s ; les affections des muscles ; l'hystérie et le pithiatisme ; les
troubles
physiopathiques ; la thérapeutique. PREMIERE
atigue, par exemple, voilà des phénomènes subjectifs. C'est sur des
troubles
de ce genre que le malade commence d'habitude par
ie, c'est-à-dire la privation du mouvement volontaire, constitue un
trouble
de ce genre, à moins qu'elle ne réalise quelque
t son sommeil, de sentir ses forces diminuer et d'être gêné par des
troubles
gastriques, des nausées et des vomissements. De q
nfin d'une maladie simulée ? Assurément, suivant les caractères des
troubles
subjectifs énumérés, suivant les ren- seignemen
tence d'une lésion organique intra-crânienne, d'un oedème cérébral,
trouble
ordinairement lié à un néoplasme, auriez-vous a
as vous mettent en mesure d'en déterminer la nature. A la vérité un
trouble
ophtalmoscopique constitue plus qu'un simple si
tion plus étendue des centres nerveux. Or si l'on considère que les
troubles
ophtalmoscopiques sont des manifestations fort
ième paire donnent lieu, il est vrai, entre autres symptômes, à des
troubles
que la volonté peut, en apparence, faire naître
celle-ci, en effet, il y a bien aussi parfois du strabisme, mais ce
trouble
est peu prononcé quand il existe ; de plus, il ne
'influence de la volonté. J'attire seulement votre attention sur un
trouble
qui parait être une forme de cette asynergie, loc
érêt ; d'autre part, elle peut exister indépendamment de tout autre
trouble
oculaire et elle constitue alors, à condition d'ê
réflexe de la convergence est aboli et dans certains cas même, les
troubles
pupil- laires s'accompagnent d'une paralysie de
ier ordre. Mais je puis dire de ces caractères ce que je disais des
troubles
ophtalmoscopiques ; ils constituent plus que des
ication diphtérique du système nerveux, qui donne souvent lieu à un
trouble
oculaire qui lui est spécial; c'est une paralys
té des mouvements pupillaires. On pourrait, à la vérité, feindre un
trouble
de ce genre, car il s'agit d'un phénomène dont la
d'un sujet considéré comme un névropathe, un hystérique, qui a des
troubles
de la phonation, et qu'on soit conduit à se deman
endineux est caractéristique d'une lésion du système nerveux, et ce
trouble
est étranger à la symptomatologie de l'hystérie.
duction, car, en employant une technique spéciale, en analysant ces
troubles
, en étudiant attentivement les divers caractère
paralysie radiale vulgaire. Enfin j'attire votre attention sur les
troubles
que les lésions auriculaires apportent dans le
si seulement elle prédomine notablement d'un côté (Babinski). Les
troubles
trophiques, les troubles circulatoires, les troub
ne notablement d'un côté (Babinski). Les troubles trophiques, les
troubles
circulatoires, les troubles sécré- toires appor
Babinski). Les troubles trophiques, les troubles circulatoires, les
troubles
sécré- toires apportent aussi au diagnostic des
e peuvent être simulées. On peut en dire presque autant de certains
troubles
circulatoires et sécrétoires ; si, par exemple,
que vous avez affaire à une affection organique. Ce sont encore des
troubles
circulatoires qui constituent un des signes les
mène des orteils, dont je vous ai déjà parlé, et, d'autre part, un
trouble
d'ordre circulatoire, la lividité de la figure
et état peut résulter d'un simple effort volontaire; il faut que le
trouble
de la circulation soit plus profond, que les lèvr
e les lèvres soient plombées, livides. Ainsi que vous le voyez, les
troubles
trophiques, les troubles circulatoires ont beau
ées, livides. Ainsi que vous le voyez, les troubles trophiques, les
troubles
circulatoires ont beaucoup de prix au point de vu
moins essentiel de savoir déterminer alors avec rigueur la part des
troubles
que la volonté n'a pu engendrer. Comme je vou
ainsi bien des fois, pour le plus grand profit de vos malades, des
troubles
qui autrement auraient passé inaperçus, vous se
e ne conteste du reste l'importance des données que fournissent les
troubles
subjectifs. Le rôle du patient est donc très impo
patient est donc très important. En prévenant à temps le médecin de
troubles
dont seul il peut avoir notion, il lui donne le
ge des élancements qu'il ressent ; il objective en quelque sorte le
trouble
subjec- tif ; de plus, pendant votre entretien
nt que les phénomènes névropathiques, qu'ils se manifestent par des
troubles
sensitifs ou des troubles moteurs, ou bien encore
opathiques, qu'ils se manifestent par des troubles sensitifs ou des
troubles
moteurs, ou bien encore par des attitudes anorm
il y avait alors dans les salles plusieurs jeunes filles atteintes de
troubles
hysté- riques et dont l'une avait son franc par
ois d'une névrite sciatique, n'éprouvant plus aucune douleur, aucun
trouble
dans ses fonctions et ne conservant plus comme
culièrement instructive à cet égard. On admettait autrefois que les
troubles
hystériques devaient être divisés en deux group
hystériques devaient être divisés en deux groupes : d'une part, les
troubles
transitoires (crises, paralysies, contractures,
sme, etc.) ; d'autre part, précédant ceux-ci et leur survivant, les
troubles
permanents qui se développeraient sans que la c
a très grande majorité des observations d'hystérie (observations de
troubles
moteurs, attaques, tremblements, etc.), l'exist
ttaques, tremblements, etc.), l'existence d'une hémianesthésie avec
troubles
sensoriels et particulièrement avec rétrécissemen
s esprits et qu'on s'est efforcé de l'écarter dans la recherche des
troubles
sensitifs que l'hémianesthésie est devenue plus
allait procéder afin d'éviter les suggestions dans la recherche des
troubles
visuels qui constituent les prétendus stigmates
n vous parlant de l'attaque hystérique j'empiète sur le terrain des
troubles
objectifs ; l'attaque, en effet, est un phénomè
d'un interrogatoire défectueux ou de propos inopportuns, a créé des
troubles
moteurs de nature hystérique, je vous en citera
conservation des mouvements des membres inférieurs et l'absence de
troubles
sensitifs, déclare au père qu'il s'agit sans do
rendre compte des sensations qu'il éprouvera et de l'évolution des
troubles
. Le père, affolé, ne quitte plus le chevet du lit
ec anes- thésie. Je le vois dans cet état 6 mois après le début des
troubles
. Ne constatant aucun signe objectif d'affection
ariboisière. consulté à son tour, émet l'opinion qu'il s'agit là de
troubles
nerveux et me fait l'honneur de me deman- der m
lète et qu'elle s'est maintenue sans aucune récidive, sans qu'aucun
trouble
hystérique se soit manifesté depuis. Tous les a
nous avons en vue étaient absolument conscients de l'irréalité des
troubles
accusés ; suggestionnés ou simulateurs-mytho- m
s'opérant suivant le mécanisme que j'ai indiqué pour la genèse des
troubles
qualifiés hystériques a été souvent la source d
le médecin est souvent tout à fait étranger au développement de ces
troubles
, véritables obsessions, mais ses entretiens ave
ertitude absolue. Tandis que les erreurs commises dans l'examen des
troubles
objectifs que la volonté est incapable de repro
ement à l'observateur, celles qui sont faites dans la recherche des
troubles
subjectifs peuvent être dues au sujet en observ
endancieuses, ses investigations peuvent aboutir à la production de
troubles
ayant la suggestion pour cause ou à la fixation
vous en réduirez notablement les risques, dans vos enquêtes sur les
troubles
subjectifs, en vous comportant auprès des sujets
ment d'extension sur le métatarse. Il m'a été donné d'observer ce
trouble
dans des cas d'hémiplégie récente remontant à q
aux orteils des mouvements volontaires; mais je dois ajouter que ce
trouble
n'est pas constant. J'ai aussi observé dans plu
a pas chez le malade même de point de comparaison, la réalité d'un
trouble
est moins manifeste. En résumé, le mouvement ré
rvice il y a un an, et à cette époque il présentait, outre quelques
troubles
vésicaux et rectaux, une paraplégie spasmodique
alors, d'une façon constante, l'extension des orteils. Depuis, les
troubles
se sont progressivement atténués, et actuelleme
té droit, où il existe aussi, mais à un degré bien moins élevé, des
troubles
de la motilité, l'excitation de la plante du pi
rachial, et la méningo-encépha- lite diffuse se manifestant par des
troubles
psychiques, du tremblement des lèvres et de la
feste- ment de tabes, caractérisé par des douleurs fulgurantes, des
troubles
vésicaux, le signe de Robertson, l'absence des
cutané plantaire était normal et le côté gauche ne présentait aucun
trouble
de la motilité. J'ai également observé le signe
uérit rapidement et quarante-huit heures environ après le début des
troubles
morbides, le réflexe cutané plantaire était red
bservé dans l'hystérie, que cette névrose se fut manifestée par des
troubles
de la motilité à forme hémiplégique ou à forme pa
as de tabes, sera un indice important, en révélant l'existence d'un
trouble
dans le système pyramidal, qui, sans ce signe,
de cette idée que le phénomène des orteils est en relation avec un
trouble
dans le fonctionne- ment du système pyramidal.
le à réaliser ; sans compter les enfants et les malades atteints de
troubles
mentaux, qui s'insurgent contre l'examen et l'ent
ux et osseux. 48 SÉMIOLOGIE SUBRÉFLECTlVITÉ; IRRÉFLECTIVITÉ Ces
troubles
sont dus, habituellement je viens de le dire à un
la subréflectivité ou à de la surréflec- tivité quand il existe des
troubles
fonctionnels unilatéraux. Il va sans dire qu'en
tenu, comme je l'ai établi, par l'abolition du réflexe achilléen. Ce
trouble
a été autrefois signalé, il est vrai, dans quel
sent à leur tour chez beaucoup de sujets. Ordinai- rement alors les
troubles
suivent une marche ascendante, le réflexe, d'ex
ant que peu atteints ou restant tous normaux. Pourtant il existe un
trouble
tabétique, le plus saillant de tous, l'ataxie,
ctivité est précédée habituelle- ment par la disparition des autres
troubles
caractérisant les névrites (dou- leurs, paralys
tes lésions de l'arc réflexe qui produisent de l'irréflectivité. Ce
trouble
peut-il être engendré directement par une altér
e abolition des réflexes tendineux des membres inférieurs, mais ces
troubles
sont passagers. Chez le singe, d'après Sherring
ais constaté l'abolition des réflexes rotuliens sans qu'il y eût de
troubles
de sensibilité. 60 SÉMIOLOGIE ' ne provoquera
directement ou indirectement le faisceau pyramidal, provoquent des
troubles
de motilité et déterminent, du moins dans une p
ur des réflexes à l'état normal coïncide aussi avec la guérison des
troubles
paralytiques obtenue par des moyens médicaux (t
s confusions. On a décrit sous le nom d'hémiplégie cérébelleuse des
troubles
de motilité unilatéraux sans (') Contribution à
s là d'hémiplégie, c'est-à-dire de para- lysie unilatérale, mais de
troubles
moteurs d'une tout autre nature (mou- vements d
la région psycho-motrice sans la détruire où, malgré la présence de
troubles
moteurs très manifestes (épilepsie Bravais-Jaks
aire remarquer ici que les relations de la surréflectivité avec les
troubles
de la motilité volontaire sont diffé- rentes su
que l'exagération des réflexes est intense, il y a généralement des
troubles
paralytiques assez accentués ; il n'en est pas de
la syringomyélie est capable de produire aux membres inférieurs des
troubles
identiques à ceux qu'on observe dans le tabès dor
i, complètement après extraction du néoplasme, ainsi que les autres
troubles
par lesquels l'affection s'était manifestée. L'
inaux chez les hémiplégiques et a été frappé par le contraste de ce
trouble
avec l'exagération des réflexes tendineux. Van Ge
re reste normal, à moins qu'à l'affection périphérique se joigne un
trouble
du système pyramidal, comme cela avait lieu, sa
CTURE La surréflectivité tendineuse ne s'accompagne pas toujours de
troubles
fonctionnels apparents, comme nous avons déjà e
de véritables mouvements spasmodiques, et, à la phase de début, les
troubles
méritent moins d'être rangés dans la catégorie de
rologistes admettaient que l'hystérie est capable de déterminer des
troubles
dans la réflectivité tendineuse; ils s'accordai
extrinsèques seuls permettraient de distinguer ces deux espèces de
troubles
. Je soutiens une opinion diamétralement opposée
arqua que le membre inférieur gauche était un peu engourdi, mais ce
trouble
ne l'empêcha pas de marcher et ne dura que 48 heu
le droit. Sauf de légères dou- leurs déjà signalées, il n'y a aucun
trouble
de la sensibilité. Dans les autres parties du c
ns à la manière d'un pendule. A l'état normal l'activité musculaire
trouble
presque toujours les mouvements passifs et leur
ux catégories : d'une part les caractères intrinsèques relatifs aux
troubles
de motilité qui occupent un côté du corps, de l
u à l'absence de certains phénomènes indépen- dants de ces derniers
troubles
, aux circonstances dans lesquelles la para- lys
ctitude de cette opinion. Le rôle de l'émotion dans la genèse des
troubles
hystériques est sans doute des mieux établis, m
combien les malades sont enclins l'aire dépendre de ce facteur les
troubles
dont ils sont atteints et l'on doit se garder d'a
tus) qui se forment du côté paralysé; certes l'existence de pareils
troubles
, particulièrement des deux derniers, permet pre
et le sourcil est abaissé. On peut facilement se convaincre que ces
troubles
sont sous la dépendance d'un affaiblissement de
iplégie et ensuite sur le parallé- lisme qu'il y a entre les divers
troubles
de motilité volontaire. Si, par exemple, les mo
que ce paral- lélisme n'est pas mathématique, chacun de ces divers
troubles
pouvant être un peu plus saillant que les autre
à des lois, la contracture succédant à la paralysie flasque et les
troubles
de motilité s'atténuant plus ou moins, suivant le
peut paraître même absolument nor- male ? En ce qui concerne les
troubles
de motilité que l'hystérie peut engen- drer dan
pérer du côté opposé à celui qu'occupe la paralysie de la face. Les
troubles
sont rarement limités d'une manière rigoureuse à
dans bien des cas ils sont associés les uns aux autres. De plus les
troubles
sont susceptibles de s'atténuer et de s'aggrave
médicale('). C'est dans l'hémiplégie organique que j'ai observé ce
trouble
qui consiste en ce que, dans certains actes où
ction du muscle du côté normal ; je propose d'appeler simplement ce
trouble
le signe du peaucier. Ce signe peut exister aus
gie, constitue un indice de lésion organique. Passons à l'étude des
troubles
de motilité qu'on peut observer dans les membre
ement que quelque temps après le début de l'hémiplégie, lorsque les
troubles
se sont atténués, que ce phénomène apparaît. Da
aités classiques on ne discute même pas la question de savoir si ce
trouble
peut servir à différencier les deux espèces d'hém
ET HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE 107 Vous voyez par ce qui précède que les
troubles
de motilité de l'hémi- plégie hystérique diffèr
rie du . reste, ne saurait être considéré comme la conséquence d'un
trouble
fonc- tionnel limité à un territoire anatomique
e je me proposais d'atteindre, que la paralysie hystérique étant un
trouble
psychique, le résul- tat d'une perturbation de
ouche ou de flexion du cou. ' Si dans l'hémiplégie hystérique les
troubles
de motilité de la face sont généralement bilaté
à la fois et que la volonté ne peut que difficilement réaliser des
troubles
musculaires unilatéraux dans le domaine de la f
reproduire par imitation, au moins d'une manière approximative, le
trouble
en question; aussi, quoique je ne l'aie jamais ob
variabilité. J'ai été amené à aborder la question du mécanisme des
troubles
hysté- riques. Comme je vous l'ai déjà dit, je
pourrait donner l'épithète de primitives, par opposition à certains
troubles
liés à l'hystérie, tels que l'amyotrophie ou les
luence. Voici, résumés dans un tableau, les caractères relatifs aux
troubles
de motilité qui distinguent l'hémiplégie organi
que s'applique particulièrement à la paralysie de la face, où les
troubles
sont générale- ment bilatéraux. 2° La paralys
anique du système nerveux central. VII CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
TROUBLES
MENTAUX DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ClsllL5l31a
aris, séance du 1 1 juin r, rl. : désire attirer l'attention sur un
trouble
mental que j'ai eu l'occasion j d'observer dans
i précède, en diffèrent sensiblement. Les fonctions psychiques, que
TROUBLES
MENTAUX DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 113 je n'ai
ades, par coquetterie, par amour-propre, cherchent à dissimuler les
troubles
dont ils sont atteints, mais, dans l'espèce, ce
lades et les troubler dans leur quié- tude. Si elle est réelle, les
troubles
de sensibilité jouent vraisemblable- ment un rô
s du système pyramidal, ce qui ne veut pas dire, d'ailleurs, que ce
trouble
en soit la condition suffisante. Par leur signifi
de Brown-Séquard peut exister du côté anesthésié (2) ou du côté des
troubles
moteurs ('). Parfois on les voit apparaître du cô
nique. On le constate ordinairement chez des malades présentant des
troubles
notables de la motilité volontaire et c'est là
se rapportant à un sujet atteint de paraplégie motrice absolue avec
troubles
très accentués de la sensibilité superficielle
elles, plus importantes sans aucun doute, qui sont fournies par les
troubles
de la sensibilité. Autre problème. L'intensité
e réflexes de défense même très prononcés et avec accompagnement de
troubles
moteurs des plus marqués n'est pas nécessaireme
: « La malade présente une paraplégie spasmodique en extension avec
troubles
de la sensibilité remontant jusqu'à la ligne ma
sol. « Un examen objectif minutieux ne décèle comme reliquat des
troubles
d'autrefois qu'une tendance à l'extension des o
curabilité. Les réflexes de défense, après disparition complète des
troubles
moteurs, peuvent redevenir absolument normaux.
les réflexes de défense patholo- giques survivent à tous les autres
troubles
. " Entre autres malades de ce genre, j'en puis
gée ; aussi est-il préférable de choisir des malades présentant des
troubles
de la sensibilité, de manière à éviter les phénom
ment inférieur du corps. J'ai eu l'occasion de décrire moi-même les
troubles
vésicaux en ques- tion dans mon travail déjà ci
lement étudier les réflexes de défense dans leurs rapports avec les
troubles
moteurs, la paraplégie spasmodique, la contractur
de véritables mouvements spasmodiques, et, à la phase de début, les
troubles
méritent moins d'être rangés dans la catégorie de
'il ne serait pas possible de remédier dans une certaine mesure aux
troubles
de la motilité qui en sont la conséquence, par
yramidal, ils peuvent se manifester égale- ment dans les cas où les
troubles
de la motilité ont une autre origine. XI - .
conçoit, d'ail- leurs, que cette distinction soit malaisée, car les
troubles
de sensibilité sont des phénomènes subjectifs,
fut pris brusquement d'une paralysie du membre inférieur gauche avec
troubles
sen- sitifs du côté droit. Son état s est rapid
168 SÉMIOLOGIE un syndrome de Brown-Séquard gauche léger, avec des
troubles
de motilité à peine ébauchés et des troubles se
gauche léger, avec des troubles de motilité à peine ébauchés et des
troubles
sensitifs peu marqués. Du côté droit, on trouve
par contre, si on pince de la même manière le pied gauche (côté des
troubles
moteurs), on voit apparaître une ou plusieurs sec
de la lésion et se traduisant par une réaction motrice du côté des
troubles
sensitifs. Cette réaction est accompagnée d'une
essus signalée a disparu ; il est à remarquer que dans l'examen des
troubles
sensitifs, nous n'avons plus noté alors d'hyperal
s se renouvellent deux ou trois fois. Puis, le malade s'aperçoit de
troubles
sensitifs à la jambe gauche et de lourdeur dans
te une anesthésie à la température et à la douleur. A droite, le même
trouble
s'étend de C 7 jusqu'à D 6 environ ; au-dessous
ilité profonde est légèrement atteinte du côté droit. Il existe des
troubles
moteurs prédominant du côté droit. Au membre supé
table de l'excitabilité électrique. Au membre supérieur gauche, les
troubles
parétiques atteignent les mêmes groupes muscula
s membres inférieurs sont atteints d'une paraplégie spasmodique ; les
troubles
moteurs sont relativement peu prononcés à gauch
EN raison de l'importance fondamentale qui s'attache à l'étude des
troubles
pupillaires, j'estime qu'on ne saurait trop cherc
e à la lumière. Je dirai encore pour compléter la description de ce
trouble
que les pupilles de cette malade réagissent à l
ère complète par le fez Chaillous, a donné un résultat négatif ; le
trouble
en question ne me parait donc pas lié à quel- q
nombreuses pour qu'il soit permis d'affirmer qu'il existe entre le
trouble
qui nous occupe et l'épilepsie ou l'usage du brom
d'une véritable abolition du réflexe des pupilles à la lumière, le
trouble
persiste quelle que soit l'intensité de la sour
mière, liée à la méningite chronique syphilitique. ? XV : , DES
TROUBLES
PUPILLAIRES DANS LES ANÉVRISMES DE L'AORTE [J
et Mémoires des Hôpitaux de Paris, séance du 8 novembre igoi. Les
troubles
pupillaires, en particulier l'inégalité des pupil
ns cas, je me crois en mesure de soutenir que le méca- nisme de ces
troubles
peut être bien différent. Voici d'abord, briève
malade n'a jamais eu de douleurs dans les membres, elle n'a pas de
troubles
vésicaux et elle ne présente pas le signe de Romb
droite. Aucun autre signe objectif à noter; pas de douleurs, pas de
troubles
vésicaux, pas trace d'incoordination motrice. C
que la gauche, et on est porté au premier abord à faire dépendre ce
trouble
de la compression que l'aorte dilatée exercerai
ien à une lésion du système nerveux central qu'il faut attribuer le
trouble
pupillaire; ce qni vient à l'appui de cette man
hilis est le lien qui unit chez cette malade la lésion aortique aux
troubles
pupillaires. Dans l'observation II la pupille g
s été ainsi dans d'autres cas d'ané- vrisme aortique accompagnés de
troubles
pupillaires, et je voudrais savoir jusqu'à quel
existe une poche, contrairement à ce qu'on enseigne, la présence de
troubles
pupillaires ne peut en rien contribuer à établi
xostoses syphilitiques. On constate le signe de Robertson. Outre ce
trouble
il n'existe chez elle aucune mani- festation fo
nerveux. Mais, contrairement aux deux autres malades, il a quelques
troubles
subjectifs : il est sujet depuis plusieurs mois à
(nous n'avons en vue, bien entendu, que les sujets chez lesquels le
trouble
pupillaire n'est pas asso- ciés à d'autres mani
Elle décèle l'existence d'un état qui est souvent le précurseur de
troubles
fort graves et constitue une indication impérie
nce du g novembre 1899. désire entretenir la Société d'une forme de
troubles
de motilité, t dont la cause anatomique est une
re désignée sous la dénomination d'asynergie cérébelleuse.. ... Les
troubles
de motilité, dont est atteint H. M. (malade de l'
ment l'attention de la Société sur certains phénomènes relatifs aux
troubles
de motilité qui, à ma connais- sance, n'ont pas
t deux ou trois fois moins vite qu'un sujet sain l'acte complot, Le
trouble
devient surtout manifeste quand on fait répéter l
t, car, en faisant fonctionner simul- tanément les deux membres, le
trouble
du membre supérieur gauche s'impose à l'observa
hez tous les- malades que je viens de faire passer sous vos yeux un
trouble
de motilité qui n'a pas encore été décrit. Je tie
Je tiens à bien faire ressortir, pour éviter un malentendu. que ce
trouble
ne peut être considéré comme constitué que quan
areil vestibulaire une part plus ou moins grande dans la genèse des
troubles
que l'on constate chez un cérébelleux. Il nous
lis sponta- nément. Mais c'est dans certains actes commandés que le
trouble
appa- raît généralement avec le plus de netteté
s reviendrons plus loin. Nous discuterons alors les rapports de ces
troubles
entre eux. Pour bien constater le caractère dém
mmairement que des physiologistes avaient antérieurement relaté des
troubles
analogues dans leurs comptes rendus d'expérienc
part, chez un cérébelleux d'autre part, on pourrait inférer que le
trouble
en question relève de l'une ou de l'autre cause
BELLEUSE tg3 demandons, c'est si on peut remonter à l'origine de ce
trouble
de par ses modalités propres, de par ses caract
le but est atteint. Si main- tenant le tabétique ferme les yeux, ce
trouble
s'accentue de façon très notable. Le mouvement
avouerons que nous ne sommes guère disposés à faire dépendre ces
troubles
de l'atonie, phénomène primordial d'après Luciani
n plus l'idée de Lewandowsky pour qui l'hypermétrie relèverait d'un
trouble
du sens musculaire ; car la sensibilité sous to
ue à rassembler, sous la dénomination d'asynergie cérébelleuse, des
troubles
de motilité d'un mode particulier. Nous voudr
emier cas que nous avons observé et qui, étant donné la netteté des
troubles
, se prêtait favorable- ment à l'étude des phéno
aractéristique d'un phénomène qui diffère objectivement de tous les
troubles
de locomotion déjà connus. Une dénomination spé
elquefois sur le bassin. Mais, dans ce que nous décrivons ici comme
trouble
asynergique, cette flexion de la cuisse est frapp
organique. Il faut donc, pour pouvoir lui attribuer la valeur d'un
trouble
asynergique, le constater en l'absence de signe
e pourraient être brusques, forts, exagérés, s'il y avait un simple
trouble
de la mesure. Mais chez le cérébelleux ce qui s
véler uniquement soit l'une, soit l'autre de ces deux catégories de
troubles
qui coexistent et qu'il appartient à l'observat
à côté de l'hypermétrie, l'asynergie cérébelleuse constitue bien un
trouble
à part. Mais, certes, elle n'atteint pas chez t
e aux dépens du cervelet. Ultérieurement nous avons observé que les
troubles
asynergiques tels que nous les avions décrits a
cet égard, il n'en est pas moins incontestable, pour nous, que les
troubles
de motilité dont nous venons de donner la descr
avons décrite. Il nous a donc paru indispensable, pour désigner ce
trouble
, de lui appliquer une dénomination particulière
nous l'avons fait remarquer précédemment. L'inter- prétation de ce
trouble
de la déambulation me paraît donc légitime. Ell
e, pris soin de faire ressortir pour éviter tout malentendu, que ce
trouble
ne peut être considéré comme constitué que quan
st qu'en effet, comme nous l'avons dit, en le faisant connaître, ce
trouble
se manifeste surtout aux membres supérieurs.
es phénomènes tardifs ; il décrit d'une part les mouvements forcés,
troubles
de l'orientation spatiale, et d'autre part les tr
nts forcés, troubles de l'orientation spatiale, et d'autre part les
troubles
ataxiques SEMIOLOGIE CÉRÉBELLEUSE 201 qui, s'
mme un complexus symptomatique comprenant la presque tota- lité des
troubles
observés chez l'animal à une période donnée. En
st qui emploient ce mot pour rapprocher les phénomènes observés des
troubles
ataxiques de la maladie de Duchenne ; et d'aucu
eu de se demander si le terme ataxie ne répond pas simplement à des
troubles
que nous avons décrits précédemment sous un aut
peut-être une manière commode de résumer, de désigner brièvement un
trouble
de motilité non-paralytique, mais le lecteur n'
pas toujours facile à l'observateur d'éti- queter rigoureusement un
trouble
. Il y a des cérébelleux dont les mouve- ments,
lement, les faits qui sont bien connus des cliniciens, y a-t-il des
troubles
cérébelleux qu'il soit légitime, au point de vu
rébelleux, les mouvements démesurés, par exemple, se distinguent de
troubles
observés chez les ataxiques. Nous rappellerons
r orientation, et l'occlusion des yeux aggrave considérablement les
troubles
. Chez lui, les mouvements d'ensemble ne sont pas
pas étendre ainsi l'épithète d'ataxique et ne pas l'appliquer à des
troubles
cérébelleux que d'autres expressions traduisent
e, on est exposé à faire dépendre d'une altération cérébelleuse des
troubles
se rattachant à une perte de la sensibilité profo
à l'altération cérébrale, dans la patte anté-' 0 rieure droite, ce
trouble
serait caractéristique (type Goltz) ; au contrair
ristique (type Goltz) ; au contraire, dans la patte gauche dont les
troubles
sont dus à l'altération cérébel- leuse, on n'au
t correcte et l'occlusion des yeux n'accentue pas sensible- ment le
trouble
. Si donc l'on y regarde de près, le diagnostic se
ne différence d'aspect, de plus aucune diffé- rence d'origine : des
troubles
de sensibilité la provoquent et tout spécia- le
es troubles de sensibilité la provoquent et tout spécia- lement des
troubles
du sens musculaire. Ces conclusions s'étendent à
est vrai, ne sont pas arrivés à découvrir chez les cérébelleux des
troubles
de la sensibilité profonde, sauf dans des cas i
e, sauf dans des cas isolés. « Mais l'indubitable insignifiance des
troubles
de sensibilité dans les affections cérébelleuse
ibilité profonde, aux membres seulement ; 2" par la combinaison des
troubles
ataxiques du tronc avec les troubles d'orientat
nt ; 2" par la combinaison des troubles ataxiques du tronc avec les
troubles
d'orientation spatiale ; et 3" par la nature sous
ensibilité profonde, l'objet d'une exploration attentive et que des
troubles
sensitifs aient pu y être méconnus pour n'avoir p
iente telle qu'on la recherche en clinique, car comment déceler des
troubles
de sensibilité qui seraient en quelque sorte au-d
seuil de la conscience ? Nous croyons donc pouvoir conclure que les
troubles
de motilité obser- vés chez les cérébelleux dif
té. Il n'est pas néces- saire pour cela que l'incoordination et les
troubles
de sensibilité profonde soient très accusés. On
de l'équilibre et que, d'autre part, les données classiques sur les
troubles
de l'équilibration clans les affections du cerv
arfois considérable, pourra ne se tra- duire par aucun signe, aucun
trouble
, être latente, rester méconnue et constituer un
rie, l'affection n'est pas latente dès le début ; primitivement des
troubles
cérébelleux ont existé de façon temporaire. Il
Il résulte de cette expérience que la lésion cérébrale accentue les
troubles
qui s'étaient atténués et fait par conséquent ces
et et les racines postérieures de la moelle. Après compensation des
troubles
produits par opération portant sur l'un ou l'au
qu'il provoque par cette seconde intervention, la réapparition des
troubles
consécutifs à la première et qui s'étaient en par
ales postérieures, mais encore, réciproquement, la compensation des
troubles
cérébelleux s'appuie sur la fonction des nerfs
Bickel, d'autant plus attacher d'importance à la compensa- tion des
troubles
dans l'observation sur l'homme que le pouvoir de
i dans les lésions atteignant uniquement l'appareil cérébelleux les
troubles
peuvent s'atténuer, disparaître ou faire défaut m
sensitive), explique dans certains cas la gravité, la ténacité des
troubles
cérébelleux. André Thomas, traitant ce sujet, r
lésion bilatérale des pédoncules cérébraux. Or, dans ce fait, « les
troubles
de l'équilibre, de la station et de la marche, le
ut tenir compte de cette coexistence pour apprécier l'intensité des
troubles
de l'équilibre. Enfin il est fort possible que
ibre. Enfin il est fort possible que l'intensité, la permanence des
troubles
cérébelleux provoqués par certaines lésions à s
eurs d'une lésion en foyer du cervelet et présentant de ce chef des
troubles
de l'équilibre, peu à peu, pendant des mois et mê
teurs, à volume égal, endommage plus d'éléments et provoque plus de
troubles
qu'un foyer en plein hémisphère. Mais il est au
lésions cérébelleuses, les suppléances ne peuvent s'établir et les
troubles
ï)e régressent pas ; si elles leur sont consécu
nt consécutives, les effets de la compensation disparaissent et les
troubles
, après s'être atténués, s'accentuent. L'associa
s régions du névraxe peut être la raison de l'intensité de certains
troubles
cérébelleux, en particu- lier du tremblement da
pliqué du côté opéré, le passage d'un courant prolongé augmente les
troubles
pro- voqués par la destruction du labyrinthe (i
la méthode de Barany, en même temps qu'elle provoque du nystagmus,
trouble
le vertige voltaïque comme le font parfois les
bservation 1. Femme de 6h ans, n'ayant pas présenté pendant la vie de
troubles
de motilité, morte de tuberculose pulmonaire. E
ique des membres inférieurs, n'ayant pas présenté pendant la vie de
troubles
de motilité de la face et dont les membres supé
pas de contraction lente. . Il me parait incontestable que les
troubles
constatés chez le malade qui fait le sujet de l
du nerf sciatique par projectile. Il n'y a pas d'anesthésie. Les
troubles
de la motilité volontaire ne sont pas très pronon
re en évidence par la comparaison. du côté malade au côté sain, les
troubles
étant unilatéraux ; la différence est perceptible
tre en évidence par la comparaison du côté malade au côté sain, les
troubles
étant uni- latéraux ; la différence est percept
on anticipée des secousses sont des caractères connexes. Dans les
troubles
de motilité d'ordre réflexe, l'hypothermie étant
ctures consécutives à des traumatismes, et rangé dans le groupe des
troubles
d'ordre réflexe, l'exitabilité mécanique des mu
lenteur de la secousse sont proportionnées dans leur intensité aux
troubles
vaso-moteurs et thermiques ; lorsque l'hypother
qué les modifications que l'on observe chez les blessés atteints de
troubles
d'ordre réflexe après immersion des membres malad
utive à une lésion ou, en d'autres termes, qui traduit un véritable
trouble
de la régulation vaso- motrice et thermique loc
paralysies et contractures réunies antérieurement dans le cadre des
troubles
dits fonctionnels : parmi ces paralysies et con
physe, quand elles appa- raissent chez l'adulte, peuvent amener des
troubles
des organes génitaux, la suppression des règles
APILLAIRE GUÉRIE PAR TRÉPANATION CRANIENNE a3 O. G. i/4. A part ces
troubles
je ne constate aucun signe objectif d'af- fecti
Il est vraisem- blable que c'est grâce à cette disposition que les
troubles
oculaires étaient 238 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COM
lexes tendineux et le réflexe cutané plantaire sont normaux. Pas de
troubles
de la sensibilité. En raison de la cécité compl
ue dans lequel il se trouve. La déambulation, difficile à cause des
troubles
de la vision, ne présente aucune véritable pert
pas d'asynergie, pas d'adiadocosinésie. Il n'existe pas non plus de
troubles
de la sensibilité générale. La parole, sauf qu'
ne opération, et en raison de la prédominance de la céphalée et des
troubles
oculaires du côté gauche je propose une cràniecto
e déterminer le côté de la lésion. En raison de la prédominance des
troubles
oculaires du côté droit, j'avais tenté de dire
yais que la tumeur se trouvait dans le lobe frontal gauche, car les
troubles
visuels et la céphalée étaient notablement plus
lus marquée du côté opposé à celui où siégeait la tumeur. Quant aux
troubles
visuels, ils étaient dans un de ces deux cas pl
énorme exostose dont la présence eût suffi largement à expliquer les
troubles
de compression dont souffrait le malade. - Ma
Il se plaint d'une céphalée vive et permanente. Il n'existe pas de
troubles
appréciables de la sensibilité. L'examen ophtalmo
que son extirpation ne nécessite pas de délabrements entraînant des
troubles
fonctionnels graves, et qu'elle n'ait pas pour
els d'atténuer ou de supprimer la céphalée, les vomissements et les
troubles
mentaux, et quand elle est faite en temps opportu
disparaître la stase papillaire et d'empêcher le développement des
troubles
oculaires. Cela est encore plus vrai pour ce qu
e, un hystérique ou un dyspeptique ; dans une deuxième phase où les
troubles
s'accentuent, la gravité du mal devient manifes
eu aujourd'hui. Ainsi que je l'ai déjà rappelé, le plus souvent les
troubles
oculaires sont précédés par une période parfois
une période parfois très longue où le malade ne pré- sente que des
troubles
subjectifs, tels que des douleurs et un amoindris
papillaire a la complaisance de prévenir en se manifestant par des
troubles
ophtalmoscopiques avant d'affaiblir l'acuité vi
insuffisants, si, de plus, l'oedème papillaire s'associe à d'autres
troubles
graves, tels qu'une céphalée intense, des vomisse
soit pas modifié, mais que la vision soit restée normale et que les
troubles
subjectifs dont se plaignait le malade se soit at
ieu à de l'hémianopsie. Le cervelet semble plus accommodant, et les
troubles
qu'entraîne la hernie d'une portion de cet orga
rgement, peut suffire à faire disparaitre la céphalée et les divers
troubles
que l'oedème cérébral avait produits ; on a pub
yant remarqué que l'ingestion de l'alcool calmait transitoirement les
troubles
dont il est atteint. Il y a quatre ans, en 18
orter la main gauche derrière le dos, car, dans cette position, les
troubles
dont il est atteint sont moins intenses. Quand
Il y a une diminution de la force musculaire du côté gauche. Pas de
troubles
de la contractilité électrique. Pas de troubles
té gauche. Pas de troubles de la contractilité électrique. Pas de
troubles
de la sensibilité, sauf les picotements déjà ment
'en particulier le spasme musculaire dépend de la même cause que le
trouble
dans le réflexe plantaire, et je ne vois aucune
ois, ce qui impressionna vivement le malade. Les jours suivants, ce
trouble
s'accentua et de plus la sensation de tiraillem
l peut par cette manoeuvre atténuer le spasme temporairement. Ces
troubles
spasmodiques le fatiguent notablement, provoquent
résultats. Il n'existe aucun autre signe objectif, aucun autre
trouble
fonctionnel. 1 Il s'agit là incontestablement d
d'une perturbation du système pyramidal, mais, a-t-il dit : « si un
trouble
du faisceau pyramidal intervient à un titre que
rvient à un titre quelconque dans la pathogénie des symp- tômes, ce
trouble
me semble ne pouvoir être qu'un trouble consécuti
hogénie des symp- tômes, ce trouble me semble ne pouvoir être qu'un
trouble
consécutif à un phénomène mental ». Tel n'est
r cette action n'est que modérée et transi- toire. Enfin, un simple
trouble
mental peut-il amener une irritation du système
ment atténué depuis lors. On constatait en outre, chez lui, divers
troubles
liés à des lésions du système nerveux central e
sion de cette maladie on s'aperçut qu'il avait des exostoses et des
troubles
moteurs. Il présentait une surélévation de l'ép
u sang), dont la fin semble avoir coïncidé avec une atténuation des
troubles
moteurs. L'enfant conserva cependant un léger spa
pique d'une durée de 3 à 4 mois. A l'âge de quinze ans, les mêmes
troubles
moteurs des membres du côté gauche reparurent p
rien d'anormal et la parole n'a jamais été troublée. Tels sont les
troubles
moteurs que l'on relève constamment du côté gauch
es heures, différences dont on ne peut toujours dire la raison. Ces
troubles
subissent particulièrement l'influence de l'éta
c'est fréquent dans les cas de ce genre, il existe en même temps des
troubles
de la croissance osseuse. On relève peu de ch
mi-centimètre). A gauche, côté des plus volumineuses exostoses, les
troubles
du développement sont plus marqués : l'humérus
les plus fortes dimensions est aussi celui qui présente le plus de
troubles
du développement osseux (2). Il est intéressant d
intéressant de noter que c'est également le côté où prédominent les
troubles
moteurs et les modifications des réflexes que n
ait une relation de cause à effet entre ces lésions osseuses et les
troubles
précédents. Nous avons vu qu'on avait pratiqué au
ni de malformation des vertèbres du. cou. Quelle est la nature des
troubles
moteurs ? Sont-ils de nature fonction- nelle ?
c'est là un argument qui est loin d'être probant : on sait que des
troubles
de ce genre, dus à une affection organique, sont
lques contractions involontaires dans les muscles du cou ; mais ces
troubles
, d'ailleurs intermittents, sont insignifiants à
e se mettre à l'abri de toute récrimination, de les avertir que les
troubles
sont mêmes susceptibles de s'accentuer ultérieu
séquent étroitement lié à la maladie. Or si l'on se rappelle que ce
trouble
constitue un des signes objectifs les plus comm
e si ce n'était l'intensité et la modalité particulière de certains
troubles
qui rentrent dans la catégorie des phénomènes q
ue les variations paraissent particulièrement prononcées et que les
troubles
atteignent leur intensité maxima. 27fi ' AFFECT
fait, on pourrait se demander si l'on n'est pas en pré- sence d'un
trouble
mental. Ne s'agirait-il pas là d'une idée déliran
e et deux degrés à la fois (2). Enfin, nous ferons remarquer que ce
trouble
de la parole avec ses carac- tères originaux n'
que nous possédons actuellement sur les syndromes parkinsoniens, le
trouble
dont nous occupons semble être lié à une altérati
re, il est vrai, que le syndrome parkinsonien, et il est atteint de
troubles
de la parole dont les caractères sont, pour la
ormale. N-111 SYNDROME PARKINSONIEN FRUSTE POST-ENCÉPHALITIQUE.
TROUBLES
RESPIRA TOIRES JJ. Babinski et Charpentier.]
vembre 1[j22. Plusieurs auteurs ont déjà attiré l'attention sur les
troubles
respi- ratoires constatés chez des malades atte
ement le soir au lit. Après un accouchement normal en mai 1921, les
troubles
respiratoires ont augmenté de fréquence, d'intens
ont augmenté de fréquence, d'intensité et de durée. C'est pour ces
troubles
que la malade est venue consulter à la Pitié en m
nombre des inspirations peut descendre jusqu'à six par minute. (')
Troubles
respiratoires dans les états parkinsoniens liés i
juin 1921. e) Société Médicale des Hôpitaux, 7 juillet 1922. . ? )
Troubles
respiratoires dans l'encéphalite- épidémique par
ligé de quitter son école une deuxième fois, parce que, en plus des
troubles
respiratoires qui ont empiré, il s'endort à chaqu
remier. Si, d'autre part, on prend en considération ce fait que les
troubles
respiratoires observés chez nos malades sont tr
mble plus particulièrement intéressant, nous pouvons modi- fier ces
troubles
d'une manière très appréciable, par une action qu
el, la malade devenant capable d'enrayer par un acte de volonté les
troubles
respiratoires ; cette dernière interprétation est
vraisemblable que cette femme est en mesure par moment d'inhiber ce
trouble
, sans aucune intervention étrangère, de son propr
é- rapeutique employée n'a exercé qu'une action transitoire sur les
troubles
respiratoires ; cette action. il est vrai, a ét
la guérison était imminente, mais ce n'était qu'une apparence ; les
troubles
, après avoir rétrocédé, ne tar- dent pas à se r
la conséquence de la persuasion, on n'est pas en droit de ranger le
trouble
en question dans la classe des manifestations h
nue depuis cette époque un peu titubante. Peu de temps après, à ces
troubles
s'associèrent des bour- donnements d'oreille et
membre supérieur du côté gauche. Vers la même époque apparurent des
troubles
oculaires du côté droit consistant en de l'opacit
au repos. Fig. 1 J. OBSERVATION PRINCEPS 287 n'accentue pas les
troubles
qui sont à peu près pareils des deux côtés. L'écr
la partie supérieure du corps et les membres inférieurs constitue le
trouble
le plus saillant que l'on note pendant les effo
vision est normale ; la pupille se contracte à la lumière. Le seul
trouble
que l'on y OBSERVATION PRINCEPS .<; 29 t c
, néanmoins, il est dans l'impossibilité de marcher, en raison d'un
trouble
que l'on appelle, à tort selon moi, ataxie céré
lent dans tous les sens d'une manière désordonnée, ce qui dénote un
trouble
de l'équilibre cinétique, puis, au bout de quelqu
bulbo-protubérantielle), où il a observé pour la première fois les
troubles
qu'il a décrits sous les noms d'asynergie, adiado
sso- pharyngien, cochléaire ne pouvant avoir aucun rapport avec les
troubles
de motilité dont il s'occupe ; les altérations
lésions des noyaux du pont à droite. La pureté et l'intensité des
troubles
cérébelleux s'expliquent bien par ces constatat
te vive du côté gauche et il a été pris brusquement de vertiges, de
troubles
de motilité graves, ainsi que d'une grande gêne
st nasillarde ; le réflexe du voile du palais est aboli. Il y a des
troubles
de sensibilité ; tout le côté droit du corps jusq
ntion, l'hémiasynergie, qui chez ce malade constituait le principal
trouble
de la motilité, est évidemment liée à la lésion d
bservation d'hémiasynergie que l'un de nous a publiée autrefois, le
trouble
siège du côté de la lésion, contrairement à l'hém
irido-dilata- trices ; mais où siège la lésion qui donne lieu à ce
trouble
? Serait-ce dans le faisceau longitudinal posté
ngomyélique ; 3° Une lésion unilatérale du bulbe peut provoquer des
troubles
oculo- pupillaires qui consistent en un rétréci
re peut, j sans atteindre la motilité volontaire, donner lieu à des
troubles
i vaso-moteurs et thermiques à forme hémiplégiq
injecté de sang; le malade ne s'en était pas aperçu. C'est pour ces
troubles
thermiques et oculaires, ainsi que pour une certa
c peine et doit boire presque après chaque bouchée. Il localise ces
troubles
de la déglutition dans la moitié droite du pharyn
. , 10 So6 AFFECTIONS DU BULBE Il me parait incontestable que les
troubles
observés chez ce malade sont liés à une lésion
t de penser qu'il s'agit d'altérations peu pro- fondes, puisque les
troubles
se sont rapidement atténués. Je ne suis pas non
iverses questions il soit impossible de se prononcer. Ce sont les
troubles
vaso moteurs et thermiques qui me paraissent co
les Comptes-Rendus de la Société de Biologie 26 Janvier igoi. 1"
troubles
ou vertige voltaïque. Ewald et Pollack ont noté
courant semblable, de quel- ques secondes de durée, peut en cas de
trouble
labyrinthique provoquer des sensations anormale
exclusivement ou prédo- minent d'un côté, on observe communément un
trouble
que j'ai appelé : « l'inclination unilatérale »
e les divers phéno- mènes dont j'ai fait l'exposé expriment tous un
trouble
de l'appareil AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBUL
chez des malades qui n'ont plus trace de nystagmus calorique. 2"
TROUBLES
DE la déviation ET DES mouvements réactionnels.
qu'il s'agit de différencier une affection auricu- laire vraie d'un
trouble
imaginaire ayant la suggestion pour cause, ou e
scrite destructive (paralysie et anesthésie des membres inférieurs,
troubles
dans les fonctions de la ves- sie et du rectum,
minution de l'aptitude au travail et des facultés intellectuelles, de
troubles
de la vision, de vertiges, de nausées, ainsi qu
a région occipitale et rend le sommeil difficile. L'intelligence se
trouble
; la malade devient sujette à des accès d'agitatio
e; la céphalée et les autres symptômes sus-énumérés persistent, les
troubles
mentaux augmentent encore d'in- tensité, et la
des matières fécales. Au commencement de mars, on note de nouveaux
troubles
. Il y a de la raideur des membres supérieurs, p
l faut exercer une forte traction pour ouvrir la main. Ces divers
troubles
persistent et s'aggravent encore dans la suite ;
nt qui a augmenté progressivement. A cinquante-trois ans, les mêmes
troubles
apparaissent au membre inférieur gauche. Elle a
e et la contractilité élec- trique est diminuée de ce côté ; pas de
troubles
de la sensibilité aux membres supérieurs. La ma
re de la sonder et elle ne laisse jamais échapper son urine. Pas de
troubles
rectaux. Trem- blement de la tête, ayant les ca
nt de la tête, ayant les caractères du tremblement dit sénile. Pas de
troubles
sensoriels. ' La malade quitte l'hôpital aprè
ntraire, l'attitude de la flexion forcée « Je n'insiste pas sur ces
troubles
de motilité qui sont aujourd'hui de connaissanc
paroi abdominale et les talons avec les cuisses. Pour Frzenhel, ces
troubles
sont dus, selon toute vraisemblance, à une comp
fois en mai igo4, se plaignant d'éprouver depuis plusieurs mois des
troubles
de la parole, d'articuler avec difficulté, mais
ux ; l'intelligence est conservée; il n'y a pas de céphalée, pas de
troubles
sensitifs ni sensoriels. Les crises épileptifor
baires sont successivement pratiquées ; elles semblent atténuer les
troubles
et en particulier l'oedème papillaire. L'examen c
pital contre l'hypothèse de paralysie hystérique, c'est-à-dire d'un
trouble
reconnaissant pour cause l'auto- suggestion, c'
léger mouvement d'extension du pied. Je suis donc convaincu que ce
trouble
est bien réel, et cela est d'autant plus remarq
ique presque inévitablement de rétractions fibro-tendineuses. Des
troubles
sphinctériens et des ulcérations sacrées se produ
qui ne doit souffrir que peu d'exceptions. : PARAPLÉGIE ORGANIQUE. ?
TROUBLES
VASO-MOTEURS AU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT, AVEC MÉ
ons à la Société une malade atteinte, depuis huit ans envi- ron, de
troubles
de la marche liés à une lésion de la moelle dorsa
refroidissait, devenait violacé et enflé. Elle constatait aussi des
troubles
du même ordre à la main droite, qui s'affaiblis
oblitération artérielle : elles nous conduisent à rappro- cher les
troubles
observés, dans le membre supérieur droit de cette
ubles observés, dans le membre supérieur droit de cette malade, des
troubles
pltysiopathiques (hypothermie, cyanose, parésie),
nous avons exposé ces faits, nous avons signalé aussi que ces mêmes
troubles
pouvaient se voir, et non exceptionnelle- ment,
s paralysés. Nous en avons conclu que la pathogénie « réflexe » des
troubles
physiopathiques, qu'on observe chez les blessés d
es membres, n'excluait pas une pathogénie « centrale » de ces mômes
troubles
, l'exci- tation des centres médullaires et gang
- mie assez prononcée du membre inférieur accompagnée de quelques
troubles
voso-moteurs. Ce malade avait enfin une hémianops
lésion encéphalique. Une explication analogue peut être donnée des
troubles
physiopathiques que notre malade présente au me
'oblitération artérielle, il nous semble rationnel de rattacher les
troubles
circulatoires et l'hypo- thermie, notamment pou
sence : 1" D'un syndrome sympathique unilatéral caractérisé par des
troubles
des réactions sudorales, pilomotrices, vasomotr
us paraît impossible de ne pas tenir compte dans l'étiologie de ces
troubles
, du traumatisme violent qu'a reçu cette malade. L
éens, le réflexe cutané plantaire sont normaux et il n'existe aucun
trouble
de la marche. (') J. Babinski,. Société de Neur
Mais l'observation seule pouvait renseigner sur la fréquence de ce
trouble
dans le tabes, sur son importance au point de v
rées par des intervalles de santé parfaite (pas de douleurs, pas de
troubles
dyspeptiques) et, à aucun moment, le malade n'ava
aractères appartenant aux lésions articulaires de l'ataxie, soit un
trouble
trophique dépendant des altérations nerveuses d
n trouve de la lymphocytose. Chez la deuxième on constate les mêmes
troubles
pupillaires, de la lymphocytose, des troubles uri
on constate les mêmes troubles pupillaires, de la lymphocytose, des
troubles
urinaires et une abolition des réflexes tendine
de son père et de sa mère d'une prédisposition au développement de
troubles
nerveux ? Ce ne sont là, que des hypothèses, sur
E DE PSEUDO-TABES (NÉVRITE OPTIQUE RE'TRO-BULBAIRE INFECTIEUSE ET
TROUBLES
DANS LES RÉFLEXES TENDINEUX) 1 J. BABINSKI. P
uillet igoo. La malade que je présente à la Société est atteinte de
troubles
oculaires qui se manifestent en partie par une
que la vue du côté gauche était affaiblie ; les jours suivants, ce
trouble
s'accentua et au bout de deux semaines aboutit
tendon d'Achille est aboli à gauche, conservé à droite. Aucun autre
trouble
à signaler. La malade fait usage d'iodure de po
'oeil se reposer quelques instants. Pour le reste, même étal. Les
troubles
observés chez cette femme, sauf la décoloration d
e optique de notre malade, est susceptible, après avoir produit des
troubles
fonctionnels très prononcés, de s'atténuer et d
l'expression de névrite rétro-bulbaire infec- tieuse, parce que les
troubles
oculaires présentent les caractères cliniques app
s bulbaires (hémiplégie, paralysie faciale, paralysie de la langue,
troubles
mentaux) à la névrite rétro-bulbaire. Ce qui
rement intéressant, c'est qu'à la névrite optique s'asso- cient des
troubles
dans les réflexes tendineux qui, selon toute prob
des ressemblances avec celui du tabès. Il est vraisemblable que ces
troubles
sont sous la dépendance d'une lésion des nerfs
e la Société sont atteints de tabes bien caractérisé, associé à des
troubles
qui dépendent manifeste- ment de la syphilis. V
ition des réflexes rotuliens ainsi que des tendons d'Achille et les
troubles
pupillaires permettent de porter le diagnostic
ique il y a dix-sept ans. Il est atteint depuis plusieurs années de
troubles
visuels, de quelques troubles vésicaux et souff
st atteint depuis plusieurs années de troubles visuels, de quelques
troubles
vésicaux et souffre parfois de douleurs fulgurant
née de l'accident (sept ans et demi après), alors qu'une partie des
troubles
du début a régressé. Nous avons donc pu connait
aires par coup de couteau en trois groupes : le Dès le début, les
troubles
de la motilité sont unilatéraux ; les trou- ble
é présentent une dissociation syringomyélique. a" Dès le début, les
troubles
de la motilité sont unilatéraux, mais les COMPR
motilité sont unilatéraux, mais les COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 35y
troubles
de la sensibilité superficielle ne sont plus diss
anes- thésie complète (y compris la sensibilité tactile). 3° Les
troubles
de la motilité sont bilatéraux, au moins au début
es troubles de la motilité sont bilatéraux, au moins au début ; les
troubles
de la sensibilité cutanée prennent tous les modes
te sur le fait que dans les cas de coups de couteau ayant amené des
troubles
bilatéraux de la motilité, les troubles de la sen
de couteau ayant amené des troubles bilatéraux de la motilité, les
troubles
de la sensibilité du côté opposé ne présentent
x où la sensibilité tactile se trouve prise, il existe toujours des
troubles
de la sensibilité profonde du côté opposé, c'est-
sensibilité profonde peut même être atteinte du côté où siègent lès
troubles
de la sensibilité cutanée ('). Sans faire la
côté, fait d'autant plus intéressant que chez le second malade les
troubles
étaient nettement unilatéraux. Nous avons essay
nclure que la lésion siège au-dessus de ce segment. La limite des
troubles
de la sensibilité est plus élevée, surtout si nou
u en hauteur : on se rappelle, du reste, l'importance si grande des
troubles
du début. Nous croyons donc que le couteau glis
n des sensations produites par la pression ; du côté où siègent les
troubles
de la sensibilité profonde, la pression ne déterm
ité profonde, la pression ne détermine que la douleur ; du côté des
troubles
de la sensibilité superficielle, la sensation d
e résumé rapide des observations, avec, pour chacune, le schéma des
troubles
de la sensibilité. Nous tenons aussi à insister
crémastériens, abdominaux inférieurs et supérieurs sont abolis. Les
troubles
du sphincter vésical sont légers : on note seul
l'extension du gros orteil, faible à droite, forte à gauche. Les
troubles
de la sensibilité sont les suivants : La sensibil
ux existent ; la seconde a, au contraire, pour elle, l'existence de
troubles
manifestement médullaires : extension de l'orteil
ence de troubles manifestement médullaires : extension de l'orteil,
troubles
sphinctériens ou génitaux, etc. A. Sensibilité
., 32 ans. Cette malade est atteinte de paraplégie spasmodique avec
troubles
de la sensibilité des membres inférieurs, du me
éflexes cutanés abdominaux inférieurs sont abolis. Il n'existe pas de
troubles
sphinctériens. La sensibilité (fig. 34) prése
de troubles sphinctériens. La sensibilité (fig. 34) présente les
troubles
suivants : hypoesthésie simple dans le domaine
probablement fréquente, puisque, chez les trois malades atteints de
troubles
profonds de la sensibilité, que nous avons exam
tons donc ainsi un nouvel argument en faveur de cette idée que les
troubles
de la sensibilité dus à des lésions médullaires
nes des racines sacrées chez les malades atteints de paralysie avec
troubles
de la sensibilité, et ne pas admettre implicite
tré récemment(') que, dans certaines paraplégies médul- laires avec
troubles
de la sensibilité, l'anesthésie respectait parfoi
lors, nous avons eu l'occasion de trouver là même distribution des
troubles
sensitifs chez deux autres malades. Le premier, a
up d'égards nettement différent des autres, mais la répartition des
troubles
de la sensibilité qu'il présente nous parait dign
ensibilité. Les sensibilités tactile et douloureuse, présentent des
troubles
à répartition presque identique (v. fig. 35, 36).
II" sacrée gauche. Fig.35. - F..., 6 ans. Paralvsie médul- laire.
Troubles
de la sensibilité tactile et douloureuse. Fig
et douloureuse. Fig. 36. E..., 62 ans. Paralysie médul- laire.
Troubles
de la sensibilité tactile et douloureuse. COM
nski. a5 -fi Fig. 07. - E..., 62 ans. Parai vsio médul- ]air(,.
Troubles
de la sensibilité lher- mique. Fiv. 38. -)J..
lher- mique. Fiv. 38. -)J... , 6z ans Paraplégie médul- laire.
Troubles
de la sensibilité lhcr- nuque. 37o PARAPLEG
, ceux de la main, sont contractures à des degrés divers. Les mêmes
troubles
: atrophie et contracture, existent aussi au memb
s est également intact ; la sensi- bilité osseuse présente quelques
troubles
; la sensibilité thermique est fortement t dimi
us nous empressons de les signaler. Fig. 3). S..., Syringomyélie.
Troubles
de la sensibilité thermique. Fig. (o. S..., Syr
oubles de la sensibilité thermique. Fig. (o. S..., Syringomyélie.
Troubles
de la sensibilité thermique. XI SUR LA LOCALI
ra-dure-mériennes, au contraire, quand elles se manifestent par des
troubles
fonctionnels, ont acquis une grande lon- gueur,
la malade a pu rentrer chez elle et, actuellement (5 novembre), les
troubles
de la sensibilité ont complètement disparu ; le
imant la moelle pour intervenir chi- rurgicalement avec succès. Les
troubles
de motilité, malgré leur inten- sité, ont régre
us tard d'une crise d'entérite. En igos, à 4 ans, elle présenta des
troubles
de la marche se manifestant delà façon suivante :
Service du Pr Dejerine. 38o PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE
troubles
après avoir duré quelques mois disparurent ; elle
latérale, mais plus marquée à gauche. Nous avons signalé déjà les
troubles
subjectifs de la sensibilité, les douleurs dont
ans le domaine de C5C'. La malade attire l'attention sur quelques
troubles
de la vue qui semblent devoir être mis sur le c
douleurs dans la nuque, le cou et les épaules. Il existe enfin des
troubles
de miction, la malade n'urine qu'avec effort et o
ain, adduction et rotation interne de tout le membre. Il existe des
troubles
des sphincters : la malade urine par regorgement
des sphincters : la malade urine par regorgement et ses urines sont
troubles
et purulentes; elle a de la rétention des matière
un demi-coma et meurt au bout de trois jours. L'analyse seule des
troubles
observés chez cette malade nous avait per- mis
gie progressive par la suite, Le début de cette affection par des
troubles
radiculaires précédant les symptômes médullaire
dans les compressions de la moelle il n'y avait pas dans ce cas de
troubles
objectifs de la sensibilité permettant de local
iens et à la base du cerveau (diplopie, diminution de l'ouïe et des
troubles
vertigineux). Enfin en raison de l'absence de t
uïe et des troubles vertigineux). Enfin en raison de l'absence de
troubles
de la sensibilité sur les mem- Schéma montrant
is, /t° 9, séance d'arvil ig.2o. L'examen et l'interprétation des
troubles
de la sensibilité dans les cas j de compression
onstatés (paraplégie totale, avec abolition des réflexes tendineux,
troubles
sphinctériens, apparition rapide des escarres,
L'examen de l'anesthésie nous montre la disposition suivante de ces
troubles
: Les membres inférieurs (sauf la plante des pi
d'une hauteur de trois à quatre cen- timètres, présente encore des
troubles
sensitifs nettement appréciables : il ne distin
poesthésie légère, présentant la même étendue que la précédente, le
trouble
n'est guère que d'ordre quantitatif, et, à un e
ble n'est guère que d'ordre quantitatif, et, à un examen rapide, ce
trouble
peut passer inaperçu ; le malade reconnait ici
. 54) : à côté d'une paraplégie complète, nous consta- tons ici des
troubles
sensitifs, en tous points comparables à ceux que
ns, en passant, qu'il s'agissait là d'une compression récente ; les
troubles
de la sensibilité ne dataient que de quelques s
ésie complète, durable, on trouve ici une modalité particulière des
troubles
sensitifs caractérisés par leur inconstance, le
és quant à l'intensité, suivant les ni- veaux ; mais le maximum des
troubles
sensitifs ne se trouve pas, comme on pourrait l
LLAIRES 393 per le domaine de plusieurs segments et, souvent, les
troubles
sensitifs s'accentuant d'une matière progressiv
ans un territoire moins atteint. Notons que la même disposition des
troubles
sensitifs peut s'observer, que l'anesthésie att
le cas de lésion intra-spinale, telles que la syringomyélie où les
troubles
sensi- tifs prédominent au niveau de la lésion.
euvent provenir de ce qu'on a assigné comme limites supérieures des
troubles
de la sensibilité celles de l'hypoesthésie légè
valeur démesurée. Par contre, si l'on ne veut tenir compte que des
troubles
de la sensibi- lité très marquée et de ceux don
pte de la zone d'hypoesthésie marquée, à cause de l'instabilité des
troubles
, les attribuant à des altérations accessoires,
anifestée par une sensation de lourdeur aux membres inférieurs. Les
troubles
moteurs se sont accrus ensuite très lentement e
cement de rg24. Son état général est excellent, mais la plupart des
troubles
précédemment mentionnés ne se sont pas atténu
s forts et leur limite supérieure se trouve nettement en D 8/g. Les
troubles
sphinctériens sont permanents et néces- siten
e même diagnostic de chordome. Quelques jours après l'opération les
troubles
sensitifs s'étaient déjà un peu atté- nués ; au
mis en évidence. Il est rela- tif à la lenteur de la régression des
troubles
de motilité. Nous rappelle- rons que nous avons
compression médullaire par tumeur. La malade rapporte le début des
troubles
qu'elle présente au mois de juin rgaa ; elle au
après quelques observations faites par les siens, il semble que ces
troubles
sont de date plus ancienne. La faiblesse des me
et une exagération des réflexes tendineux avec clonus du pied. Les
troubles
parétiques et la contracture prédominent nettem
flexion transitoire des divers segments des membres inférieurs. Les
troubles
de la sensibilité sont très légers à gauche, bien
ur territoire à la hauteur de D 8/g ; leur limite atteint celle des
troubles
sensitifs ou semble même la dépasser quelque peu.
phénomènes de choc on constate une aggravation notable de tous les
troubles
; et, contrairement à ce qu'on avait observé avant
ne à droite, où elle est complète, tandis que du côté gauche où les
troubles
sensitifs étaient très légers, on trouve une anes
que s'aggraver : la paraplégie Fig. 60. Obs. II. Mlle B. Schéma des
troubles
de la sensibilité thermique et douloureuse. C
e de jours qu'apparaissent les premiers signes de régression de ces
troubles
: les réflexes reparaissent; la motilité volontai
ation se poursuit de semaine en semaine, et à la fin de juillet les
troubles
de sensibilité se sont effacés en grande partie ;
tention. 1° D'après les renseignements qui nous ont été donnés, les
troubles
, après s'être accentués d'une manière progressi
- rage sont affirmatifs à cet égard. Nous savions fort bien que les
troubles
sensitifs et paralytiques produits par des tume
ais l'observation que nous venons de relater semble établir que les
troubles
dépendant d'une compression par tumeur non vasc
oplasme, les tractions, qui étaient inévitables, détermi- naient un
trouble
de la respiration qui devenait à chaque tiraillem
e, parfois presque stertoreuse. Il est permis de se demander si les
troubles
constatés chez la malade dès son réveil, et qui f
et venir et de marcher sans appui. , Vers le milieu de igo8, les
troubles
de motilité s'accentuent d'une manière appré- c
et se plient parfois brusquement ». A cette parésie s'associent des
troubles
de la miction, de la dysurie, une diminution de
région lom- baire et son tronc se renverse en arrière. Ces divers
troubles
continuent à augmenter el, vers le milieu de févr
n. La malade présente une paraplégie spasmodique en extension, avec
troubles
de la sensibilité, remontant jusqu'à la ligne mam
s fortes, ne donnent naissance à aucune réaction de ce genre. Les
troubles
de la sensibilité cutanée remontent à gauche jusq
n travers de doigt au-dessous du mamelon ; à la face postérieure, ces
troubles
se délimitent par une ligne allant de la Ve apo
la sensibilité est tout à fait normale. Quant à leur intensité, les
troubles
de la sensibilité ne sont pas répartis d'une ma-
pparaît également la sensibilité tactile. Enfin, sur les seins, les
troubles
sensitifs deviennent très légers et ne peuvent êt
sont pas les mêmes pour tous les modes de sensibilité : ce sont les
troubles
de la sensibilité tactile qui atteignent le niv
e perd ses urines et ses matières. Ajoutons qu'on ne constate aucun
trouble
ni aux membres supérieurs, ni à la tête. Étan
trouble ni aux membres supérieurs, ni à la tête. Étant donné les
troubles
observés chez cette malade, leurs caractères, l
rs après l'opération, on constate déjà une légère atté- nuation des
troubles
sensitifs : la malade sent une piqûre d'huile cam
uile camphrée qu'on lui fait à la cuisse droite ; la régression des
troubles
de la sensibilité se poursuit réguliè- rement,
le sol. Un examen objectif minutieux ne décèle, comme reliquat- des
troubles
d'autrefois, qu'une tendance à l'extension des
n'est pas encore complètement normale. Enfin, on ne constate aucun
trouble
ni de la sensibilité cutanée, ni de la sensibilit
lentement et ne se manifester pendant plusieurs années que par des
troubles
légers ; 2° Une compression de la moelle peut d
les éléments nerveux aient subi des désordres profonds, puisque les
troubles
fonctionnels sont en pareil cas susceptibles de
iga5. Les premiers symptômes morbides qui apparaissent alors sont des
troubles
de la sensibilité consistant en hypoesthésie de
ent. En décembre, la malade marche avec une grande difficulté ; les
troubles
de la sen- sibilité, d'après ce qu'elle nous a
es osso-tendineux égaux et vifs à droite et à gauche. Il existe des
troubles
de la sensibilité mais, tandis que la sensibilité
Sauf une rétention des urines qui a duré plusieurs jours et quelques
troubles
pas- sagers du côté du membre supérieur droit,
ériode post-opératoire s'est déroulée sans incidents sérieux. Les
troubles
moteurs et sensitifs s'atténuent de jour en jour.
endineux avec clonus, signe des orteils, réflexes de défense. Les
troubles
de la sensibilité ont presque entièrement dispa
t d'une grande partie de l'hémi-thorax du même côté ; 3° enfin, des
troubles
de la sensibilité profonde à droite qui sont pr
hypothèse s'appuyait sur les caractères de la paraplégie joints aux
troubles
de la sensibilité objective, à l'état des réflexe
se et à l'évolution de l'affection. Fig. 65. Vlme G... Schéma des
troubles
de la sensibilité en juin ig26. COMPRESSIONS
avait été vue par M. Foix, c'est-à-dire trois mois auparavant, les
troubles
étaient sans doute moins prononcés ; toute- foi
rononcés ; toute- fois, la marche était déjà très difficile, et les
troubles
de la sensibilité pré- sentaient à peu près les
ression étaient encore très peu marqués. Or, chez notre malade, les
troubles
étaient déjà très accentués. Notre cas montre d
en oppo- sition avec le diagnostic de compression, même lorsque les
troubles
moteurs et sensitifs, par lesquels se traduit c
s se joignent des douleurs en ceinture. En outre se manifestent des
troubles
delà marche, des dérobements des jambes provoqu
delà marche, des dérobements des jambes provoquant des chutes. Ces
troubles
s'accentuent pro- gressivement et, depuis décem
Au membre inférieur gauche, qui est souple et ne présente pas de
troubles
appréciables de la motilité volontaire, on tr
éflexes tendineux sont ici d'une intensité moyenne. Il existe des
troubles
de la sensibilité qui, sans être très forts, so
mais surtout la sensiuiiuc a la température et a la douleur; ces
troubles
s'étendent jusqu'au pli de l'aine ; ils sont bien
a qu'une hypoesthésie légère. Pendant le séjour à l'hôpital, les
troubles
s'aggravent petit à petit, et, en parti- culier
tôt en flexion. Les réflexes abdominaux inférieurs sont abolis. Les
troubles
moteurs du membre inférieur droit n'ont pas sub
membre inférieur droit n'ont pas subi de changement appréciable. Les
troubles
de la sensibilité dite objective se sont notabl
érieurs tous les modes sont touchés ; mais, comme précédemment, les
troubles
sont beau- coup plus prononcés à droite ; c'est
nt beau- coup plus prononcés à droite ; c'est-à-dire du côté où les
troubles
moteurs sont plus forts (voir schéma). Le terri
. Le territoire des racines sacrées est moins atteint. De plus, des
troubles
sudoraux s'étendant jusqu'à la ligne mamelonnaire
ires. Notons enfin que, sauf à la période terminale, il n'y a eu ni
troubles
sphinctériens, ni escarre. La malade succombe
ous paraissent essentiels au point de vue de l'in- terprétation des
troubles
présentés par notre malade. i° Il s'agissait d'
le dorsale. C'est à ces dernières lésions que paraissent liés les
troubles
sensitifs au niveau de l'abdomen, l'abolition d
de l'abdomen, l'abolition des réflexes abdominaux inférieurs et les
troubles
sudoraux s'étendant jusqu'au niveau des mamelons.
uxquelles il faut attribuer les symptômes les plus importants : les
troubles
moteurs et sensitifs, les troubles de la réflec
ptômes les plus importants : les troubles moteurs et sensitifs, les
troubles
de la réflectivité cutanée et tendineuse des me
flectivité cutanée et tendineuse des membres inférieurs. Ces divers
troubles
considérés chacun en particulier sont assez banau
drome qui mérite de fixer l'attention. On remarque d'abord, que les
troubles
de la motilité et de la sensibilité sont homolaté
; à gauche, au contraire, exagération des réflexes de défense, sans
troubles
nets de la motilité volontaire, sans contractur
es affections les unes des autres, c'est que dans les dernières les
troubles
de la sensibilité font défaut ou sont très peu pr
dis que dans les premières, ils viennent tôt ou tard s'associer aux
troubles
moteurs. La paraplégie spasmodique en flexion p
qui donne sa marque à cette anesthésie, c'est que le maximum de ce
trouble
ne se trouve pas au niveau de la lésion, mais en
gie spasmodique en flexion permanente ou en flexion passagère, avec
troubles
sensitifs sous- lésionnels dont le maximum est
nous venons de signaler lorsqu'on veut utiliser la topographie des
troubles
sensitifs pour déterminer le niveau supérieur d
elle » ou « c'est comme si ma peau n'était pas vivante », etc... Un
trouble
de ce genre ne doit pas être considéré comme une
ne doit pas être considéré comme une hypoesthésie légère ; c'est un
trouble
qualificatif dont il faut tenir compte dans l'a
sthésie nette, tranchant par sa moda- lité ou son intensité sur les
troubles
sensitifs sous-lésionnels. Nous n'avons pas vu
La limite des réflexes de défense dépasse le 6" segment dorsal. Les
troubles
sensitifs portent surtout sur la sensibilité au
tion Il. Homme de 66 ans. Mal de Pott. Paraplégie presque complète.
Troubles
sensitifs (voir fig. 68). L'anesthésie est presqu
et à la douleur, avec conservation de la sensibilité tactile. Les
troubles
de sensibilité cantonnés dans cette zone semblent
La paralysie crurale était manifestement, ainsi que le prouvent les
troubles
vésicaux et le phénomène des orteils, sous la dép
ités que détruits. Mais déjà dès le début, mal- gré l'intensité des
troubles
fonctionnels, et je dirai même en raison de l'i
nnels, et je dirai même en raison de l'intensité de certains de ces
troubles
, on pouvait supposer qu'il en était ainsi ; c'é
attri- buer à cet agent spécial hypothétique la genèse de tous les
troubles
obser- vés chez cette malade, il faudrait suppo
chroniques qui existent maintenant encore et se manifestent par les
troubles
pupil- laires et la lymphocytose toujours prése
ions des nerfs sont primitives, qu'elles sont l'origine de tous les
troubles
symptomatiques observés et que le système nerveux
leur action patho- gène sur d'autres systèmes anatomiques ; que les
troubles
fonctionnels qu'ils occasionnent sont causés no
e musculaire ne s'accompagnant pas de dou- leurs, dans celle-là les
troubles
occupent le bras, se manifestent par des douleu
les caractères intrinsèques, sans nous occuper, pour commencer, des
troubles
concomitants. a) Les contractions consistent en
à une sorte d'état de mal qui, d'ailleurs, ne s'accompagne d'aucun
trouble
psychique. b) Il est généralement difficile de
tères permettant d'affirmer qu'il n'est pas sous la dépendance d'un
trouble
mental, psychique. Quelle en est la cause ? Il
de la corde vocale droite, une hémiatrophie linguale à gauche, des
troubles
auriculaires et un rétrécissement de la pupille
culaires et un rétrécissement de la pupille également à gauche. Ces
troubles
ont apparu il y a cinq ans environ et l'hémispasm
marquée et une diminu- tion de la contractilité volitionnelle ; ces
troubles
atteignent principalement les muscles de la rac
normaux. 11 n'y a pas de secousses fibrillaires. Il n'y a pas de
troubles
de sensibilité. Les viscères sont en parfait ét
ou même exagérée. 2° Un simple rapprochement montre ensuite que le
trouble
précédent coïncide avec une perturbation des ré
nt à appeler hystériques, les analyser et les rapprocher des divers
troubles
nerveux que l'on est unanime à séparer de l'hys
. Quels en sont les attributs communs ? On peut dire que ces divers
troubles
sont purement fonctionnels, mentaux, qu'ils son
s commotions morales peuvent exercer une influence sur la genèse de
troubles
mentaux indépendants de l'hystérie, elles sont
e chez les diabétiques des acci- dents nerveux et de déterminer des
troubles
circulatoires graves chez les sujets atteints d
s malades ; la neurasthénie peut durer des années sans amener aucun
trouble
de la nutrition ; il en est de même de la maladie
tion. Déclarer à un malade atteint d'une paralysie psychique que ce
trouble
est purement imaginaire, qu'il peut disparaitre
on est rigoureusement exacte et il est impossible de distinguer les
troubles
hystériques de ceux qui sont créés par la sugges-
réa- liseront pas et animé d'un ardent désir de se débarrasser d'un
trouble
qui rend sa -vie intolérable ; admettons de plu
térie. Je crois qu'il est légitime d'appeler encore hystériques des
troubles
qui, sans présenter les (') Voir : Hypnotisme e
Ce sont là les caractères dont la réunion peut servir à définir les
troubles
secondaires ; c'est parce qu'ils sont intimement
de s'auto-suggestionner. Elle se manifeste principalement par des
troubles
primitifs et accessoire- ment par quelques trou
alement par des troubles primitifs et accessoire- ment par quelques
troubles
secondaires. Ce qui caractérise les troubles pr
e- ment par quelques troubles secondaires. Ce qui caractérise les
troubles
primitifs, c'est qu'il est possible de les repro-
sous l'influence exclusive de la persuasion. Ce qui caractérise les
troubles
secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subo
oubles secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subordonnés à des
troubles
primitifs('). Comme on vient de le voir, j'ai é
r conséquent, la définissent par une analyse comparative des divers
troubles
sur la nature desquels il n'y a plus de discuss
ystérie, les autres en dehors de ce cadre. Pour ce qui concerne les
troubles
qui sont l'objet de discussions, j'es- (') Voir
isme. Ce qui distingue ces deux états c'est que dans le premier les
troubles
sont le résultat de l'autosuggestion, qu'ils so
légie. Je demande qu'on procède de la même manière en présence d'un
trouble
encore non classé qu'on veut faire entrer dans
hystériques secondaires suffit pour connaître les conditions qu'un
trouble
doit remplir afin d'être admis dans ce groupe.
tendu. il est nécessaire que la relation de cause à effet entre les
troubles
en question et une manifes- DÉFINITION DE L'HYS
-il pas essentiel, en effet, de réunir dans un même groupe tous les
troubles
sur lesquels la persuasion peut avoir une parei
le plus au point de vue du traitement de savoir reconnaître, car un
trouble
hystérique peut guérir rapidement, instanta- né
t, comme je l'ai déjà dit, légitime et même utile de faire avec les
troubles
présentant les caractères sur lesquels je viens
rait, en se servant d'un néologisme, leur donner la dénomination de
troubles
pithiatiques('), qui exprimerait au moins l'un
vec la tradition. Mais si l'on conti- nue à appeler hystériques ces
troubles
dont la propriété essentielle est leur dépendan
urrait fort bien désigner l'état psychique qui se manifeste par des
troubles
guérissables parla persuasion et remplacerait ava
goureuse des faits conduisit plus tard à reconnaitre que les divers
troubles
dits « hystériques » apparais- saient aussi che
ises autrefois, il n'en restait d'ailleurs pas moins établi que les
troubles
nerveux appelés hystériques avaient un cachet p
ar deux ordres de CONCEPTION DE L'HYSTÉRIE ET DE L'HYPNOTISME 467
troubles
, les uns permanents, les stigmates, les autres tr
définit. Il en résulte que, lorsqu'on a constaté chez un malade un
trouble
présentant un des caractères attribués aux mani
e rechercher les stigmates ; si on les trouve, on n'hésite plus; le
trouble
est considéré comme hystérique. Beaucoup de méd
omaine qu'on lui assigne lorsque je vous aurai mentionné les divers
troubles
qu'on lui attribue ; en voici l'énumération suc
vralgies sciatiques. L'hystérie serait capable de donner lieu à des
troubles
mentaux qui deviendraient parfois des plus grav
é des pupilles et de la mydriase avec abolition des réflexes. Des
troubles
cutanés et vaso-moteurs seraient fréquemment enge
e pour éveiller dans son esprit l'idée d'une hémianesthésie ou d'un
trouble
visuel ; il est donc essentiel de prendre toute
ale. Après ce que je viens de vous dire sur l'hémianesthésie et les
troubles
visuels, je n'insisterai pas sur les autres sti
nu. Le rôle des commotions morales, de l'émotion dans la genèse des
troubles
hystériques est incontestable, mais ces mêmes c
accidents nerveux chez les diabé- tiques et de déterminer même des
troubles
circulatoires graves chez les sujets atteints d
faire partie d'une définition. La rapidité dans la disparition d'un
trouble
n'est pas non plus une propriété spéciale aux p
as à toutes les manifestations de l'hystérie et il s'applique à des
troubles
incontestablement étrangers à l'hystérie ; une
relle et, d'autre part, certaines formes de vésanie accompagnées de
troubles
corporels ne sont-elles pas dues à des représen
es à considérer comme hystériques, il faut ensuite les comparer aux
troubles
nerveux qui, de l'avis de tout le monde, sont é
aire, déclarer à un malade atteint d'une paralysie psychique que le
trouble
dont il est atteint doit guérir, soit par un simp
TÉRIE ET DE L'HYPNOTISME ! I ï 3 Reprenons notre argumentation. Les
troubles
incontestablement hysté- riques que j'ai mentio
réa- liseront pas et animé d'un ardent désir de se débarrasser d'un
trouble
qui rend sa vie intolérable; admettons, de plus
ie. J'estime qu'il serait légitime d'appeler encore hystériques des
troubles
qui, sans présenter les caractères des accident
ents et lui seraient subordonnés ; mais il faut alors ajouter à ces
troubles
l'épithète de secondaires. L'atrophie mus- cula
e, le casier des accidents secondaires dans lequel on rangerait des
troubles
, qui seraient incontestablement liés d'une manièr
le de s'autosugges- tionner ; nous avons vu, en effet, que certains
troubles
, tels que l'hémi- anesthésie et le rétrécisseme
'lIY ? \'OTIS.IIE 475 peut-être le droit de m'objecter que certains
troubles
absolument étran- gers à l'hystérie sont aussi
l est, de part et d'autre, bien différent; en voici la preuve : les
troubles
que l'hystérique s'autosuggère sont susceptibles,
t un état psychique spécial qui se manifeste principalement par des
troubles
qu'on peut appeler primitifs et accessoirement pa
des troubles qu'on peut appeler primitifs et accessoirement par des
troubles
secondaires. Ce qui caractérise les troubles pr
cessoirement par des troubles secondaires. Ce qui caractérise les
troubles
primitifs, c'est qu'il est possible de les repro-
sous l'influence exclusive de la persuasion. Ce qui caractérise les
troubles
secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subo
oubles secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subordonnés à des
troubles
primitifs. J'ai déjà eu l'occasion de vous dire
La distinction que j'ai faite entre la suggestion qui engendre les
troubles
et la persuasion qui les guérit a été critiquée ;
vez donc, me dit-on, considérer comme un caractère spécifique des
troubles
hystériques la possibilité d'être guéris par pers
es en bien et en mal, n'a jamais disparu depuis, a donné lieu à des
troubles
tels que l'arythmomanie, le délire du toucher, la
able, afin d'éviter la confusion, de séparer les uns des autres des
troubles
n'ayant pas les mêmes qualités. ' En possession
s en mesure, main- tenant, de faire une revision utile des nombreux
troubles
attribués à l'hystérie, que nous avons énumérés
épilepsie spinale par- faite étaient susceptibles de constituer des
troubles
hystériques primitifs, on devrait être en mesur
s dans la folie hys- térique. La persuasion est sans action sur les
troubles
de ce genre et on ne peut pas les reproduire pa
négalité des pupilles, qu'il est également impossible de guérir ces
troubles
par persuasion et qu'on ne les observe jamais,
servation ou d'interprétation. Je prétends aussi que la réalité des
troubles
cutanés et vaso-moteurs dans l'hystérie est loi
hanger d'avis à cet égard et je serai obligé de reconnaître que ces
troubles
, présentant les attributs des mani- festations
stériques secondaires. L'hystérie peut produire de l'aphonie et des
troubles
respiratoires, qui, du reste, ne s'accompagnent
question de fièvre hystérique. L'hystérie. malgré l'élimination de
troubles
nombreux qui lui ont été attribués à tort, cons
t à reproduire à volonté, suivant leur caprice ou leur intérêt, des
troubles
qui, au début, étaient le résultat de la suggesti
oculaires, l'injonction verbale de dormir, on a développé certains
troubles
nerveux, des paralysies, des contractures, des
; suivant ma conception, cette névrose est constituée par tous les
troubles
qui sont susceptibles de guérir uniquement par
des individus âgés, atteints d'affection car- diaque, n'ayant aucun
trouble
de la sensibilité et dont la paralysie n'avait
résentaient, ce qui n'est pas rare dans l'hémiplégie organique, des
troubles
vosomoteurs, de l'hypo- thermie du côté de la p
pas encore tout : si l'hystérie est capable d'engendrer de pareils
troubles
à la peau, pourquoi n'en produirait-elle pas auss
le second groupe, se rangent des phénomènes qui sont également des
troubles
fictifs, mais qui se distinguent des précédents p
es oedèmes. La fraude consiste en ce que les sujets atteints de ces
troubles
prétendent qu'ils se sont développés spontanéme
naissons aussi que, contrairement à ce qu'on pensait autrefois, les
troubles
vaso- moteurs, sécrétoires, trophiques, les hém
ais cher- cher à le faire à présent. 3° Reconnaître que parmi les
troubles
que l'on a rattachés à l'hystérie il en est qui
ar suggestion et d'autres qui ne le peuvent pas, c'est dire que les
troubles
qu'on appelle hystériques ne sont pas tous semb
n, ainsi comprise, implique l'idée que la volonté est maîtresse des
troubles
qu'elle a produits et qu'elle est capable de fa
T DE L'HYSTÉRIE TRADITIONNELLE 4g3 Comment délimiter le domaine des
troubles
que la suggestion peut produire ? En observant
ées ainsi acquises. Je ne ferai pas une description détail- lée des
troubles
qui sont tributaires de la suggestion, car cela m
ts choréiques parfois irréguliers, mais géné- ralement rythmés, des
troubles
de la phonation, de la respiration, des trouble
ement rythmés, des troubles de la phonation, de la respiration, des
troubles
de la sensibilité se manifestant par de l'anesthé
ité se manifestant par de l'anesthésie ou de l'hyperes- thésie, des
troubles
sensoriels, des troubles vésicaux. Par contre, ai
l'anesthésie ou de l'hyperes- thésie, des troubles sensoriels, des
troubles
vésicaux. Par contre, ainsi que j'ai déjà eu l'
neurologiste expérimenté doit surmonter ; elle ne peut produire de
troubles
vasomo- teurs, sécrétoires, trophiques, pas plu
ait naître est-il spécifique ou bien peut-il appartenir aussi à des
troubles
liés soit à une affection organique, soit à une
ymptomati- que seul, les manifestations de la suggestion d'avec les
troubles
qui dépendent des autres affections. Il faut re
ssance, il n'existe pas d'autre cause pouvant déterminer de pareils
troubles
. Les autres signes sont d'ordre négatif ; je di
volonté est devenue déjà, dans une certaine mesure, maîtresse de ce
trouble
. Or, comme je l'ai dit, c'est là précisément, c
érissable, et de désigner par l'adjectif « pithiatique » chacun des
troubles
qui constitue ce groupe. Sans doute, ce n'est pas
e le mot persuasion pour- rait le faire croire, que l'on guérit ces
troubles
, et le vocable pithiatisme n'évoque pas non plu
eut d'abord se demander si réellement l'émotion a sur la genèse des
troubles
pithiatiques l'action qu'on lui prête. S'il en ét
'on lui prête. S'il en était ainsi, la fréquence et la forme de ces
troubles
devraient être, contrairement à ce que l'on obs
erprétation à proposer. On peut soute- nir qu'un sujet atteint d'un
trouble
pithiatique joue en quelque sorte un rôle, d'un
ue la volonté est maîtresse ou est capable de devenir maîtresse des
troubles
pithiatiques, d'en déterminer la forme, d'en do
e mot sug- gestion implique l'idée que la volonté est maîtresse des
troubles
qu'elle a produits ; ce n'est que par l'intermé
xes qui, en outre, ainsi que je l'ai dit plus haut, ne sont pas des
troubles
soumis, comme les troubles pithiatiques, à l'ac
e je l'ai dit plus haut, ne sont pas des troubles soumis, comme les
troubles
pithiatiques, à l'action de la suggestion et de l
s salles d'hôpital, et combien sont communes les associa- tions des
troubles
pithiatiques avec les afl'ections les plus variée
troisième groupe, d'une part chez tous les individus présentant des
troubles
pithiatiques et, d'autre part, chez un nombre é
nt être faites sur des sujets qui, sauf la présence ou l'absence de
troubles
pithiatiques, soient, de part et d'autre, dans
u'à présent, l'habitude d'appeler accidents hystériques primitifs les
troubles
pithia- tiques et j'ai déclaré qu'il serait lég
t j'ai déclaré qu'il serait légitime d'appeler encore hystériques des
troubles
qui, sans présenter les caractères des accident
urel de le réserver aux phénomènes pithiatiques qui comprennent les
troubles
que l'on a toujours considérés comme les plus c
i sont soignées dans leur famille, la durée parfois très longue des
troubles
qu'elles présentent est due, dans bien des cas, à
sies, ces contrac- tures qui duraient des années et qui étaient des
troubles
très communs autrefois, sont devenus fort rares
qui lisent, dans les ouvrages de l'époque, la des- cription de ces
troubles
, ont l'impression qu'il s'agit là de paléopatho-
t très rapidement parvenus à se débarras- ser complètement de leurs
troubles
par des efforts de volonté, en quelque sorte pa
de guérir ; mais l'observation montre que leur volonté n'a sur ces
troubles
que très peu de prise ; contrairement aux hysté
obiques, ces psychasthéniques sur l'intensité, la modalité de leurs
troubles
, sans être nulle, n'est vraiment que bien faible.
immutabilité dans le temps contraste avec l'extrême mutabilité des
troubles
qui constituent l'hystérie, le pithiatisme. J
organique, on obtient par la psychothérapie la guérison de certains
troubles
occupant dans l'ensemble symptomatique une plac
it d'associations de l'hystérie avec d'autres affections et que les
troubles
guéris par la psy- chothérapie sont ceux qui dé
que les phénomènes pithiatiques peu- vent imiter plus ou moins les
troubles
fonctionnels des maladies les plus diverses, qu
e, par des pratiques psychothérapiques, sur les malades atteints de
troubles
pithia- tiques ; il s'ingéniera encore pour leu
, un milieu psychique qui leur soit salutaire. 3° Convaincu que les
troubles
pithiatiques vrais doivent céder rapide- ment à
4° Connaissant les limites du pithiatisme, il saura distinguer les
troubles
qui ne font, pas partie de ce domaine, et ne se
e sur ses gardes lors- qu'il aura affaire à un sujet présentant des
troubles
ayant les caractères qui appartiennent à ce gen
- 501, HYS T lRI E-P 1 Tlll,1 TISM E nime, car, je le répète, les
troubles
hystériques cèdent à une psychothé rapie pratiq
pale entrave à la guérison. b) Bien pénétré de cette idée que « les
troubles
vaso-moteurs et les troubles trophiques hystéri
) Bien pénétré de cette idée que « les troubles vaso-moteurs et les
troubles
trophiques hystériques » ne sont que des fictions
ant victimes d'accidents du travail, que la notion de ces prétendus
troubles
hystériques repose sur des erreurs de diagnosti
S'il lui semble impossible d'établir une relation directe entre le
trouble
observé et l'accident subi, si le trouble ne lu
relation directe entre le trouble observé et l'accident subi, si le
trouble
ne lui parait pas dépendre de quelque affec- ti
quences est l'exaltation de la suggesti- bilité. Or, comme certains
troubles
fonctionnels, certains états morbides peuvent c
même DE L'HYPNOTISME EN THÉRAPEUTIQUE 5og évidence que celle des
troubles
mentaux cités plus haut. En effet, il varie not
pnotisables et les hystériques sont susceptibles de pré- senter des
troubles
(phénomènes hypnotiques, phénomènes hystériques)
acture hystérique que d'hypnotiser un individu présentant un de ces
troubles
. Pourtant, quelques hystériques, après avoir en v
de reproduire expérimenta- C lement d'une manière parfaite tous les
troubles
hystériques ne prouve sans doute pas, à priori,
e développaient, disait-on, à l'insu des malades, à la manière d'un
trouble
organique, sans représentation mentale préalabl
rent l'attention et l'inquiétude de l'intéressé, fassent éclore des
troubles
qui sont du domaine de la suggestibilité. Par
ibilité. Parfois, cette épine organique peut être minime ; c'est un
trouble
pas- sager, une légère douleur, un petit trauma
stibilité et jouer ainsi un rôle indirect dans le développement des
troubles
pithiatiques ; mais ces agents ne feraient alor
ique, à faire dépendre de quelque émotion, ancienne ou récente, les
troubles
dont ils souffrent; de la meilleure foi ils peuve
propres au développement d'accidents nerveux, on se met en quête de
troubles
hystériques ; on peut dire que c'est une recherch
s qui toutes étaient concordantes : aucun d'eux n'avait constaté de
troubles
hystériques. Les renseignements communiqués par
isuel de plus de (ioo « rescapés » dont quelques-uns souffraient de
troubles
nerveux divers constituant un véritable état mo
nous lui avons posées, n'a pas vu se développer devant lui un seul
trouble
dont la nature hystérique fût avérée ; il se ra
e l'émotion seule, quelle que soit son intensité, n'engendre pas de
troubles
hystériques. On peut même dire que si les émotion
la santé morale une influence assez grande pour produire de pareils
troubles
. Cette objection, d'ordre spéculatif, ne saurai
entre les manifestations pithiatiques les plus indiscutables et les
troubles
d'origine lésionnelle. » D'autre part, dans u
en, et j'ai insisté moi-même sur ce point depuis longtemps, que les
troubles
hystériques peuvent être associés à des troubles
longtemps, que les troubles hystériques peuvent être associés à des
troubles
physi- ques, organiques, mais cela ne veut pas
vo-sensoriclle de l'hystérie, qui fait partie de cette catégorie de
troubles
qu'il est permis d'appeler hystériques primitif
lles que réalisent parfois des lésions cérébrales authentiques. Ces
troubles
sensitifs étaient considérés comme des stigmate
a été communiquée il y a quelque douze ans par le Dr Morax, sur les
troubles
visuels dans l'hystérie, les passages sui- vant
l'hystérie. Pour résumer mon impression actuelle sur la nature des
troubles
visuels, décrits comme stigmates de l'hystérie,
nt de même nature que les précédentes. J'ajoute que la guérison des
troubles
hystériques, en apparence les plus tenaces, est
lter nettement de tout ce qui précède qu'il existe une catégorie de
troubles
ayant pour attributs de pouvoir être produits par
chose c'est déter- miner les attributs qui lui appartiennent. Les
troubles
ne présentant pas les attributs en question ne pe
tre les manifestations pithiati- ques les plus indiscutables et les
troubles
d'origine lésionnelle ». A mon avis, ces deux o
es troubles d'origine lésionnelle ». A mon avis, ces deux ordres de
troubles
sont séparés, en ce qui concerne leur nature, n
BABINSKI et J. Froment.] Extrait du livre Ilystérie-Pithiatisme et
Troubles
nerveux d'ordre réflexe. Masson et C", Paris, 1
uisaient. La guerre a-t-elle réalisé de pareilles conditions et les
troubles
pithia- tiques se rencontrent-ils souvent dans
tes pour qui veut apprécier le rôle de l'émotion dans la genèse des
troubles
nerveux. L'émotion-choc devait atteindre là son
u des désordres mentaux qui ont surgi dans ces circonstances, aucun
trouble
pithiatique ne s'est alors manifesté. Ajouton
bles de déterminer les émotions les plus violentes, on constate des
troubles
émo- tifs divers, mais on ne voit pas se dévelo
iquement par l'émotion, on ne saurait rete- nir que les faits où le
trouble
aurait succédé, sans solution de continuité, au
ncomplets. Pour toutes ces raisons on est autorisé à penser que les
troubles
moteurs étaient au moins en partie d'ordre réflex
roubles moteurs étaient au moins en partie d'ordre réflexe. Or, les
troubles
de ce genre ne subissent guère plus les influence
en particulier par Bouveret et par Blum. Jus- qu'à cette époque les
troubles
nerveux de cet ordre (railway-spine, rail- way-
contusion), la question est relativement simple : les douleurs, les
troubles
de motilité plus ou moins durables qui en résul
re-suggestion vient apporter la preuve de la nature pithiatique des
troubles
nerveux constatés. Le fait est nettement mis en
neurologique où il est de nouveau examiné par l'un de nous pour des
troubles
de motilité, rappelant la chorée rythmique, qui
e l'émotion, augmenter la suggestibilité et être ainsi l'origine de
troubles
hystériques. Ceux-ci varieront quant à leur for
nerveux d'ordre réflexe, de ne pas attribuer à l'hystérie tous les
troubles
consécutifs au traumatisme et indépendants de t
ette confusion est très regrettable car il s'agit de deux ordres de
troubles
différents quant à leur mode d'évolution, leur
onception ancienne des stigmates permanents de l'hystérie ? ' Les
troubles
nerveux qui ont été décrits sous le nom de stigma
sauraient en aucun cas nous autoriser à rattacher à l'hystérie les
troubles
nerveux qui les accompa- gnent, CRISES HYSTÉR
éviter tout propos susceptible d'être l'origine d'une suggestion.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ. Anesthésies hystériques. Les
s nerveux. , ". , ' .. 1 ? ? L'HYSTÉRIE PENDANT LA GUERRE 537 Ces
troubles
de sensibilité ne provoquent aucune gêne : on ne
avaient prêté à tort, en effet, l'idée que nous consi- dérions ces
troubles
comme une fiction ou comme l'oeuvre de la simulat
rique le pouvoir de modifier ou d'abolir la réflectivité cutanée.
TROUBLES
DE LA FUTILITÉ. Paralysies hystériques. Les par
cause : 538 II Y ST É R I E-P 1 T II I AT I S M E l'existence de
troubles
sphinctériens, d'ailleurs passagers, certaines
oplégies brachiales ou crurales totales et assez souvent encore des
troubles
moteurs simulant plus ou moins grossière- ment
cture ou pseudo-contracture névropathique n'est accompagnée d'aucun
trouble
ni de la sensibilité superficielle ou profonde,
motion par éclatement d'obus. Il est fort possible dès lors que les
troubles
nerveux incriminés ne soient pas de nature hyst
ntaire peut être abolie. Cette irréflectivité semble alors liée aux
troubles
vaso-moteurs et à l'hypothermie. Il suffit de réc
chambre chaude pour voir le réflexe reparaître. L'instabilité de ce
trouble
est importante â souligner et nous saisissons cet
pensent, l'idée d'hystérie. Elle n'a cette signification que si le
trouble
a cédé sous l'influence seule de la contre-sugg
té depuis lors confirmées par plusieurs neurolo- gistes. OEDÈMES,
TROUBLES
VASO-MOTEURS ET TROPHIQUES ,. PRÉTENDUS HYSTÉRI
. » A ces hypothèses on peut encore en joindre une autre : celle de
troubles
vaso-moteurs d'ordre réflexe qui toutefois ne s
eut être considéré comme ayant une action uniquement psychique. Les
troubles
vaso-moteurs étaient considérés autrefois comme t
ts qualifiés d'hystéro-traumatiques, on avait en effet constaté des
troubles
vaso moteurs marqués. Quelques observateurs ont s
les vaso moteurs marqués. Quelques observateurs ont supposé que ces
troubles
, sans constituer il est vrai des accidents hystér
que l'un de nous avait réservé pour les phénomènes subordonnés aux
troubles
hystériques pri- mitifs et qu'il avait appelés
rdonnés aux troubles hystériques pri- mitifs et qu'il avait appelés
troubles
hystériques secondaires. Mais l'ana- lyse de ce
ires. Mais l'ana- lyse de ces faits nous a permis d'établir que ces
troubles
circulatoires et thermiques devaient être détac
provoquer une légère thermo-asymétrie, elle ne détermine jamais de
troubles
vaso-moteurs et thermiques nettement caractéris
rmiques nettement caractérisés; lorsqu'elle s'accompagne de pareils
troubles
c'est qu'elle s'associe à des phénomènes d'une au
is sans conteste. , Sollier a signalé, il est vrai, l'existence des
troubles
trophiques osseux dans six cas de contractures
étaient dévelop- pées consécutivement à des blessures. Mais de tels
troubles
ont été très souvent observés à la suite de fra
hystérique. On peut se demander si. là encore, il ne s'agit pas de
troubles
trophiques liés à des perturbations du système
qués par une épine organique. » Villaret remarquait de même que les
troubles
trophiques des phanères (hyper ou hypotrychose)
eu l'occasion de traiter un très grand nombre de sujets atteints de
troubles
pithiatiques, nous a déclaré les avoir guéris pre
s a déclaré les avoir guéris presque tousQ. ' Dans le domaine des
troubles
oculaires hystériques, qui sont relative- ment
C'est ainsi que dans un travail tout récent ayant pour titre « Des
troubles
visuels par commotion crânienne » (Aoc7a. d'ophta
persuasive. » Est-il besoin d'ajouter qu'en cas d'association, les
troubles
hystériques seuls disparaissent sous l'influenc
à redouter ? L'avenir des soldats ainsi guéris, quand il s'agit des
troubles
hystériques purs, dépend principalement du milieu
rapidement et définitivement curables, s'applique à combattre tout
trouble
hystérique à l'étal naissant, il aura bien des ch
l n'est pas rare d'observer, après une atténuation très notable des
troubles
soumis à des pratiques psychothérapiques, la pers
pareil cas, la psychothéra- pie est beaucoup moins efficace. Si les
troubles
hystériques sont même alors susceptibles de dis
hystériques dans l'évaluation du degré de l'incapacité. 3° Pour les
troubles
physiopathiques (troubles nerveux dits réflexes)
ion du degré de l'incapacité. 3° Pour les troubles physiopathiques (
troubles
nerveux dits réflexes) consé- cutifs aux trauma
qui ont eu lieu au cours de la réunion que la distinction entre les
troubles
hystériques-pithiatiques et les troubles dits r
e la distinction entre les troubles hystériques-pithiatiques et les
troubles
dits réflexes a été généralement admise. La pos
e suspects d'aboulie et même de simulation, des malades atteints de
troubles
physiopathiques sur lesquels la volonté est sans
dans les dépôts régimentaires un grand nombre de sujets atteints de
troubles
pithiati- ques purs ou associés. La psychothéra
'un de nous ; « Etant donné l'intérêt yM'<7 y a, dans les cas de
troubles
pithiatiques rebelles soit purs, soit associés
ire mise en oeuvre avec le maximum d'efficacité. » DIXIÈME PARTIE
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES 1 TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉ
mum d'efficacité. » DIXIÈME PARTIE TROUBLES PHYSIOPATHIQUES 1
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE Syndrome physiopathique
. Babinski ET J. Froment.] Extrait du livre Hystérie-pithiatisme et
troubles
nerveux d'ordre réflexe, Masson, igi8. Parmi
rétiques qui se développent consécutivement à des traumatismes. Ces
troubles
de motilité ne s'accompagnent d'aucun des signe
modifications des réflexes cutanés pou- (') Hystérie-pithiatisme et
troubles
nerveux d'ordre réflexe (en collaboration avec J.
ity of London Presse Lid, traduit par J. D. Rolleston -NI. D.). 55o
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES vant aller jusqu'à l'irréflecti
la surexcitabilité mécanique et parfois électrique des nerfs ; des
troubles
de la sensibilité objective et subjective (anes
sensibilité objective et subjective (anesthésie et douleurs) ; des
troubles
de la régulation ther- mique (surtout de l'hypo
- phérie du membre, lorsque la température ambiante est basse); des
troubles
sécrétoires et enfin des troubles trophiques dive
pérature ambiante est basse); des troubles sécrétoires et enfin des
troubles
trophiques divers du système osseux, des ligame
en admettant même que cette pathogénie soit encore contestable, les
troubles
en question, quelle que soit la dénomination qu
vres complètes, traduction de Bichclot. Paris, 83y, t. I, 1). 5111.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 55 confirmées et complé
seurs et s'accompagne d'un état parétique d'intensité variable. Les
troubles
de motilité ne sont pas toujours aussi étroitemen
tation des réflexes paraît un symptôme commun à ces divers modes de
troubles
de motilité. Ceux-ci, ajoute Charcot, sont suscep
système nerveux (moelle épinière), 1886, t. II, pp. 541-592. 552
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES gourdissement plutôt qu'une dou
ent plutôt qu'une douleur dans la région. » Vulpian insiste sur les
troubles
trophiques de la peau et des phanères, les troubl
insiste sur les troubles trophiques de la peau et des phanères, les
troubles
sécré- toires, le refroidissement du membre, la
tat associé, les modifications de la réflec- tivité tendineuse, les
troubles
de la sensibilité (anesthésie, névralgies, doul
thésie, névralgies, douleurs à la pression des troncs nerveux), les
troubles
vaso-moteurs et thermiques, les troubles trophi
n des troncs nerveux), les troubles vaso-moteurs et thermiques, les
troubles
trophiques, les troubles sudoraux. De plus, il es
s troubles vaso-moteurs et thermiques, les troubles trophiques, les
troubles
sudoraux. De plus, il est spécifié que ces phén
Keen); les cas d'inflammation dite réflexe (Brown-Séquard), etc.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 553 Le discrédit dans l
conduit à attribuer à l'hystérie, presque sans exception, tous les
troubles
nerveux consécutifs aux traumatismes et ne releva
ire sans en excepter même l'exagération des réflexes tendineux, les
troubles
vaso- moteurs, thermiques et trophiques. Avec
e l'hystérie, il faut bien le reconnaître, la distinction entre les
troubles
nerveux d'ordre réflexe et les accidents hystér
ut même faire complètement défaut. On pouvait encore faire état des
troubles
vaso-moteurs et thermiques. Dès 1904, dans une
e reproduire, l'un de nous s'exprimait déjà ainsi qu'il suit : «Les
troubles
trophiques, les troubles circulatoires, les troub
s s'exprimait déjà ainsi qu'il suit : «Les troubles trophiques, les
troubles
circulatoires, les troubles sécré- toires appor
il suit : «Les troubles trophiques, les troubles circulatoires, les
troubles
sécré- toires apportent aussi au diagnostic des
on sudorale y est plus abondante et que la peau a une colo- 5 5 ! 1
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES ration rouge violacée, vous pou
asymétrie quand la paralysie est unilatérale, mais en pareil cas le
trouble
n'est que léger. Je suis d'avis qu'une hypother
'a pas été suffisamment attirée sur la fréquence et l'intensité des
troubles
vaso-moteurs, de l'hy- pothermie qui se dévelop
ques et qui font partie du groupe des phénomènes dits réflexes. Ces
troubles
sont communs dans les cas de lésions dues à des
res d'origine psychique. Société de Neurologie, Ier juillet 1915.
TROUBLES
NERVEUX. D'ORDRE RÉFLEXE 555 indirects avec l'o
ne... Voilà donc une contracture d'origine psychique avec oedème et
troubles
vaso-moteurs associés. » Il est à remarquer que
d'une contracture consé- cutive à un traumatisme s'accompagnant de
troubles
vaso-moteurs, d'oedème et d'hypothermie, G. Bal
UERRE Voici comment nous avons été conduits à reprendre l'étude des
troubles
dits réflexes et comment nous avons été appelés
dehors. Nous constatons de l'atrophie musculaire de la cuisse, sans
trouble
appréciable des réactions électriques. L'examen d
de la cuisse sur le bassin qui ne semble pas en proportion avec les
troubles
de motilité. La radiographie ne décèle aucune lés
i clonus de la rotule. Il existe, par contre, au membre malade, des
troubles
vaso-moteurs marqués et tenaces, et une hypothe
hypothermie locale très nette. En nous fondant sur l'intensité des
troubles
vaso-moteurs, nous nous étions crus en droit d'
ade à la chloroformisation. Il était d'autant plus légitime, en 556
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES l'espèce, d'avoir recours à tou
oroformique, nous ont conduits ainsi à rappeler l'attention sur ces
troubles
nerveux d'ordre réflexe consécutifs aux traumatis
bre igi5. (2) J. Babinski et J. Froment, Contribution à l'étude des
troubles
nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'ane
e po5 et Revue Neurologique, novembre-décembre igi5, pp. j25-933.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 55; Au moment où nous p
riques (main figée), Société de Neurologie, 4 novembre ig 15. 558
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES encore non décrit donna alors à
plaie par balle du 2° espace interosseux dorsal. On constatait des
troubles
vaso-moteurs et une hypothermie locale très man
l'hystérie ou du moins que, si elle intervenait dans la genèse des
troubles
moteurs, elle n'était pas seule en cause. Exa
galvanique cl faradique. Académie de médecine, i i janvier igi6.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 55g Nous remarquions en
marquions enfin que, dans la symptomatologie de tous ces faits, les
troubles
vaso-moteurs et thermiques occupaient généralemen
inaperçus. Nous fûmes frappés aussi par les liens qui unissent aux
troubles
L'aso- moteurs et thermiques les troubles de l'
es liens qui unissent aux troubles L'aso- moteurs et thermiques les
troubles
de l'excitabilité mécanique des muscles : surex
ns mis en évidence (observations pendant la narcose, caractères des
troubles
vaso-moteurs) apportent des argu- ments nouveau
s recherches ont contribué à établir l'existence d'une catégorie de
troubles
de motilité de nature physiopathique que l'on doi
du rapport présenté par l'un de nous et consacré aux caractères des
troubles
moteurs dits fonctionnels. Les (') .J. Babinski
vrier i g t 6, p. 83. (2) J. Babinski, J. Froment et ,1. Heitz, Des
troubles
vaso-moteurs et thermiques dans les paralysies
r la méthode graphique), Société de Neurologie, 29 juin 1916. 56o
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES neurologistes présents ont acce
n peut être appelé el prendre, il y a lieu de distinguer, parmi les
troubles
de motilité, dits fonctionnels (c'est-à-dire les
parmi les troubles de motilité, dits fonctionnels (c'est-à-dire les
troubles
de motilité qui ne présentent aucun des signes
ts nerveux, nettement distincts des précédents, qui sont liés à des
troubles
physiologiques réels, dont le mécanisme est encor
mécanisme est encore discutable, mais que l'on peut rapprocher des
troubles
d'ordre réflexe observés à la suite des lésions
servés à la suite des lésions articulaires. SYMPTOMATOLOGIE Les
troubles
nerveux d'ordre réflexe se développent à la suite
e la main, de la jambe, du pied et, particularité intéressante, les
troubles
nerveux s'étendent habituellement au-dessus de
nt au-dessus de la région traumatisée. Ajoutons que l'intensité des
troubles
ne semble pas être en raison de la durée de l'i
provoquer, ou du moins on n'est pas encore fixé à cet égard. Les
troubles
de motilité d'ordre réflexe se présentent sous de
e parésies et de contractures. Mais, quelle qu'en soit la forme, le
trouble
moteur est le plus souvent incomplet, partiel,
laquelle tous les segments du membre participent fréquemment. Le
trouble
moteur réflexe peut-il entrainer une impotence co
mpotence complète ou (') Discussion générale sur les caractères des
troubles
moteurs (paralysies et contractures) dits « fon
ecteur en garde contre certains malentendus qui ont pu se produire.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 561 presque complète d'
éterminer avec précision le degré d'intensité que peut atteindre le
trouble
moteur réflexe. Ce que nous sommes en droit d'a
moteur réflexe. Ce que nous sommes en droit d'affirmer c'est que ce
trouble
, même si l'on fait abstraction des rétractions
qui en sont atteints. Si l'on prend en considération à la fois les
troubles
de motilité et les autres troubles physiopathiq
d en considération à la fois les troubles de motilité et les autres
troubles
physiopathiques, il est possible de dégager au mi
bras avec parésie des extenseurs et contracture des fléchisseurs.
TROUBLES
VASO-MOTEURS ET THERMIQUES. Dans la majorité de
HERMIQUES. Dans la majorité des cas, comme on vient de le voir, les
troubles
vaso- moteurs et thermiques sont très nets : il
udier ('). Nous faisons abstraction dans cette étude des cas où les
troubles
vaso- moteurs sont bilatéraux et semblent en ra
rs conséquences ne paraissent pas les mêmes que lorsqu'il s'agit de
troubles
vaso-moteurs unilatéraux et acquis. Ces trouble
orsqu'il s'agit de troubles vaso-moteurs unilatéraux et acquis. Ces
troubles
ne correspondent pas à un territoire nerveux bien
extrémités et s'y cantonnent souvent. La main ou le pied atteint de
troubles
de motilité est cyanosé, marbré ou encore d'une t
le et la tache blanche ainsi produite ne s'efface que lentement. Ce
trouble
dans la coloration de la peau apparaît nettemen
u apparaît nettement par la comparaison du côté (') Cette étude des
troubles
vaso-moteurs et thermiques d'ordre réflexe est ex
et thermiques d'ordre réflexe est extraite du travail suivant : Des
troubles
vaso-moteurs et thermiques dans les paralysies ou
s constatations sphygmométriques et oscillometriques concernant des
troubles
nerveux purs ou associés à des lésions des troncs
s obtenues après bain chaud ou froid. N. D. L. IL Bauinsm. 30 562
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES sain avec le côté malade. Au me
re et que le godet déterminé par la pression est peu profond. Aux
troubles
vaso-moteurs s'associe une hypothermie nettement
ure de i à 2 centimètres de mercure à la pression diastolique.) ;
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 563 Voici quelques chif
", 8" pour 12°,5" pour 5", 8" pour 6°. Chez les blessés atteints de
troubles
nerveux d'ordre réflexe, la vaso- asymétrie est
14°. Nous choisissons là, à dessein, des exemples dans lesquels les
troubles
étaient très mar- qués (1). Les oscillations
ou même de 1 à 12. Comme on le voit, il y a en général, dans les
troubles
vaso-moteurs réflexes une diminution de l'ampli
omètres à la série desquels appartient celui qui nous a servi. 56f,
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES paralytiques ou parétiques, mai
nt à un état paréticlue des plus manifestes, qui est transitoire.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 565 Chez les blessés at
TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 565 Chez les blessés atteints de
troubles
nerveux d'ordre réflexe, après immersion du mem
D. R. » Nous ne partageons pas cette opinion. Lorsqu'il existe des
troubles
profonds de la régulation vaso-motrice et therm
lenteur de la secousse sont proportionnées dans leur intensité aux
troubles
vaso-moteurs et thermiques ; lorsque l'hypothermi
es traces au livre suivant : J. Babinski et J. Froment, Hystérie et
troubles
nerveux d'ordre réflexe. Collection Horizon, Pari
tion Horizon, Paris, Masson, 1918, pp. 128 à 33. N. D. L. fi. 566
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES tabilité. Mais on peut observer
me la surexcitabilité musculaire, paraît assez étroitement liée aux
troubles
vaso-moteurs et à l'hypothermie ; elle s'atténu
atiques d'ordre réflexe. Presse Médicale, 24 février ici6, p. 83.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 56 ? Amyotrophie. L'amy
à la suite d'arthrite, l'atrophie peut être accentuée sans que les
troubles
parétiques soient très prononcés. Par contre, l
que les troubles parétiques soient très prononcés. Par contre, les
troubles
parétiques et la contracture peuvent être relativ
ntimètres. Malgré la localisation ou la prédominance habituelle des
troubles
moteurs à l'extrémité, surtout quand il s'agit
r du mouvement comme l'a montré Clovis Vincent('). Dans ces cas les
troubles
physiopathiques, en particulier la cyanose et l
ent, Variations du réflexe achilléen chez certains hommes atteints de
troubles
physio- spathiques des membres inférieurs, Soci
es des membres inférieurs, Société de Neurologie, 5 avril 1917. 568
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES S marquée. Après immersion du m
breux malades et elle a toujours donné les mêmes résultats ('). Ces
troubles
doivent être rapprochés de la surexcitabilité méc
autres avec Babinski et Froment font relever l'aréflexie cutanée de
troubles
secondaires tels que l'hypothermie. Nous accept
anés plan- taires sans modifier en rien l'anesthésie psychique. »
Troubles
de la sensibilité. Les malades atteints de contra
t, Abolition du réflexe cutané plantaire. Annslhésie associée a des
troubles
vaso-moteurs et à de l'hypothermie d'ordre réflex
octobre 1910. (3) Souques, Megevand, Miles : \ardileb et Balba1ls,
Troubles
de la température locale 1\ propos d'un cas de
té de Neurologie. rz oclohre Igdi. ) IL Gougerot et A. Charpentier,
Troubles
réflexes et paralysies réflexes consécutifs aux b
ériphériques par blessures de guerre, Masson, J 9 ¡fi, pp. 84-y5.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 56g Dans plusieurs cas
encore à la jambe dont elle occupait les deux tiers inférieurs. Ces
troubles
de la sensibilité existaient pour tous les modes
les modes d'excitation : tact, piqûre, chaleur. On notait aussi des
troubles
du sens des attitudes. Après immersion dans l'e
ubles du sens des attitudes. Après immersion dans l'eau chaude, les
troubles
de sensi- bilité s'atténuaient. Dans quelques
'excitants violents portant sur les régions qui étaient le siège de
troubles
de sensibilité : la faradisation au moyen d'une
générale ne provo- quaient aucune manifestation douloureuse, aucun
trouble
vasomoteur du visage, aucune accélération du po
tisme, qu'il s'agit là de phénomènes possédant une autonomie vraie,
troubles
sensitifs superficiels et profonds qui bénéfici
titre Topographie des modifications de la sensibilité au cours des
troubles
physiopathiques. Constitution d'un syndrome rad
exe (') écrivent : En examinant avec soin des blessés porteurs de
troubles
physiopathiques typiques, nous avons pu constat
urnay, Topographie des modifications de la sensibilité au cours des
troubles
physiopathiques. Constitution d'un syndrome radic
adicnlo-sympathique réflexe. Progrès médical, 10 mars 1917. . 57o
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES un territoire de nerf périphéri
ement radiculaire. Nous avons éliminé, bien entendu, les cas où des
troubles
physiopathiques se trou- vaient associés à une
hystérique peut s'associer à des phénomènes physiopathiques ? --
TROUBLES
sécrétoires et trophiques. Il n'est pas rare de c
suite d'une transfixion de la partie inférieure de l'avant-bras des
troubles
réflexes bien caracté- risés, une supersécrétio
très accentuée. De plus cet officier nous a fait remarquer que les
troubles
sécrétoires, qui étaient apparus du côté malade
s (') J. Babinski et J. Froment, Parésie réflexe do la main gauche.
Troubles
vaso-moteurs et sécré- toires bilatéraux. Socié
sécré- toires bilatéraux. Société de Neurologie, novembre 19 16.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 5Í[ 1 contractures et p
t habituellement quelques altérations ; chez les sujets atteints de
troubles
nerveux d'ordre réflexe, leur croissance est mo
, Académie de Médecine, 19 octobre igi5. Contribution à l'étude des
troubles
nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'anest
rletzungen, verlag Karger. Berlin, t5 avril igi6, pp. 2o3-24o). 572
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES Nous avons montré, autant que n
été en mesure de le faire, comment apparaissent et s'installent les
troubles
nerveux d'ordre réflexe auxquels nous venons de
d, de' grandes précisions. Mais on peut dire avec certitude que les
troubles
physiopathiques quand ils sont très caractérisé
e qui peut s'y associer pour une part plus ou moins importante, les
troubles
de motilité d'ordre réflexe, nous le répé- tons
nt, lorsque les phénomènes physiopa- thiques objectifs tels que les
troubles
vaso-moteurs, l'amyotrophie avaient été très ac
aura à prendre. Il n'y a d'ailleurs aucune raison de penser que les
troubles
physiopathiques les plus marqués ne puissent gu
ngue et qu'un retour à l'état nor- mal ne puisse être obtenu si ces
troubles
n'ont pas entraîné de rétractions fibreuses irr
ifs, dont les mani- festations hystériques sont dépourvues, que les
troubles
de motilité d'ordre réflexe peuvent être reconn
té, le diagnostic serait relativement simple, mais il est loin d'en
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 573 être ainsi. Les ass
urs qui subsiste même lorsque la main est tenue en ex- tension. Les
troubles
réflexes nous paraissent aussi s'associerfréquemm
usalgie depuis Weir Mitchell ont été frappés par la diffu- sion des
troubles
trophiques et vaso-moteurs. P. Marie et I"'e Ath.
de faire rentrer dans le groupe des phénomènes d'ordre réflexe ces
troubles
qui débordent le domaine du nerf irrité. L'in-
maintenant prendre quelques exemples relatifs à l'asso- ciation de
troubles
de motilité d'ordre réflexe avec des manifestatio
e déambulation singulier constituant une forme de chorée ryth- 57fi
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES mée : à chaque pas il fléchissa
accroupir, puis il se relevait. Mais il existait chez cet homme des
troubles
vaso-moteurs et thermiques du membre inférieur
liquer que par l'as- sociation de manifestations pithiatiques à des
troubles
nerveux d'ordre réflexe. Et, en effet, la contr
et, la contre-suggestion permit de faire disparaître rapidement ces
troubles
de la marche qui portaient la signature de l'hys-
ent la signature de l'hys- térie, mais elle fut sans action sur les
troubles
de la régulation vaso-mo- trice et thermique et
l'on a acquise, sur cette donnée que dans les faits bien avérés de
troubles
réflexes purs on n'a jamais constaté jusqu'à prés
'intensité, sont incapables de produire une paraplégie crurale. Les
troubles
moteurs en question, ne s'accompagnant du reste
rie. On ne saurait trop insister sur la fréquence avec laquelle les
troubles
hystériques s'associent et se combinent avec le
uelle les troubles hystériques s'associent et se combinent avec les
troubles
réflexes, la par- ticipation de l'hystérie pouv
ion de l'hystérie pouvant être tantôt légère, tantôt prépondérante.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE REFLEXE 55 Il faut toujours avo
gestion fait disparaître, séance tenante, la plus grande partie des
troubles
paralytiques, et les exercices auxquels le malade
rmie. Frappé par un pareil résultat, on se hâte de conclure que les
troubles
vaso-moteurs et thermiques étaient d'origine hy
so-motrice subsiste, l'hypothermie se reproduit ; la régression des
troubles
de moti- lité n'est pas complète et le reliquat
able de marcher sans béquilles. Dès l'entrée, dit Vincent, tous ces
troubles
sont attaqués avec énergie. Immédiate- ment les
ed, il le fait volontairement, même sans grand effort apparent, 576
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES mais le pied « ne tient pas » e
vent être plus complexes que dans les cas que nous avons cités. Les
troubles
nerveux constatés chez un malade peuvent dériver
ystéro- e/7< ? .ro-o ? MyMe), et cela n'est pas encore tout. Aux
troubles
précé- dents peuvent se joindre des perturbatio
s à la suite des blessures de guerre. A vrai dire, les cas où les
troubles
dans le fonctionnement d'un mem- bre blessé son
ceptibles d'entrer en jeu sont relativement rares. Plus souvent ces
troubles
sont le résultat de plusieurs facteurs qui peuv
la est possible, dans quelle proportion chacun d'eux y participe.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 577 PATHOGÉNIE C'est
LES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 577 PATHOGÉNIE C'est à l'hypothèse de
troubles
nerveux d'origine réflexe que se ratta- chent C
tte incitation centrifuge que réclamait Vulpian pour identifier les
troubles
dits réflexes avec les phénomènes réflexes à pr
eu.c, faites à la Salpêtrière, t. III, 883. l3numsm. i . 37 578
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES ou de contracture avec surréfle
? C'est ce que nous allons étudier main- tenant. L'importance des
troubles
vaso-moteurs et thermiques, qui nous a depuis l
e perturbation du système sympathique. Quelle est la nature de ce
trouble
: s'agit-il d'une paralysie ? C'est une hypothè
(opération de Leriche) chez des sujets atteints de causalgie et de
troubles
nerveux d'ordre réflexe, a été suivie de vaso-d
ives des maladies du coeur, des vaisseaux el du sang, février 1917.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 5 (à de nos observation
tre émises : l'hypothèse d'une névrite du sympathique ou celle d'un
trouble
réflexe empruntant la voie du sympathique. On p
gument d'une importance peut-être encore plus grande, c'est que les
troubles
vaso-moteurs et thermiques peuvent s'étendre bi
lésion de la main. Quelquefois même l'autre bras présente quelques
troubles
vaso- moteurs et sudoraux ('). Tous ces phéno
rmis d'invoquer encore à l'appui de cette idée la mutabilité de ces
troubles
, susceptibles de se transformer transitoirement
cerne les phéno- (') Cette répercussion sur le membre symétrique de
troubles
nerveux qui avaient d'abord été localisés au me
elui qui intervient par exemple chez la grenouille décapitée. » 58o
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES mènes vaso-moteurs et thermique
nnent un peu, mais elles peuvent s'expliquer par la persistance des
troubles
vaso-moteurs et thermiques. Étant donné le mo
ement exothermiques», pour employer l'expression de Ch. Richet, les
troubles
de l'excitabilité musculaire (1) Les faits expé
opriétés vaso-constricüves, est susceptible de reproduire les mêmes
troubles
musculaires mécaniques et surtout électriques d'b
roment et Heilz, par M. Meige, par MM. Marie et Foix, etc., que les
troubles
circulatoires ont une grande importance dans l'
de importance dans l'évolution de tels symptômes hypertoniques, »
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE REFLEXE 5tif 1 doivent avoir un
n être qu'une conséquence indirecte. Enfin, il est possible que les
troubles
de motilité puissent dépendre tantôt d'un état
ctures avec surréflectivité tendineuse manifeste ou latente et sans
troubles
vaso- moteurs notables, par exemple certaines c
i communs qui prédo- minent aux extrémités et qui s'accompagnent de
troubles
vaso-moteurs très caractérisés. Les deux mécani
Richet, Chaleur, lu Dictionnaire de Physiologie, t. Il, p. ig3. 582
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES entrer en jeu simultanément, ce
r en jeu simultanément, ce qui explique l'association fréquente des
troubles
qui appartiennent à ces deux catégories de faits,
ituent un nouvel argument contre la conception suivant laquelle les
troubles
dits réflexes pourraient résulter d'une simple
ématiquement l'emploi de la psychothérapie même dans les cas où les
troubles
nerveux d'origine réflexe sont très marqués. Il y
livre suivant : .1. Babinski et J. Froment, Hystérie-pithiatisme et
troubles
nerveux d'ordre- réflexe, Collection Horizon, P
athogénic, p. 151 et Notes complémentaires, p. 9,3r. '\. D. L. R.
TROUBLES
NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 583 3 d'ailleurs, tout
Cette manière de procéder est particulièrement indiquée lorsque les
troubles
de motilité semblent hors de proportion avec le
pas se fonder sur l'intensité de ces phénomènes pour considérer les
troubles
de motilité comme étant de nature purement réfl
Sous l'influence des mouvements exécutés et de leur répétition, les
troubles
physiopathiques rétrocèdent souvent d'une manière
ires qu'il y a lieu de prendre à l'égard des blessés présentant des
troubles
nerveux de cet ordre, nous nous contenterons de
e 7 avril 1916, pour clôturer la discussion consacrée à l'étude des
troubles
moteurs dits fonctionnels (3). «En se plaçant
on peut être appelé à prendre, il y a lieu de distinguer, parmi les
troubles
de motilité dits fonctionnels (c'est-à-dire les t
parmi les troubles de motilité dits fonctionnels (c'est-à-dire les
troubles
de motilité qui ne présentent aucun des signes
ts nerveux, nettement distincts des précédents, qui sont liés à des
troubles
physiologiques réels, dont le mécanisme est encor
mécanisme est encore discutable, mais que l'on peut rapprocher des
troubles
d'ordre réflexe observés à la suite des lésions
e région, juin 1917. (3) Discussion générale sur les caractères des
troubles
moteurs (paralysies et contractures) dits fonct
e les distinguer des accidents nerveux de la pre- mière catégorie :
troubles
vaso-moteurs et thermiques accentués et tena- c
xcitabilité électrique des muscles sans D. R. atrophies musculaires
troubles
trophiques ostéo-articulaires et parfois cutanés.
co-militaire, de soumettre les blessés atteints de cette variété de
troubles
de motilité à un examen prolongé dans un Centre
l n'y a pas lieu, semble-t-il, dans tous les cas où, la réalité des
troubles
physiologi- ques susmentionnés a été bien établ
congé ou même une réforme temporaire est légitime dans les cas où les
troubles
physiopathiques sont très intenses, particulièr
ment rebelles à la thérapeutique, notamment s'ils s'accompagnent de
troubles
trophiques et de rétractions fibre-tendineuses, c
tions pour que cette cure soit efficace (J. Babinski et J. Froment,
Troubles
physiopathiques d'ordre réflexe. Association av
manifes- tations du tabes, telles que les douleurs fulgurantes, les
troubles
de la marche, sont susceptibles d'être exagérée
é, quand on a obtenu un résultat, d'affirmer que l'on a modifié les
troubles
qui relèvent direc- tement de la lésion radicul
dans la marche. Au mois d'avril de l'année dernière ont apparu des
troubles
visuels qui ont été en s'accentuant très rapideme
ement incoor- donnée ; on note le signe de Romberg. Il y a quelques
troubles
génésiques. La vessie fonctionne d'une façon no
et d'une injection par semaine. Pendant les dix premiers jours les
troubles
oculaires continuent à s'accentuer, mais au bou
furent faites et la lésion oculaire ne fit plus aucun progrès. Les
troubles
de la marche se sont aussi atténués. Il est i
visuelle qui n'ont pas été conservées, mais je puis affirmer que les
troubles
oculaires ont cessé d'évoluer à partir du momen
Il est sujet depuis quatre ans à des douleurs lancinantes. Il a des
troubles
vésicaux et des troubles génésiques. Le réflexe
e ans à des douleurs lancinantes. Il a des troubles vésicaux et des
troubles
génésiques. Le réflexe rotulien est normal à gauc
aucune modification ; les douleurs fulgurantes sont très rares, les
troubles
vésicaux très peu marqués ; les troubles oculaire
antes sont très rares, les troubles vésicaux très peu marqués ; les
troubles
oculaires sont exactement au même point qu'en f
e nous leur supposons. Dans l'observation I, il s'agit nettement de
troubles
de compression consécutifs à un trauma- tisme,
ettement de troubles de compression consécutifs à un trauma- tisme,
troubles
de compression vraisemblablement dus à un épanche
la VIe paire droite). Le quatrième de ces mala- des n'offrit aucun
trouble
des nerfs crâniens, en dehors de la névrite opti-
névrite optique d'origine intra-crânienne. Amélioration rapide des
troubles
subjectifs dans certains cas, diminution parfois
par la stase de la papille sans qu'elle se révèle au malade par des
troubles
de la vision. Plus tard, la continuité de la co
e constater dans les observations V et VI. Dans ces conditions, les
troubles
subjectifs peuvent être immédiatement améliorés p
édiatement améliorés par la ponc- tion lombaire. L'amélioration des
troubles
objectifs de l'appareil de la yision, coïncidan
yision, coïncidant avec la diminution ou la disparition des autres
troubles
dus à la compression intra-crânienne, suffirait
on lombaire dans les cas de stase de la papille. L'amélioration des
troubles
de la vision parfois si rapide plaiderait en fave
observer M. Dupuy-Dutemps dans sa thèse inaugurale. L'étiologie des
troubles
nerveux constatés chez nos malades des obser- v
t de fois que l'intervention sera jugée nécessaire, pour éviter les
troubles
dus à la compression, et en particulier l'atrop
ction lombaire ne serait pas capable d'agir favorable- ment sur des
troubles
ayant des lésions labyrinthiques pour cause. J'es
autant plus autorisé que les moyens employés d'ordinaire contre les
troubles
en question sont généralement inefficaces et que,
5 à 20 centimètres cubes. L'influence de cette intervention sur les
troubles
qui sont liés aux per- turbations de l'appareil
tre qu'il montre jusqu'à l'évidence l'action de la ponction sur les
troubles
labyrinthiques, il prouve que l'inclination et
l'électrisa- tion est une méthode d'une grande finesse. Quant aux
troubles
fonctionnels, ils peuvent également s'atténuer au
tenté de voir là l'effet d'une suggestion, il est admissible que les
troubles
subjectifs s'atténuent immédiatement à l'instar
ue les troubles subjectifs s'atténuent immédiatement à l'instar des
troubles
objectifs. D'ordinaire, ces effets salutaires s
de plus de 5 ans. La rachicentèse a une action bien moindre sur les
troubles
dépendant des lésions du labyrinthe antérieur : b
e grâce à des données clini- ques depuis longtemps mises en valeur (
troubles
dans les réflexes tendi- neux, douleurs radicul
ITEMENT DES TUMEURS J(i.lTl- : 111 : DULL. : ll1 ? ES 5c1 toire des
troubles
moteurs ; chez un autre malade (tumeur à la régio
ai en vue, consécutivement à quelques séances de radiothérapie, les
troubles
moteurs et sensitifs se sont très notable- ment
t suivie très rapidement d'une aggravation considérable de tous les
troubles
. I)ans un cas de tumeur à la région cervicale que
ux membres inférieurs et un engourdissement à la cuisse gauche. Ces
troubles
, assez longtemps stationnaires, se mirent à évolu
e- ment comme par une ceinture de fer. En même temps, apparition de
troubles
sphinc- tériens. Voici le résumé des constata
, mais ne paraissant pas exagérés ; signe des orteils des deux côtés.
Troubles
de la sensibilité cutanée : dans la partie du t
u-dessus de l'ombilic, jusqu'à la ligne mamelonnaire, il existe des
troubles
de la sensibilité atteignant aussi les divers m
gments dorsaux. Elle a été suivie très rapidement de régression des
troubles
: 10 heures après l'inter- vention la rétention
la paralysie avait été totale. Après plusieurs mois, la guérison des
troubles
, dont le début remontait à 2 ans environ, a été
ment à cause de l'ancienneté de l'affection que la régres- sion des
troubles
a été si lente. Quant au 4e cas de paraplégie s
ne affection gastrique ces douleurs, qui auraient constitué le seul
trouble
pendant plusieurs mois. Elles s'atté- nuent alo
ue aux membres inférieurs après une marche un peu prolongée ; puis ce
trouble
s'accentue. La faiblesse devient progressivemen
is, à d'autres moments, elle paraît nor- male et, en définitive, le
trouble
sensitif n'est pas nettement caractérisé. Les tro
définitive, le trouble sensitif n'est pas nettement caractérisé. Les
troubles
de la motilité continuent à s'accentuer, les tr
actérisé. Les troubles de la motilité continuent à s'accentuer, les
troubles
de la sensibilité deviennent mani- festes ; et
e défense, ayant pour limite supérieure le neuvième segment dorsal.
Troubles
de sensibilité : aux membres inférieurs, sauf dan
esure d'exécuter quelques mouvements des orteils. La régression des
troubles
est très rapide ; avant même la guérison de la
avant même la guérison de la plaie opératoire, l'anesthésie et les
troubles
vésicaux ont disparu ; la malade peut exécuter
rmale et ne tarde pas à guérir complètement. Chez cette malade, les
troubles
ont rétrocédé avec une rapidité tout à fait rem
prati- quée à un moment particulièrement opportun, aussitôt que les
troubles
de la sensibilité ont permis de faire une local
rotation de la tète sont impossibles. La face ne présente pas de
troubles
de motilité, et l'intelligence parait tout à fait
tosiques des orteils. Le membre supérieur gauche présente aussi des
troubles
de motilité très pro- noncés ; les mouvements v
e flexion assez vive de la main sur l'avant-bras. Il n'y a pas de
troubles
de sensibilité à gauche. A droite, il n'y a pas
pas de troubles de sensibilité à gauche. A droite, il n'y a pas de
troubles
de motilité, mais, au membre supérieur et au me
est manifestement moins chaude que la main gauche. Il n'y a pas de
troubles
sphinctériens, pas de troubles trophiques à la pe
que la main gauche. Il n'y a pas de troubles sphinctériens, pas de
troubles
trophiques à la peau, pas de fièvre. Dans le
, pas de fièvre. Dans le courant du mois de juin apparaissent des
troubles
de motilité dans le membre inférieur droit, qui
que le côté gauche est resté à peu près dans le môme état, que des
troubles
sphinctériens sont venus s'associer aux phénomène
ctériens sont venus s'associer aux phénomènes précédents et que les
troubles
de sensibité seuls ont disparu. Voici ce que je
e môme de l'amyotrophie et de la raideur. 6o8 THÉRAPEUTIQUE Les
troubles
de la sensibilité font défaut. La thermoasymétr
le jour où l'amélioration a été constatée pour la première fois, les
troubles
ont continué sans cesse à s'atténuer et ils ont
. En résumé, un sujet, après un grand traumatisme, est atteint de
troubles
de motilité qui atteignent d'abord exclusivement
de thermoanesthésie du côté opposé et à de la thermoasymétrie; les
troubles
de motilité envahissent ensuite tout le tronc, ai
t du corps et s'accompagnent d'une perturbation sphinctérienne. Les
troubles
de sensibilité disparaissent spontanément, mais l
e. Les troubles de sensibilité disparaissent spontanément, mais les
troubles
de motilité s'accentuent progressivement, et si
sont développés et leur mode d'évolution semblent montrer que les
troubles
sont sous la dépendance d'une compression de la m
té causée probablement par une altération des racines motrices. Les
troubles
de motilité, qui pendant six mois n'ont fait que
a été insolite par sa rapidité. Je ne me rappelle pas avoir vu des
troubles
de motilité liés à une compression spinale et a
re déformation de la colonne vertébrale dans la région dorsale. Les
troubles
très tenaces jusque-là ont commencé à s'améliorer
PONDYLOSE ET DOULEURS NÉVRALGIQUES 611 Depuis plus de deux ans, ces
troubles
se sont reproduits en devenant plus étendus et
ion nette. Actuellement la rigidité de la colonne vertébrale et les
troubles
observés aux arti- culations coxo-fémorales sub
e la différence entre les deux côtés tient à ce qu'à gauche, ou les
troubles
de motilité ont été exclusive- ment localisés p
arait bien pondérée au point de vue mental et n'aurait jamais eu de
troubles
névropathiques. En 19°2, en raison de l'existence
se des membres inférieurs, plus prononcée à droite qu'à gauche. Ces
troubles
, d'abord très légers, vont en s'accentuant prog
al. Il n'y a pas et il n'y a jamais eu de douleurs, mais il y a des
troubles
anesthésiques qui occupent les membres inférieurs
sont plus marqués à gauche qu'à droite, c'est-à-dire du côté où les
troubles
de motilité ont été les moins marqués au début et
rement à l'extrémité inférieure de la jambe gauche. Il n'y a pas de
troubles
trophiques cutanés. Pas de troubles rectaux. La
a jambe gauche. Il n'y a pas de troubles trophiques cutanés. Pas de
troubles
rectaux. La vessie fonctionne à peu près bien ; t
tat de la malade ne se modifie pas. Il faut noter seulement que les
troubles
vésicaux, qui d'ailleurs étaient très légers, n'o
xécuter un petit mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse ; les
troubles
de sensibilité se sont aussi atténnés, surtout
se soulève bien à chaque pas et ne frotte pas contre le sol. Les
troubles
de sensibilité se sont très notablement atténués,
quoique légère, dénote une irritation méningée. La prédominance des
troubles
paralytiques à droite et des troubles de sensib
méningée. La prédominance des troubles paralytiques à droite et des
troubles
de sensibilité à gauche (syndrome de Brown-Séquar
côté droit. 616 THÉRAPEUTIQUE Il est permis de se demander si les
troubles
fonctionnels sont exclusi- vement sous la dépen
pas ; à l'appui de cette idée, je rappellerai qu'il n'y a pas eu de
troubles
trophiques cutanés, que les fonctions vésicales n
jambes et plus spéciale- ment dans le membre inférieur gauche. Les
troubles
de la marche sont très accentués. Le malade por
forme de pseudo-tabes. Névrite optique rétrobullaire infectieuse et
troubles
dans les réflexes tendineux (Id., 5 juillet 1900)
01). 77. Définition de l'hystérie (Id., 7 novembre '901). 78. Des
troubles
pupillaires dans les anévrismes de l'aorte (Socié
ce de la ponction lombaire sur le vertige voltaïque et sur certains
troubles
auriculaires (Société médicale des Hôpitaux, 7 no
e Neurologie, 3 décembre igo3). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 625 xo3.,
Troubles
pupillaires dans les crises gastriques (M.), 1..
pemphigus hystérique (Id., 5 décembre Ig07). t45. Sur les prétendus
troubles
trophiques de la peau dans l'hystérie (Société mé
27 153. Quelques remarques sur le mémoire de M. Gordon intitulé : «
Troubles
vaso- . moteurs et trophiques de l'Hystérie » (
(Société de Neurologie, 5 février 1 gog). 158. Sur la fièvre et les
troubles
trophiques attribués à l'hystérie (Id.). 15g. D
de Neurologie, 15 février 1(14). z 3. Contribution à l'étude des
troubles
mentaux dans l'hémiplégie organique céré- brale
de l'avant-bras (Société [de Neurrlogie, 1er juillet 1915). 224.
Troubles
physiopathiques d'ordre réflexe. Association avec
la- boration avec Froment. Presse médicale, 9 juillet igi5). 225.
Troubles
nerveux consécutifs aux lésions des nerfs. Troubl
let igi5). 225. Troubles nerveux consécutifs aux lésions des nerfs.
Troubles
nerveux consé- cutifs aux lésions des centres n
nsé- cutifs aux lésions des centres nerveux. Accidents hystériques.
Troubles
ner- veux d'origine réflexe (Travaux des centre
té de Neurologie, 4 novembre 1915). 228. Contribution à l'étude des
troubles
nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'ane
oration avec Froment. Presse médicale, 24 février 1916). 231. Des
troubles
vaso-moleurs et thermiques d'ordre réflexe (en co
icale des Hôpitaux, 2 mars 1916). 23a. Oblitérations artérielles et
troubles
vaso-moteurs d'origine réflexe ou centrale. Leu
ion avec Heitz. Société médicale des Hôpitaux, 14 avril 1916). 233.
Troubles
nerveux d'ordre réflexe ou syndrome d'immobilisat
4. Abolition du réflexe cutané plantaire et anesthésie associée à des
troubles
vaso- moteurs et à de l'Hypothermie d'ordre réf
e Neurologie, 29 juin 1916). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 63t 1 24 1 Des
troubles
moteurs et thermiques dans les paralysies et la c
septembre, octobre 1916). a4a. Parésie réflexe de la main gauche.
Troubles
vaso-moteurs et sudoraux bilatéraux (en collabo
itz. Société de Neurologie, 3 mai J917)' 247. Paraplégie organique.
Troubles
vaso-moteurs au membre supérieur droit avec mei
a- boration avec Heitz. Société de Neurologie. 3 mai 19 17). z48.
Troubles
physiopathiques d'ordre réflexe. Association avec
Revue de Neurologie, page 3l¡7, 1917). 251. Hystérie-Pithiatisme et
troubles
nerveux d'ordre réflexe (en collaboration avec
ume chez Masson. ire édition, 1917, 2e édition, 1918). 252. Sur les
troubles
physiopathiques et réflexes (en collaboration ave
décembre 1918). 258. Les altérations artérielles traumatiques. Des
troubles
que détermine la lésion de l'artère dans les fo
ogie, 1er juillet 1920). 63a INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 262. Etude des
troubles
moteurs dans un cas de choréo-athétose (en collab
août 1922). 273. Syndrome parkinsonien fruste post-encéphalitique.
Troubles
respiratoires (en collaboration avec A. Charpen
t de l'hémiplégie hystérique.. gi VII. - Contribution à l'étude des
troubles
mentaux dans l'hémiplégie organique cérébrale (
à la lumière et de la pseudo-abolition de ce réflexe. 175 XV. Les
troubles
pupillaires dans les anévrismes de l'aorte. 180
onien 275 VIII. - Syndrome parkinsonien fruste post-encéphalitique.
Troubles
respiratoires... 279 ' CINQUIÈME PARTIE . AFF
- Hystérie-pithiatisme en neurologie de guerre 5a8 DIXIÈME PARTIE
TROUBLES
PHYSIOPATHIQUES I. Troubles nerveux d'ordre réf
ologie de guerre 5a8 DIXIÈME PARTIE TROUBLES PHYSIOPATHIQUES I.
Troubles
nerveux d'ordre réflexe r 54g ONZIÈME PARTIE
I'lI xnu TABLE DES MATIÈRES. ' ? ? LA PRATIQUE NEUROLOGIQUE .
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE par le Dr POUL
LAIRE par le Dr POULARD Avant de rechercher la signification d'un
trouble
fonctionnel dans l'appareil nerveux oculaire, i
mesurer exactement l'étendue. Or, il existe, pour la recherche des
troubles
fonc- tionnels du système nerveux oculaire, tan
mentation perfectionnée per- mettent de constater avec précision un
trouble
nerveux oculaire moteur ou sensitif; l'hypothès
siège ou la nature des lésions plus profondes qui sont la cause du
trouble
constaté. La moindre parésie d'un muscle moteur
j'étudierai les divers moyens dont nous disposons pour explorer les
troubles
fonctionnels du système nerveux oculaire (nerf
raient être lues par un oeil d'acuilé visuelle nor- male. ! 4 4
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Quand l'acuité
nt si, entre l'objet et la rétine, vient s'interposer un élément de
trouble
visuel. C'est précisément ce qui a lieu dans le
es conditions, une rétine parfaitement, sensible perçoit des images
troubles
. C'est encore ce qui se produit quand les milie
nts est impossible. Néanmoins, on peut encore, en tenant compte des
troubles
qu'ils causent d'habitude dans un oeil sain, po
toujours, en corrigeant le vice de réfraction, éliminer la cause du
trouble
èt obtenir avec exactitude l'acuité visuelle. '
Il faut, pour cela, une boite de verres contenant au minimum : n -
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL .OCULAIRE. - w 3° Essayez
Dans ce cas il y a probabilité de lésions oculaires. Cependant, le
trouble
visuel peut encore être dù à de l'astig- matism
50" en dehors du centre. Puis, on fait appa- a [POCLJ ! D,] . il
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. raître au centr
trait ......................... du vert. (Morax.) [POULARD ] '10
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. z nent faire un
nts a, b, c, (1, e : ? g, h. Encoche du CY en E. Scotome en S. 12
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Au début de cer
rsion des champs visuels pour les couleurs). ' ' [POULARD] ] 1 ik
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. 11 importe donc
sont faciles 11 percevoir (hémor- ragies, exsudats inflammatoires,
troubles
des milieux). Mais, si parfait que soit ce mode
l faut bien savoir qu'une lésion intra-oculaire réelle, amenant des
troubles
visuels subjectifs, peut assez souvent ne produ
ulaire appréciable ou non à l'ophtalmoscope ne donne pas lieu à des
troubles
subjectifs. " L'absence de lésions ophtalmosc
médecin, d'expérience modérée, peut apprécier à l'ophtalmoscope.
Troubles
des milieux transparents. -. Le fond de l'oeil es
d'une manière diffuse qui empêche, de distinguer le fond de l'oeil (
trouble
diffus du cristallin, du vitré, de la rétine) ; d
tions de la rétine et de la choroïde sous-jacente donnent lieu à un
trouble
diffus du fond de l'oeil à des flocons du vitré
t noir très, caractéristique. ' Ces rétinites, ces choroïdites, les
troubles
des milieux transparents que nous venons d'indi
ce sont des affections qu'il faut éliminer avant d'affirmer que le
trouble
visuel est le résultat d'une lésion des voies o
avec inLenlion qu'clIcs n'onI1]38 été données. [FOULARD.] 1G '
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. ? - " II " EXPL
ent; b et b', yeux normaux en fixation normale sur le point 0. 18
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.. suration angul
bligé de se porter dans, le sens d'action des muscles parésiés, les
troubles
sont nuls; il n'y a pas de déviation, pas de di
e met en mouvement dans le sens d'action des muscles paralysés, les
troubles
apparaissent. A un moment donné, l'oeil parésié
suivre les aggravations ou les améliorations. Le . [POULARD] 20 -
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.' ? -... périmèt
ent de voir double. Quel- quefois cependant, il accuse seulement un
trouble
de la vision dans toutes ou dans certaines dire
a fixation est incorrecte, il y a diplopie verticale. ' . 22 " --
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. .. Mensuration
es différents états de réfringence, sont marqués en quadrillé. 21
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. visuelle. Il se
tion. " Placcz devant lui un verre concave de 1 dioptrie. La vue se
trouble
: c'est que l'accommodation est nulle. La vue r
nos 2, 5, 4, 5, allez même plus haut jusqu'à cc que l'un des verres
trouble
franchement la vue. Supposons que ce verre concav
l facile on détermine la puissance d'accommodation de l'oeil. Si le
trouble
apparaît à 50 centimètres, le sujet n'a pas 2 dio
ù vient le jour, sont couverts par les mains de l'observateur. 2G
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL. OCULAIRE. deux mains les
ait écran, la bougie éclaire lad et la pupille se contracte. 28 ' ;
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . Dans ces épre
ut interrompre brusquement et à volonté la lumière. [POULARD.] aU
TROUBLES
NERVEUX. DE L'APPAREIL OCULAIRE Réflexe dans le
, ressort : 5, petit pignon; 4 grande roue dentée; 5r platine. 52 .
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . V ' .. EXPL
l'arc périmétrique. - DEUXIEME PARTIE VALEUR SÉMÉIOLOGIQUE DES
TROUBLES
NERVEUX DE L'OEIL i DIMINUTION DE LA VISION -
i peu- vent produire une diminution de la vue. Vices de réfraction,
trouble
des milieux transparents intraoculaires (cornée
sont celles de l'amblyopie. PllATIQUB NEUI10L. 5 [POULARD.] 54
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Amblyopie hysté
rie peut se trouver modifiée sous diverses influences (') : ' 1 °
Troubles
visuels par action dynamique sur l'accommodation
sur l'accommodation (spasme..., asthénopie, etc.). Dans ce cas les
troubles
visuels ne sont nullement le résultat d'une lés
t le résultat d'une lésion des voies optiques. Ils proviennent d'un
trouble
nerveux moteur du muscle ciliaire. Ils peuvent ex
r avec une intégrité parfaite de la sensibilité rétinienne.. ' 2°
Troubles
,isuelsJ6sultant d'une lésion organique, circulat
le compte de la névrose. Elles sont peut- être en relation avec les
troubles
des organes sexuels si fréquents chez la femme,
la femme, mais elles n'ont point de rapport avec l'hystérie. 71°
Troubles
visuels par action dynamique sur le système nerve
double hémianopsie cérébrale (cécité corticale), de l'alnaurose par
troubles
cir- culatoires cérébraux. L'embolie de l'artèr
opposé. L'oeil, amblyope à l'état isolé, fonctionne 1. Beaucoup des
troubles
visuels que je signale ici n'ont rien il faire av
de la dimension véritable des objets qu'on regarde; c'est encore un
trouble
accompagnant la con- tracture de l'accommodatio
on, longue mais encore incomplète, nous montre la mul- t'phcité des
troubles
oculaires attribués à l'hystérie. Toutes ces mani
ons de l'organisme, paraissant agir par action réflexe, amènent des
troubles
visuels avec dimi- nution de la vue. A) Troub
exe, amènent des troubles visuels avec dimi- nution de la vue. A)
Troubles
oculaires dans les affections du système utérin.
t-à-dire fatigue rapide dans le travail appliqué des yeux. Tous ces
troubles
sont passagers. Ils disparaissent par le repos, r
e de l'appa- reil nerveux, quand on lui demande de fonctionner. Ces
troubles
oculaires (comme d'ailleurs toutes les amblyopi
ation des organes génitaux exerce sur eux une bonne influence. B)
Troubles
visuels dans les affections de la face (nerf trij
consécutives il des caries ou à des abcès, amènent quelquefois des
troubles
semblables aux précédents. La névralgie des dén
umeau (inflammation, cicatrices) peut avoir un effet analogue. C)
Troubles
visuels par vers intestinaux. Il manque des obser
: 1111 hlyopie fréquemment signalée par les anciens auteurs. Les
troubles
visuels que nous avons, suivant l'usage, groupés
nvient donc qu'en partie, il ne désigne qu'une partie seulement des
troubles
. Quant au mécanisme de leur production, il est,
omb, l'opium, la belladone, la quinine, le salicylate de soude. Les
troubles
visuels dus à l'intoxication saturnine sont sou
le plus minutieux ne révèle aucune lésion ophtalmoscopique, et les
troubles
visuels rentrent dans le groupe des amauroses.
esquels l'amblyopie ou l'amaurose se développent brusquement. Les
troubles
visuels causés par la quinine, l'opium, la bellad
portance primordiale. ' Amblyopie diabétique. Parmi les nombreux
troubles
ocu- laires du diabète (cataracte, paralysie de
ation, le retour au travail de l'oeil amblyope. z . [FOULARD.] 58
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Amblyopie hémér
uel (Morax). ' Fig : 57. - Lacunes- intermédiaires [moraux]. 40
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Nous avons vu (
gique"leur signification. Lacune centrale. Scotome central. Les
troubles
subjectifs sa réduisent, en général, à une diminu
u quand l'index va du centre à la périphérie, moins [POULARD.] AI
TROUBLES
NERVEUX DE l ? 1t'l'11t11L OCULAIRE. étendu qua
ce indéniable sur les (roubles oculaires hystériques connue sur les
troubles
hystériques en général. On peut dire que la car
ques en général. On peut dire que la caractéristique principale des
troubles
ner- veux hystériques, c'est leur modification
binoculaires H011OLATÉRALES. 11B111A\OPSIE. L'hémianopsic est un
trouble
visuel résultant de la lésion des voies optique
niveau du chiasma, au point d'entre-croisement - [FOULARD] ] ? r
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. - des deux fais
e. Il est bien évident qu'une lésion unique ne peut amener de
troubles
bilatéraux du champ visuel, que si elle siège
atérale. - L'hémianopsie homonyme peut s'installer sans bruit, sans
troubles
du système nerveux. D'autres fois, c'est à la s
le passage d'une ligne à la suivante. Très nombreux sont les autres
troubles
visuels éprouvés par l'hémiano- pique conscient
tine nasale de l'OG et donnant hémianopsie temporale de l'OG. - 4(i
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. et, au grand ét
ptiques en avant des noyaux du mésocéphale et vous [FOULARD.] as.
TROUBLES
. NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE Fig. 41-(-.%).
olatérales, symétriques. Pratique "EUROI" - 4 - . [FOULARD.] 50
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. aurez une cécit
rtions temporales des champs visuels font défaut; sur le schéma, ce
trouble
visuel prend l'aspect de la figure 42, A. Les t
le schéma, ce trouble visuel prend l'aspect de la figure 42, A. Les
troubles
visuels qui résultent de l'hémianopsie bitemporal
le de l'OG. Fig. 42 (C). Ilémianopsie hétérolatérale binasale. 52
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. nopsie. La véri
ue fort bien à l'aide des faits et des conceptions modernes sur les
troubles
du langage. La cécité verbale pure n'est pas, en
signification, son usage, etc. ' Perte du sens de l'orientation. Ce
trouble
, qui n'est pas rare, se caractérise par la dimi
roit très connu, où il avait l'habitude de passer journellement. Ce
trouble
ne paraît être qu'une forme de la perte de la m
les de produire des hémianopsies en quadrant, 4 ? [FOULARD.] hA
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. des scotomes sy
ons cérébrales organiques, quelle que soit leur [POULARD.] oli 1;
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. forme nodulaire
oncomitante; état défectueux du coeur, àge avancé du malade. Autres
troubles
cérébraux de ramollisse- ment : mémoire diminué
térie a pu, dans certains cas discutables, la réaliser. Urémie. Le
trouble
habituel de l'urémie, c'est l'amaurose, la perte
il a été possible de déterminer la véritable cause [POULARD.] 5S
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. de l'hémianopsi
appa- rente, toujours légère, est physiologique et ne dénoie aucun
trouble
de l'équilibre des globes. Strabisme non para
nuels aux globes et par suite aux objets fixés. [FOULARD] ] 00
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE., '' - ? Vertige
ée de l'oeil se fait dans le but d'éviter la diplopie et les autres
troubles
qui en résultent. Moindre netteté de la fausse
ments du globe n'est pas évidente; le malade se plaint seulement de
trouble
dans la vue, de vertiges, d'étourdissements, de
uffirait, semble-t-il, pour arriver au diagnostic, de constater les
troubles
produits par le muscle paralysé, et de rechercher
douze muscles moteurs des globes dont la paralysie amène les mêmes
troubles
. C'est un procédé long. Et, d'ailleurs, la mémo
principes très simples, on peut, connaissant la [POÜGARD.] li3 12
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. fonction physio
Eil en haut, fausse image en bas, paralysie de l'abaissement. gaz
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. trois mètres. I
images dans la para- lysie du muscle droit externe de l'OD. ' Hi
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.. - - Cette expl
exemple, 5* [POULARD.] ] Fig. 49. -7- Schémas de diplopie. 68
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. que, si deux mu
même temps, les trou- bles fonctionnels puissent être modifiés, les
troubles
diplopiqucs plus complexes. Dans ces conditions
le. Voici, pour chacun des muscles, un schéma des déviations et des
troubles
diplopiqucs auxquels il donnc lieu. Ces symptôm
48 et ! >-9). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GDOBES. 69 70
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. par le muscle d
n général d'une manière modérée. L'accommodation est paralysée. Ces
troubles
pupillaires et accommodateurs sont normaux dans
aralysies d'origine pédonculo- protubérantielle s'accompagnent de
troubles
nerveux qui permettent de les reconnaître avec
drome de Millard-Gubler (oeil gauche en strabisme convergent). 72
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. paralysie de l'
conjuguée). Quelques autres syndromes bulbo-prolubérantiels avec
troubles
de la motilité oculaire, bien plus rares que le
rne attei- gnant légèrement la force motrice, mais produisant des
troubles
accen- tués de la motilité volontaire (trem-
tion, mouve- ments athétosiques, asynergie céré- belleuse) et des
troubles
très marqués de la sensibilité (fourmillements,
é leur nom à ce syndrome, il y avait aussi du nys- tagmus. Tous ces
troubles
oculaires ont une origine bulbaire. 5° Paralysi
tubérantielles inférieures (les deux yeux regardent à droite). 74
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. ou de lésions p
endant, la musculature intrinsèque reste intacte; il n'y a point de
troubles
de l'accommodation, la pupille est mobile. Cette
e. Elle [POULARD.] Fig. 51. - Paralysie bulbaire asthénique. 76
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. parait résulter
qui partent des centres CA et CP constituent les oculogyres. L 78
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. 1 divergence. C
mprécises, vont nous aider à comprendre les paralysies associées.
Troubles
moteurs oculaires associés. Au-dessus des noyaux
ralité sont de beaucoup les plus fréquentes. Dans certains cas, les
troubles
moteurs oculaires associés amènent une déviatio
s diplopie. C'est la dévia- lion conjuguée des yeux, une variété de
troubles
oculaires associés. Déviations conjuguées. a) D
s le sens de la déviation. Ce sont là des déviations conjuguées par
trouble
moteur, des déviations d'origine motrice. Elles s
du centre ovale; c) lésions de la capsule interne, [POULARD.] 80
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. partie antérieu
doit, dans les déviations oculai- res de ce groupe, constater aucun
trouble
moteur paralytique ou convulsif. Mais le domain
et le stra- bisme convergent qui en résulte sont souvent les seuls
troubles
appre- cial))es.t'iaie de. l'orbite par project
vomissements, céphalée continue, paralysies multiples et diffuses,
troubles
de la vue, de l'odorat, de l'ouïe. Ici, connue
morragies des centres ou des l'nAru,us veotcuL. 0 [PODLARD-] 82
TROUBLES
XHRVEUX DE L'APPAREIL- OCULAIRE. voies intra-cé
tions au premier rang desquelles il faut placer la syphilis. IV
TROUBLES
PUPILLAIRES Modifications des dlmexsioxs pupill
e à l'iris, par la voie de l'ophtalmique, branche du trijumeau. '
TROUBLES
PUPILLAIRES. 85 La paralysie de l'appareil nerv
es voies irido-clilatatrices. En vert, les voies vaso-motrices. 8 4
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. tenir compte de
pte de l'existence de ces ganglions, quand il s'agit d'expliquer un
trouble
pupillaire. La dilatation pupillaire peut donc
elles. Les uns, que nous étudierons plus loin, sont fournis par les
troubles
ner- veux qui accompagnent ces variations pupil
s chimiques : l'atropine produit une dilatation modérée, les deux £
TROUBLES
PUPILLAIRES. 85 paralysies (sphincter, dilatate
montrent le chemin qui doit conduire à la connaissance parfaite des
troubles
pupillaires. De plus, elles sont déjà, nous all
n, etc.), avant la destruction des fibres nerveuses, il existe sou-
TROUBLES
PUPILLAIRES. vent une période d'irritation, pen
riase souvent très près de son début, sans qu'il existe aucun autre
trouble
nerveux appréciable. Neuf fois sur dix une mydria
Ensuite seulement pensez aux autres causes. G ? [POULARD.] 88 '
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. - Si vous ne tr
phtabnie, d'hypotonie et de congestion de la moitié de la face. Ces
TROUBLES
PUPILLAIRES. 89 altérations du sympathique avec
re déformation pupillaire sans angles rentrants. Dans ce cas, la no
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. portion non sou
sa famille l'infection syphilitique ou toute autre tare morbide.
TROUBLES
PUPILLAIRES. 91 Anisocorie variable. Anisocorie
aussi pendant la période de régression des paralysies de l'iris.
Troubles
réflexes DE la pupille. Perte du. réflexe : lum
caïne. Dans le myosis spasmodique (ésérine, pilo- . [PODLARD,] 92
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. carpine) ou par
e de la lésion. Il est encore très utile en cas de simulation ou de
troubles
nerveux non organiques (amaurose hystérique). D
age des centres Il)(''Sl'IH'(;phaliqlles (lîg. 3 ! 1, J, 2, ,4. . "
TROUBLES
PUPILLAIRES. 95 Pour expliquer cette dissociati
éral et hétérolatéral existent dans les deux cas. [POULARD.] ] 94
TROUBLES
.NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Conclusion : N
) ou même à la simula- tion, s'il y a des présomptions sérieuses.
TROUBLES
PUPILLAIRES. : la Ralentissement des mouvements
dilatation pupillaire ne reparaît qu'au bout de 1 à 10 minutes. Ce
trouble
réflexe pupillaire ne s'est vu, rarement d'ailleu
une constriction par diminution d'éclairage. La signification de ce
trouble
pupillaire très rare est d'ailleurs mal connue. O
rétrécissement, pupillaire dans le regard au loin. [POULARD.] 96
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL. OCULAIRE V TROUBLES DE
oin. [POULARD.] 96 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL. OCULAIRE V
TROUBLES
DE L'ACCOMMODATION Le mécanisme nerveux de l'ac
erte de l'accommodation avec t'age n'est nullement le résultat d'un
trouble
nerveux ou musculaire, niais provient du durcisse
us nombreuses, la paralysie de l'accommodation est le résultat d'un
trouble
nerveux. TROUBLES DE L'ACCOMMODATION. 97 Acti
paralysie de l'accommodation est le résultat d'un trouble nerveux.
TROUBLES
DE L'ACCOMMODATION. 97 Action de certaines subs
n analogue. Certaines infections générales. La diphtérie, parmi les
troubles
d'intoxication nombreux auxquels elle donne lie
aralysie de l'accommodation peut être isolée ou associée à d'autres
troubles
de, inutilité des globes. Affections du système
e une ou quelques dioptries. PnAT ! QUt : 'EUnOL 7 [FOULARD i)8
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. L'iris est en m
vent souvent de très grandes difficultés pour regarder de près. Ces
troubles
qui peuvent être dus à une insuffisance, à une
'elle quand cette névrose sera mieux connue et bien définie. VI
TROUBLES
DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES PTOSIS paralytique
ilaté- ral, exister seul, à l'état isolé, ou s'accompagner d'autres
troubles
nerveux. Ptosis isolé. Les inconvénients du pto
te, élève un peu ses paupières. La contraction du frontal ne dégage
TROUBLES
DE LA MOTIL1TÉ DES PAUPIERES. 99 pas suffisamme
sis accompagné ou associé. Le ptosis est souvent associé à d'autres
troubles
nerveux du globe oculaire ou du reste de l'organi
yndrome de [POULARD.1 lig. 59. - Ptosis hilatéral (3lnras. lui)
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. llloc'Ezuen, se
ent le trajet du M. 0. C. Du mésocéphale à l'écorce cérébrale, leur
TROUBLES
DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES. 101 trajet, encor
ganes de la cavité orbitaire (paralysie des autres nerfs mo- teurs,
troubles
sensitifs par compression du trijumeau, troubles
s nerfs mo- teurs, troubles sensitifs par compression du trijumeau,
troubles
visuels par altération du nerf optique, exophta
une paralysie de [POULARDE 1 Fig. 60. - Ptosis myopathique. 102
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. - toutes les br
s (insuffisance de l'élévation des globes, épicanthus, nystag- mus,
troubles
intellectuels, etc.). On le rencontre quelquefois
e affection débute par des dou- leurs cervicales et s'accompagne de
troubles
de la vue, de résolution TROUBLES DE LA MOTILIT
urs cervicales et s'accompagne de troubles de la vue, de résolution
TROUBLES
DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES. 105 musculaire et
erf facial, l'orbiculaire des paupières. Je ne m'occupe ici que des
troubles
oculaires consécutifs à la paralysie de ce musc
absence de clignement, n'est plus mouillée par les [POULARD.] 104
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. larmes, elle se
. De là, des complications, sou- vent graves, pouvant entraîner des
troubles
. visuels considérables et même la perte de l'o
sécréteurs des larmes (comme Fig. 61. Paralysie faciale gauche.-
TROUBLES
DE LA MOTILITÉ DES PAUPrERES. -1 U il contient
faciale gauche. Le malade essaye vainement de fermer les yeux. 106-
TROUBLES
: Vl;R1 ! iUX 1)l : L'APPAREIL OCULAIRE.. Troub
les yeux. 106- TROUBLES : Vl;R1 ! iUX 1)l : L'APPAREIL OCULAIRE..
Troubles
palpébraux dans les pamlysies du facial inférieur
ymal de l'ophtalmique; I, nerf lacry- mal ; li, glande lacrymale.
TROUBLES
DE LA 310TLLlTÉ DES PAUPIÈRES. 107 : paupières
xclusivement nerveuse, donne cependant naissance à une multitude de
troubles
nerveux, le goitre exophtalmique. C'est à ce titr
tendue. [POULARD.] Fig. 64. Goitre exophtalmique (E. Boix). 108
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Signe de Roserz
particulière de la maladie de Basedow, on peut rencontrer d'antres
troubles
oculaires. Modification de la sécrétion lacryma
qui provoque de la sécrétion..11 n'est pas nécessaire d'invoquer un
trouble
nerveux. Paralysies musculaires. Se voient quel
u nystagmus, en relation sans doute avec le tremblement généralisé.
Trouble
de la vue. Il existe quelquefois, une certaine fa
ou simulée par certaines affections dyspnéiques comme l'asthme, les
troubles
circulatoires pul- monaires, d'une manière pass
ne ou plusieurs directions, les champs du regard sont modifiés. Les
troubles
visuels qui résultent du nystagmus sont souvent
génital s'accompagne d'un affaiblissement de l'acuité visuelle. Les
troubles
visuels sont très variés : troubles des milieux o
ement de l'acuité visuelle. Les troubles visuels sont très variés :
troubles
des milieux oculaires (opacités cornéennes, l'l
ées du labyrinthe, les suppurations de l'oreille peuvent amener des
troubles
analogues. L'introduction d'un instrument dans
ne, à la protubérance, aux tubercules quadrijumeaux, ou au bulbe.
TROUBLES
DE LA SÉCRÉTION LACRYMALE. 115 IX I TROUBLES
eaux, ou au bulbe. TROUBLES DE LA SÉCRÉTION LACRYMALE. 115 IX I
TROUBLES
DE LA SÉCRÉTION LACRYMALE Hypersécrétion. L'hyp
male dans la paralysie du PHATIQUE XEUROL. 8 · (foulard. 1 l I¡
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. trijumeau. Dans
la conjonctive d'un suintement rouge qualifié « larmes de sang ».
TROUBLES
SENSITIFS DE L'APPAREIL OCULAIRE. 115 X TROUB
mes de sang ». TROUBLES SENSITIFS DE L'APPAREIL OCULAIRE. 115 X
TROUBLES
SENSITIFS DE L'APPAREIL OCULAIRE PffËXOMÈXES DO
meau se complique souvent d'une véritable kératite attribuée il des
troubles
nerveux et dénommée pour cette raison kératite ne
tique. La cornée perd sa transparence habituelle, devient mate, se
trouble
légèrement, répithélium est exfolié. Ces lésion
d une teinte uniformément grise. L'examen il la loupe montre que ce
trouble
cornéen est formé par de petites taches grises
s les cas, établir le diagnostic de kératite ncurn-haralytinlllu.
TROUBLES
SENSITIFS DE L'APPAREIL OCULAIRE. 117 î Les vér
eur, ct joindrc son influence mauvaise à celle qu'exercent déjà les
troubles
sensitifs en facilitant l'introduction des pous
ubles sensitifs en facilitant l'introduction des poussières, et les
troubles
lacrymo-sécréteurs en provoquant la des- siccat
alytiql1e ne semble pas pouvoir être réalisée exclusivement par des
troubles
nerveux trophiques. Elle est le résultat, de ca
dessiccation) et infectieuses, dont l'action est facilitée par les
troubles
nerveux sensitifs, trophiques et lacrYIlIO-sl"c
tiodenscment le Iraill'IIH'll1l'tiologifJl\('. [POULAIW.] ] 118 8
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . - ' XI . TR
W.] ] 118 8 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . - ' XI .
TROUBLES
DE LA PERCEPTION DES COULEURS La vision des cou
uleurs. Ce sont donc là deux cas très différents l'un de l'autre.
Troubles
congénitaux de la vision des couleurs. Cécité p
altérations du nerf optique, affections qui dénotent l'existence de
troubles
graves pendant la vie intra-utérine. C'est d'ai
ut qu'il y a dyschromatopsie. Par une détermination plus exacte des
TROUBLES
DE LA PERCEPTION DES COULEURS. 110 couleurs de
ser des poudres colorées contenues dans de petits flacons de verre.
Troubles
acquis DE la vision des couleurs. Tout trouble
flacons de verre. Troubles acquis DE la vision des couleurs. Tout
trouble
acquis de la vision des couleurs dénote une lésio
du système dioptrique (taies cornéennes, opacités cristalliniennes,
troubles
du vitré), bien que produisant une diminution con
rable pour toutes les couleurs et même le blanc. [YOULARD.] 120
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Le glaucome alt
qu'un degré dans l'hémianopsie. Enfin, Y hystérie peut donner des
troubles
de la vision des couleurs caractérisés par le r
et suivantes). TUMEURS CÉRÉBRALES. 12t XII TUMEURS CÉRÉBRALES
Troubles
oculaires daxs les tumeurs cérébrales. Il est t
daxs les tumeurs cérébrales. Il est très fréquent de constater des
troubles
oculaires par suite du développement dans la ca
qu'on désigne sous le nom commun de « tumeurs cérébrales ». . Ces
troubles
oculaires ont, dans la sl'lI1éiologie des tumeurs
de l'existence et du siège de la « tumeur céré- Orale » . De ces
troubles
oculaires, les uns paraissent communs à toutes le
'cncepate. D'autres sont variables suivant le siège de la lésion.
Troubles
communs à toutes les tumeurs cérébrales. Obnubi
tions passagères. Très souvent, dès le début, le malade éprouve des
troubles
visuels passagers, des obscurcissements brusques
, le malade, bien que valide par ailleurs, ne peut sortir seul. Les
troubles
visuels l'arrêtent brusquement dans sa marche.
progressive de la vue; l'acuité visuelle centrale [POUIARn.] 122
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. baisse, le cham
e en totalité. Il existe souvent une grande disproportion entre les
troubles
visuels et l'intensité des lésions ophtatmoscop
x se produit à une période avancée dans l'évolution de la tumeur.
Troubles
variables suivant le siège (syndromes). A côté
r. Troubles variables suivant le siège (syndromes). A côté de ces
troubles
oculaires communs à toutes les tumeurs céré- br
aractères spéciaux (p. 55); Paralysies associées sou- vent (p. 70);
Troubles
pupillaires (mydriase, inégalité) (p. 87) : l'o
volontaire. Ce sont les lésions de cet appareil qui déterminent les
troubles
de l'équilibration et le vertige : ceux-ci ayan
oreille avec les maladies du système nerveux; 2° Etude générale des
troubles
de l'ouïe; 30 Maladies de l'oreille interne et di
e; 30 Maladies de l'oreille interne et dit 1/(')'/ acous- tique; 4°
Troubles
nerveux déterminés par les lésions de l'oreille.
Lésions congénitales ou acquises au début de la vie. On observe des
troubles
de l'ouïe, passagers ou permanents, dans les di
iscères par suite d'apoplexie cérébrale. 4° Tumeurs cérébrales. Les
troubles
auditifs sont fréquents dans les tumeurs cérébr
] 128 MALADIES DE L'OREILLE. 5° Sclérose en plaques. Tabes. - Des
troubles
auditifs à évolution rapide et à caractère de s
ont des faits très rares. Le tabes s'accompagne très fréquemment de
troubles
de l'ouïe : on observe chez les tabétiques de l
nique, des hallucinations. Mais les conditions pathogéniques de ces
troubles
ne paraissent pas univoques. Pierrot, Marie et
y sur le nystagmus provoqué indiqueraient une certaine fréquence de
troubles
labyrinthifJues, si toutefois les opinions de cet
Mais dans quelques cas (Pierrot, Collet), il faudrait invoquer des
troubles
trophiques provoqués par les lésions du trijumeau
meau. En réalité, ces faits sont l'exception : le plus souvent, les
troubles
auditifs du tabès sont liés aux lésions de l'or
é par le développement de l'affection auriculaire, détermine divers
troubles
auriculaires (hyporexcitabilite de l'ouïe, ouïe d
ie du muscle de l'étrier. Les lésions du sympathique provoquent des
troubles
auriculaires. Berthold a constaté directement d
ie. C'est par l'intermédiaire du sympathique que s'expli- quent les
troubles
de l'ouïe qui- se rencontrent parfois dans la gro
ues des muscles tubaires. L'hystérie est assez fréquemment cause de
troubles
du côté de ÉTUDE GÉNÉRALE DES TROUBLES DE L'OUÏ
t assez fréquemment cause de troubles du côté de ÉTUDE GÉNÉRALE DES
TROUBLES
DE L'OUÏE. 129 l'oreille : mais il y a longtemp
de l'anesthésie du conduit et de la membrane tympanique, mais sans
trouble
sensoriel concomitant. Par contre, l'hystérie d
ois et Chavannc, Moure et Bouycr fils, etc.). Dans l'épilepsie, les
troubles
auditifs ne sont pas rares : il est fréquent de
litre que certaines paralysies passagères. - II. ÉTUDE GÉNÉRALE DES
TROUBLES
DE L'OUÏ Colle-ci ne nous retiendra pas longtem
de donner, par les recherches açoumétriqucs, un ÉTUDE GÉNÉRALE DES
TROUBLES
DE l/OUIE. 13 L moyen de diagnostic entre les l
dagogique. Paracousies. - La surdité est fréquemment associée a des
troubles
de paracousie. Il y a une paracousie de lieu qu
ti ? m-cnt aux lésions de la caisse (otites, ankyloses, etc.). 1°
Troubles
circulatoires. Ceux-ci pourront être Yanémie, 1
d'une manière irrémédiable. 5° Labyrinthites toxiques. Ce sont les
troubles
qui succè- dent a l'administration de certains
nt une surdité complète, une participation précoce du facial et des
troubles
dans l'innervation du trijumeau et des muscles
u nerf cochléaire. Le plus souvent les symptômes dominants sont des
troubles
de l'équi- libre et du vertige et traduisent l'
s, comme chez le tabétique ou le vertigineux labyrintlïique;.50 des
troubles
oculo-mcteurs réflexes (parésie ou paralysie de
sitifs des nerfs mesocephaliques, avec le cervelet, avec la moelle.
TROUBLES
NERVEUX LIÉS 11 : DES LÉSIONS ORGANIQUES. 159 a
portant sur ce long trajet pourront s'accompagner de vertige et de
troubles
de l'équilibre. Le nerf cochléaire a ses connex
ité verbale qui ont d'ailleurs été étudiées avec l'aphasie. - IV. -
TROUBLES
NERVEUX DÉTERMINÉS PAR LES LÉSIONS DE L'OREILLE
plètement élucidée, la paralysie de l'abduccns, par exemple. , I.
TROUBLES
NERVEUX LIÉS A DES LÉSIONS ORGANIQUES D'ORIGINE
as de cicatrice ou de plaque calcaire sur la membrane tympanique.
TROUBLES
NERVEUX LIÉS A DES LÉSIONS ORGANIQUES. 141 2° C
à l'intervention (trépanation, ponctions lombaires, etc.). II. -
TROUBLES
NERVEUX D'ORIGINE OTIQUE SANS LÉSIONS ORGANIQUES
GINE OTIQUE SANS LÉSIONS ORGANIQUES Nous examinerons ici les divers
troubles
réflexes d'origine otique et les troubles psych
xaminerons ici les divers troubles réflexes d'origine otique et les
troubles
psychiques. 1° Troubles réflexes. Ceux-ci sont
troubles réflexes d'origine otique et les troubles psychiques. 1°
Troubles
réflexes. Ceux-ci sont très variés. Nous verrons
au pourtour de l'oreille ou dans le conduit, détermine souvent des
troubles
de l'ouïe et des bourdonnements, ces derniers not
on lumineuse pour un son donné, mais ce n'est pas constant : d'ail-
TROUBLES
NERVEUX D'ORIGINE OTIQUE SANS LESIONS ORGANIQUES.
tres visuel et auditif; pour quelques-uns cependant, elle serait un
trouble
purement psychique, voisin de l'illusion. Inver
uence des perceptions auditives. C) Réflexes sensitifs. Ce sont des
troubles
d' hyperesthésie (irra- diations douloureuses d
la dysphagie spasmodique, des contractions du voile du palais, des
troubles
respiratoires . Du côté des yeux on a signalé l
érence dans l' hysté1'ie; celle-ci est facilement déterminée par la
TROUBLES
NERVEUX D'ORIGINE OTIQUE SANS LÉSIONS ORGANIQUES.
édents, car il est plutôt de la nature des réflexes de produire des
troubles
d'excitation que des phénomènes de déficit. On
ce point un récent rapport de Lombard au Congrès de Budapesth. 2°
Troubles
psychiques. L'ouïe, a-t-on dit avec raison, est l
fort d'attention sou- tenue, un jugement moins vif. En dehors des
troubles
intellectuels, les affections de l'oreille déter-
llectuels, les affections de l'oreille déter- minent facilement des
troubles
des sentiments affectifs et delà volonté. Le ca
avec des lésions localisées il une oreille et sur la fréquence des
troubles
de l'ouïe chez les aliénés hallucinés. Ajoutons
ne croyons pas devoir entrer dans la description de ces nerfs. Les
troubles
de la fonction, respiratoire au niveau des fosses
à trois piliers .(Zucl : erkand-1). Nous décrirons d'abord : 1° les
troubles
de l'odorat et 2° les troubles nerveux consécut
-1). Nous décrirons d'abord : 1° les troubles de l'odorat et 2° les
troubles
nerveux consécutifs aux maladies du nez. 1. -
et 2° les troubles nerveux consécutifs aux maladies du nez. 1. -
TROUBLES
DE L'ODORAT On peut observer des troubles par e
x maladies du nez. 1. - TROUBLES DE L'ODORAT On peut observer des
troubles
par excès de la sensation olfactive, hYPe1'- os
es troubles par excès de la sensation olfactive, hYPe1'- osmie, des
troubles
par défaut, hyposmie et anosmie, des troubles par
e, hYPe1'- osmie, des troubles par défaut, hyposmie et anosmie, des
troubles
par perversion, parosmie. 1° Hyperosmie. - C'
sensation olfactive. L'unité de mesure s'appelle olfaclie. Mais ce
TROUBLES
DE L'ODORAT. 149 chiffre varie avec la substanc
intermittente ou définitive. Elle s'accompagne presque toujours de
troubles
de goût, - . Ses causes très ^nombreuses ont ét
bres olfactives : en réalité la lésion du triju- meau détermine des
troubles
sécrétoires et trophiques qui peuvent gêner le
s d'une véritable hallucina- tion olfactive. Le traitement de ces
troubles
de l'odorat doit être causal et utiliser la str
it être causal et utiliser la strychnine, l'électricité, etc. II.
TROUBLES
NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ Les mal
ONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ Les maladies du nez occasionnent des
troubles
nerveux extraordinaire- ment variés. Les uns s'
entres, les autres sont d'ordre réflexe; enfin on peut observer des
troubles
psychiques. 1° Troubles nerveux avec lésions or
ordre réflexe; enfin on peut observer des troubles psychiques. 1°
Troubles
nerveux avec lésions organiques. -- L'in- nerva
ostic de névralgie sus-orbitaire essentielle sans examen des fosses
TROUBLES
NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ. 151 na
aux membranes et aux milieux de l'oeil (iritis,- irido-choroïdites,
troubles
cristalliniens, etc.), on trouvera la congestio
halites, 20 abcès, cérébraux et 11 throm- ])oses des sinus. - '2"
Troubles
nerveux réflexes. Ceux-ci sont - extrêmement no
i, Trousseau, Frankel, Ilack, Garel, Lermoyez, etc., etc., sont les
troubles
réflexes du nez les plus certains et les mieux ét
établis. Le réflexe se fera encore par le pneumogastrique dans les
troubles
ner- veux de l'appareil circulatoire avec irrég
qu'il nous faudrait passer en revue,. car on a signalé encore « des
troubles
oculaires (épiphora, hyperémie et oedème de la
es anomalies de l'audition, des bourdonnements et des vertiges, des
troubles
de la sphère génitale, des troubles nerveux div
donnements et des vertiges, des troubles de la sphère génitale, des
troubles
nerveux divers (spasme du facial, névralgies .d
, cauchemars, maladie de Basedow, chorée, hystérie, épilepsie), des
troubles
vaso-moteurs (congestion cépha- lique, érythème
près les repas, au début ou pendant le travail de la digestion. '
TROUBLES
NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ. 155 Ma
cr, celles de la période de dilatation dans l'accouchement ! . 3"
Troubles
psychiques. L'obstruction nasale, quelle qu'en
, l'apathie et la paresse intellectuelle constituent un ensemble de
troubles
psychiques auquel Gllye a donné le nom d'apl'osex
ement de ces objets par rapport à notre corps, « la conscience d'un
trouble
dans la coordination locomotrice » (llughlings
intéressants. 2. Pour Bonnier, au contraire, le vertige, qui est un
trouble
des centres bulbo-pro- tubérantiets du nerf ves
dans le champ des images conscientes » ; la sensation vertigineuse,
trouble
psycho-sensoriel subjectif, n'en est qu'un des
n'en est qu'un des éléments. Le vertige proprement dit serait « un
trouble
objectif d'incoordination motrice résultant d'u
rtigineuses, des attaques syncopales et des crises convulsives. Des
troubles
sensoriels ou viscéraux divers peuvent s'associer
phénomènes moteurs qui en sont la suite. Les plus fréquents de ces
troubles
sont des troubles visuels; ils consistent . en
s qui en sont la suite. Les plus fréquents de ces troubles sont des
troubles
visuels; ils consistent . en impressions lumine
urdonne- ments, des sifflements, des tintements d'oreille, etc. Des
troubles
gas- triques sous forme de pesanteur, de nausée
triques sous forme de pesanteur, de nausées, de vomissements, des
troubles
laryngés sous forme de chatouillement, de constri
ment, de constriction de la gorge, sont loin d'être rares. Tous ces
troubles
peuvent s'observer quelle que soit la cause pro
trajet de l'un d'eux soient très fréquemment le point de départ de
troubles
portant sur l'autre. De l'accord parfait de tou
de l'équilibre parfait; de leur désaccord naît le vertige. Mais les
troubles
de chacune de ces variétés de sensation ne déte
pas le vertige avec une égale fréquence et une égale intensité; les
troubles
du sens musculaire, des sensations ostéo-articu
'espace, ne détermineront guère à eux seuls un vertige notable; les
troubles
visuels ou auditifs purs le provoqueront bien p
s être souvent multiple. Pour Bonnier, le vertige est toujours « un
trouble
nucléaire des centres bulbo-protubérantiefs, part
icule », qui se traduit par la désorientation subjective et par des
troubles
objectifs d'in- coordination motrice. Il peut ê
Le vertige voltaïque avait été attribué par certains auteurs à des
troubles
de la circulation encéphalique et à une irritatio
bsence d'orien- tation dans la sensation vertigineuse, par les gros
troubles
de l'équilibre et l'absence relative des bruits
ui dont la tête tombe »). Celle maladie est caractérisée, par des
troubles
visuels avec vertige plus ou moins net, par des
par des parésies passagères et par des douleurs verté- brales. Les
troubles
visuels consistent en diplopie, photopsie, photo-
e, photo- phobie ; ils s'accompagnent d'obnubilation de la vue avec
troubles
de l'équilibre plus ou moins prononcés, mais sa
nc ou des membres, accom- pagnent ordinairement les parésies et les
troubles
visuels. Tous ces symptômes surviennent par acc
elle, durable ou répétée, comme symp- tôme. révélateur ou non, d'un
trouble
organique ou fonctionnel plus persistant : dans
des tabétiques, même indemnes de toute incoor- dination : quant aux
troubles
de la sensibilité profonde, ils jouent sans dou
le centre un les racines de l'auditif. Il peut être dû aussi à des
troubles
visuels (diplopie, nystagmus, etc.). Un voit
ngoisse, de nausées et de vomis- semons; il s'accompagne souvent de
troubles
oculaires sous forme de diplopie, d'eblouisseme
de diplopie, d'eblouissements, de Paonnes ou de brouillards, et de
troubles
auditifs. Ce qui est bien plus caractéristique
ges auriculaires sont précédés, de plus ou moins longtemps, par des
troubles
subjectifs de l'ouïe, sous forme de bourdonneme
ns de l'oreille, ni sur les signes des affections provocatrices des
troubles
auriculaires (maladies infectieuses, utenin- gi
accessoires d'origine bulbaire, nausées, vomis- sements, diarrhée,
troubles
respiratoires, modifications du pouls, nystag-
e l'ouïe, chez des sujets qui présentaient, déjà antérieurement des
troubles
audi- tifs subjectifs et objectifs; celte évolu
ovoquent quelquefois des ten- tatives de suicide et fréquemment des
troubles
psychiques et neurasthé- niques très accentués.
r Franid-Hochwart, les formes psychi- ques de Lannois et Chavanne :
troubles
intenses de l'intelligence et de la volonté, ph
entation dans les sensations vertigi- neuses de déplacement; 20 des
troubles
de l'équilibre pouvant aller jusqu'à la chute;
e, soit qu'il corrige le strabisme par des verres appropriés. Les
troubles
de la vision qui précèdent et commandent le verti
caractère cérébral, sans nausées, le peu d'intensité ordinaire des
troubles
subjectifs et objectifs de l'ouïe, feront rappo
apporter à une hnncur cérébel- leuse les vertiges chroniques et les
troubles
de l'équilibre. Les tumeurs du cerveau provoque
le lobe frontal ou la région rolamlique. Elles s'accompa- gnent de
troubles
psychiques et moteurs variables, de céphalalgie,
; mais le, rôle que peuvent jouer dans la production du vertige les
troubles
, passagers ou permanents (congestion, oedème, c
nes, bourdonnements d'oreille, somnolence ou au contraire insomnie,
troubles
du caractère, l'aligne physique et mentale, enf
vertige nephrostenique », l' « olo-brightisme », non seulement aux
troubles
de la circulation labyrinthique, mais aux altéra-
ans le labyrinthe et les espaces sous-aracimddicns : il y aurait un
trouble
de la sécrétion du liquide labyrinthique et du
uide labyrinthique et du liquide dphalocr : 1chirlien ana- logue au
trouble
de la sécrétion de l'urine, caractérisé aussi par
difficile de spécifier quelle, part il faut faire dans ces cas aux
troubles
circulatoires du cerveau, il ceux du cervelet ou
on des lésions méningées à l'oreille interne. Il faut rattacher aux
troubles
circulatoires de l'arlério-sclérose la plu- par
sation vertigineuse; 2° l'effon- drement par dérobement des jambes,
trouble
cérébelleux; 3° des trou- bles oculo-motcurs (p
belleux. - Kraf1't-ElJin considère ces sensations connue dues à des
troubles
vaso- moteurs portant sur le labyrinthe; lIitzi
nthe; lIitzig veut y voir une origine pure- ment mentale, un simple
trouble
de la conscience du moi, une exagération de cer
t particulièrement l'intoxication des centres de l'espace, soit les
troubles
circulatoires agissant notamment sur le labyrin
d'une lésion bulbaire pouvant déterminer à la fois le vertige et le
trouble
laryngé. Dans le premier cas, vertige laryngé e
is dans une même journée. Il ne détermine qu'exceptionnellement des
troubles
asphyxiques et même la mort. La crise n'est s
pium et ses composés, morphine, etc., qui produisent auparavant des
troubles
de l'accommoda- tion et la dilatation de la pup
a été massive, un état vertigineux prononcé avec faiblesse, anémie,
troubles
digestifs, quand l'absorption a été lente et prol
cissement de la vue, brouillards ou lueurs, faiblesse des jambes et
troubles
de l'équilibre, olJl7lllJillti(Ill mentale. L
missement, est prévenu et guéri par le traitement silllld- tané des
troubles
gastriques (généralement de ! "hypopepsie) et de
mbre des cas; elle agit souvent favorablement, aussi sur les autres
troubles
auriculaires du syndrome de Ménière, bour- donn
auf contre-indications spéciales, chez Ions les sujets qui ont. des
troubles
auriculaires réfractaires aux divers modes de tra
urs d'étal comateux. Enfin, un accident nouveau peut être constaté,
trouble
trophiquedout l'évolution est à peu près sûreme
rigine cérébrale pré- sentent jamais la profondeur ou l'étendue des
troubles
analogues consé- cutifs aux myélites. : . On,
cependant par quelque escarre tardive ; il est à remarquer que les
troubles
trophiques survenant longtemps après l'ictus si
Le rétablissement se fait en d'autres cas, mais demeure incomplet :
troubles
aphasiques, affaiblissement de la mémoire ou de l
relatifs, il est vrais; mais un examen soigneux met en évidence le
trouble
prédominant de l'appareil circulatoire. L'hysté
t état réparateur ne s'accompagne ni d'altération des traits, ni de
troubles
des sensations. Le réveil est facile en général;
ale. Nous insisterons sur les attitudes figées de la catalepsie; ce
trouble
ne se rencontre pas seu- lement dans l'hystérie
esquille peut même se détacher de la table interne et déterminer un
trouble
morbide intense que l'examen extérieur n'explique
lombaire est ici d'un secours incomparable. Le plus souvent, les
troubles
étudiés, ictus et coma, dépendent el' hél1w1Tag
géné- Tale, des ictus dans le tabès et la sclérose en plaques. Ces
troubles
font aussi partie du syndrome clinique du pouls
rmes, tantôt dilatées. Ces accidents s'accompagnent généralement de
troubles
gastro-intestinaux à grand fracas. Du reste, il n
survit, est longue, et marquée d'accidents nombreux, polynévrites,
troubles
trophiques. Des convulsions encore précèdent d'
de et on le fera se lever le plus tôt possible afin de prévenir les
troubles
tropho-infectieux de la peau, afin de lutter ég
lée, du tremblement lingual, un certain degré de myotonie, mais les
troubles
[MOUTIER.] 1 \10 SOMMEIL MORBIDE. , pupilla
est autant de traitements que de formes d'insomnie. On traitera ce
trouble
morbide par la thérapeutique spécifique de la mal
des mentaux en général. I'n.vruye XI : UR01.. 13 [MOUTIER.] LES
TROUBLES
DE LA PAROLE par le D MOUTIER En dehors de l'
l'objet d'un chapitre spécial, le lan- gage oral peut présenter des
troubles
variés dans un grand nombre d'états pathologiqu
r des troubles variés dans un grand nombre d'états pathologiques.
TROUBLES
DU LANGAGE ORAL Une démarcation fondamentale s'
d'enregistrement simple, un acte intellectuel d'interprétation. Le
trouble
de la compréhension du langage oral peut donc t
peut donc tenir soit à un (rouble sensoriel périphérique, soit à un
trouble
de l'intelligence centrale. a) Le malade entend
eux saisies que les sons émis avec force et sur un Ion élevé. LES
TROUBLES
DE LA PAROLE. 1115 b) Le malade ne présente pas
. LES TROUBLES DE LA PAROLE. 1115 b) Le malade ne présente pas de
trouble
sensoriel. Il entend les paroles, mais ne les c
t compte que l'on cherche à nouer conversation avec lui ? Semblable
trouble
s'observe chez les idiots, les aliénés, les démen
à commettre des fautes de ce genre. , : : . [MOUTIER.] 100 LES
TROUBLES
DE LA PAROLE. Quant Il l'attcli-nttclité (aphas
. La suppression du langage oral dépend ici de causes multiples. Le
trouble
peut être d'origine périphérique ou d'origine cen
gage est encore un peu' distinct, l'effort verbal est tellement LES
TROUBLES
DE LA PAROLE. 197 pénible il ces malades, que l
a étudiée dans un cha- pitre spécial). Il existe tout il la fois un
trouble
de la forme extérieure du langage et un trouble
tout il la fois un trouble de la forme extérieure du langage et un
trouble
intime de l'idéation. C) Le malade ne veut pas
mimique expressive. Mais alors, le fait , [MOUTIER.] ] J ! 1R LES
TROUBLES
DE LA PAROLE. capital sur lequel on pourra se f
st possible, mais son langage est troublé de diverses manières. Ces
troubles
peuvent porter sur la phonation et l'articulati
ur la constitution même et la formation des mois on des phrases. A)
Troubles
de la phonation et de l'articulation. La dysarthr
Troubles de la phonation et de l'articulation. La dysarthrie est un
trouble
moteur des organes de la phonation ; elle peut êt
, concourent parfois à la réalisation des syndromes morbides. Les
troubles
observés chez les dysarthiques portent soit sur l
a parésie des muscles bucco-pharyngés, détermine toute une série de
troubles
à proprement parler dysarthriques. Il y a tremble
ge, rappelons que les dysar- thriques présentent habituellement des
troubles
de divers ordres : benn- plégie faciale ou tota
de pleurer spasmodiques, affaiblissement intellectuel, gâtisme. LES
TROUBLES
DE LA PAROLE.. ' 199 1° Dysarthries d'origine p
ulement étouffé. Dans les paralysies linguales existent surtout des
troubles
de la prononciation de certaines consonnes, des
angue, des commissures labiales, ni sur les symptômes fonctionnels,
troubles
de la déglutition, de la respiration, etc. Ces
n de l' hypoglossengtamment). Il existe enfin quelquefois.de légers
troubles
de la formation des labiales dans la paralysie
ter à la façon d'un sac trop grand pour ce qu'il renferme. Dans les
troubles
bulbaires, le territoire musculaire atteint est
ennent les lèvres, le voile du palais, le larynx enfin. Lorsque les
troubles
atteignent leur maximum, le mutisme devient abs
ncéphaliles à locali- sation bulbaire. Il coexiste généralement des
troubles
respiratoires et circulatoires redoutables par
eint dans la paralysie bulbaire familiale. - IMOVTIER.] 200 LES
TROUBLES
DE LA PAROLE. Dans les dysarthries d'origine cé
us souvent, et la réaction de dégé- nérescence manque toujours. Les
troubles
du langage, ânonnement, hési- tation, lenteur d
L'hémorragie et le ramollissement cérébraux déterminent parfois des
troubles
très accusés du langage (aphasie, anarthrie de Pi
affaiblissement intellectuel. Dans la paralysie générale enfin, les
troubles
du langage sont carac- téristiques et suffisent
rononce pas exactement ce qu'il fallait prononcer, il accroche. Ces
troubles
portent tout d'abord sur les labiales, puis s'é
à peu près à toutes les formes verbales 'selon que progressent les
troubles
parétiques des lèvres, de la langue et leur tré
utturaux bientôt inintelligibles se font encore seuls entendre. Ces
troubles
peuvent être passagers tout d'abord et susceptibl
t par la suite et deviennent irrémédiables. On observe encore des
troubles
dysarthriques dans la myasthénie et LES TROUBLE
observe encore des troubles dysarthriques dans la myasthénie et LES
TROUBLES
DE LA PAROLE. 201 dans les myopathies. Dans la
ant subitement même au milieu d'un mot, avec . [MOUTIER.] 202 LES
TROUBLES
DE LA PAROLE. ou sans claquement de langue et r
d'une; expres- .sion injurieuse ou grossière (coprolalie). - Ces
troubles
spastiques, si accusés, s'individualisent sous un
ai sont au nombre de quatre (Chervin) : 1° Début dans l'enfance; 2"
Troubles
respiratoires plus ou moins marqués au moment d
ur retrouver ensuite son langage; normal; 4° Disparition totale des
troubles
de la parole dans le chant. Le bégaie- ment n'a
t en hésitations, en répétitions lentes et traînantes, plutôt qu'en
troubles
vraiment spasmodiques. Les anciens auteurs sont
entre la prononciation normale et la prononciation défectueuse. B)
Troubles
du débit. Ces troubles sont fort nombreux et dive
normale et la prononciation défectueuse. B) Troubles du débit. Ces
troubles
sont fort nombreux et divers. Le langage est pr
langage est précipité dans la chorée, dans sa maladie des tics. LES
TROUBLES
DE LA PAROLE. souvent encore dans la maladie de
verbigéraiion, l'emphase et le; pathos, mais il s'agit la plutôt de
troubles
de t'idéatiou même que de troubles de la parole,
hos, mais il s'agit la plutôt de troubles de t'idéatiou même que de
troubles
de la parole, et il n'y a pas lieu d'y insister
faut orga- nique des organes laryngiens ou génitaux. Il s'agit d'un
trouble
, fonc- tionnel dans l'émission et la pose de la
d'origine périphérique ou bulbaire, nous n'y reviendrons pas. D)
Troubles
constitutifs de la formation des mots ou des phra
préteutieux, l'absence de logique ou même de compréhensibilité. Ces
troubles
relèvent de l'aliéna- [MOUTIER] ] 2111 LES TR
sibilité. Ces troubles relèvent de l'aliéna- [MOUTIER] ] 2111 LES
TROUBLES
DE LA PAROLE. lion mentale; beaucoup sont comma
e, c'est une sorte de parler nègre avec verbes à l'infi- nitif. Des
troubles
analogues avec emploi de mots dénués de sens (jar
ent et commettent ainsi fréquemment de lourdes fautes de syntaxe.
TROUBLES
DE L'ECRITURE par le D MOUTIER Les troubles d
fautes de syntaxe. TROUBLES DE L'ECRITURE par le D MOUTIER Les
troubles
de 1 écriture se répartissent en deux groupes. Le
. Les uns intéressent le tracé, la forme de l'écriture; ce sont les
troubles
calh- graphiques. Nous désignerons avec Jofïroy
ofïroy les seconds, anomalies des idées exprimées, sous le terme de
troubles
psychographiques. Les premiers répondent aux vi
e, mais incorrecte. -\ou, retrou- vons ici la division signalée; en
troubles
ealligraphiepies et troubles psy- chographiques
rou- vons ici la division signalée; en troubles ealligraphiepies et
troubles
psy- chographiques. A) Troubles calligraphiqu
; en troubles ealligraphiepies et troubles psy- chographiques. A)
Troubles
calligraphiques élémentaires. Le (racé des lettre
s. Le tremblement se révèle par de fines ondula- [MOUTIER.] ] 206
TROUBLES
DE L'ÉCRITURE. - tions ou des zig-ziigs anguleu
apier, barrant souvent les caractères déjà tracés. Ces diffé- rents
troubles
augmentent considérablement lorsque le malade fer
sur les autres ou s'écartent sans raison gram- maticale. , Un des
troubles
les plus redoutables pour la netteté et même pour
ées ou provoquées le long des troncs nerveux principaux. ' ' '. ,
TROUBLES
DE L'ÉCRITURE.- 207 L'impotence; fonctionnelle
auche chez les gauchers, la paralysie en un mot détermine enfin des
troubles
considérables de l'écriture. Ces troubles peuvent
n mot détermine enfin des troubles considérables de l'écriture. Ces
troubles
peuvent être pré- monitoires. Dans l'ictus prog
troubles peuvent être pré- monitoires. Dans l'ictus progressif, les
troubles
légers de la inutilité du côté qui sera frappé,
souvent de grosse dimension : l'ensemble est fort peu lisible. Ces
troubles
sont naturellement beaucoup plus complexes lorsqu
up plus complexes lorsque, a l'obstacle mécanique, s'adjoignent des
troubles
intellectuels et des per- turbations fonctionne
in droite, écrit, le plus souvent comme elle de gauche à droite. B)
Troubles
psychographiques. Ces troubles dépendent, non plu
nt comme elle de gauche à droite. B) Troubles psychographiques. Ces
troubles
dépendent, non plus d'un obstacle ou gêne mécan
tracé, mais encore, modifier les idées transcrites. On observe ces
troubles
psy- rhographiques dans l'aphasie, dans les éta
ntellectuelle (idiotie, imbécillité, démences confusionnelles), les
troubles
notés dépendent avant tout de la diminution de
ettres, des mots ou des fragments de phrase sont [MOUTIER.] ] 208
TROUBLES
DE L'ÉCRITURE. indéfiniment répétés, remplissan
r graphisme stéréotypé. Après la crise d'épilepsie, s'observent des
troubles
analogues. L'écriture est tremblée, parfois dim
ent, lettre qu'il répétera machinalement des centaines de fois. Ces
troubles
, cela se conçoit, sont beaucoup plus accusés dans
bie les en empêche (folie du doute). Nous serons très brefs sur les
troubles
idéographiques proprement dits des aliénés. On
te le plus souvent le style épistolaire. Le contenu est incohérent,
TROUBLES
DE L'ÉCRITURE.. 20V incompréhensible souvent. D
e dans l'écriture sous dictée et dans les exercices de copie. Aux
troubles
intellectuels de l'écriture s'ajoutent parfois ch
intellectuels de l'écriture s'ajoutent parfois chez les aliénés des
troubles
mécaniques. 11 en est ainsi dans la paralysie gén
iques généraux. Joffroy). Nous mentionnerons enfin l'importance des
troubles
du dessin chez les aphasiques (Voir plus loin)
erspective y l'ail défaut d'ordinaire ('). 1. Pour en Unir avec les
troubles
du langage, il nous faudrait étudier encore les
r avec les troubles du langage, il nous faudrait étudier encore les
troubles
du calcul, de la lecture et de la mimique. Ce qui
D' MOUTIER Parmi les désordres du langage d'origine organique, les
troubles
apha- siques occupent une place prééminente. 11
s altéra- tions fonctionnelles observées ne dépendent enfin d'aucun
trouble
péri- phérique. On peut définir par suite l'aph
ucun trouble péri- phérique. On peut définir par suite l'aphasie un
trouble
de la compré- hension et de l'expression des si
t chez ces malades, observer au début un état de prostration et des
troubles
de l'équilibre qui en imposent pour un ictus cé
lais ? du larynx ? Ces organes présentent-ils de la paralysie ou un
trouble
quelconque dans teur fonctionnement ? . , i a
, i a-t-il du rirc et du pleurer spasmodiques ? 1 ? istc-(-il des
troubles
de la déglutition ? quel est l'état du réflexe
té tactile; sens musculaire; sens stéréognostique. La recherche des
troubles
sensoriels a été pratiquée au cours de l'exa- m
Marie) ou aphasie de Wernicke. Cette forme, carac- térisée par les
troubles
du langage intérieur et le déficit intellectuel,
limitées. Quelques mots sont compris ou lus correctement, mais les
troubles
para et jargonaphasiques apparaissent bientôt, en
. Si l'écri- ture persiste à quelque degré, on y remarque les mêmes
troubles
que dans le langage oral (para et jargouagraphi
intérieur est res- pecte. l'intelligence est intacte. Il existe un
trouble
unique de l'articula- tion verbale. Le mutisme
n côté . gauche. En résumé, dans 6t) ? < ? ? l'abolition ou le
trouble
de la pronon- cialion, de l'émission des mois r
et plus complète, les mots émis plus nombreux dans le chant. Les
troubles
de la lecture (aggravés par la dysarthrie), de l'
ée, la. lecture à haute voix sont abolies, ou très altérées par les
troubles
de l'émission verbale ou dysarthrie, par la parap
unique, l'impossibilité ou la difficulté de la lecture mentale (le
trouble
; de la lecture à haute voix étant simplement so
de la lecture à haute voix étant simplement sous la dépendance du
trouble
du langage intérieur). On observe toujours en mêm
définition préalablement donnée. Elle consiste, répétons-le, en un
trouble
des actes volontaires, en une non-adaptation in
llésie, ni ataxie. ni paralysie, ni surdité verbale, ni agnosie, ni
trouble
du jugement. Un exemple fera mieux comprendre n
aires il la préparation puis à la réalisation de l'acte (absence de
troubles
mentaux), il peut saisir la brosse et la manier c
pour phénomène apraxique. L'apraxie idéo-motrice de Liepmann est un
trouble
très nettement psyctio-moteur. Le malade compre
est pas exceptionnelle dans l'hémiplégie du côte droit du corps. Le
trouble
apraxique peut être complet ou incomplet : comple
ler, ils présentent seulement de la maladresse, et d'autre part les
troubles
de la mastication et de la déglutition font défau
tout autrement chez l'apraxique. Ce dernier, en effet, présente un
trouble
aussi considérable, aussi irrégulier des actes dé
aucoup moins franc. L'apraxie idéatoire est, en effet, un véritable
trouble
de l'attention; elle s'observe, dans les états
de l'intelligence, chez. les déments, les paralytiques généraux. Le
trouble
s'atténue lorsque le sujet fixe son attention; .i
supérieures ou perceptions propre- ment dites. Elle' représente un
trouble
de l'idenlificalion secondaire des objets. L'ag
olément sur un ordre donné de sensations. Dans l'agnosie tactile (
trouble
de l'identification secondaire ou asyni- hulie)
En fait, il est extrêmement difficile parfois de faire le départ du
trouble
jt AGNOSIE. 227 sensoriel périphérique (affai
périphérique (affaiblissement du tact, de la vue, de l'ouïe) et du
trouble
cérébral. Cela est flagrant surtout pour rasynrbo
e diagnostic des agnosies est délicat. II repose sur l'existence de
troubles
intellectuels purs ou du moins sur l'insuffisance
e de troubles intellectuels purs ou du moins sur l'insuffisance des
troubles
périphériques éventuellement existants à expliq
lles maladies il a laites, quelles intoxications il a subies, quels
troubles
psychiques il a déjà manifestés au cours de son
et les actes, puis les principaux phénomènes psychiques ('). LES
TROUBLES
DU LANGAGE CHEZ LES ALIÉNÉS Nous envisagerons d
ALIÉNÉS Nous envisagerons d'abord le mutisme vésanique, ensuite les
troubles
du langage articulé, du langage écrit et du lan
é dans le Traité de pathologie mentale de M. Gn.m. : rr BALLET. LES
TROUBLES
DU LANGAGE CHEZ LES ALlÉ\IS. 231 bruit de leur
n. Il faut enlin toujours penser il la simulation du mutisme. Les
troubles
du langage articulé. L'intensité de la voix est
de tremblements, d'affections organiques du système nerveux, etc.
Troubles
du langage écrit. Les écrits chez les aliénés ont
apier, de la forme et de la dimension des lettres, de la signature (
troubles
calligraphiques de loffroy). Le contenu de ces
nseignera sur la valeur intellectuelle et sur les idées délirantes (
troubles
psycliograptuqucs de Jo111'oy). En examinant la
peuvent avoir leur utilité dans des cas de diagnostic dé- licat.
Troubles
de la mimique. H faut distinguer la mimique émo-
ndrome peut s'observer à titre épisodique secondairement à d'autres
troubles
psychiques (délires hallucinatoires, états émotio
e paramnésie de certitude et de paramnésie de localisation certains
troubles
spéciaux de la mémoire. Le sujet atteint de par
lusion et l'hallucination ne seraient que deux variétés d'un même .
trouble
psychologique, ne différant que par le point de
fférences de nature, elles ne seraient que .des. variétés d'un même
trouble
pathologique ; il est d'avis qu'en théorie on peu
s hallucinations unila- Iéralcs mt souvent comme point de départ un
trouble
fonctionnel ou des lésions matérielles des orga
tilement d'ailleurs le plus souvent; cette lutte est accompagnée de
troubles
vaso-moteurs, de congestion de la face, d'angoi
e un caractère de mobilité. Elles sont sans doute la conséquence de
troubles
de la perception. Dans la mélancolie les idées
Très souvent, les idées hypochondriaques coexistent avec d'autres
troubles
psychiques. Elles se voient dans la mélancolie, s
ques chroniques les idées hypochondriaques sont en rapport avec des
troubles
de la sensibilité. f Les persécuteurs raisonnan
e délire mélancolique, les idées de damnation et de possession, les
troubles
de la sensibilité, l'anxiété mélancolique, la f
Il suite, d'un ictus apoplectique et sont alors déterminées par des
troubles
de la cOEnestMsie. Dans la confusion mentale, l
égation assez fréquentes. LES IDÉES DÉLIRANTES. 245 dépendent des
troubles
de la perception. Chez les alcooliques, elles ont
ance à des individus tarés et dégé- nères. Chez les prédisposés aux
troubles
psychiques il faudra éviter toutes les causes d
s différents malades, suivant qu'il existe ou non de la lièvre, des
troubles
gastro-intestinaux, des (roubles rénaux ou hépa
at médical. Le certificat médical doit spécifier l'état mental, les
troubles
psychiques de l'aliéné ainsi que les principale
première ou de la seconde enfance, les (roubles intellectuels, les
troubles
des fonctions, les troubles physi- ques. Nous p
nfance, les (roubles intellectuels, les troubles des fonctions, les
troubles
physi- ques. Nous passerons ensuite en revue le
s l'idiotie est marquée, plus la parole s'améliore, quelquefois les
troubles
consistent simplement dans des défectuosités d'
des noix qu'il affec- tiouuait. L'odorat peut présenter les mêmes
troubles
dus à l'inattention, mais il est cependant des
onychophagie ou manie de manger les ongles, etc. z L'ensemble des
troubles
que nous venons de décrire constitue les troubl
L'ensemble des troubles que nous venons de décrire constitue les
troubles
psychiques : il est un ensemble de troubles qui s
e décrire constitue les troubles psychiques : il est un ensemble de
troubles
qui sont plus parti- culièrement les troubles d
il est un ensemble de troubles qui sont plus parti- culièrement les
troubles
des fonctions. , Troubles du mouvement. - La pr
es qui sont plus parti- culièrement les troubles des fonctions. ,
Troubles
du mouvement. - La préhension des objets est dif-
ifficiles. Chez les arriérés, ils se rapprochent de la normale. '
Troubles
de la digestion. La mastication est incomplète, l
-aussi d'une façon souvent exagérée. 11 n'existe pas en général de
troubles
de la sécrétion urinaire. Fonctions génitales.
tions de la per- version sexuelle : pédérastie, etc. ' A tous ces
troubles
psychiques et fonctionnels répondent des anoma-
ondent des anoma- lies de développement physique chez les idiots.
Troubles
physiques. La taille est souvent inférieure à Cel
ifférencier l'idiotie congénitale, c'cst-à-dire l'idiotie due à des
troubles
survenus pendant la vie foetale ou au moment de
n, le diagnostic est absolument évident dès que 1 on a constaté les
troubles
des facultés intellectuelles, les (roubles de fou
pareil ner- veux tout entier est mis à contribution. L'existence de
troubles
sensitifs peut renseigner sur l'état du système
ion clinique, se conçoit donc d'elle-même. L'apparition de nouveaux
troubles
sensitifs ou la disparition de ceux préalableme
iale. Dans le cours de cet article, nous ne nous occuperons que des
troubles
de la sensibilité, générale, et nous renvoyons
goût), aux différents articles de ce Traité, comportant l'élude des
troubles
sensoriels. Toutefois, conformément à la divisi
es sensations perçues objectivement par le sujet, et l'étude de ces
troubles
sensitifs objectifs, que nous apprendrons il re
ences (sur le singe) de Ferrier et Turner. de Mott, et l'absence de
troubles
de la sensibilité dans les af1('('- tions céréb
grise centrale en est l'élément fonctionnel principal. Il n'y a , .
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ 'OBJECTIVE..281, pas lieu d'a
de raison d'être que dans l'observation clinique. CHAPITRE I. z
TROUBLES
DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE L'élude de la sensi
s stéréognostique. ' 1 ' . TECHNIQUE A SUIVRE POUR LA RECHERCHE DES
TROUBLES
. DE LA SENSIBILITÉ . - La recherche clinique
HE DES TROUBLES . DE LA SENSIBILITÉ . - La recherche clinique des
troubles
de la sensibilité, si facile qu'elle puisse par
désir enfin qu'ont certains patients à diminuer ou à exagérer leurs
troubles
. L'observateur doit s'abstenir le plus possible d
e tact, la douleur et la température, en indiquant par. exemple les
troubles
tactiles par des hachures, les troubles doulour
indiquant par. exemple les troubles tactiles par des hachures, les
troubles
douloureux par des points et les troubles thermiq
les par des hachures, les troubles douloureux par des points et les
troubles
thermiques par des croix, ou bien encore par de
en encore par des traits de crayons de couleurs différentes. Si les
troubles
sensitifs sont complexes, il est préférable de se
que modalité de sensibilité. 11 est boni, enfin, avant de noter les
troubles
observés, de vérifier une seconde fois les - ré
thésie, ou exaltée : hypereslhésie. - . Lorsqu'on observe un de ces
troubles
en un point quelconque du corps, on aura soin d
extrême finesse, a été décrite et désignée par Vaschide et Rous- '
TROUBLES
DE W SENSIBILITÉ OB.IECTTVE : 285 seau sous le
lb et Oppenheim ont indiqué un procédé très simple pour révéler les
troubles
légers de la sensibilité chez les hémiplégiques,
t la pression et agir plus fortement sur la région qui présente des
troubles
, pour obtenir de son côté une réaction équiva-
lwxies, ,) 888. : 1. TIt ! ' Uril. 111e £ l. journ., 1894. y. 1. 1.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 38 ? portant sur l
rgissement des cercles de sensations* et d'expliquer ainsi certains
troubles
observés, comme la perte de la perception stéré
',]Je même que pour le tact, on reporte avec soin sur un schéma les
troubles
observés : ceux-ci peuvent coïncider parfaiteme
ncider parfaitement dans leur distribution ettem intensité avec les
troubles
tactiles. Il arrive parfois en clinique, dans l
'on recherche pour la première fois chez un malade l'existence d'un
trouble
de la sensibilité thermique, de prendre des cor
e nous retrou- verons avec le sens musculaire. C) Sensibilité des
troubles
nerveux. La pression des troncs nerveux éveille
n avec la sensation de contact et n'attachent aucune importance aux
troubles
de la première en séméiologie nerveuse. Des t
ert d'appareils spéciaux, dits baresthésiomèlres (I : ulenLur). Les
troubles
observés sont reportés sur un schéma ordinaire,
des Drucksinnes (Deiilsche mes, Woclreusclr., 22 et 24 sept. 1JOz).
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 293 Lulenburg, le
rences de poids beau- coup plus considérables. Séméiologie. = Les
troubles
de la baresthésie se rencontrent dans un certai
s cet égard, arrive aux conclusions suivantes : ' Dans le tabes les
troubles
de la haresthésie sont fréquents (24 fois l. Le
1905. - [RODSSY.] Fig. 5. - Tabès. - Topographie radiculahe des
troubles
de la sensibilité à la pression (1). Fig. 4. -
des troubles de la sensibilité à la pression (1). Fig. 4. - Tabes.
Troubles
de la sensibilité . à la pression plus étendus.
ch. f. Psychiatrie 1l. Nervenheilk, Bd., 57, 2. Fig. 5. Paraplégie.
Troubles
scnsitifs à la pression. THOUBLES DE LA SENSI
nt fréquemment en clinique ; tantôt elles marchent de pair avec les
troubles
des sensibilités superficielles, tantôt elles se
) et Sci1'fcr). Les chiffres indiquent la durée de la perception.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 297 Les altération
Y.] Fig. 9. Ilmianestl : ésic profonde dans l'hémiplégie. A gauche,
troubles
de la sensibilité il la pression; il droite, tr
ie. A gauche, troubles de la sensibilité il la pression; il droite,
troubles
de la sensibilité vibratoire (Observ. persan., Bi
s et en imprimant aux segments d'un membre qu'on suppose atteint de
troubles
de ce sens différentes positions, en. com- menç
coude, et à l'épaule. On fera de même pour le membre inférieur. Ces
troubles
de la notion de position, comme ceux des mouvem
membres; ils obéissent ainsi à une loi de topographie générale des
troubles
sensitifs que nous énoncerons plus tard. 2° L
à employer lorsqu'on est en présence de malades présentant de gros
troubles
de la sensibilité profonde. La perte de la no
omène étant étudié dans une autre partie de ce traité, à propos des
troubles
moteurs, nous n'avons pas à nous en occuper ici
nous en occuper ici. Signalons simplement les rapports intimes de
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. Ô01 l'ataxie avec
es de TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. Ô01 l'ataxie avec les
troubles
de la sensibilité profonde et en particulier du
uvent déterminer la stéréoagnosie et sur les rapports qu'affecte ce
trouble
avec les altérations de la sensibilité périphér
'identification secondaire ou de reconnaissance intellectuelle : le
trouble
de ce processus constitue l'asymbolie. TROUBLES
ntellectuelle : le trouble de ce processus constitue l'asymbolie.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 505 de localisatio
cérébrales en foyer. Un hémiplégique, en effet, peut présenter des
troubles
partiels du sens stéréognostique ; il pourra pa
encore d'en reconnaître la forme (stéréoagnosie), présenterait des
troubles
plus nets des sensibilités périphériques et serai
nicien doit prendre en considération dans l'étude séméiologique des
troubles
de la sensibi- lité. La stéréoagnosie peut être
n dans Y hystérie. - (ROUSSY.] 504 SENSIBILITÉ. TOPOGRAPHIE DES
TROUBLES
OBJECTIFS DE LA SENSIBILITÉ Les troubles object
IBILITÉ. TOPOGRAPHIE DES TROUBLES OBJECTIFS DE LA SENSIBILITÉ Les
troubles
objectifs de la sensibilité générale, superficiel
ique et qui sont subordonnées aux causes mêmes qui ont provoqué ces
troubles
. La connaissance de cette distribution topographi
ntes affections du svstème nerveux. . ÉTUDE SÉMÉIOLOGIQUE T DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ DANS LES AFFECTIONS . DU SYST
ue et neurone tlialamo-cortical, soit susceptible de déterminer des
troubles
sensitifs, dont la disposition et les caractères
s ; 4° dans les affections des nerfs périphériques. A côté de ces
troubles
sensitifs d'origine organique, il en existe d'a
fonctionnelles de ce système. Nous aurons donc il décrire : 5° les
troubles
de la sensibilité dans les névroses. Nous termi
ns les névroses. Nous terminerons enfin par quel- ques mots sur les
troubles
de la sensibilité dans les psychoses. TROUBLES
ques mots sur les troubles de la sensibilité dans les psychoses.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. ;;0 : . t 1. TROUB
les psychoses. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. ;;0 : . t 1.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ DANS LES AFFECTIONS DE L'ENCÉ
bérance, le pédoncule ou l'hémisphère cérébral. Début. Le début des
troubles
sensitifs, dans les affections céré- brales peu
s affections céré- brales peut se faire brusquement comme celui des
troubles
moteurs, à la suite d'un ictus; il peut aussi ê
, à la suite d'un ictus; il peut aussi être lent et progressif. Les
troubles
sensitifs, marchant alors de pair avec les trou
progressif. Les troubles sensitifs, marchant alors de pair avec les
troubles
moteurs, s'installent petit à petit et sont pré
nécessaire. En effet, s'il est relativement fréquent d'observer des
troubles
sensitifs chez un hémiplégique pendant les prem
Recllich; 8 pour 100, Aba). Mais avec Verger, on peut dire que les
troubles
sensitifs sont la règle dans l'hémiplégie, si l'o
elle ne dure que quelques jours ou quelques semaines, alors que les
troubles
moteurs persisteront des années ou indéfiniment;
années et suivre une marche légèrement régressive et parallèle aux
troubles
moteurs (hémianesthésie persistante); d'autres
urs (hémianesthésie persistante); d'autres fois, enfin, ce sont les
troubles
sensitifs qui persistent indéfiniment et les trou
, ce sont les troubles sensitifs qui persistent indéfiniment et les
troubles
moteurs qui Pratique veuuoi,. 20 , [ROUSSY] 1
t ainsi aux mêmes lois que celles qui régissent la distribution des
troubles
moteurs dans l'hémiplégie. Lorsque les troubles
la distribution des troubles moteurs dans l'hémiplégie. Lorsque les
troubles
sensitifs sont en voie d'améiiu- lei ? 13. - Hé
rplre, avec erreur de loca- lisation, paresthésie à la température.
Troubles
de la notion des attitudes au pied et il la mai
e l'oper- cule rolandique et de Tl. (Cas Charv ? Bicêtre, 1905)..
TROUBLES
DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE. 507 ration, ce son
u membre (Dejerine). Dans l'hémianesthésie organique cérébrale, les
troubles
sensitifs re- vêtent une distribution si réguli
si régulière que l'on peut parler d'une topngra- phie cérébrale des
troubles
sen- sitifs. Dans de très rares cas, l'anes-
émianestliésie organique; aussi est-il nécessaire de rechercher ces
troubles
avec le plus grand soin. Ce sont des perversions
de la sensation, des paresthésics, de la [ROUSSI'.] ] Fig. 14. -
Troubles
de la sensibilité osseuse dans le cas précédent
hémianesthésie sezzsilivo- sensorielle. Dans ce cas, il existe des
troubles
particuliers du goût, de l'odorat et de la vue
e du même côté que l'hémiplégie. On rencontre assez fréquemment des
troubles
de l'un ou de plusieurs des sens spéciaux chez
péciaux chez les hémiplégiques hémiancsthésiques au début; mais ces
troubles
senso- riels ne sont que de courte durée (quelq
s visuelles cérébrales d'un côté, il en résultera pour la vision un
trouble
définitif et irrémédiable. C'est il ce trouble vi
ra pour la vision un trouble définitif et irrémédiable. C'est il ce
trouble
visuel, observé chez les hémiplégiques, qu'on d
ssion de la moitié du champ visuel binoculaire. du même côté que 1w
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 3t)i' celui de l'h
apitre traitant de cette question. L'hémianopsie est donc le seul
trouble
sensoriel, persistant et défi- nitif, qu'on pui
plus dif- ficile sinon impossible de noter chez lui la présence de
troubles
légers de la sensibilité superficielle; il est
t centrale thalamique. On s'est demandé si les caractères mêmes des
troubles
sensitifs, leur intensité, leur topographie pou
t complète des perceptions élémen- taires (tact, douleur, etc.), un
trouble
dans la localisation des sensations et une pert
e persistante sont dus à la participation de la couche optique. l.e
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 5 H thalamus repré
celle du segment postérieur de la capsule interne, que sont dus les
troubles
sensitifs. A l'hémianesthésie capsulaire doit ê
emps qui suivent l'ictus elle est assez fréquemment associée à. des
troubles
sensoriels. Ces derniers cependant, à part les
ciée à. des troubles sensoriels. Ces derniers cependant, à part les
troubles
de la vue, rétrocèdent rapidement, et ne font p
tomatique quelques mois après le début de l'affection : ce sont des
troubles
fugaces, dont la cause anatomique [ROUSSI'.] .
caractères que les hémianesthésies. corticales : habituellement les
troubles
de la sensibilité superficielle sont peu prononcé
'y ait en même temps de l'hémi- plégie plus ou moins marquée. Les
troubles
moteurs peuvent être par- fois très atténués; d
uche optique. (Cas Roy ? Roussy, Revue neurologique, n° 6, IG09).
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVÉ. 515 médian et du p
'être admise d'une façon générale. D'autre part, la persistance des
troubles
sensitifs, caractère important des anesthésies
ons étendues du centre ovale ou du cortex. Les caractères seuls des
troubles
sensitifs sont donc insuffisants pour permettre
vent, d'une lésion cérébrale. Nous verrons bientôt, par l'étude des
troubles
sensitifs dans les névroses, sur quels caractèr
alotte et région sous-optique), de la protubérance et du bulbe, les
troubles
sensitifs revêtent les mêmes caractères générau
sies oculaires, surtout dans les mouvements associés (Raymond), les
troubles
pupillaires, visuels, auditifs, les désordres a
le, on peut observer des anesthésies alternes, clans lesquelles les
troubles
sensitifs siègent la face, du même côté que la
dante du trijumeau) ainsi que sur le tronc el les membres du côte
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. ;; 1 : . 1 opposé.
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. ;; 1 : . 1 opposé. Habituellement les
troubles
sensitifs se superposent aux troubles moteurs e
1 opposé. Habituellement les troubles sensitifs se superposent aux
troubles
moteurs et l'on a des « paralysies alternes sez
o-ll1l1lriee croisée (voir article SY : 'i(})\(HOE bulbaire). Il. -
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ DANS LES AFFECTIONS MÉDULLAIRES
ITÉ DANS LES AFFECTIONS MÉDULLAIRES f' Dans les myélopathies, les
troubles
objectifs de la sensibilité peuvent 1 revêtir d
'y a donc pas, il proprement parler, de topographie médullaire. Ces
troubles
intéressent il la fois ou séparé- ment les dive
mi-paraplégique. Comme dans les anesthésies de cause cérébrale, les
troubles
sensitifs ne sont habituellement pas complets e
sis, cnophtalmie, rétrécissement de la fente palpébrale), enfin des
troubles
respiratoires, lorsque la lésion siège dans la
s les régions correspondant aux parties paralysées de l'autre côté;
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE.. 517 b) de l'intég
syndrome est peu net ou absent, la non-participation de la face aux
troubles
sensi- tifs et moteurs plaide en faveur d'une*
is le plus souvent ils le sont à des degrés différents. Parfois les
troubles
scnsitifs, comme les phéno- mènes moteurs du re
ur, moins marquée à la température (Cas Jouss..., Bicêtre, 1898).
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 519 lancinent dans
cessaire; nombreux sont en effet les cas de paraplégie motrice sans
troubles
sensitifs. Par contre, les troubles sensitifs à
cas de paraplégie motrice sans troubles sensitifs. Par contre, les
troubles
sensitifs à type paraplégique n'existent guère sa
e, les troubles sensitifs à type paraplégique n'existent guère sans
troubles
mo- dans les affections organiques de la moelle
e et l'hématomyélie). Dans l'hystérie, au contraire, on observe des
troubles
sensitifs sans troubles moteurs. Les rapports d
ns l'hystérie, au contraire, on observe des troubles sensitifs sans
troubles
moteurs. Les rapports d'intensité qu'affectent
oubles moteurs. Les rapports d'intensité qu'affectent entre eux les
troubles
moteurs et sensitifs sont également variables.
une paralysie motrice spasmodique intense peuvent correspondre des
troubles
sensitifs très légers; mais inversement, à une
syrin- gomyélique, etc.). Suivant quelques auteurs, l'intensité des
troubles
sensitifs pourrait servir à apprécier le degré
s tout à l'heure sur ce point, en faisant l'étude séméiologique des
troubles
sensitifs à topographie radiculaire. Diagnostic
avec la paraplégie sensi- tive hystérique. Dans ce dernier cas, les
troubles
sensitifs peuvent exister sans troubles moteurs
e. Dans ce dernier cas, les troubles sensitifs peuvent exister sans
troubles
moteurs, ce qui ne se voit pas dans les anesthési
myélie ou l'hémato- myélie ; mais, dans ce cas, la dissociation des
troubles
sensitifs à type syringomyélique permettra de f
ype syringomyélique permettra de faire le diagnostic. Lorsque les
troubles
moteurs et sensitifs sont associés, on procédera
ésies organiques et fonctionnelles (voir plus loin, page 556). 5°
Troubles
sensitifs à topographie radiculaire. Cette disp
Troubles sensitifs à topographie radiculaire. Cette disposition des
troubles
de la sensibilité est réalisée dans les affecti
re supérieur. Schéma, d'après Soulié. . (Territoire des nerfs). -
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 531 sensitifs, éta
r les sensi- bilités superficielles peut également se rapporter aux
troubles
des sensi- bilités profondes, et en particulier
sté- réognostiquc et au sens musculaire. Valeur séméiologique des
troubles
sensitifs à topographie radi- culaire. L'import
mptomatologie au cha- pitre suivant, la topographie radiculaire des
troubles
de la sensibilité se Fig. 22. Distribution des
es libres sensitives des nerfs thoraciques. (D'après Sltcrrington.)
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 525 rencontre dans
adiculaire des nerfs rachidiens, d'après Kodwr. Face postérieure.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 525 riciirc de l'a
mpression médullaire grâce à la connaissance de la distribution des
troubles
sensitifs. D'après Chipault, pour avoir le numé
bre dor- sale. Dans le tabès (Dejerine, llitzig. Marincsco) les
troubles
sensitifs objectifs sont souvent des signes p
nt au début, mais fréquemment au cours de l'évolution du tabès, les
troubles
sensitifs apparaissent aux membres Fig. 27. - A
as (Cvl11 et Dol) chez un fabrique. (Cas Geo.... l31cctre, 1905).
TROUBLES
DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE. 5'2 ! ) inférieurs
ns les cas exceptionnels de tabcs à début par le cône terminal, les
troubles
sensitifs se cantonnent au périnée, à l'anus, aux
maine des 2e et 5" cervicales. ' Quels sont les caractères de ces
troubles
sensitifs objectifs dans le tabès ? Ce sont des
on . [ROUSSY.] Fig. 28 et 29. Tabès. Topographie radiculaire îles
troubles
de la sensibilité tactile, douloureuse, thermiq
à de l'anesthésie ou de l'analgésie tactiles. Cette association des
troubles
sensitifs superficiels (anesthésie et analgésie
t analgésie plus ou moins marquées sans thermo-anesthésie), et. des
troubles
sensitifs profonds très prononcés Fig. 50. Anes
un syringomyélique âgé de 51 ans. (Cas 'liait..., Bicêtre, 1900).
Troubles
delà sensibilité objective..551 (perte du,sens
qu'on rencontre habituellement dans le tabes, représente un type de
troubles
sensitifs particulier, le type tabétique qui. e
s lésions des cordons postérieurs, la distribution périphérique des
troubles
sensitifs est topographiée sui- vant le type ra
ces affections, le fait est facile à constater; dans la suite, les
troubles
sensitifs envahissant tout un mem- bre, par exe
ant de près, et en s'appuyant sur les diffé- rences d'intensité des
troubles
observés, on voit qu'il s'agit d'une distri- bu
aitement le territoire distinctif de l'in- Fig. 52. Topographie des
troubles
de la sensibilité thermique (dissociation) chez
sensibilité thermique (dissociation) chez le malade précédent. "
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 335 nervation cuta
envahissement progressif des différents segments médullaires. Les
troubles
sensitifs, dans la syringomyélie, occupent le plu
une forme hémiplégique. Rarement. ils sont croisés par rapport aux
troubles
moteurs. Les modalités d'altération de la sensi
contrer, quoique beaucoup [ROUSSY.] ] Fig. 33. - Distribulion dos
troubles
sensitifs (lad, douleur, température) chez un syr
sion, les polynévrites. Dans les lésions cérébrales, on l'a vu, les
troubles
sensitifs, à l'instar des troubles moteurs, pré
sions cérébrales, on l'a vu, les troubles sensitifs, à l'instar des
troubles
moteurs, présentent habituellement une topographi
g, .Fischer, Goldstein) ('), que l'on doive admettre la présence de
troubles
de la sensi- bilité à distribution radiculaire
projettent dans la substance grise de la moelle. L'existence de ces
troubles
de sensibilité du v< type spinal », au cours
imitées à l'encéphale, doit. conduire naturellement, en présence de
troubles
sensitifs à disposition radiculaire, à recherch
MÉT.AMÉRIE SPINALE En se basant sur la disposition segmentaire des
troubles
sensitifs au cours de certaines affections de l
resque 1. Voir J. LnEMUTTE, Semaine niécl., 1G juin 1909, p. 277.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 555 en entier est
n d'eux correspond à un métamère primitif). 550 SENSIBILITE. III.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ DANS LES AFFECTIONS DES RACIN
intéressées dans le trou de conjugaison ou en dehors du rachis, les
troubles
sensitifs s'accompagnent toujours de paralysie
ésion (compres- sion de la moelle et des racines), apparaissent des
troubles
sphinclériens, des modifications des réflexes,
ques variables suivant le siège en hauteur de la compression. Les
troubles
sensitifs dans les lésions radiculaires sont vari
l'hypercsthesie ou des paresthesies. La durée et l'intensité de ces
troubles
sont fonction de la nature de la lésion ; définit
assagers dans les compressions et peuvent disparaître avec elles.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 557 Les lésions ra
dullaires. Lorsque les racines rachidiennes seules sont lésées, les
troubles
sensi- tifs s'associent aux troubles moteurs (p
iennes seules sont lésées, les troubles sensi- tifs s'associent aux
troubles
moteurs (paralysie radiculaire sensilivo- 111Ol
ésie s'avance jusqu'à la ligne médiane (6''et 7" cervicales). Aux
troubles
sensitil's qui, à eux seuls, suffisent pour établ
dia- gnostic de paralysie radiculaire, s'ajoutent ordinairement des
troubles
moteurs répondant à l'innervation motrice des m
u long supinaleur, Il) Type inférieur pllile lhjerine-Klumpke), Les
troubles
sensitifs sont distribués dans le domaine de la
ome sympathique (De je ri ne-KIlim pk l'). Il est constitué par des
troubles
oculo-pupillaires (myosis, énophtalmic, rétréciss
e du bras conservé sa sensibilité normale ,(2`' et 5e dors.). Les
troubles
moteurs consistent en une monoplégie brachiale to
t l'être de moins en moins, depuis qu'on recherche avec méthode les
troubles
sensitifs dans tous les cas de phénomènes doulou-
encore mal connue), on est moins avancé pour les autres racines du
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 559 plexus (L,, et
de la moelle (cône. terminal qui se trouve à ce niveau); aussi les
troubles
moteurs sont habituels et consistent en une par
ralysie flasque des membres infé- rieurs ; il existe, en outre, des
troubles
sphinctériens (vésicaux et rec- taux) et génita
mptoma- tique présenté par le malade. , ' La même topographie des
troubles
sensitifs (type total) peut s'observer dans les
val donne lieu au syndrome de la queue de cheval, constitué par des
troubles
sphinctériens, génitaux, moteurs et sensitifs, 'à
es racines sacrées et lom- baires inférieures. Dans ce syndrome les
troubles
de la sensibilité, et en particulier ceux de la
os les divers schémas.) Nous n'avons étudie jusqu'ici, à propos des
troubles
observés dans les paralysies radiculaires des p
ceux relevant des lésions des racines postérieures de ces racines,
troubles
sensitifs, qui seuls (levaient nous occuper dan
temps les racines inférieures et postérieures. On observe alors des
troubles
moteurs à distribution radiculaire corres- pond
racines lésées, lois qu'ils sont décrits au chapitre traitant des «
Troubles
de la inutilité ». Diagnostic des paralysies ra
dites. Lorsqu'on se trouve one en présence d'une paralysie dont les
troubles
sensitifs, aussi bien que les troubles moteurs,
nce d'une paralysie dont les troubles sensitifs, aussi bien que les
troubles
moteurs, revêtent une distribution du type net-
signes qui peuvent aider dans ce diagnostic. " Les caractères des
troubles
sensitifs sont, dans certains cas, de quelque s
ains cas, de quelque secours : Funilatéralité et l'asymétrie de ces
troubles
(exception l'aile pour le syndrome de lirmvn-vé
hériques (pseudo-névralbies), et leur présence au cours d'une para-
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 545 lysie seusitiv
ie douloureuse ». Mais ces caractères différentiels tirés des seuls
troubles
sensitifs sont loin d'être suffisants pour le d
ctériens, trophi- ques, examen de la colonne vertébrale, etc.). Les
troubles
moteurs prédominent habituellement comme extens
troubles moteurs prédominent habituellement comme extension sur les
troubles
sensitifs, dans les lésions médullaires, et les
ême des amyotro- phies iL évolution rapide et grave. fc Parmi les
troubles
sphinctériens, la dissociation de la fonction gén
ns que si, dans quelques cas rares, le clinicien peut, au moyen des
troubles
sensitifs seuls, porter un diagnostic précis de
st ou paraît être essentiellement primitive et suffit à expliquer les
troubles
observés. Ne font, par conséquent, pas partie d
de de neuropathologie sur les radiculites. Thèse de Paris, ]t)08. -
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 345 oreillons, l'é
, il existe, en plus de ces phé- nomènes subjectifs (douleurs), des
troubles
objectifs de-la sensibilité à topographie radic
me celles des nerfs crâniens; mais, le plus souvent, on observe des
troubles
sensitifs soit au membre supérieur (type cervic
ercuriel donnera de bons résultats. Fig. a7 et 57 bis. Sciatique.
Troubles
de la sensibilité, à topographie radiculaire, dan
ine de L3, L4, L5. (Cas de Gauckler et Roussy, Rev. de Neur., 190).
TROUBLES
DE LA .SENSIBILITÉ OBJECTIVE : ' 547 IV. - TROU
Neur., 190). TROUBLES DE LA .SENSIBILITÉ OBJECTIVE : ' 547 IV. -
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ DANS LES LÉSIONS DES NERFS PÉ
nt sur les nerfs mixtes ou sur les nerfs sensitifs; déterminent des
troubles
de la sensibilité dans le territoire d'in- ne
dans le territoire d'in- nervation de ces nerfs. Caractères. Ces
troubles
consistent en des altérations de la sensibili
e, sens stéréo- gnostique enfin peuvent être atteints. Tantôt les
troubles
sen- sitifs sont associés aux troubles moteur
être atteints. Tantôt les troubles sen- sitifs sont associés aux
troubles
moteurs (paralysie des nerfs mixtes, névrites
sensitives pures, du trijumeau, par exemple). La topographie des
troubles
sensitifs, dans les affections des troncs ner
nvahir tout un membre ou un segment de membre. On observe alors des
troubles
de sensibilité à topo- graphie monoplégique, pa
e. [ROUSSY.] Fig. 58. Névrite du nerf médian. Topo- graphie des
troubles
sensitifs ; anesthésie com- plète au tact; hypo
, on peut se rendre compte des diverses variétés topographiques %de
troubles
sensitifs susceptibles d'être rencontrées en cl
ée du bord cubital de l'avant- bras (Cas Jabr..., Bicctre, 1905).
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 549 La topographie
ique, paraplégique. Dans les névrites infectieuses ou toxiques, les
troubles
sensitifs peuvent se localiser à la totalité d'
névrites des membres inférieurs, revêtir le type paraplégique. Les
troubles
sensitifs revêtent certains ca- ractères partic
ographie des [ROUSSY.] Vigo 40. Lèpre mutilante. Distribution des
troubles
sensitifs. L'anesthésie complète pour le tact,
s mem- hres.[Cas(;an...,Bice(re,1886). 550 ' " SENSIBILITÉ.. ..
troubles
sensitifs dans les affections centrales. Enfin, l
peuvent exister seules (névrites sensitives pures) ou associées aux
troubles
moteurs (névrite sensitivo-motrice). Dans ce der-
). .. , . Fig. 41. Lèpre. Distribution insulaire et segmentaire des
troubles
sensitifs. (Cas Bicêtre, '1897). TROUBLES DE
aire et segmentaire des troubles sensitifs. (Cas Bicêtre, '1897).
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 551 Dans la lèpre,
sulaire. [ROUSSY.] Fig. 42 et 4. Gangrène sénile. Topographie des
troubles
de la sensibilité, au sixième jour (fig. 42), a
. Fig. 44. Même cas, au seizicme jour. ,) : )t) SENSIBILITE. V.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ DANS LES NÉVROSES Les trouble
SENSIBILITE. V. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES NÉVROSES Les
troubles
de la sensibilité objective sont fréquents dans l
blement à leur association à l'hystérie. On peut enfin observer des
troubles
de la sensibilité, présentant les mêmes caractère
niques du système nerveux, par association hystéro-organique. Ces
troubles
sensitifs doivent être bien connus du praticien d
iculièrement nets dans l'hystérie. I. HYSTÉRIE Anesthésies. Les
troubles
sensitifs ont toujours paru si fré- quents dans
lade : c'est parce qu'il a vu, chez d'autres malades, de semblables
troubles
, ou qu'il a entendu parler d'eux, ou plus souvent
ouvent encore parce qu'il a été soumis à un examen médical, que ces
troubles
apparaissent. Aussi est-il indispensable de pre
plique sur les téguments des corps chauds et des corps froids, tout
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 555 cela tantôt à
d'interrogatoire peut déjà être le point d'une suggestion. » Les
troubles
sensitifs hystériques rentrent dans le groupe des
n. » Les troubles sensitifs hystériques rentrent dans le groupe des
troubles
primitifs (Babinski) de cette névrose, caractér
sthésie), exaltée (hyperesthésie) ou pervertie (paresthé- sie). Ces
troubles
intéressent aussi hien les sensibilités superfici
ingomyéliques, par exemple, se brûler sans souffrir. En un mot, ces
troubles
sont « sub- conscients », les sensations non pe
lle est tenace et peut persister des mois et des années. Enfin, ces
troubles
ne modifient en rien l'état des réflexes organiqu
ire apparaître ou disparaître. Leur topographie. La topographie des
troubles
sensitifs dans les névroses est des plus variab
u et les muqueuses de toute une moitié du corps et s'accompagne de.
troubles
des sens spéciaux, c'est l'hémialiesthésie dite
ofondes, chez un homme de 50 ans. (Cas Lamb..., Bicctrc, 1905.) .
TROUBLES
DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE. 555 2° Type segmen
OBJECTIVE. 555 2° Type segmentaire. La disposition segmentaire des
troubles
sensitifs est presque pathognotnonique de l'hys
urrait servir pour dia- gnostiquer l'épilepsie de l'hystérie. Les
troubles
de la sensibilité sont également fréquents dans l
et la tétanie, comme, du reste, dans les affections précitées, les
troubles
sensitifs sont le plus souvent des manifestatio
ANESTHÉSIE CORTICALE Lorsque le médecin constate chez un malade des
troubles
sensitifs et qu'il cherche à en établir la natu
ez les névropathes, s'il ne veut point exagérer (ou même créer) ces
troubles
. Il se rappellera ensuite que ce n'est pas la rec
it au contraire à la lésion organique. Il devra connaître enfin les
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 557 signes cliniqu
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 557 signes cliniques particuliers aux
troubles
sensitifs hystériques, signes (lue nous avons d
il un territoire anatomique. Ces signes aideront il distinguer les
troubles
fonctionnels des anes- thesies organiques, quel
! e. C'est elle qu'on observe le plus fréquemment en clinique. Les
troubles
moteurs affectent le plus habituellement, chez
l recherche, sans suivre les préceptes que nous avons indiqués, les
troubles
sensitifs, il constatera fréquemment l'existence
sthésie s'accompagne d'hémiplégie, on devra, avant de s'occuper des
troubles
sensitifs, rechercher la nature des troubles mo
avant de s'occuper des troubles sensitifs, rechercher la nature des
troubles
moteurs. L'examen du malade dénionlre-t-il que
tte hémiplégie est hystérique, on devra penser tout d'abord que les
troubles
sensitifs reconnaissent la même origine, et ce
st qu'avec la plus grande réserve qu'on approfondira l'étude de ces
troubles
sensitifs. Si, au contraire, l'hémiplégie est o
sies organique et hystérique. Si rhemiauesthesie existe seule, sans
troubles
moteurs, sans modifi- cation des reilexes, on p
mais aussi absolue que dans l'hystérie; elle ne s'accompagne pas de
troubles
des sens spéciaux; elle est habituellement inco
re le diagnostic étiologique de ces anesthésies fonctionnelles. Les
troubles
sensitifs hystériques peuvent et doivent être g
que. i donc le médecin doit se garder d'attirer t'attention sur les
troubles
de la sensibilité, chez un hystérique qui n'en ac
doit, au contraire, persuader au malade qui s'en plaint combien ces
troubles
sont peu de chose et combien ils sont facilement
bles sont peu de chose et combien ils sont facilement curables. VI.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ DANS LES PSYCHOSES P- Les m
r chez eux l'examen sotnatique. Malheureusement, la recherche des
troubles
sensitifs, dans les psychoses, présente de grande
donné le déficit inlellectuel du sujet. La valeur séméiologique des
troubles
sensi- tifs en psychiatrie est donc de peu de s
s en psychiatrie est donc de peu de secours pour le diagnostic. Les
troubles
sensitifs objectifs chez les aliénés sont : 10 or
les psychonevroses : confusion mentale, hypocondrie, etc. VII. -
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS VISCÉRALES La sensibilité des
est le plus souvent diminuée ou abolie (anesthésie viscérale). Ces
troubles
TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 559 se
lus souvent diminuée ou abolie (anesthésie viscérale). Ces troubles
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 559 se rencontrent
enfin on est forcé déjuger l'état de l'altération sensitive par les
troubles
de fonctionnement que présente organe. Sensib
sibilité vésicule, fréquentes dans le tabès, se manifestent par des
troubles
de la miclion, par un retard ou une disparition
sion du creux epigas- iriquc (moitié des cas) et par les différents
troubles
du fonctionnement de l'organe. Nous ne faisons
fait. et renvoyons, pour plus de détails, à l'article consacré aux
troubles
digestifs dans les mala- dies du système nerveu
ilets nerveux 1. 1'oy. Guillain, Revue de méd., mai 1901, p. 429.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 561 cutanés sensit
, p. 451. 4. [ROUSSY] 5 : 02 - SENSIBILITE. CHAPITRE II - .
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE Généralités.' Cont
OUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE Généralités.' Contrairement aux
troubles
de la sensibilité objec- tive qui sont éveillés
té objec- tive qui sont éveillés par une excitation extérieure, les
troubles
de la sensibilité subjective relèvent d'une exc
u de les exaspérer. Par leur fréquence et par leurs caractères, les
troubles
subjectifs de la sensibilité tiennent une grand
o-névralgies par compressions médullaires, Examen et recherche des.
troubles
subjectifs. Il est donc très important pour le
en quelque peu expert saura déjouer par différents artifices. Les
troubles
de la sensibilité subjective comprennent : 1° les
bjective comprennent : 1° les douleurs; 2° les dysesthésies; 5° les
troubles
de la sensibilité organique et les modification
ensibilité organique et les modifications des besoins organiques.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITE SUBJECTIVE. 565 I. - LES DOUL
diagnostic ; ici les malades sont impotents, non pas en raison d'un
trouble
de l'appareil, locomoteur, mais bien au prorata d
ur ne répond donc pas d'une façon exclusive à un type de maladie.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. M5 Par leur siège
la syphilis, la céphalée peut s'observer soit il la période secon-
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 5C7 claire, soit
tiques des céphalées méningitiques avec leurs vomis- sements, leurs
troubles
digestifs ; c'est ce qu'on appelle le lIléJlinyis
lalgie, connue les autres sym- ptômes de la migraine (vomissements,
troubles
digestifs, vaso-moteurs, oculaires, abattement
ils apparaissent toutes les semaines ou tous les mois, par inter- ,
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 569 valles à peu
définitive. La migraine ophtalmique doit son nom à ce fait que les
troubles
ocu- laires y occupent le premier rang. Le scot
spastÙj1le ou srjntpalltico-toztique (duBois-Reymond), ce sont les
troubles
sympathiques qui dominent : vaso-constriction des
e tabès. Le type le plus fréquent est la crise gastrique (Voir art.
Troubles
nerveux de l'appareil digestif); mais on peut ob-
associe aux autres sym- ptômes de l'aller lion : adipose, asthénie,
troubles
psychiques, qu'elle précède souvent. TROUBLES
adipose, asthénie, troubles psychiques, qu'elle précède souvent.
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 571 1 III. LES DO
et surviennent par crises; dans l'intervalle il ne persiste que des
troubles
dysesthésiques : engour- dissements et fourmill
n présence, relativement à la cause intime des douleurs centrales :
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 575 4° les phénom
s'établit de ce fait des confusions de mot avec les pares- thésies,
troubles
de la sensibilité objective, dont il a été questi
est-il préférable de réser- ver la dénomination de paresthésies aux
troubles
de sensibilité d'ordre objectif, et celle de dy
esthésies peuvent exister seules ou s'accompagner de douleurs et de
troubles
objectifs de la sensibilité. Leur siège. Files
éiologie. Si les dyscsthesies s'associent habituellement aux autres
troubles
sensitifs (douleurs, anesthesies, paresthésies),
faisons ([ne signaler ici, pour les éliminer, les dysesthésies par
troubles
circulatoires d'ordre local ou général : dyseslhé
troubles circulatoires d'ordre local ou général : dyseslhésics des
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE..575 membres dans
des deux mains, avec phénomènes dysesthésiques très marqués. Tas de
troubles
de la sensibilité pro- fonde. (Cas lioac..., Bi
s. Aux dysesthésies, se joignent des phénomènes doulou- reux et des
troubles
de la sensibilité objective (hypoesthésie), qui r
pographie nettement radiculaire (Dejerine et Egger, Thrombert). Les
troubles
subjectifs que nous avons signalés peuvent égalem
triques et bilatéraux, ils sont quel- quefois unilatéraux. Tous ces
troubles
surviennent par crises qui appa- raissent ordin
quelle les engour- dissements, les picotements, les douleurs et les
troubles
sensitifs objec- . TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ S
s, les picotements, les douleurs et les troubles sensitifs objec- .
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 577 tifs réponden
.. - Mais c'est principalement au début des affections spinales par
trouble
circulatoire, par artérite subaiguë ou chroniqu
'). Ce syndrome est essentiellement caractérisé par ce fait/que les
troubles
de la marche, la lourdeur, la faiblesse des. memb
ce séméiologique dans la période initiale des affections dues - aux
troubles
de la circulation artérielle par athérome ou sy
hémiplégie. Dans cer- tains cas, les dysesthésies s'associent à des
troubles
intellectuels passa- z1. Revue neurologique, n°
de la miction, le besoin sexuel sont très fréquemment touchés (voir
Troubles
génito-urinaires). Mais c'est surtout dans les
ns les affections organiques du système ner- veux s'accompagnant de
troubles
marqués des sensibilités subjectives superficie
souvent fort difficile 1)1.a- tiquer. La valeur séméiologique des
troubles
des besoins naturels et des sen- sations intern
ur le trajet des nerfs sensitifs. A ces douleurs se surajoulcnt,des
troubles
vaso-moteurs, sécrétoires, trophiques. , J'élim
ps. Les douleurs, en cas de plaie des nerfs, sont accom- pagnées de
troubles
objectifs de la sensibilité et de troubles trophi
, sont accom- pagnées de troubles objectifs de la sensibilité et de
troubles
trophiques (causalgie de 1'cir-Iitchcll). La
façon radicale la névralgie et la névrite. Il n'y a entre ces deux
troubles
morbides qu'une différence de degré. Des névr
rs primitives. Les crises douloureuses sont souvent accompagnées de
troubles
vaso- moteurs et sécrétoircs. Au début des accè
s souvent à un schéma anatomique qu'à 1 une réalité clinique. Les
troubles
de la sensibilité objective, observés dans les né
vral- gies anciennes, de l'anesthésie. En réalité, je crois que les
troubles
de la sensibilité dépendent surtout de la cause
anées soient très vives, c'est l'anesthésie dite douloureuse. Les
troubles
trophiques accompagnant les douleurs névralgiques
cas de névralgies persistantes et très douloureuses surviennent des
troubles
psychiques, de l'irritabilité, de l'insomnie, de
éologie abondante, n'amènent pas les mêmes réac- tions et les mêmes
troubles
que les douleurs réelles; elles ont une allure
ires en l'ab- sence de toute lésion locale, elle semble dépendre de
troubles
psychiques. C'est une variété d'algie centrale
ent par la toux, 1 etcrnuemcnt (Dejerine, Leenhardt et Norero). Les
troubles
de la sensibilité (hyperesthesics, anesthésies) p
en bande de la distribution des racines posté- rieures. Parfois aux
troubles
sensitifs s'ajoutent des (roubles moteurs il to
. Entre les accès les téguments de la face sont hypercsthesies. Des
troubles
moteurs sont observés (htepharospasme, mouvements
nt pas le siège de contractions. Au cours des accès on constate des
troubles
vaso-moteurs : pâleur ou congestion de la face,
, hyperemie des muqueuses conjonclivale, pituitaire et buccale. Des
troubles
secretoires existent : hypersécrétion de larmes
illue (glaucome auriculaire ou surdité névralgique de Celle). Les
troubles
Irophiques appartiennent aux névralgies faciales
ngue amener un véritable aplatissement d'une moitié de la face. Les
troubles
trophiques sont fréquents dans cette forme de n
n a dit que le testicule irri- table d'Astley Cooper était dû à des
troubles
vaso-moteurs provoqués par une névralgie ilr'o-
ouleurs, ce qui s'explique par l'extension du nerf sciatique. Des
troubles
moteurs sont fréquemment observés. La marche est
es marchent, ils boitent. Dans les cas de névrites, on constate des
troubles
paralytiques dans le domaine des muscles innervés
ytiques dans le domaine des muscles innervés parle scia- tique. Les
troubles
de la sensibilité sont très variables : hyperesth
nt très variables : hyperesthesics. anesthésies. La topographie des
troubles
de la sensibilité est importante à déterminer,
erminer, on peut ainsi reconnaître les sciatiquos radiculaires. Les
troubles
vaso-moteurs et trophiques sont fréquents dans le
, les dou- leurs seraient le symptôme principal ou même unique, les
troubles
trophiques feraient défaut. Dans la sciatique-n
, ou observerait, outre les douleurs, de l'atrophie musculaire, des
troubles
de la sensibilité de la peau, le nerf serait pa
dou- leurs qui prennent fréquemment le caractère fulgurant, par des
troubles
de la sensibilité à topographie radiculaire. Le
st difficile pendant les crises douloureuses. On ne constate pas de
troubles
de la sensibilité tactile et thermique. La pathog
fois d'héinianopsie latérale homonyme transitoire, parfois aussi de
troubles
sensitifs sous forme de paresthésies, d'hyperes
ement. Dans les formes vaso-motrices de la migraine on constate des
troubles
du sympathique, soit de la pâleur faciale avec
uent. La céphalalgie; d'origine toxique; se constate dans le cas de
troubles
diges- tifs, de constipation, de troubles hépat
e constate dans le cas de troubles diges- tifs, de constipation, de
troubles
hépatiques avec vomissements bilieux, dans le c
l'arlério-sclérose cérébrale et souvent existe longtemps avant les
troubles
paralytiques du ramollissement cérébral sénile.
gnent de céphalées. Nombreuses sont les céphalalgies dépendant de
troubles
de l'appareil de la vision. Dans le glaucome, l
a vision. Dans le glaucome, la céphalée est très violente. Certains
troubles
légers de la réfraction amènent parfois des cépha
a préconisé récemment pour ces injections cette formule nouvelle :
TROUBLES
DES RÉFLEXES par le DU 0. CROUZON Un réflexe
tait le réflexe à l'état normal. Nous allons étudier maintenant les
troubles
des réflexes et leur signification pathologique
e réflexe rotulien est normal et où l'on constate l'abolition ou le
trouble
du réflexe du tendon d'Achille. Van Gehuchten e
es réflexes rotuliens un certain degré d'ataxie des mouvements, des
troubles
sensitifs, l'ensemble des symptômes constitue le
lien du côté atteint par la paralysie. Enfin on peut observer les
troubles
des réflexes non seulement dans les toxémies ne
paralysie générale est la seule qui offre d'une façon fréquente des
troubles
du réflexe patellaire. En effet, en dehors de l
es affaiblissements des réflexes. On lient observer également des
troubles
des réflexes dans des lésions labyrinthiques; P
n rapport avec la gravité de l'état général et avec l'intensité des
troubles
cérébraux du début. Sur les 55 enfants qui l'on
u- vent liée aux symptômes suivants : paralysie, signe de Babinski,
troubles
des fonctions des sphincters et quelquefois esc
taux.) .. 45.0 - - REFLEXES. suivies pendant plusieurs années, ce
trouble
doit être considéré comme étant sous la dépenda
Babinski n'apparaît pas dans l'hémiplégie, il faut tenir compte des
troubles
de la sensibilité de la plante du pied qui empê
se que toute abolition des réflexes cutanés a pour signification un
trouble
dans la voie pyramidale, trajet de ces réflexes
idale, trajet de ces réflexes cutanés cortico-spinaux. Toutefois le
trouble
du réflexe peut s'observer également dans les l
eurs et des voies centripètes, dans ce cas il y a en même temps des
troubles
de la sensibilité : telles sont les névrites pé
, crémastériens et plantaires. Il y a donc chez les diabétiques des
troubles
des réflexes cutanés qui concordent avec les tr
abétiques des troubles des réflexes cutanés qui concordent avec les
troubles
des réflexes tendineux. Dans l'hystérie, au con
teils, qui a une valeur pathologique. Quelle que soit la valeur des
troubles
des réflexes au point de vue de la topographie
e et Babinski, la localisation n'a pas été précisée. [CROUZON.] J
TROUBLES
DE LA MOTILITÉ HÉMIPLÉGIE - - Par le D' O. CR
; parfois l'impossibilité de la station debout tient surtout à des
troubles
de l'équilibre ; parfois enfin il s'agit d'une so
notable de leur force musculaire. Dans un orand nombre de cas, les
troubles
moteurs du côté réputé sain sont dus en réalité
émiancstbésic de certains hémiplé- giques répond, en réalité, à des
troubles
sensitifs qui n'ont rien de com- mun avec l'ane
de com- mun avec l'anestbesic vulgaire. * Quoi qu'il en soit, les
troubles
de la sensibilité à la piqûre ou au pin- cement
riques des membres qu 1\ leur racine; la face peut participer à ces
troubles
sensitifs, mais ils y sont moins marqués qu'aux m
ils y sont moins marqués qu'aux membres. Un autre caractère de ces
troubles
sensitifs est d'être transitoires (de quel- que
t le plus souvent d'une lésion thalamique (Dejerine, Roussy). Comme
troubles
sensitifs du côté des organes des sens, dans l'hé
ien n'est moins certain que leur existence dans l'hémiplégie. Les
troubles
du sens musculaire sont, comme ceux de la sensibi
tout au moyen des mouvements passifs. La stéréo-agnosie désigne les
troubles
de la fonction sléréognostiiiiic qui consiste d
reconnaissance des objets au moyen de la palpation. Ces différents
troubles
sensitifs peuvent se trouver réunis chez un mêm
s comme d'origine trophique. L'atii, ! Iol,7,opliie est encore un
trouble
trophique qui n'est pas très rare dans 1 hémipl
émiplégiques avec contracture, peut être consi- déré aussi comme un
trouble
trophique bien caractérisé. Quant à l'oedème qu
hémiplé- gies récentes et très intenses dépendent beaucoup moins de
troubles
tro- phiques spéciaux que du manque de soins de
que du manque de soins de propreté de la part des infirmiers. Les
troubles
des sphincters qui s'observent dans certains cas
[CROUZON.] 468 HÉMIPLÉGIE. présenter, en outre du gâtisme, des
troubles
mentaux divers, mais on ne peut pas dire que ce
isme, des troubles mentaux divers, mais on ne peut pas dire que ces
troubles
mentaux, dans la grande majorité des cas soient
non sans raison, soutenir que l'aphasie doit être rangée parmi les
troubles
mentaux ac- compagnant l'hémiplégie, mais, l'ap
de bourrer une pipe, le membre apraxique n'en peut venir à bout. Ce
trouble
des mouvements est tellement comparable aux tro
enir à bout. Ce trouble des mouvements est tellement comparable aux
troubles
aphasiques que Pierre Marie a exprimé l'opinion q
d'hémiplégie dans lesquels l'écorce est intéressée sont surtout les
troubles
de la sensibilité superficielle ou profonde, la
, on constate la diminution ou l'abolition du réflexe pharyngé, des
troubles
de la déglutition et de l'arli- culation pouvan
uefois des mouvements cluwéi- formes ou riralléatoires, ou bien des
troubles
de la sensibilité : douleurs, hémianesthésic, o
roubles de la sensibilité : douleurs, hémianesthésic, ou encore des
troubles
de la mimique, mais ces diffé- rents troubles s
thésic, ou encore des troubles de la mimique, mais ces diffé- rents
troubles
sont loin de se rencontrer constamment dans les l
ité anormale, et non proportionnelle a celle de l'hémi- plégie, des
troubles
du coté de la langue et des lèvres, pourrait être
Babinski et Nageottc : d'un côté paralysie des membres, de l'autre,
troubles
cérébelleux, hémiasynergie, latéropulsion, nyst
Cestan) : d'un côté incoordination, mouvements choréo-athétosiques,
troubles
sensitifs, paralysie faible, de l'autre paralys
les de présenter une atrophie considérable; on y constate alors des
troubles
vaso-moteurs accentués. Dans une autre forme, i
fréquente; très souvent aussi il s'agit d'épilepsie. vulgaire. Les
troubles
(fêla sensibilité sont très rares. Les réflexes
parole embar- rassée, mais il s'agit seulement de dysarthrie et de
troubles
dans la con- stitution de la phrase. L'intell
al a subi chez ces enfants un retard de développement par suite des
troubles
de la nutrition générale (Léri).. MOUVEMENTS AS
tout à la période finale de la maladie ; il indique l'apparition de
troubles
mé- dullaires et esl nn signe d'un pronostic fâ
eurs ? La valeur de ces constatations sera précisée par l'étude des
troubles
de la sensibilité; l'on notera, s'il y a lieu,
l y a lieu, l'existence d'une dissociation syrin- gomyélique. Les
troubles
trophiques (cyanose, escarres, ichthyose, etc.),
éciser l'intensité, la répartition des atrophies musculaires et des
troubles
des réactions électriques au niveau des muscles a
nts. On complétera cet examen local par un examen général du sujet (
troubles
des membres supérieurs, état des yeux, signe d'
général de la maladie est à ce prix, et la connaissance précise des
troubles
de la marche permettra l'appréciation à distanc
ions fibre-tendineuses dont nous avons déjà parlé, ainsi que divers
troubles
trophiques. cyanose, état ichthyosique de la peau
s peuvent être normaux ou abolis, ils sont rarement exagérés. ' Les
troubles
de la sensibilité sont essentiellement variables;
ie, hyperesthésie, dissociation syringomyélique, disso- ciation des
troubles
des sensibilités superficielle et profonde. Ces t
ciation des troubles des sensibilités superficielle et profonde. Ces
troubles
présentent généralement une topographie radicul
é des paraplégies spasmodiques ne s'accompagnant d'absolument aucun
trouble
de la sensibilité. PARAPLÉGIE. 489 Les réflex
lis, ils sont rare- ment exagérés. Du côté de la sensibilité, des
troubles
essentiellement variables peuvent se noter; leu
siège ordinaire des lésions causales de la paraplégie, l'étude des
troubles
sphinctériens et génitaux acquerra une importan
être que passager et précéder l'impotenlia coeuncli. . Ce sont là
troubles
du début ; plus tard, on constate le plus souvent
exes cutanés est variable; ils sont en général plutôt diminués. Les
troubles
des sensibilités superficielles, de la notion de
it impos- sible d'en tracer un tableau précis. Il n'existe point de
troubles
tro- phiques. si ce n'est dans les paralysies d
fébrile, rapide, telles que les méningo-myélites infectieuses. Les
troubles
électriques sont des plus variables, nuls ou ca
la sangle abdominale. Comme dans les paraplégies spasmodiques. les
troubles
de la sensibilité sont très variables et Van Gehu
es accidents moteurs ne se manifes- tèrent qu'après une période, de
troubles
sensitifs purs. , Paraplégies croisées. Syndrom
utilité est normale. On a bien signalé de l'beunpa- résie : mais ce
trouble
reste exceptionnel. Il s'accompagne d'une faible
al, la sclérose en plaques, la sclérose latérale amyotrophique, les
troubles
d'origine vasculaire, les grosses lésions congé
exposerons tout d'abord les éléments du diagnostic différentiel des
troubles
de la marche; nous séparerons ensuite les paraplé
] 4n2 PARAPLÉGIE. combinaisons multiples que peuvent réaliser les
troubles
de la inutilité,- de la réflectivité, de la sen
t à proprement parler paralysie. Démarches ataxo-cérébelleuses. Ces
troubles
de la progression sont en réalité fort différen
ont des névropathes, et les circonstances dans lesquelles débuta le
trouble
nouveau mettent parfois sur la voie du diagnost
erger peut même être provoqué au lit par flexion brusque du pied.
Troubles
de la marche par contractures ou rigidités de nat
tte difficulté de progression liée aux contractures, se placent les
troubles
déterminés par la rigidité musculaire. Il en est
s paraplégies de cause banale non bacillaire. On a même signalé des
troubles
spasmodiques spéciaux aux rachitiques, d'étiologi
e est peu apparente ou même tout à fait dissimulée. D'ailleurs, les
troubles
osseux sont les mêmes ou il peu près dans tous ce
on générale, la inutilité est plus atteinte que la sensibilité; les
troubles
sphinctériens sont inconstants. La sensibilité
atteinte de façon diverse. Ses altérations pré- cèdent parfois les
troubles
de la motilité; et il n'est point rare d'observer
des alternatives très prononcées dans l'étendue et l'intensité des
troubles
sensitifs. Cette « anesthésie oscillante » ne s
radiculaires, de la rétention dans les lésions médullaires, et les
troubles
trophiques sont généralement attri- bués à des
out dans le crural et le sciatique. Elles s'accompagnent souvent de
troubles
trophiques intenses. Nous ne saurions passer en
ilatation simple du canal épendymaire; c'est une syringomyélie sans
troubles
de la sensi- bilité. La syringomyélie propremen
parfois même limité à de l'exagération des réflexes. Les principaux
troubles
intéressent les membres supérieurs : contrac- t
rmo-anesthesie et analgésie, atrophie de la musculature de la main,
troubles
trophiques des doigts. La main présente des types
e correspond au type de la main de singe ou de cadavre; atteinte de
troubles
trophiques, c'csl. la main de Jlorvan avec ses pa
rose en, plaques est, en général, typique, d'intensité moyenne. Les
troubles
des sphincters, les altérations trophiques sont
ions trophiques sont exceptionnels et très tardifs en tout cas. Les
troubles
de PARAPLÉGIE. 4M la sensibilité sont absents
ux aux membres supérieurs, même lorsque ceux-ci ne présentent aucun
trouble
fonctionnel. La marche est souvent possible encor
ues. " - 4" Paraplégies shasnirodirjncc ? avec contracture intense,
troubles
sphinclériens prononcés et précoces; il peut ex
, troubles sphinclériens prononcés et précoces; il peut exister des
troubles
Il'0- phiqnes souvent effrayants [escarres). Ce
fourmillement, tantôt chez un malade affaibli, asthénique, quelque
trouble
vésico-urinâire ou génital est très fréquemment
iculté de résister aux envies d'uriner. ' Lorsque surviennent les
troubles
de la marche, on constate une altéra- tion vari
arie). Les réflexes sont nettement exagérés. Il- n'existe jamais de
trouble
trophique, escarre ou atrophie. Une des caracté
produisant la spasticité des membres supérieurs, du nystagmus, des
troubles
de la parole, tout le groupement classique de l
tractures empêchant tout déplacement. En même temps s'observent des
troubles
génito-urinaires prononcés. Il y a quelquefois
tat définitif. À ce moment, la contracture est des plus fortes. Les
troubles
sphinctériens et trophiques sont très intenses,
' 6° Paraplégies spasmodiques ne s'accompagnant en général ni de
troubles
des sphincters, ni de troubles trophiques, ni d'e
s ne s'accompagnant en général ni de troubles des sphincters, ni de
troubles
trophiques, ni d'extension de l'orteil. Paraplé
si la section de la moelle a été d'emblée ou rapidement totale. Les
troubles
trophiques, les altérations de la sensibilité (
la sensibilité (anesthésie, dissociation s'I'IIrOrrIV'('111111C), les
troubles
sphinctériens sont précoces et intenses. Si la
n- tres bulbaires enfin. Les sphincters sont intacts, il existe des
troubles
vaso-moteurs intenses, et la mort survient par
pes de muscles qui subiront une atrophie définitive. Il n'existe ni
troubles
des sphincters ni troubles de la sensibilité. P
une atrophie définitive. Il n'existe ni troubles des sphincters ni
troubles
de la sensibilité. Puis l'atrophie musculaire a
s l'atrophie musculaire aidant, les membres atteints présentent des
troubles
trophiques souvent intenses. Les moindres sont
ation connue sous le nom de cul-de- jatte. Il va de soi que de tels
troubles
sont d'autant plus accusés que le membre est pl
teint avec élection les muscles des extrémités et détermine de gros
troubles
sensitifs accompagnés de douleurs sur le trajet
s poly- névrites. Dans celles-ci encore, signalons la fréquence des
troubles
vaso-moteurs et trophiques, l'atteinte éventuel
oteurs et trophiques, l'atteinte éventuelle des nerfs crâniens, les
troubles
psychiques signalés par Korsakow, et la possibili
r semble atteint. ? 5° Paraplégies flasques à évolution lente, sans
troubles
des sphinc- ters en général. Il existe un degré
trophie, et l'on constate des secousses fibrillaires. Il existe des
troubles
de la sensibilité, mais ce ne sont en général q
a base de sustentation, des muscles durs, puis mous. Il n'existe ni
troubles
sen- sitits, sphinctériens ou électriques, ni a
disparate, mais que l'on s'accorde actuellement il faire relever de
troubles
circulatoires ou toxiques. De ce nombre sont le
des battements artériels de la pédieuse au moment de l'accès et des
troubles
vaso-moteurs intenses; dans le second cas, il n
e de Erb. Enfin, on a, un peu en désespoir de cause, attribué à des
troubles
toxi- 'lues certaines paralysies intermittentes
ni d'incontinence ou de rétention, ni d'atrophie musculaire, ni de
troubles
accusés des réflexes [extension de l'orteil). On
de la tympauite, de la rétention d'urine, de la constipation ou des
troubles
menstruels. Assez souvent les personnes atteint
des réflexes tendineux avec exagé- ration des réflexes cutanés, les
troubles
sphinctériens (l'hystérique est propre), l'exag
clonus vrai pathologique, les modifications électriques. Enfin, les
troubles
de la sensibilité sont différents selon l'étiol
èvre, fourmille- ments, rachialgie osseuse, abolition des réflexes,
troubles
électriques. Quasi-certitude : escarres, cystit
ffections congénitales. Les enfants présentent un certain nombre de
troubles
se manifestant dès le jeune. Age et rentrant da
es infé- rieurs. L'intelligence est souvent intacte. Il n'existe de
troubles
ni dans la sensibilité, ni dans le jeu des sphi
uin revenant se toucher par leur pointe. On rencontre également des
troubles
spasmodiques dans une autre malformation congén
la chorée, de l'athétose ; la paraplégie n'est que partie de leurs
troubles
. Parfois se peut noter chez le même individu la c
a flexion de la cuisse avec atrophie en jarretière, peu ou point de
troubles
électriques. 5° Paraplégie spasmodique familial
t que chez les paraplégiques familiaux, il n'existe ni scoliose, ni
troubles
de la sensibilité, ni mouvements choréi- l'orme
tisme précoce et accusé. On attribue il l'a ¡¡/l'l'Ollie sënile des
troubles
réalisant un syndrome sensiblement comparable a
e certaine titubation, un degré très variable d'incoordination. Les
troubles
sphinctériens n'ont rien de constant ni de path
ndemnes d'ordinaire, il n'y a pas d'amyo- trophie en général, ni de
troubles
accusés de la sensibilité. La maladie peut pers
(Crouzon). 3° Paraplégies snziles sans modification des réflexes ni
troubles
du névraxe, gâtisme terminal. Myopathie sénile
dureté des cordes musculaires tendues et rétractées. Il n'existe ni
troubles
sphinctériens, ni modifications des réflexes te
aire, et dans le tabès enfin, on peut invo- quer, selon le cas, les
troubles
circulatoires, l'épuisement par hyperalgies, le
meuses paralysies urinaires, bien peu probablement ressortissent de
troubles
réflexes. Il s'agit le plus peuvent de polynévr
maladie est tenace et le malade réduit à l'immobilité, souffrant de
troubles
sphinclériens et de graves complications trophi
ction définitive d'un segment central ou périphérique. L'absence de
troubles
de la sensibilité est également favo- rable en
sur la queue de cheval. On analysera soigneusement les différents
troubles
présentés par le malade, et l'on apportera un s
IC EN HAUTEUR DU, -SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES. le territoire des
troubles
sensitifs. De cette délimitation précise dépend
région étu- diée intéressant souvent le bulbe adjacent, et les -
troubles
bulbaires dominant le tableau morbide. La compr
nature et d'intensité variables selon les causes déterminantes; les
troubles
peuvent être plus intenses aux membres supérieurs
nstants. Ce sont là. phénomènes banaux : plus particuliers sont les
troubles
suivants. Il peut en effet exister des pseudo-n
peuvent encore traduire les lésions de ce nerf. Il existe enfin des
troubles
de la motilité de la tête, flexion, rotation, ext
ullaires. On observe fréquemment le syndrome de Brown- Séquard. Les
troubles
sphinctériens sont intenses, et d'autant plus p
mplète, avec anesthésie remontant Ù la partie inférieure du ventre,
troubles
sphinctériens intenses, et souvent escarre au s
tes établit une discordance variable entre la limite supérieure des
troubles
observés et la hauteur de la lésion médullaire.
e sacrée se traduit par un syndrome sciatique. c'est-à-dire par des
troubles
de la sensibi- lité des régions externe et post
ssent souffrir de sciatique simple, unilatérale ou double. Mais les
troubles
de la sensibilité attei- gnant en avant le pli
atrophie rapide, la réaction de dégé- nérescence hâtive. Il y a des
troubles
trophiques intenses, cyanose, algidité, oedème
approfondi de la sensibilité permettra dans ces cas de dépister des
troubles
parfois considérables et de parvenir ainsi au dia
pitre, voir plus haut, pp. 558-344, l'étude détaillée de cer- tains
troubles
sensitifs, et plus loin les figures et le texte d
sensitifs, et plus loin les figures et le texte de la séméiologie des
troubles
radiculaires. PARALYSIE PÉRIODIQUE FAMILIALE
électrique et des réflexes pendant la paralysie. Il n'existe pas de
troubles
de la sensibilité ni de troubles de l'intellige
t la paralysie. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité ni de
troubles
de l'intelligence ; souvent, la maladie sur- vi
et du pharynx, d'où production de difficulté de la respiration, de
troubles
de la déglutition, de troubles de la parole.
de difficulté de la respiration, de troubles de la déglutition, de
troubles
de la parole. Cependant, on peut dire d'une faç
es recouvrent leurs fonctions en sens inverse de l'invasion, et les
troubles
électriques disparaissent en même temps que les
on, et les troubles électriques disparaissent en même temps que les
troubles
moteurs. La durée de l'accès peut être de quelq
séniéiologique des paralysies, avant de décrire la topographie des
troubles
de la inutilité dans les lésions tronculaires,
les fonctions des diflé- rents muscles du corps humain et aussi les
troubles
qui résultent de leur paralysie isolée. La conn
rapporter à la physiologie normale des muscles pour comprendre les
troubles
consécutifs à la suppression de la fonction d'un
ant une action semblable il celle du deltoïde, il peut atténuer les
troubles
produits par la paralysie de ce muscle. Récipro
n muscle d'une puissance faible; aussi sa. paralysie n'amène pas de
troubles
importants. Sous-scapulaire. Insertions. Le sou
maire, du petit palmaire, du cubital anté- rieur, n'entraîne pas de
trouble
dans l'attitude de la main, elle abolit la flex
ronation et la supination. La paralysie de ce muscle n'amène pas de
troubles
appréciables si le triceps est normal. Long abd
très énergique. La paralysie isolée de ce muscle n'entraîne pas de
troubles
fonctionnels importants. MUSCLES DU MEMBRE IN
r antérieur et l'extenseur commun sont paralysés, il en résulte des
troubles
de la marche. Le pied ne pouvant se fléchir frott
complète ou presque complète du sterno-mastoïdien n'entraîne pas de
troubles
fonctionnels bien graves. Babinski a insisté sur
r il manque parfois chez l'homme, et sa section n'est pas suivie de
troubles
circulatoires. Sterno-thyroïdien. - Insertions.
à la respiration normale, ils peuvent être, atrophiés sans que des
troubles
respiratoires importants existent, ils ont une ac
ine la tête de son côté. La paralysie de l'angulaire n'amène pas de
troubles
importants dans la statique de l'omoplate, car
amidal du cordon latéral se traduit par une hémiplégie spinale. Les
troubles
de la motilité dans certains cas d'hémiplégie s
e constater que tous les muscles du bras ne sont pas paralysés, les
troubles
sont limités il certains groupes musculaires. Les
facilement que si à la paralysie du muscle deltoïde s'ajoutent des
troubles
parétiques dans les . muscles grand dentelé, so
lilal, que l'extension est pos- sible. Le triceps ne présente aucun
trouble
. Prie-t-on le malade dont le bras est étendu de
et du nerf cubital. C'est à la main que se constate le maximum des
troubles
. Les muscles des éminences thénar et hypothénar
re inférieure et en rend le diagnostic facile, c'est l'existence de
troubles
oculo-pupillaires sur les- quels a insisté Mine
sceau supé- rieur du muscle trapèze innervé par le nerf spinal. Les
troubles
de la sensibilité dans la paralysie radiculaire
nt très rares. Les paralysies radicu- laires sensitives pures, sans
troubles
moteurs concomitants, sont excep- tionnelles.
s jours après leur accident, ils ont généralement disparu., . Les
troubles
moteurs observés dans les paralysies radiculaires
e se font au niveau des racines hautes, on s'explique ainsi que les
troubles
des racines basses soient presque toujours en c
Raymond, dans une de ses leçons, en cite plusieurs exemples. Les
troubles
de la sensibilité dans les paralysies radiculaire
mains, dans les bras, mais il faut alors faire la part de certains
troubles
subjectifs consécutifs à des lésions trophiques,
ui peuvent survenir dans les paralysies graves et non traitées. Les
troubles
de la sensibilité cutanée ont été diver- sement
ment interprétés par les auteurs. Dans beaucoup d'observations, les
troubles
de la sensibilité sont passés sous silence. Les c
iques disent que, dans les paralysies radiculaires supérieures, les
troubles
de la sensi- bilité font défaut et qu'au contra
que plus tardivement, elle a en partie disparu. On trouve alors des
troubles
de sensibilité qu'on s'explique mal si on ignor
ulaires traumatiques, j'ai vu souvent la régression progressive des
troubles
sensitifs, la bande radiculaire diminuer, s'inter
'interrompre, dispa- raitre. Dans les cas de paralysies graves, les
troubles
de la sensibilité peuvent persister. C'est touj
ter. C'est toujours sous le type radiculaire (pie se mon- trent les
troubles
sensitifs. J'ai indiqué plus haut quelle était le
adiculaire aura été inégale pour les diverses paires du plexus, les
troubles
sensitifs pourront régresser plus ou moins rapide
peut dire que dans les paralysies radiculaires trauma- tiques, les
troubles
de la sensibilité correspondent aux troubles mote
es trauma- tiques, les troubles de la sensibilité correspondent aux
troubles
moteurs par leur topographie radiculaire. Les t
spondent aux troubles moteurs par leur topographie radiculaire. Les
troubles
de la sensibilité dans les paralysies graves pe
subsister qu'une paralysie du type Duchenne-Erb, par exemple, sans
troubles
sensitifs aucuns. Les troubles sensitifs sont m
type Duchenne-Erb, par exemple, sans troubles sensitifs aucuns. Les
troubles
sensitifs sont moins profonds que les troubles mo
ensitifs aucuns. Les troubles sensitifs sont moins profonds que les
troubles
moteurs, ils sont moins durables. Ces faits que
s'aplatir sur les transverses, fait qui explique et la douleur et les
troubles
de la sensibilité. Prolonge-t-on la traction, l
hibition par commotion radiculaire durant peu de temps, puisque les
troubles
sensitifs ne persistent pas. Donc, on peut conc
dans les paralysies radiculaires trautnatillues, la persistance des
troubles
de la sensibilité dépend du traumatisme lui-même
ysies radiculaires traumatiques totales ou il type infé- rieur, les
troubles
oculo-pupillaires existent souvent, mais si, comm
a lésion de la première dorsale se fait sur la pre- mière côte, ces
troubles
feront défaut. Les réactions électriques sont v
ée, liroca a cité un cas de paralysie radiculaire obstétricale avec
troubles
oculo-Intllillaircs; j'en ai observé personnellem
ysies sont souvent causées par l'arrachement radiculaire, aussi les
troubles
trophiques -sont fréquents, les atrophies muscula
re et du plexus sacré seront étudiées dans le chapitre consacré aux
troubles
de la sensibilité il topographie radiculaire. C
e. C'est, en effet, spécialement par la topographie radiculaire des
troubles
de la sensibilité que le diagnostic de ces para-
ble parce que le malade le veut ou le croit tel. L amyotrophie, les
troubles
des réactions électriques, les troubles des réf
oit tel. L amyotrophie, les troubles des réactions électriques, les
troubles
des réflexes manquent chez l'hystérique ; il exis
d'ailleurs exceptionnels, car on observe presque toujours quelques
troubles
du côté du membre inté- rieur. La monoplégie d'
ysie infantile se reconnaîtra par son début, fébrile, l'absence des
troubles
de la sensibilité; la paralysie se localise il ce
laire totale. La paralysie est flasque, les réflexes sont abolis, les
troubles
SÉMIOLOGIE DES PARALYSIES DES NEUFS CRANIENS. 6
OLOQIE DES PARALYSIES DES NERFS CRANIENS ET DES NERFS SPINAUX LES
TROUBLES
DE LA MOTILITÉ A TOPOGRAPHIE PÉRIPHÉRIQUE Par
niveau des deux tiers antérieurs de la langue du côté paralysé; ces
troubles
du goût existent d'ailleurs seule- ment au suje
embrane tympanique. D'après Friedrich, l'hypcracousie et les autres
troubles
auditifs susceptibles de s'associer à la paralysi
qui détermine dans le canal de Fallope la paralysie faciale. Des
troubles
trophiques et vaso-moteurs se constatent parfois
du point d'ori- gine de la corde du tympan on constate en outre des
troubles
de la gus- tation. Si la lésion est au niveau d
u du ganglion géniculé déterminerait, d'après certains auteurs, des
troubles
du voile du palais, mais il convient d'ajouter
observe le tableau clinique précédent, il l'exception toutefois des
troubles
du goût. Les paralysies faciales d'origine basila
u du poumon et du tube digestif, de la paralysie du vague, mais les
troubles
cardiaques et laryngés sont bien connus. Le p
st lésé au-dessus de la naissance du nerf récurrent, on observe des
troubles
laryngés, une paralysie des. muscles du larynx
e, elle augmente son excursion normale, aussi l'on n'observe pas de
troubles
très nets de la voix. 11 n'en est pas de même e
cas de paralysie bilatérale, l'aphonie est alors com- plète et les
troubles
respiratoires très accentués. On trouvera d'aille
a paralysie, de la branche interne du spinal a pour conséquence des
troubles
de la phonation et, de la déglutition. Lorsque co
k. rJ, l'II, 1', sont difficiles à prononcer. On observe aussi des
troubles
de la déglutition, les aliments s accumulent en
ypoglosses sont paralysés, ainsi dans les paralysies bulbaires, les
troubles
moteurs, la difficulté de la phonation et de la
au niveau du coude, les muscles supina- teurs sont respectés. Les
troubles
de la sensibilité sont fort peu importants dans l
rigore ou par com- pression on ne les observe presque jamais. Les
troubles
trophiques ne sont pas très fréquents; il faut si
ot. considérait celte tumeur dorsale du poignet comme un véritable,
trouble
trophique; pour Erb, cette lésion aurait une or
ante dans la paralysie du cubital. Quand elle existe on observe les
troubles
de la sensibilité au niveau de la région de l'é
s deuxième et troisième phalanges sont dans une demi-flexion. Les
troubles
de la sensibilité font très souvent défaut dans l
ou l'impossibilité de la marchc, du saut, de la station debout. Les
troubles
sensitif ? quand ils existent, s'observent à la
r le mouvement, surtout si la jamhe est en extension. t Lorsque des
troubles
sensitifs existent dans la paralysie du sciatique
in4) ; dans ces conditions, la marche est presque impossible. Les
troubles
vaso-moteurs et les troubles trophiques sont rela
a marche est presque impossible. Les troubles vaso-moteurs et les
troubles
trophiques sont relativement, fréquents dans le
ccasion de la retrouver. [LANNOIS] 1 640 MALADIES DU LARYNX. I.
TROUBLES
SENSITIFS Nous indiquerons ici : 1 u l'anesthés
nx; 2° l'hperesllrésie; 5" les paresthésies 4° la névralgie; 5" les
troubles
réflexes d'origine laryngée. 1" Anesthésie du
thésie du larynx, liée ou non à l'hémianestlrésic cutanée, mais les
troubles
plus ou moins gené- ralisés à toute la muqueuse
quides et des aliments dans le larynx. Zieinssen a même signalé les
troubles
de la sensibilité dans les para- lysies du récu
tbie), les lésions graves du cerveau (paralysie générale), certains
troubles
démentiels s'accompagnent d'anesthésie du laryn
s, elle disparaît peu il peu lorsqu'il s'agit de névrite comme dans
TROUBLES
SENSITIFS. 641 1 la diphtérie. L'anesthésic hys
de l'électricité et de la strychnine. Chez les aliénés qui ont des
troubles
de la déglutition on sera parfois obligé de recou
r les auteurs classiques, n'a pas donné de résultats à Huault. 5°
Troubles
réflexes d'origine laryngée. Le plus commun est
laryngée. Un cas semblable, syphilitique, a été publié par Ott. Les
troubles
du larynx sont exceptionnels dans la sclérose en
ès qui est l'affection médullaire se compliquant le plus souvent de
troubles
laryngés. Sur 7'1 cas delaryngoplégietabé- tiqu
ir grave. Elle s'accom- pagne souvent de spasmes, coïncide avec des
troubles
gastriques. Le plus souvent il s'agit de lésion
beaucoup plus facilement touché (Lermoyez). Il faut ajouter que les
troubles
tabétiques laryngés pourraient se rencontrer en d
ent sous l'in- fluence du froid ou d'une laryngite : on a alors des
troubles
de la sensi- bilité -avec voix rauque ou seulem
pelons seulement que dans les lésions progressives du récurrent, le
trouble
primitif le plus important est l'altération brusq
anente de la glotte et se traduit, comme son nom l'indique, par des
troubles
graves de la respiration; 2° le spasme glottique
ut et le malade revient à lui, un peu obnubilé el effaré, mais sans
trouble
respiratoire apparent. Les conditions de produc
ssi qu'il existe une prédisposition névropathique sans laquelle les
troubles
réflexes ne se produiraient pas ou n'atteindraien
des nourrissons; 2° la toux nerveuse; 3° le vertige laryngé; 4° les
troubles
laryngés dans les névroses : 5" le spasme glottiq
de Brown-Sequard sur faction inhibitrice de l'acide carbonique. 4°
Troubles
laryngés dans les névroses. Nous avons déjà sig
véritable aura laryngée. C'est surtout l'hystérie qui détermine des
troubles
du côté du larynx, sous forme de toux quinteuse
nt à la chorée. La chorée de Sydenham peut d'ailleurs présenter des
troubles
laryngés, respiratoires ou phonatoires et plusi
le goitre, etc. Nous aurions pu aussi bien décrire ici certains des
troubles
que nous venons de signaler dans l'hystérie ou
muscle, tantôt sur un autre et donnant des images très variées. Ces
troubles
peuvent disparaître par le repos, par le traiteme
cette névrose en effet tous les muscles respirateurs concourrait au
trouble
fonctionnel et la contracture spasmodique du la
que, cuivrée, enrouée, le timbre désagréable. Elle correspond (le.,
troubles
de l'accommodation musculaire, d'ailleurs variabl
utôt grand, comme celui des barytons ou des basses chantantes et le
trouble
phonétique est lié à une insuffisance de l'accomm
paraît pas être, connue le pensaient Duchenne et Virchow, un simple
trouble
trophique, une dégénérescence parenchymateuse : d
elle qui est presque toujours le premier signe, mais le degré de ce
trouble
est essentiellement différent dans les « paraly
FORMES CLINIQUES. - CLASSIFICATION - L'atrophie musculaire est un
trouble
trophique. Ce trouble trophique peut être dû à
CLASSIFICATION - L'atrophie musculaire est un trouble trophique. Ce
trouble
trophique peut être dû à l'altération en un poi
une modification pathologique de la cellule motrice. Enfin, ce même
trouble
trophique parait pouvoir être dû à une atteinte m
rax, du crâne, absence ou atrophie congénitale de certains muscles,
troubles
psychiques fréquents, début de l'atrophie par l
tion de ces cas et presque leur dénomination de « myopathies » . Le
trouble
du développement, peut porter parfois non seule
un groupe il part et qui permet de les considérer comme dues il un
trouble
congénital de la nutrition, c'est leur caractèr
e chez les malades, chez leurs ascendants ou leurs collatéraux, des
troubles
mentaux, l'idiotie (Duchenne, Langdon-Down, Mob
s de dégénérescence.) ' Les os paraissent présenter fréquemment des
troubles
trophiques, mais leur recherche n'a encore été
ur la production de cette déformation, mais il semble certain qu'un
trouble
trophique de la colonne vertébrale est indispensa
produire les altérations révélées par les rayons X : d'une part un
trouble
trophique provoquant l'atroplùe des os et les d
, cliniducment indemne. Son altération se manifeste surtout par des
troubles
psychiques. Les troubles psychiques ont été signa
on altération se manifeste surtout par des troubles psychiques. Les
troubles
psychiques ont été signalés dans la myopathie a
erger, Benedikt, J. Simon, P. Marie et Guinon. West pliai. Vizioli (
troubles
mentaux 18 fois sur 50 malades), Borsari, Menut
éonard, Guthrie, Barlow et Batten, Santé de Sanctis, etc. etc., Ces
troubles
mentaux sont surtout fréquents dans la paralysi
mes (Fabre, Joffroy, etc.). En 1902, l'association si fréquente des
troubles
psychiques aux troubles musculaires, et en partic
.). En 1902, l'association si fréquente des troubles psychiques aux
troubles
musculaires, et en particulier aux altérations
des tics, maladie de Thomsen, myopathie, maladie de Parkinson). Les
troubles
physiques et les troubles psychiques semblent ê
en, myopathie, maladie de Parkinson). Les troubles physiques et les
troubles
psychiques semblent être dans ces maladies la c
revue d'ensemble de Joffroy de nou- veaux : cas de myopathies avec
troubles
psychiques, débilité mentale, stig- mates de dé
n ('), etc.... Joffroy a lui-même 'signalé un cas de myopathie avec
troubles
mentaux tardifs et passagers et a insisté sur l
ers et a insisté sur la nécessité de rechercher avec grand soin ces
troubles
à la fois dans l'état actuel et dans les antécé
s ou moins sur le développement de tous les tissus; beaucoup de ces
troubles
, et parmi les plus fréquents, débilité mentale,
quents, débilité mentale, anomalies dentaires, thorax en entonnoir,
troubles
circulatoires et secrétoires divers, etc., rent
trent parmi les stigmates ordinaires de la dégénérescence. Tous ces
troubles
sont plus ou moins accusés, d'ordi- naire d'aut
vidua- lité même s'il est démontré qu'elle doit être attribuée à un
trouble
fonc- tionnel du système nerveux (Erb), voir à
presque toujours dans la première ou seconde enfance. Le premier
trouble
est d'ordinaire un affaiblissement des membres
é est d'ordinaire intacte; cependant divers auteurs ont signalé des
troubles
sensitifs : hyperesthésie (Berger, Moebius), hypo
eption- nellement la mort par elle-même, car on ne connaît guère de
troubles
viscéraux qui en soient la conséquence immédiat
, de la forme scapulo- humérale déterminent des déformations et des
troubles
spéciaux des mouvements. L'atrophie des muscles
gouttières vertébrales déter- mine la même attitude et les mèmes
troubles
de la marche et des mouve- ments que la paralys
de Reinhold une atrophie légère de la langue, surtout à droite, des
troubles
de la déglutition et une insuffisance des abducte
s (iuinon, de Veriest, etc. D'après ce que nous venons de dire, les
troubles
de l'attitude et des mouvements sont les mêmes
acces- soires extra-musculaires qui montrent dans les myopathies un
trouble
du développement portant sur tous les tissus, s
oraciques et vertébrales ne font pas partie du tableau morbide; les
troubles
psychiques sont exceptionnels et ne consistent
e seule fois un arrêt de développement intellectuel (Sainton) ; les
troubles
vaso-moteurs et trio- phiques (cyanose des extr
facile à reconnaître par l'examen des membres aurepos v et par. les
troubles
fonctionnels. .' Les pieds sont en varus équin,
ier. Il est d'ail- leurs remarquable de constater combien, avec ces
troubles
considérables, les malades sont habiles de leur
encore plus faciles et ceux du coude sont tout il fait libres. Les
troubles
dans l'exécution de certains petits mouvements
des crampes dans les jambes, dans les mains, dans les cuisses. Les
troubles
de la sensibilité objective sont plus rares enc
iée, localisée aux pieds, aux jambes ou aux mains. Cette rareté des
troubles
sensitifs mérite d'être signalée dans une affec-
simple affaiblissement du réflexe lumineux avec ou sans myosis, des
troubles
de la sensibi- lité objective surtout aux extré
ins intense des quatre membres; un trem- blement intentionnel et un
trouble
de la parole (parole scandée, bredouil- lée) re
mie avec ébauche du signe de de Grael'e (cas de Pierre Marie) ; les
troubles
sphinctériens et génitaux ont toujours fait défau
ou spasmo- dique, tremblement intentionnel et massif, nystagmus,
troubles
de la vi- sion, etc.), la forme amyotrophique
laques se caracté- riserait par la fréquence et la préco- cité de
troubles
sphinctériens, tro- phiques et mentaux. La sy
chino). 704' Ci ? . - " - -- - rmOPllOESMUSGULA11OES. par les
troubles
moteurs et trophiques, par la cypho-scoliose parf
sans atteinte des membres inférieurs. L'atrophie, comme les autres
troubles
, est souvent très inégale d'un côté et de l'aut
est qu'une forme de syringomyélie ou de lèpre avec prédominance de-
troubles
trophiques (panaris analgésique, etc.). La' lèp
communs avec la syringomyélie, tels que sensibilité disso- ciée,
troubles
trophiques, etc., et par des symptômes qui lui
te amyotrophie est dite « réflexe » parce qu'on la suppose due à un
trouble
purement dynamique des cellules motrices de la mo
un trouble purement dynamique des cellules motrices de la moelle,
trouble
transmis par la voie des filets sensitifs irrités
ieur, la trépidation épileptoïde apparaît, parfois. On n'observe ni
troubles
de la sensibilité, ni troubles trophiques ou va
e apparaît, parfois. On n'observe ni troubles de la sensibilité, ni
troubles
trophiques ou vaso-moteurs; pourtant, si l'amyo
cour- cissement de la totalité ou d'une partie d'un membre, et de
troubles
trophi- ques et vaso-moteurs portant sur les
condaire à une paralysie brusque : elle est toujours accompagnée de
troubles
de la sensibilité spéciaux (dissociation syring
yringomyélique), parfois du syn- drome de Brown-Séquard, souvent de
troubles
oculo-pupillaires (myosis, rétraction du globe
de paralysie flasque et de paralysie avec contracture, avec ou sans
troubles
trophiques variés et troubles objectifs de la s
alysie avec contracture, avec ou sans troubles trophiques variés et
troubles
objectifs de la sensibilité, complète ou confirme
ans, tous ces cas l'atrophie musculaire n'est qu'un des éléments du
trouble
du développement qui atteint tous les tissus, e
tensité de la paralysie. Dans la paraplégie cérébrale infantile, le
trouble
du développement musculaire et osseux est d'ord
de ' l'écorce ou de la couche optique, pour Roth et Muratow à des
troubles
circu- latoires intramusculaires à point de d
d, Debove ('), Joffroy et Achard, Dejerine), très fréquem- ment des
troubles
trophiques et vaso-moteurs des téguments. L'amyot
bre de symptômes sensitifs, d'autre part le mode d'évolution. Les
troubles
sensitifs sont subjectifs et objectifs. Des troub
évolution. Les troubles sensitifs sont subjectifs et objectifs. Des
troubles
sub- jectifs de la sensibilité sont très fréque
rébrant, et en douleurs à la pression des nerfs ou des muscles. Les
troubles
objectifs de la sensibilité (anesthésies ou par
ité (anesthésies ou parfois hyperesthésies totales ou disso- ciées,
troubles
des sensibilités profondes, musculaire, articulai
uite de toutes les lésions des nerfs mixtes, qui sont la règle. Des
troubles
vaso-moteurs, sécrétoires et trophiques cutanés (
omplètes, des plaies ou contusions, la paralysie, l'atrophie et les
troubles
objectifs de la sensibilité sont d'ordinaire moin
cées dans tout le domaine du nerf au-dessous du point comprimé, les
troubles
subjectifs ou objectifs de la sensibilité sont tr
rand dorsal, grand den- telé, grand pectoral, court supinateur; les
troubles
sensitifs sont localisés au domaine des nerfs m
la main surtout, éminences thénar et hypothénar et interosseux; les
troubles
sensitifs et trophiques sont limités à la zone
les paralysies radiculaires totales, on observe la combinaison des
troubles
moteurs, sensitifs et trophiques des deux formes
tion de la région interne innervée par les 2e et 5e inter- costaux,
troubles
oculo-pupillaires. Les compressions et lésions
ux antérieurs, obtura- teurs, adducteurs et quadriceps fémoral. Les
troubles
sensitifs siègent dans la zone de distribution
diquer; elles peuvent aussi réduire leur symptomatologie à quelques
troubles
sensitivo-lnoteurs variables suivant la ou les
rescence s'observe très fréquemment. Il n'y a généralement d'autres
troubles
objectifs de la sensibilité qu'une hyperesthésie
tableau clinique est complet en un ou deux mois. Plus rarement les
troubles
sensitifs et moteurs se développent en quelques
resque aussitôt suivie de paralysie complète. Dans tous ces cas les
troubles
sensitifs peuvent prédominer sur les troubles mot
Dans tous ces cas les troubles sensitifs peuvent prédominer sur les
troubles
moteurs ou inver- sement. L'atrophie musculaire
férents muscles atteints; les réflexes sont diminués ou abolis, les
troubles
trophiques, vaso-moteurs et sécrétoires sont il
ne maladie infectieuse (fièvre jusqu'à 40°, frissons, courba- ture,
troubles
gastriques, etc.), le début se marque par des tro
ourba- ture, troubles gastriques, etc.), le début se marque par des
troubles
paresthésiques, fourmillements, engourdissement
ttentes, réveil- lées par la pression des nerfs ou des muscles, les
troubles
de la sensibi- lité objective (ordinaires, mais
t, elle s'accompagne fréquemment de réaction de dégénérescence, des
troubles
trophiques cutanés se produi- sent : l'évolutio
aitement élucidées. Dans les différentes formes de polynévrites les
troubles
sensitifs peuvent prédominer sur les troubles m
s de polynévrites les troubles sensitifs peuvent prédominer sur les
troubles
moteurs ou inversement. Quel que soit le mode d
teigne le phrénique et le pneumogastrique et ne détermine ainsi des
troubles
respiratoires et cardiaques mortels. La local
e la sensibilité, par l'anesthésie en plaques, par l'importance des
troubles
trophiques de la peau et de ses annexes, des te
c, le pharynx, le larynx, le phrénique et le pneumo- gastique ; les
troubles
circulatoires et secrétoires sont constants, on
étoires sont constants, on observe de la dyspnée, de l'aphonie, des
troubles
cardiaques, la dispari- tion des sueurs, etc.
horax, le cou; elle est caractérisée par une paralysie flasque avec
troubles
sensitifs objectifs et réaction de dégénérescen
d'emblée à un ou plusieurs nerfs, souvent au seul nerf cubital. Les
troubles
consistent surtout en paralysies douloureuses c
mogastique, etc. Dans la grippe des névrites provoquent souvent des
troubles
moteurs ou sensitifs diffus ou localisés avec o
presque constante, la réaction de dégénérescence est fréquente, les
troubles
sensitifs ne sont pas rares. Les troubles moteurs
scence est fréquente, les troubles sensitifs ne sont pas rares. Les
troubles
moteurs et trophiques peuvent s'étendre aux mus
les symptômes sen- sitifs et moteurs d'une polynévrite mixte ; ces
troubles
atteignent le plus souvent les quatre membres,
de de carbone, le sulfure de carbone se manifestent souvent par des
troubles
sensitifs et paralytiques, mais rarement par de
ement par de l'amyotrophie. Les névrites du diabète déterminent des
troubles
soit sensitifs, soit f [A. LÉRI.] 724 ATROP
724 ATROPHIES MUSCULAIRES. trophiques, soit moteurs ; mais tous ces
troubles
sont souvent isolés dissociés, très diversement
lle de bon nombre de polynévrites, mais elle ne s'accompagne pas de
troubles
sensitifs subjectifs ou objectifs, de douleurs
nte dans le tabes qui certainement en- trent pour une part dans ces
troubles
moteurs et trophiques; ce sont les lésions vasc
- lysies atrophiques sont d'ordinaire partielles et associées à des
troubles
crâniens et méningés divers. Il est probable qu
tiques divers et par des chaussures spéciales, on peut diminuer les
troubles
de la marche dus à la déformation des pieds; de
s membres; évolution lente. 2. Symptômes accessoires inconstants,
troubles
divers du développement : os : atrophie, aplati
aplatissement du bassin; articulations : pseudo-luxations; peau :
troubles
trophiques, vaso-moteurs et sécrétoires : - tissu
; système cardio-vasculaire : diminution de la pression artérielle,
troubles
cardiaques; système nerveux et musculaire : t
artérielle, troubles cardiaques; système nerveux et musculaire :
troubles
psychiques, dégénérescence mentale; maladies co
dégénérescence; modification des réflexes tendineux; peu ou pas de
troubles
du développement. TABLEAU DES CARACTÈRES ET VAR
olution lente (sauf sclérose latérale amyotrophique); pas ou peu de
troubles
trophiques. 2. Variétés analomo-cliniqucs : car
brillaires, ni R. D; paralysie spasmodique, tremblement, nystagmus,
troubles
visuels. b) Parfois spasmodiques, généralement
généralement flasques : .' , Syringomyélie : anesthésie dissociée,
troubles
trophiques (panaris , anesthésiques, etc.), cyp
use : étiologie ; symptômes syringomyéliques (anesthésie dissociée,
troubles
trophiques); symptômes" propres : plaques d'ane
res; tendance il la régression. 2. Caractères associés : paralysie;
troubles
sensitifs subjectifs constants (dou- leurs), ob
fs constants (dou- leurs), objectifs fréquents (anesthésies, etc.);
troubles
vaso-moteurs, secré- toires et trophiques cutan
exclusivement muscu- laire, et on en trouve les causes soit dans un
trouble
de la circulation générale, soit dans une cause
saire par un fonctionne- ment physiologique exagéré ou par certains
troubles
pathologiques, l'hy- pertrophie du muscle peut
e, différant notamment de la mala- die de Thomsen par l'absence des
troubles
de la contraction volontaire ou électrique que,
ralement, puisque nous avons dit que l'atrophie n'est pas un simple
trouble
trophique, niais qu'elle est, d'après les reche
chaque fois que, après un arrêt, le sujet se remet en marche. Ces
troubles
de la contractilité volontaire ne sont pas limité
les ohserve jamais au niveau des muscles de la vie organique. Les
troubles
de la contractilité électrique sont de même ordre
s une diminution de la force contractile; les uns s'accompagnent de
troubles
sensitifs subjec- tifs ou objectifs ou de troub
'accompagnent de troubles sensitifs subjec- tifs ou objectifs ou de
troubles
psychiques, les autres non; enfin les uns prése
ntée, celle-là diminuée (Babinski). On trouve ou non, associés, des
troubles
de la sensibilité objective ou subjective. Dans
m- plète, et l'on conçoit qu'elle puisse avoir pour conséquence les
troubles
les plus différents, d'abord suivant sa localis
a peu de temps pourtant, l'incoordination était considérée comme un
trouble
uniforme, ne variant que dans son siège et dans
les de la coordination paraissent beaucoup -moins fréquents que les
troubles
, même très prononcés, de la sensibilité. L'inco
d'ataxie tabétique oit l'on puisse affirmer qu'il n'existait pas de
trouble
de la sensibilité objective; les quelques cas c
ve; les quelques cas cités autrefois sont sujets à caution, car les
troubles
de. la sensibilité, cutanée, que i on recnercna
t a peu près seuls, ne sont nullement toujours proportionnels aux
troubles
de la sensibilité profonde, articulaire, osseus
taxie la titubationetl'asynergie, et celles-ci ne comportent pas de
troubles
sensitifs. La théorie de l'origine sensitive de
par Mott et Sherrington, par IIering chez le singe. En dehors des
troubles
de la sensibilité objective, d'autres facteurs
on de leur contraction. L'hypotonie a d'ailleurs même cause que les
troubles
sensitifs, à savoir la sclérose des cordons pos
rjew, Aurep), elle est peut-être souvent la conséquence directe des
troubles
de la sensibilité musculaire. La diminution o
ébelleuse est, à l'opposé de l'ataxie, tout à fait indépendante des
troubles
sensitifs ; sa lésion causale siège, soit dans
ules moyen ou supérieur n'est pas suffisante pour provoquer ce même
trouble
. Il semble que les syndromes cérébelleux sont dùs
les provoquer parfois. On comprend que la double origine connue des
troubles
de la coordi- nation, voies sensitives d'une pa
il l'a violemment projeté en l'air comme un obstacle interposé. Le
trouble
est différemment accusé, toujours bien plus prono
e sur les objets environnants en lui faisant fermer les yeux. Les
troubles
de la démarche peuvent être dùs uniquement à l'in
git surtout d'une sorte de paraplégie tout à fait transitoire, d'un
trouble
moteur fonc- tionnel véritable ; peut-être ce s
nes professions prêtent plus volontiers à la découverte précoce des
troubles
ataxiques des membres supérieurs, celles par ex
tude déterminée; on constate aussi l'accroissement considérable des
troubles
quand on em- pêche le malade de surveiller ses
diverses attitudes. Elle entre très souvent pour une part dans les
troubles
de l'équilibre. ' Peut-être l'incoordination de
ou d'autres muscles profonds n'est-elle pas pour rien dans certains
troubles
viscé- raux et dans certaines crises des tabéti
de la tète ou même son instabilité dans les attitudes de repos. Les
troubles
de la mimique, les grimaces de la face pendant la
te. Mirallié a attiré l'attention sur la fréquence dans le tabès de
troubles
de la coordination des muscles oculo-motenrs :
s : ce symptôme est géné- ralement trop peu accentué pour amener un
trouble
fonctionnel et doit être recherché. L'évoluti
que, joue un rôle plus ou moins considérable. L'ergotisme, dont les
troubles
médullaires ont surtout été étudiés par Tuczek
u réflexe rotulien, enfin de l'ataxie avec signe de Romberg ; à ces
troubles
médullaires se joignent souvent des attaques épil
des attaques épileptiformes INCOORDINATION ATAXIQUE. 7(il et des
troubles
psychiques, en particulier de l'excitation maniaq
sychiques, en particulier de l'excitation maniaque. Il n'y a pas de
troubles
oculaires, pas d'abolition du réflexe pupillaire,
culaires, pas d'abolition du réflexe pupillaire, pas ou très peu de
troubles
urinaires et génitaux. Les accidents sont souvent
anémie pernicieuse, on peut voir survenir un mélange d'ataxie, avec
troubles
objectifs et souvent sub- jectifs de la sensibi
cond plan. Dans le diabète on peut observer la presque totalité des
troubles
du tabes : abolition des réflexes rotuliens, do
urs et en ceinture, crises gastralgiques, frigidité et impuissance,
troubles
oculaires, atrophie musculaire, maux perforants
marche mal assurée et talonnante, signe de Romberg; on n'observe ni
troubles
vésicaux, ni signe d'Argyll, ni atrophie papillai
i troubles vésicaux, ni signe d'Argyll, ni atrophie papillaire. Ces
troubles
sont très différemment associés, souvent variab
grands accidents du diabète. Il n'est guère facile de rapporter ces
troubles
, et entre autres l'ataxie, plutôt à une polynév
e sensation de fatigue, une fai- blesse musculaire progressive, des
troubles
de l'équilibre, de l'ataxie des membres inférie
sements et fourmillements, [de l'exagération des réflexes, quelques
troubles
sphinctériens légers, pas de signe d'Argyll. pa
oppement durerait de à l 5 jours, elle s'accompagnerait toujours de
troubles
sensi- tifs et parfois de troubles des réflexes
lle s'accompagnerait toujours de troubles sensi- tifs et parfois de
troubles
des réflexes; la terminaison serait générale- m
r polynévrite se fera par l'absence du si°ne d'Argyll, l'absence de
troubles
sphinctériens et génitaux et, en général, de to
sence de troubles sphinctériens et génitaux et, en général, de tous
troubles
viscéraux, la douleur à la pression des troncs
cles douloureux, la topographie périphérique et non radiculaire des
troubles
sensitifs, l'évolution généralement rapide, en
partie ; à l'incoordination se joignent toujours des vertiges, des
troubles
mentaux, fréquemment des troubles sensitifs, qu
ignent toujours des vertiges, des troubles mentaux, fréquemment des
troubles
sensitifs, quelques troubles de la parole, des tr
des troubles mentaux, fréquemment des troubles sensitifs, quelques
troubles
de la parole, des troubles par- étiques, des tr
uemment des troubles sensitifs, quelques troubles de la parole, des
troubles
par- étiques, des troubles gastro-intestinaux.
ifs, quelques troubles de la parole, des troubles par- étiques, des
troubles
gastro-intestinaux. Cette symptomatologie montre
es grandes oscillations, sa démarche en zigzag, la prédominance des
troubles
de l'équilibre sur les troubles des mouvements
rche en zigzag, la prédominance des troubles de l'équilibre sur les
troubles
des mouvements des membres isolés, présente plus
t en effet de l'incoordination cérébelleuse par la prédominance des
troubles
de l'équi- '' libre, titubation, oscillations d
tères spéciaux. A l'opposé de l'ataxique, le cérébelleux n'a pas de
troubles
de la sen- sibilité superficielle ou profonde,
- tueuse : l' incoordination cérébelleuse consiste surtout, dans un
trouble
de la composition des mouvements complexes et d
ns un trouble de la composition des mouvements complexes et dans un
trouble
de l'équilibre. Pourtant nous avons dit que les
e particulièrement altéré chez certains et il en résulte parfois un
trouble
même des mouve- ments les plus simples. Avec
ré- helleuse, admirablement décrite par Duchenne de Boulogne, où le
trouble
prédominant est un trouble de l'équilibre. B) L
décrite par Duchenne de Boulogne, où le trouble prédominant est un
trouble
de l'équilibre. B) L'asynergie cérébelleuse, tr
remarquablement étudiée par Babinski, où le (rouble capital est un
trouble
de la composition des mouvements entraînant ou no
et. Du côté des membres supérieurs, on ne constate souvent pas de
trouble
correspondant à la titubation; on observe cependa
s scandée, à la fois traînante, hachée et explosive. Ces derniers
troubles
, troubles des membres supérieurs, de l'écriture
à la fois traînante, hachée et explosive. Ces derniers troubles,
troubles
des membres supérieurs, de l'écriture et de la
l'asthénie, plus ou moins accusée, mais sans paralysie vraie, sans
trouble
notable de la force de chaque muscle pris isolé
trouble notable de la force de chaque muscle pris isolément et sans
trouble
de la sensibilité musculaire; les vomissements,
rac, Gribbon, etc.. des tumeurs du vermis n'avaient déterminé aucun
trouble
de l'équilibre. L'élude de la physiologie du cer-
tre, dans des cas plus ou moins frustes, l'origine cérébelleuse des
troubles
que présentent certains malades. Mais l'asynerg
lleuse est essentiellement variable; elle peut rester limitée à des
troubles
peu gênants (petite asynergie), elle peut, au c
t à l'unilatéralité, et ordinairement accompagnée d'épilepsie ou de
troubles
mentaux graves. L'atrophie Oll.vO-0)t ! o-C('
lubéran- tielles qui intéressent les voies cérébelleuses ; mais ces
troubles
feraient défaut quand les plaques de sclérose s
des modifications dans les mouvements isolés, mais surtout par des
troubles
de l'équilibre dans la marche et dans la statio
omme clans le tabès vulgaire par les membres inférieurs : aussi les
troubles
de la marche sont parmi les premiers symptômes; i
quelquefois seulement diminués. Le signe d'Argyll fait défaut. Les
troubles
de la sensibilité superficielle et du sens musc
t explosive, saccadée, mais non scandée. Il n'y a presque jamais de
troubles
de la sensibilité superfi- cielle ou profonde.
troubles de la sensibilité superfi- cielle ou profonde. Tous les
troubles
de la coordination sont donc à peu près les mêmes
rotuliens; la présence très fréquente de paralysies oculaires ou de
troubles
ataxiques des mus- cles de l'oeil; la présence
rarement à la cécité complète; 1 absence presque constante enfin de
troubles
trophiques, de déforma- lions du pied ou de la
is il existe aussi une ébauche du signe de Romberg ()3ouvcrel). Ces
troubles
, associés aux troubles gastriques et génito-urina
ébauche du signe de Romberg ()3ouvcrel). Ces troubles, associés aux
troubles
gastriques et génito-urinaires, aux douleurs lo
(astasie-abasie trépi- dante) ; mais ces mouvements compliquent un
trouble
fonctionnel de la marche, ils n'en sont pas la
ie-abasie : les variétés de cette affection sont à décrire avec les
troubles
de la marche. [A. LÉRI.] 782 INCOORDINATIONS.
tion de chaque mouvement). 1. INCOORDINATION ATAXIQUE Origine :
trouble
sensitif : perte de la notion du degré de contrac
nt (Rouchaud). e) Système nerveux entier : intoxications aiguës :
Troubles
associés nerveux et gastro-intestinaux; Signes
gastro-intestinaux; Signes d'incoordination surtout cérébelleuse :
troubles
de l'équilibre; ., Signes spéciaux suivant l'in
ue, périphérique ou central : « ataxie labyrinthique » : Mélange de
troubles
de l'équilibre cinétique importants (d'apparence
ilibre cinétique importants (d'apparence cérébcl- * leuse ? ) et de
troubles
de l'équilibre statique avec signe de Romberg (d'
ion ou post-rotatoire). II. INCOORDINATION CÉRÉBELLEUSE Origine :
trouble
de coordination motrice par lésion de l'appareil
et : Atrophie ou sclérose : syndrome pur- ou associé à épilepsie et
troubles
mentaux z Tumeurs : syndrome associé à vertiges
et galvanique et le massage ont leurs indications surtout dans les
troubles
parétiques ou atrophiques du tabès, ainsi que p
arétiques ou atrophiques du tabès, ainsi que pour atténuer certains
troubles
sensitifs et comme tonique général dans cette m
eurs sensitifs, racines et cordons posté- rieurs, est avant tout un
trouble
sensitif : si le malade exécute mal les mouveme
nts, qu'il sache apprécier dans chaque cas le siège et le degré des
troubles
sensitifs, la nature des mouvements compromis et
lle facilité peuvent se produire chez les tabé- tiques, atteints de
troubles
trophiques multiples, les ruptures muscu- laire
peuvent être variés à l'infini, suivant le siège et l'intensité des
troubles
ataxiques et suivant l'ingéniosité de l'éducateur
et les yeux fermés permettra de se rendre compte de l'intensité des
troubles
sensitifs et d'établir ainsi, jusqu'à un certai
or celle-ci n'est nullement proportionnelle, nous l'avons dit, aux
troubles
de la sensibilité cutanée ; comme les troubles
ous l'avons dit, aux troubles de la sensibilité cutanée ; comme les
troubles
de la préhension sont sou- vent dus, chez les t
e le pronostic de la cure sera d'autant plus favorable que, pour un
trouble
donné de la préhen- sion, il y aura plus d'atax
fait banale en ses caractères, nous nous attacherons à préciser les
troubles
observés dans la sphère des nerfs crâniens. En
s précédents se superposent, mais avec une importance variable, des
troubles
sensitifs. Certains sont banaux : anes- thésie
e et de l'hyperes- thésic croisées associées à l'hémiplégie, ou des
troubles
sensitifs homo- nymes du trijumeau, compliqués
paralytique. On a signalé une incoordination motrice secondaire aux
troubles
f sensitifs étendus et intenses; mais il peut s
auteur du bulbe naissent le pneumogastrique et le spinal; aussi les
troubles
viscéraux et trophiques tiennent-ils une grande p
réas. On a noté d'énormes polyuries : des malades, surtout dans les
troubles
bulbaires traumatiques, ont uriné jusqu à 8 lit
TIER.) 802 SÉMÉIOLOGIE DU BULBE. Ajoutons, pour en finir avec les
troubles
neuro-trophiques, que l'on a pu ranger dans les
miplégie croisée fait défaut. 11 est d'abord une série de cas où le
trouble
bulbaire porte exclusivement sur les noyaux d'o
f. Il ne survient dans cette dernière maladie qu'après une série de
troubles
spastiques et atrophiques intéressant les quatre
sant les quatre membres. Quoi qu'il en soit, on observe d'abord des
troubles
de la motilité linguale, de la dysartbric, de l
aircs; la réaction de dégé- nérescence s'observe à leur niveau. Les
troubles
respiratoires et car- diaques entraînent finale
mois et même plusieurs années, 2 il ;) au grand maximum) le moindre
trouble
de la sensibilité. La mort survient ordinaireme
c (lerobelllent partiel ou total de l'appareil de susten- tation et
troubles
oculo-moteurs réflexes, état nauséeux et anxieux,
t parmi ses symptômes, vomissements, vertiges, plyalimne, polyurie,
troubles
occulaires, auditifs ct vaso-motcurs. Syndrom
ue la mort n'est pas immé- diate, le malade, comateux, présente des
troubles
prononcés du coeur et des poumons. Il y a fréqu
t dits s'ajoutent des signes d'hypertension crânienne. De plus, les
troubles
sont souvent fugaces, irréguliers, changeants;
: céphalée, douleurs de la nuque, rigidité du cou, spasmes faciaux,
troubles
paracousiques, dys- phagie, polyurie, glycosuri
, dys- phagie, polyurie, glycosurie. On peut observer également des
troubles
sensitifs intéressant le territoire du trijumea
e la myasthénie d'Erb-Goldttam. Dans cette affection également, les
troubles
sont irréguliers, fugaces, déconcertants; dans
e duquel se manifesta une hémiplégie légère, accompagnée parfois de
troubles
fugaces de la parole et de la déglutition. II e
e et de la dysphagie apparais- sent, qui ne rétrocéderont plus. Ces
troubles
moteurs en revanche peu- vent être, nous le ver
malade il ictus successifs, un hémiplégique double, chez lequel les
troubles
de la phonation et de la déglutition l'emportent
s troubles de la phonation et de la déglutition l'emportent sur les
troubles
moteurs des membres. Il va de soi que ce malade
aux Parkinsoniens, dont ils ont en effet la passivité. Parfois des
troubles
de l'équilibre s'ajoutent aux précédents. Dress
au diagnostic 'différentiel de l'affection. Il existe en outre des
troubles
considérables de l'articulation des mots, troub
ste en outre des troubles considérables de l'articulation des mots,
troubles
pouvant aller jus- qu'à la suppression complète
sentent qu'un caractère spécial, c'est de n'être accompagnées ni de
troubles
trophiques, ni de troubles électriques : l'atroph
cial, c'est de n'être accompagnées ni de troubles trophiques, ni de
troubles
électriques : l'atrophie musculaire et la réact
énérescence font toujours défaut ('hez les pseudo-bulbai- l'es. Les
troubles
de la mastication et de la déglutition peuvent êt
énéralement conservée. On peut observer du myosis. II n'existe ni
troubles
des sphincters, ni altérations de la sensibilité.
lution et formes cliniques. Certains malades présentent surtout des
troubles
de la phonation, d'autres de le dysphagie, d'autr
grimace du pleurer, avec ses crises émotionnelles désordonnées, ses
troubles
de la mastication et de PARALYSIE PSEUDO-BULBAI
ensité de la dysarthie et de la dysphagie, l'effacement relatif des
troubles
parétiques la distinguent immédiatement des troub
nt relatif des troubles parétiques la distinguent immédiatement des
troubles
pa- raplégiques et des hémiplégies simples ou d
existe chez presque tous les hémiplégiques, du moins au début, des
troubles
de la déglutition et de la mastication, aussi a
l'ictus est unique, sans perte de connaissance le plus souvent. Les
troubles
qui surviennent ensuite comprennent non seu- le
re ; plus tard se décèleront une atrophie musculaire notahle et des
troubles
des réactions électriques. Il peut à dire vrai
myotrophie prononcée avec D. R., l'intégrité de l'intelligence, les
troubles
cardio-respiratoires rendent en général le diag
n de ces malades chez lesquels le déficit intellectuel entraîne des
troubles
de l'expression de la pensée, pouvant plus ou m
u l'absence de phénomènes paralytiques, sur la nature également des
troubles
de l'articulation. On distinguera ainsi le pseu
sique de Brocha. On se rappellera l'existence chez l'aphasique d'un
trouble
de l'in- telligence portant sur les différents
nseurs aux membres et à la tête. En même : temps se.manifestTit des
troubles
de l'équilibre, des douleurs le long.de la colo
soit, on peut, d'une façon générale, distinguer à la. marche des
troubles
deux étapes distinctes : l'une bul- baire, l'au
des névralgies et des vertiges, par de la diplopie fugitive, des
troubles
de la .déglu- tition, de la mastication. Les pu
ont indemnes sous les paupières tombantes. Symptômes spinaux. Les
troubles
précédents sont définitifs, mais varient d'un j
tissement, intermittences après effort), voire de l'iris. Quand les
troubles
sont plus accusés, l'aspect du malade est typique
t rapide, pour ainsi dire instantanée. Ajoutons qu'il n'existe ni
troubles
de la sensibilité, ni troubles des sphincters.
tantanée. Ajoutons qu'il n'existe ni troubles de la sensibilité, ni
troubles
des sphincters. Les réflexes sont peu ou point
à 4 ans après le début. L'issue fatale relève, nous le répétons, de
troubles
cardio-bulbaires (cyanose, accélération du pouls)
re qu'augmente, se maintient ou se répète l'effort. Au début, les
troubles
des nerfs crâniens peuvent faire prendre les my
rsque ce sont les muscles de la vie végétative qui sont le siège de
troubles
moteurs convulsifs, il est préférable de parler d
sions doivent être soigneusement différenciées d'une série d'autres
troubles
moteurs, dont voici les princi- paux. Les contr
en qui puisse le faire prévoir. Mais d'autres fois on note quelques
troubles
moteurs, de l'agitation, des secousses musculaire
IVES. vers les viscères et il en peut résulter des hémorragies. Ces
troubles
cir- culatoires, puis surtout l'entrave apporté
oeur sont, accé- lères et, du côté des capillaires, on constate des
troubles
circulatoires périphériques se traduisant par d
observer également dans l'hystérie, l'épilepsie, etc. Enfin divers
troubles
nerveux ne sont pas des raretés : byperesthésie
sions, un même mécanisme pathologique déclenchant en même temps les
troubles
convulsifs et les troubles sécrétoires, thermique
thologique déclenchant en même temps les troubles convulsifs et les
troubles
sécrétoires, thermiques, etc. Manche, durée, te
nerveux par naissance avant terme, la sy- 11111t ? héréditaire, les
troubles
digestifs, le sevrage prématuré, l'excita- tion
rtout fréquentes chez les nourris- sons élevés au biberon, dans les
troubles
digestifs; c'est là une question qui reste il t
st tou- jours prudent de prévenir les familles de la possibilité de
troubles
intel- lectuels et paralytiques, de contracture
onnent des convulsions le plus souvent partielles, accompagnées des
troubles
de la compression cérébrale, tels que stase pap
rodromes (céphalalgie, doigt mort, barre épigastrique de Chaussier,
troubles
visuels, etc.) et d'une phase d'invasion (contrac
rchant les signes essentiels de la paralysie générale, tremblement,
troubles
de la parole, signe d'Argyll-Robertson, etc. On
en réalité le symptôme initial de l'accès et affectent la forme de
troubles
moteurs, sensitifs, sensoriels ou psychiques et
pilhia- lisntc (Babinski), absents chez les épileptiques; tous les
troubles
pithia- tiques peuvent être reproduits par sugg
. La peur de trembler, la lI'élllopllObie (Mcigc) peut accentuer le
trouble
moteur. 6" Évolution du tremblement. Le tremb
asynergie cérébelleuse décrite par Babinski est caractérisée par un
trouble
dans la faculté d'associer les mouvements des div
s des 1renr ! JI(']lle1ts : ce sont, comme l'a montré Brissaud, des
troubles
moteurs dépendant d'une irritation siégeant sur
ntie (Revue Neurologique, 15 no- vembre 1909) ont observé les mêmes
troubles
de la sensibilité et en particulier le tremblem
on fait écrire au malade on trouve dans son écriture, en dehors des
troubles
psychographiques, des troubles calligraphiques
uve dans son écriture, en dehors des troubles psychographiques, des
troubles
calligraphiques (Joffroy) qui sont caracté- ris
manifester aux membres inférieurs et entrer pour une part dans les
troubles
de la marche. Ce tremblement est minime au repo
s : ' M2 TREMBLEMENTS. suivant Brissaud, un argument en faveur du
trouble
fonctionnel central qui préside il la maladie.
nsonien. la raideur, l'attitude figée, la thermo- phobie, enfin les
troubles
psychiques pourront concourir à faire faire le
depuis 50 et 40 ans, unis on peut invoquer d'autres arguments, les
troubles
des réflexes tendineux observés par Syllaba et
orps, c'est l'hemichoree. Chacune de ces localisations entraîne des
troubles
fonctionnels spé- ciaux, le faciès est grimaçan
sautillement perpétuel (Trousseau), ou bien il s'agit simplement de
troubles
plus légers consistant clans des inégalités de
a marche, dans l'élévation trop grande de la jambe, quelquefois les
troubles
peuvent être au contraire heaucoup plus accentu
n 2 ou 5 temps. Tous ces mouvements entraînent un certain nombre de
troubles
, les frottements répétés amènent des excoriatio
ue des nerfs et des muscles est eu général diminuée. La chorée ne
trouble
pas d'une façon générale les réflexes tendineux.
ateurs ou des centres excitateurs du système nerveux central. Les
troubles
de la sensibilité sont inconstants, il existe des
rticulaires, des douleurs au point d'émergence des nerfs ; mais les
troubles
de la sensibilité objective n'appartiennent pas à
inuée dans cette affection.. La chorée est souvent accompagnée de
troubles
mentaux, mais il est préférable de faire une de
ux, mais il est préférable de faire une description complète de ces
troubles
mentaux dans les modalités de la chorée qui y s
ettes. Toutefois il convient dès maintenant de nous demander si ces
troubles
sont dus à la chorée elle-même, et s'ils ont un
vec Joffroy, Séglas, Breton, que la chorée ne fait que susciter des
troubles
mentaux qui relèvent du tempérament du malade.
tre faut-il admettre avec Blocq et Grenet qu'il faut distinguer les
troubles
psychiques réellement très fréquents dès le début
e ou dans un affaiblissement léger de la mémoire; plus rarement ces
troubles
sont assez accentués pour donner au malade l'as
ur donner au malade l'aspect d'un imbécile où d'un idiot. Enfin les
troubles
psychiques paraissent directement liés à la cho
étudier, nous voulons parler de la chorée chronique. A côté de ces
troubles
, Blocq et Grenet pensent qu'il faut classer des m
hallucinatoire aigu souvent caractéristique de l'état de mal : ces
troubles
psychiques sont peut-être d'origine toxique. Da
relations entre l'intensité (le la chorée et. le développement des
troubles
psychiques. Le liquide céphalo-mchidien a été é
es cho- réiques (Ollive, Thèse de Paris, 1885), mais, à côté de ces
troubles
, il existe d'autres cas, où la paralysie domine
de muscles différents, et on constate alors que la diffusion de ces
troubles
puisse en imposer pour la chorée. suffira de déco
. début est lent, la chorée est précédée de prodromes : ce sont des
troubles
psychiques, affaiblissement des facultés intell
minants, l'affection est alors constituée. A la période d'état, les
troubles
moteurs ont les caractères que nous avons décri
s international de Médecine de Paris, section de Neurologie). Ces
troubles
des réflexes avaient déjà été vus par Joffroy, il
ut y avoir affaiblissement ou suppression des réflexes, c'est là le
trouble
qui se rencontre chez la plus grande partie des c
t les mouvements involontaires, on constate dans la chorée d'autres
troubles
moteurs. Nous avons déjà vu qu'il y a rarement in
s ce qu'il y a de spécial dans la chorée de Sydenham, c'est que ces
troubles
y sont particu- lièrement fréquents. Ces trou
, c'est que ces troubles y sont particu- lièrement fréquents. Ces
troubles
moteurs peuvent se présenter sous deux formes, ou
l s'agit de la chorée paralytique ou chorée molle dans laquelle les
troubles
moteurs dominent la scène : le malade semble pa
-articulaires et des douleurs au point d'émergence des nerfs. Les
troubles
psychiques sont constants, ils sont une des carac
chorée de Sydenham. Blocq pense qu'il faut distinguer parmi eux les
troubles
choréiques et les troubles non choréiques. 1° L
ense qu'il faut distinguer parmi eux les troubles choréiques et les
troubles
non choréiques. 1° Les troubles choréiques sont
eux les troubles choréiques et les troubles non choréiques. 1° Les
troubles
choréiques sont pour lui évidents, quoi qu'en dis
nts, quoi qu'en disent certains auteurs (Joffroy, Séglas, etc). Ces
troubles
appartenant en propre à la chorée, sont ceux qu
ractère, de l'affection, de la mémoire; , , . 2° Au contraire les
troubles
non choréiques sont inconstants, ce sont des ps
oréiques anémiques ou chloro- tiques sont une autre modalité de ces
troubles
cardiaques. 4" Enfin le l'oelU' peut être le si
éc chronique, qu'il s'a- gisse ou non de la chorée héréditaire. Les
troubles
moteurs n'ont d'autre particularité que de prov
ais, ce qui caractérise avant tout la chorée chronique, ce sont les
troubles
mentaux; ils ont été étudiés par nombre d'auteu
urologie, 1900) Kattwinkel, Vaschidc et Vurpas. Dutil pense que ces
troubles
psychiques sont con- stants, et il ne croit pas
ée héréditaire s'accentue, les mouvements augmentent d'étendue, les
troubles
intellectuels progressent, le malade devient conf
'il (jeu, 70 ou 80 ans. Quelquefois l'évolution est abrégée par les
troubles
respiratoires (larynx ou diaphragme) ou par des
nt les caractères généraux des myoclonies ; elles s'associent à des
troubles
inconstants des réflexes, tantôt exagération, tan
réflexes, tantôt exagération, tantôt dimi- nution, il n'y a pas de
troubles
de la sensibilité, ni de troubles de l'in- tell
tôt dimi- nution, il n'y a pas de troubles de la sensibilité, ni de
troubles
de l'in- telligence, et il ne semble pas qu'il
s de l'in- telligence, et il ne semble pas qu'il y ait davantage de
troubles
de la réaction électrique. Chez un enfant de 18
on l'observe en général dans l'exagération des réflexes et par des
troubles
de la sensibilité. L'intelligence est intacte.
oxysmes, elles disparaissentpén- dant le sommeil. Il n'existe aucun
trouble
des réflexes ni de la sensibilité, l'état menta
ousses, de véritables attaques convulsives. ' ' Il n'y a guère de
troubles
de la sensibilité ni des réflexes ; les réactions
ceux-ci se contractent par un mouvement volontaire. Il n'y a pas de
troubles
de la sensibilité ni de réflexes. C'est une aff
ux que nous venons de signaler. Les myokymies ne provo- quent aucun
trouble
dans l'état général, elles surviennent chez les d
ce grimaçante, mais c'est surtout dans la partie inférieure que les
troubles
sont accentués, l'expression de la physionomie es
ais elle est peu apparente en raison de la raideur musculaire. 5.
Troubles
intellectuels. Souvent, ces malades sont des idio
aux complications du décubitus, ou enfin il pourra succomber à des
troubles
de la déglutition. ~2° Hémiathétose. L'hémiathé
nfin, elle est plutôt associée à des hémi- plégies légères dont les
troubles
sensitifs sont très accentués. L'hémiathétose e
u- vements athétosiques en général, puisque nous avons déjà dit les
troubles
qu'ils provoquaient au niveau des membres supér
lade est un hémiplégique et il en présentera tous les signes. Les
troubles
moteurs, nous l'avons dit, sont plus accentués, i
ie est installée et l'hl'Illiathétose apparaît ac(,oll1- pagnée des
troubles
de développement de l'intelligence comme on l'ob-
ment systématisé, conditionné par un état mental spécial : c'est un
trouble
psycho-moteur, les défectuosités psychiques sont
ts. Ce n'est pas le cas pour les tiqueurs simples : chez ceux-ci le
trouble
du développement n'est que partiel, leur évolut
istibilité de l'acte et la satisfaction consécutive témoignent d'un
trouble
intense de l'émotivité ; l'émotivité joue peut-
au déséquilibre des facultés et contribue pour une part notable au
trouble
pathologique. « L'image d'un mouvement se prése
de l'insuffisance du contrôle cortical exercé par la volonté et du
trouble
de l'émotivité ('). Nous avons insisté, dans l'
violents et mal dirigés; une analyse plus atten- tive montre qu'un
trouble
de la notion de position des membres, Au sens d
n avec le geste initial et avec sa cause, mais encore dans tous les
troubles
moteurs que nous avons décrits comme conséquences
ssuyage ou de frottement. Le déséquilibre viscéral donne lieu à des
troubles
très divers : dyspep- sie, constipation, crises
et Meige comme aussi indis- pensable il la définition du tic que le
trouble
moteur lui-même ; le mou- vement cOl1Yulsil' ne
la- dies ou les (roubles musculaires (moteurs ou trophiques) et les
troubles
mentaux qui les accompagnent ne sont que des ma
volontaire dû à une irritation locale (gerçure, fissure des lèvres,
troubles
de la dentition, chute d'une dent, etc.); d'aut
dans un casier (tic du typographe, Baylac), pour corriger certains
troubles
de la vision, de l'accommodation ou de l'ouïe,
u symptomatiques (affections centrales, épilepsie, toxi-infections,
troubles
réflexes, hystérie) ; des tics du cou. TICS. 89
endant le sommeil; il est parfois douloureux, parfois accompagné de
troubles
des réflexes, de la sensibilité, de la trophi-
ommissures labiales tirées en haut et en dehors; il y a parfois des
troubles
de l'audition (Lannois) (^une poussée de rougeu
leur len- teur, leur développement « ondoyant et serpigineux », les
troubles
.fréquents des réflexes les feront reconnaître.
s des réflexes les feront reconnaître. TRAITEMENT Le tic étant un
trouble
psycho-moteur, son traitement logique et ra- ti
TION. - SYNONYMIE On a donné le nom de crampes fonctionnelles à des
troubles
moteurs très variés qui n'ont comme caractère c
ses fonctionnels ou professionnels, qui ont été appliqués aux mêmes
troubles
, ne sont d'ailleurs pas plus exacts, car ils ne
, il est le seul qui ne préjuge en rien ni de la forme clinique des
troubles
moteurs ni de leur pathogénie : or ces troubles
forme clinique des troubles moteurs ni de leur pathogénie : or ces
troubles
nous paraissent répondre à un ensemble de faits
nnelles. A) Crampe des écrivains. On désigne sous ce nom tous les
troubles
moteurs qui ne surviennent que dans l'acte d'écri
exceptionnellement survenir chez ceux qui écrivent fort peu. Ces
troubles
moteurs peuvent se présenter sous des formes extr
ssant échapper; le médius, souvent les autres doigts participent au
trouble
. Par un effort de volonté, le malade peut résis
s l'autre. Chez tous ces malades, on ne, constate presque jamais de
troubles
de la sensibilité objective, de la réflectivité
tions électriques. Au contraire, on constate très ordinairement des
troubles
psychiques; ce sont des névropathes, souvent hé
thes, souvent héréditaires, des dégénérés, des déséqui- libres. Les
troubles
psychiques sont plus ou moins apparents; dans cer
s psychiques sont plus ou moins apparents; dans cer- tains cas, les
troubles
moteurs apparaissent nettement comme la consé-
troubles moteurs apparaissent nettement comme la consé- quence d'un
trouble
mental, parfois au début d'une vésanie ; dans la
titre d'exception, du tremblement librillaire (Poore) et aussi des
troubles
de la contractilite électrique et la réaction d
lité électrique notablement exagérée. Dans d'autres cas, il y a des
troubles
vaso-moteurs plus ou moins nets au niveau des m
PES FONCTIONNELLES ET. PROFESSIONNELLES. Assurément-certains de ces
troubles
pourraient, à la rigueur, s'expli- quer soit co
la crampe des écrivains peut être très généralement attribuée à un
trouble
du contrôle cortical, à une altération de la volo
pasmodique, parfois trémulente; Cronbach (2) a constaté parfois des
troubles
vaso-moteurs et sécrétoires. Crampe de la coutu
l- lectuel. La catatonie n'est autre qu'une myotonie accompagnée de
troubles
- psychiques. C'estun symptôme, et non une mala
du reste, permettre de comprendre mieux certains phéno- mènes les
troubles
de la marche, le dérobcment des jambes (giving
utre part, la mobilité des vertèbres peut éga- lement provoquer dcs
troubles
de là marche. L'hypotonie des muscles abdominau
mouve- ments. Enfin, suivant Frenkel, il existerait également des
troubles
des muscles des yeux, des muscles de la vessie
quc l'on peut mettre sur le compte de l'hypotonie. Dans tous' les
troubles
que nous venons de décrire, l'hypotonie, sui- v
ômes qui ne peuvent être reproduits par l'hystérie. [O. CROUZON.]
TROUBLES
TROPHIQUES par le Du MOUTIER Les troubles Iro
érie. [O. CROUZON.] TROUBLES TROPHIQUES par le Du MOUTIER Les
troubles
Irophiques occupent une place particulièrement im
évrite lépreuse, dans la syringomyélie. La presque tola- . lité des
troubles
trophiques peut même, il des degrés divers de fré
uptions diverses, du vitiligo, de l'hyperkératose, sans compter les
troubles
vaso- moteurs, les viciations de la sécrétion s
ails sur l'importance et la fréquence des trophonévroses. Signalons
TROUBLES
TROPHIQUES. 915 seulement que, si la plupart so
ir signalé le double intérêt pathogénique et théra- peutique. Les
troubles
trophiques peuvent intéresser la peau et les tégu
s, os et articulations. Nous n'aurons guère à nous attarder sur les
troubles
tro- phiques viscéraux : ceux-ci sont rares, ma
ue. Tégument et plans sous-jacents. Nous n'étudierons pas ici les
troubles
vaso-moteurs et les perturbations de la sécrétion
même de la gangrène. Eludions successivement ces deux catégories de
troubles
trophiques. Nous rangerons, parmi les altératio
, la glossy-skin, la sclérodermie, l'hyperkératose, l'ichtyose, les
troubles
de la pigmentation. 1 La glossy-skin (ou glan
ncissement de la peau avec état lisse, aspect de vernis luisant. Ce
trouble
apparaît au niveau des extrémités, tout d'abord
myélie, mais on la PItATIQUE 11EUIIIII.. 58 [F. MOUTIER.] 914
TROUBLES
TROPHIQUES. rencontre également dans les névrit
ales. Musée de l'hôpital Saint-Louis, n° 580 (d'après Thibierge).
TROUBLES
TROPHIQUES. 915 syringomyélie et les névrites,
uvent fami- liales, qui peuvent s'accompagner ou non de nævi, Les
troubles
de la pigmentation se rencontrent dans un assez p
ur le dermatologiste que pour le neurologue. [F. MOUTIER] ! OI6 6
TROUBLES
TROPHIQUES. Certaines éruptions vésiculeuses se
iquide céphalo-rachidien traduisant l'irritation méningée. D'autres
troubles
trophiques peuvent d'ailleurs coexister avec l'ér
: nous aurons l'occasion de la signaler il nouveau en étudiant les
troubles
trophiques mutilants des extrémités. On a égale
n. Il faut, en effet, faire table rase aujour- d'hui des soi-disant
troubles
trophiques de l'hystérie. Huiles, ulcéra- tions
ntanément et vite. On pourra aussi, le cas échéant, ménager une 1
TROUBLES
TROPHIQUES. 917 î voie d'accès sous quelque par
Lésions non ulcéreuses du derme et de l'hypoderme. Beaucoup de ces
troubles
sont congénitaux, tels les n;uvi, les neuro-fibro
ormations, souvent héréditaires et familiales. Ajou- tons que ces
troubles
existent rarement seuls ; divers stigmates de d
de l'hôpital Saint-Louis, n° 1936, llallopeau (d'après Rist). 918
TROUBLES
TROPHIQUES. taches pigmentaires, fibromes, névr
ec atrophie testi- culaire. Mais celle-ci peut-elle être tenue pour
trouble
trophique ? Chez certains individus les tissus
ez certains individus les tissus hypodermiques présentent seuls des
troubles
trophiques, sans que le derme et l'épidémie soien
trophiques, sans que le derme et l'épidémie soient intéressés. Ces
troubles
sont les oedèmes et les adiposes. On ne saurait
l'esse el dans la région trocliantériennc (d'après Pierre Marie).
TROUBLES
TROPHIQUES. 919 Les oedèmes nerveux ont quelque
pas l'empreinte du doigt, indolores. Il est banal de rencontrer ce
trouble
trophique chez les hémiplégiques ou les paraplé
sèche, très dure et dans laquelle on ne peut imprimer de godet. Un
trouble
analogue peut s'observer au niveau du pied. La
saurait déprimer en godet. L'opothé- rapie appropriée influe sur ce
trouble
trophique de façon très appré- ciable et assez
le cou, la face, et sur celle-ci les joues, - [F. MOUTIER.-] ? 0
TROUBLES
TROPHIQUES. les paupières, le front ; on l'obse
guer les trophoedèincs chroniques, observés d'ailleurs comme les -
TROUBLES
TROPHIQUES. 921 oedèmes de Quincke chez 'des
n est ainsi chez certains hémiplégiques. Doit-on ranger parmi les
troubles
neuro- trophiques les lipomes, petits ou grands
i\ De même, la maladie de Dercum ou adipose douloureuse est-elle un
trouble
trophique du système nerveux ou une dys- trop
g. 4. - Trophædème chronique héréditaire (Henry Jeigct. 922 I-)
TROUBLES
TROPHIQUES. malaises ressentis sont rarement in
es de volume va- riable, symétriques ou non. Il n'existe pas de
troubles
de la sensibi- lité au niveau des ré- gions a
nsibi- lité au niveau des ré- gions adipeuses. En revanche, les
troubles
mentaux dépressifs et l'asthénie nerveuse son
des éventualités des plus rares. Nous en aurions fini avec les
troubles
tro- phiques non ulcéreux des téguments s'il
quelle façon, avec Fig. 5. Maladie de Dercum (d'après G. Ballet).
TROUBLES
TROPHIQUES. 925 ou sans ulcération, se consti
illain, lésion échancrant l'aile du nez. semble fort rapprochée des
troubles
de cet ordre. On les observe égale- ment au cou
ou sous la phalange terminale du gros orteil. L'évolution de ce
trouble
trophique passe par plusieurs stades distinct
t plantaire, attribué il la tuberculose (d'après L. Arnaud). 9M
TROUBLES
TROPHIQUES. la perte de substance, et gagnent l
l'ulcération. Il peut y avoir des complications, les unes légères,
troubles
divers de la peaû et des ongles, d'autres beauc
ion commune est souvent délicat, ainsi qu'il est de règle pour tout
trouble
tro- phiqùe. Le repos au lit, les pansements gu
quer l'im- portance prépondérante du dentier dans la genèse de ce
trouble
trophique. Fort voisines des maux perforants so
t surtout les hémiplégiques et les paraplégiques qui présentent les
troubles
les plus graves. Ces troubles font défaut dans
les paraplégiques qui présentent les troubles les plus graves. Ces
troubles
font défaut dans la poliomyélite, ils s'observe
articulière- ment profonde développée au cours d'une myélite. «
TROUBLES
TROPHIQUES. 925 tions cérébrales). On voit appa
dans la lèpre aneslliesique (il après Lesage et Ihlcl'ce1m), 926 1
TROUBLES
TROPHIQUES. la lèpre notamment, les mains peuve
de l'hôpital Saint- Louis, n° 1690, Jacquet (d'après Lenglet). .
TROUBLES
TROPHIQUES. 927 sujets, leur étude étant d'impo
ème chronique qu'il est parfois donné d'ob- [F. MOUTIER.] 928 8
TROUBLES
TROPHIQUES. server dans le goitre exophtalmique
égularités, des malformations témoins de syphilis héréditaire ou de
troubles
de la nutrition, il n'est guère à signaler que la
ral indolore. Peut-être d'ailleurs ne s'agit-il pas uniquement d'un
trouble
trophoneurotique, l'infection des alvéoles vena
lus haut s'im- posent encore à notre attention à propos de certains
troubles
trophiques du squelette. On ne sait en effet qu
s du squelette. On ne sait en effet quelle part revient au juste au
trouble
neurotrophique ou il la dystrophie glandulair
l'ingol11yélie, rencontrée, on le voit, à tout propos dès que les
troubles
tro- phiques sont en cause. peut simuler jusq
pseudo-acnimégalique segmentaire (d'après Chauffard et tirilfun).
TROUBLES
TROPHLQUES. - 929 réduction globale du volume d
considérable de tout le membre supé- rieur droit. - ! )0 ' 1
TROUBLES
TROPHIQUES. aire d'atrophie cutaneo-osseusc, ca
- Iléinialropliie faciale . cas de Romberg ; (d'après Brissaud).
TROUBLES
TROPHIQUES. 951 En réalité, en présence d'une
athie tabétique du.genou (cas de Glorieux et Van Gehuchten). 95 2
TROUBLES
TROPHIQUES. cations sont fré- quentes, ce son
B. Clarcotl. Fig. 1'.). - Arlliropalhie tabétique du pied gauche.
TROUBLES
TROPHIQUES. 955 ties de ce traité; rappelons se
z les tabétiques. Organes des sens. Les yeux seuls sont atteints de
troubles
intéressants. Mentionnons l'ophtalmie sympathiq
apersonne et Cantounet). [F MOUTIER.] HYPERTHERMIE, HYPOTHERMIE
TROUBLES
CIRCULATOIRES & RESPIRATOIRES par le D' CRO
arrêter. HYPERTHERMIE. U55 D'autre part, il existe une série de,
troubles
fonctionnels qui sont plus évidents cliniquemen
expliquer cet état stationnaire du pouls. La fièvre s'accompagne de
troubles
circulatoires, de dicrotisme du pouls, puis de
latoires, de dicrotisme du pouls, puis de souffles cardiaques et de
troubles
vaso- moteurs. La tension artérielle semble a
observée dans la paralysie générale infantile. [O. CROUZON.] 958
TROUBLES
SUDORAUX. - La fièvre hystérique, sur laquelle
il n a plus lieu d'admettre l'existence de cette lièvre hystérique.
TROUBLES
SUDORAUX f ÊÊ TROUBLES SUDORAUX V La sécrétio
re l'existence de cette lièvre hystérique. TROUBLES SUDORAUX f ÊÊ
TROUBLES
SUDORAUX V La sécrétion sudorale est souvent in
ueur s'appelle anhidrose. L'anidtose est due le plus souvent il des
troubles
nerveux locaux, elle s'observe au cours de sect
périphériques ou dans l'llémiatrophie de la face. z Il existe des
troubles
assez caractéristiques de la réaction sudorale
s profuses s'observent au même titre que les salivations exagérées.
TROUBLES
DE LA PRESSION ARTÉRIELLE. 959 L'hyperidrose a
idrose qui sont quelquefois associées à des affections nerveuses.
TROUBLES
DE LA PRESSION ARTÉRIELLE La pression artériell
es pour éviter ces varia- tions. Et l'on pourra alors constater des
troubles
qui seront des troubles d'hypertension ou des t
- tions. Et l'on pourra alors constater des troubles qui seront des
troubles
d'hypertension ou des troubles d'hypotension.
onstater des troubles qui seront des troubles d'hypertension ou des
troubles
d'hypotension. Toutefois, pour avoir des mesure
aussi rabaissement de la tension artérielle dans la neurasthénie.
TROUBLES
RESPIRATOIRES Si l'on excepte les troubles lary
ans la neurasthénie. TROUBLES RESPIRATOIRES Si l'on excepte les
troubles
laryngées, les troubles respiratoires sont peu
TROUBLES RESPIRATOIRES Si l'on excepte les troubles laryngées, les
troubles
respiratoires sont peu fréquents dans les malad
s sont peu fréquents dans les maladies nerveuses. Comme l'étude des
troubles
du larynx en est faite dans un autre chapitre,
st faite dans un autre chapitre, nous nous limiterons a l'étude des
troubles
respiratoires proprement dits. Rares sont les m
s hémoptysies au cours du tabès liées à des crises thoraciques. Les
troubles
les plus fré- quents sont ceux du rythme respir
s, quelquefois de ralentissement de la respiration. Quelquefois les
troubles
respiratoires se manifestent par la suspension
me nerveux, nous allons les passer en revue. Ce sont avant tout les
troubles
bulbaires ; dans tous les syndromes bul- baires
réquem- ment, c'est avec l'urémie la cause la plus fréquente de ces
troubles
res- lriradirns. Dans les tumeurs du cervelet o
sympathique ou les lésions du pneumogastrique puissent entraîner ce
trouble
de la circulation. Dans la tuberculose la tachy
grave; elle peut dépendre des symptômes basedowiens (Crespin) ondes
troubles
digestifs, de gastro-entéroptose (Reynaud). -
s primi- tives ou secondaires (tabès, sclérose en plaques, etc.).
TROUBLES
DE L'APPAREIL URINAIRE Par le D E DESNOS TROU
aques, etc.). TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE Par le D E DESNOS
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ NÉVRALGIES RÉNALES Sous ce
ales, mais celles-ci prennent un caractère parti- [E. DESNOS.] 9U
TROUBLES
DE L'APPAREIL URI : \'AIRE. culier dans le tabè
la non satisfaction d'un I'uryri : NEUROL. un [E DESNOS.] i)4(i
TROUBLES
DE L'APPAREIL URINAIRE. ' , besoin violent ayan
beaucoup dans leur apparition. . Symptômes. - Des douleurs et des
troubles
mictionnels les caracté- risent : : . C'est u
ces derniers cas, elles s'atténuent sans cesser complètement . Des
troubles
mictionnels s'y associent presque toujours, souve
ntion. La contracture du col, peu ou pas douloureuse, détermine des
troubles
mictiolmels, miction pénible, lente à venir, en
d'autres les calment ou les interrompent. ' . [E. DESNOS.] 918 '
TROUBLES
DE L'APPAREIL URINAIRE. Que la névralgie soit i
a son importance, et la suggestion a réussi; - [E. DESNOS.] .950
TROUBLES
DE L'APPAREIL URINAIRE. NEVRALGIES URÉTRALES ,
ge de l'urine provoque une sensation de brùlure plus ou moins vive.
TROUBLES
DE LA CONTRACTILITE DE L'APPAREIL URINAIRE RÉ
les ménin- ' RÉTENTIONS D'URINE. 9.')1 gÎtes spinales aiguës; des
troubles
mictionnels sont de règle, mais il la rétention
leurs l'incontinence est la règle. Aux périodes moins avancées, les
troubles
mictionnels se confondent avec ceux du tabès qu
ndent avec ceux du tabès qu'il nous reste il étudier. L'étude des
troubles
mictionnels du tabes, rétention, dysurie, incon-
ion, dysurie, incon- tinence. ne peut être dissociée. Au début, les
troubles
consistent en une hésitation, une lenteur parti
et il s'agit alors soit d'une miction involon- [E. DESNOS.] 9r»2
TROUBLES
DE L'APPAREIL URINAIRE. faire, c'est-à-dire de
ablie, qui a évolué sans (aire naître la sens ! )- tion il cause de
troubles
de l'innervation et de l'affaiblissement de la
s d'autres, car des trouhtessensitits se joignent ordinairement aux
troubles
de la inutilité et les malades souf- Irent moin
rouge (sonde de Netaton) est l'instrument [E. DESNOS.] ] n : : i4
TROUBLES
DE L'APPAREIL URINAIRE. de choix; on la fera bo
dans l'épilepsie jacksonnienne des émis- 1 ' [E. DESNOS.] i)S6 .
TROUBLES
DE L'APPAREIL URINAIRE. ' - . sions involontair
re des incontinences essentielles, mais elles [E. DESIVOS.] 058 -
TROUBLES
.DE.L'APPAREIL URINAIRE. prêtent- si. souvent à
ions de cocaïne, portant sur le col, et dans la TE. DES1VOS.] ouo
TROUBLES
DE L'APPAREIL URINAIRE. prostate ne peuvent don
inution de l'influx nerveux rend les tissus moins résistants et les
troubles
trophi- ques observés dans plusieurs affections
elle n'a pour ainsi dire pas de symptômes propres : ni douleurs, ni
troubles
mictionnels, mais l'urine louche et trouble en
pres : ni douleurs, ni troubles mictionnels, mais l'urine louche et
trouble
en masse dégage une odeur fade et fétide, non amm
nique peut être tout à l'ait latente, se traduire seulement par des
troubles
digestifs, une dysphagie particulière pour les so
l'amaigrissement ; comme symptômes locaux, on observe des urines
troubles
en niasse, ne s'éclaircissant pas par le repos, u
isser constamment Pil.\TIICI : ¡¡E\JIIOI., (il [E. DESNOS.] 962
TROUBLES
DE L'APPAREIL URINAIRE. ouverte, car les parois
es des maladies nerveuses à cause de la réaction toujours vive, des
troubles
trophiques possibles et du peu de résistance des
, même : 2;) litres d'urine rendue en 24 heures, [E. DESNOS.] 964
TROUBLES
DE. L'APPAREIL URINAIRE. chiffres invraisemblab
iste parfois pendant des mois et des années, sans donner lieu à des
troubles
notables de la santé. On voit l'urine tomber à
médicaments toxiques, tel que la digitale et ses [E. DESNOS] 966
TROUBLES
. DE L'APPAREIL URINAIRE. , succédanés, qui risq
e. 1 : ) . ZD La névropathie urinaire arrive à produire aussi des
troubles
de la mic- tion : celle-ci devient hésitante, s
augmenter la sen- sibilité au lieu de l'amoindrir. \E. DESNOS ]
TROUBLES
DE L'APPAREIL GÉNITAL -par le Dr E. DESNOS -
ve. Il en est de même dans la paralysie générale. Dans le tabès les
troubles
génitaux sont variables. Au début on observe SP
des conditions que nous aurons il déterminer. [E DESNOS ] a170 '
TROUBLES
DE L'APPAREIL GÉNITAL. L'écoulement du sperme s
vaincre. Peu il peu ils se reconnaissent une série de sym- ptômes :
troubles
digestifs, faiblesse générale, palpitations, vert
s cas, le dyspermatisme est tem- poraire. 1 . Sous l'influence de
troubles
psychiques, l'éjaculation peut être arrêtée : c
uparavant, surtout s'il s'accompagne d'actes . i [E. DESNOS.] 074
TROUBLES
DE L'APPAREIL GÉNITAL. publics. Les érections.
cas, restent plus ou moins atteintes et affaiblies. TE. DESNOS.
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF par le Dr MOUT
TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF par le Dr MOUTIER Les
troubles
nerveux de l'appareil digestif sont de deux ordre
it de maux perforants tabétiques, au niveau des- quels existent des
troubles
de la sensibilité souvent prononcés (anesthé- s
dentier est la cause occasionnelle de cette ulcération trophique.
Troubles
de la sensibilité. Il n'est pas rare d'observer d
tionnel dans la sémiologie nerveuse par l'aspect de sa surface, les
troubles
de sa sensibilité et de sa inutilité, les accid
de morsures se rencontrent chez les épileptiques ou traduisent des
troubles
de la sensibilité. L'état de la muqueuse varie
: il s'agit là presque de Pratique neurol. 62 EF MOUTIER.] "7S
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. irohltisme (l3r
s profonde. Chez les excités au contraire, la langue est normale.
Troubles
de la sensibilité. Les uns intéressent la sensibi
lors accompagner ou non une hémiplé- gie, coexister ou non avec des
troubles
gustatifs, survenir subitement après une crise
spéciale peuvent dépendre d'alté- rations des nerfs crâniens ou de
troubles
centraux. On se rappellera que le pneumogastriq
rg et dans certaines paralysies Itl)l o- ? l osso-1 aiyn crées, des
troubles
analogues s'observeront, d'intensité variable.
otitique, des maladies du l'oie ou de l'estomac, un état fébrile.
Troubles
de la motilité linguale. Parmi ces troubles se ra
tomac, un état fébrile. Troubles de la motilité linguale. Parmi ces
troubles
se rangent les tremblements, les paralysies, le
liques, la trémulation est violente, s'accompagne généra- liment de
troubles
vaso-moteurs, de rougeurs, de sueurs. . [F. MOU
e, les secousses fibril- laires, la réaction de dégénérescence. Ces
troubles
ont pu survenir rapi- dement accompagnés d'hémi
es cas, il est vrai, ainsi que dans les cas de tumeur du bulbe, les
troubles
sont souvent irréguliers et variables d'un côté
le. Signalons que l'on a attribué il de la parésie de la langue les
troubles
constants de la paralysie générale, fréquents d
présente sans réaction de dégénérescence, semblable en ce) : ) aux
troubles
d'origine corticale ou sous-corticale. Au nivea
édominance du géao-glosse intact. Le début de . [F MOUTIER] J 982
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. l'atrophie est
celui du creuse- ment en gouttière. Nous n'insisterons pas sur les
troubles
des réflexes et de la marche des tabétiques, su
r le diagnostic. Enfin, les paralysies généralement accompagnées de
troubles
divers, asymétriques le plus souvent, dans la s
et passagère de la fonction est propre à la maladie de 7'honr.çmn.
Troubles
trophiques. Nous n'avons pas à revenir sur l'alro
onné et saillant. Il existe de la cypho-scoliose et fréquemment des
troubles
du fond de l'oeil. Enfin, lorsqu'avec une langu
dans le territoire du trijumeau, on sera en droit de conclure à des
troubles
vaso-moteurs sous la dépendance des lésions de
aso-moteurs sous la dépendance des lésions de la cinquième paire.
Troubles
de la mastication et de la déglutition. - Les m
mais dans ce dernier cas aux accidents moteurs se superpo- sent des
troubles
de la sensibilité. Dans les paralysies bilatérale
ptérygoïdiens. Les paralysies du trijumeau peuvent déterminer des
troubles
directs de la déglutition par paralysie du péri
nfin, les liquides chauds puis froids sont avalés de travers, et ce
trouble
augmente à la fin du repas. Si l'on examine la
fréquemment des vomissements. Le réflexe pharyngien est aboli; les
troubles
électriques manquent en général. Tel est le tab
st le tableau d'une paralysie périphérique , [F. MOUTIER.] .] 984
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. d'origine toxiq
st nasonnée dans la paralysie des péris- taphylins seulement. Ces
troubles
s'observent dans les lésions périphériques dépend
lle dé l'alimentation à la sonde oesophagienne. Pharynx. A côté des
troubles
de la sensibilité liés à des mala- dies infecti
uche du malade. ' Nous reviendrons sur ces symptômes à propos des
troubles
de l'oeso- phage. Mais le clinicien doit songer
et d'entretenir un spasme, avant d'admettre l'existence d'un simple
trouble
fonctionnel. La paralysie du pharynx' est à peu
u de l'oesophage, conduit musculo-mem- braneux, peuvent exister des
troubles
de la motilité ou de la sensibilité. Les premie
s troubles de la motilité ou de la sensibilité. Les premiers de ces
troubles
comprennent des accidents paralytiques et des a
e dys- phagie et de régurgitations. Les aliments qui déterminent le
trouble
peuvent être indifférents : il s'agit, au contr
de déglutition, cherche à refouler du doigt . ' [F. MOUTIER.] 980
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. les aliments qu
t à Pori- lice supérieur du conduit que les malades situeront leurs
troubles
prin- cipaux. Ce spasme total est continu ou pa
cilement; on la sent violemment serrée sur toute son étendue. Aux
troubles
de la sensibilité de l'oesophage ressortissent un
ggestion, le repos forcé et l'isolement, seront de rigueur dans les
troubles
nerveux graves. [F MOUTIER] 988 TROUBLES NERV
nt de rigueur dans les troubles nerveux graves. [F MOUTIER] 988
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. ' Ptyalisme. -
e difficile à reconnaître. Enfin, l' hysté1'ie présente de nombreux
troubles
de la sécrétion salivaire, expuition accompagné
euse ou organique, explicables en ce cas par une gastrite ou par un
trouble
du chimisme gastrique. Actuellement, on est oblig
ne se complique d'anorexie, n'entraîne pas toujours directement des
troubles
fonctionnels accusés. L'inanition est toute rel
res rejet électif de tel ou tel mets, s'associent fréquemment à des
troubles
plus graves : anorexie mérycisme idées fixes dive
l semble que l'urémie soit fréquente chez eux. [F. MOUTIER] 992
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Troubles gastri
eux. [F. MOUTIER] 992 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF.
Troubles
gastriques du tabes. - Le tabes provoque des cris
re modifié de diverses façons; Dejerine et Houx ont insisté sur les
troubles
dyspeptiques d'origine médicamen- teuse qui com
uqueuse oedématiée PHATIQUE liEunOL. 63 . [F. MOUTI £ R.] ] 994
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Vomissements pa
iter exactement quel est le facteur étiologique en cause : tous ces
troubles
trahissent une perturbation du bulbe ou de ses
omac peut voir coïncider avec les exacerbations de sa dyspepsie des
troubles
autres que le vertige; il ne faut pas prendre,
athe une faim nauséeuse doivent être soi- gneusement distingués des
troubles
giratoires ou oscillatoires. Quoi qu'il en soit
pour un équivalent épileptique; les séquelles, particulièrement les
troubles
de l'intelli- 1 : ) ,rence, empêcheraient de cr
al de mer. Cette affection n'est autre qu'un syndrome bulbaire avec
troubles
vaso-moteurs, troubles de l'équi- libration, et
ion n'est autre qu'un syndrome bulbaire avec troubles vaso-moteurs,
troubles
de l'équi- libration, et phénomènes morbides da
le vertige accompagné de céphalée frontale, de vomisse- ments et de
troubles
intestinaux. Le pouls est fréquent, et sa pressio
y a plusieurs crises, entre ses paroxysmes le . [F. MOUTIER.] 996
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. malade sommeill
e l'albumine, du sucre dans les urines... On peut relever enfin des
troubles
persistants de la sensibilité, des troubles tro
peut relever enfin des troubles persistants de la sensibilité, des
troubles
trophiques (oedèmes, urticaire, herpès, sueurs) e
est absolument exceptionnelle chez d'autres que les tuberculeux.
Troubles
de la motricité. -.On décrit sous le nom de gastr
musculature viscérale comme dans la myélopathie deDuchenne-Aran.
Troubles
de la sensibilité. Nous n'avons pas à revenir sur
sus les chocs les plus violents dans la région du plexus solaire.
Troubles
centraux attribués à des états gastriques. Nous a
issance permet de reconnaître un équivalent épilcptiquc viscéral.
Troubles
de l'évacuation intestinale. Il saint tantôt de
iscéral. Troubles de l'évacuation intestinale. Il saint tantôt de
troubles
sécrétoires, tantôt d'anesthésies ou de paralysie
es phénomènes paroxystiques qui coïncident généralement avec divers
troubles
vaso-moteurs. C'est une diarrhée essentiellemen
s- tinales dans la maladie de ()li«cl : c.. , [F. MOUTIER.] 998
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Dans la maladie
rmine une atonie intestinale chronique avec constipation rebelle.
Troubles
de le défécation révélant un état mental. Le diag
ait négliger à l'aliéné le réglage volontaire de la défécation. Ces
troubles
peuvent être pas- SÉMÉIOLOGIE DE L'INTESTIN ET
ysie générale, dans la démence sénile et le coma. (Voir Gâtisme.)
Troubles
sphinctériens. D'une façon générale il y a plutôt
tions sus-men- tionnécs. Mais au niveau de la moelle cervicale, les
troubles
sont très inconstants. Dans les lésions de la
Ces différents états dépendent et de l'anesthésie du rectum et des
troubles
du sphincter. C.-P. Martin a constaté chez tous l
lui une anesthésie totale du sphincter externe de l'anus. Comme les
troubles
vésicaux et rectaux sont parmi les signes précoce
constipation rebelle avec paralysie du sphincter externe de l'anus.
Troubles
hystériques simulant une maladie organique. Avant
ériques simulant une maladie organique. Avant d'aborder l'élude des
troubles
hystériques proprement dits, signalons chez les
ue celle précédemment décrite, et le ventre se [F. MOUTIER.] 1000
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. gonfle simpleme
omprendre plus tard le traitement, faire la sémiologie nerveuse des
troubles
gastriques serait refaire toute la pathologie d
ogie digestive. Nous nous bornerous à quelques données générales.
TROUBLES
PSYCHIQUES. 1001 Neurasthénie digestive. Le chi
dromes solaires (d'après Laignet-Lavastine). L'n certain nombre des
troubles
dépendant des altérations du plexus solaire intér
rique et hypertension. C'est ce que réalise la colique de plomb. jt
TROUBLES
PSYCHIQUES . ! Nous étudierons surtout les vici
la plus terrible, est l'anorexie. » Anorexie tabétique. C'est un
trouble
rare (Fournier). Le malade mange par raison; au
Dans ce cas, l'anorexie est plutit secondaire. [F. MOUTIER.] 1002
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. dire, de l'anor
eint terreux, peau sèche, haleine fétide, consti- pation opiniâtre,
troubles
de la menstruation ne tarderont pas à sur- veni
pris ou mal appliqué son régime, soit parce qu'il éprouve de petits
troubles
qu'il plus ou moins juste titre il rapporte à s
gtemps le même régime restreint. A côté de ce neurasthénique ') 'ni
TROUBLES
PSYCHIQUES. 1003 type simple, il convient de di
tériels. Certains paralytiques généraux au début présentent de tels
troubles
, mais fugaces et instables. Enfin, les abouliqu
s dyspeptiques et les nerveux, Masson, 1905. [F. MOUTIER.] 1004 .
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. malade éprouve
ngoisse prononcée que soulage bientôt l'exoné- ration accoutumée.
TROUBLES
PSYCHIQUES. 1005 Quoi qu'il en soit, les malade
siter alors une intervention chirur- gicale. [F. MOUTIER.] 1006
TROUBLES
NERVEUX. DE L'APPAREIL DIGESTIF, . " Enfin, cer
il a honte de manger, etc. En terminant cet exposé diagnostique des
troubles
nerveux et digestifs qui se mêlent et s'enchaîn
s délires, les accès dé manie ou de mélancolie, d'irascibilité, les
troubles
génitaux, les cauchemars, les obsessions, etc.
ce sont, par exemple, des malades atteints d'un [F. MOUTIER] 1008
TROUBLES
NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. ulcère; le diag
, étudié ailleurs; mais il convient ici de montrer la diversité des
troubles
sphinctériens que l'on peut observer au cours d
ur permettre de façon précise un diagnostic de. localisation. (Voir
troubles
digestifs : sphincter anal). Chez les vieillard
guës, il y a gâtisme absolu et précoce. Rappelons qu'il n'existe de
troubles
des sphincters ni dans la maladie de Landry, ni
aladie de Landry, ni dans les poliomyélites antérieures aiguës. Ces
troubles
peu- vent, mais très rarement, s'observer au co
u cours des polynévrites aiguës, surtout dans les polynévrites avec
troubles
vésaniques (syndrome de Korsakow). Le gâtisme
ment céré- bral, ou présente, connue nous le verrons plus loin, des
troubles
vésani- ques. Quelque multiples que puissent êt
fondre le gâtisme avec les accidents qui pourraient le simuler. Ces
troubles
sont nombreux à la vérité. Les maladies' de la pr
traction ou par véritable anestltésio (pie gâtent les maniaques. Le
trouble
est ici irréfléchi : dans d'autres cas, au cont
e de leur étude. Les déformations de la main peuvent être dues à un
trouble
local du développement embryonnaire ou foetal o
tées par des difformités, presque toujours acquises, dues soit à un
trouble
vaso-moteur ou trophique prédominant sur les pa
Portant à la fois sur le squelette et les parties molles, certains
troubles
trophiques peu- vent déterminer de véritables m
de rétractions secondaires, des attitudes vicieuses déterminent des
troubles
trophiques, des changements de direction et de
à une période plus ou moins tardive, de distinguer s'il s'agit d'un
trouble
du développement congénital (difformité tératolog
les déformations que l'on peut observer au niveau de la main : 1.
Troubles
du développement (embryonnaire ou foetal) : A)
main : 1. Troubles du développement (embryonnaire ou foetal) : A)
Trouble
local : difformité tératologique : a) Par défau
se; paralytique; spasmodique. Acquise : paralytique; spasmodique.
TROUBLES
DU DEVELOPPEMENT. 1015 B)Des.doigtssur la- main
hémi-athétose, - athétose double. Tétanie. = Crampes. - ' . z I.
TROUBLES
DU DÉVELOPPEMENT A. DIFFORMITÉS TÉRATOLOGIQUES
rtout de l'appareil vasculaire ; elles s'accompagnent volontiers de
troubles
tro- phiques cutanés et de nævi vasculaires, qu
s pieds, la céphalée, l'aménorrhée, la cyphose cervico-dorsale, les
troubles
visuels (hémianopsie 1]iteniporale), la glycosuri
es gros doigts chiro- mégaliques et les doigts voisins normaux. Les
troubles
scnsitifs et tro- phiques de la syringomyélie,
ait aussi dans nombre d'affections provoquant au niveau du doigt un
trouble
de la circulation, d'origine soit générale, soi
les déformations du rhumatisme chronique progressif, ainsi que des
troubles
trophiques intenses (amyotrophies, chute des poil
esco (fig. 11 ), est due à la fois à l'atrophie musculaire et à des
troubles
trophiques de la peau et du tissu sous-cutané. Pa
re sur l'avani-lras ou le bras; ils présentent la coloration et les
troubles
vaso-moteurs et thermiques des oedèmes par comp
linique; les cas doivent en être répartis entre deux maladies à
troubles
sensitifs objectifs tout particulière - men
st aussi parce que ces panaris se développent sur un terrain ou les
troubles
trophiques sont très intenses. Les phalangettes d
mations, et nous aurions dû décrire cette main-bote au chapitre des
troubles
du développement de la main si nous n'avions cru
x cotés, elle est irréductible, il n'y a ni amyotrophie marquée, ni
troubles
trophiques et vaso-moteurs, mais. contrairement
ouvent . , . ATTITUDES VICIEUSES. '1055 d'atrophie musculaire, de
troubles
vaso-moteurs et trophiques, elle est froide et
durs, la réduction est difficile ou impossible ; on ne constate de
troubles
trophiques et vaso-moteurs importants que dans
une variété de main-bote acquise, survenant de 15 à 25 ans, dont un
trouble
de l'ossifica- tion serait la cause déterminant
vement une tumeur dorsale du carpe. tuméfaction indolente due il un
trouble
vaso-moteur ou à une synovite hyperliopliique.
smes graves seulement ou dans les névrites radiales, on observe des
troubles
sensitifs dans le territoire cutané du radial (
e la main est très limitée et due seulement au long supinateur. Des
troubles
sensitifs peuvent intéresser le territoire cuta
brachial,, on observe des trou- bles de sensibilité et. surtout des
troubles
oculo-pupillaircs, myosis, rétrécissement de la
musculaire générale, des altérations prononcées de Va parole et des
troubles
profonds de 1 in- telligence qui donnent au mal
celles de la main. Les- détails que nous avons donnés sur certains
troubles
de la main nous permettront d'être bref sur les
r certains troubles de la main nous permettront d'être bref sur les
troubles
similaires du pied. Nous noterons pourtant que,
ence et- une importance très différentes à la main et au pied. I.
TROUBLES
DU DÉVELOPPEMENT A. DIFFORMITÉS TÉRATOLOGIQUE
nt plus fréquents que les mains-botes et sont dus très souvent à un
trouble
de développement, du squelette : nous y reviend
t héréditaires; ils sont blancs, durs, accompagnés souvent d'autres
troubles
trophiques et doivent être rappro- chés de cert
ies pathogéniques ayant été émises), on peut dire qu'il s'agit d'un
trouble
du développement : à cet égard, ce pied-hot aur
ATTITUDES VICIEUSES. 1049 quemment d'autres malformations et de
troubles
du développement; mais les muscles de la jambe
d'impotence, ou seulement d'une impotence modérée; il n'y a pas de
troubles
trophiques ou vaso-moteurs. La, variété de beau
mais se reproduit aussitôt, et l'impotence est grande. Il y a des
troubles
trophiques et vaso-moteurs de la jambe et du pied
impossibles dans les pieds-bots paralytiques ou spasmodiques ; les
troubles
vaso-moteurs et trophiques peuvent faire leur a
érieurs et du.pied-hot; cette paralysie s'accompagne fréquemment de
troubles
. sensitifs et trophiques et d'incontinence des
e du triceps sural, exceptionnellement en talus varus; il y a des
troubles
trophiques et vasomoteurs très accusés, un arrê
ariétés la rigidité spasmodique est étendue aux quatre membres. Des
troubles
intellectuels prononces, idiotie, imbécillité,
ture envahit souvent secondairement les membres supé- rieurs et les
troubles
intellectuels ne sont pas rares. Dans tous ces ca
dduction forcée, les genoux se touchent et souvent se croisent. Les
troubles
trophiques et vaso-moteurs sont presque toujours
sont la cypho-scotiose dorsale, la céphalée, et, chez la femme, les
troubles
de la menstruation. La face pré- sente un aspec
e syndrome des tumeurs cérébrales. Les crises épilepti- formes, les
troubles
visuels sont remarquablement fréquents (tumeurs
ul. Cette hypertrophie est irrégulière; il coexiste d'ordinaire des
troubles
trophiques variables. Traitement. Nous en diron
mme normal. Le raccourcissement de la taille dépend uniquement d'un
trouble
téralologique des membres inférieurs désigné so
, pour être clair et suffisamment complet . à quelques redites. '
Troubles
de la motilité. Ils sont nombreux et leur étiolog
out particulièrement chez les épileptiques et les criminels. , ..
Troubles
du langage ? Signalons toute la gamme des trouble
criminels. , .. Troubles du langage ? Signalons toute la gamme des
troubles
de la parole : mutité, balbutiement, nasonnemen
te appréciation de ces stigmates, de là culture du sujet examiné.
Troubles
sensoriels. Surdi-mutité, hyperacousie. Astigmati
arler, ou d'un défaut d'éducation ? Le milieu dictera la réponse.
Troubles
sensitifs. Anesthésie. llypoesthésie, hyperesthés
cette mutilation. Viciations de l'aptitude sociale. La plupart des
troubles
précé- dents ne facilitent guère les relations
on de 45 jours, est apparue la roséole et quelquefois un cortège de
troubles
secondaires : céphalée nocturne, iritis, érupti
e d'urine par hérédo- syphilis. Nous ne nous arrêterons pas sur les
troubles
des réflexes pupil- laires déjà décrits dans la
exes pupil- laires déjà décrits dans la syphilis acquise ni sur les
troubles
des réflexes rotuliens. L hérédo-syphitis peut
te ou incomplète de la chaîne des osselets; enfin la persistance de
troubles
auditifs. Ces troubles sont caractérisés par
aîne des osselets; enfin la persistance de troubles auditifs. Ces
troubles
sont caractérisés par leur brusquerie d'apparitio
ur progression rapide et leur intensité habituelle. Quelquefois ces
troubles
auditifs aboutissent il la surdi-mutité. Stig
vant E. Fournier, des stigmates rudimentaires. Un certain nombre de
troubles
fonctionnels sont en rapport avec ces stigmates
agité, il retombe plus vite et mouille moins que l'eau. Il devient
trouble
ou purulent dans les méningites cérébro-spinale
de céphalo-rachi- dien lui donne une coloration inégale d'un aspect
trouble
. Au microscope, les globules rouges sont intact
traire, la même réaction chez les paralytiques généraux provoque un
trouble
très prononcé. Cette recher- che avait été l'ai
eur était normal dans les cas bénins; dans les cas graves, il était
trouble
, albumineux teinté, présentait au début une lég
le cas de lymphocytose arachnoïdienne avec mydriase paralytique et
troubles
de la sensibilité d'Achard et Grenet (Société de
certains hérédo-syphili- tiques et l'a toujours trouvée liée à des
troubles
nerveux. 2° Cyto-diagnostic dans la syphilis, s
timètres cubes pour obtenir un résultat. Ponction lombaire dans les
troubles
auriculaires. Babinski a remarqué que le vertig
nce à ce vertige wllaïdue. Les variations de ce vertige suivant les
troubles
auriculaires ont amené Babinski il rechercher s
ponction lombaire qui influe sur le vertige influait aussi sur les
troubles
auriculaires. Il a pu obtenir des améliora- lio
u des bruits subjectifs. Ponction lombaire thérapeutique dans les
troubles
psychiques et l'hydrocéphalie. Groler, et quelq
s accidents, a été remplacée par la stovaïne. et, d'autre part, les
troubles
consécutifs à l'injection, qui étaient dus pour
as modifiée. Les sphincters sont presque toujours intacts et, comme
troubles
vaso- moteurs, on ne peut que signaler les sync
les éléments négatifs essentiels. A maintes reprises, on a noté des
troubles
de l'équilibre et de la marche qui devenait ébr
ème paire (Mocquin), le nystagmus (Parkes-Weber). Contrairement aux
troubles
cérébraux, ils paraissent résulter indifféremment
parésie masticatrice ou faciale et surtout la surdité avec ou sans
troubles
labyrinthiques engendrée par les altérations de l
coup plus significatifs. Au premier rang, il convient de placer les
troubles
de la respiration et du pouls qui ne font pour
l'ab- sence habituelle de constipation, de rétraction du ventre, de
troubles
vaso-moteurs. L'absence d'éruptions cutanées n'
re et les convulsions sont plus inconstantes, mais le délire et les
troubles
bulbaires sont plus fréquents, révolution un peu
SYNDROMES VENTRICULAIRES. 1 157 î sieurs mois durant laquelle les
troubles
visuels furent seuls il persister. La mort, fut
vulsions oculaires et suivis de cyanose, d'arrêts respiratoires, de
troubles
du pouls qui devenait petit et rapide. La dif
bien décrite par Loepcr, dans laquelle font complètement défaut les
troubles
moteurs convulsifs ou paralytiques et la stase pa
méningitique par sa durée, plus longue, l'absence de paralysies, de
troubles
vaso- moteurs,, de température, du coma apoplec
DE L'AQUEDUC DU SYLVIUS ET DU 4' VENTRICULE Les symptômes sont les
troubles
pedoncutaircs, protubérantiels et bulbaires que
mment signalés. Nous sommes donc en droit de penser que si certains
troubles
lml- baires proviennent d'altérations nucléaire
1" Dans le premier cas la radiographie permet d'affirmer que les
troubles
cérébraux qui auront pu se produire sont dus soit
n d'un contrôle radiographique. Il nous faut dire un mot encore des
troubles
traumatiques tardifs, ceux-ci particulièrement
ent sur les os du crâne ou du rachis. f Enfin parfois il s'agira de
troubles
cérébraux ou médullaires, dépen- dant bien réel
ires, dépen- dant bien réellement du traumatisme préalable. ' ? Les
troubles
cérébraux, et tout spécialement les crises d'épil
Marie et Astie. Elles nous paraissent avoir même pathogénie que les
troubles
cérébraux post-trauma1.iques tardifs, à savoir
es semblent être d'ordinaire un mélange en proportions variables de
troubles
trophiques dus les uns il des lésions médullair
a plupart même semblent être dues il des auto-intoxications, que le
trouble
trophique résulte des déchets toxiques de la nu
ses courtes, des points d'ossili- cation à apparition tardive ; ces
troubles
sont précocement décelables par les rayons de R
temps que la disparition de la tumeur, une paraplégie complète avec
troubles
sphinctériens bientôt suivie de mort, sans que l'
loureuse disparaissent avant l'anesthésie thermique (Beaujard), les
troubles
de la motricité rétrocèdent et les muscles récupè
aires jusqu'aux mouvements fins de l'écriture ou de la couture, les
troubles
trophiques eux-mêmes rétrocèdent, (panaris, sco-
chez un homme de 29 ans une amélioration notable de la plupart des
troubles
de la motilité, le tremblement des membres supé
. LÉRI ] 1188 Q8 ' . RACIOLOGIE, . leur disparition complète, les
troubles
paraplégiques . s'atténuent aussi. Les douleurs
de Béclère, âgée de 16 ans, atteinte de gigantisme avec céphalée et
troubles
visuels graves, récupéra partiellement la visio
neurasthénie et l'hystérie, alors même qu'elles donnent lieu à des
troubles
moteurs plus ou moins accentués. Il en est de mêm
lexes d'origine articu- laire ou on n'observe pas la DR. Dans les
troubles
moteurs des névroses, hystérie, neurasthénie, cho
ions quantitatives, sans DU, indi- quent des lésions légères ou des
troubles
passagers, disparaissant assez rapidement et ne
de se rappeler, quand on recherche la réaction myotonique, que les
troubles
de l'excitabilité électrique et mécanique, ainsi
de l'excitabilité électrique et mécanique, ainsi que d'ailleurs les
troubles
de la motilité volontaire, ne sont pas toujours
il a décrits sous le nom de myotonie acquise, présentant les mêmes
troubles
de la motilité volontaire que la maladie de Tho
ou moins avancée de la vie et aussi par leur curabilité. Dans des
troubles
de l'appareil musculaire décrits par Schllltzc so
tée chez deux hystériques et E. Remak chez un malade présentant des
troubles
des mouvements et de l'atrophie musculaire probab
ASTHÉNIQUE Sous le nom de réaction myasthénique Jolly a signalé des
troubles
de l'excitabilité électrique observés dans un g
re d'affections qu'il a appelées myasthénie pseudo-paralytique. Ces
troubles
ont été rencontrés dans les affections particul
on bulbaire sont généralement plus spécialement atteints; les mêmes
troubles
peuvent exister aussi et parfois même prédomine
·1. Il ne faudrait pas prendre pour de la réaction myasthénique des
troubles
de l'excitabilité électrique qu'on observe parf
lieu d'exciter un nerf on excite un muscle, on constate parfois des
troubles
semblables de l'excitabilité électrique. En se
fficace. Dans ces cas, on diminue ou l'on fait même disparaître les
troubles
observés en modifiant convenablement les conditio
u courant excitateur, on peut voir encore diminuer ou disparaître les
troubles
dont il s'agit. NERFS SENSITIFS ET SENSORIELS
e nor- male ou si elle se trouve augmentée ou diminuée. Lorsque les
troubles
portent sur un seul côté du corps l'examen est
tte comparaison, de l'état de la résistance électrique. Lorsque les
troubles
de la sensibilité portent sur les deux côtés du c
olologique a montré que l'oreille doit être malade, soit de simples
troubles
fonctionnels comme dans la surdité hystérique,
augmenta- tion de la résistance n'est pas constante, même avec des
troubles
vaso- moteurs accentués. Dans la poliomyélite
ales. Sous l'inlluence de l'inaction fonctionnelle d'une part et de
troubles
trophiques d'autre part, on voit assez souvent
alvanique, et on commence par le courant galvanique continu. Si les
troubles
paralytiques sont assez étendus sur ! un des memb
ssant passer de 3 it 5 minutes dans chaque direction. Lorsque les
troubles
paralytiques sont moins diffus et se montrent pré
ppelé quelquefois tardivement à traiter lés atrophies muscu- et les
troubles
moteurs laissés par des poliomyélites, qui n'ont
le on voit parfois se produire des complications occa- sionnant des
troubles
moteurs qui ressemblent beaucoup à ceux de la p
yélites antérieures aiguës. Dans ces poly- névrites, cependant, les
troubles
sensitifs. tels que douleurs sur le trajet · [E
s motrices des cornes antérieures. Dans certaines polynévrites, les
troubles
sensitifs, sensations d'engour- dissement, de f
anesthésies, etc., prennent une assez grande importance, il côté de
troubles
moteurs assez prononcés aussi parfois, plus eff
la colonne vertébrale et l'autre sur les parties des membres où les
troubles
moteurs et sensitifs sont prédominants; le bain é
sultats paraissent avoir été assez favo- rables, davantage pour les
troubles
trophiques et sensitifs que pour les troubles n
s, davantage pour les troubles trophiques et sensitifs que pour les
troubles
neuro-moteurs; l'état de spasmodicité, lorsqu'il
ion réflexe portant sur les centres médul- laires et entraînant des
troubles
dans la trophicité des muscles. L'électrt- sati
il y a lieu de prendre aussi en considération le traitement de ces
troubles
de la sphère motrice. Pendant la période aiguë
ons symptomatiques très atténuées, tandis que d'autres montrent des
troubles
sensitifs et moteurs plus ou moins prononcés el
ant, il leur appliquer le traitement déjà indiqué'. Contre certains
troubles
trophiques, les maux perforants en particu- lie
haute tension. L'électrisation peut être employée aussi contre les
troubles
vésicaux. rétention ou incontinence d'urine. Le
Nous avons déjà parlé de cette affection à propos du traitement des
troubles
qu'elle entraîne par lésions des neurones moteu
elle entraîne par lésions des neurones moteurs périphériques. Les
troubles
dus aux lésions des neurones sensilifs, qu'il s'a
issociation syringomyélique de la sensibilité, ou qu'il s'agisse de
troubles
subjectifs et de crises douloureuses parfois tr
rès des applications électriques mal appropriées; on a vu aussi des
troubles
hystériques disparaître sur des régions trop él
applications qui varient suivant l'étal des malades et suivant les
troubles
prédominants; contre les algies on dispose du sou
la friction électrique peuvent donner de bons résultats. Contre les
troubles
gastro-intestinaux, l'anorexie et la constipation
gros intestin; en cas de dépression plus ou moins généralisée ou de
troubles
parétiques on peut aussi recourir à l'ei'lluvatio
nsion avec le pinceau ou le rouleau métallique. ' S'il existe des
troubles
cardiaques, tachycardie, palpitations, mani- fe
e, courant de 5 10 ni. A. pendant 10 à 20 minutes. Dans le cas de
troubles
dyspeptiques, avec ou sans distension ou dila-
ongtemps comme une maladie nerveuse que l'on rapportait soit il des
troubles
bulbaires, soit il des troubles dans les foncti
use que l'on rapportait soit il des troubles bulbaires, soit il des
troubles
dans les fonctions du grand sympathique. Actuelle
ns du grand sympathique. Actuelle- ment on le rapporte plutôt à des
troubles
dans les fonctions du corps thyroïde retentissa
and sympathique. On rapporte quelquefois aussi celle maladie il des
troubles
dans les fonctions des glandes parathyroï- dien
uscles produit chez des personnes prédisposées à la névropathie des
troubles
fonctionnels se manifestant surtout sous la for
anifestant surtout sous la forme de spasmes et de contractures. Ces
troubles
se développent plus particulièrement à l'occasi
euristes, des pianistes, des violonistes, des dan- seuses, etc. Ces
troubles
sont souvent graves en ce sens qu'ils entravent
ins étendues, gangrènes symétriques des extrémités. Le siège de ces
troubles
est le plus habituellement les doigts et les orte
ons, infections, maladies nerveuses ou de la nutrition. Parfois ces
troubles
précèdent ou accom- pagnent la sclérodermie.
re, suivant les indications de Nothnagel, placer dans le cas où les
troubles
portent sur les membres supérieurs le pôle négati
lotions froides dans les maladies infectieuses avec lièvre, délire,
troubles
ataxo-adynann- ques, principalement, dans les f
t cet état morbide est symptomatique d'une lésion organique ou d'un
trouble
fonctionnel viscéral. On a coutume de conseille
ouches locales périnéales sont utiles aux tahetiqnes présentant des
troubles
vésicaux. J'ajouterai, pour terminer, que le in
ans de grandes quantités de liquide que l'on renouvelle quand il se
trouble
, puis ils sont lavés à l'eau distillée et conserv
centrales, 575, 585. et névral- gies, 580. Aliénés. Examen, 228.
Troubles
du , langage, 250. Troubles de la mi- mique,
l- gies, 580. Aliénés. Examen, 228. Troubles du , langage, 250.
Troubles
de la mi- mique, 252. Actes, 252. Dé- mences,
l, 181. étiologique, 184. Traite- ment, 187. Appareil digestif.
Troubles
nerveux, 977. Séméiologie des voies digestives
e de l'intestin et du péritoine, 997. Syndromes as- sociés, 1000.
Troubles
psychiques, 1001. Thérapeutique, 1008. Appare
Troubles psychiques, 1001. Thérapeutique, 1008. Appareil génital,
troubles
. Priapisme, 968. Spermatorrée, 969. Dysper- m
per- matisme, 972. Onanisme, 975. Im- puissance, 974. oculaire,
troubles
nerveux, '1.. - Troubles sensilifs, I'15. uri
me, 975. Im- puissance, 974. oculaire, troubles nerveux, '1.. -
Troubles
sensilifs, I'15. urinaire, troubles de la sensi
ire, troubles nerveux, '1.. - Troubles sensilifs, I'15. urinaire,
troubles
de la sensibilité, 945. Troubles de la contract
ubles sensilifs, I'15. urinaire, troubles de la sensibilité, 945.
Troubles
de la contractilité, 950. Infeclions urinaires,
5. tabéliques. Radiodiagnostic, , 117 ! 4. Articulation des mots,
troubles
, 198. Articulations, lésions, atrophie muscu-
95. double, 872. Mouvements involontaires, rigi- dité musculaire,
troubles
intellectuels, 875. Mouvements de la main, 1041
z Hi7, 17 1, 504. 1580 INDEX ALPHABÉTIQUE. Bouche. Examen, 976.
Troubles
de la sensibilité, 977. Bourdonnements d'orei
C4. Cerveau (Lésions du -) vertiges. 1 Li ! ). (Affections du -).
Troubles
de la sensibilité, 505. Ataxie cérébrale, 165
59. des adultes, 860. hystérique, sn 1. variable, 861. Chorées.
Troubles
de la sensibilité objec- tive, 556. Description
ue, 1026. Daltonisme, 118. Débilité mentale, 269. ' Défécation.
Troubles
révélant un état mental, 998. Défense (Idées
- tion de dégénérescence, Réactions élec- triques. Déglutition,
troubles
, 983. Délires, Voy. Idées délirantes. lllrila-
coulement prolongé de liquide céphalo- rachidien, 1144. Écriture,
troubles
. L' - est impossible, 205.-L'-est POSSIBLE, mai
ubles. L' - est impossible, 205.-L'-est POSSIBLE, maisincorrecte.
Troubles
calligraphiques élémentaires,. 205. Troublespsy
calligraphiques élémentaires,. 205. Troublespsychographiques,207.
troubles
chez les aliénés, '25l. Examen dans l'aphasie.
innervation, physio- logie, 586. , Encéphale (Affections del'-).
Troubles
de la sensibilité, 505. radiothérapie, 1188.
vius et du 1V° ven- tricule, 1159. médullaires, l 159. Épilepsie,
troubles
de la sensibilité objec- tive, 550. Crises conv
Estomac. Séméiologie. Crises paroxystiques avec vomissement, 989.
Troubles
de la motricité et de la sensibilité, 996. Ex
07. Modification de la sécrétion lacry- male, paralysies oculaires,
troubles
de la vue, 108. Exostoses M/<'ofyc<H'&l
l 57. Fuchsine. Coloration de de Van Gieson, 1557. G Gangrène
trouble
trophique, J l 0. sénile. Topographie segmentai
ène trouble trophique, J l 0. sénile. Topographie segmentaire des
troubles
de la sensibilité, 551. - sénile des orteils, 1
phtalmique. Exophtalmie, 107. " - Signes oculaires, 107, 108. - A
Troubles
de la sensibilité objective, 550. m - Trembleme
avec flexion des premières phalanges, 1058. H Hallucinations et
troubles
auditifs, 146. - périphériques ou centrales, z
r séméiologique, 240. Hématémèses nerveuses, 99). z Hématomyélie,
troubles
de la sensibilité à topographie radiculaire, 55
Ke, d'origine névropalhi- que, 474. . organique. Radiographie des
troubles
trophiques osseux, 1175. Hémispasme facial al
les lésions dé l'oreille, 145. Hyperidrose, 958. Hyperkératose,
trouble
trophique. si 1 ). Hypérosmie, 'j.8. ' Hypers
, 909. -Valeur séméiologique, - 11'1'1. Hypnose, 191. Hystérie,
troubles
de la sensibilité. Anesthésies, JJ2. - Hyperesl
aitement élec- trique, 1525. Voy. aussi Amblyopies. 1 Ichtyose,
trouble
trophique, 915. Ictères chroniques. Liquide cép
. Exagéra- tion des mouvements hors du contrôle de la vue, 754. -
Troubles
de la mar- che, 755. - Membres supérieurs, 757.
c, tète et face, 758. - cérébelleuse, 753, 766. - Pas de Romberg,
trouble
de la composition des mouvements complexes, tro
s de Romberg, trouble de la composition des mouvements complexes,
trouble
de l'équilibre, 766. - Titubation cérébel- le
logie, 555. Intestin. Séméiologie. Paroxysmes dou- lourez, 997. -
Troubles
de l'éva- cuation intestinale, 997. - Syndromes
e l'éva- cuation intestinale, 997. - Syndromes asssociés, 1000. -
Troubles
psychiques, 1001. - Thérapeutique. l00(i. * I
drome de ). 505. Langage oral. Yoy, Parole. Langue. Examen, on. -
Troubles
de la sensibilité, 978. Troubles de la mo- ti
y, Parole. Langue. Examen, on. - Troubles de la sensibilité, 978.
Troubles
de la mo- tilité, 979. Traitement électrique
Ancsthesie, 040. llypoesthésie. l'a- reslhésies, 1141. Névralgies.
Troubles
réflexes, 642. Paralysies. Hémiplé- gie corti
la glotte des nour- rissons. Toux nerveuse. Vertige laryngé. 655.
Troubles
laryngés dans les névroses, 11J r4. - Slt : mne
naissance des dessins, 215. Lèpre. Topographie paraplégique des
troubles
de la sensibilité, 549. Topo- graphie segmentai
1. Atrophie, type Duchenne-Aran, 704. Atrophie mus- culaire, 722.
troubles
trophiques, 925, ! 12ü. - )Iutila tion des pied
phiques, 925, ! 12ü. - )Iutila tion des pieds, 1047. Leucodermie,
trouble
trophique, 9)5. Leyden (Vomissement périodique
ranl buccal, 92L 977. - perforant plantaire, 925, 1047. Marche.
Troubles
ataxo-spasmodiques, W2. - Démarches sautillante
xo-spasmodiques, W2. - Démarches sautillantes, a petits pas, 495.
Troubles
par con- tracture on rigidité, 494. - dans le
ues terminales, coloration de Ra- mon y Cajal, 1570. Mastication,
troubles
, 985. Mégalodactylie, 1015, 1045. Membres. Me
sme, lll00. Métamérie spinale, 554. - Topographie segmentaire des
troubles
de la sensi- bilité, 550. Métatarsalgie, 597.
men dans l'aphasie. - conventionnelle, 214. - descriptive, 214. -
Troubles
chez les aliénés, 252. Moelle (Affections de la
214. - Troubles chez les aliénés, 252. Moelle (Affections de la ).
Troubles
de la sensibilité, 31 ;1. - (Tumeurs de la -
868. (Main de -), 1029. Motilité. Examen de l'aphasie, 215. - (
Troubles
de la -). ). Hémiplégie, 462. - Paraplégie, 486
ralgie, 595. - oculo- gyres, 78. - périphériques (Lésions des -).
Troubles
de la sensibilité, 547. - Causes. Caractères, 5
ndaires, 719. de type Aran-Duchenne, 706. - Radio- diagnostic des
troubles
trophiques os- seux, 1175. - Réaction de dégéné
966. ' Névroses, phénomènes auriculaires, 128. - vertiges,. 171.
troubles
de la sen- sibilité, 3552. - troubles laryngés,
res, 128. - vertiges,. 171. troubles de la sen- sibilité, 3552. -
troubles
laryngés, 654. incoordination, 781. traitement
652. 11'a1l111ati- ques, tremblement, 847. Nez, maladies, 147. -
Troubles
de l'odo- rat, 148. - Troubles nerveux consé-
lement, 847. Nez, maladies, 147. - Troubles de l'odo- rat, 148. -
Troubles
nerveux consé- cutifs aux maladies du nez, 150.
. - Occipito-frontal.- Innervation, physiolo- gie, 582. Odorat,
troubles
. Ilyperosmie, anosmie, 148. - Parosmie, 150. -
46. OEil (Technique de l'examen du système nerveux de 1' -), 2. -
Troubles
des milieux transparents, '15. Insuffisance d
a- tion de la motilité intrinsèque, 22. (Valeur séméiologique des
troubles
ner- veux de V 3a. Phénomènes douloureux, ane
les affections oculaires, 1l ! 0. OEsophage, 985. - Spasmes, z
Troubles
de la sensibilité, 987. sophagisme, traitement
oïdien. Innervation, physiologie, 558. ' Onanisme, 975. Ongles.
Troubles
trophiques, 927. Ophtalmie sympathique, 955.
¡¡. - Maladies de l'oreille interne et du nerf acoustique, 132. -
Troubles
nerveux déterminés par les lésions de l'oreille
- Trou- bles nerveux d'origine otique sans lé- sions organiques.
Troubles
réflexes, 142. Troubles psychiques, 145. inte
origine otique sans lé- sions organiques. Troubles réflexes, 142.
Troubles
psychiques, 145. interne, maladies, 152. Troubl
réflexes, 142. Troubles psychiques, 145. interne, maladies, 152.
Troubles
circulatoires, 155. - Inflammations, syphilis
l'OEUIIOI.. Otites. Complicationsintracraniennes, 1 ! il . Ouïe. (
Troubles
de l' -). ). Hyperacousie, 129. - Hypoacousie e
Paralysie par lésion des centres et voies supra-nucléaires, 77. -
Troubles
moteurs oculaires associés. Dé- viations conjug
rachidienne, 495. - avec démarche ataxo-spasmodique, 498. - avec
troubles
sphinctériens et trophi- ques, 499. - Maladies
641. Parkinson (Maladie de). Voy. Paralysie agitante. ? Parole,
troubles
. Toute conversation est impossible avec le mala
conversation est possirle, mais le langage du malade est troublé;
troubles
delà phonation et de l'articula- tion, l 98. -
troublé; troubles delà phonation et de l'articula- tion, l 98. -
Troubles
du débit, 202. Variations du timbre, 205. - Tro
tion, l 98. - Troubles du débit, 202. Variations du timbre, 205. -
Troubles
constitutifs de la formation des, mots ou des
dans l'aphasie. Parole spontanée, 211. - ré- pétée, chant, 212. -
Troubles
chez les aliénés, 251. - Chez les idiots, 266.
les idiots, 266. Parosmie, 150. - ' Paupières, exploration, 32. -
Troubles
de la motilité, 98. - Paralysie du rele- veut
ulaire, 146. - de l'insomnie, '195 ? digestives, 1006. Phonation,
troubles
, 198. Pick (Apraxie idéatoire de -), 225. Pic
éatoire de -), 225. Picro-carmin. Voy. Carmin. Pied. Séméiologie.
TROUBLES
du D1`ELOP- PEMENT. Difformités tératologiques,
us douloureux, 1057. - tabétiques, 724, 1045, 1055. Pigmentation,
troubles
, 915. Plantaire grêle. Innervation, physiologie
oy. Nerf pnewno- gastrique. ' 1596 INDEX ALPHABÉTIQUE. Poils.
Troubles
trophiques, 927. Poliencéphalite inférieure chr
141. Dans les comas, céphalées, tumeurs cérébrales, z. - Dans les
troubles
auriculaires, dans les traumatismes crâniens et
érapie des compressions mé- dullaires, 1187. Pression artérielle,
troubles
, 95J. Priapisme, 968. - Traitement, 969. Prog
. Psychiatrie. Séméiologie psychiatrique, 228. Psychiques. Voy.
Troubles
psychiques. Psychoses et maladies de l'oreille,
oy. Troubles psychiques. Psychoses et maladies de l'oreille, 146.
Troubles
de la sensibilité objective, 558. Ptérygoïdien
s, 89. - Inégalité pupillaire, 90. - Mo- bilité pupillaire, 91. -
Troubles
ré- flexes, 91. Pyélite, 900. - Pyélonéphrite
de distribu- tion cutanée, 525, 524, 524. - (Affec- lions des -),
troubles
de la sensibilité, 556. - Lésions et compressio
l'occlusion des paupières, 50, 95. d'origine psychique, 51, 95. -
Troubles
. Perte du réflexe lumineux, 91. - Réflexe conse
igine cutanée, , 455. ? Réflexes. Nature et localisation, 457. (
Troubles
des.-), 427.- Réflexes ten- : . dineux, . 427. Jf
a résistance dans les états pa- thologiques, 1285. - Respiration,
troubles
, 940. Rétentions d'urine, étiologie, 950. - R
, 1514. - Sclérodactylie, troublés trophiques, 914. Sclérodermie,
troubles
trophiques, 914. et sclérodactylie, 1050, 1047.
- pour les cou- leurs, 7. - insulaires, 58. Sécrétion lacrymale,
troubles
. Hypersé- crétion, 113. - Hyposécrétion, sécré-
on, 113. - Hyposécrétion, sécré- tions anormales, 114. sud orale,
troubles
, 98. Sénilisme, ·190. ' Sensations internes,
Agnosie et asymbolie, 501. - Rapport de l'astéréoagnosie avec les
troubles
de la sensibilité périphé- rique, 302. - Recher
sensitives. Yoy. Voies seusilioes. - musculaire, 290. objective,
troubles
. Technique de leur recherche, 281. - Sensibilit
i- cielles, 282. - Sensibilités profondes, 290. - Topographie des
troubles
objec- tifs de la sensibilité, 504. - Troubles
0. - Topographie des troubles objec- tifs de la sensibilité, 504. -
Troubles
dans les affections du système nerveux, 0 . -
oire, 294. - ]te- cherche, 295. - Séméiologie, 29û. - subjective,
troubles
. Recherche, 562. - Douleurs, 36 ? Dysesthésies,
pathologique, 970. - Itiagnos- tic. Traitement, 971. Sphincters,
troubles
, 999. Spina leprosa, 1020. - ventosa. Défor-
</i/e,radiodiagnostic, 1175. - radiothérapie, 1188. Squelette.
Troubles
trophiques. Hyper- trophie, 928. - Atrophies et
s, I U 1 (i. - héréditaire, 1107. Recherche, 1108. Syringomyélie.
Troubles
de la sensibilité à topographie radiculaire, 55
Tenseur du fascia lala. Innervation, phy- siologie, 542. Tétanie.
Troubles
de la sensibilité objec- tive, 556. - signes, 9
pographie cérébrale, 592. cranio- cérébrale, 597. - insulaire des
troubles
de la sensibilité dans les affections des nerfs
ns l'hystérie, 355. - médullaire motrice, 598. - nwnopleyique des
troubles
de la sen- sibililé, 549. - paraplégique des
leyique des troubles de la sen- sibililé, 549. - paraplégique des
troubles
de la sensibilité par lésions des nerfs, 549. -
erfs, 549. - périphérique des trou- bles de la motilité, 625. - des
troubles
de la sensibilité, 548. - radiculaire des tro
té, 625. - des troubles de la sensibilité, 548. - radiculaire des
troubles
sensitifs dans les affections médullaires, 319.
tion cutanée, 520. Plexus brachial, 521. Valeur séméiologique des
troubles
sensitifs à z, 522. - Racines spinales, innerva
25, 599. INDEX ALPHABÉTIQUE. 1401 l Topographie segmentaire des
troubles
de la sensibilité dans les affections des ner
cique. Ceinture pelvienne. Ceinture scapulaire, 1077. Trophicité.
Troubles
trophiques, 'J12. - Altérations du tégument, 91
des phanères, 026. - Hypertrophie et atrophie du squelette, 928. -
Troubles
trophiques des articulations, 930.- des muscl
des sens, 955. Trophoedème de Meige, z membres inférieurs, zig.
Troubles
de la motilité d'origine radicu- )aire, 6)1. to
rophie mus- culaire, 725. Tumeurs bullaires, 805. - cérébrales,
troubles
oculaires, 121, 12a. - lésions de l'oreille, '1
2. gies, 509. Tremblement, 842. Viscéralgies, 5 in. - Viscères.
Troubles
des sensibilités viscé- rales, 558. - (Affectio
ère, 9. Per- sistance dans l'hémianopsie, 47. (les couleurs, 7. -
troubles
. Cécité congéni- tale pour les couleurs, 118. T
uleurs, 7. - troubles. Cécité congéni- tale pour les couleurs, 118.
Troubles
acquis de la vision des couleurs, 119. - péri
PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE « La fibre musculaire, : 1 la suite de ces
troubles
d'innervation ou de nutrition, reprend, en sens
riques, on est amené à recon- naître : i° que le poison diphtérique
trouble
profondément le fonction- nement du nerf avant
la méthode de Barany, en même temps qu'elle provoque du nystagmus,
trouble
le vertige voltaïque comme le font parfois les
t prolongé RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES CUTANÉS 21 augmente les
troubles
provoqués par la destruction du labyrinthe (inc
ie, j'en ferai l'exposé au cha- pitre consacré à la description des
troubles
de la réflectivité (voir pp. 27 et 37). 22 II
rt à cause de la fréquence des affections capables d'y apporter des
troubles
et de la valeur des renseignements que fournit
ET RÉFLEXES OSSEUX 31 a de la surréllectivité lorsqu'il existe des
troubles
fonctionnels unilaté- raux. Il va sans dire qu'
anifestement de tabes caractérisé par des douleurs fulgurantes, des
troubles
vésicaux, le signe de Robertson, l'absence bila
cutané plantaire était normal et le côté gauche ne présentait aucun
trouble
de motilité. ' « J'ai également observé le si
érit rapidement et, quarante-huit heures environ après le début des
troubles
morbides, le réflexe cutané plantaire était rede-
ant puisqu'il révélera dans le système pyramidal l'exis- tence d'un
trouble
qui, sans ce signe, aurait pu être méconnu. « A
tion de l'idée que le phénomène des orteils est en relation avec un
trouble
dans le fonctionnement du système pyra- midal.
e plusieurs sujets présentant le signe d'Argyll et n'ayant, sauf ce
trouble
, aucun symptôme d'affection organique du systèm
l'appui de l'idée que nous avions émise sur les relations entre les
troubles
pupillaires et la syphilis (75). Nous arrivions
tabes et à la paralysie générale. Nous fai- sions ressortir que ce
trouble
, n'apportant aucune gêne dans la vision, n'est
grande, car il décèle l'existence d'un état souvent précur- seur de
troubles
fort graves et constitue une indication thérapeut
ntensif... ». Dufour, dans un mémoire sur « les relations entre les
troubles
pupillaires, la syphilis et certaines maladies
« En raison del'imporlance fondamentale qui s'attache à l'étude des
troubles
pupillaires, j'estime qu'on ne saurait trop cherc
à la lumière. Je dirai encore, pour compléter la description de ce
trouble
, que les pupilles de cette malade réagissent à
d'une véritable abolition du réflexe des pupilles à la lumière, le
trouble
subsiste quelle que soit l'inten- sité de la so
orce le réflexe à la lumière, je renvoie le lecteur à la page 22.
TROUBLES
DE LA CONTRACTILITÉ ÉLECTRIQUE Excitabilité far
les résultats furent très bons » (G. Guillain, in « Médication des
troubles
de la motilité », p. 408, chez .1.-B. Baillière
ions des nerfs sont primitives, qu'elles sont l'origine de tous les
troubles
symptomatiques observés et que le système nerveux
leur action pathogène sur d'autres systèmes ana- toriques ; que les
troubles
fonctionnels qu'ils occasionnent sont cau- sés
nce musculaire ne s'accompagnant pas de douleurs, dans celle-là les
troubles
occupent le bras, se manifestent par des douleu
j'ai pu tirer parti de son absence et montrer qu'il s'agit là d'un
trouble
très fré- quent dans le tabes (50,78). J'ai mêm
us ces malades, sauf dans 92 AFFECTIONS DU LA MOELLE un cas où le
trouble
n'était qu'unilatéral. Or, dans 8 de ces observat
oup de sujets. Ordinairement, ainsi que,je l'ai fait ressortir, les
troubles
suivent une marche ascendante, le réflexe d'exten
es qu'on observe chez les tabétiques ne sont pas nécessairement des
troubles
trophiques liés aux altérations nerveuses du tabè
aractères appartenant aux lésions articulaires de l'ataxie, soit un
trouble
trophique dépendant des altérations nerveuses d
te qu'à la suite d'un traitement par le sous-nitrate de bismuth les
troubles
disparurent. Il est infiniment probable que, malg
rées par des intervalles de santé parfaite (pas de douleurs, pas de
troubles
dyspepti- ques) et, à aucun moment, le malade n
rme de pseudo-tabes (Névrite optique rétro- bulbaire infectieuse et
troubles
dans les réflexes tendineux). Ce travail est fo
re établie au moyen des caractères suivants. i° Tandis que dans les
troubles
pupillaires propres au tabes, quand ils sont un
re. 3° Enfin, l'évolution de l'affection, l'atténuation notable des
troubles
visuels sont en opposition avec le diagnostic d
tral avec une dyschromatopsie semblable à celle du tabcs. et où les
troubles
oculaires sont bilatéraux et symétriques (62).
des ressemblances avec celui du tabes. Il est vraisemblable que ces
troubles
sont sous la dépendance d'une lésion des nerfs
rite destruc- tive (paralysie et anesthésie des membres inférieurs,
troubles
dans les fonctions de la vessie et du rectum, e
e de 62 ans chez laquelle s'étaient t installés progressivement des
troubles
de sensibilité consistant en douleurs et anesth
s troubles de sensibilité consistant en douleurs et anesthésie, des
troubles
vésicaux et une paraplégie crurale presque tota
L'examen histologique montra que c'était un fibro-sarcome. Tous les
troubles
régressèrent petit à petit à la suite de l'interv
e était un homme de 60 ans atteint aussi de paraplégie crurale avec
troubles
de sensibi- lité et troubles vésicaux. Comme da
teint aussi de paraplégie crurale avec troubles de sensibi- lité et
troubles
vésicaux. Comme dans le cas précédent, il fut pos
« En résumé, un sujet, après un grand traumatisme, est atteint de
troubles
de motilité qui occupent d'abord exclusivement le
thermo-anesthésie du côté opposé et à de la thermo-asymétrie ; les
troubles
de motilité envahissent ensuite tout le tronc,
du corps, et s'accompagnent d'une per- tmbation sphinctérienne. Les
troubles
de sensibilité disparaissent spontanément, mais
e. Les troubles de sensibilité disparaissent spontanément, mais les
troubles
de motilité s'accentuent progressi- vement... ?
robablement causée par une altération des racines motrices. « Les
troubles
de motilité, qui pendant six mois n'ont fait que
a été insolite par sa rapidité. Je ne me rappelle pas avoir vu des
troubles
de motilité, liés à une compression spinale et
a moelle, confor- mément à l'hypothèse qui avait été émise), où les
troubles
de moti- lité rétrocédèrent rapidement à la sui
rités que détruits. Mais déjà, dès le début, malgré l'intensité des
troubles
fonctionnels, et je dirais même en raison de l'
nels, et je dirais même en raison de l'intensité de certains de ces
troubles
, on pouvait sup- poser qu'il en était ainsi. C'
elui de la deuxième n'en contient presque plus. « D'autre part, les
troubles
fonctionnels ont diminué d'une manière très app
ce qui constitue une rareté. 3° Chez un malade qui, entre autres
troubles
, présentait des accès d'épilepsie jacksonienne
t autrefois que l'hémiplégie organique, à considérer uniquement les
troubles
de motilité qui la constituent, ne présente auc
ion du muscle du côté normal ; j'ai proposé d'appeler simplement ce
trouble
le signe du peaucier. Il peut exister aussi dan
elque temps seulement après le début de l'hémi- plégie, lorsque les
troubles
se sont atténués. Dans la première phase de l'h
uquel je renvoie le lecteur (p. 128). Parallélisme entre les divers
troubles
de la motilité volontaire. Considérons, par exe
s troubles de la motilité volontaire. Considérons, par exemple, les
troubles
de motilité à la face. Si les mouvements unilat
ident que ce parallé- lisme n'est pas parfait, chacun de ces divers
troubles
pouvant être HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 123 un peu
paralysie est « systématique » (34, 35, 38). Si l'on envisage les
troubles
de motilité du bras dans l'hémiplégie ou la monop
ci pourrait coïncider avec la conservation de ceux-là. Fixité des
troubles
de motilité. Il va sans dire que l'hémiplégie o
. Quand on considère, dans un laps de temps relativement court, les
troubles
de motilité de cette espèce, on est en droit de
du désordre. On conçoit ainsi la parenté qui peut exister entre les
troubles
cellulaires organiques et dynamiques. Il est im
équence, qu'une névrite périphérique en apparence peut dériver d'un
trouble
dynamique des centres nerveux. » Joffroy et A
ns à la manière d'un pendule. A l'état normal l'activité musculaire
trouble
presque toujours les mouvements passifs et les
volume, et c'est à cette compression qu'il y a lieu d'attribuer les
troubles
de motilité du côté droit. C. J'ai montré que
es altérations du nerf acoustique fréquentes en pareil cas, par des
troubles
du vertige voltaïque que j'ai fait connaître (v
non syphilitiques ; mais cette influence n'est que passagère et les
troubles
, après avoir rétrocédé, reparaissent. C'est là un
disparition de la cépha- lée, de la stase papillaire et des autres
troubles
que l'oedème cérébral avait provoqués, grâce à
xpériences de Flourens. Sauf le tremblement, la parole scandée, les
troubles
de l'écriture qui, du reste, ont été surtout ét
la titubation ébrieuse, des vertiges, du nystagmus. Certains de ces
troubles
sont peut-être même particuliers aux lésions ve
mplis spontanément. Mais c'est dans certains actes commandés que le
trouble
apparaît généralement avec le plus de netteté.
z et à le main- tenir à cette place, le cérébelleux qui présente ce
trouble
n'y parvient pas ; son doigt, après avoir suivi
e d'imaginer d'autres exercices permettant de mettre en évidence le
trouble
qui nous occupe. Pour bien constater cette pert
e la contraction musculaire. Je rappelle à ce propos que les divers
troubles
de motilité d'origine cérébelleuse peuvent se d
s il s'agit là d'un fait isolé et non d'une étude d'ensemble sur ce
trouble
. Du reste, cette observation, qui n'est parvenu
ui 140 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE les a bien étudiés, a donné à ce
trouble
la dénomination de « dysmé- trie ». Dans les ca
alentendu, j'ai pris soin, dès l'origine, de faire ressortir que ce
trouble
ne peut être considéré comme réalisé que lorsqu
mais plus prononcée à droite. Après extraction de la tumeur, tous les
troubles
, y compris l'adiadococinésie, régressèrent et d
len der nodicinischen Chirur- gie, Bd. XIX, S. igi, 1908) notent ce
trouble
chez un malade atteint de tumeur cérébelleuse.
un malade atteint -vraisemblablement d'atrophie cérébelleuse, où le
trouble
était très net au membre supérieur gauche. Max
du centre cortical de l'extrémité supérieure et qui résultent d'un
trouble
dans les réflexes des antagonistes. En première
qui d'ailleurs possède une vigueur musculaire normale et n'a pas de
troubles
de sensibilité. Après l'avoir fait mettre debou
é de flexion exécuté par la cuisse. On peut remédier en partie à ce
trouble
en pre- SYNDROME CÉRÉBELLEUX in nant le mal
tie aux dépens du cervelet. Ultérieurement, j'ai montré que les
troubles
asynergiques tels que je les avais observés aux
e, qu'elle soit bilatérale ou unilatérale, elle diffère de tous les
troubles
de locomotion déjà connus. Elle se dis- tingue
xie tabétique, cela doit être tout à fait exceptionnellement. Les
troubles
dont je viens de donner la description, ayant un
uvements élémentaires peuvent s'accom- plir. L'interprétation de ce
trouble
de déambulation me paraît donc légitime. Elle s
ion de l'hémisphère cérébelleux droit, décrivent avec précision les
troubles
asynergiques qui occupaient la jambe droite. Ra
roisement du pédoncule cérébel- leux au-dessous de ce noyau que les
troubles
de la motilité siégeaient du côté opposé à la l
r- ter le diagnostic d'affection labyrinthique. Gall mit alors ce
trouble
en parallèle avec un autre phénomène qui chez le
ent : il s'agit dans la marche, comme dans notre phénomène, du même
trouble
dans la coopération de deux ou plusieurs groupes
entrant en action à l'occasion d'un mouvement compliqué, donc d'un
trouble
de coordina- tion, ou comme Babinski l'a pertin
20). Il n'est pas nécessaire pour cela que l'incoordination et les
troubles
de sensibilité profonde soient très accusés. On c
de l'équilibre et que, d'autre part, les données classiques sur les
troubles
de l'équilibration dans les affections du cerve
tatés chez ce malade. Il fut pris, en pleine santé, de vertiges, de
troubles
graves de la motilité et d'une gêne dans la dég
en pratiqué quelques jours après le début de l'affection décèle les
troubles
suivants. On constate de l'hémiparésie à droite
bulbaire peut, sans atteindre la motilité volontaire, produire des
troubles
vaso-moteurs et thermiques à forme unilatérale
eurs et thermiques à forme unilatérale (118, 13o). A la vérité, ces
troubles
ne sont pas exceptionnels dans les allections d
-palpébral de Claude Bernard-Hutchinson. Dans un de ces cas, où les
troubles
avaient rapidement régressé, j'ai pu les faire
s engendrer de paralysie de la moti- lité volontaire, provoquer des
troubles
vaso-moteurs et thermiques à forme hémiplégique
les sont capa- bles d'engendrer une anesthésie caractérisée par des
troubles
de la sensi- AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULA
gomyélique. AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE Diagnostic.
Troubles
du vertige voltaïque. Depuis quelques années le
ent autrefois, alors qu'il reposait seulement sur l'appréciation de
troubles
fonctionnels. Aujourd'hui on le fonde princip
un courant semblable, de quelques secondes de durée, peut en cas de
trouble
labyrinthique provoquer des sensations anormale
REIL VESTIBULAIRE 169 dominent d'un côté, on observe communément un
trouble
que j'ai appelé « l'inclination unilatérale » e
que les divers phénomènes dont j'ai fait l'exposé expriment tous un
trouble
de l'appa- reil en question et que quelques-uns
rsqu'il s'agit de différencier une affection auriculaire vraie d'un
trouble
imaginaire ayant la suggestion pour cause ou enco
erçue, ou de dépister une lésion organique ne donnant lieu qu'à des
troubles
subjectifs insignifiants ; AFFECTIONS DE L'APPA
L VESTIBULAIRE 171 « 2° De différencier une lésion auriculaire d'un
trouble
psychique : dans le pre- mier cas seul, la form
ions sont conformes aux miennes. Après avoir fait remarquer que les
troubles
fonctionnels dus à une lésion de l'appareil sta
n qui permette de déterminer, d'une façon tout à fait objective, un
trouble
dans les fonctions statiques de l'ap- pareil la
ticulier ce fait important sur lequel j'ai insisté à savoir que les
troubles
du vertige voltaïque peuvent déce- ler l'existe
velle. Ce mode d'examen a été appliqué par Stein à la recherche des
troubles
« spon- tanés », à celle des troubles « provoqu
par Stein à la recherche des troubles « spon- tanés », à celle des
troubles
« provoqués » par Barany, Buys, Gèze. Nous avon
Buys, Gèze. Nous avons imaginé un procédé permettant de rendre ces
troubles
encore plus apparents. Il consiste à faire exéc
e, à chaque trajet, s'additionnent ainsi. De plus, dans l'étude des
troubles
provoqués, nous avons employé, AFFECTIONS DE L'
encore à l'étude, je me contente de les signaler. Traitement. Les
troubles
liés aux lésions labyrinthiques sont susceptibles
onction lombaire ne serait pas capable d'agir favorablement sur des
troubles
ayant des lésions labyrinthiques pour cause. J'
174 AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE d'ordinaire contre les
troubles
en question sont généralement ineffi- caces et
20 o centimètres cubes. L'influence de cette intervention sur les
troubles
qui sont liés aux perturbations de l'appareil v
tre qu'il montre jusqu'à l'évidence l'action de la ponction sur les
troubles
labyrinthiques, il prouve que l'inclination et
l'électrisa- tion est une méthode d'une grande finesse. Quant aux
troubles
fonctionnels, ils peuvent également s'atténuer
est admissible AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE 173 que les
troubles
subjectifs s'atténuent immédiatement à l'instar d
ue les troubles subjectifs s'atténuent immédiatement à l'instar des
troubles
objectifs. D'ordinaire, ces effets salutaires se
us de cinq ans. La rachicentèse a une action bien moindre sur les
troubles
dépen- dant des lésions du labyrinthe antérieur
(93, io5). Lumineau (De la ponction lombaire dans le traitement des
troubles
auditifs. Thèse, Paris, ego3), écrit dans ses c
t d'un hémispasme occupant le côté gauche ; au membre inférieur les
troubles
étaient légers ; ils étaient au contraire très ma
. Cette surréflectivité tendineuse est contraire à l'hypothèse d'un
trouble
mental et cadre avec celle d'une affection orga
ls concluent que le torticolis dit mental n'est pas l'expression d'un
trouble
psychique, mais celle d'une irritation encore i
équent étroitement lié à la maladie. Or, si l'on se rappelle que ce
trouble
constitue un des signes objectifs les plus comm
de Sydenham, il a observé des signes de lésions du système nerveux (
troubles
du tonus, flexion combinée de la cuisse et du tro
og,p. g ! ¡5) relatent également un fait de chorée de Sydenham avec
troubles
organiques (surréflectivité tendineuse, phéno-
du malade, de rapporter à leur véri- table cause l'adiposité et les
troubles
génitaux. Le travail de Frôhlich date de 1 po 1
la mémoire a beaucoup diminué depuis quelque temps. Il n'y a pas de
troubles
paralytiques. Les réflexes tendineux sont exagé
pophyse, quand elles apparaissent chez l'adulte, peuvent amener des
troubles
des organes génitaux, la suppression des règles
e j'ai décrit avant lui, sans, à la vérité, donner à l'ensemble des
troubles
qui le constituent le nom de syndrome, détail s
l'appareil sexuel, et se dit enclin à établir une relation entre les
troubles
MALADIE DE BASEDOW 187 de la nutrition, l'hyp
ficacité de cette cure est loin d'être constante et que parfois les
troubles
, après avoir rétrocédé, reparaissent. Quoiqu'il
IL CARDIO-VASCULAIRE ANÉVRISME DE L'AORTE Anévrisme de l'Aorte et
Troubles
pupillaires. Les troubles pupillaires, en parti
ISME DE L'AORTE Anévrisme de l'Aorte et Troubles pupillaires. Les
troubles
pupillaires, en particulier l'inégalité des pupil
l'intensité, ne saurait expliquer. Dans les faits en question, les
troubles
pupillaires étant permanents, n'étant liés à aucu
e nerveux. J'émettais l'idée que dans les faits étudiés par moi les
troubles
de la pupille n'étaient nullement sous la dépen
pas été ainsi dans d'autres cas d'anévrisme aortique accompagné de
troubles
pupillaires, et je voudrais savoir jusqu'à quel
u'à quel point est fondée la notion classique qui fait dépendre ces
troubles
d'une compression nerveuse. N'a-t-on pas été am
'il voulut bien intituler : « Syndrome de Babinski (Association des
troubles
de la pupille avec les lésions de l'aorte). »
peut-être aurions-nous hésité à donner à leur association avec les
troubles
de la pupille le nom de syndrome de Babinski, m
n étio- logique que l'on puisse invoquer, l'existence simultanée de
troubles
pupillaires montrera la réalité de l'infection
llet 1902 dans les Annales d'oculislique un mémoiie intitulé : «Des
troubles
pupillaires chez les malades atteints de dilatati
qui met sous la dé- pendance directe de l'anévrisme de l'aorte les
troubles
pupillaires qui coïncident avec lui...... « \
exprime ainsi : « Il existe donc des anévrismes de l'aorte avec des
troubles
pupillaires tabéti- ques. On peut en conclure q
res tabéti- ques. On peut en conclure que, dans ces conditions, les
troubles
pupillaires ne sont pas liés à l'anévrisme, mai
si mes idées et les expose dans un travail qui a pour titre : « Les
troubles
pupillaires dans les anévrismes de l'aorte (Syn
étines peut exister sans cyanose généralisée, et l'importance de ce
trouble
local est considérable, car il traduit une pertur
voire do maladies organiques. On la disait capable de produire des
troubles
de motilité indiscer- nables, à considérer seul
donner naissance à des lésions superficielles ou profondes et à des
troubles
de toutes sortes : à des érythèmes, des pillyct
englobe des affections organiques. Elle admettait cependant que les
troubles
hystériques peuvent se développer en l'ab- senc
e d'une paralysie organique. Dès lors la nécessité de soumettre les
troubles
paralytiques à une analyse plus approfondie et
Il devenait indispensable de soumettre à une revision générale les
troubles
circulatoires, tro- pliques et caloriques préte
tro- pliques et caloriques prétendus hystériques, car la notion de
troubles
de cette nature semble avoir en partie pour ori
névi- tablement déduire que l'hystérie a la faculté de produire des
troubles
circulatoires; de là à conclure qu'elle peut do
personnelles me firent de plus en plus douter de l'authenticité des
troubles
que je viens d'énumérer : il ne me fut pas donn
fut en mesure de fournir un seul fait qui confirmât l'hypothèse de
troubles
circulatoires ou trophiques d'origine hystériqu
ériques et qu'il avait décrit sous la dénomination d'oedème bleu un
trouble
circulatoire qu'il rattachait à la névrose. C
contribué à la désencom- I. Je fais abstraction pour le moment des
troubles
)aso-moteurs, superficiels, transitoires (ér th
t encore un grand nombre de matériaux. Le reliquat était composé de
troubles
ayant pour caractère commun l'absence de substr
us haut, on connaissait le rôle de la suggestion dans la genèse des
troubles
hystériques, et celui de la psychothérapie dans
on et de la contre-suggestion dans leurs rap- ports avec les divers
troubles
que nous avons en we. Mes recherches HYSTÉRIE.
ents choréiques parfois irréguliers, mais généralement rythmés, des
troubles
de la phonation, de la respiration. de la sensibi
a respiration. de la sensibilité (anes- thésie, hyperesthésie). des
troubles
sensoriels, accidents ayant pour caractère comm
ales relatives à ce qu'on appelle l' « hystéro-traumatisme ». Ces
troubles
sont susceptibles aussi de disparaître, parfois i
. Ainsi donc, un caractère fondamental sépare ces deux groupes de
troubles
. Voilà un nouveau point bien établi. Cependant,
erait évidemment irrationnel de continuer à appeler hystériques les
troubles
que nous avons rangés dans le deuxième groupe ; d
dans le deuxième groupe ; du reste, les termes : « dermographisme,
troubles
vaso-moteurs ou trou- bles de la réflectivité v
roubles vaso-moteurs ou trou- bles de la réflectivité vaso-motrice,
troubles
émotifs ou troubles de l'émotivité » ne suffise
ou trou- bles de la réflectivité vaso-motrice, troubles émotifs ou
troubles
de l'émotivité » ne suffisent-ils pas à traduir
, il est légitime de le réserver au premier groupe qui comprend les
troubles
impressionnants dont ce mot évoque presque auto
ante : « L'hystérie est un état pathologique se manifestant par des
troubles
qu'il est possible de reproduire par suggestion
que la persuasion ou contre-suggestion serait capable de guérir des
troubles
névropathiques non hystériques, en particulier
r de reproduire expérimenta- lement d'une manière parfaite tous les
troubles
hystériques ne prouve sans doute pas, à priori,
développaient, disait-on, à l'insu des malades, à la manière d'un
trouble
organique, sans représentation mentale préalable
1SME l'attention et l'inquiétude de l'intéressé, fassent éclorc des
troubles
qui sont du domaine de la suggestibilité. Par
ibilité. Parfois, cette épine organique peut être minime ; c'est un
trouble
passager, une légère douleur, un petit traumati
stibilité et jouer ainsi un rôle indirect dans le développement des
troubles
pithiatiques; mais ces agents ne feraient alors
ue, à faire dépendre de quelque émo- tion, ancienne ou récente, les
troubles
dont ils souffrent; de la meil- leure foi ils p
propres au développement d'accidents nerveux, on se met en quête de
troubles
hystériques : on peut dire que ces une recherch
s qui toutes étaient concordantes : aucun d'eux n'avait constaté de
troubles
hystériques. Les renseignements communiqués par
visuel de plus de 600 « rescapés » dont quelques-uns souffraient de
troubles
nerveux divers constituant un état morbide, une
s lui avons posées, n'a pas \ 11 se déve- lopper devant lui un seul
trouble
dont la nature hystérique fût avérée; il se rap
e l'émotion seule, quelle que soit son intensité, n'engendre pas de
troubles
hystériques. On peut môme dire que si les émotion
la santé morale une influence assez grande pour produire de pareils
troubles
. Cette objection, d'ordre spéculatif, ne saurai
hypnotisables et les hystériques sont susceptibles de présenter des
troubles
(phénomènes hypnotiques, phénomènes hysté- i. J
e groupe, sont, celles qu'il y a surtout lieu de suspecter, que les
troubles
discrets HYSTERIE. - l'ITIIIATlS)IE ' 213 don
que posséder des moyens permettant de discerner avec certitude les
troubles
hystériques des doubles organi- ques est chose
ur de l'hystérie traumatique, enfin à reconnaître plus sùrement les
troubles
organi- ques et 1 incapacité qu'ils entraînent.
rna- tional de Rome des accidents du travail » et intitulée : « Les
troubles
nerveux post- traumatiques » (Voir : Revue clin
a dégénérescence du faisceau pyramidal «M. Babinski n'admet pas les
troubles
trophiques de l'hystérie, en dehors d'une super
s'il n'existe pas encore un seul cas, scientifiquement démontré, de
trouble
trophique imputable à l'hystérie, quelqu'un affir
mputable à l'hystérie, quelqu'un affirmera-t-il que lous les autres
troubles
hystériques possèdent des caractères d'authentici
forme de pseudo-tabes. Névrite optique rétrobulbaire infectieuse et
troubles
dans les réflexes tendineux (Id., 5 juillet i;)0o
1). 77. Définition de l'hystérie (1(1-, 7 novembre igoi). 78. Des
troubles
pupillaires clans les anévrismes de l'aorte (Soci
de la ponction lombaire sur le vertige voltaïque et sur cer- tains
troubles
auriculaires (Société médicale des Hôpitaux, 7 no
Neurologie. 3 décembre igo3). `3 : 4 INDEX BIBLIOGRAPHIQUE io3.
Troubles
pupillaires dans les crises gastriques (Id.). I
pemphigus hystérique (Id., 5 décembre 1907). t45. Sur les prétendus
troubles
trophiques de la peau dans l'hystérie (Société
). io3. Quelques remarques sur le mémoire de M. Gordon intitulé : «
Troubles
vaso-moteurs et trophiques de l'Hystérie » (Rev
(Société de Neurologie, 5 février igog). 158. Sur la fièvre et les
troubles
trophiques attribués à l'hystérie (Id.). 15g. D
Do la pseudo-abolition du réflexe des pupilles à la lumière ti1 i
Troubles
de la contractilité électrique 64 Excitabilité
e forme de pseudo-tabes (Névrite optique rétrobulbaire infectieuse et
troubles
dans les réflexes tendineux) 100 Pseudo-tabes
s de balancement du bras......... Iz4 Parallélisme entre les divers
troubles
de la motilité volontaire..... 124 Fixité des t
e les divers troubles de la motilité volontaire..... 124 Fixité des
troubles
de motilité 125 Amyotrophie 126 Monoplégie br
166 Affections de l'appareil vestibulaire.. 167 Diagnostic 167
Troubles
du vertige voltaïque 167 Désorientation et désé
IBE.. , ..... 18 Ané\risme de l'aorte 189 Anévrisme de l'aorte et
troubles
pupillaires 180 Cyanose I g a IX. - Hystérie.
e est minime. Nous allons retrouver ce caractère dans l'analyse des
troubles
de la motilité, de la sensibilité, de l'intelli
te syphilitique ou dans les gommes ». Il existe assez souvent des
troubles
subjectifs de la sensi- bilité générale : engou
bilité générale : engourdissements, fourmillements, etc. Mais ces
troubles
sont très passagers, souvent précurseurs de la
paralysie. Ils relèvent de l'irritation corticale par ischémie. Les
troubles
objectifs de la sensibilité n'appartiennent pas
t ou une hémorragie d'origine spécifique. On observe rarement des
troubles
des sensibilités spéciales. La vue est habituel
jets n'ayant pas de tares ner- veuses. On observe très rarement des
troubles
de l'ouïe ou de l'odorat. 1 Thibierge. Gaz. d
te du virus syphilitique sur les nerfs. 6 ¡ CLINIQUE NERVEUSE. C.
Troubles
intellectuels. Là encore il n'y a guère que des
céphalalgie. Nous avons déjà noté l'absence d'hallucinations. Les
troubles
du langage ont une place considérable dans la s
servées, surtout l'aphasie motrice. Mais c'est l'évolu- tion de ces
troubles
qui est surtout caractéristique. Nous y reviend
uivant le cas, une paralysie, des phénomènes aphasiques ou un léger
trouble
intellec- tuel. Ces phénomènes sont au cerveau
ndiquions au début : flaccidité, abolition des réflexes, absence de
troubles
objectifs de la sensibilité. B. Forme aphasique
tout de l'aphasie motrice, sans trace d'aphasie sensorielle, sans
troubles
de l'écriture. Cette aphasie peut être complète,
, oubliait souvent dès choses très importantes. Subjectivement le
trouble
est plus appréciable; le malade s'est aperçu de
rone moteur périphérique. Dès cette période aussi on peut noter des
troubles
de la nutrition : amaigrissement, perte des for
plutôt des lésions interstitielles bien décrites par Raymond2. Les
troubles
intellectuels que nous avons décrits plus haut,
squ'à ce jour. Un oculiste consulté lui conseilla des lunetles. Ces
troubles
oculaires restèrent d'abord isolés. Il y a tr
t d'abord isolés. Il y a trois mois, la malade commença à avoir des
troubles
de la marche. Sans avoir perdu ses forces, sans
us, aucun autre symptôme. 'Il n'y a jamais eu de céphalalgie, aucun
trouble
subjectif de la sen- sibilité, rien qui ressemb
mouvemeuts. Le timbre de la voix n'est pas modifié. Il n'y a aucun
trouble
de la déglutition. Réflexe pharyngé normal. Le
a donc une paralysie périphérique de la sixième paire gauche. Aucun
trouble
du côté de la face du côté droit ni du membre sup
le continuellement son lit; la vessie n'est pas distendue. Pas de
troubles
du côté du sphincter anal. B. Sensibilité. Aucu
Pas de troubles du côté du sphincter anal. B. Sensibilité. Aucun
trouble
aux membres supérieurs ni il la face. La main d
'acuité visuelle est à peu près normale, un peu de myopie ; au- cun
trouble
du côté de l'iris ou de l'accommodation. L'exam
men ophtalmoscopique montre une pupille absolument nor- male. Aucun
trouble
de l'odorat ni de l'ouïe. C. Intelligence norma
urs (phénomènes spasmo- diques, raideurs, exagération des réflexes,
troubles
de la sensibilité) et des sphincters, manifeste
méningo-myélite spinale présentait comme caractère intéressant des
troubles
dissociés de la sensibilité. La sensibi- lité t
intacte, il y avait de l'hyperesthésie à la douleur, el surtout des
troubles
de la sensibilité à la tempé- rature. Cette dis
lésions. L'existence d'une paralysie du droit externe, sans aucun
trouble
du côté du droit interne opposé, sans déviation c
t en profondeur atteindre le faisceau pyramidal pour déterminer des
troubles
moteurs du. côté opposé, réalisant ainsi une fo
d penche pour cette dernière interprétation en invo- quant quelques
troubles
dans le domaine de la troisième paire (mydriase
quelques troubles dans le domaine de la troisième paire (mydriase,
troubles
de l'accommodation) qui serait atteinte égaleme
l.arslsa, II et III, 1895, analysé in Rev. ? : eu ? 1896, p. 460.
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 21 1 limit
sée par l'ischémie cérébrale. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE. LES
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE (ÉTUDE CLIN
iption classique, on n'est pas encore d'accord sur la fréquence des
troubles
trophiques de là para- lysie générale. Pour l
troubles trophiques de là para- lysie générale. Pour les uns,-les
troubles
trophiques sont rares, acciden- tels. Pour les
nt de vue clinique et anatomo-pathologique, et c'est depuis que les
troubles
tro- phiques ont pris de l'importance et ont ét
Voisin', dans son traité, décrit les moindres signes et signale les
troubles
trophiques de la paralysie générale, sans dire
aralysie générale, MM. Christian et Ilitti ne pensent point que les
troubles
trophiques soient fréquents. Ils croient, au co
oisin. Traité de la paralysie générale des aliénés, 1879, p. 152.
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 23 Pour M.
ROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 23 Pour M. Régis', les
troubles
trophiques et de dégénérescence des paralytique
pigmentations, des pemphigus, la canitie. Mais, selon lui, tous ces
troubles
trophiques sont rares. Nous trouvons mentionnée
fois à quoi sont dues ces lésions. Bail ? sans insister, divise les
troubles
trophiques des paralytiques en troubles générau
? sans insister, divise les troubles trophiques des paralytiques en
troubles
généraux et troubles locaux. Il observe les pre
se les troubles trophiques des paralytiques en troubles généraux et
troubles
locaux. Il observe les premiers chez les malade
nt maigrissent; c'est « la fonte » des paralytiques géné- raux. Les
troubles
locaux, selon lui, sont extrêmement nombreux, m
: le zona et la gan- grène. - Suivant MM. Ballet et Blocq s, les
troubles
trophiques sont fort rares dans la paralysie gé
et Sérieux 6 que nous trouvons l'énumération complète de tous les
troubles
trophiques qu'on peut rencontrer : le zona, le
4 CLINIQUE MENTALE. terminale de la paralysie générale, dit que ces
troubles
« ne sont, à beaucoup près, ni aussi fréquents
'ils ne tombent d'accord ni sur l'existence ni sur la fréquence des
troubles
trophiques dans la paralysie générale. II. Il e
s trophiques dans la paralysie générale. II. Il est étrange que ces
troubles
trophiques n'aient pas davantage attiré l'atten
miques, sur la nutrition même en apportant des modifications et des
troubles
dans les échanges intimes des éléments, et prov
e, mémoire couronné par l'Acad. de médecine; prix Civrieux, 1865.
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 25 raie (1
d (1888), Krafft- Ebing, après avoir fait observer l'importance des
troubles
de l'innervation vaso-motrice de la paralysie g
tre sujet. Ces névrites sont-elles fréquentes, autre- ment dit, les
troubles
trophiques sont-ils fréquents dans la paralysie
ues sont-ils fréquents dans la paralysie générale ? On sait que les
troubles
trophiques sont aujourd'hui considérés comme de
qu'on a trouvé des névrites cutanées dans presque tous les cas de
troubles
trophiques (Babinski)3. D'après nos observation
les de malades et la statistique que nous rapportons plus loin, les
troubles
tro- phiques paraissent assez fréquents dans la
n minutieux du corps, des mains, des pieds, etc. Il se base sur les
troubles
physiques et psychiques qui suffisent am- pleme
édecins aliénistes el neu- rologisles (à Clermont-Ferrand), 1894.
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 27 Dans le
leurs ongles, de la desqua- mation ichthyosique de la peau, et les
troubles
trophiques en général douloureux, tels que le z
douleur chez eux. (Nous revien- drons plus loin sur l'indolence des
troubles
trophiques dans la paralysie générale.) Ces m
auvaises conditions entravent les recherches statis- tiques. Si les
troubles
trophiques de la paralysie générale étaient aus
ques, et nous rapportons l'observation et la sta- tistique de leurs
troubles
trophiques. Nos malades n'ont pas été choisis,
LINIQUE MENTALE. Sur ces 57 paralytiques, neuf n'ont présenté aucun
trouble
trophique. Nos observations sont résumées; mais
es maîtres, MM. Magnan, Garnier, Vallon, etc. - II. Il existe des
troubles
que les auteurs ne sont pas tous d'accord à déc
e des troubles que les auteurs ne sont pas tous d'accord à déclarer
troubles
trophiques, tels que l'anes- thésie, l'oedème,
éclarer troubles trophiques, tels que l'anes- thésie, l'oedème, les
troubles
dentaires, non signalés jusqu'au- jourd'hui. No
és chaque fois que nous les avons trouvés' coïncidant avec d'autres
troubles
chez les mêmes paralytiques. Nous avons noté
t. Noie sur la lm/holortie du goitre exophtalmique. Gand, 1872. '
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 29 ont pro
n nerveuse ou tro- phique peut produire l'oedème, en dehors de tout
trouble
circulatoire. « Nous classons dans les dermaton
itre que nous notons l'oedème des paralytiques généraux. D'autres
troubles
, troubles trophiques, il nous semble, sont l'ab
ous notons l'oedème des paralytiques généraux. D'autres troubles,
troubles
trophiques, il nous semble, sont l'abrasion et
ons également trouvée chez quelques 1 Mougeot. - Rech. sur quelques
troubles
de nutrition consécut. aux affections des nerfs
lésions observées chez les tabétiques, du côté du trijumeau, et les
troubles
fonctionnels pouvant en résulter paraissent plu
Si la chute des dents dans-le tabes était due exclu- sivement à des
troubles
trophiques, on n'y trouverait point de parasite
les paralytiques généraux, la chute des dents est due d'abord à des
troubles
trophiques, à la dégénéres- cence du trijumeau,
our la première fois par Bird (1833). On l'a considéré depuis-comme
trouble
trophique. Il nous serait impossible de citer t
, nous n'insisterons pas sur cette tumeur qui paraît être plutôt un
trouble
de circulation2, et, « sans vouloir nier l'infl
un trouble de circulation2, et, « sans vouloir nier l'influence des
troubles
trophiques et vaso-moteurs, nous pensons qu'hab
Etiologic et siège de l'ollaénualonxe (Encéphale, 1881, p. 231).
TROUBLES
TROPIIIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 31 tismes
ons trophiques des organes des sens sont rares, exception faite des
troubles
oculaires. L'appareil de la vision, dès les pre
ite optique interstitielle. Nous n'avons pas cherché à vérifier ces
troubles
, n'ayant aucune compétence vis-à-vis de maîtres
qu'un état pathologique, » disait M. Ballet dans une leçon sur les
troubles
oculaires de la paralysie générale. Enfin, Char
rs ont été favorisés par le hasard de la clinique. CHAPITRE III
Troubles
trophiques de la peau et des annexes. Le revête
tc., tantôt des affections chroniques : ichthyose, alopécie, etc.
Troubles
aigus. L'érlTt·on2élczlgie a été signalée par M
ongestive ainsi que le croient Zacher et Durante7. : . - Tous ces
troubles
trophiques cutanés proprement dits sont des lés
ordons maintenant le chapitre de nos observations. ' S. Ballet. Les
troubles
oculaires dans la paralysie générale (Pro- grès
e la paralysie générale (Arch. f'. Psych., Ud. XIV). ' Durante. Les
troubles
trophiques de la paralysie générale (Gaz. heb.,
les trophiques de la paralysie générale (Gaz. heb., 1894, p. 98).
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 33 Observa
degré. Réflexion. Cette rougeur érylhémateuse est-elle due à des
troubles
trophiques ? Nous le pensons; elle existait avant
d'éléments voisins. Leur grosseur varie d'une tête d'épingle à un
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 33 petit p
enues au cours de la maladie et ne peuvent être que le résultat des
troubles
trophiques de la peau. Purpura. - Le purpura es
es trophiques de la peau. Purpura. - Le purpura est considéré comme
trouble
circu- latoire dans la paralysie générale. Cepe
tion ou de la contraction anormale des vaisseaux sanguins et des
troubles
de nutrition qui peuvent en être la consé- quen
us la pression du doigt. Ce sont bien 1 Brocq. Loc. cil., p. 818.
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 37 des tac
psych., 1876). . Loc. cit. 8 Ramadier. Contribution à l'élude des
troubles
trophiques dans la paralysie générale (Thèse de
iété médicale des hôpitaux, s'il n'y avait pas un rapport entre les
troubles
trophiques du trijumeau et les lésions cortical
édicale des ltûpilaux, séance du 27 novembre (Bull, médis, 1896).
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 39 R... Cé
.. Céline ne conservait aucune trace de zona et ne présentait aucun
trouble
trophique. Elle eut quelques jours après une at
par le zona qui, chez elle, a précédé de quelques mois les premiers
troubles
de la paralysie générale, et par l'eschare qui
mal perforant dans la paralysie générale (Thèse de Paris, 1890).
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 41 Le 10r
ique. Pas de sucre ni albumine dans les urines. L'eschare. Un des
troubles
trophiques de la paralysie générale les plus co
frottement, comme le croit M. Arnaud', mais quel- quefois aussi aux
troubles
trophiques. Les deux services (hommes et femmes
la moindre eschare. Les paralytiques généraux sont prédisposés aux
troubles
trophiques de toutes sortes, par la nature même
affection. La malpropreté ne fait qu'accroître cette tendance aux
troubles
trophiques. L'hygiène la plus parfaite n'empêche
orer. Thèse de Paris, 1882. 3 Vallon (Th.). Thèse de Paris, 1882.
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 43 Observa
apoplectiforme, ainsi que l'a signalé Zacher'. L'apparition de ces
troubles
aggravait l'état de la malade au lieu de l'amél
actes. Hésitation de la parole. Inégalité pupillaire. » (Magnan.)
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 45 A... Em
substance gélatineuse à la même hauteur pourrait bien entraîner des
troubles
de la muqueuse buccale. 5° Au u niveau de l'ouv
ibilité. Ce ramollissement du globe oculaire doit êtie tenu pour un
trouble
trophique et non pour la conséquence de l'anest
ce phénomène de déficit de la sensibilité, se produisaient certains
troubles
moteurs dont la relation avec les lésions acces
paraîtras modifié. P. KERAVAL. VIII. Contribution A l'étiologie DU
TROUBLE
DE la sensibilité DE BER- NHARDT .1 LA cuisse;
nt ainsi à la netteté de l'ouvrage. L'auteur y poursuit l'élude des
troubles
nerveux sans lésions pour en déterminer la genèse
sentielles, et pour chercher s'ils peuvent t arriver à modifier des
troubles
organiques concomitants ou à pro- duire eux-mêm
des troubles organiques concomitants ou à pro- duire eux-mêmes des
troubles
organiques. Il définit ainsi l'élément dynamiqu
rie vraie ou fausse. , P. 1\1.. XXVII. Contribution A L'ÉTUDE DES
TROUBLES
DE la sensibilité cutanée; par L. 1,(rWENrrLD.
te2ll ? XIX, N. F., vu, 1890.) Résumé des phénomènes relatifs aux
troubles
de la localisation de la sensation; aux trouble
mènes relatifs aux troubles de la localisation de la sensation; aux
troubles
de l'appréciation des distances de REVUE D'ANAT
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 65 deux sensations; aux
troubles
de la perception. Conclusions : 1° la localisat
nt la défectuosité est unilatérale; il n'y a pas de paralysie ni de
troubles
fonctionnels essentiels. Ce sont les mêmes diffic
nd que l'arté- riosclérose généralisée s'accompagne très souvent de
troubles
fonc- tionnels de l'écorce se traduisant par un
un affaiblissement de la sensibilité et des organes des sens, des
troubles
de la marche, des modifications dans l'associatio
appréciable. A part un certain amaigrissement, il n'existait pas de
troubles
trophiques. La malade a eté opérée le 5 avril 1
enta ensuite de se suicider. L'auteur a pu établir que le début des
troubles
intellectuels remontait à 1870, c'est-à-dire à
sse, soit à une adresse quelconque. M. Vallon, en l'absence de tout
trouble
intellectuel, de tout stig- mate d'hystérie, co
n détermine des douleurs ; ailleurs ce sont des zones où il y a des
troubles
paresthésiques, rarement de l'anesthésie complè
, rarement de l'anesthésie complète. Ce qui distingue surtout ces
troubles
, c'est leur pe2,)îia- nence opposée à la fugaci
ces troubles, c'est leur pe2,)îia- nence opposée à la fugacité des
troubles
analogues dus à l'ischémie dans la syphilis art
'ischémie dans la syphilis artérielle. 100 CLINIQUE NERVEUSE. Ces
troubles
de la sensibilité, par leur permanence et leur
urce d'abord d'illusions, puis d'hallucinations et de délire. Les
troubles
sensoriels sont fréquents. La vue est souvent a
ubles sensoriels sont fréquents. La vue est souvent atteinte : soit
troubles
moteurs par compression des nerfs au niveau de
anosmie uni ou bilatérale; exceptionnellement, au contraire, des
troubles
de l'ouïe. D'une façon générale toutes les paires
naisons symptomatiques que nous retrouverons tout à l'heure. 1 C.
Troubles
intellectuels. L'aphasie se retrouve ici, mais
hilis artérielle. Ajoutons enfin que la méningite s'accompagne de
troubles
nutritifs précoces, dus soit aux vomissements e
une simple poussée congestive, il est rare qu'elle ne laisse pas un
trouble
persis- tant, l'hémiplégie incomplète, par exem
ci la base, après cette première période on note des vertiges, des
troubles
psychiques, des symptômes de compression du côt
. Aphasie passa- gère. Céphalalgie extrêmement vive et persistante.
Troubles
de la vue par neurorétinile. Douleurs dans les
de la sensibilité -générale. Délire violent. Cécité complète. Aucun
trouble
objectif de la sensibilité. Crises convulsives.
il y a de très vives douleurs dans les reins et les jambes ; aucun
trouble
moteur, aucun trouble du tangage, mais augmenta
douleurs dans les reins et les jambes ; aucun trouble moteur, aucun
trouble
du tangage, mais augmentation des troubles de l
cun trouble moteur, aucun trouble du tangage, mais augmentation des
troubles
de la vision. Ces troubles de la vision ont d
uble du tangage, mais augmentation des troubles de la vision. Ces
troubles
de la vision ont débuté peu après son dernier séj
ante. Légère hypéres- thésie généralisée des téguments, sans autres
troubles
objectifs de la sensibilité générale. Les mouve
musculaires, ne provoquent pas de douleurs. Examen des yeux. Aucun
trouble
du côté de .la musculature externe ou interne.
ques. Réactions normales des pupilles ; il ne parait pas y avoir de
troubles
de l'accommodation. Il reste encore quelques tr
y a une exagération manifeste du réflexe rotulien a droite. Aucun
trouble
du langage. Aucun stigmate d'hystérie. Pas d'albu
21. -11 n'y a toujours aucune amélioration ; céphalée aussi vive,
troubles
de la vision aussi accentués, persistance d'un ce
nt, puis se dilatent de nouveau rapidement. Il n'y a toujours aucun
trouble
de la musculature externe de l'oeil. Depuis tro
a pris autour des lèvres de nombreuses vésicules d'herpès. Aucun
trouble
objectif de la sensibilité. La malade mange peu,
é, avec exagération des réflexes rotutiens. Il n'y a toujours aucun
trouble
de la sensibilité objective. Il n'y a plus d'ha
ons ne prédominaient pas d'un côté. Céphalalgie très intense. Les
troubles
bulbaires n'ont pas reparu. 10 août. -Nouvelle
erra par la lecture de l'observation. Seu- lement, dans ces cas les
troubles
objectifs sont extrêmement minimes, et les mala
- septiques intestinaux. Cette action toxique peut s'exercer sans
troubles
circulatoires, mais il est probable qu'il faut lu
es du côté du nerf optique de la rétine, ne donne que très peu de
troubles
fonctionnels : c'est un symptôme qu'il faut reche
tôme qu'il faut recher- cher ; les malades n'accusent souvent aucun
trouble
fonc- tionnel. Chez une malade dont nous rappor
CLINIQUE NERVEUSE. l'observation, nous fûmes surpris de trouver des
troubles
visuels très accusés, une diminution considérab
papille typique mais assez peu accentuée. Mais assez rapidement les
troubles
visuels s'améliorèrent, la .^vision revint à pe
ication, aidée de l'oedème de la papille, dans la pathogénie de ces
troubles
visuels. 3° L'examen ophtalmoscopique peut appo
Il. SOMMURE : Début par de la céphalalgie, desvomis- seanezzls, des
troubles
de la vue, des vertiges. Démarche ébrieuse, abo
des vertiges. Démarche ébrieuse, abolition des réflexes rùtttlicns,
troubles
visuels en disproportion avec les résultats de
; amélioration par les antiseptiques intestinaux : amélioration des
troubles
visuels, les signes opletulmoscopigues reslunt
débuté il y a un mois par de la céphalalgie, des vomissements, des
troubles
de la vue, des vertiges et des troubles de la m
lgie, des vomissements, des troubles de la vue, des vertiges et des
troubles
de la marche. La céphalalgie était intense, bil
nt aqueux, soit immédia- tement après l'ingestion d'aliments. Les
troubles
visuels consistent surtout en un affaiblisrement
ralysie faciale. Abolition complète des réflexes rotuliens. Aucun
trouble
des divers modes de la sensibilité cutanée ou des
cé du champ visuel; acuité très réduite, pas d'achromatopsie; aucun
trouble
de la musculature oculaire, réactions pupillair
alade accuse quelques bourdonnements d'oreille, mais il n'y a aucun
trouble
objectif; l'acuité auditive parait normale. Auc
'y a plus de vertiges. La céphalalgie seule persiste, ainsi que les
troubles
de la vue. L'ex(t- men ophtalmoscopique a été f
on à o mètres = : 1/4., 17 Février. La céphalalgie est moindre. Les
troubles
de la vue s'accentuent : l'acuité est très rédu
La céphalée a presque disparu, ainsi que les vomisse- ments et les
troubles
de la marche. Les troubles visuels sont bien mo
aru, ainsi que les vomisse- ments et les troubles de la marche. Les
troubles
visuels sont bien moins accentués, l'acuité a a
1"' Avril. L'amélioration a continué. La malade se dit guérie. Les
troubles
visuels ont presque entièrement disparu. Cependan
quentes et absolument intolérables. Elle vomit tous les jours. Les
troubles
de la marche et les vertiges n'ont pas reparu.
L'acuité visuelle est restée bonne. La démarche est normale, pas de
troubles
de l'équilibre. La force musculaire parait bien
une fatigue rapide et l'épuisé. Réflexes rotuliens abolis. Aucun
trouble
de la sensibilité, aucun trouble du côté de la
Réflexes rotuliens abolis. Aucun trouble de la sensibilité, aucun
trouble
du côté de la musculature oculaire. Un peu d'in
ement ébrieuse; les réflexes rotuliens complètement abolis. Aucun
trouble
oculaire, si ce n'est à l'examen ophtalmoscopique
sparu; il n'y a plus de ver- liges, et la démarche est normale. Les
troubles
visuels n'ont pas reparu. La malade sort parais
'y a pas eu de nouveau des contractures du côté de la nuque. Pas de
troubles
visuels, pas de troubles auditifs, pas de troub
contractures du côté de la nuque. Pas de troubles visuels, pas de
troubles
auditifs, pas de troubles de la marche ci l'exame
la nuque. Pas de troubles visuels, pas de troubles auditifs, pas de
troubles
de la marche ci l'examen. Démar- che normale, p
arche ci l'examen. Démar- che normale, pas d'incoordination, pas de
troubles
de la station debout les yeux ouverts ou fermés
ts fibrillaires de la partie droite de la lèvre inférieure. Aucun
trouble
du côté des yeux, si ce n'est à l'examen ophtal-
'exécutent sans force et provoquent rapidement de la fatigue. Aucun
trouble
de la sensi- bilité générale. L'acuité visuelle
bilité générale. L'acuité visuelle est restée bonne, il n'y a aucun
trouble
dans la musculature oculaire ni dans les réaction
parenchyme par intoxication, par infec- tion, d'une altération par
troubles
du grand sympathique, etc., etc. Peut-être les
n, guérison relative tout au moins, quelques cas de disparition des
troubles
soma- tiques, pour que l'on songe à diminuer l'
rer comme atteints de folie alcoolique ou de folie saturnine et les
troubles
somatiques qui leur ont peu a peu valu l'étique
de l'alcoolisme, par exemple, n'est pas nécessairement précédée de
troubles
intellectuols'manifestes de folie alcoolique dé
délirante et hallu- cinatoire ? J'y souscris volontiers ; mais les
troubles
mentaux ou de sensibilité sont-ils donc les mêm
phase paralytiforme ou paralytique de l'alcoolisme précédée ou de
troubles
bruyants ou de phénomènes psycho-sensoriels à c
lysies générales, convulsions épileptiformes, contrac- tures, etc.,
troubles
qui sont peut-être caractéristiques de telles o
a vue d'un homme beau 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. et fort le
trouble
, le transporte, mais, au contraire de ce qui se
dication ; par le 1)r Cullerre. A côté des gens qui, obéissant à un
trouble
mental ayant pour point de départ une déviation
ons délirantes, l'auteur donne le nom de délire de revendication au
trouble
mental de ces malades. Les deux observations
direct, niais simplement comme cause morale, pour déterminer des
troubles
délirants chez un sujet fortement prédisposé, il
rébrale (gomme, méningite, encéphalite) qui entraîne à sa suite des
troubles
de l'intelligence. L'auteur en cite plusieurs e
tus initial, lésions localisées (aphasie, hémi- plégie, monoplégie,
troubles
oculaires, etc.), puis démence. La lésion syphi
corps, ses cheveux étaient hérissés. Cet accès diurne avec vertige,
trouble
de la conscience, tendance à la chute, et série
t entier, peut être considéré comme un petit accès épileptique avec
trouble
mental de peu de durée. Le rêve nocture accabla
accès épileptiques la nuit. Il ne se souvenait pas du vertige et le
trouble
post-épileptique prenait la forme d'un rêve pén
suicide, périodes d'excitation maniaque, arrêt de la compréhension,
troubles
para- lytiques transitoires du langage, de la m
bservations il a trouvé que 60 p. 100 des aliénées présentaient des
troubles
des organes pelviens. Il apporte 34 observation
ité, de la dépression, des idées vagues de persécution, et même des
troubles
de la sensibilité allant jusqu'au délire; mais
blissement dou- loureux des membres, bien avant qu'on remarquât des
troubles
pcychiques, douleurs d'oreilles ni lancinantes
e malade subit les phénomènes dont il est le jouet passif; 3° Des
troubles
bien connus du malade, et dans leur nature et d
membre inférieur droit sont légèrement exagérés. Il n'existe pas de
trouble
de la sensibilité, ni des organes des sens, de
a convalescence d'une rougeole bénigne, est brusquement atteinte de
troubles
psychiques caractérisés surtout par de la confusi
plus cérébrale que nerveuse, s'accompagnant de symptômes nouveaux,
troubles
oculo-pupillaires, troubles de la parole, troub
, s'accompagnant de symptômes nouveaux, troubles oculo-pupillaires,
troubles
de la parole, troubles des réllexes, etc. En so
ptômes nouveaux, troubles oculo-pupillaires, troubles de la parole,
troubles
des réllexes, etc. En somme, il faut bien le re
e ce nerf ferait disparaître l'anémie cérébrale, et, avec elle, les
troubles
qui en dépendent. A. FE-4AYROU. IX. Un C%S 1)
nçon nerveux sur une longueur d'environ quatre centimètres. Aucun
trouble
vaso-moteur ne s'est manifesté après l'opération,
Au moment même de l'opération et les jours suivants, on a noté des
troubles
cardiaques, une aggravation de la tachycardie e
a morphine dans l'organisme, par A. Antheaume et A. llonueyrat; Les
troubles
physiologiques et trophiques dus aux rayons X, pa
u coeur paralysé par l'électri- sation, par Prévost et Radzikowski;
Troubles
trophiques consé- cutifs à la section des racin
s 1898. NG : 2.7 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. LES
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉ\R : i ? i ? -1 (é
terne de l'Asile clinique (Sainte-Anne). · (Suite e11 fin.) ' II.
Troubles
TROPuiQUES chroniques. A côté des troubles trop
· (Suite e11 fin.) ' II. Troubles TROPuiQUES chroniques. A côté des
troubles
trophiques aigus de la peau et des annexes dans
peau et des annexes dans la paralysie générale, il existe d'autres
troubles
, à évolution lente, pro- gressive et stable, de
d'autres troubles, à évolution lente, pro- gressive et stable, des
troubles
chroniques, des trophoné-, vroses (Lenoir) chro
vroses (Lenoir) chroniques, tels que l'ichthyose, l'alopécie, les
troubles
des ongles, toutes des affections consécutives à,
période de la paralysie générale. La sensibilité cutanée est abolie
TROUBLES
trophiques DE la paralysie générale. 179 sur to
existe une ichthyose, forme légère, à lamelles fines, brillantes.
TROUBLES
trophiques DES ongles. Les troubles des ongles
, à lamelles fines, brillantes. TROUBLES trophiques DES ongles. Les
troubles
des ongles dans la paralysie générale ont été s
réquemment dans la paralysie générale. Nous avons observé 17 cas de
troubles
trophiques des ongles sur nos 57 malades. Ces t
vé 17 cas de troubles trophiques des ongles sur nos 57 malades. Ces
troubles
peuvent aller de la simple coloration brune ou
lus mince que le premier. Nous rapportons ici dix observations de
troubles
des ongles chez les paralytiques généraux. Les
ysie générale progressive (Gaz. médicale de Paris, 1884, p. 124).
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 181 Sur to
a peau y est lisse, brillante. L'anesthésie cutanée est complète.
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 183 Les on
s et une dyspepsie tenace. A eu la syphilis à vingt-cinq ans. Les
troubles
trophiques qu'il présente sont insignifiants : co
que tous des altérations de forme, de coloration et de texture. Ces
troubles
remontent aux premiers jours de septembre (1896
dépression mélancolique avec idées confuses de persécution. Tur-
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 185 bulenc
avec hallucinations multiples; excitation ; insomnie. Pupilles res-
TROUBLES
TROPHIQUES DE la paralysie générale. 187 serrée
nq ans, garçon de bureau, est entré à -Villejuif le 18 juin 1896.
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 189 Certif
31 décembre 1896, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 191 attein
lu. Dents légèrement usées. 192 CLINIQUE MENTALE. CHAPITRE IV .
Troubles
trophiques du système locomoteur. La peau et se
e locomoteur. La peau et ses annexes ne présentent pas seules des
troubles
trophiques au cours de la paralysie générale : le
Soc. de chirurgie, séance du 11 oct. 1876 et Gaz. hebdom., 1876.
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 193 une so
(congrès de Blois. 1892,et/l ? 'c/t. de nzéd. ea;péz·izn., 1892.)
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 195 Deux a
sieurs points de vue. L'éruption est absolument identique à celle
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GENERALE. '197 qu'ob
ependant dans la paralysie générale, et constitue un des principaux
troubles
trophiques de cette affection. CHAPITRE V L
incipaux troubles trophiques de cette affection. CHAPITRE V Les
troubles
trophiques généraux. Statistique. 1. -Outre les
RE V Les troubles trophiques généraux. Statistique. 1. -Outre les
troubles
trophiques locaux, on rencontre très souvent ch
ocaux, on rencontre très souvent chez les paralytiques généraux des
troubles
de toute la nutrition, de tout l'organisme, une
int ne dure pas, l'amai- grissement est rapide sous l'influence des
troubles
trophiques généraux ; c'est la fonte paralytiqu
t plus probants que les dissertations. Répé- tons toutefois que les
troubles
trophiques que nous avons mentionnés ont été tr
dont 33 hommes et 24 femmes. Neuf d'entre eux n'ont présenté aucun
trouble
trophique durant nos examens. En présenteront-i
n de nos 57 malades nous permettaient d'arriver à une conclusion.
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. '199 Sur n
ÉRALE. '199 Sur nos 57 paralytiques généraux, 48 ont présenté des
troubles
trophiques. Dans la majorité des cas, ils ont eu
troubles trophiques. Dans la majorité des cas, ils ont eu plusieurs
troubles
à la fois. Ainsi, simultanément le zona et l'es
mêmes malades. En les dénombrant, nous arri- vons au chiffre de 102
troubles
trophiques qui ont affecté ! r8 paralytiques géné
es que la chute des poils. Nous signalons 19 cas cons- tatés. Les
troubles
des ongles, au contraire, sont visibles; les on
uis la naissance d'autres ongles atrophiés. Nous avons eu 17 cas de
troubles
unguéaux. L'ichthyose se passe de tout commenta
chthyose se passe de tout commentaire. Elle est, sans doute, un des
troubles
trophiques de la paralysie générale. Elle exist
rythème et enfin 1 fois le mal perforant. TABLE STATISTIQUE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE RECUEIL DE
et ment., fasc. 10, 1896.) . XXXVIII. Contribution A l'étude DES
TROUBLES
DE la sensibilité hygrique chez LES aliénés; pa
variait de vingt-huit à quatre-vingts ans, et où l'appa- rition des
troubles
mentaux était toute récente. Ici l'auteur rap-
résence de ces constatations on peut admettre que chez ce malade le
trouble
de la parole résultait de l'absence du contrôle
r la lésion du grand sympathique, c'est un symptôme indirect dû aux
troubles
de circulation des vaisseaux du visage et du re
ôme du même ordre que l'abaissement de la température locale et les
troubles
de nutrition (Vuillaumier, Rourneville, etc.) ;
(Vuillaumier, Rourneville, etc.) ; il est à supposer que, comme ces
troubles
, elle résulte d'un ralen- tissement de la circu
raîné la mort. Chez d'autres malades, l'intoxication a engendré des
troubles
cérébraux simulant un délire vésanique (forme d
a eu son cortège d'affections névro- pathiques. A côté de divers
troubles
mentaux, de diverses chorées ne pré- sentant au
chorées ne pré- sentant aucun signe qui puisse les différencier des
troubles
men- taux ou des chorées présentant une étiolog
orexie et l'insommie cédèrent au traitement, mais- l'anxiété et les
troubles
du rythme respiratoire persistèrent. D'abord an
ratoire persistèrent. D'abord analogue au type de Cheyne Stokes, le
trouble
du rythme respiratoire se modifia pour être con
thyroïdien. La malade a présenté, à un moment donné, de véritables
troubles
mentaux avec phobies de toute espèce. Le trai
ions identiques à celles signalées par M. Marinesco : tumé- faction
trouble
, fusion des granulations chromatophiles, rupture
ènes trophiques des extrémités ; sous l'influence des bromures, les
troubles
mentaux ont une tendance à se substituer aux cr
fréquence ; enfin à la place des crises se pré- sentent parfois des
troubles
mentaux nocturnes à forme de som- nambulisme.
ent nerveux suivi par des états vertigineux accompagnés. souvent de
troubles
sensoriels comparés par les malades au balancem
s, hystériques, alcooliques ; d'autres enfin peuvent échapper à ces
troubles
ou sur le tard deviennent eux mêmes phitsique3.
s muscles de ces membres, de la trépidation spi- anale, etc. Pas de
troubles
de la sensibilité. M. de Buck diagnos- tiqua un
ystérie peut, en effet, être la conséquence du traumatisme, mais le
trouble
sécrétoire peut aussi être la conséquence d'un
sme, mais le trouble sécrétoire peut aussi être la conséquence d'un
trouble
cérébral. On sait que l'hystérie se combine ave
met pas de la surprendre une seule fois endormie. Elle présente des
troubles
de la sensibilité (anesthésie, diminu- tion du
antérieure. Absence totale d'attention. De temps à autre, quelques
troubles
vaso-moteurs. Perturbation des fonctions digest
accident bulbaire ne s'est produit au cours de la maladie. Mais des
troubles
trophiques n'ont pas tardé à apparaître. L'état
s ont actuellement vingt-six, vingt-trois et huit ans. Les premiers
troubles
sont survenus à douze et quatorze ans chez les
x ans chez le plus jeune ; ils ont commencé par du nystagmus et des
troubles
légers de la marche. Ils sont allés s'accentuan
pagnent cette affection et qui sont presque pathognomo- niques. Ces
troubles
de la mémoire s'observent tantôt sous forme d'o
es forgent par amnésie des his- toires invraisemblables. Tous ces
troubles
de la mémoire surviennent dès le début de la ma
l la polynévrite. Ce n'est pas l'opinion de M. SoukhanoS' : Que les
troubles
mentaux soient au premier ou au second plan, le
s d'origine nettement alcoolique qu'on observe une prédominance des
troubles
psychiques. Ces cas sont également ceux dont le
survenu sans cause appréciable. - Début par une céphalée intense;
troubles
mentaux consécutifs caractérisés par des altéra
. Il y eut, les jours qui suivirent, une notable amélioration des
troubles
mentaux, disparition complète de la céphalée et d
. L'ALCOOLISME AU CONGRÈS DE BRUXELLES. 241 Ce cas montre que des
troubles
mentaux spéciaux, accès de som- meil, automatis
de punir. Il serait grand temps que celle réforme fut réalisée. 6.
Troubles
de l'état mental atax Antilles; par F.-J.-Ch.-E.
a question : 1° la mémoire, son fonctionnement à l'état normal, ses
troubles
;-2°des hypertrophies générales et partielles de
lées hyper- trophies générales ou partielles de la mémoire sont des
troubles
pathologiques consistant dans le développement
vons alors réservé le terme hypermnésie pour désigner uniquement un
trouble
de l'évocation des images. La mémoire agissant
Neurologie, nos98 à 102). La simultanéité de symptômes tels que les
troubles
digestifs, les manifestations épileptiques, et
: 1° Questions mises à l'ordre du jour : z Pathologie mentale. Les
troubles
psychiques post-opératoires. Rap- porteur : M.
; elle était vigoureuse et bien portante, n'avait jamais éprouvé de
troubles
névropathiques; elle a deux soeurs qui ont chac
ans. Sa menstruation est toujours régulière. Elle ne présente aucun
trouble
important de la sensibilité ni de la motilité,
en développée; elle avait été réglée à douze ans et demi sans aucun
trouble
et la menstruation avait toujours été régulière
a eu des mictions nocturnes jusqu'à huit ans, mais en dehors de ce
trouble
elle n'a souffert, d'aucun accident nerveux jus
occipitale suffisent à rendre compte de la paralysie gauche et des
troubles
de la vue. L'hydrocéphale paraît, dans cette ob
fréquemment, tels que douleurs ou engourdissements des extrémités,
troubles
temporaires du langage, modifications de l'iu l
à laquelle se joindront dans certains cas des hyperesthésies ou des
troubles
de la sensibilité générale qui constitueront le
néral, les mouvements involontaires ne se rencon- trent jamais sans
troubles
plus ou moins profonds de la sensibilité niuset
s nerveux et n'en comprimant pas dans son voisinage ; du reste le
troubles
de la sensibilité n'affectent nullement la zone d
parait complètement; l'expérience du transfert est positive. Ces
troubles
de sensibilité doivent donc être confondus avec l
n arythmique). Parole mal articulée presque incompréhensible. Aucun
trouble
de la sen- sibilité. II. Garçon de treize ans
la moelle sont également atteints (Aienzel). F. Baissier. XLIII.
Troubles
DE la sensibilité au point DE vue spécial DE la
319 dant un temps immodéré, présenta au bout de quelque temps des
troubles
de paralysie brachiale. Il ne présenta aucun acci
ineux sont atrophiés ; le deltoïde l'est moins. On n'observe pas de
troubles
de delà sensibilité. D'ailleurs, le malade n'a ja
ogresser jusqu'aux phobies et obsessions les plus accentuées et aux
troubles
intellectuels les mieux caracté- risés, mais ay
e difficulté particulière d'adaptation au monde extérieur, certains
troubles
de la mémoire avec incapacité pour comparer les
étaniques. Bientôt les convulsions cessent, et on observe alors des
troubles
circulatoires avec dyspnée, cyanose et élévatio
s peuvent être identiques. C'est surtout d'après les caractères des
troubles
intellectuels et la marche de la maladie que l'
e l'auteur s'abstient-il de discu- ter la question de savoir si les
troubles
sensitifs sont un effet direct de la lésion ell
s situés autre part, par voie inhibitrice ou par l'intermédiaire de
troubles
circulatoires. Régis et V. lioBERr. VIII. Essai
o-neurasthénie ou états neurasthéniques secondaires ; 4° enfin, les
troubles
psychopattiques divers, classés à tort dans la
le un assez grand nombre de malades ont conscience de l'invasion du
trouble
mental. c On peut admettre comme règle générale
ent des phénomènes pénibles dans tout son individu ; il éprouve des
troubles
du sens musculaire, des spasmes viscéraux, etc.
scéraux, etc. C'est là une première atteinte à sa personnalité. Les
troubles
émotionnels très intenses qui en résultent cons
er. C'est, en effet, ce qu'on observe lorsque la persistance de ces
troubles
primitifs conduit les malades à la chronicité.
ses, articulations, muscles, etc., E. Weber). Objectivement, les
troubles
somatiques réels sont cons- tants ; il n'est ce
avec les mouvements respiratoires (Marcé). Sans insister sur les
troubles
vaso-moteurs (augmentation de la résistance élec-
s, la main mélancolique (Bail), nous rappellerons la possibilité de
troubles
trophiques graves. On a décrit, en effet, des g
tc... Du côté des fonctions digestives, nous rappellerons aussi les
troubles
profonds qui se traduisent par la répulsion pou
e, les constipations opiniâtres. Tous les auteurs insistent sur les
troubles
sécrétoires non moins caractéristiques. Les s
eur catatoni- que jusqu'au tremblement ordinaire des anxieux. Ces
troubles
organiques multiples se traduisent par des trou
anxieux. Ces troubles organiques multiples se traduisent par des
troubles
subjectifs douloureux, sensations pénibles de fou
de mélancolie avec idées de négation souffrait depuis trois ans de
troubles
divers des fonctions organiques (anémie, palpit
, d'abattement, de tristesse, de crainte, marquant l'apparition des
troubles
psychiques. Voici d'ailleurs comment la malade
rielles des phénomènes qui sont, en réalité, des illusions ou des
troubles
psycho-moteurs, ce que Baillarger appelait des
l- sions, des contractures, etc., de même il peut se produire des
troubles
analogues dans les mouvements de ces membres in
mais il ne tarde pas à perdre la notion du caractère subjectif des
troubles
qu'il ressent, il se sent tout autre que par le
et alors c'est la dépression qui se dessine tout d'abord, et les
troubles
de l'esprit ne font que suivre et s'adapter, comm
e suivre et s'adapter, comme des actions réflexes automatiques, aux
troubles
émotifs pri- mitifs *. Le trouble primordial
ons réflexes automatiques, aux troubles émotifs pri- mitifs *. Le
trouble
primordial étant un changement dans le carac- t
mais il ne tarde pas à perdre la notion du caractère subjectif des
troubles
qu'il ressent : c'est alors qu'il trouve égalem
es hantés par des animaux : même dans ces cas on peut découvrir des
troubles
psychomoteurs atténués. L'évolution ultérieure
tives par cet organisme souffrent gravement. Ce seraient donc des
troubles
de nutrition qui détermineraient directement la m
e normale des processus nerveux. Ce ne seraient toute- fois que les
troubles
dus à une interruption totale de la continuité
-deux ans, est entrée à diverses reprises à l'asile de Lafond, pour
troubles
mentaux consécutifs à des crises nerveuses. J'a
nt ses antécédents héréditaires. En mars 1886, la malade accuse des
troubles
consistant en suffo- cations, douleurs de tête
s accidents imputables à l'hystérie ou à l'hystéro-épilepsie. Les
troubles
de la sensibilité ont néanmoins subi quelques mod
diagnostic lui-même permet de rapporter à l'hys- térie majeure les
troubles
de la vision qui constituent le point particuli
e, absolue, et se manifestait ordi- nairement en même temps que les
troubles
aphasiques dont j'ai parlé plus haut, en même t
observée plus sou- vent que Briquet (voir Leçons cliniques sur les
troubles
de la vision chez les hystériques), et comme le
hez les hystériques), et comme le dit encore ce maître éminent, ces
troubles
de la vision, sans lésion appréciable du fond d
e la vision, sans lésion appréciable du fond de l'oeil, relèvent de
troubles
dynamiques, du carre- four sensitif, soit de tr
, relèvent de troubles dynamiques, du carre- four sensitif, soit de
troubles
dynamiques affectant les fibres qui traversent
en soit de cette explication rendue bien plausible par l'étude des
troubles
similaires observés chez les per- sonnes attein
isparu brusquement au même titre que les paralysies diverses et les
troubles
aphasiques dont elle a été fréquem- ment attein
imple n'est cependant pas encore complètement élucidée. Résultat de
troubles
trophiques pour les uns, de compres- sion pour
on de liquides irritants sur une surface molle préparée par quelque
trouble
trophique ou rendue particulièrement fragile pa
vas- culaires et osseuses ne sont pas sous la dépendance du même
trouble
dystrophique d'origine inconnue. R. C. 398 REVU
'autre au niveau de la première dorsale. Il s'ensuit un ensemble de
troubles
dont l'évolution a été suivie pendant près d'un
en différentes caté- gories selon le siège de l'hémisection et les
troubles
sensitivo- moteurs consécutifs. Il en déduit qu
s. Premier type : .' Paralysie motrice limitée au membre inférieur;
troubles
sensitifs ne remontant pas jusqu'à la racine de
de la neuvième vertèbre dorsale. Second type : Paralysie motrice et
troubles
sensitifs remontant au-dessus de la racine des
roisième type : Les membres supérieurs et le thorax participent aux
troubles
sensitivo-moteurs qui se compliquent fréquemmen
ge au dessus de la sixième vertèbre cervicale. Quatrième type : Les
troubles
sen- sitivo-moteurs envahissent toute une moiti
amélioration progressive, plus ou moins rapide, se produit dans les
troubles
sensitivo-moteurs consécutifs di une hémisectio
pied bot tabétique dû à une atrophie des muscles de la jambe et aux
troubles
trophiques des ligaments articulaires ; ce sont
lades sont à même de s'en- traîner, de lutter efficacement avec les
troubles
de la sensibilité qui sont la source de leur at
ajoute deux autres indications bien précises qui visent, l'une, les
troubles
de la nutrition générale, l'autre, les troubles
visent, l'une, les troubles de la nutrition générale, l'autre, les
troubles
de la motilité. L'expérience a démontré qu'il fau
e a démontré qu'il faut assimiler tous les ataxiques présentant des
troubles
de la nutrition aux tuberculeux et les soumettr
tion substantielle combinée à la cure d'air et de repos. Contre les
troubles
de la motilité, le médecin a maintenant dans les
u mois de dé- cembre la maladie entre dans sa phase adynamique avec
troubles
trophiques très accentués. Mort le 31 décembre.
e fois l'érysipèle laissa après sa disparition, au mois de juin, un
trouble
vague, du bien être. Le 3 juillet la températur
ras gauche, de parésie du bras droit, faiblesse des muscles du cou,
troubles
légers de la phonation et de la déglutition, at
tiques, suivies la première d'une hémiplégie gauche, la deuxième de
trouble
de l'équilibre du corps et de mouvements hémich
vements forcés qui apparaissent à la suite des apoplexies, comme un
trouble
d'équilibre dans les fonctions établies entre les
et, que le syndrome de Basedow est la mani- festation clinique d'un
trouble
nerveux fonctionnel primitif, d'une névrose. Ce
primant un symptôme (goitre, tachycardie, dilatations vasculaires),
trouble
spécial auquel on attribue, pour le cas traité,
nerfs de la queue de cheval. Observation. Résumé. - Début par des
troubles
subjectifs de la sensibilité au bras gauche et
eurs, égale des deux côtés ; douleurs aiguës non localisées; pas de
troubles
objectifs de la sensibilité; pas de troubles de
non localisées; pas de troubles objectifs de la sensibilité; pas de
troubles
des sphincters. Paraplégie devient complète; ap
hives, 21 série, t. V. 28 434 ANAT0M1E PATHOLOGIQUE. inférieurs ;
troubles
objectifs de toutes les sensibilités cutanées ;
nant sous l'influence de la illoii2cli'e excitation. Apparition des
troubles
des sphincters. Phénomènes de compression radic
n lit et il ne les sentait plus. Depuis quinze jours ont débuté les
troubles
moteurs : d'abord simple diminution de force, p
me temps le malade lance un peu le pied en avant et talonne. Pas de
trouble
de la station debout, pas de signe de Romberg.
les mouve- ments commandés : pas d'incoordination motrice. Pas de
troubles
de la sensibilité objective. Pas de troubles tro-
nation motrice. Pas de troubles de la sensibilité objective. Pas de
troubles
tro- phiques, ni d'atrophie musculaire. Aux m
uche : le malade serre beaucoup moins fort que de la droite. Pas de
troubles
de la sensibilité objective, mais il y a toujou
calisation précise. Pas d'incoordination, ni de tremblement. Pas de
troubles
tro- phiques, ni d'atrophie musculaire. Les s
cial, très léger, et dont le malade ne s'était jamais aperçu; aucun
trouble
du côté de la musculature de la face et des yeu
cun trouble du côté de la musculature de la face et des yeux; aucun
trouble
de la sensibilité générale, ni des sensibilités
de la sensibilité générale, ni des sensibilités spéciales. Aucun
trouble
encéphalique. Le diagnostic porté à ce moment p
par M. le professeur Teissier fut : Paraplégie spasmodique. Pas de
troubles
de la sensibilité. Pas de pliénomènes vésico-re
la nuit, et troublent le sommeil. 11 ne semble pas y avoir d'autres
troubles
subjectifs delà sensibilité en dehors de ces co
ensibilité en dehors de ces contractions douloureuses. Tronc. - Les
troubles
de la sensibilité objective s'étendent sur le t
s des mamelons, vers l'extrémité sternale de la cinquième côte. Ces
troubles
s'atténuent de bas en haut : au niveau de l'ab-
UE. Toophicité. Pas d'atrophies musculaires; pas d'oedème, pas de
troubles
trophiques. 2° A droite : les troubles de la mo
ires; pas d'oedème, pas de troubles trophiques. 2° A droite : les
troubles
de la motilité présentent exactement les mêmes
que du côté gauche. Pas de différences pour les autres muscles. Les
troubles
de la sensibilité sont iden- tiques : même zone
ux phénomènes douloureux. Aucun phéno- mène du côté des yeux, aucun
trouble
de la musculature externe. Pas de nystagmus. Au
x, aucun trouble de la musculature externe. Pas de nystagmus. Aucun
trouble
pupillaire : pupilles égales iéa- gissant bien
s égales iéa- gissant bien à la lumière et à l'accommodation. Aucun
trouble
du côté des autres organes des sens. Pas de tro
modation. Aucun trouble du côté des autres organes des sens. Pas de
troubles
vaso-moteurs à la face. 26 août. Mêmes phénom
embre. Mêmes phénomènes. La localisation radiculaire très nette des
troubles
de la motilité et de la sensibilité permet de f
riques n'ont pu être recherchées. 16 septembre. Des deux côtés, les
troubles
de la sensibilité s'étendent : le pouce seul co
donc être recherchée plus haut, sur le faisceau pyramidal pour les
troubles
moteurs, sur les voies sensitives intra- médull
ubles moteurs, sur les voies sensitives intra- médullaires pour les
troubles
de la sensibilité. b). Dans la méningo-myélite
y a quelquefois de l'incoordi- nation motrice au début, souvent des
troubles
de la sensibi- lité réflexe; plus tard, les tro
t, souvent des troubles de la sensibi- lité réflexe; plus tard, les
troubles
delà sensibilité consciente sont au contraire p
s nous reviendrons plus loin sur la physiologie pathologique de ces
troubles
de la sensibilité. c). En remontant, dans les m
cales étaient intacts des deux côtés. Au point de vue sensitif, les
troubles
étaient moins pro- noncés, nous ne trouvions de
itif, les troubles étaient moins pro- noncés, nous ne trouvions des
troubles
objectifs que dans le domaine de la deuxième do
de physiologie pathologique; nous insisterons sur deux points : les
troubles
de la sensibilité, les localisations dans l'axe
la sensibilité, les localisations dans l'axe gris médullaire. Les
troubles
de la sensibilité offraient une forme assez par
sûrement complètement annihilées, et cependant il n'y avait pas de
troubles
pupillaires. Etant donné que nous observions de
sion de l'axe gris (syringomyélie, hématomyélite etc.) provoque des
troubles
de la sensibilité à localisation spé- ciale...,
ruction de l'axe gris sur une grande étendue, il n'y avait pas de
troubles
de la sensibilité affectant la disposition signal
sse médicale, 1896, p. 17. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 455 Les
troubles
de la sensibilité aux membres supérieurs d'aill
nt à croire qu'ils personnifient le malin esprit, le diable, si les
troubles
psychomoteurs se caractérisent et prennent suff
ession ; nous verrons, dans les faits, qu'ils précèdent souvent les
troubles
sensoriels, non constants d'ailleurs. C'est que
Elle est en proie à des hallucina- tions de tous les sens et à des
troubles
de la sensibilité géné- rale qui lui font croir
désordres de la personnalité qu'on remar- que ici. En revanche, les
troubles
psychomoteurs semblent avoir une influence capi
lui lance dans la main un fluide froid qui change son écriture. (
Troubles
psychomoteurs graphiques.) Si maintenant nons n
ecte ou éloignée, une simple difformité comme l'exophtalmie, ou des
troubles
circulatoires déjà sérieux comme la palpitation
es est due à un retard dans le développement du faisceau pyramidal,
trouble
évolutif caractéristique de la maladie de Littl
des malades atteints de lésions de l'hémisphère droit opposées aux
troubles
du langage et à l'affaiblissement intellectuel
ant de l'hémisphère droit. Hémianesthésie dépendant plus souvent de
troubles
dynamiques du cerveau droit. Il semble que l'hé
cerveau droit. Il semble que l'hémisphère droit soit plus sujet aux
troubles
dynamiques tandis que le cerveau gauche est plu
atteinte de paraphasie syllabique et confond les syllabes. Point de
troubles
paralytiques de la parole ; elle répète généralem
e les a déjà réoubliés. Elle ne peut plus écrire. Il existe donc un
trouble
de conductibilité dans le domaine du centre mot
e nez on l'oreille. Cette hémiataxie est surtout en rapport avec un
trouble
du sens de la localisation des doigts et de la
impuissants de parler, l'autre bras lui-même parti- cipe aux mêmes
troubles
de la locomotion. Les mouvements vo- lontaires
à un foyer de ramollissement de la troisième frontale gauche. Les
troubles
de la sensibilité et de la coordination du membre
upramarginal) ; ce qui tendrait à le prouver, c'est la guérison des
troubles
de la motilité et de la sensibilité com- mune,
dans l'autre cas l'ano- malie congénitale doit être attribuée à un
trouble
dans le dévelop- pement embryologique de la pea
velop- pement embryologique de la peau. Quelle est la cause de ce
trouble
? Névrite intra-utérine par intoxication ou infec
euse entraîne des convulsions par excitation du bulbe parce que les
troubles
de nutrition du cerveau produits par l'as- phyx
viter les condamnations sifréquentes des aliénés criminels dont les
troubles
psychiques passent inaper- çus, que chaque incu
durant l'année scolaire 1896-1897. Aba (Isaac). Étude clinique des
troubles
de la sensibilité géné- rale des sens musculair
ralytiques généraux. Bibard (Camille). Con- tribution à l'étude des
troubles
de l'odorat. Blottière (Léon). Étude sur les tr
- Bourdicaud-Dumay (Hippolyte-Pierre)' Recherches cliniques sur les
troubles
de la sensibilité générale du sens musculaire e
z les jeunes enfants. - Deglaire (Léon). Contribution à l'étude des
troubles
nerveux en rapporl avec la présence de végétati
olutions salines. Fournier (Jean-I3aptiste-Camille). Acromégalie et
troubles
cardio-vasculaires. - Frère (Emile). Contributi
les cardio-vasculaires. - Frère (Emile). Contribution à l'étude des
troubles
nerveux par cals exubérants au membre supérieur
ge des arlérioseléreux. Grognot (Eugène) Contribution à l'étude des
troubles
nerveux précoces du mal de Pott. Ilaopolf.(firi
ée. Le Meignen (Henri). Du syndrome de Little. Levis (Georges). Des
troubles
de la menstruation dans les maladies du système
e optique par syphilis acquise. Prodhon (Eugène-Pierre-Joseph). Des
troubles
intellectuels dans l'intoxication par le sulfur
méningite ; seuls manquent ceux qui sont dus à une lésion limitée (
troubles
du pouls, de la respiration, paralysies oculaires
é la disparition du sieur Derminot, atteint depuis quelque temps de
troubles
cérébraux. - Or, samedi 30 avril le cadavre du
trielzow, 169. Traitement des escarres des - , par A. Paris, 394.
Troubles
de la sensibilité hygrique chez les , par Urb
e, 318. - spi- nale syphilitique, par Pelletier, 508. ' Mental.
Troubles
de l'état - aux Antilles, par Guilloil, 263.
érique du giand dentelé, pr.Bluineilaou, 323. Paralysie générale.
Troubles
tro- hiques dans la -, par Cololian, 21, 177.
associées chez les aliénés, par (le Becliterew, 52. Sensibilité.
Troubles
de la de Bernhardt à la cuisse, par Luzen- be
plus LE FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GENERAUX. 3 tard de
troubles
mentaux qui se développèrent au cours de la par
urs de la paralysie générale. En'1883, Hirschberg, s'occupant des
troubles
oculaires dans la paralysie générale, s'exprime
ervation d'un homme âgé de 44 ans, dont la papille était blanche et
trouble
, d'un blanc grisâtre à l'image droite, mais à l
rale qui s'affirma par la suite. Uhthoff en 1883 observe un état de
trouble
(Trubung) plus ou moins intense et symétrique q
IQUE. Jameson Hepburn, de New-York (1895), publie quelques cas de
troubles
oculaires avant même que tous les autres symp-
es, l'atrophie du nerf opti- que, il signale, d'après Furstner, des
troubles
ophthalmos- copiques qui seraient la suite de f
ques corps flottants, formaient l'ensemble ophthalmoscopique. Comme
troubles
fonctionnels, le malade nous dit avoir vu bien
Paralysis. Journal of mental science, 1889. GILBEIIT Ballet. Les
troubles
oculaires dans la paralysie gêné- rale progress
e à forme de rêve. Il n'y a là, en fait, que l'exagération de ces
troubles
intellectuels particuliers, de caractère abou-
resque habituel aux obsédés, dans un état de stupeur complète, avec
troubles
vaso-moteurs, refus d'aliments, manie lectuaire
e qui en résulte une sorte de stabilité, favorisée encore par les
troubles
intellectuels fondamentaux d'aboulie, les paramné
e pour discuter les rapports de subordination réciproques entre les
troubles
émotionnels et l'idée obsédante. Cela peut avoi
ions. Que ces modifications se résument dans leur ensemble en des
troubles
de synthèse mentale, à caractère d'insuffisance,
otion sur les différents éléments de la pensée. Si ces différents
troubles
psychologiques sont plus faciles à saisir lorsq
ehors d'elle, dans l'exercice général de l'intelligence, dans les
troubles
de l'attention, les défaillances de la mémoire, l
utissent, en dernier terme, à l'exis- tence, chez les obsédés, d'un
trouble
de la conscience person- nelle sur lequel nous
er- miner le passage de l'obsession au délire. Que les différents
troubles
psychiques examinés plus haut figurant à l'orig
mais possible de corriger dans une large mesure un grand nombre des
troubles
des mouvements, mais bien peu parmi eux se font
mise aujourd'hui. Dans ces dernières années, en effet, l'étude des
troubles
de la motilité dans les affections chroniques d
rocédés qu'elle met en oeuvre, déduite logiquement de l'analyse des
troubles
qu'elle combat, de' la connaissance de la physi
ourd'hui fami- liers étaient ignorés, et que toutes les variétés de
troubles
de la motilité notamment étaient alors confondu
s s'efforçaient d'en faire bénéficier; pour les malades atteints de
troubles
moteurs on cherchait surtout à atteindre et rec
ait surtout à atteindre et reconstituer l'organe altéré ; quant aux
troubles
de la motilité dans les maladies nerveuses, ils
est encore étendue par les appli- cations qui en ont été faites aux
troubles
d'origine psychique (Raymond et Janet) ; le pro
u préalable déterminé d'abord de quels éléments sont constitués les
troubles
moteurs correspon- dants à chaque cas particuli
e rappeler les LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 57 principaux facteurs des
troubles
moteurs, d'indiquer sur quels points portera en
ielle au point de vue qui nous inté- resse est de savoir, en cas de
troubles
fonctionnels, s'il y a altération de la fibre e
es, car 58 THÉRAPEUTIQUE. elles comportent dans la correction des
troubles
moteurs des conséquences pratiques importantes,
ple que l'hypotonie se corrige moins facilement que l'ataxie et les
troubles
d'ori- gine cérébelleuse moins facilement que c
our cette raison que, si on veut traiter avec succès la plupart des
troubles
de la motilité, il faut pouvoir suivant les cas
épendants de l'influence psychique, quand on constate que ces mêmes
troubles
s'améliorent en raison de l'attention et de la
volonté du médecin à celle du malade, est la rééducation en cas de
troubles
moteurs d'ori- gine corticale, chez les tiqueur
us vrai, c'est que bien souvent, dans les paralysies notamment, les
troubles
fonctionnels dépassent en étendue les régions d
ours par l'intermédiaire du système nerveux, or il s'agit en cas de
troubles
moteurs d'affections essentiel- lement chroniqu
ait-on compter alors sur les réactions spontanées, et, en fait, les
troubles
de la coordination ne se corrigent pas seuls.
le dia- gnostic établi, déterminer de façon précise la nature des
troubles
observés, leurs localisations, leur degré pour ch
de tenir grand compte des symptômes observés concurremment avec les
troubles
moteurs, des troubles sensitifs par exemple, de
des symptômes observés concurremment avec les troubles moteurs, des
troubles
sensitifs par exemple, de l'état des forces, de
tent dans les mêmes conditions, à grouper entre eux par exemple les
troubles
d'origine psychopathique ou céré- brale, les tr
r exemple les troubles d'origine psychopathique ou céré- brale, les
troubles
d'origine cérébelleuse et ceux d'origine médull
erait à de longs développements en nous forçant à analyser tous les
troubles
des mouvements et à discuter la pathogénie de c
ladie de Parkinson, les chorées, les crampes professionnelles. 3°
Troubles
de la phonation. a). Troubles fonctionnels : bé
s, les crampes professionnelles. 3° Troubles de la phonation. a).
Troubles
fonctionnels : bégaiement et autres défauts de
fonctionnels : bégaiement et autres défauts de prononciation. b).
Troubles
d'origine organique : dysarthries, aphasies. 4°
le strabisme (méthode de Javal). 6° Mouvements respiratoires. a).
Troubles
fonctionnels; chez les tiqueurs, les bègues. b)
es. a). Troubles fonctionnels; chez les tiqueurs, les bègues. b).
Troubles
d'origine organique : chez les cardiaques, les
n de ces muscles existe seule ou du moins est seule responsable des
troubles
de la marche, comme si la station et surtout la
nous pouvons dire aujourd'hui que toutes les fois qu'il existe des
troubles
de l'équilibre, la statique et les mouvements d
tait pas infiniment variée pour qui l'examine de près, comme si les
troubles
de la marche, les localisations de l'incoordina
t au système nerveux et quelle part aux muscles dans la genèse de
troubles
moteurs des ataxiques, mais encore faut-il ne p
urtout d'en déterminer les localisa- tions. Faut-il répéter que les
troubles
de la locomotion sont infiniment variés chez le
tout, car, à côté de l'analyse, il faut aussi faire la synthèse des
troubles
observés, afin de comprendre les perturbations
perturbations apportées dans la mécanique de chaque malade par les
troubles
divers qu'on aura constatés ; c'est même par ce
er et de les justifier un à un. De même que l'ata- xie est faite de
troubles
élémentaires des contractions de 74 THÉRAPEUTIQ
viennent à chaque malade en particulier. La compréhension exacte du
trouble
que l'on veut corriger et du mouvement que l'on
tion ne se pose pas en cas de tabes fruste ou de tabes bénin sans
troubles
moteurs, d'autre part, l'impotence ou seulement
t général, ce sont par exemple la cachexie du sujet, l'existence de
troubles
cardiaques ou une asthénie trop marquée, d'autr
de certains symptômes, arthropathies, fragilité osseuse, amaurose,
troubles
psychiques ou seulement défaut d'intel- ligence
ui commande une certaine réserve. On tiendra grand compte aussi des
troubles
de la 78 THÉRAPEUTIQUE. sensibilité et surtou
s. V. M. Il..., quarante-cinq ans, horloger. Tabétique depuis 1890.
Troubles
de la marche depuis 1896. Le traitement rééduca
eur mise en oeuvre doivent être exactement déduits de l'analyse des
troubles
que l'on veut 86 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
r- dination ; à plus forte raison différeront-elles selon que les
troubles
moteurs seront d'origine médullaire ou d'origine
le, la débilité nerveuse portant sur le cervelet et ses voies ; les
troubles
cliniques commenceront à se manifester et à s'a
ofond sommeil survient, et, au réveil, tout disparait, y compris le
trouble
des pupilles, qui s'accompagne d'une dilatation
paralysée ; en deux cas, il y avait réac- tion dégénérative. Pas de
troubles
de la connaissance. Quand la maladie progresse,
s. Toutes les théories qui essaient d'expliquer ce phénomène par un
trouble
de fibres centripètes des pupilles se heurtent
, oedème angionevrotiquede la peau, sont constitués par un noyau de
troubles
vasomoteurs autour du- quel se groupent d'autre
roubles vasomoteurs autour du- quel se groupent d'autres éléments :
troubles
sensitifs, sécrétoires, trophiques. L'auteur ad
ez les malades congestifs. F. 1301SS1ER. IL Maladie de Basedow avec
troubles
psychiques provoqués par l'ingestion, de corps
stion exagérée de corps thyroïdes se dérelop- pent tout d'abord des
troubles
psychiques sous forme d'excitation maniaque ave
sécution, puis des signes de basedo- wisme moins l'exophtalmie. Ces
troubles
cessèrent avec la cessa- tion de l'usage de cor
e névrite du sciatique avec douleur intense, contractions, parésie,
troubles
paresthéniques. Un traitement électrique inst
ez l'un des sujets une amélioration rapide, mais chez le second les
troubles
ont persisté, laissant le membre dans un état d
'impotence fonctionnelle. A noter que l'injection qui fut suivie de
troubles
névritiques ne fut pas plus douloureuse que les
, un hématome nerveux en même temps que l'appari- tion des premiers
troubles
peut faire penser à des phénomènes de conpressi
ents à distance. Les deux affections articulaires étaient comme les
troubles
de la sensibilité dus à la syringomyélie. Or ce
troubles de la sensibilité dus à la syringomyélie. Or ces derniers
troubles
se superposaient à des zones radiculaires connu
al. Malgré tout M. Brissaud ne pense pas que la disposition de ce
trouble
soit toujours nécessairement radiculaire, bien qu
scles se fait bien, mais il persiste une certaine déformation et un
trouble
fonctionnel consistant dans la difficulté de la
uence, que ce signe peut être différenciateur de l'hystérie et d'un
trouble
organique. Enfin ils ont constaté la diadococin
gée (voie nasonnée) ; langue atrophiée avec secousses fibrillaires;
troubles
de déglutition, etc. A l'autopsie, à côté des l
ix mois une paraplégie motrice, flasque, avec hypotonie musculaire,
troubles
sphinctériens, et hypoesthésie remontant jusqu'
au cours de la lente incubation, que le tubercubeux présente des
troubles
nerveux et mentaux. Ce qui m'a le plus frappé à c
caractère, elle contribue à créer l'optimisme ; elle n'agit sur les
troubles
somatiques que d'une façon faible et passa- gèr
elles de l'anteur, montrent l'absence de rapport constant entre les
troubles
de la sensibilité cutanée et ceux de la sensibi
tique chez les hystériques, alors même qu'ils ne présentent aucun
trouble
delà sensibilité, apparaît évidente dans la plupa
éveiller une hystérie latente et servir d'agent provocateur à des
troubles
localisés, non seulement sur l'oreille, mais enco
t tué .» D'où la nécessité de surveiller et de traiter de suite les
troubles
mentaux de ce genre. varia. 119 J Folie inc
l'asile de Saint-Jean-de-Dieu (Lyon). La contagion morbide dans les
troubles
psychiques peut être définie : l'action de la s
autres, de nouveaux faits cliniques sur la transmission de certains
troubles
mentaux comme les phobies (Régis3), les obsessi
esprit pour les amener à partager ses conceptions délirantes et ses
troubles
senso- riels ; 4° la vraisemblance du délire da
ui sontpropres, à côté de ceux que lui impose le sujet actif. Les
troubles
qu'il présente sont toujours identiques à ceux
suggesti- bilité peut varier, depuis la simple croyance naïve aux
troubles
délirants, jusqu'à l'hallucination. Cette halluci
persécution et de jalousie, hallucinations de l'ouïe et de la vue,
troubles
du goût, de l'odorat et de la sensibilité général
former toutle tableau clinique au milieu duquel disparaissent les
troubles
communiqués. A ces différents cas, on peut ajou
ance d'idées de persécution, illusions et hallucinations multiples,
troubles
de la sensibilité générale, interprétations dél
de particulier, c'est une femme grande et bien musclée, qui n'a ni
troubles
cardiaques ni phénomènes pulmonaires. Elle a de
étier de couturière. C'est au mois de janvier 1900 que les premiers
troubles
apparaissent sous l'influence des habitudes alc
aux phénomènes délirants de la malade. En effet, au mois d'août les
troubles
hallucinatoires augmentent et pour fuir ses per
tinuent, elle mettra le feu à l'hôtel. Au mois de novembre d'autres
troubles
sensoriels apparaissent ; ce sont des troubles
de novembre d'autres troubles sensoriels apparaissent ; ce sont des
troubles
du goût, de l'odorat, de la sensibilité générale,
ûres sur le sein gauche. - Pas d'halluci- nations de la vue, pas de
troubles
génitaux. Au mois de décembre, à la suite de tr
a vue, pas de troubles génitaux. Au mois de décembre, à la suite de
troubles
hallucinatoires plus actifs, elle réagit de nou
ce séjour les phénomènes délirants sont toujours très intenses, les
troubles
hallucinatoires dominent avec de nombreuses int
ue, cette malade est restée persécutée et hallucinée. De nou- veaux
troubles
sensoriels sont apparus du côté des organes génit
persistent. Son état général est resté bon, mais elle présente des
troubles
vaso- moteurs de la face et des mains. La mal
lle lorsque cette dernière commença en janvier 1900 à présenter des
troubles
men- taux.'Pendant les quatre premiers mois, el
d'ordre purement alcoolique, des hallucinations de la vue et des
troubles
somatiques; d'autre part son affaiblissement inte
gent actif se faisant sentir d'une façon continue elle présente des
troubles
du goût et de l'odorat. « Ses persécu- teurs lu
mpoisonner aves des grains de pavot réduits. » - A ces différents
troubles
calqués sur ceux du sujet actif viennent s'ajou
lucinations de la vue, frayeurs, etc.) ; 2° par la réviviscence des
troubles
délirants du sujet passif sous l'influence sugg
ide. Cette appellation s'appuie sur la pathogénie de ce groupe de
troubles
mentaux et a l'avantage de comprendre dans un m
és ; quel- ques-uns considèrent ces phénomènes morbides comme des
troubles
liés aune forme spéciale de neurasthénie (Kraepel
obsessions, im- pulsions, inhibitions, perversions de l'instinct et
troubles
délirants divers, toutes fonction de la déséqui
ns montrer dans un aperçu succint, les principaux caractères de ces
troubles
; les observations ultérieures sui- vies de leur
même terrain. Et si les névroses sont susceptibles d'engendrer des
troubles
mentaux analogues ; cependant on-peut y reconna
esquels les actes délictueux sont adéquats à leur délire ou à leurs
troubles
sensoriels. L'idée obsédante chez les dégénérés
croissant petit à petit, elle arrive à un maximum et constitue les
troubles
DES OBSESSIONS ET IMPULSIONS. 159 morbides, a
iodes de sa vie, soit un nombre plus ou moins considé- rable de ces
troubles
, qui coexistent à certaines époques de sa malad
elle est imprégnée. Une grand'mère paternelle a présenté de graves
troubles
men- taux. Après avoir vu à l'âge de vingt ans,
sations à l'état d'ébauche, toutes de nature à faire soupçonner des
troubles
hystériques. A l'âge de quatorze ans elle eut s
cès véritablement psychpathique de sa maladie actuelle, éclata. Des
troubles
profonds se montrèrent, troubles imputables à c
sa maladie actuelle, éclata. Des troubles profonds se montrèrent,
troubles
imputables à ces deux étals maladifs : hystérie d
près sa première apparition, la menstruation s'arrêta, et de graves
troubles
physiques ouvrirent DES OBSESSIONS ET IMPULSION
dans son esprit et la tourmentèrent à tel point que la série des
troubles
réapparut dans son entier : second accès paroxyst
éclosion de celui-ci eut lieu à la suite de deux événements : 10 Un
trouble
moral, un dommage considérable causé par un prê
oisse extrême, respiration entrecoupée, tremblements généra- lisés,
troubles
vasomoteurs, rougeur de la face, sueurs sut le fr
ente de sa situation, et sa santé était excellente, à part quelques
troubles
nerveux de nature hystérique, quand, tout à cou
u grand air et le calme la soulagent. mais petit à petit les vagues
troubles
physiques commencent à prendre une allure manif
e avec beaucoup de force. Ces accès paroxystiques s'accompagnent de
troubles
assez graves : rougeur de la face, pouls rapide
s douleurs atroces et continuelles dans les régions ovariennes, des
troubles
gastriques divers, la bouche mauvaise, quelquef
pour disparaître ensuite. Malheureusement elle se décourage, ses
troubles
physiques, qui continuent à persister, la crainte
ent son état, de sorte qu'actuellement il ne lui reste que quelques
troubles
somatiques (douleurs abdominales et mal de tête
à la pression dans la région des ovaires, légère boule hystérique ;
troubles
de la sensi- bilité ; zones d'hyperesthésies ma
e ; pas d'hé- mianesthésie, abolition du réflexe pharyngien, pas de
troubles
oculaires, sauf un certain degré de myopie. L
ls de la malade on ne trouve ni convulsions, ni maladie fébrile, ni
trouble
mental nettement caractérisé. Elle a fréquenté
écision et lucidité à nos questions, de sorte que rien ne trahit un
trouble
quelconque des facultés mentales. Lorsqu'on lui
d'hal- lucinations. Son état mélancolique ne s'expliqne que par le
trouble
moral auquel £ elle est sujette : se donner la
ets de banque. Toutes ces manifestations morbides lui causaient des
troubles
physiologiques qui Raccompagnent généralement t
ancienne mauvaise habi- tude. Il y a deux ans, à la suite de ces
troubles
, il lui surgit l'idée obsédante qu'elle ne voit
inte-Anne. A l'asile, elle est triste, déprimée, anxieuse. Tous ces
troubles
morbides remontent à une époque ancienne et ont
rqué et plus tenace, qu'elle devait présenter plus tard. Tous ces
troubles
maladifs actuels pivotent autour de l'idée obsé-
ans une période de cinq années, époque qui marque le début de ses
troubles
. La maladie a duré longtemps et a fini parla gu
un exemple frappant de la coexistence possible d'une complexité des
troubles
mentaux syndromiques et névrosiques qui, tant v
nforcer cet état dégénératif héréditaire. OBs. V. Coexistence des
troubles
variés chez une dégénérée sur- venant à différe
Toutes ces obsessions de doute et de crainte s'accompagnaient des-
troubles
physiologiques : palpita- tions, angoisse. A la
séjour de trois mois, complètement remise, sans aucune trace de ces
troubles
, elle quitta l'asile. Après un intervalle de on
01, dans un état de parfaite santé, elle fut prise d'une bouffée de
troubles
délirants tout différents des premiers ce qui c
ères, implorait Dieu. Elle-n'a jamais tenté de se faire du.mal. Ses
troubles
s'aggravèrent et on l'interna à l'asile Sainte-An
ans le rectum et qu'elle n'est plus en état d'aller à la selle. Ces
troubles
diminuent sensiblement et, au bout de trois jou
ans l'intervalle de treize années, trois épisodes morbides avec des
troubles
nette- ment distincts, qui se sont montrés à de
ce. Relativement au terrain, jamais on ne pourrait considérer ces
troubles
comme trois maladies distinctes adéquates aux t
umatisme cra- REVUE DU PATHOLOGIE NERVEUSE. 179 uien compliqué de
troubles
choréiques et d'hémiplégie gauche. Dans toutes
re que l'état du maxil- laire inférieur, et il ne s'y joint que des
troubles
du côté des adducteurs et des muscles rotateurs
dé ; des symptômes d'asphyxie se sont montrés. La répartition des
troubles
est la suivante : prédominance sur le maxillair
t l'écriture. C'est une aphasie motrice corticale accompagnée des
troubles
graphiques en rapport avec celle-ci. Elle peut éc
u crâne, intégrité de la dure- mère. Pie-mère de l'hémisphère droit
trouble
et épaissie : à gau-- che, elle est trouble le
e de l'hémisphère droit trouble et épaissie : à gau-- che, elle est
trouble
le long des vaisseaux. A droite, .au niveau de
n manoeuvre, un musicien, nn savant de cabinet, se traduira par des
troubles
moteurs et sensitifs dissemblables ; dissemblab
mbres supérieurs et inférieurs, de la parésie du diaphragme, et des
troubles
incontestables de la déglutition et de la phona
a déglutition et de la phonation, pas de paralysie oculaire ni de
troubles
sensoriels ou sensitifs. Les lésions nucléaires b
présente l'attitude classique de la maladie de Parkinson. Pas de
troubles
oculaires. Il fut traité sans succès par l'hyos
intéressé. Les intérosseux sont paralysés par suite le cubital. Les
troubles
de la sensibilité consistent en une anesthésie pr
faut admettre qu'est une entité morbide caractérisée par un simple
trouble
fonctionnel, une altération encore invisible des
spasmo-paralytiques infantiles. G. C. XXIV. De l'aérophagie et des
troubles
gastriques qui l'accom- pagnent ; par LYONNET e
yon médical 10 février 1901. n" 6, p. 189). M. Lyonnet étudie les
troubles
gastriques qui accompagnent le symptôme aéropha
roptose, de la chute des reins, des battements à l'épigastre. Comme
troubles
fonctionnels, l'insufffisance de la motricité r
, les vomissements sont rares; le sommeil est mauvais. Il y a des
troubles
fonctionnels du système nerveux, céphalée, vert
mptomatique se rapproche de celui delà dyspepsie nerveuse, mais les
troubles
gastriques, comme le fait remarquer M. Lyonnet,
toutes les manifestations de l'hystérie. La durée est variable. Les
troubles
gastriques ont en général, un pronostic bénin.
ur pose trois indications pour le traitement de l'aérophagie et des
troubles
qui en dépen- dent. 1° Traiter l'état général
it par les antispasmodiques, soit par la suggestion. 3° Traiter les
troubles
dyspeptiques : l'indication principale est d'au
. Ce jour-là, un observateur, qui n'aurait pas assisté au début des
troubles
moteurs de la malade, et qui n'aurait pu entend
s de tic des paupières et de bégaiements, qui présente, en outre,un
trouble
singulier de l'accom- modation. De temps en tem
un signe d'hystérie. On peut se demander s'il ne s'agit pas là d'un
trouble
convulsif de forme tonique, intermittent, local
nique, intermittent, localisé sur les muscles de l'accom- modation,
trouble
comparable à ces accidents toniques convulsifs,
orme clonique présentés par les tiqueurs. Il s'agit assurément d'un
trouble
fonctionnel de' l'accommodation, et l'on sait q
ins excité le tendon. Il présente à l'appui deux sujets atteints de
troubles
névropathiques purement fonctionnels et insi- g
i- grissement musculaire, mais sans réaction de dégénérescence ni
troubles
des réflexes du membre inférieur, s'étendant du p
un trophoedème ana- logue aux oedèmes trophiques congénitaux. Les
troubles
psychiques dans la syringomyélie. MM. Pierre Ma
de neurologie et les observations publiées, on peut croire que les
troubles
psychiques n'appartiennent pas à la symptomatolog
se avancée de leur affection, les syringomyéliques présentaient des
troubles
psychiques dont la valeur pronostique, à notre
hallucinations, un état d'excitation cérébrale très spécial. Les
troubles
psychiques, dans nos cas, sont apparus dans la
un pronostic grave, puisque un de nos malades s'est suicidé. Ces
troubles
psychiqnes ne sont pas sous la dépendance de l'al
exes tendineux plutôt exagérés. Réflexes cutanés exa- gérés. Pas de
troubles
objectifs de la sensibilité. Troubles oculaires
es cutanés exa- gérés. Pas de troubles objectifs de la sensibilité.
Troubles
oculaires (pupilles inégales avec mydriase gauc
minime dans le mus- BIBLIOGRAPHIE. 205 cle jambier antérieur. Les
troubles
de la contractilité électrique sont allé en s'a
ns sous la déno- mination de psychoses os<-operaot ? '6S que les
troubles
délirants qui se produisent dans la sphère de l
qui ont écrit depuis sur ce sujet ont cru devoir y ranger tous les
troubles
nerveux qu'on peut obser- ver à la suite des op
venus à l'asile que parce qu'ils ont présenté après l'opération des
troubles
cérébraux persistants. Dans une première comm
'est pour bien montrer qu'il ne faut pas conclure de la présence de
troubles
après une opération, à l'existence d'une psycho
communication *. Même dans les cas publiés par l'un de nous, où les
troubles
psychiques se sont greffés sur un état neurasth
(obs. IV). 1 . Un malade opéré de cure radicale présente quelques
troubles
psychiques après son opération : sa femme interro
ion y prédispose particulièrement ; mais comme, d'autre part, des
troubles
analogues se présentent aussi bien chez l'homme
enir compte de l'âge, des antécé- dents héréditaires, des formes de
troubles
mentaux présen- tés par la malade, surtout auss
se contentera pas de considérer comme psychose post-opératoire tout
trouble
de l'idéation pouvant succéder à une opération.
dication chirurgi- cale chaque fois qu'elle se présente; lorsque le
trouble
men- tal semble étroitement lié à la lésion. Or
es post-opératoires, on ne doit comprendre dans la pratique que les
troubles
qui se produisent dans la sphère de l'idéation.
édents héréditaires, du degré de la prédisposition, de la forme des
troubles
mentaux; présentés antérieurement par les malad
nombre considérable de cas, où une opération pourra mettre fin aux
troubles
cérébraux. Enfin, en terminant et comme conclus
avec un certificat du 01 Séclas, daté du 15 mars 1899. Atteinte de
troubles
intellectuels survenus brusquement à l'occa- si
'occa- sion d'une opération, d'ailleurs légère et sans gravité, les
troubles
intellectuels se caractérisent aujourd'hui par
tions. Il n'existe pas de signes physiques contestables, tels que
troubles
pupillaires, tremblements de la langue, des lèvre
POST-OPÉRATOIRES. 223 Quelques jours après ce simple curetage, les
troubles
mentaux apparaissent. Le 20 mars, IL le De Pi
à l'idée de l'opération. Environ trois semaines après celle-ci, les
troubles
commencent, elle croit que ses voisines délit,
e- trois ans de cachexie cancéreuse (cancer de l'estomac). Pas de
troubles
mentaux. Mère morte à soixante-treize ans, cardia
fréquemment en syncope. Est morte hémiplégique et aphasique. Pas de
troubles
mentaux. Une soeur aînée encore vivante, cinqua
ngt-cinq ans après pleurésie tuberculeuse. Aucun n'a été atteint de
troubles
mentaux. Antécédents personnels. Dans son enf
olume et était devenue le siège de vives douleurs. 0 Les premiers
troubles
mentaux remontent déjà à dix-huit mois environ.
t à côté de la question. Asymétrie faciale droite. Voix nasillarde.
Trouble
profond de la mémoire portant seulement sur les
lheureusement que peu de détails sur l'état mental et la nature des
troubles
intellectuels observés. Banquet au Dr Régis. Le
mais non toujours, on retrouvera les points de Valleix. Quant aux
troubles
moteurs, ils n'existent pas, et il ne faudrait pa
. Dans quelques cas la grande névralgie faciale s'accom- pagne de
troubles
moteurs, et ceux-ci, bien reconnus, ont permis
amène le plus souvent une « distorsion du visage » (Valleix). Les
troubles
sécrétoires qui accompagnent la névralgie facia
s périodes d'analgésie, elle disparaît complète- ment. Est-ce là un
trouble
trophique ? C'est ce que nous n'avons pu déterm
ce que nous n'avons pu déterminer d'une façon précise. Parmi les
troubles
trophiques que l'on rattache à la névralgie fac
gées de liquide. P. KERAYAL. XV. Contribution à la connaissance des
troubles
de la conscience avec conservation de la mémoir
fois le- feu, ses incendies doivent-ils être mis sur le compte d'un
trouble
de la conscience d'origine épileptique ? Avant
il convient de se demander si les incendies ne dépendent pas d'un
trouble
mental plus profond. Discussion de laquelle il re
. Et effectivement ici la forme du souvenir des incendies prouve un
trouble
de la cons- cience à l'époque de l'acte ; ces a
la destruction d'une petite portion précise de l'écorce entraîne un
trouble
exclusif d'une seule espèce de saveur, celle-ci
é dans son service avec les symptômes d'une tumeur cérébrale. Les
troubles
avaient débuté par une céphalée nocturne, des bou
G. C. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 269 XXII.
Troubles
du goût dans le domaine de la corde du tympan par
d'une minerve plâtrée. Ce malade, il y a deux mois, se plaignait de
troubles
de la mastication et de la déglutition. On cons
a quinze jours, il présenta une légère parésie faciale droite avec
troubles
du goût du même côté et une légère faiblesse de
i- gine apparente à la face antérieure du bulbe. Dans ce cas, les
troubles
du goût acquièrent un intérêt tout par- ticulie
s se continuent, la portion sensitive du facial. La persistance des
troubles
gustatifs, alors que la parésie faciale a presq
c'est-à- dire du nerf intermédiaire. Ce fait explique pourquoi les
troubles
gustatifs n'accompagnent pas habituellement la
x, à côté des altérations secondaires que peuvent leur imprimer les
troubles
de la circulation et l'inflammation des méninge
de plus que la lésion mentale est en connexion très proche avec les
troubles
généraux de la nutri- tion. [Revue neurologique
u traumatisme (lacération de la substance cérébrale, hémor- rhagie.
trouble
trophique, inflammation) dans la production delà
tre membres avec atrophie musculaire et contractions fibrillaires ;
troubles
de la sensibilité cutanée avec retard des sensati
rieurs. Actuellement on observe de l'obnubilation des facultés, des
troubles
de la parole, une céphalalgie etune lombalgie i
ymptômes, l'auteur croit devoir conclure à l'existence à la fois de
troubles
purement névrosiques et de troubles purement or
lure à l'existence à la fois de troubles purement névrosiques et de
troubles
purement organiques causés par des modification
pieds avec abolition des réflexes rotuliens, sans amyotrophie, ni
troubles
de la sensibilité. L'auteur incline à croire que
e, ni troubles de la sensibilité. L'auteur incline à croire que ces
troubles
sont dus non à une polynévrite, mais à une lési
e cause d'irritation a disparu. Tout tic comporte donc à la fois un
trouble
mental et un trouble moteur : ce trouble mental
a disparu. Tout tic comporte donc à la fois un trouble mental et un
trouble
moteur : ce trouble mental consiste dans une in
comporte donc à la fois un trouble mental et un trouble moteur : ce
trouble
mental consiste dans une insuffisance du pouvoi
directe de l'asthme et la rétention vésicale. La pathogénie de ces
troubles
doit plutôt être attribuée à l'auto-into- xicat
es réflexes et trépidation épileptoïde mais absence d'ictères et de
troubles
oculaires. La présence de l'arthrite pouvait fa
vec exacerbation par la pression et le glis- sement de la peau. Ces
troubles
cessèrent avec un traitement ayant amené une am
ubles cessèrent avec un traitement ayant amené une amélioration des
troubles
neurasthéniques et une diminution de l'embonpoi
héniques et une diminution de l'embonpoint. M. llAMc : L. LI. Des
troubles
respiratoires en rapportavec les différents degré
personnes ayant présenté une même affection nerveuse et dont les
troubles
ont été déjà décrits par MM. Klippel et Durante.
les sujets prédisposés des hallucinations, du délire, ou bien des
troubles
du sentiment apparaissant avant les sensations ga
nogr. de la Sal- pétnière, n° 3, 1899.) Plusieurs observations de
troubles
trophiques chez des enfants, les uns pouvant êt
n de dégénérescence, atrophie musculaire, etc. Il n'existait pas de
troubles
de la sensibilité. C'est en se fondant sur le d
n de l'aponévrose dans un pareil cas, que cette rétraction est un
trouble
trophique dû à une altération du système nerveux
sseur ODDO. Parmi les syndromes familiaux à caractère évolutif, les
troubles
musculaires occupent par leur fréquence une pla
re essentiel de ces myopathies familiales est l'in- termittence des
troubles
fonctionnels qu'elles entraînent ; elles mérite
se de maladie de Thomsen ou de paralysie pério- dique familiale, le
trouble
moteur résume à lui tout seul tout le syndrome
uble moteur résume à lui tout seul tout le syndrome clinique, et ce
trouble
moteur est lui-môme constitué par la perturbati
evient excessif, l'acte se produit inopportunément. Tantôt c'est un
trouble
d'une fonction indispensable à la vie, tics res
ut chez certains sujets, tic de sputation. Le tic peut donc être un
trouble
d'une fonction normale, utile à l'individu. Il
s accidents tics ou crampes dits « professionnels » sont encore des
troubles
d'une fonction, fonction qui n'est pas com- mun
à tous, mais dont le but est logique, utile. Dans tous ces cas, le
trouble
fonctionnel parait être sous la dépendance d'un
arfaite, au moins au jugement delà malade; de 1893 à 1895, nouveaux
troubles
: diplopie laté- rale et en hauteur, spasme fac
ements de latéralité des yeux à droite. Aggravation progressive des
troubles
, avec cette double particularité que la paralys
n ont disparu chez plusieurs malades ; la nutrition générale et les
troubles
diges- SOCIÉTÉS SAVANTES. 289 tifs ont été tr
isant et atteint d'insuffisance mitrale, présentait, à la fois, des
troubles
délirants très intenses et une oligurie excessi
est beaucoup plus lent, en sociétés savantes. 293 dehors de tout
trouble
auditif. que chez les sujets normaux. Les temps
nsécutivement', ils'est installé une paraplégie spas- modique, avec
troubles
de la vessie et ébauche du syndrome de Brown-Sé
l'a plus noté ; ce qui contribue encore à établir, son caractère de
trouble
indépendant d'une lésion organique. Ce cas perm
s; quant à l'empirement nltérieur de l'ataxie, il l'explique par le
trouble
fonctionnel qui est confirmé : 1° par la guéris
ésie antérograde comme symptôme d'une lésion en foyer, identique au
trouble
d'orientation, décrit par d'autres auteurs. L'a
as dans ces cas quelque chose de plus simple, comme par exemple, un
trouble
dans l'appareil oculomoteur commun. ! ' Séance
note les partieu- larité suivantes des psychoses syphilitiques : i.
Trouble
de cons- cience en forme d'accès de sommeil pat
t tantôt des accerbations, tantôt des rémis- sions. 4. Présence des
troubles
nerveux spéciaux pour les lésions syphilitiques
re les mains de M. de Père6xe » 1, ce qu'elle fit « avec un grand
trouble
»1. « Elle étoit alors malade et elle craignoit d
aindre. On a également pu constater à la suite de l'opération des
troubles
sensitifs sans grande importance il est vrai, e
mportance il est vrai, eu égard à la gravité de l'affection, et des
troubles
moteurs, mais aussi, et surtout, des complicati
uérison absolue et définitive, 3 cas de guérison obtenue au prix de
troubles
oculaires graves, et 3 cas avec récidive plus o
famille qui nous donne les renseignements de son observation. Comme
troubles
moteurs, il y aurait quelquefois quelques léger
se produit une fossette et se localise ensuite aux paupières. Comme
troubles
sensoriels, on note seulement les bourdonnements
fois il y a des quinzaines d'accalmie complète. On ne constate ni
troubles
moteurs, ni troubles trophiques, et il n'y a à
nzaines d'accalmie complète. On ne constate ni troubles moteurs, ni
troubles
trophiques, et il n'y a à signaler qu'un certai
ates bien apparents : pas de rétrécissement du champ visuel, pas de
troubles
de la sensibilité. Le traitement a été commencé
siée au moment des crises, mais dans leur intervalle il n'y a aucun
trouble
de la sensibilité. La malade a usé de tous les
gencives sont hyperesthesiées. On note de l'épiphora, mais pas de
troubles
trophiques. Le malade se plaint parfois d'irrad
l fait saillant est la chute habituelle des cheveux du côté malade,
trouble
trophique sur lequel, du reste, la malade attir
-à-dire trois mois après le début de la névralgie, sont apparus des
troubles
gastro-intestinaux survenant par crises et cara
vralgie une sorte de dérivation, car celle-ci s'atténue dès que les
troubles
gastro-intestinaux apparaissent. Actuellement l
ux apparaissent. Actuellement la névralgie faciale alterne avec les
troubles
intestinaux et augmente dès que ceux-ci cèdent.
elle se trouve presque complètement guérie. » Ajoutons que pour ses
troubles
intestinaux et sa constipation nous avons tenté
en raison du spasme des conduits lacrymaux. En ce qui concerne les
troubles
sensitifs il n'y a à noter qu'une diminution du
odification de la sensibilité, dans aucun de ces modes; il n'y a ni
troubles
de la sensibilité gustative ni salivation anorm
du cuir chevelu. Hyperesthé'ie de la langue et des gencives. Comme
troubles
moteurs, il y aurait eu (nous n'avons pu en êtr
d'ordinaire (paludisme, rhuma- tisme, hystérie, tabes, etc). Pas de
troubles
oculaires, pas de signe 356 CLINIQUE NERVEUSE.
n chapeau ni se coiffer. L'apparition de l'accès est accompagnée de
troubles
vaso-moteurs, injection de la face, 358 CLINIQU
et le sillet fut radicalement guéri du jour.au lendemain de tousses
troubles
mentaux. Avec une prudente réserve l'auteur se
qui admettent la présence de parasites de cet ordre comme cause de
troubles
vésaniques et se demande si un cas aussi net ne
écou- ragement ne doit jamais relâcher la thérapeutique. 1, B. V.
Troubles
psychiques dans un cas de tumeur du lobe frontal;
déga- gent de l'examen des cas publiés.. Le tableau clinique des
troubles
intellectuels chez la malade avait présenté deu
urent pour faire place à une période psychique caractérisée par des
troubles
de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 367 mémoir
r le Dr VIALLON. (Annales médico- psychologiques, juin 1901). Les
troubles
mentaux consécutifs aux états infectieux avec alb
ions sensorielles, quelquefois des idées de persécution liées à des
troubles
de la sensibilité. Une hygiène sévère, la diète
370 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. moins longtemps sans présenter de
troubles
mentaux. Fait sur- tout digne d'être noté : la
oubles mentaux. Fait sur- tout digne d'être noté : la cessation des
troubles
mentaux a tou- jours coïncidé avec la. disparit
ons délirantes de la malade se rattachaient d'une façon étroite aux
troubles
albuminuriques. E. B. XI. Deux cas de manie g
ésulterait-elle pas d'un désordre psychique d'ordre supérieur, d'un
trouble
de la conscience dans le domaine de la vision b
es hallucinations unilaté- rales s'accompagnent très fréquemment de
troubles
divers de l'ap- pareil sensoriel périphérique d
qui porte atteinte à l'intégrité delà conscience et déter- mine ces
troubles
de la synthèse psychique d'où résulte l'abstrac-
aut noter l'association à l'angoisse de la tachycardie sans fièvre,
trouble
bulbaire, et la mort rapide avec dyspnée, autre
ans fièvre, trouble bulbaire, et la mort rapide avec dyspnée, autre
trouble
bulbaire sans doute, ainsi que la syncope. Ce fai
l'appui de l'opinion qui fait de l'angoisse la manifesta- tion d'un
trouble
bulbaire (Revue neurologique, juillet 1902). E.
gique, juillet 1902). E. B. XVIII. Des myopsychies (association des
troubles
musculaires et des troubles psychiques) ; par l
XVIII. Des myopsychies (association des troubles musculaires et des
troubles
psychiques) ; par le professeur JORFROY. La cho
gomyélie et toutes les amyotrophies dites primitives, ainsi que les
troubles
mentaux qui les accompagnent fréquemment; ne so
uelle le sujet est tout sensibi- lité, consiste précisément dans un
trouble
moteur, dans une insuf- fisance ou impuissance
E NEUROLOGIE Séance du 5 mars 1903. Présidence de M. Paul Ricucn.
Troubles
fonctionnels de la moitié droite de la moelle con
cas de névrite ascendante ayant SOCIÉTÉS SAVANTES. 381 causé des
troubles
médullaires à la suite de lésions des doigts, ces
ausé des troubles médullaires à la suite de lésions des doigts, ces
troubles
ont été parfois jusqu'à la syringomyélie. M. Ba
ormes de la sensibilité, et des modifications que la pré- sence des
troubles
sensitifs entraîne dans la perception de l'espace
la maladie par le caractère et la propagation des convulsions, le
trouble
nutritif dans les muscles, la modification de leu
s, la modification de leur excitabi- lité électrique, le manque des
troubles
sensoriels, le manque du caractère hystérique e
cré à l'étude des rapports de l'impotence musculaire et de certains
troubles
osseux dans l'hémi- plégie infantile. De l'étud
force de prodiguer ce terme de neurasthénie et de l'appliquer à des
troubles
né- vropathiques dissemblables, on risque de lu
esque toute valeur. D'ailleurs, il parait bien évident que tous les
troubles
qui ne sont ni hystériques, ni épileptiques, ne
, dans lesquelles l'anxiété habituelle s'exagère et s'accompagne de
troubles
organiques, tels que battements de coeur, dyspn
qu'un symp- tôme dominant comme les palpitations, la dyspnée, les
troubles
digestifs, les sueurs profuses, le ténesme vésica
désespère et appelle la mort qui la délivrera de son martyre. Des
troubles
somatiques accompagnent cet état mental. Céphal
Fatigue, pesanteur des membres, dégoût, de l'action et de l'effort.
Troubles
digestifs. Entérite muco-membraneuse. Insomnie.
ellent ; une analyse d'urine ne révèle aucun élément anormal, aucun
trouble
dans les excrétions, de chlorures, de phosphate
étrange. Conformément à sa théorie générale selon laquelle tous les
troubles
nerveux, ceux de l'hystérie comme ceux de la ne
et à un moindre degré, mais d'une manière égale- ment certaine, des
troubles
remarquables, ruminations, agitations, angoisse
ille aussitôt. Depuis novembre dernier, il est en outre sujet à des
troubles
intestinaux, crises de coliques, diagnostiquées
s yeux un peu étonnés et l'esprit un peu agité de distraction et do
trouble
, lorsqu'un troisième coup, encore plus fort que
sie du larynx. Déjà sont apparus, avec la paralysie du pharynx, des
troubles
de la déglutition qui facilitent le passage des
le alla « communier toute en larmes= ». Et ce furent dès lors « des
troubles
et des angoisses incroyables3 », un « trou- ble
tigmates moraux en stigmates obsté- tricaux. Première génération.
Troubles
mentaux, épilepsie. etc., mais gestations anorm
sique ou morale, mais gestations anormales. Troisième génération.
Troubles
mentaux, épilepsie, etc. Déjà Bourneville, dans
et de délimitation précises dans les contours des objets amène un
trouble
de l'attention et jette la distraction dans l'éta
hronique, les auteurs ont recherché avec soin les modifications des
troubles
moteurs qui se sont pro- duites au cours des de
les Dg PAItHON et GOLDSTEIN. A propos de deux cas d'hémiplégie avec
troubles
vaso-moteurs, les auteurs font une revue d'ense
ante de l'appareil circulatoire. Cette observation démontre que des
troubles
circulatoires peu- vent être le point de départ
lit aussi que les pertes de substance produites sous l'influence de
troubles
vasculaires, indé- pendantes au début de toute
ralytiques, par Kornfeld et 131l : Plès ; 6° De la simultanéité des
troubles
du goût et de l'affaiblissement d'autres foncti
myélie et polyomyélite infantile) peuvent déterminer en réalité des
troubles
moteurs, non à disposition segmentaire, mais à
au point de vue mental mais au point de vue somatique, beaucoup de
troubles
organiques jouant un rôle considérable dans la
tteint de paralysie générale, de méningite chronique, on observe un
trouble
extrêmement prononcé. Après avoir précipité fro
froid la globuline par le sulfate de magnésie on observe encore un
trouble
après chauffage. Donc dans le liquide céphalo-rac
méningée, il existe vraisemblablement des sociétés savantes. 473
troubles
de la circulation lymphatique qui expliquent le p
cantes de ces racines sont également touchés, comme le montrent les
troubles
vaso-moteurs de la face et de l'oreille qui se
bles vaso-moteurs de la face et de l'oreille qui se surajoutent aux
troubles
oetilo-pupillaires qui dépendent du ramus commn
térograde continue de fixation et de conservation Topongnosie, sans
troubles
visuels. M. Ernest Duphé. Malade de 53 ans, anc
TÉS SAVANTES. lisée au sommet droit, entré dans le service pour des
troubles
cérébraux qui ont brusquement débuté, sans ictu
ns ictus, il y a trois ans, à l'occasion d'un grand chaa-rin. Ces
troubles
consistent dans une impossibilité absolue de fixe
ment : il s'y perd, ne peut retrouver son lit, etc. Le seul autre
trouble
psychique constaté est l'apparition, à l'occasi
s (tremblement, accélération des mouvements cardio-respi- ratoires,
troubles
vaso-moteurs) d'une émotion que ne ressent pas
émotion que ne ressent pas d'ailleurs le malade, il s'agit là d'un
trouble
psychoréllexe de la mimique émotive et non de l
t non de l'émotivité elle-même : le malade s'étonne lui-même de ces
troubles
, auxquels il assiste sans les expliquer. Comm
me de ces troubles, auxquels il assiste sans les expliquer. Comme
troubles
somatiques : caractère incertain, vaguement ébr
n lombaire, lymphocytose discrète (6 à 7 éléments par champ.) Aucun
trouble
visuel ni pupil- laire : légère neuropapillite
nt l'impotence et l'anesthésie étaient complètes et accompagnées de
troubles
circu= latoires faisait présumer qu'il y avait
s sont incomparablement moins accusés que dans l'ataxie du tabes, à
troubles
sensitifs égaux. Chez l'ata- xique une perte co
e et l'ataxie centrale, doit être cherchée ~~ ailleurs que dans les
troubles
sensitifs. Dans toute la hauteur de l'axe céréb
e docteur. La phsychologie du stomacal. M. DE Bourgade expose les
troubles
du caractère et les phéno- mènes nerveux qui ré
es huit ou quinze jours à l'avance ; elles laissent après elles des
troubles
vatiespendant une quinzaine. La crise de mars 1
ée, cette malade se remet à dormir la nuit et à s'ali- menter ; ses
troubles
mentaux ne tardent pas à disparaître; en deux m
mblement avec faiblesse des membres inférieurs ; en 1891 survint un
trouble
de la parole ; on prenait quel- quefois le mala
bide chez le malade donné. Il est possible qu'on a affaire ici à un
trouble
diffus de la nutrition des éléments moteurs du
ua d'une manière favorable sur les idées obsédantes. Concernant les
troubles
moteurs et les modifications de conscience, les
iges, dans 5 cas, des accès hystériformes, dans 8 cas, des syncopes
trouble
de conscience di, courte durée. Les anomalies s
de pair avec les idées obsédantes on peut rencontrer aussi d'autres
troubles
. Si on peut même admettre une constitution part
alors que d'autres auteurs (Wesphal) tiennent ce symp- tôme pour un
trouble
à base idéative. Ils résument les caractères gé
ion n'est souvent qu'une phobie ayant perdu son caractère de simple
trouble
émotif, BIBLIOGRAPHIE. 487 pour prendre par l
APHIE. 487 pour prendre par le fait même de son évolution, celui de
trouble
à la fois émotif et intellectuel. Plus l'obsess
essantes et des aperçus ingénieux touchant l'interpréta- lion de ce
trouble
. Dans le chapitre Étiologie sont étudiées les c
nostic. la marche et la durée, le pronostic et le traitement de ces
troubles
. Les consi- dérations médico-légales sont illus
u maintien des alcoo- liques dans les asiles, après disparition des
troubles
déli- rants, dit que, à part l'opinion de M. Ke
n ne devait garder les sujets que pendant qu'ils présentaient les
troubles
mentaux dus à l'intoxication et où il ne conve-
des médecins maintiennent les alcooliques après la disparition des
troubles
délirants aigus. « 2° La durée de ce maintien e
Dr leravil 12bellaizi hors de l'asile les alcoolique s dès que les
troubles
mentaux ont disparu, nome croyant pas autorisé
jours avant l'écoule- ment qui était régulier, et sans douleur, ni
troubles
quelconques, une excitation sexuelle intense qu
n enfant mâle bien conformé et vigoureux, sans avoir présenté aucun
trouble
nerveux. Elle ne pouvait pas manquer d'accepter
avait été convulsive dans sa première enfance n'a présenté d'autres
troubles
névropathiques que des migraines sen- sorielles
on psychique. 4" II est des cas dans lesquels on peut rapporter les
troubles
nerveux de l'enfant aux orages sensoriels provo
nombreuses définitions antérieurement données, il a montré que «les
troubles
fonctionnels et men- taux capables d'être provo
s par des causes psychiques; de se succéder chez les mêmes sujets ;
troubles
ne retentis- sant pas gravement sur la nutritio
ues d'avec d'autres manifestations, également mentales, comme les
troubles
neurasthéniques, les phobies, la maladie du doute
e manifestation psychique ni hystérique. La maladie du doute est un
trouble
mental ou psychique (ces deux mots étant synony
(ces deux mots étant synonymes, l'un latin, l'autre grec), mais ce
trouble
n'est pas hystérique. Le spasme musculaire qui
ques (Rétrécissements de 1'urèthre, de l'oesophage, etc. ! ) est un
trouble
fonctionnel, mais non mental ni hysté- rique. C
erses affections, distinctes les unes des autres, le sont aussi des
troubles
hystériques comme n'étant pas susceptibles d'ap
au pyramidal et la con- tracture hystérique sous la dépendance d'un
trouble
fonc- tionnel de ce faisceau,. M. Babinski énum
térie comme un état psychique particulier, le plus souvent comme un
trouble
de la volonté ' Hypnotisme et Hystérie (1891),
aciale consécutive à une fracture du rocher, associée à l'hystérie (
troubles
locomoteurs, démarche ébrieuse, ver- tiges. Dis
roubles locomoteurs, démarche ébrieuse, ver- tiges. Disparition des
troubles
hystériques sous l'influence de la suggestion),
e névrose trauma- tique ; 2° observation d'hystérie convulsive ; 3°
troubles
hystériques divers : li-0 observations de ciior
iques ; 10° observation de nervo-arthri- tisme ; il° observation de
troubles
menstruels; 12° névral- gies ; 13° rhumatismes
12° névral- gies ; 13° rhumatismes ; 1r° affections spinales ; '15°
Troubles
liés à des affections organiques diverses ; 160
les ; '15° Troubles liés à des affections organiques diverses ; 160
troubles
menstruels ; 17° observation de suggestion par
dit M. Dan- nemann, à leur donner des notions plus précises sur les
troubles
psychiques et à graver plus profondément dans l
complète la cause première de bien des inconvénients et de bien des
troubles
. Enfin, comme cette salle est utilisée pour la
ans cesse qu'il se lève, qu'il aille et vienne dans la chambre. Les
troubles
s'aggravent encore s'il est assis devant son ét
siés ; l'autre d'une polynévrite à forme pseudo-tabétique mais sans
troubles
des réactions électriques et à pronostic très f
ne. En même temps sont apparus les bourdon- nements d'oreilles, des
troubles
de la vue et une certaine tendance au vertige.
t atteints dans toute leur étendue. Les ongles sont amincis. Pas de
troubles
de la sensibilité. Subjectivement, la malade n'
int de la même affection : amyotrophie, réaction de dégénérescence,
troubles
des sensibilités, localisation nette aux membre
é du phénomène myotonique, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 337 avec
troubles
qualitatifs et quantitatifs de l'excitabilité éle
LXXXIX. Diplégie faciale congénitale avec paralysies oculaires et
troubles
de la déglutition ; par DECRoLY. (Journ. de Neuro
d'une double paralysie faciale accompagnée d'ophthalmoplébie et de
troubles
de la déglutition attribuée, d'après l'auteur,
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. faiblesse intellectuelle,
troubles
du langage) ne s'accuseront que plus tard. G. D
sion périphérique siégeant dans l'iris, quelque chose d'analogue au
trouble
myotonique de la maladie de Thomsen, le microsc
ladie de Thomsen, le microscope cornéen de Westien ayant décelé des
troubles
trophiques de l'anneau irien. AI. Nonne apporte
istait diabète sucré et alcoolisme, qui permet- tent de penser à un
trouble
localisé dans la branche centrifuge de l'arc ré
t augmenter les acquisitions passées, rester normaux que si aucun
trouble
somatique n'entrave le développement de la vie vé
céphale et modifient plus ou moins le dynamisme mental selon que le
trouble
viscéral, fonctionnel, survient brusque- ment e
nses, mais qui reposait SOCIÉTÉS SAVANTES. 545 uniquement sur des
troubles
cérébraux en tout point analogues à ceux que l'
aliénés. Cependant il n'y a aucune différence fondamentale entre le
trouble
mental de ces aliénés et celui des médiums ordina
La débilité mentale du sujet est le facteur étiologique de tous ces
troubles
. M. G. Ballet. - Le malade dont il est question
ncontre dans la société et celui qui, à cause de l'intensité de ces
troubles
délirants, ne peut y vivre. Les hallucinations, l
de ces troubles délirants, ne peut y vivre. Les hallucinations, les
troubles
de la sensibilité sont attribués à l'influence
iode de cachexie, l'oedème permanent, s'accompagne d'un ensemble de
troubles
vaso-moteurs et trophiques dus l'alté- ration d
off a aussi observé des cas semblables. SOCIÉTÉS savantes. 549 Du
trouble
dissocié de la sensibilité cutanée dans la lésion
emier lieu l'analgésie et la thermoanesthésie simultanément avec le
trouble
de la coor- dination de. type cérébelleux et av
vec le trouble de la coor- dination de. type cérébelleux et avec le
trouble
de divers nerfs cérébraux. Cas 1. Malade K ?
: vertige, nausée, vomisse- ment, hoquet opiniâtre de longue durée,
trouble
de la déglutition, 550 SOCIÉTÉS SAVANTES. dou
à droite. Rétrécisse- ment et réaction lente de la pupille gauche.
Trouble
oculo-moteur compliqué avec difficulté de rotat
depuis seize mois et dont le syn- drome était aussi complet que les
troubles
étaient profonds, eut l'occasion de rechercher
s faits démontreraient à mon avis que le signe de Babinski est un
trouble
fonctionnel des voies pyramidales, mais il ne dép
s corriger. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Maxwell (J.). L'amnésie les
troubles
de la conscience dans l'épi- lepsie. 1 vol, in-
197. Adipose douloureuse, par Féré, 2SO. Aéropiugie. De l' et des
troubles
gastriques qui l'accompagnent, par Lyonuet et
, par Dromard. Alexie. Etude sur l' sous-corti- cale et sur les
troubles
similaires, par l'reobrajenshy, 301. Aliénés.
rade continue de fixation et de conservation. To- poagnosie, sans
troubles
visuels, pai@ Dtil)i,C,, 473. Amyotropiub du
, par Vaschide et Vurpas, 290. BASEDow. Maladie de Basedow avec
troubles
psychiques provoqués par l'ingestion de corps t
, 103. DIPLIsGIR faciale congénitale avec daralysies oculaires et
troubles
de la déglutition, parDecroly,5 ? 7. Disparit
gie. Cour de 1903, 20o. Educatiom. Voir Dressage. Emotion. Voir
Troubles
. Encéphalites. Voir Sclérose céré- Grale. E
1' spinale, par Babinski, 202. Contribution à la connaissance des
troubles
de la conscience avec conservation de la mémo
tion des centres dndans l'écorce du cerveau. llar Gorschhow, 266.
Troubles
du - dans le domaine de la corde du tympan, p
72. LITTLE. Syndrome de , par Da- niel, 537. Lobe frontal. Voir
Troubles
psy- chiques. LOCALIZe1C101ES 111 : DULARES,
, 459. Sensibilité. De la - du squelette, par Egger, li-53 - Voir
Troubles
. Sommeil, Essai sur la tlsycllo plly- siolo-i
e de -, par Picire Ma- rie et Crouzou, 473. SSItI\GOJIYI;L1F. Les
troubles
psychi- ques dans la -, par P. Marie et. Guil
, par Lévi et liauer, 3S ? Trijumeau. \'. Sympathique cervical.
Troubles
respiratoires. Des - en rapport avec les riilfé
-elle obligée de garder la cham- bre. Peu de temps après, sa vue se
trouble
; l'oeil droit est atteint d'abord par l'amblyop
bientôt l'oeil gauche se prend à son tour. Céphalée, vomissements,
troubles
oculaires, voilà une triade symptomatique qui d
examine immédiatement les autres organes des sens : il n'y a pas de
troubles
de l'ouïe ; la malade entend parfaite- ment tou
xamen électrique des muscles pratiqué par M. Huet, n'a montré aucun
trouble
appréciable des réactions électri- ques. Somm
musculaire généralisèe ; il y a bien une légère prédo- minance des
troubles
du côté du bras droit, mais je n'ai pas là un p
ain degré d'hypotonie musculaire. Cette malade présente aussi des
troubles
sensitifs impor- tants. Au point de vue subject
cérébral, de la diplopie. Dans le cours des deux derniers mois les
troubles
oculaires se sont rapidement aggravés et ont ab
gie externe et interne, la paralysie faciale inférieure droite, les
troubles
parétiques et l'hyperes- thésie du côté droit d
bien plus délicates. Sans doute, on peut observer parfois quelques
troubles
moteurs, un peu d'incertitude dans la démarche,
s de tension cérébrale, cela se conçoit sans peine. Par contre, les
troubles
sensitifs sont plus accentués, plus directement
eur comme un symptomo- complexe clinique à part, qui entre dans les
troubles
psy- chiques les plus variés et ne présente auc
n regarde comme symptôme détermi- natif des formes catatoniques les
troubles
moteurs typiques, qui se joignent à la maladie
tale et de démence; pourtant quelquefois l'un ou l'autre stade de
trouble
psychique peut manquer. De pair avec les symptô-
avec les symptô- mes psychiques existent aussi des phénomènes, des
troubles
moteurs avec caractère de convulsions. » Au n
ènes caractéristiques de la catato- nie, Kahlbaum inclut encore les
troubles
suivants : z10 les poses sléréotypiques habitue
cours périodique (dont les périodes viennent d'être citées) et avec
troubles
moteurs. Dans les formes atypiques certaines ph
atypiques certaines phases de psychose isolées, ainsi que certains
troubles
moteurs peu- vent manquer. Le symptomo-comple
ans de cela, pendant un ou deux jours, il eut un état passager 'du-
trouble
p.ychique suivant : il avait peur de quelque chos
Le degré de la conscience du malade, nous aurions défini comme un
trouble
très profond, mais non comme enchaînement, parce
ation très accen- tuée des réflexes jusqu'au clonus plantaire et un
trouble
de la parole avec le type de disartrie. Ainsi
e mélancolie avec délire épisodique, parfois avec hallucinations et
troubles
moteurs caractéristiques, ne ressemble à aucune
chaque cas de démence pré- coce qui peut se compliquer par de tels
troubles
moteurs, comme ici. C'est justement la prédom
troubles moteurs, comme ici. C'est justement la prédominance des
troubles
moteurs aigus avec symptômes d'inhibition dans
côté des organes internes rien d'anormal n'a été constaté. Aucuns
troubles
de la motilité et de la sensibilité. Aucuns dér
vec abaissement très marqué de la faculté intellectuelle avec grand
trouble
d'attention. Vu la courte durée de notre observ
nt très marqué de la capacité productive du cerveau. Ayant un grand
trouble
de conscience et d'atten- tion, la malade ne fa
qui en sont cause, puisqu'elles manquent, mais c'est à la suite du
trouble
de l'activité cérébrale des associations que ce
les uns et les autres symptômes dépendent de la 1", alisalion des
troubles
fonctionnels et du trouble de l'admis réci- pro
tômes dépendent de la 1", alisalion des troubles fonctionnels et du
trouble
de l'admis réci- proque des uns et des autres c
deux premières observations citées 1 ? ! uni, un certain groupe de
troubles
de l'activité de l'innervation vo- lontaire, s'
Mit meiner Mandoline » (Fremmer). Pour achever avec l'analyse des
troubles
moteurs catato- niques, nous voulons nous arrêt
t ce sujet, nous ne pouvons pas donner de pathogénie générale de ce
trouble
. Il est connu que la catalepsie peut se manifes
nique on ne peut pas tracer de limite très accentuée entre ces deux
troubles
. Ainsi, par exemple, notre premier malade, qui
omprenait, à un certain degré, les gestes et les paroles, malgré le
trouble
de l'attention; si après deux ou trois piqûres
hibition de réflexes psychiques pouvant être expliqué encore par le
trouble
gé- néral de l'activité psycho-motrice. Mais no
ion primordiale de la sphère motrice dans la catatonie, ce sont les
troubles
d'innervation très stables qui se développent à
sque comme un paralytique général. Lorsqu'il y a un manque total de
troubles
bulbaires, nous considérons la dysartrie dans l
ez nos Leçons cliniques, vol. II, p. 153- 154) comme un symptôme du
trouble
de la synergie des centres corticaux. Tout auss
e stable de l'enlèvement de la fonction peut être considéré comme
trouble
du sens musculaire. Relativement à ce dernier il
contre dans les cas légers de catatonie, ne sont pas accompagnés de
trouble
stable du sens musculaire (voir notre 3e observ
d'avance que nous sommes loin d'admettre dans la catatonie quelque
trouble
grossier dans la sphère motrice de l'écorce cér
nts médic. au Recueil maritime, 1889. 8 Serbsscy. Sur les formes du
trouble
psychique, décrit sous le nom de catatonie. Mos
vue des lésions du système nerveux chez l'homme dans lesquelles les
troubles
des images colorées sus-indiquées étaient manif
pariétales, temporales, occipitales) n'entraîne pas d'ordn aire de
troubles
de l'odorat; seulement, dans les premiers jours q
on, l'odorat est un peu affaibli des deux côtés identi- quement. Ce
trouble
disparaît dès le deuxième ou troisième jour. IV
58 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. question de
troubles
psychiques. Les symptômes cliniques obser- vés
nt plusieurs avec suppuration, présentant une main de Morvan et des
troubles
de la sensibilité caractérisés par uue hémia- n
otale dans la moitié inférieure du corps. Plus tard, survinrent des
troubles
vésico-rectaux. En présence de cette symptomato
bservation 2 a trait à un homme de 45 ans. Il présente . d'abord un
trouble
absolu, complet, du langage et de l'intelligence
e des vaisseaux : certains d'entre eux se thrombosaient, d'où des
troubles
nutritifs des parties correspondantes du cerveau.
tiqûe commence fort souvent par la sensibilité pilaire. De plus, le
trouble
de cette dernière occupe une bien plus grande s
ue celui des autres modes de la sensibilité cutanée, et le degré du
trouble
de la sensibilité pilaire est plus profond que
s profond que celui des autres, modes de la sensibilité cutanée. Le
trouble
de la sensibilité pilaire marche plus vite que
Si souvent elle s'observe à une époque où il n'existe pas encore de
trouble
des autres modes de la sensibilité cutanée,- à
au moins d'une atrophie musculaire du membre inférieur gauche sans
troubles
de la sensibilité, sans mo- difications des réf
station et la marche à la patiente tout en lui laissant les autres
troubles
d'incoordination reposant sur une base organique
raitement par la suspension et le plan incliné fait disparaître ces
troubles
moteurs, mais à ce moment la langue qui jusque-
- XV. Sur deux cas de syringomyélie à topographie radiculaire des '
troubles
sensitifs et des troubles moteurs; par les Dra CE
ngomyélie à topographie radiculaire des ' troubles sensitifs et des
troubles
moteurs; par les Dra CESTAN et HUET. REVUE DE
ion se pose actuellement de savoir si la topographie habituelle des
troubles
de la sensibilité dans la syringomyélie ré- pon
avancés de syringomyélie, non seulement la topographie précise des
troubles
sensitifs peut être difficile à déterminer, mai
iger avec soin les observations ;de syringomyélie peu avancée, avec
troubles
localisés à une partie des membres; elles perme
des membres; elles permettent de mieux préciser la topographie des
troubles
sensitifs, et souvent aussi des troubles moteurs.
réciser la topographie des troubles sensitifs, et souvent aussi des
troubles
moteurs. Les deux observations rapportées par l
t aux faits rapportés dans la thèse de Hauser, qui montrent que les
troubles
sensitifs se produisant au cours de cette malad
ladie, sous l'influence des lésions médullaires, peuvent, comme les
troubles
moteurs, affecter une disposition radiculaire (Re
en effet, l'affection a revêtu la forme d'un délire alcoolique sans
troubles
objectifs. D'autre part la tumeur est un adénome
ssue fatale parait proche. En dehors des accès on n'ob- serve aucun
trouble
gastrique et l'état général est excellent. Pen-
s, 2° série, t. XVII. 6 82 SOCIETES SAVANTES. réflexes tendineux,
troubles
sphinctériens, thermoanesthésie abso- lue jusqu
ypno- , .SOCIÉTÉS SAVANTES. 83 tisation et de la guérir de divers
troubles
, tels que crises nerveuses avec perte de connai
our d'elle. Quelques-unes de mes paroles provoquèrent chez elle des
troubles
vasomoteurs, en particulier de la rougeur de la
indirecte. , , III. Contribution à l'étude de l'idée de grossesse
trouble
psychopu- thique; par M. Fernand BICHEBOIS (Thè
n de pronostic. Paris. bibliographie. 87> IV. L'amnésie et les
troubles
de la conscience dans l'épilepsie; par J. Maxwe
justifiée, cela n'empêche que, théoriquement au moins, l'étude des
troubles
de la personna-f lité entraînant la responsabil
a pas voulu aussi rigoureuses, on pour- rait dire qu'en général les
troubles
de la mémoire entraînent1'i1'l'es- ponsabilité
aînent1'i1'l'es- ponsabilité pénale, tandis que ce sont surtout les
troubles
de la cons- cience qui créent ['irresponsabilit
ondes épileptiques); mais dans beaucoup d'autres' circonstances les
troubles
de la mémoire et de la conscience peu- vent êtr
adé que ce résultat, la suppression des attaques convulsives et des
troubles
psy- chiques pendant les périodes d'ascension e
e (donc mémoire), et elle n'eut plus de crises convul- sives, aucun
trouble
épileptique jusqu'à la convalescence de la fièv
uelle et morale, de l'aboulie et de l'apathie du cré- tin, tous les
troubles
trophiques généraux que l'on ren- contre chez l
s épi- leptiques en apparence le mieux constitués qui offrent les
troubles
les plus graves. J'ai cherché, dans ce travail, l
uillant. Pendant la sus- jpension du traitement (quatre jours), les
troubles
s'atténuè- rent, mais la semaine suivante lorsq
aussi chercher à déterminer. Il est d'observation courante que les
troubles
symptomatiques de l'épilepsie, troubles psychiq
bservation courante que les troubles symptomatiques de l'épilepsie,
troubles
psychiques ou attaques, sont plus accentués, pl
ie, t. XVII. S 114 ' CLINIQUE NERVEUSE. grins, perte de son mari,
troubles
intellectuels, idées de persé- cution, craintes
époques menstruelles, évi- demment beaucoup plus accusés alors, des
troubles
psycho- 116 RECUEIL DE FAITS. sensoriels paro
certainement expliquer la persistance de la périodicité de certains
troubles
intellectuels chez la femme qui a passé l'âge c
constaté d'accidents syphilitiques. Son affection a débuté par des
troubles
oculaires : myosis, inégalité pupillaire, et l'
, mais sans délire spécial. « Au milieu de ces divers symptômes les
troubles
de motilité étaient apparus, caractérisés par u
ouvements, en particulier de son appareil locomoteur. Peu à peu ces
troubles
s'accentuèrent ; la déchéance intellectuelle et
définitions résument la conception de l'au- teur sur la nature des
troubles
hystériques et des phénomènes hypnotiques. Le c
abilité, leur caractère souvent théâtral, qu'elles proviennent d'un
trouble
de la volonté, trouble du centre 0 de Grasset,
souvent théâtral, qu'elles proviennent d'un trouble de la volonté,
trouble
du centre 0 de Grasset, et que nées tout entièr
e. Ajoutons qu'un certain nombre de faits étiquetés jusqu'à ce jour
troubles
hystériques de la person- nalité, ressortissent
n. Enfin, toutes les expériences ayant pour objet l'apparition de
troubles
trophiques par suggestion et que rappelle l'auteu
brille ni par le nombre, ni par la critique expérimentale sont les
troubles
émotifs. La suggestion provoque une émotion qui
nisme est du 20 degré. C'est ce que Babinski pourrait appeler « les
troubles
secondaires de l'hypnose » comme l'atrophie mus
res de l'hypnose » comme l'atrophie musculaire est quel- quefois nn
trouble
secondaire de l'hystérie. Pour terminer cette r
ravail intitulé : Rela- tions qui existent entre la syphilis et les
troubles
des réflexes piipil-, I 'aires, Stheinheil, 189
représentent deux états mentaux séparés par une nuance seule. Les
troubles
hystériques ne se différencient en rien des troub
nce seule. Les troubles hystériques ne se différencient en rien des
troubles
provoqués dans l'hypnose par suggestion et tout
agération des réflexes tendineux, l'épilepsie spinale légitime, les
troubles
du vertige vol- taïque n'appartiennent pas non
iser à l'état normal. Aussi les paralysies, les contrac- tures, les
troubles
de sensibilité hystériques ou h3 pnotiques dif-
rtains caractères très nets des paralysies, des con- tractures, des
troubles
sensitifs observés dans les maladies orga- niqu
ce. Juillet 1902). Il est commun de rencontrer chez les aliénés des
troubles
des fonctions motrices de l'iris; toutefois la
autant de cas que toutes les autres formes de folies réunies. Les
troubles
moteurs de l'iris se constatent par des observati
s, ou du moins le sont d'une manière tellement prédominante que les
troubles
des autres sens sont dou- teux ou masqués. L'au
ont probablement la représentation dans la con- science de quelques
troubles
de la région. Sensibilité génitale : on lui int
ntes de parésie des membres avec atrophie musculaire accompagnée de
troubles
intellectuels consistant surtout dans une incoh
de mélan- colie. Cette dernière, qui n'avait jamais présenté aucun
trouble
mental, est devenue, à la suite de la mort d'un
nt de vague inquiétude. P. Keraval. XI. -Contribution à l'étude des
troubles
.mentaux périodiques, par ENNEN. (Neurolog. Cent
riosclérose. Il est penser que la marche des phénomènes tient à des
troubles
vasomoteurs et nutritifs sans qu'on puisse s'ex
. Trapieznikow. (Obozrênié psichiatrii. VI, 1901). - - - ... Ce
trouble
de la sensibilité consiste, comme on sait, en ce
ème nerveux, survenant pen- dant l'enfance et se traduisant par des
troubles
moteurs et de la débilité mentale; par W.-Ai. B
enheilk. XVII 1900). On constate de l'ataxie cérébelleuse, avec des
troubles
de la parole, sans troubles de la sensibilité, qu
tate de l'ataxie cérébelleuse, avec des troubles de la parole, sans
troubles
de la sensibilité, qui a évolué lentement dès l
re, d'autant que la marche de la malade a présenté dès le début des
troubles
cer- tains. Depuis les accidents cérébraux, l'é
s phénomènes de débilité mentale, les tremblements des membres, les
troubles
particuliers de la marche empreints des caractè
'Oboz2-éîtié russe de 1900. Déjà analysé. P. Keraval . XXIII. Des
troubles
psychiques de la déglutition, ou dysphagie psyc
rouve de l'angoisse à tout mouvement de déglutition : cette anxiété
trouble
l'acte malgré l'absence de lésions organiques a
évolution spéciale, plus ou moins rapide que les autres); 6° Les
troubles
d'articulation de la parole, en particulier, co-
ectuel, mais la façon de com- prendre le langage des autres; 8° ces
troubles
du langage tiennent à des lésions qui peuvent a
les centres du langage restant le plus souvent intacts. 0 9° Les
troubles
du langage ne sont donc pas toujours incurables,
re sous la direction d'un méde- cin, qui, connaissant bien tous les
troubles
auxquel il a affaire, appliquera à chacun le tr
es aux pieds, anesthésie profonde et phénomènes paralytiques. Les
troubles
de la mémoire vinrent compléter les symptômes car
vile, le paragraphe 104, section 2, incapacité pour celui qui a des
troubles
mentaux caractérisés. § 3. Incapacité pour l'al
ur l'état lypémaniaque de véritables bouffées de mégalo- manie avec
troubles
moteurs; enfin la démence une fois établie, ne
ls peuvent même guérir définitivement, non de leurs tabes, mais des
troubles
intellectuels que l'auteur appelle démences par
chiques, ou provoquer, au contraire, tous les de- grés possibles de
troubles
mentaux. La gravité des troubles men- taux n'es
re, tous les de- grés possibles de troubles mentaux. La gravité des
troubles
men- taux n'est pas nécessairement en rapport a
moignent. Il est l'occasion fréquente d'erreurs de diagnostic. Tout
trouble
mental, accompagné de fièvre, doit faire soupço
duire des dé- sordres semblables. Et la susceptibilité du sujet aux
troubles
men- taux est surtout fonction de son degré de
it ressortir le rôle de la prédispo- sition, dans l'éclosion de ces
troubles
nerveux et mentaux, la pré- disposition est car
se semble être insuf- fisants encore pour provoquer l'éclosion d'un
trouble
psychopa- thique organisé, sans l'intervention
, à savoir que la prédisposition expliquait, à elle seule, tous les
troubles
consécutifs au traumatisme. Plus tard une réac-
nt sur quatre cas très fouillés d'acropa- resthésie, montre que les
troubles
paresthésiques revêtent Une localisation exacte
atteinte de la même affection : acroparesthésie des extrémités avec
troubles
radiculaires et disso- ciation delà sensibilité
observer que les malades cités ou présentés ci-dessus ont bien des
troubles
à disposition radiculaire, mais les aires pares
vérifia la chose. L'examen microscopique provisoirement a donné des
troubles
importants des nerfs périphériques, de l'épiderme
ue d'étiologie il est intéressant que le malade ne présentait aucun
trouble
de la sensi- bilité, aucune ataxie, aucun traum
furent considérés comme jouant un certain rôle dans l'évolution des
troubles
trophiques 4. ïO - SOCIÉTÉS SAVANTES. dans la
que ces deux moments ne concourent pas aussi dans la production des
troubles
trophiques. - '- Réflexe adducteur du pied. M
ique. Cette paraplégie a débuté à l'âge de sept ans et demi, sans
troubles
antérieurs connus. Elle ne s'accompagne d'aucun t
demi, sans troubles antérieurs connus. Elle ne s'accompagne d'aucun
trouble
de la sensibilité subjective ou objective, mais
tite avec opacité et vascularisation de la conjonctive indiquant un
trouble
trophique par altération du trijumeau. Le liqui
une jeune malade atteinte de la maladie des tics, avec coprolalie,
troubles
du caractère, perversion des sen- timents affec
comporte un cas de cette nature. BIBLIOGRAPHIE. V. Etude sur les
troubles
trophiques dans la paralysie générale; par M. P
épuisés à force d'être discutés, on ne saurait en dire autant des
troubles
trophiques de cette affection. A part quelques ob
lacune, en nous donnant dans sa thèse un exposé très documenté des
troubles
trophiques dans la paralysie générale. La cla
s dans la paralysie générale. La classification est la suivante :
Troubles
trophiques muscu- laires (atrophie musculaire);
uivante : Troubles trophiques muscu- laires (atrophie musculaire); -
Troubles
trophiques osseux (frac- tures) ; Troubles trop
(atrophie musculaire); -Troubles trophiques osseux (frac- tures) ;
Troubles
trophiques articulaires (arthropathie); Trou- b
- sion et abrasion des dents, mal perforant plantaire, eschare) ;
Troubles
trophiques viscéraux (vaso-dilatation du poumon,
phiques viscéraux (vaso-dilatation du poumon, du foie et du rein) ;
Troubles
trophiques des organes du sens (atrophie blanch
s trophiques des organes du sens (atrophie blanche de la pupille) ;
Troubles
trophiques généraux (fonte paralytique). - Ce
servations viennent compléter chaque description. Une thèse sur les
troubles
trophiques relève forcément de la physiologie.
igne de compte la notion d'infection. « Tout dans la production des
troubles
trophiques se résume en trois faits : d'abord u
e en trois faits : d'abord une lésion nerveuse amenant sou- vent un
trouble
circulatoire, ensuite une infection se produisant
union de deux agents, l'un infectieux, l'autre nerveux, produit des
troubles
trophiques nettement indépendants de chacun d'e
r. ' Les paralytiques généraux sont d'autant plus prédisposés aux
troubles
trophiques que, chez eux, la maladie atteint la t
es conditions, il n'est pas étonnant que ces malades présentent des
troubles
tro- phiques aussi nombreux que variés. Si leur
e la manière suivante : BIBLIOGRAPHIE. 179 180 " BIBLIOGRAPHIE.
troubles
apparents pour le médecin et même le malade, révé
que, limitée à un ou plusieurs troncs nerveux, et s'accompagnant de
troubles
subjectifs ou objectifs, parmi lesquels on peut
ff d'origine alcoolique ; caractérisés par l'association des divers
troubles
névritiques ci-dessus mentionnés avec des désor
leux. Ce qu'on appelle la folie tuberculeuse est représenté par des
troubles
mentaux sans rapports avec ceux qui accompagnent
nfection bacillaire et ne peuvent suffir à expliquer les différents
troubles
mentaux du ma- lade. Telle est l'analyse très
s poussières diverses (tabacs,plumassières, ma- telassières). Les
troubles
psychiques sont fréquents chez les enfants ; déjà
pages, imp. Kreiss, Nancy. ' HÈmssEY (Paul). Etude clinique sur les
troubles
trophiques dans la paralysie générale. Librairi
903, épo- que de cet examen, elle est en rémission complète ; aucun
trouble
intellectuel; conscience très nette de son état
ysiques : léger tremblement fibrillaire de la langue et des lèvres.
Troubles
de la parole. Pupilles légèrement inégales, immo-
Absence d'idées délirantes. Signes physiques très atténués; pas de
troubles
de la parole : pu- pilles légèrement inégales.
inconscients; elle a mis le feu chez elle. Inégalité pupil- laire,
troubles
de la parole ; hémiparésie gauche qui a rétrocédé
remblement de la langue, troubles' très légers de la parole ; aucun
trouble
de la lecture, mouvements fibrillaires des lèvr
règles, cette malade présente parfois de l'hémiparésie droite avec
troubles
vasomoteurs du même ; côté. A l'ophthaimoscope
tion qui a duré plusieurs jours. Examen du 8 septembre 1903.- Aucun
trouble
de la parole; tremblements fibrillaires de la l
riées. Examen du 8 septembre 1903. Signes physiques très marqués,
trouble
léger de la parole : tremblement menu et rapide d
n la pupille gauche pas du tout. Tremblement de la langue. Pas de
troubles
bien nets de la parole. La malade conserve quelqu
nscience de sa situation. Signes physiques très peu marqués, pas de
troubles
de la parole; pas de tremble- ment dés mains, n
les dilatées et immobiles à la lumière. Examen du 7 septembre 1903.
Troubles
de la parole très ac- centués : mouvements de t
, quarante ans; entrée le 30 mars 1903. On constate à l'entrée un
trouble
considérable de la parole, celle-ci étant presq
te des idées de satisfaction, mais la malade a la mémoire nette des
troubles
qu'elle a présentés et a conscience d'avoir été
lumière. Réac- tion à l'accommodation lente des deux côtés. Pas de
troubles
de la parole. A l'ophthalmoscope, papille dro
- tés ; indifférence totale; excitation par intervalles; mutisme.
Troubles
physiques intenses; tremblement des lèvres, de la
le Luxem- bourg de chaînes d'or. - Signes somatiques très nets ;
troubles
de la parole très prononcés. Pas de tremblement
immobiles à la lumière et à l'accommodation. La malade n'a que des
troubles
légers de la parole. L'écriture est tremblée. La
génitales très intenses et idées de suicide; inégalité pupil laire;
troubles
de la parole. Examen du 9 septembre 1903. Rémis
absence de réaction à la lumière. Tremblement de la langue. Pas de
troubles
de la parole. A l'ophthalmoscope, la papille ga
coude. Anesthésie de la face et de la langue du côté paralysé. Ces
troubles
étaient accompagnés d'une amaurose com- plète.
ière, mais bien à l'accommodation. Pas de tremblement de la langue.
Troubles
de la parole très intenses; bredouillement extr
extrêmement marqué ; certains mots ne peuvent être articulés. Aucun
trouble
sensoriel. Le gâtisme a disparu. 204 .. CLINIQU
ne se renouvelait plus dans son cerveau ». Gâtisme passager. Aucun
trouble
de la parole, aucun trouble pupillaire. Examen
son cerveau ». Gâtisme passager. Aucun trouble de la parole, aucun
trouble
pupillaire. Examen du 7 septembre 1903. Pas de
arole, aucun trouble pupillaire. Examen du 7 septembre 1903. Pas de
troubles
de la parole ni de la lecture ; aucun trembleme
gnes physiques très nets. Examen du 9 septembre 1903. Rémission des
troubles
intel- lectuels. La malade est très consciente
trente-six ans, entrée le 24 avril 1903, confuse, stupide, avec des
troubles
pupil- laires très marqués.. Examen du 9 sept
lumière sont abolies, la réaction à l'accommodation est conservée.
Troubles
de la parole assez nets. Surdité incomplète. A
fique du 6 avril 1901) signalent la traduction, dans les rêves, des
troubles
de la menstruation et, en général, des fonction
'un rôle adjuvant dans l'excitence nécessaire pour déterminer les
troubles
épileptiques bruyants; leur suppression n'a pu
le sang de principes nuisibles ou excitants, que seraient dus les
troubles
gastro-intestinaux que l'on observe chez beau-
vésaniques et pendant toute la durée de l'exaltation momentanée des
troubles
psychiques ou sensoriels, on constate une dimin
itabilité, vertige ou convulsions, ou par l'association de tous ces
troubles
. On comprend aisément que si l'on envoie, en ou
ée la constitution origi- nelle de leur système nerveux, amener les
troubles
sympto- matiques de l'épilepsie. C'est une acqu
ation plus ou moins profonde des facultés intellectuelles et divers
troubles
liés à quelque lésion méningo-encéphalique. A c
iège de ces lésions secondaires nous expliquent la prédominance des
troubles
convulsifs de tels ou tels membres; et la meill
PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 223 sous l'influence des
troubles
qui précèdent ou accompagnent les grandes et le
par exemple, quelques-uns seulement et non tous soient affectés de
troubles
épileptiques ? Il y a évidemment une note indiv
u point de vue de la détermination, ou à une suralimentation et aux
troubles
gastro-intestinaux consé- cutifs ou à une alime
ines diverses par suite d'insuffi- sance d'excrétions, par suite de
troubles
gastro-intestinaux eux-mêmes d'origine toxique
rité des cas à l'influence des toxines, ainsi que l'attestent les
troubles
gastro-intestinaux qui trahissent, en même temps
convulsions, la présence de corps étrangers, de lombrics, etc... ?
troubles
gastro-intestinaux qui précèdent les convulsion
go-corticale du cerveau, par exemple, et de l'observation facile de
troubles
psychiques avant la grande attaque de l'épileps
e l'at- taque d'épilepsie-type, franche, n'est pas primitive. Des
troubles
intellectuels ou psycho-sensoriels très manifeste
tes précèdent souvent, en effet, et parfois même de beaucoup, les
troubles
moteurs de la grande attaque,,confusion men- ta
ou hallucinatoire, divagations hypochon- driaques, rêves spéciaux,
troubles
que l'on observe assez fréquemment et avant et
el système nerveux central prédisposé pour déterminer à la fois des
troubles
psychiques et des troubles convulsifs, on compr
prédisposé pour déterminer à la fois des troubles psychiques et des
troubles
convulsifs, on comprend très bien qu'une stimul
ts de l'épilepsie complète, que chez tel autre, on ne rencontre que
troubles
psychiques ou de sensibilité et confusion menta
physiologiques dif- férentes, puisque la thyroïdectomie produit les
troubles
lents du métabolisme menant graduellement à l'é
antôt au contraire, elle les laissait vivre, les adultes sans aucun
trouble
sérieux, les jeunes avec apparition lente du my
ntrariée par des contractions involontaires antagonistes. Entre ces
troubles
et ceux qui consti- tuent le négativisme des ca
tremblement au repos, l'auteur émet l'opinion que le premier de ces
troubles
est d'origine centripète, se rapproche de l'asy
reconnu atteint d'in- suffisance mentale congénitale, avec nouveaux
troubles
surajoutés, lesquels étaient caractérisés par d
reux (80 à 85 p. 100). Qu'il s'agisse de manie ou de mélancolie, le
trouble
mental n'est pas ordinairement de longue durée
administration ordi- naire d'un hôpital qu'il en pourra résulter un
trouble
et un boule- versement de mécanisme administrat
en deux mois. A ce propos les auteurs font remar- quer que certains
troubles
nerveux apparaissent à la suite de l'érysipèle
t à la suite de l'érysipèle tels que paralysie faciale, névralgies,
troubles
oculaires paraissent relever d'une imprégnation
bres inférieurs, puis des membres supérieurs en même temps que de
troubles
digestifs avec odeur permanente de sulfure de car
e sulfure de carbone dans la bouche, céphalée, sensation d'ivresse,
troubles
de la mé- moire. Après avoir rapporté les sympt
périeurs ont également été touchés. Contrairement à la rè- gle, les
troubles
de la sensibilité et les troubles d'ordre génital
. Contrairement à la rè- gle, les troubles de la sensibilité et les
troubles
d'ordre génital ont fait défaut. Les auteurs di
n médecin qui peut écrire spontanément et sous la dictée sans aucun
trouble
, mais qui en copiant est parfois obligé de s'ar
n d'un imbécile (du service de M. Pierre Marie) atteint aussi de ce
trouble
. Le malade copie moins bien et moins adroitemen
ade à l'hôpital, elle avait des maux de tête avec vomissement et du
trouble
des mouvements associés des yeux il gauche et à
émiparosie sinistre, cécité de l'oeil gauche, puis de l'oeil droit,
trouble
de déglutition, somnolence, la parole devint inin
nscience s'éclaircit et l'assoupissement di- minua, se manifesta un
trouble
très accentué de la mémoire, un manque presque
ue pour le lues cérébral les symptômes suivants : la somnolence, le
trouble
de mémoire du type de la psychose de Korsakoff.
dans son rapport, M. le docteur Rave- nez, est atteint de tous les
troubles
qui caractérisent l'alcoolisme chronique chez u
parents. Depuis trois mois environ, la malheu- refuse souffrait de
troubles
cérébraux. Elle avait quitté le domicile patern
rche de plus en plus difficile; mais sans para- lysie vraie et sans
troubles
sphinctériens. En juillet, une toux pénible s'i
depuis le pli du coude jusqu'au poignet. Je vous signale aussi les
troubles
trophiques qui existent aux doigts : perte de l
et ne peut être qu'imparfaite. Il est superflu d'insis- ter sur les
troubles
de la sensibilité subjective : paresthésies, fo
cons- titution anatomique; tumeur qui d'emblée est l'occasion de
troubles
sensitifs, puis moteurs dans le membre supérieur
e membre supérieur correspondant. Malgré une première opération ces
troubles
nerveux continuent. Un curettage de l'aisselle
'devient complète, sans que pour cela on note à aucun mo- ment de
troubles
sphinctériens, les douleurs s'étendent à tous l
nt pas en cause; je n'en veux pour preuve que la distribution des
troubles
moteurs qui n'ont rien à voir avec la paraplégie
oses ? - Enfin, s'il y avait encore quelques doutes; l'absence de
troubles
sphinctériens, la disposition des troubles sensit
ues doutes; l'absence de troubles sphinctériens, la disposition des
troubles
sensitifs, sans dissociation des diverses sensi
me, il faut incriminer d'une part, l'auto-intoxication résultant du
trouble
dans les échanges nutritifs, dans la fonction g
hanges nutritifs, dans la fonction glycogénique ; d'autre part, les
troubles
circula- toires, les oedèmes cachectiques. Ce
jà très précaire, caractérisé par de la torpeur intellectuelle, des
troubles
de la mémoire, s'affaiblit de jour en jour. Sur
sence d'une tumeur axillaire ou sus-claviculaire, l'oe- dème et les
troubles
vaso-moteurs. Toutefois les deux ordres de lési
celle complication enlraînantla tachycardie, la louxquiuteuse les
troubles
laryngés. - La lésion des nerfs crâniens est in
colonne vertébrale. Une notion classique en découle : c'est que les
troubles
nerveux divers qui caractérisent la paraplégie
elconque. C'est cette atteinte, en effet, qui, à la cachexie et aux
troubles
organiques profonds, ajoute les souffrances hor
r arrachement, avec leurs 308 - CLINIQUE NERVEUSE. oedèmes, leurs
troubles
vasculaires, trophiques ; la prédomi- nance des
mes, leurs troubles vasculaires, trophiques ; la prédomi- nance des
troubles
sensitifs sur les troubles moteurs et la subord
ires, trophiques ; la prédomi- nance des troubles sensitifs sur les
troubles
moteurs et la subordination étroite de ceux-ci
attachait qu'une importance relative, préoccupé qu'il était par les
troubles
subjectifs signalés plus haut. Et cepen- dant i
faisant qu'augmenter nous le revoyons quinze jours plus tard. Les
troubles
subjectifs de la sensibilité ont alors à peu près
côté des yeux, léger nystagmus, névrite optique ancienne à droite.
Troubles
de la sen- sibitité : anesthésie douloureuse su
ture siège dans une région où la peau présentait antérieurement des
troubles
marqués de thermo- analgésie et on sait que ceu
res supérieurs. L'origine de cette fracture doit être attribuée aux
troubles
tro- phiques osseux. La radiographie a montré
ution notable des règles depuis l'époque où apparurent les premiers
troubles
syringomyéliques, sensation de brûlure « de feu
emblé résulter qu'à l'insuffi- sance thyroïdienne appartiennent des
troubles
chroniques (trou- bles de nutrition, myxoedème)
, qu'à l'insuffisance para-thyroï- dienne appartiennent surtout des
troubles
aigus (troubles convul- sirs), que les accident
sance para-thyroï- dienne appartiennent surtout des troubles aigus (
troubles
convul- sirs), que les accidents aigus (convuls
lutition avec hoquet et vomissements et hémiplégie laryngée gauche;
troubles
de la sensibilité générale, caractérisés par de
s ; deux hypothèses sont en présence. Ou l'oenophtalmie dépend d'un
trouble
de l'innervation du sympa- thiqne de l'oeil, co
réserve le côté physiologique de la question ? G. Carrier. XXXI.
Troubles
du mouvement chez un hystérique simulant la mal
uvements passifs s'effectuent normalement et sans raideur. - Pas de
troubles
de la coordination, ni de l'équilibre les yeux
bles de la coordination, ni de l'équilibre les yeux fermés;- pas de
troubles
des sphincters. Les réflexes rotuliéus sont plu
venant seulement chez des prédis- posés cérébraux, à la faveur d'un
trouble
circulatoire fréquent à toutes les périodes du
r de l'ocdéme céré- bral. Il pense en outre, pouvoir établir que ce
trouble
psychique ne peut jamais être considéré comme l
'origine périphérique ou toxique ont été facilement éliminés. Les
troubles
vaso-moteurs, si fréquents en général, manquent
dont l'expression clinique est : le caractère moral hystérique, les
troubles
somatiques passagers et les formes diverses d'une
connexité remarquable entre les hallucinations sensorielles et les
troubles
cutanés. Le second 33G REVUE DE PATHOLOGIE MENT
produit aucune lésion anatomique caractéristique, non plus qu'aucun
trouble
physique, exception faite pour le carac- tère c
qu'histologiques. Or, durant la vie, cette malade n'a jamais eu de
troubles
paralytiques ou convulsifs, ni d'ophtalmoplégie
hallucinations auditives. En même temps se produisent chez lui des
troubles
de la sensibilité générale et des troubles génita
produisent chez lui des troubles de la sensibilité générale et des
troubles
génitaux qui développent chez lui des idées de
eules, quelques idées de persécution subsistent en rapport avec ses
troubles
de la sensibilité générale et de ses fonctions gé
iritisme peut être utilisé par les malades pour s'ex- pliquer leurs
troubles
mentaux. Croyant innover, ces malades reviennen
ticulier toutes les psychoses, car toutes peuvent donner lieu à des
troubles
psycho-moteurs. On peut ainsi distinguer des dé
les de l'avant-bras et de la main innervés par le médian. A la main
troubles
sensitifs (anesthésie totale) et troubles troph
par le médian. A la main troubles sensitifs (anesthésie totale) et
troubles
trophiques correspondants, caractérisés par une
ion hypnotique peut améliorer la marche, les crises gastriques, les
troubles
vésicaux et surtout créer un état mo- ral excel
t atteinte du délire de la persécution et on attribue sa mort à des
troubles
cérébraux. Vendredi dernier, elle avait déjà vo
es symptômes soma- tiques. Les symptômes psychiques consistent en
troubles
démen- tiels et en troubles délirants ou halluc
Les symptômes psychiques consistent en troubles démen- tiels et en
troubles
délirants ou hallucinatoires. Mais, ni les trou
- tiels et en troubles délirants ou hallucinatoires. Mais, ni les
troubles
de la mémoire, ni les troubles de l'attention, ni
nts ou hallucinatoires. Mais, ni les troubles de la mémoire, ni les
troubles
de l'attention, ni l'affaiblissement des facult
faiblissement intellectuel ne suffit pas en pareille occurence, les
troubles
délirants sont encore bien plus insuffisants; d
. Il convient cependant de reconnaître que dans certains cas, ces
troubles
psychiques forment un ensemble tel que -l'on do
rale et qu'on est presque en mesure d'affirmer le diagnostic. Les
troubles
somatiques eux aussi, sont d'importance tout à
ortance tout à fait inégale : Nous ne dirons que peu de chose des
troubles
de la pro- nonciation et du tremblement fibrill
de la paralysie générale. Sur ces 227 malades, 212 ont présenté des
troubles
ocu- laires. Vous voyez tout de suite, combie
é des troubles ocu- laires. Vous voyez tout de suite, combien ces
troubles
sont fré- quents, Et encore pourrais-je dire qu
ertain que parmi les 15 malades chez lesquels on n'a pas signalé de
troubles
oculaires, un examen ultérieur à une période pl
trop faible de 212 sur 227, nous pouvons dire que la recherche des
troubles
oculaires chez les paralytiques généraux s'impo
tant de la plus grande utilité clinique. Mais quels sont, parmi ces
troubles
oculaires, les plus importants et les plus fréq
peut bien encore trouver parfois chez les paralytiques généraux des
troubles
de l'accommodation elle-même, on peut bien auss
ulature externe, ou des lésions du fond de l'oeil, mais ce sont les
troubles
iriens qui sont de beaucoup les plus fréquents.
et, dans la leçon que M. Gilbert Ballet a consacré autrefois aux
troubles
oculaires de la paralysie générale il en est fait
umineux. Sur nos 227 malades, nous n'avons trouvé que 56 fois des
troubles
du réflexe à l'accommodation. Il était aboli des
terme idéal qui n'est presque jamais atteint. Indépendamment des
troubles
de l'iris, on peut encore DES SIGNES OCULAIRES
ARALYSIE GÉNÉRALE. 363 trouver, chez les paralytiques généraux, des
troubles
de la musculature externe de l'oeil et des alté
emple. Nous avons noté 12 fois un ptosis simple, sans aucun autre
trouble
des muscles innervés par la Ille paire, 14 fois
e » j'en dirai tout autant, et avec plus de raison encore, pour les
troubles
oculaires constatés au début de la paralysie gé
lu voir de l'épilepsie, affection motrice, une maladie génitale, un
trouble
sexuel, soit dans la conformation ana- tomique
ie et de parésie droite, le tout ayant disparu en deux jours. Aucun
trouble
nerveux depuis. On ne s'est jamais aperçu qu'il
uite par un spasme vasculaire prolongé; dans les cas chroniques, de
troubles
trophiques com- plexes occasionnés par des alté
d'un côté, tantôt à l'hemibypokinésie du même côté accompagnée d'un
trouble
sen- soriel, le vertige; ce qui, modifiant les
kow (Moscou) a le premier fait remarquer qu'une forme spé- ciale de
trouble
mental que l'on avait auparavant décrite comme
caractérisée et héréditaire des types humains (Apert). Ce sont des
troubles
dystrophiques pour les uns, des intoxications p
92), Il lui semble très vraisemblable qu'il y a eu chez la mère des
troubles
dyscrasiques temporaires mais inconnus qui ont
nt progressive qui dura un an. Un mois avant la mort apparurent des
troubles
psychiques, modification du carac- tère, apathi
que, bien décrite par Brault et Loeper, mais font remarquer que les
troubles
psychiques ont bien peu de valeur , diagnostiqu
à la paralysie générale en particulier. Il n'en est pas de même des
troubles
paialyliques qui sont un élément de diagnostic im
- ! 1er simplement certaines formes moins connues, marquées par des
troubles
graves au moins en apparence, que la déglutition,
i une autre forme sévère de , 'aérophagie nerveuse, où il s'agit de
troubles
de la respiration . « de la circulation caracté
connaissance immé- diate, paralysies, convulsions et tremblements,
troubles
de la sen- sibilité et troubles psychiques. L
ysies, convulsions et tremblements, troubles de la sen- sibilité et
troubles
psychiques. Le diagnostic doit être fait avec l
l'appétit est faible, le sommeil troublé et il y a quelquefois des
troubles
trophiques ; mais ils disparaissent. La marche
e, pour lui attribuer une autre valeur que celle d'un symptôme de
troubles
mentaux généralisés. R. de lIIUSGU.vVE-CL.1Y. L
doctrine de Kroepelin qui rattache les phénomènes catatoniques à un
trouble
de l'activité volontaire, mais il estime que cet
Mais l'héré- dité peut les rendre irréguliers et leur associer des
troubles
men- taux. Une cellule corticale se développe,
rer et de troubler leur activité cinétique, et le troisième fait un
trouble
de nutrition de divers organes avec développeme
celle-ci sans aucun doute capable d'accentuer et de prolonger les
troubles
mentaux que d'attribuer à la toxémie une importan
s trois états très différents : 1° les anomalies cérébrales; 2° les
troubles
cérébraux par traumatisme ou toxémie intra ou e
du Président. Il. DE MUSGW 1'E-CLT. LXXX. Etude clinique sur les
troubles
de la conscience dans l'état post-épileptique ;
érébrale. Elle présentait il y a neuf ans une stase papillaire avec
troubles
prononcés de la vision. Une ponction de Quincke
traitement qui ont été employés. R. M.-C. XIV. Le traitement des
troubles
mentaux à leur début; son ensei- gnement cliniq
M. DÉJËRIKE. l " Sur la prétendue influence de la cécité sur les
troubles
spinaux sensitifs et moteurs du tabès. MM. P.
ultérieure des symptômes spinaux ordinaires, des douleurs et des
troubles
de la coordination en particulier, ou en arrête l
nc y avoir aucune espèce de relation entre la date d'apparition des
troubles
sensitifs et visuels. Quand les douleurs ont ét
huit, onze, douze, dix-sept et vingt ans. Comme les douleurs, les
troubles
de la coordination apparaissent plus souvent ap
les troubles de la coordination apparaissent plus souvent après les
troubles
visuels qu'avant eux ou en même temps qu'eux; l
nées (jusqu'à 31 ans dans un cas ! ). La cécité tardive n'a sur les
troubles
ataxiques déjà développés aucune influence atté
it de phénomènes indépendants, évoluant chacun pour son compte; les
troubles
spinaux et les troubles visuels du tabes semble
dants, évoluant chacun pour son compte; les troubles spinaux et les
troubles
visuels du tabes semblent être des symptômes de
tte complication est survenue chez une-femme, et est associée à des
troubles
de la sensibilité objective et subjective. Par
HOLOGIE Séance du mardi 23 février 1904. PRÉSIDENCE DE M. Voisin.
Troubles
névropathiques causés par le spiritisme. M. de
ERILLON. Le sujet de cette observation n'avait jamais pré- senté de
troubles
névropaihiques.jusqu'au jour où elle prit part à
auto-toxique sur les cellules du cer- veau. VI. La fréquence des
troubles
cérébraux chez les alcooliques chroniques, résu
131BLIOGRAI'lilE. 458 5 L'aspect terne et vitreux, la dé génération
trouble
, la teinte bleue pdle uniforme (au Nissl) avec
de ses parents semble avoir jeté momentanément du moins un certain
trouble
dans l'harmonie de ses facultés mentales, néan-
urent vagues, peu précises et ne s'imposèrent pas à son esprit. Ces
troubles
augmentant, le malade veut, le 8 octobre, se fa
ent quelques illusions, quelques interprétations fausses, de légers
troubles
de la Personnalité (le malade rapportant à une
qu'il ne se rend pas toujours un compte très exact de la nature des
troubles
ressentis dans ses ac- cès délirants antérieurs
eulement déterminée par la diminution des désirs, mais est liée aux
troubles
de tout l'exercice mental; ce n'est qu'après av
ions psychiques que nous pourrons comprendre dans leur ensemble les
troubles
de la volonté 11. N... ne semble guère ressenti
-il, à lui faire accepter le séjour à la mai- son de santé. , Les
troubles
intellectuels n'apparaissent pas à un examen supe
usion mentale ou d'imprécision des idées. Il ne parait pas avoir de
troubles
de la mémoire; il n'est pas désorienté, sait par-
nd un compte exact du milieu, sait tout ce qui s'y passe, n'a aucun
trouble
de la notion du temps. Très cohérent, ses idées
i, si on ne poussait pas plus loin l'analyse psycholo- gique de ses
troubles
, si l'on ne savait pas ce qu'il était avant son
omparaison avec des sujets normaux, nous puis- sions en conclure un
trouble
de la pensée spontanée; en outre si le malade n
orce à les évo- quer. Dans ce dernier cas il ne semble pas avoir de
troubles
du souvenir ; je lui fais raconter de nombreux
s sans fatigue. Notons ici que l'on peut pas- ser à côté de pareils
troubles
de la mémoire sans les remarquer; le malade rép
laire alors le fatigue très rapidement. Il s'agit, en résumé, d'un
trouble
de l'activité spon- UN CAS DE FORME FRUSTE DE D
UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 445 tanée de l'esprit,
trouble
qui peut être compensé par un effort vo- lontai
scillent entre trente et 50 centièmes de seconde, mais aucun de ces
troubles
n'est assez accentué pour être considéré comme
erait bien embarrassé pour résumer ou analyser ce qu'il a lu. Les
troubles
de la compréhension apparaissent très nets quand
suite des calculs de tête de Sommer nous révèlent encore les mêmes
troubles
. En général lorsqu'il s'agit de multiplications,
sonores, visuelles, oll'aclives, gustatives bien conservées. Pas de
troubles
de la sensibilité tactile ou à la douleur. Pas de
kilos depuis son en- trée à Ville-Evrard. Il est évident que les
troubles
psychiques portent sur toute l'étendue des facu
et vulantaires. Je ne chercherai pas à résoudre lequel parmi- ces
troubles
est le p1'imurn movens, celui qui conditionne t
contenterai de résumer aussi brièvement que possible les différents
troubles
qui concourent à l'amoindrissement intellectuel
que : j'ai recherché, les lésions élémentaires qui constituaient ce
trouble
: j'ai observé un état de déficit lorsqu'il s'agi
la douleur morale. La mélancolie est avant tout le résultat d'un
trouble
affectif, c'est un état de conscience doulou- l
N... étant encore peu marqué, elle nous permet de différencier les
troubles
primitifs des trou- bles plus accentués que pré
pre état, et d'une diminution de la spontanéité intellectuelle; ces
troubles
de la spontanéité intellectuelle, nous les avon
malade, depuis la diminution de l'attention spon- tanée, jusqu'aux
troubles
de l'évocation spontanée des images qui caracté
it à un nombre de plus en plus restreint de représen- tations ; les
troubles
présentés par 111. N... ne sont pas assez marqu
en quelques idées qui n'étaient après tout que l'interprétation des
troubles
morbides ? dans cet accès aigu, la pauvreté -in
ndriaques. Les sujets d'Aschaffenburg étaient des paysannes que ces
troubles
légers n'empê- chaient pas de vaquer à leurs oc
in- drissement intellectuel s'est manifesté dans ses actions; les
troubles
dont il était atteint l'ont empêché de reprendre
r paralysie générale, c'esL-à-dire par l'exis- tence simultanée des
troubles
habituels de cette maladie et d'idées délirante
cette époque C... a eu des périodes intermittentes 'le calme et de
trouble
. Mais quinze jours environ avant son internemen
iagnostic de paralysie générale porté- au début se confirme par des
troubles
de l'écriture qui n'étaient pas apparents à l'e
çoit qu'il n'aban- donne aucune de ses idées délirantes. A part les
troubles
mo- leurs signalés plus haut, la santé physique
te. Il présente tous les caractères d'un paralytique général. Comme
troubles
moteurs on note de l'ophtalmoplégie interne, du
ngue, des mus- cles de la face, un léger embarras de la parole, des
troubles
psy- chographiques et calligraphiques, du tremb
paux, tremblement des mains et de la langue pouvant se généraliser,
troubles
de la sensibilité (hypoesthésie, anesthésie), e
e, contrairement au délirant tremens, est capable d'interpréter ses
troubles
sensoriels, de les systématiser dans la grande
de vue physique, le tremblement est de beau- coup moins accusé, les
troubles
de la sensibilité générale font habituellement
pothèse de Wernicke et Bonhoffer', que le sujet plus prédisposé aux
troubles
sen- soriels optiques sera atteint de delirium
en résulterait alors qu'une affection mentale com- portant déjà des
troubles
graves des centres auditifs du cortex laisserai
s statistiques démontrent que dans les cas de tumeur cérébrale, les
troubles
mentaux ou intellectuels. se rencontrent dans l
une forme psycho-paralytique de tumeur cérébrale, dans laquelle les
troubles
psychiques prédominent et apparaissent les prem
uand la circonvolution de Broca est intéressée, il peut y avoir des
troubles
de la parole. Les tu- meurs cérébrales doivent
er à ceux des tumeurs du cerveau. En résumé, en ce qui touche les
troubles
intellectuels et les modifications des émotions e
succès on devra employer le pôle négatif surtout s'il existe des
troubles
trophiques. 8° L'action du courant est due prob
notique est surtout utile pour faire le diagnostic différentiel des
troubles
purement fonctionnels du cerveau et des lésions
abilité, d'après l'auteur, d'un début de méningite tuberculeuse :
Troubles
généraux communs à diverses maladies (perte de
ières ; amaigrissement avec pâleure de la face et dépérisse- ment ;
troubles
du côté de l'encéphale ; changement de caractèr
i ne précise rien à ceux d'hypnose ou de sommeil hypnotique) il y a
trouble
à la fois de la conscience et de la sensibilité
les neurasthéniques et les névropathes de tous ordres, atteints de
troubles
nerveux divers relevant de la médication bromurée
ou disparition des signes somatiques, amendement très incomplet des
troubles
intellectuels : trois observations. 2e groupe :
lète (conscience, attention, mémoire.) Mais persistance de quelques
troubles
physiques : 5 observations. 4" groupe : Dispari
on n'a eu aucune influence heureuse sur l'évolution du tabès. Les
troubles
de la vision sont apparus il y a environ quinze a
e. En même temps le tabes a toujours progressé; les douleurs et les
troubles
de la coordination sont devenus aussi accentués
ion Archives, 21 série, t. XVII. ' 32 498 SOCIÉTÉS savantes. de
troubles
sensitifs trois ans après le commencement des par
eures. Paralysie du groupe des muscles extenseurs et du deltoïde.
Troubles
de la sensibilité objective à topographie radicul
vingt-trois ans. Le début avait été rapide, fébrile, accompagné de
troubles
importants de l'état général et d'albuminurie, co
été celui d'une paralysie ascendante aiguë. 11 n'y avait pas eu de
trouble
notable de la sensibilité. A la période aiguë d
médecins voient dans l'isolement une sorte de panacée pour tous les
troubles
névropathiques, je désire faire sur ce point un
iculté d'émettre la parole. Ce terme peut et doit être étendu à des
troubles
analogues de l'écriture. De nombreuses personne
mme 504 SOCIÉTÉS savantes. l'expression d'un degré moins grand du
trouble
de l'influence tro- phique ; une telle fragment
hoses récidivantes. Les psy- choses récidivantes apparaissent comme
troubles
exogènes et les psychoses périodiques, comme tr
aissent comme troubles exogènes et les psychoses périodiques, comme
troubles
endogènes. L'association de la mélancolie alcoo
oscou en 1892 chez une femme de 29 ans, avec paraplégie inférieure,
troubles
uri- naires et constipation opiniâtre. Un peu a
symétrique des os des deux avant-bras. .sociétés savantes. 509
Trouble
particulier dans la représentation du temps dans
la critique. Le rapporteur ne trouve pas possible de considérer le
trouble
dans le compte du temps, observé chez le malade,
vé chez le malade, comme une idée démente délirante et voit dans ce
trouble
un affaiblis- sement spécial ou perversion des
ette catégorie des représentations. A.-N. Bernstein rappelle que le
trouble
de mémoire dans la paralysie générale ne se pro
pilepsie comme accès convulsifs seulement, oubliant tout à fait les
troubles
stables, ob- SOCIÉTÉS SAVANTES. 811 serves da
écoce repose sur trois grands ordres de faits : 1° l'apparition des
troubles
mentaux à l'adolescence; 2° l'évolution cliniqu
ensemble d'états de dépression et d'agitation caractéri-és par des
troubles
délirants, dont le poly- morphisme est la note
o-accusation. idées de ruine physique ou morale, idées de négation,
troubles
de la personnalité. Toutes ces conceptions déli
e sympto- malique qui caractérise au premier chef la maladie. Les
troubles
psychiques s'accompagnent de troubles physiques.
premier chef la maladie. Les troubles psychiques s'accompagnent de
troubles
physiques. surtout accentués dans les périodes
tabilité mécanique des nerfs et des muscles, dilatation pupillaire,
troubles
vaso-moteurs, cyanose, cedéme, dermographisme,
hée, modification du rythme du coeur, diminution de la température,
troubles
de la menstruation, augmentation du volume du c
érentes géné- rations. Quant il la fréquence relative de tel ou tel
trouble
mental chez les sujets à prédisposition hérédit
connu tel et puni par la loi, par Goodall, 24 ? Déglutition. Voir
Troubles
psychi- 'lues, Délire. L'évolution du - dans
t de la d'asile, par Jlaciiullan, 416. Dysimiagië psychique. Voir
Troubles
psychiques. EnnxocnnuE du cerveau, par Fedo-
ar Grieves, 399. Grossesse. Contribution à l'étude de l'idée de
trouble
psychopa- thique, par Bichebois, 86. Sémélo-
0. - générale à longue durée, par Brunet, 163. - générale, voir
Troubles
trophiques. Du signe de 1'oil)i(;tlldire dans l
le, par Devay. 19 ? - généiale et grossesse, par Suulcanuff, 507.
Trouble
particu- lier dans la représentation du temps
pon, par lieitz, 148. l'oST-ÉPILFP11QU ? Etude clinique sur les
troubles
de la conscience dans l'état -, par l'IC[¡, 411
e, par de Coy- nard, 120. - - Spiritisme. Les dangers du -, \)5
Troubles
névropathiques causés par le -, par Jonj (de),
SYRfNGOMYÉI.IE, Sur deux cas de à topographie radlculaite ries
troubles
semilif, et des trou- bles moteurs, par Cestan
ciale, du -, survenant pendant l'enfance et se traduisant par des
troubles
et de la débilité mentale, par Bech- terew, 1
de Buck, 399.- Sur la prétendue influence de la cé- cité sur les
troubles
spinaux sen- sitifs et moteurs du -, par Marie
RATEURS. la dormeuse de -, par Farez, 83, 499. THOIS¡ : N, Voir
Troubles
. Thyroïde. Voir Sérum. TuYaorDl : C'ronlE. Ef
87. 'I'RICHUTILLU)1.\NIE chez les aliénés, par Iiaplan, ` ? 5J.
Troubles
mentaux. Contribution à l'étude ries - périodiq
tale. Alternatives d'excita- tion et de dépression. Hallucinations,
troubles
de la sensibilité générale, prédominance d'idée
u dehors. Observation XII. -Dégénérescence mentale. Hallucinations.
Troubles
de la sensibilité générale. Idées ambitieuses e
du tout la société de ses amis. ' A vingt-six ans, il prétend qu'on
trouble
son sommeil, qu'on déplace ses bras pendant qu'
t développés simultanément, s'accompa- gnant d'hallucinations et de
troubles
de la sensibilité générale. L'onomatomanie s'es
ions, se demandant s'il n'en est point la cause. Cette recherche le
trouble
et l'angoisse, il reconnaît que c'est absurde, ma
andes de la sensibilité à une lésion des cornes posté- rieures, les
troubles
fonctionnels de la vessie et du rectum à une gr
quatre extrémités avec participation des nerfs crâniens) ; 2° des
troubles
paralytiques des sphincters, une eschare sacrée
des troubles paralytiques des sphincters, une eschare sacrée et des
troubles
de la sensibilité. Vulpian admet la poliomyélit
i sont : la paralysie des sphincters, une eschare au sacrum,- des
troubles
de. la sensibilité suffisamment prononcés au po
s ; puis à ces symptômes de myélites systématiques s'ajoutent des
troubles
des sphincters qui dénotent l'extension en pro-
prin- cipal qui intervient plus ou moins dans tous les autres, le
trouble
de la mémoire. Je vous dois donc de vous indiquer
prochent des idées fixes : un certain nombre seulement dépendent de
troubles
de la mémoire. L'astasie abasie, telle que l'a
des bras ou même des mouvements de l'oeil paraissent être dus à des
troubles
psychologiques analogues à l'amnésie systématis
nts la mémoire des événements présents. J'avais remarqué déjà des
troubles
de ce genre plus ou ' Despine (d'Aix). De l'emp
us le montrer, leur étonnante suggestibilité, dépendent de tous ces
troubles
de leur mémoire. Je ne puis vous en décrire les
complètement le diagnostic médical. Suivant que nous attribuons le
trouble
de la mémoire à l'une ou à l'autre des opératio
s de l'esprit et dans l'hystérie comme dans les autres. Mais leur
trouble
donne lieu à des illusions, à des délires plutôt
gralement, et son absence suffira pour produire chez les malades un
trouble
de la mémoire qui sera, pour eux, une véritable
et l'on peut être toute sa vie enfermé dans un asile pour un simple
trouble
de la notion de personnalité. Les amnésies hyst
ument, par un symp- tôme local : aura motrice, douleur persistante,
trouble
de la parole, etc. En lisant les observations f
le désordre émotionnel, d'où dérivent directement par la suite, des
troubles
dans la sphère des idées et des actes. Tous ces
taques, et de la criminalité congéniale. Il faut le rattacher à des
troubles
fonctionnels de l'écorce et des centres optiques.
mptôme essentiel est une conception délirante ayant pour origine un
trouble
per- manent du jugement et pour aliments des ha
it), mais la conception délirante spontanée, primitive, tenant à un
trouble
du jugement, finissant par se cristalliser, s'o
rveux, peut, atteignant les centres psychiques, devenir la cause de
troubles
mentaux. Les psychoses dues à l'in- fluenza son
s que celles qui résultent d'autres affections fébriles aiguës. Les
troubles
psychiques se reproduisent soit pendant le stad
de longue durée, à issue généralement favorable. Enfin, il y a des
troubles
psychiques, poslfébriles, revêtant la forme soit
P. K. REVUE DE; PATHOLOGIE NERVEUSE I. CONTRIBUTION A l'étude DES
TROUBLES
DE la LECTURE basée sur une OBSERVATION DE dysl
s pouvoir les associer en un mot. M. Weissenberg classe ainsi les
troubles
de la lecture et les explique par un schéma se
t la pie-mère, à la convexité du lobe gauche. Il en résulte que les
troubles
de la lecture ne peuvent servir à la localisati
l'ouïe. Depuis quatre semaines, l'aliénation mentale a disparu, le
trouble
de la parole s'est rapidement accentué. C'est l'i
servé la faculté mécanique de lire et qu'il n'existe que de faibles
troubles
de la parole sponta- née. 11 y a eu aussi une a
l réflexe est plus atteint que son élément moteur. P. K. XII. DES
TROUBLES
visuels par TUMEUR cérébrale; par F. HIRSCxBERG.
F. HIRSCxBERG. (Neurol. Centralbl., 1891.) Très fréquemment, ces
troubles
précèdent les symptômes locaux et forment, de c
fois l'accès dure plus d'une demi-heure, voire plusieurs heures. 2°
Troubles
permanents par lésions de la substance cérébral
plète par tumeur de l'angle antérieur ou postérieur du chiasma. 3°
Troubles
permanents par lésion de fo;il. a. Agrandissement
e je fais allusion est la chorée grave, ou la chorée accompagnée de
troubles
psychiques se termi- nant par la mort. On sait
tuellement hospitalisent en commun les personnes qui présentent des
troubles
intellectuels aigus, généralement passagers et
par leurs idées fan- tastiques ou provocatrices, jettent partout le
trouble
et l'effroi. Il est impossible de ne pas être f
par épuisement du système nerveux. Et cependant, ils présentent des
troubles
intellectuels qui, pour être anodins au point de
ernes; on y trouve des gradations insensibles qui nous ramènent aux
troubles
fonctionnels du système nerveux. Ces maladies men
section de maladies nerveuses qui la complète en lui procurant des
troubles
intellectuels que ne doit pas recevoir un asile
La Société fera bien de récidiver. M. ANTON lit son mémoire sur les
troubles
du sens musculaire et présente deux malades. (P
es deux malades qui viennent de nous être présentés, on constate un
trouble
sensoriel et sensitif hémilatéral que l'on peut
é d'un territoire cérébral irrigué par l'artère choroi- dienne. Les
troubles
de l'odorat sont également à ranger dans la mêm
malades, il existe une anosmie du côté anes- thésique. Donc il y a
trouble
fonctionnel de ce territoire vascu- laire. M.
il n'y a en ce moment, ni simulation ni exagération. M. KoemG. D'un
trouble
de la parole survenant par accès chez une paral
sont distinctes de la première. La première peut se résumer ainsi.
Trouble
de coordination entre l'intonation et les mouve
oenig n'est sûrement point de l'aphasie corticale motrice; c'est un
trouble
de l'articulation qui est distinct de l'aphasie
t la manifestation d'une psychose, et l'ivresse qui s'accompagne de
troubles
de la connaissance, excluent la responsabilité
ment les épilep- tiques aliénés des épileptiques sains d'esprit-les
troubles
intellec- tuels aigus et les psychopathies chro
t, peu importe ; l'auteur s'exprimera invariablement ainsi : Il y a
trouble
dans la notion du son du mot. On apprend, d'a
n correspondant à un mot est troublée, il n'existe en même temps un
trouble
très accentué des mouvements nécessaires - à l'
pression presque complète de l'image du mot. Dans l'espèce donc, le
trouble
du champ moteur, et par suite de l'expression,
l'activité de l'image sonore des mots est la plus importante; les
troubles
en retentissent nettement non seulement sur l'int
par la lacune sensorielle en question. Elle doit apporter un grand
trouble
dans la précision de la pensée de l'indi- vidu,
M. Sommer. La théorie des localisations suffit-elle à expliquer les
troubles
de la parole jusqu'alors observés ? - Tout récemm
M. Sommer, il est à peu près^impossible d'expliquer certains cas de
troubles
de la parole par les divers schémas en question
e ne suffisent plus à expliquer tous les faits décrits jusqu'ici de
troubles
de la parole; -2° A mesure que s'enrichit le ma
l'on forge augmente également; -- 3° Dans les publications sur les
troubles
de la parole, il faut s'attacher surtout à les
les qu'il faut se montrer d'une extrême prudence dans l'analyse des
troubles
de la parole à la lumière de ces postulata; -5° L
sme de la parole est de former un point de repère pour l'examen des
troubles
de la parole; - 6° Il est à souhaiter de trouve
estion; 7° Il convient de s'efforcer d'introduire dans l'examen des
troubles
de la parole, surtout quand il s'agit d'un rale
A l'exemple de Grasheyt qui a observé par les nouveaux procédés les
troubles
de la parole, il faut tenir compte de la succes
sie que j'ai décrit il y a six ans, j'ai tenté de le rattacher à un
trouble
de la mémoire : le même malade a été examiné, s
l trouve que les symptômes actuels ne sauraient être rattachés à un
trouble
de la mémoire encore existant, sans cependant pou
ceux qui pourraient douter des relations que j'ai établies entre le
trouble
de la parole et le trouble de la mémoire, qu'à
des relations que j'ai établies entre le trouble de la parole et le
trouble
de la mémoire, qu'à cette époque j'ai nettement
ne se peut-il pas que cet effort qu'on lui impose, influence les
troubles
de la parole. Il est bien des malades chez lesque
de M. Grashey sont impuissantes à en rendre compte. Or, entre un
trouble
de la mémoire si prodigieux et l'aphasie de Grash
une frayeur ou sous l'influence d'un ver intestinal. Ce sont là des
troubles
fonc- tionnels localisables, mais non localisés
lés et, pour ainsi parler, à l'état épisodique, indé- pendants d'un
trouble
profond de la personnalité, sans doute il est a
alysé, car les désordres chirurgicaux sont bien moins graves que le
trouble
fonctionnel. C'est à coup sûr l'idée delà paral
it plus. Bien plus, le territoire paralysé peut devenir le siège de
troubles
de la circu- lation (anémie), de la tonicité mu
eau et que le traitement par la sugges- tion ne peut guérir que des
troubles
fonctionnels; 3° Parce que certains symptômes,
qui présentent des perturbations simples de la vie affective; des
troubles
morphologiques de l'idéation, notamment des obses
icieuses telles que l'onanisme et viendrait à la rescousse dans les
troubles
de l'idéation et de la volition. Quant aux déli
ges Guinon, est donc précieux à tons égards. P. KERA VAL. VI. Les
troubles
du langage chez les aliénés ; par J. Séglas. Pari
de l'état de leur activité psychique. A ce point de vue l'étude des
troubles
du langage, considérés en général, forme donc l
sent aux choses de la psychologie. L'auteur divise tout d'abord les
troubles
du langage chez les aliénés en troubles du lang
eur divise tout d'abord les troubles du langage chez les aliénés en
troubles
du langage, parlé, écrit, et mimique. Ceux-ci s
Ceux-ci sont distingués successivement, selon qu'ils résultent : de
troubles
de la fonction du langage, et de troubles de la
lon qu'ils résultent : de troubles de la fonction du langage, et de
troubles
de la parole. * En ce qui concerne le langage p
ce qui a trait au langage écrit, et l'auteur y passe en revue : les
troubles
résultant de désor- dres intellectuels généraux
rticulièrement intéressants sur l'écriture auto- matique, enfin les
troubles
de la formation des signes graphiques, par vice
ges très curieuses sont consacrées aux dessins des alié- nés. Les
troubles
du langage mimique forment la troisième partie de
les plus originales de l'ouvrage, comme le paragraphe consacré aux
troubles
du langage chez les mélancoliques, avec hallucina
sident du comité de direction les irrégularités de caractère et les
troubles
de l'intelligence qui leur ont été signalés et
ès de folie furieuse. Il s'agit d'un alcoolique qui, guéri de ses
troubles
intellectuels, a été rendu à la liberté. Le jou
lume in-8° de 93 pages. - Genève, 1892. H. Stapelmohr. RAYNAUD. -
Troubles
oculaires de la Malaria. Volume in-8" de 100 page
ages. Paris, 1892. - Annales médico-psychologiques. SÉGLAs. - Les
troubles
du langage chez les aliénés. Volume in-12 car-
Extrait des An- nales médico-psychologiques. Sollier (P.). - Les
troubles
de la mémoire. Volume in-12 relié, de 262 pages
d'une part l'impossibilité de pré- voir les accès, d'autre part le
trouble
mental consécutif aux paroxysmes, rendant très
s à prévoir, ou après des accès dont la plupart s'accom- pagnent de
trouble
mental. Que fait au contraire M. Féré ? Il calc
moment de l'attaque. - Quand, d'autre part, les malades avaient un
trouble
mental prolongé à la suite des attaques nous av
nviron, injection de 90 c. c. d'urine; à 30 c. c., miction d'urines
troubles
; à 52 c. c., agitation; à 75 c. c.; secouasses
s de miction ni de défécation. Autopsie. - Vessie pleine d'urines
troubles
; congestion pulmo- naire et rénale. Le coeur c
un quart d'heure, de 90 c. c. d'urines ; à 25, tre miction d'urines
troubles
; à 40, 20 mic- tion d'urines troubles. Les mic
; à 25, tre miction d'urines troubles ; à 40, 20 mic- tion d'urines
troubles
. Les mictions se répètent jusqu'à la mort, clai
, elle était d'ailleurs revenue à son état normal. L'urine est très
trouble
, en petite quantité, à réaction nettement acide
arctus disséminés. Peu de congestion rénale. Vessie pleine d'urines
troubles
. L'animal n'a pas uriné, n'a pas dé- féqué pend
s 62 kil., atteinte d'épi- lepsie essentielle. Céphalalgie et léger
trouble
mental après les accès de peu de durée. - Intel
our de l'injection, elle se trouve bien, répond nette- ment. Pas de
troubles
gastriques. . A 4 heures de l'après-midi, le 1C
e. Perte immédiate du réflexe cornéen. Mort. Une miction d'urines
troubles
dans les derniers temps de la vie. Durée de l'inj
uissent pas cependant le papier rouge de tournesol. Elles sont très
troubles
. Gault... a d'ailleurs beaucoup de pertes blanc
c. c., mort sans nouvelles convulsions. Une seule miction d'urines,
troubles
au début de l'ex- périence. ' Autopsie. - Le
la nuit. Après une journée d'obnubilation, elle est entrée dans son
trouble
mental habituel. Pendant plusieurs jours, elle
IQUE NERVEUSE L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
TROUBLES
VISUELS DANS LES MALADIES NERVEUSES ; par le
vue des maladies du système nerveux, les am- blyopies et amauroses (
troubles
de la vision sans lésion du fond de l'oeil) peu
es et transitoires ; et il faut appeler transitoires, celles, où le
trouble
de la vision (quelle que soit la forme et l'int
ès court, sous forme de crises, souvent accompagnées par d'autres
troubles
nerveux. Ces troubles passagers de la vision ont
de crises, souvent accompagnées par d'autres troubles nerveux. Ces
troubles
passagers de la vision ont reçu les noms de mig
les moins étudiées jusqu'à présent, de les mettre en évidence comme
troubles
visuels accompagnant différentes maladies nerve
ser- vations recueillies par nous-même, pour indiquer ensuite les
troubles
nerveux concomitants, étudier enfin la physiopath
lequel le scotôme scintillant se trouve exactement décrit, et où le
trouble
visuel est considéré comme un symptôme prodromi
les accès, chez les individus qui y sont déjà prédisposés, sont les
troubles
de la digestion gastrique ou la fatigue intelle
à partir de l'endroit même où le scotôme eut son commencement. Le
trouble
visuel, qu'il soit monoculaire ou binoculaire, es
is encore de nausées et de vomis- sements. Il y a des cas, où les
troubles
oculaires en forme de scotôme scintillant ont s
re, qu'un individu qui souffre de la migraine ordinaire, sans aucun
trouble
du ' Compte rendu de la Société d'ophtalm, de P
, par suite de l'âge, les grands accès douloureux remplacés par les
troubles
visuels du scotôme scin- tillant (exemple le ca
ques douleurs névral- giques passagères, à la suite de veille ou de
troubles
gastriques. La durée des accès est en 'général
demie et plus. D'ordinaire le scintille- ment survient peu après le
trouble
de l'acuité visuelle, se pro- longe seulement p
nt de migraines (hérédité mater- nelle) depuis son enfance, eut les
troubles
visuels seulement pendant une année (de quatorz
t ans les attaques de migraine vulgaire avaient continué sans aucun
trouble
visuel. Il peut encore arriver, chez quelques f
compagnées d'amblyopie temporaire, et plus rarement encore d'autres
troubles
nerveux, tels que l'embarras de la parole ou l'
ement d'un membre (cas de Baralt). La douleur céphalique suit les
troubles
visuels dans un espace de temps qui varie de qu
cès. Parfois encore on observe de l'aphasie, ou plus rarement des
troubles
de la sensibilité ou de la motilité. - La march
a durée des accès est aussi très varia- ble, mais, d'ordinaire, les
troubles
visuels durent d'un quart d'heureà une demi-heu
le mieux, comme nous le verrons, à l'étude physiopathologique du
trouble
visuel dont nous nous occupons. L'hémiopie tran
miopie homonyme (à droite), est encore celle de ' M. Mazza (45). Le
trouble
visuel était sans doute bilatéral, et la ligne
phobie ; pas de migraine, seulement des vertiges qui précédaient le
trouble
visuel. L'hémiopie transitoire latérale monocul
lle est suivie par les photes- ' tésies du scotôme scintillant. Les
troubles
visuels, tout en occupant la moitié du champ de
n cas d'amblyopie transitoire accompa- gnée de migraine et d'autres
troubles
nerveux, sous forme de rétrécissement concentri
gourdissement de la main droite, et quelquefois aussi de la gauche.
Troubles
de la parole seulement à la fin des accès. Migrai
ié du corps, il était bientôt suivi d'embarras de la parole et de
troubles
dans les idées. Non seulement la malade ne pouvai
ent deux fois par mois environ, et n'ont jamais été accompagnées de
troubles
visuels. Depuis cinq ans, c'est-à-dire vers l'à
utrefois celles d'épilepsie sen- sitivo-sensorielle, sontsuivies de
troubles
dans les idées, de sorte que la malade fait une
plitude de l'accommodation. Pupilles réagissent normalement. Pas de
troubles
des muscles oculaires. Une autre observation, q
'artère centrale, visible jusqu'au delà du disque optique. Pas de
troubles
gastriques, le coeur normal, les urines aussi.
, avant de parler de ces rapports, de dire quelques mots des autres
troubles
nerveux qui peuvent en général accompagner les
en général accompagner les accès d'amblyopie transitoire. 1. Ces
troubles
sont (en dehors du syndrome migraineux, que 'no
ns déjà assez mis en relief) : l'aphasie, ou mieux dys- phasie, les
troubles
de la sensibilité, les troubles moteurs, les sy
'aphasie, ou mieux dys- phasie, les troubles de la sensibilité, les
troubles
moteurs, les syndromes épileptiformes. a). Le
lité, les troubles moteurs, les syndromes épileptiformes. a). Les
troubles
de la parole pendant les accès d'amblyopie. tra
se rencontrent assez fréquemment. Ils tiennent le plus souvent à un
trouble
de l'intelligence, qui rend au sujet les parole
d'amblyopie transitoire associée à l'épilepsie partielle) est le
trouble
dans l'articulation des mots, comme si la langue
e l'aphasie, la soudaineté de son appa- rition, coïncidant avec des
troubles
oculaires, jette un trouble profond dans l'espr
son appa- rition, coïncidant avec des troubles oculaires, jette un
trouble
profond dans l'esprit du malade. A côté de ce
, jette un trouble profond dans l'esprit du malade. A côté de ces
troubles
du langage, nous mettons l'espèce d'apraxie qu'
vec du tabac à priser. Dans d'autres cas on pourrait rencontrer les
troubles
analo- gues de la surdité verbale, de l'alexie
uels les attaques d'amblyopie transitoire sont accompagnés de ces
troubles
du langage, sont pour la plupart ceux qui démontr
nter d'une façon transitoire, pendant les attaques convulsives, les
troubles
de la dysphasie et de la dysartrie verbale. l
ent, lorsque dans les formes associées d'amblyopie transitoire, les
troubles
de motilité et de sensibilité de la face et des
e nous le dirons tout à l'heure, le cas le plus fréquent. b). Les
troubles
de la sensibilité, qui peuvent accompagner les
qui peuvent accompagner les accès d'amblyopie transitoire, sont des
troubles
dynami- ques, ceux de l'hystérie en particulier
es troubles dynami- ques, ceux de l'hystérie en particulier, ou des
troubles
de signification plus grave, tels que les accès
'épilepsie partielle avant-coureurs de la paralysie générale. Ces
troubles
se manifestent généralement en même temps que l
ivo-sensorielle et la démence paralytique. Ce sont, en général, des
troubles
loca- lisés de la sensibilité générale (sensati
uïe (bourdonnements, hallucinations acoustiques). Quel- quefois ces
troubles
de la sensibilité, au lieu de rester limités à
gent de côté dans les accès consécutifs sur le même sujet. c). Les
troubles
moteurs seront indiqués de même à propos de l'é
accompagnées d'am- blyopie transitoire. Ils sont plus rares que les
troubles
sensi- tifs, puisque dans les deux maladies men
roubles sensi- tifs, puisque dans les deux maladies mentionnées les
troubles
moteurs sont en général moins fréquents et moin
oteurs sont en général moins fréquents et moins persistants que les
troubles
de la sensibilité. 11 s'agit d'ordinaire de paré-
graineux passe en second lieu, ou même fait défaut, par rapport aux
troubles
visuels de l'amblyopie transi- toire. . Les m
: parmi ces symptômes, il est surtout intéressant de remarquer les
troubles
de la vue, tels que les éblouissements passager
osée par Levil- lain) [50J peuvent être atteints de migraines et de
troubles
vi- suels passagers. En outre, comme nous le
rrons tout à l'heure, l'amblyopie transitoire tire sa pathogénie de
troubles
vaso-moteurs de l'écorce cérébrale; et justemen
ie de troubles vaso-moteurs de l'écorce cérébrale; et justement les
troubles
vaso-moteurs du . cerveau et de la moëlle jouen
e éprouve une sensation de tremblement de l'aile du nez ou d'autres
troubles
nerveux, puis survient l'amblyopie et non rarem
umière blanche et pour les couleurs, accompagné souvent de certains
troubles
secondaires de l'accommodation. Il y a des ob-
core plus sûre que l'amblyopie transitoire est due au même ordre de
troubles
dynamiques de l'écorce cérébrale, dont l'hystér
dement. D'au- tres épileptiques' immédiatement après l'accès voient
trouble
, voient les objets grossir ou se rapprocher, de
re et de migraine res- - tent pendant un temps assez long les seuls
troubles
nerveux du malade, et c'est plus tard seulement
s laquelle une simple migraine périodique avait ouvert la série des
troubles
nerveux, est re- marquable. Plus tard, il survi
le à l'épilepsie complète, soit le développement parallèle de ces
troubles
à un point tel, qu'il serait presque impossible d
ine et des attaques épileptiques. Enfin, la nature épileptique du
trouble
visuel nous parait évidente dans l'observation
de crises d'amblyopie transitoire depuis l'âge de dix-sept ans.-Le
trouble
visuel se déclare subitement, comme un rideau,
re cette fois pendant neuf heures. Lorsque la vue revient, elle est
trouble
, les objets environnants ontl'airde se mouvoir, l
trice, ou mixte) M. le professeur Charcot a indiqué le pre- mier un
trouble
nerveux que nous devons rappeler ici en quelque
ici en quelques lignes. Dans sa manifestation la plus simple, le
trouble
se présente par accès, qui surviennent à interval
jambe du même côté. Cette forme est la forme brachiale, mais si le
trouble
débute dans la face pour envahir ensuite le bra
ielle motrice (épi- lepsie corticale, jacksonienne). En outre, le
trouble
sensitif peut être limité à un membre seulement
a moitié du corps tout entière, et il peut souvent s'associer à des
troubles
moteurs (formes mixtes sensitivo-motrices) ou à
à des troubles moteurs (formes mixtes sensitivo-motrices) ou à des
troubles
sensoriels et psychiques (épilepsie partielle s
ion avec l'épi- lepsie complète (petit mal et grand mal). Quant aux
troubles
psychiques, ce sont les mêmes que ceux qui acco
s cette dernière forme, les symptômes sensoriels sont justement les
troubles
de la vue qui nous occupent, et que les observa
l) ou quelquefois un peu moins fortes. Accuse toujours faiblesse et
trouble
de la vue dans l'oeil gauche. ' ' i Observa
u la langue. Quand elle revient à elle, il subsiste encore quelques
troubles
dans la vue, mais tout disparaît bientôt et ell
spèce de brouillard ou de fumée. Au bout de quelques minules tout
trouble
disparut, et jusqu'à présent aucune attaque ne s'
la famille était migraineuse, aurait pour ainsi dire condensé les
troubles
corticaux, de façon à avoir amblyopie transitoire
s crises étaient plus violentes, on était porté de croire que les
troubles
corticaux se répandaient, pour ainsi dire, de l'é
tentement). Enfin, M. Marie a fait ressortir dans sa thèse (44) les
troubles
oculaires chez les paralytiques généraux (trois
ez les paralytiques généraux (trois cents cas). Il a trouvé que ces
troubles
sont d'autant plus importants, qu'ils peuvent p
e de l'amblyopie transitoire, surtout lorsqu'elle s'ac- compagne de
troubles
sensitifs, moteurs ou psychiques. Il s'agit de
attaques d'épilepsie sensitivo-sensorielle accompagnée de légers
troubles
moteurs et plus souvent encore d'amblyopie transi
de leurs aptitudes physiologiques spé- ciales, la connexion de ces
troubles
nous démontre que la cause de l'amblyopie trans
uis longtemps il peut lire aussi bien qu'avant son accident. Pas de
troubles
visuels. Pas de troubles de la sensibilité. Pas
e aussi bien qu'avant son accident. Pas de troubles visuels. Pas de
troubles
de la sensibilité. Pas de troubles moteurs. Réf
Pas de troubles visuels. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de
troubles
moteurs. Réflexes normaux. L'aspect de la face
é complète les premiers jours, et on se l'explique fort bien par le
trouble
circulatoire momentané qu'a produit l'embolus d
traversé et subir une vaste perte en substance grise sans qu'aucun
trouble
s'en suive dans les sensa- tions et la locomoti
t donna issu à une quantité de pus dont l'évacuation fit cesser les
troubles
. Le malade jouit aujourd'hui après plusieurs an
e que cette mo- dification de l'excitabilité de l'écorce résulte du
trouble
des échanges nutritifs produit par l'urémie. Il
DES affections EN FOYER DE la protubérance ET, EN particulier, DES -
troubles
DE la parole ANARTHRIQUES; par ST. MARKOWSKI. (
oitié gauche de la protubérance n'entraînent pas nécessairement des
troubles
de la parole, alors même que ces foyers ont dét
orsales) de la masse des pyramides.-Il Il en estde même.'pour ' les
troubles
de la déglutition ; tant qu'il n'y a de foyer pro
la déglutition bulbaire avec le cerveau. Nous expliquerons donc le
trouble
de la déglutition comme nous expliquerons le tr
uerons donc le trouble de la déglutition comme nous expliquerons le
trouble
de la parole, par l'interruption, dans le bulbe
êmes foyers, à localisation identique, produisent simultanément des
troubles
de la parole et de la déglutition. De l'étude
raux avec anarthrie sont plus rares que les foyers unilatéraux sans
troubles
de la parole du tout. L'anarthrie REVUE d'anato
ent, il est douteux que, dans les deux premières observa- tions, le
trouble
de la motilité doive être rattaché à une lésion d
gotique, iodique, thébaique, etc.) A l'ivresse se joignent d'autres
troubles
intellectuels élémentaires : état de stimulatio
tellectuels élémentaires : état de stimulation, état de dépression,
troubles
du caractère, de l'idéation, insomnie ou hypnos
faillances, syncope, stupeur, coma, céphalalgie, vertiges, etc.) ;
troubles
de la motilité (contractures, crampes, convulsion
tures, crampes, convulsions, spasmes, paralysies de divers ordres);
troubles
de la sensibilité pseudesthésies, hypéresthésie
bles de la sensibilité pseudesthésies, hypéresthésies, anesthésies,
troubles
localises dans les divers sens, etc.). Ce cha
lancinantes. Ulcérations plantaires symétriques aux deux pieds avec
troubles
[de la nutrition. P. K. XV. UN cas DE POLIOMYI'
contient généralement, sinon toujours, le point de fixation. Les
troubles
du sens du lieu, qui se montrent dans les lésions
terminées par une parésie permanente des extrémités droites et des
troubles
de la parole. En revanche, on trouve dans la moel
gie NERVEUSE. zig XXIX. Hémianopsie bilatérale INFÉRIEURE ET autres
troubles
SEN- SITIVO-SENSORIELS dans une psychose foncti
multiples accidents puerpéraux (fièvre, hémorrhagie intense), puis
troubles
de la connaissance et hallucinations sensorielles
de la mémoire pour tout le temps passé à l'asile jusqu'au début des
troubles
visuels. Tous' les autres symp- tômes s'amélior
l'accès est surtout fâcheux quand on voit diminuer l'in- tensité du
trouble
mélancolique général avec persistance desidées
un fonds hystérique. - Les idées de négation sont l'expression de
troubles
subjectifs divers, mais de nature identique : a
4° dans les états mélancoliques, les idées de négation indiquent un
trouble
plus profond que celui accusé par les idées de
En fait cette idée, simple inter- prétation donnée par le malade de
troubles
psychopathiques plus profonds, n'a pas plus d'i
e de la Salpêtrière. Les premiers symptômes consis- tèrent dans des
troubles
de la sensibilité générale et viscérale, des ha
u délire des négations mélancolique. Il n'est plus secondaire à des
troubles
émotionnels; au lieu d'être monotone, il est pro-
idées délirantes de même nature mélanco- lique, soit l'existence de
troubles
psychiques de même ordre, bien que moins accent
e portent à considérer le délire des négations comme le résultat de
troubles
hallucinatoires qui doivent être rattachés à un
elle dont j'ai parlé. Cette physionomie s'explique par la nature du
trouble
fonda- mental d'où l'idée de persécution dérive
a tendance à affecter la marche rémittente qu'ont d'ordinaire les
troubles
mentaux chez ces malades. Leur évolution parait i
ades. Leur évolution parait intime- ment liée d'ailleurs à celle du
trouble
fondamental (hypochon- driaque ou mélancolique)
es et cependant ils ne présentent aucun symptôme de mélancolie; les
troubles
émo- tionnels et abouliques du début, qui sont
erve chez les persécutés par l'apparition primitive du délire, sans
troubles
émotionnels ou volontaires préalables. Nous ne
s derniers étant toujours les plus mar- qués, et que nous vîmes les
troubles
intellectuels s'atténuer d'une façon considérab
érapeutique et d'une hygiène appropriées, s'adressant sur- tout aux
troubles
des fonctions digestives. 312 ruz) SOCIÉTÉS SAV
SOCIÉTÉS SAVANTES. M. F. RAYMOND (de Paris) lit un travail sur les
troubles
délirants du goitre exophtalmique dans leurs ra
rts avec la dégénérescence, et se résume de la façon suivante : les
troubles
psychiques de la maladie de Basedow ne font poi
phtalmique lui-même agit, chez un prédisposé, pour faire éclore les
troubles
psychiques au même titre qu'une cause occasionn
ase de la maladie. Celle-ci n'est souvent qu'un cas particulier des
troubles
fonctionnels qui, chez les dégénérés, frappent
uilibration des centres vaso- moteurs qui coexiste souvent avec des
troubles
analogues du côté des autres centres de l'axe c
hyroïde. Or, toutes les fois que cet organe est atteint, il y a des
troubles
mentaux, témoins les crétins, les myxoedémateux
chez les prédisposés, une influence considérable sur l'éclosion des
troubles
délirants par suite de l'intoxication qui résulte
fement de M. Luys n'est pas acceptable, pas plus que le résultat du
trouble
de la nutrition pro- duit par la lésion vascula
l et Baillarger. Ce dernier a démontré que les tabéti- ques ont des
troubles
psychiques semblables à ceux qui caracté- risen
pagné de phénomènes SOCIÉTÉS SAVANTES. 315 moteurs, tremblement*,
trouble
de la station ; ces malades devien- nent dément
chez eux des traces de l'ancien délire. D'autre part, la forme de
trouble
mental qui accompagne la forme de sclérose syst
jeunes sujets présentant, avec ou sans crises épileplifornaes, des
troubles
moteurs ou psychiques. (Nouv. Iconographie de la
riode d'aura ont complètement disparu. Il existe chez le malade des
troubles
de la sensibilité : zones hyperesthésiques test
du champ visuel. Il est un fait particulier à noter, c'est que les
troubles
de la sen- sibilité présentent des variations s
es et montre que ce parallélisme des symptômes d'automatisme et des
troubles
anesthésiques n'a rien d'étonnant si l'on consi
me à part pour les faits de confusion qui ne sont souvent que des
troubles
délirants justiciables d'un état de neurasthénie.
hilis torpide ou pseudo-démente. En ce qui regarde les rapports des
troubles
déli- rants avec un état neurasthénique, M. Cha
exposé au salon de Paris de cette année. ALBIN. Rousselet. X. Les
troubles
de la mémoire; par le Dr Paul SOLLIER. (Bibliothè
ermine le volume : nous y noterons la part que l'auteur accorde aux
troubles
psychiques dans cette maladie, ainsi que le rôl
du cerveau : l'hémiplégie, les convul- sions, les contractures, les
troubles
de la sensibilité générale et spéciale, ceux du
nerveuse. chez les paralytiques généraux. Du reste il n'y a pas de
trouble
de la parole. - Réflexes. Ils sont égaux des
corps, la langue comprise; paralysie des membres, aphasie motrice,
troubles
de l'intelligence, rien ne manquait au tableau
dès son enfance. Nous nous croyons donc autorisés à considérer ces
troubles
de la sensibilité comme de nature identique : l
ence que la pression a toujours manifestée dans la reproduction des
troubles
de la sensibilité, je pense que c'est dans les
mérées, qu'il faut chercher la cause de la systé- matisation de ces
troubles
à un côté du corps. b). Pour ce qui est de la p
t sujet à un travail journalier très rude ? La raison de ce que les
troubles
sensitifs et moteurs s'asso- cièrent pour forme
ble de ce fait. Maintenant nous devons analyser très brièvement les
troubles
de l'intelligence et de la parole. Parmi les tr
rièvement les troubles de l'intelligence et de la parole. Parmi les
troubles
de l'intel- ligence, le phénomène qui tient la
rappa les organes les plus fatigués; c'est dans la règle, ainsi les
troubles
de la motilité, de la sensibilité et de l'intel
us avons cherché à montrer que ses accès d'épilepsie sensitive, ses
troubles
du langage et de l'intelligence étaient sous la
ge de cin- quante-trois ans est obèse, mais elle ne présente pas de
troubles
nerveux. La mère au contraire, est très emporté
battent avec violence et ses oreilles sifflent, son intelligence se
trouble
, les idées deviennent confuses; ces phénomènes
qui leur ont donné origine démontrent bien qu'il s'agit de simples
troubles
fonctionnels. L'on peut dire la même chose po
ES DU CERVEAU. 407 c'est à l'hystérie qu'il faut attribuer tous ces
troubles
mo- teurs. c). Dans la même année, Cha... pré
ous en avons d'autres non moins importants, nous voulons parler des
troubles
oculaires carac- térisés par la polyopie, par l
la polyopie, par la micropsie, par la macropsie mo- noculaire ; ces
troubles
de l'accommodation, selon le Dr Pari- naud, don
issement se dissipa bientôt et pour un an il n'eut à souffrir aucun
trouble
digne d'être remarqué. Un L'HYSTÉRIE ET LES MAL
après les autres accès consécutifs, jamais ne se manifestèrent les
troubles
moteurs. Or cette incohé- rence parmi les phéno
lus caractéris- tiques de la fulguration, à savoir le délire et les
troubles
de la sensibilité, de la motilité, consécutives
- lepsie partielle). Dans les intervalles, santé parfaite, pas de
troubles
de la motilité, ni de la sensibilité. L'hystéri
Le troisième jour il s'aperçut qu'il bégayait et bredouillait. Ces
troubles
du langage persistent même à présent. Le 24 s
à gauche; les crémasté- riques sont très faibles des deux côtés.
Troubles
de la parole. - F... présente un bredouillement e
es que F... ne réussit pas à se faire comprendre. D'autres fois ces
troubles
disparaissent presque complètement et F... parl
nuit, persistant pendant des mois, ictus apo- plectiforme suivi de
troubles
du langage écrit et parlé, attaques convulsives
parait le plus rationnel. Il s'appuie principalement : 1° Sur les
troubles
du langage; 2° sur le caractère de la paralysie
ifs; 3° sur la présence des stigmates : "- 1° Pour ce qui est des
troubles
du langage, l'aphasie mo- trice et l'agraphie p
ue, ni des lèvres. Nous nous croyons donc autorisé à considérer ces
troubles
du langage comme purement fonctionnels et comme
NERVEUSE. L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE ? 1 contribution A l'étude DES
TROUBLES
VISUELS dans LES maladies ' nerveuses; . par
pinions des différents auteurs sont mieux d'accord sur la nature du
trouble
visuel dont nous parlons, que sur son siège. En
fet, il est facile de reconnaître dans l'amblyopie transi- toire un
trouble
passager fonctionnel, maintes fois de nature ré
ssager fonctionnel, maintes fois de nature réflexe, provoqué par un
trouble
de la circulation. Mais, tandis que les uns aff
irculation. Mais, tandis que les uns affirmaient que le siège de ce
trouble
résidait dans l'appareil optique même (rétine,
e Parry et Fothergill considéraient le scotôme scintillant comme un
trouble
réflexe lié aux troubles de la digestion, et Ba
nsidéraient le scotôme scintillant comme un trouble réflexe lié aux
troubles
de la digestion, et Baralt dans sa thèse (1880)
dans sa thèse (1880) soutient la même opi- nion, affirmant que les
troubles
gastriques ou la migraine sont le point de dépa
s ou la migraine sont le point de départ du réflexe qui provoque le
trouble
vaso- moteur dans l'appareil optique. ' « L'Ù
déterminer, en même temps que le scotôme scintil- lant, les divers
troubles
vaso-moteurs qui caractérisent l'accès de migra
age lorsqu'il se demande : « Cette irritation qui détermine tant de
troubles
vaso-moteurs pendant l'accès de migraine, est-e
ritation péri- phérique sensitive (sur le pneumogastrique en cas de
troubles
digestifs, 'sur le trijumeau en cas de migraine
i l'affirmait pour la véritable migraine ophtalmique, lorsque les
troubles
de la digestion ou de la migraine précèdent l'amb
s, quand la migraine succède (et c'est le cas le plus fréquent) aux
troubles
de la vue, comment croire que la névralgie est
cès, ce qui arrive presque toujours, comment méconnaître dans ces
troubles
moteurs de l'appareil digestif, la décharge du
urs de l'appareil digestif, la décharge du réflexe provoqué par les
troubles
sensitifs de l'appareil optique et du trijumeau
ques et avec l'analyse du phénomène scintillement, que le siège des
troubles
circulatoires (contraction ou dilatation des va
ces contradictions de l'examen ophtalmoscopique, l'hypothèse que le
trouble
vaso-moteur puisse porter sur le chiasma, les b
le comme celle-ci et de l'ordre des hallucina- tions. Ce sont les
troubles
associés de l'amblyopie transitoire qui ont per
u la névrose du nerf optique ou des tractus de Dianoux; on admit le
trouble
vaso- ' 111. Parinaud a eu l'occasion (1882) d'
qui nous permettrait de comprendre en même temps la pathugénie des
troubles
transitoires et des troubles qui deviennent que
ndre en même temps la pathugénie des troubles transitoires et des
troubles
qui deviennent quelquefois permanents. Latham,
i deviennent quelquefois permanents. Latham, pour démontrer que les
troubles
visuels, en particulier, dépendent bien d'une e
quels l'accès n'est pas migraineux et tient le plus sou- vent à des
troubles
de la digestion) devaient conduire bientôt à l'
des troubles de la digestion) devaient conduire bientôt à l'idée de
troubles
circulatoires dans le cerveau. Ce sont les trou
t à l'idée de troubles circulatoires dans le cerveau. Ce sont les
troubles
du langage et de l'intelligence, la sensation de
s que pour l'anémie cérébrale, et ils s'effacent aussi vite que les
troubles
visuels, tandis que la migraine (dont la patho-
ection, il restait encore à préci- ser davantage la localisation du
trouble
circulatoire. Raullet dit : « L'anémie transito
bord plus vrai- semblable, en raison de l'association fréquente des
troubles
de la sensibilité générale et, spéciale, qui ne
ensibilité générale et, spéciale, qui ne pourraient, dans le cas de
trouble
de la circulation corticale, coïncider avec l'a
ticale, coïncider avec l'aphasie, sans être suivis en même temps de
troubles
moteurs, à moins d'admettre des troubles circul
re suivis en même temps de troubles moteurs, à moins d'admettre des
troubles
circulatoires localisés, mais occupant plusieur
el, que l'on observe dans la migraine ophtalmique, se rapproche des
troubles
de la vision que l'on rencontre chez plusieurs
uteurs (Nothnagel) nient que ses altérations puissent provoquer des
troubles
visuels. Même en admettant possible ce cas, l'h
a ligne médiane, pourraient bien difficillement donner lieu à des
troubles
visuels monoculaires ou hémiopiques, et ces troub
ner lieu à des troubles visuels monoculaires ou hémiopiques, et ces
troubles
devraient s'accompagner d'une mydriase maxima,
d'une mydriase maxima, avec aboli- tion du réflexe pupillaire et de
troubles
de la motilité des yeux. Il doit donc s'agir, d
ant les accès, il y a cécité verbale ou surdité verbale ou d'autres
troubles
analogues. Une observation de Charcot (rapporté
Féré) et quelques autres de Raullet, démontrent l'existence de ces
troubles
, dont on pouvait déjà se douter d'après les tro
istence de ces troubles, dont on pouvait déjà se douter d'après les
troubles
de la parole, de la mémoire et de l'intelligenc
s observés pendant les crises d'amblyopie transitoire. Or, tous ces
troubles
sont encore un signe du siège superficiel (cent
transitoire, dans le lobe occipital (Samelsohn) 2.. Et, même les
troubles
de la parole, si souvent observés pen- dant les
les crises d'amblyopie transitoire, doivent s'attribuer non pas au
trouble
de l'activité psychique pour l'articulation des
En effet, il semble, d'après les nombreuses observations, que les
troubles
de la parole accompagnant l'amblyopie tran- sit
le côté droit du champ visuel. Cela prouverait, d'accord avec les
troubles
de la parole et avec les observations d'épileps
u de scintillement), elle siège le plus souvent du même côté où les
troubles
moteurs et sensitifs vont se déclarer, dans le
si peu connue. On rapporte des cas d'amblyopie transitoire, où le
trouble
de la vue occupait la moitié supérieure du cham
te, accompagnée de mi- graine) nous a prouvé que le plus souvent le
trouble
siège dans l'hémis- phère gauche. . l'amblyop
ale), les phénomènes de l'épi- lepsie partielle démontraient que le
trouble
cortical intéressait les deux hémisphères. d)
utre part, le nombre de cas de migraine vulgaire non accompagnée de
troubles
visuels est beaucoup plus con- sidérable que le
aineux et l'amblyopie transitoire comme des formes rudimentaires de
troubles
nerveux, le plus souvent stigmates élémentaires
s observa- tions enregistrées, si le syndrôme migraineux n'était le
trouble
pour lequel le malade plus facilement est amené
syndrôme migraineux peut s'attarder d'une heure et même plus sur le
trouble
visuel ; et que, chez les individus où ce troub
même plus sur le trouble visuel ; et que, chez les individus où ce
trouble
précède de quelque temps la migraine, dans les
(migraine à amblyopie), la physiopathologie semble se rapprocher du
trouble
de circula- lion cérébrale que nous avons admis
sitoire 'est sûrement de nature hystérique ou intimement liée aux
troubles
superficiels du cerveau qui provoquent l'épilepsi
s, t. XXIV. ' 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. simplement prédisposés au
trouble
du système nerveux, il n'est pas très rare de v
névropathes, c'est-à-dire chez les individus qui sont ' atteints de
troubles
nerveux plus ou moins graves et fugaces, très v
c la migraine, ou avec d'autres névralgies, ou bien encore avec les
troubles
passagers de la sensibilité, de la palpitation
- giques plaident tous, et vaillamment, pour le siège cortical du
trouble
fonctionnel qui provoque l'amblyopie transitoire.
l du trouble fonctionnel qui provoque l'amblyopie transitoire. Le
trouble
, très probablement circulatoire (anémie tempo-
sensorielle s'unit à l'amblyopie transitoire, il est clair que les
troubles
gagnent d'autres centres psycho-sensitifs et psyc
ie partielle, comme dans mon observation à la page 10, c'est que le
trouble
cortical a changé de territoire, se trans- port
portant sur l'écorce visuelle. Même dans le territoire visuel, le
trouble
peut changer d'endroit. Chez cette malade, les cr
ions étaient respectés, c'est-à-dire que dans chaque hémisphère les
troubles
gagnaient de préférence l'écorce visuelle desti
Voilà, ci-dessous résumés, les arguments qui plaident en faveur du
trouble
circulatoire, plus probablement anémie tem- por
mie tem- poraire : 1° L'apparition et la disparition soudaine des
troubles
visuels ; 2° Le fait, que même dans le début
toire avec des mala- dies nerveuses (neurasthénie, hystérie) où les
troubles
vaso- moteurs (phénomènes vaso-constricteurs et
fait que l'anémie générale est certainement capable de produire des
troubles
visuels passagers, de même que lacon- gestion c
équents qu'elles subissent pendant les accès, devenir le siège d'un
trouble
de nutrition Leçons sur les maladies du système
de Trousseau, G. Sée, Swanzy ' et Fitzgérald 2, concernant des "
troubles
visuels persistants chez des choréiques, et enfin
ie transitoire, considérons rapidement les différentes formes de ce
trouble
, pour les mettre d'accord avec leurpatho- génie
xation, rendant le malade parfaitement aveugle, démontrent que le
trouble
fonctionnel dans la même hémisphère (plus souvent
VII, 1877, p. 121. . Arch. f. Psclaiat., 1876, p. 142. 5 Robin. -
Troubles
oculaires dans les maladies de l'encéphale. Paris
438 CLINIQUE NERVEUSE. Et tout cela, même sans migraine et autres
troubles
acces- soires ! 1 Si, dans le scotôme scintil
ation reste le .plus souvent respecté, c'est justement parce que le
trouble
visuel a, dans ce cas, la forme hémiopique, et
re anesthésie cortico-visuelle) des hystériques. Le plus souvent le
trouble
de l'amblyopie transitoire atteint une seule hé
'amblyo- pie transitoire, centraient binoculaire, devait tenir à un
trouble
dans l'écorce visuelle centrale des deux hémisp
ns la plupart des cas qualifiés de migraine ophtalmique ce sont les
troubles
visuels qui ouvrent la marche, ' Forster. Ueber
ement à noter dans les cas d'ambliopie transitoire, quelle forme ce
trouble
visuel présente (scotôme périphérique scintilla
ntral, hémiopie, etc.) et s'il est accom- pagné ou non par d'autres
troubles
nerveux (migraine, aphasie, épilepsie partielle
ndrome migraineux, ou celui de l'épi- lepsie partielle, précède les
troubles
oculaires et s'impose davantage par sa gravité,
ée (plus qu'accom- pagnée) lorsque dans les accès il y a encore des
troubles
de la parole, de l'intelligence, ou de l'épilep
être rangée, dans la plupart des cas, comme la migraine, parmi les
troubles
nerveux pure- ment dynamiques. Même dans les
e que le tabès ou la démence paralytique, ces accès sont dus à un
trouble
fonctionnel passager du cerveau. L'analogie entre
nérale), est démontrée soit par la fréquence avec laquelle les deux
troubles
se présentent ensemble (migraine ophtal- mique)
ent ensemble (migraine ophtal- mique), soit par les cas où les deux
troubles
s'alternent et se substituent l'un à l'autre.
I. L'amblyopie transitoire est essentiellement caractérisée par des
troubles
oculaires différents, tels que l'hémiopie, les
ète, comme dans les cas typiques de scotôme scin- tillant. t.. Le
trouble
visuel se déclare et disparait plus ou moins sou-
ucinations, dû à l'irrita- tion des centres corticaux visuels où le
trouble
circulatoire a lieu. Puisque le plus souvent le
ypérémie collatérale ? ...) de la région de l'écorce visuelle où le
trouble
circulatoire provoque le sco- tôme (centre des
es aux deux moitiés rétiniennes du même côté). · Parfois d'autres
troubles
oculaires accompagnent l'amblyopie transitoire.
ourraient faire songer à une attaque de glaucome (Dia- noux). Les
troubles
visuels sont souvent accompagnés par le syn- dr
rviennent généralement sur un point limité de la tempe, du côté des
troubles
visuels, et s'irradient plus ou moins intenses
du côté de la face, des phénomènes divers du côté des membres, des
troubles
plus ou moins localisés de la sensibilité ou de
ont assez espacés, ont une durée très courte et ne laissent aucun
trouble
persistant, même lorsque les accès reviennent pen
dans la journée) ou accompagnés de violentes migraines ou d'autres
troubles
nerveux, le malade se présente à la consultatio
Il peut aussi être amené à consulter, à cause de la persistance du
trouble
visuel ou de quelque trouble ner- veux qui en c
onsulter, à cause de la persistance du trouble visuel ou de quelque
trouble
ner- veux qui en complique les accès. Ce passag
uelque trouble ner- veux qui en complique les accès. Ce passage des
troubles
ner- veux occasionnels à l'état permanent, est
qui ne révèlent aucun autre état morbide, tien- nent toujours à des
troubles
passagers dans lesquels les trou- bles vaso-mot
nnelles (un travail intellectuel prolongé, un excès quelconque, des
troubles
de la digestion) et dans plusieurs de ces cas l
nque, des troubles de la digestion) et dans plusieurs de ces cas le
trouble
vaso-moteur cérébral peut être envisagé comme u
et pendant la sensation de faim, ou même sans cause appréciable, le
trouble
circulatoire des centres cor- ticaux est idiopa
t ans et quel- ques-unes chez des vieillards, où le plus souvent le
trouble
visuel a remplacé les attaques migraineuses.
hérédité nerveuse (goutte ou diabète) y joue un grand rôle. V. Le
trouble
fonctionnel qui cause l'amblyopie transitoire s
e cuneus et la circonvolution occipitale superieure), à la suite de
troubles
circulatoires, donnerait au malade, d'après la
s autres formes de l'amblyopie tran- sitoire nous démontrent que le
trouble
peut commencer ou s'étendre dans n'importe quel
(surtout les cas relatés par Féré) démontrent la possibilité que le
trouble
atteigne les deux hémisphères, alternativement
a une signification plus grave, surtout dans ce dernier cas, où les
troubles
corticaux tiennent à des lésions qui vont deven
es maladies nerveuses, l'amblyopie transitoire est rangée parmi les
troubles
subjectifs de la vision, puisqu'ils sont perçus
avorter, surtout s'il survient après un jeûne prolongé ou après un
trouble
de la digestion à peine com- mencée. Il en est
L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 447 î 18. Baron. - Etude clinique sur les
troubles
de la vue chez les hystériques. (Th. de Paris,
rose partielle temporaire. (Th. de Paris, 1880.) 21. A. Robin. Des
troubles
oculaires dans les maladies de l'encé- phale. (
(Progrès médical, 1881-82.) 26. Féré. - Contribution à l'étude des
troubles
fonctionnels de la vision par lésions cérébrale
de Neurologie, 1890.) 44. A. Marie. - Contribution ci l'étude des
troubles
oculaires dans la paralysie générale. (Th. de P
idées telles qu'elles s'appliquent chez tous les hommes, mais d'un
trouble
particulier de la volonté. Ce trou- ble, cette
fantastiques, tels que chutes de chevaux, graves accidents..., etc.
Troubles
gastriques, constipation, douleur de ventre, do
centimètre en faveur du côté droit. - Réflexes rotuliens normaux.
Troubles
de la sensibilité. Hémianesthé51e gauche très acc
la lumière du jour des ténèbres de la nuit. Pas de nystagmus. Aucun
trouble
apparent des membranes de l'oeil. Rétrécissemen
er à la sclérose en plaques : vertiges, attaques apoplecti- formes,
troubles
oculaires, troubles de la parole, tremblement i
plaques : vertiges, attaques apoplecti- formes, troubles oculaires,
troubles
de la parole, tremblement intentionnel. Cependa
lectiformes rentraient dans la descriptton de Debove et Achard, les
troubles
oculaires étaient caractérisés par une amorauso
neurasthéniques : agora- phobie, douleur de la nuque et des reins,
troubles
digestifs. Les deux autres attaques apoplectiqu
es deux catégories principales, l'une dans laquelle prédominent des
troubles
intellectuels et des manifestations délirantes
trouve des formes mixtes dans lesquelles on rencontre à la fois les
troubles
de l'intelligence combinés avec ceux de la sensi-
de l'intelligence combinés avec ceux de la sensi- bilité morale.
Troubles
intellectuels chez les dégénérés psychiques. - En
idus tantôt considérés comme aliénés, tantôt comme malfai- teurs.
Troubles
moraux chez les dégénérés psychiques. - La perver
peut observer par exemple la conservation de la conscience avec le
trouble
psychique le plus accentué. La solidarité qui rel
cultés morales et intellectuelles fait le plus souvent défaut : les
troubles
sont prédominants tantôt du côté moral, tantôt
lir l'existence ou la non-existence d'une maladie mentale ou d'un
trouble
psychique, il peut et doit préciser les rapports
sateur convaincu et non un partisan de la théorie des psychoses par
trouble
fonctionne] généralisé,'de l'unité du psuké. Du
ce que l'on peut considérer comme les génératrices ou les foyers de
troubles
psy- chiques, ou bien, si l'on préfère, comme l
nt à mesure que les isolements se multiplient. L'évolution de leurs
troubles
intellectuels qui n'est point conforme aux ense
flexe patellaire douleurs lancinantes signe de Romberg z vertiges -
troubles
de la parole affaiblissement de l'intelli- genc
s l'inversion génitale; en outre on constate chez ces sujets-là des
troubles
nerveux, de la neurasthénie, du moins chez la p
ion sexuelle n'est pas une maladie mentale quand il n'existe pas de
troubles
du système nerveux d'un autre ordre ou d'accide
du 13 juillet 1891. - Présidence DE M. JOLLY. M. HIRSCEIBERG. 'Des
troubles
de la vue par tumeur cérébrale avec présentatio
omberg, l'incontinence d'urine, le signe de Westphal. Ni ataxie, ni
trouble
de la sensibilité. La paralysie agitante se révél
bes avec le reste de l'encéphale, on ne constate par la suite aucun
trouble
appréciable dans l'attitude de l'animal. Le D''
rès, a décrit un phénomène assez curieux, que je considère comme un
trouble
de l'attention. Certaines per- sonnes ne peuven
onvoN et J.-B. CHARCOT. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BLOCQ (P.). Les
troubles
de la marche dans les maladies nerveuses. Volum
8; -Clinique des maladies du système nerveux, par Charcot, 139; -
Troubles
du langage chez les aliénés, par Séglas, 140;
ématique et obsession, par Mercklin, 69. GOITRE EXOPHTHAL311QT7E,
troubles
délirants dans le , par Ray- mond, 312; anato
cé- rébraux de la -, par Bechterew et Mislanski, 263. LECTURE,
troubles
de la -, par Weissenberg, 76. Localisations c
Paralysie générale, à forme circu- laire, par Rottenbiller, 72; -
troubles
de la parole par accès dans la par Koenig, 100;
oeppen, 280. PARA3fYCLONUS MULTIPLES, par IIomen, 83. Parole (
troubles
de la) insuffi- sance des localisations pour ex
ar Cochez, 470. Secret médical, par Thivet, 293. Sens musculaire (
troubles
du), par Auton, 98. SENS génital (inversion d
; pour tumeur cérébrale, par liages Agnew, 272. Tumeur cérébrale,
troubles
vi- suels par -, par Hichsberg, 83, par Chris
dre effort, et qui sem- blent liées à une insuffisance mitrale. Les
troubles
osseux, très typiques, ne permettent aucun dout
- nique, l'élargissement de toutes les phalanges, l'absence de tout
trouble
articulaire, infirment absolument ce diagnostic
ue lui-même, et nous ne ferions intervenir, pour l'expliquer, aucun
trouble
surajouté (inflammatoire ou autre) : car, dans
. Aux dires de la malade ce serait surtout depuis cet ictus que les
troubles
osseux seraient de- venus plus manifestes. NO
ade dut s'aliter : il est remarquable de noter que ce sont pour ces
troubles
de la sensibilité car- diaque que la malade a d
e se base tout d'abord sur des analogies ; à la suite de cer- tains
troubles
nerveux peuvent se développer des accidents osseu
arcot et Mor- veau attribuent la scoliose des syringomyéliques à un
trouble
trophique des vertèbres; et une telle origine e
n cas,certaines manifestations nerveuses (exagération des réflexes,
troubles
vésicaux) ; Gilles de la Tourelle et Marinesco
EL ET PIERRE-WEIL l'ostéite déformante, être dues par exemple à des
troubles
vasculaires dans 1 le domaine des artères spina
e la cause de la maladie osseuse. Elles sont liées sans doute à des
troubles
de l'irrigation vasculaire de la moelle ; certa
ésions médullaires ne sont pas primitives mais bien secondaires aux
troubles
articulaires. « Il est certain qu'une arthrite
e seraient-elles pas dues à l'athérome des vasa-vasorum ? ' ? Les
troubles
artériels d'origine artério-scléreuse sont en eff
que la sclérose cardiaque, l'emphysème, la bronchite chronique, des
troubles
de la vision, déroute, de la fonction hépatique
té des extrémités ailiculaires, ne s'accorde guère avec l'idée d'un
trouble
trophique d'origine nerveuse ; elle s'explique mi
uente chez les pagétiques que l'on peut assurer qu'elle provoque ce
trouble
osseux, car, combien n'y a-t-il pas d'artério-s
tisme chronique. La constatation fréquente, chez les pagétiques, de
troubles
« arthriti- ques » ou « herpétiques » (Lancerea
Lancereaux) ; d'autre part la constatation fré- quente de ces mêmes
troubles
chez les rhumatisants chroniques, a pro- voquél
r, 1890, p. 52, . A PROPOS d'un cas D'OBSTÉITE DHFORMANTR 3 3 Les
troubles
arthritiques sont fréquents chez les pagétiques ;
à peu près, il existe de l'hypoesthésie plantaire et aussi quelques
troubles
sphinctériens caractérisés d'abord par des mictio
s plus tard. C'est postérieurement à cet incident qu'apparurent les
troubles
de la démar- che : talonnemeut, incoordination,
'à présent bien obscure. C'est assurément la théorie qui invoque un
trouble
dans la nutrition osseuse, théorie soutenue aus
ui correspond le mieux à la réalité des faits. Mais d'où vient ce
trouble
, quel est son mécanisme intime ? C'est un point
eloppé. Les organes thoraco-abdominaux ne semblent pas présenter de
troubles
importants. La malade ne présente pas de tach
ère de voir, mais il considère la scoliose des adolescents comme un
trouble
de la nutrition en rapport avec une insuffisanc
r.,lcmw. Seulement il 36 PARHON ET JIANO faut se demander si le
trouble
n'est pas en relation, au moins dans un certain
blable. Kirmisson rapproche la scoliose de l'adolescence d'un autre
trouble
squeletlique qu'on observe également à cette ép
Il s'agit du genu valgum. Or il ne nous semble pas douteux que ce
trouble
présente également des rapports avec certaines
surtout dans celle dite de l'adolescence il faut faire la part d'un
trouble
de la fonction thyroïdienne (et peut-être d'aut
n thyroïdienne (et peut-être d'autres glandes à sécrétion interne),
trouble
de nature plutôt hyperfonc- tionnelle. Il y a
he Med., Bd. 43, Heft 3, 1901. 13. Il IU611 ILTI : R et GUÉRIN, -
Troubles
des échanges nutritifs dans le myxoedème in fun-
ormalement. Nous verrons dans la suite comment on peut expliquer ce
trouble
fonctionnel de l'abaisse- ment de la mâchoire i
r de la langue (glossopharyngien). Chez notre malade on observe des
troubles
plus ou moins accentués du côté de la phonation
phonation. - La malade parle à voix très basse, presque aphone. Ce
trouble
s'est constitué peu à peu en même temps que les a
cles arythénoïdes et crico-arytlénoïdes latéraux. En conclusion les
troubles
laryngiens chez notre malade peuvent se résumer
de même que l'examen électrique des muscles de la langue. Tous les
troubles
que nous avons constatés chez la malade pendant
itale, palpation d'une saillie osseuse par le toucher pha- ryngien,
troubles
dans la déglutition et dans la phonation. Etant
santé, pendant le transport d'une lourde charge, est prise par des
troubles
de la motilité 52 BERTOLOTTI du cou. Ces trou
t prise par des troubles de la motilité 52 BERTOLOTTI du cou. Ces
troubles
vont en augmentant peu à peu en même temps que
a région cervicale postérieure et des épaules. En plus il existe de
troubles
laryngiens caractérisés par une paralysie de la
ibilitéd'un liraillement porté sur les racines cer- vicales. Si les
troubles
de la motilité eussent été seulement à gauche, du
oelle cervico-dorsale a un début bien différent, s'accompagne à des
troubles
de la sensibilité, à des altérations trophiques
ophie cantonnée au muscle de la région cervicale postérieure et les
troubles
statiques et dynamiques survenus dans la colonne
de sa grossesse, que notre malade commença à ressentir ses premiers
troubles
; elle se sen- tait toujours fatiguée, et tandis
e de l'homme. 56 BERT0L0TTI pendant trois jours à la suite de ces
troubles
soudains qui l'avaient frap- - pée en transport
jeune femme de 24 ans qui,pendant un grossesse, fut frappée par des
troubles
de la déglutition et de la phonation, le médeci
61 Il existait un souffle systolique sur la pointe du coeur et les
troubles
étaient survenus soudainement pendant une gross
. Or il faut noter que, chez le malade en question, il existait des
troubles
du larynx et du voile du palais. Citons encor
enté une hémiatrophie de la langue, une hémiparésie de voile et des
troubles
parétiques de la corde vocale du même côté. Les
n bilatérale des noyaux de la XIe paire et la malade présentait des
troubles
paralytiques symétriques du voile du palais et
re ma- lade ont été retrouvés indemnes, il est bien certain que les
troubles
laryngiens et du voile du palais doivent être m
ans la musculature du voile et de la portion supérieure du pharynx,
troubles
parfaitement analogues à ceux produits chez les a
cause. Nous rappellerons la régularité du pouls, l'absence de tout
trouble
cardiaque ou des troubles vaso-moteurs. Nous av
la régularité du pouls, l'absence de tout trouble cardiaque ou des
troubles
vaso-moteurs. Nous avons observé, il est vrai,
observé l'intégrité absolue de la Xe paire soit pour l'absence des
troubles
sensitifs dans l'innervation du larynx, soit pa
spasmes fonctionnels, névroses ou dyskinésies fonctionnelles à des
troubles
moteurs qui ne se produisent qu'à l'occasion d'
premier propose le terme de spasmes fonctionnels pour désigner ces
troubles
: « J'appelle spasmes et impotences fonctionnel
nnels exécutés par la main et les doigts, mais on peut observer des
troubles
analogues aux membres inférieurs et aux muscles
osé parJaccoud (80). Il nous semble répondre mieux à l'ensemble des
troubles
observés, sans préjuger de leur nature. De même
erait une fâcheuse erreur d'assimiler, ne fût-ce qu'un instant, les
troubles
moteurs des dyskinésies professionnelles à ceux
que nous garderons l'expression de crampes professionnelles. Les
troubles
moteurs communs à ces différentes impotences fonc
cousses c Ioniques ; parfois des tremblements et parfois encore des
troubles
parétiques. Mais, ainsi que le fait remarquer M
eurs qui frappent l'esprit de l'individu, exagèrent par là même son
trouble
et le mettent dans l'in- capacité bientôt absol
urs qui, comme Sa- vill (198), pensent qu'il existe dans ces cas un
trouble
de fonctionne- ment de la substance grise céréb
ri- phérique n'est pas visible. Peut-être s'agit-il simplement d'un
trouble
dynamique, physiologique, passager, de ces cell
le cas des spasmes fonctionnels, ces névroses se traduisent par un
trouble
du mécanisme de coordination, le terme de névro
approprié- une altération vasculaire localisée au membre atteint du
trouble
fonctionnel. Voici tout d'abord une observation
écrire vite, et le malade devait s'arrêter encore. Peu à peu les
troubles
fonctionnels augmentèrent d'intensité. M. B... tr
ge à elle ; l'émotion, l'écriture en public, augmentaient encore le
trouble
. C'est dans ces conditions qu'il vint consulter
re d'uu rétrécissement mitro-sigmoïdien ou sous-aortique. Quant aux
troubles
fonctionnels angineux, ils pouvaient être imput
ardait l'impossibilité de marcher vite. Les mois suivants, tous ces
troubles
fonctionnels diminuèrent progressi- vement : la
in nombre de caractères com- muns : ce sont les fourmillements, les
troubles
de calorificalion dans les mains ; puis les dou
i de Kronenberg, l'influence du psychisme sur la spécialisation des
troubles
moteurs ? On sait que l'expérimentation physiol
calisée à l'écorce cérébrale, et chez lesquels on voit survenir des
troubles
vaso-moteurs dans les membres paralysés, troubl
voit survenir des troubles vaso-moteurs dans les membres paralysés,
troubles
qui existent toujours à un certain degré (froideu
vaso-moteurs, d'où spasme artériel périphérique venant aggraver les
troubles
circulatoires d'un membre déjà atteint, et que l'
parce qu'ils augmentaient le spasme vaso-moteur. Ainsi, à côté de
troubles
circulatoires, d'origine purement artérielle, s
e plus vers l'importance du rôle psychique dans la produc- tion des
troubles
à la fois moteurs et vaso-moteurs, sans qu'on pui
crivains. Par un examen un peu attentif on pouvait affirmer que les
troubles
moteurs n'étaient pas la cause du trouble vascu
pouvait affirmer que les troubles moteurs n'étaient pas la cause du
trouble
vasculaire, et qu'inversement les troubles vascul
n'étaient pas la cause du trouble vasculaire, et qu'inversement les
troubles
vasculaires n'étaient pas la cause immédiate de
crampe et l'anriospasme parais- saient être sous la dépendance d'un
trouble
cortical, au même titre que le déséquilibre psy
s, l'observation de Brissaud, Hallion et Meige, nous montre que les
troubles
vasculaires peuvent être, comme les troubles mo
e, nous montre que les troubles vasculaires peuvent être, comme les
troubles
moteurs, d'origine centrale. C'est un lien de p
peutique locale appropriée amènera plus rapidement la sédation des
troubles
. De ces lésions musculaires ou tendineuses on p
es jours, le malade qui s'étu- diait attentivement, observa que les
troubles
de l'écriture augmentaient d'in- tensité ; la m
geant de porte-plumes, à éviter les contractions des doigts mais les
troubles
augmentèrent encore d'intensité. Se persuadant
.. restait fortement touché ; plus il pensait à sa crampe, plus les
troubles
s'accusaient ; s'il était obligé d'écrire en pu
ont rapporté des observations de crampes pro- . fessionnelles avec
troubles
sensoriels : tantôt douleurs névralgiques, tant
s anesthésies dans le territoire cutané correspondant, soit par des
troubles
trophiques et la réaction électrique de dégénér
urvenant au moment où les doigts pressaient le pis. On trouvait des
troubles
de la sensibilité sur le territoire du radial d
19 cas). décrite par Zander (209) chez des joueurs de tambour, avec
troubles
de la sensibilité, par suite delà contraction r
d'origine névriti- que des crampes professionnelles, c'est que, le
trouble
sensitif ou mo- teur une fois établi, ne s'obse
ension apparut dans le quatrième doigt, sans aucune douleur et sans
troubles
de sensibilité. Le jeu du hautbois devint ainsi i
t d'une partie des muscles de l'éminence thénar ; il n'existe aucun
trouble
de sensibilité. L'impotence fonctionnelle est p
emples dans la littérature médicale; tous ces cas s'accompagnent de
troubles
mentaux plus ou moins marqués, comme nous l'avo
renoncer bientôt définitivement au travail. On ne constatait aucun
trouble
de la sensibilité, ni du bras, ni de l'avant-bras
e provoquait aucune sensation anormale, ni aucune recrudescence des
troubles
moteurs. Et cependant, si l'on voulait faire éc
hydrothérapie, du bromure de potassium, de la psychothé- rapie, les
troubles
disparurent progressivement au bout d'un mois, et
céréhraleou cérébelleuse, diffuse ou en foyer, ou qu'il y a simple
trouble
dynamique des cellules nerveuses préposées à te
int. Nous voulons simplement dire que, dans la plupart des cas. les
troubles
moteurs apparaissent nettement t ÉTUDE SUR LES
UDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES S 89 comme la conséquence d'un
trouble
mental. On peut voir en effet, dans presque tou
s; c'est l'association fréquente des névroses d'occupation avec des
troubles
mentaux ; c'est ensuite le passage facile d'une
se crispaient et la plume ne pouvaient tracer les lettres. Ainsi le
trouble
se localisait sur une fonction déjà affaiblie e
rtant à noter, et qui montre bien encore l'ori- gine mentale de ces
troubles
, deux ans plus tard survinrent des spasmes de l
atteints de spasme fonctionnel, l'émotion augmente notablement les
troubles
. Elle peut même suffire à ramener la névrose. Ain
ans, émettre de sons, par impossibilité de remuer la langue : or ce
trouble
n'apparaissait que lorsque le malade devait jou
rire indéfi- ment. t. 2° Crampes professionnelles associées à des
troubles
mentaux. Nous avons déjà fait remarquer que, en
, qui, sous l'influence d'une émotion, pouvait avoir deux sortes de
troubles
: tantôt, devenant agité, il ne pouvait plus te
r à pleine paume, ou bien se servir de la main gauche. Toutefois ce
trouble
fut très passager, et il n'en subsiste rien actue
tendance à se tourner vers l'épaule droite. Les jours suivants, les
troubles
se précisèrent, et arri- vèrent au point où nou
u ressort de la mythomanie de Dupré. D'autres phénomènes enfin, les
troubles
vaso-moteurs et trophiques, ne paraissent plus
ée suffisamment sur certains désordres psychopathiques,tels que les
troubles
de la cénesthésie,les délires de lazoopathieint
ui n'ont aucun stigmate physique ou psychique de l'hystérie. a Le
trouble
mental qui constitue les hallucinations psychomot
De telles extravagances pathologiques, de même que les trop fameux
troubles
trophiques qui firent le succès des anciennes sti
ue de conceptions grandiosement cruelles il la genèse desquelles un
trouble
mental n'est peut-être pas étranger. (1) Voy.
plaque de mica. La durée d'application varie de 24 96 heures : les
troubles
sont, d'une manière générale, proportionnels à
ndividuelles. Outre les modifications de la peau, ils consistent en
troubles
nerveux, presque uniquement d'ordre paralytique,
sont, pour la plupart, que l'ex- pression directe ou indirecte d'un
trouble
général de la circulation et de la nutrition, p
r la totalité des altérations possibles. Nous n'avons observé aucun
trouble
ni de la santé générale, ni du sys- tème nerveu
commun et avec le tremblement des extrémités paraly- sées. Mais les
troubles
pédonculaires peuvent dépasser les limites habitu
and résultat, sauf qu'elle pouvait mieux marcher et n'avait plus de
troubles
sphinctériens. A l'hôpital et aussi à la maison
n'insistons pas tant sur la nature de la lésion qui a provoqué les
troubles
décrits chez notre malade, parce que la chose est
e même, est exclue parce qu'on voit que nous avons affaire avec des
troubles
nettement organiques,et puis il n'y a pas de st
et de la langue. Pas d'atteinte des sensibilités sensorielles, pas de
troubles
de la déglutition, pas de ptyalisme. L'articu
pose, et il est dès lors facile de se rendre compte qu'il n'y a ni
troubles
d'élocution, ni troubles de compréhension, ni a
facile de se rendre compte qu'il n'y a ni troubles d'élocution, ni
troubles
de compréhension, ni atteinte de la sphère psychi
ifférentes sensibilités sont conservées du côté hémiplégie ; pas de
troubles
trophiques importants. A droite, il y a une exagé
réflexe du genou est vif, le signe de Babinski positif. Il y a des
troubles
manifestes du côté du langage et de l'articulatio
izon intellectuel un peu vaste, est suffisamment conservé, mais les
troubles
d'articulation se compli- quent d'un retard not
sont restreintes, mais il en a été, paraît-il, toujours ainsi. Pas de
troubles
des sphincters. Crises spasmodiques. - Sur ce
événements qu'ont apparu les crises spasmodiques de pleurs. . Les
troubles
paralytiques persistants sont des troubles de con
odiques de pleurs. . Les troubles paralytiques persistants sont des
troubles
de contracture très atténuée. Les autres appare
igne de Babinski positif; à gauche ils sont plutôt diminués. Pas de
troubles
sphinctériens, ni de troubles trophi- ques impo
uche ils sont plutôt diminués. Pas de troubles sphinctériens, ni de
troubles
trophi- ques importants, pas de paralysies ocul
es de ses tra- vaux et son interprétation s'applique aussi bien aux
troubles
paralytiques qu'aux troubles spasmodiques où s'
terprétation s'applique aussi bien aux troubles paralytiques qu'aux
troubles
spasmodiques où s'étale nettement le syndrome rir
on de la mimique, en rapport avec les circonvolutions frontales. Un
trouble
dans la grande voie cortico-thalamo-bulbaire amèn
lus, quelques phénomènes d'origine bulbaire, et un certain degré de
troubles
du langage. La thérapeutique employée chez chac
ants. Personne dans sa famille ni dans son entourage ne présente de
trouble
du langage ; il n'a jamais vu personne qui soit
de 22 il 23 ans se sont produits les phénomènes spasmodiques et les
troubles
de la parole dont il est aujourd'hui atteint. C
ros effort pour parler. Lorsque l'interrogatoire se prolonge, les
troubles
, en 5 à 10 minutes, attei- gnent leur maximum.
basse, les mêmes phénomènes spasmodiques se produisent. Tous ces
troubles
sont intermittents : légers au début d'une conver
a parole devient normale ; dès que le mouvement violent a cessé les
troubles
reparaissent. A la difficulté de l'élocution s'
r. Pas d'essoufflement, pas de toux, pas d'expectoration ; Pas de
troubles
de sensibilité ; pas de douleurs ; Force normal
s à vérifier objectivement pendant les crises se traduisent par les
troubles
dans le son de la voix du malade, sans phénomèn
publi ons diffère des précédents par une extension plus grande des
troubles
musculaires, par une allure clinique plus délicat
t des membres inférieurs ; elle a de l'infanti- lisme mental et les
troubles
qu'elle présente sont intermittents ; il faut q
artilage serait secondaire à une dystrophie de cause générale, à un
trouble
de la fonction ou du développement de quelque o
es génitales soit altérée dans les cas d'achondroplasie pure. Les
troubles
fonctionnels des glandes à sécrétion interne doiv
he 56 jiihrigen Frau. Berliner. klin. Woch., n. 48, 1903. VARIOT. -
troubles
de l'ossification dans le myxoedème et l'achondro
ne, même dans le, cas de ESSAI SUR LA PHYSIOLOGIE DE L'ESPRIT 171
trouble
circulatoire, dans la syncope. N'avons-nous pas d
e l'ohjet n'a rien perdu de son pou- ,voir excitateur, mais dans un
trouble
intérieur. Si je devais, à mon tour, tenter d'e
éhensibles si 'on ne les rattache à un vice de fonctionnement, à un
trouble
, à une inhibition de mouvements automatiques. L
aux postes, est âgé de 27 ans; très neurasthéni- que, souffrant de
troubles
dyspeptiques, il vit, à l'âge de 23 ans, apparaît
nde majorité des crampes professionnelles ne s'accompagnent d'aucun
trouble
anatomique appréciable, et semblent relever uni
les faits sont là qui démontrent que très souvent, à l'origine des
troubles
, on trouve une intoxication, soit professionnelle
me par cela seul amener dans certains cas la cessation complète des
troubles
. II. SYMPTOMATOLOGIE De toutes les névroses c
nt difficiles à mouvoir ; s'il veut persister dans son travail, les
troubles
augmentent ; souvent des douleurs apparaissent
l ! Jti- que. Jaccoud distinguait quatre variétés : ]'akinpsie, les
troubles
de stabilité (tremblements), l'ataxie, et l'7ap
oit ; tous les muscles et tendons semblent normaux ; il n'existe ni
troubles
vaso-moteurs, ni troubles de la sensibilité. Tous
tendons semblent normaux ; il n'existe ni troubles vaso-moteurs, ni
troubles
de la sensibilité. Tous les orga- nes sont sain
u d'écrire quel- ques lignes, puis bientôt reparaissaient les mêmes
troubles
fonction- nels. » En somme, dans celle variét
disparaissent aussitôt, pour revenir à la' première tentative. Ces
troubles
peuvent relever d'un simple phénomène d'arrêt q
hologiques permettent d'ailleurs de recon- naître la succession des
troubles
; on voit d'abord quelques lettres bien tracées,
droit, aucune lésion périphérique appréciable pouvant expliquer ces
troubles
fonctionnels. M. Br... n'a jamais suivi de trai
limité ri l'acte d'écrire et de jouer du violon ; il n'existe aucun
trouble
somatique appré- ciable. M. A... a malheureusem
un traitement local qui dans bien des cas amènera la cessation des
troubles
, surtout si la névrose n'est point encore profo
mitance d'autres spasmes ou d'autres névroses, sur l'ancienneté des
troubles
, sur l'inefficacité de ÉTUDE SUR LES CRAMPES PR
euse, qui puisse expliquer dans une certaine mesure l'apparition du
trouble
fonctionnel. Mais ce que l'on doit examiner sur
altérations graphologiques, on pourrait être amené à confondre ces
troubles
avecceux que l'on observe parfois dans la paralys
tteint égale- ment le membre supérieur gauche, mais actuellement le
trouble
s'est localisé au membre supérieur droit. Il n'
rouve dans le « mal télégraphique », comme disent les employés, les
troubles
moteurs de la crampe des écri- vains ; ce sont
blis trop longtemps; les distances ne sont plus observées. Tous les
troubles
moteurs cessent lors- que le sujet quilte l'app
c évidemment moins favorable qu'une dyskinésie causée par un simple
trouble
physiologi- que ou dynamique d'origine centrale
rd une enquête minutieuse sur le genre de travail du sujet, sur les
troubles
que le ma- lade accuse, sur les circonstances d
idents, et bien examiner si, en dehors de l'acte professionnel, les
troubles
n'apparaissent point. Il sera dès lors facile d'é
cupation, les spasmes banaux, les tics, et il plus forte raison les
troubles
moteurs des maladies organiques : chorées, tabè
rie, cette grande simulatrice, en par- ticulier dans les cas où les
troubles
moteurs sont apparus à la suite d'un traumatism
s pouvaient, môme inconsciemment et sans vouloir frauder, avoir des
troubles
moteurs de nature hystérique à la suite d'accid
DE LÉPINAY crampes professionnelles; mais l'origine hystérique des
troubles
pour- rait toujours se reconnaître, - en l'abse
ndineuse, vasculaire ou nerveuse qui puisse expliquer l'origine des
troubles
; mais même si cette cause périphérique existe,
es de la zone spongieuse, diminution d'épaisseur des diaphyses,sans
troubles
de l'accroissement en longueur. Les épiphyses s
à marcher vers 2 ans et demi, niais mal, dès le début ; depuis, les
troubles
n'ont fait que s'accroître. C'est vers 9 ans et d
icile de se rendre compte des altérations, quoique le même genre de
troubles
puissent être relevés (PI. XXVI). Chez Borg...
tres, elles tirent leur origine, comme la dystrophie musculaire, de
troubles
trophiques. » L'examen du maxillaire de Borg...
des anky- loses articulaires. Que ces phénomènes soient dus à un
trouble
trophique atteignant les deux systèmes, ou à un
quatrième a toujours joui d'une bonne santé, n'a jamais présenté de
troubles
ni de manifestations nerveuses. Il est actuelleme
résente nettement une inversion dans la loi des secousses ». Pas de
troubles
de la trophicité et de la sensibilité, sauf l'app
d'une noix, apparue spontanément,et de durée très brève ; et quelques
troubles
douloureux au niveau des sommets. Induration
e 15. La température du soir oscille entre 37° 2 et 37° 4. Pas de
troubles
fonctionnels du territoire urinaire. L'analyse de
du dos est très amaigri. Les omoplates ne sont point saillantes.
Troubles
moteurs. - Les mouvements du tronc sont gênés dan
bien. La rotation du thorax sur le bassin est seule très réduite.
Troubles
sensitifs. - Rien. Troubles trophiques. - Un ce
r le bassin est seule très réduite. Troubles sensitifs. - Rien.
Troubles
trophiques. - Un certain degré d'atrophie des int
abdominales parait conservée. Les vertèbres ne sont pas saillantes.
Troubles
de la réflectivité. - Rien. III. Membres supéri
or- mal ; les mains sont larges, aplaties ; les doigts sont gros.
Troubles
moteurs. La motilité de tous les doigts est conse
nt nor- maux, quoique plus lents. Il n'y a pas de maladresses ni de
troubles
de la pré- hension. La pronation et la supinati
la main, en s'appliquant et en mettant surtout beaucoup de temps.
Troubles
sensitifs. - Absolument rien. Les reclierches fai
ontrent qu'il y a intégrité absolue de toutes les sensi- bilités.
Troubles
trophiques. La peau est légèrement violacée ; hyp
l'articulation huméro-antibrachiale est moins prononcé à gauche.
Troubles
de la réflectivité. Pas de réflexes au membre sup
tibia se prolonge insensible- ment avec le rebord dorsal du pied.
Troubles
moteurs. La mobilisation des membres inférieurs e
et de flexion par suite, de certaines rétractions tendineuses. ?
Troubles
sensitifs. Comme aux membres supérieurs, on ne tr
s de sensibilité. Il n'y a pas non plus de phénomènes douloureux.
Troubles
trophiques. La peau violacée devient blanchâtre l
nou ; les poils ont presque complète- ment disparu. Il n'y a pas de
troubles
trophiques plus saillants de la surface cutanée
ineuses du biceps, du demi-tendineux sont saillants et rétractés.
Troubles
de la réflectivité. Les réflexes rotuliens et ach
nt été plus fortement frappés, et il y a une forte aggrava lion des
troubles
moteurs et trophiques. La cyphose dorso-lombair
et l'atrophie réparties inégalement dans la jambe et la cuisse, les
troubles
trophiques des extrémités, le pied-bot, les rétra
épaule, mais la mobilisation de l'avant-bras est aussi réduite. Les
troubles
de dégéné- .rescence sont nets. Du côté delà
à l'âge de 38 ans à peu près, il commença à ressentir les premiers
troubles
de la maladie actuelle. Ils se manifestèrent pa
que depuis deux ou trois ans qu'il commença à ressentir parfois des
troubles
gastro- intestinaux caractérisés par des crises
humide, pâle et légèrement teintée en jaunâtre. Il n'existe pas des
troubles
trophiques évidents, l'on peut remarquer pourta
esseur Bozzolo de Turin. Il s'agissait d'un homme de 63 ans, où les
troubles
du squelette avaient débuté à l'âge de 32 ans e
général, dans la maladie de Paget il s'agitseule- ment de quelques
troubles
articulaires qui sont secondaires aux altérations
Klippel et Weil, se présentait avec une prédominance très nette des
troubles
trophiques pour le côté gauche. Or nous avons é
des lésions osseuses et articulaires des phalanges, qui révèlent un
trouble
remarquable dans la nutrition des os digitaux (
s pensent, avec raison, que ces nodosités sont une manifestation du
trouble
osseux hypertrophique, puisque leur malade ne p
opie on avait remarqué une augmentation nota- ble de l'aorte. Les
troubles
cardiaques dans l'ostéite déformante de Paget son
echerches cliniques nous portent à admettre dans le cas présent des
troubles
d'artériosclérose avec hypotension. Dans notre ob
vec hypotension. Dans notre observation, on pourrait croire que les
troubles
cardio-vasculaires sont consécutifs aux déforma
e de l'os- téite déformante'de Paget qui serait pour ces auteurs un
trouble
dépendant de la syphilis héréditaire. La théori
te avec diminution des sels minéraux. Il est donc problable que les
troubles
des échanges organiques dans la maladie de Page
mple rétention des phosphates terreux dans l'organisme, mais que ce
trouble
est plus grave et porte directement sur la consti
(inflammation chroni- 270 ROUDNEW que plastique de Langhaus). Le
trouble
vasculaire, la dégénérescence des petits vaisse
e, il arrive à la conclusion que la contracture de Dupuytren est un
trouble
trophique et doit se rencontrer surtout dans les
acture est seulement t le traumatisme. Nichols croit aussi que le
trouble
nerveux ou trophique se trouve au fond de la co
m cérébral mais encore peut-être plus souvent par suite d'un simple
trouble
dynamique. On voit que sur la question de la co
les centres trophiques des différents tissus. Leur maladie donne un
trouble
de la nutrition de tissu ce qui aboutit aux dif
e un trouble de la nutrition de tissu ce qui aboutit aux différents
troubles
trophiques. On connaît, d'autre part, l'influence
s cas frappants de l'inlluence de la suggestion sur l'apparition de
troubles
trophiques sont décrits en grand nombre. Podjap
rition de la structure des tissus et c'estpourquoi, dans les cas de
troubles
trophiques, faut en tenir compte et ne pas oubl
avec le neurone cortical. L'étude des symptômes particuliers des
troubles
trophiques dans les maladies du cerveau et de l
ue dans les né- vrites ordinaires,d'après Remak,on n'observe pas de
trouble
trophique du côté opposé,on peut émettre une au
Strangkontr der Finger. Neu- rol. Centre., 1883, n° 3. 6. Cénas.
Troubles
nerveux compl. des extr. consec. à une blessure d
ppement du feuillet moyen, d'autres encore à une altération ou à un
trouble
dans les fonctions des glandes à sécrétion inte
iversaires de ses parents ; aucun événement ne lui échappe. , Les
troubles
mentaux consistent surtout en un délire de perséc
circulatoire, respiratoire et digestif paraissent ne présenter aucun
trouble
. Les urines ne contiennent ni sucre, ni albumin
d et au froid est normale, le sens de position est conservé. Pas de
trouble
de la sensibilité visuelle et auditive. Les ref
upilles sont égales, leurs ré- flexes se font normalement. Pas de
trouble
de l'équilibre ; la marche est lente ; la malade
emble lever difficilement ses pieds; on ne constate cependant aucun
trouble
paraplégique. Pas de tremblement de la langue e
égique. Pas de tremblement de la langue et des extrémités. Pas de
troubles
de la parole articulée et des fonctions du langag
s urines ne contiennent ni sucre, ni albumine. Dans la suite, mêmes
troubles
mentaux et physiques. A noter des crises de col
ïe est douloureuse du côté droit. Les membres ne présen- tent aucun
trouble
paralytique. Malgré l'absence apparente de lésion
érébrale. 21 janvier. Les vomissements ont complètement cessé ; les
troubles
de la parole ont disparu, la paralysie faciale
ion ; chez une femme ovarioto- misée apparaissent simultanément des
troubles
mentaux, un goitre avec altérations trophiques
inférieurs. Quelques mois plus tard, le goitre disparaît, mais les
troubles
mentaux persistent, tandis que l'oedème des membr
des membres inférieurs atteint des proportions monstrueuses. Les
troubles
mentaux ne présentent rien de particulier; il s'a
pénibles; cette asthénie est de règle chez les myxoedémateux, Les
troubles
trophiques présentés par notre malade sont à rapp
l'éléphantiasis, sont autant de signes que l'on peut rapporter à un
trouble
de la fonction thyroïdienne. L'abla- tion des o
a été faite aussi 'complète que possible. . 290 MACÉ DE LÉPINAY
troubles
sont installés de façon durable. Quel traitement
ou psychiques, qui ont amené, de façon durable, la disparition des
troubles
; ce sont ces seules méthodes que nous décriron
seul repos, même pro- longé, est incapable d'amener la sédation des
troubles
: nous avons cité ce malade, atteint delà cramp
e de la main droite depuis quatorze ans, voit encore apparaître ses
troubles
dès que la main droite veut tra- cer quelques m
qu'à sa profession, à détourner pour un temps son attention de ses
troubles
pathologiques habituels ; d'autre part il permett
: trinitrine, sérum de Trunecek, etc., combattra fort utilement ces
troubles
vascu- laires spéciaux. De même un régime lacté
en entendu être aussitôt appliqué. Si l'on'constate par exemple des
troubles
vasculaires, on pourra ten- ter soi t des immer
S PROFESSIONNELLES 293 ner dans une certaine mesure la sédation des
troubles
, et la rééducation, comme.dans les autres cas d
èrement engourdie. Il faut ajouter que le sujet ne présentait aucun
trouble
sensoriel. Au bout de deux mois, le sujet commenç
xécuté, empêchent le malade de penser avec autant d'intensité à ses
troubles
morbides ha- bituels. L'écriture en miroir, e
t à elle seule amener dans un certain nombre de cas la sédation des
troubles
. Mais le plus souvent, l'écriture en miroir seu
uvements de la main, quels que soient les actes qu'il exécute. Ce
trouble
de l'écriture, survenu progressivement, n'a guère
raîner pour le patient, joue un rôle de tout premier ordre dans son
trouble
graphique. D'ailleurs, on a affaire à un sujet
on la plus correcte. L'examen objectif ne montre aucune espèce de
trouble
de la motilité, ni de la sensibilité, ni de la
ns toniques et cloniques, soit par des tremble- ments, soit par des
troubles
parétiques, qui se manifestent seulement à l'oc
génique, deux théories opposées sont en présence pour expliquer ces
troubles
: Les uns, avec Poore, admettent une origine pé
s ana- tomiques sont insuffisants à expliquer la spécialisation des
troubles
; ils ne peuvent être qu'une épine irritative q
ent, de la nature de cette origine. Il s'agit peut-être d'un simple
trouble
psychique, sans lésions anatomi- que définie ;
préposé à la coordination des mouvements, serait-il le siège de ces
troubles
phy- siologiques ? Nos connaissances actuelles
s, intervient le psychisme particulier du malade, qui coordonne les
troubles
, les augmente et les entretient. V. Les tics et
st en général facile. Il importera, avant tout, de rechercher si le
trouble
fonctionnel est exclusivement' limité à l'acte
les affections organiques, qui se tra- duiraient d'ailleurs par les
troubles
somatiques correspondants. Le diagnostic se pou
urs strictement localisées au membre supérieur droit. ' Myosis et
troubles
casomoteurs de la face par compression du sympath
eu pour une hémiplégie droite avec paralysies oculaires, faciale et
troubles
marqués de la parole et de la déglutition. Anté
parésiée; il se relève, en partie, quand le son a est prononcé. Les
troubles
de la parole sont intéressants. La malade n'a plu
. On ne note ni trépidation épileptoïde, ni danse de la rotule. Les
troubles
de la sensibilité consistent en une hypoesthésie
'au 6 septembre 1907, époque a laquelle surviennent brusquement les
troubles
suivants : La dyspnée est intense, accompagnée
e. La céphalée est intense, tenace, continue, paroxystique. , Des
troubles
vaso-moteurs assez prononcés se manifestent du cô
e la langue jusqu'à l'orifice pharyngien. On observe, en outre, des
troubles
vaso-moteurs avec rougeur prononcée surtout du
on naso-génien est très marqué à gauche, presque effacé à droite.
Troubles
oculaires. La paupière supérieure droite est para
on de la tête avec mouvements rythmés du membre supérieur gauche.
Troubles
moteurs et sensitifs. - Les mouvements d'abaissem
ons ne dénote aucune lésion et confirme l'origine ner- veuse de ces
troubles
dyspnéiques. Les bruits du coeur sont sourds, p
le siège d'une manifestation icthyosique, Il n'existe pas d'autres
troubles
trophiques. Les mouvements convulsifs du membre
la fièvre puerpérale. Cependant, au cours même de la grossesse, des
troubles
névritiques peuvent se déclarer, troubles qui o
même de la grossesse, des troubles névritiques peuvent se déclarer,
troubles
qui ont été rattachés par SAENGER à une auto- i
et ce sont les cas les plus habi- tuels, l'infection rétrocède, les
troubles
névritiques s'amendent puis dis- paraissent.
onnaire ; les mouvements étendus des jambes restant impossible, les
troubles
vésicaux persistant. Aucune nouvelle escarre ne
eux et des masses musculaires. Dans la paraplégie myélopathique,les
troubles
sphinctériens sont plus aigus que dans la polyn
qu'au cours des affections polynèvritiques. Or, dans notre cas, les
troubles
sphinctériens furent dès le début fort sé- rieu
l'absence de réparation rapide de certains muscles, la présence des
troubles
sphinctériens, de l'obnubilation cérébrale, l'exi
ence de vomisse- ments incoercibles, ayant précédé l'apparition des
troubles
polynévriti- ques et s'étant terminés par l'exp
nomènes toxiques et aux phénomènes infectieux dans l'apparition des
troubles
du système nerveux. Dans notre cas, les deux or
lerons la distribution paraplégique des lésions, l'im- portance des
troubles
recto-vésicaux, l'apparition d'escarres. Ces sy
e, leur action pathogène sur d'autres systèmes anatomiques, que les
troubles
fonction- nels qu'ils occasionnent sont causés
u- Ides névritiques qui ne sont souvent que la réaction visible des
troubles
dynamiques de ces centres trophiques. Ce méca
l'invoquer pour expliquer la genèse des névrites dans laquelle les
troubles
des cylindraxes sont primitifs, tandis que les lé
liquer une lésion secondaire des cellules de Schwann succédant à un
trouble
dyna- mique léger du neurone. La disposition se
c du sciatique de noyaux d'inflammation ne peut être rattachée à un
trouble
dynamique des neurones. Nous savons en effet qu
ns et cellules à myéline échelonnées le long des cylin- draxes. Ces
troubles
dynamiques d'ailleurs hypothétiques-devraient p
d'un agent toxi-infectieux sur les nerfs. De môme l'hypothèse d'un
trouble
dynamique expliquerait fort mal la localisation
dinaire, fort embarrassant. La plupart des auteurs met en cause les
troubles
circulatoires, invoquant, soit la diminution du c
ficile, le malade est obligé depousser longtemps pour uriner. Aucun
trouble
morbide aux membres supérieurs et à la tête, le
le signe d'Argyll n'est pas évident. Rien aux viscères, pas d'autre
trouble
mental qu'un sentiment de contente- ment de soi
er que l'altération profonde du tissu nerveux relevait à la fois du
trouble
circulatoire, et de l'action des toxines. C'est
mes amenés à propos du fait qui nous occupe actuellement. Certes le
trouble
circulatoire existe, mais il ne paraît pas suff
ôté par l'observation clinique qui nous apprend que l'extension des
troubles
de la motilité est beaucoup plus diffuse immédi
les cas où elle persiste. Je veux aussi attirer l'attention sur les
troubles
respiratoires qui peuvent se manifester au début
symptômes que présente la maladie déjà développée, c'est-à-dire les
troubles
moteurs, nous ne les avons pas décrits complète
ne con- cerne que la paralysie des muscles des membres ; quant aux
troubles
des muscles du tronc et aux troubles respiratoi
uscles des membres ; quant aux troubles des muscles du tronc et aux
troubles
respiratoires, ils n'ont pas été étudiés jusqu'
linique ont été observés par moi seul (P.) I. Observations ou les
troubles
moieurs N'ONT jamais atteint PLUS D'UN MEMBRE.
POLIOMYELITE AIGUË 383 sements, obstruction', mal de tête et aussi
troubles
de la conscience ; il avait quelque difficulté
tait constatée. Peudant ce jour et le suivant il y avait un certain
trouble
de la conscience, mais la température était seu
hli à droite. 3M PETREN ET EIIREN13ERG II. Observations ou LES
TROUBLES
MOTEURS (au MOINS au DÉBUT DE la IAL : 1- DIE)
malade. Elle peut maintenant bien marcher sans qu'on observe aucun
trouble
. L'examen détaillé de la motilité des membres i
résie assez améliorée, mais non disparue. II1.- Observations ou LES
troubles
moteurs (du moins au début de la maladie) ONT a
nds qu'auparavant, mais il n'a jamais eu une dyspnée nette ! Pas de
troubles
dans la motilité de la vessie ou du rectum. ' .
cles de l'épaule droite et du bras droit au-dessus du coude. Pas de
troubles
des membres inférieurs. Le 20 février 1907, je
malade a persisté presque identique pendant une semaine ; seuls les
troubles
moteurs de la vessie ont disparu au cours de cett
hénomène le plus constant), vomissements (indiqués 7 fois) et aussi
troubles
de la conscience (indiqués 4 fois), etc. On sai
ible et révèle des ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 399
troubles
très petits du seus musculaire. Elle est couramme
ervation des segments sacrés, nous constatons tout à fait les mêmes
troubles
de la sensibilité qu'aux membres inférieurs, et e
amen répété de la sensibilité des bras ne nous fait constater aucun
trouble
. Il est évident que, quand elle es- saie de fai
novembre, nous trouvons pour la première fois une amélioration des
troubles
moteurs du bras gauche. Cela continue les jours s
des bras, avec diffilcuté de parler, mais non de respirer, et sans
troubles
de la conscience. 400 PETREN ET EHRENBERG L'e
espace intercostal. Un examen répété ne nous a jamais révélé aucun
trouble
de la sensibilité des bras, ni à leur face inte
e et est maintenant à peu près normale. Il y a aussi maintenant des
troubles
très marqués du sens musculaire dans les membre
abdominaux n'a qu'une durée très courte et par conséquent aussi ce
trouble
de la respira- tion qu'il occasionne ne persist
lade pendant les premiers temps passés à la clinique, la marche des
troubles
moteurs correspond parfaitement à une poliomyél
anal- gésie et de la thermoanesthésie jusqu'au plan mamellàire sans
troubles
de la sensibilité tactile. Les cas de poliomyél
bilité tactile. Les cas de poliomyélite aiguë où l'on a observé des
troubles
de la sensibilité sont extrêmement rares. Medin a
e aiguë avec analgésie et thermoanesthésie si complètes, sans aucun
trouble
de la sensibilité tactile et d'une distribution
ement cervical, mais un examen répété ne nous a jamais révélé aucun
trouble
net de la sensibilité des bras. Le manque de to
re sur la localisation de la lésion qui a causé ce change- ment des
troubles
de la sensibilité, nous nous reporterons à un tra
t d'abord que de l'anal- gésie et de la thermoanesthésie, mais sans
troubles
de la sensibilité tactile ou du sens musculaire
sensibilité tactile ou du sens musculaire ; mais, par la suite, les
troubles
du sens musculaire et de la sensibilité tactile
ie qui s'est produit à la clinique (c'est-à-dire l'appari- tion des
troubles
nouveaux : du sens musculaire et de la sensibilit
e. S'il s'est agi d'abord d'une hématomyélie, il faut expliquer les
troubles
du sens musculaire etde la sensibilité tactile,
e dorsale. Si nous acceptons ce dia- gnostic, il faut expliquer les
troubles
initiaux de la sensibilité, c'est-à- dire l'ana
i aux cordons posté- rieurs, comme nous l'a montré l'apparition des
troubles
du sens muscu- laire et de la sensibilité tacti
lus tard spasmodique. Mais cet auteur remarque qu'en môme temps les
troubles
de la sensibilité vont en diminuant; par conséq
dorsale, on ne peut en outre s'empêcher d'être frappé de ce que les
troubles
de la sensibilité aient montré au début une dis
t des cas de paraplégie présentant une certaine systématisation des
troubles
de la sensibilité, par exemple, une dissociatio
wn-Séquard), mais néanmoins une extension aussi sy- métrique de ces
troubles
reste un fait très remarquable. Pour résumer le
ant net- tement la localisation cérébrale de la méningite, sauf les
troubles
passa- gers de la conscience qui, dans quelques
ion cérébrale de la méningite (par exemple symptômes pupillaires ou
troubles
des mouvements des yeux ou convul- sions), nous
de Lasègue-Kernig (nom sous lequel j'ai proposé (P.) de désigner ce
trouble
). Certainement tous ces symptômes pourraient êt
ptômes étaient présents dans 4, et sur les 12 cas où il y avait des
troubles
de la motilité dans les trois membres ou dans t
type, mais il n'est pas rare, comme on sait, que se produisent des
troubles
per- sistants qui sont la conséquence de l'affe
à droite. L'enfant ne marche pas bien, sans montrer toutefois aucun
trouble
caractéristique de la marche. Les réflexes tendin
cas XXVIII oedème des papilles ; cas XXIX : pendant quelques jours
troubles
de la conscience et cris hydrocéphaliques). En
e me reporte à nos observations, je trouve, sur nos 29 cas, la avec
troubles
moteurs des muscles abdominaux (II, X, XI, XIII,
muscles abdo- minaux dans tous les cas où il y a en même temps des
troubles
moteurs pour les membres inférieurs et pour un
t, c'est que sur 12 cas (XVI-XXV, XXXII, XXXIII) où il a existé des
troubles
moteurs pour trois ou quatre membres, nous avon
conséquence, il est très possible qu'il ait existé dans ces cas des
troubles
moteurs des muscles abdominaux, mais que, par exe
troubles moteurs des muscles abdominaux, mais que, par exemple, ces
troubles
aient déjà disparu quand on a fait lever le malad
t parésie de plus de deux membres, nous avons toujours constaté des
troubles
moteurs des muscles abdominaux. En conséquence,
ouvé une paralysie des muscles abdominaux, il y avait également des
troubles
moteurs pour les quatre membres. Sur les 5 cas de
é atteinte. Si cette conception est exacte, il est bien sûr que les
troubles
moteurs des muscles abdominaux vont disparaître
ci les cas indiqués par des auteurs antérieurs où l'on a décrit des
troubles
moteurs provenant d'une paralysie des muscles ab-
ux, pour donner une idée des formes différentes sous lesquelles ces
troubles
se présentent. Mais, comme ces paralysies peuvent
térale des muscles obliques, mais sans donner aucune description des
troubles
de la motilité qu'il a observés. Leischner a
Wickman a spécialement insisté sur celle règle. Nous avons vu les
troubles
moteurs des muscles abdominaux persister dans 7
naux inférieurs ont disparu, mais les supérieurs persistent. Pas de
troubles
de la motilité de la vessie ou du rectum. Le
nne vertébrale. Parmi les cas cités ci-dessus, où nous avons vu des
troubles
moteurs des muscles abdominaux persistant penda
résumé, nos expériences sont en faveur de cette conclusion, que les
troubles
moteurs des muscles du dos sont assez fréquents.
après le début de ces accidents, en septembre 1906, apparurent des
troubles
du côté des membres inférieurs ; à l'occasion d'e
ment et toute seule sans avoir recours à l'aide d'une personne. Ces
troubles
du côté des membres inférieurs apparaissaient par
e la cornée et du pharynx ; sur le reste du corps il n'existe aucun
trouble
de la sensibilité au tact et à la douleur et de l
pos au lit, crise d'étouffement, 26. La malade ne se plaint d'aucun
trouble
respiratoire ; cependant la respiration est irr
paraître. ' Les réactions pupillaires sont toujours normales. Les
troubles
moteurs sont toujours aussi marqués du côté des m
ques minutes. Le pouls est régulier à 82. Il ne persiste rien des
troubles
respiratoires constatés la veille. L'état menta
ères de la myasthénie. Comme cela est presque la règle, c'est à des
troubles
respiratoires que notre malade a succombé. L'ex
amen du foie et de la rate ne révèle rien d'anormal. Il n'y a aucun
trouble
respiratoire, aucun signe anormal à l'auscultatio
s ses modes. Les divers réflexes sont normaux. ' Il n'y a d'autre
trouble
sensoriel qu'une légère dureté d'oreille. On ne
uble sensoriel qu'une légère dureté d'oreille. On ne constate aucun
trouble
de la vision, ni amblyopie, ni rétrécissement d
s formes de sensibilité superficielle et profonde ne démontre aucun
trouble
déterminé. Toutes les formes de sensibilité app
édifia la conception nouvelle en se basant sur l'unilatéralité des
troubles
cutanés et sur leur localisation au niveau de l'é
l, faits sur les- quels Morrow (1) a bien insisté, ou avec certains
troubles
trophiques, tel ce syndrome que K)ippet et Trén
vi,iles, on peut ranger des lésions vasculaires qui sont dues à des
troubles
trophiques d'origine nerveuse ; le fait est imp
us vascularite il s'agit d'un angiome ; dans le naevus-névrite d'un
trouble
trophique, qui peut déterminer l'apparition d'un
s couches sus-jacentes. Si pour une cause ou une autre il existe un
trouble
dans le développement normal de ces forma- tion
existe un trouble dans le développement normal de ces forma- tions,
trouble
aboutissant à l'hyperfonclionnement, ces régions
étroite entre le trajet de ces troncs nerveux et la topographie des
troubles
cutanés. Des observations de cette variété de n
e, entre l'hôpital Tenon, salle âlagen- die le 29 mai 1909 pour des
troubles
fonctionnels et généraux relevant d'une tubercu
lques signes de la paralysie progressive : faiblesse de la mémoire,
troubles
de la parole, imbécillité. Il n'y avait pas d
ale, parurent des douleurs dans cette région. L'année dernière, des
troubles
psychiques l'ont amené à l'asile des aliénés où
ons des grandes articulations) aux lésions locales mais non pas aux
troubles
de nutrition générale. Cette manière de voir a
sultats de ses recherches. - La pie-mère du cerveau est hypérémiée,
trouble
, un peu épaissie. Les veines méningées sont dou
inflammatoire ou atrophique qui attaque d'abord l'os, mais bien un
trouble
mécanique. On a objecté à cette manière de voir
lique. Ils croient que ces lésions os- seuses sont le résultat d'un
trouble
survenu dans les échanges de matières minérales
chitisme qui ont été considérés jusqu'à présent comme relevant des
troubles
des échanges minéraux, n'amènent pas une ossifica
al limité à la colonne vertébrale ou bien comme une des suites d'un
trouble
général ? Comme le malade avait contracté la sy
e en rapport avec les lésions gommeuses des os ; dans le second, de
troubles
trophiques du système osseux. Les lésions syphili
t. Etant donné la paralysie générale du malade, on peut supposer un
trouble
général des échanges nutritifs'; ses os étaient a
s du système osseux. Si cependant la sclérose, comme résultat des
troubles
trophiques, peut expliquer l'évolution des lési
lement intacts. Dans la zone innervée par le médian, il y avait des
troubles
de sensibilité sous forme d'hypoesthésie au con
n'y avait, ni sur le tronc, ni sur les membres infé- rieurs, aucun
trouble
objectif des diverses formes de la sensibilité.
de la colonne lombaire. En même temps s'étaient manifestés quelques
troubles
importants : d'abord une incontinence d'urine a
compagnée de ténesme ; presque à la même date il avait ressenti des
troubles
de la sensibilité sous forme de cuisson sur la fa
roit et qu'il calme avec de petites doses d'acide santonique. Les
troubles
de la miction persistent : il ne perçoit pas l'ém
e iliaque antéro-snpérieure droite. 3° Aux membres supérieurs les
troubles
sont bilatéraux et analogues des deux côtés.
et moins complète le long de la face externe de l'avant-bras. Mêmes
troubles
pour le chaud et le froid ainsi que pour les vi
utres par- ties des membres inférieurs. Sensibilité articulaire :
troubles
peu évidents dans les quatre membres. De l'exam
s de transparence anormale ; de même la 5e ver- tèbre lombaire. Les
troubles
trophiques sont tout à fait évidents sur les autr
variable d'intensité et la façon particulière suivant laquelle les
troubles
de la sensibilité sont dis- tribués au niveau d
rce que notre malade est un tabétique et qu'il présente de plus des
troubles
étendus de la sensibilité, même dans d'autres p
un diamètre un peu plus grand dans le sens antéro-postérieur. Les
troubles
de la sensibilité ne sont pas différents de ceux
de rappeler en dernier lieu ce fait : à savoir que nonobs- tant les
troubles
très graves de la sensibilité siégeant dans l'un
reil digestif- Dents cariées, langue engluée, haleine fétide. Aucun
trouble
de la déglutition. Peu d'appétit ; le malade ne t
TREPSAT. La démence précoce est une des affections mentales où les
troubles
physiques sont les plus accusés, aussi leur étu
ttention de nombreux cliniciens. Parmi ces symptômes physiques, les
troubles
trophiques se rencontrent avec une assez grande
t-ils déterminés par l'immobilité, la station debout prolongée, des
troubles
vaso-moteurs ? Nous ne savons rien de précis à
ns l'étiologie de ces accidents. Dans l'observation suivante, les
troubles
trophiques sont multiples et d'une étendue cons
épistaxis. C'est à 18 ans que ses parents remarquent chez B... des
troubles
de la lllé- moire. Il retenait difficilement ce
l correspondait de moins en moins. On observe en outre chez lui des
troubles
accusés du caractère que son père nous décrit a
illerie où il obtient le grade de sous-officier. Au régiment, les
troubles
de la tenue et du caractère s'accentuent de plus
médecin consulté, à ce moment, constate entre autres symptômes des
troubles
de la sensibilité, de la dyschro- matopsie, une
ysiques on note chez lui du dermographisme,du pseudu- oedème et des
troubles
trophiques. Les troubles trophiques sont assez ac
du dermographisme,du pseudu- oedème et des troubles trophiques. Les
troubles
trophiques sont assez accusés chez B... pour mé
de la face antéro-externe de la jambe et du deuxième orteil. Ces
troubles
trophiques ont débuté au mois de septembre, par u
indre. La région antéro-externe de la jambe droite est le siège des
troubles
les plus accusés. Il existe trois ulcérations d
a plaie laisse s'écouler un liquide séro-san- guinolent. Quelques
troubles
trophiques beaucoup moins accusés se rencontrent
ement fibrillaire très prononcé. On ne constate pas eu ce moment de
troubles
trophiques, mais les cicatri- ces des plaies an
n'est pas négativiste. B... ne paraît avoir ni idées délirantes ni
troubles
sensoriels. CLINIQUE MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ D
eur. et L. EHRENBERG, Interne nia clinique. (Suite) Sur les
troubles
de la respiration. Je remarquerai, d'abord, que
a paralysie des muscles abdominaux cause, si elle est complète, des
troubles
de la respiration, car elle occa- sionne une di
de la force expiratoire. Dans la respiration calme, ordinaire, ces
troubles
n'apparaissent pas ; mais, si l'on demande aux
; mais, si l'on demande aux malades de respirer plus fortement, les
troubles
deviennent manifestes. Des actes respiratoires
apparaissent pas de complications spéciales, il n'y a pas de grands
troubles
de la respiration et l'importance pratique de c
e grands troubles de la respiration et l'importance pratique de ces
troubles
n'est pas considérable. Cela a été déjà netteme
ant l'extension indiquée ci-dessus de la paralysie des membres, des
troubles
de la respiration thoracique, c'est-à-dire ou fai
ou des deux mem- bres supérieurs et où nous n'avons pas observé de
troubles
respiratoires. Il est vrai que, dans le cas XVI
s les circonstances normales. En outre, il faut remar- quer que ces
troubles
peu graves de la respiration ont disparu en peu d
s nous n'avons pas observé qu'il ait existé aucune forme typique de
troubles
respiratoires. En résumé, nos observations rapp
ici ne semblent pas parler contre l'idée qu'il y aura toujours des
troubles
de la respiration thora- cique quand la paralys
iguë nous donnent en général les meilleures occasions d'étudier les
troubles
de la respiration. Je donne ici l'hisloire de tro
bes sont libres, le malade est apathique, mais il n'y a pas de gros
troubles
de la couscience. Le 9 novembre. Aux lèvres, cy
de douleurs dans le dos. La sensibilité cutanée est normale. Pas de
troubles
de la conscience. Pas de signes que l'on puisse
ns donné du lait, etc. Pendant le cours de ce jour la conscience se
trouble
progressivement et le ÉTUDES CLINIQUES SUR LA P
les muscles intercostaux et les muscles abdominaux. En traitant des
troubles
respiratoires causés par des paralysies spinales,
de contraction des muscles abdominaux a une durée si courte que les
troubles
respiratoires qui en résultent ne semblent pas av
t pas avoir une importance réelle ; en tout cas, c'est une forme de
troubles
respiratoires qui garde un intérêt théorique et
3 respiration abdominale que de la respiration thoracique, mais les
troubles
respiratoires étaient déjà au terme de leur dév
malade était tout près de mourir d'une pure suffocation sans aucun
trouble
de la conscience. Mais l'étal s'est modifié qua
e, remarque que chez la plupart la mort est survenue sans qu'aucuns
troubles
de la conscience soient apparus. Dans des cas s
emarqué combien il est difficile de faire une distinction entre les
troubles
de la respiration dus à une lésion du noyau du di
e du noyau du pneumogastrique). Il rapporte des observations où des
troubles
respiratoires ont apparu sous forme d'attaques
ut-être n'a-t-on pas assez étudié les différents types possibles de
troubles
bulbaires de la respiration. Par exemple, l'inf
adies bulbaires, s'il peut exister des symptômes se rapportant à un
trouble
de cette fonction du pneumogastrique. En traita
, je veux attirer l'attention sur une forme tout à fait spéciale de
trouble
respiratoire qu'on peut voir dans des cas de tu
espondant sur le cerveau) et qui est évidemment la conséquence d'un
trouble
d'une fonction bulbaire. Il y a déjà quelques a
déjà quelques années que j'ai observé des cas de cette nature où le
trouble
respiratoire s'est montré par un arrêt soudain
d'une compression du bulbe. Nous avons fait connaître une forme de
troubles
respiratoires se rappor- tant au centre de la r
ratoires se rappor- tant au centre de la respiration dans le bulbe,
troubles
qui consistent en un arrêt complet de la respir
ration ar- tificielle. Sans doute, il y a encore d'autres formes de
troubles
respiratoires qui sont dues à un trouble de fon
encore d'autres formes de troubles respiratoires qui sont dues à un
trouble
de fonctions du buble (par exemple, la respi- r
e ouverte. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 557 Sur les
troubles
des sphincters. Avant de finir ce chapitre, je
nt indiqué que l'on a été obligé de cathé- tériser les malades. Les
troubles
moteurs de la vessie n'ont pas été aussi passag
vent fournir aucun renseignement sur la question de la durée de ces
troubles
. Il me semble remarquable d'avoir constaté si s
troubles. Il me semble remarquable d'avoir constaté si souvent des
troubles
mo- teurs de la vessie puisque les 7 cas qui on
lement acceptée. S'il faut sans doute admettre que la fréquence des
troubles
mo- teurs de la vessie peut être différente dan
bservations nous apprennent qu'il n'est pas exact de considérer les
troubles
moteurs de la vessie comme un moyen précieux po
e qu'il doit s'agir de poliomyélite. En outre, il est connu que les
troubles
moteurs de la poliomyélite aiguë peuvent quelquef
de savoir si nous pouvons encore espérer une bonne issue, quand des
troubles
moteurs ont existé déjà pendant des mois. On répo
certains. En outre, j'ai observé encore deux cas où il persiste des
troubles
moteurs des muscles abdominaux, mais où la restau
paralysie complète des deux membres inférieurs ; après 12 mois, les
troubles
moteurs des mem- bres ont presque disparu, mais
nférieurs) ; après deux ans, il n'y a plus que de petites traces de
troubles
moteurs de l'épaule. - Observation XIII, femme
ES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 561 démontrent que la restauration des
troubles
moteurs peut se continuer encore pendant plusie
nes après le début de la maladie, mais quelquefois encore quand les
troubles
moteurs ont persisté plusieurs mois ou même quelq
e soi qu'on 'peut espérer une guérison véritable, surlout quand les
troubles
moteurs initiaux n'ont pas été trop intenses et n
e nous avons eu l'occasion de suivre pas à pas, depuis les premiers
troubles
.jusqu'à la cachexie terminale, ne laisse pas d'
le pied droit. Depuis lors, jusqu'au moment de l'examen actuel, les
troubles
de la marche se sont accentués ; l'équilibre es
e plaint d'aucune douleur. Enfin, dans ces derniers trois mois, des
troubles
se sont manifestés au niveau du membre supérieu
en ait conscience. L'appareil digestif est normal, il n'y a pas de
troubles
de la miction ni de la défécation. En résumé,
examen sommaire nous fit constater chez un enfant t de cinq ans des
troubles
localisés à l'oeil gauche et aux membres droits.
céphalalgie. L'acuité auditive était normale des deux côtés. Les
troubles
relevés chez ce malade consistaient essentielleme
ées sont le siège d'une pigmentation très intense (fig. 3, p). Le
trouble
vasculaire est-il l'origine de la néoplasie, on n
e sorte disséqué la protubérance et le bulbe provoquant d'abord des
troubles
légers des VIe, VIle et XII" paires, puis atteign
n, présentait pourtant un trait commun, celui d'être accompagnée de
troubles
dystrophiques. Dans les deux cas, ces der- nier
uite avec quelques réflexions sur le mécanisme de la production des
troubles
dystrophiques. Observation I. I. E. M. entré
il est pris d'un mal de tête atroce, de vertiges et de nausées. Ces
troubles
ont été tellement intenses qu'il est tombé et n'a
les membres inférieurs sont portés en avant. On constate encore des
troubles
de diadococinésie des deux côtés, plus accentués
aux de tète très violents et des vomissements. Après 48 heures, ces
troubles
disparaissent, le malade se sent mieux qu'avant
eut pas ou ne veut pas se soulever seul du décubitus dorsal. Il a des
troubles
de diadococinésie aux membres supérieurs, plus
e a des parois d'une certaine épais- seur et est plein d'un liquide
trouble
, contenant de nombreux globules de sang. Le dia
tions normales. Cette infiltration de graisse indique assurément un
trouble
plus ou moins profond dans la nutrition des muscl
rencontrée chez d'autres cachectiques ; elle dépendait plutôt d'un
trouble
plus ou moins spécial dans la nutrition des mus
du faisceau pyramidal. Dans les cas d'hydrocéphalie accompagnés de
troubles
dystrophiques on doit se demander de quelle cau
être une conséquence des al- térations nerveuses. En effet, de tels
troubles
peuvent se produire, mais chez nos malades, aya
és, et maintenant tous les auteurs sont d'accord pour attribuer ces
troubles
aux altérations des glandes à sécrétion inlerne.
uerait plutôt un fonctionnement exagéré de l'hypophyse et un simple
trouble
sécrétoire. On peut rapprocher près de ce cas l
t M. (;09.DSTEI ? Un cas de tumeur de l'hypophyse sans acromégalie,
Troubles
mentaux el sommeil pathologique. Journal de neuro
dans la production de la dystrophie. Il paraît plus probable que le
trouble
produit dans la structure et dans le fonctionne
ment les lésions directes de l'hypophyse qui peuvent déterminer des
troubles
du côté de l'appareil genital, mais aussi les t
sécutives aux tumeurs de la base et dans lesquelles il a trouvé des
troubles
de la menstruation. L'une de ces malades ne fut
646 MARINESCO ET GOLDSTEIN utérus infantile. L'auteur admet que ces
troubles
doivent être expliqués par l'influence de l'hyp
incline à mettre sur le compte de la compression de l'hypophyse les
troubles
géni- taux, cardans deux cas de tumeurs cérébra
ssée et où il n'existait pas d'hydrocéphalie, il n'a pas observé de
troubles
de la menstruation ni de troubles dystro- phiqu
rocéphalie, il n'a pas observé de troubles de la menstruation ni de
troubles
dystro- phiques. Fichera (2) démontre expérim
de mentionner que son intervention, dans la production de certains
troubles
dystrophiques, est très probable. De Sanctis (2
en déduire que la compression de la tige de l'hypophyse, produitdes
troubles
dans le fonctionnement de cette dernière et qu'il
sont plus dues directement à l'allération de l'hypophyse, mais aux
troubles
secondaires des autres glandes à sécrétion intern
sem- blent insuffisants, pour décider d'une manière précise si ces
troubles
sont dus à une exagération ou à une diminution
es testicules dans les cas de chryptochidie et la dispa- rition des
troubles
produits par l'insuffisance thyroïdienne et testi
e cas la glande,qui a joué le principal rôle dans la production des
troubles
dystrophiques, c'était l'hypophyse. (1) Areax
, peut-être d'une mé- ningite cérébro-spinale, n'avait jamais eu de
troubles
nerveux avant sa mort. Elle a eu deux enfants,
difformité ne l'empêcha pas de marcher et ne lui occasionna au- cun
trouble
dans la marche. Ses pieds étaient restés quelque
roit, surtout en montant l'escalier et en se relevant de terre ; ce
trouble
a toujours augmenté depuis et s'est étendu auss
mpe et en se sou- levant plus avec ses bras qu'avec ses jambes. Ces
troubles
diminuent dans les journées froides. Il n'a jam
s froides. Il n'a jamais souffert de douleurs ou paresthésies ni de
troubles
des réservoirs. Il se plaint d'hyperidrose aux pi
les yeux il a de légers tremblements des paupières. Il n'y a aucun
trouble
du mouvement dans les muscles du territoire du
sition de Romberg il présente aussi de légères oscillations. Pas de
troubles
des sphincters. Réflexes : les rotuliens sont a
ne légère hyperesthésie du pied pour la chaleur et le froid. Pas de
trouble
de la sensibilité musculaire, du sens de vibratio
pital et on n'avait fait qu'un examen électrique sommaire. Pas de
troubles
physiques. Poumons. Sommet droit, un travers de
cher. Jusqu'à l'âge de 18 ans, il se porta toujours bien sans aucun
trouble
appréciable dans la marche ; à partir de ce mom
parésie des muscles des jambes et des cuisses surtout à droite ; ce
trouble
s'accrut jusqu'à présent, et maintenant le pati
ilement se tenir debout sans l'aide d'un appui. Parallèlement aux
troubles
moteurs s'est développée une atrophie des muscl
environ un an et demi, c'est-à-dire quatre ans après le début, les
troubles
des membres inférieurs se sont notablement accrus
e R. D. ; l'abolition des réflexes profonds, l'absence d'importants
troubles
sensitifs, la marche plutôt lente, les secous-
aucune forme d'atrophie névritique (alcool, plomb) vu l'absence de
troubles
sensitifs, l'évolution et la manière de se comp
ophie musculaire progressive du type Charcot-Marie par l'absence de
troubles
sensitifs, parce que la marche est relativement
s. Contre la névrite interstitielle hypertrophique est l'absence de
troubles
pupillaires, du nystagmus,de l'ataxie,de la cyp
e aussi la maladie de Friedreich par l'ab- sence de l'ataxie et des
troubles
des mouvements oculaires, comme aussi parce que
sé d'exclure une syringomyélie en considérant l'absence de notables
troubles
sensitifs, la marche relativement rapide et la gr
e l'on a observé pour la première fois la réap- parition tardive de
troubles
atropbiques et paralytiques chez des individus
ent en grande partie en symptômes de méningite cérébrale aiguë avec
troubles
marqués de la conscience, convulsions, etc., pres
ertaine ataxie du bras gauche. La sensibilité est normale, sauf des
troubles
très légers de la sensibilité tactile aux pieds
aux orteilsetaux parties périphéri- ques des doigts : pas d'autres
troubles
de la sensibilité tactile. Le sens à la dou- le
Le malade peut s'asseoir de lui-même sans s'aider des bras. Pas de
troubles
de la vessie. Les réflexes patellaires et abd
n des mouvements minimes faits avec les orteils. Aux doigts, aucuns
troubles
correspondants. xxn 44 670 PETREN ET EHRENBER
ie des parties périphériques des membres supérieurs a augmenté. Les
troubles
du sens musculaire aux orteils et de la sensibi
il y a toujours une parésie des muscles du tronc, quand il y a des
troubles
moteurs à la fois des membres supérieurs et infér
remarqué (Baumann et d'autres). J'ai montré dans ce travail que des
troubles
moteurs de la vessie peu- vent être observés tr
; mais, autant que notre expérience nous permet de con- clure, les
troubles
de la vessie seraient beaucoup plus rares dans la
é. Tout le monde est d'accord pour recon- naître qu'on ne trouve de
troubles
de la sensibilité que très rarement dans la pol
effet que c'est le cas assez souvent. D'autre part, la présence de
troubles
de la sensibilité, surtout aux extrémités des mem
infantile qu'il nomme ataxie aiguë. Car il a observé dans 5 cas des
troubles
de la marche qu'il veut expliquer comme une ata
Morvan. (Leçon du 6 décembre 1889). Sommaire. — Étude des divers
troubles
trophiques des doigts : maladie de Maurice Raynau
uestion. Trois phénomènes sont ici caractéristiques : Io l'absence de
troubles
des divers modes de la sensibilité ; 2° le genre
n outre, et cela nous intéresse spécialement ici, il existe aussi des
troubles
trophiques variés, siégeant sur les doigts, pouce
urgien. Enfin, on peut observer au niveau de la main, des doigts, des
troubles
moins accentués, tels que fentes, gerçures, bulle
is primitives, c'est-à-dire antérieures aux douleurs. Enfin, d'autres
troubles
tro-phiques surviennent souvent,'sur lesquels nou
Dans ces cas, le seul phénomène constant est le panaris et aussi les
troubles
trophiques auxquels je faisais allusion tout à l'
douleur. Aux panaris viennent s'ajouter un certain nombre d'autres
troubles
trophiques variés, tels que des gerçures plus ou
normale. Elle est quelquefois le siège d'une sudation exagérée. Les
troubles
trophiques ne se bornent pas seulement aux extrém
phie musculaire de Duchenne-Aran. Il y existe aussi, il est vrai, des
troubles
de la sensibilité, mais ceux-ci sont beaucoup plu
olie et cela sur de grandes surfaces du corps. Cette dissociation des
troubles
de la sensibilité est caractéristique de la syrin
on ne la retrouve guère, et encore rarement, que dans l'hystérie. Des
troubles
trophiques analogues à ceux du panaris de Morvan
ns, la névrite périphérique est un fait secondaire, comme le sont les
troubles
trophiques concomitants, à la production desquels
mes de très petite étendue mais facilement visibles néanmoins. Pas de
troubles
bien accentués dans la position et les mouvements
déformations persistantes, à une incapacité de travail définitive. Au
trouble
profond apporté par la maladie, s'est joint chez
e est très diminuée dans la main qui ne peut serrer que fort peu. Les
troubles
nerveux ne sont pas limités à la main. La flexion
té profonde à la douleur n'ont pas été notées. « Il n'existe pas de
troubles
trophiques sur le membre ; la température paraît
les membres inférieurs. « Le malade n'a jamais eu d'attaques ni de
troubles
psychiques. Migraines fréquentes. Fréquents étour
. La pupille gauche est un peu plus dilatée que la droite. « Pas de
troubles
digestifs. Rien au cœur ni aux poumons. Pas de su
aucun point du membre vous ne constatez d'atrophie musculaire, ni de
troubles
trophiques. La main présente cette légère défor
s opacités existant sur le tympan suffisent à expliquer ce très léger
trouble
. L'odorat est normal des deux côtés. Le réfle
n'existait une autre maladie dans laquelle on rencontre également des
troubles
de la sensibilité distribués de la même manière,
phénomènes peuvent se combiner chez un individu, de concert avec les
troubles
de la sensibilité, pour simuler la syringomyélie,
autre note qu'il nous a adressée en nous envoyant le malade, sur les
troubles
de la sensibilité qui lui semblaient hors de prop
ours au plus, il se dissipe spontanément. Chez très peu de malades ce
trouble
du mouvement reste permanent. Il se reproduit ave
et le goût très émoussé du même côté. Ajoutons qu'il est atteint de
troubles
très nets de la sensibilité générale. On constate
aux environs d'Auxerre. C'est là qu'il fut pris, il y a deux ans, des
troubles
pour lesquels il s'est présenté à la consultation
'envoyer. Dans la période antérieure de sa vie, il n'avait eu aucun
trouble
nerveux. Il n'est ni syphilitique, ni alcoolique.
bruits dans les oreilles, ça lui cogne dans les tempes, puis il voit
trouble
et perd connaissance. Il se débat très fort, il c
qu'en laissant de la lumière toute la nuit dans sa chambre. Mais ces
troubles
cessèrent, et plus tard, quand il s'engagea* il n
e la journée ; il avait perdu l'appétit, quoique ne souffrant d'aucun
trouble
de la digestion. La nuit il avait des étouffement
igué. Dynamomètre : main gauche : 24 kil. — droite : 34 kil. Le
trouble
de la motilité qui domine chez lui est le tremble
exprimer; douleur revenant par accès et compliquée le plus souvent de
troubles
des fonctions gastriques. Quelques au-teursajoute
mais où surtout — c'est là le trait particulier — il se présente un
trouble
spécial de la vision, à savoir : scotome scintill
modification hémiopique du champ visuel. Notons en passant que ces
troubles
oculaires s'accompagnent, dans bien des circonsta
s un côté des lèvres et de la langue, en même temps que se produit un
trouble
aphasique temporaire qui cause presque toujours a
Il y a paralysie très prononcée des muscles ciliaires révélée par un
trouble
profond de l'accommoda tion. Il faut l'interpos
de lire à la distance ordinaire. On n'a constaté, bien entendu, aucun
trouble
du côté gauche. Il est bon de relever que depui
is encore de supprimer les accompagnements de mauvais augure tels que
troubles
aphasiques, hémiopiques, parétiques, etc., qui me
llesse. Une tante est morte d'une maladie du foie; e^e a été prise de
troubles
mentaux à la suite d'une fièvre typhoïde à 28 a
sont peut-être un peu exagérés. Pas de trépidation spinale. Pas de
troubles
de la sensibilité cutanée au contact, à la douleu
mouvements de l'oeil droit s'exécutent un peu difficilement, mais le
trouble
du mouvement n'est pas appréciable objectivement.
riques (Leçon du 6 mai 1890). Sommaire. — L'œdème considéré comme
trouble
trophique hystérique. L'œdème blanc est décrit pa
pour la première fois mentionnée et distinguée à il) Damascbino. —
Troubles
trophiques dans l'hystérie. Leçon recueillie par
ions de la sensibilité (anesthésie ou hyperesthésie), tantôt avec des
troubles
du mouvement (paralysies et contractures). Il s'a
eil auditif. Il n'existe pas de rétrécissement du champ visuel, ni de
troubles
oculaires d'aucune sorte. Enfin la malade a des a
cupe dans l'évolution des phénomènes hystériques. C'est simplement un
trouble
vaso-moteur, de nature vraisemblablement spasmodi
ou une lésion fort analogue, en apparence du moins, figure parmi les
troubles
trophiques de la syringomyélie dans laquelle, vou
e la main, présentant les caractères de l'œdème bleu et accompagné de
troubles
de la sensibilité, pourra, dans certaines circons
a Salpêtriàre, 1889, t. II) et dans la thèse de M. Athanassio sur les
troubles
tro-phiques hystériques (th. Paris, 1890). et d
i déjà montré qu'il était quelquefois difficile de le distinguer d'un
trouble
trophique analogue survenant dans la syringomyéli
le est de nouveau contrac-turée, violette et gonflée. Actuellement le
trouble
ne se reproduit pas avant deux ou trois heures du
ont elles-mêmes été étudiées à leur tour. Nous connaissons les divers
troubles
trophiques consécutifs à la sciatique, la rougeur
t des Archives de Neurologie, n° 59). l'herpès. Nous savons que des
troubles
sensitifs peuvent s'y rencontrer, tels que l'hype
eu plus maigre in toto que celle du côté opposé. Il n'existait pas de
troubles
trophiques ni vaso-moteurs. On constatait seuleme
s et de l'engourdisse-ment dans les deux membres inférieurs. Puis les
troubles
se sont localisés au membre du côté gauche, pour
ntérieure de la jambe, en dehors du tibia, à la face dorsale du pied.
Trouble
de la sensibilité également à la face plantaire d
est tombant et traîne sur le sol. Ici nous voyons nettement que les
troubles
ont porté tout d'abord sur le tronc tout entier d
runtée au même auteur, nous assistons à la localisation graduelle des
troubles
morbides au nerf sciatique poplité externe. A ce
la suite d'un abcès de la fosse iliaque, une névralgie du crural avec
troubles
de la sensibilité bien nettement localisés au dom
iste une anesthésie sur laquelle nous reviendrons plus loin. — Pas de
troubles
sensoriels : la vue, l'ouïe, l'odorat, le goût so
uloureuses les plus aiguës, jamais il ne s'est tenu de travers. Les
troubles
de la sensibilité qui occupent la jambe gauche so
malade de l'Observation VII. 2° Sensibilité a la température. — Le
trouble
est distribué de même façon pour le chaud et le f
es douloureux, généralisés sur tout le trajet du nerf, font place des
troubles
paralytiques localisés au domaine du nerf tibial
bser^ vation qui suit est presque calquée sur la précédente quant aux
troubles
moteurs, elle en diffère en ce que l'anesthésie,
né est resté intact. Observation VIII (personnelle).—Sciatique avec
troubles
de . lamotilitè et de la sensibilité dans le doma
'y a pas d'atrophie des muscles de la cuisse ni de la fesse. — Pas de
troubles
trophiques. — Aucun symptôme de syringomyélie.
s de la région antéro-externe de la jambe. La malade ayant parlé de
troubles
utérins, d'une métrite avec déplacement de cet or
uelques mois après un accouchement et de plus elle disait souffrir de
troubles
utérins avec déplacement de cet organe. On aurait
sciatique simple non traumatique. On a vu que chez cette malade les
troubles
de la sensibilité étaient moins accentués et moin
ent. Dans l'observation qui suit, ils sont à peu près nuls. Seuls les
troubles
de la motilité dominent toute la scène. Il s'agit
peu de chose près le même développement. Dans I'Observation VIII, les
troubles
de la sensibilité sont notablement moindres et le
nts la réaction de dégénérescence. Enfin dans I'Observation IX, les
troubles
de la sensibilité sont à peine appréciables, les
n IX, les troubles de la sensibilité sont à peine appréciables, les
troubles
moteurs dominent toute la scène. Arrivons mainten
ion X (personnelle). — Sciatique ancienne avec atrophie musculaire et
troubles
de la sensibilité. Marie B..., âgée de 57 ans,
ode. En résumé, que trouvons-nous chez cette femme ? D'une part des
troubles
de la motilité et d'autre part des altérations de
ibilité. En ce qui concerne la motilité, nous voyons qu'il existe des
troubles
de deux ordres : tout d'abord une véritable paral
asse assez marqué des deux segments du membre inférieur. Ces derniers
troubles
sont ceux que l'on connaît depuis longtemps dans
t le sujet des observations précédentes. Examinons d'autre part les
troubles
de la sensibilité. Ils se présentent exactement s
ement connexe avec l'amaigrissement général du membre, tandis que les
troubles
sensitifs profonds, localisés dans le domaine du
ve constatée dans les muscles animés par ce même tronc nerveux. Les
troubles
moteurs et sensitifs sont donc facilement explica
phénomènes morbides. Observation XI (personnelle). — Sciatique avec
troubles
moteurs et sensitifs dans le domaine du sciatique
ystérie). Il est à remarquer que le cou-de-pi ed présente les mômes
troubles
de la sensibilité que le reste du membre, c'est-à
c'est-à-dire que la cuisse et la partie postero-interne de la jambe,
troubles
eux-mêmes identiques à ceux de la moitié gauche d
oubles eux-mêmes identiques à ceux de la moitié gauche du corps. Ni
troubles
trophiques,ni troubles vaso-moteurs. Pas d'amaigr
ques à ceux de la moitié gauche du corps. Ni troubles trophiques,ni
troubles
vaso-moteurs. Pas d'amaigrissement notable du mem
éral est néanmoins assez bon. Nous nous trouvons ici en présence de
troubles
sen-sitifs et moteurs qui méritent d'autant plus
de partie du [membre inférieur, elle présente identiquement les mêmes
troubles
sen-sitifs que la moitiégauchedu corps : thermoan
ue identique chez la femme de 1'Observation X, nous avons conclu a un
trouble
dépendant de la sciatique, analogue à ceux qui on
n l'attribuant à la sciatique dans laquelle nous connaissons déjà des
troubles
semblables? lien était tout autrement chez M...
ion de ce nerf, le sciatique poplité externe, et caractérisée par des
troubles
moteurs et sensitifs portant sur le territoire de
comme fou. Rendu à sa famille, depuis lors il n'a jamais présenté de
troubles
mentaux, n'a jamais eu d'attaque3. Mère, deux soe
servée, sauf dans la zone d'anesthésie. La malade ne présente aucun
trouble
de la vision, nidiplopie, ni amblyopie, ni dyschr
régulièrement, surtout quand la malade est restée longtemps assise.
Troubles
trophiques.— Le membre inférieur droit présente d
l'extrémité inférieure de la molleóle externe........ 20 c. 21c.
Troubles
vaso-moteurs.— Le pied malade est beaucoup plus f
particulier dans la paralysie alcoolique, en outre des œdèmes et des
troubles
trophiques signalés par M. Lancereaux, il y a sou
esthésie sont venus s'ajouter d'autres phénomènes qui prouvent que ce
trouble
est dû ici à une complication. L'examen attentif
ve, quelque intenses et graves que soient l'amyotrophie et les autres
troubles
trophiques qui l'accompagnent. Le malade que vo
éfaut, l'atrophie est moins accusée qu'à gauche et il n'existe pas de
troubles
trophiques cutanés. En ce qui concerne la sensibi
une sciatique double d'un genre particulier, car elle s'accompagne de
troubles
paralytiques et amyotro-phiquès. Or, vous savez q
ette ces deux dernières hypothèses, car notre malade ne présente ni
troubles
de la vessie et du rectum, ni anesthésie dans le
e variété; elle réside dans la durée de l'affection, la scoliose, les
troubles
trophi-ques ; elle tient moins peut-être à l'étio
iques doubles primitives ? 2° Ces sciatiques peuvent-elles amener des
troubles
trophiques musculaires et cutanés aussi graves qu
rendent à chaque muscle, et plus spécialement de la dissociation des
troubles
fonctionnels des muscles internes et externes. La
te par syncope), de Rosenheim (femme de 41 ans atteinte au 6e mois de
troubles
de la déglutition et de la parole, mort), de de G
jeune Anglaise, dont le père est ataxique, fut prise tout d'abord de
troubles
de la parole et de la déglutition, puis présenta
té à marcher, à avaler, de l'impossibilité de siffler. Il n'y a aucun
trouble
, ni de la sensibilité, ni des sphincters. L'aut
bulbaires. Il s'agit là d'une lésion systématique, car il n'y a aucun
trouble
concomitant de la sensibilité, pas de paralysie d
ous les signes de l'ophthalmoplégie externe. J'ajoute qu'il n'a aucun
trouble
de la sensibilité ni des sphincters. Tout conco
t (août 1891) le bulbe inférieur commence à se prendre (voixnasonnée,
troubles
de la déglutition, etc. On trouvera d'ailleurs pl
cousses fi-brillaires. Les réflexes sont absents et il n'existe aucun
trouble
de la sensibilité ni des sphincters. Ici encore n
nde activité et se surmenait. C'est alors que survinrent les premiers
troubles
oculaires. Le Dr Meyer, consulté, constate d'abor
cune secousse fibrillaire dans les lèvres ni dans la langue. Pas de
troubles
de la sensibilité, ni sur la face ni dans la bouc
he. Le réflexe pharyngien est très développé. Pas de céphalée. Pas de
troubles
intellectuels quelconques. Pas de troubles vésica
é. Pas de céphalée. Pas de troubles intellectuels quelconques. Pas de
troubles
vésicaux. Rien aux membres ; pas de parésie ni
de nouveaux symptômes bulbaires : pas d'accélération du pouls, pas de
troubles
cardiaques ni respiratoires. Il n'y avait toujour
la maladie il y a trois ans par l'apparition lente et progressive du
trouble
de la parole. Il y a deux ans les yeux se prirent
c'est depuis trois ans que l'amaigrissement a fait de tels progrès.
Trouble
de la parole extrêmement prononcé. Elle ne peut a
ement fibrillaire ni de secousses vermiculaires. Il existe quelques
troubles
de la déglutition, mais assez peu accentués. Les
boli. Le gauche est à peu près normal. Nulle part on ne constate de
troubles
de la sensibilité, ni au contact, ni à la douleur
Homme vigoureux en apparence, de haute stature, qui ne présente aucun
trouble
des fonctions organiques. On l'apporte à la consu
dans le membre inférieur droit. Pas d'adipose sous-cutanée, pas de
troubles
trophiques de la peau. Le malade ne souffre en
aire n'est pas altéré, non plus que la sensibilité articulaire. Aucun
trouble
des sphincters (vessie, rectum). Rien à noter du
ses lèvres « en cul de poule » et ne peut siffler. On n'observe aucun
trouble
de la déglutition, pas de nasonnement, pas d'atro
, et le malade n'y a jamais observé de changement de coloration ni de
troubles
trophiques véritables. Le malade dit avoir fréq
ie, l'issue fatale ayant été sans doute favorisée par la présence des
troubles
cardiaques et respiratoires dont il était atteint
celle de tout individu atteint d'atrophie des membres inférieurs. Le
trouble
peut aller de la simple faiblesse, s'accusant par
, mais qu'il est bien instructif d'observer. Ce sont d'ailleurs des
troubles
moteurs que l'on rencontre chez tous les amyotrop
t un examen un peu minutieux du malade. Tout d'abord cette absence de
troubles
dans les réactions électriques dont nous parlions
n la marche de l'atrophie, la durée de son évolution, la présence des
troubles
oculaires, devaient faire écarter l'hypothèse de
uscles du voile du palais et du pharynx, de l'orbiculaire des lèvres,
troubles
de la parole. Enfin les quatre membres étaient pa
prédominance de l'atrophie dans tel ou tel groupe musculaire et sans
troubles
de la sensibilité. La contractilité fara-dique ét
n signe bien caractéristique qui est la dissociation particulière des
troubles
de la sensibilité. Chez les malades atteints de p
sera d'emblée éliminée, surtout s'il existe en outre quelques-uns des
troubles
tropbiques, bulles, panaris, arthropathies, scoli
iomyéliques antérieurs, postérieurs et médians). Atrophie musculaire,
troubles
de la sensibilité, troubles tro-phiques. Formes f
érieurs et médians). Atrophie musculaire, troubles de la sensibilité,
troubles
tro-phiques. Formes frustes et atypiques. Sympt
tes et atypiques. Symptômes de la maladie de Morvan. Caractères des
troubles
de la sensibilité, qui ne sont point différents,
x de la syringomyélie, dans laquelle les panaris se rencontrent comme
troubles
trophiques non d'une très grande rareté. Observ
uable par la prédominance de certains symptômes, et en particulier de
troubles
trophiques, qui n'entrent qu'à titre d'éléments r
upposées. Quant aux symptômes dits médians, il reste à leur actif les
troubles
trophiques si accusés dans la syringomyélie. Mais
s exagération des réflexes, d'une évolution symétrique et lente. 2°
Troubles
de la, sensibilité. C'est parmi ceux-ci que se ra
ons, il forme un ensemble caractéristique, surtout s'il s'y joint des
troubles
trophiques. Les troubles de la sensibilité sont d
caractéristique, surtout s'il s'y joint des troubles trophiques. Les
troubles
de la sensibilité sont distribués par segments, e
issement concentrique du champ visuel dans la syringomyélie (1). 3°
Troubles
trophiques. On sait qu'on range sous cette dénomi
e de Marie et qu'on pourrait appeler chiroméga-lie (1), tels sont les
troubles
tro-phiques osseux et ligamenteux qu'on rencontre
lique (Charcot et Brissaud) ; on peut citer des cas dans lesquels les
troubles
trophiques occupent le premier plan, l'amyotrophi
l symptomatique tenir le premier rang. En somme, vous le voyez, les
troubles
spéciaux de la sensibilité sont seuls les symptôm
une faiblesse et une atrophie plus ou moins prononcée du membre. Ces
troubles
moteurs sont toujours accompagnés de troubles de
rononcée du membre. Ces troubles moteurs sont toujours accompagnés de
troubles
de la sensibilité. Mais ceux-ci diffèrent de ce q
est tout un. Et d'abord le grand argument tiré de la différence des
troubles
de la sensibilité n'est pas aussi absolu qu'on l'
o-analgésie du membre tout entier. Cependant on peut noter quelques
troubles
trophi-ques qui dépassent un peu le cadre tracé à
rme à la description de M. Morvan. Mais si nous examinons de près les
troubles
de la sensibilité, sur toute l'étendue de ce memb
nette analgésie, et thermo-anesthésie (1). Donc, de par la nature des
troubles
de la sensibilité et la limitation monoplégique d
nues qui dans la substance grise centrale président à l'évolution des
troubles
trophiques. Mais d'autopsie, Messieurs, il n'es
abète sucré véritable. On tentera peut-être d'objecter que certains
troubles
du système nerveux sont capables de provoquer l'a
sont bien connus aujourd'hui et parfaite- 1 Bernard et Féré. — Des
troubles
nerveux observés chez les diabétiques. \Arch. deN
de distinguer, mais qui en tous cas, pratiquement, se révèle par des
troubles
ou sensitifs ou moteurs, quelquefois les deux en
uefois les deux en même temps, occupant les membres inférieurs. Ces
troubles
sensitifs et moteurs ont été tout d'abord étudiés
ment coordonnés. Réunis un à un et rapprochés les uns des autres, ces
troubles
divers me paraissent réaliser un type nosogra-phi
sage dans la gouttière épitrochléenne, de l'atrophie des muscles, des
troubles
trophiques du côté de la peau, qui était lisse, e
ologie de 1882. Suivant Leyden, Althaus aurait le premier signalé les
troubles
de la sensibilité qui font que, quelquefois, les
eurs seraient caractérisés : 1° par le signe deRom-berg, et 2° par un
trouble
de la démarche que quelques-uns désignent sous le
le diagnostic de l'ataxie liée à la maladie sucrée que l'absence des
troubles
oculaires tabétiques (ceux qui dépendent du diabè
tiques (ceux qui dépendent du diabète, hémiopie, rétinite, cataracte,
troubles
de l'accommodation, étant complètement différents
pendant le cours du diabète, et 2° un tabès également vrai, mais sans
troubles
oculaires, sans crises gastriques ni laryngées.
t chaque jour l'urine dans des bocaux). Urine très peu colorée, non
trouble
. D. 4040. Ne contient pas d'albumine, mais une qu
douleurs à ce niveau. Pas de maux de tète. Rien du côté de l'estomac.
Troubles
de la miction assez nets : quelques rares douleur
de fréquentes balanites ou à de la rougeur du prépuce. Jamais aucun
trouble
rectal ni anal; constipation habituelle interromp
ale et la temporale droites, moins à gauche. Rien dans les poumons.
Trouble
du sens musculaire (doigt mis sur le bout du nez)
e réaction partielle de dégénérescence du jambier antérieur. Pas de
troubles
cérébraux. Quelques sensations dysesthé-siques da
de cette idée. La seule chose qui vous surprenne, c'est l'absence de
troubles
de la sensibilité, presque toujours présents à un
cinq ans du grand diabète, du diabète constitutionnel, relevant d'un
trouble
de la nutrition et marqué par la présence dans l'
. des hôp., 1890. 1 Gilles de la Tourette. —De la superposition des
troubles
de la sensibilité et des spasmes de la face et du
mon chef de clinique, publié déjà un travail sur la superposition des
troubles
de la sensibilité et les spasmes de la face et du
me l'appelle une chanson de carrefour. sans qu'il s'en suivît aucun
trouble
nerveux durable. Il fut soigné comme blessé à l'h
ortance des stigmates et en particulier de Tanesthésie superposée aux
troubles
du mouvement. — Dans le cas en question le ptosis
ue l'hémiplégie des membres. Ajoutez à ces caractères quelques légers
troubles
de la sensibilité et vous aurez l'image de l'hémi
de prime abord la coexistence de symptômes oculaires d'un côté, et de
troubles
moteurs des membres du côté opposé, était si impr
réditaires que je n'ai 1 Gilles de la Tourelte. — Superposition des
troubles
de la sensibilité et des spasmes de la face et du
un malade :'lésion de la moelle, lésion des nerfs du plexus brachial,
troubles
du mouvement, troubles de la sensibilité suivant
a moelle, lésion des nerfs du plexus brachial, troubles du mouvement,
troubles
de la sensibilité suivant la disposition dite syn
dre vraisemblable. Au membre supérieur droit existent à la fois des
troubles
sensitifs et musculaires diversement répartis. Le
nt dans la compression spinale1 ; C'est là, pour la syringomyélie, un
trouble
sensitif anormal, mais il faut compter avec les i
de l'avant-bras? Ce n'est pas ainsi, en général, que se disposent les
troubles
de la sensibilité dans la syringomyélie; ils proc
ier nerf dorsal, et vous vous expliquez à merveille non seulement les
troubles
sensitifs, mais encore la parésie et l'atrophie q
rsal. Il nous est facile d'expliquer aussi, dans cette hypothèse, les
troubles
observés aux membres inférieurs. Une esquille, un
descendante, de là cette répartition si particulière des symptômes :
troubles
sensitifs localisés à la moitié gauche du corps a
énomène que j'ai observé dans plusieurs cas d'hémiparaplégie spinale,
troubles
moteurs et réflexes occupant surtout le membre in
oir clair dans les choses qui nous occupent, au lieu de pêcher en eau
trouble
. Mais cette détermination d'un diagnostic rationn
rurgicale et elle a permis, un certain nombre de fois, d'apporter aux
troubles
médullaires d'origine mécanique un utile remède.
jour, on supprime le tout. Le malade (chose curieuse) n'accuse aucun
trouble
fonctionnel, aucune douleur, aucune limitation da
e rotulien et la trépidation épi-leptoïde provoquée. D'ailleurs, le
trouble
de la marche est accompagné de crampes douloureus
à gauche, qui, jusqu'à cette date, n'avait apporté que fort peu de
troubles
dans ses mouvements, se compliqua d'une faiblesse
(de Caen), n'est rétréci dans aucun sens. Il n'existe d'ailleurs nul
trouble
visuel, si ce n'est une légère diplopie « lorsque
diennes commençantes. Il n'est pas inutile de faire remarquer ;que ce
trouble
trophique accidentel occupe une région qui depuis
président à l'innervation de ces muscles. Là ne se bornent pas les
troubles
trophiques. La main gauche, dans son ensemble,
dique, survenue insidieusement dès l'adolescence, se sont ajoutés les
troubles
de la sensibilité et les troubles trophiques que
l'adolescence, se sont ajoutés les troubles de la sensibilité et les
troubles
trophiques que nous venons de passer en revue et
nal épendymaire et à gauche a dissocié la sensibilité et provoqué les
troubles
trophiques. Voilà donc un nouvel aspect sous le
par la photographie), qu'on serait tout d'abord tenté d'assimiler ce
trouble
trophique, limité à l'extrémité du membre malade,
, il est certain que l'augmentation de volume de la main n'est pas le
trouble
trophique fondamental : les doigts sont déformés
ikoff (1), de l'avis de M. Marie, serait simplement un exemple de ces
troubles
trophiques qui se montrent au cours de certaines
par une localisation spéciale, avec une prépondérance corrélative des
troubles
trophiques périphériques sur les autres symptômes
s l'aphasie dans ses différents modes, une hémiopie peut-être, divers
troubles
intellectuels, l'amnésie par exemple. Et la théor
ntièrement curable? Parce qu'elle n'est jusqu'ici accompagnée d'aucun
trouble
permanent du mouvement dans les membres mis en je
exaltation des réflexes avec trépidation spinale, peut-être quelques
troubles
de sensibilité, légers et limités, mais jamais de
le curable qui est en cause. Chez l'autre, au contraire, il s'agit de
troubles
moteurs et intellectuels de la plus haute gravité
iétal inférieur a été lésé. Logiquement, nous devions rechercher le
trouble
visuel qui est le compagnon habituel de la céci
ituel de la cécité verbale, je veux parler de Vhémiopie. Eh bien ! ce
trouble
existe et de la façon la plus nette : la ligne de
vec quelque difficulté. A la suite d'une application de sangsues, ces
troubles
disparurent rapidement. La journée du 26 fut norm
nt. La journée du 26 fut normale; mais le soir, vers sept heures, ces
troubles
de la motilité et du langage reparurent plus accu
iale incomplète du même côté, plus accusée au niveau de la main, sans
troubles
de la sensibilité, mais accompagnée d'une diminut
urd'hui de celle du côté sain. Les réflexes sont devenus normaux, les
troubles
vaso-moteurs de la main, qui était froide et viol
rtaines manifestations moins bien connues, et avant tout sur quelques
troubles
oculaires tels que l'amblyopie et la cécité. Ne v
z survenir une amyotrophie plus ou moins prononcée. D'autre part, les
troubles
vésicaux, les douleurs, les anesthésies qui n'app
embarras particulier de la parole, vertiges,attaques apoplecliformes,
troubles
spéciaux de l'intelligence, cette coexistence, di
s durant trois semaines environ. Aucun de ces deux malades n'offre de
troubles
pupillaires ni de rétrécissement du champ visuel.
) avaient également mentionnés. 3° La recherche, même en dehors des
troubles
visuels accusés par le malade, des lésions du fon
les lésions les plus nettes de la névrite optique ne produisent aucun
trouble
appréciable et qu'elles peuvent rester ignorées s
it nécessaire pour découvrir des altérations de la papille dont aucun
trouble
visuel ne trahit l'existence. Et l'auteur fait re
ès médical, 9 août 1884.) Cet auteur a examiné, sous le rapport des
troubles
visuels, cent malades atteints de sclérose en pla
r, au point de vue subjectif, quelques-uns d'entre eux accusaient des
troubles
visuels divers et l'un d'eux — un seul, unique ex
es, porteurs de lésions ophthalmoscopiques, ne se plaignaient d'aucun
trouble
de la vision. Autre détail bien conforme à nos
ant pu avoir des renseignements sur le mode de début et la marche des
troubles
visuels chez vingt-quatre de ses malades, constat
s. Or dans un de ces cinq cas on n'avait constaté durant la vie aucun
trouble
visuel. Il est vrai de dire que les lésions trouv
e l'étendue et de l'intensité des altérations rétro-bulbaires que des
troubles
visuels eux-mêmes. Je n'ai pas besoin de soulig
lésions papillaires, que les malades accusent ou n'accusent point des
troubles
de la vision. J'arrive maintenant à l'étude dia
disparut au bout de trois semaines sans laisser aucun reliquat, aucun
trouble
visuel. Telle est, Messieurs, son histoire pass
Puis des fourmillements apparurent dans la jambe et dans le bras. Les
troubles
parétiques augmentèrent graduellement jusqu'au mo
rd'hui peu accentués, mais existent encore néanmoins. Il n'y a pas de
troubles
nets de la démarche, mais une diminution assez no
15 mars 1890, montre qu'il n'existe aucune lésion organique ni aucun
trouble
de l'accommodation, ni d'un côté ni do l'autre. P
n commune pour un même mouvement. Chez notre malade, il s'agit d'un
trouble
du même (1) Parinaud. Spasme et Paralysie des m
l'obstacle au mouvement de l'œil droit. Mais là ne s'arrête pas le
trouble
fonctionnel. Si l'on continue à solliciter le dép
ne fille de porter un diagnostic positif basé sur la connaissance des
troubles
dont elle est atteinte ? Au premier abord on est
e de cette lésion protubérantielle dont la présence nous explique les
troubles
présentés par notre malade ? Les symptômes relaté
dire si, à ce moment, elle avait des attaques convulsives. Comme ces
troubles
persistaient, elle se décida, au bout d'une quinz
t un embonpoint modéré et un bon état de la santé générale malgré les
troubles
anorexiques et les vomissements dont elle a souff
u'elle présentait à son entrée existent toujours. 15 octobre. — Les
troubles
précédents se sont notablement amendés. La malade
X..., vingt-cinq ans, vient à Paris consulter le Dr Auvard, pour des
troubles
utérins (octobre 1888). La mère de la malade a
rd qui, ne trouvant aucune altération de ces organes et pensant à des
troubles
purement nerveux, voulut bien demander à M. Gille
couvert de pytiriasis versicolor. — Pas de réflexe pharyngien, pas de
troubles
de la sensibilité générale. Champ visuel normal
puis longtemps déjà, elle ne peut préciser exactement l'époque où ces
troubles
ont débuté, elle éprouve de petites pertes de con
nt très peu accentués chez cette malade. Il existe néanmoins un léger
trouble
de la sensibilité, dont la présence acquiert ici
arynx, sensation de boule remontant de l'estomac à la gorge. Pas de
troubles
sensoriels. La vue est parfaitement conservée et
De la Maladie de Morvan. (Leçon). Sommaire. — Etude des divers
troubles
trophiques des doigts : maladie de Maurice Raynau
u des hystériques. ) (Leçon). SOMMAIRE. — L'œdème considéré comme
trouble
trophique hystérique. L'œdème blanc est décrit pa
iomyéliques antérieurs, postérieurs et médians). Atrophie musculaire,
troubles
de la sensibilité, troubles tro-phiques. Formes f
érieurs et médians). Atrophie musculaire, troubles de la sensibilité,
troubles
tro-phiques. Formes frustes et atypiques. Sympt
tes et atypiques. Symptômes de la maladie de Morvan. Caractères des
troubles
de la sensibilité, qui ne sont point différents
x de la syringomyélie, dans laquelle les panaris se rencontrent comme
troubles
trophiques non d'une très grande rareté. Observat
rtance des stigmates et en particulier de l'anesthésie superposée aux
troubles
du mouvement. —¦ Dans le cas en question, le ptos
un malade : lésion de la moelle, lésion des nerfs du plexus brachial,
troubles
du mouvement, troubles de la sensibilité, suivant
a moelle, lésion des nerfs du plexus brachial, troubles du mouvement,
troubles
de la sensibilité, suivant la disposition dite sy
o-traumatisme, 29, 117, 366; — pronostic, 369. I Intelligence :
troubles
de 1'—, dans la syphilis du cerveau, 390. L L
es des yeux, 193. Nutrition dans l'hystérie, 453. o Oculaires :
troubles
—, dans la sclérose en plaques, 400, 403, 407.
Ptosis spasmodique, 323; Signe du sourcil dans le —, 325. Pupille :
troubles
de la —, dans les lésions du plexus brachial,
arrêts dans l'évolution de la —, 400; Amyotro-phie dans la—,400,412;
Troubles
vésicaux dans la —, 400 ; Douleurs fulgurantes da
00 ; Douleurs fulgurantes dans la—,400 ; Anesthésies dans la —, 400 ;
Troubles
oculaires dans la —, 400, 403, 407; Formes fruste
. PARAPLÉGIE SPASMODIQUE. 3 avec exagération des réflexes et sans
troubles
de la sensi- bilité, on pourrait avec M. Van Ge
ur les paraplégies flasques. Et ces paraplégies spasmodiques avec
troubles
sensitifs (myélite syphilique et mal de Pott) f
division s'impose. Abstraction faite de l'exis- tence aléatoire des
troubles
de la sensibilité, deux variétés de paraplégie
6. - Roux et Paviot. Tumeur de la moelle, paraplégie spasmodique el
troubles
de la sensibilité, p. 848. Revue neurologique,
ersiloff. Deux cas de tumeurs de la moelle, paraplégie spasmodique,
troubles
de la sensibilité, p. 81. 2 Van Gehuchten. Pres
se plaint de la difficulté qu'il éprouve pour marcher : douleurs et
troubles
moteurs sont liés à un mal de Pott. PARAPLÉGIE
qu'il éprouvait, un affaissement de la colonne vertébrale, avec des
troubles
de la respiration et les symptômes d'une parapl
trémulation épileptoïde des deux côtés ; on n'aurait pas observé de
troubles
objectifs de la sensibilité. A sa sortie de S
sensibilité thermique des deux côtés, mais surtout à gauche où les
troubles
de la sensibilité sont en général plus accentué
la corde des adducteurs est plus tendue à droite qu'à gauche. Les
troubles
de la sensibilité objective remontent jusqu'à une
uisses et l'abdomen, plus marqués du côté gauche que du Fig. 3. Les
troubles
de la sensibilité au contact (t), à la piqûre (2)
raplégie débuta à l'âge de vingt-neuf ans ; elle fut accompagnée de
troubles
subjectifs de la sensibilité, mais pas de troub
t accompagnée de troubles subjectifs de la sensibilité, mais pas de
troubles
objectifs (il existait de la contracture, du cl
u moins s'améliora considérablement : Paraplégie spasmo- dique sans
troubles
de la sensibilité, nous sommes au premier degré
ntéresse plus particulièrement. Malgré quel- ques oscillations, les
troubles
de la motilité et de la sensi- bilité présenten
à peu près complète, s'accom- pagne du clonus des deux pieds ; les
troubles
de la sensibi- lité objective remontent jusqu'à
cessaire et suffisante de la conservation des réflexes. Quant aux
troubles
de la sensibilité (dissociation syringo- myéliq
odique dont M. David Linn Edsall1 a constaté l'association avec des
troubles
de sensibilité d'une topographie assez singuliè
hors en dedans ou de dedans en dehors (tubercule médullaire). Les
troubles
sensitifs des paraplégies par compression sont
e extrême fréquence. S'ils n'ont pas la « cons- tance absolue » des
troubles
moteurs sur laquelle insiste M. Van Gehuchten,
vite, les jambes raidies par un reliquat de méningo-myélite ? Les
troubles
de la sensibilité, avons-nous dit, sont surtout :
équence des paraplégies chroniques spastiques par compression, avec
troubles
de la sensibilité objective. De ces paraplégi
s du tabes, en première ligne sur les douleurs fulgurantes, sur les
troubles
génito-urinaires, sur l'incoordi- nation motric
suspension ; il cite même un cas où la suspension a fait cesser les
troubles
gas- triques ; mais, il n'admet point que la su
on par l'appareil de Chipault et Gilles de la Tourette provoqua des
troubles
vésicaux, des étourdissements, de la faiblesse
nt le nombre dépasse 3 000, nous n'avons jamais constaté le moindre
trouble
, identique à ceux qui sont produit par la penda
es deux derniers procédés n'ont pas tardé de prc quer chez elle des
troubles
cardiaques et on fut forcé de interdire tout tr
dément intoxiqué et présentant, avec un état parétique général, des
troubles
intellectuels. Les jours suivants, les troubles
ique général, des troubles intellectuels. Les jours suivants, les
troubles
intellectuels augmentent et la marche est plus di
a dénommée méralgie paresthésique, et qui est caractérisée par des
troubles
sensoriels de la surface REVUE DE PATHOLOGIE NE
on de l'excitabilité idio-musculaire et absence presque complète de
troubles
de la sensibilité. G. D. VI. OEdème scléreux de
la réac- tion myosthénique de Jolies. Il n'existait pas non plus de
troubles
de la sensibilité ; les réflexes étaient normau
3° l'abolition du réflexe palpébral ; 4° l'abolition du goût et des
troubles
de la salivation ; GO l'existence de douleurs név
pré- sente ni caractère familial, ni contractures fibrillaires, ni
troubles
vaso-moteur, ni paralysie avec ataxie, ni troub
fibrillaires, ni troubles vaso-moteur, ni paralysie avec ataxie, ni
troubles
oculo-moteurs, ni troubles de la sensibilité ;
aso-moteur, ni paralysie avec ataxie, ni troubles oculo-moteurs, ni
troubles
de la sensibilité ; il ne représente donc ni une
vements choréiques revêtent divers modes qui correspondent avec les
troubles
choréiques correspondants : hémiplégie choréique,
inance hémilatérale, affai- blissement musculaire généralisé. Les
troubles
de la sensibilité sont très variables ; les uns d
choréiques (algies parachoréiques), les autres se superposent aux
troubles
moteurs (algies juxtachoréiques); ce sont surtout
- .Il y a d'ailleurs dans la chorée une indépendance relative des
troubles
des réflexes, qui ne correspondent pas comme loca
des réflexes, qui ne correspondent pas comme localisation avec les
troubles
choréiques. M. H. - XXI. Étiologie du vitiligo;
connue chez un homme à antécédents névropathiques héréditaires. Les
troubles
moteurs furent précédés de troubles de la saliv
évropathiques héréditaires. Les troubles moteurs furent précédés de
troubles
de la salivation et de la gus- tation. L'auteur
olynévrite tuberculeuse par élimination de toute autre cause. Les
troubles
moteurs portaient surtout sur les muscles des j
général avec l'âge mûr, est inéluctable et s'accompagne souvent de
troubles
mentaux, en particulier de démence dans la dern
appui de cette opinion sont des cas de mi- graine ophtalmique. Tous
troubles
sensoriels de nature jackson- nienne peuvent d'
roite à gauche les per- sonnes qui sont devant lui. Tels sont les
troubles
qui ont déjà rétrocédé le matin du troi- sième
privations. L'aphasie si particu- lière provenait, selon lui, d'un
trouble
de la mémoire et de l'atten- tion, dû à une alt
ment aux segments antérieurs des cornes antérieures rend compte des
troubles
peu accusés de la sensibilité de la peau. Qua
x délicats : épistaxis pendant l'enfance, alcoolisme chronique. Des
troubles
de l'excitabilité électrique et des réflexes, i
de l'aniline, par suite d'un accident. Prodromes : malaise général,
troubles
de coordination des jambes. Puis, trois heures
intenses extrêmement douloureuses : albuminurie consi- dérable. Les
troubles
du côté de l'appareil uro-génital persistent en
uche, de l'absence des réflexes abdominaux et crémastériens, et des
troubles
sensitifs de la face antéro-externe de la cuiss
ltération des réflexes patellaires abdominaux et crémastériens, les
troubles
sensibles, la paralysie du péronier, la faibles
péronier) ainsi que des troisième à cinquième segments sacrés. Les
troubles
de la sensibilité de la cuisse gauche, bien lim
agie, le traumatisme a dans les cellules nerveuses pu déterminer un
trouble
moléculaire, capable de devenir le point de dép
gressives. P. KERAVAL. XLVI. Contribution à la symptomatologie des
troubles
trophiques de la syringomyélie (ostéomalacie);
ifficulté de la déglutition et de la phonation. La distribution des
troubles
moteurs et sensi- tifs intéressant les paupière
usque de ce syndrôme, son apparition dans l'enfance, l'existence de
troubles
sensitifs à côté des troubles moteurs, l'absenc
rition dans l'enfance, l'existence de troubles sensitifs à côté des
troubles
moteurs, l'absence de dégénérescence amyotrophi
de la vue avec paralexie, perte de la compréhension des mots lus et
troubles
de l'écriture. Les troubles hallucinatoires et
rte de la compréhension des mots lus et troubles de l'écriture. Les
troubles
hallucinatoires et l'excitation maniaque s'amende
ionnel com- mis par un individu sain. Si nous savons que la passion
trouble
profondément l'équilibre individuel, et que les
rifugation, de lymphocytes dans le liquide céphalo-rachidien ; sans
troubles
objectifs de la sen- sibilité, ni troubles sphi
céphalo-rachidien ; sans troubles objectifs de la sen- sibilité, ni
troubles
sphinctériens : telles sont les ressemblances.
agit dans les deux cas d'une monoplégie crurale dou- loureuse, sans
troubles
objectifs de la sensibili'é, mais accompa- gnée
nus du pied; de la chorée fasciculaire diffuse provoquée, et, comme
troubles
tro- phiques : de l'oedème des membres et des e
oedème des membres et des escarres du siège et du talon gauche. Les
troubles
vasomoteurs pulmonaires avec hémop- tysies. L'a
ou d'être suggestionné. « Elle se manifeste principalement par des
troubles
primitifs, et accessoirement par des troubles s
rincipalement par des troubles primitifs, et accessoirement par des
troubles
secondaires. « Les troubles primitifs sont cara
primitifs, et accessoirement par des troubles secondaires. « Les
troubles
primitifs sont caractérisés par la possibilité qu
et de disparaître sous l'influence exclusive de la persuasion.' Les
troubles
secondaires sont caractérisés par leur subordin
secondaires sont caractérisés par leur subordination étroite à des
troubles
primitifs. » Torticolis mental surajouté à des
un torticolis mental en rotation à droite, est venu s'adjoindre aux
troubles
anciens de la motilité, et, comme c'est habitue
sont très limités. 1 Il n'y a aucune altération musculaire, aucun
trouble
des réflexes, de la contractilité électrique, n
en telle concurrence d'origine nerveuse. A propos des tics et des
troubles
moteurs chez les délirants chroniques. . Du syn
e sa complexité soit assez grande. Je pense que l'apparition de ces
troubles
moteurs, véritable syndrome mus- culaire chez u
epilepti- formes, hémiplégie droite, nystagmus, le tout sans ancun
trouble
de la sensibilité : On porta le diagnostic : tu
lisation. Y aurait-il un rapport quelconque entre l'éclosion de ces
troubles
et la morsure du chien enragé ? Cela ne semble
e syringomyélie; paraplégie spasmodique des membres inférieurs sans
troubles
sensitifs marqués; aux membres supérieurs, au c
, les deux trapèzes sont intéressés, surtout le droit. En somme les
troubles
occupent la région innervée par les 30, 40, 5°
décubitus dorsal, il y a plus que le signe de Kernig et plus qu'un
trouble
synergique céré- belleux comme le penserait M.
e unique d'une lésion cérébelleuse. Il ne considère pas non plus ce
trouble
comme dû à l'affaiblissement paralytique, mais
hez des dégénérés et des débiles. Chaque fois, il y a mélan- colie,
trouble
du caractère, excitation, onanisme, puis dépressi
onsultation, est normal de forme, de couleur, de température : sans
troubles
trophiques, sans hyperhydrose, mais les trouble
température : sans troubles trophiques, sans hyperhydrose, mais les
troubles
moteurs en sont très marqués. Alors que sa main
aussi chaude que la peau du bras droit. Pas de contractures. Pas de
troubles
trophiques ni vaso-moteurs. Le malade lève diff
lus gênés; il continue à travailler durant un mois encore, mais les
troubles
moteurs s'accentuent de plus en plus : il ne pe
e l'habitude qu'il a de porter sa boite de ce côté du corps. Pas de
troubles
de la vue. Les réactions pupillaires sont norma
troubles de la vue. Les réactions pupillaires sont normales. Pas de
troubles
de l'ouïe, pas de troubles du goût. Le cou, le
ctions pupillaires sont normales. Pas de troubles de l'ouïe, pas de
troubles
du goût. Le cou, le tronc, le membre supérieur
ignaler. CI Seul le bras droit inquiète notre malade, tant pour les
troubles
de la motricité que pour les douleurs dont il e
siège. Le membre n'est pas diminué de volume. Il ne présente ^ni
troubles
trophiques, ni troubles vaso-moteurs, si ce n est
t pas diminué de volume. Il ne présente ^ni troubles trophiques, ni
troubles
vaso-moteurs, si ce n est cepen- dant une légèr
t plus vigoureux que le bras gauche. La peau en est normale. Pas de
troubles
trophiques ni vaso-moteurs. La mobilité en est
ni vaso-moteurs. La mobilité en est cependant fort troublée, et ces
troubles
vont s'accentuant de plus en plus. - Les mouv
oire de M. le professeur Pétré. Le résultat est à peu près nul. Les
troubles
de la sensibilité et de la motilité ne sont pas
t pas. Le 28. Faradisation. même état de la sensibilité, mais les
troubles
sensitifs inquiètent fort peu le malade qui a hât
é des cas (cinq fois sur six), on a noté sur le membre paralysé des
troubles
très marqués de la sensi- bilité cutanée, affec
n'existait, du reste, aucun rapport constant entre l'étendue de ces
troubles
sensitifs et l'extension de la paralysie motrice.
dans nos observations, nous pouvons affirmer qu'indépendamment des
troubles
de la sensibilité cutanée dont il vient d'être
aire normale. La main paralysée n'a généralement pas présenté de
troubles
vaso-moteurs ou sécrétoires ; cependant nous avon
s du tabes, en première ligne sur les douleurs fulgurantes, sur les
troubles
génitaux, urinaires et sur l'incoordination mot
e l'anesthésie : Bonjour, Guttman, Michel Clark. Amélioration des
troubles
vésicaux et rectaux : Eulenbourg, Mendel, Rosen
ux : Eulenbourg, Mendel, Rosenbaum, Bélougou. -' Amélioration des
troubles
des nerfs moteurs des yeux : Ber- nhardt, Ladam
: Ber- nhardt, Ladame, Rondel, Moutard-Martin. , Amélioration des
troubles
oculaires : Darier, Eulenbourg, Mendel, Abadi,
u moyen de la planche inclinée.- De ces 10 cas, 2 virent tous leurs
troubles
considérablement améliorés, en commençant par l
iorés, en commençant par l'incoordi- nation et en finissant par les
troubles
oculaires. Chez 4 on obtint une amélioration no
s troubles oculaires. Chez 4 on obtint une amélioration notable des
troubles
moteurs, des douleurs fulgurantes,' du signe de
employé à la Compagnie du gaz parisienne. Il y a sept ans avait des
troubles
gastriques : indigestions, gastralgie, crampes
3 grammes par jour. Le malade présentait au cours de son tabes des
troubles
vési- caux passagers ; la diplopie, qu'il conse
signe d'Argyl-Robertson. 124 ik " THÉRAPEUTIQUE. N'a jamais eu de
troubles
urinaires, ni digestifs. Travaille à la machine
ement, et seule la gymnastique raisonnée est capable d'agir sur les
troubles
moteurs par le rétablissement de l'association
'attention du monde mé- dical principalement par l'amélioration des
troubles
moteurs des tabétiques. Des 14 premières observ
tômes, tels que les douleurs fulgurantes, l'incoordination et les
troubles
génito-urinaires ». Réunie à la gymnastique rai
Parmi les autres symptômes qui profitent de l'extension sont les
troubles
vésico-urinaires, les troubles gastriques et le
ui profitent de l'extension sont les troubles vésico-urinaires, les
troubles
gastriques et les troubles oculaires. ° Voici
sont les troubles vésico-urinaires, les troubles gastriques et les
troubles
oculaires. ° Voici deux observations de deux ma
endant huit mois lui occasionna une compression de la vessie et des
troubles
vésicaux. Cette observation montre bien que l'e
est intéressante au point de vue de l'action de l'extension sur les
troubles
oculaires. Mais avant de donner sa description
uée d'après notre méthode, nous croyons que même l'amélioration des
troubles
visuels chez notre ma- lade est due dans une gr
, Eulenbourg et Vocothynski notèrent égale- ment l'amélioration des
troubles
oculaires. Ainsi, nous pou- vons affirmer que s
n des troubles oculaires. Ainsi, nous pou- vons affirmer que si les
troubles
oculaires s'améliorèrent chez notre malade à la
tre malade venait de la salle seule, en se servant d'une canne. Les
troubles
moteurs, ainsi que ceux de la vue, dispa- raiss
de résistance aux toxines; auto-intoxication gastro-intestinale et
troubles
comateux à chaque période menstruelle, puis démen
nsuffisants il la fournir. G. DERNY. IX. Du « réflexe fémoral » par
trouble
de la conductibilité de la moelle dorsale; par
ion plantaire des orteils. Il est à penser aussi que l'intensité du
trouble
de la conductibilité joue également un rôle. P.
pendant la vie de l'animal, on n'avait constaté guère que de légers
troubles
de la motilité des extrémités postérieures. Abs
e raideur des membres inférieurs; au quatrième mois,-apparition des
troubles
sphinctériens et aggra- vation de l'état paréto
iens et aggra- vation de l'état paréto-spasmodique; on constate des
troubles
de la sensibilité accompagnant les troubles mot
odique; on constate des troubles de la sensibilité accompagnant les
troubles
moteurs. A la fin de la première année, amélior
ang parmi les autres théories pathogéniques (congestion irritation,
troubles
circulatoires de l'encéphale, etc.) ». Ce tra-
re place parmi les facteurs pathogéniques (compression, irritation,
troubles
vascu- laires) invoqués pour expliquer les symp
ujet à l'Age de trois ans et après laquelle apparurent les premiers
troubles
. M. RAYMOND a vu deux cas analogues d'origine b
s exagérés, tremblement intentionnel, diminution de la sensibilité,
trouble
spécial de la parole et paralysie oculaire très
sthésie par la suggestion. M. REGNAULT. - L'automicrosthésie est un
trouble
hystérique qui résulte d'une erreur de percepti
ique et dans les accidents épi- leptiques n'est consécutif qu'à des
troubles
de la. mémoire de repro- duction. Des expérie
96.) 5. Bechterew. Rougeur de la face comme forme particulière de
trouble
nerveux. (Obozrenie psichiatrii il nevrologii, il
can, 1901.) 21. A. Dielil (de Lubeck). Manifestations familiales de
troubles
tro- phiques vaso-moteurs. (.lIonatsc1u'i{1 f.
ssé de soutenir cette opinion et tout en reconnaissant la valeur du
trouble
mental dans l'obses- sion, en particulier celle
survient au contraire un ralentissement respiratoire accompagné de
troubles
caractéristiques de la phase inspiratoire, qui
bie, maladie intellectuelle, a pour point de départ, pour cause, le
trouble
vaso-moteur, affection physiologique », en d'au
s mains deviennent moites, les yeux humides, voilés. Parfois, je me
trouble
, je dis des bêtises, je parle z à tort et à tra
lle immédiatement ou après avoir passé par une phase de pâleur; les
troubles
psychiques disparais- sent. Je ressens un soula
deux) que je ne rougirai pas de dix, quinze minutes. En général, le
trouble
psy- chique n'est pas prolongé. 2e type. - Le
ensoleillement parfait. Pointes d'aiguilles, fourmillements, sueur,
troubles
de la vue, affolement, rien ne manque. C'est un
'échelonnent tous les intermédiaires, dans lesquels c'est tantôt le
trouble
vaso-moteur, tantôt le trouble psychique qui pr
aires, dans lesquels c'est tantôt le trouble vaso-moteur, tantôt le
trouble
psychique qui prédomine ou existe seul, et avec
t à chaque facteur. 1° Domaine physique. Je n'ai jamais constaté de
troubles
céré- braux ou spinaux. J'ai des palpitations c
rougir, car je considère que l'éreuthophobie est la conséquence du
trouble
vaso-moteur. J'ouvre une parenthèse pour essaye
par suite d'un changement organique dont je n'ai pas conscience, le
trouble
vaso-moteur a lieu plus aisément et alors, immé
obie, maladie intellectuelle, a pour point de départ, pour cause le
trouble
vaso-moteur, affection physiologique. , . Que
ur, affection physiologique. , . Quelle est alors l'origine de ce
trouble
vaso-moteur ? Pour ma part, je ne puis la décou
e); une asthmatique (la soeur de mon père); une nerveuse (ma mère) [
troubles
gastriques, migraines]. Ma grand'- mère materne
cafés, absorption assez considérable d'alcools variés; résultats :
troubles
gastriques et cardiaques. Depuis trois ans, ma
ac de ma montre, le froissement de mon journal. Il me dit : Je vois
trouble
, mais je crois que vous avez à la main gauche un
ement préventif de la folie puerpérale. - Aendant le travail, les
troubles
mentaux transitoirs rappellent l'épilepsie psyc
ux fort; soigner la maladie dès le début, puisqu'il n'y a alors que
trouble
fonctionnel; nécessité du repos et puissance de
quée, il n'est pas étonnant qu'une grossesse apporte aux femmes des
troubles
du système nerveux : gêne physique, gêne mondai
e par ailleurs. Dans presque tous les cas où Tomlinson a trouvé des
troubles
mentaux aux dif- férentes périodes de la matern
es troubles mentaux aux dif- férentes périodes de la maternité, des
troubles
mentaux avaient existé aux époques de l'adolesc
e la parturition et non par des intoxications. La plupart ont des
troubles
durant la grossesse, irritabilité, perte de l'a
plus simple de folie puer- pérale, il y a ordinairement, outre les
troubles
ordinaires qui accompagnent la grossesse, de la
fants de fous ne sont qu'instables, les enfants de ceux qui ont des
troubles
somatiques altérant sérieu- sement leur force v
rd par le facteur psychique, douleur ; puis, indirectement, par. un
trouble
fonctionnel des centres et des vaso-moteurs, d'où
l se produit de la somnolence. Il s'agit la, d'après l'auteur, d'un
trouble
isolé de l'émotivité, d'une véritable névrose d
ures insupportables. Sa conviction est iné- branlable. Pas d'autres
troubles
intellectuels. On ne peut obtenir de renseignem
enser à l'encéphalite disséminée ; seuls les commémo- ratifs et les
troubles
de la sensibilité, de nature hystérique, de con
e progressive ; 2° il n'est pas un seul signe diagnostique tiré des
troubles
moteurs qui puisse être regardé comme spécifique
-rencontrent également en d'autres affections 3° de même, parmi les
troubles
mentaux, il n'en est pas un qui soit exclusivem
nir. Mais il ne tarda pas à montrer une combativité sans frein. Les
troubles
nerveux (migraines, etc.) dont il eut à souffri
ment un tabes. Il a observé à Bicêtre trois malades qui ont eu des
troubles
cutanés avec perte d'une narine, ces trois sujets
alysie, sans - sociétés savantes. 2't3 stigmates d'hystérie, sans
troubles
de la sensibilité, sans atrophie, sans troubles
es d'hystérie, sans troubles de la sensibilité, sans atrophie, sans
troubles
des réactions électriques, il existe seulement un
e dans de tels cas, au cours desquels M. Lortat l'attribue non à un
trouble
réflexe central, mais à ce que l'action des muscl
te. On voit que la suggestion hypnotique agit non seulement sur les
troubles
psychiques et sur ceux de la motricité volontai
résentée il y a huit ans à cette même société avec le diagnostic de
troubles
nerveux relevant du pes planus. La maladie a débu
se distingue par la périodicité des accès, s'accompagne souvent de
troubles
de la parole ou de symptômes morbides du côté d
cause de cette paralysie doit être recherchée probablement dans les
troubles
de la circulation intra-cranienne provoqués par
blié par le Dr Mott, porte sur les Relations de la syphilis sur les
troubles
orga- niques du cerveau et la folie. Cet articl
és, à l'asile et à l'hôpital (dont 22 cas suivis d'autopsie) . - Le
trouble
le plus fréquemment observé a été la méningite
s lésions communes à la base et à la convexité. La céphalalgie, les
troubles
oculaires, troubles de l'oculo-moteur (communs)
la base et à la convexité. La céphalalgie, les troubles oculaires,
troubles
de l'oculo-moteur (communs), les crises épilept
s bras. Nystagmus légère- ment marqué. Incontinence d'urine. Pas de
troubles
oculaires ni de tremblement. Les troubles de la
ontinence d'urine. Pas de troubles oculaires ni de tremblement. Les
troubles
de la parole et l'affaiblissement intellectuel
uel ou de Vêlement émotif. L'obsession est-elle la conséquence d'un
trouble
intellectuel, ou bien l'idée n'est-elle, au con
c'est l'émotion. » Pour M. Ribot également, « la conscience de ces
troubles
(organiques) est l'état psychique que nous appe
prement dite, et qu'il est nécessaire de faire une large place anx
troubles
profonds de l'organisme. Seulement, quand elle
vrai de dire que la pensée du malheur, que la brusque perception du
trouble
qu'il va jeter dans l'exis- tence tout entière
qui n'ont aucun rapport avecl'organisme, qui sont le résultat d'un
trouble
des« sensa- tions, matière de la vie intellectu
t la fonction intellectuelle. Telles sont certaines phobies; à quel
trouble
organique primitif, indépendant, peut correspon
ouver, dans tout cela, l'influence d'une tendance organique ou d'un
trouble
vaso- moteur ? ` ? Nous admettrons donc que l
dances obsédantes se fixent en des idées précises, l'existence d'un
trouble
préalable du dynamisme mental est nécessaire. L
écessaire. L'émotion ne fournissant pas la raison suffissante de ce
trouble
, il reste à invoquer une autre condition, un pe
impulsions et d'inhibitions ou phénomènes d'arrêt, c'est- à-dire de
troubles
moteurs volontaires. Dans les mouvements en gén
ype des obsessions dites intellectuelles, que nous avons étudié ces
troubles
moteurs. Mais ils se rencontrent également dans
(P. Janet.) Depuis longtemps, Cordes avait signalé l'existence des
troubles
moteurs dans « l'Agora- phobie », et, bien avan
naud. Sur certains cas d'aboulie avec obsessions in lerrogalives et
trouble
des mouvements. (Folie du doute avec délire du
tie des fonctions organiques. La condition fonda- mentale en est un
trouble
primitif et généralisé, affectant, dans leurs a
ynamiques, les éléments communs à la volonté eLà l'intelligence. Ce
trouble
n'estque la manifesta- tion d'unaffaiblissement
té. S'il est déjà extrêmement difficile, dans les formes banales de
troubles
mentaux, de découvrir l'origine, le principe du
ettre de pénétrer les parties les plus profondes de son être. Des
troubles
mentaux purement partiels dans l'enfance consti
'abord à un examen clinique rigoureux , dont le résultat fut que ce
trouble
mental ne trouvait aucun point t d'appui suffis
vulsions de l'enfance, à plusieurs reprises, qui auraient amené les
troubles
de la parole. A eu la rougeole, la scarlatine e
erons également ici que ce qui présente un caractère pathologique).
Troubles
digestifs con- sistant en vomissements sans dou
provoquer; alternativement, constipa- tion opiniâtre et diarrhée. -
Troubles
cardiaques : bruit de souffle assez prononcé au
elles infectes, pâleur de la face, vomisse- ments caractéristiques,
troubles
cardiaques, etc. Il est soumis à un régime spéc
riode de mélancolie et de tacitur- nité provoquée sans doute par un
trouble
des fonctions diges- tives. Un purgatif remet t
1897; prématurément. Réflexions. - I. A... est un malade, et les
troubles
que nous avons relevés dans son état psychologi
e la conception, le père de l'enfant n'ait pas encore pré- senté de
troubles
mentaux, l'hérédité paternelle est forte- ment
neurasthéniques tels que douleurs occipitales, douleurs lombaires,
troubles
gastriques. De nouvelles recherches confirment ce
n de l'acide urique' ? Là est la cause de ia neurasthénie; c'est un
trouble
de la nutrition. Sinon. II. L'hématoporphyrinur
omplètement influencé l'affection. Par contre il en est résulté des
troubles
de la - sensibilité (anesthésie, hyperalgésie,
ulaire des extrémités, au moment où Je patient ne se plaint d'aucun
trouble
de la sensibilité ni d'af- faiblissement de la
ntrons aussi du côté non hémiplégique. Impossible d'at- tribuer ces
troubles
à des variations individuelles dans la force de
jet, par H. SALOMONSOuN. (Ibid.) , M. Adamkiewicz décrit comme un
trouble
nerveux indépendant, entoptique, le complexus s
athétique avec des phénomènes initiaux aussi légers, et sans autres
troubles
du côté des extrémités, du triju- meau, des mus
lus postérieure de la fosse moyenne du crâne. P. Keraval. XXXVII.
Trouble
et développement de la parole ; par A. LlEmIANN.
s de développement des formes gram- maticales du langage. -III. Les
troubles
en rapport avec l'inégal développement du'mécan
faussée, dans lesquelles les flexions sont hizarrement mutilées. Ce
trouble
disparait quand on fait répéter la phrase vicieus
' pilaire. Il semble exister une corrélation entre elle et quelques
troubles
tro- phiques tels que la kératite et l'alopécie
lques troubles tro- phiques tels que la kératite et l'alopécie. Les
troubles
de la sensi- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
nerte, l'autre réagit à peine). Il est très rare de consta- ter des
troubles
unilatéraux permanents. La forme des pupilles e
s, angu- laires, etc. Parfois on observe une marche régulière des
troubles
pupillaires : paresse des réactions à la lumièr
fois on a noté une exagération des réflexes pupillaires la suite de
troubles
circulatoires, chez des morphinomanes en état d
hinomanes en état d'abstinence). M. Alocli fait remarquer que les
troubles
pupillaires sont beau- coup plus fréquents chez
de l'innerva- tion cardiaque ; l'arythmie à son tour a produit des
troubles
de la cénesthésie, la diminution des échanges"
qui n'était ni syphilitique, ni alcoolique ne présentait aucun des
troubles
de la matilité accompagnant la para- lysie géné
, par leur prédominance plus ou moins exclusive, au détri- ment des
troubles
sensoriels, constituer un syndrome commun à un
élires toxiques, la démence précoce. Il est sous la dépendance d'un
trouble
du jugement qui, sans parler de la prédispositi
tions délirante-, dont l'abondance contraste avec le rôle effacé de
troubles
sensoriels, occupent dans le tableau symp- toma
presque constante d'hallucinations (ou rôle très efficace de ces
troubles
) ; richesse extrême des interprétations délirante
ais il faut avouer qu'il est difficile de faire le départ entre les
troubles
dus au délire rétrospectif et ceux dont l'appar
tains cas, il est vrai, des hallucinations peuvent apparaître : ces
troubles
sensoriels dont le rôle reste toujours accessoire
r lucidité, leurs facultés syllogistiques sont moins atteintes, les
troubles
de la personnalité que ces derniers malades pré
t et plus particulièrement aux hallucinations psycho- motrices, ces
troubles
sont notablement moins accusés dans la psychose
existence du phé- nomène des orteils permet d'affirmer qu'il y a un
trouble
dans le système pyramidal ; il semble que c'est
e à plu- sieurs centimètres cubes de liquide, ne fut suivie d'aucun
trouble
. Il s'agissait d'une jeune fille atteinte de la
uatrième, enfin, présente un mal perforant plantaire bilatéial, des
troubles
trophiques du pied et quelques symptômes nerveu
é- rentes de syphilis réunies chez un même sujet. Topographie des
troubles
de la sensibilité dans la syî-iiigoi7 ? y(,"Iie.
qu'il a primitivement observés, il infère que la dis- position des
troubles
de la sensibilité est plutôt radiculaire que mé
que. , La déformation pupillaire est le premier signe en date des
troubles
indiquant l'altération de l'innervation de l'iris
la n'est plus dis- cutable. Il s'agit de savoir actuellement si les
troubles
en question boni susceptibles de se développer
vec dilatation kystique du splénium; ces malades présen- taient des
troubles
visuels, mais l'un portait des lésions thala- m
a constitution des accès d'épilepsie généralisée et provoquer des
troubles
cérébraux graves qui ont déterminé la mort. A n
yon, 1900-1901.) \I. Téchoueyres étudie d'une façon approfondie les
troubles
qui s'associent à la respiration de Cheyne-Stok
bles qui s'associent à la respiration de Cheyne-Stokes. D'abord les
troubles
psycho-moteurs sur lesquels M. Pic a insisté da
à celle de la respiration. La force musculaire varie de même. Les
troubles
oculo-pupilluires consistent en modifications du
a pupille (Leube) et des muscles extrinsèques (Ziemssen. Biot). Les
troubles
sensitifs : sensibilité amoindrie pendant l'apnée
Les troubles sensitifs : sensibilité amoindrie pendant l'apnée. Les
troubles
de la réflectivité : les réflexes rotuliens varie
les réflexes oculo-palpébraux suivent les mêmes oscillations. Les
troubles
circulatoires consistent en diminution de la tens
Stokes, qu'il désigne sous le nom de Cheyne- Stokes céphalique. Les
troubles
respiratoires ne sont qu'un cas particulier d'o
ujours sans aucun résultat. Une seule fois, le 22 janvier 1901, des
troubles
digestifs (inappétence, constipation, langue sa
réduite à 4 grammes, un lavement fut administré à la malade et les
troubles
digestifs se dissipèrent ; mais la fièvre n'en
rie. En effet, l'hystérie étant caractérisée par « un ensemble de
troubles
fontionnels ou dynamiques du système nerveux 3 »,
e titre qu'elles, des manifestations coordonnées et équivalentes du
trouble
apporté par la né- vrose dans le fonctionnement
iénation mentale. Ce n'est toutefois que six semaines avant que les
troubles
mentaux devinrent très apparents. « Il ne sait pl
ie se présenta tout à coup, peu de jours avant, sans aucun signe de
troubles
cérébraux. Exploré par moi, il avait une abolit
accès, mais du côté gauche, et survenu aussi subitement, et sans
troubles
cérébraux. A première vue, la nouvelle paralysi
: il n'eût non plus rien dans l'ouïe, ni dans la bouche; seulement
troubles
du goût;. présentait le phénomène de Bell (ne p
s galvanique et de Watteville, et le massage, je n'ai pu éviter les
troubles
trophiques, et pour cela j'ai employé les coura
e le recommande M. Bordier, arrivant non seulement à cor- riger les
troubles
trophiques, sinon à la guérison presque com- pl
eillée avec une sensation d'engourdissement dans le bras, mais sans
troubles
moteurs. Elle avait redouté simplement à ce mom
sensation de chute, se produisant surtout dans un endroit clos. Ces
troubles
sont moins fréquents et se produisent seulement
pliquer l'hypertrophie du sein dans l'hémiplégie infantile 1; 2° un
trouble
trophique; il y aurait hypertrophicité comme il y
léchir en supination le bras étendu, bien que péniblement. Quelques
troubles
de la sensibilité, exclusive- ment limités au n
nsibilité à la pression, et pares- thesie (formications). Les mêmes
troubles
parfois reviennent en d'autres endroits tardive
C'est un cas de maladie de Thomsen d'une espèce particulière. Le
trouble
myotonique du mouvement est limité aux avant-bras
s, mais encore sur des muscles des bras qui ne sont pas atteints de
trouble
moteur myotonique. L'excitabilité mécanique des
conservation des réflexes; l'absence de réaction dégénérative et de
troubles
de la sensibilité : voilà qui est en faveur d'u
us aisée, le chant et la parole chuchotée ne s'accompagnent d'aucun
trouble
. C'est une perturbation toute semblable qui, de
ner du cor. L'analyse du tableau symp- tomatique révèle en effet un
trouble
de l'innervation qui a tous les caractères du b
quelle manière. Tout jeu moteur peut d'ailleurs être le siège d'un
trouble
de l'innervation de ce genre : cas d'Oppenheim ch
ur 32 : trois présentaient de la parésie, trois étaient affectés de
troubles
trophiques de la cornée. Il en concluait que, s
ire d'affections accidentelles du système nerveux est possible, les
troubles
nerveux des descendants peuvent être autres que c
Pathot., XXVII, 1900), sur 23 jeunes, a obtenu : une seule fois, un
trouble
de la cornée, plusieurs fois de la parésie, jam
n'est point encore nécessaire de rayer de nos concepts la notion de
trouble
fonctionnel. Nous avons parfaitement conscience
on corticale ayant la prétention d'être le substratum matériel d'un
trouble
psychique et nerveux fonc- i tionnel. P. KERAVA
ais imparfaitement. Déclaré irresponsable. P. KERAVAL. LXXIX. Des
troubles
moteurs à évolution aiguë présentant les caract
immédiat de la lésion ; la titubation peut être aussi rattachée aux
troubles
de la vision en rapport avec la paralysie des mus
mais a entraîné un ramollissement qui a étendu ses ravages. D'abord
troubles
passagers de la parole, affai- blissement des e
on des genoux, et en partie les accidents cornéens. Persistance des
troubles
pupil- laires et patellaires. Atrophie commença
lique de la moelle. Ce n'est point un tabes, car il n'existe pas de
troubles
de la sensibilité au tronc ni sur les extrémité
existe une paralysie dégénérative grave, avec atrophie musculaire,
troubles
sensitifs, trophiques et vaso- moteurs, des flé
s'en aperçoive; l'idée qu'il s'agit de quelque chose d'anormal les
trouble
encore davantage et ils craignent les interprét
roupes de nains : dans le premier groupe le nanisme est créé par un
trouble
local du squelette ; dans le deuxième groupe pa
par un trouble local du squelette ; dans le deuxième groupe par un
trouble
général de la nutrition. Au premier groupe se r
uents chez un jeune homme, fils d'alcoolique, atteint de tics et de
troubles
hystériques depuis l'en- fance. Guérison par tr
ie spasmodique : quand elle est syphilitique elle s'accom- pagne de
troubles
de la sensibilité et des fonctions vésicale et re
at sur les maladies nerveuses est une question ouverte. Ce sont les
troubles
fonctionnels qui subissent le plus nettement ce
quel- quefois des supérieures. On constate en même temps d'autres
troubles
de la sensibilité, passagers ou de moindre import
nifeste par l'apparition brusque de faiblesse motrice passagère, de
troubles
vésicaux, d'ataxie bien accusée et de troubles de
otrice passagère, de troubles vésicaux, d'ataxie bien accusée et de
troubles
de la sensibilité de moindre importance. Elle p
ure datant de trois semaines fut suivie d'une crise hystérique avec
trouble
mental, tendance aux idées de persécution. En m
r, alors qu'elle peut, comme c'était ici le cas, donner lieu il des
troubles
fonctionnels parfaitement capables de compromet
prison préventive, ont .0) REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. présenté des
troubles
psychiques, nécessitant une observation spé- ci
occuper ici du premier groupe. Le second est plus intéressant : les
troubles
mentaux y ont une durée et une intensité variab
istes modernes ont une tendance à rattacher iL l'épilepsie tous les
troubles
mentaux et toutes les impulsions irrésistibles.
and les crises sont suivies d'un sommeil profond et prolongé, les
troubles
mentaux du réveil sont ordinairement moins accent
en état de manie furieuse. ' 410 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. Les
troubles
mentaux peuvent se manifester : 1° avant les atta
ici plusieurs observations de ce genre; ' 2" Après l'attaque, les
troubles
mentaux varient dans l'époque de leur apparitio
n grand nombre d'entre eux sont profondément amnési- ques. 3° Les
troubles
mentaux qui surviennent dans l'intervalle des a
manie violente; leur début est d'une extrême soudaineté; . 4° Les
troubles
mentaux qui remplacent les attaques et se manif
ie. Or, ces lésions amènent, dès le début, un affaiblissement et un
trouble
des facultés intellec- tuelles qui vicient tous
à ces ictus des manifestations qui formaient la contre-partie des
troubles
sensoriels auditifs babituels : aux phénomènes d'
cale complète, suivie ensuite de - surdité verbale pure. Ce dernier
trouble
ne dura que deux jours, puis l'audition verbale
verbale revint progressivement. Dans les deux der- niers accès les
troubles
de la sphère du langage réalisèrent le tableau
urèrent pas plus d'une huitaine de jours : la cécité verbale et les
troubles
paraphasiques régressèrent rapidement, et en de
de vue clini- 420 SOCIÉTÉS SAVANTES. que par la prédominance des
troubles
sensoriels et des troubles de la sphère du lang
ÉS SAVANTES. que par la prédominance des troubles sensoriels et des
troubles
de la sphère du langage, et au point de vue ana
ite ? M. Brissaud présente un malade anciennement guéri de légers
troubles
hystériques qui, dans la nuit du 9 mars, fut pris
sses et subit consécutivement une paralysie des quatre membres sans
troubles
de la sensibilité, de la dysphonie, de la dysph
escarres. Au bout de huit jours, tout rentra dans l'ordre sauf les
troubles
d'origine bulbaire. Cette marche écarte l'idée
nt plus que les névrites périphériques sont souvent accompagnées de
troubles
centraux. 0 ' M. PAI11XAUD. Les paralysies to
ingomyélique; 3° Une lésion unilatérale du bulbe peut provoquer des
troubles
oculo-pupillaires qui consistent en un rétiécis
. Grippe récente; dans la convalescence, chan- gement de caractère,
troubles
de la mémoire, légère confusion mentale. Elle e
eurs et qui cependant devrait avoir une impor- tance capitale : les
troubles
de la vision consécutifs à une lésion soit de l
ropathie syrin- ' gomyélique (ostéo-arthropathie du pied droit avec
troubles
de la sensibilité, douleurs gastriques, désarti
lade n'a plus d'hallucinations de la vue. Elle ne pré- sente pas de
troubles
aphasiques : elle parle, elle écrit, elle enten
tteinte notre malade, il en est tout autrement de l'hémianopsie. Ce
trouble
, si curieux, de la perception visuelle ne peut
ssociée à des accidents épileptiformes. En outre, elle présente des
troubles
du langage; sans compter qu'elle a eu, à un mom
u cours de sa jeunesse. C ? n'a jamais eu ni convulsions, ni autres
troubles
ner- veux. Elle a été réglée à onze ans. Elle a
e jours, il ne subsistait plus de traces de la parésie motrice. Les
troubles
aphasiques se réduisaient à une certaine hésita
ur suite une hypéresthésie cutanée transitoire, il n'existait aucun
trouble
objectif ou subjectif de la sensibilité superfi
exe massétérin s'exécutait avec une force normale. Il n'existait ni
troubles
trophiques, ni troubles des fonc- tions sphinct
it avec une force normale. Il n'existait ni troubles trophiques, ni
troubles
des fonc- tions sphinctériennes. La malade s'
iennes. La malade s'exprimait distinctement, sans bredouiller. De
troubles
intellectuels proprement dits, elle n'en présenta
euse. , De même, qu'une aphasie motrice implique une lésion ou un
trouble
circulatoire du centre de Broca, du pied de la
ions. De même encore, l'amnésie verbale implique une lésion ou un
trouble
circulatoire du centre chargé d'emmagasiner les i
it intacte. Les papilles présentaient11 letfc'S : aspect normal. De
troubles
de la sensibilité et de la moitilttA,1 z il n'e
que le malade voit et dont il reconnaît parfaitement la nature. Ce
trouble
amnésique existe, à l'état d'ébauche, chez la s
est particulièrement intéressant, en raison de la multiplicité des
troubles
du lan- gage, que l'on constate chez lui, en su
é des troubles du lan- gage, que l'on constate chez lui, en sus des
troubles
de la vision. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 45
réalisé parle malade se résume toujours encore dans cette triade :
troubles
visuels ; hémipa- résie droite ; aphasie. Occ
suels ; hémipa- résie droite ; aphasie. Occupons-nous d'abord des
troubles
visuels. Vous voyez que les pupilles du malade
ment cérébral. Il ne présente pas non plus de dysarthrie. Bref, les
troubles
du lan- gage, que nous rencontrons chez le mala
e d'instruction, il nous est impossible de savoir s'il présente des
troubles
du langage * intérieur. Toutefois, quand je com
, une cécité verbale très prononcée ; elle prédomine sur les autres
troubles
sensoriels. Ainsi que vous allez vous en rendre
. Je vous ai dit et je vous répète que le malade ne présente pas de
troubles
de l'intelligence. Il n'éprouve pas de maux de
e aphasie motrice complète ; incontestablement elle s'accompagne de
troubles
du langage intérieur. Une légère surdité verbal
ons à la portion avoisinante de la capsule interne, ou encore à des
troubles
athétosiques, choréiformes. De même encore, l
Assez souvent, on note, en fait de manifestations associées, des
troubles
aphasiques : cécité verbale, surdité verbale, aph
ue les manifestations associées ne sont plus du tout les mêmes. Les
troubles
du langage font défaut ; tout au plus peut-on o
'hémiplégie motrice, de l'hémianesthésie sensitivo-sensorielle, des
troubles
athétosiques, choréi- .formes. Enfin, on peut ê
t sur le sujet lui- ' N. Vaschide et Cl. Vurpas. Recherches sur les
troubles
psychologiques consécutifs à des hallucinations
même. » Voici encore une autre phrase d'elle qui précise bien - ,on
trouble
mental et sa manière intellectuelle de réagir. «
térieur peut avoir dans la systéma- tisation ou dans la genèse d'un
trouble
psychopatique. Notre sujet ignorait sans doute,
e, et ceux qui le peuvent se distinguent de ceux qui présentent des
troubles
, pathologiques à notre avis, par le fait qu'ils
, se conduisant bien. l.a maladie a débuté il y a trois ans par des
troubles
gastriques, hématémèses, dyspepsie, ne pouvant
s frappé ; mais c'est seulement quinze jours avant l'entrée que les
troubles
mentaux apparurent plus marqués : propos incohé
héréditaires, non alcoolique, présente depuis quelques années des
troubles
de la sensibilité - hyperesthésie générale, doule
traitement ioduré, mais la malade refuse de le suivre, et voit ses
troubles
s'aggraver peu à peu. Lors de l'internement de so
n conçut un chagrin très vif. Depuis dix-neuf mois, il se plaint de
troubles
gastriques fré- quents, d'étourdissements et de
rin de voir son mari interné présenta peu de temps après quelques
troubles
cérébraux. Deux ans après le début de l'affection
la cause ou tout au moins l'agent provo- cateur de l'apparition des
troubles
cérébraux chez le mari. i. L'affection de la fe
'autant plus que l'absence de la lumière fut le point de départ des
troubles
intellectuels décrits plus haut. P. KoUtDJY.
ysiquement vite, mais, sans autre symptôme psychique d'ailleurs, le
trouble
de la mémoire subsiste. Rien du côté de l'écrit
ait y avoir eu une sciatique : à l'asile, il a fait une myosite. Le
trouble
de la mémoire a, dans les deux cas, porté sur les
écutive à un ictus a complètement rétrocédé. Il ne reste même aucun
trouble
de la sensibilité doulou- reuse, tactile et the
hronique avec le tremblement classique intentionnel, rémittent sans
troubles
réflexes ni sensitifs. Songeant aux deux théori
es déments précoces au point de vue psychologique et de ramener les
troubles
complexes que présentent ces malades à des trou
de ramener les troubles complexes que présentent ces malades à des
troubles
plus simples. Le fait impor- tant qui lui a par
el. Ces lésions élémentaires engendrent un nombre considérable de
troubles
variés que l'auteur passe en revue. Les troubles
re considérable de troubles variés que l'auteur passe en revue. Les
troubles
de l'at- tention frappent l'observateur au prem
ésagréga- tion psychique qui en est la conséquence. A côté de ces
troubles
de l'attention sensorielle, l'on observe des tr
A côté de ces troubles de l'attention sensorielle, l'on observe des
troubles
delaréflexion et de la systématisation des idées.
ur a rapproché de ces phénomènes intellectuels un certain nombre de
troubles
moteurs très fréquents chez les déments précoce
s membres du malade au mouvement qu'on veut lui faire exécuter. Les
troubles
du souvenir ne sont pas primitifs : ils consist
souvenir ne sont pas primitifs : ils consistent surtout au début en
troubles
du rappel des souvenirs consécutifs aux trouble
urtout au début en troubles du rappel des souvenirs consécutifs aux
troubles
de la systématisation des idées : le ma- lade n
: ceux qui subsistent tendent à prendre une forme stéréotypée. Le
trouble
du souvenir porte primitivement sur le nombre des
l'effacement des images- souvenirs ont pour conséquence de profonds
troubles
de la com- préhension et de l'assimilation. Les
ne manifestent aucun désir, aucune volonté, aucune curiosité : les
troubles
de l'at- tention spontanée d'où dérivent un nom
avec sagacité, sont des plus instructives; il s'agit là en effet de
troubles
dont l'examen avait jusqu'ici été singulièremen
el dont l'intégrité semble avoir été affirmée un peu a priori ; les
troubles
de la parole, ceux du langage intérieur (les enfa
comme ceux qui commencent à parler), et ceux de l'articulation; les
troubles
moteurs, les organes périphériques de la parole s
émises. Coën et d'autres auteurs en font un , BIBLIOGRAPHIE. 525
trouble
fonctionnel ; c'est soit un défaut de développeme
ur d'autres auteurs comme Waisse, Ledreit de la Charrière, etc., le
trouble
est dû à une lésion anatomique qui'est bien inc
Le diagnostic doit se faire avec la surdi-mutité, l'idiotie, les
troubles
des organes périphériques de la parole, les aphas
s, des classes spéciales. G. Carrier. XXV. La névrose d'angoisse.
Troubles
nerveux d'origine sexuelle ; par le Dr Albert 1
l'angoisse, avec comme phénomènes satellites ou équiva- lents, des
troubles
fonctionnels des divers appareils, tels que ver-
es troubles fonctionnels des divers appareils, tels que ver- liges,
troubles
vaso-moteurs, fausse angine de poitrine, dyspnée,
cher à arriver à une connaissance plus approfondie de la nature des
troubles
psychiques, grâce à une analyse plus soigneuse,
ppartenant à des -, 350. L'AssIstance des - en Algérie, 351. Voir
troubles
mo- teurs. Remarques sur les contrats et domm
es, par Mar- ton, 395. PAHALÉSIE. Voir Système nerveux. Parole.
Trouble
et développement de la -. par Liebmann, 309.
Etat des dans la poly- névrite, par Decroly, 4b. - fémo- ral par
trouble
de la conductibilité de la moelle dorsale, pal
erveux, par Onuf, 393. Syringomyélie. Voir Crises gastri- ques.
Troubles
trophiques de la , par Nalbandow, 66. - à forme
6. - à forme radiculaire, par Huet et Cestan, 88. Topographie des
troubles
de la sensibilité dans la -, par Fer- ragus,
nne chez lin pa- ralytique général, pal' Berkley ? ? 1 7, Tics ET
troubles
.moteurs chez les délirants chroniques, par Duf
333. Tnobil0lARALYSIF tabioforme par Wertheim-Solomonson. 500.
Troubles
\1071 : LItS. Voir Tics. - a. S42 ' TABLE DES A
hèse de Montpellier, 1878. DU VERTIGE DES ATAXIQUES. S avec des
troubles
considérables sont soignées sérieusement et son
rice, nous pourrions être embarrassés pour déterminer la nature des
troubles
qu'il pré- sente. Son histoire est fort courte.
ill Robertson n'existe donc pas. La sensibilité ne présente aucun
trouble
; afin de faire cette constatation on a eu recour
moteur. En d'autres termes, nous pouvons souligner dans ce cas des
troubles
qui le rapprochent du tabès clas- sique et des
ce cas des troubles qui le rapprochent du tabès clas- sique et des
troubles
qui l'en séparent. Parmi les premiers, je vous
il. Au point de vue des phénomènes psychiques, il n'existe pas de
troubles
bien appareils. Néanmoins An... appartient à la c
ession, des manies, des idées de doute. Enfin, la mère présente des
troubles
coprolaliques' 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. dont l
ion. D'ailleurs, dans cette hypothèse, il resterait à expliquer les
troubles
psychiques et coprolaliques consécutifs. Par ra
conditions, il y a émission des mots : Pardi et voilà, hé ! ho !
Troubles
psychiques. Les troubles psychiques ressortissent
ion des mots : Pardi et voilà, hé ! ho ! Troubles psychiques. Les
troubles
psychiques ressortissent à la maladie du doute.
étaient le siège de contractions. La coprolalie, l'échocinésie, les
troubles
psychiques font défaut; l'écholalie existe et s
-similé de l'écriture d'une jeune cho- réique (hystérique), dont le
trouble
fonctionnel dispa- rut en quarante-huit heures.
l y a lieu de faire observer que la maladie n'a pas été précédée de
troubles
de l'intelligence ni de modifications dans le c
s ; les divers modes de la sensibilité ont été récupérés. Quant aux
troubles
sensoriels, ils restent ce qu'ils étaient avant
ne vive émotion, caractérisée par des mouvements involontaires avec
troubles
divers du système nerveux. Les mouvements, d'
accès, sans le moindre rythme, avec l'a rapidité de l'éclair. Les
troubles
nerveux consistent dans l'émission involontaire
mots ou de bruils (écholalie), de signes (échocinésie), et dans des
troubles
psychiques tels qu'idées fixes, délire du doute
ivers caractères, à l'exception de la plupart de ceux afférents aux
troubles
nerveux qui manquent en partie, se retrouvent c
tractions sont lentes, graduelles, progressives 2 ». Arrivons aux
troubles
du système nerveux. Dans notre cas, l'écholalie
ccompagnant le plus souvent le mouvement convulsif, certainement ce
trouble
du système nerveux fait défaut chez la malade.
partenant à une certaine classe de la so- ciété, échapperaient à ce
trouble
. Pareille restriction doit être apportée aux ti
e l'affection, de son évolution, des qualités du mouve- ment et des
troubles
nerveux. Elle se manifeste dans le jeune âge :
souvent, ces phénomènes s'observent isolés : écho- lalie (Obs. IV),
troubles
psychiques (Obs. II), ou diversement associés,
(Obs. IV), troubles psychiques (Obs. II), ou diversement associés,
troubles
psychiques et coprolalie (Obs. I). L'écholalie
paraît intimement liée à l'émission des mots orduriers, lorsque ce
trouble
existe (Obs. III). La coprolalie peut se manife
ques se trouve retardée par un effort de la volonté (Obs. I). Les
troubles
psychiques, dans les trois cas où ils ont été n
e. C'est que dans toutes les attaques se montre la reproduction des
troubles
sensitifs,- moteurs ou émotifs, qui ont marqué
le -quatrième, la céphalalgie. Ceci montre que les souvenirs de ces
troubles
occupent l'esprit de nos malades avec une persi
serait tenté de le croire, si l'on réfléchit que plu- sieurs de ces
troubles
ont persisté longtemps comme phéno- mènes isolé
ladies aiguës. Antécédents personnels. AU... n'a jamais souffert de
troubles
dignes de remarque jusqu'à la maladie actuelle.
s'accom- pagnaient pas d'obnubilation de la conscience, ni d'aucun
trouble
du sens ou du mouvement; seulement AU... se sen
en haut, la langue fortement déviée ers la gauche. Du reste, pas de
trouble
du langage parlé ou écrit. 48 PATHOLOGIE NERVEU
nature hystérique de l'hémiplégie nous renseigne sur la nature des
troubles
cérébraux qui leur donnèrent origine. Il est év
icale est très riche de cas de cette espèce \ Pour ce qui est des
troubles
du langage, peuvent se vérifier dans l'hystérie
santé était alors parfaite; il n'était resté du grave trauma aucun
trouble
fonctionnel, sinon que de temps à , autre il av
és de vertiges très légers et de courte durée. C'est à cause de ces
troubles
qu'il jugea prudent d'abandonner son métier qui
nts nerveux, avec des stigmates hystériques très imparfaits; pas de
troubles
de l'appareil de la vision, pas de zones hystér
point de vue mental, dont l'état normal est l'hypotoxicité. 6° Le
trouble
mental des épileptiques parait toujours s'ac- c
- dance. Cette corrélation entre l'hypotoxicité des urines et ces
troubles
gastriques est donc très importante; elle nous a
, car elle permet au médecin de prendre des précautions en vue d'un
trouble
mental possible consécutif à un accès. Un malad
phénomènes précurseurs et concomi- tants de l'accès convulsif ou du
trouble
de l'état mental ? En tenant compte de l'état u
En tenant compte de l'état urinaire, on doit penser que tous ces
troubles
doivent être dus à l'intoxication du sang par rét
sang pendant les paroxysmes. Cette toxicité du sang explique les
troubles
mentaux et phy- siques que présentent les malad
ction urinaire a été très troublée pendant l'état de mal et si ce
trouble
fonctionnel persiste longtemps, la convalescence
borer les opinions émises par MM. Lepine, Mairet et Lemoine sur les
troubles
de nutrition dans les maladies nerveuses. M. Le
général. Cette prédis- position du système nerveux à contracter ces
troubles
nutri- tifs est due à l'hérédité qui transmet a
fs est due à l'hérédité qui transmet aussi bien les lésions que les
troubles
et les aptitudes aux fonctions des organes. Quo
° 9, 20 fé- vrier 1890.) 2 On trouvera l'histoire complète de ces
troubles
trophiques dans le Traité clinique et thérapeut
ntif montre qu'il persiste dans le membre qui a été contracturé des
troubles
de sensibilité, de l'exagération des réflexes t
on de la chemise qui a touché au tombeau du diacre Pâris, l'oedème,
trouble
vaso- -moteur, a disparu presque immédiatement,
s savons avec quelle rapidité peuvent apparaître et disparaître les
troubles
circulatoires. L'oedème n'existant plus, les co
re véritable faisait considérer comme incurables. Tels ces faits de
troubles
trophiques d'origine hys- térique qu'on commenc
résie et d'atrophie. Et d'abord il n'y a pas paralysie générale (ni
troubles
de la parole, ni mégalomanie); ce n'est pas non
l'état normal, puis qu'il avait diminué au sur et à mesure que les
troubles
psychiques s'étaient accentués. Ils inclinent à
caractérisée par un arrêt de développement et de l'évolu- tion, un
trouble
nutritif aboutissant à une atrophie générale, ona
été pris à plusieurs reprises d'un sommeil bizarre, accompa- gné de
troubles
de la sensibilité et du mouvement, de phosphaturi
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. 97 sommeil : sinon, comment expliquer ces
troubles
de la sensibilité et cette phosphaturie, n'exis
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. '101 XXIII. Aliénation mentale par
TROUBLES
DE la nutrition; par MM. Mairet et Bosc. Lors
système veineux, poumons en bouillie, inflammation de la pie-mère ;
troubles
trophiques cutanés. Les injections d'urine path
à toutes ces perturbations; et comme le seul élément commun est le
trouble
subi par la nutrition, force est de rattacher c
la nutrition, force est de rattacher ces aliénations mentales à ce
trouble
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 103 De sorte qu
tales, névroses, doivent prendre place des aliénations mentales par
troubles
de la nutri- tion lesquelles réunissent dans un
ntia acuta). Trois symp- tômes. Désarroi intellectuel, c'est-à-dire
trouble
primitif de la connaissance ne dépendant pas de
antôt anxieuse, tantôt gaie, le plus souvent rapidement modifiable.
Trouble
de l'association dans les idées. Marche caracté
nes traversés, mais est, en soi, des plus constantes. P. K. IX. DES
troubles
sensitifs ET VASO-MOTEURS dans la paralysie fac
ou grave (types Erb). Ils se décomposent comme suit : 10 : aucun
trouble
des nerfs sensitifs ou vaso-moteurs. 3 : troubl
uit : 10 : aucun trouble des nerfs sensitifs ou vaso-moteurs. 3 :
trouble
simultané. 5 : des nerfs sensitifs seuls. 2 :
tous accidents accompagnant la paralysie. Parfois complications de
troubles
du goût. Excepté en un cas, ces symptômes dispa
s fibres de la substance grise des cavités qu'il faut rattacher les
troubles
si fréquents de tous les muscles de la physiono
et disparaissant souvent bientôt, (aphasie, hémiplégie, paraplégie,
troubles
sensoriels), on rencontre REVUE D'ANATOMIE ET D
(Raymond, Revue de Médecine, mai.) Or, cela est simplement dû à un
trouble
psy- chique de l'attention. Chez les hystérique
Ainsi agit l'occlusion des yeux et même des oreilles; ainsi agit le
trouble
de l'attention. P. K. XXII. Hypothèse SUR la
n du mot caractère. Il distingue les change- ments du caractère des
troubles
passagers tels que la colère et 118 SOCIÉTÉS SA
pparition. Chez quelques hypochondriaques plus tard persécutés, les
troubles
de la sensibilité précèdent le délire de perséc
en est de même de la prédominance dans un sexe ou dans l'autre des
troubles
de la sensibilité générale. Coexistent-ils avec
scription à part. Un fait capital est la prédominance excessive des
troubles
psycho- moteurs, hallucinations motrices verbal
verbales et communes, impul- sions ou phénomènes d'inhibition, les
troubles
de la sensibilité profonde et viscérale sont au
us la forme d'une dissociation psychique rapide. D'autres fois, ces
troubles
psy- chiques se présentent à un âge plus avancé
mblements, émaciation albuminurie, élévation thermique, insomnie et
troubles
vaso-mo- teurs ou trophiques qui constituent le
es, au contraire, les idées délirantes, incohérentes, témoignent du
trouble
profond de la connaissance déjà signalé. Le dés
roncles, entérites catarrhales, retour des règles). M. LuDwiG. Le
trouble
de la connaissance est un phénomène secondaire
dre dans les idées hallucinatoire aigu. Quelques mois plus tard les
troubles
intellectuels disparaissaient à leur tour. On c
nt produire de la cécité psychique. Quant à la transforma- tion des
troubles
centraux de la vue en hallucinations visuelles
les carac- tères des douleurs céphaliques, en les rattachant à des
troubles
de la circulation. La sensibilité spéciale de
ques, d'autres régions assez grandes de la peau ne présentent aucun
trouble
de la sensibilité. Le champ visuel est rétréci
rendre.'Le goût est presque ;aboli.- Au bout de trois semaines, les
troubles
de la sensibilité disparurent, l'ouïe est deven
lgésiques à la piqûre et aux excitations électriques et thermiques.
Troubles
vaso-moteurs stabiles de la peau. Augmentation
ns, qui, depuis dix-huit mois, eut six rechutes'du même complexe de
troubles
du système nerveux. Les rechutes se suivirent à
rvalles complètement clairs et pense expliquer tout le complexe des
troubles
, simulant la gliomatose médullaire, par l'hysté
ar l'hystérie, il considère ce cas, comme appartenant au groupe des
troubles
hystériques, qui se distingue par l'absence des
et plantaire. Trépidation réflexe des deux côtés. Divers degrés de
troubles
de la sensibilité. Thermanesthésie en ja- quett
te, analgésie considérable à peu près de toute la surface du corps,
troubles
du sens du toucher, principalement du côté gauche
é droit du voile du palais et de la corde vocale droite. Différents
troubles
trophiques et vaso-moteurs. Sudation du côté gauc
emblements des membres, de brûlures et de panaris analgésiques. Les
troubles
de , SOCIÉTÉS SAVANTES. 135 la marche et du l
il a eu une observation clinique, où l'apoplexie se suivit par des
troubles
bul- baires et l'hémiatrophie de la langue. M
nts à des animaux, préa- lablement opérés, amenait chez eux de tels
troubles
fonctionnels, qu'il ne pouvaient dépendre uniqu
ps, revenaient en plus fort après les injections de la cocaïne. Les
troubles
fonctionnels postopératoires s'affaiblissaient ou
u io mai 1892. I). M. le Dl' A.-A. EGoRov. Pied bot déterminant des
troubles
de la moelle épinière. Une petite fille de douz
é électrique des nerfs et des muscles. L'auteur croit expliquer ces
troubles
nerveux par l'excitation de la moelle épi- nièr
t de la goutte, les auteurs examinent les groupes dans lesquels ces
troubles
sont simultanés, alternants* ou simplement succ
forme principale mais non la seule ; l'arthritisme étant le fait de
troubles
de l'innervation sensitive, motrice et vaso-mot
t les hémor- roïdes, ce dont nous les remercions. Le chapitre des
troubles
vésaniques dans leur rapport avec la goutte est
niques dans leur rapport avec la goutte est de plus documentés; les
troubles
du caractère, les troubles intellectuels, émoti
la goutte est de plus documentés; les troubles du caractère, les
troubles
intellectuels, émotifs, moteurs, l'amnésie ayant
existence de la dégénéres- cence et de la neurasthénie, lorsque ces
troubles
intellectuels se présentent chez les neurasthén
ieuses, folie des diathèses rajeuni par l'application à l'étude des
troubles
mentaux des doctrines mo- dernes, professées pa
t la résistance del'organisme à l'infection, détermi- nant même des
troubles
mentaux; puis l'influence de la uuit sur l'ap-
lucinations, anxiété mélancolique, terreurs nocturnes...). Mais les
troubles
les plus caractéristiques ressortissant à la path
la chorée du réveil. A côté de ces désordres moteurs se placent les
troubles
sensoriels, et les chocs émotionnels, également
et les chocs émotionnels, également signalés par Weir-Mitchell, des
troubles
vaso-moteurs comme l'oedème hystérique plus fréqu
vaso-moteurs comme l'oedème hystérique plus fréquent le matin, des
troubles
sécrétoires. D'un autre côté, si l'absence d'ex
onnelles, les excitations excessives peuvent aussi déter- miner des
troubles
locaux ou généraux, mais qui reconnaissent alor
. Féré, l'ivresse émotionnelle et la mort par émotions morales, les
troubles
de la circulation, des sécrétions et excrétions,
on, des sécrétions et excrétions, de la nutrition, les oedèmes, les
troubles
cutanés, la modification de la résistance aux i
l'absence de signes physiques extérieurs, de même le diagnostic des
troubles
mentaux ne peut être basé que sur les signes ph
nstitution physique et mentale peut influer sur la localisation des
troubles
physiques d'origine émotionnelle et sur la form
motionnelle et sur la forme spéciale des .roubles psychiques. Les
troubles
diffus de l'émotivité sont pour ainsi dire de règ
eux; représentant de commerce. M. II. était, dirent-ils, atteint de
troubles
cérébraux. Ils s'enga- geaient à payer le temps
16 fr. CHERVix. Diagnostic différentiel du bégaiement et des autres
troubles
de la parole. Brochure in-8° de 11 pages. Paris
ive, jointe à l'état spasmodique des membres inférieurs, à certains
troubles
bulbaires peut en imposer un instant. 3° La m
çues. Ce n'est pas tout : la scoliose que est ici si prononcée, les
troubles
tro- phiques, les bulbes pemphigoïdes, les pana
rmi les cas d'amyotrophie progressive anor- maux par l'immixtion de
troubles
de la sensibi- lité. « Parfois, dit-il, par exc
alors qu'il était au bain. Il remarqua pour la première fois (aucun
trouble
fonctionnel ne l'avait annoncé) que son membre
volume. Je le répète, il n'avait jamais éprouvé aucune gêne, aucun
trouble
de la sensibilité dans l'accomplissement des fo
ica- tion de la coloration, ni de la température du membre, aucun
trouble
de la sensibilité. Les muscles atrophiés sont l
gauche. Il n'y a pas trace de trépidation spinale. Avec cela aucun
trouble
de la mo- tilité ; la démarche est ferme, assur
'ailleurs ces myélites diffuses déterminent généra- lement quelques
troubles
de la sensibilité; or, il n'est pas question de
énéraliser. Le réflexe massétérin n'est pas-exagéré; il n'y a aucun
trouble
de l'innervation bulbaire; nous n'en sommes pas
ux à droite et à gauche. Le réflexe massetérin n'existe pas. Pas de
trouble
de la phonation ni de déglutition. Les lèvres e
e déglutition. Les lèvres et la langue sont à l'état normal. Pas de
troubles
du côté des sphincters. Pas de troubles oculaires
ont à l'état normal. Pas de troubles du côté des sphincters. Pas de
troubles
oculaires. Sensibilité. La sensibilité de la pe
'existe du côté des organes des sens ou des mu- queuses aucun autre
trouble
, aucun stigmate. DU VERTIGE DES ATAXIQUES (Sign
ie ; il n'y a ni parallélisme, ni propor- tionnalité entre ces deux
troubles
. « Le symptôme de Romberg, dit Vanlair ? n'a ri
it, tous les auteurs attribuent le symptôme de Rom- berg aux divers
troubles
de la sensibilité, à l'anesthésie. Je n'ai pas
n, 18S3, p. 651. 184 CLINIQUE NERVEUSE. même toute l'ataxie aux
troubles
de la sensibilité. J'en dirai autant pour Erb q
; ccpendantle malade était bien tabétique, et dans l'obscurité, ces
troubles
de la coor- ' Duchenne, loc. cit., p. 781. , .
u professeur Trousseau la différence et l'indépendance complète des
troubles
de la loco- motion dus à l'insensibilité muscul
bles de la loco- motion dus à l'insensibilité musculaire d'avec les
troubles
fonc- tionnels de l'ataxie locomotrice progress
onnaît que dans certains cas, le signe de Romberg peut exister sans
trouble
objectif de la sensibilité. Seulement comme il
le mieux portant. » Dans d'autres cas, la perte du sens musculaire
trouble
les mouvements (et je ne nie nullement cela), m
n'est pas la théorie physiologique de ce symptôme. Celui-ci est un
trouble
à part, spécial au tabès, distinct des altérati
carac- tère essentiel du vertige ne se retrouve en rien dans les
troubles
qu'entraîne la perte du sens musculaire chez les
ention ici de fournir une explication pathogénique complète de ce
trouble
. Je veux simplement le placer dans sa vraie famil
ant en propre à la cachexie strumiprive, et ils se demandent si des
troubles
de la glande thyroïde n'auraient pas existé dan
yopathies recon- naîtraient une origine spinale, et traduiraient un
trouble
dyna- mique des cellules ganglionnaires des cor
pinaux déterminés (groupe d'Erb), sa fréquente coïncidence avec des
troubles
nerveux comme l'idiotie, l'épilcpsie. - Cette
ales. Quant à la coïncidence de l'atrophie musculaire avec divers
troubles
nerveux, elle s'explique aisément pour peu qu'on
nt en effet dans l'hypothèse de Erb, c'est-à-dire en admettant un
trouble
dynamique des cellules trophiques, nous devrions
ostic et le pronostic portés; tandis que, chez d'autres sujets, les
troubles
auriculaires les plus persis- tants, et la préo
re de la fonc- tion auditive; on peut parallèlement ajouter que les
troubles
subjectifs les plus terribles de l'ouïe ne prou
sous le rapport de la durée, de l'inten- sité et de la nature; les
troubles
de l'équilibre les plus variés, depuis le grand
actes et de leurs souf- frances ; la tendance aux lipothymies, les
troubles
de la vue, des hallucinations de la vue, du tou
hallucinations de la vue, du toucher et du sens muscu- laire ; des
troubles
vaso-moteurs évidents, de la migraine, des ango
ssion mentale, d'incapacité intellectuelle, qui est parfois le seul
trouble
observé, durable, et qui va jusqu'à la prostrat
que dans les névropathies, la simultanéité et la bilatéralité des
troubles
nerveux otiques sont fréquentes, et s'expliquent
et la variabilité et l'inégalité sont surtout remarquables dans les
troubles
auriculaires liés aux grandes névroses. On voit
ité du dia- gnostic de la surdité nerveuse par exclusion. Aussi les
troubles
otiques qui reconnaissent une origine nerveuse
ique nécessaire. C'est ainsi que nous avons plusieurs fois vu des
troubles
subjectifs auriculaires tenaces, céder aux douche
le et fixe. La cachexie exophtalmique s'accompagne quelquefois de
troubles
auditifs, bourdonnements, battements, vertiges, e
appareils de l'ouïe ; n'est-ce qu'une anémie labyrinthique liée aux
troubles
vaso-moteurs ? Observation CCLXXIV. (Résumé.) !
açon anormale, cause les phénomènes subjectifs déjà énumérés. Ces
troubles
fonctionnels otiques s'observent encore chez le
mal de tête constant au-dessus des yeux; si elle fixe, la vue se
trouble
, il y a des points noirs sur ce qu'elle regarde,
jour la douche d'air' dès la première semaine du traitement. Les
troubles
subjectifs de l'ouïe s'observent encore dans les
l'asystolie et de l'anémie cérébrale. Il est à remarquer que ces
troubles
vertigineux, ces bour- donnements sont fréquemm
tomatologie du labyrinthisme et de la neurasthénie. Les moin- dres
troubles
congestifs de la tête retentissent vivement sur
excellemment la dualité des causes de persistance, et de retour des
troubles
subjectifs si énervants et si tenaces (bourdonn
nts d'oreilles et sueurs froides, les jambes se dérobent, la vue se
trouble
. La raréfaction douce redresse aussitôt le tymp
0 0 pathologie nerveuse. difficulté à ne pas les confondre avec les
troubles
nerveux généraux, quand l'oreille est restée en
ncore attribuer à une affection de l'oreille interne l'ensemble des
troubles
subjectifs observés, et leur reconnaître une or
la disparition de cette chorée ( ? ) que sont survenus chez lui les
troubles
bizarres que nous observons aujourd.hui et qui on
arres que nous observons aujourd.hui et qui ont très peu varie. Ces
troubles
, d'après sa mère, consistent en un besoin fréqu
s convulsifs. Les myoclonies ne sont pas toujours l'expression de
troubles
fonctionnels du système nerveux. Il existe une va
oudroyantes, dite pour cela myoclonie électroïde, provoquée par des
troubles
gastriques, d'origine toxique. Le traitement de
tiques doit être un état mental personnel au sujet : par suite d'un
trouble
profond du mécanisme mental, les sensations et
ondérable, rapide, se relève très promptement et très haut quand le
trouble
mental dure depuis longtemps. Dans la mélancoli
locale traumatique de Charcot et Slruempell (deux observations); 3°
Troubles
psychiques consécutifs aux lésions céphaliques,
e majorité des cas, la complication d'une affection nerveuse et les
troubles
intellectuels n'y sont point rares. P. KERAVAL.
maladie qui serait caractérisée par trois ordres de signes : 1° des
troubles
de la vision; 2° des parésies momentanées; 3° d
ension ait dépassé une minute et quinze secondes; la diminution des
troubles
moteurs a été obtenue avec des séances n'excéda
exister; 3° le rôle do l'arté- rio-sclérose dans l'étiologie de ce
trouble
est loin d'être encore bien défini ; 4° il n'es
ncoliques. Un autre point intéressant de l'observation, ce sont les
troubles
moteurs ne se déclarant qu'au moment de l'extra
aie guérit très vite sans que le malade ait jamais présenté aucun
trouble
moteur ou sensoriel. (Ame1'iean journal of insccn
bililé du système nerveux central (cerveau -bulbe - moelle). Les
troubles
vaso-moteurs sont peut-être le rouage intermédiai
(paralysie 'spinale spasmodique), presque toujours liée à de légers
troubles
de la sensibilité et de la vessie (J. Ross Seel
lbaire du nerf optique. La régression rapide et presque complète du
trouble
visuel et l'ab- sence, au début, de toute altér
tion ophthalmoscopique; la cons- tatation chez les malades d'autres
troubles
nerveux et des Stig- mates de l'hystérie, tels
servés avec soin; parmi eux, on compte quatre femmes présentant des
troubles
hystériques plus ou moins marqués; l'autre cas
, pent rétrograder rapidement sans traitement, laisse après elle un
trouble
de la conductibilité des fibres nerveuses cédan
ibres succombent à l'atrophie. Il y a par conséquent des cas où les
troubles
soi-disant fonctionnels de la vue chez les hystér
Le train pos- térieur est paralysé, mais la peau ne présente aucun
trouble
de nutrition ; les ulcérations qui se sont prod
faut d'élimination des éléments chimiques de l'urine a provoqué des
troubles
dans les centres coordinateurs. C'est l'histoire
e la chorée consécutive à des maladies infectieuses. M. Moos. Des
troubles
de l'équilibre consécutifs ci une affection org
ellules géantes peuvent également jouer le rôle d'angioblastes. Les
troubles
de l'équilibre émanent dans l'espèce de la lési
journalières, ont subi un arrêt de conductibilité fonctionnelle; ce
trouble
passager a transformé les mouvements voulus combi
ner. )I. Fuerstner a également observé l'aphonie périodique et un
trouble
spécial de la parole non paralytique se rattachan
cérébrale des sensations. Il est évident qu'il y avait par suite
trouble
fonctionnel des centres moteurs, le sentiment en
nt les intoxications alcooliques aiguës; l'association des idées se
trouble
, il se produit des concep- tions clichées, pour
ldéhyde se rapproche encore davantage de celui de l'alcool, mais le
trouble
de la connaissance se montre des plus rapides e
l'entrave un peu sans la paralyser, par suite il peut produire des
troubles
neurasthéni- ques, mais jamais il ne détermine
plus, c'est le delirium tremens, mais, dans le delirium tremens, le
trouble
de la connaissance est moins profond. L'alcooli
néré exactement à la même place. ' M. PicK. De l'association des
troubles
oculaires d'origine hysté- j'ique avec des trou
association des troubles oculaires d'origine hysté- j'ique avec des
troubles
oculaires d'origine organique. (Publié in exten
e la fonction du muscle, puisque l'agitation faisait défaut, ni ces
troubles
de la nutrition qui se montrent dans la mélancoli
Anal, du Médical Nelas, 24 septembre 1892.) BIBLIOGRAPHIE VI. Les
troubles
du langage chez les aliénés; par J. Séglas, 1 vol
e, CuaAcoT-DEnovr.) Ruefi", éditeur, Paris, 1892. La question des
troubles
du langage chez les aliénés ne laisse pas d'êtr
sujet si vaste il a commencé par dresser un tableau synoptique des
troubles
du langage parlé, qui tiennent à trois choses :
des troubles du langage parlé, qui tiennent à trois choses : 1° des
troubles
intellectuels avec intégrité de la foncez tion
de la rapidité, de la forme, de la syntaxe et du contenu; 2° à des
troubles
de la fonction du langage; ce sont BIBLIOGRAPHI
res, hallucinations verbales, impulsions verbales) ; 3° enfin à des
troubles
de la parole; ce sont les dys- lalies, qui résu
ommuns aux obsessions en général (hallucination obsé- dante). Les
troubles
du langage écrit sont traités avec même méthode
s d'autographes d'aliénés illustrent cette seconde partie. Tous ces
troubles
sont les résultats de troubles in- tellectuels
trent cette seconde partie. Tous ces troubles sont les résultats de
troubles
in- tellectuels avec intégrité de la fonction l
a fonction langage. A côté d'eux se placent ceux qui tiennent à des
troubles
de cette fonction; ce sont les disgraphies, qui
ques, l'écriture involontaire et inconsciente. Enfin les der- niers
troubles
du langage écrit sont les troubles de l'écriture
consciente. Enfin les der- niers troubles du langage écrit sont les
troubles
de l'écriture elle même, qui tiennent à une édu
rmine la seconde partie. z La troisième partie comprend l'étude des
troubles
du langage mimique. C'est là un sujet encore bi
rait d'avoir peut-être un peu trop négligé, à propos des différents
troubles
examinés dans le langage, leur valeur séméiolog
e au contraire l'aspect clinique et la pathogénie de ces différents
troubles
, nous ne pouvons que signaler tout l'intérêt qu
complètes, elles atteignent également les muscles antagonistes; les
troubles
de nutrition y sont rares, la contractilité éle
ité électrique est conservée, caractere diagnostique important; les
troubles
de la sensibilité sont très fréquents; tandis q
, qui donnent plus de vie aux descriptions. P. SOLFIER. VIII. Les
troubles
de la marche dans les maladies nerveuses, par l
On sait toute la valeur qu'ont au point de vue séméiologique les
troubles
de la marche dans les maladies du système nerveux
maladies du système nerveux. En faisant une étude d'ensemble de ces
troubles
, M. Blocq, tout dé- signé déjà par son mémoire
vent être atteintes isolément, rend compte de la grande variété des
troubles
qu'on peut observer dans cette fonction. Il e
idement dans quelles affections du système nerveux on rencontre des
troubles
de la marche, puis aborde un des cha- pitres le
ants, celui de leur pathogénie. Il désigne d'une façon générale les
troubles
de la marche sous le nom de dysbasie. Les fonct
élucidée, on ne peut guère, à mon avis, les faire rentrer dans les
troubles
de la marche. Les dysbasies trophiques se disti
- tante), et hypertrophiques (maladie de Thomsen). Les différents
troubles
de la marche étant ainsi clairement classés, l'
rect sur les processus spécifiques, de sorte que la persistance des
troubles
, malgré le traitement montre que ceux-ci se rap
ralysie. Tout à fait singulier chez notre malade est l'absence de
troubles
de la sensibilité dans le membre paralysé. C'est
tiques, M. le professeur Charcot a pu réaliser des monoplégies sans
troubles
de la sen- sibilité, mais en suggérant au sujet
es de la sen- sibilité, mais en suggérant au sujet l'absence de ces
troubles
*. 1 . , ' 1 Nous parlons de monoplégie flasq
ésiques, obtenir la paralysie motrice, sans accompagnement aucun de
troubles
de la sensi- bilité ; il suffit, pour cela, ain
ations de la sensibilité, anesthésie ou hyperesthésie, tantôt à des
troubles
du mouvement (paralysies et contrac- tions) cet
e la sensibilité dans le membre paralysé, aujourd'hui il y a peu de
troubles
manifestes de la sensibilité. Absence du réfl
jambes ni des bras. Il ne tremblait pas encore. 11 n'avait pas de
troubles
de la parole. Il était seulement très abattu, déb
nel de deux mains; 4° nystagmus; atrophie blanche de la papille; 5°
troubles
urinaires, miction dif- ficile ; 6° réflexe rot
e de l'anesthésie très particulière qui accompagne ces différents
troubles
moteurs. Cette anesthésie s'étend à la moitié cor
ganiques qu'il a produites dans le plexus brachial et en partie aux
troubles
hystériques locaux que le traumatisme a fait na
ique, soit à la suite de fourmillements, d'engour- dissements ou de
troubles
vasomoteurs, etc., dans le membre intéressé (ci
jus- qu'à présent le premier exemple de cette espèce (observ. I).
Troubles
trophiques. - Nous avons noté dans neuf cas l'atr
eue a été trouvé chez quatre malades. Les dix-huit autres sont sans
troubles
tropiques. Réflexes tendineux. TROIS CAS DE
hie s'emparèrent également des bras; la face ne montra jamais aucun
trouble
. Durant les quel- ques mois qui précédèrent la
l'âge de sept ans. Jusqu'à ce moment, la santé n'avait offert aucun
trouble
bien manifeste. On aurait tout d'abord constaté
Il en est de même de la digestion. La sensibilité ne présente aucun
trouble
. Quant à l'intelligence, elle est assez dévelop
t déjà succombé. Elle a commencé à peu près au même âge, et par des
troubles
fonctionnels identiques, et dans la suite, l'at
r, à notre avis, si c'est à l'altération musculaire, ou bien à un
trouble
trophique des vertèbres, ou encore à ces deux cau
re intervenir d'autres éléments, et sur- tout, de tenir compte d'un
trouble
trophique osseux ayant pour siège les vertèbres
e. D'ailleurs, ce cas n'est pas le premier où soient signalés des
troubles
trophiques. M. Hallion' a déjàpublié un cas sembl
de Friedreich, la sclérose en plaques, etc. L'hérédité d'abord, les
troubles
trophiques ensuite, cons- tituent des arguments
c ses propres mains les mouve- - ments des membres du malade et les
troubles
moteurs deviennent plus accusés, plus on veut l
amen objectif de P. S... nous a permis de constater encore d'autres
troubles
non seulement moteurs, mais aussi sensitifs. L'
es interruptions seule- ment pendant le sommeil. Après ce temps, le
trouble
moteur dispa- raît tout'd'un coup : le malade s
éflexes tendineux, le caractère et la localisation particulière des
troubles
sensitifs, leur appa- rition périodique, enfin,
XXXI. Suit CERTAINS CAS D'ABOULIE AVEC OBSESSIONS 1NTERROGATIVES ET
TROUBLE
DES MOUVEMENTS (FOLIE DU DOUTE AVEC DÉLIRE DU TOU
rt, le mot toucher pourrait laisser croire à tort qu'il s'agit d'un
trouble
du sens du toucher. g74 REVUE DE PATHOLOGIE MEN
étudié quel- ques-unes des manifestations les plus saillantes de ce
trouble
mental. Deux ordres de faits ont été presque
riaques et mélancoliques, névralgies diverses, sensations pénibles,
troubles
digestifs et vaso-moteurs). Ces groupes qui se
ation, le défaut du stabilité des fonctions nerveuses, en un mot le
trouble
profond du dynamisme mental. Ce trouble primiti
ons nerveuses, en un mot le trouble profond du dynamisme mental. Ce
trouble
primitif et général qui porte sur les éléments
nomènes d'anxiété et aboutissent au bout d'un certain temps au même
trouble
des actes correspondant au délire du toucher (lav
une partie de son activité spontanée. En somme, il s'agit là d'un
trouble
primordial et très général de l'activité mental
ent les aliénés dans ce sens : en effet, pour mettre en évidence ce
trouble
mental, il faut le rechercher avec soin, interr
logique, on trouverait des états d'anémie, d'oedème céré- bral avec
trouble
des méninges, en sorte que la confusion mentale
énomènes somatiques qui l'accompa- gnent : épuisement, dénutrition,
troubles
vaso-moteurs, affaiblis- sement du pouls et du
ur, souvent fièvre mode) ée ou. au contraire, hypothermie ; souvent
troubles
oeulo-moleurs, crampes, névralgies, mouvements
oubles oeulo-moleurs, crampes, névralgies, mouvements automatiques,
troubles
des voies digestives, gâtisme irrégulier. Quelq
lier. La paralysie générale, même à marche aiguë, s'accompagne de
troubles
somatiques plus prononcés et présente une marche
marche spé- ciale. Dans le délire des dégénérés, il n'y a pas un
trouble
aussi profond de la conscience ni de perturbati
uefois que transitoire et dans beaucoup de cas il s'ac- compagne de
troubles
intellectuels, de mémoire chancelante. Le diagn
logiques, juin 1892.) XXXVIII. Maladie DE Friedreich accompagnée DE
troubles
trophiques chez un imbécile épileptique; par le
e nystagmus, l'em- barras de la parole, l'absence de la douleur, de
troubles
de la sen- sibilité, de troubles trophiques et
arole, l'absence de la douleur, de troubles de la sen- sibilité, de
troubles
trophiques et par l'intégrité de l'intelligence.
on d'un malade atteint de cette maladie chez lequel il a trouvé des
troubles
trophiques el un degré marqué de déchéance ment
où la sensibilité au chaud et au froid paraissent se confondre. Les
troubles
trophiques qui sont le point intéressant de cette
es extrémités chez un LS'l'1 : 31A\LAQUEj par le Dr T.wcowLV. Les
troubles
vaso-moteurs des mélancolique* sont décrits par
hypochondriaques, découragements, dégoût de la vie, présente les
troubles
vaso-moteurs suivants : sous l'influence d'une im
eut-être pourrait-on ramener les deux affections à une même cause :
trouble
vaso-moteur survenant, soit dans la circulation
tercurrente a provoqué la rémission ou la disparition momentanée du
trouble
mental chez les aliénés; les cas de ce genre so
nt mal définis : malaise inexpliqué, mau- vaise humeur non motivée,
troubles
du sommeil et de l'appétit, inaptitude du trava
fication de la personnalité se révèle au début non seulement par un
trouble
de l'aperception, mais aussi par un état émotio
ne pouvait pas, dans un certain nombre de cas, être attribuée à un
trouble
mental, et qui a pres- crit une enquête médico-
etour à un état analogue à un commencement de convalescence. 5° Les
troubles
cérébraux d'ordre purement psychique n'ont été
a affaire à une maladie somatique et non pas seulement à un simple
trouble
des idées : lassitude, impuissance, abattement,
des idées : lassitude, impuissance, abattement, céphalée, insomnie,
troubles
digestifs. Peu à peu, la dépression disparaît e
'un autre désordre intellec- tuel, le signe extérieur par lequel ce
trouble
se manifeste : c'est à ces états qu'il faut att
s suivantes : 1° les accidents hystériques sont la conséquence de
troubles
purement fonctionnels du système nerveux; 2° ils
lades. Il est impossible de nier que bien des discussions sur les
troubles
de la sensibilité, sur les suggestions, sur les s
S DE L'HYSTÉRIE. 423 de Reynolds', M. Charcot a montré que certains
troubles
graves du mouvement ne pouvaient être expliqués
ment hystérique 2. Les com- mémoratifs, l'absence de la fièvre, des
troubles
trophiques et de la réaction de dégénérescence,
umatique Quel que soit le mécanisme par lequel ces idées amèuent le
trouble
moteur, chorée ou contracture, etc., c'est la r
ls sont les mouvements des membres, les contorsions de la face, les
troubles
circulatoires et respiratoires qui accom- pagne
, mais pa- raissaient laisser de côté les accidents permanents, ces
troubles
du mouvement si bien résumés d'autre part par l
ouent dans l'hystérie un rôle capital; elles peuvent déterminer des
troubles
du mouvement les plus variés, elles donnent lie
erche à les mou- voir, on constate une certaine résistance. Comme
troubles
subjectifs il y a lieu de relever une sensation d
main et ne se produit que si le malade est émotionné. En plus des
troubles
de la fonction visuelle, on note : réflexe pharyn
, bien qup, le malade ne s'en soit pas aperçu,, dans la présence de
troubles
sensoriels et dans l'exagération des réflexes^ te
aladie. Il est permis de se demander si le processus morbide et les
troubles
fonctionnels ne sont pas aggravés par la pressi
el, relatés par l'auteur, l'opération indiquée dans ces cas par des
troubles
de la motilité des membres, a été suivie d'une
ne amélioration très marquée de l'état mental en même temps que les
troubles
de la motilité avaient disparu. Un autre des ma
asile quelques mois après l'opé- ration avec la mention guéri : les
troubles
de la parole, de la mé- moire et des céphalalgi
OGIE MENTALE. LXIV. BOULIMIE hystérique par accès s'accompagnant DE
TROUBLES
DE la régularité THERMIQUE; par STEFANI. (Riv.
rentes observations faites sur son malade, qu'il existe chez lui un
trouble
profond des fonctions régulatrices du calorique
tent sans action. D'ailleurs la question de savoir s'il s'agit d'un
trouble
dans la production ou la dispersion du caloriqu
iques, et qui fut pris subitement d'un accès maniaque furieux, avec
troubles
psycho-sensoriels, d'une durée très courte, aya
à l'atteinte morbide, tandis que les autres procédaient plu- tôt du
trouble
de la santé générale déterminé par cette atteinte
eu aucun rapport entre la gravité de la maladie primordiale et les
troubles
mentaux dont elle a provoqué l'éclosion ; ce qu
de sujets prédisposés. On a dit que l'influenza pouvait modifier le
trouble
mental chez un aliéné; l'auteur n'a constaté ce
ès temporaire; en revanche dans quelques névroses anciennes, sans
trouble
mental, dans la surdité nerveuse par exemple, il
s. R. M.-C. LXXXII. La KATATONIE EST-ELLE UNE forme particulière DE
TROUBLE
mental; par M. J. NOLAN. (The Journal of Mental
st surtout remarquable sont la céphalalgie, les vomissements, les
troubles
du langage, les convulsions et les lésions de la
le traitement de la folie; il signale notamment certains cas où le
trouble
mental est sous la dépendance d'une lésion orga
Il est cependant probable que nombre de personnes ne doivent leurs
troubles
mentaux qu'à l'épuisement produit par la rétentio
encore quelques observations. Il allègue que chez ces malades, les
troubles
fondamentaux ne sont point uniformément, sans d
taire, et que ce n'est que secondairement qu'ils s'accompagnent de
troubles
amalgamés. Ils se distinguent des cas de Veruckth
ront pas des ratiocina- tions théoriques qui décideront du genre de
trouble
intellectuel qui forge et ajuste ce délire, ce
uper. Ceci prouve que la persistance d'idées délirantes fixes, sans
trouble
du côté de la sensibilité morale, ne constitue
n cycle, maladie qui était représentée par les symptômes suivants :
trouble
de la connaissance; 'délire; paralysie plusieur
it affecté sans qu'il en fut résulté ni hémianopsie, ni aucun autre
trouble
visuel, et il explique comment l'erreur a pu se
eur a pu se procuire, en démontrant que dans les cas accompagnés de
troubles
visuels, la lésion n'avait pas seulement détrui
écédents que la première de ces parties ne joue aucun rôle dans les
troubles
visuels; la surface du cuneus et du lobulus lin
e pro- fesseur Bechterev; « De l'influence de la suspension sur les
troubles
oculaires des malades atteints des lésions médu
s, par de Bocke et Slasse, 93; Sailler, 9. Aliénation mentale par
troubles
de la nutrition, par Mairet et Bosc, 101. A
r Babès ei Blocq, 142 ; pa- thologie des émotions, par Féré, 142;
troubles
du langage chez les aliénés, par Séglas, 302; z
2; z paralysies et contractures hystéri- ques, par Richer, 304; -
troubles
de la marche dans les maladies nerveuses, par
de l'artère vertébrale, par 'l'elforcl Smith, 1·JJ. Equilibre,
troubles
de 1' consécu- tifs à une affection des canaux
le, 468. FH1EDHEICn, svndrome de -, par Farge, 266; 268 : -avec
troubles
trophiques,par Szcypiors- l,i,383. Génie et f
par Mouratof. 132; - bul- baire sans lésions, par Senator, 270 ;
troubles
sensitifs dans la t\n'iaie rhumatismale, par
ne des hôpitaux. Nous nous proposons d'appeler l'attention sur un
trouble
de la parole que l'un de nous a eu l'occasion d
la communication en question. Jusqu'à une époque toute récente, les
troubles
du langage et de la parole chez les hystériques
moindre mot ou même d'é- mettre le moindre son, n'est pas l'unique
trouble
qui se puisse observer. Celui sur lequel nous d
brisa le péroné. Mais il ne semble pas que la chute ait ramené les
troubles
de la parole. 4 PATHOLOGIE NERVEUSE." En juil
nnement par le plomb. po Symptômes nYSréayuc,s. Ils consistent en
troubles
de la sensibilité générale et spéciale. a. Se
is. Quand le malade mange, il lui semble qu'il mâche du coton. 3°
Troubles
DE la parole, BÉGAYKMENT. Le symptôme qui attire
ots. Mais il n'arrive qu'avec peine à les articuler, par suite d'un
trouble
Fig. 1. Fig. 2. 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. mé
- tion à l'improviste en sollicitant vivement une reponse, que le
trouble
s'accuse. Si on lui demande brusquement le nom d'
out le mot, mais en répétant plu- sieurs fois la même syllabe. 4°
Troubles
DE motilité. La difficulté de l'articulation coïn
les DE motilité. La difficulté de l'articulation coïn- cide avec un
trouble
manifeste de la motilité de la langue. En etl'e
ertainement pour une très large part au bégaye- ment. Mais d'autres
troubles
de la motilité concourent aussi à le produire :
29 novembre 1887 au 31 décembre, c'est-à-dire pendant un mois. Le
trouble
du langage est allé pendant ce temps en s'amélior
e à droite. De ce côté, la conjonctive est anesthésique, la vue est
trouble
, le malade ne voit qu'un brouillard ; pour qu'il
de différence entre la contractilité des deux côtés (fig. 5). Les
troubles
de la parole qui s'étaient déjà montrés lors de l
prononciation. 12 décembre. - Le malade présente toujours les mêmes
troubles
de la prononciation. Lorsqu'on insiste, il arri
ment déviée à gauche et animée. de tremblements fibrillaires. Les
troubles
de la parole persistent, mais notablement modifié
ues et se terminent en général parles brèves. la lecture, les mêmes
troubles
persistent. Du reste, ceux-ci sont plus marqués
taient animés d'un tremblement géné- ral ; ce tremblement joint aux
troubles
de la parole, avait fait, songer à la sclérose
rebelles au traitement, et sujette depuis la mort de son mari à des
troubles
intellectuels passagers. Oncle paternel présent
sies, et n'a pas remarqué chez lui, jus- qu'à ces derniers temps de
troubles
de la sensibilité. Il a un caractère très vif,
ut son côté gauche et une insen- sibilité absolue du même côté. Ces
troubles
persistent le lende- main. Néanmoins, la parole
fondément altérée. 11 entre alors à l'Hôtel-Dieu. État actuel. 1°
Troubles
de la parole. - L'orsqu'on interroge le malade,
il le ré- pète immédiatement lorsqu'on le prononce devant lui. 2°
Troubles
de la sensibilité.-Anesthésie complète du côté ga
té visuelle et le champ visuel sont très diminués au côté droit. 3°
Troubles
de la motilité. Le membre inférieur gauche, est
iques rapides, plus étendus que les mouvements fibrillaires. Pas de
troubles
de la DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQUE. 15 motilité d
particulièrement des passages de ces observations rela- tifs aux
troubles
de la parole, donnera mieux que toute descripti
donnera mieux que toute description didactique une idée exacte des
troubles
en question. Nous avons cru devoir nous servir
avons cru devoir nous servir du terme bégaiement pour désigner ces
troubles
. Quelque reproche qu'on puisse - adresser à cet
ité, d'ailleurs, défectueuse. - Chez Cab..., nous trouvons : 1° des
troubles
de la sensibilité générale : une anesthésie dif
ou- leur, avec zones hypéresthésiques (voir fig. 1 et 2) ; 2° des
troubles
de la sensibilité spéciale : une diminu- tion c
é spéciale : une diminu- tion considérable de l'ouïe, à gauche; des
troubles
de l'odorat et du goût (il lui semble, dit-il,
: 1° de la parésie des membres supérieur et inférieur droits; des
troubles
de la motilité de la face (clignote- ment, rétr
que sa prononciation avait été correcte, jus- qu'à l'apparition des
troubles
de la parole dont nous nous occupons. Ceux-ci s
gulièrement, dès que le malade était dans un bain. Chez Dr... les
troubles
de la parole sont survenus brusquement à la sui
ome au mutisme, ainsi que l'indique M. le professeur Charcot^ Les
troubles
de la prononciation qui constituent le bégaieme
décrire exactement et d'en bien faire ressortir les nuances. Les
troubles
de la prononciation portent à la fois sur les l
rapproche le bégaiement hystérique du bégaiement vulgaire. , Les
troubles
de la prononciation portent surtout sur les mot
avons fait chanter un de nos malades (OBs. III) et constaté que les
troubles
de la parole, sans disparaître, étaient beaucou
s DU bégaiement hystérique. 23 haut, et n'insisterons pas sur les
troubles
de sensibi- lité que nous avons notés au niveau
cales. Ce n'est donc pas de ce côté qu'il faut chercher la clef des
troubles
de la parole qu'il a présentés. Nous n'avons
sont autrement importantes. Chez Cab..., nous trou- vons notés des
troubles
manifestes de la motilité de cet organe. La poi
aux petites oscilla- tions constatées chez le malade. A côté des
troubles
de motilité de la langue, il est intéressant de
idents et animés de contractions irrégulières. Il est clair que ces
troubles
doivent entrer pour beaucoup en ligne de compte
uer comme à cette dernière, une origine corticale, et à y voir un
trouble
dans les représentations motrices néces- saires
ésentations motrices néces- saires à l'articulation des mots. Les
troubles
que nous avons notés du côté de la langue, du p
du bé- DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQUE. 23 gaiement hystérique avec les
troubles
de la parole, qu'on observe dans la paralysie g
y avons déjà fait allusion brièvement. Rappelons seulement que les
troubles
de la parole joints à un tremblement marqué des
la présence des stig- mates hystériques suffiront à différencier ce
trouble
des diverses variétés du bégaiement vulgaire, s
utorisés à affirmer l'existence d'un bégaiement hysté- rique. Si ce
trouble
n'a pas été jusqu'à ce jour, décrit par le déta
re pré- v venu du fait, si l'on ne veut s'exposer à confondre les
troubles
de la parole dus à la névrose, soit avec ceux q
ONS 1. Chez les indiyidus atteints d'hystérie on peut observer un
trouble
transitoire de la parole, qui 1 Cartaz. - Du mu
s observé le bégaiement hystérique que chez des hommes. Il[. - Ce
trouble
est d'ordinaire consécutif à une attaque d'apha
t d'aggravation. V. - Nous l'avons toujours vu s'accompagner de
troubles
de la motilité de la langue (parésie, déviation
s, et qui offrait également, du côté de la tête et de l'épaule, des
troubles
cloniques constitués par des mouve- ments bizar
er ? D'abord, et dans une première analyse très superficielle, ce
trouble
étant caractérisé par des contractions anormales
grande difficulté. Durant les sept ou huit mois qui ont suivi, les
troubles
locomo- teurs ont été remplacés par des sifflem
ver que l'état mental du sujet n'est pas absolument normal. - Les
troubles
psychiques en question peuvent être fort atté-
taté ni rétrécissement du champ visuel, ni anesthésie pharyngée, ni
troubles
sensitifs quel- conques. Cette constatation est
nce des urines et des matières fécales. Bientôt, se manifestent des
troubles
de la nutrition ; il survient un décubitus cous
rieurs et d'in- continence des sphincters. Bientôt, surviennent des
troubles
tro- phiques : décubitus fessier, oedème des pi
trace de son tétanos. C'est un épileptique en voie de démence avec
troubles
mentaux. Il y a, outre la coexistence des deux
tes dans un sens déterminé, etc., mais on ne saurait voir entre ces
troubles
d'é- quilibration et la lésion dû lobule pariét
nes. Pour qu'une relation directe entre le siège d'une lésion et le
trouble
fonc- tionnel correspondant soit établie il fau
le trouble fonc- tionnel correspondant soit établie il faut que ce
trouble
se produise chaque fois que le même territoire
. La douleur vertébrale n'est pas caractéristique, pas plus que les
troubles
nerveux; la gibbosité et la constatation d'un a
égion occipitale, vomissements, vertiges persistants accompagnés de
troubles
de l'équilibre tilubation céré- belleuse, chute
thotonos), convulsions épilepliformes ou trem- hlement choréiforme,
troubles
oculaires (strabisme, amaurose pré- ,coce), enf
ois observation personnelles. Dans l'une (Obs. 1), la chorée et les
troubles
psychiques émanaient du saturnisme. Dans la sec
n haut, mais intégrité de tous les autres mouvements des yeux ; nul
trouble
de la vision. Impossible de savoir s'il y avait
- Névrite multiloculaire ET ataxie ; par E. Jendrassik(I6ï(Z).; UN
trouble
PSYCHIQUE combiné A la NÉVRITE multiloculaire (
vingt-neuf (72,5 p. 100) dont l'oreille interne était anormale, les
troubles
de l'ouïe pouvant se produire à n'im- porte que
ne détermine pas de douleur. Ce signe physique a pour cortège les
troubles
fonctionnels de la dyspepsie gastru-intestinale,
e organe l'un par rapport àl'autre. M. Heddoeus conclut que : Les
troubles
de la motilité des pupilles dépendent toujours de
des oscillations rythmiques perceptibles surtout dans la cuisse; le
trouble
de la locomotion peut entraîner la chute avec imp
et exagération des réflexes tendineux des extrémités droites, sans
trouble
de la sensibilité. Céphalalgie, sopor, affaibli
utèrent, parésie avec contracture des extrémités gauches sans aucun
trouble
de la sensibilité. Intégrité du facial jusqu'à la
e. Comme dans toutes les observations de ce genre, ni paralysie, ni
troubles
de la sensibilité. Etude cri- tique comparative
ctif, même dans le système nerveux ; leur multiplication indique un
trouble
de la nutrition par pro- cessus inflammatoire.
chez lui la sensibilité du seul côté affecté on n'y remarque pas de
troubles
ou simplement des troubles légers. P. K. XXVII.
seul côté affecté on n'y remarque pas de troubles ou simplement des
troubles
légers. P. K. XXVII. Le CONTENU E1TOPTIQUE DE L
s, la neurasthénie entre dans une seconde période qui est celle des
troubles
mentaux élémentaires. 3° Que ces troubles élé
riode qui est celle des troubles mentaux élémentaires. 3° Que ces
troubles
élémentaires peuvent, soit avoir une termi- nai
t graduellement aggravés. R. M. C. VII. Sur UNE nouvelle forme de
trouble
ment\l présentant DES CARACTÈRES BIEN DEFINIS T
a majorité des psychoses curables, dans lesquelles l'existence d'un
trouble
émotionnel est le trait do- minant, c'est le tr
existence d'un trouble émotionnel est le trait do- minant, c'est le
trouble
primitif des facultés intellectuelles qui joue
iffère par plusieurs points essentiel- de cette forme de folie. Les
troubles
mentaux qui précèdent ou accom- pagnent un rapi
furent constitués par cette mo- bilité de l'humeur si spéciale, les
troubles
de la parole et notam- ment les troubles de l'a
l'humeur si spéciale, les troubles de la parole et notam- ment les
troubles
de l'articulation des lèvres, de la langue, du
hilitique ? Les accidents tabétiques du para- lytique sont dus à un
trouble
de nutrition, ainsi que le montre l'épuisement
éclzcllaire constitué par lit thcr- manesthésie, l'analgésie et les
troubles
sudoraux ou vaso moteurs . (Substance grise lat
syringomyélie, car les symptômes bulbo- spinaux en général, et ces
troubles
en particulier, sont en rapport non pas avec la
Une des parties les plus intéressantes de l'ouvrage est l'étude des
troubles
somatiques permanents des épileptiques et des phé
odique, et la griffe radio-tabétique, parfois le tremblement. Les
troubles
polyomyélitiques médians sont : 1° des troubles
le tremblement. Les troubles polyomyélitiques médians sont : 1° des
troubles
trophiques cutanés (variétés d'eczéma, d'urtica
e, cre- vasses, hyperliératinisalion ou cannelures des ongles ; des
troubles
trophiques sous-cutannés, panaris analgésiques
ie de Morvan, des phlegmons, des abcès de la paume de la main ; des
troubles
trophiques arti- culaires et osseux (fragilité
lonne vertébrale, de préférence la scoliose et la cyphose; - 3° des
troubles
vaso-externes, cyanose des doigts, oedème de la
us, très importants s'ils existent au début de la maladie; - 5° des
troubles
oculo-pupillaires : rétrac- tion de l'ouverture
cher du doigt des oeuvres de médecins éclairés '. P. KERAVAL. LES
troubles
PSYCHIQUES dans l'armée EN TEMPS DE paix et EN TE
rt, d'où la démence précoce en pareils cas souvent accompagnée de
troubles
moteurs. Il serait à désirer que l'Allemagne eût
t elles-mêmes été éludiées à leur tour. Nous connaissons les divers
troubles
tro- .\ncmvHa, t. 1\. ' 10 , 146 PATHOLOGIE N
l'accroissement exa- géré des poils, l'herpès. Nous savons que des
troubles
sensitifs peuvent s'y rencontrer, tels que l'hy
plus maigre in loto que celle du côté opposé. Il n'existait pas de
troubles
trophiques ni vaso-moteurs. On constatait seule
eure de la jambe, en dehors du '( tibia, à la face dorsale du pied.
Trouble
de la sensibilité également à la face plantaire
est tombant et traine sur le sol. Ici nous voyons nettement que les
troubles
ont porté tout d'abord sur le tronc tout entier
ée au même auteur, nous assistons à la localisation graduelle des
troubles
morbides au nerf sciatique poplité externe. A c
suite d'un abcès de la fosse iliaque, une névralgie du crural avec
troubles
de la sensibilité bien nettement localisés au d
une anesthésie sur laquelle nous re- viendrons plus loin. - Pas de
troubles
sensoriels : la vue, l'ouïe, l'odorat, le goût
oureuses les plus aiguës, jamais il ne s'est tenu de travers. Les
troubles
de la sensibilité qui occupent la jambe gauche so
de la jambe. (V. la fig. 11.) 2 Sensibilité à la température. - Le
trouble
est distribué de même façon pour le chaud et le
douloureux, généralisés sur tout le trajet du nerf, font place des
troubles
paralytiques localisés au domaine du nerf tibia
bservation qui suit est presque calquée sur la précédente quant aux
troubles
Fiy. 13. - Anesthésie au contact chez le malade
né est resté intact. Observation VIII (personnelle). Sciatique avec
troubles
de la1noti- lité et de la sensibilité dans le d
a pas d'atrophie des muscles de la cuisse ni de la fesse. - Pas de
troubles
hophiques. - Aucun symp- tômes de syringomyélie
es de la région antéro-externe de lajambe. La malade ayant parlé de
troubles
utérins, d'une métrite avec déplacement de cet
lques mois après un accouchement et de plus elle disait souffrir de
troubles
utérins avec déplacement de cet organe. On aura
sciatique simple non traumatique. On a vu que chez cette malade les
troubles
de la sensibilité étaient moins accentués et mo
t. Dans l'observation qui suit, ils sont à peu près nuls. Seuls les
troubles
de la mcti- lité dominent toute la scène. Il s'
réaction de dégéné- rescence. Enfin dans l'OBSER- VATION IX', les
troubles
de la sensibilité sont à peine appré- ciables
, les troubles de la sensibilité sont à peine appré- ciables, les
troubles
moteurs dominent toute la scène. Arri- vons m
on X (personnelle). -Sciatique ancienne avec atrophie musculaire et
troubles
de la sensibilité. Marie B..., âgée de 57 ans,
. En résumé que trouvons-nous chez cette femme ? 2 D'une part des
troubles
de la motilité et d'autre part des altérations
ilité. En ce qui concerne la motilité, nous voyons qu'il existe des
troubles
de deux ordres : tout d'abord une véritable par
assez marqué des deux segments du membre inférieur. Ces derniers
troubles
sont ceux que l'on connaît depuis longtemps dan
sujet des observations précé- dentes. Examinons d'autre part les
troubles
de la sensi- .lacmvES, t. XX. 12 - 118 PATHOL
t connexe avec l'amaigrissement général du membre, tandis que les
troubles
sensitifs profonds localisés dans le domaine du
tatée dans les muscles animés par ce même ^tronc ner- veux. Les
troubles
moteurs et sensitifs sont donc faci- lement exp
phénomènes morbides.. Observation XL (Personnelle.) Sciatique avec
troubles
moteurs et sensitifs dans le domaine du sciatiq
antaire. Il est à remarquer que le cou de pied présente les mêmes
troubles
de la sensibilité que le reste du membre, c'est-à
'est-à-dire que la cuisse et la partie postéro-interne de la jambe,
troubles
eux- mêmes identiques à ceux de la moitié gauch
les eux- mêmes identiques à ceux de la moitié gauche du corps. Ni
troubles
trophiques, ni troubles vaso-moteurs. Pas d'amai-
ues à ceux de la moitié gauche du corps. Ni troubles trophiques, ni
troubles
vaso-moteurs. Pas d'amai- grissement notable du
e partie du membre inférieur, elle présente identiquement les mêmes
troubles
sensi- tifs que la moitié gauche du corps : the
e identique chez la femme de l'OBSERVATION X nous avons conclu à un
trouble
dépen- dant de la sciatique, analogue à ceux qu
attribuant à la sciatique dans laquelle nous connaissons déjà des
troubles
semblables ? Il en était tout autrement chez M.
e ce' nerf, le sciatique po- plité externe, et caractérisée par des
troubles
moteurs et sensitifs portant sur le territoire
elle atteint le degré le plus élevé s'accompagne le plus souvent de
troubles
psychiques et fréquemment de tendances au suici
variété de la chorée chronique. « La chorée chronique présente des
troubles
moteurs de même ordre que la chorée de Sydenham
ans l'hystérie pathologique, autrement dit dans ces périodes où les
troubles
hystériques se manifestent soit par la grande a
se en cause, et que l'on rend fréquemment la névrose responsable de
troubles
réellement organiques. Les deux conclusions sem
primer l'incertitude où l'on se trouve quelquefois de distinguer le
trouble
fonctionnel de l'altération organique. la névro
n tour une névrosée. Dans ce cas, la ligne de démarcation entre les
troubles
anatomiques et fonctionnels est encore plus dif
? Six mois après la mort de son père, la jeune fille pré- senta des
troubles
menstruels très prononcés, puis survint une cép
pathogénie, je me bornerai à conclure que notre malade présente un
trouble
du système nerveux localisé dans le mésocéphale
est impossible de déterminer d'une façon certaine s'il s'agit d'un
trouble
purement fonctionnel (la malade n'étant alors q
urs succès, puis lasolanine, Enfin, si la médication rationnelle du
trouble
fonctionnel reste sans effet, nous devrons conc
inaperçus. Quelques vertiges, des étourdis- sements passagers, des
troubles
intellectuels (Lan- ceraux') peuvent seuls le r
ceraux') peuvent seuls le révéler. Dans ces cas, on a signalé des
troubles
paralytiques fugaces qui ont dis- paru dès que
Cette localisation spéciale donnait lieu à une forme , Leude ! . -
Troubles
des nerfs périphériques il la suite de l'asplty.1
à la suite de l'empoisonnement par lè charbon (Faure, Valentin). Le
trouble
le plus fré- quent est l'anesthésie localisée à
consécutif à l'in- toxication oxycarbonée. Bien plus souvent, les
troubles
de la sensibilité viennent compliquer les paral
rmillement paraissent toujours précéder le retour de la motilité.
Troubles
de nutrition. - Bien plus fréquents sont les tr
a motilité. Troubles de nutrition. - Bien plus fréquents sont les
troubles
de la nutrition. Ils ont été signalés dans pres
ant sur le trajet du trijumeau paralysé, de vésicules d'herpès ? de
troubles
trophiques variés. C'est ainsi que dans un cas
chée; quelquefois l'anesthésie subsistait après la disparition 'des
troubles
paralytiques. La mort ne s'observe que dans des
es sur les névrites provoquées- par l'intoxication oxycarbonée; les
troubles
paralytiques apparaissent seulement vingt jours
D'abord, localisation à un membre inférieur, ensuite paraplégie,
troubles
des sphincters, paralysie des membres supérieur
ions des nerfs dans deux ou trois cas où il y eût des eschares sans
troubles
paralytiques (observations de Klebs, de Leudet,
té de l'hémiplégie et même des paralysies généralisées il y a des
troubles
moteurs localisés à certains groupes de muscles
par l'inflammation des nerfs périphériques qu'il ex- pliquait les
troubles
de sensibilité et de nutrition qu'on observe à
seurs du pied et de la main-- puis, dans ces cas, la coexistence de
troubles
trophiques variés, plaques rouges sur le trajet
t des nerfs, zona, bulles de pem- phigus, vésicules d'herpès, et de
troubles
limités de la sensibilité, - enfin, la disparit
les désordres de la sensibilité nettement limités, l'existence de
troubles
trophiques, l'absence de contractilité~fa- radi
provocateur de l'hystérie, celle-ci se manifes- tant alors par des
troubles
paralytiques. Malheureu- sement la plupart des
'origine névropathique des acci- dents leur disparition rapide, les
troubles
de la sen- sibilité, l'âge peu avancé des sujet
'apparition est provoquée par l'oxyde de carbone donnera lieu à des
troubles
sensitifs, à des troubles moteurs ; il est auss
par l'oxyde de carbone donnera lieu à des troubles sensitifs, à des
troubles
moteurs ; il est aussi naturel d'admettre qu'el
ues que deux éléments étaient nécessaires pour la production de ces
troubles
moteurs d'origine psychique, à savoir : 1° un é
ts longtemps, parfois même plusieurs mois, après la blessure. Les
troubles
sensitifs n'occupent point seulement la région
volontaire fut un instant supprimé dans les doigts. La durée de ces
troubles
ne dépassa pas trois minutes. Bilroth admet 2 q
du membre où le coup a porté, soit sur le membre tout entier divers
troubles
transitoires de la sensibilité et du mouvement,
e qui nous a semblé indemne d'autres manifestations hystériques des
troubles
moteurs et sensitifs consécutifs à un traumatis
sés que les phénomènes or- dinairement attribués au choc local, ces
troubles
ont été tran- sitoires ; ils ont réalisé ce rud
éréditaires. - Rien de spécial à signaler. Il n'y a jamais eu aucun
trouble
nerveux ni chez ses ascendants, ni chez ses frè
omatopsie.-Le48, MD : 34. MG : 34. Il ne reste plus de vestiges des
troubles
sensoriels et moteurs des jours précédents. L
, peuvent dispa- raître quelquefois à l'occasion de l'apparition de
troubles
hysté- riques locaux. Nous ne constatons aucun
parition de troubles hysté- riques locaux. Nous ne constatons aucun
trouble
de la sensibilité cutanée : la chaleur, le froi
p visuel ni d'achromatopsie. - Dans l'observation précédente, les
troubles
de la sensibilité ne peuvent être attribués à u
sie nous en dispense. Notre cas doit au contraire par la nature des
troubles
sen- sitifs être rangé à la fois à côté des phé
quelque sorte entre les conséquences fugitives du choc local et les
troubles
fonctionnels parfois de longue durée de l'hysté
e (43 femmes, 4 hommes) donl ne donne que 7 cas écourtés à dessein.
Troubles
subjectifs de la sensibilité existant en perma-
mis,engourdis, picotant,trop épais comme s'ils allaient crever; ces
troubles
subissent par accès une recrudescence dans l'in-
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. infection, lésions organiques de la moelle,
troubles
hystériques, alcoolisme, asphyxie locale, éryth
- 06s. V. Névrose diabétique paraissant dépendre de la glycosurie.
Troubles
cérébraux. Accidents du côté de la motilité de
et des réflexes tendineux. P. K. XXXVI. UNE FORME particulière DES
troubles
DU mouvement DE la PUPILLE; par SALGO. (Centr.
res nerveux, la convergence demeure in- tacte, tandis que, dans les
troubles
fonctionnels, la convergence est nettement affe
t d'une espèce de nystagmus des deux yeux. Si l'on en rapproche les
troubles
de l'équilibre ceux de la déglu- tition concomi
rmie simultanée du même côté, - mydriase droite - indiquent ici des
troubles
du sympa- thique cervical. L'existence concomit
trijumeau; intégrité de la sensi- bilité, intégrité des os, pas de
troubles
vasomoteurs. Atrophie simultanée du bras du mêm
anifestations. P. K. LXVII. Un cas DE dyslexie (type-Berlin) avec
TROUBLES
DE l'écriture; par L. Bruns (Neurol. Centralbl.
par Berlin. Sorte de lexophobie concomitante. - Voici en outre des
troubles
de l'écriture pour la première fois constatés a
lcoolisme etc.). Ils sont toujours (textuel) accompagnés d'un léger
trouble
de la connaissance. Deux obser- vations. - ORS.
à la folie. Le mé- lancolique et le stupide subissent en effet des
troubles
de nutrition et offrent un terrain favorable au
mmun, que la maladie a débuté par de l'épilepsie jacksonnienne sans
troubles
psychiques, puis finalement, longtemps après, t
t l'appareil symptoma- tique de la paralysie générale (convulsions,
troubles
somatiques) ; la pie-mère, transformée en une c
personnes provient de ce que les aliénés ne peuvent, par suite d'un
trouble
fonctionnel, appeler à leur aide la mémoire des
rsque l'intelligence est affaiblie (démence), lors- qu'il existe un
trouble
de la sensibilité morale et affective (humeurs
res, il manque encore totalement, bien qu'à présent on ne trouve ni
troubles
de moti- lité, ni troubles de la sensibilité, n
ement, bien qu'à présent on ne trouve ni troubles de moti- lité, ni
troubles
de la sensibilité, ni modification de la réaction
, malgré l'affaiblissement intellectuel évident, ainsi que quelques
troubles
trophiques. Si l'on envisage la gravité de l'ép
r l.,NONNE. (Neurol. Centralbl., 1888.) Nouveau fait de guérison de
troubles
fonctionnels du système nerveux, réfractaires à
las rapproche de ce cas un cas analogue dans lequel la guérison des
troubles
psychiques eut lieu à la suite d'une ovariotomi
n accouchement et à l'occasion d'accidents puerpéraux, fut prise de
troubles
intellectuels avec intervalles d'excitation, qu
hallucinations, idées de couleur mystique relatives au spiritisme,
troubles
de la mémoire et de la marche, qui ont per- sis
ent mystique dans les premiers jours, hallucinations hypnagogiques,
troubles
de la mémoire pré- dominants et très accentués.
ment de la maladie sur un terrain prédisposé et entaché d'hystérie (
troubles
de la sensibilité, boule, attaques convulsives
. D'un autre côté, les auteurs mettent en relief l'importance des
troubles
de. la mémoire ayant atteint même la mémoire orga
yant perdu même les actions automatiques secondaires. En effet, les
troubles
de la marche et de la station debout qu'elle pr
intéressante sur les démences précoces. La démence précoce est un
trouble
mental, incurable et chro- nique, survenant che
iniquement, il les divise en trois groupes, suivant l'intensité des
troubles
du langage, complets chez les uns, très bornés ch
re droit. M. Dubuisson pense que la perte de substance est due à un
trouble
vasculaire ayant déter- miné une lésion destruc
rtère sylvienne gauche. Il y a donc lieu de supposer que c'est à un
trouble
circulatoire qu'il faut rapporter le processus
enus, et une plus longue période d'observation. Chaque fois que des
troubles
psychiques sont constatés, ou doit prescrire un r
rais, pour le diagnostic certain desquels il faut la démence et les
troubles
caractéristiques de la parole, alors même que le
suivie de névralgies, convulsions et crampes musculaires, ou autres
troubles
du système nerveux périphérique des plus pénibl
l'a guéri de sa lésion locale, mais elle parait avoir augmenté les
troubles
nerveux et psychiques. On le guérit à l'asile e
ières, qu'il n'envisage d'ailleurs que dans leurs rapports avec les
troubles
sensoriels. Il montre que dans certains cas de
is de mélancolie délirante et de maladie de Basedow. Chez elle, les
troubles
mentaux étaient des plus caractéristiques.. Ant
apparence épileptiforrne ; puis la suite, nouvelle exacerbation des
troubles
délirants; elle ne sait ce qu'on lui veut, ne com
réapparu avec l'exa- cerbation du délire. Ce parallélisme avec les
troubles
délirants et le peu d'intensité des symptômes p
te de connaissance, sauf dans les cas graves; il peut coexister des
troubles
sensoriels divers et des troubles gastri- ques.
cas graves; il peut coexister des troubles sensoriels divers et des
troubles
gastri- ques. Les vertiges se modifient suivant
ion intermittente du coeur et du rein pendant la première période ;
troubles
viscéraux, urémie, troubles nerveux de la deuxi
t du rein pendant la première période ; troubles viscéraux, urémie,
troubles
nerveux de la deuxième phase de la maladie. Ces t
x, urémie, troubles nerveux de la deuxième phase de la maladie. Ces
troubles
nerveux peuvent porter sur la moelle (paraplégi
s). Le vertige appar- tient à une période antérieure à ces derniers
troubles
; on le rencontre chez beaucoup d'artério-sclér
sont rangés par M. Grasset, comme l'a fait -'1. Huchard, parmi les
troubles
de l'ar- tério-sclérose à localisation sur le s
moire spécial. (B.) 296 varia. thodes pour étudier les différents
troubles
de la marche, de la sensibilité, du mouvement,
che, de la sensibilité, du mouvement, des réflexes, du langage, les
troubles
trophiques, etc., sont décrites avec grand soin
très logique. - Pourquoi décrire d'abord et d'une façon séparée les
troubles
de la marche, et passer ensuite à ceux de la se
de guide pour l'étude de la physiologie pathologique des différents
troubles
nerveux, et sur- tout pour les procédés à emplo
tion, de super- cherie, et par une aptitude à reproduire tous les
troubles
fonctionnels imaginables. De là le dédain manif
elle ne se trouve pas, et à lui attribuer presque exclusivement des
troubles
fonctionnels dont elle n'est pas l'unique dépos
oursuivons. On se trouve en présence d'un malade qui est atteint de
troubles
hystériques divers et qui en outre est affecté
r alors, comme dans notre dernière observation de mutisme, que le
trouble
de la sensibilité relève de l'hystérie ? Assuré-
groupes de manifestations hys- tériques ; à l'un appartiennent les
troubles
auxquels l'hystérie seule paraît capable de don
ommuns à l'hystérie et à d'autres maladies. Cette distinction des
troubles
hystériques en deux groupes n'est peut-être pas
et à quelques autres particularités urologiques' quand il s'agit de
troubles
nerveux qui se manifestent sous forme d'accès.
ende de l'hystérie. On pourrait nous objec- ter, toutefois, que des
troubles
nerveux peuvent pren- dre la place les uns des
para- lysie faciale'. Je ne veux pas soutenir, pourtant, que les
troubles
hystériques soient seuls susceptibles d'être re
que le pouvoir de reproduire, avec une exactitude rigoureuse, des
troubles
fonctionnels, sinon exclusivement, du 1 Voir Sp
Les caractères sur lesquels on peut s'appuyer pour soutenir qu'un
trouble
nerveux donné dépend de l'hys- térie sont, comm
le encore il a eu une attaque, et comme on le voit, il présente les
troubles
que nous venons de décrire, depuis plus d'un mo
rynx et le voile du palais sont insensibles. Le malade présente des
troubles
visuels des deux yeux; il y a de l'amblyopie légè
NTQUE NERVEUSE. et dit que depuis un mois il n'a plus éprouvé aucun
trouble
. Les signes constatés, lors du premier examen,
a malade fut prise tout d'un coup dans le milieu de la journée d'un
trouble
de la vue caractérisé par l'ap- parition dans t
son attention de ce côte, qui est venue se plaindre d'éprouver ces
troubles
visuels. Notre ami M. Parinaud a bien voulu exa
en dirons autant de l'aphasie et de l'hé- miplégie permanente; ces
troubles
ne sont déve- loppés chez aucun de nos malades,
u d'altérations anatomiques à l'examen oph- talmoscopique, certains
troubles
fonctionnels de la vue comme diplopie, dyschrom
estphal, signe de Romberg, ataxie, altéra- tions de la sensibilité,
troubles
de la miction, etc. - DE LA PERCEPTIBILITÉ DIFF
ire et la monoculaire au profit de la première ? S'agit-il ici d'un
trouble
fonctionnel, causé par l'ha- bitude défectueuse
é parla vision binoculaire; 3° l'éblouissement d'un des deux yeux
trouble
la perceptibilité différentielle de son congé-
git d'actions destructives, nous n'avons eu à enregistrer que des
troubles
relativement faibles du côté de la perceptibi-
elle (quand nous disons relativement, cela signifie par rapport aux
troubles
d'autres fonctions de l'organe sensoriel), tand
n plus élevée, qu'elle aurait dû l'être en rapport avec le degré du
trouble
de la perceptibilité différentielle examinée à
us crûmes être de grande valeur pour le diagnostic différentiel des
troubles
liés aux affections rétiniennes, - diagnostic s
e la vision. Aussi nos recherches ne portaient pas autant sur les
troubles
respectifs de la perceptibilité différentielle
ptôme de relation ». Ce symptôme divise la série toute entière de
troubles
visuels dans les maladies du système ner- veux
t vis-à- vis de ces deux facteurs. Chez tous les hystériques, les
troubles
de la perceptibilité différentielle pour la visio
rentielle ajoute un symptôme de plus au diagnostic différentiel des
troubles
occulaires dans ces deux maladies. - 38 Ik PH
que la perceptibilité diffé- rentielle peut rester normale dans les
troubles
chroma- tiques les plus accusés ; mais, quant à
optée par nous ne permettant pas facilement la détermina- tion de
troubles
chromatiques faibles. CLINIQUE MENTALE FOLIE
dans cette communication' n'est pas de faire une étude complète des
troubles
de la mémoire, mais simplemènt d'attirer l'atte
it débuté peu de temps après son accouchement et indiqué différents
troubles
de la mémoire qu'elle avait présentés à ce mome
es crises d'aspect épileptique observées par son mari, et aussi les
troubles
actuels de la sensibilité, prédominant surtout
les actuels de la sensibilité, prédominant surtout à gauche, et les
troubles
du mouvement. Le caractère même de la malade fa
us n'insistons pas sur ces détails pour arriver tout de suite aux
troubles
intellectuels plus importants qui ne sont, en som
llectuels plus importants qui ne sont, en somme, que le résultat de
troubles
de la mémoire très étendus et dans lesquels vie
admis, essayons de déterminer l'étendue, l'origine et la nature des
troubles
de la mémoire. Nous savons, d'après les travaux
pourraient-elles être restées intactes chez une femme qui, avec les
troubles
de la sensibilité tactile aux membres inférieur
il est vrai, constaté objectivement dans les membres supérieurs des
troubles
de sensibilité analogues à ceux des membres inf
oiries différents aspects sous lesquels se présentent chez elle les
troubles
de la mémoire intellec- tuelle. Pour se rappele
sprit. folie puerpérale; amnésie, etc. 401 dans tous ces cas, les
troubles
de la mémoire sont justiciables du mécanisme qu
'état mental de cette malade pour montrer qu'il ne s'agit là que de
troubles
de la mémoire, et que, loin d'avoir affaire à u
erprétation. Sans aucun doute, les pigeons opérés ne montrent aucun
trouble
ni de la station ni de la locomotion. Ils garde
cherches), régions sur le compte des- quelles on met la perte ou le
trouble
des fonctions. Un coup d'oeil sur la figure 37,
ntres relatifs peuvent avoir et ont été souvent détruits sans aucun
trouble
de la fonction avec laquelle ils sont supposés
prise de dou- leurs lancinantes dans la région pariétale gauche, de
troubles
de la vue (hémianopsie latérale droite), de cri
American Jonrnal of medic. Sciences, 1887, p. 342. P. K. LVI. DES
TROUBLES
DE la VUE ET DE leur hiérarchie par rapport aux
E. BITOT. (Echo méd. de Toulouse, 1888.) XLII. DE la simulation DES
troubles
psychiques; par'FUERSTNER. (Arch. f. Psych., XI
le ar- rive à la dernière. Dessins à l'appui. P. KERAVAL. LV. Des
troubles
psychiques DE la SÉNILITÉ; par Fuerstner. (Arch
en avoir conscience (amnésie). C'est le dé- sordre sensoriel ou le
trouble
du discernement visé par le para- graphe 2 du C
onsécutive. Plusieurs tentatives de suicide. P. K. LXVI. DES DIVERS
TROUBLES
mentaux OBSERVÉS dans la névrite alcoolique mul
us gêné z ralement, dure quelques heures, tient probablement il des
troubles
fonctionnels des centres vasomoteurs et régulat
atomie pathologiqne et aux localisa- tions cérébrales de ces divers
troubles
du langage articulé. Ce livre est parfaitement
tement au courant de la science actuelle. Georges GUINON. XX. Des
troubles
trophiques dans l'hystérie; par Al. ATHANASSIO.
es tissus et connus en neuro- pathologie sous le terme générique de
troubles
trophiques. Le tra- vail de M. Athanassio saper
névroses et en parti- culier de l'hystérie. » L'auteur a classé les
troubles
trophiques de l'hystérie en quatre catégories :
classé les troubles trophiques de l'hystérie en quatre catégories :
troubles
trophiques de la peau et de ses dépendances, tr
catégories : troubles trophiques de la peau et de ses dépendances,
troubles
vaso-moteurs et secrétoires, troubles du tissu
peau et de ses dépendances, troubles vaso-moteurs et secrétoires,
troubles
du tissu cellulaire, atrophie musculaire. On pour
de vue; les sueurs locales, par exemple, rangées dans la classe des
troubles
vaso-moteurs et secrétoires, peuvent être consi
les vaso-moteurs et secrétoires, peuvent être considérées comme des
troubles
des dépendances de la peau; de même les lésions
sys- tème nerveux, par Bianchi, 295; aphasie, par Bateman, 444;
troubles
trophiques dans l'hysté- rie, par Athanassio, 4
dans le système nerveux de l'homme, par Rosenheim, 86. Cerveau ,
troubles
d'équilibration dans deux cas de tumeurs du l
ent consécutif des - trépanés, par Erluniger. 249. Équilibration,
troubles
d' dans deux cas de tumeur du lobe parié- tal
multiloculaire et ataxie. par Struempell, Jemlrassilc, 73 , avec
troubles
psychiques, par Korsakow, î : 4; ascendante a \
dante a \ec paralysie réflexe de la moelle, par 'l'Ilissen, 2H; -
troubles
men- taux dans la - alcoolique, par 'J'illlig
ague, par Pick, 439. Psychiqui : (Faiblesse) par Wit- towsln, 8t;
troubles
dans l'armée, par Dietz, 135 ; affai- blissem
TABLE DES MATIÈRES symptômes par Heddoeus, 76 ; forme spéciale de
troubles
par Salgo, 239 · - immobilité ré- flexe, par
Berkhan, 112. SENS musculaire, par Hitzig, 133. Simulation des
troubles
psychiques, par Fuerstner, '3G. Société, fran
champ visuel eutoptiqne dans la hallucinatoire, par Hoppe, 96; -
troubles
de la - et lésions du lobe occipital, par Moore
nsibilité anormale au froid, et transpiration conservée. ' Pas de
troubles
moteurs ni sensitifs ; les réflexes sont en génér
ment depuis l'âge de 22 ans ; à la même époque elle a présenté des
troubles
oculaires. A l'asile, le diagnostic de paraly
ain elle s'affaisse subitement et meurt d'embolie pulmonaire. , '
Troubles
oculaires. A 22 ans (1901), la malade se réveille
gonflés. Les milieux de l'oeil ne présentent pas d'altérations. Ces
troubles
oculaires n'appartiennent pas sans aucun doute au
L'examen des membres au point de vue de la motilité ne montre aucun
trouble
, c'est à peine si on trouve une raideur passagère
Dans quelques cas on note des hématémè- ses et des hémoptysies, des
troubles
urinaires passagers, rétention d'urine nécessit
ordant l'étude des mouvements volontaires. Il est bien vrai que des
troubles
très intensifs de ces mouvemenls sont constatés c
. à -i Après, cette courte relation, commençons la description des
troubles
que nous avons constatés en étudiant, les mouve
ernick'e);' pour l'absence- de lu titubation 'cérébe))éùse 'et' des
troubles
de la sensibilité ; 4° pour des' rais'orisfarl'àt
pasmodiques involontaires et passagères ; mouvements athétosiques ;
trouble
très grave de l'action volontaire des muscles.
dans les corps striés. La méthode d'après laquelle j'ai examiné les
troubles
des mouvements actifs, dans ces cas, fut inspir
es étaient capables de comprendre le sens de mes ordres et si leurs
troubles
n'étaient pas causés par l'élément psychique seul
était également rudimentaire, je pouvais pourtant m'assurer que les
troubles
étaient pro- voqués par l'incoordination, parce
e la fonction musculaire même. Par exemple, après avoir constaté le
trouble
des mouvements isolés du pouce, j'ai examiné la f
capables de comprendre le sens de nos ordres et qu'il n'y a pas de
troubles
psychiques empêchant l'exécution des simples mo
psychiques empêchant l'exécution des simples mouvements actifs. Les
troubles
de la sensibilité ne sont pas constatés ; il y
s se détendent au moindre effort' de 'l'examinateur. Ce- pendant ce
trouble
-de 'fonction annihilant tout effort n'est pas un
xion qui persiste pendant toute la dùrée'de l'effort/ i ' ? .l Le
trouble
décrit n'est pas signalé dans les cas seuls où le
r, les phalan- ges se mettent en flexion prononcée. Le caractère dw
trouble
est démontré par le fait que ce même malade est
ONIE DANS LA DESORGANISATION DES MOUVEMENTS 43 - ? f ; I quent le
trouble
. Que le malade essaie de mettre l'avant-bras en p
rfois l'effort prolongé n'a pas d'autre résultat que d'augmenter le
trouble
, pârfois'il 'réussit l'acte désiré. Mais ici no
e trouble, pârfois'il 'réussit l'acte désiré. Mais ici non' plus lé
trouble
n'est un'fait' invariable; le'même mouvement, i
tionj'rempli'ssàit cet"acte en'fumant une pipe. ' ' En résumé : Le'
trouble
que montrent rios malades au début d'un acte vo
- . '' '> s l, j l' 11 « " l' . .. t .1 : . , t 44 WOEHKOM les
troubles
sont expliqués par les éléments caractérisant les
re, l'acte combiné de préhension est exécuté sans difficulté. Les
troubles
des mouvements actifs simples caractérisant l'éta
son cachet particulier à toutes les fonctions musculaires et que ce
trouble
peut se manifester sous les formes les plus div
WOERKOM. névraxe n'est pas un facteur indispensable pour amener le
trouble
de l'élément tonique. Comparons l'état de dys
xe et les mouvements ont le caractère dysmétrique ; mais malgré ces
troubles
, le malade est capable de continuer une série de
sont pas obtenues par l'excitation de la plante du pied. Quant aux
troubles
des mouvements volontaires, les malades avec lé
mais chez eux nous ne rencontrons pas cette bataille musculaire, ce
trouble
profond de la formule d'innervation que nous avon
hrift sur d. Ges. Neur. u : Psych., Bd 23) provoquent également des
troubles
d'or- dre sympathique (par exemple la perturbat
es racines postérieures ou des voies pyramidales, Dans l'examen des
troubles
des mouvements actifs, j'ai étudié, en m'ins- t
é, soit du mouvement lent et irrégulier. Nous avons insisté sur les
troubles
des mouvements périodiques en étudiant la pertu
uscles épitrochléens, par comparaison avec ceux du côté sain. Les
troubles
vaso-moteurs, secrétoires, caloriques et trophiqu
réquence des paralysies cubitales partielles et la prédominance des
troubles
moteurs au niveau des interosseux et des hypothén
lle abondante arrêtée par un lien constricteur), la constatation de
troubles
vasculaires notables conduiront au diagnostic exa
omme fen- dillée. Il est certain que dans la plupart des cas, ces
troubles
vasomoteurs secrétoires et caloriques doivent ê
par angustie ou oblitération artérielle. Bref, il semble que les
troubles
vasomoteurs et trophiques consécutifs aux lésio
sistent en une diminution de la vitalité des tissus, tandis que les
troubles
trophiques et vasomoteurs des formes douloureus
oute une lésion de Tarière humérale ou axillaire, s'accompagnant de
troubles
vasomoteurs, secrétoires ettrophi- ques caracté
us, selon la nature plus ou moins inflammatoire de la lésion. Les
troubles
observés au cours de ces lésions partielles des n
TYPE. - Le type le plus fréquent consiste en une prédomi- nance.des
troubles
moteurs sur les petits muscles de la main et sur
aralysie d'un ou plusieurs nerfs du membre supérieur s'ajoutent des
troubles
vasomoteurs et trophi- ques importants, il y a
rtérielle con- firmera d'ailleurs bien souvent ce diagnostic. Les
troubles
vasomoteurs sont caractérisés par une coloration
par une coloration rouge violacée ou bleu noiràtre de la peau. Ces
troubles
vasomoteurs sont tantôt généralisés à toute la
iègent les altérations vasomotrices caloriques et trophiques. Les
troubles
trophiques peuvent intéresser tous les tissus.
flexes. Enfin, on peut observer au niveau de la main l'existence de
troubles
NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XXVI
touchées, la pression artérielle égale à celle du côté opposé, les
troubles
de la réflectivité et de la sensibilité souvent
té souvent nuls, mais qu'en revanche il existe presque toujours des
troubles
vasomoteurs et thermiques. Les différentes arti
Société de neurologie, 4 novembre 1915 ; Contribution à l'étude des
troubles
nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'anest
umatiques d'ordre réflexe. Presse mé- dicale, 24 février 1916 ; Des
troubles
vasomoleurs et thermiques d'ordre réflexe. Sociét
ociété de neurologie, 2 mars 1916 ; J. BABINSKI, Les caractères des
troubles
moteurs dits « fonctionnels » et la conduite à
inski et Froment (2) revient le mérite d'avoir montré que parmi ces
troubles
beaucoup s'accompagnent d'un certain nombre de
rappelait ceux auxquels MM. Babinski et Froment ont donné le nom de
troubles
réflexes, mais il. n'était pas pur, car il s'acco
e médian un volumineux névrome qui peut irriter l'artère, comme les
troubles
vaso-moteurs, sudoraux et thermiques fréquents
s avons dans notre service examiné systématiquement tous les petits
troubles
moteurs des mains susceptibles a priori de rent
n est grossièrement clinique et morphologique. Il limite ces petits
troubles
moteurs des mains aux attitudes singulières don
e uniforme inspiré du rapport de M. Babinski sur les caractères des
troubles
moteurs dits « fonctionnels » présenté au Congrès
, mais se produit instantanément. 6. Sensibilité. - Il n'y a pas de
troubles
objectifs de la sensibilité, mais dans l'éternu
s limi- tés et beaucoup plus douloureux. 6. Sensibilité. - Pas de
troubles
objectifs. N'a jamais eu de troubles sub- jecti
reux. 6. Sensibilité. - Pas de troubles objectifs. N'a jamais eu de
troubles
sub- jectifs. 7. Réflectivité. Diminution du
sthésie dans le territoire du médian et du radial à la main. Pas de
trouble
subjectif de la sensibilité. 7. Réflectivité. R
st beaucoup plus résis- tante. . 6. Sensibilité. - Pas le moindre
trouble
de la sensibilité objective ni subjective. N'en
itabilité des extenseurs. 10. Vaso-molricité et température. Pas de
troubles
vaso-moteurs, ni thermiques ; la main malade ga
yses supérieures et inférieures des deux os de l'avant-bras. Pas de
troubles
, sauf une légère macération de l'épiderme dans le
ouvant être considérées comme réactions réflexes à la blessure. Les
troubles
parétiques du domaine du cubital ne sont que le p
xième, qui n'est pas tout à fait complète. 6. Sensibilité. - Pas de
troubles
de la sensibilité. 7. Réflectivité. - ExagéraLi
action de dégénérescence. 10. Vaso-motricilé et température. Pas de
troubles
vaso-moteurs, ni thermiques. La main malade per
ours sur le tendon des muscles extenseurs. 6. Sensibilité. - Pas de
troubles
de la sensibilité objective, ni subjective. 7.
de la sensibilité objective, ni subjective. 7. Réflectivité. Pas de
trouble
de la réflectivité. 8. Yaso-motricité. - La tem
portant, et où le sujet présente en outre depuis cette blessure des
troubles
purement fonctionnels mais très accusés de la m
ues palmaires méta- carpo-phalangiens. j J 6. Sensibilité. Pas de
troubles
de la sensibilité objective, sauf une anes- thé
ité. - La radiographie décèle un cal du radius bien constitué, sans
troubles
trophiques de la main. Amaigrissement notable de
abducteurs et des adducteurs des doigts qui se surajouta aux autres
troubles
s'est améliorée. ° , R -1- P. Observation X. Ma
phalango-pha- langinienne de ce doigt. ' 6. Sensibilité. - Pas de
trouble
de la sensibilité objective ni subjective, sauf
eaucoup plus difficile que celle du poignet. 6. Sensibilité. Pas de
trouble
de la sensibilité objective, sauf une liy- pere
peine l'exécution de tous les mouvements. 6. Sensibilité. Pas de
troubles
de la sensibilité. 7. Réflectivité, Pas de modi
ricité et température. - A part un dermographisme bilatéral, pas de
troubles
vaso-moteurs, ni thermiques. SEIZE DÉFORMATIONS
xation de la main dans l'attitude décrite. 6. Sensibilité. Pas de
troubles
de la sensibilité. 7. Excitabilité électrique.
r refroidissement et cyanose de la main. 10. Trophicité. - Pas de
troubles
trophiques apparents. Il. Réflectivité. Rien à
ize observations; nous remarquons qu'elles sont constituées par des
troubles
moteurs de quatre ordres différents : organique
ique, psychique, mécanique, réflexe. Tout le monde s'entend sur les
troubles
moteurs par lésions nerveuses organiques, quand
t parler, dans le cas d'hypertonie comme dans celui d'hypotonie, de
troubles
moteurs par lésions organiques, tronculaire ou
aniques, tronculaire ou radiculaire. Claire aussi est la notion des
troubles
moteurs d'origine psychique, troubles fonctionn
laire aussi est la notion des troubles moteurs d'origine psychique,
troubles
fonctionnels, c'est-à-dire se manifestant en deho
GNEL-LAVA9PINE ET PAUL COURBON Encore plus simple est la notion des
troubles
moteurs d'origine zraéca- nique, c'est-à-dire l
erre par Babinski et Froment. De ce groupe relèvent entièrement les
troubles
moteurs des IV et V, partiellement l'observatio
exemples sur 17 observations. Au contraire, leur association à des
troubles
organiques, mécaniques ou psychiques est la règ
x causes d'erreurs également préjudiciables : ne pas reconnaître le
trouble
réflexe quand il existe; étendre son domaine d'
c, à la lumière de nos cas, dans chacun desquels les groupements de
troubles
moteurs : organiques, psychiques, mécaniques et
ique des manifestations objectives qu'on a données comme signes des
troubles
moteurs d'ordre réflexe. A. Physionomie cliniqu
se répartir en trois groupes : 1° Hypothermie insignifiante sans
trouble
vaso-moteur : XIII (P.), VI (R. + V (R.), IV (R
mettent pas de tirer une conclusion sur la valeur sém Íologique des
troubles
vaso-moteurs. Il est vrai i que nos sujets fure
rapport entre l'intensité des lésions ner- veuses constatées et ces
troubles
vaso-moteurs, témoins les III, XV, IX où il y a
il y a les signes nets d'une lésion des nerfs de la main et où les
troubles
vaso-moteurs sont le plus marqués. Par contre,
e guerre ont reconnu à l'immobilisation la capacité de produire des
troubles
vaso-moteurs considérables. C. - Excitabilité
-à-dire dans les cas où il y avait lésion tronculaire évi- dente ou
trouble
réflexe. Dans les autres cas où il y avait mécani
it con- sécutive. F. Trophicité. Tous nos sujets n'eurent que des
troubles
peu marqués de la trophicité : macération légèr
hicité : macération légère de la peau (IV, V, VI, toutes réflexes).
Troubles
trophiques tendineux, VI (R. '+ M.). Anoler l'abs
chez les malades atteints de grosses lésions nerveuses, il y a des
troubles
trophiques appréciables, mais le parallélisme d
es autres n'est pas fatal. Le déterminisme de la répartition de ces
troubles
trophiques sur le squelette, les muscles et la
ccasion, mensonges opiniâtres pour cacher un retard ; VI (R. + M.),
troubles
hystériques de la marche sura- joutés à la défo
réunissaient pas la totalité des éléments du syndrome réflexe. Les
troubles
vaso-moteurs et trophiques notamment n'ont jamais
e que l'on puisse établir entre le siège de la blessure et celui du
trouble
fonctionnel est un rapport topographie- que. La
erforations complètes d'une masse musculaire guérir sans laisser de
trouble
fonctionnel ; mais cela à la condition que les ré
, les discordances, constatées entre le siège de la blessure et les
troubles
moteurs produits, s'expliqueraient par l'existe
alors posé, en se basant sur l'apparence du membre et sur certains
troubles
d'hypoesthésie mal localisés et transitoires, d
e de mouvements passifs paraissent être très dou- lourez. ' Aucun
trouble
de motililé électrique. Ni albumine ni sucre da
l'attention à apporter aux premiers panse- ments. - II SUR LES
troubles
VASO-MOTEURS ET TROPHIQUES par LÉSIONS associée
es nerfs mixtes périphériques entraînent d'une façon cou- rante des
troubles
de la motilité et de la sensibilité objective dan
on assez peu fré- quente, d'une part des douleurs, d'autre part des
troubles
vaso-moteurs, sécrétoires et trophiques. M. Mei
ires associées aux lésions nerveuses dans la genèse de ces derniers
troubles
(1), Les quelques faits que nous reproduisons n
des troisièmes, plus marquée pour les doigts externes ; la zone des
troubles
sensi- tifs se rétrécit légèrement, l'anesthési
t des nerfs. Dans certains cas,nous avons aussi constaté de simples
troubles
cutanés, doigts rouges, parcheminés, etc., sans o
s, forcément, associée à la lé- sion nerveuse quand on constate des
troubles
vaso-moteurs et iroplai- ques à la suite de ble
lle-même. Quand il y a une lésion vasculaire, on peut constater des
troubles
vaso-moteurs et trophiques,même alors que la lé
s croyons à l'importance, limitée sans doute, mais très réelle, des
troubles
vaso-moteurs et surtout trophiques comme signe
es fibres sym- pathiques intratronculaires suffise à déterminer des
troubles
trophiques, sans lésion des fibres sympathiques
persistance d'un très petit nombre de fibres pour éviter semblables
troubles
trophiques. Il est d'ailleurs vrai- semblable q
quoi nombre de sections complètes des nerfs ne donnent lieu à aucun
trouble
vaso-moteur ou trophique. La question inverse p
plète d'un nerf xxviii 9 130 LÉRI détermine-t-elle toujours des
troubles
vaso-moteurs et trophiques ? A cette question n
lésion du nerf médian ou du médian et du cubital n'a provoqué aucun
trouble
vaso-moteur ou trophique.Nous en reproduisons u
elconque de la peau. Tout ce que nous venons de dire concernant les
troubles
vaso-moteurs peut être appliqué aussi aux gross
asculaire n'a déterminé aucun symptôme douloureux, pas plus que des
troubles
vaso-moteurs. 11 sem- ble d'ailleurs exceptionn
'une lésion vasculaire eL nerveuse détermine chez le même sujet des
troubles
vaso-moteurs et trophiques semblables à ceux qu
xcitation, irritation dans l'autre. En résumé, dans la genèse des
troubles
vaso-moteurs comme des gros- ses douleurs causa
sion vasculaire parait jouer un rôle très important, même quand ces
troubles
sont limités au territoire de distribution nerveu
ésion vasculaire à une lésion nerveuse ne produit pas forcément des
troubles
vaso-moteurs ou trophiques ni des manifestation
e : paralysie généralement très réduite ou nulle, pas d'anesthésie,
troubles
trophiques et vaso-moteurs se caractérisant par
comme à la main, outre la déformation, on observe très souvent des
troubles
vaso-moteurs et trophiques variés. Quant aux do
ait eu de plaie extérieure ; les douleurs étaient très vives et les
troubles
trophiques cutanés (peau sèche, écailleuse, rouge
de la plante du pied dans la station debout, un autre parce que le
trouble
de la marche était dû surtout à la cicatrice de
Tous les réflexes tendineux et cutanés sont normaux et égaux. Aucun
trouble
de sensibilité objective. Aucune altération ni
d'un stigmate chondro- osseux de syphilis héréditaire, et non d'un
trouble
trophique pouvant se rapporter à un traumatisme
uise se présente avec une tout autre allure clinique, avec d'autres
troubles
associés, ne répondant en rien à l'aspect digital
EUSE DES ARTICULATIONS PHALANGINO- PHALANGETTIGNUES DES DEUX MAINS,
TROUBLES
D'ACROTROPHICITÉ CHEZ UN ADÉNOIDIEN, PAR MM
e 21 ans, a eu; quatre à cinq mois avant les accidents actuels, des
troubles
gastro-intestinaux. Il a eu la scarlatine à 7 ou
alangino-phalangettienne. Nous avons ten- dance à le rapprocher des
troubles
d'acrotrophicité que l'on constate assez fréque
es modifications des sécrétions internes ne sont pas la cause de ce
trouble
trophique, rare et jusqu'ici non décrit des extré
l, sans lare viscérale thoracique ou, abdominale. Il n'existe aucun
trouble
du système nerveux. Le membre supérieur droit e
t. Peu de mois après, on remarqua que son ventre grossissait. Aucun
trouble
nerveux ni psychique. Etat actuel (dix-sept moi
laquelle, par son sexe et par son âge, on ne pouvait apprécier les
troubles
hypogénitaux aussi bien que chez notre jeune ga
elui de Franck, il s'agissait d'un adulte de 39 ans chez lequel les
troubles
sexuels pouvaient être seulement de type foncti
raissement dans le syndrome adiposo-génital est la consé- quence du
trouble
génital, en plus grande mesure que de la lésion
, Jourdel), l'infantilisme régressif (Lereboullet), l'alopécie, les
troubles
sexuels (Schmidt, 2 cas), l'hémianopsie traumat
admettre que les uns et les autres collaborent à la production d'un
trouble
diurétique déterminé, de même que l'existence de
vé. L'élévation des bras se fait normalemeut. Pollakyurie; urines
troubles
avec dépôt floconneux. Le malade accuse une trè
neux. Le malade accuse une très grande fatigue. 26. Urines rares,
troubles
. Constipation. Le malade soulève très difficile
s au toucher, à la piqûre et à la température sont normales. Pas de
troubles
trophiques. Réflexes rotuliens très exagérés de
acture avec une sorte de steppage surtout marqué à gauche. 'Aucun
trouble
sphinctérien. Pas d'astéréognosie. Langue blanc
alée intense, ni coryza, ni mal de gorge. Inappétence. Pas d'autres
troubles
digestifs. Symptômes à l'entrée. T. : 37°2. F
racture. Force musculaire amoindrie. Pas d'asté- réognosie ; pas de
troubles
sphinctériens. Une ponction lombaire très diffi
es rotuliens des deux côtés ; 3 on 4 trépidations anx pieds. Pas de
troubles
de sensibilité. Mammite gauche. MYÉLITES AIGU
a été notée, caractérisée par un état de malaise, de courbature, de
troubles
digestifs, de fatigue. Dans l'observation I, le
gnalé dans un cas par Hellier (1). ' En somme, souvent période de
troubles
d'aspect indéterminé, ressem- blant plus ou moi
déterminé, ressem- blant plus ou moins à un embarras gastrique. Ces
troubles
digestifs ont été signalés déjà par Hellier.
us parce qu'il a mal, mais parce qu'il fléchit. - L'intensité des
troubles
paralytiques a été très variable. Dans les cas
dre une para- typhoïde, et l'attention n'a été attirée que vers les
troubles
douloureux ; les mouvements ne paraissaient pas
és qu'au cours d'une mala- die générale grave ; mais apparurent les
troubles
des réflexes, et au mo- ment des premiers lever
te, avec fatigue et impossibilité de la marche après quelques pas :
troubles
qui, après quelque temps, ne se produisent plus
le 8° jour, les muscles étaient flasques, nettement atrophiés. Les
troubles
sensitifs, surtout sous forme douloureuse, sont c
e, par atténuation progressive des accidents moteurs, alors que les
troubles
sensitifs ont disparu depuis déjà plus ou moins l
on. En résumé, on voit que la symptomatologie a été assez diffuse :
troubles
moteurs avec paralysie totale ou parésie ; état
ubles moteurs avec paralysie totale ou parésie ; état spasmodique ;
troubles
sen- sitifs ; en somme, symptômes de paralysie
es ». Le cas 2 s'est terminé rapidement par l'apparition brusque de
troubles
bulbaires mortels ; le cas 1 a été extrêmement
intéressant de noter l'opposition entre la grande prédominance des
troubles
paralytiques dans l'épidémie de mai 1916 (obs. I
a phase d'état. Le diagnostic de myélite est net quand existent les
troubles
paralytiques et les modifi- cations des réflexe
gnalant les constata- tions de Leishman, ne fait aucune mention des
troubles
paralytiques ou spasmodiques, ni des modificati
ression sur le grand nerf sciatique cause un peu de douleur. Pas de
troubles
de la motilité aux jambes. Sensibilité au tact
malade est assez grande, mais quand il est éveillé, il n'y a pas de
trouble
de conscience. Quelquefois il se plaint de douleu
s exagérés ; symptô- mes correspondants à une polynévrite, mais les
troubles
de la motilité sont plus développés aux membres
peu de temps, mais ensuite est venue une parésie des bras, avec des
troubles
légers de la sensibilité. Ces symptômes ont per
nguent mercuriel. Il présenta de la stomatite, plus tardivement des
troubles
cachectiques, du tremblement et des symptômes cor
oique fort intelligent et observateur, il ne s'était aperçu d'aucun
trouble
fonctionnel. Mais vers le mois de juillet, il se
à l'attitude des doigts qui, au repos, est en demi-flexion. Aucun
trouble
vaso-moteur ou tropbique cutané; les deux mains o
e même volume; les ongles ne sont pas dé- formés ni striés. Aucun
trouble
de la sensibilité subjective ou objective ; aucun
rsion de la formule galvanique ni lenteur de la secousse. - Aucun
trouble
oculo-pupillaire ; ni ptosis, ni myosis, ni rétra
s, ni rétraction du globe ; réflexes pupillaires très bons. Aucun
trouble
trophique, moteur ou réflexe des membres inférieu
s et il n'y a jamais eu de paralysie. Il n'y a et il n'y a eu aucun
trouble
sensitif ni vaso-moteur. A cette atrophie pur
ru 256 LÉRI intéressant d'appeler l'attention sur une 'variété de
troubles
névro-muscu- laires post-traumatiques dont l'ét
le moignon de l'épaule et la partie correspon- dante du tronc. Ces
troubles
ne l'ont empêché ni de continuer sa profession sa
alable, et qu'il n'existe encore actuellement ni paralysie ni aucun
trouble
de sensibilité objective ; 2° que cette amyotroph
té maternel ; il n'a jamais entendu dire qu'aucun parent ait eu des
troubles
de la marche ou de l'atrophie des membres. Le
du trauma- tisme et avec son ancienneté relative quand ont paru les
troubles
. De plus, il nous a été facile de constater que
mblement des membres inférieurs et du tronc. Il n'y a nulle part de
troubles
de la sensibilité objective, si ce n'est peut-
très léger, il datait de six mois avant l'appa- rition des premiers
troubles
fonctionnels et il n'avait déterminé aucune lés
Editeurs ""P, CATALA FiltRES, PAIII$. DIPLÉGIE FACIALE 273 Vue
trouble
, nuages devant les yeux, pas de diplopie. Légère
rie ou de dysarthrie. Céphalée frontale intermittente. Pas d'autres
troubles
de la sensibilité sub- jective. d b ... f.. M .
enfant, le premier, né à terme et mort à six semaines. Le début des
troubles
actuels est difficile à préciser. Ils seraient su
zone des armées. N'a pas fait de service militaire à cause de ses
troubles
oculaires ! Examen. - Pas d'asymétrie faciale.
un peu en arrière. Pas de spasme ou d'hémispasme facial.' Pas de
troubles
de la sensibilité. La parésie semble plus accen
de trépidation épileptoïde. Réflexes crémastériens normaux. Pas de
troubles
de la sensibilité. Pas de tremblement. Coeur
seule toute la symptomatologie. Elle s'accompagne toujours d'autres
troubles
de déficit moteur ou intellectuel. Le mode d'ap
symptômes caractéris- tiques : l'absence du réflexe cornéen et les
troubles
de l'excitabilité mus- culaire qui ne se rencon
pourraient mettre sur la voie du diagnostic. Nous ne notons aucun
trouble
moteur ou sensitif associé. Ce n'est par conséq
r et du marteau. Une fracture, une exostose du rocher amèneront des
troubles
variés suivant t'atteinte ou l'intégrité de ces
d'engouement. L'examen auriculaire nous a bien montré chez D... des
troubles
assez marqués de l'ouïe avec atteinte de la mem
, mais par un mécanisme différent de leur production normale. Les
troubles
moteurs remontent au minimum à quinze ans, peut-ê
e la lagophtalmie et l'épiphora n'ait pas amené depuis le temps des
troubles
oculaires graves. La conjonctive est à tout ins
de la joue droite et de la moitié' correspondante de la langue. Les
troubles
dont cette malade est atteinte sont congénitaux.
e et trop complète pour qu'elle prête à une confusion avec un autre
trouble
tel que l'éléphantiasis, un oedème par compress
st comme ces dernières congénitale. Nous avons donc à faire avec le
trouble
trophique connu sous le nom de hémi-hypertrophi
tant pas de godet à la suite de la pression digitale, représente un
trouble
identique, à notre avis, avec le trophoedème de
e un trouble identique, à notre avis, avec le trophoedème de Meige,
trouble
dont la localisation faciale est très rare, il
de la langue fait, de ce cas* comme de ceux qui lui ressemblent, un
trouble
plus complexe que le trophoedème habituel. '
omplexe que le trophoedème habituel. ' Pourtant, à notre sens, le
trouble
lingual et ceux de la face, etc., sont identiqu
ution de capacité fonc- tionnelle qui se traduit par un ensemble de
troubles
d'une grande cons- tance, mais que l'examen met
besoin impérieux de repos. L'atonie gastro-intestinale explique les
troubles
dyspeptiques et la constipation. La bradycardie e
l., 1913, Il, année ; BENON (B.), Traité clinique et médico-légal des
troubles
psy- chiques et névrosiques post-traamatigues,
ce syndrome et en relation avec lui, se développent fréquemment des
troubles
dysthymiques (de l'inquiétude, de la tristesse,
nger convenablement, à s'habiller seule et même à coudre malgré les
troubles
de la motricité de ses membres supérieurs. Il
ation est difficile, la main plane avant de saisir un objet. Pas de
troubles
sphinctériens, ni de troubles de la sensibilité.
lane avant de saisir un objet. Pas de troubles sphinctériens, ni de
troubles
de la sensibilité. La démarche est nettement sp
de l'accouchement; ce serait donc l'étiologie de Little. , . Les
troubles
de l'articulation des sons réunis sous le nom de
ment malade, avec des malaises, des vomissements, de la fièvre, des
troubles
d'esprit et il a été inconscient pendant plusie
infectieux cérébral très grave, une méningo-encépllalite aiguë. Les
troubles
graves, l'hémiplégie et l'aphasie, qui persistè
GÉES 331 i faisceaux pyramidaux de l'hémisphère gauche, amenant les
troubles
hémi- plégiques et ceux de la parole, a été pen
ntôt pour une opération chirurgicale suivant que l'on attribuait ce
trouble
vocal à une lésion du récurrent ou à une compre
'exemple de Stewart nous avions projetée sur Georges. Aucun autre
trouble
nerveux fonctionnel ou organique n'est à signaler
sympathique orga- nique persiste, mais n'est associé à aucun autre
trouble
pathologique et par ? n-, '- ) Nouvelle Icono
associée au syndrome sympathique oculo-pupillaire de paralysie sans
troubles
vaso-moteurs, nous avons fait quel- ques expéri
e (myosis, énophtalmie, rétrécissement de la fente palpébrale) sans
troubles
vaso-moteurs et sans hypotonie du globe oculaire
it fait avec Cantonnet (2). Comme nous il oppose à la constance des
troubles
oculaires moteurs (ptosis, myosis, énophtalmie)
de François Frank (3). ' Puisque dans notre cas il n'existe aucun
trouble
vaso-moteur, il est naturel de noter l'intégrit
obe oculaire. 3° Hémianidrose cervico- faciale. L'association des
troubles
sudoraux avec le syndrome de Claude Ber- nard-H
n aurait pu voir dans l'aphonie l'expression fonc- . tionnelle d'un
trouble
vaso-moteur du larynx lié à la lésion de cette an
trophies segmentaires desmembres supérieurs, souvent compliquées de
troubles
trophiques cutanés, osseux ou articulaires, cas
axant passé près des racines du plexus. Cliniquement on observe des
troubles
musculaires et des troubles tro- phiques du mem
du plexus. Cliniquement on observe des troubles musculaires et des
troubles
tro- phiques du membre supérieur. Les trouble
musculaires et des troubles tro- phiques du membre supérieur. Les
troubles
musculaires du membre supérieur sont quelquefois
moins marquées, les atrophies prédominant sur les parésies. - Les
troubles
trophiques affectent une distribution et des aspe
NON ET ROGER . s , mique (obs. IV). Les ongles, participent à ces
troubles
. Ils sont striés, cassants, déformés, recroquev
s sont striés, cassants, déformés, recroquevillés. L'importance des
troubles
trophiques cutanés dans les lésions irritalives
causalbique-et non les syndromes frustes qui nous intéressent. Les
troubles
trophiques portent aussi`souvent sur les os et le
effacés. Rappelons que M. et Mme Déjerine ont observé et décrit des
troubles
et déformations analogues dans le cours de névrit
s causalgies. On ne saurait donc trop insister sur la fréquence des
troubles
trophiques dans les syndromes frustes d'irritat
ns de l'irritation nerveuse et en particulier à la douleur. , Les
troubles
de la sensibilité en paieil,cs sont assez peu mar
as par conséquent une atteinte nerveuse grave. L'évolution de ces
troubles
constitue un autre de leurs caractères. Ils son
nique et faradique. - On est ainsi amené à faire le diagnostic de
troubles
réflexes purs du (1) Presse médicale, 1915, nos
ées de tel ou tel muscle dumembre supérieur, qu'il existe enfin des
troubles
trophiques considé- rables de la peau et des os
électriques. La participation du plexus brachial dans la genèse des
troubles
obser- vés peut être mise en lumière par un exa
exus brachial dans des cas d'atrophie musculaire, de parésies et de
troubles
trophiques du membre supérieur pour lesquels les
n. C'est, en plus petit, les mêmes atrophies musculaires, les mêmes
troubles
trophiques cutanés, osseux ou articulaires. L'hyp
ui domine, ce sont la parésie et surtout l'atrophie musculaire, les
troubles
trophiques cutanés et ostéo-articulaires; Les d
prenant à peu près à l'avant- bras la localisation du médian. Des
troubles
trophiques superficiels existent en outre et prod
avec des ongles un peu incurvés. Enfin on constate à la main des
troubles
circulatoires importants liés la la ligature de
antes. Au coude et'à l'épaule on constate une mobilité normale. Les
troubles
trophiques et vaso-moteurs de la main sont import
gauche. Parésie et atl'o- phie prédominant à t'épaule et à la main.
Troubles
trophiques cutanés dans la région de l'épaule e
ques cutanés dans la région de l'épaule et du bras' (sclérodermie).
Troubles
trophiques muscu- laires au niveau de la main (
sa course, provoque quelques douleurs. A signaler enfin comme autre
trouble
moteur un tremblement total et intermittent de
étendant parfois au membre inférieur du même côté. L'importance des
troubles
trophiques doit surtout retenir l'attention. Ils
iveau de la main, et dans la région de l'épaule, où prédominent les
troubles
moteurs. , La main présente un aspect spécial.
s'agit donc pas de contracture comme il semblait d'abord, mais d'un
trouble
trophique très spécial des muscles rappelant l'
u de l'épaule et du bras, surtout sur la face externe, existent des
troubles
trophiques cutanés sous forme de sclérodermie. La
re de défense des muscles élévateurs contre la douleur. Aucun autre
trouble
organique nerveux n'est à signaler chez ce malade
e violent du bras. Douleurs consécutives de l'épaule et de la main.
Troubles
trophiques de la main sous forme d'un pseudo-rh
u niveau de l'épaule, plus tard la main. Elat en mars 1916. - Les
troubles
sont localisés à la main et sont surtout d'ordr
e, car la radiographie ne montre aucune altération osseuse. c Les
troubles
trophiques portent également sur la peau qui est
ues normales pour tous les nerfs et muscles du plexus brachial. Les
troubles
trophiques de la main pourraient donc être consid
et cette hémiplégie est facile à mettre en évidence, sinon par les
troubles
de la voix qui ne sont pas toujours appréciable
n au laryngoscope; mais la lésion du nerf récurrent peut amener des
troubles
moteurs laryngés analogues. Le siège anatomique
. ' - 25. - Pouls : 108-120, même état de la plaie pharyngée, aucun
trouble
de la motilité de la langue, du voile ou de ses
S... Plaie par éclat de grenade à la région latérale droite du cou.
Troubles
de la respiration avec quintes de toux ayant né
tracé du pouls radial et de la jugulaire montre qu'il n'y a pas de
trouble
de la conduction auriculo-ventricu- laire, il n
une arythmie d'origine sinusale et dans d'autres cas on notait des
troubles
de l'excitabilité cardiaque se traduisant par l
ui du reste concorde avec le siège de la blessure et la présence de
troubles
moteurs laryngés. Nous y voyons aussi une confir-
roncs nerveux, avec prédilection pour les régions atteintes par les
troubles
trophiques et moteurs. , UN CAS DE NÉVRITE HYPE
e des nerfs précède nettement les phénomènes d'atrophie et les gros
troubles
fonctionnels. Par ailleurs,l'examen des organes
e, lentement progressive, mais à prédilection unilatérale. 2° Des
troubles
de la motivité également progressifs suivant la m
re dans d'importantes proportions la valeur fonctionnelle. 3° Des
troubles
de la sensibilité subjective (douleurs fulgurante
s troubles de la sensibilité subjective (douleurs fulgurantes) sans
trouble
de la sensibilité objective. 4° Une augmentatio
l'atrophie peuvent s'observer en pareil cas, elles comportaient des
troubles
de la sensibilité objective, notamment là disso
t insidieux méconnu, il n'en reste pas moins indis- cutable que les
troubles
fonctionnels étaient nuls, alors qu'il serait cla
u'on estgéné- ralement averti de la névrite hypertrophique .par des
troubles
de la marche. L'affection décrite à la Salpêt
est héréditaire ou familiale, condition qui manque ici. Enfin des
troubles
oculaires, tels que le nystagmus et le signe d'Ar
tremblement in- tentionnel, nystagmus). On note ici l'absence de
troubles
oculaires, et des troubles moteurs différents.
el, nystagmus). On note ici l'absence de troubles oculaires, et des
troubles
moteurs différents. é) Par des signes de la s
ne saurait à notre sens être question ici en raison de l'absence de
troubles
sensoriels et de toute notion étiologique. Des-
es deux membres supérieurs sont atrophiés d'une façon globale, sans
troubles
des réactions électriques. Il n'existe aucun sy
ses sensibilités superficielles sont intactes; on ne constate aucun
trouble
de la sensibilité articulaire ou de la sensibilit
ns et des épiphyses atteintes, aùcune incoordination motrice, aucun
trouble
trophique ; aucun trouble sphinctérien, aucun t
tes, aùcune incoordination motrice, aucun trouble trophique ; aucun
trouble
sphinctérien, aucun trouble visuel ; les pupilles
otrice, aucun trouble trophique ; aucun trouble sphinctérien, aucun
trouble
visuel ; les pupilles sont égales, et les réact
normal . Il y a près de huit ans le malade commença à ressentir des
troubles
de la vision qui s'aggravèrent avec le temps :
ué d'intensité,' et pris un caractère latent. Il n'y avait point de
troubles
de la vue. L'examen révélait une taille moyenne
er qu'à côté de l'adiposité proprement dite, on. doit considérer le
trouble
du métabolisme des lipoïdes dont le rôle est si
enser que dans la dystrophie génito-glandulaire, parmi i les divers
troubles
du métabolisme, il faut compter celui des lipoïde
éclaireront définitivement sur ce point. En relation aux effets des
troubles
du métabolisme sur le développe- mens somatique
cliniques différents. 396 SOUZA ET DE CASTRO En rapport avec les
troubles
du métabolisme, il faut considérer encore leurs
, délicats, maigres, d'aspect maladif, chez lesquels on observe les
troubles
provenant de l'hypoplasie de l'appareil 1 cardi
ait Brissaud. La possibilité de l'infan- lilisme, relevant d'autres
troubles
endocriniques, a été admise, et c'est à Henry M
DYSTROPHIE GÉNITO-GLANDULAIRE lisme, dont la pathogénie dépend de
troubles
des glandes endocrines. Si dans certains cas d'
ées. Il est enclin à s'associer avec la cryptorchie ou avec quelque
trouble
de développement correspondant des ovaires produi
me semble que deux facteurs opposés soient ici en jeu. L'un est le
trouble
génital : celui-ci provoque le gigantisme et l'
eg- ment inférieur, en regard du segment supérieur ; l'autre est le
trouble
du développement, en conséquence du manque de f
souffrir. Il a eu à partir du premier jour, et pendant 21 mois, des
troubles
urinaires, qui ont, paraît-il, nécessité un son
par jour. Depuis trois mois, il urine seul. Il faut ajouter que ces
troubles
étaient antérieurs à la guerre et tenaient à-un
pendant de quelques vagues maux de reins, de temps en temps. Pas de
troubles
urinaires. L'examen radioscopique est tout à fait
mbaire , lorsqu'il est couché ou pendant la marche ; il n'y a aucun
trouble
de la sen- sibilité superficielle ou profonde.
aucun trouble de la sen- sibilité superficielle ou profonde. Pas de
troubles
trophiques, ni vaso-moteurs, ni sphinctériens.
10e vertèbres dorsales. La réflectivité est normale ; il n'y a pas de
troubles
moteurs ni sensitifs. Le malade se plaint seule
de rentre à Paul Brousse, le 14 novembre 1916. Il ne présente aucun
trouble
moteur ni réflexe. Les réflexes sont normaux. Il
réflexe. Les réflexes sont normaux. Il a eu du côté gauche quelques
troubles
anesthésiques passagers. La tête est en extension
ectivité tendineuse et cutanée est normale. Pas d'anesthésie. Comme
troubles
de la sensibilité subjective, pas de douleurs sau
ux des membres supérieurs et des réflexes cutanés. Il n'y a aucun
trouble
de la sensibilité subjective, aucune anesthésie n
ême des mouvements des membres supérieurs et inférieurs. ) Pas de
troubles
de la sensibilité superficielle ni profonde ; pas
Pas de troubles de la sensibilité superficielle ni profonde ; pas de
troubles
de la sensibilité subjective, sauf quelques cép
t touchant le sol. Pas de déviation de la colonne vertébrale, ni de
troubles
de la morphologie dorso-lombaire. La percussion
colonne vertébrale ne présente aucune déviation pathologique, aucun
trouble
de la morphologie. La percussion de la colonne ve
n. On ne voit pas de plis transversaux sur l'abdomen. Il n'a pas de
troubles
moteurs ni sensitifs. La réflectivité est norma
r le rachis, ni sur les masses musculaires lombaires. Il n'a pas de
troubles
organiques moteurs ni sensitifs, à part quelque
ion n'était pas scientifiquement consacrée, ont eût pu réserver aux
troubles
pathologiques de l'imagination le vieux mot de ph
cenure, lors- qu'il se loge dans l'encéphale, détermine souvent des
troubles
giratoires connus sous le nom de tournis. En to
(PI. LXIX). , Nous sommes encore dans l'officine d'un guérisseur de
troubles
men- taux. C'est un homme vénérable, copieuseme
, nous apprenant que les blessures du cerveau peuvent engendrer des
troubles
graves. L'expression « cerveau fêlé » n'est-ell
es délires d'excitation, favorisés par l'alcool ; les vertiges, les
troubles
de l'orien- tation que peut entraîner une local
nkylose osseuse des arti- culations plaalangino-phalangettiennes,
troubles
d'- chez un adénoïdien), par Rimbaud et REVAULT
e des articulations phalan- gino-phalangeitiennes des deux mains,
troubles
d'acrotrophicité chez un adértoi- dien, par RIB
halangino - phalangettiennes (Ankylose osseuse des articulations -,
troubles
d'acrotrophicité chez un adénoïdien), par Rim
nerfs périphériques, s'il s'agit d'une myopa- thie ou, enfin, d'un
trouble
d'ordre purement dynamique, d'une névrose. Je v
tant des varicosités que l'on doit consi- dérer comme de véritables
troubles
vasomoteurs, au même titre que la sensation de
semblent présenter aucune altération ; bref, nous ne relevons aucun
trouble
de la nutrition générale, qu'un amaigris- semen
péniblement, d'une voix faible et monotone, mais c'est tout ; les
troubles
psychiques se réduisent, chez elle, à ces changem
idité. En voici un exemple. Nous ne relevons, chez ce malade, aucun
trouble
de la sensibilité, aucun phénomène d'ordre vaso
ère de l'excitabilité électrique. Nous ne relevons, chez lui, aucun
trouble
de la sensibilité; pas de phénomènes vaso-mo- t
ns sont seuls exagérés; 1 orteil est en flexion ; on ne constate ni
troubles
sensitifs, ni troubles vaso-moteurs; le malade
1 orteil est en flexion ; on ne constate ni troubles sensitifs, ni
troubles
vaso-moteurs; le malade accuse de l'affaiblisse
us voisins et, peut-être, même réaction inflammatoire par suite des
troubles
de nutrition de la moelle. Ce serait parfait si
nt expliquer la rigidité ; les lésions des cordons postérieurs, les
troubles
de la sensibilité et de l'équilibre. Nous arriv
au, fréquents, d'après lui et auxquels il rapporte quelques-uns des
troubles
attribués à la rigi- dité, et- les paresthésies
0 no- vembre 1902. Le 20 janvier 1903 la marche est impossible; les
troubles
de sphincter se montrent vers le 10 mai. Le 8 a
s'accentue tellement qu'à partir de 1881, il ne peut plus se lever.
Troubles
vésicaux et rectaux ; douleurs rectales. Perte de
ns, incoordination des membres infé- rieurs, pupilles irrégulières.
Troubles
urinaires. Force musculaire diminuée dans le me
rinaires. Force musculaire diminuée dans le membre inférieur droit.
Troubles
de la sensibilité du trijumeau, de la peau, des
hie du membre gauche est manifeste à la cuisse et à la fesse.Pas de
troubles
vasculaires, cyanose notable à la peau du membre.
de début, l'exagération des reflexes tendineux du côté malade, les
troubles
de la sensibilité cutanée au membre sain, la guér
me de Brown-Sequard. J'admettrais plus volontiers qu'il s'agit d'un
trouble
de sensibilité de nature hystérique, quoique je
Affection ayant évolué en 15 mois : début par céphalée occipitale,
troubles
moteurs (parésie et maladresse des memhres), tr
e occipitale, troubles moteurs (parésie et maladresse des memhres),
troubles
psychiques (affaiblissement intellectuel progress
s), troubles psychiques (affaiblissement intellectuel progressif). -
Troubles
de la parole ; tremblement ; parésie généralisé
M. le Dr Devic ; elle vient à l'hôpital, parce qu'elle présente des
troubles
nerveux qui la rendent incapable de gagner sa vie
ouvements passifs. Réflexes rotuliens paraissent diminués. Pas de
troubles
nets de la sensibilité. Pas de paralysie oculai
re aux questions. Elle est encore capable de cet effort, mais les
troubles
de la prononciation sont assez accusés pour qu'
e externe. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE 111 Pas de
troubles
de la mastication ni de la déglutition. Les pup
raux. La sensibilité subjective ou objective semble normale. Pas de
troubles
sen- soriels. Incontinence de l'urine et des
irante ou l'existence d'hal- lucinations. - Le spasme facial et les
troubles
de la parole s'accusent davan- tage. Le 20 ma
ent (1). Pendant longtemps les auteurs ontparu disposésà grouper en
troubles
constants et communs à toutes les tumeurs céréb
troubles constants et communs à toutes les tumeurs cérébrales et en
troubles
va- riables dépendant de la localisation de la
troubles va- riables dépendant de la localisation de la tumeur, les
troubles
psychiques qui accompagnent les néoplasies céré
ou au contraire comme un territoire dont la lésion donne lieu à des
troubles
mentauxinten- ses (2) etsi caractéristiques que
entauxinten- ses (2) etsi caractéristiques que la forme même de ces
troubles
devait fixer le diagnostic de localisation. Mai
ions du cerveau (3). M. Vigouroux (4) a fait une étude complète des
troubles
psychiques observés et il semble démontré que l
ubles psychiques observés et il semble démontré que l'aspect de ces
troubles
n'est rien moins que pathognomonique de la loca
et si l'on consi- dère que toutes les tumeurs peuvent entraîner des
troubles
mentaux sura- joutés, dus, soit à une compressi
taux sura- joutés, dus, soit à une compression générale, soit à des
troubles
vascu- laires altérant la vitalité de tout un t
s contredisent l'opinion émise par Phelps à savoir que l'absence de
troubles
mentaux dans les cas de tumeur cérébrale indiqu
s délicat par la res- semblance de l'étal démentiel progressif, des
troubles
de la mémoire, des troubles moteurs (paralysie
nce de l'étal démentiel progressif, des troubles de la mémoire, des
troubles
moteurs (paralysie et inégalité pupillaires, trem
mblements, parésie généralisée, exagération des réflexes rotuliens,
troubles
de la parole). La déchéance des facultés intell
nalogie clinique totale et non plus seule- ment la ressemblance des
troubles
mentaux est à rapprocher de l'opinion émise par
evait nous rendre suffisamment compte des symptômes mor- bides. Les
troubles
de la marche et l'exagération des réflexes rotuli
ule ; -, mais les lésions cérébelleuses rendent mieux compte de ces
troubles
, car les mouvements volontaires persistaient et
résie musculaire, la déviation du corps et de la tête à droite, les
troubles
de la marche, les troubles de la parole, voire
ion du corps et de la tête à droite, les troubles de la marche, les
troubles
de la parole, voire les tremblements : Déjerine e
s atteintes portées dans sa sphère ambiante expli- quent partie des
troubles
moteurs, mais semblent en contradiction avec l'
horéïques des muscles de la moitié de la face opposée (Duchek), des
troubles
de l'articulation des mots (7 cas de Ladame), l
du facial situé précisément en arrière de la tumeur. Au surplus les
troubles
de la parole constitués surtout par l'articulat
u de volume ou le peu de diffusion de celle-ci expliquerait que des
troubles
plus généralisés, tels qu'une hémiplégie, ne se s
e l'intellectualité spontanée et de l'activité volontaire (2) : ces
troubles
mentaux se retrouvent au complet chez notre malad
cations néoplasiques. Tirant leurs conclusions de l'analogie de ces
troubles
avec les lésions et les symptômes des toxi-infe
disent-ils, vaut bien celle de la compression comme explication des
troubles
si divers observés au cours de l'évolution des
rce, sans appétit, chétif et malingre, quoique sans présenter aucun
trouble
intellectuel, A 14 ans, il fut pris de vertiges
fficile de se tenir debout, sa démarche était cé- rébelleuse. Ces
troubles
s'accompagnaient de céphalée généralisée à toute
omplètement. A la même époque, vers 14 ans, le malade ressentit des
troubles
de la mar- che : ils apparurent d'abord la nuit
plus en plus, et à 15 ans ils existèrent pendant la jour- née. Ces
troubles
survinrent petit à petit, sans soubresauts, et sa
fut obligé de s'ali- ter. Egalement sont venus petit à petit les
troubles
de la parole, qui ont débuté vers l'âge de 20 a
nant, sans que le malade ne présentât rien de particulier, tous ces
troubles
s'augmentèrent peu à peu, surtout ceux de la pa
actères qu'autrefois. Les lèvres et la langue ne présentent aucun
trouble
de la motilité. La parole e est saccadée, les m
lexes : réflexe rotulien seulement ébauché du côté gauche. Pas de
troubles
de la sensibilité, réflexe plantaire diminué, réf
lité, réflexe plantaire diminué, réflexe crémas- térien nul. Pas de
troubles
trophiques pas d'atrophie musculaire. La pointe
e. Arythmie manifeste. Rien aux poumons. La vue est bonne, pas de
troubles
de la musculature de l'neil ; les pupilles réag
. Mais ce qui marque surtout les progrès de la maladie, ce sont les
troubles
de la voix, qui, actuellement, est suspineuse,
timbre sourd. Depuis quelques temps, incontinence d'urine. Pas de
troubles
subjectifs, ni objectifs de la sensibilité, conse
dème aux deux bases. 28. - L'administration de digitale a calmé les
troubles
gastriques; le coeur s'est ralenti : 80 quoique
e titubante et ataxique, les mouvements spontanés, le pied bot, les
troubles
de la parole, l'abolition des réfléxes tendineu
les obser- vations des auteurs : une arythmie très marquée, et des
troubles
assez accentués de l'audition. On a bien sign
endait pas les bruits d'une montre à plus de dix centimètres. Ces
troubles
cardiaques et auditifs pouvaient déjà faire pense
sse, de l'auditif et du pneumogas- trique explique suffisamment les
troubles
de la parole et de l'ouïe, de même que l'arythm
e malade. La lésion de la Xe paire permet d'expliquer également les
troubles
respiratoires et gastriques de la dernière péri
aux lésions du rein et du foie, que l'on puisse rattacher, soit aux
troubles
cardiaques et circulatoires, soit également aux t
, soit aux troubles cardiaques et circulatoires, soit également aux
troubles
de l'innervation pneumogastrique. Enfin nous
es-ci, quel que soit le désordre fondamental de la nutrition, ou le
trouble
des organes ou des centres nerveux qui les comman
et presque toujours entraînent une décadence somatique aiguë et des
troubles
de la vie végétative. z - 144 BIANCHINI TABLE
dans l'acromégalie. Et, qui plus est, ce sont les mêmes. Ainsi, un
trouble
de l'ostéogénèse, qui n'est, en somme, qu'une exa
Pierre Marie ? ' ? Peut-être, les années aidant. Mais,chez lui, le
trouble
de la fonction ostéo- génique d'où dépendent le
dant, plus l'on étudie cette question, plus l'on s'aperçoit que les
troubles
de la croissance et de la nutrition d'ori- gine
rien de particulier que quelques va- rices de la jambe et quelques
troubles
trophiques de la peau, comme on en voit souvent
.CROUZON. Il n'est pas rare de constater chez les hémiplégiques des
troubles
vaso- moteurs et trophiques variés, mais l'appa
ée des deux membres inférieurs. Cette malade est atteinte aussi des
troubles
respiratoires qui se traduisent- par des crises
t dans la discus- sion qui a suivi, 1\'kPierre Marie rapprochait ce
trouble
des tumeurs dor- sales du carpe). - Et il fau
é- giques des oedèmes névropathiques qui tantôt ont le caractère de
troubles
vasomoteurs passagers, tantôt témoignent d'un d
e main succulente que Gilbert et Garnier ont appliqué plus tard aux
troubles
vasomoteurs et trophiques observés par eux dans
urnit donc de nombreux exemples d'oedèmes ou de pseudo-oedème ? par
troubles
vasomoteurs et trophiques. Les expériences de Cla
llules nobles des organes une action véritable- ment trophique. Les
troubles
de l'influx nerveux retentissent donc à la fois
nt cé- rébral sont à eux seuls assez peu capables de déterminer les
troubles
mé- caniques et trophiques, la stase sanguine e
r les troubles mé- caniques et trophiques, la stase sanguine et les
troubles
de perméabilité et d'activité cellulaires d'où
dème sans l'intervention de la lésion ner- veuse : celle-ci, par le
trouble
nouveau qu'elle apporte brusquement à l'équilib
faire l'oedème dans beaucoup de cas, ne fait que rendre apparent un
trouble
de la filtration et des échanges dans les espac
phoedème (II. Meige), d'oedème segmentaire (Debove), on désigne des
troubles
trophiques d'un ou de plusieurs membres se tra-
e bonne santé habituelle ; il a cependant une certaine tendance aux
trouble
vaso- moteurs. Ses extrémités se refroidissent
ire; mais il est certain que le père de l'enfant a une tendance aux
troubles
vasomoteurs, il a remarqué, et nous avons pu le
trois mois à l'asile de Ville-Evrard ; jaloux, persécuté, atteint de
troubles
mentaux ayant nécessité l'internement, ce buveu
ne s'étonnera pas de l'absence de tumeurs des nerfs et de certains
troubles
fonctionnels tels que la fatigue physique et le
sthésie aux membres inférieurs. En dehors de cela il u'existe aucun
trouble
de la sensibilité superficielle ou profonde. Réfl
rement dans le tronc et dans les bras. - Eu 1896 on constate peu de
troubles
de la marche : l'ataxie fait défaut, mais la fa
des réflexes tendineux. ' Exagération du réflexe cutané plantaire.
Troubles
radiculaires de la sensibi- lité aux membres su
euls symptômes jusqu'en 1897. A cette époque se mani- festèrent des
troubles
sphinctériens, puis il y a six mois un affaibliss
s devenant plus prononcée les yeux fermés. Sensibilité peu altérée.
Troubles
légers de la marche et de la station debout les
x. Atrophie des muscles de la main. Sensibilité à peu près normale.
Troubles
sphinctériens. Myosis plus prononcé à droite ;
ans par un mal perforant plantaire ; il y a cinq ans apparition des
troubles
sphinctériens et des troubles de la marche. Dep
aire ; il y a cinq ans apparition des troubles sphinctériens et des
troubles
de la marche. Depuis deux ans douleurs très vives
s douleurs très vives dans les jam- bes, survenant surtout la nuit,
troubles
oculaires, la malade se plaint d'avoir un broui
des vertiges, du dérobement des jambes, de l'agoraphobie; puis les
troubles
de la marche s'installent et en quelques semaines
ieurs. Hypotonie aux membres supé- rieurs et inférieurs. - Peu de
troubles
de la sensibilité : zone d'hyperesthésie au tact
merie de la Salpêtrière, salle Pinel. Début il y a sept ans par des
troubles
de la vue qui progressèrent rapidement et produ
mendèrent lorsque la vue com- mença à baisser. Après survinrent les
troubles
de la marche qui allèrent tou- jours en s'accen
myosis. Incoordination très accusée aux membres inférieurs. Peu de
troubles
de la sensibilité cutanée (sensibilité au tact
, en collabo- ration avec Cathelineau. Contribution à l'étude des
troubles
trophiques dans l'hysté- rie (atrophie musculai
térique, en collaboration avec Cathelineau. De la superposition des
troubles
de la sensibilité et des spas- mes de la face e
ge de 14 ans, elle a souffert périodiquement de maux de tête, avec.
troubles
gastriques et parfois vomissements, diagnostiqués
ents et durée de 12 à 16 heures ; quelquefois ils étaient suivis de
troubles
paralytiques analogues à ceux déjà indiqués, à
roite, tantôt à gauche, mais plus souvent à gauche. Chaque fois les
troubles
oculaires étaient plus durables et la vision do
urs mois déjà, la malade éprouve, avec de légères oscillations, les
troubles
suivants : chute incomplète de la paupière supéri
fre d'une maladie qui, précédée et ac- compagnée d'hémicranie, avec
troubles
gastriques, débuta par une oph- talmoplégie ext
ons des facultés cérébrales, ni sensorielles, ni sensitives; pas de
troubles
à la vessie, ni au rectum; pasde signes d'atrophi
rtson, ou d'ophtalmoplégie interne et d'autres si- gnes tabétiques (
troubles
sensitifs, abolition de réflexes, signe de Romber
tiques et des symptômes concomitants, s'associent d'ordinaire à des
troubles
pupillaires, et ne présentent pas le caractère
ilaires, qui produisent des ophtatmoptégies, occasionnent aussi des
troubles
sensoriels et sensitifs, et se distinguent très
- phalangiennes des deux doigts auriculaires. Pour en arriver aux
troubles
nerveux qui ont amené le malade à consulter, di
du nys- lagml1 bilatéral : aucune lésion du fond de l'oeil, pas de
troubles
des sphinc- PARALYSIE DES NERS CRANIENS D'UN CÔ
roit sont atteints, chez ce malade, par le processus morbide. Ces
troubles
nerveux, vu leur étendue, ne peuvent être rattach
oindre mouvement et cependant il n'y a pas de refroidissement ni de
troubles
de la sensibilité. Le pansement est renouvelé p
ie dans la jeunesse, Début de la maladie à l'âge de 33 ans, par des
troubles
de la motilité des jam- bes, titubation et chan
Douleurs extrêmement violentes dans la région lombaire et les fesses.
Troubles
de la sensibilité au niveau des membres inférie
vite. Ensuite dou- leurs dans les reins. Peu à peu apparaissent des
troubles
de la locomotion : des oscillations pendant la
ire, secousses fibrillaires dans la même région, la localisation de
troubles
de la sensibilité aux membres inférieurs, diminut
nt tardif, la persis- tance très longue des réflexes rotuliens, les
troubles
visuels et auditifs, les troubles de la sensibi
ongue des réflexes rotuliens, les troubles visuels et auditifs, les
troubles
de la sensibilité et de la parole très marqués et
z François Hand... existait une atrophie de l'éminence thénar et de
troubles
trophiques sous forme d'une chute des ongles. D
e voir une relation entre les lésions des cornes antérieures et les
troubles
de la motilité et de la trophicité des muscles.
ppement clinique et dans les autopsies de l'ataxie héréditaire, ces
troubles
musculaires et ces lésions des cellules ganglio
es ; aussi il donne pour cause à l'amaurose du tabes l'atrophie par
trouble
de nutrition des cellules ganglionnaires réti-
prédispositions congénitales ou acquises des hallucinations et des
troubles
psychiques) : ces phénomènes semblent peu en rapp
l'application de ceux qui sont affligés de divers stades d'un même
trouble
mental, les données mentionnées plus haut acqui
rieurs sont : mania, ps. periodica ; dans les deux cas précédents le
trouble
a revêtu la même forme. La malade est affligée
affligés de l'amentia. Vu la fré- quence beaucoup plus grande de ce
trouble
par rapport à la manie, nous dis- posons dans c
entières tranquillement étendue ; elle éprouvait manifestement des
troubles
sensoriels très riches. La 'période vio- lente
s que l'on observe dans l'amentia consistent comme on le sait en un
trouble
général très accusé des associations d'idées, ce
ées, ce qui amène leur incohérence plus ou moins considérable et un
trouble
plus ou moins profond du raisonnement ainsi que
enter ; en d'au- tres termes, pour employer les termes courants, le
trouble
mentionné provo- que l'incohérence de la consci
tes. Des hallucinations variées viennent, généralement augmenter le
trouble
de l'activité mentale en donnant comme ré- sult
isse, etc. Soumise à l'in- fluence de fluctuations constantes et de
troubles
sensoriels variés qui dominent complètement le
pour elle àKazan. Ce délire sem- ble manifestement alimenté par des
troubles
sensoriels; les « phantasmes » ne lui laissent
a chronica. Les caractères fondamentaux, typiques de cette forme de
trouble
mental viennent d'être indiqués : délire de la
ues violentes qui se rapportent la plupart du temps à des formes de
trouble
psychique appelées curables, ne se terminent malh
ce de l'imbécillité secondaire de différentes formes pri- maires de
trouble
mental. Nous reproduisons ici l'ouvrage d'une mal
un état d'excitation pendant le- quel elle manifeste l'existence de
troubles
sensoriels et d'un délire incohérent, sans suit
leurs noms les personnes de son entourage, puis sous l'influence de
troubles
senso- riels et du délire elle confond tout ce
ons pas d'ouvrages tant soit peu marquants dus à d'autres formes de
trouble
mental telles que la mélancolie, la paralysie pro
, Platon avait constaté que les prétendus prophètes éprouvaient des
troubles
mentaux particuliers, qu'il n'hésitait pas à rapp
cle. On désignait sous le nom de corybantisme ou corybantiasme, les
troubles
hallucinatoires dans lesquels certains démoniaque
ntes, le moral était très abattu, et à cette période se placent des
troubles
psychiques dont notre malade a gardé à peine le
nd'chose il ajouter à ces phénomènes spasmodiques. Il n'y a aucun
trouble
de la motilité; aux membres supérieurs il existe
La recherche des zones hystérogènes reste sans résultat. . Pas de
troubles
des organes des sens; la vue est normale, sans ré
emarqué de modifications depuis le commencement de la maladie ; les
troubles
qu'il avait présentés un moment, au début, aura
crit dans des cas d'artério-sclérose cé- rébrale, la dégénérescence
trouble
, granuleuse, fibrillaire, hyaline avec ou sans
début se ferait dans la rétine. Berger (2) croit trouver dans des
troubles
vaso-moteurs d'origine bul- baire la cause de l
s colorées, de phosphènes, parfois d'hallucinations visuelles ou de
troubles
mentaux. La deuxième période dure un temps le p
ERF OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 375 des hallucinations et des
troubles
mentaux, l'aspect ophtalmoscopique de la papill
n. Cypho-scoliose cervicale infé- rieure, à concavité droite. Les
troubles
de la sensibilité cutanée n'ont guère varié depui
re , (1) Cette observation clinique a été relatée déjà à propos des
troubles
de la sensibilité dans la thèse de Georges Haus
e justifie par l'intégrité relative des cornes antérieures. Quant aux
troubles
de la sensibilité ils s'expliquent par les lési
premier plan. Remarquons en passant qu'elle ne saurait produire des
troubles
circulatoires tels que ceux qu'on in- voque hab
une dégénérescence et un émiettement progressif sous l'influence de
troubles
circulatoires ou autres. Les limites de la pert
les rapportions plutôt à un. oedème périvasculaire ou quelque autre
trouble
circulatoire. En tout cas, cette systématisation
peut à la rigueur attribuer la formation d'une cavité centrale aux
troubles
circulatoires, ce mécanisme ne peut être invoqué
aux, ce n'est pas dans le sens que l'on entend ha- bituellement par
troubles
circulatoires, mais plutôt par le fait d'une lési
pas qu'elles agissent autrement qu'en engen- drant par ischémie des
troubles
de nutrition qui entraînent la désintégration d
hologique du vaisseau ne puisse être conçu autre- ment que dans les
troubles
de sa fonction circulatoire. Or justement il est
ation lente des tissus ne saurait être imputée avec certitude à des
troubles
circulatoires. Quant à la dégénérescence hyalin
RE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES {ASILE DE SAIN1E-AN};E) . DES
TROUBLES
DELA LECTURE, DE LA PAROLE, ET DE L'ÉCRITURE
sieurs, Il y a plus de dix ans, je consacrais une de mes leçons aux
troubles
de l'écriture chez les paralytiques généraux, e
de l'écriture chez les paralytiques généraux, et je les divisais en
troubles
cal- ligraphiques et troubles psychographiques.
iques généraux, et je les divisais en troubles cal- ligraphiques et
troubles
psychographiques. Ces deux termes, que vous con-
ur ces modifications physiques de l'écri- ture non plus que sur les
troubles
psychographiques, qui sont tout aussi intéressa
ui de la pa- role, nous nous trouvons en présence de deux ordres de
troubles
tout à fait comparables à ceux que nous venons
fait comparables à ceux que nous venons d'examiner : d'une part des
troubles
a ? o/a/MM, d'autre part des troubles psycholaliq
s d'examiner : d'une part des troubles a ? o/a/MM, d'autre part des
troubles
psycholaliques. Les pre- miers ont trait à l'él
l'élément purement physique de la parole et plus spé- cialement aux
troubles
de l'articulation des mots ; les seconds, au con-
telligence. De même pour la lecture, la même dualité se retrouve :
troubles
ar- throlexiques et troubles psycholexiques. En
lecture, la même dualité se retrouve : troubles ar- throlexiques et
troubles
psycholexiques. En sorte que dans les trois modes
la réalité concrète il est souvent diffi- cile de faire la part du
trouble
physique et du trouble mental, parce que très s
est souvent diffi- cile de faire la part du trouble physique et du
trouble
mental, parce que très souvent le trouble physi
du trouble physique et du trouble mental, parce que très souvent le
trouble
physique traduit du même coup un fonctionne- me
ail de mon sujet, et je veux m'attacher, tout d'abord à l'étude des
troubles
de la lecture chez les paralytiques généraux. En
les paralytiques généraux. En même temps nous prendrons notion des
troubles
physiques de la parole spontanée, c'est-à-dire
ion des troubles physiques de la parole spontanée, c'est-à-dire des
troubles
de l'articulation des mots. En écoutant lire le
e je vais vous présenter, vous n'aurez pas de peine à constater ces
troubles
physiques : lenteur, bredouillement, achoppemen
ion des syllabes, etc. Vous remarquerez aussi que d'ordinaire ces
troubles
vont en s'accen- tuant mesure que l'épreuve se
re est pro- longée. C'est là un phénomène tout à fait comparable au
trouble
plus accusé de l'écriture que présentent ces mê
e l'écriture que présentent ces mêmes malades à la fin d'une lellre
TROUBLES
DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 411
ne incom- préhension absolue de 'ce qu'ils lisent, soit au moins un
trouble
profond dans le mode réactionnel vis-à-vis de l
nous permet donc de constater, chez les paralytiques généraux, des
troubles
de l'intelligence proprement dite et des troubl
ues généraux, des troubles de l'intelligence proprement dite et des
troubles
de la mémoire plus ou moins accentués ; et à ce p
qué, au cours de la lecture qu'elle vient de faire devant vous, ces
troubles
nombreux de l'articulation ; vous avez aussi ét
des nombreux malades qui ont servi à la démonslration clinique des
troubles
de la parole, de la lecture et de l'écriture. 4
monotone et tout à fait incolore de son débit. Notez encore que les
troubles
de l'articulation sont très peu marqués par rappo
à ceux de la mémoire. Il n'y a pas en effet parallélisme entre les
troubles
physiques et les troubles psychiques de la lect
n'y a pas en effet parallélisme entre les troubles physiques et les
troubles
psychiques de la lecture. - Cette autre paralyt
ture. - Cette autre paralytique, âgée de 49 ans, ne présente pas de
troubles
de la parole très accentués au cours de la lect
loir diagnos- tiquer l'âge de la maladie en se basant sur les seuls
troubles
de la lecture ou de la mémoire. La même amnés
même amnésie après la lecture est tout aussi accusée chez ce malade
TROUBLES
DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 413
articuler les mots. Peut-être seriez-vous tentés de croire que ces
troubles
arthrolexiques et arthrolaliques correspondent à
ans la paralysie générale, entre la déchéance intellectuelle et les
troubles
de l'articulation. L'examen de ces divers malad
ous avez constaté, au cours des diverses épreu- ves de lecture, des
troubles
physiques et des troubles intellectuels. Je vous
s des diverses épreu- ves de lecture, des troubles physiques et des
troubles
intellectuels. Je vous ai indiqué la significat
des uns et des autres ; j'ai surtout insisté sur la solidarité des
troubles
de la mémoire et l'absence de compréhension. Il
l'absence de compréhension. Il est certain, par exemple, que divers
troubles
de la lecture (mots, lignes oubliés) reconnaiss
preuve nous a fourni d'utiles indica- tions, en particulier sur les
troubles
de la parole, qu'il va nous être facile mainten
JOFFROY Parole. Nous avons, dans notre dernière leçon divisé les
troubles
de la parole en deux catégories : les troubles
ère leçon divisé les troubles de la parole en deux catégories : les
troubles
arthrolaliques et les troubles lJsyc1lOlali- qu
e la parole en deux catégories : les troubles arthrolaliques et les
troubles
lJsyc1lOlali- ques. Ces deux modes de perturbat
le proprement dite méri- tent d'appeler séparément l'attention. Les
troubles
arthrolaliques, troubles physiques, troubles mé
tent d'appeler séparément l'attention. Les troubles arthrolaliques,
troubles
physiques, troubles mécaniques, sont surtout ce
ément l'attention. Les troubles arthrolaliques, troubles physiques,
troubles
mécaniques, sont surtout ceux de l'articulation.
qu'on observe si souvent chez les paraly- tiques généraux entre les
troubles
physiques et les troubles mentaux. Ces perturba
hez les paraly- tiques généraux entre les troubles physiques et les
troubles
mentaux. Ces perturbations physiques de la paro
avent plus, ne peuvent plus se faire obéir. On comprend dès lors le
trouble
de la parole, irrégulière, in- coordonnée, trem
préhensible. Cette trémulation des lèvres et de la langue, avec les
troubles
de la parole qui l'accompagnent, est assez typi
articulier dans l'alcoo- lisme aigu ou subaigu on peut observer des
troubles
très analogues. Le diagnostic dans ces cas devr
ostic dans ces cas devra être très prudent, d'autant que le paraly-
TROUBLES
DE LA LECTURE, .DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 415
la lym- phocytose du liquide céphalo-rachïdien. Ordinairement les
troubles
d'articulation des paralytiques généraux appara
ste pas sur ce point, car je veux tout de suite vous entretenir des
troubles
psychiques de la parole, des troubles psycholal
de suite vous entretenir des troubles psychiques de la parole, des
troubles
psycholaliques. Je vous ai déjà fait remarquer,
pport avec l'objet de la lecture. J'ai'suffisamment insisté sur les
troubles
de la mémoire chez les malades que nous étudion
malades que nous étudions. Je veux vous dire seulement ici que ces
troubles
por- tent non seulement sur les idées,mais sur
ou même ordurière. Cette tendance au langage vulgaire que révèle ce
trouble
dans le choix des expressions, et que l'on retrou
pent pas. Il faut tenir compte du reste, dans l'appréciation de ces
troubles
de la mémoire des mots, de la grande difficulté
un défaut de coordination psychique qu'on pourra i t rapprocher des
troubles
physiques de la parole, et qui exagère les propor
réelle. J'ai réservé pour la fin une variété très particulière des
troubles
psy- chologiques qui mérite plus' que toute aut
toute autre de retenir toute votre atten- tion ; je veux parler des
troubles
aphasiques. 416 JOFFROY L'aphasie, sous certa
çante. Chez les artério-scléreux, on peut aussi parfois observer un
trouble
du langage analogue, à la suite d'un petit ictu
ent : L'hémorrhagie cérébrale en revanche ne donne guère lieu à des
troubles
aphasiques, au moins d'après les classiques ; m
t diminuant de volume, l'aphasie s'effacera il son tour. Voilà donc
TROUBLES
DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 417
rique ou autre se révèle tout à coup sous forme de vomissements, de
troubles
oculaires, d'aphasie mo- trice, etc. S'agit-il
il s'agissait (nous le savons bien depuis Bail- larger) d'un simple
trouble
psycholalique. Parfois aussi cette atteinte d'a-
années. 418 JOFFROY . Ecriture (i). Nous pouvons, à propos des
troubles
de l'écriture chez les paralytiques généraux, r
ues généraux, reprendre la division que nous avons adoptée pour les
troubles
de la parole. Il y a, dans l'un comme dans l'au
ne limite bien nette entre les deux variétés de phénomènes. , Les
troubles
physiques de l'écriture, ceux que nous désignons
ques de l'écriture, ceux que nous désignons sous l'ap- pellation de
troubles
calligraphiques sont la conséquence d'un fonction
noncé un seul mot ; de même, il nous serait possible de prévoir les
troubles
physiques de l'écriture d'après l'état des muscle
és ou obéissent mal ; mais il convient de faire la remarque que les
troubles
de l'écriture constituent l'une des premières e
tations de la perturbation du fonctionnement des muscles. Quant aux
troubles
psychiques de l'écriture, troubles psychographiqu
ionnement des muscles. Quant aux troubles psychiques de l'écriture,
troubles
psychographiques, ils concernent les idées expr
la vitesse, qui sont des plus fréquentes, elles peuvent dépendre de
troubles
moteurs ; elles peuvent dépendre aussi de l'état
avant tout de la clinique, vais-je attirer votre attention sur les
troubles
de l'écriture dans l'ordre où nous les observer
un graphologue distingué, le Dr E. Mesley (Thèse de Paris, 1899).
TROUBLES
DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 419
e si la plume avait eu de la peine à s'arrêter. Le papier Fig. 2.
TROUBLES
DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 41
à disparaître ; ils on complètement disparudans Fig. 6. Fig. 7.
TROUBLES
DE LA LECTURE, DE LA PAROLE El' DE L'ÉCRITURE 423
a der- nière leçon, et je vous ai fait remarquer que, chez lui, les
troubles
arlhro- laliques sont plus apparents que les tr
chez lui, les troubles arlhro- laliques sont plus apparents que les
troubles
psycholaliques. L'écriture est modifiée d'une f
ans l'écriture de cette paralytique démente nous notons de nombreux
troubles
, et je vous ferai plus particulièrement remarqu
sur certains points, et tout d'abord j'insis- terai sur ce que les
troubles
calligraphiques et même psychographiques appara
écoce sans que ce soit là une règle absolue. Il en est en effet des
troubles
de l'écriture comme de tous les autres symptôme
euvent se montrer aux stades les plus divers de l'affec- tion ; les"
troubles
oculaires par exemple, comme ceux de la parole pe
de noter qu'on observe en général un certain parallélisme entre les
troubles
de la parole et ceux de l'écriture. Cette varia
marquer qu'il n'y a aucune relation constante entre l'intensité des
troubles
de l'écriture et l'ancienneté de la maladie. Vo
l'af- Fig. S. - Ecriture spontanée. Fig. 9. - Ecriture copiée.
TROUBLES
DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 425
de la paralysie générale. - La malade a essayé d'écrire son nom.
TROUBLES
DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE.3 42
it ce qui suit, en cinq minutes (fig. 14) : Ici nous constatons des
troubles
calligraphiques très accusés et des troubles ps
ci nous constatons des troubles calligraphiques très accusés et des
troubles
psychographiques tels qu'ils constituent une véri
vous montrent une fois de plus qu'il ne faudrait pas croire que les
troubles
de l'écriture chez les paralytiques généraux in
e à envisa- Fig. 94. Il 19. 1b. 428 , JOfFROY ger un ordre de
troubles
très particulier, je veux parler de l'agraphie.
des membres du côté droit. Voici deux exemples de cette variété de
troubles
de l'écriture. Le premier vous est fourni par c
de la mémoire graphique dont le degré se modifie parallèlement aux
troubles
aphasiques. Ce malade ayant sous nos yeux, au c
te 0117pletepenclantquelduessecon- Fig. 16. Fig. 17. Fig. 19.
TROUBLES
DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE L'ÉCIlITUnl<
Messieurs, vous avoir montré l'intérêt qui s'attache à l'étude des
troubles
de la parole, de la lecture et de l'écriture chez
lant que les symptômes qui se Fig. 19. 430 -" JOFFROY Fig. 20
TROUBLES
DE LA LECTURE, DE LA PAROLE ET DE LA L'ÉCRITURE 4
ude et qu'il est possible de les grouper tous sous deux chefs : les
troubles
physi- ques (arthrolalies, arthrolexies, troubl
deux chefs : les troubles physi- ques (arthrolalies, arthrolexies,
troubles
calligraphiques) et les troubles psychiques (tr
ques (arthrolalies, arthrolexies, troubles calligraphiques) et les
troubles
psychiques (troubles psycholaliques, psycholexi
arthrolexies, troubles calligraphiques) et les troubles psychiques (
troubles
psycholaliques, psycholexiques etpsychographiques
trer par un seul exemple combien grande est la différence entre les
troubles
calligraphiques et psychogra- phiques de l'écri
de contracture des membres. Atrophie des membres inférieurs, pas de
troubles
trophiques, pas d'escha- res ; légère atrophie
r le genou, mais il y arrive sans "mouvement ataxique. Il n'a aucun
trouble
de la sensibilité, pas de Romberg, etc. Au re
ibilité, pas de Romberg, etc. Au reste, l'explication de tous ces
troubles
se trouve-t-elle tout simplement dans l'atrophi
ns que le malade s'est aperçu de cela, peu après l'appa- rition des
troubles
de la démarche. Lorsque, en conduisant ses chevau
re aussi bien dans la maladie de Thomsen que dans les myopathies.
TROUBLES
VASO-MOTEURS CHEZ UNE HYSTÉRIQUE, 'PAR JOSEPH
e malade, entre autres manifestations, eut à plusieurs reprises des
troubles
de la circulation périphérique qui amenèrent une
er un tel nombre de phénomènes susceptibles d'être rappor- tés à un
trouble
de la circulation. Les premières manifestations
de la préparation des examens, la malade se plaint de vertiges, de
troubles
de la vue (scotomes divers, éblouissements) ; e
tion, de suicide. Améliorée par l'isolement, elle rentre. Fig. 1.
TROUBLES
VASO-MOTEURS CHEZ UNE HYSTÉRIQUE 461 de nouveau
vouloir reprendre ici les discussions auxquelles ont donné lieu ces
troubles
trophiques variés d'origine hystérique, nous pouv
e spasme vasculaire peut être considéré comme la cause de Fig. 3.
TROUBLES
VASO-MOTEURS CHEZ UNE HYSTÉRIQUE 463 plusieurs
en parlant de l'oedème bleu des hystériques : « C'est simplement un
trouble
vaso-moteur de nature vraisemblablement spasmod
thanassio (2) développe ses idées en les appli- quant à de nombreux
troubles
trophiques (pemphigus, ecchymoses spon- tanées,
névrose vaso-motrice. Dujardin-Beaumetz (3) dit qu'étant donné les
troubles
« de la circulation vaso-motrice de la peau, on p
la circulation vaso-motrice de la peau, on peut se demander si les
troubles
analogues ne pourraient pas se reproduire du cô
ispasmodique vasculaire ». Mais s'il est possible de rapporter à un
trouble
circulatoire, périphé- rique ou central, certai
ait pu être ainsi réalisée.- Mais a-t-on réalisé davantage d'autres
troubles
trophiques dont la nature hystérique est pourta
Touchard, Léopold Lévy rapportent les observations, faisant de ces
troubles
des manifestations hystériques évi- dentes. I
aissent pour cause un spasme vasculaire pro- longé, c'est-à-dire un
trouble
fonctionnel plus intense, bien que de même natu
la pathogénie des délires. Dans cet ordre d'idées, la recherche des
troubles
trophiques survenant au cours des diverses psyc
oint de vue somatique, pour voir combien sont nombreux chez eux les
troubles
tro- phiques. M. Dide a groupé sous le terme
ils et cyanose intense. A cet oedème sont venus se surajouter comme
troubles
trophiques, chez l'un du pemphigus, chez l'autre
l'âge de 16 ans une méningite qui n'aurait pas laissé après elle de
troubles
cérébraux persistants. Les premiers troubles me
laissé après elle de troubles cérébraux persistants. Les premiers
troubles
mentaux apparus deux mois 'environ avant son in
an- cienne, a des bords très nettement limités. 10 juillet. - Les
troubles
trophiques de la jambe commencent à se cicatri-
ntelligent et actif dans sa jeunesse, aurait manifesté les premiers
troubles
cérébraux à 21 ans. Ses parents constatèrent d'ab
ade plongé depuis sept mois dans une stupeur complète avec nombreux
troubles
vaso-moteurs (oedème, cyanose et refroi- dissem
hare à la jambe gauche. Nous sommes certainement ici en présence de
troubles
trophiques. Comme le dit M. Ilérissey clans la
le dit M. Ilérissey clans la thèse : « Tout dans la production des
troubles
trophiques se résume en trois faits : d'abord une
s : d'abord une lésion nerveuse 470 TREPSAT produisant souvent un
trouble
circulatoire, ensuite l'inertie de l'organisme
in une infection (1). » On comprend dés lors facilement combien les
troubles
trophiques doi- vent être fréquents chez les al
es meilleures conditions voulues pour offrir un jour ou l'autre des
troubles
trophiques. Ce qu'il importait de mettre en évide
qu'il importait de mettre en évidence, c'est que la présence de ces
troubles
vaso-moteurs et trophiques est la signature de
olo- giqueet la confirme. (1) P. HÉRissEY, Elude clinique sur les
troubles
trophiques dans la paralysie géné- rale (Thèse
s, qui semblent commandées par des déviations embryogéniques ou des
troubles
du développement de l'in- dividu. Les causes
ques, les symp- tômes somatiques ou stigmates physiologiques et les
troubles
psychiques de la dégénérescence. Nous avons e
anatomiques de dégénérescence puisqu'elles peuvent être l'indice de
troubles
psychomoteurs (tics et sté- réotypies) ou de né
observés par A. Pastore et E. Bertetti sur des chevaux atteints de
troubles
psychiques variés (3), qui indiquent bien que l
plus instructif de rappeler ici la valeur séméiologique de certains
troubles
fonctionnels du pavillon de l'oreille. Le cheval
alies dentaires sont communes chez les équidés qui présentent 1 des
troubles
psychomoteurs (tics et stéréotypies). On constate
ires clans la poche de la joue),- elles ne sauraient constituer des
troubles
de nutrition comme la carie den- taire précoce
J. SÉGLAS, in G. Ballet, p. 97. (3) Nous avons placé à dessein les
troubles
fonctionnels des oreilles et de la bouche au ch
ure, du nez, des dents, qui, rencontrés sur des chevaux atteints de
troubles
psy- chiques variés (chevaux épilepliques, chev
et d'un chapitre fort docu- menté de Cornevin (3) qui signale des «
troubles
delà coloration dits tro- phiques d'origine ner
ui, dans quel- ques cas (tics et stéréotypies), ont paru liés à des
troubles
psychiques. Il importe donc de grouper ces symp
aleur sé- méiologique. A. Système nerveux (6). 1. Motilité. Les
troubles
de la motilité ne sont pas rares chez le cheval
eur, en ce qui nous concerne, que l'action de trottiner et d'autres
troubles
psychomoteurs observés fréquemment chez les tique
barre, toutes manifestations motrices unies chez les liqueurs à des
troubles
psychopathiques nettement accentués. On pourrai
ubles psychopathiques nettement accentués. On pourrait désigner les
troubles
de la motilité ainsi groupés sous le titre géné
ffisamment par lui-même que nous considérons, dans tous les cas, le
trouble
moteur comme lié indissolublement au trouble ment
dans tous les cas, le trouble moteur comme lié indissolublement au
trouble
mental. Il existe d'autres troubles des fonctio
ur comme lié indissolublement au trouble mental. Il existe d'autres
troubles
des fonctions motrices connus de longue date en
l, Eludes sur les tics. DE la DÉGÉNÉRESCENCE chez l'animal 481 de
troubles
psychomoteurs laissent supposer que les réflexes
s pu qu'ébau- cher et qui est à constituer peu près en entier. 3.
Troubles
de la sensibilité. - Les troubles de la sensibili
constituer peu près en entier. 3. Troubles de la sensibilité. - Les
troubles
de la sensibilité générale sont considérés comm
e l' hypoesthésie cutanée dans les tics en l'air et à l'appui. 4'
Troubles
trophiques et vaso-moteurs. Bien peu étudiés enco
réotypies. B. Fonctions génésiques. Il existe, chez l'animal, des
troubles
de=. fonctions génitales qui, dans certains cas
ns digestives. L'aérophagie ou aéropinie (Goubaux) est le principal
trouble
des fonc- tions digestives qui puisse être ratt
constitue l'élément moteur, l'effort convulsif de déglutition, d'un
trouble
psychomoteur, le tic proprement dit avec ou san
sont, comme le tic de l'ours et les sté- réotypies de léchage, des
troubles
psychomoteurs, et constituent, du fait même, un
cence (2). Le météorisme ou pneumatose intestinale est également un
trouble
di- · gestif lié aux tics aérophagiques. Les
artifi- ciel provoqué par des actes d'inhibition mentale. 1. LEs
troubles
DE la mimique, ou troubles psychiques émotifs se
r des actes d'inhibition mentale. 1. LEs troubles DE la mimique, ou
troubles
psychiques émotifs se tradui- sent, chez le che
but rendent le cheval d'un entretien difficile. L'agitation est un
trouble
psychique fréquemment observé chez les chevaux
a colère. Pour que ces actes revêtent les caractères d'un véritable
trouble
psychique, il faut qu'ils soient fréquents, irr
leur brutalité. Les actes impulsifs des équidés psychopathes, leurs
troubles
émotifs se complètent par des troubles correspo
équidés psychopathes, leurs troubles émotifs se complètent par des
troubles
correspondants du caractère et de la volonté. O
L 483 miers produits. La jument Pythonisse (Mlle Lupin) offrait des
troubles
psy- chiques tellement accusés qu'elle « ne pou
x contacts cutanés... signalés dans nos études sur les tics. ' 4.
Troubles
de la volonté, du caractère. Nous avons examiné a
lsifs l'action de-la volonté uniquement motrice. Il existe d'autres
troubles
qui se rapportent plus spécialement à « l'affaibl
tivité. -La méchanceté et la rétivité permanentes cons- tituent des
troubles
psychopathiques. « La méchanceté est quelquefoi
gmates psychiques de dégénérescence du cheval se rap- portent : aux
troubles
de la mimique, aux actes impulsifs, à l'hérédité
actes impulsifs, à l'hérédité nerveuse accumulée (nervosisme), aux
troubles
de la volonté et du carac- tère, aux phobies et
comme ces stigmates peuvent manquer chez des che- vaux atteints de
troubles
nerveux ou psychomoteurs ou se rencontrer sou-
e de la parole et de l'écriture chez les paralytiques généraux (des
troubles
de la) (10 fig.), par A. JoFFROY, 409. Maladi
asme bilatéral de la face et du cou (2 planches), 337. Genévrier.
Troubles
vaso-moteurs chez une hystérique (3 figures), 4
et les malades dans l'art byzantin (1 planche), 159. JoFFnor. Des
troubles
de la lecture, de la parole et de l'écriture ch
er. Celui qui les pense, les analyse ; il en creuse en rumine, sans
trouble
, la base même ; il les vérifie méthodique- ' ?
nèse de l'idée' fixe pathologique est presque tou- jours issue d'un
trouble
intellectuel primitif L'hallucination est rare
trer (LAURENT), l'erreur du malade, renforcer, pour ainsi dire le
trouble
cérébral ; Y hallucination n'est pas la cause pro
e propre de l'idée fixe. Nous avons précédemment touché un mot du
trouble
intel- lectuel en question. Mais nous n'en avon
ormation des sentiments et des intérêts habituels du patient par le
trouble
qui conduit à l'idée fixe fausse ou pathologiqu
e, en outre, la sphère intellectuelle inconsciente, excitée par des
troubles
fonctionnels organi- ques extra-cérébraux, réag
es combinaisons de raisonnements. C'est évidem- ment une lacune, un
trouble
dans le fonctionnement de l'enchaînement des id
ce cas, l'événement en ques- tion n'a rien à voir avec l'espèce du
trouble
émotif)). Inver- sement des idées prévalentes n
e, et s'affirme progressivement tyrannique, Admettre qu'il y a un
trouble
profond de la raison, de la critique, du jugeme
isie de son imagination, surex- citée déjà par la notion confuse du
trouble
qui le frappe. L'idée fixe pathologique est don
Archives, 21 série, t. VIII. 2 lao CLINIQUE mentale. théorie du
trouble
affectif inhérent au souvenir, ce critérium ne
les caractères que voici : L'idée fausse normale résulte, soit d'un
trouble
dans le débit des associations d'idées, soit d'
bsessions, des impulsions, des idées fixes, et aussi du délire. Ces
troubles
, transitoires, disparaissent quand il n'existe
tte excitation spéciale s'accompagne bientôt, à son tour, de légers
troubles
de la sensibilité dans les membres du côté droit
rouve à la suite d'une compression, avec mêmes frémissements. Ces
troubles
montent à la moitié droite de la face. La motilit
t céphalique cor- respondant à l'hémisphère cérébral originaire des
troubles
. Cette céphalée est comparable à une douleur ob
l (599), que l'idée de la perdition sans autre complication et sans
trouble
sen- soriel est incontestablement plus fréquent
èrement accusées au membre supérieur ; on constatait, en outre, des
troubles
de la sen- sibilité musculaire, de l'hémianesth
s de la sen- sibilité musculaire, de l'hémianesthésie gauche et des
troubles
visuels (diplopie, strabisme interne de l'oeil
ce et de la mémoire. La situation s'aggrava progressive- ment ; les
troubles
visuels surtout s'accentuèrent : perte de la vi
s postérieures de l'écorce cérébrale. Les s auteurs pensent que les
troubles
de la vision sont probablement dus à l'oedème l
r se cantonner à la région du facial inférieur avec persistance des
troubles
de la parole. Malgré le traitement antisyphilit
s avoir présenté une agitation violente bientôt suivie de coma avec
troubles
respiratoires et vaso- .moteurs, troubles des s
entôt suivie de coma avec troubles respiratoires et vaso- .moteurs,
troubles
des sphincters, et élévation extrême de la tem-
s autres psychoses par auto-intoxication,. 6'est tou- jours le même
trouble
à base de confusion mentale, le même ensemble d
terrifiant, la même perte plus ou moins accentuée des sou- venirs,
troubles
variant peut-être avec la nature ou la durée d'ac
oxique. La polynévrite peut elle-même, d'ailleurs, exister sans les
troubles
mentaux. Ce qui me paraît surtout dominant dans
on, avec ou sans polynévrites, c'est la persistance fort longue des
troubles
amnésiques, alors même que les autres troubles,
ance fort longue des troubles amnésiques, alors même que les autres
troubles
, les troubles névritiques en particulier, ont d
ue des troubles amnésiques, alors même que les autres troubles, les
troubles
névritiques en particulier, ont disparu. A l'ap
ades qui ont guéri après avoir conservé pendant assez longtemps des
troubles
de la mémoire. ' Voir le dernier numéro, juin,
895), confusion mentale avec intermittence de calme et d'agitation,
troubles
hallucinatoires à forme zoophique, paraplégie s
société des êtres susceptibles de devenir une cause de danger ou de
trouble
. Depuis quelques années, les idées humanitaires
utir à des résultats inespérés, en faisant cesser brusque- ment des
troubles
organiques graves, survenus à la suite de lésions
érations peu graves mais supprimant certaines souffrances, certains
troubles
exagérés ou mal interprétés par des imagination
ureuses et ressemblent quelquefois à des obsessions. En effet, le
trouble
et l'arrêt dans le débit des idées sont favorab
rir, se sent abattu, tour- menté d'angoisse cardiaque, se plaint de
troubles
divers et redoute d'être atteint de la syphilis
tout son empire sur elle-même pour ne rien laisser paraître de son
trouble
. Aussi, appréhende-t-elle de recevoir un homme
autant que la malade peut préciser, commencèrent il apparaître des
troubles
psychiques d'ordre neurasthénique si l'on veut,
hronique à une période avancée. Le plus habituellement les premiers
troubles
se montrent dans la sphère intellectuelle, et c
vation XIV (personnelle). Idée fixe installée dès le jeune âge sans
trouble
sensoriel (hallucinations apparues postérieuremen
ntécédents personnels . - Méningite à l'âge de trois ans ( ? ). Les
troubles
psychiques semblent remonter chez lui il son jeun
ance des acquisitions faites à cet âge, sans l'intervention d'aucun
trouble
sensoriel. Dès lors, B... mène une existence
e dénonce. Observation XVI (personnelle). Idée fixe développée sans
trouble
sensoriel aboutissant au délire systématique. H
ons dans l'enfance; des excès alcooliques fréquents. Le début des
troubles
psychiques remonte à l'année 1834. A ce moment
onner à chaque mouvement. Voici com- ment il raconte les différents
troubles
qu'il éprouve : « Asile d'Armentières, 12 avril
e. Observation XVJII (Personnelle). Idée fixe développée avec des
troubles
hallucinatoires, servant de base à un délire syst
u ». Les hallucinations de l'ouïe ont augmenté de fréquence et le
trouble
a gagné les autres sens et aussi la sensibilité g
nerfs, elle a une sorte de paralysie du bras gauche accompagnée de
troubles
de la sensibilité : ce bras '11 Z RECUEIL DE FA
deux côtés : il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel. Les
troubles
trophiques sont peu nombreux. L'humérus gauche
res plus anciens de Vogt", Bruns3, Jetter4, etc... L'hy- pothèse de
troubles
trophiques consécutifs à une lésion arti- culai
t à fait identiques à celui- ci. Dans les faits étudiés par lui, le
trouble
trophique est plus marqué aux membres supérieur
exerce sa véritable influence. Son véritable domaine est celui des
troubles
fonctionnels des' principaux appareils. Il faut
es (aspect crétinoïde de la face, index céphalique très faible), de
troubles
intellectuels secondaires et de simulation. Fol
ur l'ouïe, et le malade en a conscience, peut en rendre compte. Ces
troubles
de la sensibilité sont pour lui l'origine d'un
aleur diagnostique car il n'est pas démontré qu'elles précèdent les
troubles
moteurs et n'ont pas davantage de signification
st qu'ils sont une seule et même conséquence du même phénomène : le
trouble
de dévelop- pement embryonnaire du feuillet ect
it (défaut de l'intelligence, etc.), un clioc peut faire éclater un
trouble
intense de cette portion incluse et le choc (ac
térisé par une altération du système nerveux amenant à sa suite des
troubles
nutritifs ou intellectuels plus ou moins profon
l'assistance des épileptiques : 20 le professeur Kojevnikolf : Les
troubles
de la circulation sous l'in- fluente des émotio
type anatomique de l'oreille, mais sans rapport manifeste avec les
troubles
mentaux. Discussion. \V. Jakovenko fait remarqu
de l'ataxie manifeste, les signes de Romberg et de Westphall et des
troubles
de la sensibilité (hypo- esthésie). En outre, s
e une notable asymétrie faciale. Toutefois, dans son enfance, aucun
trouble
pathologique ne faisait prévoir les perversions
ngereuse, car la résection des sympathiques, est toujours suivie de
troubles
trophiques, surtout chez les sujets jeunes '. m
le trijumeau. Mais cette lésion ainsi localisée n'explique pas les
troubles
de la moitié du bras et de la jambe gauche. Fau
l'irritabilité, de l'égoïsme, de la cruauté, etc.; d'autre part des
troubles
intellectuels, diminution de la mémoire, de la
rrésistibles et parfois subites, instinctives; 3° puis viennent des
troubles
psy- chiques nocturnes : mauvais sommeil, rêves
hemars, illu- sions, hallucinations, délire et impulsions; 4° Des
troubles
psychiques diurnes marquent le maximum de gravi
lsions et délire quelquefois aigu; 5° enfin sous l'influence de ces
troubles
, et en particulier des impulsions, des hallucin
esponsabilité reste naturellement subordonnée à la constatation des
troubles
psychiques et de leur gravité. On peut 'établir
lui des intoxications. L'on trouve très peu de différence entre les
troubles
mentaux de l'abstinence et ceux des intoxications
mêmes modifications générales de l'intelligence et du moral, mêmes
troubles
nocturnes, et à un degré plus marqué mêmes trou
moral, mêmes troubles nocturnes, et à un degré plus marqué mêmes
troubles
diurnes. Le raisonnement, la clinique, l'expéri
e de préciser dans quelles conditions exactes et par suite de quels
troubles
de nutri- tion se produit cette auto-intoxicati
econdaires psychiquenzent bien entendu, c'est-à-dire précédées d'un
trouble
mental préalable qui leur a préparé la voie, tels
es aboulies les auteurs étudient les délires coenesthé- siques, ces
troubles
subjectifs de la personnalité où les altérations
sions formeut la transition entre la première partie qui traite des
troubles
psychiques purs et la seconde où on les voit se
ubles psychiques purs et la seconde où on les voit se compliquer de
troubles
somatiques. En effet, entre les idées fixes cla
ive la thérapeuthique. Attaques de som- meil, fugues, vagabondage ;
troubles
divers de la sensibilité et du mouvement ; trou
, vagabondage ; troubles divers de la sensibilité et du mouvement ;
troubles
du langage reproduisant avec plus de net- teté
ur le pharynx et le larynx, nous pouvons trouver d'un seul côté des
troubles
légers de la motilité dans les lésions unilatér
IONS A LA PATHOLOGIE Nous aurons à examiner successivement : I, les
troubles
des mouvements oculaires et palpébraux dans les
s sont à considérer : 1° la déviation conjuguée des yeux ; 1° les
troubles
moteurs des paupières. . g Je". Déviation conju
demi- coma, c'est un excellent signe qui permet de soupçonner le
trouble
de la vision. Son explication psychologique est t
s précédents nous avions de l'anesthésie sensorielle. De ce que les
troubles
objectifs de la sensibilité manquent souvent en
les suppléances, en ce qui concerne la sensibilité générale § 11.
Troubles
de la motilité des paupières. Les mouvements de
Les uns et les autres peuvent avoir ' Voir en particulier Brissaud,
Troubles
de la sensibilité dans les hémiplégies cortical
tion sensitive du trijumeau. Nous rechercherons donc quels sont les
troubles
produits soit par une lésion du lobe occipital,
les lésions du, lobe occipital. Lorsque celles-ci sont isolées, les
troubles
sont peu appréciables, car peu nombreux sont le
eur antérieur2. Lorsque celles-ci sont isolées et unilatérales, les
troubles
sont encore peu importants. Dans l'hémiplégie m
E CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 189 ne doive provoquer aucun
trouble
; en fait, ces troubles exis- tent, mais sont tr
CORTICALE, ETC. 189 ne doive provoquer aucun trouble; en fait, ces
troubles
exis- tent, mais sont très légers. ' A l'état
leurs fibres de projec- tion) du même côté peut ne produire que des
troubles
légers, puisque ceux du côté opposé continuent
de même qu'une lésion unilatérale peut quelquefois déterminer des
troubles
bulbaires assez accentués. En résumé, la lésion
la lésion isolée d'un des centres oculo-moteurs ne produit que des
troubles
très minimes du côté des pau- pières ; chez la
des individus, la lésion des deux centres du même côté produit des
troubles
légers ; dans quelques cas rares, la lésion des
Se Il 1 ? 1 , 1 807. 1" mai. n° I. p. 4j. 192 PHYSIOLOGIE. . II.
Troubles
des mouvements oculaires dans les lésions hémis
ralysies pseudo-bulbaires que nous devions chercher l'existence des
troubles
djs à une double lésion du centre oculo-moteur
ubles djs à une double lésion du centre oculo-moteur antérieur. Ces
troubles
paraissent très rares, peut-être parce qu'ils s
E. son regard se fixait sur les personnes qui l'approchaient. Les
troubles
du côté des yeux pouvaient très facilement passer
z, les joues et la peau du menton, etc. ». Il existait en outre des
troubles
de la mastication, de la déglutition, de la par
tableau clinique que nous avons décrit. Il assimile absolument ces
troubles
aux paralysies pseudo-bulbaires, et propose le
ans les mouvements volontaires. Cela nous expliquerait pourquoi les
troubles
oculaires sont .si ' rarement signalés dans les
ntérieur peut produire : a) la déviation conjuguée des yeux; b) des
troubles
légers des mouvements palpébraux. 4° La lésio
brutale. En dehors des cas où elle peut ne se traduire que par des
troubles
paralytiques, il en est d'autres dans lesquels
est le plus habituellement accompagnée 41'héi ? 21a)iesthésie. Les
troubles
de la sensibilité suivent assez généralement la
es cas où la paralysie s'est établie progressivement, la marche des
troubles
sensitifs n'est pas toujours bien indiquée ; ma
avec une hémiplégie complète. Il peut se faire au contraire que les
troubles
sensitifs prédominent au début sur les troubles
contraire que les troubles sensitifs prédominent au début sur les
troubles
moteurs : dans l'observation IV de Broadbent, l
cet ordre, à attribuer le syndrome de l'apoplexie progressive à des
troubles
cérébraux liés à l'urémie ou à quelque autre au
re en discussion ce fait que les lésions du cervelet produisent des
troubles
plus ou moins accentués de l'équilibre, mais ce
contradictoires, c'est le méca- nisme physiologique qui produit ces
troubles
. Le cervelet est-il, pour ne parler que d'opini
fération conjonctive, ? /) à l'hydropisie qui survient aisément par
trouble
de la circulation de la veine de Galien qui se
ment au-dessus de l'artère rénale droite (exp. III à V) produit des
troubles
graves de la motilité et de la sensibilité dans
rale par les artères spinales situées plus haut; c'est pourquoi les
troubles
moteurs sont bien plus marqués après un pinceme
tten). Dans les huit premiers jours qui suivent l'intervention. les
troubles
moteurs et sensitifs sont revenus à la normale.
ément. L'emploi simultané d'autres médicaments s'explique par les
troubles
de la nutrition du système nerveux et d'autres or
en particulier la strychnine, sont indiqués. L'hypnose agit sur les
troubles
fonc- tionnels, notamment sur la volonté. P. KE
res inférieurs peuvent être contusionnés, ce qui peut expliquer les
troubles
dans les membres inférieurs. Frend explique ain
ans l'écorce et dans les noyaux du nerf moteur oculaire commun. Les
troubles
de la vue relèveraient d'une névrite rétrobulba
il y a un an, admettent la possibilité de la nature hystérique des
troubles
psychiques, bien qu'une lésion organique primit
dipsomanie, enfants vicieux ou dégénérés, obsessions, neurasthénie,
troubles
mens- truels, aliénation; il montre qu'à August
de cette région. L'existence de ces lésions donne l'explication des
troubles
nerveux réflexes pour lesquels il est poursuivi
e autre médication. Les mêmes résultats ont été obser- vés dans les
troubles
qui suivent la castration ovarienne. L'amé- lio
- tiques est constante. L'influence de l'extrait d'ovaire sur les
troubles
mentaux qui accompagnent les lésions génitales
lconque, dans tous les cas où il est indiqué, c'est-à-dire dans les
troubles
de la ménopause naturelle ou post-opératoire, d
urologie, t. VIIT, no H. p. 461. - ) 1.,k BIBLIOGRAPHIE. dans les
troubles
psychiques provoqués par un défaut de sécrétion
s l'ienpalittlisine, par le Dr CIIABAL. Les auteurs ont signalé des
troubles
psychiques imputables à l'impnludisme. Ils ont
ychiques imputables à l'impnludisme. Ils ont toujours considéré ces
troubles
jusqu'ici comme des délires d'aliénation commun
sme, con- fusion naturelle, car dans ces cas, l'on a affaire à. des
troubles
similaires. Le délire palustre est un délire
élire de rêve. Ce délire en effet est en tous points comparable aux
troubles
délirants de l'alcoolisme, et l'on y retrouve,
ssive (stupeur intense) et l'agitée (convulsions, puis coma). Les
troubles
lointains de l'impaludisme n'ont pas de caractère
es efforts qu'il tente à cet égard n'aboutissent qu'à augmenter son
trouble
et son angoisse » (Régis). Ce phénomène peut se p
ude historique). Aghavnian (Krikoris). Contribution à l'étude des
troubles
trophiques dans l'hémiplégie organique. Ameline (
e de la névrite canzotrophique des tuberculeux. Attal (Joseph). Des
troubles
vasomoteurs dans l'hystérie. Audureau (Jules).
(Félix). Du délire dans l'érysipèle. Bélianine (MllG Catherine).
Troubles
de la parole dans l'hémiplégie infantile. Bloch (
xations de l'épaule. Fachatte (Raymond). La puberté et les premiers
troubles
mens- lruels. Etude clinique. Fauvet (Adolphe).
oïse). Sur la nature de la sclérodermie. Malliotis (Démétrius). Les
troubles
visuels graves après les pertes de sang. Margoliè
près les pertes de sang. Margoliès (11°l Hebecca), née Iiaménetzky.
Troubles
psychiques consécutifs aux opérations pratiquée
pathogénique). Margouliss (Abraham). Contribution ci l'étude des
troubles
nerveux dans la tuberculose pulmonaire . - Martin
s formes utérines secondaires de la névrose. - Sterlin (Henri). Des
troubles
sensitifs dans la lèpre. - Sulzer (Da- vid). Co
- Vivier (Henry). Sur l'infantilisme. - Volper (NI'le liaïssa). Des
troubles
trophiques dans la lèpre. Wetterwald (Félix). L
faiblesse générale, la paraplégie transitoire, l'oesophagisme. les
troubles
digestifs, les algies multiples et variées, cép
tralgie, entéralgie. la suré- motivité, la tristesse chronique, les
troubles
de la sensibilité psy- chique, les phobies, les
de la sensibilité psy- chique, les phobies, les hallucinations, les
troubles
du jugement et du raisonnement, les altérations
travaux qui ont été consacrés en ces dernières années à l'étude des
troubles
psychiques post- opératoires, et les discussion
is encore sur le sens précis qu'il faut attribuer à l'expression de
troubles
psychiques post-opératoires, et, par suite, sur
malades ni des intoxiqués ». D'après lui, dans ces derniers cas les
troubles
cérébraux - se manifestent sous la'forme d'état
c. M. le D'' Régis', au contraire, distingue, dans l'ensemble des
troubles
psychiques post-opératoires, deux ordres de fai
troubles psychiques post-opératoires, deux ordres de faits : 1° les
troubles
psychiques survenant à l'occasion d'une opérati
troubles psychiques survenant à l'occasion d'une opération; 2° les
troubles
psychiques relevant, comme cause fondamentale,
ération. Selon lui, les derniers, seuls, doivent être retenus comme
troubles
psychiques post-opéra- toires ; les autres sont
nies qui affectent nécessairement une forme quelcon- que, les vrais
troubles
psychiques post-opératoires répondent à un même
tique d'une intoxication endogène ou exogène. Cet auteur classe les
troubles
psychiques post-opératoires en trois groupes :
les troubles psychiques post-opératoires en trois groupes : 1° les
troubles
psychiques immédiats, qui surviennent aussitôt
'intoxication chloroformique agissant à la faveur du shock ; 2° les
troubles
psychiques secondaires, qui éclatent du deuxièm
au dixième jour, et qui sont dus soit à la septicé- ' D' Régis. Les
troubles
psychiques post-opératoires. (Discussion au Con
opératoire : ce sont les plus nombreux et les plus typiques; 3° les
troubles
psychiques tardifs, qui n'apparaissent que plus
ne à sécrétion interne tel que le corps thyroïde ou l'ovaire. Les
troubles
psychiques post-opératoires sont donc, dans tous
pératoires sont donc, dans tous les cas, d'après M. Régis, dus à un
trouble
de nutrition ou à une intoxication de l'organis
de psychose que l'on pourrait étiqueter folie post-opératoire. Les
troubles
psychiques post-opératoires présentent les symp
ntielles que nous venons de signaler dans la façon de concevoir les
troubles
psychiques post-opératoires, on relève encore b
atées, en détail, dans son remarquable travail. ' De Rayneau. Les
troubles
psychiques posl-opéraloires. (Rapport au Congrè
liénistes et neurologistes. Angers, 1898.) - Pro- fesseur Jott'roy.
Troubles
psychiques post-opératoires. (Leçon clinique pu
es. (Leçon clinique publiée dans La Presse médicale, 19 mars 1898.)
Troubles
psychiques post-opératoires. (Discussion au Con
omplètes que possible, et contiennent non seulement l'exposé des -
troubles
délirants actuels, mais encore celui des antécéde
ans l'étiologie de ces accidents. Or, parmi la multitude des cas de
troubles
psy- chiques post-opératoires qui ont été publi
ienne. Infection de la plaie opératoire. Septicémie. Apparition des
troubles
mentaux huit jours après l'opération. Confusion
on et de dépression. M bout de huit mois, amélioration progressive.
Troubles
de la mémoire. Guérison sans affaiblissement in
ait de sérieux excès de boisson, mais jamais il n'avait présenté de
troubles
mentaux. La mère, décédée par suite d'une affec
rnières années de sa vie. Nous ignorons quelle forme ont revêtu les
troubles
mentaux signalés chez cette parente de notre ma
t. En même temps que ces symptômes psychiques se développaient, les
troubles
somatiques persistaient, au point de compromett
sont très limités et très douloureux. Dans la sphère psychique, les
troubles
ne sont pas moins accentués. Un élément semble
e l'ensemble des faits qui se sont écoulés pendant cette période de
trouble
cérébral. Peu à peu, en même temps que son inte
Il est incapable de dire comment et à quel moment ont apparu les
troubles
mentaux. 11 ignore ce qui s'est passé à l'hôpital
la lignée maternelle une de ses proches parentes avait présenté des
troubles
mentaux. Bien que nous n'ayons pas eu connaissa
orption du poison. L'influence de l'éthylisme sur la production des
troubles
psychiques constatés chez notre malade, s'est d
'infection de la plaie opératoire, et il semble que l'évolution des
troubles
psychiques ait été, dans une certaine mesure, s
ychiques ait été, dans une certaine mesure, subordonnée à celle des
troubles
d'ordre physique ; d'une part, les désordres cé
té stérile. La participation de ces facteurs au développement des
troubles
psychiques post-opératoires, ne constitue pas une
urs, de vrais ou de faux délires post-opératoires, ou simplement de
troubles
psychiques post-opératoires; de même, l'intoxic
la folie post-opératoire... Dans la pathogénie de la production de
troubles
psychiques consécutivement à une intervention c
et celle-ci ayant revêtu le type habituel des folies toxiques, les
troubles
psychiques constatés chez noire sujet, rentrent
les mômes raisons, ils se rangent dans le deuxième groupe des vrais
troubles
psychiques post-opératoires de M. Régis (groupe
vrais troubles psychiques post-opératoires de M. Régis (groupe des
troubles
psychiques secondaires). Pour nous, il nous par
ous paraît inutile d'adjoindre un qualificatif à la dénomination de
troubles
psychiques post-opératoires. Abstraction faite
ubles psychiques post-opératoires. Abstraction faite des cas où les
troubles
mentaux sont la conséquence d'opérations pratiq
que les facteurs d'ordre psychique auxquels M. Picqué attribue les
troubles
mentaux qu'il appelle les vrais délires post-op
st-hémiplégiques est fort discutée. Faut-il les concevoir comme des
troubles
purement fonctionnels d'origine probablement hy
son iclus. Chez ce malade dont la zone motrice était inaltérée, les
troubles
de la motilité ne peuvent s'expliquer que par u
re de la capsule interne par le foyer hémorragique ; du reste ces
troubles
de motilité diminuaient de jour en jour. Ne pou
res et personnels n'offrent aucun intérêt, était en traitement pour
troubles
dyspep- 17S 8 CLINIQUE NERVEUSE. tiques consé
ensibilité conjonctivale. La malade ne paraît pas avoir présenté de
troubles
de la vue. Nous n'avons pas songé à rechercher
; la malade ne s'est plainte d'aucun phéno- mène subjectif. Pas de
troubles
de la parole. Pas d'aphasie. L'in- telligence e
t facile. Du côté droit non paralysé, nous n'avons à signaler aucun
trouble
de sensibilité ou de motilité. La trépidation é
es douleurs s'étendent au côté droit. Pas de modifications dans les
troubles
de sensibilité. 19. En recherchant de nouveau l
vécut ainsi jusqu'au 19 février 1899. Depuis le dernier examen, les
troubles
de la sensibilité ne se sont pas modifiés. Du c
e du membre inférieur du même côté. Ces accidents survinrent sans
troubles
de la parole et se présentèrent dès le début avec
Amélioration notable de la motilité, mais pas de modifi- cation des
troubles
de sensibilité. Sous l'influence d'une piqûre Ou
oit, et pour le membre inférieur du même côté. A gauche, pas de
troubles
de la sensibilité. Pas de trépi- dation épile
pas de trépidation rotu- lienne. Pas de contrac- tures. Pas de
troubles
trophiques. Mort dans la journée du 25 mars. Au
hez les sujets atteints de psychoses diverses, sur la fréquence des
troubles
de la menstruation. Ces troubles, chez les alié
ses diverses, sur la fréquence des troubles de la menstruation. Ces
troubles
, chez les aliénées, revêtent une allure un peu
encore inexpliqués mais si fréquents qui existent entre certains
troubles
psychiques et les fonctions vaso-motrices. Ces
doute qu'un certain nombre de psychoses ont leur origine clans les
troubles
de l'irrigation cérébrale. Ainsi s'ex- pliquera
Nous laissons de côté l'hystérie, qui entraîne si fréquem- ment des
troubles
inexpliqués de la menstruation, comme de bien d
ante-deux ans, à la suite de chagrins après avoir présenté quelques
troubles
mentaux. La mère et les six frères ou soeurs so
ée. Jamais d'épistaxis, ni d'autre hémorragie supplémentaire. Les
troubles
délirants du jour d'entrée disparaissent rapideme
une crise de manie aiguë franche. Le suicide du père après quelques
troubles
mentaux, il y a quinze ans, en fait une dégénér
uée à trois causes : l'état d'anémie; la congestion cérébrale ; les
troubles
de l'innervation génitale. La malade a toujou
par l'anémie géni- tale. Il reste la troisième hypothèse, celle des
troubles
de l'innervation utéro-ovarienne, et voici l'ex
ssent avec assez de souplesse ; les réflexes sont nor- maux. Pas de
troubles
sensoriels. Démarche un peu lourde. La miction
rénaux, hépatiques, oculaires, cérébro- spinaux, etc., simulent des
troubles
organiques définis des viscères correspondants
e qu'une ischémie ou une hyperémie capillaire locale, ou tout autre
trouble
plus intime encore de l'innervation sympathique
Certains signes pourraient cependant différencier ce qui relève des
troubles
sym- pathiques de ce qui appartient à l'hystéri
s deux membres supérieurs, précédée de douleurs et accompagnée de
troubles
de la sensibilité, d'atrophie musculaire et de ré
insuffisance nasale, il en arriva à penser qu'il avait affaire à un
trouble
d'ordre psy- chique et à soupçonner l'hystérie.
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 311 1 manifestent particulièrement les
troubles
du labyrinthe. L'impor- tance de cette spéciali
ité bien supérieures il d'autres signes comme le nystag- mus et les
troubles
.de la miction et de la défécation. R. C. XXXII.
le terriloire du nerf atteint. Ce cas de névralgie traumatique avec
trouble
trophique, rappelle à l'auteur une obser- vatio
s et achil- léens, 3° l'intégrité de la sensibilité cutanée, 4° des
troubles
dans la notion de position, 5° l'intégrité des
ité des réflexes vésicaux et rectaux, 6° du nystagmus, '7° un léger
trouble
de la parole, 8° le pied de Friedreich. En outr
t associés à l'ataxie, inconscients comme ces derniers, à cause des
troubles
du sens musculaire. Traitement. Alimentation
suit pas que la lésion du cor- don postérieur ne dépende point d'un
trouble
primitif de la cellule du ganglion spinal. En e
ermet d'admettre que la lésion des cordons postérieurs émanait d'un
trouble
primitif des cellules des ganglions spinaux. P.
le résultat de lésions organiques, mais encore comme le produit de
troubles
dynamiques qui en font une épilepsie para- syph
intercalaires. En même temps que les observateurs constataient les
troubles
mentaux ; ils notaient l'apparition de troubles
rs constataient les troubles mentaux ; ils notaient l'apparition de
troubles
physiques du côté delà démarche et de la parole
es deux malades étaient invités à diner, fut prise du même genre de
troubles
. L'auteur croit qu'il s'agit ici d'une polyencé
oue naturellement aussi un rôle important dans la pathogénie de ces
troubles
. Des remarques ont été faites par MM. Korniloff
accusée dans le domaine du plexus sacral et du nerf musculo-cutané.
Troubles
de la sensibilité très prononcés aux jambes et
es cornes postérieures ne sont presque pas intéressées, puisque les
troubles
de la sensibilité sont insignifiants. Il conviend
affaiblissement progressif de l'intelligence, inégalité pupillaire,
trouble
paralytique de la parole, assymétrie faciale. L'é
lus tard et sont moins pronon- cés, mais on observe plus souvent un
trouble
du sens musculaire des extrémités postérieures.
a paralysie, ne se compliquant ni de phé- nomènes convulsifs, ni de
troubles
intellectuels, et susceptibles sinon d'une guér
égies cérébrales proprement dites. La spasticité, la paralysie, les
troubles
intellectuels, les mouvements bibliographie. 34
isins le visitèrent et le trou- vèrent dans l'état actuel. Il a des
troubles
de la phonation et s'exprime difficilement, d'u
raconter que sa maladie a commencé le i avril, brusquement, par des
troubles
de la motilité des membres inférieurs ; ceux-ci
sés et le malade ne put quitter son lit ; en même temps, il eut des
troubles
généraux, de la fièvre, de la céphalée, pas de
ux, de la fièvre, de la céphalée, pas de rachialgie. Rapidement les
troubles
paralytiques gagnèrent les membres supérieurs,
rynx ; depuis un jour la parole est gênée et très difficile. Pas de
troubles
subjectifs de la sensibilité. Nous n'obtenons p
rand, bien constitué. Faciès coloré, fébrile, couvert de sueur. Les
troubles
paralytiques attirent tout d'abord l'attention.
stérien et abdominal. Pas d'atrophie des masses musculaires. Pas de
troubles
vaso-moteurs sauf une conges- tion très marquée
tion très marquée de la face avec sueurs abondantes en ce point.
Troubles
de relâchement des sphincters ; le malade urine s
sont fortement congestionnés. L'épithélium des tubuli contorti est
trouble
, ses noyaux se colorent peu ou pas. On remarque
s faciles à obtenir et, à propager en bouillon à + 3 î°, donnant un
trouble
uniforme et très accentué, sans voiles ni pelli-
une susceptibilité plus grande, réagit la première et entraîne des
troubles
mortels. Mais resterait toujours inexpliqué ce
ndry qu'aux cas de paralysie extensive exclu- sivement motrice sans
troubles
de la sensibilité, ni réaction de dégénérescenc
fréquente. La forme médullaire pure ne s'accompagnerait jamais de
troubles
sensitifs, présenterait une marche plus rapide, u
aliénistes français et étrangers. Mais ce n'est que récemment qu'un
trouble
hallucinatoire spécial, dénommé aujourd'hui hal
es, inférieures, sans langage parlé ». Maudsley le premier nomma ce
trouble
« hallucination motrice ». Avant ces auteurs
é de ces modalités de l'hallucination de l'ouïe, prennent place des
troubles
spéciaux, moins sensoriels que psycho-moteurs,
erdâtre; ses mains tremblaient : C'est à cette époque qu'elle a des
troubles
hallucinatoires. , - Elle a eu d'abord des hall
père et père alcooliques. Habitudes alcooliques depuis longtemps. -
Troubles
hallucinatoires nocturnes et diurnes vers la fi
i ; les voix ne le tourmentent plus autant. Les jours suivants tout
trouble
hallucinatoire a disparu, M... est revenu à l'éta
coo- lique devient alcoolique à son tour; il boit, son sommeil se
trouble
, l'appétit se perd, et un jour il entend des voix
ons psycho-motrices verbales, hallucinations de l'ouïe, de la vue :
troubles
de la sensibilité générale. B... Pierre, soixan
tremblement des mains. Quelques mois après ce début, B... avait des
troubles
psychiques, de la jalousie mor- bide, des idées
d'hommes. Il voyait également des animaux. B... avait en outre îles
troubles
de la sensibilité générale; il se sentait élect
des excès de boissons, et s'alcoolise à son tour. Parmi tous les
troubles
de l'alcoolisme, celui qui attire notre attenti
ouvent de loin, ce sont « des frémissements » dans les pieds, des
troubles
de la sensibilité générale qui provoquent la voix
retentissement sur l'ensemble des idées délirantes, que les autres
troubles
hallucinatoires. En Jéfintiive les hallucinatio
ns. Elles sont relativement très rares. Elles sont comme les autres
troubles
hallucinatoires, la conséquence de l'éréthisme
igent, a très souvent des cauchemars, « c'est aussi un candidat aux
troubles
nerveux ». Notre malade. Au moment de la conc
hors de service. Dans toute compression médullaire s'observent des
troubles
moteurs; c'est que les fibres motrices sont plu
t, si, dans le cours d'une paraplégie flasque, on voit survenir des
troubles
de la sensibilité, ceux-ci retentissent tout d'
s, atypiques : telles sont, par exemple, celles dans lesquelles les
troubles
sensi- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
e reçu d'explication physiologique certaine, on observe, il côté de
troubles
moteurs plus ou moins accusés, une exagéra- tio
sme an- cien suivi, longtemps après, d'accidents paralytiques et de
troubles
de la sensibilité lents et symétriquee, rapproc
les cellules cérébelleuses géantes de Purkinje. Pathogénie. - Les
troubles
de la sensibilité sont donc d'origine centrale,
us à la rescousse. Mais la myotomie ne serait-elle pas l'effet d'un
trouble
dans la nutrition du muscle puisqu'on trouve ch
EUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. FOYERS DE RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET
TROUBLES
PSYCHIQUES ; 'Par Je D' R.OiARON, Médecin d
nt brièvement qu'aux phénomènes physiques «.peuvent s'ajouter des
troubles
intellectuels, tels que du délire, qu'on peut,
mentionné que dans un très petit nombre d'observations ; que « les
troubles
intellectuels qu'on observe le plus souvent con
e montre que la question n'a pas été éclaircie : Cotard dit que les
troubles
psychiques qu'on observe le plus souvent dans l
es de ramollissement cérébral étendu (écorce et centre ovale), avec
troubles
maniaques transitoires, corres- pondant à la pé
sénile. » Pour André, le ramollissement cérébral ne produit pas de
troubles
intellectuels très marqués et ne se traduit que
iblissement intellectuel progressif. Nothnagel, sur la question des
troubles
psychiques liés aux lésions nécrobio tiques du
u centre ovale, lorsqu'ils se montrent isolés, ne produisent pas de
troubles
psychiques, quel que soit le segment dans leque
«lorsqu'à la suite d'un ictus apoplectique, on voit se produire des
troubles
psy- chiques non systématisés, obnubilation déf
iques non systématisés, obnubilation définitive de la mémoire, sans
troubles
moteurs, on a tout juste le droit de suspecter
es du cerveau, le ramollissement cérébral est celle qui produit les
troubles
intellectuels les plus prononcés; que ces troub
ui produit les troubles intellectuels les plus prononcés; que ces
troubles
comprennent généralement une période prodro- mi
n'affectent pas l'écorce, peuvent se produire sans entraîner aucun
trouble
psychique, mais sou- vent cette complication a
agitation périodique passagère, causée par des irritations et des
troubles
de la circulation. » II. Les documents recueill
si bien que les enquêtes adminis- tratives signalent comme cause de
troubles
psychiques (non spécifiés d'ailleurs ! ), un ra
de localisation des facultés intellectuelles, il ne produit que des
troubles
dont les caractères n'ont pas été, jusqu'à ce j
ou d'invo- lution. Existe-t-il un état mental, un enchaînement de
troubles
psychiques particuliers, dont l'étude puisse co
ans hérédité connue, alcoolique. A été atteinte il y a trois ans de
troubles
qua- lifiés « Fièvre cérébrale » par la famille
claré subitement, avec hyperthermie considérable, céphalée intense,
troubles
gastriques, mouvements désordonnés et incoercib
striques, mouvements désordonnés et incoercibles, délire chaotique,
troubles
hallucina- toires terrifiants. Cette agitation
es : se voit poursuivie par des hommes.. RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET
TROUBLES
PSYCHIQUES. 437 A l'admission la malade est en
ts épileptiformes, plus accentués à droite. Hyper- thermie : 40°,4.
Troubles
gastro-intestinaux. Saburration des voies diges
auto-intoxica- tion. - Deux jours après l'agitation est tombée. Les
troubles
moteurs, sensibles et sensoriels persistent ave
agitation chaotique pendant douze heures, avec hyperthermie, 39°,3,
troubles
sensoriels péni- bles, particulièrement de la v
isme. - Huit jours plus tard, démence absolue, avec persistance des
troubles
hallucinatoires et attaques épileptiformes fréq
tellectuelles sont restées un peu obnubilées. Il n'a été noté aucun
trouble
moteur. En 1892, nouvel accès d'agitation à for
vel accès d'agitation à forme maniaque avec hyper- thermie : 39°,3,
troubles
gastriques. Suburration et fétidité des RAMOLLI
gastriques. Suburration et fétidité des RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET
TROUBLES
PSYCHIQUES. 439 voies digestives. Pas de symptô
table chaos des idées avec insomnie, anorexie, hyperther- mie et
troubles
gastro-intestinaux, auto-intoxication, troubles
, hyperther- mie et troubles gastro-intestinaux, auto-intoxication,
troubles
hallucinatoires à forme terrifiante, particuliè
nos observations, l'extrême variété des RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET
TROUBLES
PSYCHIQUES. 441 symptômes objectifs de l'agitat
r la délivrance d'un certificat médical constatant qu'en dehors des
troubles
psychiques, il ne présente aucun symptôme d'inf
aiguës. Ces états sont en effet toujours associés étroitement à des
troubles
soma- tiques : tels sont par exemple les délire
rale, l'âge avancé, l'état puerpéral, la chlorose, les anémies, les
troubles
circulatoires, sans parler des états fébriles o
aigus, peu importe. Toutes ces psychoses sont en rapport avec des
troubles
plus ou moins graves de la nutrition de l'écorce
ions motrices. Il favorise le sommeil ; il diminue l'acti- vité des
troubles
hallucinatoires en restreignant les causes prov
es mouvements actils perçue à l'occasion 1 Abba. Elude clinique des
troubles
de la sensibilité générale, des sens musculaire
e cause cérébrale. Thèse de Paris, 1>i96. 2 Bourdicault-Dumay.
Troubles
de la sensibilité générale, du sens murs- eulai
Médecin adjoint de l'Asile des aliénés d'Eerew. Si on élimine les
troubles
sensoriels d'origine alcoolique que présentent
ements des dents, et un délire des per- sécutions entretenu par ces
troubles
psycho-sensoriels. L'au- topsie montra, entre a
de l'ouïe et d'hallucinations psycho-motrices. Par intervalle, ces
troubles
sensoriels devenant très actifs déterminent des
lade dont le père présenta également des idées mélancoliques. « Ces
troubles
psychiques accessoires' ne sont pas en relation
aques d'anesthésie à la plante des pieds. Pas d'hémiparésie. Pas de
troubles
trophiques. L'auscultation du coeur ne dénote a
ions fantastiques des jours d'agitation et conserve seulement comme
troubles
morbides un certain affaiblissement intellectue
1898. Persistance des hallucinations de la vue et de l'ouïe et des
troubles
de la sensibilité générale : des voix lui disen
l'escalier, sous les tables, craignant qu'on lui fasse du mal. Ces
troubles
sensoriels déterminent parfois des accès d'ango
ctuel est de plus en plus considérable, l'inconscience absolue. Les
troubles
physiques sont les suivants : embarras de la pa
une teinte terreuse. L'alimentation est cependant bonne sans aucun
trouble
gastrique apparent, du reste X... a toujours bi
pseudo-acromégalique segmentaire de tout un membre supérieur, avec
troubles
syringomyéliques ayant la même topographie; par
éressante : d'une part, par la coïncidence topographique exacte des
troubles
syringomyé- liques et de l'hypertrophie ; en se
, d'après laquelle la respiration de Cheyne-Stockes serait due à un
trouble
de l'activité fonctionnelle du bulbe, siège des
té ou à la lenteur de la sédimentation de ce liquide, rappelant des
troubles
semblables dans les maladies fébriles, les affe
lles qui nous occupent. Rapprochant et différenciant ces signes des
troubles
d'oxydation constatés dans l'hystérie et la neu
mptomatiques, secondaires, consécutifs à l'action des produits d'un
trouble
d'oxydation primitif sur le système nerveux. Elle
ue, à des' processus d'oxydation anormaux de l'organisme. il y a un
trouble
d'oxydation spécifique de l'uricémie, du diabète,
'oxydation spécifique de l'uricémie, du diabète, etc., il existe un
trouble
d'oxydation spécifique de l'hystérie. L'hys- té
hlorose et la goutte existe parce qu'il se produit simultanément un
trouble
d'oxydation hystéro- gène ; l'hydrémie de la di
de l'hystérie et de la neurasthénie, ni le point de départ de ces
troubles
d'oxydation névropathiques. Il doit y avoir vice
essie et du rectum. Difficulté de marcher : ataxie prononcée. Aucun
trouble
psychique. L'auteur conclut : Il y a soit névrite
eux. Trois jours plus tard il est presque totalement aveugle. Aucun
trouble
mental. Paresthésies diffuses dans l'occiput et l
eure du corps réagit bien. La queue est elle-même paralysée. Pas de
troubles
de la nutrition, pas d'incontinence vésicale ou
ce vésicale ou rectale. On dirait d'une myélite transverse sauf les
troubles
recto- vésicaux. Un beau matin la servante, pou
, succédant à des douleurs instantanément disparues, l'ab- sence de
troubles
de la sensibilité, sauf au courant faradique qui
ilité, sauf au courant faradique qui n'est plus perçu, l'absence de
troubles
vésicaux, rectaux, sexuels ; enfin la continuit
e point; intégrité de la sensibilité, absence de paresthésies et de
troubles
trophiques correspondants. Il ne reste plus qu'
hémisphère gauche. L'absence de 494 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
troubles
sensitivo-sensoriels dénonce la moitié antérieure
ère avec destruction du lobule pariétal supérieur gauche. Ici les
troubles
sensitifs du côté droit (hémi-anesthésie du tact
a tumeur (Landouzy) ; à cause des symptômes permanents tels que les
troubles
de la sensibilité, l'hémianopsie, la parésie lé
ation dans la substance blanche du lobule pariétal supérieur. Les
troubles
du sens musculaire et de la perception du relief,
C'est l'émotion qui suspend ou arrête l'évacuation commencée. Aucun
trouble
de ce genre ne se produit en présence des proch
rocéphalie interne extrême avec gra- nulations de l'épendyme, léger
trouble
de la pie-mère à la base. L'auteur pense que l'
Il s'agit de ces cas où on enregistre une disproportion entre le
trouble
moteur peu ou pas marqué et l'extrême altération
u médian au niveau de l'articulation du poignet produit souvent des
troubles
plus considérables de la sensibilité de la peau
rmie d'une zone circonscrite de l'avant-bras malade, constituant un
trouble
vaso- moteur fugitif et récidivant. lIyperhidro
pement n'en fut terminé ; elle a donc produit, non pas seulement un
trouble
dans l'activité fonctionnelle, mais un arrêt de
e dans l'activité fonctionnelle, mais un arrêt de développement. Le
trouble
de la nutrition des cellules a nui aux fibres s
rès sensibles au tiraillement et à la pression, mais il n'existe ni
troubles
fonc- tionnels, ni réaction électrique anormale
indique qu'elle est psychique. L'évo- lution lente et graduelle des
troubles
parétiques ne saurait se rat- tacher à un épanc
déjà l'atrophie de la langue était considérable, parce qu'enfin les
troubles
ont continué à progresser. Une lésion bulbaire ch
ntôt-0°,G-'r0°,8. Il se-produit de l'herpès labial. L'urine devient
trouble
. P=1 ? G; ;Il. 26. On\entend des râles secs dans
sociée à une hémianopsie de l'autre ; toute» les autres variétés de
troubles
oculaires connues, dépendent de l'action plus par
boutissant à l'ammt1'ose bilatérale complète. Les mêmes variétés de
troubles
oculaires se voient aussi dans l'acromégalie; ell
ans la struc- ture de son corps pituitaire, s'étant accusée par des
troubles
nu- 508 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tritifs
gne de Westphal, le signe de Romberg, les douleurs lancinantes, les
troubles
subjectifs de la sensibilité bilatéraux marqués
ar altération du nerf trijumeau. Mais, surtout, ce malade offre des
troubles
particuliers de la marche : la station debout e
r ainsi certaines formes de syringomyélie. M. Paul Londe. Sur les
troubles
moteurs du goitre exophtalmique. Théorie de l'h
amentaux sont attribuables à l'asthénie, à la parésie : ce sont des
troubles
de déficit. Ils peuvent coïncider avec un défaut
aitement du - par l'ovanne, par Uelaunay, 132. - par t'opou, 338.
Troubles
mo- teurs dans le-,par P. Londe, 514. Gynécol
eudo-acroméga- lique segmentaire de tout un membre supérieur avec
troubles
syrmgomyéliques ayant la même topographie, pa
s, par Stadebnann, 161. Ramollissement. Foyers de cé- réblal et
troubles
psychiques par Charon, 433. Respiration de Ch
x de cette trypanosomiase se caractérisent prin- cipalement par des
troubles
moteurs généralisés et, en règle générale, bi-
ible de trouver, rarement d'ailleurs, des cas avec prédominance des
troubles
moteurs d'un seul côté du corps. Dans la forme
s ; mais on ne les observe pas chez des malades ne souffrant pas de
troubles
nerveux, lorsqu'il n'existe pas de déficit de l
e. Celle-ci se présente, quelquefois, d'une façon complète, par les
troubles
de la parole, l'ouverture de la fente inter-rab
ans ses différents degrés d'intensité, observée dans des cas où les
troubles
moteurs sont minimes (PI. III, IV, V). Chez des
ourue- ville. Ici, les idiots complets présentent simultanément des
troubles
delà motilité, dénonciateurs de lésions cérébra
s rare que l'on constate des convulsions chez des malades dénués de
troubles
moteurs et qui ne présentent que les signes d'ins
ide. Nous avons encore observé, dans cette maladie, quelques cas de
troubles
mentaux intenses, liés à des perturbations de l
s tard d'une crise d'entérite. En 1908, à 41 ans, elle présenta des
troubles
de la marche se manifestant de la façon suivant
même époque elle était sujette à de fréquentes migraines. Ces divers
troubles
après avoir duré quelques mois disparurent; ell
atérale, mais plus marquée il gauche. Nous avons signalé déjà les
troubles
subjectifs de la sensibilité, les dou- leurs do
ans le domaine de C° CI. La malade .attire l'attention sur quelques
troubles
de la vue qui semblent devoirêtre mis sur le co
ouleurs dans la nuque, le cou et les épaules. Il existe enlin des
troubles
de miction, la malade n'nrine qu'avec effort et
adduc- tion et rotation interne de tout le membre. Il existe des
troubles
des sphincters : la malade urine par regorgement
des sphincters : la malade urine par regorgement et ses urines sont
troubles
et purulentes ; elle a de la rétention des matièr
n demi-coma et meurt au bout de trois jours : » L'analyse seule des
troubles
observés chez celle malade nous avait permis de
légie progressive par la suite. Le début de cette affection par des
troubles
radiculaires précédant les symptômes médullaire
dans les compressions de la moelle il n'y avait pas dans ce cas de
troubles
objectifs de la sensibilité permettant de local
iens et à la base du cerveau (diplopie, diminution de l'ouïe et des
troubles
vertigineux. Enfin en raison de l'absence de tr
l'ouïe et des troubles vertigineux. Enfin en raison de l'absence de
troubles
de la sensibilité sur les mem- bres inférieurs
es de sa vie à l'Hospice de Bicêtre, où il avait été admis pour des
troubles
médullaires affectant le type de la sclérose comb
Or, ce malade n'a jamais exhibé la moindre trace d'aphasie. Le seul
trouble
de la parole qu'on ait pu constater était un pe
eureusement, n'a jamais été con- firmée au périmètre. Du côté des
troubles
paralytiques, 'il se fit une amélioration progres
frontale, et l'on sait le rôle très important que peuvent jouer ces
troubles
circulatoires secondaires ; en second lieu, il
service du professeur Rauzier, salle Fouquet, N 20, pour de légers
troubles
de la-parole. Au début du mois de juillet 1911,
récédents, il n'avait constaté aucune anomalie du langage, ni aucun
trouble
d'aucune sorte. Il trouve très bien les mots qu
dre. Mais récemment, depuis trois semaines à un mois, il éprouve un
trouble
très léger de l'articulation des mots (par exem
ans l'épaule et le genou droit, sans gonflement articulaire. Pas de
troubles
de l'ouïe, pas de bourdonnements d'oreille. Pas
la vue, corrigée par le chan- gement de verre du lorgnon. Pas de
troubles
trophiques. Les appareils circulatoire,respirat
également perçu par le malade tant à gauche qu'à droite. Malgré les
troubles
de la motilité de la langue, la déglutition n'est
ans signes objectifs nets, dans la moitié droite du corps, quelques
troubles
du goût et une diminution légère de la sensibil
ment rétrocédé ; mais, depuis quelques jours, ont réapparu quelques
troubles
dans l'articulation de certaines lettres (1). L
e ce tableau, correspondent bien aux descriptions classi- ques. Les
troubles
fonctionnels sont réduits au minimum ; pas de dif
a face. Généralement l'hémiatrophie linguale ne s'accompagne pas de
troubles
sensitifs : soulignons chez notre malade certaine
(Arclt. de neurol., 1891, p. 296), un rôle vaso-moteur, facteur de
troubles
trophiques. Une lésion cérébrale et non une hém
ions des neurones moteurs bulbo-médullaires, et les quelques autres
troubles
susceptibles d'être interprétés par une altérat
re interprétés par une altération bulbaire, déviation de la luette,
troubles
légers du goût et de la sensibilité tactile de
y manque la para- lysie laryngée, et il y a,en plus,d'une part, les
troubles
homonymes de la sensibilité linguale, qui ne re
terno-cléido-mastoïdien et trapèze, unit une paralysie faciale et des
troubles
sym- palhiques du même côté. En outre, la malad
a compression médullaire. La démarcation supérieure segmentaire des
troubles
de la sensibilité ainsi que le rôle prépondérant
malade commence à se servir de la voiture d'Eulenbourg. Retour des
troubles
cardiaques (allorythmie et arythmie). Dans le mil
s les commencemets de novembre réapparition pour quelques jours des
troubles
cardiaques (allorythmie et ary- thmie). Dans
jusqu'au dernier moment avant l'opé- ration, ^'absence complète de
troubles
dans le fonctionnement de la vessie ; il y avai
bsence de corps pa- thologiques) est rendue avec un certain effort.
Troubles
de la sensibilité : lé- ger affaiblissement de
éto- spastique ; il ne peut déjà plus marcher sans aide; limite des
troubles
de la sensibilité sans changement. 2 octobre.
ans le cours ultérieur de la maladie,surviennent successivement des
troubles
dans le fonctionne- ment de la vessie, l'affaib
force des mouvements est minime. Des deux côtés, dans les orteils,
troubles
profonds de la sensibilité; réflexes tendineux
ors, les mouvements libres gagnèrent en force et en amplitude ; les
troubles
de la sensibilité douloureuse, tactile et thermiq
e gauche, durant 9 mois,. sans aucun symptôme doulou- reux avec des
troubles
de la sensibilité sous forme de changements disso
douleurs dans le cours subséquent de la maladie. Du reste même les
troubles
de la sensibilité du type des changements dissoci
dans'la maladie subséquente. Aussi, vu l'évolution irrégulière avec
troubles
de la sensibilité à type de modifications dissoci
enue après l'ablation de la tumeur. En effet simultanément avec les
troubles
cardiaques caractéristiques, apparaissaient toujo
on de ces douleurs était suivie graduellement de la disparition des
troubles
du coeur. Il est possible que la cicatrisation
s formes cliniques en sont fournies par l'association avec d'autres
troubles
affectifs (délire mé- lancolique, délire hypoch
e parcourir les publications de ces dernières années, relatives aux
troubles
de la croissance, pour s'apercevoir immédiatement
plus ou moins altérées, et trahir leurs altérations par différents
troubles
, on pensait que ces altérations étaient très se
l infantilisme une origine hypophysaire, en le faisant relever d'un
trouble
de la pituitaire qu'on considérait jusqu'à ces de
développement musculaire. Station debout et marche correctes. Aucun
trouble
de la coordination, aucun mouvement anormal. II
ntaire, crémastérien, abdominaux, normaux. III. Sphincters. - Aucun
trouble
des sphincters vésicaux et rectaux. IV. Sensibi
ique bilatérale plus accentuée à droite. Acuité visuelle : 0. VI.
Troubles
t1'ophiques. - Peau un peu sèche. Engelures fréqu
'instruction qu'il a reçue, l'entrave apportée à la lecture par ses
troubles
visuels, l'intelli- gence de L... peut être con
a donc perturbé, tari peut-être la sécrétion hypo- physaire, et ce
trouble
a entraîné à la fois et l'arrêt de développement
t être considérée, selon nous, comme ayant déclenché ces différents
troubles
, elle ne saurait être rendue responsable de la
Organes génitaux externes et internes atrophiés. Absence de poils.
Troubles
visuels. Autopsie : Tératome calcifié de l'infu
ongénitale. A l'ouverture du kyste, 45 grammes en- viron de liquide
trouble
s'écoulent. Résultats post-opératoires : Amélio
e trouble s'écoulent. Résultats post-opératoires : Amélioration des
troubles
visuels. Cas de Raymard. - Homme de 17 ans, inf
es et physiologiques sur la marclie, Paris, 1885 (3) Maiunesco, Les
troubles
de la marche dans l'hémiplégie oiganique étudiés
e Mann de l'hé- miplégie) qu'on doit, d'après Grasset, attribuer le
trouble
décrit par Schüller pendant la marche de flanc
ed) et à celle des adducteurs de la cuisse, qu'on doit attribuer le
trouble
, chute du bord interne du pied, et par conséque
ner plutôt dans la direction du membre malade. La démonstration des
troubles
que nous venons de signaler se trouve très faci
ce type hystérique est le manque d'uniformité, de façon à ce que le
trouble
n'a pas les caractères de fixité qu'on observe da
édecins de l'Asile d'Aliénés d'Amiens. La question de la nature des
troubles
vasomoteurs que l'on rencontre parfois chez les
stations. Pour certains auteurs, partisans de l'Ecole ancienne, ces
troubles
seraient essentiellement symptomatiques de la n
s semble permis de conclure que chez notre sujet, la production des
troubles
vasomoteurs ne saurait être attribuée à d'autre
autorisent pas, croyons-nous, à les rattacher à autre chose qu'à un
trouble
purement fonctionnel du système nerveux. Il ne
ées, d'étudier une famille royale dont les membres présentèrent des
troubles
mentaux nfultiples : les Habsbourg d'Espagne. N
e la position normale, et en paraissaientde beaucoup plus petits.Ce
trouble
de l'ossification était localisé aux deux os ci
dances hypocondria- ques. Il est bon observateur et décrit bien ses
troubles
. Il s'intéresse aux re- cherches dont il est l'
imètres. Le grand diamètre des testicules : 5 centimètres. Pas de
troubles
de la sensibilité. Les réflexes rotuliens exagéré
normal. Il a suivi l'enseignement inférieur (8 classes). ' Pas de
troubles
viscéraux apparents. Sur les téguments quelques n
rtout celui du côté gauche sont plats. Le malade ne présente pas de
troubles
de la sensibilité. L'existence des réflexes rot
isponible. En tout cas, ils ne se produisent pas facilement. Pas de
troubles
viscéraux impor- tants. Le pouls plutôt rare, 6
). Cette malade a été internée dans l'hospice Màr- coutza) pour des
troubles
mentaux. Nous donnons ici les quelques rensei-
t pas réduit ainsi qu'on peut le voir sur les photographies. Pas de
troubles
des réflexes, de la sensibilité et de la motilité
cas à un état d'achondroplasie fruste. Cette malade a présenté des
troubles
psychiques qu'on peut étiqueter, pensons-nous,
, n° 1, 1910. G. Cnesrlrr et BONNET. - Micromélie rhizomélique avec
troubles
mentaux chez une jeune arabe. Nouvelle Icon. de
te une exagération du volume des épiphyses.On note en même temps un
trouble
de l'ossification portant sur l'ensemble du tissu
x démontrée. Peut-on, à la suite de nombreux auteurs, incriminer un
trouble
des glandes vasculaires sanguinaires ? Pour d
e travailler. Ces diverses particularités indiquent l'existence des
troubles
pluri-glandulai- res, sans cependant permettre
re, à une diminution de l'activité ostéogénique du périoste et à un
trouble
du métabolisme des substances calcaires et phos
des substances calcaires et phosphatées. 2° Elle provoque divers
troubles
de la nutrition, soit en modifiant elle- même l
recherches analomo-cliniquesonldémonlré l'existence chez l'homme de
troubles
et de lésions entièrement superposables à ceux qu
pement des animaux ayant subi l'extirpation du corps pituilaire. Le
trouble
dystrophique porte à la fois sur le cartilage,
er l'achon- droplasie comme une variété d'atéliose dans laquelle le
trouble
sécrétoire hypophysaire entraînerait simplement
e adiposique, d'une asthénie profonde, de bouffées de chaleur et de
troubles
circulatoires. (1) ASCOLI ET Legagm (de Pavis),
l'état normal et les yeux à paraître plus saillants que d'ordinaire,
troubles
qui ne furent cependant pas accompagnés d'autre
mai, sans cause apparente, le père s'aperçut que l'enfant avait des
troubles
dysarthriques très évidents. Environ 8 jours ap
plaint de douleurs dans aucune partie du corps, il n'a pas accusé de
troubles
de la vue, et a toujours donné l'impression de
mbent lourdement sur le lit. Dans les membres on ne remarque pas de
troubles
tropbiques et il n'y a pas tendance à aucune po
adie actuelle commença vers les premiers jours de mai 1912 avec des
troubles
dysarthriques, auxquels fit suite une forte dimin
vraie tétraplégie. Dans les derniers temps, le malade présenta des
troubles
de la respira- tion, des sanglots et de la diff
culté à la déglutition des aliments solides. On n'observa jamais de
troubles
vésicaux ni de la défécation. L'examen pratiqué
en doute au sujet des deux maladies. Chez mon malade, en somme, les
troubles
de la vue étaient très prononcés, il n'existait
aquelle se présenta l'ensemble symptomatique,entre l'apparition des
troubles
dysarthriques et l'apparition de la tétraplégie,
s, ni aucun mal à la tête. La forme spéciale du crâne, les notables
troubles
de la respiration, les résultais de la ponction
qu'à envahir tous, ou presque tous les troncs nerveux, l'absence de
troubles
sensitifs est exceptionnelle, de même qu'une au
semble symptomatique en somme, lequel, faisant abstraction d'autres
troubles
, ne se pouvait certainement invoquer comme base d
es mouvements de la langue, déglutition, dif- ficile ou impossible,
trouble
de l'innervation oculaire, respiration difficile
le de l'innervation oculaire, respiration difficile et stertoreuse,
troubles
de l'équilibre, allure ébrieuse, avec ou sans d
éacu- tisée en prenant des proportions notables, jusqu'à donner des
troubles
gra- ves. Que cette augmentation se soit vérifi
améliorent encore, pendant que des mouvements choréi- formes et des
troubles
cérébellaires se rendent évidents. Une troisième
es jours qui suivent la troisième et dernière ponction que tous les
troubles
disparaissent ou s'améliorent tellement que, le 1
utres considérations me sont permises au point de vue clinique. Les
troubles
de la parole et les symptômes cérébelleux furent
lement, chez mon malade,les premiers à apparaître devaient être les
troubles
du langage, et les symptômes cérébelleux, furent
pirait que rarement, ses mains pas du tout. Sa peau ne montre aucun
trouble
vasomoteur, tel que refroidissement ou chaleur. I
dies mentionnées. Il n'y avait guère de raison de diagnostiquer des
troubles
amyotrophiques. Contre ces der- 28 HNATEK niè
. Revenue complètement de son état comateux, elle se plaint de voir
trouble
. Rétention d'urine : 600 grammes en 24 heures, go
paralysie, aussi complète qu'au premier jour, semble définitive.
TROUBLES
DE L'ÉCRITURE PAR ARTHROPATHIE DE L'ÉPAULE CHEZ
es muscles moteurs des articulations des doigts ou du poignet, elle
trouble
du sens musculaire, la diminution, perle ou perve
du sens musculaire, la diminution, perle ou perversion dé Fig. i.
TROUBLES
DE L'ÉCRITURE PAR ARTHROPATHIE DE L'ÉPAULE 243
s réflexes automatiques et volontaires. Nous venons d'observer un
trouble
scriptural encore plus accentué. Le cas en est
de habitude delà plume. -Il a 40 ans, son chancre date de 1892, ses
troubles
urinaires (lenteur de miction), de 1900, et les
plus aucune direc- tion. Quelle est, ici, la cause efficiente du
trouble
? ' ? Nous faisons déshabiller le malade,un peu
ment de la moelle épinière. Nous pouvons rattacher à ces signes les
troubles
de la mic- tion, le malade se trouvant en plein
enot, Saint-Dizier (Haute-Marne). GIGANTISME EUNUCHOÏDE Étude DES
TROUBLES
DE la SÉCRÉTION INTERNE DU TESTICULE. -j Dissoc
interne. par R J. REBATTU, et L. GRAVIER, de Lyon L'étude des
troubles
du développement du squelette a donné lieu ces
à usités, des appellations plus exactes tirées de la nature même du
trouble
. Mais les problèmes pathogéniques ne se solutio
iques et anatomo-pathologiques, nous per- mettent de rapporter à un
trouble
de sa fonction certains syndromes jus- qu'ici m
dernier, une dysorchidie fréquente, sans éliminer complètement les
troubles
des autres glandes à sécrétion interne, notamme
autorisent à admettre, à côté du gigantisme acromé- galique dû à un
trouble
hypophysaire, un gigantisme causé par un trouble
é- galique dû à un trouble hypophysaire, un gigantisme causé par un
trouble
de la sécrétion interne du testicule. C'est ce
condaires, et sont de plus affligés d'une remarquable obésité et de
troubles
psychiques. Il semble que Widal et Clerc aient
effet, si les eunuques ont assez souvent, mais secondairement, des
troubles
glandulaires divers, thyroïdiens, hypophysaires,
de réserver le terme d'eunllchisme ou toute épithète dérivée, à un
trouble
pur immédiat de la sécrétion interne du testicule
us les castrats (naturels ou opératoires) qui ne présentent que les
troubles
classiques de l'insuffisance testiculaire : gigan
igantisme infantile dont la tare squelettique est le seul indice du
trouble
de la fonction glandulaire du testicule, tandis
ier. Mais si ce dernier terme indique bien le caractère passager du
trouble
glandulaire mis en cause, il a le double tort,
oute congénitale. Absence de la sécré- tion externe du testicule. -
Troubles
de la sécrétion interne du testicule : 1° Exagé
olu- ment normaux, et on sent bien l'isthme thyroïdien. : i Aucun
trouble
non plus qu'on puisse rapporter aux surrénales. I
llaires sont normaux. Aucune névralgie. L'abdomen est normal. Aucun
trouble
des fonctions digestives. Matité hépatique norm
Pi. XXXIX, XL, XLI). (Service du D'' LECLEnc.) Diagnostic résumé.
Troubles
de la sécrétion interne du testicule : exagé- r
peu abon- dante. L'appétit est bien conservé, et il n'existe aucun
trouble
digestif. Les urines ne contiennent pas d'album
u'à partir de 13 ans, et il fut alors un peu fatigué. On parla de «
troubles
de croissance ». 266 REBATTU ET gravier Lorsq
défaut ; . 3° L'absence de tout symptôme pouvant être attribué à un
trouble
fonc- tionnel d'une autre glande endocrine. I
ous n'avons relevé aucun signe qui puisse permettre d'incriminer un
trouble
de la fonction thyroïdienne : non seulement il
l n'y a pas d'hémianopsie. D'autre part, à supposer qu'il existe un
trouble
de la sécrétion interne, sans hypertrophie de l
du maxillaire inférieur. Il n'est pas impossible toutefois que des
troubles
acromégaliques sur- viennent ultérieurement, pa
harger le tableau du gigantisme eunuchoïde. Par contre, les seuls
troubles
que nous avons pu mettre en évidence chez nos s
s secondaires : système pileux, mue de la voix, etc... Enfin, les
troubles
squelettiques que l'on a observés chez les eunuqu
ns retard de soudure des carti- lages de conjugaison. Mais si ces
troubles
sont actuellement assez bien connus, et si on sai
odalités cliniques. Les cas de gigantisme eunuchoïde pU ? dus à des
troubles
testiculaires isolés, sont peu nombreux. Nous n
(2) Pmscus, Thèse de Lyon, 1902-1903. 27o , REBATTU ET GRAVIER
trouble
fonctionnel persiste : aucun des caractères sexue
t supérieure à la moyenne. Peut-être bien y a-t-il eu aussi quelque
trouble
, probablement un retard, de la sécrétion intern
ons donner une classification des divers syndromes réalisés par les
troubles
des sécrétions testiculaires pour situer le gigan
Les dimensions exagérées de ses os restent là comme la cicatrice du
trouble
fonctionnel. De plus ses caractères sexuels secon
ssent pas. Il n'est pas rare dans ces cas de voir survenir d'autres
troubles
glandu- laires, mais il convient de ne pas les
articulière, nous reste à envisager. C'est le cas de sujets dont le
trouble
testiculaire s'établit, non plus dans l'enfance
euvent varier à l'infini, suivant le mode de combinaison des divers
troubles
. D'un syndrome testiculaire pur on passe ainsi
ssez grand nombre de cas où la sclérodermie s'est associée fui. des
troubles
basedowiens. En effet, à côté des cas présentan
phtalmique, il y en a encore toute une série où l'on a constaté des
troubles
sclérodermiques associés il des manifestations d'
n doit donc en déduire que la relation entre la sclérodermie et les
troubles
thyroïdiens est probablement plus compliquée qu
ertaines variétés de dermato-sclérose, doit être recherchée dans un
trouble
de la nutrition cutanée relevant d'une perturba
oitre, de l'exophtalmie, de la tachy- cardie, des tremblements, des
troubles
oculaires, des crises de diarrhée, des bouffées
ant, avec le diagnostic de Basedow. Depuis deux ans elle souffre de
troubles
cardiaques, de la mala- die de Raynaud et de sc
érodermie en relation avec des lésions nerveuses, produites par des
troubles
thyroïdiens. Môller (3) a publié un cas d'assoc
feld (3) présente une femme chez laquelle il est apparu d'abord les
troubles
sclérodermiques, puis les symptômes de Basedow, a
sion ou une névrose du sympa- thique à laquelle il s'ajouterait des
troubles
glandulaires et des autotoxi- nes intestinales,
tions dites rhu- malismales (Rhumatisme chronique, artériosclérose,
troubles
vaso-moteurs et lrophi- ques des extrémités, sc
le. ' Huismans (1) a noté dans un cas de sclérodermie, parmi divers
troubles
des glandes endocrines, ceux de l'insuffisance
altérées et que le sympathique intervient dans la production de ces
troubles
. Cependant la sclérodermie ne serait pas, dans
le syndrome sclérodermique beaucoup plus uniforme. Or les cas avec
troubles
thy- roïdiens sont très fréquents, tandis que c
ervical. Celte hy- pothèse est applicable aux cas où coexistent des
troubles
thyroïdiens avec la sclérodermie de la face et
ications des systèmes sympathique etaulonome sont secondaires à des
troubles
thyroïdiens. Nous ne sommes pas les partisans d
la totalité des cas. La cause la plus fréquente est sans doute les
troubles
thyroïdiens. Mais (1) L. HUIS11AN8, Ueber die B
s sympathiques ainsi que para-sympathiques.C'est à peine, quand les
troubles
s'étendent aux centres de la sécrétion interne, q
ffé- rents segments du système végétatif. Leur cause réside dans un
trouble
héréditaire ou acquis de ce système. De l'exi
héréditaire ou acquis de ce système. De l'existence fréquente de
troubles
thyroïdiens dans des nombreux cas de scléroderm
s atrophiques du corps thyroïde, on doit de même ad- mettre que les
troubles
sclérodermiques apparaissent seulement dans les
ement la tendance qui s'est accusée parmi les auteurs d'en faire un
trouble
consécutif à une altération des glandes à sécré
landes surréna les (Licht- witz, Haushalter, Spillmann), soit à des
troubles
des ganglions mésentéri- ques (Schwerdt), soit
uës quand elle touchait l'eau froide. Depuis le commencement de ses
troubles
, ses règles sont devenues incons- tantes d'abor
e cuir chevelu. La malade a noté une exacerbation très nette de ces
troubles
et de ces dou- leurs pendant l'hiver; alors ell
blanchâtres assez épaisses. Les ongles sont atteints par les mêmes
troubles
trophiques que nous avons décrits aux doigts de
dineux et périostés aux membres supérieurs sont plutôt vifs. Pas de
troubles
du côté des sphincters. Du côté du système lympha
des sphincters. Du côté du système lymphatique, il faut relever les
troubles
vasomoteurs, les crises sudorales et les altérati
ien aux poumons, coeur en limites normales, rythme régulier, pas de
troubles
du côté de l'innervation cardiaque, pas de signes
es (Voir PI. XLIII, Fig. 4 et 5), montre qu'il s'agit de véritables
troubles
trophiques qui n'intéres- sent pas seulement le
gne métacarpo- phalangienne, se présente au contraire, complètement
trouble
par un processus ankylosant qui rappelle absolu
. - Pieds. Ici encore la radiographie met en évidence de véritables
troubles
trophiques, surtout au niveau des dernières pha
é de son con- tour, les interlignes articulaires des phalanges sont
troubles
. Les altérations osseuses s'arrêtent au niveau
L'acrocyanose et la sclérodactylie sont encore accompagnées par des
troubles
d'asphyxie locale des doigts, identiques à ceux q
avons obtenu aucun résultat appréciable, ni aucune modification des
troubles
trophiques. Nous croyons que si le doute de syr
beaucoup pour savoir si, dans la sclérodermie, il y avait ou non un
trouble
de cette sécrétion, et si ce trouble consistait
rodermie, il y avait ou non un trouble de cette sécrétion, et si ce
trouble
consistait en diminution ou exagération des sue
Les auteurs sur ce point s'ac- cordent généralement à dire que ces
troubles
sont peu accusés, bien que le plus souvent on r
tre comment ces dyschromies pigmentaires relèvent certainement d'un
trouble
profond de la nutrition générale. A propos de l
rtrophie et l'atrophie consécutive de cette glande sont liées à des
troubles
de la circulation thyroïdienne, commandés eux-m
phalanges. Ainsi donc, tandis que dans l'acromégalie il s'agit d'un
trouble
d'hy- pertrophie progressive, dans la scléroder
e d'hy- pertrophie progressive, dans la sclérodermie nous voyons un
trouble
de résorption endogène atteignant les mêmes par
lus facile d'admettre qu'elle soit vraiment sous la dépendance d'un
trouble
thyroïdien . Je passe enfin à traiter la ques
graves concomitants, caractérisés par de l'atrophie musculaire, des
troubles
vaso-moteurs, tro- phiques et des troubles de l
atrophie musculaire, des troubles vaso-moteurs, tro- phiques et des
troubles
de la sensibilité. En plus nous ajouterons qu'i
ent scléroder- miques il existe encore des taches pigmentaires, des
troubles
thermiques, des lésions atrophiques, des altéra
s articulations, qui auraient une tendance à l'ankylose. Tous ces
troubles
d'ordre trophique ont donné lieu à des erreurs de
ine au plus), il est facile de constater parmi elles l'existence de
troubles
trophiques de la peau à allure franchement scléro
s musculaires sont atrophiées, le facies est adénoïdien, il y a des
troubles
articulaires et la peau est sclérémateasse. Dan
juil- let 19C0. ETUDE RADIOLOGIQUE D'UN CAS DE SCLERODERMIE 307
troubles
articulaires, limitation des mouvements, troubles
SCLERODERMIE 307 troubles articulaires, limitation des mouvements,
troubles
de la sensibi- lité, troubles vaso-moteurs et t
iculaires, limitation des mouvements, troubles de la sensibi- lité,
troubles
vaso-moteurs et trophiques ; les extrémités sont
s la maladie dite : pierres de la peau, très fréquemment il y a des
troubles
franchement sclérodermiques. Pour mieux établ
production de ces dépôts calcifiés. La sclérodermie serait donc le
trouble
trophique initial qui entraînerait à sa suite la
e multiples symptômes (je syphilis tels que déformations tilriales,
troubles
laryngés, réaction de Wassermann et en même tem
aucher (2) le soutient, comme la conséquence des intoxications, des
troubles
de la nu- trition générale, des infections tell
ésions nerveuses. Pour Gaucher la syphilis agi t en déterminant des
troubles
de la nutri- tion. Pierre Marie et Crouzon (3
accentuée. On notait encore une double atrophie de la papille avec
troubles
du réflexe pupil.- laire. Ils rappellent à cett
insiste sur lerôle de cette dernière maladie dans l'étiologie de ce
trouble
trophique. L'infection spécifique agirait par l'i
matiques banales. Enfin la syphilis pourrait déterminer parfois des
troubles
de la pigmentation, rappelant ou simulant le vi
nt dans le même sens, car la syphilis est cer- taine. Mais comme le
trouble
trophique cutanéest congénital, il faut admet-
tiologie ou dans la pathogénie du vitiligo on a incriminé aussi les
troubles
delà nutrition, produits dans certains cas par de
l'avons vu, Gaucher pense que la syphilis agit en déter- minant des
troubles
de la nutrilion. En ce qui concerne ces trouble
éter- minant des troubles de la nutrilion. En ce qui concerne ces
troubles
, nous pensons qu'ils pourraient agir de deux fa
ligo par une atteinte directe du système nerveux. L'influence des
troubles
nerveux dans la pathogénie du vitiligo nous sem
rgyll,du myoss,une paralysie de la corde vocale gau- che, mais sans
troubles
des réflexes tendineux et sans douleurs fulguran-
le atrophie des'nerfs optiques. Deux malades ne présentaient pas de
troubles
du névraxe. Les auteurs pensent que dans les qu
suivit les communications précédentes, fit re- marquer que pareils
troubles
de développement se rencontrent dans la syphili
du sympathique à une région déterminée de la moelle épinière. Les
troubles
de sensibilité, bien que légers, notés dans ce ca
ait être faite pour notre ma- lade, car elle nous a affirmé que son
trouble
existe depuis sa naissance, ce qui nous a été c
haut décrite, semble indiquer el jp aussi que l'a topographie de ce
trouble
pigmentaire n'est pas accidentelle. On pourrait
cas de Delmas et Roger, on peut penser, dans le nôtre aussi, à des
troubles
endocrines constituant une cause générale pour le
, à des troubles endocrines constituant une cause générale pour les
troubles
de la pigmentation. La petite taille de la malade
les de la pigmentation. La petite taille de la malade ainsi que ses
troubles
menstruels justifient cette manière de voir. Ma
; mais après un examen précis, on a constaté qu'il n'y avait pas de
troubles
du ses- tème nerveux. Le malade n'est pas hysté
est dans la plupart des cas symétrique, et qu'il y a des signes de
troubles
trophiques, tels que les petits ulcères sur les
autre, et que chez ceux qui ont été atteints d'aphasie motrice avec
troubles
du langage intérieur, autrement dit d'aphasie d
cédés pédagogiques, ayant pour base la physiologie pathologique des
troubles
du langage. Chez ces deux malades le langage s'ét
truit difficilement des phrases, cherche long- temps ses mots ; les
troubles
augmentent sous l'influence de l'émotion. Le 28
en les mots en général; elle sépare chaque syllabe, mais n'a pas de
troubles
d'articulation, ni d'omission ou d'altération de
l n'est lu qu'horizontalement les lettres accolées. Il y a donc des
troubles
latents de la lecture mentale très prononcés; l
'étaient compris qu'après avoir été prononcés (par consé- quent les
troubles
de la lecture mentale persistaient). Enfin l'écri
chez elle un cer- tain degré de cécité verbale. Il y a aussi des
troubles
latents de la lecture mentale. Les mots PARIS et
oculaires. La langue et le voile du palais ne sont pas déviés. Pas de
troubles
pupillaires. Vue bonne. Diminution notable de l
DRÉ-THOMAS fluence de la grippe il y eut une recrudescence dans les
troubles
du lan- gage - ; la restauration de la lecture
t l'examen de la face de la malade, on ne constate d'aucun côté, de
troubles
trophiques ou vaso-moteurs, pas de sudation, pas
e hyperesthésie très marquée qui a disparu complètement depuis. Les
troubles
du goût qui se mon- trèrent au début de la para
05. Elle est atteinte de paralysie faciale ancienne et se plaint de
troubles
cérébraux divers. On ne trouve rien à signaler
pendant huit jours et disparurent ensuite pour ne plus revenir. Des
troubles
de la vue apparurent aussi en même temps : les gl
un moment; il n'y eut cependant jamais de paralysies oculaires; ces
troubles
de la vue persistèrent pendant dix-huit mois et s
voile sont normaux et nullement déviés à droite ou à gauche. Pas de
troubles
de la déglutition. Le peaucier se contracte trè
l'autre. L'examen de la face ne révèle l'existence d'aucun côté de
troubles
trophi- ques ou vaso-moteurs ; ni sudation ni l
mois après l'apparition de sa paralysie faciale. Elle n'a pas eu de
troubles
de l'ouïe. Le goût et l'odorat sont normaux. Ex
gauche. En poursuivant l'examen de la malade, on ne constate aucun
trouble
de la motilité des globes oculaires. Les pupill
idation épi- leptoïde du pied ni de la rotule. Il n'existe pas de
troubles
de la sensibilité cutanée du tronc ou des mem-
roubles de la sensibilité cutanée du tronc ou des mem- bres; Pas de
troubles
du sens stéréognostique ni à droite ni à gauche.
auche. - Les organes splanchniques fonctionnent normalement. Pas de
troubles
des sphincters. Rien au coeur ni aux poumons. H
trie du visage. Examen de la motilité de la face. Il n'existe aucun
trouble
de la moti- lité de la face du côté gauche. D
otilité des membres est parfaite. Les réflexes sont normaux. Pas de
troubles
de la sensibilité ou des organes des sens. Les
organes splanchniques sont normaux. On constate seulement quelques
troubles
digestifs et une augmentation du volume du foie.
er. Dans ses chutes elle ne s'est jamais fait mal. Il n'y a aucun
trouble
moteur portant sur les bras ou les jambes. La par
ues traces d'albumine.Or l'urémie peut s'accompagner de céphalée,de
troubles
visuels, de paralysies plus ou moins complètes,
rvés en deux grandes catégories, des symptômes cérébraux (céphalée,
troubles
visuels, paralysies de la face et du membre sup
t du membre supérieur gauches) des symptômes médullaires (Kernig et
troubles
sphinctériens),nous nous trouvons en pré- sence
it pas y avoir eu infection puerpérale nette. Il n'a été noté aucun
trouble
utérin (réten- tion de membranes, hémorragies),
tuberculomes multiples de l'encéphale (7 fois sur 41 cas). Si les
troubles
paralytiques et jacksoniens pouvaient être expliq
MES MULT1PLFS DU CERVEAU ET DES MÉNINGES 4 os et de la face; si les
troubles
visuels trouvaient leur justification dans la l
la couche optique, il n'en reste pas moins que nous n'avions pas de
troubles
psychiques malgré l'atteinte des lobes frontaux
tie postérieure des cavités crâniennes nous n'avions pas le moindre
trouble
des sensations gustatives. Enfin, seul l'hémisp
se, dans les néoplasmes (1) de l'encéphale, que tout autant que les
troubles
de l'équilibre sont augmentés parla position co
rculome du cervelet. Province médicale, 7 janvier 1911. Sctlotrz. -
Troubles
des sensations gustatives à la suile des tumeurs
de ces dernières années, sur les syndromes liés aux lésions ou aux
troubles
fonctionnels des glandes à sécrétion interne. Dan
sément, depuis plusieurs mois, un malade qui présente un mélange de
troubles
dystrophiques à type d'infantilisme, et de trou
e un mélange de troubles dystrophiques à type d'infantilisme, et de
troubles
métaboliques à type de diabète insipide. Certaine
e, nous induisent à admettre en l'espèce, comme ]J1'imum movens des
troubles
observés, une altération de l'hypophyse, sans nie
ment craquelée, froide et sèche; du côté des ongles il n'y a pas de
troubles
trophiques. Les aisselles sont presque entièrem
es masses mus- culaires ; la peau est normale et il n'existe pas de
troubles
trophiques du côté des ongles des pieds. Les
es sont normaux. Il n'y a pas d'hémianopsie bitemporale ni d'autres
troubles
de la vision ; l'examen du fond de l'oeil ne ré
s morbides diverses que l'on peut ranger- sous deux chefs : 1* Un
trouble
du développement portant sur le squelelte et le s
t aboutissant à un habitus général d'infantilisme eunuchoïde; 2° Un
trouble
de la nutrition générale caractérisé non seulemen
ophyse, puis à son tour intervenir dans la constitution de certains
troubles
trophiques, comme l'agénésie pilaire. Même dans
tifs de tumeur hypophysaire (signes de compression infra-crânienne,
troubles
graves de ,la vue, élargissement de la selle tu
(2) concernant un syphilitique qui à l'âge de 24 ans fut alteint de
troubles
oculaires graves, de céphalée et d'accidents déli
de Schiifer (1) ont montré l'influence sur la diurèse, soit par un
trouble
général du métabolisme de l'eau, soit par une aci
le sperme contenait des spermatozoïdes vivants. Il n'existait aucun
trouble
de la vue. La radiographie montra une balle sié
que subite- menlpolydipsique elpolyurique chez lequel, en raison de
troubles
d.pstro- phiques encore assez discrets (étant d
pide vient corroborer notre hypothèse de la nature hypophysaire des
troubles
dystrophiques qu'il présente. Il est en effet s
r le siège de la lésion glandulaire qui nous pa- raît commander les
troubles
observés, il y aurait lieu de rechercher si l'o
ue, Schüller (10) publia de nouveaux cas, Ponfick (11) attribua les
troubles
oculaires à une stase papillaire par ré- trécis
sur l'oxycéphalie est due à ce que celte malformation n'entraîne de
troubles
mentaux qu'autant qu'elle se com- plique de mic
a étaient en effet porteurs, soit de végétations adénoïdes, soit de
troubles
de la thyroïde, soit d'hypotrophie sexuelle, so
bilatérale très prononcée, datant de la première enfance, mais sans
troubles
visuels graves, conclut, lui aussi, en présence
xycéphalique incomplet (PI.LIX). Ni l'un, ni l'autre ne présente de
troubles
fonctionnels ou physiques des glandes pha- ryng
organique ne décèle rien : corps thyroïde non perceptible mais sans
trouble
thyroïdien. Testicules et système pileux normaux.
alades se distinguent de ceux de l'auteur italien par leman- que de
troubles
glandulaires. Notre enfant a bien une déformation
rd, Erdheim, Weicliselbaum et Escherich. Mais si la coexistence des
troubles
fonctionnels glandulaires avec les signes class
2) qui les compare aux adénopathies tuberculeuses et syphilitiques.
Troubles
glandulaires, troubles osseux, et troubles intell
adénopathies tuberculeuses et syphilitiques. Troubles glandulaires,
troubles
osseux, et troubles intellectuels ne pourraient
leuses et syphilitiques. Troubles glandulaires, troubles osseux, et
troubles
intellectuels ne pourraient-ils pas être envisa
LE FAMILIALE 447 Notons tout de suite que le malade n'éprouve aucun
trouble
fonctionnel, de quelque espèce que ce soit. Son
Les réflexes, quels qu'ils soient, sont normaux. Il n'existe aucun
trouble
de la sensibilité cutanée, aucun trouble trophiqu
normaux. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité cutanée, aucun
trouble
trophique soit au niveau de la peau soit au niv
us éliminerons également vite l'oxycéphalie. Notre sujet n'a ni les
troubles
fonctionnels ni les caractères osseux de celle dy
e est normale. Rappelons pourtant, à cause du caractère familial du
trouble
qui nous occupe, l'observation d'OEttinger et A
ace rapetissée par contraste, pourrait nous arrêter davantage ; les
troubles
intellectuels peuvent y être absents (le diplom
ssissemeut uniforme delà boite crânienne ; 4° l'absence complète de
troubles
fonctionnels. ÉTUDE DE LA BASE DU CRANE DANS
éra- lion de cette base n'est pas sans jouer un grand rôle dans les
troubles
morphologiques et peut-être dans les troubles b
n grand rôle dans les troubles morphologiques et peut-être dans les
troubles
biologiques qui surviennent au cours de cette a
TUDE DE LA BASE DU CttANE DANS LA MALADIE DE PAGET 467 que bien des
troubles
, assez fréquemment signalés dans le cours delà ma
s le crâne ou qui en sortent : il en est ainsi sans doute de divers
troubles
mentaux, de troubles auriculaires ou oculaires,
sortent : il en est ainsi sans doute de divers troubles mentaux, de
troubles
auriculaires ou oculaires, de troubles vaso-mot
divers troubles mentaux, de troubles auriculaires ou oculaires, de
troubles
vaso-moteurs et tiopliiques, peut- être aussi d
s vaso-moteurs et tiopliiques, peut- être aussi de quelques-uns des
troubles
circulatoires et respiratoires dont cerlains so
s. Les mains sont tout à fait acromégaliques (type large), avec des
troubles
trophiques aux ongles, excepté pour les pouces.
ont tous les caractères des pieds acromégaliques, et y a .aussi des
troubles
trophiques sur les ongies Il y a de la macrogloss
sont faibles. Le signe d' \ rgyll-Roht'I'tsou est très net. Pas de
troubles
de la sensibilité objective. Le malade se plaint
ent de la rétine. La vision est presque abolie de ce côté. Pas de
troubles
psychiques. Rien de remarquable en ce qui conce
s symptômes qui sont communs aux deux maladies : l'impuissance, des
troubles
trophiques, des troubles de la vision, des doul
uns aux deux maladies : l'impuissance, des troubles trophiques, des
troubles
de la vision, des douleurs, qu'il est important d
bolie pour le squelette de la moitié inférieure du corps. - Comme
troubles
sphinctériens, le malade présente incontinence de
leurs, il avait recours chaque soir aux injections de morphine. Les
troubles
vésicaux nécessitaient un cathété- risme journa
frissons avec ascensions thermiques. 15 décembre. On constate un
trouble
du rythme respiratoire. A quelque intervalle, d
écembre 1911. Il se présente à l'hôpital avec une paraplégie et des
troubles
de motilité dans les mains. Comme antécédents,
éteint le cierge à une distance de 16 centimètres. Il présente des
troubles
du sens coenesthé- sique, ainsi, il dit sentir
. De même les réflexes abdominaux. Pas de signe de Babinski, pas de
troubles
sphynctériens. 9. Le signe de de Graefe n'est p
et la majorité dus cas observés par divers auteurs ont présenté des
troubles
des membres inférieurs - paraplégie - et l'examen
nter toutes les variantes possibles, de la forme légère avec petits
troubles
de la démarche, douieurs lombaires et sur le tr
symptômes étant l'expression d'une lésion tout à fait il diffuse. Les
troubles
ont paru trois jours après une rachianesthésie
ssi par Sicard dans le mal de Pott, fut attribué par Mestrezal à un
trouble
mécanique, il la stase du liquide céphalo-rachidi
oration avec Ravaut et Aubourg ont cherché une explication pour les
troubles
de différente nature, ottsetvés en telles occas
phocytes, sorties des vaisseaux de la pie-mère, en rapport avec les
troubles
méningés observés. On trouve même parfois des liq
n dehors de la réaction méningée, notre malade a présenté aussi des
troubles
indiquant 'des lésions notables des éléments ne
t êlre passagère, réversible ; en certaines occasions pourtant, des
troubles
de plus longue durée et même persistants, peuvent
la suite du grattage d'une ostéite bacillaire. On a mis parfois les
troubles
observés sur le compte des infections par les m
, par Leuebocllet, FAUllr.-BEAULH : U et AUCitEn, 410. Ecriture (
Troubles
de l'- par arthropathie de l'épaule citez un ta
, pur n'BATTU et GR.IIOEII, 251. Gigantisme eunuchoide (Etude des
troubles
de la sécréttort interne du testicule. Dissocia
8. Tabes et acromégalie, par ALOr,co de CASTRO, 469. Tabélique (
Troubles
de l'écriture par arihro- pathie de l'épaule ci
on du pied chez une -), par Marie et BOUT11r : U, 473. Testicule (
Troubles
de la sécrétion interne du -. Gigantisme eunuch
A propos d'un cas de névrome d'amputation, 324. Manheimer Gommés.
Troubles
de l'écriture par arthopathie de l'épaule chez
temps à uriner qu'avant d'être malade, mais il ne présentait pas de
troubles
des sphinc- ters. Cette gène de la miction tena
vons recueillis de la bouche de sa femme, Ch... n'a pas présenté de
troubles
de l'intelligence ou de la mémoire ; son caract
mais moins qu'au début de sa maladie, à ce qu'il prétendait. Les
troubles
de la parole, présentés par le malade, reconnaiss
cte de donner un baiser. Il ne présentait pas, non plus, le moindre
trouble
de la sensibilité ob- jective superficielle; au
vait pas de douleurs spontanées. Il ne présentait pas non plus de
troubles
de la gustation et de l'audi- tion. Le réflex
-pied, au genou, au poignet, au coude. 01 On ne constatait pas de
troubles
vaso-moteurs bien nets; toutefois la températur
aux réflexes rotuliens, ils sont abolis des deux côtés. En fait de
troubles
vaso-moteurs, on ne constate pas de refroidisseme
issement diffus des muscles. Elle ne s'accompagnait pas non plus de
troubles
de la sensibilité objective bien accusés, ni de
on plus de troubles de la sensibilité objective bien accusés, ni de
troubles
vaso-moteurs, ni de troubles des fonctions sphinc
sibilité objective bien accusés, ni de troubles vaso-moteurs, ni de
troubles
des fonctions sphinc- tériennes, ni de troubles
vaso-moteurs, ni de troubles des fonctions sphinc- tériennes, ni de
troubles
des fonctions intellectuelles. Par contre, il y
une paralysie exclusivement motrice, sans douleurs spontanées, sans
troubles
concomitants de la sensibilité objective, sans co
dire surtout des cas où une poliomyélite antérieure se complique de
troubles
cardiaques et respira- toires, sous la forme d'
- rieure aiguë se présentent presque toujours sous cette forme. Des
troubles
en rapport avec une paralysie des muscles de l'
èse d'une polynévrite. On en peut dire autant du peu de gravité des
troubles
cardiaques et respira- toires qu'il a présentés
n finir avec ce qui concerne l'état de la sensibilité, l'absence de
troubles
objectifs que nous constatons chez notre malade
nce très nette, certains groupes de muscles, et de l'absence de ces
troubles
vaso-moteurs qui, dans les cas de poliomyélite an
vie sont donc con- sidérables. Aussi bien, chez notre malade, les
troubles
cardiaques et respiratoires, qui impliquaient u
s réllexes rotuliens sont diminués mais non abolis. Il n'y a pas de
troubles
de la sensibilité. Le malade est légèrement con
tude et de fai- blesse semblable il celle qui a marqué le début des
troubles
du côté des mem- bres inférieurs. Un seul phé
manifestations qui attirent d'abord l'attention. Il n'existe pas de
troubles
de la sensibilité; pas de troubles trophiques ; p
l'attention. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité; pas de
troubles
trophiques ; pas de modifica- tions du côté des
iffèrent essentiellement, c'est dans l'absence chez notre malade de
troubles
de la sensibilité, de troubles vaso- moteurs et
dans l'absence chez notre malade de troubles de la sensibilité, de
troubles
vaso- moteurs et trophiques, dans l'ahsence sur
Idem. Idem, (des membres tout à fait normale. supérieurs). Pas de
troubles
ob- jectifs. Les troncs nerveux ne sont pas
le. existe, assez pro- électrique. ( . nonce. Sensibilité. Pas de
troubles
\\ objectifs de la sen- sibilité. I Subject
as, est légère- ment rétréci (concentriquement) chez Michel. Pas de
troubles
d'accommodation ni de rétraction. Ouïe. norma
re grossesse laquelle, grâce au traitement, vint à terme sans aucun
trouble
; l'enfant qui naquit heu- reusement est le suj
enfant est de bonne venue ; la dentition s'est complétée sans aucun
trouble
; les fonctions gastro-intestinales sont excellent
urs il une saignée. Après guérison,G... n'accusait aucune espèce de
trouble
dans la locomotion, dans le fonc- tionnement de
debout est impossible sans point d'appui. Depuis longtemps déjà ces
troubles
de la marche s'accentuaient progressivement; le t
utres termes, si nous devons à ces auteurs de pouvoir localiser les
troubles
des étages aadic2tlaires ou rhi- zomères, le jo
- zomères, le jour me semble prochain où nous saurons localiser les
troubles
des étages ou myélomères. I. Les trophonévros
te proposition, car elle renferme toute la question. Bref, sans les
troubles
de la sensibilité qu'on observe dans la syringo
e (Fig. 1). Enfin à la suife de l'éruption, se mon- trèrent des
troubles
de sensibilité repro- duisant encore la même di
l'altération portant au niveau métamérique de la cuisse gauche, les
troubles
sensitifs et cutanés Fig. 1.- Les lignes obliqu
ais non pas de toutes - peuvent se dé- clarer sous l'influence d'un
trouble
nerveux, ce qui diminue d'autant leur prétendue
ue ses imperfections ou ses défaillances favorisent l'apparition de
troubles
divers, dont il ne saurait être tout seul respo
'en est pas moins vrai que la participation de plusieurs nerfs à un
trouble
trophique procédant régu- lièrement de l'extrém
ion du réseau muqueux qui les recouvre (1) ». Tel est l'ensemble du
trouble
trophique, ainsi qu'il résulte des observa- tio
celui-là non publié encore, de tout point identique au premier. Le
trouble
trophique étant, sans contestation possible, so
nière de voir. On ne peut en effet s'expliquer autrement que par un
trouble
de l'innervation trophique la disposition zoni-
cision topographique que dans les dermato- ses. Et ici cependant le
trouble
dystrophique ne semble pas jouer le rôle princi
, telle qu'on l'observe dans les onyxis, n'a rien de commun avec ce
trouble
de nutrition. Mais il l'opinion que je soutiens
II. Certaines éruptions ont les apparences et donnent l'illusion de
troubles
trophiques métamérisés conformément à la segmenta
spinale, on doit le considérer comme relevant bien plus souvent de
troubles
localisés aux départements périphériques du systè
n. Aussi les causespathogéniqucs ne peuvent- elles produire que des
troubles
de formation, de développement, c'est-à- dire a
ie et ses fonctions, que par des actes de développement, et que les
troubles
de sa vie et de ses fonctions ne peuvent être que
es du tégument comme celles de l'appareil musculaire, relèvent d'un
trouble
FIA'. 15. - Sujet amyélencéphate, né à l'hôpita
88 B. BRISSAUD plus on moins grave de la segmentation des cellules.
trouble
autochtone, et dont la persistance est comme la
a dystrophie est familiale : indice qu'elle est inhérente à un même
trouble
morphogénique. La même viciation des phénomènes
possible d'invoquer ici une prédisposition anatomique créée par un
trouble
circulatoire antérieur ou par une myélopathie. D'
-dessus rapportés grosso modo persistant mais sans s'accompagner de
troubles
permettant de songer à des lésions cérébrales. La
nc le plus grand intérêt à recueillir les faits de cet ordre où les
troubles
moteurs s'associent aux troubles sensitifs et d
llir les faits de cet ordre où les troubles moteurs s'associent aux
troubles
sensitifs et de donner à ces observations le plus
'à, cinq litres de vin dans une même journée. Il a, de ce chef, des
troubles
gastro-intestinaux qui out nécessité récemment so
e ce malade sont vivants et en - excellente sauté ; ils n'ont eu ni
troubles
paralytiques, ni chorée, ni accidents nerveux d
e l'autre quant il leur aspect extérieur et leur musculature. Aucun
trouble
de la marche. La station debout sur un pied est f
ralysie du diaphragme. La tète est mobile dans tous les sens. Aucun
trouble
dans la musculature du cou. ' L'abdomen est t
malade souffle et siffle bien). Pas de déviation des traits. Aucun
trouble
de la muscu- lature de la face. Le réflexe mass
correspondant, après une immobilisation de 40 jours. On connaît les
troubles
nerveux consécutifs à ces luxations. Au nivea
suc- cède un engourdissement de la main. On note la persistance des
troubles
sen- sitifs constatés avant la réduction. Ce
dans le bras malade que dans le bras sain. Faut-il mettre tous ces
troubles
sur le compte du traumatisme déter- miné par la
de leurs trous de conjugaison respectifs. Lors de la réduction, les
troubles
nerveux étaient limités aux nerfs cubital et mé
i d'un processus local de polio- myélite expliquant l'extension des
troubles
moteurs à tout le bras ? la diminution rapide d
musculo-cutané, radial ; mais ils n'éclairent pas la pathogénie des
troubles
dépendant des branches collatérales du plexus b
uefois la lésion tronculaire se traduit par une simple parésie sans
troubles
sensitifs. L'hyperalgésie a été rarement signalée
l'op- pression labyrinthique, qui sont les symptômes cardinaux des
troubles
la- byrinthiques, on a signalé, et j'ai quelque
accommodation à la distance, les combinaisons les plus diverses des
troubles
de l'oculo-mo- tricité, la forme spasmodique du
oscillations paraly- tiques des globes, etc., sans compter d'autres
troubles
purement auditifs, comme le retard unilatéral d
t la diplacousie échoa- cousique, etc. On doit se demander si ces
troubles
, qui sont si souvent d'origine laby- rinthique
ctions nerveuses en général, et plus particulièrement du tabes. Ces
troubles
au- (1) L'oreille, anatomie I, coll. Léauté.
s tiennent relativement peu de place dans la clinique nerveuse. Les
troubles
labyrinthiques tiendront, j'en suis convaincu, un
s'exercer l'action prolongée des intoxications chroni- ques et les
troubles
trophiques dus aux intoxications, aux infections
absolument comme sur les endothé- liums du rein. Il en résulte des
troubles
dans la quantité et la qualité des excrétions q
ulaires et circumvasculaires. Collet (1) insiste avec raison sur un
trouble
auriculaire très fréquent dans le tabes. C'est
ore son anesthésie, son analgésie, l'engourdissement, ou encore les
troubles
trophiques dépendant de ce nerf^qui donne la sens
e l'ouïe chez certains tabétiques s'explique, (1) F. J. Collet, Les
troubles
auditifs du tabes, Lyon, 1894. (2) Loc. cit., p
lique non seulement les faits d'ostéoporose du maxillaire, mais les
troubles
trophi- ques de l'oeil et de l'oreille, l'atrop
ver une image, - quand je veux maîtriser un mouvement ré- flexe, un
trouble
moral ou organique ou quand je veux réaliser un g
are cette cause d'erreur. Cette erreur d'appréciation, ou plutôt ce
trouble
résultant des deux procédés d'orientation révélan
lusion visuelle est nette. Il y a ici plus qu'une illusion due à un
trouble
moteur de l'oeil, et j'y vois une véritable hal
c'est, remarque-t-il, le seul malade chez lequel il ait trouvé des
troubles
auditifs. Un certain nombre d'auteurs, Carre, Rem
iques, Marie et Wallon ont observé 17 cas de vertige et souvent des
troubles
auditifs. Voit n'a trouvé de surdité que 2 fois s
il auriculaire, et comme je le remarquais, il ne faut pas confondre
troubles
auditifs avec troubles labyrinthiques. D'ailleu
e je le remarquais, il ne faut pas confondre troubles auditifs avec
troubles
labyrinthiques. D'ailleurs la surdité peut être
et de plus les grandes différences observées dans la proportion des
troubles
auditifs dans les deux séries de malades peuven
que le vertige, dû à l'irritation du noyau interne, s'accompagne de
troubles
visuels et oculomoteurs, de nausée, de palpita-
ssion, d'anxiétés de tout genre, d'alfre cardiaque ou gastrique, de
troubles
viscéraux, sécrétoires et vaso-moteurs, etc. In
a moindre fatigue sentie au niveau des yeux ; il peut provenir d'un
trouble
stomacal qui ne sera aucunement localisé ni per
al. C'est à cette période qu'appartiennent le plus grand nombre des
troubles
réflexes que je vais énumérer. Jemebornerai à
roubles réflexes que je vais énumérer. Jemebornerai à relever les
troubles
qui peuvent apparaître comme symp- tômes foncti
ils n'en semblent pas moins être le plus souvent symptomatiques du
trouble
labyrinthique, el caractérisent la forme ou la
es, comme d'autres en définissent la forme ou la phase dorsale. Les
troubles
auditifs consistent en insuffisance fonctionnelle
e. Il ne suffira donc pas de demander au malade s'il a ou non tel 1
trouble
auditif, il faut le rechercher méthodiquement. In
sens des attitudes céphaliques et totales de l'organisme, c'est un
trouble
de l'orientation sub- jective. Il a donc, nous
g chez un ataxique sans qu'il nous ait été possible d'incriminer un
trouble
labyrinthique. Il sera particulier dans la rech
ous nous orientons, et par le sens des attitudes. Or il suffit d'un
trouble
labyrinthique pour nous troubler dans notre orien
é paroxystique et des anxiétés plus direc- tement provoquées par le
trouble
des perceptions ampullaires, comme la peur des
le vertige, et c'est sans doute ce qui a poussé Mendel à donner aux
troubles
oculaires une telle importance dans sa théorie
de fixation oculomotrice,à l'occasion des mouvements de la tête. Ce
trouble
est fréquent chez les labyrinthiques. Je l'ai tro
hargé de la coordination et de l'appropriation oculomotrices. Ces
troubles
oculomoteurs réflexes, apparaissant quand l'ocul0
nous trouverons que beaucoup de ses caractères sont associés à des
troubles
oculomoteurs ré- flexes. L'irritation d'origine
ux plus haut placés, enjambant certains d'entre eux, provoquant des
troubles
de l'accommoda- tion avec illusion de distance
, et qui peut être le seul symptôme vertigineux, sera due soit à un
trouble
de l'ac- commodation et résultera de l'irritati
ique, sans symptômes du côté des noyaux ampullaires eux-mêmes, sans
trouble
de la sixième paire, ni de la quatrième, enjamb
uand à côté de l'anatomie normale théorique, celle qui explique les
troubles
constants et définis, nous pourrons systématise
de considérer comme très variées. Nous voyons, en résumé, que les
troubles
ampullaires peuvent emprun- LE TABES LABYRINTHI
iations oculomotrices, comme aux fonctions d'équi- libration. Les
troubles
oculomoteurs sont fréquemment symptomatiques d'af
plus complexes, parfois durables. Il faut donc, en présence de ces
troubles
oculomoteurs, songer à l'appareil am- pullaire
, qui ne sont pas rares dans le tabes. Mais je ne pense pas que les
troubles
oculomoteurs réflexes d'origine rétinienne, à par
ux qui ont pour origine une lésion labyrinthique. D'une part, des
troubles
du domaine du trijumeau peuvent provoquer simul
mpagne volon- tiers do celle de l'oeil correspondant. Peut-être ces
troubles
vasculaires et périvascùlaires réflexes dans le
e ou bulbaire (trijumeau) constituent-ils la base de la théorie des
troubles
d'origine trop exclusivement périphérique. Ce q
ns les affections laby- rinthiques ; et vu la presque constance des
troubles
labyrinthiques dans le tabes et l'irritabilité
s le bras et la nuque. Six à huit semaines après, elle constate des
troubles
dans la motilité du bras droit. L'observation,
s'agit d'un homme très musclé qui, vu de dos, au repos, présente les
troubles
sui- vants : omoplate droite plus rapprochée du
après, on lui fit remarquer la déformation de l'épaule droite. Les
troubles
de l'attitude de l'épaule ressemblent à ceux du p
atique de l'omoplate. Sa paralysie doit nécessairement entraîner un
trouble
de cette statique. L'action tonique des autres
ecture des observations publiées, que le déplacement est minime, et
trouble
peu la morphologie de la région sca- pulaire. O
ment du frontal avec diminution de résistance à la pression. Pas de
trouble
de sensibilité au niveau do la tache. La malade
placé à angle droit sur la jambe. L'extension est impossible. Aucun
trouble
de sensibilité. Les différents appareils sont nor
boiterie, l'enfant doit porter une bottine à haute semelle. Pas de
troubles
de sensibilité au niveau des taches. Pas de dou
oubles de sensibilité au niveau des taches. Pas de douleurs, pas de
troubles
de la motricité. - Fig. 1. - Sclérodermie dis
tous deux au même âge. Il s'agit bien chez ces deux enfants d'un
trouble
trophique des extrémi- tés, trouble symétrique
bien chez ces deux enfants d'un trouble trophique des extrémi- tés,
trouble
symétrique prédominant à la périphérie des doigts
que que les faits de Neumann et de Cruse. A ces 5 observations de
troubles
trophiques de la peau à forme de sclé- rodermie
e gauche, deux taches larges comme une pièce de 50 centimes. Pas de
troubles
sensitifs et moteurs. Dermographisme très accentu
ions a d'ailleurs été constatée chez un même individu. L'origine du
trouble
de pigmentation dont le vitiligo est la marque, n
goitre et avec une albuminurie fort prononcée, existant sans aucun
trouble
fonctionnel. Le hasard nous a permis d'observer
elle ne pèse plus que 180 kilogs. Etat général excellent : pas de
troubles
de la miction, ni de la déféca- tion, pas de tr
lent : pas de troubles de la miction, ni de la déféca- tion, pas de
troubles
cardiaques, pas de gène à la respiration... La ma
'y prêtait, serait absolument impossible. Nous n'avons relevé aucun
trouble
delà sensibilité ou niveau des mem- bres inféri
s dans sa conception du mal d'ai- mer, Sauvages y reconnaît déjà un
trouble
psycho-physiologique, ayant, à la façon d'une a
plus antique théorie de la febris amatoria attribue en effet à des
troubles
de l'appareil génital la plupart des symptômes qu
La rétention du sang dans la matrice, et, d'une façon générale, les
troubles
de la menstruation furent pendant de longues an-
Sennert et bien d'autres, ont con- tribué à accréditer le rôle des
troubles
menstruels dans la patbogénie de la chlorose.
maladie virginale » ou « chlorose » semblaient intimement liées aux
troubles
de l'appareil génital féminin. On admettait aus
savante de notre temps, que l'émotion amoureuse se traduit par des
troubles
cardio-vasculaires et des phéno- mènes vaso-mot
itatives et quantita- tives du pouls qui permettent d'apprécier les
troubles
circulatoires. On voit que les médecins des mal
des ma- lades d'amour ? ... Les chlorotiques souffrent encore de
troubles
digestifs parmi lesquels l'inappétence attire f
un' gros chapitre de la chlorose est consacré à la description des
troubles
de l'appareil génital. Nous avons déjà vu que,
e aux strumiprives, n'est qu'une jaunisse atténuée et dé- pend de
troubles
biliaires. La femme C... (PI. XLIII, 6) nous
hevelure très bien conservée ; les dents sont bonnes et belles. Les
troubles
trophiques du côté des cheveux et des dents sont
es symptô- mes les plus constants du myxoedème. La calculose et les
troubles
biliai- res sont tout aussi fréquents. Que de t
que. - y. La même. Après guérison. 16. Mme H. My'\ : oeJème fruste;
troubles
trophiques des cheveux. 17. La même. Après six
e analytique et synthétique du grand myxoedeme, à signaler quelques
troubles
trophiques qui tombent plus directement sous le
. XII. PL. XLVI. VIY»D11E FRANC (Hertoghe) 18. My,oedème franc,
troubles
trophiques des cheveux et des sourcils. - 19. Mêm
le cas bien plus souvent qu'on ne le pense. Il en est de même des
troubles
trophiques du tégument et du système épithélial
pendamment des douleurs sacrées et dorso-lomhaires attribuables aux
troubles
utérins, il existe dans l'hypothyroïdie bénigne c
e. Les douleurs anginiformesaucoeur disparaîtront complètement. Les
troubles
hémorrhagiques de l'utérus obéissent merveilleuse
Les émotions morales et pathologiques s'accompagnent souvent de'
troubles
de la circulation et de la motilité de la peau pl
ovocateur dans l'étiologie des affections cutanées et bon nombre de
troubles
trophiques sont liés à leur évolution. J'ai déj
ordre (1). Chez les paralytiques généraux, on a signalé souvent des
troubles
tro- phiques de la peau (2) se manifestant tant
lalgie, les escha- res, le mal perforant peuvent être rattachés aux
troubles
trophiques de la peau. En dehors de ces manif
hiques de la peau. En dehors de ces manifestations grossières des
troubles
de la nu- trition de la peau on peut observer c
la guérison peut plus facilement se compren- dre si on admet que le
trouble
peut être attribué à une altération du sang ser
ables à l'oeil nu; au (1) Cil. ri : Ri ? Contribution à l'étude des
troubles
fonctionnels de la vision par lésions cérébrale
s qu'il connaissait. Il affirmait que lui-même n'avait jamais eu de
trouble
nerveux ou mental jusqu'au début de l'affection
au tiers moyen de l'avant-bras. Nous n'insiste- rons point sur les
troubles
fonctionnels qui en résultent pour signaler un
VAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ÉTUDE SUR LES
TROUBLES
OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES DANS
DANS LE TABES PAR LES Drs André RICHE ET de GOTHARD L'étude des
troubles
de la sensibilité dans le tabes est hérissée de d
bes est hérissée de diffi- cultés tant à cause du polymorphisme des
troubles
en question qu'en rai- son de leur caractère er
recher- ches que nécessite l'exploration de la sensibilité. Comme
troubles
de la sensibilité subjective on trouve des douleu
thrales, clitoridiennes, etc... On trouve ensuite dans le tabes des
troubles
objectifs de la sensibilité superficielle, de l
les excitations électriques. En troisième lieu il peut y avoir des
troubles
, des sensibilités profondes, viscérales, muscul
mal fixé sur le point de savoir à quelle période de la maladie ces
troubles
se montrent, sur les sièges d'élection de ces m
ie ces troubles se montrent, sur les sièges d'élection de ces mêmes
troubles
, leur mode de distribution et de circonscription;
faire ressortir les difficul- tés auxquelles se heurte l'étude des
troubles
de la sensibilité dans la cli- nique du tabès e
nt eu pour objet cette étude. * . " DIFFICULTÉ DE L'ÉTUDE DES
TROUBLES
OBJECTIFS DE LA SENSIBILITÉ CHEZ LES TABÉTIQUES
orie de malades essentiellement suggestionnables qui présentent des
troubles
de la conscience beaucoup plus souvent qu'on ne
entent des troubles de la conscience beaucoup plus souvent qu'on ne
TROUBLES
OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 329 s
excitations tant soit peu vi- ves (1). Le caractère changeant des
troubles
de la sensibilité dans le tabes doit donc nous
e du pied qui peut être un obstacle à la perception. CARACTÈRES DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ SUPERFICIELLE. Voyons mainten
ons, contradiction dans les locali- sations, rappel des sensations,
troubles
du nombre de perceptions par rapport à celui de
de mettre en lumière le polymorphisme et le caractère changeant des
troubles
objectifs de la sensibilité qu'on observe dans
bjectifs de la sensibilité qu'on observe dans les cas de tabes; ces
troubles
varient d'un malade à l'autre, ils varient chez
ssayé de faire la lumière sur les caractères de la dissociation des
troubles
objectifs de la sensibilité qu'on observe dans
la piqûre. Hyperesthésie à la piqûre. Anesthésie à la chaleur.
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES DANS LE TABES (
sie au froid. Hyperesthésie au froid. Thermoparesthésie P1. I
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De
(A. Riche et De Gaillard) Obsemation I. MASSON ET C", Éditeurs.
TROUBLES
OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 331 s
ques. Enfin avec Laehr (2) (1895) et Patrick (3) (1897) l'étude des
troubles
ob- jectifs de la sensibilité chez les tabétiqu
phase nou- velle ; nous avons appris que dans les cas de tabès ces
troubles
objectifs affectent une distribution segmentair
esco (4) reprenant les recherches de Læhr conclut en disant que les
troubles
observés confirment la théorie radiculaire du tab
par Philippe. Chez tous les tabétiques que nous avons examinés les
troubles
de la sensibilité superficielle se sont montrés
s dans huit observations du service de M. le professeur Raymond ces
troubles
sensitifs. Nous avons établi des figures schémati
on lui fait suivre le traitement ioduré. Jamais elle n'a éprouvé de
troubles
oculaires et vésicaux ; depuis deux ou trois mo
isparu. Etat actuel. - Il est très satisfaisant. On ne relève aucun
trouble
gastri- que, intestinal, laryngé, urinaire. A
amens oculaires de ces malades ont été faits par M. Kônig. illi. il
TROUBLES
DES SENSIBILITES DANS LE TABES PL ICI PI. II
(A. Riche et De Gothari.) Observation Il. L MASSONHTC" Editeur'
TROUBLES
OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 333 I
t de la maladie. - Il y a quatre ans, en avril 1895. La malade voit
trouble
et double à la fois. Ces modifications de la vue
t des douleurs en ceinture ; vers la même épo- que se déclarent des
troubles
de la miction qui devient difficile, la malade es
ormal, les artères sont souples. Le pouls bat 76 à la minute. Les
troubles
de la miction sont très peu accusés. Elle doit qu
oups d'épingles, à des brûlures, et aussi des douleurs en ceinture.
TROUBLES
OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPER FICIELLES 335
aisseaux, le pouls bat 80 pulsations, la radiale est souple. Pas de
troubles
gastriques ni laryngés. Il reste des envies fréqu
dans les urines, les rè- yles sont toujours régulières. Pl. III
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De
A. Riche et De Gaillard.) Observation Il L MASSON ET C ? h,dil,
TROUBLES
OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 337 L
tion du contact avec le sol. Il y a trois ans, étaient survenus des
troubles
vésicaux, consistant en envies fréquentes d'uri
s il n'y a eu d'incontinence. Il y a deux ans, la vue était devenue
trouble
, il y a même eu de la diplopie qui a cessé depu
t ridée», l'amaigrissement est manifeste. Sans avoir eu jamais de
troubles
gastriques, elle a de l'anorexie assez pro- non
née aux différents modes provoque des éruptions variées, indices de
troubles
vaso-moteurs. Les fonctions vésicales sont norm
conservé à gauche ; à droite il est très affaibli ; ceux l'1. IV
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De
ILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.) Observittion IV.
TROUBLES
OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 339 d
rs Malades d'Amour, Hoogstraaten et Gérard Dow n'ont évoqué que les
troubles
produits par l'amour pla- tonique et malheureux
die. Il en note les moindres détails, les altérations du corps, les
troubles
de l'esprit, le désordre produit dans son entou
ement à ce torticolis; il y a une foule de grimaces, de spasmes, de
troubles
du mouvement d'ap- parence plus ou moins compli
d'années plus tard, c'est-à-dire il y a 7 ans, elle pré- senta des
troubles
oculaires que le médecin, probablement avec raiso
e, c'est un spasme des orteils. Cette jambe ne présente aucun autre
trouble
du mouvement ; si le malade est étendu, la forc
r les ongles a disparu complètement au moment où s'est développé le
trouble
de la marche, il y a à peu près s trois ans. Ce
éveloppé le trouble de la marche, il y a à peu près s trois ans. Ce
trouble
aurait commencé, comme dit le malade, parce qu'il
alades ont compris qu'il s'agissait d'une mauvaise habitude et d'un
trouble
de leur propre vo- NOTE SUR DEUX TICS DU PIED 3
petits muscles de la main, surmenés'; évolution rapide en 18 mois ;
troubles
bulbaires ; mort par bronchopneumonie intercurren
plaint de ne pas pouvoir serrer au niveau des commissures labiales.
Troubles
de déglutition, le malade avale de travers mais m
le nez. La trophicité n'est pas modifiée ; pas J'eschares ; pas de
troubles
du dévelop- pement des poils, ni arthropathies.
; début scapulo - hmnéral (type Vulpian) par les muscles surmenés.
Troubles
bulbaires ; mort. Poull..., 65 ans, manoeuvre (
accentués. 16 décembre. État actuel. - Intelligence nette, pas de
troubles
de la mémoire. L'acuité visuelle semble un peu
le semble un peu diminuée, pupilles égales, réagissant bien. Pas de
troubles
auditifs, Déglutition difficile. Quand le malade
cles de la gouttière vertébrale ne semblent pas atrophiés. Pas de
troubles
trophiques de la peau, pas de troubles vaso-moteu
lent pas atrophiés. Pas de troubles trophiques de la peau, pas de
troubles
vaso-moteurs. Rien dans les muscles de la face.
ès pur d'atrophie myélopathique type Aran-Duchenne se compliquer de
troubles
trophiques exceptionnels : arthropathies d'abor
ue ; début classique par les petits muscles de la main, surmenés. -
Troubles
trophiques : Artlaropa- thies de l'épaule, esch
, intelligent ; a vécu assez largement. (1) PRAUTOIS ET G. Etienne.
Troubles
trophiques osseux et articulaires chez un hom-
e. Eczéma localisé aux membres inférieurs et au niveau du coccyx.
Troubles
trophiques. - Atrophie totale des éminences théna
sensation de soif continue. Appareil génito-1t1'inaire. - Pas de
troubles
vésicaux ; on note une diminu- tion considérabl
tes. Cette poche renfermait un demi-litre de liquide brunâtre, très
trouble
. Articulation scapulo-humérale droite. - La cap
réelle- (1) P. LoNDE, De 1'(i ? ,thi,opathie nerveuse vraie et des
troubles
trophiques articulaires d'apparence rhumaloïde.
ns ces cas la même loi fixant le point de départ; l'intervention de
troubles
trophiques articulai- res ou tégumentaires ne m
ques articulai- res ou tégumentaires ne modifie pas l'évolution des
troubles
de trophicité musculaire; etc. Toules ces obs
on ne trouve que 21 centimètres à droite. Le malade n'a que peu de
troubles
de la sensibilité subjective, il n'a jamais eu
fibrillaire ne se remarque sur les muscles envoie d'atrophie, aucun
trouble
trophique sur les membres supérieurs du malade.
ystérie. 390 G. GUILLAIN Le champ visuel est normal, il n'a aucun
trouble
oculaire. Tous ses orga- nes sont sains. La pre
t une atrophie musculaire s'étant dévelop- pée progressivement sans
troubles
de sensibilité, sans troubles trophiques, sans
ant dévelop- pée progressivement sans troubles de sensibilité, sans
troubles
trophiques, sans réaction de dégénérescence mai
urvenue après un traumatisme, qu'elle ne s'est pas accompa- gnée de
troubles
de sensibilité, de troubles des réactions électri
, qu'elle ne s'est pas accompa- gnée de troubles de sensibilité, de
troubles
des réactions électriques, par AMYOTROPHIE DOUB
en était notablement exagéré du côté malade. Pas de douleurs, aucun
trouble
de la sensibilité. Le malade marchait sans diff
roite. Il n'y avait pas de trépidation du pied, il n'existait aucun
trouble
de la sensi- bilité, aucune douleur ni spontané
réflexes rotuliens sont exagérés des deux côtés. Il n'existe pas de
troubles
de la sensibilité. Chez un autre malade de Char
art d'une amyotrophie avec exagération des réflexes et ab- sence de
troubles
de sensibilité. Quand Charcot publia des observat
l'atrophie musculaire rhumatismale. Th. Paris, 1873. (3) Descosse,
Troubles
nerveux locaux consécutifs aux arthrites. Th. Par
adiculaires des cornes antérieures de la moelle, mais fonction d'un
trouble
dynamique des corps cellulaires. Pour que la ce
dents héréditaires des acromégalie- ques, et d'examiner de près les
troubles
psychiques, les névroses et les stigmates de dé
arrive à la conclusion que 25 0/0 des acromégaliques présentent des
troubles
psychiques, et que, chez ces malades, l'aliéna-
nte que chez les individus normaux. Au point de vue de la forme des
troubles
mentaux, Brunet sépare nettement les psychoses
les psychoses confirmées (l'internement lui sert de critérium), des
troubles
plus légers, compatibles avec la vie commune. P
scence mentale doit seule être incriminée dans leur pathogénie. Les
troubles
moins accentués se rangeraient en deux catégori
. Brunet n'hésite pas, par analogie avec le myxoedème, à mettre ces
troubles
sur le compte des altérations du corps thyroïde,
parfois jusqu'à la dépression mélancolique avec idées de suicide. Ces
troubles
, comme les psychoses confirmées, ressortiraient
ux lésions thyroïdiennes. Tout en reconnaissant l'influence que les
troubles
des fonctions thyroïdiennes (et hypophysaires)
dans la forme de l'hérédité la condition de ces difl'é- rences. des
troubles
psychiques ; et de même que nous voyons des paral
taires des malades qui en sont l'objet; nous étudierons ensuite les
troubles
du caractère notés fréquemment chez les acromégal
ires pèsent souvent sur les acromégaliques, et à nous expliquer les
troubles
de l'intelligence et du caractère, les psycho-
ignalées chez ces malades et que nous allons passer en revue. II.
Troubles
du caractère et de l'intelligence . Nous serons
'intelligence . Nous serons bref sur ce sujet, car la notion de ces
troubles
est devenue classique. « Le caractère des mal
citations, mais nous préférons passer immédiatement à l'examen des
troubles
les plus prononcés du sys- tème nerveux chez le
é muet pendant trois ans. D'db2cndo (1) appelle l'attention sur les
troubles
psychiques d'un acro- mégalique observé par lui
VAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ETUDE SUR LES
TROUBLES
OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES DANS
ises laryngées. Depuis le commencement de la maladie, elle dit voir
trouble
et elle a eu de la diplopie. Au début également
gré moindre, la malade parvenant à uriner seule. Elle a éprouvé des
troubles
gastriques revenant par crises dans lesquelles
quelque temps par la méthode de Frenkel. T, XII. PL, LXVI. PL V
TROUBLES
DES SENSIBILITES DANS LE TABES (A. Riche et De
IBILITES DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.) Observation V.
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 409 Etat actuel.
LE TABES 409 Etat actuel. - L'état général est bon, il n'y a pas de
troubles
de l'appareil digestif, l'appétit est seulement
de jours. Un an après elle eut du ptosis de la paupière gauche. Les
troubles
dans la jambe gauche sont restés à peu près sta
ps elle a subi 27 séances d'élongation à deux fois par semaine. Les
troubles
urinaires ont disparu. Elle a suivi également u
quelques exercices de rééducation. Etat actuel. -Il est bon : aucun
trouble
des fonctions digestive, respira- toire, urinai
e, comme aux flancs, à la face antéro-externe de la cuisse Pu. vu
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De
TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.)
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 411 droite; à la
sans anesthésie du sphincter. Rien au larynx ni aux poumons. Pas de
troubles
cardiaques, l'artère radiale n'est pas dure; le p
dermiques dont la trace persiste encore quatre jours après. ° Les
troubles
urinaires ont disparu, il n'y a plus d'insensibil
partir de deux tra- vers de doigt au-dessus du sourcil. Pl. VII
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et'De
he et'De Gaillard.) Observation VII. ' Masson et CI., Éditeurs.
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 413 B. Face post
au, il lui semblait être coupée en deux; elle eut en même temps des
troubles
de la vue, elle voyait double : tous ces phénom
nsité telle qu'elle ne pouvait dormir. Jamais elle n'a éprouvé de
troubles
urinaires. Elle entre à l'hôpital le 12 janvier
'appétit et la régularité actuelle des fonctions digestives. Pas de
troubles
laryngés. L'auscultation des poumons et du coeur
artère radiale est un peu dure, l'artère temporale sinueuse. Pas de
troubles
urinaires. Le signe d'Argyll Robertson existe d
pour les muscles de l'émi- nence hypothénar du même côté. VIII
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De
ITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.) Ou sen atioa VIII.
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 415 La force mus
y a 2" de retard. Chez tous ces malades on voit l'importance de ces
troubles
de la sensibi- lité dans le tableau de leur aff
é- matiques fait apprécier les caractères communs que réalisent les
troubles
416 ANDRÉ RICHE ET DE GOTUARD sensitifs super
se retrouvent pas constamment et partout. Valeur diagnostique DES
troubles
objectifs DE la sensibilité superficielle. Il n
entaire par rapport à la disposition générale- ment radiculaire des
troubles
de la sensibilité au tact et à la douleur. L'ex
ialion syringomyél ique. Dans les cas de sclérose en plaques, les
troubles
objectifs cle la sensibi- lité sont relativemen
és mais fugaces, sujets à des changements rapides, nulle part aussi
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 417 7 la tendanc
manifestations du tabes incipiens. Cette valeur complémentaire des
troubles
objectifs de la sensibilité est surtout à utili
douleurs fulgurantes, l'incoordination aux membres inférieurs, les
troubles
urinaires font défaut. Enfin la constatation de
diagnostic du tabes vrai et celui du pseudo-tabes périphérique. Des
troubles
objectifs de la sensibilité qui se présentent à
ctions physiologiques. La tendance à la disposition segmentaire des
troubles
en question auto- rise en premier lieu à conclu
es ne nous expliquent pas non plus le caractère de dissociation des
troubles
de la sensibilité non moins accusées dans les c
. 3, p. 688 et t. XXVIII, fasc. 3. (6) SIICIIIiING'rON, loc. cil.
TROUBLES
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 419 gent les pre
la substance grise centrale donnent habituellement naissance à des
troubles
dissociés de la sensibilité. Les troubles obj
llement naissance à des troubles dissociés de la sensibilité. Les
troubles
objectifs de la sensibilité, anesthésies, hyperes
ordons postérieurs et la substance grise centrale. En résumé, les
troubles
objectifs de la sensibilité se traduisent chez
statation sera utile dans bien des cas Enfin, la disposition de ces
troubles
montre qu'ils sont sous la dépen- dance sinon e
plégie droite avec hémi-anesthé.çie. - Attaques épi- leptiformes. -
Troubles
psychiques de forme circulaire. - Mort par hémor-
leptiformes généralisées qui paraissent avoir été indépendantes des
troubles
psychiques susdits (ceci sous toutes réserves).
ur sensitif), mais du moins à aucun des symptômes se rapportant aux
troubles
apha- siques (1). La lésion est en somme presqu
aphasie. Le mot de dgsarlhrie n'exprime peut-être pas exactement le
trouble
parti- culier de la parole dont il s'agit. Il y
la salive ; quand on la fait parler elle bave et cra`cbotte. Pas de
troubles
de la respiration. Pouls fort et rapide (90).
xaminer et qu'elle réponde aux interrogatoires. Au point de vue des
troubles
du langage cette malade se rapproche beaucoup d
voir sur la photographie (Pl. LXXIX). D'autre part la nature des
troubles
visuels ne peut être bien déterminée, et l'hémi
arrêtée aux deux genoux. Ici. pas de poussées douloureuses, pas de
troubles
de la sensibilité. Rien qu'une difformité symét
d'origine parasitaire, et que l'on s'accorde à considérer comme des
troubles
trophiques d'origine névropathique (1). . * .
dèmes par intoxication qui sont, eux aussi, sous la dépendance d'un
trouble
de l'innervation vaso-motrice. Quelques exemple
ties génitales ; oedème dur, d'apparition soudaine, accompa- gne de
troubles
généraux ; mais peu douloureux et de courte durée
anglais semblait donc s'appliquer à merveille. La superposition des
troubles
sensitifs aux troubles vaso-moteurs parlait enc
'appliquer à merveille. La superposition des troubles sensitifs aux
troubles
vaso-moteurs parlait encore en faveur de la nat
seuclo- acromégalique segmentaire de tord un membre supérieur, avec
troubles
syringomyé- liques ayant la même topographie, R
ndant, il est rare que l'oedème demeure blanc et dur; de nou- veaux
troubles
trophiques s'y surajoutent le plus souvent. Geo
s. D'abord l'oedème était blanc et dur. Plus tard sont survenus des
troubles
trophiques des mains et des pieds (cyanose, pet
matiée comme celle d'une myxoedéma- teuse. Mais il n'y avait pas de
troubles
de sensibilité ; simplement un ar- rêt de la tr
'émergence et sur le trajet des sciatiques était douloureuse. Aucun
trouble
de la sensibilité. Rien d'anormal dans les orga
également oedématiée, dure, mais normale au- dessus du genou. Aucun
trouble
de la sensibilité. Par le repos au lit, la comp
ssi l'hypothèse d'un oedème par lésion mécanique. D'ailleurs, aucun
trouble
de la sensibilité ni de la motilité ne permet-
Là, on pouvait soutenir avec vrai- semblance qu'il s'agissait d'un
trouble
trophique consécutif à une ancienne lésion nerv
le. 3° Elle est permanente. 4° Elle ne s'accompagne d'aucun autre
trouble
local ou général. Et voici la répartition dans
olore, apgrélique, chronique et permanente qui n'en Irai ne au- cun
trouble
de la sanlé générale et peut même persister jusqu
origine thyroïdienne, la localisation et tous les autres symptômes (
troubles
circulatoires, intellectuels, altérations du sy
'll1ométri ! IUeS, auxquels souvent viennent se surajouter d'autres
troubles
trophiques cutanés, éruptions ou ulcérations.
n ne peut guère qu'émettre des conjectures sur la pathogénie de ces
troubles
de nutrition. Existe-t-il une lésion ? Siège-t-
lle et tout spécialement la syringomyélie. Dans cette dernière, les
troubles
sensitifs et trophiques occupent des segments d
cuisses). , Si une seule moitié du métamère spinal est atteinte, le
trouble
, tro- phique reste unilatéral. La théorie s'acc
euvent avoir leur utilité. Le tropltaedème étant considéré comme un
trouble
trophique du tissu cellulaire sous-cutané, on p
ence. Le tropheedéme ne devrait-il donc pas prendre place parmi les
troubles
si variés du développement ? A l'appui de cet
de cette idée, si l'on admet l'opinion courante sur les causes des
troubles
de l'évolution : à savoir des altérations des c
pement du tissu cellulaire. En envisageant le trophaedème comme un
trouble
du développement, on n'est pas surpris de le vo
es thérapeutiques ne demeurent-elles pas impuissantes à enrayer les
troubles
du développement ? ... Nouv. Iconographie DE la
as de dou- leurs de tête non plus que sur le trajet du nerf, pas de
troubles
de la sen- sibil.i[é) X... présente un signe qu
nts héréditaire nuls. Antécédents personnels : rachitisme, quelques
troubles
gastro-intestinaux, métier exposant à toutes le
es, avec atrophie des divers groupes musculaires ; dissociation des
troubles
de la sensibilité avec distribu- tion segmentai
s été bonne, par la suite, sauf une constipation légère et quelques
troubles
gastriques. Marié il 37 ans, II... a eu 3 enfan
à la surface des doigts et de la main. Distribution segmentaire des
troubles
sensitifs. Le calibre des deux nerfs cubitaux p
et acromégalie, par Sabrazès (4 phot.), iS9. Tabes (Etude sur les
troubles
objectifs des sensibilités superficielles) par
moelle (2 phot.), 95. Gotiiard (de) et A. Riche. Etude sur les
troubles
objectifs des sensibilités super- ficielles dan
du pied (3 phot.), 3;i3. BICIIE A. et de Gotiiard. Etude sur les
troubles
objectifs des sensibilités super- ficielles dan
tude de prédicateur et acromégalie (Sa- BRAZÈS), LXXXV. Tabes (
troubles
des sensibilités superfi- cielles dans le) (A.
erve. C'est ainsi que chez la plupart de ces malades, on relève des
troubles
oculaires qui appartiennent plutôt au tabes qu'
qu'à la paralysie générale ; il est vrai que l'on relève aussi des
troubles
intellectuels susceptibles d'être rapportés à l
ce progressive. Du reste, à aucune autre période de la maladie, les
troubles
paraplégiques n'ont permis de s'ar- rêter à ce
LE. pas appréciable à son début, lorsqu'il n'existe encore que le
trouble
organique initial, antécédant à la désintégration
4 PATHOLOGIE MENTALE jours. Persistance de la mélancolie. Pas de
troubles
sensitifs. Amaurose par section du nerf optique
Tous ces événements ont joué un rôle impor- tant dans la genèse des
troubles
mentaux et sous l'intluence de ces chagrins rép
in- zaine de malades). Elle sent qu'elle est venue pour mettre le
trouble
. Elle sert de jouet, tout le monde rit d'elle dan
vagues préoccupations l1ypoehon- driaques en rapport avec de légers
troubles
gastriques réels : « elle a de la diarrhée, mai
, le tremblement de la main est moins accentué. Il n'existe aucun
trouble
de la sensibilité. Les réflexes rotuliens sont tr
possession. Guérison ( ? ) par disparition subite du délire. Pas de
troubles
sensitifs ( ? ) Hérédité niée. Mm0 II..., née e
le bassin). Il y eut d'abord perte absolue de sommeil et quelques
troubles
digestifs. La malade se plaint d'avoir la bouche
nts chez les négateurs hypocondriaques, les idées de suicide et les
troubles
de la sensibilité, mais il faut dire que, si de
LE - livraient à ce propos à la plus vive surveillance. Quant aux
troubles
de la sensibilité si je n'en ai constaté aucun, i
à l'époque où elle se disait ossifiée et morte, il a pu exister des
troubles
de la sensibilité. Enfin des idées d'immortalit
us rapide, on ne le voit guère apparaître si vite. Ici les premiers
troubles
mentaux datent d'avril IS9; les prodromes consi
yrou. III. Syndrome 57R11GOV1'kLIQCE A\EC hlmiatbophie faciale ET
TROUBLES
OCULG-l'Ul'ILL : 11RES; par MM. L. QUEYRAT et E.
tait pas à proprement parler de dissociation delà sensibilité ; les
troubles
partant à la fois sur toutes les formes de la s
distinctes (la suppression de la glande ne don- nant lieu qu'à des
troubles
trophiques, et celle des glandules amenant les
-il, que les glandules ne fussent pas suffisantes pour empêcher les
troubles
nutritifs àévolution lente qui,aboutissent au myx
illiélium paralhyroïdien, elle ne donnerait lieu peut-être qu'à des
troubles
intellectuels. A. Fenayrou. VI. Sclérose diff
ête. On l'ap- porte à l'hôpital dans un état semi-romateux avec des
troubles
moteurs et sensitivo-sensoriels qui font croire
. lésion cérébrale : hémiplégie purement motrice ou compliquée de
troubles
sensitifs et sensoriels, hémiplégie alterne infér
EURASTHÉNIE; pal' AUNET. (Bévue de médecine, septembre 1897.) Les
troubles
vasomoteurs ont déjà été décrits dans la neurasth
orment les hémorragies; il est incoutestable qu'il se pro- duit des
troubles
vaso-moteurs, mais y a-t-il rupture vasculairc
fois il y a lieu d'appeler l'attention sur l'apparition précoce des
troubles
mentaux (état démentiel progressif) et les phénom
énital qui sont même chez les sujets normaux quelquefois suivies de
troubles
passagers, peuvent pro- duire chez les prédispo
teints de névroses, hystériques, épileptiques, neurasthéniques, des
troubles
sensoriels ou moteurs sensations douloureuses a
taques étaient suivies de paialysie transitoire etqui éprouvait des
troubles
analogues à la suite d'un rapprochement sexuel ;
les mêmes conditions une paraplégie durant plusieurs heures : ces
troubles
disparurent à la suite d'une cure hydrothérapique
onner. Ces névrites doivent vraisemblablement être attribuées a des
troubles
d'auto-intoxication. M. Hamel. XVIII. Polynévri
s inférieurs, dans ce cas, il y a paralysie des exten- seurs. Les
troubles
sensitifs sont des douleurs lancinantes, fourmill
'ailleurs spéciaux aux polynévrites, ne se confondront pas avec des
troubles
d'origine central; quant an dia- gnostic de pal
e la région lombaire; deux ans plus tard, apparition des premiers
troubles
de la maladie, qui se déroulent pendant trente an
ermanentes, les phénomènes observés pourraient être attribués à des
troubles
de nutrition définitifs produits par la répétit
age très étroit du nerf et des vaisseaux, être attribués plutôt aux
troubles
de l'appareil circulatoire de l'oculo-moleur, q
, de la calotte grise et, aussi, sans doute. accessoirement par des
troubles
circulatoires dans le réseau des artères piales
de maladie de Basedow, caractérisée par un goitre très gros et des
troubles
nerveux très accentués (tremblement des mains,
uitter l'hôpital; elle était alors complètement débarrassée de tout
trouble
nerveux ; le goitre, encore sensible à la pressio
endre la coordination des mouve- ments et à l'aider à compenser les
troubles
ataxiques par un sys- tème nouveau de coordinat
nte et rapide; lorsque l'état général, les symptômes viscéraux, les
troubles
tio- phiques offrent une gravité exceptionnelle
ité exceptionnelle ; lorsque le tabes s'ac- compagne d'amaurose, de
troubles
intellectuels, de paralysies réelles ou d'hyper
r l'hypnotisme et la suggestion la constipa- tion, la diarrhée, les
troubles
de la menstrualion, les douleurs rhumatismales,
orotiques, des migraineux, des hystériques, dans la constipa- tion,
troubles
de la menstruation, dans le somnambulisme spon-
, et une anesthésie incomplète de la jambe droite. Le lendemain ces
troubles
disparaissaient, mais le malade pré- sente de l
ou l'autre. Il pense que le début habituel de la. maladie par des
troubles
psychiques, est de nature à faire admettre l'anté
TRIE DE MOSCOU Séance du 20 février 1898. L. 1111N0R. -- Sur un
trouble
moteur qui accompagne la douleur lombaire (trau
lgie scia- tique. , L'auteur attire l'attention sur la valeur des
troubles
moteurs SOCIÉTÉS SAVANTES. 69 (dyskynésies)
ÉS SAVANTES. poser que les névrites sont secondaires et relèvent du
trouble
de la nutrition des cellules motrices. IL.- .
place, on voit de nombreuses bulles remplies de sérosité ou de pus.
Troubles
vasomoteurs sous forme d'apparition de taches ble
rvicale et dorsale supérieure de la moelle (anesthésie partielle et
troubles
trophiques). Ce qui est intéressant dans cette
ique une véritable démence paralytique ; c'est enfin l'existence de
troubles
de la nutrition, faisant ici une rapide dénutri
mation par les méthodes révulsives, dérivatives et résolutives, aux
troubles
cir- culatoires par les médicaments cardio-vasc
, les auto-intoxications digestives, hépati- ques et urinaires, les
troubles
cardio-pulmonaires. Cette analyse bibliographiq
dans les moelles de paralytiques dont l'évolution a été rapide sans
troubles
moteurs graves. Vraisemblablement, quand le sys
'une des voies sensitives les plus importantes, sachant combien les
troubles
de la sensibilité sont graves dans la paralysie
ie de janvier 1898, un travail inté- ressant de M. Cololian sur les
troubles
trophiques de la para- lysie générale, qui sont
nifester. Nous avons noté fréquemment, dans nos observations, des
troubles
de la réflectivité; mais ces troubles ne sont pas
t, dans nos observations, des troubles de la réflectivité; mais ces
troubles
ne sont pas tou- jours de même ordre dans chaqu
es périphériques. Mais il n'est pas toujours aisé de rechercher les
troubles
de la sen- sibilité chez un paralytique général
dément qui ne sait pas nous rendre compte de ses impressions et des
troubles
de sa sensibilité. C'est à peine si sa force mu
e, présentent LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GENERALE. 99 des
troubles
moteurs et sensitifs contemporains, tout au moins
les moteurs et sensitifs contemporains, tout au moins, des premiers
troubles
psychiques, s'ils ne les précèdent pas. Conclus
nterie a eu, dans ces observations, une influence salutaire sur les
troubles
psychiques. En France nous ne connaissons que d
pondante; l'infection a détruit l'équi- libre relatif, tant par les
troubles
de la circulation que par l'in- toxication immé
de l'oculomoteur, puisque la paralysie musculaire s'accompagne d'un
trouble
-de la réaction pupillaire à la lumière comme à
és ainsi que, tôt ou tard, d'autres nerfs crâniens. Il n'y a pas de
troubles
fonc- tionnels des membres; donc il n'y a pas l
occupe la substance du pédoncule cérébral. Enfin, il faut noter un
trouble
marqué de la sensibilité afférente au nerf sus-
milaires : anesthésie géné- rate, torpeur intellectuelle, céphalée,
trouble
des fonctions cuta- nées ; les mêmes anomalies
nerveux. Il est possible que la lésion primitive se trouve dans un
trouble
du métabolisme du corps. Le professeur Ilamil
ert Hutchison pense que le goitre exophtalmique est provoqué par un
trouble
de méta- bolisme des tissus, trouble dû à un vi
phtalmique est provoqué par un trouble de méta- bolisme des tissus,
trouble
dû à un vice de fonctionnement des centres nerv
alors que la rate est hypertrophiée, et qu'il est possible que des
troubles
vasculaires soumis à une altéra- tion du systèm
er- mettent de la désigner sous le nom de main succulente; 2° Les
troubles
trophiques cutanés qui sont permanents consis-
(épigas- triques, abdominaux, plantaires) en partie absents. Pas de
troubles
objectifs de la sensibilité; léger engourdissem
nue, mort. P. KERAVAL. XLVII. LÉREUTHOPHOB1E, forme particulière DE
trouble
névropa- thique; par W. DE BECHTEREW. (Neurolog
orale, un seul et même foyer morbide aurait peine à causer ces deux
troubles
; ils sont par suite indépendants l'un de l'aut
on toxique, n'ayant subi aucune maladie cérébrospinale, présente du
trouble
de la démarche du côté de la jambe gauche, il c
r, on constata des lésions centrales, mais il s'était produit des
troubles
de la déglutition et, plus tard, des symptômes ou
sez bonne au-dessous. Il s'agit donc d'une lésion et non de simples
troubles
fonctionnels. De plus, quelques jours après l'a
roubles fonctionnels. De plus, quelques jours après l'admission, le
trouble
. de la sensibilité disparaissait, au moyen du t
ration des nerfs (la maladie date d'un an et demi). Absence de tout
trouble
de la sensibililé, mais l'observation montre qu
l'hémichorée, comme d'ailleurs la chorée essentielle est due à des
troubles
de centres encéphaliques spéciaux dont les lési
scrites produisent la chorée localisée ou hémi- chorée, et dont les
troubles
bio-chimiques (infections, dyscrasies, défauts
de prévoir l'attaque ; les mêmes phénomènes annonçaient aussi les
troubles
psychiques, courts du reste, qui remplaçaient les
on considérable de la plupart des symptômes (particu- lièremeut des
troubles
douloureux et génito-urinaires et de l'incoor-
mettre à l'ordre du jour du Congrès de 1899. Première question : La
troubles
psychiques postopératoires. Rappprteur, M, Rayn
ident du Comité de direction les irrégularités de caractères et les
troubles
de l'in- telligence qui leur ont été signalés,
externe de la jambe; traces de réaction de dégéné- rescence. Pas de
troubles
électriques dans le domaine du nerf péronier.
d'Achille sont assez prononcés; phénomène du pied à droite. Comme
trouble
vasomoteur, cyanose des membres inférieurs. De
autre, incontinence d'urine, plus souvent rétention absolue. Urines
troubles
, ammoniacales; pas d'albumine. Consti- pation o
les, ammoniacales; pas d'albumine. Consti- pation opiniâtre. Pas de
troubles
mentaux. Evolution de l'affection. Malgré le tr
Au bout de deux mois, on constate que l'atrophie musculaire et les
troubles
électriques dans les membres inférieurs ont notab
. Les causes de cette altération sont évidentes : non seulement les
troubles
circulatoires qui résultaient des lésions vascu
es la mission de poursuivre les crimes ou les délits soupçonnent un
trouble
de l'es- prit chez le délinquant, c'est au méde
fini, aura dans une observation sévère, analysé les symptômes d'un
trouble
mental, il pourra s'élever à la notion des mobile
du Congrès. -1. lue D'l3ExntEau résume son rapport officiel sur les
troubles
psychiques post-opénatoires. SOCIÉTÉS SAVANTE
ost-opénatoires. SOCIÉTÉS SAVANTES. 209 Première question : Les
troubles
psychiques post-opératoires. 11. RAYNEAU, médec
11. RAYNEAU, médecin-chef de l'asile d'Orléans.- Sous le titre de
troubles
psychiques post-opératoires, on doit comprendre t
troubles psychiques post-opératoires, on doit comprendre tous les
troubles
intellectuels qui peuvent survenir à la suite d'u
qu'il peut exister diverses causes suscep- tibles de provoquer des
troubles
psychiques après une opération et qu'il faut le
squ'à ce jour, nous verrons les différentes formes que revêtent les
troubles
psy- chiques post-opératoires. Nous recherchero
qu'Ambroise Paré et Schrcelter (1804) eussent déjà signalé que des
troubles
mentaux pouvaient survenir après les opérations
lroth (1868), mais il déclare aussi que l'on peut voir survenir des
troubles
psychiques constituant une véritable aliénation
Amérique, pendant l'année 1889, 1'illlebrown mentionne trois cas de
troubles
mentaux à la suite des opérations gynécolo- giq
oter également des observations de Polaillon de ilafaélo Gucci. Des
troubles
psychiques post-opératoires sont signalés après
déclare que snr 92 opé- rés, il n'a vu que trois fois snrvenir des
troubles
psychiques. M. Debove communique, la même année
détails, des opérations gynécologiques ayant été suivies bientôt de
troubles
psychiques plus ou moins graves. Il faut acco
u'en dehors des délires toxiques (iodoforme, septicémie, etc.), les
troubles
psychiques s'observent principalement chez les vi
Si l'on parcourt les observations destinées à mettre en relief les
troubles
psychiques post-opératoires, on est frappé tout
âgée de trente-cinq ans, avait des vésaniques dans sa famille. Les
troubles
psychiques com- mencèrent huit jours après l'op
fesses, indices certains de l'ébranlement du système nerveux et du
trouble
profond de la nutrition; mais l'éminent chirurg
ation d'une psychose actuelle. Etiologie. Terrain de production des
troubles
psychiques post-opé- 1'/Jtoil'es. - Il ne suffi
pensent que ce sont les alcoo- liques qui sont surtout exposés aux
troubles
psychiques post-opéra- toires. Or, par le fait
constitue définitivement. Enfin, en raison de la grande variété des
troubles
psychiques post-opéra- toires, on ne saurait le
aire ou acquise les autres fac- teurs susceptibles de provoquer les
troubles
psychiques post-opéra- toires, l'importance qui
outer celle des suites de l'intervention ? On a pensé aussi que les
troubles
psychiques post-opératoires étaient dus à une a
génitaux de l'homme donnaient lieu, assez fréquemment aussi, à des
troubles
psychiques. Mais ce seraient les opérations gyn
lus bénignes, prolapsus, déchirures du périnée, qui sont suivies de
troubles
psychiques, il est bien évident que la nature d
iseptiques et principalement l'iodoforme peuvent aussi produire des
troubles
mentaux, Koenig, Krcemer, M. le P'' Berger et M
dicament, tout rentre dans l'ordre. On revient à l'iodoforme et les
troubles
psychiques se montrent à nouveau. En même temps
lorsqu'ils ont à intervenir chez des buveurs. La majeure partie des
troubles
psychiques post-opératoires relevés chez les homm
l y a corrélation constante entre l'extirpation de la glande et les
troubles
consécutifs toujours les mêmes. Mais doit-on in
s toujours les mêmes. Mais doit-on interpréter de la même façon les
troubles
psychiques qui succèdent à l'ablation d'autres
Jayle, ont songé à attribuer à la suppression de cette fonction les
troubles
momentanés après l'ova- riotomie et qu'ils ont
e ce traitement ont été souvent [incomplets ou nuls. De plus, les
troubles
mentaux consécutifs à l'ovariotomie sont rares et
oïdectomie, dans lesquelles l'intervention seule peut engendrer les
troubles
mentaux, le rôle principal dans leur genèse revie
es opérations gynécologiques n'exposent pas plus que les autres aux
troubles
psychiques post-opératoires. 5° Les troubles so
s que les autres aux troubles psychiques post-opératoires. 5° Les
troubles
sont peu fréquents ; leur évolution et leur prono
ne à sécrétion interne, les ovaires par exemple. La prophylaxie des
troubles
psychiques post- opératoires consistera doue à
'élève avec énergie contre la théorie de M. Régis. Il n'admet comme
troubles
psychiques post-opératoires que les troubles du
is. Il n'admet comme troubles psychiques post-opératoires que les
troubles
dus à l'acte opératoire seul. Les troubles toxiqu
post-opératoires que les troubles dus à l'acte opératoire seul. Les
troubles
toxiques, infectieux ou autres, ne rentrent pas
dans la question. L'opé- ration en elle-même peut-elle produire des
troubles
psychi- ques ? Tel est le problème. Il cite com
n, le col. le périnée, qui, chez les prédis- posées, provoquent les
troubles
psychiques. M. le Dl' il ! ONTPl\OFIT partage l
roisième. M. JoprnoY fait entrer dans le délire post-opératoire les
troubles
psychiques provoqués par l'opération tout entiè
dehors du rôle joué par l'opé- ration elle-même, dans la genèse des
troubles
psychiques, il faut tenir compte de la qualité
de l'organe enlevé. Or si l'ablation du corps thyroïde produit les
troubles
que l'on sait, l'ablation des ovaires ne produi
ellectuelle. M. LADA : 11R (de Genève), revenant sur l'analogie des
troubles
psychiques post-opératoires avec les paralysies
Pailhas communiquait les observations de trois malades atteints de
troubles
mentaux, liés disait-il, à une déviation de l'i
e quelques signes de démence, de l'inégalité pupillaire et quelques
troubles
légers de la parole. Passé dans le service du P
e la névroglie et de fibrilles fines. Les auteurs insistent sur les
troubles
mentaux et sur la topogra- phie de la lésion.
is dans quelques névroses, le goitre exophtalmique, etc. C'est un
trouble
trophique, attribuable au sympathique. L'auteur r
sculaire. Je l'ai décrite dès 1885 sous le nom de tabès moteur. Les
troubles
intellectuels .sont peu accentués, les malades
ents de leur situation, mais sans délire bien net. En revanche, les
troubles
moteurs sont très accentués. C'est une parésie
toires au point de vue- médico-légal. - M. Vallon étudie tous les
troubles
mentaux transitoires, tous les- états passagers
e médico-légale. Il les classe ainsi : 1° vésanies transitoires; 2°
troubles
mentaux transitoires de la sphère émotive : émo
ues; 3° im-, pulsions irrésistibles conscientes de courte durée; 4°
troubles
men- taux de la puerpéralité et de la menstruat
4° troubles men- taux de la puerpéralité et de la menstruation; 5°
troubles
mentaux- liés à une intoxication : alcoolisme,
5° troubles mentaux- liés à une intoxication : alcoolisme, etc.; 6°
troubles
mentaux liés- à une névrose : épilepsie, hystér
pilepsie, hystérie, neurasthénie, migraine oph- thalmique, etc.; 7°
troubles
mentaux liés à une affection des centres nerveu
tres nerveux (traumatisme, lésion en foyer, etc., ou des nerfs); 8°
troubles
mentaux dans les maladies autres que celles du sy
entaux dans les maladies autres que celles du sys- tème nerveux; 9°
troubles
mentaux liés à des troubles du sommeil : état i
res que celles du sys- tème nerveux; 9° troubles mentaux liés à des
troubles
du sommeil : état intermédiaire à la veille et
mité la question, il trace la conduite- de l'expert dans les cas de
troubles
mentaux transitoires et arrive- enfin à exposer
ait de faire l'objet d'un rapport spécial. J'avais déjà éliminé les
troubles
mentaux à début brusque, mais à. évolution dura
u double point de vue du droit criminel et du droit civil, mais les
troubles
mentaux transitoires, eux, ne sont guère de nat
civile telle, par exemple, que la contestation d'un testament, ces
troubles
mentaux, en effet, semblent acquérir en intensi
soudre est relative- ment simple : il consiste à reconnaître si les
troubles
mentaux sont réels ou simulés, c'est-à-dire, da
masque. Dans l'immense majorité des cas, au moment de l'examen, le
trouble
mental qui a donné lieu à l'acte incriminé a di
son jugement. 2° Examen de l'inculpé. Il peut révéler, à défaut de
troubles
mentaux caractérisés, quelques vestiges, par ex
res, de torticolis mental, d'acromégalie, de myxoedème avec ou sans
troubles
psychiques, de nanisme. Ces deux dernières séri
eur oculaire commun. ligature de l'artère humérale au pli du coude.
Troubles
paralytiques - consécutifs. M. IALLY (de Pari
nservation de l'excitabilité faradique). L'auteur considère que ces
troubles
paralytiques ne peuvent s'expliquer ni par un t
d'hystéro-traumatisme. Il lui semble plus logique d'admettre que le
trouble
circulatoire résultant de l'oblitération artéri
il est logique d'admettre qu'il en est de même lorsqu'il s'agit de
troubles
affectant des vis- cères dont les centres corti
ement intellectuel, qui présentait depuis l'Age de dix-huit ans des
troubles
spasmo- diques rythmiques multiples, continus,
médecins'. '. Séance du vendredi 5 août. Présidence DE M. Motet.
Troubles
psychiques post-opératoires. M. TERRIEN (de la
s post-opératoires. M. TERRIEN (de la Vendée) rapporte trois cas de
troubles
psy- chiques post-opératoires. 1 Des circonst
e ; les caractères sont les mêmes et le traitement est le même. Aux
troubles
psychiques de l'hystérie, il faut une médicatio
males du tabétique. Paralysie périphérique d'origine traumatique.
Troubles
réflexes concomitants. M. Mally (de Paris) ra
éralisé. (Electrisation statique.) , . SOCIÉTÉS SAVANTES. 287 Î
Troubles
délirants post-opératoires. MARIE et VIGOUROUX
d'observations cliniques concernant des malades ayant présenté des
troubles
délirants après qu'elles eurent subi une opérat
xiste, mais est beaucoup moins accentuée, surtout à gauche ; pas de
troubles
de la sensibilité ni des sphincters ; le facies
eloppée et proportionnée à la chaleur reçue; le. liquide contenu se
trouble
; la suppuration s'éta- blit plus tard et il re
, à peine acide, char- gée de pus et de phosphates. Au début de ces
troubles
le malade , , 280 CLINIQUE NERVEUSE. ne p
ilité de maintenir la tête dans la position verticale; de plus, les
troubles
vaso-moteurs et sudoraux et l'incurvation de la
iolents maux de tête et de la con- fusion mentale avec anxiété. Les
troubles
intellectuels s'accentuent très rapidement et,
nettement guérie le '2 février 1898, ne présentant plus le moindre
trouble
intellectuel, sa santé physique étant très bonne.
'asile, j'ai observé une infirmière tuberculeuse qui a présenté des
troubles
intellectuels analogues, à début brusque, absol
mentale avec anxiété et, de plus, hallucinations terrifiantes. Ces
troubles
se sont dissipés sans amé- lioration de l'état
isage de cette malheoreuse. Cette dernière malade vit encore et ses
troubles
intellectuels n'ont pas reparu, bien que la san
uleuse, entend dire qu'elle est perdue; aussitût apparaissent des
troubles
intellectuels qui commencent à se dissiper dès qu
l-à-dire dès qu'elle retrouve de l'es- poir. Chez la seconde, les
troubles
intellectuels, développés dans les mêmes condit
e la débilité physique de nos deux malades lors de l'éclosion des
troubles
intellectuels, mais il n'en est pas moins évident
diagnostic « folie tuberculeuse » lorsque l'on se trouve en face de
troubles
intellectuels survenant chez des tubercu- leux
hez qui se sont manifestés, en même temps qu'une angine légère, des
troubles
de la sensibilité et une grande faiblesse des m
his, à leur tour, par la paralysie; peu après, se sont produits des
troubles
cérébraux : délire tranquille avec hallu- cinat
suivantes : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 291' lo Apparition de
troubles
cérébraux très accentués, précédant même les tr
Apparition de troubles cérébraux très accentués, précédant même les
troubles
bulbaires; ces troubles étaient certainement so
érébraux très accentués, précédant même les troubles bulbaires; ces
troubles
étaient certainement sous la dépendance des lés
ale ; la phobie des espaces vides pourrait être considérée comme un
trouble
, sinon périphérique, du moins bulbaire, par - i
éloignaient l'idée d'une infection ; mais il est possible que les-
troubles
constatés aient été le produit d'une action mécan
art les lésions des centres de la parole, droit et gauche, puis les
troubles
fonctionnels secondaires aux lésions des images
niveau de la région sacrée, suivie de paraplégie incomplète avec
troubles
vésicaux et génito-urinaires; l'autre d'origine é
rédité névropa- 292 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. thique ou des
troubles
nerveux personnels; qu'avec les recherches expé
r, comme les autres affec- tions cutanées qui se traduisent par des
troubles
de kératinisation est provoqué par des désordre
ue de la pachyméningite cervicale hypertrophique : prédominance des
troubles
parétiques du côté des muscles extenseurs des m
nte, coïncidant avec une paralysie vésicale subite, l'extension des
troubles
nerveux à la région dorsale. Il y a lieu, sans
e généralement le nom de main de Duehenne-Aran. Malgré l'absence de
troubles
de la sensibilité, l'auteur croit pouvoir ratta-
avant même que ces lésions organiques ne soient constituées par le
trouble
amené dans la nutrition des cellules nerveuses
éralion intellectuelle s'accentue, il y a lieu- de l'attribuer à un
trouble
mental. La microcéphalie se reconnaît à des signe
sensation de tension dans le côté gauche du cou et de la tête, sans
trouble
céphalique véritable. Il ne présente d'ailleurs p
s de para- lysie, du côté des membres ni des nerfs craniens; pas de
troubles
oculaires ; pas de vomissements. Les mouvements
es sont conservés et exagérés. L'in- telligence est intacte. Pas de
troubles
respiratoires ni circulatoires. En l'absence de
t. La mort survint deux jours après l'opération par exagération des
troubles
cardio-respi- ratoires. A l'uutopsie le cerve
de l'épendyme pour irradier de là vers la périphérie. Les premiers
troubles
obser- vés se rapportent à là sensibilité, car
ts s'aggravent jusqu'en 1895. Déjà, en décembre 1894, il existe des
troubles
de la déglu- tition. En janvier 1895, le malade
res du facial des deux côtés, paré- sie avec atrophie de la langue,
troubles
de la déglutition, aphonie absolue, immobilité
gante que la marche ordinaire et susceptible même de produire des
troubles
cardiaques. L'intérêt médical et artistique qui s
segment sacré. ' G. D. XXI. Etude critique ET expérimentale SUR LES
troubles
vaso-moteurs PRODUITS PAR LA SUGGESI'lON DANS D
Archives, 2e série, t. VI. 21 t REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1.
TROUBLES
psychiques I'oST-oIL`R.1TOIRES; par M. le profess
occasion d'étudier dans une de ses leçons cliniques l'étiologie des
troubles
psychiques post-opératoires. L'une de ces malad
nement et hallucinations terri- fiantes de la vue et de l'ouïe. Ce*
troubles
mentaux ont persisté sans modification apprécia
. Deux ans avant ces accidents, cette femme avait déjà présenté des
troubles
psychi- ques. Ses antécédents héréditaires sont
e suicide, idées de persécution et hallucinations terrifiantes. Ces
troubles
persis- tent encore. S'appuyant sur ces obser
éterminer le myxoedème post-opératoire. Si l'on a pu croire que les
troubles
mentaux sont plus fréquents dans les maladies c
er : ce sont les alcooliques, chez qui la fréquence et la forme des
troubles
mentaux, à l'occa- sion d'un traumatisme, d'une
ulsions, sans altération de la connaissance; elles consistent en un
trouble
limité de l'appareil moteur. Cela commence par de
des éléments corticaux sensitifs; sans doute chez ce malade, les
troubles
sensitifs prodromiques manquent parfois, mais c'e
Le plus souvent on constate chez les épileptiques de nos asiles un
trouble
mental; soit l'excitation maniaque, soit la rel
tion et de : mysticisme, des hallucinations des sens, jointes à des
troubles
musculaires, à un embarras pro- noncé de la par
des membres. A la quinzaine, je mentionne dans mon certificat des
troubles
musculaires qui peuvent se rattacher à la paralys
fférentiel de la paralysie générale et de l'épilepsie compliquée de
troubles
muscu- laires ; surtout lorsque s'y joignent le
(souvent ambitieux ou hypochondriaque, etc), et sous le rapport des
troubles
de la motilité et de la sensibilité. Aussi ne d
s, des membres, inégalité pupillaire, affaiblissement mus- culaire,
troubles
de la sensibilité, etc. (obs, 2, 3, 4, 11 et 12).
inaires était réduite au minimum. La malade maigrit et présenta des
troubles
gastro-intestinaux. Elle entra dans la clinique
895, avec les symptômes suivants : douleurs fulgurantes aux jambes;
troubles
de la sensibilité générale aux jambes, au tronc
. \'1. 23 354 CLINIQUE mentale. prédisposition héréditaire aux.
troubles
hépatiques et chez les aliénés atteints de cett
r de cet agent pathogène et même il est permis de se demander si le
trouble
hépatique et le trouble mental, au lieu d'être
et même il est permis de se demander si le trouble hépatique et le
trouble
mental, au lieu d'être subordonnés l'un à l'aut
, dit M. Léopold Lévy, à qui l'on doit une importante étude sur les
troubles
nerveux d'origine hépatique, on voit survenir,
ctionnement imparfait du foie. Dans ce cas, le délire est-il lié au
trouble
hépatique ? C'est là une question qui se pose ;
sur le compte du délire ? Enfin, hypothèse plus vraisemblable, les
troubles
cérébral et hépatique ne doivent- ils pas être
ion hépatique (Revue de psychiatrie, sept. 1897). * Léopold Lévy. -
Troubles
nerveux d'origine hépatique (Archives gén. de M
à résoudre. Nous pensons cependant que même dans l'hypothèse où les
troubles
nerveux et hépatiques relè- vent de la même cau
re hépatique sur le système nerveux est très vraisem- blable. Les
troubles
fonctionnels du foie ne sont pas seuls à incri-
cancers, cirrhoses, peuvent aussi intervenir dans la production des
troubles
mentaux. Nous citerons plus loin une observatio
idus atteints de cancer et de cirrhose '. L'influence pathogène des
troubles
et des lésions hépa- tiques sur le cerveau une
ntervient concurremment avec d'autres causes dans la pathogénie des
troubles
mentaux, pouvant entretenir et développer le dé
lésions rétiniennes, certaines interprétations délirantes liées aux
troubles
cardiaques ou pulmonaires concomitants, quel- q
du foie : la tuméfac- tion et la douleur. Il ne suffira pas que les
troubles
mentaux paraissent liés à ces manifestations hé
teint de mélancolie avec crises panophobiques et concurremment d'un
trouble
hépa- tique qui a évolué peu à peu dans le sens
infectieux fébrile qui s'est manifesté longtemps après le début du
trouble
men- tal, ne semble pas avoir eu grande influen
'uricémie, la migraine, le rhumatisme vague, états qui résultent de
troubles
nutritifs auxquels le foie ne reste pas étrange
s retrouvons la coïncidence d'un état de souffrance du foie et d'un
trouble
mental, ce dernier, consécutif et, en apparence
obable d'un choc moral, d'une peur ; et elle semble si bien liée au
trouble
hépatique que ce dernier conti- nue à évoluer a
hépatique que ce dernier conti- nue à évoluer après l'explosion des
troubles
mentaux et que nous assistons successivement, a
as pourquoi ces mêmes méca- nismes ne pourraient pas déterminer des
troubles
intellec- tuels. - Nous répugnons cependant à
tuels. - Nous répugnons cependant à voir dans le cas présent un
trouble
mental sympathique ou réflexe. La nature de ce
présent un trouble mental sympathique ou réflexe. La nature de ce
trouble
mental est-elle du moins de nature à nous éclai
façon absolue. Il ne nous semble pas démontré, en effet, que les
troubles
psychiques en question soient un cas de folie du
équents intervalles pseudo- lucides ; et enfin elle s'accompagne de
troubles
nerveux qui ont un cachet hystériforme assez ma
ifie ordinai- rement ni la marche ni les symptômes. Tout au plus le
trouble
hépatique intervient-il, par l'intermédiaire de
is non guéri. L'accès actuel n'est donc qu'une recrudescence d'un
trouble
mental déjà ancien. Le malade est agité, avec d
ancien. Le malade est agité, avec désordre des idées et des actes,
troubles
de la sensibilité générale, idées vagues de per
maigrir, perdre ses forces et s'aliter. Elle se plaint de fréquents
troubles
digestifs. En avril 1875, ictère généralisé int
r, la cirrhose, l'hépatite sont fréquemment le point de départ de
troubles
délirants chez les gens jusqu'alors réputés sains
importance réelle, au point de vue étiologique, aux lésions et aux
troubles
fonctionnels du- foie dans les maladies mentale
du- foie dans les maladies mentales. Dans la majorité des cas, le
trouble
hépatique vient se joindre à d'autres causes po
xication, et la fragilité de la cellule nerveuse provient soit d'un
trouble
de sa nutrition impu- table à la défaillance ép
as que nous avons observés, nous n'avons jamais vu se superposer au
trouble
mental primitif de nouveaux phénomènes psychiqu
si seulement il est possible de connaître l'évolution de chacun des
troubles
; ainsi seulement enfin il est possible de rappr
s troubles; ainsi seulement enfin il est possible de rapprocher ces
troubles
les uns des autres. Ce travail, qu'à notre co
xistait une anesthésie presque complète qui disparaissait quand les
troubles
de la mobilité devenaient manifestes. Ce travai
ment complète et durable. M. Grasset et M. Cullerre croient que les
troubles
de la sensibilité sont à peu près constants mai
secondaire. Ils acceptent une anes- thésie cérébrale précédant les
troubles
moteurs, et ajoutent qu'on constate parfois une
ible d'arriver à une formule générale et nous nous demandons si les
troubles
de lasensibilité, lorsqu'ils apparais- sent ne
Traité des maladies mentales ? A cette ques- tion il répond que ces
troubles
sont difficiles à constater et que nous ne poss
le du Traité de médecine de Charcot et Bouchard, trouvent que les
troubles
de la sensibilité générale sont tout à fait excep
plus récents, M. Magnan et M. Sérieux qui s'expriment ainsi : « Les
troubles
de la sensibilité ne sont pas rares, mais leur
personne ne s'est imposé la tâche de rechercher méthodiquement les
troubles
du sens tactile chez les mêmes paralysés généra
r le diagnostic différentiel avec l'alcoolisme chronique mais les
troubles
de la sensibilité augmentent à mesure que la mala
n côté de Kraff-Ebing résume ainsi ses constatations : « A côté des
troubles
vaso-moteurs et moteurs les troubles de la sens
s constatations : « A côté des troubles vaso-moteurs et moteurs les
troubles
de la sensibiltié jouent un rôle insignifiant.
exact des fonctions est très difficile à cause de la démence et du
trouble
de la conscience des malades. » D71cl : le est
est de tous les auteurs celui qui s'est le plus appe- santi sur les
troubles
du tact et si certaines de ses assertions ne so
rand nombre de malades du début à la terminaison de la maladie. Les
troubles
du tact semblent avoir été observés de chic, qu
l l'est le moins ; si toujours ou seulement dans certains cas ces
troubles
impriment une direction particulière au délire ;
rares à la première période, une fois moins rares à la seconde, les
troubles
du sens tactile se notent dans plus de la moiti
bsence complète à la phase ultime. Y aurait-il un rapport entre les
troubles
du sens tactile et la variété mentale expansive
ns suivantes,- démontrant que c'est dans la forme expansive que les
troubles
du sens tactile sont les plus fréquents, ensuit
s réunies ». Dr J. SIBBALD. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LXXXVI.
Troubles
'gastriques DE nature hystérique. - Clinique du
rique, avec vomissements de liquide blanchâtre. Depuis cette époque
troubles
gastriques fréquents caractérisés par une douleur
[amélioration progres- sive de tous les symptômes, disparition des
troubles
gastriques; la malade reprend ses occupations.
sitoire avec parésie faciale persistante du même côté. Pas d'autres
troubles
pbysi- 'ques ou psychiques. Depuis deux ans, à
te observation est intéressante par le réveil, après trente ans, de
troubles
fonctionnels résultant d'une lésion de l'enfance,
n haut et en dehors. L'auteur a déjà cité huit cas dans lesquels ce
trouble
était nette- ment associé à des phénomènes d'or
e dernier attribuait exclusivement à l'irritation labyrinthique les
troubles
oculo-moteurs observés. Or, M. Bonnier, en parlan
lection purulente dans la région mastoïdienne gauche, l'analyse des
troubles
de la parole, de la mimique, de l'ecriture, de
ure, de l'audition des mots, de l'état intellec- tuel, l'absence de
troubles
moteurs permirent dès l'arrivée du ma- lade, de
- porale, bilatérale, accompagnés de nausées, de vomissements, de
troubles
de la vue. Ces accès se reproduisent à intervalle
dyscrasie diabétique ou purpuriq'ue en rapport probable avec des
troubles
neurotrophiques centraux et périphériques simulta
uestra- tion doit suivre d'aussi près que possible l'apparition des
trouble
mentaux. ' Pour réaliser ces internements pré
e, mange et dort bien, puis confesse au médecin qu'il a simulé un
trouble
mental pour quitter la prison; il raconte en rian
ier abord; mais il avait simulé d'une façon si nette, si précise un
trouble
mental bien défini, que le médecin le maintint
une période d'agi- tation au cours de laquelle revinrent les mêmes
troubles
délirants qu'il avait prétendu simuler; cet éta
gieuse étroite, ayant présenté à la suite d'un violente émotion des
troubles
de nature épileptique (pertes de conscience sui
u traitement par la strychnine est l'amélioration incontestable des
troubles
gastro-intestinaux et neu- rasthéniques. Le som
ors que le retour à la santé paiaissait évident, apparaissaient des
troubles
nerveux nécessitant l'emploi du bromure et de la
'empêchement de penser et de se mouvoir) et accessoires (les divers
troubles
délirants), puis les divers modes de terminaiso
latérales et typiques, témoignent de leur origine corticale et d'un
trouble
du sens mus- culaire. 3° Ce sont des mouvements
ion en question est parfois si opiniâtre qu'elle dure nuit et jour,
trouble
le sommeil, détermine de l'in- somnie, devient
ette opinion est qu'une interruption dans ces connexions produit un
trouble
mental. Nous connaissons la marche des excitation
eilaire est, au point de vue de la fréquence, en raison inverse des
troubles
de la parole. 6. Cette exagération n'est pas du
pport quelconque entre les altérations du réllexe patellaire et les
troubles
de la sensibilité à la douleur et du tact. (A ?
emblement des mains en écrivant, un engourdissement des doigts. Ces
troubles
physiques étaient du resle annoncés par la voix
n vertigineuse, d'accès d'angoisse précordiale (Mendel) et d'autres
troubles
du côté du système nerveux ; 12° la marche et le
eaux pyra- midaux depuis les ascendantes jusque dans la moelle. Les
troubles
variés de la sensibilité constatés pendant la v
motilité de la partie correspondante du corps. La simultanéité des
troubles
de la sensibilité et de la motilité observée ch
ité observée chez ces malades permettrait donc ici de rapporter les
troubles
sensibles à la lésion corticale des centres mot
de tic généralisé, le malade était obsédé. Donc ces deux espèces de
troubles
se suppléent. S. Freud, de son côté, dans sa tr
apport avec l'intensité et le développement plus ou moins récent du
trouble
psychique. ' J. S. XXVIII. La démence paralytiq
Il met en présence les opinions contradictoires qui expliquent les
troubles
mortels consé- cutifs à l'extirpation double (t
ion ; la deuxième supposant, avant toute intervention capsulaire un
trouble
primitif du système sympathique de cause inconnue
trice chez quatre chats ; extirpation bilatérale chez un cinquième.
Troubles
habituels typi- ques. Entre la deuxième et la c
l'aorte. (JV6M)-o<oy. rem6/. 1895.) Tout cela prouve qu'il y a
trouble
de nutrition de la cellule, et que la substance
fréquemment réunies sous forme d'amas, ce qui permet de supposer un
trouble
local de nutrition. Dans un cas de mélancolie s
sion musculaire normale ou un peu augmen- tée) peut accompagner des
troubles
cérébraux. Il est des cas où elle est combinée
r des troubles cérébraux. Il est des cas où elle est combinée à des
troubles
convulsifs tels que l'athétose ou la paramyoton
yotome chez un jeune homme de dix neuf ans. Vraisemblablement les
troubles
myotoniques n'ont ici de commun avec la myotonie
VI, 1897.) L'ataxie du tabétique tient-elle exclusivement au simple
trouble
fonctionnel des nerls centripètes ? Mes expérie
apables d'en traduire le sens. L'aphasie comporte donc : A, soit un
trouble
de la mémoire sensible (motrice, sensorielle, e
orielle, et visuelle des lettres) : aphasie sen- sible ; B, soit un
trouble
de la mémoire d'association des centres d'assoc
n moyen ou postérieur : aphasie d'association. Dans chaque genre le
trouble
peut être organique ou fonctionnel. A. Aphasie
ve, ou auditive; l'outil de la parole étant intact, il doit y avoir
trouble
partiel des associations entre le centre des mots
qui existent déjà dans la mémoire. Cette cécité psychique dénote un
trouble
des associations qui vonl de tons les sens au c
mmet le crime, soit sous l'action de l'ivresse, soit sous celle des
troubles
intellectuels et moraux de l'alcoolisme chroniq
llnt,r. Etendue de la spé- ciaUté -, par Iiello, 126. Psychiques.
Troubles
postopéra- toires, par Reyneau, 209 ; par Ter
atow. 6 ! 1'aeum.enew essentiel héréditaire, par Bonnelli, 410.
Trouble
moteur. Sur un - qui ac- compagne la douleur lo
egrini, 91. Vagabondage mystique, par Donati, 485. Vasomoteurs.
Troubles
- produits par la suggestion, par Schrenck- N
re mort de tuberculose.] Mère : fièvre typhoïde à douze ans, pas de
troubles
intellectuels consécutifs; céphalalgies mais pa
à cause de son embonpoint qui est assez prononcé. Appétit bon, sans
trouble
de la digestion. Elle s'endort assez lentement,
it éprouver à Trousseau qu'un peu de céphalalgie, d'incertitude, de
troubles
de l'ouïe, de la vue et de la motilité, on en c
énomènes qu'elle provoque reproduisent d'une maniè- re générale les
troubles
qu'on la destine à combattre; une excitation ab
ontient de petits flocons à peiner.. visibles. La culture garde son
trouble
. Peu ou pas de dépôt. Réac-un tion acide au bou
ons qu'elles présentent dans le sang. ^ Gélatine. Par piqûre, léger
trouble
à peine visible le long du trait. Rien à l'orif
, répond intelligemment à toutes les questions et ne présente aucun
trouble
de la sensibilité ni de la motilité. Tout ici i
e Fleclisig; les centres sensoriels sont lésés, ce qui entraine des
troubles
correspondants. Dans la seconde, prédomine la f
érieure des lobes frontaux. .1 1 1 Il ne saurait être question de
troubles
moteurs, de troubles sen- sitifs, de troubles d
rontaux. .1 1 1 Il ne saurait être question de troubles moteurs, de
troubles
sen- sitifs, de troubles de la parole. Les trou
rait être question de troubles moteurs, de troubles sen- sitifs, de
troubles
de la parole. Les troubles de la parole et de la
les moteurs, de troubles sen- sitifs, de troubles de la parole. Les
troubles
de la parole et de la déglutition du début tena
n à distance de la lésion ; ils ne tardèrent pas à disparaître. Les
troubles
des muscles des yeux furent trop mobiles et, ul
n constata des phénomènes psychiques persistants. Ce furent : u) un
trouble
de l'attention entraînant de l'amnésie; b) l'ou
acntNr et Thomas présentent un jeune garçon de onze ans, atteint de
troubles
de l'audition depuis six mois et de troubles de
e onze ans, atteint de troubles de l'audition depuis six mois et de
troubles
de l'équilibre depuis deux mois, avec surdité v
Il ne com- prend plus que le mot Gustave qui est son prénom. Les
troubles
de l'équilibre s'accentuent pendant le mouvement
ur expliquer la sur- dité verbale pure. Il n'y a d'autre part aucun
trouble
du langage intérieur. Les lésions périphériques
t il n'en subsiste pour caractériser le « lacunaire » que' quelques
troubles
: la « marche à petits pas », l'impossibilité d
ement passés en revue : , 1° Le 'syndrome des cordons postérieurs :
troubles
sensitifs et ataxie ; 2° le syndrome des cordon
stérieur : dissociation, dite syringomyétique, des sensibilités (et
troubles
vasomoteurs) ; 70 le syndrome associé des corne
musculaire, dissociation dite syringomyélique des sensibi- lités et
troubles
vaso-moteurs ; 8° le syndrome d'une moitié latéra
n spinale, sans signe de Babinski. Asynergie cérébelleuse à droite.
Troubles
de la parole. Hypoesthésie du côté droit. Néopl
est atteint d'un syndrome de Weber un peu particulier consistant en
troubles
oculaires et en troubles de la motilité (ftq. 4
de Weber un peu particulier consistant en troubles oculaires et en
troubles
de la motilité (ftq. 4). · 1° Troubles oculai
n troubles oculaires et en troubles de la motilité (ftq. 4). · 1°
Troubles
oculaires. L'oeil gauche est en ptosis paralytiqu
ur la pupille gauche, mais fait contracter la pupille droite. Ces
troubles
ont persisté toujours avec la même intensité ; au
sociés de latéralité (examen de M. Sauvineau) (fig. 5 et 6). t 2°
Troubles
de la motilité. Il n'existe pas à proprement parl
ré d'hémiparésie motrice droite. Cendant le malade présente de gros
troubles
moteurs ainsi faits : ' ' a) La démarche est
ptosis permanent) ne pai ait pas avoir une grosse influence sur ce
trouble
de l'équi- libre. c) Les mouvements des mains
ale, ni paralysie du voile du palais, ni déviation de la langue, ni
troubles
laryngés. L'intelligence est intacte ; la santé
Notre malade présentait des paralysies oculaires associées à des
troubles
moteurs des membres et à des troubles de la par
ies oculaires associées à des troubles moteurs des membres et à des
troubles
de la parole. L'explication de ces paralysies
ventriculaire et comme conséquence une névrite oedé- mateuse. Les
troubles
moteurs du bras et de la jambe du côté droit ne
pédoncule gauche et de la voie motrice pyramidale médullaire. Les
troubles
moteurs, cependant très prononcés, consis- taie
e cette jambe analogue à-la description donnée par M. Babinski. Ces
troubles
mo- 96 CLINIQUE NERVEUSE. 1 teurs ont été sig
est un nouvel exemple des plus nets, puisque chez notre malade ces
troubles
moteurs existaient indépendants de toute paraly
e des membres pro- prement dite. Quelle peut être la cause de ces
troubles
ataxiformes ? On a pu invoquer dans certains ca
or, chez notre malade, il était normal, en flexion. Au surplus, ces
troubles
moteurs ne ressemblent pas aux trou- bles moteu
ne, soit de la perte du sens des attitudes, alors que cependant les
troubles
ataxiformes étaient très pronon- cés. Au surplu
ous avons pu constater plusieurs fois chez d'autres malades que des
troubles
sensi- tifs profonds (perte du sens stéréognost
s, ne s'accompagnaient pas forcément d'ataxie de mouvements et de
troubles
d'incoordination semblables à ceux présentés pa
s à ceux présentés par notre malade. Si, par suite, l'existence des
troubles
sen- sitifs favorise l'apparition. de l'ataxie
t indispensable. Or chez notre malade, dès le début, ont apparu des
troubles
d'in- coordination et le noyau rouge gauche a é
ule cérébelleux supérieur droit que l'on doit surtout attribuer les
troubles
ataxiformes et le tremble- ment intentionnel ob
o-médullaire ne paraît pas s'entrecroiser, il est natu- rel que les
troubles
d'asynergie siègent du côté de la lésion bulbo-
er singulièrement le syndrome de Millard- Gubler en déterminant des
troubles
moteurs des membres du même côté que la paralys
fie légèrement au contraire le syndrome de Weber puisque, comme les
troubles
moteurs consécutifs à la lésion de la voie motr
let. A l'hémiataxie droite étaient associés chez notre malade des
troubles
du langage. Ces troubles peuvent en effet s'ob-
ite étaient associés chez notre malade des troubles du langage. Ces
troubles
peuvent en effet s'ob- server dans le syndrome
usement analysés dans son article précité. Bien qu'as- sociés à des
troubles
moteurs des membres du côté droit, on les disti
s en est un exemple. La dy- sarthrie n'est pas alors associée à des
troubles
parétiqùes des organes d'émission des sons, lèv
e paire gauche, croyons-nous cependant préfé- rable d'assimiler les
troubles
de la parole aux troubles moteurs ataxiformes d
us cependant préfé- rable d'assimiler les troubles de la parole aux
troubles
moteurs ataxiformes des membres et d'adopter po
atteint d'un syndrome de Weber très particulier en ce sens que les
troubles
moteurs des membres du côté droit, asso- ciés à
cté entièrement le pied des deux pédoncules. Il semble donc que les
troubles
moteurs des membres ont été déter- minés par la
du pied détermine un léger relèvement des orteils Il n'y a pas de
troubles
apparents de la sensibilité. L'enfant voit bien
. G = 11 (il s'agit d'un dynamomètre pour adultes). Il n'y a pas de
troubles
de la sensibilité. Les réflexes patellaires son
e tremblement de la tête, du corps ou des mains, il n'existe pas de
troubles
de la sensibilité. D'après le dire de la mère,
euve une ébauche de clonus caractérisée par 2 ou 3 ressauts. Pas de
troubles
de la sensibilité. Le nystagmus remonte à la na
réformé pour varices des membres inférieurs. Il ne présente pas de
troubles
de la sen- sibilité. Les réflexes patellaires s
ilité. Les réflexes patellaires sont normaux. Il ne présente pas de
troubles
nerveux ni de signes d'une affection des centres
'y a pas d'atrophie, pas de modifications du thorax, aucun signe de
troubles
du côté du système nerveux. Observation IV. A
es réflexes patellaires sont normaux. Il ne parait pas exister de
troubles
de sensibilité. D'après le père, le tremblement
a voix, il n'a pas de rire ni de pleurs spasmodiques. Il n'a pas de
troubles
de la sensibilité. Il n'y a pas de tremblement
d'asymétrie faciale, le thorax est bien conformé. On ne constate de
troubles
trophiques nulle part. Les organes géni- taux s
part. Les organes géni- taux sont bien développés. Il n'y a pas de
troubles
de la sensibilité à la piqûre et de la sensibil
té thermique. On ne constate pas de tremblement des membres, pas de
troubles
vaso-moteurs. Réflexes patellaires. Le réflexe
- douzy, où, dans certaines affections cérébrales accompagnées de
troubles
de la motilité des muscles de l'oeil, la lésion
ement soit par des altérations des fibres musculaires, soit par des
troubles
nutritifs des muscles résultant de lésions vasc
Blocq, Lemke). Il est certain, dit M. Achard, que l'hypothèse d'un
trouble
primitivement musculaire ne saurait être admise
sujet à une insomnie fré- quente, à de violents maux de tête, à des
troubles
digestifs de toutes sortes. Inquiet de sa santé
qui, très goûtées, furent imprimées plus tard. Mais dans l'état de
trouble
et 'd'angoisse morale où la maladie la plongeai
aux. Se fondant sur ces différents caractères l'auteur admet que le
trouble
moteur de son malade doit être attribué à une l
au d'un point quelconque du membre inférieur. G. U. XXII. Sur les
troubles
mentaux qui sont sous la dépendance de la toxém
st possible, à discerner leurs rapports avec les diverses formes de
troubles
mentaux. R. de hIUSGRAV1 CLAY. REVUE D'ANATOM
(Nezii-olog. Ceniralblatt, XIX, 1900.) Il existe deux espèces de
troubles
de la sensibilité : des (roubles objectifs et d
pèces de troubles de la sensibilité : des (roubles objectifs et des
troubles
subjectifs. Les premiers sont en rapport avec l
e central. C'est pourquoi on observe des cas de polynévrite, où les
troubles
psy- chiques sont peu marqués et au contraire d
ytiques généraux et surtout chez les idiots. Ce qui caractérise les
troubles
du système musculaire dits cata- tomques si fré
ation soit entre eux, soit avec une idée directrice quelconque. Ces
troubles
sont donc dans les deux cas le produit ou l'exp
du début; 20 parallélisme des conceptions délirantes et des autres
troubles
psychopathiques ; 3° spontanéité du délire chez
urs délusions étaient toutes de nature dépressive et révélaient des
troubles
de l'inner- vation splanchnique. Chez deux d'en
lité faradique localisée aux muscles de l'épaule et du bras. Pas de
troubles
marqués de la sensibilité, pas d'altération des
. Au moment de la guérison, on voit rétrocéder successivement les
troubles
de l'ouïe et de la sueur, du goût, de la salive,
lontaire. Dans la paralysie faciale rhumatismale, il ne survient de
trouble
lacrymal que lorsque la paralysie siège dans le
orsque la paralysie siège dans le voisinage du gan- glion géniculé (
trouble
simultané des larmes et du goût). Dans la paral
Dans la paralysie faciale d'origine basale, on observe également le
trouble
de la sécrétion lacrymale, mais naturellement s
ement le trouble de la sécrétion lacrymale, mais naturellement sans
trouble
conco- mitant du goût. D'autres observations cl
à plusieurs reprises l'existence des hallucinations de l'ouïe. Les
troubles
aphasiques durent une huitaine de jours, puis l
aphasie, cécité verbale, paragraphie. Comme les premières fois, les
troubles
apha- siques durent une semaine, et à la suite
nations (phénomènes d'excitation) explique d'une façon tangible des
troubles
qui sont habituellement mis sur le compte de l'
e générale, comprenant les cas caractérisés par la prédominance des
troubles
sensoriels et des troubles de la sphère du lang
s caractérisés par la prédominance des troubles sensoriels et des
troubles
de la sphère du langage (symptômes d'excitation o
nt constaté la coïncidence d'insuffisance hépatique passagère et de
troubles
mentaux également passagers, éta- blissent une
retrouvé la plupart de ces signes chez des sujets présen- tant des
troubles
psychiques, intermittents ou passagers," et n'ac-
ils ont vu l'insuffisance hépatique évoluer parallèlement avec les
troubles
psychiques; ils ont vu en particulier disparaître
e, qui leur servait de pierre de touche quand dis- paraissaient les
troubles
mentaux (confusion mentale, délire oni-. rique.
75 de nombreuses observations, les auteurs notent la fréquence de
troubles
pupillaires variés, de troubles des réflexes et d
les auteurs notent la fréquence de troubles pupillaires variés, de
troubles
des réflexes et de la sensi- bilité cutanée. Il
et de la sensi- bilité cutanée. Ils notent par ordre de fréquence :
troubles
de l'ac- commodation, du réflexe lumineux, dila
ance aussi grande que àlàl. Sérienx et àlds- selon l'affirment. Les
troubles
de la sensibilité cutanée sont peut- être plus
te un déve- loppement énorme des veines, avec ulcères variculeux et
troubles
trophiques secondaires, de plus, sur la moitié
culaire traurualique du plexus brachial avec al2-opiies osseuses et
troubles
de la pression artérielle dans le membre para-
'avant-bras et de la main, en plus de l'hémiatrophie faciale. Aucun
trouble
de la sensibilité. La pression artérielle sur l
érielle sur le membre sain. Les auteurs insistent sur l'absence des
troubles
de la sensibilité dans cette paralysie radicula
otension artérielle du côté paralysé trouve son explication dans un
trouble
de l'innervation sympathique vasculaire. Quant
alysie infantile et les paralysies radiculaires, la topographie des
troubles
moteurs dans la paralysie infantile affec- tant
ait tombé en 189 d'une hauteur de 10 mètres et avait été atteint de
troubles
sphinctériens, de troubles de l'éjaculation, d'an
eur de 10 mètres et avait été atteint de troubles sphinctériens, de
troubles
de l'éjaculation, d'anesthé- sie des muqueuses
apparition, trois semaines après l'inoculation, de para- lysie avec
troubles
sphinctériens et amyotrophie, qui reproduisent
giques de l'épilepsie (1862). Puis, viennent les recherches sur les
Troubles
du langage et de la mémoire des mois dans les tif
musculaire, des pupilles étroites avec réaction faible et un léger
trouble
de la parole. Voulant définir, en nous basant s
long séjour à l'hôpital de Béziers et après lequel persistèrent des
troubles
mentaux. Dans ces derniers temps seule- ment ce
èrent des troubles mentaux. Dans ces derniers temps seule- ment ces
troubles
auraient dégénéré en accès de fureur et tels qu
érébrales sus- ceptibles d'influencer le tissu cornéen, non par des
troubles
trophiques dérivant d'une action propre au gang
sans lésions anatomiques appréciables, quoique en relation avec des
troubles
encéphaliques, toujours graves. 2° Cette dépres
anormal : perte sanguine ordi- naire, sans grosses coliques; pas de
troubles
nerveux concomitants. Depuis quatre ou cinq moi
est une exagé- ration manifeste des réflexes rotuliens. Quant aux
troubles
menstruels, ils peuvent reconnaître comme cause
mais eu jusqu'alors de manifestations convulsivantes ou mentales;
troubles
de la fonction cataméniale provoquant un accès
sein hys- térique ont rapporté ces phénomènes de gonflement à des
troubles
de la menstruation qui est irrégulière et dou-
nations du tact. Certains aliénés, surtout des hystériques, ont des
troubles
du tact qui, au lieu d'être localisés aux extré
STERIE DE SAINTE THÉRÈSE les autres tissus intérieurs : ce sont des
troubles
de la sensi- bilité générale, anesthésies ou hy
le libre arbitre. Néanmoins tous, aujourd'hui, vous considérez les
troubles
de la moelle et ceux du cerveau, du même point
se, de thrombose, bien souvent l'azloizloxicalioz. Vous ramenez les
troubles
de la pensée, aussi bien que ceux de la sensibi
domaine de la physiologie. Vous cherchiez a démêler l'écheveau des
troubles
mentaux, et ce sont les lois physio- logiques d
ent, par la force des choses, physiologiste. Déjà l'observation des
troubles
moteurs de la mala- die d'Addison a mis sur la
té se présente sous forme de malaises dus à un très grand nombre de
troubles
qui atteignent l'organisme tout entier et intér
ns sont physiques, les autres affectifs et intellectuels. Parmi les
troubles
physiques, nous signalerons ceux de la sensi- b
ement musculaire, l'incoordination des' mouvements volontaires, les
troubles
de l'élocution, le vertige de locomotion. Les t
ntaires, les troubles de l'élocution, le vertige de locomotion. Les
troubles
circulatoires sont au premier rang des symptômes
rait être en rapport avec un phénomène vaso-moteur cérébral. Les
troubles
respiratoires sont dus à la contraction des muscl
uelquefois il y a suspension de la respi- ration en expiration. Les
troubles
digestifs sont principalement caractérisés par
ifs sont principalement caractérisés par l'attaque de diarrhée. Les
troubles
secrétoires sont de la polyurie, de la séborrhé
persécutés mélanco- liques, dans les psychoses d'intoxication, les
troubles
mentaux névropathiques, la paralysie générale.
n et ses élèves, ont encore augmenté la confusion; l'importance des
troubles
mentaux est très grande mais les troubles moteu
nfusion; l'importance des troubles mentaux est très grande mais les
troubles
moteurs ne sauraient être négligés. Le tic pure-
c'est un spasme ; ce clignement persiste sans cause et sans but, ce
trouble
de la fonction de nictitation est un tic. Le ti
de la fonction de nictitation est un tic. Le tic est donc soit un
trouble
d'une fonction normale, soit d'une fonction anorm
même temps une expli- cation. J'ai soutenu avec M. Feindel que le
trouble
mental prédominant est une imperfection de la v
iéna- tion mentale », j'appelle mental le phénomène et par suite le
trouble
qui a pour siège les centres psychiques supérie
qu'il soit toujours un mental. Dans l'hystérie, il y a toujours des
troubles
du psychisme inférieur, polygonal ; s'il y a en m
bles du psychisme inférieur, polygonal ; s'il y a en même temps des
troubles
de 0 (ce qui arrive souvent), c'est une complicat
développe- ment. Bien plus, il existe des sujets chez lesquels les
troubles
qui donnent naissance aux tics ne sont plus d'o
de départ de nouvelles mauvaises habitudes, et quelquefois même de
troubles
nerveux. Cette donnée explique comment agis- se
oxysme de l'accès. Alors il y eut de nouveau régression de tous les
troubles
, disparition progressive et guérison dans un in
de ces espèces de mouvements. Le tic doit être considéré comme un
trouble
delà représentation mentale d'un mouvement qui es
remarquer M. Joffroy, ne sont au fond que l'expression mimique d'un
trouble
psychosensoriel. La mimiqne est le type le plus
trée ne restait en parfaite concordance avec le caractère propre du
trouble
mental. Tant que cette concordance existe, on ne
s moteurs volontaires sont corrects, et ils ne semblent avoir aucun
trouble
des sensibilités cutanée, musculaire, articulai
positif très pratique pour faire disparaître des anesthésies et les
troubles
nerveux qu'elles conditionnent. Ilypcracuilé
a physiologie et la psychologie pathologiques qui nous révèlent des
troubles
dynamiques du sys- tème nerveux. L'hystérie se
usculaires, parésie, paralysie, diarrhée nerveuse, pollakiurie. Les
troubles
somatiques et psychiques de l'hystérie. M. Tesd
érie. M. Tesdorpf (de Munich). On a tort de considérer à part les
troubles
somatiques et les troubles psychiques de l'hystér
ich). On a tort de considérer à part les troubles somatiques et les
troubles
psychiques de l'hystérie et de considérer cette
arcot, a contribué à montrer qu'il s'agit surtout varia. 281 1 de
troubles
d'association. La psychologie a rendu à la médeci
étrer la nature intime de l'hystérie et de donner un traitement des
troubles
même somatiques pour lesquels se manifeste cett
. Jusqu'en mai, on n'a pas remarqué de perte de connaissance, ni de
troubles
moteurs. Le 22 mai, G... est ramené à la maison
10000 hospices; celui-ci est à lui. Au milieu d'avril apparaît un
trouble
marqué de l'équilibre. Debout, G... se tient as
pas tomber, surtout dans les changements brusques de direction. Ces
troubles
de l'équilibre s'exagèrent quand le malade ferm
aissent normaux. G... n'accuse aucun phénomène douloureux. Pas de
troubles
urinaires. Il est imparfaitement conscient de ces
ersonnes imaginaires qui lui causent au travers du plafond ; et ces
troubles
de l'ouïe eux-mêmes sont professionnels : ses i
Il parait ne plus y avoir de difficulté dans la prononciation. Ces
troubles
du langage persistent quelques jours en s'attén
: Influence de la lésion cérébrale due à l'al- coolisme chronique,
troubles
circulatoires de l'encéphalo- SUR UN CAS DE PAR
oolisme que l'on doit la prédominance et l'irrégularité de certains
troubles
et de certaines lésions : crampes, étourdisseme
nce, hallucinations, illusions, perversions des sens, tels sont les
troubles
variés de cette période. Après la crise révulsi
des sont à faire dans cette voie. Les trau- matismes antérieurs aux
troubles
mentaux et nerveux peuvent appeler l'interventi
ntion chirurgicale. Celle-ci peut être faite avant l'apparition des
troubles
mentaux et nerveux pour remédier aux conséquenc
t trouvé encore un nombre élevé d'éléments dans 4 cas de tabès avec
troubles
mentaux, et dans un cas d'excitation maniaque a
s analogue au délire alcoolique, de la confusion, de l'amnésie, des
troubles
de la parole et parfois de l'inégalité pupillai
résentaient de l'excitation sans affaiblissement intellectuel, sans
troubles
de la mémoire. La parole élait normale, comme l
élé- ments blancs. Par exemple, lorsqu'un tabétique présente des
troubles
mentaux, on doit se demander s'il s'agit de troub
e présente des troubles mentaux, on doit se demander s'il s'agit de
troubles
pas- sagers, ou si l'on doit incriminer des lés
ivalents de la crise d'angoisse et crises rudimenlaires, tels que :
troubles
cardiaques, troubles respiratoires, troubles dige
d'angoisse et crises rudimenlaires, tels que : troubles cardiaques,
troubles
respiratoires, troubles diges- tifs, vertiges,
imenlaires, tels que : troubles cardiaques, troubles respiratoires,
troubles
diges- tifs, vertiges, paresthésies, phénomènes
nomènes musculaires, phénomènes sécrétoires, phénomènes congestifs,
troubles
urinaires, variations de la nutrition générale,
tique et de l'état mental sous-jacent dans chaque cas particulier :
troubles
de la synthèse mentale, plus ou moins complexes
verses ; fréquence des paroxysmes obsédants, intensité et durée des
troubles
émotionnels. En terminant, M. Séglas indique le
rôle important dans la genèse de ces diarrhées vertes, et dans les
troubles
dont elles se sont accompagnées. - Ces observ
s étaient des épileptiques ou des aliénés atteints de lésions ou de
troubles
graves du système nerveux central ; or, l'influ
efficacité de la suggestion hypnotique peut s'étendre à tous les
troubles
psychiques d'origine toxique, non seulement à ceu
y a une raison à cela, ainsi que je l'ai démon- tré. C'est que les
troubles
psychiques des intoxications sont iden- tiques
que les troubles psychiques des intoxications sont iden- tiques aux
troubles
psychiques de l'hystérie et constituent de véri
isme peut donc être utilisé, je le répète, non seulement contre les
troubles
psychiques de l'alcoolisme, mais aussi contre c
sement associés par suite de la diffusion des lésions. De plus, les
troubles
moteurs sont en général moins marqués que les t
De plus, les troubles moteurs sont en général moins marqués que les
troubles
sensitifs par suite de la résistance des troncs
tomatique, assez longue, avait été celle d'une méningite basilaire (
troubles
cérébelleux; paralysie faciale périphérique ; o
bles cérébelleux; paralysie faciale périphérique ; ophtalmoplégies,
troubles
vaso-moteurs du côté de la face, kératite neuro
nante au niveau de la base de l'encéphale (syndrome cérébelleux ;
troubles
auditifs précoces et rapidement progressifs jusqu
érieures, il sera tout indiqué de rechercher plus attentivement les
troubles
moteurs, sensitifs et trophiques qui vraisembla
nt trop d'expérience pour ne pas avoir alors quelques soupçons d'un
trouble
mental; mais souvent ces troubles ne sont qu'éb
oir alors quelques soupçons d'un trouble mental; mais souvent ces
troubles
ne sont qu'ébauchés. 11 faudrait l'oeil d'un alié
e l'infraction et dans l'interrogatoire du prévenu; les signes d'un
trouble
mental possible. Il me semble que le Congrès fe
lin- - quant poursuivi pour la première fois. 4° Qu'il marque des
troubles
quelconques de la mémoire. J'in- sisterais volo
un certain écartement involontaire du petit doigt de la main et des
troubles
du langage articulé M. Pailiias (d'Albi). Ce sy
nile, aphémie congénitale. L'auteur estime que cette corrélation de
troubles
fonctionnels ne peut qu'être rapportée à une co
eile. M. BoLTi3y (d'Alger) signale la possibilité de l'existence de
troubles
mentaux chez plusieurs personnages ayant joué u
deux côtés. Léger tremblement intentionnel du bras gauche. Pas de
troubles
de la sensibilité. Crises épileptiformes à caract
sieurs particularités intéressantes : 1° rage de la malade dont les
troubles
ont débuté à sept ans; 2° le début mono, puis h
st de savoir si la catotonie est, selon l'opinion de Régis, due aux
troubles
nutritifs ou si les troubles nutritifs sont la
est, selon l'opinion de Régis, due aux troubles nutritifs ou si les
troubles
nutritifs sont la conséquence de la vapeur. La
tés, d'abaissement des fonctions circulatoire et respiratoire ; ces
troubles
généraux et trophiques sont plutôt la conséquen
nce que la cause de la catotonie ; peut-ëtte en est-il de 'même des
troubles
urinaires. Discussion : MM. Dupré et Régis. D
éralisée, elle rend les fibres volumineuses et leur donne un aspect
trouble
, finement grenu, qui n'est pas de la dégénéresc
rescence, mais ce que l'auteur distingue sous le nom de tuméfaction
trouble
. Telle est la cause de la formation des fibres
encore bien striées, soit dans l'iutérieur de fibres en tuméfaction
trouble
, le protoplasma jusque- là, à l'état de plasmod
débute par une véritable anarchie inlra-cellulaine : par suite d'un
trouble
dans l'harmonie qui doit régner entre les diffé
signa- ture d'accidents toxiques (maladies infectieuses, cachexie,
troubles
digestifs, intoxications diverses) qui viennent
isme et l'acromé- galie ne sont que deux étapes successives du même
trouble
de développement; 1' gigantisme se manifeste pe
appelle, en outre, que la grande majorité des géants présentent des
troubles
trophiques, qu'ils ont des accidents circu- lat
iloire, semblent bien montrer qu'il s'agissait, dans ces cas, de ce
trouble
fonctionnel de l'écorce auquel on attribue actu
ne sont pas toxiques, s'ils peuvent de nouveau, sans appor- ter de
trouble
, faire partie d'un organisme similaire de celui q
e, père de cinq enfants, était depuis près d'un mois en proie à des
troubles
cérébraux. C'est dans un moment de crise qu'il
isonnement aussi nettement conscient qu'on pourrait l'imaginer. Les
troubles
qui existent dans l'exercice volontaire de l'in
avant d'écrire les Planètes. Peut-être s'agit-il là de véri- tables
troubles
sensoriels, peut-être de simples rêves, embellis
e par son hérédité et sa constitution psychique : l'incohérence des
troubles
délirants, la coexistence des idées de persécut
dans la folie maternelle, ont été considérées par M ? J... comme le
trouble
d'nn cerveau malade, à tel point qu'elle a dema
tion, intermédiaires entre la raison et la folie et qui exemptes de
troubles
physiques caractérisés ne se prêtent qu'à une a
nel alcoolique, épileptique, dément, mort interné; mère atteinte de
troubles
car- diaques et de goitre exophtalmique probabl
s auteurs donnent une description complète. H. C. XX. Etude sur les
troubles
objectifs des sensibilités superficielles dans
(Nouv. lconorr. de la Salpélrière, nos 4 et 5, 1899.) L'étude des
troubles
sensitifs dans le tabes est toujours difficile,
ils présentent, mais celle dif- ficulté est grande surtout pour les
troubles
objectifs et il en résulte que, si l'on sait qu
per, ticielles, les ont conduits aux conclusions'suivantes : A. les
troubles
objectifs de la sensibilité se traduisent chez
constatation sera utile dans bien des cas; C. la disposition de ces
troubles
montre qu'ils sont sous la dépendance, sinon ex
névrose et à qui il a été appelé à donner ses soins à l'occasion de
troubles
nerveux parti- culièrement pénibles (douleurs,
occasion de troubles nerveux parti- culièrement pénibles (douleurs,
troubles
de la motilité et de la sensibilité localisés s
avec l'hystérie dans un grand nombre de cas. A. Fenayrou. XXVIII.
Troubles
nerveux secondaires portant sur les fonctions de
ût 1899). - Il n'est pas rare d'observer des malades présentant des
troubles
nerveux secondaires à des âastropatbies ; ces t
ésentant des troubles nerveux secondaires à des âastropatbies ; ces
troubles
occupent parfois dans le tableau clinique une p
haturie, ou diminution des éliminations effectuées par cette voie ;
troubles
de la calorification (sensibilité insolite au f
vespérale plus forte que de coutume et pouvant atteindre 1 degré) ;
troubles
circulatoires (pouls faible, dépressible, tantô
squelette, d'inaptitude au travail, ou- encore il se combine à des
troubles
nerveux prove- nant des centres supérieurs (dou
. ' De plus, cette statistique montre une prédominance énorme des
troubles
de la parole chez les hystériques atteints d'acci
gauche et dans l'hystérie droite, il est surprenant de voir que les
troubles
respiratoires, la polypnée, le hoquet, la toux,
s du langage. E. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE' 435 XXXIII. Les
troubles
de la sensibilité dans le tabes ; par les Drs F
ans les Archives de psychiatrie et neurologie de Westphal. 1° Des
troubles
de la sensibilité sont un symptôme constant dan
t la sensibilité profonde articulaire et musculaire. 3° Parmi les
troubles
de la sensibilité cutanée, ceux du toucher sont c
s de la sensibilité cutanée, ceux du toucher sont constants. 4° Les
troubles
de la sensibilité se trouvent d'une façon cons-
et peuvent être considérés comme un signe initial du tabes. 5° Des
troubles
de la sensibilité aux membres supé- rieurs sont
le dans le cours du tabes ordinaire. G° Aux membres inférieurs, les
troubles
de la sensibilité cutanée sont exceptionnels da
tions, à savoir que les différentes régions de la peau atteinte des
troubles
de la sensibilité chez le même malade sont sépa
us haut intérêt clinique, décrit pour la première fois une forme de
troubles
de motihté dont la cause anatomique est une lés
i peuvent contribuer à établir le diagnostic, et, d'autre part, les
troubles
de motilité engendrés par une altération du cer
laire. E. B. XXXVI. Un cas de syringomyélie. Main de prédicateur.
Troubles
oculaires. Anesthésie segmentaire ; par le Du'
B. XXXIX. Note sur un cas de plaie de la région parotidienne avec
troubles
dans le territoire de la branche externe du spina
lexus cervical ; mais le fait le plus intéressant consiste dans les
troubles
moteurs, rarement signalés en pareil cas et occ
Syndrome de Brown-Séquard avec début d'amyotrophie Aran-Ducheune et
troubles
pupillaires au cours d'une méningo- myélite syp
ime, n'ayant en apparence aucune relation de cause à effet avec les
troubles
observés. 11 s'agit, en effet, d'un tuberculeux
PEUTIQUE. Vit. L'usage et l'abus des voyages dans le traitement des
troubles
mentaux; par G. H. S1YAGE. (The Journal of Ment
que des mécomptes. Il convient aussi de considérer les causes du
trouble
mental ; et si le voyage peut être utile, par e
ils le seront aussi dans la convalescence ou après la guérison des
troubles
men- taux. Mais ici encore il faut être prudent
I. Sur les lésions cellulaires corticales observées dans six cas de
troubles
mentaux infectieux; par le Dr ! II. IeonE. (Revue
'auteur communique les résultats de l'étude de deux nouveaux cas de
troubles
mentaux, d'origine toxi-infectieuse, à forme de
s la voie arachnoïdiennc, de puissants moyens d'action sur certains
troubles
du névraxe. - En somme, petit livre dont la l
conception de Morel. Pour ce dernier l'obsession étant toujours un
trouble
essentielle- ment émotif, tellement émotif qu'i
doute, le délire du toucher, l'écholalie, sont sans aucun doute des
troubles
du fonction- nement de l'écorce. Enfin, les p
tate que, selon les cas, il y a dans les obsessions prédominance du
trouble
de la pensée, de la DES OBSESSIONS EN PATHOLOGI
ui prévaut toujours : « L'idée impérative est le grand facteur, les
troubles
émotifs pouvant être considérés comme secondair
1. Marrel dans une thèse récente fait une classification d'après le
trouble
mental et distingue aussi trois classes : '10 P
ental et distingue aussi trois classes : '10 Phobies relatives à un
trouble
sensoriel ; 2° Phobies rela- tives à un trouble
bies relatives à un trouble sensoriel ; 2° Phobies rela- tives à un
trouble
de la perception ou de l'imagination ; 3" Phobi
le de la perception ou de l'imagination ; 3" Phobies relatives à un
trouble
dans les idées ou les senti- ments. 2° Y a-t-
ion n'est souvent qu'une phobie ayant perdu son caractère de simple
trouble
émotif pour prendre par le fait même de son évo
le émotif pour prendre par le fait même de son évolution celui de
trouble
, à la fois émotif et intellectuel ainsi M. Régis
enfin à parler et raconte les faits suivants, qui montrent bien les
troubles
profonds survenus dans son intelligence déjà an
le ou isolément. Aussi trouve-t-on à la période de début, soit un
trouble
de la sensibilité cutanée sans autres modificatio
n de la sensibilité cutanée, soit simplement de l'ataxie seule sans
troubles
de la sen- sibilité, soit enfin, ce qui est le
oies sensi- tives et cérébelleuses à la fois, par l'association des
troubles
delà sensibilité à l'ataxie, déterminée par la
les excitations de la peau. Par là se pro- duit l'ataxie dénuée de
troubles
de la sensibilité. La dégénéres- cence du systè
la suite d'une frayeur brusque, d'un choc mental, ou de tout autre
trouble
émotif de nature déprimante, ou enfin dans les
observe fréquemment dans les protubérances pariétales est due à un
trouble
trophique qui accom- pagne l'état de mélancolie
ion de la pression sanguine, les altérations de la sensibilité, les
troubles
de la vision et la cécité corticale peuvent acc
autet. (Revue de méde- cine, 190 ? ) - Signalant la fréquence des
troubles
de la mimique faciale chez les nerveux, les aut
rveux, les auteurs appellent en même temps l'attention sur certains
troubles
de la mimique dans les altérations qui atteignent
st sérieusement défectueuse, de rencontrer simultanénément d'autres
troubles
moteurs. Tous les degrés de l'inattention, d'ai
xpliquer la diversité du caractère de l'homme, ni la variété de ses
troubles
mentaux; ils sont le substratumdes centres mentau
seulement on a noté une aggravation. R. DE jMfJaGRAVË CL\Y. XIII.
Troubles
mentaux dans le cours des affections cardiaques,
use à effet qui peuvent exister entre les lésions cardiaques et les
troubles
mentaux. Les autopsies n'ont pas sensi- blement
éclairé la question. On peut avancer toutefois que le caractère des
troubles
mentaux peut, dans une assez large mesure, dépe
ou l'hyperémie passive, que dans le rétrécissement aortique, où les
troubles
mentaux seront plutôt ceux qui relèvent de l'an
n prenait soin de les rechercher, on rencontrerait plus souvent des
troubles
cardiaques dans les cas de folie puerpérale.
, n° 4, 1899.) , Soit à l'état aigu, soit à l'état chronique, les
troubles
trophiques de la peau se manifestent chez les p
de leur état mental et l'obscurité qui entoure la pathogénie de ce
trouble
trophique, il y a lieu de supposer qu'il n'est pa
nit à la folie son tribut de systèmes déli- rants secondaires à des
troubles
psycho-moteurs. La médiumnité n'étant qu'un ent
es spirites simples de ce genre, ayant ultérieurement souf- fert de
troubles
somatiques ou dysesthésiques, ou de troubles pa
eurement souf- fert de troubles somatiques ou dysesthésiques, ou de
troubles
pathologiques, tels que hémiparésie, hémianesth
parésie, hémianesthésie par foyers cérébraux, peuvent étendre à ces
troubles
l'hypothèse qu'ils invo- quaient pour les phéno
llèlement une auto-intoxication d'origine gastro-intestinale et des
troubles
mentaux caractérisés par un état de mélancolie
ntale relèvent, à son avis, de l'auto-intoxication. L'évolution des
troubles
céré- braux a paru subordonnée à celle de l'aut
eurs premières années, n'ont jamais présenté un signe quelconque de
trouble
moral ou d'anomalie intellectuelle. L'auteur
n qu'il s'agit chez son malade. G. D. XXV. Évolution comparée des
troubles
de la sensibilité aux trois périodes de la para
réflexes plantaire et achilléen, etc. En même temps on constata des
troubles
de la mémoire portant à la fois sur les faits r
es et l'inattention à l'égard des choses ambiantes. Le siège de ces
troubles
se trouve probablement dans l'écorce, mais ici
tiers battus... Les rapports de ses -souffrances nerveuses avec son
trouble
mental ne sont pas clairs, mais il n'est pas dout
érale (autointoxicatiou). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 531 XXXIV.
Troubles
moteurs chez les paralytiques généraux ; par -
raux ; par - MARANDOK de l10,NTYEL (Revue de médecine, 1899). Les
troubles
moteurs ont été observés chez 108 sujets paraly-
auteur pense devoir dégager les conclusions suivantes : d'abord des
troubles
moteurs excessifs peuvent se montrer de pré- fé
ontrer de pré- férence à la première période et réciproquement, les
troubles
légers à la seconde. L'intégrité du sphincter n
econde. L'intégrité du sphincter n'a pas de rapport direct avec les
troubles
moteurs. En somme on ne peut savoir par la seul
conde période de la maladie. A la seconde période, la fréquence des
troubles
est d'autant plus grande que le degré d'altérat
es troubes moteurs ont été bien moins accusées qu'à la seconde. Les
troubles
moteurs ont été trouvés beaucoup plus accusés aux
s la tardive. Enfin, parmi les éléments étiologiques accentuant les
troubles
, moteut-s, l'alcool semble jouer le principal r
scniDE et VURPAS. (Revue de médecine, mai 1903.) Il s'agit ici du
trouble
angoissant qu'éprouvent les sujets prédis- posé
ut enlevée chirurgicalement et l'opération amena la disparition des
troubles
subjectifs et objectifs de la sensibilité. -
ie radiculaire rigoureuse des trois p ? 'e- Ntteres lombaires, avec
troubles
de la sensibildé dans le même le ? .- l'il01)'e
après-midi, amène une hémiplégie gauche avec dysarthrie, dysphonie,
troubles
de la déglutition, rire spasmodique, qui ont ré
nerveux intéressants : tétraplégie spasmodique coïncidant avec des
troubles
paralytiques des appareils de mastication, de d
raisemblablement une origine également corticale. Il s'agit donc de
troubles
pseudo-bulbaires acquis chez un enfant, et l'on
te du névritique en raison de l'absence d'atrophie musculaire et de
troubles
des réactions électriques. Atrophie musculaire
jours parallèlement à l'amaigrissement sans jamais s'accompagner de
troubles
sensitifs ni d'aucun phénomène spasmodique. L'a
. J. Babinski. Je désire attirer l'attention de la Société sur un
trouble
de motilité qui n'a pas été décrit jusqu'à présen
l cérébelleux et qui présentent très nette- ment ce phénomène. Ce
trouble
est donc la conséquence d'une lésion cérébelleuse
peuvent se succéder avec rapidité. La titubation cérébelleuse, les
troubles
de l'écri- ture, etc., sont dus (li partie à la
; l'internement des buveurs d'habitude, même ne pré- sentant pas de
troubles
mentaux, l'assimilation de l'ivrognerie a l'inc
atiques, verbigération, écholalie, altitudes singulières, etc.); d)
trouble
de l'activité volontaire. Sur les 40 déments pr
scence men- tale, par Farnarier, 429. Affections cardiaques. Voir
troubles
mentaux. AGENÉSIE. Voir spina bificla. Aima
re, 280. La causedes phénomènes hystériques, par Delius, 280. Les
troubles
somatiques et psychiquesde l ? par Sesdorpr,
2. Larmes. Voir Mystiques. LÉSIONS CELLULAIRES CORTICALES. Voir
Troubles
mentaux. LEUCOMAINES. Les de la substance ner
laire trau- matique du plexus brachial avec atrophies osseuses et
troubles
de la pressionartélielle danslemem- bre paral
a - générale; par Féi é, 514. -;é nérale Voir Délire. 517. Voit
Troubles
de la se7asibililé.- géné- iale. Voir Troubles
Délire. 517. Voit Troubles de la se7asibililé.- géné- iale. Voir
Troubles
moteurs. psychique, par Hauser et Lostat Jaco
brale, par Obre,,ia, 371. Plaie de la légion parotidienne avec
troubles
dans le territoire de la branche, externe du sp
7. Voir Paralysie générale. Syringomyélie. Main de prédicateur.
Troubles
oculaire, asnesthésit's-eg- mentaire. par Boucl
Cancer. - Voir Sai-coi2e. Tares. Voir Massage. Etude sur les ,
troubles
objectils ses sensibilités superficielles dans
. - Traitement et guérison,. par Hartenberg, 447. » Toxémie. Voir
Troubles
mentaux. Traumatisme. Voir Folie. Tremblement
ti-OPIliClUe to- tale et familiale, par Raymond et Sicard, 175.
Troubles
mentaux sous la 'dépen- dance de la toxémie, pa
. Vertige psychique, par Vaschide et Vurpas, 531. Voraces. Voir
Troubles
mentaux. VESTPHA1.L. La contraction parado- x
phique radiculaire rigoureuse des trois premières lombaires, avec
trouble
de la sensibilité dans lemémeterri- toire,'pa
des petites malades, deux d'entre elles ont rapidement présenté des
troubles
qui ont nécessité leur renvoi. C'est une preuve
onvulsives fréquentes, surtout quand les crises s'accompagnaient de
troubles
intellectuels graves. Ce fut d'après ces donnée
autant qu'on en pouvait juger.ne s'accom- pagnait pas davantage de
troubles
sensoriels, et semblait bien quelque chose d'ar
Parmi les onze autres enfants,certaines se présentaient avec des
troubles
morbides qui me préoccupaient bien davantage,et
dure quelques secondes etl'enfant revient immédiatement à elle,sans
troubles
mentaux : consécutifs. Mais la nourricière avait
ne peuvent, dans les cristallisations se produire qu'à la suite de
trouble
venu de l'extérieur, sont au contraire ici la rè-
ar exemple, que, dans une observation citée par l'A. comme cas de
trouble
alternatif des deux hémisphères, certains symptôm
ternatif des deux hémisphères, certains symptômes té- moignaient du
trouble
de celui supposé sain (p. 308) ; à rappeler que
t L. DALMAS médecin interne à l'Asile SI Picrre (Marseille) Les
troubles
trophiques et vaso-moteurs fournissent à la par
), Athanassio (3), Villard (4), Namadier (5) lié rissey (G) sur les
troubles
trophiques chez les paralyti- ques généraux, et
qu'au cours de ce premier internement le sujet avait présenté des
troubles
vaso-moteurs caractérisés par l'cccléme des régio
marbrée de la p ! m ! , au niveau des quatre membres. Il) Bonnets
Troubles
trophiques dans la paralysie générale {Encéphal
ues dans la paralysie générale {Encéphale, 18S3). (2) DU11.\NTE.-
Troubles
trophiques dans la paralysie générale (Ga; he6d
ale (Thèse Paris, 1869). , (3) Namadier. Contribution à l'élude des
troubles
trophiques dans la paralysie générale (Thèse Pa
générale (Thèse Paris, 1884). 16) Ukhissey. Elude clinique sur les
troubles
trophiques dans la paralysie générale (Thèse de
de la paralysie générale apparaissent. Aujourd'hui A.. présente des
troubles
profonds de la mémoire. Il est incapable de rép
ion malléolaire. survenu en avant-coureur, ainsi que ¡'existence de
troubles
analogues ou assimilables au cours d'un interne
stances nous font incliner à pen- ser que nous sommes enprésence de
troubles
vraisembla- blement en rapport avec des modific
oquer une lésion du système nerveux périphérique pour expliquer des
troubles
vaso-moteurs ou trophiques chez un paralytique
section d'une seule racine postérieure ne produit pas le plus léger
trouble
moteur dans le membre correspondant. La section
eurs des racines postérieures correspondant à un membre produit des
troubles
ataxiques, une certaine gaucherie, surtout dans
exus brachial sont épargnées, on peut assister à la disparition des
troubles
moteurs consécutifs à la section de toutes les au
ans les cordons antérieurs.des dégénérations disséminées dues à des
troubles
circulatoires de la subsance grise ou à des lés
n secondaire de ces racines et de leurs cellules pour expliquer les
troubles
moteurs. Dans le bout médullaire des racines po
n des racines postérieures produit dans le membre correspondant des
troubles
dits trophiques que l'on rat- tache généralemen
erruption joue probablement un certain rôle dans la produ- tion des
troubles
dits trophiques. Les expériences de T. mettent
tique, la section des racines postérieures d'une patte entraîne des
troubles
moteurs, tantôt passagers et à peine marqués, t
sur la face dorsale ; dans ce cas seulement on voit apparaître les
troubles
dits trophiques : excoriations, callosités, épa
, la section de ses racines postérieures ne cause jamais le moindre
trouble
dans ses mouve- ments ni dans l'état apparent d
ieurs ; toujours plus accusé du côté où prédominent l'ataxie et les
troubles
du sens musculai- re et la diminution du réflex
états spastiques s'opposent à sa production. L'A. se demande si le
trouble
de la coordination ne dépend pas en partie des
'élasticité des ligaments et des muscles, en faisant abstraction du
trouble
des sensations dues au fonctionnement (Signalem
ées en arrière, et notamment dans Fa : légèreté et courte durée des
troubles
de la sensibilité, d'après Monakow (Gehimpatho-
ogie, 1905, et F. Muller, les foyers limités à Fa ne donnent pas de
troubles
de la sensibilité. Chez le singe, Brodmann (1905)
e, Brodmann (1905), à vu l'ablation de Fa ou de Pa suivie des mêmes
troubles
graves de la sensibilité, mais ce résultat, con
uls symptômes nerveux consistaient en tremblement de la parole sans
troubles
de l'articulation et en une démarche chancelant
rte un autre cas, moins convaincant, où, chez une débile, le même
trouble
physiologique aurait abouti à des idées de perséc
i cheminent au voisinage immédiat de la racine descendante du V :
troubles
cérébello-ataxiques que Babinski et Nageotte, l'A
côté les unes des autres,et en arrière et en dehors des olives. Les
troubles
oculo-pupillaires notés dans le cas de l'A. et da
ore la pathogénie du nystagmus (lésion du no- yau de Deiters) ; des
troubles
du goût, et, à propos de ceux-ci, le trajet cen
ssociation syrin- gomyélique de la sensibilité. L'amytrophie et les
troubles
de la sensibilité sont en faveur de la syringom
troubles de la sensibilité sont en faveur de la syringomyélie, les
troubles
cutanés appartiennent à la lèpre. Le diagnostic
ogénie de cette arthropathie sont obscures, celle-ci semble être un
trouble
de trophicité osseuse et articulaire. F. TissoT
raie, mais bien un état de dépression en rapport avec la nature des
troubles
épisodiques et survenu en même temps qu'eux à la
e. V. Sensibilitütstaerungen bei Paralysis progressiva incipiens (
Troubles
de la sensibilité au début de la p. g.) ; par J.
sensibilité à la douleur est très variable. L'A. aurait observé des
troubles
localisés, analogues à ceux du tabes,par exempl
te. On a noté en outre,au cours de la maladie des oscillations, des
troubles
psychiques, beaucoup plus marquées que chez les
plus ou moins complets. F. TISSOT. VIII. Contribution à l'étude des
troubles
mentaux de la ma- ladie de Basedow ; par Parrho
tent deux observations en faveur de l'origine thyroïdienne de ces
troubles
; bien plus, ils émettent l'hypothèse que dans le
ien plus, ils émettent l'hypothèse que dans les cas de Basedow avec
troubles
psychiques et dégénérescence, l'ensemble des tr
Basedow avec troubles psychiques et dégénérescence, l'ensemble des
troubles
peut reconnaître pour point de départ une modiiic
rt une modiiica- tion primitive de la fonction thyroïdienne. Si les
troubles
mentaux du basedowisme apparaissent fréquemment
nne, y a hyperthyroidisme et trou- bles mentaux symptomatiques. Les
troubles
psychiques basedo- wiens apparaissent surtout d
ctive sur les centres psychiques supérieurs et qu'il respecte ou ne
trouble
que passagèrement et au début les centres de pr
24.) On sait que Liepmann a décrit sous le nom d'apraxie certains
troubles
dans l'exécution des mouvements volontaires qui s
entrer dans les discussions pathogéniques, M. Deny rap- proche les
troubles
vasculaires des troubles psychiques, la cardio-
ons pathogéniques, M. Deny rap- proche les troubles vasculaires des
troubles
psychiques, la cardio- ' pathie pouvant à la lo
x, c'est-à-dire sociétés savantes. 85 présentant,à côté des leurs
troubles
mentaux,des perversions, des manies impulsives,
ques sont des pseudo-hallucinations.que les malades atteints de ces
troubles
n'éprouvent pas de sensations, n'entendent pas de
iscipliné et les tendan- ces perverses sont une cause permanente de
troubles
pour les au- tres malades et pour le fonctionne
. DENY. Surdité complète par lésion bilatérale des lobes temporaux.
Troubles
aphasiques concomitants. llI.ClitRPENTIER et
ici pour la mise en applica- tion de la théorie de Pierre Marie aux
troubles
aphasiques qu'a présenté leur malade.Mais à l'é
rurgie, il reste que la plupart des cas de stérilité sont dus à des
troubles
fonctionnels de la circulation, des organes sécré
musculaire ou moteur,du système nerveux ou de la sensi- bilité. Ces
troubles
fonctionnels sont susceptibles d'être traités p
pages intéressantes sur l'apoplexie, les diverses perversions, les
troubles
de la perception de la person- nalité, de l'int
ubles de la perception de la person- nalité, de l'intelligence, les
troubles
moteurs et sensitifs, les chapi- tres spéciaux
n'a gardé aucun souvenir de ce qui s'est passé. En dehors de ces
troubles
mentaux, elle se montre acariâtre 100 MEDECINE
INCENDIAIRE PENDANT l'ÉTAT SOMNAMBULIQUE. 10L se plaint de quelques
troubles
neurasthéniques, dyspepsie, névralgies abdomina
est ramenée le 10 septembre 1900 pour cause de « morphinomanie avec
troubles
mentaux hystériques ». Elle est retirée au bout
ie pure et simple : phénomènes nerveux polymor- phes et incessants,
troubles
utérins, névralgies, cépha- lalgies, dyspepsie,
'il y a des degrés dans la maladie ; il y a donc des degrés dans le
trouble
de la fonc- tion ; si la responsabilité est une
e l'état mental de l'inculpé et du rôle joué par les lacunes ou les
troubles
psy- chiques dans la perpétration du délit. Le
ont commis pour examiner les délinquants ou incul- pés suspectés de
troubles
mentaux, dit simplement qu'il n'y a ni crime ni
n, seul compétent pour se prononcer sur la réalité et la nature des
troubles
mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que c
ture des troubles mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces
troubles
ont pu jouer sur les déterminations et les acte
ment tributaires de l'automatisme. D'après cela, on conçoit que les
troubles
men- taux les plus affectés de périodicité régu
'est établi entre les aggravations de symp- tômes cardiaques et les
troubles
cérébraux montrent bien le rapport intime exist
n caractère sombre ont dominé la scène durant la première phase des
troubles
men- taux. Durant la seconde période, les phéno
signalés dans la folie cardiaque. Chez notre troisième malade, les
troubles
psychiques ont consisté seulement dans un accès
omme un témoin de l'affaiblissement intellec- tuel engendré par les
troubles
de la circulation cérébrale ou par l'intoxicati
s'agit en somme que de modalités réac- tionnelles différentes à des
troubles
de nature et d'origine identique. , Contribut
es trop étroites. Elle n'est pas justifiée par une démonstration du
trouble
psychique inhérent à l'hystérie. Certes, elle s
'une définition qui n'est nullement l'ex- pression de la nature des
troubles
qui constituent la névrose, c'est faire une cla
s qui resteraient facilement latentes si l'hystérie.amplifiant le
trouble
fonctionnel, ne le faisait apparaître d'une maniè
les efforts tentés jusqu'ici pour faire rentrer les innom- brables
troubles
qualifiés d'hystérie dans le cadre d'une entité
n commandement. Ainsi M. Babinski nie la fièvre hystérique, nie les
troubles
vaso-moteurs dans l'hystérie, nie les troubles
hystérique, nie les troubles vaso-moteurs dans l'hystérie, nie les
troubles
trophiques dus à l'hystérie. Je lui ai cité u
atrième celui que j'ai peut-être contribué à provoquer. Quant aux
troubles
vaso-moteurs dans l'hystérie, j'en ci- terai un
hénomène hystérique. Dès lors, puisque l'hystérie peut produire des
troubles
vaso- moteurs dans le sens de la vaso-constrict
ion, l'hystérie, il est rationnel de le penser, pourra produire des
troubles
vaso-mo- teurs dans le sens de la vaso-dilatati
ée instantanément de cette paralysie. Cette malade a présenté des
troubles
trophiques de la peau très caractéristiques. Su
, quelques unes at- teignaient le volume d'un oeuf de poule, et ces
troubles
de la peau ont persisté pendant trois mois envi
sous l'influence exclusive de la persuasion. Il ne suffit pas qu'un
trouble
se développe sous une in- fluence psychique, te
, les attaques dites hystériques. Il ne suffit pas, non plus, qu'un
trouble
dispa- raisse à la suite d'une intervention psy
persuasion) me semble bien délimité. Il est un certain nombre de
troubles
morbides qu'il est im- possible de mettre sous
estion l'état des réflexes tendi- neux, cutanés, pupillaires. Les
troubles
circulatoires, les troubles dans les réflexes v
endi- neux, cutanés, pupillaires. Les troubles circulatoires, les
troubles
dans les réflexes vaso-moteurs peuvent, il est
n ne peut trouver là un caractère de délimitation. En résumé, les
troubles
du premier groupe, que j'appelle pithiatiques,
s du premier groupe, que j'appelle pithiatiques, se distinguent des
troubles
du second groupe et aucun fait clinique ne perm
M. Bernheim a insisté fout à l'heure sur le fait que la plupart des
troubles
dits hys- tériques se rencontrent sous une form
st natmellement possible que le déséquilibré mental produit par ces
troubles
(primaires) de réaction inhibitive engendre des
fs de service pourraient lui montrer des hystériques présentant des
troubles
trophiques et vaso-moteurs tels qu'oedème, phly
lle était l'opinion de chacun d'eux sur la nature hystérique de ces
troubles
. Il résulte de ces recherches que, dans aucun s
tion du prof. Gaucher, ne croient à la nature hystérique de pareils
troubles
. M. Sollier (de Boulogne-slr-Seine). - Ce qui c
ré- dominance de telles ou telles manifestations hystériques, les
troubles
disparaissent en général très rapidement. L'hys
dans la démence par ramollissement lent des artério- scléreux. Le
trouble
psychopathique de J.-J. Rousseau n'est donc en
te et des reins. 2° Obs. : Début de la paralysie générale à 35 ans.
Troubles
du caractère et de la mémoire. Léger ptosis dou
se, à seule charge pour le radiothérapeute de ne pas pro- voquer de
troubles
trophiques de la peau, l'ectoderme ner- veux, d
t une affection générale toxi-infectieuse. Les arthro- pathies, les
troubles
trophiques cutanés, les crises gastriques ' etc
ECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 163 tion des réflexes rotuliens,
troubles
viscéraux et signe d'Ar- gyll-Robertson. Ici en
. DE Rothschild présentent l'obser- vation d'une enfant atteinte de
troubles
musculaires de nature et d'origine discutables,
vieillard hémiplégique avec hémichorée du côté opposé et absence de
troubles
sensitifs du côté choréique. Syringomyélie av
ifs du côté choréique. Syringomyélie avec phénomènes bulbaires et
troubles
trophiques intenses. MM. Raymond et LE.TONNE
avec phénomènes bulbaires constituant un syndrome de Jackson et des
troubles
trophiques caractérisés par sclérose, arthropathi
, et sans unité - · par suite de sa perte de mémoire. Hystérie et
troubles
trophiques ; simulation. MM. BRISSAUD et Sicard
t un malade souffrant apparemment de névrite crurale, mais avec des
troubles
spéciaux montrant qu'il s'agit d'une radiculite
oute conventionnelle en ce qui concerne les signes visuels, car les
troubles
prodromiques immédiats font partie de l'attaque
romiques immédiats font partie de l'attaque elle-même. Pour nous,
troubles
prodromiques, veut dire toute manifestation ocu
tés, dans la thèse d'agrégation de Robin (1) au- raient observé des
troubles
de l'accommodation. Despa- gnet (2) rapporte le
t, d'autant plus que le malade n'est jamais tombé à la suite de ses
troubles
visuels. Du reste, à cause de l'obnubilation in
tuelle, le malade étant sous le coup d'un ictus cérébral, dont le
trouble
visuel est pour ainsi dire la première manifesta-
tre mise sur le compte de l'alcoolisme ou de l'hystérie est bien un
trouble
pro- dromique de l'état de mal. Pour noter le
st bien un trouble pro- dromique de l'état de mal. Pour noter les
troubles
visuels colorés pendant l'aura, la difficulté e
ant que symptôme prémonitoire éloigné de la crise,ressemble au même
trouble
constaté au début de la crise d'hystérie. En pa
elle, se croyant environnée de flammes. Bail (5) enseignait que les
troubles
hallucinatoires vi- suels sont les plus communs
vent le seul prodrome qui annonce l'attaque, et c'est pour eux un
trouble
de la vue dont ils gardent le souvenir. M. Magn
iège d'une « impression de froid glacé » fort pénible. La vision se
trouble
, comme « si le temps se. faisait sombre ». La m
contraire, le cortex a été altéré, on a les cas qui constituent les
troubles
mentaux chroniques de la démence précoce. Doutr
u physique, au mo- ment de la puberté, ou bien encore à la suite de
troubles
puerpuéraux. ' Conclusions. En réalité se mon
MM. Dupré et P. Camus (de Paris). - Les cénesthopa- Lhies sont des
troubles
de la sensibilité générale, à localisations var
nibles plutôt que douloureuses, dont la nature insolite inquiète et
trouble
les malades. Ce syndrome, propre aux dégénérés,
e primitif ei souvent unique de leurs malaises, in- dépendantes des
troubles
de l'humeur et de l'intelligence, par le manque
ours. On peut conclure de ces recherches que dans l'évolution des
troubles
consécutifs à la thyroparathyroïdectomie il faut
d'abord au développement de la diplopie ; mais, plus tard, quand le
trouble
moteur a cessé ou diminué, c'est cette neutrali
symptômes de grave fatigabilité physique etmentale, de céphalée, de
troubles
digestifs, d'émotivité exaltée, la psychothérap
aladie psychique, due à une représentation mentale, mais exprime un
trouble
fonc- tionnel de la cellule nerveuse. Quant aux
exprime un trouble fonc- tionnel de la cellule nerveuse. Quant aux
troubles
psychiques qui l'accompagnent, - anxiété, scrup
nie n'est pas une maladie de la cellule, qu'il s'agit avant tout de
troubles
fonctionnels et que tout malade qui mérite le n
EIM (Nancy).-Pour. lui, il n'y a pas de neuras- thénie ; il y a des
troubles
nerveux qui sont émotifs, auto- suggestifs. Ceu
t aussi un strabisme avec diplopie qui ne peut être expliqué par un
trouble
névri- tique ou musculaire, mais par le mécanis
épileptoïde, signe de Ba- binski. Cette paraplégie s'accompagne de
troubles
génito-uri- naires. Impuissance totale et légèr
ale très marquée. La soeur présente une paraplégie accompagnée de
troubles
urinaires.Lesparents de ces malades ne sont pas d
seront l'objet de rapports au Con- grès de 1J0. Ce sont : 1° Les
troubles
mentaux par anomalie des glandes à sé- crétion
e, une fonction est une idée de nos ancêtres qui a vieilli. Le même
trouble
peut s'appliquer aux deux phénomènes et le muti
pas de clonus dans les paraplégies, pas de signe d'Argyll dans les
troubles
de la vision. J'ajouterai aujourd'hui qu'après l'
rtaines dilatations des pu- pilles ne soient pas en rapport avec ce
trouble
de la fonction disso- ciée.Quoiqu'il en soit, c
en quelque sorte en même temps qu'elle s'estémanci- pée. Certains
troubles
viscéraux sont indiscutables et ont exacte- men
e la constipation, à propos des palpitations du coeur, à propos des
troubles
vaso-moteurs et en particulier des lésions cuta-
emblent bien peu précises et pouvoir s'appliquer à toutes sortes de
troubles
mentaux. Les définitions dans lesquelles on f
présente celte maladie. - Nous considérons ici l'hystérie comme un
trouble
dynamique du système nerveux. Et d'abord, il n'
èrement en vue du fonctionne- ment normal. L'hystérie est un simple
trouble
de l'équilibre du sys- tème nerveux, cela resso
uent, se compenser l'une par l'autre, et nous pouvons trouver leurs
troubles
combinés ; ainsi, une contracture, augmen- tali
meitée de l'autre, trouve dans tous les cas,sa compensation dans un
trouble
opposé, ce qui donne raison à la définition que
comprendre le double caractère physiologique et psycholo- gique des
troubles
hystériques ; la seconde, c'est que cela nous fou
res anatomiques du cerveau tels qu'on les délimite actuellement les
troubles
fonctionnels hys- tériques, j'abandonne d'autan
tiges, et les vomissements,qui en sont les symptômes cardinaux, des
troubles
de l'équilibre et du nystag- mus. L'insuffisanc
nt trans- mises au cervelet par les nerfs de la huitième paire. Ces
troubles
s'accompagnent, dans l'état normal, de nystagmu
veau des membres inférieurs. Rétention d'urine qui dura un mois et
troubles
trophiques au niveau des membres inférieurs. A
ractions fibrillaires, réaction de dégéné- rescence. Presque pas de
troubles
sensitifs et absence absolue de tout phénomène
ic. Pas de dissocia- tion thermique. Constipation accentuée. Pas de
troubles
vésicaux actuels. Rétention d'urine il y a un a
emeurant sentier des Houes, était depuis quel- que temps atteint de
troubles
cérébraux. Seul, hier soir, dans son logis, il
il y a aussi des plaques d'auesthésie et d'analgésie. Pas d'autres
troubles
objectifs du côté du système nerveux. La ma- la
ème nerveux on ne trouve aucun signe de lésion organique, quant aux
troubles
de la nature hystéro- dégénérative il faut note
demment pathologiques de la coquetterie s'observent aussi dans les
troubles
de la conscience, dans la dé- mence ; enfin, l'
a modification » de la coquetterie n'est qu'un symptôme partiel des
troubles
plus étendus, si elle n'a pas une origine secon
de tête, impossibilité de tra- vailler etc.), la cause de tous ces
troubles
, pourtant, n'était pas banale, surtout pour le
héréditaires, pas de signes morphologiques de dégénéresence, pas de
troubles
du côté des organes internes ni du côté du syst
lle élastique bien tendue. Les ventri- cules contenaient un liquide
trouble
; la surface des ganglions de la base était vel
donc vraisemblablement une lésion du cerveau postérieur, ou bien un
trouble
de l'arc réflexe cérébral générale- ment admis.
is l'hémorragie très abondante avait vi- vement ému lo malade ; ces
troubles
et ceux du même ordre qui subirent, d'origine i
ite d'un ictus, vit persister comme reliquat de son hémiparésie des
troubles
ocu- laires ainsi caractérisés ; ils attribuent
ophique en raison de l'évolution ; quoiqu'ils n'aient pas relevé de
troubles
sensitifs, ils admettent une syringomyélie lésant
obtenu par ce procédé une amé- lioration notable : disparition des
troubles
de la sensibilité, pos- sibilité de la marche.
e du mardi 15 octobre 1907.- Présidence de M. le Dr Jules Voisin.
Troubles
trophiques dans l'hystérie ; brûlures par suggest
onnent le succès ou l'insuccès dans la pro- vocation suggestive des
troubles
trophiques chez les hystériques : la suggestion
la suggestion expérimentale ne doit solliciter une sensation et son
trouble
trophique concomitant que si l'une el l'autre ont
emma- gasinés déjà dans l'acquis psycho-physiologique du sujet ; le
trouble
trophique que l'on voudra obtenir par suggestio
utanés et que, parmi les accidents cutanés, ce seront sur- tout des
troubles
trophiques qui se seront manifestés ; on devra
Paul Chez Charcot, des hystériques reproduisaient par imitation les
troubles
trophiques qu'elles voyaient survenir chez leur
éritables « hallucinations du souvenir » (Krafft-Ebing). Malgré les
troubles
sensoriels, le délire reste à prédominance in-
humilité, sentimert d'innocence côtoyant la tendance à l'indignité,
troubles
de la nutri- tion importants dans l'étiologie,
ectives, dues chez l'une à l'humilité déjà connue, chez l'autre aux
troubles
de l'association des idées (paralogie, intuitio
es. Marie Forel n'a pas d'activité mégalomane, 11 ? Granet a peu de
troubles
de la sensibilité générale, elle ne connaît pas
ul hypoalgésie à la piqûre et hypoesthésie très, marquée : Légers
troubles
de l'équilibre vraisemblablement dénués de toute
ues rapports, mais physiquement fatiguée, vieillie, se plaignant de
troubles
dyspeptiques. » Je ne vis plus, depuis des mois
rapport avec la facilité de leur formation. Mais il y a plus. Les
troubles
les plus délicats de la perception et de l'idéa
ral et c'est plus particulièrement à la suite de ces ennuis que les
troubles
mentaux deviennent très apparents. Il est diffi
pparents. Il est difficile de fixer très exactement le début de ces
troubles
à cause du délire rétrospectif actuel de Louise
Président de la République ». On ne trouve pas chez la malade de
troubles
hallucinatoires ; à aucun moment nous n'avons o
udes quelque chose, pouvant être, après examen, considéré comme des
troubles
sensoriels. De même les facultés intellectuelle
. Quelques-unes de ses interprétations sans doute font songer à des
troubles
psycho-sensoriels. Ainsi, elle a entendu la voi
fois, lorsqu'on examine avec attention, à plusieurs reprises, ces
troubles
, on n'y trouve rien de sensoriel. Elle n'a pas
r une parole, ou pris une attitude qui puisssent faite songer à des
troubles
psycho-sensoriels. MM. Sérieux, Deny, admettent
persécutés-persécuteurs, on a affaire à une idée obsédante. à u'i
trouble
de la volonté. Dans le délire d'interprétation.
très peu de temps après la nais- sance peuvent avoir pour suite des
troubles
intellectuels tardifs,et constituent une nouvel
nostic se pose entre l'im- mobilité réflexe des deux pupilles et le
trouble
fonctionnel des fi- bres pupillaires centripète
ternativement à la lumière et à l'obscurité, on met en évidence les
troubles
du M. O. C.;en appliquant la même manoeuvre à u
en appliquant la même manoeuvre à un seul oeil, on peut déceler les
troubles
du nerf op- tique. Ch. B. XXXIV.-Ueber den Ab
e fixée. Quant à la névroglie, elle présente dans différents cas de
troubles
psychiques des cellules à cytosome volumineux,
eeinflussung des Bewegungsab- laufs bei Erkrankung des Stirnhirns. (
Trouble
des mouvements par lésion du lobe frontal) ; pa
représentations cinesthétiques) et prouve que cette apraxie est un
trouble
transcortical. (Réunion annuelle de la Soc. de
aryngoscope dans l'étude des maladies nerveuses; il insiste sur les
troubles
sensitivo-sensoriels pour éclairer le diagnostic.
pport avec le sub- conscient, aussi bien que les hyperesthésies.les
troubles
systémati- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 373
nnel mis en branle par un concept mental lui-même subconscient, les
troubles
circulatoires et trophiques qui ne doivent poin
du moi le somnambulisme et la fugue, l'amnésie, l'aboulie et les
troubles
de caractère. Le Prof.Raymond définit ainsi l'h
sulte d'une modification du dynamisme nerveux caractéri- sée par un
trouble
du régime des réflexes corticaux ou sous-corti-
éningite cervicale hypertrophique. Le pronostic du mal de Pott avec
troubles
nerveux n'est pas toujours mauvais, la guérison s
d'appréciation plus difficile, consistent en phénomènes ataxiques,
troubles
divers des sensibilités subjective et objective
n irrégularité et sa résistance-aux antithermiques.par l'absence de
troubles
généraux concomitants ou la discordance de ceux
l'effet, non pas d'une résis- tance amoindrie à la fatigue, mais de
troubles
des processus voli- tionnels ou de la vie affec
hème noueux, pelade, pemphigus, eczéma nummulaire. On rencontre des
troubles
de même nature du côté de l'épanchement chez le
tuberculeux au début, vit ses crises augmenter sous l'influence des
troubles
dyspeptiques ca- ractérisés par de l'hyperchlor
u. Psychi., XXIX, f. 220, p. 665 à 680, 1er sept. 1906.) 5 cas de
troubles
vasomoteurs,moteurs et trophiques rappelant, pa
Pas d'hystérie. II. Femme : 29 ans, début par vertiges, céphalée et
troubles
vi- suels ; diplopie, etc. La parole devient le
jets par le toucher est incomplète : sueurs pro- fuses fréquentes ;
troubles
de la pigmentation de la face. Pas d'hys- térie
ien au coeur. Sueurs continuelles des ex- trémités ; puis céphalée,
troubles
de la vue, paresthésie de la main gauche; paral
lpitations ; puis akinésia algera des deux jambes pen- dant 2 mois.
Troubles
de la vue à droite, puis l'amaurose probable- .
existence de signes cardiaques, dans un cas et, dans deux autres,de
troubles
physiologi- ques des 2e et 6e nerfs crâniens,te
physiologi- ques des 2e et 6e nerfs crâniens,tend à démontrer qu'un
trouble
des nerfs périphériques peut être ramené à des
ontrer qu'un trouble des nerfs périphériques peut être ramené à des
troubles
vasomoteurs. D'autre part dans 4 cas, l'hystéri
émi-tonoelonique post-hémiplégique ; ses rap- ports avec les autres
troubles
moteurs post-hémiplégiques ; par Etienne. (L'En
avec modifications du sens musculaire ; formes où pré- dominent les
troubles
sympathiques (syndrome sympathique) ; formes av
nent les troubles sympathiques (syndrome sympathique) ; formes avec
troubles
trophiques (syndrome des cornes antérieu- res.)
de rétractions. F. Tissot. LV11. - Quelques considérations sur les
troubles
oculaires de l'épi- lepsie et de l'hystérie au
nce de l'absence de récidive. F. TissoT. LX. - Aphasie motrice avec
troubles
psycho-sensoriels au cours de la démorphinisati
casionnelle par para- plégie insidieuse, précocité et intensité des
troubles
sphinctériens oedème trophique des membres infé
folie religieuse, l'hystéro-démo- nopathie, on notait une série de
troubles
sensitifs et moteurs particuliers à l'hystérie
boîtes.Ataxie aiguë, polynévritique associée à de l'acronévrite.
Troubles
partiels de la sensibilité articulaire. Guériso
resse dans la bouche et dans le pharynx mais il n'y avait pas de
troubles
de la déglutition ni de la parole ; pas d'exanthè
s de bismuth. Le quatrième jour après l'empoisonnement, lorsque les
troubles
gastro-intestinaux n'existaient plus, le malade
mités inférieures en entier et sur le bassin. Abstraction faite des
troubles
signalés, la sensibilité est normale. Chose à n
: la perception stéréognostique est conservée et on ne trouve aucun
trouble
objectif de la sensi- bilité aux membres inféri
onjonctival, ainsi que les réflexes cutanés, sont normaux. Pas de
troubles
de la miction ni de la défécation,, les fonctions
es articulations des doigts est diminuée encore davantage, mais les
troubles
ont toujours le caractère partiel : la sensibilit
s le tourmentèrent énormément, la marche devint plus difficile, les
troubles
de la per- ception stéréognostique s'augmentère
t des orteils manquent tout à fait, la flexion est très faible. Les
troubles
objectifs de la sensibilité cutanée et articulair
et la même localisation ; entre au- tres, le caractère partiel des
troubles
de la sensibilité articulaire au niveau des art
arche s'est améliorée, le signe de Domberg est moins prononcé ; les
troubles
de la sensibilité cutanée et vibratoire saris cha
rétablir, surtout du côté gauche, mais le caractère partiel de ces
troubles
reste toujours, comme le montre le tableau suiv
sensibilité articulaire des orteils dans tous les mouvements ; les
troubles
de la sensibilité cutanée des mains on t. dispa
es orteils. Dans l'examen ob- jectif, on n'a constaté ni ataxie, ni
troubles
quelconques de la sen- sibilité cutanée et prof
nerfs à la pression, les douleurs et les paresthésies locales, les
troubles
objec- 40S CLINIQUE NERVEUSE. tifs locaux de
igne de Romberg, qui a été constaté au moment où il n'y avait aucun
trouble
de la sensibilité ni de la mobi- lité dans les
à la pression, il n'y a pas de dou- leurs ni de paresthésies,ni de
troubles
objectifs de la sen- sibilité cutanée, ni de pa
ore plus fortement souligné dans ,1'acronévrite, notamment dans les
troubles
de la sensi- bilité articulaire (sens des mouve
et qui consiste en ce que, pendant tout le cours de la maladie, les
troubles
de la sensibilité articulaire se manifestaient
'amélioration considérable de tous les symptômes né- vritiquos, les
troubles
de la sensibilité articulaire ont disparu compl
- fondes, cela est prouvé par le manque de parallélisme entre les
troubles
de la sensibilité cutanée et les altéra- tions
lité articulaire dans notre cas : au mo- ment de la disparition des
troubles
de la sensibilité arti- culaire (cinquième exam
main étant présente, nous ayons observé (21', 3e et 4e examens) les
troubles
partiels de la sensibilité ar- ticulaire, c'est
- cossus plus léger et non étendu - pourrait exister sans au- cun
trouble
de la sensibilité articulaire. Mais los troubles
xister sans au- cun trouble de la sensibilité articulaire. Mais los
troubles
partiels et en même temps constants dp ladite s
oubles partiels et en même temps constants dp ladite sensibilité,
troubles
qu'on observait pendant une longue durée et dan
ngue durée et dans les mouvements des doigts bien déterminés, ces
troubles
ne peuvent pas dépendre d'une lésion des bran-
ltanément, sont affectées des branches nerveuses plus fortes (les
troubles
diffus de la sensibilité cutanée de la main, sens
nsi- bilité à la pression des espaces interosseux, etc.),mais les
troubles
partiels de la sensibilité articulaire montrent
minces dans le voi- sinage des articulations mêmes {2}. Ainsj les
troubles
partiels.de la sensibilité profonde (ar- ticula
n russe). 1 (2) Il serait intéressant de porter l'attention sur le§
troubles
, par- tiel plus nu jupius constants du la sensi
petites branches périphériques. Les données que nous avons sur les
troubles
objectifs de la sensibilité cutanée sont aussi
'apparition et (relativement) la prompte disparition des différents
troubles
de la sensi- bilité à la face dorsale de la mai
a- gérée des nerfs de la main et du pied à la pression et par les
troubles
locaux de la sensibilité, de la motilité et de la
t dans les deux formes nous trouvons aussi le caractère partiel des
troubles
, ce caractère se manifestant surtout dans les t
partiel des troubles, ce caractère se manifestant surtout dans les
troubles
de la sensibilité articulaire (l'acronévrite).
exion clinique étroite qui existe entre l'ataxie généralisée et les
troubles
locaux dus à l'acronévrite; cette connexion par
net (l'élévation de la température, l'affaiblis- sement des forces,
troubles
de l'état général) et s'accom- pagne d'une hémo
he de la maladie, c'est-à-dire la disparition en quelques jours des
troubles
gastro-intestinaux, contredit ce diagnostic. Da
redit ce diagnostic. Dans l'in- toxication aiguë par le cuivre, les
troubles
gastro-intes- tinaux restent pendant des semain
liniquement notre cas d'empoisonnement par les homards. Outre les
troubles
gastro-intestinaux, on observe sou- vent dans «
ntaux douteux. La première partie passe successivement en revue les
troubles
intellectuels, les troubles affectifs et les tr
artie passe successivement en revue les troubles intellectuels, les
troubles
affectifs et les troubles originels de la volon
en revue les troubles intellectuels, les troubles affectifs et les
troubles
originels de la volonté, sous les titres d'insu
ici d'ailleurs, comme exemple, le résumé du chapitre concernant les
troubles
de l'intelligence. L'insuffisance distinctive q
sont utiles au développement des associa- tions conscientes. Les
troubles
qualitatifs de la mémoire comprennent les défor-
ison associative de sou> venirs déjà faussés ? D'autre part, ces
troubles
peuvent être com- binés avec des troubles quant
ussés ? D'autre part, ces troubles peuvent être com- binés avec des
troubles
quantitatifs. Ceux-ci comprennent l'affai- blis
ntations : désorientation, incohé- rence complète ou dissociation ;
troubles
de la reconnaissance, entraînant la pseudo-para
s ; désordre des actes, paramimie. L'auteur rappro- che même de ces
troubles
les inversions de lettres et de syllabes à l'in
ou verbigéra- tion, salade de mots.A l'incohérence primaire, due au
trouble
dans la liaison des représentations, est opposé
e affective », parfaitement distincte de tous les autres groupes de
troubles
mentaux : les seules formes intermédiaires conn
logiques qui se développent sur un fond neurasthénique. » Parmi les
troubles
secondaires d'insuffisance distinctive et appét
eurs syndromes, il n'y a plus qu'une psychose bien définie, un seul
trouble
fondamental, commun non seulement aux deux form
valle lucide ni de cons- tatei, longtemps après un accès isolé, des
troubles
)rappelant la forme affectée par celui-ci et tra
ituel antérieur à la première manifesta- tion, mettre en lumière un
trouble
élémentaire logiquement ca- pable de présider à
ore le contraste avec le délire chronique de Lasègue et de Magnan :
trouble
intellectuel (; : o : pC1. vow) exclusive- ment
ité précoce, sans aucune analogie avec l'involution de la femme,...
trouble
affectif à début lent, mani- festé par des état
développent sur le terrain de la neurasthénie », englobe tous les
troubles
mentaux pour lesquels les racines grecques sont s
nvisage et redoute les suites, forme qui conduisit à rapprocher les
troubles
mentaux par obsessions des états différenciés par
n moi ». Tout se rapporterait à une perversion de l'inner- vation :
troubles
par exagération (algies), perversion ou dimi- m
algies), perversion ou dimi- minution passagère de la sensibilité ;
troubles
moteurs, tous dus à ce que « les impulsus sont
ion en désac- tcord avec la représentation volontaire réelle ». Ces
troubles
(pa- ralysies, tremblement, spasmes, pseudo-con
il faut savoir la recon- naître et pouvoir la traiter. Une foule de
troubles
mentaux légers passent ainsi inaperçus pour abo
. D. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE : XII. -Traumatismes craniens et
troubles
mentaux; par Jotfroy ? (L'Encéphale, 1907, n° 2
ité complète (par déchirure probable des lobes occi- pitaux) et des
troubles
mentaux à forme de démence précoce hé- béphréni
a d'établir chez un individu l'existence d'une prédisposition à des
troubles
mentaux, surtout de prévoir vers quelle forme c
Cette question des rapports entre les traumatismes crâniens et les
troubles
mentaux, la P. G. en particulier, doit être envis
u la diversité et l'incons- tance des faits : il y a des cas où les
troubles
constatés, tout en rap- pelant la P. G., s'en é
me. Or si le traumatisme devient un jour la cause déter- minante de
troubles
pathologiques.'il est évident qu'il devient res-
version des facultés morales survenant avant toute manifestation de
troubles
intellectuels et déterminant des actes délictue
e plaint de névralgies multiples, d'éblouissements, de vertiges, de
troubles
digestifs et en particulier de boulimie, de tro
e vertiges, de troubles digestifs et en particulier de boulimie, de
troubles
génitaux qui sont plus peut- être en relation a
tismes, les maladies infec- tieuses, les affections chroniques, les
troubles
génitaux. Elle peut être acquise ou congénitale
elle et la forme confusionnelle hallucinatoire, dans lesquelles les
troubles
des perceptions com- '- mandent des réactions m
ques sont de beaucoup les plus impôt tantes. t F. TtssoT. XX. Les
troubles
digestifs considérés dans leurs rapports avec -
X. Les troubles digestifs considérés dans leurs rapports avec - les
troubles
mentaux; parM. Page. (Bulletin médical, n° 7 1906
babilisme. Page a montré qu'il existe un rapport constant entre les
troubles
men- taux et les troubles digestifs; il semble
u'il existe un rapport constant entre les troubles men- taux et les
troubles
digestifs; il semble admettre, ce qui peut paraî-
ui peut paraî- tre un peu. excessif à certains, que, pour avoir des
troubles
men- taux, il faut, non seulement une prédispos
édisposition héréditaire et une cause occasionnelle mais encore des
troubles
digestifs. On peut faire disparaître ces dernie
ssier, cette modification amè- nerait rapidement la disparition dès
troubles
mentaux. L. 'WAHL. XXI. Crises d'anxiété avec
funktionellen Psychosen mit Aus schluss der aphasisehen Stoerungen (
Troubles
de la parole dans les ps. fond, à l'exclusion d
erungen (Troubles de la parole dans les ps. fond, à l'exclusion des
troubles
aph.), par IIErr.srtoNNEn, d'Utrecht. (Ctrh/. r
s questions connexes, travaux dont est donnée la bibliographie. Les
troubles
sont répartis en deux catégories : symptômes de
dans les cas contraires. La nature pri- maire ou secondaire de ces
troubles
est à discuter dans chaque cas. On a pu se dema
s chaque cas. On a pu se demander si la fuite des idées est bien un
trouble
du langage'; mais il est incontestable que le t
s est bien un trouble du langage'; mais il est incontestable que le
trouble
psychique auquel elle correspond ne peut se man
t dont la pathogénie est d'ailleurs inconnue. II. distingue de ce
trouble
le « besoin de communiquer » des maniaques ; il
es les diverses lormes de néologis- mes et élimine ensuite certains
troubles
complexes tels que la confu- sion pseudaphasiqu
ette affection sans photophobie et avec acuité visuelle normale. Le
trouble
disparaît la nuit ou dans l'obscurité ; il cesse
eint depuis trois ans de paralysie double avec atrophie musculaire,
troubles
des réactions électriques dans la région du ple
ns la région du plexus sacré, anesthésie à disposition radiculaire,
troubles
sphinc- tériens, perte du sens génital ; flasqu
ue ; outre les symptômes classiques, il faut y noter la présence de
troubles
parestbésiques et douloureux, la présence de næ
onsabilité. Constatant que certains cou- pables étaient atteints de
troubles
mentaux, ce qui se traduisait par des réponses
l'alcoolisme : 1° Intoxications alcooliques, causes exclusives de
troubles
cérébraux chez les femmes, situation au 1 cr janv
pour les hommes : jo Intoxication alcoolique cause déterminante des
troubles
cérébraux chez les femmes ; ! l° Même tableau p
érations sur l'éducation des -, par Mulot, p. 92. H sEDOw. Voir
Troubles
men- taux. B 11< ÉDiCKT. Syndrome de ? -,
Elnlflstc. Défi- nition et nature de l' -, par Claude, p. 143. et
troubles
trophiques. simulation, par Brissaud et Sicar
métrique eL-pé- riostidue, par \Iayct, p. 362. LOlm frontal. Voir
Troubles
. Localisations, motrices corti- cales. Voir S
. Va- rioté congénitale unique du -, par Courtellemont, p. 466.
Troubles
de la sensibilité au dé- but de la paralysie gé
casion, dans le cours de l'été 1912, de soigner un homme atteint de
troubles
trophiques particuliers des quatre extrémités.
écanicien, est un homme de 38 ans, grand, robuste, intelligent. Les
troubles
dont il se plaint sont apparus depuis 3 à 4 ans ;
chent des lamelles cornées. En résumé les ongles sont le siège de
troubles
trophiques intenses ; ils sont en partie détrui
de la selle turcique. Le malade ne/se 6 CHEVALLIER plaint d'aucun
trouble
de la vision, mais il ne s'est pas soumis à l'exa
mal. C'était le plus jeune de six.garçons dont aucun ne suufrit de
troubles
nerveux et qui moururent tous très vieux. La
es tendineux, cutanés et oculaires sont normaux ; il n'existe aucun
trouble
nerveux. Les organes génitaux sont bien dévelop
athogéniques. Le plus souvent, quand le malade devient inquiet, les
troubles
sont déjà considérables. Les pieds et les mains
ssus qui attei- gnent également les quatre extrémités relèvent d'un
trouble
du régime trophique général. Il n'y a plus ici
Chez notre malade, nous n'avons trouvé ni foyer infectieux (3), ni
trouble
nerveux (4), ni trouble vasculaire. Le champ des
n'avons trouvé ni foyer infectieux (3), ni trouble nerveux (4), ni
trouble
vasculaire. Le champ des hypothèses est t donc
nous est racontée a particulièrement orienté nos recherches vers un
trouble
tro- phique par lésions de la base du crâne. Dé
que chez l'adulte le même dérèglement du centre se traduira par des
troubles
différents, mais toujours généralisés aux quatre
pertrophiante de l'acromégalie, tendent à admettre l'influence d'un
trouble
hypophysaire. Les documents que nous apportons
usieurs anomalies tératologiques qui assez souvent sont liées à des
troubles
des glandes à sécrétion interne. Si l'on consid
s extrêmement intéressants d'oxycéphalie congénitale associés à des
troubles
tératologiques tels que le bec-de-lièvre et l'i
ssez fréquentes que l'appareil génital peut présenter dans certains
troubles
des glandes à sécrétion interne : dans cet ordre
qui doivent coexister entre les anomalies du déve- loppement et les
troubles
de certaines glandes à sécrétion interne chez n
très importantes des os acroméliques, anomalies correspondantes aux
troubles
pro- fonds des valeurs anthropométriques de ce
ômes cérébraux caractérisés parde la céphalée,des vomissements, des
troubles
psychiques (torpeur intellectuelle), et par des m
posé le diagnostic de tumeur de la tige pituitaire et constatés les
troubles
d'insuffisance hypophysaire, nous allons étudier
existants entre cette dystrophie glandulaire d'origine foetale et les
troubles
de l'acrométagénèse présentés par cette malade.
e simple cause mécanique, aurait retenti sur la main opposée par un
trouble
réflexe de l'acrométagénèse. Celte interprétati
fluences mécaniques qui peuvent agir sur la production des certains
troubles
acrométagénétiques, et nous en avons apporté quel
; ce qui est intéressant à con- sidérer dans l'espèce, ce sont les
troubles
piluitaires fréquents qui accompagnent de tels
el peuvent avoir sur le développement soma- tique du foetus . à des
troubles
de cette espèce on pourrait appliquer le nom de
l'os- téogénèse. Je tiens en effet, à bien faire remarquer que les
troubles
ostéogénétiques ici son t'tel le'ment profonds,
blir un lien entre les altérations acro- métagénéliques et certains
troubles
hypopbysaires. Dans le cas illustré dans le pré
3. ' 30 BERTOLÛTTt anormale des membres et particulièrement à des
troubles
de l'acrométa- génèse. A peu près à des concl
ement fonctionnelle ? Distinguons avant tout les deux catégories de
troubles
: l'amaurose droite, des phénomènes irritatifs de
dus dont un oeil ne peut se fermer séparément, il y a en général un
trouble
de l'autre oeil dont la fers meture estpossible
sies spasmodiques, les trémulations, la lenteur des mouvements, les
troubles
de la parole d'une part, l'irrita- bilité et la
trémités, passagère ou durable, ob- servés chez des aliénés (2). Ce
trouble
essentiellement somatique peut s'associer à tou
u après la mort de son mari. Mme R... n'aurait jamais présenté de
troubles
morbides avant le début de la psychose actuelle
ade, des symptômes d'asphyxie locale symétrique des extrémités. des
troubles
ont assez vite progressé, au point de réaliser en
e, surtout décelable au niveau des orteils, mais on ne notait aucun
trouble
évident de la sensibilité objective locale, pas
matome à l'oreille gauche, et une cataracte de l'oeil gauche. Aucun
trouble
apparent des sécrétions glandulaires internes; au
mois, et en dépit de froids rigoureux, la malade n'a présenté aucun
trouble
physique analogue ; son état mental ne semble pas
semble pas avoir subi de variations parallèles ou consécutives aux
troubles
somatiques que nous venons de rapporter. Voic
s de rapporter. Voici donc une malade, internée depuis dix ans pour
troubles
démen- tiels, qui a présenté, à un mois d'inter
d, ni par les classiques (1). Quant à préjuger de la pathogénie des
troubles
ci-dessus, nous croirions téméraire d'avancer l
dehors de toute constatation anatomique. Disons seulement qu'aucun
trouble
circulatoire objectif ne peut faire songer à un
ne nous autorise à rattacher cette asphyxie locale passagère à des
troubles
des glandes endocrines analogues à ceux qui ont
jours que la clinique, en associant ces phénomènes somatiques à des
troubles
psycho- moteurs assez bien déterminés, nous per
minute en station ver- ticale et 78 en station horizontale. Pas de
troubles
de la sensibilité cutanée. Réflexes rotuliens t
e la sensibilité cutanée. Réflexes rotuliens très augmentés. Pas de
troubles
des organes de la poitrine ni de l'abdomen. Tré
utre, un certain retentissement sur la moitié opposée (compression,
troubles
circulatoires). Cependant, la nature même de ce
t suivi du peu. Nous n'insistons pas davantage sur cette partie des
troubles
que présen- tait notre patient, mais nous devio
es névralgies. Il semble bien qu'il n'y ait eu à cette époque aucun
trouble
grossier de la sensi- bilité ; le malade pouvai
ies moyenne et supérieure du même côté de l'abdomen. Il y a donc un
trouble
des réllexes cutanés abdominaux inférieurs, en ra
thésie au tact et à la douleur, avec retard net des perceptions. Ce
trouble
de la sensibilité s'étend peu à peu en montant de
déclare ; la température atteint 39° à 40° le soir; les urines sont
troubles
, on est obligé de sonder le malade plusieurs fo
haut était unique, ce qui per- met de lui rapporter l'ensemble des
troubles
paralytiques observés. D'autre part l'examen mi
la lésion des cordons pos- térieurs de la moelle rendent compte des
troubles
sensitifs à type tabéti- que que présentait la
langue n'est pas hypertrophiée. On ne relève chez ce sujet aucun
trouble
visuel ; l'examen pratiqué par notre confrère l
présente aucun symptôme parti- culier pouvant éveiller l'idée d'un
trouble
de sécrétion uni ou pluriglan- dulaire. A l'e
e hôpital et de pellagreux récents, qui manifestaient seulement des
troubles
somatiques. J'ai observé cette catégorie de mal
ypie y est fournie, d'une façon manifeste, par la guérison même des
troubles
physiques qu'elle avait oc- casionnés. - Pend
erfs, ou des centres cérébraux. Et même, lorsque nous concevons ces
troubles
comme étant purement fonctionnels, nous commett
i atrophie de cause centrale, ni anesthésie de type segmentaire, ni
troubles
ataxiques d'origine médul- xxvii 9 126 RIRItA
l'hyperalgésie avec l'anesthésie; ensuite viennent d'ordinaire les
troubles
moteurs. Ces phé- nomènes sont accompagnés de f
sité, ni suivant l'époque de leur apparition. Dans certains cas, le
trouble
sensitif précède le premier, et dans d'autres l
sensitif précède le premier, et dans d'autres l'atrophie précède le
trouble
sensitif. Mais il la fin les deux processus se
celle aneslhésie, on peut se rendre compte de l'origine de certains
troubles
moteurs qui existent chez le : labéliques où il y
manière brus- que et il dépasse avec son doigt le point désigné. Ce
trouble
a lieu aussi avec les yeux ouverts. Tous nous
our ce motif, et à cause des connexions labyrinthiques, souffre des
troubles
moteurs adéquats aux lésions propres il sa mala
les formes aiguës ou actives de labyrinthisme dans les- quelles le
trouble
moteur est impulsif comme clans l'ivresse et dans
on debout. Avant tout, il faut convenir avec Bonnier que lorsque le
trouble
am- pullaire ou labyi-iritliiqtie est seulement
son tour engendre la sensation illusoire de déplacement et d'autres
troubles
accompagnant le vertige. Aussi, à ce point de v
n'imporle lequel des trois départements de l'appareil auditif. Les
troubles
cérébraux, el surtout ceux du cervelet, peuvent p
preuse uniquement les branches musculaires des nerfs faciaux. Les
troubles
moteurs dans la lèpre nerveuse dépendent de la lé
tte maladie l'absence de paralysie existe le plus souvent malgré le
trouble
trophique musculaire. Mais nous ne pouvons pas
- lysie, l'atrophie et la conlraclure. Dans le but de spécifier les
troubles
ocu- laires, j'adjoins la noie de l'examen prat
ent léprologue turc, le Dr Zambaco, dans ce qu'une bonne partie des
troubles
trophiques que beaucoup avaient considérés comm
ple immobilisation prolongée d'une extrémité peut élre l'origine de
troubles
nutritifs. Le phénomène est produit par des név
même, lorsque les mala- des la remarquent ou plutôt remarquent les
troubles
fonctionnels qu'elle commande, à savoir uneênè,
ophie extrême des membres ; il n'y a aucune lésion viscérale, aucun
trouble
ni sphtnoérien ni génital, aucun trouble intell
ne lésion viscérale, aucun trouble ni sphtnoérien ni génital, aucun
trouble
intellectuel. Toutseborneaune amyotrophiedes qu
de.contractions fibrillaires dans les muscles en voie d'atro- phie.
Troubles
vaso-moteurs des segments de membres atteints. Pa
au prorata de l'atrophie. C'est l'atrophie, en effet, qui régit les
troubles
moteurs. Chez F..., la motilité volontaire est
e de l'atrophie musculaire, il faut signaler le peu d'intensité des
troubles
fonctionnels. Ces deux malades ne peuvent se te
s tendons d'Achille, qui a nécessité une ténotomie, et j'arrive aux
troubles
vasomoteurs, réduits au minimum chez F... chez le
ose très abondante. Chez l'un de nos malades : F..., il n'y a aucun
trouble
de la sensibilité ni subjective, ni objective,
gnostique est intact Ni chez l'un ni chez l'autre on ne constate de
trouble
du côté des organes des sens, du côté des yeux
e dégénérescence, soit diminution pure et simple. Les degrés de ces
troubles
électriques se superposent topographie- quement
troubles électriques se superposent topographie- quement à ceux des
troubles
trophiques et moteurs et leur sont compa- rable
troubles trophiques et moteurs et leur sont compa- rables Comme les
troubles
trophiques, moteurs et réflexes, ils diminuent
forme péronière ou « pero- neal-type » de Tooth, dans laquelle les
troubles
restent indéfiniment limi- tés aux membres infé
rfait, n'entraînant qu'une infirmité relalive, c'est-à-dire que des
troubles
fonctionnels légers, non adéquats au degré d'amyo
sordres de la molilité tels que les convulsions épileptiformes, les
troubles
athétosiques et cboréiformes, les tremblements
ous- lhalamique. Il ressort donc très neltemeut que dans ces divers
troubles
de la motililé le siège de la lésion déterminan
noyau rouge, il se fait un retour vers l'automatisme. Du reste, ce
trouble
d'innervation du facial inférieur que l'on a décr
érentes du noyau rouge. On peut donc se demander si dans ces cas le
trouble
de la motilité ne relève pas, soit de l'irritatio
oyau. Quanta l'aspect clinique si différent que revêt chacun de ces
troubles
de la motilité, on pourrait peut être l'expliqu
même à tous les niveaux. Du reste, il faut bien le dire, ces divers
troubles
de la motilité ne sont peut-être pas aussi auto
ble vraiment y avoir des liens de parenté assez intimes. Ces divers
troubles
présentent entre eux de nombreuses analo- gies
ée de plusieurs facteurs pathogémques. Il est certain aussi que ces
troubles
de la motilité ne se LES CONNEXIONS CORTICALES
diverses perlurhationsde la molililé. Nous savons également que ces
troubles
ne surviennent que lorsque la voie cortico- spi
t dans la genèse de certains désordres de la motilité, tels que les
troubles
athétosiques et choréiformes, les tremble- ment
ses de dormir; sa somnolence à ces moments est invincible. Pas de
troubles
moteurs. Réflexes cutanés, tendineux et muqueux
les moteurs. Réflexes cutanés, tendineux et muqueux normaux. Pas de
troubles
objectifs de la sensibilité; subjectivement, pr
alisé, intense et fréquent. Dans la sphère psychique, on relève des
troubles
très nets se jugeant par de la dépression, alla
nons, pouropposés qu'ils soient, sont cependant interprétables. Des
troubles
fonctionnels ne se superposent pas forcément à
l'obésité, une haute tolérance pour les hydrates de carbone et des
troubles
profonds du côté des organes génitaux. Tous ces
ette à l'obésité, une somnolence et une asthénie très marquées, des
troubles
génitaux accentués, qui i (l priol'i semhlenL rel
tale, de l'aslhénie, sans qu'on songe à incriminer autre chose que le
trouble
nutritif initial. Nous pensons donc que, dans n
voqué un retentissement thyroïdien plus ou moins discret et que les
troubles
génitaux et la tendance à l'obésité, loin de rele
e a évolué un certain temps avant de se compliquer d'asthénie et de
troubles
génitaux ; nous voyons là une raison indirecte
on du syndrome adiposo-génital. Ils ont, chez le chien, réalisé des
troubles
génitaux, à l'exclusion toutefois de l'obésité, e
as particulier, l'hypothèse de Claude cl Baudouin, pour lesquels le
trouble
hypophysaire conduirait à la glycosurie par l'int
limination et. peut-être dans la production de l'acide urique â des
troubles
hypophysaires en plus ou en moins. Les dosages
, on peut noter au cours de l'acromégalie, des signes traduisant un
trouble
fonctionnel au niveau des organes hémato- poiét
se formait immédiate- ment et qui en quelques minutes donnait un «
trouble
virant à la colora- tion gris sale » correspond
sa place de petites cicatrices arrondies, pigmentées en rouge brun.
Troubles
moteurs. Tous les mouvements actifs du poignet et
ièrement limités. Le malade dit avec la plus grande netteté que ces
troubles
dans la motilité de sa main gauche sont apparus
ge de l'épaule gauche que de la droite. Ces douleurs légères, ces
troubles
moteurs au niveau des deux épaules sont antérie
Membres inférieurs. La démarche est normale, la force est intacte.
Troubles
sensitifs. Sensibilité subjective : Jamais de dou
e à la Salpêtrière, le 31 mars 4914, a montré l'absence complète de
troubles
trophiques osseux. 5 mai 1914. - L'éruption n'a
ai 1914. - L'éruption n'a laissé que des cicatrices pigmentées. Les
troubles
moteurs ont persisté : ils sont exactement superp
n. Ainsi au dynamomètre, on a : 0 à gauche pour 18 à 20 à droite.
Troubles
sensitifs. - Sensibilité subjective : Mêmes phéno
sur le bord interne. Réflexes : Mêmes résultats que précédemment.
Troubles
trophiques : Atrophie visible des muscles de l'av
Troubles trophiques : Atrophie visible des muscles de l'avant-bras.
Troubles
vasomoteurs : Très accentués. Depuis environ troi
la première dorsale, avec atteinte relativement légère de C. 5. Les
troubles
objectifs de la/sensibi 1 i té occupent ce même t
la paralysie. Il y a par conséquent superposition topographique des
troubles
érup- tifs, sensitifs, moteurs, électriques, et
ifs, moteurs, électriques, et disposition radiculaire de ces divers
troubles
. Les paralysies consécutives au zona du membre
ier), d'une tendance a la réversion, à l'atavisme (Claparède), d'un
trouble
du régime des réflexes corticaux ou sous-corti-
ovoque la torpeur du cerveau organique dans la thèse de Sollier, le
trouble
des réflexes corticaux ou sous-corticaux dans c
tpasà leur origine une cause affective ; on observe parfois que les
troubles
hystériques, même les plus rebelles il la psycho-
aplégies, les crises convulsives, les aphonies, le vomissement, les
troubles
vaso-moteurs etc., ne sont très souvent que la
oquent et ne guérissent aucun phénomène hystérique. Le fait que les
troubles
hystériques sont très rares après les émotions
sont à même d'accomplir le même mouvement par un (1) Brissaud, Les
troubles
nerveux post-tmmnatiques, Bulletin Médical, 1906.
ême qu'elle blesse notre person- îialilé, entraîne -les plus graves
troubles
psychiques; les tendances affec.- tives au cont
teints des plus fortes crises émo- tives accésconvulsifa,etn) ou de
troubles
psychiques (delirium, etc.) témoi- gnant l'alté
réaction de défense (Claparède) (1 ) vis à-vis des émotions el des
troubles
psychiques qui en résultent C'est pour cela que
vives ou excessivement prolongées eu, trainent plus facilement des
troubles
psychiques, représentant un phéno- mène de désa
ves se traduisent en phénomènes somatiques anormaux, par exemple en
troubles
vaso-moteurs, sécrétoires et parfois trophiques
stérie traumatique entre la réaction myasthénique et la présence de
troubles
vaso-moteurs (2), coïncidence qui constitue un
ganique, ce qui expliquerait parfaitement la fréquence spéciale des
troubles
vaso-moteurs et sécrétoires dans cette affection.
llonnes et d'au- tres. On a pu provoquer parfois par suggestion des
troubles
somatiques anormaux, des troubles vaso-moteurs,
voquer parfois par suggestion des troubles somatiques anormaux, des
troubles
vaso-moteurs,'sécrétoiresqui ne sont que traduc-
alée et d'éblouis- sements, comme si elle avait son origine dans un
trouble
vasculaire tran- sitoire du cerveau. Les rappor
trouble vasculaire tran- sitoire du cerveau. Les rapports entre les
troubles
vaso-moteurs et les phénomènes hystériques sonl
es, même des plus légères, comme une petite lésion périphérique, un
trouble
vaso-moteur d'origine émo- tive, etc... En ré
ène hystérique; enfin cela éclaircirait aussi la faculté qu'ont les
troubles
hystériques créés par des émotions ou par des idé
et par- fois dans des phénomènes somatiques anormaux, tels que des
troubles
vaso-moteurs, sécrétoires, etc., lesquels ne so
an L : YS58LSl'EIN ; Chef de labor. : D' .IOSSELIN de JONG. SUR LES
TROUBLES
DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS DEUX CAS DE LÉSION B
in- terne et le noyau lenticulaire sont frappés simultanément, les
troubles
d'ordre moteur sont maintenant attribués exclus
ne certaine influence du corps strié sur l'action muscu- laire. Les
troubles
dans ces cas (lenteur des mouvements actifs, raid
ment, montraient une affection des corps striés fort prononcée, les
TROUBLES
DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
rovoquent pas de symptômes manifestes. D'autres expliquent certains
troubles
de la motililé (ceux qu'obser- vaient par exemp
rtains animaux. J'essaierai de donner une description détaillée des
troubles
fonction- nels dans un cas où les corps striés
jamais observées par un médecin. Elles n'auraient pas influencé les
troubles
dont le malade se plaint. La femme du malade me
s excuses parfois ingé- nieuses pour ses mauvais tours. A cause des
troubles
de la parole Ku. n'aime pas causer avec les aut
très peu d'expression ; seulement, quand il y a quelque chose dans
TROUBLES
DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
alade est souvent capable de le faire spontanément. - A gauche le
trouble
est moins prononcé, le malade est capable de port
ant NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. 11VII. hL. 1LVIII
TROUBLES
MOTEURS DANS LES LÉSIONS DU CORPS STRIÉ (W. van
BLES MOTEURS DANS LES LÉSIONS DU CORPS STRIÉ (W. van Woerkom.) --
TROUBLES
DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LESION DU CORPS STR
xion et d'extension, mais le ma- lade reste figé à la même place.
TROUBLES
DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
ROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 281 Les
troubles
que j'ai décrits, quoique en principe toujours le
ns que dans la coupe précé- Si'rie normale Observation 1 FiG. 1
TROUBLES
DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
myéline sont d'une finesse Série normale Série ohs, I - Fm.2 2
TROUBLES
DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
he optique montre la défor-, Série normale Série obs. 1 Fn,.3 3
TROUBLES
DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
quelques faits physiologiques. 1>- 1 r. Pt& S ' ' , raton
TROUBLES
DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA L Si0 (liiPS STRIE
nique son caractère du début à la fin. En procédant à l'analyse des
troubles
que montrent les mouvements actifs chez notre m
it intacte. Notre malade ne montre pi de parésies véritables, ni de
troubles
de la sensibilité-. Et pourtant l'exécution des a
ts que le ma- lade est capable de faire un effort. L'intensité du
trouble
que nous avons décrit (la difficulté de mobi- l
istes produit également le commen- cement du mouvement inverse. Les
troubles
de notre malade sont, en partie, expliqués : 1°
eviviscence de cette ancienne fonction chez un individu montrant le
trouble
du « slatotonus » à un tel degré. La symptomato
à coup, mais des deux côtés. Dans notre deuxième observation, les
troubles
de l'action musculaire se sont développés d'une
rtant le (1) Sur la signification... lte%ue Neurol., n° 11, 1912.
TROUBLES
DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
caudé et du noyau lenticulaire nous remarquons un réseau capillaire
TROUBLES
DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STR
n bilatérale du corps strié, reprenons la question du caractère des
troubles
que mon- traient nos deux malades. L'infirmit
de ces malades n'est causée ni par la simple paralysie, ni par les
troubles
de la sensibilité, ni par l'apraxie. Par contre e
e montre quelque ressemblance avec le syndrome cérébelleux. - Ces
troubles
peuvent être résumés ainsi : 1° Il y a une pert
la fonction dynamique des muscles à leur fonction statique (1). Ce
trouble
est fort variable en intensité. En général l'at
e perturbation très spéciale de la fonction musculaire, qui par les
troubles
des mouvements actifs montre quelque ressemblan
ions la lésion des corps striés seuls est en état de provo- quer ce
trouble
. ' HOSPICE DE B7Cy/<&' DEUX CAS D'AMYO
nversement, et manque ainsi plusieurs fois de se faire écraser. Ces
troubles
durent quatre ou cinq mois, puis disparaissent
grande netteté qu'à cette époque la main gauche ne présentait aucun
trouble
fonctionnel', pas plus que le membre supérieur
lexe plan- taire se fait en flexion ; il n'y a pas de clonus. Les
troubles
trophiques très accentués,sont constitués par l'a
ont constitués par l'amyotrophie et l'adipose déjà signalées. Comme
troubles
vaso-moteurs, il faut signaler un état spécial
lle que la sensibilité profonde, à tous les modes. On ne note aucun
trouble
du sons musculaire, ni de la stéréognosie. Le mal
ons musculaire, ni de la stéréognosie. Le malade ne présente pas de
troubles
sphinctériens, ni viscéraux. A noter la faiblesse
e de Nageotte. L'examen électrique pratiqué par M. Duhem montre les
troubles
suivants : abolition de l'excitabilité faradiqu
plus se guider aW 6 'q 6 et manque plusieurs fois s de tomber. Ces
troubles
ataxiques prisent lentement. En 1908, pendant u
u'il met le pied à terre qu'il doit garder complètement le lit. Ces
troubles
s'atténuent, mais il lui reste une impossibilité
amais il n'a perdu connaissance. Enfin, toujours en 1911, sa vue se
trouble
. Il voit mal, mais non double. Ces troubles vis
jours en 1911, sa vue se trouble. Il voit mal, mais non double. Ces
troubles
visuels se sont plutôt améliorés récemment. Eu
norectales dont souffre encore le malade se sont manifestées. Les
troubles
moteurs se sont accentués progressivement : jusqu
muscles de la face, de la langue, les peauciers sont indemnes. Les
troubles
de la sensibilité subjective sont importants : le
ur, sensibilité thermique. Au niveau des jambes et des cuisses, les
troubles
de la sensibilité superficielle sont moins import
piaule. On ne note ni clonus du pied, ni réflexes de défense. Les
troubles
des sphincters, les troubles trophiques ont été n
s du pied, ni réflexes de défense. Les troubles des sphincters, les
troubles
trophiques ont été notés. Comme troubles vasomo
oubles des sphincters, les troubles trophiques ont été notés. Comme
troubles
vasomoteurs, il faut signaler une sensation subje
puisqu'il n'a pas eu d'érections depuis un an environ. Il n'a aucun
trouble
viscéral. La tension prise au Pachon est 17/9.
carres de la région sacrée. La vessie, qui contenait un peu d'urine
trouble
, présentait une hypertro- phie accusée de sa pa
e se serait propagé au faisceau pyramidal gauche pour expliquer les
troubles
moteurs. Celait, en quelquesorle, un chapitre des
uelle persiste, mais, indifférente aux laxatifs, elle semble due à un
trouble
péristaltique, un refoulement du bol fécal qui
ertes sanguines dues à des polypes et fihromes utérins, enfin par des
troubles
urinaires. Une nouvelle analyse faite par le
antité rendue dans les 24 heures, 730 grammes. Couleur jaune clair,
trouble
; réaction faiblement acide. Densité 1010 ; Urée
endance au redressement du gros orteil. Sensibilité cutanée. Pas de
troubles
appréciables dus il l'eflleura ! (e au pinceau ni
on peut diviser en trois périodes. La première caractérisée par des
troubles
sensitifs et moteurs des membres inférieurs, déjà
et discutée dans l' « Iconographie » de 1905. Dans la seconde, les
troubles
sensitifs et moteurs, qui ont déserté ces extré
PAR Al. OBREGIA, C. I. URECHIA et A. POPEA (de Bucarest). Les
troubles
produits par l'insuffisance de l'hypophyse se tra
se manifestent par des maux de tête, des nausées, des vertiges, des
troubles
psychiques, des attaques épileptiques, etc. Von
ère variable et Schüller cite un cas de névralgie du trijumeau. Les
troubles
psychiques sont très fréquents (Schûller) el peuv
ces tumeurs (Soca, Parhou et Goldstein, ScIW Iler, Williams). Des
troubles
du sens olfactif et gustalif peuventse rencontrer
ns 60 0/0 des cas. Les symptômes en foyer sont caractérisés par des
troubles
de la vue : stase papillaire, névrite optique,
Wernicke. L'incontinence vésicale n'est pas très rare. Parmi les
troubles
vaso-moteurs nous rencontrons : le dermographisme
écrétion sudorale, même après admi- nistration de pilocarpine ; des
troubles
dans la sécrétion salivaire ou lacry- male. Par
ition- née par une néoformation bénigne. Considérant le manque de
troubles
delà pari de l'appareil génital, nous assimilon
ui intéressent secondairement l'hypophyse on trouve quelquefois des
troubles
de la croissance. Le cas de Mû ! ter. Le cas
ce, infantilisme, démence, UN CAS DE DYSTIIOPHIE HYPOPHYSAIRE 325
troubles
de la vue; à l'autopsie, un tératome de l'hypophy
Falta décrit un cas chez un enfant de 15 ans, avec hydrocéphalie et
troubles
dans l'ossification ; laille : 102 centimètres.
doigts chez notre malade, on est d'accord pour les attribuer à des
troubles
trophi- ques du squelette à la suite de l'insuf
premiers symptô- mes de l'affection actuelle. Il y a neuf ans, des
troubles
révolutionnaires for- çaient la famille à s'exp
ofession de marchand d'habits. Actuellement, la malade présente des
troubles
fonctionnels nombreux, des tumeurs et des pigme
s. Pas de vomissements, mais une constipation opiniâtre. . Pas de
troubles
respiratoires ni circulatoires. 328 nOUHINOVITC
en des urines n'a montré ni sucre ni albumine. La malade accuse des
troubles
menstruels, ses règles durent longtemps et surv
ate irrégulière. ' L'examen des fonctions nerveuses ne révèle aucun
trouble
moteur, aucun trouble de sensibilité superficie
xamen des fonctions nerveuses ne révèle aucun trouble moteur, aucun
trouble
de sensibilité superficielle au contact, à la piq
éflexes achilléens ; pas de clonus, ni d'extension d'orteil, pas de
troubles
des réflexes cutanés. Du côté des organes des s
Les pupilles réagissent à la lumière et à l'accommod,Uion ; pas de
troubles
auditifs ; la malade se plaint seulement de tro
,Uion ; pas de troubles auditifs ; la malade se plaint seulement de
troubles
visuels ; sou acuité visuelle est diminuée et par
é visuelle est diminuée et parfois un nuage vient rendre les objets
troubles
à ses yeux. L'étude du fonds mental a montré un
fait son ménage, sait compter, répond rapidement aux questions. Lss
troubles
morphologiques sont ici la dominante du tableau c
l'autre. Pas de maladies dans l'enfance, sauf une rougeole. Aucun
trouble
fonctionnel : ni céphalée, ni douleurs, ni troubl
rougeole. Aucun trouble fonctionnel : ni céphalée, ni douleurs, ni
troubles
visuels. Pas de trouble digestif, respiratoire,
fonctionnel : ni céphalée, ni douleurs, ni troubles visuels. Pas de
trouble
digestif, respiratoire, ni circulatoire. Les ur
semble présenter aucune perversion instinctive. Chez cet enfant les
troubles
cutanés et les déformations sont assez parti- c
: chez elle l'évolution a été celle d'une dystrophie bénigne et les
troubles
nerveux d'ordre fonctionnel qu'elle pré- sente
ésente une tumeur unique, mais une pigmentation déjà diffuse et des
troubles
des réflexes. DEUX CAS DE NEUROFIBROMATOSE FAMI
ue de la main et de trois doigts, avec succulence et hypotonie. Ces
troubles
doivent-ils être rattachés à la neurofibromalose
'hypertrophie des extrémités en long et non en large avec céphalée,
troubles
intellectuels, signes de la série diabolique :
entraîneraient la soudure. L'ulcération pourrait aussi résulter de
troubles
trophiques d'origine indéterminée. Suivant tout
conduit intestinal), par des parasites intestinaux ou par d'autres
troubles
digestifs, comme la constipation habituelle, l'
mme il suit : 1° Les putréfactions intestinales, ainsi que lous les
troubles
possibles de la digeslion, comme constipation h
raisemblable que, dans l'épilepsie cérébrale, c'est-à-dire dans les
troubles
provenant d'anomalies dans le cerveau et dans l
sies et cause, par une pression directe sur l'écorce cérébrale, des
troubles
de circulation qui provoquent des attaques. Il
ons pupillaires normales, pas de limitation du champ visuel, pas de
troubles
de l'ouïe, de l'odorat ou du goût. Réaction de
essentielle ; seulement dans la syphilis cérébrale congénitale, les
troubles
de l'intelligence précéderont presque toujours
encore si peu étudiée : dans l'épi- lepsie cérébrale on n'a que des
troubles
de circulation (hyperémie veineuse et accumulat
malade, atteint d'épilepsie essentielle, au contraire, souffre d'un
trouble
complet du métabolisme général. Et c'est dans c
qui se présentent souvent dans le cours de la maladie (équivalents,
troubles
psychiques, changements de caractère, démence s
ie céré- brale ; quant à sa théorie qui en découle, c'est-à-dire le
trouble
dans la décomposition albumineuse intermédiaire
'excitabilité du système sympathique, état qui se manifeste par des
troubles
trophiques, le ralentissement des mouvements inte
t du tractus intestinal. Si donc la glande thyroïde, par suite d'un
trouble
quelconque (troubles congénitaux dans le ganglion
nal. Si donc la glande thyroïde, par suite d'un trouble quelconque (
troubles
congénitaux dans le ganglion inférieur du nerf
ux privés des glandes paralhy- roïdes se molliraient clairement des
troubles
dans le métabolisme calcaire : la formation de
glan- des parathyroïdes. Cooke pense avoir déterminé également des
troubles
du métabolisme et, plus exactement, de celui de
ns l'urine serait fortement augmentée. Il range la tétanie dans les
troubles
des processus calalyliques et veut en rapporter l
de létanie, mais qu'elle peut être provoquée non seulement par des
troubles
du métabolisme, mais aussi, pour une partie, pa
attaques épileptiques. Curschmann admet un rapport étroit entre des
troubles
dans la fonction des glandes thyroïde et paralhy-
agit pas directement sur l'écorce cérébrale, « mais il provoque des
troubles
dans d'aulres glandes à sécrétion interne qui pro
lres glandes à sécrétion interne qui pro- duisent, à leur tour, des
troubles
du métabolisme qui sont la cause des attaques é
l'ablation des glandes parathyroïdes cause immédiatement de graves
troubles
du métabolisme. qui provoquent les symptômes de
la téta- nie expérimentale ; cette épilepsie est donc la suite des
troubles
thy- 394 BOLTEN roïdiens. La clinique confirm
otre thèse, à savoir que l'épilepsie essentielle est causée par des
troubles
chroniques du métabolisme à la suite d'hypo- th
umulation de sérosité dans les méninges, etc., se sont produits des
troubles
circulatoires importants, c'est seulement en ce
on qui agit en diminuant la pres- sion dans des cas où existent des
troubles
circulatoires (c'est-à-dire hyperé- mie veineus
tielle où elles proviennent du métabolisme de tout l'organisme, les
troubles
circulatoires doivent être très intenses. A l
sse, par exemple avant leur quarantième année, ou qui, par suite de
troubles
psychiques, avaient été internés dans des asiles,
rânienne, soit par des processus locaux de sclérose, provoquent des
troubles
étendus de circula- tion dans l'écorce cérébral
proviennent du cortex cérébral lui-même dans lequel, à la suite des
troubles
de la circula- tion, se produit un refoulement
meur, d'idées, d'émotions, pareslhésies et né- vralgies fréquentes;
troubles
sécrétoires fréquents ; tontes ces manifesta- t
ble- ment celui qui a le plus de contact avec la débilité nerveuse.
Troubles
de type dyspeptique, hyperesthésies des plexus
roubles de type dyspeptique, hyperesthésies des plexus abdominaux ;
troubles
mot teurs -- atonies et spasmes ; déviations sé
du mucus; crises c1'hypo-hépatie, d'hyper.hépatie, etc., lotis ces
troubles
peuvent s'observer dans le do- maine de la débi
s élémentaires, les loxi-infectioils répétées, comme la grippe, les
troubles
gastro-intestinaux, etc., mettent le système nerv
hénie : paresthésies diverses, irritabilité, céphalalgie, insomnie,
troubles
de la mémoire, suggestibilité, etc. El comme le m
t pas la règle, car je parle ici des réactions générales et non des
troubles
d'origine locale. En faisant ces commentaires,
tains cas, des phénomènes stbénopathiques post-traumatiques. Si ces
troubles
sont relativement rares, ils méritent cependant
es périodiques. (1) BENON (R.), Traité clinique et médico-légal des
troubles
psychiques et névrosi- que.. post-lraumatiques.
chez des sujets d'âge moyen, par W. van Woerkom, 43. Corps strié (
Troubles
des mouvements actifs dans deux cas de lésion b
écutives il une lésion de la -), par Long, 61. Mouvements actifs (
Troubles
des dans deux cas de lésion bilatérale du corps
évoluant chez des sujets d'âge moyen, 43. (de Rotterdam). Sur les
troubles
des mouvements actifs dans deux cas de lésion
à LXII. Moelle, compression (Révccr,IOn), LII. Mouvements actifs (
Troubles
des - dans deux cas de lésion bilatérale du cor
e, t. III. 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. on le sait, d'un sentiment de
trouble
et de confusion. Ce senti- ment est parfois trè
que bien des jeunes gens avaient éprouvé, à un degré quelconque, ce
trouble
émotif, et c'était pour eux comme un soulagemen
nt. A dix-huit ans, crise de B pathologie NERVEUSE. neurasthénie,
troubles
gastriques, maux de tête, névralgies, dimi- nut
quelques instants. - Dès le début, les sujets sont dans un état de
trouble
et d'an- goisse inexprimables. Plusieurs pensée
'obsession de la rougeur se complique, chez les ma- lades, d'autres
troubles
psychiques, mais rarement d'obses- sions différ
ier : à savoir que, devant une femme, je n'éprouve aucune espèce de
trouble
, tandis que des jeunes gens que je connais et q
n évidence, dans certaines affections mentales, la prépondérance du
trouble
émolif, de l'angoisse (névrose angoissante de F
que cela change rien à cette conception psychopathologique que le
trouble
émotif est l'élément fondamental de l'obsession.
ur main dirigée par lui (hallucinations motrices graphiques). Ces
troubles
de la motilité graphique nu d'articulation n'ex
ui ne sont que des illusions du démon causent des inquiétudes et du
trouble
3 ». 1 Carré de Montgeron. La vérité des miracl
ctilité du système musculaire. . A. M. V. Névrite alcoolique avec
TROUBLES
mentaux caractérisés; par D. NEIR, 0, d'Oxford.
dienne était relativement faible, mais fut longtemps continuée. Les
troubles
mentaux consistaient en hallucinations multiple
parétique très marqué. Les symptômes physiques cédèrent avant les
troubles
mentaux par la suppression de toxique, les massag
contraire triste et paresseux, et toujours ainsi. Avec le temps ce
trouble
intellectuel se transforma en une folie alterna
diminution de l'élimination de l'acide phosphorique, précédant les
troubles
psychiques, elles ne leur succèdent pas. Le tab
ue pas l'élimination de l'acide phosphorique. C'est au contraire le
trouble
nutritif qui se manifeste dans les REVUE DE PAT
bé- tiques, qu'il y a des agents morbigènes entraînant de simples
troubles
fonctionnels, qu'il y en a d'autres qui produisen
périphérique liés à des altérations du système nerveux central avec
troubles
trophiques. A. M. XI. Cas DE paralysie DE LANDR
ulière qui aboutit à des arthropathies avec fractures spontanées et
troubles
ostéo-trophiques caractérisés par l'hypertrophi
purement tonique et se terminant bien ou mal mais sans coma et sans
trouble
de l'intelligence, d'avec la tétanie urémique f
des muscles que l'on doit chercher la physiologie pathologique des
troubles
les plus divers de la motilité, de la sensibili
neurol., anuo XIV, fasc. III, IV.) XXVI. Contribution A l'étude DES
troubles
DE la sensibilité 11YGItIQUE; par le D'' 111u1G
(Anrt. eli neu1'ol., anno XIII, fasc.1, 2.) Nouvelle observation de
troubles
de la sensibilité hygrique chez un paralytique
ie atrophique avec abolition des réflexes des mem- bres supérieurs;
troubles
de la sensibilité pareils à ceux de la syrien-
la longue durée, l'influence d'une chute, la ressemblance avec les
troubles
de la syringomyélie et l'absence de fortes doul
ec dyses- thésie très marquée, même état du côté gauche de.la face.
Troubles
de même ordre mais très légers dans le membre i
ne homme avait eu un chancre induré. 2° Symptômes témoignant d'un
trouble
mécanique de l'irrigation cérébrale. Confusion me
es que le pense M. Christian. Elles reconnaisent deux causes : un
trouble
trophique caractérisé par des phlyctènes se montr
rapports de l'âme et de l'organisme et publia en 1818 une étude des
troubles
de l'âme, titre qui indique bien les convic- ti
D'une part, l'aliéné qui a commis un crime sous l'influence de son
trouble
mental ne diffère pas de nos malades des asiles
ment, l'excitation ou les lésions des zones motrices, provoquer des
troubles
de la sensibilité. L'hypothèse de Tamburini (1876
é sans s'en douter, et sont amenées à s'en apercevoir quand quelque
trouble
nerveux, les privant de l'écri- ture normale, l
a eu des attaques convulsives; une soeur, quatorze ans, a guéri de
troubles
névropathiques.) Des revers de fortune.ont augm
de troubles névropathiques.) Des revers de fortune.ont augmenté les
troubles
du caractère de la malade, qui recherche la sol
vention chloroformique ou hypnotique, exploratrice ou curative. Les
troubles
trophiques se montrent : peau sèche, froide, minc
enser à des auto-intoxi- cations. Elles résulteraient peut-être des
troubles
apportés par le tabes dans la nutrition de la c
a dent elle-même. La chute spontanée des dents parait être due à un
trouble
du système nerveux dans le territoire du trijum
ances. Dans cette psychose, les idées de vol, d'empoisonnement, les
troubles
de la sensibilité générale, les hal- lucination
n plus avoir une origine toxique infectieuse. L'étude attentive des
troubles
psychiques de la chorée,'depuis les simples hal
a perte des glandes testiculaires semble déterminer constamment des
troubles
psychiques, si bien que l'au- teur va jusqu'à d
es testicules sont aussi et avant tout les mutilés de l'esprit. Les
troubles
psychiques obser- vés sont ordinairement des tr
l'esprit. Les troubles psychiques obser- vés sont ordinairement des
troubles
mélancoliques, allant depuis la simple hypocond
des recherches expérimentales, a étudié l'influence qu'exercent les
troubles
du système nerveux dans les infections de l'appar
t à manquer, infection d'autant plus sûre et plus pro- fonde que le
trouble
nerveux est plus grave. Expérimentalement, l'au
constatation journalière d'infections pulmonaires succé- dant à des
troubles
nerveux réflexes, démontrent les relations entre
es, démontrent les relations entre les infections pulmonaires elles
troubles
du système nerveux. BIBLIOGRAPHIE. 155 Ce son
térie, l'épi- lepsie, par les affections mentales et encore par des
troubles
pure- ment dynamiques, en particulier par ceux
nerveuses livrent le système pulmonaire à l'infection : 1° Par les
troubles
vasculaires neuro-paralytiques, dont dépendent
t les perturbations de la diapédèse et de la phagocytose ; 2° les
troubles
glandulaires, qui modifient la quantité et la qua
ifient la quantité et la qualité des sécrétions bronchiques; 3° les
troubles
de nutrition des tissus et des éléments cellula
° les troubles de nutrition des tissus et des éléments cellulaires (
troubles
trophiques) auxquels se rappor- tent la diminut
gastrique et au grand sympathique, mais il semble cependant que les
troubles
du pneumogastrique sont plus préjudiciables que c
'ont été constatés nettement chez aucun d'eux), tous présentent des
troubles
fonctionnels variés : de l'abaissement intellectu
ignes objectifs des hallucinations visuelles nous fit remarquer ces
troubles
et interroger le malade au moyen d'un de ses co
op. des Se. médicales. Dechambre, vol. XII, p. 79. - J. Seglas. Les
troubles
du lan ! Jage,etc" Paris, 1892. 168 PATHOLOGIE
. De plus, toutes les oeuvres citées s'occupent de préférence des
troubles
du langage, et seulement incidemment elles par-
Du langage et de la musique. Paris, Alcan, 1885. 4 Kussmaul. - Les
troubles
de la parole. Pans, Baillière, 1881. » Mary-Swi
te. Nous avons nous-même suivi celui d'entre ces malades dont les
troubles
mentaux ont persisté. Il figure au rapport de 189
si fréquentes chez ces dégénérés s'allient aussi très souvent à des
troubles
mentaux de teinte mystique. Moreau (de Tours) s
la fin, stertor, et retour assez rapide de la connaissance ; pas de
troubles
psychiques consé- cutifs. Dans la journée, pas
ahis par elle, et cet état de choses donne lieu naturellement à des
troubles
men- taux et à des troubles somatiques. Si, au
e choses donne lieu naturellement à des troubles men- taux et à des
troubles
somatiques. Si, au moment où l'état cérébral ag
dans un temps relativement court, des névroses traumatiques, et des
troubles
du langage consécutifs à la, frayeur. Les troub
matiques, et des troubles du langage consécutifs à la, frayeur. Les
troubles
nerveux des écri- vains et des artisans cèdent
fait nor- male. (Revue neurologique, oct. 1896.J J E. B. XIX . DU
TROUBLE
MENTAL DANS LE GOITRE EXOPHTALMIQUE; par le Dr
e de complication secondaire. Dans le plus grand nombre des cas, le
trouble
mental qui accompagne le goitre exophtalmique p
la circulation cérébrale. Dans les deux cas cités par l'auteur de
trouble
mental accom- pagnant le goitre exophtalmique,
. 1, 2.) Ces caractères sont surtout relatifs à la prédominance des
troubles
graves de l'aperception, des phénomènes d'irrit
uels l'aliénation mentale s'est caractérisée et révélée non par des
troubles
intellectuels mais par un désordre manifeste de
, en faire un cas de manie traumatique chez uu homme prédisposé aux
troubles
mentaux par l'action toxique de l'alcool sur le
ue; ce sont ceux dont on va s'occuper, et, parmi eux, seulement des
troubles
sensoriels et émotifs. Le premier de ces états
modifications de l'attention, de la mémoire et du caractère. Ces
troubles
mentaux sont associés à la présence de douleurs
la peau. Les douleurs locales d'autre nature ne provoquent pas ces
troubles
mentaux : c'est ainsi que chez un des malades o
locale causée par un point pleurétique n'a nullement déterminé ces
troubles
mentaux, qui se sont développés quelques semaines
y a il l'heure actuelle trois ans et demi qu'il n'a présenté aucun
trouble
intellectuel, et sa santé mentale et sa santé p
it les peines et anxiétés morales étaient signalées comme cause des
troubles
cérébraux. Dans les douze cas aigus, sauf un, i
des altérations du même ordre dans certains éléments du cerveau et
trouble
ainsi les diffé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 2
eau n'est pas le seul organe atteint chez les' aliénés ; nombre d'e
troubles
psychiques sont Archives, 2e série, t. III. 16
e spéciale : il lui faut seulement pouvoir mettre en évidence les
troubles
psychiques élémentaires des malades (mémoire, enc
a, chez les aliénés, des mobiles qui relèvent directement de leurs
troubles
psychiques. Tels sont : a) les hallucinations ;
e idée obsédante à laquelle il leur est impossible de résister ; e)
troubles
de la conscience. Des incendies sont commis par
e, devront le décider à provoquer une expertise médico- légale : 1°
troubles
intellectuels observés chez l'inculpé; 2° signes
es ces circonstances ne constituent qu'une présomption en faveur de
troubles
psychiques et ne suffisent point pour affir- me
'acte et 244 sociétés savantes. le mobile doit faire penser à des
troubles
psychiques. Certains alié- nés cependant invoqu
des questions légales qui leur sont posées. Les juristes parlent de
troubles
psychiques partiels quand un sujet accomplit un
être interdits. Les alié- nistes ne peuvent admettre la théorie de
troubles
partiels : l'esprit est chose indivisible. M.
sont pour l'aliéniste des aliénés, et non des individus atteints de
troubles
partiels. Tous les aliénés sont irresponsables
a proposé de substituer à l'expresion « maladie mentale » le mot «
trouble
psychique », afin de ne point paraître laisser
les alcoo- liques. L'alcool altère surtout le système nerveux et en
trouble
les fonctions sensorielles, motrices et psychiq
, des aliénés. Des doses minimes d'alcool suffisent à provoquer des
troubles
profonds de la conscience chez les épilep- tiqu
anvier 1892, d'un projet de loi contre l'alcoolisme. L'ivresse, les
troubles
psychiques transitoires déterminés chez les pré
inution de la mémoire et de l'application au travail. Excitabilité,
troubles
de la parole, puis, en mai 1896, ictus aphasiqu
ycéphalie). Pupilles normales; léger strabisme et nystagmus. Pas de
troubles
de la mobilité et de la sensibilité, sauf des t
gmus. Pas de troubles de la mobilité et de la sensibilité, sauf des
troubles
de la parole. Le malade se plaint surtout de la
n connaît toute une série de cas dans lesquels il se compliquait de
troubles
du côté des nerfs. optiques et en particulier d
me on le voit pour SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 d'autres organes où des
troubles
congénitaux sont la condition du développement
rente six ans entre à l'asile d'alié- nés de Düren en 1894 pour des
troubles
psychiques ayant débuté cinq ans auparavant, et
te quelques hallucinations, des idées de persécution basées sur des
troubles
de la sensibilité géné- rale, des interprétatio
cinations, alors que l'autre n'est qu'un écho atténué de ces divers
troubles
psychiques. Toutes deux d'ailleurs sont des dég
chez les femmes et aliénation mentale, par Rohe ; Signification des
troubles
moteurs de la folie, par Richardson ; - Médicatio
ar Richardson ; - Médication thyroï- dienne dans quelques formes de
troubles
mentaux, par Clarkee; - Observations cliniques
qui a évidemment prolongé et obscurci la controverse, c'est que les
troubles
mentaux présentés parle poète n'ont jamais été
RVEUSE. DGS TROUBLGS DU GOUT I : T DG L'ODO)taT DANS Ll : i ? DES
TROUBLES
DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TAÎ Par le D' M.
fibre motrice. La maladie fait cette distinction. En décrivant les
troubles
olfactifs et gustatifs du tabes sur lesquels l'
le du Dictionnaire encyclopédique, écrit : « On trouve signalés des
troubles
de l'odorat et du goût Ce sont là des manifesta
st due aussi à l'altération des « nerfs du goût. « Ces différents
troubles
sensoriels sont en somme assez rares, peu accus
, p. 21G. o Topinard. Traité de l'ataxie locomotrice. Paris, J8GL
TROUBLES
DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES 259 note l
de Duchenne(de Boulogne), d'Althaus, etc., ne font pas mention des
troubles
de l'odorat et du goût des tabétiques, ou n'en
r Raymond comme contenant quelques observations où sont relatés des
troubles
de l'odorat et du goût. Le même auteur cite éga
Cité par Althaus, p. 62. ' Cité par Althaus sous la dénomination de
troubles
mentaux, p. 61. 8 Thèse de 1896. 0 Erben. Wie
de connaître toutes les observations où un auteur a pu relever des
troubles
du goût ou de l'odorat. Les précédentes seront
le pense généralement, d'autant plus que dans beaucoup de cas ces
troubles
ne sont pas mentionnés parce qu'ils n'ont pas été
catégorie de malades chez les- quels il existe en réalité quelques
troubles
du côté de la pitui- taire et de la muqueuse li
même temps, moins d'un an, nous en avons rencontré une dizaine de
TROUBLES
DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 261 cas.
du goût. Délire de persécution tabétique à point de départ dans les
troubles
du goût. (Sphère du glosso-pbaryugien.) Anest
linguale, uni ou bilatérale. Perversions du goût consécutives à des
troubles
d'innervation et de trophicité dans la sphère d
tion du réflexe salivaire (surtout dans les perversions du goût.)
Troubles
probables de l'action réflexe de la gustation sur
r quelques points. L'énumération précédente sépare et distingue les
troubles
de la pituitaire et de la muqueuse buccale qui
sthésies dans la sphère du trijumeau. Mais il y a bien plus : les
troubles
qui nous occupent ne sont pas fatalement le résul
ur le glosso- pharyngien, ainsi qu'on serait tenté de l'admettre.
TROUBLES
DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES 263 L'olfa
: c'est pourquoi dans cette étude nous avons sans cesse en vue les
troubles
et les altéra- tions du nerf nasal et du nerf l
ion en suivant la technique employée chaque jour pour constater les
troubles
sensoriels de l'hystérie. Par le même examen le
stater les troubles sensoriels de l'hystérie. Par le même examen le
trouble
présenté sera reconnu facilement être bilatéral
xe du suc gastrique. Il parait seulement fort vraisemblable que les
troubles
du goût et de la sensibilité de la langue des t
absence de l'objet qui a cette saveur ou cette odeur. Ici encore le
trouble
doit porter essentiellement soit sur la sensibi
soit sur leur appareil de sen- sibilité spéciale; mais l'un de ces
troubles
, rappelons-le encore, est assez rarement isolé
chez un homme âgé de quarante-deux ans, malade depuis trois ans.
TROUBLES
DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 265 Du cô
e et l'éternuement se répète à ce moment de sept à dix fois. Pas de
troubles
vaso-sécréteurs notables. Il n'y a pas d'écoule
ales dans la sphère du trijumeau dispa- raissent à ce moment. Les
troubles
de la sensibilité et l'enchifrènement n'existent
ois dans la joue droite, mais seulement à l'état d'ébauche, le même
trouble
qu'à gauche. Aucune odeur spéciale pendant la c
. Il semble donc certain que la crise nasale est provoquée par un
trouble
de la sensibilité générale, et non de la sensibil
que l'éternuement ne soit provoqué dans l'un et l'autre cas par des
troubles
de la sensibilité nasale. Mais les différences
es paresthé- sies du tabes. En second lieu, en dehors des accès des
troubles
persistent du côté de la pituitaire (abolition
un point d'anatomie normale que nous ne pouvons pas pré- ciser.
TROUBLES
DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 267 b). P
arquée; mais dans la sphère du trijumeau, à la face, il y avait des
troubles
des plus nets. Le malade sentait incomplé- teme
e cou, au lieu de la joue. D'ailleurs il existait encore d'autres
troubles
impliquant la participation du bulbe. Ces fauss
rtout capital pour l'interprétation des faits, de rapprocher de ces
troubles
l'état physique de la langue 268 CLINIQUE NERVE
at saburral de la langue. Il en est quelquefois de même lorsque les
troubles
sont passagers et que tout semble indiquer un e
'assez bonnes digestions, relève du tabes lui-même. Il constitue un
trouble
de nutrition, un trouble trophique de la muqueu
relève du tabes lui-même. Il constitue un trouble de nutrition, un
trouble
trophique de la muqueuse linguale sous l'unique
étude du 1 Vulpian - loc. cil., semble admettre la possibilité d'un
trouble
tro- phique delà langue pouvant entraîner des t
sibilité d'un trouble tro- phique delà langue pouvant entraîner des
troubles
du goût. TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS L
e tro- phique delà langue pouvant entraîner des troubles du goût.
TROUBLES
DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 269 goût
probable qu'il existe également du côté de la mu- queuse nasale un
trouble
trophique analogue à celui de la langue et qui
et qui lui aussi, dans bien des cas, tient sous sa dépen- dance les
troubles
de l'olfaction. Nous avons déjà indiqué combien
tions les plus douloureuses qui soient. Dans quelques cas ces mêmes
troubles
comportent des conséquences d'un autre ordre et
ions délirantes à caractères spéciaux, reconnaissant pour cause les
troubles
de leurs sensations. Les douleurs fulgurantes v
squé par le délire et qu'on recherche l'abolition des réflexes, les
troubles
de la sensibilité, les dou- leurs, les symptôme
des deux maladies. Il semble en présence de toutes les variétés de
troubles
qui viennent d'être cités et en consé- quence d
tion complète de cette maladie. Autres symptômes accompagnant les
troubles
du goût et de l'odorat. - Un autre point qui se
se sont rencontrés à notre observation notablement altérés, il y
TROUBLES
DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 271 avait
ymptômes bulbaires. Nous n'avons jamais vu, en d'autres termes, ces
troubles
quand ils étaient intenses, attester à eux seul
n olfactive et gustative, de poisson pourri, on trouvait : 1° Des
troubles
de la déglutition, avec parésie du voile du pal
on des nerfs dont la fonction est la sécrétion salivaire ; 3° Des
troubles
de la sensibilité dans la sphère du triju- meau
pagnés d'autres signes habituels à ces formes que s'observent les
troubles
du goût et de l'odorat, du moins dans tous les ca
et de l'odorat. 272 CLINIQUE NERVEUSE. Marche des symptômes. Les
troubles
du goût et de l'odo- rat peuvent se montrer dès
On sait que dans la grande majorité des cas de tabes ce sont les
troubles
de la sensibilité qui ouvrent la scène. Les moda-
ômes peuvent apparaître assez brusquement et s'accompagner d'autres
troubles
bul- baires De même une crise laryngée, par e
ue pas dans cette étude se rencontrent, pour la sphère du goût et
TROUBLES
DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 273 de l'
correspondante, consistant en un état catarrhal de la langue, en un
trouble
trophique de la langue, qui précisé- ment ont f
ouble trophique de la langue, qui précisé- ment ont fait naître les
troubles
du goût, non pas tous les troubles du goût que
cisé- ment ont fait naître les troubles du goût, non pas tous les
troubles
du goût que nous décrivons, tant sans faut, mais
ionnelle attei- gnant de S à 6 litres en vingt-quatre heures. Les
troubles
de l'olfaction envisagés dans leur marche pré-
re l'autopsie d'un ma- lade ayant succombé après avoir présenté les
troubles
les plus intenses et les plus manifestes du côt
landulaire. Voir Klippel et Lefas, Soc. de Biologie, 6 fév. 1897.
TROUBLES
DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 275 osmiq
es internes et externes, sur les temporales (que quelques auteurs
TROUBLES
DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 277 consi
PATHOGÉNIE. - Quel est maintenant le mécanisme qui pré- side aux
troubles
de l'odorat et du goût chez les tabétiques ? Qu
s de leur dégénérescence (Au- chives de Neurologie, juin 1896). '
TROUBLES
DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 279 sont
'est ainsi qu'une sécrétion trop abondante recouvrant la pituitaire
trouble
l'olfaction. En un mot le trijumeau est un nerf
eau lésé dans le tabes peut donc à lui seul créer indirectement les
troubles
de l'odorat et du goût. C'est dans ce dernier c
s conceptions tristes ou gaies. Mais cette dernière explication des
troubles
tabétiques qui nous occupent, ne peut s'appliqu
ci nous sommes en présence d'une simple hypothèse. CONCLUSIONS. Les
troubles
de l'odorat et du goût sont fréquents et multip
a nutrition des muqueuses pituitaire et linguale, soit peut-être un
trouble
primitif du sens muscu- laire entraînant le dég
t. Ils s'associent toujours lorsqu'ils sont très marqués à d'autres
troubles
d'origine bulbaire. REVUE CRITIQUE. HISTOIRE
es modifications de la composition chimique des fibres nerveuses, ;
troubles
physico- chimiques sans altération anatomique o
NSKY. (New- Yorl. Médical Journal, 11 avril 1896.) La plupart des
troubles
fréquents et multiples qui accompagnent la pneu
t un fait connu, sur lequel l'auteur insiste d'autant moins que les
troubles
mentaux n'empruntent à cette origine aucune all
ubliés depuis la première description donnée par Brown-Sequard. Les
troubles
moteurs ont généralement été caractéristiques de
t mal; les équivalents psychi- ques ne sont pas rares non plus. Les
troubles
psychiques post-épi- leptiques sont moins fréqu
phie musculaire typique. Hypertrophie des mollets et des deltoïdes,
troubles
de la marche : le malade, pour se lever de terr
(les bras ne sont pas inté- SOCIETES SAVANTES..)2 1 ressés), des
troubles
de la parole qui est scandée, un état d'imbé- c
oplectique. L'aphasie motrice totale avait succédé à de très légers
troubles
de l'articulation, considérés par Oppenheim com
ascible, est sujet, depuis plusieurs années, à des accès annuels de
troubles
digestifs compliqués d'ictère et qu'accompagnen
ta- tions mélancoliques et hypocondriaques disparaissant avec les
troubles
digestifs et l'ictère. En novembre de l'année der
ifs et l'ictère. En novembre de l'année dernière appa- raissent des
troubles
digestifs avec une certaine irascibilité; ces p
énérale, ni de psychose sénile, La coïncidence de l'ictère avec les
troubles
psychiques étant mani- feste, on peut admettre
psychose ; on sait d'ailleurs que l'ictère peut-être accompagné de
troubles
cérébraux graves. Damsch a observé la catalepsi
maladiede Basedow résulteraient de l'augmentation de calibre et des
troubles
de la circulation des artères thyroïdiennes infér
a thyroïdectomie une cachexie carac- téristique avec hypothermie et
troubles
trophiques du système pileux; à l'autopsie, inf
cellules de nos tissus, et ses altérations amènent soudainement des
troubles
de ces diflérentes fonctions par l'absence de s
s commotions morales ont pu amener, par un mécanisme semblable, des
troubles
trophiques immédiats comme la canitie subite du
sur le même sujet : Des relations des maladies corporelles avec les
troubles
intellectuels; ainsi crue M. H. Head, sur les é
toire et les anomalies des processus mentaux. Dans certains cas les
troubles
de l'appareil circulatoire sont une cause de foli
beaucoup plus souvent c'est la maladie mentale qui détermine les
troubles
circulatoires] : mais dans un cas comme dans l'au
ystème vasculaire, il est d'une importance capitale de remédier aux
troubles
circulatoires avant qu'ils aient revêtu un cara
nous en relevons seulement les points les plus remarquables. Les
troubles
sensoriels les plus marqués ont porté sur la vue
parition de la maladie; premiers symptômes; marche de la maladie;
troubles
somatiques prédominants ; - réflexes patellaires;
e, maladresse des mains. A dix-neuf ans, chorée et augmentation des
troubles
de la marche. Démence progressive. Incontinence
olontaires de la tête sans perte complète de connaissance) suivi de
troubles
de la marche et d'affaiblissement intellectuel.
ations. 1889. Accès fréquents de caractères variés. Aggravation des
troubles
psychiques. Pupilles inégales, pares- seuses ;
avation des troubles psychiques. Pupilles inégales, pares- seuses ;
troubles
de la parole et de l'écriture, tremblement des
rès précoce de la maladie (à neuf ans) par un ictus, l'existence de
troubles
, du côté du système nerveux dès la première enf
enfance, la fréquence et l'im- portance des ictus suivis tantôt de
troubles
moteurs, tantôt de troubles psychiques, la natu
- portance des ictus suivis tantôt de troubles moteurs, tantôt de
troubles
psychiques, la nature de ces troubles moteurs et
e troubles moteurs, tantôt de troubles psychiques, la nature de ces
troubles
moteurs et leur pré- dominance au détriment des
ulgurantes, perte des réflexes. A vingt-six ans accès d'excitation,
troubles
de la parole, tremblement fibrillaire de la langu
té, dans les anté- cédents héréditaires. la paralysie générale, les
troubles
d'origine syphilitique, on obtient comme propor
80 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cours de la maladie, tandis que les
troubles
psychiques se dévelop- pent plus lentement et r
dernière affection a en géné- ral, pour symptômes prodromiques, des
troubles
neurasthéniques : à la clinique des maladies me
ents d'affaiblissement intellectuel. Mais, en l'absence même de ces
troubles
, il est habituellement possible de faire le diagn
ents.. En général, chez les neurasthéniques, on ne constate que des
troubles
de forme dépressive. Au contraire, chez le para
alentissement de la pensée, une diminution de la mémoire. Parmi les
troubles
les plus caractéristiques et les plus frappants
aindre la para- lysie générale chez les sujets qui ont présenté des
troubles
psychi- ques pour la première fois, à l'âge adu
nt que maladie des facultés intellectuelles propre- ment dites, aux
troubles
de la sphère affective. Ziehen considère égalem
de cas dans lesquels, à la suite de blessures, se montrèrent des
troubles
nerveux parfois assez graves. Ces faits sont inté
eau au pouce gauche. La blessure guérit, mais laissa après elle des
troubles
fonctionnels notables (faiblesse du membre supé
grammes, il présente une monoplégie du bras droit avec névralgie et
troubles
de la sensibilité dans le même membre, de l'ins
frappé d'un coup de canif dans le dos. La blessure guérit, mais des
troubles
neurasthéniques et hypocondriaques se manifestè
me crânien. On n'a pu déceler chez ce sujet aucun autre facteur des
troubles
neurasthéniques. Les sept cas qui précèdent,
tériques survenues chez des infirmiers frappés par des aliénés; les
troubles
psychiques, plus ou moins accentués, sont de na
umatisme est souvent un agent provocateur de l'hystérie ou d'autres
troubles
nerveux. L'apparition fréquente de ces mani- fe
nommé président. M. Wildermuth (Stuttgart), lit un rapport sur les
troubles
psy- chiques de l'épilepsie au point de vue du
dre ces questions : 1° Comment reconnaître la nature épileptique de
troubles
psychiques donnés ? - 2° Peut-on, en dehors de la
! llorel et Falret ont les premiers étudié consciencieusement les
troubles
psychiques de l'épilepsie; puis vinrent les trava
lution, et qui n'exige pas, pour admettre la nature épileptique des
troubles
, l'existence d'an- técédents épileptiques. Ce d
ng, qui ne consi- dèrent comme étant de nature épileptique, que les
troubles
psy- chiques survenus chez des épileptiques avé
leptiques et plus spéciale- ment le petit mal. * Parmi les divers
troubles
dits épileptiques il faut distinguer : 1° l'épi
r : 1° l'épilepsie vraie, caractérisée par des accès périodiques de
troubles
maladifs de la conscience, c'est-à-dire par des
uel se développent les psychoses épileptiques spécifiques. 2° Les
troubles
épilepti formes consécutifs aux intoxications chr
s derniers sujets et aussi parfois chez les adultes. on observe des
troubles
psychiques élémentaires, étroitement en rap- po
port avec les accès épileptiques et que caractérise l'absence de
troubles
de la conscience. On peut les diviser en trois gr
Pas d'amnésie, pas de désorientation. Enfin l'auteur a observé des
troubles
psychiques analogues comme équivalents de l'acc
ou identiques ; perte du souvenir ou souvenir incomplet. Quant aux
troubles
psychiques élémentaires dans lesquels fait défa
t aux troubles psychiques élémentaires dans lesquels fait défaut le
trouble
de la conscience, ils n'ont rien de caractéristiq
e. La présence, SOCIÉTÉS SAVANTES. 389 durant les intervalles, de
troubles
moteurs, sensitissou sensoriels, doit même fair
n mélange particulier de démence, plus spécialement d'amnésie et de
troubles
dans les conceptions, avec une notion exacte de
lectuelles et morales expliquent les attentats aux moeurs. 2° Les
troubles
psychiques au sensoriels élémentaires servent de
peuvent abandonner brusquement leur service (désertion etc.). Les
troubles
consécutifs sont un état d'obtusion, de stupeur,
- que d'apparition et de l'aspect symptomatique. On dislingue des
troubles
post-épilepliques (les plus fréquents), antéépile
aniaque sont plus rares. Toutes ces formes sont accom- pagnées d'un
trouble
plus ou moins profond de la conscience, de tend
iquer l'existence de l'épilepsie, démontrer qu'il s'est produit des
troubles
psychiques de nature épileptique ét rattacher l
sychiques de nature épileptique ét rattacher l'acte incriminé à ces
troubles
psychiques. On cherchera si l'état mental habit
égénérescence psychique épileptique ; - si le prévenu a déjà eu des
troubles
intellectuels par accès; si le délit a été commis
changement dans le contenu de la conscience. - Au point de vue des
troubles
de la conscience, la persistance du souvenir pr
souvenir présente un intérêt particulier ; suivant le degré de ces
troubles
, elle est plus ou moins grande. La nature des act
pense, lui aussi, qu'il n'y a pas de rapport entre la profondeur du
trouble
de la conscience et la persistance du sou- veni
ent nous renseigner, ainsi que Pick l'a montré, que sur le degré du
trouble
de la cons- cience. L'amnésie ne peut suffire à
n tirerait de la présence SOCIÉTÉS SAVANTES. 393 de ce signe. Ces
troubles
peuvent se rencontrer dans toutes les psychoses
manifestation épileptique, c'est qu'on observe chez ces malades un
trouble
très caractérisé de la conscience. Quant aux mo
es, l'anorexie avec diminution progressive de l'alimenta- tion, les
troubles
vaso-moteurs consécutifs. Dans la production de
ourage comme complètement guéri; les autres avaient encore quelques
troubles
(absence de la notion de leur mala- die, etc.).
te de ces faits que la catatonie détermine, en règle géné- rale, un
trouble
psychique durable qui peut se manifester de nou-
psychoses périodiques, par la persistance, dans les intervalles, de
troubles
accentués; par le nombre restreint des accès, p
eurasthéniques, chloro- anémiques. - M. ScHULE n'a pas constaté ces
troubles
d'une façon fréquente. M. Ganser. La question
aliénistes, l'occasion de diagnostiquer des tumeurs du cerveau. Les
troubles
psychiques prodromiques d'une tumeur cérébrale (d
Plus lard, la céphalée, les vertiges, les paralysies motrices, les
troubles
de la vue conduisent le malade dans un service
la fin de la maladie, la démence s'ins- talle, la prédominance des
troubles
paralytiques et de la somno- lence dispense de
s dans lesquels les symptômes psychiques sont au premier plan : les
troubles
moteurs, qui pourraient faire penser à une lési
vant la mort, ou, s'ils sont moins tardifs, restent masqués par les
troubles
psychiques. Chez les premiers malades où prédom
, en outre, quelques traits du caractère hystérique. Plus tard, les
troubles
s'accentuè- rent : démence progressive, gâtisme
rile, sans cause appréciable, (39°, b pouls; 140); enfin stupeur et
troubles
paralytiques avec eon- tracture du côté droit.
s tubercules quadrijumeaux du même côté. On a cherché à décrire les
troubles
psychiques caractéristiques des tumeurs cérébra
ce qui explique qu'une tumeur cérébrale ait déterminé chez eux des
troubles
psychiques. Au point de vue clinique, on a obse
e trional, c'était la partie centrale. M. BEYER (Strasbourg). Les
troubles
psychiques dans l'artériosclé- rose. L'auteur é
re remis des suites immédiates des atta- ques (et aussi parfois des
troubles
aphasiques et hémiplégiques), se montraient apa
jets. Parfois se montraient des manifestations hypocondriaques. Les
troubles
de la parole étaient fréquents (le plus souvent
affaiblissement qui ne va jamais jusqu'à une démence accentuée, les
troubles
de la parole et les symptômes physiques. L'aute
oins complètes, les paraplégies le plus sou- vent spasmodiques, les
troubles
sphinctériens, jusqu'aux troubles moteurs et se
plus sou- vent spasmodiques, les troubles sphinctériens, jusqu'aux
troubles
moteurs et sensitifs qui caractérisent les affe
t aussi des poisons. Les aliments altérés donnent encore lieu à des
troubles
variés d'empoisonne- ment aigu qui portent le n
le fonctionnement des sens, l'état psychique sont modifiés par les
troubles
'digestifs. Ces accidents seraient plus graves et
Les polyuries et albuminuries transitoires relèvent directement de
troubles
vaso-moteurs, contric- tion artérielle rénale s
se et enfin de dilatation artério-veineuse réactionnelle. Quant aux
troubles
psychiques, il faut faire des réserves sur les no
our conséquence une mise hors de fonction des centres cérébraux. Ce
trouble
fonctionnel passager se manifeste par l'au- tom
les centres supérieurs sont seuls affectés, et par le coma quand le
trouble
de la nutrition plus profond est plus gé- néral
suivie de stase veineuse dans les cas compliqués, explique tous les
troubles
d'origine épileptique. Le cerveau enfin ne subi
l'influence de l'altération du système nerveux, ils présentent des
troubles
trophiques et de dégénérescence divers, tels qu
pyémio due à un décubitusgangréneux(p. 281). Pour Schüle ? » les
troubles
ataxiques observés au début dans les muscles du
aralysie géné- rale toute espèce d'influence dans la production des
troubles
trophiques. Comme toute maladie chronique grave
a- lysie générale altère la nutrition dans son ensemble. Mais ces
troubles
ne sont, à beaucoup près, ni aussi fréquents, ni
des nerfs périphériques). Quant aux eschares, qui constituent le
trouble
trophique le plus sérieux et le plus souvent obse
t les plus expresses réserves ; ils pensent que la production des
troubles
trophiques, des eschares, des gangrènes, etc., es
ils en sont la cause naturelle et la plus fréquente. III. Quant aux
troubles
trophiques, si libéralement attribués à la para
up. Il ne se passe pas une semaine que nous n'ayons à soi- gner des
troubles
de gastro-entérite contractés lors des visites
la démarche, mais sans paralysie, sans perte de connaissance, sans
trouble
du langage : l'abaissement mental devint tel qu'i
espiration courte et diplo- pie. Marche impossible sans assistance.
Trouble
des idées pendant un ou deux jours. Pas de naus
e qui paraîtrait confirmer cette dernière hypo- thèse c'est que les
troubles
de la motilité sont généralisés et ont débuté d
mais, selon lui, il est pourtant possible que dans certains cas les
troubles
dyspeptiques soient primaires et puissent cause
ois occasionner la neurasthénie, il faut citer particulièrement les
troubles
de l'appareil digestif et des parties sexuelles.
de l'appareil digestif et des parties sexuelles. Comme on sait, les
troubles
des parties génitales ont été considé- rés comm
linique médicale d'Helsingfors, démontrant qu'il n'y avait point de
troubles
des parties génitales dans la plupart des cas de
s crises l'enfant s'amuse, son intelligence est normales; il n'a de
troubles
ni oculaires ni auditifs, ni sensitifs ni moteu
NT, rétraction DE l'aponévrose PALM aire ; par E. FEINDEL. Certains
troubles
trophiques d'origine nerveuse peuvent présenter
hez qui un traumatisme du nerf cubital droit détermina, en plus des
troubles
paralytiques, esthésiques, trophiques, conséque
t plus légitime de cher- cher à expliquer cette déformation par des
troubles
trophiques portant soit sur les ligaments et le
ve ou si, en raison de l'altération de l'influence nerveuse, il y a
trouble
de la fonction des organes hématopoiétiques.
- laire, tandis que la lésion des cornes postérieures produit des
troubles
sensitifs divers. Les conducteurs des sensations
ls que douleurs, incoordination, ataxie, contractions spasmodiques,
troubles
réflexes, se rattachent à des lésions plus éten
aralysie motrice quand la lésion siège dans la substance grise. Les
troubles
senitifs varient suivant le siège de la lésion
postérieures (tabès). ou des cornes antérieures (polyomyélite). Les
troubles
trophiques ont aussi une grande valeur; mais il
interosseux). Excitabilité électrique, sensibilité normale; pas de
troubles
trophiques. Ves- sie et rectum intacts. Au prin
dont le siège serait à la limite de la moelle dorsale et lombaire;
troubles
de la sensibilité. Plus tard, tout le renflemen
le. Opération le 22 octobre 1892. On ne trouve pas de tumeur. Les
troubles
de la motilité s'étendent jusqu'au domaine delà h
tilité s'étendent jusqu'au domaine delà huitième paire dorsale, les
troubles
de la sensibilité jusqu'aux racines dor- sales
parole se continua pendant une semaine et le second deux Jours. Ce
trouble
était caractérisé : 1° Par une tendance à for
l'amentia manicans. En se basant sur ces cas l'auteur pense que les
troubles
de la parole, accompagnant la confusion mentale
e de l'issue de la maladie. M. le professeur KORSAKOW pense que les
troubles
du langage dans la confusion mentale peuvent dé
ation pro- gnostique très grave du diagnostic différentiel entre le
trouble
aphasique et le trouble pseudo-aphasique. M.
s grave du diagnostic différentiel entre le trouble aphasique et le
trouble
pseudo-aphasique. M. Rossolimo fit une communic
éceler; il en est ainsi quand l'état d'anxiété est provoqué par des
troubles
physiques (oblitération des fosses nasales, entér
s ou acquises, soit à des infections, soit à des intoxications. Les
troubles
mentaux sont identiques, ou à peu près à ceux qu'
ment où éclate le délire, le malade n'a généralement présenté aucun
trouble
psychique, souvent même il n'a pas d'antécédent
à ces deux derniers types morbides. Leur délire est obsédant, sans
troubles
sensoriels, sans évolution régulière. Ils peuve
itieuse est analogue aux idées obsédantes, il n'y a toujours pas de
troubles
sensoriels, ni d'évolution régulière. Le délire
lles se développent non d'emblée mais graduellement, passant par le
trouble
fonctionnel, l'illusion, puis l'hallucination v
327. - Un cas d' - amnésique, par Simpson, 457. Artériosclérose.
Troubles
psychi- ques de l ? par Beyer, 405. Asiles. D
y, 325. Traitement de Il -, par le sérum, par Vogelgesang. 383.
Troubles
psychiques de l' -, au point de vue du dioit cr
s de - ¡,ponta- née, par Ilortoii, 230. GOITRE EXOI'IITIL111()liL
Troubles
men. taux dans le -, par 60\lldlanoll', 225.
lle, par Riche 333. Gocr. Méthode de -, par Weber. 331. Goût.
Troubles
du - et de l'odorat dans le tabes, par Kllppel,
ubles du - et de l'odorat dans le tabes, par Kllppel, 257. GRHES.
Troubles
mentaux dans la maladie de, parMaude, 322. Ha
l dans les maladies, par Clouston, 373. Névrite alcoolique avec
troubles
mentaux, parNeil, 3fui. -périphé- rique, parS
s, 470. Obsession de la rougeur, par Pitres et Régis, 1 Odorat.
Troubles
du goût et de 1' - dans le tabes, par Klippel,
IERES. lepsie consécutives par Bourne- ville, 186. Sensibilité.
Troubles
de la hygrique par Mingazzil1l, 58. Sexuelles
, 62. Chute spontanée des dents dans le -, par Lafon- taine, 150.
Troubles
du goût et de l'odorat dans le-,par Klippel,
, 466. Tumeur cérébrale ayant procédé par attaques spéciales et
troubles
de l'ouïe, par Luhrmann, 49. Un cas de -, par
t dans l'idiotie myxoedémateuse une maladie cérébrale compliquée de
troubles
trophiques,-disons : demyxoedè- me à divers deg
tion, de la fonction thyroïdienne. Supposons le suprême degré de ce
trouble
fonctionnel : l'enfant vient au monde, et la; g
analogues, M. Gandy suppose que la cause de cet état réside dans un
trouble
thyroïdien, peut-être compliqué par la dysorchidi
tète fréquents, l'apathie générale ne sont pas en rapport avec des
troubles
importants de l'élimination urinaire. Longtemps l
familières des constatations analogues. Ici encore, il s'agit d'un
trouble
de la fonction thyroïdienne. Pierre-Marie a démon
me façon dans sa fonction complexe, et que, suivant les variétés de
troubles
, régies elles-mêmes par les variétés d'altérati
tonner de certains phénomènes où apparaît confusément l'action d'un
trouble
en 'sens inverse, de la même fonction glandulai
ns fondamentales peuvent leur être opposées. La première est que le
trouble
thyroïdien, appelé hypothyroïdie par Hertoghe,
érale dont les premiers symptômes remontent à 4 ans à peu près,avec
troubles
du caractère, excitabilité, besoin d'activité s
d'admission suivant : « Dégénérescence mentale avec hallucinations,
troubles
de la sensibilité générale, préoccupations hypo
a femme et son divorce, en juin 1904, il a commencé à présenter des
troubles
nerveux ; agitation, insomnie ; fugues ; idées
ées. Pas d'embarras de la parole, pas de signes pupillaires, pas de
troubles
des réflexes. Attitudes cataleptiformes. Les me
sieurs reprises sur ses' anciennes idées de persécu- tion. Pas de
troubles
nets de la parole ; pas de signes pupillaires, pa
excitation, violences. 24 SÉGLAS 2 février 990ô. - Rémission des
troubles
délirants ; affaiblissement sim- ple des facult
1905. Depuis quatre mois environ, sa femme a remarqué chez lui des
troubles
du caractère, irritabilité, mobilité d'humeur,
e la parole ; signe d'Argyll ; réflexes tendineux plutôt exagérés ;
troubles
de l'écriture. Dès les jours suivants, en obser
ire, mais jamais de douleurs vives, rien au niveau du coccyx. Ces
troubles
s'aggravent lentement mais d'une façon continue,
en- tendu dire) du rachis, qu'il n'y avait aucune anesthésie, aucun
trouble
des . sphincters et que les réflexes étaient co
l'esquisse de quelques pas lorsqu'elle est soutenue. Il n'y a aucun
trouble
des sphincters, aucun trouble de la sensibilité o
squ'elle est soutenue. Il n'y a aucun trouble des sphincters, aucun
trouble
de la sensibilité ob- jective cutanée et profon
ONNEIX siers, ni dans les muscles de la cuisse et de la jambe aucun
trouble
des réac- tions électriques. La peau est sèche,
des régions malades. La malade d'ailleurs ne présente aucun autre
trouble
fonctionnel ou or- ganique ; c'est une femme de
rarement, atrophie des muscles des extrémités ; 4) inten- sité des
troubles
sensitifs : anesthésies, hyperesthésies, paresthé
d'ailleurs percevoir par le toucher buccal, peuvent déterminer des
troubles
de la déglutition. Quant aux articulations de l
s sont intactes. Ces ankyloses osseuses déterminent un ensemble [de
troubles
fonction- nels très particuliers. Le thorax, ap
ne s'agirait-il pas, dans notre cas, d'une auto- intoxication, d'un
trouble
de la nutrition plus ou moins bien défini (2),
on pourrait, avec quelques réserves, placer à l'origine de tous ces
troubles
! En faveur de cette hypothèse, nous pouvons fa
s vasculaires sanguines. Ces lésions ont, à leur tour, provoqué des
troubles
de la nutrition générale : aplasie vasculaire, né
. La face, le tronc et les membres inférieurs sont indemnes de tout
trouble
paralytique ou atrophique. Réflexes patellair
e paralytique ou atrophique. Réflexes patellaires normaux. Pas de
troubles
sphinctériens. Sensibilité. Aucune altération d
e la a main. Etat mental. - A cette époque la malade présente des
troubles
psychiques sans grande gravité, exagération d'u
a pas de secousses fibrillaires dans les muscles atrophiés. Pas de
troubles
objectifs de la sensibilité. La malade dit ne pas
s longtemps dans son évolution. En 1903 la malade est atteinte de
troubles
digestifs graves avec ictère chro- nique. Elle
mps que l'atrophie musculaire prédominant aux extrémités il y a des
troubles
de la sensibilité et des douleurs du type fulgura
énomènes douloureux, intermittents et d'intensité moyenne mais sans
troubles
objectifs de la sensibilité cutanée. Telle est la
alade n'a jamais eu de douleurs dans les mem- bres inférieurs ni de
troubles
sphinctériens. Des examens du malade qui ont ét
le malade ont consisté et consistent presque exclusi- vement en des
troubles
de la démarche, troubles qui ont montré une progr
consistent presque exclusi- vement en des troubles de la démarche,
troubles
qui ont montré une progres- sion lente dans les
bien à la lumière et à l'accommo- dation. Pas de nystagmus. Aucun
trouble
des sensibilités superficielles ; sens des attitu
. L'affection actuelle débuta vers 1902, à l'âge de 70 ans, par des
troubles
de la démarche qui progressèrent dans les année
e présente aujour- d'hui. Le malade n'a jamais eu de douleurs ni de
troubles
sphinctériens. 11 ne peut marcher sans un doubl
n conservé. Pas de nystagmus. Motilité des yeux normale. ' Pas de
troubles
de la sensibilité (superficielle et profonde : le
survenaient pendant une demi-journée tous les 3, 4 ou 5 jours, les
troubles
de la démarche allaient en augmentant de même q
les troubles de la démarche allaient en augmentant de même que les
troubles
dans les membres supé- rieurs ; quant à la paro
it en s'améliorant. Dans l'année suivante même progression dans les
troubles
, mais depuis 1899 son état n'a pas beaucoup cha
nt un peu analogue à celui de la sclérose en plaques. Il existe des
troubles
de la diadococinésie dans le membre supérieur gau
crémastériens. Réflexe abdominal conservé des deux côtés. Pas de
troubles
de la sensibilité marqués : il existe seulement u
progressive. Ce qui caractérise surtout cette affection ce sont les
troubles
particuliers de la démarche. Si en effet le fai
e Romberg (Obs. 111). Il y a encore chez les trois malades quelques
troubles
de la synergie musculaire, dont la valeur diagn
les affections cérébelleuses a été mise en relief par Babinski. Ces
troubles
se manifestent chez nos ATROPHIE PRIMITIVE PARE
ccommodation est conservé. Dans un seul cas (Obs. III) existent des
troubles
de la sensibilité sub- jective et objective sou
malade, âgé de 60 ans, est aussi le seul qui ait présenté quelques
troubles
sphinctériens d'ailleurs très légers, se manifest
est facilement expli- quée par les lésions du cervelet. De même les
troubles
de la synergie musculaire, le tremblement parti
, le tremblement particulier dans les extrémités supérieures et les
troubles
de la parole, faits assez fréquemment consignés d
ésentés par le malade, tels que le phénomène de Romberg, les légers
troubles
urinaires, les douleurs et la légère hypalgésie
ompte de lésions médullaires du même ordre que les nôtres, quelques
troubles
de la motilité, de la réflectivité et de la sensi
re devient aveugle au bout de 7 ans. - Deux mois après le début des
troubles
oculaires, elle éprouva dans tous les membres d
, le sens stéréognostique ne sont pas modifiés ; mais il existe des
troubles
notables de la sensibilité osseuse, le temps de p
sont : les signes d'in- coordination, l'abolition des réflexes, les
troubles
de la sensibilité osseuse, les phénomènes ocula
l'hypo- thèse que l'ostéite déformante de Paget n'était autre qu'un
trouble
trophi- que placé sous la dépendance de lésions
digne de la plus grande attention, non seulement par la rareté des
troubles
qu'il présente, mais aussi et surtout par l'imp
'importance des.problèmes de phy- siologie et de pathologie que ces
troubles
soulèvent. Nous avons trouvé ce malade exposé d
'un enfant de son âge. Le malade ne nous a pas semblé présenter des
troubles
psychiques. Il comprend facilement ce qu'on lui
de cette observation. Discutons maintenant un peu la pathogénie des
troubles
présentés par ce malade. Il est d'abord un géan
antisme et l'acromégalie ne sont que l'expression d'un seul et même
trouble
qui commence dans le premier cas avant la cessa
même sens plaident les cas de puberté, précoce coexistant avec des
troubles
cérébraux et survenus précisément à la suite d'
nitaux. Mais, ce qui dans notre cas nous a fait surtout penser à un
trouble
de la fonction hypophysaire, c'est surtout l'ac
e ? Nous estimons qu'il faut en chercher la raison toujours dans un
trouble
des sécrétions internes. Au point de vue de c
vers l'époque de la puberté plaide, pour nous, mieux en faveur d'un
trouble
dans les glandes à sécrétion interne, et nous a
essive. Une pareille polysarcie peut-elle reconnaître pour cause un
trouble
hypophysaire ? - Nous sommes disposé l'admett
é l'admettre. Car il nous semble peu probable que dans notre cas le
trouble
général du développement reconnaisse deux cause
ituitaire a amené, outre la disparition ou la diminution des autres
troubles
tels que l'arythmie cardiaque, les maux de tête
e de 45 kilogrammes en six semaines. Dans ce cas le diagnostic de
trouble
pituitaire est donc corroboré aussi par l'opoth
ue dans les cas pareils aux nôtres et à celui de Lemos il s'agit de
troubles
hypophysaires nous semble digne d'être prise en
e est tombante à droite. Jamais, dit-elle, elle n'a éprouvé d'autre
trouble
quelconque de la santé ; en particulier jamais
rd elle mange lentement et avec peine; mais elle ne présente pas de
trouble
de déglutition. Elle est incapable, cela va' de
s atrophiée et présente une mobilité normale en tous sens. Pas de
troubles
cardio-respiratoÏ1'es, jamais de vomissements.
lanci- nantes, ni de maux de tête. La marche est normale ; aucun
trouble
de coordination des membres, pas de paralysie.
olécranien normal. Réflexe massétérin nul des deux côtés. Pas de
troubles
des réservoirs ; ni sucre, ni albumine dans les u
it même dire que la poliencéphalite est totale, car il y a quelques
troubles
dans le domaine du faciai inférieur. Ce fait méri
présente cette hypothèse qu'avec réserves. Il n'y a en effet aucun
trouble
de sensibilité, pas de douleurs fulgurantes, ni d
et aucun trouble de sensibilité, pas de douleurs fulgurantes, ni de
troubles
sphinc- tériens. On ne note ni douleurs, ni ane
. Ici, l'atrophie et la paralysie des masséters l'emportent sur les
troubles
dans le domaine du facial. S'il s'agit, dans le
s segments du membre une paralysie presque absolue. . Il existe des
troubles
vaso-moteurs très manifestes, accusés surtout au
es réflexes pupillaires sont conservés. Il n'existe, nulle part, de
troubles
de la sensibilité subjective ou objective (tant
ctive (tant superficielle que profonde). 126 ITALO ROSSI Pas de
troubles
sphinctériens. Le malade ne présente pas de tro
ROSSI Pas de troubles sphinctériens. Le malade ne présente pas de
troubles
de la parole. Quoique étant « minus liabens » i
r examen fait peu de temps avant sa mort a confirmé la présence des
troubles
moteurs, trophiques et de la réflectivité ci-de
vomissements, convulsions, trou- bles gastro-intestinaux, etc. Les
troubles
de motilité qui font suite à ces prodromes sont
t démonstratif. Un enfant de 6 mois, S ou 6 jours après le début de
troubles
gastro-intestinaux graves, avec fièvre élevée,
ent, et parle en faveur d'une lésion du neurone moteur central. Lés
troubles
de la motilité se limitent ici aux muscles péroni
lorsque les foyers siègent dans le domaine des noyaux du bulbe, les
troubles
de la circulation et de la respiration sont telle
. L'examen minutieux des autres organes n'a permis de révéler aucun
trouble
fonctionnel. .- Le diagnostic de trophoedème
areil sympathique ou le protoneurone centripète nous expliquent les
troubles
sécrétoires, les troubles vaso-moteurs, certain
otoneurone centripète nous expliquent les troubles sécrétoires, les
troubles
vaso-moteurs, certains troubles oculo-pupillaires
quent les troubles sécrétoires, les troubles vaso-moteurs, certains
troubles
oculo-pupillaires observés parfois dans le tabe
ué depuis les extrémités des doigts jusqu'au milieu du bras. Pas de
troubles
de la motilité, ni de la sensibi- lité cutanée,
aits, nous pensons .158 LONG qu'il n'est nul besoin d'invoquer un
trouble
trophique d'origine myélo- pathique. Une malfor
QUE PAR . C. PARHON et S. FLORIAN (de Bucarest) . L'étude des
troubles
trophiques relevant d'une altération du système
eine effleurées. Nous ignorons bien souvent le lien qui rattache le
trouble
trophique à la lésion, le plus souvent centrale,
ous celui d'oedème segmentaire. Le nombre de cas appartenant à ce
trouble
trophique, publiés jusqu'à présent est encore a
préciables, Ni eux ni personne de leurs parents n'ont souffert d'un
trouble
semblable à celui dont est affectée cette malad
uite de maladies infectieuses. Ceux qui restent ne présentent aucun
trouble
de la santé et surtout rien rappelant le e trou
présentent aucun trouble de la santé et surtout rien rappelant le e
trouble
trophique dont est atteinte leur soeur. La mala
reins et des poumons. Le foie et la rate un peu volumineux. Pas de
troubles
de la sensibilité ou des réflexes. Etat intelle
otique aigu de Quincque vu la chronicité et la durée déjà longue du
trouble
chez cette malade. L'éléphantiasis peut être for-
phoedème chronique ainsi que l'a si bien conçu Henry Meige. Dans ce
trouble
trophique, comme dans notre cas, il s'agit d'un o
rouge des téguments. ' De même dans une observation de Follet, les
troubles
ont débuté par des douleurs vives dans la cuiss
dernier ne devient persistant qu'à la troisième poussée. ' , j Des
troubles
, en moins, de la sensibilité ont été également ob
ause de l'hémianesthésie qu'elle présentait, si la présence du même
trouble
trophique chez d'autres membres de sa fa- mille
gents thermiques. Notons en passant que cette malade présentait des
troubles
mentaux et que les cas de Dide (12) et celui de
peut-être ne faut-il voir dans l'un et l'au- tre qu'un seul et même
trouble
morbide. L'adipose sous-cutanée qui existe dans
re la vraie cause nous échappe. Nous pouvons pour- tant penser à un
trouble
évolutif en rapport peut-être avec des fonctions
pposé. , Le début brusque, fébrile de l'affection, l'alternance des
troubles
trophi- ques font supposer à l'auteur cité qu'i
isation. D'autre part, le fait que l'on peut observer isolément des
troubles
tro- phiques du système osseux, musculaire et c
oedème. Ce caractère parle donc aussi pour l'origine centrale de ce
trouble
trophi- que, bien qu'il ne faut pas exclure d'u
rcément penser aux vaso-moteurs. Pourtant le caractère variable des
troubles
va- so-moteurs quand ils existent dans une phas
), qu'il pourrait bien s'agir dans le syndrome qui nous occupe d'un
trouble
dans l'innervation des vaisseaux lymphatiques.
ssible d'un terrain d'hypothyroïdie, détermine la lo- calisation du
trouble
. Nous voulons dire que l'hypothyroïdie à elle s
eints de trophoe- dème la présence des malformations dentaires, des
troubles
trophiques des cheveux, des noevi, des verrues,
pti- que sur lequel a évolué la maladie, des lésions oculaires, des
troubles
vaso-moteurs et trophiques nous semblent donner
sous les aisselles et presque point aux régions génitales. - Les
troubles
vaso-moteurs et trophiques sont importants ; les
t que la chevelure est abondante), l'as- thénie, l'extrême apathie,
troubles
qui font tous partie du tableau symp- tomatique
oïde et certains ont vu la pathogénie du syndrome de Dercum dans un
trouble
de la sécrétion interne de cette glande. Ces lési
rome « accidentel » de simples algies survenant chez une obèse. Les
troubles
accessoires trophiques, vaso-moteurs, sécrétoires
ont bien plutôt de nature à faire considérer cette adipose comme un
trouble
dystrophique du tissu cellulaire sous-cutané à ra
dème, maladie de Dercum semblent avoir une pathogénie analogue : un
trouble
de l'innervation sympathique sous la dépendance
plaque rouge sur le thorax ; pas de ro- séole ni de céphalée. Les
troubles
paralytiques ont débuté à l'âge de 32 ans, précéd
il éprouvait une sensation de violente brûlure. Il n'a jamais eu de
troubles
sphinctériens. Etat actuel (mai 1903). ' SY
ané plantaire se fait en extension à droite, en flexion à gauche.
Troubles
trophiques : Il existe une atrophie très marquée
u milieu du bras, mesure 3 centimètres de plus que le droit. Pas de
troubles
sphinctériens. Le malade ne présente aucun sign
elligence est bien conservée; la voix est légèrement enrouée. Aucun
trouble
viscéral, à part la hernie inguinale. A la ponc
che centrale de 10 degrés environ correspondant à la macula. Pas de
troubles
objectifs ou subjectifs de la sensibilité général
maux. Forte diminution de volume dans les membres paralysés. Pas de
troubles
sphinctériens. Pas de dysar- thrie ni d'aphasie
premier digne d'être relevé dans notre observation est l'absence de
troubles
de la sensibilité générale, bien que, nous l'avon
la région de la calotte participe à la lésion, on peut observer des
troubles
de la sensibilité générale du côté de l'hémiplé
de la formation réticulée grise soient complètement détruites. Les
troubles
sensitifs par contre peuvent manquer, ou ne per
lle se fait lentement, comme dans les cas de tumeur. L'absence de
troubles
sensitifs dans notre cas, où il existe les condit
il existe les conditions ci-dessus décrites pour la production des
troubles
sensitifs, est donc loin SYNDROME DE WEBER AVEC
es ? Pent-être aussi - ce qui est beaucoup plus vraisemblable - les
troubles
sensitifs ont-ils existé à un moment donné chez n
notre malade.Nous avons vu il est vrai, qu'il n'avait jamais eu de
troubles
sensitifs subjectifs, de douleurs d'origine cen
que dans l'histoire de sa maladie on ne retrouvait signalés, comme
troubles
objectifs de la sensibi- lité, que quelques phé
éphalique, (par lésion du ruban de Reil médian) ce sont surtout les
troubles
de sensibilité profonde qui prédominent. Il est d
qui prédominent. Il est d'ailleurs facile de comprendre que de tels
troubles
puissent parfaitement exister à l'insu d'un mal
légie avec con- tracture. Quoi qu'il en soit, l'absence certaine de
troubles
sensitifs cons- tatée 23 ans après le début de
cessèrent. La fièvre continua jusqu'à la fin. Les urines devinrent
troubles
et contenaient du pus. A toutes les parties soumi
lus net ; on voit les granulations. Le protoplasma des cellules est
trouble
et présente un degré avancé de chromatolyse. Les
rs d'hémorragie. Les cellules nerveuses des cornes antérieures sont
troubles
, leurs noyaux sont pâles ou invisibles ou rejet
ire. Les lésions sont moins intenses. Les cellules ner- veuses sont
troubles
, les fibres nerveuses gonflées, les vaisseaux con
arche spasmodique et quel- quefois impossible, du moins sans appui,
troubles
trophiques diffus des muscles contractés et de
ovembre 1905 une légère indisposition, avec un peu de fièvre et des
troubles
gastriques ; au bout de trois jours, il fut consi
se 14 218 JACINTO DE LÉON général, fièvre légère, coryza, toux,
troubles
gastriques, influenza peut-être ; il garda le l
s et extenseurs du tronc, suppression des réflexes tendineux, aucun
trouble
de la sensibilité, légère diminution des réacti
il y eut réapparition d'une légère fièvre, environ 38°, et quelques
troubles
gastri- ques qui se prolongèrent plusieurs jour
ce. Lorsqu'on peut déterminer la topographie de la paralysie ou des
troubles
objectifs de la sensibilité, comme dans le cas
cette mala- die, mais alors elle est plus étendue et accompagnée de
troubles
profonds de la sensibilité objective. HOSPICE
ent lente. Pas d'inversion de la formule polaire. Il n'existe aucun
trouble
sensitivo-sensoriel ou des sphincters. Les viscèr
ade, sa démarche, l'absence de contractions fibrillaires, de DR, de
troubles
sphinc- tériens nous dispensent de discuter le
rement hippocratiques, et cette déformation nous paraît relever des
troubles
de l'hématose dus à la déforma- tion thoracique
er- vations antérieures. 4° Quant au caractère héréditaire de ces
troubles
, nous n'avons pu le retrouver chez notre malade
on, ViIlIretetFrancoz). 2° Notre malade présente en second lieu des
troubles
importants de la dentition. Quoique âgée de 1
st à remarquer que chez les malades atteints de cette affection les
troubles
de la dentition sont assez fréquents. En nous b
leurs premières communications Marie et Sainton avaient observé des
troubles
de la dentition. Obs. de A.. 39 ans (S. M. hôp.
e ou deux dents sont déjà cariées ». Ils retrouvèrent également des
troubles
de la dentition sur les deux malades qu'ils obs
tait très peu developpée. De ce court aperçu il paraît bien que les
troubles
de la dentition sont un symptôme presque consta
ânienne, principalement la gibbosité très marquée de la malade, les
troubles
de la dentition, le retard de l'ossification et l
er qu'il est exceptionnel, qu'il n'a même pas été si- gnalé, un tel
trouble
de la dentilion dans le rachitisme, et que la mal
ie périostale et la dysostose cléido-crânienne comme résultant d'un
trouble
glandulaire ou trophique, à la suite d'une lésion
re (hérédo-intoxication), soit du foetus (auto-intoxication). Les
troubles
de la dentition que nous avons observés seraient
deux affections chez le même malade. En tout cas, à la base de ces
troubles
dystrophiques, et quelle qu'en soit la nature,
lève deux des symptômes de la triade d'Ilutchinson, la surdité, les
troubles
de la dentition. Mais le Dr Gellé qui a examiné M
firmer l'origine spécifique de la surdité; et, d'autre part, si les
troubles
dentaires doivent faire penser à l'hérédo-syphili
e dit pas « origine cons- tante », et nous avons déjà signalé qu'un
trouble
de sécrétion glandulaire suffit à les détermine
de rapporter l'arrêt de développe- ment physique et psychique à un
trouble
de la fonction thyroïde, à l'hy- pothyroïdie qu
") marquée. Les réflexes cutanés et tendineux sont normaux ; pas de
troubles
appréciables des sensibilités viscérales, tendi
ais l'irritation du grand sympathique entraîne très fréquemment des
troubles
vaso-moteurs de la face. L'épreuve des collyres
ion. Mais la plupart des auteurs, qui discutent la pa- thogénie des
troubles
pupillaires, ne tiennent compte que de ces deux
en- dance d'un nerf moteur ». Donc, au lieu de rapporter tous les
troubles
moteurs de l'iris à des lésions siégeant en amo
mont du ganglion ciliaire, il est logique d'admettre l'existence de
troubles
fonctionnels ou organiques ayant leur origine soi
eureusement nous ignorons à peu près to- talement les symptômes des
troubles
morbides, qui peuvent se produire dans ce gangl
ue nous avons observé chez notre malade un cas de mydriase due à un
trouble
paralytique siégeant soit dans le ganglion cili
e peut l'expliquer. Il nous faut donc rattacher cette mydriase à un
trouble
de l'innervation locale. 9 Causes organiques. -
d'auteurs ne l'admettent pas. Dans son important article sur « les
troubles
oculaires dans l'hystérie », Parinaud (1) ne pro-
c'est qu'ils ont voulu expliquer la mydriase maximale par les seuls
troubles
du moteur oculaire commun ou du grand sympathiq
t : . ï = ? > lQlVOIYÉLIIi; AVEC PHÉNOMÈNES BULBAIRES K - ET
TROUBLES
TROPHIQUES INTENSES, par F. RAYMOND et P. LEJ
du Système Nerveux à la Salpêtrière. Les phénomènes'bulbaires, les
troubles
trophiques sont des manifesta- tions bien connu
ertainement plus \' froide au toucher que celle du côté opposé. Ces
troubles
vasomoteurs s'exagè- \. 'rent lorsque la tempér
tracter ainsi que le diaphragme et les muscles respiratoires. Ces
troubles
ont une origiue complexe : avant tout il faut met
ur les muscles les plus atteints. Du côté du cou, il n'existe aucun
trouble
de la motilité ; la face est de même absolument
che et présente une parésie évidente. Le malade n'a jamais eu aucun
trouble
de la parole et sa voix ne s'est pas modifiée";
cun phénomène dou- loureux. Objectivement, on constate de très gros
troubles
des sensibilités sv- pe1'/icielles, ainsi qu'en
pte le schéma ci-joint. On peut dire d'une manière générale que les
troubles
occupent toute la moitié droite du corps, la mo
la face, et en arrière la zone de distribution de CI et de C2, les
troubles
sensitifs, très légers, consis- tent simplement
la reconnaissance du chaud et du froid. Une seconde zone, où les
troubles
sont plus marqués, comprend en avant le territo
x trois modes est évidemment il FIG. 1. Hachures horizontales =
troubles
de la sensibilité thermique. Hachures verticale
tales = troubles de la sensibilité thermique. Hachures verticales =
troubles
de la sensibilité tactile. Hachures obliques .=
rticales = troubles de la sensibilité tactile. Hachures obliques .=
troubles
de la sensibilité aux trois modes. ) 2GG RAYMON
sque abolie, au niveau des FIG. 2, 2. '1\ Hachures horizontales =
troubles
de la sensibilité thermique. Hachures verticale
tales = troubles de la sensibilité thermique. Hachures verticales =
troubles
de la sensibilité tactile. Hachures obliques =
erticales = troubles de la sensibilité tactile. Hachures obliques =
troubles
de la sensibilité aux trois modes Sln1\GO\(1'GL
t si l'objet est très gros. A gauche il existe simplement de légers
troubles
du sens des attitudes aux doigts 1 et aux ortei
le réflexe crémastérien affaibli des j deux côtés. Il n'y a aucun
trouble
de la sensibilité au niveau de la cavité buccale
ite, chronique dont nous avons parlé. Nous avons déjà signalé les
troubles
trophiques accentués que présente F... : (scoli
chiromégalie du côté droit, atrophie J musculaire diffuse), et les
troubles
vasomoteurs (rougeur et refroidissement du memb
r et refroidissement du membre supérieur droit). 1 Il n'y a aucun
trouble
sphinctérien. 1 L'état psychique est satisfaisa
t par des symptômes moteurs, sensitifs, tt'oplii-I ques, et par des
troubles
bulbaires. \ 4° Les symptômes moteurs consisten
upérieur droit, -accompagnée d'affaiblissement des réflexes. 2° Les
troubles
sensilifs, en une hémi-hypoestbésie aux trois mod
ibilités profondes sont très troublées sur- tout à droite. 3° Les
troubles
trophiques en une scoliose à convexité droite, un
hypertrophie du poignet et de la main du même côté, accompagnée de
troubles
vaso-moteurs. 4° Enfin les troubles bulbaires s
du même côté, accompagnée de troubles vaso-moteurs. 4° Enfin les
troubles
bulbaires sont surtout constitués par une hémiatr
mpte que de certains symptômes, la déformation '\ vertébrale et les
troubles
de sensibilité pourraient à la rigueur en impo-
Pott s'accompagnent de paraplégie spasmo- ' clique, de scoliose, de
troubles
de la sensibilité, même avec dissociation dite
des phéno- mènes, à part la paraplégie bilatérale, presque tous les
troubles
siègent à droite (hémi-anesthésie , troubles tr
rale, presque tous les troubles siègent à droite (hémi-anesthésie ,
troubles
trophiques et bulbaires, parésie du bras) ; c'e
, deux ordres de symptômes nous seront particulièrement utiles, les
troubles
de sensibilité et les phénomènes bulbaires. N
phénomènes bulbaires. Nous ne reprendrons pas l'étude détaillée des
troubles
de la sensibilité, (1) At.Jmcrs et LnawuTre, Re
ion radiculaire et qu'on peut au point de vue de l'intensité de ces
troubles
diviser la moitié droite du corps en trois zone
ile est,; plus émoussée que la sensibilité douloureuse /<$ Les
troubles
des sensibilités profondes sont plus considérable
que cx" qu'on signale d'habitude : il existe à droite de très gros
troubles
(le sensibilités superficielles, tandis qu'à ga
sensibilités superficielles, tandis qu'à gauche on observe de légers
troubles
du sens des attitudes aux doigts et aux orteils
la sensibilité superficielle est normale à tous les modes. ` Les
troubles
bulbaires consistent en premier lieu en une hémia
he interne du spinal et le noyau de l'hypoglosse. Il n'existe aucun
trouble
dans la sphère du pneumogastrique, la respirati
ssopharyngien, ni le facial ne sont touchés. Quant à l'auditif, les
troubles
de l'ouïe présentés par le malade sont dus à des
e valeur à faire cette hypothèse ; dans le cas qui nous occupe, les
troubles
de sensibilité ont une disposition ra- diculair
osseuse sont normales ; tandis que brusquement à partir de C'' les
troubles
de sensibilité deviennent in- tenses et atteign
région cervicale droite et il faut donner la même signification aux
troubles
trophiques et vaso- moteurs qu'on remarque au n
moelle, la lésion paraît atteindre avant tout la corne postérieure (
troubles
des sensibilités superficielles, troubles trophiq
out la corne postérieure (troubles des sensibilités superficielles,
troubles
trophiques), mais le cordon postérieur ne paraî
t dans le tableau clinique présenté par F..., c'est l'intensité des
troubles
trophiques puisque l'on observe à la fois chez
e d'un certain nombre de muscles de l'omoplate et du dos ; mais ces
troubles
musculaires sont en général bilatéraux, ils ne
oublées au ni- veau des muscles malades, ils paraissent surtout des
troubles
secondaires, incapables d'avoir produit une par
et que selon l'opinion de Nalbandofl" (4) il s'agit avant tout d'un
trouble
trophique des os eux- mêmes. Nous n'avons malhe
ter avant tout un processus d'ostéite condensante, c'est-à- dire un
trouble
trophique véritablement primitif de la colonne do
use surtout un processus de décalcification. La chiromégalie est un
trouble
trophique beaucoup plus rare ; c'est un cas par
est souvent taciturne, quelquefois il est désorienté. Toutefois ces
troubles
ne durent jamais plus de 2 à 4 jours. Depuis plus
lleux. Fin 1902, amanrose totale, maux tête, nausées. Janvier 1904,
troubles
psychiques nets, tremblement accentué du bras et
ine au cerveau, accompa- gnée de maux de tête des plus violents, de
troubles
de la conscience, etc. Il semble que des observ
rès abondante sans cause appréciable. Dans ces derniers temps les
troubles
gastriques sont allés en augmen- tant d'une faç
ce propos la monographie de Kiuus dans ['Encyclopédie de Nothnagel.
TROUBLES
MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR PAR
pénible et l'épuisement du système nerveux atteignit son apogée.
TROUBLES
MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 341 Nos
t morales, ne pouvaient manquer de fournir un terrain favorable aux
troubles
men- taux. Dans 26 cas, la maladie se développa
d'aliénation, elles peuvent se répartir de la manière suivante :
TROUBLES
MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 343 344
s les quatre un haussement des réflexes rotuliens, dans deux cas le
trouble
de la sen- sibilité, sous forme d'hyperalgésie
and l'atmosphère cessa d'être ébranlée par le (1) A. Ozeretskowsky,
Troubles
mentaux causés par la guerre russo-japonaise, pen
emière année, Journal de médecine militaire (Russe), 1905, livre X.
TROUBLES
MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 345 bru
Le début et le développement de la mala- die étaient brusques. Les
troubles
cérébraux se firent remarquer à la suite d'un l
ie de forme légère, ce que Korsakoff nomme dysthymia melancholica :
trouble
du sentiment, état émotionnel pénible. 1 L'hume
le siège, tous deux réservistes devaient avoir depuis longtemps des
troubles
cérébraux. Jusqu'au départ de Port-Arthur, tout
. De sorte qu'un résumé sommaire nous donne dans 22 cas sur 38 un
TROUBLES
MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 347 bru
8 un déran- gement primaire et indépendant de l'intelligence, sans
troubles
particu- liers dans la sensibilité morale. Dans
à ce qui vient d'être dit plus haut, que sur 37 soldats atteints de
troubles
cérébraux pendant le siège, il y avait 17 réservi
des ne faisant pas partie du nombre de ceux qui étaient atteints de
troubles
psychiques pendant le siège, mais ayant malgré
és. A peine l'eut-on dé- sarmé qu'il fut tué par un éclat d'obus.
TROUBLES
MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 349 20
9 mai 1905, nous en trouvons 39 (officiers et soldats) atteints de
troubles
cérébraux pendant le siège, dont 2 moururent et
eur village. Conclusions : 1° Le nombre de militaires atteints de
troubles
cérébraux pendant la période du siège (officier
gumen- taires bien connus avec leurs rythmes saisonniers ni sur les
troubles
vis- céraux dominants qui les accompagnent (tro
ers ni sur les troubles vis- céraux dominants qui les accompagnent (
troubles
gastro-intestinaux divers, gastrorrhées et diar
hobies diverses. La sitophobie est fréquente et coïn- cide avec les
troubles
gastro-intestinaux, gastralgie, crampes, nausées,
est pas moins très accusé; on ne peut interpréter correctement ces
troubles
de la marche des séniles où les désordres de l'
tologiques relativesau cervelet sénile, nous rappelle- rons que les
troubles
de l'équilibration ne sont pas négligeables dans
dit des étals lacunaires, est considérée par Grasset (li) comme un
trouble
d'équilibre susceptible de s'observer chez des
du crâne. Il n'y eut jamais de vertiges, ni de convulsions, ni de
troubles
moteurs du côté de la face ou des membres. Il
droit, remontent jusqu'à l'aine et durent deux à trois minutes. Ces
troubles
d'épilepsie partielle sensitive ne s'accompagnert
avec engorgement veineux et névrite optique double. II n'y a pas de
troubles
auriculaires appréciables ni de troubles gustatif
ue double. II n'y a pas de troubles auriculaires appréciables ni de
troubles
gustatifs (il sent le salé et le sucré). Il sem
du rachis. La sensibilité subjective ou objective ne présente aucun
trouble
appréciable. La percussion du crâne ne révèle a
des réflexes ten- dineux et osseux des membres supérieurs. Pas de
troubles
vaso-moteurs ni trophiques. L'état général est ex
taux sont normaux. Son état intellectuel est intact. Il n'y a aucun
trouble
de la parole, aucune lenteur ni dans la compréh
nus du pied à droite, avec signe de Babinski des deux côtés. Pas de
troubles
de la sensibilité. Ces phénomènes sont surven
musculaire est diminué ainsi que le sens stéréognostique. Quelques
troubles
vaso-moteurs de ce côté. , 25, juin 1906. - Dep
e hémiplégie. Il y a une légère hémihypoesthésiedu côté droit, sans
troubles
subjectifs de la sensibilité. Les réflexes ro
ne de Babinski à droite. A gauche ce signe est inconstant. Pas de
troubles
des nerfs crâniens. Pas de troubles vaso-moteurs.
ce signe est inconstant. Pas de troubles des nerfs crâniens. Pas de
troubles
vaso-moteurs. Le pouls est régulier et hat à 68
'quel- quefois. La torpeur cérébrale est assez accusée, sans aucun
trouble
de la rai- son. Le malade n'est ni gai ni trist
pression extraordinaire des hémisphères contraste avec l'absence de
troubles
intellectuels, et montre bien l'extrême tolérance
suffisante. Pas d'atrophie musculaire. Il ne semble pas y avoir des
troubles
grossiers de la sensibilité, autant du moins qu
côtés : l'incontinence des sphincters est complète. Il n'y a aucun
trouble
bulbaire, en particulier, du côté du pouls ni de
nostic assez difficile, si la malade avait été moins âgée et si les
troubles
mentaux et sphintériens ayaient été moins accentu
protubérance. 2° En pareil cas, on peut voir apparaître, à côté des
troubles
intellec- tuels qui indiquent l'existence des l
IE SUIVI D'AUTOPSIE PAR J. LHERMITTE et ARTOM (de Turin). Les
troubles
trophiques comptent certainement parmi les symptô
uisse expliquer le développement de ces symptômes. En dehors de ces
troubles
trophiques, il en est d'autres, moins fréquem-
d d depuis le IVe segment cervical jusqu'au IXe segment dorsal. Les
troubles
moteurs aussi bien que les troubles de la sensi
usqu'au IXe segment dorsal. Les troubles moteurs aussi bien que les
troubles
de la sensibilité permettaient déjà de localise
éveloppement des macrosomies partielles et la syringomyélie par les
troubles
sensitifs qui sont toujours superposés à la cheir
e dans la syringomyélie ; si l'on ajoute que dans l'acromégalie les
troubles
moteurs et sensitifs font défaut tandis que les d
ider : c'est, d'une part, la juxtapo- sition sur le même membre des
troubles
trophiques divers, de la macro- 382 LHERMITTE E
dante d'une affection surajoutée, comment expliquer la genèse de ce
trouble
trophique ? Ainsi que [le remarque Schlesinge
trice d'une névrite qui, chez d'autres malades, se tra- duit par le
trouble
trophique de l'éruption zostérienne. Et entre ces
éterminer soit la vasodilata- tion extrême avec ecchymose, soit les
troubles
trophiques zostériens. Un autre mécanisme pourr
ts d'ordre sympathique, tels que de la vasodilatation exagérée, des
troubles
trophiques ou des oedèmes (1). (1) G. ETIENNE,
de notre observation. Nous le ferons d'abord en ce qui concerne les
troubles
que la dissection nous a fait reconnaître. Ensu
riphérie et plus les lésions sont intenses et marquées. Ainsi les
troubles
sont relativement plus marqués dans le membre que
ssi- fication. B. Au niveau du bras où il y a relativement peu de
troubles
, les anomalies sont de celles qui sont reconnue
que peu banales, semblant indiquer que celles-ci sont l'ébauche des
troubles
que nous ob- servons chez notre sujet et qu'ell
variétés de l'état normal, sont ici présentes dans les points où le
trouble
pathologique est à son minime degré. ' Au bra
econnue des auteurs classiques, Au niveau de l'avant-bras, où les
troubles
sont beaucoup plus marqués, nous pouvons répart
e de formation des cavités, et serait peut-être attri- buable à des
troubles
circulatoires (compression de la veine de Galien)
retrouve pas de reliquat manifeste d'une lésion des vaisseaux ; le
trouble
circulatoire aura été transitoire, et il a dû se
uise,elle peut être en définitive rattachée aux mêmes causes, à des
troubles
circulatoires el à des processus encéphalitiques
points symétriques permettent de les regarder comme dépendant d'un
trouble
fonctionnel des centres trophiques, le trouble
comme dépendant d'un trouble fonctionnel des centres trophiques, le
trouble
fonctionnel étant peut être lui-même imputable
nt d'une même cause générale. Il s'agit très vraisemblablement d'un
trouble
fonctionnel de l'appareil régulateur qui présid
Marie émet, nous l'avons rappelé en commençant, l'hypothèse « d'un
trouble
de la fonction ou du développement de quelque o
OEDÈME PAR C. PARHON ET P. CAZACOU (de Bucarest). L'étude des
troubles
trophiques constitue certainement une des plus in
t grand l'intérêt qui s'attache à tous les problèmes concernant les
troubles
trophiques. Parmi ces derniers le trophoedème c
sur le front, le tronc et les membres. Depuis l'apparition de ces
troubles
la malade a exclu la viande de son ré- gime.
des - membres d'une autre malade (âgée de 19 ans) atteinte du même
trouble
mais d'un seul côté et dont l'un de nous a publ
graphie segmentaire du trophoedème, plaide hautement en faveur d'un
trouble
nerveux, d'origine médullaire. Certaines dispos
nner une explication suffisante de la topographie segmentaire de ce
trouble
trophique. Nous ne reviendrons pas sur ce point,
ement elle est congénitale et familiale ». * Celte hypothèse d'un
trouble
dans la circulation lymphatique sous la dépenda
lle hypothèse ne nous explique pas la topographie segmentaire de ce
trouble
trophique. Mais elle ne doit pas être non plus re
re l'apparition de l'urti- caire comme de l'oedème aigu et certains
troubles
du métabolisme calcique. Or ainsi que le remarq
Cela nous amène à émettre l'hypothèse d'une relation entre certains
troubles
du métabolisme calcique et le trophoedème chroniq
leet pouvant être indé- pendante du système nerveux, par exemple un
trouble
du métabolisme calcique général d'origine gland
E TROPHOEDRAME CHRONIQUE 455 5 dans certains cas,en rapport avec un
trouble
du métabolisme calcique, ce qui favoriserait un
énieuse idée d'attribuer la constipation des hypo- thyroïdiens à un
trouble
du même genre. M. NETTER pense également que la
nçoit que dans ces conditions on peut s'attendre à l'apparition des
troubles
tels que ceux de l'urticaire, de l'oedème aigu ou
bre calcique a fait cesser, précisément par ce fait selon nous, les
troubles
ci-dessus mention- nés. La conception ci-dessus
PIN) et dont un des membres 456 PARUON ET CAZACOU affectés par ce
trouble
a été amputé pour une tumeur. Il trouva du tissu
its semblent de nature à éclairer jusqu'à un certain point certains
troubles
trophiques et certains faits physiologiques d'un
l'adiposité dans l'hypothyroï- disme comme une conséquence du même
trouble
du métabolisme calcique en vertu duquel la tran
nalogue. Il s'agit de la même transsudation de lymphe à la suite du
trouble
dans le métabolisme calcique. Mais ici il semble
tion de cette lymphe est plus défectueuse. Donc non seulement les
troubles
de la croissance, de la dentition, de la coagul
ef de l'action multiple de la glande thyroïde et son absence ou ses
troubles
nous expliqueront le tableau clinique complet o
do oedème catatonique, l'adipose douloureuse, le myxoedème sont des
troubles
qui ont beaucoup de connexion entre eux au point
que. SUR UN NOUVEAU CAS DE TRO'PHOEDÈME CHRONIQUE ' · 47 C'est le
trouble
du métabolisme calcique et la transsudation lymph
mouvement de ro- tation de la tête vers la gauche a persisté. Ces
troubles
visuels et auditifs ont-ils vraiment provoqué une
- suivant les moments, mais qui paraît bien'témoigner d'un certain
trouble
du contrôle des actes musculaires volontaires.
ir des fâcheuses attitudes compensatrices qu'ils prennent. 3° Les
troubles
respiratoires sont fréquemment associés au tortic
une dizaine de jours, je suis très gêné par une recrudescence d'un
trouble
moteur de date déjà ancienne (12 ans environ) q
des mouve- ments plus amples et plus violents. Hier j'ai éprouvé ce
trouble
, mais un ins- tant seulement, en me rasant. Dep
nouveau dans les conditions de persistance que je vous indique, le
trouble
ancien. Est-ce une simple coïncidence ? Je serai
idence ? Je serai heureux d'avoir votre opinion sur la nature de ce
trouble
fonctionnel et de savoir si je dois m'en préocc
assez souvent au cours des torticolis convulsifs. Le plus souvent ce
trouble
moteur précède le torticolis ; parfois ce derni
une imperfection organique, mais une imperfection fonctionnelle. Un
trouble
fonctionnel s'est produit, sans que pour cela l
7. LEJONNE et RAYMOND. Syringomyélie avec phénomènes bulbaires et
troubles
tro- phiques intenses, 261. Léon (JACINTO DE)
28 Raymond et Lejonne. Syringomyélie avec phénomènes bulbunes et
troubles
tro- phiqups (4 pl.. -' fig.) 261. Raymond et
d y·petruphie mammaire illustré par Horace Vemrt, 41R. Wladyczko.
Troubles
mentaux pendant le sieye d ' Port-Arlhur, 340.
ace VPrnet (1 pl.), par L. HAHN et WICIOERSHEBIER), 418. Mentaux (
troubles
) pendant le siège de ('or-l-Artltrrr, par WLADI
ERMITTE et ARTOM, 314. Syringomyélie avec phénomènes bulbaires et
troubles
trophiques intenses (4 pl., 2 fig.), par Raymon
ussy), XXXVII a XXXIX. Syringomyélie avec phénomènes bulbaires et
troubles
trophiques intenses (RAY- MOND et Lejonne), XLV
rvation. - Bracco Guiseppe, 19 ans. A 1 ans ont débuté ses premiers
troubles
: maux de tête, affaiblissement de la vue, ano-
ien cartilage épiphysaire du radius. J'interprétai ce fait comme un
trouble
d'hypercalcification des épiphyses. Il nous r
sque de développement des os longs doit être mis en rapport avec un
trouble
survenu dans l'activité sécrétrice de certaines
nes glandes et de la glande pituitaire en particulier. En effet, ce
trouble
serait dû à la calcification de l'hypophyse. 11 n
aire était séduisante, en effet, si l'on se rappelle quels sont les
troubles
que l'hypo- thyroïdisme peut amener dans le sen
ue le gigantisme infantile peuvent être secondaires uniquement à un
trouble
thyroïdien. Telle est la conclusion qui se déga
mation, mêmes détails somatiques) et chez lequel l'hy- pothèse d'un
trouble
hypophysaire n'est pas seulement soulevée. Les de
ypertrophiée et calcifiée. Il est donc logi- que d'admettre que les
troubles
du développement osseux survenus chez Michel, s
e rides nombreuses du visage et des mains. Il s'agit donc là d'un
trouble
général de tous les téguments et des glandes du
ais non abolis, de telle façon que l'on pourrait penser plutôt à un
trouble
réflexe qu'à une altération directe des glandes
ants, l'infan- tilisme apparaît d'une façon précoce, tandis que les
troubles
acroméga- liques seraient plutôt tardifs. En d'
Il resterait à expliquer quelles sont les causes qui produisent ce
trouble
étrangement caractéristique qu'est l'acromégali
qui veut que le gigantisme et l'acromégalie soient dépendants d'un
trouble
hypo- physaire. Toutefois j'ai cherché à démont
iologiques sur les géants. Paris, 1904. LAIGJOEL-L.\VASTIIOE. - Des
troubles
psychiques par perturbation des glandes à sécréti
e de la Salpêtrière 1895, * , n° 4. SUR LE CHÉT1VISD1E 27 qu'un
trouble
des fonctions de l'hypophyse en soit toujours dir
). On entend par dystrophies (5ùS) mal, et °pop'h, nourriture) « un
trouble
de la nutrition, localisé à un organe, à un sys
tion classique; mais il faut reconnaître qu'en général, ce sont les
troubles
de la nutrition ou plutôt du dévelop- pement d'
entend ? on le sait, une maladie caractérisée physiquement par des
troubles
delà; UN CAS 1)'ACHOiNbIlOPfASIE 33 nutrition
'ACHOiNbIlOPfASIE 33 nutrition et du développement du tissu osseux,
troubles
entraînant des déformations diverses du squelet
ute à leur adaptation à la mécanique générale du corps et non à des
troubles
intrinsèques comme c'est certainement le cas pour
collatéraux, comme on voit par son obser- vation. Les signes et les
troubles
qui seraient à considérer comme des stigmates d
t d'abord par la brièveté- de sa taille, 115 centimètres, et par le
trouble
caractéristique des proportions habituelles du
es limites ordinaires. Un simple calcul nous montre clairement le
trouble
des proportions normales du corps et prouve ci
te plus haut que d'ordinaire (Pierre Marie), ce qui crée un certain
trouble
de la forme de la région de l'articulation du g
existe aussi dans notre cas. La forme du thorax ne présente pas de
troubles
appréciables. Notons encore que les organes gén
nt qu'auparavant, il se tenait tout il fait droit. Il n'eut jamais de
troubles
d'urines ; toujours constipé Jamais sérieusemen
ble que du côté opposé, il y avait une constipation opiniâtre (sans
troubles
urinaires). Mais c'est trop peu pour se prononc
lumière. Les membres supérieurs et inférieurs ne présen- tent aucun
trouble
dans ces mouvements et dans la sensibilité. La fo
ullaires. Il nous faut surtout rappeler que le malade n'a pas eu de
troubles
urinaires ou de défécation. Malgré son état grave
lus faibles, surtout le gauche La fonction génitale est abolie, les
troubles
urinaires se sont installés. A l'exa- men du ma
rs fonl présumer que les racines sacrées sont restées intactes. Les
troubles
moteurs cadrent bien avec cette localisation.
presque pas de lésion des racines sacrées. D'autre part les faibles
troubles
dépendant de racines sacrées inférieures (absen
ubles dépendant de racines sacrées inférieures (absence d'érection,
troubles
urinaires) parlent en faveur de lésion de la qu
ette dernière supposition parle l'absence absolue de douleurs et de
troubles
sensitifs sur la face postérieure des jambes et
aires en de- hors du canal rachidien par une masse néoplasique. Les
troubles
urinaires minimes de même que les troubles plus
e masse néoplasique. Les troubles urinaires minimes de même que les
troubles
plus considérables dans la sphère gé- nitale pe
sie du périnée (bilatérale) tellement typique pour ces racines, les
troubles
de la fonction des sphincters vésical et anal, et
semaines le malade ne peut plus marcher. Depuis quelques semaines,
troubles
urinaires minimes (rétention d'urine de faible de
nimes (rétention d'urine de faible degré). Du côté du rectum pas de
troubles
. Pas de maladies dans l'anamnèse. Elat actuel.
membres inférieurs surtout du gauche. Depuis quelques semaines des
troubles
urinaires légers. Etat actuel. Les nerfs crân
mptômes apparurent peu à peu sans dis- continuer, en présentant des
troubles
toujours plus profonds. Le syndrome de Brown-Sé
doigts), hypoalgésie sur le tronc (plus notable du côté gauche) et
troubles
considéra- bles sur la jambe et le pied gauche
oubles considéra- bles sur la jambe et le pied gauche (à droite les
troubles
seulement sur les doigts). La sensibilité therm
ment ; dans le premier cas nous voyons une para- lysie flasque avec
troubles
profonds des sphincters, avec perte des réflexes
appellent ceux qu'on observe au cours de la carie vertébrale. Les
troubles
trophiques (herpès) et vasomoteurs (oedème) survi
mbres inférieurs, sans affaiblissement de la force musculaire, sans
troubles
sensitifs ou sphincte- riens ; à côté des doule
imprimées à la colonne vertébrale parlent en faveur du cancer. Les
troubles
trophiques de la peau et le zona parlent en fav
décompression radiculaires peuvent apparaître sans qu'il y ait des
troubles
du côté de l'os ou de la moelle épinière (Bruns).
nique simule entièrement celui d'une tumeur vertébrale maligne avec
troubles
mé- dullaires et où l'autopsie démontre qu'il y
ion chimique et dynamique sur la cellule nerveuse et provoquent des
troubles
dans son fonctionnement, sans produire toutefois
t atteint comme les extenseurs et ce signe, joint à la présence des
troubles
de la sensibilité des extrémités, aurait au besoi
TIVE DU SYSTÈME NERVEUX ASSOCIATION DE L'IDIOTIE,'DE L'AMAUROSE, DE
TROUBLES
MULTIPLES BULBO - PROTUBÉRANTIELS ET DE L'ATROP
peu de temps. Jamais aucun membre de sa famille n'avait souffert de
troubles
nerveux plus ou moins analogues à ceux de ses f
e divergent. - Défaut de convergence et d'accom- modation. Légers
troubles
bulbo-prolubéranliels (facial-hypoglosse) Aucun t
on. Légers troubles bulbo-prolubéranliels (facial-hypoglosse) Aucun
trouble
du côté des autres sens spécifiques. Aucun trou
ypoglosse) Aucun trouble du côté des autres sens spécifiques. Aucun
trouble
dans la sphère cérébelleuse. Atrophie muscula
ère, elle se fâchait facilement avec tout le monde. A 13 ans, les
troubles
paralytiques dus à l'atrophie musculaire avaient
s tendineuses débutaient aux extrémités inférieures. Les premiers
troubles
visuels n'auraient commencé que plus tard, c'est-
oter qu'en même temps que la vue baissait, il se serait produit des
troubles
paralytiques dans les muscles extrinsèques des ye
n. Les ongles sont profondément rongés ; ils présentent en plus des
troubles
trophiques évidents; toute la main est cyanosée
et aux'pieds, la peau se présente rouge, cyanosée et froide. Les
troubles
trophiques des téguments des extrémités inférieur
Atrophie complète bilatérale de la papille avec amaurose complète.
Troubles
dans les mouvements associés des globes oculaires
des yeux. Diminution des autres sens spécifiques (goût, odorat).
Troubles
bulbo-prolubérantiels à la charge des nerfs facia
à-dire quelques années plus tôt que chez la soeur, débutè- rent les
troubles
visuels. Actuellement Aurélie est complètement av
nte des masses musculaires. Il est très important à relever que les
troubles
trophiques qui semblent s'ar- rêter au tiers mo
tuelle en train d'évoluer. Parole lente, monotone (bmdylalie), avec
troubles
graves dans la prononciation. Atrophie assez av
à l'accommodation parfaitement conservés. Convergence bonne. Aucun
trouble
des autres sens spécifiques. Troubles bulbo-pro
és. Convergence bonne. Aucun trouble des autres sens spécifiques.
Troubles
bulbo-protubérantiels ( ? ), sialorrhée, rire tra
des réflexes osseux. Atrophie musculaire débutant par les mains.
Troubles
trophiques en train d'évoluer. Contractions fib
mmencé à peu près à celle époque. Ce qui est certain, c'est que les
troubles
visuels sont apparus les derniers. Etat actue
déjà relevée chez ses soeurs. Elle présente à l'état d'ébauche les
troubles
psychiques qui chez Marguerite et chez Aurélie
au toucher aucune trace d'hypertrophie des troncs ner- veux. Les
troubles
vasomoteurs et trophiques sont déjà assez accusés
ALE 121 Tous les mouvements passifs sont complètement libres. Les
troubles
trophiques chez Elisabeth sont encore à peine éba
ésentent pas ce degré excep- tionnel d'atrophie des téguments et de
troubles
vasomoteurs que nous avons relevé chez les deux
ychique, l'amaurose, le strabisme, le nystagmus, la bradylalie, les
troubles
de la déglutition et l'atrophie des membres, so
cot-Marie. Je dis ceci, non seulement à cause de la topographie des
troubles
tro- phiques des extrémités, mais encore en rai
hette à l'avant-bras et en jarretière à la cuisse. Aux jambes les
troubles
trophiques sont plus accusés dans le tibia anté
particulière de la jambe de coq (Sainton). ' On connaît de même les
troubles
vasomoteurs très caractéristiques que l'on renc
rétractions tendineuses, rien n'y manque jusqu'à la disposition des
troubles
vasomoteurs, au caractère des altérations de la
rme Charcot-Marie, peuvent être résumés de la façon suivante : le
Troubles
visuels constitués par l'atrophie primitive de la
lle avec amaurose plus ou moins avancée (symptôme de Vizioli). 2°
Troubles
bulbo-protubérantiels caractérisés par l'anosmie,
r certaines altérations particulières de l'équilibre statique. 3°
Troubles
dans le domaine du caractère et dans la sphère in
u caractère et dans la sphère intellectuelle, 126 BERTOLOTTI 4°
Troubles
de la réflectivité profonde avec exagération de c
rt jusqu'ici d'une importance clinique secondaire. Parmi tous les
troubles
atypiques de l'amyotrophie Charcot-Marie, les p
de Vizioli il y avait une atro- phie localisée aux extrémités, avec
troubles
trophiques, troubles vasomo- teurs, abolition d
une atro- phie localisée aux extrémités, avec troubles trophiques,
troubles
vasomo- teurs, abolition des réflexes tendineux
tions de l'équilibre statique, des contrac- tions fibrillaires, des
troubles
des réactions électriques, des troubles de la s
ac- tions fibrillaires, des troubles des réactions électriques, des
troubles
de la sensibilité objective à la périphérie des
oir une valeur pathognomonique. On a confondu un peu en réalité les
troubles
oculaires de l'amyotrophie Charcot-Marie avec l
lité les troubles oculaires de l'amyotrophie Charcot-Marie avec les
troubles
oculaires de la névrite hypertrophique de Dejer
arolo (2). Il y aurait donc une systématisation différente dans les
troubles
ocu- (1) DEJERl ! OE et SoTTAS, Névrite interst
peut retrouver dans la forme Charcot-Marie. En ce qui concerne les
troubles
bulbo-protubérantiels quel'onpeutobser- ver d'u
s la forme spino-névritique de Charcot- Marie, il faut rappeler les
troubles
de la déglutition. La dysphagie, bien que rare,
s masticateurs à l'a- trophie et enfin il faut encore ajouter à ces
troubles
d'ordre bulbo-protubé- rantiel, des altérations
extrême- ment grave; il en est de la déchéance psychique comme des
troubles
visuels, (1) DUDREUILH, Sur quelques cas d'atro
asmodique constatée chez l'une de mes malades (observation II), les
troubles
bulbo- protubérantiels, les paralysies oculaire
l est certain que dans mes trois observations les tremblements, les
troubles
de la synergie musculaire, les altérations de l
majorité des cas, toutes ces altérations se réduisent à des légers
troubles
anesthésiques des extrémités. Des altérations s
e termes, il s'agissait vraiment d'une dystrophie consécutive à des
troubles
médullai- res et névri tiques. J'ajouterai en
e de la papille, les alté- rations des autres sens spécifiques, les
troubles
trophiques et les troubles intellectuels, bien
rations des autres sens spécifiques, les troubles trophiques et les
troubles
intellectuels, bien que d'une façon exceptionne
ver un cortège des symp- tômes tabétiformes (douleurs, anesthésies,
troubles
trophiques, troubles de l'équilibre, etc.), qui
mp- tômes tabétiformes (douleurs, anesthésies, troubles trophiques,
troubles
de l'équilibre, etc.), qui sont là pour démontr
TRAUMATISME CRANIEN, ÉPILEPSIE JACKSONIENNE, MÉLANCOLIE DÉLIRANTE,
TROUBLES
'I'ROPHIQUES; GUÉRISON. -- - PAR - L.MARCHA
e la paralysie est survenue à un âge plus jeune. Chez l'adulte, les
troubles
trophiques d'origine cérébrale, sans être très
teurs et mentaux apparus à la suite d'un traumatisme crâ- nien, des
troubles
trop.hjques de la main d'origine cérébrale ont ab
tié droite de la face et du bras droit ; M. A. resta aphasique. Ces
troubles
persistèrent pendant cinq jours, puis les mouveme
usieurs essais le mot « omelette » (fig. 1). Les mois suivants, les
troubles
s'atténuèrent progressivement ; cependant Fic.
1 TRAUMATISME CRANIEN, ÉPILEPSIE JACKSONIENNE 137 il persista des
troubles
de la mémoire des mots et des troubles de l'écrit
SONIENNE 137 il persista des troubles de la mémoire des mots et des
troubles
de l'écriture. L'urine examinée régulièrement t
le sont conservés. Les sensibilités profondes sont intactes. Pas de
troubles
de l'ouie, de la vue, du goût et de l'odorat. Le
dation ; la pupille gauche est plus dilatée que la droite. Pas de
troubles
de l'audition verbale et de la vision verbale. La
de sucre. Le traitement ioduré est ordonné de nouveau. 28. Mêmes
troubles
mentaux et physiques. Les réflexes patellaires so
épaule droite ; parésie du bras droit et de la jamhe droite. Pas de
troubles
de la sensibilité objective. Les troubles de la
e la jamhe droite. Pas de troubles de la sensibilité objective. Les
troubles
de la parole sont les mêmes que ceux observés à
uver de fortes douleurs dans tout le membre supérieur droit. Pas de
troubles
de la sensibilité objective. 9. La main droite
mais immortelle comme lui. Au point de vue physique on constate les
troubles
suivants : la sensibilité tactile et douloureus
lles persistent pendant le sommeil, mais sont moins accusées. Les
troubles
de la parole sont exactement les mêmes que ceux q
us avons constatés au moment de l'entrée du malade à l'asile. Les
troubles
trophiques se sont accentués. Les articulations d
ore du tremblement intentionnel. Les douleurs sont moins vives. Les
troubles
tro- piques sont stationnaires. Mêmes idées mél
met plus d'idées de négation et d'immortalité. 20 janvier 1904. Les
troubles
mentaux sont en voie de disparition. Les douleu
u niveau des articulations. 27 février. M. A. ne présente plus de
troubles
mentaux ; il persiste seulement un affaiblissem
; il persiste seulement un affaiblissement léger de la mémoire. Les
troubles
paralytiques et trophiques sont très améliorés.
, M. A. sur notre demande se soumet à notre examen. Nous notons les
troubles
suivants. Un léger affaiblissement de la mémoire
aux, Le réflexe patellaire est absenta gauche, faible à droite. Les
troubles
trophiques sont en partie disparus, mais il per
ne durée d'une heure. Maux de tête les jours suivants sans au- tres
troubles
. Douze jours après l'accident, engourdissement du
e et Nouvelle Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE. T. XXIII. PI. XIV
TROUBLES
TROPHIQUES D'ORIGINE CÉRÉBRALE (Marchand) Mas
s, absence de sucre dans les urines. Dans la suite, disparition des
troubles
paralyti- ques,mais persistance des troubles de
suite, disparition des troubles paralyti- ques,mais persistance des
troubles
de la mémoire des mots et des troubles de l'écr
i- ques,mais persistance des troubles de la mémoire des mots et des
troubles
de l'écriture ; la parole est légèrement scandé
s d'immortalité, un délire d'énormité. Cinq mois après le début des
troubles
mentaux, douleurs violentes localisées à l'articu
on scapu- lo-humérale, parésie du bras droit et de la jambe droite,
troubles
trophi- ques des articulations et de la peau de
des secousses convulsives localisées au membre supérieur droit; les
troubles
trophiques s'accentuent. Dans la suite, améliorat
s'accentuent. Dans la suite, amélioration lentement progressive des
troubles
paralytiques, trophiques et mentaux. Dix mois a
es paralytiques, trophiques et mentaux. Dix mois après le début des
troubles
mentaux, il ne persiste plus qu'un léger affaib
iblissement de la mémoire et une légère scansion de la parole ; les
troubles
trophiques sont limités au médius droit. Les di
nsuite une nouvelle phase pendant la- quelle il ne persista que des
troubles
de la mémoire des mots et des trou- bles de l'é
matisme crânien qu'apparut une succession d'accidents consistant eu
troubles
psychi- ques, paralytiques, convulsifs et troph
tre considéré comme guéri. La lésion cérébrale, cause de ces divers
troubles
, est difficile à préci- ser. D'après l'évolutio
apport avec une lésion de nature inflammatoire. La prédominance des
troubles
sensitifs, paralytiques, convulsifs et trophiqu
divers symptômes s'accorde avec cette hypothèse. La pathogénie des
troubles
mentaux est plus obscure. Ceux-ci n'ont débuté
ations que nous avons rencontrées chez plusieurs sujets atteints de
troubles
mentaux aigus. A cette inflammation cérébrale dif
ès d'é- pilepsie jacksonienne et qui plus tard se traduisit par les
troubles
moteurs, convulsifs et trophiques du bras droit
nnel chez l'adulte de voir une lésion corticale don- ner lieu à des
troubles
trophiques aussi localisés et aussi prononcés que
d'affaiblissement de la vue et de bourdonnement d'oreilles ; pas de
troubles
intellectuels.Des crises avec chute et perle de c
lexes rotuliens étaient exagérés. L'auteur admet comme cause de ces
troubles
une lésion corticale très superficielle. De n
e celle de M. André, il ressort nette- ment que, chez l'adulte, des
troubles
cutanés et articulaires graves peu- vent être s
difformité des doigts. \1) ANDBÉ, Cas d'épilepsie jacksonienne avec
troubles
trophiques graves. Congrès de Toulouse, 1897, v
e des membres inférieurs est devenue flasque ! ,le 26 sep- tembre),
troubles
sensitifs aux membres inférieurs et dans la moiti
ent et croissaient par accès. Les sphincters ne présentaient pas de
troubles
. Eschare sacrée ; les mem- bres inférieurs et l
membres supérieurs ni les inférieurs ne présentent d'oedèmes. Les
troubles
sensitifs consistent en ce que la malade sent moi
actile et douloureuse est affaiblie. Au membre supérieur gauche les
troubles
sensitifs se localisent surtout du côté radial.
e, à droite l'épi est présent quelquefois, l'hypogastrique manque).
Troubles
sensitifs (tactiles : sur les pieds et les jambes
TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 163 avec
troubles
urinaires. Depuis, le tableau clinique ne présent
l'hôpital c'est-à-dire onze mois après le début de la maladie, les
troubles
urinaires ont commencé et l'affaiblissement des
e quelques nerfs en particu- lier. Des atrophies musculaires et des
troubles
sensitifs diffus ou limités à la région de cert
urs et le tronc. Simultanément ou un peu plus tard apparaissent les
troubles
sensitifs (affaiblissement, abolition), urinair
s. Quelquefois on voit des rémissions (Kollarits). Apparaissent les
troubles
sphinctériens, les eschares et la mort. Dans un
a décrit un cas simu- lant la polioencéphalite subaiguë (diplopie,
troubles
de déglutition et de mastication, douleurs des
certaines substances toxiques produites par la tumeur causaient les
troubles
médullaires. Les lésions médullaires nées à dis
ésions il arrive à la con- clusion que la plupart du temps c'est le
trouble
circulatoire lymphatique provoqué par la compre
ux lymphatiques de la moelle même. Mais elles peuvent engendrer des
troubles
circulatoires dans la moelle et comme suite de
rer des troubles circulatoires dans la moelle et comme suite de ces
troubles
, des lésions en foyers et diffuses. Quanta la d
ésions du tissu nerveux doivent être expliquées de la même manière (
troubles
dans la circulation lymphatique et san- guine).
faciles à démontrer ? 2° Est-il possible d'attribuer la priorité au
trouble
psychique ou à la lésion organique dans la genè
maladies mentales, on souleva dès lors la question de priorité des
troubles
psychiques où des lésions histologiques. Nous e
ce soit une modification passagère dans le chimisme cellulaire, un
trouble
dynami- que ou une altération plus profonde et
modifications physico-chimiques de la substance cérébrale ou qu'un
trouble
psychique est constamment lié à la lésion d'une
en présence de coupes provenant de cerveaux d'individus atteints de
troubles
psychiques chroniques, chez lesquels l'affectio
servons au microscope sont- elles bien l'image réelle et fidèle des
troubles
qui provoquent ou accom- pagnent une psychose ?
elconque (idées délirantes, hallucinations, etc., etc.). - 7° Les
troubles
fonctionnels les plus légers et les plus fugaces
plus fugaces sont certainement conditionnés ou accompagnés par des
troubles
correspondants dans les échanges nutritifs et p
nt la deuxième question. Est-il possible d'attribuer la priorité au
trouble
psychique ou ci la lésion anatomique dans la ge
u ci la lésion anatomique dans la genèse des psychoses ? C'est le
trouble
psychique qui est primaire, disent les uns, c'est
iers venus, attachent une importance considérable à la priorité des
troubles
psychiques dans la genèse des psychoses. Ils so
iés. Ce phénomène est en quelque sorte l'analogue de la tuméfaction
trouble
du parenchyme du rein ou des autres organes du
ion et LA BASIC -4NA['ONIIQUE DES PSYCHOSES 193 conséquemment,les
troubles
organiques ont précédé l'apparition des symp- t
éléments cellulaires en modifiant leur formule bio-chimique par le
trouble
qu'apporte la toxine dans les échanges nutritifs
il donner la priorité aux processus anatomiques ou au contraire aux
troubles
psychologiques ? '¡ 196 LADAME En dépit des a
ent au point de vue pathogénique que la priorité soit attribuée aux
troubles
psychiques plutôt qu'aux lésions or- ganiques.
ndérant; déjà 11'Ieinert avait étudié et dé- montré l'influence des
troubles
de la circulation du sang dans le cerveau sur l
tion locale. Outre ceci, le sujet présentait au plus haut degré les
troubles
vasomoteurs, des rougeurs in- tenses ou la pâle
ovoquer l'apparition des deux dermographismes sont sujets aussi aux
troubles
vaso-moteurs, tels que l'état cyanotique des ma
- percherie consciente et plus ou moins volontaire les oedèmes, les
troubles
trophiques, la fièvre que l'on croyait autrefoi
ie ; 3° que cette maladie était également incapable de produire des
troubles
viscéraux tels que hémoptysies, hématémèses, héma
sies, quelques contractures, certains mouvements anormaux, quelques
troubles
de la sensibilité. Ce démembrement de l'hystéri
mands, Bade, 1891. DE L'HYSTÉRIE TRAUMATIQUE 20a hies trophiques,
troubles
organiques... il ne nous avait jamais été donné
mpu- ter le bras, une simulation consistant à faire passer pour des
troubles
tro- phiques des ulcérations dues à l'applicati
ent en y ajoutant de son crû, presque toujours en l'exagérant, d'un
trouble
, dont évidemment il méconnaît la nature. Cepend
ents anormaux, des anes- thésies, des hyperesthésies, peut-être des
troubles
psychiques. 1° Les crises. Les crises, assez ra
t des plis cutanés.... 2° La volonté est impuissante à produire des
troubles
trophiques ou vaso-moteurs : Dans la paralysie
inactivité ; ni modification des réactions élec- triques ; ni aucun
trouble
de la nutrition des tissus. 3° La volonté est i
onnement un peu trop simpliste, l'hystérique s'imagine que les deux
troubles
doivent aller de pair. , 3° Les contractures
e rotulien ; une contracture des deux membres inférieurs sans aucun
trouble
des sphincters ; une contracture du membre supéri
disparaît dans le sommeil, soit naturel, soit anesthésique. 4° Les
troubles
de la sensibilité. En dehors de ces hyperesthésie
avail, puisque leur caractère est précisé- ment de n'apporter aucun
trouble
. En quelques années, ils auront disparu de la s
enquête pour son accident du travail. Il présentait entre autres le
trouble
suivant : pendant la marche, la cuisse gauche é
lade exagère et c'est ce qu'il devra mettre dans son rapport. LES
TROUBLES
MENTAUX DANS LA LÈPRE L'ÉTAT PSYCHIQUE HABITUEL
de l'Hôpital Saint-Louis Ancien interne Médaille d'Or. L'étude des
troubles
mentaux dans la lèpre a été une des parties les
nt avoir eu que de rares occasions d'observer jus- qu'à présent des
troubles
psychiques au cours de cette maladie. Dans les
découragement, l'expression de tristesse, la tendance à la solitude,
troubles
observés depuis la période d'in- vasion jusqu'à
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.. . T. XXIII. Pl. XVIII LES
TROUBLES
MENTAUX DANS LA LEPRE (de Beurmann et Govaerot)
Govaerot). Masson & Cie, Editeurs. Phototypte Berthaud LES
TROUBLES
MENTAUX DANS LÀ LÈPRE 221 nullement ; ils ne
oin, et même lorsqu'il est abandonné à son sort, ne manifeste aucun
trouble
mental dépressif. Au moment de l'invasion de la
nt là des notions importantes car elles éclairent la pathogénie des
troubles
mentaux et des psychoses que l'on peut observer c
que loxémique sui- vant l'idée pathogénique que l'on se fait de ces
troubles
. Ce syndrome était caractérisé, disions-nous :
39 et 254, Lepra, 1906, vol. '1, fasc. 2 et 4, p. 107 et 231. LES
TROUBLES
MENTAUX DANS LA LEPRE 223 de Janet, insidieuse,
t mental anté- rieur habituel des lépreux européens. Les études des
troubles
mentaux chez les lépreux, qui ont si peu attiré
ué à la périphérie, parfois presque dans son squelette. Ce sont des
troubles
secondaires. L'état des centres, voilà ce qui e
ement en Sicile. Arrivé à l'âge d'environ 38 ans, il fut atteint de
troubles
intestinaux avec douleurs, constipation et fièv
apporté que la grossesse a évolué normalement ; que s'il y a eu des
troubles
, ils se sont manifestés dans les dernières péri
cé à grossir pour arriver au volume actuel. Et cela sans le moindre
trouble
morbide, c'est-à-dire sans aucun de ces caractère
ec les caractères du goitre exophtalmi- que ; on ne constate pas de
troubles
cardiaques ; pas de tremblement, pas de trouble
ne constate pas de troubles cardiaques ; pas de tremblement, pas de
troubles
gastro-intestinaux; pas d'amaigrissement (au cont
sme est causé : 1° par un dérangement local du squelette; 2° par un
trouble
général delà nutri- tion. Au premier groupe app
déterminer un accrois- sement des os chez les individus jeunes; des
troubles
intestinaux (entéro- colites) peuvent déranger
tant de sa conformation même. Il paraît désormais acquis que des
troubles
digestifs peuvent aboutir à cette affection mor
asie foetale. L'Obstétrique, 1908, ne 4, p. 392. ' J. et R. Voisin.
Troubles
de l'ossification dans le myxoedème et Pachondrop
térioscléreuses. Pas de veines variqueuses. Système nerveux : Aucun
trouble
objectif de sensibilité ; les nerfs super- fici
mollisse- ments) qui sont, dans certains cas, capables d'amener des
troubles
tro- phiques. Et il faut en plus noter que les
a paralysie du facial droit, de l'hypoglosse et des extrémités, des
troubles
de la vue et une hypoesthé- sie partielle dans
ie, quelques mois après, malgré un traitement mercuriel intense, de
troubles
du labyrinthe, de céphalée, de vertige et neuf
mois après, fut pris de céphalée, d'hémiplégie totale droite et de
troubles
de la parole. Deux mois [après, les symptômes p
manifesta des douleurs aux membres de droite, des dysarthries, des
troubles
psychiques, et mal- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR
chez lui. Mais, deux mois plus tard, il revint à l'hôpital avec des
troubles
des nerfs céré- braux de droite (ophtalmoplégie
céré- braux de droite (ophtalmoplégie partielle, baisse de l'ouïe,
troubles
de la vue). Malgré un traitement énergique, le
ions de sublimé, au calomel et au iodure de po- tassium. Les autres
troubles
ne subirent pas de changement. Il vint s'y ajou
nche du trijumeau de gauche pour toutes sortes de sensibilités, des
troubles
de la parole, confusion, voix faible, marche impo
e intense. Le 5 février 1897, elle eut un ictus incomplet, avec des
troubles
de la parole, et suivi d'une hémiparésie qui, l
cé- phalée, une parésie du facial et de l'hypoglosse de gauche. Ces
troubles
s'améliorèrent après une cure spécifique. Malgr
miplégie gauche. Un mois plus tard, nouvelle attaque d'apoplexie et
troubles
psychiques. A la fin, carie du processus mastoï
nt à l'état normal. Membre supérieur droit. L'on ne remarque pas de
troubles
trophiques. Circonférence du bras, à la centimè
s opposent une résistance plus grande que la normale. Pas de grands
troubles
dans la marche. On XXIII 20 Fio. 1, - Montre
ntre pas préoccupé ; il semble même qu'il n'a pas conscience de ses
troubles
mentaux, tandis qu'il attache une grande import
par terre sans aucune préoccupation et sans boute. Le fait que ces
troubles
sont épisodiques ferait penser à des crises de
r les lésions osseuses, mais elle n'a pas en- travé la guérison des
troubles
nerveux. » Les photographies (pl. XXXIII et sui
rsale moyenne; 10 à 11 mois avant la mort, étaient apparus quelques
troubles
de la motilité, avec exa- gération des réflexes
s. La trépida- tion épileptoïde des pieds se voit de deux côtés.Les
troubles
sensitifs de même. Il n'y pas de zone d'hyperes
A l'autopsie on constata macroscopiquement les méninges ramollies,
troubles
. Examen microscopique. - La coupe de la moelle
ieurs et de l'abdomen. En même temps, affai- blissement des jambes.
Troubles
urinaires et troubles du côté du rectum. Trois
En même temps, affai- blissement des jambes. Troubles urinaires et
troubles
du côté du rectum. Trois semaines avant l'opéra
membres inférieurs, le droit était plus faible que le gauche ; les
troubles
sensitifs dans la partie inférieure de l'abdomen
elques jours après l'opéralion. Dans la moelle on constata un léger
trouble
des méninges molles. L'exa- men microscopique d
lissement desmembres inférieurs surtout de celui du côté droit, les
troubles
sensitifs allant jusqu'à une li- mite nette sur
on de la tumeur pouvait également être déterminée ave facilité. Les
troubles
sensitifs indiquaientque(suivantla loi de Sherrin
s se paralysent de plus en plus, et tout à fait au début, quand les
troubles
sensitifs s'installaient à peine, la para- lysi
caractère nettement spastique. Dès ce moment aussi on nota que les
troubles
moteurs prédominaient du côté droit, les sensitif
he était devenue tout à fait impossible et la limite supérieure des
troubles
sensitifs atteignait la VIIIe côte en avant et le
iques ne présentent pas un élargisse- ment évident. Dans ce cas les
troubles
circulatoires consistaient en une stase sanguin
uscles ad et abducteurs de la cuisse et extenseurs du genou gauche.
Troubles
sensitifs : à gauche le toucher, la douleur, le
entis du tout, excepté au pied où la sensibilité est affaiblie (ces
troubles
envahissent les membres inférieurs et l'abdomen à
e de mercure. 17 novembre. - La paraplégie reste dans le même état;
troubles
sensitif$ 324 4 1 FLATAU comme au début. La m
s en masse, ni ceux de l'articulation du genou et de la cuisse. Les
troubles
sensitifs atteignent en avant t jusqu'à l'épiga
e et des crampes douloureuses des mollets. Quelques mois plus tard,
troubles
urinaires et constipation. Neuf mois avant l'op
phénomène de Babinski bilatéralement, ré- flexes abdominaux abolis.
Troubles
du côté de la vessie et du rectum. Immédiatemen
us touché que le droit. Il nous paraissait pourtant étrange que les
troubles
sensitifs fussent plus considérables du même cô
le tissu en partie en désagrégation. Ce phénomène a pour cause les
troubles
circulatoires, c'est-à-dire les troubles proven
phénomène a pour cause les troubles circulatoires, c'est-à-dire les
troubles
provenant de la compression ou de la méningite pu
deux hanches et des douleurs dans le sacrum et le côté gauche c Les
troubles
urinaires (difficulté d'uriner) datent de quelque
s prononcées dans la jambe gauche. Des crampes dans les jambes. Les
troubles
moteurs et sensitifs sont les mêmes. Le sens des
tres abdominaux abolis. Elle urine difficilement. Constipation. Les
troubles
sensitifs sont les mêmes. Le maximum de douleur
nière est un peu aplatie et amincie. Les méninges molles légèrement
troubles
dans le portion proximale. Nulle part des adhér
fs encore, mais moins vifs qu'aupara- vant. Babinski bilatéral. Les
troubles
sensitifs sont les mêmes. Une grande escarre su
constata que la Ve vertèbre dorsale élaitla plus dou- loureuse. Les
troubles
sensitifs à droite dépassaient la ligne ombilical
e transforma en paralysie complète, l'hypertonicité musculaire, les
troubles
sensitifs profonds et franchement délimités, to
scu- laire, affaiblissement suivi de paralysie complète des jambes,
troubles
urinaires et de la défécation, anesthésie des j
rs localisés dans les cordons latéraux; de même l'anesthésie et les
troubles
profonds des sphincters ne pouvaient pas être m
e est minime dans l'oeil droit, abolie dans le gauche. Pas d'autres
troubles
dans le fonctionnement des nerfs crâniens. Me
ntra insensible). Jamais de traces de Brown-Sequard. En général les
troubles
moteurs n'ont pas eu le caractère d'origine médul
es moteurs n'ont pas eu le caractère d'origine médul- laire. Pas de
troubles
du côté de la vessie et du rectum. Sous l'inlluen
ètre de volume, nous ont bien étonné au cours de l'autopsie, vu les
troubles
minimes constatés pendant la vie. Ce n'est que
s dans la théorie du pithiatisme est la ' question de savoir si les
troubles
vasomoteurs, circulatoires et trophi- ques, peu
tachés à l'hystérie ; certains auteurs admettent l'existence de ces
troubles
d'ori- gine hystérique, contrairement à l'opini
riences faites sur un malade atteint d'hystérie grave, chez qui les
troubles
trophiques ont été reproduits il y a quelques ann
on môme. - Conclusions : La suggestion n'a aucune influence sur les
troubles
cir- culatoires, trophiques, thermiques. Si l'o
actement re- produits par la suggestion », on peut soutenir que ces
troubles
(cir- culatoires, trophiques, etc.) ne peuvent
rétés. L'émotion n'a pas l'action qu'on lui prête sur la genèse des
troubles
hystériques ; sur ce point, comme sur d'autres le
ichie A... Notes cliniques. 60 ans, hémiplégie droite complète avec
troubles
de la sensibilité et psychiques. Durée de la mala
liniques. 60 ans, hémiplégie droite complète avec aphasie totale et
troubles
de la sensibilité. Examen macroscopique. Foyer
e et dans la dernière année de sa vie il en a eu un second suivi de
troubles
de la parole. Il pouvait marcher soutenu. Exame
exitus il a un second ictus suivi d'hémiplégie gauche complète avec
troubles
intenses de la sensibilité. Examen macroscopiqu
cond ictus, suivi d'une parésie droite et d'une dysarthrie intense,
troubles
de la déglutition, rire et pleurer spasmodiques
d'hémiparésie droite. La malade qui pouvait marcher présentait des
troubles
intellectuels. Durée de la maladie : 3 ans. E
5 ans ; second ictus 2 ans avant l'exitus. Dysarthrie très accusée,
troubles
de déglutition, rire et pleurer spasmodiques ; ne
vec atrophies intenses aux mem- bres supérieurs ainsi que de grands
troubles
bulbaires ; il est mort suffoqué après trois an
et en général, dans les cas de sclérose latérale amyotrophique avec
troubles
bulbaires, les membres supérieurs étant égaleme
de avec les figures que j'ai données autrefois (1) en décrivant les
troubles
moteurs produits chez deux épilep- (1) MARINIOE
rn, IIead,les naevi présentant un défaut de superposition entre les
troubles
trophiques et les régions nerveuses, ainsi que Br
évrites, les premiers dus à une lésion vasculaire, les seconds à un
trouble
trophique, étant entendu d'ailleurs que les neevi
rs territoires ner- veux ; il y a défaut de superposition entre les
troubles
trophiques et les régions nerveuses. Ici, sembl
an- glion. Ces données nous permettent de comprendre pourquoi les
troubles
tro- phiques s'observent uniquement dans les zo
s. Mais comment une lésion du nerf sensitif nous explique-t-elle un
trouble
trophique ? Chez l'adulte, la théorie de Marine
'influx nerveux apporté à ces cellules par des neurones altérés, le
trouble
trophique se produit, ainsi que je l'ai montré
onditions, nous comprenons très simplement le retentisse- ment d'un
trouble
sympathique embryonnaire sur la trophicité des dé
segmen- taire, et réagiront par conséquent à la périphérie par des
troubles
trophi- ques segmentairement distribués. Mais
e le protoneurone centripète et la moelle. Et alors le mécanisme du
trouble
trophique peut se produire par transmission aux c
rouverions ici le même mécanisme déjà étudié à l'égard de cet autre
trouble
trophique de la vie adulte qu'est l'arthropathi
écurrent dans le neurone centripète. Ou bien, d'autre part, ce même
trouble
trophique pourrait s'expliquer par une lésion i
e s'étendent à toutes les couches sus-jacentes. Mais s'il existe un
trouble
de l'organe nerveux de ces territoires cutanés
l'organe nerveux de ces territoires cutanés en voie de conjonction,
trouble
capable d'altérer la trophicité, selon les cond
ifférenciation, pourront être dans certains cas le siège électif du
trouble
trophique. Ainsi peuvent s'expliquer des dispos
ieuse légère, trop bénigne pour interrom- pre la grossesse ; ou des
troubles
gastro-intestinaux si fréquents chez la femme e
èrent presque sans effet. Depuis lors, la patiente n'a plus noté de
troubles
, en dehors de ceux que nous venons de rapporter.
mieux accomplis par la moi- tié droite du voile du palais. Aucun
trouble
dysarthritique, ni dysphasique, ni dysphonique. B
ométrie : D. 12, G. 12. Les membres supérieurs ne présentent pas de
troubles
ataxi- ques ou diadococinésiques. Les mouveme
frappe légèrement les talons, et a tendance à lancer les pieds. Ces
troubles
s'accentuent lorsque la déambulation est accompli
chilléens,l'ataxie statiqueet dynamique des membres inférieurs, les
troubles
de la sensibilité à type principale- ment radic
abolition des réflexes rotuliens et achilléens, et l'absence de ces
troubles
de la parole qui sont caractéristiques de la ma
IES TABÉTIQUES DE LA COLONNE VERTÉBRALE 421 myélie, l'existence des
troubles
.de la sensibilité tactile et dolorifique à typ
adiculaire et non à type segmentaire ou désassocié, et l'absence de
troubles
moteurs et trophiques à charge des membres. . .
à la pression des troncs périphériques, la manière de marcher, les
troubles
recto-vésicaux, etc. Ce qui, au contraire, me p
ner l'exposé du cas par moi observé, en fai- sant remarquer que les
troubles
se sont montrés, chez notre malade, brus- DES A
es mouvements des doigts et des mains sont un peu maladroits. Aucun
trouble
de la sensibilité tactile, ni anestbésie, ni hypo
bilité à la température est normale. Il n'existe nulle part d'autre
trouble
trophique : pas de varicosités superficielles,
u ses mains devenir livides; pas de crises d'asphyxie locale. Ces
troubles
ont débuté au moment même de la ménopause : à 45
tre malade, la preuve réelle de la relation du trophoedème avec des
troubles
ovariens est-elle encore à faire ; cette relati
udée. Les réflexes, tendineux et cutanés,sont normaux ; il n'y a ni
troubles
seusi- tifs, ni troubles sphinctériens. L'appét
neux et cutanés,sont normaux ; il n'y a ni troubles seusi- tifs, ni
troubles
sphinctériens. L'appétit est depuis un an environ
ins jours même refuse toute nourriture. Il n'existe cependant aucun
trouble
digestif. L'état mental est celui d'un enfant :
s. Quelques semaines après les premiers symptômes, apparaissent des
troubles
peu consi- dérables du côté de la vessie et du
membre supérieur droit et au-dessus jus- qu'à la liane ombilicale.
Troubles
du sens des attitudes dans les orteils du côté
ec un bon résultat), Medycynn, 1908. 458 FLATAU tique complète.
Troubles
sensitifs assez symétriques jusqu'au IIIe espace
Les réflexes tendineux ne se sont pas affaiblis après l'opération.
Troubles
sphinctéripns. Un mois après l'opéra- tion, la
bre supérieur gauche, surtout la main, est plus faible que le droit.
Troubles
sensitifs da le membre inférieur droit. 2 mois
ents dans le membre supérieur gauche. En ce moment, on constate des
troubles
sensitifs depuis les mame- lons vers le bas et
rière depuis les IlI°,IVe jusqu'aux XIe, ELLE segments dorsaux. Les
troubles
de la sensibilité douloureuse sont moins pro- n
. Aux membres supérieurs, la sensibilité tactile est conservée. Les
troubles
de la sensibilité douloureuse arrivent en arrière
'analgésie se porte également sur le membre gauche supé- rieur. Les
troubles
de la sensibilité thermique s'élèvent encore plus
e la moelle. Par suite de la compression toujours croissante et des
troubles
circulatoires consécutifs, survient la période
s de Oppenheim et Bruns, les muscles atrophiés ne présentent pas de
troubles
de réaction électrique. Dans nos cas il n'y ava
lité dans les deux membres inférieurs, mais d'un côté prévalent les
troubles
sensitifs, de l'autre les moteurs du type Brown-S
ervé un phénomène étrange : l'affaiblissement de la motilité et les
troubles
sensitifs ont frappé le même côté. Schultze et
anière suivante : Une tumeur molle croissant rapidement produit des
troubles
circulai- res et de l'oedème dans toute la coup
. Par conséquent le tableau de l'affection transverse de la moelle (
troubles
sensitifs et moteurs) n'a pas pu réaliser le type
he toujours de plus en plus du type de la paraplégie spastique. Les
troubles
moteurs s'installent plus vite que les sensitif
la tumeur (en prenant en considération la loi de Scherringlon). Les
troubles
sensitifs consistent alors en un affaiblissement
umeur se trouve dans la moelle cervico-dorsale (Roux-Paviot). Les
troubles
moteurs consistent en un affaiblissement toujours
diquant que la moelle est lésée transver- salement apparaissent des
troubles
des sphincters (besoin d'uriner son vent, incon
ale, incontinence des matières fécales). Quelquefois pourtant ces
troubles
n'entrent en jeu que plus tard dans le cours de
a maladie. Dans le cas de Heilbronner on n'a pas pu consta- ter ces
troubles
malgré la paralysie des membres inférieurs ! De m
alysie des membres inférieurs ! De même clan, le cas de Koster ce ?
troubles
ont apparu très tard. Dans le VIe cas de Schult
oubles ont apparu très tard. Dans le VIe cas de Schultze ()903) les
troubles
du côté de la vessie et du rectum se sont manif
heval. 1. Les contractions musculaires spontanées appartiennent aux
troubles
qui dépendent de l'interruption de la continuit
la 1110ellc épinièrc. Dans des cas exceptionnels on a constaté des
troubles
vasomoteurs : c'était une paralysie des vaissea
tout dans les cas où la tumeur sié- geait dans la moelle cervicale (
troubles
circulatoires). Quelquefois pourtant ils appara
apparues d'un coup avec un rapide affaiblissement des jambes et des
troubles
uri- naires. Dans le cas décrit il n'y a pas lo
ion de dégénérescence du muscle releveur de l'anus, Oppenheim), des
troubles
sphinctériens et des troubles trophiques de la
e releveur de l'anus, Oppenheim), des troubles sphinctériens et des
troubles
trophiques de la peau (mal perforant). TUMEUR
lation graduelle de paralysies (après une période de douleurs), les
troubles
des fonctions génitales aussi bien que des fonc
ûment et la toux. On peut citer en faveur de la syringomyélie : les
troubles
vaso-moteurs et trophiques de la peau, des os et
oteurs et trophiques de la peau, des os et des articula- tions, les
troubles
sensitifs du type segmentaire avec dissociation d
enses et l'évolution graduelle toujours progressive de la maladie :
troubles
moteurs et sensi- tifs toujours croissants inte
mprimé et dans son voisinage se forment des cavernes à la suite des
troubles
circulatoires et des hémorragies. Bielschovsky me
e qu'on appelle la. myélite par compression, naissent par suite des
troubles
circulatoires, les stases, provoquées par les c
ont lésées à droite produisent, le plus souvent sinon toujours, des
troubles
semblables à ceux qui s'observent chez les droi
il y a environ deux ans, l'occa- sion d'étudier, intra vitaln, les
troubles
aphasiques d'un gaucher, mort dans la suite, j'
93 Membre inférieur gauche. Le patient ne présente aucune espèce de
troubles
trophiques ni d'attitudes vicieuses ; aucune ré
sie sensorielle partielle. DE L'APHASIE CHEZ LES GAUCHERS 497 Ces
troubles
ont persisté sans changement jusqu'à la mort. A
de la Ti droite. Cette lésion concourt-elle, ou non, à produire des
troubles
aphasiques sensoriels ? Il est difficile de le
c'est-à-dire que les lésions de l'insula pro- duisent seulement des
troubles
paraphasiques dans la répétition des pa- roles.
la gau- che serait encore plus frappante puisque, dans mon cas, les
troubles
paraphasiques étaient fréquents. - Mais une a
ève ce parallélisme. L'examen du pa- tienta démontré l'existence de
troubles
paraphasiques multiples, tant dans le langage s
atomiquement, dans lesquels le sens des mots n'était pas com- pris (
trouble
d'association), mais où était seulement possible
surdité verbale partielle plus ou m'oins accentuée, associée à des
troubles
paraphasiques seulement (1) QUENSEL, loc. cit.
ent, avec ce qu'on observe chez les droitiers, concourt l'étude des
troubles
qui se manifestent dans la lecture. De l'étude
lis par Quensel, on tire la conclusion que, chez les droitiers, des
troubles
graves, dans la lecture ne sont pas nécessairem
ulement une infiltration du revêtement épendymaire, mais aussi des'
troubles
circulatoires dans le domaine de la couche péri
it réduite à une impotence complète et restait confinée au lit. Les
troubles
de la sensibilité profonde étaient ex- trêmemen
ll Robertson, puis abolition du réflexe à la convergence. Mydriase.
Troubles
sphinctériens. Douleurs fulgurantes, crises gas
iques, mais l'impossibilité d'établir un rapport constant entre les
troubles
visuels et l'état du réflexe photo-moteur a fai
a paralysie générale et sur ses rapports avec l'irrégularité et les
troubles
réflexes de la pupille, suppose que cette atrop
bles réflexes de la pupille, suppose que cette atrophie dépend d'un
trouble
tro- phique consécutif à des altérations très l
écutif à des altérations très lentes des nerfs ciliaires, et que le
trouble
du réflexe photo-moteur est dû vraisemblablement
tabes, mais il s'agissait d'un tabes beaucoup plus avancé, avec des
troubles
visuels très prononcés, et je ne puis garantir
t de la paralysie générale. Ses rapports avec l irrégularité cl les
troubles
réflexes de la pupille. Annales d'Oculistique,
réflexes tendineux aux membres inférieurs, le signe de Romberg, les
troubles
sphinctériens, l'ataxie des membres inférieurs. L
myosis et ne réagissaient pas à la lumière, mais déjà avant que les
troubles
visuels ne fussent très accusés. Elle est mor
essus dystrophiants. Mais l'existence d'un centre bulbaire, dont le
trouble
entraînerait l'acro- métagénèse, est tout hypot
jours au clinicien l'hypothèse d'une origine embolique. Quant aux
troubles
dans la croissance du tissu squelettogèI1e conséc
éralisée, que l'intoxication soit née dans le foetus lui-même, d'un
trouble
glandulaire par exemple, ou bien dans le placen
faits d'hyperpha- langie. Le processus toxique ou infectieux qui
trouble
, chez le foetus, la chon- drogénèse peut se gén
disparaissent vite, dans les premiers jours après l'opération. Les
troubles
urinaires également peuvent disparaître rapi- d
im). Quant aux symptômes sensitifs, les plus persis- tants sont les
troubles
du sens de la pression (bathyanesthésie) (Oppen-
réflexes exagérés, la trépida- tion, la rétraction des membres, les
troubles
du sens des attitudes, l'alfai- blissement, etc
pération les symptômes morbides peuvent s'aggraver. Par exemple les
troubles
urinaires qui ont déjà disparu reviennent de no
arait possible que dans ces cas le rôle important soit joué par les
troubles
de la pression habituelle de liquide cépllalo-ra-
précision et clarté de l'étude des documents : c'est l'existence de
troubles
mentaux, dont l'apparition eut lieu à une époqu
e, est souvent fort embarrassé pour déterminer la nature exacte des
troubles
psy- chiques en cause, et pour formuler un diag
Hugues', et d'y joindre d'autres récréations de nature à dominer le
trouble
mental du peintre (1). « Malgré tout ce que l
produire ici, sur les causes de l'éclosion et de la persistance des
troubles
psychiques chez le grand artiste. Après avoir r
facile des opinions de Wauters sur l'étiologie et la pathogénie des
troubles
psychiques pré- sentés par Hugo van der Goes.S'
, la maladie ayant duré huit ans en- viron. Le début se fit par des
troubles
de la marche qui augmentèrent petit à petit, pu
qui augmentèrent petit à petit, puis survinrent du tremblement, des
troubles
de la parole. Quelque temps après, le tableau s
stagmus. Il existait un véritable état d'asynergie cinétique et des
troubles
très marqués de la diadococinésie pour la main
ière et à l'accomodation. Il faut noter comme point particulier des
troubles
sphinctériens sur- venus d'assez bonne heure, c
epsie jacksonienne (Traumatisme crâ- nien, -, mélancolie délirante,
troubles
trophiques ; guérison) (1 pl.), par MAR- CHAN
Lèpre, paralysies radiales, par DE Beurmann et Gouobrot, 90. - (
Troubles
mentaux dans la -. L'état psychique des lépreux
lancolie délirante (Traumatisme crânien, épilepsie jacksonienne, -,
troubles
tro- phiques ; guérison) (1 pl. par Marchand,
yant débuté à la -) (2 pl.), par BAUER et DESDOUIS, 426. Mentaux (
Troubles
- dans la lèpre. L'état psychique des lépreux)
aumatisme crânien, épilepsie jaclcso- nienne, mélancolie délirante,
troubles
1/'opltiques,gllé/'ison (1 pl.),par Marchand,
e du système nerveux. Association de l'idiotie, de l'amaurose, de
troubles
multiples bulbo- protubérantiels et de l'atroph
AVN (de) et GOUGEH01'. Paralysies radiales lépreuses (1 pi.), 90.
Troubles
mentaux dans la lèpre. L'état psychique habitue
ItOT et Beurmann (de), Paralysies radiales lépreuses (1 pl.), 90.
Troubles
mentaux dans la lèpre. L'état psychique habitue
Lèpre, paralysies radiales (de 1 ! EUleamN et GOUGEI10T), IX. ,
troubles
mentaux (de Beurmann et UouccrsoT), XVIII. Ma
phoedème des membres supérieurs (Bauer et DEsaoLls), XLV et XLVI.
Troubles
trophiques d'origine cérébrale (Marchand), XIV.
é` niié`rétèntionld'uri)ie3d'abord partielle, puis totale;' et les'
troubles
intellectuels sont causés selon toute' probabil
déîire;violént éclate ;'la"*rétention d'urine' devient complète; le
trouble
mental et : rétat'généralfs'aggravent jus'-5^ q
aux, du, mal de.,Bright, met en premièret;ligne4des,variétés,de ces
troubles
, l'attaque plus ou.'moins soudaine,de,stupeur q
En 1852, Lasègue invo- quait déjà l'alcool comme cause possible des
troubles
psy- chiques dans l'urémie;et; si1 eettei,opini
.Nous voyons tous les jours l'alcoolisme produire.deux ordres , de
troubles
mentaux : ceux, qui relèvent exclusivement de l'i
rmations' physiques des extrémités'des membres et de la tête. Comme
troubles
fonction- nets le malade présentait l'atrophie
après,, sept, ans, avec physionomie inexpres-ive (2 photographies),
troubles
de la parole par difficulté de prononciation de
ieurs, les' parties génitales et diverses autres régions. En outre,
troubles
anormaux de la céneslhésie, comme par exemple l
conde vertèbre lombaire ? , , ? J) L'hyperthricose localisée est un
trouble
trophique en rapport avec une( affection des ne
imitée peut être un stigmate de dégénérescence, la conséquence d'un
trouble
d'évo- lution congénitale de nature inconnue. .
uffisante.' 11 repousse l'électro-diagnostic. Il pense que tous les
troubles
périphériques de l'innervation sont organiques et
37.) . ;r,-fFT.^r,^u m1'.t3Y 4 1 k ? IV -M. "unau ami .Ÿla Si les
troubles
oculaires présentés par le malade qui fait le suj
i.i'i ? r> r· w ItrVV[`HJ Deux cas'd'hémiplégie transitoire avec
troubles
persistants de la vue,' se rapprochant de ceux'
ceux'de Guglino; Boucheron; Féré (Ai,ch., de Neurologie, 1885). Les
troubles
visuels consistaient ici en'hémia- nopsie latér
- nopsie latérale homonyme du côté paralysé, amblyopie croisée et
troubles
de la vision des couleurs. L'auteur conclut qu'en
très* exagérés," trépidation , spinale, crampes -dans. les mollets.
Troubles
urinaires. peu, prononcés., Le traitement spéci-
tout aux membres inférieurs. , Pas de phénomène pupillaire ; pas de
troubles
sensitifs, absence complète des réflexes rotuli
pas de troubles sensitifs, absence complète des réflexes rotuliens;
troubles
urinaires légers,,diminution de, l'excitation é
puncti- formes, pas d'atrophie papillaire. - ,'i»,i(, 4V) -0 . .
Troubles
. trophiques. .Les dents ont toutes tombé, à trent
tique, tabès ancien avec les symptômes ordinaires, marche ataxique.
Troubles
urinairesl etoculaires. Crises apoplectiformes.
exe en arrière et concave en avant. Pas d'autre arthropathie, ni de
troubles
trophiques. 3e cas. Il s'agit d'un cas fruste d
oplectiques ? La paraplégie est apparue, en même temps que quelques
troubles
céphaliques comme le strabisme qui, eux, furent
nges seules, c'est la période prodromique, est caractérisée par des;
troubles
de la sensibilité, la rachialgie syphilitique d
rès l'examen des crânes des douze criminelles, on note une série de
troubles
patho- logiques indiquant, une vie .cérébrale m
res ayant subi, plus que toute autre classe sociale, toute sorte de
troubles
de,nutrition et l'action des excès de mille,espèc
8, a< terminé son évolution,, mais ellëa ? laissé après elle des
troubles
fonctionnels. Les symptômes nerveux, généraux o
e par des hallucinations sensorielles et des idées délirantes' sans
trouble
profond' de la connaissance, à évo- lution, ! a
i ou six mois. Le passage à la démence secondaire s'annonce par des
troubles
de la mémoire et du jugement, une conscience im
st obligé de le serrer fortement pour ne pas le laisser tomber. Ces
troubles
.ne durent habituellement que quelques instants.
e pose est donc de savoir si X...a réellement par inter- valles des
troubles
cérébraux, de déterminer la nature de ceux-ci e
IOGRAPHIE. 71 plus considérable ; certains symptômes, notamment les
troubles
de la personnalité y sont étudiés, qui ne figur
Pas de symptômes d'ataxie. Jamais de douleurs fulgurantes. Pas de
troubles
de la marche. Garçon de café de seize à vingt-t
ue en 1891 ; commencement. Quatrième attaque en mai 1892. Jamais de
troubles
digestifs ni d'urination, jamais de maux de têt
upillaire. Pas de signe de Robertson ; 3° tremblement de la langue.
Troubles
de la parole caractéristiques. Tremblement de.s
ses jambes. Affaiblissement psychique sans délire.- 26 avril 1893.
Troubles
de la marche. Station debout peu so- lide ; Tre
essions nerveuses d'élé- ment à élément, c'est-à-dire un retard, un
trouble
ou une perversion dans la marche de l'influx ne
te, pourra, jusqu'à un certain point, éclairer la pathogénie de ces
troubles
si nombreux de l'innervation, qui constituent l
ls, tout différents de ceux qu'on ressent dans les pays chauds. Ces
troubles
peuvent passer et reparaître avec ou sans pério
rasthénie palustre. ' La neurasthénie palustre consiste : a) en des
troubles
psy- chiques ; b) en des troubles amyosthénique
nie palustre consiste : a) en des troubles psy- chiques ; b) en des
troubles
amyosthéniques; c) en des troubles vaso-moteurs
roubles psy- chiques ; b) en des troubles amyosthéniques; c) en des
troubles
vaso-moteurs; d) et en d'autres troubles qui so
d'avoir la même constance que dans la neuras- thénie commune. a)
Troubles
psychiques. Ils affectent la sphère intellec- t
ormales. Dans les cas avancés, la mémoire peut aussi faiblir. Les
troubles
de la sphère morale consistent en un découra- g
ques présentent sensiblement la même force qu'à l'état normal. c)
Troubles
vaso-moteurs. Ces troubles, à eux seuls, peu- v
ent la même force qu'à l'état normal. c) Troubles vaso-moteurs. Ces
troubles
, à eux seuls, peu- vent être l'unique expressio
ses, dont il ne sera pas question ici. Je me borne à mentionner les
troubles
vaso-moteurs qu'on rencontre habituellement dan
le corps, des battements artériels, etc. Dans les cas anciens, ces
troubles
acquièrent une localisation plus ou moins fixe
fourmillement et de sécrétion sudorale plus ou moins abondante. Ces
troubles
vaso-moteurs sont souvent périodiques et toujou
guine oscillait entre 0,021 et 0,023. C'est sur ces trois ordres de
troubles
, et surtout sur l'état psychique, que la neuras
lants qu'on doit les cher- cher pour les constater. Ce sont : Les
troubles
du sommeil, qui manquent dans plus de la moitié
tante, soit, plus rarement, en une insomnie ou sommeil agité. Les
troubles
digestifs, très peu accusés, qui consistent en
tremble- ment, les palpitations, les oppressions, les vertiges, les
troubles
de sécrétion et, deux fois, il y avait une légè
stent par une aggravation de leur état; ou, d'autres fois, quelques
troubles
isolés peuvent survivre au paludisme et per- si
et même dans les pays salubres, sans pouvoir se débarrasser de ses
troubles
protéi- formes, si leur nature reste méconnue.
e dans le sang, germe qui peut rester silencieux, sans causer aucun
trouble
appréciable, mais toujours en éveil, prêt à écl
des intoxications palustres qui se manifestent uniquement par des
troubles
fonctionnels, comme par exemple : les diverses
intoxication palustre qui se manifeste uniquement par l'ensemble de
troubles
que nous venons de décrire sous le nom de neura
m de neurasthénie palustre. Pour admettre la nature palustre de ces
troubles
, on a, croyons-nous, tort de s'attacher trop à
ou un paysan ne vient pas réclamer l'assistance médi- cale pour des
troubles
qui ne l'empêchent pas de travailler. Le surmen
affections hépatiques d'origine non palustre sont accompa- gnées de
troubles
neurasthéniques ? Poncel, dans son ouvrage « De
estion chronique du foie sur la genèse des maladies », rattache les
troubles
neurasthéniques au mauvais fonctionnement du fo
, et où le paludisme sévit pourtant, sous ses formes larvées. Les
troubles
digestifs manquent dans la moitié des cas, ou i
ssait vite. Il y a quinze jours qu'il commença à sentir de nouveaux
troubles
, mais celte fois beaucoup plus accentués et pro
ux. Insomnie. Légère céphalée. Diminution de l'appétit. Aucun autre
trouble
du côté des voies digestives. Pas d'amyosthénie
tre trouble du côté des voies digestives. Pas d'amyosthénie. Pas de
troubles
vaso- moteurs, aucun trouble de la sensibilité
digestives. Pas d'amyosthénie. Pas de troubles vaso- moteurs, aucun
trouble
de la sensibilité générale, ni des sens. Apophy
igestives régulières. Pas de. plaque spinale, ni de céphalée. Aucun
trouble
vaso-moteur. Aucun igne d'hystérie. Foie et rat
que d'autres fois elle se sent très bien. Depuis deux semaines ces
troubles
ont reparu plus accentués, ce qui l'engagea à v
la troisième injection, elle se sent tout à fait normale; tous ses
troubles
psychiques ont disparus. L'appétit est revenu,
tifs. Cette guérison a duré deux mois, au bout desquels les mêmes
troubles
recommencent, et la malade vient elle-même réclam
e deux ans, cinq fois la malade est venue se faire traiter pour des
troubles
identiques et par la même médication qui donnai
n'a jamais eu la fièvre franche, mais elle a de temps en temps des
troubles
ana- logues à ceux de l'observation précédente.
logues à ceux de l'observation précédente. Depuis deux jours ses
troubles
psychiques ont reparu avec une intensité inacco
escrit, un fort accès de fièvre éclata qui fut vite guéri, avec les
troubles
neurasthésiques, par deux injections de quinine
raconte que depuis trois mois, elle éprouvait de temps en temps des
troubles
moraux analogues à ceux des observa- tions préc
es, qu'elle attribuait à sa grossesse. Mais après sa délivrance ces
troubles
au lieu de s'amender, se sont accentués et en m
sons erratiques avec des bouffées de chaleur. Mais en dehors de ces
troubles
qu'on rencontre dans les autres observations, l
ait mieux; ses accès de terreur ont perdu de leur intensité, et les
troubles
neurasthé- niques se sont atténués. Comme trait
e s'est trouvée tout ce temps-là assez bien. Parfois elle avait ses
troubles
neurasthésiques avec des inquiétudes vagues, ma
e peut plus le supporter. Elle présente en outre au comble tous les
troubles
psy- chiques de la neurasthénie. Je lui. fais u
ième jour, et elle se leva du lit bien portante, ne gardant de, ses
troubles
neurasthéniques qu'une indifférence pour son en
lle se sentait souvent énervée, apathique, triste, faible, avec des
troubles
vaso-moteurs divers, des troubles digestifs, et
athique, triste, faible, avec des troubles vaso-moteurs divers, des
troubles
digestifs, etc., mais tous ces troubles passaient
es vaso-moteurs divers, des troubles digestifs, etc., mais tous ces
troubles
passaient vite, et la malade gardait sa répugna
ns un sommeil profond. Examen de la malade.- Elle présente tous les
troubles
de la neu- rasthénie palustre, à savoir : état
la neu- rasthénie palustre, à savoir : état psychique, amyosthénie,
troubles
'vaso-moteurs. Outre cela, troubles digestifs l
: état psychique, amyosthénie, troubles 'vaso-moteurs. Outre cela,
troubles
digestifs langue unpeu chargée, anorexie légère
igestifs langue unpeu chargée, anorexie légère, constipation, léger
trouble
de sommeil. Céphalée parfois en casque, plaque
fois en casque, plaque spinale, et surtout ombilicale. Aucun -autre
trouble
, ni du côté des sens, ni de la sensibilité généra
accès, beaucoup atté- nués, persistaient quand même, ainsi que les
troubles
neurasthé- niques, et je lui ai conseilléde cha
était parfaitement toléré. Cet état dura à peu près quatre ans. Les
troubles
subjectifs de malaria larvée avec des douleurs di
s elle n'a plus d'accès de fièvre. Depuis un an elle se plaint de
troubles
pour lesquels elle me NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 10
lle me NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 107 consulte pour la première fois,
troubles
qui périodiquem ent s'ag- gravent à un degré fo
penser lui provoque des tiraillements douloureux intra- craniens ;
troubles
du moral, dégoût pour tout, tristesse, irritabi-
tout, tristesse, irritabi- lité du caractère, etc. - Amyôsthénie.
Troubles
vaso-moteurs; pâleur habituelle presque cadavériq
1 dive commença graduellement et le sixième jour, quand tous les
troubles
précédents se sont considérablement aggravés, j'a
res de la langue et de l'oedème des cordes vocales, disparition des
troubles
respiratoires et phoné- tiques. A. Marie.' II
innervées par les nerfs malades la triade : paralysie, anesthésie,
troubles
tro- phiques, sans compter la douleur inconstan
en peu de jours, la paralysie et l'anesthésie se dissipèrent, les
troubles
trophiques disparurent, et l'organe impotent, la
eur et de l'hy- peresthésie, suppression plus ou moins complète des
troubles
fonc- tionnels vésico-rectaux, atténuation de l
centimètres environ de son origine sur la frontale ascendante. Les
troubles
présentés par le malade consistaient en crises
° l'ophtalmo- plé-ie interne (l'auteur désigne ainsi l'ensemble des
troubles
moteurs de l'intérieur de l'oeil, inégalité et
de l'intérieur de l'oeil, inégalité et déformation des pu- pilles,
troubles
des réflexes dans les muscles ciliaires, dans l'i
e cérébrale. La parésie de ces muscles dans la démence provient des
troubles
qui affectent, dans cette affec- tion, la subst
arthrites. La malade n'est atteinte d'aucune diathèse, il s'agit de
troubles
trophiques sous la dépendance de la maladie men
sous la dépendance de la maladie mentale. Il est probable que les
troubles
trophiques de ce genre doivent se rapporter plus
ie pure et simple, sans association d'autres phénomènes mor- bides (
troubles
congestifs, intellectuels, moteurs) ; 3° Elle e
estait douteuse et on pouvait se demander s'il ne s'agissait pas de
troubles
trophiques : chez ces malades, il existait des
tions étiologiques de ces vergetures lombo-sacrées. Il n'y a pas là
trouble
trophique, mais développement disproportionné d
ue tous étaient des indi- gents. D'autres étaient affaiblis par des
troubles
morbides variés ; vomissements avec diarrhée ;
position créée par l'alién a- tion mentale. Il s'agit pour lui d'un
trouble
de la nutrition et on peut considérer l'hypothe
le et de la systématisation (Wahnsinn et Verrùcktheit) résulte d'un
trouble
morbide de l'activité intellectuelle c. Dans la
compli- quées, par contraste avec les anomalies de l'humeur et les
troubles
de la sensibilité morale, représente, sous le t
er simultanément ou presque simultanément un même délire, les mêmes
troubles
, alors que cependant ils ne vivent pas dans une
core très nombreuses. Parmi elles, celles qui se rapportent à des
troubles
de la mémoire, consécutives à des émotions morale
' Féré. La pathologie des émotions, 1892, p. 325. * Sollier. Les
troubles
de la mémoire, p. 188 et suiv. Souques. - Essai
anquait d'éner- gie ; cependant elle ne paraissait atteinte d'aucun
trouble
nerveux ni mental apparent... . L'incendie de
rôle de cause plus ou moins efficiente. Au moment de son entrée, le
trouble
mental principal que présentait Mme B... était
nou- veaux souvenirs ». En d'autres termes, Je diagnostic de ces
troubles
de la mémoire pouvait se formuler de cette manièr
uelque temps sur l'acte commandé. La sensibilité ne présente pas de
troubles
notables. Elle sent sur .tous les points de son
; l'acide acétique lui paraît salé. En somme, il n'existe pas de
troubles
bien nets de la sensibilité, ou tout au moins l
uses, s'exécutent bien. L'appétit est satisfaisant; il n'y a pas de
troubles
gastriques ni intestinaux. Mm0 B... n'oublie pas
et qui cependant n'ont pas sa raison ! Chez eux, il'ÿ'a en plus du
trouble
, de la confusion' dans les idées. Quoi qu'il en
d'autres obser- vateurs ont remarqué dans des cas analogues où les
troubles
de la mémoire, ordinairement transitoires et di
- AMNÉSIE RÉTRO-ANTÉROGRADE. 183 Quant à la cause objective de ce
trouble
delà mémoire, il faut, vraisemblablement, la vo
'est autre, en 'résumé, que celle du mécanisme psychologique de ces
troubles
morbides. , , 9 ri ? ·'( 1 -'t i, 1 1 .Ilty a
trémités, ataxie, modification des divers réflexes, palpitations et
troubles
vaso-moteurs(cyanosesetaspliyxieslocales). (Bi,
ns lésion microsco- pique appréciable à l'autopsie. Ni paralysie ni
troubles
des sens spé- ciaux.Les malades eurent leurs pr
'n., 19 mai 1894.) A. 111ARIE. " XXXIV. Chlorose ET aménorrhée avec
troubles
cérébraux, par CRAWFORD THOMSON. Observation
at, eu égard à la nature de la paralysie. La localisation nette des
troubles
aux extenseurs de la jambe, la bilatéralité des
, de tabes avec une paralysie de presque tous les nerfs crâniens et
troubles
respiratoires (dyspnée, crises laryngées, dysph
4 malades atteints de diabète grave dont un avec névrite double et
troubles
trophiques. P. K. XLVII. Du tabès chez la fem
d, d'engourdissement, d'horripilation, avec sueur dans les membres (
troubles
circulatoires) ; de l'insuffi- sance des sphinc
esophagienne; de l'insomnie. Observation. En'pareils cas, c'est le'
trouble
somatique préalable qui produit l'émotion morale
us tardive(après la vingtième année) et ne présentant en général ni
troubles
trophiques, ni pied bot, en même temps que les
lexes rotuliens sont conservés ou exagérés et que se présentent des
troubles
visuels qui consistent eu rétrécissement du cha
ation scoliotique de la colonne vertébrale; nys- tagmus, sans autre
trouble
visuel; parfois du tremblement de la tête; emba
s par l'incertitude des membres inférieurs. Pas de douleurs, pas de
troubles
sphinctériens, pas de troubles de la sensibilité,
inférieurs. Pas de douleurs, pas de troubles sphinctériens, pas de
troubles
de la sensibilité, mais tristesse et irritabili
et de la folie ne saurait plus consister à énumérer simplement les
troubles
mentaux variés qui se peuvent observer chez une
urd'hui une définition à peu près précise, l'autre à un ensemble de
troubles
fort vagues à la vérité; fort variables de phys
écidément une psy- chose, peu importe : c'est un fait avéré que les
troubles
qui la constituent sont d'ordre psychique. Pers
manifestations comme des désordres réactionnels consé- cutifs à des
troubles
de l'utérus ou de ses annexes. Mais cette notio
ion exacte et précise. Ni l'étiologie, ni la symptomatologie, ni le
trouble
psychologique fondamental qui, tout constant qu'i
e domaine de l'hystérie, du moins à nous montrer les principaux des
troubles
qui la constituent. En clinique, en effet, on n
1 forment les éléments constitutifs d'un tout nosographique : les
troubles
de la sensibilité générale et spéciale (je rappel
mnésies et aboulies, les attaques, les crises de somnambulisme, les
troubles
vasculaires et trophiques, pour ne citer que le
t d'affirmer leur communauté d'origine : elles dérivent d'un même
trouble
du mécanisme cérébral qui parait être la caractér
nières années, différents auteurs ont mis en relief ce fait que les
troubles
de nature hystérique tiennent à un état mala- d
Janet. C'est un fait qui paraît aujourd'hui avéré et établi que le
trouble
mental élémentaire de l'hystérie, celui auquel
re à un spasme, à une idée fixe, à l'attaque ou au délire, tous ces
troubles
paraissent résulter ,non d'une simple représent
chologiques qu'il de- vient possible de démêler dans l'ensemble des
troubles
mentaux complexes qu'on a, à tort ou à raison,
érescence. D'ailleurs, cette association relativement fréquente des
troubles
hystériques et dégénératifs ne semble pas purem
tenait à ce qu'on avait négligé de faire la dis- tinction entre les
troubles
qui relèvent de l'hystérie et ceux qui dépenden
oulie avec les erreurs, les indé- cisions, les impuissances que ces
troubles
entraînent, c'est la diffi- culté de concentrer
cependant de certaines émotions automatiques. Mais à côté de ces
troubles
qui relèvent directement de l'hystérie, il en e
térie une folie. On trouve d'ailleurs dans l'attaque d'hystérie des
troubles
délirants qui appartiennent exclusivement à l'h
érie. SOCIÉTÉS SAVANTES. 225 C'est dans la grande attaque que les
troubles
délirants se mani- festent avec le plus de nett
ique, pendant la troisième et la quatrième période de la crise. Les
troubles
psycbiques,de la phase prodromique consistent en
né et déterminent des manifes- tations de différente nature. Divers
troubles
somatiques, les hyperes- thésies, les paralysie
aralysies, des contractures ou des attaques. Pour en finir avec les
troubles
mentaux qui ressor- tissent en propre à l'hysté
qu'on y observe si communément. Chez les hystériques, à côté des
troubles
mentaux qui relèvent directement de l'hystérie,
oit pas sur- prenant de voir chez les hystériques se juxtaposer aux
troubles
qu'elles présentent d'habitude, les divers déli
t faire ce diagnostic en s'appuyant : 1° sur la pré- pondérance des
troubles
psycho-sensoriels, ainsi que cela s'observe dan
, due indirectement à l'altération des centres nerveux par suite du
trouble
diffus delà nutrition qui est la consé- quence
pliquer la symétrie à peu près constante et complète aussi bien des
troubles
moteurs que des troubles sensitifs; comment exp
près constante et complète aussi bien des troubles moteurs que des
troubles
sensitifs; comment expliquer aussi l'in- congru
pliquer aussi l'in- congruence de la localisation de ces différents
troubles
avec le trajet des troncs nerveux ? Anesthésie
ynévrite le cerveau est souvent atteint, ainsi qu'en témoigneut les
troubles
psychiques dont il a été question plus haut. No
olynévrite, sans que cependant les malades aient présenté aucun des
troubles
moteurs ou sensitifs propres à la polynévrite.
, à savoir que toutes deux impliquent l'idée qu'il ne s'agit pas de
troubles
Archives, t. XXVIII. 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES
parfois, dans la moelle des sujetsayantprésenté pendant la vie des
troubles
nerveux qu'on a l'habitude de rattacher à des n
on trouve à l'autopsie d'un sujet qui a présenté pendant la vie des
troubles
nerveux, de grosses lésions de la périphérie de
ions des nerfs sont primitives, qu'elles sont l'origine de tous les
troubles
symptomatiques qu'on observe et que le système ne
e, leur action pathogène sur d'autres systèmes anatomiques; que les
troubles
fonctionnels qu'ils occasionnent sont causés no
définitives ont compromis l'in- tégrité de l'organe et déterminé le
trouble
durable de ses fonc- tions. » . Si on nous de
rer l'attention du Congrès. Le voici : l'alcoolique guérit vite des
troubles
morbides qui ont nécessité son internement. Une
ue le rôle de cause occa- sionnelle pour déterminer l'apparition de
troubles
mentaux passa- gers. C'est surtout pour les mal
dans l'asile d'alcooliques tous les prédisposés qui présentent des
troubles
mentaux, à la suite d'excès de boisson, cet asi
lusieurs auteurs, surtout étrangers, ont décrit, comme on sait, des
troubles
mentaux de la polynévrite. Ces troubles mentaux
décrit, comme on sait, des troubles mentaux de la polynévrite. Ces
troubles
mentaux peuvent se présenter avec des manifesta
'il lui soit spécial, encore moins subor- donné, et considèrent que
trouble
mental et polynévrite sont deux conséquences po
xication ou l'in- fection. 1 Certains faits dans lesquels le même
trouble
mental s'est observé à la suite d'une maladie i
masses musculaires sont également douloureux. 11 y a aussi quelques
troubles
de la sensibilité, notam- ment de l'hypo-esthés
être et il me semble qu'étant donné la persis- tance si longue des
troubles
post-infectieux, on peut admettre que l'infecti
ar conséquent, on ne peut la considérer comme véritablement liée au
trouble
mental. Ce fait vient donc à l'appui de cette o
certains cas une amélioration qui peut porter sur les douleurs, les
troubles
oculaires, la faiblesse des membres. , E. Régis
cience, phénomène qui, mieux que tout autre, permet d'expliquer les
troubles
de leur état men- tal et certains de leurs stig
on, très étroitement liées ; il a des hallucinations de l'ouïe, des
troubles
de la sensibilité générale. D'invisibles ennemi
ire de toutes pièces, enveloppé dès sa naissance de son ornement de
troubles
sensoriels. Le malade est-il per- sécuté ? -Tou
arition des psychoses. Ce rôle n'est pas moindre dans la genèse des
troubles
intellectuels survenus dans ces états mixtes.
. L'excitation corticale ne s'apaise pas complètement chez lui, les
troubles
sensoriels se limitent au sens de l'ouïe, le dé
que le sujet atteint est- un prédisposé. Dans son étude sur les «
troubles
intellectuels liés aux lésions circonscrites du c
rivée à l'asile, au-dessus de l'affaiblissement mental, escorté des
troubles
somatiques classiques, ce malade n'avait qu'un
la possession; que toutes les visions, tous les spectres, tous les
troubles
de conscience étaient pour les quinze dernières
tout ce qui devait être sacré à leurs yeux. Maintenant, à côté des
troubles
positifs auxquels se rattachaient évidemment le
mars, de leurs hallucinations, de leurs visions obscènes, de leurs
troubles
viscéraux, soit diurnes, soit nocturnes, il ne
e qui présentait tous les symptômes du tabes : crises douloureuses,
troubles
urinaires, signes de Romberg et d'Argyll Robert
inaires, signes de Romberg et d'Argyll Robertson, etc., etc., aucun
trouble
cérébral. L'année suivantej'envoyai ce malade à
à Lamalou, et, à son arrivée, on remarqua qu'il présentait quelques
troubles
cérébraux survenus inopinément pendant le voyag
retourne à Lama- lou deux ans plus tard, et l'on constate alors des
troubles
de la parole, de la mémoire et de l'intelligenc
ité absolue de travail, vertiges, insomnie, amyosthénie matutinale,
troubles
dyspeptiques, constipation, etc. La plupart de
t de vue médical, en ce qu'elle suffit à faire disparaître tous les
troubles
nerveux simulant l'aspect clinique du rein flot
ordination musculaire dans les membres inférieurs etsupérieurs avec
troubles
de la parole et symptômes neurasthéniques. Le f
e son frère. Ces observations diffèrent, pourtant, par l'absence de
troubles
visuels du type morbide décrit par M. Marie : il
x, les douleurs d'oreilles qui existent dans la moitié des cas, les
troubles
de l'ouie, elc. Il y a donc intérêt à examiner
pression des fonctions cutanées, la raréfaction des poils, etc. Les
troubles
de l'intelligence sont peu accusés. La malade s
ons avec lésions destructives nous n'avons eu à enregistrer que des
troubles
relativement faibles du côté de la perceptibilité
lé le symptôme de relation. Ce symptôme divise, au point de vue des
troubles
visuels, les maladies du système nerveux en deux
rdante dans la sphère des autres fonctions sensorielles, ni d'aucun
trouble
de l'intelligence. Il s'agit d'un phénomène psy
rement de ce que'cette personnalité désormais étrangère l'insultât (
troubles
psycho-moteurs probables). A la différence du c
nus une dizaine de jours auparavant et dont le plus saillant est un
trouble
de la mémoire, se présentant sous la forme dite
erfs qui furent les premières manifestations névropathiques, et des
troubles
digestifs dont le caractère est assez difficile
la façon la plus nette les stigmates classiques de l'hystérie. Les
troubles
de la sensibilité sensitivo-sensorielle sont au
retrouve guère que le clou qui est très net. D'après l'examen des
troubles
de la sensibilité, la malade se présente donc à
mentaux qu'elle présente d'autre part. Les plus saillants sont les
troubles
amnésiques auxquels nous avons déjà fait allusi
étrécis- sement du champ de conscience; ne peut qu'entretenir les
troubles
anesthésiques, abouliques et amnésiques par les-
troisième période, ajoute M. Voisin, l'urine est souvent fétide et
trouble
et contient quelquefois de la bile ou des cris-
ransparente; elle est presque toujours au moins louche, quelquefois
trouble
, et ne s'éclaircit pas complètement même après
e rencontrent donc aisément dans la paralysie générale et cela sans
troubles
de la miction et sans rétention prolongée d'uri
nes ont une faible densité et sont de coloration claire, légèrement
troubles
, avec un dépôt muqueux assez abon- dant. L'excr
oureuse de cet organe qui ne perçoit plus le froid et le chaud, les
troubles
de la phonation, et, plus rarement, de la respi
, à cause de cela, marcher plus d'une demi-heure. Ce n'est pas au
trouble
de la sensibilité qu'il faut attribuer ce tour
rnée à gauche); alalie, anarthrie, contracture des lèvres, trismus,
troubles
de la déglutition et de la mastication; impossi
à la fixation ; 2° la bradylalie, une monotonie de la voix; 3° les
troubles
spasmodiques des mouvements des extrémités. '
érieures. Action favorable de la galvanisation. P. K. 1,XVII. Les
troubles
unilatéraux DE la vision centrale ET leurs rapp
(Neurolog. Cen- tralbl., 1893.) Cette monographie établit que les
troubles
de la vision d'origine 400 REVUE DE PATHOLOGIE
r la plupart, unilatéraux et que, ce qui les dis- tingue des autres
troubles
visuels centraux, c'est qu'ils ne sont pas hémi
suel, à tous les degrés, qui ne correspond pas toujours au degré du
trouble
de, la vue ; - 4° La dyschromatopsie typique,
de concert avec d'autres symptômes hystériques, notamment avec des
troubles
de la sensi- bilité de la cornée, de la conjonc
ujet. Le fond de l'oeil reste normal, . Evidemment ils émanent d'un
trouble
de l'innervation des vais- seaux du cerveau. To
acunes de l'innervation vasculaire, ainsi produites, engendrent des
troubles
dans la conductibilité des nerfs qui passent pa
hoc des médecins de districts stylés à cet égard; 7° pour tous les
troubles
intellectuels acquis, les magistrats devront envo
flexes communes) semble vivre en rêve quoique éveillé. P. K. XXI.
Troubles
mentaux dans la syphilis; par P. IOIVALI,NSIil'.
OLOGIE MENTALE. mobilité pupillaire bilatérale, sont, comparées aux
troubles
unila- téraux, plus fréquentes chez les syphili
ntes chez les syphilitiques. Chez ces malades aussi prédominent les
troubles
des muscles des yeux ; quant aux formes morbide
E DE PATHOLOGIE MENTALE. 409 centripète et la manière dont celle-ci
trouble
l'activité organique. C'est toujours un complex
e et d'une incapacité absolue de remuer les membres et la tête. Ces
troubles
ont duré jusqu'au matin et tout s'est peu à peu
ntes d'accès périodiques de dépression mé- lancolique profonde avec
troubles
de la conscience tout à fait sem- blables aux f
e; les bat- tements de coeur, l'accélération de la respiration, les
troubles
de l'innervation, les tremblements musculaires,
de l'innervation, les tremblements musculaires, les vertiges, des
troubles
circulatoires avec paresthésies, des sueurs, con-
plus importants de la neurasthénie. On en peut rapprocher un autre
trouble
de la sensibilité morale, la terreur des hystér
e à la stupidité (la terreur vous stupéfie), la convulsibilité, les
troubles
de la sensibilité et d'autres nerfs sensoriels
ion psychomotrice. Hallucinations du goût , de l'odorat, de la vue.
Troubles
de la sensibilité générale. Systématisation du
mité des ouvriers de la Belle- Jardinière, concierges. Néologismes.
Troubles
de la sensibilité générale : électricité, magné
. Troubles de la sensibilité générale : électricité, magnétisme'.
Troubles
de la personnalité. Diminution de la résis- tan
antaine sans que rien ait pu déceler, aux yeux de leurs proches, de
trouble
mental, ils n'entrent pas d'emblée dans la foli
hronique, celle des hallucinations multiples de nature pénible, des
troubles
de la sensibilité générale et du délire de pers
bles de la sensibilité générale et du délire de persécution. . Le
trouble
sensoriel auditif ne se traduit au début que par
res, ses écrits, ses pensées. En résumé, l'hallucination de l'ouïe,
trouble
sensoriel secon- daire, né sous l'influence d'u
de l'ouïe, trouble sensoriel secon- daire, né sous l'influence d'un
trouble
intellectuel primitif, s'est progressivement ét
é de ces modalités de l'hallucination de l'ouïe, prennent place des
troubles
spéciaux, moins sensoriels que psycho- moteurs,
tiques les plus importants, elles ne sont pas exclusives des autres
troubles
sensoriels. Assez souvent, en effet, se montrent
s ceux-ci n'en manifestent pas moins leur haineuse animosité. Les
troubles
de la sensibilité générale sont, en effet, très
flues, car loin de diminuer, le champ des persécutions s'étend; aux
troubles
de la sensibilité générale s'allient, surtout c
Illusions, interprétations délirantes, hallucinations de l'ouïe,
troubles
de la sensibilité générale, toute une accumulatio
. 443 des ouvriers de la Belle-Jardinière ; concierges. Néologisme.
Troubles
de la sensibilité générale : électricité, magné
contracta en 1873, à vingt-neuf ans, mais qui ne fut suivie d'aucun
trouble
intellectuel. En 1886, à quarante-trois ans, el
e de Savoie. Nous sommes en 1889. La malade a quarante-six ans. Les
troubles
de la sensibilité générale font leur apparition
'interprétation délirante marchait de pair, comme on voit, avec les
troubles
sensoriels. Un jour, au mont-de-piété, elle sen
1892, à quarante-neuf ans. A l'asile, ni les hallucinations, ni les
troubles
-de la sensibilité générale ne s'atténuent. Les
avant qu'elle ait fini d'en comprendre le sens. Parallèlement à ces
troubles
hallucinatoires, les troubles de la sensibilité
mprendre le sens. Parallèlement à ces troubles hallucinatoires, les
troubles
de la sensibilité générale vont leur train, l'é
ions profondes. Ces lésions de la personnalité sont dues, moins aux
troubles
sensoriels hallucinatoires qu'aux troubles de l
ité sont dues, moins aux troubles sensoriels hallucinatoires qu'aux
troubles
de la cénesthésie, des sensations organiques, «
tronc et des autres membres, on ne constate rien d'anormal. Comme
troubles
sensitifs, on trouve une hémianesthésie gauche
IQUE MENTALE. visuelle normale. Le malade se plaint parfois de voir
trouble
mais exclusivement à la suite de fatigues visue
DE DE LA POLYURIE HYSTÉRIQUE. 4S5 Les réflexes sont normaux. Pas de
troubles
sphinctériens. Les désirs et les aptitudes géné
e quantité constante (10 à 45 centimètres cubes) d'une urine acide,
trouble
, dont la densité varie entre 1,030 et 1,050. En
s, 1888, et Soc. nzdd. des /top., 1891. - Louis Guinon. De quelques
troubles
urinaires de l'enfance. Thèse de Paris, 1889. D
éclosion de la polyurie qui ne débute que bien des années après. Ce
trouble
urinaire n'indique dans l'enfance qu'un état né
continence, lui rappellent sans cesse le désagréable souvenir de ce
trouble
urinaire. Point n'est besoin d'insister sur ce
le. 11 est logique de supposer qu'elle [le fait en détermi- nant un
trouble
vaso-moteur du côté des reins. Si ce trouble va
it en détermi- nant un trouble vaso-moteur du côté des reins. Si ce
trouble
vaso-moteur se localise sur les reins, c'est pa
bligé entre l'idée fixe et le syndrome urinaire semble donc être un
trouble
vaso-moteur localisé aux reins. Certains exempl
tre un trouble vaso-moteur localisé aux reins. Certains exemples de
troubles
vaso-moteurs localisés dans l'hystérie, provoqu
émoignage et nous dispensera de plus longs commentaires, car ici le
trouble
vaso-moteur est visible, indiscutable et se fai
'observateur qui a suggéré l'idée d'un gonflement oedémateux. Si le
trouble
vaso-moteur rénal, déterminé par l'idée d'un an
Si le trouble vaso-moteur rénal, déterminé par l'idée d'un ancien
trouble
quantitatif de la miction, ne peut être constaté
. Ce qui prouve, au surplus, l'exis- tence et le mécanisme d'un tel
trouble
, c'est, comme l'ont montré M. Babinski d'abord'
xe a son origine dans l'exis- tence antérieure, chez le sujet, d'un
trouble
urinaire polla- kiurique ou hypersécrétoire (ex
alors généralement les premiers en date. Ce sont des céphalées, des
troubles
de la vision, et des paralysies dans le domaine
qui précèdent, accompagnées de paralysie absolue des sphincters, de
troubles
profonds de la sensibilité et surtout compliqué
rs, de troubles profonds de la sensibilité et surtout compliqués de
troubles
trophiques graves (eschares à extension rapide)
ous les renseignements qu'elles sont susceptibles de donner sur les
troubles
vasculaires de la moelle. Actuellement déjà les
ler à la confusion ( Veî,ivii,î,ttng), et dans ce cas il existe des
troubles
moteurs correspondants. Enfin la même maladie p
tiaeit mérite la qualifi- cation d'abontive, cela importe peu et ne
trouble
en rien l'interpré- tation du niotverrücktheit
démontré que la section du lobe cérébelleux médian s'accompagne de
troubles
semblables qui ne peuvent alors s'expliquer par
s en contact avec le cervelet portion médiane; on observe alors des
troubles
circulatoires et respiratoires marqués, sans pa
sans paralysie. Le malade précité présentait l'un et l'autre de ces
troubles
(parésie et troubles respiratoires); il mourut mê
lade précité présentait l'un et l'autre de ces troubles (parésie et
troubles
respiratoires); il mourut même dans un accès de
ants. La pathologie confirmerait cette théorie qui expliquerait les
troubles
circulatoires : hypothermie, oedèmes, cyanoses,
it les troubles circulatoires : hypothermie, oedèmes, cyanoses, les
troubles
vaso-trophiques et les troubles des fonctions c
hypothermie, oedèmes, cyanoses, les troubles vaso-trophiques et les
troubles
des fonctions cérébrales et respiratoires dans
ne action mécanique. 0 P. Keraval. XXVII. LA DYSLEXIE EN TANT QUE
TROUBLE
FONCTIONNEL; par SOMMER. (Arch. f. Psychiat., X
NEL; par SOMMER. (Arch. f. Psychiat., XXV, 3.) La dyslexie est un
trouble
fonctionnel. Il y a donc intégrité ana- tomique
l'alexie lui permettent de conclure ce qui suit : 10 Il existe un
trouble
complexe de la lecture caractérisé par : a. de
eux désignée peut-être sous le nom de perturbation et à de nombreux
troubles
mentaux qui ne sont qu'approximativement caract
t qu'approximativement caractérisés par toutes ces expressions. Ces
troubles
intellectuels ont un caractère commun; c'est l'
e de conceptions anormales, comme dans la folie systé- matique, les
troubles
de la sensibilité morale étant de nature su- bo
et prennent aussi un déve- loppement morbide. Puis apparaissent des
troubles
intellectuels incompatibles avec l'intégrité de
amais dans la folie s3·sté matique chronique : ils sont le jouet de
troubles
morbides, tels que tics, actes impulsifs, agita
ntrer intermittentes, si bien que l'on pourrait presque croire à un
trouble
cérébral isolé, à une excitation du centre auditi
umérer de l'amentia ont pour signes distinctifs communs : l'état de
trouble
de la connais- sance qui peut aller jusqu'à la
pas question ici. A côté de ces formes morbides constituées par un
trouble
des sources de l'idéation (Voistelliii2gssphoei
si- dérer à part comme formant un groupe parfaitement séparé, des
troubles
primitifs de la sensibilité morale ou affective (
ention soutenue qu'on y mette, de faire la part de la prio- rité du
trouble
. On en peut dire autant pour quelques cas de foli
marqué et persistant. Il est donc établi que les formes aiguës des
troubles
psychiques, dont il est question ici, envisagée
étermine l'évolution de la maladie en plein développement, c'est le
trouble
de l'activité con- ceptuelle. Mais il n'est pas
s à une intoxication ou, ce qui est peut-être la même chose, à un
trouble
de la nutrition cérébrale, à l'épuisement du cerv
s modifications imprimées aux con- ditions de la vie voir surgir un
trouble
que l'on puisse pleinement rattacher à l'une de
e, il a en termes exprès indique qu'assez souvent il se produit des
troubles
morphologiques indé- pendants dans l'émission d
logiques indé- pendants dans l'émission des conceptions, et que ces
troubles
affectent l'apparence phénoménale de la confusi
ations mutuelles, dans leur coordination; de mettre en évidence les
troubles
de l'identification (Rieger) ; de rechercher l'in
entification (Rieger) ; de rechercher l'influence que chacun de ces
troubles
exerce secondairement sur le méca- nisme de l'a
s relations de la personnalité. Je pense encore aujourd'hui que les
troubles
morbides quiproduisent ce phénomène, notamment
ue normal, quand elle se rattache à la sensibilité morale, ou à des
troubles
de l'iden- tification ou encore à des idées dél
serrée, l'auteur rend évident que les polynévrites accompagnées de
troubles
psychiques ne représentent qu'une phase de synd
s. Par un procédé didactique contestable et malgré la fréquence des
troubles
cérébraux et des névrites, associés à l'alcoolism
de rap- 512 BIBLIOGRAPHIE. procher les névrites périphériques des
troubles
cérébraux qui les accompagnent, les précèdent,
phérique et central. L'étude critique des symptômes périphériques :
troubles
de motricité, de sensibilité et trophiques, mon
iquées. Les phénomènes d'ordre cérébral sont de deux sortes : les
troubles
mentaux et d'autres phénomènes d'ordinaire rattac
sphère cérébrale, les vomissements, les vertiges, le nystagmus, les
troubles
de la parole, etc. Tous les auteurs attribuent un
que ce symptôme est dû à des causes variées, souvent banales. Les
troubles
mentaux sont caractérisés, d'après M. Korsakow,
ou moins profond de l'association des idées, et finalement par les
troubles
de la mé- moire, qui sont toujours sensiblement
iblement les mêmes : amnésie des faits anciens. Malheureusement ces
troubles
ne sont pas spéciaux à la psychose polynévritiq
u cortex vis-à-vis de l'intoxi- cation générale de l'organisme. Les
troubles
de la mémoire sem- bleraient se rencontrer seul
, en particulier, fièvre typhoïde, influenza, on constate aussi des
troubles
de la mémoire, pertes partielles ou totales ave
léger avec tendance à l'hypocondrie, quelques hat- lucinations, des
troubles
de la mémoire et des sentiments affectifs, des
s autres commémoratifs, ne permet pas, à lui seul, de déterminer le
trouble
des fonctions psychiques et à l'aide duquel on
la spinale, par Ranson et Thomson, 482. Dyslexie, la en tant que
trouble
fonctionnel, par Sommer, 484. Elongation du n
, par Lamy, 48. Syphilis, sur un cas de cérébrale, par Bitot, 41;
troubles
mentaux dans la -, par Kowalewski, 402; paral
ertige auriculaire, par Maekensie, Dalby et Withers, 392. Vision,
troubles
unilatéraux de la centrale, par Knies, 399. V
Visites dans les asiles, par Dittmar et Schnele, 416. VISUELS,
troubles
dans les hémi- plénies, par Fromaget, 40. TAB
imulta- nément chez un sujet dont la mobilité de caractère et les
troubles
nerveux purement subjectifs en faisaient d'ores e
suite du réveil conscient de ces mêmes images motrices. L'étude des
troubles
du sens musculaire pourrait donc ainsi logiquem
re deux divisions principales. Dans la pre- mière on étudierait les
troubles
mnésiques résultant de la perte de ces images c
t de la perte de ces images conscientes dont nous venons de parler,
troubles
qui seraient au sens musculaire ce que la cécit
sens de la vision. Dans une seconde viendraient prendre place les
troubles
de perception sensorielle, où l'impression née à
à ces impressions. En fait il vaut mieux distinguer d'une part les
troubles
du sens muscu- laire consécutifs à des lésions
ôler l'exécution de ses mouvements volontaires, et d'autre part les
troubles
consécutifs aux lésions des centres, en prenant
tion intégrale de la force musculaire, est l'exemple clas- sique de
troubles
du sens musculaire par lésion des voies de con-
était peu après reproduit expérimentalement par Veyssière 2. Les
troubles
du sens musculaire faisaient partie intégrante du
s ou moins sur la couche, optique et les noyaux du corps strié, les
troubles
du sens musculaire sont extrêmement fréquents. Ic
la lésion or- ganique. Il n'en est pas de même lorsqu'il s'agit des
troubles
in- finiment moins saillants et plus difficiles
t déjà été signalés par Tripier en 1880 '. Redlich 2 a trouvé des
troubles
des sens musculaire et stéréo- gnostique dans 2
t l'une sans l'autre. Bourdicault-Dumay 3 confirme la fréquence des
troubles
de la 1 Tripier. De l'anesthésie dans les lésio
hémiplégie cérébrale et admet lui aussi l'indépendance relative des
troubles
du sens musculaire et de ceux de la sensibilité
elative de ces trois syndromes. D'autre part, dans la production du
trouble
spécial qu'il étudie sous le nom d'hémiataxie p
egré. A côté de ces auteurs qui admettent la grande fréquence des
troubles
de la sensibilité générale et du sens musculaire
venons de citer 3 et nous sommes arrivé à cette conclusion que les
troubles
de la sensibilité générale 1 hoc. cil., p. 133.
ébral. (Nell1'ologischen Cecilrcclblall, 1898.) 3 Henri Verger. Les
troubles
de la sensibilité générale dans l'hémiplé- gie
ion de ces idées. Toutefois, s'il nous est permis de croire que les
troubles
du sens musculaire sont pour ainsi dire la règl
ulier, que pour ceux de la racine. il se confirme également que les
troubles
du sens musculaire ont une importance beaucoup
dans la formation de cette notion complexe. « Il y aurait, dit-il,
trouble
du sens stéréognostique toutes les fois qu'il y
assertion est absolument vraie, mais il ne faut pas oublier que les
troubles
du toucher actif existent également avec des lé
dangereux devraient être maintenus en traitement jusqu'à ce que les
troubles
mentaux aient disparu. (The A îie ? ica2z Journ
e pendant la période florissante de la syphilis. C'est une forme de
trouble
mental assez peu fréquente et toujours caracté-
servation d'un homme de soixante-quatorze ans, qui a été atteint de
troubles
psychiques, quatre jours après avoir subi une l
rsistait encore sept mois après l'opération. M. Duplay attribue les
troubles
psychiques ob- servés chez ce malade, à une pré
pération. A. Fenayrou. 46 6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. V. Des
troubles
comparés du patellaire, du crémastérien et du p
agents étiologiques de cette affection, et, d'autre part, avec les
troubles
de la sensibilité à la douleur et au loucher et
ec les troubles de la sensibilité à la douleur et au loucher et les
troubles
du sens génital qui s'observent chez les sujets
u début du mal, pour faire le diagnostic, dans les cas douteux. Les
troubles
de ces réflexes ne fournissent aucune indi- cat
en est plus lente, la durée plus prolongée. P. Keraval. VII. Des
troubles
nerveux et psychiques chez les travailleurs du
'une cinquantaine de malades et de la bibliographie existante. I.
Troubles
somatiques généraux. - Catarrhe chronique des mu-
; urine pâle, peu dense, d'odeur douceâtre. Rien dans le sang. IL
Troubles
Mft'MMa ? a) Par contact direct : anesthésie loca
ubital, parésieavecdégénérescence partielle du médian; b) névrose ;
troubles
nombreux de la sensibilité par action centrale
t- ter l'atmosphère morbigène, au moins dans les cas légers. III.
Troubles
psychiques. - Ils peuvent être directement produi
ectement produits par le poison, ils se confondent souvent avec les
troubles
nerveux (voyez l'état neurasthénique et hypocho
d'une absence des réflexes tendineux, de l'analgésie des jambes, de
troubles
de la parole ou de l'écriture à peine mar- qués
très accentué et étendu il tout le corps, insomnie intense et enfin
troubles
digestifs très accentués. Pour admettre la natu
mmun. En somme, selon 11. Miguel Bombarda, « la constatation d'un
trouble
fonctionnel du cerveau, anesthésie, paralysie, co
es somatiques de l'hystérie est remarquablement infidèle contre les
troubles
purement psychiques; le grand hypnotisme est im
loyée avec avantage chez un certain nombre de malades atteints de
troubles
mentaux divers : Ainsi M. Van Renterghem attribue
ux tels que névralgies, crampes, douleurs indéter- minées, etc., de
troubles
fonctionnels dus à des maladies internes ou ext
nels dus à des maladies internes ou externes, de la chlorose et des
troubles
menstruels, etc. L'au- teur fait remarquer, que
otivité, le traitement moral. Les aboulies géné- rales, indice d'un
trouble
général et permanent des fonctions volontaires,
isième accouchement température très élevée, congestion de la face,
troubles
mentaux. insomnie, pouls à 116, dur, irrégulier
rocessus inflammatoire de la moelle et de ses membranes, et sur des
troubles
circulatoires provoqués par l'athérôme artériel
de l'ouïe; aphasie motrice. Sensi- bilité partout conservée. Pas de
troubles
trophiques. Tous ces symptômes indiquent un néo
talement absent des deux côtés. 80 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Pas de
troubles
de la vessie ni du rectum. l'as d'attaques épilep
t spécifique a d'ailleurs amélioré le malade. Il faut, pour que ces
troubles
soient appréciables que, malgré la localisation
ypnotique chez un jeune homme de vingt-deux ans qui souffrait de ce
trouble
depuis sept ans. M. Paul FAREz. Je connais un c
nt très facilement hypnotisables; la suggestion les guérit de leurs
troubles
nerveux, et, en outre, les rend plus dociles, p
rillon présente une jeune fille de seize ans qui a manifesté divers
troubles
hystériques : tels que aménorrhée, crises convul-
responsable, cette responsabilité étant il peine atténuée par les
troubles
psychiques antérieurs, » Ces conclusions ont en
images ou rites, l'irrévérence aux lieux saints indépendamment du
trouble
de l'ordre dans les églises. De plus elle défend
ier 1900. N° 50 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE. Des
troubles
psychiques dans la chorée dégénérative (Choré
ns le groupe des chorées. Avant de traiter la symptomatologie des
troubles
psychiques dans la chorée dégénérative, il est
ensuite les degrés les plus élevés et conduit le plus souvent aux
troubles
psychiques, avec impulsions fréquentes au sui-
n, spécialement t quant aux conditions héréditaires, à la nature du
trouble
mental et à l'époque de l'apparition de la mala
bler le tableau symptomatologique, déjà suffisamment compliqué, des
troubles
psychiques dans la chorée hérédi- taire dégénér
e, devenue folle, actuellement internée dans une maison de santé.
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LA CHOREE DÉSÉNÉRAT1VË. 101 La
d'apparence chétive, âgé de quarante-huit ans, est de petite taille
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNERATIVE. 103 ama
ui était impossible de répondre. Il souffrait depuis longtemps de
troubles
ataxiques de la déglutition. Le malade mangeait
du 9 mai 1881. Fig. 2. Spécimen de l'écriture du 5 février 1895.
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DEGÉNÉRATIVE. IOJ tra
un des malades de Facklam, et dans un cas rapporté par Osier. Les
troubles
de la déglutition s'aggravèrent beaucoup pen- d
Ceci nous amène au coeur même de notre sujet, à la description des
troubles
psychiques. Notons encore que le malade n'offra
es troubles psychiques. Notons encore que le malade n'offrait aucun
trouble
de la sensibilité et que l'exploration des orga
rieur. Il n'avait pas d'accès de jalousie contre sa femme, qui du
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 107 res
qu'elle nous apparaît aujourd'hui. Nous nous occuperons d'abord des
troubles
psychiques élémentaires qui s'observent dans la
horée de Huntington, avant de discuter la question de savoir si ces
troubles
carac- térisent une forme déterminée de psychos
spéciale à cette maladie. Les premiers auteurs qui étudièrent les
troubles
mentaux des choréiques en général, Rilliet et B
u caractère comme un des signes les plus habituels de la chorée. Ce
trouble
psychique élémentaire est mentionné dans la trè
i représentait un type très pur de chorée de Huntington, offrait ce
trouble
du caractère au plus haut degré. Nous avons vu
ro- nique où il n'est pas question d'idées de suicide, ni même de
troubles
mentaux. ' En 1885 King, dans le Neiv-York médi
entaux. ' En 1885 King, dans le Neiv-York médical Journal, publie
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 109 l'h
uverez dans les auteurs que King a particulièrement insisté sur les
troubles
mentaux et les idées de suicide dans la chorée
as de cas personnels, se borne à dire, d'après les auteurs, que les
troubles
psychiques sont en général légers ( ? ) dans ce
ans, ancien soldat, puis gendarme, qui avait eu beaucoup à souf-
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNGR1T1'E. 111 fri
'en avait pas été empêchée par sa fille. Peut-être les impulsions
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 113 au
ves de suicide n'appartiennent pas au tableau symptomatologique des
troubles
mentaux dans la chorée de Huntington. Il n'exis
t des malades atteints de chorée de Huntington des poussées tran-
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 1 ha si
facultés intel- lectuelles est avec l'irritabilité du caractère le
trouble
men- tal caractéristique de la chorée héréditai
sumé sommaire des résultats de l'autopsie que j'ai faite. - - Les
troubles
psychiques peuvent-ils faire défaut dans la cho
ire ? Arndt, en 1868, prétendait qu'il n'y avait pas de chorée sans
trouble
mental. ilalloclc, tout récemment (Journal of n
f nervous and mental disease, 1898, XXV, p. Soi) constatant que les
troubles
moteurs s'accom- pagnent presque régulièrement
que les troubles moteurs s'accom- pagnent presque régulièrement de
troubles
intellectuels dans la chorée de Huntington, pro
citer les auteurs qui ont publié des cas de chorée héréditaire sans
troubles
mentaux. Les deux cas de Ewald d'abord, où l'on
bord, où l'on n'a constaté ni affaiblissement de l'intelligence, ni
troubles
intellectuels. Toutefois il ne paraît pas que c
. ' J'ai déjà parlé du cas de Kornilow, dont je n'ai pu consulter
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 117 le
alade, arrivé à la vieillesse, après avoir souffert toute sa vie de
troubles
cho- réiques, avait conservé aussi ses facultés
erminaison démente, une autre forme plus légère de la maladie, sans
troubles
intellectuels. il faut attendre de nouvelles ob
pense qu'on fera bien de s'en tenir provisoirement à classer les
troubles
psychiques de la chorée de Huntington sous le nom
ace interne est par- ' faitement lisse. Les méninges sont épaisses,
troubles
, infiltrées, oedémateuses. Les sinus et le rése
A 10 grammes. Après un mois de séjour dans le liquide de Muller :
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. '1 9 .M
le tremblement intentionnel. Le mouvement intentionnel résulte d'un
trouble
de la contraction intérieure de chaque muscle, ta
ymptômes sensitifs, et quant à la paralysie de la vessie, quant aux
troubles
rectaux. La diminution considérable de l'acuité
Pas du tout de tremble- ment intentionnel, pas de nystagmus, pas de
troubles
de la parole. La parésie spasmodique des jambes
cher en détail. P. KERA VAL. XIV. Contribution à la connaissance du
trouble
de la sensibilité de Bernhardt ; par ADLER. (Ne
rdt ; par ADLER. (Neurolog. Crntm'Lbl., XVII, 1897.) Observation de
trouble
de la sensibilité de Bernhardt à la cuisse ; pa
live inférieure. P. KERAVAL. XIX. Contribution à la connaissance du
trouble
de la sensibilité de Bernhardt; par M. DE N,\RT
n du côté gauche. Cette calcification qui a évidemment déterminé un
trouble
de la nutrition cérébrale (thèse de Coulbault,
s aient été originairement moins résistants. P. KERAVAL. XXIV. Du
trouble
des échanges nutritifs dans la neurasthénie ; p
t notamment dalis celles de l'oxydation des substances azotées. Les
troubles
intestinaux pourraient bien d'ailleurs être pro
ble, quelle que soit l'origine de cette instabilité, présentent des
troubles
nerveux très accusés lorsqu'elles passent d'une
passent d'une altitude faible à une altitude très considérable. Ces
troubles
prennent surtout la forme d'agitation générale,
du sys- tème nerveux. L'air de la mer aggrave certaines formes de
troubles
nerveux fonctionnels, mais beaucoup moins souve
e aigu chez deux soeurs. Enfin, il peut y avoir des combinaisons de
troubles
mentaux (démence en particulier) et de maladies
al déterminée. Les dermatologistes les ont consi- dérées comme 'des
troubles
trophiques : le malade présente plu- sieurs sig
de présomption en faveur du tabès. M. Pierre Marie n'a jamais vu de
troubles
trophiques semblables dans le tabès et demande
connaissance pendant dix-sept heures, pendant deux mois il eut des
troubles
de la parole et de la vue ; enfin il lui est re
des troubles de la parole et de la vue ; enfin il lui est resté ce
trouble
de la vision. L'examen de l'appareil de la visi
cture des muscles droits inférieurs ou droits supérieurs, mais d'un
trouble
de la fonction de l'élévation ou de l'abaisseme
onctionnelle ni organique. L'état mental est affaibli sans qu'aucun
trouble
psychique ou somatique ait pu faire porter un d
ade soit un paralytique général. Pour lui, d'ailleurs, quand il y a
trouble
des muscles extrinsèques de l'oeil, toutes les
te fracture du sternum et ce tabès dorsal. Comme symptômes : pas de
troubles
oculaires, pas d'ataxie locomotrice des membres
u 19 décembre 1899. Présidence DE M. PAUL llncmN, vice-président.
Troubles
psychiques d'origine tuberculeuse. M. Samuel 13
même, la phtisie se termine par la paralysie générale ; -, 2° Les
troubles
mentaux et la tuberculose peuvent marcher de fr
re Janet, à Paul Blocq, à Sigm. Freud, une mala- die mentale. » Les
troubles
de l'intelligence ne sauraient natu- rellement
actes dont on ne saurait être responsable. M. Dallemagne étudie les
troubles
de la volonté dans toutes les formes de l'alién
temps, la mère donnait des signes de dérangement cérébral; mais ces
troubles
étaient bien loin de faire prévoir le drame qui
le 16, service de M. le professeur Pitres, le 12 décembre 1895 pour
troubles
de la miction. Son père est mort à l'âge de qua
ces tribulations, qu'apparurent chez lui pour la première fois, des
troubles
de la miction. Il éprouvait le jour un besoin p
ouloureuse. M... n'y attacha d'abord aucune importance, mettant ces
troubles
légers sur le compte du changement brusque de c
uvertes par des téguments d'aspect et d'épaisseur habituels. Pas de
troubles
de la motilité des mem- bres. Pas de tremblemen
oureuse à la percussion en aucun de ses points. On ne cons- tate ni
troubles
trophiques, ni troubles vaso-moteurs. La sensib
en aucun de ses points. On ne cons- tate ni troubles trophiques, ni
troubles
vaso-moteurs. La sensibilité cutanée est normal
cependant, sans que ses rêves même évoquent quoi que ce soit de ses
troubles
unitaires. Il n'est pas sujet aux maux de tète,
lifiées peut-être à tort d'hystériques, car elles s'accompagnent de
troubles
de la ' A Souques. Contribution il l'élude du r
de ce centre déter- minent des modifications de la fonction et les
troubles
ainsi produits ont été décrits par M. J. Janet
les ainsi produits ont été décrits par M. J. Janet sous le nom de
troubles
psychopathiques de la miction' : parmi eux, se ra
alade n'est cependant pas comparable à l'un de ces trois groupes de
troubles
analogues. Il se distingue du premier par une h
la miction est dû, pour Kûss et Duval à une excita- ' J Janet. Les
troubles
psychopathiques de la miction. Thèse, Paris, 18
ent hypnotisable et accepte merveilleusement les suggestions. Les
troubles
moteurs gastriques, dont elle est atteinte gêne
u'elle a sus- citées, poser les conclusions suivantes : Parmi les
troubles
urinaires dus à l'hystérie, il existe une polla
ans la journée, elle ne peut fixer un objet brillant sans voir tout
trouble
devant elle, sen- tant ses paupières devenir tr
ublions pas d'ailleurs que le poignet droit a été frac- turé. Les
troubles
de la sensibilité sont plus intéressants : du côt
ste pas d'autre zone hystérogène. Pas de sensation de boule. Pas de
trouble
des sphincters ; pas trace d'atrophie musculair
lade trouve facile- ment ses mots et les articule nettement ; aucun
trouble
d'aphasie motrice ou sensorielle. A la région
rd'hui le malade a dix-neuf ans ; son épilepsie s'est compliquée de
troubles
mentaux assez graves pour nécessiter autour de
u'on aurait pu prendre pour une « psychose onirique » n'était qu'un
trouble
post-paroxys- tique. L'auteur rapproche ses « s
positivement de la connaissance de ces faits, c'est que lorsque des
troubles
nocturnes de cet ordre existent chez un malade,
tration considérable, s'accompagnant d'expectoration abondante, de
troubles
digestifs intenses, de perte d'appétit, d'émaciat
s, et trop peu sur le caractère protéiforme des premiers indices de
trouble
mental, qui sont ordinairement plus apparents p
ensemble bien défini de symptômes psy- chiques. Au point de vue des
troubles
locaux, les symptômes ocu- laires occupent ordi
une suspension ou d'une inhibition de l'impulsion volontaire. Les
troubles
moteurs sont ordinairement transitoires et suscep
cles de la face et de ceux des extrémités est un signe précoce; les
troubles
de la parole dépendent de deux élé- ments, l'un
ulbaire. Dans bien des cas les symptômes bulbaires font défaut. Les
troubles
psychiques de la parole et de l'écriture sont h
initiaux sont reconnus plus tôt. Parmi ces symptômes les signes de
trouble
mental ont surtout une importance prépondé- ran
mes physiques. Mais lorsque les signes physiques coïncident avec un
trouble
mental quelconque, ils prennent une ' L'auteur
ux. Il disparait complètement pendant le sommeil. Il n'existe aucun
trouble
de la contractilité électrique; il n'y a pas d'
'en particulier le spasme musculaire dépend de la même cause que le
trouble
dans le réflexe plantaire, et je ne vois aucune
fère dans l'athétose ; je ne nie pas la prépondérance originelle du
trouble
mental,je constate seulement la'présence de l'i
tré que, dans le cas de M. Gilles de la Tourette, il se soit agi de
trouble
moteurs hystériques; du reste. ne serait-ce qu'
ues, réflexes exagérés, secousses de toutle corps, sans douleurs ni
troubles
objectifs de la sensibilité; à l'autopsie : ramol
aires : névralgies des membres supérieurs et du globe oculaire avec
troubles
accommodatifs, phénomène de doigt mort. La pré-
nente, presque complète, de la cécité verbale, de l'agraphie et des
troubles
très notables du langage parlé (diminution du v
is de surdité corticale totale passagère. Il existait également des
troubles
moteurs, sensitifs et trophiques plus ac- centu
épilepsie; alors que d'autres avec des excès énormes présentent des
troubles
profonds, mais pas . SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 d
e observation une myélite disséminée, celle-ci pouvant évoluer avec
troubles
minimes du côté de la sen- sibilité. M. HOTU cr
nférieurs on note des phénomènes de névrite, à savoir, faiblesse et
trouble
de tous les modes de la sensibilité à type péri
éoïdienne, etc.. ; 3° il peut se développer très rapidement dans le
trouble
brusque de la circulation dans l'écorce cérébra
e les prolon- gements protoplasmatiques des cellules nerveuses avec
trouble
de nutrition quelques heures après la mort de l
otoplasmatiques des cellules nerveuses. Quelle est donc la forme du
trouble
de nutrition dans l'écorce cérébrale qui mène à
de manquer. Cependant c'est la pre- mière fois qu'elle présente des
troubles
mentaux graves. L'étiologie de la maladie actue
rotuliens normaux. Force muscu- laire égale des deux côtés. Pas de
troubles
de la station debout, ni de la marche. Pas d'in
marche. Pas d'incoordination. Léger tremblement des doigts. Pas de
troubles
de la sensibilité subjective; sensibilité tac-
ite. Rien au goût. Etat mental. Mémoire un peu paresseuse, pas de
troubles
de la parole, pas d'incohérence des idées ou de
es par un processus d'artério-sclérose. Il existait dans ce cas des
troubles
trophiques des mains et des pieds, en rapport d
and le tableau clinique est dominé longtemps avant l'apparition des
troubles
moteurs, par les troubles psychiques, qui peuve
t dominé longtemps avant l'apparition des troubles moteurs, par les
troubles
psychiques, qui peuvent être même le seul symp-
e que celle des membres inférieurs; quand il y a dans la marche des
troubles
rappelant l'ataxie cérébelleuse. On soupçonne
minée, on est en droit de les attribuer à ces intoxications. Les
troubles
pupillaires (mydriase, inégalité, troubles des ré
à ces intoxications. Les troubles pupillaires (mydriase, inégalité,
troubles
des réflexes) sont fréquents dans les maladies
ne pronostique de valeur. Con- trairement à l'opinion courante, les
troubles
pupillaires seraient très rares chez les tuberc
onstant. Dans les tumeurs cérébrales il existe presque toujours des
troubles
pupillaires graves et complexes. Dans les hémor
inerv., fasc. I-11, 1899). L'approche de l'accès épileptique ou des
troubles
équivalents, augmente la quantité des éthers su
normale. On doit admettre que dans les cas de sitio- phobie il y a
trouble
des fonctions intestinales et spécialement putr
de droite. La malade, dont provient cette pièce, avait une série de
troubles
nerveux des plus graves, mais pas de symptômes
9.) E. B. IV. Tympanite gastrique, vomissements nerveux et autres
troubles
gastriques nerveux; par EWALD. Résumé, d'après
n cas de myélite transverse, d'origine traumatique, dans lequel les
troubles
sensilivo-moteurs des membres inférieurs étaient
par des lignes circulaires bien tranchées; il existait en outre des
troubles
trophiques remarquables aux mains et aux pieds,
ui d'ailleurs délaissée. Il rappelle l'importance à ce propos des
troubles
pharyngiens et termine par le diagnostic différen
« engourdie », avec des mou- vements limités, imparfaits, pénibles.
Troubles
marqués de la dé- glutition surtout celle des s
ctions fibrillaires. La force des extrémités semble normale. Pas de
troubles
sensitifs. Réflexes. Réflexes superficiels norm
as de rétrocession. Le tableau clinique montre qu'il s'agit là d'un
trouble
purement moteur, d'un arrêt de la fonction motr
trouble purement moteur, d'un arrêt de la fonction motrice. Pas de
troubles
sensi- tifs superficiels ou profonds. L'ophtalm
nervation de la septième paire; l'état paralytique qui entraine les
troubles
de la phonation, de la vocalisation, de l'artic
a corne antérieure, tandis que le douzième nerf est responsable des
troubles
moteurs de la langue. Diagnostic. -La différenc
, mais aussi, à un certain degré, dans tout l'organisme. Absence de
troubles
sensitifs ou sensoriels. POUL1RD. XXVI. Paralys
ervés et, en apparence, ne s'épuisent pas par la répétition. Pas de
troubles
sensitifs. Les muscles répon- dent au courant f
droit de supposer que ces altérations cellulaires peuvent amener un
trouble
fonctionnel. 11 est probable qu'une relation exis
fait montre que la chromatolyse n'est pas nécessairement facteur de
troubles
fonc- tionnels. XXIX. Tumeur de l'hypophyse s
ianopsie, un des principaux signes d'affection de l'hypophyse ; des
troubles
visuels augmentant paral- lèlement aux modifica
r et de la puissance ; dans 10 cas, fonctions sexuelles normales.
Troubles
du sens musculaire : dans 38 cas sur 44 examinés.
ns, 5 cas ; gonfle- ment suspect des jointures dans 3 autres cas.
Troubles
mentaux : dans 7 cas. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCI
re exophtalmique. La malade après avoir présenté toute sa vie des
troubles
névropathiques prodromiques fut prise en 1899 de
cipité. Elle n'est pas hystérique. N'y a-t-il pas lieu devant ces
troubles
particuliers d'admettre, pour la pathogénie, l'hy
SOCIÉTÉS SAVANTES. 347 jusqu'à la mort, sans modifications. Donc
trouble
isolé et permanent de la sphère du langage : de
es étaient très douloureuses à la pression et que le territoire des
troubles
sensitifs différait quelque peu de celui de la
uxième et peut être troisième racines lom- baires. A gauche, où les
troubles
sensitifs occupaient plusieurs SOCIÉTÉS SAVANTE
a pseudo-méralgie tabétique. Elle se distingue par le caractère des
troubles
sensitifs, plus hypoesthésiques que paresthésique
ce qui est rare ; plus variables d'inten- sité et d'étendue que les
troubles
sensitifs de la méralgie ; je dirais de topogra
es variations n'étaient, vraiment décevantes ; enfin associés à des
troubles
sensitifs d'un'autre siège et il d'autres sympt
ur elle est atteinte de diphtérie grave ; pour com- battre certains
troubles
cardiaques, le médecin fait des injections hypo
que chez une glycosu- rique ; traitement hypnotique et guérison des
troubles
mentaux mal- gré la persistance de la glycosuri
luci- nations, on peut, par une excitation externe, réveiller des
troubles
hallucinatoires dans la sphère- de tel ou tel sen
ur la nature des aliments qu'on lui sert : ils sont empoisonnés. Le
trouble
de la dégustation, l'hallucination gustative év
ouble de la dégustation, l'hallucination gustative éveille un autre
trouble
, celui de la membrane olfactive, et l'interprét
nir de nos malades. Pour- tant, dans la sphère de la gustation, les
troubles
provoqués sont, en général, de nature désagréab
re désagréable. On pourra remar- quer que les alcooliques ayant des
troubles
gaslro-intesti- naux, ont communément la bouche
urs nécessaire de recourir à une action mécanique pour éveiller les
troubles
. Chez certains malades, fortement intoxiqués, l
itation périphérique. Celle-ci provoque et réveille aux centres des
troubles
hallucinatoires qui durent, comme dans la premi
épond facilement aux questions posées sur sa vie. Interrogé sur les
troubles
éprouvés par lui dans ces derniers temps, il ré
atoires, après une légère irritation des nerfs sensoriels. Mais ces
troubles
ne durent pas. Le lendemain tout disparaît. B
athogéniques de cette névrose. Dès 1700, Théodore Bonet ' parle des
troubles
de la digestion et des lésions des organes dige
malades bien avant de commencer à délirer... ; sur quelques-uns les
troubles
de la digestion ne se déclarent que pendant le
mme réaction de l'estomac sur le cerveau. Pour Bail - ce sont les
troubles
de la circulation qui sem- blent dominer l'état
corps. A cet ordre de faits, il faut rattacher la mélancolie et ses
troubles
divers qui ne sont qu'une manifestation à un de
ésentant le phéno- mène de la corde, 8 étaient en outre atteints de
troubles
gastro-intestinaux, 1 avait de l'albuminurie.
rois ans, atteinte d'hémiplégie gauche, avec épilepsie corticale et
trouble
du sens musculaire (1895), un fait analogue a é
fondes dues à un processus dégénératif limité ne sont suivies ni de
troubles
du sens musculaire, ni d'accès d'épi- lepsie. L
t, dans la dernière observation de 1897, de paralysie générale avec
trouble
du sens musculaire à forme hémiplégique, la cou
de l'atrophie musculaire; un arrêt de développement du squelette ;
troubles
de la sensibilité ; trouble du sens musculaire ;
arrêt de développement du squelette ; troubles de la sensibilité ;
trouble
du sens musculaire ; attaques d'épilepsie hémil
usculaire est le plus fortement atteint, et, comme la paralysie, le
trouble
de la sensibilité est surtout marqué sur l'extr
forme hémiplégique, le sens musculaire demeure normal ou bien le
trouble
du sens musculaire s'accompagne d'accidents des o
formes accompagnée de dégénérescence secondaire ou tout au moins de
trouble
fonctionnel de l'écorce qui explique qu'ils gag
ble fonctionnel de l'écorce qui explique qu'ils gagnent la face. Le
trouble
du sens musculaire est le résul- tat d'une lacu
érescence des fibres arciformes sous-corticales entraine- t-elle un
trouble
du sens musculaire et de l'ataxie dans les mou-
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 419 vements appris. Le
trouble
du sens musculaire est donc un phénomène de déf
musculaire; on constate en outre : des paresthésies tabétiques, des
troubles
fonctionnels des organes du bassin, l'absence d
s des artères affectées par le poison. Les uns sont affectés par le
trouble
circulatoire même ; les autres par les exsudats
t persister si toute autre forme de sensation cutanée se perd ou se
trouble
. 3° Le centre de perception peut être atteint p
es furent : des céphalées progressives augmentant de violence - des
troubles
visuels nombreux : asthénopie, perte du champ R
é des trou- bles attribués à une atteinte des racines rachidiennes (
troubles
de sensibilité objective et subjective, faibles
l a au contraire l'impression que la manifestation primitive est un
trouble
musculaire. Les dou- leurs ressemblaient beauco
névralgique irradiée dans les extrémités; (6) précoce apparition de
troubles
trophiques sous forme d'une eschare. ' P. LXX
faibles. Atro- phie au niveau de l'articulation de l'épaule. Pas de
troubles
sensi- tifs. Excitabilité faradique perdue pour
par les conclusions suivantes : Certains sujets sont atteints d'un
trouble
mental caractérisé par 428 REVUE DE PATHOLOGIE
un délire, le délire de la jalousie. Cette affection débute par des
troubles
du caractère, puis des soupçons ridicules se fo
us les cas. Enfin on peut signaler l'hystérie, la neurasthénie, les
troubles
des fonctions génitales chez la femme, les trau
perd le plus souvent entre le début de la maladie et le début des
troubles
mentaux un temps qui serait précieux à utiliser p
in- testinal existait. R. de 111USGRAVE CLAY. XLIX. Etude sur les
troubles
de la conscience dans l'épilepsie; par Pierce C
e et ses modalités, l'auteur fait remarquer que lorsqu'on parle des
troubles
de la conscience comme d'un symptôme essentiel de
entiel de l'épilepsie, cela ne veut pas dire que l'on considère ces
troubles
comme le dernier terme de la symptomatologie, c
comme le dernier terme de la symptomatologie, car au-dessous de ces
troubles
et plus profondément, il y a des modifications da
tent en effet dans les centres supérieurs. La nature et le degré du
trouble
mental ont une bien autre importance que l'état
peut dire qu'il y a dans les attaques épileptiques trois degrés de
troubles
de la conscience : 1° La perte complète de la con
est probablement très rare. 436 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Les
troubles
mentaux que l'on observe chez les épileptiques so
absolument tels que la logique les fait prévoir : le premier de ces
troubles
c'est la difficulté et la lenteur avec lesquelles
moyen d'appareils de précision, l'énergie de cette convulsion. Les
troubles
de la conscience, et leurs déplorables effets,
e jetterait pourtant une grande lumière sur le mécanisme d'autres
troubles
mentaux, et particulièrement de ceux qui se ratta
irritations périphériques sont la cause d'une grande partie de nos
troubles
nerveux, et que le surmenage oculaire figure au
différents : la faiblesse intellectuelle (meiopsychie) ou le simple
trouble
(dyspsychie). La meiopsychie comprendra toutes
épaisse de tissus mous affaiblit quelque peu cette sensation. Les
troubles
de cette sensation consistent d'abord dans ceci,
ns de vibration. Dans l'immense majorité des cas, on a constaté des
troubles
manifestes de ce mode de sensibilité ; ces trou
a constaté des troubles manifestes de ce mode de sensibilité ; ces
troubles
coïncident souvent avec d'autres troubles des d
mode de sensibilité ; ces troubles coïncident souvent avec d'autres
troubles
des divers modes de sensibilité, mais parfois i
sibilité, mais parfois ils sont isolés, sans rapports avec d'autres
troubles
de la sensibilité. S. NALBANDOFF. Contribution
a sensibilité. S. NALBANDOFF. Contribution à la symptomatologie des
troubles
tropleiques dans la syringomyélie (ostéomalacie
bservation offre un grand intérêt au point de vue de l'histoire des
troubles
trophiques dans la syrin- gomyélie. Discussio
est intacte. Dans toutes les autres maladies qui s'accompagnent de
troubles
de la sensibilité, on voit la sensibilité vibra
utre sens. Dans les affections du système nerveux périphérique, les
troubles
de la sensibilité cutanée et de la sensibilité vi
e des lésions. De même dans les maladies de la moelle épinière avec
troubles
de la sensibilité cutanée on a toujours observé
e avec troubles de la sensibilité cutanée on a toujours observé des
troubles
de la sensibilité vibratoire. Dans les myélites
ans les cas graves, on a observé une concordance complète entre les
troubles
de ces deux espèces de sensibilité, tous les de
t; ainsi lorsque l'insensibilité cutanée est en forme de veste, les
troubles
de la sensibilité vibratoire se manifestent aux
tte et en plus aux os des membres inférieurs; dans quelques cas les
troubles
vibratoires ne se manifestent que dans les os d
de la façon normale. Dans le labes dorsale on observe toujours des
troubles
vibratoires très prononcés dans les os du bassin,
ut le corps. Les arthropathies tabétiques ne donnent pas lieu à des
troubles
locaux particuliers de la sensibi- lité vibrato
oire. Dans les affections cérébrales avec anesthèsies cutanées, les
troubles
vibratoires correspondaient presque à celles- l
s des membres. Dans les cas d'hystérie avec anesthésie cutanée, des
troubles
vibratoires ont été trouvés de la même nature e
t non « le sens vibratoire. M. Rorn fait remarquer l'importance des
troubles
précoces de la sensibilité osseuse (encore avan
s précoces de la sensibilité osseuse (encore avant l'apparition des
troubles
de la sensibilité cutanée) qui peuvent rendre c
es troubles de la sensibilité cutanée) qui peuvent rendre compte de
troubles
« trophiques » de la substance osseuse. Ont pri
dernières conditions pourraient, en effet provoquer l'éclosion d'un
trouble
mental plus accentué. M. Jules Voisin. - Dans c
le est passée graduellement dans le domaine visuel au point que son
trouble
peut servir de mesure à la cécité psychique. L'
f) est aussi devenue presque exclusivement visuelle ; si bien qu'un
trouble
très étendu du territoire visuel diminue toujours
l humain. Les associations d'agnoscies qui constituent l'asymbolie (
trouble
général de la reconnaissance des objets) consti
erf postérieur et de ses branches terminales; Jaboulay. D'un cas de
troubles
trophiques du pied et de la jambe traité avec s
urs et un frère plus âgés que lui, qui ne présentèrent jamais aucun
trouble
. Sa mère avait quarante-huit ans quand elle le mi
gueur et très friables. Ceux des orteils sont également le siège de
troubles
trophiques. Tous sont épaissis en massue, hyper
up plus de lenteur et d'hésitations que la première. - - , Pas de
troubles
notables de la sensibilité, bien qu'elle soit un
a respiration, le plus souvent normale, présente, par instants, des
troubles
dans le rythme, ces troubles sont manifestement
t normale, présente, par instants, des troubles dans le rythme, ces
troubles
sont manifestement causés par des spasmes du di
aigrit, devint susceptible, hargneux. Il y a quelques semaines, des
troubles
intellectuels plus graves se manifestent chez l
e, ni de symptô- mes aigus d'alcoolisme ; il se rend compte que les
troubles
éprou- vés par lui étaient dus aux excès de boi
il crache, recrache sa quinine. A quoi pourrons- nous attribuer ce
trouble
hallucinatoire ? Au hasard ? Quel hasard ? C'es
s chez lequel nous pou- vons réveiller plusieurs jours de suite des
troubles
halluci- natoires, jusqu'à l'extinction complèt
le pincement a produit, au milieu des hallucinations de la vue, des
troubles
auditifs : notre malade a entendu un roulement
aires, de la membrane du tympan, et du nez ne produisent plus aucun
trouble
. Seule, la langue reste encore excitable pendan
parlerons pas de l'hérédité paternelle, indiscutable. Ce sont les
troubles
hyperesthésiques qui attirent notre attention.
citation de la vue, des oreilles, de la langue, du nez, produit des
troubles
hallucinatoires. HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L
aborder la physiologie de l'hallucination. Nous prétendons que les
troubles
, les sensations que nous avons provoquées chez
allucination. « L'hallucination est donc toujours et constamment un
trouble
cérébral, d'origine cérébrale centrifuge, et ja
t un trouble cérébral, d'origine cérébrale centrifuge, et jamais un
trouble
périphérique. » (Ch. Vallon.) . M. Ballet con
nt de départ, examinons les causes primitives et secondaires de ces
troubles
. Les hallucinations que nous avons étudiées ont
est pas ainsi. Si beaucoup d'entre eux ne manifestent plus aucun
trouble
vingt-quatre ou quarante-huit heures après l'entr
'agite sourdement comme les vagues de l'Océan. Cette ténacité des
troubles
hallucinatoires est proportionnée à la dégénére
oplexie. - Grand-oncle excès de boisson. - Grand' tante, gibbosité,
troubles
mentaux. - Grand-oncle, aliéné. - Deux cousins
r la conception. - Grossesse accidentée par des vomissements et des
troubles
car- diaques ; ni émotions, ni oedème, etc. - A
u et d'autres parties de l'hémisphère du même côté, tient, non à un
trouble
fonctionnel des centres opti- ques ou à des tro
tient, non à un trouble fonctionnel des centres opti- ques ou à des
troubles
dans la conductibilité, mais à l'excitation pro
par A. BOETTIGER (Neurolog. Centralbl., XVII, 1898.) Début par des
troubles
de l'équilibre, des vomissements, une papille é
à démontrer et depuis les travaux de Ross, Allen, Stear, Head, ces
troubles
peuvent être localisés dans les différents étag
, issue d'une famille dont plusieurs membres avaient présenté des
troubles
paralytiques, très nerveuse, présentant même des
t on pou- vait penser à mettre sur le compte de cette habitude, les
troubles
visuels. Mais l'absence de scotome central, la
. par 'r les bras. Les nerfs craniens sont rarement atteints et les
troubles
oculaires font presque toujours défaut. A une p
ont presque toujours défaut. A une période avancée, surviennent des
troubles
du rectum et de la vessie. L'anémie est d'ordin
uée, l'absence d'atrophie musculaire et de douleur, l'apparition de
troubles
du rectum et de la vessie. Dans un cas de Dana,
Peau 520 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. . toujours très sensible.
Troubles
vaso-moteurs (tâche cérébrale). Peau perd son é
ire moins aigu, moins de fièvre, pas de névrite optique, moins de
troubles
généraux. Méningite séreuse de Quincke et Boenn
auteur rapporte quatre observa- tions d'épileptiques présentant des
troubles
marqués de la réfrac- tion du milieu de l'oeil,
t au moins pour un temps, grâce à l'usage de verres corrigeant leur
trouble
visuel. A. V. XXXIX. Syringomyélie avec mains s
mme une dys- trophie spéciale, tt'o/,hoedëme et qui, comme tous les
troubles
de développement, résiste jusqu'à ce jour à tou
we a essayé de faire la symptomatologie de ces tumeurs, ce sont les
troubles
de l'intelligence, de la parole (sans l'aphasie)
rissaud, soutiennent que le signe prédominant de ces tumeurs est le
trouble
de l'intelligence. D'ailleurs le diagnostic ne
s il était- toujours bien portant. L'anamnèse difficile à cause des
troubles
de l'intelligence. Consti- tution bonne, les pu
affaiblie, la perception et l'association des idées difficiles, ces
troubles
ne sont survenus qu'à la suite de pénétration d
aire qui est survenu à la suite de compression. On cite parfois des
troubles
dans la vision, ainsi, que le pré- tend Martin.
ncien foyer de myélite. 11. C. XLVI. Un cas de syringomyélie avec
troubles
de la sensibilité à topographie radiculaire et
e avec troubles de la sensibilité à topographie radiculaire et avec
troubles
moteurs à marche ascendante; par van GEIIUCIITE
ile nettement caractérisée, on voit se développer simultanément des
troubles
laryngés comme ceux que détermine la paralysie
és comme ceux que détermine la paralysie d'un nerf récur- rent. Ces
troubles
laryngés apparaissent brusquement au moment de
ns l'émis- sion de la voix. Tout donc dans le mode d'apparition des
troubles
laryngés, dans leur évolution, et dans leur rel
ar Deganello, 307. Tu- meur du -, par Libertini, 312. CHantE. Des
troubles
psychiques dans la- dégénéiative, par La- dam
. Epilepsie essen- tielle. , par Mil allé, 226. Crémastlrien. Des
troubles
du ré- 11·ae patellaire et du réflexe - dans
s l ? par L. P. Clark, 433. - et digestion, par Spratllng, 434.
Troubles
de la conscience dans 1' -, par Clark, 434. llv
i- pation du nerf récurrent, par Huet, 532. Paralysie générale.
Troubles
com- parés des dlvels réflexes aux trois péri
7. Protubérance. Tuberculose de la . par Sano, 520. Psychiques.
Troubles
d'origine tuberculeuse, par Bernheim, ni. Psy
ues travaux récents, par Verger, 32. Sensibilité. Connaissance du
trouble
de la - de 13ernhdl'dt. par Adler. 150; par \
tion syringomyélique de la - dans les mypltles. liai, linor, 139.
Trouble
de la-, à la cuisse, par Good, 150 - A la doule
, par Lombardi, 306. Pathogénie de la bulbaire, par Dionisi, 332.
Troubles
trophiques dans la -, par \albandoff, +il. hé
ro- mésaiie, par Sabrazès, 3.1. avec sensibilité radiculaire et
troubles
moteurs à marche ascen- dante, par Van Gehuchte
erew, 159. Tnoettoenéw chronique héréditaire, par illelge, 512.
Troubles
nerveux et psychiques chez les travailleurs du
1NGITIQUES ET CÉRÉBRALES DES OREILLONS [Contribution ci l'étude des
troubles
nerveux consé- cutifs aux maladies aiguës) ;
s fait d'autopsie. Trenel 2 rapporte deux cas de mort dûs à des
troubles
cérébraux mal déterminés, et Astley Coopter 3 a
urlienne, ou coïncidant avec celle-ci, on voit parfois survenir des
troubles
cérébraux très intenses, rappelant la méningite
le. Les phénomènes méningitiques du début sont donc suivis ici de
troubles
persistant pendant six mois : z, troubles de la
sont donc suivis ici de troubles persistant pendant six mois : z,
troubles
de la parole, agraphie, parésie et incoordina-.
lescence ne s'accuse que peu à peu ; en même temps apparaissent des
troubles
du langage. Les réponses sont lentes ; la langu
rt de l'hôpital le 2 juillet; ses forces restant amoindries, et les
troubles
du laugage persistant, bien qu'atté- nués, il e
d'un an il s'était placé dans nne ferme. Quelle est la nature des
troubles
nerveux que nous venons de décrire au cours des
pposé à l'oreillon, ou d'observations dans lesquelles on voit les
troubles
cérébraux survenir précisément au moment où la
après le début de la para- lysie on ne pouvait plus remarquer aucun
trouble
dans les mouvements des muscles de l'oeil, mais
vertigineux. Les viscères, notamment l'estomac, ne présentent aucun
trouble
. L'examen des yeux fait par Ealès le 6 septembr
tion des phénomènes paralytiques, contractures : tardives, etc., sans
troubles
sensitivo-sensoriels. Bur... (Adolphe), soldat
tres de hauteur sur 4 ou 5 centimètres de large), au sacrum (où les
troubles
trophiques ont déterminé une perte de substance
ions constituent les centres moteurs ; mais elle n'engendre que des
troubles
passagers et peu marqués de la sensibilité, car
est revenue au=si nette qu'auparavant; la parole n'a conservé aucun
trouble
. Ne voulant pas rester à charge à sa famille, l
s (aphasie). B... n'a jamais eu d'hémichorée, ni d'athétose; pas de
troubles
des organes des sens : pas de cécité unilatéral
et Longet affirment que la lésion expérimentale ne détermine aucun
trouble
appréciable, soit moteur, soit sensitif. La pat
a en faire une véritable entité morbide, et qu'ils ont rangé ces
troubles
singuliers sous l'étiquette de mono- manie. Mai
pas à se convaincre que bon nombre des ascendants ont présenté des
troubles
psy- chiques analogues. II y a une véritable ta
. Le certificat d'un médecin de la ville porte : « Epilepsie avec
troubles
intellectuels ». Le malade présente en effet depu
des attaques fréquentes d'épilepsie, suivies la plupart du temps de
troubles
psychiques. Il présente, en outre, tous les att
urinait pas au lit. La première attaque d'épilepsie fut suivie de
troubles
psychiques. G... courait partout; s'il voyait u
alles très irréguliers; et toujours elles étaient suivies des mêmes
troubles
intellectuels. Puis, les attaques survinrent se
troubles intellectuels. Puis, les attaques survinrent seules, sans
troubles
consécutifs, si ce n'est un léger égare- ment t
otre observation montre donc en outre un cas de coexistence de deux
troubles
intellectuels. REVUE CRITIQUE TROUBLES NERVEU
cas de coexistence de deux troubles intellectuels. REVUE CRITIQUE
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE^CHEZ LES FEMMES '; Par
;MHeH Me diètes. Prag.Yiertetjalar.,485. 1 Voy. tome X, page 395.
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 51 Kau
a (liab. Cen- lralbl. nied. 117zsseh. Lecot'ch6. -.Diabète. 1885.
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 53 Est
me; mais de quelle nature est-il ? Il est difficile d'ad- mettre un
trouble
analogue à celui qui détermine l'intoxi- cation
manière plus ou moins passagère, sans qu'il en résulte le moindre
trouble
cérébral dyspnéique. La théorie de Sanders et de
it aussi, mais en moindre abondance, dans les reins et les autres
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 55 org
itée par le perchlorure de fer donne. la réaction rouge-bourgogne
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 57 et
a- logue. Mais nous ne voyons, dans l'état actuel de nos connais-
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 59 san
étone, substance volatile, s'élimine surtout par les poumons; peu
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 61 imp
s par les auteurs, depuis Prout, et rangés indifféremment sous le
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 63 nom
heures. Dans une autre observation toutefois, le collapsus parait
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 65 avo
1° La réaction spéciale de l'urine et l'odeur de l'haleine ; 2° Des
troubles
gastro-intestinaux ; 3° Des troubles respiratoi
'odeur de l'haleine ; 2° Des troubles gastro-intestinaux ; 3° Des
troubles
respiratoires ; t° Des troubles nerveux. Ces
ubles gastro-intestinaux ; 3° Des troubles respiratoires ; t° Des
troubles
nerveux. Ces différents symptômes se rencontren
coma ou se plaignant de ma- laises nerveux divers, de vertiges, de
troubles
dyspeptiques, la constatation de l'haleine acét
t l'on voit se déve- lopper lentement une coloration violette. 2°
Troubles
gastro-intestznaux. Ces troubles marquent en gé
tement une coloration violette. 2° Troubles gastro-intestznaux. Ces
troubles
marquent en général la période de début de l'in
ême que pour l'urémie gastro-intestinale. En tout cas, ils ne mé-
TROUBLES
NE11VKUX DANS LE I)lAliÈ'IE CHEZ LES FEMMES. 67
lle et sans aucune relation avec l'intoxication acétonémique. Ces
troubles
digestifs sont parfois à peine accusés; il faut
le ventre est sen- sible à la palpation, légèrement ballonné. 3°
Troubles
respiratoires. La dyspnée est un des phéno- mèn
que pour cela l'intoxication acétonémique soit moins évidente. 40
Troubles
nerveux. Il faut distinguer ici deux ordres de
, qui manquent d'habitude chez l'adulte. Chez celui-ci, ce sont les
troubles
psychiques qui dominent; un changement brusque
e, qui ne dépasse pas, en général 380 à 38°,2; nous avons observé
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 69 38°
on cérébrale anormale, semblables à celle d'une légère ivresse, des
troubles
digestifs, parfois quelques vomissements, avec
tionnels décrits plus haut; tantôt, et le plus souvent, ce sont des
troubles
digestifs : langue chargée, embarras gas- triqu
e. . Puis, au bout de quelques jours, ces symptômes se dissipent,
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 73 la
à 20 ou 25 grammes. Ils se produisaient d'ordinaire à la suite de
troubles
digestifs et ne duraient que quelques jours. Sous
l'influence du régime seul, on voyait rapidement disparaître les
troubles
fonctionnels en même temps que la réaction acét
malade la réaction acétonurique. Ce qui est certain, c'est que ces
troubles
convul- sifs n'étaient pas liés à une lésion cé
émie suraiguë. 1 Voir Bourneville et Teinturier, Progrès médical.
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 75 Aff
end le pronostic presque nécessairement fatal. Parfois, ce sont des
troubles
digestifs qui semblent provoquer l'intoxication
l'intoxication ; mais ici l'étio- logie n'est pas aussi nette, les
troubles
digestifs faisant eux- mêmes partie du tableau
élongation bila- térale modérée du sciatique. Le jour suivant, les
troubles
de la sensibilité augmentent, il se produit des
s et demi à deux mois, sur- viennent dans les quatre extrémités des
troubles
moteurs et sensitifs. Ce sont : de l'affaibliss
étrique- ment distribués dans les quatre membres ; en même temps,
troubles
de la sensibilité subjectifs ou objectifs, dont l
é subjectifs ou objectifs, dont l'intensité est en rapport avec les
troubles
de la motilité. Intégrité des nerfs céphaliques
gique. Caractères cliniques. Marche ascendante de la paraly- sie ;
troubles
de la sensibilité bornés à des formications pas-
t éminemment variable. 5" Il n'existe pas de rapport fixe entre les
troubles
fonction- nels de chacun des appareils sensorie
sthésiesensoriette présentent des anomalies psychiques déterminées (
troubles
de la connaissance, hallucinations, rêveries, obn
aissance demeurant intacte, ou quand l'attaque laisse après elle un
trouble
de la connaissance; àla suite des équivalents p
du champ visuel pour le blanc et toutes les couleurs, accompagné de
troubles
de la sensibilité cutanée occu- pant d'ordinair
les allures psychi- ques; 2° à certains malaises nerveux; 3° à des
troubles
de la sensibilité dans le sens le plus large du
-Qu'll y ait ou non un substratum anatomique défini, on observe des
troubles
sensitivo-sensoriels ; l'élément le plus consta
s de l'encéphale confirmées ou diagnostiquées pendant la vie. - Les
troubles
de la sensibilité cutanée émanent de lésions de l
terne. L'hé mi anesthésie, y com- pris les organes des sens, est un
trouble
purement fonctionnel résultant de la cessation
1884, t. XL VI.) Il s'agit d'un ataxique chez lequel, entre autres
troubles
tro- phiques, on a noté une tuméfaction de deux
st revenue subitement après une abondante hémorragie utérine. Aucun
trouble
mor- bide ne s'est manifesté depuis. M. Charp
voir dans ce fait la manifestation épileptique on conges- tive d'un
trouble
mental ; de la sorte s'expliquerait la chute dans
TÉS SAVANTES. M. Rou[LL,1111) fait remarquer que l'épilepsie ou les
troubles
con- gestifs ne sont que des hypothèses dans le
les rapports des maladies des organes sexuels de la femme aveu les
troubles
psychiques. D'abord deux observations. Une femm
emment celle-ci est consécutive à la maladie psychique, à raison de
troubles
nutritifs et d'onanisme. En réalité, il n'y a que
s dans lesquels l'affection génitale est démontrée être la cause du
trouble
psychique. Mais il ne faut pratiquer l'examen g
e psychique et somatique générale, produite par cette affection, du
trouble
de nutrition de même ori- gine, d'un réflexe me
ocalisent dans la région duvertex, doivent-ils être rapportés à des
troubles
circula- toires semblables à ceux qui engendren
, STRUEMPFLL. Les modifications circu- latoires en rapport avec les
troubles
nerveux n'ont d'ordinaire qu'un rôle secondaire
auquel on a sectionné le trijumeau présente dès le jour suivant un
trouble
cornéen très accentué. En nettoyant avec soin et
s qu'à force de soins; pour peu qu'on se relâche, il se produira un
trouble
léger qui rétrocédera un peu à son tour. HO SOC
favorables : 3o les réactions entre les n', 9 et 4, produisent des
troubles
déjà perceptibles, surtout quand, en même temps
encore i<2 SOCIÉTÉS SAVANTES. plus faible entraîne souvent des
troubles
tout a fait remar- quables du côté de l'état gé
du côté paralysé, de l'athétose dans les extrémités paralysées, du
trouble
de la parole. Assez souvent on note des trouble
ités paralysées, du trouble de la parole. Assez souvent on note des
troubles
intellectuels évidents, des lacunes morales. La
ureux résultats qu'il a obtenus de cet agent dans le traitement des
troubles
auriculaires, parfois si pénibles et toujours d
uel genre d'aliénation mentale avons-nous à faire dans ce cas ? Des
troubles
physiques, l'embrouillement de l'intelligence,
ives d'agitation et d'affais- sement. Cependantà ]afin de juin, les
troubles
psychiques ont beaucoup perdu de leur intensité
MENTALE; GUÉRISON. 135 tuméfaction périphérique. En même temps, les
troubles
psy- chiques s'atténuent rapidement, l'agitatio
ébrale peu marquée, et plus particulièrement carac- térisée par des
troubles
organiques du cerveau limités, apparaît un accè
relation qui a existé entre la guérison de ces lésions et celle des
troubles
psy- chiques. Si nous suivons comparativement l
ons sont de même âge. Il faut donc chercher ailleurs la cause des
troubles
cérébraux qu'a présentés B... C'est à la suit
ou longtemps continuées, et même alors existent géné- ralement des
troubles
physiques et plus particulière- ment des troubl
é- ralement des troubles physiques et plus particulière- ment des
troubles
de la nutrition qui aident leur action étiologi
tement de l'étude des rap- ports qui existent entre l'évolution des
troubles
céré- braux et l'évolution des lésions inflamma
qui ont abouti à l'abcès ouvert par l'oreille. Nous avons vu ces
troubles
et ces lésions apparaître et disparaître en mêm
coïncidence entre les lésions inflam- matoires périphériques et les
troubles
psychiques qui existent chez B...; elle prouve
qu'à l'évidence une commune origine et une commune nature. Si ces
troubles
ont rapidement disparu à la suite de l'ouver- t
, car ici nous n'avons plus les mêmes raisons de doute que pour les
troubles
psychiques l'état fébrile sous l'influence duqu
ue le prouve la marche sui- il,,) PATHOLOGIE MENTALE. vie par les
troubles
cérébraux. Les troubles somatiques disparaissen
ui- il,,) PATHOLOGIE MENTALE. vie par les troubles cérébraux. Les
troubles
somatiques disparaissent en effet, la maladie r
ammatoire du travail pathologique qui tenait sous sa dépendance les
troubles
cérébraux qui existent chez B..., s'est imposée
e à nous par l'étude du mode de développement pathogénique de ces
troubles
. Ce n'est qu'une fois la nature inflamma- toire
ysie géné- rale, une vésanie simple à laquelle se surajoutent des
troubles
circulatoires pouvant, d'après ce savant maître
, on retrouve, comme chez notre malade, associés à ces lésions, des
troubles
psychiques qui ont une grande ressemblance avec
exercer les lésions de l'oreille sur la production de dif- férents
troubles
psychiques. Ici, parles tentations subjec- tive
m d'hallucinations unilatérales. Là, ces lésions pro- duisent des
troubles
délirants passagers, mais reve- nant par accès,
uence exercée par les lésions de l'oreille sur le développement des
troubles
cérébraux n'est qu'un côté, le plus important i
, de la question des rapports qui existent entre ces lésions et ces
troubles
. Cette question, pour être complète, doit être
re complète, doit être envi- sagée à deux autres points de vue. Les
troubles
céré- braux ne sont-ils pas susceptibles de ret
ont-ils pas susceptibles de retentir sur l'appa- reil auditif ? Les
troubles
cérébraux et les lésions de l'oreille ne peuven
ne plus nette et précise, à une des questions qui précèdent, les
troubles
cérébraux et les lésions de l'oreille ne peuven
us fait envisager le problème des rapports entre ces lésions et ces
troubles
par un côté jusqu'ici laissé dans l'ombre. è
hoïde et de la fièvre intermit- tente, etc., peuvent apparaître des
troubles
psychiques constituant de véritables aliénation
seuls recons- tituants, trahissant ainsi leur commune nature, par
trouble
de la nutrition. Ainsi encore, peu importe la n
ncore, peu importe la nature de la maladie qui en est la cause, les
troubles
psychiques consécutifs aux maladies aiguës revê
ies aiguës donnent lieu à l'aliénation mentale, mais encore par les
troubles
nutritifs qu'elles produi- sent, ou par un de l
exagérés, desparé- sies et des tensions musculaires avec de légers
troubles
de sensibilité et de vessie, etc. Il en a vu tr
e est marquée, mais sans parésie et sans réflexes tendineux, légers
troubles
de la sensibilité et de la vessie. Il admet qu'
symp- tômes tabétiques se présentent; tantôt seulement de légers
troubles
subjectifs de sensibilité avec un peu de faible
nce immé- diate. Dans les jours suivants, le malade se plaignait de
troubles
de la vision. Dix jours après la blessure, pert
les auteurs le virent, en 1870, il n'y avait plus ni para- lysie ni
troubles
intellectuels. Le malade se plaignait de trouble
ni para- lysie ni troubles intellectuels. Le malade se plaignait de
trouble
de la vue de l'oeil droit. Les pupilles, les mu
ormaux. Vision centrale du côté droit = I, du côté gauche = 2/3. Le
trouble
dont se plaignait le patient fut reconnu être u
lus lente sur la moitié droite de la tête et la main droite. Pas de
troubles
du sens mus- culaire ; le malade, les yeux ferm
bituellement de la main gauche que de la droite; mais cela tient au
trouble
de la vision qui existe du côté droit. - Il n
. Vas d'hémianopsie dans lesquels la relation entre la lésion et le
trouble
visuel n'était pas évidente. Cas mal rapportés ou
à gauche. Je ne pense pas que ces faits aient aucun rapport avec le
trouble
visuel, qui est central, comme vous le dites. J
208 PATHOLOGIE NERVEUSE. « occipito-angular région » produisent des
troubles
de la vue sans troubles des autres sens ni du m
« occipito-angular région » produisent des troubles de la vue sans
troubles
des autres sens ni du mouvement. 2° La seule lé
rper la plus grande partie d'un ou de deux à la fois sans amener du
trouble
visuel. 6° La destruction du lobe occipital e
analogue géométriquement du champ visuel, avec hémianesthésie et
troubles
ataxiques ou choréiformes du mouvement dans une
ALE. 9t3 d'une moitié du corps, surtout si elle est associée à un
trouble
quelconque du sens musculaire, serait [.robableme
ré, Ça. Trois autopsies pour servir 1 la localisation cérébrale des
troubles
de la \ision. Cas iii (du service de Charcot).
rte à soixante-dix ans, à la suite d'une paralysie généralisée avec
troubles
de la parole et de la déglutition, avec sialorr
s envies fréquentes d'uriner (pollakiurie), avoir eu la vue souvent
trouble
(des brouillards) et des peurs imaginaires; deu
troisième attaque rhumatismale; cette insomnie serait-elle déjà un
trouble
précurseur de la récidive rhumatismale ? Deux m
ne pas avoir eu de disposition à l'obésité et ne présente pas aucun
trouble
de la sensibilité générale du genre de ceux des
nsjours, d'où diminu- tion variable de leurs rides normales. Pas de
troubles
des autres sens. Réflexes cutanés et tendineux
fet, tandis que dans d'autres moments, la conversation de A et B ne
trouble
pas le petit travail de la malade, à l'occasion
ités que comporte le présent cas. A l'âgé de sept ans, alors que le
trouble
sérieux des fonctions digestives, l'anémie, qui
c'est au même moment que la fonction menstruelle de notre malade se
trouble
le plus; on voit des retards énormes des règles
goutte '. » Notre malade offre des névralgies à la tête, certains
troubles
nerveux (gastralgie, hypothymie, etc.) analogues
ue MM. Thomson et Oppenhein se sont trom- pés en prétendant que les
troubles
visuels des hystériques se trouvent également c
ns le courant de la journée, elle commence à accu- ser les premiers
troubles
d'une maladie sérieuse qui va évoluer et dont l
'excitation. Il convient maintenant de chercher quelle est, dans un
trouble
quelconque de l'innervation, la perturbation in
s, ma méthode est appelée à rendre service puisqu'elle constate des
troubles
qui échappent à l'obser- vation directe. Cette
s pratiques. Il existe trois classes de neurasthénies consistant eu
troubles
de l'innervation vaso-motrice sous l'in- fluenc
es les fois qu'on ne relèvera pas ces causes, il s'agira de simples
troubles
fonctionnels de l'innervation. Le surmenage som
Six tableaux à l'appui. P. K. XVIII. Contribution A la QUESTION DES
TROUBLES
trophiques DE la peau chez LES tabétiques ; par
ent à une cécité absolue; en 1882, ces phénomènes se compliquent de
troubles
légers dans l'évacuation vésicale. Au commencem
3, mégalomanie avec agitation maniaque, inertie des pupilles, léger
trouble
de la parole; absence de phénomène du genou : p
d attribue la plus grande importance à la priorité d'apparition des
troubles
mentaux; les héréditaires sont avant tout des c
rs distinguer entre eux : les héréditaires d'ordre congestif ou par
trouble
circulatoire; les héréditaires d'ordre vésaniqu
7 temps qu'il s'évacue une copieuse quantité de liquide; méninges
troubles
, notamment dans les parties postérieures. Poids d
issure de Sylvius, permet de supposer qu'il y a eu, à la suite d'un
trouble
circulatoire, une encéphalite dontle facteur pour
nce de la parésie à droite. Peut-être con- vient-il de rattacher le
trouble
thermique vaso-moteur à la lésion du lobe parié
la symétrie, quoique incomplète, de la lacune plaide en faveur d'un
trouble
nutritif consécutif à une lésion artérielle. En
précédente. Ce délire, bien modéré en somme, accompagné d'un faible
trouble
de la con- naissance, l'absence complète de con
rien. On ob- serve très fréquemment l'hystérie et l'épilepsie sans
troubles
psychiques proprement dits; M. Sakaky n'a jamai
de et les tentatives de suicide y sont pratiqués tantôt à raison de
troubles
psychopathiques, tantôt pour d'autres motifs (p
phénomènes ner- veux qu'ailleurs, qu'en un mot l'acétonurie et les
troubles
ner- veux mis en relief ne sont pas dans un rap
été. M. Schroeter (11.). Deux ces de blessure grave du crâne avec
trouble
mental. Il est quelquefois difficile de rattacher
t osseux. Ou ne connaît aucune tare héréditaire dans la famille. Le
trouble
mental, qui nécessite son entrée à l'asile (13
s on voit survenir une douleur locale excessive, de l'insomnie, des
troubles
oculaires, des troubles de l'ouïe, et, somme to
ouleur locale excessive, de l'insomnie, des troubles oculaires, des
troubles
de l'ouïe, et, somme toute, une psychose présenta
- possible de rattacher à la lésion du crâne et de son contenu le
trouble
mental, postérieur à elle, parce qu'il faut tenir
ue qu'il appartient de faire cesser le vague, de bien spécifier les
troubles
pathologiques de l'innervation ainsi dési- gnés
glandes, dans les viscères, dans les organes des sens, etc.; 5° les
troubles
de l'inner- verlion, qui relèvent de ces affict
état de décider si la gangrène symétrique des extrémités résulte de
troubles
dans l'innervation des nerfs vasomoteurs ou tro
substance, provoque une réaction de l'organe, qui se révèle par le
trouble
des fonctions de certains appareils ou de certa
substance nerveuse, nous devons dire que le nystagmus et les autres
troubles
font - z tionnels sus-énoncés sont des phénomèn
compressibilité de cette substance compatible avec son intégrité :
troubles
fonctionnels spéciaux à un troisième degré, il
ur le diagnostic des dégénérescences hématiques. N. Hallager. Les
troubles
psychiques dits équivalents d'épilepsie. (En fr
spécial à Langenhagen. Augmentation de la paralysie générale et des
troubles
mentaux imputables à l'épi- lepsie. La progress
le sol; peut, les yeux fermés, marcher et se tenir debout, aucun
trouble
de la sensibilité; pour fléchir le genou, il s'in
rodromes, il est pris brusquement de fai- blesse, d'inappétence, de
troubles
digestifs. Puis, tout se dissipe, .et l'on repr
atellaires. Le second malade, indemne aussi de syphilis, accuse des
troubles
de la marche depuis à peu près deux ans, à la s
ontale, occipitale, voy. Griesinger); c'est l'his- toire encore des
troubles
succédant aux accès d'épilepsie ou rem- plaçant
piratoires se raltache étiologiquement le développement de certains
troubles
psychiques : psychopathie spéciale des phthisiq
énomène du ge- nou, des réflexes plantaires eterémastériens; pas de
troubles
de la sensibilité ; excitabilité électrique nor
ue normale; pendant quatre jours légère paralysie de la vessie, nul
trouble
de la.défécation. Puis, pendant quelques jours,
M. HITZIG. iN'a-t-on pas trouvé, dans les deux cas en question, de
troubles
de la parole ? M. 11,Rj3. Il n'existait pas de
stion, de troubles de la parole ? M. 11,Rj3. Il n'existait pas de
troubles
de la parole proprement dits. Les garçons ont s
même ordre ; la grossesse avait déterminé des vomissements et des
troubles
très prononcés de 'la nutrition générale ; on pro
ans. Dans tous les cas on a trouvé des anomalies du crâne, un état
trouble
diffus de la pie-mère (on put cependant, après
énérale, des anomalies psychiques va- riables d'un autre ordre, des
troubles
de la parole, des aphasies 'Voy.)'c/<.deA)fr
tremblement à l'occasion des mouvements voulus, le nystagmus et le
trouble
de la parole, si typiques dans la sclérose en p
lée dans un cas de démence sénile indéniable, ce qui prouve que les
troubles
somatiques et le trouble de la parole de la par
sénile indéniable, ce qui prouve que les troubles somatiques et le
trouble
de la parole de la paralysie générale ne sont pas
érale n'exister que partiellement, et à un faible degré; tels : les
troubles
de la pupille, les troubles dans l'innervation
ement, et à un faible degré; tels : les troubles de la pupille, les
troubles
dans l'innervation du facial, ceux de la pa- ro
ateur a pu constater que l'on observe au premier plan, tantôt les
troubles
moteurs, tantôt les troubles intellectuels, tantô
on observe au premier plan, tantôt les troubles moteurs, tantôt les
troubles
intellectuels, tantôt les troubles de la parole
s troubles moteurs, tantôt les troubles intellectuels, tantôt les
troubles
de la parole. Forel a, sur cette constatation cli
ontales, sur celle des régions de la parole. Dans quelques faits de
trouble
psychique sénile, Zacher a rencontré la dispari
relevé à l'égard de quelques idiots. Eh bien ! la parenté entre les
troubles
psychiques delà paralysie générale et ceux de l
amais le délire ne succède immédiatement aux excès. Avec les autres
troubles
de l'innervation peu accusés, on trouve des hal
ntale ordinaire. La forme et la durée de l'affec- tion, le degré du
trouble
de la connaissance, l'abondance des hallu- cina
nsistant mais épisodique, comme conçu en rêve, se mani- festent des
troubles
digestifs, des tremblements, des visions, multi
décèle le concours del'abstiuence, des accidents, des malaises. Les
troubles
digestifs revêtent à ce sujet une fréquence toute
des cas, elles s'évanouissent à leur tour. Il peut s'y joindre des
troubles
de la sensibilité morale primitifs, de la stupe
prise d'une angoisse légère; consécuti- vement elle est atteinte de
troubles
de la motilité dans les extré- mités supérieure
compliquent de phénomènes bulbaires : paralysie du voile du palais,
troubles
de l'innervation du larynx, dysphagie. La malad
mbault à cette curieuse lésion; elle explique aisément l'absence de
troubles
moteurs chez les animaux dont les nerfs périphé
; paralysie du voile du palais ; paralysie, des quatre membres avec
troubles
de la sensibilité. Parésie du dia- p/; ? 'aM :
ésicatoire se cicatrise lentement. ' 6 août. Le malade se plaint de
troubles
de la vue dont le début parait remonter au mome
des pieds ; le malade croit toujours marcher sur du coton. Au- cun
trouble
du côté des sphincters. 3 septembre. - Paralysi
ité cutanée de ce segment est intéressée dans tous ses modes. Les
troubles
de la vue ont complètement disparu et le fonc-
ent une dyspnée per- manente entrecoupée par des accès d'apnée. Ces
troubles
, que n'expliquent aucune lésion pleurale, pulmo
endant l'expiration. A ces symptômes s'ajoutent le 2t septembre des
troubles
cardiaques caractérisés par de l'angoisse préco
Fresque aussitôt se produit une amélioration croissante, rapide des
troubles
respiratoires et cardiaques : la paralysie du d
E LA NÉVRITE SEGMENTAIRE. 345 persistent dans le bras gauche. Aucun
trouble
de la vessie et du rectum. La cicatrice du vé
néralisée, complète de la motilité. Cette paralysie s'accompagne de
troubles
profonds de la sensibilité caractérisés par de
ibue d'ordinaire aux paralysies diphthéri- tiques, le début par les
troubles
de l'accommodation et la paralysie du voile du
E SEGMENTAIRE. 361 lésions, en apparence minimes, déterminent des
troubles
sensitifs et moteurs considérables. Elle peut f
is atteinte des jambes, surtout de la gauche. Actuellement pas de
troubles
de sensibilité, jamais d'anes- thésie plantaire
vement : l'incoordination motrice, les douleurs et anesthésiés, les
troubles
céphaliques, mésocéphaliques et divers. 1. De
ters et de l'appareil génital, tro- phiques et vaso-moteurs). Les
troubles
oculaires (diplopie, paralysie oculaire, amblyo
5, 7, 10, 11, 12, 15, 18, 23, 24, 26, 27, 28, 29, 30 et 31); les
troubles
méso-céphaliques (toux, dyspnée) dans 4 (11" 2,
11,12, 14, 15, z 17, 18, 19, 21, 22, 23, 26, 28, 29 et 31) ; les
troubles
trophiques et vaso-moteurs dans 13 (n08 9, 10,
'affaiblissement moteur. Dans 3 autres cas (nous 17, 25 et 30), les
troubles
moteurs sont mentionnés (dans les membres infér
d'affai- blissemënt moteur. Seul, le malade du n° 23 n'a eu aucun
trouble
se rapportant aux cordons latéraux; et encore n
ns latéraux; et encore nous trouvons dans le tableau, pour lui, «
troubles
de la marche » sans détails; ce qui est in- suf
tenso les fera suffisamment connaître, et déterminera la nature des
troubles
nerveux que uous avons constatés. 400 MÉDECINE
., âgée de vingt-six ans, est depuis près de treize ans atteinte de
troubles
nerveux qui paraissent avoir eu pour cause déte
époque, elle n'eut pas d'accidents nerveux,- elle eut du moins des
troubles
du sommeil, dont on ne se préoccupa pas. A trei
auquel était arrivée cette jeune femme sous la double influence des
troubles
nerveux dont elle' est atteinte depuis si longt
la misère et de la faim. Elle n'a pas pensé à mettre au compte d'un
trouble
intellectuel un acte qu'elle apprécie comme il
importait, tout d'abord, de déterminer rigoureusement la nature des
troubles
nerveux dont Annette G... pouvait être atteinte
toute l'instabilité d'humeur. Ses souffrances, la longue durée des
troubles
nerveux l'ont souvent découragée, et c'est dans l
e religieuse. Incontinence d'urine, conscience des vertiges, pas de
trouble
de sensibilité ni de plaques anesthé- siques. P
uscultation du coeur, les signes d'une insuffisance mitrale. Pas de
troubles
de sensibilité ni de motilité. RAMOLLISSEMENT D
upille gauche est plus dilatée que la droite. Le malade présente un
trouble
des sentiments affectifs. Lamé- moire est dimin
latés par les auteurs, cette intégrité coïncidait avec l'absence de
troubles
sensitifs. Quoi qu'il en soit, ces faits tenden
juillet 1884.) . Femme de soixante-quatorze ans, dont les premiers
troubles
in- tellectuels remontent à un an; elle est inc
e en novembre d'une hémiplégie droite incomplète et passagère, avec
troubles
du lan- gage articulé, mais sans aphasie amnési
i accompagnent cette observation, l'au- teur fait remarquer que les
troubles
moteurs de 1880 étaient pro- bablement dus à un
s. Quelques semaines plus lard, amélioration suivie d'aggravation ,
troubles
de coordination , alaxie. signe de Romberg. Fin
n-omnie, accidents du décubitus; mort. Au- topsie. Congestion, état
trouble
et adhérences en dedans et en dehors de la dur"
r été d'un caractère accidentel, et ne s'être accompa- gnée d'aucun
trouble
intellectuel : elle a eu six enfants; quatre, (
t à considérer comme patho- logiques, et l'autre a seul échappé aux
troubles
intellectuels. . R. M. Ç. XVIII. Discours pré
d'un aliéné de 42 ans, chez lequel on notait en même temps que des
trouble
^ cérébraux, les signes parfaitement caractérisé
d'un accès de folie temporaire; depuis ce moment, on n'a noté aucun
trouble
mental. D'autre part, il résulte de l'enquête f
liénistes allemands à Eisenach,16sept. )882)'. P. K. XXIX. SUR LE
TROUBLE
DU langage écrit chez LES DEMI-IDIOTS, et sa re
nteur du pouls, il y avait chez cette malade, du côté du coeur, des
troubles
rythmiques caractérisés par des battements deux
ie musculaire progressive. - On prend souvent pendant longtemps des
troubles
nerveux pure- ment fonctionnels, hystériques, p
ue-là. Son ingestion pendant des mois n'a provoqué ni ergotisme, ni
troubles
de la menstruation. Les matériaux d'observation
s services. » « 3° Lorsque les phénomènes cérébraux sont liés à des
troubles
des « viscères abdominaux ou pelviens (paresthé
esthésies viscérales, torpi- « dite, etc.) corriger ou atténuer ces
troubles
par l'application de « l'un ou l'autre courant,
ive, du moins momentanée. G. D. VIII.DR l'apomorphine dans certains
troubles
nerveux; parle Dl E. Weil, chef de clinique méd
né manifestement héréditaire avec signes physiques, mais sans aucun
trouble
intellectuel antérieur. Une telle observation fai
crite destructive (paralysie et anesthésie des membres inférieurs,
troubles
dans les fonctions de la vessie et du rectum, esc
n des mouvements volontaires, exagéra- tion des réflexes tendineux,
troubles
de la parole et absence de troubles dans les fo
tion des réflexes tendineux, troubles de la parole et absence de
troubles
dans les fonctions organiques, et dans laquelle c
eu à des phénomènes douloureux, et qui sont souvent masqués par les
troubles
propres à l'infec- tion cérébrale concomitante.
lettres indicatrices, on supprime tout malentendu. P. K. XI. Des
troubles
nerveux dans l'intoxication par le sulfure de c
Paris, 4885.) L'intoxication par le sulfure de carbone produit des
troubles
nerveux divers qui peuvent atteindre la sensibi
accidents convulsifs, paralytiques, unilatéraux, ambilatéraux), des
troubles
des organes des sens. Ces accidedts aflectent u
sion psychique, quelquefois elle devient la cause occasionnelle de
troubles
mentaux variés. Cu. F. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE.
rairie A. Delahaye etE. Lecrosnier. LANOAILLE de LtcutSE. Tarassis,
Troubles
de l'Ame et du corps chez l'homme dans les temp
thropologie par Topinard, 124. Apomorphine dans l'hystérie et les
troubles
nerveux, 445. Apoplexie séreuse, 421. Artère
Delirium tremens et folie, 434; - (opium dans le), 458. Diabète (
troubles
nerveux dans le chez les femmes), par Lécorcli6
Mélancolie de famille, 430. lfénière (malalie de), 458. Mental (
trouble
consécutif à une blessure du crâne), par Schroe
Savage, 427. Sexuels, (maladies des organes - chez la femme, et
troubles
psychi- ques), par Hasse, 99. Société de psyc
), 92 : suicide à deux, par Chpolianski, 454. Sulfure de carbone (
troubles
ner- veux dans l'intoxication par le). 459.
t lésés. Parfois cette parésie peut aller jusqu'à la paralysie. Ces
troubles
du facial supérieur confirment la loi qui règle
La face est très peu touchée. La malade n'aurait jamais présenté de
troubles
de la parole. Cependant la commissure buccale dro
st plus marqué du côté droit; la langue est déviée à gauche. Pas de
troubles
de la déglutition. Le facial supérieur est beau
ore aujourd'hui très accentuée aux membres supérieur et inférieur ;
troubles
de la sen- sibilité, contracture, exagération d
de la bouche et ne lui fait guère dépasser les arcades dentaires.
Troubles
de la déglutition. Le facial supérieur est intére
e droite, prédominante sur le membre supérieur. Contracture. Pas de
troubles
de la sensi- bilité. Le facial inférieur droi
droite. Le malade ferme isolé- ment l'un et l'autre oeil. Pas de
troubles
de motilité ni de sensibilité des membres, mai- !
e cérébrale il y a une différence considérable dans l'intensité des
troubles
moteurs. Et si, à notre avis, on ne peut plus p
ation du facial supérieur à l'hémiplégie, son parallélisme avec les
troubles
du facial inférieur viennent combattre la conce
centres nerveux paraissent absolument indemnes. On note parfois des
troubles
circulatoires (ischémie ou congestion passive),
), ou des altérations viscérales qui par sympathie pro- duisent des
troubles
cérébraux. 30 PATHOLOGIE MENTALE. La mélanc
es thermiques et vaso- moteurs étant intéressés, nous assistons aux
troubles
de la température, aux troubles vasomoteurs (cy
tant intéressés, nous assistons aux troubles de la température, aux
troubles
vasomoteurs (cyanose et refroidis- sement des e
oreilles, sont re- froidies, cyanosées, violacées. On observe des
troubles
des fonctions organiques et prin- cipalement de
iminuées, de même que l'activité génitale. Enfin ils présentent des
troubles
du .sommeil, ce qui constitue parfois un des pr
ralenti, cyanose des extrémités, température abaissée) ; ces divers
troubles
abou- tissent à la misère physiologique, qui am
sistance que nous mettons à la questionner. Les yeux et le regard
troubles
, dirigés en bas. On note aussi un léger mouveme
e fait normalement, La figure est congestionnée. Il n'existe pas de
troubles
moteurs dans les muscles de la face et de la lang
s nerfs pneumogastriques, phréniques et facial inférieur droit. Les
troubles
uerveux observés ont consisté en une paralysie
de ce muscle, et produisant une gêne notable de la respiration; des
troubles
cardiaques (tachycardie); les signes classiques
classiques de la paralysie du facial inférieur droit, et enfin des
troubles
subjectifs de la sensibilité (sensation de froid,
nutton du tonus de certains groupes mus- culaires, et en dehors des
troubles
de la coordination, des mouve- ments anormaux p
ique des muscles hypotoniques pourrait peut-être expliquer certains
troubles
ocu- laires (paralysie apparente de certains mu
ces mêmes muscles), ou laryngés (paralysie des cordes vocales avec
troubles
respira- toires et intégrité de la voix), obser
toires et intégrité de la voix), observés chez les tabétiques. Les
troubles
de la vessie et du rectum chez ces malades sont p
hypotouique que parétique; il en est sans doute de même de certains
troubles
cardiaques ou vasculaires, en particulier de la
tte particularité, qu'elles se sont localisées du même côté que les
troubles
nerveux préexistants. M. Etienne rapproche ses
», hydropisie qui endort. Dans les deux affections, s'observent des
troubles
menstruels. L'une et l'autre ont une évolution
es REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 65 et réflexes normaux. Pas de
troubles
trophiques ni viscéraux, affai. blissement des
ont la sensibilité est le plus atteinte. Là où existe le plus grand
trouble
de la sensibilité, existe la plus grande ataxie.
er, tandis que lorsqu'il a les yeux fermés et est atteint de grands
troubles
de la sensibilité, il ne le peut plus. Quand le
de grands troubles de la sensibilité, il ne le peut plus. Quand le
trouble
de la sensibilité n'est encore que faible, l'exag
ique que pour les mouvements difficiles. C'est en réagissant sur le
trouble
de la sensibilité du système musculaire et articu
rare de voir la coordination améliorée, malgré la per- sistance de
troubles
sensibles extrêmes ; l'exercice augmente mécani
de tout l'organisme. Surtout chez les enfants on peut observer les
troubles
nerveux d'une vie en commun. Sans que l'enfant
cation du côté droit. Les autres nerfs crâniens sont intacts. Aucun
trouble
non plus dans l'intelligence, les autres organe
omination générale de délire post-opératoire, on doit désigner tout
trouble
intellectuel qui peut survenir à la suite d'une
d'une opération, quelle que soit la forme ou l'origine réelle de ce
trouble
psychique. Lorsqu'après une opération un malade
entres nerveux; 2° état apoplectique sous la dépendance d'un simple
trouble
fonctionnel ou d'une maladie générale, intoxica
nts de la nuque, état des pupilles, plaque sacrée, vertige, sur les
troubles
. des fonctions viscérales, en particulier sur l
uliers tels que les attaques, les paralysies, les contractures, les
troubles
tro- phiques et l'hystérie viscérale avec l'acc
assium, succédera souvent une période de dépression, accompagnée de
troubles
gastro-intestinaux, de sialorrhée ; le coeur do
e ne pas oublier que la lésion est d'ordre secondaire, que c'est un
trouble
trophique qui prend sa source dans le système n
la nature du tabès, les symptômes cardinaux : crises douloureuses,
troubles
urinaires, troubles oculaires, abolition des ré
es symptômes cardinaux : crises douloureuses, troubles urinaires,
troubles
oculaires, abolition des réflexes rotuliens, inco
abolition des réflexes rotuliens, incoordination motrice; puis les
troubles
trophiques : mal perforant, arthropathies, atro
cadres de l'armée tous les individus susceptibles de présenter des
troubles
intellec- tuels quelconques ? Nous avons ouï di
teur à Koroy. M. Davenne était atteint depuis quelque temps déjà de
troubles
cérébraux et avait mani- festé à plusieurs repr
uvelles au point de vue de la sensibilité générale des malades. Les
troubles
de la sensibilité sont, en effet, très fréquent
lque autre partie de l'orga- nisme, et leur existence au cours d'un
trouble
mental aigu n'a avec ce trouble mental qu'un ra
me, et leur existence au cours d'un trouble mental aigu n'a avec ce
trouble
mental qu'un rapport d'association, et non de cau
o-organismes, la présence de ces derniers n'a aucun rapport avec le
trouble
mental et n'a de rapport plus ou moins constant
associé à d'autres paresthésies ou à des douleurs, et souvent à des
troubles
vaso-moteurs évidents. 150 REVUE D'ANATOMIE E
le au patient qu'un objet froid repose sur la partie sensible. Ce
trouble
peut être déterminé par un traumatisme, combiné
e de projection. N'empêche que la clinique ne montre la relation de
troubles
de la sensibilité ou de la motilité avec l'alté
lésion d'autres territoires s'accompagne le plus habituellement de
troubles
d'association. Si imparfaite que soit encore la
e, et, probablement thalamopète ; or elle ne produit pas du tout de
troubles
de la sensibilité ni du sens musculaire. Est-il
le segment supéro-anté- rieur de la première pariétale ; de là les
troubles
du sens muscu- laire en pareils cas, etc., etc.
ue de vingt-cinq minutes, la plus courte de moins d'une minute. Les
troubles
physiologiques ont tous disparu, seul le coeur,
chement; deux jours après l'accouchement elles sont libres de tout
trouble
; ces animaux sont toujours rachitiques. Dans la
ndique fut porté avec d'autant plus de certitude qu'il existait des
troubles
sensitifs et que déjà le Dr Oliver avait souten
er la paralysie générale elle pourra tout aussi bien déterminer des
troubles
ner- veux chez les enfants des paralytiques. Je
SOCIÉTÉS SAVANTES. 1G9 Folie sympathique. Laparatomie. Guérison des
troubles
intellectuels. M. Febvré donne lecture d'une
uns des secousses, des attaques, tandis qu'elle ne produit aucun
trouble
chez les autres. Pourquoi la morphine' dans les
constate le plus et l'anes- thésie totale le moins dans les cas de
troubles
de cette per- sonnalité ; mais il n'est pas pas
t les 84 p. '100 d'exagération du tact existant en même temps qu'un
trouble
de la person- nalité physique, mais il ne faut
ités, il nous est arrivé de trouver le sens tactile exagéré avec un
trouble
expansif de cette personnalité, affaibli ou abo
n trouble expansif de cette personnalité, affaibli ou aboli avec un
trouble
dépres- sif, mais ce fut l'exception, et étant
ple coïncidence, permettant d'appliquer le : ab uno disce omnes. Le
trouble
de la personnalité était unilatéral, or l'aboli
as d'une altération du tact et est due à d'autres causes. Que les
troubles
du tact croissent parallèlement aux troubles de
es causes. Que les troubles du tact croissent parallèlement aux
troubles
de la motilité, c'est ce qui ressort nettement d'
tableau précédent, lequel montre l'augmentation progressive de ces
troubles
avec le développement de la maladie. Mais aux d
a deuxième période de l'affection paralytique, avec un minimum de
troubles
moteurs. Voyons donc si les altérations du sens
rmal à la première et à la seconde période, non seulement quand les
troubles
moteurs sont légers et modérés, mais encore qua
la diminution progressive de la normalité du tact à mesure que les
troubles
moteurs sont plus accusés et la marche croissan
on de ceux-ci. Il est même remarquable que c'est surtout avec les
troubles
moteurs excessifs que l'écart est fortement accen
fait est surtout frappant à la première période. Si on envisage les
troubles
légers et modérés de la motilité à celte phase,
ltérations du sens tactile qu'une différence de 1 p. 100; entre les
troubles
modérés'et les troubles marqués l'écart est un
qu'une différence de 1 p. 100; entre les troubles modérés'et les
troubles
marqués l'écart est un peu plus accusé, 2 p. 100;
es marqués l'écart est un peu plus accusé, 2 p. 100; mais entre les
troubles
marqués et excessifs on voit cet écart 'élever
joutons à cela que c'est seulement à la seconde période et avec les
troubles
excessifs de la motilité que nous consta- tâmes
t à la première période, mais encore chez les paralytiques dont les
troubles
moteurs n'étaient pas excessifs. De cet ensembl
res périodes de la paralysie générale sont l'apanage des sujets à
troubles
moteurs accusés. Voir nos deux tableaux détaché
, avons-nous vu plus haut, seraient assez disposés à croire que les
troubles
du tact chez les paralytiques Première périod
me le rôle joué par ces deux éléments, car on sait la fréquence des
troubles
du sens tactile chez les buveurs. En quatrième
auquel on ne s'attendrait pas est l'absence à peu près complète de
troubles
du tact chez les paralysés généraux qui ont à l
e diagnostic et le pronostic. En ce qui concerne le diagnostic, les
troubles
du sens tactile que nous venons d'étudier n'app
et qui permettrait de reconnaître la maladie avant l'apparition des
troubles
moteurs. Mes constatations tendent ensuite à ét
lysés généraux, dans lesquels on constate à la première période des
troubles
du tact, n'auront ni une marche aiguë ni une lo
aiguë ni une longue évolution de leur maladie; il semble que ces
troubles
seront l'apanage de ceux dont la maladie est dest
, nous n'avons jamais relevé ni exagération ni abolition ; ces deux
troubles
n'ont été notés que durant les crises d'agitati
fût l'état des malades. XIII. C'est dans la forme expansive que les
troubles
du tact sont les plus fréquents, d'après nos co
été constatées de beaucoup le plus souvent chez les sujets dont les
troubles
moteurs étaient les plus accusés. XVII. Dans
la paralysie générale, c'est l'anesthésie transitoire'précédant les
troubles
moteurs que signala le Dr de Crozant; mais ce f
ar M. G. Tiiidierge. (Presse médicale, 9 juillet 1898.) Parmi les
troubles
nerveux dont le point de départ réside dans l'a
rouges se développer dans cette région, doivent être distingués de
troubles
provoqués par la crainte de la congestion facia
nde d'associer le traitement des lésions cutanées existantes et des
troubles
fonctionnels réels, au traitement moral, à la s
s du début sont ensuite décrits et analysés : inégalité pupillaire,
troubles
de l'accommodation, modifications des réflexes,
épileptiformes, migraine ophtalmique, parésie motrice, tremblement,
troubles
de l'articulation des mots, de l'écriture, céph
iagnostic parfois fort difficile ; avec l'alcoolisme chronique, les
troubles
cérébraux consécutifs aux traumatismes crâniens
us la même rubrique à cause de l'identité du terrain sur lequel les
troubles
mentaux de ces malades ont évolué et parce qu'e
s. Les altérations constatées du système nerveux sympathique et les
troubles
vaso-moteurs secondaires donnent la clef des ic
uit pas. L'amaigrissement est très rapide ; pas de paralysie, ni de
troubles
gastriques ; il y a de la constipation et de la
la maladie rend loquaces. Après avoir fait une étude d'ensemble des
troubles
élémentaires psychiques (accélération des repré
émentaires psychiques (accélération des représentations psychiques,
troubles
du langage écrit et parlé, troubles de la mimiq
des représentations psychiques, troubles du langage écrit et parlé,
troubles
de la mimique, troubles de la volonté, troubles
hiques, troubles du langage écrit et parlé, troubles de la mimique,
troubles
de la volonté, troubles de l'attention) et des
age écrit et parlé, troubles de la mimique, troubles de la volonté,
troubles
de l'attention) et des troubles organiques de l
la mimique, troubles de la volonté, troubles de l'attention) et des
troubles
organiques de l'agitation, l'auteur, dans un tr
dent à devenir de plus en plus rares; 2° Celles qui s'adressent aux
troubles
subjectifs accompagnant REVUE DE PATHOLOGIE M
me nature avec amnésie ne peut-elle se produire en conséquence d'un
trouble
psychologique profond des centres supérieurs .d
Rt ? U1 : DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 225 X\1. Du myxoedème et des
troubles
qui s'y rattachent ; par W. Ord. '1;iitish ? ed
de ces mêmes muscles; ensuite apparurent la thermo-auesthésie, des
troubles
trophiques des mains, de la scoliose et la diss
ute cause infectieuse et à faire de celle maladie une affection par
trouble
de nutrition. Spilliiiez et 1,'Iientie vienne
é récemment émises par M. Lépine et M. Branly sur la pathogénie des
troubles
moteurs chez les hystériques. L'hypothèse de M.
prononcée dans la station assise et le décubitus hori- zontal, sans
troubles
des sphincters; hypoesthésie et anesthésie cuta
celle d'une irritation réflexe secon daire des nerfs ciliaires avec
troubles
vasotrophiques consécutifs. Le deuxième article
les contractures, les réflexes tendineux, l'astasie et l'abasie, ce
trouble
fonctionnel des membres inférieurs beaucoup plus
mblement, les tics convulsifs, la chorée rythmique, les crises, les
troubles
vésicaux, dont le type est l'incontinence d'uri
stic à l'égard de l'hystérie peuvent avoir deux causes : soit qu'un
trouble
organique grave, particulière- ment du système
ème nerveux, soit considéré par erreur comme hystérique, soit qu'un
trouble
organique du système nerveux, de l'estomac, du
moins 50 aliénés nouveaux. La séquestration des malades atteints de
troubles
intellectuels acquis y a crû de 122, de 4889-18
On ne peut personnellement se présenter pour se faire traiter de
troubles
intellectuels conscients dans une clinique. Aucun
Pforzheim, il est prescrit de recevoir les ma- lades atteints d'un
trouble
psychique compliqué d'affaiblissement intellect
n de la paralysie générale et de ceux conçus après l'apparition des
troubles
mentaux. M. Arnaud croit, en effet, que cette d
paraissaient aux doigts et aux orteils, en même temps avec d'autres
troubles
trophiques (bulles, gangrène des phalanges term
inor. Courte notice à propos delà lettre du professeur Pick sur les
troubles
de la sensibilité dans les myélites transverses.
'est lui, Pick, qui le premier a décrit, il y a longtemps déjà, des
troubles
syringomyéliques de la sensibilité au-dessus de
érent. En effet, le travail de M. Minor où se trouvent signalés les
troubles
syringomyéliques dans les myélites transverses,
ral par des inflammations chroniques des vaisseaux, ce qui amène un
trouble
dans la sécrétion de la lymphe et aboutit à une
a un an. Pendant un séjour à la clinique a pré- senté une série des
troubles
du côté de l'appareil neuro-muscu- laire et des
. La mélancolie type, religieuse ou non, a en effet, pour base un
trouble
du fond émotionnel qui change absolument l'état
me ; par suite de l'origine primitive des idées délirantes et des
troubles
psycho-sensoriels qui les accompagnent. Ces exp
inte mystique'ou non) sont des délires primitifs, car ce sont des
troubles
primitifs de l'idéation, se combinant à des phéno
dépend le sens dans lequel s'opérer a la systématisation. Si les
troubles
psycho-moteurs sont primitifs, la person- nalit
rmes dépressive (systématisation des mélancolies chro- niques). Les
troubles
psycho-moteurs y sont primitifs par rapport aux
ques). Les troubles psycho-moteurs y sont primitifs par rapport aux
troubles
sensoriels consécutifs et non constants, désagr
ou hypocondriaques vrais antérieurs). Évolution vers la théomanie,
troubles
sen- soriels, primitifs, par rapport aux troubl
ers la théomanie, troubles sen- soriels, primitifs, par rapport aux
troubles
psychomoteurs secondaires possibles (dédoubleme
« Il n'est aucune forme de maladie mentale, dit Cotard ', où les
troubles
de l'activité motrice se manifestent avec autan
fond mental hystérique. Dans ces cas, on pourrait objecter que les
troubles
psycho- moteurs, par exemple, relèvent de l'hys
e. Nous avons nous-mêmes suivi celui d'entre ces malades dont les
troubles
mentaux ont persisté. Il figure au rapport de 1
e plus ou moins près la paralysie générale. Signalons enfin : les
troubles
gastro- intestinaux (état saburral, inappétence
, constipation, fétidité de l'haleine et des matières fécales), les
troubles
circulatoires (altérations du coeur et du pouls
oeur et du pouls, cyanose et refroidissement des extré- mités), les
troubles
des sécrétions et des excrétions (anhy- drose,
ériorisé. Cet oni- risme peut être nocturne et il consiste alors en
troubles
du sommeil : rêves, cauchemars, illusions et ha
t de confusion profond à développe- ment excessivement rapide, avec
trouble
des sens analogue s celui du rêve, avec idéorrh
là on trouve encore d'autres allusions. Par exemple : « Lorsque le
trouble
pathologique est à son plus haut degré, il semb
e- mands, à l'Aiîie2lict de Meynert : « ..... L'idéation subit un
trouble
plus ou moins prononcé parce qu'elle n'est plus
la surface dorsale du gland; il montrait aussi que, dans les cas de
troubles
des fonctions génitales, la présence de ce réfl
bord par rapport au thorax. Si le bras s'élève volontairement , les
troubles
sont très accusés : impossibilité d'élever les
s le marasme après un temps assez court de faiblesse générale et de
troubles
parétiques avec perte du réflexe patellaire, al
quelle s'associent la blépharoptose, la fatigue de la nuque, les
troubles
de la parole et de la déglutition. A noter l'ab
e délicate des cas qu'elle présente amène à cette conclusion que le
trouble
des émotions sexulles joue un rôle important da
ne lésion des centres nerveux ; le processus ossifiant constitue un
trouble
trophique particulier; 7° Le début de la maladi
pathogénie de cette affection montre qu'elle ne s'accompagne pas de
troubles
intellectuels, qu'elle n'est pas héréditaire, q
gmentés de volume. On a cherché la clef de ces hypothèses, dans les
troubles
de la circula- tion veineuse et lymphatique, ou
es et la produc- tion de l'analgésie épigastrique profonde. Le seul
trouble
fonc- tionnel lié le plus habituellement à ce p
absolue. L'étude du membre fracturé explique cette impotence. Les
troubles
de la motilité (incoordination) et de la sensibil
atisme et l'immobi- lisation qui ont été la cause occasionnelle des
troubles
moteurs, sensitifs et trophiques, ostéo-articul
et trophiques, ostéo-articulaires -qui sont venus se surajouter aux
troubles
tabétiques généraux et déterminer l'impo- tence
cularités de l'état mental du sujet, observé avant l'apparition des
troubles
plus apparents de l'intelli- gence ou pendant s
tion est abdominal. Les douleurs au dos sont insignifiantes. Pas de
troubles
sensitifs, pas d'amyo- trophies, pas de trouble
gnifiantes. Pas de troubles sensitifs, pas d'amyo- trophies, pas de
troubles
des réflexes. La démarche est normale. Ankylose
ilepsie qui surviennent sous l'influence d'une émotion vive ou d'un
trouble
digestif. Elle présente de l'hémianesthésie sen
nte un délire particulièrement incohérent, activé- par une série de
troubles
sensoriels multiples et variés, avec prédominan
multiples et variés, avec prédominance visuelle manifeste; mais ces
troubles
sont en grande partie masqués par une exaltatio
nde, l'exaltation cérébrale légè- rement diminuée ; par contre, les
troubles
sensoriels, principa- lement ceux de la vue, qu
rec- tement à quelques questions simples; les hallucinations avec
troubles
de la sensibilité générale persistent, au contrai
demain, le calme relatif persiste, entrecoupé seulement de quelques
troubles
sensoriels du même caractère pénible. Par momen
être la cause de ses souffrances. Dans les jours qui suivent, les
troubles
sensoriels généralisés persistent; 111 ? H... e
qu'on lui sert ont un goût atroce. A d'autres moments, quand les
troubles
sensoriels sont moins prédominants, elle se met à
toute évidence, que le reflet du caractère pénible et déprimant des
troubles
sensoriels du moment. Il en serait de même de
fait assez brusquement, ordinairement la nuit ; c'est un assaut de
troubles
sensoriels multiples, visions de feu, d'animaux
, hallucinations de l'ouïe ; coups de ton- nerre, menaces insultes;
troubles
de la sensibilité générale ; idées délirantes d
d'ordre mélancolique ou mégalomaniaque, réactions en raison de ces
troubles
multiples et polymorphes ; de temps en temps, m
remière, au début, où l'exaltation cérébrale masquait en partie les
troubles
sensoriels, où les symptômes somatiques étaient
ès un intervalle très court de calme relatif, une deuxième phase de
troubles
sensoriels prédomi- nants, avec réactions conco
oubles sensoriels prédomi- nants, avec réactions concordantes, mais
troubles
multiples, variés, mobiles, polymorphes. L'em
accouchements, ni pendant l'allaitement, Mm0 Il ... n'a présenté de
trouble
mental. Depuis quinze mois environ, Mm0 II... é
c'est là précisément le point particulier de cette observation, les
troubles
sensoriels persistent et ils persistent avec un
pénible, comme dans l'alcoolisme, avec une prédominance marquée de
troubles
de la vue comme dans l'alcoolisme et dans l'hys
l'action du poison passée, mais continue à rester sous le coup des
troubles
sensoriels primitifs, et peut, dès lors, partir d
sparaît, les hallucinations visuelles tendent à s'effacer, mais les
troubles
de l'ouïe persistent, accom- pagnés de nombreus
r et nuit, elle brasse ses draps et ses couvertures, en proie à des
troubles
sensoriels manifestes, s'imaginant qu'elle lave
qu'on peut affirmer, en tout cas, c'est que consécutivement à ces
troubles
hallucinatoires, notre malade ne présentera vrai-
pides d'accalmie et d'excitation, avec une tendance progressive des
troubles
sensoriels à s'effacer pour faire place à une f
s qui s'accentue progressi- vement sans s'accompagner d'aucun autre
trouble
physique ou intellectuel. R. Cii.Ro". LXV. Po
t esprit, une action, souvent extrême- ment puissante, soit sur les
troubles
psychiques, soit sur les troubles physiques. Ce
e- ment puissante, soit sur les troubles psychiques, soit sur les
troubles
physiques. Ces procédés se divisent en deux grand
les plus gra- vement atteints. La coexistence chez le malade des
troubles
trophiques muscu- laires et de certaines malfor
n certain nombre de cas leur guérison peut amener la disparition du
trouble
mental. Les statis- tiques de l'auteur apporten
chez les aliénées. Sur 1G hysté- rectomies, il y eut 4 guérisons du
trouble
mental et 3 améliora- tions ; Sur 12 ovarioto
3 améliora- tions ; Sur 12 ovariotomies, il y eut 7 guérisons du
trouble
mental et 4 améliorations; Sur 22 redressemen
orations; Sur 22 redressements de l'utérus, il y eut 4 guérisons du
trouble
mental et 9 améliorations; Sur 30 opérations
l'utérus, principalement des amputations, il y eut 13 guérisons du
trouble
mental et 9 amélio- rations ; Sur 21 curettag
rations ; Sur 21 curettages de l'utérus, il y eut 12 guérisons du
trouble
mental et 2 améliorations ; Enfin sur 8 opéra
pour des lésions vaginales, il y eut seule- ment 3 améliorations du
trouble
mental. Les affections les ovaires, du col utér
de la muqueuse utérine paraissent donc avoir dans la production des
troubles
mentaux un rôle plus actif que les autres affec
us fréquemment accom- pagnée de la guérison ou de l'amélioration du
trouble
mental. (Arnel-icel2z joiii,ital of iiisanity,
évrotique, qui survivent à la psychonévrose, quel- quefois même aux
troubles
sensoriels dont elles sont l'interpré- tation.
mélancolie, chez des sujets à antécédents héréditaires chargés. Les
troubles
de la sen- sibilité générale et spéciale y occu
its pour contredire cette manière de voir. Il est possible que -les
troubles
viscéraux,, qui se rencontrent fré- quemment au
délire systématisé, lié à une névrose, se reconnaîtra toujours aux
troubles
de la sensibilité. Ceux-ci porteront le cachet de
on pourra donner lieu à un délire systématisé. Mais, encore ici, le
trouble
sensoriel seul dépend de l'alcoolisme. L'interp
es délires systématisés post-mélancoliques sont en rapport avec des
troubles
sensoriels intenses. 11 prouve aussi que, contrai
sous l'influence de l'auto-intoxication ou d'autres causes ont des
troubles
gastro-intestinaux, de l'anesthésie viscérale, ou
anatomo-pathologique dont la guérison suffit à faire disparaître le
trouble
mental. Que devient, dans ce cas, la constituti
de la question : M. Ballet. Lorsqu'en 1889 Ko'rsakofl' décrivit les
troubles
mentaux accompagnant les polynévrites, un senti
n sentiment de surprise accueillit cette opinion ; l'association de
troubles
cérébraux et d'une lésion polynévritique parut
psychose, car dans ses leçons il faisait observer l'existence de
troubles
amnésiques dans les polynévrites alcooliques. Cet
par psychose polynévritique ? On doit comprendre sous ce nom des
troubles
mentaux à physionomie clinique variée qui s'assoc
les lésions névritiques et les lésions cérébrales produi- sant les
troubles
mentaux ne sont que deux manifestations juxta-
naire un agent toxi-intectieux qui peut produire isolément soit les
troubles
polynévritiques, soit les troubles céré- braux.
peut produire isolément soit les troubles polynévritiques, soit les
troubles
céré- braux. Les formes cliniques de la psychos
ras très nombreuses. Quelle est maintenant la palhogénie de pareils
troubles
? Il est évident que ces troubles sont d'origin
intenant la palhogénie de pareils troubles ? Il est évident que ces
troubles
sont d'origine toxique (toxi-infectieux, endo-t
nséquence de l'empoisonnement de la cellule. Mais il semble que ces
troubles
ne devraient durer qu'autant que les toxines agis
1... avait été gravement atteinte; elle avait eu une pneumonie, des
troubles
gastro-intestinaux et, disait-elle, n'avait jam
mi environ et c'est au moment où la malade se sentait mieux que les
troubles
, dont j'ai parlé ci-dessus, ont apparu. Il se
aire; abolition des réflexes tendineux. Iu° 1... présente aussi des
troubles
mentaux graves ; presque dès le début de son ma
l'amyotrophie, la paralysie d'un des muscles du globe oculaire, les
troubles
psychiques. -Toutefois, j'acquis la conviction qu
de Brown- Sequard (hémiparaplégie avec anesthésie croisée) ; pas de
troubles
de la vessie et du rectum ; pas d'eschares de l
me dans la poliomyélite antérieure. D'un autre côté, il y eut des
troubles
psychiques, ce qui ne se voit guère dans la polio
de l'af- faiblissement de la vision, atteignant les deux yeux, des
troubles
psychiques qui ne ressemblent en rien à ceux qu
comprenons guère qu'une polynévrite pût à elle seule déterminer des
troubles
cérébraux, et quand on lit les ob- servations d
s trophiques, comme les zonas et certaines der- matoses, et sur les
troubles
sensitifs, tels que les anesthésies, to- tales
malade pourraient faire penser à l'hystérie. Mais les vertiges, les
troubles
de la parole, les patésies durables à gauche, l
classer ainsi : 1 supérieur, 32 normaux, 24 morts d'éclampsie, 20 à
troubles
physiques (5 ont de l'arthrilisme, 4 de la débili
permet d'expliquer la production des mouvements cho- réiques et des
troubles
mentaux dans la maladie d'Huntington. Intervent
exagérés et trépidation épileptoïdes plus marquée à droite. Pas de
troubles
de la sensibilité, mais dans les derniers temps
prement dite ; 2° celles dans les- quelle il agit en supprimant les
troubles
psychiques, l'excitation, la fureur épileptique
té, depuis six mois, dans leur vie intime et si loyalement unie, le
trouble
occasionné par les préoccu- pations multiples e
l lié à l'ablation partielle ou totale du cervelet consiste dans le
trouble
de l'équilibre très prononcé au commencement, e
complet même dans les cas d'abla- tion complète du cervelet; 2° Le
trouble
de l'équilibre tient appa- remment à la perte d
de qui amène souvent la mort; 9° L'ablation du cervelet amène des
troubles
graves de la sphère psychique ; l'animal opéré de
versés de la question, les auteurs s'efforcent de démontrer que les
troubles
mentaux et notamment ceux de la mémoire dans la
iques sont légèrement douloureux à la palpation. Du côté psychique,
trouble
de la mémoire sous forme d'amnésie et de faux s
stipation. Les réflexes rotuliens sont exagérés. Du côté psychique,
troubles
de la mémoire sous forme d'amnésie et de faux s
ipation des nerfs facial et lingual. Les auteuis rappellent que les
troubles
des sphincters et l'exagé- ration des réflexes
(entre autres, observations de Ballet et Faure). D'autre part les
troubles
psychiques dans ce cas sont caractéristiques pour
mois de novembre 1892, on constate des symptômes névritiques et des
troubles
psychiques caractéristiques. Ensuite survient une
alcoolisme dans ce cas. M. Tokarsky ne croit pas l'amélioration des
troubles
de la mémoire comme un signe pathognomonique. M
de lfontyel). Associée aux délires, elle est souvent accompagnée de
troubles
trophiques organiques nets (Séglas et Chaslin),
e. Il estime que si la biologie peut expliquer un grand nombre de
troubles
psychiques, il est des psychopathies premières, q
lité mentale qui ne sera pas considérée comme une forme larvaire de
troubles
mieux déterminés et plus connus, mais comme la
rieurs et la désagréga- tion physiologique. Nous étudions ici les
troubles
psychologiques indépendants de tous troubles bi
Nous étudions ici les troubles psychologiques indépendants de tous
troubles
biologiques, bien qu'ils aient souvent avec eux u
oins prononcées, a une im- puissance de synthèse donnant lieu à des
troubles
du jugement et du raisonnement. Elle peut s'a
PHIE. 421 donc pathologique : on l'observe chez l'enfant au moindre
trouble
psychique, chez le maniaque désordonné dans ses
elligence ou de la sensibilité; tels les convulsions, les tics, les
troubles
de la marche, les paralysies psychiques, qui ne
pas toujours être attribués à des causes physiologiques, comme les
troubles
de l'innervation, mais qui peuvent trouver leur
Ce n'est pas seulement par des inhibitions que se manifestent les
troubles
psychiques de la motricité : c'est encore et plus
motricité : c'est encore et plus sou- vent par des déviations. Les
troubles
de la parole, de l'écriture, les atechnies font
t naître d'habitude. Au point de vue particulier des atechnies, ces
troubles
de la motricité poussent le malade à vouloir chan
tuelle et affective vient s'ajouter à l'instabilité pratique. Les
troubles
mentaux étudiés jusqu'ici ne doivent pas être con
des cas,exception faite de l'épilepsiejacksonienne, un véri. table
trouble
psychologique, dont l'intoxication, la compressio
ands neuro- logues, il faut donc voir dans tous ces phénomènes, des
troubles
psychiques, et le somnambulisme, qui n'est en s
e est de ne pas abandonner exclusive- ment aux médecins l'étude des
troubles
de l'esprit » ; la péda- gogie doit venir en ai
physique du corps humain, la pédagogie rationnelle en prévenant les
troubles
psychiques, même et surtout chez l'enfant fera
oin, lorsqu'il essaie de rame- ner à l'instabilité mentale tous les
troubles
psycho-pathologiques; il existe certainement en
les troubles psycho-pathologiques; il existe certainement entre les
troubles
psychiques et les troubles biologiques des rapp
giques; il existe certainement entre les troubles psychiques et les
troubles
biologiques des rapports qui ne sont pas seulem
i pourra seule atténuer chez l'adulte et prévenir chez l'enfant les
troubles
psychiques. Ce livre, très documenté, est d'u
tement, progressivement, provoque une prédis- position mentale. Les
troubles
psychiques succèdent à la longue aux phénomènes
malades diffèrent : chez les dégé- nérés héréditaires, ce sont les
troubles
psychiques qui ouvrent la scène, les symptômes
et à la longue seulement apparaissent d'une manière insidieuse des
troubles
mentaux. La symptomatologie est à peu près la m
s (hallucinations de l'ouïe beaucoup plus fréquentes que les autres
troubles
sensoriels) ; 3° la guérison ou la terminai- so
e des actes commis par le persécuté, de démontrer les relations des
troubles
hallucinatoires avec ces actes. Après avoir rap
élancolie, l'interprétation secondaire de phénomènes primordiaux (
troubles
cénesthésiques, douleur morale, arrêt psychique),
ents. Et c'est alors que subite- ment, sans avoir présenté d'autres
troubles
psychiques préalables, il commença à émettre de
uitté le malade ne nous ont pas permis de retrouver avant elles ces
troubles
particuliers qui constituent l'état mélancolique
i, dans la mélancolie vraie, servent de fondement au délire. Pas de
troubles
physiques, pas de désordres coenesthé- tiques,
e parait excellente : de fait, n'y a pas d'amai- grissement, pas de
troubles
vaso-moteurs, digestifs, etc.; le som- meil lai
entir tout aussi vigoureux qu'autrefois. Il n'accuse non plus aucun
trouble
émotionnel permanent, qui ressemble même de loi
toujours le symptôme prédominant et même exclusif. Il n'y a pas de
troubles
émotionnels perma- nents. Par intervalles seule
aines suivantes, une amélioration progressive se manifeste dans les
troubles
mentaux, sans qu'ils aient d'ailleurs changé de
aire, du moins en ce qui concerne la forme clinique revêtue par les
troubles
déli- rants. En effet, deux ans auparavant la m
g qu'elle occupe parmi ces dernières. Il faut avoir en vue quatre
troubles
principaux de la parole : le nudisme, le balbut
sorielle de celle d'association. Pour nous, le mutisme constitue un
trouble
de la mémoire verbale sensorielle (auditive, op
ssus étant moins compliqué que le premier ; dans d'autres cas de ce
trouble
, il est impossible de faire la lecture à haute
n ce que la perte de la parole spontanée tient dans la première aux
troubles
de la mémoire motrice sensorielle, et dans la sec
ue chaque enfant présente jusqu'à la fin de la troisième année ; ce
trouble
tient alors à la faiblesse tempo- raire des mém
ennent aux lésions pathologiques du tissu célébrai en l'absence des
troubles
mentaux. C'est en seconde ligne seulement qu'il
igne seulement qu'il faut incriminer les causes accidentelles : les
troubles
de l'ouïe, les affections de la cavité naso-pha-
subitement la vue ; les jours précédents il n'avait éprouvé aucun
trouble
du côté des yeux ; il se sentait seulement très f
ompagna ni de paralysie, ni de surdité et de cécité verbales, ni de
troubles
de l'écriture. Aussitôt guéri, P... revient à P
de P... et recevoir dans un service d'aliénés un homme exempt de
troubles
mentaux. Depuis nous n'avons plus eu aucune nouve
Notre homme était porteur de stigmates permanents d'hys- térie :
troubles
de la sensibilité cutanée et rétrécissement du
s un Cas rapporté par Ilarlan , elle persista pendant six années.
Trouble
purement fonctionnel, la cécité hystérique donne
ompagés ni de paralysie, ni de cécité et de surdité verbales, ni de
troubles
de l'écriture : cela montre bien leur caractère
ymptômes qui n'auraient pas existé dans les précédents. Ce sont les
troubles
de la mastication et le ptyalisme. Les troubl
ents. Ce sont les troubles de la mastication et le ptyalisme. Les
troubles
de la mastication, très légers, se bornaient à
ntaires. Celle explication se trouve corroborée par ce fait que les
troubles
de la mastication sont survenus seu- lement qui
t quatre-vingt-sept jours. La salivation doit être rapportée à un
trouble
vaso-moteur comme on en rencontre si souvent ch
s prisons et corps d'épreuve n'est pas de nature à faire éclore des
troubles
psychiques chez des héréditaires prédisposés qu
, où l'aliéné a été méconnu parce que les experts ont méconnu les
troubles
mentaux. Il en rapporte un cas au nom de M. Samue
sans qu'il soit bien facile de démontrer qu'ils étaient atteints de
troubles
mentaux antérieurement à leur condamnation. A mon
ilité, mais il n'existe pas de RD. Paralysie des réservoirs. Pas de
troubles
trophiques. Pas de déformation rachi- dienne. 1
rnir à la folie son contingent de systèmes délirants explicatfis de
troubles
hallucinatoires. De plus, la médiumité spirite, q
Rrissaud, avec paralysie de la langue, parésie du voile du palais,
troubles
de la respiration, rires et pleurs spasmodiques
abolition totale des mouvements phonétiques de la langue et divers
troubles
trophiques. La troisième présente une ophtalmop
lire alcoolique. Les phénomènes intellectuels consistent surtout en
troubles
hal- lucinatoires, de nature pénible, s'étendan
prédomine habituellement dans les accès de delirium tremens, où les
troubles
hallucinatoires, d'une vivacité extrême, s'asso
longtemps signalé par Baillarger comme favo- rable à l'éclosion des
troubles
hallucinatoires. On ne trouve ensuite que des c
oolique, fait presque entièrement d'illusions, d'hallucinations, de
troubles
de la sensibilité générale, s'exagère dès que l
, la raie méningitique y est plus accusée. Il existe aussi quelques
troubles
vaso-moteurs. Le 2 septembre. Les mouvements cl
s et des jambes douloureuses à la pression ; pas d'atrophie, pas de
troubles
trophiques ; intégrité des sphincters, urines nor
, sensation de constriction à la gorge, pupilles normales, pas de
troubles
soit du côté de l'intelligence, soit du côté des
he impos- sible, pieds tombants; la malade ne peut se tenir debout,
troubles
' Voir sur les hémorragies méningées : Clarcot,
e est dans l'état actuel de nos connaissances, symptomatique d'un
trouble
organique ou dynamique du système nerveux, d'une
uccès variables, dans le deli- rium tremens (Deneffe, de Gand), les
troubles
génito-urinaires, en particulier dans la blenno
- phie prostatique. De même, dans la spermatorrlzée (Desnos), les
troubles
de dentition de l'enfance, la coqueluche, la chor
lbald). Extraits de rate et de thyroïde en clinique (Bois et Kerr).
Troubles
oculaires et paralysie générale (Dawson et Ramb
dique, par Hoche, 213. - sympathique. La- paratomie. Guérison des
troubles
intellectuels, par Febvré, 169. 1-OI.Lr. Le s
entre la maladie du sommeil et le -, par Briquet, 62. Du - et des
troubles
qni s'y rattachent, par \\ ? Ord, 225. Rappor
lité. Comte notice propos de la lettre du professeur Pick sur les
troubles
de la dans les myélites transverses, par Miuor,
ICONOGRAPHIE A 'q DE LA SALPÊTRIÈRE D'UNE FORME PARTICULIÈRE DE
TROUBLES
NERVEUX DES EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES . 1 Dans
ue et des altérations de la sensibilité des extrémités supérieures,
troubles
généralement symétriques, et paraissant occuper
nchniques. La santé géné- rale restait bonne, et il ne survenait ni
troubles
des sens, ni altération des sphincters, ni gène
ables/mais moins accentuées. t'ic. 1. UNE FORME PARTICULIÈRE DE
TROUBLES
NERVEUX. 3 Au point de vue de la motilité : à d
seuls ceux des interosseux sont complètement abolis. Il existe des
troubles
de la sensibilité très caractérisés. A droite le
ible et les parties saines une sorte de zone intermé- diaire où les
troubles
sont moins marqués. (Fig. 2, 3.) A gauche on co
les sont moins marqués. (Fig. 2, 3.) A gauche on constate les mêmes
troubles
, mais l'anesthésie aux divers modes n'est pas a
e. Il n'y a pas de secousses fibrillaires. 11 n'existe pas d'autres
troubles
tro- phiques que l'atrophie musculaire. . Ons
attaque qui dura deux mois. Cette fois, il remarqua qu'il avait des
troubles
de la sensibilité. Étal actuel. - C'est pour un
; les autres appareils sont sains. [, : il; FORME PARTICULIÈRE DE
TROUBLES
NERVEUX. 5 Ces. 111. - Lucie L..., âgée de ving
e sur le bord interne des deux mains, mais il n'existe pas d'autres
troubles
. Les réflexestendineux sont faibles d es deux r
en il noter du côté des autres appareils. UNE FORME PARTICULIÈRE DE
TROUBLES
NERVEUX 7 II Relevons tout d'abord les partic
che ensuite, des mêmes acci- dents de parésie, d'amyotrophie, et de
troubles
de la sensibilité can- tonnés dans la zone du n
lle a gagné ensuite la main gauche, occasionnant symétriquement des
troubles
paralytiques et atrophiques, et des altérations
côté droit. Ce sont toujours de la paralysie, de l'atrophie, et des
troubles
de la sensibilité symétriques, et répondant pre
teinte. L'auteur conclut qu'il s'agit très vraisemblablemement d'un
trouble
nutritif (névrite), à la suite de la lièvre typ
nnelle apparente, au milieu d'un état général satisfaisant, par des
troubles
de la sensi- bilité dans la main droite. Les ma
à cette période de la maladie que la main UNE FORME PARTICULIÈRE DE
TROUBLES
NERVEUX. gauche, jusque-là plus ou moins indemn
X. gauche, jusque-là plus ou moins indemne, se prend. Dès lors, les
troubles
'progressent parallèlement, mais le côté gauche
e peut se faire, de même l'adduction du pouce est em- pêchée. Les
troubles
de la sensibilité sont constants, mais plus ou mo
absolue que dans ces mêmes limites. Surviennent en dernier lieu des
troubles
plus profonds, rétractions et troubles trophiqu
viennent en dernier lieu des troubles plus profonds, rétractions et
troubles
trophiques, qui augmentent les déformations, et l
périodes dans cette évolulion, l'une de début caractérisée par des
troubles
de la sensibilité, la seconde ~ d'état avec de
ysie atrophique, la troisième terminale avec des rétractions et des
troubles
trophiques; ces accidents se développant en 10
e de M. le professeur Charcot. Elle demande nos soins pour divers
troubles
survenus dans sa main gauche. Il ya six ans, à
st très peu de temps après cette opération qu'apparurent les divers
troubles
de la main. ; Insensiblement, et sans douleurs
ire l'état actuel. Pendant le cours de celte évolution, aucun autre
trouble
ne se produisit dans la santé générale, ni sur
NtRR ET DA13(, ÉDITEURS 1 1 ? 1\" 1 j UNE FORME PARTICULIÈRE DE
TROUBLES
NERVEUX. 11 fléchies. Les autres doigts un peu
OBS. VI LECROSNIER ET Barye, ÉDITEURS UNE FORME PARTICULIÈRE DE
TROUBLES
NERVEUX. la professeur Panas qui m'apermis d'en
r du premier, parésie du cubital antérieur. Il existait de plus des
troubles
de la sensibilité, fourmillement et engourdisse
es études {Archives de neurologie, 1888). UNE FORME PARTICULIÈRE DE
TROUBLES
NERVEUX. 15 La sensibilité au tact, à la piqûre
nt. Les réflexes tendineux sont abolis à droite. 11 n'existe pas de
troubles
trophiques. Si dans ce cas l'influence de cau
ntres nerveux, et le domaine du nerf est atteint et seul atteint de
troubles
que nous sommes habitués à rencontrer lors des
n de la colonne cervicale. Les quatre membres sont atteints, et les
troubles
prédominent dans les membres supérieurs. Obse
mois.- Contracture en voie de diminution. - Déformation des mains.
Troubles
trophiques ( ? ) de la main droite. Le nommé
constate aujourd'hui, et qui fut considérée, à son début, comme un
trouble
trophique. L'oedème de la main a disparu depuis
urent soulagées par l'application de ventouses scarifiées. Pas de
troubles
de la respiration, pas de palpitations. D... épro
rviennent surtout le soir. Nous en avons parlé plus haut. Quant aux
troubles
d'ordre trophique, on peut sans doute ranger sous
rdison (The Lancet, 21 oct. '1882) montre une guérison complète des
troubles
nerveux graves, six mois après une fracture des
er des lésions tenaces produites parlefroid sur des orteils que des
troubles
nerveux préalables avaient mis en état d'inféri
nt à cinq ans. Paralysie. z Crampes. Douleurs. Atrophie musculaire.
Troubles
tro- phiques cutanés. Engelures.. Ces phénomène
éciser, une atrophie musculaire des deux membres inférieurs. Pas de
troubles
trophiques cutanés. Enfin, environ huit mois ap
ente d'ailleurs aucun 26 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
trouble
fonctionnel notable, en dehors des symptômes que
symphyse : 105 millimètres. Angle sacro-vertébral accessible. Les
troubles
nerveux consécutifs à cette lésion du sacrum sont
ue la malade peut produire dans la hanche. Elle accuse, comme autre
trouble
moteur, des mouvements involontaires des orteil
e; bord externe du pied et moitié externe de sa face plantaire. Ces
troubles
sont symétriques. La sensibilité au contact,tla s
ltérées dans les mêmes points que la sensibilité à la piqûre. Les
troubles
trophiques sont les suivants : atrophie sensiblem
Ainsi donc, paraplégie, anesthésie, douleurs, atrophie musculaire,
troubles
trophiques des extrémités inférieures que la mala
Intelligence vive ; bonne santé ordinaire ; pas de douleurs; pas de
troubles
de la sensibilité; intégrité des fonctions vésica
phénomènes s'amender progressivement jusqu'à l'époque actuelle. Les
troubles
recto-vésicaux, rétention d'urine et de matière
e décrois- sance. Cette diminution progressive dans l'intensité des
troubles
nerveux se poursuivra peut-être jusqu'à leur co
tous les cas, nous avons constaté, comme conséquences éloignées des
troubles
nerveux d'abord observés, des désordres durable
nt datait de plusieurs années. Or, dans tous, nous avons relevé des
troubles
persistants de l'innervation. ' S'il est perm
ractures de la colonne vertébrale entraînent après elles, outre les
troubles
nerveux qui les suivent immédiatement, des désord
ue. Ces désordres, variables suivant les cas, sont les suivants :
Troubles
de la sensibilité. - Les membres atteints sont so
ré), la fracture de la colonne dorsale avait déterminé en outre des
troubles
sensitifs de la région antérieure de la cuisse,
la cuisse, dont l'innervation ne relève pas du plexus sacré : - .
Troubles
de la motilité. - Dans tous les cas, il avait sub
issance. Elle avait déterminé des altitudes vicieuses des doigts.
Troubles
vaso-moteurs. - Dans plusieurs cas, il y avait un
anés des extré- mités inférieures (antérieurement atteintes par les
troubles
nerveux .primitifs). Troubles trophiques. - I
s (antérieurement atteintes par les troubles nerveux .primitifs).
Troubles
trophiques. - Ils n'ont manqué dans aucun cas.
ait de l'atrophie musculaire, généralement asymétrique. ' . Comme
troubles
trophiques cutanés, on trouvait : de l'épaississe
nt la croissance n'était pas terminée à l'époque de l'accident. Les
troubles
génito-uriaaioes et les troubles de la défécation
inée à l'époque de l'accident. Les troubles génito-uriaaioes et les
troubles
de la défécation, constants chez tous nos malad
édominance de certains symptômes- : paralysie, atrophie musculaire,
troubles
trophiques cutanés, surun côté du corps. 36 NOU
ce constante, à la suite des fractures de la colonne vertébrale, de
troubles
nerveux tardifs, entraîne pour ces fractures, m
favorablement et peut se cicatri- '- ser d'une façon complète. Les
troubles
de la sensibité et de la motricité s'atténuent
. - Cepen- dant quelques blessés ont survécu, parfois même avec des
troubles
paré- tiques peu marqués, à des fractures de la
ordres nerveux nous ont surtout préoccupés. Indépen- damment de ces
troubles
, il existe, par le fait même de la lésion osseu
raumatisme médullaire. Ainsi peuvent se constituer, par le fait des
troubles
nerveux, des lésions permanentes du squelette, qu
rveux, des lésions permanentes du squelette, qui survi- vraient aux
troubles
nerveux eux-mêmes, si ces derniers venaient à d
blement s'étend à tous les muscles et est capable de déterminer des
troubles
du langage. On en retrouve la trace lorsque l'o
on de la vue est incertaine, mais la malade croit que .sa vue a été
trouble
depuis qu'elle a eu ce qu'elle appelait sa diph
de même que les réflexes cutanés et ten- dineux. Il n'existe pas de
troubles
de l'urine ou de la miction. L'examen minutieux
n progressive des sens de la vue et de l'audition, ainsi que par le
trouble
que tout cela a apporté à l'exercice de sa prof
scles normale, le réflexe tendineux du'triceps existe. ' , Légers
troubles
de la sensibilité surtout au contact sur les avan
orge, par des soubresauts des hypocondres et de l'épigastre, par le
trouble
et l'éga- rement des yeux, par des cris perçant
nt d'une façon cyclique et présentant comme phéno- mène capital des
troubles
du système nerveux moteur ayant le carac- tère
teurs, on trouve dans les stades les plus graves de la maladie, des
troubles
vaso-moteurs, de l'oedème, de la cyanose des extr
eurs, de l'oedème, de la cyanose des extrémités, de l'anorexie, des
troubles
de la défécation, des congestions viscérales, l
attaque de raideurs, l'état cata- leptoïde, et du côté physique des
troubles
vaso-moteurs 1 rès accentués. En revanche, d'au
stérie nous semble mise en évidence par l'anesthésie pharyngée, les
troubles
de la sensibilité générale, le rétrécissement b
extrémités, mains et pieds, sont froides, cyanosées, présentant des
troubles
vaso-moteurs très accentués. Dans le même ordre
roduites, ne nous paraissent pouvoir être considérées que comme des
troubles
trophiques, marchant, de pair avec le ralentissem
Par ordre chronologique l'amélioration porte ensuite sur les divers
troubles
vésicaux si fréquents chez les tabétiques. La mic
nt pas sans inté- rêt, tant au point de vue des déformations et des
troubles
fonctionnels qu'elles peuvent entraîner qu'au p
e génitale, sauf que les testicules sont petits. Il n'existe pas de
troubles
évidents de la sensibilité générale ou spé- cia
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DE LA SUPERPOSITION DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ ET DES SPASMES DE LA FACE E
n précise, cette notion générale, du lien commun tiré de l'état des
troubles
de sensibilité - qui réunit les spasmes des diffé
DE LA SUPERPOSITION DES 'l'IIUIiI>LIsS. JOU Elle présente les
troubles
suivants de la sensibilité générale (fig. 38, 3J)
HYSTÉRIQUE .C.0 SN i.R ET PAPI', EDITEURS DE LA SUPERPOSITION DES
TROUBLES
. 111 Réflexes tendineux normaux, réflexe pharyn
111 Réflexes tendineux normaux, réflexe pharyngien conservé. Aucun
trouble
du goût, ni de l'odorat. Diminution de l'acui
oeil, comparée à celle de l'oeil droit, est DE LA SUPERPOSITION DES
TROUBLES
. 11 Il; bien faible. On prend immédiatement le
fet immédiat dès qu'on la réveille. . r DE LA SUPERPOSITION DES
TROUBLES
. Dans la dernière quinzaine du mois de décembre
s autres accidents se reproduisent d'ail- : DE LA SUPERPOSITION DES
TROUBLES
. 117 leurs au bout d'un certain temps après que
ERIQUE GUERI LECROSNIER 6T BABÉ, ÉDITEURS DL LA SUPERPOSITION DES
TROUBLES
. 119 du reste, toujours par suggestion qu'on le
la paupière et l'orbiculaire, paraissent intéressés par suite d'un
trouble
complexe difficile à analyser. Dans un récent m
bdomadaire de médecine, 1877, n°° 4G et A7. DE LA SUPERPOSITION DES
TROUBLES
. I°31 1 M. Landolt, a rapporté un certain nombr
à une contracture de l'orbiculaire. De plus, il s'ac- compagnait de
troubles
particuliers, capitaux dans l'espèce, car ce sont
ttention. Mais il n'en est pas toujours ainsi en ce qui regarde les
troubles
de la sensibilité oculaire ou cutanée qui nous
Cette omission involontaire de la part du malade de l'existence des
troubles
sensitifs tient à plusieurs causes. D'abord ces t
stence des troubles sensitifs tient à plusieurs causes. D'abord ces
troubles
veulent être cherchés avec soin; ensuite le blé
pour les raisons précédemment indiquées. DE LA SUPERPOSITION DES
TROUBLES
. 123 L'oeil gauche reste alors fermé par une co
des bons symptômes du blépharospasme hystérique consistait dans les
troubles
de sensibilité qui se superposaient au spasme.
t l'observation suivante qui montrera en toute évidence combien les
troubles
de sensibilité sont liés aux phé- nomènes hysté
'est là un phénomène absolument de même ordre, de superposition des
troubles
de sensibilité à la contracture des muscles sou
il n'eut prohahlement pas, dans un but eu- DE LA SUPERPOSITION DES
TROUBLES
. 125 ratif, sectionné les deux nerfs sus-orbita
réquente. Le malade qui en est l'objet présente d'ailleurs quelques
troubles
mentaux intéressants. Boul... (Louis-Jacques-Ma
n, et l'apparition des premières dents ne fut accom- pagnée d'aucun
trouble
; mais les molaires percèrent difficilement, on f
conservé, il mange beaucoup à tous ses repas, et ne présente aucun
trouble
digestif. La nuit, en dehors des accès, la phase
liquement de haut en bas et d'arrière en avant. Malgré cela, pas de
troubles
dé l'audition. Le thorax est normal, on ne trou
pas altérées ; on ne trouve ni anesthésie ni hyporesthésie. Aucun
trouble
du coté des organes sensoriels; il entend, ,oit,
prouvé, il la vue de certaines femmes, une « sensation spéciale », un
trouble
qu'il ne peut définir, mais qui est plutôt péni
voir peut- être même été la cause des idées de suicide par suite du
trouble
des facultés mentales que sa présence avait dû
émeut de compassion une femme qui assiste à l'opération, mais ne
trouble
point le chirurgien dont le calme et le sang- fro
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE FAITS POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE DES ALIÉN
stauration ou à des constructions nouvelles. Les faits relatifs aux
troubles
somatiques sont particulièrement précieux parce
- sulter que je rapporte les faits suivants où on trouve quelques
troubles
trophiques qui m'ont paru dignes d'intérêt, mais
ont la cause anatomique reste indéterminée, faute d'autopsie. Les
troubles
trophiques attribués à la paralysie générale sont
ière aux hématomes de l'oreille est attribuée depuis longtemps à un
trouble
de nutrition. La friabilité des os, admise par
s raison que M. Christian a fait ses réserves sur l'évidence de ces
troubles
de nutrition des os. Les troubles trophiques
réserves sur l'évidence de ces troubles de nutrition des os. Les
troubles
trophiques de la peau et de ses annexes sont mieu
lie par M. Pcrruchct, interne du .service). - Paralysie générale. -
Troubles
trophiques. -1JI a 1 perforant plantaire. - ] chl
Neurologie, ]883. I. VI, p. 305) FAITS POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES
TROUBLES
TROPHIQUES..157 - En 1866, il avait alors' 23 a
es dettes et n'ayant même pas conscience de sa ruine. Peu à peu les
troubles
intellectuels s'accentuent. A cet orgueil qu'il m
dre exer- cice; il devient sale dans sa tenue et en mangeant. Les
troubles
de la parole s'accentuent de plus en plus. 158.
illeurs avec la plus grande difficulté. La parole se ressent de ces
troubles
moteurs; 1... est incapable de pro- noncer une
ICONOGRAPHIE T. II PL. XXV Cliché HU8 £ RT Phototypie BER1'HAUn
TROUBLES
TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GENERALE (ÉTAT ICH
) E C n OS NIMR & ÉDIEURS FAITS POUR SERVIR A, L'HISTOIRE DES
TROUBLES
TROPHIQUES. , 159 une table. L'écriture est abs
ns l'incapacité de mettre ses vê- tement, non seulement à cause des
troubles
moteurs, mais aussi par perte d'intelligence; i
se de Lille, 1886, p. G2. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. Il. PL. XXVI
TROUBLES
TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE LBCROSNIE
CROSNIE ET BABÉ, ÉDITEURS NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. Il. PL XXVII
TROUBLES
TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE LECROSNIE
E LECROSNIER ET BABÉ, EDITEURS FAITS POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES
TROUBLES
TROPHIQUES. Ici depuis. C'est il peu près de ce
malade est femme de ménage), ainsi que le reste des doigts. Pas de
troubles
du côté des ongles. Du côté gauche, une plaque
ras des cheveux et qui offre une décoloration assez marquée. Pas de
troubles
du système pileux à ce niveau. Au niveau du cou
de la peau. 162 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA,5.\ LPt,TI\I I\E. Des
troubles
trophiques de la peau on peut rapprocher la décol
t seulement au mois de juin 1886 que B... a commencé à éprouver des
troubles
de la parole. En même temps son émotivité était r
e, Thèse 1889, p. 48. 1 1. 1 , FAITS POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES
TROUBLES
TROPHIQUES"'1 la parole, qui avait commencé dep
déjà, resta plus accentué. On eut alors l'occasion de constater des
troubles
de l'écriture qui était trem- blée. En outre, l
ut reprendre son travail qu'il avait dû cesser pendant deux mois; les
troubles
de la parole eux-mêmes s'étaient atténués, et d
onc assez difficile en l'absence d'autopsie. En ce qui concerne les
troubles
trophiques cutanés la détermination de la localis
s été d'une santé irrépro- chable jusqu'à l'apparition des premiers
troubles
qui marquèrent le début de la maladie actuelle.
installer définitivement et devint à peu près continuel. Ces divers
troubles
s'accentuèrent progressivement et dans les premie
u membre supérieur. Les membres du côté droit sont indemnes de tout
trouble
fonctionnel. Leurs mouvements sont rapides cl'p
e. n'a jamais éprouvé de véritables douleurs.- ' . Il n'y a aucun
trouble
du côté des sphinclers. L'intelligence et la mé
Clinique des maladies du 5%stèitic nerveux. DE LA SUPERPOSITION DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ. ET DES SPASMES DE LA FACE
nature, ne se comportaient pas d'une façon analogue par rapport aux
troubles
de sensibilité locale. En premier lieu, notre
3. Nouvelle Iconogarphie, t. I, ,,1. XIV, 1688. SUPERPOSITION DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ. 171 la langue, nous voyions
on remarque que la commissure labiale gauche est SUPERPOSITION DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ. 173 élevée et de ce côté la
ORIGINE HYSTÉRIQUE LECROSNIER ET DA13, ÉDITEURS SUPERPOSITION DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ. 175 et qui consiste en une c
le môme pour une égale distance de la bougie et, aucun caractère du
trouble
oculaire n'autorisait un autre diagnotic el per
ttaque de grande hystérie qui dure deux heures. SUPERPOSITION DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ. 177 Le lendemain matin, 12 m
pinion sur la superposition des spasmes de la face et du cou et des
troubles
localisés de la sensibilité. La première (Obs.
même temps que la langue est fortement déviée il SUPERPOSITION DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ. 179 droite; la moitié droite
e par M llacq (Progrès médical, 28 janvier 1888). SUPERPOSITION DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ. 181 cembre 1888. Pas d'antéc
siégeant toujours à gauche. Nous avons observé à SUPERPOSITION DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ. 183 plusieurs reprises ces
ce d'hypnotisation fait disparaître la contracture et avec elle les
troubles
de la sensibilité. Les faits que nous avons rap
s, de même le torticolis; l'ic. 58. - (Obs. X), SUPERPOSITION DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ. 185 et si le spasme glosso-l
qu'auparavant. Enfin, on pourra s'en étonner, ce sont peut-être les
troubles
de sen- sibilité de la langue qui permettront p
. A la vérité, on pourra nous répondre que ces superpositions des
troubles
de sensibilité et du spasme ne sont pas d'une con
puis longtemps montré, au point de vue de leur topographie, que les
troubles
de la sensibilité dans l'hys- térie ne se super
a région contracturéc. - Dans les cas que nous avons décrits, les
troubles
de sensibilité sont in- dépendants topographiqu
adies du système nerveux, t. III, p. 290 et suiv. SUPERPOSITION DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ. 187 turc est d'origine purem
lètement. 198 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. A côté des
troubles
physiques se placent, dès cette époque, les trou-
us admirables. Mais il n'en reste pas moins toujours souffrant; les
troubles
du système nerveux dominent la scène. La paraly
oduire, est le résultat d'une hallucination et porte la marque d'un
trouble
intellectuel profond : Pascal y invoque en term
e pendant la vie. Il n'est pas douteux que Pascal ne fût atteint de
troubles
mentaux ; or, on sait quelle importance attache
veloppement de certaines régions céré- brales, occasionneraient les
troubles
intellectuels observés pendant la vie. Mais l
Gilles de la Tourette a, de plus, récemment établi que souvent des
troubles
de sensibilité se superposaient au spasme, ce qui
térique. Progrès médical, nOS 5,7,1887.' 3. De la superposition des
troubles
de la sensibilité et des spasmes de la face et du
tude d'extension. Disparaît la nuit. Instabilité musculaire. Pas de
trouble
de la sensibilité. Résiste à toutes les médicat
ent dans la forme spinale. Elles sont étranges, inusitées. d) Les
troubles
de la sensibilité, très fréquents dans la forme s
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE ATROPHIE MUSCULAIR
it que l'hystérie ne donnait que très exceptionnellement lieu à des
troubles
trophiques. On avait bien la notion d'éruptions
ition, établit nettement dans un excellent mémoire 1 l'existence de
troubles
trophiques en étudiant l'atrophie musculaire des
nce dans le membre inférieur. » Puis il donne les caractères de ces
troubles
nutritifs. « L'atrophie musculaire se présente
rie (Société médicale des /¡Ûpitallx, il octobre 1889). ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. -253 « , 1889-189
durait un jour, quelquefois plus; il était intermittent. ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. 2 ? Le malade après
Le périmètre de la main pris à la base du pouce mesure : ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS 1.'HI'STIItIE. 257 Le périmètre
CROSNIBR ET 8ABF, DITSUh6 1 . ( " 'Q 1 \ \ Il t91E ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DAKS L'IIYSTÉ .1 E' Z : le bras droi
généralisées d'emblée aux quatre membres; en même temps, la vue se
trouble
; ces phénomènes sont surtout accentués lorsqu'i
ne, blond, d'aspect vigoureux. Pas de syphilis, pas d'alcoolisme.
Troubles
sensitifs. - IIémianesthésie gauche complète à la
il gauche. rétrécissement concentrique du champ visuel. ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. M3 Ni sucre ni albu
antérieurement ou actuellement par le malade. Parmi celles-ci, les
troubles
de sensibilité tiennent la princi- pale place.
de la névrose. Évidemment non, et la réaction de dégéné- ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. 265 rescence, pour
té. le plus fréquemment le siège de manifestations hystériques, les
troubles
de sensibilité en particulier. 2° Il peut exi
énomène. Cet oedème, de nature hystérique, constitue, lui aussi, un
trouble
trophique très intéressant et encore peu étudié
n° 9, à la Salpêtrière, service de M. le professeur Charcot. 1. Des
troubles
trophiques dans l'hystérie (Gazette des hôpitaux,
Il' 31`3, 1888, mais l'auteur est trop préoccupé do rapporter à des
troubles
menstruels ce qui appartient peut-être a l'hyst
t des cas d'oedènie par refroidissement chez des enfants. ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. 267 Pas d'antécéden
HYSTERIQUE DE L'" MAIN LkCJI ! OSNIER ET 8ABÉ, tDITbUh$ ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. 269 jours, il recou
haleur déjàdécrites et auxquelles il est encore sujet, pas d'autres
troubles
fonctionnels à relever que la paralysie delà ma
il ne peut pas, par exemple, porter son verre plein a sa bouche. Les
troubles
de la sensibilité restent les mêmes. 28jwùi.
e bouffie, cyanosée, paralysée à peu près complètement. ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS L'il STEI'11-l. 'il Les 12-13-1
ait pu crier au miracle. » Efforts de déglulion puis... ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS L'11YST$IiIE. 273 Troisième att
erligne radio-carpien. La main droile est également plus ÉTUDE DES [
TROUBLES
TROPHIQUES DANS l'IIYSTERIE. 275 faible que d'o
ure. Elles sont assez intenses pour empêcher le sommeil. Tous ces
troubles
: oedème, cyanose, sensations douloureuses, hy-
sage, la contracture a commencé ü céder, et dès lors, l'oedème, les
troubles
vaso-moteurs et l'hyperes- thésie se sont effac
t et au membre inférieur gauche, étaient les suivants : ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. 577 278 NOUVELLE IC
rition de manifestations d'hys- térie locale. (G. T.) . ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS L'111S'l'I : PIC. 279 tentative
portion avec la bouffissure constatée; c'est que, sans doute, il ce
trouble
vaso-moteur se joignaient des troubles de sensibi
c'est que, sans doute, il ce trouble vaso-moteur se joignaient des
troubles
de sensibilité. Un oedème sous-cutané beaucoup
térique observée par nous il y a deux ans; il coïn- cidait avec des
troubles
de la circulation pulmonaire, oedème ou congestio
le peut précéder l'apparition de l'oedème. Aussi M. Char- ÉTUDE DES
TROUBLES
TROPHIQUES DANS L'HYSTERIE. 281. cot propose-t-
qu'il peut toutefois précéder ; il s'établit en permanence avec les
troubles
moteurs subissant des alternatives fréquentes d
n habituelle de l'oedème il une paralysie ou à une contracture avec
troubles
de sensibilité. Dans un cas, rougeur inflammato
devront pas faire' négliger la recherche tant des stigmates que des
troubles
urinaires permettant de corroborer le diagnostic,
Min. Wochen- sclt rift, 1875). 3. Dujardin-Beaumetz, Note sur les
troubles
vaso-moteurs de la peau observés chez une hysté
t mal toléré par l'estomac; et il est probable que les nausées, les
troubles
gastriques, qu'il a provoqués chez nos deux mal
e brûlait le pouce avec sa cigarette sans s'en apercevoir. Mais les
troubles
de la sensibilité n'étaient pas faits pour embarr
tre sentiment semble se joindre 1. Lanoaille de Laclièze. Tarassis,
troubles
de t'lime el du corps chez l'homme dans les tem
u en mai ; dès lors ce ne furent plus que des accès rudimentaires :
troubles
de connaissance, convulsions toniques passagère
(d'une forme particulière de - des extrémités supérieures), 1, 2.
Troubles
trophiques (dans la paralysie géné- rale), 25,
21, 25, z6, 27, 28, 29, 30, 31, 32. Saignée (la) miniature, 49.
Troubles
nerveux (d'une forme particulière de -) 1, 2, 3
urette et Cathelineau), 306. Hystérie (contribution à l'étude des
troubles
trophiqnes dansl ? .atrophie musculaire et oe
165. Paralysie générale (faits pour servir il l'his- toire des
troubles
trophiques dans la - des aliénés), par Féré, 15
maladies du système nerveux), par Gilles de la Toui reste, 85.
Troubles
nerveux (d'une forme particulière de - des extr
, le gigantisme et l'acromégalie représentent deux formes d'un même
trouble
du développement de l'individu, le premier, sur
ébut, exceptionnellement précoce, l'évolution et la na- ture de ces
troubles
. Le cas que nous rapportons nous semble intéres
et profonde) et spéciale sont intactes, excepté la vision. Il a des
troubles
très importants de l'appareil visuel. Le prof.
us. Mais nous avons quelque chose de mieux : ce sont les importants
troubles
oculaires, la céphalalgie, et surtout le développ
s mains, des pieds et des malléoles, accompagnée de céphalée et des
troubles
oculaires, que nous avons décrits, n'est autre
T ACROMÉGALIE 21 1 la petitesse du corps représente, elle aussi, un
trouble
de la fonction du développement, qui peut-être,
ur les examiner encore une fois, et pour discuter la pathogénie des
troubles
morphologiques pré- sentés par José Lopes. I.
né les autres glandes à sécrétion interne. Mais, en admettant qu'un
trouble
de la sécrétion thyroïdienne soit bien nécessaire
oit bien nécessaire pour expliquer l'infantilisme de José Lopes, ce
trouble
ne saurait évidemment pas rendre compte des aut
pophyse, quand elles apparaissent chez l'adulte, peuvent amener des
troubles
des organes gé- nitaux, la suppression des règl
s le gigantisme que dans l'acromégalie. C'est, enfin, qu'il a des
troubles
oculaires qui dénoncent une compres- sion de la
part, l'acromégalie de l'autre, représentent deux formes d'un même
trouble
du développe- ment de l'individu, le premier su
péremptoire, à cause de ses maux de tête, et surtout à cause de ses
troubles
oculaires (fonctionnels et ophtalmoscopiques),
assurément du moins pour la ma- jorité des cas puisse relever d'un
trouble
de la sécrétion hypophysaire dans le. type infa
dans ce recueil. Pas autre chose. Il faut donc admettre,soit que le
trouble
delà fonction hypophysaire est suffisant pour p
e des choses que ces glandes à fonc- tions analogues produisent des
troubles
analogues, rien d'étonnant, à priori, : ') ce q
rfois, sinon constamment, une association plus ou moins complexe de
troubles
glandulaires ce qui est plus problable ; car non
qui se plaignait t de maux de tôle « entre les yeux », de quelques
troubles
visuels, et qui présentait une certaine obésité
sur ces faits, si on ne doit pas incriminer comme cause de tous ces
troubles
une hypertrophie de l'hypophyse consécutive à l
ns activement, par lésion di- recte ou secondaire, voire par simple
trouble
fonctionnel, le corps thyroïde, l'hypophyse, le
ne de ces glandes dans le résultat final (1). Et dans l'ensemble de
troubles
évolutifs qui se' donnent rendez-vous, s'enchev
i, en définitif, consti- titue, elle aussi, comme le gigantisme, un
trouble
de la fonction du'déve- loppement ? ` ? On pe
te multiplicité des lésions glandulaires, avec l'âge et le degré du
trouble
, expliquerait peut-être mieux que la multiplicité
lier. En tout cela, il va sans dire, c'est l'âge auquel survient le
trouble
du développement, qui y joue un rôle de tout pr
galie. peut être parfois congénitale, comme semblent le prouver les
troubles
oculaires de José Lopes. 5° Le gigantisme et l'
etc.) agissant après la nais- sance il faut, dans l'étiologie de ce
trouble
de la fonction ostéogéaicue, et comme sa cause
alacie ont invoqué surtoutdeux grands facteurs : l'infection et les
troubles
de la nutrition générale. Nous avons eu l'occ
signaler. En résumé, il s'agit, de trois femmes présentant comme
troubles
com- muns des altérations osseuses considérable
oïncidence, ou existe-t-il par contre une relation plus étroite, le
trouble
dans le fonctionnement thyroidien étant un fade
ubstance. Or la scoliose, quand elle ne peut pas s'expliquer par un
trouble
d'ordre pa- ralytique ou par une anomalie osseu
ous pouvons citer d'abord la coexistence de l'ostéoma- lacie ou des
troubles
voisins avec le syndrome de Basedow. Il en étai
et douleurs rhumatiques dans les jambes. Il présente lui aussi des
troubles
psychiques, phénomènes d'exci- tation. Le mal
mais pas tou- jours fréquent. Tremblement des mains. Les premiers
troubles
basedowiens dataient depuis 8 ans. L'examen ana
paraplégie avec pied-bot, exagération du réflexe rotulien mais sans
troubles
de la sensibilité et des sphincters. La radiogr
'attention sur les rapports étroits qui unissent l'ostéomalacie aux
troubles
de la fonction thyroïdienne. Outre la coexist
cas récent de Haberkant (31) qui, dans un cas d'ostéo- malacie avec
troubles
mentaux, trouva des altérations très évidentes du
ore si les altérations thyroïdiennes ne sont pas la conséquence des
troubles
généraux des échan- ges nutritifs qui produisen
uées dans la pathogénie de l'ostéomalacie. On a fait intervenir des
troubles
dans d'autres glandes à sécrétion interne. No
du thymus dans la croissance doivent marcher de pair avec certains
troubles
du métabolisme calcique. D'autres glandes inter
des glandes endocrines sur la nutrition osseuse et le rôle de leurs
troubles
dans la pathogénie de l'ostéomalacie. On peut a
né aussi des mé- tastases dans le foie. La théorie discrasiquepar
troubles
glandulaires et la théorie infectieuse ne sont
Mais quel est le mécanisme intime qui produit l'ostéomalacie ? Les
troubles
glandulaires comme les maladies infectieuses peuv
ésassimilation ou en empêchant son assimilation ou amenant ces deux
troubles
en même temps. On peut penser aussi à une actio
bles en même temps. On peut penser aussi à une action indirecte, le
trouble
glandulaire ame- nant par exemple une réaction
On peut penser aussi à l'intervention dans une certaine mesure des
troubles
du système nerveux - des altérations vasomotrices
tre dans l'ostéomalacie. Il est vrai que dans ces cas de tabes avec
troubles
osseux si marqués, il serait intéressant de con
kl. Med, 43, Bd. Hef.3, und 4, 1901. 58. IL1NSI1.ILTEa at Guérin.
Troubles
des échanges nutritifs dans le myxoedème i» fan-
de, cause de la diffor- mité du poignet, doit être classé parmi les
troubles
de croissance des articulations et des os parmi
matismes), ou par la théorie de l'ata- visme, ou par la théorie des
troubles
trophiques consécutifs aux altéra- tions du sys
male donnée et qui se fixent par loi d'hérédité. S'il se produit un
trouble
dans la lutte entre l'ontogonie et la philogoni
t robustes. » « Nous (1) observons aussi dans la presbyophrénie des
troubles
ac- centués de la mémoire de fixation et d'évoc
ile dans lesquelles les symptômes prédominants sont précisément des
troubles
de la mémoire, et la fabulation. » 1 Enfin, u
f cerveaux examinés, morts sans qu'on ait pu ob- server chez eux de
troubles
psychiques (1). Les lésions décrites par Fische
fecture de police ; malade depuis 15 ans ; insomnies, irritabilité,
troubles
gastro-intestinaux, diminution de la mémoire, m
: ou se récuser, ou fabuler. L'illusion delà fausse reconnaissance,
trouble
complexe, où l'activité de l'imagination supplé
ne peut (t) DUPAI : , Amnésie antérograde continue, topo-agnosie et
troubles
de la psycho-réflec tivilé émolzue, consécutifs
et rêve normal, qui l'un et l'autre, relèvent essentiellement d'un
trouble
d'ordre hallucinatoire ; souvenir de l'onirisme e
oire ; souvenir de l'onirisme et souvenir du rêve qui relèvent d'un
trouble
complexe, à la fois d'ordre hallucinatoire et m
ique; souvenirs plus ou moins exacts de la vie réelle, relevantd'un
trouble
plus ou moins isolé de la mémoire; enfin, fabulat
us ou moins isolé de la mémoire; enfin, fabulation proprement dite,
trouble
qui n'est ni sensoriel ni mnésique, mais uniqueme
e. La confabulation paramnésique comporte fréquemment un maximum de
troubles
du souve- nir, l'imagination se bornant presque
ratique nous paraît donc résider, en défi- nitive, dans l'élude des
troubles
si multiples, si riches, si nuancés, et, en mêm
tions locales des os et des articulations et aussi par l'absence de
troubles
de la sensibilité objective. En se basant exclu
ankylosées sont douloureuses. Le système nerveux ne présente aucun
trouble
objectif. Observation X. Jean K..., 37 ans, c
articulation de l'épaule gauche et douleurs en ceinture. Absence de
troubles
objectifs de la sensibilité ; sensibilité dou-
nerveux, au point de vue clinique et anatomique, ne présente aucun
trouble
objectif dans la sphère sensitive ou motrice, s
ou motrice, sauf une faible exagération des réflexes tendineux. 23°
Troubles
trophiques. Dans presque toutes nos observations,
23° Troubles trophiques. Dans presque toutes nos observations, les
troubles
du côté des muscles sont manifestes : le plus sou
t fibrillaire et de réaction électrique de dégénérescence. Tous les
troubles
atrophiques des muscles doivent être mis sur le c
au et Bourdet (6), il y a lieu d'attacher une grande importance aux
troubles
concomitants de la nutrition et de l'innervatio
développèrent des masses graisseuses douloureuses et plus tard des
troubles
mentaux. Le Meignen et Levesque (10) ont relevé
t passé l'âge de la ménopause et qui n'ont présenté cependant aucun
trouble
rappelant le syndrome de Dercum. Il est intéres-
ur et de rapidité, n'est cependant pas abolie. Pas d'aphasie, ni de
troubles
de la vision, au début. Neuf jours après l'admi
ent étonné de la justesse de ses réponses. . Il me semble que les
troubles
visuels de F. out eu un caractère abso- lument
duisit-elle à l'hôpital, où, à la suite d'un traitement ioduré, les
troubles
moteurs s'améliorèrent. Il y était en traitemen
langue, prenez le porte-plume, etc...; ce qui prouve que, malgré le
trouble
mental et l'aphasie motrice, il entend la signi
résie droite intéressant le facial inférieur et les mem- bres, sans
trouble
sensitif, ni trophique appréciable, une incontine
nombre varie pour chaque individu. Leur dégénérescence explique les
troubles
patho- logiques du côté non hémiplégie, et ceux
ole observée par Raviart et Tonneil. On peut en conclure que si les
troubles
trophiques sont les plus fré- quents dans la mo
il y aurait eu de la diplopie et de l'hémiopie intermittentes, ces
troubles
n'ont pas reparu depuis. L'examen, pratiqué r
t pas reparu depuis. L'examen, pratiqué rentrée, ne révéla pas de
troubles
moteurs, en particu- lier, pas d'ataxieou d'asy
pileptifonnes, vomissements fréquents, et attaques de vertiges sans
troubles
de la vue, de l'ouïe, de la parole, de l'état men
e de 32 ans ayant présenté des signes d'hypertension cérébrale avec
troubles
mentaux les 15 der- niers jours, ne trouve pas
laire dr. plus fort qu'à g. Raideur de nuque, amaurose transitoire,
troubles
de la conscience. Exitus après 4 mois. A l'auto
es du système ner- veux, celle qui donne lieu le plus souvent à des
troubles
trophiques. Laissant de côte les troubles troph
ieu le plus souvent à des troubles trophiques. Laissant de côte les
troubles
trophiques articulaires et osseux et les trou-
les trou- bles sécrétoires sudoraux, nous considérons seulement les
troubles
tro- phiques cutanés ; il est remarquable de no
ques cutanés ; il est remarquable de noter la grande variété de ces
troubles
dans leur expression clinique. La main type Mor
ons déjà dit plus haut que la pupille droite est en myosis). Pas de
troubles
sphinctériens, ni vésicaux, ni intestinaux, ni gé
ous appuyez ». Il ne sent jamais de douleur vive. Il y a donc là un
trouble
dans la notion de l'intensité de la douleur. Le
s'en aperçut dès le début de sa maladie. 212 Z BOVERI Aucun autre
trouble
trophique cutané, en dehors de celui que nous avo
cutané, en dehors de celui que nous avons décrit plus haut. Comme
trouble
vaso-moteur, il y a lieu de rappeler un léger deg
ors de la syringomyélie, on n'a pas décrit, autant que je sache, de
troubles
trophiques semblables à celui qui nous occupe et
s plus sèche que d'habitude chez l'individu sain. Il y a donc là un
trouble
trophique de la peau, comparable aux autres de
nc là un trouble trophique de la peau, comparable aux autres de ces
troubles
déjà connus dans la syringomyélie et dont la path
/e/te, thèse de Paris, 1891. 4. G. Ballet et DUTIL. - Noie sur un
trouble
trophique de la peau, etc., Progrès médical, 18
s mouvements pour s'habiller, se lever. A les mains froides, pas de
troubles
vaso-moteurs. Même aspect, mais oeil méfiant, imp
nvoyé à Sainte- Anne avec le certificat suivant de l'un de nous : «
Troubles
intellectuels carac- térisés par des interpréta
neux. G. aurait maigri d'une vingtaine de kilos depuis le début des
troubles
mentaux en septembre. 16 décembre 1908. -- Entr
se, puis s'espacent et cessent complètement. En résumé, début des
troubles
mentaux à l'âge de 17 ans. De juillet à septemb
à la suite d'une légère intervention chirurgicale, réapparition des
troubles
mentaux, d'aspect catatonique, qui nécessitent
observation précédente, on ne constate au niveau des placards aucun
trouble
de la sensibilité. Ici encore, il semble bien q
que la théorie radiculaire permet à elle seule d'expliquer tous les
troubles
que nous venons de dé- crire ; c'estelle qui no
t assez naturel d'invoquer une lésion nerveuse pour interpréter les
troubles
variés que nous venons de décrire. En résumé, l
ale ; mais les déformations, luxation ou fracture de vertèbres, les
troubles
radiculaires ou médullaires désignent la nature
s anesthésies, les atrophies d'ori- gine radiculaire et, enfin, des
troubles
de la moelle épinière. li Le rhumatisme articul
inguée de la spondylose rhizomélique par l'absence dans celle-ci de
troubles
fonctionnels et d'altérations anatomiques du syst
l'angle droit, une ankylose de la colonne vertébrale, une série de
troubles
nerveux (paresthésie, hyperesthésie, douleurs,
FF leurs comme une forme nosologique spéciale, est le résultat d'un
trouble
général constitutionnel de l'organisme et, souv
rononcée du rachis, des saillies osseuses anormales et une série de
troubles
radiculaires (douleurs aiguës, anes- thésies, p
bsence d'altérations des tissus mous périarticulaires, l'absence de
troubles
de sensibilité et, enfin, la persistance d'un é
part de l'organisme qui tend instinctivement à remédier au premier
trouble
ana- tomique ; après l'ossification des ligamen
la spondy- lose rhizomélique. ' LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 255
troubles
chroniques de la nutrition générale qui ont pour
in- fectieuse ou toxi-infectieuse (P. Marie). Les résultats de ces
troubles
généraux portent surtout sur le système osseux.
uit chez les lapins survivants aucun symptôme, en particulier aucun
trouble
de l'évolution des organes génitaux. Les recher
its on pourrait admettre qu'en dernière analyse tout se réduit à un
trouble
de l'équilibre nutritif de la cellule nerveuse
acteur nocif quelconque (microbes, toxines, virus), qui l'irrite et
trouble
son équilibre nutritif, cherche à réagir contre c
ce lente- 304 FOIX ment, comme une sénile, mais ne présente aucun
trouble
caractérisé de la dé- marche. Elle n'a pas en p
présente en effet, dans le domaine des nerfs bulbaires une série de
troubles
paralytiques strictement unilatéraux portant sur
mer, les deux pneumogastriques possédant un territoire commun. Les
troubles
qui accompagnent cet hémisyndrome se réduisent à
e marche avec lenteur comme une grande sénile, mais il n'y a pas de
trouble
caractérisé de la locomotion. En particulier l'
auche l'on n'obtient pas de réponse nette. ' Sensibilité. - Aucun
trouble
de la sensibilité superficielle ou profonde, sa
oite et ;i gauche. Mise sur le tabouret tournant, on ne note pas de
troubles
d'origine lahyrin- thique. .Elle présente une
. Il semble certain quepour une telle lésion, l'on constaterait des
troubles
bulbaires graves que notre malade ne présente p
, ni syndrome cérébelleux rap- pelant celui deBabinski-Nageotle, ni
troubles
sensitifs à type syringomyél i- ques comme on e
point de vue pathogénique, s'a- git-il, comme pour l'acromégalie de
troubles
liés à l'altération fonction- nelle des glandes
de, la surrénale, interviennent-elles ? Enfin, chez ces sujets, les
troubles
res- tent-ils toujours à l'état d'ébauche ? N
souffrir de maux de tête intenses ; au bout d'un certain temps, les
troubles
psychiques apparurent sous la forme d'une forte
nt déjà depuis 8 ans au moins Nous constatons chez notre malade des
troubles
du côté du corps hypophysaire, des organes génita
est la coexistence de l'acromégalie avec une maladie mentale. Les
troubles
psychiques dans l'acromégalie sont fréquents. Bru
lien de Nancy le 30 octobre 1879 pour des accidents névropathiques,
troubles
parétiques et tremblement, qui avaient nécessit
é abdominal. Phénomène de l'orteil en extension des deux côtés.
Troubles
trophiques . Amyotrophie diffuse, moins marquée q
de, lorsque l'on pique diverses zones cutanées des jambes. Pas de
troubles
sphinctériens. NOUVELLE Iconographie DE la SALP
modiques. Parole lente, scandée, explosive. Pas d'aphonie. Pas de
troubles
de la déglutition. Réflexe massetérin conservé.
Pas de troubles de la déglutition. Réflexe massetérin conservé.
Troubles
psychiques. Démence. - Obtusion, apathie, torpeur
rence. Réactions violentes : paroxysmes de colère, crises de larmes.
Troubles
de la sensibilité générale, sensations de paill
uisses, pied gauche en varus équin ; réflectivité exaltée. Tous ces
troubles
ne cessent de s'accentuer. On a noté de tout te
er un exemple. Aujour- d'hui les physiologistes considèrent que les
troubles
consécutifs aux lésions du cervelet provoquent
ns, depuis Du- chenne de Boulogne, n'ont jamais voulu confondre les
troubles
de mot i I i té, provoqués par les lésions du c
l'ataxie tabétique, il faut, limiter le terrain des recherches aux
troubles
que l'on a décrits en clinique sous ce nom ; car,
premier : Il y a des ataxiques tabétiques, qui ne présentent pas de
troubles
de sensibilité objective consciente, ou qui en
n lui recommande de se maintenir sur une seule jambe, etc. Tous ces
troubles
deviennent plus accentués, c'est-à-dire les osc
t. Nous allons exposer ici une observation d'alaxie tabélique, sans
trouble
de sensibilité objective, et dans laquelle on v
es supérieurs, rien d'anormal. Quoique ce malade ne présente ni des
troubles
de sensibilité superficielle ou profonde, ni de
es cas incontestables de malades tabétiques et ataxiques sans aucun
trouble
de sensibilité objective consciente. L'examen d
des tabétiques nous a con- duit iL la conclusion : que les premiers
troubles
ataxiques qui apparaissent sont ceux indiqués p
et ceux-là ont pour nous un tout autre mécanisme, nous trouvons les
troubles
décrits plus haut. Mais, même plus tard, quand
malades pareils il celui de l'observation précédente, même avec des
troubles
ataxiques plus accen- tués et toujours sans auc
raver l'ataxie. Il est bien entendu que ces malades, avec de légers
troubles
de sensibilité, sont des malades de transition
lions contester ce phénomène au cours du tabes, ni l'importance des
troubles
consécutifs à l'hypotonie dans la station bipèd
cée. C'est alors qu'en voulant chercher la vraie cause des premiers
troubles
ataxiques, nous avons remarqué que si, pendant
autrement dit, il pré- sentait le signe de Romberg, sans avoir des
troubles
de la sensibilité pro- fonde. L'explication est
ent et de fatigue. En fermant cette parenthèse, nous dirons que les
troubles
d'équilibre 350 NOICA statique et cinétique,
narthroses et les arthrodies). Si nous appliquons ces principes aux
troubles
ataxiques précédents, il nous est facile de com
le tronc se mettra à osciller. Mais ici il s'agit seu- lement d'un
trouble
des mouvements nécessaires à l'équilibre statique
qui arrive en effet chez le malade ataxique. Faut-il considérer ce
trouble
comme un phénomène incoordonné ? Et faut-il alo
ts qu'en se balançant involontai- rement, il ne s'agit pas ici d'un
trouble
des mouvements coordonnés, mais seulement d'un
pas ici d'un trouble des mouvements coordonnés, mais seulement d'un
trouble
d'équilibre cinétique. Il est si peu incoordonné
marcher, le corps oscillera lui aussi. Est-ce qu'il s'agit là d'un
trouble
de coordination ? Nous croyons qu'il s'agit, là
coordination ? Nous croyons qu'il s'agit, là aussi, seulement d'un
trouble
dans l'équilibre cinétique, provoqué par la mêm
En résumé, tous les phénomènes ataxiques décrits jusqu'ici sont des
troubles
de l'équilibre statique ou cinélique. Le mécani
ander pourquoi se produisent ces contractions ? Quel est le premier
trouble
ataxique, qui est la cause de l'apparition de c
ique, qui est la cause de l'apparition de ces contractions et de ce
trouble
d'équilibre statique et cinétique ? Il faut nou
défaut. Probablement il faut rapportera celle cause une partie des
troubles
qui intéressent les sphincters de la vessie et
et c'est par le deltoïde gauche qu'elle débuta. Au même moment, les
troubles
iriens s'accentuaient et atteignaient à l'immob
te même année 1895, le malade souffrit dans les organes pelviens de
troubles
qui ne devaient plus le quitter pendant tout le
, survenu en 1897, à la 37° année d'âge du malade; il détermina des
troubles
des nerfs crâniens VI, VII et X du côté droit et
tral, il est besoin, avant toute autre considération, de penser aux
troubles
circulatoires. Oppenheim a publié un seul cas d
ont décrit un fait analogue, ont mis l'atrophie en rapport avec les
troubles
en question. Dans le cas de ces derniers auteur
tudié par nous, la cause de l'atrophie n'avait rien à voir avec des
troubles
de la circulation. La cause de l'atrophie ne po
notre atrophie médullaire a une cause qui n'a rien à voir avec des
troubles
circulatoires, quels qu'ils soient, de l'axe ne
'existe pas trace de sclérose et rien qui puisse éveiller l'idée de
troubles
circulatoires pou- vant être la cause de l'atro
sont normaux. Le système pileux est normalement développé. Aucun
trouble
trophique ; le corps thyroïde est normal. Pas d
é. Aucun trouble trophique ; le corps thyroïde est normal. Pas de
troubles
du côté des organes des sens. Etat psychique. A
mois. Elle n'a jamais subi de césarienne. La peau ne présente aucun
trouble
. Il n'y a pas trace de myxoedème ; le corps thy
de sclérose ne permet pas d'éliminer une affection, ou au moins un
trouble
fonctionnel des glandes à sécrétion interne, ayan
donc permis de penser que c'est une lésion différente, ou plutôt un
trouble
fonctionnel en sens contraire du système glandu
e de la thyroïde, du thymus, etc..... mais étant donné l'absence de
troubles
thyroïdiens, étant donnés les faits sur lesquel
l'hypofonctionnementde la thyroïde, etc.... La lésion, ou plutôt le
trouble
fonctionnel des glandes à sécrétion interne, ré
(achondroplasie dite physiologique) ; c'est la cause prochaine due
trouble
de croissance, l'intermédiaire nécessaire par leq
ie foetale. L'Obstétrique, 1908, n* 4, p. 392. Vaiuot. Note sur les
troubles
de l'ossification dans le myxoedème et l'achondro
d. des hôp. de Paris, 14 février 1901, n- 5. - J. et R. VOISIN. -
Troubles
de l'ossification dans le myxoedème et l'achondro
E NOUVELLE OBSERVATION, D'ACHONDROPLASIE PEUT-ON, DE LA FORME DES
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS CETTE MALA- DIE, TIRER QUELQUE
suffisant pour faire abandon- ner la théorie endocranienne, car un
trouble
fonctionnel peut exister sans altération access
es symptômes conco- mitants de la dystrophie. De ce nombre sont les
troubles
psychiques. Nous nous proposons dans cet articl
n rencontre d'ordinaire chez les achondroplasiques. Cetle étude des
troubles
psychiques dans l'achondroplasie est en somme a
r tout à l'heure et qui, elle aussi, explique logiquement les mêmes
troubles
. Si l'on veut tirer des caractères des altérati
us aisée puisqu'on peut balancer au moins entre deux hypothè- ses :
troubles
de sécrétion interne ou dégénérescence. Il y aura
r qui serait de montrer la dégénérescence comme la conséquence d'un
trouble
des sécrétions internes, mais la démonstration
ure actuelle, dans l'état présent de nos connaissances, l'étude des
troubles
psychiques de l'achondroplasie ne conduit à aucun
si remise au jour où nous serons mieux fixés sur la nature même des
troubles
psychiques, à moins que par un renversement for
ement fort vraisemblable de données de la question la nature de ces
troubles
ne vienne à s'éclairer par la découverte certai
On peut aussi épuiser d'embléè la discussion en montrant que si les
troubles
psychiques coïncident toujours avec les symptôm
lité instables, portés à la tristesse et à l'hypocondrie; est-ce le
trouble
des sécrétions internes ou la lésion nerveuse (
demander s'il << s'agit bien là, comme on l'a prétendu, d'un
trouble
mental et s'il ne suffirait pas d'y voir la con
té péni- ble et cruellement méditée » (Grasset et Rauzier) (2). Ces
troubles
ne sont- ils pas « la conséquence légitime de l
c une maladie pour laquelle il n'a pas paru étrange d'expliquer les
troubles
psychiques par les désordres phy- siques ; pour
econd ordre d'argument est plus contestable, Lauze qui a (1) DUTIL,
Troubles
psgehiques dans la maladie de Parkinson, in Gilbe
cerveau ne sont pas insuffisants à leur lâche, ne présentent aucun
trouble
hypo ; mais nous ne pouvons affirmer que leur t
sentent aucun trouble hypo ; mais nous ne pouvons affirmer que leur
trouble
hyper ou para, s'il existe, soit à la base même
pensons avoir montré qu'il ne faut pas chercher dans la nature des
troubles
psychiques de l'achondroplasie la clef de l'origi
ne au moins que l'on ne peut contester : c'est que la nature de ces
troubles
psychiques n'étant pas à l'abri de toute discus
Plusieurs auteurs ont insisté sur ce fait. Voisin le note parmi les
troubles
observés chez les idiots. Dans le traité des mala
s doigts surnuméraires rudimentaires : La malade ne présente pas de
troubles
de la sensibilité objective générale. Au point
llaires normaux. La sensibilité douloureuse semble diminuée. Pas de
troubles
apparents des viscères thoraco-abdominaux. Le c
femme.atteinte de créti- 3') G PAR H ON ET URECHIA nisme dont les
troubles
cérébraux représentent un vice très probablement
ns l'étal somatique et psychique qui caractérise le crétinisme, les
troubles
de la fonction thyroïdienne ont certainement leur
actylie a été observée par Cyon (1) chez des malades présentant des
troubles
trophiques atribuables à une altération hypophy
pathologique de la polydactylie chez l'homme. En admettant que le
trouble
thyroïdien a pu avoir un rôle dans l'appari- ti
n effet que la polydaclylie représente chez.ce malade la trace d'un
trouble
congé- nital du développement, trouble que nous
chez.ce malade la trace d'un trouble congé- nital du développement,
trouble
que nous considérons comme pathologique. L'unil
élancements assez vifs. La chaleur et le repos au lit amendent ces
troubles
; aussi le matin le nez est moins gonflé et sa
ténulaire que nous avons signalées, nous n'avons jamais constaté de
trouble
oculaire. Nous n'avons pas observé d'altération
rie que nous avons signalée, l'urine a toujours été normale. Pas de
trouble
de la motilité, ni de la sensibilité, ni des réfl
lui faisaient se demander si la glande thyroïde était à la tête des
troubles
observés,ou si les glandes sexuelles en étaient r
antérieure, fait passer en première ligne l'habitus général et les
troubles
relatifs à la sexualité; la participation des a
en- sation de lassitude, d'oedèmes fugaces au niveau de la face, de
troubles
trophiques cutanés, enfin de paresse intellectu
rs de conteste et ne garde qu'un intérêt symptomatique, l'élude des
troubles
cutanés est de piemière importance : c'est en par
du myxoedème ? C'est bien de myxoedème qu'il faut parler et non de
troubles
hypothyroïdiens, car ceux-ci sont hors de doute
ou, si particulier aux myxoedémateux con- génitaux ou acquis. Les
troubles
de la pigmentation vont être étudiés dans un inst
ysique et moral. - C'est encore le puérilisme qui carac- térise les
troubles
intellectuels : il est à noter que presque tous l
facilité. La mémoire est conservée. La conversation ne décèle aucun
trouble
; la riposte est vive. Ceci pour la plupart des
as et au moins dans un premier slade : car lors- que s'accusent des
troubles
thyroïdiens, la mémoire devient infidèle et la
même un peu d'indifférence, d'apathie s'installe ; mais encore ces
troubles
, tardifs comme nous l'avons dit, ne s'étahlisse
sation très rare. Mais à défaut de ce symptôme, on décèle de petits
troubles
cutanés : sécheresse, ichthyose, état cassant e
est signalée que trois fois. De tout ceci on peut retenir que les
troubles
thyroïdiens ne manquent pour ainsi dire jamais,
ne semble intervenir que d'une façon très accessoire. Pourtant les
troubles
pigmenta ires sont fréquents : on voit souvent me
l'orbite en blanc pâle (obs. XVIII). Plus intéressants seraient les
troubles
du pouls trop rarement notés : la baisse de pre
- tribution par contre-coup et d'une façon toujours tardive ? Les
troubles
osseux du massif facial (voûte palatine, nez et m
se rapporte aux expériences de Thaon et à celles de Delille sur les
troubles
osseux d'origine hypophysaire, on ne trouve rien
n ne réalisant pas l'insuffi- sance diastématique, ne créent pas de
troubles
comparables. Bref, ni l'expérimentation ni la c
- Ihérapj(IUe testiculaire : il en obtint d'heureux effets pour ses
troubles
de la mémoire, pour sa faiblesse générale et sa
u'il puisse être dé- terminé, ne provoque pour ainsi dire jamais de
troubles
aussi sévères de la fonction et des organes sex
ones, qui châtrés dans l'adolescence ou dans l'enfance, offrent des
troubles
constants et caractéristiques de la croissance
adultes : l'objection est plus difficile à éliminer. En effet, les
troubles
obtenus dans les deux cas devraient logiquement
onviction : les femmes castrées adultes ne présentent guère que des
troubles
des désirs sexuels, une invo- lution de l'utéru
s suffisantes que la castration chez l'homme adulte n'amène que des
troubles
insignifiants. Si bien que l'on est amené à adm
mblances singulièrement prononcées, et que les nuances subtiles des
troubles
de l'instinct sexuel, la présence de mamelles hyp
te compris sous cette dénomination, viendraient se classer tous les
troubles
imputables au fonctionnement défectueux (diminué,
e, dans la plupart des observations de déterminer la glande dont le
trouble
est le premier en date; l'examen attentif des m
glande, sans avoir la prétention d'expliquer la répercussion de son
trouble
fonctionnel sur tout le système endocrine. Rien
d, deJosserand. Le corps thyroïdien primitivement lésé entraîne des
troubles
et des lésions des glandes géni- tales. A la dy
outefois une orchite. Dans le cas de Dalché également, le début des
troubles
fut marqué par une orchite syphi- litique bilat
lande qui a été primitivement lésée et dont la lésion a entraîné un
trouble
dans le fonctionnement des autres glandes à séc
server un état d'infantilisme incontestable. Mais il va souvent un
trouble
léger des fonctions génitales. Les troubles men
e. Mais il va souvent un trouble léger des fonctions génitales. Les
troubles
menstruels sont parfois signalés, et même l'atr
a diminution de l'instinct sexuel. Von Eiselberg écrit même que les
troubles
des organes génitaux font défaut « puisqu'il s'
'il s'agit d'adultes ». * Il est en somme exceptionnel de noter des
troubles
^génitaux impor- tants dans le myxoedème de l'a
tent pas une survie très longue ; si bien qu'on ne peut étudier les
troubles
à distance de la castration, et ce sont préciséme
es troubles à distance de la castration, et ce sont précisément ces
troubles
éloignés qui sont les plus intéressants à connaît
ppe- ment des seins, constituant un certain degré de féminisme. Les
troubles
mentaux sont rarement très marqués : ils résult
tre que l'atrophie testiculaire d'or- dre pathologique entraîne des
troubles
très voisins de ceux qui sont la conséquence de
'il y ait sup- pression complète de la fonction diastématique ; les
troubles
thyroïdiens 428 CORDIER ET REBATTU sont alors
et thyroïde, Ql même d'autres glandes à sécrétion interne, dont le
trouble
peut être aussi la conséquence de l'atteinte te
et l'on peut voir aussi des symptômes d'insuffisance hypophysaire (
troubles
du squelette) ou surrénale (hypoten- sion, trou
e hypophysaire (troubles du squelette) ou surrénale (hypoten- sion,
troubles
pigmentaires, etc.). Enfin la mentalité se modi
daire. On ne peut prétendre déterminer le mode de retentissement du
trouble
d'une glande à sécrétion interne sur le reste d
ans ; blennorrhée à 24; excès alcooli- ques et vénériens. A 30 ans,
troubles
nerveux avec lassitude, chute des che- veux, po
ot, mous. Désirs sexuels absolument nuls. Pas d'érections. Pas de
troubles
intellectuels ni vocaux. Le corps thyroïde et l
vocaux. Le corps thyroïde et les seins paraissent normaux. Pas de
troubles
du squelette. Urémie gastro-intestinale. . Ob
émastériens, les réflexes bulbo-caverneux sont très faibles. Pas de
troubles
intellectuels appréciables. 434 CORDIER El' HEB
ans. Les réflexes cutanés de la région génitale sont abolis. Aucun
trouble
psychique. Le corps thyroïde n'est pas percepti
eloppés. Impuissance absolue. Pas d'érection depuis 4 ans. Pas de
troubles
intellectuels. Il est difficile d'apprécier le
ible. On ne sent pas la thyroïde. Pas d'infiltration cutanée, ni de
troubles
trophi- ques. Les seins ne sont pas hypertrophi
cheveux et ses poils et s'atrophier ses testicules. Il eu aussi des
troubles
de la voix ; il ne put reprendre ses relations se
e 10 ; pigmentation diffuse sur le front et la base du nez ; pas de
troubles
du squelette. En outre, lésions tuberculeuses p
frigidité; la peau est lisse, un peu épaissie et blafarde ; pas de
troubles
intellectuels signalés. . Pigmentation du fro
ble au toucher. L'étal mental est très modifié : a) On constate des
troubles
de la mémoire pour tous les événements de la vi
de sang ou d'un examen radiographique. d) Il n'y a ni délire, ni
troubles
de la lecture ou de l'écriture ; la parole est
nt des bacilles de Koch nombreux. Le tube digestif, à part quelques
troubles
fonctionnels en rapport avec les lésions pulmon
diminution de la taille interprétée dans ce sens. Le mien avait des
troubles
visuels remontant environ au huitième mois de l
région génitale ; le pouls à 68, la tension 12 (au Potain). Pas de
troubles
du squelette. Légère diminution de l'acuité vis
lisme réve ? -sif. Lyon Médical, 8 janvier 1911. Laionel-Lavastine.
Troubles
psychiques dans les syndromes génitaux mâles. Rev
b lomadaire de médecine et de chirurgie, 1817. LERCHE et C'>tte.
Troubles
consécutifs à la castration bilatérale chez l'adu
edème et du goitre exophtalmique, de l'hypo-ovarie et peut-être des
troubles
surrénaux. Ce sont donc Claude et Gougerot qui
ILLE, Insuffisance thyro-ovarienne et hyperactivite hy- pophysaire (
troubles
acroméyaliques). Amélioration par l'opothérapie r
la thyroïde, ou sur les testicules. Le malade ne se rappelle aucun
trouble
ni du côté du cou, ni du côté des bourses ; il
ils, modification du teint ne datent que de la maladie de 1904. Ces
troubles
ne font que s'accentuer dans les années qui suive
indéterminée. Immédiatement après, s'ins- tallent une asthénie, des
troubles
d'impuissance sexuelle, des modifications des t
est absolue, il n'a plus ni désir ni érection. On ne trouve pas de
troubles
de la motilité, pas de troubles de la sensibilité
ir ni érection. On ne trouve pas de troubles de la motilité, pas de
troubles
de la sensibilité, sauf une paresse de la sensi
ubles de la sensibilité, sauf une paresse de la sensibilité. Pas de
troubles
des réflexes moteurs et sen- sitifs, pas de tro
bilité. Pas de troubles des réflexes moteurs et sen- sitifs, pas de
troubles
sensoriels ni pupillaires. Les réactions électriq
la tension artérielle est à 12°, le pouls est à 75. Il n'y a pas de
troubles
des fonctions gastro-intestinales et l'appétit es
ainsi qu'en témoignent les cris et les larmes du pauvre homme. Les
troubles
généraux et locaux s'accentuent. La teinte bist
lant les tubes. Les tubes contournés sont at- teints de tuméfaction
trouble
avec quelques fois dissociation des cellules (lé-
utanées, complètent très heureusement les notions anciennes sur les
troubles
objectifs et subjectifs consécutifs aux lésions
aux lésions nerveuses, en signalant l'im- portance dans ces cas des
troubles
des réactions vaso-motrices et sudorales. Nous
tismes dans lesquels aucune atrophie musculaire systématisée, aucun
trouble
sensitif localisé ne permettent de soupçonner la
sé ne peut expliquer. Pour Sudeck, la lésion des os s'accompagne de
troubles
trophiques et vaso-moteurs des muscles et de la
mixtes périphériques. Considérations sur la technique concernant les
troubles
des sen- sibililés,les modifications des réacti
e du radius et du cubitus. A la suite de cet accident, évolution de
troubles
trophiques semblant avoir débuté par les os ou
e la position de la main, son aspect extérieur, les dou- leurs, les
troubles
objectifs de la sensibilité étaient dès cette épo
faible, car le blessé perçoit le contact d'une boulette de coton,
Troubles
vaso-moteurs. Dans la position de repos, à l'abri
violacée. Elle est plus sensible au froid que la main gauche. Ces
troubles
circulatoires auraient existé dès le début. Ils n
aires; la sensibilité était à peu près normale; il n'y avait pas de
troubles
vaso-moteurs. Comment dans ces conditions songer
er également l'atrophie osseuse post-traumatique comme un véritable
trouble
trophique. 3° Les dystrophies osseuses peuvent
les trouvons seulement chez des malades qui pré- sentent de grands
troubles
de sensibilité, et en particulier du sens des att
Jade atteint d'une hémiplégie droite, qui présentait, avec de grands
troubles
de sensibilité superficielle et profonde surtou
mbres inférieurs. Le malade souffre de constipation, mais jamais de
troubles
de mictions. Le malade présente des troubles tr
pation, mais jamais de troubles de mictions. Le malade présente des
troubles
très grands de sensibilité générale, car il ne
ou articulaire. Nous allons passer maintenant à une autre série de
troubles
que présente ce malade, et que nous attribuons
complètement ce doigt, il est obligé d'ouvrir toute la main. Ces
troubles
, on les observe quand le malade a les yeux ouvert
e passe maintenant aux membres inférieurs, pour voir quels sont les
troubles
moteurs provoqués par la perte de la sensibilité
uvements.combinés, il n'empêche pas que nous avons trouvé de grands
troubles
de ce côté-là, comme nous le verrons plus loin,
ades - que nous verrons immédiatement il intervient aussi de grands
troubles
d'équilibre cinétique -troubles ataxiques du pr
ement il intervient aussi de grands troubles d'équilibre cinétique -
troubles
ataxiques du premier groupe on comprend alors com
jouter que celui-ci présentait aussi au membre inférieur gauche des
troubles
du premier groupe, parce que, en relevant la ja
de 20-30 centimètres. En plus, le malade présentait de très grands
troubles
ataxiques du tronc, qu'on ne pouvait expliquer qu
tronc, qu'on ne pouvait expliquer que par le même mécanisme que les
troubles
ataxiques du premier groupe, c'est-à-dire qu'ils
ataxiques du premier groupe, c'est-à-dire qu'ils consistaient en un
trouble
d'équilibre statique. Comme ces troubles ataxique
e qu'ils consistaient en un trouble d'équilibre statique. Comme ces
troubles
ataxiques du tronc étaient très démonstratifs,
açon de s'asseoir, ou la façon de se lever chez ce malade, c'est un
trouble
très grand d'équilibre statique et cinétique. N
et la démesuration des mouvements volontaires. A quoi peut tenir ce
trouble
? Si nous nous rappelons les troubles ataxiques d
ontaires. A quoi peut tenir ce trouble ? Si nous nous rappelons les
troubles
ataxiques des membres supérieurs que présentait
il sent un léger engourdissement aux doigts des deux mains. Pas de
troubles
de sensibilité objective, sauf une légère diminut
ne pouvoir disposer d'un cinématographe pour pouvoir enregistrer ces
troubles
, comme l'a fait M. le Professeur Marinesco. Nou
e notre travail qu'il existe un. second groupe de phénomènes, ou de
troubles
, que nous observons chez les tabétiques ataxiqu
qui présentent ces phénomènes ont, en même temps que ceux-ci, des
troubles
que nous avons décrits dans la première partie de
alades décrits dans la première partie, car la maladie évoluaut,ces
troubles
ont augmenté d'intensité. En d'autres ter- mes,
pensons que généralement, sinon toujours, l'ataxie commence par des
troubles
d'équilibre statique et cinétique 1er groupe des
s - et que ce n'est qu'après que l'ataxie se complique par d'autres
troubles
, consécutifs ceux-ci à des pertes de sensibilité
xiques présentant ces derniers phénomènes, sans présenter aussi des
troubles
d'équilibre statique ou cinétique. Si mainten
ger qui a insisté sur ce point -dans lesquels on ne trouvait ni des
troubles
de sensibilité superficielle, ni des troubles d
on ne trouvait ni des troubles de sensibilité superficielle, ni des
troubles
de sensibilité profonde, ce qui n'empêchait t p
que nous avons dit avoir trouvés chez les mala- des avec de grands
troubles
du sens profond. Senlement,Duclienne se con- te
s pertes de sensibilité profonde et sans saisir le mécanisme de ces
troubles
. Si aujourd'hui on examine de nouveau les exemp
est caractérisée, au début, par des phénomènes consistant dans des
troubles
d'équilibre statique et ciné- tique. Ces phénom
ment normale. Nous pou- vons citer quelques-uns de ces phénomènes :
troubles
ou pertes des mou- vements isolés des doigts, p
battu, 368. - {Nouvelle observation d' -. Peul on de la forme des
troubles
psychiques dans celte maladie tirer quelques éc
nouvelle ohser- vation d'achondroplasie. Peut-on de la forme des
troubles
psychiques dans cette maladie, tirer quelque éc
nouvelle obser- vation d'achondroplasie. Peut-on de la forme des
troubles
psychiques dans cette maladie, tirer quelque éc
ions, c'est-à-dire la défor- mation du crâne et ce qui concerne les
troubles
des nerfs optiques. En d'autres termes, l'on pe
qui constitue l'anneau lymphatique de Waldeyer et, de plus, par des
troubles
il peu près constants de la ÉTUDE DU SYNDROMie
Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière deux cas d'oxycéphalie avec
troubles
visuels (7). L'anatomie pathologique de celte m
ique important qu'il est utile de bien retenir. Au point de vue des
troubles
fonctionnels pouvant être rapportés à cette mal
bien retenir que, ni les lésions des nerfs optiques, ni les autres
troubles
nerveux concomitants, ni tous les autres symptôme
els, en dehors de la malformation cranienne extérieure, aucun autre
trouble
fonctionnel n'était décelable. C'est là un fait
me donner la clef de cette anomalie. Disons-le tout de suite : les
troubles
fonctionnels de l'oxycéphalie (névrite optique,
pas de semblables altérations de la base ne sont atteints par aucun
trouble
, ni de la vue, ni de l'intelligence. Il reste
rep- siqne, avec un ventre énorme et ballonné; il était sujet à des
troubles
gastro- intestinaux continuels, mou, flasque, s
BERTOLOTTI De deux à trois ans, Joseph souffrit continuellement de
troubles
gastro-intes- tinaux caractérisés par des vomis
l'âge de 4 ans, les parents s'aperçurent que le petit accusait des
troubles
visuels assez graves. Cette diminution de la vu
ns cet état il vécut jusqu'à l'fige de trois ans, toujours affligé de
troubles
gastriques et de diarrhée. Les altérations para
e à l'âge de 7 ans, c'est-à- dire en pleine période d'évolution des
troubles
oxticéphalicrues, on a assistée une véritable r
jà signalé par quel- ques auteurs (Bourneville, Patry). Donc, les
troubles
circulatoires doivent être excessivement marqués
TQUT. q ! ) retard de la première dentition et de la marche, vu les
troubles
gastro- intestinaux de la première enfance, vu
-J1ost-sphénoi'rle survenues dans la première enfance. A propos des
troubles
des glandes à sécrétions internes on pourrait e
uels l'hydrocéphalie survenue dans la deuxième enfance, en plus des
troubles
cl assiques dus à la compression cérébrale (név
s, les altéra- tions rachitiques qui les accompagnent, et enfin les
troubles
adénoïdiens qui constituent un apanage constant
de la gly- cosurie, avec la densité de 1030. Enfin, il existe des
troubles
oculaires, une diminution de la vision, surtout
rtout à gauche. Le malade ne sait préciser l'époque du début de ces
troubles
. L'exa- men du fond de l'oeil, dont s'est charg
es se réduisaient à l'aspect caractéris- tiques de la tête et à des
troubles
visuels, sans aucun des signes accessoires de c
te. Le langage est à peine intel- ligible, le malade présentant des
troubles
aphasiques. Le membre inférieur droit est égale
gémir et elle est localisée toujours à la même-région du crâne. Les
troubles
aphasiques et la paralysie du côté droit ont au
les membres du côté gauche. Il ne peut plus être nourri à cause des
troubles
de la déglu- tition. Jusqu'à présent le malade
is, il a encore des maux de tête, mais qui cèdent au pyramidon. Les
troubles
de la parole ont disparu, le malade est au cont
s, de sorte que c'est la famille qui attire notre attention sur ces
troubles
mentaux, pendant que le malade nous les cache.
Nos exhortations le tranquillisent un peu ; à certains moments, ces
troubles
ont des périodes d'exacerbation. Sa famille rec
malade commence à s'agiter et que sa face se congestionne. 19. Les
troubles
paralytiques ainsi que la céphalée ont disparu pr
ade se plaint de la céphalée et commence à présenter de nouveau des
troubles
psychiques. Observation II C. V., 17 ans, étu
ssements bilieux. Il reste au lit pendant deux jours après quoi ces
troubles
ont cessé, sauf les maux de tête qui persistent.
sez développé pour son âge. Son faciès est peu expressif, le regard
trouble
, de temps en temps il fait une grimace provoqué
fait de petits pas irréguliers en suivant une ligne en zig-zag. Ces
troubles
sont plus manifestes quand le malade est fatigué.
a des bourdonnements dans les oreil- les. Le malade présente des
troubles
sphinctériens. Pendant la journée les mic- tion
nd cet écoulement cessait il avait des attaques épileptiques et des
troubles
meutaux. Il s'écoulait, en 24 heures, approxima
e méningite. Dans notre premier cas nous avons noté l'existence des
troubles
psychi- ques. Pendant que nous rédigions ces li
mort plutôt que d'en arriver à être l'amusement du monde (1). Des
troubles
mentaux ont déjà été notés dans la méningile sére
1909, ne 41-42. 70 tI Wn;Wrsco FT 0(.IS'l'RTN sur l'existence des
troubles
psychiques dans'les méningites, surtout dans le
rmes chroniques tuberculeuses. Sterling (1) a observé récemment des
troubles
intellectuels chez une femme de 46 ans, atteinte
u cerveau ou du cervelet. (I) Sterling, Un cas d'hydrocéphalie avec
troubles
psychiques. Soc. de neurol. el de psycho de Var
l'asile de Clermont vers )'age de 34 ans, après plusieurs années de
troubles
mentaux à forme maniaque qui s'aggravèrent à la s
festes. C'est environ trois ans après son mariage qu'apparurent les
troubles
mentaux sous la forme de chan- gement du caract
li- gence était considérablement affaiblie sans idées délirantes ni
troubles
vésa- niques d'aucune sorte ; cet état démentie
ion, mais cette prétendue impossibilité semble plutôt ressortir à des
troubles
apraxirlues. L'examen de la sensibilité ne ré
ters sont intacts et le sont restés jusqu'à la fin. Il n'existe nul
trouble
appréciable des sens, pas de nystagmus dans aucun
s phénomènes parétiques dans la sphère lahio-glosso-pharyngée, sans
troubles
de sensibilité, sans nystagmus ni déformations sq
utre que les réflexes tendineux existent, on ne trouve chez J... ni
troubles
sensi- lifs caractérisés, ni symptômes oculaire
une âge, l'ataxie statique, les mouvements athétoïdes, l'absence de
troubles
sensitifs, la parole suspirieuse et explosive; pa
e considérée comme une hérédo-alaxie cérébelleuse ; on y trouve les
troubles
de la station et de la marche désignés sous le
Raymond el Rose, de la pré- cocité d'apparition dans l'enfance des
troubles
de l'équilibre chez certains sujets atteints de
es douleurs lancinantes et en ceinture, de la parésie vésicale, des
troubles
de la sensibilité et des fonctions génitales, d
femme de48ans, tabétique depuis 10 ans, sans symptôme moteur, avec
troubles
de la sensi- bilité el artltropatlhie ; le seul
lement de douleurs en ceinture, de crises rectales et nasales et de
troubles
de la sensibilité à disposition radiculaire,nepré
e en Algérie. C'est un malade amaigri, asthénique, qui se plaint de
troubles
gastriques datant du début de juillet 1909. Ils
s, ils n'ont revêtu le caractère de vomis- sement pylorique. Pas de
troubles
intestinaux nets, à part une lientérie pas- sag
ns normaux des deux côtés. Réactions pupillaires intac- les. Pas de
troubles
oculaires. Peu de température. Quelque 38°, pui
nous trouvons très juste et les résultats obtenus dans l'étude des
troubles
de la sensibilité chez les tabétiques par )1. Egg
démyélinisation lente et progressive, on acquiert l'opinion que les
troubles
de la sensibilité, quels qu'ils soient, résident
comprend des tabéti- ques classiques avec ataxie, signe de Romberg,
trouble
delà nutrition générale; clans la deuxième form
elà nutrition générale; clans la deuxième forme, il n'existe pas de
troubles
trophiques, les malades ont un bon état général
due et localisations des lésions, ne présentent pas égale- ment ces
troubles
gastriques ; et inversement, on observe des crise
plutôt rares, et le cas présentant, en outre, un certain nombre de
troubles
cérébraux intéressants, il nous a paru mériter d'
à s'apercevoir de l'existence chez le malade d'un certain nombre de
troubles
cérébraux dont la description sera donnée dans la
est anesthésique (au tact et à la douleur) : ce sont là les seul.;
troubles
objectifs de la sensibilité. ' Durant le séjour
objectifs de la sensibilité. ' Durant le séjour à I'Ilùpital, aucun
trouble
n'a été constaté au cou, ni dans la région scap
de l'ischémie ou des hémorragies collatérales ne provoquassent des
troubles
dans d'autres régions de l'hémisphère intéressé.
querait, en grande partie, l'issue particulièrement heureuse. Les
troubles
constatés chez B... se limitent au domaine psychi
reste possil3le, voire facile, dans des cas d'alexie causée par des
troubles
optiques. Les dessins qu'a.confectionés B... so
s, est véritablement une femme débile. Etat mental. - L'étude des
troubles
mentaux du malade est dans cet ordre d'idées ri
én. de méd., octobre 1902. MICROMÉLIE RHIZOMÉLIQUE PARTIELLE AVEC
TROUBLES
MENTAUX CHEZ UNE JEUNE ARABE PAR R 1 MM. J. C
ues) alors le tronc reste normal ; au point de vue clinique, par un
trouble
d'ossifica- tion enchondrale, une intégrité de
risée aussi par la micromélie au point de vue cli- nique, et par le
trouble
de l'ossification périostale, au point de vue ana
avons donné de l'ovarine, qui n'aurait amélioré que légèrement les
troubles
mentaux. : Certaines observations permettraient
alement les glandes génitales. Rappelons pour notre malade, que des
troubles
men- taux ont éclaté chez elle au moment de la
la première menstruation qui du reste aval tété très retardée. Ces
troubles
mentaux sont analogues à ceux pré- sentés par u
naître le rôle sur le développement squelettique. » Sans doute, les
troubles
mentaux ne sont pas fréqnentsdans l'achondro- p
chitiques dans les antécédents desquels on ne trouve nulle trace de
troubles
digestifs dans la première enfance ? L'accroiss
rès bonne heure les malformations sdne- letliques, et plus tard les
troubles
mentaux. C'est l'explication que Parhon proposa
hondroplasique au point de'vue mental, en cherchant à savoir si les
troubles
psychiques observés dans cette dysostose pouvaien
èse qu'ils envisagent avec quelque complaisance, en rapprochant les
troubles
mentaux des achondroplasiques des mêmes trou- b
qui sépare ces diverses dysostoses s'abais- sera, une cause unique (
trouble
des glandes endocrines) étant parfaite- ment ca
uire par des malformations osseuses d'iniquement analogues, par des
troubles
mentaux variés, et par des altérations histo- l
une nouvelle observation d'achondroplasie ; peut-on de la forme des
troubles
psychiques dans celle maladie, tirer quelque écla
ones, et avec une symétrie indiscutable pour certains points. Les
troubles
de coloration constatés sur la peau donnent deux
nt étant, répète-t=il, de ne pas souffrir. Il n'accuse du reste aucun
trouble
fonctionnel en dehors de la toux, de la dyspnée
èvre, pas de sueurs. Le malade déclare qu'il n'a pas maigri. Pas de
troubles
thyroïdiens ou hypophysaires. La motilité est b
bres, pas d'engelures en hiver. Il voit bien, et entend bien ; pas de
troubles
de son intellectualité qui paraît avoir toujour
On ne trouve pas, si l'on. excepte l'épaississement des téguments, de
troubles
trophiques du côté des poils et des ongles, et
nés ont disparu, le ré- flexe plantaire se fait en flexion . Pas de
troubles
pupillaires, pas de paralysies oculaires ; un l
pas de paralysies oculaires ; un léger strabisme divergent. Pas de
troubles
sphinctériens. Les nerfs ne semblent pas augmen
part d'entre elles une symétrie indiscutable. et si l'on excepte le
trouble
partiel des sensibilités tégumentaires, trouble e
si l'on excepte le trouble partiel des sensibilités tégumentaires,
trouble
en partie peut-être déterminé par l'épaississem
ntaires, diabète bronzé et autres, elles maladies s'accompagnant de
troubles
généralement plus différenciés, plus systématis
a sclérodermie, etc. Notre malade n'a ni l'aspect extérieur, ni les
troubles
concomitants, ni les différents facteurs de ces
as augmentés de volume, ils ne sont pas douloureux, il n'y a pas de
troubles
trophiques musculaires ou osseux, pas de douleurs
Mais pendant de très longues années la ma- ladie s'est limitée aux
troubles
de la coloration des.téguments qui en sont la p
certain nombre de cas, l'absence du réflexe est associée à d'autres
troubles
et peut être rattachée à une affection déterminée
lléen ou du réflexe rotulien chez des sujets indemnes de tout autre
trouble
nerveux est mal connue. Les sta- tistiques publ
xes ach i Ileens et rotuliens peuvent être trouvés nuls sans autres
troubles
nerveux à un âge avancé, vieillesse (Mubius),au
'ab- sence bilatérale ou unilatérale du réflexe rolulien sans autre
trouble
ner- veux n'a été trouvée que Il fois. La propo
illéens ou des réflexes roluliens constatée en dehors de tout autre
trouble
nerveux ? ' ? Quelle est la nature et quelle es
que sur des gardes faisant leur service et ne se plaignant d'aucun
trouble
; elles ne comprennent donc pas les cas d'abolit
coolis- me chronique, et d'affirmer la nature éthylique de certains
troubles
car- diaques (hearl-failure) ; à ce titre ils c
chronique suspecte 3, érysipèle 4, paludisme 2, fièvre typhoïde 3,
troubles
gastro-intestinaux graves 1, ictère 1, appendic
il gauche, nul à droite. Les autres réflexes existent. Pas d'autre
trouble
. Ons. IL -B..., musicien, 31 ans ; troubles gas
es existent. Pas d'autre trouble. Ons. IL -B..., musicien, 31 ans ;
troubles
gastriques avec amaigrissement il 30 ans ; vari
ien, fort à gauche, est diffi- cile à trouver à droite. Pas d'autre
trouble
. Ous. III. - P..., fantassin, 25 ans ; blennorr
Le réflexe achilléen est nul à gauche, normal à droite. Pas d'autre
trouble
. Cas IV. - D..., cavalier, 30 ans, bronchites f
Le réflexe achilléen, faible à gauche est nul à droite. Pas d'autre
trouble
. Ons. V. - S..., fantassin, 30 ans, varices moy
réflexe achilléen, normal à droite, est nul à gau- che. Aucun autre
trouble
. 0ns. VI. if..., fantassin, 27 ans. A 22 ans, c
Le réflexe achilléen, normal droite, est nul à gauche. Pas d'autre
trouble
. Ous. VII. M..., cavalier, 25 ans. Il y a 3 moi
Le réflexe achilléen, faible à droite est nul il gauche. Pas d'autre
trouble
. uns. VIII. 1\1..., aspirant de gendarmerie, 31
normal ainsi que les achilléens et les autres réflexes. Pas d'autre
trouble
. Les observations suivantes peuvent servir de t
e la jambe droite que de la gauche. Il ne s'est jamais plaint de ce
trouble
léger, mais il me le signale spontanément lorsq
st beaucoup plus fréquente que l'irréflectivité associée à d'autres
troubles
nerveux. Elle existe dès la 25e année. Le nombre
existent toujours chez l'homme normal el parfaitementsain. Quelques
troubles
très légers peuvent être associés à l'absence du
près les infections et les intoxications, même en l'absence de tout
trouble
de la sensibilité et de la motilité, il faut ex
s le psychisme de la plupart des glandes à sécrétion interne et les
troubles
nerveux dont s'accompagnent leur hy- perfonctio
u ba- siques les cellules des ganglions spinaux s'il y a un certain
trouble
dans l'équilibre des granulations colloïdales.
es protéiques en solution. La dilution réalisée par l'eau distillée
trouble
l'équilibre de ces derniers et les matières alb
n.erfs rachidiens cervi- caux ; mais comme nous n'avons noté aucun
trouble
d'innervation, nous devons penser que le nombre
tuent le type habituel. C 7;D 4` ? ;L = 5 ;S 5;C 5-l. Mais, qu'un
trouble
survienne, que l'action du processus diminue ou
anomalies réversives sont des arrêts de développement causés par un
trouble
de la nutrition, conséquence d'une maladie locale
tèrent les observations des deux malades, père et fils, atteints de
troubles
de développement très analogues, intéres- sant
à laquelle ils donnèrent le nom d'héréditaire et semblant due à un
trouble
du développement, donc devant être distinguée des
aviculaire SUR UN CAS DE DYSOSTOSE CLliIDO-CRAN1ENNE 253 certains
troubles
fonctionnels étaient présents. C'est ainsi que la
ire, le mot dysostose « n'ayant autre prétention que de désigner un
trouble
clans l'ossification, quelle qu'en soit la natu
lirtz et Louste), une tendance au genu valgum, des pieds plats, des
troubles
trophiques des ongles des or- teils qui sont ép
s phénomènes notés dans les différentes observations,outre les deux
troubles
fondamentaux qui ont valu le nom de dysostose clé
er, ainsi que dans le cas de Guzzoni degli Ancarani. Comme autres
troubles
osseux,nous trouvons nolés les suivants : la cage
t SLll UN CAS DE DYaOS'rOSE CLCIL)O-CltA[NIENNE - 259 signalé des
troubles
osseux dans l'enfance ; dans le troisième, le ste
l'état du crâne ; nous trouvons signalés dans les cas suivants des
troubles
osseux : Chez l'enfant observé par Morand, enfa
dépression sternale ayant les dimensions d'une orange. A côté des
troubles
de l'ossification, il convient de citer les troub
ge. A côté des troubles de l'ossification, il convient de citer les
troubles
dentaires. Signalés dans les observations de Pi
res. Signalés dans les observations de Pierre Marie et Sainton, ces
troubles
avait été déjà notés dans l'observation de et ult
oss, Villaret et Francoz, Voisin, Macé de Lépinay et Infroil. Ces
troubles
sont également très accentués dans notre cas. D
tenant que poussent les incisives de la seconde dentition. Un autre
trouble
de la nutrition est la tendance à l'obésité ou l'
ier à ce point de vue, mais comme il est entré à l'hôpital pour des
troubles
rénaux et ignorant son état dénutrition antérie
térieur, il nous est difficile de nous prononcer. Notons encore les
troubles
des ongles signalés dans le cas de Hirtz et Lou
cas de Hirtz et Louste. Dans notre cas, on trouve aussi de pareils
troubles
au moins en ce qui concerne les orteils. Rapp
périostale et dans la palhogéniede cetteder- nière ils invoquent un
trouble
trophique ou glandulaire. C'est vers relie inte
vérité. Il est plus difficile de dire quelle est la glande dont le
trouble
fonction- nel intervient dans la production de
ophie. Voisin, de Lépinay et Infroit remarquent avec raison que les
troubles
de la dentition qu'on observe dans cette dystro
valgum bilatéral et la déviation des pieds en varus. Voici tous les
troubles
, auxquels il faut ajouter la petite taille el J'o
core d'autres glandes et on doit tenir compte aussi-du moment où le
trouble
se produit. En effet, un trouble agissant à un
tenir compte aussi-du moment où le trouble se produit. En effet, un
trouble
agissant à un moment plus précoce du développemen
ue Peter Kranz (44) ont repris la ques- tion des rapports entre les
troubles
dentaires et les altérations des glandes endocr
ch. f. klinische Medicin, 1901, 70 Band, p. 86). (3) Marinesco, Les
troubles
de la marche dans l'hémiplégie organique étudiés
diés à l'aide du cinématographe (Sem. méd., 1899, p. 255) ; Sur les
troubles
de la marche dans les paraplégies organiques (S
rche dans les paraplégies organiques (Sem. méd., 1900, p. 71) ; Les
troubles
de la marche dans l'ataxie locomotrice progress
ant convenablement de son intérieur et ne présentant aucun signe de
troubles
psychiques. Ce cas tire son caractère rare et i
ance aux exagérations démonstratives qui caractérisent les états de
troubles
hystériques. Il est à noter que Caroline contin
agnostic et pronostic. La vieille conception de l'hystérie comme un
trouble
psycho-sexuel re- vêt constamment de nouvelles
as d'autres phénomènes morbides que de l'atrophie musculaire et des
troubles
de la motilité. Membre supérieur gauche : A l'é
uche est moins forte que la droite, et depuis un mois, les lé- gers
troubles
parétiques de la main droite, relevés à l'examen
s crémastériens et plantaires, nuls également. Sensibilité. - Aucun
trouble
objectif de la sensibilité (contact, tempéra- t
s sciatiques de points particulièrement douloureux à la pression.
Troubles
vaso-moteurs. - Refroidissement des extrémités. L
lus froides que la cuisse et la jambe droites. Sphincters. - Pas de
troubles
vésicaux. Réactions électriques,faites avec le
t de là qu'il est envoyé à l'hôpital le 26 juillet 1910, à cause de
troubles
digestifs graves, dus à un cancer de l'estomac.
riceps crural et une atrophie en masse des muscles de la jambe. Les
troubles
moteurs qui en résultent produisent la dé- marc
produisent la dé- marche classique du steppage. A droite, les mêmes
troubles
trophiques exis- tent, maisatténués. Les réfl
és. Les réflexes tendineux sont abolis aux quatre membres. Pas de
troubles
objectifs de la sensibilité. Quant aux contract
ons douloureuses intermittentes dans les membres inférieurs. Pas de
troubles
objectifs de la sensibilité, ni d'in- coordinat
objectifs de la sensibilité, ni d'in- coordination motrice. Pas de
troubles
sphinctériens. Réactions pupillaires normales.
diminution des réactions électriques, phéno- mènes douloureux sans
troubles
objectifs de la sensibilité. A l'examen histolo-
lancinantes pendant plusieurs années, atrophie des mains à 19 ans.
Troubles
de la sensibilité cutanée et profonde. Diminuti
ux extrémités des membres du côté gauche ; secousses fibrillaires ;
troubles
mentaux. Examen histologique : Dans la moelle, sc
t le tronc et la face. Réflexes tendineux abolis ; pas d'ataxie ni de
troubles
de la sensibilité. Troubles vaso-moteurs périph
s tendineux abolis ; pas d'ataxie ni de troubles de la sensibilité.
Troubles
vaso-moteurs périphériques. Insuffisance mentale.
ires daus la langue ; diminution des réactions électriques ; pas de
troubles
de la sensibilité ; psychose mania- que-dépress
ordination motrice ; douleurs peu fréquentes ; sphincters intacts ;
troubles
mentaux, mort à 59 ans. Hypertrophie des raci-
ose, perte des réflexes tendineux, hypertrophie des troncs nerveux,
troubles
de la sensibilité cutanée : pas de phénomènes dou
n. Intégrité de la face, du tronc et des membres inférieurs. Pas de
troubles
de la sensibi- lité cutanée. Douleurs intermitt
e et Sottas, la symptomatologie de nos cas est restée limitée à des
troubles
trophiques des muscles et à de légères douleurs.
nsuffisantes pour expliquer par une dégéné- rescence secondaire les
troubles
trophiques des nerfs et des muscles. Dans le dé
k et Deroubaix, Westphal, Dejerine et Sottas, Long), l'exislence de
troubles
psychiques, va- riant depuis le déséquilibre me
igine spinale ou myopathique sont indolentes dans la règle. Or, ces
troubles
subjectifs de la sensibilité sont inconstants, fo
s altérations des nerfs qu'il faut attri- buer la pathogénie de ces
troubles
de l'étal statique des muscles.. Le peu d'impor
t touchés ; un examen électrique pratiqué par le Dr Huet décèle des
troubles
électriques bilatéraux dans les muscles innervé
lièrement mous au mollet et à la face postérieure de la cuisse. Les
troubles
moteurs sont toujours limités à la jambe gauche
t disparu, elles sont toujours spontanées et Fig. 1 A. - Schéma des
troubles
de la sensibilité constatée en septembre 1906,
che est violacé, toujours froid et la sudation y est abondante. Des
troubles
sphinctériens sont apparus ; lès mictions sont im
une légère lymphocytose. Au mois de septembre de la même année, les
troubles
moteurs sont apparus à la jambe droite, surtout
s contractions fibril- laires dans tous les muscles atteints et les
troubles
électriques sont très mar- qués. Le réflexe ach
ure. Topographie de l'anesthésie en 1911 4.5, S', SI, S', S' et SI.
Troubles
égaux des deux côtés. 312 THOMAS EN JUMENTlÉ
alement disparu, en tout cas il n'y a pas de signe de Babinski. Les
troubles
de la sensibilité sont très développés : il exist
Phénomènes de compression dus à la tumeur graisseuse s'ajoutant aux
troubles
circulatoires, les augmentant et venant ainsi fac
est continuée pendant 13 ans, l'apparition relativement tardive des
troubles
urinaires (l'incontinence des urines n'a été comp
un simple dé- pôt, occasionné, en grande partie,sans doute, par les
troubles
circulatoires dans les régions correspondantes.
urtout en montée, et il ressentait de la fatigue dans le tronc. Ces
troubles
se sont manifestés chez le sujet jusqu'à aujourd'
tandis que vers la droite il s'esquissent à peine. On ne sent ni
troubles
ni difficultés chez le sujet lorsqu'il parle. Il
s lè- vres se meut à peine. L'action d'avaler se produit sans aucun
trouble
. Au toucher, l'on sent bien la partie supérieur
sujet ne peut contracter le peaucier ni à droite ni à gauche. Aucun
trouble
dans les mouvements passifs de la tète. Le sujet
s bien à droite malgré la grande éner- gie qu'il y emploie. Aucun
trouble
affectant le trophisme, les mouvements passifs et
idère que le sujet n'a jamais eu de paresthésies,que chez lui aucun
trouble
n'affecte quelque forme que ce soit de la sensibi
, l'on aurait toujours le droit de deman- der pour quelle raison un
trouble
chimiotaxique devrait plutôt frapper les muscle
devait provenir ou bien de lésions vasculaires périphériques ou de
troubles
de l'inner- vation du système sympathique. Or,
de plus en plus nombreux, mettent l'ostéo- pathie sur le compte de
troubles
trophiques dus à une lésion primitive soit des
soit des vaisseaux. C'est à des lésions de ce genre, surtout à des
troubles
trophiques d'origine vasculaire, que paraissent p
actuelles, qui font entrer en ligne de compte dans la production de
troubles
trophiques observés dans les tis- sus et les or
T SYNDROME DE PAGET 341 se trouvant ainsi brusquement tiraillé. Ces
troubles
auraient ainsi une pathogénie plus ou moins ana
es auraient ainsi une pathogénie plus ou moins analogue à celle des
troubles
trophiques que Roger et Garnier (1) ont observé
s naturel pourtant qu'une lésion osseuse,qui indique uniquement des
troubles
trophiques, soit mise sur le compte d'une affec-
ner de gros- ses lésions vasculaires ou nerveuses dont d'importants
troubles
trophi- ques peuvent être la conséquence, et il
agitation anxieuse. Pas de confusion mentale à proprement parler ;
troubles
de l'attention liés au développement considérab
hallucinations. Après le retour à l'état normal, récit détaillé des
troubles
psycho-sensoriels. Etiologie. Prédisposition, é
feu ». Il sort de l'hôpital, mais présente à partir de ce moment des
troubles
psychiques très nets : il croyait que tout le m
joie, de l'extase ; celles-ci étaient également en rapport avec les
troubles
psycho- sensoriels. Lorsque le sujet était en p
stic néanmoins doit être réservé. 1 Quelle fut l'étiologie de ces
troubles
psych o-sensoriels Nous sommes en présence d'un
édité, assez mal développé physiquement, chétif, qui fait de légers
troubles
gastro-intestinaux au début de son second accès
cinatoire, qui présente de l'otite moyenne après la disparition des
troubles
psychiques, mais enfin qui travaillait régulièr
ompte de l'exubérance du tissu con- jonctif. ÉPILEPSIE TARDIVE ET
TROUBLES
MENTAUX CONSE- CUTIFS A UN `'fOLEVT TRAUMATISME
après une longue période de latence, des crises convulsives et des
troubles
mentaux observés chez notre ma- lade. Observa
ateur, entre le o juillet 1908 à l'asile de Blois, pour épilesie et
troubles
mentaux. Antécédents héréditaires et collatérau
lus irascible et plus violent depuis une dizaine d'années. Mais les
troubles
mentaux n'ont éveillé l'attention de son entourag
rce qu'il a prêté quarante-sept milliards à la ÉPILEPSIE TARDIVE ET
TROUBLES
MENTAUX 387 France et racheté l'Alsace et la Lo
laire des muscles de la face quand le malade ferme les yeux. Pas de
troubles
de l'articulation des mots ; l'écriture n'est pas
e plus en plus fréquentes, et qui s'accompagnent vers (le 35 ans de
troubles
mentaux sous forme d'idées délirantes poly- mor
ternement du malade dans un asile d'aliénés, à l'âge de 41 ans. Les
troubles
mentaux s'accentuent rapidement et paraissent a
s en plus marqué. ' La pathogénie des accidents convulsifs et des
troubles
mentaux relevés chez notre malade nous paraît e
e, d'abord localisée au point frappé et ne s'ac- compagnant d'aucun
trouble
moteur ou psychique; mais, dans la suite, en ve
e d'excès alcooliques, les crises convulsives et ultérieurement les
troubles
mentaux que nous avons rapportés. Ce processus à
abcès froid latent ou visible causé par la dépression, ou bien des
troubles
nerveux provenant de la compres- sion médullair
ormation plus ou moins accentuée de l'épine dorsale,- alors que les
troubles
radiculaires et médullaires ou bien n'apparaiss
ose des vertèbres. Alquier, dans son travail Principales formes des
troubles
nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité, lâc
d. Le phénomène de Babinski bilatéral est facile à provoquer. Les
troubles
de la sensibilité (à la douleur, au chaud et au f
la douleur, au chaud et au froid) comme sur la figure 1. Fit. 1.
Troubles
de la sensibilité (d'après les schémas de Flatau)
ion. Contractions spontanées douloureuses des extrémités. 16. Les
troubles
sensitifs augmentent. Ils envahissent également t
aires. Rétention d'urine ; incontinence des matières fécales. Les
troubles
de la sensibilité au toucher comme sur la figure
scence (muscles de l'éminence thénar, hypothénar et interosseux) et
troubles
sensitifs (types dedissocia- Fig. 3. Troubles d
ar et interosseux) et troubles sensitifs (types dedissocia- Fig. 3.
Troubles
de la sensibilité tactile (10 mai 1904). CARIE
mme résultat final, on a des symptômes de parésie spas tique et des
troubles
variés de Ja sensibilité sur toutes les parties
de la faiblesse des jambes, malgré les oscillations constatées des
troubles
progressifs dans le fonctionnement de la vessie e
s mois après son entrée à l'hôpital, nous voyons chez le malade les
troubles
de la sensibilité tactile s'ajouter aux troubles
chez le malade les troubles de la sensibilité tactile s'ajouter aux
troubles
de la sensibilité douloureuse et thermique noté
la sensibilité tactile troublée a été parallèle- à celle des autres
troubles
, mais un peu moins haute ; les douleurs se sont
douleurs (souvent très vives même à l'o- rigine de la maladie), des
troubles
sphinctériens, des contractions sponta- nées, d
fluence prépon- dérante de l'oedème de la substance nerveuse et des
troubles
circulatoires. Il y a lieu de souligner le fait
phénomènes spasti- xxv 21 402 ' ROTSTADT ques transitoires, des
troubles
de la sensibilité à limite circulaire comme cel
fections transversales de la moelle. Au début, il n'y avait que des
troubles
de la sensibilité à la douleur (Voir sch. I), a
té tactile se trouvèrent égale- ment soumises à la compression. Les
troubles
des sphincters sont un phé- nomène habituel et
r, de fourmillements et contractions comme symptômes subjectifs des
troubles
de la sensibilité qui accompagnent ordinairement
l'atrophie des muscles de la main gauche du type Aran-Duchenneetdes
troubles
de la sensibilité sous la forme de dissociation
Nouv. Icon., 1906, t. XIX. 3. Alquier. Les principales formes de
troubles
nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité. Nou
is. Il ne s'est jamais plaint de douleurs et il n'a jamais eu aucun
trouble
des sphincters. Maintenant il est obligé de se
rs. Maintenant il est obligé de se servir de lunettes pour lire. Ce
trouble
date de l'année dernière. Le malade est entré d
ucune douleur. Il n'y a pas d'amyotropbie, nulle part, pas d'autres
troubles
trophiques, pas de troubles sphinctériens. L'im
d'amyotropbie, nulle part, pas d'autres troubles trophiques, pas de
troubles
sphinctériens. L'impuissance sexuelle persiste.
te, et surtout dans sa reconnaissance secondaire. On ne voit pas de
troubles
vaso-moteurs. , Urine. L'examen n'a révélé ni s
malade les symptômes d'une probable compression osseuse sont : des
troubles
très légers de la sensibilité subjective et objec
a vu les objets tourner devant lui, mais il les voit osciller et se
trouble
quand il les fixe. Il sent de la faiblesse dans
as ; incomplète dans le second cas, avec latéralisation de Weber.
Troubles
dans le domaine du facial. Il est atteint du côté
ades yUppenlieim). , Le IX. nerf est pris chez les trois malades.
Troubles
cérébelleux. Dysmétrie surtout très accentuée dan
ez les trois malades. Pas d'as,ljncrgie et pas de parole scandée.
Troubles
des voies motrices. Accentués à droite. Parésie d
tat dans un deuxième examen en 1908. On note des vertiges, quelques
troubles
de l'équilibre. Les troubles de la marche sont
n 1908. On note des vertiges, quelques troubles de l'équilibre. Les
troubles
de la marche sont disproportionnés avec les sig
tôt en flexion. En tout cas, pas de signe de Babinski net. Pas de
troubles
de la sensibilité. Pas de douleurs fulgurantes. P
a pas à ce point de .vue de différence d'un côté à l'autre. Pas de
troubles
de,la sensibilité. En 1910, à un nouvel examen,
es et réagissent à la lumière et à l'accommodation. Il n'y a pas de
trouble
de la vue, pas d'hémianopsie. Ponction lombaire
un peu affaiblie au niveau de l'adducteur du pouce. Dans l'ensemble
troubles
à peu près exclusivement limités au territoire du
diminué du côté gauche, existe du côté droit (côté atteint). Pas de
troubles
de la sensibilité, superficielle ou profonde. Pas
as de troubles de la sensibilité, superficielle ou profonde. Pas de
troubles
de la sen- &o)'t/t<6. Troubles sphinctér
rficielle ou profonde. Pas de troubles de la sen- &o)'t/t<6.
Troubles
sphinctériens et tropbiques nuls. Pas d'autre amy
nction lombaire refusée par le malade. Wassermann négatif. Pas de
troubles
de la sensibilité. Pas de signe Rien du côté de l
lonus, pas de raccourcissement. Pas de signe de Romberg net. Pas de
troubles
marqués de la sensibilité. Du côté des yeux, si
normaux. Les réflexes olécraniens, radial, cubital existent. Pas de
troubles
objectifs nets de la sensibilité. Le malade per
et du côté gauche au niveau des trois premiers doigts. Pas d'autres
troubles
sensitifs. L'examen somatique du système nerveux
as d'inégalité pupillaire, ni de paralysie ocu- laire. En résumé,
troubles
subjectifs de la sensibilité dans les trois premi
sion vers les autres groupes musculaires. Nous ajouterons enfin les
troubles
de réactions électriques. Par contre l'état d
riques. Par contre l'état des réllexes, l'existence ou l'absence de
troubles
sensi- tifs, constituent des éléments variables
tte dernière est de règle dans les muscles les plus atteints. Ces
troubles
sont importants pour éviter de confondre une amyo
en clinique. Nous arrivons maintenant aux éléments variables. Les
troubles
de la sensibilité objective sont rares. Ils manqu
r d'une façon convenable il la recherche de la sen- sibilité. Ces
troubles
manquent également dans nos (i cas uniquement cli
uent également dans nos (i cas uniquement cliniques. Par contre les
troubles
de la sensibilité subjective sont fréquents. Ce
eure, poliomyélite par méningo-myélite syphilitique. L'existence de
troubles
objectifs de la sensibilité constitue évidemment
cepen- dant qu'il existe des névrites chez les tabétiques, mais les
troubles
qu'elles déterminent sont d'ordinaire plus diff
de, on conclura à la lésion centrale, médullaire. 3° L'existence de
troubles
subjectifs de la sensibilité n'a pas de valeur,
bles subjectifs de la sensibilité n'a pas de valeur, l'existence de
troubles
objectifs est en faveur de la névrite ou de la ra
lors, elle menait une vie normale, se plaignait de temps à autre de
troubles
de la vue, et de céphalée. Mais néanmoins elle se
a plus encore. Il n'est pas rare de noter chez les acromé5ales des
troubles
carclio-vascnlaires. Fournier (2) a consacré sa
illet 1902, no 27, p. 634, vol. 39. (2) FOUIINIEII, Artomégalies el
troubles
cai-dio-v(iqc ? ilaires, Thèse de Paris, 1896-189
ent de Psychiatrie, chef du Laboratoire de l'Hospice Marcoutza. Les
troubles
de la nutrition dans les psychoses et dans la par
s rappellerons que Kraepelin considère la maladie de Bayle comme un
trouble
général de la nutrition ayant certaines analogies
essayer à chercher le mécanisme qui préside à la pro- duction de ce
trouble
trophique général et le lien qui l'unit à la mala
e a suivi les quatre classes de l'école élémentaire. Les premiers
troubles
psychiques ont commencé au mois de mai 1911 par
criait, déchirait ses vêtements, cou- rait après les enfants. Ces
troubles
ont déterminé son internement. Dans l'hospice o
doigts et l'exagération des réflexes rotuliens. On ne trouve pas de
troubles
pupillaires prononcés. L'examen du liquide cé
persécution ont été précédées par un délire de grandeur absurde avec
troubles
psychiques beaucoup plus importants. L'un de no
manifester. A ce point de vue notre malade représente un exemple du
trouble
que l'un de nous a décrit sous le nom de parano
u la syphilis. Il a une fillette de 6 ans. Est veuf. Ses pre- miers
troubles
mentaux se sont manifestés deux ans avant son int
onsidération car Apert a noté l'obésité dans la symptomatologie des
troubles
en rapport avec les tumeurs de la corticale sur
ement leur part, en agissant sur un terrain déjà prédisposé par les
troubles
des fonctions des autres organes. D'autres fa
état du tube digestif, à la vasodilatation des organes ainsi qu'aux
troubles
de l'innervation végétative et à ce point de vu
un grand nombre de cas qu'on arrivera à trouver la pathogénie de ce
trouble
nutritif. Au point de vue symptomatique, notons
a première observation que nous avuiis observé une amélioration des
troubles
psychiques en même temps que l'apparition de l'ob
ou une station debout prolongées, mais pas de douleurs vives. Ni
troubles
nerveux, ni troubles psychiques. L'exploration
out prolongées, mais pas de douleurs vives. Ni troubles nerveux, ni
troubles
psychiques. L'exploration des viscères et des d
ans une forme généralisée, avec le facies lunaire et le cortège des
troubles
d'insuffisance thyroïdienne, est trop caractérist
e segmentaire rhizomélique, qui s'accompagne de plus d'asthénie, de
troubles
mentaux et souvent de lésions nodulaires sous-cut
rissement (perte de 10 kil. en quelques mois), de l'asthénie et des
troubles
digestifs avec anorexie. Un traitement par le rep
très forts. Le réflexe plantaire se fait en flexion Il n'y a pas de
troubles
sensitifs. Les masses mus- culaires ne sont pas
ement conservée. Les réflexes tendineux sont forts. Il n'y a pas de
troubles
sensitifs. L'examen électrique a été négatif en
et des nerfs ; pas de réaction de dégénérescence. A la face, pas de
troubles
musculaires ni de paralysie. Pas de troubles sen-
nce. A la face, pas de troubles musculaires ni de paralysie. Pas de
troubles
sen- sitifs. Les lèvres et les orbiculaires des
arquée des réflexes tendineux. D'autre part l'absence complète de
troubles
sensitifs ne permet pas de pen- ser à la syring
orter ni à la moelle, ni aux nerfs, ni aux muscles l'origine de ces
troubles
trophiques. Il nous semble logique de penser qu
VIAIiD Nous devons faire remarquer qu'il ne parait y avoir eu aucun
trouble
ovarien ou thyroïdien. , D'autre part chez no
de tuberculose. ' Il semble qu'il s'agisse dans ces divers cas de
troubles
régionaux de l'adiposité tégumentaire, peut-êtr
à sécrétion in- terne, et la part qui revient dans leur genèse aux
troubles
de la nutrition en général et du système endocr
N cas D'ADRNOLIPOIllATOSE 480 comprimante ; il se plaint parfois de
troubles
dyspnéiques, mais intermit- tents et cela depui
(3 pi.), par KLIPPEL et Fr..IL, 223. Crânien (Epilepsie tardive et
troubles
men- taux consécutifs a un traumatisme -) ) (
4 pl.), par ANDRÉ- Thomas et JouENTIt', 309. Epilepsie tardive et
troubles
mentaux consé- cutifs il un traumatisme crdnien
ar Awrs-1'noxas et .1 UMENTIÉ, 309. Mentaux (Epilepsie tardive et
troubles
? consécutifs à un traumatisme crânien) (1 pl.)
Bonnet et CRESPIN (J.). Micromélie rhizo- mblique partielle avec
troubles
mentaux chez une jeune arabe (2 pl.), 137. BR
e hémi- latérale (J¡NGAZZINI ? XLV il XLVII. Epilepsie tardive et
troubles
mentaux con- sécutifs à un traumatisme crânien
d'irritation réflexe (vomis- sements), et en phénomènes sensoriels (
troubles
oculaires et auriculaires). Les troubles intell
en phénomènes sensoriels (troubles oculaires et auriculaires). Les
troubles
intellectuels ont été précoces, ce qui n'a pas
zone psychique du cerveau. Mais ce n'est que tardive- ment que les
troubles
moteurs ont apparu : d'abord intermit- tents, i
u malade, qui était auparavant travailleur et dur à la peine. Des
troubles
oculaires et auriculaires, siégeant du côté gauch
laires, siégeant du côté gauche, ne tardèrent pas à apparaître. Ces
troubles
oculaires étaient carac- térisés par une diminu
ent passager, sans que cepen- dant l'oeil fût rouge ou injecté. Les
troubles
auriculaires, qui sié- geaient exclusivement à
t à tituber surtout quand il venait d'avoir des vomisse- ments. Les
troubles
intellectuels' s'accentuèrent progressivement e
e, le malade bredouille et ne peut pas toujours être compris. Les
troubles
intellectuels sont des plus marqués. Ils sont car
ommença à diminuer; de temps en temps il allait sous lui. Enfin les
troubles
de la parole augmentè- rent encore ; le malade
e la corne frontale, nous rend compte de l'ap- parition précoce des
troubles
psychiques, et de l'installation tardive d'une
orbide si volumineuse n'avait déterminé, pendant longtemps, que des
troubles
symptoma- tiques relativement légers; le cervea
de plusieurs recherches; nous y avons fait allusion en parlant des
troubles
de nutrition dans l'épilepsie. Hénocque avait r
ux tubes de gélatine ne paraissent pas avoir poussé malgré l'aspect
trouble
et louche du point d'ensemencement que nous pen
tement restent négatives. Un tube de bouillon. Température, 39°, se
trouble
nettement au-bout de trois jours; on y voit de
bouillon (température, 39°). Au bout de deux jours, ces tubes sont
troubles
et contiennent d'abondants flocons granuleux qui
sang restent négatives. Un tube de bouillon (température, 39°), se
trouble
le troisième jour, puis donne un dépôt blanc sa
tits et prenant le Gram. Un tube de bouillon (température, 22°), se
trouble
le quatrième jour, puis dépose au fond, comme l
e de bouillon (température, 39°) a poussé le quatrième jour. Il est
trouble
et un dépôt sale se fait au fond du tube. Au mi
ant le Gram. Un tube de bouillon (température, 22°). Ce bouillon se
trouble
le cinquième jour et dépose un peu au fond. A
. Ils prennent le Gram. Un tube de bouillon (température, 22°) se
trouble
le troisième jour et montre un dépôt sale et gr
être posées, et d'abord on nous fera observer qu'on peut avoir des
troubles
vaso-moteurs sans être épileptique. D'accord, m
peut être provoquée d'une façon ou d'une autre sans qu'il y ait des
troubles
digestifs sur lesquels nous avons tant tenu à i
'emblée, l'épi- lepsie dite idiopathique précédée et accompagnée de
troubles
digestifs ; mais nous avons fait remarquer que
gué deux genres d'épileptiques : ceux chez lesquels il n'y a pas de
troubles
gastro-intestinaux, ni d'état saburral de la la
bien ces poussées successives répon- dent aux accès accompagnés de
troubles
gastriques, tandis que les rémissions survienne
s gastriques, tandis que les rémissions surviennent quand ces mêmes
troubles
font défaut. On peut donc voir chez un même mal
'alimentation doit être surveillée avec soin. Nous avons vu que des
troubles
digestifs sont presque toujours l'indice d'un a
OGIE MENTALE. 35 36 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. rose double. Les
troubles
pupillaires ont été notés dans 82 cas sur 100;
100. Sur 100 paralytiques des deux sexes on ne note l'absence de
troubles
pupillaires que chez 17 (hommes 13,4; femmes 33,9
bles pupillaires que chez 17 (hommes 13,4; femmes 33,9 p. 100). Ces
troubles
sont moins fréquents chez les paralytiques syph
p. 100; le ptosis dans 12,3 p. 100; - le le nystagmus est rare. Les
troubles
auditifs ne sont pas fréquents (1,3 p. 100). La
ents (1,3 p. 100). La voracité a été notée dans 2,1 p. 100. ' Le-
troubles
de la sensibilité générale se rencontrent dans 43
nt se répartir ainsi : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 37 Les autres
troubles
de la motilité ont été observés dans la pro- po
ier l'arrêt de développement intellectuel con- génital. Le lype des
troubles
intellectuels fonctionnels endo- gènes eslla dé
spéciales du crâne dont il s'agit d'établir les relations-avec les
troubles
intellectuels. Voici par exemple une observation
ce genre concernant trois frères présentant des degrés divers des
troubles
psychiques qui nous occupent. L'affaiblissement p
embre 1893, a présenté les symptômes d'une fracture de la base avec
troubles
intellectuels d'origine cérébrale, et au sujet du
ocalisations. Il s'agit, d'après M. Sommer, d'une lésion en foyer à
troubles
périodiques. . L'auteur fait sontourune nouvell
bigération incohérente, un certain degré de tension musculaire, des
troubles
vasomoteurs. 4. Deux cas de parole double. Dé
rantes et non d'ob- sessions. P. K. X. Contribution A l'étude DES
TROUBLES
mentaux CHEZ LES dégénérés ; par 0. DORN13LUTII
énérés ou des hy popsychopathes. Leur histoire, le développement du
trouble
mental, le texte de leurs conceptions délirante
'est le plus souvent un symptôme de dégénérescence : lacune morale,
trouble
psychique spécial, construction psychosexuelle
t une prédisposition préalable. P. K. XVIII. DE l'hypnotisme ET DES
troubles
mentaux; par F. JOLLY. (Archiv. f. Psychiat., X
crânien ne peut être admis que dans des cas excep- tionnels. Les
troubles
nerveux et psychiques consécutifs aux traumatisme
au choc psychique provoqué par la blessure ou par l'émo- tion. Les
troubles
nerveux sont très variés et ne réalisent que rare
ui doivent faire supposer l'origine traumatique de l'affection. Les
troubles
nerveux tantôt se développent immédiatement après
driaque; le tableau clinique est parfois modifié par l'existence de
troubles
neurasthéniques locaux, périphériques, provoqué
matique. Parmi les symptômes somatiques les plus fréquents sont les
troubles
de la nutrition, les désordres gas- triques et
traumatique, l'expert, lorsque le sujet exagère l'intensité de ses
troubles
morbides ou même en invente d'imaginaires, doit
a diminution de l'intelligence, les maux de tête, les vertiges, les
troubles
de l'émotivité, les tendances aux actes de viol
r un état d'affaiblissement intellectuel progressif avec parésie et
troubles
de la coordination, ou par un accès maniaque qu
er des désordres cérébraux périodiques (obnubilation passagère avec
troubles
vaso-moteurs). Les facultés psychiques ne prése
es de folie morale. L'émotivité est extrême et se manifeste par des
troubles
vaso-moteurs de la face, un état d'obnubilation
ertigineux, présentés par l'inculpée, états qu'accompa- gnaient des
troubles
visuels et une paralysie de toutes les fonctions
un état de dégénérescence héréditaire, accompagné de chorée et de
troubles
périodiques de la conscience et de l'activité cér
n morbide ou d'une hallucination ? E. B. VI. TROIS rapports SUR LES
TROUBLES
morbides consécutifs .1 DES accidents; par S. M
anéité éclate souvent en dehors de tout accident. L'hystérie ou les
troubles
fonctionnels nerveux s'ajoutent fréquemment à d
in, les deux modes de l'écriture (spontanée et dictée) subirent des
troubles
graves. La surdité verbale termine la scène; co
es comparatives à ce point de vue d'autres affections y compris les
troubles
et névrites du nerf cubital. 11 est à supposer
galement songer aux foyers de dégénérescence traumatique diffus par
trouble
direct de L. Bruns, siégeant comme il vient d'êtr
se des jambes, elle court d'une façon ridi- cule qui fait rire. Les
troubles
de la marche vont en s'accentuant, à dix-huit a
id, les sensations de contact et de pression sont conservées. Ces
troubles
de la sensibilité dépassent le membre et on les
t normaux des deux côtés, il n'y a pas d'atrophie musculaire, ni de
trouble
trophique, pas plus à gauche qu'à droite. Pas d
pas plus à gauche qu'à droite. Pas de symptômes céphaliques, pas de
troubles
oculaires, on note seulement quelques vertiges et
es se prononcent de plus en plus, en même temps qu'apparaissent des
troubles
vési- caux, du gâtisme et une eschare au sacrum
phie primitive accompagnée DE réactions ÉLECTRIQUES ANORMALES ET DE
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ; par - M. Thomas-D. SA VILLE
olue. Il faut noter que ces lésions articulaires commencent par des
troubles
trophiques osseux périostiques ou médullaires.
ques, en présence de certaines excitations des nerfs sensitifs. Les
troubles
trophiques ne sont donc pas primitifs, ils sont s
ifs, ils sont secon- 70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. daires, les
troubles
sensitifs sont toujours les premiers en date. -
ogiques appartiennent au labes et on peut déjà saisir la raison des
troubles
trophiques dans cette affection. Du reste le ta
seule maladie nerveuse qui justifie la loi de corrélation entre les
troubles
trio- phiques et les conducteurs nerveux centri
nterrompu. Un malade atteint, au contraire, de tabes sensitif a des
troubles
tro- phiques articulaires etsurtout osseux, par
les arthrites des petites articulations, les panaris, sont bien des
troubles
trophiques, mais les auteurs ne s'occupent ici
Leur apparition est souvent précédée de douleurs lancinantes ou de
troubles
trophiques cutanés, qui siègent parfois au nive
sont ces lésions, on sait seulement qu'il y a corrélation entre les
troubles
sensitifs et trophiques. Quand on sait que le s
: l'atro- phie musculaire, la dissociation de la sensibilité et les
troubles
trophiques. Chaque symptôme peut prendre une im
scoliose, Déformations cicatricielles des doigts. Der- mographisme.
Trouble
de la sécrétion sudorale. Pas d'atrophie muscul
endant l'évolution de l'affection ner- veuse, infection surajoutée,
troubles
trophiques graves, nature. chirurgicale de l'af
fréquentes céphalalgies. A vingt ans, la douleur se com- plique de
troubles
visuels, hémiopie et ensuite des vomissements.
- nérale, la motilité de la langue est demeurée intaete. Quelques
troubles
mentaux. Plus tard aphasie. Gâtisme. La nature de
moraux et les impulsions criminelles existent à l'étal isolé, sans
trouble
de l'intelligence et sans qu'on puisse les consi-
elles l'hystérie peut s'associer mais sans jamais se fusionner. Les
troubles
trophiques sont traités avec la profusion de dé
étails qu'ils méritent; M. Gilles de la Tourette décrit d'abord les
troubles
trophiques cutanés puis les hémorragies de la p
i, faut-il faire rentrer la diathèse vaso-motrice cause de tous ces
troubles
trophiques dans le fond commun de la névrose to
naires étant encore assez fréquentes. L'auteur s'occupe ensuite des
troubles
trophiques des annexes de la peau et des tissus
traitement, tiennent une grande place dans ce volume. A propos des
troubles
gastriques nous signalerons les travaux de l'au
ime sur son enfant nouveau-né ? Mais Tardieu ne connaissait pas les
troubles
mentaux de l'hystérie. Le terme de folie hystér
nt l'accident, elle se soit accrue depuis par la superposition d'un
trouble
d'autre nature, car, en effet, l'inculpée accuse
nt l'accident qui parait avoir été chez elle le point de départ des
troubles
hystériques, avait toujours nié la grossesse et
facultés de l'inculpée peu de temps avant l'acte incriminé; que ces
troubles
retentissaient encore quelques jours avant notre
de toutes les fonctions c'est celle qui présente chez l'idiot les
troubles
les plus nombreux comme les plus profonds. Elle e
accès convulsifs sont transformés le plus souvent en vertiges et en
trouble
mental avec obtusion intellectuelle profonde.
ement dans des états de mal ou dans des périodes d'excitation ou de
trouble
mental consécutifs aux accès. Ces lavages ont p
s chez Soliv... en particulier, à qui nous en avons fait pendant le
trouble
mental. Ce trouble a rapidement t disparu en qu
particulier, à qui nous en avons fait pendant le trouble mental. Ce
trouble
a rapidement t disparu en quelques jours au lie
eux sont restées pendant ces deux mois sans avoir d'agitation et de
trouble
mental, alors que la pre- mière était troublée
sie par intoxication; 3° L'épilepsie réflexe ne s'accompagne pas de
troubles
gastro-intestinaux, ni d'état saburral. Elle es
employés à des doses variées et suspendus quand parais- sent les
troubles
gastriques. Il faut y joindre une hygiène et un
LE; par M. KOEPPEN. (drchiv. f. Psychiat., XXVI, 1.) Observation I.
Troubles
de la parole. Attaques congestives; réaction pu
c les symptômes des nerfs crâniens, le masque de la physionomie, le
trouble
spécial de la parole. Quant au tremblement, sym
leur sensibilité générale. Quel en est le mécanisme ? Est-ce par un
trouble
de nutrition des éléments sensoriels ? On n'en co
sensoriels ? On n'en constate pas. Il vaut mieux l'attribuer à des
troubles
vaso-moteurs. L'auteur a constaté un rétrécisse
arriver et ne fait que des gestes incohérents, non parce qu'il y a
trouble
de la motricité, mais parce qu'il ne sait où pr
clusivement la nuit. 5° Etat mental : on a constaté dans 36 cas des
troubles
mentaux caractérisés par de l'affaiblissement d
s la même proportion que s'accroit l'âge du sujet à l'apparition du
trouble
mental : toutefois, la guérison peut être obtenue
nettement apparente : dans les cas héréditaires, l'apparition du
trouble
mental est ordinairement plus précoce, les rechut
00 (20 p. 100 pour Krafft-Ebing). Les modifications mentales et les
troubles
somatiques qui accom- pagnent chez les femmes b
existe de l'hérédité névropathique. Nous n'insisterons pas sur les
troubles
somatiques, qui sont bien connus, mais les modi
e viennent ensuite. Parmi les autres symptômes, on peut citer : les
troubles
gastro-intestinaux (pouvant donner lieu à des i
ue qui unit les modifications de l'appareil génital de la femme aux
troubles
intellectuels de la ménopause demeure inconnue
généralement un état de douce satisfaclion, modérément accusé. Les
troubles
moteurs existaient dans tous les cas, mais à un
cère. A son entrée à Broadmoor, il présenta des signes évidents de
trouble
mental, des idées de richesse et plus tard de per
ur les caractères physiques particuliers des femmes atteintes de ce
trouble
moral. Les femmes qui présentent de l'inversion
c celles de la poitrine. Comme exemple il montre que la plupart des
troubles
psychiques de la démence paralytique peuvent re
portions. (American journal of insanity, avril 1895.) E. B. XXXV.
TROUBLES
délirants DE nature alcoolique, chez DEUX SOEURS;
e des soeurs, âgée*de trente et un ans, d'idées de persécution avec
troubles
de la sensibilité générale et chez la seconde,
à l'apparition des phobies, et il ya là en outre l'exacerbation des
troubles
intellectuels au moment des accès de dyspnée ca
nion de certains auteurs qui pensent que la condition dominante des
troubles
intellectuels chez les car- diaques est la préd
rt qui revient à la cardiopathie, non pas dans la production de ces
troubles
intellec- tuels, mais dans leur entretien. Il
persistance de l'affection psychique. M. Charpentier pense que les
troubles
mentaux liés aux affections 168 SOCIÉTÉS SAVANT
de la tare dégénérative qu'il attri- bue à sa malade. Pour lui les
troubles
décrits relèvent de l'arthritis et non de la dé
morbide est d'une interprétation assez obscure. Tantôt il s'agit de
troubles
dystrophiques frappant à la fois le générateur
se montre le plus souvent ? C'est que le facteur qui a éveillé les
troubles
psychiques porte son influence sur eux. Mais .
argerite', un des élèves de Raymond, s'étend en particulier sur les
troubles
sensitifs dans la tuberculose aiguë et les rat-
s laquelle il faut rattacher ces douleurs et ces paresthé- sies aux
troubles
fonctionnels cérébraux par suite de l'excitation
- que la dégénérescence secondaire. 1 A. Margerite. Elude sur les
troubles
sensitifs dans la tuberculose aiguë (thèse de P
pagnait d'un certain degré de faiblesse des membres inférieurs. Ces
troubles
persistèrent t par la suite avec des périodes d
ne ceinture la partie inférieure de l'abdomen et les flancs. Pas de
troubles
trophiques. Pas d'oedème. Rien aux membres supé-
x membres supé- rieurs. Pas trace de fièvre. Rien à la face. Pas de
troubles
oculaires. Facies pâle. La malade tousse un peu
main droite, Fourmillements. Elancements douloureux, mais pas de
troubles
bien nets de la sensibilité provoquée. Les lésion
tous les aliments. Commen- cement d'escarre au sacrum. Pas d'autres
troubles
trophiques. L'amaigrissement fait des progrès r
roite (racines antérieures atteintes). La mort a été causée par les
troubles
généraux provenant de la tuber- culose pulmonai
, la marche n'a pas le caractère spasmodique. Il n'y a pas de vrais
troubles
de la coordination. Le malade se plaint de sens
sions provenant de l'interruption des cordons... En considérant les
troubles
trophiques, il faut tenir compte encore des tro
onsidérant les troubles trophiques, il faut tenir compte encore des
troubles
des vaisseaux lymphatiques. Dans la pie-mère, o
ent parfois, n'en four- nissent pas moins l'explication de certains
troubles
mentaux chez le vieillard. C'est de cette façon
l'ouïe sont appa- - rues ; en dernier lieu, sous l'intluence de ces
troubles
multiples se sont développées des idées de pers
jusqu'à l'âge de soixante-dix-huit ans, on n'avait cons- taté aucun
trouble
mental, elle était intelligente, très sensée; sa
vée, ne s'étonne pas d'être séparée des siens. Elleneprésente aucun
trouble
de la parole. La faiblesse musculaire est assez
les maladies, les lésions du cerveau ? Elles se traduisent par des
troubles
du mouvement, des troubles de la sensibilité et
cerveau ? Elles se traduisent par des troubles du mouvement, des
troubles
de la sensibilité et des troubles de l'intelligen
ar des troubles du mouvement, des troubles de la sensibilité et des
troubles
de l'intelligence, confondant souvent en un mêm
rivés au dernier âge de la vie et restés jusque-là indemnes de tout
trouble
psy- chique. Les psychoses le plus souvent obse
a plus grande impor- tance dans les psychoses de la vieillesse. Les
troubles
de la circulation, les lésions cardiaques, les
ez les prédisposés, elle se compliquera souvent d'idées de vols, de
troubles
génitaux et d'idées ambitieuses. - 3° La mélancol
r, d'hallucinations de la vue si rares chez le persécuté adulte, de
troubles
variés de la sensibilité générale, et en particul
e troubles variés de la sensibilité générale, et en particulier des
troubles
de la sensibilité génitale. L'évolution du déli
caprices, ne fait pas exception à la règle. L'explosion tardive des
troubles
délirants chez les héréditaires et chez les dés
pensa tout d'abord ¡que l'hyper- trophie de cet organe résultait de
troubles
vaso-moteurs et de fait il diminue toujours de
ruire le long des voies lymphatiques. Alors apparaîtront aussi 'ces
troubles
fonctionnels précurseurs, émotivité, anxiété des
la maladie, tremblements, contractures et convulsions, paralysies,
troubles
respiratoires, digestifs, oculaires, etc., s'ob-
ne conjonctivite cons- tante, en un amaigrissement rapide et en des
troubles
digestifs divers. La diarrhée, sanguinolente ou
rattacher la maladie à des lésions destructives du corps thyroïde (
trouble
de son fonctionnement). Comme M. Renaut, comme
tle fonctionnement exagéré de la glande thyroïde, par conséquent un
trouble
humoral. Cette sécrétion exagérée met en branle
- taire, présentait outre les signes physiques de la maladie, des
troubles
mentaux caractérisés par des idées vagues d'empoi
en cinq semaines, la nôtre, grâce à sa boulimie, a pu absorbersans
troubles
connus 1 kg, 500 de thymus crus en deux mois en
nouveaux accidents qui ont apparu, une modalité nouvelle d'un même
trouble
pathologique ? Le mal de Graves serait alors un
ec cette malade, en plein domaine hysté- rique. Le tremblement, les
troubles
sensoriels cutanés, la suppres- sion de certain
ué par des recru- descences et par une aggravation concomitante des
troubles
men- taux. A ces crises correspondait un gonfle
es signes de la cirrhose hypertrophique du foie : ictère chronique,
troubles
digestifs profonds, selles et urines bilieuses,
es relatives à l'épilepsie larvée : suivant les uns, cette sorte de
trouble
mental dont l'impulsion irrésistible est le carac
ivant les autres, les impulsions ne sont jamais indépen- dantes des
troubles
convulsifs. La question ne pourra être tranchée
n et qui concernent des faits dans lesquels un individu sujet à des
troubles
mentaux divers, ne fussent-ils d'ailleurs pas i
s mentaux divers, ne fussent-ils d'ailleurs pas impulsifs, voit ces
troubles
disparaître au moment où il pré- sente des atta
constatée avec certitude, permet-elle de caractériser nettement le
trouble
morbide auquel elle se rattache. Dans quelques
ement dite est assurément le meilleur moyen d'établir la nature des
troubles
impulsifs qu'il s'agit de juger; mais il peut s
tablir cliniquement et irréfutable- ment la nature .épileptique des
troubles
mentaux impulsifs ou autres. Il ne faut pas oub
pierre de touche pour la distinction de la nature hysté- rique des
troubles
mentaux et nerveux. Il estime, en effet, que les
aralysie progressive par le manque de rapport entre l'intensité des
troubles
de la parole et de la coordi- nation d'une part
ent. On observe des accès d'obnubilation, d'anxiété, accompagnés de
troubles
circula- toires. Dans un cas, le début a été su
s membres inférieurs, l'exagé- ration des réflexes patellaires, les
troubles
des réflexes pupillaires, de l'embarras de la p
que la démence est moins accusée chez eux, que ce sont surtout les
troubles
de la mémoire qui prédominent. Les lacunes morale
illusions de l'ouïe ont été constatées chez tous les malades; des
troubles
sensoriels visuels dans la moitié des cas; des tr
alades; des troubles sensoriels visuels dans la moitié des cas; des
troubles
de la sensibilité générale dans un quart. Les h
llucinations du goût et de l'odorat ont été rarement observées. Les
troubles
auditifs étaient de nature élémentaire ou consi
spécifier qu'il entendait et d'où on lui parlait. La plupart des
troubles
hallucinatoires ont provoqué des conceptions déli
ciles ; les mains sont maladroites et tremblent également. Pas de
troubles
de la sensibilité ni des sens, sauf de l'odorat q
t; il n'existe pas d'ataxie des membres supérieurs. En résumé les
troubles
somaliques et intellectuels permettent de diagn
sculaire prend, par l'hématoxyline, une coloration bleu gris un peu
trouble
; on y distingue encore assez bien les contours
taires. On avait naturellement songé au tabes, mais en l'absence de
troubles
de l'équilibre et de phénomènes ataxiques, le d
de l'impuissance complète ; rien de laryngé actuellement. Quelques
troubles
trophiques existent aussi - de l'atrophie des m
ue complètement, sauf pourtant les crises entéralgiques, mais les
troubles
de la marche ont continué à faire des progrès, si
rectales s'atténuent et disparaissent vers le mois de juillet; les
troubles
de la marche au contraire s'accentuent au point d
de diarrhée avec coliques. En juillet, la marche devient difficile;
troubles
urinaires. , En janvier 1891, dérobement des ja
tardive des symptômes ? L'auteur admettrait plus volontiers que les
troubles
observés ont été le mode de réaction d'un cerve
, douloureuses et thermiques qui jouent le plus grand rôle dans ces
troubles
trophi- ques articulaires; 3° le mécanisme par
ont déterminées par l'influence médiate du système nerveux central (
troubles
vaso- moteurs, etc.) combinée à l'influence imm
contrent chez la malade : douleur, paralysie, atrophie musculaire,
troubles
trophiques. La première atteinte a eu lieu en 187
comme une mala- die de la fonction de l'équilibration. Les mêmes
troubles
de l'équilibration qui les caractérisent seraie
de spasmes toniques dans les extrémités droites et le facial droit.
Troubles
fréquents de la circulation et de la température.
acée sous la dépendance du tabes dorsalis; 2° elles sont dues à des
troubles
trophiques ; 3° elles constituent des lésions d
es quatre personnes qui ont échappé à la contagion sont exemptes de
troubles
hystériques d'une autre forme. (Revue neurologiqu
mpagnent.dans la règle, d'aucune idée délirante et consti- tuent un
trouble
psychique isolé : elles peuvent se manifester sou
certain degré d'ataxie dans les mouvements des membres supérieurs;
troubles
de la miction et de la défécation, élévation de
ée d'exaltation des réflexes rotuliens et de clonus des pieds ; les
troubles
sensitivo- sensoriels, trophiques, électriques,
le et des sens spéciaux dans les deux états. P. S. XXXVI. SUR LES
TROUBLES
DE la sensation ET principalement la DOULEUR da
aboulique et dégoût de la vie, pas de délire proprement dit, ni de
troubles
neu- rasthéniques, ni de troubles sensitivo-sen
s de délire proprement dit, ni de troubles neu- rasthéniques, ni de
troubles
sensitivo-sensoriels. Constipation opi- niâtre.
'du coeur, l'instabilité des jambes, la maladresse des mains et les
troubles
digestifs (dilatation d'entéroptose, etc.). Ajou-
t avec délire hypocon- driaque, ou de négation, ils n'ont pas eu de
troubles
moteurs de la paralysie générale. - La premiè
troisième malade contracte la syphilis à l'âge de dix-neuf ans. Les
troubles
mentaux ont apparu vingt ans après et sont cara
ie de ce qu'on a appelé pseudo-paralysie générale, par l'absence de
troubles
mo- teurs et se rapproche de l'obsurvation suiv
spécifique précoce peut être suivi de guérison, surtout lorsque le
trouble
intellectuel est contemporain des poussées seco
très douteux. M. IIfARINESCO. La syringomyélie caractérisée par des
troubles
de sensibilité et des amyotrophies du type Aran
s de la syringomyélie s'ajoutent des phénomènes insolites comme des
troubles
paralytiques très intenses et la perversion de
ment des cas très nombreux où il y a participation du trijumeau aux
troubles
de dissociation dite syringomyélique de la sens
llon, etc., ont établi le changement de volume des membres dans les
troubles
circula- toires ainsi que de la manière d'enreg
e forme convul- sive spéciale une place déterminée parmi les autres
troubles
mo- teurs, des cas intéressants ont été publiés
comme étant ceux de la chorée vulgaire : dans cette affection, les
troubles
moteurs sont d'abord limités à un côté du corps,
la chorée sont essentiellement brusques et étendus, tandis que les
troubles
moteurs de notre malade se caractérisent avant to
tention de quelqu'un. La face offre aussi chez R... deux espèces de
troubles
moteurs : l'athétose avec ses contractions exce
avant en arrière et de latéralité de la langue sans hypertrophie.
Troubles
de la parole, mouvements de rotation du cou, conv
t nouveau puisque la coexistence de ces SOCIÉTÉS SAVANTES. '. 339
troubles
oculaires a été signalée dans tous les cas où ell
ulaires de la syphi- lis cérébrale.- M. LE FILLFATRE. Essai sur les
troubles
moteurs dans l'alcoolisme aigu, subaigu et céré
Tous les ans nous recevons des enfants ou des adolescents dont les
troubles
intellectuels sont occasionnés par l'alcoolisme
t à sa troi- sième tentative de suicide; elles sont attribuées à un
trouble
des facultés mentales. (Petit Parisien, 31 août
er un sujet inculpé de possession démo- niaque comme en proie à des
troubles
cérébraux. Cependant Nider (mort en 1440) est c
des parents de ce dernier, un certi- ficat constatant l'absence de
troubles
intellectuels. Il rédige en 358 asiles d'aliéné
ose a été prescrit, ont souffert d'une aggravation notable de leurs
troubles
sensoriels, même visuels, malgré la propriété don
lose, à côté d'inconvénients, a donc deux avantages sérieux : il ne
trouble
pas lqs facultés digestives et n'a pas d'action
difficultés dans la mastication et de la déglutition, ainsi que des
troubles
de l'articulation des mots, donnant à la maladi
raître ensuite de nouveau; dans d'autres la mort est causée par des
troubles
respiratoires subits. Les autopsies qui ont p
aralyti- ques était différent dans les deux cas. Dans le second les
troubles
fonctionnels des nerfs crâniens avaient ouvert
de neuf ans présenta à la suite d'une angine, de la diplopie et des
troubles
de la déglutition et de l'articulation; depuis
culation; depuis deux ans ptosis droit. Un an après on constate des
troubles
de la parole, de la déglutition et de la mastic
un peu ner- veuse qui présenta en 1887, à la suite d'un typhus, des
troubles
de la déglutition et de la parole qui rétrocédè
tre semaines. En 1892, troisième accès pendant t lequel on nota des
troubles
de la parole et une faiblesse généralisée le ré
En 1894, maux dé tête, grande faiblesse, insomnie. - Février 1891,
troubles
de la déglutition, parésie des muscles labiaux,
eux malgré la bonne conservation de la force des mouvements, pas de
troubles
de la sensibilité, conservation des sphincters,
oportion de z8 p. 100, Kaes dans une proportion de 10,2 p. 100. Les
troubles
et les épaississe- ments des méninges existèren
t la parésie musculaire. Reste il déterminer la cause primitive des
troubles
circulatoires du début : dans l'état actuel de
eaux. Relations DES TUBERCULES quadrijumeaux postérieurs avec LES
TROUBLES
DE l'ouïe; par E. `ŸEINLAND. (A1'chiv. f. Psychia
tatait cliniquement : de la mydriase avec inégalité pupillaire, des
troubles
de l'accommodation à la convergence du côté dro
à court trajet. Quant au tabes lui-même, il est la résultante de
troubles
de la nutrition exerçant une action élective sur
AUGE; par Chr. HASCH. (Neurolog. Cent2,albl , XIII, 1894.) C'est un
trouble
psychique propre à la race malaise de Sumatra,
nique du système nerveux. Il détermine au contraire un cortège de
troubles
nerveux par son action sur les nerfs périphérique
es idées observées dans les psychoses chro- niques sur le compte de
troubles
fonctionnels; il est probable que souvent il s'
rantes de la paranoïa peuvent également être mises sur le compte de
troubles
dans l'association des idées provoqués eux-même
confirmés. Il est prématuré de vouloir rapporter un grand nombre de
troubles
psychiques à la lésion des fibres corticales. P
iques sous le coup d'une intoxication chronique qui a déterminé des
troubles
graves de la nutrition. L'hystérie alcoolique r
ressemble de tous points à l'hys- térie ordinaire ; seuls certains
troubles
moteurs, sensitifs, visuels, nécessitent quelqu
sthésie alcoolique a été fréquemment observée par Magnan. Parmi les
troubles
visuels, il faute noter le rétrécissement conce
l'estomac. Dans ce cas il faudrait attribuer un rôle important aux
troubles
caslri- ques dans l'étiologie des manifestation
.. est sans doute un être anormal, mais comme il ne présente pas de
troubles
psychiques, comme il est intelligent et a la noti
crivent dans un style ampoulé. Dans leurs actes- on ne relève aucun
trouble
notable : ils se montrent laborieux, mais bizarre
ions pénibles, qui entretiennent un état d'excitation. En 1876, les
troubles
sen- soriels deviennent rares et faibles; le sy
du système nerveux. A signaler particulièrement la contracture, les
troubles
du sens musculaire et l'ataxie qui permettent a
e. . Le courant nerveux n'influence d'une façon favorable que les
troubles
fonctionnels qui accompagnent ce processus. Une a
u suffisamment organisé; - les faibles d'esprit auront toujours des
troubles
délirants élémentaires et peu compli- qués, for
ierret, l'auteur a fait une étude, basée sur sept observations, des
troubles
de lasécré- tion urinaire chez les aliénés, ou
absolument comparable à une intoxication. - M. Toy conclut : aux
troubles
urinaires si fréquents chez les aliénés, on doi
dus à l'Ecole de la Salpêtrière, notamment pour ce qui concerne les
troubles
mentaux multiples si singuliers qui accompagnen
qui, ainsi, n'est pas troublé par ses voisins qu'à son tour il ne
trouble
pas. Mais, par contre, je la condamne absolument
e bien changée». 458 THÉRAPEUTIQUE MÉDICO-PÉDAGOGIQUE. APHASIE ET
TROUBLES
CIRCULATOIRES. 459 caractérisés par de la copro
IE DE LANDRY D'ORIGINE INTLUENZIQUE SUIVI DE GUÉRISON. APHASIE ET
TROUBLES
CIRCULATOIRES, LÉGÈRE RECHUTE; Par le D' PAILHA
ées, sans doute, à l'asthénie car- diaque, sont moindres. Quant aux
troubles
de l'articulation et à la parésie des membres i
rs, permettant la marche. Absence totale du réllexe rotulien. Les
troubles
de la parole ont à peu près disparu. - En cette v
les phénomènes de la névrite multiple (paralysies, amyotrophies,
troubles
de la sensibilité), présente une forme clinique b
idées, parfois d'agitation, de délire. Dans une catégorie de cas le
trouble
de la mémoire apparaît presque d'une façon aigu
s, en même temps que l'amnésie grave, prédominent pour un temps des
troubles
de la conscience, de l'incohérence, un rétrécis
l'idéation. Enfin, chez une troisième catégorie de malades, sur les
troubles
de la mémoire, de l'idéation et de la conscience
ction. C'est une amnésie isolée, parfois indépendante de tout autre
trouble
intellectuel et déterminée par la perte de la f
ue le complexus des symptômes psychiques dépend principale- ment de
troubles
fonctionnels du système de fibres nerveuses des
cellules de la substance corticale du cerveau. Parallèlement aux
troubles
cérébraux se montrent les symptômes de la névri
des muscles du tronc, du diaphragme, des muscles oculomoteurs, des
troubles
de la miction, de la tachycardie, de la paralys
ssion des im- pressions) ; d'ordinaire, abolition des réflexes. c).
Troubles
vaso- moteurs et trophiques (cyanose, oedème, a
les, escarres au sacrum, aux talons, etc.). d). Symptômes généraux (
troubles
dyspeptiques, vomissements répétés, troubles de
). Symptômes généraux (troubles dyspeptiques, vomissements répétés,
troubles
de la sécrétion urinaire, inappétence sexuelle,
s répétés, troubles de la sécrétion urinaire, inappétence sexuelle,
troubles
menstruels, amaigrissement excessif, e). Tout l
, sensibilité des nerfs à la pression, hypereslhésie cutanée. Les
troubles
cérébraux et les symptômes de la polynévrite pe
caractéristiques sont : le début la plupart du temps aigu, avec des
troubles
de la sensibilité, désordres de la mémoire, agi
ptômes ressemblant au delirium tremens, suivis de para- lysie et de
troubles
caractéristiques de la mémoire. Il est possible
tielle, continue, des nombres, attribuable vraisembla- blement à un
trouble
circulatoire de l'écorce chez un individu de vi
infectieuse grave dans laquelle les symptômes d'excitation et de
trouble
profond de la conscience sont suivis de symptômes
ause à effet. Cetle constatation témoigne seulement à coup sûr d'un
trouble
grave et profond de la nutrition, constituant u
466 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tions du système nerveux, dont le
trouble
maximum est le délire hallucinatoire. Les rés
n caractère spécial relativement aux tares dégénéra- tives ou à des
troubles
nerveux spéciaux. L'accès rotatoire est parfois
les autres soient troublés. Dans les affections de l'écorce, les
troubles
de la sensibilité gé- nérale confirment la théo
cepter les enfants à l'école, un certificat constatant l'absence de
troubles
nerveux ou moraux, tout aussi bien qu'un certif
de psychose polynévritique. Il s'agit d'une malade alcoolique. Les
troubles
psychiques furent les premiers en date, sous fo
nc et de la nuque et atrophie seulement bien nette aux mains. Les
troubles
délirants disparurent les premiers, mais l'amnési
troubles délirants disparurent les premiers, mais l'amnésie et les
troubles
névritiques ne disparurent que lentement et dans
cer- taines formes de délire systématisé à caractère affectif, les
troubles
de la personnalité pourraient de leur côté cons
dans ce cas, la démence précoce qui est la règle, semble, comme les
troubles
mentaux surajoutés, devoir être attribuée moins
vec la folie hébéphrénique, elle est capable aussi de provoquer des
troubles
mentaux chez des sujets adultes. La forme de
l'affection spinale sans en être toutefois exclusive; que de légers
troubles
psychiques ne sont pas incompatibles avec le ta
TALE. Breslau, 25 novembre 1893. M. FUEUND (de 13reslau). Sur les
troubles
psychiques de la névrose traumatique (avec prés
uvements du globe de l'oeil gauche sont limités, surtout en dehors.
Troubles
de la convergence. Autopsie. L'hémisphère gau
end jusqu'au noyau de l'oculo-moteur commun. L'auteur pense que les
troubles
de coordination des mus- cles de l'oeil peuvent
yaux des muscles des yeux. M. VERNICâE, est d'avis de rattacher les
troubles
des mouvements volontaires des globes oculaires
observé un cas dans lequel une altération du raphé a déterminé des
troubles
dans les mouvements des yeux. M. FREUND (de Bre
trente-huit ans, sans antécédents syphilitiques, qui a présenté des
troubles
psychiques depuis février 1893 : insomnie, inco
illaire, abolition du réflexe pupillaire à droite, parésie faciale,
troubles
de la parole, tremblement] des - lèvres et de l
certain nombre de muscles. Pas de tremblements fibrillaires. Pas de
troubles
de la sensibilité aux membres supérieurs. Dans ce
comprenait les paroles qui Lui étaient adressées. Tandis que les
troubles
de nature sensitive s'amendèrent rapidement, les
ssagère de rapidité. Après que les physiologistes eurent décrit les
troubles
fonction- nels produits par l'alcool dans le co
humain, il restait à montrer les conséquences pathologiques de ces
troubles
, c'est-à-dire à faire connaître les maladies qu
es idiots, des épileptiques et d'autres individus chez lesquels les
troubles
psychiques n'étaient que l'expression d'une mal
ré accentué ne paraissait pas en rapport avec l'étal psychique, les
troubles
moteurs et les auties modifications de la sensi
des cas. Il est à noter que dans ces cas, il existait en outre des
troubles
de la sensibilité dans le territoire du cubital ;
t songer qu'un grand nombre de causes congéni- tales telles que les
troubles
de nutrition durant la grossesse, les émotions,
ions de la mère pendant la gestation, etc., peuvent prédisposer aux
troubles
mentaux; que l'enfant, par l'édu- cation, les h
entres nerveux eux-mêmes, le shock émotif produit fréquem- ment des
troubles
psychiques. Les causes pathologiques compren- n
erculose, syphilis, blennorrhagie, rhumatisme, etc.) provoquent des
troubles
psychiques qui rentrent dans les cadres ordinaire
s a trait aux maladies nerveuses donnant lieu dans leur cours à des
troubles
mentaux (goitre exoplUalmique, tabès, chorée, épi
oulait s'assurer de sa personne. Depuis quelque temps, en raison de
troubles
céré- braux, le premier-maître avait été gardé
? et de l'hypoglosse, par Turner et Bul- loch, 154. Accidents.
Troubles
morbides consé- cutifs il des -, par S. \Ieyer
6. han- port de la question de l ? par Sommer, 407. Alcoolique.
Troubles
délirants de nature - chez deux soeurs par Ze
11'OTIiOPIIIC primitive avec réac- tions électriques anormales et
troubles
de la sensibilité par Sa- ville, 67. Analgési
DES MATIÈRES. muscles de laface, par Bernhardt 59. - nerveuses et
troubles
de la sensibilité, par Brissaud, 68. - muscul
ard, 419. GUItARIriE dans la tétanie par Hoche, 377. DécÉW nés.
Troubles
mentaux chez les ? par Dombluth, 42. Dégénére
l'intervention mé- I dicale en -, par Delmas, 336. Hypnotisme et
troubles
mentaux par Jolly, 45. Séances publiques d ?
onsécutive il l'influenza, par Macphail, 311. Névrose traumatique
troubles
psy- chiques de la -, par Freud, 476. Obsessi
Séniles. Etat mental de quelques par A. Marie, 334. Sensation.
Troubles
de la-et prin- cipalement de la douleur dans
symptôme resta stationnaire et la malade nepré- senta pas d'autres
troubles
nerveux. Il y a quatre ans qu'une atro- phie ac
ions. Les organes internes sont normaux. La peau ne présente pas de
troubles
trophiques, le squelette n'a pas subi d'altérat
s musculaire est conservé. Les nerfs crâniens n'ont pas subi de
troubles
fonctionnels. Les nerfs sciatiques et cruraux s
ns chauds (27-28°R.) et de l'iodure de potassium à l'intérieur, les
troubles
moteurs des membres inférieurs s'étaient consid
nts de la langue et la déglutition sont libres et il n'y a pas de
troubles
de l'articulation, de phonation, de mastica- ti
ires sont 30 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE. faibles. Il n'y a pas eu de
troubles
trophiques cutanés. La nutrition générale s'est
uée d'un certain degré de méningite chronique, dont dépendaient les
troubles
moteurs des membres inférieurs, la paralysie at
c- tion cellulaire des cornes antérieures par un néo- plasme. Les
troubles
trophiques des nerfs étaient moins profonds éta
t admettre qu'avec plus ou moins de probabilité. Dans ce cas, les
troubles
trophiques de la peau ont fait défaut, mais les
i- blement dans la sphère de la sensibilité normale. Le degré des
troubles
de la sen- sibilité thermique n'est pas le même
ence de 2°. La main droite est frileuse. La peau ne présente pas de
troubles
tro- phiques. Les organes des sens ne présent
Jaquelin, qui, selon toute apparence agissent de préférence sur les
troubles
subjectifs. La thermanesthésie est, dans ce c
ndant long- temps. Mais alors les douleurs, les paresthésies, les
troubles
vaso-moteurs de la cavité crânienne, etc., doiv
tion au mois de mai 1886. Avant cette époque, il n'a pas observé de
troubles
locomoteurs; du côté delà sensibilité, il signa
Anoff et Clratalof signalèrent ce qui suit : État présent. Pas de
troubles
du côté des nerfs crâniens, excepté les mouveme
nsidérable. On n'observe pas ces tremblements du côté droit. Pas de
troubles
moteurs au tronc (diaphragme, thorax, muscles a
épinière , provoquant néanmoins des symptômes aussi électifs que le
trouble
partiel du sens de la température, ne peut dépe
lèle des lésions anatomiques d'un système cérébro-médullaire et des
troubles
fonctionnels qu'occasion- nent ces lésions; en
urs concluent que la lésion de ces différents cen- tres amenant les
troubles
de la fonction, la perte plus ou moins absolue
maul. Die Sldrutgezz der Sprache. Leipsig, 1S77. Autre définition :
Trouble
pathologique d'une faculté spéciale qu'on pourr
ine. Rev. de méd., 1882, p. 848. ' Féré. Contribution à l'étude des
troubles
fonctionnels de la vision par lésions cérébrale
alade et condamnation de sa femme. - Internement et progression des
troubles
paralytiques. Mal perforant du pied dans les de
nsidère l'apparition de l'affection chez, ses paralytiques comme un
trouble
trophique. Nous rappellerons aussi qu'un certai
s ' More). Loc. cit., p. 1-q. LA CATATONIE. 88 héréditaires des
troubles
psychologiques à certaines époques biologiques
quer, au moins dans certains cas. la production de quelques-uns des
troubles
moteurs. On sait combien fréquentes sont chez l
Kalhbaum et chez laquelle nous avons constaté, bien que légers, des
troubles
du sens mus- culaire. Observation IV. 111'1 L
gardent les positions diverses qu'on leur imprime successivement.
Troubles
du sens musculaire au bras gauche. De ce côté, el
ésistance systématique à ce qu'on veut lui faire faire, mais pas de
troubles
d'ordre moteur. Se promène un peu seule, pleure
ts de même nature analogues à ceux constatés avant l'apparition des
troubles
délirants. V. Nous avons vu en somme ce que c
de vue somatique, le phénomène prédo- minant c'est la présence des
troubles
du système nerveux moteur, au point de vue psyc
pide de la sensibilité thermique trois observations de rémission du
trouble
de la sensibilité une observation de répartitio
de la sensibilité une observation de répartition toute spéciale du
trouble
de la sensibilité deux ob- servations d'ataxie
associés et des mouvements spontanés paraissant en rapport avec les
troubles
delà coordination. P. KLRIVAL. IL DES rapports
s'est étendue aux nerfs voisins, d'où les symptômes oculaires, les
troubles
de la mastication, la parésie du facial inférie
hépatique. Il résulte en outre de l'étude de ces deux faits que les
troubles
de la sensibilité se montrent dès la période in
s sur le plancher du qua- trième ventricule, peut donner lieu à des
troubles
urinaires spé- ciaux ; 2° ces troubles urinaire
cule, peut donner lieu à des troubles urinaires spé- ciaux ; 2° ces
troubles
urinaires peuvent consister tantôt en polyurie,
iplégie droite progressive ; crises épileptiformes, aphasie, graves
troubles
intellectuels. Guérison à peu près complète des
gauche, mais destinée probablement à se généraliser. G. D. XI. DES
TROUBLES
DE la motilité posthemiplégiques ; par . B. GRE
inquantaine) pour généraliser et fonder l'anatomie pathologique des
troubles
de la motilité posthémiplégiques et leur locali
tionnel est l'électrisation galvanique. Classification générale des
troubles
molcurs-posthémiplégiques. 72 REVUE DE PATHOLOG
on voit appa- raître le syndrome de la paralysie spasmodique, sans
troubles
de la sensibilité, il faut penser à cette combi
vraie (intégrité des parois, ni embolies, ni thromboses). C'est un
trouble
fonctionnel vasculaire d'origine infectieuse, d
GIE MENTALE. ans. Un seul demeura guéri ; il n'avait pasprésenté de
trouble
de la parole au cours de son affection (diagnos
t qui rappelle la para- lysie générale bien plus par l'ensemble des
troubles
moteurs que par les manifestations psychiques (
es par l'intermédiaire de l'angoisse, de la torpeur générale, des
troubles
de l'accommodation. L'angoisse, associée, de même
L'angoisse, associée, de même que dans l'angine de poitrine, à des
troubles
vasomoteurs (battements de coeur, lipothymies,
ui de l'ivresse (méconnaissance des chambres, des person- nes). Les
troubles
de l'accommodation, les troubles de l'innervation
es chambres, des person- nes). Les troubles de l'accommodation, les
troubles
de l'innervation des muscles du globe oculaire
nalogue à celui relaté par l'auteur. Dans d'autres cas, ce sont des
troubles
intellectuels prolongés chez la mère qui'peu- v
souvent continues pendant un temps plus ou moins long. Comment les
troubles
de l'esprit de la mère agissent-ils sur le foet
et le foetus, que ce que ressent l'un, est transmis à l'autre. Les
troubles
nerveux chez l'enfant dont la mère a reçu quelq
s liés à la cognition, et peuvent être rapportés à cette forme de
trouble
mental que l'on désigne habituellement sous le no
rg). Des rapports qui existent entre la méningite aiguc et certains
troubles
de l'ouie d'ordre nerveux qui, après s'être ins
ien privé de la moitié du cer- veau présente de la paralysie ou des
troubles
de la sensibilité nulle part. Chaque pédoncule
la périphérie au centre. Du reste, jamais d'hémorrha- gies, pas de
troubles
visuels, à raison de l'état anatomopalholo- giq
comme le montre la diminution de leur volume, toute cette série de
troubles
de nutrition s'est effectuée et les éléments se s
l'étal d'anémie générale, la contracture ait été pro- duite par un
trouble
dans l'irrigation sanguine des jambes; on voit
lusieurs conditions concurrentes : elle peut dépendre aussi bien de
troubles
dans le développement des 96 SOCIÉTÉS SAVANTES.
venir de toutes ses périodes d'état second, ce qui, on le comprend,
trouble
singulièrement son existence. Son caractère dev
nférieurs, et n'entraîneraient pas comme conséquence nécessaire des
troubles
notables dans les fonctions de motricité ou de se
trois périodes, l'une de début caractérisée par la prédominance des
troubles
de sensibilité, BIBLIOGRAPHIE. 123 l'autre d'
, BIBLIOGRAPHIE. 123 l'autre d'état dans laquelle s'observent des
troubles
moteurs et trophiques, la dernière s'accompagna
oton dans la gaine du nerf, à la dose de deux ou trois gouttes. Les
troubles
parésiques, sensi- tifs et trophiques apparaiss
riphériques. On s'expliquerait ainsi la possibilité dans ces cas de
troubles
sensitifs ou moteurs indépendants, suivant que
ue telle émotion morale influera sur l'un et développera en lui des
troubles
men- taux, tandis qu'un autre pourra réagir.
voir une prédisposition de la cellule cérébrale à être lésée et les
troubles
psychiques ne se mani- festent que chez l'adult
ons du coeur et du poumon présentent un chiffre de l 87 p. 100, les
troubles
digestifs celui de ? ,91 p. 100, enfin, ceux de
travail inspiré par le Pr Bail, l'auteur se propose d'étu- dier les
troubles
de la mémoire d'origine toxique en eux-mêmes et
e en eux-mêmes et quant aux rapports qu'ils affectent avec d'autres
troubles
psy- chiques. Tout d'abord les amnésies toxique
s'arrête lorsque l'intoxication cesse; elle s'accom- pagne enfin de
troubles
psychiques : affaiblissement de l'attention et
s : il n'y a que les maladies ner- veuses capables de provoquer des
troubles
trophiques, telles que l'ataxie locomotrice, la
leurs nztcscu- laires ou les arthrites, les otites et otalgies, les
troubles
gastriques et un cas d'Iaémorr7aagie nasale. Co
omplètement paralysés et anes- thésiés : mais cette fois-ci, pas de
troubles
urinaires ou rectaux. Une demi-heure après, la
pérature. Nulle trace de paralysie du membre supérieur droit : Nuls
troubles
vaso-moteurs. Nuls troubles trophiques. Les mem
alysie du membre supérieur droit : Nuls troubles vaso-moteurs. Nuls
troubles
trophiques. Les membres sont bien musclés et l'
qu'ils se con- tractent très bien. Sens musculaire normal. - Pas de
troubles
vaso-moteurs. L'extrémité supérieure gauche ne
s. L'extrémité supérieure gauche ne présente rien d'anormal. Pas de
troubles
de la vessie du rectum et des organes génitaux.
droite. Le sens musculaire ne présente aucune altération. Pas de
troubles
trophiques : l'état des muscles est satisfaisant
at des muscles est satisfaisant : examen électrique négatif. Pas de
troubles
vaso-moteurs. Vessie et rectum normaux. Comme
e malade perd tout à fait la vue ; aussitôt après, il est pris d'un
trouble
du langage, il ne pouvait plus articuler un seu
. Examen du malade, le 15 février 1884. - Il n'y a pas le moindre
trouble
, ni de la motilité, ni de la sensibilité des memb
t une légère exaltation du réflexe rotulien des deux côtés ; pas de
troubles
trophiques ni vaso-moteurs ; les fonctions de l
revient à lui, n'ayant plus les mâchoires serrées, ni vertiges, ni
trouble
de langage, ni enfin aucun autre symptôme cépha
taient complètement paralysés et anesthésiés. Il n'existait plus de
troubles
urinaires ou rectaux. Du côté des organes génit
). Cortège symptonzatiquc de la paraplégie spastique, avec quelques
troubles
urinaires et abolition notable des fonctions gé
INIQUE NERVEUSE. Au bout de dix minutes, ses douleurs ainsi que son
trouble
de langage ont complètement disparu. Six heures
lités a été trouvée parfaitement normale. Il n'y a pas le moindre
trouble
trophique. Les membres du malade ont leur volume
gatif. Le sens musculaire ne pré- sente aucune altération. Pas de
troubles
vaso-moteurs. Le malade a quelquefois un peu de
e, ce qui a sur- tout décidé le malade à venir me consulter. Pas de
troubles
du rectum. Pas de symptômes céphaliques. J'ai
s réflexes rotuliens existe encore, mais bien moindre. Les petits
troubles
urinaires qui existaient ont disparu. Les érect
s et très soigneuse- ment, a été trouvée parfaite. Pas le moindre
trouble
du sens musculaire. L'état trophique des membre
à désirer, les muscles répondent très bien à l'électricité. Pas de
troubles
vaso-moteurs. L'examen des urines a montré une
1884. Syndrome de la paraplégie spastique ; anesthésie en plaques;
troubles
vaso-moteurs et urinaires. Le nommé D. Soutsos,
ut de ce temps, le malade revient à lui, sans avoir ni vertiges, ni
trouble
de langage, ni bourdonnements d'oreilles, ni ét
e Romberg. Les parties anesthésiées sont froides et livides. Pas de
troubles
trophiques. Le malade a quelquefois un peu de d
sans suite ; mêmes condi- tions de travail. Symptômes d'invasion :
troubles
respiratoires ; éblouissement avec obscurcissem
u'il tournât aussi avec eux; pas de perte de connaissance, pas de
trouble
du langage, enfin, aucun autre symptôme céphaliqu
. Le 27 juillet, la dyspnée avec le sentiment de suffocation, les
troubles
oculaires et les vertiges ont disparu petit à pet
le gauche que le droit, ont gardé leur volume normal ; pas d'autres
troubles
trophiques. Comme troubles vaso-moteurs, le mal
ardé leur volume normal ; pas d'autres troubles trophiques. Comme
troubles
vaso-moteurs, le malade se plaint seulement d'une
ssent un malaise; tous les objets lui paraissent se mouvoir. Pas de
troubles
aphasi- ques ou sensoriels ou autre symptôme cé
s satisfaire; pas de douleurs ou de gonflement de l'estomac; pas de
troubles
respiratoires. A 5 heures et demie du soir, c'e
alade avait le sentiment du besoin naturel de la défécation, pas de
troubles
plus sérieux du côté du rectum; rien du côté de
embres inférieurs, plus fortement le droit. Il n'y a pas le moindre
trouble
trophique. La sensibilité est tout à fait norma
Syndrome symptomatique de paraplégie spastique exempt de tout autre
trouble
. Excès d'alcool, tremblement toxique. Histoir
spiration. Pas de douleurs ou gonflement de l'estomac. Pas d'autres
troubles
respiratoires. Pas de symptômes céphaliques. Ci
e, l'examen élec- trique ayant été tout à fait négatif. Enfin aucun
trouble
trophique. Il n'y a pas de troubles vaso-moteur
tout à fait négatif. Enfin aucun trouble trophique. Il n'y a pas de
troubles
vaso-moteurs. La vessie fonctionne bien. Selles
pidation épileptoïde. Diminution de la sensibilité au membre droit.
Troubles
urinaires. Trwi- tement, travail dans l'air com
enfin pas de symptômes céphaliques, pas de J84 CLINIQUE NERVEUSE.
troubles
respiratoires ni gastriques. A ce moment, pas de
le canne. Il avait des secousses la nuit. Aucun changement dans les
troubles
urinaires. D'un jour à l'autre, le malade senta
très bien aux courants électriques ; il n'y a pas non plus d'antres
troubles
trophiques. - Aucune trace de troubles vasomoteur
n'y a pas non plus d'antres troubles trophiques. - Aucune trace de
troubles
vasomoteurs. Le malade éprouve un peu de diffic
u membre droit. La difficulté d'uriner n'existe presque pas. Pas de
troubles
de la sensibilité. Depuis lors, nous avons vu p
autres symp- tômes céphaliques d'origine sensorielle à savoir les
troubles
oculaires et les bourdonnements d'oreilles. Ce
sements chez ce malade ont duré environ sept heures et demie. e).
Troubles
du langage. Parmi les différentes espèces nosol
Troubles du langage. Parmi les différentes espèces nosologiques de
troubles
du langage c'est seulement l'aphasie motrice qu
es mouvements graphiques, car ils ne savaient ni lire ni écrire. Ce
trouble
du langage est survenu brusque et complet, dès
seulement par un vocabulaire aussi riche qu'avant l'invasion de son
trouble
du langage. Nous revien- drons plus loin sur le
qui ont figuré deux fois parmi nos observations consistent en des
troubles
de la vue, qui ont varié depuis un simple éblou
ssociée à l'aphasie motrice et chez l'autre de l'OBSERVATION X le
trouble
oculaire coexistait avec des bourdonnements d'o
s en deux catégories distinctes; la première a son origine dans les
troubles
gastriques concomit- tants, telle est la gêne d
à la région épigastrique. La deuxième catégorie est celle dont les
troubles
respiratoires ne résultant pas des troubles gas
orie est celle dont les troubles respiratoires ne résultant pas des
troubles
gastriques ont leur genèse aux organes mêmes de
chapitre de physiologie pathologique le mode de cette genèse. Ces
troubles
respiratoires n'ont existé qu'une seule fois ch
sans qu'il y ait de sifflement. Chez ce malade, il n'y avait pas de
troubles
gastriques. Il peut très bien se faire qu'on re
la moitié gauche pa- rait être légèrement atrophiée. Point d'autres
troubles
moteurs. DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 197 Sen
. Le malade ne soupçonnait pas d'avoir de la thermanesthésie. Les
troubles
moteurs et les amyotrophies se sont progressiveme
l'anestlcéie thermique isolées, ou les deux simultanément; 2). Des
troubles
subjectifs de la sensibilité ; 3). Troubles mot
simultanément; 2). Des troubles subjectifs de la sensibilité ; 3).
Troubles
moteurs, paré- sies limitées à des régions peu
à des régions peu étendues, des mouve- ments convulsifs, etc.; 4).
Troubles
trophiques et vaso- moteurs : atrophie musculai
use de leur fré- quence relative, mais aussi en vue de ce que les
troubles
primitifs et constants de l'affection décrite se
pérature est très rarement recherchée et alors qu'on a constaté des
troubles
d'autres espèces de sensibilité. Dans sept cas
d, il y a eu analgésie partielle en même temps qu'il existait des
troubles
du sens thermique. L'anesthésie se limi- tait à
ristiques, atteinte d'analgésie et d'anesthésie thermique ; mais le
trouble
des deux dernières espèces de sensibilité était
hésie thermique est complètement originale : on peut constater ce
trouble
, distribué d'une manière asymétrique, par régio
idérable d'anesthésie thermique dans toute la moitié du corps, ce
trouble
de sensibilité n'est pas ordinairement limité à
plètement détruits, tandis qu'au début de la maladie existaient des
troubles
partiels de sensibi- lité que nous reconnaisson
s exacerbations, elle n'interrompt même pas leur sommeil. 3). Les
troubles
vaso-moteurs ne sont pas rares; leur caractère
nes internes au nombre de symptômes, observés chez ses malades. Les
troubles
vaso-moteurs paraissent être la source de quelq
nflement de l'épaule. Morvan a trouvé chez ses malades, outre les
troubles
trophiques locaux, un abaissement de nutri- tio
ture du corps. Nous n'avons pas l'intention d'énumérer tous les
troubles
trophiques, observés dans la gliomatose. Ils so
rêterons pas non plus sur l'examen détaillé de la pathogénie de ces
troubles
disons seulement que nous ne nous voyons pas fo
manière plus intime les relations réci- proques existant entre les
troubles
vaso-moteurs pro- duits dans la sphère de sensi
moteurs pro- duits dans la sphère de sensibilité d'un côté et les
troubles
trophiques de l'autre. La plupart de ces dernie
z la plupart des malades avec un caractère typique remarquable. Ces
troubles
sont liés à la maladie d'abord parce qu'elle ne
férentes causes pathogé- niques externes et internes provoquent tel
trouble
ou tel autre. Par exemple : une blessure insign
in le plus souvent) elle atteint parfois un degré élevé. (4). Les
troubles
par étiques des mouvements se loca- lisent surt
blesse prédomine habituellement sur l'atrophie. Ces deux espèces de
troubles
atteignent rarement une étendue considérable. P
troubles atteignent rarement une étendue considérable. Parfois les
troubles
moteurs se bornent pour longtemps à une certain
d, comme le prouve notre premier cas, l'atrophie des muscles et les
troubles
moteurs peuvent être plus accusés du côté où le
té où les altérations de la sensibilité sont moins développées. Des
troubles
moteurs plus étendus se rapportent à cette sort
du processus à la moelle allongée et plus haut on peut observer des
troubles
bulbaires et oculo-moteurs. La paralysie atro
mier 218 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. symptôme; ensuite viennent des
troubles
subjectifs de la sensibilité ou l'analgésie, ou
nt des troubles subjectifs de la sensibilité ou l'analgésie, ou les
troubles
moteurs et l'atrophie des muscles. Plusieurs an
trac- tion de cette pression normale provoque d'après Magendie le
trouble
des fonctions locomotrices. Ma- gendie, a remar
; ils tombaient tantôt d'un côté, tantôt de l'autre. Pour Longet le
trouble
des mouvements est dû à la section des muscles
couché. Pour Béclard la section des muscles de la nuque provoque le
trouble
des mouvements très pro- bablement par la suppr
du liquide céphalo-rachidien. Cette promenade du liquide amène le
trouble
circulatoire du cerveau, d'où les symptômes du
les symptômes du vertige sur un terrain préparé déjà à subir ces
troubles
, attendu que l'air raréfié du navire, etc., y p
ttendu que l'air raréfié du navire, etc., y prédisposent aussi. Les
troubles
de la circulation et de la respiration qui surv
é crânienne comprime en même temps les vaisseaux du bulbe, d'où les
troubles
circulatoires et respiratoires paraissent avec
pre- mière région, dont les lésions produisent manifestement des
troubles
moteurs variés et une deuxième région, dont la lé
n, dont la lésion reste à peu près silencieuse, au point de vue des
troubles
de de la motilité. La première est la zone motr
e gauche (agraphie) La zone corticale latente au point de vue des
troubles
de la motilité, comprend toute l'étendue de l'é
trer, au contraire, les premières en ligne de compte à propos des
troubles
de la sensibilité ». En outre, des observations d
e lésions corticales du côté des circonvolutions frontales avec «
troubles
légers de la sensibilité » ; des lésions de la pl
mo-clinique désigne comme une zone dont la lésion se révèle par des
troubles
psychiques (zone intellectuelle). Ce sont ces f
moelle. Leur lésion expérimentale en outre répond toujours à des
troubles
moteurs ; les faisceaux pyramidaux et les cornes
r la question des rapports entre le siège de la lésion et celui des
troubles
moteurs, destructive et non simplement irritati
u segment moteur de la capsule interne, surviennent constamment des
troubles
tro- phiques représentés physiologiquement parl
REVUE CRITIQUÉ. Nous n'avons pas à insister sur le premier des deux
troubles
trophiques : la perte de l'excitabilité directe
ie annonce 270 O REVUE critique. autres symptomatiquement par des
troubles
sensitifs très mar- qués. (Douleurs fulgurantes
rtaines lésions de la moelle révélées en clinique sur- tout par des
troubles
de la sensibilité, par ce fait même qu'elles se
ubilation de la connaissance, des rêvasseries, de la sommation, des
troubles
de la perception avec des hallucinations; l'acc
pro- posé de rechercher, d'après des données positives : 1° si le
trouble
mental qui accompagne les attaques d'épilepsie ex
cavité stomacale contient les trois quarts d'un verre d'un liquide
trouble
de couleur verdàtre. La muqueuse est friable, e
ssez souvent des cellules avec un protoplasma granuleux d'un aspect
trouble
, dans lequel il est impossible de distinguer le
sortie prématurée, principalement à propos des persécutés spinaux (
troubles
de la sensibilité générale avec interprétation
ssion. M. PELMAN : Si l'asile constitue un agent d'exci- tation qui
trouble
la guérison , ou s'il a donné une suffisante im-
de causes connues de cette derma- tose, il y a lieu de penser à un
trouble
fonctionnel des nerfs ré- gulateurs des vaissea
a mère de cette enfant, dans la famille de qui on ne constate aucun
trouble
mental, présente exactement les mêmes phénomène
tisfaisant présentera de la diacéturie et pourra même guérir de ses
troubles
intellectuels en pleine phase diacéturique. M
s événements saillants, qui s'accomplissent chaque jour, jettent le
trouble
dans beaucoup d'esprits faibles, qui s'en préoc
connu dans l'his- toire des convulsionnaires. Chez cet enfant, les
troubles
étaient beaucoup moins profonds que chez la mèr
a paraplégie. Durant ce temps, le scaphandrier n'a absolument aucun
trouble
quel- conque, il se porte à merveille. Cet inte
ux sont ceux qui ont existé chez nos malades et qui consistaient en
troubles
: 1° de la sensibilité, 2° de 382 ' CLINIQUE NE
ore plus d'une fois, quand on a transpercé la peau. L'existence des
troubles
de la sensibilité est toujours recherchée par l
tribuent à cette épreuve une certaine importance pronostique. 2).
Troubles
de la vessie. Les troubles vésicaux qui ont été
une certaine importance pronostique. 2). Troubles de la vessie. Les
troubles
vésicaux qui ont été présentés par nos malades
pendant la durée de la perte de con- naissance. Pour finir avec les
troubles
vésicaux, il faut mentionner le catarrhe vésica
de l'OBSERVATioN VIII avec les douleurs de l'orifice externe. 3),
Troubles
du rectum. Ici encore, comme pour la vessie, la
omme pour la vessie, la rétention est presque toujours le premier
trouble
du rectum qui apparaît et qui, à de rares ex- c
mblée, durant sa perte de connaissance, a rendu ses matières. 4).
Troubles
génitaux. Ces troubles sont bien loin d'avoir l
de connaissance, a rendu ses matières. 4). Troubles génitaux. Ces
troubles
sont bien loin d'avoir la même fréquence que le
dire jamais, elle n'est progressive. b). Symptômes sensitifs. Les
troubles
sensitifs que nous avons vus exister presque co
vons vus exister presque constamment et marcher de concert avec les
troubles
de la motilité, sous forme de paralysie plus ou
d'une hypéresthésie extrême au froid. Enfin, pour en finir avec les
troubles
sensitifs, nous allons faire observer qu'ils pe
so-moteurs. - Le système vaso-mo- teur est quelquefois troublé. Les
troubles
vaso-moteurs figurent trois fois sur douze obse
ême temps était le plus spasmodique et le siège de prédilection des
troubles
sensitifs. Quant aux neuf autres observations,
ux neuf autres observations, on voit qu'il n'y avait pas le moindre
trouble
vaso-moteur. d). Symptômes vésicaux. Les troubl
t pas le moindre trouble vaso-moteur. d). Symptômes vésicaux. Les
troubles
très mar- qués de la vessie que nous avons vus
ils disparaissent tout à fait. En effet, sur les douze cas, où les
troubles
de la vessie vraiment graves ont existé au comm
ade de l'OBSER- VATION VII, le 15 mai 1884, présentait encore des
troubles
de la vessie bien que très atténués, consis- ta
août, il était guéri. A côté de ces cas, il en est d'autres où les
troubles
de la vessie persistent, bien qu'atténués. Ains
chronique qui a compliqué l'accident. e). Symptômes rectaux. Les
troubles
du rectum, qui rarement font défaut au moment d
nuait et finalement a presque disparu; carie 15 février 1886, les
troubles
du rectum ont consisté dans l'accomplis- sement
inemment rétrogressive de la maladie. 0 f). Symptômes ? a ? y.Les
troubles
des organes génitaux peuvent figurer quelquefoi
ganes génitaux peuvent figurer quelquefois, mais comme les autres
troubles
, ils ont aussi une tendance naturelle à s'attén
ont disparu complètement. Il est des cas où la rétro- gression des
troubles
génitaux ne va pas jusqu'à la disparition. C'es
tion. C'est ainsi que le malade de l'OBSERVATION I avait encore des
troubles
génitaux consistant à des érections incomplètes
se manifeste par un complexus clinique toujours identique, à savoir
troubles
moteurs sous forme de paralysie, troubles de la
jours identique, à savoir troubles moteurs sous forme de paralysie,
troubles
de la sensibilité sous AIICIIIVES, t. XVI. 21
ICIIIVES, t. XVI. 21 370 CLINIQUE NERVEUSE. forme d'anesthésie et
troubles
de la vessie et du rec- tum. Finalement, cette
t couvulsif; au bout de trois heures, le malade revient, n'ayant ni
troubles
de la parole, ni troubles oculaires, ni symptôm
ois heures, le malade revient, n'ayant ni troubles de la parole, ni
troubles
oculaires, ni symptômes auditifs, enfin, aucun
es, ni symptômes auditifs, enfin, aucun symptôme céphalique; pas de
troubles
du côté de l'estomac ou des organes respiratoir
he devient impossible, il n'y a pas d'atro- phie musculaire, pas de
troubles
vaso-moteurs. Vessie, rectum et organes génitau
ion. Elles choisissent comme siège de prédilection la jambe. Pas de
troubles
trophiques. Sauf un certain degré d'hypéridrose
gré d'hypéridrose à la plante du pied gauche, il n'y a pas d'autres
troubles
vaso-moteurs. Rien du côté de la vessie, du rec
rs. Secousses. Douleurs en ceinture. Le 20 mars, clispa- iitio)2 de
troubles
urinaires et rectaux. Contractures passagères. Le
s- triques. Impossible de rendre ses urines et ses selles. Pas de
troubles
respiratoires, pas de douleurs articulaires ou mu
marcher dans l'obscurité, perte de notion de position des membres,
troubles
étranges de la sensibilité. Histoire. ? Le nomm
l'obscurité. 11 perd la notion de position de ses membres. 11 a des
troubles
étranges de la sensibi- lité, seulement au memb
le de tout le membre et que le malade ne peut définir. Pas d'autres
troubles
sensitifs. 11 n'y a aucune trace d'atrophie mus
ifs. 11 n'y a aucune trace d'atrophie musculaire, il n'y a pas de
troubles
vaso-moteurs, il n'y a pas de symptômes céphaliqu
considérable qui l'étoull'ait. Pas de symptômes céphaliques, pas de
troubles
gastriques ou autres. Cette douleur aussi bien
utte à goutte. Parfois, il rend involontairement ses selles; pas de
troubles
des fonctions sexuelles. Les crises de douleurs
a aucune trace d'atrophie musculaire. Nous n'avons pas rencontré de
troubles
vaso-moteurs. 11 n'y a aucun symptôme céphalique.
. Pas de perte de connaissance ni autre symptôme céphalique. Pas de
troubles
de la respiration, ni gastriques. A 10 heures
eds qui existe même quand il fait très chaud; il n'y a pas d'autres
troubles
vaso-moteurs. Rien aux membres supérieurs, rien d
e la perte de connaissance du malade de 1'0] ! SËRVAT[ON XVI. d).
Troubles
du langage. - Nous n'avons rencontré ces troubl
VAT[ON XVI. d). Troubles du langage. - Nous n'avons rencontré ces
troubles
que chez le malade de l'OBSERVATION XIX. Nous f
rons la même remarque qui a déjà antérieure- ment été faite, que le
trouble
de ce malade consiste aussi en aphasie motrice.
re contient les symptômes qui doivent leur.origine, leur genèse aux
troubles
gastriques con- comitants : telle est la gêne d
et tantôt à l'incontinence (OBs. XVII et XVIII). Avant de finir les
troubles
vési- caux, n'oublions pas de noter la décompos
ion de selles marche de pair avec la réten- tion d'urines, c'est le
trouble
initial du rectum; une fois dissipée, tantôt el
e la partie centrale de la moelle épinière (cas de Krauss) quelques
troubles
de sensibilité marqués dans les régions innervé
ie partielle dans mes observations et leurs ana- logues que par des
troubles
nutritifs des éléments nerveux dans les cornes
gré d'influence de ces deux facteurs servira à déterminer celui des
troubles
de sensibilité; leur qua- lité servira à déterm
ensibilité; leur qua- lité servira à déterminer le caractère de ces
troubles
, l'anesthésie thermique ou l'analgésie, ou bien
né à de l'analgésie. Le diagnostic est facile dans les cas oui) des
troubles
de sensibilité plus ou moins étendus de ce genr
es distrophies de la peau et du tissu cellu- laire sous-cutané, les
troubles
vaso-moteurs, les altéra- tions de la sécrétion
Si nous venions à les rencontrer sans qu'ils soient accompagnés de
troubles
de sensibilité notables et d'atrophies musculai
plus ou moins partielle des membres inférieurs combinée à certains
troubles
de l'appareil locomoteur. Il est possible de su
s in- nervées par toutes les racines situées plus bas'. Là où les
troubles
caractéristiques de sensibilité partiels et les
Là où les troubles caractéristiques de sensibilité partiels et les
troubles
moteurs dans lesquels l'atro- phie des muscles
gliomatose de la moelle épinière entraîne souvent après elle des
troubles
de circulation et de nutrition de la peau, des
OMATOSE MÉDULLAIRE. 413 aussi dans les cas qui ne présentent pas de
troubles
locomoteurs bien accusés s'il existe une therma
ner la sensibilité à la température et à la dou- leur : 1) dans les
troubles
trophiques énumérés plus haut, les abcès, les p
sante; 3) dans différentes' pares- thésies indéterminées, douleurs,
troubles
de la sécré- tion sudorale et vaso-moteurs ; 4)
lle et sur la physiologie de la sensibilité des vaso-moteurs, des
troubles
trophiques, etc., et en même temps sur l'archit
s symptômes d'élection insignifiants (d'anes- thésie partielle, des
troubles
trophiques). En considérant ce qui vient d'être
pilepsie : au moins huit ans. Mort à quarante ans. Autopsie. Etat
trouble
de la pie-mère de la convexité. Adhérence de la
853 pour épilepsie à l'hôpital de Schwetz, transféré plus tard pour
troubles
mentaux à l'asile d'aliénés. Observé de 1857 à sa
43G 6 pathologie- NERVEUSE. irrésistibles qu'ils rattachent à des
troubles
de l'inuer- vation cérébelleuse. C'est ainsi qu
athologiques, leur parenté avec ceux que j'ai signalés à propos des
troubles
de l'innervation cérébelleuse; on ne peut s'emp
rd, Charcot, Flechsig ont tranché les deux premières questions. Les
troubles
moteurs posl-béiiiiplégiques se jugent générale
alement pris. L'atrophie musculaire pro- gressant, apparaissent les
troubles
sensibles et l'ataxie du muscle, le signe de Ro
tteints à leur tour : douleurs spontanées, réaction dégénéra- tive,
troubles
de la sensibilité cutanée, diminution et abolitio
(oubli de cer- taines syllabes), parésie du voile du palais, légers
troubles
mo- teurs dans les jambes qui oscillent pour un
à la galvanisation de la moelle, l'auteur étudie principalement les
troubles
nerveux consécutifs à la fièvre typhoïde. Nous
vulsives après la fièvre typhoïde. Puis M. Lunz examine ensuite les
troubles
nerveux par inllam- malion infectieuse (quatre
omique : une attaque apoplectiforme suivie d'hémiplégie gauche avec
troubles
de la sensibilité par tout le corps. Deux semai
pasmodique des deux jambes, amblyopie, ralentissement de la parole,
troubles
de la digestion, de la vessie, accidents gangre
Diagnostic : Myélite pure, dès l'origine interstitielle, mais par
trouble
circulatoire préexistant. P, I\. XXXI- DE la po
? '6, isolées, dans le cours même du tubes; paralysie brusque, sans
troubles
delà sensibilité, évolution favorable. Les dégé
roduisit une myé- lite symptomatique d'une violence extrême; 4° les
troubles
de la sensibilité prédominèrent. P. K. XXXVII
Présentation du malade. M. Lwofî présente un malade atteint d'un
trouble
vaso-moteur qu'il désigne du nom d'Urticaire gra-
es et halluci- nations sensorielles relativement supportables) sans
troubles
de la motilité ? ' Vov. Arclciees de Neurolog
ant les diverses régions. 4o2 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. IIUBERTY. Des
troubles
psychiques qui succèdent aux mauvais traitement
ltérations récentes de l'épendyme du quatrième ventricule, tuméfié,
trouble
, infiltré .de leucocytes; sclérose sous-épeudym
énés en deux grandes clauses : la première comprend ceux qui ont un
trouble
dans leurs idées, c'est la folie intellectuelle
rent qu'une valeur discutable. P. B. XV. Contribution à l'élude des
troubles
médullaires chez les cithéi,o- . rnateux; par M
ormes que la folie affecte chez les enfants, mais aussi de tous les
troubles
nerveux qu'ils peuvent présenter tels que convuls
paralysie faciale dite à fi,igoî,e. z Lefèvre : De la révulsion des
troubles
médullaires ci frigore. Du délire des grandeurs
, par Lacoste, 136. Epilepsies particulières, par Bi- gorre, 481.
Troubles
médul- laires chez les athéromateux, par Copi
j0, Morphinisme (psychoses dues au), par Schmidt, 76. Motilité (
troubles
de la-) posthémi- I plégiques, par Grerdenberg,
convulsifs (maladie des), par Guinon, 6J. Traitements corporels (
troubles
psy- chiques consécutifs aux mauvais), par Il
elle pas une preuve remarquable de la simulation par l'hystérie des
troubles
caractéristiques des névrites périphériques ? M
tologie générale est essentiellement caractérisée par la triade des
troubles
sensitifs, moteurs et trophiques. Eh bien, il n'e
re rencontrée dans l'hystérie a\ec des caractères similaires. Les
troubles
moteurs : paralysies, convulsions, incoordination
ec unefréquenceconsidérable et avec des caractères analogues. Les
troubles
sensitifs : douleurs, névralgies, anesthésie, hyp
., appartiennent à la fois à l'hystérie et aux rnyélopathies. Les
troubles
trophiques et vaso-moteurs : vésicules, bulles, z
es trophiques et vaso-moteurs : vésicules, bulles, zona, érythèmes,
troubles
de la calorification, amyotrophies, etc., ont lon
n que cette barrière n'a plus de raison d'être; qu'on rencontre ces
troubles
trophiques dans la névrose; que l'amyot1'ophie
ccessoires que l'on constate parfois dans les affections spinales :
troubles
digestifs, res- piratoires, génito-urinaires, e
si on réfléchit à la nature de leurs manifestations : amyotrophies,
troubles
paralytiques, etc. Dans cette appréciation, il
ines pour venir il la Salpèlrière. Etat actuel (27 juillet 1890).
Troubles
moteurs. - Lorsque le malade est assis, on ne r
attaques sur- viennent de préférence quand il est ému ou fatigué.
Troubles
delà sensibilité. Le malade présente de l'héîiiia
nce de l'oreille de plus de cinq centimètres). L'odorat est normal.
Troubles
oculaires. Examen pratiqué par M. le D' Parinaud.
d'embarras de la parole; bientôt surviennent le tremblement et les
troubles
de la vue. Et cependant toutes ces manifestatio
de puistrois ans les réflexes sont plutôt diminués qu'exagérés. Les
troubles
de la vue rentrent aussi dans la catégorie hyst
redoublée, plus bégayante en un mot. Cette dysarthrie rappelle les
troubles
du langage bien étudiés récemment par MM. Ballet
deur. La face est respectée, sans aucune espèce d'asymétrie. Pas de
troubles
tro- phiques. Le malade dit avoir maigri depuis
, du coude et du poignet sont égaux des deux côtés, plutôt faibles.
Troubles
de la sensibilité. Ilémianesthésie gauche totale
à vingt minutes et se répètent une ou deux fois par semaine. Pas de
troubles
trophiques. Troubles vaso- moteurs localisés à
répètent une ou deux fois par semaine. Pas de troubles trophiques.
Troubles
vaso- moteurs localisés à la moitié droite de l
e, scandée. Pas de nystagmus. Le malade se plaint de vertiges et de
troubles
de la vision. Sa vue a beaucoup baissé; il ne p
salle, reste solitaire et ne veut jamais descendre au jardin. C.
Troubles
de la sensibilité. Hémianesthésie droite complète
ent, outre ces phénomènes, il présente encore de l'am- blyopie, des
troubles
de la mémoire et de l'écriture. C'est bien là un
de sclérose multilocu- laire. Du reste, deux ans après, ces mêmes
troubles
moteurs se repro- duisent dans des conditions a
ysie sensitivo-mo- trice, tout dépend de la névrose hystérique. Les
troubles
psychiques, l'abattement du visage, la tristess
connue. Pour la dysarthrie, les vertiges, les étourdissements, les
troubles
de la vue, nous ne répéterons pas ce que nous a
mais il restait alors une miclion absolument impérieuse. Quant aux
troubles
gastriques ils consistaient en vomissements et
lition des réflexes patellaires. Pas de trépi- dation spinale ni de
troubles
trophiques. Les pieds sont en varus équin. Aux
e. Anesthésie plus marquée à droite. Réflexes rotuliens exagérés.
Troubles
oculaires. Réduction considérable de l'acuité vis
te. Mais en raison de la durée des accidents, de leur ténacité, des
troubles
urinaires, ocu- laires, etc., on a pu se demand
u'il rendait la marche impossible. Enfin, il a eu des vertiges, des
troubles
de la vue, tels que défaut de perception des co
ole est un peu bredouilles, mais elle n'est ni lente ni saccadée.
Troubles
de la sensibilité. Il n'existe sur le corps aucun
l affaibli. La santé générale est bonne, et il n'accuse aucun autre
trouble
fonctionnel. Durant son séjour à l'hôpital Neck
er, amélioration sensible du tremblement intentionnel et des divers
troubles
. N'est-ce pas là un tableau morbide qui ressemb
ce de tremblement au repos, oscillations graduellement croissantes,
troubles
sensitifs ou sensoriels imputables il des plaques
ons de la parole et de la vue, exagération des réflexes, absence de
troubles
trophiques. L'analogie est grande. Cependant, l
rigine névropathique des accidents. Tout ici, en un mot : vertiges,
troubles
de la parole spéciaux, tremblement, faciès, etc.,
diminution de la sensibilité dans aucune partie du corps, ni aucun
trouble
des sens spéciaux. Les muscles de l'oeil, de la l
nel des membres supérieurs remontant à deux ans, de l'absence de
troubles
de la sensibilité générale et spéciale, de l'abse
de troubles de la sensibilité générale et spéciale, de l'absence de
troubles
de la nutrition, du faciès abattu, en dessous,
rose; il faut donc reconnaître qu'il existe, dans certains cas, des
troubles
fonctionnels capables de donner lieu à un ensembl
uze ans mange du boudin avarié; les jours suivants, on constata des
troubles
pharyngés et laryn- gés, delà faiblesse muscula
s portant exclusivement sur les cor- dons moteurs ne produit pas de
troubles
de la sensibilité, on rencontre, chez ce malade
tats semblables. Des plaques et des pointillés rouges, tenant à des
troubles
des nerfs vaso-moteurs, se voient sur les régio
es jambes et les bras des deux côlés. Céphalalgie et facies hébété.
Troubles
el difficultés du langage. Douleurs et faiblesse
t son entrée, sa marche était incertaine dans l'obscurité, accès de
troubles
oculaires et vertiges. Perte de connaissance à
rapidement. Il fut alors observé par l'auteur. Il présen- tait des
troubles
du langage, du tremblement dans les mouvements vo
un léger tremblement dans les mouvements volontaires avec quelques
troubles
légers de la sensibilité. Parfois sensation de ve
ychique. II paraît certain « scheint es sicher » qu'il n'y a pas.de
troubles
grossiers. La vessie et le rectum sont intacts.
omme soudées et l'affaissement musculaire est incontestable. Pas de
troubles
de la sensibilité. Exagération des réflexes ten
mental bizarre : le malade est pleureur et peu intelligent. Pas de
troubles
visuels, mais pupilles paresseuses. Rien à l'op
partout intacte. La parole n'est pas embarrassée ; il n'y a pas de
troubles
visuels. Mais la sensibilité réflexe tendineuse e
est hystérique à n'en pas douter. Le tremblement intentionnel, les
troubles
paralytiques, les accès apoplectiformes sont su
réflexe patellaire, très exagéré. Le côté gauche était normal. Ces
troubles
fonctionnels cédèrent rapidement au bromure et
persiste néanmoins dans son opinion, et pense qu'il s'agit là d'un
trouble
organique et vraisemblablement de sclérose en pla
'aspect malade ; elle se plaint de difficultés dans la marche et de
troubles
oculaires. Je remarque qu'elle ne peut marcher
t fibrillaire ni de. secousses vermiculaires.. , Il existe quelques
troubles
de la déglutition, mais assez peu accentués. Le
li. Le gauche est à peu près normal. » Nulle part on ne constate de
troubles
de la sensibilité, ni au contact, ni à la doule
mme vigoureux en apparence, de haute stature, qui ne présente aucun
trouble
des fonctions organiques. On l'apporte à la consu
l'une est migraineuse comme la mère. 1. Contribution à l'élude des
troubles
trophiques dans l'hystérie, atrophie musculaire
par ·Georges Guinon (Progrès médical, n', .il, 42, 1890). 3. Des
troubles
trophiques dans l'hystérie. Th. Paris, 1890. m.
ain et des doigts sauf le pouce. Anesthésie pharyngée; pas d'autres
troubles
de la sensibilité; pas de rétrécissement du cha
sme. Le D' Raymond interprétait le cas de la façon suivante : a Ces
troubles
s'expliquent suffisamment, nous le pensons du moi
'une influence nerveuse à peu près problématique pour expliquer les
troubles
de nutrition auxquels nous faisons allusion. Il
n l'interprétation que nous venons de donner de l'anesthésie et des
troubles
trophiques. Ces causes de l'abaissement de la t
due jusqu'au milieu de l'avant-bras. Cette fois encore pas d'autres
troubles
de la sensibilité, sauf l'absence du réflexe ph
oc- cupé de son état. ,Motilité. Moyennement musclé. Pas d'autres
troubles
musculaires que FiG. 6. Fig. 7. CONTRIBUTIO
e : autre manifestation de l'hystérie. Cette éclosion successive de
troubles
somatiques nous rappelle le passage suivant de l'
es nettement et pour ce qu'elles étaient réelle- ment, à moins d'un
trouble
morbide quelconque tel que la dyschro- matopsie
S JEUNES SUJETS PRÉSENTANT AVEC OU SANS CRISES ÉPILEPTIFORMES , DES
TROUBLES
MOTEURS ,. OU PSYCIIIQUES i Le titre de ce tr
trophie cérébrale partielle ou la porencéplialie peuvent amener des
troubles
moteurs variés, de l'épilepsie et,jusclu';1 l'i
ces affections, causes certaines d'un retard dans l'évolution et de
troubles
variant jusqu'à l'idiotie; mais nous ignorons a
i-même, est peu fait pour frapper. Par contre, la généralisation du
trouble
moteur, sa localisation aux deux membres inféri
ments mercuriels, les conditions de leur apparition, les différents
troubles
névropathiques qui presque toujours accompagnen
ques du système nerveux périphérique, qu'ils sont de l'ordre de ces
troubles
purement fonctionnels qui figurent d'ailleurs d
le tremblement se présente seul, sans accompagnement d'aucun autre
trouble
hystérique. Et c'est à l'étude des faits de cet
cependant à travailler tant bien que mal, régulièrement. Ces divers
troubles
persistaient sans s'atténuer le moins du monde,
ments d'oreilles, des battements dans les tempes; peu après il voit
trouble
, il chancelle, tombe et l'attaque commence. L
hôpital ne diffèrent en rien de l'attaque provoquée.) Motilité. Les
troubles
permanents de la motilité qu'on observe chez B.
nt pas exagérés, mais plutôt affaiblis. 3° Tremblement. De tous les
troubles
de la motilité qu'il présente, le plus marqué,
époque, il eut une blennorrhagie assez intense, qui s'accompagna de
troubles
vésicaux et de douleurs rhumatismales aux genou
etc.). Il n'a cependant jamais abusé des boissons alcooliques. Ces
troubles
divers persistèrent. Tel était l'état du malade
s jambes. Les sphincters fonctionnent nor- malement. Il n'y a aucun
trouble
de la motilité, ni à la face ni aux membres sup
de la suffocation, une rougeur très vive de la face; puis la vue se
trouble
, le malade chancelle, demande à s'asseoir. Mais i
able ! La démarche, la parole lente et scandée, les ver- tiges, les
troubles
si spéciaux de la vue, enfin tous les symptômes c
aitée à la Charité en 1887, il existait depuis plusieurs années des
troubles
de la vue, de l'embarras de la parole ; de lemp
s est plutôt gai, il a le rire facile et désordonné. 7° Quant aux
troubles
oculaires, leur différence dans la névrose et la
TÉRIQUES « SIMULATEURS ». 137 leur rachidienne, la délimitation des
troubles
de la sensibilité. etc., sont des éléments de p
bre de types intermédiaires. Elle se complique, suivant les cas, de
troubles
sensitifs, vésico-rectaux, trophiques, etc. On
avait jadis craché le sang, se plaignait de douleurs en ceinture, de
troubles
des fonctions urinaires; il était chétif, et on
é de la hanche. Sa démarche est celle de la paralysie hystérique.
Troubles
de la sensibilité. Le membre inférieur est insens
e des membres inférieurs. Cette paralysie motrice s'accom- pagne de
troubles
de la sensibilité cutanée dont la délimitation es
lique et le même traumatisme donne lieu à la même para- plégie. Les
troubles
moteurs sont identiques aux précédents. L'anesthé
le tombe brusquement avec une paralysie des membres inférieurs. Les
troubles
moteurs sont analogues à ceux des deux expérience
'est là un caractère qui, joint à la délimitation supérieure de ces
troubles
de la sensibilité, suffirait pour en ré\éler l'or
rmillements douloureux, rachialgie osseuse, abolition des réflexes,
troubles
électriques; 2° Des signes de qltasi-certitude
s lèvres « en cul de poule » et ne peut siffler. On n'observe aucun
trouble
de la déglutition, pas de nasonnement, pas d'at
le malade n'y a jamais observé de changement de colo- ration ni de
troubles
trophiques véritables. Le malade dit avoir fréq
és paresseux. Et cependant n'y a ni ataxic, ni signe de Romberg, ni
troubles
de la sensibilité. L'état général du malade est
s de paralysie interne des yeux, pas d'altération de la vue, pas de
troubles
du fond de l'oeil. Le masséter droit est un peu
n que celles des nerfs rachidiens n'ont nullement été touehées. Les
troubles
de la sensibilité font complètement défaut et les
douleur lancinante au- dessus de la hanche gauche. Au reste, les
troubles
de la sensibilité (anesthésie, paresthésie) ont c
rs gastralgiques. Sa mère, âgée de quarante- sept ans, présente des
troubles
mentaux; ces troubles auraient débuté en 1868 à l
ère, âgée de quarante- sept ans, présente des troubles mentaux; ces
troubles
auraient débuté en 1868 à la suite d'un accouch
on. Sauf cet état mental qu'elle raconte, il n'y a aucune espèce de
trouble
intel- lectuel ou affectif. Elle ne présente
èce de trouble intel- lectuel ou affectif. Elle ne présente aucun
trouble
de la motilité; elle vaque quotidiennement aux
r la généralisation du tremblement, sa longue durée et l'absence de
troubles
de la sensibilité. Seulement il existait chez ce
hésie vési- cale avec incontinence d'urine. Paraplégie flasque sans
troubles
trophiques. Réflexes rotuliens normaux. Sympt
ystériques. Rétrécissement concentrique à 15° pour les deux yeux.
Troubles
visuels. -Achromatopsie binoculaire, diplopie mon
tion des réflexes pupillaires, diminution de l'acuité visuelle. '
Troubles
auditifs. Diminution de l'acuité auditive (surtou
e dysménorrhée très douloureuse. Elle n'avait jamais présenté aucun
trouble
nerveux bien caractérisé, lorsqu'il y a un an ell
le 19 mai, date à laquelle il apparut.brusquement.(précédé par les
troubles
qui caractérisent l'aura hystérique, et quelque
t touché. Absence de douleurs et de démangeaisons d'aucun ordre, de
troubles
trophiques ou vaso-moteurs. Les ongles sont d'a
ésenter des altérations fonctionnelles bien sensibles en dehors des
troubles
sudoripares. Les divers appareils de l'économie
ont ni sinueuses ni athéromateuses. Les poumons ne présentent aucun
trouble
respiratoire. Le tube digestif n'offre aucune a
me alimentaire de notre malade, sont normaux et ne trahissent aucun
trouble
de la nutrilion. Le volume (1200 gr.), l'aspect
evenu incessant; la jambe droite commençait aussi à trem- bler. Les
troubles
dyspeptiques, la céphalée constrictive, le point
crises devinrent un moment moins fréquenles. De- puis lors tous les
troubles
que présentait le malade lors de sa première atta
complètement aboli sur toute la moitié droite de la langue. Pas de
troubles
oculaires. Zone hystérogène. Lorsqu'on exerce u
ssion, sa santé resta parfaite. Il n'éprouvait aucun malaise, aucun
trouble
nerveux notamment, lorsqu'il fut victime d'un a
tait pris d'un besoin de sommeil irrésistible. Il attribua tous ces
troubles
à la vie sédentaire qu'il menait depuis son acc
lée occipi- tale, constrictive, elle a encore la plaque sacrée; les
troubles
dyspeptiques persistent. Elle est triste, apath
eprendre ses occupations. Tremblement. Indépendamment de ces divers
troubles
, elle présente d'ailleurs un tremblement très i
oir. En septembre 1888, il y a un an, elle commença à ressentir les
troubles
suivants : faiblesse générale, céphalée constri
travail lui devenait insupportable. Au mois de mai 1889, ces divers
troubles
s'accentuèrent. Elle avait beau- coup de peine
e, les membres infé- rieurs, la face, la langue ne présentent aucun
trouble
de la motililé. Il n'existe aucune zone hystéro
ues jours après cet accident, elle commença à éprouver une série de
troubles
qui ont toujours persisté depuis lors et qui sont
uque. Une nuit vers onze heures, les douleurs redoublent, la vue se
trouble
et elle perdit connaissance. La personne qui ét
u champ visuel, nous firent porter, malgré la bizarrerie des autres
troubles
nerveux (crises de douleurs céphaliques accompagn
aul moyens à notre disposition pour pénétrer la nature intime des
troubles
de la pensée. L'examen morphologique des aliéné
ce qui s'explique aisément lorsqu'on réfléchit qu'en dehors de tout
trouble
pathologique il suffit pour la produire d'un dé
- phalie, etc.), ou à des lésions osseuses (syphilis), à de simples
troubles
de la circulation sous l'influence d'une attitu
TERNE. 223 bulbaires ou spinaux. Les douleurs dans les membres, les
troubles
gastriques ou intestinaux, les phénomènes fébri
réflexes, l'absence de douleurs, de tremblement, de contracture, de
troubles
de la sensibilité, complètent le tableau cli- n
le de tout individu atteint d'atrophie des membres infé- rieurs. Le
trouble
peut aller de la simple faiblesse, s'accusant par
is qu'il est bien instruc- tif d'observer. Ce sont d'ailleurs des
troubles
moteurs que l'on rencontre chez tous les amyotr
un examen un peu minutieux du malade. Tout d'abord cette absence de
troubles
dans les réactions électriques dont nous parlions
la marche de l'atrophie, la durée de son évolution, la présence des
troubles
ocu- laires, devaient faire écarter l'hypothèse
es du voile du palais et du pharynx, de l'orbicu- laire des lèvres,
troubles
de la parole. Enfin les quatre membres étaient
rédominance de l'atrophie dans tel ou tel groupe musculaire et sans
troubles
de la sensibilité. La con- tractilité faradique
signe bien caractéristique qui est la dissociation particulière des
troubles
de la sensibilité. Chez les malades atteints de p
ALPÊTRIÈRE. éliminée, surtout s'il existe en outre quelques-uns des
troubles
tro- phiques, bulles, panaris, arthropathies, s
ssement des deux mains, puis des IlIle6mlu ? e.s ? riellrsLdyspnée,
troubles
de la déglutition, embarras de la*po1e** *Lc I(
t inférieurs. Pas de paralysie dc la langue. Pas d'atrophie. Pas de
troubles
de la sensibilité. Réflexe rotuliou conservé. Pas
nts bilieux qui revenaient presque tous les jours, le matin; pas de
troubles
moteurs, sauf une certaine incertitude de la marc
ossible. Jamais le malade n'a éprouvé de douleurs fulgurantes ni de
troubles
de la motilité. A son admission (15 avril 1885)
un embarras de la parole, de la parésie du voile du palais. Pas de
troubles
bien prononcés de la sensibilité générale et de
successive- ment un ptosis droit et gauche, et en 1886 une série de
troubles
intellectuels sur lesquels nous croyons inutile
es autres sens. L'intelligence est bien développée, il n'y a pas de
troubles
génito-urinaires, toutes les fonctions s'exécuten
PHOTOTYPE négatif A. LONDE PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne de Longuet.
TROUBLES
TROPHIQUES DANS LA SYRINGOMYÉLIE NOUVELLE Icono
ototype NÉGATIF A . LONDE PHOTOCOLLOGRAFHIE CHÈNE & Longuet T
TROUBLES
TROPHIQUES DANS LA SYRINGOMYÉLIE Lecrosnier &am
touchés et le champ visuel, en particulier, n'est pas rétréci. Les
troubles
vaso-moteurs sont identiques à ceux signalés par
sance très obscurcie, délire, faiblesse parétique des extrémités et
troubles
particu- liers dans les mouvements des yeux.
ns devinrent plus violents; c'est à cette époque qu'on remarqua des
troubles
dans les mouvements des yeux; la santé du malad
it de l'un et de l'autre oeil; on ne peut pas non plus remarquer de
troubles
de l'accommodation. Malheureusement il n'était pa
embre. Dès le 4 octobre, paralysie du voile palatin; le 2 novembre,
troubles
visuels et fai- blesse des quatre membres. Pt
inférieur. Sur l'oeil gauche : paralysie des muscles droits. Aucun
trouble
de l'accom- modation, aucun rétrécissement du c
us fortement atteint. Excitabilité électrique normale. Pas d'autres
troubles
de la sensibilité que de l'hyperesthésie des memb
s réflexes cutanés vésicaux et rec- taux sont intacts. Pas d'autres
troubles
vaso-moteurs qu'un refroidissement des membres
ce à ce qu'on appelle i la polioeacéplzaLomélite. ! 5° L'absence de
troubles
de la sensibilité, de paralysie de la vessie ou
d'origine congénitale à l'absence des cartilages tarses. Quant aux
troubles
fonctionnels, blépharospasme, ptosis, etc., je n'
dentaire doit être examiné au point de vue de ses anomalies et des
troubles
pathologiques. Cette élude dans ses rapports av
définitive, ils constituent, suivant l'opinion de Arndti, autant de
troubles
de développement et devien- nent ainsi des sign
e l'électricité et l'engagea à entrer à l'hôpital. État actuel. -
Troubles
moteurs. Membres inférieurs. - 1° Membre inféri
me. Les membres supérieurs et le reste du corps ne présentent aucun
trouble
moteur. Dynamomètre : main droite, 46; main gau
squ'on fait marcher le malade, il va en traînant la jambe droite.
Troubles
urinaires. Depuis quatre jours, le malade souffre
rine d'aspect normal. La sensibilité uréthrale était conservée. Ces
troubles
urinaires per- sislaient encore huit jours aprè
à l'hôpital Necker, à la consultation de M. le professeur Guyon.
Troubles
de la sensibilité. - Hémihypoesthésie droite très
ES « SIMULATEURS ». 303 partout conservé. 11 n'y a en dehors de ces
troubles
sensitivo-sensoriels aucune douleur subjective
avec une hémianesthésie droite. Quelque temps après surviennent des
troubles
oculaires qui font penseràune affaire spécifiqu
riels. Que faut-il de plus pour affirmer l'ori- gine hystérique des
troubles
moteurs et urinaires qu'il présente ? L'hystéri
ait pas l'intégrité du membre supérieur, la monoplégie crurale, les
troubles
vésicaux, etc. Etlaparalysie faciale qui a pu d
supérieurs ne présentent rien de spécial à noter. Sensibilité. Les
troubles
de la sensibilité, absents à l'entrée de la mal
Les paraplégies syphilitiques n'évo- luent pas ainsi; en outre, les
troubles
de la sensibilité y sont diffus et irréguliers
roit n'est pas atrophié. Les réflexes patellaires sont normaux. .
Troubles
de la sensibilité. Il existe une hémianesthésie s
t. Cette claudication, qui n'était accompagnée ni de douleurs ni de
troubles
de la sensibilité, disparut brusquement après d
é. Si on considère enfin que cette jeune fille présente en plus des
troubles
de la sensibilité cutanée, on arrivera, il nous
n cou, comme si elle étouffait; les yeux restent entr'ouverts. 1°
Troubles
moteurs. Les membres supérieurs sont parfaitement
s, pendant ses attaques laryngées, on est obligé de la sonder. 20
Troubles
de la sensibilité. - La sensibilité est'normale d
sion. Elle a remarqué quelque temps après qu'elle était voûtée. Les
troubles
de la marche ont été en pro- gressant peu à peu
corps, pour tous ses modes. En outre, il existe à la main gauche des
troubles
trophiques très marqués. La main entière est au
886. La malade est prise d'épistaxis, de céphalalgie, de fièvre, de
troubles
cérébraux ataxiques. On pense d'abord, étant donn
t que les antécédents paternels ren- daient très vraisemblable. Les
troubles
trophiques et la sensibilité furent mis très vr
tement hystérique et nous sommes entièrement convaincu que tous ces
troubles
qui existent dans l'hystérie relevaient de la g
rs que cette observation présente quelques contradictions, mais les
troubles
oculaires constatés à deux reprises différentes
plégie avec contracture et douleurs vives au niveau des genoux, des
troubles
de la sensibilité : hyperesthésie cutanée, allant
urs et du ballonnement du ventre. La paraplégie était complète avec
troubles
des sphincters. On essaye, mais sans succès, de
ns vue le 10 août 1890 et nous avons trouvé les signes suivants :
Troubles
de la sensibilité. Hyperesthésie en plaques, |pou
ienne droite; la pression réveille des phénomènes d'aura. Quant aux
troubles
des sens, l'ouïe est abolie du côté gauche, mai
l est rétréci concentriquement et de chaque côté à 65° en dehors.
Troubles
moteurs. 1° Chorée rhythmée classique du bras gau
normaux et égaux des deux côtés. Pas de trépidation spinale. Pas de
troubles
trophiques. Dysurie ayant fait place à l'incont
ue la marche à quatre mains, etc. Pas d'abasie en un mot. Outre ces
troubles
moteurs et sensitifs et ces signes probables d'hé
spéciale explorée avec' soin, il diverses reprises, ne révèle aucun
trouble
. Le goût, l'odorat, l'ouïe, le champ visuel, so
ête dès qu'on fléchit'le pied dans la flexion plantaire. Absence de
troubles
vésicaux ou rectaux. Pas de troubles trophiques
flexion plantaire. Absence de troubles vésicaux ou rectaux. Pas de
troubles
trophiques. Rien a noter dans les divers viscères
situé à 3 centimètres au-dessous de la ligne bimamelonnaire. Pas de
troubles
fonctionnels. Dans la troisième observation due
st pas portée de ce côté, et aussi à l'absence presque constante de
troubles
fonctionnels qui la laissent parfois ignorée du
x soeurs ont été aliénées, dont les fils ont également présenté des
troubles
mentaux, a toujours été regardé comme un excent
llie latérale et symétrique du thorax à sa partie inférieure. Aucun
trouble
fonctionnel. Taille, 160, Diamètre sterno-ver
es trois malades. Le thorax en entonnoir ne paraît pas entraîner de
troubles
fonction- nels sérieux, ni pour l'appareil resp
mais le sujet pouvait mar- cher, courir, monter des escaliers, sans
trouble
aucun de la respiration. Deux de nos malades so
cement congénital du coeur à gauche. Eggel croit que, par suite des
troubles
de' la nutrition ou du développement, il se produ
illes sont le siège d'un refroidissement souvent douloureux, et les
troubles
de la circulation s'objectivent par une coloratio
jusqu'à l'âge de quarante et un'ans. Etant enfant, il n'a eu aucun
trouble
névropathique, ni aucune affection scrofuleuse,
bite avec perte de connaissance et miction involontaire, sans aucun
trouble
prémonitoire. Depuis cette époque jusqu'à son e
les doigts, mais il est incapable de fixer l'époque du début de ces
troubles
. Il a eu, il y a cinq ans, ce qu'il appelle un pa
En somme, chez ce malade, les manifestations épileptiques et les
troubles
de la circulation cutanée paraissent s'être dével
permis d'établir une rela- tion d'origine entre ces deux ordres de
troubles
. Cette coïncidence mérite d'être rapprochée de
double forme avec l'asphyxie locale des extrémités, où il a vu les
troubles
circulatoires se manifester exclusivement dans la
de son âge.' Jusqu'à celle époque, on n'avait remarqué chez lui ni
troubles
oculaires ni phénomènes paralytiques d'aucune e
tte même époque, la déviation des yeux, la paralysie faciale et les
troubles
du langage. Ces divers accidents semblent, au d
9 geste derrière le sternum. Il a eu, toujours depuis le début, des
troubles
de N la mastication et de la déglutition. L'int
Les divers appareils, circulatoire, respiratoire, ne présentent aucun
trouble
appréciable. Nous n'avons pas depuis cette de
ne bulbo-prolubérantielle ressortissant au type Millard-Gubler. Les
troubles
des yeux et du lan- gage qui la compliquent mér
outeuse; la paralysie de l'hy- poglosse se traduit en effet par des
troubles
de la parole, de la mastica- tion et de la dégl
t le par- quet ; elle a plutôt l'air de glisser. Décembre 1889. Les
troubles
moteurs se sont encore amendés un peu; elle sou
s spasmodiques. La sensibilité explorée avec soin ne présente aucun
trouble
sensitif ni sensoriel. La malade n'accuse du re
t glisser seule d'un lit à l'autre dans la salle. En mars 1890, les
troubles
moteurs sont toujours en amélioration croissante.
Etat a2t 5 octobre 1890. Monoplégie brachiale droite complète sans
troubles
de la sensibilité. Le mouvement est revenu tout à
des caractères propres et de l'évolution de la paraplégie. 1 ° Les
troubles
de la sensibilité sont différents. Dans le cas de
rie. L'anesthésie cutanée, au contraire, accompagne fréquemment les
troubles
moteurs de la névrose. Or cette anesthésie se p
élimitées par une ligne perpendiculaire il l'axe du tronc. 2° Les
troubles
moteurs, l'exagération des réflexes, les trépidat
t dans les paralysies spinales. Mais il ne faut pas oublier que ces
troubles
électriques peu- vent se rencontrer aussi dans
vent se rencontrer aussi dans les paraplégies hystériques. A. Les
troubles
trophiques, tels que esclaccres, ulcérations prof
n peut donc, en résumé, rencontrer chez l'hystérique deux ordres de
troubles
moteurs : 1° L'astasie-abasie qui fera rarement
LATEURS ». 381 diagnostic. D'ordinaire, elle coexiste avec d'antres
troubles
simula- teurs. Il faut savoir en effet que les
, sont chose fréquente dans la névrose, non moins que divers autres
troubles
de la sensibilité : hyperesthésies, anesthésies,
thésies, anesthésies, perte du sens musculaire, etc. ; qu'enfin les
troubles
vésicaux (réten- tion, incontinence d'urine, pa
bles vésicaux (réten- tion, incontinence d'urine, par exemple), les
troubles
oculaires (am- blyopie, diplopie, dyschromatops
de douleurs qui s'accompagnaient très souvent de vomissements. Les
troubles
moteurs étaient si accusés qu'elle faisait à pe
rétention ni incontinence d'urine. Étal actuel (février 1890). 1°
Troubles
de la motricité. - Paraplégie complète tenant l
du coude et du poignet, sont normaux et égaux de chaque côté. 2°
Troubles
de la sensibilité. Dans le courant de cette année
dans les membres. En dehors de ces douleurs, la malade présente des
troubles
de la sensibilité caractéristiques : une anesth
comme les jambes d'un tabétique arrivé à la période paralytique.
Troubles
sensoriels. L'odorat, l'ouïe, le goût, sont norma
es qui la font disparaître varient selon les différentes distances.
Troubles
urinaires caractérisés simplement par un peu de p
naires caractérisés simplement par un peu de paresse vési- cale. Ni
troubles
trophiques ni troubles vaso-moteurs. L'examen éle
plement par un peu de paresse vési- cale. Ni troubles trophiques ni
troubles
vaso-moteurs. L'examen électrique pratiqué par
u reste du corps, l'anesthésie pharyngée, la microméga- lopsie, les
troubles
oculaires, la perte totale du sens musculaire et
exus morbide nous semble relever de l'hystérie seule. En effet, les
troubles
de la vue : diminution de l'acuité visuelle, di
délire avec vision d'animaux effrayants durant toute la soirée. Ces
troubles
ont disparu à la suite d'une application de gla
e : main droite, 19; main gauche, 16. Ce malade présente encore des
troubles
vésicaux caractérisés par une rétention d'urine
deux calhétérismes quoti- diens. Les selles sont régulières. Les
troubles
de la sensibilité sont très caractéristiques L'an
tinuait. Rien n'est plus redouté du malade que cette exploration.
Troubles
oculaires (Examen pratiqué par M. le D,. Koenig).
ement abolis des deux côtés. -L'ouïeesl très affaiblie. Outre ces
troubles
sensoriels, le malade est sujet à des attaques sp
'avons suffisamment démontré. En outre, il n'est qu'hystérique. Les
troubles
moteurs, l'incoordination motrice ne sauraient
la paraplégie qui tient sous sa dépendance l'incoordination et les
troubles
vésicaux. La démarche de ce malade qui s'avance c
al quatre jours après son entrée. Pas de lésions cardiaques. Pas de
troubles
viscéraux. Les urines ne renferment ni sucre ni
s, des crises gastriques, les signes de Romberg et de Westphal, des
troubles
oculaires, vésicaux, un peu d'incoordination mo
chenne. Mais, d'autre part, cet homme est un hystérique avéré : les
troubles
de la sensibilité générale et spéciale, les hyp
e, et à la suite de cette jaunisse une paraplégie est survenue avec
troubles
dans la sensibi- lité. L'incoordination motrice
le signe de Romberg, les douleurs dans les membres inférieurs, les
troubles
oculaires, etc., pouvaient bien faire songer à
absence ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». , 395 de
troubles
électriques. En somme, il est fort vraisemblable
es manifestations ». En effet, les vraies douleurs fulgurantes, les
troubles
oculaires, vésicaux, sont absents. L'existence
ontre, il y est parlé d'une hémiparésie gauche, de l'apparition des
troubles
moteurs à la suite d'une émotion morale, de la
moteurs à la suite d'une émotion morale, de la disparition de ces
troubles
coïncidant avec le retour de la sensibilité plant
et un ans, atteinte des symp- tômes classiques de l'hystérie et de
troubles
psychiques; qui mourut de tuberculose. Au lieu
: douleurs fulgurantes, crises viscérales, incoordination motrice,
troubles
vésicaux, etc., tous signes qui peuvent avoir leu
e comparative des manifestations hystériques et tabé- tiques. '1°
Troubles
sensitifs. (a) Les douleurs fulgurantes du tabes
Oulmont' au moyen de la méthode graphique. D'après cet auteur, ces
troubles
sont fréquents, généralisés, symétriques, et occu
e progressive. Il nous semble inutile d'insister sur ce point. 2°
Troubles
moteurs. (a) L'incoordination des mouvements pré-
i spé- ciaux qu'elle prête rarement à la confusion. Et pourtant les
troubles
moteurs, l'incoordination même, ne sont pas exc
e, ne sont pas exceptionnels dans 1. Oulmont, De la répartition des
troubles
de la sensibilité dans le labes dorsal, etc. (S
'"près Pitres). 406 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. 3°
Troubles
vésicaux. Ici encore la différenciation est malai
ison d'une paraplégie, comme dans le cas rapporté par Briquet. 4°
Troubles
oculaires. Les éléments différentiels tirés de l'
ir être rapide comme son développement. » L'existence de ce nouveau
trouble
trophique dans l'hystérie était à peine signalé
is, 1889, p. 416. 9. Thibaut, loc. cil. 10. Chantcmosso et Widal,
Troubles
trophiques liés à l'hystérie... (Soc. urétl.llop.
été le plus fréquemment le siège de manifestations hystériques, de
troubles
de sensibilité en particulier. 2° Il peut exi
re une place 1. Gilles de l.i et Dutil, Contribution ri l'élude des
troubles
trophiques dans 2. Babinski, loc. cil., p. 476.
prétation plus logique, plus conforme il la pathogénie générale des
troubles
trophiques et à l'expérimentation. Rien, a prio
duit l'atrophie musculaire ne puisse amener, du côté des nerfs, des
troubles
trophiques analogues. M. Mousseuse dans ses rec
s lésions musculaires, l'auteur ne les considère-t-il pas comme des
troubles
trophiques survenus dans les nerfs pour la même
ubles trophiques survenus dans les nerfs pour la même cause que les
troubles
trophiques survenus dans les muscles ? Dans tou
r, et c'est précisément à cause de son existence que l'hypothèse de
troubles
trophiques du côté des nerfs nous paraît défendab
l est évident que, au double point de vue de la localisation et des
troubles
électriques, ces divers faits ne sont nulle- me
des attaques de nerfs. La contracture était accompagnée de quelques
troubles
vaso-moteurs; la peau était, parait- il, rouge
t la chorée de Sydenham. L'an dernier, elle aurait déjà éprouvé des
troubles
analogues. État acfMe ? ÏYoMM de la sensibilité
oli à droite; le goût et l'ouïe notablement affaiblis du même côté.
Troubles
oculaires (examen de M. le D1' Koenig). OEiI ga
e, mais beaucoup plus du côlé droit, ce qui est en rapport avec les
troubles
de la sensibilité qui siègent à droite. Il s'
nés à l'atrophie. Elle siège exclusivement ou prédomine du côté des
troubles
delà sensibilité cutanée. Elle a évolué avec rapi
gente. Sa démarche est normale et ne trahit aucun (rouble moteur.
Troubles
de la sensibilité. 7létnàcttestltésie droite comp
on suppurative, adhérences du tympan ; audition bonne à droite. » -
Troubles
oculaires (examen des yeux pratiqué par M. Pari
mouvements fibrillaires provoqués par le passage du courant. Aucun
trouble
électrique. 20 Membre inférieur. Du côté gauche,
té droit déjà hémiplégie. C'est en effet de ce côté que siègent les
troubles
sensitifs généraux et spéciaux, c'est de ce côt
odorat et la vue sont abolis et que se trouvent l'hémispasme et les
troubles
amyotrophiques. L'hémianesthé- sie permanente,
développée et a bientôt dominé la scène morbide, en déterminant des
troubles
sensitifs, sensoriels, trophiques, et une amyotro
es principales fonctions s'accomplissent bien; il ne présente aucun
trouble
de la miclion ni de la défécation. Si l'on exam
nutrition et de la sensibilité, on constate des lésions nombreuses.
Troubles
moteurs et trophiques de la moitié gauche du corp
t un aspect violacé dès qu'on les expose quelque temps à l'air. Ces
troubles
vaso-moteurs s'exagèrent dès que le malade se tie
volume. Au cou, on ne trouve rien de par- ticulier à signaler. 2»
Troubles
moteurs et trophiques de la moitié droite du corp
ni- festation sensible. Le réflexe cornéen n'existe plus. Quant aux
troubles
sen- soriels, on ne constate que l'absence tota
sence totale du goût et de l'odorat. Du côté de la vue, il n'y a ni
troubles
de la motilité, ni troubles de l'accommodation.
'odorat. Du côté de la vue, il n'y a ni troubles de la motilité, ni
troubles
de l'accommodation. Le champ visuel est légèrem
métrique, comme dans l'observation LXVIII, c'est encore du côté des
troubles
de la sensibilité qu'elle est plus accusée et p
ar des lignes à contours nets. Jusqu'ici, la ressemblance entre les
troubles
de la sensibilité cutanée dans la névrose et da
r dans l'hystérie; ce ne sont donc ni le siège, ni le degré, ni les
troubles
électriques qui établiront une séparation entre
ssi reproduire les symptômes poliomyéliques mé- dians, à savoir des
troubles
vaso-moteurs, des oedèmes, la scoliose, 1. Pitr
A SALPÊTRIÈRE. les rétractions (ibro-cicatricielles, etc., elc. Les
troubles
vaso-moteurs de toute sorte sont trop fréquents
syringomyélique delà sensibilité, l'amyo- trophie, les oedèmes, les
troubles
vaso-moteurs, la scoliose, etc., se retrouvent
cet homme n'avait pas d'attaques, pas de zones hystérogènes, pas dc
troubles
des sensspé- ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES «
vers ce diagnostic qui explique plus facilement le petit nombre de
troubles
nerveux. Il pense qu'il n'y a pas de bonnes rai
se et les bulles constatées sur la main droite, mais ce sont là des
troubles
trophiques dont l'existence dans l'hystérie n'e
étude. La perte du sens musculaire, la parésie, la prédominance des
troubles
sensitivo-moteurs du côté gauche, plaident dans
phénomènes extrinsèques tels que oedème violacé du dos de la main,
troubles
trophiques cutanés, sco- liose, etc... Nous ne
sens de la névrose isolée ou du moins associée. La coexistence de
troubles
sensoriels exception faite jusqu'à nou- vel ord
gliomatose médullaire (Archiv. ile Neurol., 1888). G. 1)aumschino,
Troubles
trophiques dans l'hystérie (Cas. des //lip" 1880)
guère du reste que chez des sujets franchement hystériques. 4° Les
troubles
trophiques : éruptions cutanées diverses, bulles,
ique, peuvent exister dans l'hystérie et dans la syringomyélie. Ces
troubles
trophiques sont cependant l'exception dans la n
ité thoracique a été trouvée la même qu'au précédent examen. Pas de
troubles
'de la parole. L... raconte qu'en 1883 aussi,
nt d'aucune souffrance particu- lière, il n'a pas de fièvre, pas de
troubles
gastriques, mais ses mouvements 1. Ch. Féré et
ment des muscles et de la peau du côté opposé semble en faveur d'un
trouble
d'évolution remontant a une époque très précoce
mmeil, l'amélioration de l'état général, du signe de Romberg et des
troubles
de la miction. Ils n'ont constaté que beaucoup pl
ca- taleptique du grand hypnotisme, 6, 7, S, 9. 9. Syringomyélie (
Troubles
trophiques dans 'la), 29,30. Thorax en entonn
diumnique » ? Quoi qu'il en soit, il semble pour l'instant, que ces
troubles
mentaux se présentent sous trois modalités diff
tes de ce délire, débutant et finissant avec lui. Dans ce cas, le
trouble
mental ne diffère de la médiumnité commune que
e, elle devint plus agitée, plus absorbée ; un soir, elle sentit un
trouble
plus pro- fond et vit une grande lumière se fai
écoce et doulou- 8 CLINIQUE MENTALE. reuse au moindre effort, des
troubles
vasomoteurs, de la tachycar- die, de l'insomnie
ne, chaleur et sécheresse de la peau, pouls contracté, tachicardie,
troubles
vasomoteurs, bouffées con- gestives avec picott
t, comme les proliférations osseuses endofrontales le résultat de
troubles
inflammatoires intracrâniens, ayant exagéré la ci
la moitié du crâne insuffisamment développé on trouve également les
troubles
d'ossification (épaisseur plus grande) rencontr
ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des lésions cérébrales et à la diversité des
troubles
patholo- giques. Mais qu'on se rappelle ce que
clusions tirées de ce cas. Il faut probablement placer le siège des
troubles
52 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. donnant li
avec paralysie du droit supérieur. On attribua pendant la vie, ces
troubles
au tabes. L'autopsie dé- montra qu'ils étaient
Déjerine et A. Thomas à la Société de neurologie comme atteint de
troubles
de l'équilibre et qui, selon lui, serait atteint
se ramener à troisformespriucipales : 1° Celle avec prédominance de
troubles
sensitifs (acrocyanose chronique à forme sensit
trique. Ce cas présente en outre un phénomène rarement signalé, des
troubles
de la sensibilité objec- tive et subjective, do
sie de la face. Réflexions sur l'étendue des anesthésies et sur les
troubles
trophiques et moteurs de la face d'origine symp
rvation que rapporte l'auteur l'a conduit à étudier la question des
troubles
sensitifs et de l'hémiatrophie faciale, d'ori-
muscles du bras et de l'épaule avec réaction de dégénérescence, de
troubles
trophiques de la peau de la main. Il présentait
bilité était conservée à l'épaule et dans presque tout le bras, les
troubles
sensitifs n'étaient pas superposables aux troub
out le bras, les troubles sensitifs n'étaient pas superposables aux
troubles
moteurs et trophiques. Il y avait enfin du myos
traumatique du plexux brachial, l'explication de la répartition des
troubles
sensitifs doit être cherchée dans des anastomos
cas (asthénie, vomisse- ment incoercibles; accès de grande tétanie;
troubles
nrinaires fort variés : polyurie ou anurie, alb
cines antérieures correspondantes. Pas de zone d'anes- thésie : les
troubles
de sensibilité consistaient uniquement en 64 RE
rité de la sensibilité générale est constante, pathognomonique. Les
troubles
intellectuels, s'ils existent, sont consécutifs.
et non croisés, comme pour celles des hémis- phères cérébraux ; les
troubles
dits cérébelleux (perturbation de l'équilibre,
t la même loi : pour les tumeurs du lobe mé- dian et du vermis, les
troubles
occupent les deux côtés du corps. (Revue neurol
ollissements emboliques ; elle est, le plus souvent, associée à des
troubles
aphasiques, à la cécité verbale, ou à des hémip
uire de la surdité physique ou de la surdité verbale, ou encore des
troubles
d'aphasie sensorielle ; dans d'autres cas enfin,
e peut provoquer une attaque d'épilepsie. L'au- teur estime que les
troubles
qui accompagnent le début de la crise épileptiq
finition suivante : L'épilepsie est une maladie caractérisée par un
trouble
brusque de l'inhibition régulatrice normale qui
gulatrice normale qui s'exerce entre les centres nerveux corticaux,
trouble
qui est originairement provoqué par une excitatio
d'origine auriculaire. M. Bonnier présente deux malades atteints de
troubles
bulbaires d'origine optique. Dans l'un des cas,
lisée surtout à la racine des membres accompagnée de douleurs et de
troubles
psychiques suffit à justifier l'autonomie d'un
tique qui serait tout à fait banale si elle ne s'accompagnait de
troubles
de la sensibilité à topographie radiculaire. L'ex
s de la sensibilité à topographie radiculaire. L'existence , de ces
troubles
de la sensibilité jointe à la présence d'une lymp
étaient exa- gérés, sans clonus net, avec orteil en flexion. Aucun
trouble
sensitif vaso-moteur ou trophique. La vue a not
qui est dû à une névrite optique par stase papillaire. Pas d'autre
trouble
psychique qu'une diminution considérable de la mé
cécité et sept syphilitiques sans signes de tabes mais avec ou sans
troubles
visuels. Nous avons trouvé dans la plupart des
nerf optique, de phosphènes qui peuvent être le point de départ de
troubles
mentaux, pendant laquelle le malade perd toute
e, sans aucun appui. Il est probable que cet enfant présentait un
trouble
fonctionnel des centres associés et que la sugges
être provoquée encore par la fièvre typhoïde, par l'ictère, par des
troubles
gastro-intes- tinaux, par des tumeurs malignes,
éfinition des symptômes différentiels de cette maladie, puisque des
troubles
de mémoire analogues peuvent s'observer aussi d
omme, par exemple, la paralysie générale est une asso- ciation d'un
trouble
psychique avec des modifications organiques du
es et des accès de polypuée.. z BIBLIOGRAPHIE. 91 Comparant les
troubles
consécutifs à la parathyroïdectomie chez les an
a différence qu'il y a entre eux. Dans la thyroï- dectomie on a des
troubles
trophiques affectant une marche chro- nique, ta
raduisant par des symptô- mes digestif (vomissements, diarrhée) des
troubles
nerveux : con- tractures, convulsions épileptif
usions de ce travail : On trouve constamment dans l'acromégalie des
troubles
des échanges nutritifs, Ces troubles sont repré
tamment dans l'acromégalie des troubles des échanges nutritifs, Ces
troubles
sont représentés par une rétention marquée de c
s très faibles. L'examen de la sensibilité fait constater de gros
troubles
objectifs occupant la main et l'avant-bras ; ce
sie prédomine, la bande interne est la moins touchée des trois. Ces
troubles
consistent en anes- thésies et portent surtout
je place sous vos yeux, vous rendre compte de la disposition de ces
troubles
de la sensibilité objective. J'ajoute qu'au niv
purement mécanique, la face n'est plus aujourd'hui le iiège d'aucun
trouble
mo- teur : le malade peut siffler, souffler, ri
au lait très clair - je remarque qu'il n'existait à ce niveau aucun
trouble
de sensibilité -; à la face posté- rieure du co
. i L'étude de la sensibilité n'était pas moins instructive : les
troubles
constatés intéressaient* les trois modes de la se
ion, et vous verrez tout à l'heure quelle est l'impor- tance de ces
troubles
. Fig, 22, DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 115'
e Chez l'un comme chez l'autre, ils consistent essentiellement en
troubles
moteurs paralytiques débutant par la périphérie
xes tendineux en rapport avec l'amyotrophie, dans l'existence des
troubles
sensitifs à la fois subjectifs et objectifs, ces
çon à reproduire une véritable dissociation de la sensibilité, en
troubles
trophiques ponvant aller jusqu'à l'ulcération, en
ents nous avons les mêmes caractères cliniques objectifs, les mêmes
troubles
des réac- tions électriques : vous retrouvez do
est indemne, mais surtout nous avons relevé chez nos malades des
troubles
très marqués de la sensibilité : anesthésies, h
trophie musculaires, dans lesquelles on notait expressément que les
troubles
de la sensibilité faisaient défaut, répondent à
démontré le bien fondé de cette manièire de voir. Du moment que des
troubles
de sensibilité un peu importants sont superposé
phie débutant par les petits muscles des mains et s'accompagnant de
troubles
profonds de la sensibilité; or ces signes sont
dire, la présence et les caractères de l'atrophie mus- culaire, les
troubles
des réactions électriques, l'existence de troub
- culaire, les troubles des réactions électriques, l'existence de
troubles
de la sensibilité objective, leur nature et leurs
yringomyéliques, des examens ultérieurs ont bien démon- tré que ces
troubles
affectent en réalité une répartition radi- cula
rieures. L'association clinique de la paralys des analgésies et des
troubles
trophiques pouvant aller jus- qu'à la chute des
e aussi nous avons des paraly- sies, des atrophies musculaires, des
troubles
sensitifs, l'hy- pertrophie des cordons nerveux
à la paralysie se joint l'in- coordination motrice, nous avons des
troubles
oculaires et notamment un ptosis accentué; du c
es ayant débuté au niveau des membres par les extré- mités, par dés
troubles
de la sensibilité objective intéressant inégale
isposition périphérique, par des douleurs, par des éruptions et des
troubles
trophi- ques du côté de la peau, enfin par l'hy
je viens de mettre sous vos yeux. La nature et la répartition des
troubles
trophiques que DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. t25
, la pigmentation dont la- valeur diagnostique est bien connue, les
troubles
de la sécrétion sudorale, l'hypersécré- tion sé
la nutrition des tissus intéressés. Mais il est un autre groupe de
troubles
trophiques qui ne relèvent qu'indirectement du
indirectement du bacille de la lèpre et ne s'expliquent que par les
troubles
de l'innervation en rapport avec l'invasion des
t d'atrophies musculaires. Faut-il ajouter que les deux ordres de
troubles
trophiques s'associent fréquemment entre eux, r
tique pour permettre de faire le diagnostic à distance. Quant aux
troubles
trophiques qui ont été observés chez les descen
rite périphérique, laquelle tient sous sa dépendance la plupart des
troubles
trophiques mus- culaires. cutanés, osseux même,
ubles trophiques mus- culaires. cutanés, osseux même, ainsi que les
troubles
sen- sitifs ; mais par quelle voie se fait l'ar
le à l'extension et à l'aggravation : aux anesthésies succèdent les
troubles
trophiques, les paralysies, les ulcé- rations e
ons génésiques. Sensations de lévitation. E1'otisme mystique. - Les
troubles
de la sensibilité générale revetent aussi des f
xieux alors que sa sensibilité interne est encore altérée, c'est un
trouble
coenesthesique qui lui donne l'illusion de la l
de mai, il redevient absorbé et préoccupé de métaphysique. 11 a des
troubles
anesthésiques bizarres, tantôt il il ne sent pa
graisseuse de la cel- lule nerveuse. Les états dits de tuméfaction
trouble
ne se voient ni dans les composants nerveux, ni
effet, ont une topographie périphérique et' d'autres métamérique.
Troubles
auditifs dans les tumeurs cérébrales. M. Souque
pression et de la macération on pouvait en observer qui relèvent de
troubles
trophiques consécutifs en particulier aux ictus
s vingt ans dans son service ; toutefois il ne nie point le rôle du
trouble
trophique. ' La prétendue bienveillance des par
-25 avril. - Présidence de M. Brunet. , Aperçu médico-légal sur les
troubles
mentaux ]Jost-tmumatiques. MM. Marie et VIOLET,
recueilli une centaine de cas de trauma- tismes crâniens suivis de
troubles
mentaux. Ils en tirent l'aperçu médico-légal su
ail, les experts seront plus souvent appelés à enquêter au sujet de
troubles
men- taux ayant suivi immédiatement, ou à longu
es de traumatisés aliénés ' demanderont des indemnités au sujet des
troubles
mentaux consécutifs. Ces trou- bles peuvent êtr
uivants de la loi. Incapacité immédiate et passagère de travail par
trouble
mental suivi de guérison. Incapacité passagère
ouble mental suivi de guérison. Incapacité passagère de travail par
trouble
men- tal non suivi de récupération totale des f
GOUROUIi. - Les relations pathogéniques d'un trauma- tisme avec les
troubles
psychiquessont bien difficiles àétablir; dans p
quelle mesure un traumatisme a déterminé ou hâté l'apparition , des
troubles
mentaux, et dans la pratique, ce problème se pose
ements par obsession ont un certain retentissement en exagérant les
troubles
de la sensibilité et l'état hypocondriaque. Ain
d'une obsession acquise ; la malade n'a présenté auparavant aucun
trouble
analogue et on ne rencontre chez elle aucun stigm
itude devenue une obsession. Cette dernière est née à l'occasion de
troubles
de la cénesthésie et, à ce point de vue, elle e
rtient t au groupe d'amentia de Meynert. Dans l'artériosclérose, le
trouble
de mémoire porte un caractèré progressif, est a
fs périphériques n'ont pas été examinés dans ces cas. Il existe des
troubles
psychiques, où il n'y a point de maladie de KoR
LON appuie ces observations en invoquant la périodicité de certains
troubles
délirants. Un cas grave d'hystérie. 11. BÉniy
tions, actes subsconscients. idées fixes, aboulie, entêtement. Ces
troubles
neurasthéniques nécessitent souvent des passages
chez les dégénérés. Ces modifications seraient en rapport avec des
troubles
d'évolu- tion du système nerveux. Les naevi acq
it 142 atteints de lésions cutanées : 196 PATHOLOGIE. indemmes de
troubles
mentaux, n'en a trouvé que 34 atteints de noevi
, ses extrémités se glacent, ses mem- bres tremblent, son esprit se
trouble
, ses pensées se brouil- lent, sa conscience se
eux et rencontrant ses propres regards le mettent dans un état de
trouble
intense. - La conséquence naturelle de ce malai
de de Caïn. Parfois aussi elle s'aggrave en se compliquant d'autres
troubles
psychiques : l'anthropophobie, la « Beachtungsw
elqu'un qui se posent sur moi, sur mon corps, sur mon visage, je me
trouble
et je perds toute pensée. Ce regard étranger, j
puis alors regarder de nouveau, mais aussitôt que je regarde, mon
trouble
s'exagère. Mon interlocuteur s'aperçoit bientôt q
- teurs, aussitôt ses paupières battent, sa vision se voile et se
trouble
, son angoisse redouble. Alors, elle baisse ses pa
;)Imq F... ne sait pas si elle rougit sensiblement au moment de son
trouble
; en tous cas, elle ne s'est jamais inquiétée de
de préférence les jeunes sujets, s'accompagne presque toujours de
troubles
psychiques variés et se termine dans l'immense ma
tation, de confusion, de stupeur, des conceptions délirantes ou des
troubles
sensoriels. L'affaiblissement des facultés qui
a para- lysie générale, et la volonté dans la démence sénile. Les
troubles
de la sphère affective et morale des déments pré-
nt pas à commettre en public les actes les plus dégradants. A ces
troubles
de la vie affective, qui dénotent une disparition
toujours conservés et surtout exagérés. C'est à la réunion de ces
troubles
de l'activité volontaire et auto- matique que l
de mouvements, leurs gesti- culations désordonnées, sans but, sans
troubles
émotionnels adé- quats ; leur impulsivité, leur
nation à la superposition, à cet affaiblisse- ment intellectuel, de
troubles
psychiques variés : conceptions délirantes, hal
rénie et dans la démence paranoïde de Kraepelin que s'observent des
troubles
sensoriels et des concep- tions délirantes. '
vec des idées délirantes ou des hallucinations et indépendamment de
troubles
émotionnels. Quand on interroge, en effet, les
survenant sans cause appréciable (Séglas), du der- mographisme, des
troubles
de la menstruation, etc., etc. Le liquide cépha
éveloppe le plus souvent permet de rattacher vraisemblablement à un
trouble
de la sécrétion des glandes sexuelles (testicul
ces préten- dués guérisons ne visent que l'épisode délirant et les
troubles
sensoriels qui l'accompagnent. Le plus souvent,
atives de cengestion et d'anémie de la papille. Puis vien- nent les
troubles
réflexes : exagération des réflexes tendineux,
bilité de l'état moyen de la pupille. Il faut mentionner encore les
troubles
génito-urinaires (troubles de la fonction génit
pupille. Il faut mentionner encore les troubles génito-urinaires (
troubles
de la fonction génitale, modifications de la form
jours d'une même direction. Si ces malades présentent plus tard des
troubles
mo- teurs et sensitifs post-apoplectiques du mê
le schéma clair et précis qui viendra éclairer les divers types de
troubles
périphéri- ques à distribution segmentaire, rad
mem- bres ; 2° le type à distribution radiculaire (Déjerine) où les
troubles
238 SOCIÉTÉS SAVANTES. occupent des zones lim
et a trois groupes de centres dont la lésion produit trois types de
troubles
périphériques. Le noyau, ou origine réelle du n
e .centres superposés. De même, dans la moelle, la distribution des
troubles
périphériques des lé- sions médullaires à ses c
) vient rapporter des observations très détaillées concernant les
troubles
moteurs (rétractions, amyotrophies, contractures,
suite penser à la forme catatonique de la démence pré- coce, où ces
troubles
musculaires s'observent avec une fréquence tout
es mala- des ayant présenté, au cours du délire aigu pyrétique, des
troubles
gastro-intestinaux analogues à ceux de la fièvr
de dix-sept ans, enfant assistée, conduite à l'asile d'aliénés pour
troubles
mentaux, caractérisés par du mutisme, de la sit
e et tibiale postérieure). Résultat négatif. Réflexions : Hystérie (
troubles
trophiques) ou tuberculose (intoxication des ce
cas peuvent, à la longue, entraîner dans les muscles intéressés des
troubles
trophiques plus ou moins graves, rétractions te
es à apprécier. Dans ce cas il arrive que les malades atteints de
troubles
de la sensibilité ou de la motilité trouvent l'un
e : 1° la cécité est rare dans la paralysie générale confirmée avec
troubles
mentaux marqués, mais les troubles légers de la
aralysie générale confirmée avec troubles mentaux marqués, mais les
troubles
légers de la vision n'y sont pas rares; 2° la c
° la cécité a été assez fréquemment signalée avant l'apparition des
troubles
mentaux de la paralysie générale progressive. B
apillaire assez rapidement complète, accompa- gnée non seulement de
troubles
tabétiques minimes, mais très fréquemment aussi
ment de troubles tabétiques minimes, mais très fréquemment aussi de
troubles
mentaux minimes tout à fait ana- logues à ceux
être aussi bien considérée comme une cécité « paralytique » si les
troubles
mentaux minimes de la méningo-encéphalite diffuse
use légère avaient dans la nosographie la même importance que les
troubles
physiques et fonctionnels minimes de la méningo-m
deux aliénés présentant les mêmes conceptions délirantes, les mêmes
troubles
sensoriels, etc., réagir d'une façon différente
aliénés ayant commis un crime avant ou après l'apparition de leurs
troubles
mentaux. La question de la mise en liberté de c
gravité de leur état et aussi qu'ils ne présentent pas encore de
troubles
mentaux accentués que le dispensaire anti-llcooli
plus capables de soutenir l'énergie du malade, de neutraliser les
troubles
fonctionnels et d'arriver à la rééducation de sa
logiques et psychiques qui con- sistent dans des malformations, des
troubles
intellectuels, un état de déséquilibration part
c et les mem- bres. Stigmates physiologiques. 1° Système nerveux,
troubles
de la 266 SOCIÉTÉS SAVANTES. motilité, de l'a
IÉTÉS SAVANTES. motilité, de l'activité réflexe, de la sensibilité,
troubles
trophi- ques et vaso-moteurs ; 2° Troubles des
lexe, de la sensibilité, troubles trophi- ques et vaso-moteurs ; 2°
Troubles
des fonctions génésiques ; 3° Troubles digestif
ques et vaso-moteurs ; 2° Troubles des fonctions génésiques ; 3°
Troubles
digestifs, aérophagie, météorisme, perversions di
iges- tives. -0 . . . Stigmates psychiques se rapportant : 1° Aux
troubles
de la mi- mique ; 2° Aux actes impulsifs ; 3° A
actes impulsifs ; 3° A une hérédité nerveuse capi- talisée ; 4° Aux
troubles
de la volonté et du caractère ; 5° Aux phobies
nes de compression des fibres nerveuses qui prennent le pas sur les
troubles
inflammatoires. Cliniquement, on trouve ou bien
râne, chez lequel se sont développés sous des influences multiples (
troubles
de nutrition, hypothyroïdi- sation, etc.) des p
pu porter le diagnostic de sclérose latérale amyotro- puisque avec
troubles
bulbaires. Le malade ne présentait d'ailleurs a
e avec troubles bulbaires. Le malade ne présentait d'ailleurs aucun
trouble
trophique ou sensitif faisant penser à la syringo
ris). Comme contribution à l'étude des rapports du diabète avec les
troubles
mentaux, les auteurs insistent sur l'importance
propriée a mené très rapide- ment la sédation et la disparition des
troubles
psychiques. 272 sociétés savantes. De quelque
ipes de discipline psycho-motrice sont applicables à ces différents
troubles
fonction- nels ; 3° Il y a lieu de distinguer
troubles fonction- nels ; 3° Il y a lieu de distinguer parmi les
troubles
respiratoires observés chez les tiqueurs ceux q
observations ; 6° Les tiqueurs ne sont pas seulemeni exposés à des
troubles
de la fonction motrice. On observe chez eux des
osés à des troubles de la fonction motrice. On observe chez eux des
troubles
fonctionnels SOCIÉTÉS SAVANTES. 275 viscéraux
tentive des fonctions viscérales s'impose. On arrive à corriger des
troubles
des fonctions digestive, sécrétoire, vaso-motri
graine accompagnée. Tous ces phénomènes peuvent être attribués à un
trouble
vasculaire transitoire dont la localisation doi
me des ramifications artérielles de la Sylvienne peut expliquer les
troubles
de la parole, la parésie faciale, la sensation
YET. Le diagnostic de la cause des états vertigineux et de certains
troubles
de l'équilibre est assez difficile et parfois i
pratique de traitement. Les états vertigineux qui proviennent de
troubles
de'l'oreille ne sont pas toujours d'un diagnost
festes de fonctions auditives. Cette absence absolue ou relative de
troubles
auditifs peut se trouver en particulier dans le
suscita des ennuis et ne fut sans doute pas sans influence sur les
troubles
psychiques, dont il souf- frit par la suite. Pa
telle infirmité à son âge ; mais assez rapidement apparut un autre
trouble
urinaire qui vite, prit un grand développement
ur lui un tourment et une grande gêne. J'appelle l'attention sur ce
trouble
physiologique, car on verra plus loin, le rôle
façon. A partir du second mois, il constata une aggravation de ses
troubles
nerveux. Il fut plus enclin à se croire sous le
n faire comprendre toute l'impor- tance aux obsédés d'abord dont le
trouble
intellectuel est conscient et ensuite à leurs c
e, où ils sont prédominants et où on ne peut parler d'aucun autre
trouble
mental. Outre les états obsédants essentiels, exi
manifestée dans une forme très accentuée; un temps il y avait même
trouble
de conscience ; le malade se trouvait dans un é
time ici, car le malade comprenait très bien, du moins lorsque le
trouble
de conscience temporaire s'était dissipé, toute l
e moins apparent présente cepen- dant un grand intérêt, ce sont les
troubles
du sommeil. La nuit, dès que la malade ferme le
s ou moins vio- lent. Tout le monde connaît les cauchemars liés aux
troubles
de la digestion, aux troubles cardiaques, aux t
monde connaît les cauchemars liés aux troubles de la digestion, aux
troubles
cardiaques, aux troubles intes- tinaux... chez
ars liés aux troubles de la digestion, aux troubles cardiaques, aux
troubles
intes- tinaux... chez notre malade il ne se pas
en on voit que ceux- ci sont sous la dépendance la plus étroite des
troubles
de la sensibilité, troubles qui déterminent un
sous la dépendance la plus étroite des troubles de la sensibilité,
troubles
qui déterminent un état spécial, état de défisc
rie et somnambulisme sont des manifestations identiques d'un même
trouble
des centres nerveux : tous les somnambules ne s
uestion des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 325
troubles
de la circulation et des fonctions de cet organe
rritation chro- nique comparable à ce que l'on voit dans les cas de
troubles
ner- veux graves et chroniques consécutifs à la
phère visuelle occipitale de Munk. I. Lésions unilatérales. 1° Le
trouble
visuel disparaît totale- ment plus ou moins vit
le visuel disparaît totale- ment plus ou moins vite. 2° Toujours le
trouble
de la vue dis- paraît d'abord sur la ligne médi
t subi une première expérience unilatérale; ce n'est que lorsque le
trouble
visuel a complètement disparu qu'on a exécuté u
ère. 1° Cette seconde opé- ration fait invariablement reparaître le
trouble
de la vue de l'oeil qui a été le premier endomm
e trouble de la vue de l'oeil qui a été le premier endommagé. 2° Ce
trouble
visuel est sou- vent tout aussi accusé et même
ur endommagé par la seconde opération. 3° On observe parfois que le
trouble
visuel de l'oeil qui correspond au côté opéré e
its annoncés par la théorie de Munk : c'est de l'hémio- pie. 5° Les
troubles
visuels consécutifs aux extirpations corti- cal
fausse. L'absence de scotomes circonscrits indélébiles, et même de
troubles
visuels permanents y contredit également. P. KE
t également. P. KERAVAL. XLVIII. Nouvelles communications sur les
troubles
de perception des distances en profondeur; par
èce une hémianopsie latérale homo- nyme qui n'a rien à voir avec le
trouble
en question et qui peut exister sans ce trouble
rien à voir avec le trouble en question et qui peut exister sans ce
trouble
. Les faits montrent encore que l'anomalie de pe
lie de perception des dis- tances en profondeur est indépendante du
trouble
de la conscience consécutif à l'attaque congest
01.) Excellente observation bien analysée. Pas d'aphasie motrice.
Trouble
sensoriel acoustique simplement indiqué, notammen
branche maxil- laire inférieure du même nerf. Il existait un faible
trouble
du goût sur les deux tiers antérieurs de la lan
a fonction gustative. Au moment de son dé- part, persiste encore un
trouble
très marqué de la sensibilité dans le territoir
l'acide et du sucré, du salé et de l'amer. Dans les cas nombreux de
troubles
dans le territoire de la cin- quième paire, l'a
e primitif; ils reconnaissent difficilement leur entourage, et ce
trouble
tient à l'absence de la qualité du phénomène de l
e la con- naissance, du sentiment de la pénétration consciente. (le
trouble
d'emblée produit parfois un état d'angoisse ass
Altéra la dualité du protoplasma en question. P. KERAYAL. LX. Du
trouble
de la marche de flanc chez les hémiplégiques; par
es lésions sous- corticales du centre du bras se traduisent par des
troubles
de la motilité, des troubles de la sensibilité,
u centre du bras se traduisent par des troubles de la motilité, des
troubles
de la sensibilité, de l'ataxie, de l'atrophie m
de la sensibilité, de l'ataxie, de l'atrophie musculaire. 1. Les
troubles
de la motilité sont : a, une paralysie complète d
irritatifs et des spasmes susceptibles de rétrocéder. 2. En fait de
troubles
de la sensibilité, on constate : a, avant tout
il localise moins difficilement les impressions douloureuses. Les
troubles
de la sensibilité sont en somme tout aussi graves
guë portant sur l'appa- reil moteur du côté gauche, déterminant des
troubles
de la sensi- bilité de la jambe droite ainsi qu
qu'une paralysie dégé- nérative de la main gauche et des traces de
troubles
sensitifs. Cela ressemble a une hématomyélie. L
ique constituent les éléments les plus importants du diagnostic des
troubles
syphilitiques de la sphère nerveuse et mentale.
veau remarquablement préparé, a déterminé sur l'écorce entière un
trouble
fonctionnel excessif; nerfs sensoriels, sphère ps
érie même. Il en est tout autrement chez le catatonique. Ici pas de
trouble
de la conscience, pas de sommation, pas d'état
hoïde et ce n'est qu'un examen ultérieur qui permit d'attribuer les
troubles
à une lésion syphilitique de la base du crâne.
ans l'écorce, l'absence de convulsions faciales, plaident contre un
trouble
moteur toxique. On n'a pas examiné l'urine parla
rétraction aponévrotique se montre chez eux avant l'apparition des
troubles
trophiques qui leur sont propices peut amener à
avec succès à un nombre énorme d'affections constitutionnelles, de
troubles
de la nutrition, de maladies nerveuses. 4. La p
tomatologie, elle est soigneusement décrite, appareil par appareil (
troubles
sensoriels, sensitifs, moteurs, cir- culatoires
ar une action réflexe d'origine castro-intestinale (Leven), par les
troubles
vaso-moteurs (G. Dumas), par un trouble intime
stinale (Leven), par les troubles vaso-moteurs (G. Dumas), par un
trouble
intime dans la nutrition des éléments nerveux (Er
r pense que, dans l'état actuel de nos connaissances, c'est dans un
trouble
primordial des éléments cellulaires nerveux qu'
rles Duvry, âgé de soixante- douze ans, cultivateur, en proie à des
troubles
cérébraux, s'est jeté dans la mare située dans
scutable, par M. le pro- fesseur Budin2 notamment, que les moindres
troubles
ner- veux chez les nourrices ont un retentissem
ue et dont la nourrice peut être exposée ou sujette elle-même à des
troubles
nerveux. Si la mère est épileptique, il est don
ons intestinales, rénales, etc., que l'on remédiera sans retard aux
troubles
mêmes les plus légers qui éclateraient du côté
grandes causes d'épilepsie en se basant précisément sur ce que les
troubles
digestifs sont assez fréquents chez la femme au
même moment ? Mais on oublie, en faisant cette déduc- tion, que les
troubles
gastriques sont aussi très fréquents à la ménop
certaines maladies infectieuses, dans lesquelles prédo- minent des
troubles
gastro-intestinaux, comme la fièvre typhoïde, s
lie trop qu'il y a, à côté de l'attaque convulsive, avant elle, des
troubles
de l'intelligence et de la sensibilité, une irr
nt les grandes attaques d'épilepsie devenaient plus rares, mais les
troubles
psychiques, les idées de suicide et l'excita- t
compte des symptômes présentés par la malade tels que les divers
troubles
de motilité. Mais il est un symptôme qui attire
'Asile d'Armentières qui, à notre connais- sance, aient présenté ce
trouble
sur près d'un millier de pensionnaires. Cette f
complir normalement. Ce n'est qu'au bout de quelques années que les
troubles
survinrent, et à en croire l'entourage, ils serai
près normales. Ce n'est pas à dire cependant qu'il n'existe pas de
troubles
digestifs chez lui. La quantité d'aliments qu'i
aliments provenant de l'avant-dernier repas. Très probablement des
troubles
du chimisme stomacal existent chez ce malade do
a faculté psychique susdite. Foerster soutient au contraire que les
troubles
de la conscience personnelle sont primaires et
ns la perception réelle du monde extérieur, il se produit aussi des
troubles
dans l'appréciation de ce dernier. Stock interp
perte du sentiment du réel, ils relèveraient également les uns des
troubles
de la perception proprement dite (obsession de
ue le phénomène des orteils semble être absolument indépendant îles
troubles
sensitifs. G. D. LX.TXVII. Hémimélie et dégénér
é- site pas à rattacher à une dégénérescence acquise ab utero les
troubles
mentaux et les anomalies physiques de son malade.
variétés d'angoisses assez diverses. Elle accompagne aussi certains
troubles
abdominaux, la colique hépatique ou néphrétique,
somatique ou psychique ; elle peut souvent mettre sur la voie d'un
trouble
somatique. L'angoisse peut revêtir diffé- rente
ce. Mais c'est peut-être trop d'exclusivisme de ranger, d'après ces
troubles
, des intelli- gences de premier ordre avec de s
ésentent un terrain particulièrement favorable au développemen t de
troubles
mentaux. Ceux-ci, caractérises par des hallucinat
aucoup qu'elles se puissent améliorer ou guérir. P. Keraval. XIV.
Troubles
de la sensibilité dans les états neurasthéniques
e diagnostic de la paralysie générale à la constatation de certains
troubles
de la sensibilité, notamment d'une hyperesthésie
des formes mixtes de la folie maniaque-dépressive. . G. D. XXIII.
Troubles
dysarthriques permanents chez un enfant épilep-
ques mais resta sans effet sur la dysarthrie. La persistance de ce
trouble
après l'atténuation des autres symptômes fait sup
eints de formes plutôt légères de la maladie et n'of- fraient aucun
trouble
de l'état émotionnel; l'auteur les considère co
et des anomalies graves dans le domaine de la volonté. G. D. XXV.
Troubles
intellectuels et catatonie; par le Dr PEETERS.
ce n'était pas davantage un hystérique, car il ne présentait ni les
troubles
moteurs, ni les troubles sensitifs caractéristi
un hystérique, car il ne présentait ni les troubles moteurs, ni les
troubles
sensitifs caractéristiques de cette affection.
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. Malgré ces considérations et bien que les
troubles
mentaux offerts par le malade correspondent ass
strat. Et alors l'expert trouvera souvent dans l'étude du sujet des
troubles
plus ou moins profonds de l'intelligence, des f
forme hystériques graves avec épi- sodes plus ou moins prolongés de
troubles
psychiques, parlois avec des anomalies profonde
contrera plus de difficultés, si l'hystérique accusatrice manque de
troubles
intellectuels évidents de forme ou de contenu, et
ensitivo- motrice que psychique, quand on ne rencontre chez elle ni
troubles
intellectuels, ni anomalies du caractère, ni dé
s'affaiblit au bout de plusieurs jours, qu'il peut déterminer des
troubles
cardiaques et respiratoires inquiétants, que l'ef
s premières règles eurent lieu le 28 février et s'accompagnèrent de
troubles
nerveux (énervement, céphalée, insomnie). Les s
rognathisme du maxillaire supérieur, voûte palatine ogivale). Aucun
trouble
de la sensibilité, aucun symptôme d'hystérie. A
ce malade est à redouter; c'est moins chez l'aliéné une affaire de
troubles
morbides que de caractère, et l'observation quo
aires des aliénés dan- gereux est inadmissible. C'est un élément de
trouble
qui · apporte une réelle entrave au bon fonctio
s à signaler pendant la grossesse, ni traumatismes, ni ennuis, ni
troubles
morbides d'aucune sorte, ni maladies infectieuses
obe frontal gauche a été presque complètement latente, en dehors de
troubles
intellectuels vagues et de phéno- mènes papilla
r M. Noyer (Société d'anthropologie de Lyon, 7 février 1903.) Des
troubles
psychiques se présentent assez souvent au cours
nt, progressant sans bruit et évoluant constamment sans ictus, sans
troubles
de la sensibilité. Les malades présentent, en o
cutanés sont souvent normaux; signe de Babinski inconstant. Pas de
troubles
de la sensibilité. Le psychisme est rarement in
server des phénomènes cérébraux z qui sont directement fonction des
troubles
circulatoires et des scléroses médullaires, sou
la face inférieure du lobe frontal, expliquaient au contraire les
troubles
sensoriels. " L'auteur fait remarquer que ces c
et intrinsèques des globes et des releveurs de la paupière, pas de
trouble
de la respiration, coma terminal. Al'autopsie l
ervention de lésions du pancréas (Dallemaque, Hauseman) d'une part;
trouble
de la secrétion interne de l'hypophyse d'autre
14 décembre 1903) D'après M. Destot on peut décrire deux formes de
troubles
tro- phiques tabétiques. Les uns, tout à fait a
e caractère chronique et congénital, la coexistence fré- quente des
troubles
intellectuels font penser qu'il s'agit bien d'une
songe que dans les oedèmes névropathiques, il y a, d'une part, des
troubles
vaso-moteurs marqués, que d'autre part, l'oedéme
is d'un tremblement de la main droite qui le gêne pour écrire, à ce
trouble
s'ajoute de la gêne dans les mouvements du bras
ctoraux et quel- qu'atrophie du biceps. Le malade'ne présente aucun
trouble
de la conscience, aucune affection organique, i
ontré normal au point du physique et mental est pris tout à coup de
troubles
qui proviennent de la confusion mentale. Cet ac
cérébral très fréquent. 4° Pour le pseudo-oedème catatonique, d'un
trouble
cérébral probablement primitif et atteignant ulté
estations objectives présentent les plus grandes analogies avec les
troubles
de même genre observés chez l'homme. Tics et st
se rencontrant également chez des animaux présentant à la fois des
troubles
psychopatiques et des stigmates physiques analo
le- acquérir l'au- tomatisme. De plus les lésions de la bouche, des
troubles
de la dentition, peuvent se rencontrer à l'orig
: 120; tremblement considérable; le cou mesurait 35 centimètres;
troubles
digestifs, diarrhée, troubles menstruels. La pa
able; le cou mesurait 35 centimètres; troubles digestifs, diarrhée,
troubles
menstruels. La partie inférieure du ganglion ce
n'y a plus de tremblement. La diarrhée a disparu. Il n'existe aucun
trouble
trophique. Pas de troubles vaso-moteurs. Le cou
La diarrhée a disparu. Il n'existe aucun trouble trophique. Pas de
troubles
vaso-moteurs. Le cou a diminué de 3 centimètres
l prétend que les lésions du nerf optique sont consécutives à des
troubles
circulatoires rétiniens et rétro-bulbaires, qui e
gt-un ans. Pas d'antécédents spécifiques prouvés. Il y a trois ans,
troubles
de la vue : signe de Romberg. Depuis lors, affa
rgent. Abolition des réflexes pupillaires, rotuliens et plantaires.
Troubles
de la sensibilité et des fonctions vésicales. E
rmal est conséquence d'une intoxication préexistante). - Pre- miers
troubles
mentaux (leur traitement dans les hôpitaux géné-
es illégitimes. Rôle de la primiparité, etc. 2° Epoque de début des
troubles
mentaux, et forme de l'aliéna- tion selon celle
de l'oeil. Malgré cette cyanose locale, la vision ne souffre aucun
trouble
chez ce jeune sujet. L'hippas dans la chorée.
dans lesquels la suggestion expressément dirigée conlre cer- tains
troubles
fonctionnels ayant échoué, l'amélioration, puis l
de stupéfaction, il joue facilement, avec entrain, sans hésitation,
trouble
ou appréhension; en même temps, ses idées noire
e est devenue une excel- lente institutrice et n'a souffert d'aucun
trouble
nerveux pendant dix-huit ans. Ces jours-ci, à l
e 1904 S24 faits divers. aggravation de catalepsie, anesthésie et
troubles
qui l'obligèrent à garder le lit deux mois dura
ajoute qu'au- cun des sujets qu'il a endormi n'a éprouvé le moindre
trouble
. L'interrogatoire terminé, M. Couchepin, procur
relation avec la première mens- truation, par Mucha, 350. Voir
Troubles
intellectuels. Con- sidérations sur la -, par C
la ligature des carotides, par Beutter, 485. Hémiplégiques. Du
trouble
de la marche chez les -, par Schuller, 338.
ektorsky, 170. MyopATHiE. Un cas de atrophi- que progressive avec
troubles
de la sensibilité, par Lamion et Po- rot, 57.
ançon, 495, chronique chez une épileptique, par Lan- nois. 493.
Troubles
. Voir Tumeurs. Aperçu médico-légal sur les ment
. Deux cas de du nerf auditif, par Lépine, 60. Voir Vomissements.
Troubles
au- ditifs dans les cérébrales, par Souques,
Les maladies du système nerveux, qu'elles se ma- nifestent par des
troubles
psychiques, sensoriels ou moteurs, offrent entr
yées par ce fait que les intoxications provoquées ne déterminent de
troubles
cérébraux que chez les sujets prédisposés : dan
dans les expériences de M. Moreau (de Tours) sur le haschich, les
troubles
psychiques n'ont été observés que chez les suje
on pathologique contribue à activer la dégénéres- cence. Certains
troubles
psychiques passagers peuvent, lors- qu'ils exis
rminer des états anor- maux non héréditaires, mais congénitaux. Les
troubles
nerveux et mentaux, si fréquents chez les sujet
er une forme mixte névro-psychopathique, en ce sens que souvent les
troubles
moteurs et sen- soriels, les phénomènes d'ordre
et d'ailleurs elles offrent parmi leurs manifestations de nombreux
troubles
psychiques. Les manifestations mentales de l'ép
quelquefois avant, sous forme d'aura psychique. D'autres fois, les
troubles
mentaux constituent à eux seuls toutes les mala
eptiques, quelle que soit leur forme, amène la démence. Outre les
troubles
mentaux qui font partie du mal comitial et ceux
appartienne légitimement la qualification d'hys- térique. Quant aux
troubles
psychiques qui se montrent chez les hystériques
permanents de l'hystérie que l'on qualifie d'hystériques ces divers
troubles
psy- chiques ; mais la forme de la psychose n'a
hystériques un tempérament fou, une véritable insanité morale, ces
troubles
mentaux ne sont pas un apanage nécessaire de la
ou de- viennent épileptiques, d'autres aliénés. La fréquence des
troubles
mentaux chez les crimi- nels, déjà constatée pa
iquent guère par l'atavisme, mais dont rendent fort bien compte les
troubles
du développement dus à des états morbides de l'
THIQUE. 19 Pascal ' a bien montré la réalité de la coexistence de
troubles
mentaux avec un grand développement intel- lect
bécillité sont des états anormaux de l'es- prit correspondant à des
troubles
de sensibilité psychique, quel est donc l'état
rie que nous avons déjà considérées, offrent dans leurs cours des
troubles
mentaux qui ne sont point considérés comme des
24 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. tuel. Nous voyons que, dans la chorée', ces
troubles
mentaux sont loin d'être rares. Dans la paral
le goitre exophthalmique avec lequel on voit souvent coïncider des
troubles
mentaux signalés par Solbrig, Geigel, Van Deuse
sur le tremblement sénile. (Thèse, 1S82.) '- G. Ballet. De quelques
troubles
dépendant du système nerveux central ob'e¡'vé,
développé de ce côté. Le torticolis pourrait donc être une cause de
trouble
fonctionnel du cerveau, et jouer un rôle dans l
vaso-motrice; cependant, il existe des exemples de transmission de
troubles
vaso-moteurs : Darwin cite l'hérédité de la pro
aison avec la paralysie générale, on a depuis longtemps signalé des
troubles
mentaux coïncidant avec le tabes ataxique (Horn
tion uni à un état lypémaniaque, apparaissant en général avec les
troubles
céphaliques du tabes et disparaissant avec eux,
ych., 187 ? lie série, t. XIV.) 3 Gruet. - Etudes cliniques sur les
troubles
intellectuels dans l'ataxie locomotrice. (Thèse
existe entre l'évolution anato- mique et la vésanie; pour nous, les
troubles
sensoriels n'influent que sur la forme du délir
leurs affec- tions cérébro-spinales, c'est que, quelquefois, les
troubles
psychiques se sont montrés avant les phéno- mèn
efois une maladie de famille °, et elle pourrait s'associer à des
troubles
mentaux 6. Observation LIX. - M. D... Paralysie
quarante-deux ans. La sclérose en plaques s'accompagne souvent de
troubles
psychiques que l'on peut grouper en trois ordre
otie par MM. Bourneville et Brissaud. D'autres se rapprochent des
troubles
mentaux de la paralysie [générale et peuvent s'
éveloppement de telle ou telle partie du système nerveux subisse un
trouble
quelconque, il y LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 43
fectés. Etal actuel (22 février 1882). - La malade, par suite des
troubles
de la vue et de l'impotence des membres est confi
ble pas y avoir à proprement parler d'atrophie musculaire. Pas de
troubles
du côté des réservoirs. Cependant, il y a quatr
r les douleurs (fulgurantes ou autres), et les diverses variétés de
troubles
sensitifs (hyperes- thésies et anesthésies); ce
taille moyenne et d'une intelligence ordinaire. Elle ne présente ni
troubles
nerveux, ni affections cons- titutionnelles ; e
ors des attaques et de l'état d'hypnotisme, nous n'avons observé de
troubles
de la sensibilité générale chez notre malade et
le est déterminée par la pression, mais il n'y a ni irradiation, ni
troubles
hyperesthé- siques ou vaso-moteurs de la peau;
J4 le recueil DE faits. étoulfrment. En même temps le malade voit
trouble
; il entend des «ding... ding... ding... » et ép
t passé. » Toutes les fonctions sont normales; il ne présente aucun
trouble
de la sensibilité générale et spéciale. Sa mère
testicules sur la production ou l'arrêt des attaques; l'absence de
troubles
de la sensibilité. V. Les expériences instituée
ues jours, on a temarqué chez l'en- i iO REVUE CRITIQUE. fant des
troubles
digestifs qui n'existaient pas à l'entrée; l'appé
mment con- vulsif ; il est, à ce titre, involontaire. Ce fait et le
trouble
mar- qué qui l'accompagne exige qu'on le consid
uvent agréable, se produit presque sans effort, n'intro- duit aucun
trouble
dans les fonctions digestives, ni dans l'as- si
changements dans la position de l'oeil apparaissant avec les autres
troubles
moteurs (perte d'équilibration du corps et mou-
te d'un choc sur le crâne. Cette lésion de la moelle allongée, ce «
trouble
bulbaire», expli- querait les symptômes de la c
occasion d'observer, dans le cou- rant de l'année, plusieurs cas de
troubles
de la parole, par paralysie des muscles articul
de l'aphasie. Le présent travail se divise en quatre parties. Les
troubles
de la parole par paralysie des muscles articu-
al peuvent donner lieu à deux variétés par- faitement distinctes de
troubles
de la parole. Si la lésion occupe le pied de la
six faits, nous ne dirons pas de glossoplé- gie corticale, mais de
troubles
divers de motilité de la langue par lésion des
a bouche et de la langue. La déglutition réflexe subsistait. Pas de
troubles
de la sensibilité de la peau, ni de la muqueuse
ssement de la motilité du côté gauche, sans atrophie musculaire, ni
troubles
de la sensibilité. Rien du côté des yeux. Ouïe
s sont souvent rejetés par le nez. Pas de paralysie faciale. Pas de
troubles
du côté des sens spéciaux (vue, ouïe, goût, odo
entué. Intelligence très af- faiblie ainsi que la mémoire. Pas de
troubles
de la respiration. Pouls régulier, sans inter-
miplégze des membres, , "'1 f ..1 ? 1 If n, '" \t -0 1 h avec des
troubles
etue tels que ceux que t on , * 1 f, "t' 1 / 1
e symptômes bulbaires qui font défaut dans la première. Ce sont les
troubles
du côté du larynx (af- faiblissement progressif
remonte le long du membre .' Pas ' de perte de connais- sance, mais
trouble
du langage, ne pouvant prononcer que des fragme
ours, le langage se réta- blit complètement. Vers la fin d'octobre,
troubles
du côté de la miction, l'urine s'écoulant goutt
5 décembre, nouvelle attaque avec perte de con- naissance suivie de
troubles
mentaux qui durent deux semaines. Actuellement
gé- nital* se rencontre fréquemment chez les sujets at- teints de
troubles
mentaux ou hystériformes. Nous avons noté plusi
du sys- tème pileux, par excès ou par défaut, coïncider avec des
troubles
nerveux ou psychiques. Ireland rapporte deux gé
lusion, peut- être prématurée, que' l'herpétisme"est le 'fait 'de
troubles
de l'innervation sensitive, motrice, mentale, v
erie et leur intensité ; la mort peut en être la conséquence. Ces
troubles
peuvent affecter le système nerveux central et
t à peu près exactement repro- duites dans la goutte '. Parmi les
troubles
prémonitoires, on rencontre fré- quemment le ve
veux dus à la lithémie. A côté du vertige, il faut placer parmi les
troubles
prémonitoires' : la gastralgie, l'irritabilité
outte et de la paralysie agitante dans la même famille. Parmi les
troubles
dits métastatiques que l'on voit le plus souven
qu'elles sont attribuables à des lésions vasculaires et non à des
troubles
spontanés du cerveau. Il en est cependant d'in-
ertain nombre de cas au moins, ces phénomènes sont dus à de simples
troubles
dyna- miques. L'hémiplégie accompagne quelquefo
sont plus sujets à ces sortes d'accidents, et il dit que quand les
troubles
cérébraux se manifestent, on trouve généralemen
goutte. Lynch rap- porte deux faits analogues, dont l'un d'eux, le
trouble
de la parole, s'accompagnait de convulsions mom
'un façon inopinée quand les jointures sont prises de nouveau. Le
trouble
mental le plus fréquent chez les goutteux est s
M. Potain '. Dans trois cas où il existait chez des lithémiques des
troubles
rappelant ceux de la sclérose disséminée, on au
le sans dépôts uratiques. Albers de Bonn cite plusieurs exemples de
troubles
de la motilité et de la sensibilité des membres
elles sont brusques et capricieuses, et souvent en rapport avec des
troubles
de la digestion ou des écarts de régime. A cô
., 1877, t. If, p. 28.) 5 Dyce Duckwortli. On insom711a and other
troubles
connectée ! willc sleep in persans ofgoztl ! l
r à l'ap- parition d'une attaque de goutte articulaire. Parmi les
troubles
sensoriels attribuables à la goutte, on a cité
rmi les troubles sensoriels attribuables à la goutte, on a cité des
troubles
de la vision. lllorgaui, Stoll, Barthez, Guilbe
he à la goutte par une parenté aujourd'hui bien établie, et que les
troubles
nerveux sont loin d'être rares chez les diabéti
anzes aacl Ga ? IS78, t. I, p. 401.) , D. Bernard etCh. Féré. Des
troubles
nerveux observés chez les dia- bétiques. (Arch.
'agrégation. Paris, ISSJ. 190 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. que tous ces
troubles
nerveux qui se combinent avec la goutte ou le d
o- niques n'agissent pas autrement lorsqu'elles détermi- nent des
troubles
nerveux psychiques, sensoriels ou mo- teurs ; e
plupart des maladies sont susceptibles de s'accompagner de quelque
trouble
nerveux chez les névropathes. L'arthritisme n'a
athèse névropathiques sont-ils deux états congénères résultant d'un
trouble
de la nutrition diffé- remment spécialisé ? C'e
malade, il y a dix-huit mois, en même temps que se sont montrés des
troubles
de la vision, de' la perversion des fonctions g
atteint également. Les mouvements de la face sont conservés. Pas de
troubles
de la sensibilité de la langue ni de la face. P
as de troubles de la sensibilité de la langue ni de la face. Pas de
troubles
circulatoires ni respiratoires. » M. Cuffer c
ras gauche de l'engourdissement et des fourmillements, sans aucun
trouble
de la motilité. Cet état a persisté pendant deux
gène pour parler et avaler ses aliments. Du côté des membres, des
troubles
se montrèrent aussi à gauche : perte presque co
nfé- rieur gauche avait recouvré son activité. Mais au bras les s
troubles
de la sensibilité et la parésie persistaient enco
vraisemblablement de l'hémiatrophie linguale comme de bien d'autres
troubles
, qu'on a cru tout d'abord exceptionnels, à l'ép
ière; atrophie de la papule au début a droite, s'accusant par des
troubles
fonctionnels sans modification appréciable du
sensation évidemment moins vive du côté droit que du côté gauche.
Troubles
dans la sphère du trijumeau. - Le malade n'a ja
jamais eu de douleurs fulgurantes à la tête, mais il a éprouvé des
troubles
sensitifs très marqués du côté droit. Ces trouble
il a éprouvé des troubles sensitifs très marqués du côté droit. Ces
troubles
occupaient la joue, la région temporale et le c
M. Cuffer on voit signalés, avec peu de précision, il est vrai, des
troubles
de la vision;' dans celui' de M. Vidal, une par
Au premier abord, on serait tenté d'invoquer l'appa- rition de ces
troubles
, dans la sphère motrice, contre la systématisat
llèle avec les phénomènes similaires de l'ataxie spinale. Or, les
troubles
que détermine le tabes dans le jeu normal des m
quelques faits anatomo- pathologiques. Le caractère transitoire des
troubles
moteurs, l'absence des phénomènes qui d'ordinai
Or, ces diverses atrophies musculaires qui amènent à leur suite des
troubles
fonctionnels irrémédiables, doi- vent, cela se
'avons examiné spécialement' à ce pointlde vue, l'exis- tence de
troubles
, de la sensibilité. dont quelques-uns persisten
s de la langue ou des muscles des yeux, on ne trouve relaté aucun
trouble
de la sensibilité. Nous pensons que ces trouble
ouve relaté aucun trouble de la sensibilité. Nous pensons que ces
troubles
n'ont pas'été suffisamment recherchés. Et il im
nir que, en présence de tous les cas de tabes se traduisant par des
troubles
moteurs ou tro- DE L'HG\IIaTROPIIIr nE LA LANGU
lité du ventricule dans laquelle proéminc, au milieu d'une sérosité
trouble
, un caillot fibrineux en forme de clou. La tête
endyme ventriculaire, la présence de ce bouchon expliquent bien les
troubles
apportés dans la sécrétion et la circulation du
rangée inférieure, mesurant Il millimètres. REVUE CRITIQUE DES
TROUBLES
URINAIRES DANS LES MALADIES DU SYS- TÈME NERVEU
nerveux, les or- ganes urinaires sont assez fréquemment le siège de
troubles
très divers par leur nature, leur siège et leur
ans les maladies du système nerveux en général, étudierons-nous les
troubles
urinaires du tabes dans un chapitre spécial.
es troubles urinaires du tabes dans un chapitre spécial. I. Ces
troubles
peuvent porter sur les fonctions de sécrétion o
plus ou moins permanente et peut persister des séries de jours; DES
TROUBLES
URINAIRES. 225 alors, malgré le ralentissement
aturie dans la maladie tic l'arkinson. Thèse de Paris, 1R7.1. DES
TROUBLES
URINAIRES. 229 Ces troubles peuvent se résumer
'arkinson. Thèse de Paris, 1R7.1. DES TROUBLES URINAIRES. 229 Ces
troubles
peuvent se résumer en deux groupes, rétention e
ement avec l'état apo- 230 REVUE CRITIQUE. plectique. Lorsque les
troubles
paralytiques se localisent, lorsque le sujet de
sujet devient hémiplégique, l'impuissance vésicale disparaît : les
troubles
vésicaux sont exceptionnels, même quand l'hémip
dégénération des faisceaux latéraux de la moelle n'entraîne pas de
troubles
des fonctions urinaires ; il 'est d'ailleurs co
es myélites aiguës ou subaiguës surtout de la partie inférieure, ce
trouble
est fréquent; il est même prédominant dans cert
ne telle rapidité, qu'il n'est guère possible de ne pas admettre un
trouble
t1'O- phique, d'autant plus qu'il se produit en
richsen. On concussion nf thespine, etc. l.mlon, 188Q, p. 6n. , DES
TROUBLES
URINAIRES. 231 pousser violemment, mais quand l
ui s'accompagnent de contracture des membres peuvent offrir ce même
trouble
de la miction. C'est, en général cette forme de
orsqu'elle est durable, détermine, au bout d'un temps variable, des
troubles
inflammatoires de la vessie. Si l'on n'y porte
efforts, la sensation du besoin est à la fois impérieuse et pé- DES
TROUBLES
URINAIRES. 233 nible. Tantôt il y a une sensati
conti- nence nocturne est parfaitement indépendante de tout autre
trouble
nerveux caractérisé contemporain ; mais fréquemme
ne se présente le plus souvent que d'une façon passagère. C. Les
Troubles
de la sensibilité varient de forme et de siège.
s tahétiques, mais qui semblent beaucoup moins fréquentes. b) Les
troubles
sensitifs des organes excréteurs sont plus vari
e, s'accompagne fréquemment d'incoordination vésicale, ce qui DES
troubles
urinaires. 235 semble indiquer que le sens musc
uréthrales de l'ataxie. Notons, pour terminer, ce qui a trait aux
troubles
de l'ex- crétion urinaire, les hémorrhagies vés
faisant, les différentes affections dans lesquelles on observe les
troubles
de la miction. Il convient de remarquer que ces
bserve les troubles de la miction. Il convient de remarquer que ces
troubles
n'existent d'une ma- nière continue dans aucune
arétique que d'une para- lysie proprement dite (Charcot,); n'y a ni
troubles
sensitifs, ni troubles trophiques, et il se pro
lysie proprement dite (Charcot,); n'y a ni troubles sensitifs, ni
troubles
trophiques, et il se produit souvent une modifica
s sur les maladies du système nerveux, t. II, 3e éd., p. 295. DES
TROUBLES
URINAIRES. 237 (Stephanini, Dieu, etc.) ou chez
. \\"" ¡. 1 .. fla ? \ " 1 . A. Dans l'ATAXIE locomotrice, les
troubles
de la sécrétion , ,'f l, t.tt" .JI ? ,..... l,
ous contenterons de rappeler que, chez les ataxiques qui ont eu des
troubles
vésicaux prolongés, on voit à fin de la vie se
olyurie d'abord limpide, puis pu- 1 C. Putnam. - Recherches sur les
troubles
fonctionnels des nerfs vaso- moteurs dans le ta
sensitif. Thèse, 1882. '23, . 1"E% UE CRITIQUE. rulente; mais ce
trouble
de sécrétion n'est pas en rapport avec l'affect
Signalés par Duchenne (de Boulogne), M. Charcot a fait figurer les
troubles
de l'excrétion urinaire à titre de symptômes or
es ataxiques ont eu, à une époque quelconque de leur maladie, des
troubles
de la miction ». Ces troubles sont très variés,
que quelconque de leur maladie, des troubles de la miction ». Ces
troubles
sont très variés, et ils ont été dans ces dernier
réhensif, n'étudie guère en réalité que l'ataxie locomotrice. Les
troubles
de la motilité du tabes sont, en grande partie
de l'urine; aussi étudierons-nous d'abord ces altérations. a) Les
troubles
de la sensibilité de l'urèthre et de la vessie se
ie, dysesthésie, et crises douloureuses, qui, comme tous les autres
troubles
urinaires, trouvent leurs analogues, non seulem
motrice d'origine syphilitique, 1882. , = Geffrier. - Elude sur les
troubles
de la miction dans les maladies du système nerv
la miction dans les maladies du système nerveux. Thèse, 1884. DES
TROUBLES
URINAIRES. 239 rarement en partie compensée par
nes génitaux au cours de l'ataxie locomo- trice. Thèse, 1882. DES
TROUBLES
URINAIRES. 'S4f 1 que la variété singulière de
cutif à des crises qui avaient surtout pour siège l'urèthre. b) Les
troubles
sensitifs commandent souvent, nous l'avons vu,
b) Les troubles sensitifs commandent souvent, nous l'avons vu, les
troubles
moteurs qui sont variables comme eux; mais de m
e la sensibilité, de même il peut-'exister du côté de la vessie des
troubles
paralytiques indépendants. Quoi qu'il en soit,
e est certainement l'affec- tion du système nerveux qui 'offre' les
troubles
les plus variés de la miction. ' t 1 . 1 1° L
e reste toujours vide est tout à fait rare. 3° Signalons enfin un
trouble
urinaire, sorte de combinaison de rétention etd
a dénomination plus vague d' incoordination vésicale, par ce que ce
trouble
n'est point spécial à l'ataxie, mais peut se ren-
itaire ou maladie de Z%riedreicla, cette maladie de famille qui DES
TROUBLES
URINAIRES. 1 243 par ses symptômes céphaliques,
céphaliques, se rapproche de la sclérose en plaques, tandis que ses
troubles
spinaux ont pu permettre de la confondre avec l
henne; les fonctions vési- cales ne sont nullement affectées. Les
troubles
des voies urinaires dans l'ataxie locomotrice p
vant d'avoir ses premières dou- leurs fulgurantes ; quelquefois ces
troubles
apparaissent avec les douleurs fulgurantes; mai
au cours de l'ataxie. Souvent dans les deux premières périodes, ces
troubles
sont t transitoires au même degré que les paral
une manière continue pendant des années et même définitivement. Les
troubles
d'excrétion qui arrivent à la troisième période
iode sont plus ou moins permanents et si nissent par déterminer des
troubles
inflammatoires de la vessie et du rein qui cons
ut ce qu'on peut dire c'est qu'il est des sujets qui présentent des
troubles
de la miction dont les voies urinaires sont int
tactes, ce sont des « faux urinaires », comme dit M. Guyon', et les
troubles
dont ils sont affectés reconnaissent pour cause
n. (Fiance médicale, t, I, 1882.) Sous ce nom, l'auteur décrit un
trouble
permanent du système nerveux, caractérisé par d
ale, t. I, 1882.) Cette observation est intéressante, parce que les
troubles
intel- lectuels (idiotie presque complète) étai
tie presque complète) étaient beaucoup plus consi- dérables que les
troubles
somatiques (hémiplégie faciale incom- plète et
out le côté gauche, accompagnée de vomissements et de vertiges. Les
troubles
mo- teurs ne durèrent que quelques heures, les
rtiges. Les troubles mo- teurs ne durèrent que quelques heures, les
troubles
sensitifs, au contraire, persistèrent une vingt
endineux, diminution quantitative de la réaction électrique. Pas de
trouble
de la sensibilité, nuls troubles aussi du côté de
e de la réaction électrique. Pas de trouble de la sensibilité, nuls
troubles
aussi du côté de la vessie ou du rectum. Atroph
associée pendant les dernières périodes de la vie, ainsi que les
troubles
de la parole qui ont notablement augmenté quelque
odeur de chloroforme répandue par l'haleine et l'urine des malades,
troubles
gastriques ou intestinaux : le tout aboutissant à
fit aucune difficulté de considérer l'acétonémie comme la cause de
troubles
nerveux. On raisonnait par analogie en assimila
et même à des hommes de fortes doses d'acétone sans observer aucun
trouble
notable et n'a pas mieux réussi à extraire l'ac
d'après lui, auraient subi une sorte de nécrose qui amènerait un
trouble
dans l'élimination des substances extractives et
de la mort en pareil cas n'est pas unique. Pour le premier groupe (
troubles
circulatoires graves, collapsus sans délire), i
a coïncidence de l'altération fonctionnelle des sens spéciaux et de
troubles
de la sensibilité des téguments qui les re- cou
ut d'abord la coincidence fréquente des symptômes tabétiques et des
troubles
psychiques de la para- lysie générale. Toutef
naires d'ataxie locomotrice progressive. Mais il est bon nombre de
troubles
nerveux autres que ceux de la paralysie générale
e nerveux des ataxiques est frappé d'une tare qui le prédispose aux
troubles
les plus variés ? C'est là un fait que M. Charc
re tardive en rapport avec une dégénération descendante (Féré). Les
troubles
de la sensibilité sont inconstants et variables
.), de chorée molle (West). Il existe en effet, dans la chorée, des
troubles
paralytiques plus ou moins complets ou étendus dé
s ou étendus déjà signalés par Bouteille, Todd, Trousseau, etc. Ces
troubles
parai} ti- ques qu'il faut distinguer du simple
considérer la négation systématisée, comme un délire greffé sur le
trouble
psycho-sensoriel, comme une interprétation mala
capsule renferme un faisceau dont les lésions se traduisent par des
troubles
intellectuels; A ces quatre faisceaux peuvent
est-à-dire du faisceau intellectuel) coïn- cident toujours avec des
troubles
purs et simples de l'intelligence, sans aucune
rare. D'autre part, l'aphasie peut exister et existe souvent sans
troubles
paralytiques, mais accompagné de troubles intel
et existe souvent sans troubles paralytiques, mais accompagné de
troubles
intellectuels. Dans le premier cas, le fais- ce
é et le faisceau intellectuel. 4° Lésions de la protubérance. Les
troubles
de la parole auxquelles donnent habi- tuellemen
nt habi- tuellement lieu les lésions de la protubérance, sont des
troubles
dans l'articulation des mots, par lésion du fai
des liquides). Réflexes conservés ainsi que la sensibilité. Pas de
troubles
de la vue, de l'ouïe, ni de l'odorat. Pas de pa
que réflexes et contractilité faradique. Pas de contractures ni de
troubles
trophiques. Paralysie complète de la jambe gauc
roubles trophiques. Paralysie complète de la jambe gauche. - Pas de
troubles
de la sensibilité. Exagération du réflexe patel
racture ni d'épilepsie spinale. Absence d'atrophie musculaire et de
troubles
trophiques. Contractilité électrique plutôt aug
is observations se trouve signalée une paralysie de la langue, avec
troubles
dans l'articulation des mots; dans l'Observatio
e deux à trois fois par an. En 1813, elle fut placée, à la suite de
troubles
intellectuels dans une maison de santé, d'où, a
La pie-mère, surtout dans sa portion antérieure, est hypérémiée,
trouble
et oedémateuse et se sépare facilement de la subs
jacentes et, au point de vue clinique, par des maux de tête et des
troubles
dans les fonctions des régions cérébrales corres-
onctions des régions cérébrales corres- pondantes, c'est-à-dire des
troubles
dans la motilité et dans l'activité intellectue
s dahs la vie psychique de la malade peuvent être expliqués par les
troubles
de la circulation du sang, provoquée par la tum
la rumination était héréditaire et qu'elle succédait parfois à des
troubles
de la digestion. L'observation suivante due à M
l'une simple ou idiopathique ; l'autre symptomatique et liée à des
troubles
dyspeptiques. Voici les caractères sur lesquels
serve un complexus symptomatique absolument opposé, dans lequel les
troubles
spasmodiques et paralytiques prédominent, alors
smodiques et paralytiques prédominent, alors qu'il n'existe plus de
troubles
de la sensibilité. Y a-t-il une ataxie locomo
idées de Charcot et Pitres sur le rôle de l'écorce occipitale. Les
troubles
de la motilité du côté droit sont en rapport av
généralisent, elles sont accompagnées ou suivies d'agitation, de
troubles
de la connaissance, de délire, de pleurs ou de ri
(renseignements incomplets sur ce point), évoluant sans douleur ni
trouble
de la santé générale. On signale à l'âge de vin
rt une légère attaque d'hémiparesie gauche bientôt disparue, et des
troubles
(trophiques ? ) qui ont amené la perte de l'oei
ais appellent mealle breack. Nous ne vous ferons pas l'histoire des
troubles
cérébraux dési- gnés sous le nom d'encéphalopat
mie de médecine, 1856), Hugenin (thèse 1876) ont fait ressortir les
troubles
intellectuels dus au dégagement du sulfure de c
sulfure de carbone (travail du caoutchouc); l'a- mélioration de ces
troubles
, après la cessation de la profession a été noté
onstaté chez des mi- neurs californiens. M. Delasiauve a relaté des
troubles
mentaux dans une famille exposée aux vapeurs de
zer a retrouvé le mercure dans les cerveaux. L'arsenic expose à des
troubles
intellectuels comme l'ont observé M. Lancereaux
le travail des écorces d'oranges dans cette localité, a décrit des
troubles
intellectuels qu'il attribue à l'essence d'aman
83) et M. Proust dans son Traité en rapportent chacun deux cas. Des
troubles
analogues ont été observés dans des fabriques de
s M. Jules Bergeron (1865) (Académie de médecine) a bien décrit les
troubles
intellectuels chez les ouvriers qui fabriquent
me groupe, nous avons réuni toutes les profes- sions exposant à des
troubles
d'ordre physique : froid brusque ou prolongé, g
chose surpre- nante, la seule nette que nous ayons pu trouver. Les
troubles
cérébraux désignés sous le nom de The horror (D
iénation mentale partempérature excessive ; toutefois rappelons les
troubles
cérébraux observés chez les ouvriers qui travai
dans les soins de la maison; ces vertiges dont la relation avec les
troubles
cérébraux est aussi bien démontrée font compren
pour les professions prolongées à un âge trop avancé, alors que les
troubles
organiques de la vieillesse rendent la professi
l'encombrement, l'insalubrité des ateliers et usines, ainsi que les
troubles
apportés au sommeil et au repas. ces auxiliaires
ressortissant à la sphère de distri- bution de la cinquième paire.
Troubles
de la parole se rappro- chant de ceux de la par
é de- se tenir debout et de mar- 36t SOCIÉTÉS SAVANTES. cher. Les
troubles
intellectuels étaient constitués par de l'affaibl
inquième qui, vers la fin de sa vie seulement, était en proie à des
troubles
psychiques, perdait l'usage complet de tous les
nérale. Mais l'origine de ces désordres doit être cherchée dans des
troubles
circulatoires insignifiants. Comme le dit M. Bi
a, pour la première fois, pénétré dans la connaissance. Quant aux
troubles
moteurs de la démence paralytique, les uns dérive
icaments, on est effrayépar les symptômes psychiques surajoutés aux
troubles
sensi- tifs, moteurs, etvaso-moteurs. A ce mome
nscience à l'égard des manifestations mor- bides, et la présence de
troubles
psychiques vrais. L'épuisement fonctionnel de l
vage. Un menu journalier très chargé déterminerait du dégoût et des
troubles
digestifs si l'on n'alternait les repas entre l
t, dans l'espèce, plutôt secondaire, et résulterait d'oedèmes et de
troubles
de la nu- trition dans le pourtour du noyau len
matique chronique. Les psychoses simples n'avaient en- gendré aucun
trouble
intra-oculaire. Trente-cinq cas d'affaiblis- se
a démence sénile qui, comme on sait, s'accompagne souvent d'un état
trouble
de la rétine. Sur trente épileptiques, quatre fon
re. Sur cinquante-quatre alcooliques, quatre présen- taient un état
trouble
de la rétine, quinze de la décoloration des moi
Sur cent paralysées générales, dix-sept offraient un fond de l'oeil
trouble
qui prouvait une modi- fication morbide de la c
révélait point l'origine anatomo-pathotogique. Somme toute, l'état
trouble
de la rétine se voit de beaucoup plus fréquemme
iagnostic de la paralysie pro- gressive, il nous apprend que l'état
trouble
de la rétine est parti- culièrement fréquent da
), t. VI, p. 404. SOCIETÉS SAVANTES. 379 sans qu'il ait existé de
troubles
delà vue. Toutefois, ceux-ci devront être cherc
udier la question de savoir si, et dans quelles circons- tances, un
trouble
psychique doit être considéré comme un motif de
convolution du corps calleux. M. Sakaki suppose qu'il s'agit d'un
trouble
circulatoire (stase), -ayant amené une transsudat
e) ; par Martinet. Thèse de Paris, 1884. Contribution a l'élude des
troubles
nerveux périphériques dans les entorses et en p
. Prix : 7 fr. Paris, 1881. J.-B. Baillière. KussMAuL (Ad.). -Les
troubles
de la parole. Traduit par le Dr A. RUEFF. Précé
hétose, 3.15. Ataxie (hémiatrophie de la langue dans l'), 191; - (
troubles
uri- naires dans l'), z24 ; - (hérédité nerve
Syphilis cérébrale, par Chante- messe, 249. Système nerveux (des
troubles
uri- naires dans les maladies du), par Féré,
umeurs tuberbuleuses du cerveau, par Heubner, 329. Urinaires (des
troubles
dans les maladies du système nerveux et en pa
e ocu- laire et des convulsions de celui-ci ; les yeux deviennent
troubles
, n'aperçoivent rien, le regard erre d'une ma- n
thologie du système dit cortico-extra-pyramidal com- prend tous les
troubles
de la sensibilité et de la motricité réflexes c
s hypo et abouliques, confusion- nels, stuporeux et démentiels, les
troubles
de la personnalité, de l'aflectiyité, etc. Cett
ite, une pa- résie faciale gauche et de la corde vocale gauche avec
troubles
de la phonation et de la respiration, delà rapi
é du pouls et des lésions du voile du palais. Ni incoordination, ni
troubles
vésicaux, mais paraplégie spasmodique avec réfl
urable et est dangereuse quand il y a (le l'artério-sclérose et des
troubles
vasomoteurs. Sclérose en plaques infantiles.
présentent une fillette de treize ans atteinte depuis trois ans de
troubles
de l'écriture, puis de lamar- che ; ébauche de
nien. Il y a ophtalmoplégie totale et paralysie faciale gauche sans
troubles
de la sensibilité. Syphilis probable ; lésion péd
e et d'as- surer le traitemenL individuel et continu aux adultes de
troubles
aigus ne manquera pas d'accentuer dans des prop
pressionnabilité, agoraphobie, anxiété, asthénie neuro- musculaire,
troubles
digestifs, vertiges, troubles de la sensibilité
anxiété, asthénie neuro- musculaire, troubles digestifs, vertiges,
troubles
de la sensibilité générale, troubles circulatoi
troubles digestifs, vertiges, troubles de la sensibilité générale,
troubles
circulatoires, tension artérielle, troubles de
a sensibilité générale, troubles circulatoires, tension artérielle,
troubles
de la vision et de l'ouïe. Nous ne suivrons pas
d'auto-intoxication. Ce sontordinairement les toxines provenant de
troubles
digestifs qui viennent impres- sionner les élém
taient de porter un diagnostic ; on n'explique pas, en effet, les
troubles
sphinctériens, on parle d'atrophie des mem- bre
éthy- Lisme habituel. Vers la fin d'av ril 190' ? , il éprouve des
troubles
dyspeptiques consistant en crampes d'estomac co
santé. Tête : Rien à noter. 'Tronc : Courbature lombaire, pas de
troubles
moteurs ou tro- phiques, les 3 points d'une név
es ; force musculaire bien conservée dans les autres segments Aucun
trouble
sensitif, subjectif ou objectif. Réflexes (des fl
muscles des mains et des avant- bras. ' n 0 Membres inférieurs :
Troubles
moteurs : Le malade marche avec peine et peu lo
haque mouvement semblant lui procurer des douleurs assez intenses. -
Troubles
sensitifs : Douleurs que l'exa- men montre être
xterne de la jambe droite, dans sa moitié inférieure, mais C'est un
trouble
léger, sans limites précises : peut-être aussi
té cutanée est légèrement émoussée à la plante du pied droit. Aucun
trouble
sensitif ailleurs : Trou- bles trophiques : Peu
s trophiques : Peut-être légère atrophie musculaire diffuse. Pas de
troubles
trophiques cutanés : Réflexes : Rotuliens légèrem
e des deux côtés. Pas de clonus, ni de contractions fibrillaires.
Troubles
sphinctériens : Une certaine lenteur et dilficult
semble pas di- laté ; constipation légère. Pas de lièvre, pas de
troubles
psychiques. Depuis la lin de janvier jusqu'à la
hémoptysies dans la jeunesse, grands excès alcooliques habituels,
troubles
dyspeptiques caractéristiques s'y rattachant, e
le. Les antécédents alcooliques du malade, l'intensité légère des
troubles
trophiques et moteurs dans les membres infé- ri
un tableau symptomatique constitué presque essentiellement par des
troubles
nerveux : dans le domaine des deux sciatiques c
qui entrent dans la constitution du nerf sciatique ; le manque de
troubles
sensitifs objectifs diffus et nets dans le terr
vé par les racines sacrées et lom- baires inférieures, le manque de
troubles
sphinctériens marqués, la légèreté des troubles
eures, le manque de troubles sphinctériens marqués, la légèreté des
troubles
moteurs et trophiques, peuvent bien relever du
ement du gauche. et, dans la lésion des 3e et 4e sacrées,les légers
troubles
vésicaux que le malade semble avoir présentés,
queue de cheval était bien plus évidente, bien plus complète ; les
troubles
moteurs, les troubles trophiques, les troubles
bien plus évidente, bien plus complète ; les troubles moteurs, les
troubles
trophiques, les troubles sensitifs objectifs, s
plus complète ; les troubles moteurs, les troubles trophiques, les
troubles
sensitifs objectifs, soit par leur intensité,so
tribution, plus caractéristiques ; presque toujours il existait des
troubles
sphinctériens ncts. Dans la majorité des cas, o
est une perturbation mentale, ayant des connexions intimes avec les
troubles
organiques. Ce n'est pas une vésanie ou une psy
organes premièrement envahis et quels rapports existaient entre les
troubles
physiques et les troubles psychiques. C'est enc
et quels rapports existaient entre les troubles physiques et les
troubles
psychiques. C'est encore l'observation qui nous
sent avant toute perturbation mentale. La mélancolie débute par des
troubles
physiques : courba- ture générale, faiblesse et
le moindre effort ; céphalalgie, bourdonnements dans les oreilles ;
troubles
vaso-moteurs, troubles digestifs ; constipation
halalgie, bourdonnements dans les oreilles ; troubles vaso-moteurs,
troubles
digestifs ; constipation, insomnie ou somnolenc
serve le ralentissement de la res- piration, de la circulation, les
troubles
gastro-intesti- naux. Mais le foie paraît être
foie est atteint dès le début, non de lé- sions saillantes, mais de
troubles
assez caractéristiques pour qu'ils soient recon
ctéristiques pour qu'ils soient reconnus cliniquement. Parmi ces-
troubles
, la cholémie tient la première place. Dans une
documents, qui démontreront que la mélan- colie est le résultat de
troubles
de tout l'organisme.et du foie en particulier.
- choses. ' Quant aux états mélancoliques, directement liés aux
troubles
hépatiques, ils sont également étudiés par cer-
la ponction, en guérissant le mal local, fait disparaître* les .
troubles
mentaux. Aussi conseille-t-il, dans tous les cas
dans cette étude, à démontrer que les mélancoliques présentent des
troubles
physiques et des signes cliniques, qui attesten
rattacher à une pigmentation due à une hématose incomplète. » Les
troubles
gaslro-intestinaux dominent souvent dans la cho
es, avec ou sans refroidis- sement et cyanose des extrémités. Les
troubles
objectifs du foie et de la rate existent et che
le huitohsenalions personne fies. Dans les cas cliniquement nets de
troubles
men- titin séiiiles, de démence arlério-scléreu
nctionnelle (3 cas, II ponctions), ou enfin de préciser l'espèce de
trouble
mental inhérent à la polynévrite cas,l ponc- ti
de ce dernier. Une femme atteinte de gomme ramollie du pharynx sans
troubles
ner- \eux, présente une énorme profusion de glo
ale de l'Ouest, 1904.) L'auteur étudie, sous ce fifre, une série de
troubles
trophiques accompagnant ordinairement lepseudo-
d'une affection mentale en par- ticulier et l'on peut observer ces
troubles
dans la paralysie géné- rale, la mélancolie sén
ui s'était graduellement développée sans per- te de connaissance ni
trouble
de la parole, mais après avoir été précédée lon
langue àgauche, une paralysie du voile du palais du même côté, des
troubles
de la déglutition, une atrophie bilatérale du ner
ans perte de connaissance. Ce n'est que plus tard qu'apparurent les
troubles
mentaux typiques et les symptômes locaux de la
. L'atrophie de la langue, l'hémi-paralysie du voile du palaiseLles
troubles
de la déglutition indiquaient déjà la méningite
re de la pupille.Contre eux plaide encore l'absence si fréquente de
troubles
du grand sympathique d'un autre ordre dans l'oe
de détaillée de 3 observations et des travaux des auteurs. 1. Les
troubles
de la sensibilité thermique et algique peuvent
ur 30 ; dans sept folies périodiques sur 18. Ce phénomène tient aux
troubles
physiques qui ont déterminé la maladie men- tal
t de la masse musculaire. Ces particularités sonten rapport avec le
trouble
du métabolisme de la myotonie [voyez Obozrénié
'IIEIGE, un parkinsonien atteint de tremblement des paupières et de
troubles
de la déglutition, chez qui le début par des ph
, et avoir évolué insidieusement jusqu'à ces derniers temps. Pas de
troubles
trophiques, quelques contractions fibrillaires
té normale. Anesthésie pharyngée, cor- nt : enne, anosmie... Pas de
troubles
pupillaires. Pas d'antécédents ni de stigmates
s pas pu retrouver la trace dans les commémoratifs. L'adjonction de
troubles
sensitifs, quelque en soit la nature, est à not
e parésie spasmodique avec amyotrophie des membres inférieurs, sans
troubles
cérébraux ni pseudo-bulbaires. L'angiosclérose
ire dans le membre supérieur avec contracture des fléchisseurs sans
troubles
électriques avec thermo-anesthésie croisée. Ils
t dcvenirun moyen d'in- vestigation médicale, au même titre que les
troubles
de la parole, de la marche, de l'attitude et de
s, par exemple, que la paralysie générale iL son début ; même les
troubles
de l'écriture, évoluant parallèlement à ceux de c
e désharmonie fonctionnelle, de déséquilibre mental, avec angoisse,
troubles
va- somoteurs ou secrétoires, incapacité foncti
oment de l'audition, le trac se manifeste avec tout le cor- tège de
troubles
énoncés ci-dessus ; dans l'intervalle des audi-
- mentes séniles avaient également des parents ayant présenté des
troubles
mentaux dans leur vieillesse. Enfin la tante mate
ans une deuxième partie, la réédu- cation motrice, d'abord dans les
troubles
delà coordination (ata- xie). La méthode consis
diquée pour mettre en jeu des suppléances naturelles et pallier les
troubles
fonctionnels, et aussi pour lutter contre l'amn
ation dans le traitement des tics (affec- tion qui consiste dans un
trouble
portant à la fois sur le système moteur et sur
immobilisation des mouvements (Brissaud). La rééducation dans les
troubles
du langage s'adresse à l'apha- sie, la surdi-mu
us ou moins durable : il s'agit donc d'éduquer la volonté. Pour les
troubles
de l'appareil respiratoire, il faut réapprendre
hérie- quepar les mouvements passifs des membres, le massage. Les
troubles
des fonctions d'émonction ne peuvent faire appel
re domicile en elle. Généralement, elle commence par éprouver des
troubles
ner- veux, tels que douleurs en diverses partie
réoccupations, des sensations réelles ou imaginaires S'agit-il d'un
trouble
intellectuel, d'une obsession psychique, d'une
chique. L'hypochondriaque grossit dans son imagination les nombreux
troubles
fonctionnels qu'ils ressent comme nous autres :
structurales ou chimiques; il est même dangereux de rechercher les
troubles
périphériques locaux chez les hypochondriaques,
curieusement illustrée par le ré- cent mémoire de Head sur certains
troubles
mentaux qui ac- compagnent les affections viscé
l'ouïe ou de l'odorat. Chez tous les malades qui pré- sentaient ces
troubles
mentaux (Inobservations dont aucune ne fut suiv
quait, au contraire, chez tous les cardia- ques et tuberculeux sans
troubles
mentaux, serait donc la cause directe des modif
t en dehors de la cons- cience et nous restons ignorants des légers
troubles
de son fonctionnement ; maissi, dans les troubl
orants des légers troubles de son fonctionnement ; maissi, dans les
troubles
graves et prolon- gés, la douleur viscérale réf
ont supprimé la distinction nettement établie par Ilead entre les
troubles
mentaux des véritables aliénés etceux des cardiaq
end les liens étroits qui unissent les états hypochondriaques aux
troubles
coenesthésiques.. · Tout le monde admet l'exist
liénistes ET neurologistes. giques, on peut établir l'existence des
troubles
viscéraux dans l'hypochondrie à l'aide d'un gra
rs des travaux de Ilead, beaucoup d'observations confirment que les
troubles
sensitifs de la paroi révèlent la lé- sion visc
iques des tabétiques, la dilatation d'estomac, etc.). En outre, les
troubles
locaux des nCllrasthéni- que et des hypochonclr
ique de la paralysie générale, caractéri- sée par la coexistence de
troubles
viscéraux et de concep- tions hypochondriaques.
A côté de tous ces faits qui établissent nettement l'existence des
troubles
viscéraux dans les états hypochondriaques, il c
influence souvent- considérable que prennent, dans certains cas les
troubles
proprement psychi- ques. Il ne suffit pas,en ef
roprement psychi- ques. Il ne suffit pas,en effet, de présenter des
troubles
orga- niques pour aussitôt devenir hypochondria
t pas dire que le délire hypochondriaque soit dû exclusivement à un
trouble
fonc- tionnel du cerveau (hypochondrie essentie
ssaires et suffisantes : une constitution psychique spéciale et des
troubles
coenes- thésiques. Ces deux facteurs pathogéniq
ions, en particulier dans l'alcoolisme ' chronique, l'intensité des
troubles
de la sensibilité générale explique la fréquenc
tion. 4° A côté des paranoïaques, à interprétations délirantes, à
troubles
hallucinatoires, etc., il existe un groupe de î)s
dominant, il importe de ne pas négliger néanmoins le traitement des
troubles
locaux réels et indispensables pour de l'hypoch
NGRÈS DES MEDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. proportion avec les
troubles
coenethésiques accidentels, il est permis de co
t parfois absolument identiques. M. Régis a recherché,lui aussi,les
troubles
de la cénesthésie chez les hypochondriaques par
l'inlerprélalion, par un cerveau prédisposé à l'introspec- tion de
troubles
soniatiqucs réels », et aussi « que lous les ét
ntale qu'il fera de son état deviendra morbide; il en résultera des
troubles
mentaux, qui pourront, dès lors, le mener ul'in
upprimant la lésion pourra, par voie de conséquence, mettre fin aux
troubles
mentaux, c'est la voie ouverte l'espérance, mai
Etal local. Reste l'étude de l'état local. Dans certains cas, les
troubles
viscéraux sont grossièrement symptomaliques.Le
es lésions concomitantes des annexes ? P Dans ce dernier cas, les
troubles
fonctionnels sont-ils exac- tement en rapport a
r la nature de la lésion et de déterminer l'importance réelle des
troubles
fonctionnels. M. DFNY (de Paris). - Sans méconn
ke, Sol- lier, Luciani, Tamburini, etc.. Or c'est avant tout à un
trouble
, à une perturbation fonc- tionnelle de cette cé
doctrines tout à fait opposées pour expliquer la genèse de certains
troubles
mentaux et c'est à ce titre seulement qu'ils on
e bien difficile d'apporter quelque rigueur dans la re- cherche des
troubles
de la sensibilité chez les aliénés, puisqu'on e
es dans trois catégories distinctes, selon que : il). L'idée d'un
trouble
de la santé et l'idée de persécution évoluent p
firmer qu'elles réagissent notablement l'une sur l'autre ; B). Le
trouble
imaginaire de la santé est considéré par le suj
le sujet comme résultant des persécutions qu'il a subies ; C). Le
trouble
de la santé est considéré par le sujet comme le
s ici, conservées ab- solument normales. Valeur séméiologique des
troubles
pupillaires dans les affections cérébro-spinale
s dans les affections cérébro-spinales. DI' JocQS (de Paris). Les
troubles
pupillaires s'observent le plus souvent dans le
tabétiques. Mais tous les tabétiques ne sont pas syphilitiques. Les
troubles
pupil- laires sont ceux qui sont constitués par
accommodateur, ou des deux à la fois.) Les lésions causales de ces
troubles
pupil- laires dans la syphilis sont rarement d'
ouvent d'origine basale. Ils n'ont rien à voir avec le tabès. Les
troubles
de la paralysie générale sc rapprochent beau- c
eux de la syphilis. L'inégalité pupillaire correspond toujours à un
trouble
dans la motricité de l'iris. Le signe d'Argyll-
» semble devoir être remplacée par ces mots : « ne présente pas de
troubles
nerveux carac- térisés ». Cette modification a
ou moteurs. Peut-être même, dans les rares observations où quelques
troubles
nerveux localisés et rayonnants au loin de la p
degrés. Les signes de la névrite se ré- vèlent par la douleur, les
troubles
trophiques, moteurs, sen- sitifs, objectifs, pa
d'immobiliser le membre atteint, les variations topographiques des
troubles
de la sensibilité objective, et surtout par l'a
au- cun phénomène douloureux (un peu d'engourdissement) ; pas de
troubles
sphinctériens. " Lorsque je vois pour la premiè
is le signe de Babinski. Tous ces paralytiques généraux avaient des
troubles
de la marche depuis le simple tremblement des j
g existait au début de la paralysie générale, il n'y y avait pas de
troubles
de la marche et l'on peut admettre qu'il tradui
u dans la moelle tout à la phase de début, alors qu'il n'y a pas de
troubles
de la marche ; moins rare à la phase d'état, il
xiste fréquemment la phase finale pendant laquelle apparaissent les
troubles
de la marche qui peuvent même confiner le malad
us, une évolution rapide de la maladie et l'apparition prochaine de
troubles
médullaires. 202 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNIS
elconque,elle parvient à occuper l'attention,peut être l'origine de
troubles
vasomoteurs amenant eux-mêmes des réactions émo
yeux n'apparaît dans aucune autre occasion. Dis- cussion du cas. Un
trouble
émotif paraît bien être à la base du trouble va
- cussion du cas. Un trouble émotif paraît bien être à la base du
trouble
vaso-moteur, indépendant de l'émotion subsé- qu
de notre obser- vation, doivent être, à notre avis, attribués à un
trouble
mé- canique de congestion passive, favorisé d'a
sur les ictus épileptiformes de certains paralytiques et sur leurs
troubles
de nutrition (escarres, maux perforants, etc.)
l'ac- coutumance en est faible et sa suppression n'entraîne aucun
trouble
appréciable. Le mauvais goût en peut être facilem
. » La rage est unefolie infectieuse. M. l'IERRE'C (de Lyon). Les
troubles
de la sensibilité sont MOUVEMENTS INVOLONTAIRES
es sensitifs à tous les étages du système centripète. L'étude des
troubles
intellectuels chez les tabétiques à né- ,rites
e l'infection et des actions à distance, de sorte que l'étude des
troubles
psychiques et sensitifs chez les rabiques éclaire
(Bonnefous) ou d'acide phénique (Reinhard) contribuera à parer aux
troubles
dys- trophiques des tissus (eschares, phlegmons
ophiques des tissus (eschares, phlegmons, etc.), lorsque d'au- tres
troubles
organiques ne viendront pas contre-indiquer l'e
ppliqués quand l'état général, très défectueux, s'ac- compagnera de
troubles
profonds de la circulation (cyanose, refroidiss
lose au début, les accidenls dus à la scrofule, au lymphatisme, les
troubles
circulatoires (engelures, gonflement des pieds
ONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Une observation de
troubles
mentaux liés à l'existence de lésions chronique
ves à des accidents syphilitiques secondai- res de cette région les
troubles
mentaux le plus habituelle- ment observés au co
état d'anxiété marqué. Surceca- nevas sont venus se broder d'autres
troubles
délirants ou des interprétations erronées qui o
MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. constate objectivement aucun
trouble
en plus ou en moins des sensibilités. Il s'agi
t, et accepte la présidence du Congrès de Lille. ' Observation de
troubles
mélancoliques d'origine t"hino-pharyngienne. -
l- culaire pyramidale, comme le veulent certains auteurs, qu'à un
trouble
mécanique de congestion passive, favorisé d'ail-
et l'on pourrait croire qu'il n'existe, chez ces malades, d'autres
troubles
respiratoires que les troubles laryngés. En réa
n'existe, chez ces malades, d'autres troubles respiratoires que les
troubles
laryngés. En réalité, il n'en est point ainsi et
il déprimer le thorax lors- qu'il se dilate.Nous avons observé des
troubles
correspondant aux fonctions de ces trois groupe
, et qu'ils' se gonflent dans l'expiration. Les conséquences de ces
troubles
sont : A) l'in- suffisance respiratoire, avec l
ns diges- tives, la constipation, la gêne de la miction et tous les
troubles
abdominaux qui résultent de l'insuffisance' dia
rissement, l'émaciation des masses musculaires thoraci- ques et les
troubles
respiratoires que nous venons d'énumé- rer.- Da
e ou compromise chez lesataxiques. Il est possible de traiter ces
troubles
moteurs par des exercices méthodiques. On peut
e, la bonne volonté de l'ataxique bien guidée peuvent triompher des
troubles
que nous venons de décrire. Dans les cas que no
- Les accès périodiques des folies intermittentes, de même que les
troubles
mentaux qui se substituent fréquemment aux accè
ET NEUROLOGISTES. anatomo-clinique d'un malade, âgé de 28 ans. Ses
troubles
ont débuté par des vertiges. Une fois, le verti
es, l'atrophie est surtout la conséquence de deux facteurs : 1° les
troubles
vaso-moteurs ; 2° la perte du tonus musculaire.
tre de commun l'élévation de la température du côté atteint par les
troubles
moteurs, il existe également, outre les autres
ontrent l'importance des altérations thalamiques dans la genèse des
troubles
de la sensibilité dans les lésions LÉSIONS DU C
tation ? ) du thalamus. Dans ce cas, il pourrait servir avec les
troubles
de la sensibilité (objectifs ou subjectifs, et pe
a sensibilité (objectifs ou subjectifs, et peut- être avec certains
troubles
de la mimique à faire diagnosti- quer une lésio
e dans les asiles, de la promiscuité où se trouvent les malades, du
trouble
apporté au sommeil de chaque aliéné par le brui
256 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE BEKOX. Les
troubles
psychiques chez les hémiplégiques orga- niques
ALE Sur un cas de délire métabolique de la personnalité lié à des
troubles
de la coenesthésie ; Par G. DEXY et PAUL CAMU
ntinuellement sur sa situation, se reproche sa conduite, etc. Ces
troubles
s'accentuant, M... entre pour la première fois al
certain degré d'amaigrissement ayant coïncidé avec l'apparition des
troubles
psychiques. On ne noie rien d'anormal du côté d
où elle semble un peu diminuée. Pas de zones hystérogènes, pas de
troubles
des sensibilités spéciales. Légère exagération de
affection, la malade n'a attiré notre attention sur l'existence de
troubles
viscéraux, digestifs, respiratoires, etc. : aux
sure que se développent et s'amplifient les idées délirantes. Aux
troubles
de la perception interne s'ajoutent des trouble
délirantes. Aux troubles de la perception interne s'ajoutent des
troubles
de la perception externe : les personnes et les
- quels nous nous sommes appuyés récemment pour inter- préter les
troubles
psychopathiques d'une malade qui, sans croire à
nous venons de faire allusion, nous pensons qu'en l'absence d'aucun
trouble
objectif de la sensibilité, d'aucun signe d'une
altérations de l'affecti- vité et de la sensibilité morale. ' Le
trouble
de la cénesthésie cérébrale ayant envahi peu à
les deux cas sont dues uniquement à ce que dans l'un il s'agit d'un
trouble
a ou hypo, et dans l'autre d'un trouble para de
ue dans l'un il s'agit d'un trouble a ou hypo, et dans l'autre d'un
trouble
para de la cénes- thésic. Une même formule peut
sfigurée du monde extérieur. En faisant jouer le principal rôle aux
troubles
de la cénesthésie cérébrale dans la genèse du d
«que les idées hypochondriaques dénégation sont en rapport avec des
troubles
cénesthésiques, se relient ' 1 il l'altération
n a été critiquée dernièrement par 1\1.P. Bonnier (3) pour qui « le
trouble
par lequel certaines par- ties de nous-mêmes ce
alcation faite de leurs éléments accessoires, commè des exemples de
troubles
hypo et parafonctionnels de la somatopsyché des
ent d'apparition. Division. Dans toutes les in- fections aiguës,les
troubles
psychiques peuvent apparaî- tre à quatre moment
oxication qu'il faut surtout re- courir pour combattre et guérir le
trouble
mental. Parmi les indications spéciales, celle
r au malade un sommeil assez profond et assez prolongé pour que les
troubles
délirants et hal- lucinatoires ne puissent s'y
ce n'est guère que depuis les grandes épidémies récentes que les
troubles
psychiques de l'influenza ont été étudiés. Citons
ment dite et quelquefois même assez tardivement qu'apparaissent les
troubles
psychiques. Aussi a-t-on vu dans ce délire un p
les sont rares et jamais complètes, nous pouvons observer que des
troubles
partiels de la connaissance sont attachés ,à des
e sont confondues (1). Les altérations de la conscience liées à ces
troubles
organiques sont analogues à ceux observés chez
nce et finit l'homme raisonnable, qui fixera la part réservée aux
troubles
microscopiques et aux troubles macroscopiques d
ble, qui fixera la part réservée aux troubles microscopiques et aux
troubles
macroscopiques dans les altérations de la menta
xacte, nous disons que l'absence d'écorce cérébrale peut, comme les
troubles
des voies conductrices, produire le phénomène d
hicr antérieur n'est pas dû, comme on pourrait le sup- poser, à des
troubles
secondaires du faisceau pyramidal, puisque ce m
ce de pareils faits démontrerait d'autre part que c'est plutôt à un
trouble
fonctionnel, suite d'une lésion organique du ce
sceau pyramidal n'est pas indispen- sable, pas même nécessaire ; ce
trouble
fonctionnel peut être réalisé par intoxication
lésion matérielle du faisceau pyrami- dal, mais qu'il résulte d'un
trouble
fonctionnel de ce faisceau. » (I\RIXESCO, ibide
teux au huitième mois. Au neuvième, il devient évi- dent (2). Les
troubles
que nous observons chez les Jacksonnicns opérés
pérés peuvent se retrouver, moins nets il est vrai, dans des cas de
troubles
organiques du faisceau pyra- midal. L'organe ce
Marinesco pour notre conception de la conscience est accrue par les
troubles
de perception que l'on observe chez les deux su
s nécessaires. Enfin, nous avons réservé un caractère spécial des
troubles
observés chez nos Jacksonnicns opérés pour le r
animaux ne perdent pas définitivement la faculté de marcher, les
troubles
primitifs de la motilité s'effacent avec le temps
de la na- ture myopathique de la maladie de 'l'homsen. F. T. Il.
Troubles
vasomoteurs chez une hystérique ; par GENÉVRIER
asthénie sans atrophie, sans réactions électriques anormales, sans
troubles
de la sensibilité, de la réflectivité ni des sp
e parles membres inférieurs; douleurs lombaires, localisation des
troubles
de lasensibiliLé aux membres inférieurs, diminuti
t'mha¡'dt. Centralbl. f. Neurologie 1889, n 2.) Enfin, en dépit des
troubles
trophiques les plus accusés et des lésions avan
. Il y a perte du sens stéréognoslique de la main gauche sans autre
trouble
des autres modes de la sensibilité qu'une ano-
iitienttlans la psychose de Korsakow peuvent être le résul- tat des
troubles
fonctionnels. P. K. XIV. Poliomyélite antérieur
il y a de la dyspnée et une température abondante et fétide. Les
troubles
du système neuro-musculaire sont variables, il y
t un élément étiologique. Le pre- mier consiste dans un ensemble de
troubles
psychiques et ner- veux de nature hystérique et
ujets réellement trauma- tisés les blessures ont été légères et les
troubles
nerveux ou psychiques nullement en rapport avec
suppose pas de prédisposition névro- pathique manifeste. Enfin, les
troubles
digestifs ne jouent qu'un rôle secondaire ; ils
ningites insidieuses qui nedonnent naissance chez l'adulte qu'à des
troubles
mentaux ; chez l'enfant, elles provo- quent sou
he la tête inclinée, le corps penché. (Fia. 19.) 1 Juin. - Pas de
troubles
vaso-moteurs. Affaissement phy- sique de plus e
années par des doses énormes de boisson qui ne présentent point de
troubles
psychiques, tandis qu'un simple appoint pousse
s son mariage, elle eut une métrite, qui fut le point de départ des
troubles
névropa- thiques. Les préoccupations tournèrent
ut rendu à sa femme. Pendant 8 ans, il ne donna plus aucun signe de
troubles
psy- chiques. En 1900, il fut repris d'une dépr
ns les cas de guérison de mélanco- lie que nous avons observés, les
troubles
du foie ont dis- paru en premier lieu ; la chol
veau, dans laquelle le foie est atteint avant toute dépression. Les
troubles
et les lésions du foie pa- raissent influencer
presque identique pour les mélancoliques et les cltulémiclues. Les
troubles
gastro- intestinaux étant semblables dans les d
Enfin, l'analyse exacte des laits montre que. le plus souvent, les
troubles
intel- lectuets ne sont pas précoces, mais cons
de la Salpétrière, l\)04, no 6.) L'ulcération esl l'aboutissant de
troubles
d\; : trophiques prémo- nitoires, qui sont Fér)
tion en raison de leur inertie organique (1). F. Tissot. III. Des
troubles
de la lecture, de la parole et de l'é- criture
pratique à une indépendance réciproque de ces deux facteurs, car le
trouble
physique traduit souvent du même coup un foncti
ation des mots, qui sont les tnê- mes pour la lecture à haute voix (
troubles
arthrolevitlues)que (1) L'hydrothérapie locale
3.). REVUE DE PATHOLOGIE. lENIALE. 3ci5 pour la parole spontanée (
troubles
arlhrnlaliques) reconnaissent comme principale
l et, oublient vite ce qu'ilslisenf, aussi lisent-ils fort peu. Les
trouble
* oiil fi-ail à la monotonie du débit, au choix
ut savoir qu'il Il'y a aucun rapport constant entre l'intensité des
troubles
du langage et de la déchéance in- tellectuelle.
gage et de la déchéance in- tellectuelle. Comme les précédents, les
troubles
calligraphiques trahissent un défaut dans la co
éfaut dans la commande ou l'obéissance du sys- tème musculaire. Les
troubles
p·cltograp11111ueJ concernent les idées exprimé
processus synchrones. C'est celte ·weriu rlui est supprimée par des
troubles
fonctionnels de nature, inconnue. Et la décaden
des ca ? le phénomènes nerveux, surtout au il( ? but, masquent les
troubles
pulmonaires aussi bien pour le ma- lade que pou
ion à la fois corticale et, sous-corticale qu'il faut rattacher les
troubles
du langage, ce qui est d'ailleurs conforme il l
omme un ataxique, rarement comme un cérébelleux. On renconlre des
troubles
trophiques : tendance aux suffusions 408 BIBLIO
te l'{'I l'ohulhail'e 3lrcolirlue, ou de névrite optique l'aie; les
troubles
papillaires, le nystagmus. ne sont également po
cement des dents, rapidité du pouls par rapport à la tempe- rature;
troubles
de la respiration et de la déglutition. Enfin tro
geration (en certain point) du processus pathologique diffus. Les
troubles
du langage consistent en accrocs transitoires, en
avec ce texte. Du côté de l'écriture et de la copie, on trouve des
troubles
ana- logues, mais le plus souvent s'agit de tro
on trouve des troubles ana- logues, mais le plus souvent s'agit de
troubles
amnésiques (le malade oubliant des mots ou ne s
ons nombreuses), l'agraphie où laparagraphif sont plus rares. Les
troubles
du jugement se manifestent sous forme de cécité
d'anorexie psychique ou sous celle d'asymbolie uu d'agressie. Ces -
troubles
agnostiques débutent souvent par une attaque ap
uelque temps dépassé Cbarlres, quand la jeune fille, sujette il des
troubles
cérébraux, alla s'enfermer dans les uater-closc
s divers facteurs répondit une étape de l'histoire pathogénique des
troubles
médullaires au cours du mal de Pott ; il ne nou
locales mais encore des lésions il distance par l'intermédiaire de
troubles
circulatoires (stase et oedème). Cette manière
tte manière d'agir de la compression osseuse principalement par des
troubles
circulatoires est aussi invoquée par STROEBE (/
'une telle flexion et une telle tension suffisent pour apporter les
troubles
de nutri- , i (1) (;HtP.ltJI.T.-( : Iriruryir
osseuse relativement lente, en partie aussi par l'intermédiaire de
troubles
circulatoires, est un fait qui tend il être adm
aires est joué par la péri-pachyméningitc pur l'inter- médiaire des
troubles
circulatoires qu'elle produit, que lamoellc soi
isante pour compri- mer directement la moelle, elle y a produit des
troubles
circulatoires. Il est donc évident que,dans les
ment le premier en date des lésions médullaires consiste dans les
troubles
circulatoires amenés par la compres- sion. - (
irait sur elle, selon la majorité des auteurs, uni- quement par les
troubles
'Circulatoires qu'elle \,amène. Ces troubles ci
uni- quement par les troubles 'Circulatoires qu'elle \,amène. Ces
troubles
circulatoires peuvent être d'ordre divers : sta
voies sanguines et lymphatiques ell'érentes ; dans les deux cas. le
trouble
cir- culatoire est simplement l'effet mécanique
qui pourrait être invoquée aussi bien seule que conjointement à des
troubles
circulatoires d' ordre mécanique pour expliquer
guine, ne donnent pas le droit d'interpréter comme con- séquence de
troubles
ischémiques. Pour ces cas, les trou- bles circu
ertain rôle dans la grande majorité des cas de mal de Pott où les
troubles
circulatoires mécaniques semblent suffire à exp
ne lésion nerveuse, comme le ramollisse- ment, est produite par des
troubles
circulatoires mécani- ques ou par un processus
elle dans 4 cas de mal de Pott. chez des malades ayant présenté des
troubles
médullaires. Ces cas ont été recueillis dans la
La rétention disparaît et t'ait, place à l'incontinence. Egalement,
troubles
du cûlé du rectum : il y a de l'incontinence de
phénomène de l'orteil en flexion à gauche, en extension à droite) ;
troubles
sphinctériens (incontinence anale et W sicalu)
rès fortes de température : persiste l'abolition des réflexes ; les
trouble
» sphinctériens (rétention alternant avec l'incont
es comme l'expression d'une lésion des racines postérieures par des
troubles
circula- toires (stase) au niveau de la moelle
s d'investigation. Cette lésion serait produite, selon lui, par des
troubles
circulatoires dus à la compression des artères
orBon s, pOUl' notre cas, il dire que nous n'avons pas constaté ces
troubles
cir- culatoires dans la moelle inférieure. , '
pas de clonus du pied, phénomène des orteils indifférent : pas de
troubles
delà sensibilité (réserves pour l'état mental del
sensibilité (réserves pour l'état mental delà ma- lade) ; jamais de
troubles
sphinclériens. Mort le '23 mai 1',)0. Autopsie.
encore que la compression osseuse a ici agi plutôt en amenant des
troubles
de nutrition diffuses de la moelle, par l'intermé
oubles de nutrition diffuses de la moelle, par l'intermé- diaire de
troubles
circulatoires, que par action mécanique directe
des racines postérieures, celles-ci restant intactes, ni par des
troubles
ischémiques, les vaisseaux ne présentant d'alté
admettre que cette dégénération des cor- dons postérieurs relève de
troubles
circulatoires secon- daires à la compression de
ingite, les conditions né- cessaires et suffisantes pour amener des
troubles
circu- latoires d'ordre mécanique, capables d'e
rop faible et trop limitée pour ex- pliquer par la seule action des
troubles
circulatoires mé- caniques les altérations obse
donnent à penser que, même pour ceux où la présence et l'action des
troubles
circulatoires mécaniques provoqués par la pachy
sait ainsi contraste avec les dimen- sions exagérées delà face. Des
troubles
visuels comme Le sang dans l'acromégalie et le
ications hématopoiétiques distinctes af- férentes à l'un et l'autre
trouble
somatique. Les prélèvements du sang ont été mul
ans doute plus exact. Le bouil- lon garde un certain temps ce léger
trouble
uniforme, (1) L.MiEnnE.CowM-)'MdM< ? Société
tation, mais je tiens dès maintenant il attirer l'attention sur des
troubles
vaso- moteurs qui m'avaient échappé et qui parl
deux poumons, les ganglions trachéo-bronchiques et qui présenta des
troubles
de la démarche du type cérébelleux, des vo- mis
e crisesl'épilepsie jacksonnienne limitées adroite, de vertiges, de
troubles
de la démarche avec rétropulsion et latéro- pul
ez porté à supposer que les suppurations peuvent (téter ? miner des
troubles
intellectuels se manifestant surtout par de ' i
délire sans le secours du chirurgien. J'admets, cependant, que tout
trouble
somatique peut avoir un retentissement fâcheux su
visuelles, mais avec des hallu- cinations verbales auditives et les
troubles
somatiques de l'éthy- lisme réduits au minimum.
céd partiellement, surtout à gauche. Les réflexes sont normaux, les
troubles
delà sensibilité ont com- plètement disparu. At
xes rotulicns et achil- léens, signe de Babinski. Nystagmus; pas de
troubles
sensoriels. Douleurs et troubles de la sensibil
gne de Babinski. Nystagmus; pas de troubles sensoriels. Douleurs et
troubles
de la sensibilité générale.' Pas de troubles tr
ensoriels. Douleurs et troubles de la sensibilité générale.' Pas de
troubles
trophiques. Instabilité mentale. Lésion cérébel
s'estattaclié à mettre en lumière dans plusieurs leçons -- que les
troubles
de BIBLIOGRAPHIE. 493 l'écriture jouent un rô
dessin, et des centres qui président à l'élaboration des idées, les
troubles
calli et psy- chographiques fournissent en effe
copie ou sous dictée. L'auteur y passe successivement en revue les
troubles
calligra- phiques élémentaires, c'est-à-dire l'
ire qui peut être lui-même défi- intif ou transitoire. Les autres
troubles
calligraphiques élémentaires étudiés dans celle
l'arriération et la dégénérescence men- tale, etc., etc. ' , Les
troubles
graphiques particuliers à chacune de ces affectio
oup d'aliénés pour exprimer leurs conceptions délirantes ou leurs
troubles
sensoriels. Ces dessinssont quelquefois de simp
iers, ont une localisation mal déterminée, ne s'acompagnent d'aucun
trouble
de la sensibilité et ne sont mo- difiées par au
acteurspathogéniques : 1° uneconstitution psychique spéciale et des
troubles
de la coenesthésie, 20 que l'hypo- chondrie n'e
trent une constitution psychique spéciale capable d'interpréter les
troubles
de la coenesthésie. Une importante discussion s
184. Sur un cas de - métaboli- que de la personnalité lié à des
troubles
de la ccenesthe- sie par Deny et Camus, p. 257.
p. ,192, ECRITS. Voir Maladies 11fr- reuses.. z Ecriture. Voir
Troubles
. Eléments XEHVEUX. La forme des de l'écorce d
avaux de- psychologie de -, par Weygiindt, p. 40. Lecture. Voir
Troubles
. Voir Tic. Lésions du cerveau et du cer- ve
-. VoirCo'n)nof)0;ttMCfh(<N')f. Paralytiques généraux. Voir
Troubles
. général. Voir; Tluombo-plébite. Paraplégie f
s l'amaurose tabétique, par Lé- ri, p. 315. Rhino-pharynx. Voir
Troubles
. Rhumatisme chronique, par Gauckler, p. 492.
ORATOIRE DE il. LE PROFESSEUR RAYMOND. LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX DANS LE MAL DE POTT SANS GIBBOSITÉ '
la Clinique des Maladies Nerveuses. Au cours du mal de Pott ci les
troubles
dépendant des racines nerveuses prennent souven
ssez rare, la tuberculose vertébrale peut s'accuser d'abord par des
troubles
médullaires : difficulté de la marche, liée à une
iculté de la marche, liée à une parésie des membres inférieurs. Les
troubles
paraplégiques devancent, de plusieurs mois, la
'elle attaque, et des disques intervertébraux qui les séparent; les
troubles
nerveux sont, le plus souvent, consécutifs à la
, Etude sur le Mal de Poli. Paris, 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX 3 pour le diagnostic. Chez l'adulte, au
vertébraux, et se pro- pager à l'espace épidural, occasionnant des
troubles
nerveux avant l'ap- parition de la déformation
posons d'exposer succinctement les principales formes cliniques des
troubles
nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité, afi
anatomique des symptômes, et, avant tout, de pouvoir distinguer les
troubles
d'origine radiculaire et ceux d'origine médullair
tte « pachyméningite externe caséeuse o est la cause habituelle des
troubles
nerveux, en déterminant la compression de moell
a compression médullaire, Touche (1) dit avoir souvent constaté des
troubles
dus à la compression radiculaire dans des cas vér
r, des paresthésies; la compression médullaire produit toujours des
troubles
d'innervation des muscles volontaires, fatigue, d
ts, ataxie aboutissant plus ou moins rapidement à la paralysie. Les
troubles
sensitifs sont très variables; enfin, plus tard,
enfin, plus tard, à la constipation, signe précoce, s'ajoutent des
troubles
sphinctériens et des signes d'excita- tion motr
ure de la moelle, ce qui expli- que, disait-il, la prédominance des
troubles
moteurs sur les troubles sensitifs. Ces quelq
expli- que, disait-il, la prédominance des troubles moteurs sur les
troubles
sensitifs. Ces quelques citations suffisent p
es données assez vagues sur l'origine radiculaire ou médullaire des
troubles
nerveux du mal de Pott ; nous (1) Touche, Soc.
rvenheilkunde, t. xvi (1899), 110 pages. LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX S savons seulement que la spasmodicité
de Chipault (9 ) puisque la distinction sur laquelle il se basait (
troubles
sen- sitifs radiculaires à limites parallèles à
paraplégie spasmodique, avec rétention des réservoirs, avec ou sans
troubles
de la sensibilité, et des troubles trophiques var
ion des réservoirs, avec ou sans troubles de la sensibilité, et des
troubles
trophiques variables, non seulement d'un malade
jours, (1) CHARCOT, loc. cü., p. 122. LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX 7 une paraplégie spasmodique, bilatéral
l rachidien ; la localisation était possible grâce à l'existence de
troubles
vésicaux et rectaux et d'une anesthésie surmontée
» (Jl. Brissaud ne dit pas ce que sont devenus la paraplégie et les
troubles
sphinctériens). Malheureusement Chipault, dans
eurs qui avaient été rapportées il une né- vralgie phrénique et des
troubles
vésicaux ayant fait croire à l'existence d'un c
urmillements et une légère parésie des membres inférieurs. Tous ces
troubles
disparaissent et se reproduisent alternativemen
Ci-, Editeurs Pootot)1ue Bert6aud, Pa^us LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX 9 9 mois après le début on constate une
à noter du côté des membres supérieurs de la tête et du cou, pas de
troubles
intellectuels. Sommet droit douteux. Quelques j
DE POTT SANS GIBBOSITE (L. Alqitier.) LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX 11 compression de la moelle et des raci
atiques, dou- leurs fulgurantes, etc. précédant ou accompagnant les
troubles
moteurs. Ceux-ci apparaissent de façon très var
tion des sphincters et, seulement dans un certain nombre de cas, de
troubles
objectifs de la sensibilité, hyperesthésie ou a
aubie (notre obs. III) sont des exemples de paraplégie flasque avec
troubles
objectifs de la sensibilité permettant de diagn
laire. Le cas de Wert montre jusqu'où peut aller la variabilité des
troubles
nerveux : dans celui de M. Achard, comment aura
comprend, fort heureusement, qu'un petit nom- bre de faits, car les
troubles
nerveux dus à un mal de Pott lombo-sacré sans s
DE POTT SANS GIBBOSITE (L..Alr¡uier.) LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX 13 des douleurs dans le genou gauche, a
sont exagérées par la pres- sion, rendent la marche pénible. Aucun
trouble
du mouvement ou de la sensi- bilité objective;
retard à la per- ception des sensations. Mort 6 semaines après les
troubles
abdominaux. A l'autopsie,le corps de la XIIe ve
eurs au sacrum, irradiées le long des deux sciatiques. Un an après,
troubles
sphinctériens et paraplégie flasque. 6 ans plus
x, 1901, p. 169. 14 ALQUIER siers, inclusivement. Il existait des
troubles
sensitifs dont nous reproduisons le schéma; de
ves de Neurologie, 1905, p. D'après Cestan et Babonneix. Schéma des
troubles
sensitifs chez leur malade. ' LES PRINCIPALES
troubles sensitifs chez leur malade. ' LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX 15 rotuliens forts, achilléens forts à
es cervicales. Dans le mal sous-occipital, on observe un mélange de
troubles
bul- baires et spinaux dont nous ne ferons que
apporter aucune observation nouvelle de ce genre. Au contraire, les
troubles
nerveux engendrés par la tuberculose des vertèb
survint une paraplégie avec anesthésie étendue aux 4 membres, sans
troubles
sphinc- (1) Decroly Journal de Neurologie, 1903
cesser la profession de graveur, qu'il exerçait jusque-là, pour des
troubles
moteurs progressifs apparus 3 ans avant dans les
gressifs apparus 3 ans avant dans les membres supérieurs. A 36 ans,
troubles
analogues dans les membres inférieurs. A 43 ans
embres su- périeurs, de l'ataxie dans les mouvements délicats, avec
troubles
du sens sté- réognostique, sans atrophie muscul
ercle médical de Bruxelles, 2 mars 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX 17 aucun trouble du côté des membres in
2 mars 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 17 aucun
trouble
du côté des membres inférieurs ; l'observation de
e s'ac- compagne d'atrophie musculaire des membres supérieurs et de
troubles
. de la sensibilité. Un homme de 35 ans, dont
u membre supérieur droit. 8 mois après, paraplégie spasmodique sans
troubles
vésicaux, parésie du membre supérieur droit sur
on des vertèbres dorsales supérieures (Il n'est pas fait mention de
troubles
sensitifs). Amélioration par un traite- ment to
POTT SANS GIBBOSITE (T. ? lt ! ! Cl ? LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX 19 fléchit sous le poids du corps ; la
a thermo-anesthésie. Incontinence des urines et des matières. Aucun
trouble
céphalique sen- soriel ou psychique. Quelques
vical, comme dans la tuberculose des autres segments du rachis, les
troubles
moteurs et les modifications objectives de la s
nce pour le diagnostic ne saurait être trop mise en évidence. Les
troubles
nerveux ultérieurs se présentent sous deux aspect
rs radiculaires, puis paralysie flasque avec atrophie musculaire et
troubles
sensitifs aux membres supérieurs, sans troubles
ophie musculaire et troubles sensitifs aux membres supérieurs, sans
troubles
notables de la partie inférieure du corps. 2e P
ines du grand sympathique. Comme telles, je vous mention- nerai les
troubles
pupillaires (myosis, mydriase), leralentissementp
une de mes précédentes Leçons du .vendredi. « Pour ce qui est des
troubles
de la miction et de la défécation, ils peu- ven
§ 2. - Diagnostic. Tel sont les principaux aspects cliniques des
troubles
nerveux dans le mal de Pott; ils peuvent, on le
servations avec autopsie. Plus tard, aux douleurs, s'ajoutent des
troubles
moteurs et, d'une façon moins constante, des tr
'ajoutent des troubles moteurs et, d'une façon moins constante, des
troubles
objectifs de la sensibilité et des troubles sph
on moins constante, des troubles objectifs de la sensibilité et des
troubles
sphinctériens, sans parler des troubles trophiq
fs de la sensibilité et des troubles sphinctériens, sans parler des
troubles
trophiques (eschares, oedèmes) qui i ne sont d'
qui attire surtout l'attention du malade et du médecin, ce sont les
troubles
moteurs, qui se présentent sous l'un des quatre a
ou des nerfs, comme dans le mal de Pott. LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX 23 c'est-à-dire dans le mal de Pott lom
rtout sensi- tive en raison de la prédominance des douleurs sur les
troubles
moteurs. Notons que, chez ces quatre malades, l
inférieurs avec intégrité habituelle des supérieurs, le fait que les
troubles
moteurs ne prédominent pas nettement aux extrém
ou les lombes, et, tôt ou tard, dans bien des cas, l'apparition de
troubles
du sphincter vési- cal, ne cadrent guère avec l
ter vési- cal, ne cadrent guère avec l'hypothèse d'une névrite. Les
troubles
objec- tifs de la sensibilité et l'atrophie mus
tte dernière affection n'est pas douloureuse et ne détermine pas de
troubles
vésicaux contraire- ment au mal de Pott. b) E
irrégulières, à des alternatives d'aggravation et d'amélioration, les
troubles
objectifs de la sensibilité sont moins fréquent
s troubles objectifs de la sensibilité sont moins fréquents que les
troubles
moteurs : Les troubles sphinctériens sont varia
la sensibilité sont moins fréquents que les troubles moteurs : Les
troubles
sphinctériens sont variables : rétention ou incon
du segment cervical, située au-dessus de LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX 25 l'origine des racines du plexus brac
mpression de la moelle supérieure s'accompagne, habituellement, des
troubles
bulbaires signalés plus haut. 4° Paralysie sp
ont les principales causes d'erreur que rencontre le diagnostic des
troubles
nerveux survenant au cours du mal de Pott, sans g
el représentent seulement les aspects les plus caractéristiques des
troubles
nerveux du mal de Pott, qui peuvent varier à l'
if. Les signes positifs, permettant de rapporter au mal de Pott les
troubles
nerveux constatés, sont de deux ordres : les un
tébrale, si l'examen des viscères est négatif, tandis qu'il y a des
troubles
nerveux pouvant dépendre d'une tuberculose ver-
ps, Buffalo med. Journ., septembre 1901. LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX 27 Effectivement, dans les 5 cas person
hez lequel une paraplégie spasmodique des membres infé- rieurs avec
troubles
sphinctériens, hypoesthésie limitée par une ligne
ins chez une jeune fille atteinte de paraplégie spas- modique, avec
troubles
de la sensibilité, légère incontinence des sphinc
iver à diagnostiquer le mal de Pott avec LES PRINCIPALES FORMES DES
TROUBLES
NERVEUX 29 troubles nerveux sans gibbosité, il
e mal de Pott avec LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 29
troubles
nerveux sans gibbosité, il arrive parfois que le
on les voit chez tout cyphotique, Paget ou autre. Il n'y a pas de
troubles
de la sensibilité ni des réflexes ; les contracti
n'est en effet a priori rien d'impossible à ce qu'avec le temps un
trouble
d'abord pure- ment musculaire s'adjoigne des lé
e les recherches de Lorenz (2) ont montré la fréquence spéciale des
troubles
vertébraux chez les tuberculeux. Dans ses stati
ie tout à fait banale. Nous disions en 1899 qu'il s'agissait d'un «
trouble
trophique à développement lent, d'origine sans
ouleurs par compression des racines rachi- diennes et peut-être les
troubles
trophiques accusés du côté des extrémités et le
une grande clarté sur la genèse de l'infantilisme envisagé comme un
trouble
de la fonction du développement individuel, ce
les hallucinations auditives, qui parfois le jetaient dans un grand
trouble
. Il n'y avait pas de mots de consolation pour s
arrivé avec une intense poussée eczémateuse aux jambes, et avec des
troubles
gastriques assez importants. Se trouvant déjà r
s d'un coup d'oeil général, l'infantilisme nous appa- raît comme un
trouble
spécial, anatomique et psychique du développe-
ode de la dentition se passa tout à fait régulièrement, excepté des
troubles
digestifs ( l'âge de 18 mois) avec fièvre et ma
r jamais eu des palpi- tations, des vertiges, des maux de tête, des
troubles
visuels ou des accès d'épi- lepsie. Les organes
cris de surprise et d'étonnement. On est stupé- fait en voyant les
troubles
remarquables dans le développement de l'organis-
maître Charcot, et à laquelle il a donné le nom susdit. Les autres
troubles
trophiques, secrétoires, vaso-moteurs et sensitif
nerveux central. Comme on rencontre aussi dans la syringomyélie des
troubles
dans la croissance des extrémités, surtout un a
eurs rhumatismales. La sécrétion sudorifique constamment augmentée,
trouble
nullement rare chez les acromégaliques, nous mo
aires, car nous n'avons pas pu trouver de défaut des valvules ni un
trouble
congéni- tal ou une dilatation du coeur de quel
, ensuite à l'asthénie considérable de la musculature, ainsi qu'aux
troubles
du côté du système nerveux, je ne pourrais que ra
mensions relativement grandes des mains et des pieds, d'abord sans
troubles
de fonction, et Bregman (1) a fixé l'attention
acromégalie serait du gigantisme à l'âge adulte et le gigantisme un
trouble
de croissance, opinion qui, me semble-t-il, est b
nt que l'acromégalie se développe de préférence là où il existe des
troubles
congénitaux dans le développement du corps, et au
rt causal entre l'acromégalie et l'infantilisme chez notre F... Les
troubles
de la vie sexuelle et dans les organes génitaux
lever qu'un tout petit bout du voile, qui couvre la pathogénèse des
troubles
de croissance et de développement qu'on vous a
mégalie que la glande thyroïde dans le myxoedème ? et est-ce que le
trouble
de sa fonction serait la cause de l'acromégalie
, qui possède en ce moment déjà une littérature très étendue. Si le
trouble
de fonction de l'hypo- physe est en effet la ca
trop abondante et pervertie de la glande thyroïde, acromégalie d'un
trouble
fonctionnel de la glande pituitaire, maladie d'
hutzdrüsen fiir die Regulung des f3lutlanfs des Hospoechsels ». Les
troubles
fonction- nels de l'un ont pour conséquence des
. Vous voyez donc, Messieurs. rapport remarquable,qu'ily a entreces
troubles
différents ; sans connaître les détails de-cett
rédisposition héréditaire, la glycosurie avec ou sans polyurie, les
troubles
nerveux, la myasthénie générale. Lorand (1) a fix
e thyroïdea, pancréas) les expériences au sujet des conséquences du
trouble
fonctionnel de la glandula thyroïdea, ne soutienn
on héré- ditaire ou de tuberculose si manifeste on voit souvent des
troubles
de croissance, qui ont quelque ressemblance ave
jamais per- mis de déceler ni sucre, ni albumine. L'urine est jaune
trouble
, la quantité moyenne est de 800 grammes, la réa
jets à stéréodermographisme intense et sont précédées (1) Etude des
troubles
physiques dans la Démence précoce hébéph),éno-cat
ompagnant des .mêmes symptômes, et liés, eux aussi sans doute, à un
trouble
des centres vaso-moteurs et trophiques. HOSPI
ours pour écrire, mais en tout autre but emploie sa main gauche. Ce
trouble
dura une année : la jeune fille avait donc 13 a
s d'achondroplasie, il existe toute une gamme de sujets atteints de
troubles
de l'ossification relevant d'une dyschondro- pl
muscle, ce nerf, etc. et au point de vue clinique sans aucun autre
trouble
fonctionnel que ceux qui peuvent résulter d'un mo
ropathique). Ce qui permet surtout de rattacher les premiers de ces
troubles
à l'atrophie numérique, c'est l'absence de tout
alange est rudimentaire (fig. 2) (voir radiographie, Pl. XXIV). Ces
troubles
sont congénitaux, ainsi que la famille de la mala
s musculaires et osseuses sont encore douloureuses à la pression.
Troubles
de la marche : la marche est anormale. La malade
e dans ses jambes et ne peut rester plus d'une demi-heure debout.
Troubles
de la parole : la parole est légèrement embarrass
rtout l's et ch et confond le b et le p, sauf attention soutenue.
Troubles
de l'ouïe : la malade présente depuis son enfance
actuelle- ment des phénomènes nerveux accentués. Actuellement les
troubles
de sensibilité sont nuls, sauf cependant une anes
lade prenait sans douleur, dit-elle, des objets sortant du feu. Les
troubles
de la motilité consistent en diminution des masse
e ainsi que les réflexes. Réactions électriques normales. Enfin les
troubles
psychiques sont apparents. La malade est instruit
très souvent ce que ses maîtres lui avaient ordonné de faire. D.
Troubles
viscéraux. Il n'existe aucune lésion organique
ri- ques, épileptiques, dégénérés mentaux) se lie très souvent à un
trouble
du développement même. On sait que chez beauc
oit. Phototypie Berthaud, Pans HYPOTROPHIE D'ORIGINE BACILLAIRE
Troubles
de la voie pyramidale. ........... -3mr-im, - 5
SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS- HYPOTROPHIE D'ORIGINE BACILLAIRE.
TROUBLES
DE LA VOIE PYRAMIDALE, PAR H. CLAUDE et P. LE
ère, salle Charcot, dans le service du professeur Raymond, pour des
troubles
de la marche. On est tout d'abord frappé par la
e la colonne vertébrale, fait défaut. On ne trouve chez elle ni les
troubles
de croissance, ni les anomalies congénitales, n
sulter à la Salpêtrière : elle présente depuis plus de deux ans des
troubles
de la marche ; au printemps de l'année 1903, el
De guerre lasse elle vient à la Salpêtrière en juillet 1905. Les
troubles
moteurs présentés par cette malade consistent tou
vives mais diffuses, apparaissant pendant la marche, il n'y a aucun
trouble
de la sensibilité et en particulier la sensibil
t en flexion et les réflexes cutanés sont nor- maux. Il n'y a aucun
trouble
du côté des organes des sens. L'état psychique
ntes (1). Reste à élucider la pathogénie des accidents moteurs, les
troubles
de la marche, la spasmodicité caractérisée par
co, à Bucarest. A la lecture d'un cas de myopathie progressive avec
troubles
de la sen- sibilité, article publié par MM. Lan
r malade avait présenté des douleurs subjectives très fortes et des
troubles
de sen- sibilité objective, surtout une hypoalg
avons aussi reproduite dans notre article) qu'il n'existait pas des
troubles
de sensibi- lité, nous en avons trouvé au contr
es intervalles de cinq mois et il est intéressant de voir comme les
troubles
de sensibilité ont progressé d'un examen à l'autr
es mains, des plantes des FiG. 1 et 2. 17 mai 1905. Topographie des
troubles
de la sensibilité au toucher. La même, le 10 no
u poignet donne la sensation d'une seule piqûre. Il n'existe pas de
troubles
sensoriels. Les couleurs, violette, bleu-pâle,
e sens stéréognostique. FIG. 8 et 4. 17 mai 1905. Topographie des
troubles
de la sensibilité à la dou- leur. Hypoalgésie.
ques (Fig. 6 et 7). FiG. 5. - 10 novembre 1905. - Topographie des
troubles
de la sensibilité au toucher. FiG. 6 et 7. 10
bilité au toucher. FiG. 6 et 7. 10 novembre 1905. Topographie des
troubles
de la sensibilité à la douleur. Analgésie. Hypo
x (Fig. 8 et 9. OBS. IL - Le malade M... T... Le 17 mai 1905. Les
troubles
de sensibilité objective chez ce malade, sont m
e sur les membres supé- rieurs et inférieurs. Sur les premiers, les
troubles
sont limités en haut par une ligne horizontale
y compris celle FiG. S et 9. - 10 novembre 1905. - Topographie des
troubles
de la sensibilité à la pression. Sur les dos de
centimètres. Nous avons cherché aussi, comme chez le précédent, des
troubles
sensoriels et nous n'avons trouvé rien d'anormal,
e l'odeur d'asa-fsetida n'était pas sentie. Le 10 novembre z. - Les
troubles
de la sensibilité se sont accentués et ont gagn
sente cette fois-ci un com- mencement d'hypoesthésie et surtout des
troubles
de localisation. La peau de la tête, du cou, ce
t restées nor- males. FiG. 10 et 11. 17 mai 1905. Topographie des
troubles
delà sensibilité au toucher. DEUX FRÈRES ATTE
e inter-fessière. est seulement hypoesthésique (Fig. 12 et 13). Les
troubles
de sensibilité thermique au chaud sont chez ce
jambes que sur les FiG. 12 et 13. 10 novembre 1905. Topographie des
troubles
de la sensibilité tactile. Les troubles thermiq
embre 1905. Topographie des troubles de la sensibilité tactile. Les
troubles
thermiques, algésiques ou à la pression, ont à pe
ur les bras. z Ainsi qu'au premier examen nous ne constatons pas de
trouble
de sens mus- culaire et le malade a son sens st
stique normal. Au contraire on cons- tate aussi chez ce malade, des
troubles
intenses de sensibilité à la pression, reprodui
é à la pression, reproduisant presque en entier la, topographie des
troubles
de la sensibilité tactile. - Les membres supé
'avons trouvé exempt d'éléments cellulaires. Après avoir décrit les
troubles
de sensibilité chez les deux frères, voici main
ns à nos observations deux nouveaux faits : que nos malades ont des
troubles
de sensibilité superfi- cielle et profonde et q
s lésions pathologiques. D'après nos schémas on voit encore que ces
troubles
de sensibilité pa- raissent être disposés d'apr
trouvons très embarrassés d'inter- préter nos cas. Certainement ces
troubles
de sensibilité objective et ces lésions patholo
athies à la suite de ces nouvelles constatations ? Certainement les
troubles
de sensibilité ob- jective et les lésions des n
es de l'écriture qui est celle d'un homme écrivant rarement. Pas de
troubles
psychiques carac- térisés. Facies quelque peu f
asculai- res. Muqueuses normales. Symptômes fonctionnels. Aucun
trouble
de motilité : pas de vertige ; pas de trembleme
des doigts, pas de tic ni de convulsions ; pas d'asthénie. Pas de
trouble
subjectif ou objectif de la sensibilité : les sen
ou d'hyperesthésie. Réflexes tendineux et cutanés normaux. Pas de
troubles
trophiques autres que les tumeurs cutanées et la
sans lésion grossière ; cepen- dant il n'existe en même temps aucun
trouble
intellectuel appréciable. Au lieu de prurit on
les sujets atteints des trichotillomanie souffrent plus ou moins de
troubles
de leur sensibilité, de'paresthésies, prurit ou
mpulsion est une réaction réflexe. Mais certains sujets atteints de
troubles
mentaux paraissent agir sans excitation locale pr
sensation subjective peut-elle être une cause -de crainte d'autres
troubles
mentaux dissimulés ? J'ai observé, dans un cour
il n'était entré que depuis 15 jours à Ste-Anne ; mais il avait des
troubles
de la parole et de la mémoire depuis au moins t
t, qu'il a prise à 18 ans. Mais en quelques jours il fut atteint de
troubles
de la marche et il garda le lit. C'est alors qu
puis 7 mois il avait dû cesser de travailler. Depuis son entrée ses
troubles
somatiques et psychi- ques se sont aggravés len
on entrée dans notre service, dataient d'environ deux semaines. Ces
troubles
constitués par des sensations de fourmillement et
pour le plupart, le siège au moins d'une légère parésie. Point de
troubles
oculo-pupillaires. A part ceci, tout l'ensemble
la- biale, effacement des plis cutanés' de la face à droite. Pas de
troubles
pupillai- res, pas de syndrome méningitique. Ni
ni albumine dans les urines, abolition des réflexes tendineux. 8.
Troubles
sphinctériens. 9. - Légère amélioration. Le mal
plus souffert (fig. 2) ; que, malgré cette déformation notable, les
troubles
moteurs des yeux n'aient pas été plus graves.
du vieillard valide, mais de celui chez lequel on peut relever des
troubles
de la motilité. De plus, dans l'interprétation
es ; aussi bien, d'une extrême fré- quence sont chez ces sujets les
troubles
ressortissant aux altérations du système muscul
ncés, la marche devient impossible et l'alitement nécessaire. A ces
troubles
de la motilité se joignent des phénomènes gé- n
t tendent à faire admettre au contraire que cet état ressortit à un
trouble
plus général. En raison du peu de modifications
rome de la chlorose des jeunes filles ; tous deux s'accompagnent de
troubles
généraux et sont in- dépendants d'un substratum
il est im- possible d'expliquer par la minime lésion médullaire les
troubles
qu'a présentés cette malade et,d'autrepart, l'a
t toute cette période qui peut durer des mois, on ne constate aucun
trouble
des sphincters pas plus que de la sensibilité obj
claire, le fonctionnement des réservoirs n'est jamais troublé. Les
troubles
trophiques cutanés sont l'exception, la peau es
ptômes révélateurs d'une dégénération de la voie motrice, enfin des
troubles
sphinctériens, un léger début d'affai- blisseme
é- morrhagies cutanées et sous-cutanées, d'oedème des extrémités,de
troubles
cardiaques importants, suffit à la différencier
oli- fération de leurs noyaux, certaines présentent la dégénération
trouble
par hyperplasie de leur sarcoplasma masquant ai
ifférence alors qu'autrefois il en a été très affecté. Le début des
troubles
mentaux est impossible à préciser. La seule chose
ar jour; ce qui est certain, c'est qu'il n'avait jamais présenté de
troubles
de la marche avant d'être atteint de l'artlarop
es urines reprennent leur cours. Pendant son séjour à l'hôpital les
troubles
psychiques s'accentuent dans le sens de la déme
st agité,. veut partir, il arrive près de son lit, renverse tout et
trouble
le sommeil de ses voisins. Après une journée de
ospital Reports, 1892. (2) BRISSAUD., Arthropalhies tabétiques et
troubles
de la sensibilité. Leçons sur les maladies nerv
ar son étiologie familiale. 3° Par une prédominance unilatérale des
troubles
trophiques el de cer- tains troubles fonctionne
e prédominance unilatérale des troubles trophiques el de cer- tains
troubles
fonctionnels. Observation. Eugène B ? 31 ans,
ce malade, ce qui frappe tout d'abord, ce sont, des tumeurs et des
troubles
de la pigmentation. Des fumeurs : la plus impor
isséminées sur le reste du corps, sur- tout au niveau du dos. Des
troubles
de la pigmentation : troubles diffus, taches de v
ps, sur- tout au niveau du dos. Des troubles de la pigmentation :
troubles
diffus, taches de vitiligo, por- tions de peau
mé- rite d'être relevée : c'est l'unilatér alité de la plupart des
troubles
trophi- ques. Remarquons en effet que la luxa
infériorité relative de l'hémisphère droit. Ici, au contraire, les
troubles
dystrophiques ont leur maximum ou même siègent
sommeil ; ils existent sans qu'on puisse trouver chez le malade de
troubles
de la sensi- bilité, des réflexes ou delà troph
indiquant un état de myopsychie de Joffroy, de prédispo- sition aux
troubles
psychiques, notamment une émotivité anormale et u
cutanée correspondant aux racines sectionnées, d'ulcérations ou de
trouble
trophique d'aucune sorte.. Quelques auteurs qui
eph (1), Bonne (2), Küster (3)]. Il est à noter à ce propos que ces
troubles
tropbiques s'étaient produits très rapidement,
Autopsie faite le 13, il 8 heures du matin. Aucune ulcération, aucun
trouble
trophique dans les régions correspondant aux ra
tobre 1904, où il est sacrifié. Autopsie. - Pas d'ulcérations ni de
troubles
trophiques. Brèche osseuse refermée partielleme
e jusqu'au 13 novembre 1904, où il est sacrifié. Autopsie. Pas de
troubles
trophiques ni d'ulcérations. Canal rachidien co
ès bien jusqu'au 21 avril 1905, où il est sacrifié. Autopsie. Aucun
trouble
trophique, aucune ulcération. Le canal rachi- d
cines 10° et lie tho- raciques). Réunion sans suppuration. Pas de
troubles
consécutifs de la marche. L'animal reste en bon
jusqu'au 15 mars 1905, où il est sacrifié. Pas d'ulcérations ni de
troubles
trophiques. Autopsie. Le canal rachidien n'étai
ne santé jusqu'au 6 août 1905, où il est sacrifié. Autopsie. -Aucun
trouble
trophique. Nous prélevons facilement le bout in
ne santé jusqu'au 30 août, où il est sacrifié. Autopsie. - Pas de
troubles
trophiques. Du côté droit, les racines posté- r
de paralysie consécutive. L'animal est sacrifié le 24 mai. Pas de
troubles
trophiques cutanés. Autopsie. Nous recherchons,
sont restées protégées par une couche de bourgeons charnus. Pas de
troubles
tro- phiques. Autopsie. On prélève, comme che
classiques de la sclérose en plaques, notamment le tremblement, les
troubles
de la parole, les troubles oculaires, etc. ; elle
n plaques, notamment le tremblement, les troubles de la parole, les
troubles
oculaires, etc. ; elle s'accompagne plutôt de p
litique. Quatre ans après le début de la syphilis elle présenta des
troubles
visuels, une paralysie progressive de la jambe
troubles visuels, une paralysie progressive de la jambe droite, des
troubles
de la sensibilité et du sens musculaire, une ce
ieurs et de l'im- puissance génitale ; ensuite se manifestèrent des
troubles
visuels et des altérations de la parole à type
gens à moins qu'ils ne soient très rapprochés. Souvent il voit très
trouble
. Pendant deux ans et jusqu'à juin 1901 il a pré
les mouvements fibrillaires. La parole est spasmodique, scandée.
Troubles
passagers de la mémoire. Il pleure très facilemen
Troubles passagers de la mémoire. Il pleure très facilement. Pas de
troubles
de la déglutition. Pas de vomissements. Il ne
lexe du poignet est plus fort à gauche qu'à droite. Il n'y a pas de
trouble
de la sensibilité ni du sens stéréognostique. L
lesse du bras du même côté. Plus tard,paralysie de la jambe gauche et
troubles
moteurs qu'on considère comme de l'ataxie. Exag
ans la myélite disséminée syphilitique on a maintes fois décrit des
troubles
, tels que la diplopie, la parésie spastique, l'at
, la parole scandée, le tremblement intentionnel, le nystagmus, les
troubles
vésicaux, tout comme on les rencontre dans le t
le, d'ailleurs, elle s'associe habituelle- ment ». L'étude de ces
troubles
est récente, parce que rarement on les observe
ui ont éduqué, en plus, l'exécution instrumen- tale. Dans ce cas le
trouble
est perceptible et ses effets sont plus sérieux
hèse sur le langage intérieur reconnut cependant l'indépendance des
troubles
du lan- gage musical : « Quelques faits, dit-il
n provoquèrent d'autres ulté- rieures qui ont mieux différencié les
troubles
du langage musical et celles du langage courant
ropre et se spécialise dans l'étude de la psychophysio- logie de ce
trouble
. En se basant sur de nouvelles observations clini
te ans, qui, depuis- trois ans souffrait de migrai- (1) Brazier, Du
trouble
des facultés musicales dans l'aphasie, Revue phil
de psiquiatria y criminolo.. gia. Buenos-Aires, avril 1903 ; - Les
troubles
du langage musical chez les hystériques . Journ
io. Nocera inferiore, Anno XXI, no 3 '; - Le langage musical et ses
troubles
hystériques. Revue de psychiatrie. Paris, mai 190
es objets que l'on voit, perte des re- présentations visuelles, des
troubles
de la parole et de l'écriture volon- Jaire, per
usies. L'étude de la psychophysiologie du langage musical et de ses
troubles
pathologiques, prouve sa corrélation intime ave
usical. Bien que les amusies ou aphasies musicales représentent les
troubles
in- trinsèques du mécanisme psychophysiologique
es données brièvement énoncées suffisent à compléter le tableau des
troubles
du langage mu- sical. X. Schéma général. -
n de cette revue générale nous proposons le schéma suivant pour les
troubles
du langage musical. Nous combinons la division
cette déformation est certainement, d'après les radiogra- phies, un
trouble
de trophicité osseuse et articulaire, et l'hypoth
icité osseuse et articulaire, et l'hypothèse d'un rapport entre ces
troubles
et l'état de la moelle sénile semble pouvoir se
un symptôme paraissant lié à cet état d'acromégalie, il n'y a aucun
trouble
de la sensibilité, aucun trouble sensoriel (en pa
état d'acromégalie, il n'y a aucun trouble de la sensibilité, aucun
trouble
sensoriel (en particulier pas d'hémianopsie bit
ni l'atrophie du corps thyroïde, ni les altérations cutanées,ni les
troubles
mentaux du myxoedé- mateux. Il n'est guère ut
ient intacts. Il paraît donc logique d'invoquer une fois de plus un
trouble
du fonc- tionnement normal de la glande pituita
rniers auteurs,ces deux états pathologiques sont fonction d'un même
trouble
de la glande pituitaire, l'acromégalie serait le
e. Sa hauteur en certains points est de 2 et 2 1/2 centi- mètres.
Troubles
intellectuels assez légers. Difficulté de l'artic
hernie cé- rébrale de la grosseur de la pulpe de l'index. Pas de
troubles
intellectuels, moteurs ou sensitifs. PI. LX. n°
hernies cérébrales à l'entrée et à la sortie du projectile. Pas de
troubles
intellectuels. Troubles de la vision à droite. Di
entrée et à la sortie du projectile. Pas de troubles intellectuels.
Troubles
de la vision à droite. Distingue à peine les ob
roubles de la vision à droite. Distingue à peine les objets. Pas de
troubles
de la motilité. Pl. LX, n° 4. Hernie cérébrale.
7 centimètres de longueur et de 2 centimètres de hauteur. Pas de
troubles
moteurs, sensitifs ou intellectuels. . PI. LXI.
ie des extrémités des membres supérieur et inférieur gauche. Pas de
troubles
intellectuels. 110 ' MATIGNON PI. LXI. na 2.
e de centimètres de long sur 2 de large. Hernie du cerveau. Aucun
trouble
, si ce n'est une légère dilatation pupillaire.
une légère hernie. ' Parésie légère des membres inférieurs. Légers
troubles
de la sensibilité. La force de constriction des
e la sortie probable, volumineuse hernie. Paralysie des extrémités.
Troubles
intellectuels et de la sensibilité. Pas de trou
des extrémités. Troubles intellectuels et de la sensibilité. Pas de
troubles
oculaires. PI. LXI. n° 5. Hernie cérébrale. P
trale et souveut état poussiéreux de toute la cellule. Le noyau est
trouble
, poussiéreux, le nucléole est excentré et se co
x et les fonctions organiques continuèrent à s'accomplir sans aucun
trouble
. A l'examen,on constata chez cette enfant de dé
ou 3e année de maladies infectieuses diverses, avaient présenté des
troubles
parétiques analogues. C'est en se basant sur ce f
ains et sans tare nerveuse, dont seul le leur né avait présenté des
troubles
parétiques des muscles du tronc et de la nuque.
lité n'est pas touchée, on n'observe ni paralysie bulbaire ni aucun
trouble
cérébral. La mort survient dans les premières a
emontant déjà à huit ans, et qui se caractérise aujourd'hui par des
troubles
objectifs de la sensi- bilité et une déformatio
eulement la jambe droite est un peu faible. A cause des progrès des
troubles
trophiques au niveau des mains, cet homme a dû
niveau du tronc ou de la face. Sensibilité. - il n'y a jamais eu de
troubles
subjectifs de la sensibilité, ni douleurs, ni p
sujet sont la syringomyélie et la lèpre. A ne considérer que les
troubles
de la sensibilité, l'amyotrophie, on pense immé
et présentant la dissociation syringomyélique des sensibilités ; ce
trouble
trophique cutané sur lequel nous avons déjà ins
èpre. Ces placards ne sont pas signalés dans la syringomyélie comme
troubles
trophiques, la plupart des ouvrages traitant de
d), on peut encore rencon- trer des dystrophies dans lesquelles les
troubles
de la conformation consis- 'tent en des vices d
dolescence, jusqu'à l'époque actuelle. Elle présentait en outre des
troubles
inlestinaux, des diarrhées périodiques, si impé-
ophies en deux groupes. Dans le premier, le nanisme est créé par un
trouble
local du squelette (rachitisme, achon- droplasi
ans le second, la cause à mettre en jeu est d'ordre plus gé- néral,
troubles
de la nutrition (2), myxoedème (3), hérédo-syphil
ais cette dystro- phie osseuse peut être la conséquence de tous les
troubles
dénutrition du jeune âge; et si elle se manifes
ives ; puis une bronchite chronique avec asthme et em- physème. Les
troubles
intestinaux qu'elle éprouve depuis son jeune âge
ifesta des idées de grandeur et de satisfaction en rapport avec des
troubles
de la sphère .génitale. Il se disait possédé pa
son corps qu'elle habite et possède (idées de possession à base de
troubles
cénesthésiques probables, combinées à l'érotism
ment et a pu être porté sortant en 1905. La- seule sur- vivance des
troubles
mentaux observés consistait dans la persistance d
s suivants : ataxie des quatre membres avec atrophie muscu- laire ;
troubles
très marqués de la sensibilité avec retard dans l
OBSERVATION Homme de trente-quatre ans. Atrophie musculaire avec
troubles
de la sensibilité et douleurs fulgurantes, ayan
malade. Intégrité des sphincters et des fonctions génitales. Pas de
troubles
trophiques cutanés. Syphilis à l'âge de vingl-q
elle qui l'empêchait de prendre les lettres dans les cassetins. Les
troubles
de la marche avaient continué à progresser, surto
d séjour de trente jours à l'hôpital. A partir de cet accident, les
troubles
de la motilité des membres supérieurs et inférieu
ns jusqu'à aujourd'hui, il a fait quelques excès alcooliques. Les
troubles
de la motilité allant toujours en augmentant, le
on l'autre sens. La vue est bonne, la malade lit facilement. Pas de
troubles
des autres sens spéciaux. Pas de troubles gén
lit facilement. Pas de troubles des autres sens spéciaux. Pas de
troubles
génito-urinaires. État général satisfaisant. Pas
. L'incoordination des membres supérieurs a également augmenté. Les
troubles
de la sensibilité et les douleurs fulgurantes pré
ex- ploration de la sensibilité avec le stylet on ne constate aucun
trouble
et le larynx réagit normalement. La voix est ab
ophique avec cypho-scoliose et hypertrophie des troncs nerveux. Les
troubles
de la sensibilité, souvent 496 DEJERINE ET ANDR
une question à étudier sur de nouveaux cas. Quoi qu'il en soit, ces
troubles
de la sensibilité peuvent être très accusés et c'
Femme de 45 ans, soeur du malade précédent. Atrophie musculaire et
troubles
de la sensibilité chez une femme de quia- rante
enne, diminuant également de bas en haut. Cypho-scoliose excessive.
Troubles
très marqués de la sensibilité avec retard dans
e de vingt ans. Début de l'affection entre sept et huit ans par des
troubles
de la marche. Atrophie musculaire des quatre memb
ée de tous les nerfs des membres accessibles à la palpation. Pas de
troubles
trophi- ques cutanés. Intégrité des sphincters.
act aussi nette que lorsqu'on lui touche la face. Desdeux côtés les
troubles
de la sensibilité tactile sont les mêmes. Membr
ompagné d'un certain degré d'hyperesthésie. Membres supérieurs. Les
troubles
de la sensibilité douloureuse ont la même topog
rois observations on peut se rendre compte combien sont marqués les
troubles
de la sensibilité dans la névrite interstitielle
e rigole à diamètre antéro-postérieur. Aux membres inférieurs les
troubles
fonctionnels sont la conséquence de l'atrophie
existe constamment une cypho-scoliose,du nystagmus dynamique et des
troubles
delà réaction pupillaire, variant depuis l'extr
ot-Marie, il n'est fait mention d'incoordination des mouvements, de
troubles
intenses de la sensibilité, désigne d'Argyll-Ro-
n du réflexe à la lumière n'est pas encore complète. L'absence de
troubles
sphinctériens et d'impuissance rapproche encore c
rie dit que dans la famille qu'il a observée l'ataxie fait défaut; le
trouble
moteur serait très analogue à celui de la sclér
ans, j'ai pratiqué l'autopsie de 15 pottiques ayant pré- senté des
troubles
nerveux, dans le service de M. le professeur Ray-
du lit, et sont le siège de douleurs intermittentes. Clonus. Pas de
troubles
sensitifs ni sphinctériens. Rien aux membres supé
avec exagération des réflexes rotuliens, orteil indifférent, pas de
troubles
sphinctériens. Gibbosité dor- sale inférieure d
eurs diffuses dans les membres inférieurs, qui s'affaiblissent. Les
troubles
moteurs progressent, tandis que les douleurs dimi
s genoux et des cuisses. Léger oedème péri-malléolaire droit,pas de
troubles
sphinctériens.Rien aux membres supérieurs et à
ments, fourmillements et légère parésie des membres inférieurs. Ces
troubles
appa- raissent et disparaissent à plusieurs rep
surtout des fléchisseurs avec exagération des réflexes rotuliens ;
troubles
sensitifs avec dissociation syringomyélique (th
ns bien conservées, sans DR. Rien aux membres inférieurs : pas de
troubles
sphinctériens ; examen oph- talmoscopique négat
espectée; les mé- ninges molles sont légèrement épaissies, d'aspect
trouble
opalescent, sur toute NOUVELLE Iconographie DE
ches Cliniquement : pamplégie spasmo- dique des membres inférieurs,
troubles
sensitifs et sphinctériens, inégalité pupillair
cines et aux lésions des cellules motrices dans la patho- génie des
troubles
moteurs des membres supérieurs (atrophie musculai
s avec signe de Babinski bilatéral sans amyotrophie. Signe d'Argyll,
troubles
sphinctériens par moments. Escarre fessière, fi
oblème est particulière- ment complexe, pour le dernier cas, où les
troubles
nerveux semblent indiquer l'évolution simultané
semble pas que cette oblitération puisse causer dans la moelle des
troubles
circulatoires bien accentués ; nous n'avons pu tr
premiers cas de mal de Pott cervical, comment distinguer, parmi les
troubles
des membres supérieurs, les symptômes radiculaire
permet 538 1 ALQUIER de comprendre en partie, la multiplicité des
troubles
moteurs sensitifs et sphinctériens, et quelques
itifs et sphinctériens, et quelques-unes de leurs variations. Des
troubles
médullaires nous dirons peu de chose : . - La p
aient à rechercher dans les cas de compression osseuse intense. Les
troubles
sensitifs ont une intensité et un siège des plus
e de difficultés ; on ne sait trop sur quels éléments se baser. Les
troubles
sphinctériens peuvent disparaître une ou plusieur
prochaine ; il en est de même pour l'escarre sacrée. Cependant ces
troubles
doivent être considé- rés, d'une manière généra
gie intense, apparue rapidement, s'ajoutent à court intervalle les
troubles
sensitifs, sphinctériens, l'escarre fessière.
troubles sensitifs, sphinctériens, l'escarre fessière. Parmi les
troubles
viscéraux susceptibles d'aggraver le pronostic, n
ystématisation des fibres cérébelleuses et le mécanisme de quelques
troubles
moteurs. Au point de vue de la systématisation
iles des cel- lules de Purkinje. Au point de vue du mécanisme des
troubles
moteurs, l'examen histolo- gique de ce cas atte
aisceau olivo-ciliaire du même côté. Nous pensons d'ailleurs que ce
trouble
de l'équilibration cinétique peut être fonction
cause de cela, que la rétraction palmaire est rarement le fait d'un
trouble
trophique ? L'objet de cette étude est de prouv
stence de la rétraction palmaire avec une amyotro- phie et avec des
troubles
sensitifs et trophiques qui dérivent sûrement des
e comme dans tous les autres orga- nes, produisant, avant tout, des
troubles
de fonctionnement (méiopragies), et après des l
- t-on pas dire que celle-ci peut déterminer, dans ces régions, des
troubles
fonctionnels, lors même qu'elle n'arrive pas ju
elles que l'asphyxie symétrique (Luzzatto), le vililigo(Tesli), les
troubles
vasomoteurs et l'hyperhydrose (Tranquilli et Te
ne peut-il pas avoir une action à travers la moelle, produisant le
trouble
par une voie ré- xix 37 558 JARDINI flexe ?
'elle est fréquemment accompagnée d'autres symptômes mé- dullaires,
troubles
sensitifs et trophiques. Son évolution est aussi
e. BIBLIOGRAPHIE Pic ET BONNA1JOUII : Revue de médecine 1901. Des
troubles
médullaires de l'artério- sclérose. Grasset :
eur vitalité est compromise sur une étendue variable; enfin que des
troubles
cir- culatoires ; tant peu considérables qu'il
2 pl.), 466. CLAUDE et LEJONNE. Hypotrophie d'origine bacillaire,
troubles
de la voie pyramidale (1 pl.), 147. Dejerine
2 pi.), 466. LEJONNE et CLAUDE. Hypotrophie d'origine bacillaire,
troubles
de la voie pyramidale (t pl.), 147. LEJONNE e
Pierre Marie et F. Moutier, 383. Hypotrophie d'origine bacillaire ;
troubles
de la voie pyramidale (1 pL), par CLAUDE et L
Féré, 115. Mal de Pott sans gibbosité (les principales formes des
troubles
nerveux dans le) (4 pl.), par ALQUIER, 1. Mal
stoire déjà si riche des manifestations locales déterminées par les
troubles
du système céré- bro-spinal. Comme les faits
et dont l'origine parait devoir être principalement rapportée à des
troubles
préexistants du système nerveux. Ces faits avai
est généralement considérée comme se produisant sous l'influence de
troubles
nerveux. Ce serait donc à juste titre qu'on l'a
e n'était plus réglée et avait éprouvé à diverses reprises quelques
troubles
dans sa santé. Je l'exami- nai attentivement :
liques. Après avoir longtemps et vainement cherché la cause de ce
trouble
cérébral, on finit par apprendre, par une femme
le Pr Charcot m'adressa une malade présentant au plus haut point ce
trouble
mental qu'il a caractérisé du nom d'obsession d
façon à la couper. Cet accident était pour elle la consé- quence du
trouble
apporté dans son articulation dentaire. De plus,
1 17 éprouvera un grand dommage. Cependant, ajoute-t-il, avant le
trouble
apporté dans son esprit par ces opérations il n'a
pas une origine dentaire, qu'il fallait la mettre sur le compte des
troubles
généraux dont elle se plaignait et soigner ceux
erveuse et mentale, c'est pour avoir méconnu la véritable cause des
troubles
qu'elle présentait qu'on a fait subir ultérieur
vait se résoudre à sortir. Cet état de choses ne fit qu'aggraver le
trouble
mental de la ma- lade ; sa contracture ou plutô
as, ou ne pourra intervenir uti- lement qu'après la disparition des
troubles
nerveux et mentaux qu'elle présente. Il est cer
osition, l'auteur attribue à l'éther lui-même le déve- loppement du
trouble
mental observé. Il est délicat de faire la part
sujets étaient des candidats sérieux aux accidents cérébraux. Les
troubles
nerveux et mentaux ayant succédé pendant un tem
bien étu- diées par Buccola, font comprendre la pathogénie de ces
troubles
; 4° par excitations fonctionnelles des résidus
où cette altération de la moti'.ité est constamment rapprochée des
troubles
psychiques du même genre des idées et des émoti
membres inférieurs 1. » Weir Mittchell décrit égale- ment les mêmes
troubles
sous le nom d'Ataxie motrice hysté- risque 5. E
onze ans, qui souffrait depuis 3 ans d'atta- ques d'épilepsie; les
troubles
de la marche dataient de la même époque. La mar
, examinés dans la station assise, ne présentaient pas le moindre
trouble
. ni anesthésie, ni incoordination. Différentes cr
l avait présenté à une époque an- térieure, au mois de janvier, des
troubles
également spasmodiques, indépendants toutefois
cas; à la suite d'une émotion vive ou d'un léger trau- matisme, le
trouble
s'établit soit d'emblée, soit progressive- ment
née passée dans sa Leçon à la Salpêtrière 1, M. Charcot dit : « Les
troubles
neu- 1 Loco citato. , ' Loco citato. ' Char
e marcher, d'abord par crises intermittentes pendant huit mois ; le
trouble
s'installa d'une façon perma- nente après. Un
les mou- vements des globes sont absolument libres. Il n'y a aucun
trouble
de la sensibilité ni de la motricité des membre
rt ce léger défaut de la vision, l'animal ne présentait aucun autre
trouble
dans ces facultés et se porta bien jusqu'à sa m
deux lobes frontaux. Cette seconde opération n'a causé aucun autre
trouble
de la vision, faits d'une grande importance pou
de la scissure pariéto-occipitale et le pli courbe, je pense que le
trouble
de la vision est dû à cette cause ; car, lorsque
ipitaux était bien séparée de cette scissure, on ne percevait aucun
trouble
de la vision. Ainsi on a mis à nu les lobes occ
imal mourut le cinquième jour. Le lendemain de l'opéra- tion, aucun
trouble
de la vision ne put être noté, car l'animal pre-
ser sous les tuyaux d'eaux du laboratoire. On ne put observer aucun
trouble
de la vision, ni amblyopie ni hémiopie,. , »
d'un côté ni de l'autre. -On ne pouvait alors trouver le plus petit
trouble
de la vision, et il pouvait ramasser les plus pet
Résultat. - Aucune paralysie musculaire. L'animal semble avoir un
trouble
de la conscience visuelle des images, des objets
ou n'est pas remarqué, ou sa nature n'est pas aussitôt reconnue. Ce
trouble
, d'abord très marqué au début, s'améliora progres
valle de quatorze jours entre les deux opérations, il n'y eut aucun
trouble
général de la percep- tion visuelle, sans, auta
o et les miennes, sauf mes premières, toutefois, mon- trent que les
troubles
hémiopiques sont transitoires, tandis que dans
vations confir- ment l'opinion de Munck que cette lésion produit un
trouble
hémiopique de la conscience visuelle. Mais la v
t ceux de Yeo, que la des uction du lobe occipital ne produit aucun
trouble
appréciable de la vision tandis que la destruct
t a été aussi confirmé par les recherches de Lannegrâce. A part les
troubles
d la vision, la destruction des plis courbes ne
faits observés chez cet animal auraient été mieux expliqués par un
trouble
ou une perte de la vision centrale ; car on sait
maux inférieurs, mais cela n'exclut pas la possibilité de quelques
trouble
de la vision du même côté non perceptible avec le
de l'hémiopie homonyme Non seu- lement c'est la caratéristique des
troubles
visuels notés daris l'heiiiia- nesthésie hystér
. Les lésions des fibres sensorielles produisent l'amblyopie et des
troubles
sensitifs dans l'oeil. Un pareil résultat se pr
ue les affec- tions de la cinquième paire, qui cause la perte ou un
trouble
de la sensibilité de l'oeil, fréquemment amène
essaire; et même quand l'oeil est absolument anesthésique, si aucun
trouble
trophique ne survient, la vision n'est nullemen
é visuelle subnormale dans la moitié affectée. La pathogénie de ces
troubles
visuels en forme de secteurs est un sujet de co
ologie dans le cas auquel j'ai fait allusion tout à l'heure, car ce
trouble
arriva chez un malade qui a eu une soudaine att
eu une soudaine attaque d'hémiplégie avec hémianesthésie et quelque
trouble
de la parole. Il est douteux qu'on ait publié d
due à la tendance spéciale de cette région à être affectée par les
troubles
vasculaires coïncident avec des lésions, des ra
bilatérales ont eté trouvées dans les lobes occi- pitaux sans aucun
trouble
visuel d'aucune sorte. - ' Amer. Jourt. Med. Sc
le » (Kussmaul). La cécité verbale ne s'accompagne pas forcément de
trouble
notable des sensations visuelles, quoique dans
autre côté, l'hémiopie droite pure ne s'accompagne pas forcément de
troubles
dans l'idéation visuelle. Ce serait là un argu-
la région occipitale chez les chiens, et en 1881 Goltz décrivit un
trouble
de la vision à la suite de lésions destructives d
ement au lobe occipital, rapport qu'il a admis plus récem- ment. Le
trouble
en question était, à son avis, non pas une cécité
périences, arrivait essentiellement à la même con- clusion : que le
trouble
de la vision, résultant d'une lésion au point A
rtable, est celui d'un hémiopique homonyme vers le côté opposé : le
trouble
dans l'oeil opposé étant beaucoup plus considérab
produisent invariablement uni) cécité de l'oeil opposé, sans aucun
trouble
de la vision de l'oeil du même côté. Ces auteurs,
n anormale de l'oeil ou par l'habitude que l'animal peut éviter les
troubles
qui en résultent. Munk décrit comme les effets
m'est arrivé parfois, que là où par mes essais j'avais pensé que le
trouble
le plus grand de la vision était dans l'oeil ga
sont en rapport avec des points spéciaux du centre visuel. Quand un
trouble
de la vision se produit par lésion du lobe post
u tractus sensoriels ou moteurs. Dans les expériences de Goltz, les
troubles
de la vision à la suite de lésions des régions
avoir été presque invariablement associés avec d'autres formes de
troubles
sensitifs, mais la façon dont il produisait ses l
a plus atro- phiée, celle des ascendantes; de plus, la question des
troubles
de nutrition ne saurait être agitée puisque les
ent qu'un mode de la cécité psychique; elle provient en un mot d'un
trouble
fonctionnel de l'imprégnation cellulaire, la ce
ue l'auteur attribue la guérison de la psychopathie. P. K. X. DES
TROUBLES
DE la connaissance ET DE LEURS rapports avec la
sceaux pyramidaux ont dégénéré. Planche à l'appui. P. K. XII. Des
TROUBLES
MOTEURS QUI présentent CHEZ LES aliénés un CA-
hallucinations, couvulsions. P. K. XVIII. Deux cas DE simulation DE
TROUBLE
mental; par DE Krafft KBING. (Juhrbitch. f. Psy
s de la menstruation (aménorrhée, dysménorrhée, ménorrhagie) et les
troubles
mentaux. L'aménorrhée peut précéder de quelques
bateur, (la ménopause) qui était intervenu. R. M. C. XXV. Sur les
troubles
mentaux liés aux fiançailles; par Geo.-H. z Siv
lesquels les fiançailles avaient été l'occasion de l'apparition de
troubles
mentaux. Ces troubles sont variables ; cependan
les avaient été l'occasion de l'apparition de troubles mentaux. Ces
troubles
sont variables ; cependant, la forme qu'ils rev
nalysent pas. En terminant, M. Savage exprime la conviction que ces
troubles
mentaux, pourvu qu'ils soient diagnostiqués en
naire, disparaît; l'angoisse, qui s'était montrée, s'évanouit ; les
troubles
de la connaissance avec hallucinations et cauch
festé l'intention de se suici- der ; elle se plaignait seulement de
troubles
névropathiques et était sujette à des accès de
onclure qu'au moment du suicide, la malade était sous l'empire d'un
trouble
mental réel. Les conclusions furent confir- mée
cas d'affection chronique de la moelle avec ataxie inhérente ci des
troubles
très pro- noncés de la sensibilité.- Il s'agit
la théorie de l'ataxie sensorielle. En effet ce malade, malgré les
troubles
prononcés de la sensibilité cutanée et du sens mu
vident, mais ce sont justement ces éléments qui sont imputables aux
troubles
de la sensibilité. Duchenne les a décrits; ce n
tique ; pourquoi qualifierait-on d'ataxique toute incertitude, tout
trouble
de coordination des mouvements volontaires ? M.
ntes, puis par des contractions normales. C'est donc plutôt dans un
trouble
des échanges chimiques intramusculaires que dan
grande majorité des malades, elle parait être en rapport avec des
troubles
du sens de la pression et de la faculté d'appréci
pon- dérale dans la main paralysée. Un degré tiès accentué de ces
troubles
entraine la seconde erreur d'estimation; chez que
n; chez quelques- uns de ces derniers malades, il n'y avait que des
troubles
insigni- fiants de la sensibilité. Il est impos
ième groupe de malades est constitué par ceux qui, pré- sentant des
troubles
de la sensibilité et de la motilité d'un côté,
eur parait lourde dans la main pa- ralysée, du côté où existent des
troubles
considérables de la sensi- bilité ; chez eux l'
isolé des extré- mités décèle que, dans la pluralité des cas, tout
trouble
du sens de la pression marche de pair avec un t
des cas, tout trouble du sens de la pression marche de pair avec un
trouble
minime du sens de' ` la force. Ce qui prouve qu
jeu dans l'estimation de la force quand il existe en même temps des
troubles
du sens de la pression; ceci s'applique naturel
acher à cer- taines altérations fonctionnelles de l'écorce certains
troubles
psy- chiques (faiblesse irritable) et Naso-mote
yperthermie immo- tivée) que l'on rencontre dans cette maladie. Les
troubles
visuels ont été étudiés par Kast et Willerand d
De même que les palpitations de coeur, l'irritabilité générale, les
troubles
thermi- ques et vaso-moteurs, le rétrécissement
s que resteraient un peu d'affaiblissement intellectuel et quelques
troubles
de la motililé, signes révélateurs de la dé- me
riencéphalite chronique et peuvent s'expliquer alors par de simples
troubles
circulatoires; cas où la paralysie générale aya
es deux ordres de symptômes psychiques et somatiques, on voit les
troubles
musculaires disparaître pour ne plus revenir et l
é mêlée. Après son réveil, on lui raconte ce qu'elle a dit" Elle se
trouble
, mais finalement affirme que son récit est exac
ncées pour que tout mouvement soit impossible, enfin compliquées de
troubles
trophiques musculaires, fibreux, tendi- neux, c
trophiques musculaires, fibreux, tendi- neux, cutanés, etc., et de
troubles
vaso-moteurs ou sécrétoires. ' Leçon du 8 août
à une sorte d'ecchymose persistante, qui, elle aussi, était bien un
trouble
trophique. On n'en est plus à compter aujourd'hui
notre malade. Presque en même temps que les douleurs apparurent des
troubles
de la marche ; il y a donc de cela trois ans en
entés et tels que vous pouvez les constater encore aujourd'hui, les
troubles
de la sensibilité et de la locomotion qui ramèn
douleurs et de sa paralysie. D'autre part, ce n'est pas le premier
trouble
trophique dont il avait été atteint. Déjà il av
uestion. En effet, si au premier abord la démarche du malade et les
troubles
de la sensibilité qu'il accuse ont pu vous fair
pieds heaucoup plus haut qu'il ne ferait s'il était indemne de tout
trouble
musculaire ; il regarde avec attention où il ma
e ces phénomènes, n'en est pas moins affectée elle-même de certains
troubles
fonctionnels ; elle est indécise, un peu faible
il faut attribuer ici une impor- tance de premier ordre à certains
troubles
psychiques sur- venus presque dès le début, et
e vous le savez, dans une atrophie musculaire, liée ou non à divers
troubles
de la sensibi- lité, se compliquent à un moment
ure subaiguë. Cette hypothèse était d'autant plus plausible que les
troubles
de la sensibilité font défaut aussi bien dans l
estable. C'est d'elle, selon toute vraisemblance, que résultent les
troubles
sensitifs et moteurs. Mais peut-être serait-ce
caractérisées par la dimi- nution de la substance grise et un état
trouble
des cellules. Sharkey Korsakoff 3 signalent des
érations dites dynamiques des centres nerveux sur l'ap- parition de
troubles
trophiques divers. On qualifie ainsi les modifi
que les altérations des nerfs périphériques peuvent provenir d'un
trouble
exclusivement fonctionnel des centres trophiques.
façon. Dans ce cas, la section du grand nerf sciatique détermine un
trouble
de l'influence 12,o- phique des cellules motric
bstance grise dans la ré- gion d'où ce nerf tire son origine, et ce
trouble
sans altéra- tion reconnaissable, est suffisant
du reste, de nouvelles observations nous font voir l'influence des
troubles
dynamiques des centres nerveux sur la nutrition
int de vue symptomatique, tous les auteurs mettent en relief que le
trouble
porte exclusivement sur les actes associés pour
sou- vent avec ces désordres du mouvement, indiquant la nature du
trouble
; mais il n'est pas impossible que le syndrome ast
trer dans le cadre tracé par la définition de M. Charcot; les mêmes
troubles
de la station et de la marche des autres observ
té moins l'intensité du désordre des mouvements, que la qualité des
troubles
, ramène les cas à trois types distincts, troubl
la qualité des troubles, ramène les cas à trois types distincts,
troubles
occasionnés par la faiblesse, par l'incoordinatio
OLOGIE NERVEUSE. hystériques, mais ne déterminent pas en réalité le
trouble
abasique. ' Nous serons très court sur le dia
, mais que cette perte d'une fonction entière dé- montre plutôt des
troubles
spécifiques de l'association ? En séparant de l
n, des contractures cloniques des muscles pou- vant occasionner des
troubles
de la station et de la marche, ainsi les cas où
ort qu'on puisse établir ici, est qu'il s'agit dans les deux cas de
troubles
psy- chopathiques. Toutefois, sans même insiste
im- puissante chez lui. - L'autre ne se préoccupe en rien de ses
troubles
pathologiques, et c'est pour ce motif qu'il prése
mo-électrique dans la pulpe céré- brale détermine nécessairement un
trouble
local plus ou moins grave de la région explorée
les lésions de ce « centre des centres », entraînant à la fois des
troubles
de la vision, de l'audition, de l'olfac- tion e
e sensation auditive subjective. La détermination, cependant, des
troubles
de l'oreille n'est pas si facile que celle des tr
endant, des troubles de l'oreille n'est pas si facile que celle des
troubles
de la vue chez les animaux inférieurs. Il est d
es sur le lobe temporal 2 qu'on ne pouvait trouver au- cun signe de
trouble
de l'ouie, quand tout le lobe temporal était dé
(fig. 19), sont emmagasinées. Fréquemment, cependant, avant que les
troubles
secondaires créés par la lésion primaire aient
gion auditive . ' LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 2SI ). plus léger
trouble
de l'ouïe. Et il considère que la portion supé-
irpation uni ou bilatérale de cette région je n'ai pu trouver aucun
trouble
de la sensibilité de l'oreille. Luciani et Tamb
ne comprennent aucune partie de la troisième, il ne survient aucun
trouble
de l'ouïe, qui paraît en effet quelquefois plus
ation du centre auditif d'un hémisphère j'ai observé la perte ou un
trouble
de l'ouïe de l'oreille opposée, je n'ai jamais pu
e de l'oreille opposée, je n'ai jamais pu décou- vlir le plus léger
trouble
de l'ouïe de l'oreille du même côté. Lu- ciani
me âgée de qua- rante-trois ans, qui avait souflertde surdité et de
trouble
de la vi- sion, eut une attaque le 22 juin 1880
que les impressions oeuslllveo peuvent se transmettre en haut, sans
trouble
apparent des rapports normaux, quand la tota- l
. Malgré une légère paralysie dans le même côté, il n'y avait aucun
trouble
de la sensibilité tactile ou douloureuse dans l
tés postérieures le jour suivant, on n'a pu découvrir le plus léger
trouble
de la sensibilité tactile ni du sens musculaire
et comme le cordon pyramidal peut être entière- ment sclérosé sans
trouble
de la sensibilité, nous sommes amenés en procéd
t 1890.) La récente épidémie d'influenza a occasionné de nombreux
troubles
du système nerveux central et périphérique. L'aut
te ans progressivement. Puis à cin- quante-cinq ans, apparurent des
troubles
mentaux, dépression mentale, mélancolie avec ag
nd sympathique et que la chorée rythmique hystérique provenait d'un
trouble
vaso-moteur et devait reconnaître pour cause un
on d'hémorrhagies cérébrales , de thromboses oblitérantes, et les
troubles
de nutrition de l'organe. Un seul fait témoigna d
effet, pendant près d'un an, aucun accident ne se montra, puis des
troubles
psychiques apparurent, mais sans symp- tômes se
, ne les désigne qu'en les touchant. C'est ce qu'on peut appeler un
trouble
de la vision psychique. Il résulte ou de la lés
e perturbation toute spéciale du mécanisme de la conception ou à un
trouble
dans la faculté d'exprimer ses conceptions parl
veloppement, dans la cata- tonie. P. K. XVIII. Recherches SUR LES
TROUBLES
oculaires QUI SURVIENNENT dans la sclérose EN p
escriptions cliniques. Planches à l'appui. III. Allure clinique des
troubles
de la vue. Champ visuel. Vingt-quatre observati
des altérations scléreuses du nerf. La même réflexion s'applique au
trouble
de la vue et au champ visuel. Les troubles de la
e réflexion s'applique au trouble de la vue et au champ visuel. Les
troubles
de la vue sont constitués par le scotome centra
UCHE CHEZ UN DÉ- MENT, SANS QUE PENDANT La VIE L'ON AIT CONSTATÉ DE
TROUBLES
lVfO- TEURS OU SENSORIELS, par J. JENSEN (Allg.
anciens malades renvoyés- guéris durent être réintégrés à cause de
troubles
psychiques con- sécutifs à-fa grippe épidémique
ès violente sur le personnel secondaire. Une infirmière éprouve des
troubles
intel- lectuels passagers. , AI. GELSTENBERG.
struction d'une partie de l'écorce n'entraîne pas nécessairement un
trouble
e dans la nutrition des muscles qui se trouvent
délire, il montre l'importance de l'automatisme dans la genèse des
troubles
conceptuels, dont il attribue l'origine à l'exe
l'hémiplégie des membres. Ajoutez à ces caractères quelques légers
troubles
de la sensi- bilité et vous aurez l'image de l'
pasme hystérique'. Nous ' Gilles de la Tourelle - Superposition des
troubles
de la sensibilité et des spasmes de la face et
rime abord la coexistence de symp- tômes oculaires d'un côté, et de
troubles
moteurs des membres du côté opposé, était si im
la Société médicale des Hôpitaux de Paris quelques observations de
troubles
de la parole auquel il a donné le nom de bégaye
ence est notoire chez tous. D'un autre côté, il existe toujours des
troubles
respiratoires plus ou moins importants, plus ou
intelligent que les autres et que le bégayement n'est lié a aucun
trouble
des organes sensitifs ou moteurs. Donc, voici q
principaux du bégayement or- dinaire : 1° début dans l'enfance, 2°
troubles
respiratoires plus ou moins marqués; 3° intermi
disparition totale dans le chant ; 5° indépendance absolue avec des
troubles
quelconques des organes sensitmo-moteurs. Tels
encient que par la cause), qu'entre le bégayement hystérique et les
troubles
de la parole, de la sclérose en plaques, de la
ire pour borner mon examen aux trois autres symptômes, savoir : les
troubles
respiratoires, 1 inter- mittence et la disparit
rmittence ni de la disparition dans le chant. Il n'est parlé que de
troubles
respiratoires : « Si on examine attentivement C.
dinaire. Mais les considérations qui précèdent nous montrent que le
trouble
respiratoire de C. n'a rien de commun avec le t
ntrent que le trouble respiratoire de C. n'a rien de commun avec le
trouble
respiratoire d'ordre purement fonctionnel que n
bègues. En effet, 1\1. Ballet a rangé ajuste titre sous la rubrique
troubles
de motilité 3, les troubles respiratoires et vo
t a rangé ajuste titre sous la rubrique troubles de motilité 3, les
troubles
respiratoires et voici ce qu'il dit : « La diff
i ce qu'il dit : « La difficulté de l'articulation coincide avec un
trouble
manifeste de la motilité de la langue. En effet,
sujet est-il bien atteint de bégayement ? On vient de comparer son
trouble
de la parole au tremble- ment de la paralysie g
certainement pour une très large part au bégaiement, mais d'autres
troubles
de la motilité concou- rent aussi à le produire
ur régularité habituelle ». ,. Si j'ai insisté sur le cortège des
troubles
de motilité qui accom- pagnent les troubles res
isté sur le cortège des troubles de motilité qui accom- pagnent les
troubles
respiratoires, c'est pour m'éviter d'avoir à réfu
res, c'est pour m'éviter d'avoir à réfuter l'assimilation entre les
troubles
respiratoires de C. et les troubles respiratoir
éfuter l'assimilation entre les troubles respiratoires de C. et les
troubles
respiratoires du bégaiement ordinaire; les fait
s ne trouvons pas grand'chose non plus. Rien en ce qui concerne les
troubles
respiratoires; l'intermittence est indi- quée à
vons fait chanter un de nos malades (Observ. 3) et constaté que les
troubles
de la parole sans disparaître étaient beaucoup
ous avons tracées, nous entrons dans le détail, nous voyons que les
troubles
de la pronon- ciation constatés chez les malade
uis placé et dont je ne veux pas sortir. Je n'examinerai pas si les
troubles
de la parole cons- tatés par M. Ballet relèvent
rdinaire. Mais M. Pitres a trouvé concurrem- ment chez l'enfant des
troubles
de sensibilité qu'il rattache à l'hys- térie, e
dre des causes connues pour produire le bégaiement vulgaire; 2° les
troubles
res- piratoires sont parfaitement indiqués par
. Moutard-Martin dans son Rapport à l'Académie de médecine', que le
trouble
de la fonction respira- toire, au moment de la
oration avec M. P. Tissier, qu'on rencontre chez les hystériques un
trouble
spécial de la parole, se reliant étroite- ment
émontrer la relation non douteuse, suivant moi, qui existe entre ce
trouble
et la névrose. M. Chervin ne conteste pas en ef
snos, ni M. Gérin-Roze n'ont mis en doute la nature hystérique du
trouble
que j'ai décrit. Quant M. Féréol, si ses objectio
e j'y ai déjà répondu. M. Chervin n'examinera pas, dit-il, « si les
troubles
de la pa- role, constatés par M. Ballet, releva
amené à proclamer formellement avec moi la nature hysté- rique des
troubles
indiqués. Je ne puis que prendre acte de son ad
ésion et répéter une fois de plus qu'on observe dans l'hystérie des
troubles
de la parole dont la physionomie est très frapp
e est très frappante. M. Chervin s'étonne de me voir « donner aux
troubles
de la parole une place plus large qu'elle ne mé
n vient de lire. J'ai eu tort, d'après lui, d'appeler bégayement le
trouble
que j'ai décrit. Je ne puis pas, dans une simpl
on qui puisse caractériser plus exactement que le mot bégayement le
trouble
que j'ai décrit. Or, Littré et Robin, dans leur
s comme je tiens beaucoup à la chose, c'est-à-dire à la notion du
trouble
de l'articulation chez les hystériques et qu'il m
rticulation chez les hystériques et qu'il me faut pour désigner ces
troubles
recourir à la dénomination qui, en l'état de la
z aucun d'eux il n'y avait une perte totale de la sensibilité ou un
trouble
plus grand que celui Imputable à la lésion céré
excitations légères. L'animal etait en parfaite santé et sans aucun
trouble
de la motricité; qnoique immédiatement après l'
pe ainsi que l'ablation partielle de la corne dAmmon produisent des
troubles
de l'olfaction, d'abord une perte presque total
hémisphère gauche, produisit une paralysie de la jambe droite, sans
trouble
de la sensibilité, suivie de contraction dans l
SATIONS CÉRÉBRALES. 408 unilatérale de ces centres ne produit aucun
trouble
et il est nécessai- re que ces centres soient d
ont montré que l'extirpation unilatérale des centres du larynx, ne
trouble
pas d'une façon perceptible l'adduction des cor
et qui de plus est inutile. Quoique les chiens semblent guérir des
troubles
de la motilité qui étaient manifestes après une
A part la paralysie motrice, je n'ai jamais pu découvrir le moindre
trouble
de la sensibilité tactile, spéciale ou genérale
Archiv., Bd. XXXV, 1885, p. 137. 408 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. le
trouble
produit par la destructiou des centres soi-disant
tructiou des centres soi-disant mo- teurs s'accompagne au dépend de
troubles
de la sensibilité géné- rale, musculaire ou tac
ar l'incapacité motrice que par l'altération sensitive, ou bien ces
troubles
sensitifs sont dus à la lésion d'autres parties q
e la sensibilité tactile et génerale coïncidaient, de sorte que les
troubles
sensitifs, quel- ques fois au moins sinon toujo
seul cas de paralysie par lésion de la zone motrice corticale sans
trouble
de la sensibilité est suffisant pour renverser un
es en acceptant les tumeurs et les lésions capables de produire des
troubles
à distance n'est pas certaine- ment en faveur d
de l'incapacité d'indiquer la position des doigts de cette main. Ce
trouble
de la sensibilité disparaît enfin pendant t que
trice causant une paralysie complète peuvent se produire sans aucun
trouble
du sens muscu- laire et la perte du sens muscul
rganique des conduits sensitifs dans la capsule interne et dans les
troubles
fonctionnels décrits sous le nom d'hémianesthésie
incapacité de mouvoir la tête et les yeux, il n'y avait aucun autre
trouble
, ni sensitif ni moteur. Dans ce cas, les corps
ent pas spontanément dans le champ de la vision. C'est une forme de
trouble
mental qui me parait dépen- dre de la perte de
dans les cas de sciatiques chroniques, de rhumatismes et surtout de
troubles
articulaires. Avec les doses indiquées les aute
l importe de se rappeler que la con- séquence la plus fâcheuse d'un
trouble
mental est la perte du libre arbitre. Dès lors,
: le symptôme saillant et essentiel des folies mélancoliques est le
trouble
morbide des sen- timents. Or les sentiments acc
a première caractérisée par la prédominance presque exclusive des
troubles
sensoriels (hallucinations des sens musculaires e
blèmes à résoudre parmi lesquels se placent en pre- mière ligne les
troubles
de la digestion et en particulier ceux de l'est
t elles ne sont, après tout, que la manifestation extérieure, Les
troubles
de la sensibilité générale sont un des symptômes
.-Ils sont extrêmement marqués chez les alcooliques persécutés. Les
troubles
de la sensibilité génitale se remarquent plus f
fréquemment chez les femmes que chez les hommes. - En dehors des
troubles
de la sensibilité générale, on observe quelques
les interprétations délirantes, les hallucinations de l'ouïe et les
troubles
de la sensibilité générale en sont les caractèr
es cas, les autres symp- tômes, les hallucinations de l'ouïe et les
troubles
de la sensibilité générale. La systématisatio
période- ambitieuse revêt la forme d'un accès maniaque intense avec
troubles
vaso-moteurs; on voit alors arriver plus rapide
, ou à la suite de quelque contrariété ou d'un accès de colère. Les
troubles
de la sensibilité générale sont plus accusés :
génitaux, dont on a parlé incidemment tout à l'heure, à propos des
troubles
de la sensibilité chez les persécutés, présente
urs : ce sont ceux dont le délire s'alimente exclusivement dans les
troubles
de la sen- sibilité génitale. b C'est contre
matisé s'assimile pour en faire une idée délirante, on rencontre un
trouble
mental analogue mais qui diffère cependant d'un
obsessions : M. Magnan, dans ses études remarquables, considère ce
trouble
mental comme un signe direct et immédiat de l'h
E XXIX. L'INFLUENCE DE LA MÉNOPAUSE SUR LA GENÈSE ET LA FORME DES
troubles
mentaux; par 1lLTUSCU. (alla. Zeitsch., f. Psych.
champ visuel pour les couleurs dans leur ordre si particulier, les
troubles
cardiaques. Avec eux pas de simulation, ni d'ex
re des cas après la convulsion.- Du coté de la motilité, il y a des
troubles
dans la marche, l'écriture, et la contractilité é
ditaires étaient très chargés et qui, sans avoir jamais présenté de
troubles
intel- lectuels, était tombé à la fin de sa vie
rrhagique dans le noyau lenticulaire qui n'avait donné lieu à aucun
trouble
moteur ou sensitif. M. Magnan fait remarquer qu
ation des conditions de leur nutrition qualitative ou quantitative,
trouble
de l'innervation musculaire, arrêt dans le fonc
l'innervation musculaire, arrêt dans le fonctionnement des muscles,
trouble
dans les condi- tions mécaniques normales de l'
s de la corne antérieure de la moelle et détermine ainsi un certain
trouble
dans leur activité nutritive nor- male. Dans le
ivité nutritive nor- male. Dans les irritations de longue durée, ce
trouble
aura une action destructive sur les muscles cor
e tableau clinique de la paralysie alcoolique se caractérise par un
trouble
de l'activité psychique- obnubilation de la consc
es en deux grands groupes : confusion aiguë avec prédomi- nance des
troubles
du côté de la conscience et folie aiguë pro- pr
olie aiguë pro- prement dite (paranoia acuta) avec prédominance des
troubles
du côté de l'intelligence. La confusion aiguë s
côté de l'intelligence. La confusion aiguë se caractérise par un
trouble
de la conscience, un état affectif, un trouble da
e caractérise par un trouble de la conscience, un état affectif, un
trouble
dans l'asso- ciation d'idées, un grand nombre d
és et attentifs ne pou- vaient découvrir des signes déterminés d'un
trouble
mental quel- conque. Sur sept malades, six n'av
L'auteur a recueilli vingt-quatre observations de développement des
troubles
psychiques sous l'in- fluence d'une inflammatio
eur examine à l'état normal et pathologique. J. Dagonet. XIV. Des
troubles
trophiques dans l'hystérie; par Al. Athanassio.
es tissus et connus en neuro- pathologie sous le terme générique de
troubles
trophiques. Le tra- vail de M. Athanassio saper
névroses et en parti- culier de l'bystérie. D L'auteur a classé les
troubles
trophiques de l'hystérie en quatre catégories :
classé les troubles trophiques de l'hystérie en quatre catégories :
troubles
trophiques de la peau et de ses dépendances, tr
catégories : troubles trophiques de la peau et de ses dépendances,
troubles
vaso-moteurs et sécrétoires, troubles du tissu
a peau et de ses dépendances, troubles vaso-moteurs et sécrétoires,
troubles
du tissu cellulaire, atrophie musculaire. On po
de vue; les sueurs locales, par exemple, rangées dans la classe des
troubles
vaso-moteurs et sécrétoires, peuvent être consi
les vaso-moteurs et sécrétoires, peuvent être considérées comme des
troubles
des dépendances de la peau; de même les lésions
nés, par Roscioli, 4.°u. Atixie, héréditaire, par Erb, 132; - par
troubles
de la sensibilité, par Baumler 132. ' Athétos
érale, spéciale et ré- lle-,e chez les), par .\osUni, 455. Folie (
troubles
de la connaissance dans la-) systématique, par
Hémisphère (lésions des lobes pa- riétal et frontal d'un - sans
troubles
moteurs ni sensoriels), par Jensen, 276. Hôpi
, 766. Ménopause influence de la, - sur la genèse et la forme des
troubles
mentaux, par Nlattuscli, 119. 11 : SI'llU,\'I
rphinomanes (traitement des -) à l'étranger, 157. lIIOTILtI'i : ,
trouble
de la - chez les aliénés, par Binder, 118. Mu
ut de la - en plaques et de la myélite aiguë, par Cra- mer, 267; -
troubles
oculaires de la -eu plaques, par Ulillioff, 269
fonctions) et aliénation, par Campbell Clark, 120. Simulai-ion de
trouble
mental, par Krafft-Ebing, 119. Société médico
; Par Léopold LÉVI, Interne des hôpitaux de Paris. 7 /. Les
troubles
vaso-moteurs sont fréquents» dans j-1 ? y-gt4rfe.
ie chez des hystériques hypnotisables qui présentaient en outre des
troubles
urinaires de nature hystérique. L'hyp- nose a p
ois saisir ses enfants pour les tuer. C'est sous l'influence de ces
troubles
que pour la première fois elle eut une crise ne
orrespondant. L'examen de la sensibilité objective ne relève pas de
troubles
aux différents modes (contact, piqûre, froid) s
néen existe. On constate le réflexe plantaire. Il n'existe pas de
troubles
trophiques. L'examen des yeux ne font rien cons
ection et a modifié considérablement la névrose vaso-motrice et les
troubles
uri- naires. Sous son influence, l'anurie a é
ètement abolie. Drosdoff, cité par OEttinger2, affirme même que des
troubles
de la sen- sibilité faradique peuvent s'observe
ant tout signe d'inflam- mation articulaire. Barbillon attribue les
troubles
de la sensi- bilité à une action sur les tégume
rein, à des phéno- mènes d'hypersécution « relevant sans doute des
troubles
vaso-moteurs et qui, dans un certain nombre de
teur, crée un centre d'appel pour la manifestation ulté- rieure de
troubles
hystériques. Quelle que soit la valeur de cette
e en deux ans. Deuxième période à 44 ans. Hallucinations de l'ouïe,
troubles
de la sensibilité générale. Systématisation de
ssi bien que moi ce qui se passe, » nous répond-elle. Depuis, aucun
trouble
ne s'est atténué, et quand, poussée à bout par
le récit de ses malheurs. On voit alors que, ni hallucinations, ni
troubles
de la sensibilité générale n'ont diminué. Roger
rme des idées de persécutions, mais la dissociation des facultés ou
trouble
de la conscience s'oppose à leur cohésion, à leur
leur cohésion, à leur amal- game, quel que soit le mécanisme de ce
trouble
, tandis que la folie systématique cristallisée
ts vrais. La maladie mentale en ques- tion a donc pour pivots : des
troubles
dans le domaine de la conception, représentés p
i le produisent et l'entretiennent, et qu'il est en rapport avec un
trouble
de la pensée, de la vie conceptuelle. Le moi es
e chronische Wahnsinnsform) a, d'après Schuele, pour caractères, un
trouble
partiel de la conscience, compatible avec la co
a vie intellectuelle normale du Moi sain. Dans le Wahnsinn aigu, le
trouble
de la conscience est plus ou moins profond et p
DE LA PARANOÏA. 31 mentale (V erwirrtheit) produit rapidement un
trouble
profond de la conscience ; en même temps survie
te un état d'angoisse. Le Wahnsinn de Kroepelin a pour éléments des
troubles
in- tellectuels machinés (idées délirantes et h
c la prédisposition hérédi- taire. Fréquemment, il a été précédé de
troubles
psychiques antérieurs. Il se distinguerait de l
mélancolie par le dévelop- pement plus accentué et plus inventif du
trouble
intellectuel, et des psychopathies séniles par
uble intellectuel, et des psychopathies séniles par l'intensité des
troubles
de la sensibilité affective, la plus grande abo
u des éléments d'activité fructueux; ceux-ci sont falsifiés par les
troubles
sub- jectifs les plus variés. Le symptôme le pl
nd il s'agit d'anesthésie que d'hyperesthésie. P. S. 111. SUR LES
TROUBLES
SENSITIFS PRODUITS par UNE LÉSION localisée DE
e ophtalmique du cinquième nerf n'en- traîne pas nécessairement des
troubles
trophiques dans le globe oculaire. Ces troubles
nécessairement des troubles trophiques dans le globe oculaire. Ces
troubles
sont vraisemblablement dus à l'irritation infla
bien marquée dans la jambe droite. Pas d'atrophie musculaire ni de
troubles
sphinctériens. Au bout de deux mois, paraplégie
de cette idée qu'à la base des attaques d'épilepsie se trouvent des
troubles
vaso-moteurs dans le cerveau avec tendance à l'
im- puissance consécutif à l'expérience que le malade a faite des
troubles
morbides qui apparaissent lorsqu'il veut se tenir
hystérie, car c'est un symptôme purement hystérique. Il est dû à un
trouble
fonctionnel des centres corticaux coordinateurs
alement sommeil d'un quart d'heure : réveil avec grand malaise sans
troubles
intel- lectuels. Les mêmes accidents à peu près
r d'idées de persécutions, mais il présente dans toute sa pureté un
trouble
psychique élémen- taire. Toute une série fixe d
il énu- mère et ramenant toujours l'erreur à sa véritable cause, le
trouble
des facultés. Intelligence d'élite, travailleur
par Charles Ménard. (Thèse de Montpellier 1894, n° 44.) Parmi les
troubles
survenant au cours ou à la suite des infections
liées à une lésion du système nerveux central ou périphérique; ces
troubles
nerveux résultent ou de l'action directe des mi
intellectuelles », rien déplus. VARIA. 77 '1 Il y a dans l'espèce
trouble
mental partiel; c'est donc un conseil judiciair
totale. Or, une interdiction n'est légitime que suivant le degré du
trouble
mental. Une maladie mentale partielle, fût-elle
interdire tout malade chez lequel le médecin établit l'existence de
troubles
mentaux partiels. L'interdiction est parfaitement
itement capable de gérer ses affaires et d'exercer son jugement. Le
trouble
mental dont il est atteint n'a pas jusqu'ici di
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE QUELQUES OBSERVATIONS DU
TROUBLE
DE L ? 1LII ? DYSBASIES D'ORIGINE NERVEUSE. P
Les quelques observations que nous allons rapporter ont trait à des
troubles
de la marche, liés à des affections ner- veuses
intrigué de ce qui vient de se pro- duire. De ce moment datent les
troubles
de la marche qui persistent encore aujourd'hui.
ant lui donne confiance, et il se tire mieux d'affaire. Aucun autre
trouble
vésanique. Caractère parfai- tement normal; int
ai- tement normal; intelligence intacte. L'origine mentale de ces
troubles
de la marche nous parait indiscutable malgré l'
que M. Brissaud nous a obligeamment communiquée, se rapporte à des
troubles
de la marche liés à la neurasthénie; elle est é
vons pu examiner le malade et que nous ne connaissons guère que les
troubles
subjectifs dont il se plaint. C'est encore la n
d'excès d'aucune sorte. En mars 1890, se montrèrent associés à des
troubles
dyspeptiques, divers phénomènes nerveux : lassitu
jacents. Ces phénomènes s'amendèrent, mais en septembre 1890, des
troubles
nouveaux apparurent. A cette époque, M. X..., dut
apparaisse d'abord. Au bout d'un quart d'heure environ, un certain
trouble
se manifeste, mais si léger qu'il passerait ina
ie était manifeste chez ce malade, mais elle était peu accusée. Les
troubles
de la marche étaient d'ailleurs infiniment moin
main gauche, et, depuis quelque temps aussi, dans la main droite.
Troubles
de la marche. En même temps que les phénomènes
temps que les phénomènes douloureux, ou à peu près, ont apparu des
troubles
de la marche. Après une heure, deux heures de m
Pieds légèrement violacés, jambes et cuisses un peu marbrées ; ces
troubles
de la vascularisation cutanée prédominent beaucou
ceps. Réactions électriques (faradiques et galvaniques) normales.
Troubles
de la sensibilité. Nous avons noté plus haut les
dication intermittente par artérite. Les phénomènes douloureux, les
troubles
vaso-moteurs, l'atro- phie musculaire, prédomin
en question précipite les malades dans une profonde démence. Les
troubles
de la catatonie sont, en pareils cas, désignés so
patient. Mais ce serait violenter les faits que de leur imputer le
trouble
de la conscience, souvent si profond qu'il para
, souvent si profond qu'il parait tout bonnement impossible que les
troubles
sensoriels DE LA PARANOÏA. 93 agissent sur la
s de toutes sortes, après quoi s'installe un délire général, avec
trouble
considérable de la conscience. Ce délire s'accomp
tion des phénomènes aigus de la paranoïa. M. Kirchhoff divise les
troubles
psychiques simples, d'après nous fonctionnels,
rantes cohérentes, organisées, systématisées. 1° Le Wahnsinn est un
trouble
in- tellectuel composé de conceptions délirante
nt évoluer rapidement et favorablement; 2° La Verrücktheit est un
trouble
intellectuel dans lequel les conceptions délira
erwirrtheit astlaénique (à l'exemple de Mayser), survenant dans les
troubles
psychiques aigus consécutifs à la neurasthénie.
aigus consécutifs à la neurasthénie. Cette division des vésanies ou
troubles
psychopathiques sans lésions est particulièreme
lement, relèvent de la paranoïa, le rôle principal est joué par des
troubles
dans le jeu de l'écoulement des conceptions. «
ation des idées; on la désigne sous les noms de déso- rientation ou
trouble
de la conscience. Très fréquent dans la paranoï
Ce second groupe mérite une place à part dans la paranoïa, car le
trouble
de la conscience ou désorientation est non la c
pour symptômes cardinaux : la confusion mentale [Verwirrtheit), des
troubles
de la sensibilité morale permanents ou intermit
bilité morale permanents ou intermittents, ou, plus exactement, des
troubles
des senti- ments mobiles, kaléidoscopiques, enf
nguerait l'amentia aiguë de la paranoïa aiguë, ce serait le profond
trouble
de la conscience de la première et la lucidité
lire que la forme, elles ne sont pas agencées, cons- truites, et le
trouble
de la conscience est très vif. D Eickholt accen
n cas, dû à Lamotte, de para- lysie traumatique, avec anesthésie et
troubles
vaso-moteurs chez un garçon de billard. Ces phé
aits ? Chez tous les sujets une émotion morale vive détermine des
troubles
vaso-moteurs, soit congestion ou pâleur d'une par
n ou pâleur d'une partie plus ou moins étendue de la peau, soit des
troubles
sécréteurs ou glandulaires. Archives, t. XXIX
remier point. Et du fait de l'hystérie, la grande exagératrice, les
troubles
vaso-moteurs deviennent chez eux plus intenses
t en septembre (9), dans le British Médical Journal. A. Marie. Vil.
Troubles
cérébraux dans la chlorose ET l'aménorrhée ; pa
système nerveux, avec leurs habitudes spéciales et y déterminent un
trouble
qui reste seulement dynamique ou fonctionnel, t
r source les lésions syphilitiques des vaisseaux céré- braux et les
troubles
trophiques encéphaliques qui en résultent. Le t
'agit d'une femme de cinquante-trois ans. Le début eut lieu par des
troubles
sensitifs subjectifs, des picote- 126 REVUE DE
n certain nombre de faits dans lesquels on a noté la coïncidence de
troubles
hystériformes, d'angine de poitrine, de goitre
(côté opposé à la la lésion). Etant données d'une part l'absence de
troubles
sensitifs et l'hé- miplégie plus prononcée à la
'explique aucune cause locale. L'influence de l'attention sur les
troubles
athétosiques est des plus manifestes : dans les
que les paralytiques sans attaques. En dehors de la lésion et du
trouble
congestif contemporain, j'ai pensé qu'il exista
nt dans le foie et dans les reins ; ce qui per- met de croire à des
troubles
profonds de la nutrition et de ! 'ex- crétion f
la paranoïa ou des paranoïas, est caractérisé par l'existence d'un
trouble
de l'intelligence, folie intellectuelle compren
du 12 avril, accidents para- lytiques dans les jambes et le tronc,
troubles
lents du côté de la sensibilité; paralysie vési
mé cet organe. Ainsi s'expliquaient les accidents paralytiques, les
troubles
de la sensi- bilité, les accidents gangreneux d
himisme stomacal est altéré; il en est de même de la motricité. Les
troubles
gastriques imputables à ces deux causes se prés
iverses de dyspepsie. il semble qu'il existe une relation entre ces
troubles
etles variétés de lypémanie : dans les formes d
qui l'a provoqué, alors que cet acte a été commis en dehors de tout
trouble
mental. Il est constant, en effet, que la secou
est faite : Maumy est un simulateur, il l'a avoué et d'ailleurs les
troubles
intellectuels qu'il affecte ne présentent les c
n, le sommeil est calme, l'appétit régulier. Il y a absence de tout
trouble
de la sensibilité et delà motilité. En résumé
re est conservée. La réflectivité est normale. Il existe quelques
troubles
passagers de sensibilité. On constate un matin
'y a pas d'anesthésie nette localisée, ni d'hypereslhésie. Pas de
troubles
des sens spéciaux. Pas de rétrécissement du cha
ors dormir, puis les phénomènes de coloration de la peau, enfin les
troubles
de sudation. La malade eut au neuvième jour du
ote l'impuissance, l'anes- thésie plantaire, une soif insolite, des
troubles
visuels, des crises de sommeil. Le malade éprou
de contribution à l'étude des maladies par émotion et à l'étude des
troubles
vaso-moteurs de l'hystérie. Nous ne voulons pas
tions dans le domaine vaso-moteur ne nous arrêtera pas davantage (
troubles
urinaires, aedème2, etc.). Nos cas ajoutent de
oire de l'hys- térie. Elles s'ajoutent à la liste déjà longue des
troubles
vaso-mo- teurs de l'hystérie. L'intérêt de no
l'hystérie. Dans tout accident hysté- rique, dit Janet, un certain
trouble
des fonctions psycholo- giques joue un rôle imp
besoin, ce serait là encore un argument en faveur de la nature des
troubles
étudiés. L'influence de la suggestion somnamb
par la cha- leur extérieure et le travail de la digestion. " Les
troubles
fonctionnels sont nuls. Il n'existe pas de dou-
cas peut être résumé : érythromé- lalgie sous forme de crises avec
troubles
vaso-moteurs persistants, siégeant au niveau de
de la théorie de Raynaud on peut d'ailleurs faire valoir, outre les
troubles
papillaires sur lesquels il a insisté à juste t
s sur lesquels il a insisté à juste titre les phénomènes urinaires,
troubles
vaso-mo- 1 Berliner Kiiiiische Wochenschrift, 1
soit l'hystérie ou toute autre. On peut encore mettre en ligne les
troubles
encéphaliques concomitants. Déjà Raynaud avait
occupe la péri- phérie. » Bien plus, on a noté la coïncidence des
troubles
vaso-mo- teurs paroxystiques et des troubles co
oté la coïncidence des troubles vaso-mo- teurs paroxystiques et des
troubles
convulsifs de l'épilepsie, par exemple. Féré '
éré ' a publié plusieurs cas, dont un d'asphyxie c disséminée ». Le
trouble
asphyxique a diminué considérable- ment depuis
epuis que les accès ont disparu. Dans la paralysie générale, où les
troubles
vaso-moteurs sont très nombreux, où bon nombre
action spasmodique. Il nous faut surtout retenir la coexistence des
troubles
des extrémités et de l'encéphale, ce qui indiqu
nte; fait important au point de vue théorique, car il rapproche les
troubles
vaso-moteurs d'autres phénomènes hystériques ;
des maladies par émotion. Ils s'ajoutent à la liste déjà longue des
troubles
vaso-mo- teurs de l'hystérie ; Ils ne constit
omènes qui se passent du côté de la papille. Nous insistons sur les
troubles
urinaires et encépha- liques, et nous appuyons
on. Cet auteur prétend, en effet, dansson excellent ouvrage sur les
Troubles
de la mémoire, que l'amnésie rétrograde ne se m
mènes convulsifs et l'amnésie que Wagner mettait sur le compte d'un
trouble
de nutrition dû à la strangulation. Quoi qu'il
, résistance aux excitations électriques, exagération des réflexes,
troubles
vaso- moteurs, etc. Ces signes de névroses s'ac
ue avéré, après une longue suc- cession d'épisodes douloureux et de
troubles
trophiques provoqués, selon toute vraisemblance
es normales. (Iteuiteneu7-ologique, 1893.) H. B. XLIV. NOTE SUR LES
troubles
DE la motilité DES organes DE la voix et DE l'a
ire avec la fonction spéciale du langage articulé. La réalité des
troubles
de la motilité indépendants de la fonction d'ar
On peut admettre, en effet, que le traumatisme en déterminant un
trouble
de la circulation du cerveau, modifie la nutritio
par l'alcool, pouvait intervenir à son tour dans la production des
troubles
mentaux. L'alcool peut avoir terminé depuis long-
borer ces notions intéressantes. Il s'agit d'une malade atteinte de
troubles
attestant une intoxication chronique par l'alco
c ou sans fureur. Cette manie s'accompagne d'hallucinations et d'un
trouble
profond de l'idéation, ce qui est tout en faveu
ns la pre- mière enfance paraissent avoir été le point de départ de
troubles
psychiques qui ne se sont montrés qu'à l'époque
entourage jusqu'alors psychiquement saines; 2° la transmission d'un
trouble
mental par contagion est un phénomène relativem
ique constitue le principal facteur étiologique pour la genèse d'un
trouble
mental induit.; 6° les éléments étiologiques qu
contaminée ; 7° le phénomène psychologique de l'implantation d'un
trouble
mental provient de l'imitation en vertu d'une imp
et ne présentant pas les caractères de la démence primitive aiguë.
Troubles
somatiques relativement minimes (analgésie, dim
ivement minimes (analgésie, diminution des réflexes cutanés) pas de
troubles
moteurs sensitifs ou sensoriels. Ceci indique une
t intéressé, et « leur pensée aussi leur est retirée ». 2° De ces
troubles
psycho-moteurs se rapprochent ceux qui se prése
sensibilité générale ou viscérale. Il est à remarquer que tous ces
troubles
coenesthétiques ont chez le persécuté moteur un
rquée, souvent un véritable dé- doublement de la personnalité. Ce
trouble
psychopathique est réduit à son minimum chez les
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. A mesure que la maladie progresse, les
troubles
de la person- nalité ne font que s'accentuer. S
es négations des possédés systématiques n'est plus secondaire à des
troubles
émo- tionnels, comme chez le mélancolique, mais
tion de désordres hallucinatoires spéciaux : l'absence de ces mêmes
troubles
émotionnels lui enlève également tout caractère
aient été condamnés, pour divers délits, malgré l'évidence de leurs
troubles
intellectuels. M. B. Séance du 28 janvier 1895.
longtemps des idées de persécution, des idées de gran- deur et des
troubles
très accusés de la sensibilité générale. Afin d
XXIX. 15 226 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Christian admet l'existence de
troubles
purement fonctionnels (oblitération artérielle)
lades sont en proie aux incommodités si fréquentes de la ménopause,
trouble
nerveux, céphalalgie, etc... Le terrain étant a
ent les malades eux-mêmes s'en aperçoivent et s'en plaignent. Les
troubles
de la sensibilité morale et l'agitation motrice n
ts symptomatiques qui se succèdent. La démence aiguë a pour elle le
trouble
profond de l'intelligence ainsi qu'une évolutio
s terminerons par le traitement de cette redoutable affection. 1°
Troubles
de l'appareil digestif. Les troubles de l'apparei
cette redoutable affection. 1° Troubles de l'appareil digestif. Les
troubles
de l'appareil digestif et plus spécialement de
ux ; elle permet d'affirmer ou non la fin d'une série d'accès ou de
trouble
mental consécutif. Chaque fois qu'un épileptiqu
t. C'est seulement lorsque la langue redevient nette, lorsque les
troubles
gastro-intestinaux disparaissent que l'on peut di
e. Il est des accès isolés et des accès sériels qui entraînent un
trouble
mental consécutif d'une durée et d'une intensité
de nouvelles crises survenaient dans le premier cas, ici c'est le
trouble
mental qui s'établit. La langue devrait donc rest
e état. C'est ce que l'on constate invariablement; tant que dure le
trouble
mental, l'état saburral persiste et il augmente
ngue commence à devenir meilleure, et c'est l'indice certain que le
trouble
mental touche à sa fin. Chaque jour la langue s
épileptique quelle que soit sa nature ou sa forme, vertiges, accès,
trouble
mental ou accidents larvés, est annoncée et acc
e d'une violente migraine. Mais en tout cas, il y a constamment des
troubles
gastro-intestinaux avec coprohémie. Ces phénomè
périodes, tantôt avant l'accès, tantôt pendant la série, pendant le
trouble
mental et, enfin, quand les accidents viennent
t apporté la certitude que, comme l'état saburral de la langue, les
troubles
gastriques qui marchent de pair vont en augment
sion sérielle. Jamais ils ne manquent, pen- dan t toute la durée du
trouble
mental, augmentant si un nouvel accès doit surv
ajoute cependant : « Il faut remarquer, d'ailleurs, que certains
troubles
gastriques font partie du paroxysme intellectuel.
oxysme intellectuel. » Mais il n'insiste pas davantage et passe aux
troubles
intesti- naux qui peuvent apparaître, détermina
se pas l'idée d'une intoxication. Il ressort donc de ceci que les
troubles
gastro-intestinaux et leur cortège sont absolum
ns l'état de mal épileptique dont la gravité est bien connue. Les
troubles
gastriques manquent d'ordinaire dans l'épilep-
à l'épilepsie générale. Chaque fois qu'il en est ainsi, on voit les
troubles
gastriques apparaître en même temps que la géné
, n'est ni moins intéressante, ni moins instructive que celle des
troubles
gastro-intestinaux dont nous venons de parler. L'
tion.de la toxicité urinaire est par conséquent en sens inverse des
troubles
de l'appareil digestif, puisque l'hy- potoxicit
l'appareil digestif, puisque l'hy- potoxicité apparaît lorsque ces
troubles
se manifestent, tandis que leur disparition acc
xicité. Cela a son importance, car. la toxicité urinaire, comme les
troubles
gas- triques, permet de déterminer les accès en
dans la totalité des'vingt-quatre heures. En outre, lorsqu'il y a
trouble
mental consécutif aux accès ou agitation maniaque
après les accès. Volume, 1450 grammes. Couleur jaune ambré. Aspect
trouble
et sale. Dépôt peu abondant. Odeur ammoniacale
ssions extérieures et intérieures (de Krafft- Ebing, Kroepelin), un
trouble
partiel de la conscience ou une espèce d'infirm
'identifie1 'encore = davantage' entre elles les' formes aiguës' de
trouble
paranoïque fquand il dit que'la'confusion' ment
ou paranoïa, est une affection de l'intelligence, dans laquelle les
troubles
de la sensibilité mo- DE i LAt. PARANOÏA' ! -t
s seulement elle a vomi après l'at- taque. Jamais elle n'offrait de
troubles
psychiques post-épilep- tiques. La céphalalgie
éilexesrotulions, rien du côté de la vue. Par intervalles, quelques
troubles
de la déglutition, léger tremblement des mains et
ômes bulbaires : bouche entr'ouverte, écoulement continu de salive,
troubles
de déglutition, affaiblisse- ment de la respira
lle dorsale. P. K. XXIV. nIICItOCÉPH.1L1$' AVEC FENTE simienne sans
trouble
intellectuel; par H. PrisTER. (Allg. Zeitsch. f
é ses propor- tions normales. Nulle altération pathologique, pas de
troubles
de développement locaux, pas de sillons rappela
pendent des organes nerveux atteints par les lésions de ce dernier.
Troubles
de la pa- role en rapport avec l'hypoglose; ral
évelop- pement de la région operculaire gauche, il s'est produit le
trouble
de la parole, surtout moteur, constaté pendant
unique. » (The alienist and neunologist, avril 1894.) E.' D. XXVI.
Troubles
vaso-moteurs ET trophiques dans la démence para
r le Dr Hoyt. , . r. Une étude clinique et auatomo-pathologique des
troubles
va : o- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 313 mote
ique aigu produit par un choc nerveux ou une maladie générale, sans
trouble
émotionnel, avec abattement marqué du pouvoir m
en même temps que de dépression physique; il existe quelquefois des
troubles
vaso- moteurs et la maladie se termine le plus
uérison complète. ;Le symptôme fondamental auquel tous les autres
troubles
men- taux sont subordonnés, est la confusion me
D'une manière générale;'ce ' sont des types simples de>folie; le
trouble
mental le plus commun est une forme tranquille,
i l'abla- tion des ovaires et des trompes détermina l'apparition de
troubles
délirants. L'auteur institua, comme traitemen
vertiges. Il oscille, titube en marchant. Absence d'ataxie et de
troubles
de la sensibilité. Pas de syphilis antérieure. La
de l'oeil. Rien du côté du pouls ni de la température. Aucun autre
trouble
morbide. Si au début on avait pu croire à une a
x. Il s'agit de trois cas de névralgie de la i cinquième paire avec
troubles
passagers de l'activité cérébrale. Le premier c
NTES. 331 1 sans appétit, un peu somnolent, mais ne présente pas de
trouble
intellectuel; sommeil agité. Aucun signe d'urém
plus tard tout avait disparu. Tous ces exemples témoignent donc de
troubles
purement fonctionnels, consécutifs à l'irritati
fusion mentale, désordre dans les idées, em- barras de la parole et
troubles
de l'écriture comme ceux des para- lytiques, im
l'écriture et le dessin de ces malheureux. Il n'y a pas chez eux de
troubles
de la conception proprement z 1 - T - ! f ' i
llaires repa- rurent bien qu'encore faibles notamment à droite, les
troubles
de la sensibilité cédèrent, l'amélioration fut
it complètement impossible. Chaque jour elle éprouvait des accès de
troubles
bulbaires graves, impossibilité de déglutir, la
ne paralysie bulbaire asthénique. 1 'M. WGIL. De la simulation de
troubles
vésicaux. Unjeunesoldat de vingt et un ans prét
tte malgré lui. C'est ce que l'on constate en effet mais sans autre
trouble
matériel ou fonctionnel. ' ' ' ' Le jeune hom
esse dans les jambes et le tronc. A partir de 1878, il présente des
troubles
moteurs intenses et des douleurs sacrées. En 18
ation de tous'les mouvements des bras, incordination associée à des
troubles
spasmodiques, ces mouvements n'étant au surplus,
ntrôle des sens spéciaux intégrité des jeux de la physionomie léger
trouble
de la vessie et du rectum. ' < Il fut impo
on des cordons postérieurs qu'il faut avant tout faire remonter les
troubles
du tact et du sens musculaire. II y a lieu d'ad
ts, chez lequel se inani- » testèrent, quelques mois plus tard, des
troubles
cérébraux. '' Après cette déposition, M° Dasque
ouard. De l'hémianopsie. Paris, 1880. ' 1·'éré. Conl. à l'élude des
troubles
fonctionnels de la vision par lésions cérébrale
s amenèrent un affaiblisse- ment considérable à la suite duquel les
troubles
^nerveux et mentaux-qui; avaient disparu depuis
ant. ' ' '' '> . ' R' *lm,'inG Je n'insisterai pas sur 'd'autres
troubles
visuéls; sur1 une sorte d'asthénopie qui empêch
pour qui connaît son histoire. Justine-présente depuis longtemps un
trouble
de la vision ;très intéressant que, j'ai étudié
rise tous les phénomènes hystériques ? Quoi qu'il en soit, c'est le
trouble
de la vision binoculaire, symptôme hystérique,
e'de' la^nain droite, nous démoai'r" gre1 il ? S,à,git"là ne e d'un
trouble
"de la perception personnelle, d'une anesthésie
hémianopsie nasale de cette nature, une localisation anatomique du
trouble
sin- lt. -»él li ? u . 'i' à Fig. 3. 3. , a 4
ce lui-7(îi-depuis fort longtemps a ete,atl--în- 1 e t de tous les «
troubles
les plus, marques. L'oeil droit,sur' tout dont no
rité, elle reste toujours en con- traction f exagérée ^c'est * un"1
trouble
dés" "réflexes"1 par'spasme plutôt que parparal
'Quoi Iqu'ilcenrsoit;Yétte'-inéââlité>pulüllaire;"ce myosis;' ce
trouble
'des'réflexes;' efirïcl ! hémiiopsie"doht'sè1-p
tômes'même ? ).... ? r; ? ' 1 'il il" (FI ts .if4rt .011b i-1p, les
troubles
pupillaires, sont transitoires. Le myosis augment
ignaler dans l'oeildroit ? Cet oeil présente au plus haut point les
troubles
detaccom. modation qui/1 ont^été ? si1 bien0 ét
bable ? ) <i''i, -)i ? Jf ? tM m .<t ? i tnft ? 1 1 ? que ces
troubles
de 1 oeil droit, ont'pour origine une intériorité
6 ? i «tnn.viov r<a .oi ? u : , Ajoutez a ces remarques. sur les
troubles
, présentes par 1 oeil . 1 1 r , ? v -I-sillo -i
f W ·1 4t. ? ... ' , ' L t .' z mentTparvl oeil. gauche,, tous ces ,
troubles
,t(maçrpp.sie, , microp- 'siequi dépendaiént én
l4tt 1 L c,U tl.arr ? f,· , . ·f 11·. i.,l|i|i,. 1 ? lH"l' tant; de
troubles
persister, si longtemps .dans un oeil du même c
roubles persister, si longtemps .dans un oeil du même cote, que ces
troubles
ne sont pas d ordinaire aussi remarques, Mt')t
érielle doivent aussi'nous arrêter un instant/ Dans'l'épilepsie les
troubles
vaso-moteurs ont été W ..i .rrop ."iiiim L.^it.
oir dtii3 l'éilepsi»des r a( .. rr, rrr.. , l t, - 1 , "1' 1, t 1
troubles
dans la circulation, de. 1 encépliale, de 1 isché
aaoqnsl 51-il~ôr . noimiiqt Il ajoute que pendant l'agitation et le
trouble
mental, la . " * *- . r ,)< ? < T-.1R 't)
rait intéressant de savoir s'il y a dans ces fractures répétées des
troubles
nu- tritifs'-se ! traduisant7 pari dés m'ôdific
, , o*j, G ? iix .oxlx . - -- À tt^.jl, «|J.. J.- i z par certains,
troubles
, de la parole, qui peuvent-jpèmel dan xio-v ? i
.) i r PL, JM1 ^ r u-.dlHr,' . j w le (juxwli tn . 1 a ! r JvJ Ces
troubles
du langage ont déjà,été mentionnes dans 1 en- ? ,
° ,i -j"'ir' r....» ····r Jr trfl9 ! ! nIT ? l', x ? O Lorsque ces
troubles
du langage sont plus .accentues, ils ,.<...-
»u , < x i ,f .iil, i - 1,1gus)verrons toutj)à)-l'heure quef-ces
troubles
peuvent^ la longue, s'accentuer, de plusten-plu
manents.. Lorsqué,.les accès; sont rares, et;, peu violents', le
trouble
,de,la parole;est très faible et très fugace,il du
fatigués de cet effort. Cette aphasie s'accompagne en général de
troubles
moteurs du côté droit, troubles moteurs qui peu
aphasie s'accompagne en général de troubles moteurs du côté droit,
troubles
moteurs qui peuvent, comme nous l'avons déjà di
glosso-dynamètre, modification dusphygmomètre de M. Blocli, que ces
troubles
du langage sont en grande partie dus à des trou
Blocli, que ces troubles du langage sont en grande partie dus à des
troubles
de la motilité de la langue. Nous disions en co
ité de la langue. Nous disions en commençant cette rapide étude des
troubles
du langage, qu'ils apparaissaient d'abord après
tôt ils deviennent persistants d'une manière définitive. A côté des
troubles
temporaires de la parole, il faut donc placer l
côté des troubles temporaires de la parole, il faut donc placer les
troubles
permanents ; ce sont du reste les mêmes qui ont
urs efforts. En somme, il semble qu'il y ait chez eux à la fois des
troubles
moteurs du côté des or- ganes de la phonation e
du côté des or- ganes de la phonation et de la confusion mentale.
Troubles
de la H ! o< ! 7<<e. Des troubles divers
de la confusion mentale. Troubles de la H ! o< ! 7<<e. Des
troubles
divers de la moti- lité plus ou moins graves, p
ifester consécutivement aux accès épileptiques. Ici, comme pour les
troubles
de la parole, nous verrons des phénomènes passa
fin définitifs et perma- nents. M. Ch. Féré a mis en évidence les
troubles
moteurs que l'on voit apparaître du côté de la
- roxysmes épileptiques. Cela jouerait un rôle important dans les
troubles
de la parole. M. Beevor a signalé aussi la dévi
OGIE PATHOLOGIQUE. plégie doit être d'origine corticale et due à un
trouble
dyna- mogénique des cellules de l'écorce ou à d
Les mouvements de la langue se font bien mais avec lenteur. Pas de
troubles
de la déglutition. L'obtusion intellectuelle es
avoir aucun but. La motilité de la langue n'est guère gênée. Pas de
trouble
de la déglutition, pas de nystagmus; les pupill
LOGIQUE. état dura à peu près quinze jours; les accès disparus, les
troubles
de la parole s'amendèrent etvers le 10 janvier
vêtir un air béat ou un aspect sardonique et diabolique. Il y a des
troubles
de la déglutition très marqués; parfois le spas
avoir marqué le début. Chez les autres épileptiques on voit bien le
trouble
de l'intel- ligence progresser aussi par poussé
e son langage devenait fort peu intelligible. En même temps que ces
troubles
de l'articu- lation se présentaient de l'engour
de l'aphasie et bien constater que nulle parésie n'accompagnait ce
trouble
de la parole. C'est le 27 février seulement qu'
entendus. Selon lui (et cela est bien con- firmé par sa femme) les
troubles
de prononciation sont moindres lorsqu'il s'est
survinrent des mouvements de la face ayant tous les caractères des
troubles
spéciaux à l'alhétose. Cette malade appartient do
génital de l'intelli- gence (dégénérescence) portant surtout sur un
trouble
de l'associa- tion des idées. Exemple : les pre
normale est grande, voilà l'homosexualité mâle ou femelle. C'est un
trouble
congénital. Les urninges ne sont pas des femmes
mme celle, par exemple, qui consiste à la mettre sur le compte d'un
trouble
dans la nutrition de l'écorce... Nous raconteri
acement. Demandons seule- ment] que tous les inculpés soupçonnés de
troubles
intellectuels soient, de droit, examinés par un
onfu- sion mentale détermine en outre dans le système nerveux des
troubles
consécutifs plus ou moins graves. L'historique es
la manière suivante : « On peut admettre l'existence d'une forme de
trouble
menlal dans laquelle le symptôme psychique préd
ve pour les autres formes d'aulres particularités, tantôt, c'est le
trouble
mental qui prédomine dans le tableau clinique,
u'en définitive le symptôme confusion se présente dans une série de
troubles
mentaux les plus différents. 11 peut se présent
plus ou moins longtemps, et qui peut être suivie d'une période de
trouble
mental ou d'agitation d'une durée variable. Mais,
L'examen nous montre la langue recouverte d'un enduit saburral, les
troubles
gastriques se manifestent; les lavages de l'est
à l'accumulation d'un produit toxique. Chez les hémorroïdaires, des
troubles
analogues ne se produisent-ils pas quand la con
le cas où les attaques se présentent en série et sont suivies de
trouble
mental, de folie épileptique. Pendant tout le tem
'épilepsie pourront varier, les accès remplaceront les verliges, le
trouble
mental succédera aux accès, il y aura de l'agit
pas. C'est seulement quand les accidents vont prendre fin que ces
troubles
digestifs commencent à diminuer progressive- me
ison. C'est là un fait très important à notre sens. L'évolution des
troubles
digestifs parallèle à celle des acci- dents épi
avec l'hypothèse d'une intoxication. L'apparition anticipée de ces
troubles
peut être considérée comme la première manifest
la torpeur alcoolique. Quand l'épileptique est gai, il éprouve des
troubles
de la sensibilité générale et des troubles du sys
est gai, il éprouve des troubles de la sensibilité générale et des
troubles
du sys- tème moteur qui le poussent à faire les
s jamais présenter de délire, d'autres, au contraire, présentent du
trouble
mental et de l'ivresse, après l'absorption d'un
ent une réaction normale. Mais lorsqu'il y a anomalie, avec ou sans
troubles
visuels, on trouve soit laprédominance de la se
édominance de la secousse négative d'ouverture, sans qu'il y eût de
troubles
visuels, dans un autre cas le même phénomène co
l'impuissance sexuelle résultant de l'onanisme^ les névralgies, les
troubles
vésicaux et les troubles de la sensibilité cuta
sultant de l'onanisme^ les névralgies, les troubles vésicaux et les
troubles
de la sensibilité cutanée chez les tabétiques.
. Chez les tabétiques, l'emploi du pinceau galvanique dissipe les
troubles
urinaires plus sûrement et plus vile que la suspe
ssent par auto-conduclion restent inefficaces contre la plupart des
troubles
hystériques et contre quelques névralgies localis
Aussi exercent-ils une action modificatrice considérable dans les
troubles
provoqués par le ralentissement ou la perversion
ience, janvier 1894.) Après avoir rappelé la grande variabilité des
troubles
mentaux qui accompagnent le myxoedème l'auteur
remède fut administré, la maladie datait de cinq ans au moins : les
troubles
mentaux suffisamment caracté- risés pour consti
dinaire que, suivant l'auteur, lorsqu'un ma- lade, interné pour des
troubles
intellectuels dus à l'abus des prépa- rations d
données qui peuvent conduire a la déter- mination de l'origine des
troubles
nerveux réflexes; C . .' ' - ' REVUE DE THÉRA
est d'ailleurs important, avant de rechercher les autres causes de
troubles
réflexes périphériques ou d'instituer un traiteme
e traitement ophtalmologique des épileptiques qui pré- .sentent des
troubles
visuels n'a pas jusqu'ici attiré l'attention que
ations associativement plus rapprochées sont éliminées par suite du
trouble
pathologique. Mais pour qu'elles se consolident
ître avant les accidents des causes d'auto-intoxication, telles que
troubles
gastro-intestinaux (indigestion, embarras gastriq
de voir dans certaines de ces manifestations les conséquences d'un
trouble
grave de la nutrition sous la dépendauce de lés
. Semelaigne, 331 ; situation des -, par Iloppe, 491. Aménorrhée,
troubles
cérébraux dans la chlorose et l' -, par Janning
uttleworth, Beach, We- ,,Iesworth et Niclle, -li92. Articulation,
troubles
de la voix et de l' chez les sourds-muets, pa
Chirurgie de la moelle épinière, par Thornburn, 119. Chlorose,
troubles
cérébraux dans la et l'aménorrhée par Jan- ni
my, 470. Démence paralytique sans paralysie. par Belliowslz 217 ;
troubles
vaso-moteurs dans la -, par Iloyt, 312. Dir
iectomie pour ? <, par Jacobi, 209; avec fente "V simienne, sans
trouble
intellec- 'i' tuel, Iar Pfister, 303. Miracle
héorie de la représenta- tion - corticale, par i ? wens, 3G. Vox,
troubles
de la - et de l'arti- culation chez les sourds-
() PATHOLOGIE MENTALE. un prédicateur fameux,jette immédiatement le
trouble
dans son âme. De l'agitation, des terreurs, sug
désordre dans ses facultés. Mais quel est le caractère des premiers
troubles
? S'agit-il d'une mo- nomanie ? Justine a des h
auxquels il résiste, jouit de la vie commune, a conscience de son
trouble
et souvent l'apprécie. Les convictions du mo- n
en est d'autant plus porté à supposer une fixité mono- maniaque. Le
trouble
délirant est susceptible d'enrayer l'essor des
. PITRES, - Pmfesseur à la Faculté de médecine de Rordeaui. , Les
troubles
fonctionnels, qui se produisent dans les membre
82), M. Browi)-Séquard a attiré l'attention sur la distribution des
troubles
paraly- tiques chez les malades atteints d'hémi
-t-on quelquefois à la suite de lésions unilatérales du cerveau des
troubles
bilatéraux et permanents dans les associations
ces deuils successifs l'impressionnent vive- ment ; son sommeil se
trouble
, le travail lui paraît plus pénible et plus fat
qui, malgré ses soixante-seize ans, veut lui donner des soins. Les
troubles
cérébraux augmentent, le malade ne dort pas, et
scent et rendu au même milieu, a été promptement repris des mêmes
troubles
intellectuels; 3' Que l'événement malheureux qu
légie motrice était complète; mais on ne peut savoir s'il y eut des
troubles
de la sensibilité. Au bout de peu de jours, les
is il n'y a guère qu'une différence de dix à quinze grammes. Pas de
troubles
des sens spéciaux, rien en particulier du côté
aitement, l'appétit est bon, les digestions sont faciles. Jamais de
troubles
de la défé- cation. Le sommeil est seulement ag
ntait, avec une certaine faiblesse intermittente des jambes, divers
troubles
céphaliques permettant de faire recon- naître u
es il existe une hyperexcitabilité réflexe analogue due à un simple
trouble
fonctionnel. Il n'est pas très rare de voir che
édical 1882, p. 'il.3. REVUE CRITIQUE LE FAISCEAU SENSITIF ET LES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ DANS LES CAS DE LÉSIONS CÉRÉB
Recherches anatomiques et cliniques sur le faisceau sensitif et les
troubles
de la sensibilité dans les lésions du cerveau. Pa
la sensibilité dans les lésions du cerveau. Paris, 1881. II. DES
troubles
DE la sensibilité dans leurs rapports avec les v
araissent mieux sous leur véritable point de vue. La question des
troubles
de la sensibilité dans leurs rapports avec les
les détails anatomiques pour les be- soins de la cause. II. DES
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ CONSÉCUTIFS AUX DIVERSES LÉSI
f cortical, en revanche les couches grises peuvent être le siège de
troubles
passagers, né- vrolytiques ou dynamiques comme
es chiens et chez le singe. Entrons dans quelques détails. A. Des
troubles
de la sensibilité dans leurs rapports avec les
ymptomatologie présentée par la malade et la coïn- cidence avec les
troubles
de lasensibilité d'hémichoréeoud'hé- miathétose
fût intacte, comme nous l'avons rapporté, et qu'il n'existât aucun
trouble
apparent des sens. Quoi qu'il en soit, le fait
a constaté comme nous, sans y insister toutefois, la possibilité de
troubles
profonds de la sensibilité générale, sans altér
ieures auront à en confir- mer ou à en infirmer la valeur. B.-Des
troubles
de la sensibilité dans leurs rapports avec les
ifs affectent un dédain peu justifié, nous rendait dans l'étude des
troubles
de la sensibilté d'origine cérébrale les mêmes
gine cérébrale les mêmes services que nous lui devons en matière de
troubles
du mouvement. Aussi est-ce à l'observation qu
ves à relever : « Il n'existe pas encore, dit-il, d'observations de
troubles
auditifs dans les maladies cérébrales, principa
aux relations cliniques entre les altérations de l'écorce et les
troubles
de la vue. Ferrier, il est vrai, a cru trouver
des circonvolutions tempo- rales. Mais l'aphasie sensorielle est un
trouble
complexe bien différent des simples altérations
points de l'écorce cérébrale, peuvent évoluer sans s'accompagner de
troubles
, au moins marqués, de la sensibilité spéciale,
uvent être, chacune isolément, dé- truites, sans qu'il s'ensuive de
troubles
de la sensibilité géné- rale et spéciale. Les
fois à la suite des lésions corticales récentes. Il s'agit la de
troubles
inconstants, souvent peu marqués et toujours pas-
t-il qu'en rapprochant les uns des autres les cas dans lesquels ces
troubles
ont été observés, nous avons pu légitimement, c
(la circonvolution fron- tale ascendante exceptée), il n'y a pas de
troubles
de la sensi- bilité ; A la suite des lésions
athogénie de la maladie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 87 Î Les
troubles
cardiaques précédant l'engorgement du corps thy
a commencé à dix-huit ans à avoir de la difficulté à marcher : les
troubles
tabétiques se sont accentués depuis. Le sixième
itième est un fils de vingt-deux ans paraissant bien, mais il a des
troubles
de l'équilibration dans l'obscurité, il a de te
faits de ce genre ; Friedreich a noté dans ce cas la fréquence des
troubles
du langage qui dans cette série ont été presque
d'affections médullaires, mais encore d'affections cérébrales ou de
troubles
psychiques. Cn. F. REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
la démence épileptique aux grands accès et non au petit mal. Les
troubles
de la connaissance en rapport avec l'épilepsie so
pense qu'il s'agit précisément en tous les cas de la limitation des
troubles
angioparalytiques ou anctospastiques à tel ou t
- que les mêmes proportions de fréquence qu'en ce qui a trait aux
troubles
de la sensibilité postparoxystiques. Ce sont just
onctions de l'organisme sont atteintes. I. Au premier plan sont les
troubles
de la nutrition. Après six, huit, douze mois de
i les oblige à changer de linge plusieurs fois par jour. III. Des
troubles
vaso-moteurs s'ajoutent aux précédents : le pou
que le malade compare à un coup de couteau dans le coeur. IV. Les
troubles
de la motilité sont observés sans exception. Ce
parésie des mus- cles de l'oeil (diplopie), et du muscle ciliaire (
troubles
de l'ac- commodation) ; d'autre part, l'immobil
ns le tabes classique. V. Du côté de la sensibilité, on observe les
troubles
les plus variés, tels qu'engourdissements, four
cations du goût (sa- veur amère des aliments), et plus rarement des
troubles
de l'ouïe et de l'odorat (bourdonnements d'orei
céphalalgie sourde, particu- lière, des syncopes, des vertiges, des
troubles
de la respiration ; et, dans l'ordre psychique,
lièrement ralenties. Les hallucinations de la vue sont rares. Ces
troubles
somatiques et psychiques conduisent fréquem- me
ction tonique et trophique sur les centres nerveux, et il calme les
troubles
gastriques. Le patient reçoit encore un soir so
du réflexe tendineux; exagération des ré- ilexes cutanés; - urines
troubles
, sédimenteuses, albumine appré- ciable. La ma
une sale de la peau, oedème très marqué des extrémités inférieures,
troubles
cardiaques, alté- ration des globules sanguins,
'ailleurs l'accompagne souvent, donne lieu bien plus rarement à des
troubles
psychiques. M. Kroepelin n'a pu en relever que
èvre éruptive serait la cause essentielle et non pas l'occasion des
troubles
nerveux, puisque \\ p. 100 des patients avaient
ine. Pronostic absolument favorable. 3° Rougeole. Très rares, les
troubles
psychiques s'y mon- trent pendant lej eune àge
l'aponévrose épicrànienne. C'est bien la localisation céphalique (
troubles
de circulation) et l'hyperthermie, jointe à l'act
re typhoïde. C'est la maladie aiguë par excellence du délire et des
troubles
psychiques. La division comporte les manifestat
progressivementles éléments pathogénétiques : fièvre, hyperthermie,
troubles
circulatoires, dégénérescences parenchymateuses
s individus prédisposésexa- gère leurs côtés faibles et produit des
troubles
profonds, voire irréparables danslanutrition du
oses pendant le stade prodromique, leur rareté excessive malgré les
troubles
circulatoires (stases vei- neuses) émanant de l
si les résultats cliniques n'y contredi- saient pas, à penser à un
trouble
dans la réception des sensations sonores ; sur
de la paralysie générale ; on constatait en même temps chez lui les
troubles
de la motilité appartenant au tabes, de la blép
chiques oblitérées, que le symptôme observé provienne d'un simple
trouble
fonctionnel ou d'une affection du cerveau ? A int
la totalité de ses premiers accidents, a d'ailleurs été reprise de
troubles
mentaux quelques années plus tard et se trouve
rite exige le concours des oedèmes rapides, des douleurs, de l'état
trouble
carac- téristique d'une urine fréquemment sangl
e la période de début, préataxiquo du tabès; en particulier sur les
troubles
oculaires etgénito-urinaires. Au début de la pé
nd il l'a cherchée même au début de la pé- riode préataxique. Les
troubles
oculaires peuvent rester plusieurs années à l'éta
s années à l'étal d'isolement ou du moins n'être accompagnés que de
troubles
fort peu accentués; il en découle, dans l'ordre
n affaiblissement visuel, et en outre d'analyser minutieusement les
troubles
fonctionnels de l'oeil au point de vue de leurs c
volution, puis de considérer l'état de la pupille. Très souvent les
troubles
de la vision débutent par un seul oeil; ils ont
t seule- ment à gauche une légère diminution de sensibilité; sans
trouble
visuel. En réalité, ce n'était pas à une véritabl
ger. « Sous l'influence du malaise moral profond qui constitue le
trouble
psychique essentiel de la mélan- colie, dit cet
e des vrais mélancoliques; il ne semble pas qu'il y ait en eux ce
trouble
profond de la sensibilité morale que Griesin- g
ité avancée, que le délire de négation survive en quelque sorte aux
troubles
généraux du début et que les malades, comme cel
élancoliques correspond à peu près à la division en mélancolie avec
trouble
général de l'intelligence et en monomanie trist
nostic est également fâcheux lorsqu'on voit diminuer l'intensité du
trouble
mélancolique général, tandis que les idées déli
de l'utérus et de ses (lll ? lexes,1858. 1 Boussi. Etude sur les
troubles
nerveux réflexes observés dans les maladies uté
Thèse de Paris, 1880. 3 Boyé. - Essai clinique sur les rapports des
troubles
génitaux à la folie chez la femme. Thèse de Mon
le voit, si, d'après les données d'un certain nombre d'auteurs, les
troubles
génitaux chez la femme sont une des causes les
ps, les formes gynécologiques qui s'associent le plus souvent aux
troubles
mentaux, on pourrait aussi, par cela même, juge
être observées que pendant la vie, comme des phénomènes d'ovarie,
troubles
de la menstruation, et aussi, les légères formes
s étaient représentées comme suit : idiotie, un cas; épilepsie avec
troubles
mentaux, quinze; hystérie avec aliénation menta
rouverait qu'avant le retour d'âge, la folie est compliquée par les
troubles
génitaux dans 84 p. 100 à peu près. Après la mé
eil générateur, qui se présentent prin- cipalement sous la forme de
troubles
de la menstrua- tion, de symptômes d'ovarie et
- cience s'appliquent aux seuls malades qui réfléchissent sur les
troubles
semoriels et psychiques dont ils sont frappés e
fait défaut, car en revenant à la vie le malade est sous le coup de
troubles
d'une acuité telle que toute appréciation de so
ogressive à la première période, datant de deux ans. Conscience des
troubles
psychiques et physiques. Idées de suicide. M-
bas âge, l'un de la coqueluche, l'autre d'une fièvre cérébrale. Les
troubles
intellectuels datent de deux ans. Mme C... a la
ésordres physiques sont appréciés. La malade les rap- proche de ses
troubles
psychiques et en conclut à un ramollisse- ment
fiance absolue dans leurs halluci- nations, ne se doutent point des
troubles
de leur intellect et cèdent avec conviction à t
i pas eu occasion de les observer. Chez l'aliéné qui a basé sur ses
troubles
sensoriels une systématisation délirante, leret
ission depuis six mois. Conscience nette durant quelques heures des
troubles
physiques et psychiques y compris le délire des
te de sa situation. Non seulement il se rend un compte exact de ses
troubles
paralytiques, tels que tremblement des RECHERCH
ue. Avec le printemps, une rémission incomplète se produisit. Les
troubles
physiques s'amendèrent considérablement, les ten-
écents et l'observation de plusieurs malades de la Salpêtrière. Des
troubles
auriculaires variés, la surdité, quelquefois in
puis il passe en revue les divers groupes syrnptomatologiques. 1°
Troubles
intellectuels. -Fréquents et pouvant varier depui
de Neurologie; n" 7, p. 100. 328 REVUE DE pathologie nerveuse. 2°
Troubles
moteurs. Contractures, convulsions, paralysies,
durée plus ou moins persistante, sa va- leur diagnostique. - - 3°
Troubles
de la sensibilité. Il peut y avoir intégrité des
ement soudains. La céphalalgie est assez fréquente et précoce. 4°
Troubles
de la sensibilité spéciale. Ouïe : on a constaté
mpossibilité d'articuler nettement jusqu'à l'aphasie complète. 5°
Troubles
de l 'appareil digestif - La présence de l'écume
as. La constipation est la rigle : elle est souvent opiniâtre. 6°
Troubles
circulatoires. Le pouls ne saurait être consi-
rapide et faible; dans quelques cas rares, il demeure normal. 7°
Troubles
de la respiration. La respiration stertoreuse e
de cas pour que l'on puisse utiliser ces données incomplètes. 9°
Troubles
des fonctions urinaires. Ils sont sans importance
s se rencontrent tout à fait dès le début. Erlenmeyer pense que les
troubles
dysgrammatiques de l'écriture doivent être ratt
uniquement aux altérations corticales organiques, à l'exclusion des
troubles
circulatoires qui peuvent survenir. E. CH. XI
it le plus souvent noté. L'intensité des angoisses consécutives aux
troubles
de la conception augmente de plus en plus ; bie
hées spontanées nocturnes et même diurnes); de la constipation; des
troubles
de l'appareil digestif, de l'insomnie, de la dy
1't,ilepsie; qu'il s'agisse de l'accès complet, du petit mal ou des
troubles
mentaux, l'amnésie absolue des patients témoign
ense de 600 francs sera accordée à MM. Azam pour un mémoire sur les
Troubles
intellec- tuels consécutifs aux traumatismes du
notre service, atteint d'alcoolisme, et qui ue présente plus aucun
trouble
intellectuel. 11 s'est emparé du sabre d'un ser
pèce. M. SENATOR désire qu'on insiste désormais davantage sur les
troubles
vésicaux, constants en toutes ses observations de
spèce, la parésie du muscle .droit-interne est bien moindre que les
troubles
de la motilité qui ressortissent à gauche à l'a
on observe dans la région du nerf cubital gauche l'expan- sion des
troubles
de la sensibilité auparavant limités à droite.
'agissait notamment dans l'espèce d'une lésion de l'écorce avec les
troubles
caractéristiques de sensibilité et de motilité du
faible élévation thermique ; au mois de mai de la même année, des
troubles
dans l'innervation du facial également à gauche.
marquer à cet égard comment, en des conditions spéciales d'un léger
trouble
dans la circulation, s'opèrent les transformati
x rapports de l'hystérie en général avec divers états morbides, aux
troubles
vaso-moteurs et sécré- toircs de la névrose, à
aso-moteurs et sécré- toircs de la névrose, à sa thérapeutique, aux
troubles
intellectuels, au caractère, aux mceurs et à l'
as est beaucoup plus pris que la jambe. Elle ne s'accompagne pas de
troubles
de la sensibilité. Cn. F. 1 Arclt. de Netcrol
ller jusqu'à une véritable para- 261 se BIBLIOGRAPHIE. lysie. Les
troubles
moteurs et sensitifs des extrémités sont remar-
ce d'un épisode aigu, ou en conséquence d'une lésion cérébrale. Les
troubles
digestifs sont analogues à ceux de l'alcoolisme
ré/fees; par OLLIGn. Tlièse de Paris, 1882. Etude clinique sur les
troubles
intellectuels dans l'ataxie locomo- trice proyr
THAUs, London, 1882, 20 édit. Contribution ci l'étude de quelques
troubles
trophiques dans l'ataxie locomotrice ; par 13 :
énéral nos malades, à part les accidents d'équi- libration et leurs
troubles
auditifs, jouissaient d'une santé parfaite. La
7 7 être atteint de nécrose et éliminé, sans qu'on ait observé de
troubles
d'équilibration. J'ai montré à la Société de bi
constitution ternaire, nous offre une séparation sem- blable. Aux
troubles
de l'équilibre s'ajoutent le bour- donnement d'
mière ! Il est possible, en effet, de faire naître chez l'homme des
troubles
ana- logues au vertige, et jusqu'à des troubles
re chez l'homme des troubles ana- logues au vertige, et jusqu'à des
troubles
de l'équilibre, comme on les a produits sur les
nt, est nécessaire pour expliquer la réaction plus énergique, et le
trouble
plus général. Mais c'est, en définitive, l'inte
e migraines violentes avec vomissements. En 1879, il se plaignit de
troubles
de la vue, de brouillards devant les yeux; il a
13lacé à Vanves au mois d'avril 1880, on constate chez M. C... un
trouble
mental profond. M. C... ne se rend compte ni de
ant de maux. Suicide relativement rare. Homicide plus fréquent.
Troubles
de la 'sensibilité très rares. Hallucinations
Suicide et mutilations très fré- quents. Homicide plus rare.
Troubles
de la sensibilité. Anesthésie. Hallucinations
GIE MENTALE. rien dans ses relations ordinaires ne trahissait son
trouble
mental '. Pour notre malade également, dont on
survenir une aggravation, sans que rien au dehors vienne trahir ce
trouble
inté- rieur ? Westphal, dans son excellent Mé
acilité plus grande avec laquelle celles-ci parviennent à cacher ce
trouble
ins- tinctif. Toutefois, nous avons deux observ
à lui, il note que, treize fois sur dix-sept cas, se montraient des
troubles
névro ou psychopathiques ; c'est, on le voit, l
urriture et sur les vêtements. Il est d'une timidité extrême, il se
trouble
et balbutie devant les clients, il est incapabl
le ne s'écroule sur lui. Chez ce malade, véritable héréditaire, les
troubles
psychopathiques sont nombreux. Dès l'âge de cin
de coté les autres tlésprdre$I2scliopatl,iclues, arrêtons-nous aux
troubles
sexuels. i^pçpuisjiuit ans, elle est sous le co
force extraordinaire aux'dépehs de la moelle, sans provoquer aucun
trouble
de ce côté : ' 1,tiri Le fait était trop import
entent. Il s'en suit que les sarcomes provoquent de bonne heure des
troubles
fonctionnels, tandis que les neuroglio- mes ne
a colonne grise antérieure du côté gauche. , REVUE CRITIQUE DES
TROUBLES
NERVEUX OBSERVÉS CHEZ LES DIABÉTIQUES; Par D. B
es diabétiques, on les a regardées comme primitives sans même DES
TROUBLES
NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. : ;37 se demander
» A la même époque, On-le rapportait aussi au diabète cer- tains
troubles
nerveux observés pendant le cours de cette mala
e certainement un grand intérêt; mais l'étude épisodique des divers
troubles
nerveux que l'on rencontre, on peut dire si fré
peuvent s'expliquer, soit par des altérations humorales, et par le
trouble
de la nutrition cérébrale qui peut en être la c
pas tant, sous la dépendance du diabète lui-même que sous celle du
trouble
général de la nutrition que détermine la glycos
raux précisément au moment où ils ne sont plus glycosuriques. Ces
troubles
sont du reste très divers et peuvent atteindre la
ait impré- vu. A. Troubles de la )M07<<e. Il n'est guère de
troubles
du mouvement qu'on n'ait observés dans le cours
bservation du régime approprié. Divers phénomènes l'accompagnent,
troubles
de l'intelligence et des facultés affectives, etc
ournal de médecine et de chirurgie pratiques, lévrier 1882. ' ' DES
TROUBLES
NERVEUX CHEZ LLS DIABETIQUES. 33J complet, qui
scléreuse de M. Rigal). Ouskuvvtion IV. M. P..., diabétique, sans
troubles
fonctionnels bien marqués, s'affaiblit tout à c
litils. (Saint Georges Ao.spatal Hcpurls, L. 1, 18G, [. 1G0.) DES
TROUBLES
NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 'il 1 Les troub
, [. 1G0.) DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 'il 1 Les
troubles
de la parole que l'on observe dans le cours du
la mort arrive par la cessation de l'acte respiratoire. Un autre
trouble
moteur fort intéressant au point de vue séméiol
peuvent faire penser à tort à des phénomènes tabétiques. Parmi les
troubles
des organes de la locomotion, on- doit encore r
ter sur cette insomnie fatigante qui semble le premier indice des
troubles
de la circulation cérébrale et peut être l'avant-
1 LécorchG et Tfttamon. Etudes médicales, etc., 1881, p. 27, ' DES
TROUBLES
NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 343 3 Ces trouble
81, p. 27, ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 343 3 Ces
troubles
moteurs, comme du reste les troubles sensitifs
HEZ LES DIABÉTIQUES. 343 3 Ces troubles moteurs, comme du reste les
troubles
sensitifs que nous allons étudier ensuite, sont
éveloppées primitivement et qui sont de nature à expliquer tous les
troubles
limités. Ce sont des excavations miliaires qui
cher sur des filets de corde à larges mailles. Il n'y a pas que ces
troubles
de la sensibilité, nous le verrons plus loin, qui
),/oe. < ? ? p. 3 : ,3. ' Loiidel. Clin, mi'/l. ]i. 279. , DES
TROUBLES
NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3)5 5 rebelle ; m
DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3)5 5 rebelle ; mais les
troubles
de ce genre, dans le cours du dia- bète, sur le
, car ces dou- leurs dont on peut concevoir la combinaison avec des
troubles
de la station, l'anesthésie plantaire, ou des h
tabes ataxique. Les organes des sens, les viscères même offrent des
troubles
de leur sensibilité spéciale. Pour la fréquen
faut avant tout citer la frigidité. Bouchardat a pu dire que « les
troubles
de la vue et l'impuissance sont les deux thermo
La perversion de l'odorat est mentionnée par Lécorcfé. Quant aux
troubles
gustatifs, le même auteur n'y voit qu'un effet
? . · 0 Annales des maladies de l'oreille et du larynx, 1882. DES
TROUBLES
NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 li 7 Troubles o
u larynx, 1882. DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 li 7
Troubles
oculaires. Ils ont la plus grande importance pour
her la kératite, l'iritis, l'irido-choroïditeau diabète et même aux
troubles
ou aux lésions concomitantes du syst( me nerveu
'ouvrage célèbre de Rollo 1 que l'on trouve la première mention des
troubles
oculaires chez les diabétiques, mention due à W
l'albuminurie. La proportion des cas de diabète où se montrent les
troubles
oculaires est considérable. Poueliardat l'évalu
ies de la vision, 18 cas ainsi répartis relèvent du diabète : DES
TROUBLES
NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 le ! ) place à
a corrigeront. Au cas de paralysie incomplète, on conslate tous les
troubles
caractéristiques de l'asthénopie accommodativc,
amblyopie se montre dans les cas de glyco- surie faible, quand les
troubles
de la santé générale sont peu marqués, selon M.
edans tous les cas. Parfois, il fau- drait incriminer la rétine, un
trouble
fonctionnel ou circula- toire de cette membrane
ula- toire de cette membrane, et même du centre optique ; car ces
troubles
de la vision s'observent également dans les hémor
. - Lue. cil., p. 2oS. Wickerslieiiner. Thèse de l',ma; 187 ' DES
TROUBLES
NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 351 optique. Le c
rétinite glycosurique s'observe dans les cas graves, alors que les
troubles
nutritil's et l'amaigrissement général ont fait
o rétinienne serait le pré- lude d'une hémorrbagie cérébrale. Des
troubles
oculaires pareils ont été décrits dans la plios-
alurie, la benzourie, les pertes sémi- 1 Bellouard. Loc. cit. DES
TROUBLES
NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 353 nales (Desmar
- tiques (saturnisme, alcoolisme, nicotinisme, chlorose...)1. Les
troubles
de la vue sont rares chez les enfants. Leroux'
des terreurs qui peuvent conduire au sui- cide. D'autres fois, sans
trouble
mental caractérisé, le malade se trouve dans un
excitation morale est beau- coup plus rare. La plupart du temps ces
troubles
mentaux doi- vent être rattachés à l'affaibliss
ttachés à l'affaiblissement général. (Durand-Fardel.) A la suite de
troubles
nerveux divers, on peut voir survenir chez des
aulle), il faut bien admettre une relation entre les deux ordres de
troubles
. 1 Wickersheimer. Paris, 1874. - Legrand du S
decine, 1877. AitcuivEs, L. IV. 23 . 3j ! 1, REVUE CRITIQUE. D.
Troubles
trophiques. Certains diabétiques offrent des lé
s offrent des lésions qui présentent une certaine analogie avec les
troubles
trophiques que l'on observe dans des affections
s plusieurs affec- tions du système nerveux Il est possible que ces
troubles
trophiques localisés reconnaissent pour cause u
bser- uces chez des névropathes. (7roy)M ! t : edica/, 1881.) DES
TROUBLES
NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 355 OBSERVATION I
urtour de leurs touffes, est si fréquemment le siège d'altérations,
troubles
et d'épaississements ? C'est, dit M. Loehr, qu'
du sinus latéral. C. T. XXVI. L'ATAXIE locomotrice différenciée des
troubles
fonctionnels qui la simulent; par A.-D. ROCIi\V
érature médicale, admet REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 379 que les
troubles
de la digestion, et en particulier ceux qui rés
es gens -vigoureux, bien portants d'habitude, tandis que les autres
troubles
atteindraient les sujets d'un âge mûr. anémiés
possédaient leur volume normal et il n'y avait aucune apparence de
troubles
trophiques du côté de la peau, des os ou des jo
de dix semaines, parésie de la jambe gauche qui présente les mêmes
troubles
de la sensibi- lité que le bras droit. Quelques
paralysie de la jambe avec rigidité/Phénomènes tendineux ac- cusés.
Troubles
modérés de la sensibilité. Cystite ; contracture.
rition 3J 4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des réflexes tendineux.
Troubles
de sensibilité ( ? ) dans les extrémités inféri
mités inférieures. En 1878, bruit systolique au coeur. En 1880, nul
trouble
de la sensibilité ; de temps à autre, tensions
signe psychique se soit montré,' la pupille change, témoignant d'un
trouble
de circula- tion précédant ceux de l'innervatio
attaque de rhumatisme articulaire qui paraît avoir été subaigu; les
troubles
mentaux datent de ce moment ; ils étaient carac
nt elle aurait été choréique depuis un mois, et aurait présenté des
troubles
intellectuels depuis une semaine; on n'aurait p
de M. Clouston. On remar- quera ici le caractère très accentué des
troubles
de la sensibi- lité spéciale, qui se sont montr
a sensibi- lité spéciale, qui se sont montrés plus rebelles que les
troubles
qui affectaient ou détruisaient momentanément d
ifique),'par Fournier, 139. Ataxie locomotrice différenciée des
troubles
fonctionnels qui la si- mulent, 377. Ataxie l
otard, 152, 282. Dessiccation du cerveau, 249. Diabétiques (Des
troubles
nerveux observés chez les), par Bernard et Fé
, 143. Négations (délire des), 152, 282. Nerveux. 372. Nerveux (
troubles
- observés chez les diabétiques), par Bernard e
elles, par Charcot et Magnan, 296. Sensitif (le faisceau), et les
troubles
de la sensibilité dans les cas de lésions cér
nfluences circulatoires. Certaines formes de névralgies, certains
troubles
fonctionnels, s'expliquent par des variations c
idées ambitieuses; il se croit toujours riche à millions, mais les
troubles
de la sensibilité générale dominent. Tout le mo
urs ; ce sont ceux dont le délire s'alimente exclusivement dans les
troubles
de la sensibilité génitale. Ces malades n'arriv
par le même mécanisme, chez tous il est permis d'admettre le même
trouble
fondamental de l'intelligence. Dans cette famil
. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE. le rôle principal ne revient-il pas aux
troubles
si variés de la sensibilité organique ? En port
cre. Il venait consulter pour des douleurs névralgi- ques, pour des
troubles
oculaires, avec une ordonnance des Quinze-Vingt
tenir soit à la fracture ancienne vicieusement consolidée, soit aux
troubles
de la vue. Les troubles delà sensibilité sont m
ncienne vicieusement consolidée, soit aux troubles de la vue. Les
troubles
delà sensibilité sont multiples. Le malade se pla
ou- reux d'aspect. L'appétit est exagéré, la soif augmentée, sans
troubles
stomacaux ou intestinaux. Il porte au niveau de l
NERVEUSE. que nous voulons établir l'existence du tabes vrai. Les
troubles
vésicaux plaident bien pour l'ataxie locomotric
fisamment caractéristiques et on pourrait objecter que de pareils
troubles
urinaires ont été observés dans le diabète. Par
roubles urinaires ont été observés dans le diabète. Par contre, les
troubles
oculaires nous semblent lever ici toute espèce
é- tiques. Non pas qu'on ne rencontre point dans le dia- bète des
troubles
et des lésions oculaires; mais combien différen
la paralysie de l'accommodation et des muscles extrinsèques; 3° les
troubles
hémorrhagiques du corps vitré; 4° des rétinites
résumé, si quelques accidents nerveux : perte du réflexe rotalien,
troubles
de la sensibilité, frigidité génitale, troubles
u réflexe rotalien, troubles de la sensibilité, frigidité génitale,
troubles
vésicaux même ne peuvent être équitablement par
he avec une canne. C'est à la même époque que se sont montrés des
troubles
uri- naires caractérisés par une paresse vésica
ser fortement, de se tirailler la verge et de pisser accroupi. Ces
troubles
n'ont pas cessé depuis lors; s'il veut résister a
uelques gouttes dans son pantalon. Depuis une dizaine d'années, les
troubles
moteurs se sont nota- blement accrus; fréquemme
rique, le tout par litre, sans aucune trace d'albumine. L'urine est
trouble
, acide, d'une densité normale, et laisse dépose
ns contractions fibril- laires, sans atrophie appréciable. Pas de
troubles
de la sensibilité autre que les engourdissements
ssible dans l'obscurité. Le coeur est normal, le pouls a 76. Pas de
troubles
digestifs. Troubles urinaires dejà signalés. Ri
é. Le coeur est normal, le pouls a 76. Pas de troubles digestifs.
Troubles
urinaires dejà signalés. Rien au foie ni dans les
ans plus tard, est survenue une incoordina- tion motrice, avec des
troubles
urinaires bien spéciaux. Ce n'est que vingt ans
ire, le signe d'Argyll, les signes de Rom- berg et de Westphal, les
troubles
urinaires. Notre malade est en outre un véritab
égalité pupillaire, lesignedeRobertson, la démarche ataxique, les
troubles
vésicaux, qui ne peuvent être mis sur le compte
nous sommes déjà expliqués sur la plupart d'entre eux. Quant aux
troubles
moteurs, nous ferons remarquer en pas- sant, qu
de cerlains signes habituels, concomi- tants : fréquence du pouls,
troubles
sensitifs dans le domaine du trijumeau, etc., q
iolentes, maintenant plus fréquentes mais beaucoup moins sévères.
Troubles
vésicaux, rétention d'urine; ne peut uriner qu'à
s ce fait est assez difficile à préciser à cause de la présence des
troubles
vésicaux tabéliques qui existaient déjà à cette
1). Homme d'aspect assez robuste, d'embonpoint ordinaire. 1 Comme
troubles
de la sensibilité, il se plaint des douleurs à ty
Sa bouche n'est ni sèche ni amère; deux dénis font défaut. Pas de
troubles
appréciables de la sensibilité objective, général
ables de la sensibilité objective, générale ou sen- sorielle. Les
troubles
génito-urinaires sont une impuissance absolue et
bsolue et une légère incontinence d'urine de temps à autre. Comme
troubles
moteurs, incoordination absolument tabétique. L
verts, sans osciller et sans menacer de tomber. Il n'accuse aucun
trouble
oculaire ; aucun trouble gas- trique ou laryngé
sans menacer de tomber. Il n'accuse aucun trouble oculaire ; aucun
trouble
gas- trique ou laryngé. Le coeur est sain, le p
coïncide précisément avec l'ap- parition de phénomènes tabétiques;
troubles
de la sen- sibilité, incoordination motrice à é
flexes aux bras et aux genoux. Anes- thésie de la plante des pieds.
Troubles
du tact. L'urine a une densité de 1,028 et renf
s mentionnées, mais qu'on suspende la pression, ins- tantanément le
trouble
de l'équilibre renait. ASTASIE-ABYS1E A TYPE CH
epuis un mois et à la suite d'un embarras gastrique fébrile, que le
trouble
s'est ac- centué et est arrivé à son apogée.
e plus la pression des zones postérieures du tronc qui supprime les
troubles
musculaires relatifs à la station debout n'exer
lésé 'par la tumeur comme le trijumeau, aussi y avait-il un léger
trouble
de la motilité et de la moitié gauche de la face
rvation de myxoedème au début offrant ceci de saillant : absence de
troubles
de la parole et de la voix, de troubles trophi-
ci de saillant : absence de troubles de la parole et de la voix, de
troubles
trophi- ques des cheveux et des dents (à cause
viennent l'obtusion intellectuelle et le 'sopor. Les aphasies, les
troubles
de la motilité, les troubles de la sensibilité,
tuelle et le 'sopor. Les aphasies, les troubles de la motilité, les
troubles
de la sensibilité, les paralysies des muscles d
nq mois de galvanisation améliorent singulièrement la motilité; des
troubles
trophiques, qui s'étaient produits dans l'épaul
re de potassium. P. K. XIX. GONFLEMENT DES phalangettes DES DOIGTS.
TROUBLE
trophique encore inconnu; par 0. ROSENBACH. (Ce
rtainement nerveuse (prolification du périoste et des ligaments par
trouble
trophique). P. K. XX. Contribution A la casuist
dité sans spasme paroxystique. La force musculaire a diminué. Aucun
trouble
de la sensibilité ni des réflexes. C'est une af
as ce caractère. Il est probable que ces dernières pro- viennent de
troubles
de nutrition qui déterminent de l'irritabilité
our suspendre momentanément les fonctions de ces centres. Puis, les
troubles
de nutrition progressent et finalement interrom
on cours normal. P. IERAVAL. XXVIII. CONTRIBUTION A la question DES
TROUBLES
DE la SENSIBILITÉ dans les affections EN foyer
ésion tuberculeuse. P.KERAVAL. XXIX. Contribution ,1 L'I.TUDE DES
TROUBLES
trophiques DES ongles dans L\ névrite multilocu
N. 0. absence du signe de Romberg, de parésies, de contractures, de
troubles
de la sensibilité, de troubles des réflexes.
rg, de parésies, de contractures, de troubles de la sensibilité, de
troubles
des réflexes. Le frère le plus atteint (quara
le cas ne soit original. . P. KERAVAL. XXXI. DE L'OCCURRENCE DES
TROUBLES
DE la SENSIBILITÉ dans la SCLÉ- rose EN plaques
dont trois avec autopsie. Vingt-neuf, soit 88 p. 10o, dénotent des
troubles
indéniables de la sensibilité. Dans 48 p. 100,
uis, tout à coup, comme dans une attaque apoplectique, arrivent ces
troubles
qui, quelle que soit la progression dans l'en-
- rose en plaques, c'est le caractère passager, temporaire de ces
troubles
. Il en est ainsi pour des troubles de la vue, et
tère passager, temporaire de ces troubles. Il en est ainsi pour des
troubles
de la vue, et de la motilité (hémiparésie, para
ois, cependant, le cylindraxe reste altéré et perd sa fonction; les
troubles
de la sensibilité deviennent alors irrémé- diab
.-S. 110PS : 1KON. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLVII., 3-r.) . Les
troubles
intellectuels qui accompagnent la polynévrite se
a, la malade qui fait le sujet de cette observation présenta, comme
troubles
sensitifs, des névralgies des parties molles de
forme de douleurs térébrantes et une diminution des réflexes; comme
troubles
moteurs, une dimi- nution notable de la force m
force musculaire et des phénomènes de rigi- dité tendineuse; comme
troubles
trophiques et vaso-moteurs, des sueurs, de l'at
ce qui permet de supposer que l'origine doit en être rapportée à un
trouble
médul- laire datant de la vie foetale ou du tra
ervation presque entière de l'intelligence; avec cela l'absence des
troubles
des sen- timents, d'excitation motrice et de st
ier, et qu'elle fait son apparition immédiatement après l'action de
troubles
moraux, de surexcitavité intellectuelle ou d'un
hez ces malades un état épisodique d'une grande excitation, avec un
trouble
de sentiment 118 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
un fait acquis à savoir que la personne internée était atteinte de
troubles
intellectuels justifiant son placement. La loi de
A signaler particulièrement les deux chapitres qui ont trait aux
troubles
oculaires dans l'hystérie. On y trouvera minutieu
ite par Clay Shaw, et à quel titre peut-on bien la classer dans les
troubles
d'origine extra-cérébraux ? Les phénomènes hystér
ante de nos distingués con- frères envisage donc principalement les
troubles
mentaux dans leurs rapports avec l'arthritisme
nt-ils guère arrêtés. Ils ont insisté au contraire, sur l'étude des
troubles
intellectuels des arthritiques chez lesquels on
endent à se confondre, la part qui revient au système nerveux ou au
trouble
de la nutrition, comme cause première; mais que
re à l'action primordiale du système nerveux dans la production des
troubles
de la nutrition. En résumé, MM. Mabille et La
que cette division des pouvoirs administratif et médical apporte un
trouble
profond dans le fonc- tionnement de la maison,
te-neuf ans ; elle était d'un naturel calme, n'avait présenté aucun
trouble
d'ordre névropathique. Elle a eu quatorze garço
l'ordinaire. Mais cet affaiblissement du membre inférieur droit, ce
trouble
de la parole disparurent le soir du même jour.
nt l'année 1891, l'état du malade ne s'améliora nullement. Tous les
troubles
que nous avons déjà mentionnés persistèrent. Ma
épidation spinale. 150 CLINIQUE NERVEUSE. - On ne constate pas de
troubles
de la sensibilité autres que les fourmillements
utres que les fourmillements sus-indiqués. Pas de vertiges Pas de
troubles
lrophiques. On a recherché avec soin, et sans e
jà indi- quées. Ces modifications dans l'habitude extérieure, ces
troubles
de la marche ne sont points étrangers au tablea
ppa- raissent les premiers indices de la maladie. Jusque-là aucun
trouble
nerveux, aucun incident particulier. L'on peut
i pendant leurs années d'enfance, son cours régulier. Ce sont les
troubles
psychiques qui ouvrent la scène. Les malades pe
la cénesthésie. Dans la troisième période, qui manque parfois, aux
troubles
précé- dents s'ajoutent des idées de grandeur.
ophobie, des hallucinations et des illusions de la vue,, et;par des
troubles
deikisensibi- lité générale. Je, néglige rémuné
, et sa constatation est bien capable d'induire en erreur. 4° Les
troubles
trophiques : maux perforants (Kir- misson), chu
es existent, dans le diabète vrai. 2° L'incoordination motrice. Les
troubles
de la démarche n'ont rien de commun dans les de
majorité des cas de pseudo-tabes jusqu'ici observés ' i » ; 3° Les
troubles
vésicaux. Si la rétention d'urine peut survenir
s vésicaux peuvent s'y montrer 2, ils n'ont rien de commun avec les
troubles
uiinaires du tabes; il est inutile d'insister s
le d'insister sur ce point; ' Charcot, loc. cit., p. 315. * Bazy.
Troubles
urinaires chez les glycosuriques, Congrès françai
ris, 1890. ASSOCIATION DU TABÈS AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 185 4° Les
troubles
oculaires. Les différences sont ici ti ès accen
s. Les différences sont ici ti ès accentuées et la fréquence de ces
troubles
dans le. tabes comme dans le diabète leur donne
ue. Les auteurs signalent à peu près tous une atrophie simple, sans
trouble
bien manifeste de la papille. L'atrophie était
étaient filiformes. Dans les cas de cette espèce, on a trouvé des
troubles
de l'achromatopsie en somme de même nature que
tte terminaison (Lecorché, Testelin-Piéchaud) '. » En résumé, les
troubles
oculaires du diabète n'offrent qu'une analogie
lysies de l'accommodation et celles des mus- cles extrinsèques, les
troubles
hémorrhagiques du- corps vitré, des rétinites,
d ordre les signes suivants : 3° Crises gastriques et laryngées; 4°
Troubles
dans les fonctions des cordes vocales; o° Toux
es tels que : pertes des reflxes rotuliens, douleurs fulgurantes,
troubles
divers de la sensibilité objective... signes de
survient au cours d'un diabète des signes de la seconde catégorie :
troubles
oculaires, vésicaux, mo- teurs... le diabète vé
age sera très délicat pour ceux de la première : signe de Westphal,
troubles
de la sensibilité... L'influence du traitement
ultérieure de certains signes tabétiques : incoordination spéciale,
troubles
vésicaux, oculaires, transformeront ces présomp
sous forme d'incertitude, puis avec les caractères ataxi- formes ;
trouble
de la parole; absence de douleurs fulgurantes, de
OCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 19J' crises viscérales, de
troubles
de la sensibilité. Cependant quelques- uns des
disparu; elle a un assez fort embonpoint et ne présente aucun autre
trouble
de santé générale. Sa descendance est particulièr
eu à l'àge de dix-sept ans, une chorée grave de longue durée avec
troubles
intellectuels. La troisième génération compte 1
ondant « sur la théorie qui fait de l'hallucination en général un
trouble
fonctionnel des centres corticaux 2 », il est ais
n des centres de la fonction du langage pouvait être le siège de ce
trouble
fonctionnel, de cet état d'éréthisme qui provoq
s au bout de quelques jours, hallucina- tions de l'ouïe, de la vue,
troubles
de la sensibilité générale, délire mélancolique
as d'hallucinations de la vue ni de l'ouïe. Examen physique. Pas de
troubles
vaso-moteurs. Dédouble- ment du deuxième bruit
uelle de cet oeil droit est moindre que celle de l'oeil gauche. Ces
troubles
de la vision parais- sent remonter à l'enfance.
elle augmente de poids, et cependant sa faiblesse augmente et les
troubles
mentaux restent très accusés. Eu avril la peau es
eu la z syphilis, et cela au moment de l'apparition des premiers
troubles
intellectuels. Au point de vue de l'état d'aném
d'erreur, c'est l'ataxie locomotrice; mais dans cette dernière, les
troubles
intellectuels sont ordinairement tout à fait ca
inante; l'existence concomitante d'nne hématurie paroxystique, d'un
trouble
de la vision et de fortes dou- 1220 REVUE DE pa
d'aphasie (peut-être serait-il plusjuste de dire de dysphasie). Le
trouble
du langage, reposant ici surtout sur des perversi
fet pour qu'une opération n'agisse pas à la manière de tout autre
trouble
physique ; or l'intervention chirurgicale agit au
ifs. Enfin il existe un dernier facteur, encore plus important, des
troubles
physiques, c'est la réaction mentale, trop souv
t sur lequel l'auteur insiste et qu'il se propose de démontrer, les
troubles
intellectuels ne se manifestent pas immédiateme
tés, chez une dame qui avait subi deux opérations assez graves, les
troubles
mentaux ne firent leur apparition qu'au bout de
et on a accusé, l'anesthésie de jouer un rôle dans l'apparition des
troubles
intellectuels; elle ne saurait cependant être m
rapporte avec soin et avec détail une observation intéressante. Ce
trouble
men- tal a été considéré par quelques auteurs f
eunes enfants, en sorte que l'on pourrait à la rigueur voir dans ce
trouble
cérébral un phénomène de physiologie régressive
caractères. Notons à ce propos que l'auteur n'a 1- met pas que ces
troubles
psychiques soient toujours et fatalement des st
énésique, le développement exagéré de la force musculaire, certains
troubles
de la iiiotilité (tremblement, blépharospasme),
ou d'hallucinations, surtout au début de l'accès. Mais ce sont les
troubles
de la conscience qui sont les plus importants, su
difficile ; souvent, du reste, on se trouve aidé par la présence de
troubles
trophiques. La recherche de ce symptôme est i
re dans les phases initiales de la folie. ' Le début de beaucoup de
troubles
mentaux est dû à des épui- sements locaux de fo
après avoir négligé son estomac, en arrive, sous l'influence des
troubles
de nutrition des nerfs spéciaux ganglionnaires, à
s viscéraux et il faut en particulier considérer chez la femme tout
trouble
, quelque bénin qu'il soit, des organes de repro
RAPEUTIQUE. ' III. SUR l'emploi DU bain TURC dans LE traitement DES
TROUBLES
mentaux. (Notes fournies par une expérience de
mes de mélancolie qui s'accompagnent de sécheresse de la peau et de
troubles
de la fonc- tion hépatique; D, dans la folie pu
ns organiques du cerveau, la sclérose médullaire, la méningite, les
troubles
hallucinatoires, la paralysie générale, la pneu
t une certaine attention. Il se peut en effet d'autre part, que les
troubles
que l'on croit décéler aient précédé l'accident
public s'imagine par exemple que le côté lésé doit être le siège de
troubles
de la sensibilité. Quand il accuse un trouble d
oit être le siège de troubles de la sensibilité. Quand il accuse un
trouble
de la sensibilité, il se peul par conséquent qu
nor ; sa main droite était mutilée; on ne constatait chez lui aucun
trouble
du champ visuel ni de la sensibilité. Une des o
la réaction lumineuse qu'il était difficile de considérer comme un
trouble
purement fonctionnel. Le traumatisme peut donc
trouble purement fonctionnel. Le traumatisme peut donc produire des
troubles
nerveux très variés. La névrose traumatique n'e
il dut prononcer le diagnostic d'aggravation par le traumatisme de
troubles
antérieurs à lui. Quant aux nuances et à la quo
e à vingt et un - ans et ayant depuis cette époque éprouvé quelques
troubles
nerveux, de la rétention d'urine, de la dysurie
nce; c'est ainsi qu'elles se manifestent aujourd'hui. M. JOLLY. Des
troubles
trophiques dans les maladies de la moelle. - Vo
l'articulation radiocubitale gauche est prbe, il se produit même un
trouble
de la motilité des articulations de la main qui
nnaissance n'est pas abolie. Il peut se produire simul- tanément un
trouble
de la vue qui occupe la moitié du champ visuel
e du cerveau et tuer l'animal sans qu'on observe ni para- lysie, ni
trouble
visuel. 3° Le même foyer inflammatoire, déve- l
dans le lobe occipital du chien, engendre une amaurose croisée sans
troubles
moleurs. Tous ces phénomènes ont terminé leur p
le système vasculaire de l'encéphale. L'absence, dans l'espèce, de
troubles
sensitifs et moteurs montre qu'ils ne sont pas la
'ils constituent un groupe nosologique distinct. Discussion sur les
troubles
nerveux consécutifs au traumatisme. M. Ef8E1VL0
ppenheim, de l'élever à la dignité de symptôme de valeur. Parmi les
troubles
nerveux qui survivent aux traumatismes, il en e
érapie et à l'électrothérapie on est arrivé aie guérir, à.guérirdes
troubles
traumatiques graves et légers. M. SCHULTZE es
lément auxiliaire de l'influenza. - M. HOFFMANN. Le pronostic des
troubles
nerveux post-trauma- tiques n'est pas aussi fâc
ayr;r.n. Le traumatisme est simplement la cause occasion- nelle des
troubles
nerveux. Leur persistance tient à certaines in-
inaccoutumés. M. LEBËR. Dans les fractures du crâne, on observe des
troubles
nerveux avec diminution de l'acuité visuelle et
t-être celle décoloration papillaire est-elle plus tardive dans les
troubles
fonctionnels. Quand à différents éloigne- ments
nts. Thrombose puerpérale de quelques varices de la jambe droite;
troubles
de la respiration soit du fait du coeur soit de p
nesthésie complète des membres paralysés. Il se produit de nouveaux
troubles
respira- toires ; nouveaux infarctus pulmonaire
La cataracte survenue aussi en pareils cas doit être rattachée à un
trouble
fonctionnel des nerfs trophiques. Le mémoire se
n primordiale. M. A. Schmidt a noté d'autres anomalies indiquant un
trouble
profond dans la constitution chimique du sang c
glande thyroïde (trem- blement, hyperexcitabilité neuro-musculaire,
troubles
mentaux) il est ' Voir Archives de Neurologie,
i qui, après avoir extirpé les capsules surrénales, a observé des
troubles
de circulation de la moelle, des hémorrhagies et
nne, la vacuité des artères, la pâleur de la papille, un très léger
trouble
de la rétine autour de la papille et de la macu
En guise de préambule il examine comment l'association de certains
troubles
moteurs, sensitifs et trophiques de l'hystérie
onique 260 BIBLIOGRAPHIE. à lésions variées, caractérisée par des
troubles
des fonctions intel- lectuelles, sensitives et
runte son caractère spécial particulièrement en ce qui concerne les
troubles
intellectuels, qu'au ~ jeune âge des sujets qu'
et de l'imbécile. Dans le domaine de la sensibilité, il étudie les
troubles
de la vision, depuis le simple regard vague, qu
la surdité vraie et la pseudo-surdité par défaut d'attention, les
troubles
et perversions du goût, la voracité si fréquente
est la différence à ce point de vue wec les imbéciles, chez qui les
troubles
de la sensibilité « sont sous la dépendance d'u
dées, et dans-la mémoire est tel quel'auteur a pu faire du degré de
trouble
de cette faculté la base de sa classification.
degré de trouble de cette faculté la base de sa classification. Ce
trouble
se manifeste bien nettement dans les degrés div
Lorsqu'elle apprit qu'il était marié, il se manifesta chez elle des
troubles
cérébraux. Elle n'eut plus conscience de ses acte
n'est fait pour la traiter et la surveiller, alors qu'il s'agit de
troubles
intellectuels qui, par leur nature, peuvent pro
nt dit sont au nombre de cinq, savoir : 1° début dans l'enfance; 2°
troubles
respiratoires plus ou moins marqués; 3° inter-
disparition totale dans le chant; 5° indépendance absolue avec les
troubles
quelconques des organes sensitivo- moteurs. ZD
honoraire de l'Hôtel-Dieu. En 1872, il y a vingt ans, alors que les
troubles
nerveux du somnambulisme, loin d'être acceptés
seize ans et demi elle a pré- senté pour la première fois quelques
troubles
nerveux, assuré- ment de nature hystérique, bie
de douleur; Elle a depuis longtemps une légère toux nerveuse, sans
troubles
appréciables à l'auscultation. Sa menstruation
nt sur la nécessité du déplacement nous provoquions de nou- veaux
troubles
, comme il était arrivé à chaque contra- riété.
eraient assurément à des considérations intéressantes : ' Sur les
troubles
multiples des sensibilités et des sens; SOMNA
s et des sens; SOMNAMBULISME SPONTANÉ ET HYSTÉR IE. 303 Sur les
troubles
de la locomotion tantôt abolie, tantôt surexcit
depuis une trentaine d'années sur les HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 307
troubles
nerveux consécutifs aux maladies aiguës. Fritz,
avec des obsessions, des impulsions, des perversions sexuelles, un
trouble
fonctionnel en un mot, que l'influence hérédita
a ré- tine, unnoevus, quelques tics. Chez d'autres, on trouve des
troubles
beaucoup plus accentués : c'est la con- tractur
nséquemment des êtres fort dangereux. ' Pour mieux comprendre les
troubles
fonctionnels observés dans les différents group
ditaires dégénérés à des perver- sions morales et affectives et aux
troubles
fonctionnels les plus étranges. L'idiot chez
arente, du moins avec nos moyens actuels d'inves- tigation, car les
troubles
fonctionnels que la clinique révèle sont tellem
e de déséqui- libration cérébro-spinale; chez elle, en effet, des
troubles
fonctionnels distincts, désignaient successive-
nts types de mémoire, des visuels, des audi- tifs, des moteurs, des
troubles
du langage, et font au tableau noir un schéma c
i gênantes. Elles ne s'accompagnent pas, du moins à l'ordinaire, de
troubles
de la circulation, de la nutrition des parties,
el est rétréci. Ces efforts exagérés amènent des souffrances et des
troubles
dans les mouvements des paupières et de l'oeil.
ifférents des précédents et que chez eux l'anesthésie n'est plus un
trouble
de la perception personnelle, mais une .suppres
ies localisées, l'indifférence des malades, puisque la maladie ne
trouble
que la perception consciente et laisse intacts to
es paroxysmes ; d'autres affirment n'avoir jamais vu se produire ce
trouble
de sécrétion à la suite des manifesta- tions co
cétique; on chauffe l'extrémité supérieure du liquide. Le moindre
trouble
indique sûrement la présence de l'albumine. On pe
uinze minutes au plus après le début des convulsions; la période de
trouble
mental ayant été extra- ordinairement courte, l
présente pas d'albuminurie, post- paroxystique. : . Deux jours de
trouble
mental consécutif aux accès. Une urine recueill
nt terminées depuis deux jours. La série actuelle a été précédée de
troubles
gastriques. Diminu- tion de l'appétit, bouche p
accès pour laisser filtrer l'albumine'mais qui finit par amener des
troubles
sécrétoires suffisants pour que l'albumine appa
rritable ; amblyopie double, mais surtout marquée à droite ; enfin,
troubles
de la mémoire. Nous arrivons maintenant à la re
ment l'état mental actuel de A... : Dépression mélancolique légère,
trouble
dans les idées, préoccupations un peu vagues et
de vomissements ; par l'affaiblissement rapide de la vue ; par des
troubles
de la mémoire ; enfin par certaines modificatio
ment lésion profonde, élémentaire, et ne se manifestant que par des
troubles
fonctionnels ? C'est peu probable, mais on ne d
ngs mois déjà, et caractérisé par de l'angoisse, de la terreur, des
troubles
de la sensibilité générale, des hallucinations
nterprétations délirantes; et si la confusion est possible pour les
troubles
de l'ouïe elle l'est aussi pour la vue, le goût
opi- nion. - P. KERAVAL. VIII. Contribution A la connaissance DES
TROUBLES
fonctionnels DE L'ÉCORCE du cerveau; par K.-O.
essortit aux centres du cerveau provoque des hal- lucinations ; les
troubles
de la connaissance qui, eux, sont insi- gnifian
ondaires, émanent d'irrégularités de l'innervation vasomotrice, les
troubles
du jugement dérivant des hallucinations sensori
jugement dérivant des hallucinations sensorielles. P. K. IX. DES
TROUBLES
vaso-moteurs DE la peau dans la NÉVROSE TBAU- M
sie avec aphasie optique, hémianopsie droite (Obs. I). Aucun de ces
troubles
n'existant dans l'observation II, il s'ensuit qu'
mètre et demi à deux centimètres; en revanche, il y a déterminé des
troubles
congestifs et de petiteshé- l1Jorrhagies, Il s'
nd coma; on constate les signes d'une convulsion épileptiforme, des
troubles
vaso-moteurs, une tem- pérature de 39°, la disp
t rompue ou a élé lancée dans le courant san- guin. P. K. XVI. UN
TROUBLE
DE l'innervation DE L'OESOPHAGE dû A UNE tumeur
une contusion. Quoique démente, la malade pouvait rendre compte des
troubles
subjectifs qu'elle ressentait; or, jusque-là el
tête, ni nausées, pas plusqu'on n'avait remar- qué chez elle aucun
trouble
oculaire ni des sens spéciaux, aucun signe de p
vements volontaires. Les lésions du cervelet peuvent déterminer des
troubles
trophiques, mais ne s'accompagnent ni de modifica
ves. Les cas de mort peuvent s'expliquer plutôt par l'asphyxie, les
troubles
de la circulation encéphalique, les lésions et
et les commotions des centres nerveux que par cette inhibition. Des
troubles
fonctionnels transitoires très marqués comme la d
ont manifestées, convulsions unilatérales croisées et localisées et
trouble
dans le développement des membres du côté oppos
enmeyer. Vous n'avez pas observé non plus à la suite des accès, des
troubles
de la motilité dans les extrémités atteintes. M
fs, relativement longs, représentés par des cris spasmodiques, avec
troubles
de la connaissance, tym- panite, paralysie des
quels les anomalies sensitives et sensorielles sont combinées à des
troubles
de la motilité; 3° Ceux où il n'y a que des tro
ombinées à des troubles de la motilité; 3° Ceux où il n'y a que des
troubles
fonctionnels de la motilité. (Irritabilité cons
émence, impotence fonctionnelle, tremblements ataxiques, anarthrie,
troubles
de la déglutition, sans accidents hémilatéraux.
uvements, et l'oblité- ration du toucher, est probablement due à un
trouble
du sens musculaire. L'hémiopie accompagne souve
l'espace pleural droit et le médiastin antérieur. M. DICTER. Des
troubles
intellectuels d'origine épileptique. Dan la Sil
pris d'une attaque d'épilepsie et présentait, consécutivement, des
troubles
intellectuels. Le mé- decin de la prison le ten
nations de la vue et de l'ouïe survenues la nuit, se montrèrent les
troubles
intel- lectuels ; ils disparurent après la supp
un rapport avec la présence ou l'ab- sence de l'arthropathie et des
troubles
de la sensibilité. Il n'y a qu'une modification
atifs. Dans les signes présents, ce qui frappe d'abord, ce sont les
troubles
de l'intelligence, puis ceux qu'accuse le malade,
de l'intelligence, puis ceux qu'accuse le malade, c'est-à- dire les
troubles
de la sensibilité. Viennent ensuite ceux constaté
ous consti- tuent les signes directs. L'étude des signes indirects,
troubles
tro- phiques. signes généraux et anttliropologi
rés aux sommeils pathologiques, à l'asymbolie qui comprend tous les
troubles
du langage, et où l'aphasie est pré- sentée sou
i sont toutes originales ne se bor- nent pas à représenter certains
troubles
objectifs ou à certains schémas, mais encore ce
e, par Borgherini, 404 ; par Alzheimer, 426. Bains turcs dans les
troubles
men- taux, par Baker, 234. Banquet à M. le pr
tscli, 256; - capillaires lymphatiques du -, par Kronthal, 39f;
troubles
fonctionnels de l'écorce du , par Dees, 399; -h
ussana, 235; - bromure de potassium dans 1 ? par Agostini, 235; -
troubles
in- tellectuels de l ? par DII1 ! er, 138. Ep
127; - concours des -, 132. Mérycisme, par Roller, 433. Moelle,
troubles
trophiques dans les maladies de la -, par Jolly
r Quénu et Lejars, 1. Neurasthénie, par Kowalewski, 111. NÉVRITE,
troubles
trophiques des ongles dans la- multi-loculaire,
nza, par Brosset, 108. NÉVROSESTRAUMATIQUES,parSchultze, 238; -
troubles
trophiques de la peau dans la-, par Krieger, 39
e, embolie de l'artère centrale de la par Manz, 251. Sensibilité,
troubles
de la dans les foyers cérébraux, par Darksche-
iques, par Charcot, 69. Tumeurs- cérébrales, par Oppen- heim, 98;
troubles
de l'inner- vation de l'oesophage dus à une ,
st constant que Leyden en attribuant l'ataxie, dans le tabes, à des
troubles
de la sensibilité, entra dans la voie de la vérit
) ; 4. Après Chartes Bell, Longet, Claude Bernard, l'importance des
troubles
de la sensibilité sur la inutilité avait été dé
ssaire à la coordination normale des mouvements ; 5. La gravité des
troubles
de l'ataxie est, dans le tabès, en rapport avec
rver l'équilibre, tombe ou menace de tomber, il existe toujours des
troubles
manifestes de la sensibilité articulaire. Ainsi
ressions de l'ouïe y ont quelque influence. Quoi qu'il en soit, les
troubles
de la sensibilité ne manquent jamais dans l'ata
ncapables de fonctionner. » Il estime que l'ataxie est l'effet d'un
trouble
dans la tension musculaire réflexe. D'accord av
on musculaire réflexe. D'accord avec Tschirjew, il a insisté sur le
trouble
de la tension réflexe des antagonistes. Contrai
efois, pendant que l'extrémité gauche exécutait ses mouvements sans
trouble
apparent, il en était autrement de l'extrémité
racines de moins que le précédent. En outre, ce singe présentait un
trouble
de coordination des mouvements des doigts pour
e manifestement Sous les désignations variées de compensation des
troubles
, de restitution de fonctions, de suppléance d'une
xpressions, on entend autre chose qu'une dimi- nution partielle des
troubles
de la motilité. Avec Munk et Mering, nous devon
ou de restitution complète de ces fonctions, d'une disparition des
troubles
de coordination après la section des racines po
ultats d'un travail de Laehr2. - Laehr a montré, par l'examen des
troubles
de la sensibilité de soixante tabétiques, qu'il
t en haut, partant aux bras, soit en bas, et déterminer ainsi des
troubles
de sensibilité dans les jambes. Quoique'ces hypes
la. symptomatologie clinique. Dans la plupart des cas de tabes, les
troubles
de localisation des sensations et les altératio
a moelle lombaire, il n'existe, en dépit d'une ataxie prononcée, de
troubles
du sens musculaire, de la sensibilité à la doul
phénomène de nom- berg, l'ataxie des extrémités inférieures et des
troubles
du sens musculaire . Or, pour que le réflexe
eté, la coordination exacte des mouvements subit le contre-coup des
troubles
de ces fonctions : l'ataxie en résulte, l'ataxi
es mouvements des articulations du pied et du genou, accompagnée de
troubles
très peu accusés de la sensibilité, intéressant
ise. Nous rapporterons à la disparition de ces dernières fibres les
troubles
de régulation inconsciente, réflexe, de la moti
ité d'Exner et les résultats des expériences d'IIering touchant les
troubles
de la motilité consécutifs à la section des rac
cutifs à la section des racines postérieures. Lui- même signale les
troubles
si graves de la motilité qu'on observe aux stad
ême dans des cas d'ataxie grave, on ne constate quelquefois que des
troubles
relativement légers du sens muscu- laire. Plus
dans leurs segments périphériques, que se manifestent les premiers
troubles
. Redlich a confirmé le fait qu'une dégénération
. Aussi, parmi les symptômes du tabes, le phénomène de Romberg, les
troubles
manifestes de la démarche, paraissent devoir êt
leux accompagne nettement la forme spinale de cette affection; les
troubles
du sens musculaire n'y sont point rares non plus.
la section des nerfs mixtes elle-même peut ne pas déterminer des
troubles
de la sensibilité, ou ces troubles peuvent dispar
-même peut ne pas déterminer des troubles de la sensibilité, ou ces
troubles
peuvent disparaître bientôt. Il doit donc exist
er beaucoup au tabes, il existe une ataxie prononcée accompagnée de
troubles
d'ailleurs relativement faibles de la sensibili
utané conservent encore un nombre suffisant de fibres saines, aucun
trouble
considérable de ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLO
compensations fonctionnelles de la sensibilité cutanée. Pour que le
trouble
de la sensibilité devienne manifeste, il faut q
nèrent, et d'une façon très grave. Dans quel ordre se succèdent les
troubles
de la sensibilité dans le tabès et quelle inter
rdinaire apparaissent d'abord les sensations de dou- leur, puis les
troubles
de localisation des sensations ; en même temps,
que nous percevons comme sen- sation de douleur. De même pour les
troubles
de localisation de la sensibilité tactile : les
dans le tabes, que les altérations de la sensibilité cutanée. Des
troubles
de cette nature pourraient-ils aussi s'observer,
e 40° les six derniers. Il y a eu au début du traitement quel- ques
troubles
qu'on a évités en mouillant la tête avec de l'eau
par télégramme ou autre- ment, qu'un individu vient d'être pris de
troubles
intellectuels (manie aiguë, tentative de suicid
igus, peu importe : toutes ces psy- choses sont en rapport avec des
troubles
plus ou moins graves de - la nutrition de l'éco
ions motrices. Il favorise le som- meil ; il diminue l'activité des
troubles
hallucinatoires en restrei- gnant les causes pr
an- coliques, comme elles excitent les maniaques, ou activent les
troubles
sensoriels des hallucinés, toutes ces influences
eux qui un an au moins après leur sortie n'ont donné aucun signe de
trouble
mental et ont repris à la fois leur place dans
a dose du matin. Au bout de ce temps elle est prise de malaises, de
troubles
gastriques et l'urine prend une teinte violet f
lement commencé avant l'accident, et était la cause de cer- · tains
troubles
mentaux observés avant le traumatisme ; celui-ci
ug- mentation de la pression de la liqueur cérébro-spinale et les
troubles
circulatoires et nutritifs qui en résultent, l'al
l a été complètement paralysé de tout le côté droit et présente des
troubles
d'aphasie qui ont duré plusieurs semaines. Aupa
hémiplégique du côté droit. Cette hémiplégie ne s'accompagne pas de
troubles
sensitifs, de perte, du sens stéréo- gnostique.
e ramollisse- ment hémorragique : lésion qui est la conséquence des
troubles
circulatoires réalisés' par les agents toxiques
debout. Pas de phénomène du pied. Exagération du réflexe rotulien.
Troubles
du sphincter vésical, incontinence d'urines. L'
leurs persistantes, de contractions fibrillaires, la stabilité des
troubles
trophiques, anesthésiques et moteurs, l'intégrité
'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE. Séance du mardi, 20 novembre 1900.
Troubles
psychiques en rapport nvec la compression cérébra
; rôle des vaso-moteurs. M. RECrrAtrLT. Cène sont pas seulement les
troubles
variés de l'hys- térie qui peuvent être guéris
urdes, c'est- à-dire par la suggestion; ce sont aussi de véritables
troubles
orga- niques, témoin l'observation détaillée qu
des ver- rues, un sycosis, des plaies cancéreuses, etc. L'étude des
troubles
vaso-moteurs donne la clef de ces succès thérap
ncer, il ne s'a- gissait pas de cancer véritable, mais cependant de
troubles
mani- festes dont la suggestion a triomphé. Cel
lité mentale native et même de l'imbécillité que se développent les
troubles
intellectuels des jumeaux. L'apparition prématu
troubles intellectuels des jumeaux. L'apparition prématurée de ces
troubles
intellectuels, leur polymorphisme, leur évoluti
. La mère, d'apparence à peu près normale, se plaint cependant de
troubles
névropathiques. Son père, alcoolique, est mort de
188 : i, âgée par con- séquent de près de vingt ans. Peu à peu les
troubles
mentaux de la dix-septième année avaient fait d
b. Prudence G... a été admise d'office le 10 avril 1891, mais le
trouble
mental remonte à plus de six ans, ayant débuté à
bservation, de deux débiles présentant à peu près en même temps des
troubles
intellec- tuels spontanés qui sont comme le sig
s qui sont comme le signal de la faillite de leur intelligence. Ces
troubles
, qui consistent d'abord en une per- version de
s par les membres de leur famille comme des faibles d'esprit. Les
troubles
intellectuels ont commencé à apparaître chez les
ervice militaire. Depuis l'âge de vingt ans, il donne des signes de
trouble
mental. On ne pouvait s'aider de lui. 11 ne son
ta l'atrophie et la pigmentation de ces cellules ainsi que l'aspect
trouble
ou sombre de leur protoplasma 3. Stroebe, avec le
t plus prudents. En fait, on admet que la chromatolyse indique un
trouble
de la vitalité de l'élément nerveux. On doit donc
principe qui parait devoir être toujours mieux établi que, dans les
troubles
des cellules nerveuses résultant d'une dimi- nu
e plus périphérique du neurone. Ce n'est qu'avec les progrès de ces
troubles
que, de la périphérie, les altérations structur
o- lution de la substance chromatique est un indice anatomique du
trouble
.de la vitalité de la cellule». Que faut-il penser
altération des granula est pour nous une expression anatomique d'un
trouble
anatomique intracellulaire plus ou moins aigu q
IOLOGIE PATHOLOGIQUES DU TABES. 123 avec la nature ou le degré d'un
trouble
quelconque de 121olililé. » Peut-être pourrait-
tabes, inégalité et rigidité pupillaires, atrophie du nerf optique,
troubles
de sensibilité sous forme de douleurs, de pares
sthésies et 'd'anesthésies, ataxie, perle des réflexes tendineux et
troubles
vésicaux; 2" symptômes étrangers à la symptomat
est atteint presque aussi fréquemment que celui de la vision ; les
troubles
sont souvent précoces et se montrent, comme ceu
abétique, comme il y a une névrite optique tabétique. » Outre les
troubles
variés relevant des sphères visuelles et audi-
Archives de Neu- rologie, 1897, III, 2° série, : ! 1>i-281 : Des
troubles
du goût et de l'odorat dans le tabès, et les te
ns d'hyperthermie passagère avec péritonisme et coïncidant avec des
troubles
menstruels. L'hyperthermie semble due à l'irrit
és, les névrites paludéennes semblent caractérisées d'abord par des
troubles
moteurs de la sensibilité, puis par des trouble
es d'abord par des troubles moteurs de la sensibilité, puis par des
troubles
avec faiblesse dans les membres aboutissant pro
ssivement à une paralysie plus ou moins complète des mem- bres. Les
troubles
trophiques ne manquent presque jamais, sur- tou
es nerfs intéressés serait plutôt spéciale à cette affection. Les
troubles
surviennent à des périodes diverses de l'infectio
tion à la dissociation fasciculaire ou hersage des ' nerfs dans les
troubles
angio-neurotrophiques ; par le Dr de . 13UCK, (
urnes. La peau elle-même n'était pas modifiée, mais il existait des
troubles
trophiques des ongles. Tous ces accidents ont d
de cette lipomatose par métaplasie, l'auteur la considère comme un
trouble
ueurolrophique dont la cause pre- mière nous éc
ation des réflexes tendineux et du réflexe cutané plantaire; 3° des
troubles
vasomoteurs et trophiques ; 4° des douleurs ful
uleurs fulgurantes spontanées, exagérées par les mou- vements, sans
troubles
de la sensibilité objective; 5° de légers trou-
leurs malades en trois groupes : Premier groupe. Malades ayant des
troubles
de la sensibilité tactile et douloureuse (ou de
ndance de la sensibilité pilaire. Deuxième groupe '. Coexistence de
troubles
de la sensi- bilité tactile, douloureuse, pilai
nsibilité aux mêmes régions. Deux observations de tabès dorsal; les
troubles
de la sensibilité cutanée étaient surtout marqués
e des mêmes snrfaces. était privée de la sensibilité pilaire. B Les
troubles
de la sensiblililé douloureuse et tactile n'occ
té du système pileux, ou plutôt, les sarfaces cutanées affectées de
troubles
de la sensibilité douloureuse et tactile ne coï
l, myélite par compression, névrite. Les figures de répartition des
troubles
de chaque espèce de sensibilité sont particuliè
ticulièrement intéressantes. Troisième groupe : Malades affectés de
troubles
de la sensibilité du système pileux sans alté-
spinale spasmodique, la poliomyélite antérieure. Locali- sation du
trouble
sensitif également curieuse. Les auteurs y joig
de sclérose en plaques clas- sique (2 h. et 1 f.) indemnes de tout
trouble
de la sensibilité du système pileux. P. Keraval
ieures. Le pro- nostic des paralysies radiculaires, l'existence des
troubles
d'anes- tliésie radiculaire, la persistance des
stence des troubles d'anes- tliésie radiculaire, la persistance des
troubles
de la .sensibilité dépendent du traumatisme qui
A la suite de ces accès ou de ces étals de mal elles présentent des
troubles
moteurs et intellectuels pro- noncés, mais pass
roubles moteurs et intellectuels pro- noncés, mais passagers. Les
troubles
moteurs consistent en paralysies partielles (mono
ique, et diffère de l'apoplexie vraie entre autres par l'absence de
troubles
circulatoires, respiratoires ou thermiques. 3
nairement des particularités caractéristiques. 7. La diminution des
troubles
paralytiques se fait d'une manière régulière :
estes des mitres sens supérieurs. VIII. - L'ÉTAT PSYCHIQUE. IX.
Troubles
circulatoires thermiques. X. D6CUD11US acutus.
lement présenter une certaine valeur séméiologique, se rapporte aux
troubles
de la vue que l'on observe dans l'hystérie et d
nclure, que ce symptôme de relation divise la série tout entière de
troubles
visuels dans les maladies du système nerveux en
ceux-là, admettent avec moi que ce signe est caracté- ristique d'un
trouble
dans le système pyramidal et qu'il n'appar- tie
s succès par la résection bilatérale du grand sympathique cervical.
Troubles
de pigmentation cutanée. Infiltration pachydcrm
mbes. Abolition des réflexes rotuliens; signe d'Argyll- Ilobertson;
troubles
de la sensibilité; douleurs fulgurantes; crises
ne portait que sur la jambe droite. Deux cas de Paralysie alterne.
Troubles
de la sensibilité; par Cn. 11lIRALLlÉ (de Nante
millements. Dix-huit mois après l'attaque, le ptosis a disparu; les
troubles
de la sensibilité persistent exactement comme a
fatigue de l'oeil dans la position en dehors de l'oeil gauche; les
troubles
de motilité des membres droits ont disparu, sauf
embres droits ont disparu, sauf un léger degré de spasmodicité; les
troubles
sensitifs persistent, mais atténués. Pu cas d
n jeune garçon de seize ans, atteint de paraplégie spasmodique avec
troubles
de la sensibilité dans' les membres inférieurs
et intensité, et diminution transitoire de la sensibilité tactile),
troubles
des sphincters et déformation considérable du t
s auteurs qui ont écrit sur la neurasthénie sont très brefs sur les
troubles
respiratoires de cette névrose. A peine signalent
une circons- tance passagère et de minime importance met en jeu un
trouble
respiratoire purement névropathique qui sera pr
influence du traitement moral et qui ne conservait à la fin que des
troubles
de la sensibilité géné- rale. Il admettait d'ai
e un mode spécial d'évolution de certains cas de mélancolie, où les
troubles
profonds de la cénesthésie conduisent naturelle
mme ils en présentent d'autres et non pas des anxieux chroniques.
Troubles
du langage dans la paralysie générale. M. DIDE
gnait de paralexie, de perte de la compréhension des mots lus et de
troubles
de l'écriture. L'état maniaque s'amenda rapidem
e à divers points de vue : 1° La nature de la cause déterminant les
troubles
observés est exceptionnelle. 2° Les cas de su
me de déchéance et diminuent sa résistance. De même, que les divers
troubles
mo- teurs, sensitifs, circulatoires, provoqués
fs, circulatoires, provoqués par les causes ci-dessus énoncées, les
troubles
sudoraux présentent les distributions et les lo
t d'inhibition ou de dynamogénie. S'agit-il d'une hyperhidrose ? Ce
trouble
est en rapport soit avec l'excitation du centre
, pas d'exagération des réflexes rotuliens. On ne constate pas de
troubles
trophiques à la jambe jadis atteinte, sauf au n
s vive à la jambe gauche, surtout en marchant. Il n'existe pas de
troubles
des sphincters. Il n'y en aurait jamais eu, mêm
e malade parle avec une certaine volubilité, mais ne présente aucun
trouble
de la parole. Le sujet ne parle que le breton. Il
e de la parole. Le sujet ne parle que le breton. Il n'existe pas de
troubles
sensoriels : la vue est très bonne, il n'y a ni
peu plus relevée que la plante du pied droit. Il n'y a pas d'autres
troubles
trophiques apparents, ni des poils, ni de la pe
poils, ni de la peau, ni des ongles. Sensibilité. 11 n'y a pas de
troubles
de la sensibilité objective au tact, à la piqûr
la piqûre, ni de la sensibilité thermique. Il n'y a pas non plus de
troubles
de la sensibilité subjective. Le sujet se plaint
s de mouvements intentionnels des muscles des membres supérieurs.
Troubles
sensoriels. Pas de nystagmus. Pupilles égales, ré
. fond d'oeil normal. En somme, examen purement négatif. » Pas de,
troubles
de l'odorat ni de l'ouïe. Troubles vaso-moteurs
men purement négatif. » Pas de,troubles de l'odorat ni de l'ouïe.
Troubles
vaso-moteurs. - Pas d'oedème des jambes. Pas de t
lante. L'appétit est excellent, les digestions se font bien. Pas de
troubles
des réservoirs ni des sphinc- ters. Pas de trou
nt bien. Pas de troubles des réservoirs ni des sphinc- ters. Pas de
trouble
de la sensibilité au niveau du périnée. Le coeur
a pas de signe de nervo- sisme ou de neurasthénie. 11 n'y a pas-de
troubles
de la parole. Obseuvation III. G ? Jean-Marie,
beaucoup' mieux. Jamais, pendant tout ce temps, il n'a présenté de
troubles
des sphincters. ' ' - Etat actuel. Note clini
s de clonus. Il 'existait du. signe de Hombergr Il n'y avait pas de
troubles
de la sensibilité, pas de troubles sphinctériens,
de Hombergr Il n'y avait pas de troubles de la sensibilité, pas de
troubles
sphinctériens, pas de- nystagmus. Les membres s
lorsqu'il reste debout sans marcher. Sensibilité objective. Pas de
troubles
de la sensibilité au tact ni à la piqûre. Pas d
e. Pas de troubles de la sensibilité au tact ni à la piqûre. Pas de
troubles
de thermesthésie. Le malade éprouverait des dou
tération de la peau ni de ses annexes : poils, glandes, etc. Pas de
troubles
vaso-moteurs. Le sujet n'accuse qu'une fatigue
anc et les couleurs. Pas de scotome central ». Il n'existe pas de
troubles
auditifs, pas de troubles de l'odorat, pas de t
e scotome central ». Il n'existe pas de troubles auditifs, pas de
troubles
de l'odorat, pas de troubles du goût. Il n'y a
xiste pas de troubles auditifs, pas de troubles de l'odorat, pas de
troubles
du goût. Il n'y a pas de troubles des sphincters.
s de troubles de l'odorat, pas de troubles du goût. Il n'y a pas de
troubles
des sphincters. Le sujet a eu il y a quatre sem
spasmodique avec exagé- ration des réflexes et clonus du pied sans
troubles
de la sensibilité ni des sphincters (Lorrain).
a première. La sensibilité restait normale. On ne constatait pas de
troubles
des sphincters. Les accès pouvaient être incomp
,' le troi- sième jour, d'une paralysie, de- tout# le- corps,- sans
troubles
de la parole et avec conservation de la conscie
e reparaît pas ; il subsiste de la sécheresse de la gorge, un léger
trouble
de la vue, quelquefois, et un peu de mal de têt
n de cette tumeur : vers le dixième jour de la naissance quelques
troubles
musculaires apparurent, et la vitalité de l'enfan
248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'élévation de la température, de
troubles
gastro-intestinaux, d'anarsaque généralisée et
e, le tout aboutissant au tableau de la névrite sans fièvre et sans
troubles
généraux. Enfin la mala- die peut débuter par d
ablement dues à des complications. Presque toujours on constate des
troubles
digestifs, qui mas- quent momentanément la névr
aissent en même temps que REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 249 les
troubles
de la sensibilité ou très peu après, sont la raid
hie on constatait la réac- tion électrique de dégénérescence. Les
troubles
vaso-moteurs et trophiques, sauf l'oedème des r
nt les altérations de dégénérescence que déterminent communément le
trouble
de l'innervation mus- culaire. R. DE MUSGRAVE
hénie : la céphalalgie, l'inaptitude au travail intel- lectuel, les
troubles
de la digestion, l'irritabilité nerveuse et le
me ou crampe; l'incoordination du groupe musculaire malade ; et des
troubles
vaso-moteurs et sensoriels. L'analogie est comp
nage sont peut-être les causes déterminantes les plus communes. Les
troubles
digestifs, surtout la constipation, précipitent
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'éclairer : on l'a considérée comme- un
trouble
vaso-moteur, comme une affection névralgique, c
rticulaires et osseuses, ayant vraisemblable- ment pour origine des
troubles
trophiques : ces altérations s'ac- compagnent o
rches expéri- mentales sur la rage; de Martines, Recherches sur les
troubles
du goût et de l'odorat dans les paralysies géné
ages. Berlin, 1900. Verlag von S. Iiurger. ' Mignot (R.). Élude des
troubles
pupillaires dans quelques maladies mentales. In
nçu : « Est atteint de sclérose cérébro-spinale, qu'il présente des
troubles
marqués et incurables des facultés cérébrales e
fois et avec une extrême faci- lité. [Son père, soixante ans, sans
troubles
névropathiques, fai- sait des excès de boissons
ni balancements, ni cognements de tête, ni grincements de dents, ni
troubles
vaso-moteurs. Le palais est creux et étroit. La
i semble dominer chez elle, ce sont des accidents hystériques, avec
troubles
intellectuels. Rappelons qu'une soeur du malade
ienne lésion spécifique. Ni diar- rhée, ni constipation. n Pas de
troubles
de la sensibilité sauf peut-être un peu d'hyperes
iomusculaires des biceps. Membres inférieurs normaux sans oedème ni
troubles
trophi- ques. Sphincters continents, constipati
; 2° des nausées; 3° de la. raideur de la nuque ; 4° l'existence du
trouble
vaso-moteur connu sous le nom de raie 2 ? 1é)li
édoncule cérébral 96 - CLINIQUE NERVEUSE. - '0 ! < (parésie et
troubles
de la sensibilité à gauche), le tri- jumeau et
che des phénomènes : la parésie faisant place à la paralysie, les
troubles
pupillaires faisant leur apparition à droite, la
mpagne d'autres pares- Lliésies, ou bien de douleurs, et souvent de
troubles
vaso-moteurs ; dans l'autre forme, oupsychro-es
Ii. 111.-C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIX. Recherches sur les
troubles
du goût et de l'odorat dans la paralysie généra
i 15 fois, sur le point de devenir nul 2 fois et intact 3 fois. Les
troubles
de la gestation sont plus rares; cependant la p
nter des variétés très différentes de maladies mentales ou d'autres
troubles
nerveux. Une forme de folie déterminé chez un m
d'une part par un degré variable de démence, et de l'autre par des
troubles
fonctionnels généralisés; ces troubles por- tan
mence, et de l'autre par des troubles fonctionnels généralisés; ces
troubles
por- tant sur des viscères qui fournissent la b
gard du poison alcoolique une susceptibilité particulière, et leurs
troubles
jouent un rôle très important dans la productio
sur sa nature, mais il est très vraisemblable qu'elle résulte d'un
trouble
de la circula- tion. Aucun signe ne plaide en f
faveur d'un néoplasme. Ce qui fait l'intérêt de ce cas, ce sont les
troubles
de motilité qu'on observe dans les membres et q
Séance du mardi 19 février 1901. Présidence. de M. Jules Voisin.
Troubles
psychiques en l'apport avec le vaginisme. M. AR
Esquirol. beaucoup trop compréhensif, puisqu'il renfermait tous les
troubles
psychiques, tous les délires partiels accompagn
pathogénie des faits où la lésion mentale semble seule en cause. Ce
trouble
morbide, uniquement psychique en apparence, n'e
mélancoliques,de signes physiques dont les plus importants sont les
troubles
pupillaires et l'hypotension artérielle ; signes
2 avril. Al'autopsie, dure-mère adhé- rente, liquide cérébro-spinal
trouble
contenant des lilaires à l'état larvaire vivant
ar ce centre, contrairement à ce qu'on eût pu prévoir a priori. Les
troubles
qu'on voit survenir dans ces conditions revêten
s techniques. Une circonstance me rend perplexe, la voici : - Les
troubles
sensitivo-moleurs, qu'on observe à la suite de
avec profit se reporter au mémoire intégral. il. M. C. XLIX. Des
troubles
moteurs à évolution aiguë, à forme d'ataxie cér
psichiutnü, III, 1898.) Trois observations. Hyperémie des méninges
troubles
, par pla- ces, hyperémie de la snbstance blanch
ion, ils subissent la dégénéres- cence secondairement, par suite du
trouble
de la nutrition, de l'augmentation de la pressi
res nerveuses, et à la leucocytose des cellules. P. 11ERAVaL. LU.
Troubles
de l'équilibre consécutifs à une tumeur de la rég
N.-A. Wyroubow. (0&oz ! 'eH : psi- chiatrii, III, 1898.) Les
troubles
de l'équilibre dépendaient, en l'espèce, de la lé
zote augmente; peut-être aussi celle du phosphore et du chlore. Les
troubles
graves, nerveux ou digestifs, indiquent plutôt
ore. Les troubles graves, nerveux ou digestifs, indiquent plutôt un
trouble
fonctionnel qu'une véritable altération anatomi
ce une action spéciale sur la fonction de la glande. L. D. LVIII.
Troubles
trophiques et troubles de la sensibilité chez les
e sur la fonction de la glande. L. D. LVIII. Troubles trophiques et
troubles
de la sensibilité chez les hémiplégiques; par C
hémiplégiques; par Ciiatin. (Bévue de médecine, octobre 1900). Les
troubles
trophiques doivent-ils faire supposer l'existence
travaux on tendrait plutôt à rejeter cette idée et à attribuer les
troubles
trophiques à un défaut d'équilibre réflexe sens
es trophiques à un défaut d'équilibre réflexe sensitivo-moteur. Des
troubles
moteurs seuls peuvent s'ac- compagner de dystro
eurones, sensitif et moteur, comme la syringomyélie, présentent des
troubles
trophiques plus accentués ; la paralysie infant
auteur apporte 19 observations d'hémiplégiques. 11 présentant t des
troubles
trophiques avaient en même temps des troubles n
. 11 présentant t des troubles trophiques avaient en même temps des
troubles
notables de la sensibilité. La sensibilité étai
e très peu atteinte chez les huit autres qui ne présentaient pas de
troubles
trophiques. , M. HAMEL. LIX. Sur l'inhibition
rysme développé lentement chez un ancien syphilitique a produit des
troubles
qui ont pu être suivis pendant plusieurs années
vestiges avec angoisse cardiaque, démarche titubante, agraphie sans
troubles
notables des facultés intellec- tuelles. Deux
s causer d'autres accidents que ceux dus à la compression ; aucun
trouble
viscéral ; pas de modifications de l'état général
tre l'existence d'un tabès trophique, tout en reconnaissant que des
troubles
sensitifs viennent le plus souvent se joindre a
que des troubles sensitifs viennent le plus souvent se joindre aux
troubles
de nutrition, comme Brissaud le premier en a fa
penser que ce centre, étant données les associations fréquentes de
troubles
sensitifs aux troubles tro- phiques, se trouve
étant données les associations fréquentes de troubles sensitifs aux
troubles
tro- phiques, se trouve dans un territoire médu
elles, l'auteur croit pouvoir établir les catégories suivantes : 1°
troubles
nerveux ne rentrant pas dans le cadre de la pol
le de tracer l'histoire clinique de cette affection : apparition de
troubles
nerveux à la période secon- daire variant de un
t réclusion des syphilides secondaires ; installation rapide de ces
troubles
selon la forme sensitivo-motrice aiguë ou la fo
; évolution selon la'forme ascendante lente ou disséminée ; pas de
troubles
intellectuels ; pronostic favorable à moins de
aralysie médullaire' chez des nouveaux nés syphilitiques sans aucun
trouble
cérébral. Il y avait paralysie des membres supé
ralysie des membres supérieurs et quelquefois des infé- rieurs. Les
troubles
moteurs des membres supérieurs étaient variable
sence de syphilis hérédi- taire, le début au même âge, l'absence de
troubles
antérieurs, 'indépendance de toute influence ex
très favorables. , - Observation III. Veuve de cinquante-cinq ans,
troubles
nerveux depuis quatre ou cinq ans, a fait un us
es se rapportent à la sensibilité générale, à la nutri- tion et aux
troubles
des diverses sensibilités spéciales. Si les thé
nt un signe très précoce et toujours un signe constant. Beaucoup de
troubles
trophiques peuvent être aussi des signes très p
ènes plus rares du tabès au début, il faut encore mentionner divers
troubles
viscéraux : gastralgie ou entéralgie paroxystiq
es d'une sen- sation douloureuse dans le bassin et l'abdomen. Les
troubles
nerveux, consistant dans de la dépression mentale
mieux vaudrait se souvenir que le malade est surtout atteint d'un
trouble
nerveux qui se manifeste par un besoin constant o
a variabilité conduisent naturellement à penser qu'il s'agit d'un
trouble
fonctionnel et non organique. L'auteur examine et
caractéristique, et la maladie se prête à la définition : c'est un
trouble
du système nerveux caractérisé par des symptôme
ot dans son sens générique, est intimement associée à des formes de
troubles
mentaux que nous rencontrons quotidiennement, e
arquera encore que la malade avait 35 ans au moment où les premiers
troubles
mentaux se sont manifestés alors qu'ils apparai
rer avant de prendre ou de conseiller une détermination : nature du
trouble
mental, antécédents dans les deux familles, et
aucoup de .ceux qui s'ôtent volontaire- ment la vie sont en état de
trouble
mental : d'ailleurs la'plupart des causes qui p
u'elles accompagnent le plus communément; elles sont la marque d'un
trouble
mentalpro- .fond : sur les quatre-vingt-quinze
l'ouvrier, il faut que celui-ci soit attiré vers le médecin par des
troubles
quelconques. Or, dans les névrites alcooliques
es. Or, dans les névrites alcooliques et arsenicales, il existe des
troubles
précoces de la sensibilité. Secrétaires des s
et et soumis à la douche électrique. ' La constatation exacte des
troubles
de sensibilité dans l'hystérie. M. Paul Joire (
major du régiment et par le capitaine commandant sa batterie les
troubles
psychopathiques que présentait L... depuis son
ncore discutée, et je me borne à dire qu'il serait étrange que ce
trouble
trophique seul ne put se produire dans la maladie
lité de la même cause adjuvante que pour la fracture spontanée : lé
trouble
de nutrition. THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. Hém
fet, aucun critérium, surtout à l'égard des buveurs modérés ; les
troubles
digestifs ou nerveux qui sont fréquents chez les
lytiformes avec steppage, quatre enfin ne présentaient plus que des
troubles
mentaux divers. Sur neuf cas négatifs, trois fo
ptôme prémonitoire, tout au plus un peu de mal de tête ou de légers
troubles
gastriques; mais le plus souvent la mort survie
du traitement; 16" Les préparations thy- roïdiennes provoquent des
troubles
digestifs, que l'on réussit ordi- nairement à é
l n'a jamais eu d'accidents sérieux, tels que hémato-porphyninurie,
troubles
gastro-intesti- naux, éruptions cutanées, dépre
n des grandes villes sait, par expérience' qu'une grande partie des
troubles
fonctionnels du système nerveux de la grosse ar
ose de six classes. On y reçoit, avant tout, les élèves, ndemnes de
troubles
visuels et auditifs, qui dans les écoles com- R
e d'autres hallucinations complexes et que, comme tous les autres
troubles
sensoriels elles sont sujettes à des rémissions e
la malade urine sous elle et se mord la langue ; ils sont suivis de
troubles
somatiques et psychiques, tels que : hémiparésie
e entre les tempes, par un engourdissement de tout le corps, par un
trouble
vague de la respiration et des tiraillements de
e a une interprétation souvent délicate. Il en est de même pour les
troubles
de l'instinct sexuel, pour les actes irrésistib
\I ? 11L.. et 11 ? T... vont voir leur soeur M1110 C... atteinte de
troubles
mentaux, Pendant toute une semaine elles soigne
manifestent chez elle. Le huitième jour Mme T... dont la raison se
trouble
est emmenée par son mari. Les deux malades ont
guéri chez elle avait souffert de céphalalgies périodiques et de
troubles
gastriques. Elle n'avait pas d'enfants; 6° les tr
us tard les attaques apoplec- tiformes, laissèrent à leur suite des
troubles
paralytiques passa- gers (hémiplégie à gauche).
s intellectuelles, hésitation de la parole, inégalité pupillaire et
troubles
delà réflec- tivité pour ne parler que de ses p
'opinion que certaines formes de la maladie du doute tiennent à des
troubles
de la mémoire : quelques douteurs croient n'avo
cette discontinuité n'est pas un fait primitif : elle résulte d'un
trouble
momentané de la conscience. On peut alors se de
même façon dans la crise obsédante : elle est fiéquemment due à des
troubles
de mémoire, non primitifs, mais secondaires ten
résultats habituels, malgré ses essais répétés. En avril 1900. des
troubles
mentaux deviennent manifestes. La malade exprim
surde. Les signes physiques de paralysie générale consistent' en un
trouble
d'ailleurs léner, de la parole, de troubles pup
nérale consistent' en un trouble d'ailleurs léner, de la parole, de
troubles
pupillaires,' de l'exagé- ration des réflexes.
nnaissance d'une hérédité plus ou moins chargée, qu'elle ait eu des
troubles
psychiques. Un paralytique général peut se prés
étrorrhagies, actuelle- ment il y a des épistaxis ; il n'y a pas de
troubles
thyroïdiens. Ce cas vient donc compléter les de
clinique de ce malade. Il existe bien un syndrome consistant en des
troubles
de moti- lité qui occupent un côté du corps, qu
j'ai combattu l'hypothèse qui avait été émise d'après laquelle les
troubles
oculaires dont il est atteint devraient être cons
ent seulement qu'il s'agit non d'une affection organique, mais d'un
trouble
fonctionnel qu'il tend à rattacher à l'hystérie e
rait parfaitement avec l'ictus, l'affaiblissement intellectuel, les
troubles
de motihf.e, l'em- barras de la parole, je le r
iés des yeux qui ont été publiées jusqu'à ce jour. Le critérium des
troubles
hystériques consiste en ce qu'ils sont suscepti
rprétation de ce phénomène, d'après MM. Marie et Guillain, tous les
troubles
nerveux observés chez ce malade sont de nature
gomyélie, ni dans les autres affections médullaires serait due à un
trouble
de l'innervation du coeur; trouble d'origine sy
ions médullaires serait due à un trouble de l'innervation du coeur;
trouble
d'origine sympathique. Dans deux cas de maladie
mblement est donc congétinal mais non héréditaire. Myopathie avec
troubles
faciaux particuliers. AI. P. nhme présente un m
un certain zézaiement. Le ptosis date de l'enfance, tandis que les
troubles
masticateurs remontent à trois ou quatre ans. D
, encore les uns n'avaient- ils que le ptosis et les autres que les
troubles
masticateurs. Pour éviter toute confusion, M. M
es derniers jours où se sont manifestés de la dyplopie et de légers
troubles
pupillaires. 11 est aboli aussi chez une femme qu
Babinski. Celle-ci a eu des crises de douleurs à l'es- tomac et des
troubles
nerveux qui l'ont d'abord fait prendre pour une
fait prendre pour une hystérique, mais qui présente aussi de légers
troubles
pupil- laires. C'est donc une tabétique au débu
lytiques. Si l'on trouve en effet noté, de ci de là, l'existence de
troubles
pupillaires chez d'autres aliénés, il n'a pas é
l'hypothèse du retentissement, sur les mouvements de l'iris, des
troubles
fonctionnels de l'écorce. Il résume ensuite les n
bres pupillaires. Dans le chapitre suivant, Minot décrit les divers
troubles
pupillaires (inégalité, troubles des réflexes,
suivant, Minot décrit les divers troubles pupillaires (inégalité,
troubles
des réflexes, déformations, réaction paradoxale,
la physiologie pathologique, et insiste sur ce point, qu'à côté des
troubles
, résultant d'altérations manifestes des centres e
rations manifestes des centres et fibres pupillaires, il existe des
troubles
, considérés comme fonc- tionnels, signalés dans
uses dont ils dé- pendent. Vient ensuite une revue historique des
troubles
pupillaires dans la paralysie générale. En comp
2,1 p. 100 des cas. Seuls, Verga et Casliglioni considèrent que les
troubles
pupillaires ne sont spéciaux à aucune forme d'a
t des altérations dans 74 p. 100 des cas. 1 Vignot a constaté des
troubles
pupillaires chez les déments organiques, les dé
0 p. 100) ; en outre, il constate au=si l'inégalité (32 p. 100) des
troubles
du réflexe à la lumière (G2 p. 100), du réflexe
ations (2 p. 100). Ce qui dans la plupart' des cas, caractérise ces
troubles
, c'est leur inconstance et leur variabilité; de
Mignot trouve avec une grande 622 ) BIBLIOGRAPHIE. fréquence des
troubles
pupillaires et, surtout, l'altération du réflexe
es cas. Ici encore, il signale une variabilité très grande dans les
troubles
des réactions : par exemple, dans une observati
d'un jour à l'autre. Dans ce chapitre, l'auteur démontre que les
troubles
variables qu'il observe ne peuvent, être attribué
nt également dans toutes les formes morbides, mais, tandis que le
trouble
observé est constant ou progressif dans la paraly
mélancolie sénile et la démence précoce. Constater l'existence d'un
trouble
pupillaire. sans en spécifier les caractères, e
uxquels est arrivé l'auteur, en particulier pour ce qui a trait aux
troubles
pupillaires de la paralysie générale, de la mél
de célibataires est relativement élevé parmi les habitants; 20 les
troubles
mentaux subis par les jeunes gens les empêchent
- 529. Ataxie. Anesthésie du tronc dans il-, par Patrick. 246.
Troubles
moteurs à forme il'- cérébelleuse chez les iv
elle méthode de de la névroglie. par Atiglt(le, 3î6. Compression.
Troubles
ps;chiques dus à la - cérébrale, par Aubeati,
403. -spas- modique infantile, par Esteves, 460. Hémiplégiques.
Troubles
troplnqiies et de la sensibilité chez tes,par
ongé par tumeur de l ? par Soca. 101.- Hystérie. Constatation des
troubles
de la sensibilité dans l' -, par Joue, 440.
lose rhyzomé- hque, par 1,. Levi et Follet, 86. 111von.ruu : avec
troubles
faciaux, par 1, 1 Marie, 511. Nécrologie. Le
, 118. - syphi- litique à gommes osseuses, par l' A. Nlarie, 177.
Troubles
du lan- gage dans la -, par Dide. 181. Troubl
A. Nlarie, 177. Troubles du lan- gage dans la -, par Dide. 181.
Troubles
du goût et de l'odorat dans la -, par de Martin
ation des nerfs par de Btick et van der Linden, 234. Vagintsme.
Troubles
psycli'ques en rapport avec le -, par Aragon,
psycli'ques en rapport avec le -, par Aragon, 317. VLATRICCLES.
Troubles
de l'équilibre consécutifs à une tumeur du troi
ple. Les réflexes rotuliens existent, mais sont peu marqués. Pas de
troubles
appréciables des organes des sens, qui n'ont du
Constipation habituelle. Diagnostic. Artério-sclérose généralisée.
Troubles
de la circulation dans le cervelet et le tronc
artère vertébrale gauche), chez un homme de 61 ans, qui offrait des
troubles
bulbaires très caractéristiques et un souffle trè
le contact du côté analgésie comme du côté gauche. Il offre donc ce
trouble
dissocié de la sensibilité qu'on a appelé à tort
ncé, il est vrai, mais continu. Bientôt s'ajoutent à ce tableau des
troubles
de la déglutition, le malade s'engoue à tous le
n ? que les autres, véritable attaque apoplectil'orme sui- vie d'un
trouble
de la marche qui devint nettement titubante (titu
côté plutôt que de l'autre. Peu après on observa chez lui un léger
trouble
de l'articulation des mots (dysarthrie 1'1'0- t
troite que la droite. Vers la fin de sa vie le malade souffrit de
troubles
de la déglutition. Au milieu de septembre il fi
895, dans la stupeur et le coma, après une aggravation sensible des
troubles
de la déglutition et l'apparition du phénomène
du corps à gauche, ataxie des mouvements et analgé- sie il droite,
troubles
de la sensibilité il la température, troubles ocu
nalgé- sie il droite, troubles de la sensibilité il la température,
troubles
oculaires à gauche). On pouvait supposer qu'il
utopsie, n'ait pas provoqué de symptômes notables, tout au moins de
troubles
géné- raux plus marqués, par suite de la compre
la protubérance, c'est-à-dire avant tout l'ataxie cérébelleuse, les
troubles
des mouvements des yeux, ceux de la sensibilité
he. C'est alors que l'on constata aussi la présence de ce singulier
trouble
de la dissociation de la sensibilité dans tout
complètement défaut. Chez notre malade les premiers symptômes d'un
trouble
encéphalique ne se manifestèrent que trois mois
uche. La lésion n'était toutefois pas assez grave pour entraîner un
trouble
des fonctions des divers faisceaux nerveux touché
peine à maintenir son équilibre lorsqu'il était assis ou debout. Ce
trouble
bilatéral indique probablement que la circulati
e cérébelleux supérieur, la lésion du ruban de Reil, etc. Quant aux
troubles
proprement bulbaires, ils n'apparaissent que tout
it ou était déjà dans le sopor. C'est alors que se produisirent les
troubles
de la dé- glutition et de la respiration ; puis
doncule cérébelleux moyen. Nous avons constaté chez notre malade un
trouble
tout à fait particu- lier de la sensibilité, la
- nues. ' Ainsi que nous l'avons déjà relevé, il n'existait aucun
trouble
hémiplé- gique, ni à droite ni à gauche. Ceci e
e. Il en résulta que l'ataxie cérébelleuse ne fut pas compliquée de
troubles
de la motilité proprement dits. Le malade, inca
proprement bulbaire, ou du moins on ne put constater que de légers
troubles
qui pouvaient se rapporter à une semblable lési
dysarthrie. Ce fut à la fin de la vie seulement qu'appa- rurent des
troubles
sérieux de la respiration et de la déglutition.
RALISÉE 27 En dehors de ces douleurs, FI... ne se plaignait d'aucun
trouble
viscéral. La miction et la défécation étaient n
atiques accumulés dans cette région. Ils consistent généralement en
troubles
respiratoires peu marqués, raucité de la voix,
e. Nous ajouterons que l'adéno-lipomalose ne s'accompagne d'aucun
trouble
viscéral et ne retentit pas sur l'état général de
métriques à la partie supérieure de la nuque. Rien ailleurs. Pas de
troubles
viscéraux. Les tumeurs de la nuque ont été exti
de la fosse jugulaire. Les tumeurs ne causent pour ainsi dire aucun
trouble
fonctionnel. A la demande du malade cependant, le
mamelle, il existe un nombre considérable de tumeurs grais- seuses.
Troubles
de compression des organes du, médiastin (voix, r
s douches sont très mal supportées, la consti- pation persiste, les
troubles
de la digestion aussi, elle maigrit à ce moment
table diminution du réflexe pharyngé. Il n'y a actuellement que des
troubles
passagers de la motilité ; dès que la malade es
ela se dissipe en quelques instants. 54 -1. - " GEORGES GASNE Les
troubles
vasomoteurs sont uniquement constitués par la cya
ui est revenu el lorsque nous l'avons observée, elle n'avait pas de
trouble
de la sensibilité de la paroi abdominale au nivea
u l'hyperesthésie de cette région ac- compagne en effet souvent les
troubles
sensitifs profonds. Il n'y a pas là d'ailleurs
e de blessés. Malgré les douleurs dans le bas-ventre, et les autres
troubles
qu'il accuse, pollakiurie, dysurie, etc., on ne
ensibilité. A part les douleurs déjà indiquées, S... n'accuse aucun
trouble
dans la sensibilité. Dans l'exploration de la sen
un des stigmates de la grande névrose, et, en particulier aucun des
troubles
sensitifs (anesthésie ou hyperesthésie) dont la
ces paroxysmes par le travail qui ne nous autorise à considérer ces
troubles
transitoires comme relevant, ainsi que nous le
sie hystérique. Axenfeld et lluchard(12), dans leur description des
troubles
intestinaux UN CAS DE TYMPANISME ABDOMINAL D'OR
de la neurasthénie que de l'hystérie, Cherchewsky (15) a décrit des
troubles
intestinaux aujourd'hui très connus consistant en
ques. Mer- credi médical, 2 octobre 1895, p. 469. Du même : Sur les
troubles
digestifs des hystériques. Thèse de Bruxelles,
a malade qui devait, de ce fait, se pencher en avant. C'est le seul
trouble
fonctionnel observé. Il y a 6 ans, à la suite d
(depuis une tête d'épingle jusqu'à une pièce de 0,50 cent.). Aucun
trouble
de la motilité'ni de la sensibilité desmembres in
sibilité desmembres inférieurs, réflexes patellaires normaux, aucun
trouble
des sphincters. L'intervention décidée immédiat
mettait cette interprétation ; cependant, l'absence absolue de tout
trouble
nerveux du côté des membres inférieurs, de la v
- comme sur celles du tube digestif- d'où l'ictère émotif et autres
troubles
intestinaux ! ... Au surplus, si l'on veut être
lectuelles se réalisent avec une lenteur extrême. Elle n'a pas de
troubles
marqués de la parole. Au point de vue intellectue
. En décembre 1894 céphalalgie frontale droite. Quelque temps après
troubles
psychiques, diminution de la mémoire. Réponses le
malade de la Salpttriére, âgée de cinquante- trois ans, atteinte de
troubles
de la motilité des membres inférieurs, chez laq
marquables et leur examen seul permet de penser sans nul doute à un
trouble
trophique de même nature que les précédents. M.
las de la sensibilité. Les réflexes rotuliens sont abolis. Pas de
troubles
vésicaux ni gastriques, ni visuels. L'applicati
antes dans les membres et le tronc; douleurs en ceinture. A 29 ans,
troubles
vésicaux. A 33 ans, arthropathie de la hanche d
rophie unguéale, Existence de crises clitoridiennes intenses-Pas de
troubles
de la sensibilité ou des sens spéciaux. Deuxièm
les membres supérieurs. Diminution des crises clitoridiennes et des
troubles
vésicaux. Développement d'une énorme arthropath
à peu pres normale. Quelques douleurs constrictives. Disparition du
trouble
des sphincters et des sensations clitoridiennes.
Deux ans après l'apparition des premières douleurs, survinrent des
troubles
de la vessie caractérisés par une légère incont
gauche seul. Abolition du réflexe rotulien des deux côtés. Aucun
trouble
des membres supérieurs, sauf l'existence de quelq
n perçu. La sensibilité est relativement bien conservée. Quelques
troubles
vésicaux existent encore : la malade perd quelque
de la muqueuse vaginale ou clitoridienne. . Il n'existe enfin aucun
trouble
de la vue, de l'odorat ou de l'ouie. Un deuxièm
La sensibilité cutanée par ailleurs est toujours normale. Quelques
troubles
de la vue, consistant en diminution de l'acuité
rvien- nent au moment da époques qu'elles semblent remplacer. Les
troubles
vésicaux ont disparu : cependant il persiste, une
che, sèche, écailleuse,sans oedème, sans adipose sous-cutanée, sans
troubles
trophiques à sa surface. La hanche droite est vol
TÉO-ARTHROPATHIES VERTÉBRALES DANS LE TABES 141 Il n'existe plus de
troubles
de la miction ou de la défécation. Les crises c
t sur lui-même et tombe. ' ' En 1897, un an après le début de ces
troubles
nerveux, il commence à boiter du côté droit. Et
opie, ni amblyopie. Les autres organes des sens ne présentent aucun
trouble
morbide, sauf le sens génésique entièrement dis
n trouble morbide, sauf le sens génésique entièrement disparu. e)
Troubles
viscéraux. - Crises de diarrhée. Déjà, à deux rep
ise est très courte, le malade n'en con- serve aucune souvenance.
Troubles
trophiques. - Le membre inférieur droit est le se
s dans la chemise ; les lavements ne peuvent pas être gardés. Les
troubles
trophiques dominent tout ; ils consistent en deux
ère, entrée à la salle Achard-Esperonnier, le 13 mai 1899, pour des
troubles
de la marche. Dans sa famille, rien de patholog
e. Les jambes sont démesurément enflées, et on y constate de vastes
troubles
trophiques : éruptions polymorphes, ulcères. Le
et IV). Il est, en effet, très remarquable de noter qu'à part ces
troubles
trophi- ques essentiels, le tabes s'est manifes
e l'existence d'un tabes trophi- que, tout en reconnaissant que des
troubles
sensitifs viennent le plus sou- vent se joindre
ue des troubles sensitifs viennent le plus sou- vent se joindre aux
troubles
de nutrition, comme Brissaud le premier en a fa
enser que ce centre, étant données les associa- tions fréquentes de
troubles
sensitifs aux troubles trophiques, se trouve da
ant données les associa- tions fréquentes de troubles sensitifs aux
troubles
trophiques, se trouve dans un territoire médull
rs du poignet le 14 nzai ; atrophie musculaire avec DR ; absence de
troubles
de la sensibilité et des sphincters. Amélioration
nte ; bientôt apparition de la paralysie dans la main gauche et ces
troubles
sont survenus sans douleurs, sans engourdissement
dissements. Le malade ne pouvait manger seul à cette époque. Pas de
troubles
de sphincters, pas de douleurs dans les jambes.
pas les caractères du délire alcoolique, sans hallucinations, sans
troubles
de la mémoire. Les urines ne renfermaient pas d'a
a- ture de la joue et les yeux, des pupilles normales, l'absence de
troubles
intel- lectuels. Le malade se plaint d'une légè
leurs spontanées ou provoquées des masses musculaires du mollet, ni
trouble
de la sensibilité objective. Les 156 R. CESTAN
eurs le long des trajets nerveux ou dans les masses musculaires, ni
troubles
de la sensibi- lité, ni troubles trophiques. En
ou dans les masses musculaires, ni troubles de la sensibi- lité, ni
troubles
trophiques. En résumé, le malade est atteint de p
avons obtenu une amélioration aussi bien de l'état général que des
troubles
moteurs. M. le docteur Huet a bien voulu pratiq
paralysie le Il octobre ; atro- phie musculaire avec DR, absence de
troubles
de la sensibilité et des sphincters. Améliorati
it. A ce moiiielit-là,c'est- à-dire deux mois après l'apparition de
troubles
moteurs, apparition de syphi- lides de la peau
fait des frictions mercurielles ; l'éruption cutanée disparaît, les
troubles
moteurs s'amendent de telle façon que le 1er janv
state avec la lenteur de la secousse que NFC=PFC'. - Il n'existe ni
troubles
trophiques, ni troubles de sphinc- ters, ni dou
la secousse que NFC=PFC'. - Il n'existe ni troubles trophiques, ni
troubles
de sphinc- ters, ni douleurs subjectives et obj
muscles des mains, de l'avant-bras droit avec secouse fibrillaire.
Troubles
moteurs prédominant du côté gauche du corps. Am
des. Réflexes normaux. Mais, huit jours après, apparition des mêmes
troubles
dans le cubital droit. On trouve RD dans l'adduct
mberg, démarche ataxique. Un traitement iodo- mercuriel aggrave les
troubles
nerveux ; le malade s'est rétabli peu à peu. Ce
parésie généralisée^avec abolition des réflexes rotuliens mais sans
troubles
pupillaires, et sans troubles des sphinc- ters.
tion des réflexes rotuliens mais sans troubles pupillaires, et sans
troubles
des sphinc- ters. Albuminurie abondante. Aggrav
les des sphinc- ters. Albuminurie abondante. Aggravation rapide des
troubles
nerveux mal- gré des injections de calomel. Bie
thésie intense des troncs nerveux et des masses musculaires. Pas de
troubles
objectifs de la sensibilité. Abolition des réllex
bre 1834 parésie des jambes et engourdissements et élancements. Les
troubles
moteurs vont en s'aggravant progressivement. St
flasque complète avec atrophie musculaire et chute du pied. Pas de
troubles
des sphincters. Pas de troubles de la sensi- bi
musculaire et chute du pied. Pas de troubles des sphincters. Pas de
troubles
de la sensi- bilité objective. Réaction de dégé
e des 4 membres avec engourdissements, diplopie, gêne de la parole,
troubles
qui s'exagèrent malgré la suppression des frictio
raitement par l'injection de salicylate de mercure. Exagération des
troubles
moteurs. Parésie des 4 membres avec abolition des
m. Disparition rapide des manifestations cutanées.Persis- tance des
troubles
de la sensibilité. Insensibilité des 2 mains avec
ataxie. Pas de réflexe plantaire ; réflexe rotulien normal. Pas de
troubles
de la vue ni du goût. Céphalée presque constant
e, douleurs de la colonne vertébrale, etc. Enfin, sans nier que les
troubles
décrits ne soient peut-être la résultante d'alt
nger dans le groupe dénommé polynévrite. Nous y voyons en effet des
troubles
trophiques très prononcés, ecchymoses, bulles,
de phalanges, des anesthésies cutanées complètes, accompagnées des
troubles
parétiques ou au contraire peu prononcées. No
e question a pu se poser dans ces dernières années à l'occasion des
troubles
nerveux d'origine périphérique qui apparaissent a
Or le tableau clinique est souvent complexe. Avant l'apparition des
troubles
moteurs, le malade peut être syphilitique et auto
peut, en effet, créer, en dehors de tout accident, hystérique, des
troubles
moteurs sous la forme de névrites multiples chr
hroniques ou aiguës. En 1887, Letulle par- ticulièrement étudié les
troubles
moteurs de l'hydrargyrisme chronique, névrites
e, les auteurs n'in- sistent pas sur la possibilité d'apparition de
troubles
moteurs. Sur 8.000 vérolés traités par des inje
r des injections de sublimé, Lewin a observé seulement une fois des
troubles
moteurs imputables à une névrite ; c'était un cas
bien l'intoxication est suraiguë et pour expliquer l'apparition des
troubles
moteurs, il faut faire la part des lésions hépa
llmann et Etienne, enfin nos deux cas personnels, chez lesquels les
troubles
moteurs ont fait leur apparition avant le trait
OLYNÉVRITE SYPHILITIQUE 165 piqûres de peptonate qui améliorent les
troubles
moteurs. Quant au 2° malade, on ne découvre la
° malade, on ne découvre la syphilis qu'au mois de décembre, et les
troubles
moteurs ont apparu le 15 octobre,un mois après le
résumées précédemment. Nous avons mis dans un premier groupe les
troubles
nerveux qui ne rentrent pas dans le cadre de la p
pidement l'histoire clinique de la polynévrite^ syphilitique. Les
troubles
nerveux font leur apparition pendant la période s
ts secondaires et qu'on est dès lors très porté à faire rentrer les
troubles
moteurs observés dans ce même groupe. Notre mal
faut réduire au minimum l'influence de ces causes favorisantes. Les
troubles
nerveux s'installent rapidement et nous pouvons a
dineux, atrophie muscu- laire, intégrité des sphincters, absence de
troubles
intellectuels. La mala- die a débuté par les ex
el la maladie a évolué sous le type du pseudo-tabes avec parésie et
troubles
de la 'sensibilité des membres inférieurs, sign
rieurs, signe de Romberg, signe de Wesphal, démarche ataxique, tout
trouble
amélioré par un traitement antisyphilitique. Enfi
t des exemples d'une polynévrite presque exclusivement motrice. Les
troubles
moteurs se sont installés rapidement avec quelque
on faite des malades de Sorrenlino et Taylor qui ont pré- senté des
troubles
trophiques et sensitifs permanents très graves et
te, soit sous la forme disséminée, elle ne s'est pas accompagnée de
troubles
intellectuels ; les nerfs de la face n'ont pas pa
racines médullaires, en somme poly- névrite radiculaire. Enfin les
troubles
moteurs ont cédé plus ou moins rapidement au tr
les dou- LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE 167 leurs généralisées, les
troubles
des sphincters, les paralysies rapides, dis- sé
e. La myélite aiguë se reconnaît à des douleurs lombo-dorsales, des
troubles
sensitifs Ù topographie médul- laire et non pér
ite avec paralysie précédant et dominant l'atrophie musculaire, les
troubles
des sphincters. Mais la question devient délica
on essaie d'interpréter le rôle de la moelle dans la production des
troubles
moteurs. Sans aborder ici une discussion encore
ter en suspens. Nous voyons en effet que chez nos deux malades, les
troubles
sensitifs ont été très légers, nous voyons au s
a question, cependant dans notre premier cas la dissémi- nation des
troubles
des réactions électriques sur les muscles de plus
polynévrite n'est pas surtout sensitive et ne s'ac- compagne pas de
troubles
de l'idéation et de la mémoire comme on l'ob- s
tent pour affirmer la nature alcoolique, saturnine, diphtérique des
troubles
moteurs, ne fait que res- treindre sans le réso
stait pas de signe clinique différentiel ni dans la physionomie des
troubles
moteurs, ni dans les réactions électriques, puisq
isseaux doivent jouer un rôle très secondaire dans l'apparition des
troubles
moteurs. Si des examens venaient confirmer cett
elle n'est pas luisante, l'épidémie n'est pas altéré, n'existe aucun
trouble
trophique.De nombreuses varicosités se montrent
modation, D'autre part, on constatait une hémiparésie droite et des
troubles
de l'oeil gauche. L'hémiparésie était moins mar
mmodation. ' · Fio. 1. 178 . M. G. MARINESCO Il n'y a pas eu de
troubles
vaso-moteurs ou trophiques du côté des membres
er soulèvement du talon avec abaissement cor- (1) G. Maiunesco, Les
troubles
de la marche dans l'7aeo71ylé,rie organique étudi
ns mon travail antérieur publié dans la Semaine Blérlicale, sur les
troubles
de la marche dans l'hémiplégie organique, j'ai
se distingue par la consistance des tumeurs, par les douleurs, les
troubles
fonctionnels et généraux et par la marche progres
e l'organisme se faisant en partie par les glandes de la peau, tout
trouble
survenu dans leur fonctionnement se traduira pa
s le seul cas de lipomes symétri- ques venu à sa connaissance, tout
trouble
sécrétoire cutané faisait défaut. Curschmann ém
Steinkopf admet que l'adé- no-lipomatose évolue sous l'influence de
troubles
nerveux d'origine alcoo- lique. Virchow concède
is, comme on ne constateaucunemodification de la sensibilité, aucun
trouble
trophique superficiel, aucune diminution de la fo
ence générale vague, appréciable seulement dans la distribution des
troubles
trophiques. » La théorie nerveuse, sans satisfa
la- quelle il rentre à Bicêtre. Etat actuel. Novembre 1899. Aucun
trouble
de la vue, l'ouïe est conser- vée, l'odorat peu
s fort à gauche, la trépidation épileptoïde disparait rapidement.
Troubles
sensitifs. - La sensibilité au toucher, à la piqû
chique, l'intelligence et la mémoire sont demeurées intactes, aucun
trouble
pour lire, écrire ou compter. Le caractère s'es
être si petite ou située de telle manière qu'elle n'entraîne aucun
trouble
fonctionnel. Cependant nous sommes amenés à con
teint d'hémianopsie homo- nyme droite. Il présentait aussi quelques
troubles
dans le sens stéréognostique et de l'alexie. Il
tatée. Elle peut être complète, incomplète, alterne. On trouve les
troubles
moteurs à tous les degrés et avec leurs variant
survient le plus souvent avec le passage à l'état chronique. Les
troubles
de la sensibilité sont également les mêmes que da
ureuse intervention ou même dans le décours de la période aiguë les
troubles
de la parole s'améliorent, l'aphasie, qui est par
ons qui lui sont posées. La sensibilité cutanée est intacte, pas de
troubles
de la miction ni de la défécation. Le sixième jou
eurs, de mauvaise humeur ni de colère. L'auteur ne mentionne pas de
troubles
dans le développement osseux ou musculaire, il
'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 231 Nous avons vu dans l'observation II des
troubles
de l'intelligence très accentués. Il y avait ch
r que ceux-ci ignorants de son état se fâchassent contre lui. Ces
troubles
ont été bien étudiés par MM. H. A. Abel et W. Col
ons constaté, outre les mo- fications portant sur le caractère, des
troubles
de la mémoire et spéciale- ment de la mémoire d
p sur la tête, on le relève, il se relève même seul et après que le
trouble
causé par l'accident est passé, on ne constate
se développe une hémiplégie, des douleurs de tête apparaissent, des
troubles
de la parole, etc. Il ne s'agit pas là d'hystér
son, puis la sienne comme d'ha- bitude. Il se déshabilla sans aucun
trouble
, prit une chemise de nuit et roula une cigarett
e pied quitte cependant le sol et ne traîne pas. Il n'y a plus de
troubles
de la sensibilité cutanée au tact et à la douleur
ns expectoration. Ja- mais d'hémoptysie. Pas d'oppression. Pas de
trouble
de la déglutition (1). Les fonctions digestives s
e. Le malade n'a ni céphalal- gie, ni bourdonnements d'oreilles, ni
troubles
de la vue, ni troubles sen- sitifs ou moteurs d
halal- gie, ni bourdonnements d'oreilles, ni troubles de la vue, ni
troubles
sen- sitifs ou moteurs dans les membres. Mais i
x ; pas de nævi étendus. Tous les réflexes sont conservés. Pas de
troubles
de sensibilité. La respiration est un peu rude,
s artères sont un peu athéromateuses. Les urines n'ont jamais été
troubles
ni lactescentes. L'examen, fait il y a quelques
ridien- nes. Elle a de tout temps été, dit-elle, très passionnée.
Troubles
psychiques. La malade considère son état comme in
ans la jambe gauche, avec sensation de raideur musculaire. En 1868,
troubles
de la sensibilité dans les mains et les pieds. Se
paupières, di- plopie transitoire, diminution de Vacuité visuelle,
troubles
subjectifs de l'ouie. Deux petits maux perforan
eux petits maux perforants symétriques aux talons. A 39 ans, premiers
troubles
de la marche. Depuis l'âge de 40 ans, amaigriss
-André le 17 octobre 1898, service de M. le professeur Pitres, pour
troubles
ataxiques. Son père est mort à l'âge de quarant
tiques sur l'un et l'autre talon. En 1892, surviennent les premiers
troubles
de la marche. Le sol lui paraît moins résistant
ments d'oreille. L'odorat et le goût sont normaux. Il n'y a pas de
troubles
trophiques apparents. La peau est sèche, mais trè
nnement des grands appareils splanchni- ques. En particulier pas de
troubles
des sphincters. Enfin la malade ne présente auc
ut de l'ataxie des membres inférieurs. A 45 ans, marche impossible,
troubles
passagers de la miction, troubles de la vue. Inzp
urs. A 45 ans, marche impossible, troubles passagers de la miction,
troubles
de la vue. Inzpuis- sance génitale. Quelques do
nue complètement impossible. A cette époque, se montrent encore des
troubles
passagers de la miction, réten- tion d'urine, e
e des troubles passagers de la miction, réten- tion d'urine, et des
troubles
de la vue, diplopie transitoire. Cette diplopie r
48 ans, douleurs' en ceinture, crises gastriques. 49 ans, premiers
troubles
de la marche . A 52 ans, déviation progressive
amaigris. La force musculaire y est intégralement conservée. Pas de
troubles
trophiques apparents. Pas de chute ni de dystro-
e est normale sauf dans les membres inférieurs où elle présente des
troubles
profonds : la piqûre en particulier est perçue av
et crises gastriques. A 54 ans, douleurs nettement ful- gitrantes,
troubles
des sphincters. Suppression des érections. Phénom
oit d'abord, puis du pied gauche. En même temps, apparaissaient des
troubles
des sphincters, incontinence puis rétention d'uri
gardent leur caractère d'intensité remarquable. Il n'existe pas de
troubles
trophiques apparents. Nulle part on ne rencontr
chute spontanée des dents. A 53 ans, strabisme et ptosis. A 54 ans,
troubles
vésicaux. Signes de tabes. Peu d'incoordination
siste sans la moindre modification. Il n'a existé à aucun moment de
troubles
de la motilité. Le malade n'a jamais présenté d
moment de troubles de la motilité. Le malade n'a jamais présenté de
troubles
de la vision ou de la musculature de l'oeil. Ja
de troubles de la vision ou de la musculature de l'oeil. Jamais de
troubles
urinaires ou génitaux. Etal actuel le 24 novemb
affai- blie. Les érections sont conservées. Il-n'a jamais existé de
troubles
des sphinc- ters. Les membres supérieurs ne p
le malade, après une violente crise de douleurs. Il n'existe pas de
troubles
trophiques apparents. Les pieds ne sont pas déf
ion. LES 0STÉ0-ARTHR0PATHIES VERTÉBRALES DANS LE TABES 291 Pas de
troubles
subjectifs des organes des sens. L'examen direct
t sains. Les artères sont cependant un peu athéromateuses. Pas de
troubles
psychiques. Le malade a une mémoire parfaite, il
un second article publié par la Semaine médicale (2) étu- diant les
troubles
de la marche dans l'hémiplégie organique, après q
ce qui re- garde un troisième article (1) de M. Marinesco sur « les
troubles
de la marche dans les paraplégies organiques ».
ans l'exposé des recherches scientifiques. (1) Marinesco, Sur les
troubles
de la marche dans les paraplégies organiques. Se-
palais s'élève avec une très grande énergie. Il n'y a d'ailleurs ni
troubles
de la déglutition, ni de la mastication : les m
n'y a pas de trépidation -epJleptoïde 1lI du p..ëd;-ulde fiïfotüle.
Troubles
de l'équilibre et de la marche. Au moment de se l
s les derniers temps, l'occlusion des yeux augmentait davantage les
troubles
de la statique et de l'é- quilibration. A cau
ouze livres ; d'après ce qu'il raconte il présentait certainement des
troubles
neurasthéniques, son état physique et moral éta
ause de l'intensité de ses étourdissements. Depuis cette époque les
troubles
de la station et de la marche ne firent qu'em-
commencerons par en faire un exposé et nous étudierons ensuite les
troubles
de la marche et les troubles de la sta- tion co
exposé et nous étudierons ensuite les troubles de la marche et les
troubles
de la sta- tion consécutifs aux mouvements pass
ut dire que l'occlusion des yeux n'augmente que très légèrement les
troubles
de la marche. Il avance ordinairement sans rega
tation il droite que pour la rotation à gauche. D'autre part, les
troubles
de la marche et de la statique n'augmentent- pas
examiné de nouveau le 18 juillet 1899. Son état s'est aggravé, les
troubles
de l'équilibration se sont accentués, et les memb
survient plus rapidement. L'occlusion des yeux augmente un peu les
troubles
de la marche, mais c'est surtout pendant la sta
de nous. Le diagnostic s'appuie dans les deux observations sur les
troubles
de l'équilibre dans la station el dans la march
nergie musculaire.' Le signe de Romberg fait défaut de même que les
troubles
sensitil's ou sensoriels. xm 23 350 J. DEJE
sitil's ou sensoriels. xm 23 350 J. DEJERINE ET A. THOMAS Les
troubles
de la parole : parole lente, scandée, traînante;
c- tions exagérées des muscles de la face qui ont pour résultat des
troubles
de la mimique, une expression d'étonnement. La
ne période de fièvre et de frissons ; puis il 3 ans il présenta des
troubles
de la parole et de la vue ; cependant à une inves
lade, avait déjà un voile devant les yeux dès l'âge de 22 ans ; les
troubles
de la vue ont beaucoup augmenté à l'âge de 36 ans
nt la marche, l'incertitude des extrémités dans tous les actes, les
troubles
de la parole et les troubles visuels. Au repos, l
es extrémités dans tous les actes, les troubles de la parole et les
troubles
visuels. Au repos, l'expression du visage était
culaire ne sont pas troublés. Les sphincters fonctionnent bien. Les
troubles
de l'équi- libre allèrent toujours en augmentan
s sphincters se prirent ; il eut des vomissements, de l'oedème, des
troubles
cardiaques auxquels il succomba. A l'autopsie
Nonne; mais leur abolition chez le malade de Miura, de même que des
troubles
de la sensibilité doit être vraisemblablement att
ïncidence d'un traumatisme ou d'une infection, de l'épilepsie ou de
troubles
mentaux dans l'atrophie non familiale, oubien l
restent pures : atrophie olivo-ponto-cérébelleuse. L'apparition de
troubles
de l'équilibre, analogues à ceux des atrophies
ubation, la plus grande fréquence de l'asymétrie, la coexistence de
troubles
oculaires et plus spécialement la stase papillair
rnicieuse, la moindre intensité de la titubation, la coexistence de
troubles
nerveux de nature différente faciliteront le diag
t au point de vue anatomique qu'au point de vue clinique. Les mêmes
troubles
de l'é- quilibration qui les caractérisent sera
ses. Lorsque les plaques de sclérose sont limitées à la moelle, ces
troubles
font défaut. Sans nous prononcer d'une façon dé
plaques. Les malades atteints de paralysie pseudo-bulbàire ont des
troubles
de la marche, « marclie à petits pas », associé
ui peuvent t en imposer pour une lésion du cervelet ; peut-être ces
troubles
ont-ils pour cause l'existence de petits foyers
rajet intra-protubérantio) ; les symptômes de duplégie faciale, les
troubles
de la déglutition, la dysar- thrie, la parésie
velet. On a signalé chez certains individus atteints de surdité des
troubles
de la statique et de la locomotion qui présente
reilles n'est pas davantage suivi de vertige ou de nys- tagmus. Des
troubles
de l'équilibration il est vrai moins prononcés et
micirculaire : le malade atteint de surdité complète présentait des
troubles
de l'équilibre rappelant ceux d'un cérébelleux, m
di di fisiologia nomzale e l'alologica. Firenze, 1891. (3) Euoea,
Troubles
vestibulaires. Etude physiologique et clinique. R
ations brusques dans l'intensité des symptômes, le nystagmus et les
troubles
de la parole sont plus rares; la maladie est pl
avec les résultats obtenus par la physiolo- gie expérimentale : les
troubles
de l'équilibre et de la locomotion et l'in- tég
compagnent cependant de quelques symp- tômes qui sont étrangers aux
troubles
de l'équilibre : ce sont un léger tremblement d
encore qu'hypothétique. L'un de nous avait émis l'hypothèse que les
troubles
de la parole sont en rapport avec une fixité im
rs hémorrhagiques... » , Signalons, en passant, que pour Kocher les
troubles
de la conscience, en dehors du sopor et du coma
Elle peut consister en une sorte de suffusion san- guine, sorte de
trouble
vaso-moteur qui se manifeste sur un territoire
ce territoire et si la lésion gagne du ter- rain, on peut voir les
troubles
moteurs s'accentuer et s'étendre. Il paraît dif
u corps strié, de la couche optique, dupédoncule) oucompliquée : de
troubles
psychiques (région antérieure de la capsule), de
sswald qui a étudié sur des chiens vivants les modifications et les
troubles
qui atteignent le cerveau blessé. Les expé- rie
t, qui ressort tout entier du crâne. On verra que la coïncidence du
trouble
oculaire et de la paralysie s'ex- plique nature
T. Poore de New-York dans lequel la guérison de la paralysie et des
troubles
de la parole a lieu, mais où il survient de l'é
trépaner afin d'enlever l'héma- tome diagnostiqué comme causant les
troubles
moteurs et sensitil's par compression. L'hémi
remontent à la même époque ou s'ils se sont faits peu à peu. Les
troubles
fonctionnels du diabète paraissent remonter seule
d'enfant. Il éprouve assez rare- ment de la céphalalgie, n'a pas de
troubles
visuels ; l'ouïe est un peu affaiblie à droite,
s haut. Les réflexes rotuliens sont très affaiblis. Il n'y.a pas de
troubles
de la sensibilité. La réflec- tivité et la sens
bien des signes ordinaires de l'acro- mégalie. En particulier, les
troubles
oculaires font défaut, la céphalalgie n'existe
brile, de toute affection vénérienne qu'il se produisit. Sans aucun
trouble
de la sensibilité générale, de l'appétit ni du so
ent de la main raccourcie et épaissie, mais il est probable que les
troubles
trophiques osseux ont commencé plus tôt. Pendan
de six au doigt correspondant opposé (Pl. LVIII). Il n'y a aucun
trouble
trophique de l'épiderme ni des ongles ou des po
si que les réflexes cutanés (plantaire, crémastérien etc.). Aucun
trouble
des sphincters. Nous avons naturellement radiog
e en octobre 1898. Nous avons constaté de nouveau l'absence de tout
trouble
de la sensibilité cutanée ou profonde, la persi
athogénie d'une telle maladie serait purement gratuite puisqu'aucun
trouble
concomitant ni de la santé générale, ni de la r
re s'ouvre et les doigts se mettent en extension forcée. Malgré ces
troubles
fonctionnels multiples et la marche lentement pro
e en dehors. La sensibilité est normale, ni douleurs spontanées, ni
troubles
sensoriels. Les réflexes tendineux sont normaux
troubles sensoriels. Les réflexes tendineux sont normaux. Pas de
troubles
vaso-moteurs ; la pigmentation spéciale du cou et
tion spéciale du cou et des lom- bes pourrait être considérée comme
trouble
trophique. L'examen des urines effectué par M.
(1) 'a spécialement étudié les rapports avec les myopathies. Les
troubles
ont commencé dès le Loti[ jeune âge aux membres i
e légère prédomi- nance à gauche. Ni contractions fibrillaires ni
troubles
de sensibilité. Grâce il la réunion de ces cara
qu'en outre il n'a : ' Ni contractions fibrillaires prononcées, ni
troubles
vaso-moteurs très accentués comme dans le type
Tooth, ou des trois cas de Bosc. Ni contractions fibrillaires, ni
troubles
vaso-moteurs, ni altérations de la sensibilité,
e musculaire progressive neurotique de Hoffmann, car il n'y a aucun
trouble
de sensibilité; Ou un cas d'amyotrophieprogress
en reste pas moins vrai qu'il existait antérieurement chez tous des
troubles
évidents de la statique vertébrale. Ces troubles
ment chez tous des troubles évidents de la statique vertébrale. Ces
troubles
se traduisaient par une inclinaison progressive
s para-vertébraux. Enfin signalons, en terminant, la possibilité de
troubles
fonctionnels s dus aux compressions viscérales
ont été peu étudiés dans les observations : nous voulons parler de
troubles
de compression dus aux lésions mécaniques des par
té pelvienne : d'où la perturbation des fonc- tions digestives, les
troubles
des sphincters. La compression peut aussi s'exe
n (de noxa tabaci sternutatorii). L'auteur envisage en médecin, les
troubles
que peut causer l'abus du tabac. En premier lie
Pétophiles (1) être incapables de distinguer les odeurs. Mais les
troubles
de cet organe peuvent être plus considérables : D
rrive jusqu'à l'endroit où siège l'Archée (1) et le cor- rompt. Les
troubles
qu'on peut observer sont les suivants : d'abord u
ieil- lards ; 6° Ils sont exposés aux fièvres, aux délires ; 7°
Troubles
de la vue, visions étranges ; 8° Dureté de l'ou
upière arrive bientôt il sa situation régulière (Pl. LXX). Pas de
troubles
dans les mouvements de l'oeil droit ; à gauche, c
ervées, les réflexes sont normaux, pas la moindre atrophie ; pas de
troubles
vésicaux. Tous les organes, tous les viscères s
e activement. Tels sont les symptômes de la maladie actuelle; aucun
trouble
de la part des autres nerfs crâniens, ni des ne
ranucléaire ; il y a des lésions bien nettement isolées, mais aucun
trouble
des mouvements associés. Il s'agit incontestabl
ps ensemble avec l'augmentation de l'excitation maniaque apparut un
trouble
de conscience et diverses idées déli- rantes, s
el accès épilep- toide. L'existence d'un lues est très possible. Le
trouble
de la parole portait un caractère propre à la p
toïde, à peu près deux ans après le commencement de la maladie. Les
troubles
moteurs étaient beaucoup plus prononcés dans le
t dans les voies conductrices spinales, etc. Dans le cas second les
troubles
moteurs étaient moins mar- qués et correspondam
cation de la pression dans la cavité du système nerveux central, le
trouble
de la circulation régulière de la lymphe, peuve
ns la paralysie générale et, peut-être, dépend-elle à son tour d'un
trouble
de circulation du sang et de modifications vascul
s la première catégorie de ces cas fait attention à l'existence des
troubles
moteurs chez les malades (des paralysies, des p
tarlinger, comme nous l'avons vu plus haut, souligne la liaison des
troubles
moteurs avec l'intensité de la dégénérescence sec
térie et du goitre exophthalmique (3). La prédominance latérale des
troubles
hystériques est bien connue. Dans (1) Debove, H
sedow, on observe aussi quelquefois une pré- dominance latérale des
troubles
fonctionnels et des déformations. Cepen- dant i
elle a une grande difficulté à mouvoir les parties engourdies. Ces
troubles
se reproduisent quelquefois au réveil du matin. Q
re un certain temps ou qu'elle s'est frottée avec la main libre ces
troubles
disparaissent. Cependant il lui reste une hémiane
Mais les effets heureux furent transitoires en ce qui concerne les
troubles
du syndrome basedowien. Quand les symptômes hys
es du côté gauche. Le fait est que la fille décrit tous les anciens
troubles
nocturnes et matinaux dont la mère souffrait autr
la fille). Nous avons revu cette malade à différentes reprises. Les
troubles
sensitifs sensoriels du côté gauche n'ont pas r
sistance de ces derniers peut s'interpréter par la sur- vivance des
troubles
de la sécrétion thyroïdienne qui, une fois instal
sécrétion thyroïdienne qui, une fois installés sous l'influence des
troubles
vaso-moteurs hystériques sont devenus per- mane
e offert, de tous les accidents de la série tabétique, que quelques
troubles
sensitifs légers. Les désordres de la marche re
e défendue par Brissaud (1), de la fréquence de l'as- sociation des
troubles
trophiques aux troubles sensitifs dans le labes.
(1), de la fréquence de l'as- sociation des troubles trophiques aux
troubles
sensitifs dans le labes. Si, à l'exemple des Pi
phénomènes d'arthropathie vertébrale d'un côté, et de l'autre, les
troubles
de motilité, des sens spéciaux ou de la sensibili
res sont altérés, il y a insuffisance de réactions vaso-motrices et
troubles
nutritifs de ces articulations. A la suite de Ma-
encore que, dans les arthropathies de cause né- vritique pure, les
troubles
articulaires se localisaient de préférence dans
tatée chez une tabétique, ne reconnaissent pas pour seule raison un
trouble
trophique dû aux altéralions de sa moelle. D'où
tion, mais les mouvements de la hanche sont conservés presque sans
troubles
, La musculature est flasque La sensibilité de l
tation de chemin de fer, il remarqua pour la première fois quelques
troubles
de la parole. Il ne pouvait pas dire ce qu'il v
acile- ment, il saisit rapidement une plaisanterie. Il y a un grand
trouble
de la pa- role, l'effort le jetant parfois dans
nsibilité auditive à gauche. Aucune modification des autres sens.
Troubles
vaso-moteurs. La moitié inférieure de l'avant-bra
si un abaissement de température très notable pas de sueurs locales
troubles
trophiques peu accusés , . Observation XXVII.
ale. Des deux blessures s'échappe une petite quantité de sécrétions
troubles
opération Au moi d'avril il persistait une para
sie de la jambe droite...,. Au mois de mai de l'année suivante les
troubles
de la motilité sont surtout accentués à la jamb
s inférieur et supérieur droits. Il est impossible de constater des
troubles
de la sensibilité Au 3 juillet de l'année suiva
lade est mousse dans la marine autrichienne. Il n'a plus éprouvé de
troubles
de la parole sauf pour les mots difficiles ou lor
as lire, son écriture est très défec- tueuse. Janvier 1898. - Les
troubles
de la parole ont diminué, mais subsistent encor
nt une chaleur à la tête, ou des maux de tête et en même temps, les
troubles
de la parole augmentent beau- coup. Il faut alo
tique 549 la bouche et le mouvement de déglutition, il n'y a pas de
troubles
dans les mouvements de celle-ci. Le bras gauche
onduire à l'atelier. Elle présente en outre à diverses reprises des
troubles
passagers de la parole et reste plusieurs jours
t paupière), qui ne dure que 48 heures. Evolution. - 18 mars. - Les
troubles
de la sensibilité du côté gauche sont notableme
ent diminués, mais ceux de la' motilité persistent. Il n'y a pas de
troubles
trophiques, la température est normale. L'aphas
est incontestable que ce ramollissement est sous la dépendance des
troubles
circulatoires ainsi que cela résulte de l'étude
mollissement de la moelle, mais il est probable qu'en dehors de ces
troubles
circulatoires, il faut tenir compte de l'action
générale : fièvre, etc., à laquelle vinrent s'ajouter plus tard des
troubles
sphinctériens et une parotidite double, de sorte
été attribué par Bouchard et ses élèves Charrin, Roger et Gley aux
troubles
vaso-moteurs ; tandis que Metchnikoff considère
iv. 5. - Coupe transversale de la moelle dorsale d'un chien mort avec
troubles
ner- veux paralytiques, suite de la maladie du
ltérations des cellules et des fibres nerveuses dépendent aussi des
troubles
circulatoires qui existent dans la myélite. L
estations nerveuses doit surtout s'accompagner dans quelques cas de
troubles
ressortissant à la myélite, ainsi qu'il résulte
senté tous les phénomènes de la myélite aiguë, paraplégie complète,
troubles
sphinctériens, abolition des réflexes tendine
, abolition des réflexes tendineux, dans les membres para- lysés,
troubles
qui ont fait leur ap- parition subitement. Comm
peut tuer un lapin dans l'espace de 8 à 12 heures avec paraplégie,
troubles
sphinctériens ; et dans la moelle, on trouve un
reptocoques dans le canal verté- bral sans avoir observé le moindre
trouble
ni la moindre lésion ; d'autres fois le strepto
rift, écriture en miroir). Buchwald crut d'abord avoir affaire à un
trouble
pathologique, opinion que devait adopter, sans
s qui peuvent dépendre du degré plus ou moins marqué d'intensité du
trouble
fonctionnel des di- vers muscles. C'est à propr
ue cet article sera consacré) qu'elle peut être associée à d'autres
troubles
paraly- tiques congénitaux (paralysie faciale c
Au moment où il a quitté le lit, il était très faible, sa vue était
trouble
et ce n'est qu'après deux mois de convalescence
ticles de la chaîne manque ou se développe mal, il en résultera des
troubles
plus ou moins profonds et durables dans la moti
dans l'évolu- tion de l'un des chaînons nerveux, il en résultera un
trouble
de la moti- lité, mais avec intégrité des fibre
dolore, apyrétique, chronique et perma- nente, qui n'entraîne aucun
trouble
de la santé générale et peut même persister jus
e malade j'appris que sa mère et une de ses soeurs présentaient des
troubles
analogues aux siens, quoique moins mar- qués, e
s, les malléoles et le dos du pied. Aucune lésion viscérale. Pas de
troubles
de la sensibilité. Cas. IV. - Victorine P..., â
parole, l'absence de bouffissure des pau- pières et des doigts, de
troubles
menstruels marqués, etc., devaient faire écarte
és, etc., devaient faire écarter ce diagnostic. La localisation des
troubles
aux membres inférieurs n'était pas en faveur de
le dos se voûta petit à petit ; jamais il n'y eut de douleurs ou de
troubles
intellectuels ; au début de la maladie, il y eut
e montre aucune altération des vertèbres. . Système nerveux. Pas de
troubles
, intellectuels. Motricité.- Pas de troubles mot
Système nerveux. Pas de troubles, intellectuels. Motricité.- Pas de
troubles
moteurs notables dans les membres supérieurs ;
n épi- leptoïde des deux pieds, par redressement brusque du pied.
Troubles
trophiques. Atrophie légère des muscles des deux
s trophiques. Atrophie légère des muscles des deux mollets ; pas de
troubles
trophiques de la peau. Sensibilité. - Strabisme
zones où existe la dimi- nution de la sensibilité tactile. Pas de
troubles
du sens musculaire. Nous, ICONOGRAPIIIE DE LA S
ises, demeure à peu près stationnaire ; aux différents examens, les
troubles
de la sensibilité dans la moitié inférieure du
ieurs, même maladresse légère dans les mouvements de la main. Les
troubles
de la sensibilité thermique en particulier sont m
sverse, ou à une forme fruste de sclérose en plaques, compliquée de
troubles
trophiques de la colonne vertébrale ou de ses mus
ie un peu anormale il est vrai : nous basions notre opinion sur les
troubles
de la sensibilité et surtout sur la déformation d
ale si fréquente dans les syrin- gomyélies était à son maximum. Les
troubles
moteurs se réduisaient à une paraplégie spasmod
optique droit et le moteur oculaire externe gauche. L'existence de
troubles
du système nerveux central au cours de la der-
savons quelle variété, suivant la localisation, peuvent revêtir ces
troubles
, depuis le syndrome du para- clonus jusqu'à la
. C'est dans les signes d'une paraplégie spasmodique accompagnée de
troubles
de la sensibilité, que se résumaient dans notre
se résumaient dans notre cas les phénomènes spinaux ; et comme les
troubles
sensitifs prenaient parfois en certaines régions,
ui peut survenir à la suite d'infection, d'intoxication et d'autres
troubles
généraux. Or c'est précisé- ment le cas dans le
le motriceréagit par la dissolution de sa substance chromatique. Ce
trouble
cellulaire dure environ 1D jours, puis tout rentr
e réagit aussi par la dissolution de la substance chro- matique. Ce
trouble
cellulaire est même plus précoce que dans la cell
ôles de la cellule ? On bien est-ce par le gonflement ou les autres
troubles
dans la substance achromatique que le noyau est e
un instant. Il faudrait sans doute pouvoir tenir compte des autres
troubles
de la partie achromatique du protoplasma pour c
au, mais à l'heure actuelle on ignore abso- lument la nature de ces
troubles
. Il nous semble que dans la théorie de la migra
inence d'urine des enfants. Thèse de Paris, 1889. 1 J. Janet. Les
troubles
]Jsychopathiques de la miction. Thèse de Paris,
s du crâne, de la face, de la voûte palatine et des oreilles. Les
troubles
névropathiques auxquels ils sont sujets débutent
pour nous, l'incontinence qui débute dans l'en- fance est due à un
trouble
fonctionnel du cerveau avant quelque rapport av
la nature psychique de ce syndrome et de son analogie avec certains
troubles
psychiques de l'hystérie ? : ' Une seule sugges
survenues pour la première fois dans l'intervalle, sans causer de
troubles
. 21 décembre 1893.- Elle revient parce que depu
tique et névro- pathe, onirodynique, m'a été amenée depuis pour des
troubles
hystériques en rapport avec l'évolution menstru
e faire sans souffrance. La rechute doit ètre mise sur le compte du
trouble
de la menstruation, les sensations utérines ano
ne véritable maladie fami- liale. L'incontinence est l'effet d'un
trouble
psychique analogue à quelques-uns de ceux que l
iques de la peau doivent être accompagnés, au moins fréquemment, de
troubles
de la sensibilité. C'est pourquoi l'on doit, da
ovenkoff a pu constater que la plupart d'entre eux présentaient les
troubles
sensitifs caractéristiques de l'hystérie. Expos
ue chacune des grandes névroses énumérées a pour cause immédiate un
trouble
particulier de l'économie ner- veuse et que ces
ux les cellules de Purkinje avaient disparu, peut-être par suite du
trouble
apporté dans la circulation. Cet angiome du c
s la circulation. Cet angiome du cervelet n'avait déterminé aucun
trouble
fonc- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1)1 tionn
rreurs nocturnes, des vertiges, des phobies de toutes variétés, des
troubles
digestifs, des paresthésies associées en un cor
ils veulent en faire une nouvelle psychopathie. Pour nous c'est un
trouble
d'origine hystérique, rien de plus. En effet, e
s sensibles. Violentes douleurs spontanées dans tous les mem- bres.
Troubles
passagers de la vessie et du rectum. Accidents du
ander si la névrose n'a pas un rapport purement accidentel avec les
troubles
locaux, et si les deux éléments (fonctionnel et
nnel et organique) ont une source com- mune dans la syphilis. Les
troubles
locaux n'apparaissent que dans le cours et dans l
rritation spinale soit sous la dépendance de la syphilis. Quant aux
troubles
locaux, ils appartiennent à ceux qu'il faut imp
urasthénique ; par J. ALTAQ.1S. (L Siglo medico, mars 1895.) , Le
trouble
le plus habituel est l'impossibilité de fixer lon
cela dû à la congestion passagère des procès ciliaires par suite de
troubles
vaso-moteurs neurasthéniques. F. BOISSIER. RE
(six hom- mes et une femme) atteints d'épilepsie idiopathique avec-
troubles
psychiques consécutifs aux accès. On a donné l'
ble : humeur plus paisible, disparition des phases d'agitation. Les
troubles
provoqués par l'administration de l'opium, à ha
ues, décembre 1895.) E. B. VIII. Alimentation thyroïdienne dans LES
troubles
mentaux ; par le Dr CLARKE. L'auteur a expéri
sur un fonds commun qui semble être l'émotivité morbide. Les divers
troubles
qui accompagnent les obsessions : aboulie, trou
e. Les divers troubles qui accompagnent les obsessions : aboulie,
troubles
sensitifs, anesthésiques, etc., ont servi de base
tions qui, toutes, sont justes à un certain point de vue. Parmi ces
troubles
, il" en est un sur lequel on n'a pas insisté beau
s'il l'a réellement faite. Dans ces cas, j'ai toujours constaté un
trouble
plus ou moins prononcé de la mémoire, tant pour
pour apprendre des choses nouvelles que pour évoquer des anciennes,
trouble
apparaissant souvent antérieurement à l'obsessi
r ces cas. La volonté n'a rien à y voir. Il reste donc seulement le
trouble
de la mémoire pour en expliquer le développemen
s survint un ictus apoplectique avec hémiplégie droite passa- gère,
troubles
de la parole. Mort par pneumonie. A l'autopsie, p
signes de dégénérescence psychiques et somatiques et l'absence de
troubles
intellectuels proprement dits. Les stigmates de
.1'hrladelpltia, 1896. - W. B. Saunders. Veriioogen (P..). Sur les
troubles
digestifs el hystériques. Volume in-8° de'184 p
'obsessions et de phobie ? . Il y a dans ces cas une combinaison de
troubles
fonction- nels organiques et de réactions monia
PROGRESSIVE; par M. FÉRÉ. (Joum. de Neurologie, 1896, n° 6.) Les
troubles
de l'appareil digestif ne sont pas seulement des
es minutes. Les crises douloureuses ne laissent après elles aucun
trouble
, quelquefois seulement un peu de diarrhée; dans
et que sa mère est également atteinte de migraine ophtalmique avec
troubles
paralytiques et convulsifs. Chez la petite fill
pport à la folie, un rôle étiologique dont il faut tenir compte. IL
Troubles
de l'odorat dans la folie. Les troubles de l'olfa
nt il faut tenir compte. IL Troubles de l'odorat dans la folie. Les
troubles
de l'olfaction ont peu attiré l'attention des c
onique. (American journal of insanily, octobre 1895.) ' E. B. XI.
Troubles
moteurs dans la folie; par le D1' Richardson. L
raison de croire qu'un usage modéré de l'alcool doive conduire à un
trouble
mental un individu normal et même, à priori, la
à un âge avancé; mais il n'est pas démontré qu'il s'agisse là d'un
trouble
fonctionnel, puisqu'on con- naît la fréquence d
la démonstration ne peut venir que de la mise en évidence d'autres
troubles
pathologi- ques, et avant tout de conceptions d
s. La preuve de la maladie il faut la tirer de la présence d'autres
troubles
maladifs, de conceptions déli- rantes. 1 M. S
e l'impor- tance que doivent prendre en neuropalhologie l'élude des
troubles
radiculaires, susceptibles d'expliquer des phén
symptôme le plus gênant de sa maladie, on triomphe rapide- ment des
troubles
neurasthéniques qui compliquent et aggra- vent
ensi- tive de Leyden, qui subordonne l'incoordination motrice aux
troubles
de la sensibilité, a certainement gagné du terrai
certainement gagné du terrain depuis que nous connaissons mieux les
troubles
de la sensibi- lité articulaire et musculaire d
eints de la maladie de Friedreich, c'est-à-dire, des ataxiques sans
troubles
de la sensibilité. Selon nous les hystériques n
s tabétiques. On devrait trouver un autre mot pour caractériser les
troubles
de 170 CLINIQUE NERVEUSE. l'équilibre, dont c
if nous avons des raisons pour ad- mettre chez les Friedreich's des
troubles
de la sensibilité mus- culo-articulaire,'surtou
aucune relation proportion- nelle entre le degré de l'ataxie et les
troubles
de la sensibilité musculo-articulaire. On peut
Mais il n'existe pas de relation'intime de cause à effet entre les
troubles
de la motilité et les troubles de la sensibilit
on'intime de cause à effet entre les troubles de la motilité et les
troubles
de la sensibilité dans le tabes. Néanmoins, com
dination, et chez le tabétique les yeux cherchent à com- penser les
troubles
de la sensibilité tactile et de la sensibilité
ur but de compenser par la vue et par une attention plus grande les
troubles
de la sensibilité musculo-articulaire. Le fait
enseigne à l'ataxique, comment il doit s'y prendre pour déjouer les
troubles
de sa sensibilité musculo- articulaire et arriv
on chez un tabétique par la méthode de Frenkel sont données par les
troubles
de la sensibilité musculo-arti- culaire. Mais q
nsibilité musculo-arti- culaire. Mais quel que soit le degré de ces
troubles
une certaine amélioration de l'incoordination s
st en développement rapide, le malade ne pourra pas com- penser les
troubles
de la sensibilité, puisque ces troubles chan- g
pourra pas com- penser les troubles de la sensibilité, puisque ces
troubles
chan- gent et s'aggravent pour ainsi dire tous
s'arrête définitivement, le malade s'adaptera plus facilement à ses
troubles
de la sensibilité musculo-articulaire, et arriv
on étudie les tabé- tiques de près', on peut se convaincre, que les
troubles
tabé- tiques ne se manifestent, jamais au même
'ataxie, on constate chez nos malades une certaine amélioration des
troubles
de la sensibilité. Cependant il faut reconnaîtr
nuation du signe de Romberg, on constate peu de changement dans les
troubles
de la sensibilité. Les douleurs fulgurantes son
a suite de notre traitement des modifications objectives dans les
troubles
de la sensibilité cutanée. En revanche la sensibi
a des malades chez lesquels l'ataxie s'améliore, pendant que les
troubles
de la sensibilité ne subissent aucune modificatio
bétiques qu'on veut soumettre au traitement de Frenkel. Parmi les
troubles
propres au tabes qui défendent le traite- ment
de rendre la marche impossible à la suite de notre traitement. Les
troubles
articulaires forment donc une contre-indication
i les aveugles en seront exclus. De même les tabétiques atteints de
troubles
psychiques n'arriveront pas à corriger leur ata
nt, chronique. En effet nos exercices ont pour but de compenser les
troubles
de la sensi- bilité musculo-articulaire et cuta
che rapide, comment le malade pourra-t-il arriver à s'adapter à ces
troubles
, qui ne restent pas constants. Il s'épuisera in
ndre les exercices et le malade s'adaptera très vite à ses nouveaux
troubles
de la sensibilité. Nous avons dit plus haut que
ni de blépharoptose. A aucun moment de sa maladie, il n'a eu aucun
trouble
du côté de la vessie, ni du rectum. Il n'a jama
184 , CLINIQUE NERVEUSE. dans la région thoracique gauche. Aucun
trouble
du côté de la vessie, ni du rectum. Pas d'impui
imprime aux genoux et aux articu- lations coxo-fémorales. Seuls les
troubles
dans les articulations des pieds n'ont pas boug
accentuée. (A suivre. ) RECUEIL DE FAITS. Deux OBSERVATIONS DE
TROUBLES
VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE; Par Marcel
rne 'des Asiles de la Seine. - Les deux observations qui suivent de
troubles
vaso-moteurs d'origine hystérique ont été tout
Brain, 1893. * Higier. S7cl·l'élersbu·'s IVocheîischi,ifi, 1894.
TROUBLES
VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. 187 27 févri
age très serré, au pli du coude, donne, au bout de quatre minutes
TROUBLES
VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. 189 environ,
doigts sont gros, rouges, totalement raidis. La flexion ou l'exten-
TROUBLES
VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. 191 sion du
es, s'ils avaient été suffisamment recherchés. Les oedèmes hvsté-
TROUBLES
VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. '193 riques
ature vespérale, elle tendrait plutôt à atténuer les différences.
TROUBLES
VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. 191> méni
cence mentale avec attaques hystéro-épileptiques graves, suivies de
troubles
intellectuels et d'actes violents et automatiques
d'ascension droite, sommet aigu, ligne de descente d'inclinaison
TROUBLES
VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. 197 moyenne,
n alimentaire chronique, chez un individu n'ayant jamais éprouvé de
troubles
digestifs, et dont l'état général, d'ailleurs,
, d'ailleurs, est excellent. Il y a donc chez ce malade, en plus de
troubles
sécrétoires (hyperhydrose) indépendants, en par
partie du moins, des phéno- mènes vasculaires proprement dits, des
troubles
vaso-moteurs que l'on peut attribuer : 1° pour
férence dans les nerfs périphériques où sa présence déterminait les
troubles
sensitifs, les atrophies musculaires, les ulcèr
ciation hallucinatoire. Il peut y avoir association concordante des
troubles
hallucinatoires, l'oeil voyant le personnage que
l est donc logique de considérer l'hallucination elle-même comme un
trouble
d'origine cérébrale. Une autre preuve delà na
indique bien l'origine et la nature du phénomène. La synthèse des
troubles
de la sphère auditive peut être repré- sentée p
sphère auditive peut être repré- sentée par le tableau suivant :
Troubles
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 213 214 SOCIÉTÉS SAVANTES
dans sa thèse inaugurale, en 1862, a le premier décrit une série de
troubles
circulatoires aboutissant à la gangrène symétri
ains cas atypiques les douleurs sont surtout marquées alors que les
troubles
circulatoires paraissent insignifiants. La gang
ux, des syphilitiques, des diabétiques, le froid, les émotions, les
troubles
menstruels ont paru en être souvent la cause.
s hystériques ; aussi croyons-nous que ces phénomènes dépendent des
troubles
circulatoires vaso-moteurs provoqués par la név
longement de l'internement pour les alcooliques délirants, dont les
troubles
intellectuels ont disparu. On s'est agité beauc
méliora- lion au début, ne tarde pas à laisser reparaître les mêmes
troubles
. Les malades ne songent plus absolument qu'à le
pareil digestif est mise en évidence, outre l'état mental, par des
troubles
de sensibilité de la zone gastrique, et par le re
s grave au point de vue de la vie, mais il est sérieux en raison du
trouble
apporté dans l'exercice de toutes les fonctions
donne un coup de fouet à la maladie. M. Pierre PARISOT. De quelques
troubles
psychiques, et particu- lièrement de la transfo
rmation de la personnalité au cours de la démence sénile. - 11, Des
troubles
psychiques indépendants de toute vésanie peuven
vésanie peuvent se produire au cours de la démence sénile; 2° ces
troubles
(transformation de la personnalité, conceptions d
éaliser les conditions d'auto-suggestibilité qui donnent lieu à ces
troubles
psychiques. MM. Pierre PARISOT et Lvy. - Déme
ne, d'ano- rexie et de torpeur cérébrale. M. Laurent. Analyse des
troubles
psychiques de l'opium fumé.- Les troubles causé
M. Laurent. Analyse des troubles psychiques de l'opium fumé.- Les
troubles
causés par l'opium fumé durèrent des effets de l'
rdâtre de la peau et coloration noire des urines. Dès ce moment les
troubles
psychiques et moraux apparurent et abou- tirent
l'état actuel caractérisé par des ictus apoplectiques répétés, des
troubles
de l'intelligence, de la parole, de la mémoire, d
. Octobre 1896.. N° 10. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE
TROUBLES
MOTEURS PRÉCÉDANT L'ARTICULATION DE LA PAROLE C
t, ses parents qui n'avaient jamais remarqué chez lui le plus léger
trouble
de la parole, furent fort étonnés en s'aperceva
Institut où l'on traitait et guérissait le bégaiement il voulut s'y
TROUBLES
moteurs DE l'articulation DE la parole. 259 ren
de son évolution et on n'a relevé chez ses ascendants directs aucun
trouble
de la parole. Il n'a jamais eu de vertiges ni d
olisme. Actuellement l'état général est excellent, et sauf quelques
troubles
dyspeptiques intermittents, suite probable de l
et que le raisonnement et la réflexion n'y prenaient aucune part.
TROUBLES
MOTEURS DE l'articulation DE la parole. 261 Nou
ée chez lui, nous aurons l'occasion d'en parler longuement avec les
troubles
moteurs que nous allons décrire. Les phénomènes
er, et ses efforts pour le proférer s'accusenten même temps que les
troubles
respiratoires et l'agitation des membres s'accroi
r pronon- ciation très ardue et qui sont proférés avec aisance. Les
troubles
de la parole ne se montrent pas d'ailleurs plus
se déclenche. Pour peu que l'interrogatoire se prolonge, on verra
TROUBLES
moteurs DE l'articulation DE la parole. 263 bie
le prie de chanter, ce qu'il fait volon- tiers, il n'éprouve aucun
trouble
du langage, aucune secousse con- vulsive dans l
une sensation profonde de soulagement et de bien-être. La durée des
troubles
moteurs est loin d'être fixe, et il serait impo
parlé ou un temps relativement long. 264 CLINIQUE mentale. Les
troubles
respiratoires se montrent en même temps que les
hrase, et cela fait, il prend une ample inspiration, mais les mêmes
troubles
recommencent et selon la succession des mêmes p
es le ma- lade, se trouvant toujours dans les mêmes conditions, les
troubles
de la parole et les accidents convulsifs dispar
es dans l'état de A. K... depuis son entrée à l'Asile clinique. Les
troubles
moteurs étaient, à son arrivée, très accusés, t
dance à diminuer d'intensité; celte tendance s'accenlua de plus en
TROUBLES
MOTEURS DE l'articulation DE la parole. 265 plu
lsifs semblent se faire depuis quelque temps plus fréquentes. Les
troubles
de la parole dont nous venons d'esquisser les p
la dis- parition dans le chant de tout phénomène défectueux, les
troubles
respiratoires très accusés et jusqu'aux périodes
près l'âge de onze ou douze ans ' 1 n. Or, chez notre malade, les
troubles
de la parole ne sont sur- venus que vers quator
n'ont jamais offert pour notre malade la moindre difficulté. Les
troubles
moteurs associés au bégaiement ne sont pas extr
une assez grande ressemblance avec les accidents convulsifs dont
TROUBLES
moteurs DE l'articulation DE la parole. 267 K..
de l'action spécifique du langage articulé dans la pro- duction des
troubles
moteurs. On a décrit des tics hystériques et le
mouvements coordonnés. Le terrain sur lequel se sont développés les
troubles
divers que nous avons décrits n'est pas d'aille
grité fonc- tionnelle absolue de la vision; nous n'avons noté aucun
trouble
dans les autres organes sensoriels et il ressor
s'extérioriser. Quant au mécanisme qui préside à la production des
troubles
complexes que nous avons décrits, on ne peut en
présentés par notre malade soient assurément sous la dépendance de
troubles
fonctionnels et que l'épilepsie jacksonienne so
ion des trois centres moteurs de la face, du membre supérieur, du
TROUBLES
MOTEURS DE l'articulation DE la parole. 269 mem
clonique; à la face la période to- nique existe seule; de plus les
troubles
moteurs affectent une localisation sinon franch
et l'hypothèse anatomique : si, en effet, on veut bien admettre un
trouble
provoqué par l'élaboration de la phrase dans le
ion pourrait être rapprochée des nombreux cas de tics compliqués de
troubles
de la parole, recueillis dans le service des en
articularités ? Les conséquences ? Le malade a-t-iljamais de grands
troubles
vaso-moteurs (rougeur de la face, pâleur, palpi
ses proches ? 284 li. asiles d'aliénés. Durée des causes ? Le
trouble
actuel est-il la première attaque ou d'autres ont
? De l'aura ? Des sensa- tions précordiales ? De la dysesthésie ?
Trouble
de la parole ? Pouvoir de l'attention ? Mémoire ?
ulaires, une anesthésie cutanée assez net- tement circonscrite, des
troubles
de la miction et de la défécation. A ces symptô
mes primordiaux s'en ajoutent d'autres secondaires et inconstants :
troubles
trophiques, certains troubles génitaux, certain
d'autres secondaires et inconstants : troubles trophiques, certains
troubles
génitaux, certaines modifications des réflexes
elques mots sur les principaux caractères de ces symp- tômes : 1°
Troubles
de la sensibilité. La douleur, ordinairement loca
oelle atteint par la lésion. On observe ordinairement encore divers
troubles
paresthésiques, engourdissements, fourmillements,
millements, sensation d'un corps étranger dans le rectum, etc. 2°
Troubles
de la motilité. - Ils se résument en la paralysie
Enfin il peut arriver que des muscles paralysés s'atrophient. 3°
Troubles
génilo-urinaires. - Les troubles génito-urinaires
muscles paralysés s'atrophient. 3° Troubles génilo-urinaires. - Les
troubles
génito-urinaires et du rectum ne manquent jamai
Les troubles génito-urinaires et du rectum ne manquent jamais. Les
troubles
urinaires sont carac- térisés par de l'ischémie
tinence, par suite de paralysie du sphincter, la vessie pleine. Les
troubles
génitaux sont variables : impuissance, absence
er le tableau clinique actuel noté à son entrée à la Sal- pêtrière.
Troubles
de la sensibilité ; Douleurs lancinantes, par-
mer ainsi : anesthésie douloureuse à dis- tribution bien définie. -
Troubles
de la motricité et de la trophi- cité : Le pied
pa- raissent des symptômes généraux de l'hystérie, strangulation,
troubles
céphaliques, etc., et enfin viennent parfois, non
tes et grosses comme des oeufs de poule. Suivant l'impor- tance des
troubles
vaso-moteurs, la peau est blanche, rosée ou vio-
e de jours sans phémonène prémonitoire. Paraly- sie des sphincters.
Troubles
dissociés de la sensibilité remontant jusqu'au
nts nerveux syphilitiques, enlre autres une hémiplégie faciale avec
troubles
de la sensibilité des membres inférieurs, -dont
ains muscles, réflexes conservés, réac- tions électriques normales.
Troubles
de la sensibilité nettement hystériques, incont
due à une prolifération considé- rable du tissu fibreux. Quant aux
troubles
de la sensibilité, qui manquent dans la myopath
ré l'endartérite oblitérante de plusieurs gros vaisseaux. Quant aux
troubles
de la sensibilité, on les comprend en remarquan
e niveau, atteignent supérieurement deux racines diffé- rentes, les
troubles
moteurs et sensitifs sont également dénivelés à
sinage du foyer, de là l'hyperes- thésie du territoire innervé. Les
troubles
syringomyéliques, eux, ont une explication moin
n quelques semaines la malade -devient complètement impotente, puis
troubles
vésicaux et rectaux. Au mois d'octobre 1896, la
signe de Romberg. Conservation des réflexes patellaires. Absence de
troubles
de la sensibilité générale et spéciale, sauf en
spéciale, sauf en ce qui concerne la vue. La malade voit les objets
troubles
, confus, elle n'a plus de diplopie. L'examen op
'il n'y a ni contracture, ni exagération des réflexes tendineux, ni
troubles
vésicaux ou rectaux. Ce sont précisément ces ca
nique est conservée. La malade est triste et irritable. Aucun autre
trouble
nerveux. Bord libre des gencives saignant, ramo
, plus rapide- ment à droite qu'à gauche, le septième mois tous les
troubles
sen- sitifs avaient disparu. Quant à la motilit
alement la nuit, pen- dant le sommeil. 11 ne se produisit jamais de
troubles
trophiques. Le point intéressant de cette myéli
umeur cérébrale ET SUR LES rapports DES TUMEURS du cerveau avec LES
troubles
psychiques; par le De Luhrmann. (Allg. Zeitschr
, t. LU, fasc. 4.) Les tumeurs du cerveau peuvent donner lieu à des
troubles
psy- chiques dont la physionomie clinique est b
as de traces. Mais une deuxième attaque survient, qui est suivie de
troubles
psychiques (inquiétude, anxiété). Un accès de c
mes caracteristiques d'une lésion en foyer (maux de tête, parésies,
troubles
de la parole). Ces symptômes dispa- raissent so
iguë. Chez le sujet en question la tumeur existait dès le début des
troubles
psychiques et ne s'est pas montrée consécutivem
lésions en foyer du cerveau sont capables de déterminer certains
troubles
psychiques et plus particulièrement des états man
ne tendance au sommeil. Jastrowilz déclare qu'il est une forme de
trouble
psychique, un état de démence avec excitation et
limitée au niveau de la tempe gauche, les phénomènes de parésie (
troubles
de l'articulation, parésie dans le domaine du ner
èse que les altérations osseuses de la maladie de Paget étaient des
troubles
trophiques dépendant de lésions médullaires. Il
voir durcie, on trouve des lésions des cordons postérieurs qu'aucun
trouble
, pen- dant la vie, n'avait pu faire prévoir. En
n de Bicêtre. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, 1895, na 4.) Les
troubles
trophiques du système pileux, à la suite de chocs
nt généralement vite et sans trai- tement. On peut supposer que ces
troubles
trophiques sont d'ori- gine nerveuse, mais il e
ce processus sont encore assez obscures : peut-être y a-t-il là des
troubles
trophiques dus à des modifications du système s
ophiques dus à des modifications du système sympathique ou bien ces
troubles
sont-ils plus directement en rapport avec les a
le tabes des altérations périphériques remar- quables, c'est que le
trouble
résultant des altérations les plus pri- mitives
e leur longueur, de la cellule jusqu'aux terminaisons, parce que le
trouble
trophique résultant de la diminution de l'énerg
sujets pendus on observe parfois des convulsions, de l'amnésie, des
troubles
psychiques passagers, et l'amélioration de psyc
t donc les manifes- tations ci-dessus (crampes et amnésie) pour des
troubles
hysté- riques, c'est-à-dire d'origine psychique
ement des attaques paraissant de nature hystérique; il présente des
troubles
caracté- ristiques de la sensibilité ; l'accès
econd chapitre (cinquième de l'ouvrage entier) comprend l'étude des
troubles
élémentaires de l'esprit, classés en quatre gra
Serrigny (René) : Psychoses génitales. Contribution ci l'étude des
troubles
men- taux dépendant des affections utérines. M.
lsdruckerel Bericluhans. SEEUGMANN (A.). Contribution à l'étude des
troubles
mentaux consécutifs aux opérations gynécologiqu
se servir de ses mains. On était forcé de la nourrir. Peu à peu les
troubles
dans les extrémités supé- rieures diminuèrent,
he. Rien d'anormal aux articulations. Sensibilité. Il n'y a aucun
trouble
de la sensibilité cutanée. La malade sent le mo
oncé à gauche et à droite. Motilité. Jambe droite. Il n'y a aucun
trouble
d'incoordination dans celte jambe. La malade ex
otuliens et cutanés plantaires sont absents des deux côtés. -Pas de
troubles
du côté de la vessie, ni du rectum. Rien d'anor
r à la langue, au goût, à l'odorat. La malade a toutes ses dents.
Troubles
de la sensibilité.- Le toucher. - La malade ne se
Les réflexes rotuliens et plantaires sont absents. Il n'y a pas de
trouble
du côté de la vessie, ni du rectum. La ma- lade
ne modification dans les autres symptômes du tabes. Notamment les
troubles
de la sensibilité cutanée et profonde (articulair
mouvements, aussi lui arrive-t-il de tomber fréquemment. La vue se
trouble
, un léger brouillard apparaît devant les yeux.
paraît devant les yeux. Elle n'a pas eu de diplopie, ni aucun autre
trouble
oculaire. La malade n'a présentéaucun trouble d
lopie, ni aucun autre trouble oculaire. La malade n'a présentéaucun
trouble
du côté de la vessie. Il y a deux ans elle avai
s réflexes rotuliens et plantaires sont complètement abolis. Aucuns
troubles
des sphincters. Coeur et poumons normaux. Estom
s cessent brusquement. En février 1893 premiers symptômes d'ataxie.
Troubles
de la marche débutant par de la fatigue; lassit
CLINIQUE NERVEUSE. sans appui et sans se tenir aux meubles, légers
troubles
de la vue amaurose passagère). Soumise alors au
t moyenne, l'humeur très égale, plutôt gaie. Aucune anomalie, aucun
trouble
trophique de la peau ou de ses annexes, les den
. Les yeux sont facile- ment larmoyants. Du côté de l'ouïe quelques
troubles
se manifes- tant par des vertiges fréquents, un
tuse. Le pincement et la piqûre sont toujours con- fondus. Tous ces
troubles
existent aussi au tronc, mais peut-être moins a
ent abolis. Le réflexe rotulien, comme le réflexe plantaire. Pas de
troubles
du côté des sphincters. Commencement du traitem
même les plus compliqués, il n'y a aucune modification du côté des
troubles
de' la sensibilité, tant cutanée, que profonde
ires et crémastériens sont abolis des deux côtés. Il n'y a pas de
troubles
du côté de la vessie, ni du rectum. 11 rr'v a q
s. Ac- tuellement, il a des selles régulières tous les jours. Les
troubles
de la sensibilité cutanée et profonde (musculaire
n effort quelconque ou s'il est émotionné. 11 n'existe pas d'autres
troubles
de motilité, ni de sensibilité aux membres supé
que dans les autres articu- lations des membres supérieurs. Aucun
trouble
d'incoordination motrice dans tous les mouve- m
surtout les mouvements d'adduction et d'abduction de la cuisse. Ces
troubles
sont à peu près égaux à gauche et à droite. Les
travail qui n'a jamais été traduit du russe, avait pour titre : Un
trouble
de l'activité psychique dans la paralysie alcooli
té psychique dans la paralysie alcoolique et ses relations avec les
troubles
analogues dans la névrite multiple non alcooliq
dt (1886), Oppenheim, la même année, avaient signalé la présence de
troubles
mentaux chez les alcooliques et, de plus, loin
er une origine certaine dans les centres nerveux. j) En effet, le
trouble
de la mémoire qui constitue presque en entier l
ion et d'aperception (Wundt), c'est-à-dire que ce n'est pas tant un
trouble
de la mémoire qu'une altération de l'attention
et changeant, accom- pagné de modifications pupillaires, mais sans
trouble
marqué de la parole. L'un de ces malades a guér
(l1l/ll. de la Soc. de Méd. ment, de Belgique, juin 1895.) XXIV.
Troubles
psychiques après l'opération DE la cataracte; par
4.) \ Le médecin aliéniste a rarement l'occasion d'observé; des
troubles
psychiques consécutivement à l'opération de la ca
érente, veulent arracher leur pansement, insultent l'entourage. Ces
troubles
ne se produisent que le soir et durent toute la
marquer que dans tous les cas où il s'est agi de malades jeunes les
troubles
psychiques ont duré long- temps, parfois leur a
portant dans la patho- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 385 génie des
troubles
psychiques observés aux lésions des nerfs du gl
des nerfs (névralgies) et les psychoses et les faits déjà connus de
troubles
psychiques consécutifs à des blessures du globe d
cacher dans des endroits où on ne pouvait le trouver. A quinze ans,
troubles
uri- naires particuliers ; dès qu'il se sentait
sations d'Heusen, Walkers et V. Gellucliter., étudie les différents
troubles
oculaires qu'on observe dans la périencéphalile
des extrémités des membres inférieurs; ataxie faciale marquée avec
trouble
extrême de la parole; crises épilep- tiformes a
e. Pas de symptômes oculaires fixes nets.'Pas de contractures ni de
trouble
de la motilité ni de la sensibilité; marche et
morale; b) ceux qui ne présen- tent ces symptômes que par suite de
troubles
survenus dans leur activité psychique; 6° au po
git d'un déséquilibré avec idées de persécution, idées de grandeur,
troubles
de la sensibilité générale, et dont le délire ne
ALE. 391 d'influences malfaisantes. En réalité il divaguait sur les
troubles
de la sensibilité générale qu'il ressentait. Vo
musculaires correspondants. A la suite de cette opération, tous les
troubles
de perversion morale et alfec- tive cessent, ai
bservations et des nécropsies il semble résulter que les soi-disant
troubles
trophiques seraient plutôt des symptô- mes d'in
cas confirmatifs de cette 394 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. absence de
troubles
trophiques cornéens, malgré l'ablation du gangl
sez affaiblie. La mimique est aussi affaiblie en raison directe des
troubles
intellectuels. Tels sont les signes cliniques q
e diagnostic de l'aphasie consiste : 1° à reconnaître l'aphasie des
troubles
qui peuvent la simuler ; 2° à distinguer entre el
istinguer entre elles ses diverses variétés. Le diagnostic avec les
troubles
du langage des paralytiques généraux, bulbaires
. L'aphasie transcorticale est hypothétique. Il existe encore un
trouble
désigné par Bertin sous le nom de dyslexie qui
facile à distinguer de l'aphasie sensorielle vraie, tiendrait à un
trouble
fonctionnel au niveau du pli courbe. M. Miral
rait dû être atteint d'agraphie pure, mais fobservation indique des
troubles
de la parole avec ceux de l'écriture. Enfin M.
ent par leur bouche ; mais auparavant on observe ici, en règle, des
troubles
sensoriels multiples, essentiels et primitifs,
le, des troubles sensoriels multiples, essentiels et primitifs, les
troubles
psy- chomoteurs étant secondaires, tardifs et m
ble pour un dia- gnostic précis. En effet, chez les persécutés, les
troubles
de la sensibilité générale et viscérale peuvent
vier 1889. 422 CLINIQUE MENTALE. tive des idées délirantes et des
troubles
psycho-sensoriels qui les accompagnent. Ces t
antes et des troubles psycho-sensoriels qui les accompagnent. Ces
troubles
primitifs de l'idéation s'appuient, souvent, sur
délirante des tendances parti- culières natives de l'individu. Ces
troubles
de la sensibilité générale n'entament pas la pe
de défense, de résis- tance. C'est eux-mêmes qu'ils accusent et les
troubles
psycho- moteurs initiaux montrent que les lésio
bat qui se passe hors d'eux-mêmes, et présententspulement, avec des
troubles
sensoriels différents, de nouvelles altéra- tio
exaltée la prédominance d'hallucina- tions visuelles aux dépens des
troubles
auditifs prédominant au contraire dans les autr
frappant et typique de ce genre de phénomènes hallucinatoires. Ces
troubles
manifestes dans la sphère visuelle n'excluent p
et transportés par lévitation au sein de la divinité. C'est là un
trouble
de la sensibilité générale analogue à celui du tr
. On peut même observer, au cours de ces phénomènes extatiques, des
troubles
de la sphère génitale pouvant aller jusqu'à l'o
si, les phénomènes psycho- moteurs se mettent-ils d'accord avec les
troubles
sensoriels prédominants en dernier lieu (vision
LIGIEUSES. 433 contraires se contre-balancent en quelque sorte, les
troubles
psycho-moteurs peuvent apparaître. On peut alor
x ; c'est une autre épileptique qui, placée à l'hospice de Vendôme,
trouble
la tranquillité de l'établissement et incommode
e localisée. Le résultat est tou- jours le même, il consiste en des
troubles
multiples du fonction- nament de la moelle. Voi
t plus possible. Un traitement approprié commence la guérison des
troubles
dyspeptiques et le tremblement disparait avec eux
vice a la mer, mais sur un navire à l'ancre et ne naviguant pas. Le
trouble
urinaire reparaît, mais un peu différent. L'uri
fait impossible. Il se passe là, en somme, ce qui se passe dans un
trouble
analogue du rectum, dû également à des contractio
ué d'un seul coté. Rien d'anormal du côté des sens spéciaux, pas de
troubles
vésicaux, ni rectaux. A l'hôpital, l'affection
on diagnostic d'une façon absolue. CAMUSET. LII. DE l'influence DES
TROUBLES
DE l'innervation sur la localisa- TION ET LA MA
t eux, voulu savoir s'il existait une relation quelconque entre les
troubles
de l'innervation du rem et la localisation et l
ur les désigner par un nom : ces chorées en- globent la plupart des
troubles
moteurs vulgairement et vague- ment désignés so
en laryngoscopique de-23 hémiplégiques qui, par l'existence soit de
troubles
du langage, notamment de dysarthrie, soit de dy
ie ou de paralysie du voile du palais, semblaient devoir offrir des
troubles
laryngés. Or, chez 19 de ces malades, l'examen
les laryngés. Or, chez 19 de ces malades, l'examen n'a révélé aucun
trouble
des mouvements des cordes vocales; chez 4 seule
mouvements des cordes vocales; chez 4 seulement il y avait quelques
troubles
inté- ressant la corde vocale droite. Les reche
es sensitifs à topographie nettement radiculaire; 2° dans G cas des
troubles
sensitifs à topo- graphie médullaire ; 3° dans
agit d'une expertise très facile au sujet d'un cas d'épilepsie avec
troubles
mentaux caractéristiques ; ce qui la complique un
nd l'anthropologie complèle de l'accusé et une vraie 1-çoti sur les
troubles
mentaux dans l'épilepsie, avec examen cri- tiqu
Selon lui, l'absence de la faux du cervelet est l'expression d'un
trouble
pathologique important, cette anomalie s'accompag
va sans dire qu'il distingue la nervosité de la prédisposition aux
troubles
psychiques. D'ailleurs les difformités crânienn
que l'administration des bains dans la salle peut être une cause de
trouble
. M. FREY (Schwetz). Désodorisation par lu forma
ulations des extrémités; pupilles rétrécies, réagissant mal, pas de
trouble
de la parole, réflexe du genou normal. Démence
STYLO(DE chez les anor- maux, par Zuccarelli, 315. Articulation.
Troubles
moteurs pré- cédant l' - de la parole, par Pla-
ment de il- par la mé- thode de par Habbas, 61 ; Davenport, ! i2.
Troubles
L'antri- ques dans l' -, par Féré, 120. Epile
MOE chez la femme, par illelge, 318. Infectieuses. Influence des
troubles
de l'innervation sur les maladies - , par Tra
OI'IITALIIOPLG1E externe, par Ray- mond et Souques, 46. Opium.
Troubles
dus il l'- fumé, par Laurent, 253. Os. Fragil
socmnmnrc. Sereice - dans les prisons par Moiel, 158. Psychiques.
Troubles
après l'o- pération de la catat acte, lar l.owy
érapeutique. Revue de -, 57. Thyroïdien. Alimentation ne dans les
troubles
mentaux, par CIarl.e, 64. De la médication ? ne
874, cherche à établir que la folie à dou- ble forme est due iL des
troubles
trophiques. L. Kirs, en 1878, range la folie ci
déclara 20 ' THÉRAPEUTIQUE. être atteint depuis la années d'un
trouble
de l'écriture, qu'un neurologiste diagnostiqua
s'amplifie également sous l'influence des émotions. Tels sont les
troubles
dont le malade souffre depuis 15 années, avec d
nsoriels et psychiques, dans les formes d'épilepsie déterminant des
troubles
du caractère et de la conscience, sans crises con
auche. Le réflexe plantaire était dimi- nué du côté droit. Pas de
troubles
de la sensibilité, sauf au niveau du pied droit
t une aholition complète de la sensibilité à la cha- leur. Pas de
troubles
sphinctériens. Atrophie très légère des muscles
ntes. Parmi les lésions cérébrales microscopiques accompagnées de
troubles
mentaux.il en est qui sont franchement inflammato
ychoses purement toxiques. Les psychoses d'origine toxique sont les
troubles
mentaux pro- duits par l'action du poison sur l
d'individus ayant présenté des affections diverses accompagnées de
troubles
men- taux, Faure et Laignel-Lavasline n'ont pas
i, etc., au cours de divers empoisonnements accompagnés ou non de
troubles
mentaux appréciables. 11 ne paraît pas possible,
ellulaires profondes, et qu'aueou- traire, une longue maladie, avec
troubles
mentaux plus effacés, peut aboutir insidieuseme
es et cliniques, il de-, ient nécessaire de rechercher la série des
troubles
tabétiques dans tous les cas de démence précoce
ni) ; 7° dans l'obésité, dont la pathogenèse est souvent liée à des
troubles
fonctionnels de l'hypophyse (lrowUich-L'uchs/ ;
onctionnelle de toutes les sécrétions. Noire hypothèse explique les
troubles
qui se vérifient pendant le sommeil dans les ma
ypophyse et les glandes génitales (Fichera) on pourra expliquer les
troubles
du sommeil dus aux modifications de la ie sexue
ques des voies nasales avec l'hypophyse (Lyon) expliquent enfin les
troubles
du sommeil, jusqu'à présent inexpliquabtes, d'o
s. Pour ( Illpenlreim et Israël les lésions constatées seraient des
troubles
agoniques et ils insistent sur la fragilité ext
E. 39 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1, - Contribution à l'étude des
troubles
physiques particuliers dans l'état de stupeur ;
u'il purgeait en prison une condamnation pour crime politique, de
troubles
mentaux (hallucinations, idées de persécution, co
e fu- gace) ; par Antheaume et PARROT. (L'Encéphale 190fi, n" 1.)
Troubles
mentaux survenus chez un psychopathe constitution
. L'auteur rapporte l'observation d'un malade chez qui les premiers
troubles
se mon- trèrent en décembre 1887. A ce moment.o
ubles se mon- trèrent en décembre 1887. A ce moment.on constata des
troubles
mentaux (excitation maniaque, affaiblissement i
eur) et des signes physiques (dysarthrie, tremblement de la langue,
troubles
de l'écriture). L'état maniaque a disparu, mais
troubles de l'écriture). L'état maniaque a disparu, mais les autres
troubles
ont persisté ; le malade a pu néan- moins se ma
pu néan- moins se marier. En novembre 1904, la dys.lrth1'Íc et les
troubles
de l'écriture se sont accentués, il y a de l'in
délire fébrile proprement dit, qui ne se caracté- rise que par des
troubles
intellectuels, une confusion simple des idées s
maladie do 11av1ecsLexceptionnelle. L'impaludisme n'occasionne des
troubles
délirants que dans ses formes chroniques et pour
, (;, Le saturnisme chronique prédispose d'une façon spéciale aux
troubles
psychiques éthyliques. On admet assez généralamen
une cause fréquente de la folie sous toutes ses formes, surtout des
troubles
iL caractère démentiel et 46 REVUE DE PATHOLO
' L'insolation dans les pays chauds semble causer fréquemment des
troubles
intellectuels il semble y avoir de nombreuses cau
ant cessé l'ilJ11dclI1entcL sans amener l'apparition d'aucun attire
trouble
mental, comme cela se voit souvent lorsqu'il y
e un état anliloxique spécial, dé- terminé suivant Kraepelinpar des
troubles
dans les échanges nu- tritifs, pouvant réaliser
Hémiplégie avec paralysie du moteur oculaire commun du même côté et
troubles
splainctériens. 11. Cantonnet. Homme, trente an
y (de Trêves). M. K. est née en 1889. En août 1900, elle souffre de
troubles
stomacaux, de douleurs de tête et de ven- tre.
u lieu de s'installer d'emblée, a été précédé et préparé par divers
troubles
somatiques et psychi- ques, ce qui est le cas l
ée (Anglade) ; aucune notion ne se dégage encore de leur étude. Les
troubles
pupillaires sont fréquents, mais variables plig
oit apparaître aussi comme un syndrome,) ! . Mas- selon analyse les
troubles
élémentaires de l'esprit communs à tous les éta
d'un symptôme se retrouvant par- tout où se trouve le symptôme. Ces
troubles
de l'esprit sont dhi- BIBLIOGRAPHIE. 55 ses
s de l'esprit sont dhi- BIBLIOGRAPHIE. 55 ses en i groupes : 1°
troubles
intellectuels ; 2° troubles volon- taires ; 3°
BIBLIOGRAPHIE. 55 ses en i groupes : 1° troubles intellectuels ; 2°
troubles
volon- taires ; 3° réactions affectives : 4° dé
volon- taires ; 3° réactions affectives : 4° délire. la Dans les
troubles
intellectuels, le phénomène le plus appa- rent
lle est possible lorsque le malade est capable d'effort mental. Les
troubles
de la synthèse se réduisent aux troubles de l'é
pable d'effort mental. Les troubles de la synthèse se réduisent aux
troubles
de l'évocation des idées : l'application de nou
ffective, est en- core pauvre dans son sein ». Reste à savoir si le
trouble
del'évo- cation est primitif ou le résultat d'u
s images mentales. L'atten- x tion est spontanée ou volontaire. Les
troubles
de la première ne se différencient pas des trou
volontaire. Les troubles de la première ne se différencient pas des
troubles
généraux de l'activité intellec- tuelle : elle
umé, le ralentisse- ment psychique des mélancoliques se ramène à un
trouble
d'évo- cation des idées. Ce trouble ne paraît p
es mélancoliques se ramène à un trouble d'évo- cation des idées. Ce
trouble
ne paraît pas toujours, comme pré- tend Schule,
'une inhibition créée par la douleur morale (2 observations). Comme
troubles
intellectuels, il y a en- core les troubles de
(2 observations). Comme troubles intellectuels, il y a en- core les
troubles
de la sensation et de la perception. La sensibi-
a sensibi- lité est presque toujours affectée ; mais il s'agit d'un
trouble
cen- tral plutôt que périphérique, trouble de l
ée ; mais il s'agit d'un trouble cen- tral plutôt que périphérique,
trouble
de la perception de l'im- pression ; les troubl
que périphérique, trouble de la perception de l'im- pression ; les
troubles
de la perception (imprécision vague, im- possib
ence des précédents (sensation, attention et images). 2° Dans les
troubles
volontaires, les phénomènes moteurs sont caract
iblissement des images motrices). L'aboulie est conditionnée par le
trouble
des éléments psychiques qui concourent aux acte
ire, la douleur est antérieure au délire ; elle a pour origines les
troubles
de la coenebthésie et l'arrêt psychique (Séglas
es causes déprimantes et créatrices d'épuisement cérébral. Et ces
troubles
somatiques peuvent engendrer un état psychique, c
ques ou non (syphilis, tuberculose, fièvre thyphoïde, vérole, etc.,
troubles
, alcool, morphine, opium haschich, etc.) b) ind
s mois après l'entrée, il présenta du « délire inconscient », des «
troubles
in- tellectuels ». Interné ultérieurement à l'a
st la lésion de ces derniers centres que les auteurs rattachent les
troubles
car- diaques qui ont entraîné la mort. Les li
essus surajouté (paralysie générale), on vit apparaître de nombreux
troubles
de la coordination, surtout du côté droit. On a
einte d'idiotie et d'épi- lepsie congénitales, ne présentait pas de
troubles
de la locomotion, et, dans les attaques, la chu
de Médecine de Montpellier. Pour établir une revue d'ensemble des
troubles
oculo- pupillaires de la paralysie générale, il
e,et, à chacune de ces périodes, étudier suc- cessivement. : 1° les
troubles
pupillaires; 2° les trou- bles visuels ;- 3° le
l'oeil; 5° les symptômes oculaires accessoires. Première période,
TROUBLES
PUPILL 11RES. -y L'inégalité des pupilles est l
u double, suivant qu'il y'a ou non inégalité pupillaire; c'est un
trouble
paralytique et non spasmodique. En effet, l'ins
e dilatée à l'instillation d'atropine est faible et s'accompagne de
troubles
du réflexe con- sensuel. En revanche, ainsi que
n,puis paralysie de ce réflexe accommodateur, très souvent aussi le
trouble
oculaire suit une marche irrégulière et les deu
offroy (1) et Shrameck ont insisté avec raison sur l'intérêt de ces
troubles
pupillaires. Du reste, ces signes se retrouvent
ant un ictus ou il la suite d'un ictus, et dès lors s'accompagne de
troubles
hémi- plégiques et aussi du blépharospasme et d
e et il est très difficile de se rendre compte de l'existence de ce
trouble
visuel à cause de l'état du malade. La isolé, s
au début de la paralysie générale, elle n'est pas accompagnée de
troubles
vasculaircset nutritifs (il on est de même dans
s cas, un signe très précoce du début de la pa- ralysie générale.
Troubles
de la vision. Ils sont très difficiles à étu- d
auf des cas rares (horloger obligé de cesser (1) HUUN c6 iltott.vs.
Troubles
de la vision et Traité de palholo- gie générale
lis, la vue est conservée presque intacte jusqu'à la fin (1). Les
troubles
visuels du paralytique général, lors- qu'ils ex
sus-orbitairc, vomissements), ou accompagnée (mêmes symptômes avec
troubles
passagers d'Itr : nZio21e ou d'aphasie ou d'épi
ortance du scotome ou lacunes du champ visuel consiste en ce que ce
trouble
est fréquent surtout chez les intoxiqués par le
es de la rétine. Deuxième période. - Tandis qu'à la première, les
troubles
oculaires présentent une intermittence et une v
et des ictus plus ou moins fré- quents, à la deuxième période, les
troubles
pupillaires deviennent presque toujours définit
sclérose en plaques ; 2' Incomplète, et c'est (1) Baux et Morax. -
Troubles
de la vision, in Traite de patho- logie général
tic. La déco- loration commence par le côté temporal. Lorsque ces
troubles
débutent, l'aspect trouble et louche de la papill
mence par le côté temporal. Lorsque ces troubles débutent, l'aspect
trouble
et louche de la papille lui a fait donner le no
e général, lorsqu'elle existe, de l'atro- phie du tabéliqite et des
troubles
visuels dans l'alcoo- lisme chronique . En même
paralysie générale, se vérifie en général cette loi que, « si les
troubles
de la vision ne suivent pas une marche parallèl
l'oeil évoluent parallèlement aux lésions du cerveau.» ·> Les
troubles
pupillaires sont très nets et immuables , qu'il
néral aux divers stades de sa maladie. Cette revue d'ensemble des
troubles
oculo-pupillai- res dans la paralysie générale
ne surviennent qu'à la fin. De sorte que le ta- bleau clinique des
troubles
visuels du paralytique géné- ral est complet qu
es va- riables conditionnés par la méta-toxi-infection et par des
troubles
physiques progressifs régis par altérations para-
en cherchant, dans le sang et dans les humeurs, une explication des
troubles
mentaux. La recherche des microbes porta sur 20
l'énormité de la tare nerveuse et à l'intensité des lésions et des
troubles
fonction- nels du système nerveux. Sans doute
la digestion, le repos ou l'exercice, le régime lacté ou mixte, les
troubles
vasomoteurs (états émotifs, hallucina- tions),
céphalalgies, bourdonnements d'oreille, som- nolences ou insomnies,
troubles
du caractère, fatigue physique et mentale rapid
dysarthrie, de ladysphagie, durire et des pleurs spasmodiques, des
troubles
psychiques, donnent assez souvent aux hémiplégi
uvénile, avec ou sans quelques modifications symptomatiques ; les
troubles
mentaux seraient plus constants et plus rapides.
ce d'insuffisance fonctionnelle par le fait de l'athérome. 2° Les
troubles
mentaux de l'artério-sclérosL'\ spéciale- ment
et des conceptions. Les formes graves se manifesteraient par des
troubles
mentaux sérieux ayant pour caractère do- minant
rde très longtemps conscience de son état. Ces diverses variétés de
troubles
mentaux de l'artério - sclérose s'accompagnent
stion complexe du cerveau sénile. C'était de considérer d'abord les
troubles
psychiques qui, lorsqu'il s'agit du cer- veau,
rations anatomiques. Il est vrai que le rapporteur, s'il a mis les
troubles
psychi- 120 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES E
s,des accidents convulsifs, mais encore par des trem- blements, des
troubles
delà réflectivité, de la sensibilité gé- nérale
inski se produit, habituellement, en flexion. Les tremblements, les
troubles
sensoriels et sen- sitifs, etc., ont été passés
ls et sen- sitifs, etc., ont été passés sous silence. Pourtant, les
troubles
de l'olfaction, de la vision et de l'audition s
s qu'aux états lacunaires corres- pondent plus particulièrement les
troubles
de la motilité, de la sensibilité, de la réflec
est pas moins très accusé. On ne peut interpréter correctement ces
troubles
de la marche des séniles 122 CONGRÈS DES MÉDE
ie aux lacunes, la faculté d'être, dans certains cas, l'origine des
troubles
mo- teurs, et dans l'espèce de paraplégies. A
signale étaient confirmées, on pourrait conclure qu'il s'agit d'un
trouble
de l'automatisme moteur, de la marche inconscie
giques lacu- naires forme, en effet, un contraste frappant avec les
troubles
de la marche ; il était très intéressant de sig
attaque dans ses différen- Les variétés, paralysies etcontractures,
troubles
sensitifs, mu- tisme, accidents viscéraux, somn
es hysté- riques. 1 Quels que soient les actes commis pendant les
troubles
men- taux associés aux attaques : hallucination
minel par suite d'impulsions déréglées, sans qu'on puisse parler de
troubles
mentaux proprement dits. Quelquefois l'automati
a solution souvent adoptée par les experts lors- qu'il n'y a pas de
trouble
pathologique évident au moment de l'acte. La lo
nomètre est un instrument qui permet de constater et de mesurer les
troubles
du système nerveux dans un certain nombre de ma
qui le provoque et son intensité doit être mise sur le compte des
troubles
de sensibilité de la muqueuse. Les efforts de tou
Neurologie (Rennes, août 1905), nous avons décrit et expliqué les
troubles
respiratoires des tabétiques, précisément par l'i
cisément par l'in- coordination des muscles du cou et du tronc. Les
troubles
de la miction et de la défécation s'expliquent
. Si l'incoordination des muscles des membres inférieurs produit le
trouble
de la marche, si l'incoordination des muscles d
si l'incoordination des muscles des membres su- périeurs produit le
trouble
de l'écriture et de la préhension, - il n'est p
rdination des mus- cles du bassin et du périnée se traduise par les
troubles
de la miction et de la défécation, - que l'inco
, - que l'incoordination des muscles thoraciques se traduise par le
trouble
de la respira- tion, et que l'incoordination de
AlberLoni. Enfin l'iodure de calcium peut produire un phénomène qui
trouble
l'expérience, en provo- quant une congestion de
choses aiguës, comment ce pouvoir 'augmente ou diminue, et parquets
troubles
somatiques il est ac- compagné. Les recherches
s parents soumis à l'intoxication alcoolique peut occa- fionner des
troubles
de l'évolution ovulaire régulière, troubles (lu
peut occa- fionner des troubles de l'évolution ovulaire régulière,
troubles
(lui se traduisent par des arrêts où des anomal
i. .1. S. XXVIII. Sur la- manière de faire un examen objectif des
troubles
nerveux dans les traumatismes; par LoRsrNwo Ros
atérielles ou dy- namiques des cellules des cornes antérieures, des
troubles
vaso- moteurs, des arthropathios fréquentes.-\l
s résultais. In-S" de 32 pages. Imp. Levé, Paris. CHEIIVlN. - Les
troubles
de la parole. lit-8* de 16 pages, .\S80' ciatio
sous la dépendance d'une intoxication par le brome ; d'autres, des
troubles
mentaux, d'une interprétation plus difficile ;
malade, si tels phéno- mènes de compression traduisent seulement un
trouble
fonctionnel, ou encore si tels autres traduisen
ont diminués, les réflexes cremasteriens abolis. 11 n'existe pas de
trouble
de miction ou de défécation. On le traite dans
la marche des membres inférieurs sont absolument normales. Plus de
trouble
desensibilité, le sens mus- culaire est revenu
asmodicité, avec clonus et extension des doigts sur la présence des
troubles
sphinctériens et sur un commencement de syndrom
'il traduisait une lésion de dégé- nérescence, mais tout au plus un
trouble
fonctionnel du faisceau pyramidal. (1) Tumeur
riche de détails, concernant plus de la moitié des maladies ou des
troubles
psychiques que nous observons, et dans lequel l
élire avait amenées et, au bout de deux mois, je n'ai quasi plus de
trouble
intérieur de parole. Nous voici au mois d'octob
ntécédents héreditaÏ1'cs,- Fille d'Espagnols, ne présentant au- cun
trouble
de la santé ou de l'intelligence, et professant l
malade marche librement (en apparence). Le tabétiqueatteintdeces
troubles
du tronc, ne saurait être comparé, pour la sémé
entière vers le maintien de son équilibre compromis, ne traduit son
trouble
. Les esprits non prévenus ne peuvent deviner po
e, a besoin d'un appui presque constant. L'accentuation brusque des
troubles
, lorsque cet appui manque, ou en face d'une tra
de la sensibilité, du sens des attitudes, on arrive à corriger les
troubles
du tronc, comme on corrige les troubles moteurs
on arrive à corriger les troubles du tronc, comme on corrige les
troubles
moteurs des jambes et des bras, depuis 10 ans. po
s techniques que nous avons ré- glées dans ce but; mais la cure des
troubles
moteurs du tronc dans le tabès est plus longue
étant considéré comme un névropathe, un phobique,et n'ayant pas de
troubles
moteurs apparents, la iééducation n'a semblé êt
n très petit résultat puisque nos malades n'ont que peu ou point de
troubles
mo teurs des membres inférieurs, et que leur in
vant qu'ils aient pu obtenir des bénéfices intéres- sants. A chaque
trouble
moteur doit correspondre un exercice spécial (r
ble moteur doit correspondre un exercice spécial (ruine vise que ce
trouble
moteur, ne convient qu'à celui-là et reste sans
émotionnelle est très précoce et elle constitue la base de tous les
troubles
psychiques. Les troubles de 1 atten- tion, l'ap
coce et elle constitue la base de tous les troubles psychiques. Les
troubles
de 1 atten- tion, l'apathie, l'aboulie,sont dif
es caractères distinctifs. Les lugues sans motif, les grimaces, les
troubles
de la conduite, les tics, les gestes, les attit
des bizarres, les impulsions subites, l'entêtement opi- niâtre, les
troubles
psychographiques complètent les tableaux \ clin
te ans, n'a eu, pendant huit mois, comme unique symptôme, que des
troubles
mentaux spéciaux, puis, deux mois et demi avant s
situées en dehors du corps calleux et qu'en som- me il n'y âge les
troubles
mentaux qu'on puisse considérer comme un symptô
ymptôme à proprement parler d'origine calleuse. Et encore parmi ces
troubles
mentaux, il y a un départ à faire. L'obnubilati
ntaux, il y a un départ à faire. L'obnubilation intellectuelle, les
troubles
démentiels que certains auteurs ont décrits, da
caractéristique, un syndrome mental spé- cial : il consiste en des
troubles
du caractère, de la bizarrerie dans les manière
de l'intelligence qui peut faire illusion à l'entourage. A part ces
troubles
mentaux spéciaux pour soupçonner la localisatio
té de fer dans le sang et les viscères vienne à se prolonger, les
troubles
légers et intermittents qui se manifestent dès le
cours de la paralysie géné- rale, par A. Marie. Appréciation des
troubles
nerveux au moyen d'un appareil nouveau, le stén
ie vraie el la dystrophie périostale. L'achondroplasie vraie est un
trouble
de développement du squelette intéressant parti
hysaire et de l'hyperfonction des glandes sexuelles, associés à des
troubles
des autres glandes sécrétion interne. 1. T. V
en l'évolution parallèle des symp- tômes du côté de l'oreille et du
trouble
moteur oculaire. Des recherches auxquelles se s
d'une otite, il ne faut pas d'emblée trouver dans l'apparition des
troubles
oculaires l'indication d'une intervention immédia
ifs : on sait d'ail- leurs combien est riche la symptomatologie des
troubles
réflexes dans le décours des pleurésies (par ex
e relevant de névrites : il semble (Friedreich) qu'il y ait soit un
trouble
fonctionnel des cornes antérieures de la moelle,
sculaires et parfois de trépidation épiloploidc. Souvent il y a des
troubles
vasomoteurs qui peuvent allerjusqu'à l'existenc
e.; BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE ROUIA (G.). Enquête scolaire sur les
troubles
de la parole chez les écoliers belges. In-8° de
ait conserver ce nom, devient une forme particulière, sinon par les
troubles
intellectuels qui la constituent et qui peuvent
, pas de traumatisme, pas d'in- fection. Sans doute,on constate des
troubles
intellectuels chez des jumeaux et des jumelles
vivaient séparés, devinrent alié- nés en même temps. Le tableau du
trouble
mental chez l'un et l'autre présentait la plus
ue l'organisation physique semblable du système ner- veux donne des
troubles
pathologiques identiques el qu'il existe une dé
fesseur expliquent parfaitement la si- multanéité et l'identité des
troubles
psychiques, elles n'expliquent pas du tout le f
ce centrale ne se fuit pas non plus voir. VII. Recherches sur les
troubles
apportés par une distraction. On a voulu expé
tats psychiques correspondants. As Mémorisation DES syllabes avec
TROUBLE
. Un tableau \ : SI) du travail de LŒW
s la section I, celles qu'on a apprises pendant un quart d'heure de
trouble
(désordre) et un quart d'heure après. Il est in
e aussi de l'examen des chiffres une habitude progressive avec le
trouble
dans la première série, plus rapide et moins évi-
qui considère l'habitude comme une propriété personnelle. Que le
trouble
ait influencé réellement l'opération, il en rés
ela d'autant plus que, après l'omission 2S4 ÉTUDE CRITIQUE. des
troubles
, l'opération augmente de plus en plus. On a sup
me n'est inférieure à celle des jours normaux, après l'omission des
troubles
, donc le brome n'a produit aucune diminution de
r si cette influence n'est pas attribuable aussi a la cessation des
troubles
,ce qui néces- sitait des nouvelles recherches s
r, plutôt paralysante que facilitante. B. Mémoire DES chiffres avec
trouble
. Après l'interruption des troubles on a continu
e. B. Mémoire DES chiffres avec trouble. Après l'interruption des
troubles
on a continué à ap- prendre encore pendant une
e. Chaque jour pris séparément, l'opération augmente, pendant les
troubles
, apparemment à cause de l'habitude; mais les pr
se de l'habitude; mais les premiers chiffres, après la cessation du
trouble
, montrent une si notable augmentation de l'opér
l'on peut conclure que, dans ces deux épreuves, la cessa- tion du
trouble
montre tout d'abord une influence nette- ment f
conde expérience normale, l'opération montre après la cessation des
troubles
pour redescendre un peu seulement vers la fin.
pération atteint une hauteur extraordinaire après la ces- sation du
trouble
,etmonte au double de l'opération obte- nue à la
e, tandis que la mémorisation des chiffres après la cessation des
troubles
l'est favorablement pour le brome. De cette man
'ALIENES. 28' ? ' 60 Dès que le travail est rendu difficile par des
troubles
distractifs, l'action d'apprendre des chiffres
le est accélérée dans la mémorisation des syllabes avec ou sans des
troubles
distractifs ; 8° Tout cela peut se résumer ai
arqué les rapports existant entre les affections pulmonaires et les
troubles
mentaux. Esquirol (1) et (1) Esquirol. Des mala
ne présentant plus de délire, mani- fester brusquement de nouveaux
troubles
psychiques sous l'in- lluence de l'inhalation d
naler, nous constatons chez D ? l'existence de toute une série de
troubles
aphasiques plus ou moins accentués : aphasie mo
nuscrit, de l'imprimé, etc. Nous avons fait précéder l'étude do ces
troubles
divers de celle de l'amnésie rétro-antérograde,
e pendant de si longues années il avait dû abandonner. AMNÉSIE. -
TROUBLES
DU langage. Amnésie rétro-antérograde. Les tr
AMNÉSIE. - TROUBLES DU langage. Amnésie rétro-antérograde. Les
troubles
de la mémoire dominent l'histoire de notre mala
prit, il se souvient à présent de ce qui s'est passé le jour où les
troubles
débu- tèrent : il disait à ses enfants qu'il av
voir au cours de l'ob- servation que ce n'est que peu à peu que ces
troubles
al- lèrent en diminuant. MUTISME, APHONIE,
uellement D ? est complètement guéri, mais il présente toujours les
troubles
du caractère si dncnlvss, 2' série 1906, t. XXI
se laisse facilement entraîner par ses camarades. , Sensibilité.
Troubles
objectifs. Durant toute la durée de son séjour
r il l'hôpital, D ? présenta parfois avec de grandes variations des
troubles
multiples de la sensibilité. C'est ainsi que le
ue ce jour- là, l'anesthésie cutanée était plus marquée à droite.
Troubles
subjectifs. 7 août. Dès notre premier examen, D
souvenirs réapparaissaient. Signalons pour terminer l'absence de
troubles
du côté de la sphère génitale. D ? ne présentai
nous déclara du reste qu'il avait toujours été plutôt t frigide.
Troubles
sensoriels. Goût. La sensibilité au tact et à l
es vertigineux, et se sentait entraîné en avant. Il existe quelques
troubles
subjectifs. On dirait, dit-il, que j'entends pa
asme gauche présenLé par le malade. On ne constatait pas d'autres
troubles
de la musculature ocul-iire. Cependant les exam
onoculaire. Pas de scotome central. Le fond de l'oeil est normal.
TROUBLES
MOTEURS. On a trouvé au début de cette observat
dineux et cutanés étaient normaux, le reflexe pharyngé également.
TROUBLES
TROPHIQUES Bien que le retour de la sensibilité
onsécutivement à quelques excès alcooliques, le malade présente des
troubles
men- taux passagers, que nous croyons être de l
passagers, que nous croyons être de l'onirisme hallucinatoire. Ces
troubles
ne durent que quatre jours; il présente ensuite
a main droite avaient été antérieurement brisées par nous -, et des
troubles
sensitivo-sensoriels multiples, variant fréquem
sie retro- antérograde, l'aphasie irrégulière, survenus après des
troubles
mentaux que nous considérons comme des équivale
entaux que nous considérons comme des équivalents de l'attaque, les
troubles
si variés et si mo- biles de la sensibilité, to
cette observation qui montre bien que l'hystérie peut réaliser les
troubles
les plus divers do la fonction du langage. Pe
es ac- cidents. Dans les cas non mortels, on a observé tantôt des
troubles
per- manents, tantôt des troubles passagers : l
mortels, on a observé tantôt des troubles per- manents, tantôt des
troubles
passagers : les uns comme les autres ont consis
un épileptique à la dose de 10 centimètres cubes, il n'amène aucun
trouble
immé- 390 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
s épileptiques, mais moins inten- ses, et sans être accompagnés des
troubles
psychiques et des cri- ses épileptiques. 5° L'a
iL) On peut observer, dans certains cas de démence primitive, des
troubles
du langage.parlé comme du langage écrit. Un ne pe
, mais on peut observer fréquemment des trou- bles de ce genre. Les
troubles
de la parole et des écrits dans la dé- mence pr
on de cas analogues pourra peut- être justifier la fréquence de ces
troubles
. J. S. XX. Un cas de paralysie générale juvénil
anthropométriques faites par l'auteur sur 33 en- fants atteints de
troubles
divers (infirmités physiques, troubles du carac
sur 33 en- fants atteints de troubles divers (infirmités physiques,
troubles
du caractère, insuffisance mentale) confirment
iamètres céphaliques et il y en axait un seul pour la taille. Les
troubles
qui retentissent sur le volume du cerveau et par
chez les Arabes : c'est, d'une part, la difficulté de constater les
troubles
de la parole à cause de la pro- nonciation gutt
ale de leur langue et, d'autre part, la difficulté de constater les
troubles
oculo-pupillaires à cause de la pigmenta- tion
lexes accommodateurs des deux yeux sont simultanément atteints d'un
trouble
identique, l'exagération de ces réflexes étant
uéris jusqu'ici compor- taient tous, en outre de la phobie, quelque
trouble
somatique con- comitant : spasmes respiratoires
cardie, hypertension artérielle, aso-constriction périphérique. Ces
troubles
conditionnent le trac ; ils lui servent, en que
tion est le véri- table agent curateurdutrac; mais en opposant aces
troubles
une médication physiologique appropriée, soit a
l'admission à l'asile et d'autant plus rapidement que le début des
troubles
intellectuels est plus récent : ce sont aujourd
prolon- gés qui s)IIt un des moyens les plus eflicaces cinti-e les
troubles
de l'activité générale. « 1.100 douches en je
urs. - L'enfant est gauche dans ses mouvements, mais il n'y a aucun
trouble
moteur ; pas de tremblement, ni de mouvements a
remière quinzaine et 1 gr. 50 pendant la seconde. On n'a noté aucun
trouble
, ni du côté de la circulation, de la respiratio
eich, morte de congestion pulmonaire el qui présentait en outre des
troubles
cardiaques. L'autopsie révéla une myocar. dite
avec hypertrophie de l'hypophyse et qu'il faut plu- tbt v voir des
troubles
de fonctionnement. Il est à remarquer d'ailleur
e. Surdité et cécité ver- bales sans cécité psychique avec quelques
troubles
d'amnésie. Hémiplégie et hémianesthéaie droites
s d'amnésie. Hémiplégie et hémianesthéaie droites. Dissociation des
troubles
d'aphasie pour les langues française et alleman
autres mutismes. Son caractère principal est d'être causé par un
trouble
de la volonté, si hien que le sujet, non seulemen
n d'un enfant de 13 ans qui présenta à la suite d'une otorrhée avec
troubles
du côté de la mastoide, un abcès cérébral. Il p
nation motrice, crises gastriques, douleurs fulgurantes, ébauche de
troubles
sphinctériens. D'au- tres symptômes prouvent l'
sclérose combinée avec association do symptômes spasmodiques et de
troubles
labéliques. G. C. .\\.\1.\, - Tie douloureux de
lombaire' pratiquée l'avant-voille delà mort donnaun liquide un pou
trouble
avec léger rellel rougoùlre, contenant hcaucoup
sont souvent observées dans les rhino- pharyngites latérales. Les
troubles
circulatoires et respiratoires d'origine otiquo o
l on retrouve les mêmes dilata- tions vasculaires violacées. Pas de
trouble
moteur, sensitif, ré- flexe, ni trophique. Pas
rné neuf jours dans le bulbe, sans que la malade ait présenté aucun
trouble
fonctionnel apparent. Cette observation montre
ogallois et Flourens, car il est bien certain que pour produire des
troubles
graves il faut des lésions très étendues au niv
a lésion dans ce cas été fixe et assez limitée et n'a donné que des
troubles
passagers et passés inaperçus, pour rester en-
lennorragie, on retrouve un terrain arthritique caractérisé par des
troubles
de la nutrition générale. Ces troubles de la nu
itique caractérisé par des troubles de la nutrition générale. Ces
troubles
de la nutrition ont une conséquence, parmi bien
ent exercer sur le système nerveux central et on s'explique que des
troubles
névropathiques puissent résulter de la r('púli-
ces actions déprimantes. La plupart des timides ont la sensation du
trouble
apporté dans leur organisme parle choc émotionn
bre de malades m'a appris que pres- que tous les sujets atteints de
troubles
hystériques et neuras- théniques, bien avant le
miplégie avec paralysie du moteur oculaire commun du même côté et
troubles
splunc- ténes, par Cantonnet, p. 47. Hémispas
ent de l'épilepsie par déchloruration, p. 158. Traumatismes. Voir
Troubles
. - . Voir Paralysie générale. TABLE DES MAT
e du pied pendant l'anesthésie, par Lannois et Clément, p. 460.
Troubles
. Contribution à l'é- tude des - physiques dans
t de l'ouïe; ses-pupilles sont égales et on ne note pas chez lui de
troubles
de la sensibilité générale. ' . ', ' . , . Qu
e présentent ni incohérence ni idées de grandeur. On ne note pas de
troubles
de la sensibifité générale ou spéciale chez le
nous porte à voir un lien in- time entre les faits reprochés et les
troubles
nerveux divers de 111 ? X... Car, comme ditLegr
ux étalages. Or, 111 ? X... est, avant tout, une héré- ditaire avec
troubles
hystériques et vaginisme avec métrite chronique
a du reste à observer que par une sorte d'hérédité homochrome, les
troubles
nerveux de lI ? X.... ont eu leur summum à ving
, 111m X... a repris possession de ses facultés; son aphasie et les
troubles
variés qui la constituaient ont disparu. Elle a
cependant, boit et urine beaucoup. Son urine est ambrée, légèrement
trouble
et saquantité varie de 1500 à 2000 cen- timètre
vec la papule d'urticaire spontané, elles ne s'accompagnent d'aucun
trouble
de la sensibilité, d'aucun prurit. A leur nivea
le était connue dans le service. Si l'hystérie semble favoriser les
troubles
vaso- moteurs de la peau et notamment la stéréo
Resterait à étudier le mécanisme, c'est-à-dire le com- ment de ces
troubles
vaso-moteurs dont l'expression la plus complète
nt existé que chez les malades des Observations XIV et XVI. p).
Troubles
du sens musculaire. Ces troubles ont consisté c
des Observations XIV et XVI. p). Troubles du sens musculaire. Ces
troubles
ont consisté chez nos malades : 1° au signe de
). Symptômes sensitifs. Nous avons vu qu'à la deuxième période, ces
troubles
marchent de compa- gnie avec les troubles de la
a deuxième période, ces troubles marchent de compa- gnie avec les
troubles
de la motilité, sous forme de paralysie, c'est-
sous forme de paralysie, c'est-à-dire d'aneshcsie. Plus tard ces
troubles
peuvent, soit disparaître complètement (OBS. XV
tions rapportées il n'y en a guère que trois qui aient présenté des
troubles
vasomoteurs, ayant con- sisté en une hypéridros
'noN XIX. d). Symptômes vésicaux. Tandis.qu'au commen- cement les
troubles
de la vessie accompagnent pres- que constamment
II. DES ACCIDENTS PAR 1.'EriPL01 DES SCAPHANDRES. 27 -1 Quant aux
troubles
du côté du rectum, nous ne les rencontrons plus
e un peu diminuée. Il n'y a pas trace d'atrophie musculaire; pas de
troubles
vaso-moteurs. Il y a une abolition complète de
t pas la moindre ressemblance avec un ongle normal. Il n'y a pas de
troubles
vaso-moteurs. Il n'y a aucune trace de myatropl
tives qui coexis- tait avec les autres symptômes céphaliques. c).
Troubles
du langage. Parmi les différentes espèces de tr
liques. c). Troubles du langage. Parmi les différentes espèces de
troubles
du langage, nous avons à noter seulement la sur
ibilité aurait été complètement abolie. b). Symptômes vésicaux. Les
troubles
de la vessie que nous voyons figurer chez nos t
e l'O13SER\'A1'ION XXII, en rétention. c). Symptômes rectaux. Les
troubles
du rectum figurées dans les trois observations
ifficile, parfois même impossible sans le concours de la vue. Aux
troubles
du sens musculaire, nous devons ne pas oublier
l'invasion de l'accident, le malade de l'OcsERVATtONXX n'a plus de
troubles
géni- taux. Celui de l'OBSERVATION XXI avait de
ar une symptomatologie presque inva- riable, paralysie, auesthésie,
troubles
de la vessie et du rectum. A une étape plus ou
itement bien. Pas de perte de connaissance; pas de vertiges; pas de
troubles
du langage; pas de maux de tête, enfin aucun sy
aucune trace de paralysie des membres ou de la face. Pas de moindre
trouble
, soit de la vessie, soit du rectum, soit des or
ntervalles très réguliers et variables d'intensité. Il n'y a pas de
troubles
de la sensibilité et du sens musculaire aux mem
. Il n'y a nulle part la moindre trace de paralysie motrice. Pas de
troubles
myatrophiques, les muscles de son corps étant m
muscles de son corps étant même parfaitement bien conservés. Pas de
troubles
vaso- moteurs. Rien du côté de la vessie, -du ]
, pas de symptômes céphaliques, pas de symptômes gastriques, pas de
troubles
respi- ratoires, pas de douleurs soit musculair
ent constituée par des picotements d'aiguille et en général par des
troubles
de la sensi- bilité, par des troubles du sens m
iguille et en général par des troubles de la sensi- bilité, par des
troubles
du sens musculaire et par l'abolition des réfle
conservés que ceux du gauche. Pas de symptômes tabétoïdes. Pas de
troubles
vaso-moteurs ou trophiques ou des organes gé- n
a friction. On l'avait pincé aussi et il n'aurait pas senti. Pas de
troubles
de la vessie, du rectum et des .organes génitau
les sont troublées, les érections sont rares et incomplètes. Pas de
troubles
du rectum. Il n'y a aucun symptôme céphalique.
ur droit. La sensibilité de ce membre aurait été émoussée. Pas de
troubles
du côté de la vessie ou du rectum. Il s'est ali
nt bien conservés et la contractilité faradique est normale. Pas de
troubles
vaso-moteurs. Rien du côté de la vessie, du rec-
épaule gauche et suivi de douleurs aux autres articu- lations. b.
Troubles
de là parole. Ces troubles qui ont existé chez
ouleurs aux autres articu- lations. b. Troubles de là parole. Ces
troubles
qui ont existé chez le malade de l'OBSERVITION
c). Elourdissements. Ce symptôme céphalique a figuré, associé aux
troubles
de la parole chez le ma- lade de I'Observation
s lui paraissaient se mouvoir, la durée a été la même que celle des
troubles
de la parole. d). Symptômes gastriques. Comme s
ie de ces quatre malades sont l'altération de la sensibilité et les
troubles
vésicaux. a). Altération de la sensibilité. Ell
inférieur droit et l'anesthésie, au membre inférieur gauche. b).
Troubles
vésicaux. La vessie qui est presque constamment
HANDRES. Il valions, il n'y en a qu'une seule où l'on observe des
troubles
vésicaux, qui, dans le cas en question, ont con
, anesthésie, soit du même membre, soit du membre opposé et parfois
troubles
vésicaux ; enfin, à une étape ultérieure, cette
er la tête, son cou étant immobilisé. Dans l'après-midi, d'autres
troubles
de la sensibilité viennent se joindre à ces dou
avec le membre supérieur droit, n'oublions pas de noter quelques
troubles
trophiques des ongles qui étaient atrophiés, amin
conservés, la contractilité électrique est normale. Il n'y a pas de
troubles
vaso-moteurs ni du sens musculaire. Rien du côt
ssi bien de la paralysie radiculaire de notre malade que des autres
troubles
. En effet, la guérison n'a pas exigé plus de tr
veux spécial caractérisé par des contractures, des paralysies, des
troubles
divers de l'intelligence. Cet état nerveux, décri
ulier et on constate de profondes et rapides dépressions, signes du
trouble
de la respiration qui accom- pagne le phénomène
euvent faire défaut. L'attaque est constituée exclusivement par des
troubles
psychiques. L'analogie avec l'hypnotisme se pou
, XIX, 1.) Dans les maladies mentales, il existe invariablement des
troubles
du système vaso-moteur. Or, chez OS p. 400 des
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 10'J ductrice des
troubles
vaso-moteurs, c'est en elle que consiste celte
nique disparaît lorsque la folie s'établit, et reparait dès que le
trouble
mental devient chronique. Dans la seconde, l'asth
l'aberration mentale une autie cause que la lésion cardiaque ou le
trouble
général de l'appa eil circulatoire : dans les c
. M. Séglas communique l'obser- vation d'une hystérique affectée de
troubles
intellectuels d'une certaine gravité et consécu
équestration des morphino- manes. M. 13.r,u n'est pas surpris des
troubles
gastriques signalés par AI. Christian. L'estoma
utre, peu de temps après avoir fait usage de cocaïne, de singuliers
troubles
de la sensibilité ont fait leur-apparition : c'
s qu'une voix les appelait. Plus tard enfin, se montrèrent d'autres
troubles
de la sensibilité : il leur semblait qu'elles m
par les régions inférieures de l'encéphale, se manifestant par des
troubles
des sens. L'orateur se base .')Ur ce que l'affect
lie de la masturbation, influence de celle-ci sur l'intel- ligence,
troubles
nerveux et mentaux de la grossesse, manie tran-
D'' IL Sa v mie entretient le congrès des SOCIÉTÉS SAVANTES. 123
troubles
mentaux associés aux engagements matrimoniaux : m
ifestant chez des indi- vidus nerveux, chez les dégénérés. Tous les
troubles
mentaux de l'adolescence et de la puberté, sont
lions ou malformations des membres, enfin des différents signes de
troubles
nerveux ou de dégénérescence. Ces recherches élim
t; : «;cnosco) : ) : ttt4XM ? ! ccs en matière de la simulation des
troubles
psychiques. Conclusions : Les cas de simulation
t avec l'absurdité la plus parfaite. Puis vient la simulation des
troubles
de la connaissance ou d'inconscience totale, l'ac
tner et Fischer. M. Euminghaus se charge défaire un rapport sur les
troubles
des processus de la pensée. M. l\L1DL1'sR (d'
e, etc.), ou bien, soit à une lésion cérébrale organique, soit à un
trouble
fonc- tionuel, névrosique, de l'encéphale (épil
neuro- pathiques, crises gastriques, intestinales, clitoridiennes,
troubles
cardiaques et vésicaux, anomalies de la salivat
les modifications pro- duites par leurs altérations, ainsi que les
troubles
fonctionnels déterminés par la lésion des diver
ela même rend l'examen ultérieur difficile. La formation d'un léger
trouble
autour de la préparation sert d'indice qu'il fa
ut pas donné un nom spécial, il a entièrement décrit ces singuliers
troubles
psychiques, ainsi que les rôles importants joué
ntre les centres visuels et auditifs 2. Ces formes particulières de
troubles
cérébraux peuvent être considérées comme des ty
son centre auditif.' La surdité verbale, pour cette raison, est un
trouble
purement psychique; le malade entend ce qui se
mment associée à la cécité verbale, jointe aussi à plus ou moins de
troubles
moteurs. L'histoire cli- nique de la malade don
Dans l'histoire ci-dessus, nous avons un type remar- quable d'un
trouble
psychique caractérisé par une impossibilité de
és en sa pré- sence. Grant Allen a rapporté un cas dans lequel le
trouble
psychique était exclusivement musical 5. » De l
dont j'ai déjà donné ailleurs plusieurs exemples, dans lesquels le
trouble
dans la mémoire des représentations auditives é
ent d'optique, est parfait, et l'ophtalmsocope n'y découvre aucun
trouble
. Le malade voit les mots ; mais ne com- prend p
ible, de les désigner par leurs noms. Au bout de trois semaines, le
trouble
de la parole avait presque entièrement disparu,
sortie ou la fonction cen- trifuge ; en d'autres termes, c'était un
trouble
moteur ou un trouble de transmission. Ross. -
en- trifuge ; en d'autres termes, c'était un trouble moteur ou un
trouble
de transmission. Ross. - On Aphasie, 1887, 1).
psie, et delà un léger degré d'inflammation, et consécutivement des
troubles
de la substance grise, en rapport direct avec l
pli courbe, d'un côté d'abord, puis de l'autre, sans produire un
trouble
appréciable, ni' dans les perceptions visuelles
le, dans la substance du cerveau. Cette opération fut suivie d'un
trouble
des perceptions visuelles, mais ce trouble n'é-
pération fut suivie d'un trouble des perceptions visuelles, mais ce
trouble
n'é- tait pas de l'amblyopie; c'était distincte
CAPHANDRES. 227 nutes; pas de refroidissement, pas de repas, pas de
troubles
res- piratoires avant l'immersion. Dix minute
On sait déjà que, parmi les symptômes de la période du début, les
troubles
de la parole ont plus d'une fois figuré comme c
non plus à titre de symptômes, mais à titre de forme clinique. Les
troubles
de la parole font alors à eux seuls tous les fr
s d'aphasie motrice simple et pure dégagée de toute autre espèce de
trouble
du langage. , Observation XXXII. ` Nicolas
i bouche de travers, ni autres symptômes paralytiques. Pas d'autres
troubles
cép.haliques. La sensibilité, la vessie et le r
ement du casque, et le malade se portait très bien et n'avait aucun
trouble
du langage. Au bout de ce temps, il était à peu
es. Pas de bouche de travers. Pas de paralysie de membres. Pas de
troubles
de la sensibilité, du sens musculaire, de la ve
- dents cérébraux, j'ai prédit au malade et à ses parents que ses
troubles
de la parole disparaîtraient très rapidement. 1
ne savait ni lire ni écrire. Au bout de trois à quatre minutes, ce
trouble
de la parole disparait subitement et complè- te
l ne peut plus continuer sa con- versation, il criait. Ce nouveau
trouble
du langage, qui consistait dans l'impossibi- 23
uement et complètement. Au bout de six à sept minutes, un troisième
trouble
de la parole, tout à fait pareil aux deux autre
au bout de six à sept minutes d'intervalle, un quatrième et dernier
trouble
de la parole a atteint le malade, exactement sous
spect clinique que les trois autres. Après cinq minutes environ, ce
trouble
de la parole disparaît et le malade n'avait plu
bilité absolue de conee- voir tout ce qu'il entendait. Pas d'autres
troubles
du langage. Durée de trois heures. Histoire.
n plus ni bouche de travers, ni paralysie des extrémités, ni autres
troubles
quelconques. Cet élat n'avait pas duré plus de
. Il n'y a aucune trace de paralysie nulle part. Il n'existe pas de
troubles
de la sensibilité générale et sensorielle et du
, ses compagnons voient non sans étonnement qu'il n'avait plus de
troubles
du langage ; c'était à cinq heures du soir. Il vi
A propos de ces caractères qui spécialisent en quel- que sorte les
troubles
du langage de cette origine, n'ou- blions pas d
érée. 2. forme SENSORIELLE. Le lecteur aura déjà remarqué que des
troubles
oculaires et auditifs peuvent figurer dans la s
termes, à titre de symp- tômes. Nous allons maintenant voir que les
troubles
sensoriels peuvent survenir chez les plongeurs
onnaissance, ni étour- dissements, ni bourdonnements d'oreilles, ni
troubles
de la parole, ni paralysie, soit de la face, so
e aucune. Le tableau clinique était exclusivement constitué par les
troubles
oculaires. -- Etat actuel. Rien. Les observat
hives, t. XVII. 16 .242 CLINIQUE NERVEUSE. a été brusque ; 2° les
troubles
oculaires ont le maxi- mum de leur intensité dè
s soudaine, Observations V et XXXVII. B. Variété auriculaire. Les
troubles
auditifs occupent une place importante parmi le
scaphandres. Je trouve quatre cas de ce genre dans mes notes. Les
troubles
auditifs présentés par mes malades con- sistent
riculaires (bourdonnements, tintements, etc.). On sait déjà que les
troubles
auditifs ont figuré une fois Observation X (bou
'accident étant unique- ment et exclusivement caractérisée. par les
troubles
auditifs. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAP
s céphaliques. Pas de phénomènes paraly- tiques, enfin pas d'autres
troubles
quelconques. Cet état de cophose complète n'a d
ée. Pas de vertiges ni autres symptômes céphaliques, pas d'autres
troubles
quelconques. ' Au bout d'une semaine, il a comm
quelles il est pris d'une paralysie du membre inférieur droit, sans
troubles
de la sensibilité, car le malade sentait bien,
u sans paralysie faciale apparente, paralysie précédée toujours des
troubles
oculaires, brûlure, rougeur, frottement, accomp
ffectés ; pas d'autre symptôme céphalique, pas d'anesthésie, pas de
troubles
urinaires ou génitaux ou rectaux, enfin rien. -
mbe gauche et bientôt d'une hémiplégie gauche. Il n'y aurait pas de
troubles
de la sensi- bilité. ZD c - Il avait en même
des extrémités. Pas de vertiges, ni de perte de connaissance, ni de
troubles
du langage, ni autres symptômes céphaliques. 11
gauche, il sent des engourdissements dans les doigts. Pas d'autres
troubles
de la sensibilité. Le sens musculaire est affec
é électrique est normale. GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 25H Pas de
troubles
vaso-moteurs. Il n'y a pas de symptômes cépha-
lais complète- ment paralysé; luette déviée un peu à gauche. Pas de
troubles
de la déglutition ni du côté des mouvements de
érés. Maladies congénitales. Tantôt ces malformations amènent des
troubles
fonctionnels généraux ou locaux, tantôt elles r
d'une orange était à la naissance, grosse comme une cerise. Pas de
troubles
de la marche de la parole, de la sensibilité ni
ystématisation des lésions pathologiques ou expérimen- tales et des
troubles
fonctionnels causés par ces lésions. Voies cond
onstant entre les alté- rations d'un système anatomique et certains
troubles
fonction- nels. Or le professeur Popoff a relat
les régions considérées à des intervalles de temps très courts. Les
troubles
de la conductibilité, les changements de l'irri
a nuque et du diaphragme. Disparition des réflexes tendineux. Aucun
trouble
de la sensibilité, ni des réflexes superficiels
éditaire, une émotion ou tout autre cause générale. P. K. IX. Des
troubles
DE l'ouïe en DES cas DE paralysie faciale périp
ormes légères de paralysie faciale rhumatismale, il peut exister un
trouble
assez considérable dans le domaine des percepti
ion pathogéuétique entre les deux ordres de manifestations, car les
troubles
de l'ouïe diminuent de concert avec la diminuti
t de la discussion du diagnostic, il résulterait qu'il s'agit -d'un
trouble
paralytique fonctionnel et périodique du centre
r l'idée d'une perturbation dans le développement anatomique d'où
trouble
fonctionnel des nerfs périphériques ( ? ), mais i
anormale du corps cal- leux. Idem ». M. Tuczek (de Marbourg). Des
troubles
nerveux dans la pellagre (avec démonstration).
s, les convulsions épileptiformes (épilepsie corticale), ni sur les
troubles
d'origine spinale (paresthésies, phénomènes d'exc
ent les principales psychoses pellagreuses, l'affection cutanée les
troubles
trophiques de la langue (fissurée, crevassée, dép
que dans l'ergotisme, l'alcoolisme et les autres intoxications les
troubles
nerveux du maïdismeoude tapsyehoné- vrose maïdi
Guyp (d'Amsterdam). De 1'ttp ? ,osei,ie, psychose produite par des
troubles
nasaux. Cette maladie consiste en l'impossibilité
0. 111uEr,Lr·;a. Des formes initiales des psychoses.- Les premiers
troubles
de la santé mentale qui suivent les maladies épui
ables à ces causes qui ont affaibli le système nerveux. Ce sont des
troubles
gastriques, de l'atonie du tube digestif, de l'
et la restauration physique et mentale. Mais, si la dyserasieet les
troubles
de la cir- culation engendrés établissent l'ins
onne aux neurasthéniques ou aux hypo- chondriaques qui accusent des
troubles
gastriques et abdomi- naux de l'eau de Carlsbad
ue les seuls symptômes essentiels de la paralysie générale sont les
troubles
de la parole (Werner, Nasse), que la mégalomani
de Wernicke et des sous- genres de ces deux types tout un groupe de
troubles
de la parole d'ordre aphasique formant une caté
pré- sentent des lacunes. En effet, on constate en même temps des
troubles
de la vue d'origine cérébrale : hémianopsie du cô
troubles de la vue d'origine cérébrale : hémianopsie du côté droit,
trouble
grave de la lecture et de l'écriture (ataxie opti
enfin, voulant adopter tous les enfants qu'il rencontre. Ces divers
troubles
se manifestent après un excès de boisson, et, l
r suite de l'anorchidie ou de la cryptorchidie chez l'homme, et des
troubles
menstruels chez la femme. Un chapitre fort impo
n faits, est celui de l'état intellectuel des héréditaires, que ces
troubles
soient de nature constitutionnelle ou de nature
de l'instabilité mentale, de l'excitation passionnelle. L'étude des
troubles
fonctionnels nous bibliographie. 329 9 présen
tat de somnolence léger passager, inconstant et qui s'accompagne de
troubles
graves du côté de la motilité; à dose toxique e
sversales de la moelle : au cours de ses expériences, il a noté les
troubles
fonctionnels provoqués par les hémisections. Ains
is rigides, et privés de sensibi- lité. Après la disparition de ces
troubles
du début, il reste une paralysie du membre corr
hénomènes : « Par phénomènes de déficit, j'entends le minimum des
troubles
qu'on observe, en quelque temps et en quelque c
dans les phé- nomènes de déficit de Goitz, « la somme de tous les
troubles
dépendant de l'abolition de la fonction de l'or
onction de l'organe détruit », il faudrait y voir le « minimum de
troubles
que les organes homonymes du cerveau demeurés i
de suppléer ». Objecte-t-on que la disparition progressive de ces
troubles
résulte, non d'une suppléance véritable, mais d
s résulte, non d'une suppléance véritable, mais de la cessation des
troubles
de nutrition et de l'inhi- 'bition fonctionnell
extirpations des différentes parties du cerveau. On a vu que les
troubles
consécutifs à la destruction d'une région du ce
r une région déterminée de l'hémisphère gauche, amène à droite un
trouble
de l'audition; ce trouble s'amende peu à peu et
de l'hémisphère gauche, amène à droite un trouble de l'audition; ce
trouble
s'amende peu à peu et, autant que nous pouvons
- ble de l'audition à gauche, mais de la réapparition de l'ancien
trouble
de même nature à droite. « Voilà une preuve irr
onctions du cerveau humain en ouvrant les yeux du clinicien sur les
troubles
partiels de cet organe. Nier que les faits géné
lesquels cette circonvolution était lésée et où il exis- tait des
troubles
de la motilité du membre supérieur du côté oppo
tique ont échappé jusqu'ici à l'observa- tion des animaux. Certains
troubles
de la vision que Goltz avait considérés comme d
continue à voir sans pou- voir reconnaître ce qu'il voit. « Or ces
troubles
de la vision seraient demeurés obscurs et de si
(à ce qui semble, accès de fièvre intermittente) et après cela, les
troubles
dans la marche devinrent si violents qu'il ne put
out, quelle est donc l'étiolo-ie de cet inté- ressant assemblage de
troubles
nerveux que nous retrouvons chez notre malade ?
trouvé la sensibilité normale, un léger déran- gement psychique, un
trouble
anarthrique dans la parole ; nystagmus. Enfin,
ment nous baser pour voir dans la fièvre intermittente la cause des
troubles
nerveux que nous avons relevés dans notre malad
paroles de M. Vulpian " : « Il convient de dire toute- fois que ces
troubles
font défaut dans un certain nom- bre de cas, »
nerveuses dit que dans un tiers de ses sujets il n'a pas trouvé de
troubles
des muscles oculaires. Enfin, il n'y avait égal
it aucune apparence d'amélioration ; 4) dans les pseudo-tabes Jes
troubles
des organes génito-urinaires sont très rares; d
avons )a description faite ces temps derniers par M. Vierordt de
troubles
dans les faisceaux postérieurs de la moelle épi
cas, forte dégénération des nerfs périphéri- ques), il y avait des
troubles
dans les cordons posté- rieurs de la moelle épi
a peu de temps, on a indiqué, dans la littérature, l'existence des
troubles
'pathologiques des faisceaux postérieurs dans l
pour ne plus reparaitre. Pas de bourdonnements d'oreilles ni autres
troubles
auditifs. Le 7 septembre 1877, ce qui fait deux
l'oreille droite dure. 11 n'y a pas de titubation. Il n'y a pas de
troubles
visuels. Enfin, sauf un certain degré de lourde
s de myatro- phie.' La contractilité électrique est normale. Pas de
troubles
vaso-moteurs. Il existe une parésie vésicale qu
sent très rares. Je n'entends pas qu'il est rare de constater des
troubles
viscéraux et surtout respiratoires, cardiaques et
frottait, on le touchait, il sentait très bien. Il n'y avait pas de
troubles
de la vessie, du rectum, ou des organesgénitaux
, ou des organesgénitaux. 11 n'y avait non plus ni palpitations, ni
troubles
respiratoires, ni symptômes gastriques. Le ma
ucune trace d'aphasie ; il parlait comme avant son accident. Pas de
troubles
, ni de la motilité ni de la sensibilité. Le mal
lade ne sait ni lire ni écrire. -- i Au bout de vingt minutes, le
trouble
du langage et dans l'espèce l'aphasie motrice,
; sa bouche aurait été de travers. En même temps le malade avait un
trouble
du langage assez prononcé, il ne pouvait arti-
os- phériques. Sensation désagréable à la région lombaire. Pas de
troubles
trophiques ou vasomoteurs. Il est quelquefois obl
é leur motilité intacie.-La sensibilité aurait été émoussée, pas de
troubles
de la vessie ou du rectum. Fonctions génitales
ur. Nous terminerons ce chapitre par une courte des- cription des
troubles
trophiques et urinaires des para- plégiques sca
RIERS ACCIDENTS MORTELS. Je ne veux pas insister beaucoup sur les
troubles
trophiques et urinaires qui se rencontrent dans
ées déjà des cas de ce genre Eschares sacrées à formation rapide.
Troubles
uriuaires : l'urine est albumineuse, ammonia- c
é à la mort, il n'en est pas moins vrai que l'appari- tion de ces
troubles
, comme toujours du reste, est redoutable, car l
untée aux mêmes auteurs, qui est relative à un scaphandrier mort de
troubles
urinaires. 11. D..., de Kalymnos, âgé de vingt-
s pour le sauver ; pas d'es- chares. Le cas échéant, soit que ces
troubles
trophiques et urinaires ne font pas du tout leu
RESTREINT AVEC EXACERBATIONS GÉNÉRALES , LESIONS DE SENSIBILITÉS ;
TROUBLES
TABÉTIQUES ET DE NUTRITION, par H. Bonnet, méde
festation avortée. - La dénutrition peut bien avoir déterminé des
troubles
périphériques, comme nous le voyons dans un cer
M. MoRAx, externe du service. Nous diviserons en quatre groupes les
troubles
oculaires observés dans les affections cérébro-
ctions précédentes. Nous ne consignons dans ce compte-rendu que les
troubles
SERVICE OPHTHALMOLOGIQUE. 437 oculaires perma
graine ophthalmique n'y figurent pas. La neurasthénie pro- duit des
troubles
d'innervation de l'appareil musculaire assez ca
stique. HYSTÉRIE. Les hystériques chez lesquels on a constaté des
troubles
oculaires sont au nombre de 79, dont 49 femmes
érie était associée à une autre affection nerveuse, déterminant des
troubles
visuels propres. L'examen des yeux, chez les hy
On constate encore, mais plus rarement, chez les hysté- riques, des
troubles
des muscles moteurs des paupières et du globe o
oit externe gauche avec strabisme. Ce malade présente en outre un
trouble
du mouvement des paupières assez singulier. Il
l'oeil, cornée, conjonctive, paupière; ne s'accom- pagnant d'aucun
trouble
trophique vient à l'appui de l'opi- nion de Sch
V. DES LÉSIONS PATHOLOGIQUES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL' DANS. LES
TROUBLES
DE LA NUTRITION. Depuis un certain nombre d'ann
sont désagrégées, ratati- nées, vacuolisées. Pour M. Korsakoff, les
troubles
psychiques ne sont pas une complication, ils so
s. La nature atrophique des lésions dans cette affection indique un
trouble
profond dans la nutrition des éléments nerveux.
rviennent dans le cours des intoxications; elles résultent soit des
troubles
apportés dans la nutrition des cléments par les
é- rieurs jusqu'aux épaules; pas de mouvements fibrillaires ni de
troubles
du côté des sphincters, ni hypéresthésie cutanée
exactement les mêmes lésions du sympathique. Il en résulte que les
troubles
trophiques sous la dépendance du système nerveu
e âge. - h·clt. de Kouulcwsky, t. IV, n° i, 1887. Deehteren'. Des
troubles
trophiques dans le domaine du nerf sus-orbitair
feu. Le Médecin, n° 29, 1887. l'l;ctonoff. Un cas d'hémiplégie avec
troubles
intellectuels occa- sionnés par des cysticerque
e ; Contribution à l'élude des folies toxiques. M. SAURY. Parmi les
troubles
fonctionnels si variés que la cli- nique et l'e
A. - Le délire cocaïnique est essentiellement hallucinatoire. Le
trouble
des idées n'est jamais primitif; il se greffe tou
uble des idées n'est jamais primitif; il se greffe toujours sur des
troubles
sensoriels (illusions et hallucinations). B. -'
peuvent être affectés, mais ils le sont d'une manière inégale. Les
troubles
de la sensibilité générale prédo- minent le plu
leur tour, sur les hallucinations de l'odorat et du goût. C. Les
troubles
sensoriels sont pénibles, multiples et mobiles
de la sensibilité paraphérique (analgésies totales ou par- tielles,
troubles
inhibitoires de la vision, de l'audition, etc.) ;
sieurs auteurs et entre autres Erlenmayer, dans son mémoire sur les
troubles
intellectuels du cocaïnisme, ont déjà décrit de
élire cocaïnique comme très dissemblable du délire morphinique. Les
troubles
observés par M. Saury semblent à M. Pichon être
M. Magnan. Les accidents les plus saillants de la cocaïne sont les
troubles
de la motilité, les attaques épileptiformes et le
ont les troubles de la motilité, les attaques épileptiformes et les
troubles
de la sensibilité générale qu'on n'observe pas av
à une malade qui avait été prise d'hallucinations de la vue et des
troubles
de la sensibilité générale après application, s
névrite qu'un an après l'empoi- sonnement. M. Pichon compare ces
troubles
de la vision aux amblyopies professionnelles de
ient contractée de vivre dans le voisinage d'un poêle mobile. Des
troubles
intellectuels consécutifs aux pratiques inopportu
doses indiquées par les auteurs qui l'ont préconisé, produit des
troubles
intellecfuels se manifestant surtout par une sort
vertiges, céphalies, paralysies transitoires, nausées et aussi des
troubles
digestifs'assez intenses. Si la dose est moin-
RR dit qu'il est fort difficile de juger des lésions entraînant les
troubles
de la sensibilité, à cause du voisi- nage de l'
enlever des points de l'écorce cérébrale chez des chiens, avec des
troubles
d'anesthésie. Il a souvent constaté l'aura sens
étude du tremblement musculaire. M. le Dl Pinnp C. z (de Boston).
Troubles
moteurs hémiplé- giques chez les enfants. M.
de mémoire et des autres facultés, et à peu près en même temps les
troubles
si connus des sphères motrices sensibles circulat
-elles à la rigueur passer pour de simples métaphores désignant les
troubles
de l'appareil visuel ou du système moteur. Pour
ls deviennent toujours insuffisants. P. KEHAVAL. XIV. De quelques
troubles
moteurs post-hémiplégiques chez les enfants ; p
antile avec contrac- ture, qui ne semblent être autre chose que des
troubles
de sclérose cérébrale. Ces hémiplégies ont été
88. Cupples et Hurd, édit.) Cette étude comprend douze cas de ces
troubles
; l'auteur émet des doutes sur la commotion méd
mot, à la suite des traumatismes ; ceux-ci pourraient entraîner des
troubles
musculaires, de l'irritation spinale et des név
rocessus dégénératifs typiques. Fréquemment, ils sont les causes de
troubles
nerveux tels que l'hystérie, la neurasthénie, les
eur à leur suite a rencontré un complexus symptomatique type avec
troubles
psychiques, anesthésie, lenteur des mouvements, e
réflexes dus sans doute à une lésion organique. Le pronostic de ces
troubles
est grave ; ils peuvent s'amender mais non pas
ndt, 496 ; - cerveau et activité céré- brale, par Herzen, 197 ; -
troubles
moteurs post-hémiplégiques chez les enfants,
Beiiedilit, 308. Délire restreint, avec exacerbations cérébrales,
troubles
tabétiques, : etc., par Bonnet, 433. Dermoneu
r Môbius, 289. Paralysie diphtêritique, 465. Paralysie faciale (
troubles
de l'ouïe dans la) par Rosenbach, 291. Paraly
URS. 507 veux central dans le vernissage de la), 468. Pellagre (
troubles
nerveux dansla), par Tuielizek, 299. Physiono
ents par l'usage des), par Catsaras, 22, 225, 392. Simulation des
troubles
psychiques, par Fuerstner, 126. Société, médi
aladie, permanents, non douloureux, sont surtout constitués par des
troubles
divers de la sensibilité, de la mémoire, de la
ctères compliqués dont le sujet n'a aucune idée. Soupçonne-t-il les
troubles
bizarres des mouvements qu'amène avec elle l'an
res partiellement analogues aux stigmates, des anesthésies ou des
troubles
du mouvement pourront être déterminés par sug-
de l'écorce cérébrale et se rattachent-elles par con- séquent à un
trouble
général des fonctions psychologiques ? Nous ne
qui était déjà signalé d'une manière plus ou moins vague parmi les
troubles
du caractère des hystériques, mais qui nous par
l, syndrome important chez les hystériques, relève directement d'un
trouble
du fonc- tionnement du cerveau. Il faut donc ad
ouvrage, MM. Charcot et Marie, rattachent également l'hystérie à un
trouble
dans le fonctionnement des régions cérébrales l
medicine, t. I, p. 628. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L'HYSTÉRIE. 13
troubles
vaso-moteurs et secrétoires; 3° les troubles tro-
NTES DE L'HYSTÉRIE. 13 troubles vaso-moteurs et secrétoires; 3° les
troubles
tro- phiques. Les accidents viscéraux sont tr
. Il est facile de constater des anomalies de diverses espèces, des
troubles
de la déglutition, des spasmes de l'oesophage à
ements du ventre, des paralysies ou des spasmes des sphincters, des
troubles
du même genre dans l'émission et même dans la s
rations des fonctions vaso-motrices sont déjà mani- festes dans les
troubles
si communs des phénomènes mens- truels, dans ce
chercher des observations aussi rares, on constate bien souvent des
troubles
de la sécrétion chez les hysté- riques. Les mag
ences du même genre ont provoqué des modifications, des règles, des
troubles
vasculaires graves, capables de produire sur la
ntimement des phénomènes physiologiques et psychologiques. Certains
troubles
physiologiques de l'hystérie ressemblent tout à
s troubles physiologiques de l'hystérie ressemblent tout à fait aux
troubles
qui accompagnent les émotions . MM. Oppenheim e
fonctionnement cérébral ne s'accom- pagne pas de beaucoup d'autres
troubles
. On les constate dans les mélancolies et les ma
s il a été appliqué à des enfants, à des hommes, à des malades sans
troubles
génitaux et sans attaques, en un mot à un bien
vail sur les stigmates mentaux de l'hystérie, nous ayons décrit les
troubles
de la volonté et de l'attention, les hésitations
on croit en la voyant et elle croit elle-même- qu'il s'agit d'un
trouble
de la déglutition et d'un accident simplement phy
t la conscience, se mêlent avec les autres idées et produisent un
trouble
général de la pensée beaucoup plus considérable.
trôle dé la conscience personnelle et qui se mani- festetit par les
troubles
les plus variés, d'apparence uniquement physiqu
elle perdra son caractère de monoplégie pure et s'ac- compagnera de
troubles
moteurs dans la jambe ou la face. Elle ne peut
es paralysies hystériques s'accom- pagnent beaucoup plus souvent de
troubles
de la sensibilité que les paralysies organiques
y avait vacuolisation des cornes antérieures. Pathogénie. Le plomb
trouble
d'abord les fonctions des centres spinaux, puis
chez un individu gaucher qui pendant la vie n'avait présenté aucun
trouble
du langage, entendant bien, com- prenant bien l
par les maris, les femmes devinrent enceintes et guérirent de leurs
troubles
intellectuels. Chaque couple eut plusieurs enfa
s l'âge de quatre ans; il est mort à neuf ans de la scarlatine. Les
troubles
de la marche ont commencé chez le malade dès l'
deux ans, à la suite de la rougeole. A sept ans, on a remarqué des
troubles
dans la parole et dans les mouvements des extré
s et inférieures. Signe de Romberg. Démarche tabético-cérébellaire,
troubles
du sens musculaire dans les extrémités supérieu
. L'aliénation mentale syphilitique a pour critérium clinique les
troubles
moteurs et sensitifs de la syphilis cérébrale, et
matique de la folie simple, mais bientôt au délire s'ajou- tent des
troubles
révelant la nature organique de la folie; de mê
if; le délire peut exister seul ou associé à de la démence ou à des
troubles
paralytiques, d'où quatre formes : folie simple,
a constata- tion des phénomènes propres à la syphilis, antécédents,
troubles
NÉCROLOGIE. 65 moteurs partiels (muscles de l
qui s'est écoulée entre le début des symptômes et l'apparition des
troubles
classiques de la sensibilité. Le diagnostic, ég
er de travailler. Peu à peu, il s'affaiblit, et il éprouva quelques
troubles
de la miction et de la défécation. Finalement i
La sensibilité est complètement intacte sous tous ses modes. Pas de
troubles
actuels des sphincters. Vue, ouïe, normales. Le
nique, dans les maladies chroniques de la moelle. L'absence de tout
trouble
de la sensibilité m'empêcha de conclure à la sy
c pièces anatomiques à l'ap- pui, dans lesquelles il n'y a eu aucun
trouble
de sensibilité. D'ailleurs à l'époque où j'obse
modes; il n'existe pas d'anesthésies, ni d'hyperesthésies. Pas de
troubles
de la miction. La défécation est un peu pénible.
bien. -La parole est devenue un peu plus difficile; il n'y a pas de
troubles
de la déglutition. Le malade n'a pas d'appétit.
ses membres inférieurs, puis du côté de ses membres supérieurs des
troubles
nerveux dont l'intensité rapidement croissante
ntensité rapidement croissante le réduit bientôt à l'impotence. Ces
troubles
nerveux comportent dès le début un élément dou-
124 PATHOLOGIE NERVEUSE. considérable. Il existe également quelques
troubles
des sphinc- ters, mais toujours assez légers. T
époque, -j'attire l'attention sur ce fait, il n'existe encore aucun
trouble
de la sensibibilité qui est absolument intacte da
ité musculaire est extrême. Deux ans après, en octobre '1891, les
troubles
caractéris- tiques de la sensibilité se montren
pas bien loin. Ce fait montre, avec la dernière évidence, que les
troubles
sensitifs, et en particulier la dissociation di
et de Par- mentier (thèse de Critzman, 1892), où il n'y a eu aucun
trouble
de la sensibilité pendant toute la durée de la
bilité pendant toute la durée de la maladie. Plus tard, lorsque les
troubles
de la sensibilité ont apparu, nous notons encor
se rendre un compte exact des lésions qui amènent les différents
troubles
sensitil's. D'abord la déformation extrême de la
ent à la partie supérieure du renflement cervical, et cependant les
troubles
trophiques faisaient complètement défaut. Pou
rophiques faisaient complètement défaut. Pour ce qui concerne les
troubles
moteurs, il est infiniment plus aisé d'établir
mmation chronique (myélite cavitaire de Joffroy et Achard), soit de
troubles
circulatoires amenant la désagrégation médullai
aible rétrécissement du, champ visuel (moitié, supérieure), pas, de
troubles
moteurs, sensitifs ou sensoriels. Intégrité de l'
n pourrait être. considéré comme ayant' détermine l'apparition du !
trouble
"menta)/ou'p)utôt comme en ayant été la véritable
de substance nerveuse, suivie de> méningite" chronique : ' les'
troubles
psychiques 'ont'été consécutifs'à cesflésiohs'e
1g li' j ? i- P11 .'t : ;1d - ? 1)1 X. Contribution' a' l'étude DES
troubles
DE la' parole; ` ' l 0(. ? W m. , ? , XXlll,"3.
ante-deux jans ; il Y a dix ans, léger ictus (hémiplégie^gauche''et
trouble
de la parole) : récidive il y a quatre ans ; tr
nce ; signes fd'àtite .moyenne suppurée,' n'expliquant J ¡'Jas ¡Je)
trouble
1 de la perception auditive.)Au lieu de parler,
i,ou un/siffle- .'ment; si, on l'émotionne,) il-. arrive à parler :
Trouble
très prononcé de l'intelligence des.mots ! et d
gt;' «j vù '< a. XI1. DES paralysies du' plexus 'brachial et 'du
trouble
de la sensibilité QUI se montre "dans rL.1"P.1R
t sous-scapulaire : , ? ? ' : 1 [ 111/ u. 4 il 1' , ca. 1 ? [ t Les
troubles
) de la sensibilité,,1 étendus dans les paralysies
mme particularités principales l'absence d'hérédité, la présence de
troubles
de la sensibilité, et de la glycosurie; L'auteu
eich constitue une véritable entité morbide par sa causé, par 'ses'
troubles
particuliers' du- mouvement et de la sensibilit
aison dans la diffusion des, lésions à tout le système nerveux. Les
troubles
sensitifs, la céphalée, les vertiges s'explique-
oduite pari conséquent par. le. système nerveuxiseul, est due à des
troubles
dans la fonction des centres thermiques (fièvre
ême temps. cÓphalées"siégeallt à gauche du ventre.,Insomnie. Pas de
troubles
de la parole. L'iodure n'est pas supporté... Pa
. ` ' Diagnostic : tumeur du centre ovale, basé sur l'absence des
troubles
mentaux et convulsifs ? J ? " ? 1 da y L 1 ¡ .1
rande de l'état morbide.' Sou observation5 dans laquelle à côté des
troubles
moteurs caractéristiques du para ? myoclonus se
par SCARANO`. ? (llmtcnivlnio; fasc. -3, 489; )` , , " · XXXII. DES
troubles
'fonctionnels dans LE domaine DU facial ET de L
e la paresie faciale hystérique est peU|intense et s'accompagne^ de
troubles
de, la sensibilité, est con- firmée,par nos obs
yau du facial du côté gauche, peut-être ne s'agit-il aussi que d'un
trouble
dans le'déve- loppement d'un noyau isolé de ce
sedo"les']'p]us"éaràclél'istiqù't3s"âvec;1 de temps" à' autre,' des
troubles
ne'rveu'x' : 'parésie'. Óú'pa'ràparésiés7 n'on hy
ps' à' autre,' à tel point'que la malade ne peuf'plus'se -mouvoir.'
Troubles
intermittents de' la sensibilité cutanée, du go
eai- tants, mécaniques. Peu de sommeil. Appétit, passable. Pas de
troubles
dans les organes internes. Pas de modifications,
- gnant-des difficultés que le médecin.éprouve à caractériser les
troubles
de la,parole et le diagnostic de l'état' mental l
role et le diagnostic de l'état' mental lui-même. Il y a évidemment
trouble
fonctionnel dans les centres qui enre- gistrent
j8fs «l nxp ? uu 1 t, - h Les épileptiques aliénés sont atteints de
troubles
dans l'articula- 'tion, d'aphasie motrice, de d
1 - - 'tify tl 'IA1 nitn'1 1(Li ! bv . ,t ,1·,.i, f : ' Modèles des
troubles
de l'écriture des aliénés, des sourds-muets, d'
a sensibi- J¡lité du 1 côté' gauche" amaurose des deux yeux.<Les
troubles
mo- 8 teurs 'rétrocèdent," il reste" des troubl
ertains délires de persécutions. Il parait se ,p-retfer¡¡sut'.des r
troubles
esthesiques encore- mal connus et lorsqu'il appar
'ti1 .'¡1ùqb ? Il...-;11.,< : , Si 6 u - cl7w,· ' -* " ' XI. DES
TROUBLES
DE la parole DUS al'hypochondrie ET DES TROUBLES
· ' -* " ' XI. DES TROUBLES DE la parole DUS al'hypochondrie ET DES
TROUBLES
SEMBLABLES DANS LA FORME DE LA PAROLE ARTICULEE
nie durant chacune un jour juste Puis, nouvelle attaque congestive,
troubles
trophiques, déchéance psy- chique et physique,
romure avec beaucoup d'eau et de le boire lentement pour éviter les
troubles
gastriques. L'eau légèrement alcalinisée et le
and. C'est à cette époque qu'il fit ses remarquables leçons sur les
Troubles
tro- phiques consécutifs aux maladies du cervea
1868, avaient paru dans la Gazette des Hôpitaux; les leçons sur les
troubles
trophiques venaient de paraître dans le Mouveme
ur ses propres travaux. Il reprit la composition des leçons sur les
troubles
trophiques parue dans ce der- nier journal et l
périons de pouvoir jamais parvenir au but. Après les leçons sur les
troubles
trophiques, venaient les leçons sur la paralysi
t presque toujours, pour ne pas dire toujours, associées à un autre
trouble
, celui-là très inquiétant, la dénutrition. Il est
Action phy- siologique assez marquée : dilatation des pupilles avec
troubles
de la vue, sécheresse de la gorge, diminution d
duboisine. Action physiologique : dilatation des pupilles et légers
troubles
de la vue, en plus, avec les doses les plus éle
ologique : séche- resse de la gorge et dilatation des pupilles avec
troubles
de la vue au début du traitement; et aussi amai
sement, sécheresse légère de la gorge, dilatation des pupilles avec
troubles
de la vue les premiers jours, perte de l'appéti
de cho- léra enleva le sujet en deux-jours; il n'avait jamais eu de
troubles
digestifs. De même, les trois cas suivants, d
siologique : sécheresse de la gorge et dilatation pupillaire avec
troubles
passagers de la vue. Ainsi, sur huit cas de lyp
siologique : sécheresse de la gorge et dilatation pupillaire avec
troubles
passagers de la vue. Le malade a toujours protest
Pendant ce temps là, il a eu deux fois la fièvre, sans aucun autre
trouble
, qui a passé sans traitement, ou avec un peu de
ns traitement, ou avec un peu de quinine. L'origine palustre de ces
troubles
ne laisse à l'esprit aucun doute, et la quinine
la sclérose en plaques ; mais la brus- querie de l'invasion de ces
troubles
et la guérison si prompte de mon malade éloigne
où la suggestion verbale pendantl'état hypnotique peut corriger un
trouble
mental encore léger. Au point de vue disciplina
iqués, il est à peu près certain qu'il de- meure impuissant sur les
troubles
mentaux, et il ne saurait, du moins à l'heure a
ord les trois grandes causes d'intoxication qui peuvent résulter de
troubles
dans la nutrition de l'organisme : 1° productio
toxication qu'il faut surtouts'adresser pour combattre et guérir le
trouble
mental. M. Gilbert Ballet (de Paris) en son nom
, M. Ballet cite quelques expériences qui sont de nature à jeter le
trouble
et à faire naître des doutes sur la va- leur du
celle d'un homme hystérique, sans manifestation délirante et sans
trouble
apparent de la santé, autre que l'hystérie. M.
détente. Les cas d'hypotoxicité continués semblent correspondre aux
troubles
mentaux permanents. Un trouble gastrique profon
ntinués semblent correspondre aux troubles mentaux permanents. Un
trouble
gastrique profond précède et accompagne toujours
rapport direct, de cause à effet, entre l'auto-intoxication et les
troubles
intellectuels : ce sont ces derniers seuls que M.
ence de la pré- disposition héréditaire, la cause occasionnelle des
troubles
psy- chiques a toujours été aussi vague et peut
yphoïde, diarrhée cholériforme), des désordres neurasthéniques avec
troubles
dyspeptiques, constipation, la mi- sère et l'hy
llectuelle à la stupidité complète. En même temps on a pu noter des
troubles
somatiques parfois accentués du côté des divers
dican est rencontré égale- ment souvent chez ces malades, indice de
troubles
gastro-intesti- naux profonds : ce sont donc au
ions n'offrant guère de phénomènes particuliers, sauf déjà quelques
troubles
psycho-moteurs, impulsions et phéno- mènes d'ar
es et un dédoublement de la personnalité des plus nets. Ce sont ces
troubles
qui maintenant dirigent la scène psy- chique. L
dirigent même la scène délirante. Ce sont d'une façon générale des
troubles
psycho-moteurs (hallucinations motrices, im- pu
utôt par des idées de possession que le malade interprète alors les
troubles
psychopathiques qu'il accuse. On peut même ren-
usieurs fois; sa parole est lente, comme tous ses gestes, mais sans
trouble
de l'articulation ; sa réponse est insignifiant
orte le diagnostic de tumeur cérébrale. Les 76 CLINIQUE NERVEUSE.
troubles
de l'équilibre et les symptômes oculaires sont lo
elet. L'absence de symptômes paralytiques, la douleur frontale, les
troubles
mentaux prédominants sont au contraire suffisamme
curoblastes arrondis, avec un noyau excen- trique et un protaplasma
trouble
; 3 neuroblaste plus développé; 4 cellule nerveuse
logues, entourés d'uue couche assez épaisse d'un prbtoplasma un peu
trouble
, très avide de carmin; le tout forme des cellul
282 . ,CLINIQUE NERVEUSE. longements nombreux, à leur protoplasma
trouble
, à leur noyau volumineux, finement- réticulé, m
d'autre part on trouve de grandes cellules arrondies, à protoplasma
trouble
qui contiennent jusqu'à huit ou dix noyaux (14,
nd Neurologist, Saint-Louis, avril '1890) n'a pas constaté d'autres
troubles
qu'un change- ment de caractère et d'humeur dan
llules arrondies, ou munies d'un court prolongement, à protoplasma»
trouble
et avide de carmin, à noyau volumineux, reprodu
xtérieur est un phénomène primitif, résultant de toutes pièces d'un
trouble
morbide, c'est là le symptôme cardinal de la pa
s. Pas d'albuminurie automatismes. Puis, faiblesse généralisée avec
troubles
de. coordination des muscle du tronc et du cou.
nt les mêmes qu'en France. Les criminels chez qui l'on soupçonne un
trouble
mental sont diriges sur un asile du gouvernemen
en Norvège et en Angleterre. R. DE MUSGRAVE-CLAY. XXXII. SUR LES
TROUBLES
psychiques dans LES NÉVRITES périphériques; ' p
ériphériques multiples ont quelquefois pour effet de déterminer des
troubles
psychiques : lorsqu'ils se manifestent, ces tro
déterminer des troubles psychiques : lorsqu'ils se manifestent, ces
troubles
psychiques présentent quatre périodes : 1° une pé
lie, par exemple l'idiotie, ou encore certaines formes spéciales de
troubles
musculaires ou sensoriels. Il est important de
ntement du reste du système locomoteur, le patient succombait à des
troubles
de la circulation et de la respiration après de
en Allemagne. Elle est fréquente à Wurzbourg, rare à Berlin. Les
troubles
de la voix sont dus aux troubles respiratoires.
te à Wurzbourg, rare à Berlin. Les troubles de la voix sont dus aux
troubles
respiratoires. M. GOLDSCHEIDER rappelle que M.
ésie d'origine organique. Puis, en certains cas, il peut y avoir un
trouble
physiologique dans l'innervation du facial. Enf
première observation témoigne non de l'hystérie mais'd'un' de ces.
troubles
fonctionnels semblables à ceux qui' se produise
érose, et que l'on a coutume de considérer comme engendrés par des'
troubles
de la circulation. .-Elle ressemble aussi à ces
res observées parfois - la suite d'accès de migraines, avec ou sans
trouble
de la parole. On connaît quelques faits dans le
droit, tandis que les exacer- hations périodiques et notamment les
troubles
de la parole seraient considérés comme fonction
oute complication. Sur les trois autres cas, il est douteux que les
troubles
de l'innervation faciale soient en rapport avec
M. Oppenheim, présente une légère parésie faciale; s'agit-il de ces
troubles
que l'on ren- contre fréquemment chez les paral
nnaissance, mais plus tard SOCIÉTÉS . SAVANTES. 339 il y a eu des
troubles
de la connaissance qui ont persisté plusieurs j
re l'innervation des deux côtés), y-compris l'hémianesthésie et les
troubles
sensoriels. 1 - 1 l Passons aux observations de
qui se promènent », disent-ils. L'insomnie, les rêves pénibles, les
troubles
dyspeptiques, les troubles de l'appareil génita
s. L'insomnie, les rêves pénibles, les troubles dyspeptiques, les
troubles
de l'appareil génital, etc., tous ces symptômes r
tômes relèvent de la neurasthénie. A l'hystérie se rattachent les
troubles
de la sensibilité : anesthé- sies localisées, t
ttachent les troubles de la sensibilité : anesthé- sies localisées,
troubles
oculaires, troubles sensitivo-sensoriels. Hémip
s de la sensibilité : anesthé- sies localisées, troubles oculaires,
troubles
sensitivo-sensoriels. Hémiplégies ou monoplégie
evue générale ' J. Collet. Le tremblement des cordes vocales et les
troubles
de la phonation dans la sclérose en plaques. Fé
L'affection actuelle a débuté il y a dix-huit mois; les premiers
troubles
se seraient manifestés dans le membre supérieur d
devenant manifeste à l'occasion des mouvements du globe oculaire.
Troubles
de la parole très marqués, n'existant que depuis
qu'il veut prononcer, sans en oublier et sans en transposer. Aucun
trouble
de la sensibilité. L'appétit et la digestion so
pétit et la digestion sont normaux ; un peu de constipation. Pas de
troubles
de la miction. Rien aux poumons. Rien au coeur.
mo- ments. Trépidation épileptoïde très nette, surtout à droite.
Troubles
de la parole toujours très accusés; le malade ne
r de la sclérose en plaques : tremblement, trépidation épileptoïde,
troubles
de la parole, etc. En janvier 1892 le ma- lade
ire, coexistant cepen- dant avec le tremblement de la langue et les
troubles
de la parole. Le même contraste se retrouvait d
refuser un rôle sensitif, contre lequel plaide l'extrême rareté des
troubles
de ce genre dans les lésions cérébelleuses. Les
ie; titubation cérébelleuse et mala- dresse des membres supérieurs;
troubles
de la parole; nys- tagmus dans un cas, dans l'a
eurs; troubles de la parole; nys- tagmus dans un cas, dans l'autre,
troubles
oculaires qui pour- raient se rapporter au fonc
dans l'autre céphalalgies; mais sensibi- lité intacte et absence de
troubles
trophiques; symptômes bilatéraux et sensiblemen
e habituellement comme des arguments contradictoires, parce que les
troubles
moteurs n'y sont pas suffisamment mis en relief
s. Le vertige est beaucoup moins fréquent; il constitue, avec les
troubles
de la vue et le vomissement, une triade sympto-
lésions de déficit pures, comme l'atrophie, où sont si marqués les
troubles
de la coordi- nation, montre l'indépendance rel
hénomènes douloureux étaient absents ou non mentionnés. Quant aux
troubles
de la sensibilité proprement dite, nous en avon
caractéristique de la sclérose dans les lésions du cervelet : les
troubles
de la parole 3. Nous avons retrouvé ces troubles,
du cervelet : les troubles de la parole 3. Nous avons retrouvé ces
troubles
, si nets chez notre malade, dans les cas suivan
parole tremblante; Pierret : embarras de la parole ; Schultze : a
troubles
très prononcés de la parole. Les mots étaient p
analysé in R. des Sc. méd., 1891). Kyste hydatique du cervelet avec
troubles
de l'articulation. * Meynert. Wien. med. Jahrbu
concomitant : les altérations des olives. En effet, les cas où les
troubles
de la parole étaient les plus mar- qués sont pr
s-mêmes); dans les deux cas de Combette et de Verdelli, on note les
troubles
de la parole coexistant avec l'atrophie du cerv
ent' où la sclérose bien nette d'une olive ne s'accompagnait pas de
troubles
de la parole, comme celui de Vulpian, cité par
a malade. A citer encore contre cette théorie les cas où il y avait
troubles
de la parole sans altération des olives, ou du
, mais il n'y a provisoirement aucun inconvénient à ratta- cher les
troubles
de la parole au cervelet lui-même, organe coord
d'autant plus de probabilité que dans les cas connus jusqu'ici de
troubles
de l'articulation avec sclérose olivaire, il y av
ôme. En décrivant trois cas de sclérose en plaques accompagnés de
troubles
laryngés, il en cite un où, à l'examen laryngosco
gnalé dans la mala- die qui nous occupe, comme elles expliquent les
troubles
de l'équilibre, etc. Cette interprétation génér
s, les trépidations épileptoïdes, le tremblement, le nystagmus, les
troubles
de la parole, bref tous les symptômes habituels
ve. Il est des cas où rien dans ce trem- blement, ce nystagmus, ces
troubles
de la parole, ne peut déceler de différences av
t déceler de différences avec le tremblement, le nystagmus ou les
troubles
de la parole de la sclérose en plaques. Le diagno
les symptômes douloureux (céphalalgie, etc.), le vomissement, les
troubles
de la vue et de l'ouïe, manquent dans l'atrophie,
ression intra-cranienne : il ne reste donc que la titubation et les
troubles
de la coordination qui puissent' mettre sur la
ventualite d'autres désordres. Ou bien encore comme pour les autres
troubles
de cet ordre, l'accident est demeuré latent, ex
ait encore fait aucun geste. Mais l'obsession est à son comble et
trouble
toutes les facultés du malheureux; elle absorbe t
trouvé dans le jardin des Tuileries. Quand ça m'a I,ris, je voyais
trouble
et je n'ai pas pu résister de me mettre sur un
lus laisser redouter pour le malade l'imminence possible d'autres
troubles
épisodiques, s'il ne se tient en garde contre les
près. ' . J. T...n'a jamais eu ni maladie grave, ni convulsions, ni
troubles
nerveux reconnus pendant sou enfance. Son dével
resserre 2, douloureusement. « Il sent qu'il est tout pâle. » A ce
trouble
général s'ajoute une excitation génésique. Il e
à s'alcooliser, et progressivement cet abus a donné essort à divers
troubles
dont l'hérédité avait préparé la base. Les épis
OBSÉDANTE. 385 sans pronostiquer l'invasion éventuelle de nouveaux
troubles
épisodiques. Notre malade, comme on l'a vu, n'a
la maladie s'éteint sur place. Dans le 4 grand mal au contraire le
trouble
physiologique s'étend aux organes oui président
erveau qui est primordialement et essen- tiellement affecté, et les
troubles
moteurs ne sont que consécutifs et secondaires.
le embrouille la conception et supprime les facultés d'analyse. Les
troubles
de la mémoire et de l'éducation empêchent enfin
ouvelles idées de grandeurs. Cet ensemble de symptômes est dû. à un
trouble
de la circulation de la lymphe cérébrale. De là
û. à un trouble de la circulation de la lymphe cérébrale. De là des
troubles
de nutrition des cellules nerveuses, des modifi
t; excès bachiques et vénériens; hystérie avec accès périodiques de
troubles
nerveux et psychiques complexes associés. Perve
s, la suppo- sition est plus contestable, bien que certainement les
troubles
mentaux aient une laarge part dans la genèse de
énés; 3° Il n'est pas rare de voir le cancer précéder et causer les
troubles
mentaux, indépendamment de toute production can
les diverses régions du cer- veau et les couches envisagées. 5° Les
troubles
de la nutrition générale paraissent arrêter le
imer par des pleurs ses besoins, d'où le rapporteur conclut que les
troubles
des organes pelviens ont dû provenir ici d'un t
ut que les troubles des organes pelviens ont dû provenir ici d'un
trouble
du langage ou de la sphère psychique. Les mouveme
n seul pro- cessus ; en effet, cette hypothèse est démentie par les
troubles
des organes pelviens et par le fait que, en dép
aux extrémités inférieures; dans la moitié des cas on a observé des
troubles
passagers et peu importants des organes pel- vi
endineux ont été exagérés. Un tiers des malades a présenté quelques
troubles
vaso- moteurs des extrémités inférieures (oedèm
trémités inférieures (oedème, abaissement de la tem- pérature ; les
troubles
trophiques ont fait défaut. La sensibilité cu-
ard ; dimensions variables des pupilles; hippus intermittent; aucun
trouble
de la sensibilité ni de la motilité. Intégrité de
tabes qu'il a présenté à la Société en 1880 ; il y avait, outre un
trouble
notable de la sen* sibilité avec ataxie du memb
mentionnée, mais aussi par une diminution de l'acuité centrale, des
troubles
de l'accommodation, de la paresse des muscles de
emarqua que, dans ces conditions, l'individu atteint présentait des
troubles
de percep- tion variables suivant les méridiens
le rétrécissement concentrique considérable, du côté ou existe le
trouble
de la sensibilité rétinienne que de l'autre côté.
urologie, n° 73, p. t. 426 6 BIBLIOGRAPHIE. lysé, il n'y a pas de
troubles
du mouvement du côté du temporal T, ces muscles
nfin, l'état de déséquilibration psychique. Il étudie ensuite les
troubles
élémentaires, de l'activité psychique dont les
les états psychopathiques que nous venons d'indiquer. Ce sont : les
troubles
intellectuels, avec toutes les modifications qu
mémoire : hy- permnésie, amnésie, paramnésie. Ce sont encore les
troubles
de la conscience de soi-même, tels que l'incons
que l'inconscience de l'état morbide, la somnolence, le coma; les
troubles
de la sensibilité psychique; la faiblesse irritab
de l'état anesthé- sique, les émotions. L'auteur parle ensuite des
troubles
élémen- taires de la volonté avec les modificat
ersonnalité, les phobies, les déviations de l'instinct génital; les
troubles
de l'atten- tioiz; les troubles moteurs avec le
viations de l'instinct génital; les troubles de l'atten- tioiz; les
troubles
moteurs avec leurs diverses manifestations : ex
bilité, immobilité, tics, catalepsie, tétanie, mimique bizarre; les
troubles
du langage tels que la logorrhée, le mutisme, l
du langage tels que la logorrhée, le mutisme, les néologismes; les
troubles
de l'écriture. Un grand chapitre est consacré a
mes; les troubles de l'écriture. Un grand chapitre est consacré aux
troubles
somatiques des alié- nés et en tête est placée
stations physiques. 428 BIBLIOGRAPHIE. L'auteur passe ensuite aux
troubles
très nombreux qui s'observent du côté des fonct
sensitif, sécrétoire et vaso-moteur. C'est dans l'étude de tous ces
troubles
qu'on voit combien la pathologie mentale est ét
des systèmes autres que le systèmo nerveux, on observe souvent des
troubles
chez les aliénés, mais leur importance n'est pa
est convaincu que le rapport entre les affections psychiques et les
troubles
physiques peut être très considérable, d'où rés
s psychoses en trois grandes classes. La première comprend tous les
troubles
psy- chiques symptomatiques et transitoires tel
s ai enten- dues en moi-même. » La malade éprouve encore d'autres
troubles
inverses, sorte de phénomènes d'arrêt. « On la
obstacles à l'accomplisse- ment de certains actes volontaires), des
troubles
de la sensibi- lité profonde (sensations de pes
nsations de pesanteur, de légèreté, de vide, de rapetissement), des
troubles
de la sensibilité viscérale, des hallucinations
s tard. » Le fait capital est alors la prédominance excessive des
troubles
psycho-moteurs avec les altérations de la person-
l'oreille adhérent. PERSÉCUTÉS AUTO-ACCUSATEURS ET POSSÉDÉS. 443
troubles
psycho-moteurs : hallucinations motrices, impulsi
t traduisent en quelque sorte la con- trainte qu'ils éprouvent, les
troubles
de leur personnalité. Ils attribuent leurs tour
neur et leur fondement psychologique cons- titué par les différents
troubles
psychomoteurs énumérés tout à l'heure, ces idée
riété. Mais ces idées même de possession ne sont que l'étiquette de
troubles
psychologiques plus profonds, en particulier le
quette de troubles psychologiques plus profonds, en particulier les
troubles
psycho-moteurs se résumant en' un dédoublement
e l'individu hanté par les esprits ' D . ' ' z D'autres fois, les
troubles
phycho-moteurs, les'altérations de la personnal
hui elle en est convaincue. Sa conviction repose sur une série de
troubles
intellectuels dont les plus saillants sont des tr
ne série de troubles intellectuels dont les plus saillants sont des
troubles
psycho- moteurs, hallucinations et impulsions.
dirigent même la scène délirante. Ce sont d'une façon générale les
troubles
psycho-moteurs (hallu- cinations motrices, impu
ôt par des idées de possession que le malade inter- prète alors les
troubles
psychopathiques qu'il accuse. On peut même renc
les trois quarts des malades venant me consulter viennent, pour des
troubles
nerveux. Si cette fréquence des névroses chez l
e l'hystérie s'y trouve associée et que c'est l'effa- cement de ces
troubles
hystériques qui, en améliorant le sujet, a fait
après un examen rapide du sujet, le diagnostic fut vite établi. Les
troubles
de la sensibilité, hémianesthésip sensitivo-sen
le spasme, tout cela rentrait bien dans le cadre de l'hystérie. Les
troubles
moteurs eux-mêmes, astasie et abasie, la malade
cela, s'affaissant aussitôt quand on veut la maintenir debout, ces
troubles
moteurs, dis-je, se rattachaient bien à l'hysté
tous les phénomènes hystériques avaient disparu, sauf peut-être les
troubles
de la sensibilité que je n'ai pas songé à étudi
et me forcent à crier. J'examine le malade. Rien qui m'indique les
troubles
ataxiques, sauf les douleurs; tout, au con- tra
. Je vis une jeune fille bien constituée, ne présentant, malgré ses
troubles
dyspeptiques, qu'un léger degré d'amaigrissement
tère irritable. Rétrécissement concentrique du champ visuel. Pas de
troubles
de la sensibilité générale. Ces vomissements co
ses convulsives. Jusqu'à l'âge de seize ans, n'avait présenté aucun
trouble
nerveux, quand, à la suite d'une vive contrarié
r, ou eut souvent recours à l'hypnotisme pour faire cesser certains
troubles
qu'elle présentait : anorexie, contractures, su
plus tard, c'était une rétention d'urine, avec douleurs vésicales,
troubles
qui persistèrent pendant près d'un an. 11 y a q
es antécédents de la malade, l'histoire de cette paraplégie, de ces
troubles
de la vessie me firent penser aussitôt à l'hyst
ntant à la gorge. J'en avais assez pour voir que c'était bien a des
troubles
hysté- riques que j'avais affaire. J'endors la
es aliments les plus indigestes, et cela sans éprouver les moindres
troubles
dyspeptiques. L'histoire pathologique de cette
C'était bien certainement une hystérique car elle présentait des
troubles
de la sensibilité générale et sensorielle : perte
ultats puisqu'elle peut amener la cessation du phénomène. Ainsi les
troubles
psychiques dus à l'hystérie sont presque toujours
nutes je fais disparaitre 458 CLINIQUE MENTALE. immédiatement les
troubles
psychiques. Je lui enlève trop bien même, puisq
, etc. Pas de signe de dégénérescence ni de dé- bilité mentale. Ces
troubles
psychiques je les rapporte à l'hystérie. Or, on
t tout à fait symétriques. Je n'ai pas examiné les réflexes. Pas de
troubles
marqués de la sen- sibilité sauf une plaque trè
buccale. En présence des antécédents de cette malade, des quelques
troubles
nerveux présentés jadis (cons- triction à la go
est partie guérie. CHAPITRE III HYSTÉRIE ASSOCIÉE. GUÉRISON DE
TROUBLES
HYSTÉRIQUES PAR HYPNOTISME. PERSISTANCE DES TRO
E. GUÉRISON DE TROUBLES HYSTÉRIQUES PAR HYPNOTISME. PERSISTANCE DES
TROUBLES
DUS AUX MALADIES CONCOMITANTES. J'ai dit dans
ément hysté- rique était surajouté et que c'est l'effacement de ces
troubles
hystériques qui faisait croire à l'action bienf
er que la plu- part de ces malades étaient des hystériques, que des
troubles
rapportés à certaines lésions organiques pouvai
notisme des accidents hystériques. Contractures. Persistance des
troubles
neurasthéniques. G..., trente-huit ans. Les ant
tôt sa contracture. J'essaie de lutter par le même moyen contre les
troubles
neurasthéniques, céphalée, gastralgie, atonie g
stérie et neurasthénie. Elle est très sensible à la suggestion; les
troubles
hystériques s'effacent instantanément et le résul
ré- cissement du champ visuel cependant, mais j'étais fixé par le
trouble
particulier qu'elle venait de manifester. J'ai eu
aux pratiques de l'hyp- notisme. Toutefois j'ai reconnu que, si les
troubles
effacés par la suggestion faite à l'état de vei
és; par le Dr P. NORBURY. L'idiotie, la microcéphalie, dues à des
troubles
survenus dans le cerveau aux cinquième et sixiè
cte des pôles. P. K. XXI. DE L'INFLUENCE DE la SUSPENSION SUR LES
TROUBLES
DE la vue dans les affections DE la moelle; par
ynski, le suspension, en cer- tains cas, agit favorablement sur les
troubles
de la vue, même quand ils sont produits par des
« ...f «j-l'.l.'M i; u.l. ? ,l( ut développement ultérieur en a été
trouble
, de sorte qu v â,"eû i·ei,es 1 sion des, partie
yul Il rtri, , , , ,H)M,j 1 r,l ? LIX." Contribution A' l'étude DES
troubles
, DE la', pondération DE '4 l'activité musculair
altérée, dans le tabès, que tout a fait à la fin; par conséquent un
trouble
^ accentué è, cette nature sur les téuménts`dû trô
chez une femme du type delmorvaii-et chez un, homme indemne de tout
trouble
de la sensibilité qui avait le masque d'un r. n
stitielleset si eile n'est pas 'semblable aux trophonévroses'ou'aux
troubles
angio- . ,d, .. 1.1fi i , , (1 7 ? l il, ` '
ychoses qui procèdent de l'épuisement et, qui se rat- tachent à des
troubles
graves dans les fonctions organiques, g02 £ 1 B
sions par asso- nances et résonances incohérentes. En un mot, les
troubles
dus à l'épuisement physiologique sont tout à fa
s dus à l'épuisement physiologique sont tout à fait comparables aux
troubles
dus à l'épuisement psychique d'ordre pathologiq
traité en une brève compilation de trente-trois pages. L'étude des
troubles
mentaux et des névroses y est particulière- men
riphérique, le mode de produc- tion est le même et consiste dans un
trouble
nutritif de l'axe médullaire. Le pseudo-tabes n
nes, par A. Ty- '1 1er, 51. ,, ., ? Il tt eIÇIIV11'L .musculaire,
troubles
de la 1 pondération de Il ' chez 'les sourds-
e, par Harold, 58. Exorcisée, jeune fille -, 270. 1 Facial; des
troubles
fonctionnels dans le domaine du et de l'typog
ploi do l'- chez les aliénés, par Hobertson, 237. HI'IOGLOSSL des
troubles
fonction- nels dans le domaine du facial , et
que 'd'origine alcoolique, par J. Clarke Fenwick, 134;. sur ( lqs
troubles
, psychiques `dans les - , périphériques, par'J.
'Bajeno%% ? et minot, 60; contribution, à l'exa- men objectif des
troubles
de,, la ,, .sensibilité dans la^-, traumatique
pro- agressive, par Homen,' 49 ; de.s, du plexus brachial, et du
trouble
de ;la sensibilité) dans la ,'axil; ^ laire,'
. >;O, ,h·W nt ' È n Suspension," de l'influence de la sur les
troubles
de la vue dans les affections de' la moelle, pa
tion. Pas de signede Rom- berg ; pas de phénomènes douloureux ni de
troubles
de la sensibilité locale, générale ou sensoriel
rement bien que cela puisse se voir toutefois, dans l'hystérie, des
troubles
vésicaux, peu marqués à la vérité mais cependan
dans tous les cas elle est toujours insidieuse et il moins que les
troubles
urinaires aient été très marqués dès le début,
la deuxième période, c'est-à-dire à l'é- poque où sont survenus des
troubles
sérieux de la marche. Le malade en effet éprouv
constamment dans le décubitus dorsal ; elle répond péniblement sans
troubles
toutefois de la parole, aux questions qu'on lui
nées. Absence absolue des réflexes rotuliens des deux côtés. Pas de
troubles
de sensibilité aux divers modes. Il est diffici
immédiatement le vase ; de même pour les fonctions rectales. Pas de
troubles
sensitifs ou sensoriels ni de rétrécissement du c
ie avec l'apparition des syphilides papulo-squamens, l'existence de
troubles
des sphincters et l'absence de troubles sensiti
lo-squamens, l'existence de troubles des sphincters et l'absence de
troubles
sensitifs toujours rares d'ailleurs dans ces pa
émettre deux hypothèses : l'empâtement des membres inférieurs, les
troubles
trophiques et vaso-moteurs de la peau et peut-ê
, la paralysie semblait avoir débuté insidieuse- ment ; de plus les
troubles
vésicaux et rectaux sont rares dans les paraplé-
t rapidement complètes, s'accompagnant de phénomènes douloureux, de
troubles
très marqués des sphincters, et d'es- chare au
ne femme une paralysie presque complète des membres inférieurs avec
troubles
vé- sicaux s'accompagnant de douleurs spontanée
e palpé- bral ferme bien les yeux : il n'y a pas d'épiphora. Pas de
troubles
de la motilité des yeux. Les plis naso-géniens
a luette est un peu déviée il droite par sa pointe. Il n'y a pas de
troubles
de la dégluti- tion. Le malade u'a pas remarqué
ion de dégénérescence. Les réflexes rotuliens ont disparu. Pas de
troubles
de la sensibilité. Il me semble réellement que
ns qu'ils le soignent à distance. A noter encore à cette époque des
troubles
de la miction et de l'incontinence des matières
strabisme interne de l'oeil droit. Mais ce n'est en- core là qu'un
trouble
passager, qui disparaît au bout de 3 ou si jours
usculaires. Le muscle deltoïde droit est particulièrement touché.
Troubles
raso-moteurs el secrétaires du côté paralysé. '
ient apparus sans raison et avaient disparu de même. L'existence de
troubles
de la sensibilité générale, au défaut d'au- tre
générale, au défaut d'au- tres stigmates hystériques, l'absence de
troubles
intellectuels et d'aphasie pesaient également d
ce point de vue. Le parfait état de santé de l'enfant, l'absence de
troubles
intellectuels bien caractérisés et d'aphasie ;
tion partielle, dont la résolution spontanée devait amener celle des
troubles
nerveux produits par elle L'hypothèse de l'hysl
organique, il est logique de proposer la même explication pour les
troubles
de sensibilité rencontrés dans l'hémiplégie cor
de perte de connaissance. Depuis un mois, il faut encore noter des
troubles
psychiques assez marqués : agitation, cris, dél
nouvelle étape de l'hémiparésie primitive ? Car enfin, il s'agit de
troubles
trophiques dans les deux cas et l'on ne voit pa
une contracture de cause organique. Le plus souvent d'ailleurs des
troubles
divers de sensibilité et autres stigmates d'hysté
ystérie se surajou- tent à la contracture primitive, tandis que les
troubles
trophiques sont rares. Enfin, la marche de cett
n équilibrée, chez lesquels l'hystérie borne ses manifestations aux
troubles
delà motilité et de la sen- sibilité ; pas de p
ie, on trouvera d'ordinaire un ictus, quelquefois de l'aphasie, les
troubles
de la sensibilité seront com- plètement absents
stater les modifications des réflexes, l'atrophie musculaire et les
troubles
trophiques qui sont le cortège habituel des mo-
de début, quoique ce ne soit pas un début ordinaire, et de par les
troubles
de sensibilité qui accompagnent cette monoplégi
ec la dif- ficulté d'articulation des mots qui est produite par des
troubles
divers dans les mouvements combinés des lèvres,
eur de l'hystérie, le début brusque du mutisme, ses caractères, les
troubles
de la sensibilité et peut-être même les attaque
éné- ralisée dans la pratique. Il est évident en effet que tous les
troubles
des mouvements ou du sens de la vision ne relèv
us com- mune. La plupart du temps, on trouvera l'explication de ces
troubles
dans des dispositions spéciales du globe oculai
ous occupons que des cas très restreints où, l'analyse des di- vers
troubles
sensoriels et moteurs de l'appareil de la vision
hercher à modifier également, par une intervention rationnelle, les
troubles
tropliiques développés dans le territoire du nerf
ital le 25 mai, porteur maintenant ; d'ulcérations qui dénotent des
troubles
trophiques dans la sphère du nerf médian. En ef
nc avec la triade symptomatique suivante : paralysie, anesthésie et
troubles
trophiques dans le territoire du médian. Il éta
l était clair qu'il n'avait pas été lésé à ce niveau. Cependant les
troubles
trophiques étaient manifestes : il y avait donc
le constater tout à l'heure dans la salle, entièrement guéri de ses
troubles
trophiques, moteurs et sensitifs. Quatre jours
èse nous semble la plus rationnelle; car le seul fait qu'il y a des
troubles
de nutrition indique que la section du nerf a dû
. Phototype négatif A. LONDE Photocollographie Chêne ET LONGL-1 T
TROUBLES
TROPHIQUES CONSÉCUTIFS A UNE BLESSURE J DU NERF
emi à trois mois après-le traumatisme. On constate, en outre de ces
troubles
trophiques, une insensibilité abso- lue des deu
e sensibilité. En résumé, ce second malade nous présente : : I° des
troubles
trophiques ; 2° des troubles de la sensibilité
second malade nous présente : : I° des troubles trophiques ; 2° des
troubles
de la sensibilité ; 3° des troublés de la motilit
qui semble éminemment favorable au développement de la névrite avec
troubles
trophiques. Voici donc deux malades chez lesque
la paralysie consécutives à l'accident, ont présenté tous deux des
troubles
trophiques. Or ces troubles trophiques à la suite
l'accident, ont présenté tous deux des troubles trophiques. Or ces
troubles
trophiques à la suite de 70 NOUVELLE ICONOGRAPH
massue que prennent les extrémités des doigts, forme qui résulte de
troubles
trophiques différents de ceux dont nous par- lo
e troubles trophiques différents de ceux dont nous par- lons. Les
troubles
trophiques les plus curieux et les plus difficile
difficiles à expliquer sont les éruptions que l'on observe dans les
troubles
trophiques consécutifs aux lésions nerveuses ;
rapprochement entre ÉLONGATION ET RÉSECTION DU NERF MÉDIAN 71 ces
troubles
trophiques par blessure des nerfs et le mal perfo
e de toute sensibilité. Dans la syringomyélie, on observe aussi des
troubles
trophiques analo- gues à ceux des névrites. Cet
ornes antérieures peuvent être atteintes, et alors s'ensuivront des
troubles
de la motilité, avec atrophie et paralysie des
cornes postérieures que s'étendra le pro- cessus gliomateui, et des
troubles
de sensibilité spéciaux en seront la con- séque
troubles de sensibilité spéciaux en seront la con- séquence. Les
troubles
de la sensibilité ont un caractère spécial ; ils
. Mais il y a encore, et c'est là que je veux en venir surtout, des
troubles
trophiques exactement comparables 72 NOUVELLE I
ement comparables 72 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. aux
troubles
trophiques de cause périphérique et traumatique.
ois qu'il y a plaie ou cicatrice de plaie, et dans le voisinage des
troubles
nerveux trophiques, le diagnostic s'impose. Mai
erait autre chose qu'une lèpre larvée. Il y aurait donc en face des
troubles
trophiques localisés dus à des névrites traumatiq
névrites traumatiques comme celles que nous venons de décrire, des
troubles
trophiques, identiques comme aspect extérieur,
, ayant longtemps marché à l'aide de béquilles, voient survenir des
troubles
trophiques du membre supérieur ; il faut alors sa
évrite se déclare peu à peu, ayant pour conséquences visi- bles des
troubles
trophiques dont l'interprétation pourra devenir e
une indication précieuse dans les cas embarrassants. En face de ces
troubles
trophiques, de ces névrites périphériques trau-
y a six mois, se rappellent m'avoir vu opérer un malade, atteint de
troubles
trophiques dans la sphère du nerf médian, à la su
pliqué pour maintenir la main en flexion assez prononcée. Quant aux
troubles
trophiques de l'index et du médius, nous appliq
dixième jour, et de ce côté rien d'intéressant à noter. Du côté des
troubles
trophiques des doigts, au contraire, nous observo
rt qu'à l'autre main. L'ongle du médius a repoussé : toute trace de
troubles
trophiques a dis- paru, et l'on ne voit plus qu
CAS D'ARTHROPATHIES MYÉLOPATIIIQUES Observation I. Tabès dorsal.
Troubles
de la station, de la marche et de la sensibilité.
nait pas. Les réflexes patellaires sont totalement.abolis. Les
troubles
de la sensibilité sont trèsmarqués. Ce sont des
eurs et sueurs fréquentes. Parfois incontinence nocturne d'urine.
Troubles
trophiques. Les dents, excellentes jusqu'à l'âge
iable. Observation II. Tabès dorsal chez un syphilitique. Ataxie.
Troubles
oculaires et urinaires. Crise upoplectiforme. A
d'urine fréquente. Pas d'albuminurie ; pas d'ar- thropathie, pas de
troubles
vaso-moteurs, le malade reste quelques jours à
arrière, concave en avant (PI. XI). Pas d'autre arthropathie, ni de
troubles
trophiques. Le traitement par la suspension n'a
u voûtée, quoique sans scoliose du rachis ; poids 34 k. 500, Pas de
troubles
de la parole. Pupilles égales, moyennes, réagis
rabi- que, alternant, mais la vueestbonne. Pas de nystagmus. Pas de
troubles
dans la perception des couleurs; pas de rétréci
question. Depuis cette époque, la connaissance plus approfondie des
troubles
fonctionnels du système ner- veux, si fréquents
MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS (9 ). Si les
troubles
hystériques de l'appareil de la vision ont été ob
., 1879). 2. Lésions motrices. Dans la question si complexe des
troubles
moteurs de l'appareil de la vision qui sont en
es centres moteurs de l'oeil, on peut commencer par établir que ces
troubles
sont constamment le fait de paralysies des muscle
pos des ophtalmoplé- gies sus-nucléaires et corticales : « 1° Les
troubles
moteurs oculaires, ayant une origine sus-nucléair
muscles de l'oeil : c'est qu'à l'inverse de ce qui a lieu pour les
troubles
moteurs de cause organi- que, la paralysie de c
ord avec MM. Parinaud et Morax, objecte avec raison que beaucoup de
troubles
moteurs oculaires sont indécis, qu'on ne saurai
le confon- dre avec le même syndrome de nature organique. Le seul
trouble
hystérique des muscles de l'oeil qui puisse prête
ondant. Enfin, M. Gilles de la Tourette a noté la superposition des
troubles
moteurs hystériques et des troubles de la sensi
tte a noté la superposition des troubles moteurs hystériques et des
troubles
de la sensibilité de la région oculo-palpébrale,
mem- bres. Pas de paralysies. Réflexes rotuliens conservés. Pas de
troubles
sphinc- tériens. Sensibilité normale à la pea
egard un peu vague, mais sans déviations. Raie méningitique. Pas de
troubles
sphinctériens. La température reste normale. Le
ne méningée ; ce qui domine au contraire, c'est la bilatéralité des
troubles
moteurs, leur distribution incohérente, la vari
des troubles moteurs, leur distribution incohérente, la variété des
troubles
oculaires (nystagmus, strabisme), et enfin la f
roubles oculaires (nystagmus, strabisme), et enfin la fréquence des
troubles
intellectuels qui peuvent aller jusqu'à l'idiot
oit. Extension graduelle de ces plaques. A 42 ans, développement de
troubles
trophiques variés : maux perforants plantaires, e
t récidives multiples jusqu'à 46 ans. Etat actuel.* Persistance des
troubles
trophiques ou de leurs cicatrices. Dis- (1) Séa
nt adhérents. Sur la peau et sur les muqueuses il n'existe point de
troubles
sensitifs, de nodules, de ta- che pigmentée, de
l affectionnait beaucoup le café en in- fusion. Il n'a jamais eu de
troubles
de la mémoire, de l'intelligence, des organes d
t pour la fin la description des principales lésions et l'étude des
troubles
sensitifs et des réactions électriques. La tê
le du nez. Une exploration attentive ne découvre pas sur la face de
troubles
de pigmentation, d'érythème, de nodules cutanés
nystagmus, de saillie anormale du globe oculaire. On ne note aucun
trouble
du côté des organes des sens ; champ visuel un
lade l'attribue aux ardeurs du soleil ; elle présente toutefois des
troubles
sensitifs très importants indiqués ci- dessous.
tit doigt. Dans ces diverses régions, pas de lésions cutanées ni de
troubles
de pigmentations autres que deux plaques brunât
agérée sur les membres ; les mains et les pieds sont plutôt secs.
Troubles
sensitifs (fig. 9, 10). Tête et con. Sensiblité t
ntact soit conservée. Membre inférieur gauche. Même topographie des
troubles
sensitifs. La dissociation existe sauf sur le m
; fourmillements et picotements sur les pieds pendant la marche.
Troubles
du sens musculaire. B..... éprouve de grandes dif
u siège des lésions premières qui tenaient sous leur dépendance les
troubles
trophi- ques et sensitifs et surtout à la cause
ûmes alors de faire l'examen bacillaire d'un filet nerveux ; si les
troubles
trophiques n'étaient que le reflet de lésions ner
faiblies, excepté sur la plaque sternale où elles sont abolies. Les
troubles
sensitifs ne sont d'ailleurs pas exacte- ment l
e la dis- (1) Thibierge. Un cas de lèpre systématisée nerveuse avec
troubles
sensitifs se rappro- chant de ceux de la syring
e le diagnostic très difficile sinon impossible de prime abord. Les
troubles
trophiques n'ont rien de caractéristique ; on les
, Neurologisches Cen- tl'alblatt, 4 août 1884. (2) Quinquand. Les
troubles
de la sensibilité chez les lépreux, Bull. de la S
ve occupait les régions sus-orbitaire et frontale. Sans doute ces
troubles
céphaliques ne sont pas sans importance, mais a
èpre ? Force est de répondre par la négative. Pour ce qui est des
troubles
sensitifs, M. Roth a noté (1) la participation
au début et ne se manifeste, dans la majorité des cas, que par des
troubles
de la sensibilité du côté de la face et des muq
oute nodosité. 6- La présence de larges macules hyperhémiques et de
troubles
sensitifs à leur surface est un symptôme qui, j
matique (Jelly), pachy-méningite spinale (1). On la range parmi les
troubles
tro- phiques, et on l'assimile aux hypertrichos
couleur violet foncé. Les mains sont aussi cyanosées, épaisses. Ces
troubles
de la circulation augmen- tent l'hiver; ils par
de contracture, ni de phénomènes spasmodi- ques quelconque, pas de
troubles
grossiers de la sensibilité, pas de dou- leurs
chez notre malade le développe- ment anormal des poils soit dû à un
trouble
d'évolution congénital dont la nature résle à é
eurs (1). Vers 1887 ou 1888 (2). Il eut aussi vers cette époque des
troubles
diges- tifs. Les digestions ont été pénibles pe
rait une demi-journée environ et revenait tous les 2 ou 3 mois. Ces
troubles
de la voix ont disparu en 1889 depuis sa première
é à droite. Réflexe du poignet également diminué à droite. Pas de
troubles
de la sensibilité au loucher, même pas de retard.
de retard aux jambes pour la sen- sibilité à 50° ou à 0°. Pas de
trouble
du goût, ni de l'odorat, ni de l'ouïe. Constipa
qu'il ne s'agit ici que d'une petite série de faits. Par contre les
troubles
de la sensibilité aux membres inférieurs ne par
me état au point de vue de la motilité des membres inférieurs : des
troubles
trophiques (eschares fessières) commen- cent à
directe de l'infiltration méningée à la moelle, soit par suite des
troubles
circula- toires qui résultent des oblitérations
taine réserve à cet égard, tout en étant favorable à l'idée que les
troubles
circulatoires sont en cause. Les opinions des a
e la démence apathique : inégalité des pupilles, forme irrégulière,
troubles
dans les réflexes des muscles ciliaires et des
, savoir : des variations dans la circulation et aussi peut-être un
trouble
trophique. Pour ce qui concerne la circulation
te son expression oedémateuse et replète. Pour ce qui est des des
troubles
trophiques en particulier, l'examen (1) a prouv
lui. Les muscles ne subissent aucune dégénérescence ; toutefois des
troubles
tro- phiques dans les tissus sont possibles.
t des mus- cles, le ralentissement de la circulation du sang et les
troubles
trophiques des tissus étant les causes de la ru
la paupière supé- rieure, de tous les muscles faciaux, par certains
troubles
trophiques et enfin par une ophthahnoplégie int
usculature dans la démence découle indirectement ou directement des
troubles
qui affectent l'écorce cérébrale. Cette conclusio
iminution de volume évidente des thénars et hy- pothénars. Pas de
troubles
de la sensibilité sauf une légère hypoesthésie da
aux nourriciers de la moelle, ayant pour conséquence inévitable des
troubles
circulatoires et une nutrition insuffi- sante d
t et Lion), cette période prodromique consiste es- sentiellement en
troubles
de la sensibilité : douleurs rachidiennes plus ou
ainsi dire, celle qui doit nous occuper tout spécialement ici. Les
troubles
cérébraux graves ont disparu ou à peu près ; le
220 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. 15 janvier 1892. - Les
troubles
observés sont franchement médullaires. Il ne s'
L'hémiparaplégie spinale persiste. Cystite purulente. Par deux fois
troubles
cérébraux congestifs subits. Douleurs en cein-
un peu moins fermes, que celles du membre inférieur gauche. Pas de
troubles
de sensibilité. La malade ne peut marcher qu'en
ujette il de légères syncopes ou évanouissements, sans aura. Pas de
troubles
sensitivo-sensoricls. Depuis le 6 juillet, pren
lentement, exactement comme cela avait eu lieu du côté gauche, sans
troubles
de la vue d'ailleurs. Marié en 1888, il a eu de
l'état normal. Il n'existe pas d'atrophie musculaire, ni le moindre
trouble
de sensibilité aux membres ; mais à la face, il y
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. conséquence l'anesthésie signalée et des
troubles
trophiques du côté de l'oeil. L'examen des yeux
ffet 11 ans avant l'infection syphiliti- que, graduellement et sans
trouble
de la vision d'ailleurs : la chute de la pau- p
])fable à la première, et elle a été manifestement indépendante des
troubles
nerveux dont il vient d'être question. - ' On
douleur dans les membres inférieurs. Du côté de la vessie pas de
troubles
bien nets, sauf que, il y a deux mois, pendant
l'emporte dans tel ou tel groupe des muscles. Il n'existe pas de
troubles
trophiques marqués du côté de la peau et des ongl
l n'y a pas la moindre ataxie, même les yeux fermés. Sensibilité.
Troubles
subjectifs : La malade a des douleurs de deux sor
ue dans les doigts (deux derniers de la main gauche surtout). Les
troubles
de la sensibilité objective sont beaucoup moins i
coup la forme la plus fréquente. - Dans un grand nombre de cas, les
troubles
prémonitoires de l'affection médullaire offrent
rétendent n'avoir éprouvé comme symptôme pré- curseur que de légers
troubles
subjectifs de la sensibilité dans les mem- bres
Chancre induré, 2 ans avant les accidents médullaires. Début par des
troubles
de sensibilité dans les membres iifé)-ieiiis et
cette épo- que il n'a pas présenté, dit-il, d'autres accidents (ni
troubles
oculaires, ui para- lysie d'aucune sorte). De
se une vive douleur. Comme phénomènes céphaliques, on note quelques
troubles
de la vision. Voici le résultat de l'examen ocu
directions latérales externes du regard. Il n'y a cepen- dant aucun
trouble
paralytique du côté des muscles des yeux ; et la
ation des deux papilles. - DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 23j
Troubles
du côté des sphincters. La paralysie du sphincter
Amélioration légère de la paralysie motrice, surtout à gauche. Les
troubles
objectifs de la sensibilité sont très accentués m
our de l'entrée, et jamais elle n'a at- teint 38°. Pas le moindre
trouble
trophique, pas d'atrophie musculaire aux membres
observateurs, mais sur un ensemble de stigmates physiques tirés des
troubles
de la sensibilité, de la marche de la températu
dans le rachis ; de la faiblesse et de la raideur des jambes ; des
troubles
vésicaux. Ceux-ci peuvent précéder tous les autre
ès exagérés et qu'il existe presque delà trépidation spinale. Les
troubles
de sensibilité sont toujours relativement légers,
légers, parfois même à peine indiqués. Les plus constants sont les
troubles
subjectifs : les malades se plaignent d'engourd
mités ; mais, règle générale, ils ne souffrent pas. Par contre les
troubles
objectifs manquent souvent; ou bien s'ils exist
de la paralysie spinale syphilitique d'Erb. L'auteur ajoute que les
troubles
trophiques, les eschares du décu- bits font déf
membre inférieur gauche, im- puissance génitale et persistance des
troubles
vésicaux. Pas de phénomènes cérébraux. CIIaf.
out de 2 ou 3 secousses. Les membres supérieurs ne présentent aucun
trouble
du mouvement et de la sensibilité ; les réflexe
e anomalie dans les yeux, ni dans la sphère des nerfs crâniens. Les
troubles
urinaires persistent (inconti- nence légère).
ccompa- gnée de parésie vésicale plus prononcée du côté droit ; les
troubles
de la sensibilité objective se bornent à une pa
ement descendante. Ultérieurement paraplégie spamodique légère avec
troubles
vésicaux. 1 ? xa- aération des réflexes aux mem
hilitique absolument typique. Dans d'autres cas, alors même que les
troubles
de sensibilité de la pé- riode prodromique sont
rébraux. C'est avant tout, dit-il, une maladie cérébro-spinale. Les
troubles
cérébraux en question peuvent d'ailleurs être t
sies oculaires, lésions ophtalmoscopi- clues; ou bien encore ictus,
troubles
psychiques, étals comateux passa- gers, etc.
veux accompagné d'observations personnelles, il est fait mention de
troubles
ocu- laires légers (inégalité pupillaire, anoma
même année, paraplégie spasmodique développée gra- duellement, avec
troubles
vésicaux. Diplopie transitoire. Etat du malade
ent normale- ment aux excitations électriques. Il n'existe pas de
troubles
appréciables de la sensibilité : le contact, la t
uit adroite comme à gauche. De ce côté-ci elle est inépuisable. Les
troubles
vésicaux existent toujours, bien qu'ils soient mo
onsidérable des réflexes tendineux, des raideurs passagères. Or les
troubles
vésicaux étant dans ce cas très peu importants, l
dans ce cas très peu importants, les douleurs peu intenses, et les
troubles
subjectifs de la sensibilité absolument nuls, d
d'une paraplégie légère accompagnée de spasmepresque dès le début.
Troubles
de la sensibilité et troubles du côté des sphinct
pagnée de spasmepresque dès le début. Troubles de la sensibilité et
troubles
du côté des sphincters extrêmement légers. Actu
début de la paraplégie) paraplégie spasmodique très accentuée sans
troubles
de sensibilité et sans troubles vé- sicaux. Exa
gie spasmodique très accentuée sans troubles de sensibilité et sans
troubles
vé- sicaux. Exagération notable des réflexes au
urs dans le même état. Même dé- marche spasmodique, môme absence de
troubles
de la sensibilité aux membres inférieurs, même
férieurs, même exagération des réflexes aux membres supérieurs. Les
troubles
vésicaux sont si légers, qu'ils méritent il peine
; mais le tableau clinique est singu- lièrement plus accentué. Les
troubles
du mouvement sont assez importants pour condamn
ailleurs tôt ou tard de con- tracture comme précédemment. Quant aux
troubles
de la sensibilité, ils (1) UeberHlickenmarksyph
ils se retrouvent au grand complet dans l'ob- servation VIII. Les
troubles
subjectifs de la sensibilité s'accentuent en prop
de un, deux, trois ans du fait des infections secondaires, dont ces
troubles
trophiques constituent la porte d'entrée la plu
immédiatement pratiqué amène 1 litre d'urine char- gée en couleur,
trouble
, fortement ammoniacale. Prescription : un grand b
u jour où il tombe paralysé. Ou bien les accidents débutent par des
troubles
vésicaux : dans l'observation qui pré- cède, no
sur la moelle ensuite. La période prodromique est marquée par des
troubles
de la sensibilité en relation avec la méningite
ÈRE. modiques généralement incomplètes, accompagnées constamment de
troubles
dans le fonctionnement des sphincters de la ves
es, qui changent de place : « des rhumatismes qui se promènent ».
Troubles
gastriques divers : digestions pénibles, ballonne
sement une bouteille de verre blanc il moi- tié pleine d'un liquide
trouble
d'odeur alcoolique : « C'est un cordial, nous dit
ne tendance il l'affectation. Peu de temps avant l'ap- parition des
troubles
psychiques, elle eut une grossesse suivie d'un av
, elle eut une grossesse suivie d'un avorte- ment. L'apparition des
troubles
psychiques eut lieuen 1885, vers le 17 avril. L
verses formes de maladies mentales et se rap- portent en partie aux
troubles
trophiques, en partie aux troubles vaso- moteur
et se rap- portent en partie aux troubles trophiques, en partie aux
troubles
vaso- moteurs. En passant en revue les troubles
ques, en partie aux troubles vaso- moteurs. En passant en revue les
troubles
trophiques qui accompagnent les maladies mental
ceux qui ont été solidement éta- blis au point de vue clinique. Ces
troubles
comprennent des modifications de la peau et des
orner il constater son existence. Passons maintenant à l'examen des
troubles
observés chez notre malade dans la région de l'ar
rejetées, vu l'absence ici de symptômes cardinaux se rapportant aux
troubles
qui accompagnent ces affections. En outre l'is-
s conditions analogues, parce que chaque fois qu'il est question de
troubles
somatiques d'une certaine nature chez les aliénés
contredisant en cela ceux qui affirment que, chez les aliénés, ces
troubles
peuvent se dé- velopper par une voie purement o
sions faisant défaut. Ces considérations, ainsi que l'existence des
troubles
trophonévrotiques qui précédent (periostites cl
c21lae) qui accompagnent (herpès Lerbialis pe- rio.sf,iLis cricris,
troubles
des nerfs de l'intestin) et qui suivent (phlegmon
'elles. Il n'entre pas dans notre plan d'examiner les causes de ces
troubles
trophiques ; c'est pourquoi nous ne parlerons pas
pas des théories qui s'y rattachent. Actuellement, l'existence des
troubles
tro- phiques n'est plus mise en doute par perso
ne, et rien n'est mieux établi en pathologie que l'existence de ces
troubles
et leur développement dans les affections des c
des nerfs (Charcot) où se trouvent les lésions qui déterminent les
troubles
trophiques dans les maladies menta- les. De que
s cas analogues et l'étude attentive du tableau symp- tomatique des
troubles
trophiques qui s'offrent avec une telle abondance
oux ploient alternativement, surtout en marchant » (Dutil). ' Les
troubles
dyspeptiques manquent rarement : sensations de lo
hénomènes de dépression psychique tiennent une large place dans les
troubles
mentaux. Mais ils ne sont pas toujours les seul
oc. cit. vt 24 lue 354 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
troubles
permanents de la psychose ». On peut en dire auta
ée, XXXII. Trépanation . Notes iconographiques , XXXVIII à XLI.
Troubles
trophiques consécutifs à une bles- sure du nerf
hiques, 33, 34, 35, 36, 31, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46.
Troubles
trophiques, chez un aliéné, 49. Voies optiques,
ns sa forme, parfois inégal comme degré. Pendant toute la durée des
troubles
hallucinatoires, le rétrécissement persiste dan
2. Fig. 2. O. G. Elal de dépression. 4 CLINIQUE MENTALE. tique du
trouble
hallucinatoire, portant on haut, en haut et en
4). Le tracé n° 3 pris le 11 juillet, la malade n'épiouvant aucun
trouble
, est normal. Le tracé n° 4, pris le 31 juillet-
ractéristique hallucinatoire, dix-sept heures après la cessation du
trouble
. ' y. d'intoxication avec hallucinations de la
ours dans les états dépressifs. 2 Dans les étais s' accompagnant de
troubles
de l'activité Ons. 67, Fin. 6. - Q. G. Hallucin
Il est parallèle à l'état même du sujet, et cesse d'exister avec le
trouble
. On le trouve dans tous les états - mélancoliqu
il est associé à d'autres varia- tions du champ visuel, dues à des
troubles
surajoutés. ! ' 1 a. Etat mélancolique délirant
B. Champs constamment élargis. - Dans les états s'accompagnant de
troubles
de l'activité générale. a) Ma- niaque simple ;
normale, qui permettent de prévoir les va- riations d'intensité du
trouble
d'un jour à l'autre, ainsi que la cessation ou
schéma des' variations en haut du champ visuel, en rapport avec les
troubles
de l'activité générale (fig. 24). Le 24 août.
avail de MAL A. Rodiet, Dubos et P. Pansier, en ce qui concerne les
troubles
de la vision. Nous y ajouterons cependant que l
erne les troubles de la vision. Nous y ajouterons cependant que les
troubles
hallucinatoires et de l'activité générale s'acc
ue du champ visuel, que chez tous les autres aliénés. 1° Avec les
troubles
de l'activité générale. -On s. 116 ? 11. R...,
de l'accès. Toutefois leur étendue paraît être en rapport avec les
troubles
de l'activité générale, précédant ou suivant la
ons avant de parler d'irrégularité, d'inégalité des pupilles, ou de
troubles
des réflexes. Bien des inégalités pupillaircs c
mment gardés contre toute idée préconçue. A. Paralysie générale. 1°
Troubles
pupillaires. Nous a ons noté l'irrégularité des
té pupillaire en tant que symptôme isolé ne s'accom- pagnant pas de
troubles
des réflexes à la lumière ou à l'accomodation,
'elle soit due uniquement, comme cela parait être probable, à des
troubles
des réflexes ou à toute autre cause, est un sig
d'intoxication avec hallucinations de la vue. il) Pupilles. -- Les
troubles
pupillaires sont beaucoup moins fréquents que d
ntraire, il nous a été donné de constater en même temps que lui des
troubles
de la papille et de la vision. Sur 16 maladps
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OEIL CHEZ LES ALIENES. 33 C. Etat avec
troubles
DE l'activité générale. a avec dépression (Méla
-à-dire les variations d'étendue en rapport avec les variations des
troubles
hallucinatoires d'une part et les troubles de l
avec les variations des troubles hallucinatoires d'une part et les
troubles
de l'activité générale d'autre part, nous pouvo
uvons dégager les faits suivants : 1° Que chez tous les aliénés les
troubles
hallucinatoires et les troubles de l'activité g
1° Que chez tous les aliénés les troubles hallucinatoires et les
troubles
de l'activité générale s'accompagnent de va- ri
estent de quelques heures à 24 heures au plus avant l'apparition du
trouble
, l'accotrt- pagnent pendant toute sa durée, et
isparaissent de quel' ques heures à.24 heures après la cessation du
trouble
. 3° Que l'importance de ces variations est en r
e l'importance de ces variations est en rapport avec l'intensité du
trouble
hallucinatoire ou de l'activité géné- rale. 4
, souvent dès la veille ; et de noter dans les mêmes conditions les
troubles
de l'activité générale qui précèdent, accompagn
s mémoires pré- sentés et traitant : (De la valeur diagnostique des
troubles
ocu- laires aux différentes périodes de la para
e de Saint-Ve- nant). Archives de neurologie, 1905.- Brun et MORAX.
Troubles
de la vision. In Traité de pathologie générale,
es dégénérés. Thèse de Paris, 1893. Jojos. Valeur séméiologique des
troubles
pupillaires dans les affections cérébro-spinale
e. Journ. deméd. de Bordeaux, N° 13 et 14.- lIhGNOT (R.). Etude des
troubles
pu. pillaires dans quelques maladies mentales.
ellent deux remarques intéressantes. On rapporte à l'alcoolisme des
troubles
intellectuels ou des réactions, motrices ou mor
ux est normal ou inférieur au taux normal ; 4° dans quelques cas de
troubles
mentaux, l'indoxyl est en excès aussi bien pend
- que de 39 ans. Lulenburg qui a été un des premiers à ranger le,
troubles
du système nerveux vaso-moteur parmi les variétés
par la fatigue saine, il en résulte que l'msomnie est causée par un
trouble
intervenu dans leur fonction- nement physiologi
dentiques chez un même sujet,de plus la crise laisse après elle des
troubles
de la réflectivité, généralement de la diminuti
sculaire, du tremblement, de la parésie des membres inférieurs, des
troubles
de la parole qui rappellent ceux de la paralysi
situation en tant qu'entité clinique, ses rapports avec 'les autres
troubles
mentaux, et la valeur de l'assertion suivant la
et la valeur de l'assertion suivant laquelle elle constituerait un
trouble
primitif de l'intelligence par opposition avec
elligence par opposition avec les maladies que l'on a qualifiées de
troubles
mentaux affectifs. Les conclusions de ce discou
rconscrit. En particulier, la doctrine qui fait de cette maladie un
trouble
primitif de l'intelligence a été, durant ces de
e : d'ailleurs ce serait une faute grave lorsqu'on étudie un cas de
trouble
mental, de laisser de côté l'examen des différe
sé en compar- timents étanches. Suivant l'auteur, la séparation des
troubles
primitivement affectifs d'avec les troubles pri
teur, la séparation des troubles primitivement affectifs d'avec les
troubles
primitivement intel- REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
désordre primitif de l'intelligence qui exclurait ou précéderait le
trouble
affectif. 3° En admettant l'existence de cas ai
l a employé la psychothérapie. L. WAHL. Xl7. - Paralysie générale ;
troubles
trophiques cutanées ; par MM..1. Lh4PINE et M.
venu au dernier degré de la cachexie et chez lequel apparurent des
troubles
trophiques des membres. Leur caractère principal
d sans doute à des traumatismes extrêmement légers. G. C. XV. Les
troubles
mentaux dans la lèpre à propos d'un cas de psyc
membres, de la paralysie faciale, de l'irido-choroïde double et des
troubles
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 71 mentaux carac
n affectaient le type de la persécution, mais mal systématisée. Ces
troubles
intellectuels débutent tardivement et aboutissent
a psycho et la neuro-pathologiè ne doivent pas être sépa- rées. Les
troubles
des sensations, des perceptions 'hallucinations
es et illusions du souvenir, l'auto- suggestion obsessionnelle, les
troubles
nerveux qui ne sont pas des maladies mentales,
la possibilité de se prononcer d'un côté au sujet du traitement des
troubles
hystériques et de l'autre côté sur l'origine de
ion maniaque, manie aigué ». Père et mère morts de vieillesse, sans
troubles
mentaux ; un frère et une soeur sont morts poit
esanL6 de ' Ville-Evrard au mois de mars 1905 avec leriiagnoslic de
troubles
nerveux caractérisés par des impulsions, par de
conscience et la mémoire des fugues sont intactes ou plus ou moins
troubles
comme les autres actes des débiles, Les fugues
enfants dont il relate l'histoire, l'auteur conclut qu'il existe un
trouble
primitif de l'orientation chez toutes les perso
ons où soit la somno- lence, soit l'insomnie paraissent liées à des
troubles
de font. tionnement de l'hypophyse et il émet c
mptômes dominants étaient une atrophie progressive accom- pagnée de
troubles
vasomoteurs des mains (main succulentel. Mort p
contre surtout chez de vieux tuberculeux à lésions fibreuses et ces
troubles
paraissent être en raison directe de l'étendue
u est au grand complet : de la dyspepsie secrétaire et motrice, des
troubles
cardiaques divers, de la dyspepsie : lorsque le
sujets aux hallucinations ; toutefois certains cas ac- compagnés de
troubles
hallucinatoires ont été observés depuis ; on a
nt fonction du développement cé- rébral. Le régime alimentaire, les
troubles
digestifs, la constipa- tion jouent- ici un rôl
s banal mais non le moins significatif de tous, le mal de tête, les
troubles
moteurs, la neurasthénie (qui est au moins proc
he parente des psychoses), l'insomnie, les attaques d'hystérie, les
troubles
de la circulation, les altérations du sang et l
s de la circulation, les altérations du sang et la leucocytose, les
troubles
de la nutrition et de la digestion,les modifica
rition et de la digestion,les modifications menstruelles, enfin les
troubles
mentaux eux-mêmes. Il conclut <le celle élude
on qu'ils ont faite du véronal, dans différentes formes mentales.
Troubles
mentaux dans la sclérose en plaques. (Présentatio
Il s'agit d'une jeune fille, atteinte de sclérose en plaques et de
troubles
intellectuels qui paraissent liés aux lésions d
homme, âgé d'une quaran- taine d'années, chez lequel éclatèrent des
troubles
intellectuels à forme mystique, consécutivement
M. LworF. Un cas comparable a encore été communiqué par M. Dheur.
Troubles
mentaux consécutifs à un accident de travail. M
lmas rapportent les observations de deux hommes -ayant présenté des
troubles
intellectuels à la suite d'un accident de trava
a possibilité d'un rapport de cause à effet entre l'accident et les
troubles
mentaux consécutivement constatés. M. VALLON.
b) les délires à base d'interprétations erronées ; c) les délires à
troubles
perceptifs ; ces derniers peuvent à leur four s
t à leur four se subdiviser en deux groupes : les délires à base de
troubles
cynesthésiques (folie hypochondriaque) et les d
les cynesthésiques (folie hypochondriaque) et les délires à base de
troubles
sensitivo-sensoriels (délire chronique.) En pré
au moment de son accident. Celle-ci on effet cons- tilue, avec les
troubles
oculaires, un symptôme important de trau- matis
ale. .\1. \'IGOUROU-1. Le malade ne présenta, tout d'abord, aucun
trouble
intellectuel et put reprendre son travail, mais à
ntpeut s'expliquer par la théorie qui rattache la gly- cosurie à un
trouble
de sécrétion hypophysaire plutôt qu'à une compr
se. Ces lésions destructives peuvent expliquer la progres- sion des
troubles
mentaux chez les épileptiques, et la sclérose d
erofiques ; les impulsions ( ! I même homicides, les aboulies, les
troubles
de la cénesthésie, de l'idée du moi, du psychis
o-pathologique de l'arthritisme. Celle influence se traduit par des
troubles
de statique utérine (atonie de l'appareil suspens
ique, suivies depuis 10 ans). Comme asiles publics d'aliénés. 1G3
troubles
circulatoires et trophiques, il décrit : ies cong
éories faites sur ce sujet et basées surtout sur l'observation de
troubles
mentaux, notamment d'hallucinations unilatéra-
, c'est-à-dire un hémisphère creux, tantôt une blastula normale, le
trouble
de la segmentation disparaissant rapidement ; m
écorce cérébrale sans altérations ma- croscopiques, et l'absence de
troubles
moteurs graves (épilepsie, paralysie) et d'autr
t tout par une faiblesse énorme de la synthèse mentale. L'étude des
troubles
de la mémoire et de la volonté chez les hystéri
ù l'intoxication alcoolique aété reconnue comme cause exclusive des
troubles
cérébraux. B) Le second groupe comprendra les c
couvrir les traits fondamentaux de la démence précoce au milieu des
troubles
aigus fortement dissem- blables les uns des aut
s : états mixtes (mélancolie et agitation). (1) Trepsat. Etude des-
troubles
physiques dans la démence pré- coce. Thèse de P
al,dans les conceptions délirantes etdans les réactions morbides.
Troubles
intellectuels. Lorsque le déficit intellectuel
ehen (2) et d'h.bbinghaus (3), permettent de déceler les moindres
troubles
de la synthèse mentale : attention volontaire,
moment donné, prépondérants : ce sont les premières stéréotypées.
Troubles
affectifs. L'intensité de la douleur morale n'a
ostique ; il en est de même de l'angoisse précordiale et des autres
troubles
physiques qui accompagnent les crises paroxysti
és dans les deux affections. Par contre le début et l'évolution des
troubles
affectifs sont de la plus haute importance. Dan
neurasthénie, on ne trouve pas toujours de causes mo- rales et les
troubles
psychiques (amour contrarié, cha- grins, jalous
uses Je maladie (Daraszkiewiecz, Christian). La discontinuité des
troubles
affectifs est le caractère le plus important de
ormation et les idées de négation. Elles sont en rap- port avec des
troubles
cénesthésiques profonds et visent il la fois le
des idées de transforma- tion, représentent le plus haut degré des
troubles
cé nesthésiques. Kraepelin considère les idées
rsonnalité physique et intellec- tuelle. Elles sont secondaires aux
troubles
cénésthési- ques et aux premières lésions delà
soins dans leur recherche et analyser minutieusement le moin- dre
trouble
accusé parles malades. Il est souvent diffi- ci
cin. La multiplicité, la fré z quence et la persistance de tous ces
troubles
sensoriels, et leur combinaison avec les troubl
tance de tous ces troubles sensoriels, et leur combinaison avec les
troubles
cénesthésiques (idées de transformation, idées
la personnalité des déments précoces sont dues particulièrement aux
troubles
des perceptions sen- sorielles et cénesthésique
t général se maintenait. Elle mangeait bien. Pas de céphalée. Aucun
trouble
digestif. De temps à autre, dit-elle, elle prés
- citation. Elle se cache dans les placards « pour s'en aller Les
troubles
cencsthesiquessnnt profonds, elle a de nombreuses
» ; sa poitrine est jaune etc. Plusieurs tentatives d'évasion. Le-
troubles
cenesthesiques et ces phénomènes délirants se dis
lle ne se rend pas compte qu'elle a des aliénées autour d'elle. Les
troubles
délirants n'uni laissé aucun souvenir dans son
é par 11. le I)' L\\ 011'. Observation II. (Personnelle). Résumé.
Troubles
cénesthési- ques variables. niées de culpabilit
régiment, une congestion pulmonaire double. , Début. -Le premiers
troubles
paraissent en 1894, l'âge de 22 ans. Ce sont de
e d'idées de persécution et de grandeur. Hallucinations nombreuses,
troubles
cénesthé- siques profonds, il s'imagine èlre hy
alcoolique s'est suicidé. Croissance normale. Depuis longtemps des
troubles
neurasthéniques. Un mois avant l'internement, p
is, je dois expier tout ce que j'ai fait, j'avais tout à l'heure un
trouble
de la pensée, je sais, que ce que je viens de d
s d'auto-accusation et de grandew' passo{/13res. Prédominance des
troubles
cénésthésiques et des idées de persécution. Démen
internement. Lesinterpretations délirantes, les hallucinations, les
troubles
cénestbésirlues, la dépression morale avec des
ffocation, des bourdonnements d'oreille qu'il con- sidère comme des
troubles
d'empoisonnement par le CO. ll Iait plusieurs t
2(i Juin 1899. Attaques hystéJ'i/'onnes de 7, 8, minutes. Pas de
troubles
consécutifs. Août. Il reste inerte des journées
demi-stupeur et d'immobilité. Le malade a présenté fréquemment des
troubles
trophiques. Actuellement, il est dans la demi-s
(p. 26). C'est donc à la simple analyse de quelques observations de
troubles
de la personnalité que l'Auteur va demander la
itdepuis longtemps quelles sont les conditions psy- chologiques des
troubles
de synthèse mentale observés à l'état normal ou
dégénérée, les hystériques, les spirites, au coins de l'hyp- nose,
troubles
qui, de la simple impression non connue sur le
nt produit le retour apparem- ment spontané de la personnalité, les
troubles
organiques survien- nent en même temps. L'exemp
non plus ne montre mieux l'absence de toute corré- lation entre les
troubles
organiques à localisation hémiplégique et la to
nilatérale des centres du lan- 298 PSYCHOLOGIE. 1 gage. Aussi les
troubles
aphasiques de cette fonction ne font-ils pas pa
, surviennent-ils dans des circonstances (coïncidence avec d'autres
troubles
) qui mettent elles-mêmes en évidence leur origi
tion ne se borne pas à agir sur la topographie et le groupement des
troubles
organiques : on peut encore déceler son rôle da
s troubles organiques : on peut encore déceler son rôle dans chaque
trouble
considéré isolément et, montrer ainsi que ce tr
le dans chaque trouble considéré isolément et, montrer ainsi que ce
trouble
diffère essen- tiellement du trouble organique
ément et, montrer ainsi que ce trouble diffère essen- tiellement du
trouble
organique au premier abord identique.Ainsi, que
L'alliance entre certaines séries d'états de conscience etcertams
troubles
organiques dépend donc de circonstances fortuites
u fonction- nement des 'organes atteints-. Mais la localisation des
troubles
or- niques peutêtre modifiée par des causes int
e de la survenance de lésions' viscérales unilatérales aiguës : les
troubles
de la sensibilité, passagers ou permanents, peu
ermanents, peuvent en outre présenter la même to- pographie que des
troubles
moteurs, vasomoteurs, trophiques etc. L'auteur
uble conscience simultanée » (p. 29) ; ils ont eux-mêmes décrit des
troubles
dans lesquels, de leur propre aveu « il semble
entière. La valeur probante n'est pas même restreinte aux cas de
troubles
de la synthèse psychique accompagnés de symptôm
ces symptômes,que la dualité des hémisphères est en cause pour les
troubles
de la per- sonnalité, des plus simples aux plus
ditions de la relation entre nos deux co-êtres se modifient, il y a
trouble
moral ...léger... ou très grave,comme chez cett
re gauche, tant que cet hémis. phère à la direction. Par contre, le
trouble
(des centres de l'Itémis- phère gauche) n'aurai
té malade et le côté sain. Comme dans les agnosies (voir p. 000) le
trouble
fonctionnel reste relativement localisé, mal- g
re, au duplicisme ? Ou bien est-ce par ce que il faut qu'il y ait «
trouble
moral » pour que la biindividua- lité devienne
ditions de la relation entre nos deux co-êtres se modifient, il y a
trouble
moral en nous» (p. 47). Or l'état - ou les état
. 47). Or l'état - ou les états - dans lesquels il n'y avait pas de
trouble
moral se sont présentés chez Louis V... tantôt
de réveil des sentiments moraux, absolu- ment semblable, moins les
troubles
de la parole à certai- nes des périodes envisag
llement d'ailleurs, puisque le membre supérieur est indemne de tout
trouble
. Mais la perte de la lecture et de l'écriture é
ites que l'Auteur considère comme indiquant d'une façon certaine le
trouble
et l'in- fériorité de l'hémisphère gauche et la
ontrer, non seulement que la coexistence de tel état mental avec un
trouble
donné de la senso-mo- tilité était purement con
onné de la senso-mo- tilité était purement contingente (paraplégie,
troubles
du langage), mais encore que cette coexistence
effet cadrer avec sa théorie. On a d'ailleurs remarqué que tous les
troubles
dimidiés étaient de nature hystéri- que, et, pa
e, et, par conséquent, qu'il est impossible de les ratta- cher à un
trouble
fonctionnel d'un hémisphère, comme l'hémiplégie
er à loisir (Bérillon, 1884, p. 183 et 184.) A propos du rôle des
troubles
de la mémoire dans les variations de la personn
l'origine des altéra- tions de la personnalité,on peut observer des
troubles
du 314 PSYCHOLOGIE. . raisonnement et des v
314 PSYCHOLOGIE. . raisonnement et des volitions, on sait que Ces
troubles
ne sont pas primitifs, mais secondaires à des m
coenesthésie ou de la sensibilité tactiles, modifications dont des
troubles
organiques donnent sou- vent la raison d'être.
l'on peut ainsi parler, est particulièrement exposé à ces sortes de
troubles
, dans les formes paternelles de transmission. D
pou près au même point qu'il y a dix ans. Pour les uns, c'est un
trouble
psychologique, variable d'ailleurs, qui entrain
les accidents somatiques et psychiques; pour les autres,' c'est un
trouble
physiologique de l'é- corce cérébrale, unique d
oir de représentation qui en- hystérie'et SOMMEIL. 355 traîne les
troubles
hystériques ; pour les autres, c'est au contrai
contraire une représentation exagérée, obsédante, une idée fixe du
trouble
observé. Avec cette dernière manière de voir, l
ychiques ? La question vaut la peine d'être discutée sinon résolue.
Trouble
de représen- tation est une formule insuffisant
sante, et, d'ailleurs, com- ment une représentation amène-t-elle un
trouble
soma- tique ? Comment les fonctions dont nous n
jet nous voyons survenir également, à des époques diverses, le même
trouble
qui sera rattachable dans chaque circonstance à
e qu'il faut chercher la véritable nature du phéno- mène, et que le
trouble
psychologique n'est qu'un attri- but secondaire
psychologique n'est qu'un attri- but secondaire dépendant,comme le
trouble
somatique lui-même, d'un état des centres fonct
'ailleurs, dans ce domaine des interprétations psy- chologiques des
troubles
hystériques,il faut être très cir- conspect. Il
t de découvrir des causes très banales et très physiologiques à des
troubles
pour lesquels on aurait pu édifier, et dans cer
s psycho- logiques, on pourra donc juger très diversement un même
trouble
hystérique au point de vue de son soi- disant m
ment un peu vague ; l'hystérie est une maladie psychique ; ou : les
troubles
hystériques sont d'origine psychique ou d'ordre
tiques aussi importantes que l'hystérie on ait ainsi subordonné les
troubles
physiques aux troubles psychiques. Et pourquoi,
que l'hystérie on ait ainsi subordonné les troubles physiques aux
troubles
psychiques. Et pourquoi, d'ailleurs, les su- bo
- sidérer tout simplement comme la double manifestation d'un même
trouble
fonctionnel du système nerveux cen- tral ? Au l
actures, d'anesthésies que nous sommes habi- tués à rattacher à des
troubles
du système nerveux cen- tral ? M. Pierre Marie
é- mentaire que j'ai été amené à rechercher s'il n'y avait pas un
trouble
de'cerveau, des centres cérébraux - où tout le
où tout le monde. est ,'d'accord,je crois.pour placer le siège du
trouble
hystérique - capabled'expliquer à la fois 300 c
lication psychologique n'est que l'énoncé d'une des conséquences du
trouble
fondamen- tal physiologique. Si, maintenant,au
rois catégories principales : 1° les acci- dents viscéraux ; 2° les
troubles
vaso-moteurs et sécré- toires ; 3° les troubles
viscéraux ; 2° les troubles vaso-moteurs et sécré- toires ; 3° les
troubles
trophiques. » C'est un gros mor- ceau, et il fa
c'est sur la valeur relative des phé- nomènes psychologiques et des
troubles
somatiques, et sur la prééminence des premiers
aire essentiellement physiologique, qu'il faut chercher la clef des
troubles
hystériques. Au surplus, comme je le disais plu
moi de l'engourdissement des centres cérébraux comme fondement des
troubles
hysté- riques. Nous ne sommes donc pas si loin
'analyser l'enchaîne- ment des phénomènes psychiques inhérents à un
trouble
hystérique,nul mieux que M. P. Janet ne, l'a fa
ysiologie, dont la psychologie n'est au surplus qu'une branche. Les
troubles
psychiques de l'hystérie sont conséquence et no
ue, dont il s'agit maintenant de définir la nature. J'ai dit que le
trouble
fondamental de l'hystérie est constitué par une
causes. On a ainsi l'explication de la disparition de cer- tains
troubles
sous l'influence de la disparition do certai- n
ces idées disparaissent par ce que l'état cérébral qui amenait ces
troubles
les entrete- nait en même temps : il n'y a pas
il n'y a pas de rapport do cause à effet entre l'idée fixe et 'le*
trouble
hystérique, il n'y a qu'un rapport de concomita
elles de sensibilité qui permettent, étant donnés une sensation, un
trouble
sensitif quelcon- que, de savoir à quel degré e
4 370 PSYCHOLOGIE. de changement dans la forme et l'intensité des
troubles
hystériques, et les réactions du réveil nous fo
e nettement le rapport existant entre ces variations parallèles des
troubles
hystériques et de l'engourdisse- ment cérébral.
, une véritable incoordina- tion morale » (p. XII). Mais de pareils
troubles
sont-ils spéciaux à de telles tumeurs ? Ne s'ex
contraire d'une infection ou d'une intoxication qui produisent des
troubles
simultanés sur les organes hématopoié- tiques e
es lésions diffuses de l'écorce surtout frontale. Un re- trouve des
troubles
psychiques très analogues chez les cancéreux mo
r entrée à l'hôpital pour accidents méningiliques et l'éclosion des
troubles
psychiques.il appartiendrait auxaliunis- les de
des rapports entre les dpux ordres de faits. F. TISSOT. LUI. Les
troubles
psychiques dans les altérations des glandes à s
t 4.) Importante revue générale, bibliographique et critique, des
troubles
psychiques liés aux altérations des glandes à séc
est à elle qu'il faut rapporter l'état mental des haserlowiens, les
troubles
psychiques plus marqués fêtais d'excitation le
individus castrés à la suite d'affection testiculaires : quand des
troubles
psychiques existent, il est ce- pendant diffici
st en effet fort difficile de préciser le rùle de l'ovaire dans les
troubles
mentaux de la menstruation et de la'ménopause, co
pothérapique peuvent seuls donner des indications sur ce point. Les
troubles
psychiques dus aux altérations de la pi- tuitai
perfonction crée l'hypertension et l'athérome artériels, origine de
troubles
mentaux. Trop rares sont les documents sur les
origine de troubles mentaux. Trop rares sont les documents sur les
troubles
psychiques liés à la persistance du thymus. Les
x liés leurs altérations sont ordinairement complexes, résultant de
troubles
concomitants dans le fonctionnement de plusieur
tracture catatonique, la tachycardie, l'hypothermie et les autres
troubles
des échanges organiques seraient donc sous la dép
ymptôme dominant, presque unique, -puisqu'il faut lui rapporter les
troubles
de la sensibilité, des réflexes, de la parole,
omatosc, rhumatisant lui-même, et qui présente deux catégo- ries de
troubles
trophiques différenciés par leur origine embryolo
- mon, abaissement du foie, du testicule et des bourses. Tous ces
troubles
trophiques siègent du côté droit : or chez cet
territoire des deux dernières lombaires et delà première sacrée des
troubles
moteurs à type radiculaire. Ils ont L noté la l
scence accentuée surtout au membre inférieur droit; il n'y a pas de
troubles
de la sensibilité, pas de troubles sphinge- tér
inférieur droit; il n'y a pas de troubles de la sensibilité, pas de
troubles
sphinge- tériens, pas de fièvre ni d'infection,
it seulement, avec intégrité du peaucier et disproportion entre les
troubles
fonctionnels accentués et les signes vagues de
ée par MM. LEJONNE et F. Rose sur un malade âge do quinze ans, avec
troubles
des réactions électriques, exagération des réfl
c troubles des réactions électriques, exagération des réflexes sans
trouble
de la sensibilité ; ils posent la question d'un
part des malades observés . ont présenté un épuisement rapide ; ces
troubles
, qui affectent une topographie radiculaire, son
n culotte de zouave et la douleur pro. voquée par la palpation. Les
troubles
psychiques sont ici assez art. ténués. llcrèd
ne enfantde douze ans et demi atteinte de cette affection, avec des
troubles
auditifs intenses laissant supposer une lésion
séance du 7 janvier ; il s'agit d'un syndrome, caractérisé par des
troubles
myotoniques de la musculature des yeux, de la l
mes observés sont ceux qui sont décrits chez les auteurs. Quant aux
troubles
mentaux, ils paraissent offrir un pronos- tic p
ue aux- quels on peut se placer dans son étude : L'hystérieest un
trouble
physique fonctionnel du cer- veau, consistant d
exerce cette fonction est fatalement et immédiatement modifiée. Les
troubles
de la sensibilité tant objective que subjective
bjective que subjective sont donc constants et leur absence dans un
trouble
d'une fonction quelconque suffit à écarter l'id
suivant le rôle du centre cérébral intéressé, nous observerons des
troubles
de sensibilité, de motricité, ou des troubles s
nous observerons des troubles de sensibilité, de motricité, ou des
troubles
sensoriels, cénesthésiques et vaso-moteurs.Par
ins grand, nous allons avoir une variété infinie de combinaisons de
troubles
hystériques, d'où l'apparence de fantaisie, d'i
t,des aspects multiples, des variétés en nombre indéterminé, chaque
trouble
individuellement présente au contraire un déter
eulement l'hystérie revêt des aspects multiples, mais encore chaque
trouble
pris en particulier présente des degrés divers
st que la sommation, en quelque sorte, ou la synthèse de tous ces
troubles
localisés. Enfin ce centre atteint l'est tantôt
re atteint l'est tantôt d'une façon per- manente, et alors tous les
troubles
objectifs et subjectifs HYSTÉRIE ET sommeil.. 4
comme dans le domaine psychique, sont permanents, et c'est à ces
troubles
permanents qu'on donne le nom de stigmates ; il
cela ne change en rien la nature et le méca- uisme fondamental des
troubles
(1). (1) On a trouvé que j'exagérais le détermi
ivée et de départ des fibres de pro- jection, doivent entraîner des
troubles
de la périphérie s'ils sont modi- fiés dans leu
odi- fiés dans leur activité, d'une part, et que, d'autre part, les
troubles
cons- tatés à la périphérie doivent être rappor
Il y a lieu d'ailleurs de considérer deux ordres distincts dans les
troubles
psychologiques hystériques : d'une part ceux qu
omènes psychologiques, alors que d'au- tres présentent de très gros
troubles
psychiques. Si donc l'état hystérique consiste
ros troubles psychiques. Si donc l'état hystérique consiste dans un
trouble
loca- lisé d'un ou plusieurs centres du cerveau
que la généralisation d'états locaux, si, comme je le soutiens, ce
trouble
hys- térique consiste dans un état d'engourdiss
ont aucune importance dans la ques- tion,qui se résume à ceci : les
troubles
fonctionnels observés dans l'hys- térie sont-il
tés physiologiques et biologiques. Je me suis demandé si certains
troubles
hystériques ne pouvaient pas résulter de l'inhi
it permettant de justi- fier cette hypothèse, et, pour ma part, les
troubles
hystériques sont ex- clusivement dus à des modi
les deux il y a une foule de degrés, mais la nature fondamentale du
trouble
hysté- rique est toujours la même naturellement
psychique (méthode psychothérapique proprement dite), ou, si les
troubles
somatiques concomitants sont accessi- bles, com
et qui permettent de mettre en évidence l'enchaînement de tous les
troubles
hystériques, soma- tiques et psychiques, depuis
atteinte, et qu'il est dif- ficile de déterminer la prédominance du
trouble
sur tel ou tel point d'autant qu'il faut tenir
perfectionne- ment. , Et maintenant, j'en reviens à ma théorie du
trouble
HYSTÉRIE ET sommeil. 455 primitif de l'hystér
eil, l'état où se trouve plongé un individu présentant une série de
troubles
somatiques et psychiques, lorsqu'en enjoignant
s, on constate que l'on passe par des transitions insensibles de ce
trouble
général aux troubles les plus limités et les pl
n passe par des transitions insensibles de ce trouble général aux
troubles
les plus limités et les plus localisés, que ceu
ces excita- 456 CLINIQUE nerveuse. tions locales dans des cas de
troubles
localisés sont iden- tiques à celles qui se pro
ral chez des vigilambules, je me crois en droit d'af- firmer que le
trouble
local, comme le trouble général, est de même na
s, je me crois en droit d'af- firmer que le trouble local, comme le
trouble
général, est de même nature et consiste essenti
pas parce qu'il y a de l'anesthésie ou de la paralysie ou tel autre
trouble
, mais parce que ces troubles sont le témoignage
sthésie ou de la paralysie ou tel autre trouble, mais parce que ces
troubles
sont le témoignage objectif de l'état d'engourd
l'était le nerf, et pour le prouver je le réveille; je dis que ces
troubles
hystériques sont dus à ce sommeil, à cet engour
ment spécial de cerveau, et pour le prouver je les fais (1) « Les
troubles
de la mémoire a ? HuPff, 1893. 462 CLINIQUE NER
éprouvés dans son cours, et enfin se réveiller définitivement, sans
troubles
, sans stigmates, guéris et ayant recouvré le so
comprendre le double caractère physiologique et psychologique des
troubles
hystérique'. ; la seconde, c'est que cela nous
res anatomiques du cerveau tels qu'on les délimite actuellement les
troubles
fonctionnels hys- tériques, j'abandonne d'autan
894, Paris, F. Alcan. LEBAR (L.). - Hyperesthésies systématisées et
troubles
connexes, thèse de Paris, 1906, 311 pages (sous
s éléments anatomiques qui composent cet organe et sans aucun autre
trouble
fonctionnel que ceux qui peuvent ré- sulter d'u
ements par exemple). F. T. XXIV. Hypotrophie d'origine bacillaire ;
troubles
de la voie py- ramidale ; par CLAUDE et LEJONNE
pprocher des cas de nanisme mitral. La malade présente en outre des
troubles
mo- teurs et réflexes indiquant une lésion du f
ue. A l'appui, observation d'un homme tuberculeux qui, au milieu de
troubles
nerveux vagues, fait quelque ictus successifs e
qui est le plus tôt et le plus facilement compromis dans le cas de
trouble
mental ; 3° que lorsque le système moteur insti
n rapport rigoureux, nécessaire, entre la lésion cellulaire et le
trouble
mental; l'un et l'autre exprimeraient chacun à le
aitement thyroïdien a été à peu près nulle. Ces oedèmes relèvent de
troubles
vaso-moteurs et trophiques. F. T. REVUE DE PA
ditéejusqu'à présent. M. HAMEL. LXX. -- -Contribution à l'étude des
troubles
de l'association vi- suelle dans la folie ; par
X. (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, aoùt 1906). Les
troubles
spinaux sont très fréquents dans la démence pré-
a voie pyramidale. Mais d'autre part on a notéaussi fréquemment des
troubles
de la sensibilité qui, d'une façon géné- rale e
é qui, d'une façon géné- rale est obtuse, surtout à la douleur. Ces
troubles
spinaux se rencontrent aussi bien dans les form
influence sur le degré de fréquence ou la systéma- tisation de ces
troubles
médullaires. G. Dl : nv. REVUE DE PATHOLOGIE NE
1906, n° 129, l'auteur ajoute deux nouveaux faits : l'existence de
troubles
sen- sitifs et la constatation de lésions certa
vant ces divers tissus. F. TISSOT. XXXV. Les principales formes des
troubles
nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité ; pa
lut enfin que parfois, et malgré une analyse conique minutieuse des
troubles
nerveux, il est absolument impossible, en l'absen
petit-fils et la petite-fille, qui sont tout enfants, ont déjà des
troubles
moteurs accentués ; ils en concluent que dans c
traîna dans l'étude de la neuropathologie. Sa thèse (1882) sur les «
Troubles
fonctionnels de la vision par lésions cérébrale
,à à 1' Evolution et à la dissolution de l'instinct sexuel » aux «
Troubles
de l'intelligence », a 1' « Aphasie et à ses dive
Du cancer de la vessie, 1 vol., 1881 ; Contribution et l'étude des
troubles
fonctionnels delà vision par lésions cérébrales
anglaise. Londres, 1900, traduction tihé- que, Prague, 1902; - Les
troubles
de l'intelligence (traité de pathologie général
tire un type dévot; le dévot esl un être ma- ladif, prédisposé aux
troubles
du système nerveux, smémutil, triste, humble .c
ECRITUBI'. Quelques considéra- tions sur ! ' -- pu miroir. Les
troubles
de l'orientation et son éducation ; par Bouleng
ifférentes formes de folie ; par Atilson Rhodes, p. -131. -, Voir
Troubles
. Fonction cérébrale. Etudes his- tologiques s
r Conolly Norman, p. 43 1. Glande pituitaire.Voir Sommeil. - Voir
Troubles
psychiques. GLOSSOPI,1 : GIE. Un cas de - uni
s. Voir Atrophie optique. HVPOTROPIIIE d'origine bacil- laire ;
troubles
de la voie pyra- mygale ; par Claude et Le- j
ins-directeurs ; par Dubour(licu, p. 401. Voir Loi. Lèpre. Voir
Troubles
mentaux. Lésions. Sur la coexistence des syph
ie de la générale, p. 65. - générale ; voir Angoisse. gé- nérale.
Troubles
trophiques cutanés ; par Lépine et Loup, p. 7
Lapersonne, p. 500. Porencépiialie. Voir Amaurose. l'OTT. Voir
Troubles
nerveux. Pouls. Voir Atropine. l'sr..ono-angi
Psychoses. Voir Fugues. Voir Korsakow. polynévri- tique ; voir
Troubles
mentaux. Les prodromes des et leur si- gnific
IIOEDÈAIE. Cas de chro- nique ; par I'arhou et Florian, p. 157.
Troubles
trophiques. Voir Pa- ralysie générale. Les - me
de Thomsen se caractérise essentiellement, comme l'on sait, par des
troubles
des mouvements volontaires. « Le symptôme capital
ses membres (-1) ». Le professeur Erb a dési- gné l'ensemble de ces
troubles
par la dénomination de « trouble myotoni- que (
Erb a dési- gné l'ensemble de ces troubles par la dénomination de «
trouble
myotoni- que (2) ». Les principaux caractères
temps plus ou moins long leur souplesse ordinaire. En plus de ces
troubles
dans la contraction volontaire des muscles, la
carac- téristique dans la maladie de Thomsen, et, les comparant aux
troubles
myo- toniques des mouvements volontaires, il le
rouvé pendant quelques mois de la difficulté pour marcher, mais ces
troubles
ne dé- pendent pas de la myotonie. Le grand-pèr
as-âge, l'autre à 14 ans, de phthisie. Antécédents personnels : Les
troubles
des mouvements volontaires existent chez Boul..
sans trop de difficulté. En août 1885, aggravation considérable des
troubles
moteurs aux jambes et aux bras. Il en arrive à
le service de M. Fournier, Boul... est pris de houlimie sans autres
troubles
digestifs, sans glycosurie. Il est mis alors au
taires sont troublés à un haut degré par le spasme de Thomsen ; ces
troubles
myotoniques sont très étendus et se rencontrent s
ait donner un coup de poing ou lancer un coup de pied, etc. ' Ces
troubles
de la motilité volontaire entraînent une gêne not
être resté quelque temps en repos. Aux membres inférieurs les mêmes
troubles
se rencontrent et sont très accusés. Ainsi il é
i fait rapprocher, il vacille et ne peut garder cette position. Ces
troubles
augmentent encore par l'occlusion des yeux. Si,
SALPÊTRIÈRE. au début des mouvements, et, il en résulte un certain
trouble
de la parole, après un silence assez prolongé.
pières, ceux du globe de l'oeil paraissent aussi indemnes. Tous les
troubles
que nous venons de signaler dans la contractilité
alcooliques. Nous nous contenterons do rappeler brièvement ici les
troubles
de l'excitabi- lité mécanique et électrique des
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. La santé générale est bonne. Aucun
trouble
du côté de l'appareil circulatoire. Les fonctio
fonctions digestives sont actuellement normales. Il n'existe pas de
troubles
psychiques accusés. Cependant le malade, qui étai
ions. On peut, en effet, employer : cles extrinsèques de l'oeil aux
troubles
myotoniques une communication de M. Ray- mond à
générale, comme un muscle normal. (Ce phéno- mène est comparable au
trouble
myotonique des mouvements volontaires dans le c
scle et décontraction lente consécu- tive. (Phénomène comparable au
trouble
des mouvements volontaires dans le cas d'une se
s éléments nerveux par le tissu conjonctif proliféré et 2° quand le
trouble
des fonctions des fibres nerveuses est lié à un
morbides sont provoqués par la mort des éléments nerveux ou par un
trouble
de nutrition irrépa- rable. La suspension doi
ins très souvent. La paralysie spasmodique est caractérisée par des
troubles
de la motilité TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈ
MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 25 et des phénomènes spasmodiques. Les
troubles
de la motilité (paralysie) sont déterminés par
vo- qués par la compression; les autres dépendent de la mort ou des
troubles
de la nutrition des tubes nerveux contre lesque
aru après 22 jours d'interruption, dans l'autre après 15 jours; les
troubles
de la marche et le signe de Romherg étaient plu
Déjà Brochin (1) admet seulement comme caractères des névroses le
trouble
spécial des fonctions nerveuses et la dépendance
que- fois que tout allait se terminer et qu'il ne s'agissait que de
troubles
fonctionnels. Le type de la fièvre a été le mêm
x, p. 275, 398, 1886. (2) A. Fabre. Les relations pathogéniques des
troubles
nerveux, p. 120, 1880. FIÈVRE HYSTÉRIQUE. ' " .
eux, qui apparurent en l'année 1885. Il n'est point douteux que les
troubles
vaso-moteurs si fréquents chez les hystériques
e l'athétose double sont tantôt les trou- ])les moteurs, tantôt les
troubles
intellectuels qui s'offrent à l'attention de l'
éer ainsi dans une certaine mesure, lorsque cela est nécessaire, au
trouble
de l'articulation des mots. Clay Scliaw et Mass
s, lobule pas adhérent. Sensibilité générale bien conservée. Pas de
troubles
tropbiques. Réflexes des poignets normaux. Ré-
tronc (Massalongo). Un de nos malades (obs. 1) présentait quelques
troubles
de la dégluti- tion el de la respiration, que n
it en troubler le jeu. Il ne s'agit donc pas à proprement parler de
troubles
adhérents à la maladie elle-même mais n'étant q
lit ou leur chaise longue ; et cela d'autant plus facilement qu'au
trouble
proprement dit de la démarche s'ajoutent quelqu
rella qui est frappant sous tous les rapports et qui nous offre ces
troubles
exceptionnels de la démarche au plus haut degré
souvent à terre sans qu'il pût se retenir à quelque objet. » Les
troubles
de la marche peuvent s'installer de bonne heure,
ité générale conservée. Pas de nystagmus ; pas de signe de Romherg.
Troubles
vaso-moteurs : les mains et les pieds sont toujou
iner les altérations osseuses de la colonne vertébrale. Mais si les
troubles
trophiques osseux sont inconnus dans l'athétose
s derniers. Parole. La parole est fréquemment altérée par suite des
troubles
moteurs de la langue, des lèvres, du voile du p
Pilliet ont beaucoup insisté sur les différences qui sépa- rent les
troubles
vocaux de l'athétose double de ceux de la scléros
dans lesquels on reconnaît facile- ment l'état spasmodique. « Les
troubles
de la parole, dit Audry, quel que soit le degré f
s ces dernières conditions. Il faut, il est vrai, remarquer que des
troubles
légers peuvent passer inaperçus à un examen rap
troubles légers peuvent passer inaperçus à un examen rapide ». Le
trouble
de la parole peut être accentué à ce point que le
sa NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dont se produisent les
troubles
en question. On voit chez eux la parole comme r
malades sont atteints à des degrés très divers ; chez les uns, les
troubles
de la parole sont assez légers pour passer inap
) ; elle peut devenir aussi de plus en plus gênée jusqu'à ce que ce
trouble
reste stationnaire à un certain degré. En génér
lorsqu'il s'agit d'un sujet atteint d'une affection nerveuse avec des
troubles
de la parole ou du mouvement. Aujourd'hui on
ont rencontré les mêmes phénomènes sous des formes différentes. 2,
Troubles
intellectuels. État mental. Clay Schaw, tout en
ent rarement leur intelli- gence. Si l'on cherche l'époque où les
troubles
intellectuels ont fait leur appa- rition, on tr
prennent, emportés par leurs mouvements involontaires et surtout le
trouble
de la parole assez accen- tué dans certains cas
et suivre une marche progressive. De plus, on peut rencontrer ces
troubles
alliés à l'épilepsie (cas de Warner et Mitchell
lades, autrement dit dans presque le quart des cas. La présence des
troubles
intellectuels existe donc dans la majorité ; ma
stérique, elles sont excessivement 3. - Symptômes accessoires. I.
TROUBLES
MOTEURS. Contractures. Nous avons vu qu'on obse
restes d'une paralysie faciale. Le cas de Rau est du même genre.
Troubles
vaso-moteurs : Ces troubles, qui sont presque la
ale. Le cas de Rau est du même genre. Troubles vaso-moteurs : Ces
troubles
, qui sont presque la règle chez les idiots, ont
r un rôle important il la fois sur les s3 mptômes locaux et sur les
troubles
épileptiques. M. le D1' Boucheron si qui nous a
conditions que nous venons d'é- tudier, rappellent de très près les
troubles
myotoniques de la contraction volontaire, dans
ouvements volontaires être plus ou moins en- través au début par le
trouble
myotonique, quelquefois même ils sont complètem
tations électriques sur la diminution et la disparition de certains
troubles
de la réaction myotonique avait déjà été signal
il a fait ressortir à ce propos t'ana- logie qui existait entre les
troubles
myotoniques des mouvements volon- taires et cer
, suiv ies des décontractions lentes, n'é- puisent que lentement le
trouble
myotonique du muscle; ainsi la ligne C inscrite
en pareil cas (voir plus Imlll, section A). A la cuisse droite les
troubles
myotoniques étaient beaucoup plus ac- centués,
ce qui se voit mieux sur les Iracés de la fignre Hi, par su i te dll
trouble
myotonique plus accentué du muscle du côté droi
ntes qui succèdent aux excitations faradiques courtes avec certains
troubles
myotoniques des mouvements volontaires, ceux prod
ar l'exécution du mouvement. C'est là, pensons-nous, deux sortes de
troubles
qui se res- semhlent et présentent l'nn avec l'
dans l'exci- tabilité des muscles par les courants faradiques-. Ces
troubles
avaient été- signalés déjà par Bernhardt (1) et
e aussi à une augmentation dans le degré de la maladie, quoique les
troubles
myo- toniques des mouvements volontaires, loin
mptômes lntlúaires et céphaliques ; 3° symptô- mes viscéraux, et 4°
troubles
trophiques. Leurs combinaisons variées repré- s
syndromes de notre série et no- tamment de ceux de la catégorie des
troubles
trophiques, des fractures, des arthropathies, d
avait éprouvé à plusieurs reprises, et cela depuis l'apparition des
troubles
articulaires, des douleurs dans les pieds et da
crois, un nombre suffisant de symptômes : signe d'Argyll Robertson,
troubles
vésicaux, douleurs fulgurantes, pour établir no
tion, comme vous pouvez l'imaginer, est atroce, insupportable. Aces
troubles
s'ajoutent d'habitude de l'anosmie et l'abolition
n'était pas due il une carie, était accompagnée de paraplégie et de
troubles
urinaires. (1) Cnuveilluer, Atlas d'anal, palho
e sens de cette dernière et le mode de début du. de répartition des
troubles
trophiques ou parétiques musculaires. Nous avon
déviation scoliotique dorsale était il convexité droite, 3 fois les
troubles
musculaires avaient 'débute par )e'côté,,droit, 2
é gauche. Sur 6 cas avec convexité dorsale' gauche, début des mêmes
troubles
1 fois par le côté droit, 5 fois parlé/côté gauch
ons recherché, sans nous préoccuper cette fois du siège initial des
troubles
140 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP1 ? rItIRE.
e prédominance unilatérale ou une symétrie assez nette de ces mômes
troubles
. Sur 7 cas de convexité dorsale droite, nous av
tion, quelques râles de bronchite, sans localisation suspecte. Pas de
troubles
cardiaques. Les bruits du coeur sont exagérés :
ffectionne pas la position couchée. Nous avons signalé l'absence de
troubles
cardiaques objectifs et subjectifs r.l la gêne
atteint le premier et demeuré le plus profondément atteint par les
troubles
musculaires, con- trairement à ce qui parait êt
ème et dernier enfant L mort-né. A. P. A l'âge de 22 ans, il a vu
trouble
pendant 15 jours, il la suite d'un refroidissem
vers janvier 1891, jambe gauche. La relation entre l'intensité des
troubles
actuels dans les divers membres répond à l'ordr
uche. La pupille droite présente un très léger degré de mydriase.
Troubles
vaso-moteurs et irophiques. Les engelures antérie
urs et irophiques. Les engelures antérieures étaient peut- être des
troubles
trophiques. La main droite. qui en était le siège
ose l'ail partie 148 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. des
troubles
dits trophiques : elle est favorisée sans doute p
médians ; c'est dire qu'il tend à la considérer comme relevant d'un
trouble
trophique. MALADIE DE MORVAN. Les déviations
er les autres symptômes, et dans un cas de Friedreich, les premiers
troubles
ataxiques apparurent à l'âge de 17 ans, alors que
ns. Les premiers symptômes tabétiques nefs semblent dater de 1870 :
troubles
de la marche, douleurs fulgurantes. « A la fin de
Le corset lui rendit la marche facile, toute réserve faite pour les
troubles
d'incoordination, et la canne devint inutile. K
tions purement cliniques de Kroenig, rentrent dans la catégorie des
troubles
trophiques osseux el articulaires que M. Charcot
xtenseurs du rachis. MM. Bourneville et Guérard. croient plutôt" un
trouble
de nutrition des os. Maladies spinales ne s'a
début des accidents avait été marqué par une « attaque » suivie de
troubles
urinaires ; puis le rachis s'était fortement in
. II EXCITABILITÉ DES MUSCLES PAR LES COURANTS GALVANIQUES. Les
troubles
de l'excitabilité galvanique des muscles, dans la
CE DE M. LE PROrr CHARCOT) 3. Symptômes accessoires [suite)*. II.
TROUBLES
SENSITIFS Sensibilité générale. Le plus souvent
II. TROUBLES SENSITIFS Sensibilité générale. Le plus souvent les
troubles
sensitifs sont absents; cependant dans quelques
s'observer au niveau des glo- bes oculaires, il s'agit toujours des
troubles
moteurs plus ou moins mar- qués dans le jeu des
olfaction. Elles peuvent être émoussées quelquefois, en raison des
troubles
psychiques ou autres ; mais en somme les troubles
is, en raison des troubles psychiques ou autres ; mais en somme les
troubles
sensitifs en général sont fort peu fréquents.
tions crâniennes et en particulier les microcéphales présentent les
troubles
intellectuels à un plus haut degré que les athé
les. De plus on observe des athétosiques sans déformations avec des
troubles
intellectuels en plus haute. Il paraît d'après
DOUBLE. 187 bien constant entre les déformations crâniennes et les
troubles
intellec- tuels chez les athétosiques. III. F
cations fortuites. Il semble qu'on doit considérer comme telles les
troubles
digestifs graves qu'Eulenburg a signalés chez s
ent chez les athétosiques doubles. Un de nos malades présentait des
troubles
de la déglutition, de temps en temps, il avalai
u dus à des complications. Les auteurs n'ont pas non plus noté de
Troubles
du côté de l'appareil respiratoire; Adseren dit
pas de (roubles notables de la miction ni de la défécation ; pas de
troubles
du côté des sphincters ; l'incontinence des matiè
e prolonge presque toujours dans ce dernier. D'habitude ce sont les
troubles
moteurs qui ouvrent la scéne consistant' essent
régions ou les extrémités envahies les dernières (Massalongo). Les
troubles
intellectuels se développent aussi lentement et
ement, et suivent dans une certaine mesure une marche parallèle aux
troubles
moteurs. Au début l'in- telligence est souvent
Nous n'a- vons pas obtenu de modifications appréciables du côté des
troubles
moteurs. '. Dreschfeld et Bourneville conseille
efforts thérapeutiques devront être dirigés plus encore contre les
troubles
intellectuels. Comme l'ont remarqué Clay-Schaw et
fié dans les deux tiers des cas d'a- près Marcé (1). On observe des
troubles
intellectuels, diminution de la mémoire, mobili
émoire, mobilité des idées, impossibilité de fixer l'attention. Les
troubles
plus graves qui peuvent survenir dans certains ca
nir dans certains cas ne nous occupent pas ici. Le plus souvent les
troubles
intellectuels cessent avec les mouvements convu
cessent avec les mouvements convulsifs. Dàns l'athétose double les
troubles
de l'intelligence datent de l'enfance (imbécill
double qu'appartiennent les déformations crâniennes et autres. Les
troubles
sensitifs nuls chez les athétosiques, existent ch
lus régulièrement progressive dans la chorée. Au point de vue des
troubles
de l'intelligence on peut les caractériser en d
le, au moins dans la majorité des cas où la maladie s'accompagne de
troubles
mentaux. En tout cas dans la chorée chro- nique
rs gesti- culations a pour effet de leur permettre d'accomplir sans
troubles
des actes intentionnels mais alors leurs mouvem
tics convulsifs, il est fréquent de rencontrer des idées fixes, des
troubles
émotifs, divers mots obsédants, arithmomanie, a
. Pourquoi une pareille confusion serait-elle possible ? à cause du
trouble
de la parole et du tremblement qui caractérisen
e et du tremblement qui caractérisent la sclérose en plaques. Les
troubles
de la parole ont en effet quelque ressemblance av
BE & C'E EDITEURS NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
TROUBLES
TROPHIQUES SYMÉTRIQUES DES MAINS ET DES AVANT-B
i que nous avons observé et qui ont été nettement rappor- tés à des
troubles
trophiques d'origine hystérique. A... est venue
ait alors d'une infection secondaire. .Nous avons alors songé à des
troubles
trophiques. Cette dernière hypo- thèse est bien
venant chez les hysté- riques. Obs. XI de la thèse d'Athanasio. Des
troubles
trophiques dans l'hystérie. NOUVELLE Iconograph
r. V. PL. X"{V. CtICHF x. PHOTQCOLLOGi ? APHIE CHIlNF lOT LONGUr
TROUBLES
TROPHIQUES D'ORIGINE probablement Hystérique LO
GINE probablement Hystérique LOUIS BATTAILLE & C,E EDITEURS
TROUBLES
TROPIIIQUES SYMÉTRIQUES 203 Paris, 1890. Deux c
tion, tant comme répartition que comme intensité et comme mode des
troubles
musculaires et tropbiques. Chez aucune de ces mal
ions médul- laires associées à la vésanie l'agent intermédiaire des
troubles
trophiques osseux et en particulier des trouble
intermédiaire des troubles trophiques osseux et en particulier des
troubles
vertébraux. Les déviations vertébrales sont en
la scoliose de Balth..... D'abord il ne saurait être question d'un
trouble
bilatéral égal et symétrique de l'action musculai
scoliose ressemble fort à certaines déviations qui re- lèvent d'un
trouble
trophique osseux. Elle se rapproche par ses carac
ôté du corps envahi le premier et le plus fortement atteint par les
troubles
musculaires syringomyéliques. Peut-être, au mom
ompensation. L'existence assez fréquente, dans la syringomyélie, de
troubles
trophi- ques osseux et articulaires variés, con
chirurgiens français, nous croyons que cette affection relève d'un
trouble
portant sur le squelette du rachis et non sur son
vation VIII (Personnelle). Hypertrophie des mains et des pieds avec
troubles
vaso-dilatateurs de ces extrémi- tés chez un hy
t appareils de l'organisme, défaut de résistance d'où résultent des
troubles
du système osseux, aussi bien que des troubles
e d'où résultent des troubles du système osseux, aussi bien que des
troubles
du système nerveux; ces deux systèmes seraient fr
e sa compagne. Veut-il changer de di- rection, faire volte-face, le
trouble
est encore plus marqué. Si on l'observe de plus
de bien-être. Les réflexes tendineux sont normaux. Il n'y a pas de
trouble
de la sensibilité. La parole est lente, tramant
es, il semble qu'il y ait un peu- moins de mobilité. -. ' Pas de,
troubles
de. la sensibilité, pas de rétrécissement du cham
t de la maladie de Parkinson, mais pendant longtemps, alors que les
troubles
étaient limités au côté droit, et surtout au me
tions par les courants faradiques, présentait chez notre malade des
troubles
de la réaction myotonique beaucoup plus accusés q
ainsi que nous l'avons constate plus haut, présentait également des
troubles
myotoniques plus prononcés de la contractilité él
, et il nous parait être la marque d'un degré plus accentué dans le
trouble
myotonique. Il n'est pas sans intérêt, non plus
10, 30 secondes ou davantage. Quelques auteurs admettent parmi les
troubles
de la contractilité galva- nique, dans la réact
prochent de plus en plus des secousses normales. Enfin un dernier
trouble
dans la contractilité galvanique des muscles, d
aux conditions de l'excitabilité hormale. - Nous avons observé ces
troubles
de la contractilité musculaire sur un ma- lade
action puisse être d'une grande importance dans certains cas où les
troubles
myotoniques de la motilité volontaire sont peu
re pen- dant la grossesse, accouchements difficiles), ainsi que les
troubles
intellec- tuels. En prenant les observations "e
dans l'a- thétose double et ne s'accompagnent naturellement pas de
troubles
intel- lectuels, ni de troubles de la parole. E
s'accompagnent naturellement pas de troubles intel- lectuels, ni de
troubles
de la parole. Enfin la démarche spasmodique des
et le 12 août elle sortait de l'hôpital complètement guérie de son
trouble
moteur. On ne peut nier cependant que l'hystéri
arition rapide et brusque, les symptômes accessoires, l'absence des
troubles
cérébraux, des secousses de la face et des déso
ls n'occupent pas la face el ne s'accompagnent nalurellemenl pas de
troubles
cérébraux. De plus, ces mouvements athétoïdes p
LA SALPÊTRIÈRE. UN CAS D'HYPERTROPHIE DES PIEDS ET DES MAINS AVEC
TROUBLES
VASOMOTEURS DES EXTRÉMITÉS CHEZ UN HYSTÉRIQUE N
géré des mains et des pieds accompagné de douleur, de parésie et de
troubles
vaso-dilatateurs. Ce cas nous a paru intéressant
E ( ? H £ NE & LONGUET Hypertrophie DES PIEDS ET DES mains avec
TROUBLES
VASO-MOTEURS CHEZ UN HYSTÉRIQUE (COMPARAISON
n). Il n'y a pas de tremblement. On ne constate pas actuellement de
troubles
trophiques, mais D... raconte qu'il a eu, il y
s grands et très gros (PI. XXXIII) ; ils présentent égale- ment des
troubles
vasomoteurs caractérisés par de la cyanose qui re
itaux n'offrent rien de particulier à signaler. Enfin il n'y a pas de
troubles
psychiques, mais l'intelligence est plutôt au-d
offrant en outre, au niveau des extrémités, de l'hypertrophie, des
troubles
parétiques, douloureux et vasomoteurs. Il ne se
arétiques, douloureux et vasomoteurs. Il ne semble pas que tous ces
troubles
relèvent de la névrose, bien que les phénomènes
une part, dans l'érythromélalgie il n'y a pas d'hypertrophie et les
troubles
vasomoteurs se caractérisent non plus par la cy
observation : c'est le prélude par la syn- cope locale, ce sont les
troubles
trophiques sur l'existence desquels nous ne pou
se sur le compte de l'hystérie, pas plus que sous la dépendance des
troubles
vaso- moteurs ; quant à ces troubles vasomoteur
lus que sous la dépendance des troubles vaso- moteurs ; quant à ces
troubles
vasomoteurs eux-mêmes, à la rigueur, ils pourra
e Dr Monod. A cette époque il présentait aux mains et aux pieds des
troubles
trophiques et des déformations qui ont été minu
évrite périphérique. Depuis la publication de cette observation les
troubles
morbides ont évolué. Ce malade a eu un quatrièm
ements passifs de flexion, d'exten- sion et d'abduction. Malgré ces
troubles
moteurs, la marche est possible : elle est cepe
T, V PL. XXXVI. Phototype X PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne & Longuet
Troubles
TROPHIQUES dans la syringomyélie TYPE MORVAN
esthésiques, la sensibilité musculaire et articulaire est abolie.
Troubles
trophiques et déformations. - Les planches ci-joi
t. V. PL. XL. PHOTOTYPE X. PHOTOCOLLOGRAPHIE CHLNC & Longuet
TROUBLES
TROPHIQUES dans la syringomyélie TYPE MORVAN
ennent assez souvent dans le jeune âge et laissent à leur suite des
troubles
cérébraux. Pareils faits semblent se rencontrer q
rébrale, il est incontesta- ble que certains malades présentent des
troubles
moteurs (mouvements involontaires), presque ana
éciale sont indemnes. Contractilité électrique, n'est pas explorée.
Troubles
vaso-moteurs, les mains surtout toujours rouges e
leur bilatéralité, la présence de tous les symp- tômes accessoires (
troubles
du langage, de l'intelligence, etc.) suffisent po
inaire qui doit décider de la nature organique ou fonctionnelle des
troubles
neneux, le chirur- gien lui-môme qui doit faire
. Mais son point de vue est un peu spécial et trop subor- donné aux
troubles
psychiques. Parmi les médecins actuels qui s'oc
M. Hardy et Peter ont af- firmé, contre M. Magilot, l'existence des
troubles
de la dentition chez les enfants, mais sans pou
est très difficile d'apprécier et de limiter ce que l'on entend par
troubles
psy- chiques chez de jeunes enfants, alors que
rs et rires faciles, et qui sont regardés par les auteurs comme des
troubles
psychiques. Celle impressionnabilité qui constitu
tremblements, une rémiz plégie ou une monoplégie, encore moins des
troubles
profonds de la sen- sibilité. Enfin, pour enlev
ns prononcées des membres, l'hé- michorée et 1'liéniialliétose, les
troubles
delasensibilité, lesattaques épilep- tiformes,
se, les troubles delasensibilité, lesattaques épilep- tiformes, les
troubles
intellectuels et l'aphasie. Il entre donc dans le
rie simulatrice, nous devons retenir encore l'existence possible de
troubles
de la sensibilité dans la maladie organique et à
a maladie organique et à plus forte raison dans l'hystérie dont ces
troubles
constituent un des stigmates essentiels. Enfin,
ces troubles constituent un des stigmates essentiels. Enfin, si les
troubles
intellectuels et l'aphasie manquent souvent dans
ie ne produira chez les enfants, à notre connaissance du moins, des
troubles
trophiques aussi graves que ceux qu'on rencontr
est jamais aussi grande que dans l'hémianesthésie hys- térique. Les
troubles
des sens spéciaux sont extrêmement rares dans le
s, ils sont fréquents dans le second. Enfin, si on était en face de
troubles
intellectuels et d'attaques comitiales, ce qui
bonne santé et les principales fonctions s'accomplissent bien ; aucun
trouble
de la miction ni de la défécation. De plus, la
ensibilité et de la nutrition donne les résul- tats suivants ; I.
Troubles
DE la motilité. Attitude de repos. Dans l'attitud
lexes sont normaux du côté gauche, la force musculaire intacte. II.
Troubles
DE la sensibilité. - Sensibilité générale. La sen
es des membres et même, à un examen superficiel, d'une apparence de
troubles
trophiques avec raccourcissement du membre infé-
dé repos et dans les actes volontaires ; l'absence d'épilepsie, de
troubles
intellec- tuels et d'aphasie, l'absence de défo
iques, et, chose curieuse ! jusque dans les moindres détails de ses
troubles
fonctionnels. Vous avez observé la marche du ma
s deux yeux. (Fig. 45). L'étude de la vue nous a en outre révélé un
trouble
intéressant. Il y a quelques années» le Dr Pari
mal. Telle est la polyopie monoculaire spéciale, qui associée à des
troubles
sen- soriaux ou sensitifs produira une base d'a
III. Poursuivons notre examen. Jusqu'ici nous avons rencontré : un
trouble
de la sensibilité qui intéresse la moitié gauche,
ine. A côté de ces altérations de la sensibilité, nous trouvons des
troubles
sensoriels de l'ouie, de l'odorat, du goût et d
pas ici de phénomè- nes capricieux, des symptômes incohérents, des
troubles
désordonnés, per- mettez-moi l'expression ; mai
sug- gestion traumatique. Au moins dans quelques-uns de ces cas, le
trouble
nerveux est le résultat d'une lésion réelle des
te de la sensibilité. D'autre part l'explication de l'ataxie par un
trouble
de la coordination des LA FARADISATION THÉRAPEU
ue. Les mouvements anormaux des tabétiques ne res- semblent pas aux
troubles
de la coordination qui suivent l'extirpation des
a coordination qui suivent l'extirpation des organes coordinateurs,
troubles
qui sont décrits par les physiologistes. Dans l
n phénomène d'un autre ordre que l'ataxie proprement dite. C'est un
trouble
de l'innervation. Chez les tabétiques l'innervati
bilaté- rale -), par Delprat, 38 ; (Fièvre -), par Estevès, 43 ; (
Troubles
trophiques symé- triques des mains et des avant
Veillon, 201 ; (Un cas d'hypertrophie des pieds et des mains avec
troubles
vaso-moteurs chez un -), par Souques et Gasne,
xie ), 1, 33, 36, 3-1 ; Ilypertrophie des pieds et des mains avec
troubles
vaso-moteurs chez un -), 38 ; (Syndrome simulan
(Syndrome simulant l'hémiplégie spasmodique enfantile), 41, 42 ;
Troubles
trophiques des mains et des avant-bras d'origin
ableau égaré de -), 15. Syringomyélie (Scoliose dans la -), 23 ; (
Troubles
trophiques dans la -), 39, 40. Ventouseuse (La)
e très petite étendue, mais facilement visibles néan- moins. Pas de
troubles
bien accentués dans la position et les mouve- m
t seize ans, d'un accident grave qui semble avoir été l'originè des
troubles
divers qu'il- a présentés depuis. Voici ce qu'i
ses mouvements, lorsqu'il fut pris trois mois après d'une série de
troubles
qui se développèrent successivement dans' le co
embre inférieur et du membre supérieur du côté droit; ' Enfin des
troubles
Irophiques qui ont pour siège la main droite le
ôté correspondant. ]Nous avons pu observer à plusieurs reprises ces
troubles
trophiques depuis que le malade est entré dans
in droite que l'éruption se produit le plus souvent. ' Ces divers
troubles
, faiblesse des membres du côté droit, douleurs
et l'épaule droite, crises névralgiques accom- pagnées de diplopie,
troubles
trophiques, etc., tiennent depuis quinze ans ce
fait progressivement . dans le cours de ces dernières années. Les
troubles
de la motilité sont les suivants : nystagmus très
tre eux de nombreuses analogies. Chez tous deux nous retrouvons des
troubles
trophiques fort accentués, panaris véritables c
es supérieurs et infé- rieurs. En même temps, elle eut une série de
troubles
oculaires d'ordre inflammatoire (sur lesquels d
tranversal ; mais il n'y a ni modifications pupillaircs, ni autres
troubles
oculaires quelconques. Cette exophthalmie donne
ite patiente. Elle ne souffre plus de ses articulations, n'a pas de
troubles
car- ut. 2 18 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
de surdité, dé date récente paraîtrait-il/ Il n'y a non' plus aucun
trouble
de la sensibilité soit générale ou spéciale- (f
E MUSCULAIRE CONSIDERABLE RHUMATISME ARTICULAIRE CHRONIQUE. 10 de
troubles
visuels, aucun autre symptôme qui puisse faire cr
le service de M. le professeur Potain et qui présentait, à côté de
troubles
hystériques, un tremblement du membre supérieur
e dissipe spontanément. Il est très peu de malades chez lesquels le
trouble
des mouvements reste permanent, mais il se repr
entend des sifflements dans ses oreilles; et quand cet ensemble de
troubles
qui caractérisent l'aura hystérique s'est prolong
que de reconnaître la nature hystérique d'un tremblement lorsque ce
trouble
fonctionnel coexiste avec les diffé- rents stig
e heure ou deux. Ce n'est alors qu'un phénomène post- convulsif, un
trouble
moteur passager qui n'attire pas toujours l'atten
mois. En pareil cas, s'il est quelque peu accentué, il constitue un
trouble
moteur impor- tant, un symptôme marquant et ten
des membres inférieurs ne laissaient rien à désirer. Tels sont les
troubles
moteurs que nous avons vu se développer à plusi
crudes- pence, du tremblement. - . Cette remarque étant faite, ce
trouble
fonctionnel très particulier (dérobement des ja
vibratoire qu'a décrit M. P. Marie. C'est précisément parce que ce
trouble
moteur (dérobement de jambes) se voit communéme
avons cru devoir signaler avec quelque insistance l'existence de ce
trouble
fonctionnel chez nos deux hystériques. On compren
Lui-même n'avait jamais été malade avant l'apparition des premiers
troubles
nerveux qui marquèrent le début de son 44 NOUVE
attacha pas d'importance, n'est pour rien dans le développement des
troubles
nerveux qu'il a présentés plus tard. Le fait est
te du nom de « purpura » lors qu'il existe con- curremment d'autres
troubles
vaso-moteurs, épistaxis, meloena, phéno- mènes
ation. C'est le rêve de l'attaque qui peut produire directement les
troubles
physiques, une paraplégie si le malade a cru to
e de course prolongée ». «Hystériques, dit M. Mobius3,sont tous ces
troubles
morbides du corps qui sont causés par les idées.
cas associés', nous voudrions dire quelque mots de l'influence des
troubles
, des stigmates physiques,sur ce que nous appell
subitement sa force dyna- mométrique normale, en l'absence même de
troubles
trophiques, et les stigmates sensitifs persiste
nsitifs persistent bien longtemps encore après la dispa- rition des
troubles
moteurs. Telles sont les réflexions que nous in
pèces de pollutions féminines « sont habituellement accompagnées de
troubles
névropathiques tels que des névralgies, de l'hy
corps vertébraux par le tissu cancéreux. De là toute une série de
troubles
dans lesquels l'élément pa- raplégique est rela
ris le lit ou le fauteuil, elle est sujette de temps en temps à des
troubles
vésicaux consistant en envies fausses d'uriner.
les gênent la malade pour marcher, sont en grande partie cause du
trouble
de la démarche que nous allons décrire plus bas e
taines manoeuvres, ainsi qu'on le verra plus loin. Démarche. - Le
trouble
de la démarche consiste en ceci : la malade s'é
Il existe plutôt un certain degré d'amaigrissement général. Pas de
troubles
de la sensibilité. La piqûre, le contact sont par
qu'aux membres, au contact, à la température, à la douleur. Pas de
troubles
grossiers de la vision, de l'audition, du goût,
veau. Enfin le malade maigrissait, il avait peu d'appétit. Tous ces
troubles
per- sistèrent pendant les mois de décembre 188
' d'aslasie-abasie incomplète ou en voie de guérison. Toutefois ces
troubles
n'existent pas chez IIacq... d'une façon perman
gêne que peu ou point les mouvements du sujet, il apporte alors un
trouble
notable dans l'accomplissement des actes usuels
s battements dans les .tempes, sa face se con- gestionne, sa vue se
trouble
, le regard devient fixe et l'attaque commence..
ques secousses dans les membres. Il ne perdit pas connaissance. Ces
troubles
se calmaient pendant quelques heures, puis repa
des effondrements l'ont précipité à terre. Avec l'amélioration des
troubles
fonctionnels dont ses membres inférieurs avaien
ire si, à ce moment, elle avait des attaques convulsives. Comme ces
troubles
persistaient, elle se décida, au bout d'une qui
un embonpoint'modéré et un bon état de la santé générale malgré les
troubles
anorexiques et les vomis- sements dont elle a s
présentait à son entrée exis- tent toujours. 1 z15 octobre. -Les
troubles
précédents se sont notablement amendés. 1 1 L
X... vingt-cinq ans, vient à Paris consulter le Dr Auvard, pour des
troubles
utérins (octobre 1888). La mère de la malade a
qui, ne trouvant aucune altération de ces organes et pensant à des
troubles
purement nerveux voulut bien demander à M. Gill
rères sont actuellement bien portants et n'ont jamais eu le moindre
trouble
nerveux. . Antécédents personnels. - Quoiqu'il
ettres qu'il écrivit dans les premiers mois ne témoignaient d'aucun
trouble
psychique et sa famille ne remarqua rien de parti
à partir de ce moment qu'on commença à constater chez lui quelques
troubles
psychiques. Il écrivit peu à sa famille et son
son père, n'était plus la même, mais rien cependant ne révélait de
trouble
mental. Bientôt, il ne donna plus de ses nouvel
uvert de pytiriasis vcrsicolor. - Pas de réflexe pharyngien, pas de
troubles
de la sensibilité générale. Champ visuel normal
où III.. 8 114 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DÈ LA SALPÉTRIEttË. ces
troubles
ont débuté, elle éprouve de petites pertes de con
très peu accentués chez celle malade. Il existe néanmoins un léger
trouble
de la sensibilité dont la présence acquiert ici
ynx, sensation de boule remontant de l'estomac à la gorge. Pas de
troubles
sensoriels. La vue est parfaitement conservée et
n à 20 et la température oscille entre 37° et 37°2. Il existe des
troubles
vaso-moteurs assez marqués aux extrémités qui s
ités qui sont toujours froides et violacées, mais il n'existe aucun
trouble
trophique. Toutefois il perd ses cheveux d'une
tiques avec masturbation effrénée, et au point de vue physique, les
troubles
vaso-moteurs, la cyanose des extrémités, tout cel
gâtisme dans lequel est tombé notre malade prouve également bien le
trouble
profond de la volonté chez lui. La mémoire es
culièrement les douleurs fulgurantes, l'incoordination motrice, les
troubles
génito-urinaires, sans qu'il y ait de changement
troubles génito-urinaires, sans qu'il y ait de changement dans les
troubles
oculaires et le signe de Wcstphall. 30 à 35 res
lle; les névrites multiples observées dans quel- ques-unes sont des
troubles
trophiques à l'égal de l'atrophie muscu- laire
des muscles des yeux, de la langue, du pharynx et de la face. Aucun
trouble
de la sensibilité ni des organes des sens, ni d
a température oscille entre 38 et 39°; on observe de -plus quelques
troubles
vésicaux et la formation d'une escarre. Dès le
es. Les réflexes tendineux sont abolis. Sensibilité intacte. Pas de
troubles
des sphincters ni de décubitus. Peu de temps
cher et de se servir de ses membres supérieurs. Il n'existait aucun
trouble
ni de la sensibilité, ni des sphincters. A l'
trée de la malade à l'hôpital, en février 1887, on constata que les
troubles
portaient exclusivement sur la motilité. Il exist
ns de la vessie et du rectum sont respectées. , Il n'existe aucun
trouble
dans la sphère des nerfs crâniens ni bulbaires.
et les lèvres restassent indemnes. 11 survint en der- nier lieu des
troubles
de la respiration, et la malade succomba trois
le se plaint de fatigue, est découragée, mange peu. Il n'y a pas de
troubles
sphinctériens; ceux-ci se montrèrent plus tard,
A SALPÈTRIÈRE. En octobre, cette petite rémission disparaît, et les
troubles
aug- mentent. Elle accuse quelques douleurs aux
lexes cutanés sont conservés à la plante du pied et aux jambes. Les
troubles
s'aggravent, la respiration est de plus en plus d
orsque la paralysie résulte-d'une section totale du nerf facial. Ce
trouble
est moins marqué dans la paralysie dite a frigo
rté un exemple chez un homme d'une quarantaine d'années, sans autre
trouble
d'ail- leurs. Ce singulier spasme coïncide géné
e physique par M. Byrom l3ramwell°- chez deux individus affectés de
troubles
mentaux et le même auteur a observé la combinai
ion n'avait pas été appelée sur'ses yeux'; il n'est pas sûr que les
troubles
actuels soient de date récente. Depuis quelques
lement assez facile de. l'étudier.. ? ', ' Il ne présente aucun des
troubles
viscéraux qu'on peut rattacher au goitre exopht
bles viscéraux qu'on peut rattacher au goitre exophthalmique, aucun
trouble
cardiaque; 'le pouls, examiné à différentes rep
et de de Graefe sont bien carac- térisés et il n'existe aucun autre
trouble
pouvant être rattaché au tableau du goitre exop
endue de sclérotique. Ces deux malades ne présentent non plus aucun
trouble
qui puisse être rapporté au goitre exophthalmique
lmique. cl. Féré, Médecin de Bicètre. 1. G. Ballet. De quelques
troubles
dépendant du système nerveux central observés c
ois ans. Jusqu'à sept ans, elle a été continuellement sujette à des
troubles
digestifs, vomissant tout ce qu'elle prenait. O
laques dysesthésiques aux deux poignets. Il n'existe en outre aucun
trouble
du côté de la peau. L'ouïe, l'odorat et le go
des maladies du système nerveux. ÉTUDE PHYSIOLOGIQUE DE QUELQUES
TROUBLES
D ARTICULATION L'opinion généralement admise qu
LQUES TROUBLES D ARTICULATION L'opinion généralement admise que les
troubles
de l'articulation peuvent exister sans altérati
ervation tout à fait superficielle. Si en effet, dans bon nombre de
troubles
de l'articulation, la langue paraît capable d'e
dans l'hémiplégie par lésions organiques que dans l'hémiplégie par
trouble
soi-disant dynamique des hystériques. Lors- qu'
. 170 N0U\ELLE ICONOGRAPHIE DE LA Salpêtrière. Cartaz) d'un autre
trouble
d'articulation qui s'accompagne aussi de parési
oient dues à des lésions anatomiques grossières du cerveau ou à des
troubles
dits fonctionnels d'origine indéterminée. La fa
é l'affaiblis- sement de la langue dans ce vice d'articulation, les
troubles
grossiers de la motilité de la langue chez les
plus simples paraît en effet indiquer la voie du traitement de ces
troubles
, qu'ils soient congénitaux ou acquis. Lorsqu'il
et les Epileptiques, in-8°, 1890, p. 172. ÉTUDE PHYSIOLOGIQUE DE
TROUBLES
D'ARTICULATION. 171 procède par des exercices q
érêt au point de vue de l'étude des conditions physiologiques des *
troubles
de la parole et, en particulier, de l'articulatio
A la suite des attaques, les épileptiques présentent souvent des
troubles
de l'articulation, du bégayement, du bredouilleme
tiques d'ailleurs conservent d'une manière permanente ces divers
troubles
qui ne font que s'exagérer dans la période postpa
s'exagérer dans la période postparoxystique. Quelquefois ces divers
troubles
se combinent; mais le plus remar- quable et le
n particulier sur lapénultième des mois polysyllabiques. Ces divers
troubles
de la parole coïncident avec une faiblesse très é
aroxysmes, ou appa- raissent seulement alors s'il n'existait pas de
trouble
permanent de la prononciation. La faiblesse et
permanente de la parole : les caractères de ÉTUDE PHYSIOLOGIQUE DE
TROUBLES
D'ARTICULATION. 173 Fie. 48. - Courbe de la pro
comme on le voit .sur la figure 50. 'Il est il remarquer que ces
troubles
de la motilité de la langue ne 'sont pas les se
aussi la fatigue des muscles chargés de régler l'expiration'. Les
troubles
de la parole des épileptiques et en particulier l
usqu'à une période avancée et même quel- quefois jusqu'à la finales
troubles
moteurs qui'ilsi présentent sont sur- tout de f
ulture intellectuelle. 'Pas plus que l'instabilité des mains et les
troubles
de la marche, les ' troubles du langage ne sont
lus que l'instabilité des mains et les troubles de la marche, les '
troubles
du langage ne sont dus chez les paralytiques géné
nt dus chez les paralytiques généraux à tune paralysie. Ce sont des
troubles
ataxiques ou spasmodiques. Les graphiques fourn
sflénéraux (/lev. scienli ? 1881, p. 74). Christian, De la nature des
troubles
musculaires dans la paralysie générale, 1881. -
lltoyralia (Heggio-Eillilia, 1885, p. 20). ÉTUDE PHYSIOLOGIQUE DE
TROUBLES
D'ARTICULATION. 175 Fig. 53. rIG..n'4. FIO.
autés, mais je serai assez heureux si je puis mettre en lumière les
troubles
nerveux, les phénomènes respiratoires et les lé
ficilement. Certaines cellules présentent une véritable tuméfaction
trouble
: toutes offrent des différences de volume entre
res où elle est froide, et où la malade a constamment l'onglée. Ces
troubles
vaso- moteurs, oedème des pieds et de la main g
btient une crépitation qui indique une arthrite peut-être due à des
troubles
trophiques. 19 janvier. Partie à la Salpêtrière
duit de notable au point de vue des phénomènes nerveux sinon que le
trouble
nerveux amyotrophique, tout en y restant canton
n voulu nous communiquer : Etat de A. P... le 2janvier 1889. - Ni
troubles
de la sensibilité, ni troubles trophiques. Ma
at de A. P... le 2janvier 1889. - Ni troubles de la sensibilité, ni
troubles
trophiques. Mains : atrophie localisée presque
flexes rotu- liens abolis. Pas de contractions fibrillaires. Pas de
troubles
vésicaux, ni oculaires, ni sensoriels. Etat sta
réseau très riche de capillaires dont l'endothelium est tuméfié et
trouble
. On remarque aussi, entre les cellules sériées qu
comyéliques postérieurs rappelant le tabes, d'un cas de tabes avec
troubles
anormaux de la sensibilité, ou encore d'une combi
rendre en plusieurs fois. ' En même temps apparurent les premiers
troubles
trophiques cutanés, caractérisés par des bulles
beaucoup de peine à se boutonner; mais cela tient beaucoup plus aux
troubles
de le sensibilité qu'aux désordres moteurs, non
is par instants il lui semble que la face plantaire est glacée. ·
Troubles
de la sensibilité. Sensibilité tactile (Fig. 64,0
établie du même coup pour un temps très court, comme la première.
Troubles
oculaires (examen de M. Parinaud). - Pas de dévia
les doigts à dix centi- mètres. A l'ophtluUmoscope on distingue un
trouble
laiteux qui pourrait tout d'abord faire croire
élancements par accès dans les membres inférieurs; il présente des
troubles
vésicaux, une abolition des réflexes, une démarch
t diversement modifiée dans les né- vrites. Dans un travail sur les
troubles
de la sensibilité d'ori- gine périphérique et l
J, XIV, p. 33G. 222 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTHICRE. Les
troubles
de la sensibilité présentés par notre malade pour
is des fourmillements apparurent dans la jambe et dans le bras. Les
troubles
parétiques augmentèrent gra- duellement jusqu'a
'hni peu accentués, mais existent encore néanmoins. Il n'y a pas de
troubles
nets de la démarche, mais une diminution assez
une pour un même mouvement. '\ Chez notre malade il s'agit d'un
trouble
du même ordre mais qui détermine une symptomato
l'obstacle au mouvement de l'oeil droit. Mais là ne s'arrête pas le
trouble
fonctionnel. Si l'on continue à solliciter le d
fille de porter un diagnostic positif basé sur la connaissance des
troubles
dont elle est atteinte ? Au premier abord on es
de cette lésion protubérantielle dont la présence nous explique les
troubles
présentés par notre malade ? Les symptômes rela
et spéciale, explorée avec soin à diverses reprises, n'offre aucun
trouble
appréciable. , . Le malade, est traité par la s
r, chez les sujets atteints de sciatique déformante, l'existence de
troubles
névropathiques héréditaires ou acquis, et de voir
n aux dartres, chez les sujets qui souffrent il un certain degré de
troubles
gastriques, avec fétidité de l'haleine, état sahu
iques, avec fétidité de l'haleine, état sahur- ral, etc. Contre ces
troubles
les purgatifs salins constituent un palliatif i
les intestinaux déterminée par le médicament. Une grande partie des
troubles
digestifs et des troubles généraux du bro- mism
par le médicament. Une grande partie des troubles digestifs et des
troubles
généraux du bro- misme peut êlre mise sur le co
e il cause des manifestations cutanées, souvent douloureuses et des
troubles
gastro-intestinaux, quelquefois précur- seurs d
et variées des membres dans une période très avancée ; 5° Pas de
troubles
des sphincters, ni de la santé générale. 1. Voy
usquement; ce sont tout d'abord, pendant une huitaine de jours, des
troubles
généraux de la nutrition, et des désordres du côt
ique. ' Ce sont l'état général grave, le délire, les oedèmes et les
troubles
vaso-moteurs. Cet état d'adynamie, de cachexie
troubles vaso-moteurs. Cet état d'adynamie, de cachexie même, avec
troubles
gastriques très accusés, diarrhée et vomissemen
est ainsi du délire intense nécessitant l'emploi de la camisole. Ce
trouble
est signalé dans l'observation de M. Déjerine et
dans notre observation, ils paraissent avoir été cachectiques. Les
troubles
qui ont été surtout l'objet des études attentives
nt exactement la nature de ces oscilla- : tions thermiques. Or, des
troubles
vaso-moteurs tout à fait compa- rables ont été
érébrale. Ce sont, d'une part, des paralysies amyotrophiques et des
troubles
de la sensibilité, d'autre part de l'agitation
encore laisse une paralysie amyotrophique stationnaire. Ce dernier
trouble
présente aussi des améliorations. On voit que n
t plus ou moins ou restent stationnaires. Quoi qu'il en soit, les
troubles
de la nutrition et les phénomènes cérébraux ont
Èltl : . dans la pathologie humaine, rapportait des observations de
troubles
trophiques bilatéraux survenus chez des chiens
riques et de la moelle épinière lui a fait rapporter logiquement le
trouble
amyotrophique à l'altération du cerveau. Ce fai
es cas de ce genre (polynévrites amyotro- phiques s'accompagnant de
troubles
psycho-moteurs). 5" Il ne nous paraît pas possi
s de réseauveineux superficiel, pas de cordons lymphatiques. Pas de
trouble
trophique ni de la sensibilité, sauf une douleur
parésie légère du nerf facial de chaque côlé. Urine normale. Pas de
troubles
de la sensibilité. Organes des sens normaux. Rien
Ophthalmoplégie unilatérale avec anesthésie du trijumeau et divers
troubles
de la déglutition (Hirschberg2). Un homme vigou
tassium, la strychnine et d'autres médications n'ont pu modifier les
troubles
morbides, qui sont devenus stationnaires. Vu
ette attaque subaiguë continua sans vertige, sans céphalalgie, sans
troubles
du sensorium ni vomissements. Plus lard seulement
e activité et se surmenait. C'est alors que survinrent les premiers
troubles
oculaires. Le Dl' )lever consulté, constate d'a
cune secousse fibrillaire dans les lèvres ni dans la langue. Pas de
troubles
de la sensibilité, ni sur la face ni dans la bouc
Le réflexe pharyngien est très développé. Pas de céphalée. Pas de
troubles
intellectuels quelconques. Pas de troubles vési
Pas de céphalée. Pas de troubles intellectuels quelconques. Pas de
troubles
vésicaux. Rien aux membres; pas de parésie ni d
nouveaux symptômes bulbaires : pas d'accélération du pouls, pas de
troubles
cardiaques ni respiratoires. II n'y avait toujour
la maladie il y trois ans par l'apparition lente et progressive du
trouble
de la parole. Il y a deux ans les yeux se prirent
c'est depuis trois ans que l'amaigrissement a fait de tels progrès.
Trouble
de la parole extrêmement prononcé. Elle ne peut a
de la Tourette, 94. Articulation(Etude physiologique de quelques
troubles
d' -), par Ch. Féré, 168. Bromuration et antise
ose en plaques, 44, 45, 46. Syringomyélie, 47, 48, 49, 50. Tabes (
Troubles
trophiques dans le -), 33. Tombeau de sainte Ma
erne de la cuisse, 13,14. Articulation (Tracés représentatifs des
troubles
d'-), 45, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56.
délires étudiés par MM. Klip- pel, Lévi et M. Faure, il existe des
troubles
délirants, d'al- lure plus tranquille, en rappo
dans des cas plus aigus 3. IL- Dans une excellente revue sur « les
troubles
mentaux de l'urémie», M. le docteur Toulouse 's
plication de ce fait, attirent assez rarement l'atten- tion sur les
troubles
de leurs fonctions physiologiques, aussi est-il
tal seul attire toute l'attention du médecin. Toute- fois parmi les
troubles
psychiques par auto-intoxication, les délires d
du doigt mort, les sifflements et les bourdonnements d'oreille, les
troubles
visuels, les épistaxis, les vomissements, la dy
De plus il ne suffit pas de constater chez un sujet, d'une part des
troubles
psychiques, d'autre part des signes d'in- suffi
le professeur Joffroy 1, la coexistence de trou- bles rénaux et de
troubles
délirants peut se rencontrer dans trois cas 1"
sa vésanie ; 3° Une albuminurie existante crée de toutes pièces des
troubles
mentaux, temporaires ou définitifs, suivant la
cadre de notre étude. Suivant la classification de Koeppen1, les
troubles
mentaux accompagnant l'albuminurie peuvent être
mélancolie survenant depuis 9 ans. D'après leur allure clinique les
troubles
délirants d'origine ' Koeppen. De l'albuminurie
e consécutif aux grandes infections, délires autotoxiques, tous ces
troubles
psychiques d'origine toxique qui frappent des s
équemment incriminé, n'agissent directe- ment sur la production des
troubles
cérébraux que dans les cas aigus (ivresse délir
ns organiques produites par l'alcool. L'insuffisance hépatique, des
troubles
gastriques d'origine éthylique peuvent développ
qu'une perméabilité douteuse ; et que le retard correspond « à des
troubles
purement fonctionnels provoqués par un spasme d
insi dire «déflorés. » Dans les cas chroniques il peut constater un
trouble
mental persistant après une lésion rénale guéri
des Ca... et Sch..., aujourd'hui déments et également atteints de
troubles
rénaux ? Il faudrait pour déterminer au juste ce
fisait a le rendre malade. Il y a un an, il fut brusquement pris de
troubles
respira- toires qui le forcèrent à suspendre so
ne s'est jamais rétabli complètement depuis cette époque. Mais aux
troubles
d'abord exclusivement physiques qu'il présenta
ée, oedème généralisé) s'a- joutèrent, au début du mois de mai, des
troubles
délirants dont l'apparition coïncida, a remarqu
inte d'un certain degré de tremblement fibrillaire. Il n'y a pas de
trouble
de la parole, mais le malade cherche ses mots,
it de la gauche. La langue est saburrale. La parole rare, mais sans
troubles
réels. Le malade qui est d'origine suisse parle
la démarche est normale. Les grands appareils ne présentent pas de
troubles
notables, toute- fois, le foie parait à la perc
part, il est impossible de ne pas être frappé de la coïncidence des
troubles
délirants et des troubles urémiques et de leur
ne pas être frappé de la coïncidence des troubles délirants et des
troubles
urémiques et de leur disparition simultanée. L'
ut à remplir au point de vue de l'enseignement et du traitement des
troubles
psychiques ne nécessitant pas l'internement et po
ofesseur Sommer. M. Sommer, après une vue d'ensemble sur les divers
troubles
psychiques, a étudié en premier lieu les psycho
opatho- logie a été inspirée par le désir d'appliquer à l'étude des
troubles
psychiques la méthode expérimentale et de combl
our analyser, mesurer et reproduire les diverses manifestations des
troubles
cérébraux, mais il en a montré les utiles résul
rique est annexée une clinique externe pour les nerveux atteints de
troubles
psychiques. II. Admission des malades. § 2. La
rais de séjour. c. Un certificat du maire constatant l'existence de
troubles
psychiques et relatant les faits qui motivent c
tégories de mouvements, et de la suggestibilité qui consiste en des
troubles
morbides de l'activité volontaire. En réalité
le. A l'asile on constate une faiblesse musculaire généralisée, des
troubles
du lan- gage, de la confusion mentale; on diagn
granulations de Pacchioni très accusées. La pie-mère épaissie et
trouble
s'enlève très aisément. Circonvolutions grosses.
chloroforme fut examinée et repoussée, heureusement, en raison des
troubles
cardiaques. 3° Il est très difficile chez les a
ausée par l'abcès. Chez le premier malade, c'est la constatation de
troubles
allô- niques, des vertiges, du strabisme qui a
encontre ordinairement, il convient de mettre en première ligne les
troubles
visuels dus, soit à l'hypérémie, soit à l'eedèm
uro-rétinite. Dans l'observation qui fait l'objet de ce travail les
troubles
visuels concomitants des symptômes cérébelleux
ie que présentait la malade survécurent à la disparition des autres
troubles
organiques ce qui semble prouver qu'ils n'étaie
s deux types cliniques (nystagmus, déviation vertébrale, absence de
troubles
de sensi- bilité, intégrité du goût, de l'ouïe,
ière de la compression ; 4° Le mécanisme par lequel surviennent des
troubles
fonctionnels ou des lésions histologiques de la
lexe, car il est vrai- semblable que, dans la majorité des cas, des
troubles
vasculaires (ischémie, stase sanguine, oedème)
une ulcération de la face inférieure du gros orteil gauche. Pas de
troubles
radiculaires de la sensibilité. Incoordination lé
es quatre membres. L'intelligence était intacte, il n'y avait aucun
trouble
moteur de la face, pas d'épilepsie, pas de trou
n'y avait aucun trouble moteur de la face, pas d'épilepsie, pas de
troubles
de la parole, rien du côté des sphinc- ters, se
e ou tronculaire associée à une hémiplégie alterne sensitive, à des
troubles
moteurs consistant non dans la perte de la forc
rs consistant non dans la perte de la force segmentaire mais en des
troubles
de la motilité tels' qu'in- coordination, asyne
ente deux malades atteints de raideur de la colonne vertébrale avec
troubles
des mouvements des membresinfé- rieurs abolitio
i- quement à la suite d'un traumatisme. Plus tard, apparurent des
troubles
mentaux sous la forme de catatonie agitée. Réac
es phénomènes catatoniques ou échopraxiques sont par excellence des
troubles
psycho-moteurs, qui témoignent d'une insuffisan
rice est une méthode de traitement qui a pour but la correction des
troubles
moteurs. Elle tend à suppri- mer les actes auto
-motrice n'est pas moins profitable aux sujets, qui, par suite d'un
trouble
mental, se croient dans l'impos- sibilité d'exé
roduire sans l'intervention d'une toxine, simplement par suite d'un
trouble
fonctionnel des centres nerveux. La répétition de
efforts à corriger leurs fautes. Comme il n'existe chez eux aucun
trouble
sensitif, superficiel ou profond, capable d'exp
udes vicieuses comme de leurs mou- vements convulsifs : ce sont des
troubles
psyclio-moteurs, les uns permanents, les autres
aux hallucinations de l'attaque, ou à des rêves noc- turnes, à des
troubles
de la conscience, de la mémoire et de la person
oppement desphobies. Le traitement doit porter, d'une part, sur les
troubles
somatiques et d'autre part sur les désordres ps
Faure (Maurice). Résultats de la rééducation dans le traitement des
troubles
du mouvement. 111-81 de 36 pages. Librairie Dûii)
que ces conditions se présentent : le myxoedème s'accompagne d'un
trouble
considérable du pouvoir ossificateuret.de plus, l
à l'asile, il a perdu la vue : ce n'est qu'un an plus tard que les
troubles
mentaux apparurent, caractérisés qu'ils étaient
alade syphilitique et alcoolique, qui, un an avant de présenter les
troubles
mentaux de^ la paralysie générale fut atteint d
ine quantité d'albumine, D... n'a pu u reprendre son travail et les
troubles
psychiques ont été en s'ac- crois<ant sous l
un peu plus fort). Le réflexe plantaire est normal. Il n'y a pas de
troubles
de la sensibi- lité générale. La force musculai
d de 74 ans atteint de néphrite chronique, apparaissent d'abord des
troubles
délirants (hal- lucinatious et idées de persécu
et a pré- senté de l'albuminurie intermittente. Jamais il n'eut de
troubles
cérébraux. Soigné pour ses accidents cardiaques
ire. Ce détail a quelque intérêt au point de vue de l'étiologie des
troubles
rénaux que nous avons constatés : . Examiné a
l respiratoire et l'appareil digestif ne parai-sent pas atteints de
troubles
appréciables. Les artères sont dures, athéromateu
l'automtoxication par insuffisance rénale venant se greffer sur les
troubles
dus à l'évolution de la méningo-encéphahte ? 2
ire les injections avec per- sévérance. Chose curieuse, ce sont les
troubles
psychiques qui s'améliorent les premiers. Les t
ce sont les troubles psychiques qui s'améliorent les premiers. Les
troubles
pupillaires disparaissent avec une très grande
ient des sujets affectés d'épilepsie depuis 10 à 20 ans. On vit les
troubles
moteurs, psychiques et sensoriels s'améliorer ou
qui le sont très peu. C'est le plus souvent vers la puberté que des
troubles
nerveux plus précis font leur apparition Si l'o
lades libres affectés de formes de psychoses légères, et les cas de
troubles
mentaux non justiciables de la séquestration, à
excuse plutôt en disant que l'enfant sera plus heureux au ciel. Les
troubles
mentaux qui dépendent de la gestation sont commu-
confir- ment pas cette manière de voir.-La folie puerpérale est un
trouble
mental qui survient dans une période courte con
s commis plus tardivement dans la période puerpérale sont dus à des
troubles
mentaux de type mélan- colique. Par leurs carac
pour la folie puerpérale. Dans les cas d'homicide se rattachant aux
troubles
mentaux qui accompagnent la gestation, certaine
existe une dysphagie nerveuse propre aux héréditaires dégénérés. Ce
trouble
de la déglutition survient à l'âge où se développ
uatorze. Immobilité des pupilles, signes de West- plial et Homberg,
troubles
vé-icaux, troubles du côté de la sensi- bilité
des pupilles, signes de West- plial et Homberg, troubles vé-icaux,
troubles
du côté de la sensi- bilité et de la coordinati
rofuleuse, mais ni le père ni la mère, ni celle-ci ne présentent de
troubles
nerveux. Le jeune garçon est pris en outre, de
ités inférieures, d'une incontinence de l'urine et des matières, de
troubles
trophiques et vasomoteurs (bulles de pemphigus
, le cerveau et la moelle. Les mêmes symptômes, de concert avec des
troubles
légers de la sensibilité, de concert aussi avec
esseur Raymond note : sensibilité normale, réflexes normaux, pas de
troubles
tro- phiquesni vaso-moteurs, aucun trouble mote
éflexes normaux, pas de troubles tro- phiquesni vaso-moteurs, aucun
trouble
moteur dans le domaine des muscles innervés par
essentiellement motrice : ptosis, paralysie des muscles de l'oeil,
troubles
de la mastication, de la déglutition, de l'arti
exacerbations, vomissements, amuzwose progressive, titubalinn. Ces
troubles
de- viennent permanents et engagent le malade à
erversion de la sensibilité objective, intelligence parfaite, aucun
trouble
de la parole ni de l'écriture. La station debou
usculaire et du gâtisme intermittent, ni albuminurie, ni sucre. Les
troubles
sensoriels loca- lisés au niveau des yeux consi
r à l'urémie, car la scarlatine ancienne n'a pas été accompagnée de
troubles
rénaux et la perméabilité rénale est normale.
des réflexes tendineux coïncidant avec l'hypotonie musculaire, les
troubles
oculaires, la céphalée, les vomissements sont u
parle degré, le première étant plus violente et raccom- pagnant de
troubles
moteurs généralisés, mais de nature noncon- vul
cation contraire. Leur opinion penche vers la nature hystérique des
troubles
constatés. M. l3asmsRr trouve à gauche l'abduct
, surtout à gauche, demeurée stationnaire depuis. A vingt- septans,
troubles
paréto-spasmodiques et ataxiques dans les mem-
paréto-spasmodiques et ataxiques dans les mem- bres supérieurs; ni
troubles
sensitifs, ni troubles trophiques ; mais altéra
ataxiques dans les mem- bres supérieurs; ni troubles sensitifs, ni
troubles
trophiques ; mais altération marquée de la perc
stéréognostique, surtout à gauche. A trente-six ans, extension des
troubles
moteurs aux membres intérieurs, entraînant de l
exes très exagères : signe de Babinski à gauche. Agé- nésie. Pas de
troubles
des sphincters. Pas d'hystérie. Santé géné- ral
ers ou même des trois quarts. Ce fait explique- rait la latence des
troubles
aortiques chez les tabétiques. M. MËDËA envoie
abes à la période d'incoordina- tion motnce. Le malade présente des
troubles
gastro-intestinaux (dyspepsie sensitivomotrice
vec dilatation d'estomac, aérophagie, spasme du gros intestin). Les
troubles
douloureux et spasmodiques de l'estomac et de l
s'explique par la débilité mentale. L'interprétation délirante des
troubles
anesthésiques donne ici la mesure du niveau men
logiques. en particulier aux atteintes toxiques; B) dans les cas de
troubles
profonds de la nutrition générale, ceux-ci para
ccasion presque unique de se familiariser avec la séméiologie de ce
trouble
de la perception visuelle, ques- tion aride ent
es causes multiples des psychoses, il entre dans la séméiologie des
troubles
cérébraux : troubles de la perception, troubles
psychoses, il entre dans la séméiologie des troubles cérébraux :
troubles
de la perception, troubles de la conscience, de l
la séméiologie des troubles cérébraux : troubles de la perception,
troubles
de la conscience, de la mémoire, etc., tout cel
chargé du discours de rentrée, a pris pour texte de son étude les
troubles
de la mémoire dans leurs rapports avec la médecin
ions médicales, les rapports de ces maladies de la mémoire avec les
troubles
de la conscience et de la personnalité, en les
es alcooliques anciennes. Depuis quatre ans déjà, il avait quelques
troubles
cérébraux, du délire nocturne. Il avait de plus
ancolie ou d'excitation, qui ont coïncidé avec une augmentation des
troubles
rénaux. OBs. VIII. S... (Eugène), âgé de soixan
res en flexion, les réflexes crémastériens faibles. Il n'y a pas de
troubles
objectifs de la sensibilité générale mais le ma
générale a toujours été satisfaisante, sauf des bron- chites et des
troubles
respiratoires, probablement de nature ner- veus
xis abondantes, sans hémoptysie. Ni céphalalgies, ni ver- tiges, ni
troubles
vaso-moteurs de la face, ni rêves, etc. V... ra
le n'est qu'une des modalités déjà si nombreuses et si variées d'un
trouble
de l'évolution du système nerveux, la question
ujets normaux, bien doués intellectuellement avant l'apparition des
troubles
mentaux, ou au 222 ), SOCIÉTÉS SAVANTES. cont
cela suffit pour affirmer le carac- tère de non-contingence de ses
troubles
mentaux. Je crois donc qu'avant de se prononcer
désire examiner, au seul point de vue de leur pathogénie, certains
troubles
moteurs qui font partie du syndrome catanonique
tomatisme céré- bral. Chez deux catégories de sujets, en effet, ces
troubles
moteurs revêtent les mêmes caractères : ils son
les différentes formes d'échokinésie ou d'écho- praxie. Ces deux
troubles
de la fonction motrice existent aussi, à des de
urs ce même phénomène, on peut y voir la preuve de l'existence d'un
trouble
de la fonction motrice. Et cette inaptitude au
'examen bactériologique des urines, soit la toxicité du sang et les
troubles
de l'équilibre leucocytaire combiné à la pré-,
modes de début sont par- fois assez divers. Ainsi, les délires, les
troubles
moteurs corticaux et bulbaires, les localisatio
ment atteints les premiers, car il est impos- sible de concevoir un
trouble
sensitif, moteur ou psychique, sur- venant en d
ive, à la condition toutefois qu'il s'agisse d'émotions vives, avec
troubles
physiques et intellec- tuels sérieux : lypolbym
rachitisme et de l'idiotie. Existe-t-il alors un rapport entre les
troubles
déjà nutrition que présente le rachitisme et son
ème nerveux, les rayons blancs et rouges favorisent la guérison des
troubles
trophi- ques ; les rayons bleus provoquent une
la photo- thérapie, un régime approprié. Traitement mécanique des
troubles
viscéraux chez les tabétiques (crises laryngées
nique des troubles viscéraux chez les tabétiques (crises laryngées,
troubles
delà respiration, de la digestion, de la miction,
(Lamalou, Hérault). Il y a lieu d'employer, dans le traitement des
troubles
viscéraux des tabétiques, les exer- SOCIÉTÉS SA
réflexes glottiques, et des fonctions motrices respiratoires : tes
troubles
de la miction et de la défé- cation, dus à l'in
tat général du sujet s'altère, et sans qu'il apparaisse de nouveaux
troubles
. Il y a peu d'amaigrissement. pas d'atrophies,
oïncidence de l'acrocya- nose et de la crampe des écrivains ; 10 le
trouble
vasculaire est la cause immédiate des désordres
te des désordres moteurs; 2° les désordres moteurs ont déterminé le
trouble
vasculaire ; 3° les deux symptômes relè- vent à
ose que l'acrocyanose est d'origine corticale au même titre que les
troubles
moteurs. La physiologie enseigne en 264 SOCIÉTÉ
le. Un outre, la pathologie a fait connaître depuis long- temps les
troubles
vao-moteurs des sujets porteurs d'une lésion ex
ent corticale (hémiplégiques); d'autre part, l'hystérie réalise des
troubles
vaso-moteurs dont la disparition rapide sous l'
ins et l'angios- pasme paraissent bien être sous la dépendance d'un
trouble
corti- cal. Le deséquilibre psychique évident d
ations reconnues mal fondées. Sur la forme la plus habituelle des
troubles
de mentalité qui se pi,o- duisent au cours des
s mentales à la Faculté de Lyon. De très nombreuses observations de
troubles
nerveux, en relation avec'les maladies du nez,
délires. Les maladies qui les ont causées, comme aussi la forme du
trouble
mental, étaient diverses. Cependant, si on met à
M. X..., trente-huit ans. Polypes,muqueux ignorés jusqu'à l'examen,
troubles
mentaux assez accentués, obnubilation intellect
- vement facile, la malade devient docile. ' La pathogénie de ces
troubles
mentaux peut s'expliquer : 1° par des modificat
ngoisse, etc., et qui a sur la digestion une influence néfaste. Les
troubles
dyspeptiques peuvent aussi secondairement accen
but et des phénomènes moteurs chorée, tics, etc., et aussi par des
troubles
du sommeil, agitation, lrayeurs nocturnes, etc.
! tes dans un cas de sclérose en plaques. IL Laknois (de Lyon). Les
troubles
intellectuels légers (opti- misme, dépression m
scandée, exagération des ré- Ilexes, etc.). Assez brusquement, sans
troubles
psychiques anté- rieurs bien marqués, il se pré
t de richesse, parle de ses maisons, t'ait des testaments, etc. Ces
troubles
sont très voisins de ceux que l'on rencontre dans
yant été prise pour de la démence paralytique et inversement. Ces
troubles
peuvent s'expliquer par l'extension et la général
e et Joués. Il faut aussi faire intervenir dans la pathogénie des
troubles
présentés par ce malade l'existence de tares né
effet que c'est aux lésions de cette région que l'on a attribué les
troubles
vaso-moteurs et sécrétoires du tabès (Pierret),
dent un bulbe et que nous proposons de dénommer bulbanencéphales.
Troubles
de la sensibilité dans les étals neurasthéniques
'est là une erreur. Au cours des psycho-neuroses on ren- contre des
troubles
analogues. Trois cas de neurasthénie ayant · SO
us intenses, reposant unique- 278 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment sur des
troubles
cérébraux en tout point analogues à ceux que l'
liénés. Cependant, il n'y a aucune différence fondamentale entre le
trouble
mental et celui des médiums ordinaires. Délir
La débilité mentale du sujet est le facteur étiologique de tous ces
troubles
. M. Ballet fait remarquer combien cette observa
riode de cachexie, l'eedème permanent s'accompagne d'un ensemble de
troubles
vaso-moteurs et trophi- ques dus à l'altération
dans les faits dits de télégonie elle/, l'homme et chez l'animal.
Troubles
utérins guéris par la suggestion hypnotique; obse
rveuses et mentales; elle a sa place dans le traitement de certains
troubles
fonctionnels des divers organes, aussi bien qu'
langage parlé. L'état de conscience dans lequel se manifestent ces
troubles
ner- veux repose sur deux éléments principaux :
ctères de cette neurasthénie sont les suivants : 1° fré- quence des
troubles
vaso-moteurs; 2° intensité de l'amyosthénie; 3°
vent s'associer entre elles. Elles peuvent de plus s'accompagner de
troubles
psychiques, qui sont ceux de toutes les psychos
eux des établissements médico-pédagogiques spé- ciaux. XXIII. Les
troubles
du sommeil dans les név7,oses ; par le D DAUCLOS.
ue. Enfin dans les cas où les névroses se trouvent asso- ciées, les
troubles
du sommeil varieront suivant la névrose prédo-
dit que le malheureux donnait, depuis quelque temps, des signes de
troubles
cérébraux. (L'Aurore du 13 août 1903.) Suicide.
rbosité 1. Deux tantes à D... du côté paternel ont été atteintes de
troubles
mentaux. L'une d'elles a été internée à l'asile
d'aliénation mentale. Le docteur Garnier, tout en reconnaissant le
trouble
de ses facultés, dit qu'il exagérait dans le but
mal organisées pour conserver de pareils malades; ils y jettent le
trouble
, aussi s'empresse-t-on de les remettre dehors q
ivée dans cet établissement, D... paraît véritable- ment atteint de
troubles
mentaux. A chaque instant il appelle les gardie
oyé de l'ordre mental; un dégénéré débile, dépourvu de jugement Ces
troubles
persistants,s'exagèrent encore sous l'influence
stent toute la vie car l'art médical est impuissant à modifier leur
trouble
organique. Ce qui distingue ces malades des cri
ces phénomènes d'excitation nerveuse, ni à plus forte raison quels
troubles
phy- sico-chimiques les produisent on peut reco
rne peut se montrer, avec la dernière évidence, en rapport avec les
troubles
de l'innervation motrice et sensorielle ; et no
», qui s'éveillent au lever du soleil et ne se rendorment plus. Le
trouble
du sommeil est tel que certains de ces malades vo
c'est l'état de la circulation générale dans ses rappotts avec les
troubles
du sommeil. On sait que dans le sommeil la fréque
rtir; mais on doit constater cependant que l'importance de ce grave
trouble
par rapport aux phénomènes morbides concomitant
pendant aux doses thérapeutiques il ne parait pas donner lieu à des
troubles
circula- toires importants et le sommeil qu'il
ctif que le chloral, déprime autant la pression et donne lieu à des
troubles
digesttifs. VEthyl-chloral-uréthane (somnal) es
ques, à un abaissement de tem- pérature (jusqu'à 35°) et à quelques
troubles
circulatoires (irrégu- larités cardiaques), il
es dangers de leur emploi sont trop certains elles cas de mort avec
troubles
moteurs, respiratoires et cardiaques, avec héma
ment de céphalalgie, d'une sensation de fatigue, de vacillement, de
troubles
digestifs, symptômes le moins marqués pour le tri
ôt de l'anorexie mentale (Sollier). Cette forme est assez rare; les
troubles
psychopathiques du ma- lade sont étrangers à so
nt puis devient total et peut se prolonger indéfiniment. Absence de
troubles
digestifs; modification progressive de l'état m
nom de symptôme solaire d'excitation ou de paralysie, à chacun des
troubles
, pris isolément, qu'il constate, après excitati
nombreuses années, deux d'entre eux, dès le début de la maladie.
Troubles
de la sensibilité dans la démence 'précoce M. P
: 1° à distin- guer la démence des états qui la simulent (stupeur,
troubles
anec- tifs) ; 2° à reconnaître les signes d'une
ne certain; il faut se baser surtout sur la disproportion entre les
troubles
affectil's et le trouble intellectuel et sur la
er surtout sur la disproportion entre les troubles affectil's et le
trouble
intellectuel et sur la marche de la maladie; il
ysioiogique, hau- tement recommandable pour l'étude approfondie des
troubles
mentaux, ne peut pas encore être généralisé.
t rapporté de nombreux cas dans lesquels coexistaient avec elle des
troubles
mentaux de diverse nature. La syphilis, l'alcoo
térêt. Mais à côté de ces cas. il en est d'autres dans lesquels les
troubles
mentaux observés semblent en rapport avec la sy
certains malades, notamment par ceux chez lesquels prédominent les
troubles
tro- 352 SOCIÉTÉS SAVANTES. phiques ; ces mal
t publié quelques observa- tions de syringomyéliques présentant des
troubles
analogues. L'observation suivante, jointe à cel
contribuer à montrer l'existence chez certains syringomyéliques de
troubles
mentaux de nature mélancolique. Il s'agit d'un
main de prédicateur, tremblements, dis- sociation syringomyélique,
troubles
subjectifs de la sensibilité, arthropathies des
subjectifs de la sensibilité, arthropathies des membres supérieurs,
troubles
trophiques cuta- nés et troubles sphinctériens.
hropathies des membres supérieurs, troubles trophiques cuta- nés et
troubles
sphinctériens. Quelque temps après le début de
normaux. L'intérêt de cette observation réside dans ce fait que les
troubles
mentaux présentés par le malade, semblent en ra
arait intimement lié à l'apparition des symptômes douloureux et des
troubles
sphinctériens qui vinrent le tourmen- ter et le
erveau dans un état de moindre résistance favorable à l'éclosion de
troubles
mentaux. Aussi, rapprochant notre cas de ceux p
s la vie des malades l'apparition de certains symptômes (douleur,
troubles
sphinctériens par exemple), sa production serait
tries faciales et corporelles ; quelques tares acquises. Il y a des
troubles
de la dentition (surdents, dents cariées). La nut
syndrome mental vraiment très cu- rieux : elle semble atteinte d'un
trouble
régulièrement périodique, assez semblable à cer
litique ; celle-ci, d'une intelligence peu développée, présenta des
troubles
nerveux dès l'époque de la puberté ; aboulique,
rais- sent pendant vingt-quatre heures tous les deux jours. A ces
troubles
mentaux s'ajoutent des symptômes physiques grav
horoïdite peu intense, peut-être avec kératite parenchymateusc. Ces
troubles
oculaires semblent bien en rapport avec une syp
port avec une syphilis héréditaire ; les auteurs recherchent si les
troubles
nerveux et mentaux ne peuvent être rattachés à la
ésions syphi- litiques des centres nerveux et indiquent comment les
troubles
psy- chasténiques et l'agitation périodique, ai
raitement spécifique, le résultat a été des plus remarquables : les
troubles
intellectuels ont à peu près disparu. Cette améli
dure depuis le mois de février de cette année : c'est-à-dire que le
trouble
périodique ayant duré dix mois est arrêté depuis
comme un argument en faveur de l'intervention chirurgicale dans les
troubles
du langage. Les faits rapportés gardent toute leu
des médecins dans la question du traitement du bégaiement et des
troubles
du langage, dépréciation dont il ne s'est pas enc
pour le bégaiement l'est plus encore pour la ma- jorité des autres
troubles
du langage, où l'élément psychique do- mine et
ômes ne sont le plus sou- vent que la manifestation extérieure d'un
trouble
, d'une lésion plus ou moins grave des centres c
très nette de la langue, des lèvres et du voile du palais. Or, ces
troubles
sont tels qu'ils empêchent tout langage articul
il faut être très circonspect en matière de traitement sanglant des
troubles
du langage, qu'on ne peut se baser sur un seul
hystériques et les phénomènes morphiniques. La morphine masque les
troubles
hystériques; ceux-ci reparaissent dès que l'usa
e est chargée, l'urine a la réaction presque neutrale et est un peu
trouble
. 11 y a Fin. 21>. UN CAS DE GUÉRISON COMPL
ce en mai 1903, atteinte, disent les parents qui l'accompagnent, de
troubles
intellectuels analogues à ceux qu'elle aurait p
rès améliorée dans sa famille. Le père fait remonter les derniers
troubles
, qu'il considère comme une nouvelle maladie, à
uinze jours, comme me l'avait dit le père, que remonte le début des
troubles
mélanco- liques, mais à une époque beaucoup plu
e, en somme, dans ce cas, qu'un cer- tain temps après le retour des
troubles
intellectuels, après une longue période de préo
arrive dans le service en mai 1902. malade depuis quatre mois. Les
troubles
intellectuels ont éclaté a la suite d'une fraye
ment en la tirant par les pieds. Les règle-* cessent de couler, des
troubles
mélancoliques apparaissent presque aussitôt; id
le arrive à Marévilte quatre mois après l'appa- rition des premiers
troubles
intellectuels; nous constatons aloi, de la dépr
on de l'état physique, l'activité cérébrale reparait peu à peu, les
troubles
automatiques (crises de rire sur- fout) s'espac
accès d'agitation, se dit possédée du diable, refuse les aliments,
trouble
le repos des malades, et, trouvant une fenêtre
pée, avec verbigération absurde, absolument stéréotypée aussi, tous
troubles
ayant un cachet bien caractéristique d'automati
uant progressivement, efface en quelque sorte progressivement les
troubles
primitifs. A cette période intermédiaire de con-
pitalisée deux fois, à plus de dix ans d'intervalle, pour les mêmes
troubles
(catatoniques), entrée dans mon service fin sep
, l'accouchement et les suites se passent très bien sain* retour de
troubles
mentaux. En 1899 seulement réapparaissent les t
retour de troubles mentaux. En 1899 seulement réapparaissent les
troubles
qui ont motivé la première hospitalisation : al
ques, absolument sans motif. Je l'ai interrogée maintes fois suries
troubles
qu'elle a pré- sentés si longtemps, qu'elle pré
. 1'. KlR ? VAL. XX. L'examen, à l'aide des rayons de Roentgen, des
troubles
tro- phiques du tabès et de la syringomyélie, p
e ans d'une dyspepsie qui a nécessité des lavages de l'estomac. Ces
troubles
prennent une l'orme aiguë le 21 décembre 1900. Il
et des capil- laires. P. Keraval. \111 ? Les signes objectifs des
troubles
de la sensibilité suggérés pendant l'état hypno
tions des cavités et des processus générateurs. La dissociation des
troubles
de la sensibilité ne peut être regardée comme le
optique se trouve un centre sous-cortical de la rate. 11° Tous les
troubles
delà respiration et de la circulation se réper-
uctuations décevantes. Presque toujours les malades se plaignent de
troubles
des sensa- tions (engourdissements, fourmilleme
ces réactionnelles électriques). On constate quelqufois de légers
troubles
mentaux, plutôt des changements de caractère, m
ais surtout une somnolence qui s'accompagne au réveil, d'un certain
trouble
des idées, quelquefois d'un peu de délire court
le dans l'anémie. Les névralgies sont fré- quentes. La durée de ces
troubles
dépend naturellement de celle de l'état anémiqu
pas en mangeant. On ne constatait chez lui aucun autre symptôme de
troubles
nerveux sauf la névrite optique. R. de Musguave
e Musguave-Clay. XLI. Sur les rapports des lésions locales avec les
troubles
nerveux et en particulier avec la neurasthénie,
t entre les phénomènes et et les mouvements stéréo- typés et autres
troubles
fonctionnels du système musculaire qui sont si
modes; l'anes- thésie remonte jusqu'à la hauteur du mamelon. Les
troubles
des réservoirs ont disparu Le sens génésique es
ien loin du point excité. La sensibilité thermique est revenue. Les
troubles
trophiques se multiplient de ce côté. Escliari-
enue com- plète, eu s'aceompagnant d'une anesthésie totale et "de
troubles
vésico-rectaux très accusés ? ; ' Nous avons pr
iiiiitérienne et nous savons que le malade a eu, dès le début, îles
troubles
des réservoirs. 11ÉM1SECTI0N TRAUMATIQUE DE LA
e, de ce mode de sensibilité. Nous n'avons point à insister sur les
troubles
trophiques, musculaires ou cutanés, qui s'expli
ux. Notre maître, le De Séglas, a montré dans son livre sur les «
Troubles
du langage chez les aliénés » combien l'étude d
, tant au point de vue du diagnostic que du pronostic.- Il est un
trouble
du langage qui semble n'avoir fixé qu'in- cidem
nations auditives ou motrices verbales, d'impulsions verbales, de
troubles
spéciaux de la conscience, de manifestations du
ent alors des monologues se reliant à des affections dénotant des
troubles
plus ou moins accentués de la conscience qui sont
minâmes du f6M gauche. Otite fxte7,lte du même côté. Diminution du
trouble
eto)' ! t : 7at'a</e/<'a/'HM<t : h'o)'t'
elin. Mais l'intérêt de cette observation réside surtout dans les
troubles
auditifs, leur unilatéralité et leur évolution. L
qui porte atteinle à l'intégrité de la conscience et détermine ces
troubles
de la synthèse psychique'd'où résulte l'abstrac
l'envisage dans ses testions avec les lésions de l'oreille. « Un
trouble
organique ou fonctionnel du sens, dit M. Régis,
te 2. Au contraire, si la prédisposition hallucinogène existe. le
trouble
sensoriel apparaît. La lésion auditive périphériq
ar les bruits entotiques unilatéraux est effacé, par la violence du
trouble
sensoriel cortical ; l'hallucination est bilaté
M. Séglas. C'est par une association d'idées subconciente, par un
trouble
de l'attention, comme l'indique l'éminent alién
e peut frapper que cette unitateraiité sans modifier autre- ment le
trouble
sensoriel lui-même, d'où la bilatéralilé con- s
es, des sujets à la maladie organique desquels s'ajoutent quelques
troubles
mentaux, des cas bizarres qui ne rentrent dans
an point de vue mental mais au point de vue somatique, beaucoup de
troubles
organiques jouant un rôle considérable dans la
oxines agissant sur la cellule cérébrale et le malade guérit de ses
troubles
intellectuels. M. LicavN compare au malade de M
d'illusions ou de véritables hallucinations, fait remarquer que ces
troubles
senso- riels ont le caractère démentiel des hal
à la suite d'une chute grave le 28 juillet 1903. Il fut atteint de
troubles
nerveux multiples qui semblaient d'abord se rap
me cérébelleux de Babinski (awnrrgie et catalepsie cérébel- leuses,
troubles
de la diadococinéme). Une hémianesthésie sensi-
demi, n'a jamais eu ni para- lysie oculaire, ni strabisme, ni aucun
trouble
visuel. Placé à cinq mètres d'un tableau sur le
sième malade moins ataxique que les deux autres n'a jamais eu aucun
trouble
oculaire et ne présente pas à l'examen spécial
dination latent, une ataxie latente, insuffisante pour provoquer un
trouble
subjectif quelconque de la vision dans les cond
ordination motrice est un symptôme de toute la musculature. 3° Ce
trouble
de la coordination des muscles oculaires est un
s morts à un âge adulte, et n'ayant présenté pendant leur vie aucun
trouble
pouvant dépendre d'une altération médullaire. C
. 551 nistremeutdela pression sanguine e par Strauss, 27. - voit,
Troubles
nerveux. F ROI 11111011%rOSF. La - par Cestan
re. Voir Noyau. Roentgen. L'examen, d l'aide des rayons de . ries
troubles
trio- plspues du tabès et de la syrin- gomyél
27. Sclérose des olives bulbaires, par rlalie P et Guillain, 180.
Troubles
psychiques dans un ca, de - en plaques, par L
, partoutielil(iiie, 532. Sensibilité. Les signes objectifs des
troubles
de la - suggérés pen- dant l'état hypnotique, p
ur uniforme par- uculive lit ! -, par Cullerre. 336. Sommeil. Les
troubles
du - dans les névroses, par L)aiyielon, 28,7).
. Von incontinence d'urine. Voit- Impuissance génitale. - 1'u,r
Troubles
utérins De la - mate- mallsrr a l'état de veill
mécanique des trou- bles viscéraux chez les - (crises lalyngées,
troubles
de la respira- lion, de la digestion, de la mic
(4) parle d'une tumeur du corpus callosum. On pouvait observer des
troubles
psychiques et des troubles de la vue. La tumeur
corpus callosum. On pouvait observer des troubles psychiques et des
troubles
de la vue. La tumeur commençait au milieu du co
conclusion qu'on peut constater chez les porteurs de néoplasmes des
troubles
psychiques importants, avec changement de carac
ions voi- sines seulement semblent être constamment accompagnées de
troubles
psychiques. Comme nous l'avons vu, les observ
cerveau (Flechsig, A. Gianelli) sont généra- lement accompagnées de
troubles
psychiques et que d'un autre côté la perle cons
eau, se trouvent ces tissus, dont la maladie provoque justement des
troubles
des fonctions psychiques supérieures. Le célè
p. 312. LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 31 ce membre, et même des
troubles
de la motilité volontaire chez l'homme. Mais si
a fait antérieurement qu'un court séjour à l'hôpital, en 1898, pour
troubles
urinaires (hypertrophie de la prostate). En 1899,
de contracture. Réflexes tendineux affaiblis des deux côtés. Pas de
troubles
de la sensibilité cutanée. Le diagnostic à appl
es sur la 2e phalange, très nombreux sur la. Ire . 11 n'y .a pas de
troubles
des sensibilités, sauf hyperesthésie dès que l'on
du doigt est lisse et tendue sur la 3° phalange. Il n'existe aucun
trouble
des sensibilités sauf hyperesthésie au niveau de
gie si spéciale appartient au groupe de faits encore si obscurs des
troubles
trophiques au cours des vascu- larites chroniqu
t Sée, que des gangrènes sèches li- mitées et surtout précédées des
troubles
vasculaires de l'asphyxie locale ». En dehors d
hie musculaire. Réac- tions électriques normales. Il n'existe aucun
trouble
dans le reste du corps ; la malade a les artère
pporta' dans le fonctionnement du membre inférieur qu'un minimum de
troubles
. Son volume était toujours plus considérable le
s considérable le soir que le matin, et c'est le soir aussi que les
troubles
fonctionnels apparais- saient ou s'exagéraient.
rdit, il ne la sent plus, il remue difficilement le pied ; lous ces
troubles
fonctionnels n'existent, ainsi que l'oedème, qu'a
, pas plus sur la jambe gauche qu'en un autre point du corps, aucun
trouble
de sensibilité objective cutanée ou articu- lai
se et elle conserve dans celte attitude sévère et calme que rien ne
trouble
,l'expression d'un sentiment de dignité bien défin
core, dans les crânes dysostosiques, d'autres signes, indiquant des
troubles
dans le développement des os de la base. Les di
hondroses et l'élargissement des fissures autour du rocher. B. -j
Troubles
dans le développement des os dermiques de la voût
bablement à plusieurs causes mentionnées ci-dessus (A et B). , D.
Troubles
dans le développement des os de la face. 1° Réd
la flexion combinée de la cuisse et du tronc font défaut. Pas de
troubles
de la sensibilité objective, mais ce malade se pl
stériens et abdominaux sont conservés. Il n'y a pas actuellement de
troubles
notables du goût ni de l'odorat. Mais, en 1872,
t nulle, le malade ne pourrait distinguer le jour delà nuit. Pas de
troubles
de l'intelligence ni du caractère, d'aucune espèc
ans apathie, d'intel- ligence normale et de jugement sain. Pas de
troubles
viscéraux. Le pouls est égal, régulier, peut-être
régulier, peut-être un peu lent (60). Rien dans les urines. Pas de
troubles
sphinctériens. En juillet 1907, le malade revie
et de crises de céphalée très intenses. Il présente, en outre, des
troubles
mentaux qui semblent remonter à un an environ. Il
xagération des réflexes tendineux. Rien non plus à la tête ; pas de
troubles
intellectuels. Examen des yeux négatif. 114 R
ation suivante est double, clinique et anatomique. En clinique, les
troubles
sensitifs et moteurs de la queue de cheval sont
faiblesse gauche diminue les jours suivants, sans douleurs et sans
troubles
sphinctériens. Depuis le 14 février, rétention
qu'à son centre. Il n'y a pas d'amyotrophie appréciable ni d'autres
troubles
trophiques, en dehors de cicatrices circulaires
sillon naso-labial est peine moins marqué à gauche. Il n'y a pas de
troubles
pupillaires. On fait le diagnostic d'hémiparési
ujours la nécropsie (4). C'est que la topographie radicu- laire des
troubles
est la même, que la lésion porte sur la racine ou
IGNL~L-LAVASTINE Paraît avoir plus d'importance l'unilatéralité des
troubles
, et c'est cette unilaléralité qui m'avait fait
ue le centre de Westphal est situé dans ces segments lombaires. Les
troubles
des sphincters, sans lésions médullaires de leu
on n'avait pas encore donné une in- terprétation satisfaisante des
troubles
sensitifs, moteurs et trophiques qui se manifes
nte ; la névrite amyotrophique ; la névrite avec prédomi- nence des
troubles
.sensitifs. Depuis lors les observations de ces di
une bande qu'on avait passée sous les bras. On ne constatait aucun
trouble
de sensibilité, de trophisme, de circulation da
sont éteints. Mêmes conclusions que pour le bras droit au sujet des
troubles
de la sensibilité. Les membres inférieurs ne so
yotrophie est accompagnée de la perte des réflexes et de RD. Pas de
troubles
notables de la sensibilité subjective et objectiv
parésie et de l'atrophie musculaire, elle est caractérisée par des
troubles
trophiques et sphinctériens, par des escarres,
car l'asymétrie de la paralysie initiale et l'absence ou presque de
troubles
sensitifs, semblaient plaider plus en faveur de l
postérieures. Il considéra cette altération comme l'expression d'un
trouble
de la moelle. hahlden (1901) en étudiant 6 de c
nerfs périphériques. On ne le pourrait expliquer qu'en admettant un
trouble
extrêmement grave de la fonctionnalité cellulai
k der Kreislauf und Athmungsorgane, 1856. 3. LEUDET. Le zona et les
troubles
des nerfs périphériques dans la tuberculose pul
OS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 149 4. LEUDET. - Etude des
troubles
nerveux périphériques survenant dans le cours des
ique. Thèse de Paris, 1814. 9. AMEMAiRE. Contribution à l'étude des
troubles
périphériques de sensibilité sur- venant dans l
re der Polyneurilis. Archiv f. Psy- chiatrie, 1893. · 45. Weil. -
Troubles
nerveux chez les tuberculeux. Revue de méd., 1893
amyotrophies des tuberculeux. Thèse de Paris, 1899. 58. C.\IOEXE.
Troubles
nerveux périphériques chez les tuberculeux. Nord
vous system. The Practitio- ner, vol. 67, 1901. 70. Carrière. Les
troubles
nerveux périphériques de la tuberculose pulmonair
lynévrites tuberculeuses. Maladie da Landry, 1906. 89. Gelli. Les
troubles
nerveux périph. au début de la tuberculose pulmon
LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 161 hémiparésie du même côté. Ces
troubles
tenaient probablement à une pla- que de méningo
tracture qu'au membre inférieur, là où il y avait en même temps des
troubles
graves de la motilité volontaire, tandis qu'au
e qui coïncidait avec ce fait qu'il n'yavaitpas dans ce mem- bre de
troubles
de la motilité volontaire, - sauf une certaine fa
résence est indispensable, - mais il faut en- core qu'il existe des
troubles
graves de la motilité volontaire du côté malade.
de vue qui nous occupe. Les phénomènes de mouvements associés et de
troubles
de motilité vo- lontaire, nous les avons recher
doivent exister toujours ensemble : les mouvements associés et les
troubles
graves de la motilité volontaire du côté malade.
jambes devenaient énormes. La petite malade ne présentait d'autre
trouble
qu'une inflammation chronique des paupières, la
ucune difficulté à respirer; pas de tendance aux engelures ; pas de
troubles
gastro-intestinaux capables d'attirer l'attention
tive- ment dues à des micro-organismes, mais qu'il s'agit plutôt de
troubles
vaso-moteurs. S'il en est ainsi nous comprenons
s jam- bes absolument indolore, et qu'ils' n'avaient pas du tout de
trouble
géné- ral de leur santé, alors que pendant les
étaient bien angioneurotiques de nature. La coexistence d'autres
troubles
nerveux dans la famille. C'est toujours une cho
deux jambes survenant apparemment sans cause, et en dehors de tout
trouble
constitutionnel de la santé. La maladie a reçu de
ice Wherrell. Il y a souvent une histoire d'é- pilepsie ou d'autres
troubles
nerveux dans la même famille. Nos malades, diff
le trophoedème. Gazette hebdomadaire, n" 45, 1902. Al,iNIIEI31EIt.
Troubles
vaso-moteurs d'origine hystérique. Archives de Ne
le mem- bre inférieur du même côté ne présentent à aucun degré ces
troubles
de la sensibilité, pas plus d'ailleurs que le c
onne faisaient remarquer que la cl)ieromégaliequi est évidemment un
trouble
trophique tout à fait analogue à celui-ci ,peut ê
chiv, t. 8, CXIX. (4) Schlesingbr, Die Syringomyélie, p. 134. LES
TROUBLES
PHYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS ' P
E, Médecin des Hôpitaux de Paris (1). Dans une revue critique des
troubles
psychiques observés dans les syn- dromes cliniq
é en août 1908 au Congrès des aliénistes et neurolo- gistes sur les
troubles
psychiques par perturbations des glandes à sécrét
s psychiques par perturbations des glandes à sécrétion interne. LES
TROUBLES
PRYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 205 C
'insuffisance, d'excitation et de perturbation thyroïdienne. 1. les
TROUBLES
PSYCHIQUES dans LES SYNDROMES d'insuffisance TH
fisance thyroïdienne, selon qu'elle est congénitale ou acquise; LES
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 207 t
rd'hui bien connues chez les différents types de myxoedémateux. Les
troubles
psychiques, qu'on relève dans les formes non my
ur l'état mental des myxoedémateux,pour m'étendre davantage sur les
troubles
psychiques des insuffisants thyroï- diens non m
ance thyroïdienne caractérisé par la tuméfaction des téguments, des
troubles
intellectuels et l'atrophie du corps thyroïde,
qu'à la forme la plus atténuée de l'infantilisme myxoedémateux sans
trouble
intellectuel, myxoedème partiel de Brissaud, dans
des facultés intellectuel les parait parfaitement voisiner avec des
troubles
squelettiques intenses. L'état mental du myxoedém
s uns sont arriérés, à l'intelligence bornée, d'autres n'ont pas de
troubles
intellectuels. Survenant chez l'adulte, l'insuf
nce thyroïdienne massive produit le myxoedème de l'adulte, dont les
troubles
psychiques consistent, avant tout, en torpeur c
xoedème que la torpeur et l'apathie. Parfois il s'y ajoute d'autres
troubles
, des idées fixes, des hallucinations, comme l'a
Pilez (de Vienne), du délire, des cris d'excitation, identiques aux
troubles
qui se produisent dans les psychoses d'intoxicati
es qui se produisent dans les psychoses d'intoxication et quand ces
troubles
psychiques précèdent les symptômes physiques, on
iles, maladroits et d'aspect idiot. Inversement, la disparition des
troubles
psychiques des myxoedémateux par l'opothérapie
e fille, intelligente, prise à 49 ans de myxoedème, perd la mé- LES
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 209 m
la cure sont supérieures à celles de lamoyenne normale. - 2. Les
troubles
psychiques dans les syndromes frustes d'hypothy
ielles, et il est inutile, d'après M. Brissaud, de supposer que des
troubles
des glandes vasculaires sanguines autres que la
aire. L'état mental est lié à une anomalie de structure et non à un
trouble
de fonctionnement. 2. L'arriération physique
tres à peine malades, mais presque toujours souffrants, cépha-1 LES
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 211 l
S SYNDROMES THYROÏDIENS 211 lée, rachialgie, lassitude, somnolence,
troubles
"digestifs, constipation, palpitations, bourdon
remarquable efficacité de l'opothérapie thyroïdienne sur ces divers
troubles
est l'argument sur lequel on table pour les rappo
petits signes de l'insuffisance thyroïdienne : oedèmes transitoires,
troubles
de la calorification, constipation, fatigue, an
e, douleurs musculaires et articulaires, obésité, sénilité précoce,
troubles
pileux, si- gne du sourcil de L. Lévi et II. de
auto-intoxications périodiques, vomissements, vertiges, urticaire,
troubles
menstruels, nervosisme. On arrive ainsi à la fi
, nervosisme. On arrive ainsi à la fin de la série décroissante des
troubles
qui ne sont plus suffisants pour former une mal
LAIGNEL-LAVASTINE une extrême fatigue, de l'asthénie cérébrale, des
troubles
digestifs, de la constipation. L'opothérapie th
alée occipitale, douleurs dans les membres, verti- ges, somnolence,
troubles
digestifs, constipation. Parmi les multiples va
r démontrer le rôle de l'insuffisance thyroïdienne relative sur les
troubles
psychiques. Ainsi, Blum (de Francfort) a conser
tiellement thyroïdectomisés qui ont présenté des signes évidents de
troubles
psychi- ques plus ou moins durables et parfois
- portants dont les perturbations secondaires peuvent entraîner des
troubles
cérébraux. Ainsi, dans des expériences semblabl
de rapporter certainement à la seule insuffisance thyroïdienne les
troubles
psychiques relevés dans les syndromes que je vi
ue. Néanmoins, cette hypo- thèse d'une origine hypothyroïdienne des
troubles
psychiques portant surtout sur le caractère, a
s syndromes d'insuffisance thyroïdienne forment deux groupes. LES
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 213 i
CHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 213 i Dans le premier, les
troubles
psychiques myxoedémateux font partie intégrante
thyroïdienne que l'expérimentation rend tout à fait probable,et les
troubles
psychiques, qui fréquemment s'observent dans ce
ger de l'état curateur, la contre-épreuve est impossible. II. LES
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES d'excitation THYR
ement et les autres probablement, à l'insuffisance tyroïdienne, les
troubles
psychiques ne sont pas tous dans un même degré
dépendance certaine vis-à-vis de cette insuffisance. Le rapport des
troubles
psychiques à l'insuffisance thyroïdienne est dé
sent diamétralement 1 le syndrome de Basedow au myxoedème. 1. Les
troubles
psychiques des basedowiens. L'étude clinique de
1. Les troubles psychiques des basedowiens. L'étude clinique des
troubles
psychiques des basedowiens peut être aujourd'hu
on se sert peu, les connaissances scientifiques, les mots d'une LES
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 215 l
ammes de thyroïdine. A des pal- pitations se joignirent bientôt des
troubles
psychiques graves sous forme de confusion menta
u goitre exophtalmique. Cette intoxication peut se traduire par des
troubles
psychiques, du dé- lire, des psychoses, comme c
ceux résultant des poisons exogènes. Il ne s'agit pas d'ailleurs de
troubles
psychiques basedowiens, mais de véritables psyc
oxication thyroïdienne médicamen- teuse peut donner naissance à des
troubles
psychiques qui revêtent la forme habituelle des
lance de ces psychoses toxi-thy- roïdiennes expérimentales avec les
troubles
psychiques des basedowiens permet de penser que
tat mélancolique pousse parfois les malades au suicide. Souvent ces
troubles
se mélangent et l'agitation maniaque existe avec
xiste avec la mélancolie (Cane, Savage, Collins). D'autres fois les
troubles
se succèdent au lieu de s'associer. Le troisi
e déshabiller, puis des phobies. D'autres malades ont des peurs LES
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 217 m
faits en trois groupes, selon qu'on retrouve dans les psychoses des
troubles
mentaux de la même série que les nuances psychi
ychoses toxi-thyroïdiennes, avant de passer aux interprétations des
troubles
psychiques chez les basedowiens donnés par les au
térie peut créer instantanément l'hyperthyroïdation ; elle amène un
trouble
sécrétoire comparable à la polyurie d'origine ner
mblent, au contraire, acces- soires, et lorsque, en même temps, les
troubles
psychiques surviennent par crises correspondant
orme est l'observation de 7.alplachta, où il existait simultanément
troubles
des perceptions, hallucinations, illu- sions, i
l, Paul Geigel, Morel-Mackenzie, Andrews, Solbrig, Meynert, Ro- LES
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 219 b
mentale de toutes pièces, « aliénation qui survient par le fait des
troubles
profonds de la nutrition que le goitre entraîne a
eur clini- que en faveur d'un lien étroit entre ces deux groupes de
troubles
. C'est aussi la conclusion que Parhon et Marbé
si la conclusion que Parhon et Marbé tirent de deux observations de
troubles
maniaques et mélancoliques chez deux basedowiens.
morbides ou physiologiques, tel l'émotivité constante indiquant un
trouble
considérable des fonctions nerveuses, qui peut re
nclut aussi : « Il y a un état mental spécial qui est l'apanage LES
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 221 d
wiens n'est donc pas niable. Elle est démontrée par l'effet sur les
troubles
psychiques en même temps que sur les symptômes
net, Ferranini) que j'ai déjà citées. On peut donc conclure que les
troubles
psychiques élémentaires des base- dowiens sont
que certaines de leurs psychoses sont taxi-thyroïdiennes. 2. Les
troubles
psychiques dans les syndromes de la série based
ure basedowiforme produit par l'hyperthyroïdie. Il se distingue des
troubles
nerveux ordinaires par un nervosisme plus spé-
ervé six cas de syndrome de Basedow complet ou fruste compliqués de
troubles
mentaux allant depuis l'excitation simple jusqu'à
l'anxiété paroxystique de Brissaud et la névrose d'angoisse. LES
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LLS SYNDROMES THYROÏDIENS 223 3
bre des caractères notés dans cette observation sont à l'opposé des
troubles
myxoedémateux. C'est en s'appuyant sur pareille
psychiques parallèles aux améliorations fonctionnelles. III. LES
TROUBLES
PSYCHIQUES dans LES perturbations THYROÏDIENNES
LEXES ET ENCORE DISCUTÉES. Dans ce groupe, je passerai en revue les
troubles
psychiques observés dans les états rapportés pa
old Lévi et II. de Rothschild à la dysthy- roïdie, c'est-à-dire aux
troubles
de la thyroïde entraînant des symptômes aussi b
ue, car on pourrait voir là le début d'une étude patho- génique des
troubles
nerveux fonctionnels qui ne forment encore qu'un
ue, car l'opothérapie thyroïdienne agissant non seu- lement sur les
troubles
nerveux ressortissant à la série myxoedémateuse,
e sont pas liées à la rétention de la colloïde, proviendraient d'un
trouble
dela véritable sécré- tion interne. Le myxoed
yroïdiens sont dans deux conditions différentes en rapport avec les
troubles
psychiques. D'une part, il est des troubles psy
tes en rapport avec les troubles psychiques. D'une part, il est des
troubles
psychiques élémentaires qui font partie intégra
es autres, du syndrome de Ba- t i, sedow. . ' La constance de ces
troubles
permet de dire qu'ils sont causés par les pertu
thèse que je soutiens me paraît démontrée. D auh'e part, il est des
troubles
psychiques complexes, des syndromes psychiques,
, produit, selon son intensité et la résistance cérébrale, soit des
troubles
élémentaires, soit des psychoses. - Les trouble
ébrale, soit des troubles élémentaires, soit des psychoses. - Les
troubles
psychiques élémentaires, surtout marqués dans les
sychoses, dont les diverses modalités ne sont que l'exagération des
troubles
psychiques élémentaires, rentrent dans l'allure g
A indique la bibliographie des généralités et B la bibliographie des
troubles
psychiques. (2) L'absence d'indication de vil
L'absence d'indication de ville indique qu'il s'agit de Paris. LES
TROUBLES
PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 227 V
chiatrie und spychischgerichtliche medicin. Berlin, 1817. Boetteau.
Troubles
psychiques dans le goitre exophtalmique. Th. 1892
e goitre exophtalmique. Th. 1892. BOINET. - Maladie de Basedow avec
troubles
psychiques provoqués par l'ingestion de corps t
grave de maladie de Basedow avec hémiplégie, symptômes bulbaires et
troubles
mentaux. Arch. f. Psych., XXXIII, f. 3, 1900, p
lie et du goitre exophtalmique. Soc. méd. psyclzol., 3 mars 1890.
Troubles
psychiques et hallucinations dans la maladie de B
une el traitement de la maladie de Basedow. Progrès méd., 1893. LES
TROUBLES
.PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THYROÏDIENS 229
ré par l'iodothyrine. Soc. méd. des hôp., 3 avril 1903. MARTIN. -
Troubles
psychiques dans la maladie de Basedow. Th. 1890.
MEME. - L'infantilisme. Gaz. des hôp., 22 février 1902. MEYNEM'.
Troubles
mentaux dans le goitre exophtalmique. Psychiatric
l'hystérie. Th. 189.9. Parhon et Marbé. Contribution à l'étude des
troubles
mentaux de la maladie de Basedow. L'Encéphale,
NEL-f.A VASTI : iE Renaut. Observation pour servir à l'histoire des
troubles
cérébraux dans la maladie de Basedow. Soc. méd.
oratory, 1900, p. 42-49. Ries. Goitre légèrement exophtalmique avec
trouble
profond de la nutrition géné- rale chez une jum
al Soc. of London, 23 novembre 1883. SOLBRIG. Maladie de Basedow et
troubles
cérébraux . Allgemeine Zeitschrift sur Psychiat
. Allgemeine Zeitschrift sur Psychiatrie, 1871. Soukhaxoff. - Du
trouble
mental dans le goitre exophtalmique. Revue neurol
t pas de mouvements compensateurs, ou bien, cherche à compenser ses
troubles
locomoteurs par des mouvements exagérés et absu
nostic. Dans l'hystérie on rencontre encore bien d'autres formes de
troubles
de démarche les plus variées, comme l'abasie, d
ganique compense d'une manière rationnelle et presque constante son
trouble
soit sensitif, soit paralytique ; chaque hystér
la coxalgie. MANNEsco. Application du cinématographe à l'élude des
troubles
de la marche dans les maladies nerveuses. ROM
lantes. La nuque et le cou étaient intacts. Du 24 au 30. Tous les
troubles
persistent; la diplopie s'atténue légère- ment.
de rétraction, d'élévation et d'abaissement. Si l'on recherche les
troubles
qui résultent de ces modifications apportées à
émastériens. De même pour les réflexes cornéen et pharyngien. Des
troubles
vaso-moteurs sont survenus à diverses reprises so
dehors de la gêne apportée à l'alimenta- tion, vue plus haut. Aucun
trouble
de la sécrétion salivaire. L'appétit est conser
errer un objet. L'élocution est normale. 260 BRISSAUD ET GY Les
troubles
oculaires seuls ne sont que très légèrement améli
droite et en haut et à gauche (Parésie des VI° paires). Absence de
troubles
paralytiques de la convergence. Les réactions p
malade a présenté à la suite d'une légère infection, un ensemble de
troubles
paralytiques intéressant les quatre membres, la m
al et du spinal. Par contre, les sphincters ont été respectés ; les
troubles
de la sensibi- lité (en dehors des vagues doule
s ces épidémies de paralysie infantile où s'associèrent parfois des
troubles
bulbaires et mésencéphaliques (Bucelli-Coverley-K
ite; dans l'une, outre la paralysie des quatre membres, on nota des
troubles
de l'ouïe, des convulsions, de l'aphasie passagèr
facial, du spinal et surtout des nerfs moteurs de l'oeil, d'où ces
troubles
encore si apparents aujourd'hui dans le domaine
pas exceptionnel dans la spondylose rhizomélique. L'existence de
troubles
nerveux est fréquente dans le rhumatisme ankylo
les myalgies, les amyotrophies, et, dans les formes cervicales, les
troubles
vaso-moteurs cardiaques et oculo- moteurs. To
ches : dans cette situation il ne sent plus le rebord du siège. Ces
troubles
sensitifs, s'accentuant, il a de l'anesthésie e
flexes crémasté- riens, plantaires abdominaux sont conservés Pas de
troubles
sphinctériens. Les pupilles sont inégales, mais
llement : avril 1907, nous relevons aux membres inférieurs : a) des
troubles
sensitifs très accentués ; ce sont surtout des ph
t avec le bout du pied, il fait des efforts considé- rables. L'es
troubles
sphinctériens sont constatés pour la vessie, par
abolis. Les pupilles sont maintenant immobilisées en myosis. Pas de
troubles
visuels, pas de scotome. Les membres supérieurs
malade, d'un tabès vrai, caractérisé par les signes les plus nets :
troubles
sensitifs accentués, incoordination motrice, myo-
s : troubles sensitifs accentués, incoordination motrice, myo- sis,
troubles
sphinctériens et abolition des réflexes. Quels
aspect d'un véritable échassier, ses genoux sont cagneux ; il a des
troubles
profonds de l'ossification qui se traduisent par
a un an, il s'aperçut que la vue de son oeil gauche bais- sait. Le
trouble
de la vision s'accentua de telle façon que le pat
olentes accompagnées de vertiges. Il n'eut jamais ni convulsions ni
troubles
de la vue. En même temps il s'aperçut du développ
aussi bien que des parties molles ; les ongles ne présentent pas de
troubles
trophiques, ils ,sont assez courts et robustes. A
ticulièrement au matin, localisée à la région fron- tale. Jamais de
troubles
de la vue ni de phénomènes convulsifs ; pas de vo
çais des aliénistes et neurologistes à Dijon, il a été question des
troubles
psychiques causés par des perturba- tions des g
ustement, il mon avis, Laignel-Lavastine (8) a affirmé que tous les
troubles
psychiques des acromégaliques ne sont pas d'origi
hthatmie, le signe de Graëfe, le goitre, les sueurs abondantes, les
troubles
gastro-intestinaux, la légère hypo- pyrexie, re
cé,que viennent d'apparaître les vomisse- ments, les céphalées, les
troubles
de la vue ; l'examen ophtalmoscopique, qui aupa
se de l'acro- mégalie un dérangement fonctionnel de ces glandes, le
trouble
de la fonction glandulaire engendrerait une int
rôle principal aux deux premières glandes. Quelle est celle dont le
trouble
est primitif ? Quelle est celle dont le trouble e
e est celle dont le trouble est primitif ? Quelle est celle dont le
trouble
est secondaire. Il n'est pas aisé de répondre.
vingt ans, qui conti- nue à travailler sans se plaindre du moindre
trouble
. Dans un quatrième cas où l'on a fait la radiog
lo- cytes et d'éosinophilie surtout bien vérifiée, est un indice de
troubles
fonctionnels des organes hématopoiétiques,(Ie l
rganisme ; par conséquent de petites altérations peuvent causer des
troubles
très graves. Échanges matériels dans l'acroméga
alpêtriere T. YTI. Pl. LVIII OXYCÉPHALIE Crâne « en tour » avec
troubles
visuels. (Pierre Merle). Masson et Cm, Editeu
ES « EN TOUR » DES AUTEURS ALLEMANDS MALFORMATION S'ACCOMPAGNANT DE
TROUBLES
VISUELS (1) PAR R PIERRE MERLE La malfromat
Elle présente un grand intérêt parce qu'elle peut s'accompagner de
troubles
oculaires et en particulier d'atrophie des nerfs
quait la difformité crânienne. Vers )'age de 12 ans "apparurent des
troubles
de la vue du côté gauche. Il signale vers cette
une maladie grave : il nie la syphilis. Il est entré à Bicêtre pour
troubles
de la vue et affaiblissement général. De- puis
nt vifs et sen- siblement symétriques. Pas de paralysie faciale, de
troubles
de la sensibilité ni des sphincters. Le réflexe
érablement gênée et le malade dort la bouche ouverte. Il existe des
troubles
de l'odorat que le malade a remarqués depuis une
Erysipèle à l'âge adulte. .. Dès l'âge de deux ans il présenta des
troubles
de la vue. Ne voyait pas de loin, sauf quand le
eu aucun phénomène inflammatoire.C'est peut-être à cette période de
troubles
que l'on peut trouver une cause dans la déforma
un homme intelligent qui répond bien à toutes les questions. Aucun
trouble
fonctionnel ni viscéral. L'audition, l'olfactio
nt se montrer indépendamment les unes des autres, conséquences d'un
trouble
profond de nutrition : la circulation y jouerai
ur la plupart des enfants de Meltzel. qui faisaient à ce moment des
troubles
oculaires. Pour Pommerolle (1), il existe une s
de est plus considérable et descend plus bas. Au point de vue des
troubles
fonctionnels pouvant être rapportés à l'affecti
et peut-être peut-on faire la même remarque en ce qui concerne les
troubles
moteurs (sorte de paraplégie avec prédominance
fois le nez fortement rétréci chez les enfants qu'il a étudiés. Les
troubles
de la vue et même de l'odorat sont plus important
diminution d'ouverture de la fente palpébrale. Le nystagmus. Ces
troubles
accessoires peuvent se rencontrer à l'étal isolé.
UX cas d'oxycéphalie 357 dans tous les sens, à un rapport entre ces
troubles
(troubles accessoires de Patry) et la déformati
xycéphalie 357 dans tous les sens, à un rapport entre ces troubles (
troubles
accessoires de Patry) et la déformation crânien
vant cette époque et depuis l'âge de 3 ans, le sujet présentait des
troubles
de la vue progressifs dont la nature reste in-
vé de documents que dans le travail de Meltzer et il semble que les
troubles
ne soient pas très rares : 12 fois sur 20 cas i
rfs olfactifs et les déformations osseuses. Nos malades n'ont aucun
trouble
de l'audition. Meltzer parle de l'at- teinte po
ngue déviée à gauche. Bras gauche parésie : c'est à la main que les
troubles
moteurs sont le plus accusés, moins au coude, e
tion durable fut la parésie du bras gauche. C'est à la main que les
troubles
moteurs furent le plus ac- centués, moins au co
eut-être le type variable des accidents éplepliformes. En fait de
troubles
psychiques nous ne pouvons guère analyser que les
e la région motrice du bras. Cela explique l'apparition précoce des
troubles
moteurs. Plus tard la tumeur pénètre dans la su
a seule manifestation. Après, il est vrai, sur- vint une période de
troubles
psychiques intenses, au point de rendre l'exame
ie des jambes. 1903, hémiparésie et anesthésie du côté gauche, sans
troubles
de cons- cience. Les deux fois il y eut rémis
plus Po., puis K seule. Il faut y rapporter une partie au moins des
troubles
visuels observés chez la malade. La compression
elles et à se transformer en névrose. Que de diarrhées rebelles, de
troubles
dyspeptiques persistants, de toux tenaces, de d
les semblent n'être que la continuation psychi- que, biologique des
troubles
organiques qui les ont précédés et dont l'être
vu que certains mouvements, attitudes ou occupations, que certains
troubles
, douleurs ou symptômes s'imprimaient dans la ma
des imbrications. Entre le vomissement hystérique incoercible et le
trouble
dyspeptique couramment confondu avec une affect
e sans chute occasionnelle apparente, Pierre manifesta les premiers
troubles
psycho- pathiques qui l'ont amené à l'hôpital.
r l'explosion brusque, paroxystique, intermittente ou rémittente de
troubles
psychiques variés, en particulier par des alterna
ste des mouvements automatiques. 11 n'y a ni état catatonique, ni
troubles
de la contraction musculaire, mais la marche es
nt, avec peine, comme accablé de fatigue. L'écriture présente des
troubles
calligraphiques, mais non psychographi- ques. E
ne répond rien. Il fait difficilement une addition très simple. Ses
troubles
de mémoire consistent surtout en amnésie d'évocat
laisser partir sans un mot d'adieu. Il n'y a pas en ce moment de
troubles
de -l'idéation, mais au cours de ses deux .prem
oderne il ne nous semble pas qu'on ait donné assez d'importance aux
troubles
pshychiques. Lasègue au contraire en écrivant
base et surtout celles de l'hypophyse peuvent être liées à de graves
troubles
des fonctions menstruelles et à des arrêts du d
ur de la base furent justement l'atrophie des nerfs optiques et les
troubles
menstruels ; dans aucun de ces cas l'atrophie opt
! . Annali di Nevrologia, I, II, 1908. 5- LAIG\EL-LAVASTINE. - Des
troubles
psychiques par perturbation des glandes d se cr
-ci eut une évolution assez rapide, puisque en 1904 on constata des
troubles
de la miction,une ataxie assez marquée et une a
ns et des modifications de caractère. Il n'y a pas, i) est vrai, de
troubles
de la parole ou de l'écriture, et le tremblement
uf à la langue où l'on a noté quelques mouvements fibrillaires. Les
troubles
intellectuels, sauf immédiatement après les crise
faut quand nous examinâmes l'enfant l'année suivante. Il n'y eut ni
troubles
de la démarche, ni incoordination motrice, ni dou
la démarche, ni incoordination motrice, ni douleurs fulgurantes, ni
troubles
trophiques, ni troubles urinaires. L'examen du
nation motrice, ni douleurs fulgurantes, ni troubles trophiques, ni
troubles
urinaires. L'examen du fond de l'oeil pratiqué
l'amblyopie, l'incontinence d'urine, les douleurs fulgurantes, les
troubles
sensitifs. Ce sont de plus les symptômes initia
sez étrange : l'Ecole neurologique moderne a établi l'existence des
troubles
trophiques et vasomoteurs chez les hystériques
et vasomoteurs chez les hystériques ; ses cliniciens ont étudié ces
troubles
sous tous les points de vue ; ses thèses, ses mém
es les langues, ont répandu partout la notion de l'existence de ces
troubles
avec toutes ses modifications cliniques. Il exi
e traduit d'une façon indéniable à l'obser- vateur attentif par des
troubles
trophiques analogues à ceux qui se voient dans
ien de causalité ou d'interdépendance entre ces phé- nomènes et les
troubles
hystériques ». ! M. Raymond seul a levé sa paro
rome morbide dont nous poursuivons l'étude appartient au groupe des
troubles
qui « peu- vent être exactement reproduits par
é. Mais cela n'est pas toute l'hystérie. Pour ce qui concerne les
troubles
trophiques, et particulièrement le plus profond
de la Société de Neurologie de Paris ont attiré l'attenlion sur les
troubles
trophiques attribués à l'hystérie. A propos des f
M. liabinski, qui, à plusieurs reprises, a contesté la réalité des
troubles
trophiques attribués à l'hystérie. Nous remerci
e mes définitions ». Contrairement à moi, M. Valobra estime que les
troubles
hystériques ne sont pas seuls pithiatiques ; qu
ance du 9 avril 1908 de la Société de neurologie, où la réalité des
troubles
trophiques a été discutée, voici comment il s'est
a été discutée, voici comment il s'est exprimé : « Je crois que les
troubles
trophiques cutanés sont des plus rares dans l'h
cueillies dans les hôpitaux parisiens qu'a été fondée la notion des
troubles
trophiques hystériques. Or, depuis plusieurs anné
urs années, on assiste à ce spectacle singulier : on signale de ces
troubles
en province et à l'étranger, tandis qu'à Paris
(1)... (1) Voir à ce sujet l'enquête approfondie Sur les prétendus
troubles
trophiques hys- tériques, faite auprès des méde
ie et de la chorée. il avait été amené à envisager l'importance des
troubles
psychiques dans ces affections. La maladie de Bas
lui doit une très intéressante étude sur les corrélations entre les
troubles
psychiques et les troubles moteurs, dont il- a
nte étude sur les corrélations entre les troubles psychiques et les
troubles
moteurs, dont il- a proposé de désigner l'allia
go-radiculite syphilitique (3 pl.), 117. LAIGNEL-L \VASTlIOE. Les
troubles
psychiques dans les syndromes thyroïdiens, 204.
s en tour des auteurs allemands, malforma- tion s'accompagnant de
troubles
visuels (1 pl.), 349. Morisetti et APERT. Abs
et FRENCH, 111. Oxyréphalie (crâne en lour) s'accompa- quant de
troubles
visuels (1 pl.), par Merle, 349. Paralysie gé
des pl'Oeessus-conscie/lls (3 p1 ? par TCllllllEV, 1. Psychique (
Trouble
- dans les syndromes thyroïdiens), par Laignel-
par l3oorcarv·m.Le. KINODEIIG et Richet lits, 475. Thyroiitiens (
Troubles
psychiques dans les syndromes-J, par Laignel- L
à la présence de-) (6 pl. par Weber, 359. Visuels (Oxyréphalie avec
troubles
), par Merle (i pl.), 349. Vertébrale (Elude d
XLIX. OEdème persistant (HOPE et French), XXXII. Oxycéphalie et
troubles
visuels (Merle), LVIII. Poli-encéphalomyélite
érale, sans qu'on puisse connaître la genèse de cette élection du
trouble
morbide sous l'influence de tel ou tel toxique.
igieuses, dépressives ou expan- sives se traduisent souvent par des
troubles
psycho-moteurs précoces chez les mélancoliques
prête à des interpréta- tions nombreuses. D'abord, on en a fait un
trouble
périphé- rique purement sensoriel, puis oni en
un trouble périphé- rique purement sensoriel, puis oni en a fait un
trouble
psy- chique pur. Baillarger fusionna ces deux i
es deux interprétations et attribua comme base à l'hallucination un
trouble
psycho-senso- riel. Plus récemment, Tamburini,
ination les acquisitions relatives à l'aphasie corticale, en fit un
trouble
fonctionnel des centres corticaux. « L'hallucin
ongue éducation et synthèse de fonctions de centres superposés ; le
trouble
hallucina- toire peut porter sur les images mot
et on a l'hallucination, psycho-motrice verbale'proprement dite, le
trouble
hallucinatoire peut porter sur les images HALLU
on psycho-motrice graphi- que. Chez -les délirants systématisés, le
trouble
hallucina- toire va généralement du simple au c
ations dites psy- chiques peuvent être considérées comme des cas de
troubles
psycho-moteurs. Il a surtout étudié les mélanco
ina- tion d'arriver à ce degré de différenciation que la durée du
trouble
favorise, et, d'autre part, à l'état démentiel tr
s observations que nous avons pu recueillir dans les auteurs sur ce
trouble
morbide au cours de la paralysie générale. La
allucinations motrices verbales de nature pénible. Absence d'autres
troubles
hallucina- toires et en particulier d'hallucina
ements involontaires de mastications ou de grincement de dents. Ces
troubles
jouent un rôle dans la genèse des idées de perséc
ssiste à la désintégration des neurones centraux d'où résultent les
troubles
psycho-moteurs et leur paraphrase délirante.
inue, la mémoire très affaiblie. L'écriture trahit manifestement le
trouble
de la mémoire par les mots qu'il oublie et l'in
de signe de Romberg, mais instabilité dans la station debout, aucun
trouble
de la mar- che, aucun trouble de la sensibilité
abilité dans la station debout, aucun trouble de la mar- che, aucun
trouble
de la sensibilité. Au point de vue somatique, a
base, et une légère rigidité des artères radiales. Obésité, pas de
troubles
des sphincters, a engraissé beaucoup pendant so
ters, a engraissé beaucoup pendant son séjour à l'asile. A côté des
troubles
de la mémoire, de l'attention, nous notons des
le droit, et il y a de la trépidation épileptoïde à droite, pas de
trouble
de la marche, instabilité légère les yeux fermé
coordination motrice; au dynamomètre 40 à droite et à gauche, aucun
trouble
sensitif. La pupille droite est plus grande que
e à effet n'était qu'une coïncidence. On a prétendu aussi que les
troubles
du sens génital n'étaient pas sans rapports ave
Si avec les altérations en moins nous avons trouvé au contraire des
troubles
identiques dans l'im- mense majorité des consta
par le sens génital, mais encore très élevée et y a-t-il entre les
troubles
de ces deux sens des rapports étroits ? Dans '1
son de la maladie, ils auraient constaté l'indépendance absolue des
troubles
de ces trois sens ? - Il semble plus* rationn
itales, expansives et dépressives, sont en intime relation avec les
troubles
du sens génésique, les premières, relevant des
es de la paralysie générale sont proportionnelles à l'intensité des
troubles
moteurs qui est, comme chacun sait très variabl
s avons trouvé le sens génital d'autant plus souvent normal que les
troubles
moteurs étaient moins accusés. 24 CLINIQUE ME
e paraît pas que l'étiologie ait une influence bien marquée sur les
troubles
du sens génital . Reste la question du pronosti
. Il n'est pas douteux pour nous qu'à la période prodromique, les
troubles
génitaux par leur précocité, leur accentuation et
ent souvent de prévoir la maladie longtemps avant son éclosion. Les
troubles
sont très précoces et quand ils sont constitués
u diagnostic quand la santé est bonne. De même la persis- tance des
troubles
durant la rémission est bien la preuve que la g
t au pronostic, il ne nous a pas semblé beaucoup 'éclairé par les
troubles
du sens génital; nous avons eu, en effet, toutes
é de perversion génitale provenant du fait de la maladie. IV. Les
troubles
fondamentaux observés furent l'exagéra- tion ou
t l'impuissance. 26 CLINIQUE MENTALE. · V. En dehors de ces trois
troubles
fondamentaux nous avons noté d'autres secondair
uns seulement pouvaient encore éjaculer à l'état flasque. VI. Aux
troubles
énumérés ci-dessus, il convient d'ajouter les p
premier sur le second. Le retard dans l'éjaculation est ensuite le
trouble
qui s'est surtout présenté à cette période, deu
surtout présenté à cette période, deux fois plus fré- quent que le
trouble
inverse et l'impuissance avec libido et possibi
u sens génital. Seule l'expansive agitée a présenté un chiffre de
troubles
plus élevé que l'expansive calme. XIV. Nous n'a
s génital et les transformations de la personna- lité physique, les
troubles
du sens tactile et du sens algésique, voire mêm
avons trouvé le sens génital d'autant plus souvent normal que les
troubles
moteurs étaient moins accusés. Le maximum des a
nt moins accusés. Le maximum des altérations en plus a été avec les
troubles
moteurs modéré, le minimum avec les troubles mo
en plus a été avec les troubles moteurs modéré, le minimum avec les
troubles
moteurs excessif et vice versa pour les altérat
que la conscience fitt profondément troublée (petites attaques avec
troubles
respiratoires, etc.). On peul s'étonner, dit Ka
t différente. Il n'y a cependant rien qui empêche de considérer les
troubles
pupillaires de l'attaque hystérique comme un ph
l'occasion des mouvements volontaires. D'après l'auteur, tous ces
troubles
moteurs sont dus à des lésions [scléreuses d'or
ntes : 1° 11 existe une folie partielle, et la forme et le degré du
trouble
mental influent directement, dans chaque cas pa
emeurent au milieu des malades calmes, dont le bruit qu'ils font ne
trouble
pas le sommeil, il l'a maintes fois constaté. I
ère de jambe rappelle beaucoup plus qu'on ne le dit d'ordinaire des
troubles
trophiques. On y note, du reste, souvent des tr
ordinaire des troubles trophiques. On y note, du reste, souvent des
troubles
de la sensibilité, surtout de la sensibilité th
ubles de la sensibilité, surtout de la sensibilité thermique et des
troubles
de la calorification. " D'autre part, l'importa
ils se font des éraillures. Chez les indigènes syphili- tiques, les
troubles
des réflexes oculaires n'ont jamais été ren- co
ion MM. TOFARShY et HOTH. G. RossoLlMo. Une forme particulière du
trouble
de la déglu- lition. Sous le nom de dysphagie
ition. Sous le nom de dysphagie amyotaxique, l'auteur comprend un
trouble
spécial de la déglutition, occasionné par un trou
ur comprend un trouble spécial de la déglutition, occasionné par un
trouble
de la fonction des appareils nerveux correspond
écrivains et autres tics d'ordre supérieur, avec prédominance de
troubles
moteurs, sensitifs ou'psychiques (dysphagie amiot
hique). En se basant sur huit observations, l'auteur conclut que le
trouble
en question s'observe oïdinairement chez des pe
d'hérédité tuberculeuse et alcoolique ; il existe en même temps des
troubles
vasculaires très prononcés. On observe SOCIÉTÉS
63 parfois chez ces malades des phénomènes hystériques, d'autres
troubles
amyotaxiques et des obsessions. Parmi les trouble
riques, d'autres troubles amyotaxiques et des obsessions. Parmi les
troubles
sen- sitifs, observés en rapport avec cette dys
tic, car l'interrogatoire seul suffit pour établir l'existence d'un
trouble
fonctionnel daus le mécanisme de la déglutition
es. Chez les G4 -il SOCIÉTÉS SAVANTES. uns la cause principale du
trouble
réside dans la suggestion psychique, chez d'aut
ues, ce qui indique l'existence de lésions dégénératives. Quant aux
troubles
de la sensibilité, la plupart des auteurs admet a
re volonté est faite pour vouloir le bien. Dans l'état primitif les
troubles
pro- fonds produits par des représentations vio
doctrine qu'un état infectieux peut engendrer de toutes pièces des
troubles
mentaux et non seulement des délires aigus, mai
re de ces formes se produirait de préférence quand l'apparition des
troubles
psychiques est tardive; la deuxième quand le dé
sionné par la toxine tuberculeuse. Cette toxine entraine-t-elle des
troubles
vaso-moteurs, des troubles dynamiques simplemen
uleuse. Cette toxine entraine-t-elle des troubles vaso-moteurs, des
troubles
dynamiques simplement ou crée-t-elle des lésion
. Dans ce nombre nous faisons entrer 3 malades qui présentaient des
troubles
Archives, 2' série, t. XII. 6 82 CHIRURGIE DE
ans l'ordre orthopédique les attitudes vicieuses donnent lieu à des
troubles
variés souvent irrépa- rables et apportent une
cide par l'oxyde de carbone ; Par MM. TRUELLE et PETIT. Parmi les
troubles
mentaux qui peuvent surveniràlasuite d'une into
ission de l'Asile clinique (Sainte-Anne), le 3 avril 1900, pour des
troubles
intellectuels consistant surtout en affaiblisse
appréciable le premier mois, on ne constate chez Il... aucun autre
trouble
intellectuel ; pas trace de délire, aucune illu
t est sain, l'affectivité n'est pas émoussée ; la conscience de son
trouble
de mémoire lui est bien vite revenue. Voici p
mémoire. Sans doute, les exemples d'amnésie survenant à titre de
trouble
mental isolé ou prédominant, à la suite d'une int
'est de constater, lorsqu'il persiste après un aussi long temps des
troubles
mentaux, un affaiblissement généralisé des facu
lissement'. Récemment, M. Greidenberg2 reprenant cette question des
troubles
mentaux consécutifs aux empoi- sonnements aigus
laps de deux à quinze jours, évoluants d'après ce mode habi- tuel :
troubles
de la mémoire mal déterminés, puis amnésie marq
raux. De plus l'amnésie ne s'est jamais accompagnée chez lui de ces
troubles
concomitants relevés chez les malades de 11Z..I
t un empoisonnement aigu par l'Oxyde de carbone peut provoquer un
trouble
partiel de l'entendement aussi persistant. Ici le
écriture n'est donc pas uniquement propre à ceux qui présentent un
trouble
marqué des facultés intellectuelles; 2° elle es
nte, à l'action du froid humide. Les phénomènes douloureux et les
troubles
trophiques pré- cèdent de longtemps les trouble
douloureux et les troubles trophiques pré- cèdent de longtemps les
troubles
vaso-moteurs. La position déclive des membres p
e. On sait du reste combien cette infection est apte à produire des
troubles
névralgiques et vaso- moteurs de diverse nature
ues et vaso- moteurs de diverse nature. Quant au mécanisme de ces
troubles
vasculaires, les auteurs ne pensent pouvoir inv
e indivi- duelle. De petites doses de suc capsulaire produisent des
troubles
respiratoires et. circulatoires qui deviennent
gtemps s'il ne reçoit pas d'injections de suc capsulaire. Quant aux
troubles
ob- servés pendant la vie : respiratoires, circ
sculaire et non hypertonicité. Elle est d'autant plus nette que les
troubles
de la motilité sont plus marqués. La résistance
itude de ce diagnostic. Immédiatement après cette intervention, les
troubles
sensitifs disparurent, seuls, les troubles mote
cette intervention, les troubles sensitifs disparurent, seuls, les
troubles
moteurs ont persisté, ce qui n'a pas lieu de su
utres suicides. L'intoxication alcoolique^ chronique pro- voque des
troubles
généraux des fonctions viscérales qui modifient
Perversions de l'odorat dans la folie avec délusions, indiquant un
trouble
de fonction ou.un défaut d'association dans les
, myosis et rétrac- .tion des paupières (supérieures); indiquant un
trouble
fonctionnel ' dans le troisième noyau ou l'un d
d'hémorragie cérébrale avec hémiplégie droite, et réapparition des
troubles
mentaux : il rentre à l'asile, en état d'hémipl
ntrent pas dans l'épilepsie. Le mot dysphasie s'appliquer mieux aux
troubles
épileptiques du langage : l'auteur admettra de
mémoire; nous les résumons ici : Il est généralement admis que des
troubles
du langage d'une c taine importance se rencontr
e d'une c taine importance se rencontrent dans l'épilepsie, que ces
troubles
sont analogues entre eux, et cependant divers s
les examine sur ce point', montre suffisam- ment l'inquiétude et le
trouble
que leur cause cet examen, et leurs efforts pou
nter. De même que l'on peut voir l'aphonie hystérique résulter d'un
trouble
émotif, ainsi l'on peut trouver chez l'épilepti
ement avant et après l'accès Le mot' dysphasie s'applique mieux aux
troubles
épileptiques de la parole. On peut 'admettre d'
pour l'humanité. A diverses reprises, il fut menacé de récidive des
troubles
mentaux dont il avait été atteint; il essayait d'
sation, ni dans ses actions ni dans ses écrits, la moindre trace de
trouble
intellectuel ou moral- ou d'aliénation mentale
semaines. On constate en général des stigmates d'hystérie, mais les
troubles
sensitifs dus à l'hystérie peuvent se rencontre
vec perte de connaissance dans le premier âge, la réap- parition de
troubles
psychiques à la puberté, la déviation conju- gu
taxiques sérieux, mais parésie marquée des extrémitées inférieures.
Troubles
sensitifs d'un seul côté, dénotant une tumeur d
t basé sur la distribution bila- térale de la douleur, l'absence de
troubles
rectaux et vésicaux. Le point sensible de la co
x, à la gorge, avec une certaine atteinte des sphincters, de légers
troubles
de la sensibilité (douleur, sensibilité exagéré
eux de la mastication et de la déglutition. Réflexes perdus. Pas de
troubles
marqués de la sensibilité. Il y eut plus tard d
146 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. sphincters demeurent intacts. Les
troubles
sensitifs, sauf des sensations douloureuses, fo
sauf des sensations douloureuses, font défaut. Dans la névrite, les
troubles
sensitifs sont plus marqués. Le mal est moins s
se de préférence sur le neurone moteur, il faut se souvenir que des
troubles
sensitifs, consistant en une anesthésie des pie
trémités des doigts, existaient dans le cas original de Landry. Les
troubles
sensitifs sont beaucoup moins marqués, mais ils
motrices, bien qu'il y ait prédominance sur les libres motrices. Le
trouble
des sphincters noté dans deux des cas, n'est pa
ie spasmodique sans atrophie des muscles de la jambe, et sans aucun
trouble
vésical ou rectal. La dissocia- tion des sensib
on des branches du plexus brachial, consistant plus spécialement en
troubles
sensitifs et moteurs dans la région de distribu
t altérés d'un côté et dont la face est asymétrique. Après quelques
troubles
mentaux très légers (idées vagues de persécutio
- ques antérieurs. Hémiplégie droite incomplète avec contracture,
troubles
dysarthriques et dysphasiques,écoulement de saliv
'attaques partielles du côté droit d'autre part, par la présence de
troubles
psychiques particuliers. En effet, à l'autopsie
rales quel qu'en soit le siège, et permettaient ainsi, associés aux
troubles
moteurs, de lo- caliser la tumeur dans le lobe
théoriques indispensables pour le diagnostic et le traite- ment des
troubles
de la réfraction. Son livre a le grand avantage
st consacré à l'étude des muscles de l'oeil et particulièrement aux
troubles
de convergence et de divergence si souvent et s
les sécrétions. Elles sont alors indiquées dans tous les cas où les
troubles
men- taux paraissent liés à des infections, à d
et lé liquide céphalo-rachidien (projections) ; 2° Nouveaux cas de
troubles
mentaux toxi-infeetieux avec examen histologiqu
s caractères spéciaux et que, en parti- culier, ce sont surtout les
troubles
d'ordre spasmodique qui sont le plus souvent ob
n qui est appelé auprès d'elle émet, de prime abord, l'hypothèse de
troubles
méningés. Mais ces phé- nomènes aigus ne tarden
és. Pas de lésion ophtalmoscopique, pas de 180 CLINIQUE NERVEUSE.
trouble
de la vision des couleurs. L'acuité visuelle indi
midi, courait, s'amusait, quand tout à coup elle s'arrête, dit voir
trouble
de l'oeil gauche ; quelques minutes après, elle n
rche de la zone segmentaire hyperesthé- sique de Lied qui, dans les
troubles
organiques de l'ovaire, cor- respond généraleme
, cette zone d'hyperesthésie, en rapport vraisemblablement avec des
troubles
fonctionnels seuls, semble empiéter un peu plus h
; nous n'y reviendrons pas. Mais nous insisterons davantage sur les
troubles
de sensibilités plus spéciales, celles des organe
présente comme la négation parfaite de la fonction de l'ouïe. Les
troubles
du côté de l'appareil de la vision sont extrême-
es suivantes. Toujours nous avons trouvé identiques, constants, les
troubles
de sensibilité géné- rale ou spéciale ; les tro
constants, les troubles de sensibilité géné- rale ou spéciale ; les
troubles
parétiques seuls se sont montrés moins accentué
cité de notre ami M. Ginestous). L'examen indique qu'il n'y a aucun
trouble
de réfraction ; emmétropie des deux yeux; pas d
verses particularités au moment de la discussion. La plupart de ces
troubles
paraissent sous la dépendance d'une hypoesthési
émianesthésies cutanées avec prédominance plus ou moins marquée des
troubles
sensoriels du côté où le tégu- ment externe est
De fait, si l'on élimine tous les cas dans lesquels il y avait des
troubles
auditifs propres concomitants (bouchon de cérum
cas, il n'y a que ceux de Walton, Rosenthal, Collet et l'un 1 Les
troubles
auditifs dans les maladies nerveuses. Gneycl. Léa
c. 1879. 7 Soc. médic. des hôpitaux, 188. " Cité par Strzeminski.
Troubles
ocul. de l'hystérie. (Recueil d'oph- 0 Revue mé
u un peu plus grands qu'avec l'oeil droit, nous savons bien que ces
troubles
ne sont pas assez consi- dérables ordinairement
médecine de Bordeaux, 2r juin 1900, p. kJH-o7.) 3 Il. Parinaud. Les
troubles
ocul. de l'hystérie. (Annales d'oculistique, ju
produire, s'il était bien établi auparavant. En second lieu, que le
trouble
visuel ne gêne pas l'hystérique, lorsqu'il se p
on bino- culaire, ou bien la fonction de ce système, ou enfin les
troubles
qui peuvent venir rétrécir, plus ou moins, le cha
vision binoculaire dans l'hystérie. Cela tendrait à prouver que les
troubles
hystériques de l'appareil visuel sont absolumen
es hystériques de l'appareil visuel sont absolument comparables aux
troubles
hystériques des autres appareils sensoriels, et
nçais, avril 1901). ).. PSYCHOLOGIE MORBIDE. Recherches sur les
troubles
psychologiques consé- cutifs à des hallucinatio
verse. Nous avons tenté d'étudier expérimentale- RECHERCHES SUR LES
TROUBLES
PSYCHOLOGIQUES. 209 ment, ce que pouvait provoq
ons essayé également de saisir les rapports qu'il y avait entre les
troubles
psychologiques et la quantité d'une part et la
i sommeil ; G... était alors comme assommée, comme abasourdie ». Ce
trouble
persiste toujours. Les .crises de sommeil aurai
résentant des spectacles terrifiants, la mettent RECHERCHES SUR LES
TROUBLES
! PSYCHOLOGIQUES. 211 1 à la torture. Lorsqu'on
eu près normale, le jugement est juste. La malade ne présente aucun
trouble
mental. Elle se rend parfaitement compte de son
s possible d'étudier, comme en une véritable expérimentation, les
troubles
dus aux hallucinations et imputables seulement à
teur seul varie dans des conditions déterminées. RECHERCHES SUR LES
TROUBLES
PSYCHOLOGIQUES. 1.3 IV ' Voici maintenant les
oyenne ; b) les hallucinations sont très intenses; c) le passage du
trouble
hallucinatoire de la conscience à l'état normal
plus exactement l'image mentale. L'hallucination par son intensité
trouble
la plupart des, processus psychiques. et provoq
r- taine contribution à la pathogénie de la maladie, ou plutôt du
trouble
morbide, dans le cadre duquel l'observation cli-
tématisation dans le délire ou plutôt une simple RECHERCHES SUR LES
TROUBLES
PSYCHOLOGIQUES. 217 orientation constante dans
ésente en somme une succession dans le temps de trois catégories de
troubles
morbides, qui parais- sent avoir chez G... la v
anatomique des reins, la fonction rénale est liée chez les fous aux
troubles
généraux qui produisent et maintiennent chaque fo
sent et maintiennent chaque forme morbide; et c'est en raison deces
troubles
que varient la qualité et la quantité de l'élim
constatée. Enfin la cause du tremblement pouvait être attribuée aux
troubles
venant modifier l' « influx égal des impulsions
e. Il est probable, cependant, que d'autres facteurs tels que des
troubles
fonctionnels ont aussi joué un rôle dans la produ
tés par la malade. On peut concevoir, en effet, que, par suite d'un
trouble
fonctionnel de la glande thyroïde, une substanc
dilatations variqueuses de la face antérieure n'aient pas causé de
troubles
moteurs par cette double considération qu'elles
as d'exercer une compression assez considérable pour déterminer des
troubles
fonctionnels. R. DE Musgrave-Clay. Ll. L'étud
médullaire, jusqu'à celles des cen tres psycho-moteurs : depuis les
troubles
de la sensibilité liés à d'évidentes altération
apparent que réel- Cette prédisposition qui rend compte de tant de
troubles
, n'est-elle pas elle-même, le plus souvent, com
es travaux récents en pathologie mentale établissent l'existence de
troubles
mentaux particuliers accompagnant les infection
particuliers accompagnant les infections et les intoxications. Ces
troubles
sont constitués par la confusion mentale décrit
t7césie sensorielle très 'accentuée intéressant tous les sens. Le
trouble
mental consiste en un délire général dont l'incoh
e et l'agitation cessent; les malades tombent dans la stupeur ; les
troubles
trophiques apparaissent avec des sou- oerbcesau
ou épileptiformes, les états cataleptiformes ou catato- niques, les
troubles
des réflexes, l'inégalité pupillaire, le tremble-
llaire, le tremble- ment généralisé, l'altération de la parole, les
troubles
des fonctions organiques (gastro-intestinale, c
s insister sur certains d'entre eux, à savoir : la céphalalgie, les
troubles
des fonctions organiques, la confusion mentale,
qui peut donner au malade le cachet d'un paralytique général. Les
troubles
des fonctions organiques sont très importants dan
peuvent s'accompagner, comme l'a fort bien signalé 11. Carrier, de
troubles
circulatoires et respiratoires. Les urines sont t
allaitement, de septicémie consécutive à un gros abcès du sein. Les
troubles
mentaux initiaux ont consisté, après une insomn
ion de la mens- truation, la malade avait déjà présenté un accès de
troubles
psy- chiques d'une durée de trois semaines, car
cellules très nerveuses, on ne puisse constater cliniquement aucun
trouble
nerveux. M. FAURE. Comme l'a fort bien mis en r
estion des rapports entre l'acte opératoire et le développement des
troubles
psychiques a été dis- 'cutée au Congrès d'Anger
cès impulsifs. En somme, je note immédiatement après l'opération un
trouble
mental passager, puis, le huitième jour, un vér
u point de vue physique que mental, qui ne présentent pas de graves
troubles
mentaux mais qui cependant frisent la vésanie.
tion de l'état physique. M. Briand met en relief le caractère des
troubles
psychiques des malades atteints de torticolis m
s malades atteints de torticolis mental. M. Meige insiste sur les
troubles
mentaux chez ies dégénérés atteints de torticol
e temps que le début de l'amélioration de la phtisie, apparition de
troubles
de l'intelligence. Diminution de l'attention, a
extrémités digitales. Parole lente, ànonnée. Inégalité pupillaire.
Troubles
de l'écriture. Léger nystagmus, exagération des
, exagération des réflexes rotuliens. Affaiblissement intellectuel,
trouble
de la mémoire, délire de satis- - faction. Accè
du temps bénéficiaires d'ordonnances de non-lieu' en raison de leur
trouble
mental et envoyés dans un asile d'aliénés. De l
l'amusie est la perte ou la perversion de la faculté musicale sans
troubles
de l'intelligence ni des organes de la phonatio
honation. L'anatomie et la clinique démontrent l'indépen- dance des
troubles
de la faculté musicale. De l'ensemble des faits
1901.) Boulevard des Batignolles, la dame Jules M..., atteinte de
troubles
cérébraux, a mélangé à du thé une infusion de pav
cependant chez un tabétique, qui, avant l'injection, n'avait aucun
trouble
du sens des attitudes ; 'l'Il' Les sensibilités
: les observations con- tradictoires étant en très petit nombre.
Troubles
des sphincters. - Avec les doses modérées de co
cocaïne que nous avons employées, nous n'avons jamais observé de
troubles
des sphincters. Dans aucune de nos obser- vatio
'a été remarqué, chez nos malades, ni phénomènes vaso-moteurs, ni
troubles
secrétoires ; 8° Les nausées, les vomissements
atrophie parétique précoce du malade hémiplégique. Ce sont là des
troubles
du mouvement post-hémiplégiques, puisque les co
USE. niennes sont plus ou moins tortueuses ; on perçoit de légers
troubles
dans la choroïde. Au bout d'un temps plus ou mo
es modifica- tions électriques bien marquées, l'absence complète de
troubles
sensitifs,et la santé parfaite dans l'intervall
mblyopie ou amaurose hystérique contribue à le démontrer puisque le
trouble
ou la perte de la vision ne sont pas le résultat
s de la moelle : la même forme de rai- sonnement est applicable aux
troubles
de la sensibilité spéciale ou générale : la pea
névrose primitive, alors qu'elle est le plus souvent le signe d'un
trouble
nerveux profond), les crises de larmes ou de colè
gauche. Plus tard encore douleur localisée il la tempe gauche. Puis
troubles
de la \ue (diminution processive - à gauche du
centripète. il. II. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. c ? ll'1 XLIII.
Troubles
nerveux intermittents d'origine palustre ; par
ent une paraplégie flaccide, soit par un état de shock, soit par un
trouble
circulatoire par l'intermédiaire de l'arbre spi
se. En cela, comme en toutes choses, il faut donc se surveiller. Le
trouble
de l'esprit peut pénétrer par les yeux, par les
bjecte que l'idée ne devient obsédante que grâce à l'existence d'un
trouble
préalable : les obsédés sont des malades avant
e ou émotive (Lange, H. James, Ribot, etc.) exagère l'influence des
troubles
vaso-moteurs et de 1,'expression émotive, au dé
le essentiel, dans la genèse de l'obsession morbide, appartient aux
troubles
de la volonté. En étudiant l'état des obsédés en
, à cet égard, très instruc- tive chez les obsédés. On retrouve ces
troubles
moteurs dans la folie du doute, type des obsess
t un phénomène très complexe, dont la condition fondamentale est un
trouble
primitif et généra- lisé, affectant les élément
ffectant les éléments communs à la volonté et il l'intelligence; ce
trouble
est une aboulie permanente qui préexiste aux obse
pneumonie, tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des
troubles
mentaux plus ou moins accen- tués. On constate
mal, ce qui démontre une fois de plus, que l'on peut avoir certains
troubles
fonctionnels cérébraux, même accentués, sans qu
en évidence le parallélisme d'intensité des lésions corticales, des
troubles
mentaux et des accidents généraux de la maladie
ux de la maladie. Si donc l'hypothèse qui impute l'apparition des
troubles
men- taux dans les maladies générales (délire f
jection, intoxication, etc.); il en est ainsi, d'ailleurs, pour les
troubles
mentaux qui les accompagnent, et qui varient peu
8. - Sur les lésions cellulaires corticales observées dans G cas de
troubles
mentaux toxi-infectieux. Revue neurologique, déce
enlève rien de leur valeur ni de leur importance. , - Deux cas de
troubles
mentaux loxi-infeclicux avec examen hislotogiqu
GXEL Lavastine, interne des hôpitaux de Paris, rapporte deux cas de
troubles
mentaux toxi-infectieux avec lésions cellu- lai
ement, pour ainsi dire, sur la source même de l'évolution et de ses
troubles
, sensitifs, les racines postérieures. Or d'aprè
nes chez les idiots ; par BOUnNEYILLE (sera publié ultérieurement).
Troubles
unilatéraux de la mimique faciale (hEmi.mintie) c
'importance que les aliénistes et les neurologistes attachent à ces
troubles
en leur donnant.une origine centrale, les auteurs
ous cas, lorsqu'on aura à examiner des malades qui présen- tent ces
troubles
, même s'ils sont hystériques, il est indispensabl
ore incomplètement oxydé, pouvant aussi être sous la dépendance des
troubles
profonds que nous constatons. A partir de ce mo
nds que nous constatons. A partir de ce moment-là, et en raison des
troubles
constatés du côté de la fonction "rénale, nous
ace, l'attention des observateurs. M. Régis rappelle l'existence de
troubles
cérébraux consécutifs ! une insolation. Les tro
l'existence de troubles cérébraux consécutifs ! une insolation. Les
troubles
observés furent d'abord de la confu- sion menta
ion provoque un état d'intoxication ainsi que l'aspect clinique des
troubles
mentaux semble le mon- trer. Astoso-basophie.
ore faire de l'orthopédie mentale et morale dans les cas suivants :
troubles
du caractère, mensonge, klepto- manie, onanisme
us la dénominationd'alcooliques, ils n'ont compté que ceux dont les
troubles
mentaux ne s'étaient produits qu'à la suite d'e
rme. Démence simple, sans euphorie. Cons- cience de l'état maladif.
Troubles
de la motilité à droite. Durée de la maladie di
énés, il faut penser aussi à ceux qui sont de simples malades, sans
trouble
mental. Le premier asile pour les épilep- tique
oins définie. Au début de l'attaque, à la période d'agitation et de
troubles
mentaux aigus, cette pres- sion était élevée et
dans les phénomènes dont il s'agit, le facteur fon- damental est le
trouble
de la sensation organique : ce trouble engendre
facteur fon- damental est le trouble de la sensation organique : ce
trouble
engendre une action morbide et une pensée morbi
aniques d'origine alcoolique; 2° à remédier au besoin d'alcool, aux
troubles
intellectuels, à l'abaissement moral, à la tend
èmes cérébro- spinal et lymphatique, et celles qui accompagnent des
troubles
nerveux fonctionnels. Ces dernières sont celles
manquait ou était embarrassé, sans rien toutefois qui rappelât les
troubles
d'articulation de la paralysie générale. Le réf
e est conservée. L'auteur aborde enfin la question des rapports des
troubles
pupillaires avec l'hérédité syphilitique. L'ori
des asiles rhénans les aliénés criminels, qui sont des éléments de
trouble
et de désordre, et les rassembler dans un quart
l'influence d'excès alcooliques. Le malade n'est pas alcoolique. Le
trouble
mental actuel est la conséquence d'une vive déc
r ALBERT CAIIEN, interne des hôpitaux. I. D'une façon générale, les
troubles
moteurs chez les aliénés sont bien étudiés. C'e
en but aux pour- suites des « Reluquets ». Une autre, souffrant de
troubles
de la sensibilité générale, se plaint de sensat
me, mais des idées de grandeur sont appa- ' Cit. par J. Séglas. Les
troubles
du langage chez les aliénés. Rueff. Paris, 1892
délires systématiques. Aussi les prendrons-nous comme ' J. Seglas.
Troubles
du langage, p. 230. ' J. Séglas. 1(l., p. 241.
qu'il se noyait et appelait au secours, le malade s'éveilla dans ce
trouble
et se servit de sa propre voix pour rendre grâc
ent à la période de développement individuelle à laquelle débute le
trouble
fonctionnel ; 3° la nature de l'excès de dévelo
itisme et les formes naines du crétinisme; 5° il est possible qu'un
trouble
réflexe des fonctions de cet organe ait une par
prenne naissance au siège d'une vieille hémorrhagie et soit dû à un
trouble
de la circulation cérébrale. R. DE MusGRAVE-CLAY.
rn. de Neurologie, 1900, nu 22.) En présence de malades atteints de
troubles
nerveux, contre les- quels la suggestion dans l
auteur en conclut que cette aboli- tion ne peut pas être le fait de
troubles
circulatoires et que les artères spinales antér
quelles maladies est-il essayé ? 2° L'avez-vous employé dans les
troubles
chroniques avec de bons résultats ? 3° Quel est l
es par le liquide thyroï- dien. - En face d'un myxoedémateux avec
troubles
mentaux, trois questions peuvent se poser : la
élire des actes dans la paralysie générale, d'où il résulte que les
troubles
de l'activité, dans l'encéphalite diffuse chron
toutes les discordances de l'activité, comme elle le fait pour les
troubles
intellectuels proprement dits. M. Marie a obser
i inclinerait à faire admettre la dernière hypothèse, c'est que les
troubles
mentaux observés se rapprochent beaucoup du tab
s se rapprochent beaucoup du tableau que M. Chante- messe trace des
troubles
intellectuels de la méningite tubercu- leuse. ,
ependant citer le cas d'une déli- rante chronique chez laquelle les
troubles
de la sensibilité géné- rale et les interprétat
s localités, par Pailhas, 313. Béglltition. Forme particulière du
trouble
de la -, par Rossolimo, 62. Délire. Du aigu a
sile de Ville-Evrard. par ricqué et Febvré, 81. 1 Hallucinations.
Troubles
psycholo- giques consécutifs à des pro- voqué
ËMNGO-MyEUTE tuberculeuse avec autopsie, par Crocq, 116. Mentaux.
Troubles
- toxi-infec- ticux, par Lalgnel-Lavastine, 3
1. Relations entre la et l'épilepsie, par Spiller, 144. Mimiques.
Troubles
unilatéraux de la -- faciale, par Lannols et Pa
Traitement des vertigineux de l' -, par Libotte, 534. Palustre.
Troubles
nerveux d'ori- 'gille -, par Brocquet, 311. Pol
ait rien d'anormal à relever dans la sphère des nerfs crâniens. Les
troubles
vésico-rectaux consistaient en une incontinence i
avaitpas conscience, et en une constipation opiniâtre. En fait de
troubles
vaso-moteurs, on ne notait, en dehors d'une rouge
rophie. La paralysie et l'atrophie mus- culaire s'accompagnaient de
troubles
vésico-rectaux (incontinence d'urine et constip
ait pas amendée ; l'ancsthésie conservait les mêmes li- mites ; les
troubles
vésico-rectaux persistaient. Par contre, l'oedème
ie, l'impotence motrice complète dont est frappée la' mala- de, les
troubles
trophiqueseoncomitantsnepourraientquefortifierce
çon. Par contre, l'évolution des accidents, la gravité de certains
troubles
présentés parla malade, et en particulier les t
de certains troubles présentés parla malade, et en particulier les
troubles
sphinctériens, les caractères de l'eschare plai
'étend aux muqueuses; elle s'accompagne souvent d'hypéresthésie, de
troubles
vaso-moteurs et trophiques, souvent aussi de dé
ar la paralysie motrice, l'atro- phie musculaire, t'anesthésie, des
troubles
trophiques cutanés, il ne reste plus que la syr
dans sa thèse, a porté son attention d'une fa- çon spéciale sur les
troubles
de la sensibilité tactile dans la syringomyé- l
ue je viens de vous exposer ? C'est que, étant donnés l'étendue des
troubles
moteurs, la distribution et les ca- ractères de
cordon postérieur était plus prononcée à gauche qu'à droite. Or les
troubles
de la sensibilité tactile avaient fait défaut dan
de C'affection. Le début des symptômes actuels remonte à 3 ans. Les
troubles
de la ne apparurent les premiers : la malade voya
s. Les troubles de la ne apparurent les premiers : la malade voyait
trouble
et ne pouvait se diriger dans la rue. En même tem
du sens musculaire ni articulaire. Sensibilité. Il n'existe pas de
trouble
de la sensibilité tactile. La pi- qûre est bien
nsation de brûlure. Mais à un deuxième et à un troisième examen ces
troubles
ne se sont pas reproduits.V... étant d'une suscep
ne susceptibilité nerveuse exagérée il faut mettre sur le compte de
troubles
psychiques cette sensa- tion pervertie. Il n'
oubles psychiques cette sensa- tion pervertie. Il n'existe pas de
troubles
de l'odorat. Pas de troubles du goût. Pas de
tion pervertie. Il n'existe pas de troubles de l'odorat. Pas de
troubles
du goût. Pas de troubles de l'ouïe : la montre
iste pas de troubles de l'odorat. Pas de troubles du goût. Pas de
troubles
de l'ouïe : la montre est entendue à un mètre de
les même dans les posi- tions extrêmes des yeux. Mais elle les voit
troubles
, ils lui semblent confus avec des contours flou
pas de crises gastriques. Elle n'a jamais eu de crises laryngées.
Troubles
de la motilité. La malade marche sans jeter les p
exécuter certains ouvrages délicats : tricot, dentelle, couture.
Troubles
trophiques et vaso-moteurs. Il n'en existe absolu
t, pas de desquamation cutanée improprement dite psoriasis,. Pas de
troubles
trophiques articulaires. Etat de l'intelligence
telligente, raconte facilement son histoire. Elle ne présente aucun
trouble
de la parole, elle lit facile- ment. Son écri
ble s'être produite : la ptose est moins marquée : la vue est moins
trouble
. Les phénomènes paralytiques sont cependant peu
de bacillose pulmonaire. Sans raison apparente, se manifestent des
troubles
oculaires à évolution rapide, aboutissant aux p
maux de tête si spéciaux en pareil cas. Ellen'a jamais présenté de
troubles
gastriques, surtout elle n'a jamais eu de vo- m
a maladie de Duchenne n'évolue avec ses symp- tômes primordiaux les
troubles
oculaires, variables avec chaque individu, anno
Il est rare que l'on ne constate pas du .côté de la vessie quelques
troubles
, par exemple des mictions impérieuses. Tous ces
urses séreuses ont un rôle trophique, et nous trouvons en effet des
troubles
trophiques. Le malade se plaint en effet d'un f
de la lésion la sensibilité est intacte. En outre il n'y a pas de
troubles
des sphincters. Les réflexes tendineux sont exa
cause interne, c'est ce que nous avons recherché avec grand soin.
Troubles
musculaires. Il n'y a pas eu à proprement parler
- cher le malade de se servir aisément de ses membres. Il y a des
troubles
de la marche, mais qui tiennent sans aucun doute
nifestement rétrécie. Fond d'oeil normal. Enfin nous n'avons pas de
troubles
psychiques, pas d'amnésie notamment, ni ancun t
avons pas de troubles psychiques, pas d'amnésie notamment, ni ancun
trouble
respiratoire, circulatoire, digestif, urinaire, g
st de 37°4. 1 Examen du système nerveux : ' , I. Motricité. Les
troubles
moteurssont caràctérisésessentiellement par une
usculature faciale fonc- tionne normalement. II. Sensibilité. Les
troubles
de la sensibilité sont moins francs que ceux
tion de corps chauds ou froids, comme sensa- tions de contact : ces
troubles
sensitifs correspondent très nettement à la dis
partie supérieure du thorax, on atteint Fio. 10. - Répartition des
troubles
moteurs : Hémiparaplégie double à limite supéri
erve exactement, avec une différence Fic. 11 et 12. Répartition des
troubles
sensitifs : 54 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
s : il n'existe pas de clonus du pied. ' ' ' IV. Réservoirs. Les.
troubles
de la miction observés par le malade pendant le
: la'pupille droite a un diamètre double de celui,de la gauche. VI.
Troubles
trophiques. Il n'existe pas d'eschare sacrée, ni
n postérieur, dont l'altération aurait déterminé de bonne heure des
troubles
paralytiques des membres inférieurs et des phénom
jambes, des fourmillements, une certaine difficulté de la miction,
troubles
qu'on peut mettre sur le compte d'une simple irri
maintenant à l'interprétation plus' complexe et plus déli- cate des
troubles
de la sensibilité et de leur association avec les
cate des troubles de la sensibilité et de leur association avec les
troubles
moteurs. - . Cette association répond, physio
que sur les particularités qui font de notre cas un exemple rare de
trouble
nerveux : c'est-à-dire la bilatéralité et la diss
hauteur et atteignant' supérieurement deux racines différentes, les
troubles
moteurs et sensitifs sont également dénivelés à
E LA SALPÊTRIÈRE . élevée (-1 re racine dorsale), correspondent les
troubles
moteurs plus marqués du bras gauche et une anes
t des racines, on a figuré deux bandes verticales correspondant aux
troubles
moteurs (M) et sensitifs (S) du corps. Pour toute
nesthésie AD. L'explication précédente s'applique identiquement aux
troubles
pro- uits par la seconde tumeur T', avec les co
celles de Lasche- witz (2) et de Fournier (3), il existait bien des
troubles
de la motilité in- dépendants de lésions cérébr
e crânienne in- tacte, pie-mère de la convexité fibreuse, épaissie,
trouble
. Gommes et pe- tits foyers de ramollissement da
aux questions posées. Phénomène particu- lier, il n'existait pas de
troubles
de la motilité. L'enfant mourut de diphtérie. O
dullaires. Les symptômes cérébraux paraissent prédominer : avec les
troubles
des fonctions intellectuelles, les accès d'épil
st pas moins certain, et l'autopsie de Jürgens en fait foi, que les
troubles
de la motilité des membres inférieurs lorsqu'il
égie spasmodique. Qu'on y joigne, comme dans les cas précédents,des
troubles
fréquents de l'intelligence allant de la débili
8 110 NOUVELLE 1C0N0GHAPUIE DR LA SALPlhHIÈl11J : s'accompagne de
troubles
intellectuels, il n'est pas douteux que le cervea
de la trépidation spinale. Jamais,chez cet enfant,il n'a existé de
troubles
cérébraux, l'intelligence z est remarquablement
te molaire saine. La 2e grosse molaire, atrophie cuspidienne. Les
troubles
de la locomotion sont très accentués. S.présente
quelque temps, survint une paraplégie avec incontinence d'urine et
troubles
de la sensibilité, au moins du côté gauche. Bar
e des membres inférieurs avec ataxie des bras et des jambes. Pas de
troubles
de sensibilité. A il ans, on la place dans une
s où elle apprend bien, est intelligente et ne donne aucun signe de
troubles
psychiques. , A 12 ans (avril 1886) surviennent
d'impaludisme. Mouvements convulsifs des globes oculaires ; pas de
troubles
de la sen- sibilité spéciale. Voix nasonnée. Pa
s réflexes rotuliens et do la trépidation spinale des côtés. Pas de
troubles
de la sensibilité. Les ré- flexes plantaires et
tement antisyphilitique. L'enfant est intelligent ; il n'y a pas de
troubles
cérébraux. Nous pourrions faire remarquer qu'il
essions qui paraissent bien être d'ori- gine cicatricielle. - . 1
Troubles
de sensibilité. On note une hyperesthésie très ma
en'demi-ceinture, à droite au niveau de la base du thorax. Pas de
troubles
des organes des sens ; pupilles égales, réagissan
ent. ' - - D'aussi loin qu'il pouvait se souvenir, sa vue avait été
trouble
; elle était de- venue encore plus mauvaise pend
plopie qui persiste pen- dant trois semaines ; puis aurait aussi vu
trouble
,'ne pouvant distinguer cor- rectement les objet
s à 2 mètres de distance ; ni douleurs de tête ni vomisse- ments.
Troubles
de l'articulation des mots ; se faisait difficile
en ce sens qu'il prononçait les P pour les B et vice-versa. Pas de
troubles
de dé- gtutition ; les liquides n'étaient pas r
. Vers le 20 octobre, il peut marcher sans canne ; la vue qui était
trouble
re- vient peu à peu à la normale comme les autr
eurs et inférieurs est normale ; pas d'atrophie musculaire ; pas de
troubles
de la sensibilité. , Les pupilles sont égales e
et il l'accommodation. Il existe, depuis plusieurs années,quelques
troubles
des fonctions circulatoires 134 ' NOUVELLE ICON
u'au début, au moins, a existé de la diplopie, des vertiges, et des
troubles
de l'articulation des mots, permettant de penser
se dissipa bientôt. A la même époque, elle commença il éprouver des
troubles
de la marche 'qui devint par'moments incertaine
de la marche 'qui devint par'moments incertaine et vacillante; ces
troubles
étaient surtout marqués lorsqu'elle traversait
ne hyperesthésique cutanée dans la région mammaire droite. Pas de
troubles
sensoriels. Toutefois la malade perçoit constamme
alogue au bruit de l'eau qui bout. Champ au- ditif normal. Pas de
troubles
cérébraux ; mémoire conservée ; intelligence nett
itiques du squelette que nous avons signa- lées, il n'existe pas de
troubles
trophiques si ce n'est un durillon situé la par-
marquée. Pas LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 141 de
troubles
de sensibilité, ni d'atrophie musculaire des memb
t accommodateur abolis). Il n'y a pas de synéchies iriennes, pas de
troubles
des milieux transparents. Myopie 0. D. - 13 dio
muscles des membres inférieurs semble en relation directe avec les
troubles
articulaires. ' ' Intégrité des sphincters vési
ticulaires. ' ' Intégrité des sphincters vésical et rectal ; pas do
troubles
laryngés. Il n'en est pas de même en ce qui reg
s oreilles; n'a jamais eu d'écoulements ni de bourdonne- ments. ,
Troubles
trophiques. --Nous avons déjà signalé l'atrophie
é à 18 ans, à 20 ans, à 31 ans. Dans ce dernier cas il existait des
troubles
trophiques osseux, une fracture spontanée. Re
gauche et presque aussi marqué à droite. Le malade n'accuse aucun
trouble
de sensibilité subjective. Il y a une hyperesth
ui n'impressionnent d'abord que comme de simples contacts. Pas de
troubles
trophiques cutanés.' Pas de troubles vaso-moteurs
de simples contacts. Pas de troubles trophiques cutanés.' Pas de
troubles
vaso-moteurs. Tronc. L'hyperesthésie des jambes
spirations énergiques nécessitées par la malformation thoracique.
Troubles
vésicaux. Il y a de l'incontinence nocturne d'uri
nts à recueillir sur les antécédents, l'histoire de la maladie, les
troubles
subjectifs et les désordres fonctionnels. De tous
corporelles dont nous aurons à nous occuper sont la conséquence de
troubles
évolutifs portant sur les différents systèmes^
l au moment de la naissance, entraîne l'infantilisme, tandis ^qu'un
trouble
évolutif de même nature, survenu à l'époque de
inution de volume, c'est peut-être demander l'im- possible. , Les
troubles
trophiques n'ont pas coutume d'obéir aux lois de
, etc.), retenons seulement la caractéristique morphologique que ce
trouble
nu- tritif imprime au corps des nains. D'aill
nctions qui sont le propre des vrais myxoedémateux.. Chez eux,,le
trouble
évolutif, qui a menacé leur corps de toutes les i
ennent par- fois compliquer le nanisme, nous signalerons encore les
troubles
trophi- ques qui portent sur les articulations
x, il n'est pas suffisant pour établir un diagnostic définitif. Les
troubles
fonctionnels et psychiques ont une grande importa
utre part insisté sur les accidents du traitement par le borax (1),
troubles
gastriques, troubles vaso-moteurs, accidents cuta
les accidents du traitement par le borax (1), troubles gastriques,
troubles
vaso-moteurs, accidents cutanés, et surtout com
e 4 à 5 et 6 grammes par jour, sans aucun résultat heureux pour les
troubles
nerveux. Il commença alors à se produire de l'i
t. Le médicament est bien supporté ; le malade ne se plaint d'aucun
trouble
gastrique, ni même de dégoût ; il ne pré- sente
presque au milieu du mollet. Pas d'albumine dans les urines, aucun
trouble
général. Suppression du borax. L'oedème est res
ture du mal dont était atteinte la Fille de St-Géosmes. ' Sur les
troubles
sensitifs et sensoriels, Morand reste muet. Il fu
'il faut rattacher ces accidents. Ils appartiennent il la série des
troubles
vaso-moteurs si variés chez les hystériques et
cas de Geneviève Martin, l'hésitation n'est pas possible. Parmi les
troubles
que l'hystérie apporte à l'appareil digestif, le
maturie chez une malade aussi féconde que la Fille de St-Géosmes en
troubles
vaso-moteurs hystéri- ques, si cetle hémorrhagi
il n'y a pas là de quoi infirmer le diagnostic. Le « délire », les
troubles
respiratoires, la « fièvre » même peuvent apparte
fort judi- cieusement fait ressortir la nature pathologique de ces
troubles
de l'esprit et du caractère. Il prononce formel
esque tous les appareils : pour mons, estomac, reins, vessie. Les
troubles
vaso-moteurs, affectent tantôt forme éruptive, ta
t à l'âge de trois ans, comme on l'a écrit, que se sont montrés les
troubles
dystrophi- ques : la mère nous dit très explici
de ces manifestations prémonitoires, B... a eu, il y a G mois, des
troubles
vésicaux marqués par une légère incontinence d'ur
al, dont la symptomatologie ne com- porte qu'exceptionnellement des
troubles
de paralysie motrice et le tabès bulbaire qui a
ontrer que les muscles de la face delà langue peuvent présenter des
troubles
de la coordination analogues à ceux que nous ve
des membres supérieurs ; de plus chez B..., on ne cons- tate pas de
troubles
de la sensibilité spéciale ou générale de l'organ
chiv. sur klinische Chirurgie, 1888. (6) Arlhropathies nerveuses et
troubles
de la sensibilité. Nouvelle Iconographie de la
mère crânienne intacte, pie-mère de la convexité fibreuse épaissie,
trouble
; gommes et petits foyers de ramollissement dans l
place ces cellules ne se colorent plus du tout, il reste un espace
trouble
sans structure apparente; en d'autres endroits
NERVEUX. HOSPICE DE LA SALPLTIi7LIiD. PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENS1TIV0- MOTEURS CONSÉCUTIFS A L'EMPOISONNEME
reprocher des lacunes et des erreurs ; C'est ensuite qu'en fait de
troubles
moteurs qui traduisent le retentis- (1) Leçon d
oulu voir que cette dernière. Or, quand on considère l'ensemble des
troubles
sensitivo-moteurs et psychiques qui peuvent se
s im- médiates, bruyantes, de l'empoisonnement, et l'apparition des
troubles
moteurs. Toujours est-il que la connaissance de
que, 1889, t. XXII, p. 13'7, 356 et 4G0. PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSITIVO-MOTEURS 323 Pour toutes ces raisons e
dorsal, comme un bloc inerte. De temps en temps elle était prise de
troubles
de la déglu- tition ; il lui arrivait d'avaler
musculaire appréciable. Dès le 25 mai on notait la disparition des
troubles
en rapport avec la paralysie des sphincters, ains
sse, l'excitabilité électrique est sensi- PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSITIVO-MOTEURS 325 blement affaiblie dans le
sègue est plus accusé à gauche qu'à droite. A cela se réduisent les
troubles
de la sensibilité subjective. Vous allez voir q
à vous signaler une manifestation qui rentre dans la catégorie des
troubles
trophiques, et ce sera tout. Cette fillette, au c
erveux, ire série, Paris, 1896, p. 269. PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSITIVO-MOTEURS 327 paralysies arsenicales so
ls l'histoire des paraly- sies arsenicales ou, plus exactement, des
troubles
sensitivo-moteurs qu'on voit se développer à la
(1) P. Brouardel et G. Pochet, loc. Cil. PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENS1TIVO-MOTEURS 329 enfin de troubles de la s
PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENS1TIVO-MOTEURS 329 enfin de
troubles
de la sensibilité, qui ont bien leur valeur, en l
eau, qu'on leur ronge les chairs. Habituellement ils présentent des
troubles
de la sen- sibilité objective, sous la forme d'
Fig. 30. Fig. 31. Fig. 32. Fig. 33. PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSITIVO-MOTEURS 331 par M. F. Vluller, de ces
écutives à un empoisonne- ment aigu s'accompagnent assez souvent de
troubles
trophiques cutanés, sous la forme d'érttplions(
s la forme de cet état luisant connu sous le nom de glossg skin, de
troubles
vaso-moteurs (érythème vaso-paralytique), quelq
haleur. Les muscles et les troncs nerveux PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SE\SITIVO-11OTEURS 333 étaient un peu sensibles
nieux. Dans le cours de ce trai- tement, l'enfant vint en proie des
troubles
digestifs passagers. Denx jours plus tard on co
détail, j'y reviendrai dans un instant. En outre on a constaté des
troubles
de la sensibilité, l'a- bolition des réflexes t
's Ilopkins Ilospital, avril 1893, ne 30. PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSITIVO-MOTEURS 335 Je considère qu'il est su
apporte à la description que MM. Brouardel et Marie ont donnée, des
troubles
moteurs consécutifs à des empoisonnements crimi
garçons fut pris de la même manière. \ PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSITIVO-MOTEURS H37 Voilà donc un exemple bie
s accidents qui rappelaient ceux de l'acrodynie, c'est dire que les
troubles
de la sensibilité prédominaient sur les troubles
c'est dire que les troubles de la sensibilité prédominaient sur les
troubles
mo- teurs. Voire qu'au début de l'épidémie, lap
ibilité et du mouvement, aux membres inférieurs, sans préjudice des
troubles
gastro-intestinaux symp- tomatiques de l'empois
e médecine légale, 1874, t. XLII, p. 406. PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSIT1V0-liOTEURS . 339 s'observe à l'état end
Romberg, des douleurs lancinantes, de l'anesthésie, et jusqu'à des
troubles
oculaires tels que la diplopie, l'aboli- tion d
arsenical oisonin7. Brain, janvier 1887. PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSITIVO-MOTEURS 341 C. Tremblement arsenical.
ation de l'empoisonnement arsenical. i D. Epilepsie arsenicale ET
troubles
INTELLECTUELS. Je crois devoir vous signaler en
s ai dit déjà que l'empoisonnement arsenical peut donner lieu à des
troubles
intellectuels, en tête desquels figure l'amnésie.
tions ont été publiées par Erlicki et Rybalkin. Tableau général DES
troubles
SENSITIVO-MOTEURS causés par L'EMPOISON- nement
plus ou moins considérable s'écoule avant l'apparition des premiers
troubles
sensitivo- moteurs. Pendant cette période on pe
ule façon, et avant que la paralysie soit nettement constituée, des
troubles
de la sensibilité ont fait leur apparition : engo
; presque toujours la paralysie est, à ses débuts, chiropodale. Les
troubles
de la sensibilité persistent. Les muscles, quelqu
s muscles innervés par des nerfs crâniens, donnant ainsi lieu à des
troubles
de la mastication, de la vision, à des troubles
nt ainsi lieu à des troubles de la mastication, de la vision, à des
troubles
respiratoires, à de la tachy- cardie. Bientôt l
if à un empoisonnement arsenical aigu . PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSITIVO-nIOTEUIiS 343 rétablissement fonction
celui qu'elle a observé au moment de s'établir ; il arrive que les
troubles
de la sensibilité se dissipent plus tardivement e
ensemble, se passent habituellement de la même façon, sauf que les
troubles
gastro-intestinaux du début affectent une moin-
e au même titre que la paralysie de même origine. Enfin parmi les
troubles
sensitivo-moteurs consécutifs il une intoxica-
enre. Mais il s'agit ta de faits exceptionnels. Parallèle entre les
troubles
sensitivo-moteurs DE L'AHSE : ,\ICISlIOE et LES
entre les troubles sensitivo-moteurs DE L'AHSE : ,\ICISlIOE et LES
troubles
SGNSI'fI\-0-lfOTh : UItS DE l'alcoolisme. Voilà u
Voilà un tableau, aussi 'fidèle que possible dans sa concision, des
troubles
sensitivo-moteurs que peut laisser à sa suite u
on observe, mais, à titre tout à fait ex- PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSITIVO-MOTEURS 345 ceptionnel, l'abolition d
nnel, l'abolition des réflexes pupillaires ; dans les deux cas, les
troubles
de la sensibilité, mais surtout les douleurs spon
Que les accidents soient imputables à l'arsenic ou à l'alcool, des
troubles
intellectuels peuvent se manifester, et parmi eux
rodromique d'une polynévrite alcoo- lique. Dans ce dernier cas, des
troubles
digestifs sont habituels, mais ils ont une expr
ux. Il est rare aussi que dans les cas de paralysie alcoolique, les
troubles
sensitifs, phénomènes de paresthésie, dou- leur
sache. dans un cas de paralysie arsenicale, l'amnésie et les autres
troubles
intellectuels n'en sont venus à dominer la scèn
s (fi.3G); ces mouvements sont Fig. 36. PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSITIVO-MOTNURS 347 gênés à un moment où les
caractères (liffé- rentiels que je crois pouvoir relever entre les
troubles
sensitivo-moteurs de même ordre, symptomatiques
nt par l'arsenic, l'ataxie occupe une place prépondérante parmi les
troubles
sensitivo-moteurs. Un auteur allemand, le docte
ft, Breslau, 1889). Fig. 39. Fie. 40. PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSITIVO-MOTEURS 349 topsie a révélé l'existen
uelque sorte pour trame, pour fond commun, la triade suivante : des
troubles
tro- phiques et uccso ? aotezcrs, qui comprenne
ycténoïde, des pa- naris, des artropalhies, des oedèmes, etc. ; des
troubles
sensitifs, qui se résument dans ce qu'on a appe
ement arsenical, avant l'apparition de la para- lysie et des autres
troubles
sensitivo-moteurs. Fig. 41. Fig. 42. 350 NO
omme, la paralysie arsenicale, ou, pour parler plus exactement, les
troubles
sensitivo-moteurs consécutifs à un empoisonnement
ROU.111UEL et POUCHET, loc. cit., p. 471. PARALYSIES ARSENICALES ET
TROUBLES
SENSITIVO-MOTEURS 351 tion considérables, about
ntérieures sont assez visibles mais le protoplasma est d'une teinte
trouble
uniforme, le noyau indistinct au lieu d'être cl
éditeurs. Nouv. Icwwanrttts de la SmriTanat. r. lx, PT. \T \'111
TROUBLES
TROPHIQUES DES ONGLES ! ),\I1S 1,11N.Stéi-ie. M
eurs. Nouv. Iconographie de L.\ SAl.pClIULl<1 T. 1 ? PI.. xlix
TROUBLES
TROPHIQUES DES ONGLES Dans la maladie de R.V'll
tions et qu'il était intéressant de mettre ici en relief. ix ' 24
TROUBLES
TROPHIQUES DES ONGLES AU COURS DE L'HYSTÉRIE ET
et de publier à la suite les unes des au- tres ces observations de
troubles
trophiques des ongles au cours d'affec- tions d
oïncidence au moins entre l'intensité de ce processus et celles des
troubles
de sensibilité qui, toujours se sont montrés conc
ité qui, toujours se sont montrés concomitants. C'est ainsi que les
troubles
trophiques atteignent leur maximum dans les obs
hiques atteignent leur maximum dans les observations I et IV où les
troubles
de sensibilité sont les plus marqués et qu'ils
uchés à des degrés divers dans les observations II, III et V où les
troubles
de sensibilité sont moindres. Observation 1 (H
latérales, d'aspect et de coloration cornés, tendent à s'incarner.
TROUBLES
TROPHIQUES DES ONGLES 371 Par ce caractère et p
Le réflexe pharyngien est aboli. La malade ne présente pas d'autres
troubles
. Antécédents héréditaires. Le père, grand alcoo
ofesseur Fournier, la certitude de cette affirmation], il s'agit de
troubles
trophiques des ongles citez une hystérique qui, p
e coïncide avec une localisation presque exclusivement digitale des
troubles
sensitifs. ' Il n'y a pas lieu d'insister sur l
mmun : l'aspect grenu de la couche profonde adhérente de l'ongle.
TROUBLES
TROPHIQUES DES ONGLES 373 Observation III (mala
té une plaque de gangrène. Ce malade, la vérité, ne présente pas de
troubles
sensitifs objectifs ; il a, et très marqués, le
te pas de troubles sensitifs objectifs ; il a, et très marqués, les
troubles
subjectifs et vaso-moteurs de la maladie de Ray-
digitales à tous les doigts, sauf aux pouces. De plus, en outre des
troubles
vaso-moteurs classiques, elle présente des trou
s, en outre des troubles vaso-moteurs classiques, elle présente des
troubles
sensitifs uniquement digitaux. Subjectifs, ces tr
résente des troubles sensitifs uniquement digitaux. Subjectifs, ces
troubles
consistent en douleurs spontanées, cryesthésie,
gêne, d'engourdissement et de fourmillement dans les doigts. Les
troubles
sensitifs purement subjectifs sont à la vérité mi
avec conservation des réflexes (un cas de), par E. LEXOBLE, 17.
Troubles
trophiques des ongles au cours de l'hystérie et
ec photo- graphie Roentgen, cliché A. Londe), 152. DELAMARE (G.).
Troubles
trophiques des ongles au cours de l'hystérie et
rthropathies des hanches, des genoux et des pieds), XVIII, XIX.
Troubles
trophiques des ongles dans l'hys- térie, XLVIII
un possédé, 18. Syndrome de Brown-Sequa1'd bilatéral (schémas des
troubles
moteurs et sensi- tifs), 10, 11, 12. Syringom
emblement des mains. Cauchemars. Cris. Février 1898 : torticolis et
troubles
de la parole; perte de la vision à droite en 3
itié droite; le pli na- solabial est moins marqué iL gauche. Pas de
troubles
de la sensibilité cutanée. Pouls régulier, à 80
crum. En bas, elle se prolonge à droite. Le pied droit présente des
troubles
trophiques, est violacé, très froid, et à peu p
re. 21 gratter ses plaies. Le chloral a calmé l'agitation.- Aucun
trouble
vaso-moteur de la face, qui est d'une pâleur cada
Basedow ; Par les J)" (i. DHOMAHU et J. LrwsJr. La fréquence des
troubles
mentaux chez les bascdo- wiens a frappé de long
ns trop d'exagération, qu'il n'y a pas de goitre exophtalmique sans
troubles
psychiques conco- mitants. Mais il n'est pas ex
adie de Basedow ne peut créer de toute pièce un état vésanidue. Les
troubles
mentaux qui l'accompa- gnent sont sous la dépen
établi n'est guère applicable aux observations dans les quelles les
troubles
psychiques précèdent l'affection goi- lreuse.La
que remon- tent les accidents dont elle souffre al1joUl'd'hui. Les
troubles
men- taux paraissent les' premiers en date et s
u'en 1905. En 1898, c'est-à-dire six à huit mois après le début des
troubles
mentaux, survinrent des manifestations canlio-v
progressive, sans concorder avec l'allure plutôt intermittente des
troubles
cé- rébraux. En particulier, la rémission de l'
tefois, la ménopause donna une forte poussée à ce dernier comme aux
troubles
mentaux, qui prirent comme nous l'avons dit un
tômes, a) Le début de l'affection est exclusivement psychique : les
troubles
psy- v chopatiques apparaissent à une époque où
t difficile de rattacher cette psychose à une auto-intoxication par
trouble
de la fonction glandulaire. Par contre, syndrom
rudescences sous l'in- fluence des mômes causes, ictus émotionnels,
troubles
DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE ET MALADIE DE BASEDOW.
ificative de « psychose basedowienne », sans refouler néanmoins les
troubles
mentaux qui nous intéressent dans tel ou tel ca
tre capable d'influer d'une façon secondaire sur la physiononie des
troubles
mentaux en les exagérant ou les modifiant ; san
autre, en raison de leur tendance commune à se manifester par des
troubles
de l'équilibre. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE ME
primordial. L'érotomanie qui est le propre de sujets présentant des
troubles
de l'image motrice proprement dite, semble conf
nsuffisance de cette assimilation qu'il faut chercher la raison des
troubles
de l'ossification et par suite de l'ar- rêt de
uence de la rétention du calcium provoquée par ce traitement. Les
troubles
de l'assimilation du calcium, élément qui entre
il peut être uti- lisé avec profit comme soporifique, et, dans les
troubles
fonctionnels du système nerveux il donnf parfoi
les Voisin. La suggestion peut ainsi guérir un très grand nombre de
troubles
relatifs à l'alimentation ou à la digestion.J'ai
e a été souvent guérie par des moyens empiriques. Dcsguérisonsde ce
trouble
nerveux ont été également obtenues à la grotte
iugues eut lieu dans l'état second. En août 1904, elle présente des
troubles
dy- sesthésiques, de l'oedème ains i que la gan
- bies obsédantes et surtout de la rougeur constitue un véritable
trouble
mental. Un est autorisé à la considérer comme une
Elle se traduit par du bégaiement, de l'aphonie, du mutisme et des
troubles
divers de l'articulation de la parole. D'au- tr
ie. 69 les diverses maladies mentales. Signalons entre autres les
troubles
de l'idéation (idées délirantes, troubles de la m
ignalons entre autres les troubles de l'idéation (idées délirantes,
troubles
de la mé- moire et de l'attention), les trouble
(idées délirantes, troubles de la mé- moire et de l'attention), les
troubles
de la perception (hallu- cinations), les troubl
l'attention), les troubles de la perception (hallu- cinations), les
troubles
de l'affectivité (émotions patholo- giques, anx
tivité (émotions patholo- giques, anxiété, obsessions, phobies) les
troubles
de la conscience et de la personnalité, ceux de
roubles de la conscience et de la personnalité, ceux de l'activité (
troubles
de l'activité générale, troubles du langage, tr
personnalité, ceux de l'activité (troubles de l'activité générale,
troubles
du langage, troubles des actes : impulsions). V
e l'activité (troubles de l'activité générale, troubles du langage,
troubles
des actes : impulsions). Vient ensuite l'étude
angage, troubles des actes : impulsions). Vient ensuite l'étude des
troubles
du système nerveux, suivie de celle des trouble
nsuite l'étude des troubles du système nerveux, suivie de celle des
troubles
des fonctions organiques. Enfin, M. Régis expos
adies comprennent : A. Les psychoses générales (dans lesquelles les
troubles
psychiques s'accompagnent de troubles de l'acti
énérales (dans lesquelles les troubles psychiques s'accompagnent de
troubles
de l'activité générale et des di- verses foncti
fusion mentale. B. Les psychoses essen- tielles dans lesquelles les
troubles
du psychisme existent seuls ou à peu près : dél
s psychopathiques analogues. La nature de l'otopathie, la forme des
troubles
mentaux, la prédispo- sition cérébrale, l'âge d
elle quitta l'It0- pital. Cette escarre dura 8 mois. Peu à peu les
troubles
aIle5111l;- aitlues diminuèrent on intensité et
t se lever et vaquer, quoique péniblement, à ses occupations. Les
troubles
sphincteriens persistèrent : la malade sentait le
nt d'environ 1 mois 1 ? . L'état de la malade au point du vue des
troubles
nerveux ne s'est pas modifié. La malade, minée
ines sacrées et de l'in- continence de l'urine et des matières. Ces
troubles
sphinc- tériens n'avaient d'ailleurs subi aucun
s observer que la limitation de la lésion correspond exactement aux
troubles
moteurs ob- servés, tandis que les troubles sen
rrespond exactement aux troubles moteurs ob- servés, tandis que les
troubles
sensitifs sont beaucoup moins étendus que ceux
tard, peut-être sous l'influence débilitante de l'escarre, que les
troubles
moteurs se sont de nouveau accentués. Le plus
roubles moteurs se sont de nouveau accentués. Le plus souvent les
troubles
des sphincters ont plus de tendance à la rétroc
ubles des sphincters ont plus de tendance à la rétrocession que les
troubles
moteurs. Ici, ce fut juste le contraire; et les
on que les troubles moteurs. Ici, ce fut juste le contraire; et les
troubles
sphinctériens ont persisté sans changement, mal
mois seulement dans l'observation de Touche) que se développent les
troubles
sensitivo-mo- teurs. Nous ne connaissons pas d'
8 ans. Imbécillité et épilepsie, hémiplégie spasmodiquc, nystagmus,
troubles
de la parole, accès répétés et escharres. Ant
rès précises. La pa- role est embarrassée, traînante, scandée ; ces
troubles
sont égale- ment plus sensibles aprèsles accès.
nts où elle se trouve sous l'influence de 92 CLINIQUE NERVEUSE.
troubles
épileptiques, elle reste calme, mais irascible, n
acrum et les dernières côtes. L'état mental a peu varié, mais les
troubles
de la parole se sont accrus, les mots sont bred
ée dans son évolution, est restée longtemps sans causer de nouveaux
troubles
créant seulement quel- quespoints d'irritation
ions osseuses suppura- tives du côté hémiplégie coïncidant avec des
troubles
trophiques et vaso-moteurs. Le diagnostic exact
lement des paupières; les pupilles réagissaient normalement. Pas de
troubles
senbitifs. L'analyse des urines ne donnait rien
Motilité. Sauf la gêne spéciale décrite plus haut, il n'y a aucun
trouble
des mouvements volontaires, la force est normale
ts. Insomnie. Idées délirantes de richesse. Inéga- lité pupillaire.
Troubles
de la parole. Mal perforant du pied gauche. »
urteloup (t) au Midi. Depuis 15 ans ? Tabès ; douleurs fulgurantes,
troubles
de la marche. Alcoolisme ; 2 litres de vin au m
forant : la théorie nerveuse, d'après laquelle lemal perforantestun
trouble
trophique lié assez souvent à de graves lésions
sa valeur. Certes elle n'est pas la seule, clil faut y joindre les
troubles
résultant de lé- sions du système nerveux, soit
les et en rapport avec un élément périphérique, local (pressions et
troubles
tro- phiques des tissus comprimés) ; les eschar
de la convulsion musculaire. Les muscles raccourcis par suite d'un
trouble
nutritif ne don- nent pas de son, parce qu'il n
acine postérieure jusque dans le ganglion spinal. On note aussi des
troubles
trophiques tels que chute des poils, ulcérations,
lli et cer- taines de Gorschkow, cite a été seule atteinte, mais le
trouble
fonctionnel s'est montré moindre que dans les a
tre et la clinique montre que cette in- duction est fondée, que des
troubles
fonctionnels très légers qui préludent à une cr
de crises épilepti- formes. L'épilepsie peut être provoquée par des
troubles
cardia- ques de même que des troubles cardiaque
e peut être provoquée par des troubles cardia- ques de même que des
troubles
cardiaques peuvent déterminer l'épilepsie : ce
ues-unes ne sem- hlent pas très démonstratives. Cette apparition de
troubles
épi- 1('Pli(tues signalés par beaucoup d'auteur
on manifestée par des symptômes antérieurs, peut, à l'occasion d'un
trouble
de la nutrition cellulaire locale liée il une c
me. L'état intellectuel de ralentissement disparaît de même que les
troubles
physiques par l'influence d'un traitement mécan
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 147 ,linner sur lus rats, il se produit des
troubles
nutritifs dans les racines postérieures, une gr
ne (le Romberg, l'alaxie, celle-ci d'ailleurs fort légère. Point de
trouble
du senti- ment de position et de mouvement des
niveau sous l'influence des excitations mécani- ques. C'est donc un
trouble
acquis de l'innervation volontaire de certains
ssement ou une oblitération des artères affè- rentes des jambes, un
trouble
fonctionnel des vasomoteurs et une ischémie rel
r, ou bien, elle a été le jouet d'une illusion, peut-être même d'un
trouble
plus profond, d'un étal morbide en un mot. Un
cessivemenL delà céphalalgie, de l'irritabilité, de l'insomnie, des
troubles
dyspeptiques, de la constipation ; puis il eut
us les délires toxiquesprésententbeaucoup de symptômes com- muns.
Troubles
du langage musical chez les hystériques. 1. iNG
et ceux avec conservation de la conscience. Maladie été Dercum sans
troubles
psydtiques. M. LE l'LAV,à propos d'un cas surve
rite antibrachiale au cours d'un cancer intestinal , et, des cas de
troubles
graphologiques che· desparkiazsonazierzs. M. Me
s graphologiques che· desparkiazsonazierzs. M. Meige a vu ces mêmes
troubles
chez des gens normaux. )1. Dupré n'y voit qu'un
epuis 172 CLINIQUE NERVEUSE. quelques années sur l'existence de
troubles
choréiques chez les femmes enceintes, les cas p
hésie pharyngée. L'examen des fondions sensorielles ne révèle aucun
trouble
. L'audition est normale. L'acuité visuelle est
l de celle-ci. S ? estime débile intellec- tuelle congénitale ; les
troubles
choréiformes, installés depuis plusieurs années
r de l'inquiétude anxieuse, dont l'intensité se mesure il celle des
troubles
choréiques. La malade n'a jamais été atteinte d'a
ni stigmates, ni lésions de syphilis anciennes ou ré- centes. Les
troubles
choréiques, par leur intensité et leui fréquence,
enu, qui n'intéresse pas la masse de l'organe et, ne produit pas de
trouble
de la parole. Les mains présentent un trembleme
- cheur : D'après les renseignements fournis par la malade, les
troubles
moteurs auraient subi une certaine exaspéra- ti
disposition nerveuse individuelle favorise la prédomi- nance des
troubles
fonctionnels du système nerveux sur ceux des au
dé- veloppée, ils sont capables de la perdre et de réagir par des
troubles
psychiques, - on déduit forcément de cette conc
ble : c'est elle qui rend le mieux compte de l'exacerba- tion des
troubles
moteurs, prodromiques de l'attaque d'épilepsie
intoxica- tion gravidique que présentait notre malade. Enfin, les
troubles
nerveux n'ont exercé chez notre malade aucune i
néces- saire de faire intervenir une prédisposition spéciale aux
troubles
mentaux ; il n'y a qu'un choc moral trop fort p
Papadaki. (Nouv. Ieo7aog>. de la Salpêtrière, 1905, n° 2.) Les
troubles
cliniques déterminés par les fumeurs cérébrales
sous la dépen- dance du système nerveux qui agit en provoquant des
troubles
de la sécrétion el de la circulation lymphatiqu
et au Van Oiesuu. Au point du vuu clinique, on observe surtout des
troubles
mo- teurs et trophiqucs. Quant aux lésions hist
uer que l'atrophie des tissus profonds se fait en même temps que le
trouble
trophi- 'lue (Il' la peau, mais sans lui être s
myxoedème, mais taille extrêmement petite(0 m. 92 clin, à 10 ans).
Troubles
circulatoires ; intelligence endormie, paresseu
ment rapide des différentes parités du squelette, dispa- rition des
troubles
circulatoires, et réveil des fonctions psyclil-
214 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2c cas ; Surtout marqué par des
troubles
psychiques. Fixa- tion du système nerveux par d
gine rhumatismale de la téta- nie. G. C. - Maladie d'Addison avec
troubles
sympathiques ; par M. CHAYIGNY. (Soc. Méd. desl
de Lyo'n, 11 avril 1905.) Jlaladie d'Addison bien caractérisée avec
troubles
de la con- traction irienne et instabilité card
pulsations à la minute. L'auteur rattache ces deux symptômes à des
troubles
du sympathique. C. C. - Un cas de maladie d'Add
s troubles du sympathique. C. C. - Un cas de maladie d'Addison avec
troubles
sym- pathiques ; par IIDI..1. COURMONT, LESIEUR
os, respec- lant la face, les mains, les jambes et les pieds. Les
troubles
nerveux étaient caractérisés par de l'exophtalmie
; sensation fré- quentes de vapeurs à la face et même au tronc sans
troubles
vaso-moteurs appréciables. Les réflexes rotulie
otuliens sont très exa- gérés, la parole est lente, traînante, sans
troubles
intellectuels. Tremblement de la langue et mouv
ent, dit l'autour, d'un phénomène de rappel sous la dépendance d'un
trouble
circulatoire de l'encé- phale. Pour l'auteur, o
\'pt"l'0-l;pllCl)sl(' datant de IIL11tI1701S, il.l crises par jour,
troubles
psychiques, rétention d'urine, anorexie hystéri
de l'hystérie est que la lésion cardiaque crée l'hysté- rie par un
trouble
circulatoire cérébral. C'cstia pathogénie de l'
es étaient toujours accompagnées de phénomè- nes vaso-moteurs et de
troubles
congestifs internes du côté de la face. A 21 an
) L'auteur rappelle que l'élément fondamental dans le tic est. le
trouble
mental, le désordre de la volonté, facteur mental
culeux, et contracta plus lard la syphilis. A de 36 ans, il eut des
troubles
qui débutèrent lentement, et qui se carac- téri
S. de la cuisse, de la jambe et du pied. Plus tard apparurent des
troubles
urinaires, rectaux et génitaux, qui nécessitèrent
itaux, qui nécessitèrent son ad- mission. On notait à eu moment des
troubles
des réflexes, des douleurs, du l'hypocsthésie,
et des muqueuses uréLhoale et 1'1'('- tale. 11 avait également tles
troubles
de la sensibilité au chaud el au froid par régi
s furent normales, la réunion se fil par première intention, et les
troubles
signalés plus haut guérirent rapidement..1. S.
iculaire. MM. LEENHARDTet Noréro présentent une syringomyélique à
troubles
prédominants au membre supérieur droit dans les r
aphasique qui réapprit il parler mais qui présente encore certains
troubles
: parole hachée, lente, exigeant tout un travai
i après infection des symptômes (le paralysie ascendante aiguë avec
troubles
sphinctériensft menace d'accidents bulbai- res.
ents bulbai- res. Lymphocytose positive. D. IL amyoll'ophic, pas du
troubles
de la sensibilité. Guérison par l'électrisation
du trou stylo-mastoïdien ; l'hémispasme durait depuis seize ans.
Trouble
du langage musical. M. i\Al HAN. - 11 s'agit d'
BR\O\'1TCH et, Gougerot rapportent le cas d'un lépreux chez qui les
troubles
psychiques délirants hal- lucinaloircsel amnési
LIOGRAPHIE nI. - Revue des thèses de Nancy, hal ? l'nRr'. 1,-Di,s
troubles
oculaires surtout fonctionnels causés par la foud
'nl'- lion (les ultra-violets. Il étudie ensuite spécialement les
troubles
fonctionnels intérussanls pour lu nel1l'ologisll'
nel1l'ologisll', ri dont 1'inlcrprélalion reste assez délicate. Ces
troubles
ne tlillt'l'rnl IH ! " du ceux déjà décrits à l
nombre; variables, par leur aspect (hémianopsie, scotoll1e, cécité.
troubles
delà vision des couleurs) eLpar leur étiologie ;
qui rejetant le diagnostic tl'hysL{I'o-lr'aumal¡sl11e attribue lus
troubles
présentes, à une psycho-névrose oculaire d'orig
? 11 lie oculaire. VI. De la psychose aiguë post -infectieuse avec
troubles
du ltm- gage chez l'enfant ; Par le IPE. R. D
Ce travail, exécuté à la Clinique infantile, a en vue l'étude des
troubles
mentaux posttebriles chez l'enfant au-dessous de
troubles mentaux posttebriles chez l'enfant au-dessous de 15 ans.
troubles
décrits habituellement sous le nom du délire du r
avis de l'auteur, malgré le titre du sa thèse) que l'association de
troubles
du langage avec la confu- sion post-infectieuse
ssez variable, s'accompagne ou non du manifestations délirantes, de
troubles
physiques, mais rentre bien dans le cadre du la
,lonLcurtles concep- liona, obnulrilation. (luoi qu'il un soit, ces
troubles
du langage et du l'écriture sont bien décrits p
u moindre signe d'impatience, à la plus légère remontrance, il se
trouble
et ne sait plus rien faire. 1897. - L'améliorat
dation Vallée en juillet 1904, à l'âge de 6 ans 1/2. - Idiotie avec
troubles
du langage et turbulence par intervalles, avec
ns cru pouvoir en tirer quelques considérations générales sur les
troubles
mentaux en rapport avec ces traumatis- mes crân
exige que le médecin connaisse la pathogénie et le pronostic des
troubles
mentaux consécutifs au traumatisme. Au point de
vue pathogénique, il faut naturellement envisager deux variétés de
troubles
mentaux : ceux qui surviennent chez les sujets
ystique ultérieure. Pas d'hérédité, persistance de l'épilepsie avec
troubles
mentaux associés, mais pas de trou- bles moteur
e la voûte ayant entraîné le trépan dans les deux cas. Epilepsie et
troubles
mentaux associés (trépa- nation sans disparitio
ie et troubles mentaux associés (trépa- nation sans disparition des
troubles
physiques ni mentaux). Dans le deuxième de ces
1894, sans succès d'ailleurs au point de vue de l'épilepsie, ni des
troubles
mentaux, puisqu'il passa à l'asile. La hromurat
, le 19). Père mort de rupture d'anévrisme. Plu- sieurs frères sans
troubles
nerveux ou mentaux. Observation V. - Cerf ? qua
ion attestent bien nettement qu'ils sont en rapport direct avec les
troubles
mentaux, indépen- damment et sans préjudice des
nts, le 9 juillet 1900, sur la demande de sa femme. Il s'agit là de
troubles
mentaux transi- toires immédiats ; reste' savoi
es. 3° Date d'apparition. Pour transitoires que parais z sent les
troubles
mentaux immédiatement consécutifs, ils n'en son
traumatisme ancien, devient surtout délicat, d'autant plus que les
troubles
mentaux crui se montrent plusieurs mois ou plus
e de l'oeil gauche. Embarras de la parole, état démentiel simple.
Troubles
sphinctériens notables. La ponction lombaire est
de la FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 315 parole.
Trouble
paralytique de l'écriture. Inégalité pupillaire :
t, imputer à M. Régis laconfu- sion d'un délire alcoolique avec des
troubles
mentaux autres, consécutifs aux traumatismes. O
n évidente entre le traumatisme, leschok, physique ou mental,et les
troubles
consécutifs. Cette forme s'observe surtout chez
s comme de nature secondaire. La m. primitive doit son origine àdes
troubles
de circulation dus à un processus morbide artér
n nombre plus restreint de grandes cellules. L'interprétation des
troubles
de l'équilibre et du nystagmus est facile ; ils
e lé- sion réparable du centre spinal réflexe. P. KERAVAL. XXXIV.
Troubles
congénitaux des mouvements des yeux; par AtENFE
de Babinski n'a été trouvé qu'une seule fois. Il n'y a jamais eu de
troubles
intellectuels même dans les types paralysie lab
sations. Aussi la méningo-encéphalite qui chez l'homme,provoque des
troubles
prédominants dans la sphère de la mémoire et du
duit chez le chien l'abolition des perceptions et secondairement le
trouble
intellectuel. Les lésions observées chez le chi
IE Séance du mardi 20 mars 1906. Présidence de M. Jules Voisin.
Troubles
fonctionnels causés par un kyste hydatique de l'e
t par la simple suggestion. ;\1. Paul FAREZ. - Qu'il y ait simple
trouble
fonctionnel ou lésion organique, la sollicitati
nt de la lec- ture à l'usage des enfants arriérés ou présentant dos
troubles
de la parole, par Joseph Boyer. Edition illustr
eux cas observés dans le service nous ont paru/cor- respondre à des
troubles
mentaux développés à assez^n- gue échéance (3 o
se traduisaient par une dépression psy- chasthénique accompagnée de
troubles
somatiques tels que ceux de la mélancolie attén
énique et douleurs erratiques variées (rougeurs et dermographisme),
troubles
vasomoteurs. Préoccupations monotones relatives
e réel dont il est difficile d'établir le rapport effectif avec les
troubles
nerveux et mentaux actuels;une partie semble to
13 juin 1903.) - Hospitalisé dans le service depuis plus d'un mois,
trouble
actuel- lement le repos des malades, dangereux
lle amnésie ne ressemble pas a celle que l'on observe à la suite de
troubles
épileptiques, de lésions circonscrites du cerve
entrée à l'Asile. Il.; n'ait pré- senté aucun accidenl rappelant un
trouble
comitial. Il convient d'observer encore que la
ibré, n'a joué qu'un rôle occasionnel accessoire dans révolution du
trouble
intellec- tuel dont est atteint [tous ? Ce mala
ouble intellec- tuel dont est atteint [tous ? Ce malade exagère ses
troubles
intellectuels en ce qui concerne ceux de la mém
celui-ci de plus ou moins réagir étant sus- éeptible d'aggraver les
troubles
dont il se plaint. (Tribunal civil de Valencien
toire clinique de la malade montre chez elle une prédisposition aux
troubles
mentaux qui se révèlent pal' quelques tares et
ourrait admettre des accidents cérébraux traumatiques réalisant des
troubles
mentaux analogues à ceux des dé- générés, sorte
bides héréditaires et personnels, en même temps que , la nature des
troubles
moteurs et psychiques relèvent manifestement d'
e mériterait d'être étudié par un spécialiste. » Sur le terrain des
troubles
cérébraux ou mentaux as- sociés au traumatisme,
emi-conscience du malade pourrait lui permettre d'exagérer certains
troubles
nerveux ou cérébraux réels, et par difficulté d
er blessé à la tête par une voiture aurait éprouvé ensuite certains
troubles
des facultés. Une demande d'indemnité ayant été
ce des- quelles l'expert se trouve placé lorsque l'éventualité de
troubles
psychiques est à prévoir (traumatisme du crâne
u malade, ou tout au moins un sympôme phy- sique, tel que céphalée,
troubles
moteurs ou sensitivo- sensoriels. Il faut, en o
chologi- que comportera de même ces deux points de vue, celui des
troubles
mentaux spéciaux en rapport avec le shock récen
peuvent se succéder : 1° Il peut y avoir incapacité temporaire par
troubles
mentaux passagers immédiatement consécutifs à l
ubles mentaux passagers immédiatement consécutifs à l'acci- dent,
troubles
susceptibles de guérir ; 2° Après sortie de l'a
vec ou sans incapacité partielle intermédiaire. Nous savons que les
troubles
psychiques tardifs sont particulièrement graves
ssi des relations de causes à effets possibles entre la folie et le
trouble
accidentel, ne manqueront, pas, dans un avenir
s psychoses de la migraine et de l'épilepsie. Il en est de même des
troubles
vasomoteurs, sécrétoires, trophiques, ainsi que
us l'influence d'un état impulsif ou d'une perversion sexuelle avec
trouble
du domaine mental. C'est le premier groupe de c
rose palmaire. Ce syndrome paraît être lié à la pellagre et être un
trouble
trophique du système nerveux comme les syndrome
rencontre certains signes qui ne trom- pent pas un médecin exercé,
troubles
digestifs, arythmie du pouls, hypothermie, trou
médecin exercé, troubles digestifs, arythmie du pouls, hypothermie,
troubles
persistantsdu caractère. Les rémissions ont tou
ujet manifesta des phé- nomènes syncopaux à la suite d'un coït avec
troubles
neurasthé- niques graves qui ont persisté longt
tres lier- veuxproduisant la suracliv ité thyroïdienne, et due à un
trouble
de fonctionnement de l'hypophyse. )1. IL RE
sont en hyperextension et en supination forcée. Otosclérose avec
troubles
labyrinthiques. M. BONN 1ER présente une malade
nt l'un en voie de guérison,accusant la mobilité et la fugacité des
troubles
parétiqueset leur accroissement par la fatigue.
re progressive, l'atrophie des phalanges. M. EGGER relate un cas de
troubles
des mouvements conjugués de la tète et des yeux
al. F. 1301SSIER. BIBLIOGRAPHIE Y, - Enquête scolaire sur les
troubles
de la parole chez les éco- liers belges : par R
flexions suivantes. Les écoliers de première année présentent des
troubles
de la parole : mais, au cours des études, les blé
garçons et 1.5 "0 des filles qui ne soient pas débarrassés de leur
trouble
après six ans. lln'en est pas de même du bégaie
qu'un institut central soit né dans chaque région pour corriger les
troubles
graves et servir d'école d'application aux futu
utre de quelques graphiques indiquant clairement la progression des
troubles
de la parole sui- vant l'âge, l'état intellectu
. XXI. Juin 1906 No 126 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE
Troubles
mentaux dans la sclérose latérale # amyotrophiq
r-Médecin de l'Asile d'aliénés de la Roche sur-l'on. L'existence de
troubles
mentaux dans la maladie de Charcot n'est pas ad
ymond et Cestan dé- clarent n'avoir trouvé chez leurs malades aucun
trouble
intellectuel, ni perte de la mémoire, ni idées
de psychiatrie les plus récents, un seul consacre un paragraphe aux
troubles
mentaux de la sclé- rose latérale amyotrophique
ndent à démontrer que, dans la sclérose latérale amyctrophique, les
troubles
mentaux peuvent exister, non seulement sous la
é absolument normale. Prolapsus rectal dès fréquent, engendrant des
troubles
dans lamiction et desbesoins fréquents. Pas de
clérose latérale amyotro- phique, ce malade présente un ensemble de
troubles
mentaux qui constituent une véritable psychose
emps mais néanmoins progressive et de plus en plus accusée. A ces
troubles
démentiels et affectifs s'ajoutent des raptus m
ques observées chez ce malade : d'un côté les symptômes démentiels,
troubles
de déficit dus à la participation précoce du co
t de se faire comprendre. Il y a trois ans environ que parurent les
troubles
mentaux à la suite d'une accusation de vol port
bservation, l'élément démentiel est tout à fait au second plan. Les
troubles
vésaniques, bien que rappelant encorela psychos
déjà de sclérose laté- rale à évolution lente, se met à accuser des
troubles
men- taux d'une gravité menaçante et nécessitan
teint depuis six mois de paralysie générale avec accès délirants et
troubles
men- taux qui nécessitent son internement ». Dr
des centres nerveux (sclérose latérale amyotrophique) compliquée de
troubles
mentaux de nature dé- mentielle et d'excitation
. Tous les modes delà sensibi- lité sont intacts; notamment, pas de
troubles
de la sensibilité thermique. Aucun phénomène oc
rauque et sonore. La bouche est presque constamment béante. Pas de
troubles
de la respiration ni delà circulation. Pendan
rvation, nous voyons évoluer à la fois l'affection médullaire et un
trouble
mental dont la physio- nomie est vraiment remar
es crises d'a- gitation pendant lesquelles il apporte le plus grand
trouble
dans la salle ». L'enquête révèle les faits s
que la sclé- rose latérale amyotrophique peut être accompagnée de
troubles
mentaux d'un caractère plus ou moins grave, dep
des débi- les. Cette induction s'accorde bien avec la nature des
troubles
mentaux observés, qui sont ceux de la démence g
u contraire, avec Marinesco, qu'elles doivent être attribuées aux
troubles
nutritifs cellulaires qui suivent la suppression
ntensité sans modifications appréciables objectives de sensibilité,
troubles
des réservoirs, grosse rate, pas d'adéno- pathi
t la dernière semaine de la vie, coïncidant avec l'ap- parition des
troubles
de la sensibilité, à type syringomyélique. Hype
s, ce qui indique une action du foie dans la pathogénie de certains
troubles
délirants, ce qui nous ramènerait à la vieille
ladie, soupçonnée pour d'autres raisons comme étant à l'origine des
troubles
mentaux : c'est ainsi que les déli- res des alc
u cordon postérieur. L'hérédité vient du côté maternel seulement.
Troubles
vaso-moteurs hystériques. M. CLAUDE montre un h
oite. Syringomyélie avec hystérie. Astasie-abasie associée il des
troubles
organiques. MM. Raymond et LEJONNI : . Jeune ti
s moteurs et sensitifs. Ce sont tles hémiplégies avec un minimum de
troubles
moteurs et un maximum de troubles sen- sitifs,
es hémiplégies avec un minimum de troubles moteurs et un maximum de
troubles
sen- sitifs, avec hemi-ataxic, astéréognosie, e
rite interstitielle hyperlrophique avec tremblement intentionnel et
troubles
de la parole. , 504 asiles d'aliénés. Clonu
rdeaux 1905-190G.) , On observe, chez les paralytiques généraux, un
trouble
parti- culier du caractère, communément désigné
s sympathiques, par Chavi- gny, 215. - Un cas de maladie d'- avec
troubles
sympnthi- ques, par Courmont, Lesieur et 'l'h
ac- cidents du travail, par A. Ma- rie, 305, 353. Foudre. Voir
Troubles
oculaires. Gangrène. Voir Névrite. Gasser. Vo
écissement mitral, par Roque et Corneloup, 217. Hystériques. Voir
Troubles
, - (Phénomènes spasmodiques). Idiotie amaurot
la dure-mère il parois ossifiées, par Aubry et Lucien. SJ. - Voir
Troubles
fonctionnels. Laboratoires. Organisation des
drome de ? par Sicard et 131111ci,, 423. Langage l11usbal. Voir
Troubles
. Lépreux. Vnir Korsakoff. Lésions cellulaires
justifiée en nosologie, par Lundborg, ]44. Myosthésiomètre. Voir
Troubles
. Myotonie congénitale, par \feens, 108. p'tne
Ophtalmoplégiëg systématisées, par Ballet, 225. Otosclérose avec
troubles
labyrin- thiques, par Bonnier, u22. Oreille.
aement, par Deroulrtix, 52. De la - aiguë post-infec- tieuse avec
troubles
du langage chez l'enfant, par Daiche. 232. El
, - A propos de la dé- finition de la -, par Favre, 229. - - Voir
Troubles
fonctionnels, Neurasthénie. Suicide d'adolesc
dorsal, sans complication d'hé- miplégie, par Donath, 329. Voir «
Troubles
. - Etude critique sur le - infantile juvénile,
tentionnel limité du membre supérieur gauche, par Bouchaud, 46.
Troubles
du langage musical chez les hystériques, par In
e la localisation topographique et de la prédominance de tel ou tel
trouble
, sensitif, vasomoteur ou trophique. Grâce à ces
andes classes d'asphyxie chronique : 1° Celle avec prédominance des
troubles
sensitifs. C'est l'acro-cyanose chronique ci fo
) Souques et GASNE, Un cas d'hypertrophie des mains et des pieds avec
troubles
vasomoteurs des extrémités chez un hystérique (
er les objets.... ,. Dynamomètre : 14. Il n'y a pas actuellement de
troubles
trophiques, mais il y a deux ans, sur les doigt
faute de renseigne- ments précis. Les pieds sont grands et gros ;
troubles
vasomoteurs envahissant seulement les orteils e
ps thyroïde, organes génitaux : rien de spécial à signaler.' Pas de
troubles
psychiques, mais l'intelligence est au-dessous de
t (1) Meyer, Sur un gonflement éléphantiasique des deux jambes avec
troubles
vaso- moteurs d'allure particulière aux mains e
que car le sque- lette facial est normal ; il n'y a ni céphalée, ni
troubles
de la vue. Et, d'autre part, on ne relate pas d
'âge de 2 ou 3 ans. L'acuité visuelle est un peu diminuée. Pas de
troubles
de l'audition, du goût ou de l'odorat. NOUVELLE
s, il éprouve des picotements et des lancées. On ne constate pas de
troubles
de la sensibilité tactile, ni de la sensibilité à
ême des doigts et non sur l'extrémité même; de plus, l'existence de
troubles
vasomoteurs suffit à exclure l'idée d'un syndro
ement et considérablement inté- ressée : il y a de la céphalée, des
troubles
visuels, tous symptômes qui manquent dans l'acr
contraignant à passer un long temps au froid, sont plus exposés aux
troubles
vasomoteurs. Dans maints cas, les antécédents h
peut, dans la majorité des cas, préciser exactement l'année où les
troubles
se sont montrés, et répond que son affection re
acquis toutefois : c'est que la cyanose locale est produite par un
trouble
atteignant les vasomoteurs, paralysant les vaso
le. Par le mécanisme de cette stase sont engendrés, rapidement, des
troubles
nutritifs des tissus : d'où névrites légères, a
insi que la sécrétion nasale. La muqueuse du nez ne présente pas de
trouble
d'aucun mode de sa sensibilité. La rhinoscopie a
logie pathologique, car elle ouvre des aperçus fort curieux sur les
troubles
trophiques en général. En somme, voilà une affe
alité pupillaire, ni inégalité des pouls carotidiens, ni surtout de
trouble
vasomoteur manifeste. En présence d'une affecti
du rétrécissement mitral s'affirmant avec l'unité de son cortège de
troubles
locaux et généraux ; le type acquis, au contraire
eau de la jambe gauche, blanche, lisse, douce au toucher était sans
troubles
de la pigmentation ou du système pileux. Son cont
était un peu douloureuse de même que la marche. Il n'y avait aucun
trouble
de la motilité, de la sensibilité, ou des différe
RESSIF 33 Circonférences : 34 SICARD ET LAIGNEL-LAVASTINE aucun
trouble
des sensibilités objectives tactile, douloureuse
ique des nerfs et des muscles pratiqué par M. Huet n'a montré aucun
trouble
qualitatif ou quantitatif des réactions électriqu
intérêt les récentes obser- vations que Fôrster a publiées sur les
troubles
de la localisation tactile chez divers hypoesth
inesse de localisation soit émoussée et vice versa. Par contre, les
troubles
de localisation tactile marchent toujours de pa
. Sans doute le malade est tuberculeux des poumons, mais s'il a des
troubles
digestifs, des ballonnements passagers, c'est par
acromégale dans son ensemble et le sujet n'est pas gaucher. Aucun
trouble
fonctionnel des membres inférieurs. Vers l'époq
à la douleur. L'examen de la sensibi- lité permet de constater les
troubles
suivants. La sensibilité tactile est simplement
he m'est pas déformée, mais on y retrouve quelques craquements. Les
troubles
de la sensibilité sont approximativement les même
ou tardive, peut se révéler sur un même individu, à la fois par des
troubles
de nutrition, des dystrophies, et par des lésio
es de mouvement fébrile passager. Plus tardivement apparurent des
troubles
sensoriels : amaurose avec de l'exophtalmie ass
, ou de lésions destructives localisées, évoluent parallèlement des
troubles
généraux, des symptômes de déchéance intellectu
a localisation des centres visuels, mais elle montre les différents
troubles
déterminés chez l'homme par la sclé- rose symét
le urinait souvent au lit. Après ses crises, la malade présentait des
troubles
mentaux graves : elle était violente et menaçai
Rien à noter du côté de la sensibilité et de la motricité. Pas de
troubles
de la parole articulée. La malade s'exprime facil
elle n'est pas conci- liable avec les faits anatomiques. Le premier
trouble
que présenta notre malade fut une diminution de
els qui devaient dans la suite devenir insensibles à la lumière. Ce
trouble
fut toujours le premier à apparaître. La reconnai
rde au contraire avec l'opinion de Vialet(2) qui soutient « que les
troubles
dans la perception des couleurs résultent de lési
E MEDECINE DE LYON UN CAS DE MYOPATHtEATROPHtQUE PROGRESSIVE AVEC
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ, PAR R M. LANNOIS, Agrégé
ais présentant un phénomène rarement signalé dans la myopathie, des
troubles
de la sensibilité subjective el objective : dou
e dans une cave). Mais n'eut dans cette période d'alite- ment aucun
trouble
de la motilité et de la sensibilité. Vers l'âge
pied, il repartait pour retomber plus loin. En même temps que les
troubles
parétiques, douleurs dans tous les mem- bres, l
rière. T. XVI. PI. XXIII MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE .tvec
troubles
de la sensibilité. (Lannois et arot.) MYOPATH
face. L'expression du visage est normale et intelligente. Pas de
trouble
de la mimique. Cou et tronc. Pas d'atrophie des
s nombreuses quand le malade est assis. Senibilité. Il existe des
troubles
non douteux de la sensibilité. Sensibilité subj
dination. - Pas de mouvements cboréïques ou atliétosiques. Pas de
trouble
des spliincters. Pas de symptômes oculo-pupilla
ouble des spliincters. Pas de symptômes oculo-pupillaires. Pas de
troubles
psychiques : intelligence et caractère normaux.
de troubles psychiques : intelligence et caractère normaux. Pas de
troubles
de la parole. Le malade présentait à son entrée
omène cadre mal ici avec le reste du tableau : c'est la présence de
troubles
de la sensibilité, troubles à la fois subjectifs
reste du tableau : c'est la présence de troubles de la sensibilité,
troubles
à la fois subjectifs et ob- jectifs. Les douleu
eux. Mais ce qui est tout à fait exceptionnel, c'est la présence de
troubles
objectifs de la sensibilité ; nous avons trouvé
que simple. C'est aussi un nerveux : nerveux par la présence de ces
troubles
de la sensibilité, nerveux aussi par ses antécéde
es frères ou soeurs sont morts de mé- ningite ; une soeur avait des
troubles
psychiques et s'est suicidée; lui- même avait c
ex- pliquerait ainsi les cas où, comme dans le nôtre, on trouve des
troubles
de la sensibilité. Pareille explication ne pour
gne d'Argyll, de la lymphocytose du liquide céphalo- rachidien, des
troubles
urinaires et une abolition des réflexes tendineux
St-André de Bordeaux, salle 12, lit 32. Il a, depuis deux ans, des
troubles
gastriques intermittents qui se traduisent par
. Depuis la même époque, cet homme a de la diplopie. Il n'accuse ni
troubles
génito-urinaires, ni incoordination motrice ; i
membres supérieurs ont conservé leur dexté- rité. Il n'existe aucun
trouble
du sens de la direction. Tous les objets mis da
eux étant fermés, sont immédiatement reconnus. On ne constate aucun
trouble
de la sensibilité de la peau et des muqueuses,
la forme la plus commune des crises gastriques du tabes ; 2° Des
troubles
oculaires avec diplopie caractérisés par l'abolit
tion tardive de l'liérédo- syphilis. Ce labes s'est traduit par des
troubles
oculaires, par des crises gastriques, par l'abo
lexes tendineux. Le signe de Romberg, l'incoordination motrice, les
troubles
sensitifs faisaient défaut : il en est souvent
. C'est une fille de con- stitution robuste. Elle ne présente aucun
trouble
intellectuel et répond nette- ment aux question
tuel et répond nette- ment aux questions qui lui sont posées. Aucun
trouble
de la vue ni de l'ouïe. Pas de céphalée. . On
, 189.'i. 160 SPILLMANN ET RIOCTIE deuxième phase, survinrent des
troubles
respiratoires (bronchite capil- laire), qui emp
mbe droite,puis dans la jambe gauche ; mais les carac- tères de ces
troubles
sensitifs ne sont pas précisés par l'observation,
r leur caractère névralgique, paroxystique, leurs irradiations, les
troubles
mo- teurs et trophiques rapidement consécutifs,
qu'il représentait un type de géant pur, bien proportionné et sans
troubles
fonctionnels, c'est-à-dire sans acromé- 164 LAU
uses des poumons, la suppuration due à une fistule anale, enfin des
troubles
nerveux divers furent les derniers incidents pa
a patbogénie du diabète, Rendu relevait l'absence de céphalée et de
troubles
visuels contre l'hypothèse d'une tumeur pituitair
t avec les dimensions exagérées de sa stature. On constate quelques
troubles
parétiques du côté des membres supérieurs et une
abondante, datant de plusieurs mois et indiquant par elle-même des
troubles
de l'assimilation. En même temps K. est devenu
iminution ou augmentation de la fonction, mais est le résultat d'un
trouble
combiné de cette fonction. L'histoire de notre
s peuvent s'associer, en raison de la situation de l'hypophyse, des
troubles
oculaires. Ces derniers manquent dans no- tre c
ls après. l'excitation de' la plante des pieds, il n'y avait pas de
troubles
de la miction, ni de nystagmus aux yeux, ni de
vait pas de troubles de la miction, ni de nystagmus aux yeux, ni de
troubles
de la parole. Aussi avons-nous écarté la pensée d
veux et avons-nous. été tout naturelle- ment conduits à songer à un
trouble
névropathique et tout d'abord à une contracture
mmes pas bien certains qu'il n'y ait pas quelques rapports entre le
trouble
présenté par ce malade et la paralysie agitante.
niens. Il a noté, dans ces périodes et chez ces individus, bien des
troubles
ana- logues à ceux que nous observons ici et il
s avons notée chez la jeune femme. Il n'y a pas de nystagmus, ni de
troubles
de la parole : cela reste bien pour nous un tre
les entérop- toses, etc. Vers cette époque surviennent aussi des
troubles
moraux, des obsessions hypocondriaques, des peu
érie. Il n'y a pas lieu d'attirer l'attention des malades sur leurs
troubles
; ils n'ont pas perdu la sensibilité, ni la consci
. Il n'y a pas d'incoordination des mouvements les yeux fermés. Les
troubles
moteurs cessent pendant le sommeil. Tous les
e point de contact de l'arme est en dehors du point de Erb. Aucun
trouble
de la sensibilité dans le membre supérieur droit,
ystérie. Tous les réflexes sont intacts et égaux des deux. côtés.
Troubles
vasomoteurs : poussées de rougeur du visage rares
des poils ni des ongles, pas de tumeur dorsale du poignet. - Pas de
troubles
sécrétojres, pas de sueurs plus abondantes ni p
un grand nombre d'éphélides disposées sous forme ponctuée. Aucun
trouble
visuel, pas d'anesthésie cornéenne, pas de rétréc
champ visuel, pas de paralysie des muscles moteurs de l'oeil, ni de
troubles
de l'accommodation, ni de troubles pupillaires.
muscles moteurs de l'oeil, ni de troubles de l'accommodation, ni de
troubles
pupillaires. Etat mental : L... est intelligent
ouvements respiratoires sont normaux, rien à l'auscultation. Pas de
troubles
circulatoires ni urinaires. Pas de troubles de
l'auscultation. Pas de troubles circulatoires ni urinaires. Pas de
troubles
de l'état général. Le diagnostic peut hésiter e
de troubles de l'état général. Le diagnostic peut hésiter entre un
trouble
fonctionnel du membre su- périeur et une affect
règle dans ce cas ; dans le type Duchenne-Erb, en particulier, les
troubles
paralytiques d'origine névritique n'atteignent
tacts dans notre observation. Nous ne consta- tons pas davantage de
troubles
de la sensibilité très communs au contraire dan
la sensibilité très communs au contraire dans les névrites, pas de
troubles
des réflexes, sécrétoires ou trophiques, à pein
troubles des réflexes, sécrétoires ou trophiques, à peine quelques
troubles
vasomoteurs (poussées de rougeur au visage, eng
e du biceps brachial, l'effacement des pectoraux à droite, quelques
troubles
fonctionnels du grand dorsal, nous condui- sent
faisceau claviculaire du grand pectoral, et, d'autre part, par des
troubles
fonctionnels du muscle sous-épineux (adduction
cas de Giraudeau : paralysie des muscles sus- et sous-épineux, sans
troubles
de la sensibilité, ni troubles cutanés trophiques
s muscles sus- et sous-épineux, sans troubles de la sensibilité, ni
troubles
cutanés trophiques ou oculo-papil- laires (cité
uel de Path. int., t. III, p. 841). Mais il est à remarquer que les
troubles
fonctionnels des muscles élé- vateurs de l'épau
ait agi à un moment donné sur le plexus brachial ? Le diagnostic de
trouble
fonctionnel des muscles élévateurs de l'épaule
es déterminés, l'intégrité des réactions électriques. l'absence des
troubles
de la sensibilité et des réflexes, enfin" l'évolu
itation matérielle des centres ou conducteurs nerveux, ou d'un tic,
trouble
psycho-moteur ? (Brissaud, Meige et Feindel). A
nce même du tic ; ce dernier n'est constitué que par la réunion, au
trouble
moteur, d'un trouble mental lié, lui-même, à de
dernier n'est constitué que par la réunion, au trouble moteur, d'un
trouble
mental lié, lui-même, à des imperfections psych
n'appartient pas exclu- sivement aux névroses professionnelles; des
troubles
de cette fonction marquent souvent le point de
ité longtemps pour un gmphospasme. Le caractère pathognomonique des
troubles
moteurs professionnels est, de « se produire à
, et uniquement en celte occasion » (3). Or, chez notre malade, ces
troubles
primitivement localisés à la main et limités à la
que celui de porter la main à la bouche pour manger. De plus, le
trouble
moteur est double en quelque sorte, et constitué
anifestent pas toutes les fois que le sujet essaie d'é- crire ; les
troubles
de l'écriture sont infiniment plus accusés quand
lacement de la main droite en hauteur et sur sa paume reflétant les
troubles
moteurs de l'épaule et du bras indépendamment de
u type ordinaire de la crampe des écrivains. Selon 11. Meige, Les
troubles
dans la fonction de l'écriture sont extrê- meme
bras en dedans. Quelles conclusions tirer de ces remarques ? Ces
troubles
ne relèvent certainement pas d'une lésion organiq
tifiée lui permet alors de corriger ses mou- vements vicieux. - Les
troubles
dans la fonction de l'écriture s'expli- quent d
orme tonique. Un autre caractère distinclif est tiré de l'élude des
troubles
de la sensi- bilité, des réactions électriques,
ète de l'état mental entraînant des modifications très heureuses du
trouble
moteur. N'est-ce pas là encore une vérifica- ti
n peu accusée. Il y a, dans l'espèce, deux faits il con- sidérer,le
trouble
moteur d'une part, et ensuite l'habitude prise pa
, conséquences d'hyperac- tivité musculaire dépendant uniquement de
troubles
fonctionnels; les unes et les autres peuvent êt
tude analogue à celle du torticolis mental ou du trismus mental. Le
trouble
moteur « se manifeste par l'immobilisation exag
). Les contractions musculaires sont souvent très fortes, et si les
troubles
moteurs de l'épaule disparaissent facilement, c
ule de mouvements du membre supérieur droit qui semblait relever de
troubles
fonctionnels du muscle sous-épineux, provenait en
e contrôle du miroir a d'ailleurs corrigé assez facilement tous ces
troubles
moteurs. (1) Meioe et Feindel, Tic clonique el
sous la double surveillance médicale et maternelle, au point que ce
trouble
a presque complètement disparu. Nous attendon
temps une tuméfaction analogue, qui évolua toujours sans amener aucun
trouble
fonctionnel ou douloureux. Un médecin pratiqua
e asymétrie crânienne. Examen du système nerveux. - Il n'y a pas de
troubles
moteurs ; les mus- cles conservent leur tonicit
ni au niveau des lésions, ni en dehors d'elles. Mais par contre les
troubles
sensitifs sont accusés au niveau de la lésion a
it croire l'aspect inflammatoire de la région. En résumé : pas de
troubles
sensitifs nets en dehors delà région tibio-tarsie
hors delà région tibio-tarsienne où il existe une superposition des
troubles
sensitifs et trophiques. Pas d'incoordination m
s sont égales. Pas d'anesthésie cornéenne ; léger nystagmus ; aucun
trouble
moteur du globe oculaire. Le réflexe pupillai
rthropathie trophique. Il suffirait de rappeler la superposition de
troubles
sensitifs aux lésions articulaires, et le contr
existait entre les désordres anatomiques et le peu d'intensité des
troubles
fonctionnels. Mais il y a plus. Au processus de
es musculaires plus considérables, enfin souvent on trouve d'autres
troubles
trophiques. Restent alors le tabes et une myé
qui présentait une arthropathie de l'épaule gauche avec différents
troubles
nerveux qui ont fait admettre la nature syringo
uscle biceps et s'ouvre dans l'articulation ; elle donne un liquide
trouble
, et dans cette articulation on a trouvé des corps
i ne font ni un simple tremblement ni un mouvement choréique, ni un
trouble
de l'équilibre ataxique, mais quelque chose de
ent dite ? Il y a des auteurs qui nient absolument l'existence de
troubles
mentaux non paralytiques dans le tabès; cependa
ntes dont le point de départ, peut-être, doit être cherché dans les
troubles
fonctionnels et sensitifs des malades, et fort
aires. réflexes rotuliens et réflexes plantaires abolis. Il y a des
troubles
de la sensibilité, troubles des fonctions vésical
réflexes plantaires abolis. Il y a des troubles de la sensibilité,
troubles
des fonctions vésicales : il faut sonder la mal
électrique et volontaire n'est pas modifiée et on ne constate aucun
trouble
de la motilité. Il n'existe également aucune al
la glande thyroïde et l'absence de métrorrhagies, d'attri- buer les
troubles
trophiques de D... à une insuffisance thyroïdienn
loppement lentement progressif, comme on le verra plus loin, de ces
troubles
et l'absence de stigmates suffisent pour éliminer
mari, elle n'existait pas lorsqu'il a été obligé, en raison de ses
troubles
mentaux, de placer sa femme à l'asile Ste-Anne.
, et, d'autre part, la coexistence de ce processus adipeux avec des
troubles
psychiques, à la vérité d'origine alcoolique, c
'années après, c'est-à-dire vers l'âge d 47 ans, que débutèrent les
troubles
intellectuels, caractérisés d'abord par des mod
ièce d'ivro- gnes, ivrogne elle-même, qui, après avoir présenté des
troubles
intellec- tuels d'origine manifestement alcooli
définitif. Tant par l'aspect morphologique de la malade que par les
troubles
psychiques dont elle est atteinte, notre observ
sans cesse qu'il aille et 292 HASKOWEC vienne dans sa chambre. Le
trouble
s'aggrave encore s'il est assis devant un établ
ptômes décrits par M. Haskowec : des secousses, de l'agitation, des
troubles
de la respiration, de l'angoisse qui sur- vienn
ui vont peut-être nous mettre sur la voie d'une interprétation. Les
troubles
que nous venons d'observer sont assurément exa-
ais ils ne sont pas tout à fait absents dans d'autres attitudes. Le
trouble
se manifeste également dans la station debout : s
tics de la bouche parce que son métier était de parler. Tous ces
troubles
, tics, crampe des écrivains, impulsions à la marc
ble examen clinique. On recherchait surtout chez eux l'existence de
troubles
de la sensibilité, l'anesthésie à la piqûre, et c
sur son corps les stigmata diaboli : oedèmes, ulcérations cutanées,
troubles
trophiques d'origine nerveuse, ou simplement des
squ'à la paume de la main, et sans possibilité de régénération, les
troubles
fonctionnels ont été peu importants. L'op- posa
servait régulièrement de la main gauche et ne se plaignait d'aucun
trouble
fonctionnel. Nous renvoyons à l'observation du
l'observation du Dr Péraire pour tous les détails con- cernant ces
troubles
moteurs et sensitifs qui ont été recherchés, ains
eurs irradiées dans le territoire de ce nerf. A l'âge de 23 ans les
troubles
sensitifs nécessitent une intervention, et le Dr
OME ADIPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 333 A la suite de cette opération, les
troubles
moteurs sont limités à une paralysie des muscle
ement observé des faits de section complète du tronc du médian sans
troubles
sensitifs consécutifs. On peut en rapprocher le
. Mais nous croyons qu'il faut. en tout cas, tenir grand.compte des
troubles
vasomoteurs, constants après la névrectomie, qui
aire.Kraepelin, à la vérité, a signalé dans la démence précoce, les
troubles
vasomoteurs, la cyanose, les oedèmes, mais les
(cataleptoides, flexibilité cireuse) sont moins importantes que les
troubles
précédents, car elles se peuvent rencontrer dan
essayer de rendre le diagnostic plus clair. Etudions d'abord les
troubles
mentaux. L'idiotie myxædérnateuse ne nous arrêt
lûi', étant même probablement, tout au moins indirectement liée aux
troubles
encéphaliques. Dans tous les cas, la régression s
diagnostic est simple puisque dans le pseudo-oedème catatonique les
troubles
mentaux sont primitifs et très spéciaux ; que l'o
de la même famille peuvent être atteints de cette affection. Les
troubles
mentaux n'avaient point été signalés à l'origine
act d'attribuer une valeur diagnostique quelconque à l'existence de
troubles
mentaux qui souvent manquent et qui, quand ils
on dans la rapide revue symptomatique que nous allons tenter. Les
troubles
mentaux sont très fréquents mais non constants ce
rtant de cas examinés dans ce sens, nous fixerait sur la nature des
troubles
mentaux, la plupart des observations présentant
hésitante (Oddo et Chassy), la parésie de la 3e paire (Dercum), des
troubles
secrétoires comme l'hypohydrose (Henry), des tr
(Dercum), des troubles secrétoires comme l'hypohydrose (Henry), des
troubles
trophiques comme la xérodermie (Jiudiceandrea).
le corps thyroïde altéré retentit sur le cerveau, d'autre part, les
troubles
cérébraux auront grand'chance de retentir sur le
s individus qui présentent du pseudo-oedème catatonique, et que ces
troubles
sont eux-mêmes consécutifs aux troubles de la cir
ème catatonique, et que ces troubles sont eux-mêmes consécutifs aux
troubles
de la circulation cérébrale- On voit donc que d
irculation cérébrale- On voit donc que d'après cette conception les
troubles
mentaux seraient primordiaux. Les altérations t
ter dans le domaine des faits très admissibles, nous dirons que des
troubles
de la circulation cérébrale peuvent agir sur le
mérie spinale. Dans notre conception, l'importance considérable des
troubles
cérébraux n'échappera pas et'si nous avons prop
ue les manifestations de la catatonie soient seuls en jeu; d'autres
troubles
cérébraux comme la pa- ralysie générale, la mél
cérébral très fréquent. 4° Pour le pseudo-oedème catatonique. d'un
trouble
cérébral probable- ment primitif et atteignant
t au pâturage ne saurait répondre à la définition clinique du tic :
trouble
psychomoteur. Un tic de léchage n'est constitué q
st-à-dire soumis aux conditions les plus diverses. A la vérité, les
troubles
moteurs présentés par ces chevaux ne sont pas d
ctions musculaires. L'étude clinique établira à quelle catégorie de
troubles
moteurs appar- tiennent nos lécheurs ; disons d
ervés par nous sous les rubri- ques suivantes : phénomènes moteurs,
troubles
psychiques, troubles de réflec- tivité, etc., s
es rubri- ques suivantes : phénomènes moteurs, troubles psychiques,
troubles
de réflec- tivité, etc., stigmates physiques.
ces cas particuliers, les mouvements des mâchoires appartiennent au
trouble
moteur lui-même qu'ils ne font que précéder ou
DEL, IOC. cit., p. 458. TICS ET STÉRÉOTYPIES DE LÉCHAGE ' 373 des
troubles
moteurs très compliqués dans leurs formes, le che
e cheval est capable de manifestations psychomotrices variées. 2.
Troubles
psychiques. - Les stéréotypies de l'homme se prod
libre mental. Pour la première fois, à notre connaissance , que des
troubles
de ce genre sont décrits chez l'animal, il impo
on de l'écorce cérébrale. Dans le même travail, nous avons noté des
troubles
du caractère (nervosisme, émotivité, impressionna
omme, à employer des expressions, telles que phénomènes psychiques,
troubles
psychiques, état psychopathique, etc. Ceci di
ychiques que nous avons noté chez les sujets atteints de tics ou de
troubles
psychomoteurs simi- laires. « Ce qu'on appelle
lants, claustrophobie) se rencontrent également chez le cheval. Les
troubles
psychomoteurs de l'homme et du cheval présentent
er, la discipline psychomotrice au traitement d'un tic animal. 3.
TROUBLES
DE RÉFLECTIVITÉ, DE sensibilité. - TROUBLES TROPH
ent d'un tic animal. 3. TROUBLES DE RÉFLECTIVITÉ, DE sensibilité. -
TROUBLES
TROPHIQUES ET VASO-MOTEURS. Cette étude comport
ic de léchage, et, de plus, la recherche des réflexes généraux, des
troubles
trophiques, vaso-moteurs et secrétaires. Nous a
bre de sujets non tiqueurs. Les anomalies de la bouche, cicatrices,
troubles
de dentition sont exa- minées au chapitre intit
cuse l'intégrité de la résistance de la queue au soulèvement. Les
troubles
vaso-moteurs se manifestent par une hypersécrétio
de causes futiles et indépendantes du travail. Il n'existe pas de
troubles
trophiques marqués chez les lécheurs. La mani-
erie (garnison, écoles à feu, manoeu- vres). Tout au plus, quelques
troubles
de la nutrition, peu importants en vérité, méri
incipalement au retour du travail. A été soumis autrefois, pour des
troubles
digestifs, à un régime spécial : division des r
uche est sensible au point que le mors de bride est inu- tilisable.
Troubles
de nutrition : appétit capricieux, salivation abo
cale, petites cicatrices d'érosions de la lèvre inférieure ; pas de
troubles
de denti- tion. Ons. V. NoTUS. 13 ans. Cheval
autrefois, sans cause apparente ; ne pré- sente actuellement aucun
trouble
trophique ou secrétaire. Pas de stigmate d'asym
e sont pas des sujets anormaux ; ils ne sont pas plus atteints d'un
trouble
moteur que l'enfant qui a l'habitude de lécher la
t, chez nos sujets, la réunion d'une anomalie motrice évidente à un
trouble
psychique très caractérisé, et le tic de léchage
ique (Lai- ton, léchage d'une pierre de sel destinée à atténuer des
troubles
digestifs), ou un vice d'éducation (Notus, léch
ude de lécher. Celle-ci devient, en effet, une habitude morbide, un
trouble
moteur psychopathique. Sans doute,-l'acte moteu
n'importe pas moins de considérer tics et sté- réotypies comme des
troubles
psychomoteurs très proches parents, reliés les
amment des gerçures et des excoria- lions labiales ou à la suite de
troubles
dentaires. Les mêmes auteurs ont rapporté le ca
use à effet entre les causes provocatrices que nous signalons et le
trouble
moteur lui-même. Nous estimons, en effet, que d
ns banales de la langue, des barres, des lèvres et commissures, des
troubles
de dentition, peuvent (1) A. Cahen, cité par MM
rticulière de barres et des irrégularités des tables dentaires, des
troubles
variés de dentition. Il'n'est pas inadmissible qu
hysiques, autorisent à le con- sidérer comme un prédisposé. Or, ces
troubles
psychopathiques appar- tiennent à la fois aux t
estations objectives présentent les plus grandes analogies avec les
troubles
de même genre observés chez l'homme. Tics et st
e rencontrent également chez des animaux pré- sentant à la fois des
troubles
psychopathiques et des stigmates physi- ques, a
mble acquérir l'automatisme. De plus, des lésions de la bouche, des
troubles
de la dentition, peuvent se rencontrer à l'origin
usé pendant un temps assez long de boissons fortes; très souvent ce
trouble
mental se manifeste dans la dipsomanie; presque
uelques maladies occasionnelles somatiques, et aussi, peut-être, de
troubles
endogènes quelconques dans la région des centre
es, principalement auditives, comme seul reliquat de la maladie. Le
trouble
mental, décrit il y a peu de temps par le profe
côté, et à la paranoïa alcoolique, d'autre part, est peu défini. Le
trouble
mental, noté en 1847 par Marcé (1), et qui s'ob
s cas transitoires et ceux où l'on pouvait remarquer ou supposer un
trouble
mental d'un autre genre, étaient éliminés. En dét
délire alcoolique se renconlre dans 0,69 p. 100 de lous les cas de
trouble
mental ; c'esl donc comparativement une maladie
u délire alcoolique continu, par rapport au nombre total des cas de
trouble
mental, sera chez les hommes 0,96 p. 100 et che
collogr.), par Apert, 193. Myopathie atrophique progressive avec
troubles
de la sensibilité ( t pf. et 2 sché- mas), par
Lannois et POROT. Un cas de myopathie atrophique progressive avec
troubles
de la sensibilité (1 pl. 2 schémas), 108. LAU
POROT et LAUNOIS. Un cas de myopathie atrophique progressive avec
troubles
de la sensibilité (1 pl., 2 schémas), 108. RA
actylie ((,AYLA), VIII, IX. Myopathie atrophique progressive avec
troubles
de la sensibilité (LANNois et Po- BOT), XXIII.
ou mieux lachypnêe hystérique; 4° Grand tic convulsif ; Coprolalie;
Troubles
psychiques concomitants. M. Cuarcoï : Messieurs
ant trois mois. De l'âge de neuf ans jusqu'à l'époque présente, les
troubles
nerveux s'effacent complètement. Ils ont reparu e
tigmates, c'est-à-dire pas d'anesthésie cutanée, pas d'ovarie, pas de
troubles
sensoriels, etc. Le symptôme sur lequel j'appelle
, impulsives, comme vous voudrez les appeler. Il est clair qu'ici, le
trouble
survenu dans le mécanisme de l'idéation, reprodui
ain point,je ressens l'envie de le faire. J'ai aussi une manie qui me
trouble
beaucoup : il me prend souvent une envie irrésist
maladie, et que souvent derrière le tic il y a lieu de rechercher le
trouble
psychique qui ne saute pas toujours aux yeux. O
le psychique qui ne saute pas toujours aux yeux. Or, messieurs, les
troubles
psychiques dont il s'agit sont, dans la majorité
lente, chronique par exemple, marquée souvent par l'accompagnement de
troubles
trophiques de siège musculaire ou cutané et où l'
ction dégénérative, peut bien être considéré comme la conséquence des
troubles
trophiques qui accompagnent la névrite. Enfin l
s, il ne faut pas voir là à proprement parler une complication. Aucun
trouble
de la sensibilité n'existe sur ces membres inerte
moins rapide parfois avec réactions dégénératives ; — 5° Quelquefois
troubles
trophiques articulaires (arthrite du genou). B.
ice, pas d'atrophie, pas d'exagération des réflexes; — 4° Quelquefois
troubles
trophiques cutanés, (eschare fessière). C. Pas
lquefois troubles trophiques cutanés, (eschare fessière). C. Pas de
troubles
vésicaux. Tel est l'ensemble symptomatique lors
té possible pour la plupart d'entre elles. B. Côté droit: 1° Pas de
troubles
du mouvement, jamaisiln'èn a existé ; — 2° Réflex
'est pas l'anesthésie proprement dite qu'on y rencontre, mais bien un
trouble
équivalent qui signale généralement l'existence d
ulation sur laquelle, lors de la chute, le choc a porté, — absence de
troubles
de la sensibilité. J'ajouterai, comme détails com
ns, quand, bien entendu, il s'agit des membres inférieurs ; enfin des
troubles
de la sensibilité manifestés spontanément on prov
sans douleur. Tous les symptômes plus haut signalés, y compris les
troubles
de sensibilité, se retrouvent au plus haut degré
e l'acte de la marche moins difficile. Là, dans ce même membre, les
troubles
vasomoteurs sont beaucoup plus prononcés que part
, une anesthésie presque absolue sur la jambe et le pied gauches. Les
troubles
sensoriels sont de leur côté très-bien caractéris
quelque perturbation mentale. Mais, désormais, chez notre malade, les
troubles
de ce genre dépassent évidemment les limites ordi
ts choréiformes, comme aussi pendant le cours de l'affection, par des
troubles
psychiques plus profonds que cela n'a lieu d'ordi
xaltation mentale poussée au plus haut degré, ou encore de véritables
troubles
vésaniques. On pourrait formuler ces résultats
inte jaunâtre et pâle des téguments ; liséré saturnin très net. Les
troubles
permanents de la sensibilité sont disposés comme
ère elle comprend la fesse. Le membre inférieur gauche est indemne de
troubles
de la sensibilité, tandis qu'à droite, au contrai
inférieur, soit de la face. Remarquez que sur le membre parésié, les
troubles
de la sensibilité, déjà très prononcés en ce qui
sans produire la moindre sensation. Il y a là un contraste entre les
troubles
de la sensibilité et ceux des mouvements, fort re
t qu'elle reste des heures entières à s'habiller,à se peigner. Pas de
troubles
de la sensibilité générale ou spéciale ; pas de r
s le moment de l'accident, jusqu'à son retour à la connaissance, t.
Troubles
intellectuels provoqués par les traumatismes céré
aincu qu'il les reprendra par l'action : ce qui l'inquiète, ce qui le
trouble
profondément c'est que dans la gare où il s'est r
urs s'étaient introduits dans sa maison. Vous n'ignorez pas que les
troubles
nerveux qui constituent la neurasthénie cérébro-s
s (fig. 31), ses étourdissements, sa syncope. D'ailleurs pas d'autres
troubles
de la sensibilité, pas d'autres stigmates, pas d'
ns les oreilles, des battements dans les tempes ; peu après ma vue se
trouble
, je chancelle et je suis menacé de perdre connais
t en quelque façon parallèlement à elles, car précisément ce sont ces
troubles
fonctionnels qui constituent à proprement parler
pas à.observer, — à moins d'anomalies méritant une étude à part, — de
troubles
de la sensibilité soit objectifs soit subjectifs
es, et confirmé par l'histoire même de la paralysie infantile. Pas de
troubles
vésicaux, du moins dans la règle, dé troubles tro
lysie infantile. Pas de troubles vésicaux, du moins dans la règle, dé
troubles
tro-phiques cutanés ou sous-cutanés pouvant surve
cas, on fait ressortir l'importance pour le diagnostic de l'étude des
troubles
oculaires.) 3e Malade. — Chorée molle chez un e
ères. 3° Diplopie monoculaire, micropsie et macropsie (Parinaud).
Troubles
pupillaires. Signe de Vincent, Goingt et Argyll
atrophie blanche consécutive. (Cas d'Eulenbourg, de Gnauk). 0. 0.
Troubles
fonctionnels consécutifs à l'affection du nerf op
d'une esquisse à traits rapides et non d'une étude régulière. Un des
troubles
oculaires classiques dans la sclérose en plaques,
cité-là, on ne sort jamais. II n'en est pas tout à fait de même des
troubles
visuels liés à la névrite optique dans la scléros
ui le phénomène du pied) était entre autres très marquée (1) ; pas de
troubles
marqués de la sensibilité dans les membres inféri
gulière de la paraplégie par mal de Pott, quelques-uns des principaux
troubles
fonctionnels qui s'y rattachent. Et d'abord,jev
ent de particulièrement remarquable, c'est la prédominancemarquée des
troubles
moteurs dans la plupart des cas, sur les sensitif
s mouvements les douleurs du dos et de la poitrine augmentent. Pas de
troubles
vésicaux d'ailleurs. Pas de fièvre. Toute cette
de compression spinale. Nous savons en effet que, dans celle-ci, les
troubles
de la sensibititéunpeu sérieux se manifestent seu
de la substance grise centrale et dans ce cas-là, nécessairement, les
troubles
moteurs seraient prononcés à l'avenant ; or vous
ée aux diverses parties du membre; j'ajouterai enfin, même absence de
troubles
sérieux dans le domaine du mouvement.Tel n'eûtpas
erne vers le renflement cervico-brachial : dans ce cas, en effet, les
troubles
anesthésiques, — expression d'une lésion des raci
absolument défaut dans l'histoire de notre cas; en même temps que les
troubles
du mouvement se fussent montrés beaucoup plus acc
part de l'auto-suggestion. En même temps, comme cela devait être, les
troubles
parétiques ainsi produits se sont accompagnés des
être, les troubles parétiques ainsi produits se sont accompagnés des
troubles
particuliers de la sensibilité cutanée et profond
ronc, on pourrait être conduit à penser que l'étude méthodique de ces
troubles
de la sensibilité fournirait des résultats confor
par contre, la moindre trace du phénomène du pied, et il n'y a aucun
trouble
à noter du côté des fonctions de la vessie. San
malade, sans canne, peut monter facilement un deuxième étage; 3° les
troubles
permanents de la sensibilité qui existaient aux m
Dans aucun cas, nous n'avons vu reparaître les réflexes rotuliens.Les
troubles
vésicaux ont été modifiés heureusement dans la pl
Au contraire,l'incoordination motrice, les douleurs fulgurantes, les
troubles
vésicaux divers, la faiblesse générale, le signe
la dix-septième séance, un œdème des membres inférieurs résultant de
troubles
circulatoires cardiaques sans lésion orificielle
e, il existe aux membres inférieurs un certain degré de parésie, sans
troubles
concomitants de la sensibilité, sans parésie vesi
quatrième cas : absence ou diminution des réflexes rotuliens; pas de
troubles
de la sensibilité quels qu'ils soient ; intégrité
xamen électrique ne donne rien qui s'éloigne de l'état normal ; aucun
trouble
fonctionnel,soit de la vessie, soit du rectum; pa
asedow, dans lequel les membres inférieurs sont également le siège de
troubles
du mouvement ; mais, dans ce dernier cas, il nous
à-dire durant une période de six mois, les crises nerveuses, avec les
troubles
psychiques que vous savez, n'ont pas cessé en que
onté. Il ne peut même pas penser à ses affaires sans que sa tête se
trouble
.Enfin, au bout d'un mois la plaie et les abcès so
isent de temps à autres dans les cuisses et dans les mollets ; pas de
troubles
vésicaux. Les réflexes rotuliens sont normaux et
rairement à ce qui a lieu dans la majorité des cas du même genre, les
troubles
digestifs font à peu près complètement défaut : p
ant après les repas, ce qui montre bien, soit dit en passant, que ces
troubles
gastriques ne sont pas nécessaires à la constitut
riques ; rien qui rappelle les attaques ou leurs équivalents ; pas de
troubles
permanents de la sensibilité générale ou spéciale
te époque que date la céphalée dont il se plaint continuellement. Les
troubles
oculaires ont diminué ou du moins la gêne qu'ils
qu'ils produisaient a disparu au bout d'une huitaine. Mais alors des
troubles
du côté de la langue se sont manifestés. Il y a
ne sentent plus rien ; il lui semble qu'il mange de la terre. » Les
troubles
de l'articulation ont disparu au bout d'une huita
la 6e paire à droite. Enfin depuis six mois environ sont survenus des
troubles
de la miction consistant en ce que la malade est
é spasmodique : l'absence d'une lésion quelconque des jointures ; les
troubles
de la sensibilité cutanée et leur mode de limitat
ur la ligne du chemin de fer de Paris-Lyon-Méditerranée (1). Quelques
troubles
nerveux plus ou moins vagues, surtout des insomni
dynanomètre donne pour la main droite 18 et pour la gauche 25. Pas de
troubles
gastriques bien prononcés. Ainsi étaient les ch
9 et 70. Perte du sens musculaire, de la notion de position, etc. Les
troubles
de la sensibilité sont tels qu'on ne les observe
s'était pas agi là d'une maladie primitive de l'estomac, mais bien de
troubles
gastriques subordonnés à l'affection spinale. L
sence de la maladie tabétique et se trouver conduit à y rattacher les
troubles
gastriques. Mais pour en arriver là, il eût fallu
avec un ou plusieurs des autres syndromes de la série tabétique, ces
troubles
gastriques si particuliers peuvent permettre d'ét
le mérite d'avoiraffirmé qu'ily a une véritable con-nexité entre ces
troubles
viscéraux et la lésion spinal e, appartient à M.
Raynaud (1). Cependantla description caractéristique, répon- \. Des
troubles
gastriques dans Vataxie locomotrice progressive.
ermes au type prédominant, et permettant de séparer clinique-ment les
troubles
gastriques réellement subordonnés au tabès, de ce
s, comme vous savez, se perpétue indéfiniment sans jamais aboutir aux
troubles
locomoteurs,la dénomination beaucoup plus appropr
iption, les crises gastriques figurent au premier rang àcôté d'autres
troubles
viscéraux du même ordre tels que les crises vésic
it à la région de l'estomac, soit le long de l'œsophage (2). 3° Les
troubles
gastriques apparaissent tout à coup, le plus souv
près les observations de MM. Pierret, Jean, Démange et Oppenheim, les
troubles
laryngés tabétiques aussi bien que les troubles g
nge et Oppenheim, les troubles laryngés tabétiques aussi bien que les
troubles
gastriques, relèvent d'une lésion plusieurs fois
des douleurs rapides dans les membres », accompagnant ou suivant les
troubles
gastriques; d'autres fois, les malades ont présen
our ainsi dire, en permanence, pendant un certain temps du moins, des
troubles
des fonctions de l'estomac qui rendent l'alimenta
que, entre autres, est parfaitement accusée, malgré la persistance de
troubles
digestifs dans l'intervalle des accès. Pour ce qu
chez notre patient, même dès l'origine de la maladie, reconnaître les
troubles
gastriques pour ce qu'ils sont, et éviter de tomb
eux côtés, des muscles qui remplissent le premier espace interosseux.
Troubles
urinaires consistant dans la nécessité de faire e
l'hystérie seule en effet, autant qu'on sache, que l'on rencontre des
troubles
de la sensibilité de ce genre aussi accentués et
ndant; c'est là encore la contracture spasmodique qui est en jeu. Les
troubles
de la sensibilité sont, également sur ce membre,
e malade peut être considéré comme à peu près complètement guéri. Les
troubles
sensitifset sensoriels ont disparu ainsi que les
guéri. Les troubles sensitifset sensoriels ont disparu ainsi que les
troubles
moteurs. La santé générale est excellente. lìti
conséquence de cette intoxication. Mais il y aura à rechercher si les
troubles
fonctionnels que nous allons décrire appartiennen
absolument normal. Pas de rigidité, pas de contracture, pas traces de
troubles
quelconques de la sensibilité cutanée ou profonde
pas non plus ataxique... En quoi consistent donc, me direz-vous, ces
troubles
fonctionnels si particuliers dont vous dites le m
e : Ataxie par défaut de coordination automatique, l'auteur décrit un
trouble
moteur consistant en ce que « les mouvements sont
stérique décrite par Briquet (2) et par Lasègue (3), dans laquelle le
trouble
moteur est sous la dépendance immédiate de l'anes
x, de la nutrition des muscles, etc., etc., et surtout l'absence d'un
trouble
quelconque dans l'exécution des mouvements de ces
chez les tabétiques dans la période préataxique. Dans la marche ces
troubles
atteignaient leur maximum. En efïet, à chaque pas
ter sur les caractères qui permettront de distinguer cliniquement les
troubles
moteurs abasiques de ceux qui se voient dans l'at
les prédisposés par hérédité à contracter des maladies nerveuses. Les
troubles
moteurs abasiques se manifestent d'ailleurs chez
a formation de bulles pemphigoïdes, de vésicules d'herpès ou d'autres
troubles
trophiques encore. On s'accorde assez généralemen
n s'accorde assez généralement à faire dépendre ces paralysies et les
troubles
trophiques concomitants de l'existence de névrite
érison dans un court espace de temps. Un second groupe comprend des
troubles
cérébraux apparaissant tardivement, à longue éché
entends lire un passage pathétique, je me mets à sangloter ». A ces
troubles
divers, il faut ajouter un sentiment de grande fa
, tandis que dans un autre ce sera la paraplégie avec le concours des
troubles
plus ou moins accentués delà sensibilité qui en g
t homme guérira, vous disais-je, ou, pour parler plus exactement, les
troubles
abasiques qui font son tourment disparaîtront rap
e, le résultat observé n'est pas encore absolument parfait puisque le
trouble
moteur se retrouve, à un certain degré, dans cert
jours vous montrer le malade complè- 31 tement débarrassé de ces
troubles
de la marche qui, jusqu'à aujourd'hui, n'avaient
nte-Anne avec un certificat portant : « atteinte de manie aiguë, elle
trouble
lé repos des autres malades. » Elle ne resta à
ement ici, mais nous ne négligerons pas cependant, et pour cause, les
troubles
cérébraux,aujourd'hui atténués et relégués en q
ensibilité. Il y auralieu aussi d'accuser l'existence concomitante de
troubles
trophiques. Vous êtesfrappés tout d'abord, en exa
diminution de volume des masses musculaires correspondant à certains
troubles
trophiques révélés par l'électro-diagnostic. Il e
conduire au diagnostic étiologique. Nous ne reviendrons pas sur les
troubles
trophiques musculaires déjà signalés, mais nous v
rtainement pas de plus de deux ou trois mois. Eh bien, Messieurs, les
troubles
trophiques qui viennent d'être énumérés, et parti
ue, n'est pas chose faite pour surprendre lorsqu'on sait que d'autres
troubles
tropbiquesou vaso-moteurs,tels que l'œdème, l'emp
oborer nos prévisions à cet égard. En réalité,Messieurs,l'étude des
troubles
de la sensibilité présentés par notre sujet, va f
n quelque sorte, par suite de la Fig. 14 Fig. 75 Distribution des
troubles
de la sensibilité' cutanée chez la nommée Be ...e
t qui leur survit pendant quelques secondes. Remarquons enfin que ces
troubles
de la sensibilité se retrouvent avec tous leurs c
ieurs, il me semble que, en ajoutant à ce qui a été dit plus haut des
troubles
moteurs et destroublestrophiquesobservéschez notr
roubles moteurs et destroublestrophiquesobservéschez notremalade, les
troubles
particuliers de la sensibilité que nous venons de
rien la description classique des douleurs fulgurantes; l'absence des
troubles
vési-caux, la réaction des masses musculaires, le
un peu partout leur imprimer volontairement quelques mouvements. Les
troubles
de la sensibilité sont eux aussi beaucoup moins p
t une teinte bleuâtre, et en un mot, par le fait de l'intervention de
troubles
bulbaires que rien ne peut conjurer, survient rap
corps,môme en ce qui concerne le voile du palais et le pharynx. Les
troubles
sensoriels ne sont pas moins accusés. L'examen du
ral,en effet c'est du côté où se montrent la paralysie motrice et les
troubles
de la sensibilité que siège l'amyotrophie hystéri
int du corps, à part les fourmillements dont il a été question, aucun
trouble
permanent de la sensibilité cutanée ou profonde ;
ente une atrophie musculaire à marche progressive, non accompagnée de
troubles
marqués de la sensibilité, doit être immédiatemen
Aran-Duchenne : marche lente de l'amyotrophie progressive, absence de
troubles
permanents de la sensibilité, pas d'exagération d
evé avec soin l'existence de secousses fibrillaires, et l'absence des
troubles
delà sensibilité. Enfin,je ne vois pas qu'il y ai
s entr'actes d'amor-phinisme, alors les malades accusent une série de
troubles
qu'il faut bien connaître. Notre malade est, en c
'est la diarrhée du morphinisme. Il se gratte de tous côtés. Puis des
troubles
psychiques se manifestent. Il devient insolent, i
s présenter un sujet chez lequel nous pouvons étudier ensemble divers
troubles
nerveux qui relèvent plus ou moins directement de
que, Paris, 1855. 59 peut produire chez l'homme, on a signalé des
troubles
nerveux divers et plus particulièrement des paral
concorde fort bien, il faut le remarquer, avec ce que dit Sestier des
troubles
psychiques immédiats produits parle foudroiement.
t, assure-t-il, que les individus frappés par la foudre éprouvent des
troubles
plus ou moins profonds, plus ou moins durables da
étre; dans son effroi, elle saute par la fenêtre (Feltstrôm). Dans le
trouble
de leur esprit, les foudroyés se livrent souvent
rmir. 11 ne saurait vous échapper qu'il y a lieu de se demander si ce
trouble
psychique mérite véritablement d'être spécifié so
ysies produites immédiatement après le choc, sont marquées 1° par les
troubles
de la sensibilité à savoir : anesthésie cutanée e
jusqu'au lendemain : elle s'y rapporte encore par la concomitance de
troubles
de la sensibilité. L'anesthésie cutanée ou profon
rmes : c'est depuis lors que le bégaiement s'est établi. Ces divers
troubles
à savoir : sensation de boule, battement, des tem
réexistait à l'accident. Et puis, il faut se demander si les premiers
troubles
nerveux apparus immédiatement après la fulguratio
es actuelles concernant l'hystérie, l'hystérie masculine surtout, les
troubles
nerveux divers qui s'observent chez les foudroyés
ment à la Symptomatologie de l'hystérie, sont souvent cités parmi les
troubles
nerveux qui se développent en conséquence de la f
fet, est seulement dans le degré d'intensité et de généralisation des
troubles
moteurs. Ainsi, il se peut faire qu'un individu
ections radicalement distinctes, en même temps que, cliniquement, les
troubles
moteurs quiappar tiennent à l'une, diffèrent fo
tre espèce : qu'enfin, les modifications psychiques concomitantes des
troubles
moteurs sont accusées ici dans le sens de la déme
omène du pied n'existe pas ; pas de douleurs dans ces membres; pas de
troubles
urinaires, etc., rien en un mot qui révèle l'une
ère manifestement à l'occasion des divers mouvements exécutés, ne les
trouble
pas notablement. Maintenant deux personnes sont
rsal, rien ne pouvait faire remarquer dans les membres inférieurs, un
trouble
fonctionne] quelconque. Sans effort, il soulevait
e la marche qui constitue, en somme, le caractère le plus saillant du
trouble
abasique; mais cette incoordination spéciale à la
uis longtemps, il n'en reste plus de traces ; mais dès l'origine, des
troubles
cérébraux sérieux se sont produits et depuis, ils
ence plus ou moins directe, le syndrome abasie; ou, au contraire, ces
troubles
sensitifs et sensoriels relèvent-ils d'une lésion
n à intéresser surtout le faisceau sensitif? Dans ce dernier cas, les
troubles
de la sensibilité en question seraient vraisembla
Distribution et intensité de l'Hyperesthésie suivant les régions.
troubles
moteurs hémiplégiques, survenus il y a huit ans,
s d'où relèvent l'hémiplégie transitoire, l'hémi-hyperesthésie et les
troubles
psychiques. Cette extension aura eu pour résultat
ce jour, on y trouverait probablement, associés peut-être à d'autres
troubles
moteurs, les éléments du syndrome abasie trépidan
tes, des desiderata, et qu'il montre bien que dans la séméiologie des
troubles
de la marche, il reste beaucoup à faire. 1. Sur
cause connue, progressivement, sans accompagnement de vertiges ou de
troubles
cérébraux quelconques. Il se produisit alors, dan
ur gauche n'a jamais présenté, dans l'exécution des mouvements, aucun
trouble
appréciable. Les choses sont restées telles que
deux côtés et la sensibilité y est indemne dans tous ses modes. Aucun
trouble
des fonctions vésicales. Le malade se tient deb
ou, pour le moins, comme un original fieffé. A n'envisager que les
troubles
de la marche considérés en eux-mêmes et indépenda
n symptôme d'ordre nerveux surajouté à l'abasie. Entre autres, pas de
troubles
permanents de la sensibilité, pas de rétrécisseme
ntre chez le sujet, en dehors de l'incoordination abasique, aucun des
troubles
de l'intelligence, de la sensibilité ou du mouvem
appris à rattacher à la lésion syringo-myélique un certain nombre de
troubles
fonctionnels ou organiques qui, lorsqu'ils se pré
querai seulement ce qui est utile à connaître pour l'intelligence des
troubles
fonctionnels qui seront énumérés tout à l'heure.
il est facile de reconnaître, par la lecture du cas, que l'étude des
troubles
de la sensibilité n'a pas été faite en connaissan
des cornes antérieures de substance grise ne sont pas accompagnées de
troubles
permanents de la sensibilité. Relativement aux
ous-cutanées et autres qu'on désigne assez communément sous le nom de
troubles
trophiques. Par tout ce qui précède, vous prévo
yéliques médians, groupe jusqu'ici fort problématique encore : divers
troubles
trophiques autres que ceux qui sont relatifs au s
symptômes leucomyéliques postérieurs : phénomènes tabétiques divers,
troubles
de la sensibilité tactile, etc. Nous allons voi
nne-Aran : ils ne valent, en somme, que par leur association avec des
troubles
sensitifs, vraiment particuliers cette fois, pour
é l'attention sur la combinaison de l'atrophie musculaire, « avec des
troubles
particuliers de la sensibilité dans les cas où l'
s membres où siège l'atrophie musculaire, l'existence concomitante de
troubles
très particuliers delà sensibilité. C'est à savoi
gnostic est fait: c'est d'un cas de syringomyélie qu'il s'agit. Ces
troubles
de la sensibilité, dont nous venons de mettre en
st point le plus commun, et l'on peut même dire que dans la règle les
troubles
de la sensibilité dont il s'agit, se montrent rép
être-relevées, à propos du mode de répartition et de distribution des
troubles
de la sensibilité syringomyéliques, rapprochent s
ais, jusqu'à ce jour du moins, on n'a vu, dans la syringo-myélie, les
troubles
sensitifs accompagnés de ces troubles sensoriels,
vu, dans la syringo-myélie, les troubles sensitifs accompagnés de ces
troubles
sensoriels, tels que rétrécissement du champ visu
s ou ligamenteuses, que l'on appelle vulgairement du nom générique de
troubles
trophiques, sans plus préciser,bien qu'en faisant
certaines parties des centres nerveux ou des nerfs périphériques. Ces
troubles
trophiques sont vulgaires dans l'histoire cliniqu
la doctrine unitaire (2). 2° Une troisième catégorie est celle des
troubles
trophiques articulaires et osseux. Il faut citer
yelic und Sooliose. 15 janvier 1889. les catégories précédentes des
troubles
vasomoteurs accompagnés ou non de sueurs partiell
s régions de la substance grise siègent les lésions d'où dérivent les
troubles
trophiques divers qui viennent d'être énumérés. D
ques, en ce sens qu'ils représentent en quelque sorte directement les
troubles
fonctionnels produits par la lésion gliomateuse d
a, etc. American Journal, of med. Science, May, 1888. 3. E. Putnam.
Troubles
fonctionnels des nerfs vasomoteurs dans l'évoluti
a téphro-myélite antérieure chronique (1). La présence de ces mêmes
troubles
si particuliers de la sensibilité dans un cas don
ue, contrairement à une opinion assez généralement répandue, quelques
troubles
de la sensibilité peuvent, comme le font remarque
ngourdissements, de fourmillements passagers.Jamais on n'y observe de
troubles
permanents de la sensibilité comparables à ceux q
mpagnée, en outre, de l'atrophie musculaire à marche lente, de divers
troubles
trophiques, tels que bulles, fractures spontanées
e critérium. D'ailleurs, on n'observe point dans la syringomyélie les
troubles
oculaires, pupillaires ou autres, propres aux tab
udie méthodiquement, comme l'a fait M. Debove à propos de ce cas, les
troubles
de la sensibilité qui jusque-là étaient restés da
jusque-là étaient restés dans l'ombre. Voici en quoi consistent ces
troubles
sensitifs ; je vous engage, pendant l'ex- Fig.
urs mois à se parfaire. Tels sont, dans toute leur originalité, les
troubles
sensitifs observés chez notre malade. On voit qu'
été remarquée dès l'âge de 17 ans, représentent ici la catégorie des
troubles
trophiques. Il est impossible de déterminer exa
déterminer exactement si les symptômes amyotrophiques ont précédé les
troubles
sensitifs ; ni si c'est l'inverse qui a eu lieu.
ire. Vous voyez (fig. 115) comment l'amyotrophie et les Fig. 115.
troubles
moteurs occupent exclusivement les deux membres s
yélie, on a procédé enfin à l'étude méthodique jusque-là négligée des
troubles
de la sensibilité. Voici ce que cette étude a fai
ésie se superposent à peu près exactement. Le mode de répartition des
troubles
sensitifs, dans ce cas, rappelle la dispo- Fig.
te » signalée dans quelques-unes des observations deM.Roth(l). Pas de
troubles
sensoriels. Les troubles trophiques, en dehors de
es-unes des observations deM.Roth(l). Pas de troubles sensoriels. Les
troubles
trophiques, en dehors des amyotrophies, sont repr
i plusieurs fois ont entraîné la chute des ongles. Il n'existe pas de
troubles
vési-caux. Les quelques détails qui vont suivre
ns intervention d'aucun artifice. Ainsi, cela est bien entendu, les
troubles
sensitifs particuliers qui distinguent la syringo
ue jamais, autant qu'on sache, on n'observe dans la syringomyélie les
troubles
sensoriels qui dans l'hystérie s'associent si fré
roubles sensoriels qui dans l'hystérie s'associent si fréquemment aux
troubles
sensitifs ; mais la règle pour celle-ci n'étant
ité par ce seul fait que l'on ne rencontrera pas dans l'hystérie, ces
troubles
trophiques musculaires ou autres qui sont unaccom
ou autres qui sont unaccom -pagnement pour ainsi dire nécessaire des
troubles
sensitifs, quand il s'agit de la syringomyélie. E
ns montré, M. Babinski et moi (1) en 18S6. Il y a, comme on sait, des
troubles
vasomoteurs, des œdèmes hystériques (2) et j'ai f
nt multiplier les exemples ; mais c'en est assez pour montrer que les
troubles
trophiques ne font pas défaut dans la névrose hys
morceau de glace) sont complètement abolies. Veuillez relever que ces
troubles
de la sensibilité sont uniformément répandus sur
es de MM. Remak et Rotb, figure à titre d'accident fréquent parmi les
troubles
trophiques syringomyeliques. N'en voila-t-il pas
ement, j'aurais cru à un miracle. » Toutefois,si la disparition des
troubles
moteurs a été littéralement soudaine, celle des t
parition des troubles moteurs a été littéralement soudaine, celle des
troubles
de la sensibilité, —ainsi que cela me parait être
t obnubilées dans les doigts de la main. Il est remarquable que les
troubles
, ci-dessus signalés, de la sensibilité qui autref
fession, sa santé resta parfaite. 11 n'éprouvait aucun malaise, aucun
trouble
nerveux notamment, lorsqu'il fut victime d'un acc
était pris d'un besoin de sommeil irrésistible. Il attribua tous ces
troubles
à la vie sédentaire qu'il menait depuis son accid
it devenu incessant; la jambe droite commençait aussi à trembler. Les
troubles
dyspeptiques, la céphalée constrictive, le point
ces crises devinrent un moment moins fréquentes. Depuis lors tous les
troubles
que présentait le malade lors de sa première atta
st complètement aboli sur toute la moitié droite de la langue. Pas de
troubles
oculaires. Zone hystérogène. — Lorsqu'on exerce
néral, de la tristesse, la mémoire amoin drie, voilà quels sont les
troubles
qu'il a tout d'abord accusés. En quoi cet état di
existent pas toujours nécessairement dans l'hystérie de la femme. Ces
troubles
ne sont donc pas caractéristiques de l'hystérie.
e livrer à leurs occupations habituelles ? Qu'ont donc de spécial les
troubles
psychiques des traumatisés ? En réalité, ils ress
, ainsi que M. Lancereaux et moi nous l'avons fait ressortir, que les
troubles
trophiques sont chose vulgaire dans les membres i
ie est une lésion inflammatoire des nerfs périphériques. De fait, les
troubles
vasomoteurs, l'œdème, l'empâtement, les lésions d
te de rire, grincer des dents, souffler, etc., on ne découvrait aucun
trouble
de la mobilité de telle ou telle partie du visage
hypnée hystérique....... 11 4°. Grand tic convulsi!" ; coprolalie ;
troubles
psychiques concomittants.............. 13 DEU
cas on fait ressortir l'importance pour le diagnostic de l'étude des
troubles
oculaires. . . 162 3° malade. — Chorée molle chez
énique, 136. (Voy. Neurasthénie , Hystero-Neurasthénie,) Cérébraux (
Troubles
) dans l'empoisonnement par l'oxyde de carbone, 37
103.— Suivant les âges, 109, 110.— Paralytique ou molle, 38, 171. — (
Troubles
de la parole dans la), 38, 104. Chorée chroniqu
ie et syringomyélie.— (Diagnostic), 489. — Sensibilité, 516, 517. —
Troubles
sensitifs, 497. —Troubles trophiques, 518, 519.
gnostic), 489. — Sensibilité, 516, 517. — Troubles sensitifs, 497. —
Troubles
trophiques, 518, 519. Hystérie et Tabès, 161, 2
ent des contractures, 282. — Transfert, 283.— Tremblement, 471, 472. —
Troubles
trophiques, 519. — (Unité de F), 36, 121. — Varié
. — (Ramollissement cérébral dans l'empoisonnement par 1'), 370. — (
Troubles
cérébraux dans l'empoisonnement par 1'), 370. — (
'), 370. — (Troubles cérébraux dans l'empoisonnement par 1'), 370. — (
Troubles
trophiques dans l'empoisonnement par 1'), 370.
es, 382, 539. — (Rêves dans la), 389. — (Sensibilité dans la), 386. —
Troubles
bulbaires, 391. —Troubles thermiques, 85. — Troub
s la), 389. — (Sensibilité dans la), 386. — Troubles bulbaires, 391. —
Troubles
thermiques, 85. — Troubles trophiques, 383, 384,
dans la), 386. — Troubles bulbaires, 391. —Troubles thermiques, 85. —
Troubles
trophiques, 383, 384, 386, 540. — Troubles vasomo
Troubles thermiques, 85. — Troubles trophiques, 383, 384, 386, 540. —
Troubles
vasomoteurs, 86. Paralysie amyotrophique, 76.
de réparation, 143. — Réactions électriques, 143. — Symptômes, 142. —
Troubles
trophiques, 143, 144, 409. Paralysie par fulgur
onvulsif, 464. — Paralysies, 281. — (Stigmates) dans le tic, 16. — (
Troubles
) chez le tiqueur, 13, 15 17; — dans la chorée g
25. (Station assise dans la), 23. — (Station debout dans la), 23. — (
Troubles
trophiques dans la), 24, 25. — (Zona dans la), 25
. — et hystérie. — (diagnostic), 489. — Sensibilité, 497, 517, 519. —
Troubles
trophiques,518, 519. Syringomyélie. — et maladi
496. — Terminaisons, 500. — Tber-moanesthésie, 495, 496, 507, 513. —
Troubles
sensitifs, 495, 506, 512. — Troubles sensitifs (d
nesthésie, 495, 496, 507, 513. — Troubles sensitifs, 495, 506, 512. —
Troubles
sensitifs (distribution),496. — Troubles trophiqu
sensitifs, 495, 506, 512. — Troubles sensitifs (distribution),496. —
Troubles
trophiques, 497. — Troubles vasomoteurs, 499. T
Troubles sensitifs (distribution),496. — Troubles trophiques, 497. —
Troubles
vasomoteurs, 499. T Tabaraud, 392. Tabes. —
oculaires et suspension, 201, 202, 211, 212. — Traitement du), 199. —
Troubles
de la miction, 278. — Vomissements, 156. — Vomi
on, 385, 535, 537, 540, 543. Tessier, 243. Testaz, 101. Thermiques (
Troubles
) dans la paralysie alcoolique), 85. Thermoanest
e, 421. Utérus et hystérie, 37. V Valleix, 24. ' Vasomoteurs (
Troubles
) dans la paralysie alcoolique, 86. Vertige de m
s, 289. Vertigo ab aure l.esa. Voy. Vertige de Ménière. Vésicaux(
Troubles
) du tabès, 157. Vibert, 287. Vigouroux, 58, 239
car il paraissait alors impossible de confondre la distribution des
troubles
sensitivo-moteurs créés par des lésions des racin
cines médullai- res ou des nerfs périphériques avec celle des mêmes
troubles
dus .à des lésions intra-médullaires; à ce poin
fréquente, au niveau xv 1 2 CESTAN ET DUE ! ' des membres, des
troubles
de sensibilité causés par les lésions médullaires
ux théories entraient en lutte, la théorie de la disposition de ces
troubles
en bandes transversales, perpendiculaires à l'axe
llaire d'origine d'un membre déterminera au niveau de ce membre des
troubles
de sensibilité périphériques à disposition transv
e des racines postérieures est la seule lésée, la dis- position des
troubles
de sensibilité sera uniquement longitudinale. On
à cette théorie le nom de théorie de la disposition segmentaire des
troubles
de la sensibilité d'origine médullaire, et encore
aire, et encore le nom de théorie de la disposition métamérique des
troubles
de la sensibilité, mais cette der- nière, croyo
étudié quelle disposition radiculaire ou segmentaire affectent les
troubles
de sensibilité des membres provoqués par les lési
n ce qui concerne la motilité, se poser dans les mêmes termes : Les
troubles
moteurs des membres, paralysie ou atrophie muscul
conséquence forcée, très différente aussi serait la disposition des
troubles
moteurs consécutifs à une lésion localisée de l
sations cérébrales : étudier avec soin et détail la disposition des
troubles
moteurs consécutifs à des lésions pri- mitives
voulons pas aborder ici en détail le problème de la topographie des
troubles
moteurs et ci fortiori des troubles sensitifs de
problème de la topographie des troubles moteurs et ci fortiori des
troubles
sensitifs de la syringomyé- lie. On pourrait ob
bjecter en effet que dans les observations où la distribu- tion des
troubles
moteurs revêt la forme radiculaire, on peut, en l
psie, supposer que si l'on constate une disposition radiculaire des
troubles
sensitivo-moteurs, cette disposition est créée no
rtains cas, malgré le défaut d'autopsie, on peut soute- nir que les
troubles
sensitivo-moteurs sont créés non par la pachyméni
é et des réactions électriques : dans les cas de pachyméningite les
troubles
moteurs et les altérations des réac- tions élec
c- tions électriques marchent davantage de pair que dans les cas de
troubles
moteurs relevant des lésions cellulaires des co
ans ces derniers cas, en effet, il est fréquent de ren- contrer des
troubles
moteurs déjà très prononcés, avec atrophies muscu
difications des réactions électriques corres- pondent davantage aux
troubles
moteurs et les manifestations de réaction de dé
hyméningitique. On a pu objecter que la disposition radiculaire des
troubles
de sensibilitédans la syringomyélie pouvait s'ex-
cette zone d'entrée. Mais cet argument ne sau- rait s'appliquer aux
troubles
de la motilité : la substance grise de la corne
vention à peu près certaine de pachyméningite, elles présentent des
troubles
sensitisset moteurs à disposition radiculaire t
spinale et signe des orteils en extension, il n'existe cependant ni
troubles
sphinctériens ni modifications de la sensibilité
ette paraplégie spasmodique exclusivement motrice s'asso- cient des
troubles
sensitifs et moteurs des membres supérieurs. Le
ière. T. XV, YI. I SYRINGOMYELIE AVEC TOPOGRAPHIE RADICULAIRE DES
TROUBLES
MOTEURS ET SENSITIFS (Cesfma et Huet). A. Pos
ypoexcitabilité faru- dique et galvanique surtout à gauche. A ces
troubles
parétiques et atrophiques s'ajoutent des secousse
ette disposition motrice visiblement radiculaire se superposent des
troubles
de sensibilité disposition radiculaire. ils consi
e est atteinte indiscutablement de syringomyélie ; or chez elle les
troubles
moteurs et les troubles sensitifs prédominent ave
blement de syringomyélie ; or chez elle les troubles moteurs et les
troubles
sensitifs prédominent avec une netteté remarqua
s du groupe radiculaire inférieur du membre thoracique droit. A ces
troubles
de motilité se superposent les troublés de la s
haud. TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 11 Les
troubles
sensitifs occupent la moitié interne de la main,
eure de cette hypoeslhésie thoracique se trouve vers l'ombilic; ces
troubles
sont disposés d'une façon symétrique à droite et
rès vraisemblablement atteinte de syringo- myélie ; cliez elle, les
troubles
sensitifs et les troubles moteurs sont nettement
inte de syringo- myélie ; cliez elle, les troubles sensitifs et les
troubles
moteurs sont nettement localisés au territoire
des paralysies définitives avec atrophie musculaire accompagnée de
troubles
des réactions électri- ques assez nets pour per
iculaire. Malgré ces faits épars, la question de la topographie des
troubles
para- lytiques n'est pas encore soulevée, les a
QUES (Ces/an et flrml). Paralysie infantile avec localisation des
troubles
moteurs dans le territoire radiculaire inférieu
ernières années surviennent les discussions sur la distribution des
troubles
sensitifs observés dans la sy- ringomyélie et q
a démarche est normale ; les membres inférieurs ne présentent aucun
trouble
dans leur force, leur musculature,leur sensibilit
ées chez notre petit malade auraient vraisemblablement entraîné des
troubles
oculo-pupillaires que nous n'avons pas rencontrés
de compte, quelle conclusion faut-il adopter sur la disposition des
troubles
moteurs périphériques causés par les lésions des
ion des troublés moteurs de cause médullaire différait de celle des
troubles
moteurs de cause radiculaire et on a introduit de
ie et po- liomyélite infantile, pouvaient déterminer en réalité des
troubles
moteurs, non à disposition segmentaire, mais à
la marche, la jambe droite étant particulièrement maladroite ; ces
troubles
se sont rapide- ment accentués, et, après un re
nt limités. Les réflexes sont abolis. Le malade ne présente aucun
trouble
de la sensibilité, il urine normalement, dort
Du côté de l'appareil visuel sont survenus depuis quelques mois des
troubles
qui ne paraissent pas être en relation avec l'a
opique prati- qué par M. le professeur Ifaltenholf n'a révélé aucun
trouble
paralytique des muscles moteurs du globe oculai
ni d'altération des milieux transparents ou de la rétine. Pas de
troubles
subjectifs de la sensibilité, aucune douleur sur
quin légèrement varus. Etude détaillée des membres et du tronc. Les
troubles
sont symétriques et d'une égale intensité des d
de la marche. La peau est normale, sans adipose sous-cutanée, sans
trouble
trophique. Elle laisse voir les reliefs muscula
s osseux et tendineux sont très faibles. La peau ne présente pas de
troubles
trophiques. La sensibilité est normale. Face. L
sculaire modifiant au prorata les réflexes, ne s'accompagnant ni de
troubles
de la sensibilité, ni de secousses fibrillaires,
de troubles de la sensibilité, ni de secousses fibrillaires, ni de
troubles
des réactions électriques, donnant à la palpati
ssaient et aussi la partie inférieure des cuisses. Par la suite ces
troubles
s'accentuèrent très lentement jusqu'à la phase
pas non plus d'une amyotrophie myéiopathique il type Aran-Duchenne (
troubles
de la sensibilité, distribution de l'amyotro- p
difications des réactions électri- ques ; 3° Fréquente existence de
troubles
de la sensibilité. Ce qu'il y a de plus caracté
ien absence à peu près complète de toute réaction électrique. Les
troubles
de la sensibilité sont manifestes, et ainsi que c
sont manifestes, et ainsi que cela s'est vu dans quelques cas, les
troubles
objectifs diminuent de l'extrémité à la racine,
MM. Char- cot et Marie ont donnée de ce phénomène : - « Tous ces
troubles
fonctionnels, sont bien évidemment dus à la dispa
eloppée, cependant nous rapportons des cas, où sans présenter des «
troubles
mentaux, proprement dits, les malades avaient une
rêt de dé- « veloppement aussi marqué. » C'est probablement à des
troubles
cérébraux, plus ou moins voisins de ceux-là, qu
tale, appartenant au groupe des maladies qui se manifestent par des
troubles
anatomiques et fonctionnels, exceptionnels et p
e symptomatologie tout il fait caractéristique. Elle com- prend des
troubles
paralytiques des fondions de la vessie et du rect
fonctionnait encore. Pas plus que la veille, D... ne présentait de
troubles
objectifs de la' sensi- bilité, dans l'étendue
iner pour la première fois D..., le 20 janvier ; indépendamment des
troubles
que je viens de mentionner,nous avons constaté
s orteils jaunâtres, épaissis mais néanmoins fragiles. En fait de
troubles
objectifs de la sensibilité, on constatait une an
s intestin. L'anus est relâché ; le réflexe anal est aboli ; z" Des
troubles
des fonctions génitales ; depuis son accident, 'l
plus eu ni érections, ni éjaculations, ni désirs vénériens ; 4° Des
troubles
trophiques, c'est-à-dire une sécheresse insolite
e musculaire diffuse des membres inférieurs, déjà signalée ; 5° Des
troubles
de la sensibilité : les uns, objectifs, consisten
te leçon. En fait d'éléments fondamentaux, elle comprend : a) Des
troubles
de la motilité ; ils consistent en une paralysie
est précisé- ment ce que nous observons chez notre malade. b) Des
troubles
des fonctions génito-urinaires et dit gros intest
s diverses manifestations, se rencontrent chez notre malade. c) Des
troubles
sensitifs, c'est-à-dire, des douleurs spontanées
s la symptomatologie des affections de la queue de cheval. d) Des
troubles
des réflexes tendineux; l'abolition du réflexe ac
oli. C'est ce que nous avons constaté chez notre malade. - e) Des
troubles
trophiques : ils consistent dans une atrophie, le
ore, la progressivité dans l'appa- rition et dans l'aggravation des
troubles
vésico-rectaux, les alternatives d'aggravation
modifications qualitatives des réactions électriques, l'absence de
troubles
trophiques cutanés. Au surplus, aucun des car
lu- mière la pluralité des facteurs étiologiques dans la genèse des
troubles
de la croissance; et, en montrant le rôle disti
XV). Le coeur est normal, le pouls régulier, un peu rapide. Pas de
troubles
diges- tifs ; L'appétit, au dire de la mère,
aler. Les anomalies et malformations précédentes n'ont pas amené de
troubles
fonc- tionnels sérieux. L'absence des muscles p
iculaire. L'absence congénitale des muscles pectoraux n'amène aucun
trouble
fonctionnel appréciable dans les mouvements du
t une série d'observations relatives à des ma- lades présentant des
troubles
de la motilité et du système nerveux (De- formi
ontractures dans les membres avec augmentation des réflexes et sans
troubles
du côté de la sensibilité ou des sphincters. Po
autopsies (porencépha- lies, atrophie des névromes centraux) et les
troubles
intellectuels, états de compréhension diminuée,
dystrophique dont l'intelligence ne ressente pas le contre-coup du
trouble
physique. La distinction en forme spinale et céré
ation des réflexes patel- laires. Pas d'atrophie musculaire, pas de
troubles
sensitifs ou vésicaux. Enfin, au bout de 3 ans,
les faisceaux médullaires : les membres inférieurs présen- tent des
troubles
de la motilité, de la sensibilité et de la motric
elques lignes de mon livre sur l'Orientation (1) l'ont jeté dans nn
trouble
profond. « Autant de points de contacts périphéri
l. Mais qu'une variation vive ou ex- trême se produise, et tous les
troubles
, surtout s'ils sont douloureux, sont ins- tanta
de vivacité quand tout est en ordre et en bon état. Mais le moindre
trouble
, le moindre malaise réveille cette vigilance et
ien-aise se réinstaller progressivement, envahir le domaine dont le
trouble
les avait chassés, s'y établir de nouveau, et n
pour un organe moins mobile et Verger, dans son bel ouvrage Sur les
troubles
de la sensibilité géné- rale consécutifs aux lé
vons-nous des sensat. spécifiques, etc. 1901, p. 261. - (4) Verger,
Troubles
de la sensibilité générale, consécutifs aux lésio
ouver une image, - quand je veux maîtriser un mouvement réflexe, un
trouble
moral ou orga- nique - ou quand je veux réalise
u. Ils appartiennent donc à l'exercice du sens des attitudes ; leur
trouble
, le vertige, est précisément la per- turbation
sychique serait évoquée par elle ' La pathologie réalise souvent ce
trouble
, cette dissociation corticale, soulevant la cro
ont des centres de repré- sentation d'attitudes. Munck attribue les
troubles
de la motricité volontaire, par lésion des régi
uvent avoir, au milieu des désordres pathologiques multi- ples, les
troubles
apportés par le mal, quel qu'il soit, à une fonct
re les symptômes de l'embarras gastrique fébrile : douleur de tète,
troubles
de la vue, bouche amère, courbature gé- néralis
sanble, se Diex m'amant. Qu'el me soit par pièce fendue Et si me
trouble
la véue Sovent si que je ne voit goûte ; Si a
l'a alté- rée que progressivement, il n'y a pas eu, ou très peu, de
troubles
du lan- gage. La seconde se rapporte à un très
, chez un homme de 53 ans, de céphalée, hémiparésie droite, léger s
troubles
de la parole, mais pas d'aphasie; marche rapide,
ce qu'il présente depuis quelque temps de la paralysie faciale, des
troubles
de la parole, des troubles des sphinc- ters et
elque temps de la paralysie faciale, des troubles de la parole, des
troubles
des sphinc- ters et un certain degré d'affaibli
xagérés. Sensibilité subjective. Le malade ne présente pas d'autres
troubles
que les douleurs des membres inférieurs signalé
excellente. Il n'y a ni paralysie de la musculature extrinsèque, ni
trouble
de la musculature intrinsèque de l'oeil (pas de
endant 2 ans. Retour apparent à l'étal de santé, puis céphalée avec
troubles
tro- phiques du cuir chevelu dans la région par
kilog., main gauche 9 ki- log.) ; également des deux côtés ; pas de
troubles
des membres inférieurs, mais lorsqu'on appuie s
rteil. , ? t Les réflexes tendineux sont normaux. Il n'y a pas de
troubles
de la sensibilité objective,, à part une zone d'h
yperes- thésie dans toute la région temporo-pariétale gauche. Les
troubles
de la sensibilité subjective consistent en crises
x sont faibles des deux côtés, mais égaux. Le malade prétend voir
trouble
. Dans la vision monoculaire, il dit voir nor- m
as de parésie motrice, les quatre membres remuent très bien, pas de
troubles
de la sensibilité. Si on le pique ou le pince,
qu'elle avait amené un amincis- sement de la voûte crânienne et des
troubles
trophiques au niveau du cuir chevelu, troubles
ûte crânienne et des troubles trophiques au niveau du cuir chevelu,
troubles
qui paraissent relever beaucoup plus de condition
s, celle-ci pouvant fort bien s'expliquer par la compression et les
troubles
trophiques de la région du cuir chevelu où se t
ormait et la situation qu'elle occupait, on eût pu s'attendre à des
troubles
plus que suffisants pour permettre de diagnosti
extrinsèque et épilepsie jaclcsonnienne. Aggrava- tion progressive.
Troubles
de la déglutition. Torpeur profonde. Coma et mo
ésente aucune manifestation morbide autre que de la céphalée et des
troubles
oculaires. La céphalée est aussi vive que les j
ons. Les jours suivants, il n'y a pas de crises, la céphalée et les
troubles
oculaires persistent ; on constate de plus de l
Au commencement du mois de septembre, le malade éprouve quelques
troubles
de la déglutition ; vers le milieu du mois, cette
La sensibilité objective est normale. j Le malade n'accuse aucun
trouble
de la sensibilité subjective, il n'y a pàs de c
sensibilité subjective, il n'y a pàs de céphalée. Il n'y a pas de
troubles
vaso-moteurs ni de troubles trophiques. Examen
'y a pàs de céphalée. Il n'y a pas de troubles vaso-moteurs ni de
troubles
trophiques. Examen de l'appareil oculaire. Il y
ebâillement de la fente palpé- brale. Le malade se plaint de voir
trouble
, mais s'il relève ses paupières avec les doigts
e, mais s'il relève ses paupières avec les doigts, il trouve que le
trouble
disparaît presque complètement, mais il lui sem
L'acuité audi- tive est normale. Appareil digestif. - A part les
troubles
de la déglutition, les fonctions di- gestives s
uis huit jours, le malade n'est pas allé à la selle. Il n'y a aucun
trouble
respiratoire ; les contractions du coeur sont trè
t très éner- giques, mais il n'y a pas de bruits anormaux. Pas de
troubles
urinaires, pas de fièvre, mais un certain degré d
is- sement. Pendant la durée du mois de novembre,apparaissent des
troubles
de la pho- xv 15 218 BALLET ET ARMAND DELILLE
lésion cérébrale sont apparus au bout de huit jours, sous forme de
troubles
de la vue et de la musculature oculaire. Les sy
e oculaire. Les symptômes de la période initiale, bientôt suivis de
troubles
de la déglutition, on fait songer pendant un ce
sans cesse qu'il se lève, qu'il aille et vienne dans sa chambre. Le
trouble
s'aggrave encore s'il est assis devant un établ
tômes décrits par M. IIaskowec : des secousses, de l'agitation, des
troubles
de la respiration, de l'angoisse qui surviennen
ui vont peut-être nous mettre sur la voie d'une interprétation. Les
troubles
que nous venons d'observer sont assurément exag
ais ils ne sont pas tout à fait absents dans d'autres attitudes. Le
trouble
se manifeste également dans la station debout :
tics de la bouche parce que son métier était de parler. Tous ces
troubles
, tics, crampes des écrivains, impulsion à la marc
gère inspira- tion soutenue chez le sujet droit, en A, provoque des
troubles
sensibles dans sa respiration, troubles à peine
t droit, en A, provoque des troubles sensibles dans sa respiration,
troubles
à peine visibles chez le sujet gauche. Les tracés
le domaine des fonctions circulatoire, respiratoire et motrice. Des
troubles
importants peuvent se produire dans chaque organi
absolument dépourvus de tous mouvements spontanés. Il n'y a pas de
troubles
trophiques de la peau, sauf un peu d'hyperlro-
u côté maternel. Un oncle de sa mère, berger de son état, avait des
troubles
de la marche depuis son enfance ; le malade le
ersécution et de grandeur s'était sys- tématisé sous l'influence de
troubles
sensoriels d'une activité très grande (hallucin
symptômes de déficit (surdité corticale, puis surdité verbale). Ces
troubles
duraient quelques jours,puis disparaissaient grad
s délires systématisés ordinaires. Les phénomènes de défi- cit, les
troubles
aphasiques se sont produits devant nous à quatre
gère d'ailleurs, suivie ensuite de surdité verbale pure. Ce dernier
trouble
ne dura que deux jours, puis l'audition verbale r
ÉRIEUX ET MIGNOT progressivement. Dans les deux derniers accès, les
troubles
de la sphère du langage réalisèrent le tableau
ymptômes régressèrent rapidement : d'abord la cécité verbale et les
troubles
paraphasiques et, en dernier lieu, la surdité v
verbale : Rares sont les observations de paralysie générale avec
troubles
de la sphère du langage pouvant servir à l'étud
d'hallucinations au cours de la paralysie générale : pour nous ces
troubles
reconnaissent des facteurs plus tangibles, à savo
terprétation n'est-elle pas unanimement acceptée quand il s'agit de
troubles
des centres sensi- tivo-moteurs ; chez notre ma
évi- demment dus à l'action tantôt irritative, tantôt inhibitrice (
troubles
vaso-moteurs ? ) d'une lésion du même centre.
générale, comprenant les faits caractérisés par la prédominance des
troubles
sensoriels et des trou- bles de la sphère du la
la morphine. En 1882, crises gastriques. En 1888, accentuation des
troubles
de la marche. En 1895, zona intercostal (6e esp
nation extrême aux membres inférieurs comme aux membres supérieurs.
Troubles
de la sensibilité : retard dans la transmission d
Robertson. Acuité visuelle diminuée. Diplopie à plusieurs reprises.
Troubles
sphinctériens intermittents. Elle succombe à un
III. Bliem..., âgé de 61 ans. Tabes ayant débuté à 41 ans par- des
troubles
sphinctériens transitoires. Quatre ans plus tar
a marche était devenue impossible. Dans les 8 dernières années, des
troubles
des réservoirs sont réapparus : inconti- nence,
es supérieurs. Abolition des réflexes tendineux aux quatre membres.
Troubles
très marqués de la sensibilité superficielle et
mberg. Abolition des réflexes patellaires et du tendon d'A- chille.
Troubles
très légers de la sensibilité aux membres inférie
férieurs. Aux membres supérieurs incoordination très légère, pas de
troubles
de la sensibilité. Conservation des réflexes te
ters intacts. Affai- blissement de la mémoire et de l'intelligence.
Troubles
de la parole. Examen anatomique. - Les ganglion
seraient survenus lentement et progressivement. - Etat actuel 1900.
Troubles
de la marche, la malade talonne et lance les ja
signe d'Argyll-Robertson. Pas de diminution de l'acuité vi- suelle.
Troubles
sphinctériens transitoires. Mort en 1001. Exame
3 ans. Tabes classique. Début de la maladie à l'âge de 37anspar des
troubles
de la marche : cependant à l'âge de 30 ans elle
uche d'origine périphérique qui a récidivé à 40 ans. Il y a 4. ans,
troubles
des sphincters : incontinence d'urine ; à la mê
jambes. Etat actuel (1896). Incoordination des membres inférieurs,
troubles
de la marche; abolition des réflexes tendineux
mière et à la convergence ; diminution de l'acuité visuelle. Légers
troubles
sphinctériens. Troubles gastriques avec douleurs.
e ; diminution de l'acuité visuelle. Légers troubles sphinctériens.
Troubles
gastriques avec douleurs. En 1900 la malade pré
a 8 ans par un mal perforant plantaire; il y a 5 ans apparition de
troubles
sphinctériens, et des troubles de la marche. De
lantaire; il y a 5 ans apparition de troubles sphinctériens, et des
troubles
de la marche. Depuis deux ans douleurs très vives
ans douleurs très vives dans les jambes survenant surtout la nuit,
troubles
oculaires, la malade se plaint d'avoir un broui
seuls symptômes jusqu'en 1897. A cette époque se manifestèrent des
troubles
sphinctériens, puis il y a six mois un affaiblis-
s devenant plus prononcée les yeux fermés. Sensibilité peu altérée.
Troubles
légers de la marche et de la station debout les
phie des petits muscles de la main. Sensibilité à peu près normale.
Troubles
sphinctériens. Myosis plus prononcé à droite; a
d'une façon cyclique et pré- sentant, comme phénomène capital, des
troubles
du système nerveux moteur ayant le caractère gé
sente pas d'ailleurs dans l'exécution des mouvements volontaires de
troubles
de l'équilibre ciné- tique (i). Echokinésie i
nes objectifs d'idées délirantes, ni d'hallucinations. Au physique,
troubles
vaso-moteurs des extrémités extrêmement accentués
4 SÉGLAS Dermostéréographisme très net. Il ne semble pas y avoir de
troubles
de la sensibilité cutanée, sauf un retard énorm
sencederelation avec des idées délirantes, des hallucinations, des
troubles
émotionnels. Que l'on interroge ces malades d
toujours indolores, mais sont cependant capables de déterminer des
troubles
de compression dans leur voisinage. Quant à l
En même temps existent et persistent pendant deux mois environ des
troubles
assez marqués de la parole, se manifestant surt
es de la main gauche, nous avons été amenés à étudier avec soin les
troubles
de la sensibilité. Il nous a été facile de cons
n que toujours très obtuse. De ce même côté on note encore d'autres
troubles
de la sensibilité objective : hémianesthésie de
droite. Du côté gauche encore, où se seraient produits en 1894 les
troubles
paraly- tiques, la force musculaire est notable
ont accompagnées de suppuration, présentant une main de Morvanetdes
troubles
de la sensibilité caractérisés par une hémianesth
auche. Une cause unique est-elle capable d'expliquer ces différents
troubles
, quelle est leur pathogénie, de quelle interpré
on phalangienne est bien anormale ; en la voyant s'ac- compagner de
troubles
de la sensibilité, en particulier d'une thermo-
e ; en d'autres termes, selon moi, cette affection serait liée à un
trouble
trophi- que consécutif à une lésion non encore
là, en effet, d'après Erle que se trouve le centre qui préside aux
troubles
trophiques du système osseux. n Toutefois, ma
nt à soulever l'hypothèse de la lèpre, en tenant surtout compte des
troubles
sensitifs et trophiques que présentait le malad
on plus jusqu'à pré- sent signalé les exostoses multiples parmi les
troubles
trophiques divers que détermine, dans l'organis
s un temps de marche. M. Marie a fait la même remarque au sujet des
troubles
de la marche dans l'hérédo-ataxie. (2) Sclérose
depuis quelque temps. Il se serait produit, il y a quatre mois,des
troubles
vaso-moteurs de la jambe gauche, que nous n'avo
paraplégie spasmo- dique. Au contraire, ce symptôme du début, ce
trouble
de l'écriture prenant le caractère d'un spasme
faite dans la maladie de Friedreich et l'hérédo- ataxie (2), où les
troubles
de la motricité des membres supérieurs peuvent
des mouvements complexes de l'écriture (3). Mais, dans ce cas, le
trouble
ne se produit pas sous la forme d'un spasme, ma
do-ataxie, nous trouvons : Le début dans la seconde enfance ; Les
troubles
de l'écriture, précédant, de longtemps, les autre
et illogique en apparence. Nous considérons le torticolis comme un
trouble
du tonus, pouvant être modifié par les lois qui
ambe, à gauche d'abord, et plus tard des deux côtés, entraînant des
troubles
de la marche. Nous assistons à la même évolutio
que du bras droit ; Les mouvements involontaires de la face ; Les
troubles
de la parole ; . Les contractions fibrillaires
la parole ; . Les contractions fibrillaires ; ... De très légers
troubles
de la sensibilité objective, et l'abolition de la
e 3 mètres, et garde le lit pendant 4 jours. En janvier 1900, les
troubles
de la marche reparaissent, cette fois dans les
es brisées. A main levée, l'écriture est à peu près impossible. Les
troubles
de l'écriture Sont moins marqués pour la maiu g
t le spasme de la joue apparaît. Il est facile de s'assurer que ces
troubles
de la marche sont plutôt le fait de l'asynergie
acte de souffler, faire la moue, mais, dans la parole, il existe un
trouble
des mouvements bien systéma- tisé. Dans la pron
pour femme, « hilant » pour vivant. Sensibilité. - Il n'y a pas de
troubles
subjectifs de la sensibilité. La sensibilité ob
u premier cas, sur l'analo- gie qui, d'après nous, existe entre les
troubles
de l'écriture et les mouve- ments de la tète ch
us grande facilité. » Les caractères sont encore les mêmes pour les
troubles
de la parole, dans les deux cas : lenteur, gêne
ficulté pour prononcer certaines lettres. L. K. V. I. (Soca). Les
troubles
de la vision, plus nombreux dans l'hérédo-ataxie,
ig. il ne se produit que dans l'ab- duction forcée du regard. Les
troubles
de la sensibilité se bornent chez noire malade à
utres phénomènes sont identiques : pied-bot, sco- liose, nystagmus,
troubles
de l'articulation, etc. ' - Cela est si vrai qu
te judicieuse remarque par laquelle VI. Brissaud (1) caractérise le
trouble
des mouvements dans la maladie de Friedreich et l
se, la préhension des objets, l'articulation des mots, etc.» , Ce
trouble
très spécial de la coordination des mouvements co
Leç., 1883-1894, p. 58. LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 407
troubles
de la coordination des mouvemenls complexes des j
ons déterminées (marche, écriture, parole). On peut concevoir les
troubles
les plus variés, suivant la profession et les o
niste, etc, etc. Ce qui domine encore dans les deux cas,ce sont des
troubles
de l'équili- bmtion ; désèquilihralion du tonus
r certains symptômes. Nous trouvons chez Vig. l'ataxie du bras, les
troubles
de la parole, le nystagmus, semblables on tous
é- ration anatomique bien déterminée. est-on autorisé à en faire un
trouble
psychique ? - On ne voit pas trop à quelles l
héorie mentale, dit M. Féré (1), qui tend à envahir l'étiologie des
troubles
nerveux dont on ne connaît pas la cause physique,
la force musculaire. Au repos et dans les mouvements simples, le
trouble
disparaît. Or, nous savons, depuis les travaux
empêchent de pousser plus loin la comparaison. Si nous admettons un
trouble
du tonus, nous serions mal venu à pré- tendre p
philes. Bien que Wollenherg et Redlich aient cru voir dans l'aspect
trouble
et sombre de certaines cellules un caractère LÉ
ées : la clinique laisse cependant soupçonner un tel contraste; les
troubles
de la sensibilité sont en effet habituellement be
traction), sur l'aspect de son protoplasma (va- cuolisation, aspect
trouble
et sombre, surcharge pigmentaire, ou de son noy
ie cellulaire. Ne peut-on en effet invoquer toujours l'existence de
troubles
dynamiques ou fonctionnels, inaccessihles à nos
e cellulaire du tabes et plus particulièrement celle qui invoque un
trouble
dynamique ou fonctionnel des cellules du ganglion
tauration des éléments, cette névrite donneplutôt l'impression d'un
trouble
dystrophique que d'une altération inflammatoire
térations vasculaires qui les accompagnent, et qui occasionnent des
troubles
circu- latoires et le ralentissement des échang
rajet du sciatique ; le signe de Lasègue faisait défaut. En fait de
troubles
objectifs de la sensibilité, on notait : De l'a
gauche. Les réflexes 'achilléens sont abolis des deux côtés. Les
troubles
objectifs de la sensibilité,que je vous signalais
depuis la fesse jusqu'au pied, de chaque côté (figures 1 et 2). Les
troubles
de la mixtion sont restés stationnaires ; voire q
r que le réflexe anal est aboli. A part cela, on ne constate pas de
troubles
des fonctions du gros intestin. - - - L'eschare
p plus intenses à gauche qu'à droite. ' - . Un peu plus tard, des
troubles
de la marche sont apparus. Leur aggra- vation p
points de pénétration des racines motrices. On conçoit donc que des
troubles
de l'innervation motrice de la vessie puissent
per, dans un cas de névrite radiculaire de la queue de cheval, sans
troubles
concomitants de l'innervation sensitive, ainsi
ervé, des deux côtés ; le réflexe achilléen est aboli. En fait de
troubles
subjectifs de la sensibilité, nous notons ce qui
ions névritiques. Le malade a eu, à titre purement transitoire, des
troubles
de l'urination et de la défécation. Or, la duré
es de l'urination et de la défécation. Or, la durée éphémère de ces
troubles
des fonctions de la vessie et du gros intestin
RAYMOND Il a, présentement, de l'anesthésie uréthro-vésicale, sans
troubles
con- comitants des fonctions motrices de la ves
'anesthésie de la portion la plus inférieure du gros intestin, sans
troubles
concomitants des fonctions more trices. Or, j
plantaire. La sensibilité objective est intacte partout. En fait de
troubles
de la sensibilité subjective, le malade éprouve
ération la nature exclusivement motrice des accidents, l'absence de
troubles
objectifs de la sensibilité. Ces caractères s'o
achilléen et du réflexe plantaire ; Le caractère rudimentaire des
troubles
vésicaux qui s'explique par l'unilatéralité de
te vive du côté gauche et il a été pris brusquement de vertiges, de
troubles
de motilitégraves, ainsi que d'une grande gêne
st nasillarde ; le réflexe du voile du palais est aboli. Il y a des
troubles
de sensibilité ; tout le côté droit du corps jusq
che interolivaire était plus atteinte que la région antérieure, les
troubles
sen- sitifs prédominaient aux membres inférieur
rce que le malade est mort très peu de temps après l'apparition des
troubles
cliniques. Or il existe des lésions déjà ancienne
ation de foyers de mortification dont dépendent exclusive- ment les
troubles
cliniques qui ont été observés, et c'est au mode
ient à la lésion de chacune des voies sensitives dans la genèse des
troubles
de sensibilité. Dans deux autres cas, sans cont
'on observe dans les lésions du sympathique cervical. Toutefois ces
troubles
paraissent être moins accentués que lorsque le
ter sur ce point que dans l'asynergie il n'existe pas le plus petit
trouble
de la notion de position ; le malade reconnaît
ynergiques. Aussi l'occlusion des yeux ne modifie-t-elle en rien ce
trouble
; que le malade ait les yeux fermés ou les yeux o
eau du corps dentelé, de telle sorte que l'on peut supposer que les
troubles
moteurs observés n'étaient pas de l'asynergie p
animal ; on doit donc s'attendre à ce que leur altération amène des
troubles
importants. Quels sont-ils ? Dans notre cas, le
vers la moelle est sec- lionné, semble jouer un grand rôle dans les
troubles
observés. Ses rela- tions intimes avec le nerf
onc devient t vertical. La force musculaire est conservée. Pas de
troubles
trophiques. Sensibilité intacte. Pas de trouble
conservée. Pas de troubles trophiques. Sensibilité intacte. Pas de
troubles
sphinctériens. Les réflexes rotuliens sont très
la chute et les mouvements toniques et cloniques. Il n'a d'autre
trouble
somatique appréciable qu'une légère atrophie de l
cyanose très apparente. Au dynamomètre, 10 il D. et 20 à G. Aucun
trouble
de la sensibilité. Les réflexes tendineux des d
publique. Il n'y a rien aux viscères, rien dans les urines. Pas de
troubles
trophiques. La voûte est légèrement en ogive av
ne des hôpitaux de Paris. Le gigantisme et l'infantilisme sont deux
troubles
de l'évolution assez disparates, pour qu'il sem
ilité objective, sous tous ses modes, est intacte ; il n'y a pas de
troubles
sensoriels. Mais, depuis l'apparition du genu val
ant. Déjà à l'époque où il l'observait, Papillault concluait que ce
trouble
systématique dans les proportions du corps deva
par nuit, et cela pen- dant deux années. Au boutde ce temps, des
troubles
commencèrent à se mani- fester : l'éjaculation
sions de l'hypophyse qui produisent chez l'adulte (acromégalie) des
troubles
des organes génitaux (suppression des règles, a
Cependant, tous les géants ne deviennent pas acromégaliques, et le
trouble
du développement, qui débute par le gigantisme po
roportions harmonieuses, une force au-dessus de la moyenne, et sans
troubles
sérieux de la santé. Mais ce sont là des except
ait présenté au moment de ses différentes entrées quel- ques légers
troubles
mentaux dus à l'alcoolisme, il en serait de lui
La .première fois que nous voyons Delannoy, à Mazas, il simule les
troubles
de la marche que l'on observe chez les individu
n sorte que si nous avions pu avoir quelque doute sur la nature des
troubles
locomoteurs observés chez lui, nous serions mai
sciemment, il ne saurait y avoir de doute à cet'égard. Quant aux-
troubles
des mouvements présentés par Delannoy pendant t
le compte COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 33 d'un
trouble
cérébral quelconque, car il ne présente en rien
our Delannoy d'avoir simulé devant nous l'ataxie locomotrice et des
troubles
intellectuels permet d'avoir au moins des doute
artie essentielle du tube nerveux, ne saurait devenir le siège d'un
trouble
important sans que la myéline s'altère à son to
me nerveux central puissent souvent ne donner lieu qu'à très peu de
troubles
fonctionnels. Mais en général ils tuent très ra
nes permanents on nota de la parésie, une hémianopsie droite et des
troubles
de la parole. La compréhension de la parole, le
ve des difficultés pour désigner les objets qu'on lui présente. Les
troubles
de l'écriture n'ont été REVUE DE PATHOLOGIE NER
ns, 1'ecw'l'iny utterance de Jackson. Ce malade présentait aussi le
trouble
que Freund a décrit sous le nom d'aphasie optiq
nantes. Il meurt à quarante-un ans de phtisie pulmonaire. Jamais de
troubles
vésicaux, ni rectaux; jamais d'ataxie. L'autopsie
ion du segment inférieur des ascendantes) ou accompagnée d'autres
troubles
. Le rire, dit l'auteur, surtout le rire franc,
ctrothérapie font en quatre semaines disparaître le sucre, mais les
troubles
nerveux persistent. Puis reparaît la glyco- sur
aire,y est précoce,et qui manque, dans le pseudo-tabes, ce sont les
troubles
vésicaux (Obs. 111). P. K. XXXIV. Contribution
z rarement nécessaire au bout d'un assez court espace de temps. Les
troubles
sensoriels persistent longtemps. Les affections
: 1° Les détenus aliénés cessent, aussitôt qu'ils présentent des
troubles
psychiques, d'appartenir aux établissements pénit
nations et craniectomies dans l'idiotie microcéphalique. Pour les
troubles
mentaux d'origine traumatique en revanche, les
ce qui concerne la cure des épilepsies jacksonniennes avec ou sans
troubles
mentaux consécutifs (la cure des troubles menta
cksonniennes avec ou sans troubles mentaux consécutifs (la cure des
troubles
mentaux eux-mêmes étant subordonnée au temps pl
interruption. Ce cas est remarquable par la tardive apparition des
troubles
mentaux, et l'absence de toute lésion pathologi
enses. Presque simultanément à la première attaque, appari- tion de
troubles
mentaux d'abord légers, et aboutissant à des hall
teint d'épilepsie jacksonnienne, de para- lysie du bras gauche avec
troubles
de la sensibilité, de céphalalgie et de névrite
et permettait de les localiser. La paralysie du bras gauche et les
troubles
sensoriels dont il était le siège, alors que la
voir dans ce fait un phénomène inverse. La malade éprouverait des
troubles
de la sensibilité générale déterminant des mouvem
I. Je désire vous montrer aujourd'hui un malade qui pré- sente des
troubles
hallucinatoires assez peu communs et dont la pa
ool et la cachexie, il ne devait pas tarder à présenter de nouveaux
troubles
cérébraux. Merc... est entré dans notre service
eau. Mais c'est surtout du côté de l'audition que nous trouvons des
troubles
prononcés, très prédominants du côté gauche. Le
très appréciable du goût et de l'odorat. Voilà donc un ensemble de
troubles
sensoriels, parmi les- quels il convient de dis
soit excité. Mais il peut l'être de bien des manières, soit par un
trouble
vaso-moteur, soit par l'irrigation de sang vici
nt à soigner une femme qui présentait un délire mélanco- lique avec
troubles
hallucinatoires de l'oreille droite, examina l'
s qu'on se demande comment elles auraient pu donner naissance à des
troubles
hallucinatoires, qui supposent, je le répète, u
time de les rattacher à la lésion centrale, t Lwoff. Études sur les
troubles
intellectuels liés aux lésions circons- crites
e erronée par la patiente en proie depuis longtemps déjà à d'autres
troubles
hallucinatoires. En résumé, la lésion de la rég
omme, la lésion cérébrale donne lieu dans les cas de ce genre à des
troubles
subjectifs de la sensibilité, à de fausses sens
produit que des fourmillements, des engourdissements, en un mot des
troubles
subjectifs de la sensibilité, c'est-à-dire la m
t hémianopsie droites, avec aphasie motrice et surdité verbale. Les
troubles
moteurs et sensitifs s'amendèrent dans les troi
eu à des phéno- mènes hallucinatoires. Dans les deux cas il y a des
troubles
sensitifs et des sensations subjectives, qui so
lisme prolongé que nous voyons se développer la prédisposition aux
troubles
hallucinatoires. Et à ce point de vue il est inté
réduisant au silence, obtenir un amendement et même la guérison des
troubles
vésaniques. Quelques mois après cette leçon Mèr
quel que soit l'interrupteur employé. M. Ettlinger, étudiant les
troubles
de l'excitabilité électrique dans les polynévri
ion musicale; mais ceci est plus rare. On conçoit tou- tefois qu'un
trouble
apporté dans des associations de ce genre puiss
sculaires périphériques seraient secondaires, et consécutives à des
troubles
de nutrition déterminés eux-mêmes par des altér
paralysie générale, dans lesquels les altérations cérébrales et les
troubles
mentaux n'avaient pas eu le temps d'atteindre u
ues; il en est de même pour l'atrophie des muscles et ponr divers
troubles
cutanés, sensoriels et trophiques, et la même int
et la même interpréta- tion pathogénique est encore applicable aux
troubles
de la parole - et de la déglutition. R. de 111U
'une façon monotone des phrases dé- pourvues de sens. En somme, les
troubles
du langage sont du mutisme, alternant avec de l
gération ou de la déclamation emphatique de paroles sans suite; les
troubles
moteurs sont de la catalepsie et l'exécution mo
automati- ques. La sensibilité générale paraît au moins obtuse. Les
troubles
trophiques et vaso-moteurs sont manifestes. Les
C. XIX. LES EFFETS DES maladies somatiques INTERCURRENTES SUR LES
troubles
mentaux ; par E. GOOD.1LL et Saint-John 13CLLEN.
motrices (circonvolutions centales). Il montre ensuite, comment les
troubles
fonctionnels, soit de ces divers centres, soit
t. XXVII, liv. 1.) On peut provoquer chez les alcooliques aigus des
troubles
senso- riels de divers genres en exerçant une p
(écholalie, coprolalie, tic, etc.) ; d) Etat d'arrêt psychique - e)
Troubles
somatiques ; f) Lucidité habituelle et angoisse.
seaux est favorable sur l'état mental. P. S. XXVII. Fréquence DES
TROUBLES
FONCTIONNELS DU pneumogastrique dans LES affect
umogastrique dans LES affections mentales ; par le Dr KELLOG. Les
troubles
fonctionnels du pneumogastrique se rencontrent
l'aura épilep- tique, l'hypocondrie; paralysie et spasme du larynx,
troubles
de l'innervation cardiaque; paralysie des fibre
e; paralysie des fibres de l'oesophage, dans la paralysie générale;
troubles
gastriques dans la mélancolie, la paralysie gén
XXVIII. POIDS du corps ET aliénation mentale; par le Dr MOUTON. Les
troubles
mentaux sont fréquemment accompagnés de troubles
le Dr MOUTON. Les troubles mentaux sont fréquemment accompagnés de
troubles
de la nutrition : aussi, dans la folie aiguë, l
a nécessité d'un examen physique complet des aliénées en raison des
troubles
, affection ou malformation des organes génito-u
liénées examinées par le Dr Barrus, trois seulement se plaignent de
troubles
des organes génitaux, alors que soixante en pré
par le Dr FÉRÉ. L'auteur rapporte une intéressante observation de
troubles
men- taux survenus chez un cheval et répondant
spasme intermittent des muscles du cou, associé ou subordonné à des
troubles
psychiques chez des sujets névropathes, en dehors
. (American Journal of insanity, oct. 1894.) E. B. XXXIV. SUR LES
troubles
mentaux dans la maladie DES TICS CONVUL- siFS;
moins intenses, et 20 fois des délires furieux. Il y a donc eu des
troubles
psychiques dans le quart des cas de fièvre typh
73 typhiques, a observé 43 cas p. 100 de délires ; Louis a noté des
troubles
de ce genre dans les trois quarts des cas. Vuil
as. Vuillemin (Thèse, Paris 1874) a étudié la date d'apparition des
troubles
psychiques dans la fièvre typhoïde ; Kraepelin a
2° la forme maniaque. Dans la première on note, avant le début des
troubles
psychiques, des maux de tête, une sensation de
, de rapport entre l'élévation de la température et l'intensité des
troubles
psychiques. Liebermeister et rr.ntzel ont même
ychiques. Liebermeister et rr.ntzel ont même noté la coïncidence de
troubles
cérébraux graves avec une température peu élevé
nt défaut. On ignore si les délires initiaux peuvent être suivis de
troubles
psychiques du- rables. Une chose certaine, c'es
une dimi- nution du liquide encéphalo-rachidien ne détermine pas de
troubles
accusés, tandis que l'augmentation de la quanti
r était partisan du rôle actif de l'hyperthermie dans la genèse des
troubles
délirants. Baumler fait intervenir, en outre de
rappelle les observations de Gerhardt, dans lesquelles on voit des
troubles
psychiques graves se produire au moment où la t
uerie du début, de l'existence d'une épidémie dans la localité, des
troubles
de la mémoire ; les accès épileptiques ou délir
rédité mentale très chargée : à un certain moment il a présenté des
troubles
hys- tériques très accusés et a toujours vagabo
lui de Cachexie sl1'umip1'ive. Reverdin attribua, sans hésiter, ces
troubles
à la sup- pression des fonctions du corps thyro
pagnées de vomissements avant ou après les règles. Etourdissements,
troubles
de la vue, « je vois double, comme du brouillar
es accidents observés chez cet enfant consistaient beaucoup plus en
troubles
moraux, qu'en troubles intellectuels. L'irrita-
hez cet enfant consistaient beaucoup plus en troubles moraux, qu'en
troubles
intellectuels. L'irrita- bilité croissante du c
itation par les voies nasales. Il n'y avait pas d'aphasie, mais les
troubles
musculaires ren- daient l'articulation de la pa
hez les imbéciles; il ne serait donc pas téméraire de rattacher les
troubles
intellectuels à la lésion cérébelleuse. Beaucou
'atrophie avec diminution de l'irritabilité faradique, avec ou sans
troubles
sensoriels objectifs, et en l'absence de tout sym
it ni antécédents névropathiques, ni syphi- lis, ni alcoolisme. Les
troubles
trophiques que présentait cette ma- lade différ
ions de fréquence ou de caractère du pouls et de la respiration, le
trouble
ou l'abolition de la fonction muscu- laire, et
rdinaire aucun changement. Les paralysies générales ou locales, les
troubles
de l'action musculaire peuvent être des symp- t
TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. quelque soit leur siège. Les
troubles
sensoriels tels que le délire ou l'irritabilité
oma et à la mort. La période primitive est très souvent suivie d'un
trouble
ou d'un atlaiblissement mental qui peut se term
désordres concomitants prend une véritable valeur diagnostique. Les
troubles
psychiques n'exis- tent que si les lobes fronta
'une manière si fréquente que, pratiquement, on peut considérer ces
troubles
comme des signes de l'existence d'une lacération.
tout sur la présence de certaines particularités de température, de
troubles
psychiques, du relâchement involontaire des sph
bilité des os et les altérations dentaires sont autant d'indices de
troubles
de la nutrition dus à la dégénérescence des art
nt elles sont primitives et précèdent de longtemps l'apparition des
troubles
mentaux. Il pense donc que l'état vacuolé et la
lésions pulmonaires paraissent moins actives dans la production des
troubles
mentaux. Parmi les causes les plus puissantes a
sources les plus ordinaires de ces réflexes épileptogènes sont les
troubles
de l'appareil de la vision, les affections de l
la parole embarrassée, l'écriture incertaine et maladroite. Pas de
troubles
psychiques, conscience intacte. Pour expliquer
te. Pour expliquer les défaillance, l'auteur admet l'hypothèse d'un
trouble
périodique des fonctions de l'écorce, de nature
vorables d'une intervention chirurgicale, puisque l'on sait que des
troubles
nerveux ou psychiques graves ont été guéris ou
s ne déterminent que des améliorations, ou laissent après elles des
troubles
fonctionnels plus ou moins pénibles, et cependant
n d'inter- venir. Seule l'ovariotomie ne devrait pas être suivie de
troubles
de ce genre. On oublie que cette opération déte
eut provoquer des psychoses, n'est pas de nature à guérir ces mêmes
troubles
. Mais on sait que toute opération chirurgicale, e
chements ultérieurs qui sont souvent chez ces femmes la cause de
troubles
du système nerveux. Certains auteurs ont attrib
ne présentent pas de signes d'altérations : il leur suffit que les
troubles
génitaux aient joué un rôle dans le développeme
e cas, des organes ne paraissant point altérés ont pu provoquer des
troubles
nerveux accusés, tandis que des lésions considé
nt restées silencieuses. - ~ Certains auteurs ont soutenu que les
troubles
de l'appareil génital n'étaient que la conséque
aque qui persiste pendant environ une année, viennent s'ajouter des
troubles
sensoriels. Les idées de ri- chesse et de persé
Les lésions eczémateuses ont produit une calvitie complète. Pas de
troubles
de la motricité, ni de la sensibilité cutanée.
petite avec écoulement sanguin peu abondant qui se traduit par les
troubles
décrits plus haut (syncope, vomissement, refroi
jamais présenté ni incoordination des mouvements, ni vertiges, ni
troubles
de la sensibilité générale. Mais, après avoir pré
ez les indi-, vidus porteurs de lésions cérébelleuses anciennes des
troubles
du caractère, et des idées mélancoliques avec d
t une déviation de la langue à droite : bientôt survinrent quelques
troubles
de la déglu- tition, de l'enrouement et de la t
nts qui peuvent'alors subsister sont d'origine spinale. - Quant aux
troubles
mentaux qui accompagnent, tôt ou tard, mais inva-
réflexe du genou et des autres réflexes; il montre l'importance des
troubles
oculaires dans la sclérose posté- rieure, et l'
x dans 10 cas, exagérés dans 12, diminués ou absents dans 12. Les
troubles
de la sensibilité générale n'ont été que trop rar
négatifs comprendraient les modifications des désirs sexuels, les
troubles
de l'intelligence et des sensations, et la variab
rtérile syphilitique des ramifications de la sylvienne gauche, avec
troubles
passagers de la circulation au niveau du bras,
langage. Ce cas était intéressant, car on pouvait hésiter entre des
troubles
fonctionnels de nature hystérique et des lésions
c, et qu'elle risque surtout d'être con- fondue avec les névroses à
troubles
fonctionnels, telles que la neu- rasthénie, l'h
t quelquefois chez les hystériques, et peut aussi constituer un pur
trouble
fonctionnel du système nerveux. L'auteur s'est at
toute misère intestinale. Mais le spasme rectal fut remplacé par un
trouble
d'ordre absolument différent, que l'auteur décr
nt, que l'auteur décrit, mais ne se charge pas de définir : dans le
trouble
nouveau, pour lequel le malade a consulté nombr
n qui progressait à mesure que le malade approchait de New-York. Ce
trouble
a été caractérisé au début par l'apparition bru
être incriminée. Toutefois il demeure convaincu qu'il s'agit là de
troubles
trophiques de la peau ayant la même origine név
débuterait par de l'ataxie de la marche. P. Iil : nnvaL. LVII. Des
troubles
DE la sensibilité ET DE LEURS localisations dans
trie und iYo'venk1'al1kheiten, t. XXVII, 1. 3, 1893.) ' Parmi les
troubles
de la sensibilité, l'hypesthésie du tronc appa-
et la notion de position qui diminuent tout d'abord. Au tronc, les
troubles
apparaissent d'abord dans la zone d'inner- vati
elle se double des crises choréiformes, athétoides, réflexes, avec
troubles
de la sensibilité, qui sont de l'amyotaxie, de l'
'atteinte du nerf jusqu'au point d'émergence de'la corde du tympan (
troubles
du goût); six mois après, récidive du même côté
int de paraplé- gie à tendance spasmodique avec thermo-analgésie et
troubles
des sphincters. Pendant plusieurs années l'affe
membres inférieurs. Les sphincters ont recouvré leur intégrité. Les
troubles
sensitifs ont disparu. Puis paralysie transitoi
sensitif pur de Brissaud : douleurs lancinantes, crises gastriques,
troubles
génito-urinaires, troubles de l'ouïe, in- sensi
douleurs lancinantes, crises gastriques, troubles génito-urinaires,
troubles
de l'ouïe, in- sensibilité à la pression du ner
a pression du nerf cubital, sensation de coton à la plante du pied,
troubles
de sensibilité douloureuse et thermique, signe
question, si le rachitisme n'a pas été une cause prédisposante aux
troubles
articulaires du tabes. (Revue Neurologique, sep
, tremblement inten- tionnel, nystagmus, décoloration des papilles,
troubles
de la parole, troubles vésicaux, etc. L'auteu
onnel, nystagmus, décoloration des papilles, troubles de la parole,
troubles
vésicaux, etc. L'auteur estime qu'il y a lieu d
es portions intéressées de l'écorce étaient bien le siège exact des
troubles
sensitifs observés. " F. B. LXVII. UN cas D'OPH
oureux. Anesthésie remontante jusqu'à la huitième vertèbre dorsale,
troubles
sphinctériens. Mort quatre mois après le début
int d'une paralysie spasmodique, de contractions douloureuses et de
troubles
sensitifs variés dans les membres inférieurs, c
ans un milieu identiques. Cette illusion très intense, complique et
trouble
toute l'existence du malade ; elle entraine secon
ritique le terme de fausse mémoire. Pour lui, il s'agit plutôt d'un
trouble
de perception, que d'un trouble de la mémoire.
re. Pour lui, il s'agit plutôt d'un trouble de perception, que d'un
trouble
de la mémoire. Il a observé des phénomènes anal
de vue bien différents : la clinique et la médecine légale. « Les
troubles
nerveux consécutifs aux traumatismes ne pré- se
e ressortir l'utilité pour le médecin de connaître exacte- ment ces
troubles
nerveux, si complexes, parfois si bizarres, susce
re fois par Brodie, décrits ensuite par Duchesne et par Robert, ces
troubles
nerveux ne furent sérieuse- ment étudiés qu'en
oppement de ces névroses, et celle de Charcot, qui ne voit dans les
troubles
nerveux consécutifs aux traumatismes que des form
mporte cependant de faire une dis- tinction : dans la catégorie des
troubles
nerveux graves, où Jes symptômes fonctionnels s
rveux graves, où Jes symptômes fonctionnels semblent se mêler à des
troubles
orga- niques, il faut noter cette circonstance,
ance, démontrée par l'observa- tion, c'est que presque toujours ces
troubles
graves sont consécutifs à une secousse considér
névroses traumatiques est très complexe; elle comporte une foule de
troubles
nerveux, tantôt simples et locaux, tantôt compl
de la première catégoriê, les .phénomènes caractéristiques sont des
troubles
intellectuels, sensitifs, moteurs et généraux,
fréquemment des caractères : névrite optique, atrophie papillaire,
troubles
de la vessie, inexcitabilité de la pupille à la
importance et est quelquefois insignifiant, où le plus souvent les
troubles
nerveux ont été précédés chez les ma- lades d'u
tre et d'apprécier la nature, la forme, la marche et la gravité des
troubles
si complexes et si variés, dont le traumatisme
es deux côtés. Dans la cavité crânienne, la pie-mère est légèrement
trouble
avec léger oedème des espaces sous-arachnoï- di
alentissement de la circula- tion capillaire, d'où anémie locale et
troubles
inévitables de nutrition des parois vasculaires
me suit la disparition de la paraly- sie ou de la contracture ; les
troubles
que cette paralysie ou cette contracture a prov
re périvasculaire. Les nerfs sont soumis aux mêmes conditions des
troubles
de la nutrition, de là ces lésions de névrite a
ne névrite à peine pro- noncée ne peut dans aucun cas expliquer les
troubles
paraly- tiques de tout le membre ; d'autre part
omme la phase tout à fait initiale de ce processus provoqué par les
troubles
trophiques des parois, troubles consécutifs à l
le de ce processus provoqué par les troubles trophiques des parois,
troubles
consécutifs à la stase. Etant donnée l'absence
sidéré comme favorable. Ainsidans mon cas, quoiqu'il n'y ait pas de
troubles
trophiques nets, les hémorragies dans le tissu
-- Grossissement de 350. RECUEIL DE FAITS. GUÉRISON APPARENTE DES
TROUBLES
PSYCHIQUES CHEZ DEUX MANIAQUES ATTEINTES, L'UNE
aliénés est depuis longtemps reconnue et, si GUÉRISON APPARENTE DES
TROUBLES
PSYCHIQUES. 331 les aliénistes d'aujourd'hui n'
ssez souvent devoir une amélioration plus ou moins considérable des
troubles
psychiques se produire, sans autre cause appréc
du fait de la maladie intercurrente d'une véritable suppression des
troubles
psychiques qui s'est maintenue pendant environ
e longue durée. Au cours de cette affection, disparition subite des
troubles
psychiques. Guérison apparente pendant trois se
lement absolu. Insomnie. Mélange chaotique d'idées délirantes et de
troubles
sensoriels. Pas d'hyperthermie. Hérédité névrop
ses médicaments spontanément, s'entretient ! GUÉRISON APPARENTE DES
TROUBLES
PSYCHIQUES. 333 convenablement avec nous : syll
dès le début, et sont même antérieures à l'apparition des premiers
troubles
mentaux. , Le délire des persécuteurs raisonnan
R. M.-C. XXXV. QUELQUES indications relatives ALLA prophylaxie DES
TROUBLES
mentaux; par Curven. (The jou1'1ll[l of mental
tique et curatif, s'efforce de découvrir les premiers symptômes de
trouble
dans les fonctions les plus obscures et les plus
e mais plutôt la cause d'une auto-intoxication qui entraînerait les
troubles
mentaux secondaires. (British médical journal,
autre aliéné. P. K. LIV. Paralysie hystérique avec contracture ET
troubles
mentaux ; par le Dr II. Bonnet. Il s'agit d'u
timètre cube et demi chacune de sérum. Au bout de trois mois, les
troubles
de la motilité et de la sensibi- lité avaient d
le sont survenus, consé- cutivement à une infection puerpérale, des
troubles
hystériques caractérisés par des phases diverse
parait son terrain, manifestant seulement son sourd travail par les
troubles
cérébraux et nerveux. (Annales médi';o-psyclwlo
adhérente et amincie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 363 dorsale,
troubles
sphinctériens. Mort quatre mois après le début
int d'une paralysie spasmodique, de contractions douloureuses et de
troubles
sensitifs variés dans les membres inférieurs, c
pas la marche intermittente 4° il persiste pendant que cessent le
trouble
respiratoire et les convulsions des muscles de la
d'autres signes de l'hystérie (Higier, Remak). Pathogénie. Tous les
troubles
de la parole hystériques, surve- nant à la suit
ussi, avec une période intermittente de bégaiement. A cet égard les
troubles
de la parole hystériques ressemblent aux troubl
. A cet égard les troubles de la parole hystériques ressemblent aux
troubles
moteurs poslhémi- plégiques. Ceux-ci tiennent à
quand la restitution du courant nerveux a lieu. C'est une sorte de
trouble
comparable aux troubles moteurs posthémi- plégi
u courant nerveux a lieu. C'est une sorte de trouble comparable aux
troubles
moteurs posthémi- plégiques c'est-à-dire une al
-dire une alternance entre, la période de paralysie complète et les
troubles
moteurs variés, alternance produite par exemple
des crises, dans le centre de la surface où se manifes- taient les
troubles
sensitifs, étaient ressentis parfois de véritable
e les symptômes marquants furent les vertiges avec vomissements des
troubles
visuels et vaso-sécré- toires, puis le coma fin
vocale gauche, volume plus grand de la moitié gauche de la langue,
troubles
de sensibilité dans le domaine delà première et
delà première et de la deuxième branche du trijumeau gauche. Les
troubles
du sens thermique et la sensibilité à la douleur
taient moins. Absence des réflexes cornéen et conjonctival gauches,
troubles
de la sensibilité à la douleur et du sens therm
roite du patient. L'accès passe, tout est rentré dans l'ordre. Le
trouble
fonctionnel trophique ou circulatoire des centres
centres visuels cortico-occipitaux qui d'ordinaire, en pareil cas,
trouble
la perception centrale des stimulus rétiniens (
iat., XXVI, 3.) Parésie faciale gauche; vertiges ; vomissements ;
troubles
de la déglutition, paralysie du mouvement du pl
calotte comme tractus moteur. Ce sera à examiner. P. K. LII. D'un
TROUBLE
VASO-MOTEUR HÊMILATËRAL d'origine cérébrale; pa
lieu du noyau caudé. 11. Kaiser attribue à cette dernière lésion le
trouble
vaso-moteur, et, au noyau caudé la fonction vas
t, au noyau caudé la fonction vaso-motrice croisée. P. K. LUI. LE
TROUBLE
DE la sensibilité de BERNHARDT au niveau DE la
me. P. K. LIV. SUR un complexus symptomatique caractérisé par des
troubles
DE la COORDINATION, CONGENITAUX ou acquis; par
pathologiques. Ces formes intermédiaires sont caractérisées par des
troubles
de coordination dans les mouvements des muscles
aux ou exagérés; il peut survenir de la rigidité musculaire; pas de
troubles
de la sensibilité ni de troubles sphinc- térien
de la rigidité musculaire; pas de troubles de la sensibilité ni de
troubles
sphinc- tériens. Ce complexus symptomatique a
bsence des réflexes tendineux; paralysie de la vessie et du rectum;
troubles
vasomoteurs; troubles psy- chiques (hallucinati
ndineux; paralysie de la vessie et du rectum; troubles vasomoteurs;
troubles
psy- chiques (hallucinations terrifiantes, culp
é des centres nerveux. Ces malades peuvent, en effet, présenter des
troubles
trophiques graves, portes d'entiée d'infections
rapports au point de vue anatomique, physiologique et clinique. Les
troubles
ampullaires sont intéressants à connaître, car
ître, car ils peuvent plêler leur symptomatologie à toute espèce de
troubles
oculo-moteurs, et qu'en présence de ces dernier
ations oculo-mo- trices, comme aux fonctions d'équilibration. Les
troubles
oculo-moteurs sont fréquemment symptomatiques d
eaux cliniques les plus complexes. Il faut donc, en présence de ces
troubles
oculo- moteurs, songer à l'appareil ampullaire
. Il 396 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 2° Des
troubles
de la circulation cérébrale liés à des altération
NDO j par W. 'I'URNER. (train, été et automne 1895.) Cette lésion
trouble
la sensibilité dans le domaine du trijumeau d'u
ien ayant conservé un petit fragment de sa glande n'a éprouvé aucun
trouble
quoique n'ayant reçu aucune injection. Ces inje
une injection. Ces injections, même à haute dose, n'ont amené aucun
trouble
chez des chiens intacts, tandis que leur effet
neux et de la réaction dans les mouvements de conver- gence. Pas de
troubles
de la parole. Réflexes rotuliens conservés. Syp
tement : aucun indice d'atrophie. L'aisselle droite est le siège de
troubles
trophiques cutanés. La peau est brunâtre, épais
ni le froid, ni la douleur [dissociation de la sensibilité). Pas de
troubles
de la sensibilité sur le tronc et les membres i
(urti- caire artificielle) réunies par une bande érythémateuse. Ces
troubles
vaso-moteurs sont plus accusés à gauche qu'à dr
de nous parait appartenir à la maladie de Morvan. Tout d'abord, les
troubles
de la sensibilité sont ana- logues à ceux qu'a
oid, à la chaleur est abolie. Nous devons faire remarquer que les
troubles
de la sensibilité semblent quelquefois varier. C'
sensibilité peut parfaitement exister. » (Loc. cit., p. 194.) Les
troubles
trophiques sont aussi très nets. Le malade a eu
nts histologiques de l'écorce ; chez les autres aliénés elle est un
trouble
fonctionnel. P. K. LXXXV. Contribution .1 la QU
nt un temps indéterminé. Elle est probablement en rapport avec un
trouble
vaso-moteur dépendant de l'excitation du symphati
: soit que l'on attribue la toxicité spéciale du suc gastrique à un
trouble
primitif de l'estomac, ou quel'on admette que l
mâchoire inférieure, du nez, de la langue et des clavicules. Pas de
troubles
oculaires. Urine normale. La malade est soumise
est légè- rement moins développée que l'autre. A part cela, pas de
troubles
trophiques. M. Bruns présente ensuite un sarc
oculaires d'apparence nucléaire, du tremble- ment intentionnel, des
troubles
de la parole et des pupilles. La tête s'était c
à gauche on sent la masse cérébrale s'appliquer sur la paroi. Comme
troubles
qui ont per- sisté malgré l'opération on note d
rémulantes ; puis vient la dystasie à type cérébelleux, ensuite ces
troubles
de la marche qui ne se produisent qu'au début de
i est de la nature de l'hystérie, Bruns considère celle-ci comme un
trouble
psychique dans la plus large acception du mot.
ion de Moebius qui admet qu'on ne rencontre dans l'hystérie que des
troubles
fonctionnels qui pourraient être pro- duits vol
érique que dans des cas de contracture, ce qui fait supposer que ce
trouble
est d'origine mécanique. Quant aux troubles tro
qui fait supposer que ce trouble est d'origine mécanique. Quant aux
troubles
trophiques de la peau, il faut penser aux auto-
utre que celles-ci sont déterminées par des représenta- tions : ces
troubles
intéressent en effet des membres entiers ou des
lus attentif est parfois insuffisant. Bruns a lui-même pris pour un
trouble
hystérique un cas de cysti- cerque du quatrième
enfant le temps d'être malade ; il faut attaquer vigoureusement les
troubles
fonctionnels ; souvent la simple affirmation suff
es sujets entrés dans ces vingt dernières années à l'asile pour des
troubles
psychi- ques provoqués par l'alcool, est de 15
équestrés d'office dans des asiles de buveurs, même en l'absence de
troubles
psychiques. L'organisation de ces établis- seme
itement pasteurien pour une morsure de chien enragé, fut atteint de
troubles
rabiformes d'ori- gine netlement hystérique : C
té) existe dans la maladie de Morvan, mais y est plus fugace. Comme
troubles
trophiques, l'atrophie mus- culaire prime dans
les ataxiques. L'auteur étudie un phénomène rare dans l'ataxie, un
trouble
tout spécial qu'il propose d'appeler ataxie sta
téressant de connaître le siège exact de la lésion qui entraîne ces
troubles
. , Du vertige des alaxiques. Sous ce titre M. G
lard. J. Noir. XIII. Considérations générales sur la pathogénie des
troubles
psychi- ques. Examen critique d'une hypothèse (
mé- decins aliénistes de France, par Régis, 313. Coordination.
Troubles
de la - congénitaux et acquis, par Nonne 389.
'en- fance, par Muratow, 369. Effets des - intercurrentes sur les
troubles
mentaux, par Goodall et Bullen, 140. - mental
rogressive, par Schuter, 354. - hystérique avec contrac- tures et
troubles
mentaux, par Bonnet, 35ï ? bulbaireumlatérale
E ERB. Paralysie complète du -, par Weber, 474. Pneumogastrique .
Troubles
fonc- tionnels du dans les affections mentale
ure de la -, par Jolly, 380. Psychiques. Guérison apparente des
troubles
chez deux maniaques, par Charon, 330. Pathogéni
s troubles chez deux maniaques, par Charon, 330. Pathogénie des
troubles
-, par Santenoise, 495. Psychologie morbide com
p visuel dans le - scintillement, par Berger, 385. Sensibilité.
Troubles
de la de Bernhardl à la cuisse, pat Freud, 38
56. ou diabète TABLE DES MATIÈRES. 505 sucré, par Grube, 58. Des
troubles
de la sensibilité et de leur locali- sation d
on emploi en médecine interne, par Metzler, ri3. Tics convllsifs.
Troubles
mentaux dans la maladie des -, par Ke- moncha
Vagin. Corps étrangers du -, par Bussel Strapp, 139. Vaso-moieur.
Trouble
- unilatéral d'origine cérébrale, par Kaiser,38
n-Séquard revient ce double mérite : D'avoir précisé l'ensemble des
troubles
sensitivo-moteurs qui se déve- loppent à la sui
n de continuité d'une moitié de la moelle, donnent lieu à ces mêmes
troubles
sensitivo-moteurs (1). Dès 1846, Brown-Séquard
re locale, dont la valeur peut dépasser 1°. e) Enfin on observe des
troubles
viscéraux qui varient éI' cc le siège, avec le
d l'hémisection intéresse la moelle cervicale, on peut observer des
troubles
respiratoires d'ordre paralytique, la dilatation
rigidité complète; il n'avait que très rarement des érections. De
troubles
trophiques, il ne paraissait pas' en exister; en
Dès main- HEMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE. ( Répartition des
troubles
moteurs et sensitifs {Syndrome de Brown-Sequard).
temps en temps des crises convulsives localisées dans ce côté, des
troubles
oculaires surtout marqués du côté gauche (pupille
cord, February, I, 1896. DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE 75 des
troubles
variés de la tension intra-crânienne; ce sont des
les signes irrécusables de la compression,qui s'an- noncent par des
troubles
visuels, et que l'ophtalmoscope révèle fatalement
teurs ». DE LA MAIN « SUCCULENTE » PAR G. MARINESCO I Les
troubles
trophiques de la syringomyélie sont si variables
rs avec l'acromégalie. Mais ce n'est pas tout, il existe encore des
troubles
trophiques vaso-moteurs qui, pour être plus rares
ce travail de montrer qu'il existe au cours de la syringomyélie des
troubles
trophiques vaso-moteurs particuliers qui, assoc
re, M. Marie, celui de main succulente. Ce n'est pas à dire que les
troubles
vaso-moteurs dont j'aurai à parler n'aient pas
ription com- plète et lâcher de la dégager des types voisins. Les
troubles
vaso-moteurs dans la syringomyélie ont été signal
élie avec autopsie. Leur cas est intéressant en ceci, c'est que les
troubles
vaso-moteurs pouvaient être provoqués à volonté.
les Archives de neurologie, il est question à plusieurs reprises de
troubles
vaso-moteurs. Aussi dans l'observation II de ce
Dans les observations IX et X du même au- teur on trouve notés des
troubles
vaso-moteurs consistant en une cyanose légère d
t t tuméfié, cyanosé et donnait une sensation de froid intense. Ces
troubles
de la circulation persistent, en partie même ap
ail sur la syringomyélie a noté à plusieurs reprises la présence de
troubles
vaso-moteurs, mais je n'ai trouvé dans son arti
s, mais je n'ai trouvé dans son article qu'une seule observation de
troubles
trophiques cutanés, qui pouvaient être comparab
esque tous les documents que j'ai pu recueillir au point de vue des
troubles
trophiques cutanés et vaso-moteurs dans la syring
elle ont débuté d'une façon insidieuse. Il paraît cependant que les
troubles
de motilité ont débuté presque en même temps qu
e les troubles de motilité ont débuté presque en même temps que les
troubles
de sensibilité. Déjà en 1848 il avait éprouvé de
auesthésie est indiquée sur le schéma suivant (Fig. 1 et 2). Pas de
troubles
sensoriels d'aucune sorte. La vue, l'ouïe et le g
, les réflexes-rotuliens sont' très exagérés. Il ne présente pas de
troubles
de miction ni d'albumine dans l'urine, ni de br
ller, se boutonner, etc. Presqu'à la même époque, il a constaté des
troubles
caractéristiques de sensibilité. Il s'était brûlé
sans qu'il éprouvât la moindre douleur. En 1889, il a remarqué des
troubles
de la marche plus ou moins intermittents. Il lu
maire. Ces mensurations s'appliquent aux mains des deux côtés Les
troubles
delà sensibilité, chez Gass., sont ceux qu'on con
ie ; en effet au niveau de la face interne du bras, il n'y a pas de
troubles
de sensibilité, la topographie de cette bande nor
de marche sans difficulté, pas de signe de Romberg. Il n'y a pas de
troubles
sensoriels. L'acuité visuelle est intacte et le c
l'observation III. ou dans les bruits du coeur. Il n'existe pas de
troubles
qui feraient penser a une affection anale ; pas
. Une particularité sur laquelle je tiens à insister, c'est que ces
troubles
vaso-moteurs et surtout les petites taches rouges
tendue, lisse et luisante, comme collée sur les os. Il n'y a pas de
troubles
sensoriels. Les pupilles réagissent bien à la lum
matité précordiale, ou dans les bruits du coeur. Il n'existe pas de
troubles
qui feraient penser une affection rénale; pas d
erai que c'est une main froide et tou- jours sèche. Il n'y a pas de
troubles
des glandes sudoripares. Il s'agit en somme d'u
mannel Joseph 0'CarroI,iVIassius,etc., on emploie pour désigner les
troubles
trophiques cutanés dont nous avons parlé, le term
onner lieu il une confusion. Et tout d'abord, comme pour tout autre
trouble
nerveux, il faut se délier de l'hystérie, la gran
ulente. Les facteurs étio- logiques qui favorisent l'apparition des
troubles
trophiques de la main succulente nous sont peu
fection, contribuent dans une certaine mesure à l'apparition de ces
troubles
. Ainsi les 3 premiers malades présentant la mai
nie. - Il est difficile de se faire une idée exacte du mécanisme de
troubles
trophiques cutanés et vaso-moteurs dans la syring
a substance grise postérieure qu'il faut chercher l'explication des
troubles
moteurs de la syringomyélie. L'histologie fine
eurs pour la nulrition des téguments et du tissu des os. Les divers
troubles
trophiques de la main dans la syringomyélie, co
ssus et d'autres facteurs que nous ne connaissons pas. Ces divers
troubles
trophiques seraient de nature à prouver que pour
pport avec un segment moteur et vaso-moteur. Chez nos malades les
troubles
vaso-moteurs sont localisés principale- ment à
is, je pense, de conclure de cette discussion sur la pathogénie des
troubles
trophiques et vaso-moteurs qu'on rencontre dans
paralysie. Si on veut bien tenir compte du caractère rythmique des
troubles
vaso-moteurs chez Corr..., qui se traduit par l
a présence de taches rouges et la dilatation cyanotique des veines,
troubles
qui apparaissent et disparaissent, on est obligé
it que la perte de calorique que subissent les malades il cause des
troubles
vaso- moteurs, produisent une sensation de froi
d'une idée fixe consciente ou subconsciente dans la persistance des
troubles
morbides. Il nous a été donné d'observer récemm
hyperesthésie extrême, accompagnée de conslriction thoracique et de
troubles
respiratoires.. Le malade ne peut y supporter le
vif, très expressif en paroles et en gestes. Il ne présente aucun
trouble
moteur, ni trophique, ni vaso-moteur. Ses réfle
mination osseuse (exemple de tabes), dans lesquelles on observe des
troubles
trophiques du côté des os ». Depuis, M. Pic (1) d
moelle épinière et l'ostéite déformante de Paget. Nous croyons que
troubles
médullaires et osseux coïncident chez un même suj
ns vasculaires et os- seuses ne sont pas sous la dépendance du même
trouble
dystrophique, d'o- rigine inconnue. Les lésions
utre part les réflexes sont normaux, il n'existe ni contracture, ni
troubles
de la sensibilité. Ce fait né- gatif peut s'int
lièrement les douleurs fulgurantes, l'incoordination mo- trice, les
troubles
génito-urinaires, sans qu'il y ait de changements
troubles génito-urinaires, sans qu'il y ait de changements dans les
troubles
oculaires et le signe de Westphall, 30 à 35 resse
ont des douleurs, de l'anesthésie, de la faiblesse musculaire, des
troubles
vésicaux. Vorotensky (2) arrive de son côté à d
urantes dans les mem- bres, crises viscérales, anesthésies variées,
troubles
génitaux et vésicaux ; si l'on n'intervient pas
nsemble des phénomènes dou- loureux : crises à caractère fulgurant,
troubles
de la sensibilité. En second lieu, nos malades
malades ont retiré un grand bénéfice de la méthode par rapport aux
troubles
urinaires, la rétention en particulier : l'incont
d'un attentat, comme chez l'animal utilisé pour une expérience, les
troubles
sensitivo-moteurs, consécutifs à une hémisectio
émisection siège à certains niveaux, des manifestations surajoutées
troubles
des fonctions vésico-rectales, mydriase, dilata
tions vésico-rectales, mydriase, dilatation de la fente palpébrale,
troubles
locaux de la sudori- fication et de la calorifi
SUR UN CAS D'HÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 167 moelle où les
troubles
sensitivo-moteurs, en rapport avec la lésion spin
e, et de l'exagération des ré- flexes rotuliens des deux côtés. Les
troubles
de la sensibilité, hyperesthésie à droite, anes
e; l'abolition du mouvement subsistait encore en grande partie. Les
troubles
de la sensibi- lité remontaient jusque vers le
senté de l'hyperesthésie et gauche et de l'anesthésie à droite. Les
troubles
de la sensibilité remontaient presque. La par
faits qui nous fe- ront assister à l'envahissement du tronc par les
troubles
sensitivo-moteurs à disposition croisée, sans p
on croisée, sans participation des membres supérieurs à ces mê- mes
troubles
. Les faits du précédent groupe nous avaient fait
s montrer que lors- que la moelle est entamée au niveau susdit, les
troubles
de la sensibilité envahissent la paroi abdomina
la 4e vertèbre dorsale, donnant lieu aux phé- nomènes suivants :
Troubles
sensitivo-moteurs, remontant jusqu'au niveau du l
paralysie motrice, à droite, s'était can- tonnée dans le pied. Les
troubles
de la sensibilité subsistaient encore, quatre a
r le degré d'alimentation dont sont susceptibles, chez l'homme, les
troubles
sensitivo-moteurs consécutifs à une hémisection
nt une paralysie motrice incomplète du membre inférieur gauche. Les
troubles
de la motilité et de la sensibilité se sont dissi
e détail, que les membres supé- rieurs n'ont pas été envahis parles
troubles
sensitivo-moteurs qui, chez cet homme, se sont
niveau des deux dernières vertèbres cervicales peut occasionner des
troubles
sensi- tivo-moteurs du côté des membres supérie
e du traumatisme médul- laire les membres supérieurs présentent dcs
troubles
du mouvement et du sentiment, mais à titre pure
même niveau (6e vertèbre cervicale, à gauche), peut occasionner des
troubles
sensitivo- moteurs aux quatre membres, égalemen
e se trouve entamée, l'envahissement des membres supérieurs par les
troubles
du mouvement et du sentiment est un fait obligato
on rapide qu'on a observée dans ce cas; au bout de six semaines,les
troubles
sensitivo-moteurs ne subsistaient plus qu'à l'é
le qui remontait jusqu'au cou. Au bout de 18 mois la régression des
troubles
sensitivo-moteurs était très avancée. Une obs
ur et au niveau de la lu.' vertèbre cervicale. Or, dans ce cas, les
troubles
con- sécutifs se sont réduits à une paralysie m
a gauche. ' , Dans une observation publiée par Bornlnr-ger (3), les
troubles
sensi- tivo-moteurs, survenus à la suite de deu
é correspondante du thorax et de l'abdomen, et surtout,parce qu'aux
troubles
sensitivo-moteurs s'associaient une éléva- tion
tatait une anesthésie qui remontait jusqu'au cou. Dans la suite les
troubles
moteurs se sont notablement amendés. Je note qu'a
observation de Rûhl (2), l'amélioration subséquente a porté sur les
troubles
sensitifs et sur les troubles moteurs. A vrai dir
lioration subséquente a porté sur les troubles sensitifs et sur les
troubles
moteurs. A vrai dire l'expression clinique, dan
ore les deux mêmes par- ticularités : amélioration considérable des
troubles
sensitivo-moteurs sur- venus à la suite d'un co
u sentiment, superpo- sée à une paralysie motrice des membres ; les
troubles
du sentiment con- sistaient dans un engourdisse
e en quoi que ce soit de celle d'une paume saine. Il n'existe aucun
trouble
de la sensibilité, aucun trouble trophique. Qua
une paume saine. Il n'existe aucun trouble de la sensibilité, aucun
trouble
trophique. Quant aux troubles fonctionnels, il
aucun trouble de la sensibilité, aucun trouble trophique. Quant aux
troubles
fonctionnels, il est certain que ces mains malfor
des nerfs (sauf cause extérieure bilatérale) sans intervention d'un
trouble
au moins dynamique des centres nerveux. Je ne v
ent réalisée par la rétraction de l'aponévrose palmaire, elle aussi
trouble
trophique. Est-ce bien là l'explication qui con
vec son talent bien connu la même manière de voir. Les différents
troubles
trophiques que l'on constate dans la syringomyé-
ous explique pourquoi dans la maladie de Morvan, il y a surtout des
troubles
trophiques et un peu de parésie de la main. Ce
de métamérie qui a été appliquée par Brissaud CI) et Ballel(2) aux
troubles
de la sensibilité dans lasyringomyélieestapplicab
l'envahissement des muscles de la main-griffe Aran-Duchenne, et des
troubles
variables des membres inférieurs, quelquefois exa
de qui avait présenté pendant sa vie des atrophies musculaires avec
troubles
de la sensibilité ; le diagnostic n'a pas été p
yélie, au début de l'affec- tion comme dans les stades tardifs, des
troubles
trophiques cutanés et vaso-moteurs qui associés
qui permet de la désigner sous le nom de main succulente. IL - Les
troubles
trophiques cutanés qui sont permanents, consisten
ême ne paraît pas épaissie. Elle est lisse, luisante et unie. A ces
troubles
cutanés permanents s'ajou- tent des troubles va
uisante et unie. A ces troubles cutanés permanents s'ajou- tent des
troubles
vaso-moteurs variables qui dépendent surtout de l
onnus sous les noms d'écholalie, d'échokinésie, de coprolalie ou de
troubles
psychiques qui consistent le plus souvent dans
clienne de Boulogne penche pour l'hy- pothèse qui fait dépendre ces
troubles
fonctionnels d'un élal morbide quelconque d'un
c possible, et c'est parce que le phé- nomène est cortical, que les
troubles
qui le constituent sont fonctionnels. Or, il n'
us le nom de « spasme et impotence musculaire fonctionnels ». Les
troubles
pathologiques sont variés, mais ils sont souvent
semblent bien aux nôtres : « n'existe-t-il pas, dit-il, de nombreux
troubles
fonctionnels de l'écorce cérébrale qui ne peuve
écarte donc le mot mental, mais fait du torticolis spasmodique « un
trouble
des fonc- tions du centre cortical de la rotati
as où le myxoedème se manifestait dès l'enfance. Du moins les seuls
troubles
intellectuels que présentait le ma- lade - lent
elles, dans les cas analo- gues, ne signifie rien autre chose qu'un
trouble
général de la nutrition. Ces femmes, quoiqu'ell
nt compliqué d'une certaine débilité générale sans malformations ni
troubles
de l'appareil génital. Je revien- drai encore d
icace et de beaucoup la plus fréquente est celle qui consiste en un
trouble
trophique vasculaire congénital tel que l'aplas
t des recherches à l'aide des rayons de Roentgen sur les causes des
troubles
de la croissance et ils ont constaté que, chez
edéme - complet ou fruste - doive entraîner nécessairement soit des
troubles
psychiques soit une simple apathie intellectuelle
rathyroïdienne provoque les accidents nerveux et en particulier les
troubles
intellectuels associés au myxoedème. Je vous ai
l'influx nerveux sur la nutrition de la peau peut déter- miner des
troubles
trophiques neuro-paralytiques aboutissant à l'hyp
couches sus-jacentes. Si, pour une cause ou une autre, il existe un
trouble
dans le développe- ment normal de ces formation
existe un trouble dans le développe- ment normal de ces formations,
trouble
aboutissant à l'hyperformation, ces régions int
e dans l'autre cas, l'anomalie congénitale doit être attribuée à un
trouble
dans le développement embryologique de la peau.
loppement embryologique de la peau. Quelle peut être la cause de ce
trouble
de développement ? Il y a hypertrophie de diver
de l'influx nerveux sur la nutrition cutanée puisse déterminer des
troubles
trophi- ques neuro-paralytiques aboutissant à l
rrait-on faire jouer un rôle à l'inloxication foetale résultant des
troubles
digestifs si fréquents chez la femme enceinte.
ieurs territoires nerveux. Il y a défaut de superposition entre les
troubles
trophiques et les régions nerveuses. Ici, il se
ion,' en croisant d'autres territoires ner- veux apparents, par des
troubles
trophiques. Cette interprétation des anomalies
loppement cutané sous l'in- fluence d'une névrite ou d'une myélite,
trouble
des nerfs périphériques ou de la moelle, paraît
mme dit Feindel (1). Au moment du développement de l'individu les
troubles
du côté de l'appareil nerveux se répercutent do
vue de certains naevi de la face, quand on les compare à cet autre
trouble
de pigmentation dont la dispo- sition est si si
Bd 58, h. 1, p. 85. Gastou. - Na3 ! ) ! vasculaires zoniformes avec
troubles
trophiques consécutifs. Soc. dermat., 1894. G
'homme. D'autre part, considérés au point de vue de l'extension des
troubles
sensitivo-moteurs, les faits que j'ai passés en
ice est limitée au membre inférieur, du côté de ]'hémisection.; les
troubles
de la sensibilité ne re- montent pas jusqu'à la
deçà de la 9°. 2° Dans un second type, la paralysie motrice et les
troubles
sensitifs re- montent au-dessus de la racine de
rend les cas où les membres supérieurs et le thorax participent aux
troubles
sensitivo-moteurs ; cette éventualité se trouve
tement au-dessus de la protubérance occipitale. Dans ces cas-là les
troubles
sensitifs et les troubles moteurs envahissent t
tubérance occipitale. Dans ces cas-là les troubles sensitifs et les
troubles
moteurs envahissent toute une moitié du corps, nu
au nombre des faits que je vous ai exposés, il s'en trouve, où les
troubles
sensitivo-moteurs consécutifs au traumatisme diff
élioration progres- sive, plus ou moins rapide, se produit dans les
troubles
sensitivo-moteurs consécutifs à une hémisection
bre infé- rieur droit s'était dissipée. La paralysie motrice et les
troubles
de la sen- sibilité subsistaient tels qu'avant.
, Son état général était excellent. Il ne présentait pas le moindre
trouble
intellectuel. Il n'était pas sujet aux douleurs
eur moindre que son congénère. On constatait encore quelques vagues
troubles
de la sensibilité. · Vous êtes maintenant à m
endu que dans les cas d'hémisection trau- matique de la moelle, les
troubles
sensitifs étaient plus prompts à se dis- siper
les troubles sensitifs étaient plus prompts à se dis- siper que les
troubles
moteurs. L'inverse s'observe parfaitement, le cas
les gan- glionnaires n'y participent nullement. 2° Une partie des
troubles
consécutifs à une lésion traumatique de la moel
de Brown-Sequard, en ce qui concerne notamment la distribution des
troubles
de la sensibi- lité. Or il n'y a pas à se dissi
s vif, en- treprenant, fut pris de phénomènes de neurasthénie, avec
troubles
psychi- ques et physiques, asthénie musculaire,
ucun phénomène morbide. On ne note aucune paralysie oculaire, aucun
trouble
pupillaire. Parfois devant les yeux pas- sent d
trophie et de déformation. La peau qui les recouvre est atteinte de
troubles
vaso-moteurs. Sans compter une température infé
ur la lre. Les réflexes rotuliens sont abolis. Il n'existe pas de
troubles
de sensibilité. OBs. IL Paralysie spinale infan
de torsion, une rotation de dehors en dedans. Il n'existe pas de
trouble
de sensibilité. Jamais le malade n'éprouve de d
iculier de l'urlicaire, on peut citer les oedèmes de la peau et les
troubles
trophiques, le vitiligo et la décolo- ration de
les états émotionnels morbides, dans la folie, on observe aussi des
troubles
trophiques de la peau et des poils. Le système pi
les formes graves de la mélancolie on observe quelquefois aussi des
troubles
de nu- trition des ongles qui présentent des si
ssesse (4) s'accompagne aussi quelquefois de mélanodermie. Certains
troubles
tro- phiques de la peau peuvent'encore coïncide
c la curcunose abdominale (6). Toutes ces pigmentations liées à des
troubles
généraux ou locaux de la nutrition diffèrent pa
ropre à montrer les liens qui existent entre la mélanodermie et les
troubles
généraux de la nutrition à l'exclusion de toute
ures). Deux soeurs sont impressionnables, pleurnicheuses, mais sans
trouble
ner- veux caractérisé. Antécédents personnels
une analgésie bien marquée. Il présente des formes très variées de
troubles
paroxystiques : 1° des attaques convulsives com
tions cuta- nées et n'a souffert que de longs intervalles de légers
troubles
gastriques. Avant son entrée il avait eu pendan
gorge, de quelque^hallucinations de la vue ; bien qu'il n'eut aucun
trouble
pupillaire, on supputa le médicament qui n'avai
aissa dans les premiers mois de 1897, bien que l'amé- lioration des
troubles
convulsifs persistai comme on peut le voir dans l
les membres hémiplégies sbnt, du fait de la paralysie, sujets à des
troubles
trophiques : l'amaigrissement général des muscles
rtent presque toujours un pronostic fatal ; ce sont de véri- tables
troubles
trophiques d'origine centrale. Elles sont aussi r
immédiate d'un poison sur les cellules nerveuses ou à la suite d'un
trouble
de leur nutri- tion. Les modifications primitiv
ns corporelles nous le montrent. ' Quelle est l'origine de tous ces
troubles
? Nous ne savons pas grand'chose sur la famille
aissance. Il y a évidemment des accidents pendant la grossesse, des
troubles
de l'évolution du foetus dans ces grossesses gé
çon et vivent parfois fort vieux(l). Ainsi, dans l'acromégalie, les
troubles
généraux qui s'étaient mani- festés à la périod
aille moyenne (lm70). DE L'ARTHROPATHIE NERVEUSE VRAIE ET DES
TROUBLES
TROPHIQUES ARTICULAIRES d'apparence rhumatoïde
: il n'y a pourtant pas une différence nettement tranchée entre les
troubles
trophiques articulaires des névrites, des myélite
t, comme dit M. Talamon, et de l'opposer à la banalité relative des
troubles
trophiques articulaires d'apparence rhumatoïde. -
plégiques : c'est l'auto-intoxication ou l'infection d'une part, le
trouble
nerveux d'autre part. Une revue complète des ob
hie. Cette arthropathie évolue isolé- ment, indépendamment d'autres
troubles
trophiques mèmedans la syringo- myélie,exceptio
isation de la lésion dans les nerfs, la moelle ou le cerveau. II.
TROUBLES
TROPHIQUES articulaires d'apparence RHUMATOIDE.
Verhoogen. Enfin il est des déformations articulaires, résultat des
troubles
trophi- ques, musculaires et autres,qui ne sont
de M.SPILUIANN) d'atrophie musculaire myélopathique com- pliquée de
troubles
trophiques osseux et articulaires. Il s'agit évid
peresthé- sie, c'est-à-dire précisément du côté où apparaissent les
troubles
trophi- ques dans le syndrome de Brown-Séquard.
montant des deux côtés jusqu'à mi-cuisse. Il semble s'agir ici d'un
trouble
vaso-moteur exclusif, contrairement il la plupa
il la plupart des faits précédents. Nous avons vu cependant ce même
trouble
vaso-moteur coïncidant avec l'infection dans l'
esque toutes ont été douloureuses, qu'elles se sont accompagnées de
troubles
moteurs plus ou moins accentués, que jamais on
ler au rhumatisme subaigu ou chronique. B. Dans les névrites. Les
troubles
trophiques articulaires ne sont pas plus fréquent
d'un doigt, de la main, du membre tout entier soient atteintes. Les
troubles
de nutrition du membre, parmi lesquels rentrent
nt les arthropathies coïncident toujours, dit W. Mitchell, avec des
troubles
de la motilité et de la sensibilité. D'autre pa
combien il est difficile d'établir une démarcation nette entre les
troubles
trophiques articulaires et la polyarthrite rhum
arthropathies spinales simulent le rhumatisme, coïncident avec des
troubles
de la motilité et avec d'autres troubles trophiqu
tisme, coïncident avec des troubles de la motilité et avec d'autres
troubles
trophiques (cutanés) ; 3° que les arthrites név
la lèpre, la sclérodermie ; on peut voir aussi, consécutivement aux
troubles
trophiques cutanés, se développer des troubles tr
consécutivement aux troubles trophiques cutanés, se développer des
troubles
trophiques articu- laires. La pathogénie n'est
s voulons établir ici est que ce genre d'arthropathies, liées à des
troubles
trophiques cutanés très accentués n'a rien à voir
dans la syringomyélie. Il n'est pas un auteur qui ait assimilé les
troubles
trophiques articulaires et osseux des doigts, acc
bles trophiques articulaires et osseux des doigts, accompagnant des
troubles
trophiques cutanés, aux grandes arthropathies de
on est accompagné d'oedème par- ticulièrement du dos de la main, de
troubles
vaso-moteurs et parfois d'au- tres troubles tro
t du dos de la main, de troubles vaso-moteurs et parfois d'au- tres
troubles
trophiques, tout comme dans les formes spinales e
pas d'arthropathies nerveuses au sens propre du mot. Sans doute un
trouble
trophique d'origine centrale mais pure- ment fo
une affection régionale dont les districts relèvent sans doute d'un
trouble
tro- phique d'origine centrale (d'où l'influenc
ans ces différents cas doit-elle établir un rapprochement entre les
troubles
trophiques que nous avons étudiés et la véritab
s phénomènes d'hyperémie neuro-paraly- tique qui sont distincts des
troubles
trophiques et qu'on retrouve dans les viscères,
distinguer, elles n'en ren- treraient pas moins dans le groupe des
troubles
trophiques articulaires d'apparence rhumatoïde
nt le territoire correspondant en état d'infériorité nutritive ; le
trouble
nutritif aurait passé inaperçu sans l'infection
'hémiplégie, de la paralysie ou de la névrite. Est-ce à dire que le
trouble
trophique ne puisse jamais par lui-même créer l'a
e que la lésion nerveuse périphéri- que par exemple puisse créer un
trouble
trophique articulaire comme elle crée des troub
e puisse créer un trouble trophique articulaire comme elle crée des
troubles
trophiques cutanés. Alors les troubles trophiques
iculaire comme elle crée des troubles trophiques cutanés. Alors les
troubles
trophiques ne s'adressent pas à la totalité de
Il nous suffira d'avoir démontré, nous l'espérons du moins, que ces
troubles
trophiques ne sont jamais comparables cliniquemen
, il est rationnel d'en déduire .qu'elle est due à une lésion ou un
trouble
fonctionnel permanent, siégeant ailleurs que da
anche, sou- ple, sans développement exagéré du système pileux, sans
troubles
tro- phiques, sans réseau veineux apparent, ses
ant de la racine du doigt à l'extrémité. L'ongle ne présente pas de
troubles
trophiques, mais de grandes dimensions, me- sur
s'hypertrophier en mas- se, devenir rouges et dou- loureux ; ces
troubles
n'ont jamais traversé une période aiguë, mais
ouloureuse alors que l'extension détermine une vive souffrance. Les
troubles
cutanés consistent uniquement en troubles vaso-
une vive souffrance. Les troubles cutanés consistent uniquement en
troubles
vaso-moteurs; la sensibilité est normale.Les autr
de macrodactylie, nous insis- tons plus volontiers sur l'absence de
troubles
vasculaires, sensitifs et tro- phiques ; à ce p
leur raisonnement d'une part sur l'existence chez leurs malades de
troubles
vasculaires tels que mevi, varices', élévation de
is sur toutes les parties constitutives du doigt et on ne relève ni
troubles
vasculaires ni troubles trophiques et sensitifs
s constitutives du doigt et on ne relève ni troubles vasculaires ni
troubles
trophiques et sensitifs. Si l'on veut bien se r
ous n'avons pu faire d'exa- men électrique des muscles. - . Aucun
trouble
de la sensibilité. Les sphincters sont intacts. P
. Pas de constipation ni d'incontinence d'urine. Bon appétit. Aucun
trouble
de la déglutition. Il n'a jamais eu de vives
s il s'essouffle vite. Rien au coeur, ni dans les poumons. Quelques
troubles
trophiques aux membres inférieurs : rougeur éry
sions semblent porter surtout sur les nerfs, et qui s'accompagne de
trouble
; sen- sitifs, moteurs et trophiques, suivis de
r ALBERT LONDE et Henry MEIGE, 36. Arthropathie nerveuse vraie et
troubles
trophiques articulaires d'apparence rhumatoid
hes), 198. LONDE (Peur.). De l'Arthropathie nerveuse vraie et des
troubles
trophiques articu- laires d'apparence rhumatoïd
aire, XXX. Hémisectiou traumatique de la moelle : répartition des
troubles
moteurs et sen- sitifs (syndrome de Brown-Séqua
us tard, atrophie de l'énzzinence thé- nar droite, augmentation des
troubles
de la parole. - Puis paralysie complète avec ph
qui dispa- missent ensuite. Augmentation de l'atrophie des mains.
Troubles
de la déglutition, de la respiration, de la circu
blement paraly- tique et qui ne semble pas devoir être attribué aux
troubles
cardiaques constatés aujourd'hui seulement. Ces
tribué aux troubles cardiaques constatés aujourd'hui seulement. Ces
troubles
car CAS DE SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 7
tre mois plus tard, attaque apopledlforme suivie d'augmentation des
troubles
bulbaires. Parésie puis- atrophie des membres s
frant en outre d'une inflammation vési- cale. Après l'opération les
troubles
moteurs et ceux de la sensibilité s'aggravèrent
Berlin Klin. Woch., 1871. * Fiesler. - Voy. Etienne : Essai sur les
troubles
médullaires qui peu- vent entraîner les lésions
papille ; mais enfin, malgré cela, ils sont presque guéris de leur
trouble
visuel. Nous croyons inu- tile de répéter la mê
considérer comme guéri qu'après la disparition complète de tous les
troubles
nerveux. J'irai même plus loin, et je dirai qu'
e l'ouïe, du goût et de l'odorat a été complètement négatif; pas de
troubles
du rectum, de vessie et des organes génitaux ;
s de troubles du rectum, de vessie et des organes génitaux ; pas de
troubles
de la sensibilité; pas d'embarras de la parole.
naud, qui a si bien décrit dans plusieurs travaux successifs, les
troubles
oculaires de la sclérose en plaques, qui fourniss
ps genouillé externe. Dans ces conditions, il ne se pro- duit aucun
trouble
de la motilité ni de la sensibilité. Seules les
ux en arrière. Il en résulte une paralysie complète de la queue, un
trouble
évident du mouvement dans les extrémités pestér
lieu entre les deux der- nières lombaires, on remarque en outre un
trouble
marqué du mouvement dans les deux extrémitéspos
rnes antérieures et postérieures) rapprochée de l'absence de tout
trouble
imputable à une action traumatique dans le voisin
n sans aucun processus inflammatoire prouverait qu'il s'agit d'un
trouble
trophique qui, après la section des ganglions, se
endante rapidement mortelle (durée totale : trois mois) sans grands
troubles
de la sensibilité; atteinte successive des extr
ut oedème. Pathogénie probable; dyscrasie déterminant finalement un
trouble
de nu- trition des cylindraxes. P. K. VII. SU
ue l'hypothèse d'après laquelle la névrite multiple a succédé à des
troubles
fonctionnels des organes centraux ; ce qui sign
nd lieu, presque toujours la maladie en question commence par des
troubles
de la sensibilité (violentes douleurs); puis très
spectable d'aliments, mai- grissent à vue d'oeil, sans présenter de
troubles
subjectifs gastro- intestinaux. Ces malades von
eur prétend que les tabétiques sont, sans exception, en proie à des
troubles
de la sensibilité (hyperalgésie au début, hypoe
hésies sensorielles (rétrécisse- ment concentrique du champ visuel,
troubles
de l'ouïe, de l'odorat, du goût, du sens muscul
l) que quand il procède par du délire ou des hallucina- tions (sans
trouble
de la connaissance) entamant la vie affec- tive
arfait, quant à la durée, à l'intensité, à l'évo- lution, entre les
troubles
de la sensibilité et les épisodes en question.
sociées), comprend les psychoses fonctionnelles ajoutées, soit à un
trouble
cérébral organique persistant, soit à un troubl
joutées, soit à un trouble cérébral organique persistant, soit à un
trouble
cérébral par affection somatique momentanée ; e
ue, et à des tableaux de transition épisodiques anormaux. Ainsi les
troubles
psychiques greffés sur une anomalie de développ
elle appartient non au domaine de l'hallucination, mais à celui des
troubles
intellectuels. Quant aux hallucinations de l'ou
observations sont consignées en détail : 1° grande hys- térie avec
troubles
psychiques intenses. Castration : atrophie et d
ême sens en un cas d'agitation maniaque très vive, appartenant à un
trouble
psychique secondaire (total : sept résultats fa
gommeuse. En juin 1883, accès maniaques, avec idées de grandeur et
troubles
de la parole; à ce moment, il est porteur d'une
. Archives de Neurologie, t. VIII, p. 382. SOCIETES SAVANTES. 117
troubles
vésicaux'sans importance. Il lui semble impossibl
ment en : disparition de la transparence de la cellule, tuméfaction
trouble
de son noyau, résistance du protoplasma à l'act
stéateuses (lapins, cellules endothéliales) ; névroglie tuméfiée et
trouble
118 ô SOCIÉTÉS SAVANTES. sans altération de s
physique a lieu. Discussion : M. Westphal. Le mot de tuméfaction
trouble
n'est pas très exact. M. ROSENR : 1CII. Evidemm
en relation avec des fibres du grand sympathique, expliquent les
troubles
vaso-moteurs et atrophiques. M. Westphal. A l'e
Le cas de Thomsen constitue un astigmatismede l'oeil droit. Si les
troubles
de la vue eussent été ceux qu'indiquent les tra
ision absolue ; ce graphique rappelle celui des hystériques. Un tel
trouble
de l'acuité visuelle ne saurait dépendre exclusiv
n rétrécissement concentrique du champ visuel; dans la genèse des
troubles
oculaires des hystériques interviennent comme gén
ion : .' M. L;vmN. L'audition des témoins démontre l'existence de
troubles
de la connaissance de courte durée et d'accès d'é
e la Charité montre que cet homme était atteint d'épilepsie et de
troubles
psychiques entraînant le diagnostic de folie post
ines, put être déshabituée du médicament en quatre jours sans aucun
trouble
résultant de ce sevrage ; de plus, le calme obt
eur des extrémités, de l'insomnie, de J'angoisse précordiale, des
troubles
de la parole, une coloration gris bleu de la peau
sensation de lourdeur avec convulsions cloniques, de vertiges, de
troubles
de la parole, d'irrégularité du pouls, de météori
e trois heures, puis survinrent de l'agitation, du tremblement, des
troubles
de la parole; la mor- phine seule put rétablir
celle de la folie proprement dite, et celle d'un certain nombre de
troubles
mentaux envisagés isolé- ment, et enfin son Ana
ômes dans lequel le mot ou le nom jouent un rôle prépondérant ; ces
troubles
psychiques s'observent habituellement chez des
Cette observation est un exemple frappant de la multiplicité des
troubles
cérébro-spinaux auxquels peut successivement êt
t, toujours, mal équilibré, dès dix-huit ans, surgit brusquement un
trouble
général de l'intelligence, un accès de mélancol
jet, mais qui peuvent, nous le verrons, se montrer isolément, comme
troubles
distincts, chez dif- férents individus. Dans'
le calme se rétablit en apparence et l'on .ne se douterait point du
trouble
profond dont elle est l'objet. Elle a, d'ailleu
oit d'excès ou de toute autre cause, il se produirait de nouveaux
troubles
. M. M..., en effet, est un prédisposé chez lequ
1884. Il existe donc un intervalle de six mois entre le début des
troubles
bulbaires et celui de la parésie des mains, et
icités, une émotivité anormale. Ces indi- vidus, sans présenter des
troubles
assez nets pour être classés dans telle ou tell
ments. Vers l'âge de quinze ans, Mule M... se rappelle avoir eu des
troubles
analogues à ceux dont se plaint 202 RECUEIL DE
essemblant physiquement à leur père, n'ont' jamais présenté- aucun ^
trouble
appréciable de la motricité; les trois, dernier
tes sont minces, chétives, d'une santé délicate, mais n'ont'aucun
trouble
du système musculaire' ni aucune'1maladie''du sys
pour inquiéter sérieusement le malade. Jusqu'à il. a deux.ans, Jes,
troubles
muscutaires n'acquéraient une certaine intensit
(Fig. 4, B). Les muscles des membres ne sont pas seuls atteints des
troubles
fonctionnels que nous venons de décrire. 7 ?
nous sommes assurés alors que cette gêne ne pro"enait point d'un
trouble
dans la motilité de la langue qui a toujours été
rt seulement. Les mouvements de la langue n'ont jamais présenté les
troubles
de la motilité que nous venons de décrire pour
es réflexes testiculaires. , On ne constate chez notre malade aucun
trouble
trophique : la peau est fine, le tissu cellulai
as augmenté d'épaisseur , les ongles ne sont pas dystrophiés. Aucun
trouble
non plus du côté des sphincters anal et vésical
droite est également contracturée. Le malade entend bien, mais voit
trouble
, et ne distingue aucune couleur. La thoracalgie
a circonvolution de Broca, tandis que les causes qui provoquent les
troubles
de la sensibilité ne paraissent pas influencer
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XX. Occlusion intestinale, gastrotomie,
TROUBLES
PROVOQUÉS par l'excitation du grand sympathique
de la face intacte, atrophie des petits muscles des deux mains avec
troubles
de nutrition, de la peau, des phalanges, anomal
orteils, absence de toute espèce de phéno- mènes paralytiques et de
troubles
de l'équilibre. L'ensemble de ces éléments perm
te des divers muscles des quatre extrémités. P. K. XXXII. SUR LES
TROUBLES
oculaires dans la SCLÉROSE 111ULTI- loculaire;
spasmodique. Parmi ces cinquante ma- lades, treize présentaient des
troubles
des muscles de l'oeil, dix-neuf des perturbatio
ons de raideur immobile de l'écran), vingt-deux n'offraient aucun
trouble
visuel. Vingt-huit étaient atteints de diminution
ilepsie, consis- tant en une paralysie pure, momentanée, sans aucun
trouble
de la connaissance, sans phénomène convulsif, t
XVII) ; il émet la possibilité dans l'espèce d'une lésion ou d'un
trouble
fonctionnel de la substance grise centrale du pla
ie, mais de la combinaison des symptômes psy- chiques avec d'autres
troubles
nerveux, souvent tout à fait passagers (convuls
phalo-rachidien, et la circulation propre du cer- veau. Ce sont les
troubles
dans l'équilibration compensatrice REVUE DE PAT
t elle. A cela rien d'étonnant, puisque la grossesse par elle-même (
troubles
de circulation, perturba- tion chimique du sang
lle-même (troubles de circulation, perturba- tion chimique du sang,
troubles
de nutrition en rapport avec cet état) met souv
VUE DE pathologie mentale. XIII. COURTE communication SUR UN cas DE
TROUBLE
mental douteux ; parGpUNEWALD (Allg. Zeitsch.f.
W t `rtt 1 rigoureusement dans le cadre de la,psychiatrie, tels ces
troubles
intellectuels chez deux fillettes, atteintes de
d'ordinaire entretenu par une ingestion alimentaire défec- tueuse (
troubles
digestifs réels ou imaginaires). On soumet ces
du nerf vague, a)ors que l'ingestion ljçpqqtfijF;e en exagère les
troubles
? Doit-on dans l' ! 1spècel de but en blanc, fprc
la Charge, Le. badigégnnags de la région épigastrique chasse'des
troubles
gastriques intenses. 11 çQnyftm simplement de se
conclus. 12 et 13). M. Wildersiutii. Quelques observations sur les
troubles
de la pa- role chez les idiots. Les différentes
s formes de l'idiotie ne présentent pas, relativement à l'étude des
troubles
de la parole, un champ aussi profitable qu'on l
ourrait prétendre à priori. Il y a chez ces malades, association de
troubles
intellectuels, sensoriels et P1oteqr, qui forme
z les idiots se décomposent en'deux grands groupes : I ? Cas. où le
trouble
de la p{H'/Ûe est i ! ? .$prçssion 1 Comparer a
diot complètement muet, .jusqu'iL l'arriéré capable d'éducation, le
trouble
dp la parole cor- respond au cercle étroit de l
res syllabes)'- tous faits à pronostic défa- vorable, 2° Cas pilles
troubles
de la parole sont, non pas la cause directe, l'
mpnçant par les dyslalis fÎ1'cpiq[1s, nous, rencontrons d'abord un'
trouble
de farticujation très ré- pandu pliez les idjpt
ec leur valeur,articulée;,à Iu,diétée,elleilesééryL o;ité; ds ! Les
troubles
de d'articulation qui s : eq'eclilI,L aU ? }IOI.u
tellectuel1 relatif, ''si bioiyu'iliy,allieu de sei.demajider si ,1e,
trouble
'de 1 la J 'pàrol'¡d en ""bopposanll à' : Iéclu
ur : l'auteur'n'a lpu le : renconlrer.ndaus r l'idiutie., Quant aux
troubles
de 'la' parole qui rappellent la> paralysie gé
11 : .1 ? j'if.W'1LDP : rIüUTHUn eufant;olservépar,luiprésentait;le
trouble
'que vôicif : 'ilr ne=plaçyitl jamais, l'ajecti
rais fois l'occasion de nécrop- sier dés patients ayant souffert de
trouble
très pédnohëé de la parole. Dans le premier cas
hs- parentes en plusieurs endroits. Méninges molles d'une couleur
trouble
en plusieurs points, notamment à là convexité, av
calmes, mais obnubilés, dans les hospices; ceux qui- présentent un
trouble
de la connaissance grave ou qui sont dangereux( p
iQuc ,momclltulle (Allg.'ZeïLtschr. r psych"ftXXXVll), ,sans "autre
trouble
, s'observe 1) ( 11ft. ',1 -rd ,1 i IL .... ....
tie' de I*encé- phale; à ce moment'se montrent les convulsions, le'
trouble
"'de' la' connaissance', etc ? par exception, el
que,' mais. dans l'association des symptômes psychiques à' d'autres
troubles
nerveux souvent tout'à fait passagers, troubles
chiques à' d'autres troubles nerveux souvent tout'à fait passagers,
troubles
qui peuvent affecter les formes de convul- sion
ral); si les phénomènes convulsifs prédominent, s'il se produit des
troubles
vasomoteurs directs, c'est la mydriase qui se p
bien fréquemment, les interruptions respiratoires s'accompagnent de
troubles
ner- veux d'un autre ordre. Tel est également m
a très souvent observé l'ictus apoplectiforme. Le rêve résulte d'un
trouble
de coordina- tion moteur. - - M. WiLUERMUTit.
dans les accès, mais il-existe<des ! équivafehts psychiques sans
troubles
moteurs. Deux exemples à l'appui; la températur
\VThowshl. Evidemment il est difficile de constater sûre- ment des
troubles
du mouvement. Il existe aussi fréquemment des m
l rapporte impose le diagnostic d'é- quivalents ayant succédé à des
troubles
moteurs graves." -, , ' 1 'à M. STARK se rappel
point de vue médico- légal n'est-il pas nécessaire de constater des
troubles
de la moti- lité ? SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 t
SOCIÉTÉS' SAVANTES . 2 67 Î Observation Il Grande hystérie, avec
troubles
psychiques intenses. Castration. Les ovaires so
e explication ne se présente.'Est-ce'ce foyer qui'a 'déterminé, les,
troubles
tropfuquesnip l'oeil' gauche ? ,L'évolulÎon clini
amen ulthtlralmoscolrique, décèle que l'hémianopsie s'accompagne de
troubles
trophiques de la rétine' (observations de Wilbr
la couche superficielle du lobe occipi- tal, tout en produisant des
troubles
visuels, ne peut pas être regardé comme l'origi
le. M. Mendelsoun. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Essai descriptif sur les
troubles
psychopathiqut's avec lucidité d'esprit; par (T
n'était répondu d'ordinaire que par des sévices ! En voyant que les
troubles
de l'esprit pouvaient conduire à un pareil état d
ope de Bicêtre, sans que « l'éclat du bienfait soit terni. Plus les
troubles
de laraison se « multiplient, plus la science p
nements. Contre le tabes dorsal spasmodique parleraient aussi les
troubles
de la sensibilité et de la vessie, mais M. Charco
ux-ci ne doivent être placés qu'au second plan, comparativement aux
troubles
des mouvements comme nous le voyons justement c
quelques cellules nerveuses des cornes antérieures semblent un peu
troubles
et gonflées. Dans le pro- toplasma de quelques-
e cours du tabes dorsal spasmodique, c'est-à-dire des douleurs, des
troubles
de la vessie et du rectum, différentes paresthé
iale des actes dont il était accusé. Je ne constatai chez lui aucun
trouble
intellectuel. Huit jours après, à ma seconde vi
son système de négations et ne laissa percer ni hallucinations, ni
trouble
intellectuel, ni perversion instinctive. On aur
e d'une contrariété d'a- mour-propre, elle eut pendant six mois des
troubles
semoriaux de la vue (phosphènes). Elle voyait p
qui n'ait vu disparaître, sous l'influence du traitement moral, les
troubles
fonctionnels si communs chez les hystériques, p
là, la plupart des expérimentateurs se sont bornés à s'adresser aux
troubles
somatiques, et si quelques- uns ont étudié les
iquer au traitement des malades de cette catégorie présentant des
troubles
vésaniques quelconques, les résultats de l'expéri
peut, à un moment donné, susciter des idées d'empoisonne- ment. Tel
trouble
de la sensibilité générale et viscérale, anes-
est quelquefois à propos d'une de ces attaques que surviendront les
troubles
intellectuels. Dès lors, chaque nouvelle attaqu
que M. Ch. Féré appelle la médecine d'imagination. Or, si tous ces
troubles
fonctionnels ont été l'occasion de symptômes dé
directement; les périodes d'agitation sont aussi souvent dues à des
troubles
hallucina- toires intenses qui constituent pres
empoisonnement, de suicide que la malade rat- tache d'elle-même aux
troubles
de la sensibilité, violences, agita- tion extrê
hamp visuel du même côté, sans achroma- topsie. Tympanisme. - Aucun
trouble
des appareils digestif, respiratoire, circulato
science au réveil. 20. - Très calme mais toujours délirante : les
troubles
de la sensibilité sont revenus; hallucinations
s'adresser à ses causes génératrices; attaquer toujours d'abord les
troubles
somatiques exaspérant le délire, tel a été notr
surtout aux époques menstruelles et toujours sous l'influence de
troubles
sensoriels divers. Nous espérons qu'on nous par
attend et les reçoit bien. - Polyurie depuis quelques jours. Aucun
trouble
de la sensibilité. 11. - Hallucinations du sens
zigzag ; nausées, vomissements : parésie de la jambe gauche, pas de
troubles
cynesthétiques. 7. Les maux de tête et les scot
iendra pas; tremblements du côté droit surtout dans le bras. Pas de
troubles
delà sensibilité, dou- leur profonde au niveau
aire pour ne pas retomber malade. Juin. Cet état persiste : aucun
trouble
somatique ni psychique. - Travaille un peu, sor
peu apathique et incertaine au sujet de ses projets d'avenir. Aucun
trouble
ni physique, ni psychique, pas d'hallucinations
revenu complètement. 1er septembre. - Aucune idée délirante, pas de
troubles
soma- tiques : sommeil très bon. TABLEAU DES
raires, la suggestion imposée qui détruit son idée délirante, et le
trouble
physique qui la produit. Or fatalement uu jour
e. Le seul point réellement difficile, c'est, encore une fois, la
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 395 fa
e observation minutieuse pourra faire reconnaître. REVUE CRITIQUE
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES ; Par M
ES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES ; Par M. LECORCUÉ. Les
troubles
nerveux qu'on observe chez les diabétiques, sig
leau varié des manifestations les plus importantes. A priori, ces
troubles
peuvent être rapportés soit à des lésions matér
ou d'une circulation arté- rielle insuffisante. Ces deux ordres de
troubles
névropathiques ' Des troubles nerveux chez les
elle insuffisante. Ces deux ordres de troubles névropathiques ' Des
troubles
nerveux chez les diabétiques. Féru et l3ernarl. A
bétiques, et pourraient sinon servir de substratum anatomique aux
troubles
névropathiques, dits sine ? nate2,i*a, relevés ch
re les symptômes liés mani- festement à des lésions en foyer et les
troubles
multiples de ce qu'on pourrait appeler la névro
u sys- tème vasculaire. A. Manifestations nerveuses directes. Les
troubles
de cet ordre que nous avons observés chez nos m
rvés chez nos malades sont des plus variés ; nous les diviserons en
troubles
sensitifs, troubles mo- teurs et troubles intel
s sont des plus variés ; nous les diviserons en troubles sensitifs,
troubles
mo- teurs et troubles intellectuels. 1 Troubl
; nous les diviserons en troubles sensitifs, troubles mo- teurs et
troubles
intellectuels. 1 Troubles sensitifs. - Les trou
oubles sensitifs, troubles mo- teurs et troubles intellectuels. 1
Troubles
sensitifs. - Les troubles sensitifs affectent les
mo- teurs et troubles intellectuels. 1 Troubles sensitifs. - Les
troubles
sensitifs affectent les sens spéciaux ou la sen
opie, plus ou moins prononcée est le symptôme le plus souvent ob-
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 397 Î
is, la vue et l'ouïe sont compromises en même temps (OBS. LVI). Les
troubles
de l'odorat et du goût, sont encore plus rares
onner lieu à la sensation des deux pointes. 398 REVUE CRITIQUE.
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 399 ma
'est le plus souvent sous forme de névralgies que se traduisent les
troubles
de la sensibilité générale. Ces névralgies diab
vralgies dues à des lésions de la moelle; 5" L'apparition rapide de
troubles
vaso-moteurs dans la zone des nerfs affectés;
érines (Cas. XXXIV), la névralgie de l'ovaire (OBS. XXXVIII). Ces
troubles
si variés de la sensibilité coexistent fréquem-
s crises de névralgie de l'ovaire (Cas. XXXVIII). Ce qui démontre
TROUBLES
NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 01 bie
s. Elles résistent le plus souvent à toute autre médi- cation. 2°
Troubles
moteurs. La motilité paraît moins souvent attei
pendant un certain nombre de cas de diabète où se sont produits des
troubles
paralytiques qui ne paraissaient pas liés à des
ois même un muscle isolé ; en général elles sont associées à divers
troubles
sensitifs, anesthésie ou hyperesthésie. Nous de
s limitées au membre supérieur. Dans un cas, nous avons observé des
troubles
de motilité qu'il nous parait intéressant de si
rines. Elles se dissipèrent avec l'abaissement de la glycosurie. 3°
Troubles
intellectuels. L'intelligence peut être plus ou
en' voie d'évolution. Il apparaît dans des cas où l'anémie n'est
TROUBLES
NERVEUX dans LE diabète CHEZ LES femmes. 403 po
tigineux, et chez des malades qui bien souvent ne présentent pas de
troubles
gastriques. Tout porte donc à croire qu'il peut
atant ce fait, nous nous demandons s'il s'agit bien réellement d'un
trouble
essentiellement dynamique et de provenance diab
dans d'autres cas, elle se produit spontanément et paraît liée à un
trouble
nerveux (OBS. LXXII). Il est parfois difficile de
tation (OBS. XIX, XX), une sensibilité exagérée. La fréquence des
troubles
cérébraux et intellectuels trouve son explicati
i, avant l'apparition des accidents céré- braux, avait présenté des
troubles
de la vue accompagnés d'une polydipsie telle qu
a présence du sucre dans ses urines antérieurement à l'éclosion des
troubles
nerveux. Les manifestations symptomatiques de l
ssent brusquement. Dans le premier cas, elles sont souvent précé-
TROUBLES
NERVEUX dans LE diabète CHEZ LES FEMMES. 405 dé
ave quand on voit per- sister d'une manière anormale ces différents
troubles
névro- pathiques'. Dans d'autres cas, les sym
is elle succomba quatre ans après à une nouvelle hémorragie. . C.
Troubles
oculaires. Bien que les troubles oculaires dans
ès à une nouvelle hémorragie. . C. Troubles oculaires. Bien que les
troubles
oculaires dans le diabète ne relèvent pas tous
taracte chez nos malades, nous engage à étudier de préfé- rence ces
troubles
de la vue à la suite des manifestations ner- ve
a vue à la suite des manifestations ner- veuses proprement dites.
TROUBLES
NERVEUX dans LE diabète CHEZ LES femmes. 407 La
z les diabétiques a été cependant bien établie par de Graefe. Ces
troubles
visuels sont souvent passagers, d'autres fois ils
ons de Seegen. Mais elles peuvent aussi s'aggraver et aboutir à des
troubles
permanents de la vue. - (A suivre.) REVUE DE
malformation congénitale, il est permis d'admettre qu'il s'agit de
troubles
trophiques pou z vant légitimement prendre plac
si souvent notées dans le cours de l'ataxie. G. D. XXXIX. SUR LES
TROUBLES
DES associations ; par R. DE Pfun- GEN. (Jahrbù
ésions en foyer des manifestations en foyer de lésions diffuses des
troubles
de nutrition dans la folie systématique aiguë,
érale, la méningite chronique, les névroses constitutionnelles, des
troubles
d'association considérés comme émanés des centr
auche passagère, ultérieure- ment suivie d'attaques semblables avec
trouble
dans .l'articu- lation des mots, et aphasie amn
ession du sens musculaire dans les extrémi- tés paralysées, sur les
troubles
vaso-moteurs des mêmes membres et la diminution
l'atrophie la plus prononcée ont été dans l'espèce hantées par les
troubles
les plus notables de la sensibilité, comme les
taire. Jadis petit mal, et plus tard hystéro-épilepsie (attaques et
troubles
psychiques). Puis insomnie, qui cède à son tour
firmer, i ! faut que la paralysie générale succède directement à un
trouble
mental simple existant depuis un temps plus ou
endre les attaques épileptiformes ; celles-ci sont le résultat d'un
trouble
purement fonctionnel. Ou bien il se produit une
(colloïde) des cellules ner- veuses ; premier stade : tuméfaction,
trouble
; hypertrophie, gonflement de la cellule, hypert
ant, c'est d'étudier les signes physiques qui cor- respondent à ces
troubles
intellectuels et moraux. Si ces aliénés ont l'a
jeunes dégénérés en proie à des obsessions, à des impulsions, à des
troubles
psychopathiques de diverse nature et M. Briand no
elà de la papille. Ces anomalies n'entraînent pas habituellement de
troubles
sensibles de la vision; mais, de même que l'adh
eporter aux tra- vaux publiés depuis une vingtaine d'années sur les
troubles
nerveux consécutifs aux maladies aiguës. Thor
té, de la sensibilité générale ou de la sensibilité spéciale et aux
troubles
fonctionnels qui en découlent; chez les hérédit
s pas de grosses lésions anatomiques, la clinique, du moins par les
troubles
fonctionnels qu'elle révèle, nous montre les pro-
le agir comme une véritable crise. Je ne rappellerai pas les autres
troubles
psychiques et la perver- sion sexuelle que prés
semble. Cette observation, par la réunion chez le même sujet de ces
troubles
médullaires et psychiques, a l'avantage de faire
. Comme dans l'état précédent, le malade est débarrassé de tous les
troubles
du mouvement et de la sensibilité. Essais dyna-
certains malades, l'hypnotisme fait passagèrement dispa- railre des
troubles
moteurs périphériques; donc il représente un él
ériphériques; donc il représente un élément de diagnostic entre les
troubles
centraux et périphé- riques ou plutôt entre les
écifiques. Dans le cas spécial de l'auteur, y avait-il en outre des
troubles
de la parole ? il importe toujours de noter avec
ns irrésistibles. ' /. j 1 M. Friedmann. Sur ce que l'on entend par
troubles
de la connais- sance dans les maladies psychiqu
dans les maladies psychiques. Imprimé à part'. M. ROLLER. Sur, les
troubles
de la motilité dans la folie simple. Publié à p
nent pas à la manie transitoire ; leur modalité caractérisée par le
trouble
de la connaissance relève de l'épilepsie, de l'
gereux de conclure d'une amnésie relative à un crime, qu'il y avait
trouble
de la connaissance au moment de l'acte. L'intox
consécutive à la manie et à la mélancolie, pas plus que dans les
troubles
psychiques de la sénilité. Elle serait bien plus
e de Paris, 1884.) . Cette thèse a pour but de montrer que tous les
troubles
vésa- niques peuvent se rencontrer chez les vie
es), S>3; - (grands et petits), par Shaw. 415. Associations (
troubles
des), par de Pfungen, 408. Ataxie locomotrice
hez des détenus), par Krcdlt-Ehin ? 419. Diabète chez les femmes (
troubles
nerveux dans le), par Lecorché, 395. Digest
emmes (troubles nerveux dans le), par Lecorché, 395. Digestifs (
troubles
d'origine ner- veuse), par \Icehms; 96. Doigt
diots (des familles d'), par Bour- neville et Séglas, 186, 47; - (
troubles
delà parole chez les), 250. Imbécillité (rapp
es), 250. Imbécillité (rapport médico-légal), 420. Inanition (
troubles
nerveux dans l'), M7. Incendies multiples, au
aques (curabilité de )a),parCatsaras,S6. Sclérose nndtiloculairc (
troubles
oculaires dans la), par Gnauck, 228; - (avec
mps des faits d'interpréta- tion difficile, faits dans lesquels des
troubles
fonction- nels, quelquefois assez graves pour a
a atteint la moelle, sans y produire de lésions en foyer, et où les
troubles
COMMOTION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 5 fonctionne
la sensation du froid. Urine neutre, les dernières portions un peu
troubles
. 12e jour. La quantité d'urine rendue dans les
rition presque complète de l'hyperesthésie cutanée, Encore quelques
troubles
dans les sensations thermiques ; un corps chaud
obtuse aux membres inférieurs. 39° jour. - Urines beaucoup moins
troubles
. Exploration électrique au moyen de l'appareil
ts qui n'avaient aucun sens, mais tout cela sans délire, sans aucun
trouble
des facultés mentales. Des mois et des années s
qui en est atteinte de toutes les douceurs de la société, car le
trouble
qu'elle y porte est en raison du plaisir qu'elle
onservera la plus grande reconnaissance. Il n'existe chez lui aucun
trouble
de sensibilité : le coeur est sain ; le champ v
rès satis- faisant. Ajoutons qu'il n'a jamais existé chez lui aucun
trouble
de la sensibilité et que l'examen du fond de l'
er- çait la profession de clerc d'huissier : il ne présente aucun
trouble
de sensibilité, le champ visuel est normal; les o
aule. - Tous les organes, y compris le coeur, sont sains ; pas de
troubles
de sensibilité. Son institutrice nous apprend qu'
et il n'y a jamais de paroles involontairement proférées. Pas de
troubles
appréciables de la sensibilité, pas de parésie
s pendant huit heures. Après un accès à l'hôpital, on observa des
troubles
intellectuels et une espèce de perle de connais
accès où les symptômes convulsifs restent les mêmes, mais où les
troubles
psychiques l'ont déjà défaut, quoiqu'ils aient ét
up. A l'âge de sept ans elle recommença à marcher sans appui, les
troubles
disparaissant d'une façon progressive, quoique 'l
Dans la suite, une fois la menstruation établie, nous en voyons des
troubles
constants et marqués venir s'ajouter et rendre
sait d'un vieillard de soixante-dix-neuf ans n'ayant présenté aucun
trouble
moteur. M. W. fait remarquer que les calcificat
affaiblissement et l'atrophie lente des extrémités supérieures, des
troubles
légers de la sensibilité, l'ab- sence des réfle
s réflexes tendineux, rarement la rigidité et la contrac- ture, les
troubles
trophiques, l'analgésie, la diminution du sens
ution du sens thermique et du tact, les symptômes vaso-moteurs. Les
troubles
du mouvement sont toujours peu importants. Dans
alors même que les muscles étaient très diminués de volume, pas de
troubles
pupillaires ni cardiaques, dans la forme que Kabl
irmé d'ailleurs par la suite de la maladie. Insiste aussi sur les
troubles
vésicaux qui pendant longtemps (des années) peu
sur le front et la joue gauche une tache brune (premier signe d'un
trouble
de la Archives, t. IX. S 66 REVUE DE PATHOLOG
'hyperalgésieetaussi d'anesthésie. Pas d'atrophie musculaire, ni de
troubles
trophiques. Mais le symp- tôme qui incommode le
rait bien difficile de les rat- tacher à autre chose qu'à un simple
trouble
fonctionnel; d'autres, au contraire, sont telle
le résultat dans 40 à 0 p. 100 des cas. Ou peut aussi observer des
troubles
men- taux chez les individus qui vivent dans un
ins. En pra- tiquant autour d'un centre une section complète, on ne
trouble
pas non plus la marche normale des convulsions
ou extra-céphaliques qui ifs tour- mentent, à faire disparaître les
troubles
de la sensibilité générale, les vertiges, et l'
sou- mettre ces trois cas; s'ils appartiennent à la même forme de
trouble
mental, ils diffèrent quant à l'évolution du déli
de soixante ans, bien portant; rien, au premier abord, ne trahit le
trouble
profond dont cet homme est atteint; il prétend
z longtemps dans l'espèce. Terminologie. Les deux grands groupes de
troubles
aphasiques méritent les noms d'aphasie motrice
t difficile d'en dégager l'autonomie quand elle accompagne d'autres
troubles
de la parole, mais parfois elle do- mine tellem
ntrifuges. M. LICllTIIGI)I. « L'homme observé par moi présentait un
trouble
paraphasique avant d'être frappé de l'attaque d
augmente, les règles deviennent irrégulières. On constate alors des
troubles
digestifs non motivés; tout aliment 96 SOCIÉTÉS
uer, car il n'existait pas de conceptions délirantes à l'époque des
troubles
nutritifs, car, la connaissance restant indemne
s de la parole. de la déglutition, de la respiration présentent des
troubles
sem- blables a ceux de la paralysie bulbaire, e
dans lequel les altérations macroscopiques consis- tent on un état
trouble
avecépaississemenl delà pie-mère, accom- pagné
é en ce sens qu'il est souvent fort difficile de savoir s'il y a un
trouble
pathologique réel ou une simple différence phys
ou des vaisseaux rétiniens, car il n'existe pas, dans l'espèce, de
trouble
de la vue. Ces anomalies sont le résultat, ou d
dies du système nerveux central, les unes sont symptomatiques d'un
trouble
mental congénital, d'une lésion des organes nerve
ints traités de psychiatrie les consi- dèrent comme les produits de
troubles
trophiques. On rencontre également des anomalie
il n'y arrivera qu'incomplète- mont au point de vue psychique. Les
troubles
de la nutrition générale peuvent, pendant la pé
ves, nerveuses ou non, de l'atl et du cerveau, d'où : tantôt un pur
trouble
fonctionnel, tantôt une altération - inatoiniqt
- te,, surtout occipitales, à la suite desquelles se montrent des
troubles
de tasanté généralement du même mois, ces céphala
e temps à autre, agitation avec gémissements, suivie d'hébétude, de
troubles
du côté de la mémoire, de desordre dans les idé
rs, jusqu'au jour où leur l'accroissement a de nouveau entraîné des
troubles
graves, les uns témoignant de l'augmentation de
ation, le type de l'hystérie mortelle aiguë de L. Meyer (absence de
troubles
moteurs). Ce qui le frappe SOCIÉTÉS SAVANTES. 1
i, à plusieurs reprises, pendant des accès d'épilepsie transformés (
troubles
psychiques) avaient devant des enfants découver
, ce n'est qu'après des condam- nations répétées que l'on flaira un
trouble
mental. L'examen médico-légal, en annulant la p
l était en tournée de voyage); en même temps, il aurait présenté un
trouble
de la parole. En reconstituant son histoire à l'a
t d'anomalies; il a pu, même sous l'influence de phénomènes graves (
troubles
de la parole), renseigner convenablement un fon
une aggravation considérable compliquée bientôt d'hémiplé- gie avec
troubles
de la parole. Discussion : M. Zixx contraint
os, l'épigastre; en même temps tendance à la lipothy- mie, dyspnée,
troubles
digestifs. Eu conséquence, les malades sont con
c des fougues laborieuses presque impulsives et disconti- nues, des
troubles
du sommeil, de la constipation, de la lenteur,
es de Schneller. Une observation d'hémiopie latérale droite, avec ,
trouble
de la sensibilité, termine cet important mémoir
une oppression passagère, des palpitations, et presque toujours des
troubles
dyspeptiques. A cette période, la maladie conve
tive. Sur le tube digestif, l'hystérie ne provoque pas seulementdes
troubles
fonctionnels; mais aussi des lésions anatomique
ces recherches, le rapport entre des désordres ana- tomiques et les
troubles
fonctionnels n'est nullement éclairé ; mais cro
ur- dissement et de la faiblesse dans les membres inférieurs. Les
troubles
de l'ataxie se caractérisèrent et il succomba t
rd et lentement se développe de la faiblesse dans les épaules/ sans
troubles
de l'in- telligence ni de la sensibilité -génér
alentiner, ajoute^Roberts, rapporte un cas dans lequel les premiers
troubles
de santé, suivirent une chute sur le dos.d'une
t XI de l'ouvrage d'Erichsen où la commotion de la moelle amena des
troubles
attribuables à la myélite chronique, parmi lesq
t au premier rang du tableau syinptomatologique l'instantanéité des
troubles
fonctionnels; mais les des- criptions pathologi
Néanmoins jusqu'à qua- torze ans il n'avait jamais présenté d'autre
trouble
morbide caractérisé que des terreurs nocturnes
ts, pas plus sensibles l'un que l'autre; du reste il n'existe aucun
trouble
de la sensibilité générale ou spéciale. On ne c
mportance de son témoignage : « Sous l'influence de je ne sais quel
trouble
de l'inner- vation, cet enfant était pris de mo
ngers sont éga- lement muettes sur l'existence de ces variétés de
troubles
. On conçoit déjà combien le diagnostic diffé- r
, il existe toujours, ou des crises convulsives antérieures, ou des
troubles
de la sensibilité, ou un rétrécissement du cham
mples, même isolés, elles se caractérisaient suffisamment par des
troubles
mentaux, et des actes insolites, des accès conv
au et la tempe gauche).-Après les accès, il a eu plusieurs fois des
troubles
intellectuels; ainsi, un jour, il est allé ouvrir
TROIS AUTOPSIES POUR SERVIR A LA LOCALISATION CL : ltL.13R1LL : DES
TROUBLES
DE LA VISION; Par Cii. FÉRÉ. Bien que les rec
E LA VISION; Par Cii. FÉRÉ. Bien que les recherches relatives aux
troubles
de la vision d'origine cérébrale se soient mult
t résolue. On discute encore les caractères symptomatiques de ces
troubles
, sur lesquels la physiologie expérimentale et la
ablir que les lésions du cerveau ne peuvent déter- miner qu'un seul
trouble
fonctionnel de la vision, l'hémianop- des troub
miner qu'un seul trouble fonctionnel de la vision, l'hémianop- des
troubles
DE la vision. 223 sie. La clinique humaine au c
dans le doute en ce qui les concerne ; et d'ail- leurs ce sont les
troubles
observés chez l'homme qui nous intéressent excl
n demi-ilexion sur le bras, 1 Cil. Foré. Contribution à l'étude des
troubles
fonctionnels de la vision par lésioiis cérébral
ue coupant la partie pos- térieure de la capsule in- terne. DES
TROUBLES
DE LA VISION..227 illiplégie droite datant de 1
re de M. Ber- nard.) Elle s'exprime avec difficulté et présente des
troubles
de perception des signes écrits (cécité verbale
jaunâtre au centre, déco- lorée et fibroide à la périphérie. DES
Troubles
DE LA VISION. 229 Observation II1. Hémiplégie d
ce de M. Charcot), a présenté dans sa jeunesse un certain nombre de
troubles
hystériformes. En novembre 1883, elle éprouva u
fait pas- sagère.- A son entrée dans le service il n'existe plus de
troubles
moteurs, mais la sensibilité au froid et à la d
stérieure de la deuxième e circonvolution temporo-occipitale. DES
TROUBLES
DE LA VISION. 231 Cette observation nous offre
On remarquera qu'en somme toutes les lésions qui déter- minent des
troubles
delà vision, siègent dans la partie posté- rieu
autopsies on peut voir des lésions assez rapprochées déterminer des
troubles
différents. Il est donc permis de se demander s
permis de se demander si tous les sujets sont aptes à éprouver des
troubles
identiques en conséquence d'une lésion destruct
es encore ne peuvent avec une lésion identique ne présenter que des
troubles
com- binés. L'existence bien établie des variét
s que chez les adultes. L'ensemble de ces allures s'explique par un
trouble
de l'innervation du grand sympathique cervical
nfectés et cinq sujets sains. P. K. XIX. Contribution A L'ÉTUDE DES
troubles
DE coordination dans L'EN- FANCE; par A. Erlenm
pathique) le slrabisne disparait; une saison à Wildbad améliore les
troubles
de la parole. Les autres symptômes persistent.
es images corn iiiénioralives des impressions visuelles, résulte de
troubles
moléculaires et circulatoires dans les postes t
comitances accidentelles. Il. L'auteur passe à l'examen de quelques
troubles
de la motilité qui se rattachent aux attaques c
s, la tête et les yeux regardent le côté opposé à la lésion; 3° les
troubles
du sens musculaire, assez fré- quents, mais dif
s paralysés. Nec plura. 111. Ce dernier paragraphe est consacré aux
troubles
de la vue ', qui accompagnent et suivent les at
attaques congestives se traduisent certainement par deux genres de
troubles
visuels : 1 par de la cécité psychique pure, sa
décider si elle est constamment bilatérale, si elle s'accompagne de
troubles
de la motilité du côté droit, de dysphasie etc.
semblable; ces deux forment s'associent probablement bien des fois (
trouble
visuel combiné). L'existence d'une amaurose exc
eau postérieur; on ne peut préciser la nature du processus, mais le
trouble
étant transitoire, on peut affirmer que la lési
z deux malades, pendant l'évolution de leurs attaques, un singulier
trouble
vasomoteur ; en effleurant la peau à l'aide d'u
du trop petit nombre d'autopsies existant. En ce qui concerne les
troubles
psychiques, on rencontra soixante fois l'affaibli
75 femmes révélant des signes de dégénérescence, 59 souffraient de
troubles
dans le domaine du système nerveux, psychoses o
I et IV) : en tous cas, ce jeûne est très souvent le symptôme d'un
trouble
somatique réel contre lequel la sonde oesophagi
ns une analyse critique très attentive, l'auteur fait ressortir les
troubles
de la motilité en rapport avec l'atteinte des c
outes les observations connues actuellement 1. P. K. XXI11. Sur les
troubles
psychiques consécutifs aux blessures c'éphaliqu
s représentent, soit la prolongation affaiblie, le (lot mourant dos
troubles
fonctionnels du cerveau, surtout de la sphère int
la pathogénie étiologique; on constate aussi, à cette période, des
troubles
sensoriels, sensibles et moteurs. La vésanie pr
SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDICO-PSYCHOLOGIQUE Séance du 20 janvier. Des
troubles
mentaux dans la sénilité précoce et rapide; par
semble pas avoir fixé suffisamment l'attention au point de vue des
troubles
mentaux qui l'accompagnent, surtout s'il ne s'y
us qui en sont frappés, la marche est rapide quand il s'y joint des
troubles
mentaux; ainsi se trouve justifiée l'expression d
continuent à vivre, et ils ne sont pas malades, et ils n'ont pas de
troubles
intellec- tuels ; ils vivent au même titre que,
s précoces est étranger à notre sujet, puisqu'il ne présente pas de
troubles
mentaux. Nous n'y insistons pas davantage. No
ongtemps non plus sur les sujets atteints de sénilité précoce et de
troubles
mentaux chez lesquels l'étioiogie est déterminé
és. Dans tous ces états, la séni- lité précoce est fréquente et les
troubles
mentaux ont été souvent signalés. Le délire mél
et syphilitique, la morphiomauie, et surtout l'immense groupe des
troubles
cérébraux alcooliques ont été successivement étud
maladies. Nous ne ferons au-si que passer légèrement sur d'autres
troubles
mentaux qui existent à l'âge mûr en même temps qu
sénilité précoce apparaît ou bien celle-ci succède, accompagnée de
troubles
intellectuels, aux suites d'une fièvre typhoïde
e glisser en y étant confon- dus parmi les déments sénilisés. Les
troubles
mentaux que nous avons à décrire et que nous dé-
aux que nous avons à décrire et que nous dé- signons sous le nom de
troubles
mentaux de la sénilité précoce simple, pour les
pposer, tant s'en faut, à l'apparition de la sénilité précoce et du
trouble
mental. La véritable caractéristique de la cond
condition qui préside au développement de celte sénilité et de ces
troubles
mentaux, c'est l'incapacité d'adaptation de l'ind
e des frayeurs, les traits de la sénilité marchant de pair avec les
troubles
intellectuels et enfin apparition d'une pneumonie
ppement rapide des carac- tères de la ,vieillesse et apparition des
troubles
mentaux qui an- térieurement n'existaient pas;
tif, absence d'hallucinations. D'autres sujets présentent aussi des
troubles
mentaux associés à la sénililité prématurée; ma
t un troisième groupe de sujets présentant aussil'as- sociation des
troubles
mentaux et de la sénililité prématurée. Nous en
ses pour être constatées. Elles peuvent être ou non accompagnées de
troubles
mentaux que les auteurs ont décrit, mais sans m
assez en relief la précocité de la sénilité concomitante ; 3° Les
troubles
, mentaux de la sénilité précoce peuvent exister s
t, ce n'est que comme épisode terminal incapable d'expliquer ni les
troubles
mentaux, ni la précocité de la sénilité. Ces
quer ni les troubles mentaux, ni la précocité de la sénilité. Ces
troubles
mentaux sont à forme dépressive avec certaine c
uvent consister dans l'état d'affaiblissement intellectuel ; 4° Ces
troubles
mentaux, qu'ils reconnaissent pour cause le cha
gie entretenue jusqu'alors par une idée intensive déterminante, des
troubles
mentaux ont toujours pour condition causale com
pèces; cette incapacité d'adaptation apparaît très marquée dans les
troubles
mentaux de la sénilité précoce ; Il y a lieu,
tice. 6° Enfin il existe une sénilité précoce sans maladies, sans
troubles
mentaux. Les hommes qui en sont frappés savent vi
action du nerf ulnaire pour remédier à une altération motrice et un
trouble
de la sensibilité obser- vés dans l'extrémité s
pt ans, qui accusait, depuis sept ans, une névralgie accompagnée de
troubles
de la motilité et de la sensibilité. Une second
sseaux sous-arachnoïdiens; c'est assez dire qu'elle s'accompagne de
troubles
graves persis- tants, et les quelques faits rar
e. Notons, en outre, qu'il n'y eut aucun accident primitif, que les
troubles
consécu- tifs, ne se montrèrent que plusieurs m
larité dans un certain nombre d'observations. La distribution des
troubles
sensitifs ne répond pas exactement à celle des
ution des troubles sensitifs ne répond pas exactement à celle des
troubles
moteurs, nous voyons l'anesthésie épargner la p
pas réveillée spontanément dans un délai si court. . La marche des
troubles
fonctionnels est graduelle- ment décroissante.
craindre pour plus tard des lésions plus profondes. Ces premiers
troubles
n'ont pas empêché la guérison de s'accentuer, m
ntorse. Si, en outre, nous rattachons à la commotion les cas où les
troubles
du premier moment manquent complètement ou sont
et de la com- pression produite par un épanchement sanguin ? Les
troubles
fonctionnels de la contusion ont un degré de pe
nique deux périodes, celle des phénomènes primitifs et celle des
troubles
tardifs, les premiers appartenant à la commotio
ec violence, un état fébrile des plus accen- tués et amène tous les
troubles
de la motilité, de la sensibilité et de la nutr
e. Nous devons d'abord signaler, dans un grand nombre de cas, des
troubles
cérébraux de début, tenant à la commotion du ce
ns complète et plus ou moins longue, le malade revient à lui, les
troubles
de sensibilité spéciale disparaissent et la sph
sent et la sphère pathologique se circonscrit de plus en plus aux
troubles
fonctionnels du centre médullaire. Une remarque
remarque qu'il n'est pas inutile de faire d'a- bord, c'est que les
troubles
moteurs et sensitifs sont beaucoup plus persist
égers ou nuls. Si, comme dans les cas de Leu- det, on peut voir les
troubles
consécutifs disparaître plus ou moins rapidemen
à la moelle. On le retrouve dans la pathologie du cerveau, dans ces
troubles
que Lasègue l a décritscomme manifestation tard
commotion peut exister à l'état latent et ne se révéler que par des
troubles
secondaires, variant depuis la simple congestio
pas d'accidents locaux, sauf par- fois une légère ecchymose, pas de
troubles
généraux ; - hier le malade s'est plaint de cép
sé (gauche) des indurations qui n'ont pas été observées à droite (
troubles
trophiques) ; 3° enfin que, si la sensibilité au
psule interne, de l'avant- mur, etc., ce qui explique en partie les
troubles
de la sen- sibilité. Ce résumé justifiera cer
tions psychiques doivent figurer celles des centres thermiques. Les
troubles
de la calorification, dès qu'ils atteignent une
malade qui avait à peine maigri. On no peut donc supposer ici qu'un
trouble
des centres thermiques du cerveau promptement e
atal. Aussi, ne doit-on pas admettre avec certains auteurs, qu'un
trouble
thermique de cette nature dépend de modifications
l'élimination de l'acide phosphorique ne peut nous éclairer sur les
troubles
que l'aliénation mentale est susceptible de fai
dant une seconde période d'agitation (novembre 1879), alors que les
troubles
somatiques étaient aussi marqués et les trouble
), alors que les troubles somatiques étaient aussi marqués et les
troubles
intellectuels un peu moins accentués que précéd
ant les cas. Pendant la période d'état de la maladie, alors que les
troubles
cérébraux sont intenses, que les idées sont très
rmal. Pendant les périodes de déclin de la maladie, alors que les
troubles
cérébraux sont peu intenses, l'acide phosphorique
Pendant l'état de dépression, alors que, à part l'agitation, les
troubles
cérébraux persistent et s'accusent par de l'apath
lins ; mais encore ici faut-il distinguer les cas dans lesquels les
troubles
cérébraux sont très marqués de ceux dans lesque
les troubles cérébraux sont très marqués de ceux dans lesquels ces
troubles
sont superficiels. Dans le premier cas, qui cor
marque, d'une part, que c'est dans la période d'état, alors que les
troubles
cérébraux sont le plus intenses, que le chiffre
t les périodes d'agitation du déclin de la maladie, alors que les
troubles
cérébraux sont moins marqués que pendant l'état d
que pendant l'état de dépression, on est obligé de rattacher à ces
troubles
l'augmen- tation des phosphates terreux. Et si
e compte des rapports qui existent entre l'acide phosphorique etles
troubles
cérébraux. En effet, si ces résultats nous port
ystérique aliénée. Si l'achromatopsie, qui est très probablement un
trouble
fonctionnel de l'écorce cérébrale, met le même
M. RITTI ; secrétaires annuels : MM. Charpentier et Garnier. Des
troubles
mentaux dans la sénilité précoce; par M. CHARPEN-
éments, ce sont des lents. Quand ils deviennent actifs, c'est qu'un
trouble
cérébral nouveau s'est pro- duit. II n'y a donc
es. M. Charpentier. J'ai voulu surtout décrire ces gens qui, sans
troubles
organiques apparents, autres que de la faiblesse
e dont nous parle M. Charpentier ; mais là encore, il s'agissait de
troubles
cérébraux se traduisant par des paralysies. M
des délires variés à début rapide et à évolutions irrégulières. Les
troubles
intel- lectuels de ces dégénérés, exercent une
eptique sous la forme vertigineuse, ayant toute sa vie présenté les
troubles
du caractère des épileptiques ; il in- sistait
es olifices buccal et nasal. Il était, depuis un an, en proie à des
troubles
digestifs (plusieurs selles la nuit) ; incertit
sont pas encore en pleine paralysie. Exclusion absolue de tous les
troubles
psychiques aigus, des psychopathies chroniques
'a lieu l'instruction. M. Loehr, tout en exposant magistralement le
trouble
mental de la baronne, lui conseille dans son in
yer expliquait le symptôme; car, il faut tenir compte également des
troubles
du pourtour du foyer qui rétrocédèrent; en ce qui
cBOEFER; son malade n'était pas en proie à une démence avancée. Les
troubles
moteurs rapportés disparurent dans le cours de
ité électrique), de l'ataxie des extrémités inférieures avec légers
troubles
de la sensibilité et absence du phénomène du ge
nerfs cruraux. Le retour de lamo- tilité à la normale, l'absence de
troubles
de la sensibilité, l'ab- sence de tremblement,
AK. lise pourrait qu'on ait affaire à un hys- térique. L'absence de
troubles
moteurs et d'atrophie plaide contre l'existence
omment expliquer la participation de la moitié droite de la face au
trouble
de la sensibilité ? M. BERNHARDT. 11 y a un an
e l'extrémité inférieure droite quanta la sensibilité. L'absence de
troubles
de la motilité et d'atrophie s'ex- pliquerait d
vrite primitive non compliquée, en ce qui concerne l'étiologie, les
troubles
de la vue, les champs visuels, etc. La démence
maxillaire inférieur, les oreilles, l'occiput, la région pariétale (
trouble
plus intense à droite); une diminution prononcé
te : Indifférence de l'animal qui demeure au repos dans sa niche,
troubles
de la motilité des membres postérieurs, perte de
5 culaires du tronc et du facial, modifications dans l'aboiement,
troubles
de la sécrétion urinaire. Rien du côté de l'appar
notion de conception irrésistible, comme indépendante de tout autre
trouble
psychique ; elle se produit isolément chez un i
onvolutions ascendantes et de la région pariétale. Ressemblance des
troubles
de la motilité avec la mala- die de Thomsen (ri
e succès. DENY. BIBLIOGRAPHIE. 441 XI. Contribution à L'étude des
troubles
trophiques dans la paralysie générale; par J. R
MADtER (Thèse 1884). Les paralytiques généraux, offrent souvent des
troubles
de la nutrition générale, amaigrissement ou eng
u'il n'est pas toujours facile de mettre en rapport avec les autres
troubles
psychiques ou somatiques. Certains appareils et
prenant de voir signalés dans le cours de la première maladie des
troubles
qui ont été observés dans la seconde, nous voulon
altération atrophique des os qui favorise les fractures. -Parmi les
troubles
de nutrition, il faut citer encore les escarres
e l'), par lVitl : owsl : y, 59. Enfants (ataxie chez les), 252; (
troubles
de coordination chez les), 254. Epilepsie spi
rébelleuse, par Sommer 261. l . Sénilité précoce et rapide (des
troubles
mentaux dans la), par Charpentier. 275, 395.
), pai' l3erger, G2 ; 1* (c)ei ! lesfemmes),pnr.Moebius, 253 avec
trouble
mental, 263; du), 429. Température (importanc
Ro- senheim, 258. Trijumeau (anection du), par Sena- tor, 63.
Troubles
trophiques, 332. Vision (trois autopsies pour s
ion (trois autopsies pour servir à la localisation .cérébrale des
troubles
de la), par Ch. Féré, 22. Visuelle (sphère), pa
al dans ce district de- vront donner lieu à un plus grand nombre de
troubles
ou à des troubles plus intenses que ceux observ
de- vront donner lieu à un plus grand nombre de troubles ou à des
troubles
plus intenses que ceux observés dans les deux p
nche artérielle donnera lieu à l'hémiplégie vulgaire et à un simple
trouble
de la parole, tandis que l'hémorrhagie limitée
extra-nucléaires amènera la perte absolue de la parole et un simple
trouble
paralytique. Signalés par M. Duret, ces vaissea
petites; elles contiennent quel- ques gouttes d'une sérosité un peu
trouble
. Dans cette observation, la lésion occupe sans
que les faisceaux capsulaires extra-nucléaires ont été détruits. Le
trouble
paralytique, qui s'est montré sur les muscles d
et quand elle apparaît dans une famille, indemne jus- qu'alors de
troubles
nerveux, elle a été, à coup sûr, préparée de lo
vent fortifiée et occassionnera d'autant plus facile- ment d'autres
troubles
qu'elle en a déjà produit. Cette triste vérité
effet, elles relèvent souvent d'une absorption de l'esprit par les
troubles
sensoriels et les conceptions délirantes. Les m
st pas rare que les sujets qui en ont été atteints offrent d'autres
troubles
nerveux ou qu'ils produisent dans leur descenda
s nerveuses, dont il guérit, et aucun de ses enfants n'éprouve de
troubles
nerveux. -- La malade a eu la scarlatine vers l
riage, à vingt-quatre ans, elle éprouvait presque tous les mois des
troubles
nerveux légers, caractérisés par du clignotemen
s convulsifs, plus tard par des phéno- mènes hystériques ou par des
troubles
plus ou moins bizarres de l'innervation, il est
èrent peu à peu pour dis- paraître au bout de six mois. Aucun autre
trouble
nerveux jusqu'à sa grosessse. -Au huitième mois
nt. Thèse de Nancy, J879. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE. n'ajamais eu de
troubles
nerveux ni d'autre maladie, jusqu'à l'âge de vi
En 18u1, la malade avait cinquante-six ans et souffrait de divers
troubles
liés à la ménopause, quand elle fut prise, à la
ù ont commencé les accidents actuels, elle n'avait souffert d'aucun
trouble
nerveux, pas de migraine ; elle était d'un cara
tiges, se produisant de une à trois fois par jour, furent les seuls
troubles
observés pendant deux ans et demi. ÉCLAMPSIE ET
eproduisirent pas pendant trois mois. Depuis lors, sous prétexte de
troubles
gastriques, le bromure, qui n'avait jamais été
ieures viennent montrer que les éclampsies ne constituent point des
troubles
purement accidentels, et qu'ils dépendent, au c
s dans l'enfance. Deux accès de mélancolie. H««MC ! ) : ft<ions.
Troubles
de la sensibilité générale. Six tent(ilives de
paternelle ont aussi présenté CAS DE MÉLANCOLIE ANXIEUSE. 57 des
troubles
sérieux du côté de l'intelligence. Mère : nerveus
rachitisme. La sensibilité spéciale est conservée, mais il y a des
troubles
notables et variés de la sensibilité générale. Ce
ôlement de la peau devient douloureux. Eu même temps, il existe des
troubles
vaso-moteurs et la plus 60 RECUEIL DE FAITS.
onsidérant la longue durée de la maladie ? 2 D'un autre côté, les
troubles
de la sensibilité spéciale et générale, relatés
ns très intenses de la vue, des illusions du goût, de l'odorat, des
troubles
très graves de la sensibilité générale donnant
rtainement la mélancolie qui présente le plus souvent ces sortes de
troubles
de la sensibilité; et si, chez cer- tains persé
tour, entretiennent l'état mélan- colique. Cette prédominance des
troubles
sensoriels commence donc déjà à distinguer cett
e de la réunion des symptômes suivants : prédominance excessive des
troubles
de la sensibilité générale, différentes idées s
déjà eu des accès mélancoliques antérieurs guéris ou en proie à des
troubles
mélancoliques. Si quelquefois le début est brus
iquée par le vocabulaire spécial du malade, la prédominance que les
troubles
délirants prennent alors sur les troubles mélan
, la prédominance que les troubles délirants prennent alors sur les
troubles
mélancoliques, la fréquence des tentatives de-s
ociation est surtout heu- reuse quand il existe des douleurs et des
troubles
de la sensibilité et que l'ataxie n'est pas trè
Le jour suivant la parole est encore un peu em- barrassée, niais ce
trouble
n'est que de courte durée; il est vrai que pend
és généraux, on peut, comme l'auteur, admettre qu'ils dérivent d'un
trouble
céré- bral en rapport immédiat avec le tabès. D
IIh : LL. (Neurol. Ccrtlrtlt ! , 18`i' ? .) Faisant abstraction des
troubles
de la motilité et de la sensibilité qui furent
. Cirrhose hépatique. Très violents accès de dyspnée accompagnés de
troubles
de la motilité qui se montrent vingt-deux jours
rs, et du facial entier, ainsi que l'étendue des phénomènes. Pas de
troubles
de la sensibilité; pas de paralysie franche. Au
lle, est atteint d'accès d'épilepsie avec perte de connaissance, de
troubles
intellectuels avec perte de la mémoire, d'agitati
; ces décharges s'effectuent à l'occasion des actes intentionnels.
Troubles
de la vue : papilles étranglées. Deux mois et d
s, soitde rétrocessions complètes de certains symp- tûmes, tels que
troubles
de la sensibilité, douleurs, crises laryn- gées
2.) Rien de nouveau, si ce n'est que les os ue participent pas au
trouble
trophique ; cette particularité s'explique par ce
ans son ouvrage sur les tumeurs du cerveau, avait rapporté certains
troubles
audi- tifs à l'augmentation de la pressioniutra
ment un peu de céphalalgie et une légère surdité, mais pas d'autres
troubles
cérébraux. Des tentatives furent faites pour ex
s ou con- comtants. Comparaison avec le tabès : même pathogénie par
trouble
dans la nutrition de certains systèmes de fibre
placer. » P. K. VI. Contribution A LA QUESTION DE la simulation des
troubles
PSYCHIQUES; par F. (,17ch. f. Psych., XIV, 1.)
s PSYCHIQUES; par F. (,17ch. f. Psych., XIV, 1.) .) L'origine des
troubles
psychiques et l'observation dans un asile penda
es. Les conditions dans lesquelles se manifes- taient ces prétendus
troubles
, l'ostentation mise par l'inculpé à les étaler,
imule la stupeur, mais ce qu'il est incapable d'imiter, ce sont les
troubles
vaso-moteurs et trophiques, la dépres- sion pro
céphalalgies opiniâtres et fréquentes, une emotivité exagérée, des
troubles
de la mémoire, des convulsions pendant les premiè
NTALE. les motifs de cette déclaration, car il n'est pas rare qu'un
trouble
psychique préside à de prétendus aveux. Tantôt
apoptecti- formes ou épilepliformes, sous l'influence manifeste de
troubles
vaso-moleurs et trophiques, on est incapable d'
du moins, de l'établir dans une thèse, se manifeste d'abord par les
troubles
intellectuels qu'on observe dans la manie simpl
nt capables de rendre compte de leurs sensations n'ont accusé aucun
trouble
et ne se souviennent pas d'avoir ressenti d'eff
omotrice, quelques symptômes suffisent, et. en dehors de tout autre
trouble
nerveux, la coïncidence del'abolition du réflexe
précoces du tabes observé et décrit d'une fa- çon très fine est un
trouble
spécial dans les fonctions des membres inférieu
e constipation opiniâtre, de l'anorexie, un sommeil irrégulier, des
troubles
du caractère et un abaissement de la températur
us un peu de faiblesse., du côté, gauche, mais très légère ; pas de
trouble
de la sensibilitéiini générale, ni spéciale. Il
tères : 1° Que souvent les lésions insulaires s'accompagnent d'un
trouble
du langage plutôt que. d'une véritable aphasie.
- dérable, la paralysie accompagne l'aphasie. En d'autres termes,
troubles
aphasiques seulement, d'une part ; aphasie véri
mple, pourquoi dans les lésions insulaires,,observe;t-on,souvent un
trouble
du langage plutôt qu'une aphasie proprement dit
nt (hé- morrhagie), d'où ébranlement, de nature congestive ou par
trouble
de voisinage sur les faisceaux capsulai- y7rèsw
e fait il y a eu aphasie. On n'avait pas fait attention qu'ici le
trouble
de la parole n'avait été qu'ér7aénèré.'Q ? r ?
, en trer ses : ] ésidus en ligne de compte pourcl'explication des
troubles
cérébraux, et rapporter tousicesiderniers à. l'
,q chacun de ces cas, la lésion eût été plus profonde; cee simple
trouble
de la parole n'eût fait place à une , .' ' . u/
onnera tellement vivement qu'il surgira du même coup un ensemble de
troubles
somatiques, fatigue générale, angoisse épigastr
strique, lenteur des digestions, cons- tipation, pesanteur de tète,
troubles
vaso-moteurs et un éré- thisme particulier qui
pochondrie vulgaire,1 il s'est ajouté chez ces prédisposés certains
troubles
spéciaux qui feront reconnaître la maladie; il
eux, 1 îndille^ rcîice1, la perte du sentiment etFairgravation des
troubles
intellec- tüéls, ac sorte que les malades en pr
émence complète arrive avec la dissociation intel- lectuelle et les
troubles
profonds du côté des viscères et de la nutritio
suivant, de M. llLcw;v : « Délire chronique (teec hallucina- tions,
troubles
de la sensibilité générale et prédominance d'idée
ir parcouru très rapidement l'étape de la phase d'inquiétude. Comme
troubles
généraux, elle éprouve des lourdeurs de tête qu
fférents asiles de province : elle chronique avec hallucinations,
troubles
dé 1 ti zs "il)iiité générale et idées' de perséc
on du reffexe. 2° Dysphasie. En considérant l'ensemble des cas, les
troubles
du langage sont sensiblement égaux dans les deu
eKque* dansoc6 : cas,llu3 ruptiiro'tarlérielle a 'été précédée d'un
trouble
de la nutrition cérébrale, reconnaissant prob'a
à cesser tounq travail intellectuel..Il3aquati·ecmois,lapparitiondè
troubles
in ? q tell ectlels iinarqués. On la conduit ch
son rapport, outre l'absence des signes ordinaires.propres à divers
troubles
mentaux, la'présence de deux formes de délire q
central,6de`foÿershémorrhaôi`lues`et`emboliques, ellncidemment dé
troubles
'généraux1 de la1 nutrilionJ'A'ssez souvent1 on m
hypérémie passive du système vasculaire céphalique entraînant ,unr
trouble
de'la"'connaissance, et, finalenïent ? la ? pâéal
on "générale) 'de''violentesrdouleursèdàns^les 'membres, de légers'
troubles
psychopalhiqùes ! Quant a'ia produc- tion d'une
lisse.o Le (pronostic 8 dépend' ri'aturellemént,7'del la durée' 'du
troubles
Lesj rechutes doivent être aussi1 dangereuses q
9 du nom de névrite. 111 inclinerait à en, rapporter, la à à «des
troubles
du côté des centres trophiques., Ce 'sont, (du re
9J[ ? tq tuavu ? b ? n.)'. 9r 1° Il est possible etprobalrleque des
troubles
purement fonctionnels 'affectant les centres tr
x Marchand sous le nom de névrite'01 parenchymateuse. La rareté des
troubles
sensitifs dans la paralysie01'1 saturnine s'exp
eint ? or, dans la paralysie traumatique > ? du nerf radial, les
troubles
de la sensibilité sont, de primé ahold ? Jf,, t
mélancolie avec hallucinations sensorielles, idées de persécution,
troubles
de la sensibilité générale et instincts pervers.
une disposition radiaire. M. Grunewald. Communication sur un cas de
trouble
mental (loti- Une' courte discussion s'engage à
masque répond à l'état de déchéance psychique, et en même temps aux
troubles
de la motilité; souvent on a devant soi un sour
e ressortit aux imbéciles, et même aux gens non psychopathes. Les
troubles
dans le rapport entre le jeu de la mine et les in
contre de véritablement convulsifs dans les formes dégénératives de
troubles
psychiques. C'est à des troubles de l'innervati
dans les formes dégénératives de troubles psychiques. C'est à des
troubles
de l'innervation que doivent être rapportées les
péciale qui déforme un beau visage (bouche béante des déments). Des
troubles
trophiques s ajoutant finalement à ces perturba
soit àhrmodincation pathologique des facultés nioritles, soit à un
trouble
dans l'évolution des facultés intellectuelles ;
erminées (kleptomanie, dipsomanic) pyromanie, etc.)..Voilà pour les
troubles
négatifs, synonymes d'absence de'sons moral, il
tions anatomiriues. On que llenet u lout récemment prétendu que les
troubles
vaso-moteurs et trophiques émanaient, de la lés
et un ans. malade depuis cinq ans, présentait depuis trois ans des
troubles
de la marche. Quatorze jours avant son entrée à
e fond de l'ceil ne présente que de la pâleur des papilles, un état
trouble
de moyenne intensité de la rétine, un rétréciss
- pause s'accompagna, dans l'espèce, de la guérison complète d'un
trouble
psychique ayant débuté en 1 83.'i, et ayant néces
ssement pendant les cinq ou six premiers BIBLIOGRAPHIE. 267 mois.
Troubles
psychiques : torpeur intellectuelle générale, apa
livperestliésie générale fréquente; hyperexcitabilité des réflexes.
Troubles
des sens ; vue : oeil morne reprenant son éclat
lles souvent rétractées, anémie permanente de la rétine (Parinaud),
troubles
de l'odorat et du goût (saveur acre et métalliq
acre et métallique); parfois hallucinations de la vue et de l'ouïe.
Troubles
de la vie de nutrition : torpeur de la vie végéta
sychique, il y a impulsion irrésistible pour la morphine, mais sans
troubles
réels si la morphine est suppri- mée. Cette t
ne observation d'amorp/tMtMmc dans le cours d'une grossesse ; les
troubles
douloureux déterminés par la suspension de la mor
é pelvienne, peuvent déterminer du côté des membres inférieurs, des
troubles
moteurs d'une étendue très variable. Tantôt, il
rand sympathique produite presque toujours par hérédité/diathese ou
troubles
digestifs ; elle exerce son action sur la circu
ermanents. Ang... présente lors de son arrivée à la Salpêtrière des
troubles
marqués de la sensibilité générale et spéciale.
st affaibli, particulièrement au niveau des membres supérieurs. Ces
troubles
de la sensibilité générale sont là à l'état per
al. Ce qu'il y a aussi de remarquable dans la distribution de ces
troubles
, c'est leur généralisation à tout le corps, avec
des symptômes afférents à la névrose (hémoptysies sans tuberculose,
troubles
de la sensibi- lité générale, points douloureux
température) est conservée des deux côtés du corps. 11 n'y a pas de
trouble
marqué de la sensibilité spéciale. Pas de zones
Mère, trente-trois ans, ménagère, assez intelligente, sujette à des
troubles
digestifs et nerveux (gastralgie) : depuis quinze
; la sensibilité dans ses divers modes y est conservée. 11 n'y a ni
troubles
de nutrition, ni modi- fication du côté du syst
and le malade était distrait. Grar... se plaignit plusieurs fois de
troubles
visuels à gauche; ceux-ci ne furent que momenta
tement en question se sont traduites exclusivement, tantôt par un
trouble
du sens musculaire des extrémités opposées, tantô
hez le chien, du segment antérieur de la couche optique produit des
troubles
de la vue tout à fait passa- gers ; la destruct
optique dans le chiasma du chien.- Les allures de la pupille et les
troubles
de l'équilibre notés dans l'espèce par l'auteur d
s et sont remplacées par des parésies des membres inférieurs et des
troubles
de coordination ; bientôt .paralysie véritable
. La paralysie et les anesthésies s'évanouirent ultérieurement, les
troubles
de coor- dination persistèrent pendant quelque
on constate à droite une ophthalmie neuroparalytique, ainsi que des
troubles
de la sensibilité, mais ceux-ci limités aux bra
tremblementavec affaiblissement des jambes, parésie des sphincters;
trouble
de la parole. Quatre ans plus tard, ce sont des
ur thorax (détails et ligures dans le mé- moite), l'analogie de ces
troubles
avec l'idiotie et la surdi-mutité ont servi de
entation de la fréquence du pouls; hyperthermie vespérale. Soudain,
trouble
respiratoire, cyanose, mort. La nécropsie montr
ction de l'aponévrose palmaire de Dupuytren) ? R Labitatératité des
troubles
, leurs allures, leurs rapports topo- graphiques
e secondaire ; pas de paralysie complète ; quelques- uns eurent des
troubles
de la sensibilité. La capsule interne cou- tien
fibres à myéline dans les circonvolutions ascendantes et cependant
troubles
moteurs précoces des paralytiques généraux en r
is traitements de la part d'un maître d'école furent les suivants :
troubles
paralytiques delà parole, céphalalgie, état nau
a colonne vertébrale à la nuque. Au bout de quatre à huit semaines,
troubles
de la dégluti- tion; hypersécrétion salivaire;
plus. On distingue trois stades : un pre- mier stade de tuméfaction
trouble
du protoplasme, qui masque le noyau, est suivi
s cellules endothéiiaies.Lanévrogtie est le siège d'une tuméfaction
trouble
dans les régions que nous venons d'envisager, m
osé. Aucun traitement ne réussit d'abord. L'examen ne révèle pas de
troubles
de la motilité de la sensibilité, de l'excitabi
s dans des salles sépa- rées. M. Savage avuun cas dans lequel des
troubles
nerveux ont fait leur apparition au même moment
nd compte ni de sa situation ni du milieu où elle se trouve. Pas de
troubles
de locomotion. Intégrité apparente des sens spé
umultueux qu'il s'est hâté de réveiller le patient; toute- fois les
troubles
cérébraux quelque peu sérieux paraissent très r
sans perte de connaissance, puis une agitation croissante et les
troubles
psychiques et somatiques de la paralysie générale
de dents au niveau des articulations de la main. P. K. L. Sur LES
troubles
DE la vue dans la ? .1R9LYSIE progressive ; par
tions recueillies par lui, l'auteur peut dire que trois formes de
troubles
de la vue se montrent chez les paralytiques génér
remarquer que cette diversité peut tenir aussi à l'intervention de
troubles
délirants appartenant à des espèces morbides di
laquelle le délire vésanique reviendra prendre son rôle, quand les
troubles
délirants coma- teux se seront dissipés. On c
ainsi, par exemple, que pourront trou- ver place dans ce cadre les
troubles
intellectuels développés sous l'influence des i
e (clavicules, côtes, tibia) sont le siège d'exos- toses. Quant aux
troubles
circulatoires (refroidissement, oedème des memb
âge de trente-deux ans, le 14 avril 1882. Elle n'avait jamais eu de
troubles
de la mo- tilité ; elle avait appris à marcher
général; amnésie très accentuée. C'est alors que se produisent des
troubles
de la motilité et des troubles de coordination
C'est alors que se produisent des troubles de la motilité et des
troubles
de coordination de toutes sortes; ce sont : la pa
ations sen- sibles, aboutissant à une augmentation considérable des
troubles
de la coordination, notamment à droite, et à l'
ant, remar- quons que l'absence de cervelet n'avait pas entraîné de
troubles
de coordination; l'idée que le cerveau avait da
'au dernier jour, la voracité a persisté, jamais on n'a constaté de
troubles
ocu- laires, ni de paralysie, tandis que les at
intervention sur l'écorce déter- SOCIÉTÉS savantes. 373 mine des
troubles
manifestes des mouvements ou de la vue, alors q
ement agir à distance. M. Hitzig ajoute qu'il a souvent observé des
troubles
considé- rables de la vue sur l'oeil opposé, de
servé des troubles considé- rables de la vue sur l'oeil opposé, des
troubles
de la motilité dans les extrémités, des lacunes
t destinée, pour prendre leur nourriture, etc.... Faut-il, pour les
troubles
de la motilité, invoquer la participation secon
ard. En tout cas, M. Hitzig refuse pareille interprétation pour les
troubles
de la vue, troubles qui cessent après plusieurs
Hitzig refuse pareille interprétation pour les troubles de la vue,
troubles
qui cessent après plusieurs jours. L'auteur ajo
dez-vous sous l'écorce est bien ar- tificiel, il n'explique pas les
troubles
des mouvements après la destruction superficiel
rapide compensation. Dans cette catégorie, il faut faire entrer les
troubles
visuels promptement passagers qui se manifesten
quel le symptôme prédominant, le symptôme caractéristique, était un
trouble
de la lecture plus ou moins soudaine. Que le te
s (prodromes), l'aphasie (2 cas), l'hémianopsie droite (I cas), des
troubles
de la motilité dans la langue (2 cas), des pare
présentait aucun résidu anatomopathologique capable d'expliquer les
troubles
passagers; dans un second cas, une inflammation
éaction latente fut visi- blement allongé. Au stade initial, légers
troubles
delà sensibilité; mais jamais de perturbations
les allures des réflexes dans la pa- ralysie progressive et sur les
troubles
de la vue qui suivent les «t- taques congestive
fection, très vigoureuse et très flo- rissante, ne présentait aucun
trouble
du système nerveux, et ce- pendant, sans qu'on
Elle est en général bien plus certaine chez les malades atteints de
troubles
de la connais- sance. Les meilleurs résultats o
xtrémités supérieures. Intégrité de la vessie et du rectum ; pas de
troubles
de la sensibilité ; pas d'ataxie, pas de troubles
u rectum ; pas de troubles de la sensibilité ; pas d'ataxie, pas de
troubles
du sens musculaire ; conservation des réflexes
, des névralgies viscérales, l'ab- sence du phénomène du genou. Nul
trouble
de la sensibilité, du sens musculaire. Tel fut
a quatre mois, sans cause appréciable, ictus aploplectiquc grave ;
trouble
de la connaissance, paralysie faciale complète,
nnement. La psychose a été précédée et en partie influencée par des
troubles
de la motilité et de la sensibi- lité. C'est ai
sens de l'espace. L'anesthésie qui nous occupe repose sur un simple
trouble
fonctionnel, comme le démontrent les fluc- tuat
nt concentrique du champ vi- suel, et qui s'allie fréquemment à des
troubles
de la sensibilité cutanée et des sens spéciaux,
t purement motrice, c'est-à-dire quand elle ne s'accom- pagne ni de
trouble
de connaissance, ni de dépression effective. On
n rétrécissement concentrique du champ visuel, accompagné ou non de
trouble
de la sensibilité cutanée, des nerfs sensoriels
e presque tous les équivalents de l'attaque accom- pagnés ou non de
trouble
de la connaissance (accès d'angoisse et d'oppre
ais non toujours, à une diminution de l'acuité visuelle. C'est à un
trouble
circulatoire de l'écorce du cerveau qu'il convi
ïn- cide avec un rétrécissement concentrique du champ visuel ; le
trouble
circulatoire en rapport avec ce dernier n'est com
liquée à la psycbophysio- log'ie générale; en un mot, l'analyse des
troubles
fonctionnels élé- mentaires et des symptômes ou
énormément (hyperpraxie), mais il n'a pas de fonds de volition. Les
troubles
delà parole, des mouvements organiques, de la f
dans un état de chronicité telle qu'il y a évidemment sous roche un
trouble
de nutrition avancé du système nerveux; les man
mission ; tel est le mécanisme des affaiblissements psychiques, des
troubles
de l'âme secondaires, par exemple : la folie circ
ilatation de l'estomac; par LAPRFVOTTF. Thèse de Paris, 1884. Des
troubles
trophiques de la période p)'cBa<n.BtM6 du tabè
- logique de la), par Mendel, 234, (par lésion du crâne), 351; (
troubles
trophiques dans la), par Ramadier (an. Ch. Féré
Séquestration des aliénés dans leur famille, 105. Simulation des
troubles
psychi- ques, par Siemens, 93 ; (chez un déte
en Dancmark. en Suède et en Norvège, par Clans, 109, 255. Vue (
troubles
de la - dans la pa- ralysie progressive), 362.
eur nombre en ait été exagéré, car il n'est peut-être pas un seul
trouble
fonctionnel qu'on n'ait dans certains cas rappo
la tempe ; il revient du Tonkin affaibli, mais sans éprouver aucun
trouble
nerveux, sinon des maux de tête assez fréquents
sent très bien et n'éprouve pas ce jour-là de céphalalgie ni aucun
trouble
d'aucune sorte, quand tout à coup, sans avoir é
on s'explique en effet très bien de cette façon la prédominance des
troubles
fonctionnels dans le membre supérieur, le peu d
examinons en particulier la paralysie brachiale, en négligeant les
troubles
moteurs du membre inférieur qui sont tout à fai
ire; or, si dans les paralysies corticales il peut y avoir quelques
troubles
sensitifs, ces troubles sont très légers; jamai
alysies corticales il peut y avoir quelques troubles sensitifs, ces
troubles
sont très légers; jamais l'anes- thésie n'est s
eur sont presque complètement paralysés. La face ne présente pas de
troubles
de la motilité. ,Le côté 20 CLINIQUE NERVEUSE.
nser à un tabes combiné; mais alors il y aura en général d'autres
troubles
sensitifs qui enlèveront toute difficulté au di
d'excitation motrice) et des symptômes communs à tous les tabes (
troubles
céphaliques et méso-cépha- liques). Anatomiqu
one corticale est indemne on peut observer tous les degrés dans les
troubles
de la motilité. G. D. IX. DES LOCALISATIONS M
cereaux désigne sous le nom d'herpétisme, et auquel il rattache des
troubles
nerveux multiples. l'arthrite déformante, les v
mais chez tous les épileptiques. Quant a la folie épileptique sans
troubles
de la connaissance, sans aucune lacune de la mé
sans anomalies de l'exci- tabilité électrique, sans atrophies, sans
troubles
de la sensibilité générale, sans perturbation d
on : pneumonie alimentaire), parce que cette lutte entraînerait des
troubles
trophiques et provoquerait de nouvelles idées d
et d'agitation : affaiblissement de la mémoire. Il y a trois mois,
troubles
de la vue, suivis de complète cécité. Aphasie.
omissements; il y a quatre ans, cécité. Phéno- mènes paralytiques ;
troubles
de la sensibilité et de la parole. Autopsie. Un
'action excitante du ferment bactério-typhoide. P. K. IX. SUR LES
TROUBLES
DE la faculté DE LIRE CHEZ LES paralytiques gén
ccalmie. Il s'agirait d'une paralexie spéciale indépendante d'aucun
trouble
de la parole, différente de la pa- ralexie par
En dehors des symptômes ordi- naires de la manie il a présenté des
troubles
spéciaux du langage. L'articulation était parfa
onstater l'existence de symptômes mentaux. Dans ces quatre cas, les
troubles
intellectuels étaient caractérisés par des idée
tique de trente ans. qui, après un surcroît de travail, fut pris de
troubles
intellectuels caractérisés surtout par de la mé
lques années, on tend à faire de la. masturbation un symptôme des
troubles
cérébraux bien plutôt qu'une cause d'aliénation.
e dix-neuf ans, très bon sujet, n'ayant présenté jusques là que des
troubles
mentaux à peine appréciables et méritant plutôt
antsur les preuves de l'aliénation, alors que le moindre soupçon de
trouble
intellectuel suffit au magistrat pour annuler u
de et étendue; peu de fièvre. A mesure que l'érysipèle gagne, les
troubles
psychiques rétrocèdent. Finalement, l'accident so
émoire. P. K. XXXII. De l'influence exercée parla grossesse sur LES
TROUBLES
PSYCHIQUES; par J. PERETTI. (Arch. f. Psych., X
k and Brack oder Licht im Scllatten. E. Stadion. P. K. XXXVI. DES
troubles
DE la motilité volontaire dans IA folie 0 simpl
convulsions, ni paralysies, ni ataxies. L'auteur passe en revue les
troubles
de la voix, les troubles de la parole, les acte
s, ni ataxies. L'auteur passe en revue les troubles de la voix, les
troubles
de la parole, les actes impulsifs, les actes para
n sortir), les mouvements occasionnés par des hal- lucinations, les
troubles
de la motilité chez de très jeunes aliénés (tro
motilité jouerait, d'a- près lui, un grand rôle dans la genèse des
troubles
psychiques, de même que les perturbations psych
de même que les perturbations psychiques sont les génératrices de
troubles
moteurs. a Une grande catégorie de troubles moteu
ont les génératrices de troubles moteurs. a Une grande catégorie de
troubles
moteurs - sont réellement primitifs, parce qu'i
res; 2° sur les aliénés confiés à des soins particu- liers dont les
troubles
psychiques et les manifestations extérieures on
dent, lorsque le malade reprend con- naissance, qu'on s'aperçoit du
trouble
de la parole. Il bégaie quand il s'agit de répé
885.; Les dyscrasies chroniques qui sont capables d'engendrer des
troubles
psychiques se groupent sous deux catégories : 1e
de Rumpf '); la même exception doit être faite en faveur des divers
troubles
fonctionnels du système nerveux cen- tral (neur
cas de mélancolie; sous leur action, les sensations anormales, les
troubles
parétiques, les tremblements ont complètement dis
persistent. Malgré l'institution d'un traitement anticongestif, les
troubles
augmentent; il se produit une paraly- sie compl
ore, puis guérit. La paralysie de Landry ne résulterait-elle pas de
troubles
vaso-moteurs ? P. K. X. Encore UN cas DE paraly
lade est incompréhensible ; ralentissement mar- qué de l'émission ;
troubles
de la déglutition (régurgitation nasale et toux
débilité mentale congéniale. Intégrité des muscles des yeux. Aucun
trouble
électrique, excepté dans les muscles tout à fai
te enfin un patient atteint de névralgie de la cinquième paire avec
troubles
trophiques du côté droit, qui dure depuis plusi
surtout prononcées dans les branches maxillaires des nerfs ; et des
troubles
trophi- ques portent sur la gencive et les dent
as de névrite multiloculaire chez un alcoolique, remarquable par un
trouble
de coordination extrême dans les extrémités inf
a dernière séance, il y avait aussi névrite optique bilatérale sans
trouble
fonctionnel considérable. Cela a déjà été signa
u nerf sous-orbitaire à son point d'émergence, pen- dant longtemps.
Troubles
de la sensibilité dans le domaine de la branche
évralgies de la maxillaire supérieure du trijumeau. M. 11RAUSE. Des
troubles
fonctionnels du larynx dans les affec- tions du
alades à la clinique neuropsychiatrique de Berlin. On rencontre ces
troubles
dans la syphilis spinale, la chorée, les tumeur
4 cas, un des malades observé pendant cinq semaines présentait des
troubles
de la motilité du larynx, aggravation crois- sa
ons- tricteurs pharyngiens, de la charpente musculaire du larynx,
troubles
de la sensibilité, parfois aussi des cordes vocal
acture bilatérale des adducteurs. - Tabès : sur trente-trois cas de
trouble
fonctionnel grossier, l'orateur à observé 13 pa
parfois viennent, s'en vont, reviennent; souvent il n'existe aucun
trouble
grossier de la voix. Voici, par exemple, un pro
érale visés par l'orateur il y avait eu, bien avant l'apparition de
troubles
psychi- ques, des accès de dyspnée et des parés
ons électro-musculaires, l'absence du phénomène du genou, de légers
troubles
de la sensibilité, l'inté- grité de la vessie e
ien a fait défaut dans ces observations, sans qu'on ait constaté de
troubles
marqués dans les phénomènes éleclio-musculaires
ves médicales ou chirurgicales dans les rémissions incomplètes; les
troubles
qui persistent le plus souvent sont l'embarras
es qui persistent le plus souvent sont l'embarras de la parole, les
troubles
pupillaires; la débilité men- tale. - Les rémis
ité relative de l'acuité visuelle; par la coexistence habituelle de
troubles
de l'ac- commodation et de la polyopie monocula
s ataxiques, par Munschina. (Thèse de Paris. 1885.) Etude sur les
troubles
sensitifs dans la tuberculose aigue, par Margue
(Thèse de Paris, 1885.) Contribution à l'étude des paraplégies par
troubles
de circulation de la moelle, par Meunier. (Thès
Dr Rouillard, pour sa thèse : Essai sur les amnésies. Etiologie des
troubles
de la parole. Prix Belhomme. - Ce prix, de la
utres sens il ne peut donner de renseignements. Il n'y avait pas de
troubles
psychiques. Huit jours après le début de cette
rticulier, elle n'était pas déviée, mais la vue lui paraissait plus
trouble
à gauche qu'à droite. Le membre supérieur était
ur la par- tie antérieure de la capsule interne pour produire les
troubles
moteurs. Mais une pareille hypothèse nous sembl
el (18 mai 1886). - Homme de taille moyenne, bien constitué. Pas de
troubles
viscéraux. Ne présente rien d'insolite au point
amentale. Mais il faut aussi bien remarquer que l'expression de «
trouble
trophique » n'implique pas fatalement l'idée d'
ure de la nuque. Les pre- miers jours, le malade a senti un certain
trouble
dans la parole. Certains mots et certa : nes sy
ant, ne pouvant articuler le mot quoiqu'il l'eût sur les lèvres. Ce
trouble
de la parole a duré pen- dant des mois. Aucune
s. Aucune déviation de la face, de la langue ni de la luette. Aucun
trouble
dans les mouve- ments de la langue et des lèvre
ien souffler et siffler. Les pupilles réagissent normalement. Aucun
trouble
de la vision, de l'ouïe, de l'odorat ou du goût
rvation parfaite de l'in- telligence, de la vision et de l'ouïe. Le
trouble
dans l'écriture a diminué un peu, de telle sort
tion a été continuée jusqu'au 27 janvier 1884; pendant ce temps, le
trouble
de l'écri- ture a beaucoup diminué, de sorte qu
sentiment anormal dans le bras droit est devenu aussi très rare. Le
trouble
de la parole a presque disparu. Pourtant l'amél
gère altération bien limitée de l'écorce cérébrale, c'est-à-dire le
trouble
peu marqué de la parole et les secousses des do
. Mais ce qui doit être ici tout spécialement relevé, c'est que ces
troubles
moteurs sont absolument limités aux doigts de l
nsibilité dans les doigts mêmes. Il faut rattacher probablement ces
troubles
à une légère altération d'une partie bien circo
onvolution de Broca; altérations provoquées sans doute par certains
troubles
de la circulation dans l'artère syl- vienne gau
ère syl- vienne gauche ou dans quelques-unes de ses branches. Ces
troubles
, difficiles à préciser, pourraient être produits
ans), qui à la suite d'excès de travaux intellec- tues, est pris de
troubles
circulatoires encéphaliques (insomnie, excitati
assitudes, élancements dans les jambes, affection rhumatismale avec
troubles
mentaux, diminution de J'acuité au- ditive bi-l
lutions, etc. De l'analyse de ce fait, M. Reinhard tire que : 1° le
trouble
de l'équilibre (sans vertiges) et le tremblemen
té et à la vie mentale; 3° il n'y avait dans l'espèce ni ataxie, ni
troubles
proprement dits de la motilité (pa- ralysie), d
rapidement surviennent : une parésie des membres supérieurs, des
troubles
de la sensibilité dans les quatre extrémités, sur
la sensibilité dans les quatre extrémités, sur le tronc, à la face,
troubles
de la sensibilité subjectifs et objectifs qui s
taines apophyses épineuses et d'une partie des muscles de la nuque,
troubles
trophiques de la peau.) Intégrité de la vessie
persistance des perturbations subjectives du côté du trijumeau sans
troubles
objectifs, la parésie de l'oculomoteur externe
auche, souvent inca- pacité de se vêtir. Il ne s'est pas aperçu des
troubles
de la face. Allure : corps exagérément fléchi e
e travaux physiques. Cette constatation, jointe à l'absence de tout
trouble
de la sensibilité et de l'excitabilité électriq
é coor- dinatrice (faisceaux coordinateurs). Quant à la théorie par
trouble
delasensibilité, elle tombe devantlesfaitsqui t
ibilité spinale sans ataxie, soit d'une ataxie spinale marquée sans
trouble
de la sensibilité. Voici, par exemple, un cas d
forcément; impossible de localiser les douleurs lancinantes et les
troubles
vésicaux. Tels sont les points prin- cipaux de
Tels sont les points prin- cipaux de ce travail. P. K. XXIV. Des
troubles
nerveux observés A la suite DE l'empoisonne- ME
les symptômes d'un Labes quelconque et leur fréquence, soit comme
troubles
du début, soit comme perturbations se montrant au
ent quand ils demeurent tranquilles et cepen- dant, ni diplopie, ni
troubles
de l'accommodation, ni modifica- tions pupillai
novembre, commencèrent à se produire des accidents oculaires et des
troubles
delà m otiii té volontaire aboutissant aune par
eures, on voit s'installer une paralysie incomplète, accompagnée de
troubles
de la sensibilité et d'atro- phie dégénéiative
s des membres inférieurs; absence de phénomènes tendineux; démence;
trouble
de la parole; tremblement à l'occasion de mouve
ane de la constatation des douleurs ini- tiales, de l'existence des
troubles
de la sensibilité qui, d'abord considérables, o
ec laquelle la névrite est le plus souvent confondue, en ce que les
troubles
de la sensibilité étaient très accentues, les t
n ce que les troubles de la sensibilité étaient très accentues, les
troubles
de la molilllé et de la réaction électrique n'a
but par les extrémités supérieures et l'épaule, l'insignifiance des
troubles
moteurs, surtout par comparaison avec les trouble
nsignifiance des troubles moteurs, surtout par comparaison avec les
troubles
de la sensibilité excessifs, la diplopie (insuf
. t. xu, p. '207. 226 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. et des pieds (
troubles
vasomoteurs), la rapidité du pouls (atteinte du
ou anciens de névrite quelconque ou traumatique où prédominent des
troubles
de la sensibilité. Au point de vue de l'étiolog
dès le début, avec diminution extrême de l'excitabilité électrique,
troubles
minimes de la sensibilité, suppression du réfle
nce de fixité, d'immobilité pupillaire, de douleurs en ceinture, de
troubles
vésico-rectaux), et l'ataxie d'un tabes (atroph
ica- tions qualitatives ; pupilles inertes, douleurs en ceinture,
troubles
vésico-rectaux). Il est impossible de déterminer
ue de la nosographie et de l'anatomie. P. K. XLII. SUR une FORME DE
trouble
DE la sensibilité DÉCOU- verte dans LES LÉSIONS
ze ans ayant présenté, il y a un an et demi, un ictus apoplectique (
troubles
de la motilité à droite affaiblissement de la m
ion excessive des réflexes tendineux, clonus dorsal des deux pieds,
troubles
de la sensibilité justifie- raient en quelque s
t affectant particulièrement les bras. Ni perte de connaissance, ni
troubles
de la sensibilité, hyperexcitabilité mécanique
suivie de para- lysie complète des mêmes membres avec anesthésie et
troubles
vasomoteurs; sur ce, parésie, puis paralysie ab
t ans présentant du nystagmus bilatéral, de la bradylalie, quelques
troubles
de l'innervation dans les extrémités supérieure
se heurte aux passants. Si on ne le gêne pas, il ne s'ensuit aucun
trouble
; mais, arrêté, il de- vient violent, frappe, s
adie. Il a perdu son emploi, non pour in- conduite, mais à cause du
trouble
que sa maladie apportait 343 REVUE DE PATHOLOGI
accidents nerveux; pendant plus d'un an, on constate des accès de
trouble
rapidement passager de la connaissance, voire d
elevé les malades qui, avant l'intoxication, ont été en proie à des
troubles
nerveux, ou chez lesquels d'autres causes ont p
issue finale, quoique, dans la première observation, on constate un
trouble
profond de la sensibilité générale (le malade se
possibilité de rapporter l'ensemble des dérangements nerveux à un
trouble
organique du système nerveux, m'a fait recon- n
n remarque un état paralytique qui ne dure pas. Le 11 mai, tous les
troubles
du mouvement et de la sensibilité ont disparu.
n'éprouve presque aucune douleur dans l'épine dorsale; pas d'autres
troubles
ner- veux. Traitement : galvanisation du dos et
us trouvons les accès d'hystéro- épilepsie nettement accusés et les
troubles
capricieux de la sensibilité qui ne peuvent avo
chis; les muscles des reins sont contracturés. Vers le 13 juin, les
troubles
de la sensibilité ont disparu; la difficulté de
'hémiopie, chose qu'on ne peut simuler. N'avait-on pas affaire à un
trouble
orga- nique du cerveau ? Mais je suis obligé d'
ne dura, du reste, que quelques mois, et alors apparurent d'autres
troubles
. Le caractère de D..., devint tout autre; il de
té gauche sont aussi émoussés. Ainsi je trouve que le malade a un
trouble
de sensibilité connu sous la forme de parahémiane
s, mais la réaction aux deux espèces de courants ne fait voir aucun
trouble
dans l'excitabilité des muscles et des troncs n
s fléchir les genoux; il s'y ajoute une trépidation des jambes. Les
troubles
de la sensibilité sont restés les mêmes. L'amen
anvier/ 11 février 1886). L'apparition subite des contractures-, le
trouble
étrange de la sensibilité qui ne correspond à a
i eu un accès et le médecin m'a effrayé. » Il n'existe pas d'autres
troubles
ni de la sensibilité ni delà motilité. Le - jan
rrivé un . AI(CIIIVES, t. Xll. 1. 19 282 --) CLINIQUE NERVEUSE.
trouble
convulsif suivant : le malade, avec une force et
cte; les réflexes tendineux ne sont pas exagérés. On ne remarque de
troubles
de sensibilité que sur la conjonctive des paupi
fait bien portant. A l'examen, on ne retrouve même plus les légers
troubles
de la sensibilité, observés le 22 décembre. Il
lète cutanée et anesthésie des muqueuses sur tout le corps, avec un
trouble
de la sensation musculaire, de même que le 9 ja
le système nerveux. Le champ visuel est rétréci concentriquement ;
trouble
dans QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES R
un défaut d'énergie pour articuler les sons, ou bien, peut-être, au
trouble
de l'accord d'activité des cordes, causé par un
es, ensuite pour la droite seule; 286 CLINIQUE NERVEUSE. 4. Des
troubles
de la vision sous forme de rétré- cissement con
ire, et, dans les cas 10° et 11°, une macro- pie. Ces deux derniers
troubles
ont été indiqués par M. le professeur Charcot,
rtains cas (7, 9 et 10), l'anesthésie du pharynx présentait le seul
trouble
de la sensibilité; dans le 10e, cas cette anest
le de la conjonctive étaient les avant-coureurs de l'accès. 6. Le
trouble
de la sensibilité cutanée sous la forme d'une a
snes- thésie a été observée sur trois malades (cas 2, 6 et 8); un
trouble
tout particulier de la sensibilité a été cons-
s 1 cl, 3" et 4° présentaient des cas d'analgésie, accompagnée de
troubles
de motilité sous forme de paraplégie. L'hy- per
entes parties du corps, de maux de tête étaient constants. 7. Des
troubles
de la motilité sous la forme d'hémi- plégie (ca
malades et se change parfois chez le même patient. Vers la fin du
trouble
, on voit le sujet en proie à des hallucinations
ns les cas 1,3,4, 7, 8, 9, nous avons eu affaire à des récidives de
troubles
hystériques qui avaient eu lieu auparavant; les
tribue considérablement à porter un diagnostic certain, ce sont les
troubles
par- tiels de la sensibilité, troubles parfois
gnostic certain, ce sont les troubles par- tiels de la sensibilité,
troubles
parfois très capricieux, par exemple l'abolitio
ouloureuse seule; les anesthésies des muqueuses (du pharynx) et les
troubles
bizarres de la vision (la ma- cropie, la diplop
à l'hôpital comme épileptiques, où le caractère des accès et les
troubles
de la sensibilité étaient typiques pour l'hysté
cas dans un article pro- chain, où je me propose de considérer les
troubles
de la sensibilité dans l'épilepsie. DE L'IDIO
s sous-jacen ts sur lesquels on parvient à la faire glisser; pas de
troubles
appréciables de la sensibilité cutanée. Les car
omènes scrofuleux, pas de manifestations syphilitiques. Quant aux
troubles
intellectuels, qui sont des plus-manifestes, ce
debout : Depuis son entrée aucun changement ne s'est produit, aucun
trouble
n'est survenu. Voici le» renseignements que nou
- deur du genou gauche. Le 2 février 1886, hémiplégie droite avec
trouble
de la parole qui était devenue indistincte ; la p
eloppé ; dans l'abdomen, environ 100 gr. de liquide jaune, très peu
trouble
. Lntre les muscles, il y a encore beaucoup de g
ACHEXIE PACHYDERMIQUE. 357 La substance corticale est par-ci par-là
trouble
et gris jau- nâtre. Rein droit (1415 gr.), même
M. Grundler croit que l'extirpation de la glande thyroïde amène des
troubles
du sytème nerveux cen- tral surtout en ce qui c
(la guérison de la plaie fut complète en trois jours) produit des
troubles
nerveux généraux : convulsions, paralysie fonct
tend avoir éthyroïdisé huit chiens sans qu'il s'en soit suivi aucun
trouble
fonctionnel. Ces chiens avaient été opérés les
cautère actuel, méthode barbare qu'ac- compagnent naturellement des
troubles
inflammatoires secon- daires, comme le prouvent
ndel, .TOLLY. Ces expériences sont propres à éclairer la genèse des
troubles
psychiques consécutifs à l'extirpation de la gl
sentent les altérations suivantes : à un premier degré, tuméfaction
trouble
et boursouflement du noyau, dont le contenu fin
ages du bain faradique s'étendent-ils chez les neurasthéniques, aux
troubles
du sommeil. Réponse. L'a- mélioration maintes f
ur s'il veut se mettre en garde contre l'extension qu'ont prise les
troubles
psy- chiques qualifiés d'épileptoïdes. M. Kuo
- sordre stéréotypé. Le désordre dans les idées est, du reste, un
trouble
de l'intelli- gence qui se traduit par les acte
Le complexus symptomatique en ques- tion, qui résulte, en effet, de
troubles
de la perception (altérations des impressions e
- ment morbide. M. KRPEL1N. Evidemment, il résulte d'une somme de
troubles
élémentaires. M. RULPF (de Bonn). Du traiteme
produisait des accès convulsifs dans le membre atteint sans autres
troubles
de la motilité, L'auteur porte sur les deux pre
ment (il en était de même pour un cas de monoplégie brachiale) ; le
trouble
de la nutrition portait sur les os et les mus-
outre les orteils (trois cas) ; deux d'entre eux présentaient des
troubles
intellectuels, un garçon devint, quatre ans après
mpulsive), par Green, 79; (transitoire), par Krallt Ebing, 82; - (
troubles
de la motilité volontaire dans la- simple), p
01 . Inversion du sens génital, par Kralft Ebing, 83. Laryngés (
troubles
- dans les atleclions du système nerveux cent
dans les atleclions du système nerveux central), 119. Lectures (
troubles
de la chez les paralytiques généraux), 67. Li
pour servir à t'histoire des), par llomen, 204. Manie aiguë (avec
troubles
du langage), par llitchell, G9; - (chez un ga
u- berculeuse), 59 ; (cérébro- spinale chronique), 60. Mentaux (
troubles
dans les affections cérébrales ordinai- res,
nes (de la cocaïne dans le sevrage des), 99. Motilité volontaire (
troubles
de la - dans la folie simple), par lioller, 8
médian(paralysies du), 226. Névralgie de la cinquième paire avec
troubles
trophiques, -1 14. Névralgie des plexus lombair
222, 223. Optiques (origine des nerfs), 40 1. Oxyde de carbone (
troubles
nerveux à la suite de l'em- poisonuement par
- (sa- turnine), 238; -(syphiliques), 409. Paralysie générale (
troubles
de la faculté de lire dans la), 67 ; - (et sc
), 233 ; (multdocu- laire), 236. Sensibilité (forme nouvelle de
troubles
de la dans les lé- sions unilatérales du cervea
assez fréquents; mais on les mettait, en général, sur le compte de
troubles
digestifs, l'estomac étant toujours resté fort
te là 'l'appui de, la th éoriet contra ire ;* la'- quclIefdonne aux
troubles
, sensoriels le rôle principal dans laproduction
ueront lés autres ? / j, ., ? 1 f .. 1 Et,* en effet, soit que. les
troubles
de la sensibilité diminuent, peu à peu et vienn
,,qui ? suivant., ? {,<t..ntl ¡tq1.9tJ pélÜb)e,ltaptàt .expajLs
troubles
,de la sensibilité; les ¡interpréta- tions, les
c conscience' parfaite, les malades assistent en spectateurs'1 aux'
troubles
qui 1 tf rm, : · ·, ". d' I ? ? 11; 1 aflkW 'f
e leur loquacité désor- donnée, déclarent qu'ils sont fous, mais le
trouble
de leur intelligence ( est' trop grand pour qu'
questions, Mm° Lou. ? (m'apprend que -,sa mère a présenté aussi des
troubles
intellectuels. Dans le cou- rant de janvier, la
tale enrayèrent le mal. M-0 L ou..... guérit. Ala convalescence lés
troubles
antérieurs reparurent'avec les mêmes ' caractèr
nés^ conscients du dé- sespoirï'de1 leur 'impuissance vis-à-vis des
troubles
qúils'ne/peuventt surmonter;)'malgré une exacte
' S .. - n fT.- l' ,,(,>( "F .' ? r)) ? ,'nl- monomanies : des
troubles
.sensoriels et des .troubles psychiques. -Ils.s
lr,U. t11. ajouter à ceux déjà enregistrés. Plus heureux avec les
troubles
psychiques isolés, j'en^ai^réuni cinq cas, dont
A part cette ° , - ? vi ->., ? Rlq ? n'ajamais présenté d'autres
troubles
des sentiments, il n'est donc pas possible de l
lendemain tout avait dis- paru. Huit jours après, retour des mêmes
troubles
, il a comme le pressentiment d'une mort 'procha
nxiété indépendante du jugement et de la volonté, voilà les, seuls (
troubles
psychiques. Il guérit au bout d'un an. m. ? '1
l'anxiété déterminée chez les malades par la cons- cience.de leurs
troubles
, psychiques ; seule une éroto- mane a- fait exc
1- - 't \\ t; 1 1 .WT 1 1 i,t 1 les cinq cas que j ai observes. Les
troubles
psychiques isolés laissent, en effet, une grand
? Obitiz*o2z intellectuelle ? i,avec, conscience. - S oumission\auX'
troubles
sensoriels H(us - de x'a'MeM<e ? ? 7<{ees
ec conscience. Idées lpénaniaques avec cons- cience. Soumission aux
troubles
sensoriels. Idées de suicide. Mort par rhumatis
tellectuelle, de n'être plus psychiquementla même,' etpourtant, ces
troubles
intellectuels qu'elle raisonnait exerçaient sur
tions' de l'ouïe' avec \ cons- science. Soumission involontaire aux
troubles
. - Idées de suicide. non a9tl1GrU )'J't ? %o'
, je. les, considérais suivant l'as- sociatioii ou- l'isolement des
troubles
psychiques -et sensoriels : * "' '' - -J ? ",fl
ndJ.t t jl m fltlllh)J th IL"\4}l ? l1T (f,f H1hJtdf('l j Avect les
troubles
psyçhiquesjisoiés, quand da,,systé- matisation
? ? rTt/ ? J -IP .1 1 ni chien. S Suppression l'l,II ? l' "dlYl/ ?
Troubles
psychiques chien. - upp/'esslOn G ¡¡enZO/T¡tOl
ents héréditaires très, 'accentués dans la ligne patÕrnele.' Pas de
troubles
psychiques antérieurs ; bonne santé ? sauf/ des
rs,' elle fut'toujours plus ou moins atteinte'de' dysménorrhée avec
troubles
nerveux- va- riés : Péu intelligente; très scru
Il Ilrutl Observation XXIII. -'Père viveur. Chagrins domestiques.
Troubles
psychiques avec conscience. llallucinations iil
'état' de.là conscience est resté"le'J ! llême,'I.intactr quant aux
troubles
-^psychiques, nul quant' aux perversions sensor
omme domestique'dans une,maisomoit.elle fut fort mal nourrie. Les
troubles
revinrent, avec l'anémie. En-janvier,t88t; prenan
s cesse en s'aggravant. Le jour; Alez ? n'avait d'ordinaire que des
troubles
.psychiques dont elle était consciente,1 du. va
- ti) to',1. r 1 ¡If ? \ ? IJ .' ( ? ) ? 1 : : 0 Itl' . f 1 i leurs
troubles
sensoriels et psychiques, ils apprécient. '1 '
, ,1XXX^> , . X\ I nfT,;nTH-' depuis cinq mois, présentait des,
troubles
psychiques. Mmo. Elisa .'x.uX.xHx.SA1 ? : >.
ice comme par le passe. Elle se rend aussi un comptefêxact' dei ses
troubles
sensoriels;"et'râppôrte à` dôs liai-- lucin ! \
e trois ans'à l'asilede"Toulouse. A"cette. époque,.conscient de ses
troubles
..psychiques et sensoriels ? ) il- 60 -ar'r`1`J
laGVie, né chez les malades do leur impuissance à se débarrasser de
troubles
dontfdts reconnaissent le caractère morbide, ab
,déf50 à,55ausa ? ÇerchifTresi,sontréloqûents : 'W8 ? Quels 1911t les
troubles
intellectuel,s¡les plus suscep- tibles de .yeni
' intellectue1Jes'proprBment : di'tès'rsoiÍt justiciables du' seul1
trouble
ele 1 'affa ibl iss'eineIlt,il aétabli par,icel
d'inaptitude ! au travail ¡éstp çqntrelltoute¡' : ¡')révision,élé
trouble
qui est le plus sainement apprécié; des,mai a des
it.q..çe par- 'faite;1 les.malades assistent, en .spectateurs] aux,
troubles
- qui"selqéclàrent dans;leur esprit,. eU) spect
le délire, .partiel,, la conscience se trouve --soit' avec : f des (
troubles
; sensoriels isolés,. soit, ? troubles i psychique
trouve --soit' avec : f des (troubles; sensoriels isolés,. soit, ?
troubles
i psychiques, isolés,, soit avec, q ? oubles psy-
no ? - )(lfXVI. Quandi-la, conscience parfaite. existe avec, .des
troubles
sensoriels isolés, il s'agit d'hallucinations J
I9 ! b ail XVIII. Quand la conscience parfaite existe aveçi,des -
troubles
: psychiquescet sensoriels combinés, les malades
sellsoiellesJtÎsolées,V carD,lle, £ suppose" paplsa;n[ltu6e même un
trouble
iiitellectuel)concomita.iit ? 1, rr .7fJ' : \ n
.lI'17 oJ11fXII ,-Quand : , la};demi-conscience existe i avec des
troubles
psychiques et des .troubles sensoriels combinés,
cas .exceptionnels, ]es.,ma- " lades ont-conscience de tous- leurs;
troubles
psychiques -let ? sensoriels ! et- de, cette ,c
ns, le, sens purement conventionnel d'affection caractérisée par un
trouble
des fonctions nerveuses d'une nature spéciale,'
ru un travail fort intéressant de notre'ami'G. Ballet, sur quelques
troubles
dépendant du système nerveux central dans lé co
die de Basedow. Thèse de Paris, 1883. . Gillert Dallet. De quelques
troubles
dépendant du système nerveux central observés c
1 Il 1 ï un ? ? des symptômes dépendant très vraisemblablement d un
trouble
des fonctiôns dû systèâlé nérvéüx central. Diar
même malade -'simultané- ment, quand on les voit coïncider avec des
troubles
psychiques Archives, t. VI. ( 82 1. REVUE CRI
ements étaient saccadés,5 irréguliers, tout' à fait'choréiques ; ce
trouble
des fonctions motrices persistait pendant' le s
tinei)) : dl croitdrouver pi dans ce fait l'explication de quelques
troubles
, fonctionnels, l'achrqma- topsve oh particulier
mettent après ? ? ? (, y tW f it t r , h n mr·r. y.,9 m -JU ? ? des
troubles
aussi profonds le retour de la fonction. A traver
La ressemblance existant entre le processus ulcératif et celui des
troubles
trophiques d'origine nerveuse ressort bien],d'a
... ? ., r,-...,I ? 1 -, l, l ,'1 ; XI. Contribution A L ETUDE DES
troubles
de LA sensibilité ET "'1'"ri If' ,II' "1 h nt :
perte de,, connaissance et,ne.sont imputables, en somme, qu'à 1 des
troubles
de la sensibilité excluent,- dit)M : "Bernhardt,"
le droite, contracture du coude gauche en,tlexion, sans,, ictus ni,
troubles
de la connaissance. Quatre jours <plus. tard,
chiques équivalentes'' dés',1 accès spasmodiques ? àl'ataxie'et aux
troubles
de)la parole succédant aux crises. Tous les mal
'eti qüe l,r'lésion deslfiBres-qûi les' reliéntf'doime11lieu"à 'des
troubles
°dennaturè s éciàlè 1'coIÍsistIÍt [ dans l' Ià
-IFI,,i raissent à leur tour; enfin l'intelligence s'obscurcit, les
troubles
trophiques apparaissent'et la malade succombé d
"l'incertitude de la, démarche et des tremble- ments des mains, des
troubles
de la parole s'aggravant à l'occasion de, viole
re considérés comme issus de perturbations, fonctionnelles dues aux
troubles
de nutrition de même cause. 3, ., , P.. K.'1 " .
de 'la paralysie des- muscles de la : nuque ? Miç- a'tion pénible;
troubles
purement' subjectifs de la'sensibilité des 8 'o
ue, semble de toute i évidence) aux fauteursqde ce ! 1 travail. Les
troubles
prononcés de l'excitabilité' électrique cons-1
point à.ajouter, aux travaux de ces auteurs en ce qui concerne les
troubles
spontanés de.l'intelli- gence dans l'hystérie ;
e, 5 novembre 1881.) , ' , . Ch. Fére/ Contribution' il l'étude des
troubles
fonctionnels de la visiozz ar lésions cénéLrale
ories de vétérans aliénés ont, par suite de la nature même de leurs
troubles
intellectuels consécutifs au service de guerre, é
ptômes intervallaires : Le' premier fait concerne de l'aphasie, des,
troubles
de la'vue, de l'anesthésie 'de'la muqueuse phar
dans l'encéphalite et plus légères' dans la paralysie générale, les
troubles
sont plus caractérisés dans -la première que' d
econslant et.l'amnésie,,n'est-elle pas path()gnOI1 ! gni,qu,e,d ! 1
trouble
de la connaissance de l'épileptique, : Inversemen
suivantes : ' 10 Rippiug. Rapports des maladies de femmes avec les
troubles
psy. chiques de ces dernières. Publié in extens
blement généralisé, tremblementfibrillaire de la face, titubation,'
troubles
légers de la parole, violentes'palpitations de
on a désigné sous le nom de délire d'épuisement et d'inanition des
troubles
psy- chiques à caractère dépressif qui succèden
phénomènes sensitifs de l'hystérie, l'hys- téro-épilepsie, certains
troubles
mentaux , certaines céphalalgies : , 1°' Les na
, SOI t assocIées à ., ? ? ? LJ.' 1, , -J. 1. si f'l 1 ti ? " des
troubles
menstruels, étaient en connexion avec des trouble
f'l 1 ti ? " des troubles menstruels, étaient en connexion avec des
troubles
mentaux, le plus souvent là''hiéIan'colie,Jqui;
onséquence, mais non toujours,,(,non)Í1écessairement. Il existe des
troubles
de la parole qui,de.plus habituellement est rem
able de travailler le lendemain. En dehors de ses vertiges et des
troubles
psychiques ou hallucinatoires qui les accompagn
dangereuses ; 2° le 21 octobre 1882, il était affecté d'un grand
trouble
de la raison et ne jouissait aucunement de sa l
dites.) DU DÉLIRE L.IRa L.1 VÉSANIE. Ii J diverses, peu à peu les
troubles
de la sensibilité ont pu s'émousser et un à un
a scène délirante soit devenue de plus en plus pauvre; bien que les
troubles
de la sensibilité ayant il peu près cessé ne se
ansif. Chez certains déments, encore, persistent, de plus, divers
troubles
de la sensibilité; ceux-ci seront alors interpr
t l'une après l'autre affaissées; il ne subsiste plus avec quelques
troubles
de la sensi- bilité qu'une hypochondrie incohér
souvent avec elle la vieillesse, et peut-être par la persistance de
troubles
dans la sensi- bilité viscérale ou dans la sens
par une diminution de l'activité délirante. Pour inter- préter ces
troubles
de la sensibilité par quelque idée ambitieuse o
ement débile; c'est elle, au sur et à mesure que se développent les
troubles
de la sensibilité, au 1 Voyez Cerise et Morel,
ire. Altérations des divers nerfs péri- phériques correspondant aux
troubles
trophiques 2. Jean Cour ? âgé de quarante-cinq
forme. A partir de cette époque Cour.. commença à éprouver quelques
troubles
du mouvement. La sensation de résistance du sol
devant amener bientôt la mort. 1 Il présente en outre une série de
troubles
nerveux qui font diagnostiquer chez lui une ata
nt diagnostiquer chez lui une ataxie locomotrice progressive. Ces
troubles
sont les suivants : Le malade ne ressent plus,
s transversales peu pro- fondes. La sensibilité présente quelques
troubles
au niveau des pieds. Les piqûres sont faiblemen
er nous paraît extrêmement- instructive. Elle nous montre plusieurs
troubles
trophiques (maux perforants plantaires, dystrop
s se distribuant à toutes les parties sur lesquelles siégeaient ces
troubles
trophiques. Tiiste-t-il entre ces deux phénom
deux phénomènes, c'est-à-dire entre les névrites d'une part et les
troubles
trophiques d'autre part, un rapport de cause à
tance de ce rapport. Dans tous les cas, s'il est probable que les
troubles
trophiques sont sous la dépendance directe d'al
téraux du pouce et de l'annulaire droits n'ont donné lieu a aucun
trouble
trophique de la peau, ni des tissus pro- fonds
doigts correspondants. Il semble, en d'autres termes, que tous les
troubles
trophiques soient provo- qués par des altératio
es les altérations des nerfs ne provoquent pas néces- sairement des
troubles
trophiques. 188 PATHOLOGIE NERVEUSE. Notons i
un moment donné de leur évolution, de névrites périphériques et de
troubles
trophiques cutanés. Observation VIII. - Mal d
sont un peu hématiques, d'une odeur fortement ammoniacale, louches,
troubles
, et renferment une proportion notable de mucus
cours d'une myélite par compression, on voit se déve- lopper des
troubles
trophiques cutanés consistant en eschares sacré
de névrites périphériques, ayant provoqué l'ap- parition de divers
troubles
trophiques cutanés. Dans les deux cas enfin, ce
c'est-à-dire dans les points où se développent presque toujours les
troubles
trophiques cutanés consécutifs aux affections c
rmal. Toutes les névrites périphériques ne donnent pas lieu à des
troubles
trophiques ou sensitifs appré- ciables. Ces tro
s lieu à des troubles trophiques ou sensitifs appré- ciables. Ces
troubles
n'apparaissent probablement que lorsque la prop
I), des dystrophies des ongles (OBs. VII, IX). Le plus souvent, ces
troubles
trophiques s'accompagnent d'anesthésie locale d
tées d'ar- thropathies dans l'observation VI ne présentait pas de
troubles
appréciables de la sensibilité. Telles sont les
propageait pas aux yeux et ne s'accompa- gnait que par exception de
troubles
de l'estomac. La migraine ne procède d'ailleurs
s mûr examen, avaient déclaré ne pouvoir rattacher leur état à un
trouble
de l'accommodation. Pour quelques-uns de nos ma
ectures sur l'état des centres nerveux. Chaque fois qu'il s'agit de
troubles
purement fonctionnels. - 306 CLINIQUE NERVEUSE.
cilement, ils étaient pâles et anémiques. Chez d'autres, de pareils
troubles
étaient moins manifestes. Mais pourquoi le proc
à différents de- grés, présentant tantôt seulement une tuméfaction
trouble
du protoplasma, se colorant par les réactifs d'
us éloignées des vaisseaux ne présentaient alors qu'une tuméfaction
trouble
, avec ou sans conservation du noyau et du nuclé
au contraire, la lésion se borne à différents degrés de tuméfaction
trouble
. La présence de cel- lules offrant un degré d'a
e-à peu près semblable, un traumatisme, qui provoque l'éclosion des
troubles
de la digestion. Observation X. - M. Boucher, m
irme n'avoir jamais eu de rapports sexuels avant son mariage. Les
troubles
fonctionnels de l'estomac paraissent aussi jouer
eloppé, ayant attaqué la structure même de l'estomac ait apporté un
trouble
dans les fonctions habituelles de cet organe, s
les Observations IX et XIII. Nous avons signalé tout à l'heure les
troubles
des fonctions digestives comme pouvant occasion
ne favoriser l'apparition du mérycisme qu'en provoquant d'abord des
troubles
dans les fonctions de l'estomac. Observation
de mérycoles qui existent de par le monde, car, le plus souvent, le
trouble
fonctionnel dont sont atteints les mérycoles ne
êlements trop serrés . Mais, le plus souvent, c'est à l'occasion de
troubles
survenus dans les fonctions digestives que se d
se trouve rempli instantanément. A la voracité se rattachent les
troubles
de la mastication, très fréquemment observés ch
la voracité, comme chez Gren.. , et doit occasionner par suite des
troubles
de la digestion. Il n'y aurait donc rien d'éton
diques et circu- laires avec agitation qui sont entretenues par des
troubles
de la sensibilité. C'est en agissant sur cette
éno- mènes psychiques ou de l'abolition de la pensée, la forme du
trouble
de la connaissance ne pouvant servir à pareille d
x (Charité-Annal., sixième année). L'intensité plus grande dans les
troubles
de la conscience qui ressortit pour Blus- wange
ions de la paroi interne du troisième ventricule entraîneraient des
troubles
dans l'équilibration, comme celles du labyrinthe.
pas de s3,philis. Publie 11, extenso3. Cette observation, outré les
troubles
neuroparal l'tiques elles ..11, , - ? - l >
neuroparal l'tiques elles ..11, , - ? - l > lU ú f >', 1'"
troubles
.-du goût localisés aux deux tiers antérieurs de l
résente un J màlade .qUi9lui vserl d'ÍnLrodpcLidn pour traiter d'un
trouble
de^ huvuei chez1 un paralytique : <$cnérulM !
' SAVANTES ? . (231 i ,socIFsliaax rappelle ? cepropbs tatform'o'do
trouble
dilllarvudrdé- cri tel pai'iFùrs.tnei'j chez le
ble, et celte grande exci- tabilité se trahissait au dehors par les
troubles
physiques qui carac- lérisent la névrose hystér
aient être rapportés soit à une paralysie des vaso-moteurs, soit au
trouble
trophique des parois des vaisseaux (Baelz), soi
fait. Parmi les accidents consécutifs, les plus constants sont les
troubles
de la phonation (raucité de la voix, aphonie) e
a déglutition (dysphagie), l'hypertrophie de la cicatrice, quelques
troubles
circu- latoi1'es (refroidissement, petitesse du
et le développement de la névrose a coïncidé avec l'apparition de
troubles
menstruels. Chez une autre malade, au contraire,
blesse générale, de la maladresse dans les mouvements et « quelques
troubles
intellectuels plus ou, moins accusés (lenteur de
e Paris, 1883. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. 293' Considérations sur les
troubles
trophiques des ongles dans quelques maladies de
; par Roux. Thèse de Paris, 1883. ' ' Des paralysies, névralgies,
troubles
trophiques et vaso-moteurs qui surviennent sous
par Francesciu. Thèse de Paris, 1883. Contribution à l'étude des
troubles
cérébraux consécutifs ci la duthié- nentérie; p
ection. Observation I. - .Ataxie locomotrice. - Crises laryngées.
Troubles
de la miction.- Douleurs fulgurantes, anesthésie,
is des deux côtés. Myosis (pupilles petites et égales). -- Pas de
troubles
gastriques. Les deux pieds offraient exactement
nt par des douleurs fulgurantes dans la face, et qui présentait des
troubles
urinaires, l'incoordination motrice, l'abolitio
ice ; début à dix-huit ans, pas de syphilis ; Douleurs fulgurantes,
troubles
vésicaux et oculo-pupillail'cs, incoordination.
eux dans la famille, dit-elle. Elle-même n'a jamais offert d'autres
troubles
névropathiques que ceux qui constituent la mala
autour des membres. Il a trois ans, elle a commencé à éprouver des
troubles
vési- cauz ; rétention et crises douloureuses ;
qu'elle ne pouvait plus marcher dans l'obscurité ; elle avait des
troubles
de l'équilibre sitôt qu'elle fermait les yeux
rement, nous voyions une dame de trente-six ans qui fut affectée de
troubles
visuels pour h'r.4. - AI llrropatlne du pied
ncoordination motrice, d'anesthésies, de douleurs en cuirasse, de
troubles
des fonctions urinaircs et génitales, de perte
xie locomotrice. - Hérédité, syphilis, émotions morales pénibles. -
Troubles
de la vision, inca01'- dination, douleurs fulgu
- Troubles de la vision, inca01'- dination, douleurs fulgurantes ;
troubles
urinaires, a ? ? 0'ONa- thies des genoux. Défor
USE. maternels aliénés. Elle-même n'a jamais, dit-elle, offert de
troubles
névropathiques. Elle s'est mariée une première fo
Dix-huit mois ou deux ans plus tard, elle commença à éprouver des
troubles
de la vision, elle vit double de temps en temps
uleurs paraissent avoir beaucoup dimi- nué, mais il est survenu des
troubles
urinaires ; au moindre effort l'urine s'échappe
voit pas, elle ne reconnaît point les mouvements communiqués. Ces
troubles
n'existent pas aux mem- bres supérieurs. Cepend
- dant à droite s'atténuent insensiblement. D'autre part, un même
trouble
fonctionnel, une son- nerie, se produit dans l'
nantes et se montrent parfois seules mais, toujours à gauche. Les
troubles
sensoriels unilatéraux ou bilatéraux de caractè
s rares. Rien en un mot ne semble, dans l'organisme, souffrir de ce
trouble
patho- logique qui semble presque physiologique
me : Altérations considérables du système dentaire. - - Voracité. -
Troubles
de la mastication. - Description du mél'Y- cism
Troubles de la mastication. - Description du mél'Y- cisme. - Pas de
troubles
digestifs.- Santé générale bonne. - Idiot grimp
graves. [Père, mort par accident, buvait beaucoup, n'a jamais eu de
troubles
nerveux. - Mère : cinquante-six ans, con- cierg
sans influer beaucoup sur la production du mérycisme par suite des
troubles
de mastication qui en résultent; puis la unraci
t quelquefois ? 2°, 3°, 4°; états passa- gers sous la dépendance de
troubles
de la circulation cutanée. Ces manifestations,
il faut, de concert avec la pathologie expérimentale, admettre les
troubles
d'un centre régulateur de ! a chaleur siégeant
la réaction pupillaire des paralytiques généraux. P. K. XIX. LES
troubles
dans L\ sphère DU système nerveux périphérique
ctions sensorielles de la peau et de la sensibilité musculaire, des
troubles
moteurs et vasomoteurs que l'on observe chez le
r est plus grande (mélancolie, folie systématique, épilepsie) ; les
troubles
trophiques et fonctionnels propres à la psychos
ains cas, le cerveau qu'il faut dans l'espèce incriminer. Parmi les
troubles
moteurs qui appar- tiennent à la lypémanie, il
plus rares. De ces symptômes, les uns sont des réflexes issus des
troubles
de la sensibilité avec lesquels ils coïncident qu
ïncide avec la diminution de la sensibilité à la douleur. Parmi les
troubles
vaso-moteurs assez fréquents dans la mélancolie
rculaire; par SCHOEFER. (Neurol. Cent7,itlbl., 1882.) Ce sont les
troubles
de la circulation qui donnent à l'observation s
idu. Telle est du moins l'opi- nion de M. Schoefer qui attribue aux
troubles
circulatoires les complications somatiques (her
de vingt-trois ans par des attaques d'hémiplégie consécutive à des
troubles
vaso-moteurs (pâleur, frigidité), avec impossibil
s pour la simulation. P. K. XXIX. Contribution A la casuistique DES
troubles
psychiques transitoires ; par L. LowENFELD. (Ne
inion qu'il avait affaire à un équivalent d'hémicranie, à un simple
trouble
cérébral fonctionnel remplaçant la migraine. P.
lique pourquoi la pa- ralysie générale se trahitd'ordinaire par des
troubles
de la parole. P. K. XXXIV. Sur LES troubles s
itd'ordinaire par des troubles de la parole. P. K. XXXIV. Sur LES
troubles
spinaux chez LES fous PELL1GREUY ; par Silvio 1
ns l'arachnoïde spinale chez les pellagreux, qui ont présenté des
troubles
moteurs et sentitifs prononcés. Il a rencontré ce
sure de la langue, ni délire, jamais de paralysies, contractures ni
troubles
de la sensibilité. De moins en moins apte au trav
le avec les in- firmières, mais ne peut lire, ni coudre à cause des
troubles
de la vue. M. Charpentier élimine l'hypothèse d
imine l'hypothèse d'une coïncidence simple entre l'amélioration des
troubles
mentaux et celle des manifesta- tions syphiliti
chez tous les épileptiques simples, l'attaque peut être suivie d'un
trouble
passager de la parole. Pour ma part, je n'ai pa
les mots, puis enfin un paralylique psalmodiant. Eh bien ! tous ces
troubles
de la motilité ont un air de famille, et quand
sement ou d'hémorrhagie cérébrale, des sujets avec des tumeurs, les
troubles
de la parole sont tout autres et c'est là que n
ontrent des phénomènes accessoires surajoutés : congestion, oedème,
troubles
vasculaires de tout ordre sans compter l'irrita-
ent durer plus de huit jours, comme il l'a observé dans un cas; les
troubles
sensoriels survenaient, dans l'espèce, quand on s
le second. Les phénomènes caractéristiques furent constitués par un
trouble
profond dans la connaissance des sujets atteint
bides. Pronostic défavorable. L'auteur aborde en troisième lieu les
troubles
psychiques qui, se présentant la plupart du tem
ue, chez les individus dont les fonctions de l'ouïe ont baissé, les
troubles
psychiques passent facilement inaperçus, parce
citer des observations analogues pour la a vue ; parfois de petits
troubles
dans les milieux réfringents deviennent l'occas
es sujets; chaque injection était suivie des mêmes phénomènes; 2°
Troubles
dans la perception sensorielle. Les uns, légers,
ormes : grimaces, caricatures, spectres; de là des angoisses ; 3°
Troubles
sensoriels proprement dits ou directement psychiq
ucinations disparussent définitivement; 428 SOCIÉTÉS SAVANTES. 4°
Troubles
intellectuels. Le délire h3-oscyaminique consiste
ion, grimacements et rires immotivés, radotages de diverses sortes,
troubles
dans la perception,- sensations vertigineuses b
on encéphalique; elle devrait être, dans le second, im- putée à des
troubles
de la nutrition du cerveau, à raison de son évo
ans les idées ; il semble que le moi soit simplement spectateur des
troubles
psycho-sensoriels; aussi n'y a-t-il pas de déli
les éléments du rêve. Hughlings Jackson a cherché à expliquer les
troubles
intellectuels qui suivent ces accès épileptiques
trophies des ongles dues aux mêmes causes et accompagnées des mêmes
troubles
. Cu. F. IX. Palho[Jénie et accidents nemeux du
ré le rôle du foie, il a bien vu que le diabète est, avant tout, un
trouble
de nutrition. La théorie nerveuse nous a fait p
e prochaine » et exclusive. Les théories rattachant le diabète à un
trouble
de nutrition, et, en particulier celle de M. Bo
e réveillée et mise en action par des causes occasionnelles, par un
trouble
sur- venu dans l'évolution du sucre, dans sa pr
orbides antérieurs, méconnus ou oubliés, mais certains. Passant aux
troubles
de motilité, l'auteur décrit l'affaiblissement
é est seule atteinte tout d'abord, il n'y faut 1 Bernard et F6ré.DM
troubles
nerveux observés chez les diabétiques. (,17,ch.
e de la sensibilité peut présenter les mômes carac- tères. D'autres
troubles
de sensibilité, tels que l'hyperesthésie, les n
cturne (Dreyfous), curable par le traitement anti-diabélidue. Les
troubles
des fonctions génitales et des organes des sens s
suite décrits. Mentionnons quelques faits nouveaux dans l'étude des
troubles
oculaires. A l'ophthalmoscope, on rencontre desti
sagères, associées comme celles des membres (Parinaud). Parmi les
troubles
cérébraux, le plus important est « un chan- gem
ertiges, syncopes, BIBLIOGRAPHIE. let 1 apoplexies, puis quelques
troubles
vaso-moteurs et trophiques parmi lesquels la ré
plaques disséminées : début (ipoplecti- - forme, hémiplégie droite,
troubles
de la sensibilité; pns d'autopsie; par M. LECOQ
ntale dans l'enfance ; - 8. Perversité de l'instinct sexuel; 9. Les
troubles
psychiques qui peuvent remplacer un accès épi-
s secondaires dans le cerveau et dans la moelle épinière ; - 3. Les
troubles
de la parole d'origine corticale ; - 4. Les tro
ère ; - 3. Les troubles de la parole d'origine corticale ; - 4. Les
troubles
de la vision d'origine corticale ; 3. Epilepsie
nes'pél'Îphél'Îques,(surtout les organes sexuels) pour produire des
troubles
fonctionnelles des nerfs, spécialement l'hystér
tive à une leucorrhée, 424. Aliènes (hors de l'asile), 140 ; ; (
troubles
dans la sphère du sys- tème nerveux périphériqu
let (atrophie avec sclérose du), 118. Circonvolutions cérébrales (
troubles
de la sensibilité et de l'antité vi- suelle d
s dans les affections de l'organe de l') 425. Paralysie générale (
troubles
de la vue dans la), 280; chez la femme, 154;
énés, 283. TABLE DES MATIERES. nib Paralytiques généraux (les
troubles
de ta vue d'origine cérébrale chez les), 402.
l'ergotisme), 1 1 1 . Tabes (accidents apoplectiformes du-),279;-
troubles
vertigi- neux dans le), 101. t. Tabétique (pi
, et seulement depuis deux ans perte de connaissance. Vomissements.
Troubles
mal définis de la marche depuis deux ans. Amaur
la malade à la chambre. Mais antérieurement étaient survenus des
troubles
oculaires; la vue s'affaiblit peu à peu; enfin
hallucinations visuelles s'accompagnant d'agitation nocturne et de
trouble
du sommeil. En juillet 1892, la malade alla con
ée de s'asseoir. Il a été impossible de faire un examen complet des
troubles
de la marche, tant à cause de l'affaiblissement
ent une tumeur située dans la région du facial et du trijumeau. Les
troubles
subjectifs de la sensibilité et la parésie géné
estion passagère de la face, dans les derniers jours de la vie, des
troubles
vaso-moteurs particuliers, sous forme de plaque
me de plaques rouges de la face. Ils font remarquer la rareté des
troubles
vaso-moteurs dans les lésions de la protubérance
velet : au début, le diagnostic d'hystérie fut un instant posé. Les
troubles
men- taux consistaient en une démence progressi
ssible de la lésion vers le trijumeau, nous avons noté l'absence de
trouble
de la sensibilité ; du moins on ne put jamais c
la protubérance. » Il ajoutait' qu'on n'avait pas encore décrit les
troubles
vaso-moteurs de la face dans les cas de ce genr
rtout à un défaut d'observation. II. Il y a lieu d'insister sur les
troubles
psychiques et hallucinatoires présentés par la
été ni la cause ni la con- séquence. A quoi faut-il rattacher les
troubles
mentaux observés, ou, en d'autres termes quel r
r que malgré la similitude de la localisation et des symptômes, nul
trouble
mental n'est survenu en l'absence de la dégénér
uvent observer, outre l'affaiblissement des facultés psychiques, un
trouble
de la mémoire, en forme d'amnésie et de réminis
rçons-nous d'appliquer la théorie des neurones à l'ex- plication du
trouble
de l'association des idées sous l'influence de
obs- tacle, doit s'élancer par une autre voie, ce qui produit un
trouble
très marqué dans le cours des associations des id
re. Un plus grand nombre de contacts détruits amène un plus profond
trouble
de la conscience. La théorie des neurones nous
us savons que nos organes sensoriels sont sujets à trois espèces de
troubles
, notamment : illusions, hal- lucinations et pse
tution physique; 2° par la faiblesse de l'intelligence ; 3° par des
troubles
nerveux passagers ou durables; 4° par une tradi
t important ici, la sensibilité est at- teinte, on constate des
troubles
accen- tués sur les membres inférieurs et l'a
de loca- lisation, erreur de sensation. Et l'on re- trouve des
troubles
analogues au bord REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
e diagnostic anatomi- que, de quelles lé- sions dépendent ces
troubles
? M. le professeur F. Raymond rappelle d'ab
re d'origine spinale, les autres et c'est là qu'in- tervenaient ces
troubles
plus rares, d'origine cérébrale. Ces vues prire
n'a jamais du reste été signalée congénitaiement, il pense que les
troubles
de la sensibilité, que les troubles des sphinct
ngénitaiement, il pense que les troubles de la sensibilité, que les
troubles
des sphincters doivent être mis sur le compte d'u
, mais ce n'est qu'en sep- tembre 189o que se montrent les premiers
troubles
, embarras de la parole d'abord puis gêne de la
vements et bientôt le bras gauche se prend de même façon, 'fous ces
troubles
sont brusquement augmentés par l'éclosion d'une
u de leur force, n'étaient pas atrophiés et ne présentaient pas des
troubles
élec- triques, mais les réflexes roluliens étai
étaient très forts et il y avait de la trépidation spinale. Pas de
trouble
des sphincters. Depuis la maladie fait des prog
fois en avril dernier d'une certaine gène de la parole, bientôt les
troubles
de la déglutition le portent à consulter un lar
ue visible- ment atrophiée et agitée de secousses fibrillaires, les
troubles
de la parole nasonnée et embarrassée, la diffic
rs de l'affection. Aux symptômes accessoires se rapportent : 1) les
troubles
psychi- ques ; 2) les mouvements impulsifs; 3)
t l'alcoolisme. Chez ce malade se développèrent très rapidement des
troubles
moteurs du côté des yeux : un ptosis médiocre b
moleur. A tout cela s'ajoutèrent encore les symptômes suivants : un
trouble
mental manifesté par une forme d'amnésie très m
s les membres et dans le corps, avec phénomènes paraly- tiques. Les
troubles
oculo-moteurs disparurent assez vite, de sorte
de polynévrite alcoolique (celle-ci s'accompagnant très souvent de
troubles
de l'intelligence et revê- tant les formes clin
és de poliomyélite antérieure, de pseudo-tabes, de prédominance des
troubles
sensitifs, de paralysie générale), de paralysie
enlever les douleurs, lutter contre l'in- somnie et surveiller les
troubles
ano-rectaux; on activera la nutri- tion des ner
ressées tout près de leur émergence, car il existe du myosis et les
troubles
sensitifs manquent. Dans la leçon suivante, le
de développement du membre, atrophie musculaire, 84 BIBLIOGRAPHIE
troubles
vaso-moteurs, mais sans troubles de la sensibilit
hie musculaire, 84 BIBLIOGRAPHIE troubles vaso-moteurs, mais sans
troubles
de la sensibilité. Les membres inférieurs prése
entent des manifestations spasmodiques. 11 n'existe pas de trace de
troubles
cérébraux. Le professeur admet avec réserve l'e
le traitement a été suivi de la dispari- tion presque complète des
troubles
du mouvement et de la sta- tique ; les troubles
resque complète des troubles du mouvement et de la sta- tique ; les
troubles
de la sensibilité articulaire et de la sensibilit
été moins franche; aussi dans un troisième; dans un quatrième les
troubles
moteurs seuls ont été atténués. La méthode n'infl
hode montre que la théorie qui fait dépendre l'ataxie tabétique des
troubles
de la sensibilité superficielle et pro- fonde n
s minimes. Les deux dernières leçons sont consacrées à l'étude de
troubles
psychiques. Une extatique est atteinte de contr
contracture systématique en rapport avec l'idée de crucifixion. Les
troubles
psychopa- thiques de la miction sont plus fréqu
teur se propose de montrer qu'il existe dans la syringomyélie des
troubles
trophiques, vaso-moteurs et cutanés à caractères
'atrophie musculaire de la syringomyélie. Le plus intéressant des
troubles
trophiques est celui de la main à laquelle l'au
rend la symptomatologie de l'arseni- cisme chez l'homme, soit : les
troubles
de l'appareil digestif (con- sécutifs à l'absor
s'aggravent t progressivement et insidieusement. TI n'existe aucun
trouble
de la sensibilité, ni anesthésie, ni douleurs,
zote très faible ; 5° L'examen du système nerveux nous montre des
troubles
multiples. La mémoire est un peu diminuée par
NIQUE NERVEUSE. orteil gauche existe une ulcération assez profonde (
trouble
trophique). Aux membres supérieurs et inférie
e-quatre ans, qui depuis quel- ques années présenté quelques vagues
troubles
nerveux et depuis quatre ans un diabète d'inten
difficile entre unicistes et dualistes. Quand on voit survenir des
troubles
psychiques chez un tabétique ou des symptômes d
rs. Cette dernière n'est pas de nature inflam- matoire, elle est un
trouble
de nutrition, tandis que les sclé- roses étudié
» Et on développait l'idée de l'artériosclérose faisant d'abord des
troubles
circulatoires dans l'organe, déterminant la cla
que sa vue était excellente, il fallait bien qu'il y eût quelque
trouble
dans son intelligence, pour qu'il ne trouvât pas
de la langue. La sensi- bilité était normale et il n'y avait pas de
troubles
des organes sensoriels. Il s'habillait, mange
atrisation plus ou moins complète de ce foyer, à la disparition des
troubles
ischémiques ou hypérémiques qui ont été la caus
e ne peut exister que lorsqu'elle est due unique- ment à de simples
troubles
circulatoires. Dans celle observation il ne par
t surabondamment démontré qu'une violente colère peut déterminer un
trouble
hépatique ou cardiaque. Aussi l'auteur attache-
une grande importance au degré, à la durée, et aux intervalles des
troubles
mentaux. Le monologue d'Hamlet met en relief le
ravés par d'autres causes, inconnues du malade. Il y a plus : si le
trouble
somatique vient à prendre une allure périodique
t un sens plus juste de la vérité scientifique en ce qui touche les
troubles
psy- chiques, et un progrès dans le traitement
gine hépatique ; l'aspect delà malade, les signes d'arthritisme les
troubles
biliaires, l'impuissance du régime viennent à l'a
cte simultanéité de la disparition du sucre et de la guérison des
troubles
mentaux. Cette dernière a été si brusque et si co
vait une hérédité assez chargée, telle qu'alcoolisme, neurasthénie,
troubles
mentaux chez les ascendants direct ou collatéra
nétration des sensations par une ou plusieurs racines postérieures (
troubles
segmentaires); 2° en rompant la continuité des
après cette dernière attaque état très satisfaisant et pas d'autres
troubles
post-opératoires que faiblesse relative du bras d
rente-trois ans, en état de démence : bonne santé générale sauf des
troubles
gastriques : jusqu'à huit jours avant la mort o
a brosse galvauique a été recommandée par M. Witrowski con- tre les
troubles
génilo-urimtires ; en effet, dans 3 des cas cités
es incon- vénients des bromures et l'on peut voir se développer les
troubles
suivants : arrière-goût amer ou salé, hypersécr
'hallucinations. C'est bien le brome qui parait être l'agent de ces
troubles
, car l'ac- tion des bromures de sodium, de pota
2° Dans les ma- ladies nerveuses qui, généralement, ne sont que des
troubles
fonc- tionnels du cerveau et qui ni'ntéressent
privation du poison habituel suffisant pour amener la cessation des
troubles
mentaux avec une rapidité qui est, à elle seule,
aux avec une rapidité qui est, à elle seule, patho- gnomonique. Ces
troubles
se caractérisent souvent par des illusions ou d
donc à une paralysie sensitive et motrice du trijumeau droit. Les
troubles
du goût observés portent l'auteur à admettre que
e doit intéresser le trijumeau à sa racine, car on n'observe pas de
troubles
oculaires trophiques comme dans les lésions du
paralysie totale et isolée du trijumeau. On note cependant que les
troubles
gustatifs sont moins prononcés qu'au début. Il
au moins très accentuée. 230 REVUE DE pathologie NERVEUSE. XV.
Troubles
amnésiques DE l'écriture ; par F. MAACK. (Cenlr
ACK. (Cenlralbl. f. Nervenheilk., XIX, KF. vu, 1896.) Il n'y a de
troubles
amnésiques de l'écriture que quand, le méca- ni
ent le diagnostic d'agrnphie amnésique partielle. Il n'existe aucun
trouble
de la parole, mais l'oubli des événements récents
it ans atteint de tremblement, sans ataxie, complète la nature du
trouble
, c'est une amnésie sénile. Si l'on voulait, ter
axillaire, musculo-cutané, radial, médian, cubital ; il existe des
troubles
correspondants de la sensibilité. Les six pre-
dian et le cubital ne le sont que partiellement. La comparaison des
troubles
de la sensibilité et de la motilité permettent
on de la force musculaire sans atrophie - démarche aty- pique). Les
troubles
sensitifs, ou, bien sont nuls, ou bien sont ceux,
omie spéciale ; dans l'ordre physique, l'embarras de la parole, les
troubles
oculopupillaÍ1'es (ophtalmoplé- gie interne, gr
ée observés en ville, il y en a 20 qui n'ont jamais été atteints de
troubles
délirants. C'est surtout chez les femmes et les
est là, enfin, que sont posées ces deux principes capitaux, que les
troubles
psychiques persistants ne sont qu'un prolongeme
diverses formes de l'hystérie à cet âge, notamment le début par les
troubles
des facultés affectives. L'auteur insiste sur l
qu'elle peut être méconnue parce qu'elle se réduit sou- vent à des
troubles
psychiques et digestifs. En avril 1880 paraît l
NTES. les petites filles avant la puberté. L'auleur insiste sur les
troubles
psychiques et préconise le bromure et l'hydroth
très favorable à l'éclosion, dès les premières années de la vie, de
troubles
nerveux très variés (perversions instinctives, ac
ie. Par contre l'hystérie se révèle fréquemment par l'apparition de
troubles
psychiques qui sont par ordre de fréquence le d
aisance du milieu, non seulement l'état mental se modifie, mais les
troubles
spasmo- diques et les perturbations fonctionnel
aits nombreux, rigoureusement contrôlés, sont les suivants : 1° les
troubles
symptomatiques de l'hystérie, associés ou isolé
se ronger les ongles (onychophagie), la kleptomanie, etc. ; 3 ? les
troubles
psy- chiques relevant de l'émotivité exagérée,
llanimité, mensonge, terreurs nocturnes, somniloquie, etc. ; 4° les
troubles
psychiques survenant dans le cours des maladies
t le diagnostic et le pro- nostic en permettant de différencier les
troubles
fonctionnels qui dépendent de l'hystérie infant
en état d'hypnose. Je connais plusieurs enfants atteints de légers
troubles
psychiques, qui, après une ou deux séances d'hy
rquée du trapèze. L'orateur attire spécialement l'attention sur les
troubles
nutritifs qui ont été la conséquence de ces émo
es trois cas. M. Pailhas (d'Albi). - A côté des hémorrhagies et des
troubles
trophiques que M. Bézy a rattachés à l'hystérie
à l'hystérie infanlile, il convient, je crois, de grouper certains
troubles
circulatoires et sécrétoires de la peau. Chez d
l'apparition de l'hys- térie ; 2° elle s'accompagne de remarquables
troubles
de la nutri- tion générale (amaigrissement, pâl
apporteurs ne laissent rien à désirer. En voici l'énumération : Des
troubles
psychiques post-opéra- toires : rapporteur, M.
ison. Voilà donc des individus qui sont un péril ou une source de
troubles
incessants dans leur milieu, et il n'y a rien de
ement lent, avec amaurose. En mai 1896, nouvel accès, accompagné de
troubles
de la parole. .Etat présent à la fin du mois d'
e du trijumeau. M. le professeur KojEWKOEOFF indique encore que les
troubles
de la déglutition dans divers cas peuvent être
ulues ; par le Dr G. Dupuis. Lyon, 1897. Ce travail est l'étude des
troubles
que l'action de la volonté peut amener dans le
celle-ci s'exerce auto- matiquement en dehors de la volonté. Les
troubles
de la mimique sont dus, soit à des causes patholo
on dont elles aboutissent progressivement dans cer- tains cas à des
troubles
mentaux de nature spéciale, quelquefois même à
nt à la partie sociale fortunée sont plus communé- ment victimes de
troubles
congestifs que les paralytiques anciens manoeuv
ie infantile ; mais dans la polyomyélile antérieure il n'y a pas de
troubles
de la sensibilité, la réaction est nulle sous les
Cet homme ne présente d'ailleurs pas d'autres accidents nerveux, ni
troubles
réflexes, ni troubles de la parole. L'absence
d'ailleurs pas d'autres accidents nerveux, ni troubles réflexes, ni
troubles
de la parole. L'absence des phénomènes spasmodi
l'epilepsie est assez fréquente pour qu'on ait souvent attribué les
troubles
nerveux aux troubles de la circulation. Mais
fréquente pour qu'on ait souvent attribué les troubles nerveux aux
troubles
de la circulation. Mais l'epilepsie peut aussi
oubles de la circulation. Mais l'epilepsie peut aussi provoquer des
troubles
cardiaques : on peut regarder comme prouvé que
'un surmenage physique ou d'une émotion intense ou prolongée où les
troubles
peuvent aussi se manifester chez des individus
graves qui peuvent accompagner les symptômes précités, comme des
troubles
de l'intelligence, du langage, etc. L'auteur ad
tte manière de voir, c'est qu'il exis- tait chez la malade un autre
trouble
de fonctionnement, une autre dyspragie, celle-c
dyspragie, celle-ci d'ordre cutané : la peau était le siège de ce
trouble
congénital de la kératinisation qui se traduit so
) Jeune homme de vingt et un ans, fantassin. Il présente : 1° des
troubles
de la sensibilité à localisation spécifique ; 2°
t auditif externe. Dyspnée à240 à la minute, avec 108 pulsations et
trouble
de la connaissance. Respiration très superficie
igne de paralysie musculaire, pas d'altération élec- trique, pas de
troubles
sensitifs, pas de troubles trophiques. Cet état
e, pas d'altération élec- trique, pas de troubles sensitifs, pas de
troubles
trophiques. Cet état porte surtout sur les homn
stériques. P. IEaA ? 1L. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 329 XXVII.
Troubles
DE l'écriture occasionnés par UNE alexie centrale
ement colorée. 11 con- viendrait de rechercher chez les aliénés les
troubles
qui pourraient correspondre à ces lésions qui p
ent accidentellement, sont curables et doivent être attribuées à un
trouble
passager du dyna- nisme 'psychique. Trois varié
lie, folie du doute, phobies. Traitement. La suggestion opposée aux
troubles
d'une fonction essentiellement active, telle qu
pied de cheval reçu sur la partie antérieure de la région frontale.
Troubles
mentaux consécutifs, état maniaque, mort en éta
s états hyposthéniques : tels par exemple, la neurasthé- nie et les
troubles
qui sont sous sa dépendance. ` SOCIÉTÉS SAVANTE
ttacher essentiellement l'hystérie, et à amender, au contraire, les
troubles
matinaux de la neurasthénie ou de l'hyposthénie
certain nombre peut se remettre rapidement; mais chez d'autres les
troubles
de l'état mental per- sistent et nécessitent le
de cachexie paludéenne, je ne me souviens pas d'avoir observé des
troubles
cérébraux persistants. Sans nier l'existence de c
vé des troubles cérébraux persistants. Sans nier l'existence de ces
trouble
? je pense donc qu'ils doivent être assez rares
ls doivent être assez rares. Je pense aussi que, relativement à ces
troubles
, il faut faire deux groupes de manifestations p
vent accompagnés de lésions de la méningite, peuvent être suivis de
troubles
psychiques, il parait difficile d'admettre que
nient à exagérer l'influence du paludisme dans l'étiologie de ces
troubles
psychiques, au point de vue de la pension de réfo
ente, sans retentissement sur l'état général et n'ayant amené aucun
trouble
encéphalique, les auteurs ont employé la médica-
défaut de mémoire et d'imagination du dément sénile. Au début des
troubles
délirants, elles se manifestent de préfé- rence
visuel. Or, la malade qui a donné lieu à ces remarques avait eu des
troubles
visuels très accentués d'origine cérébrale- imm
, trois ans après une conta- gion de syphilis, apparurent de légers
troubles
des organes pel- viens ; dans la durée d'une an
succéda bientôt une aggrava- tion aiguë, survinrent de très graves
troubles
bulbaires, mais qui, grâce au traitement mercur
u tronc (plus bas que la clavicule) et des mem- bres du côté droit,
troubles
de sensibilité musculaire du membre supérieur d
continuelles dans la branche inférieure du perf facial droit et des
troubles
de la sensibilité mus- 358 SOCIÉTÉS SAVANTES.
as confirme l'ancien avis du rapporteur concernant la dépendance du
trouble
du sens musculaire de la destruction des fibres
allucinatoires au début. Le dynamisme psychique défigure cer- tains
troubles
organiques, fait hésiter le diagnostic dans quelq
pas toujours sans danger. On voit, en effet, des névroses et divers
troubles
mentaux s'aggraver sous l'influence de l'hypnotis
. 60. Iéna, 1897. Verlog, G. Fischer. ' ' - Collet. (F. -J.). Les
troubles
auditifs d'ans les maladies nerveuses. Volume i
le comprend quand on songe combien sont difficiles à apprécier les
troubles
psychiques chez les.enfants dont l'intelligence
he des stigmates si difficile chez l'enfant. Le bébé peut avoir des
troubles
de la sensibilité générale et spéciale sans qu'
me le point touché n'est nullement douloureux. Pour constater les
troubles
visuels achromatopsie, dyschro- matopsie, rétré
es rendus de Bicêtre de 1880 à ce jour. 13. CLINIQUE MENTALE. LES
TROUBLES
TIIOPIIIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE ; Par
Marcoutza (Bucarest), Chef de clinique mentale ù la Faculté. Les
troubles
trophiques sont fréquents dans la paralysie gén
par une vaso-paralysie des vaisseaux capillaires des glandes et un
trouble
d'inner- vation. Les démangeaisons de la peau
uc- tives vont quelquefois plus loin, ainsi certains paralytiques
TROUBLES
TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 391 géné
algré l'état cachectique avancé du malade. Signalons encore comme
trouble
trophique du périchondre et du cartilage, l'o&l
bera. Signe de Biemacki (analgésie du nerf cubital des deux côtés).
Troubles
de la sensibilité générale. Etat psychique. Affai
nces, obsession dentaire. - Mai 1897. Apparition de contusions, des
troubles
trophiques bigarres, leur étendue. Termi- naiso
s oreilles bien dégagées, normales, les lobules grands, mous, non
TROUBLES
TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 393 ' ad
e transverse lo centimètres. Les parois osseuses sont minces, les
TROUBLES
TROPHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 390. sut
e des névrites périphériques comme cause, origine et pathogénie des
troubles
trophiques survenus chez notre malade. Nous n'a
ésie en manchettes au niveau des articulations podaliql1es ; légers
troubles
de la motilité. L'appétit revient cependant, la m
rès nette.de la conscience de l'état morbide par le sujet; plus les
troubles
symptomatiques indiquent une paralysie générale
omme toxique on trouve de l'hémato- porpliyrine dans l'urine et des
troubles
gastro-intestinaux. L'obser- vation présente es
s sur ce qu'ils peuvent faire pour obvier dans une large mesure aux
troubles
intellectuels et moraux de l'enfance, et pour e
io des Italiens sans être pris, à l'audition de certains motifs, de
troubles
émotionnels qui se tra- duisaient par des pleur
'est donc souvent qu'une phobie ayant perdu son caractère de simple
trouble
émotif pour prendre, par le fait même de son év
le émotif pour prendre, par le fait même de son évolution, celui de
trouble
à la fois émotif et intel- lectuel. Au reste,
, lesphylies et les impulses morbides. IV. L'impulse morbide est un
trouble
pathologique des dégé- nérés, non pas un stigme
fatigue, et, par autovolition, dont son but est la disparition du
trouble
, une très légère émotivité. 428 SOCIETES SA
t en fonction à but inconnexe avec l'idée fixe, il y a arrêt du
trouble
. V. L'idée fixe est une activité qui, par ell
leur étude clinique doivent être rangés dans les divers cadres des
troubles
intellectuels. 5. La présence d'hal- lucination
rvicaux étaient engorgés; les conjonctives congestionnées et pas de
troubles
du côté des voies aériennes. - Le quatrième j
ion qui peut être primaire ou secondaire et dépendre elle-même d'un
trouble
du système nerveux. Quoi qu'il en soit, les exp
ion de l'exophtalmie ; z) Amélioration graduelle, assez rapide, des
troubles
de l'innerva- tion cardiaque, jusqu'à la réinté
asculaire; mais aussi dans la subs- tance blanche de la moelle, des
troubles
dégénératifs se sont éta- blis d'une manière pl
a maladie elle-même, mais elle tend', à soulager ou à mettre finaux
troubles
de coordination au moyen d'exercices méthodique
toléré (hypercrinies des muqueuses oculaire et nasale et surtout
troubles
gastriques), on le remplacerait par la teinture d
lques cas sur les douleurs fulgurantes, mais a peu d'action sur les
troubles
de la marche ». J'ai personnellement l'habitude
en ceinture, des constrictions pénibles de la base du thorax et des
troubles
urinaires amendés par ce traitement au bout de
s, en clinique, par une recrudescence de crises doulou- reuses, des
troubles
des sphincters, des aggravations motrices, etc.
ctriques, l'hydrothérapie et certaines eaux minérales. 5° Enfin les
troubles
vésico-rectaux, les troubles oculaires, les tro
certaines eaux minérales. 5° Enfin les troubles vésico-rectaux, les
troubles
oculaires, les troubles trophiques, les trouble
5° Enfin les troubles vésico-rectaux, les troubles oculaires, les
troubles
trophiques, les troubles circulatoires, les crise
ésico-rectaux, les troubles oculaires, les troubles trophiques, les
troubles
circulatoires, les crises bulbaires sont le poi
sidérable de la température, avec amaigrissement progressif, sans
troubles
fonctionnels. Du côté mental, un accès passager
s d'agitation très violente, avec série d'attaques très nombreuses,
troubles
sensoriels, hallucina- tions terrifiantes. Son
tion de 30 cent. cubes suivie d'hyperthermie relative, 37,8. Pas de
troubles
fonctionnels. Diminution de l'excitation habitu
sans modifications autres. Le 11, injection de 30 cent, cubes, sans
troubles
consécutifs. Série de 41 attaques, de 10 heures
IV. Les 15, 17, 18, 19, 22, injections de 30 cent. cubes. Pas de
troubles
consécutifs. Le 23, sans prodromes, série de 26
: amaigrissement progressif plus ou moins considérable, sans aucun
trouble
fonctionnels Au point de vue mental : apparitio
des tendances maniaques. Pour la plupart des cas : accentuation des
troubles
psy- chiques post-paroxystiques. D'une façon
'est plutôt pour les augmenter. 5° Elles aggravent généralement les
troubles
psychiques post-paroxystiques et provoquent dan
ébut de la maladie de Basedow; que celle-ci peut se compliquer de
troubles
vésaniques qui empruntent leur forme et leur ori-
ous a suggéré ce travail : SoMM.\iRE. tUë/(U : co'eaH<eM6'<'.
Troubles
anciens de l'estomac. Goitre. Tremblement. Palp
intercostale, accompagnée ou suivie (le malade ne peut preciser) de
troubles
de la digestion, qui était lente et pénible. Le t
it à quarante ans, la santé a été relativement bonne, sauf quelques
troubles
de la digestion, mais à de rares intervalles.
ont élé excessifs. Après le gain du procès, il y a trois ans, les
troubles
de la digestion ont reparu, cette fois très accen
que peu d'angoisse. La mémoire est moins fidèle. En décembre, les
troubles
mélancoliques s'accentuent; le tra- vail devien
a trois ans, mais'il devait exis- ter depuis de longues années; les
troubles
de l'estomac, qui ont apparu à l'âge de vingt-c
Devay. Contribution il l'étude de la dilatation de l'estomac et des
troubles
psychiques qu'elle provoque. Lyon, 1892. 496 RE
ons du système nerveux. \ Malgré l'exislence, chez notre malade, de
troubles
gas- triques, nous avons peu de tendance à les
de maladie de Graves n'ait apparu qu'au moment de la guérison des
troubles
mentaux. Voici les raisons qui nous guident : le
pas de grandes modifications de l'excitabi- lité électrique; pas de
troubles
de la sensibiité Diaan, : myopathie progressive
t de la branche motrice de la cinquième paire; de la dysphagie ; un
trouble
carac- téristique de la parole; une parésie des
plaint seulement de lourdeur dans les cuisses et les jambes. Pas de
troubles
vésicaux ni rectaux. Toute idée de myélite fut éc
seuls pouvaient se mouvoir. Il n'y avait pas de contracture. Pas de
troubles
vésicaux. Dès le troisième jour, la malade consta
nt accompagnée de douleurs localisées, d'excitation maniaque ,et de
troubles
de la mémoire caractérisés par une amnésie de l
harcot), il y a un nombre énorme d'observations dans lesquelles les
troubles
moteurs des extrémités supérieures et inférieur
rare de constater chez le tabétique une ataxie prononcée sans aucun
trouble
simultané de la sensibi- lité, dans la sclérose
, dans la sclérose en plaques on rencontre la plus vive ataxi- sans
trouble
de la sensibilité, ce qui prouve que ce dernier s
' ce ganglion et le noyau du facial. Mais l'ouïe est troublée, ce
trouble
n'a pas précédé la paralysie faciale, car, autr
-être n'y a-t-il rien dans le labyrinthe, puisqu'on n'y constate ni
troubles
subjectifs ni troubles objectifs de l'équilibre.
ans le labyrinthe, puisqu'on n'y constate ni troubles subjectifs ni
troubles
objectifs de l'équilibre. Sans doute il n'y a p
(iYetM'0. CezlralLl., XV, 18cJ6.) Trois séries de symptômes : 1°
Troubles
moteurs ; atrophie et parésie des muscles de la c
; atrophie et parésie des muscles de la cein- ture scapulaire ; 2°
Troubles
de la sensibilité; paralysie partielle de la se
ns la partie supérieure du tronc et dans les membres supérieurs; 3°
troubles
trophiques ; modification de la consistance de
ion du réflexe patellaiie, de nystagmus, de ver- tiges violents, de
troubles
sensitifs et moteurs disposés en seg- ments ; o
ralysie faciale périphérique de nerfs sensibles à la pres- sion des
troubles
oculaires et laryngés typiques, d'éruptions pig-
n de l'exoph- talmie ; b) amélioration graduelle, assez rapide, des
troubles
de l'innervation cardiaque, jusqu'à la réintégr
t il persiste assez longtemps au-dessous de la normale. Quant aux
troubles
trophiques tardifs, je n'en ai jamais ren- cont
ilatation, pupillaire pré-opératoire était indiscutable. Les autres
troubles
oculaires, signe de Graefe, signe de Stellwag, si
réglant la circulation encéphalique troublée, fait disparaître les
troubles
ner- veux si caractéristiques des basedowiens.
éries, et la troisième, récente qui a vu disparaître la plupart des
troubles
oculaires et diminuer les autres (goitre, pouls,
e déve- loppement du larynx, des poils, il faut faire intervenir un
trouble
local du système nerveux se généralisant et se
ter chez un certain nombre de malades atteints de syringomyélie des
troubles
des mouvements volontaires, qui présentent un c
rables ou plus fréquentes que chez les sujets ordinaires et que les
troubles
observés sont insuffisamment caractéristiques pou
cultés de l'observation, elles passent facilement inaperçues. Les
troubles
de perception de la paralysie générale ont les ca
es formes mélancoliques sont les plus riches en hallucinations. Les
troubles
sensoriels forment la base des idées délirantes
par Sutherland, 516, Alcoolisme. Répression de l' -, 172. Alexie.
Troubles
de l'écriture cau- sés par une centrale isolée
iberté, 286. Amnésie. Ln cas d' -, par Bishop, 503. Amnésiques.
Troubles
de l'écri- ture, par Maack, 230. Angoisse. Tr
s par Carrier, 332. Eiiologie de la -, par Mairet- et Vires, 336.
Troubles
trophiques dans la -, par Atha- nassio, 390.
sous la bienfaisante influence du soleil du Midi, il y fut atteint de
troubles
cardiaques de la plus haute gravité. Loin de Pari
des épilep-tiques confirmés. Lorsqu'on les amène, ils présentent des
troubles
mentaux caractérisés par de l'aboulie, de la dimi
ience m'a démontré que la discorde chez les surveillants amène le
trouble
chez les enfants pervers, amoureux eux-mêmes du b
e de recevoir pour ne pas aggraver son état et le précipiter dans des
troubles
mentaux de la plus haute gravité. Ce n'est pas
anormaux, il y a une catégorie nombreuse d'enfants chez lesquels les
troubles
ne revêtent qu'un caractère transitoire et passag
tion, à l'état de veille, puisse exercer la moindre influence sur les
troubles
fonctionnels, car à ses yeux le sommeil jouait le
te préoccupation d'hygiène est venue s'ajouter à toutes ces causes de
trouble
dans l'adaptation naturelle du vêtement au but po
troublesfonctionnels, c'est la stérilité qui reconnaît pour cause le
trouble
d'une des fonctions qui entrent en jeu dans la fé
curables. Nous rapporterons à quatre fonctions différentes tous les
troubles
fonctionnels qui peuvent être la cause de la stér
nctionnels qui peuvent être la cause de la stérilité. Ce sont : Des
troubles
de la circulation ; Dès troubles des organes sé
e de la stérilité. Ce sont : Des troubles de la circulation ; Dès
troubles
des organes sécréteurs : Des trpubles du systèm
s sécréteurs : Des trpubles du système musculaire ou moteur ; Des
troubles
du système nerveux ou de la sensibilité. Nous d
e nerveux ou de la sensibilité. Nous dirons maintenant que tous ces
troubles
sont justiciables du traitement hypnotique ; en e
ce directe de la suggestion et les effets de l'hypnose. En tête des
troubles
de la circulation qui sont une cause de stérilité
es de la circulation qui sont une cause de stérilité, nous voyons les
troubles
des fonctions menstruelles. Nous savons depuis
erreur de croire qu'il n'y a que chez la femme qu'il peut exister des
troubles
de la circulation qui sont une cause de stérilité
er des troubles de la circulation qui sont une cause de stérilité. Le
trouble
de la circulation chez l'homme peut aussi être la
iste une paresse de la circulation qui rend l'érection incomplète. Ce
trouble
de la circulation chez l'homme est le plus souven
guérisons par la suggestion hypnotique. Nous arrivons maintenant aux
troubles
de sécrétions qui peuvent être cause de la stéril
troubles de sécrétions qui peuvent être cause de la stérilité. Ces
troubles
peuvent aussi se présenter chez l'homme comme che
torrhée est aussi une cause qui chez l'homme peut être rattachée à un
trouble
des sécrétions ; et enfin l'aspermatisme. Les mal
ourrait induire en erreur sur la vraie cause de leur stérilité. Les
troubles
des sécrétions chez la femme peuvent aussi être c
forte raison, quand les anomalies de ces sécrétions seront dues à des
troubles
nerveux, comme cela arrive fréquemment. En guéris
re ou l'inertie musculaire spéciale, momentanée, ou habituelle. Les
troubles
de cet ordre, chez l'homme comme chez la femme, n
à la quatrième classe des causes de la stérilité qui réside dans les
troubles
des fonctions nerveuses ou de la sensibilité. Ce
vant leur énergie. Nous trouverons ensuite, dans ce même ordre, des
troubles
de la sensibilité générale ; névralgies, sensibil
au moyen du sthénomètre, nous montrera qu'il existe en même temps un
trouble
général de l'équilibre du système nerveux, auquel
nt ces malades à l'état normal. Je signalerai en troisième lieu des
troubles
nerveux qui ont une grande importance parmi les c
n des meilleurs moyens à utiliser dans les cas de stérilité dus à des
troubles
de la sensibilité ou de l'innervation des organes
s reste enfin une dernière catégorie des causes de la stérilité ; les
troubles
nerveux spéciaux qui sont sous la dépendance d'un
épendance d'une affection générale très commune, l'hystérie. Tous les
troubles
de la sensibilité peuvent y être représentés ; so
il faut nous adresser. En guérissant l'hystérie, nous corrigerons les
troubles
nerveux qui sont sous sa dépendance ; et, dans le
arce que la stérilité n'est pas autre chose que la manifestation d'un
trouble
morbide ; mais aussi parce que cet état devient l
ombreux malaises a ta malade et la tourmente beaucoup. Il n'y a aucun
trouble
de la sensibilité cutanée superficielle et profon
aussitôt à lui, comme avant la venue du Polong, mais il lui reste un
trouble
maladif et son corps est dans un état de faibless
émêler de l'homme de science et de strict devoir, sans plus. Si les
troubles
nerveux sont causés par une affection organique e
mais je lui apprends que la psychothérapie peut seulement guérir les
troubles
fonctionnels et que la lésion organique réclame u
tion d'un premier rebouteur, la disparition momentanée des différents
troubles
grâce à la bonne suggestion d'un second rebou-
isser dans un coin sans s'en occuper ; il se- -tient tranquille et ne
trouble
pas la classe. L'instable, au contraire, qui est
phère physique, correspondent les atrophies, paralysies et paré-sies,
troubles
de la parole, de la physionomie, de la préhension
cerveau et, le plus souvent, aux désordres physiques s'associent des
troubles
de l'intelligence, classant l'enfant parmi les dé
re limite approximatif entre l'idiotie et l'imbécillité. A côté des
troubles
moteurs chez les débiles, nous avons vu qu'on
s du mouvement sous formes de tics, spasmes, etc. De même, à côté des
troubles
de l'intelligence qui forment te subtsratum, la n
le,on peut rencontrer des perversions de l'intelligence sous forme de
troubles
mentaux ; ces derniers sont loin d'être chose nég
n'étant pas spécialement prédisposé, le débile présente à l'égard des
troubles
mentaux et surtout à l'égard du vice, une récepti
orrespondent pas à la nature intime du mal, en s'adressant alors à un
trouble
apparent sans atteindre sa véritable cause. La pr
jours auparavant, à la suite d'une hémorrhagie. C'est sans doute aux
troubles
digestifs causés par l'entérite, les vers, la dil
s phobies nocturnes des jeunes enfants. Chez les sujets atteints de
troubles
cardiaques ou respiratoires, le motif habituel du
er de l'Hystérie un de ses chapitres les plus intéressants, celui des
troubles
trophiques. M. le professeur Raymond, à qui est
dème, d'ecchymoses, etc., desquels il résulte que l'existence des
troubles
veso-moteurs, au cours de l'hystérie, est inconte
sur ¡a psychothérapie, en Vendée — a aussi traité cette question des
troubles
iroohiques dans l'hystérie ; et il a présenté que
ts sont commis pour examiner les délinquants ou Inculpés suspectés de
troubles
mentaux, dit simplement qu'il n'y a ni crime, ni
ecin seul compétent pour se prononcer sur la réalité et la nature des
troubles
mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces
nature des troubles mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces
troubles
ont pu jouer sur les déterminations et les actes
ur que le diagnostic soit complet, il faut rechercher la nature de ce
trouble
. La première question que vous devez poser à ce
t inquiétante chez une dame, considérée jusqu'alors comme atteinte de
troubles
hystériques, et que je traitais, en conséquence,
ux de la Salpêtrière. la présence de cette tumeur qui causait les
troubles
de la déglutition. Ce néoplasme malin fit du rest
: influence de la suggestion sur la longévité. Dr Paul Farez : Les
troubles
trophiques dans l'hystérie, etc., etc. L'autops
Revue D. J. Ingenieros (de Buénos-Ayres). Le langage musical et ses
troubles
hystériques. G. in-8, 208 pages. Alean, Paris 190
dre dans son acception restreinte ; vous prévenez « qu'il désigne les
troubles
mentaux, quels qu'ils soient, susceptibles d'infl
ègle rigoureuse de s'en tenir à la « simple constatation médicale des
troubles
existants », vous êtes amené à écrire : « Restrei
thénie pure et simple : phénomènes nerveux polymorphes et incessants,
troubles
utérins, névralgies, céphalalgies, dyspepsie, ano
ns instinctives. Chez certains sujets, l'impulsivité est liée à des
troubles
du système nerveux tels que la chorée, l'épilepsi
une médication efficace contre les divers symptômes, et n'apporte aux
troubles
psychologiques qu'une attention secondaire, c
, c'est généralement le contraire qui arrive, les enfants atteints de
troubles
nerveux étant souvent, par cela même, privés des
l'ordre du jour sont faites ainsi qu'il suit : 1. M. Paul Farez. —
Troubles
trophiques dans l'hystérie : brûlures suggérées.
ures sont adoptées à l'unanimité-La séance est levée à 6 h. 45. Les
troubles
trophiques dans l'hystérie ; brûlures suggérées,
hystérie, on a, de nouveau, soulevé la question très controversée des
troubles
trophiques dans l'hystérie. Pour M. Babinski, u
e, 2° de disparaître sous l'influence exclusive de la persuasion. Les
troubles
trophiques rapportés jusqu'ici à l'hystérie l'ont
enait. Je rappelle seulement, sans les rapporter en détail, que des
troubles
vaso-moteurs divers, œdèmes, ecchymoses, hémorrag
suggestion directe, pendant le sommeil hypnotique. D'autres fois, ces
troubles
sont apparus à la suite des trau-matîsmes physiqu
ion expérimentale est incapable de produire par ses seules forces des
troubles
de ce genre. » Voilà la thèse. La littérature
a thèse. La littérature médicale possède cependant des relations de
troubles
vaso-moteurs provoqués par la seule suggestion. N
indiens de passage en ceite ville, les a vus produire, à volonté, des
troubles
vaso-moteurs de la peau de tel ou tel de leurs me
bulles de telle dimension. On ne saurait, pour la provocation de ces
troubles
trophiques, réclamer une rigueur qui n'est pas to
st pas toujours possible dans la provocation beaucoup plus facile des
troubles
sensitifs ou musculaires. Certains ont essayé d
ubles sensitifs ou musculaires. Certains ont essayé de produire ces
troubles
trophiques chez la première hystérique venue ; ay
aissent ou indispensables ou seulement favorables à la production des
troubles
trophiques par suggestion pourraient être, à ce q
, la suggestion expérimentale ne doit solliciter une sensation et son
trouble
trophique concomitant que si Vune et l'autre ont
e bonne santé générale que se réalisera facilement la suggestion d'un
trouble
trophique, mais au moment des accidents hystériqu
lisent plus aisément ou plus pleinement, par suggestion, celui-ci des
troubles
musculaires, celui-là des troubles viscéraux, un
ment, par suggestion, celui-ci des troubles musculaires, celui-là des
troubles
viscéraux, un autre des troubles sensoriels. Or l
s troubles musculaires, celui-là des troubles viscéraux, un autre des
troubles
sensoriels. Or les troubles vaso-moteurs seront d
i-là des troubles viscéraux, un autre des troubles sensoriels. Or les
troubles
vaso-moteurs seront d'autant mieux réalisés par s
ent précisément consisté en gangrènes multiples de la peau. Donc le
trouble
trophique que l'on voudra obtenir par suggestion
ut&nés et que, parmi les accidents cutanés, ce seront surtout des
troubles
trophiques qui se seront manifestés. III. — Pou
antage de faire la suggestion le soir. Le plus souvent, en effet, les
troubles
vaso-moteurs apparaissent, non pas sur le champ,
nforce : c'est, chaque fois, le matin au réveil, que sont apparus les
troubles
vaso-moteurs chez les sujets de M. Podiapolsky. E
xin. — Chez Charcot, des hystériques reproduisaient par imitation les
troubles
trophiques qu'elles voyaient survenir chez leurs
n, seul compétent pour se prononcer sur la réalité « et la nature des
troubles
mentaux chez les inculpés et sur le rôle que o ce
ature des troubles mentaux chez les inculpés et sur le rôle que o ces
troubles
ont pu jouer sur les déterminations et les actes
cela que querelles de mots ! C'est le mot de responsabilité qui nous
trouble
, rejetons-le et remplaçons-le par autre chose qui
uérit sous l'influence de la divinité, c'est-à-dire par suggestion.
Troubles
mentaux. — Il semble que la pathologie mentale ai
rcle noirâtre entourant les yeux était en rapport avec la gravité des
troubles
nerveux présentés par les sujets. Je l'ai égaleme
D' Vigouroux, médecin de l'asile de Vaucluse, ont signalé des cas de
troubles
mentaux survenus à la suite de séances de spiriti
e. « II est très difficile de comprendre C... ; il est atteint de
trouble
de l'articulation des mots.Il est très difficile
'était à Paris, dans une église, je ne sais pas. » « J'ai parlé des
troubles
de l'articulation des mots, je dois ajouter que s
é morbide, réaction impulsive, faiblesse et infidélité de la mémoire,
troubles
du langage, vocabulaire restreint, sont tous les
ts sont commis pour examiner les délinquants ou inculpés suspectés de
troubles
mentaux, dit simplement qu'il n'y a ni crime, ni
ecin seul compétent pour se prononcer sur la réalité et la nature des
troubles
mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces
nature des troubles mentaux chez les inculpés, et sur le rôle que ces
troubles
ont pu jouer sur les déterminations et les actes
nce dans laquelle ils concevaient la persistance dé la disposition au
trouble
mental, c'est lorsqu'il s'agissait de la vente d'
, l'absence de responsabilité ne peut être invoquée qu'autant que les
troubles
de l'intelligence sont très accentués et que le p
des intérêts légitimes. Quand ils eurent constaté que l'existence de
troubles
mentaux chez certains accusés constituait un obst
on. Il n'attribue pas ce signe à la pratique de l'onanisme, mais à un
trouble
de la nutrition. Sur douze sujets qu'ilaobservés,
sont les divergences lorsqu'il s'agit de définir la nature intime des
troubles
fonctionnels dont les manifestations hystériques
contrôle de la conscience personnelle, et qui se manifestent par les
troubles
les plus variés d'apparence uniquement physique »
ri. J'avoue que cette prétention d'expliquer toute l'hystérie par des
troubles
génitaux de l'enfance me semble bien extraordinai
es troubles génitaux de l'enfance me semble bien extraordinaire ; ces
troubles
ne s'observent que chez quelques sujets et n'ont
ns le voir que se développent les idées et les sentiments et c'est le
trouble
phy- * sique qui est primitif. C'est une erreur d
l'hystérie une maladie mentale ; elle doit être considérée comme « un
trouble
physique, fonctionnel du cerveau, consistant dans
oduite a tendance à persister ; elle nous explique les caractères des
troubles
hystériques, elle nous fournit les. indications d
tres anatomiques du cerveau, tels qu'on les délimite actuellement les
troubles
fonctionnels hystériques, l'auteur y renonce d'au
n en langage vaguement anatomique d'observations psychologiques et le
trouble
physique fût-il primitif, l'idée n'en joue pas mo
sentimentale. Il ne faut considérer comme aliénés que ceux dont les
troubles
mentaux peuvent être rattachés à une forme défini
l'histoire. Il n'en est pas de même des souverains chez lesquels les
troubles
psychopathiques se rattachent plutôt à ces formes
le d'adhérents. Le premier des sultans ottomans chez lesquels des
troubles
mentaux confirmés se soient manifestés est Sélim
s à l'érythrophobie remontent assez loin. D'après Hoche, en effet, ce
trouble
fut décrit par Casper vers 1840. D'autres auteurs
ide et Marchand. Considérant que, chez les sujets dont il s'agit, des
troubles
vasculo-nerveux, avec accompagnement d'un état ém
euvent se produire rien que par l'effet du souvenir, ils admettent un
trouble
primitif des fonctions intellectuelles. Pitres et
ne saurait prouver d'une manière concluante que l'érytrophobie est un
trouble
pur et simple des fonctions intellectuelles. En e
rs, en particulier Arnaud, estiment que les obsessions répondent à un
trouble
complexe de l'activité psychique, lequel, en plus
a possibilité d'une chute. Puis le malade fut pris d'agoraphobie. Ces
troubles
s'accentuèrent surtout l'an passé. Depuis lors, l
; les paupières s'abaissent et paraissent trembler. Actuellement, ces
troubles
se produisent non seulement quand on regarde lé m
t caractéristique dans ce cas, c'est le lien qui unit les phobies aux
troubles
somatiques. Ainsi les vertiges sont en rapport av
es sont en rapport avec l'agoraphobie et I'érythrophobie est liée aux
troubles
vaso-moteurs. Comme traitement, j'ai eu recours
passer des nuits blanches. Il rougit souvent. Au sujet de ce dernier
trouble
, ce malade s'exprime de la façon suivante : « Dès
ent mon infirmité, c'est-à-dire de mes parents. Je suis timide, je me
trouble
sans raison. Toute visite au médecin provoque de
pathologique. Un second point à considérer, c'est qu'ils accusent des
troubles
de la circulation lesquels, chez l'un d'eux, se r
e quelconque de phobie obsédante, entre ce symptôme ner-' veux et les
troubles
somatiques. C'est ainsi que le professeur Bekht
, liées apparemment à des affections génitales, cas dans'lesquels les
troubles
mentaux disparurent sous l'influence d'un traitem
vaincre qu'elle cède difficilement au traitement. Cependant, là où le
trouble
est lié à l'hystérie, il est impossible d'obtenir
l de pathologie générale du professeur Podvyssotzky d'après lequel ce
trouble
serait lié à l'onanisme. Venue, le 2G septembre,
st tranquillisée. Je l'ai rencontrée récemment : elle m'a dit que ses
troubles
avait disparu définitivement(1). De l'influence
ête, mais ils sont restés intacts aux racines. Cf. aussi Du-breuilh ;
Troubles
Trophiques des cheveux. (Ann. de Derm. et Syph. 1
e père. Des neuf enfants de sa fille aînée, les cinq premiers ont des
troubles
trophiques de pigmentation. Le premier, le second
tions organiques profondes et ne présentent, pour ainsi dire, que des
troubles
fonctionnels, on peut espérer obtenir le rétablis
commencer le traitement, par un laryngologiste, en raison de quelques
troubles
laryngés sans importance ; on découvrit un épithé
elles du système nerveux : les névroses sont fréquentes ainsi que les
troubles
mentaux qui se compliquent de phénomènes hallucin
rents est tellement enracinée, que la démonstration de l'existence de
troubles
nerveux graves ne parvient pas à les convaincre,
e de s'auto-suggestionner. Elle se manifeste principalement par des
troubles
primitifs et accessoirement par quelques troubles
ncipalement par des troubles primitifs et accessoirement par quelques
troubles
secondaires. Ce qui caractérise les troubles pr
soirement par quelques troubles secondaires. Ce qui caractérise les
troubles
primitifs, c'est qu'il est possible de les reprod
sous l'influence exclusive de la persuasion. Ce qui caractérise les
troubles
secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subord
troubles secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subordonnés à des
troubles
primitifs. » A cette manière de voir, on pouvai
juin 1907, est un état psychique spécial capable d'engendrer certains
troubles
ayant des caractères qui leur sont propres, » L
cial et se trouve réduite en somme aux caractères qu'elle assigne aux
troubles
primitifs, savoir « qu'il est possible de les rep
reille objection M. Babinski répond qu'il ne prétend pas assigner aux
troubles
hystériques le caractère d'être engendrés par sug
tte conclusion que la suggestion armée du sorcier fait disparaître le
trouble
créé par l'auto-suggestion ou la suggestion d'aut
dans le champ de la conscience l'idée subconsciente cause de tous les
troubles
. La forme même de ceux-ci n'a fréquemment aucun r
mérite d'avoir permis de distinguer, grâce à des signes certains, les
troubles
hystériques des affections organiques avec lesque
hro-matopsie, clou hystérique au vertex, point mammaire droit, pas de
troubles
auditifs, dermographisme très prononcé. Pas de se
l'or, à. l'argent ou aux pièces de métal, pas d'interversion des
troubles
de la scnsiblité sous l'influence de l'aimant.
aques d'hystérie depuis sa dernière visite et je ne constate plus les
troubles
de la sensibilité ni l'anesthésie pharygienne. Le
e manies religieuses : manie de la prière, remords de conscience ; de
troubles
mentaux se montrant à l'âge critique du climactér
e entité morbide, mais, contrairement à M. Bernheim, il pense que les
troubles
regardés comme lui appartenant (stigmates sensiti
ubles regardés comme lui appartenant (stigmates sensitivo-sensoriels,
troubles
moteurs, viscéraux, etc.) constituent, au même ti
e modification particulière du dynamisme nerveux, caractérisée par un
trouble
du régime des réflexes corticaux ou sous-cortiaux
, M. Claparède se demande si les manifestations cutanées hystériques (
troubles
trophiques et vaso-moteurs) ne peuvent pas être r
es plus légitimes de cette conférence pourrait être de décider si des
troubles
mentaux survenant chez un souverain ne constituen
somnambulisme, la som-niloquie, le bégaiement, la pusillanimité, les
troubles
moraux, les phobies diverses et surtout l'onanism
ics de la respiration ou de la déglutition, et avoir pour origine des
troubles
circulatoires ou sécrétoires, fréquents chez les
sont déterminées, soit par une petite lésion objective, soit par des
troubles
vaso-moteurs (d'où hypoesthésie ou hyperesthésic
cette sensation finit par ne plus pouvoir l'en distraire. A côté des
troubles
sensoriels, un état mental particulier est indisp
u un automatisme moteur, un tic. Le terrain sur lequel évoluent ces
troubles
est un terrain caractérisé par la faiblesse nerve
raiter ces patients de malade imaginaire, de crainte d'exagérer leurs
troubles
; on déclarera l'examen satisfaisant, rassurant,
e l'intérieur et de l'extérieur. Il y a, en effet chez ces malades un
trouble
1res particulier qui porte sur les sources de l'é
la diminution de l'énergie ; les symptômes moteurs et sensitifs : les
troubles
de l'équilibre : les symptômes chimiques et therm
ollègue passe à des observations particulières, notamment k celles de
troubles
vaso-moteurs, tels que l'hyperhidrose palmaire, t
aditions et mœurs persanes, p. 95. Trophiques dans l'hystérie, (Les
troubles
), par Paul Farez, p. 179. Tympanisme hystérique
ment, de la lésion d'organes produite par ces causes, l'émotion, le
trouble
, la perturbation morale instan- tanée, qui en o
ques exemples (art. Hallucination du Dict. ecyc/o ? Voilà pour les
troubles
sensitifs. Des troubles de la motilité peuvent
cination du Dict. ecyc/o ? Voilà pour les troubles sensitifs. Des
troubles
de la motilité peuvent également se manifester
d'une opération qui fait disparaître la com- pression. Quant aux
troubles
intellectuels, ils peuvent aller du simple vert
sacrés, presque exclusivement. Je n'ai pas ici à décrire tous ces
troubles
inflamma- toires. Ceux-là seuls m'intéressent q
uand d'aventure, après un temps plus ou moins long, surviennent des
troubles
nerveux. Le malade finit, alors son existence d
s- tertiaires, qui se manifestent principalement sous la forme de
troubles
cérébraux chroniques, appartien- nent-ils à la
ts primaires et secondaires peut être définitive, et telle qu'aucun
trouble
cérébral, imputable au trauma- tisme, ne se man
la présence de ce corps étranger n'entraîne pas nécessairement des
troubles
1 Un exemple tout à fait extraordinaire se trou
commotion cérébrale. 11 y a plus et il y a autre chose : il y a un
trouble
profond porté dans la trame même de l'organe cé
cérébral, et, s'il n'est pas possible de dire exactement en quoi ce
trouble
consiste, il faut néan- moins l'admettre. Sta
que la meilleure épreuve, au dire des auteurs, pour découvrir les
troubles
partiels ou généraux de la vision, la prova del
suelle toutes les aires cérébrales dont la destruction provoque des
troubles
de la vision, cette sphère paraît s'étendre à t
ns destructives des lobes temporaux et frontaux ont déterminé des
troubles
de ce genre, comme celles des lobes pariétaux e
i- tées, des lobes pariéto-occipitaux, déterminent tou- jours des
troubles
évidents de cette fonction. Faut- il en conclur
qu'on devrait attribuer à des effets à distance du traumatisme les
troubles
1 Cette tendance à étendre ou même à supprimer
ructives des lobes frontaux et temporo-sphénoïdaux ? Mais, dans les
troubles
de la vision observés par Hitzig après l'ablati
la décortication isolée de ces cir- convolutions ne produit que des
troubles
légers et transitoires de la vision (singe E).
poro-sphénoïdal du singe donnerait lieu, comme chez le chien, à des
troubles
transitoires de la vision, ce qui paraissait pr
partielle corres- pondante bien nette; on n'observe alors que des
troubles
diffus des deux rétines; 3° enfin, les phéno- m
occipital, pariétal ou temporal, sont aussi peu permanents que ces
troubles
diffus de tout le champ rétinien : les uns et l
portance des lésions des régions occipitales dans la production des
troubles
de la vision, et avant Wilbrand, Mauthner et Ex
Il suffira de noter avec une exactitude toujours plus grande les
troubles
de la motilité et de la sensibilité dans l'hémi-
er, avec Hitzig, Exner, Landoltet tant d'autres, l'existence de ces
troubles
bilatéraux, d'intensité iné- gale, mais réels,
rappelle l'attention qu'excita le grand travail de Fùrstner sur un
trouble
particulier de la vision chez les paralytiques
ité pure et simple, quelquefois de cécité psychique. Voilà donc des
troubles
unilatéraux et croisés de la vision .consécutif
aux lobes frontaux ou aux lobes temporaux ne provoquent point de
troubles
visuels permanents avec le carac- tère de cécit
manents avec le carac- tère de cécité psychique. » A la rigueur, ce
trouble
de la vision devrait donc être attribué à une a
d'abord, avant tout essai d'inter- prétation, de la réalité de ces
troubles
unilatéraux et croisés de la vision ? Ces obser
auteurs ont établi que, chez les paralytiques généraux aussi, ces
troubles
de la vue étaient en réalité bila- téraux. No
u moins accusée de l'ouïe, mais point de surdité com- plète ; ces
troubles
s'amendent bientôt avec les effets du traumatis
ation bilatérale, même incomplète, sont toujours plus graves : le
trouble
auditif peut atteindre d'emblée le degré de la
araît tantôt seule, tantôt associée à l'aphasie motrice, ou à des
troubles
paralytiques de la motilité et de la sen- sibil
x et les vaso-moteurs sont d'abord excités puis paralysés. Tous ces
troubles
s'unissent pour produire une chute complète de
engagent les embolies gazeuses; c'est ce qui me fait penser que les
troubles
et les lésions qui caractérisent la décompressi
à son imbécillité et à son instabilité men- tale, se joignaient des
troubles
psychiques consistant en des interprétations er
accentué ; abolition des réflexes rotuliens ; signe d'A. Robertson.
Troubles
vésicaux. Difficultés considérables pour uriner
sivement se débarrasser complètement de l'usage de la morphine. Les
troubles
vésicaux et sexuels sont restés stationnaires.
faire 30 piqûres de morphine par jour. A la même époque début des
troubles
vésicaux; difficulté, irré- gularité dans la mi
nence nocturne passagère. Défé- cations involontaires; ces derniers
troubles
ont disparu il y a trois ans, et depuis un an l
derniers troubles ont disparu il y a trois ans, et depuis un an les
troubles
vésicaux se sont aussi amendés spontanément. Ma
ie, enraye manifestement les symptômes douloureux et la plupart des
troubles
moteurs du tabes. Chaque suspension a lieu, nou
ne dépassant jamais 8 à 10 minutes. L'amélioration manifeste des'
troubles
ataxiques se produitrarement avant la 8°ou'10° sé
puis sur les douleurs fulgurantes, l'anesthésie plantaire, sur les'
troubles
viscéraux et l'impuissanee sexuelle. M. le l'r Ch
s aucun cas, nous n'avons vu reparaître les réflexes rotuliens. Les
troubles
vésicaux ont été modifiés heureusement dans la
dans l'ataxie LOCOMOTRICE. 137 facilement un deuxième étage; 3" les
troubles
permanents de la sensibilité qui existaient aux
plusieurs fois la suspension chez les tabétiques : dans un cas, les
troubles
de la miction ont cessé rapidement, et il a obt
ent, et il a obtenu des résultats encourageants au point de vue des
troubles
visuels. Les remarques de M. Desnos concordent
alles de ce dernier médecin : c'est celui d'un tabétique atteint de
troubles
moteurs oculaires chez lequel ceux-ci ont dimin
a suspension entraînant une plus grande fréquence respiratoire. Les
troubles
cardio-vasculaires sont une contre-indication ; t
pouvant influencer la dyspnée, la tendance syncopale. Du côté des
troubles
nerveux, on n'est pas encore bien fixé quant aux
zone des mouvements oculaires J. HOUlll : -10VITCII. III. Sur LES
troubles
DES sensualités générale et spéciales dans CERT
énérale et spéciales. Il est arrivé aux conclusions suivantes : Les
troubles
de la sensibilité générale et leur durée se trouv
état psychique du malade. Si l'état psychique est stationnaire, les
troubles
de la sensibilité générale le sont également et
du malade, immédiatement l'état de la sensibilité change. Quant aux
troubles
fonctionnels des organes des sens, la première
nt du champ visuel. On observe aussi, mais moins fréquemment, des
troubles
gustatifs, acoustiques et olfactifs. J. RoumnoYiT
ieur des deux lobes frontaux n'a amené aucune paralysie, ni aucun
trouble
delà sensibilité, ni modification de l'intelligen
dans les traumatiques dont il vient d'être question, non plus à des
troubles
émanés du cerveau, mais à une bémorrhagie dans le
rtains. Persistance normale des réflexes patellaires. Ni ataxie, ni
troubles
de la sensibilité. Diagnostic encore impossible
n'empêche pas les agents chez d'autres sujets de produire d'autres
troubles
mor- bides. 1 Cela veut dire que M. Wernicke
culaire aigu ; le diabète, le paludisme et la syphilis (l'étude des
troubles
de la sensibilité dans la syphilis mérite une m
nts produisent l'hystérie ou bien par auto-sugges- tion ou bien par
troubles
de la nutrition générale se confinant de préfér
e la Maison nationale de Cliaretitoti. V. Preuves cliniques. et).
Troubles
des facultés intellectuelles (arrêt de développ
nie qui revient à chaque printemps et dure quelques semaines. b).
Troubles
pathologiques permanents. - Ces trou- bles sont
a forme de la maladie mentale. DES TRAUMATISMES DU CRANE. 201 des
troubles
cérébraux, céphalalgie, vertiges, éclipses de m
tion, que la chute, au lieu d'être la cause, a été le résultat d'un
trouble
mental déjà bien prononcé et qui doit être ratt
ysés et insensibles; la vessie était légèrement prise. Pas d'autres
troubles
. Cet état paralytique a disparu au bout de troi
illie; en même temps sur- vinrent des douleurs très fortes avec des
troubles
respiratoires consécutifs. Ces symptômes ont du
eurs commencent à se fléchir et à s'étendre tout d'un coup. Plus de
troubles
de la vessie. Un peu plus tard, son membre infé
prononcé au membre inférieur gauche. Sensibilité normale. Pas de
troubles
vésico-recto-génitaux. Pas de symptômes céphali
D'après Hadden, l'altération mentale de ces maladies dépendait des
troubles
du système sympathique ayant pour résultat l'al
ités peuvent agir sur le moral des femmes et déterminer parfois des
troubles
de l'intelli- gence. Dans le cas actuel, il s'a
té réalisé par lui à Brème. P. K. VI. Intoxication saturnine avec
TROUBLES
DE L'INTELLI- GENCE ET DU système nerveux; par
uatorze ans REVUE DE pathologie mentale. 27l 1 dont il s'agit, le
trouble
mental avait plutôt la forme du délire que cell
utefois, plus de trois semaines s'étant écoulées entre le début des
troubles
cérébraux et le moment où l'exa- men ophthalmos
et des muscles auxquels ces fibres se distribuent. La guérison des
troubles
intellectuels conduit à penser que les ganglion
débute de trente-cinq à quarante-cinq ans, ne s'accompagne d'aucun
trouble
objectif normal, et aboutit à la démence paraly
que if l'halluci- nation psychique de Baillarger est avant tout un
trouble
fonc- tionnel des centres moteurs du langage ar
nts en ce qui concerne l'hyoscine. M. BRIAND lit un travail sur les
TROUBLES
DE la mémoire dans L'IN- T031C : 1TION par L'OX
s formes aiguës ou subaiguës du rhumatisme cérébral et en outre les
troubles
de la nutrition des arthritiques. Ceux-ci sont
ibilité d'intoxications secon- daires. Tout cela peut aboutir à des
troubles
psychiques dont l'in- terprétation causale est
souvent beaucoup plus étendue, elle s'accom- pagne cliniquement de
troubles
moins accentués que la poren- céphalie vraie qu
habituelle ; l'ivresse pa- thologique, c'est-à-dire d'une part les
troubles
mentaux aigus ou chroniques dus à l'intoxicatio
ues. AI. GASCARD étudie l'INFLUENCE DE la SUGGESTION sur certains
TROUBLES
delà menstruation. Il a pu guérir par l'hypnotism
e, l'onanisme, le blépharo- spasme, les attaques hystériques et les
troubles
sine materia du système nerveux; 3° aucun résul
s anomalies sur le compte du développe- ment. Certaines autres, les
troubles
de la sensibilité par exemple, si fréquents che
RT, dans un travail sur ce sujet, constate en bloc l'exis- tence de
troubles
nerveux cérébraux ou médullaires, sans les clas
École de la Salpêtrière, est beaucoup trop compréhensif. Il y a des
troubles
semblables aux symptômes décrits chez les traum
sur les urines de ces individus, il semble qu'il y ait chez eux un
trouble
de la nutrition par suite d'une véritable auto-in
'est fait pendant le somnambu- lisme est du à la disparition de ces
troubles
de la sensibilité et des images qu'ils auraient
onseille d'administrer le sulfonal loin des repas afin d'éviter les
troubles
gastriques qui ont été signalés. M. Marandon
douloureux, qui se sont compliqués de dépression et finalement, de
troubles
psychiques graves. Les accès sont ainsi constit
ent les symptômes précoces de la maladie suffisant, en l'absence de
troubles
de la parole et de démence trop accusés, pour é
AVANTES. 301 glosso-pharyngien. On constata des paresthésies et des
troubles
de la sensibilité sur la face, des difficultés
est demeuré intact. Le second fait est surtout remarquable par des
troubles
mar- qués dans le territoire des deux trijumeau
d'une glycosurie persistante (proportion, 5 p. 100), fut atteint de
troubles
psychiques (folie systématique hallucinatoire a
dies du svstemc uerveuc. Constituée par des douleurs de tête et des
troubles
visuels dans sa forme simple, par les mêmes sym
succès un examen de droit devant la Faculté de Paris. Les premiers
troubles
qui ont surtout frappé l'attention, remontent au
liée M. Parinaud. n'est pas moins intéressante. - Observation II.
Troubles
visuels à forme hémianopsique,. revenant par ac
hes. En juillet 1881, sans prodromes, il est pris brusquement de-
troubles
de la vue avec engourdissement du côté droit et e
personnes qui ne sont pas habituées à ce genre d'observation. Le
trouble
visuel a duré un quart d'heure environ. L'engourd
l'engourdissement a aussi envahi le membre inférieur gauche, et le
trouble
de la vue s'est généralisé à tout le champ visu
s'est qu'amélioré, sans que l'élocution revînt à l'état normal. Les
troubles
intellectuels et moraux restant en l'état. . Mi
ît plus que son âge. L'expression de la physionomie est insipide.
Troubles
psychiques. - Quoique par l'interrogatoire on obs
lement. Les réflexes rotuliens sont forts à droite. Il n'y a pas de
troubles
de la sensibilité; les pupilles sont inégales,
. - l'as d'insomnie. Les autres fonctions s'accomplissent bien : ni
troubles
digestifs, ni troubles génésiques ni menstruels
s autres fonctions s'accomplissent bien : ni troubles digestifs, ni
troubles
génésiques ni menstruels. Quoique notre inten
que chez les enfants. - Ar- chives de physiologie, 1873. Hutinet.
Troubles
de la circulation veineuse chez les noweau- nés
e menaçante, ou s'en servir avec adresse pour saisir un os. Ces
troubles
de la motilité volontaire, ni Hitzig, ni Munk n
ée dans certains actes ». Mais encore quelle est la nature de ces
troubles
du mouvement volontaire consécutifs aux destruc
Hitzig, dans deux travaux de 1837 et de 1876, comme l'expression de
troubles
de l'activité représen- 364 PHYSIOLOGIE. tati
e mus- culaire, il y a la théorie de Schiff, suivant laquelle les
troubles
de la motilité d'origine cérébrale résultent de
au coin du génie éclectique des Italiens. Loin de subordonner les
troubles
du mouvement aux altérations des organes centra
ns centrales et pariétales. Dès 1882, Lisso avait réuni 88 cas de
troubles
de la sensibilité générale observés dans les lé
ces phénomènes sans être frappés de la rencontre fré- quente des
troubles
de la sensibilité générale et de la motilité vo
ce qui déterminent des paralysies motrices entraînent après soi des
troubles
de la sensibilité cutanée. Nothnagel incline ce
érine. Etude sur l'aphasie. (Rev. de médecine, 1885, p. 183.) « Ces
troubles
de la sensibilité cutanée... accompagnent le débu
Maragliano, Bianchi z, 'Palmerini \ Tonnini, etc., considèrent ces
troubles
^moteurs comme parétiques ou paralytiques. Ains
nutieux permet de constater des traces de la persis- tance de ces
troubles
. D'autre part, ils répètent que- l'examen des d
nces des fonctions motrices détruites, le caractère transitoire des
troubles
moteurs et le retour de la motilité volontaire
. 106, p. 258 sq. 380 PHYSIOLOGIE. Ces auteurs ont trouvé que les
troubles
du sens musculaire, la diminution de la tension
l'animal survit assez longtemps au traumatisme opératoire, tous ces
troubles
d'inner- vation motrice, dus aux lésions du noy
ui suivent les destructions de l'écorce. Tels sont les principaux
troubles
, - avec une excitation psychique très vive de l
sait peut-être que d'un symptôme bien connu de l'hémi- plégie, de
troubles
vaso-moteurs locaux, et non d'une augmentation
motrice, mais d'une para- lysie de la sensibilité tactile. Tous les
troubles
de la motilité observés, ceux de la position et
'a fait Munk, les idées de Schiff et de Hitzig sur la nature de ces
troubles
, puisqu'il constate à la fois des lésions de la
réflexe ailleurs que dans l'écorce, mais sans 1 Schiff attribue ces
troubles
des sens de la pression et de la tempéra- ture,
onde des choses connues ou connaissables. Si Hitzig a découvert les
troubles
moteurs consécutifs aux lésions de la zone exci
ont tombés dans l'explication banale d'une paralysie véritable. Les
troubles
de la motilité volontaire, tous deux les ont ra
Hitzig : tous deux rappor- tent les altérations du mouvement à des
troubles
de la sensibilité générale. On pourrait donc re
u mouvement », au sens de David Ferrier. Jamais il n'a observé un
trouble
quelconque de sensibilité dans ses expériences
ntenant, l'insensibilité au froid (Herzenl), répétait que les mêmes
troubles
ataxiques qu'on .observe chez le chien après l'
fort et d'une plus longue durée; leur destruction n'entraîne pas de
troubles
manifestes de la motilité; enfin, les mouvement
des expériences de Raymond Tripier (1877, 1880) et de Goltz sur les
troubles
de la motilité et de la sensibilité générale, c
iés. Cette compensation, toutefois, reste toujours incomplète : les
troubles
per- sistants de déficit, les altérations résid
cutanée et musculaire ? - Oui, car dans' aucune des expériences les
troubles
les plus nets de la sensibilité générale n'ont
efois abolies. Quant au sens ou à la conscience musculaire, dont le
trouble
se manifeste souvent par l'indifférence absolue
t être- permanente. Puis, comme le prouve l'amendement rapide des
troubles
fonctionnels, certaines parties du centre enlev
sibilité générale et du mou- vement. Les phénomènes de déficit, les
troubles
de la sensibilité tactile et musculaire, ou les
ux concordent avec les faits cliniques. Chez l'homme, en effet, les
troubles
de la motilité volontaire, qui succèdent aux lé
pied, la contracture tardive permanente du membre inférieur, les
troubles
de l'équilibration et de la marche : ces dernie
r, les troubles de l'équilibration et de la marche : ces derniers
troubles
seraient en rapport avec une distri- bution bil
bien. Fièvre typhoïde à onze ans, avec accidents cérébraux. Pas de
troubles
intellectuels consécutifs. 1 Elle a eu depuis c
des deux yeux. Quand il fixe des objets un peu éloignés, sa vue se
trouble
et plus vite à gauche qu'à droite, puis peu après
u plusieurs vertiges, dont l'un a été très prolongé. 11 voyait tout
trouble
: « C'est à peine si j'y voyais assez pour me dir
de valériane, bromure de camphre. Etourdissements : La vue devient
trouble
, tous les objets tournent DE L'HYSTÉRO-ÉPILEPSI
par un affaiblissement graduel de la vue. La forme dépressive des
troubles
émotifs s'est accusée dans ce cas avec une nett
in nombre des grands symptômes de la maladie, le tremblement et les
troubles
vaso-moteurs en particulier, relèvent directeme
onction. G. D. XIII. UN cas d'ataxie locomotrice avec début par DES
troubles
trophiques; par 111. II. 111OLLIERG.. (Lyon méd
u facial .gauche ; 2° les deux noyaux d'origine de la 6° paire. Les
troubles
fonctionnels observés pendant la vie étaient do
raient isolées sur un même tronc. Parmi les malades affectés de ces
troubles
vasculaires, il n'y en avait que deux qui ne pr
ie de la gaine à l'extrémité du nerf optique a produit les premiers
troubles
de circulation générateurs des altérations patho-
ques (infiltration oedémateuse, tuméfaction, gonflement). De là les
troubles
fonctionnels àoscillations multiples coïncidant m
ion d'acide nitrique sont demeurées sans ac- tion sur elle, elle se
trouble
en se refroidissant et précipite. Le précipité
, que le sulfonal n'exerce sur lui aucune influence. M. Kast. Des
troubles
des facultés musicales chez les aphasiques. - I
correctement, il avait parfaite conscience de son impuissance. Ces
troubles
persistèrent alors que la parole s'était consid
coup affecté de deux attaques d'apoplexie. La seconde fut suivie de
troubles
très marqués de la parole (type Broca) avec tro
fut suivie de troubles très marqués de la parole (type Broca) avec
troubles
accusés de l'écriture. La parole s'améliora gra
la paralysie bulbaire franche et la pseudo-paralysie bulbaire. Les
troubles
de la respiration, de la circulation, du larynx
une hémiplégie alterne. En conséquence, bien qu'il n'existe ici ni
troubles
trophiques, ni troubles de l'excitabilité élec-
En conséquence, bien qu'il n'existe ici ni troubles trophiques, ni
troubles
de l'excitabilité élec- trique, les lésionsprin
s en foyer, 'un tabes, une névrite périphérique, l'association d'un
trouble
de la parole incontestablement bulbaire avec un
s et que, parmi les actes qu'il exécute, les uns se rattachent à ce
trouble
morbide, les autres, et parmi eux celui dont on
ique; celle-ci devient alors le terrain sur lequel germent d'autres
troubles
qui affectent un autre déve- loppement mais ils
t plus de l'asthénie simple. L'as- thénie cérébrale se complique du
trouble
de l'énergie de la puis- sance du travail et de
s affections en foyer de l'enfance, ne se traduisent jamais par des
troubles
du sens musical ou des facultés d'exécution quand
s'accompagne quand elle se montre dans la première enfance, d'un
trouble
ou de la disparition de la faculté d'exécution et
parfaitement subsister quand il n'existe que de la dysphasie, des
troubles
de la parole tendant un développement défectueux
urles légers accidents de parésie et d'excitation de la moelle avec
troubles
de la seiisiblité atteinte des réflexes tendine
de temps, présenta sur les trois derniers doigts de chaque main un
trouble
dans la croissance des ongles, ayant débuté au
sonnelles. Il s'agit de malades atteints de diffé- rentes formes de
troubles
psychiques (démence à la suite d'un traumatisme
s les autres exemples, nous les considérerons comme l'expression de
troubles
d'innervation et de pertubations trophiques pro
Le tabes doit être soupçonné chez un hémiplégique qui présente des
troubles
oculaires, du pus muscu- laire, de la sensibili
sie habituelle du côté paralysé et par les stigmates de l'hystérie (
troubles
de la vision, zones hystérogènes, plaques d'ane
s, la sensibilité, le sens musculaire sont intacts; il n'y a pas de
troubles
cérébraux. Enfin il y a l'aspect empoté, la propu
Anthropologie criminelle (congrès d'), 171, 291, 408, Aphasiques (
troubles
des facultés musicales chez les), par Kast,153.
del. 456 ; - Grashey, 456. Saturnine (intoxication saturnine avec
troubles
de l'intelligence et 474 TABLE DES AUTEURS ET D
r Castaras, 80, 207. Sens musculaire, par Gley, 285. Sensibilité (
troubles
de dans cer- taines formes de maladies men- t
eruhardt, 152; -(pathologie du), par Oppenheim, 300; - (début par
troubles
trophiques du). par Ioilière, 'r30. Thrombose
habituelles. Vers la même époque, le malade commença à éprouver dos
troubles
dyspeptiques ; après les repas il se sen- tait
une modification; on ne constate ni d'éruption d'aucune sorte ni de
troubles
vaso-moteurs. Il y a un DE LA DÉFORMATION DU TR
c'est-à-dire du côté sain. Du côté des téguments, il n'y a pas de
trouble
trophique, mais les muscles du membre inférieur g
la fin de la journée. Le membre atteint no présente pas d'autres
troubles
: la sensi- bilité est normale; il n'y a pas d'
nt sur la station et sur la mar- 26 PATHOLOGIE NERVEUSE. che » ce
trouble
caractéristique. D'après l'avis'éclairé de M. G
Il y a évi- demment dans cette description la différenciation du
trouble
que nous étudions, mais l'interprétation pa- th
e-pied, est possible. Le pronostic est générale- ment favorable, le
trouble
disparaît lentement ou brus- quement et est suj
Weir-Mitchell décrit sous le nom d'ataxie mo- trice hystérique des
troubles
analogues et appuie sa description sur un certa
ier est la forme étudiée par Briquet et Lasègue3 3 dans laquelle le
trouble
est sous la dépendance de l'anesthésie et ne s'
s aucune espèce de paralysie. La malade, dans ces cas, n'a pas de
troubles
de la sensibilité dans les membres infé- rieurs
plus, l'excitation corticale qui semble en- gendrer l'un et l'autre
trouble
, serait primitive lors de convulsion statique,
ien- nent qu'à titre de complication; mais, dans tous les cas, le
trouble
fonctionnel est toujours le même, par- faitemen
par- faitement original, et différant à tous égards des di- vers
troubles
de coordination jusqu'ici décrits et caté- gori
s. Il y a eu aussi quelques douleurs dans les deux flancs. Quelques
troubles
visuels seraient survenus récem- ment, caractér
ua à se bien porter. Le 4 octobre, il fut repris subitement du même
trouble
, sans aucune cause apparente, et se plaignit de
se tenir debout. Depuis, son état général resta excellent, mais le
trouble
moteur persista tel quel, et l'enfant fut condu
. Les jambes ne présentent rien d'anormal : ni amaigrissement, ni
troubles
trophiques d'aucune sorte. La sensibilité général
is, il y a un léger rétrécissement du champ visuel. Il n'y a pas de
troubles
des réactions électriques. Les organes génitaux
evant, il a encore un peu d'hésitation dans la démarche. Depuis. le
trouble
disparaît complètement. 5 septembre. Nous avons
truérison s'est maintenue depuis, et qui n'a soutfert d'aucun autre
trouble
ner- veux. Observation IV. (Dr Serafeno ROM
uivis de sensations désagréables et de secousses cloniques. Aucun
trouble
actuel de la vision : il aurait vu gris (achroma-
achroma- topsie) pendant un temps. L'état général est bon : aucun
trouble
des autres appareils. Observation VII. (Rédig
la région dorsale, la malade se tient courbée. Puis survinrent les
troubles
des membres inférieurs qui empêchèrent la march
ied n'existe pas. Il n'y a aucune modification de la force, aucun
trouble
de la coordination. Les membres ne sont pas rig
chissent alors, et le malade est menacé d'une chute. Il n'y a aucun
trouble
de la sensibilité cutanée. Observation IX. (R
le à l'â ? e de deux ans. Depuis son enfance elle a fréquemment des
troubles
gaslro- intestinnux légers. Elle a été réglée à
improviste un coup sec sur le creux du jarret. Dans la marche les
troubles
atteignent leur maximum. A chaque pas que fait
claudication; mais dès qu'elle veut marcher comme tout le monde, le
trouble
réapparaît. Elle peut également oxéruler snnsin
nd hypnotisme. Par suggestion je fais disparaître immédiatement les
troubles
de la marche, et la malade peut descendre un es
autre, elle ressentit de vives douleurs lombaires, sans fièvre, ni
trouble
des sphincters, qui la forcèrent à s'aliter. -
ans leur leur motilité, dans ( leur sensibilité, existe de plus des
troubles
de la station et de la marche paraissent indépe
és, car alors la malade s'affaisserait si on ne la soute- nait. Les
troubles
sont plus prononcés du côté gauche. La malade m
re bien des poins obscurs. Nous nous proposons d'étu- dier ici un
trouble
assez rare et encore peu connu du système nerve
faciale droite. Mydriase du côté correspondant. Thermanesthésie et
troubles
de la sensibilité dans le membre supérieur droi
mbé. Il n'accuse ni douleurs de tête, ni perte de mémoire, ni aucun
trouble
de sensibilité spéciale. Du côté de la vue no-
urvenait sur le côté gauche du front. Il y avait chez ce malade des
troubles
oculaires. Roque rapporte le cas d'un jeune hom
e la face et du cou. La peau n'était pas rouge : il n'y avait aucun
trouble
pupillaire, aucun trouble de sensibilité. La pr
n'était pas rouge : il n'y avait aucun trouble pupillaire, aucun
trouble
de sensibilité. La pression au niveau des apoph
Il est à remarquer toutefois que les symptômes de para- lysie ou
troubles
vaso-moteurs étaient intermittents, ce qui tend
te partie de la face; pas d'aug- mentation de la température pas de
troubles
pupillaires. Les pupilles sont égales; elles se
réagissent également bien à la lumière et à l'accommodation. Pas de
troubles
de sécrétion lacrymale. - Rien d'anormal dans l
s de rougeur de la face avec hypéridrose et hyperthermie sans autre
trouble
apparent de la santé. M. Leudet (de Rouen) a
ous l'influence de toute préoccupation. Il n'y avait ni rougeur, ni
troubles
pupillaires, mais amblyopie du même côté. En
es observations d'éphidrose de la face, il est possible de noter un
trouble
dans le fonctionnement du système nerveux. Ces
Lésion des nerfs de la face (facial ou surtout tri- jumeau) ; 4°
Trouble
réflexe dont le point de départ réside dans une
heure. A dix mois, il eut des convulsions sans cause connue et sans
troubles
physiques et intellectuels consécutifs. Il étai
lus intense, dit-il, aux convulsions les plus violentes, succède le
trouble
le plus effrayant delà res- piration et de la c
nte grave, à évolution prolongée, au moment de la convalescence, de
troubles
intellectuels, revêtant, le masque de démence a
enne obscure conduisant à une conception fausse. P. K. VIII. D'un
TROUBLE
précoce DE L1 sensibilité dans la démence para-
démarche. Un an encore, et petits accès épileptiformes. Finalement
trouble
de la parole consistant en hésitations, ra- len
res. Huitième groupe : Idées de persécutions avec hallucinations et
troubles
de la sensibilité générale. (Ce groupe comprend
la paralysie générale. - M. Christian, énumère un certain nombre de
troubles
morbides qu'il a notés chez beaucoup de malades
ique et avoir une signification pathologique bien déter- minée. Ces
troubles
morbides sont tantôt des troubles de la vision
thologique bien déter- minée. Ces troubles morbides sont tantôt des
troubles
de la vision (diplopie, strabisme ou ptosis), t
des intestins, de la vessie, etc. Il faut y joindre également les
troubles
trophiques dont le mal perforant est un eemple et
Christian propose-t-il de réunir dans un chapitre nouveau tous les
troubles
morbides qu'il a énumérés et d'en constituer la
ion sur un cas d'hallu- cinations auditives survenues à la suite de
troubles
de l'ouïe. il s'agit d'un malade âgé de trente-
raison aux auteurs qui subordonnent certaines hallucinations aux
troubles
des organes des sens. Mais il n'y a là qu'une app
lles se traduisent par des impulsions. M. Ballet ne croit pas qu'un
trouble
sensoriel puisse de toute pièce engendrer des h
le sensoriel puisse de toute pièce engendrer des hallucinations. Ce
trouble
intervient au plus comme cause occasionnelle. C
voix qu'il entend. M. BALL n'a pas la prétention de dire que les
troubles
des organes de l'ouïe suffisent à déterminer de
tifs, les dyscrasies ne regardent que le traitement médical; G° les
troubles
psychiques qui se montrent chez maints idiots s
animaux qui ont survécu à des destructions symétriques offrent des
troubles
extrêmement marqués dans l'in- gestion alimenta
d'une myélite lombaire des cornes grises antérieures; l'absence de
troubles
de la sensibilité implique l'intégrité de la mo
M. le Docent TuczET (de Marbourg). Nouvelles communications sur les
troubles
nerveux permanents consécutifs à l'ergotisme. - I
erg (1879-1880) (Archiv. f. Psych. XI, VIII)1, caractérisés par des
troubles
intellectuels, des convulsions épileptiformes, la
émet spontanément, qu'il peut répéter. Intégrité de la vision, ou
troubles
de la vue n'ayant rien à voir avec cet accident.
ment dites; elle représente une aphasie dans un sens plus large, un
trouble
de la faculté signatrix de Kant. Ce qui la diff
iant, si facile à confondre, si on ne l'analyse pas à fond, avec un
trouble
simple de la vue, qui, dans tous les cas observ
atteints d'obsessions, tandis qu'à.côté de cela ils disent que les
troubles
psychiques sont exclus deleurs éta- blissements
alysie générale chez un épileptique (1879); Des relations entre les
troubles
de la motilité dans la paralysie générale et le
e nettement accusée dans la sphère de l'anesthésie partielle, des
troubles
trophiques de la peau, un panaris dans les anté
OLOGIE NERVEUSE. des soubresauts musculaires, de la scoliose, des
troubles
subjectifs de la sensibilité, de la préoccu- pa
éprouvée dans la cuisse droite et des paresthésies antérieures. Les
troubles
objectifs de la sensibilité ont considérablemen
é une thermo-anesthésie et une analgésie considé- rables. Ces mêmes
troubles
se sont étendus à la sphère du sus- scapulaire
musculaire ni à l'épaule gauche, ni dans d'autres endroits. Pas de
troubles
trophiques de la peau. La région de l'anesthési
source alcaline n° 17 avec du lait. Le caractère hémiplégique des
troubles
existants chez ce malade dans le premier stade
es régions à sensibilité altérée (sur la nuque et le thorax), des
troubles
prédominants des membres supérieurs, la partici
Etat actuel. La malade est pâle, maigre, mais ne présente pas de
troubles
du côté des organes de la digestion, de la circu-
par moi dans le courant de l'année suivante. 8 Janvier 1883. Les
troubles
du mouvement et de la sensibi- DE LA GLIOMATOSE
e ; à la suite d'une émotion vive ou d'un léger trauma- tisme, le
trouble
s'établit soit d'emblée, soit progres- sivement
intenir l'équilibre autant que possible et à prévenir la chute. Ces
troubles
s'accen- tuent de plus en plus pendant la march
dépas- sent le but.. Ajoutons, enfin, qu'à son moindre degré, le
trouble
peut ne consister qu'en une sorte d'incertitude
egré, parce que leur impo- tence était insuffisante à expliquer-les
troubles
de la station et de la marche, qu'on pourrait c
hypéresthésiques, analgésiques, rétrécis- sement du champ visuel ,
troubles
sensoriels divers, attaques, qui devront, par s
e. La marche de cette affection est assez capricieuse ; ainsi, le
trouble
, déjà établi depuis plusieurs mois, a pu, dans
nférieurs. Enfin, il existe d'autres signes : absence des réflexes,
troubles
oculaires, douleurs fulgurantes, troubles vésic
s : absence des réflexes, troubles oculaires, douleurs fulgurantes,
troubles
vésicaux, etc., tout à fait spéciaux. Lors de
che même de la maladie ne permettront pas de douter longtemps. Le
trouble
que Briquet puis Lasègue ont nommé Archives, t.
ux et vingt- cinq ans. Nous avons même constaté l'existence de ce
trouble
chez une femme de cinquante-deux ans. La cause
pement, DE l'astasie ET DE l'abasie. 201 soit à la disparition du
trouble
moteur, plaiderait en faveur de l'origine corti
e avec les mêmes caractères. Lorsqu'après avoir fait disparaître le
trouble
par suggestion on lui dit : « Tu ne sais plus m
ses liées à des modifica- tions de la circulation capillaire, à des
troubles
vaso- moteurs. , ' Il en est d'autres absolum
au ni- veau du bulbe et même dans l'encéphale a donné lieu à des
troubles
vaso-moteurs ou sudoraux. Des observa- tions te
dans le tabes : crises douloureuses viscérales, crises de diarrhée,
troubles
sécréteurs ou vaso-moteurs observés sur le tégu
arition de tous les symptômes qui, de près ou de loin impliquent un
trouble
circulatoire ou une alté- DES ÉPHIDHOSES DE LA
i répond en clinique à deux types : 1° syndrome, éphidrose, myosis,
troubles
vaso-moteurs; 2° éphidrose seule ou le plus sou
ssortir en premier lieu la persistance de la mydriase alors que les
troubles
sudoraux sont temporaires et passagers. Tandis
laire; la mydriase ou le myosis n'augmentent pas. Puis bientôt, les
troubles
sudoraux ou vaso-moteurs, suivant les cas, disp
centres bulbaire ou spinal. Elle se présente au même titre que les
troubles
pupillaires et les phénomènes vaso-moteurs. Ceu
est plus rapide s'il essaie de tourner à gauche. On ne note pas de
troubles
de la sensibilité et de la motilité. Le malade
lle présente successivement les formes principales qu'affectent les
troubles
intellectuels, mélan- Kalilbatini. - Die Katalo
mation cutanée abondante; l'anorexie, la fétidité de l'haleine, les
troubles
de la défécation : la chloro-anémie est fréquen
quatrième ventricule.. Dans les autres cas, elle était constamment
trouble
en cet « endroit, et, de plus, il y avait une t
our Kahlbaum, les maladies mentales en général sont causées par des
troubles
nutritifs qui, débutant par l'hypé- rémie, l'ex
ndis que d'un autre côté apparaissent, comme phénomène capital, les
troubles
du système nerveux moteur présentant le caractè
s symptomatique changeant d'une façon cyclique et s'accompagnant de
troubles
du système nerveux moteur qui, dans ce cas, aur
résente soit dans un état de santé com- plète, soit dans un état de
trouble
mental durant depuis un certain temps et qui, s
développe du mutisme sans raideur musculaire et sans changement des
troubles
intellectuels mélancoliques. Des signes importa
yphoïde, mais la caractéristique pathologique pourKiernan serait un
trouble
primitif dans les centres vaso- moteurs, amenan
rima^y insanities) dans le sous-ordre des états caractérisés par un
trouble
émotionnel fondamental expansif : (manie), J dé
ait une forme de délire systématisé (Wahn- sin). Car, pour lui, les
troubles
moteurs sont primitifs et fon- damentaux, les m
FAT Première analyse (lor avril, septième jour de sommeil). Urine
trouble
, très colorée, très acide; légère odeur. Poids
ps avant l'attaque, les hystériques présentent presque toujours des
troubles
de la sen- sibilité, qui se traduisent le plus
la sensibilité dans tout le côté droit sans faire disparaître les
troubles
de sensibilité à gauche (hémianesthésie). » Si
l ajoute « ..Chez les autres, il y avait eu soit du délire, soit du
trouble
dans les idées, soit de la pesanteur de tête. »
ors des phénomènes les plus graves et les plus persistants, que des
troubles
dyna- miques inappréciables, tout au moins avec
dans beaucoup d'eau n'ont aucun inconvénient. Il faut se défier des
troubles
vaso-moteurs, causés par la paraldéhyde, surtout
aisseaux de la base présentant des exsudats circonscrits, pie-mère,
trouble
à la base se détache à droite en gros lambeaux fa
enlever sans léser la substance corticale. Pie-mère cérébelleuse
trouble
ne se détache qu'en petits morceaux. Hémisphère c
ne peut lire l'écriture, quoique l'on ne puisse cons- tater de gros
troubles
de la vue. A partir du jour où survint l'aphasi
définitives ont compromis l'intégrité de l'organe, et déterminé le
trouble
de la fonction. La responsa- bilité peut être a
um; il peut être pris pendant plusieurs années sans occasionner des
troubles
de l'esto- mac. D'après lui, il guérit quelques
uire des crises viscéralgiques ; elles peuvent enfin déterminer des
troubles
de la coordination des mouve- ments ressemblant
e Rorn6eg. Excitation génitale suivie de frigidité. De 1 88 ci 886,
troubles
de la miction, tenesme rectal, crises gastriques.
fulgurantes types. Persistance de l'incoordination motrice. Pas de
troubles
de la vue, ni de troubles trophiques. Réflexes ro
tance de l'incoordination motrice. Pas de troubles de la vue, ni de
troubles
trophiques. Réflexes rotu- liens conservés. Mor
e le pied lui paraissait solidement fixe sur un plan résistant. Les
troubles
de la coordination motrice augmentaient considé
l n'y a pas d'atrophie musculaire, ni d'adipose sous-cutanée, ni de
troubles
trophiques de la peau ou des ongles. La sensati
sont toujours perçues en deux temps (-1 contact, 20 piqûre). Pas de
troubles
de la vue. Pas de troubles trophiques. Etat génér
ux temps (-1 contact, 20 piqûre). Pas de troubles de la vue. Pas de
troubles
trophiques. Etat général bon. Dans le courant
r exemple, que la conservation des réflexes rotuliens, l'absence de
troubles
des réactions pupillaires auraient dû faire éca
qu'il existe, dans certains UN CAS DE PSEUDO-TABES. 353 cas, des
troubles
fonctionnels susceptibles de donner lieu à un e
e lésion organique préexistante ou s'il est le résultat d'un simple
trouble
fonctionnel. Les accidents qui paraissent relev
veux. L'apoplexie elle-même est quelquefois le résultat d'un simple
trouble
dynamique de l'encé- phale et rien ne ressemble
- apoplexies. Nous ne comprenons pas encore le méca- nisme de ces
troubles
fonctionnels, mais qu'importe ? 2 Nous en somme
paralysie faciale n'a pas été chez elle un accident isolé, c'est un
trouble
nerveux de plus à ajouter à ceux qui l'avaient
équemment des attaques de nerfs; il y a trois uns elle présenta des
troubles
vésaniques qui nécessitèrent son admission dans
t trois mois. La paralysie faciale est totale, elle s'accompagne de
troubles
du goût. A l'exploration électrique pratiquée p
, il convient d'ajouter l'affaiblissement des organes génitaux, des
troubles
vésicaux (incontinence d'urine) et de la diplop
stérieurs fait exception à cette règle, mais ne sait-on pas que les
troubles
psychiques sont fréquents dans le tabes et que
puis- sante pour amener la dégénérescence du nerf, et partant des
troubles
marqués dans l'état de la con- tractilité. »
on, elle n'est qu'une verrucktheit aiguë un peu particulière, les
troubles
moteurs ne sont pas des crampes et ils n'ont pas
du contenu mystique (Morell) ou érotique et même en dehors de tout
trouble
délirant, dans l'imbécillité, par exemple; on l
de la sensibilité au tact, à la dou- leur, à la température. Pas de
troubles
du sens musculaire. Ce malade a la faculté sing
'hystérie, aucune perte de sensibilité ou du sens musculaire. Ces
troubles
moteurs sont encore accentués dans la mélan- co
lus graves d'excitation, et en particulier dans le délire aigu, les
troubles
du système nerveux moteur peuvent être des plus
de ces symptômes il en est d'autres en rapport plus étroit avec les
troubles
psychiques et que Kalh- baum donne également co
la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques, on observe des
troubles
de la vue : diplopie, amblyopie, nystagmus, exa
équents dans la dernière maladie, sont absents dans la seconde. Les
troubles
psychiques (hallucinations, délire mélan- coliq
aques ne paraissent pas se rencontrer dans l'athétose double. Les
troubles
de la parole se ressemblent au premier abord. T
chez les malades atteints de sclérose en plaques et tandis que les
troubles
de'la parole vont en s'aggravant dans la scléro
On n'a pas encore observé, que nous sachions, dans l'athé- tose les
troubles
viscéraux (crises gastriques, laryngées, néphré-
ryngées, néphré- tiques, vésicales, parésie vésicale, cystite), les
troubles
12-oplti*- ques (arthropathies, fractures, atro
réditaire, maladie de la puberté et non de la première enfance, les
troubles
moteurs, qui ont le caractère ataxique et ne s'
he s'améliore et n'est pas modifiée par l'occlusion des yeux. Les
troubles
de la parole qu'on remarque chez les athéto- si
hé- tosique la direction générale du mouvement est conservée. Les
troubles
cardiaques, la diathèse rhumatismale, si com- m
éminée (en plaques), stationnaire ou passagère, de concert avec des
troubles
semblables des fonctions sensorielles (vue, ouï
re. Sous le titre d'aliénés, M. Thomsen entend désigner en bloc des
troubles
psychiques passagers ou permanents, idiopathiqu
ordinaire et coloré); huit dyschromatopsies, trois achromatopsies;
troubles
uni ou bi-lalé- raux, parfois passagers; le rét
e, les parois osseuses ne conduisaient plus le son ; dans le cas de
troubles
du sens musculaire on a toujours noté l'anesthé
psychoses. Le relevé dans les anamnestiques de l'alcoolisme, des
troubles
céphaliques, de l'épilepsie, qui constituent, dan
uence favorable exercée PAR LES MALADIES AIGUËS SUR L'ÉVOLUTION DES
TROUBLES
PSYCHIQUES ; par G. Leiimann. (Allg, Zcilsclv.
autres de ces derniers sont détruits ou lésés, il se produit des
troubles
dans les différents phénomènes de cette nutrition
n faites pour faire penser à une action nerveuse, comme cause de ce
trouble
de la pigmentation cutanée. De nombreux auteurs
vitiligo de nombreux traits de ressemblance avec certains faits de
troubles
de la pig- mentation cutanée, dans lesquels l'a
dix lunatiques, quatre épileptiques. Il cite un cas dans lequel les
troubles
de coloration se montrèrent, là où le malade re
atrophie du bulbe pileux des cheveux, fait qui explique bien les
troubles
de coloration exposés plus haut. (The alienist an
nous voyons d'après l'observation de M. Séglas : Débilité mentale,
troubles
de la parole; ignorance profonde, inversion sex
s très rares de la névrose convulsive, n'offrent absolument aucun
trouble
intellectuel. J'ai eu récemment l'occasion de d
iode avec des halluci- nations de l'ouïe, du goût, de l'odorat, des
troubles
de la sensibi- lité générale et des idées stéré
ue notre excellent collègue nous permette de faire observer que les
troubles
de la sensibilité générale se montrent assez sou-
dégénéré dont les anté- cédents fournissent habituellement d'autres
troubles
nerveux. Le pronostic devient dans ce cas beauc
qu'on lui fait des misères et qu'auparavant il ne présentait aucun
trouble
intellectuel, j'écarte l'idée du délire chronique
et sera célébrée par un banquet. M. Thomsen lit son mémoire sur les
troubles
de la sensibilité chez les aliénés. Il sera pub
élec- trique. Discussion : M. LHTHOFF fait ressortir combien les
troubles
de la vue de ces malades ressemblent à ceux des
e que M. Bernhardt a vu en pareil cas de l'ataxie, de très grands
troubles
de la sensibilité, de la démence psychique (Berli
e la motilité. Intégrité des bras. Dans les extrémités inférieures,
troubles
considérables de la sensi- bilité et du sens mu
Ralentisse- ment de la conductibilité des impressions. Paresthésie.
Trouble
accusé du sens de position. Absence de réflexes
ipation de la substance blanche, est-elle capable de déterminer des
troubles
moteurs ? 2° Y a-t-il trouble de la sensibilité
, est-elle capable de déterminer des troubles moteurs ? 2° Y a-t-il
trouble
de la sensibilité ? - 3° La dégénérescence seco
à droite, et, à plusieurs reprises, attaques épilepti- formes avec
trouble
de la connaissance (convulsions cloniques du cô
nalytiques. - 478 8 sociétés savantes. Faiblesse des extrémités ;
troubles
de la parole comme ceux des lésions bulbaires,
xtrémités ; troubles de la parole comme ceux des lésions bulbaires,
troubles
de la mastication et de la déglutition, aggrava
ative, n'ont pas dépassé le territoire de ce nerf à la main, et les
troubles
de la sensibilité se sont limités à ce domaine
es tubérosités de ces régions. La mikrophthalmie simultanée et le
trouble
des nerfs olfactifs marquent l'époque à laquelle
. Dans le cas de M. Oppenheim,le bras atrophié ne pré- sente pas de
trouble
de sensibilité non plus que l'extrémité supé- r
ainsi que des céphalalgies occipitales, une titubation légère, des
troubles
peu accentués de la déglutition, de la faibless
peu accentués de la déglutition, de la faiblesse des jambes et des
troubles
dans l'évacuation de l'u- rine. A l'examen, on
ieux, à l'opposé de ce qui concerne les excitations cérébrales. Les
troubles
moteurs consécutifs aux lésions expérimentales
appelant ; sous l'influence de la station debout prolongée et, des
troubles
vaso-moteurs, les jambes et les mains sont très
ns ajouter que celle malade a pris du véronal il un moment où les
troubles
intellectuels' étaient en régression et où l'inso
uellement, après 5 mois d'emploi, il n'ya a pas d'accoutumance. Les
troubles
mentaux se sont améliorés, mais on ne peut, ces
vertiges qui ont été si- gnalés chez certains sujets. Malgré leurs
troubles
men- taux, quelques-uns de nos malades n'auraie
x ; la température est redevenue normale. Malgré la persistance des
troubles
physiques,, le délire et les hal- lucinations,
es troubles physiques,, le délire et les hal- lucinations, tous les
troubles
mentaux s'amendent. Du 15 au 18, le prurit pers
ce blanche cL de l'axochromatenine qui lui est liée, par suite d'un
trouble
de nutrition, par défaut d'une matière nutritiv
système nerveux central est lésé, l'aclil ité mentale présente des
troubles
parce que les communications étant anéanties, l
encore au pédoncule cérébelleux moyen, il convient de rattacher les
troubles
de l'é- quilibl'e constatés ; une lésion du tro
x canaux semi-circulaires altérés d'un côté on pourrait imputer les
troubles
de coordination des membres droits, qui dispara
par l'auteur-peuvent se résumer ainsi : Dans la chorée chronique le
trouble
hyperkinélique est fonction du faisceau extra-p
rencontre jamais avant la trentième année, s'accompagne toujours de
troubles
psychiques dénature démentielle et se termine i
teurs qui font rentrer dans le syn- drome de Raynaud la plupart des
troubles
angio-lrohho-neuru- tiques (asphyxie des extrém
- flexes tendineux), puissent provoquer à la longue de semblables
troubles
angio-tropho-neurotiques, l'auteur incline à croi
ontiersincriminées, sont plutôt le résultat que la cause de pareils
troubles
. Ceux-ci seraient conditionnés tantôt par un sp
eurolog. Ct'Mft-M ? XX, 1901.) Prenez un individu indemne de tout
trouble
du côté de l'appa- reil optique, dioptrique, lo
20 et 30 ans : la démence précoce (précoce eu égard au dé- but des
troubles
mentaux plutôt qu'au point de vue de lage) sera
rie aboulique des obsessions, qu'il s'efforce d'expli- quel' par un
trouble
particulier de l'émolivité consistant dans une
tération de la substance grise péri- épendymaire qui donne lieu aux
troubles
vaso-moteurs, lrultlti- ques, sécrétoires, et a
comme une forme morbide autonome, caractérisée il la fois par des
troubles
psychiques (amnésie des faits récents et de la vi
rfrequenccet leur intensité. » (1). G. 1). VU, - Action toxique des
troubles
viscéraux dans la ge- nèse des psychoses ; par
s sujets prédisposés sont susceptibles de provoquer l'apparition de
troubles
mentaux par insuffisance fonctionnelle du foie. L
n de troubles mentaux par insuffisance fonctionnelle du foie. Les
troubles
psychiques offerts par le malade correspondaient
e nature toxique, que, dans l'espèce, il convient de rattacher à un
trouble
grave de la glande hépatique. noter que les lés
niu aromatique. Un petit nombre de ces composés pro- ,0111H'nl. des
troubles
psychiques. L'acide salicylique détermine du dé
pour la morphine et ses dérivés : il celte dernière appartiennent :
troubles
psychiques aigus l'l pâs- siou du malade pour l
sonnes anémiques et. délicates, chez celles qui présentent certains
troubles
cardiaques, il est moins nuisible que l'hydrate
avoir trouvé de foyer au niveau de la cicatrice crânienne. Tous les
troubles
disparaissent soudain. P. Keraval. SOCIETES S
ngt-six ans que je pré- sente est atteinte depuis l'âge d'un an dl'
troubles
111()Iilité du côté tlroil. Ce qui frappe surto
lement artérioscléreux, est porteur d'une hémiplégie organique avec
troubles
hystériques'surajoutes et syndrome cérébelleux,
des objets, qu'elle n'a certainement jamais vus antérieurement. Ce,
trouble
71 SOCIÉTÉS SAVANTES. se présente chez des in
rliges, la([\- sal'lhl'il', etc. Acluullrnnenl, acconfualion de ces
troubles
, avec nyslagmus, amblyopie, asynergie cérébelle
amblyopie, asynergie cérébelleuse, dladokokinésie, démarche l'as du
troubles
de l'équilibre, ,011liol1lH'1 statique, Au synd
1 statique, Au syndrome de la sclérose en plaques, s'a- joutent des
troubles
hysléro-neuraslhéniques et phobiques qui compli
le. Réflexes tendineux abolis, contractions lilrrillai- res, Pas du
troubles
de la sensibilité, pas de signes du paralysie b
atrophie musculaire diffuse. Comme cette femme a présenté de légers
troubles
proprement bulbaires et médullaires, les auteur
léon,.· rra luques à prnho. d'un malade S) phi li- tique atteint de
troubles
bulhn-eérébelleuw lfélllOl'rlw[Jie 1/léitil1,qé
t cortège à l'attaque anxieuse, on a particulièrement signalé des
troubles
du côté de la circulation, delà respiration, de
sthénie pure et simple. Il existe aussi dans un certain nombre de
troubles
psyehopalhiqucs accompagnés d'anxiété ou d'ango
t slirloul malade depuis cinq semaine-, mais les premier- signes de
trouble
mental remontent àuu moins six mois. C'est une
oulcvcraer a·. idées. Elle présente depuis plusieurs semaines des
troubles
mentaux que l'on peut ranger sous deux chefs :
hélix : crâne tourmenté. Depuis trois mois environ, il présente des
troubles
intellectuels, d'abord légers, puis' de plus en
perçoit qu'il a l'esprit troublé. De- puis quatre mois surfout, ces
troubles
n'ont fait clu'aunlo·nlur : il s'excite, des mo
nts ; mouvements désordonnés comme de'faire l'exercice militaire.
Troubles
vaso-moteurs, surtout du côté des membres inférie
nte émotion, d'où suppression menstruelle l'1]Jll'nlil'l'e crise de
trouble
mental de peu de durée qui disparut sans laisse
dents névropalbiques avec dé- les·ion ly luwllniaync..1 19 uns, ces
troubles
deviennent l'un- tinus, l'affectivité s'altère,
ère emporté, mais il n'a jamais présenté d'accidents nerveux, ni de
troubles
mentaux proprement dits. Nous manquons de ren
nviron ; el depuis car sa fa- mille rattache naturellement tous ses
troubles
ultérieurs il ce traumatisme crânien on lui con
elevons enfin une exagération des réflexes rotuliens. A côté de ces
troubles
, le malade accuse d'autre part des peurs noctur
la nourri- 1 t Il'1'. Ji Comment donc comprendre cet ensemble de
troubles
morbides. La manière même dont nous les axons e
t les signes physiques qui l'accompagnent, embarras de la parole et
troubles
pupillaires. indiquent suffisamment que nous av
s avons à faire à une paralysie gé- nérale en pleine évolution. Les
troubles
sensoriels péni- bles que nous observons la nui
ésent au suicide ne sont qu'une expression de la prédisposition aux
troubles
mentaux que le récit de son existence nous mont
, des répétitions et presque à des radotages. Ce retentissement des
troubles
morbides les uns sur les autres n'est cependant
et pupillairos restent les mêmes que les premiers jours ? Ainsi,
troubles
délirants avec idées répétées de suicide liés i
tre un pronostic relativement meilleurquanl a la rétrocession et au
trouble
fonc- tionnel. On a signalé encore la papile ét
l'altéra- tion du sens musculaire des muscles oculaires et avec un
trouble
de l'accommodation ; principalement quand les v
Il existe une seule zone, dont les lésions ne produisent jamais de
troubles
sensoriels ou moteurs, et provoquent au contraire
les rapportera deux grands types : celles qui l'expliquent par des
troubles
d'origine centrale, théories toujours plus ou m
'illStlla. L'auteur insiste sur la persistance sans amélioration du
trouble
de la parole pendant l'année qui s'écoula à par
vrai qu'il y a des cas intermédiaires constitués par un mélange de
trouble
moteur, de trouble sensoriel, et même de paraly
cas intermédiaires constitués par un mélange de trouble moteur, de
trouble
sensoriel, et même de paralysie tactile ; il n
lités organolultliyles se trouve oblitérée. S'il n'y a pas alors de
trouble
dans les complexus conceptuels verbaux, il faut
bien qu'elle se rende compte de ce qui se passe autour d'elle. Ces
troubles
disparaissent il leur tour mais après un interv
I/JI" \\1LL,1904.) La catato- nie en tant que forme indépendante de
trouble
mental ; par \\'.l'. Osstpow. (0o : t) ? t6).s'
nsations' et d'idées délirantes. Dans le premier cas, i ! e.\isteun
trouble
de la balance normale entre les muscles protagoni
tation d'une perturbation de la motilité que les conséquences de
troubles
intra-psychiques dans une localisation qui rigour
tion des centres corticaux du facial supérieur ne détermine pas des
troubles
moteurs notables dans la partie supérieure de la
;)0 dans la ménin- gite infectieuse le liquide d'abord séreux puis
trouble
, puis séro- tihrineux, devient purulent, sa cou
e croit que les escharres, étant le plus souvent la conséquence des
troubles
trophiques,la malpropreté n'est qu'une cause oc
, même en dehors de ses accès, \ ienL à l'appui de celte thèse. '
Troubles
psychiques d'origine probablement sulfo-carbonée.
- Lion sanguine qui a causé l'hypertrophie. Paralysie agitante et
troubles
labio-glosso laryngés. M. Souques ayant souvent
le sens actuel nous échappe. 1 c) Stéréotypies de la mimique. Les
troubles
de la mi- mique constituent dans leur ensemble
idc-quc la maladie devra ses symptômes révélateurs et le malade ses
troubles
les plus accusés. Eh bien ! le processus, dont
e n'a pas lieu de nous surprendre. puis- que c'est chez eux que les
troubles
psycho-moteurs en général, atteignent leur maxi
les actes dont il s'agit restent en parfaite , concordance avec les
troubles
idéo-alfeetifs, et tant que STÉRÉOTYPIE DES DÉM
sc 1-11.) Toute hémiplégie est presque constamment accompagnée de
troubles
de la sensibilité proportionnels à l'intensité de
ébut de la maladie. Dans les formes moins graves d'hémiplégie, .les
troubles
de sensibilité sont moins marqués et ont la mêm
ont moins marqués et ont la même distribution topographique que les
troubles
moteurs. Le rapport de fréquence et de pa- rall
e fréquence et de pa- rallélisme existant entre l'hémiplégie et les
troubles
sensitifs tendraient à confirmer ce que les der
ns h piques, plus ou moins com- plètement étudiés. L. W. XL1. Les
troubles
vaso-moteurs dans les névroses ; "* par GrtACnE
riques. Un : le groupe est celui des psy- chasthéniques qui ont des
troubles
trophiques au ni\eau des ex- trémités, des sueu
comme l'a démontré Lussana des phénomènes de déficience dus à des
troubles
du sens musculaire. Un sait ce qu'on entend en ph
n sait ce qu'on entend en physio- logie par ces mots. Peu à peu ces
troubles
se localisent à un côté du corps en rapport a\e
es expériences de Pagano a ec le curare semblent indi- quer que ces
troubles
relèvent de l'excitation et non de la dépres- s
nature motrice. Pour Stefani, il y a ressemblance absolue entre les
troubles
cérébelleux et ceux dus à des lésions du labyri
s lisses et striées, un cartilage hyalin. C'est un tératome dû à un
trouble
de construction d'un seul embryon. L'étude du d
rs de la jambe. La répartition de la para- lysie, l'absence de tout
trouble
de la sensibilité, de sensibilité à la pression
ns classiques de la maladie de Uupu)- tren étaient accompagnées des
troubles
s)ringomYl'liques de la sensibilité. Donc la ré
même d'hypertrophie qui peuvent elles-mêmes de- venir l'origine de
troubles
cardiaques organiques graves. On met ces troubl
enir l'origine de troubles cardiaques organiques graves. On met ces
troubles
en lumière en fatiguant le malade surtout dans le
a élévation de la tempe- rature jusqu'à 43° sans accompagnement de
troubles
quelconques. Avant d'assurer un pareil diagnost
a, 1UOIJ, n° 10.) Ce syndrome est caractérisé par des vertiges avec
troubles
oculo- moteurs ; insuffisance totale ou partiel
tielle de l'équilibration du corps, des nausées, de l'angoisse, des
troubles
auditifs passagers, des phénomènes douloureux d
.-Répliqne aux critiques de M. Kienboeck sur ma symptomatologie des
troubles
trophiques de la syringo- myélie (ostéomalacie)
og. Cenl1'alúlatl, XX, 1901.) Le travail de M. Kienboeck intitulé :
Troubles
trophiquesdans le tabès et la s ! JI' ! JI1 ! J
lupart des arthropa- thies syringomyeliques ; le point de départ du
trouble
de la nu- trition, la cause des atrophies, doiv
pathie, la démence ; il n'existe pas de lésions anatomi- ques ; ces
troubles
sont probablement de nature toxique.. , , Les s
s d'e.\citation et de précocité, irritabilité, tendances perverses,
troubles
moteurs, tics, peurs et . obsessions. Troubles
tendances perverses, troubles moteurs, tics, peurs et . obsessions.
Troubles
vaso-moteurs, sensoriels' et lrophiques" etc...
eloppement : soit par des des causes physiques, catarrhe chronique,
troubles
chroniques de la nutrition, de la vision, etc..
ce; autrement dit, ils peuvent, s'ils sont délaissés, présenter des
troubles
permanents, mentaux uu normaux : 5° Enfants pse
fait que notre- malade présente plusieurs lares qui se lient il des
troubles
de développement. t. Sclérose en plaques elle :
hez ce malade, dans la zone du trijumeau, des Iroub les scnsi tifs (
troubles
delà sensibilité tadilc) et des troubles frophi
des Iroub les scnsi tifs (troubles delà sensibilité tadilc) et des
troubles
frophiques (cataracte précoce, chute spon- tané
sexuelle pendant la grossesse un rôle important dans l'étiologie de
troubles
nerveux chez des enfants indemnes de toute héré
tensité et de variété. Les tt'aulllaLislI1cs lcs plus légers, les
troubles
somatillucs quelconques constituaient des provo
le considérer comme un dégénéré . Mous n'insisterons pas sur les
troubles
variés que nous signalons. Les troubles psychiq
s n'insisterons pas sur les troubles variés que nous signalons. Les
troubles
psychiques (épileptiques) peuvent se rencontrer
enfants indemnes d'épilepsiedes hallucinations diurnes il propos de
troubles
intestinaux, liés il l'appendicite (Vergely, de
ise ; la guérison en 24 heures après un lavage (2). L'origine des
troubles
nerveux de cet enfant et de ses particularités
sitions. - 266 CLINIQUE NERVEUSE. Pendant qu'évoluaient ainsi les
troubles
mentaux, des accidents \ de nalUl'e lI1anil'pll
légie gau- che hyslérique en 1894. ? Actuellement, ces dill'éreiits
troubles
sont en décroissance, la malade ne buvant plus
e être intervenue chaque fois comme le facteur occasionnel de ses
troubles
mentaux et de ses accidents hystériques. Ce qui
l'intérêt, à notre avis, de celte ob- servation, c'est que tous les
troubles
éprouvés par la malade, à la faveur de son alco
, ou spasme en extension courl. Deux chiens qui étaient affectés de
troubles
psychiques périodiques de quelques jours de dur
pas de paralysie des extrémités, titubait et était affecté d'autres
troubles
ataxiques, SUI tout à gauche, c'est-à-dire du m
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES dont la destruction provoque des
troubles
de la vue est extrême- ment large : elle s'éten
ès le début qu'une hémiamblyopie ; d'ordinaire, en pareils cas, les
troubles
visuels sont discontinus et l'hémianopsie ne tard
, il n'y a ni simultanéité ni parallélisme entre la disparition des
troubles
oculaires d'un oeil et celle des troubles de l'
entre la disparition des troubles oculaires d'un oeil et celle des
troubles
de l'aulce. Dans les lésions limitées, par exem
dant disparaît plus lût que celle de l'oeil opposé. Si, quand les
troubles
oculaires provoqués par une première destructio
les dites sensations organiques peu- vent s'hallucineret amener des
troubles
gravesde la personnalité, tant dans le domaine
altérer n'a ni augmenté ni diminué par les progrès du mal, mais les
troubles
vocaux ont eu une bien moins grande fixité à la
la première période qu'à la seconde. Chez le même parah tique, les
troubles
delà voix n'ont pas évo- lué de la même manière
sive d'évolution pour les deux phases. Ce ne sont pas seulement les
troubles
vocaux en général qui sont plus nxesalasecondep
epériode qu'à la première, mais aussi le de- gré d'intensité de ces
troubles
. Soit pour chaque période isolément, soit pour
deux prises ensemble, l'évolution des divers degrés d'intensité des
troubles
vocaux fut aussi variable el aussi capricieuse
caux fut aussi variable el aussi capricieuse que l'évolution de ces
troubles
eux-mêmes. G. Derny. XVI II. Syndrome de Korsâk
alcooliques, qui fut atteint, à la suite d'unictusapoplectique, de
troubles
démentiels il marche progressive. (Quelque temps
ut tout d'abord distinguer les cas dans lesquels la confusion estle
trouble
mental primitif de ceux dans lesquels c'est un
re familial, début à la suite d'une fièvre infectieuse, arythmie el
troubles
de l'audition. Particulari- tés de l'autopsie :
ologue légère». Guérison et redressement complet. Il s'agirait d'un
trouble
de sensibilité de nature hystérique, ayant prod
du Iroplui'dème. Pas d'hérédité sinon chez le père une tendance aux
troubles
vaso-moleurs. IL C. XIVI11. Nouveau cas d'ach
uits pathologiques à se déposer en différentes parties du corps. Le
trouble
de nutrition sous-jacl' ! Ü l'sI préci- pite pa
gies, epistaxis, spasme de la glotte, dyspnée, battements de coeur,
troubles
, de l'appétit; gastralgie, incontinence d'urine
et de l'angine de poitrine dans leurs rapports avec la goutte : le
trouble
de la nutrition des élé- ments nerveux par lési
des épistaxis répétées, de l'asthénie lH'UI'O-l11llbculail'e el des
troubles
psychiques il forme dépressive allant jusqu'à une
e des pupilles, absence du réflexe du tendon d'A- chille d'un cote,
troubles
de la sensibilité cutanée) (assurent le diagnos
'épilepsie fonctionnelle, soif tlue le aamlrmne ait lieu sans aucun
trouble
cérébral, soif (pic des troubles cérébraux préc
lue le aamlrmne ait lieu sans aucun trouble cérébral, soif (pic des
troubles
cérébraux précèdent ou suivent l'atta(me. Deux
e qui peu peu se transforme en altitude tétanifol'Ille persistante.
Troubles
digestifs 1res accentués, alternatives de diarr
avec une morale éprouvée, la criminalité se pouvant grelfer sur des
troubles
de la sensibilité, et de la volonté, et non sur
casionnelle non moins nécessaire, et pensant, d'autre part, que les
troubles
mentaux présentés par la femme aux diverses pé-
ho- ses puerpérales en trois grandes classes écologiques : 1° les
troubles
par épuisement; -2o les troubles par infection; 3
andes classes écologiques : 1° les troubles par épuisement; -2o les
troubles
par infection; 3° les (roubles par auto-intoxic
n propre et sans le secours de la huet'hér'aliL3, d'occasionner des
troubles
mentaux, qui sont la conséquence directe des pe
nts étudiés ci-dessus. Le pronostic vital dépend de l'intensité des
troubles
physiques ; le pronostic mental, sur- tout de l
ulfate de cuivre. Dès ce moment, la kéralile esl gué- rie, mais les
troubles
fonctionnels persistent : l'enfant n'y voit pas
nuit, ladi- plopie augmente, la vue elle-même, surtout à droite, se
trouble
et un guide devient indispensable pour conduire
a fille en octobre à JI. (alwnnes, Celui-ci, consla- tant alors des
troubles
de sensibilité dans le côté droit, pense à l'hy
3, ne paraît pas davantage avoir provoqué de modifications dans les
troubles
visuels. Mentionnons toutefois que les perles m
de la tête, des yeux et de l'épaule droite déjà mentionné. Pas de
troubles
trophiques, ou vaso-moteurs, en particulier pas d
e dans le liquide céphalo-rachidien des rabiques. G. C. 1C11. Les
troubles
de la psycho-motilité; par le 1}' ! JE Bucks (J
es volontaristes ou apperceptionnistes d'autre part, expliquent les
troubles
de la psycho-motilité. Pour les premiers, à la
que faculté spéciale, il ne saurait y avoir à proprement parler de
troubles
de la volonté, mais seulement des troubles des
r à proprement parler de troubles de la volonté, mais seulement des
troubles
des sensations, des to- nalités affectives, des
s et surtout de l'association des idées ; et ce sont ces différents
troubles
que l'on retrouverait à l'origine de toutes les
t de ses déterminations. Mais l'étude de l'apperception et de ses
troubles
s'est enrichie dans ces dernières années de donné
logues que l'auteur explique les syncinésies psychiques et tous les
troubles
psychomoteurs qui constituent le syndrome catat
amollissement bilatéral des ganglions en question s'ac- compagne de
troubles
caractéristiques de l'équilibre et de phéno- mè
elui de l'irritation est toujours plus saturée, plus fon- cée, plus
trouble
que l'urine de l'autre coté. 9" Les portions (l'u
rgés. « L'intérêt que peut présenter la recherche de la durée des
troubles
mentaux avant l'internement consiste en ce que le
au de la moyenne de leurs condisciples ; 5" les enfants atteints de
troubles
de la parole ; 6- les enfants atteints de malad
de feu ; : )0 à M. le J)"lIIUSIOENS, d'Amstertlam : Etudes sur les
troubles
de la sensibi- lité ci la douleur de type radic
atteint qu'un oeil,notre méthode nous permet encore de savoir si le
trouble
unilatéral fut persistant ou s'il n'a eu qu'une
. Le fait se constate également pour l'affaiblisse- ment comme seul
trouble
et c'est ce résultat qui diffère de celui fourn
1 : \1 lui outre, jamais l'exagération ne fut observée comme seul
trouble
au cours de l'affection, sa durée a toujours ét
vie par l'affaiblissement, et deux fois plus souvent par les deux
troubles
en moins. Les deux degrés de l'altération en mo
sive, double de la somme des deux altérations en moins comme seuls
troubles
. Quant à celles unilatérales, ce n'est jamais l
qu'à la première pé- riode et a été deux fois plus souvent l'unique
trouble
qu'as- sociée à l'affaiblissement. Les affaibli
diverses cavités dol'organisme sont fréquents chez les aliénés. Les
troubles
de l'intelli- gence s'ajoutant aux vices nature
IENES. 433 dans ce conduit ne relève pas toujours directement des
troubles
de l'intelligence. On peut ce point de vue dist
ceptique sur la réalité de cet accident qui ne se traduit par aucun
trouble
objectif. Cependant, le jour même, 31me G..., est
ert. Cette malade est tout il fait calme, nullement angoissée, sans
troubles
respiratoi- res ; elle déglutit facilement sa s
la pupille sous l'influence de l'accommodation semble évoluer sans
trouble
. Quant à la réaction de la pupille à REVUE D'AN
subitement d'une hémiplégie incomplète du côté droit avec quelques
troubles
de la sensibilité n droite. À gauche, conservat
eptibles de guérison, les cas graves se terminent par la mort ; les
troubles
sensitifs sont rares dans cette affection. Cli-
orte une observation avec examen histo- logique.. L. \VAH . LXXX.
Troubles
médullaires de l'artério-sclérose. La parésie s
SAVANTES. tion de la fente palbébrale et enfoncement de l'mil sans
trouble
des réflexes lumineux, et à gauche une anesthés
ux, et à gauche une anesthésie totale y com- pris le trijumeau sans
troubles
sensoriels, lésion probable de l'is- thme de l'
et sensitive gauche. 11 s'agit d'une hématomyélie spontanée. Les
troubles
radiculaires de la sensibilité permettent de loca
cooliques portant une contracture du cou et des quatre membres sans
troubles
des sphincters, ni nystag- mus. Le facies est
/¡'èl;oma c ? bl'((I, , tlL'l'. Marie a observé un homme atteint de
troubles
passagers de la parole qui fut, pris dans la su
: 8 ans qui, trois semaines après une infection grippale, subit des
troubles
labio-giosso- laryngés, puis de la céphalée, de
l, mastication et parole difficiles, faible' nystagmus, mais pas de
troubles
électriques, pas d'altérations de la sensibilité,
iation et immobilisation des globes en dehors, léger nystagmus sans
troubles
des réflexes ni de l'acuité., Sur cinq enfants
acial gauche et hémiatrophie linguale du môme côté sans aucun autre
trouble
moteur de la face et des membres, aucun trouble
té sans aucun autre trouble moteur de la face et des membres, aucun
trouble
de la sensibilité, ni des réflexes ni des vasom
attention et la volonté peuvent les faire disparaître : ce sont des
troubles
fonc- tionnels de la mimique faciale, tandis qu
- santes que la volonté ne peut ni produire ni faire disparaître.
Troubles
thermiques. M. Babinski présente un homme qui i
tronc avec polyurie. albuminurie, escarre, incontinence fé- cale et
troubles
cardiaques. Il se guérit d'ailleurs rapidement.
saurait trop demander que l'inter- nement soit ordonné sitôt que le
trouble
psychique s'est mani- festé. Nous ne sommes pas
liberté relative, tout en leur continuant l'assistance, dès que les
troubles
mentaux tendent à disparaître. « ... Un certain
t la sclérose en plaques, par Rodolico, 239. ATHÉIIO)lATEUX. Voir
Troubles
Atrophie. S'agit-il d'une mus- culaire d'orig
, par Pasini et Madia,140. La en tant que forme indépen- dante de
trouble
mental, par Ossipow, 146. Contribution à l'ét
sthésiomètre. Un , par Collucci, 138. PSYCIIO ? 10'rlLl'ril. Voir
Troubles
. Psychopathies. Voir Excitation. . Psychoses.
Voir Troubles. Psychopathies. Voir Excitation. . Psychoses. Voir
troubles
vis- céraux.De la théorie des-d'o- rigine tox
Réplique aux critiques de Kienboeck sur la symptomato- logie des
troubles
trophiques de la -. par Nalbandoff, 242. Répl
rieur droit chez un enfant de onze ans, par Weill et Pehu, 390.
Troubles
viscéraux. Action toxique des - - dans la ge-
. Ainsi il semble que l'on doive expliquer la rareté relative des
troubles
de motricité du côté des membres ou de la face, a
du pouls et de la res- piration (irrégularité, ralentissement). Les
troubles
morbides durent ordinairement assez peu et s'ef
ne dit rien de la pliase terminale. M. Gilbert Ballet ne parle des
troubles
du sens génital qu'à la période prodromique. On
paralysie générale confirmée. Cet auteur, lui aussi, ne signale les
troubles
du sens génital ni à la deuxième, ni à la trois
mique. Est-on autorisé après cela il se dire bien éclairé sur les
troubles
de la fonction génitale chez les paralytiques ? j
lue et relative selon les diverses formes mentales, l'intensité des
troubles
moteurs aux phases initiales, l'étiologie ou de
phases initiales, l'étiologie ou des malades, l'inlluence de ces
troubles
sur le délire, leurs rapports avec les sensations
st facile à com- prendre, le paralytique cachant d'autant moins les
troubles
de ce côté que son inconscience est plus marqué
s 108 sujets nous n'avons trouvé que des anomalies simples et des
troubles
dans le mécanisme de la copulation. Tout d'abord
n'aboutissaient jamais à l'éjaculation. Le plus sou- vent ces deux
troubles
de la copulation étaient associés à une excitat
séminales involontaires, nous aurons la nomen- clature complète des
troubles
génitaux que nous avons rele- vés. Ces pertes f
écis par leurs femmes ou leurs maîtresses et tous les 95 ont eu des
troubles
de la fonction génitale, 60 fois, ces troubles
les 95 ont eu des troubles de la fonction génitale, 60 fois, ces
troubles
furent en moins et 35 fois seulement en plus; l'a
e l'altération en plus. Le retard dans l'éjaculation est ensuite le
trouble
qui s'est surtout présenté : 9 fois contre 4 fo
ite le trouble qui s'est surtout présenté : 9 fois contre 4 fois le
trouble
inverse. Parmi les 60 impuis- sants il n'en est
phénomène pathologique. Nous avons été à même de vérifierions ces
troubles
durant le séjour des paralytiques à l'asile en
e, nous allons mainte- nant rechercher dans quelles proportions les
troubles
que nous avons notés se répartissent aux trois
démentielles, dans lesquelles il faut au contraire rechercher ce
trouble
, si on veut le constater qui nous ont fourni le
réquence moindre des mani- festations fébriles, des eschares et des
troubles
trophiques. Enfin les attaques apoplectiformes
LE. suivis d'affaiblissement musculaire généralisé et progressif;
troubles
de la parole caractéristiques de la paralysie gén
table mine à exploiter.) IL M. C. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 45 5 X.
Troubles
psychiques de la ménopause virile ; par le Dr Mig
nastique pour réveiller la sensibilité des parties atteintes par un
trouble
hysté- rique quelconque, et comme d'après lui,
res que du côté des viscères. Comme d'autre part on rencontre des
troubles
plus ou moins marqués de la sensibilité dans to
pement de phénomènes psychiques. G. D. IV. Traitement de certains
troubles
mentaux par l'extrait thyroï- dien ; par le De
lorsque l'exaltation et la dépression peuvent être attribuées à un
trouble
dans la circulation générale. - A. Vicoosoos.
Y¡J1lotismus, novembre 1899 et mars 1900.) Neuf malades atteints de
troubles
nerveux et psychiques ont été traités par l'hyp
eptiques avec une perle- complète de connais- sance, non suivies de
troubles
de la motilité, ni de la sensibilité. On consta
s les formes d'idiotie et quelques cas curieux de difformités et de
troubles
nerveux. Les malades sont bien nourris, convena-
au moins singulièrement exagérées par la neurasthénie du sujet. Des
troubles
oculaires, circulatoires, respiratoires, digest
as, a eu 15 améliorations portant à la fois sur les crises et les
troubles
psychiques ; et sur ce nombre, il y eut deux fois
, a eu 55 p. 100 d'améliorations et 2,5 p. 100 d'aggravations ; les
troubles
psychiques n'ont pas été influen- cés. Il conse
n notable de leur nombre et de leur intensité ; aucun effet sur les
troubles
psychiques. Ces différents auteurs signalent bi
s mois. Le fait est surtout évident pour le malade G... Quant aux
troubles
psychiques nous devons dire que ces malades, pl
évolution dentaire s'est passée sans incidents, elle n'a subi aucun
trouble
intellectuel, infectieux ni traumatique jus- qu
de la mère, l'enfant passa ensuite huit jours au lit en proie à des
troubles
que le médecin de la fa- mille aurait qualifiés
encore de fréquence et d'intensité, quelques-unes furent suivies de
troubles
mentaux et de la Charité l'enfant fut trans- fé
à fait songer à l'intervention chirurgicale, seule l'ancienneté des
troubles
avait fait hésiter, mais devant l'imminence d'u
déterminant par leur intensité du dérobement subit des jambes; ces
troubles
sensitifs sont bientôt suivis de parésie vésica
spasmodique. Le malade est grand, bien constitué, ne présentant ni
troubles
cardiaques, ni troubles pulmonaires. Son intell
est grand, bien constitué, ne présentant ni troubles cardiaques, ni
troubles
pulmonaires. Son intelligence est normale, il r
igne de Romberg fait défaut. 11 n'existe ni atrophie musculaire, ni
troubles
trophiques. Les mouvements volontaires des main
ait en extension des deux côtés. Constipation opiniâtre. Absence de
troubles
de la sensibilité objec- tive ou subjective ; s
trice et de signe de Romberg. Absence d'atrophie mus- culaire et de
troubles
trophiques. Les mouvements volontaires des main
eurs lan- cinantes dans les jambes, une paraplégie progressive, des
troubles
des sphincters. A l'heure actuelle, la démarche
plantaire se fait en extension des deux côtés. On constate quelques
troubles
sphnictériens, mais on ne relève ni atrophie musc
hnictériens, mais on ne relève ni atrophie musculaire des jambes ni
troubles
objectifs de la sensibilité; la force muscu- la
des bras sont exagérés; il n'existe ni tremblement intentionnel, ni
troubles
de la parole, ni nystagmus, ni incoordination c
neux, la trépidation spinale, le signe des orteils de Babinski, les
troubles
urinaires, les douleurs lom- baires ; d'autre p
sous le nom de myélite pseudo-tabéti- que, mais par l'existence de
troubles
sphinctériens, du signe de Romberg et de douleu
à la trépidation spinale. « C'est chez ces malades qu'on trouve des
troubles
oculo-pupil- laires fréquents consistant en myo
ps un certain degré de rétrécissement de la fente palpébrale, » Ces
troubles
oculaires seraient causés par une lésion de la
sympathique se rendant à la pupille. En somme, tous ces accidents,
troubles
pupillairès, douleurs fulgurantes, exagération
oubles pupillairès, douleurs fulgurantes, exagération des reflexes,
troubles
des sphincters sont sous la dépendance de l'inf
acquise, ont pu observer le signe d'Argyll en dehors de tout autre
trouble
du système nerveux. Faut-il, dès lors, faire de
dique ; prend la syphilis, pré- sente des douleurs fulgurantes, des
troubles
sphinctériens, le signe de Romberg, le signe d'
malades sont des spasmodiques médullaires par l'absence d'ictus, de
troubles
bulbaires et cérébraux, par l'évolution lente e
articu- lièrement intéressant : homme syphilitique présentant des
troubles
pupillaires, des douleurs fulgurantes et l'exagér
LIE DE L'ADOLESCENCE. 113 affaiblissement de la mémoire. - Premiers
troubles
intellectuels, hallucinations visuelles, folie
es, elles sont devenues plus rares. A l'aige dé vingt-sept ans, des
troubles
mentaux sont venus s'ajouter à ces crises et on
es. Hallucinations de l'ouïe, refus d'a- liments, idées de suicide.
Troubles
de la parole. Incohérence et enfantillage. » -
de me trouver là. » En réalité, on avait dû la faire interner pour
troubles
mentaux. Le 20 mai, on la trouva chez elle, les
it dans une bonne période, car depuis un mois elle a été reprise de
troubles
intellectuels et d'incohérence dans les idées.
se serait beaucoup ennuyée de sa mère » et elle présenta quelques
troubles
cérébraux, sur lesquels nous reviendrons, ce qui
ale. Oxyures, rendus par le rectum et par la bouche. Les premiers
troubles
intellectuels se sont montrés pendant le séjour
ars 1899. Le Dl' Legras donna le certificat suivant : « Atteinte de
troubles
intellectuels qui parais- sent liés à l'hystéri
de cils longs et bruns. Les yeux ne présentent pas de lésions ni de
troubles
de la réfraction. Iris marron, pupilles non dil
pas de progna- thisme du maxillaire inférieur. L'enfant n'a pas de
troubles
du goût. Les oreilles n'ont rien de particulier
on note une \ 118 RECUEIL DE FAITS. cicatrice de vaccin. - Pas de
troubles
de la sensibilité. Les ongles sont normaux, sau
ass . fait des progrès sous tous les rapports. On n'a observé aucun
trouble
intellectuel depuis la fin du mois. Elle est d'
huit jours (28 avril). - A partir de là, Gas... n'a plus eu aucun
trouble
intellec- tuel. Sa santé s'est affermie sous to
éflexe. La seconde catégorie renferme les mouvements associés par
trouble
de l'association idéo-motrice; dans cette classe
être éliminées, elles se déposent dans les organes, produisant un
trouble
de nutrition, une détérioration spéciale qui nous
L. WALLON. (Brain, vol. XX, p. 109.) Homme cinquante-trois ans ;
troubles
présentant d'abord les signes de la paralysie g
voie motrice cortico-médullaire était anatomique- ment intacte. Les
troubles
moteurs ne peuvent donc étre attribués qu'à une
presque égale sur les voies motrices des deux côtés du névraxe, les
troubles
moteurs ne peuvent pas avoir été la conséquence
que celle-ci n'intéressait que l'hémisphère gauche. La cause de ces
troubles
doit être attribuée, d'après l'auteur. à la cotir
ompression, des pédoncules cérébraux que doivent être rattachés les
troubles
, moteurs, c'est l'abolition des réflexes rotuli
le même. La genèse de ces atrophies ne peut s'expliquer, ni par un
trouble
de l'activité trophique de la cellule nerveuse
es cornes antérieures, car tous les phénomènes se sont bornés à des
troubles
moteurs et sphinctériens. 11 s'agirait donc d'un
hystérie est une neuro-psychose qui se manifeste par un ensemble de
troubles
fonctionnels de l'un des centres ou de tous les
cécité, rétrécissement du champ visuel, hémianopsie, surdité) : c)
troubles
moteurs (para- lysies des extrémités, paralysie
ysies des extrémités, paralysie des muscles laryngés, aphonie) ; d)
troubles
viscéraux et vaso-moteurs (affections du tube dig
t (Progrès médical, 17 juin 1893). Paralysies des muscles des yeux;
troubles
dans le domaine du trijumeau ; atrophie du nerf
paresseuse, atrophie des nerfs optiques ; alaxie faible mais nette,
troubles
vésicaux ; analgésie des pieds et des jambes. D
cas où, à côté de la faiblesse mentale, on constate l'existence de
troubles
mentaux pouvant faire soup çonner la coexistenc
présentant d'une part des signes de tabes, abolition des réflexes,
troubles
de la marche, troubles capillaires, douleurs fu
des signes de tabes, abolition des réflexes, troubles de la marche,
troubles
capillaires, douleurs fulgurantes et d'autre pa
rnement des malades aliénés aussitôt que se produisent les premiers
troubles
intellectuels. Dans ce cas encore les malheurs
s matières fécales. Au bout de trois semaines, la fièvre tombe, les
troubles
moteurs et sensitifs s'amé- liorent progressive
ans les altérations de l'appareil moteur périphérique. 3° Quant aux
troubles
de la sensibilité, Landry les recherchait. et d
les recherchait. et dans un des cas qu'il rapporte, il y avait des
troubles
très nets de la sensibilité. C'est nous qui avo
s une bonne mesure, assumé l'opmiull contraire d'après laquelle les
troubles
de la sen- sibilité n'existeraient pas en règle
ide de la maladie. Dans des cas plus lents dans leur évolution, les
troubles
trophiques et les modifications électriques se so
es suivis, le premier d'une hémiplégie passagère et le dernier de
troubles
glosso-labio-laryngés. 11 existe une atrophie des
des réflexes tendineux, conservation des réflexes cutanés. Pas de
troubles
sensitifs, pas de paralysie des sphincters, aucun
he et la destruction des fibres de la calotte, ren- dent compte des
troubles
oculaires, de la perte de l'équilibre de l'hémi
bien grande, hyperémie cu- tanée, sensations anormales de chaleur,
troubles
du sommeil avec hallucinations hypnologiques, a
sistance psychique très diminuée. La malade n'ayant pas présenté de
troubles
délirants propre- ment dits, on ne pouvait conc
té dans le REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 231 sens de la loi. Mais les
troubles
nerveux que présentait M-9 S..., son faible niv
ration nutritive incomplète peuvent, sans doute, provoquer certains
troubles
psychiques, de la confusion, de l'obtu- sion me
l'on comprend l'hésitation à attribuer à une même cause toxique des
troubles
si variés ; c'est qu'à côté du poison, il y a le
ujets avec des degrés variables de prédisposition et par suite, les
troubles
psychiques qui survivent à l'accès peuvent affe
Toutes ces recherches ont l'avantage d'attirer l'attention sur les
troubles
somatiques dont s'accompagne la folie, troubles a
l'attention sur les troubles somatiques dont s'accompagne la folie,
troubles
autrefois, sans doute, un peu trop négligés et
ce parmi les aliénés ordinaires est presque toujours une cause de
trouble
, et il ne semble guère possible de différer plus
a puberté pro- duit, sont les suivantes : une débilité exagérée des
troubles
affec- tifs (« dissociation affective »,, une «
tifs (« dissociation affective »,, une « discrépance » entre ces
troubles
et les réactions mimiques (« paramimie hébéphréni
notable sur la vie psychique, qui se manifeste soit en donnant aux
troubles
mentaux préexis- tants des caractères qu'ils n'
faire dériver la source d'un processus d'auto-intoxication par des
troubles
des voies gastriques; 4° De l'époque pubère et
ns favorables puissent en effacer l'évidence; 5° La prophylaxie des
troubles
mentaux exige que l'on prête la plus grande att
des psychoses d'auto-intoxi- cation, et il est presque sûr que les
troubles
de la nutrition de l'adolescence sont les cause
s abus génésiques (platoniques ou matériels) dans la production des
troubles
psy- chiques de la puberté. M. Gilbert Ballet
sKAR VOGT (Berlin). - L'hystérie n'est qu'un syndrome et les divers
troubles
hystériques se rencontrent soit seuls soit asso-
trouvé que des phénomènes psychiques prenaient part à la genèse des
troubles
observés. Ces phénomènes psychiques sont surtou
malement de la pudeur et de la honte. Elle peut donner lieu à des
troubles
morbides de trois degrés. Au premier degré, c'e
oire d'un ancien délirant persécuté devenu paralytique général avec
troubles
pupil- laires caractéristiques, embarras de la
à et pour cause. Aussi, s'attachait-on principalement à l'étude des
troubles
fonctionnels qui figurent dans la symptomatologie
roses on se mit à étudier, dans autant de chapitres spé- ciaux, les
troubles
delà sensibilité : anesthésies, hype ? 'esthésies
s troubles delà sensibilité : anesthésies, hype ? 'esthésies; - les
troubles
delamotilité : paralysies, contractures et spasme
e la lésion isolée de chacun de ces terri- toires se révèle par des
troubles
particuliers et caractéristiques. La méthode an
s du cerveau et de ses enveloppes, nous en viendrions à opposer les
troubles
mentaux qui se prêtent à un diagnostic topo- gr
voir des indications vitales à l'appliquer chez des malades dont le
trouble
mental se rattache à une infection, une haute t
iel et de la sub- stance colloïde, à laquelle nous rattacherons les
troubles
observés dans le cas présent, ou enfin, la sclé
MM. Roger et Garnier chez les tuberculeux '. Notons enfin que ces
troubles
sont survenus chez un homme qui ne semble pas a
nues, il n'en est pas de même des cas, où elles s'ac- compagnent de
troubles
basedowiens. Nous n'en avons trouvé dans la lit
la paresthésie des mains. Il considère ce signe comme l'indice d'un
trouble
fonctionnel de la glande thyroïde, car il exist
diminution de sécrétion qui se traduit par le myxoedème, tantôt un
trouble
spécial dans les fonctions thyroïdiennes, qui,
urs et des ulcérations, produites, chez les idiots, dans les cas de
troubles
mentaux. Finalement, Esquirol dans le chapitre
, Beach et les autres. Passant maintenant aux cas dans lesquels les
troubles
se mani- festent à une époque importante du dév
l'âge de dix-huit mois et de deux ans, sans toutefois présenter de
troubles
mentaux, des alté- SECTION DE PSYCHIATRIE. 309
es par le D1' Wilmurth (Communication sur le traitement précoce des
troubles
mentaux chez l enfant in Annales de l'associati
d'excitation ou de dépression ; 2° tous les malades souffrant d'un
trouble
de la nutrition générale; 3° tous les malades q
oduisait aucun effet utile ; ou bien parce que se manifestaient des
troubles
physiques ou psychiques (perte d'appétit, anémi
tous les cas; 2° La plupart du temps il est inutile, ou produit des
troubles
physiqnes ou psychiques qui sont des indication
phénomènes connexes, il montrer de vraies actions d'arrêt et leurs
troubles
dans le domaine des faits psychiques ou des phéno
s son ensemble par un système de mécanismes frénateurs et par leurs
troubles
, Wernicke et Broadbent ont fourni la démonstrat
itives du centre auditif dans sa relation avec le centre moteur, le
trouble
de cette relation expliquant manifestement, pou
e survenue brusquement présen- tent, en dehors de la paraphasie, un
trouble
tout spécial, une q logorrhée » : ils bredouill
auditif et ses environs; mieux encore, on peut prouver que d'autres
troubles
en partie fonctionnels du même genre, certaines
aphasies motrices proprement dites. Réservant le nom d'aphasie au
trouble
provoqué par la lésion des neurones d'associati
es. Il résulte de cette complication une ccplzérnie-a2urthrie, avec
troubles
moteurs des organes de l'articulation des mots,
sont détruites, on dit qu'il y a aphasie totale. 3. Aphasie avec
troubles
intellectuels. Lésions multiples et variées des
le ne parait. Ni l'attention, ni la faiblesse intellectuelle. ni un
trouble
moteur ne suffisent à l'expliquer. Si on examin
ve chez les hystériques montrent qu'on doit l'attribuer aussi il ce
trouble
de la représentation. Expérimentale- ment, on p
galement interverti chez les gens atteints d'écriture en miroir. Ce
trouble
de l'écriture, qui se montre aussi pour la lect
e montre aussi pour la lecture, tient très vraisemblablement à un
trouble
de représentation et de perception. Sur la phys
partisans de la théorie des localisations du cer- veau ont noté des
troubles
de la vue aussi bien dans les lésions du cervea
lésions du cerveau antérieur que dans celles de la sphère visuelle,
troubles
qui, d'après Munie, seraient uniquement dus à d
isuelle, troubles qui, d'après Munie, seraient uniquement dus à des
troubles
de voi- sinage, portant sur la sphère visuelle,
l'application sur le gyrus sigmoïde de ces diverses mé- thodes, des
troubles
de la vue se sont montrés avec évidence, qui ne
gion de Munie vient à être lésée et si on attend la disparition des
troubles
qu'entraîne cette lésion, et qu'on inté- resse
ne altération superficielle le gyrus sigmoïde, on n'ob- serve aucun
trouble
visuel. Ces troubles peuvent apparaître cepen-
icielle le gyrus sigmoïde, on n'ob- serve aucun trouble visuel. Ces
troubles
peuvent apparaître cepen- dant après des extirp
d'abord sur le gyrus sigmoïde, et qu'ensuite, après réparation des
troubles
ainsi provoqués, on lèse le point A. I. et son
e coupe entre ce point et la substance blanche, dans la règle aucun
trouble
visuel ne se produit. ' Par ces opérations de
r à signaler dans ses antécédents hériditaires ou per- sonnels. Les
troubles
de la parole, qui furent les premiers symp- tôm
e folie de la période d'involution sénile, l'auteur groupe tous les
troubles
psychiques qui sont en rapport, au point de vue
ations dues à l'àge avancé. Sans aucun doute, il reste une série de
troubles
psychiques qui peuvent apparaître aux diverses
lgré certains traits communs avec les psychoses de la sénilité, les
troubles
psychiques de la période d'involution s'en dist
sidérées comme des phases d'autres formes de la folie. En outre des
troubles
de la vie affective, le tableau cli- nique de l
anormales, catalepsie, écholatie. Ces symptômes sont accompagnés de
troubles
accusés de la conscience. Ces formes, dont les
paresseuse, parésie faciale, tremblement de la langue et des mains,
troubles
aphasiques, sur- dité plus ou moins accentuée,
minution du poids du corps, de l'abaissement de la température, des
troubles
circula- toires. - La mélancolie telle qu'ell
accentué. Enfin il existe un petit groupe de cas dans lesquels des
troubles
dépressifs se sont manifestés au cours de la qu
Frenkel. De l'exercice cérébral appliqué au traitement de certains
troubles
moteurs. (Semaine médicale, 489fi, p. 123-124.)
les exercices rationnels agissent d'une façon bienfaisante sur les
troubles
moteurs des hémiplé- giques, les troubles sensi
açon bienfaisante sur les troubles moteurs des hémiplé- giques, les
troubles
sensitifs restent souvent -sans grande modifica
ccès d'agitation se déclare chez un des patients de cette salle, et
trouble
le repos des autres, ou bien si le malade a lui
tion générale de la personnalité psy- chique, avec prédominance des
troubles
de l'intelligence, ceux-ci étant eux-mêmes plus
tteint. D'autre.part chez quelques paralytiques flasques, ayant des
troubles
vaso-moteurs très prononcés et une hypersécré-
iste un paral- lélisme complet. Dans les paralysies simples 'sans
troubles
trophiques ou avec atrophie musculaire, la vari
l'a trouvé seulement décrit dans une communication d'Arton sur les
troubles
du sens muscu- laire, par lésion cérébrale, où
llélokinésie. Pick conclut alors que ce syndrome constitue pour les
troubles
du mouvement des extrémités un phé- nomène anal
rapide des douleurs, rétrocession des accidents pupillaires et des
troubles
trophiques ; chez les syrin- gomyéliques la dis
ues la disparition des douleurs rachidiennes, la rétroces- sion des
troubles
sensitifs et trophiques; enfin dans certains cas
u être ainsi traités, la rétrocession pour. ainsi dire complète des
troubles
trophiques. Il va de soi que dans les myélopath
ERNATIONAL DE MÉDECINE. Application du cinématographe à l'élude des
troubles
de la marche dans les maladies nerveuses; par M
calisation de ces lacunes, détermine une hémiplégie incomplète avec
troubles
dysarlhriques et dysphagiques, assez souvent au
te avec troubles dysarlhriques et dysphagiques, assez souvent aussi
troubles
psychiques, rire et pleurer spasmodiques. Ces f
u. M... a observé des formations lacunaires analogues dans certains
troubles
circu- latoires à la suite d'hémorragies méning
par le professeur Brissaud (de Paris). Présentations de malades.
Troubles
de la parole recueillis au moyen du phonographe ;
neumonie, 'tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des
troubles
mentaux plus ou moins accentués. On constate qu
al, ce qui démontre, une fois de plus, que l'on peut avoir certains
troubles
fonctionnels cérébraux; mêmes accen- tués, sans
évidence le parallélisme d'intensité des lésions cor- ticales, des
troubles
mentaux et des accidents généraux de la maladie
x de la maladie. Si donc l'hypothèse, qui impute l'apparition des
troubles
men- taux dans lesmaladies générales (délires f
ection, intoxication, etc.) ; il en est ainsi, d'ailleurs, pour les
troubles
mentaux qui les accompagnent, et qui varient pe
l est im- posant de pouvoir baser la perversion comme telle sur des
troubles
profonds de la vie sexuelle tout entière. L'e
quelconque, en dépit d'une résistance angoissante s'accompagnant de
troubles
physiques déterminés (sueurs, palpitations, con
du siège de la lésion anatomique du zona, et malgré la présence de
troubles
sensitifs nullement en rapport avec la distribu
antaire s'exagère surtout chez les paralytiques géné- raux dont les
troubles
psychiques l'emportent sur les (roubles somatiq
ur une raison ou pour une autre, présen- taient, surajoutés à leurs
troubles
moteurs, des troubles paralytiques nettement lo
une autre, présen- taient, surajoutés à leurs troubles moteurs, des
troubles
paralytiques nettement localisés, tels qu'une h
perturbation dans l'inten- sité du réflexe plantaire, mais aussi un
trouble
dans la forme de cette réaction motrice. Ceci r
déformation de la colonne vertébrale. Il n'existait chez lui aucun
trouble
paraplégique indiquant une altération médullair
propos DE l'éducation DES enfants arriérés. 4G1 1 l'existence d'un
trouble
latent du système pyramidal, mais tout à fait i
s les cas de paralysie généralisée syphilitique, il existerait un
trouble
unilatéral ou bilatéral des fonctions du faisceau
e unilatéral ou bilatéral des fonctions du faisceau pyra- midal. Ce
trouble
relèverait, évidemment, d'une lésion ner- veuse
coup d'épilepliques, la majo- rité assurément, ne présentent pas de
troubles
mentaux. Que d'épilepliques ont tenu des places
nouvelle loi à faire, loi sur l'éducation des enfants qui par leurs
troubles
on leur faiblesse intellectuels ne peuvent trou
e de malades transférés de l'hôpital pour délire alcoolique ou pour
troubles
délirants survenus au cours de mala- dies somat
ue les brûlures graves et étendues peu- vent donner naissance à des
troubles
psychiques se manifestant sous la forme de conf
ngée, des instincts égoïstes, persistant pendant toute la durée des
troubles
intellec- tuels, et, se prolongeait même souven
pneumonie, tuberculose, lésions du foie, lésions du rein), avec des
troubles
mentaux plus ou moins accentués. On constate qu
, ce qui démontre, une fois de plus, que l'on peut avoir cer- tains
troubles
fonctionnels cérébraux, même accentués, sans que
de la cellule. ' Si donc l'hypothèse qui impute l'apparition des
troubles
men- taux dans les maladies générales (délire f
qui comprend les cas dans lesquels existent chez les ascendants des
troubles
du caractère por- tés à un haut degré, sans tou
tologiques actuels, mais elle est prouvée par l'entrée en scène des
troubles
trophiques graves : -. décubitus aigu, cystite
rophiques graves : -. décubitus aigu, cystite et pyélite septiques,
troubles
vasomoteurs, atrophie musculaire, etc. Donc l'a
aphasie), mots nouveaux incompréhensibles (jar- gonaphasie), pas de
troubles
d'articulation ; tous les objets sont parfaitem
l'état isolé, suns a graphie, sans cécité ou surdité verbale, sans
trouble
sensitif* ou moteur; d'antre part, lésion corti
egré le plus souvent très prononcé avec ataxie, signe de Rom- berg,
trouble
de la nutrition générale. Dans l'atrophie papilla
malades sont bien nourris, ont un air de santé, il n'existe pas de
troubles
trophiques. Les symptômes cliniques du tabès :
ues. Les symptômes cliniques du tabès : les douleurs, l'ataxie, les
troubles
vésicaux se montrent à un très faible degré de
uer en donnant naissance à de l'incoordination, ainsi qu'à d'autres
troubles
tabétiques. Si les cas de ce genre sont relativ
xie est bien plus fréquente que l'association de ces deux ordres de
troubles
, c'est peut-être bien, non pas parce que, pour
sent l'atteinte du centre ovale ou des ganglions de la base, pas de
troubles
attribuables à la capsule interne (hémianesthét
sculaire, des accidents gangreneux du décubitin avec oedème et état
trouble
de la pie-mère adhérente à la substance du cerv
les-de la circulation dans le territoire de certains vaisseaux. Ces
troubles
étant essentiellement mobiles, le phéno- mène d
sche Cen- tralblnlt XVII. 1898 Déjà analysé. P. KERAVAL. XXXV. Du
trouble
des échanges nutritifs dans la' neurasthénie ; v
E. Séance du 8 novembre 1900. Présidence de M. JorroS·. Un cas de
troubles
de la sensibilité chez un amputé. M. Touche rap
ue avec signe d'Argyll- ltobertson, pai Cestan, 102. Ménopause.
Troubles
psychiques de la - virile, par Bombarda, 15.
brale an- térieure, par Bllceles, 156. Thyroïdien. Traitement des
troubles
mentaux par l'extrait -, par Lee- per, 16.
française. BoURNEVILLE. 14 Juillet 1892. PREMIÈRE PARTIE Des
troubles
trophiques consécutifs aux maladies du cerveau et
aux maladies du cerveau et de la moelle épinière. PREMIÈRE LEÇON
Troubles
trophiques consécutifs aux lésions des nerfs. S
épinière, que l'on observe le plus habituelle-ment à la Salpêtrière.—
Troubles
de nutrition consécutifs aux lésions de l'axe cér
e de ces altérations au point de vue du diagnostic et du pronostic. —
Troubles
de nu-trition consécutifs aux lésions des nerfs p
s passives des nerfs ou de la moelle ne produisent pas directement de
troubles
trophiques dans les parties périphériques : expé-
l'inflammation des nerfs ou des centres nerveux sur la production des
troubles
trophiques. — Les troubles trophiques consécutifs
des centres nerveux sur la production des troubles trophiques. — Les
troubles
trophiques consécutifs aux lésions traumatiques d
e. — Lésions ar-ticulaires ; lésions osseuses : périostite, nécrose. —
Troubles
trophiques con-sécutifs aux lésions non traumatiq
se. —Troubles trophiques con-sécutifs aux lésions non traumatiques. —
Troubles
trophiques de l'œil, dans les cas de tumeur compr
iverses parties du corps et y déterminent, par la voie des nerfs, des
troubles
variés de la nutrition. Ces affections secondaire
? Pour limiter notre champ d'études, nous n'envisagerons que ceux des
troubles
trophiques qui apparaissent dans le domaine périp
e d'être traité à part. 11. Eu m'entendant parler, Messieurs, des
troubles
de la nutrition qui naissent sous l'action des lé
pathologie,yesipèYevous]e démon-trer du moins, que l'existence de ces
troubles
trophiques con-sécutifs aux lésions des centres n
ésions passives résultant de la seule inactivité fonctionnelle et les
troubles
trophiques qui surviennent à la suite de cer-tain
er van der Kolk^qui, un dés premiers, l'a instituée, attribuait les
troubles
de la nutrition qui se produisent assez rapidemen
ur des cochons d'Inde et des lapins, est parvenu à faire voir que ces
troubles
trophiques, surve-nant au bout de quelques jours
ttner, on se contente de le recouvrir d'une plaque de cuir épais, les
troubles
trophiques ne se montrent pas dans la cornée ; un
quelque peu durable de l'organe, ne sont pas immédiatement suivies de
troubles
delanutrition dansles mem-bres paralysés. M. Brow
ue pas, dans les éléments anatomiques des membres paralysés, d'autres
troubles
nutritifs que ceux qui se développeraient, dans c
trition d'origine neuro-paralytique ne sont nullement comparables aux
troubles
trophi-ques qui sont l'objet spécial de cette étu
pas le pouvoir de l'aire naître dans les régions éloignées d'autres
troubles
de la nutrition que ceux qui dépendent de l'inact
ésions irritatives des tissus nerveux sont capables de déterminer des
troubles
trophiques variés dans les parties auxquelles il
et de Buttner, invoquer l'anesthésie pour expliquer l'apparition des
troubles
trophiques survenant dans l'œil non convenablemen
a sensibilité (2). Nous avons vu dans les expériences de Samuel les
troubles
trophiques survenir dans l'œil en conséquence de
s où les libres les plus internes du nerf avaient été respectées, les
troubles
trophiques ne se sont pas développés dans l'œil,
ur le but que nous nous proposons actuellement (1). 1. Les faits de
troubles
de la nutrition de l'œil, consécutifs aux lésions
mais recouvert cependant par la paupière supérieure paralysée. Cornée
trouble
; iris-t,rès immobile, contracté, de couleur brun
e voiries lésions expérimentales des nerfs déterminer l'apparition de
troubles
trophiques dans les parties périphériques. Nous r
toutes ces conditions (1). Je pourraism'étendre longuement sur ces
troubles
trophiques liés à l'inflammation traumatique de l
, de nature, sous de certaines conditions, à provoquer à distance les
troubles
tro-phiques les plus variés. Par quelle voie, p
'in-flammation autour du point lésé, qu'il convient d'interpréter les
troubles
qui sur-viennent quelquefois dans la nutrition de
s, des effets si opposés, en apparence môme si contradictoires. Les
troubles
trophiques que nous nous proposons de passer en r
be ; 3° enfin, par des lésions de certaines parties de l'encéphale.
troubles
trophiques consécutifs aux lésions des nerfs Ar
d'irritation, et c'est alors, alors seulement, qu'on voit naître ces
troubles
trophiques sur lesquels j'appelle votre attention
le Dr Dastrc 1874). 2. J.-B.-A. Mougeot. — Recherches sur quelques
troubles
de nutrition con-sécutifs aux affections des nerf
s sous l'influence des- 1. Mougeot, lac. cit., p. 30, quelles les
troubles
trophiques se développent à la suite des lésions
qu'une irritation, capable de déterminer à distance la production de
troubles
trophiques. ne puisse exisler dans le nerf sans s
n'entraîne pas, tant s'en faut, néces-sairement, la manifestation des
troubles
trophiques; il faut, pour que ceux-ci se produise
soit, l'influence de l'irritation d'un nerf sur le développement des
troubles
trophiques qui nous occupent, est bien mise en lu
es ukérations repa-raître (1). B. Il me reste à vous entretenir des
troubles
trophiques qui s'observent en conséquence de lési
évidemment d'après ce dernier mode que se produisent quelquefois les
troubles
trophiques de l'œil consécutifs aux lésions du tr
z. hebdomadaire. 1866, nos 4, 5, 6. 3. Leudel. — Recherches sur les
troubles
des nerf s périphériques et surtout des vaso-mote
ment défaut (2). Nous n'avons pu que passer rapidement en revue les
troubles
de la nutrition qui résultent des lésions irritat
s y reviendrons en-core, mais nous insisterons principalement sur les
troubles
tro-phiques qui se rattachent à des lésions du ce
Review. 1854, April, p. 496» cité par M. Virchow. DEUXIÈME LEÇON
Troubles
trophiques consécutifs aux lésions des nerfs (sui
consécutifs aux lésions des nerfs (suite). Affections des muscles.
Troubles
trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
homme ; ils n'infirment en rien la proposition de M. Brown-Séquard.
Troubles
trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
prédomminanl des lésions delà substance grise dans la production des
troubles
trophiques musculaires. — La proposition de M. Br
la dernière séance, j'ai évité à dessein, en faisant l'his-toire des
troubles
de la nutrition consécutifs aux lésions des nerfs
nsi-tives (1 ). A ces douleurs s'adjointfréquemmentrapparition de ces
troubles
trophiques de la peau (éruptions pemphigoïdes, pe
u 7 mai 1871, in Gazette médicale, p. 257, n° 25, 1871.) — « L'un des
troubles
de nutrition les plus remarquables, produits par
. Celte atrophie peut exister seule ou se montrer associée à d'autres
troubles
nutritifs du même genre occupant la peau ou ses a
ependant, déter-minent rapidement, dans les muscles, l'apparition des
troubles
trophiques les plus prononcés. C'est ainsi qu'a
t proportionnées, quant àleur éten-due et quant à leur intensité, aux
troubles
musculaires. Nous reviendrons ultérieurement sur
aralysies consécutives aux lésions traumatiques des nerfs mixtes, les
troubles
fonctionnels portent moins sur la sensibilité des
s ramifications nerveuses. La rapidité avec laquelle se produirait ce
trouble
trophique n'est pas un argument à invoquer contre
on irritative, de réagir sur la fibre musculaire et d'y déterminerdes
troubles
trophiques. Il y a lieu de faire remarquer à ce p
où elle a été présentée dans cette leçon. (Note de la 2e édition.)
troubles
trophiques consécutifs aux lésions de la moelle
ux, comme celles des nerfs, ont le pouvoir de produire à distance des
troubles
tro-phiques dans diverses parties du corps. Dans
ticulations, les os, les viscères enfin, peu-vent devenir le siège de
troubles
trophiques variés, consécuti-vement aux lésions d
re qui ont pour conséquence, à peu près inévitable, de déterminer des
troubles
plus ou moinsprofonds dans la nutrition des muscl
grise, siégeraient alors dans les membres et se traduiraient par des
troubles
fonctionnels et par des modifications dans la for
ce mode d'évolution des lésions spinales. Ainsi, il est rare que les
troubles
trophiques portent simultané-ment sur tous les fa
sions de cellules nerveuses antérieures jouent dans la production des
troubles
trophiques musculaires consécutifs aux altération
é d'exposer devant vous, Messieurs, les principaux faits relatifs aux
troubles
trophiques qui se mon-trent consécutivement aux a
r le temps que nous devrons encore lui consacrer. TROISIÈME LEÇON
Troubles
trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
rophie musculaire progressive. Messieurs, Lorsque j'ai traité des
troubles
de la nutrition déterminés par les lésions des ne
it pas toujours ici d'une reproduction servile ; en général même, les
troubles
trophiques de cause cérébrale ou spinale, ainsi q
dence fortuite. Quoi qu'il en soit, à défaut du zona, il est d'autres
troubles
trophiques de la peau, dont l'existence peut être
n the central nervous System Philadelp.,1868, p. 248. — Gouyba. — Des
troubles
trophiques, etc. Thèse de Paris, 1871, p. 43. 2
es qui donnent naissance à l'atrophie musculaire rapide et aux autres
troubles
du même ordre. Le développement à peu près simul-
autre côté, il ré-sulterait d'une statistique de J. Ashhurst, que les
troubles
de nutrition deviennent plus fréquents à mesure q
tiles concernant la pathogé-nie dudécubitus aigu et dequelques autres
troubles
trophiques de cause spinale. On sait, par les tra
on peut voir survenir encore, dans les membres des deux côtés, divers
troubles
trophiques, lesquels semanifestentpresque toujour
n à la base du thorax. 5 mars (17e jour.) Le malade accuse quelques
troubles
de la vision ; la pupille gauche est plus contrac
iques de la myélite descendante. L'apparition simultanée des divers
troubles
trophiques, si-gnalés dans ces observations et da
se rapportent à ce genre de lésion. Pour expliquer la production des
troubles
trophiques qui aboutissent à la morti-fication sa
ébut brusque, figurer sur lascène morbide ; 3° Lacoexistence d'autres
troubles
trophi-ques de même ordre, tels que les eschares
'affection articulaire dont il s'agit est, elle aussi l'expression de
troubles
trophiques relevant directement de la lésion du c
aussi Benedikt. —Eleklrothérapie, t. II, p. 384. QUATRIÈME LEÇON
Troubles
trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
influence directe du système nerveux. Théorie de la production des
troubles
trophiques consécutifs aux lésions du système ner
des nerfs vaso-moteurs; hypôrémie consécutive; elle ne produit pas de
troubles
trophiques. — Exceptions à la règle. — Irritation
ns eu maintes fois l'occasion de reconnaître que le développement des
troubles
trophiques survenant à la suite des lésions du sy
par une influence nerveuse. Mais en ce qui concerne spécialement les
troubles
trophiques qui font l'objet de nos études, j'espè
rties où elle siège, une disposition particulière à la production des
troubles
trophiques : il semble même qu'au contraire ces p
corps, à la face par exemple, sans qu'il s'en soit jamais suivi aucun
trouble
de la nutrition. M. Perroud a réuni un certain no
ces dernières années sur \es.Anr/ioneuroses, pour reconnaître que les
troubles
de nutrition sont-un accompa-gnement plutôt rare
phériques, dans les conditions où elles déterminent ordinairement les
troubles
trophiques, paraissent s'accompa-gner plutôt d'un
, il est vrai que parfois les membres sur lesquels se développent les
troubles
trophiques — atrophie musculaire rapide,éruptions
ressive, par exemple (4). Vous voyez, d'après ce qui précède, que les
troubles
trophiques liés aux lésions irritatives des centr
fs vaso-moteurs. L'hypérémie neuro-paralytique et la production des
troubles
trophiques sont donc, dans les conditions commune
871, n° 13. La température des membres sur lesquels se produisent les
troubles
trophiques les plus divers est d'abord plus élevé
rvés chez les animaux et l'on peut se demander si quelques-uns de nos
troubles
trophiques ne se produisent pas en réalité de cet
, vol. II, 1860-72, p. 89 et scq. de la face, la moindre trace d'un
trouble
de nutrition (1). Les faits relatifs àlapathologi
ple, une ischémie par-tielle très prononcée et très persistante : les
troubles
trophiques nesemontrentcependantjamais en pareil
aso-moteurs proprement dits qu'il faudrait rapporter l'apparition des
troubles
trophiques qui surviennent en conséquence de lési
de la section complète des nerfs vaso-moteurs, n'est pas la cause des
troubles
trophiques, il ne saurait évidemment en être autr
uite sur des nerfs doués de pa-reilles propriétés serait de porter le
trouble
dans la nutrition intime des parties innervées et
a moelle épinière, ou même dans l'encéphale, provoque l'apparition de
troubles
trophiques dans les parties périphériques. Il fau
ologique les excitations volontaires. Un certain nom-bre au moins des
troubles
trophiques consécutifs aux lésions du système ner
(stati-ques ou dynamiques). Période terminale. — Confinement au lit.
Troubles
de la nutrition. — Affai-blissement de l'intellig
témoignent assez du malaise profond qu'elles ressen-tent. Malgré ces
troubles
divers, la transmission des impres-sions sensitiv
t de l'incoordination motrice de l'ataxie. Symptômes céphaliques. —
Troubles
de la vue : diplopie, amblyopie, nystag-mus. — Em
es, par opposition aux symptômes spinaux. Ce groupe comprend certains
troubles
de la vue, de la parole et de l'intelligence. A
ue, de la parole et de l'intelligence. A. Occupons-nous d'abord des
troubles
cle la vision. Ce sont la diplopie, l'amblyopie e
re contraction, comme convulsive, des lèvres. Quoiqu'il en soit, ce
trouble
dans l'articulation des mots, sur lequel j'appell
essivement, surtout dans les périodesavancées de la maladie, certains
troubles
de la déglutition, de la circulation etmême de la
lus de voir éclater, au milieu de cet état de dépression mentale, des
troubles
psychi-ques qui revêtent l'une ou l'autre des for
e la maladie, et auquel il ne s'adjoint, le plus ordinairement, aucun
trouble
marqué de la sensibilité. En général, l'un des
dois revenir un instant, pour y insister sur l'absence déjà notée des
troubles
de la sensibilité. Les malades se plaignent bien,
ections spinales où l'on voit, au contraire, de très bonne heure, des
troubles
de la vessie et du rectum venir se joindre aux au
éter le tableau, nous devons l'aire ressortir l'absence habituelle de
troubles
trophiques musculaires dans la paraplégie liée à
ait par trop imparfaite, si je ne signalais pas à votre attention les
troubles
de la circulation et de la calorification qui, en
ominerait sur les cordons postérieurs,— efle ne s'accom-pagne d'aucun
trouble
delà sensibilité, d'aucun trouble appré-ciable da
urs,— efle ne s'accom-pagne d'aucun trouble delà sensibilité, d'aucun
trouble
appré-ciable dans la nutrition des masses muscula
minés de accidents susceptibles, peut-être, d'être rangés parmi les
troubles
trophiques. Tels sont : 1° un ramollissement des
dements passngers, cessa dans le courant de décembre, —1870, janvier,
Troubles
psychiques ^Yoirpag Après les détails dans lesq
séparer, par une appli-cation de recherches préalables concernant les
troubles
trophi-ques liés à une influence du système nerve
er pendant des semaines, des mois, sans qu'il en résulte jamais aucun
trouble
appréciable dans la santé générale. Mais je ne ve
e à peu près certaine et Yischurie hystérique, qui laisse vivre, sans
troubles
notables de la santé générale, pendant de longs m
is qu'a duré l'observation ? A aucune époque nous n'avons remarqué de
troubles
dignes d'être notés. L'alimenta-tion, vous le com
fisante, sans perdre de leur embon-point et sans qu'il en résulte des
troubles
notables delà santé. Il serait assurément intéres
et dans une grande partie de son étendue, sans qu'il s'en suive aucun
trouble
spécial, dans la transmission des impressions sen
mblable par là, si je me trompe, que lTiê-mianesthésie complète, avec
troubles
des sensspéciaux, el telle, par conséquent, qu'el
ne analyse attentive permet de reconnaître, le plus souvent, certains
troubles
céphaliques qui ne sont évidem-ment que la contin
ses en sont à cepoint, laconscience s'affectepiofondément et,dansleur
trouble
, lesmalades n"ont plus la faculté de décrire ce q
pas alors d'anesthésie ; la malade, tout en avouant avoir éprouvé des
troubles
nerveux bizarres, niait l'existence passée des vé
congestion papillaire ; — 2° les contours de la papille sont effacés,
troubles
, en raison d'une exsudation séreuse diffuse, qui
^.jus-qu'au matin du 22. Température o7(,,76: selles normales; léger
trouble
albu-mineux de l'urine. Les jours suivants de 8
peu aplaties : susbtancc cérébrale un peu dure. Léger épaississement
trouble
de la pie-mere de la base. Cavités cérébrales de
orée rythmique hystérique. Sommaire. — Symptômes. —¦ Caractères des
troubles
moteurs. — Analyse des mouvements du tronc, des m
açon permanente à un certain degré, on ne constate chez M. R... aucun
trouble
de la sensibilité : pas d'anesthésie. pas d'hyper
des membres supérieurs, notamment quand il buvait ou écrivait. A ces
troubles
se joignirent une diminution de la mémoire, de l'
mil-limètres. — Les nerfs optiques sont durs et résistants. (B) Des
troubles
de la vision chez les hystériques. (Voir Leçon
M. Charcot a appelé l'attention de ses auditeurs sur quelques-uns des
troubles
de la vision qui s'observent le plus habituelleme
jour leur réalisation dans la clinique. Il est bien entendu que ces
troubles
visuels de l'hystérie sont tout fonctionnels et q
Charcot, dans cette même conférence, a insisté sur un autre genre de
trouble
visuel, depuis longtemps remarqué par lui, qu'il
rrait facilement multiplier ces exemples. Ce sont là les principaux
troubles
de la vision qu'on rencon-tre d'une façon habitue
réquemment, dans l'hystérie vulgaire (Hys-teria minor). Bien d'autres
troubles
visuels peuvent s'observer encore dans ces mêmes
rielle et sensitive, ovaralgie, crises convulsives caractéristi-ques,
troubles
particuliers dansledomainepsychique, etc., etc. D
l. Imp. Lemercier Cie Paris TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE LEÇON
troubles
trophiques consécutifs aux lésions des nerfs. S
épinière, que l'on observe le plus habituelle-ment à la Salpêtrière.—
Troubles
de nutrition consécutifs aux lésions de l'axe cér
e de ces altérations au point de vue du diagnostic et du pronostic. —
Troubles
de nu-trition consécutifs aux lésions des nerfs p
s passives des nerfs ou de la moelle ne produisent pas directement de
troubles
trophiques dans les parties périphériques : expé-
l'inflammation des nerfs ou des centres nerveux sur la production des
troubles
trophiques. — Les troubles trophiques consécutifs
des centres nerveux sur la production des troubles trophiques. — Les
troubles
trophiques consécutifs aux lésions traumatiques d
e. — Lésions ar-ticulaires; lésions osseuses : périostite, nécrose. —
Troubles
trophiques con-sécutifs aux lésions non traumatiq
e. — Troubles trophiques con-sécutifs aux lésions non traumatiques. —
Troubles
trophiques de l'œil, dans les cas de tumeur compr
ite lépreuse, lepra mutilans.....................1 DEUXIÈME LEÇON
troubles
trophiques consécutifs aux lésions des nerfs (sui
es consécutifs aux lésions des nerfs (suite). affections des muscles.
troubles
trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
homme ; ils n'infirment en rien la proposition de M. Brown-Séquard.
Troubles
trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
prédomminant des lésions delà substance grise dans la production des
troubles
trophiques musculaires. — La proposition de M. Br
on de ces faits................................33 TROISIÈME LEÇON
troubles
trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
hie musculaire progressive.................... 75 QUATRIÈME LEÇON
troubles
trophiques consécutifs aux lésions de la moelle é
influence directe du système nerveux. Théorie de la production des
troubles
trophiques consécutifs aux lésions du système ner
des nerfs vaso-moteurs; hypérémie consécutive; elle ne produit pas de
troubles
trophiques. — Exceptions à la règle. — Irritation
(stati-ques ou dynamiques). Période terminale. — Confinement au lit.
Troubles
de la nutrition. — Affai-blissement de l'intellig
t de l'incoordination motrice de l'ataxie. Symptômes céphaliques. —
Troubles
de la vue : diplopie, amblyopie, nystag-mus. — Em
horée rythmique hystérique. Sommaire. — Symptômes. — Caractères des
troubles
moteurs. Analyse des mouvements du tronc, des mem
observation (Pl. VII et VIII).......................... 425 V. Des
troubles
de la vision chez les hystériques................
ophie musculaire progressive, 69. — Rôie des — dans la production des
troubles
trophiques, 72. — Dégénération jaune des cellules
rritation (Rôle de 1') des nerfs au point de vue de la production des
troubles
trophiques, 26. Ischémie hystérique, 303. Isc
la nutrition, 11, 21 ; — irritations des —, 139. Névrite, 26, 27. —
Troubles
trophi-ques liés à la —, 28. Névroglie (De la),
rieurs dans la scélrose en plaques, 239. — Rémissions, 240. Parole (
Troubles
de la) dans la pa-ralysie agitante, 168 ; — dans
se en plaques, la sclérose descendante, 350 (Note). Trismus, 287.
Troubles
trophiques. Siège, 4. — Différences qui les sépar
us la sclérose en plaques, .236, 258 ; — épileptiques, 375. Vision (
Troubles
delà) dansl'hvsté-rie, 427. — Historique, 427'. —
s). Le 17 mars 1885", S... était en train de lire lorsque sa vue se
trouble
brus- quement; il appelle ses parents et perd c
tion, pres. que obèse, et ne paraît pas avoir beaucoup soulfert des
troubles
gaslro-intesli., naux qu'elle accusa pendant si
ngle. Les) jambes auraient un peu maigri; elles ne présentent aucun
trouble
trophique de la peau et de ses dépendances ; ex
ectement. La malade ne présente aucun stigmate hystérique, ni aucun
trouble
des autres appareils. 1 Elle passe dans le serv
stance de la contracture. - Complications, rétractions fibreuses et
troubles
trophiques. Anna M..., âgée de dix-neuf ans, en
contracture, mais encore la jambe malade offre depuis ce temps des
troubles
divers : douleurs, phénomènes vaso-moteurs, atrop
'âge de treize à quatorze ans que ses parents ont remarqué quelques
troubles
dans sa- démarche, mais ces troubles sont restés
parents ont remarqué quelques troubles dans sa- démarche, mais ces
troubles
sont restés peu accusés jusqu'à l'année dernièr
de l'ataxie loco- motrice proprement dite. La parole présente un
trouble
très manifeste se rapprochant de celui de la .
ET BABÉ, DtTHURS CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 49 Jamais de
troubles
vésicaux. Organes génitaux bien conformés. Le m
pas lorsque le verre arrive près de la bouche. Il n'existe pas de
troubles
de la sensibilité. Les réflexes rotuliens sont
ité. Les réflexes rotuliens sont abolis. Il n'existe pas d'autres
troubles
urinaires que des mictions nocturnes in- volont
isant exécuter des mouvements actifs a la malade qu'on constate des
troubles
. * Si l'on dit à la malade de porter son doigt
uche que du côté droit. L'occlusion des paupières exagère un peu le
trouble
. L'incoordination motrice se montre encore avec
langue n'était pas paralysée. C'est de cette époque que dateraientles
troubles
de la parole qui existent aujourd'hui; la march
s accentués lorsque Blanche marchait dans l'obscurité.. Depuis, ces
troubles
n'ont fait que progresser et ce sont eux, en pa
persiste. Le coût, l'odorat et l'ouïe sont normaux. Il existe des
troubles
de la vision qui seront analysés plus loin. La
ous les sens. Elle participe du reste à l'instabilité générale. Les
troubles
de la parole auraient débuté à l'âge de seize a
et à l'accommodation. Il n'a jamais existé de diplopie ni d'autres
troubles
oculaires; le fond de l'oeil est normal; le champ
jacu- lalion normale. ' Il n'existe en aucune partie du corps des
troubles
des diverses sensibilités, toutes réserves fait
rement, souffrant le plus habituelle- ment de douleurs et de divers
troubles
au moment de ses règles. Début. Il y a une diza
ussi à ce temps; mais, t cet égard, Pasc... ne peut préciser. Les
troubles
de la parole, eux, ne sont apparus qu'il y a troi
'il y a trois ans. A aucun moment ne se sont montrés ni douleurs ni
troubles
organiques. Etat actuel. Il s'agit d'une jeune
. De môme, elle ne peut mettre promptement le doigt sur son nez. Ce
trouble
est plus manifeste du côté gauche que du côté dro
rapprochées et les yeux fermés, est impossible (signe de Romberg). Le
trouble
paraît augmenté par l'occlusion des yeux. La
aux. L'individu atteint de maladie de Friedreich et chez lequel les
troubles
de la locomotion sont suffisamment marqués (Obs
rver aucun signe a) testant la période initiale inflammatoire de ce
trouble
. Aussi serais-je disposé à supposer qu'il s'agi
e sorte que nous serions ainsi disposé à admettre une fragilité par
trouble
trophique du ten- don comme prédisposition ; la
trouble trophique du ten- don comme prédisposition ; la rareté des
troubles
trophiques chez DES RÉTRACTIONS IIB1.0-'flNDIN1
très ^caractéristique. Cn. FÉRÉ, . Médecin de 131cCti,e. DES
TROUBLES
NERVEUX CONSÉCUTIFS aux : fractures de LA tète
et Puiusot, Traité pratique des fractures et luxations. 188.1. DES
TROUBLES
NERVEUX CONSÉCUTIFS 77 sur la tête du péroné, d
tation. Enfin, on a, dans la plupart des observations, constaté des
troubles
nerveux : avant d'analyser ces derniers, nous c
cident, il peut sortir de chez lui en s'appuyant sur une canne. Les
troubles
de sensibilité et de calorification durent pendan
nt absolument in- demnes. L'articulation du genou ne présente aucun
trouble
du mouve- ment. Sensibilité. Au niveau de la
nsibilité à la piqûre est entièrement revenue. Il n'y a pas d'autre
trouble
de la sensibilité. DES TROUBLES NERVEUX CONSÉCU
rement revenue. Il n'y a pas d'autre trouble de la sensibilité. DES
TROUBLES
NERVEUX CONSÉCUTIFS. 79 Douleurs. - A l'heure a
, il n'existe plus de douleurs, ni sponta- nées ni à la pression.
Troubles
'Vaso-mote1l1'S. Au niveau de l'ancienne bande d'
que dans les parties saines. Cette observation confirme ce fait DES
TROUBLES
NERVEUX CONSÉCUTIFS. 85 que, lorsque deux nerfs
affectés n'est pas propre à faire espérer une guérison rapide. Les
troubles
de 86 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
sensation assez intense d'engour- dissement. Il en est de même des
troubles
vaso-moteurs qui ont cessé depuis plusieurs jou
e cervicale hypertrophique, etc., peuvent également occasionner des
troubles
musculaires avec contractures, et' laisser à' l
ridée. Muscles émaciés. État cachectique. Poids 56 kilog. Pas de
troubles
de la motilité et de la sensibilité; pas de troub
kilog. Pas de troubles de la motilité et de la sensibilité; pas de
troubles
. sensoriels. Pas de tics. Facultés intellect
ers le quatrième mois de la vie intra-utérine que sont survenus les
troubles
de nutrition qui ont eu pour conséquence, à la
lentigo et les phénomènes hémi- plégiques, il faut admettre que le
trouble
trophique a eu pour résultat de mettre obstacle
s particulièrement trait à l'étude de la sensibilité cutanée et aux
troubles
de la vision. Si l'on veut bien se reporter à l
Nous n'ignorons pas que plusieurs auteurs ont également observé des
troubles
de la sensibilité, « une anesthésie plus souvent
embres inférieurs' ». Mais ce sont presque là des exceptions et les
troubles
si accentués présentés par notre malade nous fire
te et le schéma suivants (fig. 43) : « Chez Iloud... (obs. III) les
troubles
oculaires consistent en une 1. Brousse, loc. ci
eil gauche ne distingue pas le violet à la vision centrale. a Les
troubles
oculaires sont identiques iL ceux de l'hystérie.
nt si importants qui se passent du côté du pied donnent lieu il des
troubles
plus ou moins marqués dans la marche de l'ataxi
nservé toute sa sensibilité au froid et à la piqûre. Notons que ces
troubles
de scn- sibilité ne sont pas spéciaux au pied a
érieurs; abolition des réflexes rotuliens : signe de Rombcrg. Les
troubles
trophiques sont très marqués chez cette malade.
influence du repos au lit. Le cou-de-pied du même côté présente des
troubles
analogues; l'articula- 110 lVOfJ\'l'sLLI;-ICONO
Les mouvements communiqués sont très limités. Il n'existe pas de
troubles
trophiques. Les muscles réagissent nettement pa
sie alcoolique occupant les muscles des deux jambes, avaient eu des
troubles
trophiques du groupe mus- culaire postérieur; d
ix-huit ans qui, dans le cours d'une fièvre typhoïde grave, eut des
troubles
trophiques des deux membres inférieurs. Après l
toutes les épreuves connues. L'occlusion des yeux exagère tous ces
troubles
. Les troubles des mouvements dans les membres s
reuves connues. L'occlusion des yeux exagère tous ces troubles. Les
troubles
des mouvements dans les membres supérieurs s'ac
aude la réveille exactement aux mêmes endroits que la pression. Les
troubles
par diminution de la sensibilité sont plus accent
ution de la sensibilité sont plus accentués. Ce qui caractérise ces
troubles
, c'est que, tout en étant très légers, ils sont r
nfluence de la contagion.' Le bâillement est souvent un symptôme de
troubles
digestifs. 11 peut encore se produire dans un g
del'ennui, 12 166 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. d'un
trouble
digestif produisant, grâce à la dilatation de l'e
té visuelle est très peu réduite : V= 1o pour les deux yeux; pas de
troubles
pour l'appareil musculaire et les pupilles. Mais,
c'est uniquement à la disposition des surfaces articulaires que ces
troubles
dans les mouvements extrêmes des genoux semblen
sibilité aux membres supérieurs est très légèrement émoussée, et le
trouble
s'accuse seulement par l'incertitude des réponses
omènes vaso-moteurs sont représentés chez notre malade par certains
troubles
dans la circulation des pieds. Les orteils, sur
es qu'une induction sérieuse était possible, m'ont convaincu que le
trouble
était général. C'est qu'en réalité, il est exce
rien autre chose, malgré l'opinion contraire de Musso. Parmi les
troubles
des mouvements actifs, je décris ici le premier
ue j'ai trouvé chez mon malade. Mais je tiens surtout à relever les
troubles
de la sensibilité. Mon malade n'a pas de douleu
e quinzaine de fois, surtout en Italie (Vizioli, Musso). Enfin, les
troubles
par diminution de la sensibilité; dans presque
une hystérie dont il n'a pas le moindre symptôme pour expliquer des
troubles
de la sensibilité dont les caractères, et, nota
faut-il s'élever contre ce que l'on lit partout : à savoir que les
troubles
de la sensibilité sont rares; tardifs, quand ils
cent cas de la maladie de Friedreich, il y en a quatre-vingts où un
trouble
quelconque de la sensibilité est relevé. Sur so
nt paru utilisables à ce sujet, j'en ai trouvé trente-deux où aucun
trouble
n'est signalé, et vingt-neuf où la diminution é
son évolution. Ce qu'il est utile de faire remarquer, c'est que les
troubles
de la sensibilité peuvent être très précoces et
ie ou à toute autre cause étrangère à la maladie de Friedreich. Ces
troubles
se caractérisent parleur médiocre degré, parleu
a même originalité de disposition. Cependant, il y a des cas où les
troubles
de la sensibilité relèvent de l'hystérie : ce n
t certain que c'est là l'exception. J'appelle l'attention sur les
troubles
de la circulation vasomotrice que j'ai constaté
tard est la seule chose qui soit authentique chez ces malades comme
trouble
génital. Beaucoup d'auteurs disent bien le cont
de Friedreich, au moins assez précoce pour qu'on soit sûr que ce
trouble
relève réellement de la maladie non altérée, non
plaignait de douleurs dans les aines, mais il pouvait marcher sans
troubles
apparents. Outre sa rétention d'urine, on cons-
ceinture au niveau des branches lombo-abdominales, et bien qu'aucun
trouble
d'incoordination ne pût être constaté, nous pensâ
mal de Pott. Les douleurs irradiées sur le trajet des nerfs et les
troubles
vésicaux antérieurs ne suffisent pas d'ailleurs à
ribuer la déformation lombaire et l'attitude si particulière, à des
troubles
neuro-musculaires, à des contrac- tures, et nou
presque entièrement sur le sol, elle est déformée, aplatie. Pas de
trouble
du côté des ongles. La sensibilité à la piqûre
mammaire. Sur toutes les autres parties du corps il n'existe pas de
troubles
de la sen- sibilité. Ons. IV. - Ataxie locomo
d'abord légers; . . DES ARTHROPATHIES TABÉTIQUES DU PIED. 201 2°
Troubles
plus graves; . - 1 i 3° Désorganisation permane
s du tibia et du péronné, tout le squelette du pied, présentent des
troubles
destructifs que la déforma- tion observée sur l
ivant de près le texte sacré a excellemment rendu le désarroi et le
trouble
d'un homme plongé tout à coup au milieu d'épais
e conduit seul et d'ordinaire avec plus d'assurance. Mais l'émotion
trouble
le vieil- lard, et ce trouble n'a-t-il pas été
avec plus d'assurance. Mais l'émotion trouble le vieil- lard, et ce
trouble
n'a-t-il pas été très finement noté par Rembrandt
hez quelques malades qui se sont présentés à notre observation, les
troubles
nerveux tardifs qui peuvent résulter des lésion
ous rapporterons concernent des cas de fractures du rachis. . Les
troubles
nerveux qui suivent de près ces accidents ont été
té complètement abolie dans ce membre; quelques soubresauts. Enfin,
troubles
trophiques notés dès le cinquième jour; l'amaigri
ompagnée à trois reprises d'éjaculation. Il est remarquable que ces
troubles
digestifs, génitaux et urinaires n'ont laissé a
fut réformé. Il persistait, dans le membre inférieur droit, divers
troubles
de la sensi- bilité ; ainsi le mollet était pre
s reprises le malade tomba. L'atrophie restait stationnaire; pas de
troubles
trophiques cutanés. En 1885, le sujet, trouvant
Sobre jusque-là, il présente alors divers symptômes d'alcoo- lisme,
troubles
digestifs, cauchemars. Le membre malade s'affaibl
qui a précédé et suivi son mariage, quelques excès rame- nèrent des
troubles
de la santé générale, et C... éprouva, vers le me
Persuadé que les excès de boisson entraient pour une part dans ces
troubles
de la santé, C... devient plus tempérant. La sant
ade. -Réflexes. - Réflexe patellaire complètement aboli à droite.
Troubles
trophiques. Pas de changement de coloration de la
omparatifs suivants : CLICHÍ; A. LON Dl : PHOTOTYPIE 13kli'rHUD
Troubles
TROPHIQUES CONSÉCUTIFS A UNE Fracture DE la COL
de l'oeil montra les pupilles parfaitement égales. Du reste, pas de
troubles
de la vision. Prescription. Courants continus t
ui se montrait d'une manière intermittente sans qu'il existât aucun
trouble
fonc- tionnel de la vision. Ayant eu l'occasi
plète des deux membres inférieurs, ayant ensuite diminué peu à peu.
Troubles
passagers de la miction (on a dû, pendant quelque
gauche (beaucoup plus prononcée qu'elle ne l'est au- jourd'hui). Ni
troubles
trophiques cutanés notables, ni eschare sacrée.
nté générale. Quelques phénomènes d'alcoolisme : cauchemars légers,
troubles
digestifs. Pas de tremblement. Rachis. Aucune d
és par les muscles. De légers obstacles font trébucher le malade.
Troubles
trophiques. - La cuisse gauche est un peu moins v
ant devant les yeux. Pupilles égales. Ainsi donc, chez ce malade,
troubles
de la motilité relativement légers, troubles de
donc, chez ce malade, troubles de la motilité relativement légers,
troubles
de la sensibilité cutanée et quelques douleurs, e
ers, troubles de la sensibilité cutanée et quelques douleurs, enfin
troubles
de la nutrition musculaire plus accentués, sinon
III. -Fracture du rachis dans la région dorsale datant de onze ans.
Troubles
trophiques. - Engelures, accidents épileptiformes
t les purgatifs une constipation opiniâtre. Il n'y aurait pas eu de
troubles
génitaux. Enfin la nutrition des membres éprouva
me assez rapidement. Quelquefois diplopie passagère. Pas d'autres
troubles
intellectuels ; pas de changements de caractère,
été assez facile à émouvoir. Les sens spéciaux ne présentent aucun
trouble
, sauf la vue. Ajoutons que le sujet n'a jamais eu
jamais eu la vue bien bonne; il a toujours été myope. A part les
troubles
que nous venons de passer en revue, la santé rest
ait très nettement remonter àl'époque de sa chute ? 2° Les divers
troubles
trophiques que l'on trouve aux deux pieds, prin
sions aient été favorisées dans leur production par l'existence des
troubles
nerveux antérieurs; on se rappelle qu'il avait
t établi lentement à la suite des accidents douloureux, et pour les
troubles
consécutifs de la marche qu'il vient ré- clamer
ains du malade, quoiqu'il n'attire lui-même l'attention que sur les
troubles
moteurs dont il se plaint. Face (pl. XLVI). - L
sont assez notablement gonflés. Sensibilité. - Il n'existe d'autres
troubles
de la sensibilité que quelques douleurs peu int
deux côtés; il n'y a pas de trépi- dation spinale. Il n'existe ni
troubles
des sphincters ni troubles vaso-moteurs ou tro-
trépi- dation spinale. Il n'existe ni troubles des sphincters ni
troubles
vaso-moteurs ou tro- phiques. Les autres appa
me un peu difficiles. Les organes respiratoires ne montraient aucun
trouble
... Il y avait de temps en l ? ICItOJI$C11.I1 ?
dons de Goll, 31, dans un cas d'arthropathie du pied. Trophiques (
troubles
dans les fractures de colonne vertébrale), 45.
alytique (le de Raphaël), par Cnarcot et Richer, 170. Péroné (des
troubles
nerveux consécutifs aux fractures de la tête du
es névroses, la paresse intellectuelle, en un mot un grand nombre des
troubles
mentaux et des instincts pervers qui, dans un ave
on sur un organe et utiliser l'initiative du sujet pour remédier à un
trouble
fonctionnel. C'est ce qui arrive dans le traiteme
on que la suggestion trouvait son application dans un grand nombre de
troubles
fonctionnels. Les observations que nous avons r
mbreux et rigoureusement observés, en plusieurs catégories : 1° Les
troubles
psychiques survenant dans le cours de maladies ai
articulier l'insomnie, l'agitation et le délire nocturnes et quelques
troubles
fonctionnels tels que les vomissements incoercibl
et des matières fécales survenant dans les mêmes affections; 2° Les
troubles
fonctionnels liés aux affections nerveuses : chor
t hystérique, blépharospasme, incontinence nocturne d'urine; 3° Les
troubles
psychiques tels que l'onanisme irrésistible, l'ha
pusillanimité et les diverses manifestations de l'émotivité morbide,
troubles
qui se présentent le plus souvent associés et que
onsidérer comme des stigmates de la dégénérescence mentale ; 4° Les
troubles
mentaux envisagés comme complication des diverses
tolet dans le but évident de la tuer, mais sans manifester le moindre
trouble
ni avant ni après son horrible forfait imaginaire
ma de l'aphasie. Lagelouse: Influence de la suggestion sur quelques
troubles
fonctionnels à l'appareil visuel. Schmeltz (de
que, pouvaient donner l'idée d'une cause organique. Mais l'absence de
troubles
digestifs, la régularité des selles, le retour pé
if des plus frappants. Dans les névralgies utéro-ovariennes, dans les
troubles
menstruels, le massage de la région abdominale em
ent passionné davantage l'opinion que Nicole, do Vervins. Quant aux
troubles
névropathiques, rien de bien particulier : halluc
ze ans, « d'un homme noir et hideux ayant de longues dents », jeta le
trouble
dans son esprit et dans celui de ses parents, qui
e la suggestion hypnotique, de faire disparaître un certain nombre de
troubles
fonctionnels de l'ataxie locomotrice. Cette act
orrélatifs de la nutrition des tissus ; 5° En limitant le champ des
troubles
fonctionnels et en réduisant ces troubles aux jus
5° En limitant le champ des troubles fonctionnels et en réduisant ces
troubles
aux justes proportions que comporte la lésion ;
croit ses biographes (1), qu'Ignace de Loyola fut souvent atteint de
troubles
nerveux ou mentaux. (1) Voy. en particulier : P
me l'existence d'une lésion nerveuse (élongation ou contusion) et des
troubles
associés d'ordre purement dynamique relevant de l
e, la motilité revenue, mais la force musculaire était moindre et les
troubles
trophiques encore très apparents. Tout traiteme
nsibilité était parfaite ainsi que la contractilité et que les divers
troubles
trophiques de la peau et surtout des ongles, si m
, j'avais cru reconnaître chez ce sujet l'existence de deux sortes de
troubles
, les uns purement dynamiques, les autres organopa
n que je vous avais proposée. Tout depuis a confirmé ces vues : les
troubles
dus à la lésion nerveuse traumatique ont continué
re et il y a quelques mois qu'il n'en reste plus de traces. Quant aux
troubles
dynamiques, sous l'influence de nouvelles causes
souvent en pareil cas. Les exemples ne sont pas rares, en effet, de
troubles
dynamiques qui compliquent de véritables organopa
ons; mais il était toujours incapable de marcher seul et il avait des
troubles
urinaires. Je l'examinai attentivement dès son
ué. L'exploration par le toucher confirmait ces renseignements. Les
troubles
de la sensibilité étaient aussi singulièrement di
ons me firent penser, dès le premier jour, qu'une part, au moins, des
troubles
présentés par ce malade était d'ordre purement dy
ion centrale ou périphérique ne pouvant expliquer la distribution des
troubles
sensitifs. Je résolus donc de recourir à la théra
its lavements contenant une petite quantité de sulfate de cuivre. Les
troubles
de la sensibilité guéris, les troubles de la moti
tité de sulfate de cuivre. Les troubles de la sensibilité guéris, les
troubles
de la motilité disparurent graduellement et le ma
s en ajouter d'autres, mais cela me parait inutile, l'association des
troubles
purement dynamiques et des organopathies étant dé
suggestion thérapeutique doive toujours réussir, quand il s'agit d'un
trouble
dynamique susceptible d'être réprimé par la sugge
pendant la nuit. Il mange bien, digère bien, ne présente pas d'autres
troubles
fonctionnels ; il n'a jamais été malade, dit-
igestion est bonne. La persistance de la douleur en l'absence d'autre
trouble
fonctionnel nous fait penser qu'il ne s'agit que
l'existence. Il n'existe ni idées hypocondriaques, ni délire. Pas de
troubles
neurasthéniques [céphalée, insomnie, rachialgie,
s neurasthéniques [céphalée, insomnie, rachialgie, dyspepsie). Pas de
troubles
de la sensibilité générale ou sensorielle. Pas do
nt l'impres-sionnabilité individuelle de chacun, je n'ai jamais aucun
trouble
nerveux. Les grandes hystériques seules peuvent a
ancy et à son initiateur M. Liébeault. On concède encore que certains
troubles
nerveux sont justiciables de la suggestion. Ce so
ion fonctionnelle. Tout ce qu'il est permis de conclure, c'est q'un
trouble
fonctionnel rapidement amendé par la suggestion n
usées* crée des désordres réels et non fictifs ; mais c'est là un
trouble
passager qui se répare spontanément. C'est une pe
se répare spontanément. C'est une perturbatior du sensorium, c'est un
trouble
psychique momentané ; c'es une imagination dérang
'atrophie musculaire, ni autre lésion trophique. Sont-elles dues à un
trouble
circulatoire? On sait que l'ischémie veineuse ou
es lésions peuvent accompagner la tuberculose. On ne constate aucun
trouble
circulatoire; les deux membres ont la même te
me pouls ; une affection vasculaire datant de quatre ans engendre des
troubles
fonctionnels visibles et tangibles. Donc aucune
entissement de l'emphysème sur le système nerveux du poumon, c'est un
trouble
dynamique greffé sur la lésion et qui peut à son
blée quand cette ligne se trouve en bifurcation avec une autre ligne,
trouble
qui ne se produit pas quand la ligne est parallèl
onsidérable. Une lumière vive ou apparaissant brusquement produit des
troubles
profonds dans l'état du sujet, accélération de la
voit se développer une insomnie persistante, susceptible d'amener des
troubles
nerveux plus ou moins graves. L'occlusion des ore
première observation Cas d'onanisme invétéré et d'onychophagie, —
troubles
du caractère, indiscipline, etc., chez une fillet
BSERVATION Onanisme invétéré — onyc/iop/iagze — habitude de fumer —
troubles
du caractère.—Guérison assez prompte par la sugge
opposée, la claustrophobie, a le plus souvent pour point de départ un
trouble
de l'appareil labyrinthique périphérique ou centr
ations d'origine externe ou d'origine interne qui peuvent éveiller un
trouble
nerveux gênant ou douloureux, laissant à sa suite
ettement qu'il est actuellement possible de le faire, ce mécanisme du
trouble
phobique ; il nous sera alors plus facile de reco
ières il peut naître de l'appareil labyrinthique. La nature même du
trouble
phobique doit impliquer que si nous l'observo
semble quelque peu oiseux et naïf d'établir une distinction entre un
trouble
et la conscience de ce trouble, entre un état ner
aïf d'établir une distinction entre un trouble et la conscience de ce
trouble
, entre un état nerveux et la perception de cet ét
avoir, sans le sentir, et ne le reconnaître qu'objectivement soit aux
troubles
de la station ou de la marche, soit aux troubles
jectivement soit aux troubles de la station ou de la marche, soit aux
troubles
bulbaires irradiés. Et il en est ainsi non pas
ment pour le vertige, mais pour la nausée, l'oppression, qui sont des
troubles
fonctionnels, pour la faim, la soif, etc., qui so
on moins vraisemblable que le siège de ces états fonctionnels, de ces
troubles
, de ces besoins, est inférieur à la corticalité,
n'avait fait désirer ni même prévoir ? D'autre part, ces états, ces
troubles
, ces besoins peuvent au contraire solliciter notr
la faim, la soif, le dégoût, la colère, etc. En revanche, certains
troubles
n'entreront jamais dans le champ de notre conscie
s troubles n'entreront jamais dans le champ de notre conscience : les
troubles
vaso-moteurs, secrétoires, moteurs, etc., ne se r
rs que l'on commence à étudier et qui, eux, sont localisés en des
troubles
périphériques, dont la signification est extérior
; l'angoisse laryngée, gutturale, celle de l'asthme, etc. Ce sont des
troubles
nucléaires, la plupart pneumogastriques, et des é
ls sont l'anxiété paroxystique, l'angoisse fugitive du frisson, et ce
trouble
particulier que l'on appelle si exactement la « p
eur bulbaire, avec toutes ses irradiations dans le domaine des autres
troubles
bulbaires, frissons, pâleur, sueurs, palpitations
ns, anxiétés diverses, gutturales, laryngées, gastriques, viscérales,
troubles
secrétaires, moteurs, vasculaires, sensoriels, et
et son image dans la conscience. Avoir peur est éprouver, sentir, ce
trouble
; avoir la peur est la subir simplement. A voir p
la subir simplement. A voir peur de quelque chose est tomber dans ce
trouble
, senti ou non, à l'occasion de cette chose. On
eur. Et il est si connu que la peur se révèle non seulement par des
troubles
bulbaires irradiés manifestes, mais aussi par des
nt par des troubles bulbaires irradiés manifestes, mais aussi par des
troubles
également inconscients, qu'il est de règle dans n
si. On est peureux quand on présente une grande susceptibilité à ce
trouble
, de même qu'on peut être enclin au vertige, à la
oit le siège de la localisation bulbaire, il est hors de doute que le
trouble
bulbaire peut être senti en haut lieu, et qu'il e
me figurant simplement que je m'approche d'une fenêtre ouverte, et le
trouble
labyrinthique, purement nucléaire dans ce cas, pe
t disparait, la vue objective concrète combat et neutralise en moi le
trouble
vertigineux et agoraphobique; livré à mes centres
». Cet homme n'avait rien qui pût faire soupçonner l'épilepsie. Ces
troubles
d'identité somatique sont assez fréquents chez le
de peur, de la peur elle-même ; nous avons fait de cette dernière un
trouble
bulbaire ; est-ce un état isolé, ou bien n'est-ce
ouble bulbaire ; est-ce un état isolé, ou bien n'est-ce pas plutôt le
trouble
d'un état physiologique ? Nous n'hésitons pas à c
tat physiologique ? Nous n'hésitons pas à considérer la peur comme un
trouble
fonctionnel; et, de même que nous avons dû consid
tionnel; et, de même que nous avons dû considérer le vertige comme le
trouble
d'une fonction que nous avons baptisée l'orientat
en pleine activité ; et nous sommes si habitués à n'apprécier que les
troubles
et les douleurs, que quand nous souffrons, nous a
aspects de notre vie physique, c'est la vie elle-même. Quand elle se
trouble
, sa défaillance constitue ce trouble particulier
la vie elle-même. Quand elle se trouble, sa défaillance constitue ce
trouble
particulier que l'on appelle la peur. Mais si l
rouble particulier que l'on appelle la peur. Mais si la peur est un
trouble
fonctionnel, si la sécurité est un état fonctionn
hygiénique et social des prescriptions religieuses de Manou. Divers
troubles
d'origine psychique guéris par suggestion à l'é
re. Il n'est pas resté chez ma petite malade à l'état isolé. D'autres
troubles
du même ordre sont venus s'y ajouter dans la suit
elle été vraiment guérie, au point d'être assurée contre le retour de
troubles
névropathiques analogues ? Je ne le crois pas. So
nervée, je ne sais, je ne puis « dire ce qui se passe en moi ! » Le
trouble
mental ainsi décrit pourrait être la conséquence
» Le trouble mental ainsi décrit pourrait être la conséquence d'un
trouble
organique primitif ; car si le moral peut agir su
uleurs subjectives », ma santé se dérangea et présenta un ensemble de
troubles
singuliers. La sensibilité cutanée des bords oppo
seule séance peut-être. Et aurait-on affaire ici au contraire à un
trouble
mental symp-tomatique d'une lésion somatique, la
é. La fatigue arrive vite chez ces sujets ; elle se manifeste par des
troubles
psychiques, dans lesquels les phobies entrent pou
son teint, frais et coloré, devient pâle et jaune. Elle ressent des
troubles
gastriques qui provoquent un état d'hypocondrie m
ni syncopes, ni sueurs profuses, ni douleurs épigastriques, ni aucun
trouble
fonctionnel ; sa santé redevint excellente sous t
et le fonctionnement des follicules pileux. Si sous l'in-llucnce d'un
trouble
nerveux ces follicules s'enflamment, ils présente
ertains cas la sycose staphylogène se développe sous l'influence d'un
trouble
nerveux et que l'influence des microbes est alors
de l'affection, la disparition de la maladie causale, c'est-à-dire du
trouble
nerveux, estindispensable. Dans le cas présent on
faut que patienter pour le trouver ; on ne peut donc supposer que les
troubles
nerveux étaient secondaires à la sycose. Le malad
érée jusqu'à présent comme d'origine nerveuse, dépend directement des
troubles
du système nerveux et incite à un traitement qui
é psychique non seulement dans l'hystérie, mais aussi dans les autres
troubles
du système nerveux. Cette communication a fait
qui dénotent qu'au niveau de cette même région il devait y avoir des
troubles
fonctionnels caractéristiques et qui ont dû modif
va sans dire que j'ordonnais un lien pas trop tendu, pour éviter des
troubles
nerveux. — D'autres expériences s'appliquaient au
dique qu'il faut un terrain propice et une certaine prédisposition.
Troubles
oculaires d'origine hystérique. Claude. Société
te ou plutôt d'hémiparésie, d'hémia-nesthésie droite incomplète et de
troubles
oculaires des deux côtés. II existe en même temps
ènes moteurs s'amendent rapidement, l'hémianesthésie persiste, et les
troubles
oculaires évoluent de façons différentes : 1° L
'œil est normal. L'état général de la malade est très bon. Tous ces
troubles
sont de nature hystérique ; les uns ont eu une év
ut particulièrement ce nouveau moyen de prévenir le développement des
troubles
mentaux. La sieste et la digestion. Une petit
t en rapport de contiguïté. Que cette contiguïté soit imparfaite, des
troubles
spéciaux se produiront, différents de ceux qui so
ication nervine modifiait fréquemment les retentissements nerveux des
troubles
fonctionnels de l'estomac. Lorsque la dilatation
me fonctionnel. 11 faut savoir que nombre de maladies débutent par un
trouble
fonctionnel, quelquefois général, souvent localis
Cette thérapeutique n'est pas hasardeuse. Son but est de modifier le
trouble
fonctionnel en agissant directement ou indirectem
des visions et dos hallucinations ; dès sa jeunesse, il présenta des
troubles
intellectuels marqués; il était incapable d'une o
-à-dire fabriquées de toutes pièces par auto-suggestion et sans aucun
trouble
, si minime soit-il, de l'innervation cardiaque, e
ité et la fréquence plus grande des accès, l'adjonction à ceux-ci des
troubles
respiratoires tels que dyspnée, respiration bruya
s le bulbe et les ganglions du grand sympathique. Le coma résulte des
troubles
apportés dans le fonctionnement de ces centres.
notiques ; il en sera de même dans les cas de délire résultant de
troubles
circulatoires. Lorsque l'insomnie est due à l'e
cations résultant de la forme : si l'absence de sommeil est due à des
troubles
nerveux sans lésion anatomique, les hypnotiques,
n a bâti tant d'hypothèses, qui, par ses variations, engendre tant de
troubles
et de changements dans les phénomènes vitaux; tan
ces expansions, d'où des qualités et des défauts, des progrès et des
troubles
, suivant que ces connexions se développent dans u
ste plus ou moins ancrée dans le système nerveux après la guérison du
trouble
anatomique qui lui a donné naissance ; à force de
épinière peuvent présenter des caractères de dégénérescence, devenir
troubles
et granulées, ce qui indique l'altération ou la p
ajal, touchant les mouvements automatiques de certaines maladies, les
troubles
nerveux qu'entraîne la vieillesse, les idées fixe
lique l'efficacité delà suggestion dans beaucoup de circonstances: le
trouble
fonctionnel dans les maladies des centres nerveux
ilité interrompue, rétablie, restaure la fonction... D'autre part, le
trouble
fonctionnel peut survivre à la cause ou à la lési
vre à la cause ou à la lésion organique qui lui a donné naissance; ce
trouble
n'est plus entretenu par la lésion, mais retenu,
u collège analyse avec méthode les manifestations et le mécanisme des
troubles
fonctionnels, reconnaissant pour cause la présenc
els, reconnaissant pour cause la présence d'une idée morbide, que ces
troubles
accompagnent et compliquent une maladie organique
Après une brillante introduction où il établit ß qu'en théorie chaque
trouble
organique — maladie locale ou générale — doit tou
ganique — maladie locale ou générale — doit toujours s'accompagner de
troubles
psychiques, M. le D' P. Hartenberg entre dans le
le D- Pau! Hartenberg. -battue à temps, provoquer à la longue des
troubles
organiques-réels graves, et quelquefois incurable
t de mal hystérique. Attaques coiivulsives. Hallucinations et délire.
Troubles
moraux. Début il y a 3 ans. Hypersensibilité de l
e émotivîté. Le 20 février, céphalalgie générale des plus intenses.
Troubles
de la vue, diplopie. Puis cécité momentanée, vue
qu'il divise en quatre catégories: 7 cas d'alcoolisme chronique, 5 de
troubles
sexuels, 6 de neurasthénie et de légers troubles
isme chronique, 5 de troubles sexuels, 6 de neurasthénie et de légers
troubles
nerveux, 7 d'insomnie et do troubles du sommeil
6 de neurasthénie et de légers troubles nerveux, 7 d'insomnie et do
troubles
du sommeil. Il a traité, en outre, un cas d'épile
tement échouent, comme par exemple dans l'alcoolisme chronique et les
troubles
sexuels. Mais, pour que la suggestion donne un bo
phobiques en poussent même quelques-uns au suicide sans motif. Car un
trouble
mental permanent, tel que l'entendent les profane
fiant de leur histoire pathologique, fait qui se produit par suite de
troubles
temporaires de la circulation. Par contre, des
ar suite de troubles temporaires de la circulation. Par contre, des
troubles
épisodiques sont possibles dans la neurasthénie,
contre, des troubles épisodiques sont possibles dans la neurasthénie,
troubles
qui se présentent brusquement, durant des heures
suffisante. Le substratum des symptômes cliniques est évidemment le
trouble
grave de l'activité chimique des cellules ganglio
qu'un traitement essentiellement psychique dût surtout convenir à des
troubles
psychiques, et que ce dût être là le triomphe de
peu efficaces d'ailleurs, auxquels on ait recours d'habitude quand le
trouble
mental ne saurait comporter, comme ici, l'interne
miers, nous donnions des observations de kleptomanie, de mensonge, de
troubles
du caractère, d'onanisme irrésistible, d'onychoph
ctéristique de la nommée Jeanne SchafT.., âgée de 22 ans, atteinte de
troubles
moraux et d'impulsions irrésistibles au mal. Celt
t obtenu encore en haut et en dehors. Après deux autres séances, ce
trouble
visuel a complètement disparu sous l'influencé de
mois, absolument guérie de ses hallucinations, idées de persécution,
troubles
de la parole, de la mémoire, de la vision. Je l'h
« D'abord, les séances fausses introduisent un élément d'erreur ou de
trouble
dans la situation, en ce sens qu'elles permettrai
Sur les affections mentales chez les animaux Par M. Cadiot. Les
troubles
des facultés intellectuelles chez les animaux for
paniques (3), les Aberrations sexuelles [*) sont les plus connues des
troubles
mentaux observés chez les sujets des diverses esp
. L'action de la peur chez les animaux ne produit pas seulement des
troubles
passagers des facultés intellectuelles ; il peut
rver, dans mon service, un setter irlandais, âgé de 3 ans, atteint de
troubles
intellectuels survenus à ta suite d'un long traje
blessure ou de contusion, ni à la tête, ni aux autres régions. Pas de
troubles
de la miction; l'urine est normale. L'animal est
pour lesquelles il ne manifestât pas une indifférence absolue. Les
troubles
cérébraux survenus chez ce chien, dans les circon
port. Consulté sur la question de responsabilité, je déclarai que ces
troubles
avaient bien été provoqués par la longue durée de
rtance de la fièvre typhoïde comme élément étiologique de beaucoup de
troubles
psychiques plus ou moins sérieux. Notre malade no
elle idée, juste et raisonnable, à l'idée fausse, point de départ des
troubles
psychiques. Vous arriverez ainsi quelquefois, en
anquet de la Société d'Hypnologie et dc Psychologie, 91. Caractère (
troubles
du), [guérison par la psychothérapie], 136. Céc
ogique du sommeil (la), par Ch Pupin, 289. Thermomètre muet, 316.
Troubles
d'origine psychique guéris par suggestion à l'éta
que guéris par suggestion à l'état de veille, par Go-rodichze, 152.
Troubles
oculaires d'origine hystérique, par Claude, 214.
rsions du sens génital qui souvent prennent leur source -dans des
troubles
de la sensibilité générale,^ mais * bien d'un o
erveuses de notre malade ne se sont pas seulement traduites par des
troubles
psychiques, des aberra- tions morales, il a off
ctuels sont accompagnés d'un batte- ment continu des paupières. Ces
troubles
se montrent dès le réveil soit pendant la nuit,
et demi ; le lendemain du jour où le mal a com- mencé vers midi, le
trouble
de l'intelligence et le battement des paupières
nque. Les convulsions ne semblent pas exercer d'influence sur les
troubles
intellectuels, après lesquels d'ailleurs, 'elles
udori- pares, l'abaissement de la température périphérique et les
troubles
de la sensibilité observés pendant la vie. La p
terne, comme sur l'externe ; par suite, on peut lui attribuer les
troubles
de la digestion et de la nutrition et la cachex
de la température au-dessous de la normale, l'auteur signale des
troubles
très variés du système nerveux : caractère tris
x hallucinations proprement dites. Dans un cas cité par Savage, les
troubles
psychiques ont abouti à une véritable manie, av
ons cutanées telles que celles du myxoedème, puissent entraîner des
troubles
des facultés psychiques. A la rigueur, et bien
dit-il, les anesthésies ou la perte d'un sens spécial entraîner des
troubles
intellectuels ; le contraire se produirait plut
vue, ouïe, goût ne semblent pas atteints. Enfin, il n'existe pas de
troubles
digestifs et le sommeil 70 PATHOLOGIE NERVEUSE.
s prononcé et on note à côté d'une constipation habi- tuelle, les
troubles
psychiques suivants : affaiblissement de la mém
eux central. En effet, dit-il, dans tous les cas on a observé des
troubles
intellectuels variables, du reste, depuis .l'ir
squ'à la manie agressive et au délire des grandeurs. Bien que ces
troubles
intellectuels surviennent toujours à quelque ph
du cerveau qui entraînent souvent, mais non nécessaire- ment, des
troubles
intellectuels. Inglis considère le myxoedème co
étion de l'urée. Il rappelle que, pour lui, la maladie tient à un
trouble
profond du grand sympathique. Dyce Duck- worth
oedème est une maladie d'origine centrale , sous la dépendance de
troubles
de la nutrition. Enfin Hammond vient de publier
sage particulièrement 76 PATHOLOGIE NERVEUSE. au point de vue des
troubles
nerveux et cérébraux'. Les phénomènes de cet or
personnelle tout particulièrement intéressante au point de vue des
troubles
nerveux. Il s'agit d'une femme de 41 ans. Au pr
i faisaient le récit des tortures qu'elle devait subir. Quant aux
troubles
psychiques, les voici tels qu'ils ront rapporté
eure à 96° Fahr. (35°,5 c.) En ce qui concerne l'interprétation des
troubles
nerveux, Ham- mond rejette l'hypothèse de Ord.
'excitation maniaque observées dans certains cas. » Il rattache les
troubles
cérébraux à une lésion de l'encéphale, caractér
uqueux autour des cellules nerveuses. Dans le cas qu'il publie, les
troubles
psychiques avaient précédé l'apparition de l'oe
es avaient précédé l'apparition de l'oedème spécial. En résumé, les
troubles
nerveux résulteraient de deux ordres de lésions
on nécessités) ? ) par sa profession. Une tarda pas a présenter les
troubles
digestifs et cérébraux habituels aux alcooliques
s sentie à gauche, pas plus que le pincement Mais il n'y a pas de
troubles
sensoriels; la vue, le goût, l'odorat (chloroform
écèdent, puis accompagnent la marche graduelle- ment croissante des
troubles
moteurs; dans leur intervalle on note un trembl
it atteinte d'un trem- blement généralisé et continuel compliqué de
troubles
céré- braux graves, avec délire de persécutions
citation mentale se calma rapidement. A la fin du second mois tout
trouble
cérébral avait cessé ; en même temps la rigidité
merican journ. o/' ? He. se, avril 1881 , p. 382.) La fréquence des
troubles
oculaires de la syphilis cérébro- spinale a été
e Fournier. Les paralysies des muscles de l'oeil aussi bien que les
troubles
visuels, amblyopies, amauroses, sont des faits
a neuro-rétinite peuvent exister sans qàe,lé malade ac- cuse aucun-
trouble
de la vue : Cette névrite optique peut s'ac- co
ique dans le bout central par rapport au lieu de préhension. Pas de
troubles
trophiques, même aux muscles ; troubles de la l
lieu de préhension. Pas de troubles trophiques, même aux muscles ;
troubles
de la locomotion variables et passagers. Macros
re quelques autres symptômes qui sont relégués au second plan : les
troubles
vésicaux du tabes pren- nent quelquefois une te
'administration du tartre stibié chez les persécutés; parce que les
troubles
gastro-intestinaux qu'il déter- mine "peuvent"
incre pour se diriger un peu sûrement dans ces graves questions des
troubles
psychiques, il y a lieu de méditer ces quelques
partielle saillante, on rencontre d'autres phénomènes annonçant un
trouble
intellectuel plus général. Mais en pratique, di
r le moral devient pour lui, l'élément fondamental pathogénique des
troubles
psychiques. On entre dans la folie bien plutôt
du sentiment, de la sensibilité' morale, du sens émotif, que par un
trouble
de l'esprit. Cette manière d'interpréter les fa
orie de Ord. Elle indique en effet une subordi- nation complète des
troubles
nerveux aux lésions cuta- nées. Les troubles ne
nation complète des troubles nerveux aux lésions cuta- nées. Les
troubles
nerveux vont croissant à mesure que se développ
aliénation mentale avec délire des persécutions. Puis, on voit ces
troubles
psychiques et nerveux s'amender progressivement
des poils au début de la maladie. On a même constaté de véritables
troubles
trophiques du système pileux. Les cheveux et le
es poils perdent leur éclat, deviennent laineux, plus fragiles. Des
troubles
trophiques analogues ont même été constatés du
ment sains et les urines ne contiennent pas d'albumine. Quant aux
troubles
digestifs signalés dans plusieurs observations,
symptomatique constante : anémie profonde, lésions tégumentaires et
troubles
nerveux, on peut dire aussi que, sur ce fond mo
es formes très variées. Ceci s'ap- plique tout particulièrement aux
troubles
du système nerveux. Véritable prothée, la malad
atologie du système nerveux tout entier. Trou- bles de la motilité,
troubles
de la sensibilité générale et spéciale, symptôm
ensibilité générale et spéciale, symptômes do l'ataxie locomotrice,
troubles
psychiques depuis les plus légers jusqu'aux plu
ons ne sont pas indispensables pour expliquer la majeure partie des
troubles
nerveux et particulière- ment les troubles psyc
la majeure partie des troubles nerveux et particulière- ment les
troubles
psychiques. les immenses progrès réalisés par l
? D'autre part, doit-on, avec Ord, subordonner absolument tous les
troubles
psychiques aux lésions cutanées ? Accepté dans
L'infiltra- tion des téguments externes ou internes entraîne des
troubles
fonctionnels analogues, suivis des mêmes trou-
ions. dureté, desquamation en divers points, colo- ration spéciale,
troubles
anesthésiques, abaissement de la température, d
rver comme dans la cachexie pachydermique des hallucinations et des
troubles
psychiques allaiitjusqu'à un véritable délire s
pourrait, si cette relation était bien démontrée, rappro- cher des
troubles
vaso-moteurs, des rougeurs qui constituent quel
c'est l'épuisement général du sujet qui amène la dis- parition des
troubles
nerveux, si la fièvre suffit pour amener ce rés
nt considérable n'est pas nécessaire pour produire une sédation des
troubles
hystériques. La coïncidence de l'hystérie et du
e soir. Par l'application de l'aimant, on a obtenu le transfert des
troubles
visuels. 6. T. 40°, 1 le matin, 39°, 8 le soir.
symptômes localisés ni dans la poitrine, ni dans l'abdomen. Pas de
troubles
de la sensibilité (ventouses sèches sur le thor
ne considérer cette lésion, dans le cas actuel, que comme un simple
trouble
trophique d'origine centrale. On pourrait donc
jaloux sur la description complète des accidents con- vulsifs, des
troubles
sensitifs et moteurs, des phénomènes viscéraux,
etc. Les hystériques peuvent présenter pendant leur existence des
troubles
intellectuels ou de simples aberrations de carac-
ations sans nombre et sans nom; delà, dans le foyer domestique, des
troubles
et des discussions sans cesse alimentées par le
ses sensibilités, et cependant elles ont si peu conscience,de, ce
trouble
profond qu'elles n'en parlent jamais, qu'elles pe
ts de la névrose, tels que les cou-, tràctures, les paralysies, les
troubles
de la sensibilité, et qui pré-, sentent une pon
lsives. Il faut insister sur les dispositions du caractère, sur les
troubles
divers du système nerveux, qui permettent dès l
sure delà synostose prématurée. Celle-ci bientôt effectuée par des
troubles
collatéraux dans le feuillet du blastoderme aurai
valle ), l'hypérémie papillaire (un cas mortel), quelquefois des
troubles
de la sensibilité (tensions, élancements, démange
uccession des vésanies aux symptômes ergotiques, la disparition des
troubles
nerveux périphériques avant l'explosion des psy
s, en dehors des faits même du procès, sont les suivants : 1" les
troubles
des facultés intellectuelles et affectives, manif
rès malheureuse dans sa famille, présentant depuis quinze jours des
troubles
intellectuels, et qui avait été internée dans u
médications locales. Dès lors chaque jour trois ou quatre accès de
troubles
vaso-moteurs, selon l'expression de M. Bernhard
décèle de la dilatation des veines, de la tuméfac- tion et un état
trouble
de la rétine en bas et en dedans. Ces phé- nomè
re diminution à l'acuité visuelle centrale, coïncidant avec un état
trouble
de la rétine étendu, l'orateur rappelle que les d
groscopique s'oedématie de ce chef par imbibition ; de là l'état de
trouble
et de tuméfaction décelé par l'ophtalmoscope et l
qui, éphémère, échappe à nos in- vestigations cliniques. Quant aux
troubles
de la vue d'une durée quelconque, prononcés et
gions rétro-oculaires sur la portion orbitaire du nerf optique. Les
troubles
optiques qui suivent les blessures du crâne par
ainsi que les délires proprement dits, avec leur cortège habituel (
troubles
de perception, hallucinations). Aussi doit-il a
t toujours lorsqu'il est arrivé. Pas de phénomènes généraux, pas de
troubles
intellectuels. Cette affection se distingue de la
te affection se distingue de la cho- rée vulgaire par l'absence des
troubles
psychiques du début, de ces gesticulations non
on, mais jusqu'à une période très avancée lorsqu'il existe déjà des
troubles
trophiques du côté des articula- tions des extr
aleur relative, qu'il tire surtout de son association avec d'autres
troubles
tabétiques. M. Charcot a fait remarquer qu'il peu
forme lente ne s'accompagnent point de phénomènes généraux, ni de
troubles
de l'intelligence ou de la parole qui caractérise
es d'augmentation et de diminution, et qui ne s'accompagne point de
troubles
de la sensibilité. A quoi sont dus les accident
lescence de la paralysie diphthéritique, on observe quelquefois des
troubles
cardio-pulmonaires se traduisant par un état sy
à des douleurs abdominales et à des vomissements alimentaires. Ces
troubles
succèdent d'habitude à une paralysie du voile d
dès qu'il y a de la dyspnée la mort est inévitable. Ordi- nairement
troubles
cardiaques et troubles pulmonaires vont en- sem
pnée la mort est inévitable. Ordi- nairement troubles cardiaques et
troubles
pulmonaires vont en- semble, mais exceptionnell
nes. L'auteur pense qu'une lésion bulbaire n'explique- rait pas les
troubles
isolés ; il croit que si la théorie bulbaire étai
t nous a engagé à publier. Observation. - Iléniil)a7-aplégie avec
troubles
de la sensibilité, dans les deux membres inféri
la sensibilité, de la vaso-motricité et des diverses fonctions. Les
troubles
paralytiques se réduisent à une hémiparaplécie.
as de retard appréciable dans la transmission des sensations. A ces
troubles
sensitifs, se joignent des douleurs et sensa- t
on thoracique, de pesanteur épigastrique, de chaleur dorsale. Les
troubles
vaso-moteurs sont très marqués, et ont entraîné
e du membre. L'insensibilité ther- mique seule demeure entière. Les
troubles
génito-urinaires présentent à peu près les même
malade peut presque soulever sa jambe. Le 21 mars, les urines sont
troubles
, muco-purulentes. Le 23 zzzazs, survient une hy
sibilité aux températures est encore presque totalement abolie. Les
troubles
vaso-moteurs se sont très atténués. Le membre i
inférieur gauche est très légèrement t atrophié. Il n'existe plus m
trouble
génito-urinaire, ni trouble circulatoire ou dig
gèrement t atrophié. Il n'existe plus m trouble génito-urinaire, ni
trouble
circulatoire ou digestif. Comme on le voit, l
la moelle dorsale; notre observation prouve une fois de plus que ce
trouble
génital n'est point spécial aux lésions de la m
s de la moelle cervicale, comme l'out cru beaucoup d'auteurs. Les
troubles
de la miction n'ont présenté aucune particulari
peut seule expliquer, car cette lésion a été absolument isolée. Ces
troubles
du pouls ont duré une semaine à partir du trois
ervations de Viguès et de Joffroy et Salmon. C'est du reste le seul
trouble
tro- phique qu'il nous a été permis de constate
), par exemple, qui dans les cas d'anesthésie com- plète, offre des
troubles
caractéristiques, allant quel- quefois jusqu'à
comme les hystériques, les hémianesthésiques cérébraux qui ont des
troubles
de la sensibilité des membranes extérieures de
ensibilité des membranes extérieures de l'oeil, ont également des
troubles
visuels, soit achromatopsie, soit rétrécisse- m
d'une hémidysesthésie 2 ; mais dans ce cas encore, s'il existe des
troubles
de la sensibilité spéciale, ils sont eu tout an
iologie, 4 novembre 1881.) si Ch. Férié. Contribution à l'étude des
troubles
fonctionnels de la vision par les lésions céréb
er à la partie supérieure d'un côté de la face, et s'accompagner de
troubles
analogues des sens. Le rapport qui existe ent
7te : <e ? t, Berlin, 4881. Ch. FËRE. Contribution a l'étude des
troubles
fonctionnels de la vision par lésions cérébrales,
gulaire de la bandelette optique. (Fere. Contribution à l'étude des
troubles
fonctionnels de la vision, etc., p. 5.) AMBLYOP
mporaire, que l'ablation d'un lobe occipital peut ne produire aucun
trouble
visuel, tandis que la destruction de ces deux r
it-il pas qu'il a constaté que les mêmes lésions produisaient des
troubles
divers chez des chiens de race différente. Il n
les- quels nous trouvons des défauts visuels coïncidant avec des
troubles
imputables à une lésion unilatérale du cerveau ;
mputables à une lésion unilatérale du cerveau ; nous voyons que ces
troubles
visuels répondent à deux types bien distincts,
re, dans l'hémianesthésie des hystériques, qui semble bien due à un
trouble
unilatéral du cerveau. Ce trouble visuel est le
ériques, qui semble bien due à un trouble unilatéral du cerveau. Ce
trouble
visuel est le seul que l'on puisse ren- contrer
s lésions céré- brales ; et, sauf le fait de Petrina dans lequel le
trouble
visuel est en rapport avec une lésion corticale
égion qui avoisine l'oeil. Quand une lésion cérébrale détermine des
troubles
seusitifs des téguments de l'oeil, il faut cher
es troubles seusitifs des téguments de l'oeil, il faut chercher les
troubles
sensoriels de l'organe et on les trouve ; ces t
chercher les troubles sensoriels de l'organe et on les trouve ; ces
troubles
sensoriels manquent au contraire lorsque l'hémi
face, comme nous en avons rapporté un exemple. Cette relation des
troubles
sensoriels et des troubles sensitifs des tégument
rapporté un exemple. Cette relation des troubles sensoriels et des
troubles
sensitifs des téguments AMBLYOPIE CROISÉE ET HÉ
ont presque la même valeur que les faits suivis d'autopsie, car le
trouble
visuel ne peut guère être déterminé à distance
a face et du bras, etc., phénomènes qui peuvent être attribués à un
trouble
circulatoire de la sylvienne par irrita- tation
équentes qu'on ne le croit générale- ment. Le caractère général des
troubles
laryngés tabétiques, 3b0 REVUE DE PATHOLOGIE NE
isolés ; mais souvent même lorsqu'ils se sont asso- ciés les autres
troubles
pathognomoniques du tabes dorsal, leur intensit
pparaît d'emblée avec tous ses ca- ractères. Exceptionnellement les
troubles
oculaires s'entent sur une migraine habituelle
uquel l'auteur étudie les migraines apthalmiques frustes. Alors les
troubles
oculaires constituent seuls, pendant longtemps,
us fâcheusement le malade. Puis viennent par ordre de fréquence les
troubles
de la sensi- bilité (fourmillement, endolorisse
nécrobiose même pourraient la suivre et ainsi s'expliqueraient les
troubles
permanents. D. BERNARD. XXIII. CONTRIBUTION A l
lium pigmenté de la rétine, ainsi qu'en une décoloration et un état
trouble
de la rétine. , E. C. SOCIÉTÉS SAVANTES SOC
ier de ces prix, et ont envoyé les mémoires suivants : Azam : Des
troubles
intellectuels consécutifs aux traumatismes du c
on malade dans la catégorie des incorrects. S'il offre, dit-il, des
troubles
intellectuels, c'est dans l'ordre de la volonté
aurait pas, par hasard, une simple coïncidence entre l'otite et les
troubles
intellectuels présentés par le sujet. M. Régis
de la face interne du cerveau, dont l'altération peut produire des
troubles
de la motilité; mais aussi qu'il existe certaines
on de l'aire corticale, dont les modifications ne produisent pas de
troubles
moteurs; mais ils ont du même coup servi à cir-
oir que la région coiticale , dont les lésions ne produisent pas de
troubles
de la motilité, et que l'on peut appeler région
le dont la destruction totale ou partielle entraîne quelquefois des
troubles
moteurs. Enfin la région absolue est celle dont
nt les localisations morbides produisent toujours et fatalement ces
troubles
. A pre- mière -vue, il peut paraître singulier
mala- dies guéries qui ont laissé dans les fonctions cérébrales un
trouble
plus ou moins durable ; on les rencontre dans l
mes qui lui sont propres, (embonpoint, coloration rouge de la face,
troubles
gastriques divers, troubles visuels, attaques é
mbonpoint, coloration rouge de la face, troubles gastriques divers,
troubles
visuels, attaques épileptiformes ou apoplecti-
rs, troubles visuels, attaques épileptiformes ou apoplecti- formes,
troubles
intellectuels particuliers); 2° par des particula
ille est presque tou- jours immobile et plus ou moins déformée. Les
troubles
de la sen- sibilité sont la règle dans la pseud
E. Lecrosnier. Prix : 1 fr. Fini fih.). Contribution à l'cliulc des
troubles
fonctionnels de la vision par lésions cerébiale
appelle, un exemple d'aphasie vulgaire, c'est-à-dire dans lequel le
trouble
porte sur le langage considéré dans son accepti
ngt ans il remarque que la douleur de tète s'accompagne de certains
troubles
de la vision, il savoir obnubilation du champ v
moitié des objets et rapporte ainsi que cela a lieu en général, ce
trouble
à l'oeil droit tandis qu'en réalité il appartie
nt partiel de la vision, survient tout à coup à son grand effroi un
trouble
céphalique portant chez lui sur tous les modes de
n et d'expression du langage, langage parlé, langage écrit, etc. Ce
trouble
cé- phalique est transitoire, il dure une heure
six heures du soir. Le premier phénomène qu'il atteste alors est le
trouble
visuel. Les personnes, les choses, semblent cou
terne. C'est.a)ors-qu'apparaissent tes trou- bles du langage. Ces
troubles
chez le malade portent sur tous les éléments de l
en finir avec la description des grands accès qu'il présente. Le
trouble
aphasique dure environ une heure; alors survient
connue sous le nom de mi- 0 cri,.tliieoplitliiliiiiqije à cause des
troubles
visuels qui en sont un desprillei- MIGRAINE OPI
s nombreux, ou le scotome scintillant, existe à peu près seul, sans
troubles
gastriques, sans hémiopie bien marquée, sans cé
lée. Des cas ou la céphalée s'accompagne seulement-d'hémiopie et de
troubles
gastriques. Ce sont là des exemples de ce que l'o
i des cas d'aphasie transitoire, des convulsions él71leptoïdes, des
troubles
de la sensibilité et du mouve- ment d'un côté d
faute d'interro- ger le malade suffisamment en ce qui concerne les
troubles
visuels, ou parce que ces troubles sont peu acc
fisamment en ce qui concerne les troubles visuels, ou parce que ces
troubles
sont peu accentués. Il est possible même que ces
e que ces troubles sont peu accentués. Il est possible même que ces
troubles
fassent défaut et que le trouble aphasique existe
ués. Il est possible même que ces troubles fassent défaut et que le
trouble
aphasique existe seul. Je suis disposé a1 admet
rcher si l'aphasie est due à une migraine ophtalmique, c'est que ce
trouble
qui passe en général avec raison pour très rare
ès Ù retour d'ailleurs fréquent est. marque par l'accompagnement de
troubles
aphasiques très pro- nonces; et, pendant cette
aphasiques très pro- nonces; et, pendant cette longue période, ces
troubles
du langage ont tou- jours disparus sans laisser
e de symptômes plus ou moins inquiétants tels que aphasie, parésie,
troubles
de la sensibilité etc. L'épilepsie même, liée a
e à la suite d'un accès. Il en est de même pour ce qui concerne les
troubles
de la sensibilité et du mouvement et enfin de l
nément l'hémiopie, le scotome, les formes variées de l'aphasie, les
troubles
moteurs ou de sensibilité, les accidents épilepti
olutions frontale et pariétale ascendantes pourra rendre compte des
troubles
moteurs, sensitifs, et des accidents épilepti 1
pérémie également transitoire; on comprendra par conséquent que les
troubles
symptomatiques liés il ces désordtes de canalis
a dit avoir vu chez un maladeatleint de migraine opltllalmillue des
troubles
permanents delà vision s'établira la suite d'un
à l'heure, la raison de ces détails. Du côté de la sensibilité, les
troubles
objectifs commencent il s'atténuer. Les douleurs,
our mieux souligner, chez notre malade, l'absence de ces différents
troubles
et faire ressortir par contraste l'existence, d
limitée aux centres trophiques des deltoïdes. Enfin l'existence de
troubles
de la sensibilité : douleurs, hy- poestllésie,
et qui présentent comme particularités remarquables l'apparition de
troubles
cérébraux longtemps après le début des accident
telligence; la parole n'était pas modifiée. On ne constatait aucun
trouble
notable des divers appareils de l'organisme, sa
e irrégulière et des habitudes d'intempé- rance, qu'il présente des
troubles
gastriques, de la lenteur de la digestion, des
ime, il se pro- duisit presque subitement une aggravation telle des
troubles
moteurs que le malade ne pouvait plus se tenir
à ce point de vue. Mais ne constatant ni perte de connaissance, ni
troubles
de l'intelligence, ni modifications de la parole,
mai le diagnostic de tabes dorsalis vulgaire. Je ne constatai aucun
trouble
intellectuel notable, mais je fus cependant fra
bétiques : signes de Homberg, d'Argyll Roberston, et de West pliai,
troubles
urinaires, douleurs fulgurantes, incoordination
e porter un autre diagnostic que celui de 13bes; if n'y avait aucun
trouble
intellec- tuel. Puis quelques années après le d
jours par une des- quamation épidermique, accompagnée en général de
troubles
généraux, et évo- luant d'une façon plus ou moi
porter les bras en avant ou en arrière est extrêmement limité. Ces
troubles
paralytiques sont tellement marqués que le mala
paraison, qu'au niveau des autres points du corps. Il n'y a aucun
trouble
trophique cutané, aucun trouble vaso-moteur. L'
res points du corps. Il n'y a aucun trouble trophique cutané, aucun
trouble
vaso-moteur. L'état général est excellent ; les
voque également des douleurs. Il existe chez cette femme d'autres
troubles
de la sensibilité qui, en l'espèce, ont une imp
s modes. (V. fig. G et 7) En poussant plus loin la recherche de ces
troubles
de la sensibilité, nous avons acquis la preuve
ans jamais sentir le passage de l'urine. En somme, l'ensemble des
troubles
de la sensibilité que nous relevons chez cette
mbres inférieurs de cette femme, nous allons mettre en évidence des
troubles
très accusés de la molililé et de la troplaicit
lleurs, elles n'ont été précédées d'aucun étourdissement, d'au- cun
trouble
spécial ; et, il n'en est point résulté d'indispo
e pièce de Nouv. ICONOGR, DF LA SALPtTRI1'T<F T. VIII YL. XIV.
TROUBLES
TROPHIQUES dans un cas de lésion de la queue de
ar des branches nerveuses détermi- nées, l'atrophie musculaire, les
troubles
vésico-anaux, t'eschareunitatératc. Dans le pre
a caractéristique clinique de ces deux cas, c'est la coexistence de
troubles
unilatéraux, de troubles de la sensi- bilité et
e de ces deux cas, c'est la coexistence de troubles unilatéraux, de
troubles
de la sensi- bilité et de la trophicité, et de
les deux réunies. L'eschare au siège peut manquer, de même que les
troubles
du côté de la vessie ou du rec- tum, l'anesthés
ez des éléments suffisants de différenciation dans la recherche des
troubles
vésicaux, de l'anesthésie du périnée, de l'eschar
à )'age de 10 à 11 ans. Au mois de ,juillet 1893, il a été pris de
troubles
urinaires, dysurie et polla- kiurie. Puis, pend
de Rom- ber, une incoordination motrice peu marquée d'ailleurs, des
troubles
de la sensibilité objective qui, comme ceux d'o
ties homologues du côté opposé. Les cuisses restent épargnées ; les
troubles
vésicaux et rectaux font défaut. Dans la myél
uë, vous observez, au début, de la paraplégie en même temps que des
troubles
ano-vésicaux et mie eschare au siège. Seulement
te, n'affectant que les muscles innervés par le plexus sacré, et de
troubles
de la miction et de la défécation, en rapport, à
sie de la vessie et du rectum. Ajoutez, à ces symptômes, certains
troubles
trophiques, certains trou- bles des fonctions g
asser en revue, dans un or- dre systématique, en commençant par les
troubles
de la sensibilité. A. TROUBLES DE la sensibilit
s de muscles, aux membres inférieurs. Je trai- terai séparément des
troubles
moteurs qui ont pour siège la vessie et le rect
le secours de béquilles. Voici d'ailleurs ce que l'on peut dire des
troubles
de la démarche, dans les cas d'affections de la
de la démarche, dans les cas d'affections de la queue de cheval.
Troubles
de la démarche. Ces troubles de la démarche n'ont
d'affections de la queue de cheval. Troubles de la démarche. Ces
troubles
de la démarche n'ont rien de bien caractéristiq
l importe de savoir et de retenir, c'est que jamais on n'observe de
troubles
de la coordination chez ces malades. Tout au plus
notre malade. Cette atrophie est, le plus souvent, irréparable. ,
Troubles
des réflexes tendineux. On a noté : L'intégrité
centres trophiques de ces muscles ou des nerfs qui en émanent. 1
Troubles
des (onctions génito-urinaires et du gros intesti
1 Troubles des (onctions génito-urinaires et du gros intestin. Ces
troubles
ne manquent jamais. Voici leurs caractères :
our ce qui concerne les fonctions du gros intestin. Quelquefois les
troubles
de la défécation se réduisent à une constipatio
es malades souffrent d'un ténesme très pénible. Pour ce qui est des
troubles
des fonctions génitales, ils ne sont pas aussi
paralysés. Ce sont là des particularités intéressantes à connaître.
Troubles
trophiques. Je vous ai déjà dit qu'une atrophie p
ptomatologie vous est connue après ce que je viens de vous dire des
troubles
des fonctions génito-urinaires el du rectum dans
et la portion terminale du névraxe. Elle se réduit, en effet, à ces
troubles
, ainsi que le démontrent des observations publi
que que, du vivant du malade' les symptômes se soient réduits à des
troubles
de la miction et de la défécation : incontinence
sence d'un malade qui réalisait ce môme syndrome, c'est-à- dire des
troubles
limités exclusivement à la sphère d'innervation d
bas du dos. Puis, au bout de très peu de temps, ils présentent des
troubles
de la miction et de la défécation, en rapport ave
vous en ai dit précédemment. La parésie motrice, l'anesthésie, les
troubles
de la miction,' de la défécation et des fonctions
, siégeant aux membres inférieurs, sont ou ne sont pas associés aux
troubles
de la miction et de la déféca- tion, dont je vo
tion, il est indispensable de procéder à une analyse minutieuse des
troubles
de la sensibilité- et de la mo- tilité. a) Un
est incomplète aux membres inférieurs. Je suppose que l'analyse des
troubles
sensitifs et moteurs aboutisse aux constatations
C'est celle où les manifestations pathologiques se réduisent à des
troubles
de la miction et de la défécation, en rapport ave
ure de potassium par jour. Plus tard, il y aura à se préoccuper des
troubles
trophiques, en parti- culier de l'atrophie musc
e, à notre avis, qui est aussi celui de Fabre (1), rangée parmi les
troubles
trophiques liés à l'hystérie et rapprochée de l
e association presque constante d'une zone hystérique cutanée et de
troubles
trophiques nous servira singulièrement dans l'int
ons qui unissent les mamelles à l'appareil de la gestation, que les
troubles
de ce dernier pourront influ- encer singulièrem
tre les phénomènes de l'aura propagée : sensation de strangulation,
troubles
céphaliques, etc., elle irradie, comme l'avait
pas contradictoires pour nous qui connais- sons la filiation de ces
troubles
vaso-moteurs, qui vont de la congestion simple
la mamelle droite ». ' D'après ce flue nous savons aujourd'hui des
troubles
trophiques dans l'hystérie, ce cas est d'une in
pas la réunion par première intention, sous un seul pansement, sans
troubles
trophiques proprement dits. A la suite de not
mprimant, la résection intra-durale de sa par- Fio. z Cicatrices et
troubles
trophiques du membre avant la résection des rac
atteinte, par l'intensité beaucoup plus grande, à leur niveau, des
troubles
sensitifs (fig. 22 et 23). Au nouvel examen pra
26. Etat du membre le surlendemain de l'opération : l'oedème et les
troubles
trophiques préopératoires ont complètement dispar
t que notre malade a repris ses fonctions d'employé de bureau : les
troubles
tro- phiques cutanés ont complètement disparu.
n même temps qu'il prend une teinte violacée. Il n'y a pas trace de
trouble
oculo-pupillaire ni d'altération du fond de l'oei
ticulières de techni- que, nous craignîmes, avant d'intervenir, des
troubles
trophiques post- opératoires rapides et graves
possibles, nous supplia de passer outre. Bien lui en a pris : aucun
trouble
trophique n'est survenu et ceux mêmes qui exist
-mère, une racine, sans constater à la suite de cette sec- tion des
troubles
sensitifs. Peut-être avons-nous eu tort : il est
un premier séjour dans cet hospice. Il ne présentait alors que les
troubles
vé- sico-rectaux dont je viens de vous parler.
intégrilé de ses mem- bres inférieurs et l'étroite localisation des
troubles
morbides. J'aurai l'oc- casion de '0111'1 les r
ns que je voulais sou- ligner et que je vous prie de retenir. Les
troubles
très accusés de la sensibilité contrastent étrang
suite d'efforts infructueux de défécation. J'arrive maintenant aux
troubles
objectifs de la sensibilité et je vous demande
L 153 opiniâtre, par une incontinence d'urine incessante et par des
troubles
gé- nitaux significatifs. Ajoutez à ce complexu
e les modifications trophiques de la peau sont toujours liées à des
troubles
de la sensibilité et non du mouvement (James Rass
raliquede ce qui précède découle celle proposition générale que les
troubles
trophiques de la peau doivent être accompagnés,
iques de la peau doivent être accompagnés, au moins fréquemment, de
troubles
dans la scnsihilité, c'est pourquoi (1) Max Jos
, Bulkley et autres) indiquent cette affection comme corrélative de
troubles
primitifs dans le système nerveux. Cependant, dan
ompagnés de planches. , vin 11 LÉGENDE EXPLICATIVE DES SCHÉMAS DE
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ £ Fig. 34 Fin. 35 l"ig. ;
d'origine nerveuse. Paris, 1sus2. (2) Alexandra .lthauassio, Des
troubles
trophiques dans l'hystérie. Paris, 1890. (3) Ad
seule et unique lésion parfaitement limitée, pouvait commander aux
troubles
fonctionnels des membres droits et de l'hypogloss
mières paires crâniennes indique leur état normal. Il n'y a pas de
troubles
vaso- moteurs, ni sphinctériens. Rien a noter d
ste de la grandeur d'une, lentille, contenant un liquide légèrement
trouble
et dont la paroi est for- tement pigmentée en b
coupe, la substance corticale est assez large, relative- ment pâle,
trouble
, traversée par des nombreuses stries blanches, ja
t un déséquilibré avec des idées de persécution, idées de grandeur,
troubles
de la sensibilité générale, et dont le délire ne
lexes rotuliens avaient été constatés normaux. Il n'avait existé ni
troubles
des sphincters ni phénomènes sensitifs, objec-
us a révélé l'existence de lésions des cordons postérieurs qu'aucun
trouble
pendant la vie n'avait pu nous faire prévoir. E
tions osseuses (exemple le tabès), dans lesquelles on ob- serve des
troubles
trophiques du côté des os, mais encore parce que
r une affection du système nerveux : paralysies, douleurs diverses,
troubles
des sphincters. Les membres inférieurs étaient oe
ait admettre que les lésions médullaires seraient ,aussi dues à des
troubles
de circulation. Cependant il importe de faire r
se, sous toutes réserves, que ces altérations osseuses seraient des
troubles
tro- phiques dépendant des lésions médullaires.
ELADE POST-ÉPILEPTIQUE, par CH. FÉRÉ, Médecin dé Bicétre. Les
troubles
trophiques du système pileux à la suite des chocs
(2). A la suite des paroxysmes épileptiques, on observe encore des
troubles
trophiques des cheveux : Reinharta cité un enfant
ayant des accès fréquents et qui en général n'étaient pas suivis de
troubles
trophiques de ce genre. Un seul malade a été at
La pathologie des émotions, 1892, p. 2ai. (2) Ch. Féré, Note sur un
trouble
trophique des cheveux survenant à la suile des
tion rappellent la pelade nerveuse méritent d'être rangés parmi les
troubles
trophiques post-paroxystiques de l'épi- lepsié.
hez la femme, comme on l'observe chez l'homme, en dehors d'au- tres
troubles
du développement. Ici encore le corps conserve
epré- sente une anomalie évolutive qui peul coexister avec d'autres
troubles
du développement tels que le gigantisme ou l'ob
porelsanormaux aux affec- tions dyslrophiques qui s'accompagnent de
troubles
du développement. Elle permet de discerner, au
nt insister sur ce chapitre; j'arrive immédiatement à l'origine des
troubles
actuels. Au mois de mai 1894, le jeune Th.... c
s ce rapport, de renseignements précis. 11 est très possible que le
trouble
de la démarche relevàt d'une double cause : de
yeux. Je tiens à souligner, en passant, l'apparition simultanée des
troubles
oculaires et de la paralysie motrice, apparitio
semaines, est envoyé il la campagne. C'était au mois d'août. Là les
troubles
, au lieu de s'amender, s'accentuent. Ainsi l'en
sultation de. la Salpêtrière. Il nous a été facile de contrôler les
troubles
que je viens de' vous raconter. Du côté des yeu
une hémiplégie droite, avec participation du facial inférieur, sans
troubles
sensitifs ni vaso-moteurs, sans autres troubles t
ial inférieur, sans troubles sensitifs ni vaso-moteurs, sans autres
troubles
trophiques qu'un léger amaigrissement de la mai
tentionnel, assez faible du reste, dans la main droite. Quant aux
troubles
oculaires, ils sont aujourd'hui notablement amen-
oite avec tremblement intentionnel, par de la titubation et par des
troubles
oculaires ; d'un syndrome nerveux qui s'est dév
ires, qu'elle se produit rapidement, qu'elle ne s'accompagne pas de
troubles
électriques et qu'elle se localise très fréquem
es. Mais il a de fréquents étourdisse- 1 (1) Gilles DE la Tourette,
Troubles
trophiques cutanés d'origine hystérique; état m
e, à la face dorsale des quatre derniers orteils. Il s'agit donc de
troubles
dissociés de la sensibilité et non d'une anesthés
s dissociés de la sensibilité et non d'une anesthésie complète. Ces
troubles
sensitifs persistent jusqu'à la fin ; une dernièr
es paraissent globuleuses dans leur ensemble ; leur protoplasma est
trouble
et homogène, ou au contraire tacheté ; leur noy
différentes ? ' ? 336 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Les
troubles
trophiques et la paralysie des sphincters sont ha
ivement et persiste encore actuellement ; il n'y avait encore aucun
trouble
du côté du sphincter anal. Deux jours après l
nt libres. L'intelligence est intacte. Il n'existe aucune trace des
troubles
céphaliques antérieurs. La voix est rauque, mai
paraît fort juste. On ne saurait trop insister sur ce fait que les
troubles
circulatoires ne sont pas, dans le cas actuel,
te ? Suicide et désertion relèvent-ils dans la circonstance du même
trouble
mental ? A notre avis ces deux actes doivent êt
rtains muscles, réflexes conservés, réactions électriques normales.
Troubles
de la sensibilité nettement hystériques, in- co
qui les lui rappelle aujourd'hui. Un an se passe environ sans aucun
trouble
de la santé, puis surviennent des douleurs, ass
le avoir une allure plus ra- pide. Notre malade présente donc des
troubles
sensitifs et des atrophies musculai- res ayant
tences fonctionnelles variées. Nous nous débarrasserons d'abord des
troubles
de la sensibilité objective qui, si nous rappel
, De ce même côté gauche le malade ne distingue aucune couleur. Les
troubles
de la sensibilité subjective sont caractérisés pa
t le siège d'une anesthésie totale. , . Avant d'aborder l'étude des
troubles
du système moteur de la face et des membres dis
hez notre malade à l'affec- tion musculaire : tels sont d'abord les
troubles
de la sensibilité cutanée abolie aussi bien pou
ns thermi- ques, et dont le mode de distribution, l'association aux
troubles
des orga- nes des sens ne sauraient laisser de
on même éloignent toute idée d'une cause organique. , Restent les
troubles
vésicaux caractérisés en ce moment par l'inconti-
- tement hystériques nous permettent de rattacher il l'hystérie les
troubles
vésicaux. Quant aux douleurs accusées par le
la parole. La langue se meut continuellement d'avant en arrière.
Troubles
vaso-moteurs. La salivation est très abondante av
h), XLIX. (David Teniers), L. (Jan Steen). LI. Queue de cheval (
troubles
trophiques con- sécutifs aux lésions), XIV. S
lle, 63, 64, 65, 63. Myopathie progressive chez un hystéri-- que.
Troubles
de la sensibilité, 67, 68. Névralgie de la VIII
, 58. D. Teniers, 59 et 60. Jan Steen, 61 et 62. Queue de cheval.
Trouble
de sensibilité, 67. Disposition anatomique des
onyme latérale. Il n'avait ni paralysie, ni aphasie sensorielle, ni
troubles
de la parole, excepté un léger bégaiement. On p
blée autant qu'à son entrée à l'hospice. Le malade avait en outre des
troubles
cérébraux. L'examen du malade, pratiqué le 2 fé
centrale du champ visuel. 5) Quant à la sensibilité, on trouve les
troubles
du sens musculaire du côté droit tandis que du
e, la malade s'est accoutumée à son mal chronique. Les principaux
troubles
se trouvent sur la partie inférieure de la face ;
use du nez est normal, mais l'odorat est totalement aboli. Pas de
trouble
du côté de l'ouïe. Les réflexes rotuliens et cuta
. Les réflexes rotuliens et cutanés sont nor- maux, il n'y a pas de
trouble
de la sensibilité, ni de la motilité dans les aut
nèrent qu'une légère amélioration. En résumant et en analysant les
troubles
que nous avons décrits, nous trou- vons que la
ryngien. L'anesthésie de la gorge et du voile du palais dépend d'un
trouble
des fonc- tions du glosso-pharyngien et du nerf
l'enfance ; 3° Un état stationnaire absolu depuis douze ans ; 4°
Troubles
du sens tactile à côté des paralysies du mouvemen
nous n'hésitons pas à re- jeter l'idée d'une origine corticale des
troubles
nerveux, cette supposition serait en effet très
cas d'un enfant de 8 mois et demi dont la maladie commença par des
troubles
viscéraux et par la fièvre, le son de la voix s'a
e poliomyélite. Mais dans aucun de ces cas il n'est pas question de
trouble
de la sensibilité. Les cas qui nous semblent
xiv 2 18 KOLLARITS au début, devint normale plus tard. Outre ces
troubles
le sens tactile de la langue était un peu affai
e. Le développe- ment du bras droit fut arrêté. Il n'y avait pas de
trouble
de la sensibilité. Cet état persiste pendant 14
a rencontre souvent après l'encé- phalite des enfants. En outre les
troubles
de la sensibilité dans notre cas et dans celui
'absence de l'atrophie dégénérative et d'autre part l'existence des
troubles
sensitifs prouvent que dans ces cas il ne peut êt
au peut manifester sa souffrance, céphalée, vertiges, vomissements,
troubles
oculaires, épilepsie Bravais-Jacksonienne, para
phénomène, elle n'a ni vomissements, ni épilepsie jacksonienne, ni
trouble
de la vue. Une cure de frictions mercurielles et
crises convulsives périodiques suivies, dans les derniers temps, de
troubles
psychiques durant 3 ou 4 jours. Le 30 novembre 19
pagne de paralexie, de perte de la compréhension des mots lus et de
troubles
de l'écriture. L'excitation maniaque et les tro
ts lus et de troubles de l'écriture. L'excitation maniaque et les
troubles
hallucinatoires s'amendent assez rapidement, ma
re, de l'affaiblissement intellectuel et - depuis quelques mois des
troubles
déli- rants post-convulsifs, durant deux ou tro
verbale, ou de surdité due à l'inattention d'un sujet en proie à un
trouble
assez accen- tué des idées. Non seulement le ma
inte de l'excitation ma- niaque, mais ne permet pas de constater de
troubles
paraphasiques : « Ce sont des travaux de huit j
près correctement. Voici quelques exemples permettant de juger des
troubles
de la lecture. 42 sérieux ET MIGNOT Questions
». j L'heure est lue correctement à l'horloge. , 5° Il existe des
troubles
de l'écriture, mais le malade ne se prête pas à c
répété... il y a quelqu'un en dessous qui entend tout ». Ces divers
troubles
auditifs et paraphasiques furent constatés à main
eau des 1", 2° et 3c temporales gauches. 48 SÉRIEUX ET MIGNOT .
Troubles
de l'écriture. - Plusieurs fois nous avons essayé
ter son nom. Nous ne pouvons donc nous prononcer sur l'existence de
troubles
agraphiques ; en tout cas signalons ce fait qu'il
gnalons ce fait qu'il exis- tait un kyste dans le pied F2 gauche.
Troubles
de la vue. - Nous n'avons pu rechercher l'hémiopi
e rolandique des deux hémisphères expliquent l'épilepsie motrice.
Troubles
délirants. - Sans insister sur ces symptômes, rap
lgie, le malade déclare n'avoir jamais eu d'affection autre que les
troubles
suivants : à quatre reprises (trois fois en 1899,
u genou soit fréquemment exagérée, par suite du repos au lit et des
troubles
trophiques (ligamenteux, etc.) dont tout le mem
urviennent chez des mala- des débiles et sur des membres frappés de
troubles
trophiques. On peut comparer tous ces exemples
m, genu varum, genu recurvatum) survenues sans lésion osseuse, sans
trouble
musculaire (faiblesse, hypotonie, atrophie), et
ls montrent en effet qu'on peut observer, sans qu'il y ait tabes ou
trouble
musculaire quelconque, une mobilité articulaire b
avec elles, n'excite pas la débauche, n'abat pas la vigueur, ni ne
trouble
le sommeil. Assurément, Hermippus n'était' pas un
e ou douloureux. Les membres supérieurs et la face sont indemnes de
troubles
moteurs ou sensitifs. Pas de troubles des sen
et la face sont indemnes de troubles moteurs ou sensitifs. Pas de
troubles
des sens spéciaux. Troubles psychiques : loquacit
troubles moteurs ou sensitifs. Pas de troubles des sens spéciaux.
Troubles
psychiques : loquacité, incohé- rence dans les
, les mouvements des membres inférieurs sont plus étendus. Mais les
troubles
de la sensibilité per- sistent ainsi que l'exag
ensibilité per- sistent ainsi que l'exagération des réflexes et les
troubles
sphipctériens. Puis de nouveau l'état du malade
riens et aggravation de l'état paréto-spasmodique ; on constate des
troubles
de la sensibilité accompagnant les troubles moteu
dique ; on constate des troubles de la sensibilité accompagnant les
troubles
moteurs. A la fin de la première année améliora
nt nous consulter, et plus particulièrement ceux qui présentent les
troubles
nerveux que nous allons étudier. Il est, certes,
l'intérêt de notre sujet et toute la difficulté du traitement. Ces
troubles
nerveux sont très fréquents dans la pratique jo
nom affections nerveuses professionnelles, nous comprenons tous les
troubles
fonctionnels, nerveux ou musculaires, survenant à
e. Mais dans aucun cas, cette dernière affection ne s'accompagne de
trouble
de la sensibilité et, depuis presqu'un an que ce
la malade ressent une contraction douloureuse, mais il n'y a aucun
trouble
objectif de la sensibilité, ni de contractions
e est perma- nente. Pendant de longues années, elle a souffert de
troubles
gastriques (atonie- gastroptose), ce qui expliq
RAMPE DES ÉCRIVAINS 153 à l'hôpital depuis le mois de janvier ; les
troubles
gastriques ont été soignés le mieux possible, e
t une fausse position des muscles de l'épaule, qui est la cause des
troubles
nerveux. Devenant incapable d'assurer, dès lors
uelquefois on trouve une histoire familiale de crises nerveuses, de
troubles
mentaux, de paralysie, etc. Le nervosisme et l'
t, dans beaucoup de cas, )'inf ! uenza.Une<o.renn'6,provenantdes
troubles
digestifs, ne se rencontre qu'accidentellement co
parmi les autres théories pathogéniques (con- gestion, irritation,
troubles
circulatoires de l'encéphale, etc.). Voici tout
érébrales : d'abord cépha- lée, quelques vertiges et vomissements :
troubles
de la mémoire et torpeur psychique, amblyopie p
s localisation nette, avec sensation de serrement de tête; puis des
troubles
psychiques consistant en un affaiblissement intel
tique ne révèle, du côté des grands appareils, aucune lésion, aucun
trouble
fonctionnel. Le second temps aortique est un peu
ALE (Ernest Dupré et Albert Devait. TUMEUR CÉRÉBRALE 175 quelques
troubles
de caractère hystérique : hyperesthésie mammaire
de sa cécité et le développement de sa lé- sion cérébrale. Aucun
trouble
des sphincters. Sommeil bon et régulier. Du côté
en position externe, du globe oculaire. Du côté du langage, légers
troubles
paraphasiques intermittents, a propos desquels
de toute paralysie localisée et notamment d'aphasie. L'étude des
troubles
mentaux présente aussi, dans cette observation,
t, en effet, il semble bien résulter de la statistique comparée des
troubles
mentaux, au cours des lésions encéphaliques, qu
plus grave aux fonctions intellectuelles. ` Chez notre malade, les
troubles
intellectuels n'ont pas fait défaut. Ils ont co
nconscientes et automatiques. Ainsi, on peut résumer l'ensemble des
troubles
psychiques présentés par notre malade dans l'én
u sens de l'orien- tation et de l'activité automatique. Aucun autre
trouble
psychique : notamment ni hallucination, ni déli
était définitive. Une particularité intéressante de l'histoire des
troubles
visuels, a été l'influence, brusque et décisive
inférieure, avec un léger degré de strabisme externe, à gauche. Ces
troubles
semblent pouvoir être rapportés à l'action de v
'écorce présentait un grand intérêt -d'abord cause de la nature des
troubles
psychiques observés et ensuite à cause de la natu
troubles psychiques observés et ensuite à cause de la nature de ces
troubles
qui n'étaient pas, au moins pendant longtemps, de
lement admise. « C'est la première révélation, dit Ballet (3), d'un
trouble
de la nutrition dans les cellules, et elle cons
les considérer comme deux effets contemporains, ou à peu près, d'un
trouble
de l'équilibre physico-chimique du système cell
sence dans la constitution delà cellule. *- Il doit se produire des
troubles
dans l'équilibre osmotique de la cellule, vis-à
est la plus com- mune. Dans d'autres cas plus rares on trouvera des
troubles
cutanés plus sérieux à allure de malformation c
lanodermie relevée par Féré, par moi-même, par Crespin. Ce sont les
troubles
vaso-moteurs les plus divers qui sont en somme
s crises elle ne présente aucun phénomène anormal, ni paralysie, ni
trouble
de la parole, etc. Un examen somatique très compl
onnant 30 au dynamomètre à droite, et 35 à gauche. Elle n'a aucun
trouble
sensoriel (ouïe, vue, goût et odorat). Pas de tro
Elle n'a aucun trouble sensoriel (ouïe, vue, goût et odorat). Pas de
troubles
sensitifs, pas de zones hyperesthésiques ou hys
pharyngien peu marqué, le conjonctival et le cornéen abolis. Pas de
troubles
trophiques. Pas de troubles psychiques. L'ind
njonctival et le cornéen abolis. Pas de troubles trophiques. Pas de
troubles
psychiques. L'indice céphalique est de 84.9, br
s, peu- vent déterminer un certain nombre de phénomènes à distance,
troubles
intellectuels, pseudo-méningites, mouvements ch
un rapprochement t entre la plaque d'urticaire et la possibilité de
troubles
vaso-moteurs ana- logues se produisant brusquem
i eût aussi bien pu se produire par les divers mé- canismes connus,
troubles
généraux de la nutrition, dépuration urinaire i
'aliter pendant vingt-quatre heures. Cet homme présente en outre un
trouble
vaso-moteur que nous allons re- trouver chez le
rache jour et nuit, et se plaint de douleurs thoraciques. Anorexie.
Troubles
gastro-intestinaux. Vomissements. Les vomissement
d ; 2° l'érythromélalgie; 3° l'aedéme bleu des hystériques ; 4° les
troubles
vaso-moteurs consécutifs aux lésions trau- mati
uge. 4° De l'asthénopie accommodative. il Du dermographisme, et des
troubles
vaso-moteurs analogues survenant sous l'influen
ue, les neuro-diélectriques qui déter- minent chez notre malade les
troubles
en question se trouvent situés au- dessus du di
eux-ci et ceux-là rendraient compte à la fois de ces deux sortes de
troubles
. L'étal' de la sensibilité tactile chez notre m
en outre une légère contracture du droit interne à gauche. Ces deux
troubles
mus- culaires jouant d'ailleurs le principal rô
es caractères de l'asthénopie hysté- rique. - A quoi sont dus ces
troubles
musculaires ? Tout d'abord je ferai remar- quer
cteurs. On sait du reste qu'il existe un rapport fréquent entre les
troubles
vaso- moteurs, la lenteur du pouls et les attaq
ississement de ce tissu. Recklinghausen avait déjà remarqué que les
troubles
neuro-paraly- tiques de la peau déterminaient u
u crut-elle en avaler une que plus tard elle se figura rejeter, les
troubles
fonctionnels observés étant pu- rement dus à de
i-même. » Voici encore une autre phrase d'elle qui précise bien son
trouble
mental et sa manière intellectuelle de réagir. «
vraies au moins au début de l'affection. ' . Lorsque les premiers
troubles
psychiques apparurent L... sentait que des bras
,suffisamment au moins d'après nos connaissances. A la suite d'un
trouble
intellectuel quelconque, probablement puissant,
u- mon droit et excavations au sommet gauche. Elle souffre aussi de
troubles
diges- tifs liés à de l'insuffisance gastrique
ne révélait absolument aucune anomalie sous-jacente. De plus aucun
trouble
sensitif, aucun trouble trophique, troubles qui
aucune anomalie sous-jacente. De plus aucun trouble sensitif, aucun
trouble
trophique, troubles qui sont si fréquents dans le
s-jacente. De plus aucun trouble sensitif, aucun trouble trophique,
troubles
qui sont si fréquents dans les cas de spina bif
nte de multiples autres stigmates anatomiques de dégénérescence, de
troubles
mentaux spéciaux aux dégénérés, vient justifier c
, n" 53. , 4 Homme de 26 ans, spina bifida latent révélé par divers
troubles
nerveux et trophi- ques. Pas d'hypertrichose
ci a parlé et marché à l'âge de 16 mois, et n'a jamais présenté des
troubles
digestifs. On peut donc affirmer que l'affectio
ains en deux groupes dans le 1`° groupe, le nanisme est créé par un
trouble
local du squelette ; dans le Il, groupe par un tr
nous rattachons le myxoedème, l'hérédo-sy- philis : or ici le même
trouble
général de la nutrition crée et le nanismeet la
me est une maladie acquise, une ossification vicieuse relevant d'un
trouble
de nutrition sous l'influence d'intoxications e
re. En un mot l'achondroplasie ne se comporte pas à la manière d'un
trouble
mor- bide de la nutrition comme le rachitisme.
er avec M. P. Marie « si ce n'est pas du côté d'une affection, d'un
trouble
de la fonction ou du développement de quelque o
e. Pression sphygmomanométrique, 14. La malade n'accuse pas d'autre
trouble
. que de la dyspnée d'effort et un peu de ballon
st occupé à l'étudier. Etat actuel. - Le 12 janvier 1901 tous les
troubles
présentés par W... se réduisent à un mouvement
eure inaccoutumée. Dans ce cas le tremblement s'installe sans autre
trouble
. Rarement l'accès dé- bute par un dérobement de
ché, il a un simple sursaut, mais ce spasme insignifiant suscite un
trouble
mental très particulier. W... trouve il ce phén
pour découvrir l'idée fixe subconsciente d'où dépendaient tous ces
troubles
. Le temps ayant manqué et l'intérêt direct du m
au cours de la convalescence. Cette dissociation thérapeutique des
troubles
n'implique certainement pas une différence de n
' xiv 2.3 326 BERNARD Il est intéressant de noter à côté de ces
troubles
permanents, stigmates ou non, que les stigmates
, puisque porteur de stigmates évidents, il faut donc croire que ce
trouble
fonctionnel qu'est l'hystérie n'a pas dérangé c
ler jusqu'à la syncope (1). D'autres fois les odeurs produisent des
troubles
durables ; des pypotomies, des paralysies qui se
eraient sujets à une sorte de démence précoce (3). En dehors de ces
troubles
qui paraissent liés à une susceptibilité parti-
er d'en rapporter l'origine à la compression de l'encéphale, et aux
troubles
circulatoires intracrdniens provoqués par la tu
faire totale- ment abstraction. Il nous paraît certain que certains
troubles
visuels, les amauroses transitoires des urémiqu
un ensemble de symptômes diffus : céphalée, vertiges, vomissements,
troubles
psychiques, troubles de l'équi- libre ; et de s
mes diffus : céphalée, vertiges, vomissements, troubles psychiques,
troubles
de l'équi- libre ; et de signes de localisation
ychiques, troubles de l'équi- libre ; et de signes de localisation (
troubles
de la parole et inégalité des pupilles, la gauc
quide périencéphalo-médullaire aurait pour première conséquence des
troubles
dans les échanges osmotiques et la circulation
hanges osmotiques et la circulation capillaire de l'écorce, que ces
troubles
compromettraient la nutrition des cellules et p
ulier, c'est l'origine toxique des accidents. La nature toxique des
troubles
cérébraux de l'urémie est bien plus démontrée q
n par diffusion des toxines résorbées au niveau de la tumeur, et de
troubles
profonds de la nutrition, atteignant tous les org
s diffus présentés par le malade, P. Marie proposa de rattacher les
troubles
psychiques non pas seulement à la localisation
atisme de la région occipitale suivie de perte de connaissance, les
troubles
de la vue augmentent à un tel point qu'il ne peut
e colère, il va jusqu'à briser les meubles. En 1900 surviennent des
troubles
de la marche, des hallucinations de la vue, de
ond à peine aux questions. La parole est lente mais il n'y a pas de
trouble
du langage : pas de surdité verbale, pas de parap
de la maladie. Début en 1883, à l'âge de 33 ans, insidieusement par
troubles
de la motilité : buttait à chaque instant, se sen
amblyopie, ni diplopie, ni achromatopsie. Véritable ataxie verbale.
Troubles
trophiques des ongles des orteils; ils sont friab
e difficile- ment dans l'extension à gauche, pas à droite. Pas de
troubles
de la sensibilité. Ouïe et goût intacts. - Re
correspondait à celui de l'hérédo- ataxie cérébelleuse, excepté les
troubles
du côté de la vision qui n'existaient pas dans
e de 39 ans. La maladie actuelle a débuté à l'âge de 26 ans par des
troubles
de la marche. Actuellement sa marche est très dif
ée. Les réflexes tendineux et cuta- nés conservés, plutôt exagérés.
Troubles
de la sensibilité. Chez ce malade le diagnostic
le cervelet et ses voies. Jusqu'à un certain âge il n'existe pas de
troubles
du côté du système nerveux, du moins pas de tro
'existe pas de troubles du côté du système nerveux, du moins pas de
troubles
appréciables, caries vaisseaux, quoique débiles
llement les parties débiles commencent à réa- gir. Dès le début les
troubles
sont peu significatifs, des vertiges,étourdisse-
icatifs, des vertiges,étourdisse- ments, etc., premiers indices des
troubles
cérébelleux. Plus Lard, le système nerveux comm
pigment à leur intérieur. Néan- moins elles semblent présenter des
troubles
à des degrés divers. Chez certaines le noyau pr
sions médicales estropiées et risibles... Elle ne paraît pas avoir de
troubles
psychiques. Elle a des fringales subites et m
et également lentes et augmentées. . 3 novembre 4900.- Les mêmes
troubles
fonctionnels persistent et,en outre, les espace
oné. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 417 7 tions osseuses,ni
troubles
trophiques d'aucune espèce de la peau ou des ongl
sion. Nous n'avons malheureusement aucun renseignement au sujet des
troubles
sensitifs, tant objectifs que subjectifs, qu'a
u tibia et du péroné droit, fusion qui semble être l'aboutissant du
trouble
profond de la nutrition de ces os. Nous pouvo
ompte de l'ostéoporose sénile, de tout processus de raréfaction, un
trouble
de l'in- nervation explique peut-être mieux le
s transitoires, accompa- gnées parfois de phénomènes thermiques, de
troubles
de la sensibilité, de douleurs, de changements
rs, de changements de couleur de la peau, et souvent aussi d'autres
troubles
trophiques cutanés, éruptions, ulcéralions, etc.
'un accident dystrophique. La participation du tissu conjonctif aux
troubles
trophiques est un fait avéré. On l'observe conj
es autres les centres de ces différents systèmes, la coexistence de
troubles
trophiques osseux, musculaires et conjonctifs, à
isation. D'autre part, le fait que l'on peut observer isolément des
troubles
tro- phiques du système osseux, musculaire ou c
iformes, encore persistants (à 49 ans) et qni présente en outre des
troubles
psychiques. L'enflure a aujourd'hui tous les ca
s (sauf pour les agents thermiques). Nous avions noté également des
troubles
sensitifs des membres inférieurs chez une de nos
nt l'axe gris (1). La répartition segmentaire de l'oedème, - et des
troubles
sensitifs qui s'y superposent dans quelques cas
on héréditaire. Le Trophoedème peut se trouver associé à d'autres
troubles
trophiques, osseux, comme dans un cas de Vidal
les familles des trophoedemateux, les malformations dentaires, les
troubles
trophiques des cheveux, les naevi, les verrues, e
sé au seul membre inférieur gauche, ne s'accompagnant d'aucun autre
trouble
(1) JI. 11r.I\I'UúIlE a également signalé la po
discutés. Le fait que nous présentons ici, nous offre un exemple de
troubles
de nutrition indépendants de tout désordre mote
rès vigoureux, n'ayant jamais été atteints de convulsions ou autres
troubles
nerveux. Accouchement facile à terme. Père et m
ouloureuse du bras. En clinique, nous ne manquons pas d'exemples de
troubles
trophiques dont la première apparition n'est deve
montrer que la production de tissu cellulo-graisseux, à la suite du
trouble
apporté dans les fonctions médul- laires, n'est
ogie du système nerveux, ni dans les études sur la nutrition et les
troubles
trophiques des tissus, on ne trouve de ren- sei
s cas une liaison entre t'épaississement du tissu cellulaire et les
troubles
nerveux, une subordination du premier aux se- c
'à un très faible degré dans les muscles atrophiés. » Au nombre des
troubles
trophiques de la paralysie infantile, P. Ma- ri
e montrer sans elle, en vertu de l'indépendance dont témoignent les
troubles
tro- phiques les uns vis-à-vis des autres. Parf
entation. Dans le cas particulier, nous serions donc en présence de
troubles
trophiques consécutifs à des lésions encore mal d
vateur. L'on ne remarque pas de compensa- tions adéquates entre ces
troubles
de nutrition ; les uns ou les autres, nous le r
nctif interstitiel qui la caractérise et qui constitue chez elle le
trouble
primordial, la pseudo-hypertrophie fût moins ét
d'une façon cer- taine de la diversité et du degré d'intensité des
troubles
fonctionnels qui en ont été la suite fatale. To
1) : « La lésion spinale, qui est le point de départ nécessaire des
troubles
nutritifs à la périphérie, résulte d'une action p
ans la nutrition du tissu conjonctif, c'est-à-dire le résultat d'un
trouble
trophique : « L'on chercherait en vain cette adi-
chée ailleurs. Pourquoi cette adi- pose ne relèverait-elle pas d'un
trouble
d'innervation centrale ou périphé- rique au mêm
t selon la présence ou l'absence de l'adipose dans la diversité des
troubles
de nutrition, il est disposé à admettre que « les
leurs lé- gitimes soupçons à l'endroit de la moelle en présence de
troubles
trophi- ques de cette nature, ne pouvaient que
onde de la nutrition cutanée; l'absence encore de contracture et de
troubles
de la sensibilité. Ces divers symptômes étrange
d'autre part, l'on considère le rash comme une hyperémie liée à des
troubles
nerveux, selon l'opinion de quelques auteurs, l
ution, comme si elles apparte- naient à deux formes distinctes. Les
troubles
trophiques du bras ont débuté brusquement, avon
l'enflure du bras trouverait son explication, semble-t-il, dans un
trouble
vaso-moteur qui rapprocherait cette forme des hyp
du tissu con- jonctif. Nous aurions donc là l'exemple typique d'un
trouble
de nutrition cité paraît avoir été plus particu
ne peut guère qu'émettre des conjectures sur la pa- thogénie de ces
troubles
de nutrition ? Existe-t-il une lésion ? Siège-t-e
le du membre infé- rieur droit, M. Meige admet que le diagnostic de
troubles
trophiques consécutifs à une ancienne lésion ne
aches sanguines. Il n'y a jamais eu de phénomènes douloureux, ni de
troubles
dans la locomotion. Mme G... ne peut supporter
er en outre que chez notre malade l'affection s'accompagne d'autres
troubles
trophiques : la décoloration en zone des cheveux,
prédominent du côté droit ; la face est souvent grimaçante. Pas de
troubles
oculaires, ni de zones hystérogénes. L'état de
mouvoir elle-même dans son lit. Toutefois elle ne présente aucun
trouble
du côté de la miction ; elle est restée propre.
nflées. On ne notait cependant chez elle ni affection cardiaque, ni
troubles
rénaux. X... indique elle-même que ses jambes o
ait ses jambes plus tendues, devenir plus rouges, luisantes, et ces
troubles
l'obligeaient ai rester alitée pendant des mois
ibilité thermique subsiste dans son intégralité. Je n'ai noté aucun
trouble
de la sensibilité dans les autres parties du co
n a trait à l'accroissement in- solite du membre inférieur. , Les
troubles
de cette nature ont fait l'objet de travaux récen
ion segmentaire. Cette répartition plaide évidemment en faveur d'un
trouble
trophique analogue à celui que l'on rencontre d
embre atteint est lui-même plus haut. Dans notre observation, les
troubles
trophiques observés semblent donc sous la dépen
troubles trophiques observés semblent donc sous la dépendance d'un
trouble
« cum materia » du système cérébro- spinal, aff
'enfant ce qui se passe au début de la crise, elle dit qu'elle voit
trouble
, qu'elle voit drôle, ou bien qu'elle ne voit plus
é du médius descendrait bien au-dessous du genou. Il n'existe aucun
trouble
de la sensibilité, ni des sens spéciaux, ni des r
a longue comme conséquence éloignée, mais nullement néces-saire, d'un
trouble
fonctionnel prolongé. Plusieurs d'entre vous ont
ment un peu plus tôt ou un peu plus tard, il se produit en outre, des
troubles
divers dans la transmission des impressions sensi
oins fort analogues à ceux sur lesquels je veux appeler votre 1 Des
troubles
gastriques dans l'ataxie locomotrice. 2 Étude s
uel nous reviendrons ailleurs. Jusqu'à ce jour, Coud... n'offre aucun
trouble
de la locomotion. 3°La femme Deg..., âgée de 52
ille : 1° à l'état normal ; 2° dans l'induration grise progressive. —
Troubles
fonctionnels qui accompagnent l'induration grise
e trouvent généralement combinées, en proportions diverses", avec des
troubles
des nerfs bulbaires ou des nerfs optiques. J'ajou
-dents, — et c'est là une circonstance bien propre à faire res- Les
troubles
visuels dans l'ataxie peuvent être rangés sous de
axie peuvent être rangés sous deux principaux chefs. Ce sont : 1° des
troubles
de l'accommo-dation, la diplopie, liés à des lési
ie, liés à des lésions plus ou moins transitoires et fugaces ; 2° des
troubles
visuels dépendant d'une lésion par-ticulière du n
écifiques, d'après quelques auteurs, et tels que — en dehors même des
troubles
fonction-nels concomitants qui, eux aussi, offren
nq ans. Elle est entrée à la Salpêtrière, comme aveugle, en 1855. Les
troubles
de la vue, accompagnés de douleurs de tête, ont p
mot d'abord concernant la lésion anatomique à laquelle se rattache le
trouble
visuel qu'il s'agit d'étudier. A. l'œil nu, l'a
d'une façon décisive. Il convient néanmoins de ne point négliger les
troubles
fonctionnels qui, eux aussi, ont bien leur import
ids à l'impression ressentie par l'observateur. D'ailleurs, parmi ces
troubles
fonctionnels, il en est quelques-uns qui, même à
emier lieu la limitation concentrique et unilatérale du champ visuel,
trouble
fonctionnel qui ne se retrouve pas dans la névrit
erve dans la névrite optique. De plus, dans le tabès, l'évolution des
troubles
visuels est, dans l'immense majorité des cas, len
ut s'opère assez sou-vent d'une façon à peu près subite. Les autres
troubles
fonctionnels qu'il nous reste à signaler sont plu
r lesquels j'ai insisté aujour-d'hui. QUATRIÈME LEÇON De quelques
troubles
viscéraux dans l'ataxie locomo-trice. — Arthropat
s l'ataxie locomo-trice. — Arthropathies des ataxiques. Sommaire. —
Troubles
des organes génito-urinaires. — Envies fréquentes
de voir se mani-fester, au moment des accès de fulguration, certains
troubles
des organes génito-urinaires qui ont bien leur im
au, soit dans les parties plus profondes, telles que les muscles, des
troubles
variés de nutrition. Les os et les articulations
erpès, la peau lisse, l'atrophie muscu-laire rapide, et tant d'autres
troubles
trophiques du même genre. Les observations de pla
ques jours seulement après la lésion spinale et ac-compagnée d'autres
troubles
trophiques, tels qu'escarres, mo-difications des
phiques, tels qu'escarres, mo-difications des propriétés des muscles,
troubles
trophiques qui ont évidemment la même origine. N'
s des névralgies, est aussi à noter. Enfin se mani-feste la série des
troubles
trophiques qui n'appartiennent guère aux névralgi
De la Compression lente de la moelle épinière. — Symp-tômes. — Des
troubles
de la motilité et de la sensibilité liés à la com
Premier cas: Succession des symptômes. — Prédominance, an début, des
troubles
moteurs : parésie, paralysie avec flaccidité, rig
con-tracture permanente des membres, exaltation des actes réflexes. —
Troubles
de la mixtion ; — théorie de Budge. — Modificatio
ômes qui vont inaugurer la série des accidents nouveaux ? Sont-ce les
troubles
moteurs ou les troubles sensitifs ? Cet ordre de
la série des accidents nouveaux ? Sont-ce les troubles moteurs ou les
troubles
sensitifs ? Cet ordre de succession, Messieurs, e
luence des excitations, aucune espèce de sensations. En revanche, les
troubles
purement moteurs, la parésie ou la paralysie plus
Quoi qu'il en soit, Messieurs, la réalité paraît être que tan-tôt les
troubles
moteurs (parésie des membres inférieurs), tan-tôt
moteurs (parésie des membres inférieurs), tan-tôt, au contraire, les
troubles
sensitifs, en particulier les sen-sations rapport
riction, douleurs articulaires, etc.), ouvrent la marche. IV. Les
troubles
moteurs, en tout cas, ne tardent pas à prédo-mine
tardent pas à prédo-miner, dans les premiers temps du moins, sur les
troubles
sensitifs. A part les quelques phénomènes subject
on, Ie parties centrales de la moelle. Arrêtons-nous un instant aux
troubles
de la motilité. A. Au premier degré, il s'agit
re quand le malade urine ou va à la selle. Je n'insiste pas sur ces
troubles
de la motilité qui sont au-jourd'hui de connaissa
nctions pendant un laps de temps relativement considérable ; mais des
troubles
vésicaux plus ou moins accentués peuvent enfin su
u'il en soit, voici l'exposé de quelques particularités relatives aux
troubles
de la transmis-sion des impressions sensitives, l
ie, ce qui n'aurait pas lieu dans l'hé-miplégie spinale. De plus, les
troubles
moteurs concomitants — parésie, paralysie avec ou
oir les symptômes d'hémiplégie spinale se compliquer de divers autres
troubles
trophiques, tels que ar-thropathies, escarres fes
ptômes particuliers de la compression lente de la moelle cervicale. —
Troubles
oculo-pupillaires. — Toux et dyspnée. — Vomisse-m
omisse-ments à retour fréquent. — Gêne de la déglutition. — Hoquet. —
Troubles
fonctionnels de la vessie. — Attaques d'épilepsie
joindre une hyper-esthésie plus ou moins prononcée des téguments, des
troubles
vaso-moteurs variés, diverses éruptions cutanées
tion clinique de l'affection spinale. a) Vous n'ignorez pas que des
troubles
oculo-pupillaires plus ou moins accusés se produi
Leudet. — Mém. de la Société de Biologie, 1863, p. 105. — Rendu. -Des
troubles
fonctionnels du grand sympathique observés dans l
it en une induration qui occupait le renflement cer-vical 2. c) Des
troubles
gastriques variés et, en particulier, des vo-miss
développé dans la même région de la moelle. Il convient de mettre ces
troubles
digestifs en parallèle avec les crises gastriques
et plus ou moins persistante, le hoquet, peuvent être rapprochés des
troubles
gastriques dont il vient d'être question. Us surv
'apparition de la paralysie des membres 2. On peut en dire autant des
troubles
fonctionnels de la vessie et du rec-tum 3 et ce d
ui a lieu dans la myé-lite ordinaire de voir des escarres ou d'autres
troubles
de nu-trition de la peau se produire dans les myo
, au contraire, les muscles affectés sont, dès l'origine, le siège de
troubles
trophiques très accentués et l'impuissance motric
chir. Transactions, t. LI, 1868. sibilité, de nécrose dermique, ni
troubles
fonctionnels soit du rectum soit de la vessie l.
ns un certain nombre de muscles frappés de paralysie. 3° Absence de
troubles
marqués de la sensibilité, — de pa-ralysie du rec
a-ralysie du rectum ou de la vessie, — absence d'escarres ou d'autres
troubles
trophiques cutanés. Deuxième période. Messieurs
ême dans la paralysie infantile très limi-tée et très incomplète, les
troubles
trophiques dont il s'agit peuvent affecter le mem
la peau n'était nullement affectée. Jamais non plus on n'ob-serva de
troubles
durables de la mixtion ; jamais enfin il n'y eut
ambe gauche : à part quelques fourmillements, il n'a jamais existé de
troubles
de la sensibilité ; la vessie et le rectum ont to
res paralysés, phénomènes contrastant avec l'absence d'anesthésie, de
troubles
durables de la vessie ou du rectum, d'escarres sa
it pour manger, soit pour tenir un livre. Ja-mais il n'a existé aucun
trouble
dans l'exercice des fonctions de la vessie ou du
logie, 1872). Le corps, volumineux et comme renflé, est en même temps
trouble
et. opalescent. Les prolongements sont plus épais
à l'absence, constamment relevée dans les observa-tions cliniques, de
troubles
durables de la sensibilité cutanée, de paralysie
de la sensibilité cutanée, de paralysie du rectum ou de la vessie, de
troubles
trophiques cutanés ou viscéraux, elle tient, vous
(Type Duchenne-Aran). — Symptômes: atrophie individuelle des muscles,
troubles
fonctionnels, persistance prolongée de la contrac
ve pas au même degré dans les amyotrophies deutéropathiques. b) Les
troubles
fonctionnels que présentent les muscles en voie d
impossible que depuis cinq ou six ans. — Pas de contractures, pas de
troubles
de la sensibilité : contrac-tions librillaires tr
paralysie motrice. — Contracture permanente spasmodique. — Absence de
troubles
de la sensibilité. — Déformations paralytiques; a
— Para-lysie du voile du palais, de l'orbiculaire des lèvres, etc. —
Troubles
graves de la respiration. Résumé des symptômes.
trophie primitive. Enfin, dans cette dernière maladie, l'absence de
troubles
quelconques de la sensibilité est la règle, tandi
on de l'envahissement des noyaux d'ori-gine des pneumogastriques, des
troubles
graves de la respira- Lion et delà circulation
moelle épinière que les muscles demeurent, dans la règle, indemnes de
troubles
nutritifs, ou tout au moins ne s'amai-grissent qu
ymptômes de la sclé-rose postérieure tels que : douleurs fulgurantes,
troubles
ocu-laires, incoordination motrice, etc., seraien
xcepte quelques fourmillements passagers elle ne se complique d'aucun
trouble
de la sensibilité. Les fonc-tions de la vessie et
il n'est pas rare d'observer, dans la paralysie générale spinale, des
troubles
gasiriques, survenant par crises, analogues à ceu
e et de la trépidation dans le tabès dorsal spasmodique. — Absence de
troubles
de la sensibilité. — Début. — Évolution. — Mode d
tôt ou tard l'impuissance des membres, sans s'accom-pagner jamais de
troubles
notables de la sensibilité. 1 Tabès dorsalis (S
paraisse l'incoordina-tion motrice d'où l'affection tire son nom, des
troubles
divers delà sensibilité : douleurs fulgurantes et
s sur certains points ; aneslhésies et hyperesthésies partielles. Les
troubles
dits cephaliques tels que l'amblyopie ou l'amauro
ibilité reste intacte : pas d'aneslhésie, pas d'hyperesthésie ; aucun
trouble
de la sensibilité cutanée considérée dans ses div
nt, eux aussi, complètement défaut ; il en est à peu près de même des
troubles
quelque peu accentués de la vessie et du 1 Quan
où les phénomènes d'incoordination motrice viennent se surajouter aux
troubles
de la sensibilité et aux autres symptômes dont no
ture, en redressant les phalanges des doigts de la main. (J.-M. C.)
troubles
de la sensibilité, déjà si accentués lors des pre
ou s'aggravent. On peut en dire autant des symptômes céphaliques, des
troubles
fonctionnels du rectum et de la vessie. Très comm
emne chez eux jusqu'au dernier terme ; il ne se manifeste chez eux ni
troubles
de la vision, ni strabisme, ni, en un mot, aucun
bisme, ni, en un mot, aucun des symptômes dits céphaliques. Les seuls
troubles
dans l'émission des urines qui se produisent, s'o
de complication for-tuite, toute affection spinale dans laquelle des
troubles
de la sensibilité ou de l'intelligence, des désor
as cessé d'exister depuis. Quelques jours après l'apparition de ces
troubles
de la sen-sibilité est survenue la parésie, à laq
emploi du cathéter ; qu'enfin les urines sont habituellement fétides,
troubles
, et laissent constamment déposer un sédiment muco
atéraux. Il me paraît inutile d'insister pour faire ressortir que les
troubles
sensiiifs variés, énumérés plus haut, que la paré
spasmodique, la parésie suivie de rigidité des membres, l'absence de
troubles
de la sensibilité, de désordres de la vessie et d
iculier de la parole, les verliges, les attaques apoplectiformes, les
troubles
spéciaux de l'intelligence, cette coexistence, di
le centre spinal, et y déterminer soit une lésion organique, soit un
trouble
superficiel, se tra-duisant d'ailleurs, dans les
voie des nerfs, sur diverses parties du corps, pour y déterminer des
troubles
trophiques. Le phénomène inverse s'observe égalem
l. 111 bis, p. S04.) 2 11 est l'ait allusion ici aux Leçons sur les
troubles
trophiques consécutifs aux lésions du système ner
p sûr, dans ce membre, une trépidation très accentuée. laire et les
troubles
variés de la sensibilité paraissent être des phén
mme l'anesthésie, font toujours défaut; il se produit ni escarres, ni
troubles
trophiques d'aucun genre ; on note expressément l
aits cliniques. — Trou-bles de la sensibilité générale et spéciale. —
Troubles
moteurs : leur ressemblance avec les mouvements c
es membres affectés d'hémichorée post-hémiplé-gique. — Caractères des
troubles
musculaires au repos et dans les mouve-ments. L
ques. b) J'aborde maintenant le second point à savoir : l'étude des
troubles
moteurs que présente cette femme. Ces troubles so
à savoir : l'étude des troubles moteurs que présente cette femme. Ces
troubles
sont très particuliers. S'ils manquent à la face,
en définitive, cet état en ce qui concerne du moins le caractère des
troubles
moteurs ne s'éloigne par aucun trait essentiel de
prostration des forces, de l'inaptitude au travail intellectuel, des
troubles
dyspeptiques très accentués, très tenaces et qui
sence chez lui de paralysie motrice, — et à part la céphalalgie, — de
troubles
quelconques de la sensibilité, soit à la face, so
e cou-rant de l'année. En outre de la douleur de tête, il y avait des
troubles
dys-peptiques très accentués, souvent des vomisse
différences souvent si prononcées dans l'ex- tait d'ailleurs aucun
trouble
delà sensibilité dans la partie paralysée : ni an
nt je vais faire connaître les détails offre un nouvel exemple de ces
troubles
trophiques des parties pé-riphériques, produits e
malade n'y avait res-senti aucune douleur. Vers la même époque, des
troubles
de la vision sont remarqués pour la première fois
compléterai cet exposé par quelques détails relatifs surtout à divers
troubles
de la sensibilité et du mouvement et à l'état gé-
nte, du côté droit. L'appétit est bon ; la déglutition facile. Au-cun
trouble
de la défécation. La malade a éprouvé, à plusieur
n mettre en relief, on ne saurait invoquer non plus l'exis-tence d'un
trouble
de nutrition du tissu osseux résultant d'une inac
plusieurs fois tombé dans la rue. Il se relève presque aussitôt, sans
trouble
marqué dans ses idées, mais ne conservant aucun s
s inférieurs ; formation d'une escarre sur la fesse gauche. —8e jour,
troubles
de la respiration ; urines fétides. La contractil
e. Un certain affaiblissement progressif ne s'accompagnant d'au-cun
trouble
de la sensibilité marqua pour les membres supérie
conservé son volume normal et la liberté de tous ses mouvements. Les
troubles
du côté de la parole doivent donc être attribués
ès limités, ne s'accompagnent pas de trémulation. Il n'existe aucun
trouble
de la sensibilité aux membres infé- rieurs, où
bio-glosso-pharyngée s'étaient aggravés sans qu'il s'y fut adjoint de
troubles
notables des fonctions respiratoires. Au tronc,
7 oct. P. 120. 10 oct. P. 130. Extrémités froides. Les urines sont
troubles
, ne contiennent ni sucre ni albumine. — Rétention
n an déjà, elle s'exprimait de temps en temps très difficilement. Les
troubles
de la déglutition se seraient manifestés vers le
de de celle-ci est tout à fait normale. Il ne paraît pas exister de
troubles
de la vision; les orifices pu-pillaires sont des
des deux côtés de même diamètre. Nulle part il n'existe chez B... de
troubles
de la sensibilité. — Le pouls est fai-ble, mais n
rmette de constater. En terminant, j'appellerai l'attention sur les
troubles
circu-latoires très remarquables qui, chez notre
e a fait reconnaître dans notre cas, nous paraît rendre compte de ces
troubles
cardiaques qui n'ont pas peu contribué sans doute
es muscles des commissures qui paraissent surtout agir. — Au cou, les
troubles
moteurs semblent siéger dans les muscles peaucier
ations qui précèdent, il ressort que ces trois malades présentent des
troubles
moteurs anormaux semblables ou ne différant qu'en
épilepsie partielle. Ainsi, nous avons une analogie dans la forme des
troubles
moteurs, une analogie dans les conditions de déve
ille : 1° à l'état normal; 2° dans l'induration grise progres-sive. —
Troubles
fonctionnels qui accompagnent l'induration grise
htalmoscopi....................... 42 QUATRIÈME LEÇON de quelques
troubles
viscéraux dans l'ataxie locomotrice. — arthro-pat
s l'ataxie locomotrice. — arthro-pathies des ataxiques. Sommaire. —
Troubles
des organes génito-urinaires. — Envies fréquentes
de la compression lente de la moelle épinière. ?— symptomes. — des
troubles
de la mot1l1té et de la sensibilité liés a la com
Premier cas : Succession des symptômes. — Prédominance, au début, des
troubles
moteurs: parésie, paralysie avec flaccidité, rigi
con-tracture permanente des membres, exaltation des actes réflexes. —
Troubles
de la miction; — théorie de Budge. — Modification
ptômes particuliers de la compression lente de la moelle cervicale. —
Troubles
oculo-pupillaires. —Toux et dyspnée. —Vomisse-men
omisse-ments à retour fréquent. — Gêne de la déglutition. — Hoquet. —
Troubles
fonctionnels de la vessie. —Attaques d'épilepsie.
Type Duchenne-Aran). — Symptômes : atrophie individuelle des muscles,
troubles
fonctionnels, persistance prolongée de la contrac
paralysie motrice. — Contracture permanente spasmodique. — Absence de
troubles
de la sensibilité. — Déformations paralytiques; a
— Para-lysie du voile du palais, de l'orbiculaire des lèvres, etc. —
Troubles
graves de la respiration. Résumé des symptômes.
e et de la trépidation dans le tabes dorsal spasmodique. — Absence de
troubles
de la sensibilité. — Début. — Évolution. — Mode d
aits cliniques. — Trou-bles de la sensibilité générale et spéciale. —
Troubles
moteurs : leur res-semblance avec les mouvements
es membres affectés d'hémichorée post-hémi-plégique. — Caractères des
troubles
musculaires au repos et dans les mouvements. Lé
ro-topathique, 9, 74, 217, 218. — A. individuelle des muscles, 219. —
Troubles
fonctionnels, ¿20. — Mo-des d'invasion, 220. — Ma
ptômes de la compres- sion de la —, 105. — Pseudo-né-vralgie, 109.—
Troubles
de la mo-tililé, 125. — De la sensibilité, 129.
225, 415, 430, 437, 458, 460. névro-rétinite, 52, 53. Nutrition (
Troubles
de la) dans les paraplégies par compression, 131.
Postérieures 5, 117, 107. Ramollissement du cerveau, 237. Rectum (
Troubles
du) dans la com-pression de la moelle, loi. (V. D
lite trans-verse, '17. — Des hémiplégiques, 362. (V. Tabès dorsal.)
Troubles
des organes génito-urinaires dans l'ataxie, t 0.
tive à l'action du sys-tème nerveux sur les fonctions de la —, 127. —
Troubles
de la — dans la compression de la moelle, 127. —
ond une symptomatologie particulière qui révèle, en quelque sorte, le
trouble
de fonctions spéciales à chacune des régions affe
uvements respiratoires ; profondes et rapides dépressions, indices du
trouble
de la respiration qui accompagne le phénomène de
ts autre chose à signaler que l'existence, chez un oncle maternel, de
troubles
mentaux pour lesquels il avait dû être placé dans
ement. L'affection dont il est atteint consiste exclusivement dans un
trouble
de la marche, et c'est, comme vous allez le voir,
un peu de refroidissement relatif de la cuisse et du genou, mais sans
trouble
accentué de la sensibilité cutanée. Ajoutons, p
t fait une amélioration. Notons en passant qu'il n'a jamais existé de
troubles
, ni de la miction, ni de la défécation. Il s'ag
n qualitatives, de la contractilité électrique. La localisation des
troubles
suffit déjà pour guider le diagnostic. On sait au
et il ne sera pas nécessaire d'aller chercher plus loin la raison des
troubles
observés; à l'origine de tous les accidents, il y
omme dans notre cas, une arthrite légère peuvent déterminer les mêmes
troubles
. Un y a aucune relation nécessaire entre l'intens
s oublier non plus que la parésie et l'atrophie ne sont pas les seuls
troubles
deutéropalhiques qui puissent résulter d'une lési
nomène qui puisse être rapporté à une affection spinale. Aussi, aucun
trouble
de la sensibilité cutanée, pas de douleurs en cei
trouble de la sensibilité cutanée, pas de douleurs en ceinture, aucun
trouble
dans l'émission des urines, etc. Ainsi, vous le
e croise facilement la gauche sur la droite. Les commémoratifs et les
troubles
fonctionnels encore existants metteut hors de dou
n différente de celle des monomanes ambitieux, qui sont logiques. Ces
troubles
psychiques s'accompagnent d'une certaine difficul
uvent ni avaler, ni uriner, que leurs conduits sont bouchés, etc. Ces
troubles
peuvent marquer le début, mais il y a bientôt de
iblissement de la mémoire. Il y a, dans cette forme, prédominance des
troubles
moteurs, embarras de la parole, tremblement des m
'autres cas de migraine, dite accompagnée, on voit s'ajouter d'autres
troubles
variés, sur lesquels Piorry a, le premier, appelé
cas demi-graine ophthalmique. (Empruntée à la thèse de M. Féré : Des
troubles
fonctionnels de la vision par lésions cérébrales,
c succès un examen de droit, devant la Faculté de Paris. Les premiers
troubles
qui ont surtout frappé l'attention remontent au m
moins à un certain degré. Permettez que j'insiste un instant sur ce
trouble
de la sensibilité. Voici la jeune Bl..., qui pr
de l'odorat. Mais je réclamerai spécialement votre attention sur les
troubles
visuels, si intéressants au point de vue du diagn
é du corps et de la face, il se manifeste dans l'œil correspondant un
trouble
de la vue, plus ou moins marqué, une sorte d'ambl
champ visuel des deux côtés, mais beaucoup plus marqué du côté où les
troubles
de la sensibilité générale sont plus accentués. C
gérer, et il n'est pas rare qu'il soit très accentué, alors que les
troubles
de la sensibilité générale sont peu accusés. — 2°
iminution de l'acuité de la vision ; il existe, en outre, souvent des
troubles
dans la perception des formes ; on relève encore
z notre jeune garçon hystérique. Je ne discuterai pas la nature des
troubles
visuel de l'hystérie ; je vous rappellerai seulem
l'œil ; il n'y a même pas de modifications vasculaires, il s'agit de
troubles
exclusivement dynamiques, comme l'on dit. Je dois
sans qu'il s'y ajoutât de l'épilepsie, et sans qu'il persistât aucun
trouble
intellectuel, malgré la répétition fréquente des
l'autre, et elle offre une teinte bleuâtre assez marquée, dénotant un
trouble
manifeste des vaso-moteurs. Il existe une atrophi
ques font défaut chez notre malade, elle présente cependant nombre de
troubles
nerveux qui constituent autant de stigmates carac
e tous les caractères de l'hémianesthésie hystérique avec ovarie. Ces
troubles
sen-sitifs ne pourraient être déterminés que par
fin ; il n'y a rien, par conséquent, absolument rien qui rappelle le
trouble
respiratoire, qui caractérise le le phénomène de
lement dans la partie contracturée un sentiment de crampe pénible qui
trouble
quelquefois son sommeil. Il s'agit donc maintenan
ntermittentes. — Impuissance motrice précoce. — Atrophie musculaire.—
Troubles
de la miction, de la défécation, des fonctions gé
essier est inexcitable faradiquement ; ce qui revient à dire que le
trouble
fonctionnel de ce muscle est lié à une lésion org
ergiques, il n'y a pas d'exagération des réflexes ; il n'existe aucun
trouble
fonctionnel ni de la vessie, ni du rectum. c) E
e double; a) Dans le diabète, il n'est pas très rare d'observer des
troubles
nerveux très divers1, parmi lesquels il convient
s une paralysie ou uneparésie des membres 1. Bernard et Féré. — Des
troubles
nerveux observés chez les diabétiques* In Arch. d
un peu au-dessus du sourcil ; b) elle ne paraît pas s'accompagner de
troubles
de la vision; il ne connaît ni l'hémia-nopsie pas
savoir si la bouche et la langue ont été déviées, ni s'il y a eu des
troubles
de la sensibilité. Au bout de quatre jours (14
-être, bien qu'il ne rentre pas d'une façon absolue dans le cadre des
troubles
du langage. Vers le 9 novembre, c'est-à-dire un m
...... 7'i — — main gauche................ — On ne constate aucun
trouble
de la sensibilité tactile, pas d'analgésie, pas d
de la lecture. Je dirai d'abord que notre malade ne présente aucun
trouble
dans les mouvements de la langue et des lèvres, d
n des mots; aucune altération notable dans l'intelligence ; les seuls
troubles
appartiennent à la catégorie des signes (Facilita
pas oublié l'exposé que je vous ai fait, dans la dernière leçon, d'un
trouble
partiel de la faculté d'expression par le langage
ique, pour ainsi dire, à l'état d'isolement, et qu'elle représente le
trouble
pathologique d'une faculté spéciale qu'on pourrai
eau de Mussy)1 sans complication d'hémiplégie* ...^1»'»«*^^ 2° Etes
troubles
visuels sont vaguement signalés, dans un certain
inet ophthalmologique de la clinique : Pas de lésions oculaires ni de
troubles
fonctionnels objectivement observables, si ce n'e
56 ans, qui, il y a quelques mois, sans accompagnement d'aucun autre
trouble
morbide, remarqua, à son grand chagrin, qu'il ava
pas, flotte comme un voile inerte. Elle présente également un certain
trouble
de la parole, quelques lettres sont particulièrem
uvres complètes, t. iii, Système nerveux. li Irophie, il existe des
troubles
des mouvements des muscles de la face; mais dans
s des mouvements des muscles de la face; mais dans les cas légers ces
troubles
ne sautent Fig. 34. — Elle montre l'occlusion i
ans, à la suite de sa dernière couche, elle a commencé à éprouver les
troubles
suivants : Souvent, après le dîner, elle ressenta
rd'hui passée à gauche, sans modifications du champ visuel, ni autres
troubles
sensoriels. Elle n'a jamais eu d'ovarie. Ce sont
e près ou de loin au retour des accidents actuels. Il n'existe pas de
troubles
sensoriels, pas de modifications de la sensibilit
la provoquer de celte façon. La peau, à ce niveau, ne présente aucun
trouble
de la sensibilité. Jacques, âgé de douze ans, p
stématiquement toute nourriture, bien qu'il n'existât chez elle aucun
trouble
de déglutition, aucun désordre gastrique. C'était
suis pas très sûr d'elle et je crains que la vue de l'assemblée ne la
trouble
au point de provoquer quelques accidents. Donc, s
Reynolds, de passage à Paris, me proposant de lui faire constater ces
troubles
de la gustation. Je vous avoue que je fus très ag
La vision, vous le savez, présentait également chez cet enfant des
troubles
tout à fait spéciaux qui, s'il est vrai qu'ils n'
atiqué, il y a dix jours, par M. Parinaud, nous a montré que tous ces
troubles
s'étaient évanouis, et que la vision était redeve
s modificateurs thérapeutiques, croiront, je suppose, s'il existe des
troubles
sensoriels avec crises nerveuses simulant plus ou
que l'état psychique des malades n'est pas celui des hystériques. Les
troubles
de cet ordre, chez ces malades, n'ont pas les all
de MM. Oppenheim et Thomsen, et j'espère vous démontrer : 1° Que les
troubles
sensoriels hystériques peuvent, chez la femme ell
est complète, absolue, en ce qui concerne la sensibilité commune. Les
troubles
sensoriels de ce même côté gauche sont aussi très
mais il ne présente pas au reste, à part cette débilité psychique, de
troubles
mentaux bien caractéristiques. Il avoue avoir bu
que l'absence d'amyolrophie, à elle seule, ainsi que l'intensité des
troubles
de la sensibilité, permettaient de rejeter l'idée
endineux ; elle ne se fût pas accompagnée enfin très certainement, de
troubles
de la sensibilité cutanée et pro- 1. Brain. avr
nificatifs du sujet, sur son état psychique et sur ses mœurs, sur les
troubles
de la sensibilité répandus bien qu'inégalement su
n degré de parésie, mais elle s'était complètement amendée. Seuls les
troubles
de la sensibilité persistaient au même degré que
elle persiste encore cependant à un assez haut degré. D'ailleurs, les
troubles
de la sensibilité sont ce qu'ils étaient, non seu
modes de sensibilité, suivant une délimitation particulière ; pas de
troubles
trophiques, pas de modifications dans les réactio
: zone d'anesthésie correspondant au territoire des nerfs atteints ;
troubles
trophiques, modification des réactions électrique
t de la chute, soit après, aucune trace de perte de conscience, aucun
trouble
intellectuel d'une nature quelconque, aucune dévi
xiste aussi sur ce membre, en outre de la paralysie du mouvement, des
troubles
profonds de la sensibilité. La sensibilité au con
, que les muscles pas plus que la peau ne présentent aucune marque de
troubles
trophi-ques, bien que, je le répète, la monoplégi
... mouvements d'élévation de l'épaule étaient conservés. Quant aux
troubles
de la sensibilité, ils paraissent avoir été, dès
petit nombre de séances. J'appellerai donc votre attention sur les
troubles
de la sensibilité. Celle-ci est éteinte absolumen
pp. 70 et s.) miné, en ce qui concerne la paralysie motrice et les
troubles
trophiques, tant musculaires que cutanés, les sym
ez ce dernier, il y a lieu d'admettre également, en tenant compte des
troubles
moteurs et des troubles trophiques qui seront tou
eu d'admettre également, en tenant compte des troubles moteurs et des
troubles
trophiques qui seront tout à l'heure indiqués, un
ille circonstance, contrairement à ce qui se voit dans notre cas, les
troubles
de la sensibilité sont peu marqués, éminemment tr
ienne et irréparable du plexus brachial, nous relevons d'ailleurs des
troubles
trophiques, musculaires et cutanés et quelques au
cutanés et quelques autres phénomènes encore qui, tout autant que les
troubles
de la sensibilité contrastent singulièrement avec
ition de l'anesthésie cutanée et profonde, ainsi que sur l'absence de
troubles
trophiques et de la réaction de dégénération dans
la moelle, pourrait sans doute déterminer dans le membre paralysé des
troubles
plus ou moins graves de la sensibilité. Mais une
ment dans les parties antérieures de la capsule et par conséquent les
troubles
de la sensibilité y feraient défaut. C'est donc
e, quatre mois après le début de l'affection. Enfin, Messieurs, les
troubles
de la sensibilité, si fortement accusés chez Por.
ont rassemblé un certain 1. G. Ballet, Le faisceau sensitif et les
troubles
de la sensibilité dans les cas de lésions cérébrc
ans empiéter sur les régions limitrophes du lobe pariétal, ces divers
troubles
de la sensibilité se sont montrés très peu accent
lacer. De plus, pour rendre compte de l'étendue et de l'intensité des
troubles
delà sensibilité, on doit supposer, en s'appuyant
erveux. 21 Je relèverai tout d'abord ce fait que, chez Porcz...,les
troubles
de la sensibilité cutanée ne sont pas exactement
normal. Telle est la polyopie monoculaire spéciale qui, associée aux
troubles
sensoriels et sensitifs que nous venons de rappel
ée au plus haut point dans toutes les parties insensibles. Ces divers
troubles
de la sensibilité d'ailleurs ne sont pas encore m
utrefois, elle persiste encore à un assez haut degré. D'ailleurs, les
troubles
de la sensibilité sont restés, je le répèle, ce q
car, en somme, ces impuissances motrices développées par le fait d'un
trouble
psychique sont, objectivement, tout aussi réelles
plète, très régulière ; au contraire, il n'existe du côté droit aucun
trouble
appréciable de la sensibilité. Nous pourrons donc
ar la sensibilité, dans ses différents modes, pendant l'évolution des
troubles
de la motilité que nous allons provoquer. Je vous
que les doigts qui ont conservé leurs mouvements ne présentent aucun
trouble
de la sensibilité. Oui, l'imitation que nous avon
oduite est redevenue sur tous les points, tant en ce qui concerne les
troubles
de la sensibilité qu'en ce qui concerne les tro
i concerne les troubles de la sensibilité qu'en ce qui concerne les
troubles
du mouvement, ce qu'elle était dans notre premièr
hé-siques, obtenir la paralysie motrice, sans accompagnement aucun de
troubles
de la sensibilité ; il suffit pour cela, ainsi qu
. Ce dernier agent est destiné surtout, vous le savez, à modifier les
troubles
de la sensibilité. L'expérience nous a appris dep
chez lui, dans les mouvements du membre supérieur gauche, les divers
troubles
de la sensibilité et 1. Voir plus haut la note
ché, Messieurs, de relever, puisque l'occasion s'en présente, que ces
troubles
sensitifs et moteurs sur lesquels j'appelle ici v
trouvent le plus souvent associés, en proportions diverses, d'autres
troubles
du langage intérieur, tels que cécité et surdité
ire, d'une façon générale et dans des proportions variables, d'autres
troubles
du langage intérieur. L'aphasique ne sait plus li
nt: rétrécissement du champ visuel, hémianes-thesie simple ou double,
troubles
sensoriels divers, anesthésie pharyngée, voilà le
iens, pas de trépidation par redressement de la pointe du pied. Les
troubles
de la sensibdité observés aux membres inférieurs
et de leur extension sur toute la surface des membres inférieurs, les
troubles
de la sensibilité offrent donc un contraste profo
troubles de la sensibilité offrent donc un contraste profond avec des
troubles
moteurs. D'ailleurs, pas d'atrophie des muscles d
du membre où le coup a porté, soit sur le membre tout entier, divers
troubles
transitoires de la sensibilité et du mouvement, t
chez une femme hystérique, l'engourdissement serait remplacé par des
troubles
beaucoup plus accentués, beaucoup plus étendus et
On remarquera que ces divers phénomènes rappellent de tous points les
troubles
psychiques qui, avec ou sans l'accompagnement de
tendineux ne sont pas exaltés; ils seraient plutôt un peu diminués.
Troubles
de la sensibilité remarquables. 1° La sensibilité
bre, il ignore si l'on meut tel ou tel doigt individuellement, etc.
Troubles
trophiques. On a déjà parlé de l'amaigrissement d
n'a jamais eu rien qui ressemble à des attaques hystériques, mais les
troubles
sensitifs et sensoriels, permanents (stigmates hy
artout ailleurs le malade ne sent pas le froid (fig. 88 et 89). Les
troubles
sensoriels sont très remarquables : 1° Rétrécisse
elques sujets une paralysie motrice complète sans accompagnement d'un
trouble
quelconque de la sensibilité cutanée ou profonde,
é considéré jusqu'à présent comme absolu. Il consiste en l'absence de
troubles
trophiques. Ce caractère négatif a été élevé à la
jeter du cadre de l'hystérie tout syndrome auquel se rattache quelque
trouble
trophique. Des faits récemment observés dans le
fondamentale. Mais il faut aussi bien remarquer que l'expression de «
trouble
trophique » n'implique pas fatalement l'idée d'un
s malades que j'ai pu suivre permet de reconnaître dans ce mutisme un
trouble
psychique central, analogue à celui qui amène la
n. Les mouvements de la langue sont très libres ; il n'existe aucun
trouble
de la déglutition et le malade est très affirmati
lui pose par écrit, ou en parlant très haut. Pas de paralysie, pas de
troubles
de la sensibilité. Les mouvements de la langue et
-Dieu. Elle n'a pas de boule hystérique, pas d'hémianesthésie, pas de
troubles
des organes des sens. Les ovaires et particulière
ovaire gauche sont douloureux à la pression. En un mot, en dehors des
troubles
laryngiens et de la douleur ovarienne, la malade
0 et 1874 deux attaques subites de perle de connaissance, en 1877 des
troubles
passagers de la vision, des amau-roses fugitives
ne aphonie hystérique. L'intérêt du fait réside dans la continuité du
trouble
fonctionnel qui a résisté à tout traitement jusqu
é à expliquer par une simple paralysie d'un des muscles du larynx les
troubles
observés chez le malade qui fait le sujet de la p
egré d'aneslhésie de l'isthme du gosier et du vestibule de la glotte,
troubles
dépendants d'une paralysie du larynx supérieur. L
e dans cette dernière observation, on peut voir des variétés dans les
troubles
laryngés survenant dans le cours de la maladie, s
utisme. On l'observe fréquemment chez les hystériques qui n'ont aucun
trouble
de la phonation ou de la parole. Ainsi donc, da
nce, et quand ils le sont dans une mesure plus ou moins prononcée, le
trouble
fonctionnel qui résulte de cette parésie ou paral
s voyez bien que je ne peux pas. » C'est la représentation exacte des
troubles
observés chez nos malades, mais je ne fais que si
attaque suivie d'un simple embarras de la parole, caractérisé par des
troubles
transitoires de l'articulation. Enfin, dans le co
s, la notion de Yarnne'sie doit être la clef de toute la question des
troubles
du langage que nous étudtanjjcw. Cette notion
termittentes. — Impuissance motrice précoce. — Atrophie musculaire. —
Troubles
de la miction, de la défécation, des fonctions gé
s modes de sensibilité suivant une délimitation particulière ; pas de
troubles
trophiques, pas de modifications dans les réactio
ci: zone danesthésie correspondant au territoire des nerfs atteints :
troubles
trophiques, modification des réactions électrique
419. Méthode nosologique, 10 ; — ana-tomo-clinique, 11. Miction (
Troubles
de la) à la suite d'une contusion du sciatique, 1
s lésions vertébrales, 143. Scotome scintillant, 75. Sensibilité (
Troubles
de la) chez les hystériques, 253, 255; — dans les
tions dia-thésiques,37, 97 ; — leur influence sur le développement de
troubles
nerveux en dehors de l'hystérie, 399; — et hystér
voir débuté plus tardivement. Depuis 4 ans elles ont occasionné des
troubles
dans le fonctionnement des organes y contenus,
siège d'un oedème rouge (éry- sipèle ou périostite). Bientôt les
troubles
cardio-pulmonaires reviennent à nouveau et il ent
esque généralisé; sur- tout énorme aux membres inférieurs. Pas de
troubles
apparents du système nerveux ; point de fréquente
s dans les mem- bres inférieurs. Réflexes rotuliens normaux. Pas de
troubles
de sensibilité appréciables tout au moins, car
e l'exploration exacte des diverses sen- sibilités cutanées. Pas de
troubles
sensoriels. La vue a baissé depuis quel- ques a
nnées, mais l'acuité visuelle est encore relativement bonne. Pas de
trouble
de l'intelligence. Le malade meurt emporté par
les depuis 5 ans. A 60 ans, atta- que d'asystolie consécutive à des
troubles
respiratoires et circulatoires : il est traité
jà les déformations thoraciques étaient' accentuées, ont apparu des
troubles
pulmonaires. Emphysème ; bronchites répétées. L
'60. L'examen des organes thoraciques révèle l'ensemble complet des
troubles
Cal'C110-1)I11111011a11'eS. Du côté des poumons
ade. Cependant l'état général est relativement satisfaisant; pas de
troubles
digestifs. Pas de troubles du système nerveux
est relativement satisfaisant; pas de troubles digestifs. Pas de
troubles
du système nerveux; ni paralysies, ni douleurs il
elle-ci dé- pend de la projection fonctionnelle. C'est pourquoi les
troubles
visuels, adjoints aux hémianesthésies hystériqu
e. On désignait sous le nom de coryúantis- me ou coryúantiasme, les
troubles
hallucinatoires dans lesquels certains démoniaq
eurs farandoles échevelées. C'est lui qui répand l'enthousiasme, ce
trouble
mental qui surprenait si fort les anciens, et d
i Platon avait constaté que les prétendus prophètes éprouvaient des
troubles
mentaux particuliers, et il n'hésitait pas à les
thènes, au retour du printemps, étaient l'origine des plus violents
troubles
nerveux. Elles remontaient à une antiquité très
marche a toujours été possible, et le malade n'a jamais éprouvé de
troubles
vésicaux. Pendant que l'amaigrissement des musc
distribution de l'atrophie. Réflexes tendineux du coude normaux.
Troubles
trophiques très prononcés du côté de la peau des
est sujet à une constipation habituelle, mais il ne présente aucun
trouble
vésical. État du malade au 20 SEPTEMBRE 1892. I
acilement par l'existence d'altérations névritiques anciennes et de
troubles
profonds dans la nutrition des muscles, dénotés p
était abolie là comme ailleurs, d'une manière absolue. Outre ces
troubles
objectifs, la malade accuse des troubles subjecti
manière absolue. Outre ces troubles objectifs, la malade accuse des
troubles
subjectifs de la sensibilité : au niveau de l'h
n'y a donc pas d'atrophie muscu- laire du membre paralysé. Pas de
troubles
trophiques. Les fonctions vésicales sont peu to
- leptoïde. Le réflexe plantaire est aboli des deux côtés. Pas de
troubles
oculaires ; jamais de diplopie; les pupilles so
gauche, ajoute-t-elle, a toujours été plus faible que la droite. Ce
trouble
de la motilité du côté des membres inférieurs é
Désormais elle ne put courir. Jusqu'ici il n'a été question que de
troubles
de la station et de la marche. A 18 ans les mem
r moment d'apparition. Quand la cépha- lée est très forte sa vue se
trouble
quelquefois. La sensibilité au tact, à la doule
pérature est bien conservée. Le sens musculaire est intact aussi.
Troubles
trop/tiques. Les membres sont froids au toucher s
'elles jouent dans le mécanisme de la station, non plus que sur les
troubles
de la mar- che, étudiés par M. P. Richer (2). C
nesques, sont des faits qu'il est bon de noter et de rapprocher des
troubles
de la vision des couleurs que nous avons signal
isme, pas de maladies vénériennes. Etat actuel (avril 1894). Pas de
troubles
de la sensibilité objective ou subjective ; pas
Pas de troubles de la sensibilité objective ou subjective ; pas de
troubles
vésico-rectaux ou génitaux. Absence de troubles
subjective ; pas de troubles vésico-rectaux ou génitaux. Absence de
troubles
intellectuels. Les divers viscères : coeur, pou
IMITIVE. ACCOMPAGNÉE DE RÉACTIONS ÉLECTRIQUES ANORMALES ET DE , .
TROUBLES
DE LA SENSIBILITÉ. (I). ' a , ' " I Nos conna
des difformités. Pas d'attaques, pas de paralysies tardives, pas de
troubles
mentaux. Elle a eu 8 grossesses : 1° Une fill
eux n'étaient pas sensibles au moment de l'entrée de la malade. Les
troubles
électriques existaient certainement à celle époqu
t une des premières places. Il est peu de maladies qui apportent un
trouble
plus profond dans la mor- phologie du corps et
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Nous n'insistons pas sur les
troubles
de la mimique bien décrits égale-~ ment : le ri
. Parmi eux, Albrecht Durer a rendu avec une vérité saisissante les
troubles
atrophiques de la maladie. Sur une eau forte ti
ence immédiate des altérations do la sensibilité en général sur les
troubles
de la nutrition des tissus. Je vais faire passe
tait en effet la révélation inattendue de tout un nouveau groupe de
troubles
nutritifs jusqu'alors incon- nus en neuropallio
ue jour, nous voyons rattacher à une lésion des centres nerveux des
troubles
multiples qui semblent n'avoir avec celle-ci au
es maladies-là, elles aussi, sont de celles qui donnent lieu il des
troubles
trophiques parmi lesquels les arthro- pathies f
rticulaires sont presque toujours, sinon toujours, consécutives à des
troubles
dont le siège primordial est le périoste ou la
e qui rappelle assez bien le pied cassé delà chi- noise. Ainsi, les
troubles
tro[Oiclucs osseux c'est là que j'en veux venir
ous n'ignorez pas que si les symptômes du labes consis- tent en des
troubles
de la sensibilité et de la motilité, la proportio
constante et invariablement égale. 11 est des cas dans lesquels les
troubles
moteurs font presque totalement défaut; il en est
nomènes Ilue j'éuumèrc, quel- ques-uns doivent être rapportés à des
troubles
de la sensibilité musculaire, aucune autre form
ordons postérieurs. Or ceci nous conduit à l'étude pathogénique des
troubles
du tabès, et je vais, Mes- sieurs, vous montrer
des parois vasculaires est peut-être une dystrophie tabétique ? Un
trouble
vaso- moteur d'origine spinale ajoute peut-être
s étroite et je suis tout disposé il les rapporter au même ordre de
troubles
vaso-moteurs. L'occasion est propice pour soute
s prouver par des faits purement cliniques les rela- tions de leurs
troubles
trophiques avec leurs douleurs fulgurantes. Cela,
des conducteurs sensitifs. Ceci revient il dire qu'il n'y a pas de
troubles
Irophiqucs primitifs : les (roubles trophiques
primitifs : les (roubles trophiques sont toujours secondaires ; les
troubles
de la sensibilité sont tou- jours les premiers
début du tabès actuel semble remonter à 1862 et s'être fait par des
troubles
rectaux : constipation opiniâtre, alternant ave
ue beaucoup plus lard. Vers la même époque, se fait l'apparition de
troubles
vésicaux sons forme de mictions impérieuses et
sition est tout à fait abolie dans lés membres inférieurs. : Pas de
troubles
vaso-moteurs ni Lroplliques, cutanés ou vasculair
o ne peut pourtant pas élever ses bras jusqu'à l'horizontale. Les
troubles
de la sensibilité cutanée objective ne sont pas p
ises dou- loureuses. A aucune époque, elle n'a eu de diplopie ni de
troubles
oculaires. Ja- mais de troubles vésicaux... Pas
oque, elle n'a eu de diplopie ni de troubles oculaires. Ja- mais de
troubles
vésicaux... Pas d'incoordination motrice. Début
rice. Début des arthropathies. La malade n'avait jamais remarqué de
trouble
moteur du côté des membres inférieurs : ni paré
de ces mêmes déformations, il est difficile de rapporter les légers
troubles
de la démarche il l'incoordination motrice. L
épanchement absent. Dans les membres inférieurs, on ne constate ni
troubles
Irophiqucs ou vaso- moteurs, ni amyotrophie not
génitale absolue. C'est vers cette même époque qu'apparaissent des
troubles
dans la marche, la sensation d'épais tapis sous
tés par M. Charcot). Le signe d'Aryll-Robertson est très net. Aucun
trouble
de la mobilité dans les membres supérieurs : da
es dans ce type morbide. Ces arthrites sans doute rentrent dans les
troubles
trophiques mais elles sont souvent secondaires
ans les troubles trophiques mais elles sont souvent secondaires aux
troubles
trophiques cutanés. D'où la difficulté de leur cl
re. Malgré cette divergence d'opinions, la scoliose rentre dans les
troubles
trophiques et les signes polio-myéliques médian
2° parce que par sa fréquence (50 z0 ]31,iilil) elle cons- titue un
trouble
trophique spécial qui mérite d'être étudié à part
re et également localisés, nous trouvons signalés mais rarement des
troubles
trophiques cutanés dans la région même de l'art
tanée, ni douleur a la palpation de l'articulation, en un mot aucun
trouble
subjectif de la sensibilité. Nous verrons que p
Nous verrons que par contre il existe souvent dès celte période des
troubles
objectifs de la sensibilité. Le gonflement gardai
uide que l'on retire de ces hydarthroses est tantôt limpide, tantôt
trouble
, quel- quefois sanguinolent. Au bout d'un cer
ptomatique : atropine musculaire, dissociation de la sensibilité et
troubles
trophiques, est nécessaire pour établir le diagno
nale par sa localisation monoplégi- que et par la prépondérance des
troubles
trophiques des appareils articu- laires ; les a
oliose. - Déformations cicatricielles des doigts. Dermogra- phisme.
Troubles
de la sécrétion sudorale. Observation. P.....
l'analgésie avec conser- vation relative du tact, la sciolose, les
troubles
trophiques diverses et les arthropathies, appar
évidente, plusieurs signes vien- nent témoigner de l'existence des
troubles
amyolrophiques, tels : la contrac- tion lente,
bilité dans l'hystérie; mais dans le cas actuel, il y a absence des
troubles
sensoriels, une disposition spéciale de J'anest
S DE SYRINGOMYÉLIE ATYPIQUE 271 Mentionnons la lèpre nerveuse ; les
troubles
de la sensibilité, les lésions trophiques, des
sthésie au ni- veau des taches lépreuses, localisation spéciale des
troubles
moteurs etc., l'ont défaut dans notre cas. Es
ladies médullaires suivantes ? L'absence d'amyotrophie visible, les
troubles
trophiques, la cypho-scio- lose, la marche lent
e ataxique et de douleurs ful- gurenles, des crises viscérales, des
troubles
visuels font également écarter l'ataxie. Nous n
panaris, l'unilatéralité de la lésion. D'autre part, nous avons les
troubles
trophiques considérables, la sciolose, les arthro
ensuite les panaris mul- tiples suivis de grosses déformations; les
troubles
sensitifs ont dû être tardifs, étant donné que
ffection a débuté à droite, côté où sont actuellement localisés les
troubles
trophiques et sensitifs. On sait que la cause d
(Suite et fin). Les arthropathies ne sont pas, Messieurs, les seuls
troubles
trophiques qu'on observe dans le tabès. Je vous
st la suivante : Existe-t-il un rapport constant entre le siège des
troubles
de la sensibilité en général et celui des altér
faire une petite incursion dans le domaine des psychoses. Certains
troubles
dynamiques, d'ordre purement viscéral, se manifes
e n'est pas une affection des nerfs périphériques, mais purement un
trouble
cérébral. Je ne le nie pas a priori mais rien n
ve. En tous cas, hypothèse pour hypothèse, j'incline à croire qu'un
trouble
cérébral où les sensations viscérales dominent, n
s viscérales démon- trant que l'ataxie n'entraîne pas seulement des
troubles
scnsitivo-sensoriels. J'en pourrais dire autant
onc la direction dans la- quelle il faut chercher l'explication des
troubles
trophiques, c'est-à-dire nutri- tifs en général
fort ori- ginale à l'influence de la sensibilité organique sur les
troubles
trophiques d'o- rigine nerveuse (2). Je vous y
; et Sur un cas de lésion traumatique du trijumau et du facial avec
troubles
(rophiques consécutifs, in Arch. clelasiol., ju
nsisté sur- ces formes rares de labes sensitif, dans lesquelles les
troubles
trophiques et spécia- lement les arthropathies
Chez cette femme, nous avons également assisté plusieurs fois à des
troubles
vaso-moteurs caractérisés par des oedèmes transit
t aux rapports réciproques des altérations de la sensibilité et des
troubles
trophiques, inc semble plus facile à résoudre.
sculaire proprement dite. Un malade atteint de tabes sensitif a des
troubles
trophiques articulaires et surtout osseux, parc
n'exerce aucune inlluence sur ces tissus ; aussi, chez l'adulte, les
troubles
trophiques d'origine corticale ne sont-ils jama
qui fait le fond du tabès. Je voudrais vous avoir démontré que le
trouble
trophique, envisagé a son point de vue le plus
ion fonc- tionnelle. S'il est des états morbides dans lesquels le
trouble
de la fonction dépend du trouble de la nutritio
es états morbides dans lesquels le trouble de la fonction dépend du
trouble
de la nutrition, il peut exister aussi tels états
uble de la nutrition, il peut exister aussi tels états morbides où le
trouble
de la nutrition dépend du trouble delà fonction
r aussi tels états morbides où le trouble de la nutrition dépend du
trouble
delà fonction. Dans ce tout petit coin du vaste
agrégé. DES ARTHROPATHIES SYRINGOMYÉLIQUES [Suite et fin) (1).
Troubles
objectifs de la sensibilité. Dissociation localis
de la localisation de l'arthropathie et de la loca- lisation de ce
trouble
objectif de la sensibilité. Dans l'observation si
diagnostic et comment ils éclairent la pathogénie de l'affection.
Troubles
subjectifs de la sensibilité. - 'Troubles vaso-mo
rrélation comme entre i'arthropathie d'une part, l'analgésie et les
troubles
de la sensibilité thermique d'autre part. Che
une infection dont l'origine serait dans le cas de Karg la pustule (
trouble
trophique cutané), qui a précédé t'arthropathie,
her le rapport qu'il y a entre la lésion médullaire inconnue et les
troubles
trophiques articu- laires. Ces derniers se prod
conditions analo- gues à celles qui accompagnent la production des
troubles
trophiques cutanés : ces conditions sont l'anal
ie cutanée n'existait certai - ne ment pas il y avait cependant des
troubles
subjectifs de la sensibibilité à la température
ns de chaleur). M. Marinesco établit une étroite relation entre les
troubles
trophiques d'une part (1), les troubles de la s
étroite relation entre les troubles trophiques d'une part (1), les
troubles
de la sensibilité la la douleur etn la températ
syringomyélie sont d'après Mareslang (-I) : « la disso- ciation des
troubles
sensitifs, dite syringomyélique; l'intégrité des
lique est plus exposée à la suppuration, probablement en raison des
troubles
trophiques cutanés, ce n'est qu'une nuance. '
on des troubles trophiques cutanés, ce n'est qu'une nuance. ' Les
troubles
trophiques cutanés localisés au niveau de l'arthr
tendue des destruc- lions osseuses, l'indolence, la concomitance de
troubles
centraux divers, sollicitent dès l'abord son at
nent de l'empalement irrégulier des tissus péri-articulaires et des
troubles
trophiques; imitant, surtout au genou etau coude,
atisme à son début ou pendant son évolution; infection surajoutée :
troubles
trophiques graves ; nature chirurgicale de l'affe
ire des déviations des orteils, toujours ou même ordinairement, des
troubles
trophiques. Bien souvent, au contraire, il s'ag
ns effets de l'intervention est la disparition ou la diminution des
troubles
trophiques : les troubles tro- phiques articula
n est la disparition ou la diminution des troubles trophiques : les
troubles
tro- phiques articulaires lorsqu'ils existent p
ment légitime, quelle que soit l'intensité et la mul- tiplicité des
troubles
trophiques articulaires. Mais les arthropathies d
ant un ou deux mois, d'une manière d'ailleurs très irrégulière. Ces
troubles
n'avaient ni altéré sa santé ni sensiblement dimi
iquement et psychiquement notre malade ne présente aucune espèce de
trouble
. On peut la considérer comme guérie de tous ses
cience, devient très vive et, par association d'idées, entraine des
troubles
divers : ballonnement du ventre et vomissements o
tiqué la laparotomie. L'apparition et l'enchaînement de tous ces
troubles
, consécutivement à l'hyperesthésie de la hanche
stes incohérents trahissent l'incoordi- nation motrice due non à un
trouble
de motricité, mais à des erreurs d'ap- propriat
andent des mouvements compensateurs des globes oculaires; comme les
troubles
labyrinthiques provoquent desréactionsoculomotr
droit = 20 cent. 1/2 Avant bras droit t = 18 Il n'y a pas d'autres
troubles
trophiques ni vaso-moteurs appréciables. 2° Du
qu'à droite. L'acuité visuelle est simplement diminuée. 3° Comme
troubles
accessoires, il faut signaler une certaine torpeu
nucoïdes de la voix de tête, comme si le larynx était paralysé. Ces
troubles
durent quelques jours et disparaissent. 21' fév
rs complet; eh dehors des vestiges de sa paralysie du voile, de ses
troubles
de la voix'et de la vision, là malade ne' prése
résentait à son entrée le syndrome de Weber typi- que, compliqué de
troubles
de la vision par névrile optique. Depuis son entr
n'y avait pas de trépidation épileptoïdc. Il n'y a pas non plus de
troubles
de la sensibilité du côté paralysé. Le contact y
le légèrement diminuée il la main droite. Il n'existe pas non plus de
troubles
subjectifs de la sensibilité, engourdissement o
tout d'abord on serait tenté d'en con- clure à tort qu'il en a les
troubles
intellectuels. En effet il parle lentement, bre
lade perd facile- ment l'équilibre. Actuellement il n'existe pas de
troubles
vasomoteurs. On a vu qu'il y en aurait eu, au d
e tous les auteurs ne sont pas d'accord sur l'interprétation de ces
troubles
de la parole. La plupart ne voient pas là une a
ints. Le membre inférieur droit présentait sa motilité normale. Les
troubles
de la sensibilité, caractérisés par de l'anes-
érale de la vertèbre et la partie Fig. 94 et 93. - Distribution des
troubles
sensitifs chez le malade de l'obs. I. - Les lig
tion du quadriceps, insuffisante pour soulever le talon du lit. Les
troubles
sensitifs du membre inférieur gauche ont dispar
siège d'une légère hyperesthésie cutanée; il n'y avait pas d'autres
troubles
de la sensibi- ité (Fig. 97 et 98). Les réflexe
des membres inférieurs ou des organes vésico-rectaux, le siège des
troubles
sen- sitifs du même côté du corps que les troub
ux, le siège des troubles sen- sitifs du même côté du corps que les
troubles
moteurs, l'exagération des uns et des autres pa
t dans la déglutition', qui, à une période avancée, se complique de
troubles
de la respiration, .dans la- quelle eiirin-les
triques anormales, par T. Savill, 184. Arthropathies nerveuses et
troubles
de la sensibilité, par E. BI11SSAUD, 209, 273.
au dit : Bandelette sous- optique, 99. Arthropathies nerveuses et
troubles
de la sensibilité, 209, 273. BRISSAUD et A. S
Trépans perforatifs, et exfoliatifs, d'Am- broise Paré, 38, 39.
Troubles
de la sensibilité après traumatisme rachidien,
générée ». « Elle doit encore, ajoute- [-il, se manifester comme un
trouble
de développement, c'est-à-dire être indépendant
onvales- cence n'a été, immédiatement tout au moins, suivie d'aucun
trouble
de la marche pouvant faire soupçonner une myéli
sa fièvre typhoïde, sans fièvre nouvelle, sans douleur aucune, sans
troubles
cérébraux ou sphinctériens, la démarche devint, p
la tête appa- rurent peu après ; beaucoup plus tard seulement, les
troubles
de la pa- role. Sans l'adjonction d'aucun aut
Elle n'éprouve ni céphalées, ni vertiges, ni vomissements, ni aucun
trouble
des organes de l'ouïe, de l'odorat ou du goût.
laire et du sens stéréognostique sont absolu- ment normales. Pas de
troubles
trophiques; rien à noter au sujet des troncs ne
. Il n'y a aucun tremblement de la langue, ni des lèvres, et pas de
troubles
de la déglutition* 10 RAYMOND Dans les regard
s personnels, l'absence de période préataxique, la non-existence de
troubles
de la sensibilité objective ou subjective, de c
e Friedreich, rares d'ailleurs, que les douleurs fulgurantes et les
troubles
de la sensibilité peuvent rapprocher de la névr
gie ataxique que nous avons observée chez Louise V..., reflétant le
trouble
de la coordination qui est la manifestation pré
qui se traduisent surtout par des céphalées, des vomissements, des
troubles
de la vue, des vertiges. Il est bien une affect
as de lésions trophiques. Sphincters intacts. Rachis normal. Pas de
troubles
d'inner- vation des membres supérieurs, du bulb
eau saine. SCLÉROSE MÉDULLAIRE 19 Traduisant anatomiquement ces
troubles
sensitivo-moteurs, nous devons admettre une lés
ntacte aussi est la région cervico-dorsale qui n'a donné lieu à aucun
trouble
fonctionnel. Les examens maintes fois renouve
n trouble fonctionnel. Les examens maintes fois renouvelés de ces
troubles
sensitivo-moteurs donnent à peu près les mêmes
ce postérieure. En somme la systématisation hémilatérale droite des
troubles
des sensations générale et spéciales se désysté
légies réflexes, etc. Ce n'est pas un tabes, malgré l'ataxie et les
troubles
sensoriels, du fait de la monoplégie, de l'abse
mal de la partie inférieure de la moelle, de même que l'absence des
troubles
fonctionnels des membres supérieurs, de la resp
e hémorragie cérébrale, inondation ventri- culaire. Il y a quelques
troubles
nerveux chez les collatéraux. Douée elle-même d
ation des fragments fut parfaite. Nous avons dit que les débuts des
troubles
de la locomotion dataient de mars 1902, soit 14
), paralysie motrice à gauche. La seconde par une diminution de ces
troubles
sensoriels à droite qui se ma- nifestent à gauc
e, celle qui, avant cet inci- dent, l'avait toujours conservée. Les
troubles
dysesthésiques se dissipent aussi peu à peu et
if de la motilité du côté gauche qui participe alors à son tour aux
troubles
sensoriels du côté droit ; 4° Retour progressif
ont pu vivre longtemps avec leur 'jambe de bois sans se douter des
troubles
périphériques que leur moelle aurait pu leur fair
ubis à plu- sieurs reprises à propos de son obésité. Aussitôt les
troubles
fonctionnels des membres inférieurs constatés, on
Ragatz. Notons en outre des piqûres d'ovariue Maragliano contre les
troubles
de la ménopause. Enfin, encouragée par la lec
olument « la dys- phasie » de la sclérose en plaques. Il n'a pas de
troubles
intellectuels, pas de vertiges, pas de mouvemen
s de mouvements incoercibles, pas de tremblement céphalique, pas de
trouble
de la vue, pas de troubles pupillaires, une ébauc
es, pas de tremblement céphalique, pas de trouble de la vue, pas de
troubles
pupillaires, une ébauche de nystagmus, aucun dé
équilibre ». Il y a ébauche aussi de la démarche spasmodique. Aucun
trouble
sphinctérien. Diminution de la force musculaire
ans ses grandes lignes, dans ses si- gnes capitaux, parole scandée,
troubles
de l'équilibre dans la marche, mouvements en dé
e tous les membres, avec délire. Quand la pneumonie fut guérie, les
troubles
moteurs persistèrent, caractérisés par ce fait
Etat actuel : Etat général parfait, aucun stigmate hystérique, aucun
trouble
sphinctérien, ni trophique, ni sensilif, aucun
rique, aucun trouble sphinctérien, ni trophique, ni sensilif, aucun
trouble
pupillaire mais des per- turbations profondes d
'il marche avec ses bras. L'occlusion des yeux n'aug- mente pas ses
troubles
. Il n'a jamais eu de sensation vertigineuse (PI.
e tomber. Il ne sait pas corriger immédiatement par son cerveau, le
trouble
apporté ainsi à son équi- libre, et il tombe.
ski, sous le nom de diadococynésie a décrit chez les cérébelleux un
trouble
particulier du mouvement, qui consiste dans l'imp
ibilité de faire successivement le même mouvement avec rapidité. Ce
trouble
est, par com- paraison avec le côté sain, plus
e chez les animaux privés de cervelet. Enfin, en regard de tous ces
troubles
qui trahissent un déficit considérable dans les
ons différentes, et que les lésions du ver- mis seul entraînent des
troubles
de l'équilibre ». Duret, d'après les nom- breus
e opinion. L'opisthotonos (parésie des fléchisseurs spinaux) et des
troubles
de l'équi- libre des deux côtés du corps, parfo
des troubles de l'équi- libre des deux côtés du corps, parfois des
troubles
respiratoires (Jackson et Russel, Arch. Neurolo
e de plus positif dans les lésions destructives du vermis, c'est un
trouble
profond de l'équilibre cyiiétiqite {station debou
parle ; ni agraphie puisqu'il écrit. Il est cependant atteint d'un
trouble
du langage, il présente une variété d'aphasie pui
x pas dire ; je serais heureuse de pouvoir parler ce qu'on dit. »
Troubles
DE la parole. - Ainsi, spontanément, la malade au
crit Bom. 3 fois de suite à distance. Interrogatoire du 15 avril.
TROUBLES
DE LA PAROLE. Votre nom de jeune fille ? Cerna
t jusqu'au jour où la malade quitte le service. " A ce moment les
troubles
de la parole ont à peu près disparu. Elle désigne
être est-ce à cette lésion sous- corticale qu'il faut rattacher les
troubles
du langage. Quoi qu'il en soit, il est un point
la di- minution progressive et la disposition presque complète des
troubles
du langage. C'est là un point sur lequel Pitres
ds ataxiques, l'incoordination de ces muscles joue un rôle dans les
troubles
de la marche. Je n'ai point encore à cet égar
rissement de ces vieillards. Ils ne présentent d'ailleurs que des
troubles
d'ordre très banal, imputables à leur âge avanc
iger complètement, et s'accompagnant d'autres déformations liées au
trouble
général du système osseux. Ce sont là les vraies
rogue n'était pas seulement inutile, elle donnait lieu à de sérieux
troubles
digestifs. C'est, également pour satisfaire la
anifestation nerveuse, et chez qui on ne pouvait soupçonner quelque
trouble
de la démarche ou de l'équilibre en raison même
t une minute envi- ron. Plus tard, apparaissent progressivement des
troubles
de la marche, puis du langage ; le malade prévo
l va être at- teint. Les progrès de la maladie vont lentement, sans
troubles
cérébraux d'aucune nature, sans phénomènes ocul
de l'oeil sont intacts. Dans le domaine des nerfs bulbaires, aucun
trouble
n'est à signaler; la déglutition, le pouls sont
; le réflexe cutané plantaire est en flexion. Il ne présente aucun
trouble
de la sensibilité,ni des organes des sens, ni pie
liminer, sans plus de contrôle, un grand nombre d'affections où les
troubles
de l'équilibration surviennent à titre primordial
t-il vous rappeler, Mes- sieurs, qu'il ne présente ni nystagmus, ni
troubles
oculaires quelconques, qu'il est indemme de tou
réflexes sont t diminués ? De la maladie de Friedreich, il a les
troubles
de la parole, l'ataxie statique, la démarche, l
muscles de la face et de la langue. Il n'est toujours survenu aucun
trouble
ni dans la vision, ni dans la musculature de zi
t à fait exceptionnel). A peu près à la même époque surviennent des
troubles
de la parole et de la vision. Un autre phénomèn
ues. Par- fois, on note une certaine faiblesse mentale. - Quant aux
troubles
de la déglutition, des sphincters génito-urinai
erposable au cas qui nous occupe. Henri R... n'a présenté aucun des
troubles
oculaires presque constamment observés dans l'hér
ère leçon, a reçu une vérification anatomique complète (1). Sur les
troubles
trophiques : d'une part, ils peuvent manquer dans
viennent l'ataxie statique de la tête et du tronc, la scoliose, les
troubles
de la parole.. Lorsqu'elle entra dans cet hôp
ransversal, mais l'acuité était normale et jamais on ne constata de
troubles
pupillaires; le signe d'Argyll fit toujours déf
ype cérébelleux où l'atrophie des nerfs optiques, les vertiges, les
troubles
intellectuels, joints encore au syndrome commun c
diaque : Un type bulbo-prolubèrantiel peut-être caractérisé par des
troubles
auditifs ; Un type généralisé, comme dans le
rande extension de la tumeur. Compression n'ayant pas occasionné de
troubles
graves de la circulation du sang, mais bien de
ves de la circulation du sang, mais bien de celle de la lymphe. Ces
troubles
sont accentués surtout dans les parties pro- fo
es de l'écorce au reste du cerveau est bien faite pour produire des
troubles
intellectuels graves. La figure 2 illustre ce q
avait mise dans une autre position : c'était peut-être une suite de
troubles
dans les relations entre cerveau et cervelet. '
éveloppé normalement jusqu'à l'âge de 14 ans ; il présenta alors de
troubles
de la marche qui nécessitèrent son entrée à la cl
spastique parétique ; légère ataxie ; réflexes rotuliens exagérés ;
troubles
des fonctions de la vessie. Ces symptômes firent
esque inintelligible en février 1899. En avril apparurent aussi des
troubles
de la déglutition. Sauf une certaine hyperesthé
ie passagère du facial droit et de la moitié gauche du corps. Les
troubles
morbides que nous venons de détailler ont eu une
Cette dernière hypothèse est pour nous plus plausible. En effet les
troubles
de la vessie ont apparu chez K... fort tôt et a
l et d'une intensité remarquable. Correspondant à cela : Démence et
troubles
ataxiques. OBs. V. J. 111...., décédé le 1er no
e l'oreille droite. Dé- couragement. Dans le courant de l'été 1901,
troubles
de la parole et de la déglu- tition. Se met à b
là tout un mélange d'effets directs et à distance. Par exemple les
troubles
pupillaires n'ont pu être produits qu'à distance,
longtemps latente. Or c'est en 1901 qu'apparaissent les pre- miers
troubles
moteurs et 18 mois plus tard survient la mort, et
des mouvements athétosiformes et de l'asyner- gie cérébelleuse avec
troubles
très profonds de la sensibilité subjective et o
ller à son travail comme de coutume. Il n'eut, dit le malade, aucun
trouble
à la suite de cet accident, ni céphalée, ni lourd
ire, tandis que l'examen de la motilité volontaire fait relever des
troubles
profonds portant sur la coordina- tion, sur l'é
des deux côtés. , L'ouïe est nettement diminuée à droite. Pas de
troubles
du goût, ni de l'odorat. L'exploration des réfl
xe plantaire se fait en flexion des deux côtés. Il n'existe aucun
trouble
des sphincters en dehors d'une constipation opi-
fait constater l'existence d'une hémiplé- gie droite associée à des
troubles
de la sensibilité. L'épreuve du dynamomètre don
onstate ni tremblement au repos, ni atrophie muscu- laire, ni autre
trouble
trophique. Le malade marche à petits pas, les j
ère et en tout cas elle n'est pas en rapport avec le strabisme et les
troubles
des mouvements des globes oculaires. D'après le
énote la stase et l'oedème de la pa- pille des deux côtés. Pas de
troubles
appréciables du goût, les odeurs sont mieux perçu
née, bredouillée, scandée comme dans la sclérose en plaques. Pas de
troubles
des sphincters. Les uri- nes ne contiennent ni
l'em- poisonner, qu'il a des ennemis ; mange et boit avec avidité.
Troubles
sphinc- tériens, incontinence d'urine et des ma
and. psych., mai 1903. xvin 12 - 770 GRUNER ET BERTOLOTTI « Les
troubles
de la musculature oculaire, dit H. Claude dans le
es deux cas,et constitué par une hémiplégie sensitivo- motrice avec
troubles
des mouvements volontaires, de la coordination et
ilatérale et symétrique, l'atteinte des muscles intrinsèques et les
troubles
profonds de la sensibi- (1) Oppenheim, Traité d
lésions sur nos coupes des noyaux de la Ve paire. On peut croire ce
trouble
consécutif à la destruction de la racine supéri
urs plus marquée à droite, soit du côté hémiplégique. L'étude des
troubles
thermiques est ici d'autant plus intéressante, qu
Il est important encore de remarquer que, dans'tous les cas où les
troubles
thermiques ont été constatés, simultanément il ex
roubles thermiques ont été constatés, simultanément il existait des
troubles
de la sensibilité; de ces faits il paraît donc ré
he ? Nous fûmes frappés, en tout cas, par la dissociation entre les
troubles
thermiques et les troubles vaso-moteurs ; il n'
tout cas, par la dissociation entre les troubles thermiques et les
troubles
vaso-moteurs ; il n'y avait en effet, chez notre
umeaux avait-elle été suffisante dans nos cas pour produire de tels
troubles
; au surplus l'autopsie nous démontra l'existence
veau de ses extré- mités. - D'ailleurs la malade ne ressent aucun
trouble
digestif ; elle mange de bon appétit et digère
hésie à tous les modes de sensibilité. Jamais la malade n'a eu de
troubles
sphinctériens. Coeur et vaisseaux. Le maximum d
A l'autopsie d'une femme de G2 ans, qui souffrit pendant six ans de
troubles
visuels sans acromégalie, la pituitaire fut trouv
ns hépatiques dans leur cas, pensent devoir faire jouer un rôle aux
troubles
hépatiques dans la genèse de certaines acromégali
ailleurs que dans les maladies des glandes closes, à l'occasion des
troubles
de l'une d'elles, l'inlrégrité des autres glandes
lrégrité des autres glandes peut jusqu'à un certain point parer aux
troubles
, et que, réciproquement, leur insuf- fisance pe
Les urines ne contiennent ni albumine, ni sucre. On ne note aucun
trouble
de sensibilité, les réflexes tendineux sont norma
atéral et qui n' est nullement lié à une affection cardiaque ou aux
troubles
de l'hématose. Hirschberg, et après lui Schmidt
étines peut exister sans cyanose généralisée, et l'importance de ce
trouble
local est considérable, car il tra- duit une pe
la douleur. L'examen de la sensibilité cutanée n'a jamais montré de
troubles
de cette fonction. La pression sur les apophy
- fessionnelle, dont l'ensemble se résume : en une akinésie, en des
troubles
de stabilité, en ataxie et en une hyperkinésie
us complètement possible, la crampe professionnelle dépendrait d'un
trouble
céré- bral. Il a décrit deux formes de crampes
odique réflexe. Vivian Poore attribue la crampe professionnelle aux
troubles
locaux ou 216 KOUINDJY aux troubles musculair
la crampe professionnelle aux troubles locaux ou 216 KOUINDJY aux
troubles
musculaires. D'après cet auteur, le spasme foncti
ulte que la simple crampe des écrivains peut s'accompagner d'autres
troubles
, qui aigrissent complètement l'existence de l'ind
e centrale ensuite. C'est-à-dire qu'elle se déclare d'abord par des
troubles
locaux périphériques qui, à la longue s'accompagn
s troubles locaux périphériques qui, à la longue s'accompagnent des
troubles
de causes centrales. Ces derniers agiraient d'u
trop loin, en attribuant la crampe professionnelle exclusivement aux
troubles
locaux du membre, dont les muscles sont atteint
rices du centre des professions, modifications occasionnées par les
troubles
locaux, musculaires, et autres. Ce centre peut
. Syphilis probable. - Il a un enfant de 3 ans, très nerveux. Les
troubles
du caractère remontent à cinq années. Ictus avec
n plus tard, apparurent plusieurs attaques épileptiformes, puis des
troubles
mentaux. [Le malade avait la folie des grandeurs,
'une légère réaction a la distance ; immobilité à la lumière. Aucun
trouble
viscéral. Au point de vue mental, B... est déme
pération chirurgicale (uréthroto- mie ? ). Depuis il a conservé des
troubles
de la miction, particulièrement de l'incontinen
ivement, qu'elle a été ac- compagnée de douleurs fulgurantes. Les
troubles
intellectuels ne datent que de deux ans. Marié et
éens, conservation des réflexes plantaires et crémastériens, pas de
trouble
de la sen- sibilité, signe de Romberg, faibless
t à gauche. Tremblement généralisé. Pas de signe de Romberg, pas de
troubles
des sphincters. A cause de sa faiblesse muscula
in traitant aurait diagnostiqué un ramollissement de la moelle. Les
troubles
intellectuels remontent à dix-huit mois environ
centres nerveux. Nous venons d'observer un chien qui présentait des
troubles
moteurs, sensoriels et mentaux tels que le diag
ppareils digestif, circulatoire et respiratoire ne présentent aucun
trouble
. Les principaux commémoratifs que nous avons pu
rré. Il avait déjà de la tendance à tourner de gauche à droite. Ces
troubles
s'accentuèrent progressivement et l'animal commen
ssement très marqué de la mémoire et du jugement, chez le chien, le
trouble
intellectuel le plus accusé est relatif à la perc
agraphie ou d'alexie. L'aphasie motrice proprement dite est le seul
trouble
du langage que l'on ait pu constater : elle a p
du poignet. La sensibilité, au membre supérieur, ne présente pas de
troubles
objectifs, il n'y a ni anesthésie ni hyperesthé
uleurs. Les réflexes sont exagérés à l'avant-bras ; il n'y a pas de
troubles
trophi- ques par rapport au côté sain. Le mem
leurs doulou- reuses. A part des douleurs provoquées il n'y a aucun
trouble
de sensibilité. Les réflexes rotuliens sont man
udes de rhuma- tismes chroniques, d'ailleurs l'unilatéralité et les
troubles
parétiques ne per- mettent pas de penser 1 autr
Mais on ne note aucun signe de paralysie bulbaire : il n'existe de
troubles
paralytiques ni dans la déglutition, ni dans la
èmes passagers sont bien dus à un oedème lymphatique par suite d'un
trouble
de la sécrétion de la lymphe. Dans les observatio
à peine qui s'arrê- tent bientôt (Debove, l'auteur). Selon nous, un
trouble
trophique de la sécrétion lymphatique produit d
longtemps debout. Il avoue avoir fait des excès alcooliques. Les
troubles
asystoliques qui l'avaient amené à l'hôpital cède
ou moins marquée des clavicules et transmission héréditaire de ces
troubles
. Ces malades sont au nombre de quatre, la mère
sont normaux. Pas de signes de lésion du faisceau pyramidal, pas de
troubles
de la sensibilité. Leur état géné- ral est exce
ba- ble, le père du sujet ayant présenté le même crâne et les mêmes
troubles
de la dentition. A la même époque, Preleitner (
évrose ainsi que le sous-clavier. Gross, se basant sur l'absence de
troubles
de la déglutition, pense que les muscles sterno-t
la marche ; nous verrons plus loin ce que nous devons penser de ces
troubles
. Sachs lui-même rejette d'ailleurs cette opinion,
, tandis qu'il voit dans les hémorragies anciennes le résultat d'un
trouble
vasculaire initial, sur lequel d'ailleurs il ne s
nouveau-né. Pour ce qui est de la dilatation vasculaire, qui est un
trouble
intra-utérin,il fait l'hypothèse d'uue formatio
et monotone. Les aliments lui revenaient souvent par le nez. Pas de
troubles
sphinctériens. Intelligence normale. Elle est m
exes patellaires. Achil- léens : signe de Babinski, sans parésie.
Troubles
de l'équilibre quand le malade tourne sur lui-mêm
mouvements spontanés sont très lents et maladroits. Pas d'ataxie.
Troubles
de la diadococinétie intenses. Réflexes très fo
et de l'amaigrissement. En 989, à l'âge de 18 ans, apparaissent des
troubles
mentaux : Elle croit que les gens disent qu'ell
ique que l'affection débuta chez lui, tandis que chez la soeur, des
troubles
mentaux ou plutôt des changements dans le carac
ait, mais il ne faut pas oublier que celles-ci étaient atteintes de
troubles
mentaux graves. xv n ' 9 410 - BALLET ET ROSE
rmittente du voile du palais que nous sommes tentés d'attribuer les
troubles
de la déglutition (Higier, Lorrain, obs. 28). Qua
us, Raymond et Souques, Giese, Duchateau). D'autres fois on voit le
trouble
de la parole ne consister, comme dans le cas de
s un bégaiement acquis. Chez notre deuxième malade on rencontre des
troubles
mentaux ; c'est même eux qui constituèrent le s
du tableau cli- nique, c'est-à-dire sur l'absence du nystagmus, de
troubles
sensitifs, et de troubles sphinctériens. Disons
est-à-dire sur l'absence du nystagmus, de troubles sensitifs, et de
troubles
sphinctériens. Disons que ces derniers ont cepend
r de la parole; chez les malades d'Achard et Fresson, de Trénel des
troubles
de l'intelligence ou du caractère. Mais dans au
ile du palais. Mouvements oculaires lents, pas de nystagmus. Pas de
troubles
sphinctériens. 1873. Contracture du cou ; quand
t et obs. I de Lorrain). On y remarquera cependant la fréquence des
troubles
'pupillaires et oculaires (décoloration ou atro
uques, Bernhard) on retrouve des secousses nystagmi- formes, et des
troubles
oculo-pupillaires. La ressemblance plus ou moins
ot-Marie (Ballet et Rose), de l'ataxie cérébelleuse (Bàumlin) ; des
troubles
du caractère et de l'intelligence au cours des
urieux, on peut observer au cours d'une même affection, d'abord des
troubles
d'origine cérébelleuse (dé- marche ébrieuse, lé
les caractères intrinsèques, sans nous occuper, pour commencer, des
troubles
concomitants. a) Les contractions consistent en
à une sorte d'état de mal qui, d'ailleurs, ne s'accompagne d'aucun
trouble
psychique. . b) Il est généralement difficile d
tères permettant d'affirmer qu'il n'est pas sous la dépendance d'un
trouble
mental, psychique. Quelle en est la cause ? Il
ale droite, une hémiatrophie linguale à gauche (PI. lLVIfI, E), des
troubles
auriculaires et un rétrécissement de la pupille é
laires et un rétrécissement de la pupille également à gau- che. Ces
troubles
ont apparu il y a cinq ans environ et l'hémispasm
ersations et de sa conduite on peut déduire qu'il ne présente aucun
trouble
psychique. Le crâne a une conformation brachi-c
se rencontre à peu près avec la même fréquence à tous les âges. Les
troubles
sensoriels sont extrêmement rares. Nous n'ins
t aussi bien à l'origine d'autre névrose ». Ce n'est point avec ces
troubles
vagues qu'on a l'esprit mis en éveil : mais on
les se produisent ; d'où une distinction parfois malaisée entre ces
troubles
mus- culaires purement fonctionnels et une lési
de l'en- fant a l'habitude d'être mono-symptomatique, comme si les
troubles
per- manents que nous trouvons chez l'adulte se
on nerveuse centrale ou péri- phérique ne permettait d'expliquer ce
trouble
fonctionnel, et dès lors d'après la cause, le m
point. Enfin, jamais une scoliose proprementdite, même énorme, ne
trouble
ainsi la marche. Nous devions donc chercher du
emble conservée, pas de retard sensible dans les perceptions, aucun
trouble
des sphincters. L'examen de la colonne vertébra
erg n'existe pas. L'enfant ne s'est jamais plainte de la vue, aucun
trouble
dans les mouvements du globe oculaire, aucun trou
la vue, aucun trouble dans les mouvements du globe oculaire, aucun
trouble
au- riculaire. Les stigmates névropathiques s
ant d'une opération grave si elle ne guérit pas plus vite. Tous les
troubles
disparaissent bientôt, et le 3 juin, au bout de 1
longer autant, ou tout au moins au bout d'un temps aussi long ; des
troubles
dans les réflexes, dans le fonctionnement des s
ymptômes encore constitués d'hypertension intracrânienne, mais avec
troubles
de l'équilibre et titu- bation ébrieuse. La var
roubles de l'équilibre et titu- bation ébrieuse. La variabilité des
troubles
moteurs, les troubles de sensi- bilité, le mode
et titu- bation ébrieuse. La variabilité des troubles moteurs, les
troubles
de sensi- bilité, le mode de début, l'état stat
conque. Nous ne pouvons, à vrai dire, parler de stigmates, mais les
troubles
sensitifs, l'état psychique que nous avons décrit
a grippe, ne saurait être mise en doute. Mais comment expliquer les
troubles
fonc- tionnels ? Probablement par un mélange d'
ts successifs pour aboutir à une classification plus rigoureuse des
troubles
de dé- veloppement du tissu osseux. Toutefois,
analogues obser- vées chez les animaux et signale l'antiquité de ce
trouble
de développement dont on peut établir le diagno
ablissent les caractères radiographiques des malades atteints de ce
trouble
de l'ossification. G. Durante (1902), à propos
itres distincts. 1 ACHONDROPLASIE VRAIE L'achondroplasie est un
trouble
de développement du squelette apparaissant au c
qu'ils survivent, les achondroplases ne paraissent pas souffrir des
troubles
de leur ossification. Les fontanelles se fermen
ès, se développent régulièrement. Il n'existe pas, en géné- ral, de
troubles
hématopoiétiques. LES lIfICIt0 : IfI : LIGS CON
cède la place à un tissu plus spongieux. Il se pourrait donc que ce
trouble
dans le modelage diaphysaire soit unique- ment
toxique. II DYSPLASIE PÉRIOSTALE La dysplasie périostale est un
trouble
de développement du squelette in- téressant par
l'achondroplasie/ Cette affection qui, selon ces auteurs, relève de
troubles
de l'ossification du car- tilage juxta-épiphysa
est une maladie acquise, une ossi- fication vicieuse relevant d'un
trouble
d'ossification par intoxication ou auto- intoxi
tilage. Le rachitisme, au contraire, nous apparaît surtout comme un
trouble
fonctionnel des ostéoblastes qui, pour une rais
ifférencier une quantité suffisante d'osséine. Cette sclérose et ce
trouble
fonctionnel, quoique portant sur le même or- ga
par Leriche. Pour Bohn, Schwob il s'agit d'une insuffisance ou d'un
trouble
placentaire. Pour Dor et Poncet l'agent taxi-in
t des nouveau-nés » (Leriche). - On pouvait également songer à un
trouble
trophique d'origine nerveuse, car les centres n
es à une dystrophie de cause générale... N'y aurait-il pas, dans ce
trouble
du développement, quelque chose d'analogue à ce
ogue à ce qui se passe dans le myxoedème ; ne serait-ce pas dans un
trouble
de la fonction ou du développement de quelque o
e, plus probable vu la nature même des lésions histologiques. Les
troubles
glandulaires entraînent surtout des modifications
des ostéoblastes et rentre mieux dans la for- mule histologique des
troubles
glandulaires ou trophiques. Aussi admettrions- -
s lésions des centres nerveux et qui rentrent dans la catégorie des
troubles
trophiques . Ces altérations paraissent cytologiq
il de modi- fications invisibles des centres nerveux ? s'agit-il de
troubles
glandulaires con- génitaux modifiant les condit
sente une formule pathologique plus habituellement réalisée par les
troubles
glan- dulaires, mais a surtout les caractères d
s n'avons pu savoir de quoi. Eu tout cas elle n'a pas souffert d'un
trouble
semblable à celui dont est alfecté notre malade.
8 frères ou soeurs dont il ne reste que 5. Aucun d'eux ne présente un
trouble
de la croissance rappelant celui de notre malad
ade prétend être consécutive à une brûlure. Nous ne trouvons pas de
troubles
du côté des autres organes. SUR DEUX CAS d'acho
émoire de Pierre Marie. En effet,nous trouvons chez notre malade un
trouble
congénital dans le développement du squelette d
a femme adulte achondroplasique que chez l'homme atteint de ce même
trouble
. Le plus petit chiffre publié concerne le cas d
= 83,7). Son nez est aussi enfoncé et aplati. En relation avec les
troubles
de développement de la tête il convient de parl
qui, pour nous, jouent un rôle primordial dans la pathogénie de ce
trouble
de la croissance. Nous signalerons ici le fait
ses antécédents héréditaires. Aucun de ses parents ne souffre d'un
trouble
de croissance semblable au sien. Il avait commenc
tibias est très proéminente en dehors. Le malade ne présente pas de
troubles
appréciables de la sensibilité objective, il pr
équence a été l'internement du malade dans l'hospice d'aliénés. Son
trouble
mental s'est ma- nifesté par des actes de viole
dit, des formes mixtes où l'achondroplasie se combine avec d'autres
troubles
. C'est ainsi que dans le cas de Lugaro il y ava
nces d'être la vraie. Cet auteur se demande si ce n'est pas dans un
trouble
de la fonction ou du développement de quelque S
se donne la peine d'analyser un peu les caractères cliniques de ces
troubles
de la croissance, on voit tout de suite la jus-
, complètement résolue. Pourtant la lumière commence à se faire. Ce
trouble
semble dû à une exagération des fonctions hypophy
rtoghe (36) et Masoin (37), pensent que l'achondroplasie est due à un
trouble
de cette même fonction. SUR DEUX CAS D'ACHOND
utérines, traumatismes). 2° Théorie de l'atavisme. 3° Théorie des
troubles
trophiques consécutifs à des altérations du sys-
ncre d'imprimerie. La parole n'était presque pas embar- rassée. Son
trouble
manifeste a' paru quelque temps après et plus exa
s à voir ce malade dont l'atrophie musculaire a augmenté, qui a des
troubles
vaso- moteurs marqués avec mains succulentes et
faibles, nous n'avons pas eu de réaction de dégénérescence. Pas de
troubles
de la musculature externe de l'oeil bien qu'il di
599 Rien du côté de l'ouïe, de l'odorat ou du goût. Il n'a pas de
troubles
psychiques : à signaler cependant des cauchemars
l'atteinte de la corne antérieure médullaire : en même temps que le
trouble
trophique médul- laire celle-ci aurait produit
aire. Chez l'adulte, l'excitation des centres nerveux détermine des
troubles
intenses, et la mort survient rapidement à un m
ailleurs des éléments d'interprétation. Quant à l'hypothermie, aux
troubles
vaso-moteurs également signalés, ils relèvent d
souvent des malformations qui rappellent celles du rachitisme. Les
troubles
osseux, observés en pareil cas, sont en rapport a
pas proche parente du rachitisme et ne résulte pas, comme lui, d'un
trouble
apporté dans l'évolu- tion normale du squelette
lui, d'un trouble apporté dans l'évolu- tion normale du squelette,
trouble
en rapport avec une cause encore mal déterminée
éorie, celle de l'influence des processus irritatifs chroniques des
troubles
fonctionnels, de la manière anormale de vivre d
ébut des douleurs intenses, mais que d'ordinaire on n'éprouve aucun
trouble
, aucune douleur. Mais la production des exostoses
mbres supérieurs et inférieurs) un peu exa- gérés ; il n'y a pas de
trouble
de la démarche, ni de l'équilibre. Du côté des
égales ; elles ont leur réaction normale à la lumière. Il existe un
trouble
de la cornée, trouble diffus surtout marqué à la
r réaction normale à la lumière. Il existe un trouble de la cornée,
trouble
diffus surtout marqué à la périphérie de la mem-
doigts à environ un mètre. (La malade complètement indifférente au
trouble
de la vision, et irritée par un examen qu'elle
ment identique à celle de sa soeur ; elle présenterait de plus des
troubles
de la parole qui paraissent ressortir au bégaie
une simple paralysie extrinsèque de l'oeil mais tout un ensemble de
troubles
de développement. A considérer l'ophtalmoplég
contracte un rengagement de deux ans en octobre 1904. Histoire DES
TROUBLES
FONCTIONNELS DES épaules. Détaché à l'école de
ns, on peut considérer l'excitabilité galvanique comme normale. »
TROUBLES
musculaires. Il n'existe aucun trouble musculaire
galvanique comme normale. » TROUBLES musculaires. Il n'existe aucun
trouble
musculaire dans les muscles examinés : pas de c
anesthésie ou d'hypoesthésie ; pas de stigmates hystériques. Pas de
troubles
trophiques ou vaso-moteurs. Rien à signaler pou
rs des résultats identiques. Nous parlons pour mémoire seulement de
troubles
musculaires précoces au voisinage des foyers tu
s myélo- pathiques ; ils n'existent pas chez le brigadier M.... Les
troubles
des réac- tions électriques rencontrés égalemen
e l'axe cérébro-spinal au cours de la vie foetale ne soit suivie de
troubles
trophiques notables dont on retrouverait la trace
u tissu cérébro-spinal, un tissu conjonctivo- vasculaire banal. Ces
troubles
généraux de la nutrition se traduiraient par l'
édiate de la méningite qui évolue au contact de la base du crâne et
trouble
profondément la circulation sanguiue dans cette r
ition de tel ou tel tissu, sans qu'il soit nécessaire d'invoquer un
trouble
dans l'action trophique du système nerveux. Et
'organisme foe- tal, mais qu'elles ne déterminent directement aucun
trouble
trophique appréciable dans l'une quelconque des
ées, sont antérieures, et parfois très antérieures à l'invasion des
troubles
morbides. Dans tous ces cas où une anomalie coe
, indépendantes les unes des autres. Le crâne renferme un li- quide
trouble
, jaunâtre, tenant en suspension une masse molle,
hez l'embryon même.avant la fermeture de la gout- tière médullaire,
trouble
portant obstacle à la constitution morphologique
'apparition des premiers phénomènes inflammatoires qui apportent un
trouble
très grave à la nutrition du système nerveux et
e du nerf moteur oculaire com- mun droit. Tremblement de la langue;
trouble
de la parole. Verte de la mémoire, démence. Dou
lgurantes dans les jambes. en octobre 1891. Paraplégie transitoire.
Troubles
urinaires. Perte de la mémoire. Tremblement int
expressions dont, auparavant, il se servait couramment. Bientôt les
troubles
de la marche empirent tellement qu'il est oblig
e : les cellules hépatiques, dans des territoires très larges, sont
troubles
et leur noyau ne se colo- rent plus; les territ
ranuleux ainsi que leurs prolongements, ce qui leur donne un aspect
trouble
. Les vaisseaux présentent les lésions habituell
lité. il, n'a ni plus.ni< mc`ins d'im- porta7nee'4àe les autres.
troubles
^qu'on observe concurremment ' > ' ' 4d "'» '
râssant ? c'ést lorsqu'il n'existe ou n'a existé à aucun moment des
troubles
dépendant manifestement d'une lésion cérélirâlé
s apparaît donc comme une affection men- tale due probablement à un
trouble
fonctionnel mais non à une lésion organique des
, il faut réserver l'épithète d'idiots aux sujets chez lesquels les
troubles
intellectuels, s'accompagnant de troubles du déve
sujets chez lesquels les troubles intellectuels, s'accompagnant de
troubles
du développe- rou " s y .j ? mpa, qu ment phy
s du développe- rou " s y .j ? mpa, qu ment physique^ général, de
troubles
moteurs ou sensoriels (cécité, surdi-mutité, et
r plus fréquentes. ' ' 1 'Il .. G. 1). ' ·n ., te . : IV. Sur LES
TROUBLES
? SENSITIFS' considérés spécialement dans LEURS
re, qui, lui a servi de thèse, l'auteur examine la distribution des
troubles
sensitifs, dans les différents modes de la sens
- ' ? f B'> r - «,( -i- j't'à . .. . t.) ...'i ' - . , V. DES
TROUBLES
de : la parole passagers, dans( la .paralysie PRO
d'accidents cholériformes et chez qui surviennent 'brusquement des"
troubles
délirants/ Au point'de vue psychique les symptô
s la perle de l'activité volontaire' de l'intelligënce, dans'uü i'i
trouble
'profond* de'l'exercice volontaire 'des (opératio
ofond* de'l'exercice volontaire 'des (opérations intellec- tuelles,
troubles
de l'attention, de la perception, de la mémoire,
s nos travaux, antérieurs sur, . les hallucinations motrices et les
troubles
du langage, chez les aliénés nous avions nous-m
imple au,délire^le°plus,e'xcessif. ! ](,/>*0 zonez En effet, les
troubles
intellectuels' ont commencé' en septembre . . '
de montrer la relation intime', qui existe entre les couches et'les
troubles
psychiques qui survien- nent fréquemment après,
r rôle à titre secondaire. L'auteur est persuadé que ce facteur des
troubles
psychiques, auquel certains auteurs n'attri- bu
Dans un numéro précédent, le D1' Hughes a rapporté plusieurs cas de
troubles
mentaux et nerveux consécutifs à l'atrophie ou à
individu'non épileptique ou' comme épisode chez un épileptique. Les
troubles
psychiques transitoires accompagnent' la migrai
;lorsqu'à la diminu- tion de l'activité psychique s'associent,, des
troubles
graves de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 53
s petite, diminution, provoquaient, en effet, dol'énervement'et des
troubles
iâ'r«rhéiqes4Pllus. oti @@er.vemen , e, Ru ., .
De plus,, du côté des organes principaux, l'auteur a constaté des .
troubles
fonctionnels bien plus accentués et plus graves q
tion opi- niàtreavec coliques extrêmement douloureuses et débâcles;
troubles
dyspeptiques variés' avec, dans l'intervalle de
es.anamnestiques révèlent une tare névropalhique ou l'existence de,
troubles
psychi- ques pendant les périodes menstruelles
impulsivité passionnelle ; 6° Mais les individus qui, pour cause de
trouble
psychique menstruel bénéficieront d'une ordon-
n d'une idée fixe, à laquelle il ne. peut pas résister,. et, qui ne
trouble
,pas autrement ses facultés mentales..) ? 1·,9r, -
d'être l'attribut des seuls pseudo-paralytiques : le faciès, les
troubles
pupillaires, les paralysies partielles, l'aspect
encore si la cause de leur apparition réside manifestement dans un
trouble
organique général ou local, le phénomène prend
la'paralysie " alcoolique (Rakhmaninoff). Parmi ces affections les(
troubles
t neïïropathiques et myélopathiqués sont, comme
rf. 'Autrement dit, sont-ils ou non suscep- tibles de provoquer des
troubles
morbides appréciables ? Si l'on s'en tient excl
» y mettant beaucoup de méthode et de soin jusqu'aux plus légers
troubles
nerveux qui viendraient à se manifester d'une f
ation III. Syphilis en 1885. Paraplégie complète, u pré- z cédée de
troubles
urinaires en 1887; à cette époque, exagération dc
notasl jambe est en effet douloureuse. t , ....... pnoizel , Les
troubles
de sphincter ont à peu près complètement disparu;
blr7n 11 1 ? 1; rtn t r. , n 1 4 ry- 2t 1 1 on ne peut saisir aucun
trouble
chez ce malade; il en a d'ailleurs été ainsi to
nts, et leur, corps cellulaire, fortement coloré, prend cet aspect,
trouble
qui le fait ressembler celui des. cellules gangli
ique, 1893). De plus, la malade.a'quelques symptômes dou- leurs'1
troubles
de lâ ! marche' ? signe 'de Wéstpfîal."rEllè meur
en irritant les méninges, l'oedème cortical'étàntja conséquence des
troubles
circulatoires secôndâiréssà'cêsspasmes2 rt`Oû'b
tabétiformes. Cette lésion explique parfaitement les douleurs, ies,
troubles
de la marche et même l'abolition^des réflexes,
bien certain, en tout cas; c'est que ceux-ci avaient pour cause un
trouble
circulatoire; qu'ils se reliaient d'une façon évi
l, l'absence'de lésions des éléments nerveux explique l'absence1 de
troubles
cérébraux; ce malade, bien qu'atteint d'encépha
s piques ; alors,'1 pendant toute cette phase, on n'observe que des
troubles
vagues,'variables suivant^ les aptitudes morbid
ture est moins prononcée aux membres supérieurs. Il n'existe pas de
troubles
urinaires et ia sensibilité est normale partout
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. nerfs crâniens et les ictus, avec les
troubles
, moteurs. qui peuvent les suivre, enfin les tro
ctus, avec les troubles, moteurs. qui peuvent les suivre, enfin les
troubles
intellectuels sont décrits, dans ce travail, co
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE : XXX. Symptomatologie ET PRONOSTIC DE
TROUBLES
PSYCHIQUES QUI SE PRODUISENT PENDANT LES SUITES
ère génitale en même temps que des illusions du goût et de certains
troubles
de la sensibilité générale. Les idées de perséc
niques ; que ce délire, alors même qu'il est postérieur à d'autres
troubles
intellectuels, ne tarde pas à masquer ces dernier
la faculté' de localisa- tion et du sens de la force,' révèlent des
troubles
plus accentués et plus fréquents. Altérations '
rne, affaiblissement notable, de la mémoire, illusions du souvenir,
troubles
mentaux divers; pas d'hallucinations ni d'idées
mélancolie périodiques. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1.
Trouble
DE la sensibilité générale SE traduisant par UNE
oule, pré- tend-elle, continuellement. Il semble que le siège de ce
trouble
soit limité à la surface cutanée : elle ne se p
uivent les observations a permis de diagnostiquer chez le premier :
trouble
général de l'en- semble des fonctions psychique
sparition des réflexes patellaires et de la sensibilité électrique,
troubles
de la sensibilité cutanée, violentes douleurs l
oyaux dans la paroi du canal central de la moelle. P. K. XII. DES
troubles
mentaux dans la maladie DE Basedow ; par Hirsch
ysie du centre vascu- laire du bulbe; de là, hypérémie corticale et
troubles
intellectuels. Ajoutons à cela la tare constitu
cutivement à des accidents cérébraux de l'âge adulte avec vertiges,
troubles
des sens spéciaux (diplopie, agustie, dysosmie)
ion ou apoplexie quand la lésion occupe les ganglions centraux, des
troubles
de la respira- tion dépendant aussi des localis
lytiques étant survenus la nuit à la suite d'émotions et'd'efforts.
Troubles
dans la sensibilité. On croit à une hématomyéli
nt la vie rien n'indiquait une lésion de cordons postérieurs; aucun
trouble
de la sensibilité. P. K. XX. ETUDE .4N.1T01f0
tion de la réaction électrique et réaction dégénérative par places,
troubles
de la sensibilité, démence. Impotence presque com
ui avait mis un objèt pointcc entre les doigts, il éprouva un grand
trouble
,, il sentit . son courage surexcité, sans qu'il
de l'angoisse, des hallucinations,, de la, vue. et,- de l'ouïe, des
troubles
de la sensibilité générale, s et par celte. idée,
excité directement les centres de ces. muscles et en a déterminé le
trouble
fonctionne ! . Ce qui paraît le plus' rationnel
nais- sance.1 Hall ucinalions 'de Ma vue,'de l'ouïe' : 'stupidité ;
troubles
de la mémoire,' titubation ? incoordination mot
s; la sensibilité tactile et le sens de la pression'participent aux
troubles
de la sensibilité ; phé- nomènes bulbaires (par
(paralysie unilatérale' du voile du palais et des cordes vocales,'
troubles
de la' déglutition).' Observation 11-Par«ésie d
es nombres'et des dates. Inhabi- leté des mains, sans paralysie, ni
trouble
de la sensibilité cutanée, trèsf légère'1 dimin
. Le traitement est resté, sans résultat. Evidemment il y, a là un,
trouble
1-11- 'IllKM -. MIUI tin -ils - Jl'l I' - ,'»)
à l'alexie sous-corticale ; mais, comme il a été montré supra, les
troubles
de la vue semblent être principalement responsa
ensibilité (froid, chaleur^douleur^avec conservation, du|tact . les
troubles
trophiquesjde^lagpeau^esjqs^desjarticulations, av
les troubles trophiquesjde^lagpeau^esjqs^desjarticulations, avee,
troubles
vaso-moteurs ,et sécrétions, anormales, r-r,;) a-
niens y compris les syinpi8mes.oculo-pupillaires et bul- baire, les
troubles
delà motilité des membres (inférieurs y com- pr
latérale amyotrophique, ence casle diagnostic se fait à l'aide des
troubles
de la sensibilité et des troubles de la peau ou
e diagnostic se fait à l'aide des troubles de la sensibilité et des
troubles
de la peau ou du dos quand il, y, en, a. Le,dio
» ? > *n's ' Il existe aussi une syringomyélie dans laquelle les
troubles
tro- phiques de;la peau; des os, des articulati
ure sur toute la, hauteur de la moelle et produit exclusivement des
troubles
de la sensibilité (Rossolimo), en imposant pour
-supérieures - paralysie dissociée hémilatérale de la sensibilité -
troubles
vaso-moteurs (cyanose, crevasses) petites vésic
". >-«> .... ! t - 1 n ? Y. · 1 ' , XLI. Une observation i de
TROUBLE
UyILITÉR.·1L DE la mobilité DU GLOBE DE L'OEIL
40 ans; 3° elle appartient principalement au sexe masculin; 4° les
troubles
vésicaux, parfois aussi les troubfes rectaux, r
oires,' atrophiques'de la ÙbsLance'*c-oiitractile, par suite*"d'uâ'
trouble
'de la circulation, d'une modification profonde
ntrale'. L'intelligence des,mots peut être suppri- mée du fait d'un
trouble
de l'ouïe sans que la perception'd'autres quali
ège qui a lieu du côté de la 'destruction tient principalement à un
trouble
du sens musculaire et probablement de la; sensi
e, il se développe des mouvements irrésistibles en arrière ; 7° les
troubles
psychiques produits par,cette combinaison, méthod
eau, l'in- troduction dans l'économie du poison cérébral révèle des
troubles
fonc- tionnels latents; 12°, par cette méthode,
es elles-mêmes ? Ces lésions sont : à pigmentation. anormale,- état
trouble
et dégénérescence graisseuse du protoplasma,vac
hiat., XXIV, 2.) ,Il existe des malades'qui, en même' temps que des
troubles
diges- tifs,' éprouvent dès accidents nerveux.
eur et inférieur. Parésie du bras et deilà jambe gauche ! Nul autre
trouble
de la sensibilité, ni des réflexes.'Intégrité d
intervalles, blé- pharoptose, disparition des réII6'xes-àtellaii,s'
troubles
de la mas- tication, de la déglutition, de la p
a dû se produire dans le sixième mois intra-utérin. Par suite d'un
trouble
dans le déve- loppement des fibres blanches, le
pontanément, ni sous la aidée, mais copie exactement. Plus tard, le
trouble
de la parole augmente. On diagnostique une tume
tiquerT[le< : tabesfvrai;fjamais,,par : exemp)p, ! iln'y.a a de
troubles
pnpillaires;lenrevanche; quelques symptômes* s'
cquise. En revancbe,'il est très probablement en. rapport- avec des
troubles
de nutrition d'un autre genre ? 6° 111 prédomin
cela, il y a raucité de'la voix, aphonie, respiration . sifflante,
troubles
de la déglutition, rétention d'urine : tous acc
conjonctif; pigmentation anormale, dégénérescence, graisseuse, état
trouble
du protoplasma des cellules. La,genèse la plus
st une atrophié musculaire marchant du centre à la périphérie, sans
troubles
de la sensibilité, accompagnée d'une espèce d'ar-
oï·ëé et lés'cellulès'des - cornes antérieures ? En'tout'cas'il'y'a
trouble
de la" circulation dans les articulations prise
.à doses petites, et fractionnées, il semble être utile contre les
troubles
hallucinatoirës;blsm u6 1 ·r 1 ,·v tr J. S. ,i;
eu'nom- Jon.an.w im du myxoedèm .u iv.. breux; enrlrevanclie, les
troubles
mentaux plus ou moins accusés y sont très 'comm
conseils , pratiques pour la, recherche} des symptômes relatifs aux
troubles
delà parole, de la, marche, de la nutrition et
es des autres appareils intra-cérébraux ne doivent pas provoquer de
troubles
de la motilité. 1 . Si donc, pour fixer les i
ntervention très fréquente et toujours possible de l'hystérie ou de
troubles
purement fonc- tionnels denaturenévrosique, dan
'examen d'un observateur.nori,7prévenu,r celui-ci** méconnaîtra le"
trouble
visuel et si, à l'autopsie du malade/il trouve
rence z entre l'hallucination et l'illusion. Peut-être, au fond, le
trouble
cérébral est-il le même, dans les deux cas. Cep
ès intelligent;et d'une instruction très' étendue; il- présente les
troubles
- sensoriels les Iplus'variés.et les plus extra
tre justiciable de cette,, opération n,lème «, chose dans le cas de
troubles
intellectuels dus à,un abcès'du cer- sjveaujà u
'estomac, car alors le remède n'est pas sup- porté( et entraineHdes
troubles
, .(An ? 2ales médico-psycholjgiqu^ Q 91 q ;shj
ges^ cérébrales,9 ùnê' lésion 'qui, "pbur'lùi, éttdûê-plutôt`a'de's
troubles
trophiques' qu'à des troubles inflam- nlatOlreS
'qui, "pbur'lùi, éttdûê-plutôt`a'de's troubles trophiques' qu'à des
troubles
inflam- nlatOlreS24`J'5b ,t'j9'J .9TIOJBLIt;1L1
n de'" la, pie- mëreToutes"cès iésio'ns signifient pour l'auteur un
trouble
profond , z l 4, .. oul 1 ,11 itt : bnsfi riats
fusion mentale. G. DE1 ? , - ? n'isf n[f'1h, i-.» ? »> LV. Des
troubles
dans ? le mécanisme de l'idéation dans la folie .
rientation et l'allure toute siécialetqde, ces- malades, voire les
troubles
de la sensibilité» morale, doivent, être tenus po
afièvret5-phoide, affaiblissement notable et illusion delà mémoire;
troubles
mentaux divers ; pas d'hallucinations, pas d'id
' Pour élucider la 'question' de' là' contagion" de la folie et des
troubles
psychiques' qui s'en râpprbchent, l'auteur passe
`ZF.71. `IU p ions J.SJ-O-1 es a un au ii-ri. 11 n'y a contagion de
troubles
morbides que dans la folie com- ,111LIlliquée e
nfluence DES GT.7S,, INI·L.lllai.lTOIItES·nLOÇ.IUIh SUR,··LIiS · ,.
troubles
mentaux;, par, l : dR'lt1 GOOD.1LL. (TL(' JOLI)'7
pagne .toujours de synipt6yés' physiques', inertie, jémas, sements,
troubles
^.digestifs, (lès,, cas mixtes auxquels Cotard a
3 natirat'zqb`b Jg rtoilniizl3.s.l : ;oL · · .91ïi3Clt.;J Jd, DES
troubles
DE la parole ET DU développement de la parole,
fin de la quatrième année ? la parole doit être organisée. ~*1 Les
troubles
^du tangage'* caraetérisés'ipar'ie balbutiement* o
BUÇLE1'11 131BL10GR1YHI(2UE. 319 11. Ramadier,qui avaitd,éciit ce
trouble
sous le, nom, de sensation de mouillure. Tentat
motrices verbales. La netteté avec laquelle se manifestèrent ces
troubles
au cours d'une période de rémission, l'absence pr
allucinations motrices verbales de nature pénible. Absence d'autres
troubles
hallucinatoires et en par- ticulier d'hallucina
olontaires de mastication ou de grincements de dents. Rôle de ces
troubles
dans la genèse d'idées de persécution avec tend
ttant pas l'ouverture de la bouche. L'attaque n'était pas suivie de
troubles
moteurs, mais de phénomènes d'excitation psy- c
rombone) ? Le réflexe massétérin fest exa- 11-éré."Iln'yà a pas de'
troubles
" de ]W'sen'sibilitélau"'niveau,'de la 'face et
de l'intelligence,, modifications, du caractère); la,,nature des
troubles
délirants (idées, ambitieuses et si hypocondriaqu
phénomènes somatiques (ictus céré- braux, hésitation, de la parole,
troubles
,, pupillaires,- tremble- , ment des'doigts et ,
c une période, de rémission xçaracté- risée, pailla disparition des
troubles
délirants et la persistance . des symptômes ess
tôme psychique isolé et en particulier sans l'adjonction d'autres
troubles
hallucinatoires, de leur association étroite avec
lucinations psycho-motrices. Propres" Me'd., 18, .25 août 1888. Des
troubles
du langage chez les' aliénés. Bibliotli. Clilrcot
erver d'une façon quotidienne ? et de constater l'absence- d'autres
troubles
* hallucinatoires et en particulier d'hallucinat
e plus intéressant est sans'contredit l'asso- ' ciation étroite des
troubles
hallucinatoires fdu" centre-3 moteur d'articùla
ue qui, ne peut. exécuter, que des mouvements lents ; j 115·,ai des
troubles
respiratoires.. Puis la parole redevient normal
5 ? o ? bu, liA 4 : hnamys-l 9 A roville. - Des relations entre les
troubles
, de la motilité dans' la paralysiegénéràleetfle
il4é'ptiqiie do"n't"ils constituent' souvent lés' ., ' a .. seuls
troubles
moteurs' dans la paralysie générale ! " On a sign
mois avec,la même activité délirante,, la, même. intensité ^ des
troubles
hallucinatoires. Ceux-ci et surtout les hallucina
,, parait- avoireté d'une,, façon évidente sous la dépendance, des,
troubles
hallucinatoires, eux- mêmes tout a fait localis
idées de persécution et qui coïncidaient avec un redoublement des
troubles
hallucinatoires., Ces épisodes passagers, qui, me
la malade parle de milliards, ses dents repoussent, etc.). Puis des
troubles
hallucinatoires se manifestèrent, d'une activit
, des choses vertes, dorées, etc.). Cette pro- duction excessive de
troubles
sensoriels et sensitifs amène un 1 Congrès des
quelle complexité peuvent avoir, chez certains paralytiques, les
troubles
hallucinatoires, que la malade mourut de pneumoni
rémission, à l'état de symptôme ' isolé, sans association d'autres
troubles
hallucinatoires ; leur durée prolongée (seize m
lards et les paralytiques généraux, chez lesquels,' on le sait,'les
troubles
vaso-moteurs du cerveau- sont très accentués. -
plus être, admise de nos jours,,il n'en est passmoins vrai «quelles
troubles
circulatoires et la stase lymphatique, jouent u
depuisiles derniersvomissements,1<< quand se produisirent des
troubles
de la miction i et.deila déféra-six tion. Du cô
sireïitu.Ié'dizàüié'dé jours et* firent place, sans transition, aux
troubles
de la défocation. 3° ".k^ ^\^ \E l . - f. ' ? ,
çon journalière,- puis, disparurent brusquement/et;'avec elles, les
troubles
de la défécation. > 'De 1891 à fin'1892 ? la
' commodation;'à gauche,'signe' très- neti d'Arylli-Rol)ertson ? Le
trouble
^de la'vision aébalement'augmenlé;lamaladedislinâu
modi- fiée, les réflexes rotuliens persistent toujours. *.J"n Le
trouble
mental, pour le moment, paraît fixé ? «* On veut
T i ? 408 .'r'r ? ;-3. CLINIQUE NERVEUSE. viîâilàa ^ICYOA^W q -Le
trouble
mental ne s'est pas modifié, seulement les..crise
ysiques ? sans être relégués au second' plan ? sont dominés par les
troubles
psychiques. Anse prendre en considération que l
de, dix. à. douze, jours. Elles ne se e sont pas accompagnées -de.
troubles
de la sensibilité^ et depuis cette ? poqllÏ - '
lo-pupillaires viennent à l'encontre de cette hypothèse ? 1 ^ Les
troubles
de la vision ont consisté en une diminution pro
x, e tendineux ne so t-pâ§.'abolis-> 9") P-)119'FP avui z Ou les
troubles
pupillaires ? leur évolution' embrasse -trois p
moplégie interne,, double et complète. Considérons, maintenant, les
troubles
pupillaires du tabès. Comme pour la névrite opt
S91biJfieu ? si> 9YUCfiC(''fiOG ? 1 ? sI De telle sorte que les-
troubles
oculaires relevant de'la.para- à lysie générale
9-ftf) ;si- ·'It .^'ii^n 4119 mfT .srn.a) ' Gilbert Ballet. `- Les
troubles
^oculaires dans la paralysie générale .^ progre
3.), ' ? 0 as ? Joa 91W 2 Parinaud. Communication à M. G. BaUct ? M
troubles
oculaire31eq dans la paralysie générale progres
sie générale ? 'Mais; cette' hypothèse est inadmissible puisque les
troubles
oculaires ont été les* premiers '^ en date, : e
pas le tabes. Elle produit une améliora- tion sur les douleurs, les
troubles
oculaires, la faiblesse des mem- bres. La farad
mme il le dit' pour rétablir l'équilibre du système nerveux dont le
trouble
est 'la cause première de cet ensemble morbide,
tous les traitements ,de l'obésité. Elle s'adresse directement aux
troubles
nutritifs qui .en sont la cause. , .. , . £ ·
r procédé aux maladies générales ° ou à des affections , émanant de
troubles
de nutrition. En : ce*qui : concerne les maladi
alytiques il y avait 64 cas d'inégalité pupillaire dont 51 cas ? de
troubles
de. la motilité des pupilles (19 paralysies uni
s et 8 mois. -e 4 C 4 e ! t, , , - Discussion : M.' PETEps ? Tout
trouble
unilatéral-de la mobilité de" la1 pupille.' ave
es); - 5° les paralysies motrices d'origine périphé- rique ; 6° les
troubles
trophiques (peau lisse, ichtyose, myxoe- dème,
vement les'blessures quant à leur siège, nature et u évolution, les
troubles
de la santé générale, les troubles viscéraux .
iège, nature et u évolution, les troubles de la santé générale, les
troubles
viscéraux . attribuables à la commotion et enfi
, les troubles viscéraux . attribuables à la commotion et enfin les
troubles
fonctionnels des < centres nerveux. Toutes
hyxiés et des étranglés. -i *- -^J' ' ? ! : ro ? M<' «.-u. · Les
troubles
de là' santé générale dans les deux' premiers jou
part' du traumatisme et de- l'émotion 'dans' la production de ces -
troubles
, attribue la prépondérance' au traumatisme' qui
mes du'poumon sans choc direct sur les mêmes parois; de1 même' des'
troubles
stomacaux, hématémèse, métoena, vomissement, ga
vomissement, gastralgies dyspepsies avec ou sans choc direct.' Les
troubles
cérébraux peu- veuf survenir après des traumati
classique, mais seulement les signés précédemment décrits parmi les
troubles
de, la -santé- générale-, 'il' peàt'surve' *nir
taine gravité' ceci n'arrive pas et on finit par constater : 1° des
troubles
intellectuels;"^0 des troubles des organes des
s et on finit par constater : 1° des troubles intellectuels;"^0 des
troubles
des organes des sens ; 3° des troubles de la se
oubles intellectuels;"^0 des troubles des organes des sens ; 3° des
troubles
de la sensibilité et de la motilité; 4° des tro
sens ; 3° des troubles de la sensibilité et de la motilité; 4° des
troubles
de la santé géné- rale. Les' troubles de la mém
ité et de la motilité; 4° des troubles de la santé géné- rale. Les'
troubles
de la mémoire surtout pour' les faits récents, la
e, de la vieillesse anticipée, des accès de fièvre irréguliers, des
troubles
dyspep- tiques, l'affaiblissement des fonctions
contribution à l'étude de la maladie de -, par Angio- lella, 146;
troubles
mentaux dans la maladie de -, par Hirschl, 14
la-, par Ncehanu,210. Couches, symptomatologie et pro- nostic de
troubles
psychiques qui se produisent pendant les suites
périodique, par 'l ? iusch,4144 ? Ien Grèce, par * Sauborne, 236;
troubles
trophiques dans la -, par Hoyt,236;- ' puerpé
LiE* centrale, par Minor, 152. · , ;o - 1 'l ? - -; IIÉaucxorsÉr;
troubles
de la sensibi- lité- générale, - dans un' cas d
orie psychologique de l' -. par Grasset, 145. ,a rr, Idéation des
troubles
du mécanisme de l ? dans la folie systématisée
. "" " '" Inflammatoires, influence des états locaux ' sur ' les
troubles
men- taux, par Goodal, 292. Il - z Influenza,
r et Lachaux, 379HFs. T°° ' - an` \ -nf'j.'î i 4,1 sn' Langage,
troubles
du ' chez 'lés aliénés, par Klinke, 382 : - r r
Obstruction intestinale chez un aliéné, par Stewart, 229. OEIL,
trouble
unilatéral de la mobi- , lité du globe de l'- e
, par hornfeld ' et' Bikeles, 142, 201. "' ,i5 nH '·'i . Parole,
troubles
de la passagers dans la paralysie 'progressive,
s de la passagers dans la paralysie 'progressive, par Koenig, 40;
troubles
de la -, par Treitel, 315. - <* ? -&<
la-chez les alié- -nés,' par Schroeter, 452., ijG 1 Sensibilité,
troubles
de -la - géné- ratedans'uncas'fd'hemichorée p
vrose expérimentale. Les phénomènes d'hypnose dépendent toujours d'un
trouble
du fonctionnement régulier de l'organisme et l'hy
érapeutique de l'hypnotisme s'exerce d'une façon prédominante sur les
troubles
qui relèvent de l'hystérie. — Il existe entre l'h
ici, nous avons affaire à des désordres psychiques qui relèvent d'un
trouble
de la personnalité, d'une obnubilation du moi » (
a sensibilité est normale. Importance de la constatation exacte des
troubles
de la sensibilité dans l'hystérie Par le D' P.
re le diagnostic de l'hystérie. Parmi les éléments du diagnostic, les
troubles
de la sensibilité sont des premiers à envisager,
nt aussi confirmer les idées que je soutiens depuis longtemps sur les
troubles
de la sensibilité compensés chez les hystériques.
ovoquer des réflexes oculaires et pharyngiens, alors qu'il existe des
troubles
certains de la sensibili1..'- qui passeront ainsi
souvent provoquer le mouvement réflexe, et empêchait de constater un
trouble
de la sensibilité existant en réalité. Nous t
faire le diagnostic de l'hystérie et en particulier de rechercher les
troubles
de la sensibilité. 2" L'exploration des réflexe
t, et par des mains compétentes, été reconnue incapable de guérir ces
troubles
qui peuvent affecter les formes les plus diverses
e chez celte jeune fille, mais elle comporte des dissociations et des
troubles
de la sensibilité qui n'existent point ici. L'œ
rpose à des contractures ou à des paralysies ; il va de pair avec des
troubles
de sensibilité. Cette jeune fille, en effet, pr
é le jour que la nuit, avec, en outre, des bulles de pemphigus et des
troubles
trophiques qui simulent la gangrène de la peau.
l y ait là la moindre dépravation du goût. Il s'agit bien plutôt d'un
trouble
psychique, d'une variété de manie obsédante. La m
ait constituer une tare, un stigmate névropathique, bien plutôt qu'un
trouble
chlorotique de l'estomac • Priseurs de cocaïne
a signalé les bons résultats qu'il en a obtenus dans le traitement de
troubles
névropathiques divers (trac des chanteurs, mal de
j'estime qu'alors même que l'hypnotiseur aurait prévenu le sujet des
troubles
qui pourraient en résulter pour sa santé, il ne s
que l'emploi de ces moyens de coercition augmente la disposition des
troubles
mentaux à passer à l'état chronique. L'emploi d
te sainte Thérèse ne tarda pas à faire se révéler tout un ensemble de
troubles
hystériques jusqu'alors latents. Au premier ran
raissaient plus toucher à terre ». Charcot a signalé, au nombre des
troubles
psychiques de la grande hystérie, l'hallucination
'hemianesthésic. La malade a présenté seulement de temps en temps des
troubles
dyspeptiques. Intelligence peu développée. Cett
es idées: contractures, paralysies, anesthésies, etc., dépendant d'un
trouble
d'idéation. En guérissant ce trouble, on supprima
nesthésies, etc., dépendant d'un trouble d'idéation. En guérissant ce
trouble
, on supprimait l'état organique-Dans ces deux obs
uggestion curative. Elle doit aussi être reprise pour expliquer les
troubles
hystériques qui, jusqu'à présent, ont été regardé
rement idéaux. P. Janet a montré que l'ancsthésie hystérique était un
trouble
central d'idéation : (1) Voir Société d'hypnolo
est souvent ainsi. Mais en certains cas elle pourrait être due à des
troubles
périphériques vaso-moteurs Le membre anesthésié e
ont été rapportés (2). Tous ces faits ont la même cause : œdème par
trouble
vaso-moteur. 11. n'est pas étonnant que le même t
mais bien celle de malades. La presque totalité présente en effet des
troubles
psychopalhiqucs, très caractérisés se rattachant
nces au tempéramentdu sujet sans s'exposer à occasionner chez lui des
troubles
pathologiques. Les expériences se font au grand j
es compositeurs les plus célèbres. Mais, depuis plusieurs années, les
troubles
des mouvements, résultat de la maladie pour laque
ond. Par des suggestions analogues, après avoir guéri ce malade des
troubles
moteurs qui faisaient le fond de sa maladie, je l
stances employer utilement chez elle la méthode suggestive contre des
troubles
fonctionnels et surtout contre les tendances au d
tel point que le 1er mars la malade sort tout à fait guérie ». Les
troubles
du langage qu'on peut observer chez les hystériqu
ontractions volontaires des muscles vocaux sont seules troublées: ces
troubles
sont liés à l'existence de paralysies, d'ordinair
lades et apporta des observations de kleptomanie, de mensonge, de
troubles
du caractère, d'onanisme irrésistible, d'onychoph
us les moyens habituels dont dispose la pédagogie ont échoué. » i
Troubles
du caractère, mouvements impulsifs. — La suggesti
précédentes, inhibitrices, concernant les mouvements impulsifs et les
troubles
du caractère, je lui répétai, au point de vue dyn
nous sommes appelés à constater, le plus souvent l'animal atteint de
troubles
aussi graves que ceux provoqués par un état hysté
on parle d'épilepsie et surtout de rage. En effet, tout ce qui est
trouble
nerveux, particulièrement chez le chien et le cha
ente une crise qui se répète pendant quelques mois. Voici un cas de
troubles
hystériques provoqués par la peur et relatés par
udiés par le vétérinaire lluet et dans ses relations, on y relève des
troubles
hystériques indéniables. Influence des maladies
hennissement, des affections laryngiennes avec cornage, des tics, des
troubles
cérébraux, qui font naitre le vice rédbibitoirc i
e chiens ayant présenté sous l'impression de causes d'ordre moral des
troubles
nerveux très accentués. Un de ces animaux, qui
chienne de deux ans et demi très intelligente et très caressante. Les
troubles
qu'elle présenta furent d'abord, de la dysphagie,
, jusqu'alors endormi, ne se réveilla que très incomplètement, et des
troubles
paralytiques multiples se manifestèrent : dysphag
ut séparé de sa compagne. M. Aruch, se fondant sur la nature de ces
troubles
sur leur marche et sur l'absence de lésions visib
tres nerveux, capables de les expliquer, propose de les assimiler aux
troubles
hystériques observés dans l'espèce humain. Ce son
ériques observés dans l'espèce humain. Ce sont dans tous les cas, des
troubles
d'origine manifestement psychique. J'ai parlé t
ment en revue tout au moins les principaux agents provocateurs de ces
troubles
psychiques chez les animaux; je n'ai point entend
sont suspendues depuis deux mois. Cette femme a toujours souffert de
troubles
hystériques qui se sont aggravés à propos de son
fet son mari de l'avoir contagionnée et elle devint très jalouse. Ses
troubles
principaux étaient : idée de suicide, délire vagu
ne pratique cette opération; les femmes y recourent pour le moindre
trouble
utérin. Le cautérisateur, bien que sans diplôme
ilis cérébro-spinale, etc. Il ne faut donc pas se fier uniquement aux
troubles
de la sensibilité pour faire des diagnostics diff
moral, la rassurer, la calmer, attirer souvent son attention sur ses
troubles
de sensibilité, en somme la tonifier et la sugges
objecte que l'idée ne devient obsédante que grâce à l'existence d'un
trouble
préalable ; les obsédés sont des malades avantd'a
que ou émotive (Lange, W. James, Ribot, etc.) exagère l'influence des
troubles
vaso-moteurs et de l'expression émotive, au détri
que le rôle essentiel, dans la genèse de l'obsession, appartient aux
troubles
de la volonté. Si l'on étudie l'état des obsédés,
est, à cet égard, très instructive chez les obsédés. On retrouve ces
troubles
moteurs dans la folie du doute, type des obsessio
est un phénomène très complexe, dont la condition fondamentale est un
trouble
primitif et généralisé, affectant les éléments mo
lligence; (1) Congrès des aliéaistes et neurologistes, 1901. ce
trouble
est une aboulie permanente qui préexiste aux obse
véritable aboulie qui existait le plus souvent avant l'apparition des
troubles
moteurs, mais qui s'est accentuée avec leur dével
ue du pouvoir modérateur. En effet, ils sont enclins à la colère, aux
troubles
du caractère et à toutes les impulsions. Leur man
point, la suggestion devra être utilisée également pour combattre les
troubles
de la sensibilité morale, de l'intelligence et de
ersuadé de l'authenticité des faits rêvés, en impose souvent pour des
troubles
de retentissement de l'utérus gravide. La métri
usion de grossesse de la ménopause peut encore être accentuée par les
troubles
nerveux ou autres qui marquent cette crise de la
nt, l'effet sera supprimé. Cettecause est double : c'est, d'abord, un
trouble
de sensibilité de la région stomacale et, en outr
rd, un trouble de sensibilité de la région stomacale et, en outre, un
trouble
de la nutrition d'où il résulte que votre organis
est encombré de toxines et de produits de fermentations anormales. Le
trouble
de la sensibilité est justiciable de l'électricit
ceux-ci fonctionnent les uns en dehors des autres ; delà naissent des
troubles
de la personnalité et des manifestations de la gr
e, soit par la suggestion, soit par des massages on aura supprimé les
troubles
de la sensibilité et décontracturé les muscles. C
ve n'est plus seulement un symptôme, mais souvent le facteur même des
troubles
qui peuvent le produire. Le rêve des épileptiques
rdentà appeler hystériques, les analyser et les rapprocher des divers
troubles
nerveux que l'on est unanime à séparer de l'hysté
es. Quels en sont les attributs communs ? On peut dire que ces divers
troubles
sont purement fonctionnels, mentaux, qu'ils sont
es commotions morales peuvent exercer une influence sur la genèse des
troubles
mentaux indépendants de l'hystérie, elles sont mê
aître chez les diabétiques des accidents nerveux et de déterminer des
troubles
circulatoires graves chez les sujets atteints de
des malades ; la neurasthénie peut durer des années sans amener aucun
trouble
de la nutrition; il en est de même de la mala
estion. Déclarer à un malade atteint d'une paralysie psychique que ce
trouble
est purement imaginaire, qu'il peut disparaître i
tion est rigoureusement exacte et il est impossible de distinguer les
troubles
hystériques de ceux qui sont créés par la suggest
e se réaliseront pas et animé d'un ardent désir de se débarasser d'un
trouble
qui rend sa vie intolérable ; admettons de plus q
hystérie. Je crois qu'il est légitime d'appe-lerencorehystériques des
troubles
qui, sansprésenter les caractères des accidents p
de ces accidents et lui sont subordonnés ; mais il faut ajouter à ces
troubles
l'épithete de secondaires. L'atrophie musculaire
sont là les caractères dont la réunion peut servir à définir les
troubles
secondaires ; c'est parce qu'ils sont intimement
e de s'aulo-suggestionner. Elle se manifeste principalement par des
troubles
primitifs et accessoirement par quelques troubles
ncipalement par des troubles primitifs et accessoirement par quelques
troubles
secondaires. Ce qui caractérise les troubles pr
soirement par quelques troubles secondaires. Ce qui caractérise les
troubles
primitifs, c'est quHl est possible de les reprodu
sous ï'influence exclusive de la persuasion. Ce qui caractérise les
troubles
secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subord
troubles secondaires, c'est qu'ils sont étroitement subordonnés à des
troubles
primitifs ('). Comme on vient de le voir, j'ai
par conséquent, la définissent par une analyse comparative des divers
troubles
sur la nature desquels il n'y a plus de discussio
ystérie, les autres en dehors de ce cadre. Pour ce qui concerne les
troubles
qui sont l'objet de discussions, j'estime qu'il y
otisme. Ce qui distingue ces deux états c'est que dans le premier les
troubles
sont le résultat de rautosuggestion.qu'ilssontdus
oplégie. Je demande qu'on procède de la même manière en présence d'un
trouble
encore non classé qu'on veut faire entrer dans le
ts hystériques secondaires suffit pour connaître les conditions qu'un
trouble
doit remplir afin d'être admis dans ce groupe. Je
entendu, il est nécessaire que la relation de cause à effet entre les
troubles
en question et une manifestation hystérique primi
st-il pas essentiel, en effet, de réunir dans un même groupe tous les
troubles
sur lesquels la persuasion peut avoir une pareill
e le plus au point de vue du traitement de savoir reconnaître, car un
trouble
hystérique peut guérir rapidement, instantanément
est, comme je l'ai déjà dit, légitime et même utile de faire avec les
troubles
présentant les caractères sur lesquels je viens d
rrait, en se servant d'un néologisme, leur donner la dénomination de*
troubles
pithiatiques ('), qui exprimerait au moins l'un d
nt avec la tradition. Mais si l'on continue à appeler hystériques ces
troubles
dont la, propriété essentielle est leur dépendanc
ourrait fort bien désigner l'état psyclnr[uc qui se manifeste par des
troubles
guérissables par la persuasion et remplacerait av
. L'enfant est restée dix jours à l'hôpital, ne présentant plus aucun
trouble
nerveux, aucun symptôme du côté de l'abdomen » ('
et la tolérance stomacale rétablie, je me suis attaché à traiter les
troubles
gastro-intestinaux (antifermentescibles, antiputr
seulement le bromurer mais le raisonner, le rassurer et combattre les
troubles
psychopathi-ques par un traitement moral. II
es. Les réflexes tendineux et osseux sont normaux. Mais il existe des
troubles
de la sensibilité. A gauche, on constate une anes
fonctionnel. II faut savoir a que nombre de maladies débutent par un
trouble
fonctionnel quel-« quefois général, souvent local
ette thérapeutique n'est pas hasardeuse. Son but est de modifier » le
trouble
fonctionnel en agissant directement ou indirectem
rganes. Il a fait de la symptomatologie l'expression extériorisée des
troubles
que la lésion apportait dans les organes ; la thé
des échanges organiques qui permet de reconnaître l'existence de
troubles
encore latents de la fonction, de diagnostiquer l
it au fronton de son édifice cette loi pleine d'espérance: « C'est le
trouble
de la fonction qui crée la lésion de l'organe. »
ardiment le mot, la thérapeutique vitale qui peut, suivant le sens du
trouble
fonctionnel, l'exalter, le modérer ou le régulari
ar vos méthodes d'enseignement pédagogique l'aptitude des centres aux
troubles
de leur fonctionnement, vous faites de la thérape
jeu avec une intensité telle qu'elle paralyse la raison, et jette le
trouble
non seulement dans notre vie psychique, mais jusq
s d'hyperesthésie. Il ne faut donc pas s'en laisser imposer par les
troubles
trophiques et l'atrophie musc.ulaire. Ce n'est ic
ci et, par conséquent, ne pas l'attaquer directement, mais traiter le
trouble
fonctionnel dont elle n'est fréquemment que la co
is pendant des années ; nous citerons parmi les plus fréquents : a)
Troubles
de la moiilité; paralysies des membres, paralysie
cibles, hoquet, toux convulsive, rire convulsif, spasmes, etc. ; b)
Troubles
de la sensibilité ; névralgies (faciale, stomacal
rosternale, sensation de boule et constriction à la gorge, etc. ; c)
Troubles
secrétaires; ptyalisme, sécheresse de la bouche e
nsipide, diarrhée émotionnelle habituelle, constipations, etc. ; d)
Troubles
psychiques ; insomnie persistante, affaiblissemen
générale, hallucinations visuelles ou auditives, etc. ; .e) Autres
troubles
; inappétence, boulimie, tendances synco-pales, o
co-pales, onychophagie, onanisme, morphinomanic, dipsomanie, certains
troubles
trophiques de la peau, etc. ('). 3. Beaucoup de
rticulièrement légitime]d'admettro que, dans l'hystéro-épilepsic, les
troubles
sensitifs suivent une marche parallèle à celle de
e dans tous ses modes. Nos tentatives ont toujours échoué lorsque les
troubles
dont il s'agit avaient disparu d'une façon complè
e qui a eu, jadis, de nombreuses crises convulsives et la plupart des
troubles
de la grande névrose. Les crises convulsives ont
rd plus jamais connaissance, mais elle présente, de loin en loin, des
troubles
cutanés périphériques, à la fois sensitifs et vas
ée ; il en guérit assez vite, reprend son métier et ne présente aucun
trouble
notable apparent. II y a quelques mois, il rentre
estfautif à tous égards. Il s'agit bien, en l'espèce, simplement, de
troubles
relevant de la grande névrose, c'est-à-dire de l'
il devient sale, présente des pertes de mémoire, du tremblement, des
troubles
du côté des yeux, des hémorrhagies rétiniennes. O
nt donc être pris pour des paralytiques généraux ; ils présentent des
troubles
de l'automatisme cérébral; ils peuvent dédoubler
énué, et cette abolition du pouvoir de contrôle donne libre cours aux
troubles
fonctionnels en imminence. En un mot, ces phéno
suggestibilité du sujet, sur son émoli-vité, sur ses dispositions aux
troubles
hystériques. Leur apparition lui indique l'entrée
e la veille au sommeil se fait par une transition calme et sans aucun
trouble
. Mais cette personne a présenté, pendant les pr
S Hëmisomnambulisme hystérique. - Douleurs oculaires résultant d'un
trouble
mental pur (M. Par M. le Professeur Raymond.
s d'aboulie sur un terrain nerveux, c'est de la psychaslhénie, un pur
trouble
mental; c'est une question de transformation de l
al se désintéresse de ces questions pourtant très sérieuses. Bien des
troubles
maladifs imputables à certaines modifications du
, dont le système nerveux présente un manque d'équilibre résultant de
troubles
de l'organisme (menstruation, intoxications). Dan
le X..., seize ans, bonne santé antérieure. Présente depuis un an des
troubles
du début menstruel; n'a pas vu RECUEIL DE FAITS
atorze mois un fils unique âgé de sept ans. Le chagrin a entraîné des
troubles
profonds. Depuis six mois, suppression menstruell
nsolée dans la mesure du possible. Remarque. — Sous l'influence des
troubles
nerveux, alors que les ovaires sont troublés dans
Sur cet ensemble se greffent des accidents nerveux (boule). Tous ces
troubles
ont été causés par chagrins d'amour, rupture de m
ndue, elle revêt l'allure d^un véritable choc moral. Il en résulte un
trouble
profond qui se manifeste essentiellement par l'ap
de véritables états d'anxiété : quand il est interrogé par lui, il se
trouble
, il tremble, il balbutie. Il s'est aperçu que le
sans but déterminé; la rumination mentale et l'angoisse font appel au
trouble
moteur automatique. Les tics qui apparaissent d
Réglée à 13 ans, mais très irrégulièrement depuis, elle a eu quelques
troubles
digestifs et de l'anorexie. A 19 ans, elle devi
tention chez l'enfant. Dr Paul TESDOnPF [de Munich) : Corrélation des
troubles
somatiques et psychiques de l'hystérie. M. Lépi
chez un chien (Un cas de), p. 31. Douleurs oculaires résultant d'un
trouble
mental pur, par Raymond, p. 343. Eclampsie (Sug
usibilité dans l'hystérie (Importance de la constatation exacte des
troubles
de), par Paul Joire, p. 14. Sitophobio obstinée
chef de clinique, pu- blié déjà un travail sur la superposition des
troubles
de la sensibilité et les spasmes de la face et
paralysie faciale 'Gilles de la Tourette. - De la superposition des
troubles
de la sensi- hUilé el des spasmes de la face et
l porte encore une profonde cicatrice, sans qu'il s'en suivit aucun
trouble
nerveux durable. 1 L'absinthe c'est « la Musc a
dominent aujourd'hui. Ces idées délirantes sont entretenues par des
troubles
hallucinatoires très intenses, ' Ce sont d'abor
ptômes que nous allons examiner et dont les plus saillants sont les
troubles
de la sensibilité générale et les troubles psyc
plus saillants sont les troubles de la sensibilité générale et les
troubles
psycho-moteurs. Elle n'est plus la même, son te
, dans la production du dédoublement de la personnalité, à tous les
troubles
de la volonté, phénomènes d'inhibition ou impul
e) est un exemple de cette catégorie ; car elle renferme, à côté de
troubles
senso- riels effacés, un élément moteur prédomi
ler l'intervention des centres moteurs du langage, provoquée par un
trouble
fonc- tionnel de ces centres, analogue à celui
1° L'hallucination psychique de il. Baillarger est avant tout un
trouble
fonctionnel des centres moteurs de la fonction du
s avons pu assister au début, à l'évolution et à la disparition des
troubles
moteurs et sensitifs : par ses symptômes les pl
être signalées : nous voulons parler de la répartition anormale des
troubles
sensi- tifs, de la variation brusque des limite
e des limites des territoires anesthé- siés, de la dissociation des
troubles
diverses sensibilités, de l'existence de troubl
dissociation des troubles diverses sensibilités, de l'existence de
troubles
vaso-moteurs, de la disparition de l'excitabili
tion, dans ce cerveau évidemment t prédisposé, de l'hystérie et des
troubles
de la motilité. Le 2G août, comme elle traversa
ses, la malade revient rapide- ment et entièrement à elle. Point de
troubles
de la motilIté. Le 29, D... est transférée à Sa
gnorées. (Voir ftg. 1.) Réflexes rotuliens : légèrement exagérés.
Troubles
vaso-moteurs : cyanose et abaissement de la tempé
és aux articulations des doigts des poignets ne sont pas sentis'.
Troubles
vaso-motetcrs. Les mains, les poignets sont cyano
à l'action d'un courant électrique. Telle était la répartition des
troubles
sensitifs et moteurs le premier jour de l'exame
sibilité reparaît à la partie supérieure du dos. Dis- sociation des
troubles
de la sensibilité aux membres supérieurs : l'in-
c le bleu (fig. 4). 19 . Sensibilité. - Nuuvelle délimitation des
troubles
sen- sitifs dissociés (fig. 5) ; les doigts son
membre supérieur, il peut, au point de vue de la dissociation des
troubles
de la sensibilité, être divisé en quatre segments
ut sans laisser de traces. En mars, nous avons revu la malade : des
troubles
moteurs et 10. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE ME
pour quelque temps, en manière de transition, des équivalents des
troubles
sensoriels et convulsifs qui avaient si bruyam-
ions publiées, on n'assiste pas à une méta- morphose incessante des
troubles
de la sensibilité. Dans notre cas, l'anesthésie
t au contraire plusieurs mois sans variation, et cette fixité des
troubles
sensitifs est en rapport avec l'intensité et la d
troubles sensitifs est en rapport avec l'intensité et la durée des
troubles
moteurs qui y sont beaucoup plus accusés. Aux mem
urs qui y sont beaucoup plus accusés. Aux mem- bres supérieurs, les
troubles
sensitifs ne tardent pas à rétrocé- der. Mais l
ses modes : tempéra- ture, contact, douleur. 3" Dissocialion des
troubles
de la sensibilité. Les doigts récupèrent les pr
rieur se divise ainsi en quatre segments ; pour chacun desquels les
troubles
de la sensibilité se traduisent par une formule
de l'hémianesthésie pendant qu'il se rétrécit du côté anesthésié.
Troubles
trophiques et vaSO-1notew's. Des recherches ré-
aSO-1notew's. Des recherches ré- centes ont démontré l'existence de
troubles
trophiques dans l'hystérie : on s'était basé, i
sement de la température cutanée, une abolition des réflexes, des
troubles
de lacontractilité électrique, tous signes qui ma
inaison le plus souvent mortelle; l'autre, la maladie de Bergeron',
trouble
fonctionnel sans gravité, consistant d'après M.
e émotive des membres supérieurs. Quelle est donc la cause de ces
troubles
moteurs si généra- lisés ? On connaît le mécani
à la suite d'une attaque de rhumalisme que se seraient produits les
troubles
moteurs qui ont déterminé le transport de cette
s plusieurs mois, elle éprouve, à in- tervalles réguliers, certains
troubles
locaux et généraux qui font présager la prochai
e l'opinion émise par Charcot et Blocq, que l'astasie-abasie est un
trouble
de nature hystérique. Quant au pronostic, il no
', les phénomènes épileptoïdes seront représentés seulement par des
troubles
de la motilité (épilepsie jackso- nienne exclus
ite. Dans le second cas, ces phénomènes seront caractérisés par des
troubles
de la sensibilité générale et spé- ciale et de
ion qui est le fondement et la condition de l'intelligence ». Les
troubles
de la sensibilité générale et spéciale ne sont
dant et après l'accès, ne laissent guère de doute sur la nature des
troubles
vaso-moteurs de l'écorce qui déterminent ou acc
out, la nature de l'aura qui précède l'accès, consistant souvent en
troubles
de la sensibilité cutanée et mus- culaire, impl
de la colonne ; il tendrait à les considérer comme secondaires, par
troubles
tro- phiques des os. P. K. V. UNE MÉTHODE sim
femme de quarante-cinq ans. P. K. VII. CONTRIBUTION casuistique aux
TROUBLES
TROPHIQUES SECRÉTOIRES DE la peau dans la névri
us-jacents. Ces symptômes sont : des troubles-de coordination, -des
troubles
moteurs dans le domaine de l'oculomoteur commun
riels de la maladie, et ses équivalents paralytiques (y compris les
troubles
de la parole) nous ont particulièrement frappé.
ccord avec le diagnostic du rapporteur et ne trou- vent pas que les
troubles
des mouvements aient chez la malade le caractèr
mprendre sous le nom d'apraxie tous les cas dans lesquels existe un
trouble
de la faculté d'accomplir une action quelconque
is longtemps essayé d'expliquer la ma- nie et la mélancolie par des
troubles
de la circulation cérébrale. Seuls un ou deux c
pas pour les images verbales acoustiques. M.MENDEL. La genèse des
troubles
intellectuels par l'hyperémie ou l'anémie céréb
les glandes sudorales peuvent sécréter. J'ai signalé la genèse des
troubles
de la sensibilité affective par le développemen
photographie de ce qui se passe pendant la vie sous l'influence des
troubles
fonctionnels. lui-4 SOCIÉTÉS SAVANTES. Si le
autres territoires sensoriels. Il est donc juste de penser que des
troubles
de l'irrigation sanguine déterminent une excita
ues anciennes n'ayant rien à voir SOCIÉTÉS SAVANTES. 145 avec les
troubles
intellectuels; les autres sont maintenus au lit à
alitement forcé. Tantôt il s'agit de malades faibles présentant des
troubles
vaso-moteurs dans les extrémités inférieures. T
donner des résultats favorables dans les affections présentant des
troubles
locaux ayant pour cause une perturbation dans la
ns organiques et qui en réalité se trouvent sous la dépendance d'un
trouble
réflexe d'une fonction nerveuse. A côté de la p
la suggestion hyp- notique soit capable de guérir radicalement les
troubles
fonction- nels ? La neurasthénie est un trouble
r radicalement les troubles fonction- nels ? La neurasthénie est un
trouble
fonctionnel par excellence, mais elle est souve
d'obtenir l'hypnose. M. TOKARSKI a répondu que dans les cas où les
troubles
fonction- nels sont greffés sur un terrain de d
lepsie passagère par accès, les contractions, les vomissements, les
troubles
psychiques, la céphalalgie intermittente, la du
ge musculaire, le traumatisme y prédisposent ou l'occasionnent. Les
troubles
utérins et dyspeptiques en seraient d'après l'a
par suite de tourments ou fatigues, avec pâleur, langueur, anémie,
troubles
utérins, paresse, troubles sensitifs, intellect
fatigues, avec pâleur, langueur, anémie, troubles utérins, paresse,
troubles
sensitifs, intellectuels, aboulie; 2° la neu- r
e commune, avec symptômes mixtes, combinés, avec prédo- minance des
troubles
gastriques et intestinaux et les préoccupa- tio
ie par atonie gastro-iulesti- nale dont 2 formes : une bornée à des
troubles
fonctionnels, anorexie, ballonnement, éructatio
nnement, éructation, constipation, colites glaireuses, l'autre avec
troubles
généraux gravesouplusieursprécédents symp- tôme
es, l'agoraphobie et les autres états auxieux, l'hypo- condrie, les
troubles
divers de la sensibilité et des troubles du sens
ieux, l'hypo- condrie, les troubles divers de la sensibilité et des
troubles
du sens : 9° Les troubles génitaux et urinaires
troubles divers de la sensibilité et des troubles du sens : 9° Les
troubles
génitaux et urinaires. La neurasthénie cérébro-
aisem- blable. Au membre supérieur droit existent à la fois des
troubles
sensitifs et musculaires diversement répartis.
LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 167 C'est là, pour la syringomyélie, un
trouble
sensitif anormal, mais il faut compter avec les
l'avant-bras ? Ce n'est pas ainsi, en général, que se disposent les
troubles
de la sensibilité dans la syringomyélie; ils pr
. Il nous est facile d'expliquer aussi, dans cette hypothèse, les
troubles
observés aux membres inférieurs. Une es- quille
escendante, de là cette répartition si particulière des symptômes :
troubles
sensitifs localisés à la moitié gauche du corps
ène que j'ai observé dans plusieurs cas d'hémiparaplégie spinale,
troubles
moteurs et réflexes occupant surtout le membre
clair dans les choses qui nous occupent, au lieu de pêcher en eau
trouble
. Mais cette détermination d'un diagnostic ra- t
icale et elle a permis, un certain nombre de fois, d'apporter aux
troubles
médullaires d'origine mécanique un utile remède
our, on supprime le tout. Le malade (chose curieuse) n'accuse aucun
trouble
fonctionnel, aucune douleur, aucune limitation
que dans la scissure interhémisphérique; nous aurions autrement des
troubles
physiologiques graves à constater, et ils font
tende à devenir moins séreux et de meilleure consistance. - Aucun
trouble
dans la motilité, dans la sensibilité, ni les aut
on DES SIGNES ET conclusions. Il est facile de suivre pas à pas les
troubles
fonctionnels correspondant aux lésions cérébral
grande durée de ce travail pathologique, lent et progressif, aucun
trouble
physiologique n'a été remar- qué. L'absence de
morale ou physique, frappe le cerveau de commotion, y pro- duit des
troubles
circulatoires aussi réels, aussi intenses qu'un
ang dans les vaisseaux capil- laires ; de là des irrégularités, des
troubles
divers dans la cir- culation. Je n'en veux d'
encore prouver que les accès épileptiques sont occasionnés par des
troubles
de la circula- tion. Le médicament le moins i
; 4° Que les circonvolutions épileptiques ont été causées par des
troubles
de la surface cérébrale, probablement de nature
t près de dix mois à une pareille blessure, de ne remarquer aucun
trouble
physiologique consécutif à l'accident, ni pendant
jeune lieutenant de hussards qui pourrait écrire un volume sur ses
troubles
. Il avait trente ans, riche, beau et heureux, q
cine doit être absolu- ment proscrit chez les individus atteints de
troubles
cardiaques. En effet, dans le plus grand nombre
e a disparu avec l'accoutumance. En outre, l'auteur a observé des
troubles
digestifs, de l'inappétence, de la constipation.
roubles digestifs, de l'inappétence, de la constipation. Jamais ces
troubles
n'ont été durables. Dans plusieurs cas, l'action
souvent d'une parésie passagère d'un membre,, surtout, quand à ces
troubles
viennent s'ajouter de l'empâtement et de la gên
une action spéciale ; le délire très accusé s'accompagne à peine de
troubles
apparents de molilité. Contrairement à ce qui a
'alcoolisé paralytique est hal- luciné comme l'alcoolique, il a des
troubles
de la sensibilité générale, des fourmillements,
ut des symptômes de la paralysie générale, n'ont jamais présenté de
troubles
cérébraux; 5° L'intoxication alcoolique peut pr
e, permet de comprendre et de réunir dans un même ensemble tous les
troubles
cérébraux dus à l'alcoolisme depuis l'ivresse j
par l'alcool, aussi bien par les lésions ana- tomiques, que par les
troubles
de la sensibilité et de la molililé. Les essenc
ce sens, il s'appuie en outre sur la priorité presque constante des
troubles
de l'intel- ligence correspondant à la lésion d
il se trouve une accumulation de présomptions tirées, soit d'autres
troubles
mentaux intérieurs, soit de signes physiques ou
toxicité ne peut être rapportée qu'à un défaut d'élaboration et ce
trouble
de la nutrition explique peut- être certains sy
catrices au grand trochanter, fièvre typhoïde à l'âge de : 3 ans avec
troubles
nerveux, avec délire de convalescence (man- gea
aires : père suicidé, délire guéri assez rapidement. Dia- gnostic :
troubles
vésaniques à la suite de fièvre typhoïde. 2° ob
munique l'observation d'une femme de quarante-deux ans, atteinte de
troubles
trophiques, circulatoires et secrétaires, au co
ésions irritatives, d'un appareil sensoriel peuvent accompagner des
troubles
hallucinatoires. Mais il y a loin de là à la fo
t faire supposer que la folie sensorielle est sous la dépendance de
troubles
de la nutrition cérébrale ayant déterminé des a
notre malade ne se plaignait que des hallucinations de la vue. Les
troubles
auditifs, les illusions de la sensibilité génér
is fonctionnement de l'un d'entre eux entraîne iné- vitablement des
troubles
de tous les autres. M. RovER. Contribution à l'
eurs de lésions cardiaques en apparence composées, pré- sentent des
troubles
de circulation intra-oculaire. 2° Observations
idence DE M. BoUCHEREAU. M. ROUILLARD lit une note sur trois cas de
troubles
cérébraux consécutifs à la scarlatine. M. A.
s janvier 1888 d'une amblyopie de l'oeil droit, a été prise du même
trouble
de l'oeil gauche au mois d'août. A l'ophtalmosc
on constate une atro- phie des parties temporales de la papille. Le
trouble
de la vue s'est installé brutalement et intense
Affaiblissement et légerdegré d'ataxie des extrémités inférieures;
troubles
de la motilité rappelant l'hémi- chorée à gauch
n gommeuse des deux nerfs oculo- moteur et trijumeau droits et d'un
trouble
hétérotopique des nerfs intercostaux gauches.
iagnostiquée sûrement par un examen clinique bien fait, observé des
troubles
vésicaux. Dans six cas seulement, ceux-ci man-
tales d'un côté, avec hydrocépha- lie très marquée) ont trait à des
troubles
de la vue, survenus pen- dant le développement.
ez bonne pour que les lacunes du champ visuel n'expliquent point le
trouble
de la lecture. Elle a également perdu la mémoir
érale (immobilité SOCIÉTÉS SAVANTES. : 2ï et fixité des pupilles,
troubles
de la parole, exagération du phéno- mène du gen
; elle peut aussi atteindre les centres psychiques et provoquer des
troubles
intellectuels. Ceux-ci sont, comme l'a montré l
chopathies produites par toute autre affection fébrile aiguë. Les
troubles
psychiques se produisent pendant le stade fébrile
ons pas vu non plus de cas de démence aiguë. M. FtscHER signale des
troubles
vaso-moteurs consécutifs à l'in- fluenza. M.
s non leur dé- monstration expérimentale, discutant la validité des
troubles
net- tement paralytiques chez les animaux obser
iques chez les animaux observés, et reconnaissant cependant que les
troubles
de la sensibilité et de la motilité géné- rale
lyse des travaux de Goltz et de ses élèves Loeb et Schrader sur les
troubles
de la sensibilité générale et sur les troubles
et Schrader sur les troubles de la sensibilité générale et sur les
troubles
visuels; dans la partie con- sacrée à l'intelli
inférieur. La destruction de ce centre des centres entrainerait des
troubles
de tous les sens, de la sensibilité générale et
ans une période active, on ne peut ranger cette affection parmi les
troubles
de la dentition. Les traumatismes de la tète,
du système nerveux; Dr Sioli : sur un cas de cécité corticale avec
troubles
du toucher; Dr Zichen : paranoïa ; Dr Fries : é
tés, avaient été victimes d'indispositions plus ou moins graves, de
troubles
ner- veux passagers, etc. Afin de couper court
tadt, près Christiania, accusaient la bois- son comme cause de leur
trouble
mental, ce nombre est graduel- lement tombé jus
ERVEUSE. l'urine de certains tabétiques. Dans le premier cas, les
troubles
nerveux ont été mis sur le compte du dia- bète
des réflexes rotuliens jointe, chez un diabétique, à l'existence de
troubles
de la sensibilité tels, par exemple, que les do
ycosurie symptomatique du tabes et que d'autre part l'apparition de
troubles
nerveux, au cours d'un diabète avéré, veuille t
troisième enfin avait un père aliéné. « La fré- quence, dit-il, des
troubles
intellectuels et cérébraux trouve son explicati
e véritables douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs et de
troubles
vésicaux (incontinence d'urine). Au moment où n
ATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 323 dies générales, à tant de
troubles
permanents de la nutrition. Le système nerveux
Si les métamorphoses de la ma- tière peuvent être ralenties par un
trouble
nerveux, elles le sont également par une dispos
duction du diabète '. » Comme dans le diabète, il y a dans le tabès
trouble
nutritif. Dans ces dernières années, MM. Livon
réagir vis-à-vis le monde extérieur; elle suppose nécessairement un
trouble
profond, radical, de la sensibilité générale ou
oitié gauche de la face, après une hémiplégie gauche associée à des
troubles
psychiques passagers. En même temps, l'oeil gau
des fibres trophiques du nerf trijumeau; pour les autres, vu les
troubles
vaso-moteurs dont maintes fois elle est accompagn
e, de maux de tête, de congestion cérébrale, de vertige, parfois de
troubles
visuels. A l'âge de dix-sept ans, la mère et pu
tous les modes de sensibilité fit reconnaître l'absence absolue de
troubles
. Tous les sens fonctionnent d'une manière norma
sus-orbitaire. Dans d'autres observations, il y a non seulement des
troubles
trophiques, mais aussi de sensibilité. Ainsi, R
ire est aboli dans la région de l'anesthésie superficielle ; 4° a).
Troubles
trophiques : Amaigrissement du membre, différen
lésions intéressaient le plexus cervical, on aurait à constater des
troubles
du mouvement et de la sensibilité dans des régi
s quelques mois. Il a souvent de la céphalalgie bitem- porale, avec
troubles
de la vue. Les douleurs sont intermittentes. El
l n'est pas possible de les contrôler. L'hystérie a été précédée de
troubles
moraux et d'excès ou de misère relative. Le mal
es fonctions du coeur et sur la res- piration ; il ne produit aucun
trouble
gastrique ni intestinal. Son action hypnotique
2 grammes, et environ une demi-heure après son administration, des
troubles
dans la coordination des mouvements du train po
mais, même après un usage prolongé du médicament, il n'a observé de
troubles
digestifs, respiratoires ou circulatoires. Kram
dullaires. Au point de vue clinique, ce pigeon ne présentait pas de
troubles
de la motilité ni de la sensibilité; il voyait
altérations de ses cellules paraissent avoir une grande valeur. Les
troubles
du ganglion spinal ont été vus dans un cas d'he
te que ces pseudo-lipomes symétriques constituent chez ce malade un
trouble
trophique survenu à titre de symptôme épi- sodi
aide l'hypnotisme qui semble debarrasser le malade ou la malade de
troubles
organiques, en faisant intervenir l'action de c
t suivis de para- lysies flasques des extrémités en question. Aucun
trouble
de coor- dination. L'hémisphère cérébelleux gau
rasthéniques. Sans doute les neurasthéniques présentent parfois des
troubles
subjectifs qui rappellent ceux du tabes, mais l
M : MITTENzwEIG. Ce cas n'a pas trait à une psychose; ce sont des
troubles
élémentaires (hallucinations et illusions). M.
éphémères voluptés » que les « supplices durables » et surtout les
troubles
physiques de la morphinomanie, de sorte que je
; -Ephémère volupté et supplices durables; - Désordres physiques et
troubles
de l'intelligence; - Médecine légale ; Traiteme
31. Mélancolie, guérie par un érysipèle, par Sczypiorski, 231 ; -
troubles
trophiques et sécrétoires dans la , par Saury
l, 283; - structure des - périphériques, par Epoff, 147. Névrite,
troubles
trophiques de la peau dans la -, par Erlenmeyer
Ruban de Reil, histologie du -, par Rossolimo, 129. Scarlatine,
troubles
cérébraux con- sécutifs à la -, par Rouillard,
tées à la région paracentrale. Mais il y a le plus souvent absence de
troubles
permanents de la sensibilité, tels que anes-thési
e à un faible degré ; aussi, Messieurs, lorsque vous rencontrerez des
troubles
de la sensibilité très prononcés, méfiez-vous, c'
aracentral, déduire, jusqu'à un certain point, quelle sera, quant aux
troubles
moteurs, la symptomatologie observée dans les div
nous savons que lésion destructive veut dire monoplégie crurale, sans
troubles
bien appréciables de la sensibilité, à moins qu'i
pendant, à la longue, si la lésion, au lieu de se borner à de simples
troubles
de la circulation, à une anémie de la substance c
aire. Nous notions également l'absence d'exagération des réflexes, de
troubles
trophiques, vaso-moteurs et de troubles objectifs
'exagération des réflexes, de troubles trophiques, vaso-moteurs et de
troubles
objectifs de la sensibilité : le malade n'accusai
erçues nettement et pour ce qu'elles étaient réellement, à moins d'un
trouble
morbide quelconque tel que la dyschromatopsie, l'
les sujets, en dehors de leurs accès nocturnes, ne souffrent d'aucun
trouble
de la santé (1). (1) Voir plus loin, nos XXVIII
nt du petit mal ; c'est le petit automatisme de M. Charcot. Tantôt le
trouble
dont il s'agit ne dure que quelques instants, et
t au fait que, chez les somnambules naturels, il n'existe aucun autre
trouble
de la santé, cela n'est rien moins que démontré.
a base du cœur. Pas do paralysie, pas d'atrophie musculaire. Pas de
troubles
trophiques ou vaso-moteurs. Les réflexes rotulien
convalescence, il était un peu sourd, avait les jambes enflées et des
troubles
assez accentués de la mémoire. Au boutde deux moi
lus tard éclatèrent les premiers accidents nerveux. Le début de ces
troubles
eut lieu sans cause connue. Un soir, chez lui, ap
lques malaises gastriques : inappétence, vomissements et une sorte de
trouble
de la mémoire, qui durèrent quatre ou cinq jours.
issons, sensations de chaud et de froid. A cela s'ajoute une sorte de
trouble
de la mémoire, il ne se rappelle plus rien, oubli
i il dictait ses dépêches et ses articles. Pour nous rendre compte du
trouble
que ce tremblement, déjà bien atténué cependant à
utre présent. M. Ribot, dans son très intéressant livre, classe les
troubles
de la personnalité de la manière suivante : Dans
ts comprend ceux où il existe une substitution de la personnalité. Ce
trouble
est plus superficiel ; le type le plus caractéris
de M. le Pr Charcot pendant des années, sans qu'on se soit aperçu du
trouble
psychique dont elle était atteinte. On avait rema
le dédoublement de la personnalité, tel que nous l'entendons ici, le
trouble
de la mémoire peut varier suivant les cas. Tantôt
reproduit dans tous les livres ou travaux traitant de la question des
troubles
ou maladies de la personnalité. Il est en effet b
s. Son caractère est irritable, son langage grossier. Il souffre d'un
trouble
de la prononciation qui le rend presque inintelli
ire dans différents travaux (2) a pu enfin constater la cessation des
troubles
qu'il avait si minutieusement étudiés (3). Ce cas
rmal qui l'a remplacée doit être creusé de lacunes énormes, causes de
trouble
profond et continuel dans cette existence « sembl
une fdle d'apparence normale est cependant malade ; elle présente des
troubles
qui méritent d'attirer l'attention, et dont la pr
dresse à la mémoire, on s'aperçoit tout de suite qu'il existe là un
trouble
considérable, qui fait véritablement de la person
es détraquées qu'elles devinrent indociles, insupportables, semant le
trouble
dans toute la salle. L'une d'elles, moins rusée
cet état et empêche dès l'abord toute confusion avec l'autre, est un
trouble
particulier de la motilité. La malade ne peut pas
ent d'une sorte d'astasie-abasie. Peut-être en partie à cause de ce
trouble
de la marche qui la gêne grandement, Marguerite a
essant de les rapprocher du nôtre en raisoa de cette dissociation de3
troubles
de la motilité dans l'un et l'autre état. ne lu
i caractérisaient son état et nous l'avaient fait ainsi dénommer, les
troubles
de la mémoire, si importants cependant dans l'esp
t spontanément à la suite d'une attaque, elle éprouve tout d'abord un
trouble
assez violent. « Où suis-je ? dit-elle ; qui m'a
s faible de ce côté (Voir Fig. 8!. Il n'existe, d'autre part, aucun
trouble
de la motilité qui distingue cet état du précéden
c des Américains. La modification, si nettement caractérisée par ce
trouble
de la mémoire, porte également, dans l'état A, su
diminution de marchandise et de cette augmentation de fonds. De là un
trouble
énorme apporté dans la vie de tous les jours des
vigilambules à oscillations plus ou moins périodiques d'états A et B,
trouble
qui n'existe point du fait des périodes somnambul
hénomènes dynamiques irrémédiablement destructifs, mais uniquement de
troubles
organiques transitoires. Cette opinion sera suffi
ation dans l'état de santé, aucun changement dans le caractère, aucun
trouble
intellectuel. Vous savez cependant que tous les s
Nous voici enfin à l'événement du 28 août. Il était (1) Azam. — Les
troubles
intellectuels provoqués par les traumatismes céré
a voisine qu'elle venait de quitter n'avait remarqué aucune espèce de
trouble
intellectuel ; elle la revoit un quart d'heure ap
isait autrefois, elle les garde 24 heures ; 3° Il reste beaucoup de
troubles
de l'attention, du jugement, de l'ntelligence, mo
u sucre dans l'urine de certains tabétiques. Dans le premier cas, les
troubles
nerveux ont été mis sur le compte du diabète sous
te des réflexes rotuliensjointe, chez un diabétique, à l'existence de
troubles
de la sensibilité tels, par exemple, que les doul
Nervenkeilk, 1886, a° 18, p. 545.) que d'autre part l'apparition de
troubles
nerveux, au cours d'un diabète avéré, veuille tou
pense-, t-il , admettre une relation causale entre les deux ordres de
troubles
. Dans le cas contraire, il s'agirait de coexisten
mental de certains diabétiques (Gaz. des Hôp., 1877, p. 1177), et Les
troubles
intellectuels des diabétiques. (Gaz. des Hôp., 18
tellectuels des diabétiques. (Gaz. des Hôp., 1884.) (2) Lecorché. —
Troubles
nerveux dans le diabète chez la femme. (Archiv, d
La troisième enfin avait un père aliéné. « La fréquence, dit-il, des
troubles
intellectuels et cérébraux trouve son explication
La raison de ces liens de parenté consiste vraisemblablement dans un
trouble
de la nutrition, trouble commun aux manifestation
e parenté consiste vraisemblablement dans un trouble de la nutrition,
trouble
commun aux manifestations arthritiques et aux man
ue celle qui prédispose à tant d'autres maladies générales, à tant de
troubles
permanents de la nutrition. Le système nerveux es
e... Si les métamorphoses de la matière peuvent être ralenties par un
trouble
nerveux, elles le sont également par une disposit
production du diabète » Comme dans le diabète, il y a dans le tabès
trouble
nutritif. Dans ces dernières années, MM. Livon et
u sucre. Il venait consulter pour des douleurs névralgiques, pour des
troubles
oculaires, avec une ordonnance des Quinze-Vingts,
e tenir soit à la fracture ancienne vicieusement consolidée, soit aux
troubles
de la vue. Les troubles de la sensibilité sont
ancienne vicieusement consolidée, soit aux troubles de la vue. Les
troubles
de la sensibilité sont multiples. Le malade se pl
ôt vigoureux d'aspect. L'appétit est exagéré, la soif augmentée, sans
troubles
stomacaux ou intestinaux. Il porte au niveau de l
trouvé paralysé du côlé gauche, sans participation de la face et sans
troubles
de la sensibilité. Il s'agit d'une monoplégie cru
r présence, que nous voulons établir l'existence du tabès vrai. Les
troubles
vésicaux plaident bien pour l'ataxie locomotrice
suffisamment caractéristiques et on pourrait objecter que de pareils
troubles
urinaires ont été observés dans le diabète. Par c
troubles urinaires ont été observés dans le diabète. Par contre, les
troubles
oculaires nous semblent lever ici toute espèce de
les diabétiques. Non pas qu'on ne rencontre point dans le diabète des
troubles
et des lésions oculaires ; mais combien différent
la paralysie de l'accommodation et des muscles extrinsèques ; 3° les
troubles
hémorrhagiques du corps vitré; 4° des rétinites e
En résumé, si quelques accidents nerveux : perte du réflexe rolalien,
troubles
de la sensibilité, frigidité génitale, troubles v
du réflexe rolalien, troubles de la sensibilité, frigidité génitale,
troubles
vésicaux même ne peuvent être équi-tablement part
peuvent à la rigueur dépendre du diabète aussi bien que du tabes, les
troubles
oculaires relèvent incontestablement de l'ataxie
rche avec une canne. C'est à la même époque que se sont montrés les
troubles
uri-naires caractérisés par une paresse vésicale.
ousser fortement, de se tirailler la verge et de pisser accroupi. Ces
troubles
n'ont pas cessé depuis lors ; s'il veut résister
uelques gouttes dans son pantalon. Depuis une dizaine d'années, les
troubles
moteurs se sont notablement accrus ; fréquemment
urique, le tout par litre, sans aucune trace d'albumine. L'urine est
trouble
, acide, d'une densité normale, et laisse déposer
, sans contractions fibrillaires, sans atrophie appréciable. Pas de
troubles
de la sensibilité autre que des engourdissements
ossible dans l'obscurité. Le cœur est normal. Le pouls a 76. Pas de
troubles
digestifs. Troubles urinaires déjà signalés. Rien
rité. Le cœur est normal. Le pouls a 76. Pas de troubles digestifs.
Troubles
urinaires déjà signalés. Rien au foie ni dans les
huit ans plus tard, est survenue une incoordination motrice, avec des
troubles
urinaires bien spéciaux. Ce n'est que vingt ans a
llaire, le signe d'Argyll, les signes de Romberg et de West-phal, les
troubles
urinaires. Notre malade est en outre un véritable
négalité pupillaire, le signe de Robertson, la démarche ataxique, les
troubles
vésicaux, qui ne peuvent être mis sur le compte d
Nous-nous sommes déjà expliqués sur la plupart d'entre eux. Quant aux
troubles
moteurs, nous ferons remarquer en passant, qu'il
oint de certains signes habituels, concomitants : fréquence du pouls,
troubles
sensitifs dans le domaine du trijumeau, etc., qui
violentes, maintenant plus fréquentes, mais beaucoup moins sévères.
Troubles
vésicaux, rétention d'urine ; ne peut uriner qu'à
ais ce fait est assez difficile à préciser à cause de la présence des
troubles
vésicaux tabétiques qui existaient déjà à cette é
891). — Homme d'aspect assez robuste, d'embonpoint ordinaire. Comme
troubles
de la sensibilité, il se plaint de douleurs à typ
e. Sa bouche n'est ni sèche ni amère : deux dents font défaut. Pas de
troubles
appréciables de la sensibilité objective, général
réciables de la sensibilité objective, générale ou sensorielle. Les
troubles
génito-urinaires sont une impuissance absolue et
absolue et une légère incontinence d'urine de temps à autre. Comme
troubles
moteurs, incoordination absolument tabétique. Le
ouverts, sans osciller et sans menacer de tomber. Il n'accuse aucun
trouble
oculaire ; aucun trouble gastrique ou laryngé. Le
sans menacer de tomber. Il n'accuse aucun trouble oculaire ; aucun
trouble
gastrique ou laryngé. Le cœur est sain, le pouls
iques coïncide précisément avec l'apparition de symptômes tabétiques;
troubles
de la sensibilité, incoordination motrice à évolu
réflexes aux bras et aux genoux. Anes-thésie de la plante des pieds.
Troubles
du tact. L'urine a une densité de 1,028 et renf
ré, et sa constatation est bien capable d'induire en erreur. 4° Les
troubles
trophiques : maux perforants (Kir-misson), chute
es existent, dans le diabète vrai. 2° L'incoordination motrice. Les
troubles
de la démarche n'ont rien de commun dans les deux
udo-tabes jusqu'ici observés » '. (1) Charcot. — Loc. cit. 3° Les
troubles
vésicaux. Si la rétention d'urine peut survenir a
ents vésicaux peuvent s'y montrer \ ils n'ont rien de commun avec les
troubles
urinaires du tabès ; il est inutile d'insister su
urinaires du tabès ; il est inutile d'insister sur ce point; 4° Les
troubles
oculaires. Les différences sont ici très accentué
res. Les différences sont ici très accentuées, et la fréquence de ces
troubles
dans le tabès comme dans le diabète leur donne un
de Wecker et Landolt, ces paralysies seraient probablement dues à des
troubles
circulatoires et reconnaîtraient des lésions peu
néralement bénin et guérissent facilement même sans inler (1) Bazy.—
Troubles
urinaires chez les glycosuriques. (Congrès frança
ique. Les auteurs signalent à peu près tous une atrophie simple, sans
trouble
bien manifeste de la papille. L'atrophie était as
nes étaient filiformes. Dans les cas de cette espèce, on a trouvé des
troubles
de l'achromatopsie en somme de même nature que da
t cette terminaison (Lecorché, Ïestelin-Piéchaud)l. » En résumé les
troubles
oculaires du diabète n'offrent qu'une analogie su
paralysies de l'accommodation et celles des muscles extrinsèques, les
troubles
hémorrhagiques du corps vitré, des rétinites, des
ordre les signes suivants : 3° Crises gastriques et laryngées ; 4°
troubles
dans les fonctions des cordes vocales ; 5° toux c
es tels que : pertes des réflexes rotuliens, douleurs fulgu rantes,
troubles
divers de la sensibilité objective... signes de l
l survient au cours d'un diabète des signes de la seconde catégorie :
troubles
oculaires, vésicaux, moteurs... le diabète vérita
rtage sera très délicat pour ceux de la première : signe de Westphal,
troubles
de la sensibilité... L'influence du traitement po
n ultérieure de certains signes tabétiques : incoordination spéciale,
troubles
vésicaux, oculaires, transformeront ces présompti
ord sous forme d'incertitude, puis avec les caractères ataxi-formes ;
troubles
de la parole; absence de douleurs fulgurantes, de
la parole; absence de douleurs fulgurantes, de crises viscérales, de
troubles
de la sensibilité. Cependant quelques-uns des sym
disparu ; elle a un assez fort embonpoint et ne présente aucun autre
trouble
de santé générale. Sa descendance est particulièr
ue. 1° Fille aînée. Santé bonne. 1 fille. 2° Fille. Choree avec
troubles
intellectuels. 3 enfants morts en bas âge. 1 fi
e, l'odorat et le goût sont également normaux. Il existe un certain
trouble
de la parole, consistant en ce qu'il mange toujou
consistant en ce qu'il mange toujours une partie de ses syllabes. Ce
trouble
augmenta dans la suite, surtout dans les derniers
ssance. L'urine est normale comme quantité et comme qualité. Pas de
troubles
vésicaux. Constipation habituelle. Le sphincter f
ctuée par le tubercule supérieur, peut être rendue responsable de ces
troubles
. Il est à remarquer en dernier lieu que, bien q
és par ce même néoplasme, nous n'avons pas constaté pendant la vie de
troubles
de la sensibilité. Le malade prétendait, il est v
palement à gauche, notable surtout dans certains mouvements. Pas de
troubles
respiratoires imputables à la paralysie du diaphr
ulaire palpébral ferme bien les yeux; il n'y a pas d'épiphora. Pas de
troubles
de la motilité des yeux. Les plis naso-gésiens so
. La luette est un peu déviée à droite par sa pointe. Il n'y a pas de
troubles
de la déglutition. Le malade n'a pas remarqué que
ion de dégénérescence. Les réflexes rotuliens ont disparu. Pas de
troubles
de la sensibilité. Il me semble réellement que
ions crâniennes, d'une lésion ostéo-trophique spéciale, parallèle aux
troubles
tro-phiques musculaires qui constituent la myopat
ssant à la sensibilité générale, mais encore celles qui ont trait aux
troubles
de la sensibilité thermique subjective et aussi à
ns de chaud, de froid, etc., sont les plus fréquentes. Mais parmi les
troubles
viscéraux, il en est un sur lequel nous avons ent
uillée de matières fécales. 3» auras visuelles. (Deux cas.) Les
troubles
qui constituent les auras visuelles peuvent être
'un d'eux (Obs. XV) est particulièrement intéressant par la nature du
trouble
visuel qui carac térise l'aura. Observation XIV
cas est rendu curieux par le fait de la coexistence de deux sortes de
troubles
visuels différents : l'un, constitué par la visio
iformes faisant partie de la symptomologie de cette migraine. Mais le
trouble
visuel qui constituait l'aura était bien différen
ordre sensitif: sensations de faiblesse générale, de malaise, puis un
trouble
particulier plutôt du domaine de la mo-tilité : l
n attirer l'attention des patients, pour leur remettre en mémoire des
troubles
dont l'importance, vu leur brièveté ou leur peu d
proprement dite. Cela nous permet enfin de nous rendre compte que les
troubles
qui constituent l'aura hystérique ne sont pas, en
y constate, outre les phénomènes de l'aura céphalique hystérique, des
troubles
visuels et moteurs et, enfin, le besoin d'aller à
peut comparer sa statistique aux autres, attendu qu'il y confond les
troubles
prémonitoires ou prodromes se produisant à plus o
s les signes classiques de la maladie de Charcot et de plus avait des
troubles
oculaires tabétiques. Les diverses classes d'am
attaques. Mais avant de discuter cette question, occupons-nous des
troubles
de la sensibilité que présente le malade. Il ex
nesthésie doit être mise sur le compte du saturnisme ; car, outre les
troubles
de la sensibilité décrits par Beau et Manouvrier,
. Le saturnisme a-t-il pourtant joué un rôle dans la production des
troubles
nerveux que présente notre malade? Cela me paraît
tre que la paralysie et les coliques, mais le saturnisme détermine un
trouble
de nutrition qui, chez tels sujets prédisposés hé
ntellectuelles ont été bien peu altérées pendant tout ce temps-là. Le
trouble
de ces fonctions s'est borné à un sentiment de va
iens dans le —, 290 ; — et névropathie, 295 ; Pseudo-tabes du —, 309;
Troubles
oculaires dans le —, 314, 332; Influence du tabes
iabète sucré, 289; — et glycosurie, 291,335 ; —et arthri-tisme, 307 ;
Troubles
oculaires dans le —, 314, 332 ; Influence du — su
autre. Les tremblements tibrillaires font défaut. Il n'existe aucun
trouble
de la sensibilité. L'état des viscères, explo
é par M. Charcot dans une de ses leçons cliniques \ n'offrait aucun
trouble
de la sensibilité ni de la motilité dans les or
omme nous allons le voir. Le malade attribue lui-même l'origine des
troubles
dont il est atteint à une faiblesse génitale qu
quatre ans. Vue excellente, le malade est un tireur habile. Aucun
trouble
quelconque dans les nerfs craniens.-Pupilles nor-
es de la sensibilité sur toute la surface de la peau. -Jamais aucun
trouble
des sphincters. Appétit et digestions normales.
ne rend pas de gaz par les orifices du canal digestif. Pas d'autres
troubles
. Ce chien est resté paralysé deux mois et demi,
quefois du dos, les articulations étaient toujours libres- d'autres
troubles
faisaient défaut, ces douleurs disparais- saien
décubitus, le sacrum ayant été complètement dénudé el par suite des
troubles
uri- naires, la mort survient le 4 juin, à savo
'état de la sensibilité et de lamotilité reste le même; l'urine est
trouble
, alcaline, de mauvaise odeur, légèrement colorée
t la grosseur d'un grain de millet. Il y a dans la pyèle du liquide
trouble
, de mauvaise couleur et purulent. Couches épais
bole peuvent parfai- tement bien expliquer les trois caractères des
troubles
de langage survenant par l'emploi des scaphandr
ne la raison et qui par cela même spécialisent en quelque sorte les
troubles
du langage de cette origine : en effet, l'embol
ais le rapport ne s'arrête pas là; ajou- tons tout de suite que les
troubles
du langage de ces migraineux ophtalmiques sont
une notion à peu près exacte de l'en- droit où l'on doit placer les
troubles
cérébraux para- lytiques d'origine scaphandrien
de l'accès. Forme SENSORIELLE. 1. Yariélé oculaie. Le plus grave
trouble
oculaire qui provient de l'emploi des scaphandr
sait bien, par M. M. Cyon, qui a démontré expérimentalement que les
troubles
de l'équilibre sont dus aux lésions de cette po
la sensation de 70 CLINIQUE NERVEUSE. l'équilibre disparaît, les
troubles
locomoteurs appa- raissent, le vertige de Méniè
t dispenser de nous occuper du groupe de symptômes céphaliques. Les
troubles
respiratoires qui ont leur - genèse aux organes
seconde série, hémiparésie plus légère, également persistante, mais
troubles
très accu- sés de la sensibilité spécifique (cé
dach. Enfin, dans la troisième série de ces expé- riences, point de
troubles
moteurs, quoiqu'il existât un très léger affaib
s de la suppression de l'innerva- tion cérébelleuse ont consisté en
troubles
trophiques et vaso-moteurs, en une dénutrition
ments du vermis), et qui avait survécu six mois, on notait tous les
troubles
caractéristiques des malades atteints de tabes
otrice, mais toujours sans aucune altération de la sensibilité. Des
troubles
trophiques ont également été observés chez ces
88ï, 5-l2. 90 PHYSIOLOGIE. emportent bien loin de l'époque où les
troubles
de la sensibilité cutanée et musculaire étaient
de la zone motrice s'accompagnent tou- jours, en même temps que de
troubles
de la motilité, d'altérations de la sensibilité
ons ma- nifestes de la sensibilité générale coïncidaient avec des
troubles
de la motilité dus à des lésions de l'écorce. D
ltérations de la sensibilité générale sont ici comprises, outre les
troubles
du sens musculaire, celles de la sensibilité ta
que celles des lobes occipital et temporal, ne déterminent aucun
trouble
de la sensibilité cutanée et musculaire, à moins
n'en avoir pu trouver un seul ». Ajoutez les cas clini- ques où les
troubles
de la sensibilité avaient fait défaut en dépit
ésions destructives de l'hip- pocampe et ceux, innombrables, où ces
troubles
exis- tent sans lésions de l'hippocampe. Enfin,
étendue de la zone sensitive de l'écorce cérébrale. Mais, comme les
troubles
de la sensibilité .musculaire, de la sensibilit
superficielles de l'écorce des régions motrices détermineraient des
troubles
de la sensibilité cutanée, les lésions profonde
s superficielles de l'écorce seule, peuvent ne déterminer que des
troubles
légers de la sensibilité, toujours de moindre i
tendue ou la profondeur des lésions les différences d'intensité des
troubles
de la sensibilité et du mou- vement, retenons d
les différentes parties du corps permettent-elles de rapporter ces
troubles
fonctionnels à des lésions correspondantes et e
té des bras et de la face étaient altérés à la fois; 4° ceux où ses
troubles
étaient limités au bras seul ; 5° enfin, ceux o
. L'appétit a diminué. Selles régulières, parfois tympanite. Pas de
trouble
de la miction. Les règles sont venues le 22 déc
localisations CÉRÉBRALES EN TENANT PLUS PARTICULIÈREMENT COMPTE DES
TROUBLES
UE LA VUE d'origine cérébrale; par C. REINHARD.
lésions de l'ensemble des circonvolutions cérébrales produisent des
troubles
de la motilité d'autant plus tôt que ces lésions
ent plus près du pourtour immédiat du sillon de Romande ; -- 2° les
troubles
de la sensibilité produits par des lésions se m
deuxième temporales ; - 4° la lésion du lobe occipital engendre des
troubles
de la vue directs, qui appartenant à la cécité
lobes pariétaux peut indirectement et passagèrement provo- quer des
troubles
de la vue d'origine cérébrale ; ô° le déficit de
e lumière a disparu, on a affaire à la cécité corticale' ; - 6° les
troubles
de la vue d'origine cérébrale peuvent être hémi
e, en outre, parfaitement en réalité certaines parti- cularités des
troubles
de la vue d'origine cérébrale ; - 1° les objec-
e cérébrale ; - 1° les objec- tions de Goltz contre l'existence des
troubles
de la vue d'origine cérébrale ne s'appliquent p
soit des deux sources à la fois. On peut donc conclure que : 1° les
troubles
trophiques dans le domaine des nerfs du cuir ch
evelu, peuvent s'accompagner d'autres phénomènes cérébraux ; 2° les
troubles
trophiques peuvent s'étendre jusqu'aux cheveux;
s troubles trophiques peuvent s'étendre jusqu'aux cheveux; - 3° ces
troubles
peuvent prendre un caractère périodique ; 4° le
- 3° ces troubles peuvent prendre un caractère périodique ; 4° les
troubles
dans les che- veux se manifestent par une perte
IN, (Arch. f. Psych., XVII, 3. XVIII, 1-2.) D'après l'auteur, les
troubles
qualitatifs de la mémoire et les anomalies de l
sse de leurs facultés, et de la perturbation de leur jugement et du
trouble
très accusé de leur connaissance. Naturellement c
s'agit, on observe des convulsions épilap- tiformes, ainsi que des
troubles
du langage analogues à ceux de la paralysie gén
accompagné d'hallucinations) alors que, dans la plupart des cas, le
trouble
mental persiste pen- danteplusieurs mois, etpeu
'auteur a rencontré. un certain nombre de malades, pré- sentant des
troubles
analogues à ceux de l'ivresse, et chez lesquels
l les dessine, il n'y a donc pas lésion de l'aper- ception ; il y a
trouble
de l'association des idées corrélatives, cécité
NTES. 129 Dans ces conditions, la cécité psychique peut émaner d'un
trouble
fonctionnel de l'écorce du centre visuel (sympt
té motrice et la multiplicité des conceptions tient évidemment à un
trouble
des centres de régula- tion psychique. Dans ces
a charpente musculaire ne présente en pareils cas autre chose qu'un
trouble
léger dans la transparence des fibres. M. KNY
a rien produit dans un cas de crampes musculaires douloureuses (les
troubles
digestifs déterminés par l'hyoscine ont dû la f
lle à Kast. r. ZACllER. - L'hyoscine neprovoque-t-elle pas certains
troubles
digestifs graves ? Arrête-t-elle réellement la
de l'oreille moyenne du côté gauche qui entretenait chez lui des
troubles
nerveux limités au même côté gauche exclusivement
fications, basées sur la forme, l'étendue plus ou moins grande des-
troubles
mentaux, ont rapproché les malades par des anal
ue l'état mental des épileptiques, analyse d'une façon générale les
troubles
du langage, distingue les désordres mentaux varié
X..., à Alaincourt, a pré- senté, depuis le 3 novembre courant, des
troubles
insolites du sys- tème nerveux. Après de violen
e par l'eau de Cologne ressemble à l'alcoolisme ordinaire, mais les
troubles
nutritifs et le délirium tremens s'y rencontren
médullaire constitué par la tlaernzanes- thésie, l'analgésie et les
troubles
sudoraux ou vaso-moteurs (substance grise latèr
8" de 48 pages. Paris, 1888. - G. Steinheil. SA ? AGE (H.). - Les
troubles
d'esprit, développés à l'occasion des fian- çai
'exci- tation ou les lésions des zones motrices , provo- quer des
troubles
de la sensibilité. L'hypothèse de LES FONCTIONS
tions les plus considérables de l'écorce ne seraient suivies que de
troubles
fonctionnels susceptibles de s'amender indéfini
t de ce système de fibres, soit de l'écorce du coin, provoque des
troubles
de la vision (hémiopie, etc.). Quand les excita
l de la pa- ralysie générale dans la région fronto-pariétale. Les
troubles
de la sensibilité générale et spéciale vont de
accélère la circulation, détermine de la chaleur à la peau, avec
trouble
fébrile passager, à la manière des substances exc
isparition d'attaques d'épilepsie, légères et espacées, apporter un
trouble
sérieux dans les fonc- tions intellectuelles. E
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 241J sang qui peut expliquer l'éclosion des
troubles
cérébraux; mais la soudaineté de l'alternance (
és, paraissent souvent masquer, au moins dans un certain temps, les
troubles
cérébraux : dans ce cas encore, il est probable
es troubles cérébraux : dans ce cas encore, il est probable que les
troubles
qui disparaissent ainsi sont purement fonctionn
des maladies qui paraissent plus aptes que d'autres à modifier les
troubles
mentaux, par exemple les affections douloureuse
s les cas de syphilis à lésions géné- ralisées : il tiendrait à des
troubles
fonctionnés de la circulation. Quant au rapport
ésions des cordons postéeieurs. Eu ce qui regarde la pathogénie des
troubles
de la sensibilité, elle parait émaner bien plus
ération des nerfs sensitissquede celle des cordons postérieurs; les
troubles
laryngés se rattachent à des lésions des nerfs
un certain degré d'ataxie dans les bras, le signe de Itomberg, un
trouble
du sens musculaire aux quatre extrémités. Intégri
s patellaires, pas de paralysie, pas de symptômes oculaires» pas de
troubles
de la parole. Mort 20 mois après le début des acc
. Bien que les tumeurs cérébrales s'accompagnent le plus souvent de
troubles
mentaux d'un genre ou d'un autre, il est de règ
ale du pouvoir moteur, par l'association de ces phénomènes avec des
troubles
de l'écriture et de la parole, de l'inégalité pup
me de l'ablation antérieure d'une tumeur du sein, la diminution des
troubles
mentaux vers la fin de la maladie (diminution s
s que cet examen révélât rien de pathologique : il n'y.avait pas de
troubles
de la vue, et, à cet égard, il est intéressant
ne se montreraient que chez les paralytiques généraux por- teurs de
troubles
physiques peu accusés. M. B. Séance du 24 févri
évroses générales et locales qui ont pour substratum' anatomique un
trouble
dans les échanges nutritifs interstitiels et da
ni au centre et dans le péri- mvsium. M. Rumpr (de Marbourg). Des
troubles
de la sensibilité et de l'ataxie. - Goldscheide
savantes. sujet sain et par un ataxique atteints tous deux du même
trouble
de la sensibilité des mains. On y voit que le p
inversement, celui qui, sous l'influence du tabès, est atteint des
troubles
de la sensibilité dont nous nous occupons, ampl
pas de lésions médullaires, on est en droit d'admettre l'idée des
troubles
trophiques fonctionnels d'origine centrale. Dis
ticulaire, etc., etc. La ma- ladie a débuté il y a dix ans, par des
troubles
visuels; ces troubles ont abouti, il y a cinq a
La ma- ladie a débuté il y a dix ans, par des troubles visuels; ces
troubles
ont abouti, il y a cinq années, à l'hémianopsie
-il, un terme commode, mais propre à laisser pas- ser inaperçus des
troubles
organiques. A côté de cela, elle peut se manife
il n'est pas prouvé que ce soit un signe certain de diagnoslic; les
troubles
de la sensibilité exigent de la part de l'obser
eu- rasthéniques après la guérison de la psychose en question. Le
trouble
mental ne constitue donc par rapport au terrain m
ère de l'individu malade ; il est impossible de l'englober dans les
troubles
psychiques partiels; il faut le qualifier de dé
es ado- lescents ; elles sont par suite bien distinctes de ceux des
troubles
psychiques qui se montrent à l'âge mûr et se ma
rédacteur en chef l'a souvent demandé. 280 sociétés savantes. les
troubles
de la motilité diminuent; il articule mieux; la p
upilles disparaît, le myosis seul subsiste. Il présente en- core le
trouble
de l'écriture, et le tremblement de la langue déj
pendant les fatigues mêmes de la guerre de délire de grandeurs avec
troubles
de la parole caractéristiques. Le diagnostic fu
s les plis du visage ; aucune espèce de paralysie d'ailleurs, ni de
troubles
de la parole; il est secrétaire au ministère de
n'a pas varié. Plus tard, de petites attaques^se reproduisent avec
troubles
de la déglutition et salivation. L'hé- mianesth
e est évidemment secondaire et n'est pas le point 1 Bernard et -Des
troubles
nerveux observés chez les diabétiques Arch. de
ète sucré véritable. On tentera peut-être d'objecter que certains
troubles
du système nerveux sont capables de provoquer l
e distinguer, mais qui en tous cas, pratiquement, se révèle par des
troubles
ou sensitifs ou moteurs, quel- quefois les deux
is les deux en même temps, occupant les mem- bres inférieurs. Ces
troubles
sensitifs et moteurs ont été tout d'abord étudi
ans la gout- tière épitrochléenne, de l'atrophie des muscles, des
troubles
trophiques du côté de la peau qui était lisse e
ie de 1882. Suivant Leyden, Althazs aurait le pre- mier signalé les
troubles
de la sensibilité qui font que, quelquefois, le
s seraient caractérisés : 1° par le signe deRom- berg, et 26 par un
trouble
de la démarche que quel- ques-uns désignent sou
diagnostic de l'ataxie liée à la maladie sucrée que l'ab- sence des
troubles
oculaires tabétiques (ceux qui dépendent du dia
es (ceux qui dépendent du diabète, hémiopie, rétinite, cataracte,
troubles
de l'accommodation, étant complètement diffé- r
constatés à l'hôpital avec les bocaux). Urine très peu colorée, non
trouble
. D. 1040. Ne contient pas d'albumine, mais une
320 0 CLINIQUE NERVEUSE. maux de tête. Rien du côté de l'estomac.
Troubles
de la miction assez nets : douleurs assez rares
fréquentes balanites et a de la rougeur du prépuce. Jamais aucun
trouble
rectal ni anal; constipation habi- tuelle inter
e et la temporale droites, moins à gauche. Rien dans les poumons.
Trouble
du sens musculaire (doigt mis sur le bout du nez)
réaction partielle de dégénérescence du jambier antérieur. Pas de
troubles
cérébraux. Quelques sensations dysesthé- siques
e cette idée. La seule chose qui vous surprenne, c'est l'absence de
troubles
de la sensibilité, presque toujours présents à
q ans du grand diabète, du dia- bète constitutionnel, relevant d'un
trouble
de la nu- trition et marqué par la présence dan
pas lorsque le verre arrive près de la bouche. 11 n'existe pas de
troubles
de la sensibilité. Les réflexes rotuliens sont
ilité. Les réflexes rotuliens sont abolis. 11 n'existe pas d'autres
troubles
urinaires que des mic- tions nocturnes involont
érescence des tubes ner- veux de la moelle épinière par le moyen de
troubles
vasculaires, troubles qui produisent non seulem
veux de la moelle épinière par le moyen de troubles vasculaires,
troubles
qui produisent non seulement l'atrophie et l'al
umis à la prédisposition morbide, prédisposition due elle-même à un
trouble
initial en vertu duquel les conditions normales
ins, ne peut plus, dans le cas que nous considérons, en raison du
trouble
vasculaire, faire les frais d'une spé- cialisat
les besoins nutritifs les plus grands, et souf- friront le plus des
troubles
d'irrigation. En résumé, il paraît résulter des
ettre que l'hystérie, en tant qu'entité morbide, ne contient pas de
troubles
de la sensibilité, mais qu'ils viennent se gref
a sensibilité, mais qu'ils viennent se greffer sur elle, et que ces
troubles
ne caractérisent que l'état psychique dans cett
ique, signe de Romberg, etc.) et bien souvent elle est reliée aux
troubles
trophiques signalés par les élèves de M. Charco
R. M. C. XIV. DES mariages SANGUINI1S dans leurs rapports avec LES
troubles
mentaux ; par G. E SHUTLEWORTH. (The Journal of
complications, en précipitant l'issue mortelle, empêchèrent que les
troubles
psy- chiques et anatomiques de la paralysie gén
hasard, ou une corrélation plus intime ? M. Geoffroy pense que les
troubles
intellectuels présentés par sa malade sont l'ex
syndromes convulsifs aussi complexes. M. Kroepelin (de DorpaL). Des
troubles
fonctionnels de l'activité mentale. - On peut p
é des facultés soit moins atleinte que dans les autres espèces de
troubles
psychiques; c'est l'opinion d'Esquirol. Griesinge
causée par les ravages qu'auraient causés dans le tissu mental les
troubles
primitifs aigus ; car on la voit fréquemment su
entale des affections somatiques ; en troisième lieu, il étudie les
troubles
des fondions mentales; cette dernierecatégorieren
tenbiller, 239. Acromégalie, par Schultze, 264. Activité mentale (
troubles
fonction- nels de 1'), par Kroepelin, 417. Al
médico-psychologique à Edimbourg, par Clouston,'425,431. Ataxie (
Troubles
de la sensibilité et rapports avec 1' -), par R
de leur première entrée dans une science ou un art quelconque (car le
trouble
produit par l'initiation à un nouveau métier dont
a un certain degré d'épuise-ment. Peu de temps après, surviennent des
troubles
menstruels pendant! plusieurs mois. Vers cette ép
lérée, à la fréquence extrême avec faiblesse du pouls, s'ajoutent des
troubles
cérébraux : la malade enlève ses oreillers, exécu
e l' espace intecostal gauches était excessive. Je ne constatai aucun
trouble
fonctionnel du cœur, pas d'anesthésie. ni d'ovari
ntérieurs et passagers. Ce qui me paraît être concluant, c'est que le
trouble
nerveux, qui me poussait à apaiser mes penchants
tt fur Harn-so Sexual-Organe ». Vol. 1, cah. 2). PETITE HYSTÉRIE ET
TROUBLES
DYSMENORRHÉIQUES TRAITÉS PAR SUGGESTION HYPNOTI
date suggérée, et les règles coulent les 28, 29 et 30 mai, sans aucun
trouble
général ni local. L'appétit et le sommeil revienn
a maison de sa ::ile. D'ailleurs, je ne remarquai en elle aucun autre
trouble
cérébral. REVUE CRITIOUE LES HABITUÉS DES PRI
lités : pour elfe, ou l'individu est malade, c'est une victime de ses
troubles
intellectuels, et il appartient à l'asile d'alién
à tel point que l'on se demandait avec anxiété s'il s'arrêterait. Ces
troubles
nerveux m'étaient encore inconnus. Pendant cett
il y a quelques années, pour des fièvres des colonies, compliquées de
troubles
cérébraux. Comme lui aussi, il était en confl
clinique un assez grand nombre de malades chez lesquels le principal
trouble
mental semble consister dans une défaillance de l
les rues de Paris. M. M___a vu disparaître successivement tous les
troubles
physiques et mentaux dont il était atteint. De pl
vessie, le gros intestin, les vaisseaux et les nerfs ; de là tous les
troubles
que vous accusez, et, comme l'utérus est lié par
vîmes pour la seconde fois, l'accès de dypsomanie était compliqué des
troubles
mentaux de l'intoxication alcoo-lique. Il se plai
u'un traitement moral pourrait avoir quelque action pour dissiper des
troubles
nerveux résultant d'un choc moral, ont eu l'idée
ique. Cette diffusion des lésions rendrait compte de la diffusion des
troubles
permanents de la sensibilité et du mouvement. » (
bien être généralisé ; il peut encore se manifester sous la forme de
troubles
sensoriels, moteurs, psychiques ou viscéraux. D
nations de la vue, du goût, de l'odorat, et de l'ouië; enfin certains
troubles
psychiques qui constituent de véritables équivale
etc. La coexistence de ces anomalies, qui sont le plus souvent des
troubles
de développement, avec l'épilepsie, prouve bien e
un travail commandé, un jeune soldat ressenti un indicible malaise :
troubles
de la vision, abattement, céphalalgie, syn-cope,
nd. La fièvre typhoïde, se greffant sur un pareil ter-rain produit un
trouble
de la nutrition fondamental et agit en même temps
e. après des investigations (certainement très superficielles), qu'un
trouble
cérèbral et un état psychique anormal. L'hypnot
ut être appliqué qu'à un nombre limité de sujets (1); 2° Il laisse un
trouble
mental, une diminution d'énergie, une faiblesse g
e faiblesse générale, et de fréquentes répétitions peuvent causer des
troubles
nerveux; 3° L'hypnose est un état morbide ; 4° Ce
otiseur, le domaine de la pensée et les fonctions cérébrales dont les
troubles
sont très difficiles à guérir. En présence de tou
ondamner l'hypnotisme qui est plutôt une modification psychique qu'un
trouble
organique, et il pense que ce mode de traitement
nre d'affections. tels . que le rétrécissement du champ visuel et les
troubles
de la sensibilité, ne supportent pas la critique.
n effet, il ne faut pat oublier que si certains malades exagèrent les
troubles
dont ils sont atteints, ils le lont non pas par s
e. M. Mierfjevski (de Saint-Pétersbourg) attire l'attention sur les
troubles
thermiques qu'il a observes dans la névrose traum
ns de l'ouïe ce sont les plus importantes), de l'odorat, du goût, des
troubles
, des sensibilités générales et génitales et des h
ations délirantes, d). Mégalomanie avec ou sans hallucinations. Des
troubles
mentaux tabagiques M. Kjellberg (d'Upsal).— La
abac employée, mais encore et surtout suivant le mode d'emploi. Les
troubles
mentaux tabagiques sont caractérise» par de la fa
dans lesquels existent ces associations. Il pense que dans ces cas le
trouble
fonctionnel dépend des altérations de la sensibil
la sensibilité. Nous ne partageons pas cette manière de voir, car les
troubles
de la sensibilité ne pourraient empêcher la seule
spec-tant d'autres t'ourles Je la marche. On doit donc considérer ces
troubles
comme des signes associés et non pas responsables
fection. Contrairement à ces ailleurs qui pensent que l'abasie est un
trouble
— de nature hystérique probablement - de la fonct
ble à l'agoraphobie. Il s'agit incontestablement dans les deux cas de
troubles
psychopathiques ; toutefois, sans même insister s
st surtout un distrait. L'astasie-abasie se crée inconsciemment, sans
troubles
douloureux, sans angoisses ni spéculations psychi
Cliniquement, ii les divise en trois groupes, suivant l'intensité des
troubles
du langage, complets chez les uns, très bornés ch
un accouchement et à l'occasion d'accidents puerpéraux, fut prise de
troubles
intellectuels avec intervalles d'excitation, quel
, quelques hallucinations, idées de mystique relatives au spiritisme,
troubles
de la mémoire et de la marche. A l'entrée, la mal
ent, mystique dans les premiers jours; hallucinations hypnagogiques :
troubles
de fa mémoire prédominants et très accentués. Per
ions. D'un autre cote, les auteurs mettent en relief l'importance des
troubles
de la mémoire s'étendant jusqu'à la mémoire organ
lade a perdu même les actions automatiques secondaires. En effet. les
troubles
de la marche et de la station debout qu'elle prés
ie-abasie de MM. Charcot et Blocq, qui rattachent ces désordres à des
troubles
de la mémoire organique. Ici la mémoire intellect
de l'hystérie vulgaire (insomnie, anorexie, dyspepsie, constipation,
troubles
viscéraux et menstruels, névralgies, etc.); 4° Co
n, troubles viscéraux et menstruels, névralgies, etc.); 4° Contre les
troubles
mentaux de nature hystérique. Comme nous le faisi
que jusqu'ici les cliniciens ne se soient pas assez préoccupés de ces
troubles
mentaux. Dans aucun auteur on ne trouve formulée
le. Comme M. le professeur Bernheim. nous avons constaté que si les
troubles
localisés, survivant a la chorée. cèdent, en géné
sur ce point, la suggestion est nettement indiquée pour combattre les
troubles
de la sensibilité moraley de l'intelligence et de
Cependant la suggestion nous parait trouver une indication contre les
troubles
au caractère, les troubles intellectuels, les imp
s parait trouver une indication contre les troubles au caractère, les
troubles
intellectuels, les impulsions irrésistibles que p
e guérison anatomique sans être guéris physiologiquement. De plus, le
trouble
fonctionnel dans les maladies du centre nerveux d
d'appeler l'attention des neuropathologistes. III. NEURASTHENIE —
TROUBLES
NEVROPATHIQUES. La neurasthénie dont la fréquen
a prétendu que la suggestion ne pouvait avoir d'action que contre les
troubles
mentaux qui relevaient de l'hystérie. Si la const
moins vrai que la suggestion a pu être utilement employées contre des
troubles
mentaux qui n'avaient aucun rapport avec l'hystér
névroses, de la paresse intellectuelle, en un mot un grand nombre des
troubles
mentaux et des instincts pervers qui pourraient p
appliqué la suggestion a\ec un succès égal contre un grand nombre de
troubles
d'ordre pathologique duffèrent (terreurs nocturne
ombre de troubles d'ordre pathologique duffèrent (terreurs nocturnes,
troubles
du caractère, paresse invétérée, habitudes vicieu
chez l'enfant? » La suggestion trouvera donc dans le traitement des
troubles
nerveux et mentaux chez les enfants des indicatio
'autre, de « manie aiguë avec hallucination de l'ouïe et de la vue et
trouble
de la sensibilité générale la troisième . d'une i
cident primitif date de 1875, quatre ans après la malade s'aperçut de
troubles
passagers du côté de la vue : en 1881, apparurent
utique de la suggestion. contre, un certain nombre d'affections et de
troubles
fonctionnels n'est plus a mettre, en doute. Il ne
onger pour les douteux le temps d'observation, et chaque fois que des
troubles
psychiques sont constatés, prescrire un régime sp
folie du doute dans un chapitre spécial des psychode dégénératives —
trouble
mental par obsessions. March (1862) la rangeait
n, dans son manuel qui sort de presse, n'en parle qu'à l'occasion des
troubles
élémentaires de l'intellect, en avant soin de fai
taire, tantôt une l'orme spéciale de psychose, tantôt enfin un simple
trouble
psychique élcmentaire qui relève de la pathologie
caractère essentiel de ses « Zwangs-vorstellungen », à savoir que !e
trouble
est primitivement dans l'intel-ligence et non pas
sées, en se basant sur la: conscience que le pseudo-monomane a de son
trouble
mental. Malheu-reusement le travail de l'auteur e
r Falret père répondait au délire du toucher et non pas â la forme de
trouble
mental que Griesinger décrivit deux ans plus tard
peut, échapper aux Pourquoi et aux comment. Griesinger disait que le
trouble
était uniquement dans les idées, indépendant de t
démontié que les mêmes malades peu vent présenter successivement les
troubles
de la folie du doute et ceux du délire- du touche
Pour la première fols nous rencontrons une étude approfondie de ce
trouble
mental, envisagé au point de vue de la psychopath
le n'est jamais produite par un état émotif ou passionnel. C'est un
trouble
originel de l'idée. Ce n'est pas une émotion. Qua
r essentiel des obsessions, Aucun deux cependant n'avait considéré ce
trouble
m entai comme un signe directe! immédiat de l'hér
génitale du délire du toucher et de la folie du doute. Cette forme de
trouble
menu!, qui tient à la constitution originelle du
n'a jamais quitté la maison paternelle. A l'âge de dix-huit ans, des
troubles
gastriques se produisirent contre lesquels il emp
'e et: d'ordinaire. le premier effet qu'il obtient est un vertige, an
trouble
pro-t fond qui s'empare de lui et lui cause une i
parenthèse ouverte à propos du sommeil, et je complète l'étude des
troubles
de l'intelligence en vous décrivant les troubles
mplète l'étude des troubles de l'intelligence en vous décrivant les
troubles
morbides, que détermine 1?. morphine du côté delà
de phénomènes hystériques, l'ovarialgie, les zones hystérogènes, les
troubles
de sensibilité, la tympanile, In provocation et l
e. La suggestion ne" s'adresse pas directement à la lésion, mais au
trouble
fonctionnel : elle peut, en tant que l'étal organ
rhumatismales, des arthralgies, des névralgies, des gastralgies, des
troubles
liés à des lésions organiques, dyspepsie, diarrhé
me nerveux et l'élément psychique jouent dans toutes les maladies. Le
trouble
fonctionnel peut dépasser le champ de la lésion o
ée, ni ralentie, sans caractère stertoreux. Le pouls n'accusait aucun
trouble
notable de la circulation. La température était n
manifesté l'intention de se suicider; elle se plaignait seulement de
troubles
névropalhiques, céphalalgie opiniâtre, éblouîssem
n examen qu'a ce moment elle était bien réellement sous l'empire d'un
trouble
mental qui ne lui laissait pas l'entière liberté
Dans un chapitre nouveau et intéressant, l'auteur décrit des cas de
troubles
fonctionnels de la parole, causés par l'ischémie
es hTpnoiiqec f.tilcs pour apporter quelques éclaircissements sur les
troubles
de la parole. M. Batcman arrive à croire que l'on
e de la parole est instructive pour le psychologue, ct ses éludes des
troubles
de cette faculté son: aussi complètes que possibl
50 la proportion est la même relativement aux vices héréditaires, aux
troubles
intellectuels, à la perturbation du sens moral.
ette induction se trouve pleinement confirmée par l'étude de certains
troubles
de la mémoire et de la personnalité qui se rencon
Dr Liébeault. de dêsuggesiionner M. H... et de le débarrasser de ses
troubles
nerveux et de ses crises de somnambulisme. Depuis
vera très bien; et si on avait oublié cette prescription, si un léger
trouble
se produisait, la parole l'enlèverait sans aucun
te»; elle te déballait comme pour écarter l'objet de ce» visions. Les
troubles
de cette nature observebt courammentt dan* la gra
e domaine de l'intelligence, de la motilité ou de la sensibilité, des
troubles
souvent graves et persistant plus ou moins longte
où l'on ne réussit pas toujours à faire disparaître complètement ces
troubles
. Les cas de ce genre ne sont pas malheureusement
la circulation ralentie. Tous ces symptômes résultaient évidemment de
troubles
nerveux, et elle en souffrait ainsi depuis enviro
ceptionnellement fort, courageux et intelligent. II ne présente aucun
trouble
nerveux et s'est entièrement abstenu d'alcool, qu
hypnotisation de sujets hystériques on névropathes peut provoquer des
troubles
nerveux et affaiblir l'intelligence. Cependant, j
t passés sous ses yeux. Ne devait-on pas regarder comme l'indice d'un
trouble
mental son retour à Paris, son imprévoyance su se
dans ses nombreuses publications, M. Bernheim n'a dît un mot sur les
troubles
de la nutrition dans Chypnose (Ströbing : Archiv,
éorie physiologique de l'épilepsie et état mental des épileptiques. —
Troubles
du langage et de la mémoire des mots dans les aff
age habituel de l'opium, sous une forme quelconque, provoque-t-il des
troubles
organiques du rein ? Comment se produisent les lé
nt. dis. New-York, 189D, XVII, 287-291.) ?echetereff (V.). — Cas de
trouble
dans les idées, guéri par suggestion à la période
le cours de ces névroses cérébrales, M. Mesnet écrivait {2} : c Le
trouble
que ces perversions fonctionnelles du système ner
vaporeux; celui qui sort de la bouche est décrit comme peu net, comme
trouble
; il y a là, en effet, un mélange de bleu grisâtre
service de M. A. Voisin, hystérique et aliénée; ce sont justement ces
troubles
mentaux qui avaient nécessité son admission à la
s et de peu de gravité, mais qu'il est aussi très efficace contre des
troubles
chroniques ayant résisté à toutes les autres médi
demandé de la faire dormir moins ; ce qui fut facilement obtenu. 3»
Troubles
menstruels. — M0" H. M.... 28 ans. Époques irrégu
plus fréquents et les plus caractéristiques : ainsi la céphalée, les
troubles
dypspeptiques, l'insomnie et les troubles du somm
es : ainsi la céphalée, les troubles dypspeptiques, l'insomnie et les
troubles
du sommeil, qui, selon M. Levillain, jouent un rô
yosthénie douloureuse, la rachialgie et l'hypperesthésie spinale, les
troubles
génitaux et Vital mental des neurasthéniques auqu
n moins précis et limités. Tels les étourdisse-ments et vertiges, les
troubles
oculaires (asthénopie, troubles pupillaires et pa
les étourdisse-ments et vertiges, les troubles oculaires (asthénopie,
troubles
pupillaires et palpébraux), quelques troubles aud
oculaires (asthénopie, troubles pupillaires et palpébraux), quelques
troubles
auditifs (hyperacousie et bruits d'oreilles), les
, quelques troubles auditifs (hyperacousie et bruits d'oreilles), les
troubles
de la sensibUité générale (byperesthésies, névral
générale (byperesthésies, névralgies, sensations morbides), certains
troubles
de la mobilité (parésies, crampes, secousses musc
de la circulation (palpitations, syncopes, variabilité du pouls), les
troubles
secondaires de l'appareil digestif (dilatation, p
stic est ici l'élément capital : que de maux de tète, de vertiges, de
troubles
digestifs et circulatoires, que de manifestations
Gaustadt, près Christiana. accusaient la boisson comme cause de leur
trouble
mental, ce nombre est graduellement tombé jusqu'à
pnotique est une maladie artificielle. On supprime peut-être quelques
troubles
nerveux chez quelques-uns. mais on en crée chez d
es sanguins, mais elle a pu. en neutralisant en tout ou en partie les
troubles
fonctionnels qui entravaient l'hématopoïëse, perm
rale sont fréquentes; plus rares sont les anomalies qui relèvent d'un
trouble
fonctionnel de la moelle. C'est un cas rentrant d
lons étudier. M. Magnan a insisté dans ses leçons cliniques sur les
troubles
fonctionnels relevant de la déséquilibration des
montrait souvent sur un terrain névropathique. En revanche, il est un
trouble
fonctionnel sur lequel M. Magnan a attiré l'atten
le nom d'èrotisme de la ménopause, Guéneau do Mussy avait décrit des
troubles
analogues (1). « Des femmes... qui avaient de l'i
eures..., épuisent les malades et sont habituellement accompagnées de
troubles
névropathiques,... la tristesse, les scrupules, l
question qui sont suivies d'un état de dépression mélancolique et de
troubles
neurasthéniques. OBSERVATIONS Résume : Tares
tre-vingt-un ans. A cinquante ans, à la ménopause, elle a éprouvé des
troubles
cérébraux : elle avait des appréhensions, elle s'
'à deux fois par jour, durant trois heures environ, s accompagnant de
troubles
qui rendent à la malade l'existence intolérable.
marchait parfaitement, marche péniblement et est astasique abasique,
trouble
ambulatoire essentiellement hystérique, ainsi qu'
devenue parfaite, j'entends sa santé intellectuelle. U n'a plus aucun
trouble
dans ses souvenirs. U y a cependant une lacune, c
nts assuré sur la vie ? Ce refus n'est-il pas préjudi- (1) Voir les
Troubles
intellectuels consécutifs aux traumatismes du cer
le les sent? par un signe de tète) et déclare que, de cette façon, je
trouble
son sommeil. Demain, elle ne sera plus endormie;
on puisse rattacher au tabès, point de douleurs fulgurantes, point de
troubles
de la sensibilité, point d'incoordination des mou
bles de la sensibilité, point d'incoordination des mouvements, pas de
troubles
vésicaux, etc., etc. L'examen de la vision, prati
analogues, en l'absence de toute lésion, tout porte à croire que ces
troubles
ne sont pas d'origine sympathique et que si les c
ns périphériques y sont pour peu de chose. Examinons rapidement les
troubles
génitaux qui présentent quelques points de commun
relations sexuelles avec son mari. Trois années après le début de ces
troubles
génitaux apparurent les douleurs fulgurantes, et,
ysie générale. Trousseau, le professeur Charcot ont signalé parmi les
troubles
gënito-urinaires des ataxiques, le satyriasis, ca
re malade, qui souffre de ses crises génitales depuis sept années, ni
trouble
oculaire, ni douleurs fulgurantes, ni anesthésie;
le, comme chez les malades de Guéneau de Mussy et de M. Magnan, à des
troubles
fonctionnels des centres génito-spinaux simulant
out chez des névropathes. Nous ne citerons ici que pour mémoire les
troubles
de la sensibilité génitale qui jouent un rôle si
ption de la forme cérébro-spinale du délire des persécutions, sur les
troubles
génitaux de ces malades. On observe d'après lui d
la couche corticale du cerveau ne reste pas étrangère à la genèse des
troubles
génitaux. On comprend aisément, d'autre part, que
u'on l'en débarrasse, elle en souffre au point de vouloir mourir. Les
troubles
génésiques de notre malade se produisent « sponta
légitime, qui permet d'interpréter la physiologie pathologique de ces
troubles
, et de ne pas confondre sous un même nom des mala
Thérapeutique suggestive (observations de), par Bernheim, 321, 371.
Troubles
mentaux tabagiques, 86. Urine dans la léthargie
tion. , r 1 `L ·. mu a i w U .1 C, I ? Ib - 'Poûr bien concevoir le
trouble
que peut' déterminer ? , , .... ? . i. u7 itI) ti
'1> ,o..¡l1'" -i^u *T < ► -r rieures; il,doit donc v avoir un^
trouble
de, .tonicité pql "'frflr'If4'"1 Ptj ! --tHJ4 l
1 .. I ' ? 1...a... Il - ~ . pas la première fois qu'on invoque des
troubles
, de la tonicité musculaire, pour, expliquer l'i
rieures, correspondant aux- nerfs de tout'un membre, on observe des
troubles
moteurs bien connus des physiologistes. Ils 'do
t' être' assimilés à ceux' des ataxiques, parce'1 qué, chez'eux, le
trouble
est produit non par-la suppres- sion1 du tonus,
sectionnant les racines postérieures ; or, on produit bien ainsi un
trouble
des mouvements, mais non une incoordination sem
econnaissait pour cause un trou- ble de sensibilité. Sous le nom de
trouble
de sensi- bilité, on a eu en vue les altération
ébrales aux anesthésies spinales. Le siège primitif de la lésion ou
trouble
qui amène l'hémianesthésie hystérique n'est cer
atteints de lésions du tiers postérieur de la capsule interne. Les
troubles
de la sensibilité, en pareille circonstance, ne
se pro- posent d'atteindre, et nous pouvons comprendre ainsi les
troubles
des membres supérieurs dans la préhen- sion des
le délire vésanique avec ses conceptions tristes ou expansives, ses
troubles
sen- soriels, son évolution particulière conser
ns les moindres détails son délire vésa- nique reste muet quant aux
troubles
intellectuels rattachés aux attaques. Chez lui
fixité, ne saurait être confondu avec le délire alcoolique dont les
troubles
hallucina- toires pénibles, multiples, mobiles
- ganisme, il impose son propre délire, lequel se greffant sur le
trouble
cérébral préexistant, l'influence de diverses m
et ses manifestations délirantes laissent loin derrière elles les
troubles
toxiques. L'épileptique, en effet, qui s'al- 54
e extrême. Ce délire, accom- pagné d'hallucinations multiples et de
troubles
de la sensibilité générale, cesse au bout de pe
es grimaçantes l'injurient et le menacent de coups de revolver. Ces
troubles
sensoriels surajoutés durent quelques jours, pu
lement facile de faire ressortir la nature très différente des deux
troubles
psychiques : folie épileptique et délire de persé
ous l'influence de ce régime, il devient plus agité, son sommeil se
trouble
, des cauchemars et des hallucinations l'effraye
t les vertiges continuent à se montrer, s'ac- compagnant parfois de
troubles
intellectuels, passagers et inconscients, très
sa maison, elle se sent entourée par des tringles de fer, etc. Ces
troubles
sensoriels, l'agitation et le délire qu'ils provo
ns, marchande à la halle, bien portante. Une de ses soeurs a eu des
troubles
intellectuels et des attaques d'hys- térie au m
chloroforme ou de l'ammoniaque, quand la narine droite est fermée.
Troubles
analogues du côté de l'ouïe. Quand on ferme l'o
diverses fonctions sont à peu près complètement intactes. Pas de
troubles
de la respiration et de la phonation, la parole n
parole n'est difficile qu'à cause de l'hémiplégie linguale. Pas de
troubles
J1· THÉRAPEUTIQUE. de la circulation ; rien a
UTIQUE. de la circulation ; rien au coeur, pas d'athérome. Pas de
troubles
digestifs; pas d'albumine dans les urines. Nous n
ttaque d'apoplexie, nous constatons de nouveau la persis- tance des
troubles
moteurs et sensitifs. Le malade amène quatre au
ve, olfactive, auditive, sont également intactes et complètes. Tout
trouble
de la motilité a disparu. Le malade marche, et
ès diminuée sans être complètement abolie; l'oeil droit voit un peu
trouble
mais toutes les couleurs peuvent être distingué
ion des paires postérieures faites sur des opossums n'a amené aucun
trouble
dans la vision, tandis que celle de la paire an
x semaines), on opérait de même sur l'autre hémisphère. Lorsque les
troubles
consécutifs à cette seconde opération's'étaient
oints excitables des zones dites motrices ne produi- saient que des
troubles
passagers de la motilité, connus par les travau
ment disparu après cinq ou six semaines. 2° Après la cessation des
troubles
consécutifs, on réussit de nouveau à trouver da
es facultés psychiques; les animaux opé- rés semblent stupides. Les
troubles
de la vue, indiqués par Goltz et Munk n'ont jam
tre les phénomènes indiqués au n° 3, deux chiens pré- sentèrent des
troubles
trophiques. Deux jours après une extir- pation
uver le mot convenable pour rendre sa pensée. L'auteur attribue ces
troubles
cérébraux à la rupture de quelque petit vaissea
1878 à Saint-Thomas's-Hospital, service de M. Bris- towe, pour des
troubles
visuels, de la perte de la mémoire et un état d
que, dans ce cas, la syphilis n'a sans doute agi, pour produire ces
troubles
intellectuels, que concuremment avec les autres
mouvements sensuels, sus- citèrent, quelquefois épidémiqucment, des
troubles
psychiques 158 BIBLIOGRAPHIE. et nerveux où,
ou voulus; maladie des Scythes. Une quatrième classe comprend les
troubles
des fonctions physiologiques (traumatismes, emp
e, consacré à la médecine légale. Négligeant les nombreux cas où le
trouble
morbide ne fait doute pour personne, il s'est s
de 362 pages. Paris, 1880. J. B. Baillière et fils éditeurs. V. Des
troubles
oculaires dans les maladies de l'Encéphale ; par
encore trop d'inconnues pour permettre à l'auteur d'envisager les
troubles
trophiques au point de vue de la pathologie génér
le mais qui a le mérite de ne rien préjuger de la nature même des
troubles
trophiques observés. Dans un premier chapitre c
pu sans inconvénient être retranché d'une thèse consacrée aux seuls
troubles
trophiques. Dans un deuxième chapitre, M. Arnoz
ale. On lira avec beaucoup d'intérêt le chapitre IV, consacré aux
troubles
trophiques de l'appareil tégumentaire : dans ce
les plus disparates. Les deux derniers chapitres sont réservés aux
troubles
trophiques sensoriels et viscéraux. Il y a bien
s et incomplets dans cette partie de la thèse, mais on sait que ces
troubles
tro- phiques spéciaux sont encore moins connus
pas disposé à admettre tous les cas de para- lysie attribués à des
troubles
génito-urinaires : en cela le pro- cès est pend
èse de patholo- gie cérébrale. Il nous semble que faire l'étude des
troubles
oculaires dans les maladies de l'encéphale voul
iagnostic probable, quels, sont les symptômes cérébraux associés au
trouble
oculaire qui permettront de donner sa valeur en
u trouble oculaire qui permettront de donner sa valeur entière à ce
trouble
des fonctions de l'oeil ? Enfin, quelles sont l
, quelles sont les lésions cérébrales qui sont en rapport avec ce
trouble
oculaire constaté ? La thèse, faite dans ce sens
lon ses ins- pirations personnelles, quelles sont les relations des
troubles
oculaires et des maladies de l'encéphale. FAI
côté du bout supé- rieur, l'irritation traumatique, dégagée de tout
trouble
trophique, produira des phénomènes identiques à
ment de l'année. Cette malade au- rait eü; à'certaines époques, des
troubles
intellectuels; son lau=, gage est incohérent. E
ges et la substance blanche sont si profondément altérées. L'état
trouble
des cellules nerveuses, décrit par M. Mier- zej
de làrésultent, dans d'autres organes, l'esto- mac par exemple, des
troubles
qui ont pour résultat, sinon pour but, une comp
r le chien par l'auteur lui permet- tent de conclure : 1° Que les
troubles
persistants du mouvement doivent être attribués
vement doivent être attribués à une parésie persistante; 2° que les
troubles
de la sensibilité, aussi incontestables que ceu
ne jouent aucun rôle dans les désordres du mouvement ; 3° que les
troubles
fonctionnels, occasionnés par la diminution de la
ns cérébrales. Du mo- ment où une même lésion produit à la fois des
troubles
de la motilité, de la sensibilité générale, des
ason, il n'y aurait donc pas de paralysie saturnine, mais un simple
trouble
inflammatoire et mécanique (par le gonflement).
a disparu dès que la chorée a été guérie. Elle n'était pas due à un
trouble
apporté dans la circulation par les mouvements
t, réellement J , m fyln r' Ir .. ,1 ? lc u - ? i 1 m L, .- aucun
trouble
physique ou moral. On a mentionne,plus haut, r.
, . Gt't' ! fG 1 G OI 1 "'0 . ,J..JI .HI", R, ... ? t, ,0. ' . I j.
troubles
circulatoires, déterminés, par les attaques convu
sif, des M,, . ,, j ,ft -.LtU'ilf '1 J>I mp-'11m, , t " ...J ?
troubles
circulatoires-sur la corne 4>'J ! \.,m ? cela
fs mixtes- ou.de plexus 1 des membres Il' Mai j¡ 1suivie' d'à uCUll
trouble
de sensibilité ou dei mouvement ni'I de suite'
;¡td4uctlOp,r la gauche plus que) la droite. Pas d'atrophie, ni de.
troubles
deila sensibilité. n Le réflexe rotulien est un
, - ,'t'T ? ) ? ' ? i' . l,jll chectique, mais il n y. avait aucun
trouble
gemto-urmalre. 11 t t ? 1 ? 1('11'1 ? f 4 11 1
? t ? - 9 11, .'ne,'... ->0, ? mil .»/> il ? 4. ce'niveau'un
trouble
circulatoire évidelnt' : : ,la main ! était livid
uloureuse se' produisit par paroxysmes.JPuis; survinrent un certain
trouble
dans- la marche et un affaiblissement de la vue
n enfin qu'une tumeur com- prime les enveloppes de la moelle. Les
troubles
de la(motilité, la faiblesse, la difficulté de la
S SUR LES variations DE TEMPÉ- ! » RATURE, LE DÉCUBITUS AIGU ET LES .
TROUBLES
, URINAIRES dl CONSÉCUTIFS AI UNE FRACTURE DE L
ice et l'hyperémie consécutive; "il admet en outre l'hypothèse d'un
trouble
,tro- phique, dû au défaut d'action des nerfs ém
. Tt T,rrH . J IU 1 ¡.1 ? ,.1 d' -... M. Will analyse ensuite -les
troubles
vésicaux (rétention'et incontinence urinaires),
actions nerveuses physiologiques ; il s'agirait là d'un véri- table
trouble
trophique. H. D'0. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
, ! t1 4't «4 " . i " ' t'. i" ' t ' "Kl1 XXXII.. Observations de,
troubles
nerveux (insolites (hyperesthésie avec, trouble
. Observations de, troubles nerveux (insolites (hyperesthésie avec,
troubles
vaso-moteurs ; tic, convulsif. des muscles grands
malades; en remontant dans, le passé des inculpées, ,on trouve des
troubles
nerveux .variables,, le plus, souvent des acciden
un, affaiblissement intellectuel ; 'quelquefois-, à, l'inverse ? le
trouble
cérébral,' impossible à constater au'moment, de l
bht, 1lI, ,alout de six mois, un an, 'dix quinze ans, présente des
troubles
céré- braüx'èônfus. Est-on en droit de dire que
épileptiques peut être rapporté aux quatre formes sui- vantes : 1°
trouble
mental intense, se reproduisant à des inter- va
doit ( rattacher la .sitiophobie, l'anesthésie ultérieure, et ? les
troubles
de nutrition, consécutifs, , à une, causeLcommune
aques, n'indique- t-elle pas déjà, en* l'absence même de tout autre
trouble
digestif, une certaine atonie des fonctions de
ont personnelles. Quoiqu'il en soit, d'ailleurs, du mé- canisme des
troubles
de la sensibilité intestinale, les moyens indiq
'l'intérieur des asiles, une cause incessante d'indiscipline et de
trouble
; les médecins ne se soucient point de s'exposer
rrémédiables ayant atteint le corps ciliaire et s'accompa- gnant de
troubles
sympathiques dans l'oeil sain. Chez ces deux en
omme 'une récidive de la première. Il' ne faut pas oublier que- les
troubles
intellectuels et même les lésions ner- veuses s
PRÉSIDENT signale l'importance de ces faits quant à l'influence des
troubles
génitaux sur l'état mental des aliénés, et la n
ouches corticales, qui s'accompagnaient, durant )a vie, de certains
troubles
sensibles,' moteurs et psy- chiques. Ces faits
ue. -'Souffle cardiaque. Alternatives d'agitation et de lucidité. -
Troubles
oculaires. Marche de la température ; ses modif
certaine raideur des muscles du dos. Ni diplopie, ni paralysie, ni
troubles
de la sensibilité. Dans ses moments lucides, M.
de reprend tout à coup possession de sa connaissance et répond sans
trouble
aux questions qu'on lui pose. Elle retombe ensu
e partielle. 11 n'y a toujours aucune plaque méningitique, ni aucun
trouble
vaso-moteur, même à la face. Matin : T. Axill.
pas de sou- bresauts de tendons. Le ventre est unpeu ballonné; les
troubles
378 PATHOLOGIE NERVEUSE. vaso-moteurs parai
é. Il y a de ce côté une congestion pulmo- naire qui correspond aux
troubles
vasculaires de la peau. Le traitement hydrothér
ne pouvait noter de mo- difications suffisantes au point de vue des
troubles
intellectuels. Mentionnons seulement le nystagm
sines du centre de sclérose sont atrophiées, jaunes, granuleuses et
troubles
. Ceci nous enseigne que la lésion tend à se pro
i existe. Elle en est en quelque sorte une annexe, comme les autres
troubles
sensoriels concomitants. On sait qu'elle affect
itement sain, à l'exception de quelques hémorroïdes. Il n'y a aucun
trouble
de la sensibilité, ni des réflexes des membres
ues. Parole très difficile, parfois même complètement impossible.
Troubles
complexes à raison de la diversité des groupes mu
ue le calibre interne des vaisseaux soit diminué. z Coloration d'un
trouble
laiteux de l'arachnoïde, surtout à la con- vexi
auteurs, explique en effet les mouvements choréiques ainsi que les
troubles
de la parole et les difficultés de prononciatio
s négatifs importants à no- ter tels que l'absence d'anesthésie, de
troubles
vésicaux et gé- nitaux, d'atrophie, d'eschares
ssives de paraplégie spasmodique chez un même malade. Début par des
troubles
de la sensi- bilité et par une parésie de la ve
pagnée au début de parésie vésicale et de constipation opiniâtre.
Troubles
divers de la sensibilité. H. D'OLIER. XLIV. SUR
u premier mois, l'atrophie com- mença. Il n'y eut pas le plus léger
trouble
de la sensibilité, pas de paralysie de la vessi
ns motrices et nutritives. Son diagnostic s'appuie sur l'absence de
troubles
sensoriels, et sur ce que les mêmes symptômes n
e de potassium à l'intérieur). Parésie des membres inférieurs, sans
troubles
du côté de la vessie et du rectum. Etat actuel
ité complète des deux oreilles. La membrane du tympan est seulement
trouble
et fortement injectée à droite ; son éclat est
e de la vision ou une partie intégrante de celui-ci. M. XLIX. DES
TROUBLES
oculaires dans la SCLÉROSE CÉRÉBRO- spinale (At
uteur insiste sur les divers caractères que peuvent présenter les
troubles
oculaires. On sait que la névrite optique, qui es
trouve un certain nombre de symptômes communs, à savoir : 1° les
troubles
dans les mouvements de l'oeil; 2° le spasme glo
moins 8 ans. Mort à 40 ans. Autopsie. Méninges molles du cei veau,
troubles
à la convexité. Adhérence du lobe postérieur dr
plus tard transféré à l'asile d'aliénés du lieu, par le fait de ses
troubles
psychiques (1855). L'observation do l'auteur co
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 473 tés intellectuelles, mais absence de
troubles
psychiques généra- lisés. Abstraction faite de
xions. Pour le Dr Meschede, il y aurait analogie évidente entre les
troubles
moteurs et les manifestations psy- chiques ; le
base. Quatre d'entre elles concernent les formes secondaires des
troubles
psychiques, qui d'ordinaire impliquent le pro-
ant pendant quatorze jours); convalescence lente mais curatrice des
troubles
psychiques;- une manie dé- générée d'abord en s
strique et des vaso-moteurs ; sous cette influence, il y aurait des
troubles
circulatoires des ganglions qui se trouvent dans
la claustrophobie ; par le Dr ANT. ItITTI. La claustrophobie est un
trouble
psychique caractérisé parla « peur des espaces
'elle n'en est pas moins pathognomonique lorsqu'elle accompagne les
troubles
intellectuels. L'auteur rappelle à ce propos le
symptômes particu- liers à l'intoxication, les étourdissements, les
troubles
épilep- tiques variant depuis la simple absence
itation maniaque, délire ambitieux, diffus, et in- cohérent, pas de
trouble
, de la mobilité. Guérison au bout de trois mois
ate pas de loin, et l'on a pensé que, s'il était bon d'observer les
troubles
des facultés intellectuelles et affectives, il ne
allée et ne pouvait pas aller jusqu'à proscrire l'obser- vation des
troubles
fonctionnels, le but de la science mentale étan
nterne et sa dégénération ne coïn- cide le plus souvent qu'avec des
troubles
intellectuels. Puis, l'auteur étudie le faiscea
ndre émotion, une 506 VARIA. agitation difficile à réprimer et un
trouble
dans les exercices. Les élèves les plus avancée
restent pas moins debout, ou, dans tous les cas, jettent un certain
trouble
dans l'esprit du chercheur. Les conceptions pur
£ fi, )09>6b 2yttlF`IDrltll (i9 .lp;ir J : 1 wnG1 w * ** ? ? Les;
troubles
vascu ! aires'%t'nutritifs"qui surviennent 'F)
'\tJ'iÛ,rA )I191,6)9 , =000 . .9 ? uit9)'n (lu Les éruptions et ces
troubles
vasculaires de. la peau i, c Mi'-i'jbU 10JJ' il
Ili'/ aun ,uLe.ré/lexe patellaire est absolument abbli., --Pas de-
troubles
de(la'vue., Les pupilles ont une dimension norm
aii-dessus de'celui où résident principalement les douleurs. Pas de
troubles
delatserisibilitétà la'peau'dbsjnembres' supé1
emps, difficulté à marcher dans l'obscurité. Par moments, sa vue se
trouble
, mais il n'a jamais eu de di- plopie.-Depuis si
(i/iiui : J... li n^f-frnq'il sementsverdatres. II n y eut point de
troubles
de la vue1.111-11'' .frmSix-moisr,apres le débu
lle, amène- t-il, en même temps que les douleurs fulgurantes, les
troubles
vaso-moteurs aboutissant à la production de tac
autre explication pourrait être proposée. On pourrait rattacher ces
troubles
vasculaires à l'irritation directe, centrifuge
ation analogue, très ingénieuse, proposée par 11. Charcot, pour les
troubles
trophiques de la peau (urti- caire, pemphigus,
r les racines spinales sensitives.... Un certain nombre au moins de
troubles
trophiques consécutifs aux lésions du système n
es admises par Stricker, venait à ,être définitivement établie, les
troubles
vaso-moteurs que nous venons d'étudier trouvera
du sentiment qui suivait l'hallucination, montre qu'il existait ce
trouble
cortical nécessaire sans lequel, d'après moi, i
t de l'écorce des circonvolutions fron- tales explique l'absence de
troubles
intellectuels proprement dits; les troubles sen
s explique l'absence de troubles intellectuels proprement dits; les
troubles
sensoriels et trophiques sont en rapport avec l
ux symptômes des tumeurs intra-crâniennes.- 1 ? C TI 1°' Certains
troubles
d'ans les disques optiques (névrité"o'p ? tique
es) ? 6° Altération des. nerfs sensitifs (face, membres, tronc); 7°
Troubles
psychiques ou altéra- tion de l'état mental;- 8
ewis, ce dernier signe s'observe souvent avant que l'hébétude ou un
trouble
marqué de l'état' mental aient apparu. L'aute
de l'état' mental aient apparu. L'auteur insiste surtout sur les
troubles
papillaires. La né- vrite optique est pour lui
trale. Dans les deux cas que rapporte Bramwell, il n'y avait pas de
trouble
de la vue. C'est là un fait d'un grand intérêt
sion intra-crânienne (Manz et Schmidt), la névrite descendante, des
troubles
vaso-moteurs produits par l'irritation locale q
' q 1 Bramwell admet deux variétés de vertige : l'une due-. à des
troubles
de' ' la circulation cérébrale, vertige circulato
est la pathogénie qu'il adopte. Une violente émotion a déterminé le
trouble
des facultés affectives, et, de ce fait, une ex
'y pouvaient suppléer : c'est à ce moment que se sont montrés les
troubles
pathologiques psycho-moteurs. P. K. LXXX. Bégai
ment corriger par une étude de leur mécanisme. Il considère comme
trouble
réel du langage ce que le profes- seur Melville
s organes de la voix, depuis les poumons jusqu'aux lèvres. Ces deux
troubles
sont souvent réunis. REVUE DE pathologie NERV
ntrantà à l'époque de la puberté ou peu de temps après cet âge. Les
troubles
de la sensibilité y feraient défaut ou ne survi
ue dans l'entité classique; 596 REVUE DE pathologie NERVEUSE. les
troubles
de coordination des extrémités inférieures se pro
rogressivement de bas en en haut, de sorte que l'on observerait des
troubles
de la parole relativement prématurés surtout pa
cher du quatrième ventri- cule. La maladie n'a rien à voir avec les
troubles
delà sensibilité générale, sensorielle ou muscu
ptomatologie : paralysie et contracture des extrémités inférieures,
troubles
de la sensibilité des mêmes régions, exagératio
ncée de la maladie, en même temps qu'une diminution frap- pante des
troubles
notés antérieurement. Parfois les parties ancie
rch. of Oled., oct. 1880, p. 147.) L'auteur décrit sous ce nom un
trouble
de la sensibilité subjective de la peau, donnan
e jambe sont atteints d'une manière prédominante ou exclusive. Le
trouble
sensitif est toujours associé à une sensation de
st d'origine spinale. Putnam pense que ces phénomènes sont dus à un
trouble
circulatoire localisé dans les vaisseaux des pe
Psychiatrie u. l1'e·venkrankheiten, 1880.) Ce travail embrasse les
troubles
mentaux des femmes grosses, des accouchées, et
encore maintenant sept à huit attaques la nuit. C. T. XXIX. Cas DE
TROUBLES
nerveux améliorés par l'emploi DE VERRES ; par
. 78.) Les spécialistes ont observé des névralgies tenaces et des
troubles
nerveux généraux dus à des troubles de réfraction
é des névralgies tenaces et des troubles nerveux généraux dus à des
troubles
de réfraction et à une perversion de la vision.
a vision. L'asthénopie est une des causes les plus efficaces de ces
troubles
, d'après Carter, et ils font le désespoir du mé
e la retirer de l'école et l'on attribuaà l'approche des règles les
troubles
dont elle souffrait. Ils continuèrent jusqu'à 19
ndi- vidus, qui ont pris journellement du chloral, présentent des
troubles
de la santé que l'auteur examine dans les différe
té que l'auteur examine dans les différents appareils. Digestion.
Troubles
dus à l'action locale, nausées et vomis- sement
erva- tions du Dr Anstie.) Système nerveux. - Tous les degrés des
troubles
ont été observés depuis un léger érythème facia
composition chimique du chloral en chloro- forme et acide formique.
Troubles
cirulatoires succédant à la paralysie vaso-motr
lysie vaso-motrice, etc., oedèmes, ulcérations, etc. Cel'veau.- Les
troubles
cérébraux suivent l'usage prolongé du chloral,
perte de la mémoire, l'imbécillité, la démence et en outre tous les
troubles
cérébraux possibles. L'étiologie comprend deux
tion spinale, les paralysies motrices d'origine péri- phérique, les
troubles
fonctionnels de la moelle, y compris les exsuda
ques congestives, bibliographie. 627 pointillé ccchymotique), les
troubles
des sens et principale- ment l'amaurose hystéri
intelligence au-dessous de la moyenne ; quelquefois il existe des
troubles
de la 'parole en rapport avec la lésion cérébrale
accusée sur la moitié du corps qui a été la première atteinte. Ces
troubles
portent sur la sensibilité de la peau des muque
ne sensation de boule qui va de l'épigastre à la gorge, enfin les
troubles
céphaliques indiqués par M. Charcot : battements
évations thermiques localisées du cuir chevelu. H. DE B. XII. Des
troubles
nerveux locaux consécutifs aux arthrites; par M
s sa thèse inau- gurale un certain nombre de documents relatifs aux
troubles
nerveux consécutifs aux arthrites, il y a joint
es lésions articulaires. On connaît ces manifestations, ce sont des
troubles
de nutrition, des paralysies partielles, des an
utrition, des paralysies partielles, des anesthésies limitées ; aux
troubles
de nutrition il faut rattacher l'atrophie muscula
a contracture accompagne souvent les paralysies limitées; enfin les
troubles
de la sensibilité sont variables et peuvent êtr
j - et agmphie, par Dean, 145. liai- ! ossdorf, 292, Arthrites (
troubles
nerveux après, les), par Descosse, 631. Arthr
e de la), sur les psychoses, par Fiedler, 476. Fièvre tellurique (
troubles
nerveux liés il la), «[ ? igérie), par Sorel,
lcrre, r8S. Folie transitoire, parRitti, 150. Fracture du Rachis (
troubles
ner- veux consécutifs il la), par Olgil- vie
gie, syphilitique du ? par Taylor, 303. Sclérose cérébro-spinale (
troubles
oculaires dans la), par Dickinson, 461. Sen
ntre les névralgies, . 329. Toux hystérique, par llulhall, 469.
Troubles
oculaires dans les mala- dies de l'encéphale, p
mblements (pathogénie des), par Debove et Boudet de Paris, 191.
Troubles
oculaires dans la sclérose cérébro-spinale, par
oculaires dans la sclérose cérébro-spinale, par Dickinson, 461.
Troubles
trophiques consécutifs aux maladies du système
ASME MUSCULAIRE AU DÉBUT DES MOUVEMENTS VOLON- TA ! HHS (Elude d'un
trouble
fonctionnel jusqu'à t-e jour non décrit en Fran
Nous nous proposons, dans ce court mémoire, de . faire connaître un
trouble
fonctionnel assez singulier, vraisemblablement
échappé, croyons-nous, à l'observation des médecins français. Ce
trouble
fonctionnel, que nous désignons sous le nom de
s à aucune époque M. S... n'a éprouvé de dysphagie, non plus que de
troubles
de la défécation ou de la miction; jamais les m
ale ; elle avait deux soeurs qui présen- tèrent à un âge avancé des
troubles
mentaux, de même que son fils, le grand-père de
e, les autres étaient tout à fait sains, sauf une soeur affectée de
troubles
psychiques passagers. Parmi les plus atteints d
nteuse de Scéligmüller. La mère aurait été légère- ment atteinte de
troubles
moteurs analogues. Dans le cas de Leyden, c'est
Bernhardt, un oncle épileptique. Quant à I'dqe où surviennent les
troubles
moteurs, c'est toujours dans l'enfance. Aussi l
nt un état actif du muscle pen- dant quelques instants. Quant aux
troubles
psychiques, ils semblent n'avoir pas existé dan
e alliance étroite entre la raideur musculaire chez les uns et des-
troubles
mentaux chez les autres; enfin, l'influence psy
u ? Nous ne le croyons pas , et considérant la généralisation des
troubles
moteurs à presque tous les muscles volon- taire
e affection une origine mus- culaire. Pétrone la fait dépendre d'un
trouble
de la conductibilité dans un point quelconque d
dent et emmurent le labyrinthe, qui se trouve à la merci du moindre
trouble
circulatoire. Observation VIII (résumée). IL
nement en sifflet de locomotive annonce l'accès. Cet homme dont les
troubles
de dés équilibration ont été des plus cruels et
à l'exagération de sa voussure, la malade ayant eu déjà quel- ques
troubles
auriculaires après une otorrhée légère, il y a de
d'une violente agitation, toujours avec la conscience nette de ses
troubles
psychiques. Redevenue plus calme, Mme G... fut
., célibataire, sans profession, âgée de quarante-six ans, pour des
troubles
psychiques datant de six mois. Cette dame, très
l'affaiblissement et la perturba- tion des facultés. Si ce dernier
trouble
qui constitue la vésanie épileptique proprement
alades cons- cients, nous en trouverons qui appréciaient tous les
troubles
dont ils étaient victimes ; mais nous en trou-
ision. 52 RECUEIL DE FAITES. OBSERVATION.Pe)'<e de la mémoire,
troubles
de la parole, amblyopie; pftt'ttpte spasmodique
tait- il facile de déterminer le réflexe plantaire. A côté de ces
troubles
de la motilité et de la sensibilité, nous devon
ait, aussitôt qu'il se faisait sentir. Les urines sont légèrement
troubles
, à forte odeur ammoniacale ; on n'a jamais pu d
à une paralysie spasmodique des membres inférieurs, accompagnée de
troubles
de la parole, avec perte de la mémoire. Mais l'
urs, intermittente d'abord, per- manente et définitive ensuite; les
troubles
de parésie de la vessie et du rectum paraissaie
arras particulier de la parole, vertiges, attaques apoplectiformes,
troubles
spéciaux de l'intelli- gence, fournirait un doc
. De tout cela, pour se guider, on n'avait, dans notre cas, que les
troubles
de la parole, la perte de la mémoire, et l'amauro
e parler, de scander du sujet en question ressemblait tellement aux
troubles
de la parole d'un autre malade du service, atte
r de l'atrophie musculaire ensuite ; du côté de l'encéphale par des
troubles
de la parole et de l'intelligence. Migraine OPI
associa- tion symptomatique. 58 RECUEIL DE FAITS. Observation.
Troubles
visuels « forme hémiunopsiquc, revenant, par ac
uches. En juillet )88 ! , sans prodromes, il est pris subitement de
troubles
de la vue, avec engourdissement du côté droit e
personnes qui ne sont pas habituées à ce genre d'observation. Le
trouble
visuel a duré un quart d'heure environ. L'engourd
envahi le ANOMALIE DU CERVEAU. 59 membre inférieur gauche, et le
trouble
de la vue s'est généralisé à tout le champ visu
ucune malformation des membres, pas de déviation de la face, pas de
troubles
de la parole, quelle n'a subi aucune amputation
point la lésion ; il est vraisemblable que sou- vent il n'y a qu'un
trouble
dynamique transitoire qui ne laisse aucune trac
nt, nulle altéra- tion de la sensibilité en aucun de ses modes, nul
trouble
tro- phique, nul signe pathologique du côté des
s dégénéres- cences secondaires (Ferrier). Les symptômes bulbaires (
troubles
de la déglutition) eussent pu appeler l'opinion
après ce laps de temps révèle : une démarche nor- male, absence de
troubles
du côté delà sensibilité, et de réflexes patell
e coup d'une paralysie des extenseurs de l'avant-bras gauche, et de
troubles
considérables dans la motilité de la jambe droi
e peut reprendre son travail. Des phénomènes moteurs rapprochés des
troubles
de la sensibilité, l'auteur tire le diag- nosti
thétose, que dans la substance corticale, avec tout leur cortège de
troubles
si divers et si caractéristiques. Les faits a
ouve un exposé critique très judicieux de M. Hermann Munk sur les
troubles
consécutifs aux lésions corticales. SOCIÉTÉS SA
ue sur cer- taines plaies peut aussi être absorbé et déterminer des
troubles
intellectuels. M. B. Séance du 13 novembre 18
u pas- sage de la position horizontale à la position verticale. Les
troubles
intellectuels étaient constants, mais d'une int
celles du lobe occipito- pariétal peuvent être soupçonnées par les
troubles
de la sensibilité ; 4° que les tumeurs volumine
ine humaine et il l'attribue à l'usage immodéré de l'équitation qui
trouble
la circula- SOCIÉTÉS SAVANTES. 131 tion dans
appartient à tous les pays cultivés de l'Europe; la constatation de
troubles
nerveux à l'époque des examens est générale en Su
te à l'habi- tude que nous avons en oculistique de déterminer les
troubles
moteurs des yeux par les caractères de la diplo
e est pris subi- tement, dans les derniers jours d'avril 1882, d'un
trouble
de la vue, qui depuis a persisté. C'est surtout
ur les meubles envi- ronnants. Le matin, il remarque que la vue est
trouble
. Ces accidents persistent les jours suivants. L
res n'est pas intéressé. La diplopie n'est pas en rapport avec un
trouble
aussi profond des mouvements; elle n'offre rien d
gauche, cette malade éprouve subitement de la diplopie, sans autre
trouble
fonc- tionnel. Un mois après, je constate les s
é un certain degré de parésie mirs- culaire. Nous avons signalé des
troubles
analogues des membres dans les Observations I e
là le cas le plus fréquent. Le développement quelquefois subit du
trouble
visuel, sa disparition momentanée et son retour
a titubation vertigineuse qui n'était nullement occasionnée par son
trouble
visuel. La troisième, qui me fut adressée par l
avec le ver- tige, quarante-six fois sur cinquante et un cas, les
troubles
spéciaux caractéristiques des lésions des fe- n
vertige n'a pas été observé, trente et une fois seulement les mêmes
troubles
de l'audition pendant l'action des pressions ce
i l'obstruction temporaire d'une trompe est la cause ma- jeure du
trouble
d'équilibration : on conçoit qu'il est toujours
lle provoque, selon la fonction du nerf qu'elle affecte, tantôt des
troubles
graves de la sensibilité, tantôt des troubles t
e affecte, tantôt des troubles graves de la sensibilité, tantôt des
troubles
trophiques variés, des éruptions vésiculeuses o
ssez fréquemment des excès alcooliques. Le t avril 1882, sans aucun
trouble
prémonitoire, Renz étant occupé à travailler da
d'abord des manifestations réflexes d'ordre vaso-moteur, puis des
troubles
de nutrition persistants dans l'ensemble du sys-
midable les acci- dents du décubitus, succombe à la complication de
troubles
respiratoires après huit années de maladie. L'a
inférieure, la langue, les divers muscles de la face. La parole se
trouble
alors. Jamais de nystagmus. Presque aussi fréqu
terme. Aucun symptôme adynamique. Pas de soubresauts tendineux. Nul
trouble
sensitif. Diminution de la force musculaire. Pa
de la force musculaire. Pas d'albuminurie. Pas de nystagmus, ni de
troubles
de la parole. Cependant la langue tirée hors de
e, la douleur 218 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. raciiidienne, les
troubles
rectaux et vésicaux avaient fait écarter la par
initiale, le myxaedèmc est essentiellement sous la dépendance d'un
trouble
de nutrition dû probablement à un spasme vascul
'un trouble de nutrition dû probablement à un spasme vasculaire (ce
trouble
de nutrition se révèle assez par l'abaissement
hyroïde peut être expliquée par l'hypothèse vaso-motrice ; 4° Les
troubles
mentaux les plus accusés, tels que l'aliénation
ue, plus marquée au bras, épargnant la face et le tronc, sans aucun
trouble
de la sensibilité, ni des réflexes, avec les ré
formes consistant en vertiges, étourdissements légers ou graves, en
troubles
paralytiques divers, fugaces plutôt que perma-
'abord incomplètes, puis classiques, ulté- rieurement, des accès de
troubles
psychiques, précédés de sensations spéciales, d
e souvenir complet et subsistant bien au-delà : par conséquent, nul
trouble
de la connaissance. A une époque plus avancée, ac
ute la base du cerveau. Pie-mère de la surface cérébrale légèrement
trouble
; nulle part de tubercules. Les deux nerfs optiq
seux); par G. Valeiice, 1882. Contribution ri l'étude de quelques
troubles
trophiquesde l'ataxie loco- motrice (chute spon
oeso- phage; par Genty. Thèse de Paris, 1883. Ilecherches sur les
troubles
fonctionnels des nerfs vaso-moteurs dans l'évol
ollaire, qu'il est permis'd'inférer, de la localisation de certains
troubles
moteurs, le siège de l'altération qui les produ
engourdissement avec parésie du membre inférieur gauche, sans aucun
trouble
para ! lytique du membre supérieur de ce côté.
formulée 'autrefois* par M. Charcot, qui considérait'1'absehce des
troubles
sen- sitifs comme un des caractères habituels d
Recherches analomiques et cliniques sur le faisceau sensilif et les
troubles
de la sensibilité dans les lésions du cerveau. (T
elle affirme que\ c'est la première fo *'S"' " " el 1 éi)'o Li-é il
trouble
t qelcon q Li o ? u .1 eô té de la mdtilité ou
ourmillements dans toute l'étendue du membre inférieur gauche; ces,
troubles
de la sen- sibilité paraissent avoir débuté par
t 'de son affection avec la 'plus grande netteté. Il n'existe aucun
trouble
de la parole. Les traits du visage né sont null
s malgré un exa- men niiiiutieux, il est impossible de'constater'un
trouble
quel- conque de la sensibilité. L'état de la se
dissement du bras gauche a augmenté ; sans qu'on puisse observer de
troubles
bien nets de la sensibilité. La mo- î 'U< »
rulente commela gauche. La langue est un peu déviée à gauche. Aucun
trouble
de la sensibilité, ni subjectif, ni objectif du
a mono- plegie7 s'est' associée- à un' moment- de, sa durée a.des
troubles
, permaiieiits cle'lamotilité.,du membre supé- r
1 Il -q t1 ` ` ' £ OaéA qi-01çtri, ? f 4c Fi, j4 c ? terminer le
trouble
trophique cutané puisqu elle existe r`seületdau
aue ayu. 'Réglée 'depuis l'âgé de douze ans, elle n'a jamais' eu de
troubles
' sérieux de la menstruation.. Pas de syphilis.
es douleurs, devinrent} plus, fréquentes r plus T i;es, t et, les -
troubles
de la'marche.s'accentuèrçnt ;.la5malaiJer futj al
: pqlfltilrq -il ')nt M\o>. y[)jsn"qa ? ne» ? aj zs`H4q , , Les
troubles
de la locomotion1 ontl'des, plus 6 - idents ? r,,
gt;1 ' |i'i ' 1 . z iBien ! obscure est .encore la pathogénie' des'
troubles
trohhiqüeslqui peuvent' se produire" dans' le"
de la nlhéoriei des ? dçLutesl ? url( 1 ,Ia,,itl 1 médullaire des
troubles
trophidues; de]);'ataxie.' D'autres ! 1 Aucun i
l'atrophie de ces muscles ? L'hypothèse de l'ori- gme cqntralejdgs
troubles
, est donc ttçès.-peu (jvra.isembkJ3le.01l3<e
un .r ' jn.tl 'tf . la lésion décénérative des, nerfs, et,, 1 es %
troubles
tro^ .fj' )Jt' ' 1 'Àjià ? J ? , J".l i. > !
les, seules' sont mal pro-' uonçées;, il,, n'existe point d'autres,
troubles
de,la phonation;'pas de ,trou111es,dë la déglut
exes tendineux sont.exagerés ? Point d'épilepsie spinale.- Point de
troubles
trophiques ? " Rien ,,du côté, de la. vessie; r
eii,ea,âlilc11.1 °;l,dl'J '->ulSi Ja *ùu* ,(ltJ ' 'J '-U ? » Les
troubles
sensitifs.restent la photo- phobie ; elle ne pe
pnëumb-gastrique n'existent plus; lestrabisme n'a point cessé ;'les
troubles
moteurs et sensitifà',des'me - nibres7 s' ont;
.-n, ? ,i < ? Lt < ...tff obscurcis par. la prédominance des
troubles
névrosiques1» ? ->' Un fait essentiel fesrso
région dorsale. Dans ces cas, , ne. pourrait-on, pas attribuer les
troubles
, fonctionnels' a une e ' ailection plus ou 'moi
oit, tout -, entier ou exclusivement pris-^En raison du, mode ? dos
troubles
, folactionels et'de'la ? r6tie dé ,là,.paralsie,
V. Jahrg, no 15 ; 1882.) - - z Férue. Contribution à l'étude des
troubles
fonctionnels de la vi- sion par lésions cérébra
ff('t>)t)'')) ? ) ? It,rc.irmt .·1 y Wy·w, li«> 1 "Il ,. Les,
troubles
. de, , l'acuité visuelle , forment-la,suhstayce
psie, pendant queilehitrite d'amyle (vaso-dilatateur) améliore. les
troubles
, visuels..L'auteur ajoute comme'argument : les
nt de Varole, obtenu par hémisection dé la moelle chez le' même les
troubles
fonctionnels du'grand ' ' ' , » , »*. 1 Congr
ébrale et de l'hémianesthésie du même côté, la codisparition de ces
troubles
par(l'inhalation amylique (qui calme le spasme
tance congénitale ou acquise des centres vaso-moteurs. Tout ce qui
trouble
l'autorégularisation de l'appareil d'innervation
es ou les hystéro- épilepsies graves ; la variété dans l'acuité des
troubles
et la mo- dalité réactionnelle de l'individu ca
faradiques. Il fallut changer le diagnostic. Les contractures, les
troubles
de la sensibilité, l'intégrité de la contractil
e .que sur l'intégrité de la contractilité électrique, l'absence de
troubles
trophiques cuta- nés et l'état normal des sphin
les vésanies épileptiques et hysté- riques sont aux convulsions et
troubles
sensitifs de ces affections. Un premier degré d
asis syphilitique.' Cet enfant, âge de cinq ans, rachi- tique,,sans
troubles
intellectuels, présente sur les fesses des cica-
llules pyramidales bien développées, et probable- ment du fait d'un
trouble
dans l'apport sanguin, à l'époque même où, par
n'a pas été jusqu'alors nettement établie. M. Jolly dis- tingue les
troubles
psychiques dépendant de l'aphasie et ceux res-
de la région lombaire, à une période où .il n'exis- tait encore ni
trouble
de, la sensibilité; ni ataxie; ni modification
souvenir. 11 en^cônclut'qiré'^selôP'touYé's1-- t probabilités,- les
troubles
duidonnént nalssanéë'àlfoliesysté-1 matique et
ptomatologie et révolution de, la,démence paralytique, y compris un
trouble
de la, parole, prononcé, des convulsionsi répét
rébrale. 'Il- n'y aipoint eu continuité dans les alté- rations. Les
troubles
psychiques se rapportent à l'entité mor- bide c
uyatgrmes de laquelle chez. tout( paralysé. généra^ présentant.,des,
troubles
de, la. marché. et concurremment i l'ab- qnce,d
squ'à présent les enfants n'ont encore présenté aucun symptôme de
troubles
intellectuels. M. FoUI1,NET. Surtout quand il s
le fonctionnelle, sans altération organique qui déterminerait des
troubles
circulatoires par un spasme artériel. Ce n'est pa
ade n'a ni aura, ni hallucina- tions, et conserve la conscience des
troubles
intellectuels qu'il offre périodiquement. M.
surmenage intellectuel ? Quelle est la fréquence statistique des
troubles
.mentaux parmi les élèves dans les établissements
tations mentales émanant du surmenage psychique, de l'onanisme, des
troubles
du développement, de cer- taines affections cér
iberté de la maison de santé. En tout cas, jusqu'à nouvel ordre, le
trouble
psychique réclame l'asile, et la délimitation du
nerveux leur vigueur et leur résistance; de là, la disparition des
troubles
convulsifs. M. F. Siemens. CoKS ! dc/'<tOHSp
pose les désignations suivantes : Io Trouble psychique simple; 2°
Trouble
psychique paralytique; 3° Trouble psychique acc
Io Trouble psychique simple; 2° Trouble psychique paralytique; 3°
Trouble
psychique accompagné d'épilepsie ou d'hystérie ;
ure. M. L.v;un estime qu'il y a eu chez la malade en question des
troubles
vagues de la sensibilité etjdo la motilité. 11 in
rie exposées dans le chapitre iv sont groupées en trois degrés : 40
troubles
légers des facultés affectives; 2° état mental
avec une tendance spéciale à l'onanisme (Ki,airL-11)iiig). A ces
troubles
mentaux s'ajoutent des symptômes d'ordre phy- '
l'asphyxie locale des doigts et des orteils. Il existe souvent des
troubles
menstruels variables. On observe quel- quefois
ains caspar ces accès de kleptomanie, dipsomanie, érotomanic. A ces
troubles
psychiques, opposés à ceux de la période de dépre
e générale se développer concurremment avec l'ataxie (Millier). Les
troubles
psychiques et somatiques sont souvent inca- pab
t l'attaque. La troisième et la quatrième leçon sont consacrées aux
troubles
'il G BIBLIOGRAPHIE. intellectuels des épilep
e limitant la durée de l'irresponsabilité, M. Magnan, distingue les
troubles
intellectuels passagers (folie momentanée) ou d
t enlevé tout crédit à cette théorie. Sans exoplilhalniie, avec des
troubles
oculaires indéterminés, la première malade offre
tion de la tumeur thyroi- diezze, la seconde malade est affectée de
troubles
de la vue, de con- gestion céphalique, revenant
e D Fothergilt (de Londres) croit en outre qu'on doit attribuer aux
troubles
de nutrition une certaine part dans la production
ilepsie par malformation du crâne, la folie à deux, la tétanie, les
troubles
visuels de l'alcoolisme, la pathogénie de l'épile
me, sur la maladie cérébro-cardiaque, et plusieurs mémoires sur les
troubles
laryngés dus à des affections nerveuses. Le r
nt motrice on peut placer une forme plus complexe dans laquelle des
troubles
sensitifs ou sensoriels se joignent aux phénomè
du côté opposé à la lésion de l'hémi- sphère cérébral. Parmi les'
troubles
sensoriels produits par une lésion cérébrale il e
nérale qui semble régir en pathologie cérébrale la distribution des
troubles
moteurs et sensitifs, d'après laquelle les troubl
distribution des troubles moteurs et sensitifs, d'après laquelle les
troubles
moteurs, sensitifs ou sensoriels qui constituen
ns ces cas il s'agit toujours d'une hémiplégie droite, avec ou sans
troubles
de la sensibilité, et la lésion siège alors dans
t-il là qu'une apparence et ne s'agissait-il tout simplement que de
troubles
paraphasi- ques ainsi que portent à le croire l
ce faisceau spécial de l'a- phasie ; je pense que lorsqu'il y a des
troubles
du langage consécutifs à la lésion du pédoncule
ésion du pédoncule cérébral gauche il s'agit, ou bien simplement de
troubles
de la prononciation, ou bien, comme chez notre ma
- miers temps pour du délire à cause de l'allure incohérente que ce
trouble
de la parole apportait dans son langage. J'ajou
jouterai que la malade, qui est aujourd'hui, au point de vue de ces
troubles
du langage, en voie d'a- mélioration, semble av
'est-à-dire dans le lobe occipital. Nous savons également que les
troubles
paraphasiques, tels que ceux que nous avons rel
aines dimensions ; et même de cette façon on n'expliquerait pas ces
troubles
aphasiques caractérisés es- sentiellement par u
blige en même temps à chercher un complément d'explication pour les
troubles
aphasiques et les troubles hémiopiques. Si l'
her un complément d'explication pour les troubles aphasiques et les
troubles
hémiopiques. Si l'hémorrhagie du pédoncule céré
ge et de leurs connexions avec le lobe occipital, subiront certains
troubles
qui, quoique pouvant n'être que temporaires, n'
re commun, ainsi que de la partie motrice du pédoncule cérébral. Ce
trouble
circulatoire aurait donné lieu aux symptômes tr
ssait dans l'hypothèse précédente, il n'y aura aucune lésion, aucun
trouble
cir- culatoire dans le pédoncule cérébral, tand
donnant lieu à l'hémiopie persistante et peut-être aussi à quelques
troubles
transitoires du langage. 3° Si, comme nous supp
brale postérieure, et en particulier l'hémiopie, parfois aussi des
troubles
aphasiques, et en outre on aura d'autres symptô
syndrome de Weber permanent avec hémiopie per- manente et quelques
troubles
aphasiques transitoires lorsque la lésion sié-
ment, qu'un traitement aiiti-sypliilitique institué dès le début des
troubles
cérébraux donne très rapidement des effets salu
écédemment, il s'était produit une amélio- ration considérable, les
troubles
paraphasiques n'étaient plus que peu accusés, l'h
s complète avec une petite encoche centrale. On ne cons- tate aucun
trouble
intellectuel. Une photographie récente reprodui
tiré aucun bénéfice de l'élongation. Les phénomènes douloureux, les
troubles
génito- urinaires, l'incoordination motrice ava
es portant principalement sur les divers phénomènes douloureux, les
troubles
génito-urinaires, l'incoordination motrice; l'in-
u- liens étaient égaux des deux côtés. Il n'a jamais présenté aucun
trouble
permanent de la motilité ni de la sensibilité.
voisines ni par compres- sion, grâce à son petit volume, ni par des
troubles
circulatoires, ni par des altérations inflammat
érieure du lobule pariétal supérieur de l'hémisphère droit. Quels
troubles
fonctionnels pouvait produire cette tumeur, son s
de certaines zones corticales pour pouvoir en déduire à priori les
troubles
fonctionnels que sa destruction ou son'irritati
jours lieu à des anesthésies, qui, à leur tour, sont l'origine des
troubles
moteurs qui doivent plutôt être appelés des ata
ref, tous ces savants rapportent les altérations du mouvement à des
troubles
, soit de la sensibilité générale, soit de la cons
dantes peuvent produire des paralysies pures, non accompa- gnées de
troubles
sensitifs. Et ce fait incontestable, sur lequel C
lité générale et musculaire peuvent apparaître in- dépendamment des
troubles
moteurs, bien qu'ils se trouvent souvent asso-
atistiques de Ferrier et de Charcot - ne sont point accompagnées de
troubles
de la sensibilité gé- nérale et musculaire, nie
la lésion produit d'une part la paralysie motrice, d'autre part le
trouble
du sens musculaire, occupent évidemment des terri
de la lui re- dresser. Y aurait-il un rapport quelconque entre ce
trouble
psychique et le pro- cessus local ? La déchar
édisposi- tion spéciale d'origine héréditaire, qui doit résulter de
troubles
molécu- laires et dynamiques qui nous échappent
anomalie ; nous retiendrons seulement qu'elle sem- ble reliée à un
trouble
du développement ou de la nutrition. Sa coexis-
e malade n'en a aucun des stigmates ordinaires, mais il présente un
trouble
des mou- vements oculaires sur lequel M. Raymon
être très large, ce gant trop juste est horriblement pénible. Aucun
trouble
de réflectivité. Aucun trouble trophique. On ne
uste est horriblement pénible. Aucun trouble de réflectivité. Aucun
trouble
trophique. On ne relève chez cette malade aucun
Aucun trouble trophique. On ne relève chez cette malade aucun autre
trouble
de la santé qu'une certaine diminutionde la mém
nk nièrent l'existence de ces derniers ; ils rapportèrent aux seuls
troubles
de la sensibilité les phé- nomènes paralytiques
ux-ci doivent à leur lésion la perte de leur sens musculaire et les
troubles
de la motilité ne sont qu'une conséquence de ce
sous forme de mouvement. Il est impossible de nier l'existence de
troubles
de la sensibilité dans les lésions corticales s
cales suivies de phénomènes moteurs; la rapide dispari- tion de ces
troubles
, leur peu d'intensité, leur modalité particulière
r le sens musculaire ; aussi dans les 2 observations où il noie les
troubles
du sens musculaire et du sens stéréognostique c
du sens stéréognostique comme existant à l'exclusion de tout autre
trouble
de sensibilité, nous savons que la sensibilité
nes dans les 4 observations caractérisées pour lui par l'absence de
troubles
stéréo- gnostiques et musculaires malgré la pré
e troubles stéréo- gnostiques et musculaires malgré la présence des
troubles
de la sensibi- lité douloureuse, thermique et d
réognosti- que ; il faut ajouter du reste que loin de localiser les
troubles
de sensibi- lité dans les régions atteintes par
eintes par le processus destructeur, l'auteur consi- dérant'que ces
troubles
ont disparu rapidement a de la tendance à les met
- dre un interrogatoire aussi délicat que celui de la recherche des
troubles
de la sensibilité. ' - Verger qui a fait sa t
pas atteintes, que la topographie en est plus diffuse que celle des
troubles
moteurs, que la durée en est éphémère et parait ê
dent et s'abstient dit- il de discuter la question de savoir si les
troubles
sensitifs qu'il a cons- tatés sont un effet dir
i tués autre part, par voie inhibi- trice ou par l'intermédiaire de
troubles
circulatoires. Rappelons qu'il a en effet toujo
bilités élé- mentaires pouvait être indépendante de l'évolution des
troubles
du sens stéréognostique et pour expliquer ce ph
de l'intelligence proprement dite ; ses lésions provoqueraient des
troubles
de la mémoire et de l'association des idées, l'
rappeler que les maladies du système nerveux interviennent dans les
troubles
de la marche pour une part considérable, non mo
omènes oculaires : diplopie et stra- bisme, puis deux ans après, de
troubles
gastriques sous forme de crises. Aux symptômes
de la colonne vertébrale. Enfin, il y a trois mois, ont apparu des
troubles
urinaires caractérisés par de faux besoins d'urin
turière. Le début de l'affection remonte à 3 ans 1/2. Il existe des
troubles
oculaires ; la pupille droite est plus large que
ans, se plaint de douleurs au niveau de la région céphalique et de
troubles
vésicaux. Il offre des pupilles punctiformes. Ama
e de l'hôpital Tenon. L'attention fut surtout alors attirée sur les
troubles
de l'estomac. Le 16 juillet 1897, il entra dans
de la cachexie cancéreuse. Ce dont il se plaint surtout, c'est des
troubles
vésicaux. Il est obligé de pren- dre d'habitude
e dans le sens vertical. Le cathétérisme difficile ramène une urine
trouble
et sanguinolente. L'examen histologique y révèle
n'accuse pas de palpitations. L'attention est attirée par suite des
troubles
vésicaux sur le système nerveux. On constate le
à 10 ans environ,' caractérisé par un mal perforant plantaire, des
troubles
oculaires, des cri- ses gastriques, des phénomè
rveux chez les ma- lades, cela s'explique, non pas par l'absence de
troubles
du système nerveux, mais plutôt parce qu'on ne
ie des muscles des jambes. Les altérations de la sensibilité et les
troubles
trophiques dans ces der- niers cas nous permett
moelle épinière des amphibies et des mammifères, a provoqué divers
troubles
trophiques de la peau, en variant la force d'exci
épithélium, l'atrophie de la peau, la formation de plaies et autres
troubles
trophiques de la peau. On doit croire que tout
rathyroïdienne provoque les accidents nerveux et en particulier les
troubles
intellectuels associés au myxoedème » (1). S'
de conditions étiologiques multiples; la principale parait être un
trouble
trophique vasculaire congénital, l'anangioplasie;
tiques. Léger diabète insipide. 3,900 grammes d'urine en 24 heures.
Troubles
oculaires d'origine syphilitique, pour Horn. Dé
les oculaires d'origine syphilitique, pour Horn. Démarche ataxique,
troubles
sensitifs. Exostose à 5 centimètres au-dessus de
moins riche du tissu intermusculaire constitue le commencement des
troubles
dans les muscles ; l'infiltration débute par la
es faisceaux musculaires par le tissu con- jonctif rétractile, à un
trouble
de la nutrition et de l'innervation des mus- cl
s occupaient la racine de la verge ; le pubis était glabre. « Les
troubles
trophiques cutanés se réduisaientà l'illfilLratio
hez lesmuetset chez les bègues (4). La preuve de ces connexions des
troubles
des mouve- ments non adaptés et des mouvements
e, 1891, II, p. 481). (3) Ch. FUIE, Elude physiologique de quelques
troubles
d'articulation, Nouv. Icon. de la Salpêtrière,
s (C. R. Soc. de biol., 1893, p. 311. (4) Cil. Féhé, Note sur les
troubles
de la motilité des organes de la voix el de l'arl
s, elleest bien portante, vigoureuse; elle n'a jamais souf- fert de
troubles
nerveux ; mais elle présente une légère parésie f
ses et diffuses, sans localisation spé- ciale. On n'observe aucun
trouble
de la marche ni de l'équilibre quand l'épreuve
émité des doigts. Dans l'intervalle des accès, on ne constate aucun
trouble
de la sensibilité. On a pris seulement le temps
t-à-dire d'une commissure à l'autre de ce côté. 11 n'existe aucun
trouble
de la sensibilité de la peau ni des muqueuses de
: 1° Une lésion cérébrale datant de l'enfance et laissé ces cas de
troubles
fonctionnels en quelque sorte négligeables, sem
robablement à l'oedème. La sensibilité cutanée est intacte ; pas de
troubles
de la sensibilité Lher- mique, pas d'anesthésie
aire. Fiistner signale du nystagmus à la vue externe extrê- me. Ces
troubles
oculaires ressortissent-ils à la myosite ossifian
ion très pénible de déchirure et de tension à la mastication et des
troubles
de la phonation (Munchmeyer) 1'(i,,(lèîîie de l
laire, et Volkmann se demande si notre affection ne relève pas d'un
trouble
osseux île la croissance. S'il en était ainsi d'o
tait ainsi d'où vient la rareté de 164 A. WEILL ET J. NISSInI ces
troubles
de la croissance en général et leur fréquence rel
ans d'autres cas, et croit devoir attribuer les ossifications il un
trouble
trophique. Le début de la maladie se localisant
ction qui nous occupe consiste dans une myosite interstitielle avec
trouble
trophique. Les hypothèses de Munchmeyer, de Fri
qu'on le constate aujourd'hui. En 1886, pour la 3e fois, les mêmes
troubles
réapparurent, ils s'attaquèrent à l'articulatio
nt de salive et les avale, ce qui détermine, de temps en temps, des
troubles
gastriques. Pour prendre des liquides, il se se
ture et dans les membres supérieurs (sphère du cubital). En 1890.
Troubles
moteurs du côté des membres supérieurs; les mou-
vements deviennent brusques, saccadés. Vers 1891, apparition des
troubles
de la parole. En 1892, il entre la la Salpêtriè
t ne lui permettait de se mouvoir que difficilement dans son lit.
Troubles
moteurs. - Du côté des membres inférieurs, il y a
e particulière de maladie de Friedreich avec atrophie musculaire et
troubles
de la sensibilité. Soc. de biologie, 1890, p. 43.
oix suffisamment forte. Ses réponses ne trahissaient pas le moindre
trouble
psychique, mais une sorte d'apa- thie, bien jus
nale ; les réflexes cutanés étaient normaux. Il n'existait pas de
troubles
de la sensibilité objective. Les sphinc- ters f
ient, une composition normale. 218 F. RAYMOND Dans la suite, le
trouble
de la vue et de l'ouïe est allé en s'aggravant.
- sion rénale. En second lieu, dans les cas d'urémie chronique, les
troubles
en question ne se présentent pas avec la nettet
rvations de tumeurs des lobes frontaux, qui se sont accompagnées de
troubles
de l'équilibration. z Demandons-nous maintenant
certaine me- sure. Bref, nous devrions nous trouver en présence des
troubles
sensitifs et moteurs qui ne manquent jamais dan
primer le cerveau, puisse procurer une atténuation considérable des
troubles
visuels déjà existants. Les faits publiés par IIo
à propos de la nature des sensations douloureuses. La question du
trouble
de chaque espèce particulière de la sensibilité d
osseux des fosses nasales. Coryza chronique, souvent strié de sang.
Troubles
de l'ouïe il droite. Perte de l'odorat; puis sy
t; puis symptômes multiples d'ostéites naso-crhniennes. rnvasion de
troubles
cérébraux symptomatiques, et mort en 1878 (1).
e. Cependant cette indéniable hydrocéphalie ne s'accompagne d'aucun
trouble
. Marche facile; parole normale. Le père dit mêm
opie et quasi-cécité, etc. Cependant érections conservées et pas de
troubles
vésicaux. Marche correcte). Marié depuis quinze m
à la pression. Le membre est constamment froid. Il est le siège de
troubles
vaso-moteurs accentués surtout au niveau de l'e
aiunesco, Un cas de lésion traumatique du trijumeau el du facial avec
troubles
trophiques consécutifs. Arch. de pUys , 1895, p
e peut pas changer de position sans le secours d'un tiers. Pas de
trouble
de la digestion. Traitement : KI, diète sévère
ent; il en est de même en général de la raideur de la marche et des
troubles
de la motilité des membres supérieurs et inféri
tubercules dans les creux axillaires, et, pendant l'apparition des
troubles
de la marche, il se développe à la hanche droite
ue et du dos, gêne notable dans les mouvements de la mâchoire, d'où
troubles
de la parole. Plus tard raideur du genou droit
côtes inférieures. En dehors des douleurs il n'existe pas d'autres
troubles
de la sensibilité. Marche de la maladie. - L'af
les atrophies musculaires sont bien marquées, et il existe un autre
trouble
trophique, le vitiligo du visage. Les malades d
droite. La face, dont la mimique est paresseuse, ne présente pas de
troubles
de la sensibilité. Tout le reste du corps est
antéro-postérieure, dans la ré- gion occipitale. Salivation. Pas de
troubles
moteurs. Sensibilité légère- ment émoussée sur
res. Main droite un peu plus développée que la gauche. Pas d'autres
troubles
ni d'autres malforma- tions, sauf une petite he
de particulier. Le malade goûte et reconnaît bien les aliments. -
Troubles
vaso-moteurs. La joue droite, plus rouge que la g
piratoire, génito-urinaire) le foie, la rate sont normaux. Pas de
troubles
intellectuels ni d'altération de la santé général
dance à devenir progressives. Elles peuvent coïncider avec d'autres
troubles
de l'évolution, implantation de parties foe- ta
tiasique consé- . cutif. Dans ces hypertrophies congénitales, les
troubles
de la circulation vei- neuse et lymphatique son
rties molles à la présence de noevi an- giomateux (3) en vertu d'un
trouble
circulatoire du même ordre que ceux qui survien
(2) Miram. Thèse de Dorpat, 1817, p. 17. (3) Dorén, Sur quelques
troubles
du développement du squelette dus des angiomes
nt sur l'unilatéralité de la malformation et sur la constatation de
troubles
, fonctionnels tels que sialorrhée, modi- ficati
ciale acquise. La sensibilité et la motricité sont nor- males ; les
troubles
sécrétoires ou calorifiques sont dus à la macrogl
e table mise en vibration par un diapason, on produit en général un
trouble
d'évolu- tion, le plus souvent une malformation
nous venons de passer en revue n'est certainement pas univoque. Un
trouble
persistant dans l'innervation du trijumeau a pr
énie ex- périmentale, 2° édit. Paris, 1891. Dazén. - Sur quelques
troubles
du développement du squelette dus à des angiomes
épaissi presque dans sa totalité. Sur le côté postérieur du (1) Les
troubles
des mouvements de la mâchoire apparurent à 2 ans
e avec ces difformités. D'autre pari, l'hémiatrophie faciale est un
trouble
trophique qui peut avoir un lien de parenté palfo
compte plus les cas où une épilepsie par- tielle, une paralysie, un
trouble
du langage ou de la mémoire, des crises dou- lo
nt, nous avons été initiés aux rapports qui existent entre certains
troubles
nerveux et les lésions dés divers centres ou fa
nt se compose la moelle. Jusque- là, on se bornait à considérer ces
troubles
en eux-mêmes. Mais voici que, peu à peu, à la p
ur la connaissance de ces rapports de filiation entre la nature des
troubles
morbides et le siège des lésions spinales : pour
o-clinique, à force de rechercher si, à une catégorie déterminée de
troubles
nerveux, correspond bien la lésion de tel ou tel
e, on toucha à cette révélation curieuse : les diverses variétés de
troubles
nerveux, qu'ils se montrent isolément ou en tant
s, les perversions du sentiment, de l'intelligence, du caractère, les
troubles
des viscères, etc. Ce sont ces manifestations,
i, nous avons affaire à des désordres psychiques, qui relèvent d'un
trouble
de la personnalité, d'une obnubilation du moi.
vant tout clinicien, c'est-à-dire qu'il rapprochait constamment les
troubles
matériels constatés sur les cadavres des symptô
res supérieurs, nous ferons remarquer en passant qu'il n'y a pas de
troubles
de la sensibilité objective dans cette région. Le
es bras tombant naturellement. Il n'y a rien à noter, en dehors des
troubles
morphologiques de la région scapulo-humérale dé
sont des faits de paralysie complexe tous les faits où on a noté un
trouble
de l'attitude de l'épaule, lorsque le bras pend
apport au thorax. Si le bras s'élève volontairement, les principaux
troubles
de la région scapulo-humérale sont très accusés
vaisseaux voi- sins ne paraissent présenter aucune anomalie. Les
troubles
fonctionnels sont peu intenses : la malade parle
entre la neuvième et la onzième apophyses épineuses dorsales, sans
trouble
de la sensibilité de la peau. Pas de points doulo
ésie,ni douleurs à la pression dans les régions désignées. Mais les
troubles
du sommeil qui existaient depuis le début n'avaie
ants. Ces mouvements choréiformes isolés ne s'accompagnaient pas de
troubles
lo- caux de la sensibilité ; ils ont disparu au
a généralisation de la chorée est un fait à remarquer, bien que les
troubles
mentaux puissent précéder la chorée quelquefois
nt au maximum. On observe d'ailleurs quelquefois dans la chorée des
troubles
auditifs qui pa-, raissent dus à des mouvements
approprié, de tout bruit morbide, et disparaissant avec les autres
troubles
. Cette évolution indique bien la nature névropa-
tion indique bien la nature névropa- thique encore contestée (2) du
trouble
. Notons encore que la prédominance des mouvemen
aris, 189 î Favier, Le ctvur dans la chorée, étude particulière des
troubles
choréiques cardiaques d'origine nerveuse, th. L
par l'extraordinaire accélération des mouvements respiratoires sans
trouble
bien sensible de la fonction respiratoire vraie,
une lésion des centres nerveux; le processus ossifiant constitue un
trouble
trophique par- ticulier ; 7° Le début de la m
a reine Hatshopsitou, lorsqu'on les découvrit, jetèrent le plus grand
trouble
parmi les premiers Egyptologues. Pour expliquer c
nd. Cette personnalité est caractérisée, dans son ensemble, par des
troubles
de nutrition marqués par la perte complète de l'a
laire), un psoriasis s'étendant à toute la surface cutanée, enfin des
troubles
du sommeil, on peut dire de l'insomnie. L'état
ement à toutes les questions qu'on lui adresse et si ce n'étaient les
troubles
physiques qu'elle présente on ne penserait pas à
ons de personnes atteintes comme la petite bergère de Lourdes, de ces
troubles
nerveux. 1" Observation : Mlle de C... est atte
ndrons à l'objection, en expliquant ce qu'est l'Aura. L'Aura est un
trouble
tantôt moteur, tantôt sensilif, tantôt psychique
ion encéphalique et c'est ce fait seul qui permet de comprendre qu'un
trouble
fonctionnel cérébral ait une répercussion sur les
bral ait une répercussion sur les fonctions organiques, de même qu'un
trouble
fonctionnel organique doit avoir, à son tour, une
5. répercussion centrale. Par conséquent, chercher à expliquer un
trouble
fonctionnel par une altération mentale antérieure
e symptôme. Ce qu'il faut c'est remonter à la cause première dont les
troubles
psychiques et physiques ne sont que les manifesta
e ce pouvoir et par suite un équilibre nutritif instable qu'un simple
trouble
vaso-moteur pourra rompre. Nous savons, d'autre p
a rompre. Nous savons, d'autre part, que les émotions ne sont que des
troubles
vaso-moteurs; on peut donc comprendre qu'une émot
nutritif, ce qu'on a appelé de la faiblesse irritable, détermine des
troubles
fonctionnels plus ou moins généraux et plus ou mo
re que se poursuit la rééducation fonctionnelle de chaque organe, les
troubles
nutritifs s'amendent progressivement ce qui se ma
y avait rechute, son intensité étant pour ainsi parler, parallèle aux
troubles
nutritifs (le psoriasis avait été, nous l'avons d
ature, se manifestant toujours au point de vue physiologique, par des
troubles
vaso-moteurs, c'est-à-dire par des variations de
: tous les phénomènes morbides ont disparu, il n'y a plus le moindre
trouble
de sensibilité, toutes les fonctions s'accompliss
s de névrose constitutionnelle non seulement il faut tenir compte des
troubles
nerveux mais aussi et surtout du terrain sur lesq
n le dire, si nous disposons de moyens multiples efficaces contre les
troubles
nerveux, il n'en est pas de même de la prédisposi
tous les moyens pédagogiques usuels, ne soit une cause permanente de
trouble
et d'indiscipline. 11 arrive fréquemment que la d
ections qui semblent le plus atteindre la graphologie. Il donne aux
troubles
de l'écriture la valeur d'un symptôme, d'un éléme
leur d'un symptôme, d'un élément de diagnostic, au même titre que les
troubles
de la parole, de la marche, de l'attitude, de la
ion pour établir le diagnostic de certaines affections » et que « les
troubles
de l'écriture évoluant parallèlement à ceux de ce
t déterre de Nice, en 1887, beaucoup de personnes se sont plaintes de
troubles
névropathiques Imputables à la frayeur inspirée p
évropathiques Imputables à la frayeur inspirée par les secousses. Ces
troubles
ont été longs à guérir. Charcot en a recueilli un
puis l'autre par ophtalmie sympathique. Cette cécité se compliqua de
troubles
mentaux. « L'ébranlement du cerveau ayant été for
lques mois de neurasthénie. Nous notons chez lui particulièrement des
troubles
digestifs, des vertiges, une tendance à la triste
de est une dame de 34 ans, neurasthénique, chez laquelle dominent des
troubles
digestifs, lourdeur et congestion cépha-lique apr
e -f- 20°. Un autre malade se plaint d'une grande fatigue générale,
troubles
digestifs, affaiblissement et lourdeur de tète su
ie chez tous ces malades. Nous voyons chez tous la prédominance des
troubles
digestifs. Il n'est pas difficile de se rendre
urtout une dépression des forces physiques; aucun ne se plaint ici de
troubles
ou d'affaiblissement des facultés intellectuelles
je ne reviendrai pas, c'est-à-dire neurasthénie avec prédominance des
troubles
digestifs. Sa formule qui est prise avec le sth
ent différent. Ce sont toujours des neurasthéniques, mais, au lieu de
troubles
organiques et d'affaiblissement physique nous all
ériques : Mlle D..., 28 ans. Douleurs de tète de nature hystérique;
troubles
profonds de ta sensibilité; à l'exploration des r
21 ans. Point hystérique, nombreuses zones d'hyperesthésic. Aboulie,
troubles
psychiques. Son examen au sthénomètre donne :
cutanée. Anesthésie pharyngienne et abolition du réflexe. Insomnie et
troubles
psychiques nombreux. Au sthénomètre, nous avons :
mètre : Main droite -f- 17°. Main gauche +23°. Il existait encore des
troubles
psychiques qui expliquent cet écart anormal. Malh
s la nuit. Enfin, depuis un certain temps, sont venus s'y ajouter des
troubles
digestifs et des vomissements. Cette malade prése
soit, le 12 octobre, après avoir observé une amélioration notable des
troubles
hystériques, dont la plupart ont cédé sous l'infl
hobie de la crise, plus de vomissements, mais elle éprouve encore des
troubles
digestifs, qui sont sous la dépendance de la neur
ond cas du "même genre ; il s'agit d'une femme de 35 ans, hystérique;
troubles
nombreux de la sensibilité, hyperesthésie, diminu
orables effets du surmenage intellectuel producteur de névroses et de
troubles
mentaux. L'Administrateur-Gérant : Ed. BERILLON
ge habituel du sevrage que l1 homme-momie aurait éprouvé les premiers
troubles
de nutrition qui, par une sorte d'autophagie, ont
nouvelles conditions d'existence et de survivre à cette atrepsîe. Les
troubles
trophiques s'étaient d'ailleurs cantonés aux dive
la clinique infantile, donne les indications suivantes sur les divers
troubles
du langage qui peuvent s'observer chez l'enfant.
arle pas du tout, il peut s'agir de surdité, d'un simple retard ou de
troubles
intellectuels allant jusqu'à l'idiotie. Si l'en
. Si l'enfant parle, mais parle mal, il faut faire le diagnostic de
trouble
de la parole. Le bégaiement vrai est caractéris
caractérisé par les signes suivants: 1e Début dans l'enfance ; 2°
Troubles
respiratoires plus ou moins marqués ; 3° Intermit
ent, on n'a pas affaire au bégaiement proprement dit, mais à un autre
trouble
de la parole. La biésité est quelque chose de t
r des résultats si remarquables dans le traitement de ces variétés de
troubles
du langage. Toutes les variétés de biésité peuven
ours être corrigées sans crainte de récidive en 12 ou 15 jours. Les
troubles
du langage, et notamment le bégaiement, seraient
ntent leur système pileux, elles éprouvent des malaises divers et des
troubles
nerveux qui ne cessent que lorsqu'elles se décide
ésordre déterminé, sans qu'il y ait même des lésions anatomiques. Ces
troubles
se manifesteront sous les diverses formes de névr
les secours et le traitement initial peuvent être considérés comme un
trouble
psychique. Le traitement psychique joue dès le co
ar M. le Dr Lombard, oto-laryngologiste des hôpitaux, qui signala des
troubles
auditifs d'origine nerveuse, ayant amené une nota
ion de lésions matérielles, implique, d'ailleurs suffisamment, que le
trouble
nerveux est purement fonctionnel. Et il en est
Lorsque l'obsession est à son plus haut degré, M. Cavter présente des
troubles
de la sensibilité générale d'une acuité singulièr
prie de garder le visage Immobile Xous n'avons constaté aucun autre
trouble
de la fonction musculaire; et, fait de première i
surtout un caractère psychique ; qu'elle a pour symptôme dominant un
trouble
sensoriel, tenace, malgré ses variations d'Intens
rebelles que les autres formes, alors même que le point de départ du
trouble
sensoriel est psychique, nous concluons : i" M.
n de la moelle ; or, la force musculaire est conservée et il n'y a de
trouble
ni de la sensibilité ni de la réflectivité. Au po
ociété des naturalistes, avait pris pour sujet : La suggestion et les
troubles
vaso-moteurs cutanés. L'auditoire, composé en g
de désharmonie fonctionnelle, de déséquilibre mental, avec angoisse,
troubles
vasomoteurs ou sécrétoires, agitation ou impotenc
au moment de l'audition, le trac se manifeste avec tout le cortège de
troubles
énoncés ci-dessus; dans l'intervalle des audition
ire... Puis, le dimanche, en chaire, il bredouille lamentablement, se
trouble
et produit un très mauvais effet. Vexé, découragé
explication esthésitante, parfois enfantine et incorrecte ; il se
trouble
et parait improviser péniblement ce qu'il a prépa
janvier : L'île de Sakhaline, par M. Paul Labbé. Le 6 février : Les
troubles
de la parole, par M. le Dr Chervin. Le mardi 13
-ci, et par conséquent ne pas l'attaquer directement, mais traiter le
trouble
fonctionnel dont elle n'est fréquemment que la co
rent à le faire revenir sur sa décision, mais ils ne purent calmer le
trouble
de son âme. « Il porta cette playe jusqu'à la mor
m, tels que antipyrine, arsenic, bromures? Tout cela exaspérerait les
troubles
de la digestion et les mouvements s'en trouveraie
(de Saujon) a montré le premier la place considérable qu'occupent les
troubles
de l'attention parmi les déviations mentales des
l de jouer devant un public même très restreint, il est désemparé, se
trouble
et finalement s'arrête au bout de quelques mesure
mettre le tra- qucurau traitement physiologique que réclament les
troubles
fonctionnels de sa digestion, de sa dépuration ur
. En interrogeant M. T., j'apprends qu'il a commencé à éprouver des
troubles
digestifs, à la suite de chagrins violents. Il a
d'hystérie ni de maladie nerveuse caractérisée. Je ne constate pas de
troubles
de la sensibilité ni des réflexes. Son examen a
nt nous montre chez ce malade l'absence de symptômes d'hystérie et de
troubles
nerveux constatables. Comment, dès lors, poser
Comment, dès lors, poser notre diagnostic de vomissements dus à des
troubles
des centres nerveux et non à une maladie de l'est
as, de la plus grande utilité. Il permet de constater l'existence des
troubles
nerveux qui ne se manifestent pas par d'autres sy
les Voisin. — La suggestion peut ainsi guérir un très grand nombre de
troubles
relatifs à l'alimentation ou à la digestion. J'ai
e a été souvent guérie par des moyens empiriques. Des guérisons de ce
trouble
nerveux ont été également obtenues à la grotte de
des aboulies, des timidités, des états émotifs dans la pathogénie des
troubles
fonctionnels du système nerveux. Il est le premie
rébral est employé comme une source d'énergie pour dissocier tous les
troubles
qui dépendent plus ou moins de son cerveau d'une
faut analyser et individualiser très exactement, pour découvrir quel
trouble
fondamental se cache derrière les symptômes neuro
d'hallucination) se surajoutent des phénomènes dysesthésiques et des
troubles
vaso-moteurs : elle accuse des points douloureux
; — psychopathologie du goût, de la faim, de la soif ; — psychoses et
troubles
mentaux relatifs à l'alimentation et à la digesti
bserver que les malades qu'il guérit (je parle de malades atteints de
troubles
fonctionnels) sont ceux qui sont venus avec confi
utre discuter, persuader, démontrer à *on malade qu'il est atteint de
troubles
nerveux, ilais toute persuasion ou discussion n'a
se. Or les cas d'hystérie forment la majorité des malades atteints de
troubles
fonctionnels; donc 51. Dubois sait très bien mett
é sans le vouloir et sans pouvoir l'empêcher. Il fait disparaître des
troubles
nerveux, il rétablit, comme nous, l'équilibre che
hes, car nous détruisons aussi la désintégration psychique, cause des
troubles
fonctionnels ou nerveux ; le résultat est le même
sa psychothérapie lui suffit et qu'elle lui permet de guérir tous les
troubles
fonctionnels justiciables d'un traitement pr.ychi
raisonnement et que la suggestion hypnotique doit être appliquée aux
troubles
du polygone ou de la sousconscience. C'est clai
eux consciences est telle que presque tous les malades présentent des
troubles
de la surconscience et de la sousconscience. fit
ous ne pouvons saisir pourquoi l'hypnotisme qui serait bon contre les
troubles
du polygone serait mauvais contre ceux de 0. Pour
tte distinction de il. Grasset dans l'application du raisonnement aux
troubles
de la surconscience et de Vhypnotisnie aux troubl
raisonnement aux troubles de la surconscience et de Vhypnotisnie aux
troubles
de la sousconscience. de même que nous ne pouvons
traitement hypnotique. Bans l'hystérie existent presque toujours des
troubles
de O et du polygone ; les troubles de 0 ou de la
érie existent presque toujours des troubles de O et du polygone ; les
troubles
de 0 ou de la surconseieace sont ceux du caractèr
Nous ne comprenons pas pourquoi l'hypnose qui ferait disparaître les
troubles
du polygone, augmenterait la désintégration de la
qu'il n'a aucune prise sur le polygone; al'.iB comment guérit-il les
troubles
du polygone que if. Grasset, lui, indique comme é
comme étant justifiables de l'hypnotisme ? il. Dubois a écrit que les
troubles
reinaus des enfants et particulièrement l'inconti
nts comme il le dit, mais parce que l'incontinence est précisément un
trouble
du polygone, de la sousconscience sur lequel le r
u en détail afin de ne pas revenir sur ce sujet en parlant des autres
troubles
du polygone ou de la sousconscience. 2ïous préten
plus profond. On comprend que la psychothérapie ne puisse agir sur ce
trouble
ou bien elle ne le peut qu'en agissant sur la sùg
rritation réflexe produite par la dilatation de la matrice et par les
troubles
généraux qui l'accompagnent. Il est possible d'ar
parle beaucoup des psychonévroses menstruelles, mais pas du tout des
troubles
menstruels mêmes. H est impossible par la psychot
ur le centre vasonioteur. C'est pour cela que nous pouvons guérir les
troubles
menstruels fonctionnels, si fréquents chez les ne
les troubles menstruels fonctionnels, si fréquents chez les nerveux,
troubles
qui ne disparaissent pas toujours quand Yétat ner
igence et des mouvements, tout cela ne pouvait s'expliquer que par un
trouble
purement dynamique des fonctions cérébrales. Sé
hystériques si l'on veut, bien que la jeune fille ne présentât aucun
trouble
de la sensibilité de la peau, des muqueuses, ni a
t aucun trouble de la sensibilité de la peau, des muqueuses, ni aucun
trouble
sensoriel ; elle n'avait aucune bizarrerie dans l
l suit : 1° Dr Pamaut. — Action de la suggestion hypnotique sur les
troubles
fonctionnels occasionnés par un kyste hydatique d
nce est levée à 6 h. 50. Action de la suggestion hypnotique sur les
troubles
fonctionnels occasionnés par un kyste hydatique d
es accompagnées de fragments de membrane-mère. De ce jour, tous les
troubles
cessèrent pour ne plus jamais reparaître. Mon anc
bit et d'en limiter la dépense. M. Paul Farez. — Qu'il y ait simple
trouble
fonctionnel ou lésion organique, la sollicitation
dans son état depuis cette époque permettent d'affirmer la nature des
troubles
de mentalité qu'elle offre. En effet, c'est ver
un cas extrêmement intéressant. Quelle que soit l'interprétation du
trouble
psychique, qu'on admette la synthèse mentale osci
mécanique de la), par Pamart, p. 250. Kyste hydatique de l'estomac (
Troubles
fonctionnels occasionnés par), par Pamart, p. 374
tion et présente de l’anesthésie pharyngée ; elle n'offre aucun autre
trouble
de sensibilité et n'a jamais eu d'attaques d’hyst
; phobies nombreuses: peur de rester seule, agoraphobie; aboulie. Les
troubles
psychiques s’étaient à la longue compliqués de dé
e chez les autres névropathes. Thanatophobie, agoraphobie et divers
troubles
nerveux traités avec succès par la suggestion.
s normales. C'est en suivant cette méthode que j’ai pu triompher de
troubles
psychiques des plus pénibles comme des plus tenac
ité des centres nerveux. Que ces centres à leur tour — par suite d'un
trouble
cœnesthésique soit de cette sensibilité viscérale
se enjeu de cette idée subconsciente; peu à peu, la répétition de ces
troubles
renforcera l’idée principale et, par ce mécanisme
ion ou par lésion du cœur et, de l’autre, les lésions d'organe ou les
troubles
de fonction susceptibles de retentir sur cette se
pproché inconsciemment, par une élaboration maladive du cerveau, d’un
trouble
fonctionnel existant, il reparaissait à chaque ma
ble gastrite, encore à ses débuts, mais suffisamment affirmée par les
troubles
consignés dans la première partie de cette observ
hodiques; hygiène spéciale en rapport avec la nature et l’origine des
troubles
digestifs. Pendant chaque visite, je m’efforce de
t par suffocation, ne sont pas le résultat d'une idée délirante, d'un
trouble
mental, mais d'un souvenir qui, à son insu, a lai
le rapport existant entre les malaises gastriques, ses phobies et les
troubles
cardiaques, je lui conseille enfin, dans ses mome
leurs résistances et on leur impose des suggestions efficaces. Les
TROUBLES
DE LA PAROLE CHEZ L’ENFANT, par G.-L. DUPRAT, Mai
er. Tout cela n'a rien de bien étonnant si l’on songe que derrière ce
trouble
de la parole il y a, le plus souvent, non pas un
ptomatique se manifeste parfois, surtout dans les cas graves, par des
troubles
oculaires trop souvent méconnus, tels que : érvth
elle; d’autre part, le malade en traitement peut être en imminence de
troubles
mentaux qu’un traitement intempestif ferait éclat
er à nouveau, faire encore quelques petits pas, et ainsi de suite. Ce
trouble
ce la marche s'accompagne de petits mouvements da
lle elle s'est complètement remise. Celle d'il y a un an a laissé des
troubles
qui subsistent encore. Le masque de cette femme e
supérieurs, mais toute la force musculaire est conservée; il n'y a ni
trouble
sphinc-térien, ni trépidation spinale ; enfin, sa
, sauter; elle jouit de toute sa force musculaire. Cette variété de
trouble
de la marche est la forme trépidante de l’as-tasi
qu’une fois au lit, il peut mouvoir ses membres. Même en l’absence de
troubles
sensitifs ou oculaires, Charcot faisait rentrer c
joue du piano et chante avec beaucoup de sentiment. Sa double nature
trouble
les médecins, les moralistes et les tailleurs, ma
se canalisent, se concentrent vers un but unique : la disparition des
troubles
morbides. Combien puissante est l’énergie qui som
s. Il est connu par scs travaux sur l'idiotie, sur ¡'épilepsie et les
troubles
psychiques ou psychoses de la puberté, études rem
époux dans une situation délicate et peut amener, ultérieurement, des
troubles
dans la tranquillité du ménage. Un autre agent
stématisateur puissant, il sut voir clair, là où tout le monde voyait
trouble
. Une telle supériorité se paye. A ce chercheu
e hystérique des chats, le tremblement héréditaire des levrettes, les
troubles
moteurs des pigeons dits « culbutants », le tourn
es lésions organiques non encore constituées. 2° Pour dissocier les
troubles
psychiques qui accompagnent la lésion, évoluent p
a lésion est primitive et causale), pour éviter que le progrès de ces
troubles
psychiques n’aggrave la lésion, n’accélère l'évol
êves, oubliés au sommeil, avaient plusieurs fois conditionné certains
troubles
nerveux. Je dirige donc mon enquête dans ce sens.
abolition du réflexe pharyngien, points douloureux le long du rachis,
troubles
de sensibilité, etc. Tous les jours depuis six an
estes restent inefficaces parce qu'elles n’attei-gnentpas la cause du
trouble
fonctionnel. Ce trouble fonctionnel peut être e
parce qu'elles n’attei-gnentpas la cause du trouble fonctionnel. Ce
trouble
fonctionnel peut être entretenu par des rêves ou
re et ayant pour but de provoquer le souvenir de la cause initiale du
trouble
nerveux, il est rare qu’on n’obtienne pas de rens
btienne pas de renseignements très précieux. On apprend ainsi que les
troubles
hystériques ont eu pour cause un choc, une émotio
fréquente et bien plus marquée encore chez ceux qui ont présenté des
troubles
psychopat hiques. On voit alors, au fur et à mesu
fausses peuvent-dans la psychose polynévritique, constituer l'unique
trouble
: les malades racontent alors une série d’événeme
, que dans tous leseas où les états toxi-infectieux s’accompagnent de
troubles
cérébraux, et c'est le plus grand nombre, il y a
stations convulsives et psychopathiques avec les intoxications et les
troubles
de nutrition, légitiment assurément cette manière
e-t-il, de l’établir, afin d’appeler l'attention sur une catégorie de
troubles
d’esprit, très fréquents dans la pratique médical
es sont devenues beaucoup plus abondantes. La malade a présenté des
troubles
graves du côté de l’appareil de la. (1) Voir po
is il convient de montrer qu’une catégorie de phénomènes nerveux, les
troubles
vaso-moteurs, rappellent les maladies organiques
pital et encore ignoré dans un grand nombre de maladies; soit que les
troubles
vaso-moteurs créent des états pathologiques à app
; toutefois, quelle qu’ait été leur nature, il est manifeste que des
troubles
organiques d’une certaine intensité ont pu être t
de voir guérir sous l’influence de la suggestion religieuse ; 2° des
troubles
véritablement organiques dont la guérison est nié
proclamée miraculeuse par les autres. Or la guérison de ces derniers
troubles
est réelle sans être miraculeuse ; elle s'expliqu
certaines plaies, toujours grâce à des modifications vaso-motrices.
Troubles
psychiques en rapport avec la compression de l’éc
ade d'un côté, et, d’un autre côté, l’ostéite éburnante favorisant le
trouble
circulatoire sont les causes de la psychose. L'op
Richer, à l’occasion de sa nomination, toutes nos félicitations.
Troubles
visuels hystériques chez l’homme. M. Wettendorf
contrôle de la conscience personnelle, et qui se manifestent par les
troubles
les plus variés d’apparence uniquement physique.
on veut, un état de sommeil des centres cérébraux. L’anes-thésie, les
troubles
moteurs et viscéraux, vaso-moteurs et psychiques
attaques efc tous les accidents paroxystiques. L’hystérie n’est qu’un
trouble
local du cerveau plus ou moins généralisé. Les ce
gnault. En rétablissant chez notre malade l’équilibre rompu par des
troubles
nerveux, nous avons obtenu sa guérison, ce qui pr
nisme de déchéance et diminuent sa résistance. De même que les divers
troubles
moteurs, sensitifs, circulatoires, provoqués par
tifs, circulatoires, provoqués par les causes ci-dessus énoncées, les
troubles
sudo-raux présentent les distributions et les loc
agent d’inhibition ou de dynamogénie. S’agit-il d'une hyperhidrose?Ce
trouble
est en rapport soit avec l’excitation du centre v
nation mentale sont notés fréquemment dans leurs biographies. Ces
troubles
sont-ils altribuables h l'hyperfonclion cérébrale
uilibré, sous prétexte qu’il est mort de cette maladie. Ou bien ces
troubles
nerveux sont-ils une condition du génie ? C’est l
en plaques : or, c'est là une grosse erreur. Ce malade est atteint de
troubles
fonctionnels et il guérira rapidement. Notons q
nt normaux ; sa force musculaire est conservée ; il ne présente aucun
trouble
trophique. Il tremble, mais presque constamment e
mais son débit n’est ni précipité, ni explosif, ni scandé ; c’est un
trouble
psilliforme : sa parole est embarbouillée et se r
and il est seul, pour faire le diagnostic de maladie organique. Ces
troubles
fonctionnels ne doivent pas toujours être mis sur
toide. La première laparotomie a été faite pour une hématémèse et des
troubles
gastriques; l’opération montra que l’estomac étai
rrière du genou : la marche est devenue impossible. Il n’existe aucun
trouble
de la sensibilité ni de la motilité : la peau du
des voies centripètes, et si j’admets, comme cause principale de ces
troubles
de la sensibilité, la rétraction des neurones de
ugmenter l'anesthésie (cercle vicieux), et de déterminer en outre des
troubles
sensoriels du même côté. C’est du moins par ce mé
réfections du système nerveux. (Ann. d’oculist., mal-juin 1878). Les
troubles
oculaires dans riiystérie. (Ann. d'ocu-list., jui
t à la suggestion, fixe le jour de la suppression. En prévision des
troubles
mentaux qui accompagnent toujours cette suppressi
’emploi de la suggession diminue d’une façon appréciable la durée des
troubles
mentaux. Elle dissipe les nombreuses manifestatio
orphine et la répulsion pour les piqûres, de réaliser la guérison des
troubles
hystérlformes et, enfin, de faciliter la restaura
ltiplicité, leur localisation et leur symétrie; elles constituent des
troubles
vaso-moteurs engendrés par l’hystérie. Ajoutons q
vives peuvent causer des altérations matérielles du cœur, de même des
troubles
fonctionnels intenses sont capables de provoquer
éprouva une grande frayeur à la suite de laquelle elle manifeste des
troubles
nerveux divers. Le 26 janvier dernier, subitement
oins contre les mouvements communiqués d’extension et de flexion, les
troubles
de la sensibilité sont limités à la jambe et au p
te, rire spasmodique, bâillement, dépression psychique, etc. Tous ces
troubles
sont survenus après une violente disputé de cet h
te un état convulsiforme des constricteurs de la glotte ainsi que des
troubles
moteurs et sensitifs du ressort de l’hystérie. El
. » En effet, retourner un malade sous toutes ses faces, analyser les
troubles
morbides, déterminer leur véritable valeur cliniq
et conclure soit à une lésion de telle ou de telle nature, soit à un
trouble
fonctionnel, voilà bien ce que nous enseigne M. R
s frayeurs créent souvent une dépression nerveuse qui s'accompagne de
troubles
de la nutrition: d’autres fois, elles produisent
mène physiologique. Dès lors il est facile de comprendre pourquoi ces
troubles
de la sensibilité se trouvent si souvent associés
mène physiologique. Il est dès lors facile de comprendre pourquoi ces
troubles
de la mémoire se trouvent si souvent associés che
la Grande Encyclopédie, ainsi qu’un travail imprimé du Dr L. Fuster:
Troubles
physiques et psychiques observés chez l'homme dan
rvention sanglante. Elles établissent en outre l’existence d’autres
troubles
psychiques liés au vaginisme, engendrés par lui e
qu’ils croissent et croissant à mesure que l'affection s'aggrave. Ces
troubles
relèvent directement du domaine de la psychothéra
I Modifications de l’intelligence et du caractère produites par les
troubles
de la mémoire chez les hystériques. Il n’est pa
la maladie, ou qu’ils ont été moins bien impressionnés par suite des
troubles
sensoriels. La confusion mentale des hystériques
des hystériques ne sont le plus souvent que le résultat d’oublis, de
troubles
sensoriels ou de suggestions. VII De la rétra
t en même temps en état de rétraction, et l’on constate à la fois des
troubles
de la sensibilité, de la mémoire et de la molilit
ollicitent à l’extension. En effet, chez les hystériques : 1° Les
troubles
de la sensibilité sont suivis de troubles de la m
les hystériques : 1° Les troubles de la sensibilité sont suivis de
troubles
de la mémoire ; 2° La diminution ou la perte du
on des neurones de proche en proche aboutissant à l’hypnose ; 4° Un
trouble
léger de la sensibilité, comme l’aura, est suivi
l’anesthésie devient très profonde ou absolue (J) » ; 5° Enfin tel
trouble
de la sensibilité peut être suivi de contractures
galement et les secousses ne se produisent plus. La disparition des
troubles
de la sensibilité entraîne aussi la disparition d
ctures. On peut donc poser en loi que, chez les hystériques : Les
troubles
de la sensibilité sont toujours suivis de trouble
ystériques : Les troubles de la sensibilité sont toujours suivis de
troubles
de la mémoire et de la motilité (amyosthénie par
ation. I Neurasthénie ancienne, avec dépression nerveuse intense,
troubles
dyspeptiques et cardiaques graves, tendance à l
ui les étonne particulièrement c'est que l'urine, depuis si longtemps
trouble
, est redevenue claire. C'est un indice, lui dis-j
symptômes essentiels et secondaires : céphalée avec casque de plomb,
troubles
dyspeptiques avec dilatation gastrique légère, in
, troubles dyspeptiques avec dilatation gastrique légère, insomnie et
troubles
du sommeil, hvper-esthésie spinale, étourdissemen
bles du sommeil, hvper-esthésie spinale, étourdissements et vertiges,
troubles
oculaires, auditifs, troubles de la sensibilité g
e spinale, étourdissements et vertiges, troubles oculaires, auditifs,
troubles
de la sensibilité générale, de la motilité, désor
elle avait obtenu un peu de mieux, un certain soulagement, quant aux
troubles
dyspeptiques et autres. Aux poumons, il y avait t
de la fatigue, doit guérir par la médication tonique ; tandis que les
troubles
gastriques des hystériques guérissent par suggest
xications et des toxines dans l’étiologie des maladies nerveuses. Les
troubles
de la nutrition, les maladies alimentaires et les
veuses fonctionnelles, mais encore organiques ; il en est de même des
troubles
fonctionnels des organes glandulaires. Les maladi
2. Paralysie de nature hystérique, par Audry, p. 313, Parole (Les
troubles
de la) chez l’enfant, par Duprat, p. 29. Pédago
la glotte, par Chiari, p. 314. Thanatophobie, agoraphobie et divers
troubles
nerveux traités avec succès par la suggestion, pa
. 257, 289, 321, 353. Trophoneurose traumatique par Thoma, p. 57.
Troubles
psychiques en rapport avec la compression de l’éc
. Ch. Renouvier et la théorie du), par Paul Farez, p. 193. Visuels (
Troubles
) hystériques chez l'homme, p. 253. FIGURES ET P
e disant en substance : « Je désire vous envoyer une malade qui a des
troubles
gastro-intestinaux, justiciables, à mon sens, de
années. L'observation est également importante au point de vue des
troubles
cérébraux d'origine cocaïnique. Certains auteurs
prétendent en effet que l'intoxication cocaïnique ne peut amener des
troubles
mentaux. L'occasion nous sera probablement offe
e est une preuve que l'intoxication cocaïnique suffit à provoquer des
troubles
cérébraux. Il y a quelques mois, un homme âgé d
n hôtel des Boulevards. Le soir même de son arrivée, il était pris de
troubles
cérébraux de nature inquiétante pour ses voisins
e calme fût revenu,me donner les renseignements sur les causes de son
trouble
cérébral. Ce malade est atteint depuis l'âge de
e insensibilité des muqueuses de la bouche, du nez et des yeux. Les
troubles
cérébraux disparurent rapidement avec la cessatio
est, qu'il est regrettable qu'un grand nombre de malades, atteints de
troubles
nerveux, tardent si longtemps à s'adresser à la m
tenant les effets. Bref 31. F. se plaignait de douleurs de tête, de
troubles
digestifs, d'insomnie et d'agitation pendant la n
formules adaptées à l'état mental du sujet, pour voir disparaître les
troubles
psychiques ? Non, il faut de la méthode, de la cl
e sorte, se faire les complices de la prévention de l'esprit, car des
troubles
gastro-intestinaux divers, et en particulier des
; b) la tropiopie de Furster : c) et d'une manière générale, tous ces
troubles
visuels accompagnés ou procédés de céphalalgie qu
d'écoliers. Quelles tragédies, quelles tortures d'adolescents, quels
troubles
d'Urnes affolées se caehent dans ces chiffres ! —
n avec le cortège de leurs aberrations et de leurs fautes, dues à des
troubles
pathologiques maintenant-bien connus, les miracle
misères de ses semblables,, de toucher du doigt, pour ainsi dire, les
troubles
et les désarrois si souvent inquiétants de l'Ame
hologie, il faut toujours voir et apprécier, en même temps que le
trouble
fonctionnel ou la lésion d'un organe, la physiolo
e, la méthode opothérapique. Les relations qui existeraient entre les
troubles
psychiques et la sécrétion des glandes eudocrines
t de 31. Laignel Lavastine, cherche a résoudre la double question des
troubles
psychiques dans les syndromes glandulaires et des
ans les syndromes glandulaires et des syndromes glandulaires dans les
troubles
psychiques ; mais le dernier mot n'est pas encore
détaillée, je dirai seulement qu'une apparente modification dans les
troubles
d'émotivité a été observée dès la 3me séance, et
f de toutes les modifications obtenues. Les théories émises sur les
troubles
de l'Emotivité sont nombreuses et se confondent a
théories même de l'Emotion. * L'Emotivité n'étant autre chose que le
trouble
produit dans l'ensemble des actions que définit l
ns résumé les principales théories émises sur les Emotions et sur les
troubles
de l'Emotivité ; leur étude nous conduit a une th
tant il faut avouer l'importante prépondérance que nous accordons aux
troubles
vasculaires, troubles en rapport avec les modific
importante prépondérance que nous accordons aux troubles vasculaires,
troubles
en rapport avec les modifications survenues dans
du grand sympathique, et à qui nous attribuons un grand rôle dans les
troubles
non seulement émotifs, mais même objectifs des sy
ériphérique, sur le compte desquelles nous mettons, non seulement les
troubles
d'émotivité. mais aussi les symptômes objectifs p
çant le sympathique et indirectement le cerveau {centre de différents
troubles
observés). Il résulte donc 1° que nous accordon
au grand sympathique qui, d'après nous, tient sous sa dépendance les
troubles
d'émotivité et les symptômes objectifs de la mala
ette dernière affirmation nous rappellerons que : lj Les différents
troubles
observés et décrits par de nombreux auteurs penda
par de nombreux auteurs pendant et sous l'influence de l'hypnose fies
troubles
des pupilles, des paupières, de la circulation de
nombreux et distingués chirurgiens sur l'amélioration des différents
troubles
de syndrome base-dowien, à la suite des opération
qu'il suffit pour montrer l'infuence des méthodes psychiques sur les
troubles
émotifs et même objectifs de la maladie de Basedo
ribuant surtout à la guérison de ses manifestations. En effet, si les
troubles
émotifs sont quelquefois les seuls qui attirent l
tirent l'attention et constituent l'objet d'inquiétude du malade, les
troubles
objectifs sont encore souvent apparents et prenne
ts et prennent une gravité plus grande que les premiers par suite des
troubles
et des complications auxquelles ils les exposent.
; 4 à 5 mois après, apparut subitement la paralysie sans aucun autre
trouble
. L'enfant raconte qu'elle a été 6 h 7 jours sans
une salivation abondante, elle n'éprouve, pendant ce temps, aucun des
troubles
qui accompagnent l'anurie ou la rétention : quand
rox (d'Alger). — Influence du réveil spontané sur la réapparition des
troubles
gastriques. Discussion : Dr Paul Parez. Dr Po
ques. Discussion : Dr Paul Parez. Dr Podiapolsky |de Moscou). Des
troubles
vaso-moteurs par suggestion hypnotique. Dr Shir
orto-Sico) et Bridou de Paris. La séance est levée à G h. 50. Des
troubles
vaso-moteurs par suggestion hypnotique par M. P
e la Société de neurologie, dans laquelle fut traitée la question des
troubles
vaso-moteurs par suggestion et auto-suggestion. L
is étaient partagés. Babinski, notamment, niait la possibilité de ces
troubles
, et son opinion parut prévaloir. Les arguments in
ociété des naturalistes de Saratov v. IV, faso. S. Paul Farez : Les
troubles
trophiques dans l'hystérie : brûlure suggérée. Re
ns rigoureux. De fait, à ceux qui nient de parti pris l'existence des
troubles
vaso-moteurs dont il s'agit, je voudrais poser le
d'eux, qui travaillait dans les mines, (I) Voir son article : « Des
troubles
vaso-moteurs provoqués par la suggestion hypnotiq
eur h l'Ecole de psychologie. Lundi 28 février, a cinq heures : Les
troubles
psychologiques du langage, par 31. le Dr Chervin.
lité, les réflexes, les contractions, l'appareil visuel et les autres
troubles
psychiques; mais l'auteur n'indique pas sa manièr
(sen-sitive et sensorielle) ne peut pas s'expliquer seulement par les
troubles
psychiques, mais d'après des données physiologiqu
tropbiques,surles fonctions sécrétoires, sur la température ; et les
troubles
de ces fonctions sont dus, soit à une cause organ
du 9 Avril 190s. Influence du réveil spontané sur l'apparition des
troubles
gastriques par le Dr L. Phox (d'Alger) Il e
bout d'un temps variable, une demi-heure à une heure en moyenne, des
troubles
gastriques apparaissent, répétition de ceux dont
nutile de décrire, puisqu'ils varient avec chacun. A leur tour, ces
troubles
, témoignant du réveil de la sensibilité morbide d
é suffisant? ISFLCRNCB DU RE Y £ IL SPONTANÉ 3CR L'APPARITION" DM
TROUBLES
GASTRIQUES 215 Tel est le fait peu important en
e paraissent se rattacher h l'hypersthénie gastrique et dépendre d'un
trouble
principalement chimique. J'en donne pour preuve q
e fixité dans l'application ne dépend ni de lésions organiques, ni de
troubles
fonctionnels. Elle s'explique par une éducation d
qu'elles sont modifiées par une petite lésion cérébrale, par un léger
trouble
de la circulation encéphalique, que l'organisme e
xpert, c'est le médecin connaissant la physiologie des organes et les
troubles
mentaux qui peuvent résulter de leur état patholo
e de bois. Dans l'histoire des religions, il faut tenir compte d'un
trouble
mental dont sont affectées certaines sectes relig
s scandaleuses qui se produisenten pareille circonstance affirment le
trouble
mental des assistants. Ds est bien entendu que
e pouvaient pas exister. Le coupable acquitté constitue un élément de
trouble
social, il peut recommencer et causer des dommage
r et causer des dommages à la propriété on à la personne. Mais ce
trouble
est somme toute moins inquiétant que celui qu'eng
e proposeront peut-être sa sortie en se basant sur la disparition des
troubles
qui avaient justifié leur première appréciation.
idemment de l'état pathologique ; tant il est vrai qu'il n'est pas de
trouble
mental qui ne se rattache par un lien aux fonctio
immixtions spontanées des grandes manifestations de l'hypnotisme aux
troubles
de la grande attaque d'hystérie. M. Pitres a ég
ar les affirmations contraires. A notre époque, la constatation des
troubles
de la grande hystérie est devenue moins fréquente
ote relative à l'influence du réveil spontané sur la réapparition des
troubles
gastriques. 2° Dr Pychlau (de Pskoff). Incontin
ion intitulée •• Influence du réveil spontané sur la réapparition des
troubles
gastriques " (Séance de novembre). par le Dr L.
eu par le réveil spontané et si, comme conséquence, il se produit des
troubles
chimiques, on ne peut leur attribuer une signific
sychologie fies lundis, h cinq heures) l.t N.'i 28 Feyxikh, — Les
troubles
psych-dogiques du langage, par le LV Chkkvik, dir
eiphllomanie. Les meilleurs remèdes contre l'insomnie et les divers
troubles
du sommeil. Sous cette rubrique nous faisons ap
sidèrent de réelle efficacité dans le traitement de l'insomnie et des
troubles
du sommeil. 2Coas commençons aujourd'hui par si
ème si important du traitement inoffensif de l'Insomnie et des autres
troubles
du sommeil. Nous leur demandons également de noua
hologique n'a jamais cru, enseigne M. le professeur Déjerlne. que des
troubles
moraux pouvaient retentir sur l'organisme au poin
moraux pouvaient retentir sur l'organisme au point d'y déterminer des
troubles
fonctionnels, sans lésion, dans l'ignorance où el
e leur mentalité. On les déclare atteints de psycho-névrose quand les
troubles
de l'esprit sont intimement associés aux nombreux
r Qni me ressemblait comme un frère. Lorsque chez ces malades les
troubles
de l'intelligence sont associés à ceux de la sens
traumatiques ont abouti à la conclusion que chez les traumatisés les
troubles
psychiques observés ne sort nullement en rapport
ssion de précautions de cet ordre qu'il faut attribuer la plupart des
troubles
névropathiques qu'on observe si fréquemment chez
culté à reconnaître que ces visions hypnagogiques se rattachent à des
troubles
pathologiques. Il a pu constater que toutes les p
donnent communication. Par là seulement le médecin pourra étudier ces
troubles
et et les traiter d'une façon satisfaisante. Le
à atteindre compromet, tôt ou tard, l'équilibre moral. Quand il y a
trouble
sexuel chez l'homme, des symptômes mentaux et psy
à exclure toute allusion à ce sujet, même si le médecin pense que les
troubles
ont leur origine dans quelque désordre sexuel.
solue du malade en son docteur. Parmi les causes secondaires de ces
troubles
, il faut distinguer celles qui viennent de la fem
ent atteint chez la femme. Ce fait méconnu est un facteur puissant de
trouble
sexuel. Pour ce qui concerne le jeune homme, so
tent le malade en confiance. Celui-ci exposera alors sans crainte ses
troubles
, ses difficultés et il obtiendra du médecin l'avi
esque tous névropathes de naissance, se trouvaient importunés par des
troubles
psychiques, semblables a ceux que l'on constate d
aptitudes, le traitement qu'il convient d'employer pour combattre ces
troubles
psychiques si variés. Ce traitement spécial qui p
,conformément aux idées développées autre-fols jwir IvRSègue, que les
troubles
de l'esprit sont souvent dus a nne foxi-infeetion
cartant les uns des autres. Cette difformité peut être attribuée à un
trouble
visuel qui provoque chez beaucoup d'hystériques u
e cortège symptomatique de la neurasthénie et de l'hystérie quand les
troubles
cérébraux prédominent dans ces deux pseudo-psycho
ture des malades atteints de ces tremblements qui expriment plutôt un
trouble
fonctionnel qu'une lésion organique du système ne
ne conclusion trop hâtive, d'attribuer exclusivement à l'un d'eux des
troubles
graphologiques qui peuvent dépendre d'un autre.
tions de piqûres et de tiraillements dans tout le corps et un état de
trouble
général que je ne savais à quoi rapporter. Ce
êveries de la nuit précédente. Ne sachant à quoi attribuer de pareils
troubles
, et non renseigné sur les incidents provocateurs
e. L'examen objectif, eu dehors d'un certain état de dé-Ci) Pevnizky.
Troubles
obsédants traités par la méthode psycho-analytiqu
le scandale, se lie avec le jeune homme en question. Et quel est son
trouble
son épouvante, quand elle s'aperçoit que l'acte s
estes restent inefficaces, parce quelles n'atteignent pas la cause du
trouble
fonctionnel. « Ce trouble fonctionnel peut être
arce quelles n'atteignent pas la cause du trouble fonctionnel. « Ce
trouble
fonctionnel peut être entretenu par des rêves ou
e et .ayant pour but de provoquer le souvenir de la cause initiale du
trouble
nerveux, il est rare qu'on n'obtienne pas de rens
btienne pas de renseignements très précieux. On apprend ainsi que les
troubles
hystériques ont eu pour cause un choc, une émotio
ce des plaintes du malade Ce dernier faisait remonter le début de ses
troubles
à deux ans auparavant. D'après ses dires, il ress
lorsque le médecin se trouve en présence d'un malade qui se plaint de
troubles
neurasthéniques, il ne doit pas se contenter d'en
is il y a des circonstances ou elle est inhibitrice ou productrice de
trouble
psychonévrotique et d'état hypnoïde, suivant qu'e
l'intérêt d'actualité qui se rattache en ce moment, à l'influence des
troubles
motifs sur l'étiologie des divers phénomènes psyc
névroses. — considérant, d'une part, la relation qui existe entre ces
troubles
émotifs et les phénomènes cardio-vasculaires et,
d'hypnotisme. 2° Examiner la composition du sang. 3° Signaler les
troubles
fonctionnels et les modifications des éléments du
e de l'établissement, ne l'ont représenté comme très calme, exempt de
troubles
mentaux caractérisés. Dr Paul Farez — La somnof
Le I)r Bérillon a prouvé que l'homosexualité est toujours liée a des
troubles
physiologiques et en particulier a-des altération
ve toujours a, l'origine de la perversion sexuelle. Le traitement des
troubles
de l'olfaction doit donc faire partie des procédé
sont souvent insuffisantes pour faire disparaître un grand nombre de
troubles
norveux. € La persuasion, quand elle est exercé
nt des malades imaginaires, on prête une étiquette superficielle à un
trouble
organique dont le sens profond mérite un examen p
hérapie graphique préconisés par le Dr Bérillon démontrent-que si les
troubles
psychopathiques apportent des altérations dans l'
ééducation de l'écriture favorise considérablement la disparition des
troubles
de la mentalité chez les nerveux. Utilisation d
Réplique du Dr Farez, p. 138. Réveil spontané sur l'apparition des
troubles
gastriques(Influence du), par Pron, p. 214, 248
es, par Cesari, p. 203. Vasomoteurs par suggestion-hypno-tique (Des
troubles
), par Podia-polsky, p. 178. Vasomotrices produi
at normal. Entre le fonctionnement régulier de l'organisme et les
troubles
spontanés qu'y apporte la maladie , l'hypnotism
urée d'avance, presqu'à coup sûr, aux suggestions provoquées par le
trouble
moral ou intellectuel, devant lesquels la volon
t à lui toucher les mains, on est surpris de voir qu'aussitôt il se
trouble
, parait en proie à un malaise inexprimable, à u
satisfaction réelle pour ce besoin assouvi. Le coeur témoigne du
trouble
profond qui existe tant que P... ne s'est pas aff
ce de cette névrose, pour le dire en passant, est loin d'exclure un
trouble
vésanique. La coexistence de deux délires, l'un
tions héréditaires fâcheuses qu'est dû le développement hâtif des
troubles
particuliers qu'il présente. Faible d'esprit, quo
téristique qu'elles révèlent bien, par leur nature appréhensive, le
trouble
profond de la sensibilité morale. Il est bon en
e saurait être permanent, ou, s'il l'était, il entraînerait de tels
troubles
dans la nutrition des membres, que la paralysie
ité par les oesthésiogènes, Paris, 1880. Boussi (R.).-Etude sur les
troubles
nerveux réflexes observés dans s les maladies u
aris, 1880. PROUST et BALLET.- De l'action des aimants sur quelques
troubles
nerveux (Journ. de thérap., 1879). BoucsAUD.
st-à-dire en arrière du sillon pariéto- occipital, n'entraîna aucun
trouble
de la vue. 2° La destruction complète du pli co
r l'autre hémisphère, l'animal ainsi mutilé n'ayant presque aucun
trouble
visuel, ou n'étant tout au moins affecté que de p
l'on détruit en une séance les deux lobes occipi- taux (absence de
trouble
visuel) et dans une autre le pli courbe du côté
n visuelle du côté opposé ; 2° cette opération n'est suivie d'aucun
trouble
de l'intelligence de la locomotion ou de la sen-
d'une bonne tranche de boeuf quand la sitiophobie ne dépend pas de
troubles
gastriques. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ 111ÉDIC
de la répétition d'un même acte dans les mêmes lieux conclure à un
trouble
mental intermittent ? Cet homme n'avait nulleme
ortissent plus à la psy- chologie qu'a la pathologie. Peut-être ces
troubles
sont ils produits par des altérations moléculai
le geste, la musique, etc. On comprend* sous le nom d'aphasie un
trouble
de ces diverses manifestations de la pensée sans
d'où résulte un grand nombre devariétés d'apha- sie. Ces différents
troubles
peuvent aussi se combiner les-uns avec les autr
passer en revue ce qui a été écrit sur chacun de ces deux derniers
troubles
. ' ' ')'' m, .' , ? ' .i / A. De la cécité de
mpréhension des signes de la pensée représentée par l'écriture. Ce'
trouble
précède, accompagne -ou suit les dé- sordres de
figure une personne qui exprime assez bien ses idées, n'ayant aucun
trouble
du côté de la vision, qui parle de tout ce qu'e
té des mots, persistant quelque'temps' après la disparition de tout
trouble
de la parole. ' ° M-6 X..., âgée de quarante-si
fait. Enfin, en,1876, parait le mémoire de M. Kùssmaul « sur les
troubles
de la parole » ; l'auteur a consacré à la descrip
à M. Kuss-. maul que revient le mérite d'avoir décrit le premier ce
trouble
et de lui avoir donné un nom (cécité des mots,
), M. N. Guéneau de Mussy pu- blie un cas de cécité des mots, où ce
trouble
a précédé de douze jours les désordres de la pa
en 1877,' un résumé de ce chapitre dans sa' thèse : « Essai sur les
troubles
de' la parole, n ' m ' ' 1 22 J . REVUE CRITIQU
qu'il avait écrits. L'aphasie n'est probablement qu'un épisode d'un
trouble
psychique plus général, l'oubli de la valeur des
mots ; 2° de ce centre au bulbe ; et, 3° du bulbe au dehors. Les
troubles
de l'aphasie se produisent suivant la partie de
e de comprendre ces mots écrits ou expliqués à l'aide de gestes. Ce
trouble
accompagne ordinairement l'altération du langag
on de ne pas accompagner les questions de gestes ex- pressifs ; les
troubles
de la parole qui coexistent avec la surdité des
qu'après avoir étudié à , part, dans d'autres cas types, chacun des
troubles
qu'on y rencontre. En 1878, M. Broadbent publie
ité des mots, où ils citent quelques obser- vations nouvelles de ce
trouble
. , Leur, première malade, âgée de quarante-deux
n, frontale du côté gauche. Le troisième malade, aphasique avec des
troubles
de la parole très accusés, entend tout les sons
il est le seul en France qui soit venu contester l'existence de ces
troubles
positifs, quoique encore peu connus et peu étud
chives générales de médecine, \ 87 '6, p. 642 Hornus. Essai sur les
troubles
de la 'parole. Thèse de Paris 4877; - Noël Guén
. Comm. à la So- ciété de Biologie. (Juillet 1880) ; Robin (A). Des
troubles
oculaires dans les maladies de l'encéphale. Thè
ntait une fatigue générale très marquée, mais ne pré- sentait aucun
trouble
intellectuel. Le rétablissement complet de la s
sommeil comateux dont il sortit peu à peu, en quelques heures, sans
trouble
de l'intelligence. On gagna ainsi la nuit suiva
malade revint à son état normal. Le lendemain; il n'y avait plus de
troubles
de la mémoire et de l'intelligence. Les jours s
i- dable, avec perte de connaissance, convulsions, contracture et
troubles
passagers de l 'intelligence et de la mémoire. No
iques dans dix-sept; et quatorze malades seulement présentaient des
troubles
en rapport avec la lésion"' '; ' ' r ' ' Le d
fibres sympa- thiques contenues dans le tronc nerveux (Eulenburg) ;
trouble
vaso-moteur de la région (Stilline) ; lésion du
u trajet de l'incitation. Il en appelle à la, fréquence extrême des
troubles
sensitifs dans l'intervalle des accès ou à la pér
symptômes rénaux étaient peu marqués; peu ou pas d'oedème; pas de
troubles
dyspeptiques; aucun des deux malades n'avait le
des( cordons latéraux est indéniable. Dans certaines cas, un simple
trouble
fonctionnel de'ces régions (Erb.)'orrait engend
DE,PATHOLOGIE3NERVEUSE. 253 et; qu'elles;Sont sous la»dépendance,de[
troubles
.dans le fonc-, tionnement,des,vasa-vasorum.yrrn
agnée de poussées inflammatoires. Enfin, l'auteur se demande si les
troubles
du goût doivent être rapportés à la compression
es absences, de l'amnésie, des modifications du caractère, dans des
troubles
de la parole et des attaques apo- plectiformes,
nt; mais, huit jours plus tard, nouvel ictus vertigineux, nouveaux'
troubles
de la déglu- tition'et de la parole. Cette fois
, plus leur action chimique est irri- tante, plus aussi on voit les
troubles
nerveux qu'ils déterminent prendre, de gi : vit
uteurs, dé présider au sens de l'équilibre, et il rapporte tous les
troubles
statiques observés à la suite de leur lésion à un
XVI. DE l'influence DES VASO-MOTEURS SUR la PRODUCTION DE CERTAINS
TROUBLES
FONCTIONNELS, AVEC QUELQUES REMARQUES sur LE tr
scles de' la face'/des oreilles et "du1 voile1 'du' palais, * avec'
troubles
'de `la- parole dans' le second/5 les' secousse
britannique. .p ? nun, .n ,,I,,aun : ) fl0lî f-a iu^En effet, (les
troubles
, intellectuels et nerveux,prennent,çha- que jou
pel^faits à l'activité nerveuse,- et comme conséquence logique, les
troubles
nerveux oprésents ou éventuels. »,i ,,q. /f ? ,
Il pense;e'en`J efiet;'tqùè''lëür "pâthôgéniè'1 résidé" dans' dès'
troubles
de lanutrition générale d'ordre anémique, dâns l'
a- rienne ne, serait) responsable que, d'un. très petit nombre de
troubles
: psychiques; : lorrapport étiologique. allégué p
0 Allili r emu ? bt ? j) ? ht ? e.1.141 ? il 1 teta)o6o;crainte)un
trouble
mental qui aune grandeanalogieavec u et epoboç
trouble mental qui aune grandeanalogieavec u et epoboç crainte) un
trouble
mental qui aune grande analogie avec Z1'afiecti
ère; dans la majorité des cas, lésions 'primitives des méninges(-et
troubles
de la circulation cérébrale' donnant lieu à- de
ouvent ? unr souvenir net : Ces .vertiges raccompagnent toujours de
troubles
visuels, ! et souvent d'une^, angoisse précordi
ans les autres faits, liridérnontre que, le délz"2,e (az*gu est, un
trouble
fonctionnel pouvant survenir, en4quelqueyvésanie
ordre- de -.décroissance, la, mydriase,, ks,troubks moteurs, les
troubles
sensitifs, .les symptômes circulatoires ? les .ma
on de la région .correspondante à droite ne s'ac- conipagne d'aucun
trouble
du langage. t' , ., ' ' 1 MAGNAN. Je vois bien
x r affectionsan'auraient,,pasaune gentse com- mune, toute dans des
troubles
de l'hémopoièse, daiis la dystrophie du système
1. ! 1, : ; z 1.1 AIONDEL' COIIII)AL ]l théorie pathogénétique des,
troubles
vaso- moteurs ; il fait ressortir qu'à ce compt
ocs. i'A-t-onr dirigé' des . essais@ thérapeutiques ' contré 'les '
troubles
vasomoteurs ? 1 ? Sur la réponse négative de 1li
ion de la' température extérieure peut amener là mort par suite 'de
troubles
cérébraux," c'est ! le cas" du' coup de chaleur
issamment, comme dans l'état de santé. ' Cet état s'accompagne d'un
trouble
des centres vaso-moteurs qui ne' réagissent plu
une guérison. f t < v E I , V. Étude sur l'état mental et les
troubles
psychiques des cardiaques ; bno orp Pal L. n'As
'ï'1 Ij ? <'«>»'.' W. ^ L auteur pense qu'au point de vue des
trouble
^ psychiques il y a une' différence bien tranché
offre des oscillations plus ou moins brusques; mais l'intensité,des
troubles
intellectuels ne correspond pas nécessairement
ellectuels ne correspond pas nécessairement à une recrudescence des
troubles
cardiaques/ n" t', , . l 1 t(, . ? ? v ,Li ? -,
, . r . ' . i|i| 'I , il '' VI. Contribution à l'étude de quelques
troubles
nerveux qui surviennent , chez les diabétiques;
l'emprisonnement', soit à la com- pression du nerf par le cal. Les
troubles
de. la sensibilité et de la motilité sont très
interne, par Bitot, 1. Cardiaques (étude sur l'état mental et les
troubles
psychiques des), par d'Astros, 305. Cécité et
sym- ptôme de l'urémie, pat Séguin, 248. Cercles (différents de
troubles
intel- lectuls), 261. Cérébrotomie méthodique
, 131. * ^ Diabétiques,' (contributions' à@ l'é- tude de quelques
troubles
nerveux . qui surviennent chez les) , par - n
Vaso-moteurs (de l'influence des) sur la production de certains
troubles
fonctionnels avec quelques remarques sur le tra
son origine. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'HYSTÉRIE CHEZ L'HOMME. -
TROUBLES
DE LA'SENSIBILITÉ CHEZ LES ORIENTAUX. LES AISSA
élèves doivent avoir conservé la mémoire de son enseignement. Les
troubles
de la sensibilité, l'analgésie hystérique attir
r. La soeur avait tous les caractères des hystériques, accusait des
troubles
légers tels que boule hystérique, douleur fixe
ne qui devait appeler mon attention plus que toute autre, celle des
troubles
de la sensibilité amenant une insensibilité à l
e. Mais il y en a qui au bout de quelques minutes ont de certains
troubles
de la vue (ils voient rouge) et sont parfaiteme
saccidents hystériques chez l'homme ou simplement pour observer des
troubles
remar- quables de la sensibilité, nous devons r
uvons-nous nous trouver en présence d'indivi- dus chez lesquels les
troubles
de la sensibilité sont très fréquents, dont le
e genre de vie de ces gens. La conséquence c'est que, chez eux, des
troubles
de la sensibilité (analgésie surtout) sont infi
rait ainsi bien des faits singuliers et l'on donnerait la raison de
troubles
de la sensibilité qui démontrent une fois de pl
32.) RECUEIL DE FAITS PARALYSIE GÉNÉRALE. ALCOOLISME CHRONIQUE.
TROUBLES
TABÉTIQUES; PARALYSIE GÉNÉRALE CONFIRMÉE. LÉSIO
voit cons- tamment en pathologie classique, c'est-à-dire les grands
troubles
organiques que l'on connaît et, parfois, la mor
, p. 330), il a montré que dans des cas d'anesthésie cutanée, si le
trouble
de la sensibilité est borné à la peau, la sensi
bien constituée, intelligente. Etat psychique normal. - 1 part les
troubles
observées au bras droit, rien d'anormal dans le
des sens normaux. l'as d'amblyopie, ni de dyschroma- topsie. Pas de
troubles
sensitifs de la peau ou des muqueuses. Réflexes
assagère et cesse avec la cause qui la provoque (narcotique, froid,
troubles
de la circulation). On pourrait croire plus vol
: de la cyanose, de l'oedème, de l'augmentation de la .sueur et des
troubles
trophiques qui se ma- nifestent surtout parla t
é, occupant en général les deux côtés du corps et s'accompagnant de
troubles
de la motilité. Ainsi, dans le cas d'anesthésie
serait pas épargné; il y aurait paralysie motrice, hyperesthésie et
troubles
trophiques de ce côté, toutes choses qui n'existe
elle a de l'anesthésie, des anomalies delà sécrétion sudorale, des
troubles
trophiques et circulaloires. La lésion doit don
celte région entraîne non seulemeutl'unesllésie, mais encore des
troubles
trophiques soit indirectement, par suite de la pe
iassent par le 3° gan- glion cervical, mais le peu d'importance des
troubles
trophiques dans uotre cas, écarte toute idée d'
x hystériques ; -2° présence de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 105
troubles
trophiques. Qu'il nous soit permis de soumettre à
pourtant tout à fait normal. Passons maintenant à la question des
troubles
trophiques. Les phlyctènes, les ulcérations éta
'anesthésie du membre et n'étaient pas par conséquent de véritables
troubles
trophiques. Du reste, c'est une erreur de croir
rie et atteindre même de fortes proportions. En ce qui concerne les
troubles
vaso-moteurs et sécrétoires, le refroi- disseme
rties sous-jacentes du centre ovale. Jusqu'à présent toutefois, les
troubles
du langage produits par une lésion du lobule de
ité galvanique, retard et diminution de la sécrétion sudorale, sans
troubles
de la sensibilité, sauf une douleur à la pressi
nt conservé. On verra dans la troisième observation, dans un cas de
troubles
neveux disparates, combien furent utiles la rec
ent des douleurs en ceinture, comme il arrive dans la myélite, ni
troubles
vésicaux, ni rectaux. Les muscles s'atrophient
e M. Baillarger croit propre aux paralytiques, mais sans le moindre
trouble
ap- parent de la motilité et présentait pendant
ger a trouvé depuis 1860 beaucoup d'ad- versaires ; l'eschare et le
trouble
pupillaire peuvent être le fait de la pneumonie
randeurs : ce sont ceux dont le délire repose exclusivement sur des
troubles
de la sensibilité génitale. Ces malades n'ar- r
dans cette tranformation : elle s'effectuerait plutôt à la suite de
troubles
sensoriels, illusions et hallucinations. Si l'on
euses; il nous dit notamment que ceux dont le délire repose sur des
troubles
de la sensibilité géni- tale ne deviennent jama
élèbre par différentes particularités, d'un délire reposant sur des
troubles
de la sensibilité génitale. Eh bien, ce même al
en vue des- quels vous êtes armés; voilà un prétendu aliéné qui ne
trouble
ni la décence ni l'ordre publics, qui est gardé
ie, on retrouve les principaux traits de la névrose, avant tout les
troubles
de la sensibilité géné- rale et spéciale. L'hém
ralysie et de l'anesthésie, per- sistance de l'hypéresthésie et des
troubles
visuels. {Fig. 12.) L'interprétation de ce fait
plus d'une heure de suite. En 1886, sous l'influence de quelques
troubles
de la santé générale qui avaient amené un notab
mes les plus saillants sont la perte de la force musculaire, et les
troubles
de la sensibilité. La diminution des 192 PATH
joue le principal rôle dans ce phénomène. La distribution de ces
troubles
sensitifs est très particulière. L'anesthésie o
ées, et qu'il faut de l'attention pour découvrir. Il n'existe aucun
trouble
trophique au niveau des régions anesthésiées :
nt du champ visuel ni perte de la sensation des couleurs ; pas de
troubles
de l'odorat, du goût et de l'ouïe, aucune différe
mes, et malgré l'absence de phé- nomènes hystériques généraux et de
troubles
sensoriels, je portai le diagnostic de monoplég
de rétrécissement du champ visuel, ni de cécité.des couleurs, ni de
troubles
sensi- tifs de la peau ou des muqueuses. Les ph
etrouvons au début une période de douleurs fonctionnelles, puis des
troubles
de sensibilité très' prononcés, coïncidant avec
ens musculaire. La seule différence tient à la présence de quelques
troubles
vaso-moteurs et d'une éruption localisée au dos
ce que les signes géné- raux de l'hystérie manquent, et à cause des
troubles
trophi- ques ou vasomoteurs dont le membre anes
e membre anesthésié était le siège. Nous savons aujourd'hui que ces
troubles
de nutrition sont parfaitement compatibles avec
usculaire bilatérale avec réaction de dégénérescençe et fort peu de
troubles
sensitifs. D'ailleurs, l'évolution même de la m
sensation de chaleur insolite dans la jambe droite. Le début de ce
trouble
fonctionnel est absolument subit, non précédé d
omplète, et tous les accidents se bornent comme par lé passé, à des
troubles
de la sensibilité limités à un seul membre, san
ie à un seul membre, sa circonscription très spéciale, l'absence de
troubles
moteurs, la conservation des réflexes et des ré
jambe droite, parésie motrice à gauche, puis atrophie musculaire et
troubles
vési- 204 PATHOLOGIE NERVEUSE. DES MONOPLÉGIES
l ne s'étonne pas, enfin, de voir gué- rir en trois mois de pareils
troubles
moteurs sans laisser de trace, alors que les dé
cheval. En 1878, insolation en Algérie; à par- tir de ce moment les
troubles
intellectuels s'accentuent ; il suc- combe en 1
ntes. DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 233 insomnie, etc.). Au début, le
trouble
circulatoire est purement fonctionnel et passag
ial. - Périodes tonique et clonique'. Pas d'écume. - Coma. - Pas de
troubles
intellectuels à la suite des accès. Voici la ma
ayant affecté cette forme. " P. K. IV. Contribution A L'ÉTUDE des
TROUBLES
mentaux transitoires ; par A. HoLLOENDER. (Jahr
l'attention de ses auditeurs dans une leçon clinique, sur certains
troubles
nerveux qu'il a observés chez des pianistes. Ce
nerf radial. Le terme de « crampe des pianistes » n'indique pas le
trouble
ressenti par les malades. Dans neuf cas, ce son
r exécuter ces derniers. La sensibilité nerveuse qui accompagne ses
troubles
se traduit : 1° par de l'incapacité musculaire,
tistique de l'asile du grand-duché deHesse, par Heppenheim. XIV. Du
trouble
du langage écrit chez les demi-idiots ET de sa RE
sais que, selon moi, les persécutés dont le délire reposait sur des
troubles
de la sensi- bilité génitale n'arrivaient jamai
baron Seillère, il n'y a pas eu dissidence dans l'affirmation d'un
trouble
mental qui, progressivement, a passé de l'excit
et ne se produisent qu'en allant aux lieux d'aisances. En novembre,
troubles
de la vue (perte soudaine de la vue toute passa
à la lumière de même que pour les besoins de la convergence. Aucun
trouble
de la motililé ; force égale des deux côtés; in
ar on a constaté des céphalalgies, des attaques épi- leptoïdes, des
troubles
d'épilepsie larvée, de l'hébétude, de l'af- fai
érébrale et les oesthé- siogènes amènent la disparition de tous les
troubles
moteurs et sensitifs. Dès lors on est en droit
on pourra constater l'existence isolée dans les cas de ce genre, de
troubles
bulbaires, de la déglutition, de la phonation e
z heureusement en évidence dans ce travail. P. B. VI. De quelques
troubles
cérébraux liés à la dilatation de l'estomac; pa
de l'estomac; par H. DuciioN-DoRis. Th., Paris, 1887. Beaucoup de
troubles
cérébraux sont sous la dépendance de la dilatat
orrélation avec la dilatation. La pathogénie de l'apparition de ces
troubles
est SÉNAT. 307 ï incertaine. S'agit-il d'into
nt de diagnostiquer, la dilatation de l'estomac coïncidant avec des
troubles
cérébraux, car ceux-ci peuvent dis- paraître pa
résente pas d'accidents chloroti- ques, mais elle est sujette à des
troubles
nerveux (crampes d'esto- mac, névralgies, etc.)
ente des phénomènes congestifs du côté de la tête, Raccompagnant de
troubles
de la vue, qui lui rend difficile tout travail
laisse se développer un caractère capricieux et entêté, quelques
troubles
de menstruation, un mariage (très jeune) à un h
a cuisse et le front du côté gauche. La localisation première des
troubles
du mouve- ment et de la sensibilité, et la marc
ie de la langue ; en outre des symptômes bulbaires passagers et des
troubles
trophiques de la peau (des bulles à la main dro
extrémité supérieure correspondante, qui était en outre le siège de
troubles
locomoteurs, d'atrophie musculaire, de troubles
n outre le siège de troubles locomoteurs, d'atrophie musculaire, de
troubles
trophiques de la peau et d'altérations articula
nfin Freud décrivit en 1885 un cas « d'atrophie musculaire avec des
troubles
de sensibilité étendus », limités en haut au th
xistaient pendant la vie. Si nous prenons en considération, que les
troubles
locomoteurs, l'atro- phie musculaire, les altér
iagnostiquer chez eux une gliomatose spinale; le onzième cas avec
troubles
limités et peu caractéristiques de la sensibili
ture de l'os), à marche indolente, ou bien une appari- ' lion de
troubles
locomoteurs avec atrophie muscu- laire, ne vint
de mes observations, pour attirer l'attention des médecins, sur les
troubles
de la sensibilité mentionnés plus haut. L'analy
ion du sens de la température, n'étant point accompagnée d'autres
troubles
de la sensibilité cutanée. Je disposerai mes ob
aladie est moins avancé. 380 PATHOLOGIE NERVEUSE. Observation I
Troubles
trophiques et atrophie musculaire du côté droit.
uscles sont insensibles à la pression. Il existe toute une série de
troubles
inconstants subjectifs dans la sphère de la sen
erve beaucoup ses sen- sations et se plaint à chaque visite. Pas de
troubles
subjectifs, ni objectifs dans les organes thora
fut d'aucun profit. La maladie se mit à progresser de nouveau, les
troubles
de la déglutition augmentèrent. G... aban- donn
ctibilité (pour les voies sensitives) dans la moelle ' épinière; 3°
troubles
trophiques, il est vrai que c'est toujours sous
vons une série d'autres symptômes caractéristiques : une masse de
troubles
subjectifs de la sensibilité et une anesthésie
à la face ? La vue est bonne. La vision monoculaire paraît un peu
trouble
pour l'oeil gauche ( ? ). Les pupilles sont éga
a région sus-claviculaire gauche, a été atteint d'abord de quelques
troubles
sensitifs fuga- ces, puis d'une paralysie des m
sse rapidement en revue les principaux caractères de ces différents
troubles
moteurs. Etant donné un cas d'hémichorée, la
possible à obtenir d'un appareil muscu- laire fatigué. P. K. XVI.
Troubles
nerveux chez les arthritiques; par le Dr DELICNx
sont celles de malades qui ont été soignés à Saint-Gervais pour des
troubles
nerveux divers (insomnie, tristesse extrême, dé
la vie, frayeurs nocturnes, etc...). Tout en reconnaissant que ces
troubles
nerveux ont eu pour cause immédiate des influen
s, etc...) dans le cours de leur vie, et qu'ils sont le résultat du
trouble
apporté par cette diathèse à la nutrition du sy
n moins grand nombre chez les microcéphales très accentués. Donc un
trouble
prpcoce du déve- loppement cérébral peut arrête
auteur, élève de M. Jeoffroy, cherche à déterminer ce qui, dans ces
troubles
trophiques, est sous la dépendance des lésions
étendus), 320. Amnésie traumatique, par Ritti, 277. Arthritiques (
troubles
nerveux chez les), par Deligny, 408. Articula
on, 420; - sclérose latérale amyotrophique, par Flo- rand, 304; -
troubles
cérébraux liés à la dilatation de l'estomac,
toire d'une hypnotisable, par Grasset et Brousse, 321. Langage (
troubles
du écrit chez les demi-idiots), par Berkhan,
es (classification des mala- (lies), par Kandinsky, 300. Mentaux (
troubles
- transitoires), par Hoellandcr, 271. Mimique
l'acétophé- none a dû être supprimée, parce qu'il se produisait des
troubles
marqués de la nutrition. Observation XV. M. M
us avons dû suspendre l'administration de ce médicament à cause des
troubles
nutritifs pro- duits. Démence paralytique.
ce avec agitation continue et idées de crainte, se rattachant à des
troubles
nutri- tifs généralisés (athéromasie). Depuis
dée qui me passait parla tête ». Inutile de les interroger sur es
troubles
physiques concomitants qui jetteraient un grand
Les aliénés qui commettent des crimes d'incendie sont atteints de
troubles
psychiques très divers qu'il im- porte de bien
im- porte de bien distinguer; car ce que nous dirons d'un de ces
troubles
, celui qui nous occupe, la pyromanie, ne saurai
t, s'en souvenir et le dépeindre, ne laissent aucun doute sur des
troubles
physiques marqués, tels que maux de tête, palpi
satisfaction de l'instinct morbide, l'impulsif assiste conscient au
trouble
de son esprit et à la perte de sa volonté. Au d
t DE LA PYROMANIE. 35 qui indiquent la participation du corps aux
troubles
de l'intellect. Il se plaindra de violents maux
s années d'activité génésique, elle est habituellement liée à des
troubles
de la menstruation, particularité que l'expert
en second lieu, la faiblesse intellectuelle; en troisième lieu, les
troubles
physiques et les modifi- cations psychiques con
près, je placerai l'âge de l'accusé, puberté ou ménopause, et les
troubles
de la menstruation. Puis viennent l'em- pressem
atifs à l'accusé : paysan; pus de mobile; faiblesse intellectuelle;
troubles
physiques et modifications psychiques concomita
à l'accusée : paysanne; pas de mo- bile ; faiblesse intellectuelle;
troubles
physiques et modifications psychiques concomita
rasser l'expert. Tous les caractères se trouvaient réunis, même les
troubles
physiques et les modifications psychiques conco
tifs à l'accusé : paysan; pas de mobile; faiblesse intellectuelle ;
troubles
physiques et modifications psychiques concomita
ensonge; accusé réputé non. aliéné; empressement à porter secours ;
troubles
physiques immédiatement antérieurs au second cr
ui aucune modification psychique, et il ne s'était plaint d'aucun
trouble
physique. Toutefois, quelques semaines avant le s
'importance : 1° absence de mobile; 2° faiblesse intellectuelle; 3°
troubles
physiques et modifications psychiques concomita
cédents personnels : convul- sions dans l'enfance; développement et
troubles
de l'intelligence ; névroses ; maladies fébrile
te par Morel, à marche chronique, avec des rémissions typiques. Les
troubles
de la sensibilité générale constituent le subst
LOGIE. 87 nerf optique droit atrophié, sans autre lésion qu'un état
trouble
des méninges molles, présentait quantité de cel
ividus qui nous offrent les exemples de ces formes capricieuses des
troubles
de l'esprit, on en voit d'autres chez les- quel
chez les aliénés mélancoliques et hypochondriaques qui souffrent de
troubles
de la nutrition et de la digestion consistant,
des aliénés sitiophobesl. Après avoir fait le diagnostic exact des
troubles
pathologiques qui expliquent ce refus, et avoir
né, l'ablation d'un hémisphère entier n'exerce pas le plus petit
trouble
sur les mouvements. Prenons un animal adulte (lap
ils se redressent, mais plus les animaux avancent en âge, plus ces
troubles
rétrogradent. Conclusions analomiques : 1° Dans
, au moment où il l'a perpétré, en un état d'incons- « cience ou de
trouble
pathologique de l'activité mentale « qui exclua
er si, à l'époque de l'acte incriminé, il y avait inconscience ou
trouble
psychique morbide. C'est au juge, au juge seul, q
e seul, qu'il appartient d'apprécier si l'état d'inconscience ou de
trouble
psy- chopathique constaté excluait le libre arb
non de médecine. Y a-t-il, y avait-il ou non, inconscience, ou non
trouble
psychopa- thologique ? Le médecin n'a à répondr
ces formes est le pivot essentiel du tout; le caractère partiel du
trouble
, sa persistance, sa systématisation, l'immixtio
LIOGRAPHIE. sentiel de la maladie, et sur lequel les délires et les
troubles
de la sensibilité morale apparaissent comme aut
coeur. Il s'agit d'une albuminurie habituellement transitoire, sans
troubles
fonctionnels concomi- tants ; l'albumine; peu o
). L'albuminurie transitoire, notable le soir lorsqu'il y a eu un
trouble
digestif) ou le matin, lorsque les malades ont ép
étion d'acide urique ou même d'urée; elle tient probablement à un
trouble
de la nutrition organique dû lui-même soit à la m
est la principale cause prédisposante de l'hystérie infantile. Les
troubles
des facultés affectives sont un des premiers sy
inéal antérieur ou postérieur. Nous n'insistons pas sur l'étude des
troubles
locaux qui en résultent et que l'au- teur décri
sommet de la tête (clou), exaspérée par le passage du peigne ; les
troubles
du sommeil (rêves, cauchemars, paroles, fatigue
us consciencieux, les plus honnêtes des hommes qu'aucune passion ne
trouble
, qu'aucun intérêt n'aveugle ; des magistrats, d
sion à leur étude. Citons parmi ses études : « Le pouls lent et les
troubles
rythmiques du pouls. », « de la tempéra- ture d
vralgies vésicales. 1888 : Des hallucinations de l'ouïe. 1889 : Des
troubles
de la sensibilité dans le tabès. Prix de l'hy
physiologique qui a permis de distinguer les uns des autres divers
troubles
de la fonction du langage, d'expliquer chacun'd
ivers troubles de la fonction du langage, d'expliquer chacun'de ces
troubles
par une lésion céré- brale déterminée, et d'int
est la paraphasie; néanmoins celle-ci n'est pas constante, et les
troubles
de la parole volontaire observés sont de nature
r de fièvre, surtout lorsque leur chiffre n'est pas élevé et que le
trouble
de la connaissance n'est ni profond ni prolongé
omplet, insiste particulière- ment sur l'opposition remarquable des
troubles
graves de la motilité et de l'indemnité de la s
ger mouvement de recul, puis reprend sa marche. Il n'existe aucun
trouble
de la sensibilité. Le malade ne s'est jamais pl
iale (vue, ouïe, goût, odorat) est aussi indemne. 11 n'y a pas de
troubles
génitaux ; les sphincters fonctionnent normalem
liens sont complèle- ment abolis, des deux côtés. Il n'existe aucun
trouble
trophique, et les réactions électriques (sensib
es rotuliens, le nystagmus, l'embarras de la parole, l'absence de
troubles
de la sensibilité, d'anomalies des sphincters, fo
ue avec insomnie, irritabilité ou dépression ; puis surviennent des
troubles
sensoriels (ouïe, ' Voir le 11- 37, p. 62. 22
forme chan- nique est surtout caractérisée par la. persistance des
troubles
sensoriels, illusions ou hallucinations, entret
t se développer que sur un fonds de débilité mentale, parce que les
troubles
sensoriels peuvent être inter- prétés dans le s
lires émotifs dépendant de l'exaltation de la sphère mentale par un
trouble
émotif violent. 1 Buknill et Tuke. - A mmtual o
orps entier, y compris la face ; conservation des réflexes cutanés.
Troubles
du sommeil. Phénomènes d'an- goisse. Vers la fi
certains groupes musculaires, la parésie des muscles des yeux, les
troubles
cérébraux. D'un autre côté, la rigidité muscula
t d'étendue de la lésion rend compte de l'absence d'ataxie; que les
troubles
de la sensibilité observés dans l'espèce se rat
uis bi-latérale; apha- sie ; démence croissante, cécité, ptyalisme,
troubles
de la marche, accentuation des réflexes tendine
de la joue droite mentionnées pourraient bien n'avoir été que des
troubles
vaso-moteurs précoces. Absence de bacilles dans l
on du du lobe temporal), la rougeur et la tuméfaction de la joue (
trouble
vaso-moteur) ; à la moelle se rattacheraient l'in
té mentale émane probablement d'une lésion diffuse de l'écorce, les
troubles
mo- teurs indiquent l'atteinte des tractus mote
par un autre médicament. Les accidents qu'il produit seraient : des
troubles
vasoparalytiques de la tête (action sur le gang
gmentation des ongles, des rash, des douleurs dans les membres, des
troubles
intestinaux, de l'ictère, des inflammations sup
ymptômes de l'hémi- parésie et de l'hémi-anestliésie droites et des
troubles
fonction- nels du côté de la vue consistant en
trécissement double du champ visuel très marqué sur- tout à gauche,
troubles
du sens chromatique. Pour les deux yeux, toutes
e indication à la trépanation. M. FALK. On impute aux blessures des
troubles
psychiques, alors que souvent les malades étaie
râniens graves, il est rare 254 SOCIÉTÉS SAVANTES. d'observer des
troubles
psychiques véritablement consécutifs, niais enf
laissé d'autre refuge que l'asile des aliénés, dans les cas où les
troubles
de l'intelligence, presque inséparables d'ailleur
iptif. La lèpre trophoneurotique débute rarement d'emblée par des
troubles
nerveux. En général, elle est précédéed'éruptions
esthésie, les paralysies, les atrophies et les bibliographie. 301
troubles
trophiques, qui constituent le tableau symptomati
es membres et de la face; on ob,erve aussi quelquefois au début des
troubles
de l'ouïe (Leloir). L'auteur 'étudie en détail
lle entraîne des déformations consi- dérables amène fréquemment des
troubles
de la nutrition des membranes de l'oeil. Vigour
fondus avec diverses affections viscérales et surtout avec certains
troubles
viscéraux de l'ataxie locomotrice; ils ne peuve
stent quelquefois en vraies crises gastriques, mais plus souvent en
troubles
dyspeptiques vagues qui ne s'améliorent que par
1886.) Dans le rhumatisme articulaire aigu, il existe souvent des
troubles
de la sensibilité cutanée (tact, douleur, tempéra
tendre à toute la surface du membre malade. On peut rattacher à ces
troubles
de la sensibilité cutanée, quelques autres phén
es rapports de la paralysie générale chez la femme, avec cer- tains
troubles
de la menstruation; par Petit. (Thèse de Paris,
paralysie générale chez la femme, coïncide le plus souvent avec des
troubles
de la menstruation, consistant tantôt en un arr
uelles. Les femmes atteintes de paralysie générale qui n'ont pas de
troubles
mentruels, paraissent résister plus longtemps.
trop franchement le rôle de la paralysie générale comme .cause des
troubles
mens- truels,-Ia-coïiieidence nous parait seule
de M. Legrand du Saulle. La détermination de l'identité, celle des
troubles
ap- portés par la vieillesse, par l'agonie et p
es qui peuvent se trouver sur son passage (le malade prétend voir
trouble
pendant l'accès), mais parfois il s'accroche avec
trois fois par jour il a des étourdissements dans lesquels il voit
trouble
, distingue les objets qui se trouvent devant lui,
es sens, sauf celui de l'ouïe, ne présentent rien d'anormal ; aucun
trouble
fonction- nel à signaler concernant la sensibil
résenter les mots parlés (rêves) et le défaut d'amnésie orale et de
troubles
de l'articulation des mots. t Il y avait égal
invo- lontaire de la parole possible. Pas d'amnésie verbale ni de
trouble
de l'articulation. Le le, juillet 188..., me tr
pondait tout aussi correctement quand il ne me regardait pas. Aucun
trouble
du côté des autres sens ni de l'appareil neuro-
brute. Surdité corticale partielle. -Pas d'amnésie verbale. Pas de
trouble
de l'ar- ticulation des mots. Imagination possi
pouvait se représenter mentalement les mots entendus. Aucun autre
trouble
à signaler dans la sphère du langage soit écrit,
sans perte ou diminution appréciable de l'imagination orale, sans
trouble
de l'articulation des mots. On ne saurait préte
des mots prononcés par autrui ; par l'absence d'amnésie orale et de
troubles
dans l'articulation de la parole. La surdité ve
tion orale) et par l'impossibilité de répéter les mots sans autre
trouble
du langage. 3° La surdité verbale centrale {des
orale, par l'impossibilité de répéter les mots, et de plus par des
troubles
moteurs du langage par- lé pouvant stimuler une
86 PATHOLOGIE NERVEUSE. voir mentionner l'oedème et en général, les
troubles
vaso-moteurs sur lesquels M. Lancereaux a insis
'est vers le mois de juillet que' se sont mani- festés les premiers
troubles
de la déglutition. Jamais de palpita- tions ni
s, sauf pour le pouce, est légère- ment portée en extension. Pas de
troubles
vaso-moteurs, pas d'oedème lors même qu'il rest
plus d'hérédité qu'ailleurs; la priorité en date de l'idée sur les
troubles
du sentiment n'est rien moins que démontrée, il
ée, il suffit au contraire souvent chez ces malades du plus léger
trouble
émotionnel pour changer ou exciter les idées déli
. Ma- gnan fait partie du groupe des médecins qui considèrent ces
troubles
psychiques comme caractéristiques d'un état de dé
aires , des nerfs optiques et de leurs centres primaires. Comme les
troubles
de la vue se sont montrés brusquement à la suit
ilepsie, accidents tabétiques avec amau- rose) ; puis se produisent
troubles
psychiques et spinaux graves, attaques apoplect
aques apoplectiformes et épileptiformes ; enfin, à un moment donné,
troubles
de la parole rappelant,, sauf la tendance à scan-
on constate épaississement des parois du crâne, synostoses, état
trouble
de la pie-mère avec adhérences au cerveau. Atroph
chondriaques, il avait rapidement présenté des hallucinations, des
troubles
de la sensibilité générale et des idées de perséc
testicules. La rnicrocéphalie et les fissures iriennes dénotent les
troubles
considérables de nutrition qui ont présidé au d
sférer à cette annexe tout criminel soupçonné de simulation ou d'un
trouble
mental. Il serait au surplus fort intéressant q
ontradic- tions) représentent la plupart des malades qui jettent le
trouble
dans l'établissement, quoique généralement ils
ence du goitre chez la femme, son accroissement concordant avec les
troubles
du côté de l'utérus. Il a noté l'hérédité et la
lte, la méningite 46-2 BIBLIOGRAPHIE. tuberculeuse débute par des
troubles
psychiques qui sont on peut dire idendiques à c
J'anesthésie du testicule ne sont pas en rapport constant avec les
troubles
sensitifs ou trophiques de la peau, des bourses e
pendant, elles semblent d'origine névritique, tout comme les autres
troubles
trophiques ce l'ataxie. CH. F. XXIV. Contribu
s qui est profondément lésée, tandis que chez le premier il existe un
trouble
fondamental de la sphère émotive et de la volonté
heures. Application de pédagogie suggestive : somnambulisme diurne,
troubles
du caractère, etc. Par M. le Docteur bourdon, d
même malgré la volonté. Les hallucinations et les illusions sont des
troubles
précoces. Le sens du bien et du mal n:est pas abo
scène d'hallucination rétroactive intervenant dans le cours d'autres
troubles
mentaux, chez un malade de son service. Le malade
de l'ouïe. Céphalée. Hémianesthésie sensitivo-senso-rielle. Hystérie.
Troubles
vaso-moteurs. — Influence curative de la suggesti
s modes. La malade ne peut fixer un crayon sans que sa vue devienne
trouble
. Rétrécissement du champs visuel, pour l'œil ga
la portion la plus interne du champ visuel. Vision de l'œil gauche
trouble
pour les objets rapprochés. Acuité auditive trè
n de la paralysie générale progressive d'avec les formes voisines des
troubles
mentaux ; 5° Transformation des asiles d'aliéné
t : « La période prodromique de la folie a déjà le caractère d'un
trouble
« pathologique. Les déviations intellectuelles dé
ons à sauver d'une pénalité qui ne leur incombe pas sont ceux dont le
trouble
intellectuel encore imparfait, inégal, intermitte
ment très pénible et d'une fièvre puerpérale consécutive, affectée de
troubles
oculaires qui, sur l'avis d'ophthalmologistes trè
ont été considérés comme étant la conséquence d'un état nerveux. Ces
troubles
oculaires ont duré plusieurs mois et étaient cara
me, avec diminution notable de son embonpoint normal. Plus tard les
troubles
nerveux se portèrent principalement sur l'estomac
. C'est dans ces conditions d'impotence des membres inférieurs avec
troubles
de l'estomac et une constipation opiniâtre que Mm
ne pouvant rendre compte de l'impotence des membres inférieurs et des
troubles
gastro-intestinaux. Depuis cinq mois, Mme X...
tout malaise et cela par l'auto-suggestion. En effet, pour guérir ces
troubles
nerveux d'ordre psychique, il suffit de suggérer
de fer ou autre, il se produit immédiatement où à courte échéance un
trouble
nerveux dont le siège primitif est dans l'axe cér
f est dans l'axe cérébro-spinal ou dans le grand sympathique ; lequel
trouble
s'accuse par de la douleur dans la région encépha
c affaiblissement des membres, un besoin absolu de repos. Bientôt les
troubles
envahissent les organes dont les fonctions relève
e palpitations cardiaques avec angoisse, de paresse intestinale et de
troubles
fonctionnels des organes génito-urinaires. Leur a
e paroxystique—byperesthésic généralisée: algies diverses et tenaces;
troubles
du caractère. Mlle Sh..., quarante-neuf ans, sa
réditaires fâcheux, déclare avoir été nerveuse dès son jeune âge. Les
troubles
neurasthéniques actuels remontent à six ans. La m
ne maladie organique réelle, mais une obsession morbide entée sur des
troubles
fonctionnels anciens chez un dégénéré mental. J
endu pour se développer dans ce cerveau prédisposé, que l'occasion de
troubles
quelconques, fournie, dans l'espèce, par l'arthri
nt comme la preuve, ou du moins, comme la manifestation extérieure du
trouble
psychique qui a donné lieu à l'amnésie. Cependa
boisson. Il n'a jamais fait aucune maladie sérieuse et n'accuse aucun
trouble
. Son teint est anémique : léger tremblement de la
vaguer) et Ton ne s'en apercevait pas. » Plus tard, il présente des
troubles
intellectuels si prononcés qu'il est question de
de où ont eu lieu les actes incriminés, n'ont remarqué aucun signe de
trouble
mental. Pendant son séjour à l'asile, on a cons
recherches expérimentales, a été atteinte de névrose traumatique. Les
troubles
nerveux qu'elle présentait étaient surtout caract
, indiquent, d'une façon manifeste, l'influence du sommeil sur le
trouble
fonctionnel de la motilité. Cette application d
s urinaires réflexes Par M. le Dr Ed. Laoelouze. La fréquence des
troubles
nerveux tenus sous la dépendance de lésions acqui
istent chez le plus grand nombre des urinaires. La diversité de ces
troubles
est grande, elle va de la simple instabilité ment
gique. Les premiers seuls intéressent le chirurgien urologiste. Ces
troubles
sont de deux ordres ; dans un premier groupe se c
permanence de la fonction. A ce même ordre d'idées appartiennent les
troubles
névropathiques des femmes atteintes de lésions de
le et la symptomatologie montre des irrégularités de caractère et des
troubles
mentaux. Les mêmes observations seraient applicab
cependant être passé entièrement (1) Peut-être un cenaîn nombre de
troubles
mentaux consécutifs aux ovariotomics peut-il être
rmettra-t-il d'expliquer mieux qu'il n'a été fait jusqu'à ce jour les
troubles
d'innervations de la vessie causés par des obstac
cissements larges ». Le rétrécissement large peut n'entraîner aucun
trouble
fonctionnel; il a le plus souvent besoin d'être r
e dans le rétrécissement, qui lui-même peut exister en dehors de tout
trouble
fonctionnel. * * * Ces réflexions se sont p
rne, remplacée par un tissu cicatriciel qui reproduirait plus tard le
trouble
radicutaire ascendant. La scarification de l'urèt
lus rarement. L'état général est excellent, l'appétit très bon et les
troubles
neurasthéniques ont complètement disparu, ainsi q
ourra arriver que le malade ne soit pas entièrement débarrassé de ces
troubles
nerveux, par celte habitude qu'il est si fréquent
qu'il avait senti tout à coup dans sa tète la même chaleur et le même
trouble
qui précédaient toujours chez lui le sommeil quan
est vraisemblable que sous l'action de la lumière il se produisait un
trouble
considérable de l'accommodation. La dilatation de
tous à des femmes hystériques vraies ou à des nerveuses atteintes de
troubles
menstruels. Chez notre malade, la menstruation ét
r par la suggestion hypnotique, on est arrivé à faire disparaître les
troubles
de la sensibilité et de la moti-lité, à l'excepti
che. Mais il ne me semble pas que jusqu'à présent on ait signalé un
trouble
absolument identique pour la parole, trouble que
résent on ait signalé un trouble absolument identique pour la parole,
trouble
que par analogie on me permettra d'appeler : La P
; Monsieur Doyen, méchant ; Voulez-vous me laisser tranquille. » Ce
trouble
du langage a persisté cinq semaines chez cette fi
Nous laissons aux spécialistes le soin d'étudier à fond ce nouveau
trouble
du langage. Pour nous, nous avons cru de notre de
ire fébrile, la fièvre, la douleur, les réactions inflammatoires, les
troubles
trophiques les plus variés, les anesthésies, les
irement, pour celui qui est adonné à cette habitude, le diagnostic de
trouble
mental entraînant l'incapacité de tester. » Ces
De l'usage à (l'abus il n'y a qu'un pas. L'abus vint, accompagné des
troubles
classiques de la moiphino-manie. A un moment donn
erai qu'à aucun moment le muiade ne m'avait paru présenter le moindre
trouble
de la raison. Il était très spirituel ; ses œuvre
ne n'est pas un morphinomane. Pour que le malade commence à avoir des
troubles
, pour qu'on puisse retrouver la morphine dans les
.. M. Julliot. — Les morphinomanes ne présentent habituellement des
troubles
de l'intelligence que lorsqu'ils sont privés de m
vingt-cinq ans, par doses régulières, sans avoir jamais présenté des
troubles
d'intoxication, ni interrompu un seul jour son la
nomane, il faut que le sujet ait présenté dans le cours de sa vie des
troubles
mentaux bien déterminés et incontestables. Parce
és et incontestables. Parce qu'on prend de la morphine on n'a pas des
troubles
somatïques ou des troubles psychiques. Je demande
qu'on prend de la morphine on n'a pas des troubles somatïques ou des
troubles
psychiques. Je demanderai à M. Auguste Voisin si,
morphine par voie digestive ou par voie sous-cutanée soit sujet a un
trouble
mental qui entraîne son incapacité au point de vu
irement, pour celui qui est adonné à cette habitude, le diagnostic de
trouble
mental entraînant l'incapacité de tester. » Hys
opose à la mère : 1° de combattre par la suggestion l'onanisme et les
troubles
psychiques do l'enfant ; 2° de le faire circoncir
e pouvoir de notre activité psychique dans le traitement de, tous les
troubles
du système nerveux. L'auteur d'au-delà des fo
M. Nordau s'appliquait à prouver qu'on cherche à tort la cause de ces
troubles
dans la partie terminale ou dans les voies conduc
es do la ménopause », M. Nordau traçait le tableau clinique connu des
troubles
mentaux accompagnant souvent l'âge climatérique d
; elle est l'effet, d'un côté d'une autosuggestion, d'autre côte d'un
trouble
organique inconscient. La cessation des règles su
ce processus s'aperçoivent et souffrent. Celte nécrobiose n'amène des
troubles
mentaux que chez les prédisposées. L'attitude d
tive. Dans le.s formes de l'hystérie, caractérisées surtout par des
troubles
psychiques, le sommeil profond est extrêmement bi
montpallier communique ensuite l'observation d'une malade atteinte de
troubles
neurasthéniques nombreux et tenaces, qui, après d
t d'un traitement énergique bromure, disparurent pour faire place aux
troubles
oculaires. A ce moment, les praticiens qui l'av
nce au signe de Gilles de la Tourette (superposition du spasme et des
troubles
de la sensibilité). Examinée au point de vue gé
meuble pour ne pas tomber. Tandis qu'autour d'elle on attribuait son
trouble
au chagrin de voir son bonheur reculé d'un semest
biscupide). Aucune douleur ni pendant, ni après l'opération, et aucun
trouble
dans la suite. Un certain nombre de mes patient
tive à une castration totale pour tuberculose métro-tubo-ovarienne. —
Troubles
concomitanís des fonctions digestives, du sommeil
ique éminemment favorable à l'invasion bacillaire et à l'éclosion des
troubles
nerveux. Tout à coup, en octobre 1893, éclatent
s jours sans manger ni dormir. Puis apparaissent un certain nombre de
troubles
psychiques caractéristiques : impulsivité extrême
qui avaient rendu la castration nécessaire. D'ailleurs, en dehors des
troubles
des fonctions digestives, du sommeil et du caract
rmal, la castration totale aurait vraisemblablement clos la série des
troubles
abdominaux. Toutefois, une récidive vraie de pé
dernières difficultés de diagnostic, et donner du même coup à ces
troubles
, en apparence si graves, le pronostic relativemen
vec ses corollaires : éclipse du contrôle cortico-cérébral supérieur,
troubles
de la sensibilité, du sommeil et du caractère, ac
ts de phobies et dont la peur est accompagnée d'états d'anxiété et de
troubles
généraux aussi pénibles que durables. Chez les
la famille. Son aspect physique n'est nullement en rapport avec les
troubles
nerveux qu'il présente. Il est robuste et vigoure
ans, est atteinte de chorée hystérique. Elle a présenté également des
troubles
con.vulsifs d'hystérie. L'enfant B..., est attein
stion. Pareillement, le dynamisme psychique altère la physionomie des
troubles
organiques tels que certaines dyspepsies, angines
de nos observations que des impressions violentes ne sont suivies de
troubles
dynamiques émotifs véritables qu'un temps assez a
se propage aux nerfs moteurs, aux vaso-moteurs ; ce qui donne Heu aux
troubles
de suffocation, d'agitation convulsive, de constr
idées et des émotions. Ce qualificatif « dynamique » marque bien les
troubles
qui lui sont imputables, troubles sans lésion man
catif « dynamique » marque bien les troubles qui lui sont imputables,
troubles
sans lésion manifeste, et les sépare ainsi même d
ivité maladive. Il est aisé de deviner sur l'heure quels seront les
troubles
dynamiques dus à l'élément nerveux psychique. Réu
agnant une idée fixe, une obsession. L'individualité diversifiera ces
troubles
. Ainsi toute impression arrivant au cerveau est
), 220. Application de pédagogie suggestive : somnambulisme diurne,
troubles
du caractère, etc., par le Dr Bourdon, de Méru,
ur un cas de), par le professeur Lépine, 154. Somnambulisme diurne,
troubles
du caractère etc. (application depédagogie sugg
r vos méthodes d'enseignement pédagogique, l'aptitude des centres aux
troubles
de leur fonctionnement, vous faites de la thérape
ique avec l'hypnotisme et nous ont été inspirées par l'observation de
troubles
pathologiques qui nous ont permis d'obtenir un gr
notisme et de la suggestion sur la circulation des sujets atteints de
troubles
cardiaques. La comparaison des résultats obtenu
n. — Mlle R..., âgée de 23 ans, est très craintive, sans présenter de
troubles
somatiques très accentués, elle peut être considé
e. L'examen clinique de son cœur démontre qu'il ne présente aucun
trouble
pathologique et fonctionne d'une façon normale. E
accélération du pouls chez un sujet dont le cœur ne présentait aucun
trouble
. Cette expérience démontre que la suggestion peut
ications expérimentales de la circulation chez des sujets atteints de
troubles
cardiaques. Observation. — Mlle S... âgée de 17
ns. Sa vie fut plusieurs jours en danger. L'angine se guérit, mais le
trouble
circulatoire persista. Cinq mois après, lorsqu'el
ez un sujet dont le cœur est normal, l'autre chez un sujet atteint de
troubles
cardiaques accentués, montre que dans les deux ca
n'avait pas été suffisamment interprété, et, pour notre confrère, les
troubles
de la mobilité et de la sensibilité devaient plut
nences thénar et hypothénar. N'avions-nous pas intérêt à atténuer les
troubles
d'origine suggestive chez un malade de cette natu
ri par la suggestion. 2. M. Tesdorpf (de Munich). — Corrélation des
troubles
somatiques et psychiques de l'hystérie. 3. M. D
contractures, anesthé-sies, pourquoi ne produirait-elle pas ces mêmes
troubles
dans les appendices des neurones ? Il est bien
sent des résultats utiles. Nous considérons ici l'hystérie comme un
trouble
dynamique du système nerveux. Et d'abord, il n'es
t raisonnement, nous avons A. qui devient plus grand que P. Mais ce
trouble
peut se produire de deux façons : ou bien P reste
erons comme formule : P-n A s-n = s F = F+n Prenons un cas de
troubles
plus accusés, à la fois de la sensibilité et de l
reflexe oculaire, hyperesthésie cutanée étendue. Parésie intestinale,
troubles
digestifs, constipation. Sera représentée par :
odique exploration, et s'appliquera à la fois à faire disparaître les
troubles
sensitifs, moteurs et psychiques. Pénétré de l'id
épendance et de la corrélation intime qui existe entre ces différents
troubles
, on obtiendra un résultat beaucoup plus rapide et
le libre arbitre. Néanmoins tous, aujourd'hui, vous considérez les
troubles
de la moelle et ceux du cerveau, du même point de
rose, de thrombose, bien souvent d'autointoxication. Vous ramenez les
troubles
de la pensée, aussi bien que ceux de la sensibili
domaine de la physiologie. Vous cherchiez à démêler l'écheveau des
troubles
mentaux, et ce sont les lois physiologiques de la
ent, par la force des choses, physiologiste. Déjà l'observation des
troubles
moteurs de la maladie d'Adisson a mis sur la voie
nts, relatifs à l'origine nerveuse de certaines dermatoses dues a des
troubles
vaso-moteurs; ces exemples sont une nouvelle
nte et, bien qu'elle ait eu deux ou trois attaques de rhumatisme, ces
troubles
ne se sont pas reproduits. Quatre années se sont
n 1902. — Présidence de M. Jules Voisin. De l'origine psychique des
troubles
hystériques, en particulier de la toux et de l'ap
ai observé chez cette malade deux récidives de toux et d'aphonie. Ces
troubles
sont survenus pour la première fois en mai 1899,
e hystérique, l'enrouement s'est transformé en aphonie, en vertu d'un
trouble
fonctionnel inconscient ou subconscient. La dysph
se pâmer sous un homme qu'elle nous dit sentir; notre présence ne la
trouble
nullement; elle est toute entière à son hallucina
Il y a trois ans, elle avait fréquemment, sous forme de crises, des
troubles
analogues ; elle éprouvait dans les membres infér
ir, ils réapparaissent aussitôt. A l'examen, elle ne présente aucun
trouble
sensitif, superficiel ou profond, subjectif ou ob
ble sensitif, superficiel ou profond, subjectif ou objectif, ni aucun
trouble
visuel, ni aucun point hyperes-thésique du côté d
nomènes somatiques, soit des crises de nerfs avant ou après, soit des
troubles
de la sensibilité. Or, ici, on ne constate aucun
'hystérie. En fait, ce n'est pas d'hystérie qu'il s'agit, mais d'un
trouble
psychologique. Voici comment les choses se passen
ndue, elle revêt l'allure d'un véritable choc moral. Il en résulte un
trouble
profond qui se manifeste essentiellement par l'ap
la diminution des boissons alcooliques, on évite l'apparition des
troubles
mentaux qui accompagnent d'ordinaire la suppressi
uter que les alcooliques, de même que la plupart des malades dont les
troubles
sont sous la dépendance d'une intoxication, sont
ie à un moment, le voyant changer : « Hélas ! mon frère, ton œil se
trouble
; voilà que tes fureurs te ressaisissent, toi nag
t cet étrange voyage? Est-ce le meurtre de ceux que tu as tués qui te
trouble
l'esprit ? Mais lui, croyant que c'était le père
de Juin 1902. — Présidence de M. Jules Voisin. Relations entre les
troubles
somatiques et les troubles psychiques de l'hystér
de M. Jules Voisin. Relations entre les troubles somatiques et les
troubles
psychiques de l'hystérie. par M. le dr Paul Tes
rines de,ce dernier, le rétrécissement du champ de la conscience, les
troubles
de la synthèse mentale, le dédoublement de la per
u contraire, dans ces derniers temps, on considère que la plupart des
troubles
psychiques de l'hystérie dépendent non du cerveau
iolentes et inatten- dues font appel à l'hystérie ; il en résulte des
troubles
de dissociation à la fois qualitatifs et quantita
a variété et la mobilité des symptômes hystériques, qu'il s'agisse de
troubles
de l'humeur, des représentations, de la volonté,
s aussi on a constaté que, pour débarrasser certains enfants de leurs
troubles
nerveux, il était indispensable de guérir, au pré
tincelantes, des feux brûlants. Comme de coutume, elle attribuera les
troubles
de sa vision aux préoccupations pieuses de la vie
de la suggestion ». Comme eux nous pouvons faire disparaître certains
troubles
trophiques et certaines manifestations cutanées q
réel intérêt : Observation. —M. D.., âgé de 35 ans, a présenté des
troubles
nerveux des la plus tendre enfance. Il se souvien
ve perpétuellement de son état. Aujourd'hui encore, tout lui paraît
trouble
, et elle voit beaucoup moins à droite qu'à gauche
sement, le manque d'aliment (faim) produit chez l'homme sain certains
troubles
légers; chez certains dyspeptiques, dont la faim
able de produire le délire et la folie. La dyspepsie engendre des
troubles
psychiques sérieux, d'abord intermittents, puis c
mmunément invoquée, est impuissante à expliquer la genèse de tous les
troubles
psychiques que l'estomac provoque. D'après lui, l
oint de vue purement clinique, il est incontestable que, souvent, les
troubles
psychiques ont un point de départ purement stomac
oujours ainsi serait être trop exclusif; car il existe des cas où les
troubles
psychiques et le troubles stomacaux alternent et
trop exclusif; car il existe des cas où les troubles psychiques et le
troubles
stomacaux alternent et se remplacent par une sort
ité, trop souvent oubliée des neuropathologistes, que pour guérir des
troubles
nerveux, parfois intenses, il suffît bien souvent
tribution est demeurée jusqu'ici inexpliquée, en particulier certains
troubles
sensitifs et tro-phiques. Par leur nature, ils pa
le acquise; c'est que dans l'hypnose il y a une forte inhibition, qui
trouble
les associations et suspend une partie des foncti
que, au cours de la lente incubation, que le tuberculeux présente dos
troubles
nerveux et mentaux. Ce qui m'a le plus frappé à c
espérer que l'influence psychothérapique sera très intense contre les
troubles
nerveux et les troubles fonctionnels qu'on observ
psychothérapique sera très intense contre les troubles nerveux et les
troubles
fonctionnels qu'on observe; or, cette influence e
le caractère, elle contribue à créer l'optimisme, elle n'agit sur les
troubles
somatiques que d'une façon faible et passagère, a
ts, d'autres religieuses, devenues folles hystériques, basèrent leurs
troubles
mentaux sur la même manière de penser ; elles eur
duquer sa motricité, lui bien expliquer la genèse et la nature de ses
troubles
, puis, s'il en est besoin, recourir à la suggesti
e, de la suggestion, des modifications connues de la sensibilité, des
troubles
psychiques si variés de l'hystérie et des autres
que ce rêve a un substratum physique, qu'il y a eu dans le sommeil un
trouble
pathologique... » J'ai vu récemment un délirant
'hygiène intellectuelle et le régime alimentaire. D'autres fois, ces •
troubles
du caractère sont sous la dépendance d'un polype
isable veut dire curable : Etant donné un enfant atteint de vices, de
troubles
nerveux, si après plusieurs tentatives l'état d'h
et de larmes. L'intelligence des cardiaques reste vive tant que les
troubles
de la circulation cérébrale ne sont pas trop acce
mars et à la fin de juillet, sous forme de crises momentanées, divers
troubles
somatiques, sensoriels et psychiques dont voici l
n de se terminer rapidement, comme au début, laisse après elle divers
troubles
, pendant au moins une quinzaine. La crise de mars
nent l'anniversaire de la première rencontre et celui de la mort, les
troubles
décrits plus haut reparaissent. Rien ne vient c
s organes sont sains. De guerre lasse, on finit par dire que tous ces
troubles
céderont probablement à la psychothérapie. C'est
nt toutes ses misères. L'insomnie entretient, exaspère, complique les
troubles
névropatiques. La restauration du sommeil amènera
e chagrin. Quelques jours avant cette date fatale, la malade a vu ses
troubles
hystériques augmenter et lorsqu'elle est revenue
es. Or, on délire toujours dans le sens de ses premières idées. Ces
troubles
psychiques évoluent sur un terrain alcoolique. Ce
ns un voyage en Syrie eurent-elles quelque rôle dans la genèse de ces
troubles
nerveux : il traitait le retour de ces fièvres pa
se, mais seulement l'air et non pas les paroles. Il ne présente aucun
trouble
de l'écriture. Il tire très bien la langue dans
t, ni d'artérite, ni d'aucun accident organique. II n'existe pas de
trouble
sensitif ou moteur, pas même d'hypoesthésie ou de
traduit par une véritable paralysie fonctionnelle, s'accompagnant de
troubles
vaso-moteurs les plus variés. Parmi les profess
elques séances de suggestion dans l'état d'hypnose s'amender tous les
troubles
vaso-moteurs qui compliquaient ses états d'anxiét
e. Je n'ai pas l'intention de donner une description didactique des
troubles
qui torturent les malheureuses victimes des affec
drait donc à faire défiler devant vous le tableau de presque tous les
troubles
psychiques de l'homme. Quelques-uns l'ont essayé,
tives évidentes, et chez lequel les fonctions nerveuses aient subi un
trouble
si profond, que leur expression soit ou abolie ou
retour, il eut une enfant bien constituée mais qui de son côté a des
troubles
gastro-intestinaux. Il va sans dire que M. X. a
environ, la constipation se montra. Notez que jusqu'à ce moment aucun
trouble
nerveux n'avait fait son apparition, M. X. avait
stic ne faisait plus aucun doute pour moi : nous avions affaire à des
troubles
nerveux d'origine toxique, et le traitement stoma
r Babinsky. Tous les réflexes étaient normaux; il ne fut relevé aucun
trouble
de la sensibilité, ni de la motilité. Nous recher
sortir de la masse confuse des détails, la succession des principaux
troubles
psychiques qui résultent d'une intoxication gastr
tions sur l'), par Paul Joire, p. 56. Hystérie (Relations entre les
troubles
somatiques et les troubles psychiques de l'),
re, p. 56. Hystérie (Relations entre les troubles somatiques et les
troubles
psychiques de l'), par Tesdorpf, p. 146. Hystér
par Variot, p. 24. Toux et de l'aphonie (De l'origine psychique des
troubles
hystériques et en particulier de la), par Delius,
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