprocher de la névr
gie ataxique que nous avons observée chez Louise V..., reflétant le trouble de la coordination qui est la manifestation pré
qui se traduisent surtout par des céphalées, des vomissements, des troubles de la vue, des vertiges. Il est bien une affect
as de lésions trophiques. Sphincters intacts. Rachis normal. Pas de troubles d'inner- vation des membres supérieurs, du bulb
eau saine. SCLÉROSE MÉDULLAIRE 19 Traduisant anatomiquement ces troubles sensitivo-moteurs, nous devons admettre une lés
ntacte aussi est la région cervico-dorsale qui n'a donné lieu à aucun trouble fonctionnel. Les examens maintes fois renouve
n trouble fonctionnel. Les examens maintes fois renouvelés de ces troubles sensitivo-moteurs donnent à peu près les mêmes
ce postérieure. En somme la systématisation hémilatérale droite des troubles des sensations générale et spéciales se désysté
légies réflexes, etc. Ce n'est pas un tabes, malgré l'ataxie et les troubles sensoriels, du fait de la monoplégie, de l'abse
mal de la partie inférieure de la moelle, de même que l'absence des troubles fonctionnels des membres supérieurs, de la resp
e hémorragie cérébrale, inondation ventri- culaire. Il y a quelques troubles nerveux chez les collatéraux. Douée elle-même d
ation des fragments fut parfaite. Nous avons dit que les débuts des troubles de la locomotion dataient de mars 1902, soit 14
), paralysie motrice à gauche. La seconde par une diminution de ces troubles sensoriels à droite qui se ma- nifestent à gauc
e, celle qui, avant cet inci- dent, l'avait toujours conservée. Les troubles dysesthésiques se dissipent aussi peu à peu et
if de la motilité du côté gauche qui participe alors à son tour aux troubles sensoriels du côté droit ; 4° Retour progressif
ont pu vivre longtemps avec leur 'jambe de bois sans se douter des troubles périphériques que leur moelle aurait pu leur fair
ubis à plu- sieurs reprises à propos de son obésité. Aussitôt les troubles fonctionnels des membres inférieurs constatés, on
Ragatz. Notons en outre des piqûres d'ovariue Maragliano contre les troubles de la ménopause. Enfin, encouragée par la lec
olument « la dys- phasie » de la sclérose en plaques. Il n'a pas de troubles intellectuels, pas de vertiges, pas de mouvemen
s de mouvements incoercibles, pas de tremblement céphalique, pas de trouble de la vue, pas de troubles pupillaires, une ébauc
es, pas de tremblement céphalique, pas de trouble de la vue, pas de troubles pupillaires, une ébauche de nystagmus, aucun dé
équilibre ». Il y a ébauche aussi de la démarche spasmodique. Aucun trouble sphinctérien. Diminution de la force musculaire
ans ses grandes lignes, dans ses si- gnes capitaux, parole scandée, troubles de l'équilibre dans la marche, mouvements en dé
e tous les membres, avec délire. Quand la pneumonie fut guérie, les troubles moteurs persistèrent, caractérisés par ce fait
Etat actuel : Etat général parfait, aucun stigmate hystérique, aucun trouble sphinctérien, ni trophique, ni sensilif, aucun
rique, aucun trouble sphinctérien, ni trophique, ni sensilif, aucun trouble pupillaire mais des per- turbations profondes d
'il marche avec ses bras. L'occlusion des yeux n'aug- mente pas ses troubles . Il n'a jamais eu de sensation vertigineuse (PI.
e tomber. Il ne sait pas corriger immédiatement par son cerveau, le trouble apporté ainsi à son équi- libre, et il tombe.
ski, sous le nom de diadococynésie a décrit chez les cérébelleux un trouble particulier du mouvement, qui consiste dans l'imp
ibilité de faire successivement le même mouvement avec rapidité. Ce trouble est, par com- paraison avec le côté sain, plus
e chez les animaux privés de cervelet. Enfin, en regard de tous ces troubles qui trahissent un déficit considérable dans les
ons différentes, et que les lésions du ver- mis seul entraînent des troubles de l'équilibre ». Duret, d'après les nom- breus
e opinion. L'opisthotonos (parésie des fléchisseurs spinaux) et des troubles de l'équi- libre des deux côtés du corps, parfo
des troubles de l'équi- libre des deux côtés du corps, parfois des troubles respiratoires (Jackson et Russel, Arch. Neurolo
e de plus positif dans les lésions destructives du vermis, c'est un trouble profond de l'équilibre cyiiétiqite {station debou
parle ; ni agraphie puisqu'il écrit. Il est cependant atteint d'un trouble du langage, il présente une variété d'aphasie pui
x pas dire ; je serais heureuse de pouvoir parler ce qu'on dit. » Troubles DE la parole. - Ainsi, spontanément, la malade au
crit Bom. 3 fois de suite à distance. Interrogatoire du 15 avril. TROUBLES DE LA PAROLE. Votre nom de jeune fille ? Cerna
t jusqu'au jour où la malade quitte le service. " A ce moment les troubles de la parole ont à peu près disparu. Elle désigne
être est-ce à cette lésion sous- corticale qu'il faut rattacher les troubles du langage. Quoi qu'il en soit, il est un point
la di- minution progressive et la disposition presque complète des troubles du langage. C'est là un point sur lequel Pitres
ds ataxiques, l'incoordination de ces muscles joue un rôle dans les troubles de la marche. Je n'ai point encore à cet égar
rissement de ces vieillards. Ils ne présentent d'ailleurs que des troubles d'ordre très banal, imputables à leur âge avanc
iger complètement, et s'accompagnant d'autres déformations liées au trouble général du système osseux. Ce sont là les vraies
rogue n'était pas seulement inutile, elle donnait lieu à de sérieux troubles digestifs. C'est, également pour satisfaire la
anifestation nerveuse, et chez qui on ne pouvait soupçonner quelque trouble de la démarche ou de l'équilibre en raison même
t une minute envi- ron. Plus tard, apparaissent progressivement des troubles de la marche, puis du langage ; le malade prévo
l va être at- teint. Les progrès de la maladie vont lentement, sans troubles cérébraux d'aucune nature, sans phénomènes ocul
de l'oeil sont intacts. Dans le domaine des nerfs bulbaires, aucun trouble n'est à signaler; la déglutition, le pouls sont
; le réflexe cutané plantaire est en flexion. Il ne présente aucun trouble de la sensibilité,ni des organes des sens, ni pie
liminer, sans plus de contrôle, un grand nombre d'affections où les troubles de l'équilibration surviennent à titre primordial
t-il vous rappeler, Mes- sieurs, qu'il ne présente ni nystagmus, ni troubles oculaires quelconques, qu'il est indemme de tou
réflexes sont t diminués ? De la maladie de Friedreich, il a les troubles de la parole, l'ataxie statique, la démarche, l
muscles de la face et de la langue. Il n'est toujours survenu aucun trouble ni dans la vision, ni dans la musculature de zi
t à fait exceptionnel). A peu près à la même époque surviennent des troubles de la parole et de la vision. Un autre phénomèn
ues. Par- fois, on note une certaine faiblesse mentale. - Quant aux troubles de la déglutition, des sphincters génito-urinai
erposable au cas qui nous occupe. Henri R... n'a présenté aucun des troubles oculaires presque constamment observés dans l'hér
ère leçon, a reçu une vérification anatomique complète (1). Sur les troubles trophiques : d'une part, ils peuvent manquer dans
viennent l'ataxie statique de la tête et du tronc, la scoliose, les troubles de la parole.. Lorsqu'elle entra dans cet hôp
ransversal, mais l'acuité était normale et jamais on ne constata de troubles pupillaires; le signe d'Argyll fit toujours déf
ype cérébelleux où l'atrophie des nerfs optiques, les vertiges, les troubles intellectuels, joints encore au syndrome commun c
diaque : Un type bulbo-prolubèrantiel peut-être caractérisé par des troubles auditifs ; Un type généralisé, comme dans le
rande extension de la tumeur. Compression n'ayant pas occasionné de troubles graves de la circulation du sang, mais bien de
ves de la circulation du sang, mais bien de celle de la lymphe. Ces troubles sont accentués surtout dans les parties pro- fo
es de l'écorce au reste du cerveau est bien faite pour produire des troubles intellectuels graves. La figure 2 illustre ce q
avait mise dans une autre position : c'était peut-être une suite de troubles dans les relations entre cerveau et cervelet. '
éveloppé normalement jusqu'à l'âge de 14 ans ; il présenta alors de troubles de la marche qui nécessitèrent son entrée à la cl
spastique parétique ; légère ataxie ; réflexes rotuliens exagérés ; troubles des fonctions de la vessie. Ces symptômes firent
esque inintelligible en février 1899. En avril apparurent aussi des troubles de la déglutition. Sauf une certaine hyperesthé
ie passagère du facial droit et de la moitié gauche du corps. Les troubles morbides que nous venons de détailler ont eu une
Cette dernière hypothèse est pour nous plus plausible. En effet les troubles de la vessie ont apparu chez K... fort tôt et a
l et d'une intensité remarquable. Correspondant à cela : Démence et troubles ataxiques. OBs. V. J. 111...., décédé le 1er no
e l'oreille droite. Dé- couragement. Dans le courant de l'été 1901, troubles de la parole et de la déglu- tition. Se met à b
là tout un mélange d'effets directs et à distance. Par exemple les troubles pupillaires n'ont pu être produits qu'à distance,
longtemps latente. Or c'est en 1901 qu'apparaissent les pre- miers troubles moteurs et 18 mois plus tard survient la mort, et
des mouvements athétosiformes et de l'asyner- gie cérébelleuse avec troubles très profonds de la sensibilité subjective et o
ller à son travail comme de coutume. Il n'eut, dit le malade, aucun trouble à la suite de cet accident, ni céphalée, ni lourd
ire, tandis que l'examen de la motilité volontaire fait relever des troubles profonds portant sur la coordina- tion, sur l'é
des deux côtés. , L'ouïe est nettement diminuée à droite. Pas de troubles du goût, ni de l'odorat. L'exploration des réfl
xe plantaire se fait en flexion des deux côtés. Il n'existe aucun trouble des sphincters en dehors d'une constipation opi-
fait constater l'existence d'une hémiplé- gie droite associée à des troubles de la sensibilité. L'épreuve du dynamomètre don
onstate ni tremblement au repos, ni atrophie muscu- laire, ni autre trouble trophique. Le malade marche à petits pas, les j
ère et en tout cas elle n'est pas en rapport avec le strabisme et les troubles des mouvements des globes oculaires. D'après le
énote la stase et l'oedème de la pa- pille des deux côtés. Pas de troubles appréciables du goût, les odeurs sont mieux perçu
née, bredouillée, scandée comme dans la sclérose en plaques. Pas de troubles des sphincters. Les uri- nes ne contiennent ni
l'em- poisonner, qu'il a des ennemis ; mange et boit avec avidité. Troubles sphinc- tériens, incontinence d'urine et des ma
and. psych., mai 1903. xvin 12 - 770 GRUNER ET BERTOLOTTI « Les troubles de la musculature oculaire, dit H. Claude dans le
es deux cas,et constitué par une hémiplégie sensitivo- motrice avec troubles des mouvements volontaires, de la coordination et
ilatérale et symétrique, l'atteinte des muscles intrinsèques et les troubles profonds de la sensibi- (1) Oppenheim, Traité d
lésions sur nos coupes des noyaux de la Ve paire. On peut croire ce trouble consécutif à la destruction de la racine supéri
urs plus marquée à droite, soit du côté hémiplégique. L'étude des troubles thermiques est ici d'autant plus intéressante, qu
Il est important encore de remarquer que, dans'tous les cas où les troubles thermiques ont été constatés, simultanément il ex
roubles thermiques ont été constatés, simultanément il existait des troubles de la sensibilité; de ces faits il paraît donc ré
he ? Nous fûmes frappés, en tout cas, par la dissociation entre les troubles thermiques et les troubles vaso-moteurs ; il n'
tout cas, par la dissociation entre les troubles thermiques et les troubles vaso-moteurs ; il n'y avait en effet, chez notre
umeaux avait-elle été suffisante dans nos cas pour produire de tels troubles ; au surplus l'autopsie nous démontra l'existence
veau de ses extré- mités. - D'ailleurs la malade ne ressent aucun trouble digestif ; elle mange de bon appétit et digère
hésie à tous les modes de sensibilité. Jamais la malade n'a eu de troubles sphinctériens. Coeur et vaisseaux. Le maximum d
A l'autopsie d'une femme de G2 ans, qui souffrit pendant six ans de troubles visuels sans acromégalie, la pituitaire fut trouv
ns hépatiques dans leur cas, pensent devoir faire jouer un rôle aux troubles hépatiques dans la genèse de certaines acromégali
ailleurs que dans les maladies des glandes closes, à l'occasion des troubles de l'une d'elles, l'inlrégrité des autres glandes
lrégrité des autres glandes peut jusqu'à un certain point parer aux troubles , et que, réciproquement, leur insuf- fisance pe
Les urines ne contiennent ni albumine, ni sucre. On ne note aucun trouble de sensibilité, les réflexes tendineux sont norma
atéral et qui n' est nullement lié à une affection cardiaque ou aux troubles de l'hématose. Hirschberg, et après lui Schmidt
étines peut exister sans cyanose généralisée, et l'importance de ce trouble local est considérable, car il tra- duit une pe
la douleur. L'examen de la sensibilité cutanée n'a jamais montré de troubles de cette fonction. La pression sur les apophy
- fessionnelle, dont l'ensemble se résume : en une akinésie, en des troubles de stabilité, en ataxie et en une hyperkinésie
us complètement possible, la crampe professionnelle dépendrait d'un trouble céré- bral. Il a décrit deux formes de crampes
odique réflexe. Vivian Poore attribue la crampe professionnelle aux troubles locaux ou 216 KOUINDJY aux troubles musculair
la crampe professionnelle aux troubles locaux ou 216 KOUINDJY aux troubles musculaires. D'après cet auteur, le spasme foncti
ulte que la simple crampe des écrivains peut s'accompagner d'autres troubles , qui aigrissent complètement l'existence de l'ind
e centrale ensuite. C'est-à-dire qu'elle se déclare d'abord par des troubles locaux périphériques qui, à la longue s'accompagn
s troubles locaux périphériques qui, à la longue s'accompagnent des troubles de causes centrales. Ces derniers agiraient d'u
trop loin, en attribuant la crampe professionnelle exclusivement aux troubles locaux du membre, dont les muscles sont atteint
rices du centre des professions, modifications occasionnées par les troubles locaux, musculaires, et autres. Ce centre peut
. Syphilis probable. - Il a un enfant de 3 ans, très nerveux. Les troubles du caractère remontent à cinq années. Ictus avec
n plus tard, apparurent plusieurs attaques épileptiformes, puis des troubles mentaux. [Le malade avait la folie des grandeurs,
'une légère réaction a la distance ; immobilité à la lumière. Aucun trouble viscéral. Au point de vue mental, B... est déme
pération chirurgicale (uréthroto- mie ? ). Depuis il a conservé des troubles de la miction, particulièrement de l'incontinen
ivement, qu'elle a été ac- compagnée de douleurs fulgurantes. Les troubles intellectuels ne datent que de deux ans. Marié et
éens, conservation des réflexes plantaires et crémastériens, pas de trouble de la sen- sibilité, signe de Romberg, faibless
t à gauche. Tremblement généralisé. Pas de signe de Romberg, pas de troubles des sphincters. A cause de sa faiblesse muscula
in traitant aurait diagnostiqué un ramollissement de la moelle. Les troubles intellectuels remontent à dix-huit mois environ
centres nerveux. Nous venons d'observer un chien qui présentait des troubles moteurs, sensoriels et mentaux tels que le diag
ppareils digestif, circulatoire et respiratoire ne présentent aucun trouble . Les principaux commémoratifs que nous avons pu
rré. Il avait déjà de la tendance à tourner de gauche à droite. Ces troubles s'accentuèrent progressivement et l'animal commen
ssement très marqué de la mémoire et du jugement, chez le chien, le trouble intellectuel le plus accusé est relatif à la perc
agraphie ou d'alexie. L'aphasie motrice proprement dite est le seul trouble du langage que l'on ait pu constater : elle a p
du poignet. La sensibilité, au membre supérieur, ne présente pas de troubles objectifs, il n'y a ni anesthésie ni hyperesthé
uleurs. Les réflexes sont exagérés à l'avant-bras ; il n'y a pas de troubles trophi- ques par rapport au côté sain. Le mem
leurs doulou- reuses. A part des douleurs provoquées il n'y a aucun trouble de sensibilité. Les réflexes rotuliens sont man
udes de rhuma- tismes chroniques, d'ailleurs l'unilatéralité et les troubles parétiques ne per- mettent pas de penser 1 autr
Mais on ne note aucun signe de paralysie bulbaire : il n'existe de troubles paralytiques ni dans la déglutition, ni dans la
èmes passagers sont bien dus à un oedème lymphatique par suite d'un trouble de la sécrétion de la lymphe. Dans les observatio
à peine qui s'arrê- tent bientôt (Debove, l'auteur). Selon nous, un trouble trophique de la sécrétion lymphatique produit d
longtemps debout. Il avoue avoir fait des excès alcooliques. Les troubles asystoliques qui l'avaient amené à l'hôpital cède
ou moins marquée des clavicules et transmission héréditaire de ces troubles . Ces malades sont au nombre de quatre, la mère
sont normaux. Pas de signes de lésion du faisceau pyramidal, pas de troubles de la sensibilité. Leur état géné- ral est exce
ba- ble, le père du sujet ayant présenté le même crâne et les mêmes troubles de la dentition. A la même époque, Preleitner (
évrose ainsi que le sous-clavier. Gross, se basant sur l'absence de troubles de la déglutition, pense que les muscles sterno-t
la marche ; nous verrons plus loin ce que nous devons penser de ces troubles . Sachs lui-même rejette d'ailleurs cette opinion,
, tandis qu'il voit dans les hémorragies anciennes le résultat d'un trouble vasculaire initial, sur lequel d'ailleurs il ne s
nouveau-né. Pour ce qui est de la dilatation vasculaire, qui est un trouble intra-utérin,il fait l'hypothèse d'uue formatio
et monotone. Les aliments lui revenaient souvent par le nez. Pas de troubles sphinctériens. Intelligence normale. Elle est m
exes patellaires. Achil- léens : signe de Babinski, sans parésie. Troubles de l'équilibre quand le malade tourne sur lui-mêm
mouvements spontanés sont très lents et maladroits. Pas d'ataxie. Troubles de la diadococinétie intenses. Réflexes très fo
et de l'amaigrissement. En 989, à l'âge de 18 ans, apparaissent des troubles mentaux : Elle croit que les gens disent qu'ell
ique que l'affection débuta chez lui, tandis que chez la soeur, des troubles mentaux ou plutôt des changements dans le carac
ait, mais il ne faut pas oublier que celles-ci étaient atteintes de troubles mentaux graves. xv n ' 9 410 - BALLET ET ROSE
rmittente du voile du palais que nous sommes tentés d'attribuer les troubles de la déglutition (Higier, Lorrain, obs. 28). Qua
us, Raymond et Souques, Giese, Duchateau). D'autres fois on voit le trouble de la parole ne consister, comme dans le cas de
s un bégaiement acquis. Chez notre deuxième malade on rencontre des troubles mentaux ; c'est même eux qui constituèrent le s
du tableau cli- nique, c'est-à-dire sur l'absence du nystagmus, de troubles sensitifs, et de troubles sphinctériens. Disons
est-à-dire sur l'absence du nystagmus, de troubles sensitifs, et de troubles sphinctériens. Disons que ces derniers ont cepend
r de la parole; chez les malades d'Achard et Fresson, de Trénel des troubles de l'intelligence ou du caractère. Mais dans au
ile du palais. Mouvements oculaires lents, pas de nystagmus. Pas de troubles sphinctériens. 1873. Contracture du cou ; quand
t et obs. I de Lorrain). On y remarquera cependant la fréquence des troubles 'pupillaires et oculaires (décoloration ou atro
uques, Bernhard) on retrouve des secousses nystagmi- formes, et des troubles oculo-pupillaires. La ressemblance plus ou moins
ot-Marie (Ballet et Rose), de l'ataxie cérébelleuse (Bàumlin) ; des troubles du caractère et de l'intelligence au cours des
urieux, on peut observer au cours d'une même affection, d'abord des troubles d'origine cérébelleuse (dé- marche ébrieuse, lé
les caractères intrinsèques, sans nous occuper, pour commencer, des troubles concomitants. a) Les contractions consistent en
à une sorte d'état de mal qui, d'ailleurs, ne s'accompagne d'aucun trouble psychique. . b) Il est généralement difficile d
tères permettant d'affirmer qu'il n'est pas sous la dépendance d'un trouble mental, psychique. Quelle en est la cause ? Il
ale droite, une hémiatrophie linguale à gauche (PI. lLVIfI, E), des troubles auriculaires et un rétrécissement de la pupille é
laires et un rétrécissement de la pupille également à gau- che. Ces troubles ont apparu il y a cinq ans environ et l'hémispasm
ersations et de sa conduite on peut déduire qu'il ne présente aucun trouble psychique. Le crâne a une conformation brachi-c
se rencontre à peu près avec la même fréquence à tous les âges. Les troubles sensoriels sont extrêmement rares. Nous n'ins
t aussi bien à l'origine d'autre névrose ». Ce n'est point avec ces troubles vagues qu'on a l'esprit mis en éveil : mais on
les se produisent ; d'où une distinction parfois malaisée entre ces troubles mus- culaires purement fonctionnels et une lési
de l'en- fant a l'habitude d'être mono-symptomatique, comme si les troubles per- manents que nous trouvons chez l'adulte se
on nerveuse centrale ou péri- phérique ne permettait d'expliquer ce trouble fonctionnel, et dès lors d'après la cause, le m
point. Enfin, jamais une scoliose proprementdite, même énorme, ne trouble ainsi la marche. Nous devions donc chercher du
emble conservée, pas de retard sensible dans les perceptions, aucun trouble des sphincters. L'examen de la colonne vertébra
erg n'existe pas. L'enfant ne s'est jamais plainte de la vue, aucun trouble dans les mouvements du globe oculaire, aucun trou
la vue, aucun trouble dans les mouvements du globe oculaire, aucun trouble au- riculaire. Les stigmates névropathiques s
ant d'une opération grave si elle ne guérit pas plus vite. Tous les troubles disparaissent bientôt, et le 3 juin, au bout de 1
longer autant, ou tout au moins au bout d'un temps aussi long ; des troubles dans les réflexes, dans le fonctionnement des s
ymptômes encore constitués d'hypertension intracrânienne, mais avec troubles de l'équilibre et titu- bation ébrieuse. La var
roubles de l'équilibre et titu- bation ébrieuse. La variabilité des troubles moteurs, les troubles de sensi- bilité, le mode
et titu- bation ébrieuse. La variabilité des troubles moteurs, les troubles de sensi- bilité, le mode de début, l'état stat
conque. Nous ne pouvons, à vrai dire, parler de stigmates, mais les troubles sensitifs, l'état psychique que nous avons décrit
a grippe, ne saurait être mise en doute. Mais comment expliquer les troubles fonc- tionnels ? Probablement par un mélange d'
ts successifs pour aboutir à une classification plus rigoureuse des troubles de dé- veloppement du tissu osseux. Toutefois,
analogues obser- vées chez les animaux et signale l'antiquité de ce trouble de développement dont on peut établir le diagno
ablissent les caractères radiographiques des malades atteints de ce trouble de l'ossification. G. Durante (1902), à propos
itres distincts. 1 ACHONDROPLASIE VRAIE L'achondroplasie est un trouble de développement du squelette apparaissant au c
qu'ils survivent, les achondroplases ne paraissent pas souffrir des troubles de leur ossification. Les fontanelles se fermen
ès, se développent régulièrement. Il n'existe pas, en géné- ral, de troubles hématopoiétiques. LES lIfICIt0 : IfI : LIGS CON
cède la place à un tissu plus spongieux. Il se pourrait donc que ce trouble dans le modelage diaphysaire soit unique- ment
toxique. II DYSPLASIE PÉRIOSTALE La dysplasie périostale est un trouble de développement du squelette in- téressant par
l'achondroplasie/ Cette affection qui, selon ces auteurs, relève de troubles de l'ossification du car- tilage juxta-épiphysa
est une maladie acquise, une ossi- fication vicieuse relevant d'un trouble d'ossification par intoxication ou auto- intoxi
tilage. Le rachitisme, au contraire, nous apparaît surtout comme un trouble fonctionnel des ostéoblastes qui, pour une rais
ifférencier une quantité suffisante d'osséine. Cette sclérose et ce trouble fonctionnel, quoique portant sur le même or- ga
par Leriche. Pour Bohn, Schwob il s'agit d'une insuffisance ou d'un trouble placentaire. Pour Dor et Poncet l'agent taxi-in
t des nouveau-nés » (Leriche). - On pouvait également songer à un trouble trophique d'origine nerveuse, car les centres n
es à une dystrophie de cause générale... N'y aurait-il pas, dans ce trouble du développement, quelque chose d'analogue à ce
ogue à ce qui se passe dans le myxoedème ; ne serait-ce pas dans un trouble de la fonction ou du développement de quelque o
e, plus probable vu la nature même des lésions histologiques. Les troubles glandulaires entraînent surtout des modifications
des ostéoblastes et rentre mieux dans la for- mule histologique des troubles glandulaires ou trophiques. Aussi admettrions- -
s lésions des centres nerveux et qui rentrent dans la catégorie des troubles trophiques . Ces altérations paraissent cytologiq
il de modi- fications invisibles des centres nerveux ? s'agit-il de troubles glandulaires con- génitaux modifiant les condit
sente une formule pathologique plus habituellement réalisée par les troubles glan- dulaires, mais a surtout les caractères d
s n'avons pu savoir de quoi. Eu tout cas elle n'a pas souffert d'un trouble semblable à celui dont est alfecté notre malade.
8 frères ou soeurs dont il ne reste que 5. Aucun d'eux ne présente un trouble de la croissance rappelant celui de notre malad
ade prétend être consécutive à une brûlure. Nous ne trouvons pas de troubles du côté des autres organes. SUR DEUX CAS d'acho
émoire de Pierre Marie. En effet,nous trouvons chez notre malade un trouble congénital dans le développement du squelette d
a femme adulte achondroplasique que chez l'homme atteint de ce même trouble . Le plus petit chiffre publié concerne le cas d
= 83,7). Son nez est aussi enfoncé et aplati. En relation avec les troubles de développement de la tête il convient de parl
qui, pour nous, jouent un rôle primordial dans la pathogénie de ce trouble de la croissance. Nous signalerons ici le fait
ses antécédents héréditaires. Aucun de ses parents ne souffre d'un trouble de croissance semblable au sien. Il avait commenc
tibias est très proéminente en dehors. Le malade ne présente pas de troubles appréciables de la sensibilité objective, il pr
équence a été l'internement du malade dans l'hospice d'aliénés. Son trouble mental s'est ma- nifesté par des actes de viole
dit, des formes mixtes où l'achondroplasie se combine avec d'autres troubles . C'est ainsi que dans le cas de Lugaro il y ava
nces d'être la vraie. Cet auteur se demande si ce n'est pas dans un trouble de la fonction ou du développement de quelque S
se donne la peine d'analyser un peu les caractères cliniques de ces troubles de la croissance, on voit tout de suite la jus-
, complètement résolue. Pourtant la lumière commence à se faire. Ce trouble semble dû à une exagération des fonctions hypophy
rtoghe (36) et Masoin (37), pensent que l'achondroplasie est due à un trouble de cette même fonction. SUR DEUX CAS D'ACHOND
utérines, traumatismes). 2° Théorie de l'atavisme. 3° Théorie des troubles trophiques consécutifs à des altérations du sys-
ncre d'imprimerie. La parole n'était presque pas embar- rassée. Son trouble manifeste a' paru quelque temps après et plus exa
s à voir ce malade dont l'atrophie musculaire a augmenté, qui a des troubles vaso- moteurs marqués avec mains succulentes et
faibles, nous n'avons pas eu de réaction de dégénérescence. Pas de troubles de la musculature externe de l'oeil bien qu'il di
599 Rien du côté de l'ouïe, de l'odorat ou du goût. Il n'a pas de troubles psychiques : à signaler cependant des cauchemars
l'atteinte de la corne antérieure médullaire : en même temps que le trouble trophique médul- laire celle-ci aurait produit
aire. Chez l'adulte, l'excitation des centres nerveux détermine des troubles intenses, et la mort survient rapidement à un m
ailleurs des éléments d'interprétation. Quant à l'hypothermie, aux troubles vaso-moteurs également signalés, ils relèvent d
souvent des malformations qui rappellent celles du rachitisme. Les troubles osseux, observés en pareil cas, sont en rapport a
pas proche parente du rachitisme et ne résulte pas, comme lui, d'un trouble apporté dans l'évolu- tion normale du squelette
lui, d'un trouble apporté dans l'évolu- tion normale du squelette, trouble en rapport avec une cause encore mal déterminée
éorie, celle de l'influence des processus irritatifs chroniques des troubles fonctionnels, de la manière anormale de vivre d
ébut des douleurs intenses, mais que d'ordinaire on n'éprouve aucun trouble , aucune douleur. Mais la production des exostoses
mbres supérieurs et inférieurs) un peu exa- gérés ; il n'y a pas de trouble de la démarche, ni de l'équilibre. Du côté des
égales ; elles ont leur réaction normale à la lumière. Il existe un trouble de la cornée, trouble diffus surtout marqué à la
r réaction normale à la lumière. Il existe un trouble de la cornée, trouble diffus surtout marqué à la périphérie de la mem-
doigts à environ un mètre. (La malade complètement indifférente au trouble de la vision, et irritée par un examen qu'elle
ment identique à celle de sa soeur ; elle présenterait de plus des troubles de la parole qui paraissent ressortir au bégaie
une simple paralysie extrinsèque de l'oeil mais tout un ensemble de troubles de développement. A considérer l'ophtalmoplég
contracte un rengagement de deux ans en octobre 1904. Histoire DES TROUBLES FONCTIONNELS DES épaules. Détaché à l'école de
ns, on peut considérer l'excitabilité galvanique comme normale. » TROUBLES musculaires. Il n'existe aucun trouble musculaire
galvanique comme normale. » TROUBLES musculaires. Il n'existe aucun trouble musculaire dans les muscles examinés : pas de c
anesthésie ou d'hypoesthésie ; pas de stigmates hystériques. Pas de troubles trophiques ou vaso-moteurs. Rien à signaler pou
rs des résultats identiques. Nous parlons pour mémoire seulement de troubles musculaires précoces au voisinage des foyers tu
s myélo- pathiques ; ils n'existent pas chez le brigadier M.... Les troubles des réac- tions électriques rencontrés égalemen
e l'axe cérébro-spinal au cours de la vie foetale ne soit suivie de troubles trophiques notables dont on retrouverait la trace
u tissu cérébro-spinal, un tissu conjonctivo- vasculaire banal. Ces troubles généraux de la nutrition se traduiraient par l'
édiate de la méningite qui évolue au contact de la base du crâne et trouble profondément la circulation sanguiue dans cette r
ition de tel ou tel tissu, sans qu'il soit nécessaire d'invoquer un trouble dans l'action trophique du système nerveux. Et
'organisme foe- tal, mais qu'elles ne déterminent directement aucun trouble trophique appréciable dans l'une quelconque des
ées, sont antérieures, et parfois très antérieures à l'invasion des troubles morbides. Dans tous ces cas où une anomalie coe
, indépendantes les unes des autres. Le crâne renferme un li- quide trouble , jaunâtre, tenant en suspension une masse molle,
hez l'embryon même.avant la fermeture de la gout- tière médullaire, trouble portant obstacle à la constitution morphologique
'apparition des premiers phénomènes inflammatoires qui apportent un trouble très grave à la nutrition du système nerveux et
84 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e du nerf moteur oculaire com- mun droit. Tremblement de la langue; trouble de la parole. Verte de la mémoire, démence. Dou
lgurantes dans les jambes. en octobre 1891. Paraplégie transitoire. Troubles urinaires. Perte de la mémoire. Tremblement int
expressions dont, auparavant, il se servait couramment. Bientôt les troubles de la marche empirent tellement qu'il est oblig
e : les cellules hépatiques, dans des territoires très larges, sont troubles et leur noyau ne se colo- rent plus; les territ
ranuleux ainsi que leurs prolongements, ce qui leur donne un aspect trouble . Les vaisseaux présentent les lésions habituell
lité. il, n'a ni plus.ni< mc`ins d'im- porta7nee'4àe les autres. troubles ^qu'on observe concurremment ' > ' ' 4d "'» '
râssant ? c'ést lorsqu'il n'existe ou n'a existé à aucun moment des troubles dépendant manifestement d'une lésion cérélirâlé
s apparaît donc comme une affection men- tale due probablement à un trouble fonctionnel mais non à une lésion organique des
, il faut réserver l'épithète d'idiots aux sujets chez lesquels les troubles intellectuels, s'accompagnant de troubles du déve
sujets chez lesquels les troubles intellectuels, s'accompagnant de troubles du développe- rou " s y .j ? mpa, qu ment phy
s du développe- rou " s y .j ? mpa, qu ment physique^ général, de troubles moteurs ou sensoriels (cécité, surdi-mutité, et
r plus fréquentes. ' ' 1 'Il .. G. 1). ' ·n ., te . : IV. Sur LES TROUBLES ? SENSITIFS' considérés spécialement dans LEURS
re, qui, lui a servi de thèse, l'auteur examine la distribution des troubles sensitifs, dans les différents modes de la sens
- ' ? f B'> r - «,( -i- j't'à . .. . t.) ...'i ' - . , V. DES TROUBLES de : la parole passagers, dans( la .paralysie PRO
d'accidents cholériformes et chez qui surviennent 'brusquement des" troubles délirants/ Au point'de vue psychique les symptô
s la perle de l'activité volontaire' de l'intelligënce, dans'uü i'i trouble 'profond* de'l'exercice volontaire 'des (opératio
ofond* de'l'exercice volontaire 'des (opérations intellec- tuelles, troubles de l'attention, de la perception, de la mémoire,
s nos travaux, antérieurs sur, . les hallucinations motrices et les troubles du langage, chez les aliénés nous avions nous-m
imple au,délire^le°plus,e'xcessif. ! ](,/>*0 zonez En effet, les troubles intellectuels' ont commencé' en septembre . . '
de montrer la relation intime', qui existe entre les couches et'les troubles psychiques qui survien- nent fréquemment après,
r rôle à titre secondaire. L'auteur est persuadé que ce facteur des troubles psychiques, auquel certains auteurs n'attri- bu
Dans un numéro précédent, le D1' Hughes a rapporté plusieurs cas de troubles mentaux et nerveux consécutifs à l'atrophie ou à
individu'non épileptique ou' comme épisode chez un épileptique. Les troubles psychiques transitoires accompagnent' la migrai
;lorsqu'à la diminu- tion de l'activité psychique s'associent,, des troubles graves de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 53
s petite, diminution, provoquaient, en effet, dol'énervement'et des troubles iâ'r«rhéiqes4Pllus. oti @@er.vemen , e, Ru ., .
De plus,, du côté des organes principaux, l'auteur a constaté des . troubles fonctionnels bien plus accentués et plus graves q
tion opi- niàtreavec coliques extrêmement douloureuses et débâcles; troubles dyspeptiques variés' avec, dans l'intervalle de
es.anamnestiques révèlent une tare névropalhique ou l'existence de, troubles psychi- ques pendant les périodes menstruelles
impulsivité passionnelle ; 6° Mais les individus qui, pour cause de trouble psychique menstruel bénéficieront d'une ordon-
n d'une idée fixe, à laquelle il ne. peut pas résister,. et, qui ne trouble ,pas autrement ses facultés mentales..) ? 1·,9r, -
d'être l'attribut des seuls pseudo-paralytiques : le faciès, les troubles pupillaires, les paralysies partielles, l'aspect
encore si la cause de leur apparition réside manifestement dans un trouble organique général ou local, le phénomène prend
la'paralysie " alcoolique (Rakhmaninoff). Parmi ces affections les( troubles t neïïropathiques et myélopathiqués sont, comme
rf. 'Autrement dit, sont-ils ou non suscep- tibles de provoquer des troubles morbides appréciables ? Si l'on s'en tient excl
» y mettant beaucoup de méthode et de soin jusqu'aux plus légers troubles nerveux qui viendraient à se manifester d'une f
ation III. Syphilis en 1885. Paraplégie complète, u pré- z cédée de troubles urinaires en 1887; à cette époque, exagération dc
notasl jambe est en effet douloureuse. t , ....... pnoizel , Les troubles de sphincter ont à peu près complètement disparu;
blr7n 11 1 ? 1; rtn t r. , n 1 4 ry- 2t 1 1 on ne peut saisir aucun trouble chez ce malade; il en a d'ailleurs été ainsi to
nts, et leur, corps cellulaire, fortement coloré, prend cet aspect, trouble qui le fait ressembler celui des. cellules gangli
ique, 1893). De plus, la malade.a'quelques symptômes dou- leurs'1 troubles de lâ ! marche' ? signe 'de Wéstpfîal."rEllè meur
en irritant les méninges, l'oedème cortical'étàntja conséquence des troubles circulatoires secôndâiréssà'cêsspasmes2 rt`Oû'b
tabétiformes. Cette lésion explique parfaitement les douleurs, ies, troubles de la marche et même l'abolition^des réflexes,
bien certain, en tout cas; c'est que ceux-ci avaient pour cause un trouble circulatoire; qu'ils se reliaient d'une façon évi
l, l'absence'de lésions des éléments nerveux explique l'absence1 de troubles cérébraux; ce malade, bien qu'atteint d'encépha
s piques ; alors,'1 pendant toute cette phase, on n'observe que des troubles vagues,'variables suivant^ les aptitudes morbid
ture est moins prononcée aux membres supérieurs. Il n'existe pas de troubles urinaires et ia sensibilité est normale partout
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. nerfs crâniens et les ictus, avec les troubles , moteurs. qui peuvent les suivre, enfin les tro
ctus, avec les troubles, moteurs. qui peuvent les suivre, enfin les troubles intellectuels sont décrits, dans ce travail, co
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE : XXX. Symptomatologie ET PRONOSTIC DE TROUBLES PSYCHIQUES QUI SE PRODUISENT PENDANT LES SUITES
ère génitale en même temps que des illusions du goût et de certains troubles de la sensibilité générale. Les idées de perséc
niques ; que ce délire, alors même qu'il est postérieur à d'autres troubles intellectuels, ne tarde pas à masquer ces dernier
la faculté' de localisa- tion et du sens de la force,' révèlent des troubles plus accentués et plus fréquents. Altérations '
rne, affaiblissement notable, de la mémoire, illusions du souvenir, troubles mentaux divers; pas d'hallucinations ni d'idées
mélancolie périodiques. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1. Trouble DE la sensibilité générale SE traduisant par UNE
oule, pré- tend-elle, continuellement. Il semble que le siège de ce trouble soit limité à la surface cutanée : elle ne se p
uivent les observations a permis de diagnostiquer chez le premier : trouble général de l'en- semble des fonctions psychique
sparition des réflexes patellaires et de la sensibilité électrique, troubles de la sensibilité cutanée, violentes douleurs l
oyaux dans la paroi du canal central de la moelle. P. K. XII. DES troubles mentaux dans la maladie DE Basedow ; par Hirsch
ysie du centre vascu- laire du bulbe; de là, hypérémie corticale et troubles intellectuels. Ajoutons à cela la tare constitu
cutivement à des accidents cérébraux de l'âge adulte avec vertiges, troubles des sens spéciaux (diplopie, agustie, dysosmie)
ion ou apoplexie quand la lésion occupe les ganglions centraux, des troubles de la respira- tion dépendant aussi des localis
lytiques étant survenus la nuit à la suite d'émotions et'd'efforts. Troubles dans la sensibilité. On croit à une hématomyéli
nt la vie rien n'indiquait une lésion de cordons postérieurs; aucun trouble de la sensibilité. P. K. XX. ETUDE .4N.1T01f0
tion de la réaction électrique et réaction dégénérative par places, troubles de la sensibilité, démence. Impotence presque com
ui avait mis un objèt pointcc entre les doigts, il éprouva un grand trouble ,, il sentit . son courage surexcité, sans qu'il
de l'angoisse, des hallucinations,, de la, vue. et,- de l'ouïe, des troubles de la sensibilité générale, s et par celte. idée,
excité directement les centres de ces. muscles et en a déterminé le trouble fonctionne ! . Ce qui paraît le plus' rationnel
nais- sance.1 Hall ucinalions 'de Ma vue,'de l'ouïe' : 'stupidité ; troubles de la mémoire,' titubation ? incoordination mot
s; la sensibilité tactile et le sens de la pression'participent aux troubles de la sensibilité ; phé- nomènes bulbaires (par
(paralysie unilatérale' du voile du palais et des cordes vocales,' troubles de la' déglutition).' Observation 11-Par«ésie d
es nombres'et des dates. Inhabi- leté des mains, sans paralysie, ni trouble de la sensibilité cutanée, trèsf légère'1 dimin
. Le traitement est resté, sans résultat. Evidemment il y, a là un, trouble 1-11- 'IllKM -. MIUI tin -ils - Jl'l I' - ,'»)
à l'alexie sous-corticale ; mais, comme il a été montré supra, les troubles de la vue semblent être principalement responsa
ensibilité (froid, chaleur^douleur^avec conservation, du|tact . les troubles trophiquesjde^lagpeau^esjqs^desjarticulations, av
les troubles trophiquesjde^lagpeau^esjqs^desjarticulations, avee, troubles vaso-moteurs ,et sécrétions, anormales, r-r,;) a-
niens y compris les syinpi8mes.oculo-pupillaires et bul- baire, les troubles delà motilité des membres (inférieurs y com- pr
latérale amyotrophique, ence casle diagnostic se fait à l'aide des troubles de la sensibilité et des troubles de la peau ou
e diagnostic se fait à l'aide des troubles de la sensibilité et des troubles de la peau ou du dos quand il, y, en, a. Le,dio
» ? > *n's ' Il existe aussi une syringomyélie dans laquelle les troubles tro- phiques de;la peau; des os, des articulati
ure sur toute la, hauteur de la moelle et produit exclusivement des troubles de la sensibilité (Rossolimo), en imposant pour
-supérieures - paralysie dissociée hémilatérale de la sensibilité - troubles vaso-moteurs (cyanose, crevasses) petites vésic
". >-«> .... ! t - 1 n ? Y. · 1 ' , XLI. Une observation i de TROUBLE UyILITÉR.·1L DE la mobilité DU GLOBE DE L'OEIL
40 ans; 3° elle appartient principalement au sexe masculin; 4° les troubles vésicaux, parfois aussi les troubfes rectaux, r
oires,' atrophiques'de la ÙbsLance'*c-oiitractile, par suite*"d'uâ' trouble 'de la circulation, d'une modification profonde
ntrale'. L'intelligence des,mots peut être suppri- mée du fait d'un trouble de l'ouïe sans que la perception'd'autres quali
ège qui a lieu du côté de la 'destruction tient principalement à un trouble du sens musculaire et probablement de la; sensi
e, il se développe des mouvements irrésistibles en arrière ; 7° les troubles psychiques produits par,cette combinaison, méthod
eau, l'in- troduction dans l'économie du poison cérébral révèle des troubles fonc- tionnels latents; 12°, par cette méthode,
es elles-mêmes ? Ces lésions sont : à pigmentation. anormale,- état trouble et dégénérescence graisseuse du protoplasma,vac
hiat., XXIV, 2.) ,Il existe des malades'qui, en même' temps que des troubles diges- tifs,' éprouvent dès accidents nerveux.
eur et inférieur. Parésie du bras et deilà jambe gauche ! Nul autre trouble de la sensibilité, ni des réflexes.'Intégrité d
intervalles, blé- pharoptose, disparition des réII6'xes-àtellaii,s' troubles de la mas- tication, de la déglutition, de la p
a dû se produire dans le sixième mois intra-utérin. Par suite d'un trouble dans le déve- loppement des fibres blanches, le
pontanément, ni sous la aidée, mais copie exactement. Plus tard, le trouble de la parole augmente. On diagnostique une tume
tiquerT[le< : tabesfvrai;fjamais,,par : exemp)p, ! iln'y.a a de troubles pnpillaires;lenrevanche; quelques symptômes* s'
cquise. En revancbe,'il est très probablement en. rapport- avec des troubles de nutrition d'un autre genre ? 6° 111 prédomin
cela, il y a raucité de'la voix, aphonie, respiration . sifflante, troubles de la déglutition, rétention d'urine : tous acc
conjonctif; pigmentation anormale, dégénérescence, graisseuse, état trouble du protoplasma des cellules. La,genèse la plus
st une atrophié musculaire marchant du centre à la périphérie, sans troubles de la sensibilité, accompagnée d'une espèce d'ar-
oï·ëé et lés'cellulès'des - cornes antérieures ? En'tout'cas'il'y'a trouble de la" circulation dans les articulations prise
.à doses petites, et fractionnées, il semble être utile contre les troubles hallucinatoirës;blsm u6 1 ·r 1 ,·v tr J. S. ,i;
eu'nom- Jon.an.w im du myxoedèm .u iv.. breux; enrlrevanclie, les troubles mentaux plus ou moins accusés y sont très 'comm
conseils , pratiques pour la, recherche} des symptômes relatifs aux troubles delà parole, de la, marche, de la nutrition et
es des autres appareils intra-cérébraux ne doivent pas provoquer de troubles de la motilité. 1 . Si donc, pour fixer les i
ntervention très fréquente et toujours possible de l'hystérie ou de troubles purement fonc- tionnels denaturenévrosique, dan
'examen d'un observateur.nori,7prévenu,r celui-ci** méconnaîtra le" trouble visuel et si, à l'autopsie du malade/il trouve
rence z entre l'hallucination et l'illusion. Peut-être, au fond, le trouble cérébral est-il le même, dans les deux cas. Cep
ès intelligent;et d'une instruction très' étendue; il- présente les troubles - sensoriels les Iplus'variés.et les plus extra
tre justiciable de cette,, opération n,lème «, chose dans le cas de troubles intellectuels dus à,un abcès'du cer- sjveaujà u
'estomac, car alors le remède n'est pas sup- porté( et entraineHdes troubles , .(An ? 2ales médico-psycholjgiqu^ Q 91 q ;shj
ges^ cérébrales,9 ùnê' lésion 'qui, "pbur'lùi, éttdûê-plutôt`a'de's troubles trophiques' qu'à des troubles inflam- nlatOlreS
'qui, "pbur'lùi, éttdûê-plutôt`a'de's troubles trophiques' qu'à des troubles inflam- nlatOlreS24`J'5b ,t'j9'J .9TIOJBLIt;1L1
n de'" la, pie- mëreToutes"cès iésio'ns signifient pour l'auteur un trouble profond , z l 4, .. oul 1 ,11 itt : bnsfi riats
fusion mentale. G. DE1 ? , - ? n'isf n[f'1h, i-.» ? »> LV. Des troubles dans ? le mécanisme de l'idéation dans la folie .
rientation et l'allure toute siécialetqde, ces- malades, voire les troubles de la sensibilité» morale, doivent, être tenus po
afièvret5-phoide, affaiblissement notable et illusion delà mémoire; troubles mentaux divers ; pas d'hallucinations, pas d'id
' Pour élucider la 'question' de' là' contagion" de la folie et des troubles psychiques' qui s'en râpprbchent, l'auteur passe
`ZF.71. `IU p ions J.SJ-O-1 es a un au ii-ri. 11 n'y a contagion de troubles morbides que dans la folie com- ,111LIlliquée e
nfluence DES GT.7S,, INI·L.lllai.lTOIItES·nLOÇ.IUIh SUR,··LIiS · ,. troubles mentaux;, par, l : dR'lt1 GOOD.1LL. (TL(' JOLI)'7
pagne .toujours de synipt6yés' physiques', inertie, jémas, sements, troubles ^.digestifs, (lès,, cas mixtes auxquels Cotard a
3 natirat'zqb`b Jg rtoilniizl3.s.l : ;oL · · .91ïi3Clt.;J Jd, DES troubles DE la parole ET DU développement de la parole,
fin de la quatrième année ? la parole doit être organisée. ~*1 Les troubles ^du tangage'* caraetérisés'ipar'ie balbutiement* o
BUÇLE1'11 131BL10GR1YHI(2UE. 319 11. Ramadier,qui avaitd,éciit ce trouble sous le, nom, de sensation de mouillure. Tentat
motrices verbales. La netteté avec laquelle se manifestèrent ces troubles au cours d'une période de rémission, l'absence pr
allucinations motrices verbales de nature pénible. Absence d'autres troubles hallucinatoires et en par- ticulier d'hallucina
olontaires de mastication ou de grincements de dents. Rôle de ces troubles dans la genèse d'idées de persécution avec tend
ttant pas l'ouverture de la bouche. L'attaque n'était pas suivie de troubles moteurs, mais de phénomènes d'excitation psy- c
rombone) ? Le réflexe massétérin fest exa- 11-éré."Iln'yà a pas de' troubles " de ]W'sen'sibilitélau"'niveau,'de la 'face et
de l'intelligence,, modifications, du caractère); la,,nature des troubles délirants (idées, ambitieuses et si hypocondriaqu
phénomènes somatiques (ictus céré- braux, hésitation, de la parole, troubles ,, pupillaires,- tremble- , ment des'doigts et ,
c une période, de rémission xçaracté- risée, pailla disparition des troubles délirants et la persistance . des symptômes ess
tôme psychique isolé et en particulier sans l'adjonction d'autres troubles hallucinatoires, de leur association étroite avec
lucinations psycho-motrices. Propres" Me'd., 18, .25 août 1888. Des troubles du langage chez les' aliénés. Bibliotli. Clilrcot
erver d'une façon quotidienne ? et de constater l'absence- d'autres troubles * hallucinatoires et en particulier d'hallucinat
e plus intéressant est sans'contredit l'asso- ' ciation étroite des troubles hallucinatoires fdu" centre-3 moteur d'articùla
ue qui, ne peut. exécuter, que des mouvements lents ; j 115·,ai des troubles respiratoires.. Puis la parole redevient normal
5 ? o ? bu, liA 4 : hnamys-l 9 A roville. - Des relations entre les troubles , de la motilité dans' la paralysiegénéràleetfle
il4é'ptiqiie do"n't"ils constituent' souvent lés' ., ' a .. seuls troubles moteurs' dans la paralysie générale ! " On a sign
mois avec,la même activité délirante,, la, même. intensité ^ des troubles hallucinatoires. Ceux-ci et surtout les hallucina
,, parait- avoireté d'une,, façon évidente sous la dépendance, des, troubles hallucinatoires, eux- mêmes tout a fait localis
idées de persécution et qui coïncidaient avec un redoublement des troubles hallucinatoires., Ces épisodes passagers, qui, me
la malade parle de milliards, ses dents repoussent, etc.). Puis des troubles hallucinatoires se manifestèrent, d'une activit
, des choses vertes, dorées, etc.). Cette pro- duction excessive de troubles sensoriels et sensitifs amène un 1 Congrès des
quelle complexité peuvent avoir, chez certains paralytiques, les troubles hallucinatoires, que la malade mourut de pneumoni
rémission, à l'état de symptôme ' isolé, sans association d'autres troubles hallucinatoires ; leur durée prolongée (seize m
lards et les paralytiques généraux, chez lesquels,' on le sait,'les troubles vaso-moteurs du cerveau- sont très accentués. -
plus être, admise de nos jours,,il n'en est passmoins vrai «quelles troubles circulatoires et la stase lymphatique, jouent u
depuisiles derniersvomissements,1<< quand se produisirent des troubles de la miction i et.deila déféra-six tion. Du cô
sireïitu.Ié'dizàüié'dé jours et* firent place, sans transition, aux troubles de la défocation. 3° ".k^ ^\^ \E l . - f. ' ? ,
çon journalière,- puis, disparurent brusquement/et;'avec elles, les troubles de la défécation. > 'De 1891 à fin'1892 ? la
' commodation;'à gauche,'signe' très- neti d'Arylli-Rol)ertson ? Le trouble ^de la'vision aébalement'augmenlé;lamaladedislinâu
modi- fiée, les réflexes rotuliens persistent toujours. *.J"n Le trouble mental, pour le moment, paraît fixé ? «* On veut
T i ? 408 .'r'r ? ;-3. CLINIQUE NERVEUSE. viîâilàa ^ICYOA^W q -Le trouble mental ne s'est pas modifié, seulement les..crise
ysiques ? sans être relégués au second' plan ? sont dominés par les troubles psychiques. Anse prendre en considération que l
de, dix. à. douze, jours. Elles ne se e sont pas accompagnées -de. troubles de la sensibilité^ et depuis cette ? poqllÏ - '
lo-pupillaires viennent à l'encontre de cette hypothèse ? 1 ^ Les troubles de la vision ont consisté en une diminution pro
x, e tendineux ne so t-pâ§.'abolis-> 9") P-)119'FP avui z Ou les troubles pupillaires ? leur évolution' embrasse -trois p
moplégie interne,, double et complète. Considérons, maintenant, les troubles pupillaires du tabès. Comme pour la névrite opt
S91biJfieu ? si> 9YUCfiC(''fiOG ? 1 ? sI De telle sorte que les- troubles oculaires relevant de'la.para- à lysie générale
9-ftf) ;si- ·'It .^'ii^n 4119 mfT .srn.a) ' Gilbert Ballet. `- Les troubles ^oculaires dans la paralysie générale .^ progre
3.), ' ? 0 as ? Joa 91W 2 Parinaud. Communication à M. G. BaUct ? M troubles oculaire31eq dans la paralysie générale progres
sie générale ? 'Mais; cette' hypothèse est inadmissible puisque les troubles oculaires ont été les* premiers '^ en date, : e
pas le tabes. Elle produit une améliora- tion sur les douleurs, les troubles oculaires, la faiblesse des mem- bres. La farad
mme il le dit' pour rétablir l'équilibre du système nerveux dont le trouble est 'la cause première de cet ensemble morbide,
tous les traitements ,de l'obésité. Elle s'adresse directement aux troubles nutritifs qui .en sont la cause. , .. , . £ ·
r procédé aux maladies générales ° ou à des affections , émanant de troubles de nutrition. En : ce*qui : concerne les maladi
alytiques il y avait 64 cas d'inégalité pupillaire dont 51 cas ? de troubles de. la motilité des pupilles (19 paralysies uni
s et 8 mois. -e 4 C 4 e ! t, , , - Discussion : M.' PETEps ? Tout trouble unilatéral-de la mobilité de" la1 pupille.' ave
es); - 5° les paralysies motrices d'origine périphé- rique ; 6° les troubles trophiques (peau lisse, ichtyose, myxoe- dème,
vement les'blessures quant à leur siège, nature et u évolution, les troubles de la santé générale, les troubles viscéraux .
iège, nature et u évolution, les troubles de la santé générale, les troubles viscéraux . attribuables à la commotion et enfi
, les troubles viscéraux . attribuables à la commotion et enfin les troubles fonctionnels des < centres nerveux. Toutes
hyxiés et des étranglés. -i *- -^J' ' ? ! : ro ? M<' «.-u. · Les troubles de là' santé générale dans les deux' premiers jou
part' du traumatisme et de- l'émotion 'dans' la production de ces - troubles , attribue la prépondérance' au traumatisme' qui
mes du'poumon sans choc direct sur les mêmes parois; de1 même' des' troubles stomacaux, hématémèse, métoena, vomissement, ga
vomissement, gastralgies dyspepsies avec ou sans choc direct.' Les troubles cérébraux peu- veuf survenir après des traumati
classique, mais seulement les signés précédemment décrits parmi les troubles de, la -santé- générale-, 'il' peàt'surve' *nir
taine gravité' ceci n'arrive pas et on finit par constater : 1° des troubles intellectuels;"^0 des troubles des organes des
s et on finit par constater : 1° des troubles intellectuels;"^0 des troubles des organes des sens ; 3° des troubles de la se
oubles intellectuels;"^0 des troubles des organes des sens ; 3° des troubles de la sensibilité et de la motilité; 4° des tro
sens ; 3° des troubles de la sensibilité et de la motilité; 4° des troubles de la santé géné- rale. Les' troubles de la mém
ité et de la motilité; 4° des troubles de la santé géné- rale. Les' troubles de la mémoire surtout pour' les faits récents, la
e, de la vieillesse anticipée, des accès de fièvre irréguliers, des troubles dyspep- tiques, l'affaiblissement des fonctions
contribution à l'étude de la maladie de -, par Angio- lella, 146; troubles mentaux dans la maladie de -, par Hirschl, 14
la-, par Ncehanu,210. Couches, symptomatologie et pro- nostic de troubles psychiques qui se produisent pendant les suites
périodique, par 'l ? iusch,4144 ? Ien Grèce, par * Sauborne, 236; troubles trophiques dans la -, par Hoyt,236;- ' puerpé
LiE* centrale, par Minor, 152. · , ;o - 1 'l ? - -; IIÉaucxorsÉr; troubles de la sensibi- lité- générale, - dans un' cas d
orie psychologique de l' -. par Grasset, 145. ,a rr, Idéation des troubles du mécanisme de l ? dans la folie systématisée
. "" " '" Inflammatoires, influence des états locaux ' sur ' les troubles men- taux, par Goodal, 292. Il - z Influenza,
r et Lachaux, 379HFs. T°° ' - an` \ -nf'j.'î i 4,1 sn' Langage, troubles du ' chez 'lés aliénés, par Klinke, 382 : - r r
Obstruction intestinale chez un aliéné, par Stewart, 229. OEIL, trouble unilatéral de la mobi- , lité du globe de l'- e
, par hornfeld ' et' Bikeles, 142, 201. "' ,i5 nH '·'i . Parole, troubles de la passagers dans la paralysie 'progressive,
s de la passagers dans la paralysie 'progressive, par Koenig, 40; troubles de la -, par Treitel, 315. - <* ? -&<
la-chez les alié- -nés,' par Schroeter, 452., ijG 1 Sensibilité, troubles de -la - géné- ratedans'uncas'fd'hemichorée p
85 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
vrose expérimentale. Les phénomènes d'hypnose dépendent toujours d'un trouble du fonctionnement régulier de l'organisme et l'hy
érapeutique de l'hypnotisme s'exerce d'une façon prédominante sur les troubles qui relèvent de l'hystérie. — Il existe entre l'h
ici, nous avons affaire à des désordres psychiques qui relèvent d'un trouble de la personnalité, d'une obnubilation du moi » (
a sensibilité est normale. Importance de la constatation exacte des troubles de la sensibilité dans l'hystérie Par le D' P.
re le diagnostic de l'hystérie. Parmi les éléments du diagnostic, les troubles de la sensibilité sont des premiers à envisager,
nt aussi confirmer les idées que je soutiens depuis longtemps sur les troubles de la sensibilité compensés chez les hystériques.
ovoquer des réflexes oculaires et pharyngiens, alors qu'il existe des troubles certains de la sensibili1..'- qui passeront ainsi
souvent provoquer le mouvement réflexe, et empêchait de constater un trouble de la sensibilité existant en réalité. Nous t
faire le diagnostic de l'hystérie et en particulier de rechercher les troubles de la sensibilité. 2" L'exploration des réflexe
t, et par des mains compétentes, été reconnue incapable de guérir ces troubles qui peuvent affecter les formes les plus diverses
e chez celte jeune fille, mais elle comporte des dissociations et des troubles de la sensibilité qui n'existent point ici. L'œ
rpose à des contractures ou à des paralysies ; il va de pair avec des troubles de sensibilité. Cette jeune fille, en effet, pr
é le jour que la nuit, avec, en outre, des bulles de pemphigus et des troubles trophiques qui simulent la gangrène de la peau.
l y ait là la moindre dépravation du goût. Il s'agit bien plutôt d'un trouble psychique, d'une variété de manie obsédante. La m
ait constituer une tare, un stigmate névropathique, bien plutôt qu'un trouble chlorotique de l'estomac • Priseurs de cocaïne
a signalé les bons résultats qu'il en a obtenus dans le traitement de troubles névropathiques divers (trac des chanteurs, mal de
j'estime qu'alors même que l'hypnotiseur aurait prévenu le sujet des troubles qui pourraient en résulter pour sa santé, il ne s
que l'emploi de ces moyens de coercition augmente la disposition des troubles mentaux à passer à l'état chronique. L'emploi d
te sainte Thérèse ne tarda pas à faire se révéler tout un ensemble de troubles hystériques jusqu'alors latents. Au premier ran
raissaient plus toucher à terre ». Charcot a signalé, au nombre des troubles psychiques de la grande hystérie, l'hallucination
'hemianesthésic. La malade a présenté seulement de temps en temps des troubles dyspeptiques. Intelligence peu développée. Cett
es idées: contractures, paralysies, anesthésies, etc., dépendant d'un trouble d'idéation. En guérissant ce trouble, on supprima
nesthésies, etc., dépendant d'un trouble d'idéation. En guérissant ce trouble , on supprimait l'état organique-Dans ces deux obs
uggestion curative. Elle doit aussi être reprise pour expliquer les troubles hystériques qui, jusqu'à présent, ont été regardé
rement idéaux. P. Janet a montré que l'ancsthésie hystérique était un trouble central d'idéation : (1) Voir Société d'hypnolo
est souvent ainsi. Mais en certains cas elle pourrait être due à des troubles périphériques vaso-moteurs Le membre anesthésié e
ont été rapportés (2). Tous ces faits ont la même cause : œdème par trouble vaso-moteur. 11. n'est pas étonnant que le même t
mais bien celle de malades. La presque totalité présente en effet des troubles psychopalhiqucs, très caractérisés se rattachant
nces au tempéramentdu sujet sans s'exposer à occasionner chez lui des troubles pathologiques. Les expériences se font au grand j
es compositeurs les plus célèbres. Mais, depuis plusieurs années, les troubles des mouvements, résultat de la maladie pour laque
ond. Par des suggestions analogues, après avoir guéri ce malade des troubles moteurs qui faisaient le fond de sa maladie, je l
stances employer utilement chez elle la méthode suggestive contre des troubles fonctionnels et surtout contre les tendances au d
tel point que le 1er mars la malade sort tout à fait guérie ». Les troubles du langage qu'on peut observer chez les hystériqu
ontractions volontaires des muscles vocaux sont seules troublées: ces troubles sont liés à l'existence de paralysies, d'ordinair
lades et apporta des observations de kleptomanie, de mensonge, de troubles du caractère, d'onanisme irrésistible, d'onychoph
us les moyens habituels dont dispose la pédagogie ont échoué. » i Troubles du caractère, mouvements impulsifs. — La suggesti
précédentes, inhibitrices, concernant les mouvements impulsifs et les troubles du caractère, je lui répétai, au point de vue dyn
nous sommes appelés à constater, le plus souvent l'animal atteint de troubles aussi graves que ceux provoqués par un état hysté
on parle d'épilepsie et surtout de rage. En effet, tout ce qui est trouble nerveux, particulièrement chez le chien et le cha
ente une crise qui se répète pendant quelques mois. Voici un cas de troubles hystériques provoqués par la peur et relatés par
udiés par le vétérinaire lluet et dans ses relations, on y relève des troubles hystériques indéniables. Influence des maladies
hennissement, des affections laryngiennes avec cornage, des tics, des troubles cérébraux, qui font naitre le vice rédbibitoirc i
e chiens ayant présenté sous l'impression de causes d'ordre moral des troubles nerveux très accentués. Un de ces animaux, qui
chienne de deux ans et demi très intelligente et très caressante. Les troubles qu'elle présenta furent d'abord, de la dysphagie,
, jusqu'alors endormi, ne se réveilla que très incomplètement, et des troubles paralytiques multiples se manifestèrent : dysphag
ut séparé de sa compagne. M. Aruch, se fondant sur la nature de ces troubles sur leur marche et sur l'absence de lésions visib
tres nerveux, capables de les expliquer, propose de les assimiler aux troubles hystériques observés dans l'espèce humain. Ce son
ériques observés dans l'espèce humain. Ce sont dans tous les cas, des troubles d'origine manifestement psychique. J'ai parlé t
ment en revue tout au moins les principaux agents provocateurs de ces troubles psychiques chez les animaux; je n'ai point entend
sont suspendues depuis deux mois. Cette femme a toujours souffert de troubles hystériques qui se sont aggravés à propos de son
fet son mari de l'avoir contagionnée et elle devint très jalouse. Ses troubles principaux étaient : idée de suicide, délire vagu
ne pratique cette opération; les femmes y recourent pour le moindre trouble utérin. Le cautérisateur, bien que sans diplôme
ilis cérébro-spinale, etc. Il ne faut donc pas se fier uniquement aux troubles de la sensibilité pour faire des diagnostics diff
moral, la rassurer, la calmer, attirer souvent son attention sur ses troubles de sensibilité, en somme la tonifier et la sugges
objecte que l'idée ne devient obsédante que grâce à l'existence d'un trouble préalable ; les obsédés sont des malades avantd'a
que ou émotive (Lange, W. James, Ribot, etc.) exagère l'influence des troubles vaso-moteurs et de l'expression émotive, au détri
que le rôle essentiel, dans la genèse de l'obsession, appartient aux troubles de la volonté. Si l'on étudie l'état des obsédés,
est, à cet égard, très instructive chez les obsédés. On retrouve ces troubles moteurs dans la folie du doute, type des obsessio
est un phénomène très complexe, dont la condition fondamentale est un trouble primitif et généralisé, affectant les éléments mo
lligence; (1) Congrès des aliéaistes et neurologistes, 1901. ce trouble est une aboulie permanente qui préexiste aux obse
véritable aboulie qui existait le plus souvent avant l'apparition des troubles moteurs, mais qui s'est accentuée avec leur dével
ue du pouvoir modérateur. En effet, ils sont enclins à la colère, aux troubles du caractère et à toutes les impulsions. Leur man
point, la suggestion devra être utilisée également pour combattre les troubles de la sensibilité morale, de l'intelligence et de
ersuadé de l'authenticité des faits rêvés, en impose souvent pour des troubles de retentissement de l'utérus gravide. La métri
usion de grossesse de la ménopause peut encore être accentuée par les troubles nerveux ou autres qui marquent cette crise de la
nt, l'effet sera supprimé. Cettecause est double : c'est, d'abord, un trouble de sensibilité de la région stomacale et, en outr
rd, un trouble de sensibilité de la région stomacale et, en outre, un trouble de la nutrition d'où il résulte que votre organis
est encombré de toxines et de produits de fermentations anormales. Le trouble de la sensibilité est justiciable de l'électricit
ceux-ci fonctionnent les uns en dehors des autres ; delà naissent des troubles de la personnalité et des manifestations de la gr
e, soit par la suggestion, soit par des massages on aura supprimé les troubles de la sensibilité et décontracturé les muscles. C
ve n'est plus seulement un symptôme, mais souvent le facteur même des troubles qui peuvent le produire. Le rêve des épileptiques
rdentà appeler hystériques, les analyser et les rapprocher des divers troubles nerveux que l'on est unanime à séparer de l'hysté
es. Quels en sont les attributs communs ? On peut dire que ces divers troubles sont purement fonctionnels, mentaux, qu'ils sont
es commotions morales peuvent exercer une influence sur la genèse des troubles mentaux indépendants de l'hystérie, elles sont mê
aître chez les diabétiques des accidents nerveux et de déterminer des troubles circulatoires graves chez les sujets atteints de
des malades ; la neurasthénie peut durer des années sans amener aucun trouble de la nutrition; il en est de même de la mala
estion. Déclarer à un malade atteint d'une paralysie psychique que ce trouble est purement imaginaire, qu'il peut disparaître i
tion est rigoureusement exacte et il est impossible de distinguer les troubles hystériques de ceux qui sont créés par la suggest
e se réaliseront pas et animé d'un ardent désir de se débarasser d'un trouble qui rend sa vie intolérable ; admettons de plus q
hystérie. Je crois qu'il est légitime d'appe-lerencorehystériques des troubles qui, sansprésenter les caractères des accidents p
de ces accidents et lui sont subordonnés ; mais il faut ajouter à ces troubles l'épithete de secondaires. L'atrophie musculaire
sont là les caractères dont la réunion peut servir à définir les troubles secondaires ; c'est parce qu'ils sont intimement
e de s'aulo-suggestionner. Elle se manifeste principalement par des troubles primitifs et accessoirement par quelques troubles
ncipalement par des troubles primitifs et accessoirement par quelques troubles secondaires. Ce qui caractérise les troubles pr
soirement par quelques troubles secondaires. Ce qui caractérise les troubles primitifs, c'est quHl est possible de les reprodu
sous ï'influence exclusive de la persuasion. Ce qui caractérise les troubles secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subord
troubles secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subordonnés à des troubles primitifs ('). Comme on vient de le voir, j'ai
par conséquent, la définissent par une analyse comparative des divers troubles sur la nature desquels il n'y a plus de discussio
ystérie, les autres en dehors de ce cadre. Pour ce qui concerne les troubles qui sont l'objet de discussions, j'estime qu'il y
otisme. Ce qui distingue ces deux états c'est que dans le premier les troubles sont le résultat de rautosuggestion.qu'ilssontdus
oplégie. Je demande qu'on procède de la même manière en présence d'un trouble encore non classé qu'on veut faire entrer dans le
ts hystériques secondaires suffit pour connaître les conditions qu'un trouble doit remplir afin d'être admis dans ce groupe. Je
entendu, il est nécessaire que la relation de cause à effet entre les troubles en question et une manifestation hystérique primi
st-il pas essentiel, en effet, de réunir dans un même groupe tous les troubles sur lesquels la persuasion peut avoir une pareill
e le plus au point de vue du traitement de savoir reconnaître, car un trouble hystérique peut guérir rapidement, instantanément
est, comme je l'ai déjà dit, légitime et même utile de faire avec les troubles présentant les caractères sur lesquels je viens d
rrait, en se servant d'un néologisme, leur donner la dénomination de* troubles pithiatiques ('), qui exprimerait au moins l'un d
nt avec la tradition. Mais si l'on continue à appeler hystériques ces troubles dont la, propriété essentielle est leur dépendanc
ourrait fort bien désigner l'état psyclnr[uc qui se manifeste par des troubles guérissables par la persuasion et remplacerait av
. L'enfant est restée dix jours à l'hôpital, ne présentant plus aucun trouble nerveux, aucun symptôme du côté de l'abdomen » ('
et la tolérance stomacale rétablie, je me suis attaché à traiter les troubles gastro-intestinaux (antifermentescibles, antiputr
seulement le bromurer mais le raisonner, le rassurer et combattre les troubles psychopathi-ques par un traitement moral. II
es. Les réflexes tendineux et osseux sont normaux. Mais il existe des troubles de la sensibilité. A gauche, on constate une anes
fonctionnel. II faut savoir a que nombre de maladies débutent par un trouble fonctionnel quel-« quefois général, souvent local
ette thérapeutique n'est pas hasardeuse. Son but est de modifier » le trouble fonctionnel en agissant directement ou indirectem
rganes. Il a fait de la symptomatologie l'expression extériorisée des troubles que la lésion apportait dans les organes ; la thé
des échanges organiques qui permet de reconnaître l'existence de troubles encore latents de la fonction, de diagnostiquer l
it au fronton de son édifice cette loi pleine d'espérance: « C'est le trouble de la fonction qui crée la lésion de l'organe. »
ardiment le mot, la thérapeutique vitale qui peut, suivant le sens du trouble fonctionnel, l'exalter, le modérer ou le régulari
ar vos méthodes d'enseignement pédagogique l'aptitude des centres aux troubles de leur fonctionnement, vous faites de la thérape
jeu avec une intensité telle qu'elle paralyse la raison, et jette le trouble non seulement dans notre vie psychique, mais jusq
s d'hyperesthésie. Il ne faut donc pas s'en laisser imposer par les troubles trophiques et l'atrophie musc.ulaire. Ce n'est ic
ci et, par conséquent, ne pas l'attaquer directement, mais traiter le trouble fonctionnel dont elle n'est fréquemment que la co
is pendant des années ; nous citerons parmi les plus fréquents : a) Troubles de la moiilité; paralysies des membres, paralysie
cibles, hoquet, toux convulsive, rire convulsif, spasmes, etc. ; b) Troubles de la sensibilité ; névralgies (faciale, stomacal
rosternale, sensation de boule et constriction à la gorge, etc. ; c) Troubles secrétaires; ptyalisme, sécheresse de la bouche e
nsipide, diarrhée émotionnelle habituelle, constipations, etc. ; d) Troubles psychiques ; insomnie persistante, affaiblissemen
générale, hallucinations visuelles ou auditives, etc. ; .e) Autres troubles ; inappétence, boulimie, tendances synco-pales, o
co-pales, onychophagie, onanisme, morphinomanic, dipsomanie, certains troubles trophiques de la peau, etc. ('). 3. Beaucoup de
rticulièrement légitime]d'admettro que, dans l'hystéro-épilepsic, les troubles sensitifs suivent une marche parallèle à celle de
e dans tous ses modes. Nos tentatives ont toujours échoué lorsque les troubles dont il s'agit avaient disparu d'une façon complè
e qui a eu, jadis, de nombreuses crises convulsives et la plupart des troubles de la grande névrose. Les crises convulsives ont
rd plus jamais connaissance, mais elle présente, de loin en loin, des troubles cutanés périphériques, à la fois sensitifs et vas
ée ; il en guérit assez vite, reprend son métier et ne présente aucun trouble notable apparent. II y a quelques mois, il rentre
estfautif à tous égards. Il s'agit bien, en l'espèce, simplement, de troubles relevant de la grande névrose, c'est-à-dire de l'
il devient sale, présente des pertes de mémoire, du tremblement, des troubles du côté des yeux, des hémorrhagies rétiniennes. O
nt donc être pris pour des paralytiques généraux ; ils présentent des troubles de l'automatisme cérébral; ils peuvent dédoubler
énué, et cette abolition du pouvoir de contrôle donne libre cours aux troubles fonctionnels en imminence. En un mot, ces phéno
suggestibilité du sujet, sur son émoli-vité, sur ses dispositions aux troubles hystériques. Leur apparition lui indique l'entrée
e la veille au sommeil se fait par une transition calme et sans aucun trouble . Mais cette personne a présenté, pendant les pr
S Hëmisomnambulisme hystérique. - Douleurs oculaires résultant d'un trouble mental pur (M. Par M. le Professeur Raymond.
s d'aboulie sur un terrain nerveux, c'est de la psychaslhénie, un pur trouble mental; c'est une question de transformation de l
al se désintéresse de ces questions pourtant très sérieuses. Bien des troubles maladifs imputables à certaines modifications du
, dont le système nerveux présente un manque d'équilibre résultant de troubles de l'organisme (menstruation, intoxications). Dan
le X..., seize ans, bonne santé antérieure. Présente depuis un an des troubles du début menstruel; n'a pas vu RECUEIL DE FAITS
atorze mois un fils unique âgé de sept ans. Le chagrin a entraîné des troubles profonds. Depuis six mois, suppression menstruell
nsolée dans la mesure du possible. Remarque. — Sous l'influence des troubles nerveux, alors que les ovaires sont troublés dans
Sur cet ensemble se greffent des accidents nerveux (boule). Tous ces troubles ont été causés par chagrins d'amour, rupture de m
ndue, elle revêt l'allure d^un véritable choc moral. Il en résulte un trouble profond qui se manifeste essentiellement par l'ap
de véritables états d'anxiété : quand il est interrogé par lui, il se trouble , il tremble, il balbutie. Il s'est aperçu que le
sans but déterminé; la rumination mentale et l'angoisse font appel au trouble moteur automatique. Les tics qui apparaissent d
Réglée à 13 ans, mais très irrégulièrement depuis, elle a eu quelques troubles digestifs et de l'anorexie. A 19 ans, elle devi
tention chez l'enfant. Dr Paul TESDOnPF [de Munich) : Corrélation des troubles somatiques et psychiques de l'hystérie. M. Lépi
chez un chien (Un cas de), p. 31. Douleurs oculaires résultant d'un trouble mental pur, par Raymond, p. 343. Eclampsie (Sug
usibilité dans l'hystérie (Importance de la constatation exacte des troubles de), par Paul Joire, p. 14. Sitophobio obstinée
86 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
chef de clinique, pu- blié déjà un travail sur la superposition des troubles de la sensibilité et les spasmes de la face et
paralysie faciale 'Gilles de la Tourette. - De la superposition des troubles de la sensi- hUilé el des spasmes de la face et
l porte encore une profonde cicatrice, sans qu'il s'en suivit aucun trouble nerveux durable. 1 L'absinthe c'est « la Musc a
dominent aujourd'hui. Ces idées délirantes sont entretenues par des troubles hallucinatoires très intenses, ' Ce sont d'abor
ptômes que nous allons examiner et dont les plus saillants sont les troubles de la sensibilité générale et les troubles psyc
plus saillants sont les troubles de la sensibilité générale et les troubles psycho-moteurs. Elle n'est plus la même, son te
, dans la production du dédoublement de la personnalité, à tous les troubles de la volonté, phénomènes d'inhibition ou impul
e) est un exemple de cette catégorie ; car elle renferme, à côté de troubles senso- riels effacés, un élément moteur prédomi
ler l'intervention des centres moteurs du langage, provoquée par un trouble fonc- tionnel de ces centres, analogue à celui
1° L'hallucination psychique de il. Baillarger est avant tout un trouble fonctionnel des centres moteurs de la fonction du
s avons pu assister au début, à l'évolution et à la disparition des troubles moteurs et sensitifs : par ses symptômes les pl
être signalées : nous voulons parler de la répartition anormale des troubles sensi- tifs, de la variation brusque des limite
e des limites des territoires anesthé- siés, de la dissociation des troubles diverses sensibilités, de l'existence de troubl
dissociation des troubles diverses sensibilités, de l'existence de troubles vaso-moteurs, de la disparition de l'excitabili
tion, dans ce cerveau évidemment t prédisposé, de l'hystérie et des troubles de la motilité. Le 2G août, comme elle traversa
ses, la malade revient rapide- ment et entièrement à elle. Point de troubles de la motilIté. Le 29, D... est transférée à Sa
gnorées. (Voir ftg. 1.) Réflexes rotuliens : légèrement exagérés. Troubles vaso-moteurs : cyanose et abaissement de la tempé
és aux articulations des doigts des poignets ne sont pas sentis'. Troubles vaso-motetcrs. Les mains, les poignets sont cyano
à l'action d'un courant électrique. Telle était la répartition des troubles sensitifs et moteurs le premier jour de l'exame
sibilité reparaît à la partie supérieure du dos. Dis- sociation des troubles de la sensibilité aux membres supérieurs : l'in-
c le bleu (fig. 4). 19 . Sensibilité. - Nuuvelle délimitation des troubles sen- sitifs dissociés (fig. 5) ; les doigts son
membre supérieur, il peut, au point de vue de la dissociation des troubles de la sensibilité, être divisé en quatre segments
ut sans laisser de traces. En mars, nous avons revu la malade : des troubles moteurs et 10. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE ME
pour quelque temps, en manière de transition, des équivalents des troubles sensoriels et convulsifs qui avaient si bruyam-
ions publiées, on n'assiste pas à une méta- morphose incessante des troubles de la sensibilité. Dans notre cas, l'anesthésie
t au contraire plusieurs mois sans variation, et cette fixité des troubles sensitifs est en rapport avec l'intensité et la d
troubles sensitifs est en rapport avec l'intensité et la durée des troubles moteurs qui y sont beaucoup plus accusés. Aux mem
urs qui y sont beaucoup plus accusés. Aux mem- bres supérieurs, les troubles sensitifs ne tardent pas à rétrocé- der. Mais l
ses modes : tempéra- ture, contact, douleur. 3" Dissocialion des troubles de la sensibilité. Les doigts récupèrent les pr
rieur se divise ainsi en quatre segments ; pour chacun desquels les troubles de la sensibilité se traduisent par une formule
de l'hémianesthésie pendant qu'il se rétrécit du côté anesthésié. Troubles trophiques et vaSO-1notew's. Des recherches ré-
aSO-1notew's. Des recherches ré- centes ont démontré l'existence de troubles trophiques dans l'hystérie : on s'était basé, i
sement de la température cutanée, une abolition des réflexes, des troubles de lacontractilité électrique, tous signes qui ma
inaison le plus souvent mortelle; l'autre, la maladie de Bergeron', trouble fonctionnel sans gravité, consistant d'après M.
e émotive des membres supérieurs. Quelle est donc la cause de ces troubles moteurs si généra- lisés ? On connaît le mécani
à la suite d'une attaque de rhumalisme que se seraient produits les troubles moteurs qui ont déterminé le transport de cette
s plusieurs mois, elle éprouve, à in- tervalles réguliers, certains troubles locaux et généraux qui font présager la prochai
e l'opinion émise par Charcot et Blocq, que l'astasie-abasie est un trouble de nature hystérique. Quant au pronostic, il no
', les phénomènes épileptoïdes seront représentés seulement par des troubles de la motilité (épilepsie jackso- nienne exclus
ite. Dans le second cas, ces phénomènes seront caractérisés par des troubles de la sensibilité générale et spé- ciale et de
ion qui est le fondement et la condition de l'intelligence ». Les troubles de la sensibilité générale et spéciale ne sont
dant et après l'accès, ne laissent guère de doute sur la nature des troubles vaso-moteurs de l'écorce qui déterminent ou acc
out, la nature de l'aura qui précède l'accès, consistant souvent en troubles de la sensibilité cutanée et mus- culaire, impl
de la colonne ; il tendrait à les considérer comme secondaires, par troubles tro- phiques des os. P. K. V. UNE MÉTHODE sim
femme de quarante-cinq ans. P. K. VII. CONTRIBUTION casuistique aux TROUBLES TROPHIQUES SECRÉTOIRES DE la peau dans la névri
us-jacents. Ces symptômes sont : des troubles-de coordination, -des troubles moteurs dans le domaine de l'oculomoteur commun
riels de la maladie, et ses équivalents paralytiques (y compris les troubles de la parole) nous ont particulièrement frappé.
ccord avec le diagnostic du rapporteur et ne trou- vent pas que les troubles des mouvements aient chez la malade le caractèr
mprendre sous le nom d'apraxie tous les cas dans lesquels existe un trouble de la faculté d'accomplir une action quelconque
is longtemps essayé d'expliquer la ma- nie et la mélancolie par des troubles de la circulation cérébrale. Seuls un ou deux c
pas pour les images verbales acoustiques. M.MENDEL. La genèse des troubles intellectuels par l'hyperémie ou l'anémie céréb
les glandes sudorales peuvent sécréter. J'ai signalé la genèse des troubles de la sensibilité affective par le développemen
photographie de ce qui se passe pendant la vie sous l'influence des troubles fonctionnels. lui-4 SOCIÉTÉS SAVANTES. Si le
autres territoires sensoriels. Il est donc juste de penser que des troubles de l'irrigation sanguine déterminent une excita
ues anciennes n'ayant rien à voir SOCIÉTÉS SAVANTES. 145 avec les troubles intellectuels; les autres sont maintenus au lit à
alitement forcé. Tantôt il s'agit de malades faibles présentant des troubles vaso-moteurs dans les extrémités inférieures. T
donner des résultats favorables dans les affections présentant des troubles locaux ayant pour cause une perturbation dans la
ns organiques et qui en réalité se trouvent sous la dépendance d'un trouble réflexe d'une fonction nerveuse. A côté de la p
la suggestion hyp- notique soit capable de guérir radicalement les troubles fonction- nels ? La neurasthénie est un trouble
r radicalement les troubles fonction- nels ? La neurasthénie est un trouble fonctionnel par excellence, mais elle est souve
d'obtenir l'hypnose. M. TOKARSKI a répondu que dans les cas où les troubles fonction- nels sont greffés sur un terrain de d
lepsie passagère par accès, les contractions, les vomissements, les troubles psychiques, la céphalalgie intermittente, la du
ge musculaire, le traumatisme y prédisposent ou l'occasionnent. Les troubles utérins et dyspeptiques en seraient d'après l'a
par suite de tourments ou fatigues, avec pâleur, langueur, anémie, troubles utérins, paresse, troubles sensitifs, intellect
fatigues, avec pâleur, langueur, anémie, troubles utérins, paresse, troubles sensitifs, intellectuels, aboulie; 2° la neu- r
e commune, avec symptômes mixtes, combinés, avec prédo- minance des troubles gastriques et intestinaux et les préoccupa- tio
ie par atonie gastro-iulesti- nale dont 2 formes : une bornée à des troubles fonctionnels, anorexie, ballonnement, éructatio
nnement, éructation, constipation, colites glaireuses, l'autre avec troubles généraux gravesouplusieursprécédents symp- tôme
es, l'agoraphobie et les autres états auxieux, l'hypo- condrie, les troubles divers de la sensibilité et des troubles du sens
ieux, l'hypo- condrie, les troubles divers de la sensibilité et des troubles du sens : 9° Les troubles génitaux et urinaires
troubles divers de la sensibilité et des troubles du sens : 9° Les troubles génitaux et urinaires. La neurasthénie cérébro-
aisem- blable. Au membre supérieur droit existent à la fois des troubles sensitifs et musculaires diversement répartis.
LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 167 C'est là, pour la syringomyélie, un trouble sensitif anormal, mais il faut compter avec les
l'avant-bras ? Ce n'est pas ainsi, en général, que se disposent les troubles de la sensibilité dans la syringomyélie; ils pr
. Il nous est facile d'expliquer aussi, dans cette hypothèse, les troubles observés aux membres inférieurs. Une es- quille
escendante, de là cette répartition si particulière des symptômes : troubles sensitifs localisés à la moitié gauche du corps
ène que j'ai observé dans plusieurs cas d'hémiparaplégie spinale, troubles moteurs et réflexes occupant surtout le membre
clair dans les choses qui nous occupent, au lieu de pêcher en eau trouble . Mais cette détermination d'un diagnostic ra- t
icale et elle a permis, un certain nombre de fois, d'apporter aux troubles médullaires d'origine mécanique un utile remède
our, on supprime le tout. Le malade (chose curieuse) n'accuse aucun trouble fonctionnel, aucune douleur, aucune limitation
que dans la scissure interhémisphérique; nous aurions autrement des troubles physiologiques graves à constater, et ils font
tende à devenir moins séreux et de meilleure consistance. - Aucun trouble dans la motilité, dans la sensibilité, ni les aut
on DES SIGNES ET conclusions. Il est facile de suivre pas à pas les troubles fonctionnels correspondant aux lésions cérébral
grande durée de ce travail pathologique, lent et progressif, aucun trouble physiologique n'a été remar- qué. L'absence de
morale ou physique, frappe le cerveau de commotion, y pro- duit des troubles circulatoires aussi réels, aussi intenses qu'un
ang dans les vaisseaux capil- laires ; de là des irrégularités, des troubles divers dans la cir- culation. Je n'en veux d'
encore prouver que les accès épileptiques sont occasionnés par des troubles de la circula- tion. Le médicament le moins i
; 4° Que les circonvolutions épileptiques ont été causées par des troubles de la surface cérébrale, probablement de nature
t près de dix mois à une pareille blessure, de ne remarquer aucun trouble physiologique consécutif à l'accident, ni pendant
jeune lieutenant de hussards qui pourrait écrire un volume sur ses troubles . Il avait trente ans, riche, beau et heureux, q
cine doit être absolu- ment proscrit chez les individus atteints de troubles cardiaques. En effet, dans le plus grand nombre
e a disparu avec l'accoutumance. En outre, l'auteur a observé des troubles digestifs, de l'inappétence, de la constipation.
roubles digestifs, de l'inappétence, de la constipation. Jamais ces troubles n'ont été durables. Dans plusieurs cas, l'action
souvent d'une parésie passagère d'un membre,, surtout, quand à ces troubles viennent s'ajouter de l'empâtement et de la gên
une action spéciale ; le délire très accusé s'accompagne à peine de troubles apparents de molilité. Contrairement à ce qui a
'alcoolisé paralytique est hal- luciné comme l'alcoolique, il a des troubles de la sensibilité générale, des fourmillements,
ut des symptômes de la paralysie générale, n'ont jamais présenté de troubles cérébraux; 5° L'intoxication alcoolique peut pr
e, permet de comprendre et de réunir dans un même ensemble tous les troubles cérébraux dus à l'alcoolisme depuis l'ivresse j
par l'alcool, aussi bien par les lésions ana- tomiques, que par les troubles de la sensibilité et de la molililé. Les essenc
ce sens, il s'appuie en outre sur la priorité presque constante des troubles de l'intel- ligence correspondant à la lésion d
il se trouve une accumulation de présomptions tirées, soit d'autres troubles mentaux intérieurs, soit de signes physiques ou
toxicité ne peut être rapportée qu'à un défaut d'élaboration et ce trouble de la nutrition explique peut- être certains sy
catrices au grand trochanter, fièvre typhoïde à l'âge de : 3 ans avec troubles nerveux, avec délire de convalescence (man- gea
aires : père suicidé, délire guéri assez rapidement. Dia- gnostic : troubles vésaniques à la suite de fièvre typhoïde. 2° ob
munique l'observation d'une femme de quarante-deux ans, atteinte de troubles trophiques, circulatoires et secrétaires, au co
ésions irritatives, d'un appareil sensoriel peuvent accompagner des troubles hallucinatoires. Mais il y a loin de là à la fo
t faire supposer que la folie sensorielle est sous la dépendance de troubles de la nutrition cérébrale ayant déterminé des a
notre malade ne se plaignait que des hallucinations de la vue. Les troubles auditifs, les illusions de la sensibilité génér
is fonctionnement de l'un d'entre eux entraîne iné- vitablement des troubles de tous les autres. M. RovER. Contribution à l'
eurs de lésions cardiaques en apparence composées, pré- sentent des troubles de circulation intra-oculaire. 2° Observations
idence DE M. BoUCHEREAU. M. ROUILLARD lit une note sur trois cas de troubles cérébraux consécutifs à la scarlatine. M. A.
s janvier 1888 d'une amblyopie de l'oeil droit, a été prise du même trouble de l'oeil gauche au mois d'août. A l'ophtalmosc
on constate une atro- phie des parties temporales de la papille. Le trouble de la vue s'est installé brutalement et intense
Affaiblissement et légerdegré d'ataxie des extrémités inférieures; troubles de la motilité rappelant l'hémi- chorée à gauch
n gommeuse des deux nerfs oculo- moteur et trijumeau droits et d'un trouble hétérotopique des nerfs intercostaux gauches.
iagnostiquée sûrement par un examen clinique bien fait, observé des troubles vésicaux. Dans six cas seulement, ceux-ci man-
tales d'un côté, avec hydrocépha- lie très marquée) ont trait à des troubles de la vue, survenus pen- dant le développement.
ez bonne pour que les lacunes du champ visuel n'expliquent point le trouble de la lecture. Elle a également perdu la mémoir
érale (immobilité SOCIÉTÉS SAVANTES. : 2ï et fixité des pupilles, troubles de la parole, exagération du phéno- mène du gen
; elle peut aussi atteindre les centres psychiques et provoquer des troubles intellectuels. Ceux-ci sont, comme l'a montré l
chopathies produites par toute autre affection fébrile aiguë. Les troubles psychiques se produisent pendant le stade fébrile
ons pas vu non plus de cas de démence aiguë. M. FtscHER signale des troubles vaso-moteurs consécutifs à l'in- fluenza. M.
s non leur dé- monstration expérimentale, discutant la validité des troubles net- tement paralytiques chez les animaux obser
iques chez les animaux observés, et reconnaissant cependant que les troubles de la sensibilité et de la motilité géné- rale
lyse des travaux de Goltz et de ses élèves Loeb et Schrader sur les troubles de la sensibilité générale et sur les troubles
et Schrader sur les troubles de la sensibilité générale et sur les troubles visuels; dans la partie con- sacrée à l'intelli
inférieur. La destruction de ce centre des centres entrainerait des troubles de tous les sens, de la sensibilité générale et
ans une période active, on ne peut ranger cette affection parmi les troubles de la dentition. Les traumatismes de la tète,
du système nerveux; Dr Sioli : sur un cas de cécité corticale avec troubles du toucher; Dr Zichen : paranoïa ; Dr Fries : é
tés, avaient été victimes d'indispositions plus ou moins graves, de troubles ner- veux passagers, etc. Afin de couper court
tadt, près Christiania, accusaient la bois- son comme cause de leur trouble mental, ce nombre est graduel- lement tombé jus
ERVEUSE. l'urine de certains tabétiques. Dans le premier cas, les troubles nerveux ont été mis sur le compte du dia- bète
des réflexes rotuliens jointe, chez un diabétique, à l'existence de troubles de la sensibilité tels, par exemple, que les do
ycosurie symptomatique du tabes et que d'autre part l'apparition de troubles nerveux, au cours d'un diabète avéré, veuille t
troisième enfin avait un père aliéné. « La fré- quence, dit-il, des troubles intellectuels et cérébraux trouve son explicati
e véritables douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs et de troubles vésicaux (incontinence d'urine). Au moment où n
ATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 323 dies générales, à tant de troubles permanents de la nutrition. Le système nerveux
Si les métamorphoses de la ma- tière peuvent être ralenties par un trouble nerveux, elles le sont également par une dispos
duction du diabète '. » Comme dans le diabète, il y a dans le tabès trouble nutritif. Dans ces dernières années, MM. Livon
réagir vis-à-vis le monde extérieur; elle suppose nécessairement un trouble profond, radical, de la sensibilité générale ou
oitié gauche de la face, après une hémiplégie gauche associée à des troubles psychiques passagers. En même temps, l'oeil gau
des fibres trophiques du nerf trijumeau; pour les autres, vu les troubles vaso-moteurs dont maintes fois elle est accompagn
e, de maux de tête, de congestion cérébrale, de vertige, parfois de troubles visuels. A l'âge de dix-sept ans, la mère et pu
tous les modes de sensibilité fit reconnaître l'absence absolue de troubles . Tous les sens fonctionnent d'une manière norma
sus-orbitaire. Dans d'autres observations, il y a non seulement des troubles trophiques, mais aussi de sensibilité. Ainsi, R
ire est aboli dans la région de l'anesthésie superficielle ; 4° a). Troubles trophiques : Amaigrissement du membre, différen
lésions intéressaient le plexus cervical, on aurait à constater des troubles du mouvement et de la sensibilité dans des régi
s quelques mois. Il a souvent de la céphalalgie bitem- porale, avec troubles de la vue. Les douleurs sont intermittentes. El
l n'est pas possible de les contrôler. L'hystérie a été précédée de troubles moraux et d'excès ou de misère relative. Le mal
es fonctions du coeur et sur la res- piration ; il ne produit aucun trouble gastrique ni intestinal. Son action hypnotique
2 grammes, et environ une demi-heure après son administration, des troubles dans la coordination des mouvements du train po
mais, même après un usage prolongé du médicament, il n'a observé de troubles digestifs, respiratoires ou circulatoires. Kram
dullaires. Au point de vue clinique, ce pigeon ne présentait pas de troubles de la motilité ni de la sensibilité; il voyait
altérations de ses cellules paraissent avoir une grande valeur. Les troubles du ganglion spinal ont été vus dans un cas d'he
te que ces pseudo-lipomes symétriques constituent chez ce malade un trouble trophique survenu à titre de symptôme épi- sodi
aide l'hypnotisme qui semble debarrasser le malade ou la malade de troubles organiques, en faisant intervenir l'action de c
t suivis de para- lysies flasques des extrémités en question. Aucun trouble de coor- dination. L'hémisphère cérébelleux gau
rasthéniques. Sans doute les neurasthéniques présentent parfois des troubles subjectifs qui rappellent ceux du tabes, mais l
M : MITTENzwEIG. Ce cas n'a pas trait à une psychose; ce sont des troubles élémentaires (hallucinations et illusions). M.
éphémères voluptés » que les « supplices durables » et surtout les troubles physiques de la morphinomanie, de sorte que je
; -Ephémère volupté et supplices durables; - Désordres physiques et troubles de l'intelligence; - Médecine légale ; Traiteme
31. Mélancolie, guérie par un érysipèle, par Sczypiorski, 231 ; - troubles trophiques et sécrétoires dans la , par Saury
l, 283; - structure des - périphériques, par Epoff, 147. Névrite, troubles trophiques de la peau dans la -, par Erlenmeyer
Ruban de Reil, histologie du -, par Rossolimo, 129. Scarlatine, troubles cérébraux con- sécutifs à la -, par Rouillard,
87 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
tées à la région paracentrale. Mais il y a le plus souvent absence de troubles permanents de la sensibilité, tels que anes-thési
e à un faible degré ; aussi, Messieurs, lorsque vous rencontrerez des troubles de la sensibilité très prononcés, méfiez-vous, c'
aracentral, déduire, jusqu'à un certain point, quelle sera, quant aux troubles moteurs, la symptomatologie observée dans les div
nous savons que lésion destructive veut dire monoplégie crurale, sans troubles bien appréciables de la sensibilité, à moins qu'i
pendant, à la longue, si la lésion, au lieu de se borner à de simples troubles de la circulation, à une anémie de la substance c
aire. Nous notions également l'absence d'exagération des réflexes, de troubles trophiques, vaso-moteurs et de troubles objectifs
'exagération des réflexes, de troubles trophiques, vaso-moteurs et de troubles objectifs de la sensibilité : le malade n'accusai
erçues nettement et pour ce qu'elles étaient réellement, à moins d'un trouble morbide quelconque tel que la dyschromatopsie, l'
les sujets, en dehors de leurs accès nocturnes, ne souffrent d'aucun trouble de la santé (1). (1) Voir plus loin, nos XXVIII
nt du petit mal ; c'est le petit automatisme de M. Charcot. Tantôt le trouble dont il s'agit ne dure que quelques instants, et
t au fait que, chez les somnambules naturels, il n'existe aucun autre trouble de la santé, cela n'est rien moins que démontré.
a base du cœur. Pas do paralysie, pas d'atrophie musculaire. Pas de troubles trophiques ou vaso-moteurs. Les réflexes rotulien
convalescence, il était un peu sourd, avait les jambes enflées et des troubles assez accentués de la mémoire. Au boutde deux moi
lus tard éclatèrent les premiers accidents nerveux. Le début de ces troubles eut lieu sans cause connue. Un soir, chez lui, ap
lques malaises gastriques : inappétence, vomissements et une sorte de trouble de la mémoire, qui durèrent quatre ou cinq jours.
issons, sensations de chaud et de froid. A cela s'ajoute une sorte de trouble de la mémoire, il ne se rappelle plus rien, oubli
i il dictait ses dépêches et ses articles. Pour nous rendre compte du trouble que ce tremblement, déjà bien atténué cependant à
utre présent. M. Ribot, dans son très intéressant livre, classe les troubles de la personnalité de la manière suivante : Dans
ts comprend ceux où il existe une substitution de la personnalité. Ce trouble est plus superficiel ; le type le plus caractéris
de M. le Pr Charcot pendant des années, sans qu'on se soit aperçu du trouble psychique dont elle était atteinte. On avait rema
le dédoublement de la personnalité, tel que nous l'entendons ici, le trouble de la mémoire peut varier suivant les cas. Tantôt
reproduit dans tous les livres ou travaux traitant de la question des troubles ou maladies de la personnalité. Il est en effet b
s. Son caractère est irritable, son langage grossier. Il souffre d'un trouble de la prononciation qui le rend presque inintelli
ire dans différents travaux (2) a pu enfin constater la cessation des troubles qu'il avait si minutieusement étudiés (3). Ce cas
rmal qui l'a remplacée doit être creusé de lacunes énormes, causes de trouble profond et continuel dans cette existence « sembl
une fdle d'apparence normale est cependant malade ; elle présente des troubles qui méritent d'attirer l'attention, et dont la pr
dresse à la mémoire, on s'aperçoit tout de suite qu'il existe là un trouble considérable, qui fait véritablement de la person
es détraquées qu'elles devinrent indociles, insupportables, semant le trouble dans toute la salle. L'une d'elles, moins rusée
cet état et empêche dès l'abord toute confusion avec l'autre, est un trouble particulier de la motilité. La malade ne peut pas
ent d'une sorte d'astasie-abasie. Peut-être en partie à cause de ce trouble de la marche qui la gêne grandement, Marguerite a
essant de les rapprocher du nôtre en raisoa de cette dissociation de3 troubles de la motilité dans l'un et l'autre état. ne lu
i caractérisaient son état et nous l'avaient fait ainsi dénommer, les troubles de la mémoire, si importants cependant dans l'esp
t spontanément à la suite d'une attaque, elle éprouve tout d'abord un trouble assez violent. « Où suis-je ? dit-elle ; qui m'a
s faible de ce côté (Voir Fig. 8!. Il n'existe, d'autre part, aucun trouble de la motilité qui distingue cet état du précéden
c des Américains. La modification, si nettement caractérisée par ce trouble de la mémoire, porte également, dans l'état A, su
diminution de marchandise et de cette augmentation de fonds. De là un trouble énorme apporté dans la vie de tous les jours des
vigilambules à oscillations plus ou moins périodiques d'états A et B, trouble qui n'existe point du fait des périodes somnambul
hénomènes dynamiques irrémédiablement destructifs, mais uniquement de troubles organiques transitoires. Cette opinion sera suffi
ation dans l'état de santé, aucun changement dans le caractère, aucun trouble intellectuel. Vous savez cependant que tous les s
Nous voici enfin à l'événement du 28 août. Il était (1) Azam. — Les troubles intellectuels provoqués par les traumatismes céré
a voisine qu'elle venait de quitter n'avait remarqué aucune espèce de trouble intellectuel ; elle la revoit un quart d'heure ap
isait autrefois, elle les garde 24 heures ; 3° Il reste beaucoup de troubles de l'attention, du jugement, de l'ntelligence, mo
u sucre dans l'urine de certains tabétiques. Dans le premier cas, les troubles nerveux ont été mis sur le compte du diabète sous
te des réflexes rotuliensjointe, chez un diabétique, à l'existence de troubles de la sensibilité tels, par exemple, que les doul
Nervenkeilk, 1886, a° 18, p. 545.) que d'autre part l'apparition de troubles nerveux, au cours d'un diabète avéré, veuille tou
pense-, t-il , admettre une relation causale entre les deux ordres de troubles . Dans le cas contraire, il s'agirait de coexisten
mental de certains diabétiques (Gaz. des Hôp., 1877, p. 1177), et Les troubles intellectuels des diabétiques. (Gaz. des Hôp., 18
tellectuels des diabétiques. (Gaz. des Hôp., 1884.) (2) Lecorché. — Troubles nerveux dans le diabète chez la femme. (Archiv, d
La troisième enfin avait un père aliéné. « La fréquence, dit-il, des troubles intellectuels et cérébraux trouve son explication
La raison de ces liens de parenté consiste vraisemblablement dans un trouble de la nutrition, trouble commun aux manifestation
e parenté consiste vraisemblablement dans un trouble de la nutrition, trouble commun aux manifestations arthritiques et aux man
ue celle qui prédispose à tant d'autres maladies générales, à tant de troubles permanents de la nutrition. Le système nerveux es
e... Si les métamorphoses de la matière peuvent être ralenties par un trouble nerveux, elles le sont également par une disposit
production du diabète » Comme dans le diabète, il y a dans le tabès trouble nutritif. Dans ces dernières années, MM. Livon et
u sucre. Il venait consulter pour des douleurs névralgiques, pour des troubles oculaires, avec une ordonnance des Quinze-Vingts,
e tenir soit à la fracture ancienne vicieusement consolidée, soit aux troubles de la vue. Les troubles de la sensibilité sont
ancienne vicieusement consolidée, soit aux troubles de la vue. Les troubles de la sensibilité sont multiples. Le malade se pl
ôt vigoureux d'aspect. L'appétit est exagéré, la soif augmentée, sans troubles stomacaux ou intestinaux. Il porte au niveau de l
trouvé paralysé du côlé gauche, sans participation de la face et sans troubles de la sensibilité. Il s'agit d'une monoplégie cru
r présence, que nous voulons établir l'existence du tabès vrai. Les troubles vésicaux plaident bien pour l'ataxie locomotrice
suffisamment caractéristiques et on pourrait objecter que de pareils troubles urinaires ont été observés dans le diabète. Par c
troubles urinaires ont été observés dans le diabète. Par contre, les troubles oculaires nous semblent lever ici toute espèce de
les diabétiques. Non pas qu'on ne rencontre point dans le diabète des troubles et des lésions oculaires ; mais combien différent
la paralysie de l'accommodation et des muscles extrinsèques ; 3° les troubles hémorrhagiques du corps vitré; 4° des rétinites e
En résumé, si quelques accidents nerveux : perte du réflexe rolalien, troubles de la sensibilité, frigidité génitale, troubles v
du réflexe rolalien, troubles de la sensibilité, frigidité génitale, troubles vésicaux même ne peuvent être équi-tablement part
peuvent à la rigueur dépendre du diabète aussi bien que du tabes, les troubles oculaires relèvent incontestablement de l'ataxie
rche avec une canne. C'est à la même époque que se sont montrés les troubles uri-naires caractérisés par une paresse vésicale.
ousser fortement, de se tirailler la verge et de pisser accroupi. Ces troubles n'ont pas cessé depuis lors ; s'il veut résister
uelques gouttes dans son pantalon. Depuis une dizaine d'années, les troubles moteurs se sont notablement accrus ; fréquemment
urique, le tout par litre, sans aucune trace d'albumine. L'urine est trouble , acide, d'une densité normale, et laisse déposer
, sans contractions fibrillaires, sans atrophie appréciable. Pas de troubles de la sensibilité autre que des engourdissements
ossible dans l'obscurité. Le cœur est normal. Le pouls a 76. Pas de troubles digestifs. Troubles urinaires déjà signalés. Rien
rité. Le cœur est normal. Le pouls a 76. Pas de troubles digestifs. Troubles urinaires déjà signalés. Rien au foie ni dans les
huit ans plus tard, est survenue une incoordination motrice, avec des troubles urinaires bien spéciaux. Ce n'est que vingt ans a
llaire, le signe d'Argyll, les signes de Romberg et de West-phal, les troubles urinaires. Notre malade est en outre un véritable
négalité pupillaire, le signe de Robertson, la démarche ataxique, les troubles vésicaux, qui ne peuvent être mis sur le compte d
Nous-nous sommes déjà expliqués sur la plupart d'entre eux. Quant aux troubles moteurs, nous ferons remarquer en passant, qu'il
oint de certains signes habituels, concomitants : fréquence du pouls, troubles sensitifs dans le domaine du trijumeau, etc., qui
violentes, maintenant plus fréquentes, mais beaucoup moins sévères. Troubles vésicaux, rétention d'urine ; ne peut uriner qu'à
ais ce fait est assez difficile à préciser à cause de la présence des troubles vésicaux tabétiques qui existaient déjà à cette é
891). — Homme d'aspect assez robuste, d'embonpoint ordinaire. Comme troubles de la sensibilité, il se plaint de douleurs à typ
e. Sa bouche n'est ni sèche ni amère : deux dents font défaut. Pas de troubles appréciables de la sensibilité objective, général
réciables de la sensibilité objective, générale ou sensorielle. Les troubles génito-urinaires sont une impuissance absolue et
absolue et une légère incontinence d'urine de temps à autre. Comme troubles moteurs, incoordination absolument tabétique. Le
ouverts, sans osciller et sans menacer de tomber. Il n'accuse aucun trouble oculaire ; aucun trouble gastrique ou laryngé. Le
sans menacer de tomber. Il n'accuse aucun trouble oculaire ; aucun trouble gastrique ou laryngé. Le cœur est sain, le pouls
iques coïncide précisément avec l'apparition de symptômes tabétiques; troubles de la sensibilité, incoordination motrice à évolu
réflexes aux bras et aux genoux. Anes-thésie de la plante des pieds. Troubles du tact. L'urine a une densité de 1,028 et renf
ré, et sa constatation est bien capable d'induire en erreur. 4° Les troubles trophiques : maux perforants (Kir-misson), chute
es existent, dans le diabète vrai. 2° L'incoordination motrice. Les troubles de la démarche n'ont rien de commun dans les deux
udo-tabes jusqu'ici observés » '. (1) Charcot. — Loc. cit. 3° Les troubles vésicaux. Si la rétention d'urine peut survenir a
ents vésicaux peuvent s'y montrer \ ils n'ont rien de commun avec les troubles urinaires du tabès ; il est inutile d'insister su
urinaires du tabès ; il est inutile d'insister sur ce point; 4° Les troubles oculaires. Les différences sont ici très accentué
res. Les différences sont ici très accentuées, et la fréquence de ces troubles dans le tabès comme dans le diabète leur donne un
de Wecker et Landolt, ces paralysies seraient probablement dues à des troubles circulatoires et reconnaîtraient des lésions peu
néralement bénin et guérissent facilement même sans inler (1) Bazy.— Troubles urinaires chez les glycosuriques. (Congrès frança
ique. Les auteurs signalent à peu près tous une atrophie simple, sans trouble bien manifeste de la papille. L'atrophie était as
nes étaient filiformes. Dans les cas de cette espèce, on a trouvé des troubles de l'achromatopsie en somme de même nature que da
t cette terminaison (Lecorché, Ïestelin-Piéchaud)l. » En résumé les troubles oculaires du diabète n'offrent qu'une analogie su
paralysies de l'accommodation et celles des muscles extrinsèques, les troubles hémorrhagiques du corps vitré, des rétinites, des
ordre les signes suivants : 3° Crises gastriques et laryngées ; 4° troubles dans les fonctions des cordes vocales ; 5° toux c
es tels que : pertes des réflexes rotuliens, douleurs fulgu rantes, troubles divers de la sensibilité objective... signes de l
l survient au cours d'un diabète des signes de la seconde catégorie : troubles oculaires, vésicaux, moteurs... le diabète vérita
rtage sera très délicat pour ceux de la première : signe de Westphal, troubles de la sensibilité... L'influence du traitement po
n ultérieure de certains signes tabétiques : incoordination spéciale, troubles vésicaux, oculaires, transformeront ces présompti
ord sous forme d'incertitude, puis avec les caractères ataxi-formes ; troubles de la parole; absence de douleurs fulgurantes, de
la parole; absence de douleurs fulgurantes, de crises viscérales, de troubles de la sensibilité. Cependant quelques-uns des sym
disparu ; elle a un assez fort embonpoint et ne présente aucun autre trouble de santé générale. Sa descendance est particulièr
ue. 1° Fille aînée. Santé bonne. 1 fille. 2° Fille. Choree avec troubles intellectuels. 3 enfants morts en bas âge. 1 fi
e, l'odorat et le goût sont également normaux. Il existe un certain trouble de la parole, consistant en ce qu'il mange toujou
consistant en ce qu'il mange toujours une partie de ses syllabes. Ce trouble augmenta dans la suite, surtout dans les derniers
ssance. L'urine est normale comme quantité et comme qualité. Pas de troubles vésicaux. Constipation habituelle. Le sphincter f
ctuée par le tubercule supérieur, peut être rendue responsable de ces troubles . Il est à remarquer en dernier lieu que, bien q
és par ce même néoplasme, nous n'avons pas constaté pendant la vie de troubles de la sensibilité. Le malade prétendait, il est v
palement à gauche, notable surtout dans certains mouvements. Pas de troubles respiratoires imputables à la paralysie du diaphr
ulaire palpébral ferme bien les yeux; il n'y a pas d'épiphora. Pas de troubles de la motilité des yeux. Les plis naso-gésiens so
. La luette est un peu déviée à droite par sa pointe. Il n'y a pas de troubles de la déglutition. Le malade n'a pas remarqué que
ion de dégénérescence. Les réflexes rotuliens ont disparu. Pas de troubles de la sensibilité. Il me semble réellement que
ions crâniennes, d'une lésion ostéo-trophique spéciale, parallèle aux troubles tro-phiques musculaires qui constituent la myopat
ssant à la sensibilité générale, mais encore celles qui ont trait aux troubles de la sensibilité thermique subjective et aussi à
ns de chaud, de froid, etc., sont les plus fréquentes. Mais parmi les troubles viscéraux, il en est un sur lequel nous avons ent
uillée de matières fécales. 3» auras visuelles. (Deux cas.) Les troubles qui constituent les auras visuelles peuvent être
'un d'eux (Obs. XV) est particulièrement intéressant par la nature du trouble visuel qui carac térise l'aura. Observation XIV
cas est rendu curieux par le fait de la coexistence de deux sortes de troubles visuels différents : l'un, constitué par la visio
iformes faisant partie de la symptomologie de cette migraine. Mais le trouble visuel qui constituait l'aura était bien différen
ordre sensitif: sensations de faiblesse générale, de malaise, puis un trouble particulier plutôt du domaine de la mo-tilité : l
n attirer l'attention des patients, pour leur remettre en mémoire des troubles dont l'importance, vu leur brièveté ou leur peu d
proprement dite. Cela nous permet enfin de nous rendre compte que les troubles qui constituent l'aura hystérique ne sont pas, en
y constate, outre les phénomènes de l'aura céphalique hystérique, des troubles visuels et moteurs et, enfin, le besoin d'aller à
peut comparer sa statistique aux autres, attendu qu'il y confond les troubles prémonitoires ou prodromes se produisant à plus o
s les signes classiques de la maladie de Charcot et de plus avait des troubles oculaires tabétiques. Les diverses classes d'am
attaques. Mais avant de discuter cette question, occupons-nous des troubles de la sensibilité que présente le malade. Il ex
nesthésie doit être mise sur le compte du saturnisme ; car, outre les troubles de la sensibilité décrits par Beau et Manouvrier,
. Le saturnisme a-t-il pourtant joué un rôle dans la production des troubles nerveux que présente notre malade? Cela me paraît
tre que la paralysie et les coliques, mais le saturnisme détermine un trouble de nutrition qui, chez tels sujets prédisposés hé
ntellectuelles ont été bien peu altérées pendant tout ce temps-là. Le trouble de ces fonctions s'est borné à un sentiment de va
iens dans le —, 290 ; — et névropathie, 295 ; Pseudo-tabes du —, 309; Troubles oculaires dans le —, 314, 332; Influence du tabes
iabète sucré, 289; — et glycosurie, 291,335 ; —et arthri-tisme, 307 ; Troubles oculaires dans le —, 314, 332 ; Influence du — su
88 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
autre. Les tremblements tibrillaires font défaut. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité. L'état des viscères, explo
é par M. Charcot dans une de ses leçons cliniques \ n'offrait aucun trouble de la sensibilité ni de la motilité dans les or
omme nous allons le voir. Le malade attribue lui-même l'origine des troubles dont il est atteint à une faiblesse génitale qu
quatre ans. Vue excellente, le malade est un tireur habile. Aucun trouble quelconque dans les nerfs craniens.-Pupilles nor-
es de la sensibilité sur toute la surface de la peau. -Jamais aucun trouble des sphincters. Appétit et digestions normales.
ne rend pas de gaz par les orifices du canal digestif. Pas d'autres troubles . Ce chien est resté paralysé deux mois et demi,
quefois du dos, les articulations étaient toujours libres- d'autres troubles faisaient défaut, ces douleurs disparais- saien
décubitus, le sacrum ayant été complètement dénudé el par suite des troubles uri- naires, la mort survient le 4 juin, à savo
'état de la sensibilité et de lamotilité reste le même; l'urine est trouble , alcaline, de mauvaise odeur, légèrement colorée
t la grosseur d'un grain de millet. Il y a dans la pyèle du liquide trouble , de mauvaise couleur et purulent. Couches épais
bole peuvent parfai- tement bien expliquer les trois caractères des troubles de langage survenant par l'emploi des scaphandr
ne la raison et qui par cela même spécialisent en quelque sorte les troubles du langage de cette origine : en effet, l'embol
ais le rapport ne s'arrête pas là; ajou- tons tout de suite que les troubles du langage de ces migraineux ophtalmiques sont
une notion à peu près exacte de l'en- droit où l'on doit placer les troubles cérébraux para- lytiques d'origine scaphandrien
de l'accès. Forme SENSORIELLE. 1. Yariélé oculaie. Le plus grave trouble oculaire qui provient de l'emploi des scaphandr
sait bien, par M. M. Cyon, qui a démontré expérimentalement que les troubles de l'équilibre sont dus aux lésions de cette po
la sensation de 70 CLINIQUE NERVEUSE. l'équilibre disparaît, les troubles locomoteurs appa- raissent, le vertige de Méniè
t dispenser de nous occuper du groupe de symptômes céphaliques. Les troubles respiratoires qui ont leur - genèse aux organes
seconde série, hémiparésie plus légère, également persistante, mais troubles très accu- sés de la sensibilité spécifique (cé
dach. Enfin, dans la troisième série de ces expé- riences, point de troubles moteurs, quoiqu'il existât un très léger affaib
s de la suppression de l'innerva- tion cérébelleuse ont consisté en troubles trophiques et vaso-moteurs, en une dénutrition
ments du vermis), et qui avait survécu six mois, on notait tous les troubles caractéristiques des malades atteints de tabes
otrice, mais toujours sans aucune altération de la sensibilité. Des troubles trophiques ont également été observés chez ces
88ï, 5-l2. 90 PHYSIOLOGIE. emportent bien loin de l'époque où les troubles de la sensibilité cutanée et musculaire étaient
de la zone motrice s'accompagnent tou- jours, en même temps que de troubles de la motilité, d'altérations de la sensibilité
ons ma- nifestes de la sensibilité générale coïncidaient avec des troubles de la motilité dus à des lésions de l'écorce. D
ltérations de la sensibilité générale sont ici comprises, outre les troubles du sens musculaire, celles de la sensibilité ta
que celles des lobes occipital et temporal, ne déterminent aucun trouble de la sensibilité cutanée et musculaire, à moins
n'en avoir pu trouver un seul ». Ajoutez les cas clini- ques où les troubles de la sensibilité avaient fait défaut en dépit
ésions destructives de l'hip- pocampe et ceux, innombrables, où ces troubles exis- tent sans lésions de l'hippocampe. Enfin,
étendue de la zone sensitive de l'écorce cérébrale. Mais, comme les troubles de la sensibilité .musculaire, de la sensibilit
superficielles de l'écorce des régions motrices détermineraient des troubles de la sensibilité cutanée, les lésions profonde
s superficielles de l'écorce seule, peuvent ne déterminer que des troubles légers de la sensibilité, toujours de moindre i
tendue ou la profondeur des lésions les différences d'intensité des troubles de la sensibilité et du mou- vement, retenons d
les différentes parties du corps permettent-elles de rapporter ces troubles fonctionnels à des lésions correspondantes et e
té des bras et de la face étaient altérés à la fois; 4° ceux où ses troubles étaient limités au bras seul ; 5° enfin, ceux o
. L'appétit a diminué. Selles régulières, parfois tympanite. Pas de trouble de la miction. Les règles sont venues le 22 déc
localisations CÉRÉBRALES EN TENANT PLUS PARTICULIÈREMENT COMPTE DES TROUBLES UE LA VUE d'origine cérébrale; par C. REINHARD.
lésions de l'ensemble des circonvolutions cérébrales produisent des troubles de la motilité d'autant plus tôt que ces lésions
ent plus près du pourtour immédiat du sillon de Romande ; -- 2° les troubles de la sensibilité produits par des lésions se m
deuxième temporales ; - 4° la lésion du lobe occipital engendre des troubles de la vue directs, qui appartenant à la cécité
lobes pariétaux peut indirectement et passagèrement provo- quer des troubles de la vue d'origine cérébrale ; ô° le déficit de
e lumière a disparu, on a affaire à la cécité corticale' ; - 6° les troubles de la vue d'origine cérébrale peuvent être hémi
e, en outre, parfaitement en réalité certaines parti- cularités des troubles de la vue d'origine cérébrale ; - 1° les objec-
e cérébrale ; - 1° les objec- tions de Goltz contre l'existence des troubles de la vue d'origine cérébrale ne s'appliquent p
soit des deux sources à la fois. On peut donc conclure que : 1° les troubles trophiques dans le domaine des nerfs du cuir ch
evelu, peuvent s'accompagner d'autres phénomènes cérébraux ; 2° les troubles trophiques peuvent s'étendre jusqu'aux cheveux;
s troubles trophiques peuvent s'étendre jusqu'aux cheveux; - 3° ces troubles peuvent prendre un caractère périodique ; 4° le
- 3° ces troubles peuvent prendre un caractère périodique ; 4° les troubles dans les che- veux se manifestent par une perte
IN, (Arch. f. Psych., XVII, 3. XVIII, 1-2.) D'après l'auteur, les troubles qualitatifs de la mémoire et les anomalies de l
sse de leurs facultés, et de la perturbation de leur jugement et du trouble très accusé de leur connaissance. Naturellement c
s'agit, on observe des convulsions épilap- tiformes, ainsi que des troubles du langage analogues à ceux de la paralysie gén
accompagné d'hallucinations) alors que, dans la plupart des cas, le trouble mental persiste pen- danteplusieurs mois, etpeu
'auteur a rencontré. un certain nombre de malades, pré- sentant des troubles analogues à ceux de l'ivresse, et chez lesquels
l les dessine, il n'y a donc pas lésion de l'aper- ception ; il y a trouble de l'association des idées corrélatives, cécité
NTES. 129 Dans ces conditions, la cécité psychique peut émaner d'un trouble fonctionnel de l'écorce du centre visuel (sympt
té motrice et la multiplicité des conceptions tient évidemment à un trouble des centres de régula- tion psychique. Dans ces
a charpente musculaire ne présente en pareils cas autre chose qu'un trouble léger dans la transparence des fibres. M. KNY
a rien produit dans un cas de crampes musculaires douloureuses (les troubles digestifs déterminés par l'hyoscine ont dû la f
lle à Kast. r. ZACllER. - L'hyoscine neprovoque-t-elle pas certains troubles digestifs graves ? Arrête-t-elle réellement la
de l'oreille moyenne du côté gauche qui entretenait chez lui des troubles nerveux limités au même côté gauche exclusivement
fications, basées sur la forme, l'étendue plus ou moins grande des- troubles mentaux, ont rapproché les malades par des anal
ue l'état mental des épileptiques, analyse d'une façon générale les troubles du langage, distingue les désordres mentaux varié
X..., à Alaincourt, a pré- senté, depuis le 3 novembre courant, des troubles insolites du sys- tème nerveux. Après de violen
e par l'eau de Cologne ressemble à l'alcoolisme ordinaire, mais les troubles nutritifs et le délirium tremens s'y rencontren
médullaire constitué par la tlaernzanes- thésie, l'analgésie et les troubles sudoraux ou vaso-moteurs (substance grise latèr
8" de 48 pages. Paris, 1888. - G. Steinheil. SA ? AGE (H.). - Les troubles d'esprit, développés à l'occasion des fian- çai
'exci- tation ou les lésions des zones motrices , provo- quer des troubles de la sensibilité. L'hypothèse de LES FONCTIONS
tions les plus considérables de l'écorce ne seraient suivies que de troubles fonctionnels susceptibles de s'amender indéfini
t de ce système de fibres, soit de l'écorce du coin, provoque des troubles de la vision (hémiopie, etc.). Quand les excita
l de la pa- ralysie générale dans la région fronto-pariétale. Les troubles de la sensibilité générale et spéciale vont de
accélère la circulation, détermine de la chaleur à la peau, avec trouble fébrile passager, à la manière des substances exc
isparition d'attaques d'épilepsie, légères et espacées, apporter un trouble sérieux dans les fonc- tions intellectuelles. E
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 241J sang qui peut expliquer l'éclosion des troubles cérébraux; mais la soudaineté de l'alternance (
és, paraissent souvent masquer, au moins dans un certain temps, les troubles cérébraux : dans ce cas encore, il est probable
es troubles cérébraux : dans ce cas encore, il est probable que les troubles qui disparaissent ainsi sont purement fonctionn
des maladies qui paraissent plus aptes que d'autres à modifier les troubles mentaux, par exemple les affections douloureuse
s les cas de syphilis à lésions géné- ralisées : il tiendrait à des troubles fonctionnés de la circulation. Quant au rapport
ésions des cordons postéeieurs. Eu ce qui regarde la pathogénie des troubles de la sensibilité, elle parait émaner bien plus
ération des nerfs sensitissquede celle des cordons postérieurs; les troubles laryngés se rattachent à des lésions des nerfs
un certain degré d'ataxie dans les bras, le signe de Itomberg, un trouble du sens musculaire aux quatre extrémités. Intégri
s patellaires, pas de paralysie, pas de symptômes oculaires» pas de troubles de la parole. Mort 20 mois après le début des acc
. Bien que les tumeurs cérébrales s'accompagnent le plus souvent de troubles mentaux d'un genre ou d'un autre, il est de règ
ale du pouvoir moteur, par l'association de ces phénomènes avec des troubles de l'écriture et de la parole, de l'inégalité pup
me de l'ablation antérieure d'une tumeur du sein, la diminution des troubles mentaux vers la fin de la maladie (diminution s
s que cet examen révélât rien de pathologique : il n'y.avait pas de troubles de la vue, et, à cet égard, il est intéressant
ne se montreraient que chez les paralytiques généraux por- teurs de troubles physiques peu accusés. M. B. Séance du 24 févri
évroses générales et locales qui ont pour substratum' anatomique un trouble dans les échanges nutritifs interstitiels et da
ni au centre et dans le péri- mvsium. M. Rumpr (de Marbourg). Des troubles de la sensibilité et de l'ataxie. - Goldscheide
savantes. sujet sain et par un ataxique atteints tous deux du même trouble de la sensibilité des mains. On y voit que le p
inversement, celui qui, sous l'influence du tabès, est atteint des troubles de la sensibilité dont nous nous occupons, ampl
pas de lésions médullaires, on est en droit d'admettre l'idée des troubles trophiques fonctionnels d'origine centrale. Dis
ticulaire, etc., etc. La ma- ladie a débuté il y a dix ans, par des troubles visuels; ces troubles ont abouti, il y a cinq a
La ma- ladie a débuté il y a dix ans, par des troubles visuels; ces troubles ont abouti, il y a cinq années, à l'hémianopsie
-il, un terme commode, mais propre à laisser pas- ser inaperçus des troubles organiques. A côté de cela, elle peut se manife
il n'est pas prouvé que ce soit un signe certain de diagnoslic; les troubles de la sensibilité exigent de la part de l'obser
eu- rasthéniques après la guérison de la psychose en question. Le trouble mental ne constitue donc par rapport au terrain m
ère de l'individu malade ; il est impossible de l'englober dans les troubles psychiques partiels; il faut le qualifier de dé
es ado- lescents ; elles sont par suite bien distinctes de ceux des troubles psychiques qui se montrent à l'âge mûr et se ma
rédacteur en chef l'a souvent demandé. 280 sociétés savantes. les troubles de la motilité diminuent; il articule mieux; la p
upilles disparaît, le myosis seul subsiste. Il présente en- core le trouble de l'écriture, et le tremblement de la langue déj
pendant les fatigues mêmes de la guerre de délire de grandeurs avec troubles de la parole caractéristiques. Le diagnostic fu
s les plis du visage ; aucune espèce de paralysie d'ailleurs, ni de troubles de la parole; il est secrétaire au ministère de
n'a pas varié. Plus tard, de petites attaques^se reproduisent avec troubles de la déglutition et salivation. L'hé- mianesth
e est évidemment secondaire et n'est pas le point 1 Bernard et -Des troubles nerveux observés chez les diabétiques Arch. de
ète sucré véritable. On tentera peut-être d'objecter que certains troubles du système nerveux sont capables de provoquer l
e distinguer, mais qui en tous cas, pratiquement, se révèle par des troubles ou sensitifs ou moteurs, quel- quefois les deux
is les deux en même temps, occupant les mem- bres inférieurs. Ces troubles sensitifs et moteurs ont été tout d'abord étudi
ans la gout- tière épitrochléenne, de l'atrophie des muscles, des troubles trophiques du côté de la peau qui était lisse e
ie de 1882. Suivant Leyden, Althazs aurait le pre- mier signalé les troubles de la sensibilité qui font que, quelquefois, le
s seraient caractérisés : 1° par le signe deRom- berg, et 26 par un trouble de la démarche que quel- ques-uns désignent sou
diagnostic de l'ataxie liée à la maladie sucrée que l'ab- sence des troubles oculaires tabétiques (ceux qui dépendent du dia
es (ceux qui dépendent du diabète, hémiopie, rétinite, cataracte, troubles de l'accommodation, étant complètement diffé- r
constatés à l'hôpital avec les bocaux). Urine très peu colorée, non trouble . D. 1040. Ne contient pas d'albumine, mais une
320 0 CLINIQUE NERVEUSE. maux de tête. Rien du côté de l'estomac. Troubles de la miction assez nets : douleurs assez rares
fréquentes balanites et a de la rougeur du prépuce. Jamais aucun trouble rectal ni anal; constipation habi- tuelle inter
e et la temporale droites, moins à gauche. Rien dans les poumons. Trouble du sens musculaire (doigt mis sur le bout du nez)
réaction partielle de dégénérescence du jambier antérieur. Pas de troubles cérébraux. Quelques sensations dysesthé- siques
e cette idée. La seule chose qui vous surprenne, c'est l'absence de troubles de la sensibilité, presque toujours présents à
q ans du grand diabète, du dia- bète constitutionnel, relevant d'un trouble de la nu- trition et marqué par la présence dan
pas lorsque le verre arrive près de la bouche. 11 n'existe pas de troubles de la sensibilité. Les réflexes rotuliens sont
ilité. Les réflexes rotuliens sont abolis. 11 n'existe pas d'autres troubles urinaires que des mic- tions nocturnes involont
érescence des tubes ner- veux de la moelle épinière par le moyen de troubles vasculaires, troubles qui produisent non seulem
veux de la moelle épinière par le moyen de troubles vasculaires, troubles qui produisent non seulement l'atrophie et l'al
umis à la prédisposition morbide, prédisposition due elle-même à un trouble initial en vertu duquel les conditions normales
ins, ne peut plus, dans le cas que nous considérons, en raison du trouble vasculaire, faire les frais d'une spé- cialisat
les besoins nutritifs les plus grands, et souf- friront le plus des troubles d'irrigation. En résumé, il paraît résulter des
ettre que l'hystérie, en tant qu'entité morbide, ne contient pas de troubles de la sensibilité, mais qu'ils viennent se gref
a sensibilité, mais qu'ils viennent se greffer sur elle, et que ces troubles ne caractérisent que l'état psychique dans cett
ique, signe de Romberg, etc.) et bien souvent elle est reliée aux troubles trophiques signalés par les élèves de M. Charco
R. M. C. XIV. DES mariages SANGUINI1S dans leurs rapports avec LES troubles mentaux ; par G. E SHUTLEWORTH. (The Journal of
complications, en précipitant l'issue mortelle, empêchèrent que les troubles psy- chiques et anatomiques de la paralysie gén
hasard, ou une corrélation plus intime ? M. Geoffroy pense que les troubles intellectuels présentés par sa malade sont l'ex
syndromes convulsifs aussi complexes. M. Kroepelin (de DorpaL). Des troubles fonctionnels de l'activité mentale. - On peut p
é des facultés soit moins atleinte que dans les autres espèces de troubles psychiques; c'est l'opinion d'Esquirol. Griesinge
causée par les ravages qu'auraient causés dans le tissu mental les troubles primitifs aigus ; car on la voit fréquemment su
entale des affections somatiques ; en troisième lieu, il étudie les troubles des fondions mentales; cette dernierecatégorieren
tenbiller, 239. Acromégalie, par Schultze, 264. Activité mentale ( troubles fonction- nels de 1'), par Kroepelin, 417. Al
médico-psychologique à Edimbourg, par Clouston,'425,431. Ataxie ( Troubles de la sensibilité et rapports avec 1' -), par R
89 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
de leur première entrée dans une science ou un art quelconque (car le trouble produit par l'initiation à un nouveau métier dont
a un certain degré d'épuise-ment. Peu de temps après, surviennent des troubles menstruels pendant! plusieurs mois. Vers cette ép
lérée, à la fréquence extrême avec faiblesse du pouls, s'ajoutent des troubles cérébraux : la malade enlève ses oreillers, exécu
e l' espace intecostal gauches était excessive. Je ne constatai aucun trouble fonctionnel du cœur, pas d'anesthésie. ni d'ovari
ntérieurs et passagers. Ce qui me paraît être concluant, c'est que le trouble nerveux, qui me poussait à apaiser mes penchants
tt fur Harn-so Sexual-Organe ». Vol. 1, cah. 2). PETITE HYSTÉRIE ET TROUBLES DYSMENORRHÉIQUES TRAITÉS PAR SUGGESTION HYPNOTI
date suggérée, et les règles coulent les 28, 29 et 30 mai, sans aucun trouble général ni local. L'appétit et le sommeil revienn
a maison de sa ::ile. D'ailleurs, je ne remarquai en elle aucun autre trouble cérébral. REVUE CRITIOUE LES HABITUÉS DES PRI
lités : pour elfe, ou l'individu est malade, c'est une victime de ses troubles intellectuels, et il appartient à l'asile d'alién
à tel point que l'on se demandait avec anxiété s'il s'arrêterait. Ces troubles nerveux m'étaient encore inconnus. Pendant cett
il y a quelques années, pour des fièvres des colonies, compliquées de troubles cérébraux. Comme lui aussi, il était en confl
clinique un assez grand nombre de malades chez lesquels le principal trouble mental semble consister dans une défaillance de l
les rues de Paris. M. M___a vu disparaître successivement tous les troubles physiques et mentaux dont il était atteint. De pl
vessie, le gros intestin, les vaisseaux et les nerfs ; de là tous les troubles que vous accusez, et, comme l'utérus est lié par
vîmes pour la seconde fois, l'accès de dypsomanie était compliqué des troubles mentaux de l'intoxication alcoo-lique. Il se plai
u'un traitement moral pourrait avoir quelque action pour dissiper des troubles nerveux résultant d'un choc moral, ont eu l'idée
ique. Cette diffusion des lésions rendrait compte de la diffusion des troubles permanents de la sensibilité et du mouvement. » (
bien être généralisé ; il peut encore se manifester sous la forme de troubles sensoriels, moteurs, psychiques ou viscéraux. D
nations de la vue, du goût, de l'odorat, et de l'ouië; enfin certains troubles psychiques qui constituent de véritables équivale
etc. La coexistence de ces anomalies, qui sont le plus souvent des troubles de développement, avec l'épilepsie, prouve bien e
un travail commandé, un jeune soldat ressenti un indicible malaise : troubles de la vision, abattement, céphalalgie, syn-cope,
nd. La fièvre typhoïde, se greffant sur un pareil ter-rain produit un trouble de la nutrition fondamental et agit en même temps
e. après des investigations (certainement très superficielles), qu'un trouble cérèbral et un état psychique anormal. L'hypnot
ut être appliqué qu'à un nombre limité de sujets (1); 2° Il laisse un trouble mental, une diminution d'énergie, une faiblesse g
e faiblesse générale, et de fréquentes répétitions peuvent causer des troubles nerveux; 3° L'hypnose est un état morbide ; 4° Ce
otiseur, le domaine de la pensée et les fonctions cérébrales dont les troubles sont très difficiles à guérir. En présence de tou
ondamner l'hypnotisme qui est plutôt une modification psychique qu'un trouble organique, et il pense que ce mode de traitement
nre d'affections. tels . que le rétrécissement du champ visuel et les troubles de la sensibilité, ne supportent pas la critique.
n effet, il ne faut pat oublier que si certains malades exagèrent les troubles dont ils sont atteints, ils le lont non pas par s
e. M. Mierfjevski (de Saint-Pétersbourg) attire l'attention sur les troubles thermiques qu'il a observes dans la névrose traum
ns de l'ouïe ce sont les plus importantes), de l'odorat, du goût, des troubles , des sensibilités générales et génitales et des h
ations délirantes, d). Mégalomanie avec ou sans hallucinations. Des troubles mentaux tabagiques M. Kjellberg (d'Upsal).— La
abac employée, mais encore et surtout suivant le mode d'emploi. Les troubles mentaux tabagiques sont caractérise» par de la fa
dans lesquels existent ces associations. Il pense que dans ces cas le trouble fonctionnel dépend des altérations de la sensibil
la sensibilité. Nous ne partageons pas cette manière de voir, car les troubles de la sensibilité ne pourraient empêcher la seule
spec-tant d'autres t'ourles Je la marche. On doit donc considérer ces troubles comme des signes associés et non pas responsables
fection. Contrairement à ces ailleurs qui pensent que l'abasie est un trouble — de nature hystérique probablement - de la fonct
ble à l'agoraphobie. Il s'agit incontestablement dans les deux cas de troubles psychopathiques ; toutefois, sans même insister s
st surtout un distrait. L'astasie-abasie se crée inconsciemment, sans troubles douloureux, sans angoisses ni spéculations psychi
Cliniquement, ii les divise en trois groupes, suivant l'intensité des troubles du langage, complets chez les uns, très bornés ch
un accouchement et à l'occasion d'accidents puerpéraux, fut prise de troubles intellectuels avec intervalles d'excitation, quel
, quelques hallucinations, idées de mystique relatives au spiritisme, troubles de la mémoire et de la marche. A l'entrée, la mal
ent, mystique dans les premiers jours; hallucinations hypnagogiques : troubles de fa mémoire prédominants et très accentués. Per
ions. D'un autre cote, les auteurs mettent en relief l'importance des troubles de la mémoire s'étendant jusqu'à la mémoire organ
lade a perdu même les actions automatiques secondaires. En effet. les troubles de la marche et de la station debout qu'elle prés
ie-abasie de MM. Charcot et Blocq, qui rattachent ces désordres à des troubles de la mémoire organique. Ici la mémoire intellect
de l'hystérie vulgaire (insomnie, anorexie, dyspepsie, constipation, troubles viscéraux et menstruels, névralgies, etc.); 4° Co
n, troubles viscéraux et menstruels, névralgies, etc.); 4° Contre les troubles mentaux de nature hystérique. Comme nous le faisi
que jusqu'ici les cliniciens ne se soient pas assez préoccupés de ces troubles mentaux. Dans aucun auteur on ne trouve formulée
le. Comme M. le professeur Bernheim. nous avons constaté que si les troubles localisés, survivant a la chorée. cèdent, en géné
sur ce point, la suggestion est nettement indiquée pour combattre les troubles de la sensibilité moraley de l'intelligence et de
Cependant la suggestion nous parait trouver une indication contre les troubles au caractère, les troubles intellectuels, les imp
s parait trouver une indication contre les troubles au caractère, les troubles intellectuels, les impulsions irrésistibles que p
e guérison anatomique sans être guéris physiologiquement. De plus, le trouble fonctionnel dans les maladies du centre nerveux d
d'appeler l'attention des neuropathologistes. III. NEURASTHENIE — TROUBLES NEVROPATHIQUES. La neurasthénie dont la fréquen
a prétendu que la suggestion ne pouvait avoir d'action que contre les troubles mentaux qui relevaient de l'hystérie. Si la const
moins vrai que la suggestion a pu être utilement employées contre des troubles mentaux qui n'avaient aucun rapport avec l'hystér
névroses, de la paresse intellectuelle, en un mot un grand nombre des troubles mentaux et des instincts pervers qui pourraient p
appliqué la suggestion a\ec un succès égal contre un grand nombre de troubles d'ordre pathologique duffèrent (terreurs nocturne
ombre de troubles d'ordre pathologique duffèrent (terreurs nocturnes, troubles du caractère, paresse invétérée, habitudes vicieu
chez l'enfant? » La suggestion trouvera donc dans le traitement des troubles nerveux et mentaux chez les enfants des indicatio
'autre, de « manie aiguë avec hallucination de l'ouïe et de la vue et trouble de la sensibilité générale la troisième . d'une i
cident primitif date de 1875, quatre ans après la malade s'aperçut de troubles passagers du côté de la vue : en 1881, apparurent
utique de la suggestion. contre, un certain nombre d'affections et de troubles fonctionnels n'est plus a mettre, en doute. Il ne
onger pour les douteux le temps d'observation, et chaque fois que des troubles psychiques sont constatés, prescrire un régime sp
folie du doute dans un chapitre spécial des psychode dégénératives — trouble mental par obsessions. March (1862) la rangeait
n, dans son manuel qui sort de presse, n'en parle qu'à l'occasion des troubles élémentaires de l'intellect, en avant soin de fai
taire, tantôt une l'orme spéciale de psychose, tantôt enfin un simple trouble psychique élcmentaire qui relève de la pathologie
caractère essentiel de ses « Zwangs-vorstellungen », à savoir que !e trouble est primitivement dans l'intel-ligence et non pas
sées, en se basant sur la: conscience que le pseudo-monomane a de son trouble mental. Malheu-reusement le travail de l'auteur e
r Falret père répondait au délire du toucher et non pas â la forme de trouble mental que Griesinger décrivit deux ans plus tard
peut, échapper aux Pourquoi et aux comment. Griesinger disait que le trouble était uniquement dans les idées, indépendant de t
démontié que les mêmes malades peu vent présenter successivement les troubles de la folie du doute et ceux du délire- du touche
Pour la première fols nous rencontrons une étude approfondie de ce trouble mental, envisagé au point de vue de la psychopath
le n'est jamais produite par un état émotif ou passionnel. C'est un trouble originel de l'idée. Ce n'est pas une émotion. Qua
r essentiel des obsessions, Aucun deux cependant n'avait considéré ce trouble m entai comme un signe directe! immédiat de l'hér
génitale du délire du toucher et de la folie du doute. Cette forme de trouble menu!, qui tient à la constitution originelle du
n'a jamais quitté la maison paternelle. A l'âge de dix-huit ans, des troubles gastriques se produisirent contre lesquels il emp
'e et: d'ordinaire. le premier effet qu'il obtient est un vertige, an trouble pro-t fond qui s'empare de lui et lui cause une i
parenthèse ouverte à propos du sommeil, et je complète l'étude des troubles de l'intelligence en vous décrivant les troubles
mplète l'étude des troubles de l'intelligence en vous décrivant les troubles morbides, que détermine 1?. morphine du côté delà
de phénomènes hystériques, l'ovarialgie, les zones hystérogènes, les troubles de sensibilité, la tympanile, In provocation et l
e. La suggestion ne" s'adresse pas directement à la lésion, mais au trouble fonctionnel : elle peut, en tant que l'étal organ
rhumatismales, des arthralgies, des névralgies, des gastralgies, des troubles liés à des lésions organiques, dyspepsie, diarrhé
me nerveux et l'élément psychique jouent dans toutes les maladies. Le trouble fonctionnel peut dépasser le champ de la lésion o
ée, ni ralentie, sans caractère stertoreux. Le pouls n'accusait aucun trouble notable de la circulation. La température était n
manifesté l'intention de se suicider; elle se plaignait seulement de troubles névropalhiques, céphalalgie opiniâtre, éblouîssem
n examen qu'a ce moment elle était bien réellement sous l'empire d'un trouble mental qui ne lui laissait pas l'entière liberté
Dans un chapitre nouveau et intéressant, l'auteur décrit des cas de troubles fonctionnels de la parole, causés par l'ischémie
es hTpnoiiqec f.tilcs pour apporter quelques éclaircissements sur les troubles de la parole. M. Batcman arrive à croire que l'on
e de la parole est instructive pour le psychologue, ct ses éludes des troubles de cette faculté son: aussi complètes que possibl
50 la proportion est la même relativement aux vices héréditaires, aux troubles intellectuels, à la perturbation du sens moral.
ette induction se trouve pleinement confirmée par l'étude de certains troubles de la mémoire et de la personnalité qui se rencon
Dr Liébeault. de dêsuggesiionner M. H... et de le débarrasser de ses troubles nerveux et de ses crises de somnambulisme. Depuis
vera très bien; et si on avait oublié cette prescription, si un léger trouble se produisait, la parole l'enlèverait sans aucun
te»; elle te déballait comme pour écarter l'objet de ce» visions. Les troubles de cette nature observebt courammentt dan* la gra
e domaine de l'intelligence, de la motilité ou de la sensibilité, des troubles souvent graves et persistant plus ou moins longte
où l'on ne réussit pas toujours à faire disparaître complètement ces troubles . Les cas de ce genre ne sont pas malheureusement
la circulation ralentie. Tous ces symptômes résultaient évidemment de troubles nerveux, et elle en souffrait ainsi depuis enviro
ceptionnellement fort, courageux et intelligent. II ne présente aucun trouble nerveux et s'est entièrement abstenu d'alcool, qu
hypnotisation de sujets hystériques on névropathes peut provoquer des troubles nerveux et affaiblir l'intelligence. Cependant, j
t passés sous ses yeux. Ne devait-on pas regarder comme l'indice d'un trouble mental son retour à Paris, son imprévoyance su se
dans ses nombreuses publications, M. Bernheim n'a dît un mot sur les troubles de la nutrition dans Chypnose (Ströbing : Archiv,
éorie physiologique de l'épilepsie et état mental des épileptiques. — Troubles du langage et de la mémoire des mots dans les aff
age habituel de l'opium, sous une forme quelconque, provoque-t-il des troubles organiques du rein ? Comment se produisent les lé
nt. dis. New-York, 189D, XVII, 287-291.) ?echetereff (V.). — Cas de trouble dans les idées, guéri par suggestion à la période
le cours de ces névroses cérébrales, M. Mesnet écrivait {2} : c Le trouble que ces perversions fonctionnelles du système ner
vaporeux; celui qui sort de la bouche est décrit comme peu net, comme trouble ; il y a là, en effet, un mélange de bleu grisâtre
service de M. A. Voisin, hystérique et aliénée; ce sont justement ces troubles mentaux qui avaient nécessité son admission à la
s et de peu de gravité, mais qu'il est aussi très efficace contre des troubles chroniques ayant résisté à toutes les autres médi
demandé de la faire dormir moins ; ce qui fut facilement obtenu. 3» Troubles menstruels. — M0" H. M.... 28 ans. Époques irrégu
plus fréquents et les plus caractéristiques : ainsi la céphalée, les troubles dypspeptiques, l'insomnie et les troubles du somm
es : ainsi la céphalée, les troubles dypspeptiques, l'insomnie et les troubles du sommeil, qui, selon M. Levillain, jouent un rô
yosthénie douloureuse, la rachialgie et l'hypperesthésie spinale, les troubles génitaux et Vital mental des neurasthéniques auqu
n moins précis et limités. Tels les étourdisse-ments et vertiges, les troubles oculaires (asthénopie, troubles pupillaires et pa
les étourdisse-ments et vertiges, les troubles oculaires (asthénopie, troubles pupillaires et palpébraux), quelques troubles aud
oculaires (asthénopie, troubles pupillaires et palpébraux), quelques troubles auditifs (hyperacousie et bruits d'oreilles), les
, quelques troubles auditifs (hyperacousie et bruits d'oreilles), les troubles de la sensibUité générale (byperesthésies, névral
générale (byperesthésies, névralgies, sensations morbides), certains troubles de la mobilité (parésies, crampes, secousses musc
de la circulation (palpitations, syncopes, variabilité du pouls), les troubles secondaires de l'appareil digestif (dilatation, p
stic est ici l'élément capital : que de maux de tète, de vertiges, de troubles digestifs et circulatoires, que de manifestations
Gaustadt, près Christiana. accusaient la boisson comme cause de leur trouble mental, ce nombre est graduellement tombé jusqu'à
pnotique est une maladie artificielle. On supprime peut-être quelques troubles nerveux chez quelques-uns. mais on en crée chez d
es sanguins, mais elle a pu. en neutralisant en tout ou en partie les troubles fonctionnels qui entravaient l'hématopoïëse, perm
rale sont fréquentes; plus rares sont les anomalies qui relèvent d'un trouble fonctionnel de la moelle. C'est un cas rentrant d
lons étudier. M. Magnan a insisté dans ses leçons cliniques sur les troubles fonctionnels relevant de la déséquilibration des
montrait souvent sur un terrain névropathique. En revanche, il est un trouble fonctionnel sur lequel M. Magnan a attiré l'atten
le nom d'èrotisme de la ménopause, Guéneau do Mussy avait décrit des troubles analogues (1). « Des femmes... qui avaient de l'i
eures..., épuisent les malades et sont habituellement accompagnées de troubles névropathiques,... la tristesse, les scrupules, l
question qui sont suivies d'un état de dépression mélancolique et de troubles neurasthéniques. OBSERVATIONS Résume : Tares
tre-vingt-un ans. A cinquante ans, à la ménopause, elle a éprouvé des troubles cérébraux : elle avait des appréhensions, elle s'
'à deux fois par jour, durant trois heures environ, s accompagnant de troubles qui rendent à la malade l'existence intolérable.
marchait parfaitement, marche péniblement et est astasique abasique, trouble ambulatoire essentiellement hystérique, ainsi qu'
devenue parfaite, j'entends sa santé intellectuelle. U n'a plus aucun trouble dans ses souvenirs. U y a cependant une lacune, c
nts assuré sur la vie ? Ce refus n'est-il pas préjudi- (1) Voir les Troubles intellectuels consécutifs aux traumatismes du cer
le les sent? par un signe de tète) et déclare que, de cette façon, je trouble son sommeil. Demain, elle ne sera plus endormie;
on puisse rattacher au tabès, point de douleurs fulgurantes, point de troubles de la sensibilité, point d'incoordination des mou
bles de la sensibilité, point d'incoordination des mouvements, pas de troubles vésicaux, etc., etc. L'examen de la vision, prati
analogues, en l'absence de toute lésion, tout porte à croire que ces troubles ne sont pas d'origine sympathique et que si les c
ns périphériques y sont pour peu de chose. Examinons rapidement les troubles génitaux qui présentent quelques points de commun
relations sexuelles avec son mari. Trois années après le début de ces troubles génitaux apparurent les douleurs fulgurantes, et,
ysie générale. Trousseau, le professeur Charcot ont signalé parmi les troubles gënito-urinaires des ataxiques, le satyriasis, ca
re malade, qui souffre de ses crises génitales depuis sept années, ni trouble oculaire, ni douleurs fulgurantes, ni anesthésie;
le, comme chez les malades de Guéneau de Mussy et de M. Magnan, à des troubles fonctionnels des centres génito-spinaux simulant
out chez des névropathes. Nous ne citerons ici que pour mémoire les troubles de la sensibilité génitale qui jouent un rôle si
ption de la forme cérébro-spinale du délire des persécutions, sur les troubles génitaux de ces malades. On observe d'après lui d
la couche corticale du cerveau ne reste pas étrangère à la genèse des troubles génitaux. On comprend aisément, d'autre part, que
u'on l'en débarrasse, elle en souffre au point de vouloir mourir. Les troubles génésiques de notre malade se produisent « sponta
légitime, qui permet d'interpréter la physiologie pathologique de ces troubles , et de ne pas confondre sous un même nom des mala
Thérapeutique suggestive (observations de), par Bernheim, 321, 371. Troubles mentaux tabagiques, 86. Urine dans la léthargie
90 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
tion. , r 1 `L ·. mu a i w U .1 C, I ? Ib - 'Poûr bien concevoir le trouble que peut' déterminer ? , , .... ? . i. u7 itI) ti
'1> ,o..¡l1'" -i^u *T < ► -r rieures; il,doit donc v avoir un^ trouble de, .tonicité pql "'frflr'If4'"1 Ptj ! --tHJ4 l
1 .. I ' ? 1...a... Il - ~ . pas la première fois qu'on invoque des troubles , de la tonicité musculaire, pour, expliquer l'i
rieures, correspondant aux- nerfs de tout'un membre, on observe des troubles moteurs bien connus des physiologistes. Ils 'do
t' être' assimilés à ceux' des ataxiques, parce'1 qué, chez'eux, le trouble est produit non par-la suppres- sion1 du tonus,
sectionnant les racines postérieures ; or, on produit bien ainsi un trouble des mouvements, mais non une incoordination sem
econnaissait pour cause un trou- ble de sensibilité. Sous le nom de trouble de sensi- bilité, on a eu en vue les altération
ébrales aux anesthésies spinales. Le siège primitif de la lésion ou trouble qui amène l'hémianesthésie hystérique n'est cer
atteints de lésions du tiers postérieur de la capsule interne. Les troubles de la sensibilité, en pareille circonstance, ne
se pro- posent d'atteindre, et nous pouvons comprendre ainsi les troubles des membres supérieurs dans la préhen- sion des
le délire vésanique avec ses conceptions tristes ou expansives, ses troubles sen- soriels, son évolution particulière conser
ns les moindres détails son délire vésa- nique reste muet quant aux troubles intellectuels rattachés aux attaques. Chez lui
fixité, ne saurait être confondu avec le délire alcoolique dont les troubles hallucina- toires pénibles, multiples, mobiles
- ganisme, il impose son propre délire, lequel se greffant sur le trouble cérébral préexistant, l'influence de diverses m
et ses manifestations délirantes laissent loin derrière elles les troubles toxiques. L'épileptique, en effet, qui s'al- 54
e extrême. Ce délire, accom- pagné d'hallucinations multiples et de troubles de la sensibilité générale, cesse au bout de pe
es grimaçantes l'injurient et le menacent de coups de revolver. Ces troubles sensoriels surajoutés durent quelques jours, pu
lement facile de faire ressortir la nature très différente des deux troubles psychiques : folie épileptique et délire de persé
ous l'influence de ce régime, il devient plus agité, son sommeil se trouble , des cauchemars et des hallucinations l'effraye
t les vertiges continuent à se montrer, s'ac- compagnant parfois de troubles intellectuels, passagers et inconscients, très
sa maison, elle se sent entourée par des tringles de fer, etc. Ces troubles sensoriels, l'agitation et le délire qu'ils provo
ns, marchande à la halle, bien portante. Une de ses soeurs a eu des troubles intellectuels et des attaques d'hys- térie au m
chloroforme ou de l'ammoniaque, quand la narine droite est fermée. Troubles analogues du côté de l'ouïe. Quand on ferme l'o
diverses fonctions sont à peu près complètement intactes. Pas de troubles de la respiration et de la phonation, la parole n
parole n'est difficile qu'à cause de l'hémiplégie linguale. Pas de troubles J1· THÉRAPEUTIQUE. de la circulation ; rien a
UTIQUE. de la circulation ; rien au coeur, pas d'athérome. Pas de troubles digestifs; pas d'albumine dans les urines. Nous n
ttaque d'apoplexie, nous constatons de nouveau la persis- tance des troubles moteurs et sensitifs. Le malade amène quatre au
ve, olfactive, auditive, sont également intactes et complètes. Tout trouble de la motilité a disparu. Le malade marche, et
ès diminuée sans être complètement abolie; l'oeil droit voit un peu trouble mais toutes les couleurs peuvent être distingué
ion des paires postérieures faites sur des opossums n'a amené aucun trouble dans la vision, tandis que celle de la paire an
x semaines), on opérait de même sur l'autre hémisphère. Lorsque les troubles consécutifs à cette seconde opération's'étaient
oints excitables des zones dites motrices ne produi- saient que des troubles passagers de la motilité, connus par les travau
ment disparu après cinq ou six semaines. 2° Après la cessation des troubles consécutifs, on réussit de nouveau à trouver da
es facultés psychiques; les animaux opé- rés semblent stupides. Les troubles de la vue, indiqués par Goltz et Munk n'ont jam
tre les phénomènes indiqués au n° 3, deux chiens pré- sentèrent des troubles trophiques. Deux jours après une extir- pation
uver le mot convenable pour rendre sa pensée. L'auteur attribue ces troubles cérébraux à la rupture de quelque petit vaissea
1878 à Saint-Thomas's-Hospital, service de M. Bris- towe, pour des troubles visuels, de la perte de la mémoire et un état d
que, dans ce cas, la syphilis n'a sans doute agi, pour produire ces troubles intellectuels, que concuremment avec les autres
mouvements sensuels, sus- citèrent, quelquefois épidémiqucment, des troubles psychiques 158 BIBLIOGRAPHIE. et nerveux où,
ou voulus; maladie des Scythes. Une quatrième classe comprend les troubles des fonctions physiologiques (traumatismes, emp
e, consacré à la médecine légale. Négligeant les nombreux cas où le trouble morbide ne fait doute pour personne, il s'est s
de 362 pages. Paris, 1880. J. B. Baillière et fils éditeurs. V. Des troubles oculaires dans les maladies de l'Encéphale ; par
encore trop d'inconnues pour permettre à l'auteur d'envisager les troubles trophiques au point de vue de la pathologie génér
le mais qui a le mérite de ne rien préjuger de la nature même des troubles trophiques observés. Dans un premier chapitre c
pu sans inconvénient être retranché d'une thèse consacrée aux seuls troubles trophiques. Dans un deuxième chapitre, M. Arnoz
ale. On lira avec beaucoup d'intérêt le chapitre IV, consacré aux troubles trophiques de l'appareil tégumentaire : dans ce
les plus disparates. Les deux derniers chapitres sont réservés aux troubles trophiques sensoriels et viscéraux. Il y a bien
s et incomplets dans cette partie de la thèse, mais on sait que ces troubles tro- phiques spéciaux sont encore moins connus
pas disposé à admettre tous les cas de para- lysie attribués à des troubles génito-urinaires : en cela le pro- cès est pend
èse de patholo- gie cérébrale. Il nous semble que faire l'étude des troubles oculaires dans les maladies de l'encéphale voul
iagnostic probable, quels, sont les symptômes cérébraux associés au trouble oculaire qui permettront de donner sa valeur en
u trouble oculaire qui permettront de donner sa valeur entière à ce trouble des fonctions de l'oeil ? Enfin, quelles sont l
, quelles sont les lésions cérébrales qui sont en rapport avec ce trouble oculaire constaté ? La thèse, faite dans ce sens
lon ses ins- pirations personnelles, quelles sont les relations des troubles oculaires et des maladies de l'encéphale. FAI
côté du bout supé- rieur, l'irritation traumatique, dégagée de tout trouble trophique, produira des phénomènes identiques à
ment de l'année. Cette malade au- rait eü; à'certaines époques, des troubles intellectuels; son lau=, gage est incohérent. E
ges et la substance blanche sont si profondément altérées. L'état trouble des cellules nerveuses, décrit par M. Mier- zej
de làrésultent, dans d'autres organes, l'esto- mac par exemple, des troubles qui ont pour résultat, sinon pour but, une comp
r le chien par l'auteur lui permet- tent de conclure : 1° Que les troubles persistants du mouvement doivent être attribués
vement doivent être attribués à une parésie persistante; 2° que les troubles de la sensibilité, aussi incontestables que ceu
ne jouent aucun rôle dans les désordres du mouvement ; 3° que les troubles fonctionnels, occasionnés par la diminution de la
ns cérébrales. Du mo- ment où une même lésion produit à la fois des troubles de la motilité, de la sensibilité générale, des
ason, il n'y aurait donc pas de paralysie saturnine, mais un simple trouble inflammatoire et mécanique (par le gonflement).
a disparu dès que la chorée a été guérie. Elle n'était pas due à un trouble apporté dans la circulation par les mouvements
t, réellement J , m fyln r' Ir .. ,1 ? lc u - ? i 1 m L, .- aucun trouble physique ou moral. On a mentionne,plus haut, r.
, . Gt't' ! fG 1 G OI 1 "'0 . ,J..JI .HI", R, ... ? t, ,0. ' . I j. troubles circulatoires, déterminés, par les attaques convu
sif, des M,, . ,, j ,ft -.LtU'ilf '1 J>I mp-'11m, , t " ...J ? troubles circulatoires-sur la corne 4>'J ! \.,m ? cela
fs mixtes- ou.de plexus 1 des membres Il' Mai j¡ 1suivie' d'à uCUll trouble de sensibilité ou dei mouvement ni'I de suite'
;¡td4uctlOp,r la gauche plus que) la droite. Pas d'atrophie, ni de. troubles deila sensibilité. n Le réflexe rotulien est un
, - ,'t'T ? ) ? ' ? i' . l,jll chectique, mais il n y. avait aucun trouble gemto-urmalre. 11 t t ? 1 ? 1('11'1 ? f 4 11 1
? t ? - 9 11, .'ne,'... ->0, ? mil .»/> il ? 4. ce'niveau'un trouble circulatoire évidelnt' : : ,la main ! était livid
uloureuse se' produisit par paroxysmes.JPuis; survinrent un certain trouble dans- la marche et un affaiblissement de la vue
n enfin qu'une tumeur com- prime les enveloppes de la moelle. Les troubles de la(motilité, la faiblesse, la difficulté de la
S SUR LES variations DE TEMPÉ- ! » RATURE, LE DÉCUBITUS AIGU ET LES . TROUBLES , URINAIRES dl CONSÉCUTIFS AI UNE FRACTURE DE L
ice et l'hyperémie consécutive; "il admet en outre l'hypothèse d'un trouble ,tro- phique, dû au défaut d'action des nerfs ém
. Tt T,rrH . J IU 1 ¡.1 ? ,.1 d' -... M. Will analyse ensuite -les troubles vésicaux (rétention'et incontinence urinaires),
actions nerveuses physiologiques ; il s'agirait là d'un véri- table trouble trophique. H. D'0. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
, ! t1 4't «4 " . i " ' t'. i" ' t ' "Kl1 XXXII.. Observations de, troubles nerveux (insolites (hyperesthésie avec, trouble
. Observations de, troubles nerveux (insolites (hyperesthésie avec, troubles vaso-moteurs ; tic, convulsif. des muscles grands
malades; en remontant dans, le passé des inculpées, ,on trouve des troubles nerveux .variables,, le plus, souvent des acciden
un, affaiblissement intellectuel ; 'quelquefois-, à, l'inverse ? le trouble cérébral,' impossible à constater au'moment, de l
bht, 1lI, ,alout de six mois, un an, 'dix quinze ans, présente des troubles céré- braüx'èônfus. Est-on en droit de dire que
épileptiques peut être rapporté aux quatre formes sui- vantes : 1° trouble mental intense, se reproduisant à des inter- va
doit ( rattacher la .sitiophobie, l'anesthésie ultérieure, et ? les troubles de nutrition, consécutifs, , à une, causeLcommune
aques, n'indique- t-elle pas déjà, en* l'absence même de tout autre trouble digestif, une certaine atonie des fonctions de
ont personnelles. Quoiqu'il en soit, d'ailleurs, du mé- canisme des troubles de la sensibilité intestinale, les moyens indiq
'l'intérieur des asiles, une cause incessante d'indiscipline et de trouble ; les médecins ne se soucient point de s'exposer
rrémédiables ayant atteint le corps ciliaire et s'accompa- gnant de troubles sympathiques dans l'oeil sain. Chez ces deux en
omme 'une récidive de la première. Il' ne faut pas oublier que- les troubles intellectuels et même les lésions ner- veuses s
PRÉSIDENT signale l'importance de ces faits quant à l'influence des troubles génitaux sur l'état mental des aliénés, et la n
ouches corticales, qui s'accompagnaient, durant )a vie, de certains troubles sensibles,' moteurs et psy- chiques. Ces faits
ue. -'Souffle cardiaque. Alternatives d'agitation et de lucidité. - Troubles oculaires. Marche de la température ; ses modif
certaine raideur des muscles du dos. Ni diplopie, ni paralysie, ni troubles de la sensibilité. Dans ses moments lucides, M.
de reprend tout à coup possession de sa connaissance et répond sans trouble aux questions qu'on lui pose. Elle retombe ensu
e partielle. 11 n'y a toujours aucune plaque méningitique, ni aucun trouble vaso-moteur, même à la face. Matin : T. Axill.
pas de sou- bresauts de tendons. Le ventre est unpeu ballonné; les troubles 378 PATHOLOGIE NERVEUSE. vaso-moteurs parai
é. Il y a de ce côté une congestion pulmo- naire qui correspond aux troubles vasculaires de la peau. Le traitement hydrothér
ne pouvait noter de mo- difications suffisantes au point de vue des troubles intellectuels. Mentionnons seulement le nystagm
sines du centre de sclérose sont atrophiées, jaunes, granuleuses et troubles . Ceci nous enseigne que la lésion tend à se pro
i existe. Elle en est en quelque sorte une annexe, comme les autres troubles sensoriels concomitants. On sait qu'elle affect
itement sain, à l'exception de quelques hémorroïdes. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité, ni des réflexes des membres
ues. Parole très difficile, parfois même complètement impossible. Troubles complexes à raison de la diversité des groupes mu
ue le calibre interne des vaisseaux soit diminué. z Coloration d'un trouble laiteux de l'arachnoïde, surtout à la con- vexi
auteurs, explique en effet les mouvements choréiques ainsi que les troubles de la parole et les difficultés de prononciatio
s négatifs importants à no- ter tels que l'absence d'anesthésie, de troubles vésicaux et gé- nitaux, d'atrophie, d'eschares
ssives de paraplégie spasmodique chez un même malade. Début par des troubles de la sensi- bilité et par une parésie de la ve
pagnée au début de parésie vésicale et de constipation opiniâtre. Troubles divers de la sensibilité. H. D'OLIER. XLIV. SUR
u premier mois, l'atrophie com- mença. Il n'y eut pas le plus léger trouble de la sensibilité, pas de paralysie de la vessi
ns motrices et nutritives. Son diagnostic s'appuie sur l'absence de troubles sensoriels, et sur ce que les mêmes symptômes n
e de potassium à l'intérieur). Parésie des membres inférieurs, sans troubles du côté de la vessie et du rectum. Etat actuel
ité complète des deux oreilles. La membrane du tympan est seulement trouble et fortement injectée à droite ; son éclat est
e de la vision ou une partie intégrante de celui-ci. M. XLIX. DES TROUBLES oculaires dans la SCLÉROSE CÉRÉBRO- spinale (At
uteur insiste sur les divers caractères que peuvent présenter les troubles oculaires. On sait que la névrite optique, qui es
trouve un certain nombre de symptômes communs, à savoir : 1° les troubles dans les mouvements de l'oeil; 2° le spasme glo
moins 8 ans. Mort à 40 ans. Autopsie. Méninges molles du cei veau, troubles à la convexité. Adhérence du lobe postérieur dr
plus tard transféré à l'asile d'aliénés du lieu, par le fait de ses troubles psychiques (1855). L'observation do l'auteur co
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 473 tés intellectuelles, mais absence de troubles psychiques généra- lisés. Abstraction faite de
xions. Pour le Dr Meschede, il y aurait analogie évidente entre les troubles moteurs et les manifestations psy- chiques ; le
base. Quatre d'entre elles concernent les formes secondaires des troubles psychiques, qui d'ordinaire impliquent le pro-
ant pendant quatorze jours); convalescence lente mais curatrice des troubles psychiques;- une manie dé- générée d'abord en s
strique et des vaso-moteurs ; sous cette influence, il y aurait des troubles circulatoires des ganglions qui se trouvent dans
la claustrophobie ; par le Dr ANT. ItITTI. La claustrophobie est un trouble psychique caractérisé parla « peur des espaces
'elle n'en est pas moins pathognomonique lorsqu'elle accompagne les troubles intellectuels. L'auteur rappelle à ce propos le
symptômes particu- liers à l'intoxication, les étourdissements, les troubles épilep- tiques variant depuis la simple absence
itation maniaque, délire ambitieux, diffus, et in- cohérent, pas de trouble , de la mobilité. Guérison au bout de trois mois
ate pas de loin, et l'on a pensé que, s'il était bon d'observer les troubles des facultés intellectuelles et affectives, il ne
allée et ne pouvait pas aller jusqu'à proscrire l'obser- vation des troubles fonctionnels, le but de la science mentale étan
nterne et sa dégénération ne coïn- cide le plus souvent qu'avec des troubles intellectuels. Puis, l'auteur étudie le faiscea
ndre émotion, une 506 VARIA. agitation difficile à réprimer et un trouble dans les exercices. Les élèves les plus avancée
restent pas moins debout, ou, dans tous les cas, jettent un certain trouble dans l'esprit du chercheur. Les conceptions pur
£ fi, )09>6b 2yttlF`IDrltll (i9 .lp;ir J : 1 wnG1 w * ** ? ? Les; troubles vascu ! aires'%t'nutritifs"qui surviennent 'F)
'\tJ'iÛ,rA )I191,6)9 , =000 . .9 ? uit9)'n (lu Les éruptions et ces troubles vasculaires de. la peau i, c Mi'-i'jbU 10JJ' il
Ili'/ aun ,uLe.ré/lexe patellaire est absolument abbli., --Pas de- troubles de(la'vue., Les pupilles ont une dimension norm
aii-dessus de'celui où résident principalement les douleurs. Pas de troubles delatserisibilitétà la'peau'dbsjnembres' supé1
emps, difficulté à marcher dans l'obscurité. Par moments, sa vue se trouble , mais il n'a jamais eu de di- plopie.-Depuis si
(i/iiui : J... li n^f-frnq'il sementsverdatres. II n y eut point de troubles de la vue1.111-11'' .frmSix-moisr,apres le débu
lle, amène- t-il, en même temps que les douleurs fulgurantes, les troubles vaso-moteurs aboutissant à la production de tac
autre explication pourrait être proposée. On pourrait rattacher ces troubles vasculaires à l'irritation directe, centrifuge
ation analogue, très ingénieuse, proposée par 11. Charcot, pour les troubles trophiques de la peau (urti- caire, pemphigus,
r les racines spinales sensitives.... Un certain nombre au moins de troubles trophiques consécutifs aux lésions du système n
es admises par Stricker, venait à ,être définitivement établie, les troubles vaso-moteurs que nous venons d'étudier trouvera
du sentiment qui suivait l'hallucination, montre qu'il existait ce trouble cortical nécessaire sans lequel, d'après moi, i
t de l'écorce des circonvolutions fron- tales explique l'absence de troubles intellectuels proprement dits; les troubles sen
s explique l'absence de troubles intellectuels proprement dits; les troubles sensoriels et trophiques sont en rapport avec l
ux symptômes des tumeurs intra-crâniennes.- 1 ? C TI 1°' Certains troubles d'ans les disques optiques (névrité"o'p ? tique
es) ? 6° Altération des. nerfs sensitifs (face, membres, tronc); 7° Troubles psychiques ou altéra- tion de l'état mental;- 8
ewis, ce dernier signe s'observe souvent avant que l'hébétude ou un trouble marqué de l'état' mental aient apparu. L'aute
de l'état' mental aient apparu. L'auteur insiste surtout sur les troubles papillaires. La né- vrite optique est pour lui
trale. Dans les deux cas que rapporte Bramwell, il n'y avait pas de trouble de la vue. C'est là un fait d'un grand intérêt
sion intra-crânienne (Manz et Schmidt), la névrite descendante, des troubles vaso-moteurs produits par l'irritation locale q
' q 1 Bramwell admet deux variétés de vertige : l'une due-. à des troubles de' ' la circulation cérébrale, vertige circulato
est la pathogénie qu'il adopte. Une violente émotion a déterminé le trouble des facultés affectives, et, de ce fait, une ex
'y pouvaient suppléer : c'est à ce moment que se sont montrés les troubles pathologiques psycho-moteurs. P. K. LXXX. Bégai
ment corriger par une étude de leur mécanisme. Il considère comme trouble réel du langage ce que le profes- seur Melville
s organes de la voix, depuis les poumons jusqu'aux lèvres. Ces deux troubles sont souvent réunis. REVUE DE pathologie NERV
ntrantà à l'époque de la puberté ou peu de temps après cet âge. Les troubles de la sensibilité y feraient défaut ou ne survi
ue dans l'entité classique; 596 REVUE DE pathologie NERVEUSE. les troubles de coordination des extrémités inférieures se pro
rogressivement de bas en en haut, de sorte que l'on observerait des troubles de la parole relativement prématurés surtout pa
cher du quatrième ventri- cule. La maladie n'a rien à voir avec les troubles delà sensibilité générale, sensorielle ou muscu
ptomatologie : paralysie et contracture des extrémités inférieures, troubles de la sensibilité des mêmes régions, exagératio
ncée de la maladie, en même temps qu'une diminution frap- pante des troubles notés antérieurement. Parfois les parties ancie
rch. of Oled., oct. 1880, p. 147.) L'auteur décrit sous ce nom un trouble de la sensibilité subjective de la peau, donnan
e jambe sont atteints d'une manière prédominante ou exclusive. Le trouble sensitif est toujours associé à une sensation de
st d'origine spinale. Putnam pense que ces phénomènes sont dus à un trouble circulatoire localisé dans les vaisseaux des pe
Psychiatrie u. l1'e·venkrankheiten, 1880.) Ce travail embrasse les troubles mentaux des femmes grosses, des accouchées, et
encore maintenant sept à huit attaques la nuit. C. T. XXIX. Cas DE TROUBLES nerveux améliorés par l'emploi DE VERRES ; par
. 78.) Les spécialistes ont observé des névralgies tenaces et des troubles nerveux généraux dus à des troubles de réfraction
é des névralgies tenaces et des troubles nerveux généraux dus à des troubles de réfraction et à une perversion de la vision.
a vision. L'asthénopie est une des causes les plus efficaces de ces troubles , d'après Carter, et ils font le désespoir du mé
e la retirer de l'école et l'on attribuaà l'approche des règles les troubles dont elle souffrait. Ils continuèrent jusqu'à 19
ndi- vidus, qui ont pris journellement du chloral, présentent des troubles de la santé que l'auteur examine dans les différe
té que l'auteur examine dans les différents appareils. Digestion. Troubles dus à l'action locale, nausées et vomis- sement
erva- tions du Dr Anstie.) Système nerveux. - Tous les degrés des troubles ont été observés depuis un léger érythème facia
composition chimique du chloral en chloro- forme et acide formique. Troubles cirulatoires succédant à la paralysie vaso-motr
lysie vaso-motrice, etc., oedèmes, ulcérations, etc. Cel'veau.- Les troubles cérébraux suivent l'usage prolongé du chloral,
perte de la mémoire, l'imbécillité, la démence et en outre tous les troubles cérébraux possibles. L'étiologie comprend deux
tion spinale, les paralysies motrices d'origine péri- phérique, les troubles fonctionnels de la moelle, y compris les exsuda
ques congestives, bibliographie. 627 pointillé ccchymotique), les troubles des sens et principale- ment l'amaurose hystéri
intelligence au-dessous de la moyenne ; quelquefois il existe des troubles de la 'parole en rapport avec la lésion cérébrale
accusée sur la moitié du corps qui a été la première atteinte. Ces troubles portent sur la sensibilité de la peau des muque
ne sensation de boule qui va de l'épigastre à la gorge, enfin les troubles céphaliques indiqués par M. Charcot : battements
évations thermiques localisées du cuir chevelu. H. DE B. XII. Des troubles nerveux locaux consécutifs aux arthrites; par M
s sa thèse inau- gurale un certain nombre de documents relatifs aux troubles nerveux consécutifs aux arthrites, il y a joint
es lésions articulaires. On connaît ces manifestations, ce sont des troubles de nutrition, des paralysies partielles, des an
utrition, des paralysies partielles, des anesthésies limitées ; aux troubles de nutrition il faut rattacher l'atrophie muscula
a contracture accompagne souvent les paralysies limitées; enfin les troubles de la sensibilité sont variables et peuvent êtr
j - et agmphie, par Dean, 145. liai- ! ossdorf, 292, Arthrites ( troubles nerveux après, les), par Descosse, 631. Arthr
e de la), sur les psychoses, par Fiedler, 476. Fièvre tellurique ( troubles nerveux liés il la), «[ ? igérie), par Sorel,
lcrre, r8S. Folie transitoire, parRitti, 150. Fracture du Rachis ( troubles ner- veux consécutifs il la), par Olgil- vie
gie, syphilitique du ? par Taylor, 303. Sclérose cérébro-spinale ( troubles oculaires dans la), par Dickinson, 461. Sen
ntre les névralgies, . 329. Toux hystérique, par llulhall, 469. Troubles oculaires dans les mala- dies de l'encéphale, p
mblements (pathogénie des), par Debove et Boudet de Paris, 191. Troubles oculaires dans la sclérose cérébro-spinale, par
oculaires dans la sclérose cérébro-spinale, par Dickinson, 461. Troubles trophiques consécutifs aux maladies du système
91 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ASME MUSCULAIRE AU DÉBUT DES MOUVEMENTS VOLON- TA ! HHS (Elude d'un trouble fonctionnel jusqu'à t-e jour non décrit en Fran
Nous nous proposons, dans ce court mémoire, de . faire connaître un trouble fonctionnel assez singulier, vraisemblablement
échappé, croyons-nous, à l'observation des médecins français. Ce trouble fonctionnel, que nous désignons sous le nom de
s à aucune époque M. S... n'a éprouvé de dysphagie, non plus que de troubles de la défécation ou de la miction; jamais les m
ale ; elle avait deux soeurs qui présen- tèrent à un âge avancé des troubles mentaux, de même que son fils, le grand-père de
e, les autres étaient tout à fait sains, sauf une soeur affectée de troubles psychiques passagers. Parmi les plus atteints d
nteuse de Scéligmüller. La mère aurait été légère- ment atteinte de troubles moteurs analogues. Dans le cas de Leyden, c'est
Bernhardt, un oncle épileptique. Quant à I'dqe où surviennent les troubles moteurs, c'est toujours dans l'enfance. Aussi l
nt un état actif du muscle pen- dant quelques instants. Quant aux troubles psychiques, ils semblent n'avoir pas existé dan
e alliance étroite entre la raideur musculaire chez les uns et des- troubles mentaux chez les autres; enfin, l'influence psy
u ? Nous ne le croyons pas , et considérant la généralisation des troubles moteurs à presque tous les muscles volon- taire
e affection une origine mus- culaire. Pétrone la fait dépendre d'un trouble de la conductibilité dans un point quelconque d
dent et emmurent le labyrinthe, qui se trouve à la merci du moindre trouble circulatoire. Observation VIII (résumée). IL
nement en sifflet de locomotive annonce l'accès. Cet homme dont les troubles de dés équilibration ont été des plus cruels et
à l'exagération de sa voussure, la malade ayant eu déjà quel- ques troubles auriculaires après une otorrhée légère, il y a de
d'une violente agitation, toujours avec la conscience nette de ses troubles psychiques. Redevenue plus calme, Mme G... fut
., célibataire, sans profession, âgée de quarante-six ans, pour des troubles psychiques datant de six mois. Cette dame, très
l'affaiblissement et la perturba- tion des facultés. Si ce dernier trouble qui constitue la vésanie épileptique proprement
alades cons- cients, nous en trouverons qui appréciaient tous les troubles dont ils étaient victimes ; mais nous en trou-
ision. 52 RECUEIL DE FAITES. OBSERVATION.Pe)'<e de la mémoire, troubles de la parole, amblyopie; pftt'ttpte spasmodique
tait- il facile de déterminer le réflexe plantaire. A côté de ces troubles de la motilité et de la sensibilité, nous devon
ait, aussitôt qu'il se faisait sentir. Les urines sont légèrement troubles , à forte odeur ammoniacale ; on n'a jamais pu d
à une paralysie spasmodique des membres inférieurs, accompagnée de troubles de la parole, avec perte de la mémoire. Mais l'
urs, intermittente d'abord, per- manente et définitive ensuite; les troubles de parésie de la vessie et du rectum paraissaie
arras particulier de la parole, vertiges, attaques apoplectiformes, troubles spéciaux de l'intelli- gence, fournirait un doc
. De tout cela, pour se guider, on n'avait, dans notre cas, que les troubles de la parole, la perte de la mémoire, et l'amauro
e parler, de scander du sujet en question ressemblait tellement aux troubles de la parole d'un autre malade du service, atte
r de l'atrophie musculaire ensuite ; du côté de l'encéphale par des troubles de la parole et de l'intelligence. Migraine OPI
associa- tion symptomatique. 58 RECUEIL DE FAITS. Observation. Troubles visuels « forme hémiunopsiquc, revenant, par ac
uches. En juillet )88 ! , sans prodromes, il est pris subitement de troubles de la vue, avec engourdissement du côté droit e
personnes qui ne sont pas habituées à ce genre d'observation. Le trouble visuel a duré un quart d'heure environ. L'engourd
envahi le ANOMALIE DU CERVEAU. 59 membre inférieur gauche, et le trouble de la vue s'est généralisé à tout le champ visu
ucune malformation des membres, pas de déviation de la face, pas de troubles de la parole, quelle n'a subi aucune amputation
point la lésion ; il est vraisemblable que sou- vent il n'y a qu'un trouble dynamique transitoire qui ne laisse aucune trac
nt, nulle altéra- tion de la sensibilité en aucun de ses modes, nul trouble tro- phique, nul signe pathologique du côté des
s dégénéres- cences secondaires (Ferrier). Les symptômes bulbaires ( troubles de la déglutition) eussent pu appeler l'opinion
après ce laps de temps révèle : une démarche nor- male, absence de troubles du côté delà sensibilité, et de réflexes patell
e coup d'une paralysie des extenseurs de l'avant-bras gauche, et de troubles considérables dans la motilité de la jambe droi
e peut reprendre son travail. Des phénomènes moteurs rapprochés des troubles de la sensibilité, l'auteur tire le diag- nosti
thétose, que dans la substance corticale, avec tout leur cortège de troubles si divers et si caractéristiques. Les faits a
ouve un exposé critique très judicieux de M. Hermann Munk sur les troubles consécutifs aux lésions corticales. SOCIÉTÉS SA
ue sur cer- taines plaies peut aussi être absorbé et déterminer des troubles intellectuels. M. B. Séance du 13 novembre 18
u pas- sage de la position horizontale à la position verticale. Les troubles intellectuels étaient constants, mais d'une int
celles du lobe occipito- pariétal peuvent être soupçonnées par les troubles de la sensibilité ; 4° que les tumeurs volumine
ine humaine et il l'attribue à l'usage immodéré de l'équitation qui trouble la circula- SOCIÉTÉS SAVANTES. 131 tion dans
appartient à tous les pays cultivés de l'Europe; la constatation de troubles nerveux à l'époque des examens est générale en Su
te à l'habi- tude que nous avons en oculistique de déterminer les troubles moteurs des yeux par les caractères de la diplo
e est pris subi- tement, dans les derniers jours d'avril 1882, d'un trouble de la vue, qui depuis a persisté. C'est surtout
ur les meubles envi- ronnants. Le matin, il remarque que la vue est trouble . Ces accidents persistent les jours suivants. L
res n'est pas intéressé. La diplopie n'est pas en rapport avec un trouble aussi profond des mouvements; elle n'offre rien d
gauche, cette malade éprouve subitement de la diplopie, sans autre trouble fonc- tionnel. Un mois après, je constate les s
é un certain degré de parésie mirs- culaire. Nous avons signalé des troubles analogues des membres dans les Observations I e
là le cas le plus fréquent. Le développement quelquefois subit du trouble visuel, sa disparition momentanée et son retour
a titubation vertigineuse qui n'était nullement occasionnée par son trouble visuel. La troisième, qui me fut adressée par l
avec le ver- tige, quarante-six fois sur cinquante et un cas, les troubles spéciaux caractéristiques des lésions des fe- n
vertige n'a pas été observé, trente et une fois seulement les mêmes troubles de l'audition pendant l'action des pressions ce
i l'obstruction temporaire d'une trompe est la cause ma- jeure du trouble d'équilibration : on conçoit qu'il est toujours
lle provoque, selon la fonction du nerf qu'elle affecte, tantôt des troubles graves de la sensibilité, tantôt des troubles t
e affecte, tantôt des troubles graves de la sensibilité, tantôt des troubles trophiques variés, des éruptions vésiculeuses o
ssez fréquemment des excès alcooliques. Le t avril 1882, sans aucun trouble prémonitoire, Renz étant occupé à travailler da
d'abord des manifestations réflexes d'ordre vaso-moteur, puis des troubles de nutrition persistants dans l'ensemble du sys-
midable les acci- dents du décubitus, succombe à la complication de troubles respiratoires après huit années de maladie. L'a
inférieure, la langue, les divers muscles de la face. La parole se trouble alors. Jamais de nystagmus. Presque aussi fréqu
terme. Aucun symptôme adynamique. Pas de soubresauts tendineux. Nul trouble sensitif. Diminution de la force musculaire. Pa
de la force musculaire. Pas d'albuminurie. Pas de nystagmus, ni de troubles de la parole. Cependant la langue tirée hors de
e, la douleur 218 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. raciiidienne, les troubles rectaux et vésicaux avaient fait écarter la par
initiale, le myxaedèmc est essentiellement sous la dépendance d'un trouble de nutrition dû probablement à un spasme vascul
'un trouble de nutrition dû probablement à un spasme vasculaire (ce trouble de nutrition se révèle assez par l'abaissement
hyroïde peut être expliquée par l'hypothèse vaso-motrice ; 4° Les troubles mentaux les plus accusés, tels que l'aliénation
ue, plus marquée au bras, épargnant la face et le tronc, sans aucun trouble de la sensibilité, ni des réflexes, avec les ré
formes consistant en vertiges, étourdissements légers ou graves, en troubles paralytiques divers, fugaces plutôt que perma-
'abord incomplètes, puis classiques, ulté- rieurement, des accès de troubles psychiques, précédés de sensations spéciales, d
e souvenir complet et subsistant bien au-delà : par conséquent, nul trouble de la connaissance. A une époque plus avancée, ac
ute la base du cerveau. Pie-mère de la surface cérébrale légèrement trouble ; nulle part de tubercules. Les deux nerfs optiq
seux); par G. Valeiice, 1882. Contribution ri l'étude de quelques troubles trophiquesde l'ataxie loco- motrice (chute spon
oeso- phage; par Genty. Thèse de Paris, 1883. Ilecherches sur les troubles fonctionnels des nerfs vaso-moteurs dans l'évol
ollaire, qu'il est permis'd'inférer, de la localisation de certains troubles moteurs, le siège de l'altération qui les produ
engourdissement avec parésie du membre inférieur gauche, sans aucun trouble para ! lytique du membre supérieur de ce côté.
formulée 'autrefois* par M. Charcot, qui considérait'1'absehce des troubles sen- sitifs comme un des caractères habituels d
Recherches analomiques et cliniques sur le faisceau sensilif et les troubles de la sensibilité dans les lésions du cerveau. (T
elle affirme que\ c'est la première fo *'S"' " " el 1 éi)'o Li-é il trouble t qelcon q Li o ? u .1 eô té de la mdtilité ou
ourmillements dans toute l'étendue du membre inférieur gauche; ces, troubles de la sen- sibilité paraissent avoir débuté par
t 'de son affection avec la 'plus grande netteté. Il n'existe aucun trouble de la parole. Les traits du visage né sont null
s malgré un exa- men niiiiutieux, il est impossible de'constater'un trouble quel- conque de la sensibilité. L'état de la se
dissement du bras gauche a augmenté ; sans qu'on puisse observer de troubles bien nets de la sensibilité. La mo- î 'U< »
rulente commela gauche. La langue est un peu déviée à gauche. Aucun trouble de la sensibilité, ni subjectif, ni objectif du
a mono- plegie7 s'est' associée- à un' moment- de, sa durée a.des troubles , permaiieiits cle'lamotilité.,du membre supé- r
1 Il -q t1 ` ` ' £ OaéA qi-01çtri, ? f 4c Fi, j4 c ? terminer le trouble trophique cutané puisqu elle existe r`seületdau
aue ayu. 'Réglée 'depuis l'âgé de douze ans, elle n'a jamais' eu de troubles ' sérieux de la menstruation.. Pas de syphilis.
es douleurs, devinrent} plus, fréquentes r plus T i;es, t et, les - troubles de la'marche.s'accentuèrçnt ;.la5malaiJer futj al
: pqlfltilrq -il ')nt M\o>. y[)jsn"qa ? ne» ? aj zs`H4q , , Les troubles de la locomotion1 ontl'des, plus 6 - idents ? r,,
gt;1 ' |i'i ' 1 . z iBien ! obscure est .encore la pathogénie' des' troubles trohhiqüeslqui peuvent' se produire" dans' le"
de la nlhéoriei des ? dçLutesl ? url( 1 ,Ia,,itl 1 médullaire des troubles trophidues; de]);'ataxie.' D'autres ! 1 Aucun i
l'atrophie de ces muscles ? L'hypothèse de l'ori- gme cqntralejdgs troubles , est donc ttçès.-peu (jvra.isembkJ3le.01l3<e
un .r ' jn.tl 'tf . la lésion décénérative des, nerfs, et,, 1 es % troubles tro^ .fj' )Jt' ' 1 'Àjià ? J ? , J".l i. > !
les, seules' sont mal pro-' uonçées;, il,, n'existe point d'autres, troubles de,la phonation;'pas de ,trou111es,dë la déglut
exes tendineux sont.exagerés ? Point d'épilepsie spinale.- Point de troubles trophiques ? " Rien ,,du côté, de la. vessie; r
eii,ea,âlilc11.1 °;l,dl'J '->ulSi Ja *ùu* ,(ltJ ' 'J '-U ? » Les troubles sensitifs.restent la photo- phobie ; elle ne pe
pnëumb-gastrique n'existent plus; lestrabisme n'a point cessé ;'les troubles moteurs et sensitifà',des'me - nibres7 s' ont;
.-n, ? ,i < ? Lt < ...tff obscurcis par. la prédominance des troubles névrosiques1» ? ->' Un fait essentiel fesrso
région dorsale. Dans ces cas, , ne. pourrait-on, pas attribuer les troubles , fonctionnels' a une e ' ailection plus ou 'moi
oit, tout -, entier ou exclusivement pris-^En raison du, mode ? dos troubles , folactionels et'de'la ? r6tie dé ,là,.paralsie,
V. Jahrg, no 15 ; 1882.) - - z Férue. Contribution à l'étude des troubles fonctionnels de la vi- sion par lésions cérébra
ff('t>)t)'')) ? ) ? It,rc.irmt .·1 y Wy·w, li«> 1 "Il ,. Les, troubles . de, , l'acuité visuelle , forment-la,suhstayce
psie, pendant queilehitrite d'amyle (vaso-dilatateur) améliore. les troubles , visuels..L'auteur ajoute comme'argument : les
nt de Varole, obtenu par hémisection dé la moelle chez le' même les troubles fonctionnels du'grand ' ' ' , » , »*. 1 Congr
ébrale et de l'hémianesthésie du même côté, la codisparition de ces troubles par(l'inhalation amylique (qui calme le spasme
tance congénitale ou acquise des centres vaso-moteurs. Tout ce qui trouble l'autorégularisation de l'appareil d'innervation
es ou les hystéro- épilepsies graves ; la variété dans l'acuité des troubles et la mo- dalité réactionnelle de l'individu ca
faradiques. Il fallut changer le diagnostic. Les contractures, les troubles de la sensibilité, l'intégrité de la contractil
e .que sur l'intégrité de la contractilité électrique, l'absence de troubles trophiques cuta- nés et l'état normal des sphin
les vésanies épileptiques et hysté- riques sont aux convulsions et troubles sensitifs de ces affections. Un premier degré d
asis syphilitique.' Cet enfant, âge de cinq ans, rachi- tique,,sans troubles intellectuels, présente sur les fesses des cica-
llules pyramidales bien développées, et probable- ment du fait d'un trouble dans l'apport sanguin, à l'époque même où, par
n'a pas été jusqu'alors nettement établie. M. Jolly dis- tingue les troubles psychiques dépendant de l'aphasie et ceux res-
de la région lombaire, à une période où .il n'exis- tait encore ni trouble de, la sensibilité; ni ataxie; ni modification
souvenir. 11 en^cônclut'qiré'^selôP'touYé's1-- t probabilités,- les troubles duidonnént nalssanéë'àlfoliesysté-1 matique et
ptomatologie et révolution de, la,démence paralytique, y compris un trouble de la, parole, prononcé, des convulsionsi répét
rébrale. 'Il- n'y aipoint eu continuité dans les alté- rations. Les troubles psychiques se rapportent à l'entité mor- bide c
uyatgrmes de laquelle chez. tout( paralysé. généra^ présentant.,des, troubles de, la. marché. et concurremment i l'ab- qnce,d
squ'à présent les enfants n'ont encore présenté aucun symptôme de troubles intellectuels. M. FoUI1,NET. Surtout quand il s
le fonctionnelle, sans altération organique qui déterminerait des troubles circulatoires par un spasme artériel. Ce n'est pa
ade n'a ni aura, ni hallucina- tions, et conserve la conscience des troubles intellectuels qu'il offre périodiquement. M.
surmenage intellectuel ? Quelle est la fréquence statistique des troubles .mentaux parmi les élèves dans les établissements
tations mentales émanant du surmenage psychique, de l'onanisme, des troubles du développement, de cer- taines affections cér
iberté de la maison de santé. En tout cas, jusqu'à nouvel ordre, le trouble psychique réclame l'asile, et la délimitation du
nerveux leur vigueur et leur résistance; de là, la disparition des troubles convulsifs. M. F. Siemens. CoKS ! dc/'<tOHSp
pose les désignations suivantes : Io Trouble psychique simple; 2° Trouble psychique paralytique; 3° Trouble psychique acc
Io Trouble psychique simple; 2° Trouble psychique paralytique; 3° Trouble psychique accompagné d'épilepsie ou d'hystérie ;
ure. M. L.v;un estime qu'il y a eu chez la malade en question des troubles vagues de la sensibilité etjdo la motilité. 11 in
rie exposées dans le chapitre iv sont groupées en trois degrés : 40 troubles légers des facultés affectives; 2° état mental
avec une tendance spéciale à l'onanisme (Ki,airL-11)iiig). A ces troubles mentaux s'ajoutent des symptômes d'ordre phy- '
l'asphyxie locale des doigts et des orteils. Il existe souvent des troubles menstruels variables. On observe quel- quefois
ains caspar ces accès de kleptomanie, dipsomanie, érotomanic. A ces troubles psychiques, opposés à ceux de la période de dépre
e générale se développer concurremment avec l'ataxie (Millier). Les troubles psychiques et somatiques sont souvent inca- pab
t l'attaque. La troisième et la quatrième leçon sont consacrées aux troubles 'il G BIBLIOGRAPHIE. intellectuels des épilep
e limitant la durée de l'irresponsabilité, M. Magnan, distingue les troubles intellectuels passagers (folie momentanée) ou d
t enlevé tout crédit à cette théorie. Sans exoplilhalniie, avec des troubles oculaires indéterminés, la première malade offre
tion de la tumeur thyroi- diezze, la seconde malade est affectée de troubles de la vue, de con- gestion céphalique, revenant
e D Fothergilt (de Londres) croit en outre qu'on doit attribuer aux troubles de nutrition une certaine part dans la production
ilepsie par malformation du crâne, la folie à deux, la tétanie, les troubles visuels de l'alcoolisme, la pathogénie de l'épile
me, sur la maladie cérébro-cardiaque, et plusieurs mémoires sur les troubles laryngés dus à des affections nerveuses. Le r
92 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
nt motrice on peut placer une forme plus complexe dans laquelle des troubles sensitifs ou sensoriels se joignent aux phénomè
du côté opposé à la lésion de l'hémi- sphère cérébral. Parmi les' troubles sensoriels produits par une lésion cérébrale il e
nérale qui semble régir en pathologie cérébrale la distribution des troubles moteurs et sensitifs, d'après laquelle les troubl
distribution des troubles moteurs et sensitifs, d'après laquelle les troubles moteurs, sensitifs ou sensoriels qui constituen
ns ces cas il s'agit toujours d'une hémiplégie droite, avec ou sans troubles de la sensibilité, et la lésion siège alors dans
t-il là qu'une apparence et ne s'agissait-il tout simplement que de troubles paraphasi- ques ainsi que portent à le croire l
ce faisceau spécial de l'a- phasie ; je pense que lorsqu'il y a des troubles du langage consécutifs à la lésion du pédoncule
ésion du pédoncule cérébral gauche il s'agit, ou bien simplement de troubles de la prononciation, ou bien, comme chez notre ma
- miers temps pour du délire à cause de l'allure incohérente que ce trouble de la parole apportait dans son langage. J'ajou
jouterai que la malade, qui est aujourd'hui, au point de vue de ces troubles du langage, en voie d'a- mélioration, semble av
'est-à-dire dans le lobe occipital. Nous savons également que les troubles paraphasiques, tels que ceux que nous avons rel
aines dimensions ; et même de cette façon on n'expliquerait pas ces troubles aphasiques caractérisés es- sentiellement par u
blige en même temps à chercher un complément d'explication pour les troubles aphasiques et les troubles hémiopiques. Si l'
her un complément d'explication pour les troubles aphasiques et les troubles hémiopiques. Si l'hémorrhagie du pédoncule céré
ge et de leurs connexions avec le lobe occipital, subiront certains troubles qui, quoique pouvant n'être que temporaires, n'
re commun, ainsi que de la partie motrice du pédoncule cérébral. Ce trouble circulatoire aurait donné lieu aux symptômes tr
ssait dans l'hypothèse précédente, il n'y aura aucune lésion, aucun trouble cir- culatoire dans le pédoncule cérébral, tand
donnant lieu à l'hémiopie persistante et peut-être aussi à quelques troubles transitoires du langage. 3° Si, comme nous supp
brale postérieure, et en particulier l'hémiopie, parfois aussi des troubles aphasiques, et en outre on aura d'autres symptô
syndrome de Weber permanent avec hémiopie per- manente et quelques troubles aphasiques transitoires lorsque la lésion sié-
ment, qu'un traitement aiiti-sypliilitique institué dès le début des troubles cérébraux donne très rapidement des effets salu
écédemment, il s'était produit une amélio- ration considérable, les troubles paraphasiques n'étaient plus que peu accusés, l'h
s complète avec une petite encoche centrale. On ne cons- tate aucun trouble intellectuel. Une photographie récente reprodui
tiré aucun bénéfice de l'élongation. Les phénomènes douloureux, les troubles génito- urinaires, l'incoordination motrice ava
es portant principalement sur les divers phénomènes douloureux, les troubles génito-urinaires, l'incoordination motrice; l'in-
u- liens étaient égaux des deux côtés. Il n'a jamais présenté aucun trouble permanent de la motilité ni de la sensibilité.
voisines ni par compres- sion, grâce à son petit volume, ni par des troubles circulatoires, ni par des altérations inflammat
érieure du lobule pariétal supérieur de l'hémisphère droit. Quels troubles fonctionnels pouvait produire cette tumeur, son s
de certaines zones corticales pour pouvoir en déduire à priori les troubles fonctionnels que sa destruction ou son'irritati
jours lieu à des anesthésies, qui, à leur tour, sont l'origine des troubles moteurs qui doivent plutôt être appelés des ata
ref, tous ces savants rapportent les altérations du mouvement à des troubles , soit de la sensibilité générale, soit de la cons
dantes peuvent produire des paralysies pures, non accompa- gnées de troubles sensitifs. Et ce fait incontestable, sur lequel C
lité générale et musculaire peuvent apparaître in- dépendamment des troubles moteurs, bien qu'ils se trouvent souvent asso-
atistiques de Ferrier et de Charcot - ne sont point accompagnées de troubles de la sensibilité gé- nérale et musculaire, nie
la lésion produit d'une part la paralysie motrice, d'autre part le trouble du sens musculaire, occupent évidemment des terri
de la lui re- dresser. Y aurait-il un rapport quelconque entre ce trouble psychique et le pro- cessus local ? La déchar
édisposi- tion spéciale d'origine héréditaire, qui doit résulter de troubles molécu- laires et dynamiques qui nous échappent
anomalie ; nous retiendrons seulement qu'elle sem- ble reliée à un trouble du développement ou de la nutrition. Sa coexis-
e malade n'en a aucun des stigmates ordinaires, mais il présente un trouble des mou- vements oculaires sur lequel M. Raymon
être très large, ce gant trop juste est horriblement pénible. Aucun trouble de réflectivité. Aucun trouble trophique. On ne
uste est horriblement pénible. Aucun trouble de réflectivité. Aucun trouble trophique. On ne relève chez cette malade aucun
Aucun trouble trophique. On ne relève chez cette malade aucun autre trouble de la santé qu'une certaine diminutionde la mém
nk nièrent l'existence de ces derniers ; ils rapportèrent aux seuls troubles de la sensibilité les phé- nomènes paralytiques
ux-ci doivent à leur lésion la perte de leur sens musculaire et les troubles de la motilité ne sont qu'une conséquence de ce
sous forme de mouvement. Il est impossible de nier l'existence de troubles de la sensibilité dans les lésions corticales s
cales suivies de phénomènes moteurs; la rapide dispari- tion de ces troubles , leur peu d'intensité, leur modalité particulière
r le sens musculaire ; aussi dans les 2 observations où il noie les troubles du sens musculaire et du sens stéréognostique c
du sens stéréognostique comme existant à l'exclusion de tout autre trouble de sensibilité, nous savons que la sensibilité
nes dans les 4 observations caractérisées pour lui par l'absence de troubles stéréo- gnostiques et musculaires malgré la pré
e troubles stéréo- gnostiques et musculaires malgré la présence des troubles de la sensibi- lité douloureuse, thermique et d
réognosti- que ; il faut ajouter du reste que loin de localiser les troubles de sensibi- lité dans les régions atteintes par
eintes par le processus destructeur, l'auteur consi- dérant'que ces troubles ont disparu rapidement a de la tendance à les met
- dre un interrogatoire aussi délicat que celui de la recherche des troubles de la sensibilité. ' - Verger qui a fait sa t
pas atteintes, que la topographie en est plus diffuse que celle des troubles moteurs, que la durée en est éphémère et parait ê
dent et s'abstient dit- il de discuter la question de savoir si les troubles sensitifs qu'il a cons- tatés sont un effet dir
i tués autre part, par voie inhibi- trice ou par l'intermédiaire de troubles circulatoires. Rappelons qu'il a en effet toujo
bilités élé- mentaires pouvait être indépendante de l'évolution des troubles du sens stéréognostique et pour expliquer ce ph
de l'intelligence proprement dite ; ses lésions provoqueraient des troubles de la mémoire et de l'association des idées, l'
rappeler que les maladies du système nerveux interviennent dans les troubles de la marche pour une part considérable, non mo
omènes oculaires : diplopie et stra- bisme, puis deux ans après, de troubles gastriques sous forme de crises. Aux symptômes
de la colonne vertébrale. Enfin, il y a trois mois, ont apparu des troubles urinaires caractérisés par de faux besoins d'urin
turière. Le début de l'affection remonte à 3 ans 1/2. Il existe des troubles oculaires ; la pupille droite est plus large que
ans, se plaint de douleurs au niveau de la région céphalique et de troubles vésicaux. Il offre des pupilles punctiformes. Ama
e de l'hôpital Tenon. L'attention fut surtout alors attirée sur les troubles de l'estomac. Le 16 juillet 1897, il entra dans
de la cachexie cancéreuse. Ce dont il se plaint surtout, c'est des troubles vésicaux. Il est obligé de pren- dre d'habitude
e dans le sens vertical. Le cathétérisme difficile ramène une urine trouble et sanguinolente. L'examen histologique y révèle
n'accuse pas de palpitations. L'attention est attirée par suite des troubles vésicaux sur le système nerveux. On constate le
à 10 ans environ,' caractérisé par un mal perforant plantaire, des troubles oculaires, des cri- ses gastriques, des phénomè
rveux chez les ma- lades, cela s'explique, non pas par l'absence de troubles du système nerveux, mais plutôt parce qu'on ne
ie des muscles des jambes. Les altérations de la sensibilité et les troubles trophiques dans ces der- niers cas nous permett
moelle épinière des amphibies et des mammifères, a provoqué divers troubles trophiques de la peau, en variant la force d'exci
épithélium, l'atrophie de la peau, la formation de plaies et autres troubles trophiques de la peau. On doit croire que tout
rathyroïdienne provoque les accidents nerveux et en particulier les troubles intellectuels associés au myxoedème » (1). S'
de conditions étiologiques multiples; la principale parait être un trouble trophique vasculaire congénital, l'anangioplasie;
tiques. Léger diabète insipide. 3,900 grammes d'urine en 24 heures. Troubles oculaires d'origine syphilitique, pour Horn. Dé
les oculaires d'origine syphilitique, pour Horn. Démarche ataxique, troubles sensitifs. Exostose à 5 centimètres au-dessus de
moins riche du tissu intermusculaire constitue le commencement des troubles dans les muscles ; l'infiltration débute par la
es faisceaux musculaires par le tissu con- jonctif rétractile, à un trouble de la nutrition et de l'innervation des mus- cl
s occupaient la racine de la verge ; le pubis était glabre. « Les troubles trophiques cutanés se réduisaientà l'illfilLratio
hez lesmuetset chez les bègues (4). La preuve de ces connexions des troubles des mouve- ments non adaptés et des mouvements
e, 1891, II, p. 481). (3) Ch. FUIE, Elude physiologique de quelques troubles d'articulation, Nouv. Icon. de la Salpêtrière,
s (C. R. Soc. de biol., 1893, p. 311. (4) Cil. Féhé, Note sur les troubles de la motilité des organes de la voix el de l'arl
s, elleest bien portante, vigoureuse; elle n'a jamais souf- fert de troubles nerveux ; mais elle présente une légère parésie f
ses et diffuses, sans localisation spé- ciale. On n'observe aucun trouble de la marche ni de l'équilibre quand l'épreuve
émité des doigts. Dans l'intervalle des accès, on ne constate aucun trouble de la sensibilité. On a pris seulement le temps
t-à-dire d'une commissure à l'autre de ce côté. 11 n'existe aucun trouble de la sensibilité de la peau ni des muqueuses de
: 1° Une lésion cérébrale datant de l'enfance et laissé ces cas de troubles fonctionnels en quelque sorte négligeables, sem
robablement à l'oedème. La sensibilité cutanée est intacte ; pas de troubles de la sensibilité Lher- mique, pas d'anesthésie
aire. Fiistner signale du nystagmus à la vue externe extrê- me. Ces troubles oculaires ressortissent-ils à la myosite ossifian
ion très pénible de déchirure et de tension à la mastication et des troubles de la phonation (Munchmeyer) 1'(i,,(lèîîie de l
laire, et Volkmann se demande si notre affection ne relève pas d'un trouble osseux île la croissance. S'il en était ainsi d'o
tait ainsi d'où vient la rareté de 164 A. WEILL ET J. NISSInI ces troubles de la croissance en général et leur fréquence rel
ans d'autres cas, et croit devoir attribuer les ossifications il un trouble trophique. Le début de la maladie se localisant
ction qui nous occupe consiste dans une myosite interstitielle avec trouble trophique. Les hypothèses de Munchmeyer, de Fri
qu'on le constate aujourd'hui. En 1886, pour la 3e fois, les mêmes troubles réapparurent, ils s'attaquèrent à l'articulatio
nt de salive et les avale, ce qui détermine, de temps en temps, des troubles gastriques. Pour prendre des liquides, il se se
ture et dans les membres supérieurs (sphère du cubital). En 1890. Troubles moteurs du côté des membres supérieurs; les mou-
vements deviennent brusques, saccadés. Vers 1891, apparition des troubles de la parole. En 1892, il entre la la Salpêtriè
t ne lui permettait de se mouvoir que difficilement dans son lit. Troubles moteurs. - Du côté des membres inférieurs, il y a
e particulière de maladie de Friedreich avec atrophie musculaire et troubles de la sensibilité. Soc. de biologie, 1890, p. 43.
oix suffisamment forte. Ses réponses ne trahissaient pas le moindre trouble psychique, mais une sorte d'apa- thie, bien jus
nale ; les réflexes cutanés étaient normaux. Il n'existait pas de troubles de la sensibilité objective. Les sphinc- ters f
ient, une composition normale. 218 F. RAYMOND Dans la suite, le trouble de la vue et de l'ouïe est allé en s'aggravant.
- sion rénale. En second lieu, dans les cas d'urémie chronique, les troubles en question ne se présentent pas avec la nettet
rvations de tumeurs des lobes frontaux, qui se sont accompagnées de troubles de l'équilibration. z Demandons-nous maintenant
certaine me- sure. Bref, nous devrions nous trouver en présence des troubles sensitifs et moteurs qui ne manquent jamais dan
primer le cerveau, puisse procurer une atténuation considérable des troubles visuels déjà existants. Les faits publiés par IIo
à propos de la nature des sensations douloureuses. La question du trouble de chaque espèce particulière de la sensibilité d
osseux des fosses nasales. Coryza chronique, souvent strié de sang. Troubles de l'ouïe il droite. Perte de l'odorat; puis sy
t; puis symptômes multiples d'ostéites naso-crhniennes. rnvasion de troubles cérébraux symptomatiques, et mort en 1878 (1).
e. Cependant cette indéniable hydrocéphalie ne s'accompagne d'aucun trouble . Marche facile; parole normale. Le père dit mêm
opie et quasi-cécité, etc. Cependant érections conservées et pas de troubles vésicaux. Marche correcte). Marié depuis quinze m
à la pression. Le membre est constamment froid. Il est le siège de troubles vaso-moteurs accentués surtout au niveau de l'e
aiunesco, Un cas de lésion traumatique du trijumeau el du facial avec troubles trophiques consécutifs. Arch. de pUys , 1895, p
e peut pas changer de position sans le secours d'un tiers. Pas de trouble de la digestion. Traitement : KI, diète sévère
ent; il en est de même en général de la raideur de la marche et des troubles de la motilité des membres supérieurs et inféri
tubercules dans les creux axillaires, et, pendant l'apparition des troubles de la marche, il se développe à la hanche droite
ue et du dos, gêne notable dans les mouvements de la mâchoire, d'où troubles de la parole. Plus tard raideur du genou droit
côtes inférieures. En dehors des douleurs il n'existe pas d'autres troubles de la sensibilité. Marche de la maladie. - L'af
les atrophies musculaires sont bien marquées, et il existe un autre trouble trophique, le vitiligo du visage. Les malades d
droite. La face, dont la mimique est paresseuse, ne présente pas de troubles de la sensibilité. Tout le reste du corps est
antéro-postérieure, dans la ré- gion occipitale. Salivation. Pas de troubles moteurs. Sensibilité légère- ment émoussée sur
res. Main droite un peu plus développée que la gauche. Pas d'autres troubles ni d'autres malforma- tions, sauf une petite he
de particulier. Le malade goûte et reconnaît bien les aliments. - Troubles vaso-moteurs. La joue droite, plus rouge que la g
piratoire, génito-urinaire) le foie, la rate sont normaux. Pas de troubles intellectuels ni d'altération de la santé général
dance à devenir progressives. Elles peuvent coïncider avec d'autres troubles de l'évolution, implantation de parties foe- ta
tiasique consé- . cutif. Dans ces hypertrophies congénitales, les troubles de la circulation vei- neuse et lymphatique son
rties molles à la présence de noevi an- giomateux (3) en vertu d'un trouble circulatoire du même ordre que ceux qui survien
(2) Miram. Thèse de Dorpat, 1817, p. 17. (3) Dorén, Sur quelques troubles du développement du squelette dus des angiomes
nt sur l'unilatéralité de la malformation et sur la constatation de troubles , fonctionnels tels que sialorrhée, modi- ficati
ciale acquise. La sensibilité et la motricité sont nor- males ; les troubles sécrétoires ou calorifiques sont dus à la macrogl
e table mise en vibration par un diapason, on produit en général un trouble d'évolu- tion, le plus souvent une malformation
nous venons de passer en revue n'est certainement pas univoque. Un trouble persistant dans l'innervation du trijumeau a pr
énie ex- périmentale, 2° édit. Paris, 1891. Dazén. - Sur quelques troubles du développement du squelette dus à des angiomes
épaissi presque dans sa totalité. Sur le côté postérieur du (1) Les troubles des mouvements de la mâchoire apparurent à 2 ans
e avec ces difformités. D'autre pari, l'hémiatrophie faciale est un trouble trophique qui peut avoir un lien de parenté palfo
compte plus les cas où une épilepsie par- tielle, une paralysie, un trouble du langage ou de la mémoire, des crises dou- lo
nt, nous avons été initiés aux rapports qui existent entre certains troubles nerveux et les lésions dés divers centres ou fa
nt se compose la moelle. Jusque- là, on se bornait à considérer ces troubles en eux-mêmes. Mais voici que, peu à peu, à la p
ur la connaissance de ces rapports de filiation entre la nature des troubles morbides et le siège des lésions spinales : pour
o-clinique, à force de rechercher si, à une catégorie déterminée de troubles nerveux, correspond bien la lésion de tel ou tel
e, on toucha à cette révélation curieuse : les diverses variétés de troubles nerveux, qu'ils se montrent isolément ou en tant
s, les perversions du sentiment, de l'intelligence, du caractère, les troubles des viscères, etc. Ce sont ces manifestations,
i, nous avons affaire à des désordres psychiques, qui relèvent d'un trouble de la personnalité, d'une obnubilation du moi.
vant tout clinicien, c'est-à-dire qu'il rapprochait constamment les troubles matériels constatés sur les cadavres des symptô
res supérieurs, nous ferons remarquer en passant qu'il n'y a pas de troubles de la sensibilité objective dans cette région. Le
es bras tombant naturellement. Il n'y a rien à noter, en dehors des troubles morphologiques de la région scapulo-humérale dé
sont des faits de paralysie complexe tous les faits où on a noté un trouble de l'attitude de l'épaule, lorsque le bras pend
apport au thorax. Si le bras s'élève volontairement, les principaux troubles de la région scapulo-humérale sont très accusés
vaisseaux voi- sins ne paraissent présenter aucune anomalie. Les troubles fonctionnels sont peu intenses : la malade parle
entre la neuvième et la onzième apophyses épineuses dorsales, sans trouble de la sensibilité de la peau. Pas de points doulo
ésie,ni douleurs à la pression dans les régions désignées. Mais les troubles du sommeil qui existaient depuis le début n'avaie
ants. Ces mouvements choréiformes isolés ne s'accompagnaient pas de troubles lo- caux de la sensibilité ; ils ont disparu au
a généralisation de la chorée est un fait à remarquer, bien que les troubles mentaux puissent précéder la chorée quelquefois
nt au maximum. On observe d'ailleurs quelquefois dans la chorée des troubles auditifs qui pa-, raissent dus à des mouvements
approprié, de tout bruit morbide, et disparaissant avec les autres troubles . Cette évolution indique bien la nature névropa-
tion indique bien la nature névropa- thique encore contestée (2) du trouble . Notons encore que la prédominance des mouvemen
aris, 189 î Favier, Le ctvur dans la chorée, étude particulière des troubles choréiques cardiaques d'origine nerveuse, th. L
par l'extraordinaire accélération des mouvements respiratoires sans trouble bien sensible de la fonction respiratoire vraie,
une lésion des centres nerveux; le processus ossifiant constitue un trouble trophique par- ticulier ; 7° Le début de la m
93 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
a reine Hatshopsitou, lorsqu'on les découvrit, jetèrent le plus grand trouble parmi les premiers Egyptologues. Pour expliquer c
nd. Cette personnalité est caractérisée, dans son ensemble, par des troubles de nutrition marqués par la perte complète de l'a
laire), un psoriasis s'étendant à toute la surface cutanée, enfin des troubles du sommeil, on peut dire de l'insomnie. L'état
ement à toutes les questions qu'on lui adresse et si ce n'étaient les troubles physiques qu'elle présente on ne penserait pas à
ons de personnes atteintes comme la petite bergère de Lourdes, de ces troubles nerveux. 1" Observation : Mlle de C... est atte
ndrons à l'objection, en expliquant ce qu'est l'Aura. L'Aura est un trouble tantôt moteur, tantôt sensilif, tantôt psychique
ion encéphalique et c'est ce fait seul qui permet de comprendre qu'un trouble fonctionnel cérébral ait une répercussion sur les
bral ait une répercussion sur les fonctions organiques, de même qu'un trouble fonctionnel organique doit avoir, à son tour, une
5. répercussion centrale. Par conséquent, chercher à expliquer un trouble fonctionnel par une altération mentale antérieure
e symptôme. Ce qu'il faut c'est remonter à la cause première dont les troubles psychiques et physiques ne sont que les manifesta
e ce pouvoir et par suite un équilibre nutritif instable qu'un simple trouble vaso-moteur pourra rompre. Nous savons, d'autre p
a rompre. Nous savons, d'autre part, que les émotions ne sont que des troubles vaso-moteurs; on peut donc comprendre qu'une émot
nutritif, ce qu'on a appelé de la faiblesse irritable, détermine des troubles fonctionnels plus ou moins généraux et plus ou mo
re que se poursuit la rééducation fonctionnelle de chaque organe, les troubles nutritifs s'amendent progressivement ce qui se ma
y avait rechute, son intensité étant pour ainsi parler, parallèle aux troubles nutritifs (le psoriasis avait été, nous l'avons d
ature, se manifestant toujours au point de vue physiologique, par des troubles vaso-moteurs, c'est-à-dire par des variations de
: tous les phénomènes morbides ont disparu, il n'y a plus le moindre trouble de sensibilité, toutes les fonctions s'accompliss
s de névrose constitutionnelle non seulement il faut tenir compte des troubles nerveux mais aussi et surtout du terrain sur lesq
n le dire, si nous disposons de moyens multiples efficaces contre les troubles nerveux, il n'en est pas de même de la prédisposi
tous les moyens pédagogiques usuels, ne soit une cause permanente de trouble et d'indiscipline. 11 arrive fréquemment que la d
ections qui semblent le plus atteindre la graphologie. Il donne aux troubles de l'écriture la valeur d'un symptôme, d'un éléme
leur d'un symptôme, d'un élément de diagnostic, au même titre que les troubles de la parole, de la marche, de l'attitude, de la
ion pour établir le diagnostic de certaines affections » et que « les troubles de l'écriture évoluant parallèlement à ceux de ce
t déterre de Nice, en 1887, beaucoup de personnes se sont plaintes de troubles névropathiques Imputables à la frayeur inspirée p
évropathiques Imputables à la frayeur inspirée par les secousses. Ces troubles ont été longs à guérir. Charcot en a recueilli un
puis l'autre par ophtalmie sympathique. Cette cécité se compliqua de troubles mentaux. « L'ébranlement du cerveau ayant été for
lques mois de neurasthénie. Nous notons chez lui particulièrement des troubles digestifs, des vertiges, une tendance à la triste
de est une dame de 34 ans, neurasthénique, chez laquelle dominent des troubles digestifs, lourdeur et congestion cépha-lique apr
e -f- 20°. Un autre malade se plaint d'une grande fatigue générale, troubles digestifs, affaiblissement et lourdeur de tète su
ie chez tous ces malades. Nous voyons chez tous la prédominance des troubles digestifs. Il n'est pas difficile de se rendre
urtout une dépression des forces physiques; aucun ne se plaint ici de troubles ou d'affaiblissement des facultés intellectuelles
je ne reviendrai pas, c'est-à-dire neurasthénie avec prédominance des troubles digestifs. Sa formule qui est prise avec le sth
ent différent. Ce sont toujours des neurasthéniques, mais, au lieu de troubles organiques et d'affaiblissement physique nous all
ériques : Mlle D..., 28 ans. Douleurs de tète de nature hystérique; troubles profonds de ta sensibilité; à l'exploration des r
21 ans. Point hystérique, nombreuses zones d'hyperesthésic. Aboulie, troubles psychiques. Son examen au sthénomètre donne :
cutanée. Anesthésie pharyngienne et abolition du réflexe. Insomnie et troubles psychiques nombreux. Au sthénomètre, nous avons :
mètre : Main droite -f- 17°. Main gauche +23°. Il existait encore des troubles psychiques qui expliquent cet écart anormal. Malh
s la nuit. Enfin, depuis un certain temps, sont venus s'y ajouter des troubles digestifs et des vomissements. Cette malade prése
soit, le 12 octobre, après avoir observé une amélioration notable des troubles hystériques, dont la plupart ont cédé sous l'infl
hobie de la crise, plus de vomissements, mais elle éprouve encore des troubles digestifs, qui sont sous la dépendance de la neur
ond cas du "même genre ; il s'agit d'une femme de 35 ans, hystérique; troubles nombreux de la sensibilité, hyperesthésie, diminu
orables effets du surmenage intellectuel producteur de névroses et de troubles mentaux. L'Administrateur-Gérant : Ed. BERILLON
ge habituel du sevrage que l1 homme-momie aurait éprouvé les premiers troubles de nutrition qui, par une sorte d'autophagie, ont
nouvelles conditions d'existence et de survivre à cette atrepsîe. Les troubles trophiques s'étaient d'ailleurs cantonés aux dive
la clinique infantile, donne les indications suivantes sur les divers troubles du langage qui peuvent s'observer chez l'enfant.
arle pas du tout, il peut s'agir de surdité, d'un simple retard ou de troubles intellectuels allant jusqu'à l'idiotie. Si l'en
. Si l'enfant parle, mais parle mal, il faut faire le diagnostic de trouble de la parole. Le bégaiement vrai est caractéris
caractérisé par les signes suivants: 1e Début dans l'enfance ; 2° Troubles respiratoires plus ou moins marqués ; 3° Intermit
ent, on n'a pas affaire au bégaiement proprement dit, mais à un autre trouble de la parole. La biésité est quelque chose de t
r des résultats si remarquables dans le traitement de ces variétés de troubles du langage. Toutes les variétés de biésité peuven
ours être corrigées sans crainte de récidive en 12 ou 15 jours. Les troubles du langage, et notamment le bégaiement, seraient
ntent leur système pileux, elles éprouvent des malaises divers et des troubles nerveux qui ne cessent que lorsqu'elles se décide
ésordre déterminé, sans qu'il y ait même des lésions anatomiques. Ces troubles se manifesteront sous les diverses formes de névr
les secours et le traitement initial peuvent être considérés comme un trouble psychique. Le traitement psychique joue dès le co
ar M. le Dr Lombard, oto-laryngologiste des hôpitaux, qui signala des troubles auditifs d'origine nerveuse, ayant amené une nota
ion de lésions matérielles, implique, d'ailleurs suffisamment, que le trouble nerveux est purement fonctionnel. Et il en est
Lorsque l'obsession est à son plus haut degré, M. Cavter présente des troubles de la sensibilité générale d'une acuité singulièr
prie de garder le visage Immobile Xous n'avons constaté aucun autre trouble de la fonction musculaire; et, fait de première i
surtout un caractère psychique ; qu'elle a pour symptôme dominant un trouble sensoriel, tenace, malgré ses variations d'Intens
rebelles que les autres formes, alors même que le point de départ du trouble sensoriel est psychique, nous concluons : i" M.
n de la moelle ; or, la force musculaire est conservée et il n'y a de trouble ni de la sensibilité ni de la réflectivité. Au po
ociété des naturalistes, avait pris pour sujet : La suggestion et les troubles vaso-moteurs cutanés. L'auditoire, composé en g
de désharmonie fonctionnelle, de déséquilibre mental, avec angoisse, troubles vasomoteurs ou sécrétoires, agitation ou impotenc
au moment de l'audition, le trac se manifeste avec tout le cortège de troubles énoncés ci-dessus; dans l'intervalle des audition
ire... Puis, le dimanche, en chaire, il bredouille lamentablement, se trouble et produit un très mauvais effet. Vexé, découragé
explication esthésitante, parfois enfantine et incorrecte ; il se trouble et parait improviser péniblement ce qu'il a prépa
janvier : L'île de Sakhaline, par M. Paul Labbé. Le 6 février : Les troubles de la parole, par M. le Dr Chervin. Le mardi 13
-ci, et par conséquent ne pas l'attaquer directement, mais traiter le trouble fonctionnel dont elle n'est fréquemment que la co
rent à le faire revenir sur sa décision, mais ils ne purent calmer le trouble de son âme. « Il porta cette playe jusqu'à la mor
m, tels que antipyrine, arsenic, bromures? Tout cela exaspérerait les troubles de la digestion et les mouvements s'en trouveraie
(de Saujon) a montré le premier la place considérable qu'occupent les troubles de l'attention parmi les déviations mentales des
l de jouer devant un public même très restreint, il est désemparé, se trouble et finalement s'arrête au bout de quelques mesure
mettre le tra- qucurau traitement physiologique que réclament les troubles fonctionnels de sa digestion, de sa dépuration ur
. En interrogeant M. T., j'apprends qu'il a commencé à éprouver des troubles digestifs, à la suite de chagrins violents. Il a
d'hystérie ni de maladie nerveuse caractérisée. Je ne constate pas de troubles de la sensibilité ni des réflexes. Son examen a
nt nous montre chez ce malade l'absence de symptômes d'hystérie et de troubles nerveux constatables. Comment, dès lors, poser
Comment, dès lors, poser notre diagnostic de vomissements dus à des troubles des centres nerveux et non à une maladie de l'est
as, de la plus grande utilité. Il permet de constater l'existence des troubles nerveux qui ne se manifestent pas par d'autres sy
les Voisin. — La suggestion peut ainsi guérir un très grand nombre de troubles relatifs à l'alimentation ou à la digestion. J'ai
e a été souvent guérie par des moyens empiriques. Des guérisons de ce trouble nerveux ont été également obtenues à la grotte de
des aboulies, des timidités, des états émotifs dans la pathogénie des troubles fonctionnels du système nerveux. Il est le premie
rébral est employé comme une source d'énergie pour dissocier tous les troubles qui dépendent plus ou moins de son cerveau d'une
faut analyser et individualiser très exactement, pour découvrir quel trouble fondamental se cache derrière les symptômes neuro
d'hallucination) se surajoutent des phénomènes dysesthésiques et des troubles vaso-moteurs : elle accuse des points douloureux
; — psychopathologie du goût, de la faim, de la soif ; — psychoses et troubles mentaux relatifs à l'alimentation et à la digesti
bserver que les malades qu'il guérit (je parle de malades atteints de troubles fonctionnels) sont ceux qui sont venus avec confi
utre discuter, persuader, démontrer à *on malade qu'il est atteint de troubles nerveux, ilais toute persuasion ou discussion n'a
se. Or les cas d'hystérie forment la majorité des malades atteints de troubles fonctionnels; donc 51. Dubois sait très bien mett
é sans le vouloir et sans pouvoir l'empêcher. Il fait disparaître des troubles nerveux, il rétablit, comme nous, l'équilibre che
hes, car nous détruisons aussi la désintégration psychique, cause des troubles fonctionnels ou nerveux ; le résultat est le même
sa psychothérapie lui suffit et qu'elle lui permet de guérir tous les troubles fonctionnels justiciables d'un traitement pr.ychi
raisonnement et que la suggestion hypnotique doit être appliquée aux troubles du polygone ou de la sousconscience. C'est clai
eux consciences est telle que presque tous les malades présentent des troubles de la surconscience et de la sousconscience. fit
ous ne pouvons saisir pourquoi l'hypnotisme qui serait bon contre les troubles du polygone serait mauvais contre ceux de 0. Pour
tte distinction de il. Grasset dans l'application du raisonnement aux troubles de la surconscience et de Vhypnotisnie aux troubl
raisonnement aux troubles de la surconscience et de Vhypnotisnie aux troubles de la sousconscience. de même que nous ne pouvons
traitement hypnotique. Bans l'hystérie existent presque toujours des troubles de O et du polygone ; les troubles de 0 ou de la
érie existent presque toujours des troubles de O et du polygone ; les troubles de 0 ou de la surconseieace sont ceux du caractèr
Nous ne comprenons pas pourquoi l'hypnose qui ferait disparaître les troubles du polygone, augmenterait la désintégration de la
qu'il n'a aucune prise sur le polygone; al'.iB comment guérit-il les troubles du polygone que if. Grasset, lui, indique comme é
comme étant justifiables de l'hypnotisme ? il. Dubois a écrit que les troubles reinaus des enfants et particulièrement l'inconti
nts comme il le dit, mais parce que l'incontinence est précisément un trouble du polygone, de la sousconscience sur lequel le r
u en détail afin de ne pas revenir sur ce sujet en parlant des autres troubles du polygone ou de la sousconscience. 2ïous préten
plus profond. On comprend que la psychothérapie ne puisse agir sur ce trouble ou bien elle ne le peut qu'en agissant sur la sùg
rritation réflexe produite par la dilatation de la matrice et par les troubles généraux qui l'accompagnent. Il est possible d'ar
parle beaucoup des psychonévroses menstruelles, mais pas du tout des troubles menstruels mêmes. H est impossible par la psychot
ur le centre vasonioteur. C'est pour cela que nous pouvons guérir les troubles menstruels fonctionnels, si fréquents chez les ne
les troubles menstruels fonctionnels, si fréquents chez les nerveux, troubles qui ne disparaissent pas toujours quand Yétat ner
igence et des mouvements, tout cela ne pouvait s'expliquer que par un trouble purement dynamique des fonctions cérébrales. Sé
hystériques si l'on veut, bien que la jeune fille ne présentât aucun trouble de la sensibilité de la peau, des muqueuses, ni a
t aucun trouble de la sensibilité de la peau, des muqueuses, ni aucun trouble sensoriel ; elle n'avait aucune bizarrerie dans l
l suit : 1° Dr Pamaut. — Action de la suggestion hypnotique sur les troubles fonctionnels occasionnés par un kyste hydatique d
nce est levée à 6 h. 50. Action de la suggestion hypnotique sur les troubles fonctionnels occasionnés par un kyste hydatique d
es accompagnées de fragments de membrane-mère. De ce jour, tous les troubles cessèrent pour ne plus jamais reparaître. Mon anc
bit et d'en limiter la dépense. M. Paul Farez. — Qu'il y ait simple trouble fonctionnel ou lésion organique, la sollicitation
dans son état depuis cette époque permettent d'affirmer la nature des troubles de mentalité qu'elle offre. En effet, c'est ver
un cas extrêmement intéressant. Quelle que soit l'interprétation du trouble psychique, qu'on admette la synthèse mentale osci
mécanique de la), par Pamart, p. 250. Kyste hydatique de l'estomac ( Troubles fonctionnels occasionnés par), par Pamart, p. 374
94 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
tion et présente de l’anesthésie pharyngée ; elle n'offre aucun autre trouble de sensibilité et n'a jamais eu d'attaques d’hyst
; phobies nombreuses: peur de rester seule, agoraphobie; aboulie. Les troubles psychiques s’étaient à la longue compliqués de dé
e chez les autres névropathes. Thanatophobie, agoraphobie et divers troubles nerveux traités avec succès par la suggestion.
s normales. C'est en suivant cette méthode que j’ai pu triompher de troubles psychiques des plus pénibles comme des plus tenac
ité des centres nerveux. Que ces centres à leur tour — par suite d'un trouble cœnesthésique soit de cette sensibilité viscérale
se enjeu de cette idée subconsciente; peu à peu, la répétition de ces troubles renforcera l’idée principale et, par ce mécanisme
ion ou par lésion du cœur et, de l’autre, les lésions d'organe ou les troubles de fonction susceptibles de retentir sur cette se
pproché inconsciemment, par une élaboration maladive du cerveau, d’un trouble fonctionnel existant, il reparaissait à chaque ma
ble gastrite, encore à ses débuts, mais suffisamment affirmée par les troubles consignés dans la première partie de cette observ
hodiques; hygiène spéciale en rapport avec la nature et l’origine des troubles digestifs. Pendant chaque visite, je m’efforce de
t par suffocation, ne sont pas le résultat d'une idée délirante, d'un trouble mental, mais d'un souvenir qui, à son insu, a lai
le rapport existant entre les malaises gastriques, ses phobies et les troubles cardiaques, je lui conseille enfin, dans ses mome
leurs résistances et on leur impose des suggestions efficaces. Les TROUBLES DE LA PAROLE CHEZ L’ENFANT, par G.-L. DUPRAT, Mai
er. Tout cela n'a rien de bien étonnant si l’on songe que derrière ce trouble de la parole il y a, le plus souvent, non pas un
ptomatique se manifeste parfois, surtout dans les cas graves, par des troubles oculaires trop souvent méconnus, tels que : érvth
elle; d’autre part, le malade en traitement peut être en imminence de troubles mentaux qu’un traitement intempestif ferait éclat
er à nouveau, faire encore quelques petits pas, et ainsi de suite. Ce trouble ce la marche s'accompagne de petits mouvements da
lle elle s'est complètement remise. Celle d'il y a un an a laissé des troubles qui subsistent encore. Le masque de cette femme e
supérieurs, mais toute la force musculaire est conservée; il n'y a ni trouble sphinc-térien, ni trépidation spinale ; enfin, sa
, sauter; elle jouit de toute sa force musculaire. Cette variété de trouble de la marche est la forme trépidante de l’as-tasi
qu’une fois au lit, il peut mouvoir ses membres. Même en l’absence de troubles sensitifs ou oculaires, Charcot faisait rentrer c
joue du piano et chante avec beaucoup de sentiment. Sa double nature trouble les médecins, les moralistes et les tailleurs, ma
se canalisent, se concentrent vers un but unique : la disparition des troubles morbides. Combien puissante est l’énergie qui som
s. Il est connu par scs travaux sur l'idiotie, sur ¡'épilepsie et les troubles psychiques ou psychoses de la puberté, études rem
époux dans une situation délicate et peut amener, ultérieurement, des troubles dans la tranquillité du ménage. Un autre agent
stématisateur puissant, il sut voir clair, là où tout le monde voyait trouble . Une telle supériorité se paye. A ce chercheu
e hystérique des chats, le tremblement héréditaire des levrettes, les troubles moteurs des pigeons dits « culbutants », le tourn
es lésions organiques non encore constituées. 2° Pour dissocier les troubles psychiques qui accompagnent la lésion, évoluent p
a lésion est primitive et causale), pour éviter que le progrès de ces troubles psychiques n’aggrave la lésion, n’accélère l'évol
êves, oubliés au sommeil, avaient plusieurs fois conditionné certains troubles nerveux. Je dirige donc mon enquête dans ce sens.
abolition du réflexe pharyngien, points douloureux le long du rachis, troubles de sensibilité, etc. Tous les jours depuis six an
estes restent inefficaces parce qu'elles n’attei-gnentpas la cause du trouble fonctionnel. Ce trouble fonctionnel peut être e
parce qu'elles n’attei-gnentpas la cause du trouble fonctionnel. Ce trouble fonctionnel peut être entretenu par des rêves ou
re et ayant pour but de provoquer le souvenir de la cause initiale du trouble nerveux, il est rare qu’on n’obtienne pas de rens
btienne pas de renseignements très précieux. On apprend ainsi que les troubles hystériques ont eu pour cause un choc, une émotio
fréquente et bien plus marquée encore chez ceux qui ont présenté des troubles psychopat hiques. On voit alors, au fur et à mesu
fausses peuvent-dans la psychose polynévritique, constituer l'unique trouble : les malades racontent alors une série d’événeme
, que dans tous leseas où les états toxi-infectieux s’accompagnent de troubles cérébraux, et c'est le plus grand nombre, il y a
stations convulsives et psychopathiques avec les intoxications et les troubles de nutrition, légitiment assurément cette manière
e-t-il, de l’établir, afin d’appeler l'attention sur une catégorie de troubles d’esprit, très fréquents dans la pratique médical
es sont devenues beaucoup plus abondantes. La malade a présenté des troubles graves du côté de l’appareil de la. (1) Voir po
is il convient de montrer qu’une catégorie de phénomènes nerveux, les troubles vaso-moteurs, rappellent les maladies organiques
pital et encore ignoré dans un grand nombre de maladies; soit que les troubles vaso-moteurs créent des états pathologiques à app
; toutefois, quelle qu’ait été leur nature, il est manifeste que des troubles organiques d’une certaine intensité ont pu être t
de voir guérir sous l’influence de la suggestion religieuse ; 2° des troubles véritablement organiques dont la guérison est nié
proclamée miraculeuse par les autres. Or la guérison de ces derniers troubles est réelle sans être miraculeuse ; elle s'expliqu
certaines plaies, toujours grâce à des modifications vaso-motrices. Troubles psychiques en rapport avec la compression de l’éc
ade d'un côté, et, d’un autre côté, l’ostéite éburnante favorisant le trouble circulatoire sont les causes de la psychose. L'op
Richer, à l’occasion de sa nomination, toutes nos félicitations. Troubles visuels hystériques chez l’homme. M. Wettendorf
contrôle de la conscience personnelle, et qui se manifestent par les troubles les plus variés d’apparence uniquement physique.
on veut, un état de sommeil des centres cérébraux. L’anes-thésie, les troubles moteurs et viscéraux, vaso-moteurs et psychiques
attaques efc tous les accidents paroxystiques. L’hystérie n’est qu’un trouble local du cerveau plus ou moins généralisé. Les ce
gnault. En rétablissant chez notre malade l’équilibre rompu par des troubles nerveux, nous avons obtenu sa guérison, ce qui pr
nisme de déchéance et diminuent sa résistance. De même que les divers troubles moteurs, sensitifs, circulatoires, provoqués par
tifs, circulatoires, provoqués par les causes ci-dessus énoncées, les troubles sudo-raux présentent les distributions et les loc
agent d’inhibition ou de dynamogénie. S’agit-il d'une hyperhidrose?Ce trouble est en rapport soit avec l’excitation du centre v
nation mentale sont notés fréquemment dans leurs biographies. Ces troubles sont-ils altribuables h l'hyperfonclion cérébrale
uilibré, sous prétexte qu’il est mort de cette maladie. Ou bien ces troubles nerveux sont-ils une condition du génie ? C’est l
en plaques : or, c'est là une grosse erreur. Ce malade est atteint de troubles fonctionnels et il guérira rapidement. Notons q
nt normaux ; sa force musculaire est conservée ; il ne présente aucun trouble trophique. Il tremble, mais presque constamment e
mais son débit n’est ni précipité, ni explosif, ni scandé ; c’est un trouble psilliforme : sa parole est embarbouillée et se r
and il est seul, pour faire le diagnostic de maladie organique. Ces troubles fonctionnels ne doivent pas toujours être mis sur
toide. La première laparotomie a été faite pour une hématémèse et des troubles gastriques; l’opération montra que l’estomac étai
rrière du genou : la marche est devenue impossible. Il n’existe aucun trouble de la sensibilité ni de la motilité : la peau du
des voies centripètes, et si j’admets, comme cause principale de ces troubles de la sensibilité, la rétraction des neurones de
ugmenter l'anesthésie (cercle vicieux), et de déterminer en outre des troubles sensoriels du même côté. C’est du moins par ce mé
réfections du système nerveux. (Ann. d’oculist., mal-juin 1878). Les troubles oculaires dans riiystérie. (Ann. d'ocu-list., jui
t à la suggestion, fixe le jour de la suppression. En prévision des troubles mentaux qui accompagnent toujours cette suppressi
’emploi de la suggession diminue d’une façon appréciable la durée des troubles mentaux. Elle dissipe les nombreuses manifestatio
orphine et la répulsion pour les piqûres, de réaliser la guérison des troubles hystérlformes et, enfin, de faciliter la restaura
ltiplicité, leur localisation et leur symétrie; elles constituent des troubles vaso-moteurs engendrés par l’hystérie. Ajoutons q
vives peuvent causer des altérations matérielles du cœur, de même des troubles fonctionnels intenses sont capables de provoquer
éprouva une grande frayeur à la suite de laquelle elle manifeste des troubles nerveux divers. Le 26 janvier dernier, subitement
oins contre les mouvements communiqués d’extension et de flexion, les troubles de la sensibilité sont limités à la jambe et au p
te, rire spasmodique, bâillement, dépression psychique, etc. Tous ces troubles sont survenus après une violente disputé de cet h
te un état convulsiforme des constricteurs de la glotte ainsi que des troubles moteurs et sensitifs du ressort de l’hystérie. El
. » En effet, retourner un malade sous toutes ses faces, analyser les troubles morbides, déterminer leur véritable valeur cliniq
et conclure soit à une lésion de telle ou de telle nature, soit à un trouble fonctionnel, voilà bien ce que nous enseigne M. R
s frayeurs créent souvent une dépression nerveuse qui s'accompagne de troubles de la nutrition: d’autres fois, elles produisent
mène physiologique. Dès lors il est facile de comprendre pourquoi ces troubles de la sensibilité se trouvent si souvent associés
mène physiologique. Il est dès lors facile de comprendre pourquoi ces troubles de la mémoire se trouvent si souvent associés che
la Grande Encyclopédie, ainsi qu’un travail imprimé du Dr L. Fuster: Troubles physiques et psychiques observés chez l'homme dan
rvention sanglante. Elles établissent en outre l’existence d’autres troubles psychiques liés au vaginisme, engendrés par lui e
qu’ils croissent et croissant à mesure que l'affection s'aggrave. Ces troubles relèvent directement du domaine de la psychothéra
I Modifications de l’intelligence et du caractère produites par les troubles de la mémoire chez les hystériques. Il n’est pa
la maladie, ou qu’ils ont été moins bien impressionnés par suite des troubles sensoriels. La confusion mentale des hystériques
des hystériques ne sont le plus souvent que le résultat d’oublis, de troubles sensoriels ou de suggestions. VII De la rétra
t en même temps en état de rétraction, et l’on constate à la fois des troubles de la sensibilité, de la mémoire et de la molilit
ollicitent à l’extension. En effet, chez les hystériques : 1° Les troubles de la sensibilité sont suivis de troubles de la m
les hystériques : 1° Les troubles de la sensibilité sont suivis de troubles de la mémoire ; 2° La diminution ou la perte du
on des neurones de proche en proche aboutissant à l’hypnose ; 4° Un trouble léger de la sensibilité, comme l’aura, est suivi
l’anesthésie devient très profonde ou absolue (J) » ; 5° Enfin tel trouble de la sensibilité peut être suivi de contractures
galement et les secousses ne se produisent plus. La disparition des troubles de la sensibilité entraîne aussi la disparition d
ctures. On peut donc poser en loi que, chez les hystériques : Les troubles de la sensibilité sont toujours suivis de trouble
ystériques : Les troubles de la sensibilité sont toujours suivis de troubles de la mémoire et de la motilité (amyosthénie par
ation. I Neurasthénie ancienne, avec dépression nerveuse intense, troubles dyspeptiques et cardiaques graves, tendance à l
ui les étonne particulièrement c'est que l'urine, depuis si longtemps trouble , est redevenue claire. C'est un indice, lui dis-j
symptômes essentiels et secondaires : céphalée avec casque de plomb, troubles dyspeptiques avec dilatation gastrique légère, in
, troubles dyspeptiques avec dilatation gastrique légère, insomnie et troubles du sommeil, hvper-esthésie spinale, étourdissemen
bles du sommeil, hvper-esthésie spinale, étourdissements et vertiges, troubles oculaires, auditifs, troubles de la sensibilité g
e spinale, étourdissements et vertiges, troubles oculaires, auditifs, troubles de la sensibilité générale, de la motilité, désor
elle avait obtenu un peu de mieux, un certain soulagement, quant aux troubles dyspeptiques et autres. Aux poumons, il y avait t
de la fatigue, doit guérir par la médication tonique ; tandis que les troubles gastriques des hystériques guérissent par suggest
xications et des toxines dans l’étiologie des maladies nerveuses. Les troubles de la nutrition, les maladies alimentaires et les
veuses fonctionnelles, mais encore organiques ; il en est de même des troubles fonctionnels des organes glandulaires. Les maladi
2. Paralysie de nature hystérique, par Audry, p. 313, Parole (Les troubles de la) chez l’enfant, par Duprat, p. 29. Pédago
la glotte, par Chiari, p. 314. Thanatophobie, agoraphobie et divers troubles nerveux traités avec succès par la suggestion, pa
. 257, 289, 321, 353. Trophoneurose traumatique par Thoma, p. 57. Troubles psychiques en rapport avec la compression de l’éc
. Ch. Renouvier et la théorie du), par Paul Farez, p. 193. Visuels ( Troubles ) hystériques chez l'homme, p. 253. FIGURES ET P
95 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
e disant en substance : « Je désire vous envoyer une malade qui a des troubles gastro-intestinaux, justiciables, à mon sens, de
années. L'observation est également importante au point de vue des troubles cérébraux d'origine cocaïnique. Certains auteurs
prétendent en effet que l'intoxication cocaïnique ne peut amener des troubles mentaux. L'occasion nous sera probablement offe
e est une preuve que l'intoxication cocaïnique suffit à provoquer des troubles cérébraux. Il y a quelques mois, un homme âgé d
n hôtel des Boulevards. Le soir même de son arrivée, il était pris de troubles cérébraux de nature inquiétante pour ses voisins
e calme fût revenu,me donner les renseignements sur les causes de son trouble cérébral. Ce malade est atteint depuis l'âge de
e insensibilité des muqueuses de la bouche, du nez et des yeux. Les troubles cérébraux disparurent rapidement avec la cessatio
est, qu'il est regrettable qu'un grand nombre de malades, atteints de troubles nerveux, tardent si longtemps à s'adresser à la m
tenant les effets. Bref 31. F. se plaignait de douleurs de tête, de troubles digestifs, d'insomnie et d'agitation pendant la n
formules adaptées à l'état mental du sujet, pour voir disparaître les troubles psychiques ? Non, il faut de la méthode, de la cl
e sorte, se faire les complices de la prévention de l'esprit, car des troubles gastro-intestinaux divers, et en particulier des
; b) la tropiopie de Furster : c) et d'une manière générale, tous ces troubles visuels accompagnés ou procédés de céphalalgie qu
d'écoliers. Quelles tragédies, quelles tortures d'adolescents, quels troubles d'Urnes affolées se caehent dans ces chiffres ! —
n avec le cortège de leurs aberrations et de leurs fautes, dues à des troubles pathologiques maintenant-bien connus, les miracle
misères de ses semblables,, de toucher du doigt, pour ainsi dire, les troubles et les désarrois si souvent inquiétants de l'Ame
hologie, il faut toujours voir et apprécier, en même temps que le trouble fonctionnel ou la lésion d'un organe, la physiolo
e, la méthode opothérapique. Les relations qui existeraient entre les troubles psychiques et la sécrétion des glandes eudocrines
t de 31. Laignel Lavastine, cherche a résoudre la double question des troubles psychiques dans les syndromes glandulaires et des
ans les syndromes glandulaires et des syndromes glandulaires dans les troubles psychiques ; mais le dernier mot n'est pas encore
détaillée, je dirai seulement qu'une apparente modification dans les troubles d'émotivité a été observée dès la 3me séance, et
f de toutes les modifications obtenues. Les théories émises sur les troubles de l'Emotivité sont nombreuses et se confondent a
théories même de l'Emotion. * L'Emotivité n'étant autre chose que le trouble produit dans l'ensemble des actions que définit l
ns résumé les principales théories émises sur les Emotions et sur les troubles de l'Emotivité ; leur étude nous conduit a une th
tant il faut avouer l'importante prépondérance que nous accordons aux troubles vasculaires, troubles en rapport avec les modific
importante prépondérance que nous accordons aux troubles vasculaires, troubles en rapport avec les modifications survenues dans
du grand sympathique, et à qui nous attribuons un grand rôle dans les troubles non seulement émotifs, mais même objectifs des sy
ériphérique, sur le compte desquelles nous mettons, non seulement les troubles d'émotivité. mais aussi les symptômes objectifs p
çant le sympathique et indirectement le cerveau {centre de différents troubles observés). Il résulte donc 1° que nous accordon
au grand sympathique qui, d'après nous, tient sous sa dépendance les troubles d'émotivité et les symptômes objectifs de la mala
ette dernière affirmation nous rappellerons que : lj Les différents troubles observés et décrits par de nombreux auteurs penda
par de nombreux auteurs pendant et sous l'influence de l'hypnose fies troubles des pupilles, des paupières, de la circulation de
nombreux et distingués chirurgiens sur l'amélioration des différents troubles de syndrome base-dowien, à la suite des opération
qu'il suffit pour montrer l'infuence des méthodes psychiques sur les troubles émotifs et même objectifs de la maladie de Basedo
ribuant surtout à la guérison de ses manifestations. En effet, si les troubles émotifs sont quelquefois les seuls qui attirent l
tirent l'attention et constituent l'objet d'inquiétude du malade, les troubles objectifs sont encore souvent apparents et prenne
ts et prennent une gravité plus grande que les premiers par suite des troubles et des complications auxquelles ils les exposent.
; 4 à 5 mois après, apparut subitement la paralysie sans aucun autre trouble . L'enfant raconte qu'elle a été 6 h 7 jours sans
une salivation abondante, elle n'éprouve, pendant ce temps, aucun des troubles qui accompagnent l'anurie ou la rétention : quand
rox (d'Alger). — Influence du réveil spontané sur la réapparition des troubles gastriques. Discussion : Dr Paul Parez. Dr Po
ques. Discussion : Dr Paul Parez. Dr Podiapolsky |de Moscou). Des troubles vaso-moteurs par suggestion hypnotique. Dr Shir
orto-Sico) et Bridou de Paris. La séance est levée à G h. 50. Des troubles vaso-moteurs par suggestion hypnotique par M. P
e la Société de neurologie, dans laquelle fut traitée la question des troubles vaso-moteurs par suggestion et auto-suggestion. L
is étaient partagés. Babinski, notamment, niait la possibilité de ces troubles , et son opinion parut prévaloir. Les arguments in
ociété des naturalistes de Saratov v. IV, faso. S. Paul Farez : Les troubles trophiques dans l'hystérie : brûlure suggérée. Re
ns rigoureux. De fait, à ceux qui nient de parti pris l'existence des troubles vaso-moteurs dont il s'agit, je voudrais poser le
d'eux, qui travaillait dans les mines, (I) Voir son article : « Des troubles vaso-moteurs provoqués par la suggestion hypnotiq
eur h l'Ecole de psychologie. Lundi 28 février, a cinq heures : Les troubles psychologiques du langage, par 31. le Dr Chervin.
lité, les réflexes, les contractions, l'appareil visuel et les autres troubles psychiques; mais l'auteur n'indique pas sa manièr
(sen-sitive et sensorielle) ne peut pas s'expliquer seulement par les troubles psychiques, mais d'après des données physiologiqu
tropbiques,surles fonctions sécrétoires, sur la température ; et les troubles de ces fonctions sont dus, soit à une cause organ
du 9 Avril 190s. Influence du réveil spontané sur l'apparition des troubles gastriques par le Dr L. Phox (d'Alger) Il e
bout d'un temps variable, une demi-heure à une heure en moyenne, des troubles gastriques apparaissent, répétition de ceux dont
nutile de décrire, puisqu'ils varient avec chacun. A leur tour, ces troubles , témoignant du réveil de la sensibilité morbide d
é suffisant? ISFLCRNCB DU RE Y £ IL SPONTANÉ 3CR L'APPARITION" DM TROUBLES GASTRIQUES 215 Tel est le fait peu important en
e paraissent se rattacher h l'hypersthénie gastrique et dépendre d'un trouble principalement chimique. J'en donne pour preuve q
e fixité dans l'application ne dépend ni de lésions organiques, ni de troubles fonctionnels. Elle s'explique par une éducation d
qu'elles sont modifiées par une petite lésion cérébrale, par un léger trouble de la circulation encéphalique, que l'organisme e
xpert, c'est le médecin connaissant la physiologie des organes et les troubles mentaux qui peuvent résulter de leur état patholo
e de bois. Dans l'histoire des religions, il faut tenir compte d'un trouble mental dont sont affectées certaines sectes relig
s scandaleuses qui se produisenten pareille circonstance affirment le trouble mental des assistants. Ds est bien entendu que
e pouvaient pas exister. Le coupable acquitté constitue un élément de trouble social, il peut recommencer et causer des dommage
r et causer des dommages à la propriété on à la personne. Mais ce trouble est somme toute moins inquiétant que celui qu'eng
e proposeront peut-être sa sortie en se basant sur la disparition des troubles qui avaient justifié leur première appréciation.
idemment de l'état pathologique ; tant il est vrai qu'il n'est pas de trouble mental qui ne se rattache par un lien aux fonctio
immixtions spontanées des grandes manifestations de l'hypnotisme aux troubles de la grande attaque d'hystérie. M. Pitres a ég
ar les affirmations contraires. A notre époque, la constatation des troubles de la grande hystérie est devenue moins fréquente
ote relative à l'influence du réveil spontané sur la réapparition des troubles gastriques. 2° Dr Pychlau (de Pskoff). Incontin
ion intitulée •• Influence du réveil spontané sur la réapparition des troubles gastriques " (Séance de novembre). par le Dr L.
eu par le réveil spontané et si, comme conséquence, il se produit des troubles chimiques, on ne peut leur attribuer une signific
sychologie fies lundis, h cinq heures) l.t N.'i 28 Feyxikh, — Les troubles psych-dogiques du langage, par le LV Chkkvik, dir
eiphllomanie. Les meilleurs remèdes contre l'insomnie et les divers troubles du sommeil. Sous cette rubrique nous faisons ap
sidèrent de réelle efficacité dans le traitement de l'insomnie et des troubles du sommeil. 2Coas commençons aujourd'hui par si
ème si important du traitement inoffensif de l'Insomnie et des autres troubles du sommeil. Nous leur demandons également de noua
hologique n'a jamais cru, enseigne M. le professeur Déjerlne. que des troubles moraux pouvaient retentir sur l'organisme au poin
moraux pouvaient retentir sur l'organisme au point d'y déterminer des troubles fonctionnels, sans lésion, dans l'ignorance où el
e leur mentalité. On les déclare atteints de psycho-névrose quand les troubles de l'esprit sont intimement associés aux nombreux
r Qni me ressemblait comme un frère. Lorsque chez ces malades les troubles de l'intelligence sont associés à ceux de la sens
traumatiques ont abouti à la conclusion que chez les traumatisés les troubles psychiques observés ne sort nullement en rapport
ssion de précautions de cet ordre qu'il faut attribuer la plupart des troubles névropathiques qu'on observe si fréquemment chez
culté à reconnaître que ces visions hypnagogiques se rattachent à des troubles pathologiques. Il a pu constater que toutes les p
donnent communication. Par là seulement le médecin pourra étudier ces troubles et et les traiter d'une façon satisfaisante. Le
à atteindre compromet, tôt ou tard, l'équilibre moral. Quand il y a trouble sexuel chez l'homme, des symptômes mentaux et psy
à exclure toute allusion à ce sujet, même si le médecin pense que les troubles ont leur origine dans quelque désordre sexuel.
solue du malade en son docteur. Parmi les causes secondaires de ces troubles , il faut distinguer celles qui viennent de la fem
ent atteint chez la femme. Ce fait méconnu est un facteur puissant de trouble sexuel. Pour ce qui concerne le jeune homme, so
tent le malade en confiance. Celui-ci exposera alors sans crainte ses troubles , ses difficultés et il obtiendra du médecin l'avi
esque tous névropathes de naissance, se trouvaient importunés par des troubles psychiques, semblables a ceux que l'on constate d
aptitudes, le traitement qu'il convient d'employer pour combattre ces troubles psychiques si variés. Ce traitement spécial qui p
,conformément aux idées développées autre-fols jwir IvRSègue, que les troubles de l'esprit sont souvent dus a nne foxi-infeetion
cartant les uns des autres. Cette difformité peut être attribuée à un trouble visuel qui provoque chez beaucoup d'hystériques u
e cortège symptomatique de la neurasthénie et de l'hystérie quand les troubles cérébraux prédominent dans ces deux pseudo-psycho
ture des malades atteints de ces tremblements qui expriment plutôt un trouble fonctionnel qu'une lésion organique du système ne
ne conclusion trop hâtive, d'attribuer exclusivement à l'un d'eux des troubles graphologiques qui peuvent dépendre d'un autre.
tions de piqûres et de tiraillements dans tout le corps et un état de trouble général que je ne savais à quoi rapporter. Ce
êveries de la nuit précédente. Ne sachant à quoi attribuer de pareils troubles , et non renseigné sur les incidents provocateurs
e. L'examen objectif, eu dehors d'un certain état de dé-Ci) Pevnizky. Troubles obsédants traités par la méthode psycho-analytiqu
le scandale, se lie avec le jeune homme en question. Et quel est son trouble son épouvante, quand elle s'aperçoit que l'acte s
estes restent inefficaces, parce quelles n'atteignent pas la cause du trouble fonctionnel. « Ce trouble fonctionnel peut être
arce quelles n'atteignent pas la cause du trouble fonctionnel. « Ce trouble fonctionnel peut être entretenu par des rêves ou
e et .ayant pour but de provoquer le souvenir de la cause initiale du trouble nerveux, il est rare qu'on n'obtienne pas de rens
btienne pas de renseignements très précieux. On apprend ainsi que les troubles hystériques ont eu pour cause un choc, une émotio
ce des plaintes du malade Ce dernier faisait remonter le début de ses troubles à deux ans auparavant. D'après ses dires, il ress
lorsque le médecin se trouve en présence d'un malade qui se plaint de troubles neurasthéniques, il ne doit pas se contenter d'en
is il y a des circonstances ou elle est inhibitrice ou productrice de trouble psychonévrotique et d'état hypnoïde, suivant qu'e
l'intérêt d'actualité qui se rattache en ce moment, à l'influence des troubles motifs sur l'étiologie des divers phénomènes psyc
névroses. — considérant, d'une part, la relation qui existe entre ces troubles émotifs et les phénomènes cardio-vasculaires et,
d'hypnotisme. 2° Examiner la composition du sang. 3° Signaler les troubles fonctionnels et les modifications des éléments du
e de l'établissement, ne l'ont représenté comme très calme, exempt de troubles mentaux caractérisés. Dr Paul Farez — La somnof
Le I)r Bérillon a prouvé que l'homosexualité est toujours liée a des troubles physiologiques et en particulier a-des altération
ve toujours a, l'origine de la perversion sexuelle. Le traitement des troubles de l'olfaction doit donc faire partie des procédé
sont souvent insuffisantes pour faire disparaître un grand nombre de troubles norveux. € La persuasion, quand elle est exercé
nt des malades imaginaires, on prête une étiquette superficielle à un trouble organique dont le sens profond mérite un examen p
hérapie graphique préconisés par le Dr Bérillon démontrent-que si les troubles psychopathiques apportent des altérations dans l'
ééducation de l'écriture favorise considérablement la disparition des troubles de la mentalité chez les nerveux. Utilisation d
Réplique du Dr Farez, p. 138. Réveil spontané sur l'apparition des troubles gastriques(Influence du), par Pron, p. 214, 248
es, par Cesari, p. 203. Vasomoteurs par suggestion-hypno-tique (Des troubles ), par Podia-polsky, p. 178. Vasomotrices produi
96 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
at normal. Entre le fonctionnement régulier de l'organisme et les troubles spontanés qu'y apporte la maladie , l'hypnotism
urée d'avance, presqu'à coup sûr, aux suggestions provoquées par le trouble moral ou intellectuel, devant lesquels la volon
t à lui toucher les mains, on est surpris de voir qu'aussitôt il se trouble , parait en proie à un malaise inexprimable, à u
satisfaction réelle pour ce besoin assouvi. Le coeur témoigne du trouble profond qui existe tant que P... ne s'est pas aff
ce de cette névrose, pour le dire en passant, est loin d'exclure un trouble vésanique. La coexistence de deux délires, l'un
tions héréditaires fâcheuses qu'est dû le développement hâtif des troubles particuliers qu'il présente. Faible d'esprit, quo
téristique qu'elles révèlent bien, par leur nature appréhensive, le trouble profond de la sensibilité morale. Il est bon en
e saurait être permanent, ou, s'il l'était, il entraînerait de tels troubles dans la nutrition des membres, que la paralysie
ité par les oesthésiogènes, Paris, 1880. Boussi (R.).-Etude sur les troubles nerveux réflexes observés dans s les maladies u
aris, 1880. PROUST et BALLET.- De l'action des aimants sur quelques troubles nerveux (Journ. de thérap., 1879). BoucsAUD.
st-à-dire en arrière du sillon pariéto- occipital, n'entraîna aucun trouble de la vue. 2° La destruction complète du pli co
r l'autre hémisphère, l'animal ainsi mutilé n'ayant presque aucun trouble visuel, ou n'étant tout au moins affecté que de p
l'on détruit en une séance les deux lobes occipi- taux (absence de trouble visuel) et dans une autre le pli courbe du côté
n visuelle du côté opposé ; 2° cette opération n'est suivie d'aucun trouble de l'intelligence de la locomotion ou de la sen-
d'une bonne tranche de boeuf quand la sitiophobie ne dépend pas de troubles gastriques. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ 111ÉDIC
de la répétition d'un même acte dans les mêmes lieux conclure à un trouble mental intermittent ? Cet homme n'avait nulleme
ortissent plus à la psy- chologie qu'a la pathologie. Peut-être ces troubles sont ils produits par des altérations moléculai
le geste, la musique, etc. On comprend* sous le nom d'aphasie un trouble de ces diverses manifestations de la pensée sans
d'où résulte un grand nombre devariétés d'apha- sie. Ces différents troubles peuvent aussi se combiner les-uns avec les autr
passer en revue ce qui a été écrit sur chacun de ces deux derniers troubles . ' ' ')'' m, .' , ? ' .i / A. De la cécité de
mpréhension des signes de la pensée représentée par l'écriture. Ce' trouble précède, accompagne -ou suit les dé- sordres de
figure une personne qui exprime assez bien ses idées, n'ayant aucun trouble du côté de la vision, qui parle de tout ce qu'e
té des mots, persistant quelque'temps' après la disparition de tout trouble de la parole. ' ° M-6 X..., âgée de quarante-si
fait. Enfin, en,1876, parait le mémoire de M. Kùssmaul « sur les troubles de la parole » ; l'auteur a consacré à la descrip
à M. Kuss-. maul que revient le mérite d'avoir décrit le premier ce trouble et de lui avoir donné un nom (cécité des mots,
), M. N. Guéneau de Mussy pu- blie un cas de cécité des mots, où ce trouble a précédé de douze jours les désordres de la pa
en 1877,' un résumé de ce chapitre dans sa' thèse : « Essai sur les troubles de' la parole, n ' m ' ' 1 22 J . REVUE CRITIQU
qu'il avait écrits. L'aphasie n'est probablement qu'un épisode d'un trouble psychique plus général, l'oubli de la valeur des
mots ; 2° de ce centre au bulbe ; et, 3° du bulbe au dehors. Les troubles de l'aphasie se produisent suivant la partie de
e de comprendre ces mots écrits ou expliqués à l'aide de gestes. Ce trouble accompagne ordinairement l'altération du langag
on de ne pas accompagner les questions de gestes ex- pressifs ; les troubles de la parole qui coexistent avec la surdité des
qu'après avoir étudié à , part, dans d'autres cas types, chacun des troubles qu'on y rencontre. En 1878, M. Broadbent publie
ité des mots, où ils citent quelques obser- vations nouvelles de ce trouble . , Leur, première malade, âgée de quarante-deux
n, frontale du côté gauche. Le troisième malade, aphasique avec des troubles de la parole très accusés, entend tout les sons
il est le seul en France qui soit venu contester l'existence de ces troubles positifs, quoique encore peu connus et peu étud
chives générales de médecine, \ 87 '6, p. 642 Hornus. Essai sur les troubles de la 'parole. Thèse de Paris 4877; - Noël Guén
. Comm. à la So- ciété de Biologie. (Juillet 1880) ; Robin (A). Des troubles oculaires dans les maladies de l'encéphale. Thè
ntait une fatigue générale très marquée, mais ne pré- sentait aucun trouble intellectuel. Le rétablissement complet de la s
sommeil comateux dont il sortit peu à peu, en quelques heures, sans trouble de l'intelligence. On gagna ainsi la nuit suiva
malade revint à son état normal. Le lendemain; il n'y avait plus de troubles de la mémoire et de l'intelligence. Les jours s
i- dable, avec perte de connaissance, convulsions, contracture et troubles passagers de l 'intelligence et de la mémoire. No
iques dans dix-sept; et quatorze malades seulement présentaient des troubles en rapport avec la lésion"' '; ' ' r ' ' Le d
fibres sympa- thiques contenues dans le tronc nerveux (Eulenburg) ; trouble vaso-moteur de la région (Stilline) ; lésion du
u trajet de l'incitation. Il en appelle à la, fréquence extrême des troubles sensitifs dans l'intervalle des accès ou à la pér
symptômes rénaux étaient peu marqués; peu ou pas d'oedème; pas de troubles dyspeptiques; aucun des deux malades n'avait le
des( cordons latéraux est indéniable. Dans certaines cas, un simple trouble fonctionnel de'ces régions (Erb.)'orrait engend
DE,PATHOLOGIE3NERVEUSE. 253 et; qu'elles;Sont sous la»dépendance,de[ troubles .dans le fonc-, tionnement,des,vasa-vasorum.yrrn
agnée de poussées inflammatoires. Enfin, l'auteur se demande si les troubles du goût doivent être rapportés à la compression
es absences, de l'amnésie, des modifications du caractère, dans des troubles de la parole et des attaques apo- plectiformes,
nt; mais, huit jours plus tard, nouvel ictus vertigineux, nouveaux' troubles de la déglu- tition'et de la parole. Cette fois
, plus leur action chimique est irri- tante, plus aussi on voit les troubles nerveux qu'ils déterminent prendre, de gi : vit
uteurs, dé présider au sens de l'équilibre, et il rapporte tous les troubles statiques observés à la suite de leur lésion à un
XVI. DE l'influence DES VASO-MOTEURS SUR la PRODUCTION DE CERTAINS TROUBLES FONCTIONNELS, AVEC QUELQUES REMARQUES sur LE tr
scles de' la face'/des oreilles et "du1 voile1 'du' palais, * avec' troubles 'de `la- parole dans' le second/5 les' secousse
britannique. .p ? nun, .n ,,I,,aun : ) fl0lî f-a iu^En effet, (les troubles , intellectuels et nerveux,prennent,çha- que jou
pel^faits à l'activité nerveuse,- et comme conséquence logique, les troubles nerveux oprésents ou éventuels. »,i ,,q. /f ? ,
Il pense;e'en`J efiet;'tqùè''lëür "pâthôgéniè'1 résidé" dans' dès' troubles de lanutrition générale d'ordre anémique, dâns l'
a- rienne ne, serait) responsable que, d'un. très petit nombre de troubles : psychiques; : lorrapport étiologique. allégué p
0 Allili r emu ? bt ? j) ? ht ? e.1.141 ? il 1 teta)o6o;crainte)un trouble mental qui aune grandeanalogieavec u et epoboç
trouble mental qui aune grandeanalogieavec u et epoboç crainte) un trouble mental qui aune grande analogie avec Z1'afiecti
ère; dans la majorité des cas, lésions 'primitives des méninges(-et troubles de la circulation cérébrale' donnant lieu à- de
ouvent ? unr souvenir net : Ces .vertiges raccompagnent toujours de troubles visuels, ! et souvent d'une^, angoisse précordi
ans les autres faits, liridérnontre que, le délz"2,e (az*gu est, un trouble fonctionnel pouvant survenir, en4quelqueyvésanie
ordre- de -.décroissance, la, mydriase,, ks,troubks moteurs, les troubles sensitifs, .les symptômes circulatoires ? les .ma
on de la région .correspondante à droite ne s'ac- conipagne d'aucun trouble du langage. t' , ., ' ' 1 MAGNAN. Je vois bien
x r affectionsan'auraient,,pasaune gentse com- mune, toute dans des troubles de l'hémopoièse, daiis la dystrophie du système
1. ! 1, : ; z 1.1 AIONDEL' COIIII)AL ]l théorie pathogénétique des, troubles vaso- moteurs ; il fait ressortir qu'à ce compt
ocs. i'A-t-onr dirigé' des . essais@ thérapeutiques ' contré 'les ' troubles vasomoteurs ? 1 ? Sur la réponse négative de 1li
ion de la' température extérieure peut amener là mort par suite 'de troubles cérébraux," c'est ! le cas" du' coup de chaleur
issamment, comme dans l'état de santé. ' Cet état s'accompagne d'un trouble des centres vaso-moteurs qui ne' réagissent plu
une guérison. f t < v E I , V. Étude sur l'état mental et les troubles psychiques des cardiaques ; bno orp Pal L. n'As
'ï'1 Ij ? <'«>»'.' W. ^ L auteur pense qu'au point de vue des trouble ^ psychiques il y a une' différence bien tranché
offre des oscillations plus ou moins brusques; mais l'intensité,des troubles intellectuels ne correspond pas nécessairement
ellectuels ne correspond pas nécessairement à une recrudescence des troubles cardiaques/ n" t', , . l 1 t(, . ? ? v ,Li ? -,
, . r . ' . i|i| 'I , il '' VI. Contribution à l'étude de quelques troubles nerveux qui surviennent , chez les diabétiques;
l'emprisonnement', soit à la com- pression du nerf par le cal. Les troubles de. la sensibilité et de la motilité sont très
interne, par Bitot, 1. Cardiaques (étude sur l'état mental et les troubles psychiques des), par d'Astros, 305. Cécité et
sym- ptôme de l'urémie, pat Séguin, 248. Cercles (différents de troubles intel- lectuls), 261. Cérébrotomie méthodique
, 131. * ^ Diabétiques,' (contributions' à@ l'é- tude de quelques troubles nerveux . qui surviennent chez les) , par - n
Vaso-moteurs (de l'influence des) sur la production de certains troubles fonctionnels avec quelques remarques sur le tra
97 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
son origine. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'HYSTÉRIE CHEZ L'HOMME. - TROUBLES DE LA'SENSIBILITÉ CHEZ LES ORIENTAUX. LES AISSA
élèves doivent avoir conservé la mémoire de son enseignement. Les troubles de la sensibilité, l'analgésie hystérique attir
r. La soeur avait tous les caractères des hystériques, accusait des troubles légers tels que boule hystérique, douleur fixe
ne qui devait appeler mon attention plus que toute autre, celle des troubles de la sensibilité amenant une insensibilité à l
e. Mais il y en a qui au bout de quelques minutes ont de certains troubles de la vue (ils voient rouge) et sont parfaiteme
saccidents hystériques chez l'homme ou simplement pour observer des troubles remar- quables de la sensibilité, nous devons r
uvons-nous nous trouver en présence d'indivi- dus chez lesquels les troubles de la sensibilité sont très fréquents, dont le
e genre de vie de ces gens. La conséquence c'est que, chez eux, des troubles de la sensibilité (analgésie surtout) sont infi
rait ainsi bien des faits singuliers et l'on donnerait la raison de troubles de la sensibilité qui démontrent une fois de pl
32.) RECUEIL DE FAITS PARALYSIE GÉNÉRALE. ALCOOLISME CHRONIQUE. TROUBLES TABÉTIQUES; PARALYSIE GÉNÉRALE CONFIRMÉE. LÉSIO
voit cons- tamment en pathologie classique, c'est-à-dire les grands troubles organiques que l'on connaît et, parfois, la mor
, p. 330), il a montré que dans des cas d'anesthésie cutanée, si le trouble de la sensibilité est borné à la peau, la sensi
bien constituée, intelligente. Etat psychique normal. - 1 part les troubles observées au bras droit, rien d'anormal dans le
des sens normaux. l'as d'amblyopie, ni de dyschroma- topsie. Pas de troubles sensitifs de la peau ou des muqueuses. Réflexes
assagère et cesse avec la cause qui la provoque (narcotique, froid, troubles de la circulation). On pourrait croire plus vol
: de la cyanose, de l'oedème, de l'augmentation de la .sueur et des troubles trophiques qui se ma- nifestent surtout parla t
é, occupant en général les deux côtés du corps et s'accompagnant de troubles de la motilité. Ainsi, dans le cas d'anesthésie
serait pas épargné; il y aurait paralysie motrice, hyperesthésie et troubles trophiques de ce côté, toutes choses qui n'existe
elle a de l'anesthésie, des anomalies delà sécrétion sudorale, des troubles trophiques et circulaloires. La lésion doit don
celte région entraîne non seulemeutl'unesllésie, mais encore des troubles trophiques soit indirectement, par suite de la pe
iassent par le 3° gan- glion cervical, mais le peu d'importance des troubles trophiques dans uotre cas, écarte toute idée d'
x hystériques ; -2° présence de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 105 troubles trophiques. Qu'il nous soit permis de soumettre à
pourtant tout à fait normal. Passons maintenant à la question des troubles trophiques. Les phlyctènes, les ulcérations éta
'anesthésie du membre et n'étaient pas par conséquent de véritables troubles trophiques. Du reste, c'est une erreur de croir
rie et atteindre même de fortes proportions. En ce qui concerne les troubles vaso-moteurs et sécrétoires, le refroi- disseme
rties sous-jacentes du centre ovale. Jusqu'à présent toutefois, les troubles du langage produits par une lésion du lobule de
ité galvanique, retard et diminution de la sécrétion sudorale, sans troubles de la sensibilité, sauf une douleur à la pressi
nt conservé. On verra dans la troisième observation, dans un cas de troubles neveux disparates, combien furent utiles la rec
ent des douleurs en ceinture, comme il arrive dans la myélite, ni troubles vésicaux, ni rectaux. Les muscles s'atrophient
e M. Baillarger croit propre aux paralytiques, mais sans le moindre trouble ap- parent de la motilité et présentait pendant
ger a trouvé depuis 1860 beaucoup d'ad- versaires ; l'eschare et le trouble pupillaire peuvent être le fait de la pneumonie
randeurs : ce sont ceux dont le délire repose exclusivement sur des troubles de la sensibilité génitale. Ces malades n'ar- r
dans cette tranformation : elle s'effectuerait plutôt à la suite de troubles sensoriels, illusions et hallucinations. Si l'on
euses; il nous dit notamment que ceux dont le délire repose sur des troubles de la sensibilité géni- tale ne deviennent jama
élèbre par différentes particularités, d'un délire reposant sur des troubles de la sensibilité génitale. Eh bien, ce même al
en vue des- quels vous êtes armés; voilà un prétendu aliéné qui ne trouble ni la décence ni l'ordre publics, qui est gardé
ie, on retrouve les principaux traits de la névrose, avant tout les troubles de la sensibilité géné- rale et spéciale. L'hém
ralysie et de l'anesthésie, per- sistance de l'hypéresthésie et des troubles visuels. {Fig. 12.) L'interprétation de ce fait
plus d'une heure de suite. En 1886, sous l'influence de quelques troubles de la santé générale qui avaient amené un notab
mes les plus saillants sont la perte de la force musculaire, et les troubles de la sensibilité. La diminution des 192 PATH
joue le principal rôle dans ce phénomène. La distribution de ces troubles sensitifs est très particulière. L'anesthésie o
ées, et qu'il faut de l'attention pour découvrir. Il n'existe aucun trouble trophique au niveau des régions anesthésiées :
nt du champ visuel ni perte de la sensation des couleurs ; pas de troubles de l'odorat, du goût et de l'ouïe, aucune différe
mes, et malgré l'absence de phé- nomènes hystériques généraux et de troubles sensoriels, je portai le diagnostic de monoplég
de rétrécissement du champ visuel, ni de cécité.des couleurs, ni de troubles sensi- tifs de la peau ou des muqueuses. Les ph
etrouvons au début une période de douleurs fonctionnelles, puis des troubles de sensibilité très' prononcés, coïncidant avec
ens musculaire. La seule différence tient à la présence de quelques troubles vaso-moteurs et d'une éruption localisée au dos
ce que les signes géné- raux de l'hystérie manquent, et à cause des troubles trophi- ques ou vasomoteurs dont le membre anes
e membre anesthésié était le siège. Nous savons aujourd'hui que ces troubles de nutrition sont parfaitement compatibles avec
usculaire bilatérale avec réaction de dégénérescençe et fort peu de troubles sensitifs. D'ailleurs, l'évolution même de la m
sensation de chaleur insolite dans la jambe droite. Le début de ce trouble fonctionnel est absolument subit, non précédé d
omplète, et tous les accidents se bornent comme par lé passé, à des troubles de la sensibilité limités à un seul membre, san
ie à un seul membre, sa circonscription très spéciale, l'absence de troubles moteurs, la conservation des réflexes et des ré
jambe droite, parésie motrice à gauche, puis atrophie musculaire et troubles vési- 204 PATHOLOGIE NERVEUSE. DES MONOPLÉGIES
l ne s'étonne pas, enfin, de voir gué- rir en trois mois de pareils troubles moteurs sans laisser de trace, alors que les dé
cheval. En 1878, insolation en Algérie; à par- tir de ce moment les troubles intellectuels s'accentuent ; il suc- combe en 1
ntes. DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 233 insomnie, etc.). Au début, le trouble circulatoire est purement fonctionnel et passag
ial. - Périodes tonique et clonique'. Pas d'écume. - Coma. - Pas de troubles intellectuels à la suite des accès. Voici la ma
ayant affecté cette forme. " P. K. IV. Contribution A L'ÉTUDE des TROUBLES mentaux transitoires ; par A. HoLLOENDER. (Jahr
l'attention de ses auditeurs dans une leçon clinique, sur certains troubles nerveux qu'il a observés chez des pianistes. Ce
nerf radial. Le terme de « crampe des pianistes » n'indique pas le trouble ressenti par les malades. Dans neuf cas, ce son
r exécuter ces derniers. La sensibilité nerveuse qui accompagne ses troubles se traduit : 1° par de l'incapacité musculaire,
tistique de l'asile du grand-duché deHesse, par Heppenheim. XIV. Du trouble du langage écrit chez les demi-idiots ET de sa RE
sais que, selon moi, les persécutés dont le délire reposait sur des troubles de la sensi- bilité génitale n'arrivaient jamai
baron Seillère, il n'y a pas eu dissidence dans l'affirmation d'un trouble mental qui, progressivement, a passé de l'excit
et ne se produisent qu'en allant aux lieux d'aisances. En novembre, troubles de la vue (perte soudaine de la vue toute passa
à la lumière de même que pour les besoins de la convergence. Aucun trouble de la motililé ; force égale des deux côtés; in
ar on a constaté des céphalalgies, des attaques épi- leptoïdes, des troubles d'épilepsie larvée, de l'hébétude, de l'af- fai
érébrale et les oesthé- siogènes amènent la disparition de tous les troubles moteurs et sensitifs. Dès lors on est en droit
on pourra constater l'existence isolée dans les cas de ce genre, de troubles bulbaires, de la déglutition, de la phonation e
z heureusement en évidence dans ce travail. P. B. VI. De quelques troubles cérébraux liés à la dilatation de l'estomac; pa
de l'estomac; par H. DuciioN-DoRis. Th., Paris, 1887. Beaucoup de troubles cérébraux sont sous la dépendance de la dilatat
orrélation avec la dilatation. La pathogénie de l'apparition de ces troubles est SÉNAT. 307 ï incertaine. S'agit-il d'into
nt de diagnostiquer, la dilatation de l'estomac coïncidant avec des troubles cérébraux, car ceux-ci peuvent dis- paraître pa
résente pas d'accidents chloroti- ques, mais elle est sujette à des troubles nerveux (crampes d'esto- mac, névralgies, etc.)
ente des phénomènes congestifs du côté de la tête, Raccompagnant de troubles de la vue, qui lui rend difficile tout travail
laisse se développer un caractère capricieux et entêté, quelques troubles de menstruation, un mariage (très jeune) à un h
a cuisse et le front du côté gauche. La localisation première des troubles du mouve- ment et de la sensibilité, et la marc
ie de la langue ; en outre des symptômes bulbaires passagers et des troubles trophiques de la peau (des bulles à la main dro
extrémité supérieure correspondante, qui était en outre le siège de troubles locomoteurs, d'atrophie musculaire, de troubles
n outre le siège de troubles locomoteurs, d'atrophie musculaire, de troubles trophiques de la peau et d'altérations articula
nfin Freud décrivit en 1885 un cas « d'atrophie musculaire avec des troubles de sensibilité étendus », limités en haut au th
xistaient pendant la vie. Si nous prenons en considération, que les troubles locomoteurs, l'atro- phie musculaire, les altér
iagnostiquer chez eux une gliomatose spinale; le onzième cas avec troubles limités et peu caractéristiques de la sensibili
ture de l'os), à marche indolente, ou bien une appari- ' lion de troubles locomoteurs avec atrophie muscu- laire, ne vint
de mes observations, pour attirer l'attention des médecins, sur les troubles de la sensibilité mentionnés plus haut. L'analy
ion du sens de la température, n'étant point accompagnée d'autres troubles de la sensibilité cutanée. Je disposerai mes ob
aladie est moins avancé. 380 PATHOLOGIE NERVEUSE. Observation I Troubles trophiques et atrophie musculaire du côté droit.
uscles sont insensibles à la pression. Il existe toute une série de troubles inconstants subjectifs dans la sphère de la sen
erve beaucoup ses sen- sations et se plaint à chaque visite. Pas de troubles subjectifs, ni objectifs dans les organes thora
fut d'aucun profit. La maladie se mit à progresser de nouveau, les troubles de la déglutition augmentèrent. G... aban- donn
ctibilité (pour les voies sensitives) dans la moelle ' épinière; 3° troubles trophiques, il est vrai que c'est toujours sous
vons une série d'autres symptômes caractéristiques : une masse de troubles subjectifs de la sensibilité et une anesthésie
à la face ? La vue est bonne. La vision monoculaire paraît un peu trouble pour l'oeil gauche ( ? ). Les pupilles sont éga
a région sus-claviculaire gauche, a été atteint d'abord de quelques troubles sensitifs fuga- ces, puis d'une paralysie des m
sse rapidement en revue les principaux caractères de ces différents troubles moteurs. Etant donné un cas d'hémichorée, la
possible à obtenir d'un appareil muscu- laire fatigué. P. K. XVI. Troubles nerveux chez les arthritiques; par le Dr DELICNx
sont celles de malades qui ont été soignés à Saint-Gervais pour des troubles nerveux divers (insomnie, tristesse extrême, dé
la vie, frayeurs nocturnes, etc...). Tout en reconnaissant que ces troubles nerveux ont eu pour cause immédiate des influen
s, etc...) dans le cours de leur vie, et qu'ils sont le résultat du trouble apporté par cette diathèse à la nutrition du sy
n moins grand nombre chez les microcéphales très accentués. Donc un trouble prpcoce du déve- loppement cérébral peut arrête
auteur, élève de M. Jeoffroy, cherche à déterminer ce qui, dans ces troubles trophiques, est sous la dépendance des lésions
étendus), 320. Amnésie traumatique, par Ritti, 277. Arthritiques ( troubles nerveux chez les), par Deligny, 408. Articula
on, 420; - sclérose latérale amyotrophique, par Flo- rand, 304; - troubles cérébraux liés à la dilatation de l'estomac,
toire d'une hypnotisable, par Grasset et Brousse, 321. Langage ( troubles du écrit chez les demi-idiots), par Berkhan,
es (classification des mala- (lies), par Kandinsky, 300. Mentaux ( troubles - transitoires), par Hoellandcr, 271. Mimique
98 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'acétophé- none a dû être supprimée, parce qu'il se produisait des troubles marqués de la nutrition. Observation XV. M. M
us avons dû suspendre l'administration de ce médicament à cause des troubles nutritifs pro- duits. Démence paralytique.
ce avec agitation continue et idées de crainte, se rattachant à des troubles nutri- tifs généralisés (athéromasie). Depuis
dée qui me passait parla tête ». Inutile de les interroger sur es troubles physiques concomitants qui jetteraient un grand
Les aliénés qui commettent des crimes d'incendie sont atteints de troubles psychiques très divers qu'il im- porte de bien
im- porte de bien distinguer; car ce que nous dirons d'un de ces troubles , celui qui nous occupe, la pyromanie, ne saurai
t, s'en souvenir et le dépeindre, ne laissent aucun doute sur des troubles physiques marqués, tels que maux de tête, palpi
satisfaction de l'instinct morbide, l'impulsif assiste conscient au trouble de son esprit et à la perte de sa volonté. Au d
t DE LA PYROMANIE. 35 qui indiquent la participation du corps aux troubles de l'intellect. Il se plaindra de violents maux
s années d'activité génésique, elle est habituellement liée à des troubles de la menstruation, particularité que l'expert
en second lieu, la faiblesse intellectuelle; en troisième lieu, les troubles physiques et les modifi- cations psychiques con
près, je placerai l'âge de l'accusé, puberté ou ménopause, et les troubles de la menstruation. Puis viennent l'em- pressem
atifs à l'accusé : paysan; pus de mobile; faiblesse intellectuelle; troubles physiques et modifications psychiques concomita
à l'accusée : paysanne; pas de mo- bile ; faiblesse intellectuelle; troubles physiques et modifications psychiques concomita
rasser l'expert. Tous les caractères se trouvaient réunis, même les troubles physiques et les modifications psychiques conco
tifs à l'accusé : paysan; pas de mobile; faiblesse intellectuelle ; troubles physiques et modifications psychiques concomita
ensonge; accusé réputé non. aliéné; empressement à porter secours ; troubles physiques immédiatement antérieurs au second cr
ui aucune modification psychique, et il ne s'était plaint d'aucun trouble physique. Toutefois, quelques semaines avant le s
'importance : 1° absence de mobile; 2° faiblesse intellectuelle; 3° troubles physiques et modifications psychiques concomita
cédents personnels : convul- sions dans l'enfance; développement et troubles de l'intelligence ; névroses ; maladies fébrile
te par Morel, à marche chronique, avec des rémissions typiques. Les troubles de la sensibilité générale constituent le subst
LOGIE. 87 nerf optique droit atrophié, sans autre lésion qu'un état trouble des méninges molles, présentait quantité de cel
ividus qui nous offrent les exemples de ces formes capricieuses des troubles de l'esprit, on en voit d'autres chez les- quel
chez les aliénés mélancoliques et hypochondriaques qui souffrent de troubles de la nutrition et de la digestion consistant,
des aliénés sitiophobesl. Après avoir fait le diagnostic exact des troubles pathologiques qui expliquent ce refus, et avoir
né, l'ablation d'un hémisphère entier n'exerce pas le plus petit trouble sur les mouvements. Prenons un animal adulte (lap
ils se redressent, mais plus les animaux avancent en âge, plus ces troubles rétrogradent. Conclusions analomiques : 1° Dans
, au moment où il l'a perpétré, en un état d'incons- « cience ou de trouble pathologique de l'activité mentale « qui exclua
er si, à l'époque de l'acte incriminé, il y avait inconscience ou trouble psychique morbide. C'est au juge, au juge seul, q
e seul, qu'il appartient d'apprécier si l'état d'inconscience ou de trouble psy- chopathique constaté excluait le libre arb
non de médecine. Y a-t-il, y avait-il ou non, inconscience, ou non trouble psychopa- thologique ? Le médecin n'a à répondr
ces formes est le pivot essentiel du tout; le caractère partiel du trouble , sa persistance, sa systématisation, l'immixtio
LIOGRAPHIE. sentiel de la maladie, et sur lequel les délires et les troubles de la sensibilité morale apparaissent comme aut
coeur. Il s'agit d'une albuminurie habituellement transitoire, sans troubles fonctionnels concomi- tants ; l'albumine; peu o
). L'albuminurie transitoire, notable le soir lorsqu'il y a eu un trouble digestif) ou le matin, lorsque les malades ont ép
étion d'acide urique ou même d'urée; elle tient probablement à un trouble de la nutrition organique dû lui-même soit à la m
est la principale cause prédisposante de l'hystérie infantile. Les troubles des facultés affectives sont un des premiers sy
inéal antérieur ou postérieur. Nous n'insistons pas sur l'étude des troubles locaux qui en résultent et que l'au- teur décri
sommet de la tête (clou), exaspérée par le passage du peigne ; les troubles du sommeil (rêves, cauchemars, paroles, fatigue
us consciencieux, les plus honnêtes des hommes qu'aucune passion ne trouble , qu'aucun intérêt n'aveugle ; des magistrats, d
sion à leur étude. Citons parmi ses études : « Le pouls lent et les troubles rythmiques du pouls. », « de la tempéra- ture d
vralgies vésicales. 1888 : Des hallucinations de l'ouïe. 1889 : Des troubles de la sensibilité dans le tabès. Prix de l'hy
physiologique qui a permis de distinguer les uns des autres divers troubles de la fonction du langage, d'expliquer chacun'd
ivers troubles de la fonction du langage, d'expliquer chacun'de ces troubles par une lésion céré- brale déterminée, et d'int
est la paraphasie; néanmoins celle-ci n'est pas constante, et les troubles de la parole volontaire observés sont de nature
r de fièvre, surtout lorsque leur chiffre n'est pas élevé et que le trouble de la connaissance n'est ni profond ni prolongé
omplet, insiste particulière- ment sur l'opposition remarquable des troubles graves de la motilité et de l'indemnité de la s
ger mouvement de recul, puis reprend sa marche. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité. Le malade ne s'est jamais pl
iale (vue, ouïe, goût, odorat) est aussi indemne. 11 n'y a pas de troubles génitaux ; les sphincters fonctionnent normalem
liens sont complèle- ment abolis, des deux côtés. Il n'existe aucun trouble trophique, et les réactions électriques (sensib
es rotuliens, le nystagmus, l'embarras de la parole, l'absence de troubles de la sensibilité, d'anomalies des sphincters, fo
ue avec insomnie, irritabilité ou dépression ; puis surviennent des troubles sensoriels (ouïe, ' Voir le 11- 37, p. 62. 22
forme chan- nique est surtout caractérisée par la. persistance des troubles sensoriels, illusions ou hallucinations, entret
t se développer que sur un fonds de débilité mentale, parce que les troubles sensoriels peuvent être inter- prétés dans le s
lires émotifs dépendant de l'exaltation de la sphère mentale par un trouble émotif violent. 1 Buknill et Tuke. - A mmtual o
orps entier, y compris la face ; conservation des réflexes cutanés. Troubles du sommeil. Phénomènes d'an- goisse. Vers la fi
certains groupes musculaires, la parésie des muscles des yeux, les troubles cérébraux. D'un autre côté, la rigidité muscula
t d'étendue de la lésion rend compte de l'absence d'ataxie; que les troubles de la sensibilité observés dans l'espèce se rat
uis bi-latérale; apha- sie ; démence croissante, cécité, ptyalisme, troubles de la marche, accentuation des réflexes tendine
de la joue droite mentionnées pourraient bien n'avoir été que des troubles vaso-moteurs précoces. Absence de bacilles dans l
on du du lobe temporal), la rougeur et la tuméfaction de la joue ( trouble vaso-moteur) ; à la moelle se rattacheraient l'in
té mentale émane probablement d'une lésion diffuse de l'écorce, les troubles mo- teurs indiquent l'atteinte des tractus mote
par un autre médicament. Les accidents qu'il produit seraient : des troubles vasoparalytiques de la tête (action sur le gang
gmentation des ongles, des rash, des douleurs dans les membres, des troubles intestinaux, de l'ictère, des inflammations sup
ymptômes de l'hémi- parésie et de l'hémi-anestliésie droites et des troubles fonction- nels du côté de la vue consistant en
trécissement double du champ visuel très marqué sur- tout à gauche, troubles du sens chromatique. Pour les deux yeux, toutes
e indication à la trépanation. M. FALK. On impute aux blessures des troubles psychiques, alors que souvent les malades étaie
râniens graves, il est rare 254 SOCIÉTÉS SAVANTES. d'observer des troubles psychiques véritablement consécutifs, niais enf
laissé d'autre refuge que l'asile des aliénés, dans les cas où les troubles de l'intelligence, presque inséparables d'ailleur
iptif. La lèpre trophoneurotique débute rarement d'emblée par des troubles nerveux. En général, elle est précédéed'éruptions
esthésie, les paralysies, les atrophies et les bibliographie. 301 troubles trophiques, qui constituent le tableau symptomati
es membres et de la face; on ob,erve aussi quelquefois au début des troubles de l'ouïe (Leloir). L'auteur 'étudie en détail
lle entraîne des déformations consi- dérables amène fréquemment des troubles de la nutrition des membranes de l'oeil. Vigour
fondus avec diverses affections viscérales et surtout avec certains troubles viscéraux de l'ataxie locomotrice; ils ne peuve
stent quelquefois en vraies crises gastriques, mais plus souvent en troubles dyspeptiques vagues qui ne s'améliorent que par
1886.) Dans le rhumatisme articulaire aigu, il existe souvent des troubles de la sensibilité cutanée (tact, douleur, tempéra
tendre à toute la surface du membre malade. On peut rattacher à ces troubles de la sensibilité cutanée, quelques autres phén
es rapports de la paralysie générale chez la femme, avec cer- tains troubles de la menstruation; par Petit. (Thèse de Paris,
paralysie générale chez la femme, coïncide le plus souvent avec des troubles de la menstruation, consistant tantôt en un arr
uelles. Les femmes atteintes de paralysie générale qui n'ont pas de troubles mentruels, paraissent résister plus longtemps.
trop franchement le rôle de la paralysie générale comme .cause des troubles mens- truels,-Ia-coïiieidence nous parait seule
de M. Legrand du Saulle. La détermination de l'identité, celle des troubles ap- portés par la vieillesse, par l'agonie et p
es qui peuvent se trouver sur son passage (le malade prétend voir trouble pendant l'accès), mais parfois il s'accroche avec
trois fois par jour il a des étourdissements dans lesquels il voit trouble , distingue les objets qui se trouvent devant lui,
es sens, sauf celui de l'ouïe, ne présentent rien d'anormal ; aucun trouble fonction- nel à signaler concernant la sensibil
résenter les mots parlés (rêves) et le défaut d'amnésie orale et de troubles de l'articulation des mots. t Il y avait égal
invo- lontaire de la parole possible. Pas d'amnésie verbale ni de trouble de l'articulation. Le le, juillet 188..., me tr
pondait tout aussi correctement quand il ne me regardait pas. Aucun trouble du côté des autres sens ni de l'appareil neuro-
brute. Surdité corticale partielle. -Pas d'amnésie verbale. Pas de trouble de l'ar- ticulation des mots. Imagination possi
pouvait se représenter mentalement les mots entendus. Aucun autre trouble à signaler dans la sphère du langage soit écrit,
sans perte ou diminution appréciable de l'imagination orale, sans trouble de l'articulation des mots. On ne saurait préte
des mots prononcés par autrui ; par l'absence d'amnésie orale et de troubles dans l'articulation de la parole. La surdité ve
tion orale) et par l'impossibilité de répéter les mots sans autre trouble du langage. 3° La surdité verbale centrale {des
orale, par l'impossibilité de répéter les mots, et de plus par des troubles moteurs du langage par- lé pouvant stimuler une
86 PATHOLOGIE NERVEUSE. voir mentionner l'oedème et en général, les troubles vaso-moteurs sur lesquels M. Lancereaux a insis
'est vers le mois de juillet que' se sont mani- festés les premiers troubles de la déglutition. Jamais de palpita- tions ni
s, sauf pour le pouce, est légère- ment portée en extension. Pas de troubles vaso-moteurs, pas d'oedème lors même qu'il rest
plus d'hérédité qu'ailleurs; la priorité en date de l'idée sur les troubles du sentiment n'est rien moins que démontrée, il
ée, il suffit au contraire souvent chez ces malades du plus léger trouble émotionnel pour changer ou exciter les idées déli
. Ma- gnan fait partie du groupe des médecins qui considèrent ces troubles psychiques comme caractéristiques d'un état de dé
aires , des nerfs optiques et de leurs centres primaires. Comme les troubles de la vue se sont montrés brusquement à la suit
ilepsie, accidents tabétiques avec amau- rose) ; puis se produisent troubles psychiques et spinaux graves, attaques apoplect
aques apoplectiformes et épileptiformes ; enfin, à un moment donné, troubles de la parole rappelant,, sauf la tendance à scan-
on constate épaississement des parois du crâne, synostoses, état trouble de la pie-mère avec adhérences au cerveau. Atroph
chondriaques, il avait rapidement présenté des hallucinations, des troubles de la sensibilité générale et des idées de perséc
testicules. La rnicrocéphalie et les fissures iriennes dénotent les troubles considérables de nutrition qui ont présidé au d
sférer à cette annexe tout criminel soupçonné de simulation ou d'un trouble mental. Il serait au surplus fort intéressant q
ontradic- tions) représentent la plupart des malades qui jettent le trouble dans l'établissement, quoique généralement ils
ence du goitre chez la femme, son accroissement concordant avec les troubles du côté de l'utérus. Il a noté l'hérédité et la
lte, la méningite 46-2 BIBLIOGRAPHIE. tuberculeuse débute par des troubles psychiques qui sont on peut dire idendiques à c
J'anesthésie du testicule ne sont pas en rapport constant avec les troubles sensitifs ou trophiques de la peau, des bourses e
pendant, elles semblent d'origine névritique, tout comme les autres troubles trophiques ce l'ataxie. CH. F. XXIV. Contribu
99 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
s qui est profondément lésée, tandis que chez le premier il existe un trouble fondamental de la sphère émotive et de la volonté
heures. Application de pédagogie suggestive : somnambulisme diurne, troubles du caractère, etc. Par M. le Docteur bourdon, d
même malgré la volonté. Les hallucinations et les illusions sont des troubles précoces. Le sens du bien et du mal n:est pas abo
scène d'hallucination rétroactive intervenant dans le cours d'autres troubles mentaux, chez un malade de son service. Le malade
de l'ouïe. Céphalée. Hémianesthésie sensitivo-senso-rielle. Hystérie. Troubles vaso-moteurs. — Influence curative de la suggesti
s modes. La malade ne peut fixer un crayon sans que sa vue devienne trouble . Rétrécissement du champs visuel, pour l'œil ga
la portion la plus interne du champ visuel. Vision de l'œil gauche trouble pour les objets rapprochés. Acuité auditive trè
n de la paralysie générale progressive d'avec les formes voisines des troubles mentaux ; 5° Transformation des asiles d'aliéné
t : « La période prodromique de la folie a déjà le caractère d'un trouble « pathologique. Les déviations intellectuelles dé
ons à sauver d'une pénalité qui ne leur incombe pas sont ceux dont le trouble intellectuel encore imparfait, inégal, intermitte
ment très pénible et d'une fièvre puerpérale consécutive, affectée de troubles oculaires qui, sur l'avis d'ophthalmologistes trè
ont été considérés comme étant la conséquence d'un état nerveux. Ces troubles oculaires ont duré plusieurs mois et étaient cara
me, avec diminution notable de son embonpoint normal. Plus tard les troubles nerveux se portèrent principalement sur l'estomac
. C'est dans ces conditions d'impotence des membres inférieurs avec troubles de l'estomac et une constipation opiniâtre que Mm
ne pouvant rendre compte de l'impotence des membres inférieurs et des troubles gastro-intestinaux. Depuis cinq mois, Mme X...
tout malaise et cela par l'auto-suggestion. En effet, pour guérir ces troubles nerveux d'ordre psychique, il suffit de suggérer
de fer ou autre, il se produit immédiatement où à courte échéance un trouble nerveux dont le siège primitif est dans l'axe cér
f est dans l'axe cérébro-spinal ou dans le grand sympathique ; lequel trouble s'accuse par de la douleur dans la région encépha
c affaiblissement des membres, un besoin absolu de repos. Bientôt les troubles envahissent les organes dont les fonctions relève
e palpitations cardiaques avec angoisse, de paresse intestinale et de troubles fonctionnels des organes génito-urinaires. Leur a
e paroxystique—byperesthésic généralisée: algies diverses et tenaces; troubles du caractère. Mlle Sh..., quarante-neuf ans, sa
réditaires fâcheux, déclare avoir été nerveuse dès son jeune âge. Les troubles neurasthéniques actuels remontent à six ans. La m
ne maladie organique réelle, mais une obsession morbide entée sur des troubles fonctionnels anciens chez un dégénéré mental. J
endu pour se développer dans ce cerveau prédisposé, que l'occasion de troubles quelconques, fournie, dans l'espèce, par l'arthri
nt comme la preuve, ou du moins, comme la manifestation extérieure du trouble psychique qui a donné lieu à l'amnésie. Cependa
boisson. Il n'a jamais fait aucune maladie sérieuse et n'accuse aucun trouble . Son teint est anémique : léger tremblement de la
vaguer) et Ton ne s'en apercevait pas. » Plus tard, il présente des troubles intellectuels si prononcés qu'il est question de
de où ont eu lieu les actes incriminés, n'ont remarqué aucun signe de trouble mental. Pendant son séjour à l'asile, on a cons
recherches expérimentales, a été atteinte de névrose traumatique. Les troubles nerveux qu'elle présentait étaient surtout caract
, indiquent, d'une façon manifeste, l'influence du sommeil sur le trouble fonctionnel de la motilité. Cette application d
s urinaires réflexes Par M. le Dr Ed. Laoelouze. La fréquence des troubles nerveux tenus sous la dépendance de lésions acqui
istent chez le plus grand nombre des urinaires. La diversité de ces troubles est grande, elle va de la simple instabilité ment
gique. Les premiers seuls intéressent le chirurgien urologiste. Ces troubles sont de deux ordres ; dans un premier groupe se c
permanence de la fonction. A ce même ordre d'idées appartiennent les troubles névropathiques des femmes atteintes de lésions de
le et la symptomatologie montre des irrégularités de caractère et des troubles mentaux. Les mêmes observations seraient applicab
cependant être passé entièrement (1) Peut-être un cenaîn nombre de troubles mentaux consécutifs aux ovariotomics peut-il être
rmettra-t-il d'expliquer mieux qu'il n'a été fait jusqu'à ce jour les troubles d'innervations de la vessie causés par des obstac
cissements larges ». Le rétrécissement large peut n'entraîner aucun trouble fonctionnel; il a le plus souvent besoin d'être r
e dans le rétrécissement, qui lui-même peut exister en dehors de tout trouble fonctionnel. * * * Ces réflexions se sont p
rne, remplacée par un tissu cicatriciel qui reproduirait plus tard le trouble radicutaire ascendant. La scarification de l'urèt
lus rarement. L'état général est excellent, l'appétit très bon et les troubles neurasthéniques ont complètement disparu, ainsi q
ourra arriver que le malade ne soit pas entièrement débarrassé de ces troubles nerveux, par celte habitude qu'il est si fréquent
qu'il avait senti tout à coup dans sa tète la même chaleur et le même trouble qui précédaient toujours chez lui le sommeil quan
est vraisemblable que sous l'action de la lumière il se produisait un trouble considérable de l'accommodation. La dilatation de
tous à des femmes hystériques vraies ou à des nerveuses atteintes de troubles menstruels. Chez notre malade, la menstruation ét
r par la suggestion hypnotique, on est arrivé à faire disparaître les troubles de la sensibilité et de la moti-lité, à l'excepti
che. Mais il ne me semble pas que jusqu'à présent on ait signalé un trouble absolument identique pour la parole, trouble que
résent on ait signalé un trouble absolument identique pour la parole, trouble que par analogie on me permettra d'appeler : La P
; Monsieur Doyen, méchant ; Voulez-vous me laisser tranquille. » Ce trouble du langage a persisté cinq semaines chez cette fi
Nous laissons aux spécialistes le soin d'étudier à fond ce nouveau trouble du langage. Pour nous, nous avons cru de notre de
ire fébrile, la fièvre, la douleur, les réactions inflammatoires, les troubles trophiques les plus variés, les anesthésies, les
irement, pour celui qui est adonné à cette habitude, le diagnostic de trouble mental entraînant l'incapacité de tester. » Ces
De l'usage à (l'abus il n'y a qu'un pas. L'abus vint, accompagné des troubles classiques de la moiphino-manie. A un moment donn
erai qu'à aucun moment le muiade ne m'avait paru présenter le moindre trouble de la raison. Il était très spirituel ; ses œuvre
ne n'est pas un morphinomane. Pour que le malade commence à avoir des troubles , pour qu'on puisse retrouver la morphine dans les
.. M. Julliot. — Les morphinomanes ne présentent habituellement des troubles de l'intelligence que lorsqu'ils sont privés de m
vingt-cinq ans, par doses régulières, sans avoir jamais présenté des troubles d'intoxication, ni interrompu un seul jour son la
nomane, il faut que le sujet ait présenté dans le cours de sa vie des troubles mentaux bien déterminés et incontestables. Parce
és et incontestables. Parce qu'on prend de la morphine on n'a pas des troubles somatïques ou des troubles psychiques. Je demande
qu'on prend de la morphine on n'a pas des troubles somatïques ou des troubles psychiques. Je demanderai à M. Auguste Voisin si,
morphine par voie digestive ou par voie sous-cutanée soit sujet a un trouble mental qui entraîne son incapacité au point de vu
irement, pour celui qui est adonné à cette habitude, le diagnostic de trouble mental entraînant l'incapacité de tester. » Hys
opose à la mère : 1° de combattre par la suggestion l'onanisme et les troubles psychiques do l'enfant ; 2° de le faire circoncir
e pouvoir de notre activité psychique dans le traitement de, tous les troubles du système nerveux. L'auteur d'au-delà des fo
M. Nordau s'appliquait à prouver qu'on cherche à tort la cause de ces troubles dans la partie terminale ou dans les voies conduc
es do la ménopause », M. Nordau traçait le tableau clinique connu des troubles mentaux accompagnant souvent l'âge climatérique d
; elle est l'effet, d'un côté d'une autosuggestion, d'autre côte d'un trouble organique inconscient. La cessation des règles su
ce processus s'aperçoivent et souffrent. Celte nécrobiose n'amène des troubles mentaux que chez les prédisposées. L'attitude d
tive. Dans le.s formes de l'hystérie, caractérisées surtout par des troubles psychiques, le sommeil profond est extrêmement bi
montpallier communique ensuite l'observation d'une malade atteinte de troubles neurasthéniques nombreux et tenaces, qui, après d
t d'un traitement énergique bromure, disparurent pour faire place aux troubles oculaires. A ce moment, les praticiens qui l'av
nce au signe de Gilles de la Tourette (superposition du spasme et des troubles de la sensibilité). Examinée au point de vue gé
meuble pour ne pas tomber. Tandis qu'autour d'elle on attribuait son trouble au chagrin de voir son bonheur reculé d'un semest
biscupide). Aucune douleur ni pendant, ni après l'opération, et aucun trouble dans la suite. Un certain nombre de mes patient
tive à une castration totale pour tuberculose métro-tubo-ovarienne. — Troubles concomitanís des fonctions digestives, du sommeil
ique éminemment favorable à l'invasion bacillaire et à l'éclosion des troubles nerveux. Tout à coup, en octobre 1893, éclatent
s jours sans manger ni dormir. Puis apparaissent un certain nombre de troubles psychiques caractéristiques : impulsivité extrême
qui avaient rendu la castration nécessaire. D'ailleurs, en dehors des troubles des fonctions digestives, du sommeil et du caract
rmal, la castration totale aurait vraisemblablement clos la série des troubles abdominaux. Toutefois, une récidive vraie de pé
dernières difficultés de diagnostic, et donner du même coup à ces troubles , en apparence si graves, le pronostic relativemen
vec ses corollaires : éclipse du contrôle cortico-cérébral supérieur, troubles de la sensibilité, du sommeil et du caractère, ac
ts de phobies et dont la peur est accompagnée d'états d'anxiété et de troubles généraux aussi pénibles que durables. Chez les
la famille. Son aspect physique n'est nullement en rapport avec les troubles nerveux qu'il présente. Il est robuste et vigoure
ans, est atteinte de chorée hystérique. Elle a présenté également des troubles con.vulsifs d'hystérie. L'enfant B..., est attein
stion. Pareillement, le dynamisme psychique altère la physionomie des troubles organiques tels que certaines dyspepsies, angines
de nos observations que des impressions violentes ne sont suivies de troubles dynamiques émotifs véritables qu'un temps assez a
se propage aux nerfs moteurs, aux vaso-moteurs ; ce qui donne Heu aux troubles de suffocation, d'agitation convulsive, de constr
idées et des émotions. Ce qualificatif « dynamique » marque bien les troubles qui lui sont imputables, troubles sans lésion man
catif « dynamique » marque bien les troubles qui lui sont imputables, troubles sans lésion manifeste, et les sépare ainsi même d
ivité maladive. Il est aisé de deviner sur l'heure quels seront les troubles dynamiques dus à l'élément nerveux psychique. Réu
agnant une idée fixe, une obsession. L'individualité diversifiera ces troubles . Ainsi toute impression arrivant au cerveau est
), 220. Application de pédagogie suggestive : somnambulisme diurne, troubles du caractère, etc., par le Dr Bourdon, de Méru,
ur un cas de), par le professeur Lépine, 154. Somnambulisme diurne, troubles du caractère etc. (application depédagogie sugg
100 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
r vos méthodes d'enseignement pédagogique, l'aptitude des centres aux troubles de leur fonctionnement, vous faites de la thérape
ique avec l'hypnotisme et nous ont été inspirées par l'observation de troubles pathologiques qui nous ont permis d'obtenir un gr
notisme et de la suggestion sur la circulation des sujets atteints de troubles cardiaques. La comparaison des résultats obtenu
n. — Mlle R..., âgée de 23 ans, est très craintive, sans présenter de troubles somatiques très accentués, elle peut être considé
e. L'examen clinique de son cœur démontre qu'il ne présente aucun trouble pathologique et fonctionne d'une façon normale. E
accélération du pouls chez un sujet dont le cœur ne présentait aucun trouble . Cette expérience démontre que la suggestion peut
ications expérimentales de la circulation chez des sujets atteints de troubles cardiaques. Observation. — Mlle S... âgée de 17
ns. Sa vie fut plusieurs jours en danger. L'angine se guérit, mais le trouble circulatoire persista. Cinq mois après, lorsqu'el
ez un sujet dont le cœur est normal, l'autre chez un sujet atteint de troubles cardiaques accentués, montre que dans les deux ca
n'avait pas été suffisamment interprété, et, pour notre confrère, les troubles de la mobilité et de la sensibilité devaient plut
nences thénar et hypothénar. N'avions-nous pas intérêt à atténuer les troubles d'origine suggestive chez un malade de cette natu
ri par la suggestion. 2. M. Tesdorpf (de Munich). — Corrélation des troubles somatiques et psychiques de l'hystérie. 3. M. D
contractures, anesthé-sies, pourquoi ne produirait-elle pas ces mêmes troubles dans les appendices des neurones ? Il est bien
sent des résultats utiles. Nous considérons ici l'hystérie comme un trouble dynamique du système nerveux. Et d'abord, il n'es
t raisonnement, nous avons A. qui devient plus grand que P. Mais ce trouble peut se produire de deux façons : ou bien P reste
erons comme formule : P-n A s-n = s F = F+n Prenons un cas de troubles plus accusés, à la fois de la sensibilité et de l
reflexe oculaire, hyperesthésie cutanée étendue. Parésie intestinale, troubles digestifs, constipation. Sera représentée par :
odique exploration, et s'appliquera à la fois à faire disparaître les troubles sensitifs, moteurs et psychiques. Pénétré de l'id
épendance et de la corrélation intime qui existe entre ces différents troubles , on obtiendra un résultat beaucoup plus rapide et
le libre arbitre. Néanmoins tous, aujourd'hui, vous considérez les troubles de la moelle et ceux du cerveau, du même point de
rose, de thrombose, bien souvent d'autointoxication. Vous ramenez les troubles de la pensée, aussi bien que ceux de la sensibili
domaine de la physiologie. Vous cherchiez à démêler l'écheveau des troubles mentaux, et ce sont les lois physiologiques de la
ent, par la force des choses, physiologiste. Déjà l'observation des troubles moteurs de la maladie d'Adisson a mis sur la voie
nts, relatifs à l'origine nerveuse de certaines dermatoses dues a des troubles vaso-moteurs; ces exemples sont une nouvelle
nte et, bien qu'elle ait eu deux ou trois attaques de rhumatisme, ces troubles ne se sont pas reproduits. Quatre années se sont
n 1902. — Présidence de M. Jules Voisin. De l'origine psychique des troubles hystériques, en particulier de la toux et de l'ap
ai observé chez cette malade deux récidives de toux et d'aphonie. Ces troubles sont survenus pour la première fois en mai 1899,
e hystérique, l'enrouement s'est transformé en aphonie, en vertu d'un trouble fonctionnel inconscient ou subconscient. La dysph
se pâmer sous un homme qu'elle nous dit sentir; notre présence ne la trouble nullement; elle est toute entière à son hallucina
Il y a trois ans, elle avait fréquemment, sous forme de crises, des troubles analogues ; elle éprouvait dans les membres infér
ir, ils réapparaissent aussitôt. A l'examen, elle ne présente aucun trouble sensitif, superficiel ou profond, subjectif ou ob
ble sensitif, superficiel ou profond, subjectif ou objectif, ni aucun trouble visuel, ni aucun point hyperes-thésique du côté d
nomènes somatiques, soit des crises de nerfs avant ou après, soit des troubles de la sensibilité. Or, ici, on ne constate aucun
'hystérie. En fait, ce n'est pas d'hystérie qu'il s'agit, mais d'un trouble psychologique. Voici comment les choses se passen
ndue, elle revêt l'allure d'un véritable choc moral. Il en résulte un trouble profond qui se manifeste essentiellement par l'ap
la diminution des boissons alcooliques, on évite l'apparition des troubles mentaux qui accompagnent d'ordinaire la suppressi
uter que les alcooliques, de même que la plupart des malades dont les troubles sont sous la dépendance d'une intoxication, sont
ie à un moment, le voyant changer : « Hélas ! mon frère, ton œil se trouble ; voilà que tes fureurs te ressaisissent, toi nag
t cet étrange voyage? Est-ce le meurtre de ceux que tu as tués qui te trouble l'esprit ? Mais lui, croyant que c'était le père
de Juin 1902. — Présidence de M. Jules Voisin. Relations entre les troubles somatiques et les troubles psychiques de l'hystér
de M. Jules Voisin. Relations entre les troubles somatiques et les troubles psychiques de l'hystérie. par M. le dr Paul Tes
rines de,ce dernier, le rétrécissement du champ de la conscience, les troubles de la synthèse mentale, le dédoublement de la per
u contraire, dans ces derniers temps, on considère que la plupart des troubles psychiques de l'hystérie dépendent non du cerveau
iolentes et inatten- dues font appel à l'hystérie ; il en résulte des troubles de dissociation à la fois qualitatifs et quantita
a variété et la mobilité des symptômes hystériques, qu'il s'agisse de troubles de l'humeur, des représentations, de la volonté,
s aussi on a constaté que, pour débarrasser certains enfants de leurs troubles nerveux, il était indispensable de guérir, au pré
tincelantes, des feux brûlants. Comme de coutume, elle attribuera les troubles de sa vision aux préoccupations pieuses de la vie
de la suggestion ». Comme eux nous pouvons faire disparaître certains troubles trophiques et certaines manifestations cutanées q
réel intérêt : Observation. —M. D.., âgé de 35 ans, a présenté des troubles nerveux des la plus tendre enfance. Il se souvien
ve perpétuellement de son état. Aujourd'hui encore, tout lui paraît trouble , et elle voit beaucoup moins à droite qu'à gauche
sement, le manque d'aliment (faim) produit chez l'homme sain certains troubles légers; chez certains dyspeptiques, dont la faim
able de produire le délire et la folie. La dyspepsie engendre des troubles psychiques sérieux, d'abord intermittents, puis c
mmunément invoquée, est impuissante à expliquer la genèse de tous les troubles psychiques que l'estomac provoque. D'après lui, l
oint de vue purement clinique, il est incontestable que, souvent, les troubles psychiques ont un point de départ purement stomac
oujours ainsi serait être trop exclusif; car il existe des cas où les troubles psychiques et le troubles stomacaux alternent et
trop exclusif; car il existe des cas où les troubles psychiques et le troubles stomacaux alternent et se remplacent par une sort
ité, trop souvent oubliée des neuropathologistes, que pour guérir des troubles nerveux, parfois intenses, il suffît bien souvent
tribution est demeurée jusqu'ici inexpliquée, en particulier certains troubles sensitifs et tro-phiques. Par leur nature, ils pa
le acquise; c'est que dans l'hypnose il y a une forte inhibition, qui trouble les associations et suspend une partie des foncti
que, au cours de la lente incubation, que le tuberculeux présente dos troubles nerveux et mentaux. Ce qui m'a le plus frappé à c
espérer que l'influence psychothérapique sera très intense contre les troubles nerveux et les troubles fonctionnels qu'on observ
psychothérapique sera très intense contre les troubles nerveux et les troubles fonctionnels qu'on observe; or, cette influence e
le caractère, elle contribue à créer l'optimisme, elle n'agit sur les troubles somatiques que d'une façon faible et passagère, a
ts, d'autres religieuses, devenues folles hystériques, basèrent leurs troubles mentaux sur la même manière de penser ; elles eur
duquer sa motricité, lui bien expliquer la genèse et la nature de ses troubles , puis, s'il en est besoin, recourir à la suggesti
e, de la suggestion, des modifications connues de la sensibilité, des troubles psychiques si variés de l'hystérie et des autres
que ce rêve a un substratum physique, qu'il y a eu dans le sommeil un trouble pathologique... » J'ai vu récemment un délirant
'hygiène intellectuelle et le régime alimentaire. D'autres fois, ces • troubles du caractère sont sous la dépendance d'un polype
isable veut dire curable : Etant donné un enfant atteint de vices, de troubles nerveux, si après plusieurs tentatives l'état d'h
et de larmes. L'intelligence des cardiaques reste vive tant que les troubles de la circulation cérébrale ne sont pas trop acce
mars et à la fin de juillet, sous forme de crises momentanées, divers troubles somatiques, sensoriels et psychiques dont voici l
n de se terminer rapidement, comme au début, laisse après elle divers troubles , pendant au moins une quinzaine. La crise de mars
nent l'anniversaire de la première rencontre et celui de la mort, les troubles décrits plus haut reparaissent. Rien ne vient c
s organes sont sains. De guerre lasse, on finit par dire que tous ces troubles céderont probablement à la psychothérapie. C'est
nt toutes ses misères. L'insomnie entretient, exaspère, complique les troubles névropatiques. La restauration du sommeil amènera
e chagrin. Quelques jours avant cette date fatale, la malade a vu ses troubles hystériques augmenter et lorsqu'elle est revenue
es. Or, on délire toujours dans le sens de ses premières idées. Ces troubles psychiques évoluent sur un terrain alcoolique. Ce
ns un voyage en Syrie eurent-elles quelque rôle dans la genèse de ces troubles nerveux : il traitait le retour de ces fièvres pa
se, mais seulement l'air et non pas les paroles. Il ne présente aucun trouble de l'écriture. Il tire très bien la langue dans
t, ni d'artérite, ni d'aucun accident organique. II n'existe pas de trouble sensitif ou moteur, pas même d'hypoesthésie ou de
traduit par une véritable paralysie fonctionnelle, s'accompagnant de troubles vaso-moteurs les plus variés. Parmi les profess
elques séances de suggestion dans l'état d'hypnose s'amender tous les troubles vaso-moteurs qui compliquaient ses états d'anxiét
e. Je n'ai pas l'intention de donner une description didactique des troubles qui torturent les malheureuses victimes des affec
drait donc à faire défiler devant vous le tableau de presque tous les troubles psychiques de l'homme. Quelques-uns l'ont essayé,
tives évidentes, et chez lequel les fonctions nerveuses aient subi un trouble si profond, que leur expression soit ou abolie ou
retour, il eut une enfant bien constituée mais qui de son côté a des troubles gastro-intestinaux. Il va sans dire que M. X. a
environ, la constipation se montra. Notez que jusqu'à ce moment aucun trouble nerveux n'avait fait son apparition, M. X. avait
stic ne faisait plus aucun doute pour moi : nous avions affaire à des troubles nerveux d'origine toxique, et le traitement stoma
r Babinsky. Tous les réflexes étaient normaux; il ne fut relevé aucun trouble de la sensibilité, ni de la motilité. Nous recher
sortir de la masse confuse des détails, la succession des principaux troubles psychiques qui résultent d'une intoxication gastr
tions sur l'), par Paul Joire, p. 56. Hystérie (Relations entre les troubles somatiques et les troubles psychiques de l'),
re, p. 56. Hystérie (Relations entre les troubles somatiques et les troubles psychiques de l'), par Tesdorpf, p. 146. Hystér
par Variot, p. 24. Toux et de l'aphonie (De l'origine psychique des troubles hystériques et en particulier de la), par Delius,
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