des aponévroses des membres; et parfois moyens de séparation : ex. au
tronc
, aponévroses pharyngiennes postérieures, cervico-
t, constituent les grandes enveloppes sous-cutanées des membres et du
tronc
. Les extrémités ouvertes de ces cavités cylindriq
e ces cavités cylindriques s'implantent sur les ceintures osseuses du
tronc
ou au contour des articulations des membres. Comm
pe, ou du moins celles qu'il faut considérer comme telles, varient au
tronc
et aux membres. Dans les deux membres elles sont
onévrotiques, dont l'épaisseur est assez considérable pour les grands
troncs
veineux, tels que les saphè-ncs au membre abdomin
ogie, rappelle le dédoublement formé par les membranes séreuses. Au
tronc
, les aponévroses superficielles ne sont que de si
de resserrement de chacun d'eux. Les faisceaux vasculaires, pour les
troncs
principaux, se composent d'uneartère, d'une veine
e renferment les uns dans les autres jusqu'à l'enveloppe générale des
troncs
les plus volumineux. Les tuniques des vaisseaux
dée complète de leur organisation, s'applique également aux parois du
tronc
composant l'enceinte de ses cavités. La seule dif
, comme elles devaient s'offrir dans des organes de forme conique. Au
tronc
la direction verticale s'observe dans les masses
s loges organiques qui composent chaque partie. LOGES ET CAVITÉS DU
TRONC
. 1° TÊTE. Les cavités et enveloppes de la tête
. Le cou forme un rétrécissement cylindrique intermédiaier entre le
tronc
et la tête. Dans sa charpente osseuse, il est for
annexes formant une gaine verticale commune dans toute la hauteur du
tronc
. 1 Planche 6. Le sous-clavier, isolé de tous
e cavité abdomino-pelvienne occupe les trois cinquièmes inférieurs du
tronc
. Dans l'état de plénitude, sa forme est irréguliè
our ce membre des différences analogues à celles que l'on remarque au
tronc
; elle est âpre au toucher, dense, épaisse sur la
rt dans chacune de ses fractions. i° Epaule. Intermédiaire entre le
tronc
et le bras, nous avons déjà vu qu'elle se fondait
i leur sont communs , le trapèze et l'angulaire. Il en est de même du
tronc
proprement dit pour les gaines des deux pectoraux
ve inférieure. D'abord renfermés dans la cavité du thorax, les grands
troncs
vasculaires, pour en sortir, traversent les clois
aroi musculaire, dont les vaisseaux superficiels sont fournis par les
troncs
des deux membres. Eu égard aux sacs pleurétique
les parois de la cavité elle-même; en bas, pour la division des gros
troncs
qui fournissent aux viscères du bassin et au memb
urnissent aux viscères du bassin et au membre abdominal. Les grands
troncs
d'origine, l'aorte et la veine cave inférieure, s
oïdien et la cage du larynx. Dans toute la hauteur du cou, les grands
troncs
vasculaires se trouvant placés entre les aponévro
ago-tomie. A partir de la division de l'artère carotide dans ses deux
troncs
facial et crânien , le mode de distribution et le
buer dans les loges organiques. A la naissance des deux membres, au
tronc
, chacun des faisceaux vasculaires communs est env
pouvant donner lieu aux mêmes accidens. En raison du trajet des gros
troncs
vasculaires, l'entonnoir fibreux d'adhérence à la
tes par la suppuration. Indépendamment du trajet principal des gros
troncs
vasculaires, les deux membres, à leur naissance,
vasculaires, les deux membres, à leur naissance, communiquent avec le
tronc
par des ramifications secondaires : tels sont, po
isseaux fessiers, ischiatiques et obturateurs (Pl. 5.), provenant des
troncs
intérieurs hypogastriques, et dont les orifices d
mune de tout le corps animal, en traçait les divisions générales , le
tronc
et la tète, enveloppes des viscères à l'intérieur
servation s'applique à un grand nombre de muscles et d'aponévroses au
tronc
et aux membres. Si l'on ajoute que, pour les vais
atiques, et les sous-orbitaires. Les lymphatiques se rendent dans les
troncs
faciaux et temporaux. 5° Nerfs. Les superficiels
i traversent l'épaisseur de la parotide. C'est dans ce trajet que les
troncs
fournissent les branches faciales, occipitales, a
massétérines externes, parotidiennes, et qu'ils se divisent dans les
troncs
secondaires maxillaires internes et temporaux. A
uel rampent l'origine des artères carotides interne et externe et les
troncs
veineux qui les accompagnent. Les vaisseaux propr
anche î, n° planche a, fig. i ; et planche 6. seaux, sont situés le
tronc
du même nerf, le filet de communication du grand
ion des chapelets jugulaire et sous-clavier, qui donnent naissance au
tronc
brachio-céphalique. A gauche, sous le sterno-mast
e épaisseur considérable, comme en général à la partie postérieure du
tronc
, sa texture est fibreuse et peu vasculaire, circo
n de région diaphragmatique se trouve comprise la zone horizontale du
tronc
formée par les cartilages des côtes asternales, c
e en arrière. La couche sous-cutanée, comme dans toute l'enveloppe du
tronc
, est chargée d'une quantité assez considérable de
ercostales. Les lymphatiques, en un ou deux rameaux, accompagnent les
troncs
sanguins ascendans et descendans. 5° Nerfs. Fourn
énitude, elle offre des battemens artériels attribués à l'aorte ou au
tronc
cœliaque, mais dont cependant le siège réel et su
iliaque . entre ces deux lignes est celle indiquée par la flexion du
tronc
. 1 Planche i, n° RÉGION OMBILICALE '. Situa
le mince de la taille, indiquant la ligne transversale de flexion du
tronc
. La peau n'offre rien de remarquable que ses dé
veines lombaires, qui parcourent en direction diagonale le contour du
tronc
; il s'y joint les deux branches abdominales des
ration, délimitation. Située à la partie postérieure et inférieure du
tronc
, de forme rectangulaire verticalement , elle est
les au milieu de cette région, correspondant au pli de l'extension du
tronc
. La couche celluleuse sous-cutanée, de texture fi
rtie médiane postérieure du bassin, où elle termine inférieurement le
tronc
, cle forme triangulaire comme le sacrum et le coc
vaisseaux et des nerfs que cette région est importante à étudier Les
troncs
principaux sont l'artère et la veine axillaires f
nt les branches pectorales et deltoïdiennes croisent la direction des
troncs
principaux, et, en bas, la naissance des vaisseau
. i° Peau. Épaisse et dense comme en général à la face postérieure du
tronc
. 20 Couche sous-cutanée. Elle ferme un pannicule
ps vers le milieu de l'articulation ; à deux lignes plus en dedans le
tronc
du nerf médian. Ces vaisseaux, comme nous l'avons
res. Les nerfs ne sont que des filets spéciaux émanés des deux grands
troncs
latéraux. RÉGIONS DU POIGNET. 3 Le poignet es
s, dont la dilatation accidentelle facilite le retour du sang dans le
tronc
tibio-péronier, après la ligature ou l'oblitérati
ette région du haut en bas. La veine se compose ordinairement ou d'un
tronc
principal qui descend sur le milieu de la malléol
s d'anastomoses intermédiaires. Ces veines sont accompagnées par deux
troncs
lymphatiques ; (b) les nerfs cutanés formés au
uvres opératoires, s'obtient, quand on le peut, par la compression du
tronc
artériel principal, quelquefois par le garrot ou
r se fait assez facilement par une veine lésée, à peu de distance des
troncs
brachio-céphaliques. 2° Lue petite quantité d'air
istouri quelque veine considérable, telle qu'une des jugulaires ou un
tronc
thyroïdien inférieur, que l'on ne fût pas assez c
s, ont été induits à faire comprimer par divers moyens les principaux
troncs
nerveux. Toutefois, James Moore a tenté de conver
une ligne horizontale, tirée au-dessous du grand trochanter, le gros
tronc
nerveux se trouvant comprimé en ce point où il se
t, et sans y songer, en comprimant l'artère principale , eu égard aux
troncs
nerveux qui l'accompagnent. Quant à la compressio
érens. A. Lésions des grosses artères. Sous ce nom sont compris les
troncs
, branches, rameaux d'un volume assez considérable
entir, de suspendre ou d'arrêter immédiatement la circulation dans le
tronc
artériel principal. Ces moyens sont au nombre de
agit à la manière d'une pelote ou d'un cachet. Au contraire, pour les
troncs
artériels du bras et de la cuisse, éloignés des l
efficace par rapport aux artères, aussi bien les collatérales que le
tronc
principal, se fait sentir également sur les nerfs
graduée, le tout maintenu par un bandage contentif (Pl. 3o). Pour le
tronc
principal, qui monte verticalement à deux ou troi
nds canaux de passage aérien et alimentaire , la compression seule du
tronc
principal peut être motivée. Artère carotide pr
ut être motivée. Artère carotide primitive. La compression du grand
tronc
artériel de la tête et du cou n'avait même pas ét
rhagies, déjà un grand nombre de chirurgiens ont tenté la ligature du
tronc
carotidien, peut-être clans l'absence d'un moyen
parties du corps dans les cas analogues. Toutefois, la ligature d'un
tronc
carotidien, dans ces conditions, n'ayant pas réal
a circulation artérielle dans les tumeurs par les anastomoses avec le
tronc
de l'autre côté, la compression, ne pouvant avoir
t être efficace qu'autant qu'elle s'exercerait à-la-fois sur les deux
troncs
carotidiens. Des instrumens ont été imaginés clan
ême danger d'interrompre immédiatement la circulation des deux grands
troncs
cérébraux, trop imparfaitement suppléés par les a
t choisir, il convient mieux d'agir au tiers inférieur du bras, où le
tronc
du nerf médian s'isole de l'artère en dedans. Tou
les profondes et la basilique, de sorte que la céphalique est le seul
tronc
veineux demeuré libre. 4° Artères de l'avant-br
alement à la compression de Y artère pédieuse. (Pl. 21.) Artères du
tronc
. i° Artère iliaque externe. Accessible à traver
Les muscles étant mis dans le relâchement par la flexion mutuelle du
tronc
et de la cuisse, l'aorte peut être comprimée, sur
trouve son application dans trois cas : (a) lorsque la compression du
tronc
principal est difficile ou impraticable; (b) Lors
tronc principal est difficile ou impraticable; (b) Lorsque, le grand
tronc
artériel étant comprimé, du sang est fourni par d
été généralement usité, il y a trente ans, pour la ligature des gros
troncs
, on le doublait, pour le rendre plus fort, en acc
et que l'hémorrhagie soit à craindre, faire au-dessus la ligature du
tronc
principal. Enfin, il est remarquable que, par de
et de liquide, en faisant suspendre pour un instant la compression du
tronc
principal. Reste une artère connue, ne donnant pa
, souvent même incomplète, de l'extrémité d'un filet nerveux dont le
tronc
est renfermé dans un canal osseux , pouvant occas
e synciput et derrière les oreilles; pour le cou, à la nuque; pour le
tronc
, sur les diverses parties de la poitrine, en rega
les cicatrices ne sont pas rares sur le cou , les parois latérales du
tronc
et les faces opposées des membres qu'elles mainti
chapelet de cicatrices, après brûlure, qui maintenait la tête et. le
tronc
fléchis l'un vers l'autre. 5° Enfin, même après l
es doigts et des orteils, celles de la partie interne du bras avec le
tronc
, du bras avec lavant-bras, de la jambe avec la cu
ées sont des fractions du corps différentes, telles que le bras et le
tronc
, la jambe et la cuisse, il y a peu à craindre la
uscles du dos, considérés par M. Guérin comme causes de déviations du
tronc
. Nous nous abstiendrons de porter, sur cette ques
connaissance que l'on ait encore pratiqué la section isolée des gros
troncs
du membre tho-racique; mais, au membre abdominal,
mbre tho-racique; mais, au membre abdominal, on a osé couper le grand
tronc
sciatique: bien plus, dans un autre cas, la secti
x pour en justifier l'emploi. Enfin quant aux nerfs des membres et du
tronc
, qui renferment à-la-fois les filets du mouvement
, doit être faite sans hésiter , le eas impératif échéant, celle d'un
tronc
nerveux principal, au contraire, est toujours un
iciellement à sa sortie de la glande parotide et avant la division du
tronc
en ses deux branches principales ; 2° plus profon
re faciale transverse, on peut isoler avec une égale facilité soit le
tronc
soit les branches de sa division, et faire, suiva
sverse a été coupée, on en fait la ligature : toutefois la section du
tronc
lui-même, plus enfoncé, peut obliger de pénétrer
chirurgien, et pour éviter une amputation, nécessiter la section d'un
tronc
nerveux. Pourtant l'amputation serait encore le p
on des branches, elles ne suffisent pas pour justifier celle des gros
troncs
. Au reste, on conçoit qu'il serait très-facile d'
e l'énorme émission sanguine qui résulterait cle la section d'un gros
tronc
artériel. Mais cet effet, d'une effrayante énergi
plat, des pressions graduées, en amenant le sang des rameaux vers le
tronc
sur lequel on agit. Difficultés. Toutes les pré
ce temps l'autre main, par des pressions légères des rameaux vers les
troncs
, refoule le sang vers les parties supérieures; le
jet des vaisseaux, des frictions cle bas en haut des rameaux vers les
troncs
, en faisant exécuter au malade des mouve.mens, et
'y a, du reste, de danger à cet égard, qu'autant qu'on blesserait les
troncs
eux-mêmes. 2° La saignée offre peu de danger sur
us avons vu dans l'Anatomie chirurgicale qu'elle est formée ou par un
tronc
principal qui monte sur le milieu de la malléole
nterne dont la branche de continuation longe en dedans et en avant le
tronc
de la saphène : les filamens nerveux croisent cet
utant qu'elle supplée l'antérieure ou qu'elle n'est en réalité que le
tronc
médian déplacé. Sa situation est plus profonde, a
ng de son bord postérieur. Opération. Saphène interne. On saigne le
tronc
médian quand il est unique ou la branche antérieu
c la veine temporale et la buccale vers l'angle de la mâchoire, comme
troncs
de dégorgement, ce qui rentre dans la saignée de
tions, soit un membre en entier ou une certaine étendue des parois du
tronc
,on sent que ce procédé,qui devrait, pour avoir qu
st inverse entre ces deux effets. Les procédés qui agissent sur les
troncs
veineux, entre le siège de la maladie et le cœur,
en dehors de la courbure de la sonde. Le même précepte s'applique aux
troncs
nerveux d'un fort volume, quand l'artère plus fai
l'artère tibiale postérieure à toute hauteur, depuis sa naissance du
tronc
tibio-péronier jusqu'à sa bifurcation en artères
lle n'est même pas encore rec-tiligne, ce vaisseau, pour s'écarter du
tronc
tibio-péronier son origine, formant une légère co
Dans tous les cas, le malade étant couché sur la face antérieure du
tronc
, le membre abdominal, contenu par des aides, repo
présente alors, non point unique, comme on le décrit, mais offrant le
tronc
principal qui cache l'artère , et d'où se dégagen
cision, jusqu'à l'arcade du soléaire, on pourrait, au besoin, lier le
tronc
tihio-péronier ou même une des artères jambières
ntent une couche de tissu adipeux d'environ un centi mètre, puis le
tronc
nerveux scia tique poplité interne placé un peu e
e procédé, on peut lier avec facilité la partie la plus inférieure du
tronc
poplité, ou même, en soulevant ou débridant l'arc
poplité, ou même, en soulevant ou débridant l'arcade du soléaire, le
tronc
tibio-péronier ou l'origine de la tibiale antérie
ieur. Dans l'incision de la peau il est inévitable de couper quelques
troncs
lymphatiques invisibles; mais il faut se défier d
lymphatiques invisibles; mais il faut se défier de rencontrer soit le
tronc
de la veine-saphène interne déplacé, puisqu'il lo
pour reconnaître sans la léser la veine-saphène interne dont soit le
tronc
, soit une branche plus externe ou la veine access
isant la peau dans une longueur de huit centimètres, prendre garde au
tronc
de la veine-saphène placé à un centimètre en deda
ec de la sonde les flocons adipeux, les ganglions lymphatiques et les
troncs
des artères et veines inguinales. Parvenu sur le
la cubitale, dont la ligature, soit pour les branches, soit pour les
troncs
, peut être pratiquée à toute hauteur quelconque.
un des chirurgiens, ces cas nécessitent de préférence la ligature des
troncs
artériels à l'avant bras. La ligature partielle d
ssus qui s'y rencontrent et de la fréquence des anastomoses entre les
troncs
et les divisions principales, les chances de reto
ies et de complications graves sont si menaçantes que la ligature des
troncs
à l'a-vant-bras est toujours préférable. Artère
s du fléchisseur profond. Ecartant alors ou en dedans ou en dehors le
tronc
du nerf médian juxta-posé, on peut pratiquer la l
juxta-posé, on peut pratiquer la ligature soit de la cubitale soit du
tronc
des inter-osseuscs. Mais, il faut le dire, cette
peux et la peau. Cas d'opération. L'artère humérale est de tous les
troncs
volumineux celui dont la ligature est pratiquée l
résentent : le cordon du nerf médian, puis la veine humérale, soit le
tronc
unique si elle est simple, soit la branche intern
seaux secondaires dont elle est entourée, est avec la sous-clavière ,
tronc
initial dont elle est la continuation, au nombre
de la plaie, ce feuillet sur la sonde cannelée. Rapprocher ensuite du
tronc
le bras dans l'adduction et la demi-flexion pour
che dont la pulpe déprime et refoule en arrière et en dehors les gros
troncs
du plexus brachial. 3° Ligature au-dessus du pe
ale. — (Procédé ordinaire.) (Pl. 43.) Le malade couché sur le dos, le
tronc
supporté par un plan incliné, l'épaule du côté où
'épaule du côté où l'on opère légèrement soulevée, le coude écarté du
tronc
à angle de quarante - cinq degrés, déprimer horiz
le d'une aponévrose. Déposer alors le bistouri, rapprocher le bras du
tronc
et tourner l'humérus vers l'adduction pour mettre
rveux externes, mais mieux de dehors en dedans, la main rapprochée du
tronc
, en déprimant les nerfs internes avec l'indicateu
que les artères linguale, carotide externe, carotide primitive et le
tronc
brachio-céphalique. ARTÈRE LINGUALE (pl. 44, fi
ne temporo-maxillaire, externe et antérieure, qui devient plus bas le
tronc
veineux linguo-facial, et plus profondément l'art
dénuder et écarter dans le même sens le nerf grand hypoglosse et le
tronc
veineux linguo-facial, puis, ces parties étant fi
paraît le plus rationnel, quoique, à la pratique , si la ligature du
tronc
principal d'abord facilite l'opération en permett
nombre immense des anastomoses des artères de la tête entre les deux
troncs
carotidiens, qui ne tardent pas à rétablir la cir
as à rétablir la circulation dans les branches et les rameaux dont le
tronc
d'origine a été lié. Si nous ne craignions de nou
cou, de longueur inégale d'un côté à l'autre, la droite, qui naît du
tronc
brachio-céphalique, moins longue de trois à quatr
divergeant un peu en dehors à partir de l'aorte, se bifurque en deux
troncs
carotidiens , externe et interne , en regard de l
externe et un peu antérieure. En arrière de la carotide sont les deux
troncs
nerveux principaux : à son côté interne , le file
ener la tête dans sa rectitude, et la faire fléchir légèrement sur le
tronc
pour mettre les muscles dans le relâchement. Alor
des deux jugulaires externe et antérieure , et ordinairement un autre
tronc
de communication de la jugulaire interne avec les
Sédillot paraît encore préférable. Tt'.ONC BRACIIIO-cépiial1que.
Tronc
commun de la carotide et de la sous-clavière du c
nverse la tête en arrière et du côté opposé. L'anévrisme spontané clu
tronc
brachio-céphalique a été signalé par un grand nom
e côté il existe deux observations, de Pelletan et W. Darrach , où le
tronc
brachio-céphalique s'est trouvé oblitéré avec une
pas encore d'exemple de guérison après ligature pour un anévrisme du
tronc
brachio-céphalique: mais il faut dire que l'insuc
la carotide et écartant le tissu cellulaire plus bas, arriver sur le
tronc
braehio-céphalique. Alors, avec le bec de la sond
la sonde cannelée, isoler l'artère à droite en abaissant en dehors le
tronc
veineux braehio-céphalique et prenant garde de lé
ors de la plaie, la veine jugulaire interne, à laquelle fait suite le
tronc
veineux braehio-céphalique; enfin, derrière ces v
tifs ; et pour le bout inférieur, de l'introduction de l'air dans les
troncs
veineux bra-chio-céphaliques. L'opération à ce po
uvre on n'opère que sur une longueur de un ou deux centimètres sur le
tronc
braehio-céphalique au-dessus de l'aponévrose cerv
e la sonde de dedans en dehors ou du côté de la trachée vers celui du
tronc
veineux braehio-céphalique. M. Malgaigne donne le
de lui-même en arrière, par un mouvement de rotation en diagonale, le
tronc
artériel, qu'il embrasse dans son anse. ARTÈRES
gonale, le tronc artériel, qu'il embrasse dans son anse. ARTÈRES DU
TRONC
. Les artères du tronc dont on pratique la ligat
l, qu'il embrasse dans son anse. ARTÈRES DU TRONC. Les artères du
tronc
dont on pratique la ligature sont l'épiga-strique
pratiquer dans la plaie la ligature de toutes artères quelconques du
tronc
, soit les thoraci-ques, la récurrente iliaque, l
s'étende à l'ombilic ; d'autre part, le malade couché sur le dos, le
tronc
dans l'extension, déterminer par le toucher le bo
e. ARTÈRE ILIAQUE EXTERNE (pl. 47, %• 2 ) '. La ligature du grand
tronc
du membre abdominal est véritablement l'une des c
euses de la chirurgie moderne, car il n'en est pas ici comme du grand
tronc
cépha-lique. Si, comme nous Pavons dit plus haut,
ogique, les résultats devaient être ce qu'ils ont été. La ligature du
tronc
qui se rend à l'une des moitiés de la masse encép
Pour l'iliaque externe, au contraire, comme pour la sous-clavière, le
tronc
artériel ne fournissant qu'aux appendices locomot
sauf les accidens qui lui sont propres, le résultat de la ligature du
tronc
principal. Ces considérations posées, si, dans le
considérations posées, si, dans le parallèle de la ligature entre les
troncs
artériels des deux membres , celle de la sous-cla
itués au-devant, l'encastrement de l'artère entre les scalènes et les
troncs
nerveux, et enfin son peu de longueur, qui fait q
conflexe iliaque en dehors. Rien de plus facile alors (pie de lier le
tronc
ou au besoin l'une des branches latérales. A ce p
yse sacro-iliaque, l'artère iliaque interne ou hypogastrique forme un
tronc
très court qui se dirige immédiatement vers l'exc
principale, elle se divise après trois centimètres de trajet en deux
troncs
secondaires , fessier et pelvien. La situation
e l'iliaque interne la protège contre les lésions traumatiques, et le
tronc
lui-même est trop court pour laisse!' un espace q
a point fait usage M. Stevens. ARTÈRE ILIAQUE PRIMITIVE (pl. 48).
Tronc
commun pelvi-fémoral résultant de chaque côté de
t nécessiter la ligature de l'iliaque primitive. Les anévrismes de ce
tronc
et de ses deux branches ne sont pas rares. Enfin
uché en supination, la tête et les cuisses légèrement fléchies sur le
tronc
, ce grand chirurgien fit à la région ombilicale,
sseaux qui est lésé, c'est le cas de faire, au-dessus, la ligature du
tronc
principal en maintenant provisoirement une légère
me, il est probable, comme l'ont pensé .1. limiter et E. Home, que le
tronc
artériel Comprimé par la résistance ou la rétra
en un cordon ligamenteux plus ou moins épais. La circulation dans le
tronc
artériel principal, du dessus de la ligature au-d
, quand l'anévrisme, inguinal, cervical ou sous-clavier, trop près du
tronc
, ne permet pas de lier au-dessus ou, en d'autres
upart sur la carotide primitive, les autres sur la sous-clavière ctlc
tronc
brachio-céphalique, par les chirurgiens les plus
séries, suivant qu'ils s'appliquent sur la tumeur elle-même ou sur le
tronc
artériel, au-dessus ou au-dessous de la tumeur.
e d'hémorragie; et dans le cas où la ligature est placée très près du
tronc
il ne laisse aucune ressource après lui, s'il arr
attente pour assurer le résultat, elle consiste à placer, sur un même
tronc
, deux ligatures à quelque distance l'une de l'aut
. IL Jameson a pensé qu'il suffirait pour obtenir l'oblitération d'un
tronc
artériel ou veineux de le traverser, en guise de
rgien oserait essayer ce moyen sur fhomme, et comment, sans isoler un
tronc
artériel dans une grande étendue, on pourrait évi
suffit pour une artère de médiocre volume, il faudrait, pour les gros
troncs
, en employer plusieurs disposées en zigzag. Emplo
gés dans les os ou dans les chairs, pour les membres ou les parois du
tronc
; quant à ceux qui ont pénétré dans les cavités sp
hémorragie, on doit préalablement faire exercer la compression sur le
tronc
principal. Extraction des corps étrangers saill
ans les plis articulaires, sur les parois antérieures et latérales du
tronc
. Ils sont plus rares mais on en rencontre néanmoi
peau est plus épaisse ou plus adhérente, sur la paroi postérieure du
tronc
, à la nuque, à la face et même sur le contour du
opératoire. La compression temporaire étant faite par un aide sur le
tronc
artériel principal, de manière à suspendre la cir
qui empêche le sang d'y aborder; faire cesser alors la compression du
tronc
artériel d'origine, et enfin maintenir le tout fi
btenues en un mois ou six semaines. Dans les cas où la compression du
tronc
artériel principal est impossible ou inefficace o
ps et ne tardera pas d'être complètement abandonné. 3° Ligature des
troncs
artériels principaux. Cette méthode a été fréquem
paraît à peu près insignifiante sinon funeste. (b) La ligature des
troncs
artériels des membres n'a pas été pratiquée aussi
e avec précaution et lenteur quand on se trouve dans le voisinage des
troncs
nerveux et des gros vaisseaux, jusqu'à ce que, ce
permet de suspendre le cours du sang par la compression temporaire du
tronc
artériel principal, on se hâte de terminer sans s
rait ce parti, malgré ses lenteurs, à la ligature préalable d'un gros
tronc
artériel, soit, par exemple, la carotide externe
convient de maintenir le bras immobile ou presque immobile auprès du
tronc
, et d'exécuter le mouvement de va-et-vient par la
barbe les bords avec le couteau lenticulaire. trépanation des os du
tronc
. i° Sternum. Avenzoar, V.-D. Wiell, Juncker, J.
n que du temps de Galien on eût pratiqué la section de certains os du
tronc
, bien que dans le moyen-âge on retrouve, par inte
de. Ces résistances rendent pénibles la dissection et l'isolement des
troncs
vasculaires et nerveux qu'on doit conserver, et n
ns à craindre après les résections, parce qu'on ne divise pas de gros
troncs
vasculaires, le tétanos leur appartient presque e
boutonné, qui sert à dénuder profondément les os sans léser les gros
troncs
vasculaires; des pinces à torsion, pour tordre le
e la peau doivent être calculés d'après les rapports et le trajet des
troncs
vasculaires et nerveux, qu'il est indispensable d
re. Cette méthode est surtout avantageuse pour la résection des os du
tronc
et des articulations du coudeetdu genou. C'est en
onvenablement, le malade est couché sur le ventre; le bras, écarté du
tronc
, est placé de manière à présenter au chirurgien l
r fortement de la main gauche le bras du malade légèrement écarté clu
tronc
, et avec un couteau inter-osseux, saisi cle la ma
seaux qu'il faut lier pendant qu'on opère et la crainte de blesser le
tronc
de la maxillaire interne, qui contourne le col du
sité relative. Ainsi, on a reconnu qu'on doit amputer le plus loin du
tronc
qu'il est possible; voilà une nécessité relative
circulaire (pl. ^3, flg. 2, 3, 4). Premier temps. Le bras écarté du
tronc
, la peau tirée en haut, le couteau porté par-dess
Position du malade et des aides. Le malade est couché sur un lit, le
tronc
élevé, les jambes pendantes, un aide comprime l'a
par Botal, qu'il faut amputer les membres aussi loin que possible du
tronc
; principe qu'on a violé pour la jambe par des ra
ativement sur l'artère le pouce de chaque main. Le malade couché le
tronc
sur un lit, les deux jambes pendantes dans toute
la remplacer par la torsion. M. Bau-dens m'a assuré que pour ces gros
troncs
des membres il emploie avec sécurité la torsion a
de coupées que les collatérales. Dans les cas exceptionnels, où leur
tronc
commun aurait été divisé, Userait prudent d'avoir
bitale palmaire ou de ses branches digitales, peut-être même celle du
tronc
cubital, outre les inter-osseuses palmaires; et e
ntimètres de longueur. L'opération terminée, il reste à lier les deux
troncs
des artères cubitale et radiale: la réunion linéa
tion circulaire. Réunion (fig. 4)- Les artères à lier sont les deux
troncs
des artères radiale et cubitale. Si pourtant ces
ainte d'ouvrir une articulation aussi large, et enfin la proximité du
tronc
, avaient paralysé les efforts de tous les chirurg
elevé par un aide, saisir le bras de la main gauche, le rapprocher du
tronc
, tourner le coude en avant pour tendre les rotate
ion coxo-fémorale. Voici enfin l'articulation la plus rapprochée du
tronc
, la plus abondamment environnée de parties molles
t aussitôt relevé par un aide qui le saisit de manière à comprimer le
tronc
fémoral, à moins que le chirurgien ne préfère le
ors du membre le long de la cuisse pour le côté gauche, et le long du
tronc
pour le côté droit. Le malade, comme, en général,
terminée, les artères à lier sont, en avant et en dedans du fémur, le
tronc
fémoral, auquel s'ajoutent ordinairement la fémor
8 —14- = Loges et cavités organiques spéciales. — Loges et cavités du
tronc
, de la tête, du cou, du thorax et de l'abdomen, 1
guale, 172. — Carotide externe, 172. —Carotide primitive, 173, 174. —
Tronc
brachio-céphalique, 174, 175. = Artères du tronc.
imitive, 173, 174. — Tronc brachio-céphalique, 174, 175. = Artères du
tronc
. Épigastrique, 175. — Iliaque externe, 176, 177.
Cautérisation, 205. — Résection, 206. Trépanation. Os du crâne, du
tronc
et des membres, 207—210. Résections. Généralité
portion est enlevée. h. Mylo-hyoïdien. 3° EXTRÉMITÉ SUPÉRIEURE DU
TRONC
. D. Clavicule. E,E. Les deux premières côtes.
. 6. Veine jugulaire antérieure. 7. Artère carotide externe. 8.
Tronc
veineux linguo-facial. 9. Nerf grand hypoglosse
e sous-clavière. 20. Veine sous-clavière. FIGURE 2. RAPPORT DES
TRONCS
VASCULAIRES ET NERVEUX AVEC LES APONEVROSES PRÉVE
Releveur de l'anus. E. Bulbo-caverneux. F. Ischio-caverneux. 4.
Tronc
de l'artère honteuse interne. 5. Tronc de la ve
F. Ischio-caverneux. 4. Tronc de l'artère honteuse interne. 5.
Tronc
de la veine honteuse interne. 6. Branches caver
versales. 8. Branches du releveur de l'anus et des sphincters. 9.
Tronc
du nerf honteux interne. On suit sur la figure se
LE. DISPOSITION GÉNÉRALE DE LA FIGURE. La section transversale du
tronc
est opérée suivant deux plans. En arrière, elle p
nseur de la cuisse.) 19. Ses vaisseaux et ses nerfs fournis par les
troncs
ischiatiques. F. Grande cloison aponévrotique s
Veine axillaire, un peu airignée en bas pour dégager les nerfs. 10.
Tronc
du nerf cutané externe, avant qu'il envoie une fo
e. 24. Rameau nerveux du même muscle fourni par l'obturateur. 25.
Tronc
du nerf obturateur vu en transparence derrière le
lamens nerveux fournis par le nerf obturateur. 14. Nerfs dégagés du
tronc
du grand sciatique. G. Extrémité inférieure de
éviter de comprimer en totalité la veine jugulaire, et à repousser le
tronc
du pneumo-gastrique, le nerf cardiaque supérieur
z de sang, on a proposé (voyez dans le texte) d'inciser au-dessous le
tronc
même de la temporale, au-devant de l'oreille ; ma
le temporal, nous proposons le procédé suivant : 2° (b) Incision du
tronc
de l'artère temporale sur Varcade zygomatique.
E TUMEURS ANÉVRISMALES, SUR LE trajet DE LA CROSSE DE L'aorte ET DU
TRONC
SOUS-CLAVIER DROIT. (Cas donné a [auteur par
rt. A partir de l'aorte jusqu'à l'artère brachiale du côté droit, les
troncs
artériels forment une succession de dilitations s
olume dune noix, développée sur la crosse de l'aorte à l'origine du
tronc
braehio-cépha-lique. C. Tronc brachio-céphaliqu
r la crosse de l'aorte à l'origine du tronc braehio-cépha-lique. C.
Tronc
brachio-céphalique anévrismatique. Une portion de
sous du tendon du grand pectoral. a. Nerfs du plexus brachial. b.
Tronc
de la veine principale dans le point où l'axillai
ée Dupuytren ). Cette tumeur anévrismale occupe tout le trajet du
tronc
poplité. Elle est comprise entre les deux points
tation des moindres branches latérales, dans le cas d'oblitération du
tronc
principal. Les mêmes branches artérielles sont
périeures et inférieures qui remplacent les articulaires moyennes. 6.
Tronc
de l'artère poplitée avant la naissance des branc
'un fort volume. 8. Branche de terminaison de la partie supérieure du
tronc
poplité, oblitérée inférieurement en cul-de-sac,
branche collatérale. 9,9,9. Branches externes qui se réunissent en un
tronc
commun au-devant de l'articulation péronéo-tibial
en un tronc commun au-devant de l'articulation péronéo-tibiale. 10.
Tronc
commun formé par la réunion des branches précéden
gament in- terosseux pour rétablir la circulation en retour dans le
tronc
tibio-péronier. 12. Tronc tibio-péronier reform
rétablir la circulation en retour dans le tronc tibio-péronier. 12.
Tronc
tibio-péronier reformé par l'anastomose de plusie
ur des tissus fibreux et vont se jeter, par deux embouchures, dans le
tronc
tibio-péronier (14), et dans l'artère tibiale pos
Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. RÉSULTAT DE LA LIGATURE DES
TRONCS
ARTÉRIELS PRINCIPAUX. DEMI-NATU RE. FIGURES
point de départ : l'hypogastrique, dont le volume accru représente le
tronc
de l'iliaque primitive; et l'iléo lombaire, qui f
e oblitérée. L'oblitération comprend l'artère iliaque externe et le
tronc
de la fémorale jusqu'à la partie moyenne de la cu
rejoindre l'origine de \a fémorale profonde D qui supplée en haut le
tronc
fémoral. E. Artère obturatrice, dont le volume
blit, avec une branche (i) de l'artère profondeva circulation dans le
tronc
même de la fémorale H. F. Branches anormales de
n'est que celle de Deschamps, plus alongée pour la ligature des gros
troncs
artériels profonds; (a) manche de l'instrument; (
. Artère cubitale, entre ses deux veines. Un fil est passé dessous le
tronc
de l'artère dans le point où elle apparaît dans l
elle de démarcation entre les portions axillaire et humérale du grand
tronc
artériel du membre thoracique. Le malade couché
acique. Le malade couché sur le dos, le membre thoracique écarté du
tronc
, l'aide de droite de l'opérateur comprime, avec l
linée en sens inverse ; le membre thoracique est légèrement écarté du
tronc
. La lumière est donnée à droite et au-dessus de l
opposé aux opérations. Le membre thoracique est légèrement écarté du
tronc
. La lumière est donnée au-dessus et à droite de l
crochet mousse. 3. Muscle sterno-mastoïdien déjeté en arrière. 4.
Tronc
veineux linguo-facial, également déjeté en haut e
6. Pl.45. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DU
TRONC
BRACHIO-CÉPHALIQUE. ADUUTE, DEMI-NATURE. DISP
RE. DISPOSITION GÉNÉRALE. Cette planche représente la ligature du
tronc
brachio-céphalique par deux procédés. Pour l'une
-dire du côté de l'opération. La même plaie qui permet d'atteindre le
tronc
brachio-céphalique, mettant à nu l'origine de la
7. Aiguille de Deschamps, alongée par Grcefe, dont l'anse embrasse le
tronc
brachio-céphalique. 8. Origine de la sous-clavi
thyroïdiennes inférieures, appliquées en dedans sur la trachée. 6.
Tronc
veineux brachio-céphalique droit. 7. Bifurcatio
hée. 6. Tronc veineux brachio-céphalique droit. 7. Bifurcation du
tronc
brachio-céphalique artériel. 8. Tronc brachio-c
ue droit. 7. Bifurcation du tronc brachio-céphalique artériel. 8.
Tronc
brachio-céphalique, embrassé dans une anse de fil
zontalement, l'opérateur est placé à sa gauche perpendiculairement au
tronc
; la plaie représente Je moment du passage du fil
t couché sur le ventre, le membre thoracique gauche, un peu écarté du
tronc
, présente sa face postérieure en haut, en regard
de section des ptérygoïdiens (o). Entre ces muscles, on a pu lier le
tronc
de l'artère maxillaire interne, qui empêche l'hém
qui, en même temps qu'elles tiennent le lambeau, compriment les deux
troncs
temporo-maxillaires. Enfin, au dernier moment rep
pubis pour empêcher l'écoulement du sang par les petites artères, les
troncs
principaux n'étant liés qu'à l'extrémité du lambe
rata suivant : Page 127, ligne 24, au lieu de : « des extenseurs du
tronc
; il résulte », etc., lisez : « des extenseurs du
extenseurs du tronc; il résulte », etc., lisez : « des extenseurs du
tronc
ou des muscles abdominaux ; dans le premier cas,
ofondément lésé sans entraîner de grands changements dans la forme du
tronc
. Un rapprochement s'opère entre les vertèbres sup
guration de l'épine entraînent des changements analogues dans tout le
tronc
; il y a raccourcissement, diminution de la taille
e produisent, en sorte qu'on n'a pas ordinairement une inclinaison du
tronc
égale à celle qu'indique l'angle produit dans la
s transverses et des arcs vertébraux. Passons aux autres parties du
tronc
. Les côtes présentent des changements remarquable
e du thorax. De grands changements s'opèrent donc dans la statique du
tronc
. Il ne faut pas confondre ces lésions avec celles
. On parvient à la produire au moyen de mouvements divers imprimés au
tronc
. En observant le malade attentivement, on surpren
arquera, dans quelques cas, une inclinaison antérieure ou latérale du
tronc
, un soin particulier d'éviter les mouvements qui
s par le rachis au-dessus et au-dessous du point malade redressent le
tronc
. L'une et l'autre de ces formes ont la même valeu
contractions musculaires énergiques, peu ou pas de souplesse dans le
tronc
. Je n'entre pas dans l'énuméra-tion de tous les a
ns le rachitisme simple, les cris de l'enfant dans le renversement du
tronc
en arrière, la douleur épigastrique, si l'enfant
'enfant était d'âge à en rendre compte, l'attitude caractéristique du
tronc
, les abcès, la paralysie, dans le cas où ces comp
ertèbres inférieures malades. IV. abcès de la région postérieure du
tronc
. — Ils siègent dans les régions cervicale, dorsal
carré des lombes, et vient en dernier lieu à la partie postérieure du
tronc
, où il forme les abcès cervicaux postérieurs, dor
isqu'il éprouve encore des douleurs lombaires dans le renversement du
tronc
; je vous le présente toutefois comme exemple d'u
e la cause de paralysie, et l'on disait : redressons l'incurvation du
tronc
, remédions à la semi-luxation des vertèbres, la p
ent permanentes; le sujet ne peut plus alors rétablir la rectitude du
tronc
. g IL — Diagnostic. Le diagnostic de l'affect
soutiennent la caisse des voitures. Par suite de ce déplacement , le
tronc
tend à tomber en avant ; mais il est retenu par l
scles sacro-spinaux, qui se contractent pour combattre la tendance du
tronc
à tomber en avant, et pour ramener le centre de g
uscles , tant de la partie antérieure que de la partie postérieure du
tronc
. La malade offrait cette énorme ensellure, cette
l'attitude du malade dépendait d'un affaiblissement des extenseurs du
tronc
; il résulte de cette paralysie incomplète que le
nacé de tomber en avant dans la station droite, renverse fortement le
tronc
en arrière pour assurer son équilibre. On voit da
le triceps sural, les fléchisseurs des orteils. Remarquez que deux
troncs
nerveux distincts, le nerf scialique poplité exte
a faiblesse des muscles, qui leur laissent supporter tout le poids du
tronc
. Il en résulte, quand les enfants sont assis, une
t du rachis, la pesanteur, l'action des fléchisseurs de la tête et du
tronc
, et deux résistances placées en arrière, la résis
té de la tête dans la verticale avec laquelle doit coïncider l'axe du
tronc
. Les trois courbures normales, dans le sens ànt
de cyphose. Ces muscles sont incapables de maintenir la rectitude du
tronc
, surtout dans la (1) Voy. p. 283 et 285. (2)
u contraire, rétablit plus ou moins la rectitude. Cette attitude du
tronc
, dans la cyphose rachitique, est une des causes q
puissance contractile. Il importe seulement dans ce cas de placer le
tronc
le plus possible dans la position horizontale. Le
gère même quelquefois pour rétablir l'équihbre. L'aspect de tout le
tronc
se trouve changé par la cyphose juvénile ; en arr
rection qu'affecte la région lombaire. On voit des enfants rejeter le
tronc
en arrière, tout en inclinant sa partie supérieur
aissance , puis chercher à faire contracter les muscles extenseurs du
tronc
de manière à corriger la déformation. Mais ce n'e
une courbe au rachis, et on veillera à ce que, dans le décubitus, le
tronc
soit autant que possible dans la rectitude. Il
nuité dans les efforts des muscles. En maintenant alors la tête ou le
tronc
dans une meilleure attitude par des liens ou des
mpliqué, est parfois préférable comme étant d'un effet plus sûr. Au
tronc
, on a recours à des corsets, qui agissent : 1° s
2° sur le rachis, en repoussant sa convexité en avant; 3° sur tout le
tronc
, en soutenant sa partie antérieure et supérieure,
de mal, contribue certainement à conserver longtemps la rectitude du
tronc
. Wiuslow (1) et Portai (2) ont fait, il y a longt
ulier à ces cyphoses considérables , c'est la perte de l'équilibre du
tronc
. Le vieillard simplement voûté conserve encore so
nir l'équilibre. La cyphose, à ce degré, déplace et déforme tout lé
tronc
; la tête touche au sternum , les regards fixent
i. 22. subite ou lente occupant les fléchisseurs de la tête et du
tronc
, et donnant lieu à une cyphose persistante. On a
é lombaire avec les vertèbres auxquelles ils s'insèrent. Le haut du
tronc
, la tête, les épaules, tout le membre supérieur,
ar les membres supérieurs portent ces poids en avant ou en arrière du
tronc
, en haut ou en bas, on produit la flexion du rach
au lieu de faire effort contre la partie postérieure de la tête ou du
tronc
de l'enfant, c'est en avant que les mains lui pré
le besoin, et qu'il doit surmonter en contractant les fléchisseurs du
tronc
. Placez, par exemple, vos mains contre les sienne
du sujet pendant les exercices, en examinant la région postérieure du
tronc
, afin de reconnaître la forme qu'ils lui imprimen
même plan horizontal, s'ils sont relevés et fortement fléchis sur le
tronc
, si l'on est accroupi comme dans la marche des na
rigide s'opposant jusqu'à un certain point aux courbures exagérées du
tronc
. Ils doivent être construits, dans la lordose, de
a lordose, de manière à presser à la fois sur la partie antérieure du
tronc
, vis-à-vis la convexité lombaire, et sur sa parti
aire chronique. Quinze mois de traitement rétablirent la rectitude du
tronc
, ainsi que la santé générale (ti). Mais il est ai
s par lordose paralytique celle qui est produite par une paralysie du
tronc
, paralysie qui porte sur les muscles extenseurs o
urbe et se renverse en arrière; dans la paralysie des fléchisseurs du
tronc
, c'est parce que le rachis s'infléchit en arrière
docteur Duchenne pour une acinésie occupant une partie des muscles du
tronc
et, en particulier, ceux de l'abdomen. Vous recon
entre de gravité , le malade réunit toutes ses forces pour rejeter le
tronc
en arrière jusqu'à ce que son propre poids le por
u, considérée en particulier , se comporte comme celle des muscles du
tronc
(1) Loc. cit., p. 834, (2) Voy. pl. 1, fig. 3
e. Il serait assez naturel de penser que les muscles postérieurs du
tronc
contribuent par leur contraction tonique, peut-êt
emblable à/celles qui se produisent dans les mouvements ordinaires du
tronc
; elle ne tend même pas d'une manière absolue à de
iffèrent suivant que l'on est assis, debout ou couché; suivant que le
tronc
n'a pour support, dans la situation droite, que s
sens où cet axe s'incline, soit en sens contraire. Les attitudes du
tronc
qui résultent de ces inflexions latérales de l'ép
s simple consiste dans la flexion latérale de la partie supérieure du
tronc
, à droite ou à gauche, toutes les vertèbres étant
tout à fait distinct de sa flexion latérale. Dans cette attitude du
tronc
, la tête, le cou, l'une des épaules, un côté du t
ment un ou plusieurs plis au-dessus de la hanche du côté où penche le
tronc
(3). Si le bassin reste horizontal d'un côté à
(5) Pl. 2, fig. 2. La flexion latérale de la partie supérieure du
tronc
est une attitude anormale dans la station, à moin
ette pose, dont le nom vient de la saillie de la hanche du côté où le
tronc
s'inflé- (1) Pl. 2, fig. 3. chit, c'est-à-dir
anche, le bassin étant droit comme dans la flexion latérale simple du
tronc
, et en ramenant en sens inverse le haut du corps
e droite, qui répond à une partie de la région dorsale. La forme du
tronc
tient à la fois, dans ce cas, des courbures droit
2° Flexion latérale par paralysie. — Dans l'hémiplégie, le haut du
tronc
penche ordinairement un peu de côté ; le rachis d
Il présente une lordose paralytique avec inclinaison considérable du
tronc
en arrière. C'est cette forme que M. Duchenne (de
uleuse en S très-peu accusée, qui devient tout à fait droite quand le
tronc
se fléchit en avant. XIIIe cas. — Fille, douze
ou bien elle est insuffisante, incomplète, et la partie supérieure du
tronc
reste inclinée et hors de la ligne verticale pass
i par la courbure dorsale, et il en résulte une énorme inclinaison du
tronc
. La convexité de cette courbure lombaire domina
es que vous avez vues tout à l'heure, ce qui produit l'inclinaison du
tronc
à gauche et en avant. La prédominance de la cou
vent affectée de cyphose ou de lordose, par suite des inclinaisons du
tronc
dans la scoliose dorso-lombaire. (1) PL 4, fig.
i croyait à des efforts musculaires instinctifs de nature à tordre le
tronc
(3). C'est manifestement sur la colonne antérie
ion, ou si le sujet a pris l'habitude de se hancher. J'ai vu aussi le
tronc
incliné entraîner le bassin de manière à soulever
es ; leur longueur ne paraît excessive qu'en raison de la brièveté du
tronc
, dont la hauteur est singulièrement réduite par
ur produire, soit l'extension directe, soit l'inclinaison latérale du
tronc
. Les faisceaux musculaires de la concavité devien
orsale, participent à la longue à ce défaut de nutrition d'un côté du
tronc
. Le grand dorsal se montre plus spécialement affe
. Moelle, épinière. — Parmi les organes renfermés dans les cavités du
tronc
, aucun n'est aussi intimement lié au rachis que l
) : c'est là ce que j'appellerai (a régie quant à la direction de ces
troncs
vasculaires. (1) Bulletin de l'Académie de méde
a circonférence des régions abdominales supérieures. L'inclinaison du
tronc
en avant, quand elle a lieu, ajoute encore son ef
ale était ainsi tordue sur elle-même. La contracture des muscles du
tronc
, si rare après la naissance, paraît plus fréquent
les faisant croiser avec force sur la poitrine, en même temps que le
tronc
se penche en avant, on s'assure aisément que tout
trois courbures du rachis, et aussi suivant les diverses attitudes du
tronc
. La direction des omoplates diffère : la gauche
eusent à proportion. De là plus d'irrégularité dans les deux côtés du
tronc
, plus d'inégalité dans la hauteur et la saillie d
ort à la hauteur du bras droit, qui le rencontre en se rapprochant du
tronc
; il est, au contraire, échancre à gauche, où le b
l y a compensation exacte dans ces incli- 28. naisons opposées du
tronc
, comme dans les deux courbures qui les produisent
au moment où la courbure dorsale, devenant prédominante, entraîne le
tronc
à droite et fait pencher sa partie inférieure dan
. La difformité change alors d'aspect : l'inégalité des deux côtés du
tronc
s'accroît dans la région dorsale et diminue aux l
et de la dépression de leur côté droit. Toute la région inférieure du
tronc
, obliquement dirigée comme le rachis lui-même, n'
gibbosité, fortement proéminente et comme détachée de la surface du
tronc
, d'abord arrondie , puis de plus en plus anguleus
mesure la déviation dorsale est de vingt-sept millimètres environ. Le
tronc
présente une inclinaison générale de bas en haut
essions extérieures.— La position horizontale et la station droite du
tronc
exercent sur les courbures une influence contrair
e, accompagnées, pendant la station, de celte inclinaison latérale du
tronc
qui ajoute tant à la difformité, semblent rétrogr
re que, dans les observations de cette nature, on a soin de donner au
tronc
la même direction antérieure ou postérieure, sans
u corps qui lui correspond. Des pressions agissant sur les côtés du
tronc
, dans la station, peuvent produire des mouvements
his ou les dernières côtes, surtout s'ils font effort pour retenir le
tronc
(1) Bulletin de l'Acad. de méd., t. VIII, p. 10
ever le bas du demi-thorax droit, ce qui communique inévitablement au
tronc
une impulsion de droite à gauche. Le sacro-spinal
Mettez le malade dans la position horizontale, soulevez le milieu du
tronc
pour qu'on ne dise pas que les attaches musculair
us, et, en apparence, rétractés, quelque attitude que vous donniez au
tronc
. Naturellement, les muscles se tendront un peu, q
mpossible d'éloigner davantage ses deux extrémités, faites fléchir le
tronc
en avant; le dos va se voûter, ses muscles vont c
ous ai fait voir les formes diverses que les fléchisseurs latéraux du
tronc
peuvent donner à la colonne vertébrale, dans les
déjà infléchis latéralement dans deux ou trois sens. Si le haut du
tronc
se penche à droite, par exemple, la colonne lomba
croire au redressement des courbures, lorsqu'un excès de cambrure du
tronc
ne fait que les rendre moins apparentes en déprim
es ou les côtes, le froissement des chairs par le tassement des os du
tronc
, donnent très-souvent lieu à des douleurs permane
dans ce sens le centre de gravité, que la forte inclinaison du bas du
tronc
porterait sans cela trop à gauche. Vous pouvez vé
essous de celui de beaucoup d'enfants de son âge, sauf la brièveté du
tronc
, qui n'est pas proportionné aux membres. La face,
sont les mêmes que dans la flexion physiologique ; les deux côtés du
tronc
conservent leur conformation naturelle; leur diff
des dépressions circonscrites, dans certaines régions déterminées du
tronc
. Conserve-t-on des doutes sur la nature de la d
court ou de faire asseoir le malade au lieu de l'examiner debout. Le
tronc
redevient alors parfaitement symétrique, si les v
en effet, ni douleur ni rigidité lorsqu'on imprime des mouvements au
tronc
dans les scolioses des premier et deuxième degrés
t se contracte plus violemment quand on fait effort pour redresser le
tronc
, il n'y a là rien qui ne puisse en effet dépendre
phie et ce moule, que je dois à son obligeance, font voir l'aspect du
tronc
dans cet ordre d'affections. Une des omoplates es
e grande laxité des articulations du rachis. Us soutiendront alors le
tronc
et préviendront des attitudes vicieuses, une incl
nts nous a montré que l'inclinaison des vertèbres, dans la station du
tronc
, est due, en outre, à un mouvement qui se passe d
cette atrophie, une fois que celle-ci a commencé. Ainsi, placer le
tronc
horizontalement, c'est, d'une part, remédier immé
utant que les muscles ou des appareils spéciaux retiennent le haut du
tronc
. bb. Action musculaire. — Au lieu de soustraire
s. Ils consistent dans des flexions et des extensions alternatives du
tronc
; ils poussent parfois l'extension jusqu'au renver
Je ne vous parlerai que pour mémoire des exercices qui impriment au
tronc
des mouvements de torsion, de rotation ou de cir-
i se pratiquent dans les gymnases. On produit encore cette flexion du
tronc
à.droite dans les efforts de traction du membre s
du rachis, dans laquelle on fait mouvoir les membres sans déranger le
tronc
, est préférable sous ce rapport. On a cherché à
e la main gauche sur la hanche de ce côté ; sans ce point d'appui, le
tronc
retombe presque aussitôt à droite, tandis qu'avec
tée. Vous savez que, pour éviter cet effet, il faut faire incliner le
tronc
sur le bassin. Vous voyez .que, dans cette positi
ment de la troisième période. En faisant élever le bras et fléchir le
tronc
sur le bassin, nous Obtenons une diminution des c
ticulations rigides, inflexibles, et pour faire équilibre au poids du
tronc
, qui tend à écarter diverses surfaces articulaire
es unes sur les autres. Les muscles étendus du bras ou de l'épaule au
tronc
, trapèze, grand dorsal, grand pectoral, grand den
de la pesanteur, afin de maintenir les rapports natu- 34, rels du
tronc
avec les membres supérieurs. Je ne reviens pas su
ré de raccourcissement ou d'allongement de ces muscles suspenseurs du
tronc
déterminera la position des omoplates dans ce gen
ontale ou inclinée, à s'aider des membres supérieurs pour déplacer le
tronc
et les membres inférieurs. On s'attache surtout à
lexion suivie d'extension, qui rapproche et éloigne successivement'le
tronc
du support des mains et qui prépare à l'ascension
le bassin et les membres inférieurs dans le prolongement de l'axe du
tronc
. On ne leur permet, en les régularisant, que deux
plus complètement que dans la simple position horizontale. Tout le
tronc
change d'aspect par suite de ce redressement du r
ulière que dans la station, parfois presque symétrique. La hauteur du
tronc
augmente naturellement par le redressement des co
nt en outre un moyen de contre-extension pour la partie supérieure du
tronc
. Comme nous l'avons fait pour les extensions, n
nent en aide à la contre-extension; en fixant la partie supérieure du
tronc
, elles le retiennent et l'empêchent en partie d'o
n longitudinale. Deux systèmes sont ici en présence : dans l'un, le
tronc
est pris dans des entraves fixes, faisant corps a
inant son extrémité supérieure à gauche. Cela change tout l'aspect du
tronc
: la courbure dorsale paraît beaucoup diminuée e
ement, avec quelque avantage, de sièges à béquilles qui supportent le
tronc
sous les aisselles; on ne les emploie que pendant
icace. C'est à peine s'ils s'opposent aux progrès de la déviation. Le
tronc
glisse, s'affaisse, se déverse sous leur envelopp
s et le haut du thorax, tantôt de presser latéralement, d'incliner le
tronc
en sens inverse des inclinaisons vicieuses du rac
le cou dans la scoliose dorso-lombaire. Les supports mécaniques du
tronc
placés sous les vêtements sont ordinairement dési
décrit par Portai en 1772 (2). C'est la béquille, véritable tuteur du
tronc
, réduite pour s'appuyer sur le tronc même. Une
la béquille, véritable tuteur du tronc, réduite pour s'appuyer sur le
tronc
même. Une autre disposition dérive de la croix
peu d'épaisseur pour se loger facilement entre le haut du bras et le
tronc
; leur garniture doit être assez douce ou assez é
ue l'épine n'offre pas trop de résistance, en repoussant fortement le
tronc
à gauche; on le maintient dans cette position par
se d'une manière quelconque sur le côté droit, de façon à empêcher le
tronc
de revenir à sa première position. Il y a même qu
oyen d'une vis, de manière à soutenir et à repousser le côté droit du
tronc
comme avec une main qui lui serait plus ou moins
ils empruntent en définitive toute leur puissance, cède à l'effort du
tronc
et se dérange; dès lors l'action s'affaiblit ou s
eur sont d'ailleurs insuffisants, parce que la force avec laquelle le
tronc
s'incline latéralement enlève le membre lui-même
gauche par le levier, redresse la courbure lombaire en renversant le
tronc
à gauche, et que l'effort des muscles pour report
tronc à gauche, et que l'effort des muscles pour reporter le haut du
tronc
à droite redresse alors la courbure dorsale. Vous
nts, qu'il ne se passe rien de pareil dans ce mouvement horizontal du
tronc
de droite à gauche, qu'il ne faut pas confondre a
sa souplesse extrême et par la facilité avec laquelle on redresse le
tronc
. Elle porte son appareil depuis six semaines, et
direction du rachis, par le seul effet d'un changement d'attitude du
tronc
, aidé au besoin de légers efforts manuels. Je n
s individus gibbeux doivent éviter tout ce qui favorise la flexion du
tronc
en avant ou de côté, tout ce qui peut distendre l
de courbure dorsale principale. Elle entraîne la partie inférieure du
tronc
d'un côté, et sa partie supérieure se rejette par
le; les inclinaisons opposées des parties supérieure et inférieure du
tronc
disparaîtront plus ou moins complètement; le rach
'une S à courbures inégales, où la dorsale prédominante entraînait le
tronc
dans le sens de sa convexité et le défigurait tot
'on remédie à ses déviations latérales; mais il est clair que tout le
tronc
participe à ces changements. La stature s'élève p
ls représentent avec une parfaite exactitude la partie postérieure du
tronc
de quatre jeunes filles avant et après le traitem
este qu'une légère déviation sigmoïde, et la conformation générale du
tronc
est à peu près régulière. IVe cas. — Enfin ces
-abdominaux.................. IV. Abcès de la région postérieure du
tronc
.......... 30 V. Abcès thoraciques..............
aisselles et au pubis. Système pileux normal sur les membres et le
tronc
. Pénis insignifiant (2 cent. 1/2). ' Testicul
rre actuelle a fourni un grand nombre d'exemples d'incurva- tion du
tronc
. Assez rares dans la vie civile, elles sont deven
uentes chez les soldats. Ces attitudes consistent en une flexion du
tronc
en avant, combinées ou non à une inclinaison la
us exact; il décrit fidèlement (zc;cp.7 ? 6), je fléchis ; zopmoç, le
tronc
) l'atti- tude sans parler de sa pathogénie. I
I). Leur attitude présente une analogie parfaite avec la flexion du
tronc
en avant chez une personne normale, sauf cepend
cependant toute la colonne verté- brale participe à ce mouvement du
tronc
, si bien que vu de profil, le dos présente une
tingue l'altitude camptocormique d'une simple flexion momentanée du
tronc
en avant, exécuté par une personne normale. On
lades est très caractéristique. Certains mouvements volontaires' du
tronc
sont exécutés aisément, les malades ramassent d
ubitus dorsal n'est pas douloureux, de même que l'hyperextension du
tronc
. Cette hyper- extension est obtenue facilement
, après une chute sur le dos, a pré- senté une attitude vicieuse du
tronc
(analogue à celle de maintenant) qui a disparu
seurs, des lésions vasculaires associées, des anastomoses'entre les
troncs
nerveux, et enfin des lésions articulaires. Ces
est celle d'une réaction consécutive à une lésion sié- geant sur un
tronc
nerveux défini (III, main en ciseaux après lésion
potonie combinées consécutive à une lésion ne siégeant pas sur un
tronc
nerveux bien défini (IV, membre d'échassier après
LES LÉSIONS DE LA BRANCHE INTERNE DU SCIATIQUE (PORTION INTERNE DU
TRONC
OU SCIATIQUE POPLITÉ INTERNE). ' Nous avons s
n dans toutes les formes cau- salgiques des blessures du sciatique (
tronc
sciatique ou sciatique poplité interne) et insi
fortement touchée, soit après la bifurcation du nerf, soit dans son
tronc
même où, comme on sait, les deux branches de bifu
ouloureuses quand le sciatique poplité interne est atteint (dans le
tronc
ou après la bifurcation apparente). Cette défor
, branche qui se trouve soit accolée à la branche externe dans le «
tronc
» du* nerf, soit détachée sous le nom de sciati
é dans une gouttière. Il ne paraissait pas y avoir de paralysie des
troncs
nerveux. Les mouvements des doigts, quoi- que t
se portent en sautoir à l'aide d'un cordonnet et appliqués sur le'
tronc
.Il y en a pour conjurer la mort, pour 176 COURB
le plus petit mouvement ni de la nuque (boule de bilboquet), ni du
tronc
, ni des membres ; pas le plus petit mouvement d
. La pression sur les grands nerfs sciatiques et même à côté de ces
troncs
nerveux provoque des douleurs. Cela n'est pas le
rès grande intensité. Il y avait encore le signe de Lasègue, et les
troncs
du grand sciatique étaient très douloureux à la
ais syphilides croû- teuses du cuir chevelu et papulo-squameuses du
tronc
, des membres et de la face. Symptômes correspon
Depuis, on a constaté parésie des jambes, sensibilité normale, les
troncs
ner- veux sensibles à la pression, les réflexes
s, sur tout le moignon de l'épaule et la partie correspon- dante du
tronc
. Ces troubles ne l'ont empêché ni de continuer sa
saillie un peu excessive et le ventre proémine. Ces déformations du
tronc
paraissent dues à une sorte de bascule autour des
ce que le malade, qui marche en équin, redresse instinctivement son
tronc
en arrière pour ne pas tomber en avant. Ce sont
com- pagne d'ailleurs d'un tremblement des membres inférieurs et du
tronc
. Il n'y a nulle part de troubles de la sensibil
ions de fourmillements dans les cuisses ou dans les jambes. Aucun
tronc
nerveux ne présente d'augmentation de volume. L
r toutes les lésions susceptibles d'intéresser de façon générale un
tronc
nerveux ou ses ori- gines cérébrales, mais enco
ique. De déduction en déduction, il ne reste plus que la lésion des
troncs
nerveux de la VIle paire au-dessous de l'émissi
los 300 grammes. A l'inspection on remarque une grande adiposité du
tronc
, plus prononcée au ventre et régions fessières
évèle pas d'autre altération que celle des membres supérieurs et du
tronc
. Le développement intellectuel de l'en- fant es
se coucher sur le côté que sur le dos, et encore plus pour tenir le
tronc
droit ou penché, que pour rester couché horizon
le, 1915, nos 31 et 40 ; 8 juillet et 30 août, Les lésions des gros
troncs
nerveux des membres par projectiles de guerre. 1
chial est démontrée par l'exis- tence de douleurs sur le trajet des
troncs
nerveux. Dans des cas assez rares (obs. IV),,le
roment. Il faut révéler par la pression digitale l'hyperesthésie du
tronc
nerveux. On constate ainsi que le sujet est désa-
du côté sain. La même constatation peut être faite pour les autres
troncs
nerveux du bras, médian, radial, circon- flexe.
tions corroborent la donnée clinique que fournit l'hyperslhésie des
troncs
nerveux à la pression. Les syndromes frustes
iques cutanés, osseux ou articulaires. L'hyperesthésie atténuée des
troncs
nerveux, l'existence de douleurs pseudo-rhumatism
es périjcapu ! aires et bra- chiaux, pour le plexus brachial et les
troncs
nerveux du bras. La participation du plexus bra
dial à la gouttière humérale et au niveau de la tête du radius. Les
troncs
du média u et du cubital ne sont pas douloureux
par de légères douleurs spon. tanées et une forte hyperesthésie des
troncs
nerveux à la pression. L'examen électrique ne r
'existence de douleurs à la pression au niveau du point d'Erb et du
tronc
du médian. Etiologie.- Contusions violentes par
rnissent déjà une très- forte présomption en faveur d'une lésion du
tronc
du pneumogastrique, mais nous avons pensé pour
légèrement accéléré, on peut se prononcer en faveur d'une lésion du
tronc
du pneumogastrique ; 2° les faits ci-dessus et
s préciserons, s'associait à une hypertrophie considérable des gros
troncs
nerveux. Les antécédents héréditaires sont peu
s comparables à des coups de poignard surviennent sur le trajet des
troncs
nerveux. La main gauche en hiver reste toujours f
urs spontanées du type fulgurant éclatent sur le trajet de tous les
troncs
nerveux, avec prédilection pour les régions att
illements intermittents particulièrement aux mains. La pression des
troncs
nerveux est douloureuse, mais ne détermine par
nt des deux côtés, de même que le nerf crural. Certains segments du
tronc
paraissent plus épaissis que d'autres sans prés
la sensibilité objective. 4° Une augmentation considérable des gros
troncs
nerveux. Ce syndrome élimine d'emblée : A) L'
e Charcot-Marie en raison de l'hyper- trophie considérable des gros
troncs
nerveux, à moins d'admettre, comme Raymond le s
die de Recklinghausen on observe, il est vrai, une augmentation des
troncs
nerveux, en grains de chapelet (on se souvient
rouver, dans les membres inférieurs et dans la partie inférieure du
tronc
, des douleurs assez mal définies, distribuées sur
x aisselles et à la région pubienne, au périnée, sur le scrotum, le
tronc
et les membres. Quand les poils existent dans la
point et l'hypercroissance des membres avec arrêt de croissance du
tronc
. Les auteurs cités excluent absolument la parti
e dans le développement disproportionné des membres' par rapport au
tronc
, qui se trouve trop court en comparaison de leur
ls secondaires, chute de la barbe, des poils axillaires, de ceux du
tronc
et de la région pubienne, le tout accompagné d'ad
ls sont déjà développés, on voit tom- ber les poils de la barbe, du
tronc
et des membres, et en conséquence de l'installa
, que l'on désigne sous le nom de camptocor- mie ou de plicature du
tronc
. Il en existe deux variétés cliniques : l'une,
(qui montre que, dans le décubitus horizontal, le redresse- ment du
tronc
est généralement impossible) combiné avec la radi
voie du diagnostic. Avant de traiter l'incurvation né- vrosique de
tronc
, il est indispensable de guérir la lésion organiq
eurologiques, le diagnostic est facile. Non seulement la flexion du
tronc
et les mouvements, de latéralité s'exé- cutent.
mouvements, de latéralité s'exé- cutent. mais encore 1 extension du
tronc
, qui est impossible dans les stations debout et
avant-dernière séance de la Société de Neurologie, l'incurvation du
tronc
est déterminée par la dou- leur. C'est un fait
dor- so-lombaire ou abdominale, l'homme instinctivement fléchit le
tronc
et l'immobilise en flexion. Il est donc naturel
simple persuasion Pour expliquer la persistance de l'incurvation du
tronc
, on pourrait, à mon avis, invoquer avec plus de
r, ou de suggestion hystérique, on comprend que les incurvations du
tronc
soient rapidement et entièrement curables, à la
'en- gainement de la bobine, et tend inconsciemment à redresser son
tronc
. On lui fait constater ce premier résultat et o
sultat et exécuter immédiatement des exercices d'assouplissement du
tronc
. Les jours suivants, pendant quelques semaines,
conscience de la réalité. Il se rend compte qu'il peut étendre son
tronc
sans souffrir ou sans souffrir beaucoup. Et, au
nstate pour la première fois que, dès qu'il n'est plus soutenu, son
tronc
s'incline en avant. Il a cherché à se redresser,
e à l'hospice Paul Brousse, le 5 décembre 191t6, il se présente, le
tronc
fortement fléchi sur le bassiu, la' tête en exten
la station debout, mais il peut fléchir et mouvoir latéralement le
tronc
, sans douleur. On remarque trois plis transversau
près avoir crié, pleuré, sauté en l'air en redressant tout à fait son
tronc
, \ après s'être débattu et révolté. Dès son arr
l essaya de se lever et de marcher, soutenu par des infirmiers : le
tronc
était toujours plié en deux et la région lombaire
, avec extension au niveau des jambes, et contre : extension sur le
tronc
. Puis on cessa l'extension, mais on maintint le
l se leva,commença à marcher avec deux cannes, très péniblement, le
tronc
toujours courbé. C'est alors qu'on lui fit un a
ORMIE PAR l'ÉLECTROTHÉRAPIE 425 Etat actuel (13 septembre 1916). Le
tronc
est courbé presque à angle droit sur les cuisse
e la masse mus- culaire sacro-lombaire. L'extension volontaire du
tronc
est impossible dans la station debout ; l'exten-
complètement redressé. Les jours suivants, exercices de motilité du
tronc
et de course au pas gym- nastique. Le 15 déce
a voulu se relever et n'a pas pu. Ses camarades l'ont relevé ; son
tronc
, dit-il, était fortement courbé sur le bas sin.
x semaines. On le sort encore de cet appareil, et immédiatement son
tronc
se courbe. On lui met encore un troisième puis
rré avec des boucles de cuir. On le lui fait enlever ; aussitôt son
tronc
se courbe, la tête restant en extension. Un gro
sacro-lombaires n'est pas douloureuse. L'extension volontaire dn
tronc
est impossible dans les stations debout ou assi
1 savoir de mouvement, d'extension, de flexion et de latéralité du
tronc
. - Le 18 juin, on le fait courir au pas gymnast
que, le 21 décembre 4915, a été renversé, frappé dans le dos par un
tronc
d'arbre, que l'éclatement d'un obus avait proje
ni ecchymoses. Mais il ne se souvient pas si, déjà à ce moment, le
tronc
était incliné en avant. Car ce n'est que le 12
me attitude qu'au début des accidents. La tête est en extension. Le
tronc
est incliné en avant et à droite, et ne peut être
t d'une façon normale. Dans le décubitus horizontal, l'extension du
tronc
se fait aisément et complètement. Vu de dos et
oite dans la région dorsale, due à l'inclinaison latérale droite du
tronc
. A deux travers de doigt au-dessus de l'ombilic
et dans le bas-ventre. Sorti du ravin, a pu continuer sa ronte, le
tronc
courbé en avant, fusil et sac au dos. Au bout d
r complément d'enquête, le 23 novembre 1916. - Il se présente, le
tronc
fortement incurvé en avant, la tête en extension.
nc fortement incurvé en avant, la tête en extension. L'extension du
tronc
, dans les stations debout ou assise, est impossib
es jambes sont complètement étendues, c'est-à-dire que l'extension du
tronc
se fait complètement et facilement. Le 25 nov
et la chute de la terre l'a fait tomber ; il est resté à terre, le
tronc
fléchi sur le bassin et les jambes sur les cuisse
s environ. Ses camarades l'ont dégagé et l'ont mis debout, mais son
tronc
était fortement incliné en avant. Il a essayé d
re gauche. Il n'a présenté d'autres phénomènes que l'incurvation du
tronc
: il aurait eu cependant, dit-il, quelque diffi
'il a porté pendant 4 mois : après l'enlèvement de l'ap- pareil, lé
tronc
, qui était partiellement redressé, s'est de nouve
lques troubles anesthésiques passagers. La tête est en extension-. Le
tronc
est incliné en avant et un peu à droite, et ne
s. Il n'avait ni ecchymoses ni plaies. Il avait l'impression que le
tronc
était un peu incurvé, mais beaucoup moins qu'il
Etat actuel (2t octobre 1916). Le malade présente une incurvation du
tronc
en avant et un peu il gauche; Dans la position
et un peu il gauche; Dans la position debout, les talons joints, le
tronc
est fortement incliné en avant, faisant avec le b
t par les régions inguinales et pubienne. L'extension volontaire du
tronc
est impossible il'en est de même de l'exten- si
Mais dans le décubitus dorsal, on arrive sans peine à redresser le
tronc
, l'occiput et les épaules touchant le sol, les
mi-heure et a été suivie d'un redressement complet et persistant du
tronc
. Ce blessé présente une prédisposition névropat
une vive douleur dans la région lombaire, et ne peut redresser son
tronc
. Il est plié presque en deux, dit-il. Pour le t
t les ventouses scari- fiées, sans aucun succès, son incurvation du
tronc
restant la même. Il fut alors évacué sur Evreux
oût 1916). Dans la station debout, on constate une incur- vation du
tronc
très prononcée, la tête restant en extension. Un
nt et sans dou- leur. La flexion et les mouvements de latéralité du
tronc
sont normaux : l'ex- tension volontaire est seu
faire pendant une heure des mouvements de flexion et d'extension du
tronc
; il les fait bien et se tient tout à fait droit
tout à fait droit. Le 20 septembre, mêmes exercices de motilité du
tronc
; en même temps, course au pas gymnastique pendan
u 20 septembre jusqu'à sa sortie, exercices quotidiens de motilité du
tronc
et course pendant une demi-heure. Le 16 décem
chaud, des pointes de feu, de l'électricité, sans que l'attitude du
tronc
ait changé. Après une convalescence de 5 mois,
par la suspension, l'air chaud et l'électricité. L'incurvation du
tronc
a un peu diminué et les douleurs lombaires ont pr
obre 191G). - Dans la station debout on constate une incurvation du
tronc
, la tête restant en extension. Cette incurvation
LA CAMPTOCORMIE PAR L'ÉLECTROTHÉRAPIE 433 L'extension volontaire du
tronc
est impossible dans la station debout. L'ex- te
os : les deux omo- plates et la tête touchent le sol. La flexion du
tronc
et les mouvements de laté- aralité se font bien
l a été à pied jusqu'au poste de secours, distant d'un kilomètre. Son
tronc
était courbé. De là il a été évacué sur l'hôpit
Il resta alité pendant trois semaines environ; quand il se leva, son
tronc
était toujours incurvé et il souffrait dans la
Brousse, le 19 octobre 1916. - Etat actuel (20 octobre 1916). Le
tronc
est plié sur le bassin, la tête demeurant en ex
e sujet peut se redresser un peu ; couché par terre, sur le sol, le
tronc
se redresse complètement, les omo- plates et l'
uloureuse à la percussion, plus à droite qu'à gauche. La flexion du
tronc
sur le bassin se fait très bien ; dans ce mouveme
es pieds, les jambes fléchies sur les cuisses et les cuisses sur le
tronc
, a été enterré par un éboulement. Tout le corps s
vive douleur sacro-lombaire. Il se lève le onzième jour, mais le
tronc
était toujours incurvé. On lui mit alors une pl
bre 1916. Etat actuel (29 septembre 1916). Le malade se présente le
tronc
plié sur le bassin avec un pli transversal pass
u'il s'aperçoit qu'il ne se tient plus aussi droit qu'auparavaut. Son
tronc
s'in- cline en avant, et cette inclinaison va e
vacué sur l'hospice Paul Brousse. A son entrée, on remarque que son
tronc
est légèrement incliné en avant. Dans la statio
ôt faire des exercices d'assouplisse- ment (flexion et extension du
tronc
) ; il les exécute avec une souplesse parfaite,
èrement de la-jambe gauche pendant la marche, et l'incli- naison du
tronc
à gauche est. marquée. On ne trouve pas de déform
est normale. On arrive assez facilement à redresser passivement le
tronc
, mais il ne garde pas l'attitude normale. Volon-
irement, dans la station debout, il ne peut redresser complètement le
tronc
. Dans le décubitus horizontal, ce redressement
anne pour maintenir plus facilement son équilibre. Les muscles du
tronc
sont également très affaiblis et sont aussi soumi
on. Nous avons vu plus haut que chez les chiens dont on étendait le
tronc
seulement, la partie cervicale de la moelle était
courroies qui passent sous les aisselles et qui compriment les gros
troncs
nerveux et vasculaires et nous avons renoncé comp
rses régions de la face, des membres supérieurs et inférieurs et du
tronc
, en commençant par les uns ou par les autres. P
l'avant-bras et du bras. Les épaules se lèvent et s'abaissent et le
tronc
fait des mouvements de torsion soit à droite soit
rle- rons plus loin de la démarche dans l'athétose double. Cou et
tronc
. - La tête oscille lentement sur le cou, en avant
s. Dans quelques faits on a observé que l'athétose s'est étendue au
tronc
. Nous trouvons dans les observations de Kurella
intensité extrême : contractions excessivement violentes tordant le
tronc
dans toutes les positions et ame- nant des ecch
n a noté des mouvements antéro-postérieurs et de circumduc- tion du
tronc
(Massalongo). Un de nos malades (obs. 1) présen
ns l'acte de se lever de sa chaise par exemple, le malade penche le
tronc
en avant, étend fortement les bras (1) Warner,
ps les bras sont habituellement accolés spasmodi- quement contre le
tronc
, tandis que les avant-bras s'en écartent plus ou
e de ces mouvements invo- lontaires que nous avons déjà décrits. Le
tronc
également rigide est forte- ment cambré et les
nt s'asseoir. Une fois dans cette position les bras sont accolés au
tronc
, les avant-bras fléchis, les mains unies. Les d
vements. Les jambes et les cuisses sont presque tranquilles. Cou.
tronc
, face. La tète fait des légères oscillations, de
uche et de gauche à droite et de temps à autre de haut en bas. Le
tronc
tourne aussi très légèrement. A la face en état
Marclie. Dans l'acte de se lever de sa chaise, la malade penche le
tronc
en avant, étend fortement les bras dans la même
rès. ÉTUDE CLINIQUE SUR T.'ATII1;TOS); DOUBLE. 77 Déformations du
tronc
et des extrémités. Lésions articu- laires, etc.
e malade est au repos, assis par exemple, les bras sont accollés au
tronc
, les mains se joignent pour se séparer ensuite ;
sitions les plus bizarres et les plus variées, les extrémités et le
tronc
. Les bras sont habituellement dans l'abduction
Fig. 21. ARTHROPATHIES COSO-rÉlSiORALES. 133 plante des pieds. Le
tronc
, y compris la tète mesure quatre longueurs de t
zig.21 ). Je n'y in- sisterai pas ici. La dernière qui termine le
tronc
par en bas aboutit juste au pli fessier, point
ofondeur au centre articulaire de la hanche. Mais ces deux mesures,
tronc
et membre inférieur, chevauchent l'une sur l'au
ette sternale en direction oblique. Quant aux mesures de largeur du
tronc
, je signalerai seulement les deux suivantes : l
prédominance de la maladie à gauche. Il est vrai que les muscles du
tronc
n'étaient pas altérés. / Quoi qu'il en soit, il
Ce qui frappe tout d'abord, c'est une déformation monstrueuse ' du
tronc
; nous la décrirons plus loin. 1 lllotilité. Me
). - Il existe une déformation énorme, vraiment nions- - trucuse du
tronc
, avec gibbosité gauche et postérieure. Celte défo
ouché. Telles sont les incurvations rachidiennes. La déformation du
tronc
est en rapport avec ces incurvations. Les figur
sol entre les doux pieds el également distante de chacun d'eux. Le
tronc
est plié en deux de telle sorte que, du côté ga
ôté. Scoliose. II existe.chez ce sujet une scoliose très légère. Le
tronc
en tota- lité est un peu déjeté vers le côté dr
e était un peu plus élevée que la gauche. Autant que l'asymétrie du
tronc
permettait d'en juger, les muscles moteurs du r
rarement, si ce n'est à la première pé- riode, dans les muscles du
tronc
, et qu'elle « n'y entraîne point les phé- nomèn
près lui, la paralysie frappe souvent toute la partie supérieure du
tronc
, et y persiste dans une certaine mesure. « De l
ure de compensation lombaire ou dorso-lombaire. La dé- formation du
tronc
ne diffère pas de ce qu'on voit dans toute scolio
LA SALPÊTRIÈRE. Actuellement, symptômes caractéristiques du tabes.
Tronc
incliné en avant et droite, épaule droite abais
quement se produit dans la région lombaire ; le rachis se déforme, le
tronc
s'incline en avant, et cette attitude va s'exag
c'est-à-dire des muscles spinaux lombaires. La partie supérieure du
tronc
tend naturellement à basculer en avant, entraînée
rte instinctivement en arrière, et libre de la partie supérieure du
tronc
sur sa partie inférieure est obtenu par la lutt
par la lutte entre deux puissances, l'une passive, c'est le poids du
tronc
qui lend il entraîner celui-ci en arrière, l'au
caux joints à la difficulté de la marche qu'entraînait la flexion du
tronc
étaient de nature à égarer le diagnostic. Une c
était fortement saillante, et, par suite de l'inclinaison totale du
tronc
droite, paraissait plus élevée que la droite...
e divers côtés, mais il faut avouer que si la déviation latérale du
tronc
causée par la sciatique avait élé signalée dans
diqué la priorité (1) Babinski, Sur une déformation particulière du
tronc
causée par la sciatique (Arch. de Neurol., janv
d. de Lille, 1888). (7) Simon Teaicr, Déformation particulière du
tronc
causée par la sciatique (Thèse de Paris, 1888).
et : Deux cas de sciatique spasmodique avec déviation homologue du
tronc
. Progrès méd ? janvier 1891. . (15) Remak, Alte
ut. M. Babinski formule ainsi l'attitude du malade : Inclinaison du
tronc
du côté opposé ri la sciatique : absence complè
ôté malade : cela exagère encore l'incurvation lombaire, puisque le
tronc
et le bassin s'inclinent respectivement en sens
r les doigts et les orteils, la face et parfois certains muscles du
tronc
. Par suite de ces contractures il est souvent t
ontaires de la face et des quatre extrémités y compris le cou et le
tronc
; les caractères de mouvements involontaires diffè
ion que nous avons décrite; c'est parfois une légère inclinaison du
tronc
en avant, ou bien une rotation de la colonne vert
, gymnastique, orthopédie. II. Scoliose sciatique homologue. Le
tronc
s'incline du côté malade. Celle variété a été sig
porter le poids du corps sur la jambe saine. Mais l'inclinaison du
tronc
tend à produire l'effet inverse. Le malade est ob
ue du côté droit. La déviation était homologue, c'est-à-dire que le
tronc
penchait vers le côté malade. Aucune exagératio
oit paralysé entraîne un abaissement de l'épine iliaque droite. Si le
tronc
se maintient dans la verticale, il en résulte n
é sain. A plus forte raison celte inflexion s'exagère-t-elle, si le
tronc
s'incline vers ce dernier côté. Enfin, une cour
n pré- sente une concavité vers le côté paralysé. C'est dire que le
tronc
tout en- tier s'incline dans ce dernier sens. S
rnier sens. Supposons une hémiplégie gauche ; c'est à gauche que le
tronc
se penche. Ici, l'incurvation lombaire, loin de
he. Ici, l'incurvation lombaire, loin de combattre l'inclinaison du
tronc
qui résulte de l'abaissement d'une moitié du ba
Pour le type homo- logue, comment s'expliquer cette inclinaison du
tronc
vers le côté malade ? On peut invoquer une cert
sont plus contrebalancés dans leur action, et tendent à incliner le
tronc
de leur côté, le centre de gravité se déplace d
des muscles du côté droit prépon- dérants, mais encore le poids du
tronc
qui lutte contre les muscles gau- ches. Ceux-ci
n plus compromis; comment va-t-il se rétablir ? Instinctivement, le
tronc
s'incline vers le côté gauche; le centre de gravi
olonne lomhaire, et de cette manière une force passive, le poids du
tronc
, remplace et pour ainsi dire supplée la puissance
819, t. 111, p. 169. 210 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
tronc
sur le bassin ; mais le bassin et les parties qui
a cuisse droite et l'abduction de la cuisse gauche. Ainsi, l'axe du
tronc
et l'axe des membres inférieurs se dirigent respe
- tribue cette déformation à la faiblesse des muscles extenseurs du
tronc
, mais elle me paraît due plutôt à ce que, en ma
s'efforcent de déplacer d'arrière en avant le centre de gravité du
tronc
». D'après les observations que nous avons faites
-Déjerine, il nous semble hors de doute que le centre de gravité du
tronc
n'est pas déplacé en avant, mais en arrière, so
ropres à assurer la fixité du bassin, quand le centre de gravité du
tronc
, rejeté en arrière, tend à faire basculer le ba
s muscles fessiers surtout qui auraient à lutter contre le poids du
tronc
. Ainsi, la répartition de la paralysie aux memb
E DE LA SALPÊTRIÈRE. clament un déplacement du centre de gravité du
tronc
d'avant en arrière, et non en sens inverse. D
droit plus que le côté gauche. Elle était très intense au niveau du
tronc
, et particulièrement, ainsi que nous avons pu n
, à savoir, un certain état parétique et spasmodique des muscles du
tronc
et même un défaut de développement des os du cô
est lé- gèrement fléchi, les cuisses en extension sur le bassin, le
tronc
est renversé en arrière et présente une ensellu
embres inférieurs restent accolés l'un à l'autre, les cuisses et le
tronc
forment une ligne oblique dirigée en arrière ju
alons. Le membre supérieur gauche est en extension complète long du
tronc
, l'épaule un peu abaissée, l'avant-bras étendu
maladie de Parkinson. Fig. 2G. - Altitude anormale. Renversement du
tronc
. Extension du bras. (Dessin demi-schématique de
habitus extérieur, son attitude spéciale de renversement exagéré du
tronc
avec flexion au niveau des épaules et du cou, asp
une attitude tout à fait spé- nialo (Pl. xxvi, xxvn, xxvIII). Le
tronc
est légèrement penché en avant ; si elle essaye d
i fortement du côté gauche que du côté droit. Pendant la marche, le
tronc
et la tête ne semblent former qu'une seule pièc
arqués encore- que pendant le repos ; le bras reste un peu éloigné du
tronc
, le coude demi-fléchi, de même que le poignet;
propulsion et à la chute en avant. Quand la malade est assise, le
tronc
et la tête gardent la même attitude ; la main e
limité au pied, en- suite ; progressivement, tout le côté droit du
tronc
, dos membres et du cou furent pris et l'affecti
pui presque uniquement sur le pied gauche ; il incline fortement le
tronc
de ce côté, le membre inférieur droit en extensio
e (Pl. xxix, xxx, xxxi). Le membre supérieur droit tombe le long du
tronc
, allongé et raide, le coude étendu, le poignet
ade, comme c'est la règle en pareil cas. En effet, la percussion du
tronc
du fa- cial, des nerfs du plexus brachial, et d
onc du fa- cial, des nerfs du plexus brachial, et des divers autres
troncs
nerveux, ne déterminait pas de contraction musc
une sorte d'instabilité continuelle dans la position de la tête, du
tronc
et des membres. La démarche est ti- tubante, ma
état de repos, une sorte d'oscillation irrégulière de la tête et du
tronc
. En de- hors de tout mouvement quand la tête se
le vagin, d'après la comparaison de Trousseau.) - Les muscles du
tronc
, de la face et le diaphragme sont assez rarement
iciellement pendant la période intercalaire, en comprimant les gros
troncs
artériels et nerveux des bras (nerfs médians et
osition habituelle des membres supérieurs : Bras fléchis et contre le
tronc
. Pas d'hypertrophie. Pas de secousses. Membre
e temps en temps les membres infé- rieurs, les bras sont écartés du
tronc
, les avant-bras demi-fléchis. La main droite re
cture du niveau du membre supérieur droit. A gauche l'écartement du
tronc
est plus prononcé, l'avant-bras plus fléchi, on
L'élévation de la taille est-elle due à un accroissement relatif du
tronc
ou des membres infé- rieurs ? Individuellement,
des. L'accord règne également au sujet des proportions relatives du
tronc
et des membres inférieurs, le tronc devenant pl
et des proportions relatives du tronc et des membres inférieurs, le
tronc
devenant plus court et le membre infé- rieur pl
totale, la femme a la tête un peu plus haute, le cou plus court, le
tronc
plus long, et les quatre membres plus courts. Le
st surtout dans les diamètres transverses supérieur et inférieur du
tronc
que résident les plus grandes différences de mesu
'anatomie artistique ; « chez l'homme et la femme, disaient-ils, le
tronc
représente un ovoïde, c'est-à-dire un ovale com
M. M. Duval, est la suivante : chez l'homme comme chez la femme, le
tronc
représente un ovoïde à grosse extrémité supérieur
lus haut. Le cou croit dans les mêmes proportions que la tète. Le
tronc
triple sa hauteur initiale. Le diamètre transvers
'avant-bras droit était fléchi à angle obtus sur le bras au devant du
tronc
; le pied droit était considérablement dévié en
es du côté droit. En effet, le bras droit est étroitement accolé au
tronc
, en passant derrière Lui ; l'avant-bras se coud
re des divers segments du bras droit, en le séparant brusquement du
tronc
, il est agité de mouvements désordonnés, en flé
n avant et ses membres inférieurs ne se plient qu'avec peine sur le
tronc
. Le bras droit est toujours immobilisé sous la fe
lètement abolie sur toute la moitié droite du corps, membres, face et
tronc
, exactement à partir de la ligne médiane, pour
rouvons diminuée dans la moitié gauche de la face, dans le bras, le
tronc
et la jambe du même côté. Nous observons une an
contractile de chacun. Si les muscles paralysés dépendent d'un même
tronc
nerveux, du M. 0. C., par exemple, le diagnosti
éaires. En ces deux points, en effet, les fibres qui constituent le
tronc
du M. 0. C. s'éparpillent, se séparent; se diss
C. sont plutôt le fait d'une lésion inter- médiaire portant sur le
tronc
nerveux. Cependant une paralysie d'origine tron
erveux d'association existent certainement au delà de l'origine des
troncs
nerveux, les uns dans le mésocéphale, les autres
s lésions ne produisent plus la paralysie isolée des muscles ou des
troncs
nerveux. La paralysie qu'on observe est associé
ue irido-conslrictive sur l'iris. Autre exemple : l'excitation du
tronc
du M. 0. C. produit un resserre- ment pupillair
. Dans ces conditions, on est porté à admettre l'existence, dans le
tronc
du M. 00 Co, de fibres spéciales à la transmissio
par altération du nerf optique, exophtalmie, etc.). Une lésion du
tronc
M. 0. C. donne en général une paralysie de [POU
psychique persisterait dans les lésions postérieures du trijumeau (
tronc
, ganglion de Casser, tronc ophtalmique); elle man
s les lésions postérieures du trijumeau (tronc, ganglion de Casser,
tronc
ophtalmique); elle manquerait au con- traire da
L moyen de diagnostic entre les lésions du labyrinthe et celles du
tronc
nerveux lui-même : pour Gradenigo, dans les lés
l'artério-sclérose et aux anévrysmes des artères vertébrales ou du
tronc
basilaire, aux hémorragies limitées, peuvent s'ac
n est très différente de celle du « dérobement des jambes » sous le
tronc
, avec fléchissement réel et par- fois chute, qu
[A. LEM 104 ' VERTIGES. des lombes, des névralgies de la face, du
tronc
ou des membres, accom- pagnent ordinairement le
la déterminer, soit par lésion du récurrent, soit par altération du
tronc
même du pneu- mogastrique. La non-utilisation d
serve quelquefois des douleurs spontanées ou provoquées le long des
troncs
nerveux principaux. ' ' '. , TROUBLES DE L'ÉCRI
surtout les actes purement r(l1exrs ou semi-conscients (muscles du
tronc
, de la face, masticateurs) sont le plus souvent
t plus fréquents encore, ce sont des mouve- ments de balancement du
tronc
on de la tête, des chocs de la tète contre les
s nerveuses sensitives, pénétrant dans la moelle (pour les nerfs du
tronc
et des menibres), forment les racines postérieure
: la sensibilité articulaire, la 'sensibilité musculaire, celle des
troncs
ner- veux, des os, des ligaments, le sens de la
ns musculaire. C) Sensibilité des troubles nerveux. La pression des
troncs
nerveux éveille une sensation de fourmillement
nettement douloureuse. On recherche en pratique la sensibilité des
troncs
nerveux, de préférence dans les régions où ils
s, au contraire, en clinique on peut rencontrer de t'anesthesic des
troncs
nerveux à la pres- sion. Ce signe est tout part
embre supérieur qu'au membre inférieur ou encore qu'à la face et au
tronc
, obéissant ainsi aux mêmes lois que celles qui
elles ou profondes. Elle peut être .lolale (intéressant la face, le
tronc
elles membres) ou partielle, et revêtir, comme
iculaires de la racine descen- dante du trijumeau) ainsi que sur le
tronc
el les membres du côte TROUBLES DE LA SENSIBILI
n hauteur, l'anesthésie peul intéresser soit les deux membres et le
tronc
d'un côté du corps (si la lésion se trouve au-d
sus du renflement cervical), soit seulement la partie inférieure du
tronc
et le membre inférieur de ce côté (si la lésion
occupe les membres inférieurs et remonte plus ou moins haut sur le
tronc
, sans dépasser jamais les membres supérieurs. L
nd axe sur les membres, et perpendiculaires à l'axe du corps sur le
tronc
. Un coup d'oeil jeté sur les schémas ci-dessous
nes immédiatement sus et sous-jacentes. Celle loi, évidente pour le
tronc
, s'applique également aux membres. Sur le tronc e
i, évidente pour le tronc, s'applique également aux membres. Sur le
tronc
enfin, les bandes de distribution radiculaire d
uvent envahir toute la surface cutanée des membres inférieurs et du
tronc
jusqu'à la région mammaire.. Dans les cas exc
yringomyélie, occupent le plus souvent les membres supérieurs et le
tronc
, plus rarement les jambes. Ordinaire- ment symé
. Telle est la théorie de la métamérie spinale sensitive. Pour le
tronc
, les métamères sont étages suivant un plan perpen
érieur; BR, renflement brachial de la moelle; A, B, C, métamères du
tronc
; il, 2, 5, centres métamériques du membre supérie
La topographie des troubles sensitifs, dans les affections des
troncs
nerveux, répond, d'une façon générale, à la dis
ue dans les névrites traumatiques (section ou compression d'un seul
tronc
nerveux). 2" Topographie monoplégique, paraplég
rites : ils sont fréquents au niveau dcs membres, très rares sur le
tronc
; plus marqués aux membres infé- rieurs qu'aux
ir le pied, la jambe, etc., et s'arrêter brusque- ment au niveau du
tronc
ou des membres suivant une ligne franche. 'Mais
niveau des membres (membre supérieur surtout) que sur la face et le
tronc
et entraîne des mouvements (ataxie) que ne déterm
les affections viscérales, des zones d bypcrestbesie cutanée sur le
tronc
, les membres et la tête, zones dont la topograp
ir à établir les limites exactes des zones hyperesthésiques. Sur le
tronc
et les membres, Ilead décrit les zones suivantes
u pro- fondes, généralisées ou localisées au niveau d'un membre, du
tronc
, de la tête, d'un viscère, et peuvent correspon
irection donnée : telles, par exemple, la douleur à la pression des
troncs
nerveux dans les névrites, la douleur à la pres
le Névralgies). Les douleurs sont tantôt localisées (il la tète, au
tronc
, aux mem- bres, aux viscères), tantôt généralis
contrent également dans l' hystérie et la neurasthénie. Douleurs du
tronc
. Les plus fréquentes sont les névralgies interc
ulement clans les membres paralysés, mais aussi à la face et sur le
tronc
. A la face, elles peuvent occuper le front, la jo
en un point, en placards, tantôt diffuses, et siègent au niveau du
tronc
, de la tête et des membres, surtout à leurs ext
sont ' réalisés expérimentalement par la compression violente d'un
tronc
nerveux (cubital dans la gouttière épitrochléèn
erveuse peut siéger soit sur les rameaux périphériques, soit sur le
tronc
du nerf, soit sur les racines, soit peut-être aus
rés; ils ont certains sièges de prédilection tels que le lieu où un
tronc
nerveux émerge d'un canal os- seux, le lieu où
eur du membre plutôt que sur le trajet des nerfs périphériques; les
troncs
nerveux d'ailleurs sont moins douloureux à la p
oit sous la peau de la région endolorie, soit le long du trajet des
troncs
nerveux qui s'y rendent, soit dans la cavité ar
fasciculaire, c'est-à-dire celles qui résultent de l'irritation des
troncs
nerveux périphériques soit par des varices des
nées; elles se calment si l'in- jection est poussée au voisinage du
tronc
nerveux au-dessus du point où siègent les excit
ections de cocaïne pratiquées sous la peau ou le long du trajet des
troncs
nerveux; mais, quand elles siègent dans la moit
lgies du membre supérieur sont limitées aux nerfs cutanés, les gros
troncs
nerveux paraissant indemnes. C'est ainsi que l'
nseillé dans les cas de névralgies rebelles les injections dans les
troncs
nerveux d'alcool. Des résultats favorables avec
par le malade quand la pointe de l'aiguille prendra contact avec le
tronc
nerveux, reste le seul critérium de la loca- li
légèrement en arrière arrive à la profondeur de centimètres sur le
tronc
du maxillaire infé- rieur sortant du trou ovale
des os propres du nez. Arrivée il 5 centimètres la pointe louche le
tronc
du nerf maxillaire supérieur sortant du trou gran
ntérieur du crâne, on ne saurait avoir la prétention d'agir sur son
tronc
. Des trois rameaux le nasal n'est guère accessibl
peu près constants : ils sont plus prononcés aux membres que sur le
tronc
et dans les segments péri- phériques des membre
ns des membres paralysés ; d'autres fois, elles siègent le long des
troncs
nerveux; d'autres fois enflées, indépendantes d
ronation dès qu'on la lâche. La flexion combinée de la cuisse et du
tronc
ne se voit pas dans l'hémiplégie névropathique,
éflexes et mouvements associés. Flexion combinée de la cuisse et du
tronc
. Babinski a décrit ce mouvement associé dans le
é de flexion de la cuisse, puis flexion combinée de la cuisse et du
tronc
, s'observe dans les conditions suivantes : «Lor
- Hémiplégie gauche organique. Flexion combinée de la cuisse et du
tronc
à gauche (Babinski, Gazelle des hôpitaux). MOUV
attache la même valeur qu'à la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
. Ce phénomène [CROUZON.] Fig. 2. - Hémiplégie
ou l'excitation du mouvement combiné de Ik'.xion de la cuisse et du
tronc
; l'abduction lui parut plus fréquente dans l'hé
dessinant les contours du second. Les pieds sont en varus équin; le
tronc
s'incline en avant davantage. Dès que le malade
aide de cannes. Le malade marche avec des oscillations latérales du
tronc
[démarche dite de gallinacé) ; plus tard, les m
me- ment ralentie. Le sujet se livre il de multiples contorsions du
tronc
, du visage, des membres supérieurs. Les jambes
nt, niais avec beaucoup moins de violence que chez un tabétique. Le
tronc
cambré, les épaules repoussées en arrière, semb
aire. Il en est ainsi dans la paralysie agitrlllie où le malade, le
tronc
penché en avant, pro- gressant par pas menus et
veau des 1'accou1'cissew's des membres inférieurs, parfois aussi du
tronc
et du cou, elle est presque intacte au niveau des
ie s'étend aux membres inférieurs et aux régions les plus basses du
tronc
qui furent au début le siège d'une hyperesthési
lysie est parfois ascen- dante a la période terminale et atteint le
tronc
, les membres supérieurs, les centres bulbaires.
a- plégie organique, l'anesthésie remonte plus ou moins haut sur le
tronc
: la limite supérieure est une ligne transversa
es mains aux barreaux, progres- sant uniquement par des torsions du
tronc
sur le bassin. Inutile de dire qu'un paraplégiq
e débute entre huit et quinze ans, quelquefois plus tôt. Souvent le
tronc
et les membres supérieurs sont atteints. Les mala
e, elle porte le plus souvent sur les qua- tre extrémités et sur le
tronc
; quelquefois, on a observé de plus la parti- ci
Le sous-scapulaire est adducteur du hras, il rapproche l'humérus du
tronc
quand il en a été écarté. 11 tend à appliquer l
rtion sur la ceinture thoracique rapproche le membre su- périeur du
tronc
. Pour que la longue portion ait son maximum d'act
nt fixe sur la cuisse, il est un extenseur puissant du bassin et du
tronc
, On a beaucoup discuté son rôle dans la station
marche n'est plus pos- sible, aussi le malade rejette en arrière le
tronc
pour obtenir par le poids du corps l'extension
côtes, et peut, quand il se contracte bilatera- lement, soulever le
tronc
, le rapprocher du hras et agir ainsi dans l'actio
0 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. VI. MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU
TRONC
ET DU COU MUSCLES SUPERFICIELS DE LA RÉGION C £
ntracte bitatératement, la tête MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU
TRONC
ET DU COU. 571 est portée directement en arrièr
ixe sur la colonne vertébrale et que le bras est élevé et écarté du
tronc
, le grand dorsal l'abaisse, le l'approche du tr
evé et écarté du tronc, le grand dorsal l'abaisse, le l'approche du
tronc
et l'amène en arrière en lui faisant exécuter u
Quand le bras est placé dans une direction paral- lèle il 1 axe du
tronc
, le grand dorsal agit principalement sur l'omopla
en se contractant des deux côtés il efface les épaules et étend le
tronc
, détermine la position du soldat au port d arme
érieurs abaissent le moignon de l'épaule et inclinent légèrement le
tronc
de leur côté. ,L Quand le grand dorsal prend so
u de la branche du rhomboïde. MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU
TRONC
ET DU COU. 373 Physiologie. - Le petit dentelé
est un extenseur de la tète. MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU
TRONC
ET DU COU. 575 Grand oblique ou oblique inférie
sommet et le bord supérieur des MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU
TRONC
ET DU COU. 577 apophyses transverses des premiè
une lame musculaire, entourant la nuque, le cou et presque tout le
tronc
. Muscle peaucier du cou. Insertions. Le peaucie
, et qui contribue avec d'autres racines à la for- mation d'un gros
tronc
nerveux, ne communique pas sa force motrice au
tion d'un gros tronc nerveux, ne communique pas sa force motrice au
tronc
tout entier, mais uniquement aux fibres par, lesq
is uniquement aux fibres par, lesquelles il se con- tinue depuis le
tronc
jusque dans les branches. lIÜller et Van Deen,
ncore Forgue, est un centre de répartition qui concentre en un même
tronc
définitif des filets nerveux qui naissent des d
cette numération le malade ayant les pieds joints et fléchissant le
tronc
autant -qu'il le peut. Je rappellerai que l'apo
avec un bras immobile et abaissé. Le membre supérieur est contre le
tronc
en adduction et en rotation interne, Lavant-bras
e long du corps tend par son propre poids il s'appliquer le long du
tronc
; de cette attitude résulte nécessairement une c
rs autour de son angle interne et le membre est écarté des côtés du
tronc
. C'est cette coutracture'du muscle trapèze qui am
eux sus-claviculaire au niveau du point de Erb, par la pression des
troncs
nerveux, par la pression des masses musculaires
urale, témoignage certain de distension radiculaire postérieure. Le
tronc
d'union des racines peut s'aplatir sur les tran
f sciatique. La paralysie du nerf sciatique peut porter soit sur le
tronc
du nerf, soit sur une de ses branches terminales,
inter- osseux du pied (voir pages 549, 551, 555). La paralysie du
tronc
du nerf sciatique a pour conséquence la paralysie
ésident aux divers mouvements du larynx, de leurs rapports avec les
troncs
nerveux voisins, de leur origine bulbaire, de l
pour le pneumogastrique, 5 à 6 pour le spinal), se condensent en
troncs
nerveux et se dirigent vers le trou déchiré p
f laryngé inférieur ou récurrent. On sait que ce nerf se détache du
tronc
du pneumogastrique il la partie inférieure du c
yez demande du côté du bulbe, des racines du vague et du spinal, du
tronc
du pneumogastrique, du récur- rent et même des
hie d'un grand pectoral, on fera rap- procher avec force le bras du
tronc
; la contraction sera plus puissante si en même
res forment parfois un angle rentrant brusque, en coup de hache; le
tronc
prend alors un aspect spécial, désigné de façon t
se tiennent les jambes écartées, les pieds regardant en dehors, le
tronc
renversé en arrière et le ventre proéminent, corr
entement, en se dandinant, « en canard », inclinant à chaque pas le
tronc
et l'appuyant sur la jambe qui repose à terre. Il
s; ils se retournent d'abord sur le ventre, puis ils soulèvent leur
tronc
à l'aide de leurs membres supérieurs et en fléchi
yée pendant que l'autre monte plus haut et inclinant chaque fois le
tronc
du côté qui reste appuyé. Quand ils sont assis,
lement en premier lieu. Peu après on peut constater l'atro- phie au
tronc
des masses sacro-lombaires et du long dorsal, aux
sous le nom de « scapulæ alaise » : les omoplates sont détachées du
tronc
sur leur bord interne, il se forme entre leur b
lançant en avant ou en arrière au moyen d'une brusque rotation du
tronc
. L'atrophie des membres inférieurs, des masse
ue. Le malade ne peut se tenir debout que les jambes écartées, le
tronc
renversé en arrière. On voit aussi nettement su
tête carrée », la saillie des omoplates ailées, le renversement du
tronc
en arrière avec proéminence du ventre et lordos
les troubles de l'attitude et des mouvements sont les mêmes pour le
tronc
et les membres, il une période avancée, dans la
et sous- épineux, rhomboïde, trapèze). Les muscles du bassin, du
tronc
et de la face restent presque toujours indemnes
lle dela variété Charcot- Marie) de : ", 1 ° Une hypertrophie des
troncs
ner- veux : cette hypertrophie pourrait faire
mble commencer, beaucoup plus rarement par les bras (Etienne) ou le
tronc
, tout à fait exceptionnelle- ment par les pieds
LAIRES. en avant, des sus et sous-épineux en arrière, se détache du
tronc
; l'aspect des scapulæ alafoe est exactement le
s masses sacro-lombaires diminuent de volume et de puissance, et le
tronc
s'incurve, la tète s'incline en avant, il y a d
s douleurs névral- gigues de la nuque, du cou, des bras, parfois du
tronc
, par l'exagé1Yl- lion des réflexes .tendineux,
sont propres, tels que plan- ques d'anesthésie, épaississement des
troncs
nerveux, entre autres du 'cubital dans la gou
ires. Dans l'cc·tério- sclérose et surtout dans l'artérite des gros
troncs
, en particulier dans iartérite syphilitique, on
différents groupes musculaires de chaque membre; les muscles du
tronc
et la cage thoracique ne sont pas respectés.
g. 17. Hémiplégie gauche acquise. Atrophie du côté correspondant du
tronc
et dcs membres. Une telle amyotrophie est exc
et une période de décroissance. 1. Lésions traumatiques des nerfs (
troncs
nerveux, plexus, racines). Dans les sections,
ause de la transmission de la sensibilité par les nerfs voisins; le
tronc
nerveux et les masses musculaires ne sont pas s
eresthésie cutanée des mains et une hyperesthésie à la pression des
troncs
nerveux aug- mentés de volume et des niasses mu
abord les extenseurs de la jambe et de l'avant-bras, tardivement le
tronc
, le pharynx, le larynx, le phrénique et le pneumo
es sensitifs subjectifs ou objectifs, de douleurs à la pression des
troncs
nerveux ou des masses musculaires, très excepti
rise l'atrophie. Des corsets divers peuvent plus ou moins rendre au
tronc
une rigidité utile. Une des interven- tions les
lise ainsi l'omoplate dépourvue de ses moyens naturels d'attache au
tronc
, et. en l'empêchant de suivre le bras dans tous
actères : semblables à type Charcot-Marie, en plus : hypertrophie des
troncs
nerveux; cypho-scoliose; symptômes médullaires
n : membres supérieurs : mains, avant- bras, épaules, bras, thorax,
tronc
; diaphragme; viscères; membres infé- rieurs rar
ues); symptômes" propres : plaques d'anesthésie, épaississement des
troncs
nerveux, nodules lépreux; souvent main différen
tanés. 5. Variétés anatomo-cliniques : 1 A) Lésions traumatiques (
troncs
nerveux, plexus, racines) : sections, plaies, c
cles de la vie de relation, au niveau des muscles des membres et du
tronc
, que l'atrophie musculaire y est fréquente. Il
que nous aurons il signaler au niveau des muscles des membres ou du
tronc
qui. pour une cause quelconque, physiologique o
e la contractilité volontaire ne sont pas limités aux membres et au
tronc
; on les observe aussi au niveau des petits muscl
on seulement les muscles des membres inférieurs, mais aussi ceux du
tronc
et même des membres supérieurs et de la tête, e
suivant sa localisation aux membres supé- rieurs ou inférieurs, au
tronc
ou la tète, ensuite suivant qu'elle altère ou n
finitivement, d'autres fois elle gagne les membres supé- rieurs, le
tronc
, rarement la face. Le début peut se faire, except
ont parfois bien plus complexes, et l'incoordination des muscles du
tronc
et même des membres supérieurs y entre pour une
lancer leurs jambes dans tous les sens, mais encore faire avec leur
tronc
de grands mouvements de salutation irréguliers
n em- pêche le malade de surveiller ses mouvements avec les yeux.
Tronc
. L'ataxie du tronc, qui paraît être très fréquent
lade de surveiller ses mouvements avec les yeux. Tronc. L'ataxie du
tronc
, qui paraît être très fréquente, est jusqu'ici
uffisamment étudiée; elle se révèle surtout par les oscillations du
tronc
dans les mouvements, dans la marche en particulie
n général, de tous troubles viscéraux, la douleur à la pression des
troncs
nerveux et des masses musculaires, la fréquence
se légèrement son corps en arrière, comme pour bien « caler » son
tronc
sur ses cuisses et ses pieds sur le sol. Dans
ps; dans cette situation il pré- sentait de légères oscillations du
tronc
; quand il soulevait ses mains, les oscillations
tous inconstants, sont : le tremblement des membres inférieurs, du
tronc
, de la tête, moins souvent des membres supérieu
Mais pendant tous ces mouvements, successifs et non simultanés, le
tronc
n'a pas avancé, il est reslé en arrière, souvent
serai ! est nécessaire soit qu'un aide placé en arrière repousse le
tronc
en avant, soit qu'un aide placé en avant attire
epousse le tronc en avant, soit qu'un aide placé en avant attire le
tronc
à lui en prenant le malade par les mains, soit
u- bles environnants et avancer pour ainsi dire passivement son
tronc
en même temps que ses jambes avancent par des
soulève très haut son pied et le porte très loin en avant, niais le
tronc
n'avance pas en même temps; le sujet n'avancera
ême temps; le sujet n'avancerait pas si les aides ne poussaient son
tronc
. INCOORDINATION CÉRÉBELLEUSE. 771 jusqu'à la
nergique de ses muscles fessiers, en même temps qu'il fléchirait le
tronc
sur les cuisses par la contraction de ses fléchis
le tronc sur les cuisses par la contraction de ses fléchisseurs du
tronc
et en particulier de ses psoas iliaques. L'asyner
cier la contraction des muscles de la cuisse à celle des muscles du
tronc
, fléchira ses cuisses par suite de la contraction
L'asynergique (B) soulève très haut ses jambes, mais ne lève pas le
tronc
et ne peut s'asseoir (figures de Babinski). 772
ment en arrière. J,e sujet étant debout, on le prie de renverser le
tronc
en arrière. L'individu normal (A) iléchit le geno
t porte les jambes en avant en même temps qu'il porte la tète et le
tronc
en arrière. L'asynergique (B) laisse ses jambes
tronc en arrière. L'asynergique (B) laisse ses jambes étendues, le
tronc
seul se meut sur les cuisses; il tomberait presqu
ki). INCOORDINATION CÉRÉBELLEUSE. 775 en arrière et de courber le
tronc
d'ans le même sens en forme d'arc. Un individu
ns en forme d'arc. Un individu normal, en même temps qu'il porte le
tronc
en arrière, fléchit les cuisses sur les jambes
ière d'un homme ivre, les bras, non encore incoordonnés, écartés du
tronc
et jouant le rôle d'un balancier compensateur;
e oscille d'avant en arrière comme chez les cérébelleux, parfois le
tronc
participe aux mou- vements de salutation ; d'au
s pieds de place et en même temps d'imprimer il leur tète et à leur
tronc
de plus ou moins amples mouvements de salutatio
orps s'avance en deux temps comme dans l'asynergie cérébelleuse, le
tronc
retardant, pour ainsi dire sur les membres infé
dance à la propulsion, qui semblait tenir à ce que le mouvement du
tronc
précédait celui des membres inférieurs; d'autre
rs; d'autres fois, surtout quand le malade se sert de béquilles, le
tronc
avance le premier, et les membres restés en arr
pieds et du rachis. Mais elle s'en distingue par l'hypertrophie des
troncs
nerveux, même des troncs superficiels qui sont pa
elle s'en distingue par l'hypertrophie des troncs nerveux, même des
troncs
superficiels qui sont parfois saillants sous la
iation des mouve- ments de progression des muscles inférieurs et du
tronc
, d'où perte de l'équilibre. . b) Petite asyne
- cisément parce qu'ils ont essentiellement pour but de soutenir le
tronc
pendant les mouvements des jambes, alors qu'il
ments des jambes, alors qu'il importe au premier chel' d'éduquer le
tronc
en même temps que les jambes, son équilibre sur l
ramener les jambes sous le corps et en arrière, puis de fléchir le
tronc
en avant. Pour s'asseoir, il importe de leur bien
en même temps qu'ils fléchissent lentement les genoux, incliner le
tronc
fortement en avant. La rééducation de ces mou-
édecin; puis il ouvre les yeux et corrige la position obtenue. B)
Tronc
. La rééducation des mouvements du tronc est le co
ige la position obtenue. B) Tronc. La rééducation des mouvements du
tronc
est le complé- ment presque toujours indispensa
urs. La marche n'est possible que grâce au maintien en équilibre du
tronc
sur les membres inférieurs, et le plus léger chan
s jambes ne va pas sans un changement corres- pondant dans celle du
tronc
. Or, dans le tabes, les muscles et les arti- cu
la colonne vertébrale sont rarement assez anesthésiques pour que le
tronc
vacille ou que le malade ne puisse se tenir assis
médullaire siège généralement au-dessous de la zone qui innerve le
tronc
; au contraire, l'articulation de la hanche présen
degré d'hypoesthésie qui rend difficile le maintien en équilibre du
tronc
sur les jambes. Les exercices de coordination d
équilibre du tronc sur les jambes. Les exercices de coordination du
tronc
devront être déjà pratiqués au lit; ils consist
ension, avec incli- naison variée d'une partie ou de la totalité du
tronc
en avant ou en arrière, à droite ou à gauche.
a station verticale et dans la marche que les mouvements propres du
tronc
devront être surveillés; il faudra décom- poser
out le poids du corps sur une jambe par une inclinaison latérale du
tronc
, en même temps que le pied opposé se soulève du s
soulevé de reprendre contact avec le sol; 5° à redresser ensuite le
tronc
et à l'in- cliner du côté opposé. Un léger de
met pas l'inclinaison en avant. Une incoordination plus grande du
tronc
pourra parfois être corrigée par un corset rigi
s influer directement sur la statique des hanches. Pour soutenir le
tronc
pendant la marche, Leyden et Goldscheider recom
n point, de se rendre compte des incorrections d'atti- tudes de son
tronc
et de graduer lui-même le soutien nécessaire. Fre
écessaire. Frenkel repousse l'emploi de ces barres comme donnant au
tronc
un appui trop fixe et recommande, pour les tabé
recommande, pour les tabétiques très incoordonnés des jambes et du
tronc
, l'emploi d'une très large ceinture en sangle, en
uer ses membres inférieurs sans avoir à s'occuper de l'équilibre du
tronc
, et éduquer ensuite son tronc en provoquant les
s avoir à s'occuper de l'équilibre du tronc, et éduquer ensuite son
tronc
en provoquant les inclinaisons antéro-postérieu
tement, et d'autres les remplacer. La tête se penche ensuite sur le
tronc
, les extenseurs de la nuque se prenant à leur tou
cloniques atteignent un nombre variable de muscles des membres, du
tronc
et de la face, le plus souvent symétriquement, et
muscles peauciers. La tête est- . portée en tous sens, le cou et le
tronc
se fléchissent et s'étendent avec la plus compl
ns particulières de chaud, de froid, d'engourdissement remontant du
tronc
et des membres vers la tète, constituent l'aura
Le tremblement peut être généra- lisé aux membres, il la tête et au
tronc
. Il peut au contraire être limité à un côté du
niveau des membres supérieurs, mais il est également très marqué au
tronc
et à la tète dans les mouvements du corps. Les
tronc et à la tète dans les mouvements du corps. Les mouvements du
tronc
et de la tète peuvent, dans ce cas rendre diffi
s débutent, le plus souvent par un membre pour s'étendre ensuite au
tronc
et aux membres de l'autre côté : quelquefois ce
le plus souvent, elles atteignent l'ensemble du corps : la tète, le
tronc
, les membres. A la tète, ce sont des mouvements b
s {.CROUZON.} .869 MYOCLONIES. ' d'extension et de flexion ; au
tronc
, ce sont des inclinaisons' brusques en ayant et
à peu pour faire place à des secousses musculaires des membres, du
tronc
, secousses qui sont très analogues au paramyocl
décrit une variété spéciale de tic de. balancement de la tête et du
tronc
chez les enfants n'existant que pen- dant le so
quente à des mouvements convulsifs de l'épaule, parfois du bras, du
tronc
, plus rarement de la face et de la langue. Le tic
stéréotypés sont fréquents (grattage, irichoplastie, etc.). Tics du
tronc
. Tics de tressautement, tics de salutation ou de
t ou se produiraient pendant le sommeil (Cruchet). Certains tics du
tronc
, toniques, seraient l'origine de certaines cyph
n. De plus, le terme « spasme » suppose une irritation organique du
tronc
nerveux moteur ou d'un point d'un arc réflexe,
a constaté de la douleur, spontanée ou à la pres- sion, le long des
troncs
nerveux, du radial en particulier. Parfois on a
astique. Les muscles conservent l'attitude imprimée aux membres, au
tronc
, il la tête, mais ne sont point contractures. V
'à 100° et 150° : le membre inférieur peut être placé au contact du
tronc
et la jambe vient se placer sur le côté de la j
les deux membres inférieurs se trouvent allongés de chaque côté du
tronc
et le malade repose sur le sol par la face intern
ace anté- rieure, avec la face antérieure du bras. L'hypotonie du
tronc
, et en particulier celle des muscles des gout-
nt-bras. Ce signe, associé à la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
, au phénomène des orteils, au signe, du peaucie
s la syringomyélie, le tabes, et tout particulièrement au niveau du
tronc
dans nombre d'affections méningées ou vertébral
une obésité prononcée, une adiposité extraordinaire portant sur le
tronc
et les membres. Mais, point, extrêmement singulie
se trou- vent longuement comprimés les tissus d'un membre ou d'un
tronc
paralysé. C'est ainsi que peut se gangrener la
ntre par paroxysmes de bouffées de chaleur au niveau de la tête, du
tronc
, de tout le corps, et l'on voit apparaître des su
e TACHYCARDIE. 941 t respiratoire, de même que dans l'athérome du
tronc
basilaire ou dans l'hémorragie cérébrale. Dan
n pour le membre su- périeur, étant directement suspendu au
tronc
(Yoir ar- ticle : SÉIIÉIO- LOGIE DU PIED, i
ingoniyéliqucs et des lépreux. Exceptionnellement un traumatisme de
troncs
nerveux, une névrite périphérique autre que la né
ssive. Dans le premier cas elle envahit les mains comme la face. le
tronc
et les membres inférieurs, les doigts sont immobi
- vent porter des paralysies traumatiques ou obstétricales; sur les
troncs
du médian ou du cubital, des traumatismes, des
les cas où il y a élargissement de la Fiv. 4. Points, de repère du
tronc
et des membres; points de repère ventraux (dess
79. Le volume moyen serait de. 1560 cent, environ. Mensuration du
tronc
et des membres : - Bien que ces mensura- tions
rence donne la longueur cherchée. Enfin pour les membres et pour le
tronc
comme pour la tète, un chiffre isolé a peu de v
s de moins. Rapportée à la taille, voici ce que donne la hauteur du
tronc
mesuré en projection entre la 7° côte et le som
appliqué autant que possible contre la pièce verticale de la toise.
TRONC
A TAILLE =100 (FHHË) J 07G ANTHROPOMÉTRIE CLINI
NIQUE. De l'examen de ces chiffres, on conclut que la proportion du
tronc
il la taille diminue à mesure que la taille aug
ussées coupées d'intervalles où la taille demeure stationnai re. Le
tronc
reste il peu près normal (Papillault). L'anomal
nt legéantacromegale cesse de croître, mais encore l'incurvation du
tronc
. amène une diminution métrique. Le développemen
plus tardivement. Nous avons déjà fait allusion aux déformations du
tronc
. Elles con- sistent, avant tout en une scoliose
os s'épaississent et s'incurvent. Les jambes arquées supportent un
tronc
courbé en avant; les tibias, les cla- vicules,
t les dimensions des membres inférieurs l'emportent relativement au
tronc
. Le syndrome infantile est un peu différent sel
, la face allongée et fixe. La tète est plutôt petite, ainsi que le
tronc
. Les membres sont au contraire rctati- vement l
urne en l'état du nourrisson. La forme générale est arrondie : le
tronc
est cylindrique, le ventre gros, et, au contrai
0 m. 90 et 1 m. 40; il convient de noter aussitôt que la tête et le
tronc
sont nor- maux en hauteur sinon en proportions,
ras se place normalement en pronation, le bras légèrement écarté du
tronc
. Les mains sont petites, charnues, carrées, Les
t normale, petite, mais les traits sont nets et agréables. Le
tronc
pré- sente peu de par- ticularités intéres-
s. Les dents apparaissent fort tard et se rangent péniblement. Au
tronc
s'exagèrent toutes les courbures. Le sternum se
Nanisme par anomalie des membres inférieurs. Dans de tels cas, le
tronc
et les membres supérieurs, la tête sont d'un homm
radiologie ne sera applicable qu'il des altérations secondaires du
tronc
ou des extrémités : ces modifications pourront
ou que l'on ait à constater les déforma- tions trophiqucs des os du
tronc
, de la face ou des extrémités, les rayons X ont
ondeur. Mais, étant donnés le diamètre relativement considérable du
tronc
et le diamètre très restreint de la cavité rach
de radiographies multiples; la contra ? ture généralisée du cou, du
tronc
et des quatre membres se modifia en quel- ques
uis deux ans dans l'impossibilité de faire usage de ses jambes, son
tronc
était fléchi et sa colonne vertébrale rigide av
à la suite du traitement, s'atténuer les douleurs et la flexion du
tronc
, 1; ! marche redevint possible malgré la rigidi
aire maintenir avec un anneau attaché à un lac pendant au-devant du
tronc
et tenu par le patient lui-même'. (Voir iig. 19 e
e diamètre par exemple. Pour les nerfs cl muscles des membres et du
tronc
, il y a avantage à se servir d'une électrode plus
. Branche temporn- faciale au-devant de l'oreille; 22. Nerf facial (
tronc
); 23. Nerf auriculaire postérieur : 24. Branche
t généralement le cas sur les territoires nerveux des membres et du
tronc
; parfois elle se prolonge davantage, il en est
'action propre du courant électrique. Lorsque le courant atteint le
tronc
ou un rameau d'un nerf sensitif on d'un neri co
réable et bientôt douloureuse. Si l'excitation porte au niveau d'un
tronc
ou d'un rameau nerveux, la sensation se propage d
ande, sur le cou, la nuque et parfois sur la partie supé- rieure du
tronc
. Les sensations gustatives se trouvent provoquées
vertige et les phénomènes objectifs d'inclination de la tète et du
tronc
apparaissent plus facilement et se trouvent aug
lativement faible sur la face et le cou, elle est plus forte sur le
tronc
, plus forte encore sur les membres. Suivant les r
upérieurs, névralgies des divers nerfs du plexus brachial ; soit au
tronc
, névralgies intercostales, etc. Parmi ces diver
jet du gros intestin ; puis on électrise les muscles postérieurs du
tronc
et les quatre membres, en suivant le trajet des g
ieurs du tronc et les quatre membres, en suivant le trajet des gros
troncs
nerveux et des muscles de manière à faire contr
statique avec friction et étincelles sur la colonne vertébrale, le
tronc
et les mem- bres, ou les procédés indiqués au m
'acide osmique puisse pénétrer dans toute l'épaisseur du nerf. Le «
tronc
nerveux est placé ensuite, pendant vingt-quatre h
062. Examen du sujet, 1065. Céphalométrie, 10G ? tlIensuration du
tronc
et des membres, 1072. Mens- ration de la taille
ue, exercices au lit, 789. Exercices de marche, 791. Exercices du
tronc
, . 795. Exercices des membrcs supé- rieurs, 7
isées. Céphalalgie, 565. Migraine, 568. Douleurs de la nuque, -du
tronc
, 569. des membres ? des viscères, 570. chez l
erva- tion, physiologie, 528. Flexion combinée de la cuisse et du
tronc
dans l'hémiplégie, 478. des cuisses et du bas
. MouvKMEXTsnMoctf'.s, 477. - Flexion combinée de la cuisse et du
tronc
, 478. - Signe du peaucier. 479. - Signe de l'év
754. - Troubles de la mar- che, 755. - Membres supérieurs, 757. -
Tronc
, tète et face, 758. - cérébelleuse, 753, 766. -
ne, 1157. Infections urinaires, 960. Injections d'alcool dans les
troncs
ner- veux pour le traitement de la névralgie
que. Atrophie musculaire, type Aran-Duchennc, 704. Mensuration du
tronc
et des membres. 10 i v. - de la taille, 1075.
intra-arachnoïdiennes ou épidurales, injections d'alcool dans les
troncs
nerveux, 422. Radiothérapie, . 1189. Névrite
t- Dejerine-Sottas et forme Pierre Marie, 696. - Hypertrophie des
troncs
ner- veux, cypho-scoliose, signe d'Argyll, 69
d'un mus- cle, 68. - Paralysie d'un filet nerveux, paralysie d'un
tronc
nerveux, 69. Paralysie d'origine pédonculo-prot
exercices au lit, 789. Exercices de marche, 7 ! H. - Exercices du
tronc
, 795. - Exercices des mem- bres supérieurs, 796
hésie. - articulaire, 291. Cft<CHe dans l'hémiplégie, 465. - des
troncs
iierveux, 9·1. - douloureuse, 287. électrique
9. - Variétés. Tics de la face, z du cou, 889.- des membres, - du
tronc
, - de la déglutition, - de la respiration, 891.
ogie, 549. Trijumeau. Voy. Nerf trijumeau, Né- vralgie faciale.
Tronc
. Mensuration, 1072, 1075. - In- dice thoracique
halamus. Ln, locus niger. - Nv, noyau antérieur du thalamus. - A'C,
tronc
du noyau caudé. - A'C', queue du noyau caudé. -
volution godronnée. - Cing, cingulul11, dans la région adjacente au
tronc
du corps calleux. - Cing (p), son faisceau postér
titution variables : Sur les coupes horizontales qui sectionnent le
tronc
du noyau caudé ou la partie supérieure de la co
interne : Dans la région thalamique, elles passent d'abord entre le
tronc
du noyau caudé (NC) et le bord supérieur du put
n faisceau cortical qui s'est coudé une première fois au-dessous du
tronc
du noyau caudé, une seconde fois au niveau du s
et de la zone de Wernicke (\V) et occupe l'espace compris entre le
tronc
du noyau caudé (NC) et la partie recourbée de l
Coupe sagittale des ganglions de la base et de la partie adjacente du
tronc
encéphalique intéressant le noyau antérieur de
atant dans les hémiplégies très anciennes une diminution de volume du
tronc
encé- phalique du même côté; Cruveilhier précis
84 zur ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fig. i. - La constitution du
tronc
encéphalique, en particulier du pied du pédoncule
près Meynert (arcs. f. 7)/c/t., 1874). Sept coupes transversales du
tronc
encéphalique passant : 1, par les tubercules ciua
- 7'o, protubérance. - l'(vcc) la pyramide ou la voie antérieure du
tronc
encéphalique. - Qa, tubercule quadri- jumeau an
i- jumeau antérieur. - SS, locus niger. - Va, la voie antérieure du
tronc
encéphalique ou voie pédonculaire. - vp, la voi
onc encéphalique ou voie pédonculaire. - vp, la voie postérieure du
tronc
encéphalique ou de la calotte. - 5, racine desc
eur le long de leur bord supéro-externe. De la face tournée vers le
tronc
encéphalique (pâle périphérique de Meynert) les
la pyramide, b) Les fibres du noyau caudé, provenant de la têle, du
tronc
et de la queue de ce noyau, se rendent directemen
hie en masse plus ou moins prononcée de la moitié correspondante du
tronc
encéphalique, portant sur la totalité des faiscea
ou. daires. Atropines en masse de la moitié homo- latérale du
tronc
en- céphalique et de la moitié croisée de la
cte du ruban do Reil tnëdian et lieiiiii- trophie en masse du
tronc
encéphalique dans un cas Ù'heIl11- plégie cér
ns dans les lésions anciennes à l'atrophie en masse de la moitié du
tronc
encéphalique correspondant à la lésion cortical
ez sur toutes ces coupes l'atrophie en masse de la moitié gauche du
tronc
encéphalique, ainsi que du locus niger. 2/1 grand
s de volume comme 'tout l'hémis- phère et toute la moitié gauche du
tronc
encéphalique (calotte du pédoncule, de la protu
(K), ou Lemporo-occipitale postérieure sont colorées en vert. Le
tronc
de l'artère cérébrale antérieure (rose) irrigue l
udé et l'espace perforé antérieur (artères striées antérieures), le
tronc
de l'artère sylvienne (bleu) irrigue le tronc d
iées antérieures), le tronc de l'artère sylvienne (bleu) irrigue le
tronc
du noyau caudé (artères lenticulo-striées et lent
u noyau caudé (artères lenticulo-striées et lenticulo-opLiques), le
tronc
de l'artère cérébrale postérieure (vert) irrigue
bres dégénérées, soit dans le bourrelet et la partie postérieure du
tronc
du corps calleux, soit dans le faisceau occipit
a capsule interne entre le bord posté- rieur du putamen (\La) et le
tronc
du noyau caudé (NC); quelques fibres passent en
e Weigert. 3/2 grandeur nature. frontal, (OF) jusqu'à la hauteur du
tronc
du noyau caudé (NC) ; d'autre part, dans la par
ibres du genou (Ce[g]), du bec (Cc[r]) ou de la partie antérieure 'du
tronc
du corps calleux (Fig. 137 et 140). 3. Dégéné
de l'hémisphère cérébral et passe au-dessus du noyau caudé et du
tronc
du corps calleux. Méthode de Weigert, 5J4 gra
ceaux est cause de la diminution de volume en masse de la moitié du
tronc
encéphalique correspondant à la lésion, mais ici
laire (Cisl) et rétro-lenticulaire (Cirl) de la capsule interne. Le
tronc
de l'artère cérébrale antérieure (artères striées
x tiers inférieurs du segment antérieur de la capsule interne. - Le
tronc
de l'artère sylvienne (artères lenticulo- slrié
ré antérieur, les segments externe et moyen du noyau lenticulaire, le
tronc
du noyau caudé, le tiers supérieur du segment a
moitié supérieure du segment posléi ieur de la capsule interne. Le
tronc
de l'artère cérébrale postérieure (artères opti
et du pédoncule cérébral. - L'artère communicante postérieure et le
tronc
carotidien (colorés en jaune) irriguent le chiasm
n brun) irrigue la queue du noyau caudé, le pilier postérieur et le
tronc
du Irigone, le segment interne du noyau lenticula
nte une lésion centrale dans le domaine des branches artérielles du
tronc
sylvien, en particulier d'un certain nombre d'a
on a détruit le putamen et la face adjacente du globus pallidus, le
tronc
et la partie adja- cente de la tête du noyau ca
opographie de la lésion centrale qui a détruit le putamen, évidé le
tronc
et la partie supérieure de la tète du noyau caudé
te avec aphasie. Lésion con- tralo ; destruction du putamen, du
tronc
du noyau eau dé, section de la partie supé-
avec aphasie. Lésion cen- trame ; destruction du Il putamen, du
tronc
du noyau caudé, section de la partie supé-
ite avec aphasie. Lésion cen- trale, destruction du putamen, du
tronc
du noyau caudé, section de la partie supé-
avec aphasie. Lésion cen- trale ; destruction du il putamen, du
tronc
du noyau caudé, soction de la partie supé-
te avec aphasie. Lésion cen- trale ; destruction du putamen, du
tronc
du noyau caudé, section do la partie supé-
système calleux dans le cas Longery, et par l'agénésie partielle du
tronc
du corps calleux dans le cas Richard. Ils en di
ins des cas d'agénésie du système calleux que des cas d'agénésie du
tronc
du corps calleux. Dans tous ces cas, en particuli
tes sont séparées l'une de l'autre par un méplat médian qui loge le
tronc
basilaire. Tous les nerfs crâniens sont dévelop
membrane inter hémisphérique qui contient à sa partie antérieure un
tronc
calleux rudimentaire. Les lignes de repère 1,2, 3
missu- rales du manteau cérébral avec age- nesie partielle du
tronc
du corps cal- leux. Démonstration de l'existe
., dans les cas d'agénésie du corps calleux Dans le cas Richard, le
tronc
du corps calleux est incomplètement développé et
interhé- misphérique. Dans la moitié postérieure de la scissure, le
tronc
du corps calleux fait complètement défaut, et l
r pour l'étude du développement respectif du corps du trigone et du
tronc
du corps calleux chez l'homme. Nos deux cas Ric
ommissura- les du manteau céré- bral avec agénésie partielle du
tronc
du corps calleux. Dé- monstration de l'exis-
ommissura- les du manteau cére- bral avec agenésie partielle du
tronc
du corps calleux. Dé- monstration de l'exis-
t commissura- les manteau céré- bral avoc agénésio partielle du
tronc
du corps calleux. Dé- monstration de 1'0'\1&a
thalamiques. 208 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. bourrelet et le
tronc
du corps calleux font défaut (Fc, Fig. 223). Dans
ane, s'irradient dans l'hémisphère du côté opposé en constituant un
tronc
calleux rudimentaire (Ce, Fig. 225). Au sur à m
n tronc calleux rudimentaire (Ce, Fig. 225). Au sur à mesure que le
tronc
calleux se constitue, le faisceau sagittal dimi-
agittal a disparu, et dans la lame interhémisphérique, il existe un
tronc
calleux rudimentaire. FIBRES DE PROJECTION DE L
commissurales du manteau cérébral avec agénésie par- tielle du
tronc
du corps calleux. Dé- monstration de l'exis-
par suite de l'agénésie du bourrelet et de la partie postérieure du
tronc
du corps calleux. Fig. 227. - Cas Richard. Coup
omnussura- les du manteau céré- bral avec agénésie partielle du
tronc
du corps calleux. Dé- monstration de l'exis-
ommissura- les du manteau céré- bral avec agénésie partielle du
tronc
du corps calleux. Dé- monstration de l'exis-
ommissura- les du manteau céré- bral avec agénésie partielle du
tronc
du corps calleux. Dé- monstration de l'eais-
de la face. En avant de ces centres se trouvent, en haut le centre du
tronc
, en bas le centre des mouvements de la tète et
yeux, de la tête, de la face et de la langue, du membre supérieur, du
tronc
et du membre inférieur. Le point extrême antéri
té sont plus marqués au membre supérieur qu'au membre inférieur, au
tronc
et à la face, et au niveau de cette extrémité s
s choroïdes du ventricule latéral droit sont colorés en rose. Ce,
tronc
du corps calleux. - Ce (Spi), bourrelet du corps
a Lyre de David, au corpus psallodcs, séparé de la face inférieure du
tronc
du corps calleux par la mince lamelle névrogliq
l est-il très bien développé ainsi que la commissure antérieure. Le
tronc
du corps calleux fait complètement défaut, dans l
e la scis- sure interhémisphérique et dans la- quelle apparaît le
tronc
du corps calleux.. , Le corps du trigone con-
ar le bourrelet du corps calleux; 2° par la partie postérieure du
tronc
du corps calleux; 3° par le tronc du corps call
; 2° par la partie postérieure du tronc du corps calleux; 3° par le
tronc
du corps calleux dans le plan du noyau rouge et
du septum lucidum ou fibres perforantes de la par- tie moyenne du
tronc
du corps calleux. - il, lame névroglique intert
es existent aussi bien au niveau du bec et du genou qu'au niveau du
tronc
et du bourrelet du corps calleux. Arrivées à la
leux, les fibres perforantes du bourrelet et du liers postérieur du
tronc
du corps calleux (fp) (Fig. 259) se coudent, se
taire qui prolonge en avant la circonvolution godron- née. Sur le
tronc
, le genou et le bec du corps calleux, on les
irection radiée qui s'enfoncent à des profondeurs variables dans le
tronc
du corps calleux et qu'il faut se garder de con
sectionnées pa- rallèlement à leur direction, soit de fascicules du
tronc
du corps calleux qui s'infléchissent et changen
Les fibres perforantes du bourrelet et de la moitié postérieure du
tronc
du corps calleux leur sont encore homologues pa
le septum lucidum et les fibres perforantes de la partie moyenne du
tronc
du corps calleux. Au niveau du tiers antérieur de
bria; les secondes perforent le bourrelet et la partie adjacente du
tronc
du corps calleux. Il est renforcé en outre par
r et la corne frontale du ventricule latéral, le long de la queue, du
tronc
et de la tête du noyau caudal. Elles occupent l
en avant l'extrémité antérieure du thalamus et la partie moyenne du
tronc
du corps calleux. Il l'orme la paroi interne dn v
mamillaire. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr, ou plus exac- tement le
tronc
d'origine de ce faisceau (ou faisceau mamillaire
tré les recherches récentes de Cajal (1895) et Kolliker. (189G), le
tronc
commun du faisceau de la calotte et du faisceau d
et du faisceau de Vicq d'Azyr. Avec Kolliker., nous désignerons le
tronc
d'origine commune au faisceau de Vicq d'Azyr et
cq d'Azyr el le faisceau de la calotte de Gudden naissent donc d'un
tronc
commun et ne constituent pas, comme on le cro
au mamillaire principal. - 13, faisceau mamil- laire principal au
tronc
d'origine commun au faisceau de Vicq d'Azyr (V)
us et qu'il prend son origine dans le tuber- cule mamillaire par un
tronc
commun avec le faisceau de la calotte de Gudden
e direction; ses fibres divergent, traversent d'avant en arrière le
tronc
encéphalique en formant les fibres radiées de la
masse que subissent dans ces cas toute la moitié correspondante du
tronc
encé- phalique, la corne antérieure croisée de
'irradient suivant le plan sagittal, tandis que les fas- cicules du
tronc
s'irradient suivant le plan vertico-transversal,
le pied de la couronne rayonnante, les fascicules de la tête et du
tronc
du noyau caudé affectent l'aspect d'un pointill
capsule interne (Cia) (Fig. 19, p. 27, et Fg. 23, p. 33); celles du
tronc
, le segment postérieur de la capsule interne (C
.), bien que le putamen, la partie adjacente du globus pallidus, le
tronc
et la partie supérieure de la tête du noyau cau
93. - Dejerine et Long. Sur quelques dégénérescences secondaires du
tronc
encéphalique de l'homme étudiées par la méthode d
le noyau terminal du faisceau de Vicq d'Azyr. Ce faisceau nait d'un
tronc
commun avec le faisceau de la calotte de Gudden
Coupe sagittale-des ganglions de la base et de la partie adjacente du
tronc
encéphalique intéressant le noyau antérieur de
connexions du thalamus sont multiples et complexes. Siluée entre le
tronc
encéphalique et le cerveau antérieur, la couche o
ibres à la corticalité cérébrale, au corps strié, au cervelet et au
tronc
encéphalique , et qui est en connexion avec la pl
halamus assure les connexions de ce ganglion avec le cervelet et le
tronc
encéphalique. 1. Connexions de la couche optiqu
s-optique avec la calotte pédonculaire, ainsi que de la courbure du
tronc
encéphalique. On peut considérer à la région so
bres commissurales qui traversent le raphé dans toute la hauteur du
tronc
encéphalique; le plancher du ventricule moyen n'e
rébraux; comme pour le système des fibres commissurales du raphé du
tronc
encéphalique ou de la moelle épinière, il s'agi
- Dejerine et Long. Sur quelques dégénérescences secon- claires du
tronc
encéphalique de l'homme étudiées par la méthode d
que pri- mitive, et comprend le cervelet et la partie inférieure du
tronc
encéphalique , à savoir : le bulbe rachidien, l
sous le nom d'isthme postérieur (Fig. 337). Le cervelet embrasse le
tronc
encéphalique dans une sorte de profonde gouttiè
la gouttière basilaire sur laquelle repose la partie inférieure du
tronc
encéphalique. Chez l'homme, le cervelet se trou
autres que l'homme, grâce à la direction hori- zontale de l'axe du
tronc
encéphalique et au peu de développement des lob
eloppement des lobes occipitaux, le cervelet est situé au-dessus du
tronc
encéphalique et non en arrière de lui; sa face
. T. 1er, Fig. 3 et 4), c'est-à-dir( séparer le manteau cérébral du
tronc
encéphalique et des corps opto- striés par une
332, 333, 3 il) et une grande circonférence. Lorsqu'on le libère de
tronc
encéphalique, on voit qu'il présente en outre une
ôté les trois pédoncules cérébelleux et qu'on sépare le cervelet du
tronc
encéphalique, on constate qu'il pré- sente une
Ansgangspforte de Stilling). Si la coupe qui a isolé le cervelet du
tronc
encéphalique passe en arrière du trijumeau (côt
. Fin. 334. - Face antérieure et hile du cervelet après ablation du
tronc
encéphalique. La cavité du quatrième ventricule
s FiG. 318. - Face antérieure et hile du cervelet après ablation du
tronc
encéphalique. D'après la photographie d'une piè
à l'existence du raphé médian. Il existe en effet, même lorsque le
tronc
1. Pour les anciens anatomistes (\Yillis, Vieus
(colorés en rouge), vus par la face ventriculaire après ablation du
tronc
encéphalique, des pédoncules cérébelleux supéri
lors épaisse et pourrait à un examen superficiel être prise pour un
tronc
nerveux. Le plus souvent elle se comporte comme
au niveau du hile du cervelet (Fig. 318) et relient le cervelet au
tronc
encéphalique; les autres intrinsèques, sont remar
ntaire. Coupe oblique en, avant et en haut des couches optiques, du
tronc
encéphalique et du cervelet, sectionnant les pé
NATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les deux régions longitudinales du
tronc
encéphalique. Limites. l'otage antérieur. S
hropologie, Bd. Il, p. 259, 1899. II. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU
TRONC
ENCÉPHALIQUE Le tronc encéphalique comprend deu
259, 1899. II. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU TRONC ENCÉPHALIQUE Le
tronc
encéphalique comprend deux régions longitudinales
e la moelle épinière : c'est l'étage antérieur, basal ou ventral du
tronc
encépha- lique ; l'autre s'étend de la région s
e partie du bulbe rachidien : c'est l'étage postérieur ou dorsal du
tronc
encé- 1- pllalique, la région de la calotle.
UR OU VENTRAL DU TRO\C EKCËPHALIQUE L'étage antérieur ou ventral du
tronc
encéphalique est constitué : 1° Par un système
dal, Moelle épinière, IVe partie). 2. ÉTAGE POSTÉRIEUR OU DORSAL DU
TRONC
ENCÉPHALIQUE, RÉGION DE LA CALOTTE La région
riées; elles proviennent presque toutes des régions postérieures du
tronc
encéphalique, se portent transversalement en deda
à la formation réticulée un aspect qui varie selon les segments du
tronc
encéphalique, et qui est la caractéristique de ch
on 41(' ses noyau\ : 'al"lo suivant lc"ùllfél'f'lIh segments du
tronc
oncéplialique. La formation rétl- culée du
e oblique en bas et en avant, perpendiculaire à l'axe longitudinal du
tronc
encéphalique, passant par l'entre-croisement de
blique en avant et en bas, perpendiculaire il l'axe longitudinal du
tronc
encéphalique.' Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grande
largeur de la face antérieure de la calotte et s'étend du raphé au
tronc
du trijumeau (coupes, H4, H5, H6, Fig. 396, 405
e, petite et externe, comprise entre l'olive protubérantielle et le
tronc
du trijumeau, qui porte le nom de ruban de Reil
e pédoncule cérébelleux supérieur (l'cs), atteint la face latérale du
tronc
encéphalique et y forme cette couche de fibres
-D> ? ieamc et Long. Sur quelques dégénérescences secondaires du
tronc
encéphalique de l'homme étudiées par la méthode
t au plan sagittal médian, soit au plan horizontal et sectionner le
tronc
encéphalique plus ou moins perpendiculairement
les montrent les parties constituantes des diffé- rents segments du
tronc
encéphalique, les transformations qu'ils subis-
ple, qui intéresse le plan sagittal médian du cervelet, sectionne le
tronc
encéphalique un peu en dehors de la ligne média
appartient du reste et qui passe par la ligne sagittale médiane du
tronc
encéphalique. Pour ne pas faire double emploi ave
passant par la ligne sagillale médiane du vermis et sectionnant le
tronc
encéphalique en dehors du raphé, au niveau de l
lancher est verticale, épaisse, presque rectiligne et formée par le
tronc
encéphalique. La paroi postérieure, ou toit, es
slance blanche centrale (Sbc) qui porte encore de ce fait le nom de
tronc
commun de l'arbre de vie médian. La branche ver
ntiel du cervelet. - Sgc, Srlc', Spic", substance grise centrale du
tronc
encéphalique et de la partie supérieure de la moe
ur cette coupe la section des lames et lamelles de l'amygdale. Le
tronc
encéphalique de la coupe S 1 (Fig. 408) étant sec
Cette coupe permet de consta- ter très nettement la division du
tronc
encéphalique en étage anté- rieur, et en étage
es et le noyau du cordon de Goll. Coupe sagittale médiane SI bis du
tronc
encéphalique, passant par la ligne de repère
ternes (t'ai) du bulbe. Sur la coupe S 1 (Fig. 408), la division du
tronc
encéphalique en région anté- rieure et région p
ne du pédon- cule cérébelleux supérieur (Pcs) et Intéresse, dans le
tronc
encéphalique, la partie fermée de l'olive bulba
noyau du toit. L'olive bulbaire. La calotte et l'étage antérieur du
tronc
encéphalique. - Coupe sagittale S du vermis passa
ent sectionnées tangentiellement et parallèlement à leur direction.
Tronc
encéphalique. Étage ANTÉRIEUR. - Les connexions d
pénétration dans le cervelet. - Les étages antérieur et postérieur du
tronc
encé- phalique, l'olive bulbaire, le noyau du f
et le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs); elle intéresse dans le
tronc
encéphalique le noyau du nerf facial (Nvu) et l
la valvule de Tarin (VT) et sur la crête épen- dymaire du bulbe.
Tronc
encéphalique. Étage antérieur. - La coupe intéres
ANT LA RÉGION DE TRANSITION DU CERVELET ET LES PARTIES LATÉRALES DU
TRONC
ENCÉPHALIQUE (Coupes S4 et S5, Fig. 412 et 4L3)
t. La coupe S4 intéresse le noyau sphé- rique (Ngl) et sectionne le
tronc
encéphalique en dehors de la pyramide bulbaire,
a valvule de Tarin, le nid d'hirondelle. - Les parties latérales du
tronc
encéphalique. Coupe sagittale S 4, de la région d
fibres senzi-circu- laires internes (fsmi, coupe S 5, Fig. 413).
TRONC
ENCÉPHALIQUE.-Les coupes S4 et S5 passent en deho
ossette latérale du bulbe, de telle sorte que 1' étage antérieur du
tronc
encéphalique n'est représenté que par sa partie p
nuent directement avec le pédoncule cérébelleux inférieur (Pci). Le
tronc
encéphalique n'est intéressé sur ces coupes que d
UDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 612 avant, et sectionnent le
tronc
encéphalique dans la région protubéran- tielle,
r dans la région bulbaire, par rapport au grand axe longitudinal du
tronc
encéphalique. (Voy. re- pérage des coupes, Fig.
ans la série des coupes H qui montrent les éléments constitutifs du
tronc
encéphalique et leurs rapports réciproques, six
six coupes, Coupes C 1 C6 (Fig. 432 à 437) sectionnant à la fois le
tronc
encéphalique et le cervelet, et destinées à montr
cervelet, et destinées à montrer les connexions du cervelet avec le
tronc
encéphalique. Fig. 418. - Face latérale du tron
u cervelet avec le tronc encéphalique. Fig. 418. - Face latérale du
tronc
encéphalique avec lignes de repère indiquant le p
périeures du cervelet. L'étage antérieur et l'étaye postérieur du
tronc
encéphalique présentent sur cette coupe un aspe
blanche centrale des hémisphères cérébelleux. L'étage antérieur, du
tronc
encéphalique ne diffère de celui de la coupe pr
cendante du trijumeau (Vsd) dans son trajet longitudinal, étendu du
tronc
du trijumeau (Vs) à la partie supérieure de la
itive, et ainsi s'explique la surface de section semi-lunaire de ce
tronc
nerveux. La comparaison de cette coupe avec la co
EUX qui apparaît encore avec sa surface de section en croissant; le
tronc
du triju- meau (V) est sectionné dans toute sa
avant de l'olive supérieure ou protubérantielle (Os), en arrière du
tronc
du trijumeau (V), s'infléchit en arrière et ent
irecte, cérébelleuse, du trijumeau se rendant directe- ment dans le
tronc
de ce nerf. Il est probable qu'il s'agit ici d'un
de la subslance blanche, les connexions de cette substance avec le
tronc
encéphalique, la formation des pédoncules céréb
ont obliques en bas et en avant et perpendiculaires au grand axe du
tronc
encéphalique. mg. 432. - Le cervelet; ses fibre
is, à droite, le pédoncule cérébelleux inférieur, incorporé dans le
tronc
encéphalique et complètement séparé de la substan
rière ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 657 Fig. 438. - Le
tronc
encéphalique dans la région bulbo-protubérantiell
-protubéranliel (bp), dans l'espace compris entre la pyramide et le
tronc
du nerf facial (VIII); il en résulte qu'à ce ni
érieur. Le stratum superficiale du pont (FPoa) est traversé par les
troncs
des nerfs moteur oculaire externe (VI), et faci
rosse racine sensitive descendante du trijumeau (Vsd) et croiser le
tronc
du nerf vestibulaire (VIIIv). Elles proviennent
du flocculus (PFloc) et qui paraît subdivisé en deux parties par le
tronc
du nerf cochléaire (Ville). En réalité, ces deux
re du corps restiforme (Crst), le noyau latéral du bulbe (net), les
troncs
radiculaires des nerfs vague (X) et hypoglosse
téristique d'une lésion du sympathique cervical située soit dans le
tronc
du nerf, soit à son origine dans la moelle ou d
à une lésion artérielle. Tel autre malade se plaint de douleurs au
tronc
en des points fixes, très violentes, extrêmemen
du genou sont extrêmement vives, la raideur s'étend aux muscles du
tronc
et la malade ne peut même pas se mettre sur son
troces et à de la scoliose. (1) Sur une déformation particulière du
tronc
causée par la sciatique, par J. Babinski (Archive
crise de paralysie, qui occupe généralement les quatre membres, le
tronc
et le cou, il y a simultanément abolition de la
du pied, elle gagne la jambe, la cuisse et souvent elle envahit le
tronc
. En outre, il est à remarquer que le plus ordin
ns certaines attitudes, l'excitation des téguments de la cuisse ou du
tronc
, au lieu d'un mou- vement de flexion, peut déte
ue je constate : . Le membre supérieur gauche est plus rapproché du
tronc
que le membre supérieur droit et la main gauche
vec une certaine brusque- rie, les membres supérieurs s'écartent du
tronc
; mais du côté gauche le mouvement est bien plu
ate ceci : du côté sain le membre supérieur vient heurter contre le
tronc
, rebondit une fois ou deux, puis reste immobile ;
la marche, par exemple, les mouvements des membres inférieurs et du
tronc
constituent les mouvements essentiels ; on doit
izontale. Dans cet acte, la flexion du bassin sur les cuisses et du
tronc
sur le bassin constitue le mouvement principal et
roubles de motilité qu'on peut observer dans les membres et dans le
tronc
et qui sont propres à nous conduire au but que
is sur son séant, les bras toujours croisés sur la poitrine, porte le
tronc
en arrière pour reprendre la position primitive
rganique un an après son début. Flexion combinée de la cuisse et du
tronc
à gauche. ion SÉMIOLOGIE lyser l'acte qui con
la cuisse, dans l'acte en question, doive entraver l'inclinaison du
tronc
en avant et entrainer une flexion de la cuisse
désigné sous la dénomination de flexion combinée de la. cuisse et du
tronc
qui exprime simplement et avec précision le mou
, le sujet se borne à faire contracter les muscles qui inclinent le
tronc
en arrière. S'il en était ainsi, la partie supéri
t le tronc en arrière. S'il en était ainsi, la partie supérieure du
tronc
, entraînée par la pesanteur, viendrait buter brut
esanteur, viendrait buter brutalement contre le sol. L'extension du
tronc
doit être modérée par la contraction des flé- c
ue j'ai observé le mouvement de flexion combinée de la cuisse et du
tronc
dans plusieurs cas de sciatique où les muscles ex
qui nous occupe, le mouvement de flexion combiné de la cuisse et du
tronc
ne peut être considéré comme patholo- gique que
e de l'autre. Le mouvement de flexion combinée de la cuisse et du
tronc
implique naturellement que les membres qui l'ex
de l'action limitée à un côté du corps des muscles qui inclinent le
tronc
en avant. Dans l'hémiplégie hystérique, le phén
t sur son séant comme un sujet normal, ou enfin il fait exécuter au
tronc
et aux membres des mouvements divers bien diffé
bien différents du mouvement de flexion combinée de la cuisse et du
tronc
. L'état des réflexes tendineux et des réflexes
ial qui a été décrit magistra- lement par Todd : le malade porte le
tronc
sur le côté opposé à la para- lysie et il fait
e la bouche, ainsi qu'une forte flexion de la tête et du cou sur le
tronc
sont des actes dans lesquels les peau- ciers du
ai dit que le phénomène de « la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
» de l'hémiplégie organique n'appartient pas à la
e de deux ordres de mouvements, l'un conscient, c'est la flexion du
tronc
et du bassin sur la cuisse, l'autre subconscient,
rquoi sans doute le signe de la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
manque dans l'hémiplégie hystérique. Néanmoins
signe du peaucier, l'autre la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
. Hémiplégie hystérique. i° La paralysie n'est
er, ainsi que l'absence de la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
. If0 SÉMIOLOGIE Hémiplégie organique. (Su
de la paralysie faciale dite périphérique avec DR. La paralysie des
troncs
nerveux et la DR étant étrangères à la symptoma
les suivent à très court intervalle. Enfin, les muscles profonds du
tronc
, ceux qui sont en partie volontaires, comme le
bres ; il est certain cependant que les contractions des muscles du
tronc
que nous avons envisagées sont du même ordre, et
quer beaucoup plus facilement sur les membres inférieurs que sur le
tronc
et que parfois le domaine de la surréflectivité n
e de la surréflectivité envahit une partie plus ou moins étendue du
tronc
, à moins que d'autres symptômes ne permettent d
lle s'étend même à la cuisse et à une partie plus ou moins vaste du
tronc
; nous reviendrons ultérieurement sur ce point.
quer beaucoup plus facilement sur les membres inférieurs que sur le
tronc
et que parfois le domaine de la surréflectivité n
s où la surréflectivité envahit une partie plus ou moins étendue du
tronc
, à moins que d'autres symptômes ne permettent d
les suivent à très court intervalle. Enfin, les muscles profonds du
tronc
, ceux qui sont en partie volontaires, comme le
hésie à dissociation syringomyélique qui remonte jusqu'à D 2 sur le
tronc
et peut se poursuivre en D 2-D 1 sur la face inte
ez forts, et une anesthésie qui occupe les membres inférieurs et le
tronc
jusqu'au-dessus de la ligne mammaire. Quand on
ne dilatation de l'aorte ascendante, se présentant sous la forme d'un
tronc
de cône dont la base se confond avec la base du
e étant debout cherche à porter la tête en arrière et à incliner le
tronc
dans le même sens, en forme d'arc, les membres
estent presque immobiles et il tombe avant d'avoir fait attendre au
tronc
le degré de courbure qu'on peut obtenir à l'éta
te aussi un défaut dans la fonction d'association des mouvements du
tronc
et des membres inférieurs. En effet, dans l'acte
supérieure du corps ne concourt pas au mouvement de translation, le
tronc
reste étendu sur le bassin ; il est même un peu
l faut donc que les aides impri- ment à la partie supérieure de son
tronc
une légère impulsion en avant, ou bien qu'un se
r son corps en avant. , Donc, à chaque tentative de déambulation le
tronc
reste inerte tandis que les membres inférieurs
t immobile, on l'invite à porter la tête en arrière et à courber le
tronc
dans le même sens en forme d'arc. On observe al
ce phé- nomène du mouvement de flexion combinée de la cuisse et du
tronc
tyli SEMIOLOGIE décrit par nous dans l'hémipl
tribuée à une paralysie des muscles qui dans la marche impriment au
tronc
une propulsion, puisque la force musculaire est
d on considère l'attitude spéciale du malade cherchant à courber le
tronc
en arrière. Cette épreuve est en effet comme le
e la cuisse dans l'acte en question doive entraver l'inclination du
tronc
en avant et entraîner une flexion de la cuisse
t d'extension de la cuisse sur le bassin au mouvement de flexion du
tronc
. C'est donc encore l'asynergie qui est en jeu.
r la localisation de l'ataxie : elle porte en première ligne sur le
tronc
, et l'on examine la sensibilité, en particulier
membres seulement ; 2" par la combinaison des troubles ataxiques du
tronc
avec les troubles d'orientation spatiale ; et 3"
e sont pas péremptoires. En admettant que, chez les cérébelleux, le
tronc
ne soit pas d'habitude, au point de vue de la s
u- lève les membres pour prendre cette attitude, ses membres et son
tronc
exécutent pour commencer de grandes oscillation
oubles pro- voqués par la destruction du labyrinthe (incurvation du
tronc
, instabilité, mouvement de manège), l'animal s'
temps, provoque souvent une rotation de la tête et parfois aussi du
tronc
. La région qui me semble la plus excitable est
corps. Les mouvements d'inclination et de rotation de la tête et du
tronc
qu'on peut obtenir par différents excitants : l
ts et 3o milliampères, P. F. C. est très nette. L'électrisation des
troncs
des nerfs médian, cubital et radial ne provoque a
côté droit. L'excitabilité faradique et l'excitabilité voltaïque du
tronc
du nerf facial sont abolies. L'excitabilité farad
employer 3 milliampères pour obtenir une contraction en excitant le
tronc
du facial, et de 3 milliampères à Il milliampères
res et demi si on excitait les muscles, alors que du côté malade le
tronc
du facial, tous les muscles innervés par le facia
. Du côté sain il faut, pour obtenir une contraction en excitant le
tronc
du facial, utiliser T divisions de la bobine et
agit plus que le côté sain, surtout quand on porte le tampon sur le
tronc
du facial et sur la branche moyenne au niveau de
iphérique, dépendant d'une altération du noyau du nerf facial ou du
tronc
qui émane. Si donc cette particularité faisait
p- table que dans l'observation II, où la lésion occupe sûrement le
tronc
même du facial dans sa portion intra-auriculair
° i sont placées l'une à l'extrémité du membre à examiner, l'autre au
tronc
. Deux tampons reliés soit à une autre batterie
scoliose dorsale supérieure, à convexité gauche et il inclinait le
tronc
vers la droite. Il fut examiné à cette époque par
ntage et le membre supérieur gauche tend à se tourner en dedans. Le
tronc
est incliné en haut et à droite. La déviation d
est en légère abduction l'avant-bras en demi-flexion (1) le long du
tronc
, la main, à demi fléchie, regarde la cuisse par s
<M'i9K). 1. 1 z VI I DE LA FLEXION COMBINÉE DE LA CUISSE ET DU
TRONC
DANS LA CHORÉE DE SYDENHAM .1. Babinski] Pu
nts de chorée ) de Sydenham, la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
. Je l'ai constatée dans certains cas où la chor
ôtés. Il en est de môme des mouvements de flexion et d'extension du
tronc
sur le bassin. La contractilité électrique des
du tronc sur le bassin. La contractilité électrique des muscles du
tronc
est normale, sauf en ce qui concerne le trapèze
Lorsque le malade cherche à porter la tête en arrière et à courber le
tronc
dans le même sens en forme d'arc, les membres i
BSERVATION PRINCEPS 2 8 j arrière avant d'avoir fait atteindre au
tronc
le degré de courbure qu'un sujet sain peut obte
ion debout, cherchant à porter la tête en arrière et à courber le
tronc
dans le même sens en forme d'arc. Fig. t5. At
tion debout, cherchant il porter la tète en arrière et à courber le
tronc
dans le même sens en forme d'arc. Fig. 16. At
aque côté du sujet, se contentent de soutenir la partie supérieure du
tronc
sans lui imprimer de propulsion, dès le premier
malade est arrêté, le pied en effet se trouve porté en avant et le
tronc
étendu sur le bassin ne suit pas le mouve- ment
e aux membres inférieur et supérieur gauches, à la partie gauche du
tronc
et du cou. A la face du côté gauche la sensibil
état ne s'est guère modifié depuis, est doué aux membres et dans le
tronc
d'une force mus- culaire normale, que son sens
rite (fig. Il). Pendant l'exécution du mouvement, les membres et le
tronc
oscil- lent dans tous les sens d'une manière dé
state à droite « le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du
tronc
». Les mouvements des membres supérieurs sont acc
nférieur, au bras, à l'avant-bras droits et sur la moitié droite du
tronc
l'application d'un morceau de glace éveille une v
jets par le pincement de la peau des jambes, des cuisses et même du
tronc
, par l'application d'un corps froid sur ces rég
les membres inférieurs ainsi qu'une partie plus ou moins étendue du
tronc
, suivant la hauteur de la lésion. D'après les f
y a près de trois ans, douleurs qualifiées de rhumatismales dans le
tronc
et dans les membres. Depuis, quelques indisposi
tés sur d'autres observations, tendraient à faire penser que sur le
tronc
, à côté de la dis- tribution habituellement un
peine et grande raideur les mouvements de flexion de la cuisse sur le
tronc
et de la jambe sur la cuisse ; il étend au cont
onsistent. ' En excitant les téguments des membres inférieurs ou du
tronc
par l'application d'un corps froid ou d'un corp
ie, suivant les cas. Or, la hauteur jusqu'à laquelle s'élève sur le
tronc
ce territoire permet de reconnaitre la limite inf
On constate une anesthésie des membres inférieurs et de la portion du
tronc
correspondant au territoire des XIIe. racines d
ilité, les douleurs dont se plaint la malade dans les membres et le
tronc
; elles varient d'intensité et de caractère sui
gère hypoesthésie à la douleur au niveau de la partie supérieure du
tronc
dans la région mammaire et à la face interne de
plication des différents excitants sur les membres inférieurs et le
tronc
des réflexes de défense qui consistent comme d'ha
possible de les faire apparaître par l'excitation des téguments du
tronc
jusqu'au-dessus de la ligne mamelonnaire. En ex
réflexes de défense non seulement sur les membres inférieurs et le
tronc
, mais encore au niveau des membres supérieurs dan
Rd. s. dont la limite supérieure est en X'. bres inférieurs et le
tronc
, il y avait lieu d'admettre que la compression de
rapide des escarres, anesthésie complète dans une grande partie du
tronc
sous-jacente à la lésion) permettent de suppose
es inférieurs (sauf la plante des pieds) et la partie inférieure du
tronc
, jusqu'à une limite passant à IOlt centimètres au
anesthésie presque totale aux membres inférieurs et sur une partie du
tronc
; elle s'atténue à la partie supérieure et l'hyp
une sensation de raideur, de constriction à la partie inférieure du
tronc
, qui était fort pénible, et que de ce fait l'opér
sibilité profonde; elle occupe le membre inférieur et une partie du
tronc
jusqu'à la frontière entre les 8e et ge segment
sise, elle ressent comme un spasme dans la région lom- baire et son
tronc
se renverse en arrière. Ces divers troubles con
membres inférieurs ; ces réflexes peuvent encore être provoqués au
tronc
jusqu'à une frontière constituée par une ligne à
d'après ce qu'elle nous a dit, occupaient les membres inférieurs, le
tronc
et remontaient jusqu'au-dessus de la ligne mame
l, servant d'excitant, était promené sur les différentes parties du
tronc
préalablement mouillées. On pouvait obtenir ainsi
ension de la jambe et de la cuisse et provoquée par l'excitation du
tronc
jusqu'à la limite indiquée dans le texte. Fig.
essentiel de la déformation décrite consiste en une inclinaison du
tronc
du côté opposé à la sciatique, sans soulève- me
il a observé aussi dans la sciatique, « scoliose homologue », où le
tronc
est incliné du côté malade. L'abolition du réfl
orme infantile de Duchenne, la participation de certains muscles du
tronc
qui sont en même temps des muscles extrinsèques
ontale et quand il exécute ce mouvement les omoplates se détachent du
tronc
; il y a de l'atrophie des deltoïdes. Les muscle
orteil et signe de l'éventail), le mouvement combiné de flexion du
tronc
et du bassin, le signe du peaucier, l'hypotonic
psy- chiques que ceux qui sont liés aux lésions des centres ou des
troncs
nerveux. Aucun des caractères signalés dans l'o
s au traumatisme et indépendants de toute lésion des centres ou des
troncs
nerveux. Si exacte que soit la notion de l'hyst
e manière approximative celle des anesthésies liées aux lésions des
troncs
nerveux. , ". , ' .. 1 ? ? L'HYSTÉRIE PENDANT L
du système nerveux central ou périphérique et aux lésions des gros
troncs
vasculaires. Ils se rapprochent par certains trai
la sensibilité (anesthésie, névralgies, douleurs à la pression des
troncs
nerveux), les troubles vaso-moteurs et thermiqu
ces lésions ne semblent pas avoir causé de dégâts notables, que les
troncs
nerveux et les artères n'ont pas été atteints. »
concernant des troubles nerveux purs ou associés à des lésions des
troncs
nerveux ou à des lésions artérielles ainsi que
ecousses. On peut observer encore une surexcitabilité mécanique des
troncs
ne ? veux('). La percussion du nerf cubital dan
t soit spontanées soit provoquées par la pression sur le trajet des
troncs
nerveux. Vulpian les avait déjà signalées, elles
troubles physiopathiques se trou- vaient associés à une lésion d'un
tronc
nerveux et ceux où pouvait être soupçonné quelq
ras par projectile qui n'a, d'ailleurs, déterminé aucune lésion des
troncs
nerveux et vasculaires, est atteint d'une monoplé
ation réllexo- organique, rien n'autorise à admettre une lésion des
troncs
nerveux. Quant aux artères, les examens sphygmo
deux côtés. Troubles de la sensibilité cutanée : dans la partie du
tronc
située au-dessous de l'ombilic et aux membres i
s violentes ; elles sont exagérées par la marche, les mouvements du
tronc
. Un médecin, consulté à cette époque, attribua à
n peu affaiblie aux membres inférieurs et à la partie inférieure du
tronc
; mais, à d'autres moments, elle paraît nor- ma
férents modes à peu près complète. Cette anesthésie occupe aussi le
tronc
jusqu'à Dg. Dans le territoire de D8, hypo- est
ermoasymétrie; les troubles de motilité envahissent ensuite tout le
tronc
, ainsi que le côté droit du corps et s'accompag
près leur début, on constate une contracture généralisée au cou, au
tronc
et aux quatre membres, rendant le malade absolu
en partie celui du membre supérieur gauche; il remue la tête et le
tronc
avec assez d'aisance, il est capable de franchi
ouver de très vives douleurs sur le trajet des deux sciatiques, son
tronc
était fléchi et sa colonne vertébrale rigide, les
s aux arti- culations coxo-fémorales subsistent, mais la flexion du
tronc
est beaucoup moins prononcée ; les douleurs sur
un accident d'automobile, d'une contracture généralisée au cou, au
tronc
, ainsi qu'aux quatre membres, et due vraisembla
rogrès ont été rapides. Depuis deux mois, la contracture du cou, du
tronc
et du côté droit du corps a complètement dispar
e constamment étendue sur le dos, incapable qu'elle est de tourner le
tronc
d'un côté ou de l'autre, ou de se mettre sur so
ou de l'autre, ou de se mettre sur son séant. La partie supérieure du
tronc
, les (') Voir : Rivista critica di clinica medi
de très vives douleurs sur le trajet des deux nerfs sciatiques. Son
tronc
était flé- chi et sa colonne vertébrale rigide
iété ana- tomique, 1887). 20. Sur une déformation particulière du
tronc
causée par la sciatique (Archives de Neurologie
tème pyramidal (Id.). n5. De la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
dans la chorée de Sydenham (Id.). 116. De la
igo8). rLt8. Instabilité hystérique (pithiatique) des membres et du
tronc
(Id., 5 mai 1908). 1119. Spondylose et douleurs
colis spasmodique 270 VI. De la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
dans la chorée de Sydenham... 274 VU. Kinésie p
rt à demi nue, les cheveux au vent, la tête renversée, balançant le
tronc
en avant et en arrière, sautant d'un pied sur l'a
ture osseuse résistante par l'intermédiaire de laquelle le poids du
tronc
avec la tète et les bras se transmet aux membre
ns le relâchement; de même pour les muscles fessiers, extenseurs du
tronc
sur les cuisses, de même aussi pour les masses
sses, de même aussi pour les masses sacro-lombaires qui étendent le
tronc
. Force est bien alors de faire intervenir la th
es, dans la station droite, n'ont rien il sup- porter. Station du
tronc
sur les cuisses. C'est par l'intermédiaire des
C'est par l'intermédiaire des deux seules cavités cotyloïdes que le
tronc
tout entier, en y comprenant le poids de la tèt
deux articulations coxo-fémorales, que passe la ligne de gravité du
tronc
, et que c'est en avant qu'il nous faut chercher l
scle tenseur du l'acia lata est manifestement tendu. L'équilibre du
tronc
sur les cuisses est ainsi assuré, comme je l'ai
ssance en arrière au point d'appli- cation du centre de gravité du-
tronc
et la résistance en avant représentée par les l
icale passe exactement par la ligne médiane de la tète, du cou etdu
tronc
, puis descend entre les deux membres inférieurs
s hanches au centre des épaules peut être considérée comme l'axe du
tronc
(EU). Du centre des hanches au centre de l'arti
e qui est vertical l'axe du cou se dirige en arrière, puis l'axe du
tronc
se porte en avant, et enfin l'axe des membres i
é peut rencontrer cette base en divers points de telle sorte que le
tronc
peut incliner en tous sens d'une certaine quant
écartés l'un de l'autre, la base de sustentation est élargie et le
tronc
peut subir des déplacements beaucoup plus étendus
de sustentation. Si la charge est portée en arrière sur le dos, le
tronc
se penche en avant pour contrebalancer le poids
talement tendus en avant, le corps prend une atti- tude opposée. Le
tronc
se renverse en arrière pour faire équilibre. L'
ntage le centre de gravité de ce côté. En résumé, le déplacement du
tronc
d'un côté ou de l'autre est d'autant plus accus
ons invoqué pour la station verticale droite. La lignede gravité du
tronc
passe en arrière de l'articulation coxo-fémoral
fessier, et en arrière le faisceau supérieur du grand fessier. Le
tronc
tout entier sous peine de chute latérale ne saura
de l'axe des épaules au milieu de l'axe des hanches forme l'axe du
tronc
. L'axe du membre inférieur a été tracé de la li
ion ce qui s'explique par la nécessité de maintenir la rectitude du
tronc
en- traîné par le poids de la jambe portée en a
. la fesse est large, distendue et aplatie. Dans la flexion légère du
tronc
en avant, on voit les deux fesses se contracter
s inférieurs n'entrent pour ainsi dire pas en ligne de compte et le
tronc
porte directement sur le plan résistant, DE LA
bure des reins disparait. Les cuisses fléchies à angle droit sur le
tronc
reposent par leur face infé- rieure dans une ét
avité dépassant facilement la base de sustentation ne permet pas au
tronc
de se déplacer beaucoup en ce sens. Cependant l
ermet pas au tronc de se déplacer beaucoup en ce sens. Cependant le
tronc
peut s'incliner d'une quantité assez notable en
lonné des plis transversaux qui se produisent lors de la flexion du
tronc
en avant. La colonne lombaire se redresse et se
ie dans tout le membre et sur la moi- tié latérale et inférieure du
tronc
du même côté, jusqu'à la fosse iliaque en avant
s ces segments étant mobiles les uns sur les autres, la tête sur le
tronc
, le tronc sur les cuisses, les cuisses sur les
ents étant mobiles les uns sur les autres, la tête sur le tronc, le
tronc
sur les cuisses, les cuisses sur les jambes, et
extension. Examinons maintenant ce qui se passe dans la station du
tronc
sur les cuisses. Nous avons vu que les puissa
te, et qu'il ne prend son aspect réniforme de contraction que si le
tronc
vient il s'incliner en avant. L'équilibre est m
r nous résumer, inutilité de l'action musculaire pour la station dû
tronc
sur les cuisses et des cuisses sur les genoux, pu
ques d'une manière générale. Quelles que soient les déformations du
tronc
dépendant soit de la ré- traction musculaire, s
he de chacun de nous son caractère particulier. Les uns marchent le
tronc
raide et immobile, les autres exagèrent l'inclina
int que je veux surtout insister. Fig. 16. Inclinaisons opposées du
tronc
et du bassin pendant la marche : D, G, chez un
s du côté de la jamhe oscil- lante ; 2° une inclinaison latérale du
tronc
dans son entier qui se trouve en même temps rej
mowe- ment anormal du bassin. C'est une action de compensation : le
tronc
ne pourrait suivre l'inclinaison verticale du b
ver que toute la musculature soit atteinte. L'attitude, la forme du
tronc
et des extrémités résultant de celte maladie de
lettres, U et 0 parmi les voyelles. G, J, X parmi les consonnes.
Tronc
. - L'épaule gauche de Pauline L... est un peu plu
(Voy. Fig. 49 et 50). On peut donc déjà présumer que les muscles du
tronc
sont atteints. Ils ont dû. l'être, nous l'avons
ente la démarche en canard typique avec balan- cement alternatif du
tronc
des deux côtés à chaque pas. Le tronc s'incline d
c balan- cement alternatif du tronc des deux côtés à chaque pas. Le
tronc
s'incline du côté du membre inférieur qui suppo
t remarquer M. Paul nicher/contribue à augmenter le renversement du
tronc
en arrière, ces deux inclinaisons en -sens contra
l'implantation des cheveux qui avancent sur le front. Nerf facial (
tronc
dans l'oreille externe) : à 95 C. surtout dans le
ctilité électrique. I. - Membres supérieurs. Ceinture scapulaire.
Tronc
1. Courants faradiques. (Exploration faite av
rand dentelé. Aussi les omoplates sont-elles fortement détachées du
tronc
, même au repos, les avant-bras reposant sur les
, sans atteindre l'horizontale, car les bras ne s'écartent guère du
tronc
au delà d'un angle de 4S., les déformations précé
le, les angles inférieurs restant toutefois fortement déta- chés du
tronc
). Angulaire DE l'omoplate : C. m. il 75nim. S
; Sourcilier : 92 ; Pyramidal : 90 ; Masséler : 100. Nerf facial (
tronc
dans l'oreille externe) : C. m. entre 75 et 80 :
par prendre appui sur ses genoux avec les mains, puis il incline le
tronc
en avant en se soulevant légèrement (Fig. 51).
sur la fesse gauche. Enfin dans un troisième temps, il redresse le
tronc
et la tête et vient placer sa main droite sur l
d un appui sur le sol avec ses coudes et réussit ainsi à fléchir le
tronc
. Arrivé alors à s'asseoir, il appuie ses mains su
ions probablement indépendantes de toute lésion de la moelle ou des
troncs
nerveux. 1° Paralysie pseudo-hypertrophique,
la malade est confiée actuellement, m'informe que les douleurs des
troncs
nerveux et des muscles ont disparu. La circonfé
actions électriques. A l'âge de 20 uns environ, ont apparu dans les
troncs
nerveux des dou- leurs qui on disparu depuis.
'entrée à l'hôpital et les douleurs à la pression sur le trajet des
troncs
nerveux ob- servées à 21 ans, sont, à n'en pas
que tardivement ; mais je ne puis pas affirmer positivement que les
troncs
nerveux n'étaient pas sensibles au moment de l'
nférieurs pen- dant do longues années : elles ont toujours respecté
tronc
(exception faite pour une plaque constrictive d
ie complète dans les deux pieds. Dans les jambes, les cuisses et le
tronc
jusqu'à la région mammaire, les sensations tact
celle région. Certaines régions ont été épargnées : la ceinture, le
tronc
, le cou, la face et même les membres supérieurs
. La sensibilité cutanée est normale sur toute la surface du corps,
tronc
, face et membres ; la région lombaire pré- sent
s et fut soigné par Chassaignac. A la même époque, le côté droit du
tronc
devint proéminent. La tuméfaction de la jambe d
niveau de la jambe gauche, et non pour anomalie de conformation du
tronc
. A 24 ans, pneumonie avec accidents cérébraux.
On ne remarque pas d'atrophie visible des muscles des membres et du
tronc
, sauf au niveau de l'hypothénar droit qui est apl
masses lombaires paraissent normaux ; les mouve- ments latéraux du
tronc
s'exécutent bien : le malade peut soulever un poi
tit doigt droit. , . " Cypho-scoliose. Il existe une déformation du
tronc
avec gibbosité droite et postérieure ; la défor
et redresser la courbure dorsale ; dans les mouvements latéraux du
tronc
le malade déploie une force suffisante; ces mou
s vu que lesmuscles du dos sont intacts, le malade peut incliner le
tronc
latéralement et résiste fortement au redressement
t le môme, celle différence près, que les bras retombent le long du
tronc
, réellement fatigués, mais sans la sensation de
ndraxe, pas plus dans les maladies de la moelle que dans celles des
troncs
nerveux. Même si l'on fait abstraction de la sclé
ournit la rangée de ganglions neuraux, qui sont les spinaux dans le
tronc
et d'après Houssay s'efface- raient dans le seg
- mentseront représentés, même virtuellement, le ganglion spinal du
tronc
, le ganglion latéral crânien, les rameaux supra
d'autre part le sens des attitudes segmentaires du reste du corps,
tronc
et membres, que l'on a souvent appelé sens musc
retrouvé (Erlitzki (1) des fibres de Remak dans certains points du
tronc
labyrintique. Ce que nous chercherons à meltr
es terminales des crêtes, membrane (1) EnLlTzKI, De la structure du
tronc
du nerf auditif. Arch. de neurologie, 1882, no 7.
un épendyme. La gaine lamelleuse des faisceaux qui constituent le
tronc
du nerf laby- rinthique les abandonne au niveau
Huschke. La capsule endothéliale sous-arachnoïdienne accompagne le
tronc
dans le conduit, passe avec lui dans le labyrin
s'enfonce sous l'ectoderme, comme les ganglions spinaux. Dans le
tronc
ses homologues deviennent ganglions spinaux des r
ts bi- polaires. Ceux du ganglion de Scarpa sont disséminés dans le
tronc
vesti- bulairependant toute l'étendue du condui
sque immédiatement sous le bile spiral. Une coupe transversale du
tronc
labyrinthique dans le conduit nous montre deux
ransversale du tronc labyrinthique dans le conduit nous montre deux
troncs
isolés par une cloison conjonctive. L'un, formé d
hléaire est donc placé en bas et en avant. Au-dessus d'eux passe le
tronc
du facial, épais et dur; sous le facial se trou
e variable de fibres émanées d'éléments en îlots disséminés dans le
tronc
vestibulaire et décrits par Erlilzky. On trouve
ns le tronc vestibulaire et décrits par Erlilzky. On trouve dans le
tronc
vestibulaire des fibres de Remak qui sem- blent
estibulaire des fibres de Remak qui sem- blent faire défaut dans le
tronc
cochléaire. Chez l'homme, le nerf cochléaire ne
ents cellulai- res; mais chez la souris et le chat, par exemple, le
tronc
cochléaire sort d'un prolongement bulbaire, for
es racines postérieures de la moelle, forment à leur entrée dans le
tronc
bulbo-protubérantiel deux faisceaux distincts et
noyau interne. Il jette un grand nombre de pro- longements dans le
tronc
du corps restiforme dans la direction du cervelet
titude céphalique (f. vestibulaires) et d'attitudes segmentaires du
tronc
et des membres (f. médullaires), indispensables i
(différents temps de la), 44, 45. Marche (inclinaisons opposées du
tronc
et du bassin chez l'homme sain et chez le myo
9. Station de la tête sur la colonne vertébrale, 18. Station du
tronc
sur les cuisses, 19. Station des cuisses sur le
est apparemment moins long '- que le gauche, et la malade boite, le
tronc
s'élevant en quelque sorte lors- qu'elle s'appu
raissait nettement dessinée, ainsi que la tibiale postérieure et le
tronc
tibio-péronier ; le malade de Medea et de Fano
que cervical (phénomènes oculo-pupillaires, etc.). Si on examine le
tronc
, vu de face, on constate que le thorax est fortem
liaque. - Les membres supérieurs semblent trop longs par rapport au
tronc
ce qui tient aux déformations du thorax et de l
rçoit aucune con- traction du trapèze. Tous les autres muscles du
tronc
, de l'abdomen et des membres inférieurs n'offre
Comme le dit Dejerine, c'est 1'ttltirnui2z morierls des muscles du
tronc
et du cou et il est intéressant de voir dans ces
ues aux membres inférieurs et aux muscles du cou, de l'épaule et du
tronc
. Convient-il de garder, ou non, ce mot de cramp
ces différents cas, étai t marquée, soitpardes douleurs le long du
tronc
nerveux, soit par des anesthésies dans le territo
s'étendent même aux membres supérieurs et à la partie supérieure du
tronc
. Le front se plisse, les joues se creusent,les
(sterno-cléido-mastoïdiens et pauciers), de la partie supérieure du
tronc
(pectoraux, trapèze, bras et épaules), et des m
ment. Les spasmes des muscles' du cou et de la partie supérieure du
tronc
sont très rares ; nous ne retrouvons que deux o
actions de l'hémi-face gauche, du cou et de la partie supérieure du
tronc
. Le point intéressant à éclaircir est celui de
ace et du cou immobilisés, puis sur ceux de la partie supérieure du
tronc
. Le malade n'émet que des sons inintelligibles
'enfance et l'adolescence, la disproportion dans l'accroissement du
tronc
et de la tête vis-à-vis des extrémités se maintin
sique d'achondroplasique adulte : la tête énorme, le nez camard, le
tronc
robuste ayant les proportions de celui d'un adult
u côté du Ve nerf. Il n'y a pas d'hyperexcitabilité mécani- que des
troncs
nerveux. La face en général n'est pas très petite
t proéminente. La glande thyroïde n'est pas facilement palpable. Le
tronc
est très bien développé et robuste. Le thorax a l
des parois thoraciques et regardent en dedans. Tous les muscles du
tronc
sont très forts et toniques. Les poils sont rares
position du soldat sans armes les bras restent nettement écartés du
tronc
et les sommets des doigts atteignent à peine le g
ont pour effet une attitude anormale des membres pendant le long du
tronc
; nous voyons en effet que les avant-bras sont en
adaptation des surfaces articulaires. Les masses musculaires et les
troncs
nerveux sont indolents à la pression. Les réfle
re nain, comme chez tous les achondroplasiques, les dimen- sions du
tronc
sont presque normales ; nous voyons, en effet, qu
contraire, la distance n'est que de 43 centi- mètres seulement* Le
tronc
de notre nain présente, en outre, d'autres xxii
nt des mouvements convulsifs des muscles de la face, de la tête, du
tronc
ou des membres, complètement étrangers à l'arti
niveau des doigts et de la main, remonter au bras le long des gros
troncs
nerveux, irradier à l'épaule ; dans quelques ca
ras droit, dans l'extension, raide, formant un angle de 43° avec le
tronc
, porte la plume vers le papier d'un geste malad
ur droit. Il n'existe aucun mouvement choréique ni à la face, ni au
tronc
, ni aux membres inférieurs. Se basant sur ce fait
st déta- chée du thorax.Les mouvements d'extension et de flexion du
tronc
sont presque impossibles. Il n'y a pas d'atroph
es mains sur la tête assez facilement. La flexion et l'extension du
tronc
sur le bassin sont très compromis ; le malade peu
d pectoral et le deltoïde. L'épaule cependant n'est pas détachée du
tronc
; l'avant-bras est mieux conservé, la main ne p
embres inférieurs, le malade balance latéralement les hanches et le
tronc
en rejetant les bras en arrière d'un air préten
'à ce qu'il abandonne tout contact avec le siège, puis il relève le
tronc
en grimpant de ses mains le long des jambes.
viculaire est net, les pectoraux assez bien dessinés. L'ensemble du
tronc
et du thorax est déformé de haut en bas, d'avant
d'avant en arrière, latérale- ment. De haut en bas et en avant le
tronc
semble plonger en forme de cône vers le ventre
, angle dont le centre siège dans la gibbosité. Toute une partie du
tronc
dépasse la limite pos- térieure des hanches qui
l, donne : MYOPATHIE GÉNÉRALISÉE 245 246 VIRES ET ANGLADA II. -
Tronc
et abdomen. - - Aspect. En avant. Projection an
he au contraire il a de l'aplatissement marqué. La muscula- ture du
tronc
paraît relativement conservée. L'abdomen compri
relativement conservée. L'abdomen comprimé entre les hanches et le
tronc
est plissé et effacé ; exa- miné latéralement i
s ne sont point saillantes. Troubles moteurs. - Les mouvements du
tronc
sont gênés dans leur am- plitude par les multip
efois, ils apparaissent encore exagéré- ment longs en proportion du
tronc
. Dans le tronc en effet, ce qu'il y a de plus r
raissent encore exagéré- ment longs en proportion du tronc. Dans le
tronc
en effet, ce qu'il y a de plus remarquable c'es
eur partie externe. Comme il a été remarqué, le raccourcissement du
tronc
fait paraître les bras beaucoup trop longs ; to
constants. Cederschjôld (34) a conseillé V irritation mécanique des
troncs
ner- veux. On cherche le tronc par un massage m
onseillé V irritation mécanique des troncs ner- veux. On cherche le
tronc
par un massage méthodique écartant soi- gneusem
la dure mère et à la face interne des os du crâne ; compression du
tronc
du grand sympathique droit avec myosis et hyper
sensibilité sont presque normales du côté des membres, mais sur le
tronc
on observe de l'hypoesthésie. Des accès de suff
la protubérance et son extrémité inférieure comprime l'émergence du
tronc
du nerf trijumeau gauche, tandis que sa face ex-
névrites puerpérales peuvent être généralisées et frapper alors les
troncs
nerveux des quatre membres, et les nerfs crâniens
la polynévrite est accompagnée de vives douleurs à la pression des
troncs
nerveux et des masses musculaires. Dans la para
de Cajal avec fixation préalable par l'alcool ammoniacal (1). Les
troncs
nerveux furent fixés par le mélange de Bouin, le
t d'abord ces noyaux sont en nombre beaucoup plus grand que dans un
tronc
nerveux normal ; d'autre part on peut à première
ire que la maladie a réalisé une véritable section transversale des
troncs
nerveux innervant les membres inférieurs. Cette s
us qu'en cas de périném ite ou de névrite intertitielle lorsque les
troncs
nerveux sont environnés de tissu inflammatoire qu
ravidique 363 D'autre part nous avons constaté l'existence dans les
troncs
nerveux de petites colonies de cellules migratr
Nous avons, en effet, trouvé des lésions importantes au niveau des
troncs
nerveux, et des altérations fort sérieuses des ce
édullaire est-elle primitive ? Est-ce au contraire l'altération des
troncs
nerveux qui retentit secondairement sur les neuro
laires. Reprenons ces trois points en détail. L'existence dans le
tronc
du sciatique de noyaux d'inflammation ne peut ê
ble dynamique expliquerait fort mal la localisation des lésions aux
troncs
nerveux, tandis que les racines anté- rieures é
es ? ' ! Pourquoi l'agent pathogène se localise-t-il sur tel ou tel
tronc
nerveux ? La première question n'a pas encore r
pital, le malade fut pris, dans les mem- bres inférieurs et dans le
tronc
, de fourmillements et de douleurs pas très vive
urant les membres, de haut en bas, sans localisation précise, et le
tronc
en ceinture. Peu à peu, la marche devenait diff
toute l'étendue des membres inférieurs et à la partie inférieure du
tronc
, et re- devient normale au-dessus : la miction
j'étudierai (P.), dans un autre chapitrera paralysie des muscles du
tronc
, surtout des muscles abdominaux, en traitant de c
fait, que « les douleurs vives, rachidiennes, irra- diant autour du
tronc
ou le long des membres, continues avec exacerba-
ralysie des muscles des membres ; quant aux troubles des muscles du
tronc
et aux troubles respiratoires, ils n'ont pas été
ans les autres membres la motilité est normale. Pas de paré- sie du
tronc
; elle peut être assise sans difficulté. Elle peut
te- nons que de faibles contractions. Dans les régions latérales du
tronc
entre la crête iliaque et le bord du thorax, no
ir, parce que de vives douleurs s'éveillent quand on a sou- levé le
tronc
à un angle de 30°. La parésie des membres infér
raideur du dos a maintenant disparu ; au moins on peut soulever le
tronc
dans le lit à un angle de 90°, et de même on ne t
statons alors qu'il peut se tenir assis sans s'aider des bras si le
tronc
a une position verticale ou plutôt si la vertical
la verticale du centre de gravité tombe entre les points d'appui du
tronc
. Mais si l'on fait pencher le tronc en arrière,
mbe entre les points d'appui du tronc. Mais si l'on fait pencher le
tronc
en arrière, même très peu, il tombe comme une mas
maintenant un petit rayon dans lequel il peut mouvoir librement le
tronc
sans s'aider des bras, mais cette région est enco
un examen correspondant pour les muscles du dos, les extenseurs du
tronc
, nous avons rencontré un phénomène en effet trè
main il y avait une paralysie complète des membres inférieurs et du
tronc
ou tout au moins de la partie inférieure du tro
inférieurs et du tronc ou tout au moins de la partie inférieure du
tronc
; car lorsqu'on a essayé de la mettre sur son s
là des douleurs sont venues dans les membres inférieurs et dans le
tronc
, et ont duré deux ou trois mois. Depuis, lors l
iable. Toutefois, assise, elle peut faire des flexions latérales du
tronc
, mais si l'on oppose de la résistance quand, étan
r une parésie assez considérable des muscles dorsaux, extenseurs du
tronc
. En palpant les muscles abdominaux, quand elle
quelques semaines par des exercices métho- diques des mouvements du
tronc
(comme de la faire lentement s'asseoir, quand e
mouvements minimes des pieds et des orteils. Il y a une parésie du
tronc
. Le malade a perdu quelques-uns des mouvements de
ment,et maintenant (en février 1909) la parésie du bras droit et du
tronc
ont disparu, mais la mo- tilité des membres inf
nue au bout de quatre jours et a atteint les membres inférieurs, le
tronc
et le bras gauche. Pendant les deux semaines su
et une parésie du bras gauche, surtout de l'épaule. Les muscles du
tronc
sont normaux,du moins à peu près. a) Observatio
et il faut évidemment conclure à une parésie de la mus- culature du
tronc
. , Dans la région où cette malade demeure, il y
érisé une semaine. Le malade croit qu'il n'y a pas eu de parésie du
tronc
plus prononcée. Des douleurs dans les mem- bres
ras droit sont en partie con- servés. La force de la musculature du
tronc
est normale. Le 6 juin 1907, je revois le malad
ed ; il y avait encore une para- 396 PETRÙN ET EHRENBERG lysie du
tronc
et une parésie très prononcée des membres supérie
. Le malade lui-même a ob- servé qu'il y avait alors une parésie du
tronc
qui n'a pas disparu aussi vite. ÉTUDES CLINIQUE
it sans qu'on l'y aide, et, s'il est assis, la partie supérieure du
tronc
tombe en avant et il ne peut la relever. Il sem
tate encore presque la môme impossibilité pour le malade à tenir le
tronc
droit sans que la partie supérieure tombe en av
ait alors disparu. Le même soir la malade a constaté une parésie du
tronc
, car elle ne pouvait plus s'asseoir sans y être
tactile a disparu presque complètement aux membres inférieurs et au
tronc
, avec la même extension qu'ont l'analgésie et l
l y a une certaine variation de l'anesthésie tac- tile ; surtout au
tronc
la malade perçoit souvent des contacts un peu for
ent, mais, en très peu de temps, presque aussitôt, une paralysie du
tronc
et dans les deux jours suivants une parésie des
OLIOMYÉLITE AIGUË 407 cause des douleurs qu'il éprouve, d'amener le
tronc
jusqu'à la position verticale. Ce symptôme indi
peu diminué (grâce aux exercices méthodi- ques de faire relever le
tronc
de plus en plus par un simple appareil mécaniqu
tre chose que le signe de Kernig. Celte impossibilité d'amener le
tronc
à former avec les membres infé- rieurs (genoux
démiques. ? 2 PETRÉN ET EHRENBERG SUR LA PARALYSIE DES MUSCLES DU
TRONC
. par Petren Sur la paralysie des muscles abdo
les abdominaux. Il y a quelques années, la paralysie des muscles du
tronc
dans la poliomyélite aiguë n'était pas souvent
premier lieu, parmi les conséquences de la paralysie des muscles du
tronc
, on a sur- tout fixé l'attention sur la scolios
s'il s'agit des mêmes cas). Johannessen a vu 5 cas avec parésie du
tronc
sur 23, et sur 198 cas, Lovett en a observé 40
pouvant être regardés comme la preuve d'une parésie des muscles du
tronc
. Mais évidemment on doit s'attendre à ce que les
bles moteurs pour les quatre membres. Sur les 5 cas de paralysie du
tronc
, que Johannessen a publiés, il y avait dans 4 une
ode consiste en ceci : mettre le malade dans un fauteuil, donner au
tronc
une position verticale telle que la verticale du
la verticale du centre de gravité tombe entre les points d'appui du
tronc
. Dans cette position il ne faut qu'une trace in
tte position il ne faut qu'une trace infime de force des muscles du
tronc
pour mouvoir le tronc ; d'un aulre côté, l'exte
t qu'une trace infime de force des muscles du tronc pour mouvoir le
tronc
; d'un aulre côté, l'extension où le malade peu
re côté, l'extension où le malade peut faire des mouvemepts avec le
tronc
(sans s'aider des bras'» dans les directions diff
nous permet de conclure sur la force conservée dans les muscles du
tronc
. Par conséquent, je crois que l'examen par cett
atiqué un traitement par des exercices mé- thodiques des muscles du
tronc
et nous avons vu s'en suivre presque à notre su
otilité des bras est normale. Il y a une incompétence musculaire du
tronc
: il ne peut s'asseoir dans le lit ni se tenir
agnostic d'une parésie des muscles du dos, qui sont les extenseurs du
tronc
. La forme de paralysie des muscles abdominaux q
d'employer la force des muscles du dos, qui sont les extenseurs du
tronc
. Dans les cas XIII et XX, nous avons constaté l
haute taille, probablement environ 1 m. 90, mais mince) de tenir le
tronc
debout sans s'aider des bras, sans que la parti
ronc debout sans s'aider des bras, sans que la partie supérieure du
tronc
tombe en avant. C'est le seul de nos cas où l'o
nte entre la longueur exagérée de ses jambes et le développement du
tronc
. On est de même tout de suite frappé par la petit
pée et plus convexe que la moitié gauche. Les masses musculaires du
tronc
sont légèrement hypotoniques. Tous les mouvemen
extré- mités inférieures sont très allongées en comparaison avec le
tronc
; il n'y a pas disproportion entre la cuisse et
même. Station debout.- Le patient ne présente aucune oscillation du
tronc
même les yeux fermés : Romberg négatif. Debou
anchini) . CONTRIBUTION A LA CONNAISSANCE DU GIGANTISME 463 a) Le
tronc
est proportionnellement à peu près normal et l'al
York medical journal, 1" jan- vier 1898. (3) BRISSAUD, Le zona du
tronc
et sa topograhie. Bulletin Méd., 8 janvier 1896,
e Aran-Duclienne et anesthésie dissociée en bande zostéroide sur le
tronc
. Remarque sur l'origine spinale du zona. Bull. et
ie et de leur loca- liation. Certains d'entre eux siègent sur des
troncs
nerveux superficiels ou pro- fonds ; il est log
dmettre dans ces cas une corrélation étroite entre le trajet de ces
troncs
nerveux et la topographie des troubles cutanés. D
RADICULAIRE DES N2 £ Vl A79 Difficile à individualiser au niveau du
tronc
, où son territoire se confond avec celui des sp
; il faut les distinguer nettement l'une de l'au- tre. Au niveau du
tronc
l'erreur est facile certes, puisque les territoir
s, que les naevi à topographie spino-métamérique, qui, au niveau du
tronc
, sont très difficiles à diagnostiquer des naevi à
rotuliens et achil- léens avaient disparu. Il n'y avait, ni sur le
tronc
, ni sur les membres infé- rieurs, aucun trouble
il était obligé de prendre une attitude particulière de flexion du
tronc
sur le bassin. Et, comme sa femme avait remarqué
sultats suivants : 1° Sur la face et la tête, normale ; 2° Sur le
tronc
: petites zones d'hypoesthésie au contact et à la
normale. SUR UN cas D'OSTÉO-ARTHROPATHIE TABETIQUE 513 2° Sur le
tronc
: zone d'hypoesthésie tactile et à la douleur au
est d'origine médullaire, ou bien elle est due il la compression des
troncs
nerveux en quelque point de leur trajet- Nous
es os ci-dessus sont épaissies et incurvées. Presque tous les os du
tronc
, y compris les côtes, paraissent augmentés de v
s et des pieds est respecté, on peut dire que tous les autres os du
tronc
sont épaissis. Ceci est très important pour é
La motilité du bras droit est très restreinte. Il y a paralysie du
tronc
, paralysie aussi de la vessie et le malade a ét
s supérieurs, mais aussi des symptômes qui indiquent une parésie du
tronc
; car il s'est senti le tronc en quelque sorte br
ymptômes qui indiquent une parésie du tronc ; car il s'est senti le
tronc
en quelque sorte brisé et il ne pouvait marcher
peut décider si les premiers signes de la paralysie sont apparus au
tronc
ou aux membres supérieurs. Toutefois comme les
3 ans, d'abord paralysie complète des deux membres inférieurs et du
tronc
; après trois ans. il n'y avait dans les membres
assez pour exécuter les mouvements quand le poids du membre (ou du
tronc
) forme un obstacle. Cette méthode consiste à fair
r la région thoracique gauche. - . b) Sur la partie antérieure du
tronc
, on voit une guirlande de fleurs orner les deux
bien que pendant la station verticale de la titubation ébrieuse; le
tronc
reste en arrière tandis que les membres inférie
externe du pied. La marche est très irrégulière et spasmodique. Le
tronc
ne fait pas les mouvements synergiques nécessai
la mastication sont normales. Pas de dysarthrie. Les mouvements du
tronc
sont normaux. Membres supérieurs. Les masses mu
examen anatomique. Mais si nous laissons de côté les altérations du
tronc
cérébral et ne regardons que les lésions des hé
es sont normaux. La marche est légèrement parétique. Les muscles du
tronc
sont normaux. Les réflexes abdominaux conservés
rière. Il peut se tenir assis sans difficulté et peut faire avec le
tronc
des mouvements assez grands dans le directions
s qu'aux membres inférieurs, elle atteint toujours les mus- cles du
tronc
; car comme Wickman et nous-mêmes l'avons rendu t
ons rendu très probable, il y a toujours une parésie des muscles du
tronc
, quand il y a des troubles moteurs à la fois de
nférieurs aux membres supérieurs en laissant intacts les muscles du
tronc
. C'est ce que nous avons observé dans nos trois c
accusée pour tous les membres et la motilité normale des muscles du
tronc
, au moment où le malade est entré à la clinique
minuant au sur et à mesure qu'on remonte, c'est-à-dire en allant du
tronc
du cerveau vers les circonvolutions, où l'on pe
nisation, le sujet paraît absolument nor- mal ; la tête, le cou, le
tronc
, les membres inférieurs, ainsi que les avant-bras
me métacarpien, élévation anormale de la tête du péroné, hauteur du
tronc
. Elle n'en diffère que par ses membres supérieurs
as droit du supplicié se trouvant étendu obliquement sur le côté du
tronc
, la main à 25 centimètres en dehors de la hanch
tat final fut un mouvement de rapprochement de tout le bras vers le
tronc
avec rotation du bras en dedans et demi-flexion d
SIOLOGIE. PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE semblable aux. gaines des petits
troncs
nerveux : qui sont contenus dans les mêmes trav
es fibres musculaires ; dans une des zones accessoires se trouve un
tronc
nerveux. « On observe dans certains endroits un
its une disposition qui n'est qu'une variante de la précédente : le
tronc
nerveux et le groupe des fibres musculaires, au
ils sont entourés. Selon toute vraisemblance les fais- ceaux et les
troncs
nerveux dont ces groupes de petites fibres sont
temps, provoque souvent une rotation de la tête et parfois aussi du
tronc
. Pour obtenir ce mouvement, voici les points où
troubles provoqués par la destruction du labyrinthe (incurvation du
tronc
, instabilité, mouvements de manège) ; l'ani- ma
exécuter des mouvements alter- natifs de flexion et d'extension du
tronc
sur le bassin, comme pour la recherche du « mou
assin, comme pour la recherche du « mouvement combiné de flexion du
tronc
et de la cuisse ». Pendant l'exécution de ces a
mps à droite le phénomène de la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
. Ce fait me suggère une idée analogue à celle q
ssentiel de la déformation décrite consiste en une incli- naison du
tronc
du côté opposé à la sciatique, sans soulèvement d
il a observe aussi dans la sciatique, « scoliose homologue », où le
tronc
est incliné du côté ma- lade. Abolition du ré
vives sur le trajet de NÉVRITE RADIALE' 19 deux sciatiques ; son
tronc
est fléchi et sa colonne vertébrale est rigide ;
ans tous les cas. Or, le niveau auquel ce territoire s'élève sur le
tronc
permet de reconnaître la limite inférieure d'un
sont généralement très excitables, que la peau de l'ab- domen et du
tronc
l'est beaucoup moins ; nous avons observé des s
es membres inférieurs et occupe une partie plus ou moins étendue du
tronc
. Mais dans les faits que nous retenons, il est
.XI et de D.XII, en nous fondant sur les limites qu'atteignaient au
tronc
l'anesthésie et l'exagération des réflexes de d
mo-asymétrie ; les troubles de motilité envahissent ensuite tout le
tronc
, ainsi que le côté droit du corps, et s'accompagn
en partie celui du membre supérieur gauche, il remue la tête et le
tronc
avec assez d'aisance, il est capable de marcher
sent exceptionnels. Mouvement combiné de flexion de la cuisse et du
tronc
. Lorsque, étendu sur un plan résistant horizont
sur son séant, les bras toujours croisés sur la poitrine, porte le
tronc
en arrière pour reprendre la position primitive.
anique un an après son début. - Flexion combinée de la cuisse et du
tronc
à gauche. tion supérieure ou à son insertion in
la cuisse dans l'acte en ques- tion doive entraver l'inclination du
tronc
en avant et entraîner une flexion de la cuisse
férence sous la dénomination de flexion combinée de la cuisse et du
tronc
qui exprime simplement et avec précision le mou-
le sujet se borne à faire con- tracter les muscles qui inclinent le
tronc
en arrière. S'il en était ainsi, la partie supé
t le tronc en arrière. S'il en était ainsi, la partie supérieure du
tronc
, entraînée par la pesanteur, viendrait heurter
e par la pesanteur, viendrait heurter contre le sol. L'extension du
tronc
doit être modérée par la contraction des fléchi
nt de flexion combiné de la cuisse HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 123 et du
tronc
ne peut être considéré comme pathologique que lor
que de l'autre. Le mouvement de flexion combinée de la cuisse et du
tronc
impli- que naturellement que les muscles qui l'
l'action, limitée à un côté du corps, des muscles qui inclinent le
tronc
en avant. Griffe de la main. Anciennement déj
avec une certaine brusquerie, les membres supérieurs s'écartent du
tronc
; mais du côté atteint le mouvement est bien pl
constate ceci : du côté sain, le membre supérieur vient heurter le
tronc
, rebondit une fois ou deux, puis reste immobile
marche, par exemple, les mouve- ments des membres inférieurs et du
tronc
constituent les mouvements essentiels ; on doit
ès le premier pas : le pied se trouve porté en avant, tandis que le
tronc
, étendu sur le bassin, ne suit pas le mouvement
ome, c'est le fait que, dans les tentatives de déam- bulation, le
tronc
reste comme inerte, tandis que les membres in
ude. S'il cherche alors à porter la tête en arrière et à courber le
tronc
dans le même sens, en forme d'arc, les membres
n debout, cher chant à porter la tète ci arrière et i courl)er le
tronc
dans le même sens en forme d'arc. 1 sur le
n debout, cher- chant à porter la tète en arrière et à courber le
tronc
dans le même sens en forme d'arc. (voir p. 15
dans l'acte de la marche, comme à l'état normal, la translation du
tronc
à la flexion de la cuisse. L'immobilité de la par
tribuée à une paralysie des muscles qui dans la marche impriment au
tronc
une propulsion puisque, la force mus- culaire é
on considère l'atti- tude spéciale du malade cherchant à courber le
tronc
en arrière. Cette épreuve est comme le compléme
d'extension de la cuisse sur le bassin au mouve- ment de flexion du
tronc
. C'est donc encore l'asynergie qui est en jeu.
à le retenir. 11 y a donc une dissociation entre les mouvements du
tronc
et des jambes qui rentre dans la grande asynerg
stamment dans une autre phase de la marche que les jambes. Quand le
tronc
était déjà pen- ché en avant, qu'il avait donc
os, cherche à prendre cette attitude, ses membres inférieurs et son
tronc
exécutent pour commencer de grandes oscillations
ne des orteils et mouve- ment combiné de flexion de la cuisse et du
tronc
; de l'hémiancsthésie occupant tout le côté droi
trée à l'hôpital. Etude anatomique. A l'oeil nu, on constate que le
tronc
basi- laire et les artérioles qui en partent so
érioles qui en partent sont obstrués par une thrombose récente ; le
tronc
basilaire présente en outre des parois extrêmemen
5) une note intitulée : « De la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
dans la chorée de Sydenham ». Voici ce que j'ai
YDENHAM 181 rée de Sydenham, la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
. Je l'ai constatée dans certains cas où la chor
stème nerveux (troubles du tonus, flexion combinée de la cuisse et du
tronc
, modifications des réflexes tendineux, signe de
ciété anatomique, r S8 ). 20. Sur une déformation particulière du
tronc
causée par la sciatique (Archives de Neurologie
igo8). t48. Instabilité hystérique (pithiatique) des membres et du
tronc
(Id., 5 mai 1\)08). 149- Spondylose et douleu
du peaucier II\) kj Mouvement combiné de flexion de la cuisse et du
tronc
120 Griffe de la main 123 Signe de la pronati
ent normales. Pas de troubles trophiques; rien à noter au sujet des
troncs
nerveux. Le thorax ne présente rien de particul
résente ni l'atrophie musculaire, ni l'hypertrophie douloureuse des
troncs
nerveux, ni le signe d'Argyll-Robertson, communém
t ni marcher sans écar- ter les jambes, à cause des oscillations du
tronc
dont il corrige les écarts avec ses bras en gui
, on les retrouve en majeure partie chez D... 1° Dans la marche, le
tronc
, en arrière, ne suit pas ou suit mal les mouve-
avant, pendant la marche. 2° Dans la station, si on fait porter le
tronc
en arrière, les membres infé- rieurs restent fi
et la commu- nicante n'est pas constante. Mais une thrombose de ce
tronc
a pu ample- ment suffire pour réaliser un ramol
s sont loin d'être les seuls à pren- dre part à la marche ; ceux du
tronc
y concourent activement, et en par- ticulier le
ha- que côté comme un vaste muscle pair et symétrique, extenseur du
tronc
quand il se contracte dans sa totalité (erector
être reproduite, car elle est très explicite. « Il se passe dans le
tronc
, dit-il, et particulièrement dans les gouttières
du en l'air. Le second agit pour modérer l'impulsion communiquée au
tronc
par le pied qui se trouve en arrière et préveni
ce que c'est le même qui, dans la station, s'oppose au mouvement du
tronc
en avant, et qu'il est le principal agent de l'éq
inscrivait simultanément les foulées du pied et les oscillations du
tronc
. Cartel confirme les faits observés par Gerdy,
ical très appréciable sur le nu. Dans la station droitesymétriquedu
tronc
, le quadrilatère est un losange parfait, ses de
e relâchement du muscle sous-jacent. Le sujet vient-il a cambrer le
tronc
en arrière, la masse mus- culaire devient plus
sque, et les plis transversaux s'exa- gèrent. Vient-il à fléchir le
tronc
en avant, au contraire, les plis s'effacent, le
spinaux se contractent énergiquement pour résister à la flexion du
tronc
, sollicitée par exemple par le soulèvement d'ha
très rapprochées. Rôle des muscles spinaux dans l'équilibration du
tronc
pen- dant le pas. -Nous devons nous demander ma
ssible, dans la marche, des muscles spinaux à litre d'extenseurs du
tronc
(marche inclinée en avant, ascension d'un plan
ion unilatérale n'aurait qu'un effet très peu marqué d'extension du
tronc
directement en arrière, la flexion latérale l'emp
de la colonne vertébrale au début de l'oscillation du pas. L'axe du
tronc
est déjà légèrement incliné en arrière à ce momen
a va desoi, sur la surlace couverte par le piect portant ; i axe ou
tronc
s'incline plus ou moins de ce côté, l'épaule es
Son rôle, dans la marche, est d'assurer l'équilibration latérale du
tronc
; elle s'oppose à l'inflexion latérale de la colon
nsemble de symptômes définis et constants : ils marchent voûtés, le
tronc
penché en avant lorsqu'ils sont debout (et le sym
tibias très épaissis dessinent une courbure à convexité externe. Le
tronc
semble affaissé, le thorax tassé sur l'abdomen,
s barrent la région ombilicale, traduisant le tas sèment général du
tronc
. Exagérant encore cet aspect si particulier, le
avant, mais le malade redresse le cou pour regarder devant lui ; le
tronc
est tassé, l'abdomen présente des plis transver-
les condyles fémoraux, les bras sont maintenus un peu éloi- gnés du
tronc
. Assis, le malade se tient assez fortement penché
lards en. un groupe à part. Les déformations portent surtout sur le
tronc
et les membres inférieurs ; ce sont elles que n
en lorgnette décrit par DI.Dieulafoy et de ce tassement général du
tronc
résulte un aspect de l'abdomen tout à fait spécia
déforma- tions qui nous semblent traduire l'affaissement général du
tronc
, et résultent de celles que l'on observe du côt
ulaires. Aussi dans l'ensemble, les dimensions autéro-postérieures du
tronc
à sa partie inférieure semblent diminuées ; le
aie maladie de Paget (8 centimètres dans un cas), l'affaissement du
tronc
, le renversement du sacrum et du bassin. Les défo
ement au niveau de la crête iliaque. Le tassement moins marqué du
tronc
explique la diminution des plis transver- saux
isse- ment musculaire portant surtout sur les muscles extenseurs du
tronc
, sans doute parce que leur travail est très con
ens articulaire ne sont pas modifiés. Les masses mus- culaires, les
troncs
nerveux sont indolores ; ces derniers ne présente
eurs fulgurantes ; puis viennent l'ataxie statique de la tête et du
tronc
, la scoliose, les troubles de la parole.. Lor
n fibromyome utérin. Elle nous est amenée en décembre 1900. Tête et
tronc
relativement énormes, membres très courts et gr
es faisceaux de Forel et de Meynert. 152 WEBER ET PAPADAKI - . du
tronc
encéphalique on change de forme et de position, m
ci n'était plus à notre disposition pour être examiné. Mais dans le
tronc
encéphalique, coupé en série, nous avons consta
réfaction de la substance blanche par formation de vacuoles dans le
tronc
encéphali- que et sans doute aussi dans le mant
signes certains d'une infiltration des deux sommets. L'examen du
tronc
et des membres fait constater l'existence d'une h
ectement jusqu'au muscle droit interne, car dans nos trois faits le
tronc
de la troi- sième paire nous a paru normal ; au
laires qui passant par le pied du pé- doncule, se portaient dans le
tronc
du nerf qui n'était pas complètement dégénéré.
ouze heures après cet oedème aussi avait disparu, et sur la peau du
tronc
surgirent des oedèmes de la grandeur de la paume
ain, qui ne démangeaient pas. Leur siège était varié : les bras, le
tronc
, les fesses, la tête sous les cheveux. Ces oedème
ts, de grandeur variable lors- qu'ils apparaissaient sur la peau du
tronc
, dans les membres ils prenaient toujours un car
obinurie s'accompagnait d'une éruption d'urti- caire sur la peau du
tronc
, et avec des oedèmes de Quinke au dos des pieds,
t été nuls et il n'en pouvait pas être autre- ment. L'élongation du
tronc
nerveux n'a aucune raison d'être, car dans l'aire
étudions ici il ne s'agit nullement d'une maladie des nerfs ou des
troncs
nerveux. Zuber et plusieurs auteurs modernes on
derschjold de Stockholm pro- posa de provoquer une irritabilité des
troncs
nerveux en massant les muscles avec les extrémi
TIQUI; DROITE PAR HENRY MEIGE. .On sait que des déformations du
tronc
accompagnent souvent les sciati- ques.Mais si c
donc pas nécessairement les mêmes que les limites de convention du
tronc
nerveux. En d'autres termes, la sciatique n'est p
algie d'un nerf, mais la névralgie d'un plexus. » Les déviations du
tronc
sont donc fréquentes dans les affections névral-
92. Souques, Sur deux cas de guérison complète de la déformation du
tronc
de la scia- tique. Nouv. Iconogr. de la Salpêtr
existe deux types cliniques : la scoliose croisée, dans laquelle le
tronc
s'incline du côté du membre sain, et la scolios
mbre sain, et la scoliose homologue, dans laquelle l'inclinaison du
tronc
se fait du côté du membre atteint de sciatique ;
ie musculaire. Voilà pour la sciatique. Quant à la déformation du
tronc
, elle est, avons-nous dit, alternante. Le plus
du tronc, elle est, avons-nous dit, alternante. Le plus souvent le
tronc
est incliné à droite (côté sciatique) et légèreme
tique) et légèrement penché en avant : mais, à d'autres moments, le
tronc
s'incline à gauche (côté sain). On constate don
est digne de remarque, c'est la façon dont le sujet fait passer son
tronc
d'une position à l'autre. Il est absolument incap
rte son bassin en avant et à gauche. Cette ro- tation effectuée, le
tronc
peut s'incliner à gauche et le malade peut de nou
rnante, nous avons eu l'idée de photographier les deux positions du
tronc
sur une même plaque, en donnant au malade le te
changement de position, quel que soit, le côté de l'inclinaison du
tronc
. Dans les deux cas, les deux pieds reposent sur
ement en masse du train postérieur suivant le côté d'inclinaison du
tronc
; mais ce déplacement est insignifiant par rappo
rapport à celui qui se produit chez un sujet normal .inclinant son
tronc
alternativement à droite et à gauche. Le bassin n
é de se tenir également en station debout avec une incli- naison du
tronc
opposé au côté de la sciatique est une particular
la scoliose est rattachée à la névralgie sciatique, la déviation du
tronc
ne doit pas être mise uniquement sur l '238 HEN
, la question a été maintes fois controversée. « L'inclinaison du
tronc
du côté sain, dit M. Brissaud, dans la sciati-
côté sain, lesquels agissent éner- giquement de façon à incliner le
tronc
de leur côté « La persistance de la scoliose cr
du sciatique ont disparu, la contracture des muscles extenseurs du
tronc
d'un côté ou de l'autre, l'existence de zones hyp
lement la scoliose alternante (Remak, Iligier), les déformations du
tronc
résulteraient toujours des attitudes instinctiv
NRY MEIGE ? 1. . 1 , En somme, pour expliquer les déformations du
tronc
qui coïncident avec les névralgies lombo-sciati
nt d'une épaule, rotation ou inclinaison de la partie supérieure du
tronc
, etc. Ici il s'agit, bien d'attitudes de défens
e compensation. Qn peut en dire autant de certaines déformations du
tronc
qui accompa- gnent les sciatiques, surtout lors
l'attitude dite en chien de fusil. Les cuisses sont fléchies sur le
tronc
et les jambes sur les cuisses , l'extension est
dans une attitude très caractéristique. Le bras est collé contre le
tronc
; il semble y avoir un peu d'arthopathie de l'é
, et achève de se coucher par une série de mouvements de torsion du
tronc
aidés par le soulèvement du corps au moyen des
, dans les régions supraclaviculaires (Potain) (67), sur la peau du
tronc
[nodosités rhumatismales de Troisier (66)]. L'hyd
nce et transparente recouvre ces filets, qui ne sont autres que des
troncs
nerveux. Tout en haut, dans la région cer- , vi
des troncs nerveux. Tout en haut, dans la région cer- , vicale, ces
troncs
nerveux se perdent dans une masse en tout semblab
LIV-C). En bas, vers la région lombaire, le spina bifida cesse et les
troncs
nerveux s'engagent dans un canal rachidien norm
vec un soin minutieux. Nous savons ainsi que l'on retrouve tous les
troncs
habituels, en leur place normale. De mon côtéj'
ère (fig. 8). En dehors de la pie-mère se trouvent les sections des
troncs
nerveux, dans les interstices desquels s'insinuen
aux dilatés et gorgés de globules ; ces derniers vaisseaux sont des
troncs
isolés ; leurs parois sont minces, sans être cepe
state également un léger épaississement de la gaine conjonctive des
troncs
nerveux. Fio. 8. Coupe transversale de l'extrém
l'épaississement des parois. Enfin, dans l'interstice des nombreux
troncs
radiculaires, se trouvent également des vaisseaux
vers la moelle. Il existe, en outre, des vaisseaux isolés entre les
troncs
radiculaires ; la paroi de ces derniers vaisseaux
une sorte de substance fondamentale séparant les uns des autres les
troncs
vasculaires et les réunissant en même temps, de f
ance blanche ou, tout au moins, la dilatation et la prolifération des
troncs
artériels ou veineux qui passent habituellement
nt enveloppé de la gaîne vasculaire ; tout autour sont disposés des
troncs
nerveux atteints par l'inflammation à un faible
s parois se confondent de la façon la plus complète. Le calibre des
troncs
vasculaires varie en d'assez grandes proportion
386 RABAUD progresse en dehors, vers la dure-mère, intéressant les
troncs
nerveux péri- médullaires. L'intensité du proce
d'être dépourvus de moelle épinière, mais de posséder cependant des
troncs
nerveux courant dans une gouttière rachidienne la
uverte renferme un tissu mince, résistant, sur leque e reposent des
troncs
nerveux recouverts eux-mêmes par un voile extrême
e 1YIII Il 26 394 RABAUD uniquement constituées par de nombreux
troncs
nerveux, dans les interstices desquels quelques
t de tissu fibreux épaissi ; elle est remplacée par un amas de gros
troncs
vasculaires, gorgés de globules rouges et de le
la région inférieure de la moelle; il con- vient d'ajouter que les
troncs
nerveux sont comme toujours moins atteints que
e cet affaiblis- sement, le bassin s'incline en avant, et menace le
tronc
de le faire tomber en avant, d'où l'interventio
énéralisés plus tard sur toute la colonne vertébrale et sur tout le
tronc
, mais pas aux membres (nous verrons que plus ta
s des douleurs de caractère fulgurant lui traversent les bras et le
tronc
. Les réflexes cutanés, crémastériens et abdomin
s inférieurs elle a disparu entièrement. Sur la face postérieure du
tronc
, on constate une diminution de l'excitabilité d
ie le 20 février 1904, pour une attitude vicieuse de la tête sur le
tronc
. L'histoire de l'enfant, très simple, nous est
urs ; il semblait même immobilisé quant à la par- tie supérieure du
tronc
. Les mouvements de mastication et de déglutition
sparue, tant la tête pendant le sommeil était droite par rapport au
tronc
; elle ajoute qu'au réveil de l'enfant la tête
s considérable apparaît., A droite, une véritable cassure existe au
tronc
entre les côtes et le bassin, et le sommet de cet
ttitude et de la marche. Mais si, pendant qu'agissait l'extension, le
tronc
était à peu près droit, il fléchissait, quoique
ntile, soit à une myopathie, qui, avec une sem- blable déviation du
tronc
, eussent été fort avancées. Tout cela, d'emblée
ité, au con- traire, se raidissaient dès qu'on voulait redresser le
tronc
de l'enfant couché. Cette statique était dérais
es contrastent avec l'indolence des mouvements actifs et passifs du
tronc
ou des membres. Car, en som- me, les mouvements
uelques mouvements spéciaux des membres supérieurs, avec flexion du
tronc
, qu'on lui ordonne avec fer- attitudes VICIEUSE
r notre malade et deux hypothèses sont alors possibles : ou bien le
tronc
se laisse aller pour son propre compte, ou bien
nez, qui contrastent avec une voûte crânienne bien déve- loppée, un
tronc
normal, une intelligence moyenne et des organes g
s essentiels de l'achondroplasie sont, non pas le na- nisme, car le
tronc
est habituellement de longueur normale, mais la m
roplasique n'est pas un nain proprement dit, mais un enfant dont le
tronc
normal supporte une tête un peu grosse et des mem
ic de l'achondroplasie d'avec les autres dystrophies osseuses. Le
tronc
est généralement bien conformé et d'une taille co
s malades parmi les nains. La brièveté des membres par rapport à un
tronc
normal et à une tête en général volumineuse, enfi
veté des membres qu'est due la petite taille de ces malades dont le
tronc
, au contraire, mesuré- de la fourchette sternal
issements en les comparant soit à celles d'un adulte normal dont le
tronc
aurait la même longueur que celui du malade ; soi
s très marquées ; le raccourcissement est du type rhizomélique ; le
tronc
est normal, ainsi que le crâne; le bassin est a
légère. - La micromélie, la petitesse des membres par rapport à un
tronc
normal, est un symptôme qui s'observe dans diff
inution de tous les diamètres du bassin. L'augmentation du poids du
tronc
, la brièveté des membres inférieurs entraînent
ntent pas de disproportion entre les di- mensions des membres et du
tronc
, il n'y a pas inversion rhizomélique ; les doig
du nez, la grosseur de la tête ainsi que l'inclination latérale du
tronc
, avec inclinaison compensatrice de la tête du côt
nital dans le développement du squelette des dimensions normales du
tronc
et un rac- courcissement notable des membres su
r la photographie). Certains auteurs ont insisté sur le fait que le
tronc
et la colonne verté- brale dont les dimensions
e en revue les observations, on voit que la conformation normale du
tronc
n'est pas un attribut constant dans cette dystrop
ry). Dans notre cas nous avons noté aussi certaines déformations du
tronc
et de la colonne vertébrale : une lordo-scolios
rbure des mem- bres inférieurs. On voit encore que la tête comme le
tronc
ont leurs dimensions normales. Il existe une he
e. 2° Petite taille due à l'arrêt d'ac- croissement des membres, le
tronc
restant normal. 3° Micromélie rizo- mélique des
examinant le sujet dans son ensemble, nous voyons que la tête et le
tronc
sont à peu près normaux. Le membre inférieur dr
s sont tous atteints ; . 2° Bassin étroit par rapport au reste du
tronc
; 3° Fémur plus court et moins volumineux que l
ne. En effet : les os du bassin qui forment la partie inférieure du
tronc
ont conservé leur morphologie normale,mais ils
au contraire correspond à une taille de 1 m. 63, et la longueur du
tronc
à 1 m. 65. La constitution chétive du fémur et
nseignements suivants : Pas d'atrophie des muscles de la face ni du
tronc
. La sensibilité aux divers modes est partout co
s, les contractions musculaires qui tendent à rapprocher la tête du
tronc
attirent nécessairement t en dehors ces pièces
n celles siégeant sur les membres supérieurs que celles occupant le
tronc
, le bassin ou les membres inférieurs, étaient c
xostoses par régions, on obtient un total de 66 exos- toses pour le
tronc
, 25 pour le membre supérieur droit, 33 pour le me
e membres. En ajoutant ce chiffre de 128 à celui de 66 noté pour le
tronc
, on obtient un total général de 194 exos- toses
ylose vertébrale et aussi du renversement en arrière de la tête et du
tronc
provoqué par le ptosis. Il n'existe ni du côt
irien, pouvaient relever de lé- sions portant exclusivement sur les
troncs
nerveux. Le fait donc pour une ophtalmoplégie d
erne. C'est pourquoi elle nécessite l'immobilisation, en arrière du
tronc
, des avant-bras fixés res- pectivement par chaq
e extérieure du corps ; les proportions relatives des membres et du
tronc
sont conservées ; les seg- ments des membres so
ré dans un rachis ouvert, il ne reste plus qu'un nombre variable de
troncs
nerveux et une tumeur réduite à la méninge. La
tacle difficile à franchir, se propageant d'ailleurs avec peine aux
troncs
nerveux qui parcou- rent le canal rachidien. C'
· te z PATHOLOGIE NERVEUSE SUR UNE DÉFORMATION PARTICULIÈRE DU
TRONC
CAUSÉE PAR LA SCIATIQUE; Par le Dr J. BABINSK
ns cas de sciatique il se développe une déformation particulière du
tronc
qui nous paraît avoir échappé jusqu'à présent à
opres à cette déformation ainsi que sa nature, DE LA DÉFORMATION DU
TRONC
. 3 et à la différencier des attitudes vicieuses
après le début des douleurs du membre inférieur, la déformation du
tronc
, sur laquelle nous reviendrons plus loin, comme
malade est debout, il présente une attitude toute particulière : le
tronc
est incliné à droite du côté opposé à la cuisse
e l'inclinaison laté- rale, on observe encore une légère flexion du
tronc
sur le bassin et un certain degré de rotation d
e flexion du tronc sur le bassin et un certain degré de rotation du
tronc
sur son axe vertical, en vertu de laquelle l'ép
rigés transversalement et correspondant à l'inclinaison latérale du
tronc
et le rebord costal droit est très rapproché de
e droite est légèrement fléchie sur la cuisse. Cette déformation du
tronc
ne peut être mo- difiée, car, dès que l'on cher
stance qui paraît difficile à vaincre. Dans le lit, la déviation du
tronc
ne disparaît pas non plus; l'inclinaison latéra
ation du tronc ne disparaît pas non plus; l'inclinaison latérale du
tronc
persiste quand le malade est couché sur le dos
le bassin ; il est impossible au malade, en raison de la flexion du
tronc
sur le bassin de s'étendre sur le ventre, et mê
e sorte ni de troubles vaso-moteurs. Il y a un DE LA DÉFORMATION DU
TRONC
. 5 certain degré d'amyotrophie. Voici le résult
out, on constate qn'il repose surtout sur le membre droit et que le
tronc
est fortement incliné à droite et légèrement fl
se. Voici les résultais de la mensuration : -. DE LA DÉFORMATION DU
TRONC
. 9 trochantérien, poplité, péronier et dorsal d
évralgiques deviennent excessivement intenses et la malade tient le
tronc
fortement incliné du côté gauche. Elle assure q
ourde, mais très violemment exaspérée par le moindre mou- vement du
tronc
, le rire, la toux. La marche augmente aussi la
peu en avant, mais ce qui domine, c'est l'inclinaison latérale; le
tronc
est fortement incliné à gauche sur le membre in
modifier l'attitude de la malade, elle éprouve DE LA DÉFORMATION DU
TRONC
. 1'1 de la souffrance. Mais elle dit que l'incl
ique gauche remontant à dix-huit mois. Inclinaison remar- quable du
tronc
du côté opposé. Diminution des réflexes tendi-
formation depuis cette , Fig. 1. 1,'ig. 2. DE LA DÉFORMATION DU
TRONC
. 13 époque. Le tronc est incliné à droite. Le r
, Fig. 1. 1,'ig. 2. DE LA DÉFORMATION DU TRONC. 13 époque. Le
tronc
est incliné à droite. Le rebord costal droit to
épaule droite est plus élevée que la gauche. DE LA DÉFORMATION DU
TRONC
. 1e'7 Ainsi donc, ce n'est que dans t'OBSERVATi
actéristique de la déformation. Eludions maintenant l'attitude du
tronc
et du bassin. Dans l'OBSERVATION 1 (sciatique g
e du tronc et du bassin. Dans l'OBSERVATION 1 (sciatique gauche) le
tronc
est incliné à droite et il est en même temps lé
t à concavité gauche. Dans t'OBSERVATtON II (sciatique gauche) le
tronc
est fortement incliné à droite et fléchi sur le
nchée en avant, mais ce qui domine c'est l'inclinaison latérale; le
tronc
est Il) li 111*1'1101OGIL m : Kw.usL. forteme
(sciatiques gauches), on voit d'après les liq. 1, 2, 3 et 4 que le
tronc
est fortement incliné du côté droit et que le r
ment par l'étude compara- tive de ces cinq cas, que la situation du
tronc
est toujours la même dans ses principaux traits
paux traits. En effet, dans toutes les observations, on note que le
tronc
est incliné du côté opposé à celui où siège la
celui où siège la sciatique, et que le rebord costal du côté où le
tronc
est incliné est très rapproché de la crête ilia
a région dorsale à convexité tournée en sens inverse. La flexion du
tronc
sur le bassin est notée dans les trois première
du côté malade que du côté opposé. La disposi- DE LA DÉFORMATION DU
TRONC
. 1Î 't tion relative des deux crêtes iliaques n
que du côté malade doit être sous la dépendance de l'inclinaison du
tronc
en sens opposé. Mais s'il en est ainsi, ce n'es
il est impossible de modifier l'attitude en cherchant à imprimer au
tronc
des mouvements passifs, et que la déformation p
ous donnent à cet égard. Dans l'OBSERVATION I la déforma- tion du
tronc
commença à se développer un an environ après l'
urs névralgiques sont excessivement intenses, et la malade tient le
tronc
fortement incliné du côté gauche. Dans l'OBSERV
s que les douleurs devenaient plus intenses. DE LA DÉFORMATION DU
TRONC
. 19 Comme on le voit, la date de l'apparition d
gt-quatre heures après le début de l'affection que l'inclinaison du
tronc
peut être constatée . Ainsi donc le développe
formes du corps humain, plus étendues et plus DE LA DÉFORMATION DU
TRONC
. 21 profondes que ne le sont celles que possède
ion, la réaction puisse être différente suivant le sujet, et que le
tronc
s'incline chez un indi- vidu, reste dans la rec
uleur de la sciatique peut amener ce résultat. En effet, lorsque le
tronc
est incliné, comme on l'a vu, tout le poids du
spéciale, dont les caractères essentiels sont l'inclinai- son du
tronc
du côté opposé ci la sciatique et l'absence com
us l'influence de l'habitude que le malade contracte d'incliner son
tronc
, il se développe sans doute un état spasmodique
çon de M Charcot recueillie par M. Babinski. DE LA DÉFORMATION DU
TRONC
. 23 vations. La courbure inférieure lombaire pr
sente sa concavité tournée dans le même sens que l'inclinaison du
tronc
, et elle est sous sa dépendance; quant à la cou
au rachitisme. Parfois, les hystériques présentent une déviation du
tronc
qui ressemble un peu à celle de la sciatique et
avec la coxalgie qui, de son côté, amène sou- vent une déviation du
tronc
. La comparaison des attitudes vicieuses, produi
d'affections, présente donc un plus grand intérêt. L'inclinaison du
tronc
dans la coxalgie se fait généra- lement du côté
iatique; mais, en même temps, il se fait, parfois, une torsion du
tronc
en sens inverse, en vertu de laquelle le rebord
e qui s'observe dans la sciatique. D'autres fois, la déformation du
tronc
est en tout semblable à celle de sciatique; mai
se mettre rigides comme des barres, en flexion à angle droit sur le
tronc
. ' . En somme, il semble que, à part l'acte du
ient de plus en plus forte, tandis que l'extension compensatrice du
tronc
devient de plus en plus pro- noncée. Jamais il
malade se baisse, les cuisses se fléchissent sur les jambes, et le
tronc
se fléchit sur le bassin, la tête éprouve, par
le tronc se fléchit sur le bassin, la tête éprouve, par rapport au
tronc
, un mouvement de flexion et de rotation, et les
ce sans pouvoir avancer, les jambes fléchissent puis s'étendent, le
tronc
se porte en avant, puis en arrière; on entend l
léchit à chaque pas sur les genoux comme si elle allait tomber, son
tronc
est en même temps projeté en arrière puis en av
à la main. La fonction sudorale du côté gauche du corps et sur le
tronc
semble normale. Le malade remarque que depuis p
montre que celle-ci est intacte dans tous ses modes, à la face, au
tronc
et aux membres inférieurs. Mais il n'en est pas
a été signalée dans les anévrysmes de la crosse de l'aorte ou du
tronc
brachio-céphalique. Gairdner en a rapporté deux
vertébrale on ne détache qu'avec peine cette plèvre qui comprime le
tronc
du sympathique à sa partie inférieure toutefois
emonte même au-dessus de lui, au niveau du reflet de laplè- vre. Le
tronc
du sympathique cervical est sain; le ganglion cer
n trouve dans le ganglion cervical inférieur du côté malade. - Le
tronc
du nerf est également normal. En résumé, prolifér
en marche, il s'avance sans trop d'hésita- tion les bras écartés du
tronc
, le dos arrondi et avec une sorte de balancemen
rovoquait une attaque convulsive.-Les mouvements limités d'abord au
tronc
, qui paraissait par des efforts de torsion fuir
nsion ascendante et symétrique de la zone sensible qui s'étendit au
tronc
et aux mem- bres. La tête resta toujours insens
, afin de rechercher s'il n'existe pas à la partie posté- rieure du
tronc
quelque zone hystérogène, nous remarquons que l
aux, des deltoïdes, des biceps, des grands dentelés, des muscles du
tronc
, du cou, de l'épaule. Quand il les contracte, on
rieurs, des mains, des avant-bras, mais moins accentué que celui du
tronc
et des extré- mités supérieures. Aucune anomali
resthésie et émaciation des membres inférieurs, légères douleurs du
tronc
et des extrémités supérieures. En juin, hypéral
. Les muscles des membres inférieurs et les autres muscles plats du
tronc
, à l'exception de ceux cités plus haut, ne prés
et se mettent convulsivement en demi- flexion à angle droit avec le
tronc
. Enfin, dans une autre forme, la station et la
; à chacune de ces flexions des membres corres- pond une flexion du
tronc
sur le bassin et, aussitôt après, un mouvement
t semblables; il y a même flexion de la cuisse sur la jambe et du
tronc
en avant, suivis de redressement ayant lieu à c
natives de flexion et de redressement des membres inférieurs et du
tronc
; le saut que présente le malade d'Erlenmeyer,
ctérique; elle vacille, ses genoux fléchissent et en même temps son
tronc
s'incline en avant et se redresse d'une façon e
thermie hypéridrose et myosis que l'on a affaire à une paralysie du
tronc
du sympathique cer- vical. Mais comment expli
pupillaire peut être, à la vérité, pro- duite par une excitation du
tronc
du sympathique cervical. Toutefois, dans les no
qu'une excitation portant sur les fibres sudorales et iriennes du
tronc
nerveux ne porte pas également sur les fibres v
nerveux ne porte pas également sur les fibres vaso-motrices du même
tronc
. Or, l'excitation de ces dernières déterminerai
tuellement du moins, de chercher à expliquer, par une excitation du
tronc
du grand sympathique cervical, les symptômes qu
fibres homologues des deux derniers groupes, remon- tent le long du
tronc
du sympathique cervical. Quant aux fibres vaso-
nt des 2e, 3% 4% 5e paires thoraciques, puis se mélangent dans le
tronc
du sympathique avec les fibres irido- dilatatri
-mydriase-éphidrose serait le fait d'une lésion irritative, soit du
tronc
du sympa- thique csrvical (expériences de Lucks
ui ont été signalées en l'absence de toute lésion correspondante du
tronc
du nerf, que faut-il en penser ? Nous avons v
éré, pour conclure, que des lésions de l'encéphale de la moelle, du
tronc
et des ganglions du grand sympathique cervical
ugit, la contracture devient générale; le cou est en extension ; le
tronc
raidi se dresse à moitié; les membres supérieur
côté opposé, se généralisant en outre bientôt à tous les muscles du
tronc
qui devenaient rigides. Mais, avons-nous dit, d
nsion ascendante et symé- trique delazone sensible qui s'étendit au
tronc
et aux membres. La tête resta toujours insensib
faudrait-il appliquer des topi- ques chauds ou des révulsifs sur le
tronc
ou sur les membres 'si la circulation ou la res
ÉNAT. 314 réformes de la psychiatrie parce que la médecine interne,
tronc
commun de toutes les connaissances pathologique
avec ses doigts. - Circulation, rien de particulier. Musculature du
tronc
et de l'abdomen bien développée. Organes géni
s. - Attitude. Corps incliné en avant, les bras un peu écartés du
tronc
, les avant-bras à angle droit transversalement. '
s fibres, il ne peut guère y avoir qu'une lésion fasciculée de leur
tronc
au niveau de l'entrecroisement connu sous le nom
bre, il dut s'aliter; il était comme paralysé aux quatre membres, au
tronc
et à la face. La moindre pression, exercée sur
encore les mouvements qui nécessitent la contraction des muscles du
tronc
et du cou s'exécutaient sans vigueur. La figure
it des douleurs très vives. Le moindre ti- raillement, imprimé à un
tronc
nerveux, arrachait des cris au malade ; le NOU,
iner des contractions fibrillaires. Les mouvements d'extension du
tronc
se font bien. D'ailleurs, les mus- cles du tron
nts d'extension du tronc se font bien. D'ailleurs, les mus- cles du
tronc
et des épaules sont normaux. De même, les mouveme
faiblesse des membres. La paralysie s'était étendue aux muscles du
tronc
et à ceux de la face. Le ma- lade n'éprouvait p
lade, elle subsistait dans toute l'étendue des quatre membres et du
tronc
, avec son caractère de parésie, de paralysie mo
trois semaines à se généraliser, à envahir les quatre membres et le
tronc
. Presque toujours, elle reste incomplète, en ce
sculaires du malade, le moindre tiraillement auquel on exposait ses
troncs
nerveux et en particulier le sciatique (signe de
sie avait atteint son maximum d'intensité, aux quatre membres et au
tronc
, les réactions galvaniques et faradiques étaient,
out à fait normale. supérieurs). Pas de troubles ob- jectifs. Les
troncs
nerveux ne sont pas sensibles à la près-, s
s. Les troncs nerveux ne sont pas sensibles à la près-, sion.
Tronc
. La musculature Idem. Idem. du tronc (dos, poi-
ensibles à la près-, sion. Tronc. La musculature Idem. Idem. du
tronc
(dos, poi- trine, abdomen) est normale. Pas d
mations de la . colonne vertébale. Réflexes. Tous les réflexes du
tronc
, de même que des organes pel- viens sont normau
a locomotion, dans le fonc- tionnement des memhres supérieurs et du
tronc
; il pouvait sans difficulté courir, jouer avec
ne fléchit l'avant-bras sur le bras qu'au prix d'un grand effort du
tronc
et de l'épaule et d'une sorte de mou- vement de
s déjà ces troubles de la marche s'accentuaient progressivement; le
tronc
avait une tendance il se cambrer; les jambes re
r que le trou- ble initial d'où procède la trophonévrose occupe tel
tronc
nerveux ou telle racine. Enfin j'espère vous
ubles des étages ou myélomères. I. Les trophonévroses cutanées du
tronc
, celles du thorax en parti- culier, sont évidem
t en départements superposés et transversaux par rapport à l'axe du
tronc
et des membres, il faut admettre - et la cliniq
t les trophonévroses liées aux névrites des racines spinales ou des
troncs
nerveux ; - 3° La sclérodermie en plaques qui,
ulaires sont limitées il des tranches ou segments cylindri- ques du
tronc
, de la tête et des membres. Si le système nerveux
nes où la dermopathie s'arrête ou com- mence ; aux membres comme au
tronc
, ces limites sont mathématiquement perpendicula
irconférence dont le plan est exactement perpendiculaire à l'axe du
tronc
. Cette limite n'a rien que puissent faire prévo
'un membre bien constitué. Le membre droit est tombant, appliqué au
tronc
en pronation marquée, tandis que le gauche a la
Ceux qu'on peut ob- tenir sont dus il un mouvement de latéralité du
tronc
qui vient buter contre le bras et le coude et i
ès sur le cubitus ; nulle sur les os de la main. 1 Le pincement des
troncs
nerveux se traduit par une hyperalgésie encore pl
lieu du bras est douloureuse, ainsi que la pression exercée sur son
tronc
au pli du coude et au niveau du poignet. La pré
hancrure coracoïdienne, du nerf circonflexe derrière l'humérus, des
troncs
radiculaires en dehors des scalènes détermine u
range : traits mo- biles, grande volubilité, mouvements brusques du
tronc
, des membres infé- rieurs. Lorsqu'on lui serre
tend fortement. Quelle peut être l'action de cette luxation sur les
troncs
nerveux du voisinage ? Certains auteurs ont déc
sion directe qu'on admettait seule jusqu'ici), par l'élongation des
troncs
, élongation en vertu de laquelle sont redressées
niveau de l'articulation a dû s'exercer particulière- ment sur les
troncs
nerveux les plus rapprochés de la tète articulair
pression ou la propagation de l'inflammation articulaire aux autres
troncs
nerveux n'est guère possible. Les nerfs médian,
t de l'ac- cident le bras étant brusquement porté en abduction, les
troncs
du plexus (1) Archives de médecine et de chirur
mais encore tendues et lorsque le coude est suffisamment écarté du
tronc
ou même placé dans la position verticale la 8e
é est intacte sous tous ses modes. Mais la pression exercée sur les
troncs
nerveux en dehors des scalènes pour les branche
nt d'élévation exagérée, au 3e temps, entraîner un tiraillement des
troncs
nerveux, tirer en bas et en dehors les o°, G", 7e
douleurs et leur irradiation dans les doigts pendant deux mois, le
tronc
du radial ne parait pas avoir été englobé dans le
e les écrasements par une roue de charrette par exemple, les autres
troncs
nerveux (médian et cubital) ne peuvent être att
nous venons d'examiner, ceux du bras et de l'épaule en blessant les
troncs
nerveux expliqueraient les lé- sions des nerfs
a même. Elle est très 128 J SABRAZÈS ET L. MARTY vive le long des
troncs
nerveux accessibles au doigt (circonflexe, radial
ulo-médullaires par élongation, les tiraillements que subissent les
troncs
nerveux dans la région de l'épaule, siège de la l
rs de l'atrophie sont la compression et l'élonga- tion exagérée des
troncs
nerveux et des racines jusque dans leur trajet
nerveuse du membre malade. Déplus l'élongation et l'ébranlement des
troncs
nerveux et radiculaires sont susceptibles de re
ornes postérieures. C'est ce prolongement efférent qui constitue le
tronc
labyrinthique proprement dit. En d'autres termes,
nerf cochléaire, devenu énorme, occupe la plus grande place dans le
tronc
labyrinthique, et que la fonction cochléaire, l
périphé- riques, d'une part le nerf cochléaire, et d'autre part le
tronc
vestibulaire qui renferme les trois nerfs ampul
le trou auriculaire les deux systèmes de fibres sont accolés, et le
tronc
cochléaire reste toujours distinct du vestibulair
à-dire le ganglion auricu- laire deScarpa-Corti, et les branches du
tronc
labyrinthique. Nous pouvons donc admettre a pri
bérance et du bulbe auxquels aboutissent les fibres centripètes du
tronc
labyrinthique émettent sans doute vers les cent
sclérose y était donc apparente dans les racines intra-bulbaires du
tronc
vestibulaire. De même, Ilahermann a observé, ch
dans le tabès ; et pour cette grosse racine postérieure qui est le
tronc
labyrinthique, on en sait plus, au point de vue a
que dans la surdité d'origine périphérique sans lésion primitive du
tronc
nerveux, l'atrophie est loin d'avoir cette allure
re d'autre part le mot segment au terme membre. La tête, le cou, le
tronc
ne sont pas des membres, ce sont des segments du
dans la symptomatologie du tabès, en l'attri- buant à la lésion des
troncs
ampullaires du nerf ]ibyi-iiiiiiique. Il est tout
ameaux afférents du ganglion de Scarpa, de ses rameaux eflerents ou
tronc
vesti- bulaire, des fibres intrabulbaires de ce
eflerents ou tronc vesti- bulaire, des fibres intrabulbaires de ce
tronc
, des noyaux étalés sous le plancher du quatrièm
scapulum, quand le bras au repos tombe naturellement sur le côté du
tronc
, et au sujet de la hauteur à laquelle peut s'élev
e, dans la station debout, le bras pendant naturellement le long du
tronc
? L'élévation volontaire du bras peut-elle dépa
écuter ce mouvement, il a soin, il est vrai, d'in- cliner un peu le
tronc
du côté opposé, ce qui fait que le bras paraît pl
bres du scalène postérieur avant de se réunir; quelquefois même, le
tronc
du nerf lui- même traverserait les fibres muscu
Sur l'attitude du scapulum, lorsque le bras pend inerte le long du
tronc
; 2° Sur l'élévation possible du bras au delà d
nt le repos musculaire et lorsque les bras tombent sur les côtés du
tronc
, à moins toutefois que les deux tiers inférieurs
89 et 190, lorsqu'ils laissaient pen- dre leurs bras sur le côté du
tronc
. » « Je démontrerai plus loin qu'il existe un s
able de l'épaule, lorsque le bras pend naturellement sur le côté du
tronc
. Lewinski (1), dans une intéressante critique,
ie isolée du grand dentelé, lorsque le bras est au repos le long du
tronc
, il y a un déplacement duscapulum. Ce déplace
nce « le bras s'élevait verticalement avec une telle énergie que le
tronc
en était rejeté violemment du côté op- posé, au
portant en son centre un point brunâtre. Une autre à gauche. Sur le
tronc
, larges taches blanches entourées d'une auréole p
nservée. Les mouvements d'écartement et de rapprochement du bras du
tronc
sont assez bien consenés. L'examen de la moitié
s des nerfs intra-mnsculaires, peu considérable. - b) Lésions des
troncs
nerveux de l'avant-bras et de la jambe consistant
rose légère, bien nette seulement sur le nerf péronier. c) Les gros
troncs
nerveux, tels que le sciatique, sont normaux. : 3
e hypertrophie énorme a respecté la face et la partie supérieure du
tronc
. Et à part deux masses lipomateuses appendues à
varices chez la femme enceinte s'explique par la com- pression des
troncs
veineux iliaques. Personne n'a jamais infirmé une
pas au cours d'une première grossesse, alors que la compression des
troncs
iliaques doit être à son maximum, la sangle abd
ortement fléchi et que l'utérus pend en besace, dégageant ainsi les
troncs
iliaques. La dégénérescence variqueuse s'aggrave
lades se plaignent d'un poids dans l'hypochondre; les mouvements du
tronc
sont gênés et il existe un profond dégoût pour
le malade, on est frappé du contraste qui existe entre l'aspect du
tronc
, puissant, bien développé, entre l'aspect des c
ofondes, viscérales, musculaires, articulaires, osseuseset même des
troncs
nerveux. Nous trouvons enfin altérées dans les
it ; hypoesthésie périmalléolaire à droite; hyperesthésie à tout le
tronc
avec exagération plus prononcée dans la région
face externe de la jambe. Hyperesthésie, au froid, occupant tout le
tronc
et s'arrêtant aux fesses. Retard de la percepti
ieure. Anesthésie aux membres inférieurs, mon- tant à gauche sur le
tronc
dans la ligne mamillaire ; elle rejoint dans l'ai
ras gauche et au-dessus du genou gauche. Hyperalgésie à la tête, au
tronc
, aux membres supérieurs, et à la cuisse gauche da
e postérieure. Analgésie aux deux faces plantaires ; hypoalgésie au
tronc
dans le même territoire que l'anesthésie. Hyperal
territoire que l'anesthésie. Hyperalgésie à la tête, aux bras et au
tronc
. Il[. Température. - A. Face antérieure. - Ther
ambe droite. B. Face postérieure. - Thermo-hyperesthésie il tout le
tronc
, à la tête, aux bras. Hyperesthésie à la chaleu
ace postérieure. Hyperesthésie à la chaleur dans toute l'étendue du
tronc
et jusqu'à une ligue passant par le milieu des de
pouce des 2 côtés est impossible. L'abduction également. Muscles du
tronc
: les grands dentelés sont très atrophiés, surtou
lés sont très atrophiés, surtout à droite où l'omoplate s'écarte du
tronc
. Les apophyses épineuses sont saillantes, espaces
nstate clans tous les muscles, surtout dans ceux de la cuisse et du
tronc
, une série d'ondulations et de frémissements mu
ut soulever le bras même au niveau de l'horizontale, il l'écarte du
tronc
à peine de 20 centimètres. La résistance aux mouv
cipital aux épaules. L'omoplate gauche est complètement détachée du
tronc
, l'angle inférieur re- levé est attiré en dedan
ns. L'atrophie est beaucoup moins marquée à la partie inférieure du
tronc
et aux membres inférieurs (fig. H). , Circonf
ct gélatineux. Les muscles périscapulaires manquent. Les muscles du
tronc
, thorax, abdo- men et bassin, ceux du cou, ceux
précédente. Un jeune homme (1), âgé de 20 ans, occupé il fendre un
tronc
d'arbre, reçoit à la partie antérieure de la ja
69, supé- rieure par conséquent de 12 centimètres à la taille. Au
tronc
nous constatons une cyphose très prononcée s'éten
ieure. - Anesthésie jusqu'à la ceinture, remontant du côté droit du
tronc
jusqu'à l'aisselle. Le tact est perçu très faible
e externe des cuisses et à la main droite ; hyperesthésie à tout le
tronc
. Au froid, hyperesthésie dans les régions axillai
ervée dans tous les seg- ments de membres comme dans les muscles du
tronc
: le dynamomètre donne à gauche 31 kilogr. et 3
ablement diminuée sur toute la moitié droite du corps : tête, bras,
tronc
et jambe. C'était une hémi-hypoesthésie nettement
voit des jeunes gens qui poussent tout en jambes, d'autres tout en
tronc
, on en voit chez qui la charpente osseuse semble
rouve pas de fatigue elle marche sans boiter. La jambe droite, le
tronc
, les bras, la face, sont entièrement respectés;
trême à les placer au niveau de la tête ; le bras peut être écarté du
tronc
d'un angle de 70° ; la flexion de l'avant-bras
rose généralisée. Troubles de la circulation dans le cervelet et le
tronc
cérébral. Traitements Régime lacté mitigé. Iodu
sur l'artère vertébrale gauche à l'endroit où elle se jette dans le
tronc
basilaire (Fig. 1). Le sac anévrysmal dont les pa
, on voit l'artère cérébelleuse moyenne, qui naît habituellement du
tronc
basilaire au milieu du pont, se détacher de l'ext
aire au milieu du pont, se détacher de l'extrémité antérieure de ce
tronc
, à droite et à gauche de l'artère cérébelleuse su
ussi dilatées, mais à un moindre degré qu'à gau- che. Cervelet et
tronc
cérébral. L'hémisphère droit du cervelet est parf
dran- gulaire. Le vermis est aussi totalement nécrosé. La hase du
tronc
cérébral présente de même une atrophie prononcée
ces régions des endroits ramollis, de consistance amoindrie. ' Le
tronc
cérébral fut. séparé des hémisphères cérébraux au
vés dans l'alcool avant d'être coupés. Examen microscopique. - Le
tronc
cérébral avec le cervelet et la protubé- rance
ME ET C. MONAKOW min donna des résultats très satisfaisants dans le
tronc
cérébral, moins bons pour les couches optiques,
sont placés latéralement, n'étaient pas comprimés à leur sortie du
tronc
cérébral (PI. 111). La substance grise du pont
ifications produites par la compression de l'anévrysme à la hase du
tronc
cérébral sont de telle nature que les restes du
parurent des tumeurs moliuscoïdes et des taches pigmentaires sur le
tronc
et sur l'abdomen. Enfin un peu plus tardivement
à gauche existe une cicatrice d'excision. Rien aux pieds. Sur le
tronc
ces petites tumeurs sont extrêmement nombreuses s
e dissection a permis de constater les faits suivants : Les- gros
troncs
nerveux (cubital, radial, médian, sciatique, crur
re ne présentent aucune anomalie morphologique ap- parente. % Les
troncs
superficiels sous-cutanés, les rameaux secondaire
présentent rien de particulier. Si l'on prend isolément un petit
tronc
nerveux, par exemple à la cuisse un rameau sous
QUES. Nerfs. L'étude des nerfs a été faite sur un certain nombre de
troncs
ner- veux et en plusieurs points de ces troncs
un certain nombre de troncs ner- veux et en plusieurs points de ces
troncs
(sciatique, brachial cutané interne, génito-cru
) Mnsson & Ci, Editeurs neurofibromatose généralisée 33 Les
troncs
nerveux en apparence normaux ou les portions des
isée 33 Les troncs nerveux en apparence normaux ou les portions des
troncs
nerveux intermédiaires à deux neurofibromes ne
gique permet de reconnaître. Sur une même cou- pe transversale d'un
tronc
nerveux non déformé comme le sciatique par exem-
it l'ordonnance des nodules fusiformes développés sur le trajet des
troncs
nerveux. Le nodule est constitué par la réunion
ble éruption qui en quinze jours envahit successivement la tète, le
tronc
et le ventre et plus tardivement les membres. C
la tuméfaction inguinale. Il s'agissait, vraisem- blablement, d'un
tronc
lymphatique dont les parois étaient hypertrophiée
descend, le long de la face interne des cuisses, un cordon induré (
tronc
lymphatique très probablement). Dans ces différ
Ù la piqûre, au chaud, au Jroid; nulle part d'anesthésie ni sur le
tronc
, ni sur les membres.' Il n'y a pas de points ll
sthé- sie généralisée de la peau surtout accentuée aux jambes et au
tronc
. La malade ,ainsi qu'il a été dit, a l'aspect d
t elle conserve tous les mouvements des bras, des jambes et même du
tronc
, mais la force en est diminuée. Elle se sert tou-
ent de la vue. Deux ans après, à 51 ans, inclinaison progressive du
tronc
à droite, puis, une nuit, effondrement brusque
e nuit : il s'était aperçu cependant depuis quel- que temps que son
tronc
s'inclinait de plus en plus à droite. L'année sui
ue. A 27 ans, crises de douleurs fulgurantes dans les membres et le
tronc
; douleurs en ceinture. A 29 ans, troubles vésicau
près, en 1887. Amaigrissement extrême de la face, des membres et du
tronc
. Marche de plus en plus difficile. Quelques doul
t quelques dou- leurs fulgurantes dans les membres supérieurs et le
tronc
. , Deux ans après l'apparition des premières do
male du teint est surtout apparent au niveau des muscles du cou, du
tronc
, dans les membres supérieurs et inférieurs. Les m
cette dernière position, elle est obligée de fléchir forte- ment le
tronc
sur les membres inférieurs. Le corps fait ainsi u
te des 4 membres avec atrophie musculaire, douleurs la pression des
troncs
nerveux mais sans trou- bles objectifs de la se
uscles ex- ternes de l'oeil (nystagmus paralytique), des muscles du
tronc
et du facial gau- che. Hyperesthésie intense de
s muscles du tronc et du facial gau- che. Hyperesthésie intense des
troncs
nerveux et des masses musculaires. Pas de troub
14 fé- vrier, douleurs dans les épaules avec parésie des muscles du
tronc
et des épaules ; atrophie musculaire de ces der
stérieures, en un point très- limité, situé entre la bifurcation du
tronc
basilaire et la communicante postérieure. Or c'
lière pour porter en avant la jambe paralysée ; elleporte d'abord le
tronc
du côté opposé il la paralysie et appuie tout l
t le parcours du pas antérieur la jambe malade étant oscillante, le
tronc
reste droit et il n'y a qu'à la fin de ce pas q
e d'une façon manifeste, la jambe oscillante malade est étendue, le
tronc
fortement incliné du côté de la jambe portante et
(Jambe normale oscillante). UN CAS D'HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE l8l le
tronc
commence à se pencher en avant, mouvement qui arr
e la jambe malade était oscillante, qu'au moment de la verticale le
tronc
était forte- ment penché de côté, par contre, l
a jambe normale l'est devenue - son tour, l'inclinaison latérale du
tronc
du côté de.la jambe portante ne semble pas être
Ceteffort se tra- duit au commencement par une forte inclinaison du
tronc
en avant, il la- quelle s'ajoute progressive pe
uée. Depuis le commencement de l'oscillation de la jambe normale le
tronc
commence à se pencher en avant,mouvement qui ar
e la jambe malade était oscillante, qu'au moment de la verticale le
tronc
était fortement penché décote ; par contre lors
a jambe normale l'est devenue à son tour, l'inclinaison latérale du
tronc
du côté de la jambe portante ne semble pas être s
iphérie on constate presque toujours la présence de ganglions ou de
troncs
lymphatiques hypertrophiés : de plus, l'adéno-lym
ètre, la droite donne 40. Le coude gauche est fléchi et écarté du
tronc
, le poignet est en flexion sur l'avant-bras, le
est très forte; le membre atteint est pour ainsi dire transformé en
tronc
rigide; ce qui n'est pas le cas ici. Pour toute
s de circonférence au niveau de l'os hy- oïde, mais il s'élargit en
tronc
de cône à sa partie inférieure et mesure cinqua
vec les mains ; de temps en temps elle souffre dans les bras, dans le
tronc
, mais sans éprouver de douleurs en ceinture. Pa
nou. Ataxie confir- mée. Mouvements convulsifs des extrémités et du
tronc
. Déformation accentuée de la colonne vertébrale
s manifestations d'excitabilité dans la muscula- ture du bras et du
tronc
. De temps en temps, le corps est agité convulsive
sses atteignent de préférence les bras et la partie supé- rieure du
tronc
, quelquefois le tronc tout entier, plus rarement
férence les bras et la partie supé- rieure du tronc, quelquefois le
tronc
tout entier, plus rarement les jambes. La durée
l'odorat. L'ouïe est intacte. Sensibilité cutanée des membres et du
tronc
normale au contact. Hyperes- thésie au chaud et
larités fournies il la seule inspection du dessin (Voir fig. 7). Le
tronc
de la malade, très amaigri, permet de voir très n
e à l'hôpital le 17 octobre 1898. Cet amaigrissement siège sur le
tronc
, sur les membres, mais il est particu- lièremen
e lordose sacro-lombaire inférieure de peu d'étendue. La flexion du
tronc
au contraire peut s'exagérer. Dans les mouvements
ouvements ne s'accompagne de craquement articulaire. Les muscles du
tronc
atrophiés sont dans le relâchement le plus comple
opathie vertébrale. Craquements articulaires dans les mouvements du
tronc
. Déviation vertébrale à la suite. Signes éviden
s ou provoquées . Correction des déviations dans le redressement du
tronc
. Mouvements d'extension exagérée seuls abolis.
complète à partir de ce moment. Quelques douleurs constrictives du
tronc
font leur apparition. Dès le début des crises g
e malade est couché à plat ventre, ou encore lorsqu'on maintient le
tronc
en soulevant le malade Fig. 8. - Obs. X (Abadie
e vertébrale absolument im- mobile. Pas d'autres arthropathies du
tronc
ou des membres. Mort six ans après. Pas d'autop
est relevée, l'épaule°droite est tombante, le bras droit écarté du
tronc
, immobile, en ba- lancier. Le cou disparaît, la
physes épineuses des vertèbres correspondantes sont épais- sies. Le
tronc
paraît raccourci, par rapport aux membres inférie
A 40 ans, premières douleurs fulgurantes. A 50 ans, inclinaison du
tronc
en avant, apparition d'une cyphose dorsale au d
s fulgurantes, siégeant principalement aux membres inférieurs et au
tronc
. Il y a sept ans, le malade fut atteint d'un ma
pharyngien est aboli. Il n'existe pas d'amaigrissement du cou ou du
tronc
. Pas d'analgésie tra- chéale à la pression. A c
ore des douleurs il type fulgurant qui sillonnent les membres et le
tronc
. Ces douleurs laissent quelquefois comme trace de
quer son attitude penchée en avant, et le défaut de redressement du
tronc
. Les mouvements vertébraux devenaient en effet
n, il peut cependant s'y maintenir facilement. Le plan antérieur du
tronc
semble s'enfoncer davantage. La palpation abdomi-
entre; il repose alors uniquement par ses épaules et son bassin, le
tronc
forme un vé- ritable pont, la voussure dorsale
les épaules sont ramenées vers la poitrine. La partie inférieure du
tronc
offre une direction inverse et fait avec le seg-
sur toute sa hauteur : tous les efforts du malade pour mouvoir son
tronc
sont vains. Dans le mouvement de flexion, il fléc
bres dorsales et lombaires, inuti- lement d'ailleurs. La flexion du
tronc
s'exécute uniquement sur les lombes et le bassi
nclinaison latérale, de torsion des vertèbres sont impossibles : le
tronc
se meut incomplè- tement dans le sens latéral s
s membres inférieurs : elle s'exécute, le corps penché en avant, le
tronc
voûté et soudé, à la façon du début de la paralys
lle pour s'appuyer et se diriger. La marche est très incertaine, le
tronc
oscille constamment et tend à tout moment, à se p
s jambes ; à' peine ubserve-t-on quelques fai- bles oscillations du
tronc
; de même pendant la marche ; la suppression du c
ce mouvement provoque des oscillations de grande amplitude dans le
tronc
et les membres inférieurs. Assis sur un tabou
33 centimètres. Il se produit notamment des petites oscillations du
tronc
et le malade semble faire assez d'efforts pour
les oscillations augmentent d'amplitude, et la partie supérieure du
tronc
oscille d'avant en arrière 4 ou 5 fois de suite,
illations sont plus nombreuses et plus amples, elles envahissent le
tronc
, puis les mem- bres inférieurs ; ce sont des pe
beaucoup de peine, et après s'être relevé, la partie supérieure du
tronc
oscille d'avant en arrière autour d'un axe transv
vant, ni en arrière, mais avant de rester complètement immobile, le
tronc
décrit deux ou trois gran- des oscillations ant
te, mais il le fait avec une grande maladresse, les oscillations du
tronc
augmentent et l'incertitude est tellement grand
nt plus grandes; il festonne davantage, les déviations latérales du
tronc
sont plus larges ; la coordination des mouvements
sion détermine de grandes oscillations de l'extrémité supérieure du
tronc
, ce sont des mouvements rapides de flexion et d
de la tête et du cou, ou même pendant l'exécution des mouvements du
tronc
. L'expression générale de la physionomie est la
es bras et des jambes, le tremblement de la tête, les oscillations du
tronc
pendant la station debout, l'absence de signe d
faciale, elle est très certainement causée par des altéra- tions du
tronc
nerveux au niveau du rocher dans le canal de Fall
niveau de l'épaule il y avait une transition lente avec le reste du
tronc
, le gonflement ne dépas- sait pas en avant ni e
ou se désha- biller. Au repos le membre pend légèrement écarté du
tronc
, l'avant-bras demi- fléchi à lt5 centimètres en
pendant ce temps ses bras sont étendus, raides, un peu écar- tés du
tronc
, les mains largement ouvertes, les doigts séparés
alade peut encore, sans perdre l'équilibre, redresser légèrement le
tronc
en fléchissant les jambes sur la cuisse]; il tend
nt à peine remarqué la voussure de leur dos, l'attitude vicieuse du
tronc
, la perte de souplesse des mouvements du rachis
Aussitôt se montrent une déformation du rachis,'une inclinaison du
tronc
, qui vont s'exagérant par la suite, sans gêner
le. Ces troubles se traduisaient par une inclinaison progressive du
tronc
dans le sens tantôt latéral, tantôt antéro-post
obuleux, une projection du sternum en avant, un raccourcissement du
tronc
. Chez les uns comme chez les autres, l'é- chanc
efois artificiellement, si l'on prend soin par exemple de placer le
tronc
en bonne position ; elles peuvent même disparaîtr
ute la hauteur de la colonne vertébrale et les malades meuvent leur
tronc
d'une seule pièce (obs. XI et XII). Par entraîn
et XII). Par entraînemenl, ils immobilisent la tête sur le cou, le
tronc
sur le bassin et ils vont désormais à la façon
si constantes du squelette dé- truisent les proportions normales du
tronc
et donnent au malade un as- pect particulier. L
nt, si penché quelquefois qu'il parait courbé en deux (obs. I) ; le
tronc
fait à peine un angle de 45° avec le plan horiz
lus profondément dans le bassin, et parait s'articuler avec lui, le
tronc
s'incurve davantage mais reste ce- pendant dans
Telles sont enfin les compres- sions des racines rachidiennes, des
troncs
nerveux, de la moelle. Les symptômes habituels
riodes. A la période de début, appartiennent l'altitude vicieuse du
tronc
, son inclinaison en avant ou par côté, la perte
roenig : dans l'impossibilité de se tenir debout, de sou- tenir son
tronc
et de marcher, ce malade se soumit à -un traiteme
de la substance blanche sous-corticale de la capsule interne et du
tronc
cérébral nous donne la possibilité de nous assure
parties sus-indiquées vers la moelle épinière.En ce qui concerne le
tronc
céré- bral, il faut dire, qu'outre la dégénéres
granuleux. Sur toutes les coupes examinées, prises de la partie du
tronc
cérébral, les cel- lules nerveuses sont remplie
voies pyra- midales qui va de l'écorce cérébrale et descend par le
tronc
cérébral dans la moelle épinière. Elle n'est pa
ire et graisseuse des cellules corticales des cellules nerveuses du
tronc
cérébral de la moelle épinière, la dégénérescen
bserver dans l'écorce cérébrale, de même que sur toute l'étendue du
tronc
cérébral et de la moelle épinière. La dégénéres
ssidus, impliquent la nécessité de mouvements étendus ou répétés du
tronc
, d'at- titudes vicieuses longtemps prolongées.
rale est consolidée, mais, pour remédiera la lésion et assu- rer au
tronc
une statique suffisante, elle va s'infléchir en c
l'incurvation du rachis, de la perte de souplesse des mouvements du
tronc
, il est subitement de- venu bossu, à la suite d
cture des muscles extenseurs fléchisseurs ou Jatéro-fléchisseurs du
tronc
. Enfin il faut connaître la cyphose cervico-dorsa
antérieur gauche et ce, pendant un mouvement de flexion de la tête du
tronc
d'inclinaison vers la gauche.... » \ Observ
ci-dessous.) - Sensibilité cutanée. - Hémianalgésie gauche pour le
tronc
et les membres ; la tête est épargnée. Les sens
e. La sensibilité thermique au chaud et au froid,est intacte sur le
tronc
et les cuisses, diminuée notablement sur la jam
faible que la droite. Pendant cette période également, le bras, le
tronc
du côté droit et la moitié droite de la face étai
nchée en avant et un peu inclinée à gauche; la partie supérieure du
tronc
est elle-même notablement inclinée à gauche; l'
DE MORVAN. 13 Les muscles de l'avant-bras, du bras, de l'épaule, du
tronc
, du membre inférieur droit ne sont pas atrophié
inférieur concordant, il est vrai, avec l'arrêt de développement du
tronc
et des membres, mais formant un contraste absol
tions pendu- laires qui l'écartent et le rapprochent tour à tour du
tronc
; aux mou- vements pendulaires de la totalité du
ler le malade, on -peut constater que les muscles des membres et du
tronc
sont animés de petites èontractions fibrillaire
lade. Il marchait les jambes écartées, avec un léger balancement du
tronc
causé par le fléchissement alternatif des membr
plus intéressants. En général les satyres sont représentés avec un
tronc
postérieur entier d'animal, bouc ou cheval ; le
lternativement dans l'une et l'autre cuisse. De la déformation du
tronc
résulte un abaissement progressif de la taille
les muscles sacro- lombaires n'agiraient plus, se met en marche, le
tronc
absolument rigide, les mouvements de la marche
NOSE VERTÉBRALE. 77 les membres inférieurs, sans que les muscles du
tronc
y prennent part en rien. Les pas sont courts, r
ns de temps possible. Cette absence de participation des muscles du
tronc
aux mouvements de la marche lui donne l'air de
du bassin en avant résulte une déformation de la face antérieure du
tronc
, que l'on remarque en examinant la malade de fa
s formes de cette malade la note ci-dessous : « La déformation du
tronc
dont est atteinte cette malade est carac- téris
rfaite- ment perçus dans toute l'étendue de la moitié inférieure du
tronc
et les membres inférieurs. On provoque une do
ne pouvait ni se baisser ni se redresser, parfois même il marchait le
tronc
incliné en avant « comme quand on a un tour de
anesthésie totale du bras droit; anesthésie de la moitié droite du
tronc
, en arrière seulement; rétrécissement concentri
lorsque ses camarades le lui disent. Il progresse à grands pas, le
tronc
penché en avant, les jambes écartées. Il évite
s membres supérieurs sont très parésiés, de même que les muscles du
tronc
. Il y a impossibilité de s'asseoir et de changer
lques douleurs aux membres inférieurs, et à la partie inférieure du
tronc
. La respiration est anxieuse, rapide, dyspnéiqu
es. Elle ne peut pas s'asseoir complètement, de telle sorte que son
tronc
arrive à former un Lavée les jambes. Les réfl
portionnellement plus rapide que celui des membres inférieurs et du
tronc
, car l'envergure est de lm,83, c'est- à-dire dé
ux cortico-nucléaires, ou encore des faisceaux allant des noyaux au
tronc
nerveux basai; rnais une telle ophthalmoplégie s'
nnaîtpas d'exemple d' ophthalmoplégie corticale. Une compression du
tronc
oculo-moteur à la base du crâne n'expliquerait pa
nt resta absolument négatif. Par contre, l'examen des fibres et des
troncs
nerveux périphériques démontra l'existence d'un
nos moyens d'investigation. Par contre, l'examen des fibres et des
troncs
nerveux périphériques démontra l'existence d'un
is très lente- ment augmenté aux pieds et aux mains. Les muscles du
tronc
, des jambes et des bras sont toujours indemnes.
nerveuses. SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE LA DÉFORMATION DU
TRONC
DANS LA SCIATIQUE I Le 5 septembre 188G, M. l
Il s'agissait en effet d'une forme fruste que cette déformation du
tronc
fit soupçonner, rechercher et découvrir. M. B
ongrois qui était venu le con- sulter en 1882 pour une déviation du
tronc
et qui avait eu trois ans auparavant une sciati
met. de Lille), 1SS8. 3. Simon Texier, Déformation particulière du
tronc
causée par la sciatique. Thèse de Paris, 1888.
lbo, Eliologia délia scialica e di una deformadone ]Jtll'licolare del
tronc
cuusala dalla sciatica (G(l ? med. long., Milan
cette atti- tude, ainsi formulée par M. Babinski : Inclinaison du,
tronc
du côté opposé à la sciatique; absence complète
e et citait trois cas de scoliose homologue. Dans ces trois cas, le
tronc
, contrairement à la règle, s'était incliné vers l
t Babinski. Grâce à tous ces travaux, cette déformation spéciale du
tronc
est aujourd'hui chose bien connue. Aussi n'est-
maines après sa rentrée qu'on se serait aperçu de la déformation du
tronc
. Cette déformation se serait accrue peu à peu jus
é o'u'plutôt à cause du hanchement excessif. Cette déformation du
tronc
résiste aux mouvements passifs, si on veut essa
respiration (diaphragmé, viscères thoraciques) parla déformation du
tronc
. ' En dehors de cette sciatique déformante, le
suite le repos; on l'électrise pendant deux mois. La déformation du
tronc
s'atténue peu à peu et enfin s'efface. Au comme
xion a disparu. Si la sciatique n'est pas guérie, la déformation du
tronc
l'est complÓ- tement. La comparaison des planch
te est dans la rectitude physiologique. L'inclinaison latérale du
tronc
du côté sain s'est complètement effacée; c'est
ose avec sa double courbure lombaire et dorsale n'existe plus. Le
tronc
n'est plus fléchi en avant sur le bassin; il est
parallèle à son congénère du côté opposé. Tous les mouvements du
tronc
et du bassin ont retrouvé leur ampli- tude et l
te et à gauche s'exécute dans les limites normales ; l'extension du
tronc
se fait régulièrement. Seule la flexion du tron
s ; l'extension du tronc se fait régulièrement. Seule la flexion du
tronc
en avant, dans la station 40 NOUVELLE ICONOGRAP
s intenses depuis trois mois et déformation depuis cette époque. Le
tronc
est incliné à droite. Le rebord costal droit to
pas démentie depuis. La dévia- Fin. 72. Fin. 73. Déformation du
tronc
dans la sciatique. (D'après un croquis fait par
enir, certaines réserves, même au point de vue de la déformation du
tronc
, la même cause pouvant, à un moment donné, repr
degré de la déviation ? Non assurément. L'étude des déformations du
tronc
dans la sciatique est de date trop récente; et
uérison complète, temporaire sinon permanente, de la déformation du
tronc
. , Nous disons temporaire et non définitive. Il
égatif A. LANDE PHOTOCOLLocnAfHIE CHLNR ET LONGUET DÉFORMATION DU
TRONC
DANS LA SCIATIQUE LECROSNIER & Basé édite
PHIE DR la Salpètrière y T.m,rL.XXXV[ GUÉRISON DE LA DÉFORMATION DU
TRONC
DANS LA SCIATIQUE LECROSNIER & Babé ÉDITE
un mouvement instinctif, dans le seul but d'atténuer la douleur, le
tronc
s'incline du côté opposé à la sciatique, (génér
rs) en vertu d'une contraction muscu- laire des muscles latéraux du
tronc
. Plus tard, sous l'influence de l'ha- bitude, s
ent des muscles, une contracture pour ainsi dire, qui immobilise le
tronc
dans cette attitude vicieuse. A ce moment, l'
n sciatique comporte plusieurs enseignements : 1° La déformation du
tronc
dans la sciatique peut guérir complète- ment, d
muscles, mais d'une façon générale, en diminuant régulièrement, du
tronc
aux extrémités, qui, elles, demeurent atrophiées.
offraient, en somme, le maximum de lésions. Ainsi qu'on l'a vu, les
troncs
nerveux de ce membre, le médian et le cubital,
paspour expliquerl'atrophie. On pourrait supposer, que la lésion du
tronc
nerveux a été intense autrefois, et que l'aspect
e et un aspect normal. Il en est de même des membres supérieurs, du
tronc
, du cou et de la face. Nulle part, on ne trouve
Sciatique (Sur deux cas de guérison complète delà déformation du
tronc
dans la -), par Souques, 230. Suspension (Mod
ons fasciculaires des muscles de l'épaule, 13, 14. Déformation du
tronc
dans la sciatique, 35; guérison de la -, 36.
e (Configuration anormale de la -), 28. Sciatique (Déformation du
tronc
dans la ), ), 72, 73. Sclérose en plaques, 78
ieurs est considérablement exagéré en comparaison de la longueur du
tronc
. Cet allongement des membres inférieurs apparaît
s extrémités inférieures sont plutôt allongées en comparaison avec le
tronc
. Les masses musculaires sont ici encore très pe
it de relever la disproportion qui existe entre le développement du
tronc
et des membres, le faciès imberbe, la voix haut
, les membres supérieurs de notre sujet tombent sans s'approcher du
tronc
, semblant nous montrer par ce fait qu'ils sont
se 21 centimètres, jambe 21 centi- mètres, pied 20 centimètres. *
Tronc
. Quoique moins frappant, le tronc de notre sujet
mètres, pied 20 centimètres. * Tronc. Quoique moins frappant, le
tronc
de notre sujet présente pourtant certaines part
nte pourtant certaines particularités : ce n'est pas tout à fait le
tronc
d'un homme de son âge, La longueur de la fourch
liose avec la convexité du côté gauche, d'où résulte une asymétrie du
tronc
, l'épaule gauche étant plus relevée que la droi
hologique entre ces deux affections : dans le rachitisme, les os du
tronc
et de la tête sont habituelle- UN cas d'achondr
ngs qui frappent par leur brièveté, les os de la tète et surtout du
tronc
étant très peu modifiés et encore cette modificat
is que ses membres sont trop.court; 44 MOLODENKOF relativement au
tronc
, dont les dimensions ne dépassent pas les limites
e normale, Les dents ne représentent riend'arnomal. La hauteur du
tronc
de la fourchette sternale au pubis est de 50 cent
i des verrues dans le pli de l'aine gauche, sur la poitrine, sur le
tronc
, la nuque. Sur la ligne médiane du cou un peu i
omatiquement même quand la malade reste tranquille. Parfois tout le
tronc
saute. La dose de 0,015 de morphine suffisante
e temps en temps des soubresauts automatiques des jambes et même du
tronc
. La dose de 0,025 de morphine ne calme plus lesdo
e supérieur gauche peut être levé légèrement à l'épaule, éloigné du
tronc
et très lentement fléchi au coude. Ces mouvements
nt ac- compagnés des mouvements de la main droite et de la tête. Le
tronc
est immo- bile. La jambe droite immobile absolu
ée aux membres supérieurs (plus sur les doigts), hypoalgésie sur le
tronc
(plus notable du côté gauche) et troubles considé
mique est très atteinte sur les membres inférieurs supérieurs et le
tronc
jusqu'au 11° espace intercostal. Le froid est m
tées et les bras croisés sur la poitrine, si on lui fait fléchir le
tronc
sur le bassin, en lui disant de tenir 1 les jam
1 les jambes droites on observe qu'à un certain moment (lorsque le
tronc
a presque atteint la ligne horizontale ) la jam
assent ii les choses dans un individu normal. I Lorsqu'on fléchit
tronc
sur le bassin, il se fait une distension des Ij
stension des Ij muscles postérieurs de la cuisse et au moment où le
tronc
s'approche de ¡ la ligne horizontale, une contr
bien chez certains malades } au moment de la flexion horizontale du
tronc
, une série de secousses cloni- ques du quadrice
ureusement identique au type Charcol-Marie. Aucune hypertrophie des
troncs
nerveux. - Aucun autre caractère de la névrile
uite qu'elle est plutôt de petite taille : 1 m. 50 à peu près. Le
tronc
est lourd et carré, le dos est voûté. Les membr
ibli. On ne peut relever au toucher aucune trace d'hypertrophie des
troncs
ner- veux. Extrémités inférieures. Ici l'atro
quée, sans toutefois présenter l'inversion nette de la 1). R. Les
troncs
nerveux des bras et des avant-bras sont à peu prè
s de contractions fibrillaires. - Aucune trace d'hyper- trophie des
troncs
nerveux. Intégrité de la sensibilité objective
de la périphérie à la racine des membres. Les masses musculaires du
tronc
sont un peu moins développées que chez sa soeur
st absent. Nulle part l'on ne peut relever trace d'hypertrophie des
troncs
nerveux; de même la palpation sur le trajet des
rmule avec les manifestations les plus certaines de la D, R.. Les
troncs
nerveux des bras et de l'avant-bras sont presque
inué. On ne peut relever au toucher aucune trace d'hypertrophie des
troncs
ner- veux. Les troubles vasomoteurs et trophi
h ne se plaint t jamais de douleurs. La palpation sur le trajet des
troncs
nerveux est complè- tement indolore. L'action
une hypoexcitabilité assez marquée, galvanique et faradique. Les
troncs
nerveux des bras et des avant-bras sont encore ex
ellaires vifs, tandis que les achilléens étaient abolis. Muscles du
tronc
affaiblis, ré- flexes abdominaux abolis, colonn
tri- ceps sont faibles ; les périostaux, abolis ; les mouvements du
tronc
, nuls. La malade se compare à « une pâte », ell
les membres inférieurs et affaiblie dans les supérieurs et tout le
tronc
. 9 septembre. - L'état général devient moins bo
ètement paralysés Réflexes tendineux faibles, périostaux abolis. Le
tronc
reste immobile. Membres inférieurs presque comp
en avant, l'épaule s'élève en même temps et l'omoplate se sépare du
tronc
comme une aile. Les mouvements de ce membre : l
sentir des douleurs, de ce côté, dans le membre supérieur et sur le
tronc
, surtout au niveau des dernières côtes gauches.
surtout du gauche. Il y a une semaine les membres inférieurs et le
tronc
sont devenus faibles à tel point que la malade
a nuque, mais se plaint de fortes douleurs dans la moitié gauche du
tronc
et d'une sensation de serre- ment dans la parti
grand orteil reste le plupart du temps immobile. Les mouvements du
tronc
sont faibles, mais la malade peut quand même se
ent les piqûres sur les bras, au-dessous, ne les sent pas. Sur le
tronc
elle ressent des piqûres jusqu'au 3°espace interc
el degré que la malade ne marchait plus. Douleurs du côté gauche du
tronc
. L'atrophie musculaire dans l'épaule, le bras, l'
s membres inférieurs (douleurs, etc.) et de la partie inférieure du
tronc
étaient sans doute d'origine centrale, c'est-à-
s nos cas une tumeur dans le médiastin. dans les muscles du cou, du
tronc
ou dans la plèvre. L'autopsie de ces cas démont
meurs est surtout dans le médiastin, ou dans les muscles du cou, du
tronc
, dans la cavité abdominale ou enfin dans d'autr
flexes tendineux. La paralysie envahit les membres inférieurs et le
tronc
. Simultanément ou un peu plus tard apparaissent
XIII les masses néoplasiques sortaient de la région cervicale et du
tronc
(de l'angle formé par les IXe et Xe vertèbres d
oelle). Dans le cas de Kollarits, la tumeur poussait des muscles du
tronc
; dans celui de Luce, du tissus au-dessous de l
ait jusqu'à la colonne vertébrale même (immobilité de la tête et du
tronc
pendant la vie ! ) et comprimait les nerfs et les
server le même phénomène dans son cas (néoplasme des tissus mous du
tronc
pénétrant dans le canal rachidien). Dans ce cas
sarcomes, localisées au cou dans ses parties molles, à la nuque, au
tronc
, quand elles sont uniques bien entendu. On peut o
e dos, les bras croisés sur la poitrine, on essaye de s'asseoir, le
tronc
est soulevé à la fois par les muscles abdominaux
alancé-(signe de Babinski de la-flexion combinée de la cuisse et du
tronc
). L'hystérique ignorant ce point de physiologie m
treize ans, sont normales et régulières. Dans la station debout, le
tronc
incline un peu à droite, et les mouvements mett
embres supérieurs sont demi-fléchis et un peu écartés du corps ; le
tronc
est penché en avant ; les membres inférieurs se
arrée, avec des bosses frontales saillantes ; le nez est aplati, le
tronc
développé en largeur et en longueur, comme l'est
d'un adulte. Les extrémités sont très raccourcies en comparaison du
tronc
, les mains et les pieds carrés, larges et court
toniques. Le tissu adipeux est très développé, particulièrement au
tronc
. Thorax. Ample, du type carré ; mamelles bien d
eures, restaient en retard dans le développement, en comparaison du
tronc
. A l'âge de 15 ans, sans qu'il y eût des dérangem
ormal des extrémités, particulièrement des inférieures (La tête, le
tronc
, les extrémités montrent les caractéristiques t
orel se montra insuffisant et anormal, car tandis que la tête et le
tronc
croissaient comme chez un individu normal (même
d'achondroplasie. La tête grosse, carrée, ultra-brachycéphale, son
tronc
gros et long comme celui d'un individu normal,
105 centimètres ; sa tète est très grosse, carrée, le nez aplati, le
tronc
est FiG. 4. - Anna G. 262 GIUSEPPE FRANCHINI
lier, excepté le nez qui est un peu aplati chez tous les sujets. Le
tronc
est très développé,carré et de la longueur de cel
et les trois doigts moyens tendent à l'égalité. La musculature du
tronc
et celle des extrémités supérieures est très dé
patient affirme qu'il est né avec les extrémités raccourcies et le
tronc
normal, mais affirme aussi que sa tête n'était
a tête est grosse, mais pas de la forme que nous avons décrite ; le
tronc
est très déformé et il y a souvent cyphose ou s
s. Elle a aussi la sensation pénible de lourdeur et d'immobilité du
tronc
depuis les dernières côtes jus- qu'aux pieds.
eux (du muscle triceps) et périostaux sont normaux. La pression des
troncs
nerveux est indolore. Le tonus musculaire est n
uloureuse et thermique) est abolie aux membres inférieurs et sur le
tronc
(deux à trois travers de doigt au-dessous de la l
rmal. Les membres supérieurs fléchis au coude et rapprochés vers le
tronc
(dans cette position les douleurs sont moindres
t complète. Les réflexes patellaires sont abolis. L'anesthésie sur le
tronc
arrive jusqu'à la IVe côte. Thermoanesthésie.
s musculaires. Membres supérieurs fléchis au coude et rapprochés du
tronc
. Atrophie des petits muscles des mains. Affai-
troubles urinaires et de la défécation, anesthésie des jambes et du
tronc
jusqu'à une certaine limite et aux membres supé
, normal. Sensibilité, conservée. Pas d'ataxie. La pression sur les
troncs
nerveux et les os est dou- loureuse. 1 Réflex
un certain temps, douleurs en ceinture dans la moitié inférieure du
tronc
(la malade ne peut ni dormir, ni manger, se nourr
igine des fibres cor- tico-spinales qui innervent les membres et le
tronc
, est située tout à fait en avant de la scissure
aient d'après les recher- ches les plus récentes, les membres et le
tronc
. 4° Cette aire d'origine des fibres cortico-spi
la limite des métaméries spinales lui estper- pendiculaire ; et au
tronc
, ils croisent plus ou moins plusieurs territoires
latérale n'a pas de filet antérieur vers la zone antéro-externe du
tronc
, mais va se jeter en totalité dans le nerf access
taires des 8e, 9° et 10e racines, pour gagner la face la- térale du
tronc
,où elle devient plus horizontale (fig.8) ; puis à
e vers D 10 et D 12, ainsi qu'il est fréquent dans l'innervation du
tronc
. Cette topographie en bande horizontale s'écart
ure, et s'exaspèrent avec la station verticale et les mouvements du
tronc
. A peu près à l'époque de l'apparition des doul
- servés, les mouvements passifs et actifs de la tête, du cou et du
tronc
. Mouve- ments passifs et actifs des membres sup
s seg- mentaires, et la perception stéréognostique. La pression des
troncs
nerveux périphériques n'est pas douloureuse, ni
principalement le fait de l'absence de la douleur à la pression des
troncs
périphériques, la manière de marcher, les troub
suppor- 424 GIUSEPPE BASCHIERI SALVADORI tent le poids de tout le
tronc
. En outre, il convient de l'aire remarquer que,
le que le droit. Tonicité musculaire augmentée. Force musculaire du
tronc
diminuée. Réllexes patellaires exagérés (le gauch
on de la sensibilité tactile sur le membre inférieur gauche et sur le
tronc
jusqu'au IIfe espace intercostal, de la sensibi
troublé aux membres inférieurs (à gauche il est presque aboli). Le
tronc
est faible. Le malade ne peut changer sa position
lis. La sensibilité est abolie sur les membres inférieurs et sur le
tronc
. La limite supérieure pour la région hypoesthés
t encore marcher. La sensibilité était profondément troublée sur le
tronc
depuis une ligne située un peu au-dessus des ma
mes radiculo-segmentaires, puis arrive la paralysie d'une moitié du
tronc
(Brown-Séquard), enfin une paraplégie complète. C
urs peuvent siéger partout ; dans les membres aussi bien que sur le
tronc
. Elles ont le caractère de tiraillement, d'arra
it une moitié du corps, par exemple le membre inférieur droit et le
tronc
au-dessus ou au-dessous du mamelon droit. Nous
n, la section avait intéressé le splénium et la partie attenante du
tronc
du corps calleux ; tout le reste de celui-ci, y
alleux avait été complètement sectionnée ; la moitié postérieure du
tronc
ainsi que le splénium étaient indemnes. Les pil
endyme ventriculaire. Nettement délimité au niveau de la tête et du
tronc
du noyau caudé, ce faisceau est en partie disso
tement infantile ; il y avait une dys- trophie absolue des poils au
tronc
et les organes sexuels avait le dévelop- pement
ait tout à fait l'air d'un très petit homme normal, bien poilu au -
tronc
et à la face, avec une voix normale et avec des f
hyperbrachicéphalique ; vu de face il semble assez proportionné au
tronc
; vu de profil cette harmonie est altérée par le
de la Ve et de la VIIe paires,sont indolents à la pres- sion,et le
tronc
du VII" ne présente pas d'hyperexcitabilité mécan
mobilité de la tête est parfaite. f Thorax. - Le développement du
tronc
ne présente absolument aucune anormalité digne
n se fait facilement et est complète. Les apparats musculaires du
tronc
et du bassin sont de tonicité et d'éner- gie pa
normales. La mobilité de tous les muscles faciaux est normale : les
troncs
nerveux de la Vlle paire ne sont pas hyperexcit
. Les bras et les jambes sont de proportions normales en rapport au
tronc
; de même les segments de. chaque extrémité prés
gras, mais le dessin des muscles est bien visible. La mobilité du
tronc
études extrémités est parfaitement normale ; l'én
s aussi bien à la tête et au visage 556 6 ETT0RI5 LEVI que sur le
tronc
; comme lui encore, il ne présente ia moindre tra
s la moindre déviation ni dorsale ni lombaire ; tous les muscles du
tronc
sont très développés et don- nent au sujet une
cas les proportions absolument normales des membres par rapport au
tronc
, et des différents segments des membres entre e
contiennent que quelques rares fibres saines. Il en est de môme du
tronc
de la IIIe paire au niveau du sinus caverneux (
ie, 2' année, n· 9, 1" janvier 1910. 576 CHEVALLIER La tête et le
tronc
ont, plus encore en largeur qu'en hauteur, un dév
t de la taille, la disproportion entre les membres raccourcis et le
tronc
resté normal, l'asymétrie de longueur des membr
ère de ce point pour former la crête marginale qui doit produire le
tronc
et le splénium du corps calleux. Le développeme
es coupes sériées d'un cas de néoplasme de la partie postérieure du
tronc
du corps calleux ; le segment correspondant du ta
ie, c'est-à-dire, la réduction énorme des extrémités par rapport au
tronc
, la micromélie totale ou rhizomélique, lesmains
les frères par une très légère brièveté des membres relativement au
tronc
; nous sommes bien loin de la brièveté des memb
nts), mais aussi aux aisselles, au pubis et sur toute la surface du
tronc
et des extrémités : ce sont deux mâles bien poi
, du crâne, et l'examen radioscopique (très facile dans ces cas) du
tronc
et du bassin ne nous ont pas permis de mettre e
x n'est pas eunuchoïde et les proportions des membres vis- à-vis du
tronc
ne rappellent en rien ce qu'on appelle l'eunuchis
e; le palais est légèrement ogival ; les amygdales sont grosses. Le
tronc
et les mem- bres sont bien proportionnés, bien
adavre étant couché sur le ventre, on soulève la partie supérieure du
tronc
à l'aide d'un billot placé sous la fourchette s
r Meynert dans le but de peser isolément les différentes parties du
tronc
encéphalique (llirnstamm) d'une part, et les di
e de même sur l'autre hémisphère. Le manteau ne tient plus alors au
tronc
encéphalique que par les piliers postérieurs du
émisphères réunis par le corps calleux (fig. 3) et d'autre part, le
tronc
encéphalique avec le cervelet (fig. 4). On sépare
e avec le cervelet (fig. 4). On sépare ensuite ce dernier organe du
tronc
encéphalique. Lorsque la coupe de Meynert a été
USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 1J après durcissement du
tronc
encéphalique, l'étude en coupes histologiques s
c encéphalique, l'étude en coupes histologiques sériées, de tout ce
tronc
encéphalique, depuis la partie inférieure du bulb
se présente une difficulté inhérente à la direction de l'axe de ce
tronc
. Cet axe en effet, n'est vertical que dans sa p
inconvénient peut du reste être évité, en faisant durcir à plat le
tronc
encéphalique, ainsi que l'a conseillé Meynert.
ostérieure de la scissure de Sylvius. Fig. 4. - Coupe de Meynert.
Tronc
encé- phalique et cervelet. (D'après une photo-
ées, on aura recours à la coupe dite de Meynert, et on fera durcir le
tronc
encéphalique en entier. Cervelet. Lorsque l'o
veut faire durcir le cervelet, on aura soin de ne pas le séparer du
tronc
encéphalique, et on divisera chaque hémisphère
état frais. 2G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Durcissement des
troncs
nerveux. Durcissement ra- pide obtenu par le
btenir un bon dur- cissement des pièces. Pour le durcissement des
troncs
nerveux, on emploiera la même technique que pou
sion à la parafrlne. fragments de tissu nerveux moelle épinière,
troncs
nerveux, - les pièces au sortir du collodion li
n noir intense, se détachent avec une grande netteté. L'étude des
troncs
nerveux périphériques, à l'aide de coupes pratiqu
e préférence à l'aide d'un rasoir bien affilé, on sectionne, dans les
troncs
nerveux que l'on veut examiner, des fragments d
en anatomie pathologique, mais elle n'est guère applicable aux gros
troncs
nerveux de l'homme, dont la dissociation est des
lus déli- cates et difficiles. Elle est surtout utilisable pour les
troncs
nerveux de petit calibre nerfs musculaires, ram
eux de petit calibre nerfs musculaires, rameaux cutanés. - Les gros
troncs
doiventde préférence être examinés il l'aide de
l'acide osmique puisse pénétrer dans toute l'épaisseur du nerf. Le
tronc
nerveux est placé ensuite pendant vingt-quatre
raison, vésicules principales, vésicules primitives ou vésicules du
tronc
encépha- lique, par opposition aux vésicules se
phères en trois parties : 1° une petite partie impaire et médiane, le
tronc
, la base ou la portion axiale du cerveau antéri
'extrémité temporale de la ligne suturale opto-striée secondaire.
Tronc
et bourrelet du corps calleux. Les libres du corp
des bords supérieur et antérieur de la zone choroïdienne, celles du
tronc
et du bourrelet, le long de toute la partie fro
posé, en formant le raplté du corps cal- leux. La suture médiane du
tronc
du corps calleux fait suite à celle du genou, e
trou de Monro jusqu'au niveau de la glande pinéale. A ce niveau, le
tronc
du corps calleux se termine en pointe et forme
nsverse, s'enroule en volute, et s'applique à la face inférieure du
tronc
du corps calleux qu'il épaissit ainsi considéra
atteindre le genou postérieur, séparant ainsi le bec postérieur du
tronc
du corps calleux. Ce fait, peu commun chez l'homm
ppé ; le genou seul existe, et l'agénésie porte dans ces cas sur le
tronc
et le bourrelet. Si, au contraire, on se trouve
au contraire, on se trouve en présence d'une absence du genou ou du
tronc
du corps calleux avec conservation du bourrelet
u-dessous du bec du corps calleux, dont il contourne le genou et le
tronc
, puis se recourbe en haut, en avant du bourrele
ola cinerea; puis elle s'effile, s'étire et se réduit, au niveau du
tronc
et du genou du corps calleux, à une très mince
nglionnaire est coloré en rouge. a) Coupo provenant de la partie du
tronc
situéo au-dessous des protovertèbres. b) Coup
r- dres de fibres se sé- - parent au niveau de la constitution du
tronc
mixte. Les fibres des cellules de la corne anté
après un court trajet aux racines antérieures motrices, et forment le
tronc
des nerfs mixtes. Ce tronc mixte, très court au
ines antérieures motrices, et forment le tronc des nerfs mixtes. Ce
tronc
mixte, très court au début, est constitué par un
llaire, et qui s'entrelacent et s'entrecroisent dans l'intérieur du
tronc
mixte. Plus un tronc nerveux est jeune, plus il
elacent et s'entrecroisent dans l'intérieur du tronc mixte. Plus un
tronc
nerveux est jeune, plus il est court : peu à peu,
i- naison des racines postérieures. Fibres périphéri- ques et
tronc
des nerfs mixtes. Fia. 88. - Nerfs et ganglio
t (fig. 88). Ce changement de direction porte non seulement sur les
troncs
, mais encore sur les branches terminales; celle
elles-ci peuvent ainsi former un angle droit avec l'axe primitif du
tronc
. Les fibres nerveuses s'entrelacent et s'entrec
elacent et s'entrecroisent non seulement dans l'intérieur d'un même
tronc
nerveux, mais encore avec les troncs voisins et
ment dans l'intérieur d'un même tronc nerveux, mais encore avec les
troncs
voisins et forment ainsi des plexus, en particu
s cellulaire; excep- tionnellement on le voit naître par un petit
tronc
protoplasmique, c'est-à-dire e par l'intermédia
cienne, et qu'elle porte sur un segment de membre plus rapproché du
tronc
. (Vulpian, Dickinson, Hayem, Dejerine et Mayor, H
myéline sont peu nombreuses ou font même complètement défaut et les
troncs
nerveux présentent une apparence grisâtre. No
r une enveloppe distincte à chacun des ra- meaux nerveux partant du
tronc
principal. Lorsque, par suite de divisions succ
ubes nerveux profondément modifiés. Sur une coupe transversale d'un
tronc
nerveux, les corpuscules de Renaut se présentent
des capillaires voisins. Les vasa nervorllm proviennent de plusieurs
troncs
artériels et jouent un grand rôle dans le rétab
rosse artère (Hyrtl, Zuckerkandl, Quénu et Lejars); ils abordent le
tronc
nerveux obliquement, puis se divisent et se sub
ès serré. Tous ces vaisseaux ont une direction parallèle à l'axe du
tronc
ner- veux. On trouve un second réseau capillair
3 vier Ira signalé, qu'une seule fibre nerveuse, .qui se détache du
tronc
ner- veux un peu au-dessous de l'épiderme et at
ourés d'un sinus sanguin caver- neux, et reçoivent plusieurs petits
troncs
nerveux, qui atteignent la paroi du follicule d
al (écorce grise et masse blanche sous- jacente), le cervelet et le
tronc
encéphalique (corps opto-sfriés, pédoncules cér
rrefour olfactif de Broca. - Cgn, cir- convolution génieulée. - Ce,
tronc
du corps calleux. - Ce(l), genou du corps calleux
atteindre toutefois la scissure inter-hémisphérique. L'ensemble du
tronc
principal et du rameau ascendant porte le nom d
dits osmatiques par Broca. C'est au niveau du pli falciforme que le
tronc
de la scissure de Sylvius (vallée de Sylvius) s
d'arrière en avant, puis se réfléchit autour du genou (Cc[g]) et du
tronc
(Ce) du corps calleux, et se porte en arrière jus
lleux, et se porte en arrière jusqu'à la partie posté- rieure de ce
tronc
. A ce niveau, elle se coude à angle obtus, se dir
. - c, sillon du cuneus. - CIJ, carrefour olfac- tif de Broca. -Cc,
tronc
du corps calleux. - Cc(Spl), bourrelet du corps c
,cunéns. -c, sillon du cunéus.-CB, carrefour olfactif de Broca. - Ce,
tronc
du corps calleux. - Cc(g), genou du corps calle
se porte en haut et en arrière et qu'elle contourne le genou et le
tronc
du corps calleux. Au niveau du gc- 1/01l du cor
180); elle présente en outre, au niveau de la partie postérieure du
tronc
du corps calleux, trois crêtes ou ourlets semblab
corps calleux (Sabatier). Le sinus du corps calleux (sec) longe le
tronc
du corps calleux, en contourne le genou et le b
unéus. - c, sillon du cunéus CB, carrefour olfac- tif de Broca. Ce,
tronc
du corps calleux. Cc(Spl), bourrelet du corps cal
godronnée, se portent en avant, recouvrent la face superficielle du
tronc
du corps calleux (Cc), puis se recourbent en ba
rifices livrent passages aux artères lenticulo-optiques branches du
tronc
basilaire et des cérébrales postérieures; ils son
laquelle s'insère l'épendyme ventriculaire. le, lame cornée. - NC,
tronc
du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. - l',
trie's ou de noyaux centraux des hémisphères ; ils appartiennent au
tronc
encéphalique de Reichert, et sont séparés de l'éc
inter-hémisphérique (Sih), constitue sa partie libre ou moyenne, le
tronc
du corps calleux. La coupe de Vieussens (fig.
te externe des ventricules latéraux. - MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 339
Tronc
du corps calleux (Cc). Sur une coupe sagittale et
ont il s'éloigne de cinq centimètres environ. Le point culminant du
tronc
FM. 197.- Face supérieure de l'encéphale ; la s
he antérieure, avec la lame sus-optique (fig. 198). On considère au
tronc
du corps calleux deux faces, deux bords et deux
ule cérébral. - CB, carrefour olfactif de Broca. - Ce, corps calleux (
tronc
).- Ce, genou du corps calleux. CC(1');bec du co
érieure. La partie supérieure représente l'extrémité postérieure du
tronc
du corps calleux; la partie infé- rieure consti
aire, séparant ainsi le splenium pro- prement dit de l'extrémité du
tronc
du corps calleux. Cette distinction en trois pa
inF,, face interne de la première circonvolution frontale. - NC (T),
tronc
du noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. -
dans le bichromate.) AqS, aqucduc de Sylvius. - Cc, corps calleux (
tronc
). Cc(g), genou du corps calleux. Ce(r), bec ant
roit en 'arrière, compris entre le tri- one (Tg) d'une part, le
tronc
et le genou du corps cal- leux (Cc[g]) d'autr
. Ses parois supérieure et antérieure sont concaves et répondent au
tronc
(Ce), au genou (Cc[g]) et au bec du corps calleux
s plexus choroïdes du ventricule latéral (Pchl) (fig. 208). . 1° Le
tronc
et la queue du I/o ! /au call1{( : (NêlT], KG') s
- 7nF,, face interne de la première circonvolution frontale. - NC(T),
tronc
du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. OF
re en bleu. NA, noyau amygdalien. - NC, tète du noyau caudd. - NC',
tronc
et queue du noyau caude. NC", extrémité antérie
te jusqu'au niveau du trou de Monro est de 20 à 25 millimètres; son
tronc
mesure, du trou de Monro jusqu'à son point de r
ale. La tête atteint dans sa plus grande largeur 20 millimètres, le
tronc
me- suré 10 millimètres au niveau du trou de Mo
rement à son grand diamètre. Cette face est supérieure au niveau du
tronc
du noyau caudé, et répond à la face inférieure du
u niveau du tronc du noyau caudé, et répond à la face inférieure du
tronc
du corps calleux; elle devient antéro-inleme au
se sous-opendymaire et le faisceau occipito- frontal. { 1
tronc
, la face inférieure est convexe, la surface de se
fig. 2'17 et 218). . Cette coupe intéressse la partie supérieure du
tronc
du corps calleux (Ce), l'extrémité supérieure d
lleux (Ce), l'extrémité supérieure du ventricule latéral (VI) et le
tronc
du noyau caudé (NC). Écorce. - : 1 la face ex
par la substance grise sous-épendymaire (Sge), réduite au niveau du
tronc
du corps cal- leux (Ce) à une très mince lamell
o);/f<, on trouve le noyau caudé (NC) sectionné au niveau de son
tronc
; il forme dans cette coupe la plus grande parti
UES DU CERVEAU. 3 : 3 Cette coupe intéresse la partie inférieure du
tronc
du corps calleux (Ce), ['extrémité supérieure d
ique de Forel, qui représente une des régions les plus importantes du
tronc
encéphalique, par la multiplicité des fibres qu
ur. - fiice interne de la première cir- convolution frontale. - NC,
tronc
du noyau caude. - VC', queue du noyau caudé. - \Z
rieure, épaisse, se continue sur les coupes ultérieures avec le
tronc
du corps cal- leux (Ce), la partie in- férieu
u lenticulaire et ses trois seg- ments. - NA, noyau amygdalien. NC,
tronc
du noyau caudé. OF, faisceau occipito-frontal .
seule- ment plus petit; il est intéressé en effet au niveau de son
tronc
. Le noyau lenti- culaire présente trois segment
e et ses trois segments. - Na, noyau antérieur du tha- lamus. - NC,
tronc
du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. Ne,
frontale.-NA,noyauamygdalien.-Na,noyau antérieur du thalamus. - NC,
tronc
du noyau caudé. - 'C', queue du noyau caudé. - Ne
a, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. - JVC,
tronc
du noyau caudé. NC, queue du noyau caudé. - NL.1,
superficicllc.-Ln, locus niger. -NA, noyau antérieur du thalamus. NC,
tronc
dunoyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - N
nné en deux endroits, à savoir : une première fois au niveau de son
tronc
dans la partie moyenne du ventricule latéral, e
fi- cielle. -Ln, locus niger. Na, noyau antérieur du thalamus. -NC,
tronc
du noyau caudé. - i\'C', queue du noyau caudé.
Ces coupes n'intéressent en effet que la partie postérieure de son
tronc
(NC) au niveau de l'étage supérieur du ventricu
frontal. - OpR, opercule rolandique. - ot, sillon collatéral. - \'C ?
tronc
du noyau caudc. - NC', queue du noyau caudé. -
que. - le, lame cornée. - Lms, lame médullaire superficielle. - NC,
tronc
du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. -
bique. - le, lame cornée. - Lms, lame médullaire superficielle. - NC,
tronc
du noyau caudé. - Nu, queue du noyau caudé. - X
aire externe du thalamus. Lms, lame médullaire superficielle ? \'C,
tronc
du noyau caudé.- \'C', queue du noyau caudé. NL
limbique. le, lame cornée. - Lrns, lame médullaire superficielle. NC,
tronc
du noyau caudé. - Ne,, queue du noyau cade. - o
considérable. Sur la coupe n° 92 (fig. 256) on trouve ¡¡l'union du
tronc
du corps calleux (Ce) et du bourrelet (Spl), le l
ps calleux (Ce [g] Cc[Spl]) sectionné dans toute la longueur de son
tronc
, l'extrémité interne du corps strié (NC+NL3), l
ette coupe montre encore nettement les différences d'épais- seur du
tronc
du corps calleux suivant les régions. Ventricul
diverticules : l'un petit et supérieur, situé entre la lyre (Ly1 etle
tronc
du corps calleux, l'autre inférieur compris ent
tion limbique (L,) a disparu, sauf en deux points, correspondant au
tronc
du corps calleux; le sinus du corps calleux (sec)
te cérébrale de Bichat (B). - . Noyaux gris centraux. La tête et le
tronc
du noyau caudé ont disparu, et ne sont plus rep
es de substance grise qui se dirigent en haut et en arrière vers le
tronc
du noyau caudé, resté en dedans de la coupe. Ces
ral et dans leur direction, des fibres calleuses qui proviennent du
tronc
du corps calleux (Voy. coupes suivantes). On le
ion intéresse la corne sphénoïdale du ventricule latéral (Vsph). Le
tronc
du noyau, caudé (NC), recouvert par la substanc
ent de fibres assez important. Le trigone (Tg) situé au-clessous du
tronc
du corps calleux (Ce), auquel il est intimement
thalamus. Lu, locus niger. - Na, noyau antérieur du thalamus. \'C,
tronc
du noyau caudé. Nu, queue du noyau caudé. Ne, n
us. L)) ! 6', lame médullaire superficielle. - Ln, locus niger. NC,
tronc
du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - Ne
ction des fibres calleuses devient bientôt oblique, et au niveau du
tronc
du corps calleux (Ce), elles sont disposées en
Cette coupe passe par la partie supérieure du noyau caudé (NC), le
tronc
du corps calleux (Ce), le pied de la couronne ray
cissure de Sylvius (S[p]). A la face interne, la coupe intéresse le
tronc
du corps calleux (Ce) dans sa partie supérieure
s'amincit et s'effile, pour former le ta : nia tecta (tec). Dans le
tronc
du corps calleux, on trouve deux îlots de sub-
lleux (Cc) présente un aspect qui varie, suivant qu'on considère le
tronc
(Ce) ou les radiations du corps calleux (RCc). Le
onsidère le tronc (Ce) ou les radiations du corps calleux (RCc). Le
tronc
(Ce) forme la paroi interne du ventricule latér
es, que l'on se rapproche davantage de la paroi, ventre- culaire du
tronc
du corps calleux. Sur la ligne médiane, au voisin
érence d'aspect tient à un accident de durcissement de la pièce. Le
tronc
du corps calleux s'est affaissé dans la cavité
ier au premier abord, que présente sur cette coupe hori- zontale le
tronc
du corps calleux. Les fibres sectionnées vertical
rticalement, très nom- breuses au niveau de la paroi épendymaire du
tronc
du corps calleux, diminuent, graduellement au s
a ligne de la figure 299. Cette coupe passe parla partie moyenne du
tronc
du corps calleux (Ce), par le ventricule latéra
eure appartient au genou du corps calleux, \a partie postérieure au
tronc
(Ce) qui forme la voûte du ventricule latéral (VI
certaine proportion avec le corps de l'animal, et les dendrites du
tronc
principal et de la base sont plus courtes et mo
ièrement développée chez ces animaux; les dendrites collatérales du
tronc
principal ainsi que les dendrites basilaires font
lement de tout le membre, mais généralisée aux quatre membres et au
tronc
; ce sont elles en outre qui servent de substrat
us la forme d'un faisceau arqué, qui contourne le bec, le genou, le
tronc
et le bourrelet du corps calleux, se rétrécit a
.) BG, bandelette de Giacomini. Soi, bulbe olfactif. C, cunéus. Ce,
tronc
du corps calleux. . Cc(g), genou du corps calle
ors des fibres du pied de la couronne rayonnante et à la hauteur du
tronc
du corps calleux, (voy. lis. 382 et Coupes vert
x, l'arrêt de développement porte sur le corps calleux (bec, genou,
tronc
, splénium), sur le forceps et sur le système co
lon de l'hippocampe. L,, première circonvo- lution limbique. - .YC,
tronc
du noyau caudé. - NC , queue du noyau caudé. -
- dyme ventriculaire. Nettement délimité au niveau de la tète et du
tronc
du noyau caudé, ce faisceau est en partie disso
mus.-lfC, tète du noyau caud ? -NC', queue du noyau caudé. - NC(T),
tronc
du noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal.
thalamus. Ln, locus niger. - Na, noyau antérieur du thalamus. - NC,
tronc
du noyau caudé. nit ? queue du noyau caudé. - V
dit et comprend, ainsi que nous l'avons vu plus haut (p. 338) : le
tronc
, le bourrelet, le genou. elle bec du corps call
le genou. elle bec du corps calleux. Les radiations destinées au
tronc
du corps calleux (fit. 387, p. 774), s'irradien
Corps calleux. Origine des libres calleuses. Radiations du
tronc
du corps cal- Icux. Leur origine. Leur traj
Leur origine. Leur trajet. 788 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Tronc
du corps cal- cux. Sa texture. Le tronc du
DES CENTRES NERVEUX. Tronc du corps cal- cux. Sa texture. Le
tronc
du corps calleux ne constitue pas une simple
n un fais- ceau compact, à direction transversale, qui constitue le
tronc
du corps calleux (Cc). Sur une coupe vertico-tr
Cc). Sur une coupe vertico-transversale (fig. 387 et 281 à 287), le
tronc
du corps calleux se présente sous l'aspect d'un é
obtient ainsi les figures bien connues de l'atlas de Foville. Le
tronc
du corps calleux ne présente pas une structure au
ce versa. 11 résulte donc de ce double entre-croisement, que, si le
tronc
du corps calleux con- tient, comme l'ont souten
tions du genou du corps calleux (Cc[g se comportent comme celles du
tronc
. Nées des faces externe, orbitaire et interne du
i se réfléchit en avant du ventricule latéral, comme le faisceau du
tronc
du corps cal- leux se réfléchit autour de son a
partie supérieure, qui n'est autre que l'extré- mité postérieure du
tronc
du corps calleux, une partie inférieure ou réflé-
s de laparlie supérieure du bourrelet se comportent comme celles du
tronc
du corps calleux. Il n'en est pas de mème des rad
e la partie supé- rieure du bourrelet se comportent comme celles du
tronc
du corps calleux (fig. 383). Nées de toute la c
; cette couche se continuait en haut avec la partie^ postérieure du
tronc
et du bourrelet du corps calleux, elle atteignait
corticale le faisait prévoir, les quatre cinquièmes postérieurs du
tronc
du corps calleux, mais elle est en outre extrêm
iné, entre autres dégénérescences secondaires, la dégénérescence du
tronc
et du bourrelet du corps calleux, représentée dan
précédent (fig. 399), montrant l'atrophie de la partie postérieure du
tronc
du corps calleux ainsi que de son bourrelet. Mé
sagittale macroscopique grandeur naturelle de la figuré 8. \ Ce,
tronc
du corps calleux. Ce( ? );'genou du corps calleux
robablement du faisceau occipito-frontal et de la partie moyenne du
tronc
du corps calleux (Schnopfhagen), et arrivent à la
compression de moelle, puis, il ajoute : « Il va sans dire que les
troncs
nerveux, dans leur trajet à travers des parties
sur la moelle, il en résulte une paralysie des quatre membres et du
tronc
, les réflexes sont exaltés aux inférieurs. Il p
tenter l'épreuve des injections aiiestliésiantes, sui- le trajet du
tronc
nerveux : la douleur sera momentanément calmée si
en présence d'une douleur névralgi forme, tenace des membres ou du
tronc
, et dont la cause n'est pas évidente, toujours pe
le sujet ramasse un objet à terre, s'accroupissant sans fléchir le
tronc
, et s'appuyant sur les mains pour se relever. L
nt par être supprimés complètement et remplacés par une rotation du
tronc
tout entier, autour de la région lombaire, « d'où
complet, excepté pour les éléments fournis par la configuration du
tronc
et des membres torse arrondi, cylindrique, vent
. Le bord libre de cette poche mesure 1 m. 15. De cette façon, le
tronc
, vu par sa face antérieure, offre trois énormes
aspect féminin très ac- centué. Regardé par sa face postérieure, le
tronc
se présente également (1) Henkt Meige, Deux cas
dans la région poplitée interne. Bref, l'adipose sous-cutanée du
tronc
et des membres a déformé l'aspect extérieur du
et dans tous ses faits et gestes. Si je vous montre encore le petit
tronc
, le ventre creux, l'absence complète de poils pub
e complète, localisée dans le membre, dans le côté de la face ou du
tronc
qui durant l'enfance a été le siège d'une brûlu
l'hypoesthésie tactile a été remplacée par l'anesthésie. La peau du
tronc
et de l'abdomen présente cette fois-ci un com-
, R... est né porteur d'un grand nombre de tumeurs répandues sur le
tronc
et sur les membres dont deux, ài droite, sur l'
igine du pli cutané formé en arrière par le bras appliqué contre le
tronc
. Même consis- tance que la précédente. La peau,
r ces derniers. Il n'en existait pas sur les différentes régions du
tronc
. Excepté la tumeur ulcérée de l'oreille droite,
orps calleux, c'est-à-dire au splénim et à la partie postérieure du
tronc
du corps calleux. Dans les cas de ramollissement
ISCEAU OPTIQUE CENTRAL 201 i mêmes circonvolutions. Pour arriver au
tronc
du corps calleux, ces fibres pas- sent par la c
une pression un peu. forte détermine des douleurs assez vives, les
troncs
nerveux ne sont pas hyperesthésiés. Il est en g
a face postérieure de la cuisse, les talons touchant les fesses, le
tronc
incurvé, les malades restent immobiles tout le
fait pousser des cris au malade, on peut ma- laxer au contraire les
troncs
nerveux périphériques sans que la malade ressen
gne de secousses fibril- laires. Les membres supérieurs, le cou, le
tronc
ont conservé la liberté de leurs mouvements, ma
naîtra facilement grâce à l'existence de douleurs vives le long des
troncs
nerveux, douleurs réveillées par la pression et a
sectionnées, et prélevé aussi, chaque fois que nous l'avons pu, les
troncs
nerveux commandant ces filets cutanés. Presque to
dégénérescence. Il en est de- même dans les filets musculaires. Les
troncs
des nerfs intercostaux parais- sent sains à un
issociations, il nous a été possible de retrouver dans chacun des 3
troncs
correspondant aux 3 racines sectionnées, quelqu
XLIX. Ces fibres dégénérées sont manifestement plus rares dans les
troncs
mixtes que dans les rameaux cutanés qui leur font
même que les nerfs symétriques. Chez ces deux derniers animaux les
troncs
mixtes n'ont pas été examinés. ' SECTION EXPÉRI
les plus fins, altérations qui diminuent considérablement dans les
troncs
ner- veux plus gros (au 96e et au 119e jour che
ier animal enfin, il n'existait aucune dégénéres- cence ni dans les
troncs
nerveux (ide et 1 tue nerfs intercostaux) ni dans
rées. Chez le chat XII, enfin (section de racines thoraciques), les
troncs
intercos- taux correspondants présentaient de m
cette dernière série d'expérien- ces que les nerfs cutanés, et les
troncs
mixtes, dans les premières semaines qui suivent
nt par sa base la plus large environ un sixième de la périphérie du
tronc
nerveux, zone où les fibres fines myéline apparai
érées dès le 15e jour, dans les racines postérieures comme dans les
troncs
mixtes et les nerfs cutanés, ne sont-elles pas
es apparaissent plus nombreuses dans les nerfs cutanés que dans les
troncs
mixtes. Sans doute la présence d'un grand nombr
ans doute la présence d'un grand nombre de fibres motrices dans les
troncs
mixtes doit faire paraître les autres fibres mo
nt pres- qu'exclusivement sur les terminaisons cutanées,et les gros
troncs
sont habituel- lement indemnes (Dejerine) (1).
près exclusivement sur les terminaisons péri- phériques et que les
troncs
sont en général épargnés. Par contre les carac-
nt être mises en évidence, 18 à 20 jours après l'opération, dans le
tronc
des nerfs mixtes et jusque dans les filets cutané
cines sectionnées ; mêmes dégénérescences moins nombreuses dans les
troncs
mixtes corres- pondants. Intégrité des nerfs sy
ctionnée ; les ganglions semilunaires ; les trois nerfs intercostaux (
troncs
et ramifications cutanées), des deux côtés. E
ssociation. A droite (côté sain), pas de dégénérescence ni dans les
troncs
intercostaux ni dans les terminaisons cutanées.
se renflent autour des restes protoplasmiques et myéliniques. Les
troncs
des nerfs intercostaux présentaient à gauche, éga
inant de nouvelles dissociations, nous eu avons vu, dans chacun des
troncs
nerveux, un nombre assez considérable pour qu'on
droite au-dessus des racines sectionnées. Sur les dissociations des
troncs
nerveux et des filets cutanés, correspon- dant
us prélevons du côté droit, comme du côté gauche, des fragments des
troncs
des nerfs intercostaux et des rameaux cutanés iss
iphériques ont été examinés par dissociation. Les prépara- tions de
troncs
nerveux, ou de filets cutanés, du côté droit, ne
ique thoracique gauche; fibres dégénérées moins nombreuses dans les
troncs
intercostaux, quelques-unes grosses, la plupart
est conservée au niveau de la face, des membres supé- rieurs et du
tronc
; elle est très émoussée au niveau des cuisses et
e du volume et de la courbure des os longs des membres et des os du
tronc
et de la tête produisant un aspect tout particuli
bias sont fortement courbés en avant,les jambes sont écar- tées, le
tronc
et le cou sont fixés dans une flexion antérieure
nfant, déshabillé et posé sur le lit, ne fait aucun mouvement ni du
tronc
, ni du cou, ni des membres inférieurs ; aux membr
onie à la base du poumon gauche. Les autres viscères normaux. Les
troncs
nerveux ne sont pas hypertrophiés. Les muscles so
gique. - Elle a porté sur les muscles, les nerfs périphériques, les
troncs
nerveux, les ganglions, les racines nerveuses et
uque, du cou, des épaules, des membres supérieurs et des muscles du
tronc
. La paralysie flasque était peu marquée aux mem
rogressé vers les parties supérieures du corps et en particulier au
tronc
et dans les membres supérieurs. L'enfant ne put
entait de la paralysie flasque des muscles de la nuque, ducou et du
tronc
, ainsi que des membres, dont l'amyotrophie était
ul le leur né avait présenté des troubles parétiques des muscles du
tronc
et de la nuque. Les 4 autres enfants âgés de 3 à
et même assis dans son lit, puis progres- sivement, les muscles du
tronc
et de la nuque, les muscles de la ceinture scap
phie musculaire affectant les quatre membres et tous les muscles du
tronc
(à l'exception du diaphragme) et depuis quelque
orce musculaire dans le pied droit. Aucune amyotrophie au niveau du
tronc
ou de la face. Sensibilité. - il n'y a jamais e
côté; l'anesthé- sie n'existe pas au niveau des bourses et, sur le
tronc
ou la face, on la constate seulement au niveau
456 GAUSSEL-ET LÉVY Symptômes cutanés. Le malade présente sur le
tronc
, la face posté- rieure des cuisses, la région d
CHARTIER 1 Les membres supérieurs et inférieurs sont par rapport au
tronc
norma- lement proportionnés. Les mensurations r
dée d'achondroplasie. Les propor- tions des membres relativement au
tronc
, des segments de membres en- tre eux sont norma
se ; hypertrophie très marquée avec dureté très accusée de tous les
troncs
nerveux des membres accessibles à la palpa- tio
cendante, ayant successivement atteint les nerfs périphériques, les
troncs
nerveux, les racines antérieures et postérieures,
également en remontant. Sur la face antérieure et postérieure du
tronc
, la sensibilité tactile et dou- loureuse est ég
z ce ma- lade après avoir pratiqué l'autopsie de sa soeur, tous les
troncs
nerveux des membres accessibles la palpation, à
rares. Le périnèvre est relati- vement peu épaissi. , Examen des
troncs
nerveux. Nous n'avons pas eu à notre disposition
gine ; cependant la comparaison des nerfs intra-musculaires et' des
troncs
nerveux permet d'affirmer qu'il y a moins / de
de fibres dans les premiers. Comme type des lésions nous prendrons le
tronc
du sciatique à mi-hauteur de la cuisse. , A u
es sont plus nombreuses dans les raci- nes antérieures que dans les
troncs
nerveux et dans les nerfs mtra-musculaires; si
pour faire la comparaison ; mais ce que nous avons observé dans les
troncs
nerveux du membre supérieur, ou inférieur, nous
ui d'un ataxique atrophique avec cypho-scoliose et hypertrophie des
troncs
nerveux. Les troubles de la sensibilité, souvent
signe de Rom- berg. Légers mouvements cloréjformes de la tète et du
tronc
. Abolition des réflexes patellaires et olécrani
de douleurs ayant tous les caractères des douleurs fulgurantes. Au
tronc
et à la face la sensibilité est nOl'male='Léger
les deux tiers supérieurs des régions antérieure et postérieure du
tronc
, ainsi que sur la face, le crâne, les muqueuses
us croyons devoir à nouveau attirer l'attention. L'hypertrophie des
troncs
nerveux enfin est d'une constatai ion facile, n
vre préalablement injectées à la gélatine. La pression enfin de ces
troncs
nerveux, même intense, ne ré- veille pas de dou
évrite interstitielle hyper- trophique, une véritable analgésie des
troncs
nerveux à la pression et à l'excitation électri
ypertro- phique, suivant qu'on examine les nerfs périphériques, les
troncs
nerveux ou les racines, on est tout disposé à a
ettre qu'elle a débuté à la péri- phérie pour s'étendre ensuite aux
troncs
nerveux et aux racines : les lésions sont plus
les nerfs et les racines des membres in- férieurs que pour ceux du
tronc
et desmembres supérieurs; elles décrois- sent d
t, l'atrophie musculaire et enfin l'hyper- trophie considérable des
troncs
nerveux dont nous avons pu nous rendre compte par
ourut à l'âge de cinquante ans, après trente années de maladie, les
troncs
nerveux étaient d'un volume au- dessous de la n
utiennent une opinion contraire : pour Marinesco l'hypertrophie des
troncs
nerveux et des racines médullaires serait une c
ors pas d'autre signe rachidien qu'un peu de gêne de la rotation du
tronc
à droite. Rentré chez lui, le malade passe au l
lombaires exagérées parla marche, les trépidations, les mouvements du
tronc
Il constata alors l'existence d'une gibbosité d
perficielles et profondes) remontant jusqu'à la base du thorax ; le
tronc
est raide, ses mouvements douloureux; il existe
nces secondaires que nous avons suivies dans le cervelet et dans le
tronc
céré- bral, au-dessus et au-dessous de cet orga
ont été de même débitées en tranches perpen- diculaires à l'axe du
tronc
cérébral et traitées ensuite alternativement par
sur ces différentes coupes,d'abord dans le cervelet,ensuite dans le
tronc
cérébral au-dessus et au-dessous du cer- velet.
feutrage soits-lobaire du lobe semi-lunaire supérieur. 2° Dans le
tronc
cérébral, au-dessus et au-dessous du cervelet. Su
eux supérieur. Ainsi,sur une coupe(fig.9)perpendiculaire à l'axe du
tronc
cérébral et passant par l'étage antérieur et la
tier, que le pulvinar offre passage aux faisceaux qui se rendent du
tronc
encéphali- que à l'hémisphère, il faut reconnaî
t que phénomène particulier. Les réactions de ce genre au niveau du
tronc
encéphalique sont bien connues, et ayant eu l'o
c'est à la base du cerveau et formant une véritable capsule pour le
tronc
encéphalique que l'on trouve les gros ra- meaux
indraxile. Seconde partie La constitution de l'étage antérieur du
tronc
encéphalique, telle qu'elle nous avait été légu
ience contemporaine. On sait, depuis 1893, que l'étage antérieur du
tronc
encéphalique ne ren- ferme que des fihres d'ori
rait supposer. On ne niera pas que les lois en vigueur au niveau du
tronc
encéphalique sont également applicables à l'hém
l'hémisphère, l'équivalent sensoriel du grand faisceau mo- teur du
tronc
encéphalique. Avant de procéder, nous voulons p
es de régions antérieures qui se rendent à la partie postérieure du
tronc
du corps calleux ; par les nombreuses fibres d'as
croisement moteur est lui-même extra-cérébral ? C'est-à-dire que le
tronc
encéphalique est réellement un segment extra-cé
ertains auteurs comme point de départ d'un faisceau descen- dant du
tronc
encéphalique ; par exemple le « faisceau optique
entre optique primaire ne siège pas dans les régions inférieures du
tronc
encéphalique, mais au niveau de la base, c'est le
ale) n'est possible qu'au niveau du corps genouillé ex- terne. Le
tronc
du corps calleux est avant tout un système interh
e la majorité de ses fibres passent dans les régions inférieures du
tronc
encéphalique ou entre en relation avec certains
comparer (mais ce serait fort difficile) avec d'autres des voies du
tronc
encéphalique : le lemniscus médian ou latéral. No
e reçoit aucun contingent des ganglions de la base ou des noyaux du
tronc
encéphali- que. Elle se sépare au niveau du péd
ale, conserve son individualité à travers les différents niveaux du
tronc
encéphalique ; que la pyramide bulbaire égale le
st nettement démontrée et au niveau de l'hémisphère et au niveau du
tronc
encéphalique; la voie sensitive' se cantonne pres
que l'est soit la voie motrice, soit la voie sensitive au niveau du
tronc
encéphalique. Au segment intra-cérébral et cort
s complètes, mais des sections incomplètes, des contusions, etc., des
troncs
nerveux. — Érup-tions cutanées diverses : Érythcm
issaient, dans les trous de conjugaison qui leur donnent passage, les
troncs
nerveux d'où émane ce plexus. La moelle cervicale
de conjugaison du côté droit, on trouva les ganglions spinaux et les
troncs
nerveux eux-mêmes., tuméfiés et vivement colorés
ns. La mort sur-vient le 2 mai (40e jour de la maladie). Autopsie: Le
tronc
du nerf facial con-fine à un abcès qui s'est ouve
ère l'oreille; il esta nu dans une certaine Hendue. De tous côtés, le
tronc
nerveux est enveloppé par une masse de tissu eonj
muscle frontal gauche est pâle, flasque, aminci. Dans le point où le
tronc
nerveux est enveloppé par la masse du tissu eonjo
Briickner. — Deulsch. Klini/i, 1865, n" 30. mal, par la section des
troncs
nerveux, puisque, dans ces der-nières, le caractè
n fait défaut. Nous devons examiner actuellement si les lésions des
troncs
nerveux qui provoquent une prompte modification d
obser-vent en aucune façon dans les cas de section pure et simple des
troncs
nerveux (2) .Les affections développées spontaném
considérations identiques: tantôt il s'agit d'une carie du rocher; le
tronc
du nerf facial baigne dans le pus où il est envel
observations positives, — à l'inflammation de la gaîne conjonctive du
tronc
nerveux(4). Je n'ignore pas que les sections co
hercher actuellement, com-ment, étant donnée la lésion irritative des
troncs
nerveux dont nous venons de reconnaître l'existen
n, chez les animaux, à la suite de l'écrasement ou de la ligature des
troncs
nerveux, sont com-parables aux accidents qui se p
développer aussi à peu près indifféremment sur toutes les parties du
tronc
ou des membres soumis dans le décubitus à une pre
e ouvertes, le trochanter dépouillé de son périoste, les muscles, les
troncs
nerveux, les branches artérielles d'un certain ca
. — Changements dans la parole. — Rigidité des muscles. — Attitude du
tronc
et des membres. — Déformation des mains et des pi
ent, à une certaine époque de la maladie, les muscles des membres, du
tronc
, et le plus souvent ceux aussi du cou. Quand le s
les malades parviennent à la por-ter en haut, adroite ou à gauche. Le
tronc
lui-même est pres- Fig. 8. — Attitude habituell
ntre de gravité se trouve dé-placé par l'inclinaison de la tête et du
tronc
? Cette explication, admissible peut-être dans qu
s-nous ? Elle hé-site pendant quelques instants, puis elle incline le
tronc
en avant, et, après s'être comme balancée, tout d
soin de s'équilibrer : elle est eu quelque sorte incertaine, ayant le
tronc
incliné en avant, enfin elle se décide. Lente tou
nte : physionomie, attitude spéciale de la tête, fixité du regard, du
tronc
,démarche,propulsion,rétropulsion,tremblement,etc.
gaîne, plusieurs semaines ou même plusieurs mois après la section du
tronc
nerveux (1). En résumé, dans les conditions de
es supérieurs et inférieurs, mais en partie seulement à la tête et au
tronc
. J'insiste sur ce dernier point en vous faisant r
-tude prise par la malade est loin d'équivaloir, pour les mus-cles du
tronc
et du cou, à un repos absolu. D'ailleurs, il faut
et II. rieurs ; mais nous savons déjà qu'il peut agiter la tête,le
tronc
, les membres inférieurs. 11 se présente sur ces d
ion forcée, et restent ainsi, étroitement appliqués de chaque côté du
tronc
. 11 s'agit là, Messieurs, d'un spasme qui occupe
mhémianesthésie complète, occupant les deux membres con-tractures, le
tronc
et la face du môme côté. Non seulement l'anesthés
es séparées par un plan antéro-postérieur, tout un côté, — face, cou,
tronc
, etc., — aperdula sensibilité, et si très souvent
de l'hémianesthésie hystérique. Sur la tête, la face, le cou, sur le
tronc
, la délimitation est souvent parfaite et correspo
résie. Il existe une anesthésie très intense du côté gauche (membres,
tronc
, etc.). A la l'ace, la sensibilité est de ce côté
1855. Depuis l'attaque, anes-thésie des membres du côté gauche (face,
tronc
également aneslbésiés, quoique à un moindre degré
siège d'une anesthésie très prononcée (cuir chevelu, oreille, face et
tronc
). L'anesthésie est tout aussi accusée aux paupièr
s qui, en général, inaugure la scène, est poussée à un haut degré; le
tronc
est fortement recourbé en arrière, l'abdomen proé
sions tétaniformes, épileptiformes, écume; — b) grands mouve-ments du
tronc
et des membres inférieurs (période des contor-sio
du corps, répondant au côté paralysé, occupant par suite la face, le
tronc
, etc. Cette altération de la sensibilité intéress
orte de généralisation de l'anesthésie à tout un côté du corps, tête,
tronc
et membres, cette limitation, en quelque sorte gé
sorte d'attaque dans laquelle prédomine uneraideur semi-tétanique du
tronc
et des membres. Ne paraît-il pas d'après cela vra
ondes plus tard, la face et les yeux se retournent vers la droite; le
tronc
s'incline dans le même sens ; les paupières gauch
érence entre les deux moitiés. Toute la parlie gauche du corps 'face»
tronc
, etc.) est manifestement plus chaude que la parti
ômes. —¦ Caractères des troubles moteurs. — Analyse des mouvements du
tronc
, des membres, de la tète, de la langue. — Chorea
inement, tout d'abord, ce sont les grands mouvements dont la tête, le
tronc
et les membres d'un côté du corps, ceux du côté d
extension, toujours les mêmes, absolument uni-formes. Vous voyez le
tronc
s'infléchir fortement sur le bassin, {Fig. 27), e
e, t. II. p. 1-22-18G. dans l'extension forcée , puis la tête et le
tronc
se redressent, décrivant une trajectoire {Fig. 29
leur isochronisme. Prenons le temps où la flexion de la tête et du
tronc
est aussi prononcée que possible (Fig. 28) ; en c
) commence à se pro-duire aussitôt que se prononce le redressement du
tronc
, et elle s'accentue progressivement du môme pas q
P. Richer, d'après un croquis fait sur nature par M. Charcot. et le
tronc
, tout à fait étendus, retombent sur l'oreiller, P
ci s'accuse de plus en plus, à mesure que la flexion de la tête et du
tronc
, qui a recommencé à se produire, s'accentue davan
libres. Ainsi de la main gauche, malgré les grandes oscillations du
tronc
, la malade peut, avec assurance, porter à sa bouc
ttention ce qui se passe du côté delà face au moment où la tête et le
tronc
se renversent en arrière; vous voyez qu'en cet in
8. cou, latête,etc.— Toute la moitié droite du corps, la tête, cou,
tronc
, membres, — est occupée par une anesthésie complè
prévu va se produire. Vous voyez, en effet, les mouvements rythmés du
tronc
et des membres s'arrêter brusquement, comme par e
, vous voyez la contracture disparaître et les mouvements ryth-més du
tronc
et des membres, tout à l'heure étendus et rigides
se livre à notre sollicitation, l'agitation rythmée des membres et du
tronc
persistent tels quels. M. Briquet, dans le chapit
orée vulgaire. As-sise, il n'y a pas de repos pour elle ; la tête, le
tronc
, les mem-bres des deux côtés, sont sans cesse agi
que représente si fidèfement fa Planche dessinée par M. P. Richer. Le
tronc
et la tête sont inclinés en avant; le cou est ten
serait presque toujours laborieuse. Lesbrassonlfégèrementécartésdu
tronc
; lesavanf- bras, demi fléchis, sont disposés d
nt sur la région ombilicale et que les coudes sont un peu éloignés du
tronc
. Le pouce, légèrement infléchi, s'appuie d'habitu
ugmentant. L'attitude générale est la même ; toutefois, la tête et le
tronc
s'inclinent de plus en plus en avant, et, en outr
ours de la Leçon, ces oscillations sont communiquées à la tète par le
tronc
. Quand la malade est assise, les jambes tremblent
reins : c'est à ces dernières que la malade attribue l'incurvation du
tronc
. — Les douleurs vives, qu'elle éprouvait eu 1873
— Mêmes besoins de déplacement et même sensation de chaleur, etc. —Le
tronc
est incliné à angle droit sur bassin, avec torsio
ouvements qui animent quelquefois la tête lui sont communiqués par le
tronc
. M. Char-cot compare ce phénomène de transmission
l'aide d'un artifice quelconque, par exemple en élevant fortement le
tronc
et les bras, onarrêteles mouvements des membres s
e d'un côté,le droit par exemple, seulement un peu d'analgésie sur le
tronc
et les membres, tandis que sur la face du même cô
ouvent en des oscillations rapides et étendues de toute une partie du
tronc
ou des membres seulement. Le plus fréquent des gr
ndit et s'échappe des mains qui le retiennent. La tête s'agite sur le
tronc
, en avant, en arrière, décote... Les mains se por
les contractions des muscles du visage mais celles des membres et du
tronc
, qui s'accompagne parfois de cris qu'arrachent la
ns exquise, des dou-leurs plus profondes localisées sur le trajet des
troncs
nerveux, ou paraissant quelquefois siéger plus sp
mobilité des traits, roideur du cou, fixité du regard, inclinaison du
tronc
en avant, tendance à la propulsion et à la rétrop
s complètes, mais des sections incomplètes, des contusions, etc., des
troncs
nerveux. — Érup-tions cutanées diverses : Érythèm
— Changements clans la parole. — Rigidité des muscles. — Attitude du
tronc
et des membres. — Déformation des mains et des pi
mptômes. — Caractères des troubles moteurs. Analyse des mouvements du
tronc
, des membres, de la tête, de la langue. — Chorea
rt à demi nue, les cheveux aux vents, la tête renversée, balançant le
tronc
en avant et en arrière, sautant d'un pied sur l'a
ieux : c'était une hyperesthésie de la peau, sur différents points du
tronc
, plus sou-vent à gauche qu'à droite ; quelquefois
spasmociique du diaphragme. Les bras s'é-tendent et se rapprochent du
tronc
, l'avant-bras en pronation forcée, les doigts et
re inefficace (fig. 9, n° 5). N... possède à la partie postérieure du
tronc
un autre point hystérogène qui, contrairement à c
vons eu l'occasion d'observer, que le^ zones hystérogènes occupent le
tronc
exclusivement' qu'elles sont plus fréquentes en a
membres supérieurs s'étendent, s'élèvent un peu et se rapprochent du
tronc
, l'avant-bras étant en pronation, le poignet fléc
es traits sont animés de convulsions rapides. La partie supérieure du
tronc
se soulève et quitte l'oreiller. En même temps le
l bras exécute le grand mouvement dont il vient d'être question. Le
tronc
, pendant que les membres s'agitent, ne demeure pa
pied-bot cquin tournés en dedans ou en dehors. (Pl. II. p. 41.) Le
tronc
, raidi comme une barre de fer, repose sur le dos
u varier beaucoup. Fig, 23. Phase tonique. Attitude tétanique. Le
tronc
et les membres, diversement fléchis ou étendus, p
uler Y arc de cercle, et que les bras, étendus perpendiculairement au
tronc
, peuvent faire croire à l'attitude du crucifiemen
échissent et s'étendent alternative-ment, se croisent quelquefois. Le
tronc
se contourne et la malade, qui se trouve ramassée
, passent alternativement devant la figure. Les jambes s'élè-vent, le
tronc
se contourne. La malade se trouve parfois à plat
e redres-sent, fléchis et contractures, les jambes se fléchissent, le
tronc
se contourne. b) Immobilité tonique. — La malad
vent les membres étendus, la tête renversée, le bassin soulevé, et le
tronc
tourné sur le côté. 2° Phase clonique. — Convul
ui est figurée (pl. II, p. 41). Les membres sont dans l'extension, le
tronc
dans le décubitus dorsal; il arrive que l'attitud
ttitude peut varier, un membre s'élevant un peu ou se fléchissant, le
tronc
se courbant en divers sens; mais jamais nous n'av
rent plutôt dans les autres variétés de contorsions. La courbure du
tronc
diffère peu dans les deux cas. Mais la dé-pressio
représenté ci-dessus (fig. 47). Il consiste en une flexion brusque du
tronc
, le front vient heurter les genoux, puis le corps
sion la malade prend un point d'ap- Fig. 50. — Grands mouvements du
tronc
. pui avec ses pieds sur son lit, les jambes éta
ge. Divers mouvements se succèdent sans interruption : tantôt tout le
tronc
exécute un mouvement de va-et-vient d'arrière en
e attitude qui peut varier, le plus souvent les membres étendus et le
tronc
demi-courbé en avant, et alors surviennent les pe
t les mouvements saccadés que cette respiration singulière imprime au
tronc
. Les yeux sont ouverts, convulsés en haut et à ga
c'est pas à moi ! M. Dub... » Elle fait avec la partie supérieure du
tronc
comme de grandes salutations, accompagnées d'agit
s feux... voyez les flammes!... oh! la mort!... (Grands mouvements du
tronc
.) Oh! là là! mon Dieu!... à mon secours!... les v
les bourreaux. (9 heures 29) : Vlà !... les voleurs. (Soulèvement du
tronc
.) Ah ! ah !... (se jette de côté)... ah! ah!... V
ndarmes!... (9 heures 33)': A mon secours!... (soulèvement de tout le
tronc
). Ah ! ah !... y m'onterevé les yeux !... ah ! ah
es salutations, les grands mouvements des jambes, les soulèvements du
tronc
, qui ca-ractérisent plus particulièrement la deux
èvres. La convulsion de sa face produit une espèce de rictus. Tout le
tronc
se roidit et se contourne diverse-ment. La phase
a malade est. prise de grands mouvements de flexion et d'extension du
tronc
qui se penche en avant pour retomber brusquement
n nette, d'une deuxième période de grands mouvements (soulèvements du
tronc
, grandes salutations, agitation des jambes, etc.)
rées, les bras dans l'extension et la pronation forcée, rapprochés du
tronc
, les poignets légèrement fléchis, les doigts ferm
bservé jusque-là. La malade se raidit en s'enfonçant dans son lit, le
tronc
s'incurve en arrière, les jambes à demi fléchies,
gagne les bras et tout le corps. L'agitation augmente au point que le
tronc
se soulève complètement pour retomber ensuite sur
se place brusquement dans une attitude que rappelle la figure 45. Le
tronc
est courbé en avant, les jambes étendues et soule
sus du lit, les bras étendus également et formant angle droit avec le
tronc
. La face est sans expression. Dans cette position
devant la figure avant de s'étendre en pronation le long du corps. Le
tronc
s'incurve en avant et les jambes se fléchissent.
. ça se passera mal... » — Attitude extatique, l'œil fixe en haut, le
tronc
renversé en arrière, le visage radieux, les deux
ouverte fait entendre une plainte prolongée. Les yeux sont fermés. Le
tronc
s'incurve en arrière, et les membres exécutent le
renverse en arrière, la face se congestionne, le cou se gonfle. — Le
tronc
s'incurve en arrière, et la ma-lade ébauche un ar
sorte de lutte, les bras se fléchissent et s'étendent avec force ; le
tronc
s'incurve en arrière, et la malade se met en arc
ans l'orbite et se dirigent du même côté et en haut. En même temps le
tronc
décrit un léger arc de cercle dont laconcavité ré
iode pendant laquelle la malade est agitée de violents mouve-ments du
tronc
et des membres. Le corps est alternativement proj
igts fermés, le dos de la main tourné en avant, le coude rapproché du
tronc
. Une vive hyperesthésie cutanée existe dans tout
ux grands ouverts, les pupilles dirigées en haut et à droite; tout le
tronc
s'incurve vers la droite. Le bras droit exécute l
e se penche à droite, les yeux se convulsent en haut et à droite ; le
tronc
s'incurve à droite ; le bras droit exécute des mo
ontinuation. Quand elle est vaincue par la compression, la tête et le
tronc
se soulèvent, et retombent sur l'oreiller et form
'attaque est commencée : 1° Il existe une raideur semi-tétanique du
tronc
et des membres. La face reste pâle, elle n'est ni
tant avec une certaine rapidité, sans être toutefois précipités. Au
tronc
, ce sont des mouvements plus étendus de flexion e
des salutations, des oscillations rapides et étendues d'une partie du
tronc
et des membres inférieurs. 3° Ces mouvements, a
comme ramassé sur lui-même, les jambes et les cuisses rappro-chées du
tronc
; ou bien la malade est placée sur un côté et com
s forts. Ils furent accompagnés de convulsions de tous les muscles du
tronc
et des extrémités. Ces affections spasmodiques
uelques minutes aupara-vant, une main seule aurait pu la contenir. Le
tronc
est porté, tantôt en avant, tantôt en arrière ou
rive l'attaque convulsive à convulsions larges, étendues, égales ; le
tronc
se courbe en arc; il y a des spasmes et des gémis
es paroxysmes de quelques attaques, il y a de la raideur tétanique du
tronc
et des membres, des grimaces de la face qui devie
e la journée, eut une attaque avec grandes convulsions hystériques du
tronc
et des mem-bres. Quoique camisolée, elle se jette
spasmes du larynx et enfin les convulsions étendues et très fortes du
tronc
et des membres. La respiration est gênée; le cou
angue, ses bras se raidissent et se portent énergique-ment le long du
tronc
; les pouces sont fortement rentrés, et le corps t
les contorsions les plus étranges des muscles de la face, du cou, du
tronc
et des extrémités, de sorte que les gens supersti
étend bientôt à tous les muscles soumis à la volonté; les membres, le
tronc
, la tête sont agités de mouvements convulsifs, va
nt gonflées. Les mouvements acquièrent une énergie extraordinaire; le
tronc
et les membres se fléchissent et se redressent al
ticu-lièrement mis en mouvement : ce sont les muscles des membres, du
tronc
, et quelquefois les élévateurs des mâchoires, tan
onservée... y En même temps, les muscles des différentes parties du
tronc
se convul-sent; la poitrine, la face et le col se
membres. Ce ne-sont pas seulement les membres qui s'agitent ainsi, le
tronc
y participe ordinairement, et il se contracte, se
s partielles et ces torsions brus-ques qui fléchissent quelquefois le
tronc
en demi-cercle, tantôt dans un sens, tantôt dans
t la poitrine avec violence. Si la crise est forte, les mouvements du
tronc
le font bondir et rouler dans tous les sens avec
ndit et s'échappe des mains qui le retiennent. La tête s'agite sur le
tronc
, en avant, en arrière, de côté... Les mains se po
les contractions des muscles du visage, mais celles des membres et du
tronc
, qui s'accompagnent parfois de cris qu'arrachent
à peu la tête quitte l'oreiller, et la face tourne du côté gauche, le
tronc
se soulève un peu et suit également ce mouvement
tiennent.. , L'effetle plus fréquent sur l'attitude est d'incliner le
tronc
en avant, de sou-lever le bras et de fléchir les
n avant, de sou-lever le bras et de fléchir les jambes ; cependant le
tronc
peut s'infléchir en arrière. )) La secousse que
néral, puis quatre à cinq grandes secousses agitent tout le corps. Le
tronc
est sou-levé, les épaules se rapprochent en avant
les poings serrés, le pouce en dessus; les muscles des membres et du
tronc
sont raidis, tantôt dans un état tétanique, tantô
utition. Bientôt, la tétese porte en arrière, les bras s'étendent, le
tronc
se raitlit, les jambes de-viennent rigides. Alors
présente : D'une façon générale, immobilité complète de la face, du
tronc
et des membres. La tète est rectiligne, fortement
bres supérieurs, très contractures et étendus perpendiculaire-ment au
tronc
, sont en croix ; les mains sont fermées et les do
rourneville et llegnard, lac. cit., Observ, Gen..., t. L p. 70. Le
tronc
est légèrement incurvé, de telle sorte que sa fac
des muscles et des nerfs produit la contracture. L'excitation d'un
tronc
nerveux fait contracter tous les muscles qu'il in
s non seulement des bras et des jambes, mais de la face et de tout le
tronc
, comme ouvrir et fermer la bouche, tirer 1. Je
attitude du dé-but de l'attaque, c'est-à-dire, les bras rapprochés du
tronc
, les poignets fléchis, le poing fermé et l'avant-
enu fermé, le bras droit, rendu complètement immobile, reste collé au
tronc
et entrave par son inertie l'action du bras gauch
èvent et se fléchissent, les jambes sont raidies dans l'extension, le
tronc
se creuse en arrière. Telle est la phase tonique
dort subitement. Au lit, la malade est dans le décubilus dorsal, le
tronc
un peu incurvé sur le côté droit, la tête penchée
avons décrite. Les membres supérieurs sont étendus, un peu écartés du
tronc
; ils sont rigides, dans une demi-pronation, le p
e, des points douloureux le long de l'épine dorsale et tout autour du
tronc
; et elle se frotte constamment ces parties surtou
que nous avons en vain essayé deprovoquer aux membres inférieurs, au
tronc
et à la tête. Toutes les fois que la malade est c
est ainsi que, quelquefois, la tête et les talons servant d'appui, le
tronc
ou Vun des côtés prend la forme d'un arc dont la
, on voit se contracter successivement les massé-ters, les muscles du
tronc
et des membres, enfin, les orbiculaires des pau-p
n- tractions tétaniques violentes, remontant des extrémités vers le
tronc
et ame-nant un tel sentiment d'anxiété, qu'il fal
ontrac-tions tétaniques qui en quelques instants remontaient jusqu'au
tronc
, et pro-duisaient un sentiment d'anxiété et des d
ntournent en s'abaissant; les jambes se fléchissent et s'étendent; le
tronc
s'incurve en divers sens. Tantôt la malade se tro
lors assez plaisant de voir cette jeune fille assise dans son lit, le
tronc
immobile, la tête penchée, les yeux tournés de to
dessus, et, à 10 h. 20, M. le D'' Bucquoy a pu mettre la m.alade, le
tronc
faisant un angle avec le le bassin, les jambes re
omion. La face était insen-sible ; le cou, les parties antérieures du
tronc
, les gouttières vertébrales, étaient aussi privée
n ! » maman ! y convulsions très fortes et très étendues des bras, du
tronc
et de la tête; spasme pharyngien ; pouces en abdu
eurs étendus horizontalement, de manière à former un grand X ayant le
tronc
pour centre. Enfin le tronc s'était recourbé jusq
, de manière à former un grand X ayant le tronc pour centre. Enfin le
tronc
s'était recourbé jusqu'à n'avoir d'autre point d'
M. Moissenet en complète ainsi la description : « L'incurvation du
tronc
, comme l'extension des membres, augmente par seco
inze secondes tout au plus, ses bras se sont raidis de chaque côté du
tronc
, le visage, qui exprimait la plus vive con-trarié
brusque, accompagné de mouvements convulsifs légers de la tête et du
tronc
, puis il tombe brusque-ment sur le côté. Tous ses
s assez ir-irrégulièrement, elle peut être circonscrite à un point du
tronc
, à un membre, ou bien le plus souvent, dans les c
en arrière la ligne des apophyses épineuses. La tête, les membres, le
tronc
d'un seul côté sont simultanément atteints. Tous
es attaques. La paralysie peut intéresser les différents muscles du
tronc
et des membres. D'après Briquet et Landouzy dont
n état de con-tracture permanente en extension forcée. Les muscles du
tronc
, du cou, de la face même peuvent être contracture
s exquise, des dou-leurs plus profondes, localisées sur le trajet des
troncs
nerveux, ou paraissant quelquefois siéger plus sp
t fit sur ce su-jet. Les mouvements rhythmés occupaient la face, le
tronc
et les membres exclusivement du côté droit. Ils p
ici la description d'après le docteur Bourneville ^ : La tête et le
tronc
se portent en arrière et vont toucher le lit et l
toucher le lit et l'oreiller; en même temps : 1° le bras se colle au
tronc
; l'avant-bras,qui était allongé, se fléchit; la
, le menton venant s'appliquer sur la région Fig. m. sternale; le
tronc
s'incline en avant, est vertical, puis s'infléchi
endant qu'elle était dans cette posture, l'exorciste lui fit tenir le
tronc
du corps droit et joindre les mains; que Sabulon,
s, bornés d'abord aux parties supérieures, gagnent succes-sivement le
tronc
et les membres inférieurs; la respiration devient
es des paupières, — les yeux fixes et hagards, les muscles du cou, du
tronc
et des bras innnobiles, — la respi-ration coupée
agnée souvent de tres-saillements et d'un cri étouffé. Quelquefois le
tronc
exécute un mouvement de ro-tation lent, et les ye
la sensibilité. Au palper, les muscles de la face, des membres et du
tronc
n'offrent pas de tension anormale; ils ne sont le
les elle assiste; ainsi, par moments, comme nous l'avons déjà dit, le
tronc
s'élève, les mains se joignent ou s'écartent, a b
II. PLANCHE DEUXIÈME, ASPECTS DIVERS DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU
TRONC
DANS LES FLEXIONS LATÉRALES PHYSIOLOGIQUES DU R
. Fig. 2. — La même flexion, avec élévation du bassin du côté où le
tronc
s'incline. — Page 362. Fig. 3. — Attitude du ha
ant. La figure 4 montre la conformation de la partie postérieure du
tronc
. On y voit la différence de forme, de situation e
he. Une double gibbosité costale se voit à la région postérieure du
tronc
. La supérieure, formée par les cinq ou six premiè
inale et la veine cave inférieure suivent la courbure du rachis. Le
tronc
n'est pas ici en équilibre comme dans la plupart
horax ; si le bassin est horizontal, comme dans la figure, le haut du
tronc
penche à droite, et si la partie supérieure du tr
gure, le haut du tronc penche à droite, et si la partie supérieure du
tronc
est droite, le bassin est beaucoup plus élevé du
suffisante pour ramener le haut du rachis sur la ligne médiane, et le
tronc
reste fortement incliné à droite et en avant. Cet
première lombaire a souffert presque exclusivement de la pression du
tronc
incliné à droite, pourquoi la déformation n'est p
peut appeler le premier plan des organes contenus dans les cavités du
tronc
; la planche XVI représente le second plan du même
Pl.XIX PLANCHE DIX-NEUVIEME. Fig. \ et 2. — Région postérieure do
tronc
de M1Ie V..., d'après les bustes en plâtre pris a
de l'inclinaison de la moitié inférieure du rachis vers la droite, le
tronc
présentait, à droite, un plan presque rectiligne
orps augmenta de 11 kilogrammes. Le redressement du rachis donna au
tronc
l'aspect représenté figure 2. Les apophyses épine
aillie de la hanche gauche avait disparu. Les deux faces latérales du
tronc
étaient presque symétriques. Les muscles avaient
des circonstances semblables. Fig. 3 et 4. — Région postérieure du
tronc
de Mlle X..., avant et après le traitement; courb
gauche relevé effaçait complètement la hanche gauche, et le galbe du
tronc
, dans ce sens, représentait une ligne droite. Au
Pl. XX. PLANCHE VINGTIEME. Fig. 1 et 2. — Région postérieure nu
tronc
de Mlle Y..., avant et après le, traitement ; cou
ôté gauche des lombes ; obliquité générale de la moitié inférieure du
tronc
de bas en haut et de droite à gauche ; asymétrie
bas en haut et de droite à gauche ; asymétrie des faces latérales du
tronc
, la droite, bombée au-dessous de l'aisselle, débo
es-ci étaient à la même hauteur et présentaient la même direction. Le
tronc
était d'aplomb ; il ne restait que de très légère
rme de sa croissance naturelle. Fig. 3 et k — Région postérieure du
tronc
de MUe Z..., avant et après le traitement; courbu
deux corsets orthopédiques sans avantage marqué. La conformation du
tronc
, figure 3, était presque la même que celle qui es
es ; même disposition des hanches; même aspect des faces latérales du
tronc
. Le traitement fut continué pendant deux ans ;
re cas ; il reste des traces de l'irrégularité des faces latérales du
tronc
. Le dessin, sous ce rapport, est un peu moins fid
'il ait de la force musculaire dans les membres inférieurs et dans le
tronc
. La titubation cérébelleuse des plus intenses.
attitude verticale, sans appui, le malade perd vite l'équilibre, le
tronc
penche en avant, et de rapides mouvements ataxi
ès nette. Pendant le mouvement il présente l'attitude suivante : le
tronc
, penché en avant, comme s'jl précédait dans la
nt des mouvements ataxiques et la chute a lieu dulcôlé où penche le
tronc
. Le tremblement augmente considérablement, 8 CH
ité, les dou- leurs dont se plaint la malade dans les membres et le
tronc
; elles varient d'intensité et de caractère sui
re hypoeslhésie à la douleur au niveau de la partie supé- rieure du
tronc
dans la région mammaire et à la face interne des
plication des différents excitants sur les membres inférieurs et le
tronc
des réflexes de défense qui consistent comme d'ha
st possible de les faire apparaître par l'excitation des téguments du
tronc
jusqu'au-dessus de la ligne mamelonnaire. En ex
réflexes de défense non seulement sur les membres inférieurs et le
tronc
, mais encore au niveau des membres supé- rieurs
ce de troubles de la sensibilité sur les mem- bres inférieurs et le
tronc
, il y avait lieu d'admettre que la compression
erveau ne présentait rien de particulièrement anormal, sauf que les
troncs
vasculaires, tant au niveau de la convexité qu'
genoux jus- qu'aux pieds inclusivement. Les mouvements plus vifs du
tronc
sont accom- pagnés de douleurs, accentuées dans
lissement de toutes les formes de la sensibilité depuis la ligne du
tronc
(D. I. E plus ou moins) jusqu'aux pieds inclusive
,à la douleur, au froid et au chaud diminue à partir de la ligne du
tronc
(d'après le schéma de E. Flatau) jusqu'aux pied
ster- num. 10. - Douleurs très violentes an moindre mouvement du
tronc
et à la pres- sion sur toute la région du stern
mbaires. Les symptômes douloureux augmentent dans les mouvements du
tronc
, dans le changement de position d'un côté sur l
rtébrale, à chaque changement de position et dans les mouvements du
tronc
; parfois douleurs au côté gauche. La ponction l
e, existence des cartilages de conjugaison, conformation puérile du
tronc
. » L'infantilisme a été considéré, jusqu'à prés
bes qu'il décrit, l'écartement latéral des pieds, les mouvements du
tronc
et du bassin, tout cela est parfaitement connu
é devant l'observateur, les pieds rapprochés, l'individu incline le
tronc
dans le sens opposé à celui de la marche, de fa
de celte phase d'oscillation latérale il touche le sol du pied. Le
tronc
se penche alors de l'autre côté, à l'inverse de c
tantôt supérieurs, tantôt inférieurs, mais respectant les muscles du
tronc
et de la face. Leur fréquence oscillait entre 1
de nets et de violents. Dans le cas de Friedreich les muscles du
tronc
et de la face n'étaient pas atteints; mais, dan
brillaires continues dans les mollets; muscles des extrémités et du
tronc
. ' Dans les premières descriptions, les douleur
e postérieure des cuisses, pouvant ensuite s'étendre aux muscles du
tronc
et même à l'un des membres supérieurs, mais res
t des brusques mouvements d'ensemble, d'extension ou de flexion. Au
tronc
, on constate une rapide inclinaison en avant ou
baissent brusquement, puis les bras se rapprochent et s'écartent du
tronc
. Les secousses sont tellement vives et fréquent
commencé à sentir des secous- ses dans les membres, ensuite dans le
tronc
et enfin dans la tête. Un an après, elle a récu
fig. C et D), aux bras et à la jambe droite ou plus généralisés au
tronc
et aux membres (fig. E) et encore à la tête ( f
e V montre un mouvement de latéralisation droite, avec extension du
tronc
et des membres supérieurs, notamment du bras droi
secousse se réduit, parfois, à un de ces mouvements. Les muscles du
tronc
entrent en scène sous des formes variées et répét
ent ou séparément, des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le
tronc
. Ces mouvements sont un peu plus intenses du côté
es supérieurs exécutent des mouvements similaires et les muscles du
tronc
, du cou et de la tête, subissent aussi des secous
y a trois ans elle a,senti des secousses dans les membres et dans le
tronc
Au commencement elles étaient rares et petites
eurs, ou au bras, spécialement au bras droit, ou sont localisées au
tronc
et aux épaules, au cou et à la face. La maladie
e à tout le corps avec flexion des membres inférieurs et flexion du
tronc
sur les cuisses. Quelquefois chacun de ses mouv
ents est isolé ou d'autres mouvements se produisent. L'extension du
tronc
et le redressement en arrière de la tête, la flex
on du tronc et le redressement en arrière de la tête, la flexion du
tronc
et le soulè- vement du bras gauche, les contrac
xions des orteils, des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le
tronc
, et tout revient, de suite, à l'état normal proba
LES 97 tension et de flexion, surtout la flexion des cuisses sur le
tronc
. Le tronc tombe quelquefois en avant comme si l
ension et de flexion, surtout la flexion des cuisses sur le tronc. Le
tronc
tombe quelquefois en avant comme si la malade a
s. Il n'y a pas de grandes différences dans le nombre des accès. Le
tronc
s'incline dans le lit en flexion sur les cuisse
es plus atteints sont ceux des membres supérieurs et inférieurs, du
tronc
, du cou, de la face et de la langue (Lemoine et
contractions musculaires sont surtout accentuées aux membres et au
tronc
, moins appréciables à la face. Dans quelques ca
nos deux observées présentent de grands mouvements des membres, du
tronc
, du cou, de la face, etc., comme conséquence des
it faire les mêmes constatations pour les membres inférieurs. Et le
tronc
ayant poursuivi son développement normal, on a l'
t poursuivi son développement normal, on a l'impression que sous un
tronc
d'adulte, on voit adaptées les jambes d'un enfant
anormalement petits en rapport avec la longueur physiolo- gique du
tronc
; les altérations osseuses prédominaient aux extré
faut d'harmonie non indifférent dans les proportions réciproques du
tronc
et des membres et des différents segments de ceux
ies (PI. XXIV) ou relève la disproportion entre le développement du
tronc
et celui des membres. Cette impression est ampl
io-huméral est supérieur au normal. Les bras sont un peu écartés du
tronc
. Les avant-bras inclinent à se met- NOUVELLE Ic
a symptomatologie que présente ce sujet. Chez le nain rachitique le
tronc
est déformé, on note souvent de la cyphose et d
ille (1 m. 19) et surtout par la disproportion entre la longueur du
tronc
qui ne présente rien de parti- culier et celle
ivent pas se présenter souvent. En examinant la face postérieure du
tronc
on constate que la distance entre l'angle infér
abdominale au niveau de l'ombilic : 73 centimètres. La longueur du
tronc
de la septième vertèbre cervicale au coccyx : 3
t cela à cause des faibles longueurs des membres inférieurs, car le
tronc
ne semblait pas réduit ainsi qu'on peut le voir s
e le sternum en partie creusé en gouttière. ' Les déformations du
tronc
manquent d'habitude dans l'achondroplasie. Mais
apophyse basilaire de l'occipital, du trou déchiré postérieur et du
tronc
occipital lui-même, la profondeur et l'étroitesse
eilles sont bien ourlées, le lobule est nettement détaché. ' ` Le
tronc
est court, trapu ; les seins sont fortement dével
omélie, la macrocéphalie et le développement à peu près nor- mal du
tronc
permettent de conclure à l'existence d'une achond
/par des tumeurs, par des anévrismes de l'artère verté- brale et du
tronc
basilaire, peut produire une symptomatologie clin
se de mon malade, il n'a pas été démontré, de fait, ni douleurs des
troncs
nerveux, ni trou- bles vasomoteurs et sécrétoir
éveloppement considérable jusqu'à envahir tous, ou presque tous les
troncs
nerveux, l'absence de troubles sensitifs est exce
malade. Système nerveux : Sensibilité : est intacte à la face, au
tronc
, aux membres supérieurs et infé- rieurs, à tous
muscles des éminences thenar et hypothénar. De même, les muscles du
tronc
, des bras et des membres inférieurs, les nerfs sc
ître exophtalmique, et depuis 2 ans d'une sclérodermie prononcée au
tronc
. L'opothérapie thyroïdienne produisit l'amélior
noncées aux extrémités supérieu- res et inférieures et en partie au
tronc
. La malade présentait en outre un goître assez
lade a remarqué depuis longtemps cette hyperhydrose des mains. Au
tronc
la peau est lisse, sauf sur le ventre ; les poils
es ; partout elle présente une pigmentation brune anormale ; sur le
tronc
il n'y a pas d'éruptions, ni de nodosités. Les pa
emenL et application du bout à la face latérale avivée ou fendue du
tronc
, soit par reploiement et perfora- tion du tronc
avivée ou fendue du tronc, soit par reploiement et perfora- tion du
tronc
, soit par redoublement du nerf et suture des face
pliquée et nous ne voyons pas l'avantage qu'il y a faire traverser le
tronc
par le bout sectionné pour implanter ce dernier
e anse. Rien n'empêche d'ailleurs d'unir par un point de suture les
troncs
adjacents ou voisins. " Celte manière de fair
Corps calleux. - On ne trouve pas de tache de dégénération dans le
tronc
du corps calleux; mais.de même que dans la plup
coupes vertico-transversales permettent de se rendre compte que le
tronc
du corps calleux (dans sa moitié antérieure) est
cap- sule interne Fic,. C. Coupe horizontale passant au-dessus du
tronc
du corps calleux. Les cir- convolutions frontal
bes, puis les décroise. Il fait aussi des mouvements de rotation du
tronc
, etc. Spontanément, il se lève, se balance, «sa
les suivantes : Excitabilité faradique : abolition complète pour le
tronc
et les branches du facial gauche. Excitabilit
difié, montrait un retour léger de l'excitabilité faradique pour le
tronc
et les branches du facial et une réac- tion amb
résul- tats suivants : Excitabilité faradique : diminuée pour le
tronc
du facial et la branche supé- rieure ; très dim
ssibles à l'exploration. Excitabilité galvanique : diminuée pour le
tronc
et la branche supérieure, presque abolie pour l
la rotule. Il n'existe pas de troubles de la sensibilité cutanée du
tronc
ou des mem- bres; Pas de troubles du sens stéré
e secousses musculaires convulsives ailleurs, à la tète, au cou, au
tronc
et aux membres. Exclusivement localisées à l'hémi
malement. La voûte palatine a une courbure normale. Le squelette du
tronc
et des membres n'a rien de particulier à signal
mais presque toujours limitée aux os longs des membres, aux os du,
tronc
et et la voûte du crâne : c'est à tort, selon nou
convexobasie, l'obliquité et le rétiécissement antéro-postérieur du
tronc
occipal (le rebord antérieur étant nettement au-d
t, nous considérons les crânes comme des ovoïdes ou mieux comme des
troncs
de pyramides dont la hauteur est antéro-postérieu
ypothèse : chaque membre est formé par un bourgeon ; de même que le
tronc
peut se subdiviser en une série de métamères pe
bre proviendrait ainsi du bour- geonnement de plusieurs segments du
tronc
et se subdiviserait ensuite eu ses divers artic
mentaire de la lésion car, d'une part l'infection remonte le long des
troncs
nerveux, d'autre part l'intoxication générale d
uchée à gauche ; enfin le deltoïde peut à peine détacher le bras du
tronc
. L'élévation de l'épaule par le trapèze se fait
e,leur sensibilité. leurs réflexes osseux. tendineux et cutanés. Au
tronc
, il n'y a pas de scoliose,tout au plus existe-l-i
ent et sa santé générale est excellente. Aux membres inférieurs, au
tronc
, et au membre su- périeur droit la force et les
deltoïdes à peine des- sinés ; les bras tombent inertes en avant du
tronc
, les omoplates très écartées l'une de l'autre,
on, cette position étant moins pénible que l'extension complète. Le
tronc
et les membres inférieurs sont inertes ; les me
rynx, ne sont pas atteints. Les muscles de la région postérieure du
tronc
, qui d'après l'anamnèse ont été pris les premie
OPHIQUE PROGRESSIVE (Début par les muscles redresseurs du cou et du
tronc
). (E. LonQ, de Genève) UNE VARIÉTÉ PEU COMMUN
s environ, par les muscles de la nuque, de la région postérieure du
tronc
et de la ceinture pelvienne. Aggravation lente et
oint sur lequel il est nécessaire de revenir ; parmi les muscles du
tronc
, la maladie d'évolution dans ce cas n'a pas frapp
r exécuter le pas, le malade incline comme chez les myopathiques le
tronc
pour dégager la jambe oscillante ; cette jambe ex
alement, sans frotter de la pointe; le malade incline en- suite son
tronc
sur elle pour dégager la jambe du côté opposé et
digitigrade sans steppage. Station assise. - Le malade tient son
tronc
vertical sans ensellure dorso- lombaire. Il s'i
pieds en équin légèrement varus. Etude détaillée des membres et du
tronc
. Les troubles sont symétriques et d'une égale i
diam. naso-occipital 37 cent. Diamètre biauriculaire, 37 cent. '
Tronc
. La tête est dans l'extension. En effet, l'inclin
l'inclinaison soit an- térieure, soit postérieure, soit latérale du
tronc
est possible, mais limitée. La flexion en arriè
iaux, des trapèzes et des grands pectoraux. Voilà donc un aspect du
tronc
et des membres supé- rieurs tout à fait différe
après le début de la maladie, quelle qu'elle soit. Les muscles du
tronc
sont tout à fait normaux ainsi que ceux du cou et
d'Argill-Robertson, la distribution radiculaire des anesthésies au
tronc
et aux membres su- périeurs, les phénomènes vés
accompagnant les mouve- ments volontaires. Tous les mouvements du
tronc
sont libres, sauf la llexion après une exten- s
at tétanique prolongé de tous les muscles orga- nisés. Le choc du
tronc
du nerf facial produit une contraction accentuée
qu'on lui posait. L'examen de la tête, des membres supérieurs et du
tronc
n'a donné que des résultats normaux. Aux memb
ex- tenseurs, des muscles des mollets, à droite et à gauche. Les
troncs
nerveux superficiels étaient, à l'instar des musc
risation. Ils reçoivent en effet leurs vaisseaux artériels des gros
troncs
de la base du cerveau. L'artère cérébrale antérie
stion bien entendu que des artérioles intra-cérébrales des pe- tits
troncs
vasculaires que l'on rencontre dans les noyaux gr
orsque le malade con- tracte ses muscles pour rapprocher le bras du
tronc
, ou l'abaisser quand il est soulevé, les faisce
de la face, de la mâchoire, de la langue, de la nuque, des bras, du
tronc
et des jambes). Anatomiquement existait une dég
ccasion au milieu. D'autre part, le mot membre ne s'applique pas au
tronc
, au cou, à la tête, à la mâchoire, segments mobil
gent sur l'orientation et les attitudes segmentaires de la tête, du
tronc
et des membres. De plus, l'appareil de l'utricu
lontaires, les attitudes segmentaires se distribuant par rapport au
tronc
et surtout à la tête. Le nerf vestibulaire de l
sis. Nous avons observé bien des hystériques incapables de tenir le
tronc
dans une position correcte et qui tombaient d'un
mptômes dans notre description d'un cas de paralysie des muscles du
tronc
(1). A de certains moments la paralysie était i
complète et la malade pouvait se retourner dans son lit et plier le
tronc
latéralement, mais elle restait tout à fait incap
S D'HÉMIMÉLIE DU MEMBRE ABDOMINAL DROIT 269 sère directement sur le
tronc
, et les hémimélies, chez lesquelles le segment
ux moitiés, de façon que le plan de section passe à la fois par les
troncs
des racines antérieure et pos- térieure et du n
l'organisme de l'homme, le bacille d'Armaner Han- ' sen. Enfin les
troncs
nerveux ne semblent pas augmentés de volume et
casd'hé- miparkinson gauche avec attitude anormale de la tête et du
tronc
(exten- sion) écrit : « La tête est rejetée dir
ment en arrière, en extension forcée, sans inclinaison latérale. Le
tronc
est, lui aussi, penché en arrière, dans une att
ose, présente nettement le type d'extension,non seu- lement pour le
tronc
, mais aussi pour la tête et les membres : dans la
titudes vicieuses et des mouve- ments involontaires des membres, du
tronc
et de la tête. (1) ler avril 1902. 386 DESTAR
ns spasmodiques de la hanche, dont les secousses se communiquent au
tronc
. Ces spasmes se transforment bientôt en une dév
ieds, dans la marche. Des mouvements involontaires de la tète et du
tronc
. Le pied-bot et la scoliose ; La tachycardie,
e côté est attirée en haut par des secousses qui se communiquent au
tronc
, elle reste fixée dans cette oosition tant nue
perdre l'équilibre. Mais le corps n'est pas dans la rectitude : le
tronc
est incliné à gauche, l'é- paule droite relevée
rire, c'est un déclanchement de contractions variées de la tête, du
tronc
et des membres, que le cinématographe seul pour
le bassin, le pied gauche dirigé en dehors, le droit en dedans. Le
tronc
est penché à gauche et en arrière, l'épaule dro
par son bord externe. Le malade marche du bassin. A chaque pas, le
tronc
se jette en arrière, des contractions spasmodiq
(PI. LUI, B). Scoliose. - Nous avons déjà signalé l'inclinaison du
tronc
à gauche et en arrière, il en résulte une scoli
ion forcée de la tête mais de faibles déplacements. .Les jambes, le
tronc
et les épaules sont aussi ébranlés par des secous
oint irréductibles, et ne suppriment point les mouvements actifs du
tronc
et du pied. L'action des antagonistes les corri
agonistes les corrige en partie. Sous l'influence de la volonté, le
tronc
se redresse, mais une légère courbure persiste;
Les secousses peuvent se montrer dans un grand nombre de muscles du
tronc
et des membres (dos, cuisses, éminence thénar). P
op longtemps. Mais, comme dans le Friedreich et l'hérédo-ataxie, le
tronc
est porté en arrière, les reins sont cambrés, e
ambrés, et le malade marche du bassin. En même temps, la tête et le
tronc
sont agités de mouvements,ce qui augmente encore
esse, avec cette association grotesque des spasmes de la tête et du
tronc
, donnent l'impression d'une marionnette mue par
ue à mesure que les mouvements se répètent. 1 406 DESTAI1AC les
troncs
nerveux ne sont pas douloureux à la pression. Il
rieurs et supérieurs, dans la marche, l'écriture ; pour la tète, le
tronc
,dans la station debout. Les autres phénomènes s
tonus (pied-bot, scoliose). Ataxie statique de la tête, du bras, du
tronc
, sous forme d'oscillation ou de spasme, survena
elevons les particularités suivan- tes : dans la station debout, le
tronc
et la tête s'inclinent alternativement d'un côt
d ; aussi J'enveloppe-[-il de ouate et de bandes de flanelle. Les
troncs
nerveux ne sont pas douloureux à la palpation. Le
gauche. Les douleurs de reins le gênaient beaucoup pour fléchir le
tronc
. De temps en temps, il éprou- vait des crampes
ont supprimés. Pour les rétablir, le malade est obligé de tendre le
tronc
sur le bassin, et alors ils s'exécutent sans vi-
state, à droite, « le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du
tronc
». Les mouvements des membres supérieurs sont a
dans une syncope. Examen anatomique. A l'oeil nu on constate que le
tronc
basilaire et les artérioles qui en partent sont
ne étendue de 1 cent. 1/2 au voisinage de son extrémité inférieure le
tronc
basilaire présente en outre des parois extrêmem
sont infiltrées de cellules rondes (fig. 2 et 3). Les lésions du
tronc
basilaire méritent une description spéciale ; cet
on est en partie ancienne, en partie récente; elle Fig. 4. Coupe du
tronc
basilaire au voisinage de son extrémité inférieur
cision pratiquée sur la pièce à l'état frais.) Fig. 5. - Coupe du
tronc
basilaire dans sa région moyenne. Hématoxyline et
tiellement par les lé- sions typiques des vaisseaux ; l'artérite du
tronc
basilaire, en particu- lier, ne permet d'émettr
des méninges sont anciennes, comme nous l'avons dit, l'artérite du
tronc
basilaire est manifestement spécifique, et la m
Observation 1 Syndrome cérébelleux' avec asynergie musculaire du
tronc
et des membres. - At1'ophie du cervelet apparem
30 ou 40 centimètres au-dessus du plan horizontal ; à ce moment le
tronc
se soulève à son tour formant un angle avec les c
es. Enfin les membres inférieurs retombent sur le plan du lit et le
tronc
devient t vertical. La force musculaire est c
mois. Elle boite et fauche en marchant. Le bras droit est accolé au
tronc
, l'avant-bras fléchi, les doigts et surtout l'i
s que ne le comporterait sa taille. Au contraire, les dimensions du
tronc
semblent voisines de la normale (Distance stern
ne laisse pas de fausser toutes les mensurations pratiquées sur le
tronc
ou sur le bassin. A la vérité, le grand Charles
, donnée- l'explication de l'inégal développement des membres et du
tronc
, camez aussi des différents segments des membre
llault en 1899, on peut dégager les conclusions suivantes : * 1° Le
tronc
est proportionnellement (4.) à peu près normal et
notre attention fut la petite taille apparente de la poitrine et du
tronc
comparés dans l'ensemble avec les extrémités gr
male chez la femme). Il n'y avait absolument rien de visible sur le
tronc
au-dessus du pubis, pour indiquer le sexe, les
pareil était porté pendant la vie la mâchoire supérieure. Bassin et
tronc
. Bassin. 566 LAUNOIS ET ROY GIGANTISME ET I
fermée : 6 cent. 3. Les oreilles sont petites et bien conformées.
Tronc
. La cage thoracique est augmentée dans tous les s
ductible, dans le temps, au type de gigantisme acromégalique (grand
tronc
, hypertrophie des extrémités, déformation du maxi
bientôt un nou- veau, en commandant au géant de planter en terre le
tronc
de palmier qu'il tenait à la main ; le lendemai
eint à peine sa cheville. Il tient à la main, en guise de bâton, un
tronc
de palmier ou une grosse branche 596 HENRY MEIG
rge manteau, se tient debout à droite, tenant de la main gauche son
tronc
de palmier. Ses jambes sont nues ; les pieds, s
s supérieurs, aemi-fléchis, rigides, et qui reposaient d'abord sur le
tronc
, se soulèvent au-dessus du lit. Les membres infér
surviennent les mouvements de balancement: Th. fléchit violemment le
tronc
, puis le rejette en arrière; ces mouvements se ré
uivis de mouvements cloniques très-étendus des bras, des jambes et du
tronc
: c'est cette période qui nécessite l'emploi de l
iers doigts qui sont allongés. — Le bras gauche est étendu le long du
tronc
; les doigts sont fléchis, le pouce étant forteme
son lit et, à diverses reprises, elle fléchit et étend brusquement le
tronc
et la tète. Enfin, elle se met à souffler, comme
tition. Bientôt, la tète se porte en arrière, les bras s'étendent, le
tronc
se raidit, les jambes deviennent rigides. Alors,
II et IX). D'une façon générale, immobilité complète de la face, du
tronc
et des membres. La tête est rectiligne, fortement
mbres supérieurs, très contractures et étendus perpendiculairement au
tronc
, sont en croix (Pl. VI et IX); les mains sont fer
ent sur la paume des mains qu'il est impossible de les allonger. Le
tronc
est légèrement incurvé, de telle sorte que sa fac
ûre, le froid ne sont pas perçus sur la moitié gauche du corps (face,
tronc
, membres). —La moitié correspondante de la muqueu
ent chaudes. Les jambes s'allongent, les bras s'écartent lentement du
tronc
et se mettent en croix. La rigidité est extrêmeme
sque, le bras gauche, puis le droit se placent perpendiculairement au
tronc
et deviennent très-rigides. Les doigts sont vigou
rie, p. 24. « Les bras sont rigides, étendus perpendiculairement au
tronc
, en croix', les doigts sont fléchis. — Les membre
s'asseoitbrusquementsurson i lit, et rejette non moins brusquement le
tronc
en arrière, de telle sorte que la tète vient batt
nute environ, la rigidité disparait, la malade soulève brusquement le
tronc
, qu'elle rejette non moins brusquement sur le lit
ns pas consignées jusqu'ici. G... est à demi-assise sur son lit, le
tronc
reposant sur les oreillers ; les cheveux sont rej
yante, stertoreuse ; écume. Par instants, on observe des secousses du
tronc
, avec soulèvement des épaules qui, pourtant, ne q
et inversement ; elle le roule, pour ainsi dire ; redresse à demi le
tronc
qu'elle rabat en arrière; frappe l'oreiller de sa
omplète. Bientôt éclate la période clonique avec grands mouvements du
tronc
, projection du bassin, agitation des bras et des
nes très-prononcés. Estelle légère, Geneviève recourbe brusquement le
tronc
, inclinant la tête et le haut de la poitrine en a
e a envahi, en plus du bras droit déjà analgésie, la moitié droite du
tronc
; seul, le membre inférieur a gardé sa sensibilité
avec de grands mouvements de balancement dans lesquels la tète et le
tronc
battent brusquement l'oreiller. Ces crises, qui
s'assied tout d'un coup et laisse retomber brusquement la tète et le
tronc
sur le lit qu'elle ébranle ; ces mouvements, entr
les grandes convulsions eloni-ques : La malade soulève la tête et le
tronc
qu'elle laisse retomber brusquement, battant ains
t, battant ainsi le lit avec une violence extrême. Chaque fois que le
tronc
retombe sur le lit, le bassin est projeté en avan
ou provoqué est impossible. Membre supérieur: Le bras est accolé au
tronc
; l'avant-bras est fortement fléchi sur le bras e
u'elle bat rapidement en soulevant et laissant retomber la tète et le
tronc
[grands mouvements clo-niques, déjà décrits). D
malade, ainsi que le montrent les Planches XXX et XXXII, a ramené le
tronc
vers le haut du lit et tient sa tète légèrement é
clonique : elle fléchit et laisse retomber brusquement la tête et le
tronc
à huit ou dix reprises, comme auparavant. Alors,
ement en-tr'ouverte (Pl. XXXVII. — Le bras droit est un peu écarté du
tronc
; l'avant-bras, fléchi, vient toucher le menton; l
hras, la poitrine (et vont s'attacher aux pieds du lit). De plus, le
tronc
est maintenu par des bandes transversales, attach
cataleptique. La figure est immobile; M... a le bras gauche accolé au
tronc
, l'avant-bras fléchi, l'un des doigts allongé; on
llonge et fléchit les jambes, écarte les genoux, balance lentement le
tronc
. Sa physionomie exprime un certain degré d'égarem
des pieds, les genoux mi-fléchis, très écartés l'un de l'autre, le
tronc
projeté én avant par suite de son obliquité sur
ne inclinaison brusque de la tige vertébrale ; il en résulte que le
tronc
est doublement porté en avant, puisque déjà l'a
L 31 rotation externe ; de la demi-flexion dépendent l'obliquité du
tronc
pour ainsi dire projeté en avant, le soulèvemen
est constitué par quatre segments, les deux premiers : tête, cou et
tronc
, forment un angle ouvert en avant, les deux der
es mains et état lisse de la peau qui est très mince. La face, le
tronc
et les membres inférieurs sont indemnes de tout t
mbres supérieurs seuls sont atteints par l'atrophie musculaire ; le
tronc
et les membres inférieurs sont indemnes et la m
ère fait contraste avec les lésions considérables trouvées dans les
troncs
nerveux périphériques. II. Nerfs périphériques.
Pl. V, B et PI. VI, C) que le nombre des fibres que contiennent ces
troncs
nerveux est très inférieur à la normale. Celles
matoxyline-éosine et le pro- cédé de van Gieson). - Comme [dans les
troncs
nerveux, les lésions sont iné- gales et inégale
ibreuses distinctes autour des éléments nerveux comme dans les gros
troncs
nerveux ou les racines rachidiennes antérieures
e après une douzaine d'années d'évolution. Intégrité de la face, du
tronc
et des membres inférieurs. Pas de trou- bles de
de l'examen histologique. Intégrité de la moelle épinière. Dans les
troncs
nerveux périphériques diminution du nombre des
nt les antérieures seules sont lésées et à un moindre degré que les
troncs
nerveux du plexus brachial. Pas d'augmentation
iens semblaient légitimer ce diagnostic. L'intégrité des muscles du
tronc
et des membres inférieurs s'expliquait par l'ar
que ces deux catégories de lésions sont plus intenses au niveau des
troncs
nerveux du creux axillaire et de leurs branches
x ainsi que la gaine de Schwann. Ces lésions se retrouvent dans les
troncs
ner- veux et vont aux racines antérieures et au
ée avec augmentation du névrilème et du tissu interfasciculaire des
troncs
nerveux et des filets musculaires. Les filets sen
ue montre une diminution considérable du nombre des fibres dans les
troncs
nerveux, et autour des fibres nerveuses,une envel
se des cordons postérieurs avec tourbillons névrogliques ; dans les
troncs
nerveux, dégénérescence des fibres à myéline, a
t accompagnée d'une sclérose conjonctive avec épaississement de ces
troncs
nerveux. L'observation I de Friedreich (atro- p
e et du tissu conjonctif intrafasciculaire, si bien qu'en somme les
troncs
nerveux ne sont pas augmentés dans leur diamètre.
s autour des éléments nerveux. Ces lésions sont au maximum dans les
troncs
nerveux ; elles sont notable- ment moins marqué
e. A cause de son adipose excessive on observe un double menton. Le
tronc
est très riche en tissu adipeux et dans la régi
ni un allongement excessif des membres infé- rieurs par rapport au
tronc
comme chez la plupart des géants. Voici mainten
NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T. XX. PL, XV. SQUELETTE DU
TRONC
PL n.rrémsvn. n r.m men dit. planche extrai
NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T. XX, PL. XVI. MUSCLES DU
TRONC
ET DU COU (ÉCORCIIt, SUITE) I;r Paul Ri,II drl
olution limbique ; il existe au contraire encore quelques restes du
tronc
du corps cal- leux sous la forme d'une mince la
l- leux sous la forme d'une mince lamelle ; la moitié antérieure du
tronc
et le genou ont complètement disparu. La moit
u en cas d'inflammation, la section du sympathique ou la section du
tronc
ner- veux d'où partent les vasomoteurs de la ré
ément observée on en décrit une autre mixte où l'adipose,diffuse au
tronc
, se présente aux membres en néoplasies nettement
a main, avec sa peau tout entière déposée comme un pardessus sur le
tronc
d'arbre où il appuie négligemment son coude...
laisser sa moitié supérieure attenante à la partie su- périeure du
tronc
encéphalique qui sera ainsi incluse en bloc. Sur
ons étudié sur coupes sériées horizontales, la partie supérieure du
tronc
encéphalique (capsule interne, région sous-optiqu
ion, nous voulons attirer l'attention sur le fait que les coupes du
tronc
encéphalique ne sont pas rigoureusement hori- z
fait qu'elles n'intéressent pas symétriquement les deux moitiés du
tronc
encéphalique. Le lecteur aura donc à tenir compte
p plus étendu en hauteur qu'en largeur, occupe la partie externe du
tronc
encéphalique gauche, s'étend, de la région sous
ier. Nous commence- rons par celles que l'on voit sur les coupes du
tronc
encéphalique intéressant le foyer primitif, nou
ée per- mettant d'en juger. Les coupes de la partie supérieure du
tronc
encéphalique montrent en outre qu'il existe dan
ssement ancien, occu- pant avec prédilection , la région externe du
tronc
encéphalique gauche et s'étendant de la région
de et nous montrer comment elle peut être due à l'oblitération d'un
tronc
vasculaire unique : l'artère cérébrale postérie
e dans sa première portion directe ou ascendante- comprise entre le
tronc
basilaire et le point où elle reçoit la communi
de l'artère cérébrale postérieure sur la plus grande partie de son
tronc
, depuis son origine jusqu'au delà du point où e
complète. Pas de réflexes anx membres supérieurs et inférieurs. Le
tronc
était légèrement cedématié. Réten- tion des sph
tié. Réten- tion des sphincters.Douleurs aux parties supérieures du
tronc
et au cou (io cer- (1) A bord du Transport R. C
jours ; la sensibilité revint] faiblement à la partie supérieure du
tronc
(4° cervicale),plus faible à la surface des membr
té persiste - affaiblie, il est vrai - dans la partie supérieure du
tronc
innervé par la 4e cervicale, et les sur- faces
il resta presque complètement paralysé des quatre extrémités et du
tronc
, pouvant se tenir debout ni lever les bras, ni
es, abolissement des réflexes tendineux, douleurs à la pression des
troncs
nerveux et des masses musculaires, hypoesthésie t
avec assez d'uniformité et de symétrie, d'abord dans les muscles du
tronc
, puis aux extrémités supérieures, et enfin dans l
ités supérieures, parésie des muscles fléchisseurs et extenseurs du
tronc
, suppression des réflexes tendineux, aucun troubl
s supérieurs des extrémités abdominales ; douleur à la pression des
troncs
nerveux et des masses musculaires, pression trè
ition, quand on soulevait les extrémités ou que l'on comprimait les
troncs
nerveux et les masses musculaires ; cela me dém
lète, flaccide, des quatre extrémités, et des muscles extenseurs du
tronc
, avec inclinaison en avant, et suppression des
semblable au premier; on observait seulement plus d'inclinaison du
tronc
en avant et une atrophie sensible des muscles de
ants : paralysie généralisée flaccide, totale et complète, au cou, au
tronc
et aux extrémités ; double paralysie faciale in
angements déposition, par la pression des masses musculaires et des
troncs
nerveux, sont un in- dice d'une grande importan
ensité. La douleur intense provoquée par l'excitation faradique des
troncs
ner- veux, spécialement du cubital, que j'ai ob
ed ; les réflexes cutanés plantaire et crémastérien sont normaux.
Tronc
: le grand oblique de l'abdomen est renflé sur le
rt et la palpation ne permet pas d'y sentir le corps thyroïde. Le
tronc
est d'apparence normale, le bassin est légèrement
ue absolue. Au-dessous, c'est-à-dire dans toute la moitié droite du
tronc
et des membres, ~'les trois modes de la sensibi
nt des filets à la peau et s'éparpillent en faisceaux ténus ; leurs
troncs
cessent d'exister. L'artère humérale,au pli du
gestation, un mendiant dont le corps, outre la tête, était réduit au
tronc
et à 'un seul bras, dont il se servait pour pro
ar l'écartement des scalènes n'ont rien présenté de remarquable. Le
tronc
de la sous-clavière après avoir donné ces six bra
pulaires, et la cinquième enfin, qui paraît être la continuation du
tronc
, descend tout le long de la partie postérieure
er 1902, n° 5, p. 90-93. Enfant de 3 à 4 ans, ayant la tête et le
tronc
bien conformés ; il s'est noyé. Membre supérieu
solément (cubital, médian, collaté- raux des doigts). Dans tous ces
troncs
nerveux la méthode de Marchi nous a permis de c
res inférieurs est ici l'unique cause du nanisme, car la hauteur du
tronc
, mesurée de la fourchette sternale au pubis, es
sur C... et sur un sujet du même âge présentant la même hauteur de
tronc
: 392 CHARON, DEGOUY ET TISSOT NOUVELLE Icono
e. Les trous obturateurs sont un peu plus larges que normalement.
Tronc
: - Le tronc est bien conformé, ne présentant auc
s obturateurs sont un peu plus larges que normalement. Tronc : - Le
tronc
est bien conformé, ne présentant aucune anomalie
. - Les membres supérieurs out un développement en harmonie avec le
tronc
, les diverses mensurations qu'on y peut faire son
ques à celles prises sur le sujet témoin offrant la même hauteur de
tronc
(voir plus haut). Les doigts sont, comme les orte
leur apparition successive, l'ordre décroissant de leur distance au
tronc
. Il en résulte que, s'il va arrêt de développemen
s blan- ches, caries, traumatismes, etc., au niveau des membres, du
tronc
, de la face. En renvoyant le lecteur pour les
es dents sont d'ailleurs très serrées les unes contre les autres.
Tronc
: saillie du sternum à la partie supérieure; dépr
poitrine au niveau des mamelons est de 85 centimètres. La hauteur du
tronc
est de 52 centimètres (le sujet étant assis et
ifié. Il n'y a rien qui rappelle le squelette des rachitiques. Le
tronc
n'offre aucune anomalie appréciable. Le développe
cromélie est rendue plus frappante par le développe- ment normal du
tronc
. « ... Bien singulière apparition, dit Pierre Mar
trairement à ce qui paraît exister chez l'achondroplasique, les os du
tronc
, omoplate, bassin (bassin épineux), colonne ver
s. A l'âge de 23 ans elle a eu une éruption intéressant la face, le
tronc
et les membres, constituée par des éléments pro
es éruptions peu marquées, mais très prurigineuses sur le front, le
tronc
et les membres. Depuis l'apparition de ces trou
non seulement les membres inférieurs, mais aussi les supérieurs, le
tronc
el , la face. 1 Elle présente donc une dispos
la branche externe du spinal, l'injec- tion d'alcool à 90° dans le
tronc
de ce nerf. Après cette intervention une amélio
d'accommodation défec- tueuse des divers muscles des épaules ou du
tronc
a (ce dont je suis d'ailleurs 476 HENRY MEIGE
décrit par Mendel est celui qui reste indemne quand l'on détruit le
tronc
du troisième nerf cérébral. On a rapporté aus
au- topsie, 374. Long. Examen histologique des téguments et des
troncs
nerveux dans un cas de trophoedème congénital (
Trophoedème congénital (Examen histolo- gique des téguments et des
troncs
ner- veux) (1 pi.), par E. Long, 155. Tumeur
x d'origine des nerfs crâniens situés à son voi- sinage, ou même le
tronc
nerveux qui part de ce noyau d'origine. C'est a
de la cérébrale postérieure droite sur la plus grande partie de son
tronc
, depuis son ori- gine jusqu'au delà du point où
uivant son étendue et sa localisation dans telle ou telle partie du
tronc
artériel, déterminer des symptômes très dif- fé
uche. 5° Enfin la thrombose oblitérante peut siéger non plus sur le
tronc
, mais sur lès collatérales ou sur les artères t
certaine raideur de la jambe et une hyperesthésie des membres et du
tronc
rendant tout contact, même des vêtements, doulo
vililigo placées très symétriquement presque sur toute la surface du
tronc
. Les muscles des deux jambes sont distinctement
; toutes les plaques s'étendent pour la plupart le long de l'axe du
tronc
. L'éruption disposée sur la paume de la main pr
oir un être demeuré enfant passé l'âge. Car sa tète est petite, son
tronc
presque proportionné ; plus déboule de Bichat arr
deur de l'articulation du coude Le bras droit s'éloigne fort peu du
tronc
. De Iosetig-Jloorlof attribue la cause , de l'af-
cause, à l'oblitération ou à la compression par la tumeur d'un gros
tronc
veineux profond, compression ou oblitération déte
te mobilité par suite de son adhérence aux masses sous-jacentes. Le
tronc
est penché légèrement en avant par suite de l'a
. (1) L. Revilliod, Hémiplégie gauche chez une gauchère. Embolie du
tronc
Grachio- céphalique. Signe de l'orbiculaire (Re
rause, Nicoladini, Munchmeyer, etc.). Les bras sont attirés vers le
tronc
et fixés dans cette position par l'ossifica- ti
dans cette position par l'ossifica- tion des muscles qui, partis du
tronc
, viennent s'insérer sur l'humérus : deltoïde, c
fléchies sur le bassin. Cette flexion des cuisses jointe à celle du
tronc
, à la région lom- haire et à celle de la tète e
es au seii muscles, ne retentissent pas sur les terminaisons et les
troncs
nerveu S'agit-il d'une tumeur ou d'une simple i
hies en dernier lieu elles premières manifestations se mollirent au
tronc
, au dos ou à la nuque ; en outre la symétrie pa
ment; les plans musculaires antérieurs des membres supé- rieurs, du
tronc
, des jambes, oatété partout à peine touchés pir l
e biceps et le brachial antérieur. Les deux bras restent écartés du
tronc
, comme dans la luxation intra-cora- coïdienne d
du pouce, pédieux, tibial antérieur, tibial postérieur : sciatique (
tronc
), saphène interne et nerf du quadriceps crural. M
qui suit : la moelle allongée, le cervelet en dessous, un reste du
tronc
cérébral et un reste des hémisphères long de 5
il existe une grande ressemblance entre eux. Dans tous les trois le
tronc
cérébral seul était conservé, la moelle allongé
dans les cordons latéraux de la moelle épinière et plus haut dans le
tronc
cérébral le manque de la voie pyramidale ? L'un
l'écorce s'est arrêté aussi ; de là l'absence de pyramides dans le
tronc
cérébral et l'existence de la fissure dans la moe
ttirée vers un détail spécial, à savoir la dilata- tion de certains
troncs
veineux crâniens exagérés de volume et paraissant
ent les anastomoses réciproques des veinules servant de racines aux
troncs
principaux. « C'est ainsi, par exemple, que, su
eine temporale formant au-devant et au- dessus de l'oreille un gros
tronc
d'une largeur de deux à trois millimè- tres ; -
émoral et les muscles du mollet. Les nerfs, en particulier les gros
troncs
(sciatique et branches de division) paraissent
es nerfs plus volumineux, tels que le sciatique poplité interne et le
tronc
même du sciatique, présentent du côté atrophié,
e gauche et du biceps droit. L'avant-bras droit peut se rapprocher du
tronc
, l'extension se fait à demi seulement. Mouvemen
ocher du tronc, l'extension se fait à demi seulement. Mouvements du
tronc
et des articulations coxo-fémorales abolis. On
ent abolis. L'humé- rus est en abduction ; il peut se rapprocher du
tronc
, mais pas complètement. Dans l'abduction forcée
ten- dons des grands pectoraux et grands dorsaux fixant les bras au
tronc
. Deltoïde droit contient des noyaux, gros comme
une raideur plus grande dans l'articulation du coude. Attitude du
tronc
oblique, épaule droite plus haute. Rebord costal
es et de courte durée. Intelligence normale. Actuellement tête et
tronc
penchés en avant et : c droite, immobiles. Les de
c droite, immobiles. Les deux bras sont très rapprochés et fixés au
tronc
; main droite et avant-bras gauche sont mobiles.
SSIM Huth trouve à 2 ans et demi les bras presque appuyés contre le
tronc
, les avant-bras normaux ; les muscles de la têt
lés. Ankylose des épaules, les bras sont presque serrés con- tre le
tronc
. Avant-bras normaux. Dureté et raideur des muscle
e droit avec le corps. La cuisse gauche fait un angle droit avec le
tronc
; il en est de même de la jambe avec la cuisse.
e droite plus haute que la gauche. L'humérus droit reste éloigné du
tronc
. Les coudes sont fléchis. La main droite est dans
. Les deux omoplates, presque entièrement immobiles, sont fixées au
tronc
. Seuls Fig. 3. - Myosite ossifiante progressive
ation et abduction de la cuisse droite normales ; la flexion sur le
tronc
arrive jusqu'à 80°. La jambe droite se fléchit
de l'excitation faradique. Les xi 21 310 A. WEILL ET J. NISSIM
troncs
nerveux des sciatiques poplités interne et extern
ne induration des parties atteintes qui fixa l'omo- plate gauche au
tronc
. Peu de temps après, le même processus se montra
surtout les 5e, 6° et 7e, sont durs. Les bras sont serrés contre le
tronc
, atrophiés. Atrophie également des del- toides.
s. Le bras droit est fléchi à angle droit ; le coude est éloigné du
tronc
de 15 cen- timètres, il peut être placé contre
ras, au milieu, 18 cen- timètres. Bras gauche. - Coude éloigné du
tronc
de 10 centimètres, fléchi à angle obtus. Mouvem
; peu de mouvements dans la gauche. Rien à la partie antérieure du
tronc
. Difformité congénitale consistant en un hallux
urs dans les régions coccygienne, sacrée et lombaire. La flexion du
tronc
était très pénible. Le coc- cyx était douloureu
le pied gauche. La station debout est facile. Dans son ensemble le
tronc
est penché en avant 't et incliné il gauche (PI
rachis dans le sens transversal. - De plus, dans son ensem- ble, le
tronc
est incliné à gauche, et il existe un léger degré
haut sa cuisse gauche ankylosée, pour toute tentative de flexion du
tronc
, etc. 11 n'a pas de douleurs au niveau du rachi
inégalité dans le volume des fesses, des masses sacro-lombaires, du
tronc
. Il existe une petite hernie ombilicale. Les test
es optiques. Et quand on enlève le cerveau on ne trouve plus que le
tronc
cérébral recouvert de membranes fibreuses assez
aractérisées parce fait que, de tout le cerveau, il ne reste que le
tronc
cérébral, et le cervelet. Quant à l'écorce céré
ces cas, on devra considérer que les faisceaux fibreux qui vont du
tronc
cérébral vers la surface interne des os, permet
halie interne. Il est certain, que chez l'en- fant de 2 ans dont le
tronc
cérébral était conservé et dont l'écorce cérébral
surface interne du crâne (PI. XI, A, IL C). Le cerveau se réduit au
tronc
cérébral. 2° Enfant âgé de 4 jours seulement, o
l. 2° Enfant âgé de 4 jours seulement, on ne retrouve encore que le
tronc
cérébral ; ici la difformité a été provoquée pa
an deReil, qui est très diminué et en général toutes les parties du
tronc
cérébral à ce niveau, à l'exception des pyramid
t bien développé ; mais il n'y a point de pyramides; à cela près le
tronc
cérébral ne présente rien d'anormal à ce niveau
oterons que, outre l'absence des pyramides sur toute la longueur du
tronc
cérébral, on re- marque les particularités suiv
fai- tes au niveau du pont de Varole, où le ruban de Reil divise le
tronc
céré- 3-j 8 NICOLAS SOLOVTZOFF bral en deux é
quent encore. Plus liant, au niveau des noyaux rouge à l'endroit du
tronc
cérébral où, du côté laté- ral, sont situés les
servés (pli. XLV, Y). Voilà tout ce qui reste des hémisphères et du
tronc
cérébral. Quant il l'écorce cérébrale,elle or.;
ouche du ruban de Reil s'explique par l'absence presque complète de
tronc
cérébral ; l'absence des olives et des voies céré
e la peau avec T. 38° à 38e. Le bras gauche ne peut être éloigné du
tronc
au delà de 45e. L'omoplate est tout à fait fixe
erand ; le bras droit devient raide, puis le bras gauche et tout le
tronc
de même que les membres inférieurs, subissent la
Presque toute la musculature est ossifiée. Scoliose et rugosité du
tronc
. Le dos présente des points surelevés et d'autr
ées ; mêmes lésions sur le grand dorsal. Le bras droit s'éloigne du
tronc
de 4raz, les doigts atteignent la bouche, mais
la nuque sont exempts d'ossifications. Le bras droit s'éloigne du
tronc
jusqu'à 45°, mais à cette limite l'omoplate se
t à l'hôpital, des tumeurs apparaissent dans différentes parties du
tronc
seulement pour disparaître en peu de temps sous
supérieurs recourbés ; les coudes séparés des parties latérales du
tronc
. Tumeur osseuse à la partie moyenne de la mâcho
IE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 421 1 A) Station ASSISE.- 1° Le
tronc
étant droit, les bras en avant, les mains sur l
s verrons plus loin la raison de ces diverses déformations. 2° Le
tronc
est incliné en avant, les mains sur les genoux. L
. * B) Station debout. 1° Les bras tombant naturellement le long du
tronc
. Déformation très nette de la région scapulo-hu
égion scapulo-humérale, qui rappelle celle de la station assise, le
tronc
droit, et qui en diffère cependant par certains p
i,1 té pa l'laite (les « autres muscles qui meuvent l'épaule sur le
tronc
et le bras sur l'épaule. « Dans ce cas,les sign
res du muscle scalène postérieur. 11 arriverait même parfois que le
tronc
du nerf traverserait ces fibres musculaires. Cett
ractions musculaires violentes et brusques tirailler, comprimer les
troncs
nerveux et produire ainsi la paralysie des musc
ort musculaire est brusque, plus le tiraillement et la rupture d'un
tronc
nerveux est facile. C'est là un point dont Weir M
; thorax aplati du même côté, plusieurs taches pigmentaires sur le
tronc
et les membres inférieurs. Vers la fin d'octobr
la ramena à la consultation le le,* février. Les membres, la face, le
tronc
, - a langue sont affectés de mouvements constan
lors qu'on entend un craquement dans l'articulation de l'épaule. Le
tronc
étant découvert pour un examen direct, on peut se
eds restent éloignés de 25 centimètres. Flexion de la cuisse sur le
tronc
de 170°. Une légère flexion est possible dans l
Mouvements des bras à l'épaule droite diminués : le bras s'éloigne du
tronc
de 39° ; il ne peut pas être porté en arrière ;
plus petit que le gauche. La première phalange semble manquer. Le
tronc
est raide. ' Les autres organes sont normaux ;
, mais moins marqués, dans la moitié droite du segment supérieur du
tronc
y compris le bras droit. Dans chaque flanc il e
m, essayant ainsi de détacher du sol, de sou- lever par le poids du
tronc
le membre inférieur gauche, puis mettant en peu
t qui peuvent servir à effectuer le mouve- ment suivant il porte le
tronc
de gauche il droite, tirant ainsi après lui le
nsidérablement raccourci et ce sont des mouvements de latéralité du
tronc
NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. I PL. II HEMIPLEGIE
édemment, les mouvements d'inclinaison en avant et de latéralité du
tronc
étant toutefois moins marqués, les muscles du s
sse-t-il par une série de petits sauts sur un seul pied, lançant le
tronc
en avant et entraînant dans ce mouvement le mem
ière pour porter en avant la jambe paralysée; elle porte d'abord le
tronc
du côté opposé à la paralysie et appuie tout le
égion lombaire. Dans la station verticale, la partie postérieure du
tronc
est traversée de haut en bas par un sillon médi
mbre de trois ou quatre; saillies qui s'exagèrent par la flexion du
tronc
en avant, ainsi que nous le disons plus loin, mai
l'attention du praticien, dit Cru- Fic. 13. - Partie postérieure du
tronc
dans la station debout. NOTE SUR L'ANATOMIE MOR
se développe dans la station assise (fig. 14) ou dans la flexion du
tronc
en avant (fig. 15). C'est dans celle dernière a
minence de la crête spinale lombaire que le mouvement de flexion du
tronc
en avant exagère considérablement. Il suffit de s
idérablement. Il suffit de se rappeler, en effet, que la flexion du
tronc
s'opère par l'intermédiaire de la colonne lomba
cile- ment la modification profonde que le mouvement de flexion 'du
tronc
apporte à la morphologie de la région. La saill
s lombaires. Mais il existe de grandes FIG. 15. - Flexion légère du
tronc
. Fig. 1(i. - Flexion pronuncée du tronc. NOUV
IG. 15. - Flexion légère du tronc. Fig. 1(i. - Flexion pronuncée du
tronc
. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. 1 PL. III Statue DE
ains sujets cette saillie longitudinale lombaire dans la flexion du
tronc
, ne se perçoit pas ou presque pas. Chez la fe
énéralement uniforme, mais, dans la station assise ou la flexion du
tronc
, il est aussitôt remplacé par la tumeur lombaire
n. Sur d'autres statues qui offrent plus prononcée l'in- flexion du
tronc
en avant, la saillie lombaire est plus accentuée,
t reproduit les changements que lui font subir la flexion forcée du
tronc
,.et nous en possédons, au musée duLouvre,-un ex
malades parviennent à la porter en haut, à droite ou à gauche. Le
tronc
lui-même est presque toujours, dans la station de
e dos contre le dossier de la chaise, les muscles des cuisses et du
tronc
présentent des contractions continuelles qui déte
repos on ne remarque rien d'anormal, si ce n'est des déformations.
Tronc
. - Il existe une scoliose â convexité gauche dans
efois. Sa démarche est lente et titubante, les bras sont écartés du
tronc
cherchant un appui pour maintenir l'équilibre qui
ndant les mois (parole analogue celle de la sclérose en plaques).
Tronc
. On observe une légère déviation de la colonne ve
de flexion. Enfin l'épaule est aplatie, et le bras collé contre le
tronc
, dans les contractures des muscles de cette rég
ulièrement. Membres égaux, réguliers, sans incurvations ni nouures.
Tronc
nor- mal. Organes génitaux bien développés. Pea
est fixé invariablement sur les pieds. Le bras droit est écarté du
tronc
: il est armé d'une canne dont il ne peut se sé-
xtenseurs des orteils ; 4° extenseurs de la jambe; 5° extenseurs du
tronc
; G0 fléchisseurs du cou; 7° fléchisseurs des doig
t fréquentes et vio- lentes, il criait, se raidissait en portant le
tronc
en arrière, puis trémulait pendant un quart d'h
La den- tition est irrégulière et mauvaise. Aucune asymétrie sur le
tronc
et les membres, sauf un léger abaissement, avec
ais on n'en remarque pas moins une disproportion flagrante entre le
tronc
et les cuisses, ce qui est l'indice d'un arrêt de
ues, la force médiocre, eu égard à la stature du malade. . Quant au
tronc
, ce qui frappe immédiatement les regards, c'est u
ncipale- ment dans la station assise, et surtout dans la flexion du
tronc
en avant, on observe une saillie médiane, marqu
peine à se tenir debout; il ne peut se redresser complè- tement. Le
tronc
est incliné en avant, comme fléchi brusquement au
impérative : « Tenez-vous donc droit, vous le pouvez », pour que le
tronc
et les membres prennent une rectitude complète.
ent leur point d'appui sur le fémur; ils tendent alors à fléchir le
tronc
; et si les deux muscles se contractent ensemble
léchir le tronc; et si les deux muscles se contractent ensemble, le
tronc
se porte directement en avant... » Cette action d
aire dont la convexité est tournée du côté de la sciatique, mais le
tronc
est incliné du côté opposé à la lésion et le re
C'est plutôt d'une inclinaison avec flexion latérale et torsion du
tronc
dont il s'agit. Tout autre était l'aspect de no
urs l'occasion d'observer, il existait aussi une flexion directe du
tronc
en avant; mais les muscles abdominaux ne présen
uffit de le rappeler en quelques mots. Dans la station debout, le
tronc
est penché en avant et la tête incli- née dans
s leurs diverses jointures, les coudes sont faiblement écartées du-
tronc
, et les mains, qui subissent aussi une déformatio
ble à ses autres confrères en maladie par l'inclinaison en avant du
tronc
et de la tête, il en diffère complètement par l
ans un appareil formé de longues attelles et de bandes enserrant le
tronc
. Au bout de ce temps il se leva. Il ne pouvait
d'un très grand nombre de petites cicatrices non pigmentées sur le
tronc
et les membres inférieurs. A la cuisse gauche o
dérable; les parois abdomi- nales sont plutôt un.peu lâches, . Le
tronc
ne présente rien à signaler, si ce n'est une cour
u thorax, décrivant avec celui-ci un seul et même arc de cercle. Le
tronc
, gros et massif, était soutenu par deux membres
- normal, 28. Sciatique poplité externe (distribution du) 35.
Tronc
(partie postérieure du - dans la sta- tion assi
entuée sur toute l'étendue du membre supérieur droit, répandue sur le
tronc
en avant et en arrière, comme il est indiqué sur
Malade. — Sur un même sujet : sciatique avec déformation spéciale du
tronc
; à la suite d'un coup reçu sur le front, Neurasth
est de la voir une première fois. Vu de dos le sujet nous montre le
tronc
assez fortement incliné sur la droite, l'épaule d
de septembre 1886. une fois de plus l'inclinaison très prononcée du
tronc
vers la droite, la chute de l'épaule droite, etc.
iste sur le membre opposé au côté vers lequel a lieu l'inclinaison du
tronc
. L'inclinaison ayant lieu vers la droite, dites q
occupe le membre inférieur gauche, et inversement si l'inclinaison du
tronc
a lieu vers la gauche. Bien des fois il m'est a
s observations, connues jusqu'alors, est la suivante : Inclinaison du
tronc
du côté opposé à la sciatique, absence complète d
e cutanée (hémianesthésie sensitive) de tout le côté gauche du corps,
tronc
et membres. Cette hémianalgésie à la partie posté
lutôt lents. Ils occupent le cou, la face, les membres supérieurs, le
tronc
. A la petite fille : Comment vous appelez-vous,
bandonne à elle-même sans soutien elle s'affaisse ; en même temps, le
tronc
se fléchit soit en avant soit en arrière; la tête
ument incapables de tout mouvement volontaire. Il en était de même du
tronc
et de la tête : celle-ci était « tombante » et re
s d'un mois, les membres aujourd'hui paralysés et aussi la tête et le
tronc
avaient été agités de mouvements choréiques très
'est répandue l'anesthésie, mais encore sur toute la moitié gauche du
tronc
, en avant, en arrière et sur la moitié de la tête
....ey fut frappé par derrière, et reçut dans la partie supérieure du
tronc
, à la base du cou, un coup de couteau qui paraît
e de l'accident dont notre malade a été victime. Un homme présente le
tronc
incliné en avant, l'agresseur le frappe par derri
e, et l'hy-péresthésie remonte plus ou moins haut sur l'abdomen ou le
tronc
, suivant la hauteur de la lésion spinale : elle e
ie cutanée de tout le membre inférieur, remontant sur l'abdomen ou le
tronc
où elle se limite, plus ou moins haut,par une lig
ne faut pas glisser et qui aura dû vous frapper, c'est que du côté du
tronc
la ligne qui limite l'anesthésie dysesthésique ne
ammoniaque, ni la faradisation intense de la peau ou des muscles, des
troncs
nerveux eux-mêmes, ne sont cap.ables de produirel
urement bien entendu à la pression exercée sur les muscles ou sur les
troncs
nerveux, est un caractère inhérent à la léthargie
faibles. De fait, chez B..., avec une vigueur presque athlétique du
tronc
et des membres supérieurs, la démarche a de tout
e précurseur est une douleur vive qu'il ressent dans le côté droit du
tronc
, au niveau de la région hépatique et qu'il décrit
poids encore à notre assertion. (Fig. 22). Il existe sur la tête, le
tronc
, les membres, une hémianalgésie Fig. 22. — 1. A
érogène dont il a été déjà question du reste plus haut, située sur le
tronc
dans la région hépatique, et celle d'une plaque d
nt des plus désordonnés ; soudain il lance ses bras de chaque côté du
tronc
, croise ses jambes avec un grand luxe de mouvemen
nsi dire plus depuis deux nuits. Les gesticulations des membres et du
tronc
sont de plus en plus étendues. La situation évide
s plus insensées, croise et décroise constamment ses jambes ; plie le
tronc
en avant et peu après le renverse brusquement en
oduire aussi chez quelques individus dans les muscles extenseurs du
tronc
, plus rarement dans ceux de la face et du cou. Da
sur le membre supérieur gauche, se terminant en «. gigot » du côté du
tronc
; sur la main, il y a seulement analgésie ; analg
, il y a seulement analgésie ; analgésie de toute la moitié gauche du
tronc
et de la face. En avant, l'analgésie du tronc s'a
ute la moitié gauche du tronc et de la face. En avant, l'analgésie du
tronc
s'arrête au-dessous de l'hypocondre gauche, tandi
u'il avait faits la veille et qui consistaient surtout à renverser le
tronc
en arrière. Sur la partie douloureuse des reins,
maladies du système nerveux. T. II, p. 104 et suiv. ¿0 tête et du
tronc
en avant ; les jambes sont devenues raides ; la m
alle de cours en s'aidant d'une béquille qu'il porte du côté droit le
tronc
tenu raide dans la verticale, la région lombaire
exaspérées soit par la pression, soit par les moindres mouvements du
tronc
, et dans ces cas-là, elles se montrent bien plus
se montrent bien plus vives encore; elles rayonnent des deux côtés du
tronc
, le long des fausses côtes, et s'étendent en avan
ces sur la corde du lit et parvient ainsi à soulever ses épaules ; le
tronc
suit, tenu tout d'une pièce, mais ne s'élevant gu
indications de premier ordre. On sait qu'à l'état normal lorsque le
tronc
s'infléchit en avant et se redresse, lorsque ces
permettre la comparaison, fait placer près de notre sujet et qui, le
tronc
dépouillé de vêtements, exécute devant nous les m
Mais il n'en est plus de même chez notre malade, tant s'en faut : le
tronc
, lorsqu'il se fléchit en avant, ou se redresse, o
ent, de leur exacerbation sous l'influence des moindres mouvements du
tronc
, on pourrait être conduit à penser que l'étude mé
esse que nous avons signalés expressément, à propos des mouvements du
tronc
soit en avant soit en arrière ; c'est à elle égal
ce axillaire est trop courte, il peut se produire une compression des
troncs
nerveux susceptible de déterminer des fourmilleme
ant, supporté par deux cannes, s'efforçant de maintenir la tête et le
tronc
tout d'une pièce et fixant constamment ses pieds
urs en éveil parce que le moindre mouvement imprévu de la tête sur le
tronc
, pendant la marche, aurait pour effet d'exaspérer
ade s'étant dépouillé de ses vêtements, que la plupart des muscles du
tronc
sont, chez lui, en proie à des secousses rythmées
ours trop chaud, la nuit il se découvre à chaque instant ; souvent le
tronc
est couvert de sueurs profuses. Cependant, la tem
où il y a souvent des sueurs profuses répandues principalement sur le
tronc
. La peau paraît chaude, le pouls varie de 100 à 1
e la tête et se courbe légèrement en arrière :lesbras, les jambes, le
tronc
se raidissent alors dans l'extension. La contract
yeux tout grands, s'assied sur son séant et fait, en fléchissant son
tronc
en avant, trois mouvements de salutation profonde
ésie portant sur la moitié gauche de la face, la moitié supérieure du
tronc
jusqu'à la ligne médiane, l'épaule enfin et le me
gion pariétale droite, enfin quelques contusions sur le coté droit du
tronc
. Tout cela était fort léger, car. au bout de 11 j
e, portant sur tous les modes de la sensibilité, occupant la face, le
tronc
, les membres Voyez fig. 69 et 70. Perte du sens m
ment en des mouvements successifs d'abaissement et de redressement du
tronc
. Si on cherche à les analyser, on reconnaît bient
e où la malade se baisse, les cuisses se fléchir sur les jambes et le
tronc
se fléchir sur le bassin, la tête éprouvant par r
t le tronc se fléchir sur le bassin, la tête éprouvant par rapport au
tronc
, un mouvement de flexion et de rotation, et les-a
qui menacent à chaque pas l'équilibre, occasionnent les mouvements du
tronc
, de la tête, des membres supérieurs, et aussi ces
lit l'inscription suivante « mort aux gendarmes. » Au beau milieu du
tronc
, un peu au-dessus du sternum, se présente une fig
espondent dans les membres paralysés, une atrophie dégénérative des
troncs
nerveux émanant des parties altérées des cornes a
muscles du cou ; leur examen ne donne que des résultats négatifs. Au
tronc
, les pectoraux ont légèrement diminué de volume e
s secousses fibrillaires. Les autres muscles de la face antérieure du
tronc
et de l'abdomen ne semblent pas altérés. Les musc
i en même temps dans la jambe et la cuisse gauches, le côté gauche du
tronc
et même de la tête. Les parties où j'ai ressenti
n des membres du côté gauche se retrouve sur la partie postérieure du
tronc
du même côté et, encore à gauche, sur la moitié d
et 19 pour la gauche. Il n'y a plus d'anesthésie ni à la tête, ni au
tronc
, ni au membre supérieur gauche. Au membre inférie
chez l'autre, vous voyez ces mouvements occuper à la fois la tête, le
tronc
, les membres à peu près au même degré; leur nombr
est couverte d'ecchymoses. D'autres fois, elle secoue brusquement son
tronc
et ses membres et frappe le sol du pied, de maniè
oyez qu'il est capable de se tenir fort bien, dans cette position, le
tronc
droit et sans que les fesses portent sur ses talo
ngulièrement la progression ;puis le sujet, faisant effort, porte son
tronc
en avant; alors la trépidation se précipite en mê
ins, sur les avant-bras, les bras, les épaules et quelques muscles du
tronc
. Les réflexes tendineux, comme vous pouvez le con
suivent est en raison directe du degré de coloration. corps, tête,
tronc
, membres,extrémités,les impressions tactiles sont
re que,d'une façon générale, il en est de même de tous les muscles du
tronc
. Il y a également ici pronation forcée de l'avant
e des bras, le cou, le devant de la poitrine, la moitié supérieure du
tronc
en arrière,il y a seulement obnubilation de la se
ent parfaitement libres. Le membre supérieur pend inerte le long du
tronc
. La paralysie du membre supérieur gauche est tota
lle est un peu en retard sur l'autre, mais il n'y a ni balancement du
tronc
, ni frottement de la pointe du pied sur le parque
mouvements de flexion, d'extension, d'inclinaison latérale, etc., du
tronc
sont normaux. Il s'agit donc en somme non d'une h
t elle descend obliquement dans le pli inguinal scrotal. La peau du
tronc
a conservé toute sa sensibilité dans la zone inte
racé respiratoire)....... 12 Fig. 9,10. — Sciatique (Déformation du
tronc
dans la) . . .20, 21 Fig. 11 — ! (Points doulou
alade. —Sur un même sujet: sciatique avec défor- mation spéciale du
tronc
; à la suite d'un coup reçu sur le front, neura
8,520. Schvalbach, 226. Sçiatique. — Bénigne, 25. — (Déformation du
tronc
dans la), 19, 22, 27.— (Douleur dans la), 25. — F
<<Mt<M Neroen Systems. Zurich, 1873. DE LA STRUCTURE DU
TRONC
DU NERF AUDITIF. 37 dehors du précédent, dans l
cines antérieures du nerf auditif se rendent dans le cervelet. Le
tronc
du nerf auditif ainsi composé, donne nais- sanc
ier 1880. Progrès médical, nez 9, 1880, p. 170.) DE LA STRUCTURE DU
TRONC
DU NERF AUDITIF. 39 de filaments nerveux, émerg
DU NERF AUDITIF. 39 de filaments nerveux, émergeant en totalité du
tronc
du nerf auditif. Les recherches microscopique
té du tronc du nerf auditif. Les recherches microscopiques sur ce
tronc
chez l'homme m'ont amené à constater les deux c
m'ont amené à constater les deux circons- tances suivantes : 1° le
tronc
du nerf auditif se compose de deux parties dist
. distinguent par le caractère de leurs tubes nerveux. 2° Dans le
tronc
du nerf auditif, principalement dans la partie
ux 1 A. Eitzky. Progrès médical, nez 39, 1877. DE LA STRUCTURE DU
TRONC
DU NERF AUDITIF. 41 dans la gaine de Schwann, d
portion occupe une plus grande étendue de la coupe transversale du
tronc
nerveux pratiquée à son émergence du corps rest
de Re- mak. Ces deux parties bien distinctes, trouvées dans le
tronc
du nerf auditif, correspondent, la première au
laire, la seconde au faisceau du nerf cochléaire. Sur les coupes du
tronc
, pratiquées à son origine microscopique, ces de
ntre elles que par la nature de leurs fibres, et DE LA STRUCTURE DU
TRONC
DU NERF AUDITIF. 43 par l'étendue qu'elles occu
e méat auditif interne, en procédant successive- ment aux coupes du
tronc
nerveux, on trouve une cloison de tissu cunjonc
bes nerveux assez forts, quoiqu'un peu moins gros qu'à l'origine du
tronc
nerveux. Ces tubes médullaires ont un cylindre-
aires servent d'ap- pareil périphérique. Les coupes nombreuses du
tronc
du nerf auditif que nous pratiquâmes sur bon no
l'entrée du nerf dans le méat au- ditif interne. Dans la partie du
tronc
nerveux qui avoisine le corps restiforme, ces î
ande majorité des coupes, on ne 1 Loco crtalo. DE LA STRUCTURE DU
TRONC
DU NERF AUDITIF. 45 rencontre dans chacune d'el
dant que ces fibres émergent de la partie postérieure supérieure du
tronc
du nerf au- ditif, à l'égal des branches nerveu
déliées, qui atteignent jusqu'au bord de la sur- DE LA STRUCTURE DU
TRONC
DU NERF AUDITIF. 47 face antérieure du nerf et
très restreint. Il arrive de constater, que sur tout le parcours du
tronc
du nerf auditif, on ne voit pas s'en détacher u
bstance grise, avec leurs cellules ganglionnaires, contenus dans le
tronc
du nerf auditif (dans le faisceau vestibulaire)
la branche nerveuse la plus forte du nerf de Wrisberg provenait du
tronc
du nerf au- ditif, au lieu d'émerger du corps r
rait encore ajouter les ganglions, microscopiques localisés dans le
tronc
du nerf auditif que nous venons de décrire.. ,
ganglion de Casser, les ganglions géniculés, le DE LA STRUCTURE DU
TRONC
DU NERF AUDITIF. 49 ganglion jugulaire, le gang
les fibres du nerf cochléaire et du vestibulaire, ainsi que dans le
tronc
du nerf auditif de l'homme et des mammifères, u
re cephalica synzpathici. Heidelberg, 1823, s. 3 DE LA STRUCTURE DU
TRONC
DU NERF AUDITIF. 51 le méat auditif interne ; e
PLICATION DE LA PLANCHE V Fig. 1. 3/7 Hart. : Coupe transversale du
tronc
du nerf auditif traitée par le picro-carminate.
osmipue à 1/2 pour 100. Fig. 3. 3/7 Hart. : Coupe transversale du
tronc
du nerf auditif trai- tée par le picro-carminat
n et des étranglements. Fig. 5. 3/4 Hart. : Coupe transversale du
tronc
du nerf anditif trai- tée par le picro-carmin m
s qui ne se colorent pas. Fig. 6. 3/4 Hart. : Coupe transversale du
tronc
du nerf auditif trai- tée par le picro-carminat
ablement épaissie et le corps thy- roïde à peine marqué. La peau du
tronc
paraît fine, d'un blanc mat, résistante sous le
ment et progressivement les paupières, les mains, les membres et le
tronc
. Les paupières sont gonflées, ridées, couleur d
dans d'autres cas. Le corps thyroïde est petit; les tégu- ments du
tronc
et des membres sont enflés et bouffis, les main
à l'occasion de quelques mouvements (décubitus dorsal, flexion du
tronc
); même remarque au sujet de la rigidité de la cha
t contracture marquée, la tète était inclinée en avant et fixe , le
tronc
était aussi penché en avant; la marche était di
ent disparaissaient ; la marche devenait plus animée; la tète et le
tronc
se redressaient Au bout de trois mois, la malad
en dernier lieu l'excitation des 132 ^ PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
troncs
nerveux. Enfin ce n'est que dans les cas les pl
sion de la tête détermine à la nuque des plis très profonds. Sur le
tronc
, le système pileux est assez déve- loppé et la
lus marqué d'un côté que de l'autre au niveau des membres. Sur le
tronc
, on observe toujours ce même gonfle- ment, plus
, qui s'étaient développées dans la peau de la face, du crâne et du
tronc
. Du côté des organes génitaux, on a noté un gon
ts constitués par des alternatives de flexion et d'ex- tension du
tronc
suivant l'axe longitudinal du corps; l'arc de c
est couchée, les paupières se mettent à battre très rapidement; le
tronc
et la tète se 1 Nous ferons remarquer à ce prop
roulis s'arrête, elle reste un instant d'aplomb sur le dos, puis le
tronc
se lève assez posément, se fléchit sur le bassi
hyslérogènes. il sur la 12° côte gauche, sur la partie latérale du
tronc
; 2° sur la 7" gauche sous le sein ; 3° au-dess
fron- tale, laquelle, comme on sait, se détache prématurément du
tronc
de la cérébrale moyenne, se trouve englobé dans l
vahit bientôt symétriquement les quatre extrémités, le visage,'le
tronc
; sueurs profuses des téguments lésés; durée deux
le chatouillement de la peau ni de légers coups frappés à côté des
troncs
nerveux et en dehors des zones électro-motrices
symptômes du tabès au début. La pression permanente exercée sur le
tronc
du facial n'engendre pas celte réaction qui n'e
, toutes deux originaires du lobe olfactif, qui se réunissent en un
tronc
commun et gagnent à travers un seul trou la cap
de la choroïde ainsi qu'en certains cas à des altéra- tions dans le
tronc
du nerf. Rien n'autorise donc à supposer une co
cataleptique est uniformément développé sur tous les membres et le
tronc
; 4° L'hyperexcitabilité neuro-musculaire n'exis
. La sensibilité est conservée à droite au niveau des membres, du
tronc
et de la face. 11 n'en est pas de même à gauche;
dans toute l'étendue du membre supérieur, du membre inférieur et du
tronc
, jusqu'à cinq centimètres environ au-dessous du
S. 393 ? , PLANCHE V Fig. I. - 3/7 Ilart. - Coupe transversale du
tronc
du neif auditif traitée par le picro-carnmaate.
e osmique à 1/2 pour 100. Fig. 3. z Hart. : Coupe transversale du
tronc
du nerf auditif trai- tée par le hicro-carmmate
et des étranglements. Fig. 5. 3/1 Ilirt. : Coupe transversale du
tronc
du nerf auditif titi- ée par le picro-carniiu m
s qui ne se colorent pas. Fig. 6. 3/1 Hart. : Coupe transversale du
tronc
du nerf auditif trai- tée par le picro-cainmiat
ent pas toujours à des ramifications de deuxième ordre par rapport au
tronc
bronchique, mais bien quelquefois à des ramificat
et 4. Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 14 périphérie des
troncs
lymphatiques sous-pleuraux etinterlobu-laires, ra
ire aiguë, simu-lant le typhus, et dans lequel on vit paraître sur le
tronc
et sur les membres de nombreuses pétéchies; mais
saurait localiser ces douleurs sur le trajet d'un ou de plusieurs des
troncs
nerveux principaux ; il semble qu'elles occupent
timètres envi-ron) : son tissu est résistant, de couleur acajou. — Le
tronc
de la veine porte, les mésaraïques, les splcnique
s forme de cylindres ramifiés. On remonte, par la disection, jusqu'au
tronc
de l'artère pulmonaire, qui est elle-même remplie
gane résiste à la pression du doigt, sans crépitation appréciable. Le
tronc
de l'artère pulmonaire et les premières branches
e gonflement permanent du système veineux sous-cutané des membres, du
tronc
et du cou, on avait pensé qu'il était bien possib
actères communs, à savoir, l'existence de caillots san-guins dans les
troncs
principaux de l'artère pulmonaire, et la mort sub
s, M. le docteur Charcot porta le diagnostic suivant : obturation des
troncs
principaux de l'artère pulmonaire par des caillot
aut, pénètre dans l'artère pulmonaire. A mesure qu'il s'élève dans le
tronc
de Y artère pulmonaire, ce caillot augmente rapid
peu dans l'iliaque commune. Cœur normal. Pou-mon un peu œdémateux. Le
tronc
de l'artère pulmonaire est bouché par un thrombus
divisions étaient rouges, peu consistants, tandis que les caillots du
tronc
principal présentaient par leur cohérence et par
plusieurs fois replié sur lui-même et long de cinq pouces et demi. Le
tronc
principal de l'artère pulmonaire du côté di'oit e
nt peu de temps après l'accouche- ment. A l'autopsie, on trouva les
troncs
principaux de l'ar-tère pulmonaire remplis par de
ces faits, (§ I, § II) l'obstacle siégeait, comme on l'a vu, dans les
troncs
principaux de l'ar-tère, et les accidents produit
que si, dans ces expériences, les corps étrangers s'ar-rêtent dans le
tronc
principal ou dans des branches de pre-mier ordre,
ue, t. III, art. Fibrine. séjourné pendant plusieurs jours dans les
troncs
principaux de l'artère pulmonaire sans que leur p
ne, lorsqu'il l'a complètement oblitérée, se prolonge souvent dans le
tronc
vasculaire d'ordre supérieur avec lequel cette ve
s révélés par l'autopsie: le caillot que l'on trouve enclavé dans les
troncs
principaux de l'artère pulmonaire, ne présente ha
ves. (Robin). D'après Kœlliker, on trouve même dans l'aorte et sur le
tronc
de l'artère pulmonaire des fibres-cellules: mais
où. les acci-dents les plus menaçants, et annonçant une occlusion des
troncs
principaux de l'artère, cesseraient plus ou moins
s très vraisemblablement produits par une oblitération fibrineuse des
troncs
principaux de lartère pulmonaire, observés chez u
mobilité dans le décubitus dorsal, la tête et la partie supérieure du
tronc
un peu relevées par des oreillers ; face tuméfiée
'autres points du système artériel; mais le volume exceptionnel de ce
tronc
vasculaire, et l'importance des fonctions qui lui
aux péri-phériques ne s'accompagne pas d'une lésion semblable dans le
tronc
principal ; aussi toutes les fois que les artères
-vrismes de l'aorte abdominale siègent de préférence au voi-sinage du
tronc
cœliaque (52 fois sur 92). Il existe quelquefoi
les pulsations anévrismatiques ; leur siège habituel est au niveau du
tronc
cœliaque. Mais il faut éviter de confondre avec l
cultation. Mais l'existence d'une matité circonscrite au voisinage du
tronc
aortique, même dans le cas où il est possible d'e
u cœur viendrait s'épuiser : en supposant la tumeur située au-delà du
tronc
brachio-céphalique, on s'expliquerait aisément la
ec les affections du péricarde et du cœur ; avec les lésions des gros
troncs
vasculaires voisins ; enfin les palpitations spon
est peu commun dans les anévrismes de l'aorte. n) Les anévrismes du
tronc
brachio-cëphalique sont quel-quefois très diffici
he, dans le second (Holland). En effet, les tumeurs anévrismales du
tronc
innominé pro-duisent bien plus souvent que celles
graphe pour résoudre une difficulté de ce genre ; car un anévrisme du
tronc
brachio-céphalique modifie le tracé des pulsation
ion, MM. Broca et Marey sont parvenus à reconnaître un anévrisme du
tronc
innominé, qui fut guéri par la méthode de Brasdor
-que sont plus prononcés dans les anévrismes de la crosse que ceux du
tronc
brachio-céphalique (Holland). La dyspnée, la toux
évrisme de la crosse, est une conséquence de la compres-sion des gros
troncs
nerveux voisins; et qu'une paralysie du larynx, u
ciale, qui résulte de la compression des poumons, du cœur ou des gros
troncs
vasculaires qui en émanent: c'est l'une des varié
erne des artères ; il communique souvent avec les branches émanées du
tronc
principal, et l'ouverture par laquelle il corresp
alvules sigmoïdes et se propageait jusqu'aux iliaques primitives : le
tronc
brachio-céphalique, la •carotide et la sous-clavi
ky total Aorte ascendante.................... 24 18 42 Origine du
tronc
brachio-céphalique. 2 » 2 Crosse de l'aorte....
tanés, qui résultent d'une ulcération qui inté-resse simultanément un
tronc
artériel et une veine contigue sont aujourd'hui d
cavité vasculaire, avait produit une communi-cation anormale éntrele
tronc
artériel, et un point quelcon-que du système à sa
on est établie. Elle siège ha-bituellement au-dessous de l'origine du
tronc
brachio-céphali-que; cette règle est constante po
veine cave sont dilatés comme dans les cas d'occlusion complète de ce
tronc
vasculaire. Le siège de la tumeur est variable :
t les épaules, les membres supérieurs, et la partie correspondante du
tronc
. Un œdème prononcé se déclare sur ces points, tan
artères qui naissent du point dilaté, les intercostales aorliques le
tronc
cœliaque, l'artère innommée, participent, en géné
rétrécissement; et quand il existe une anomalie dans les rapports du
tronc
vasculaire avec le cordon nerveux, le canal artér
de l'aorte. Il est assez rare, en raison du calibre exceptionnel du
tronc
aortique, de rencontrer à l'intérieur de ce vaiss
tre d'une façon presque constante dans les dila-tations flexueuses du
tronc
aortique, qui ont été signalées pai divers auteur
est maintes fois assuré, une oblitération plus ou moins complète des
troncs
artériels principaux du membre af- fecté. L'art
ie portait exclusivement sur un des deux membres antérieurs, c'est le
tronc
brachial correspondant et quelques-unes de ses pr
ien que la circulation artérielle interrom-pue par l'oblitération des
troncs
principaux a pu se rétablir dans les branches sec
nastomoses. L'existence de caillots fibrineux oblitérants, dans les
troncs
artériels principaux du membre affecté, n'est d'a
onstances données, produire au même degré l'oblitération de ces mêmes
troncs
artériels, et déterminer à leur tour la claudicat
quel la boiterie portait sur le membre antérieur droit on a trouvé le
tronc
brachial correspondant oblitéré par une tumeur an
seau (anévrisme disséquant).— Oblitération plus ou moins complète des
troncs
artériels principaux d'un ou de plusieurs membres
t par une balle de plomb de fort calibre ; au-dessous de ce point, le
tronc
artériel s'est, à la longue, rétréci ; puis il s'
res affectés, par suite de l'interruption du courant sanguin dans les
troncs
artériels prin-cipaux. Les phénomènes de la nutri
e et des branches qu'elle donne, ou bien encore de l'o-blitération du
tronc
de l'artère principale d'un seul membre ; c'est d
, mais le phénomène de la claudication intermittente, c'est que si le
tronc
principal du membre est oblitéré, les branches ar
. Or, dans la claudication ischémique, en raison de l'oblitération du
tronc
principal, la quantité de sang qui peut suffire à
autopsie, anévrisme de l'iliaque primitive droite à sa naissance ; le
tronc
de celle-ci était oblitéré. La circulation s'étai
ers six heures du soir, une exacerbation très manifeste. La peau du
tronc
devient plus chaude, le pouls est plus irrégu-lie
rd, pour se propager ensuite, par voie de continuité, jusque dans les
troncs
vasculaires du plus fort calibre. Les caillots so
vrismes artériels (Communica-tion des an. avec l'intestin), 581, — du
tronc
brachio-céphalique ; 517; — de la carotide, de la
supérieurs minces et grêles paraissent très longs en comparaison du
tronc
. Le thorax présente un chapelet rachitique cara
s ; quelques-unes sont très petites. Les tumeurs se voient surtout au
tronc
, en avant comme en arrière, et moins fréquemmen
a- liques, et aussi une scoliose bien évidente, avec inclinaison du
tronc
du côté droit. Les réflexes sont normaux, exc
Entre 25 et 30 ans, le malade constata l'apparition sur la peau du
tronc
de petites tumeurs molles, réalisant les caract
îné de côté et d'autre, ce qui l'oblige à des rappels correctifs du
tronc
pour conserver l'équilibre. La démarche est un pe
sons de combler cette lacune à la première occasion en prélevant le
tronc
et des filets du vague et du sympathique. Par
e leurs cellules et révélé des altérations des fibres à myéline des
troncs
sympathiques. Ce sont lu des examens peu faits po
serait alors l'état du sympathique et du pneumogastrique ? Si leurs
troncs
sont malades, on ne pourrait plus, ici, mettre
re compte, il est nécessaire de raser les cheveux de notre sujet.
Tronc
. - Il est normal et correspondrait à une taille d
épaisse de ce tissu dans les autres régions du corps, uotamment au
tronc
et à l'abdomen. Les muscles sont également d'un
es membres, surtout des segments proximaux (rhizoméliques) alors le
tronc
reste normal ; au point de vue clinique, par un t
sont des arguments appréciables. Sans doute la lésion possible des
troncs
nerveux ne se manifeste pas par une hypertrophi
Le cou paraît supprimé; la tète est immédiatement appliquée sur le
tronc
. On dirait que la colonne vertébrale s'est tass
rticu- lier : l'absence de cou, la tête reposant directement sur le
tronc
nous étonne. Nous l'interrogeons, mais rien dan
eu grosse pour le reste du corps ; mais les rapports de longueur du
tronc
et des jambes ne sont pas sensiblement modifiés.
tés qu'il présente ; difficultés des mou- vements de la tête sur le
tronc
. Sur la deuxième photographie, vue de dos, on p
de qui puisse servir de pivot dans les mouvements de la tête sur le
tronc
. (1) Ce large orifice ressemble un peu à un spi
e partie de leur trajet intra-thoracique. Côté droit. - Longueur du
tronc
brachio-céphal. antér. droit : cm. 5. , Longueu
ses dorsales. L'absence de cou, la tête reposant directement sur le
tronc
. Nous avons le droit de nous demander si celle
eurs plus mince qu'à l'état normal. ' Taille : 1 m. 44. Longueur du
tronc
du manubrium au pubis : 55 cen- timètres. Jusqu
es les parti- cularités en ce qui est des attitudes des membres, du
tronc
et de la tête dans les différentes phases de la
pas devient plus courte. ' Mais ce sont surtout et la position du
tronc
et celles des membres supé- rieurs qui frappent
nt l'observateur. Les bras, dans les cas prononcés, sont accolés au
tronc
; mais d'autres fois les bras et les avant-bras s
t en ex- tension et s'élèvent latéralement à une grande distance du
tronc
, pendant la marche, en oscillant comme des bala
lant, c'est-à-dire, du côté opposé à celui vers lequel s'incline le
tronc
. Pour ce qui est des mouvements de ce dernier,
t, tempéra- ture, douleur) aux membres supérieurs et inférieurs, au
tronc
; il n'y a aucun retard de la perception ; même
membres supérieurs et plus à droite qu'à gauche. La musculature du
tronc
est bien conservée, en opposition avec celle de
llaires, des racines rachidiennes avec leurs ganglions spinaux, des
troncs
nerveux périphériques et des muscles choisis dans
et la ;branche cutanée superfi- cielle du radial ; à la cuisse, les
troncs
du crural et du sciatique ; à la jambe, le nerf
XXIX représentent les étapes principales de la dé- sintégration des
troncs
nerveux. Sur la fig. e les fascicules contienne
ent par le tissu conjonctif réticulé. Ces coupes longitudinales des
troncs
nerveux périphériques permettent d'étudier les
régénération. Fio. 3. - Fibres nerveuses. Coupes longitudinales des
troncs
nerveux. Obs. IV. oc. 6. NOUVELLE Iconographi
on d'un état pathologique de faible inten- sité. Sur l'ensemble des
troncs
nerveux examinés, il ne semble pas qu'il y ait
, du tissu conjonctif interfasciculaire, plus marquée pour certains
troncs
(Voir PI. XXXVIII, tig. 2). De même, nous avo
clusivement sensitive. L'étude histologique a porté surtout sur les
troncs
nerveux de la racine des membres : les modifica
érose de faible intensité. Les lésions si caractéristiques des gros
troncs
nerveux ne se retrouvent donc plus à la périphé
in, on retrouve aussi la même disposition histologique que dans les
troncs
nerveux périphériques : atrophie des fibres nerve
ulé ou en tissu conjonctif dense, sans augmen- tation de volume des
troncs
nerveux. Quelques vasa nervorum en état d'hyper
début à l'âge de 21 ans, par les extrémités et progression vers le
tronc
. A l'examen anatomique, dans la moelle, les cor
ent épaissies. Ces altérations, qui n'atteignent pas la totalité du
tronc
nerveux, mais laissent des fibres et des fascic
t moins altérées, les racines du plexus cervical sont indemnes. Les
troncs
nerveux périphériques, jusque dans les muscles, o
amusculaires. Dans les formes plus extensives, elle atteindrait les
troncs
nerveux, les racines rachidiennes et même la moel
l'àge de 20 ans par les mains avec extension jusqu'à l'épaule et au
tronc
, et plus tard aux extrémités des membres infé-
de névrite interstitielle ni de dégénération apprécia- ble dans les
troncs
nerveux des membres ; les nerfs cutanés sont inta
datant de l'enfance, prédominant aux extrémités et respec- tant le
tronc
et la face. Réflexes tendineux abolis ; pas d'ata
iminution des réactions électri- ques, parfois RD. Hypertrophie des
troncs
nerveux, sans nodosités, sans douleurs à la pre
sensibilité aux membres inférieurs et dans la moitié inférieure du
tronc
; incoordination motrice ; douleurs peu fréquentes
eds- bots, scoliose, perte des réflexes tendineux, hypertrophie des
troncs
nerveux, troubles de la sensibilité cutanée : p
et Boveri, on trouve un phénomène anato- mique, l'hypertrophie des
troncs
nerveux, appréciable à la palpation, et qui con
e signe clinique ; or les .coupes histologiques montraient dans des
troncs
nerveux de volume normal des gaines de Schwann
e après une douzaine d'années d'évolution. Intégrité de la face, du
tronc
et des membres inférieurs. Pas de troubles de la
. Examen IIISTOLOGIQUE. - Intégrité de la moelle épinière. Dans les
troncs
nerveux périphériques, diminution du nombre des
CHENNE 303 rieures seules sont lésées et à un moindre degré que les
troncs
nerveux du plexus brachial. Pas d'augmentation
de Romberg ont fait t défaut. Quant à l'absence d'hypertrophie des
troncs
nerveux, elle est due au fait que la sclérose i
s persistent à droite avec leurs mêmes caractères ; la pression des
troncs
nerveux, la manoeuvre de Lasègue ne les réveillen
disparu ; toujours pas de douleur à la pression des muscles et des
troncs
nerveux ; il existe une hypoesthésie à tous les m
marcher, surtout en montée, et il ressentait de la fatigue dans le
tronc
. Ces troubles se sont manifestés chez le sujet
son corps un arc de cercle très marqué. Les mouvements latéraux du
tronc
sont aussi très difficiles et incom- plets. 3
e supérieur droit. Au repos, quand le bras est abandonné le long du
tronc
, l'humérus est un peu retourné à l'extérieur, l'a
a position de Romberg. En marchant, il a une tendance à incliner le
tronc
à droite. Je n'ai jamais remarqué de tremblemen
quelque forme que ce soit de la sensibilité, que la compression des
troncs
nerveux et même de la colonne vertébrale n'est
progressivement les membres supérieurs, les membres inférieurs, le
tronc
, et causant finalement des lésions diffuses dont
de la résistance et du poids des parties saines des vertèbres et du
tronc
. L'expérience apprend toutefois qu'il n'en est
à l'hôpital que les douleurs apparurent dans les membres et dans le
tronc
pour persister en augmentant toujours jusqu'à la
ensation, plus gênante que d'habitude, se bornait au côté gauche du
tronc
, au flanc. 406 PAST1NE Plus tard, ses membres
e. Les réflexes cutanés abdominaux et crémastériens sont conservés.
Tronc
. On ne remarque aucune asymétrie, aucune déviatio
e malade se courbe sur un côté. En arrière, on dirait il peine que le
tronc
se voûte moins bien, surtout en bas. Pendant to
état de repos absolu. Du reste, pas de douleurs, ni aux membres ni au
tronc
. Toute sensibilité objective est conservée dans
-être un peu plus vifs à droite. Le signe de la flexion combinée du
tronc
et des jam- bes (Babinski) est positif. a les s
aux paupières, et rappelant celle du myxoedème. Le tissu adipeux du
tronc
et des membres plus développé qu'â l'état norma
des membres inférieurs et la gracilité des membres supérieurs et du
tronc
presque juvénile. En outre,si le membre inférie
es pays chauds transforme, en général, les membres inférieurs en un
tronc
de cône à base inférieure ; le malade a un passé
férablement affectés ; néanmoins, les membres supérieurs, la tête, le
tronc
, ne sont pas, tant s'en faut, toujours respectés.
s, le membre soit saisi dans un étau. La douleur inté-resse-t-elle le
tronc
? Les malades la comparent à l'étreinte qu'occasio
entre les deux épaules, les-quelles s'irradient autour de la base du
tronc
sous forme de fulgurations. Alors les battements
s, nous devons ajouter une douleur vertébrale se répan-dant autour du
tronc
et simulant la douleur en ceinture. Ces douleur
eur à la dure-mère (périméninge ) ; c) aux dé-pens des racines et des
troncs
nerveux ; d) dans la dure-mère ou dans l'arachnoï
ue sur une partie de sa surface extérieure. Il va sans dire que les
troncs
nerveux dans leur trajet à tra-vers des parties a
quences les plus graves de cet état de choses sera la compression des
troncs
nerveux en plus ou moins grand nombre, à leur pas
Mais revenons, Messieurs, au cancer vertébral. La com-pression des
troncs
nerveux par le mécanisme qui vient d'être indiqué
et enfin la dure-mère, se réunissent à ce moment-là, pour former les
troncs
originels des nerfs mixtes, lesquels cheminent pe
algie en établissant qu'elle résulte de la pres-sion qu'éprouvent les
troncs
nerveux dans les trous de con-jugaison, et qu-'el
rs la même: c'est la compression, l'irritation vive que subissent les
troncs
nerveux, et dans le cas de cancer vertébral, en p
treront exclusive-xnent circonscrites à la distribution de tel ou tel
tronc
nerveux. Il importe d'ailleurs de remarquer que,
e l'abdomen, elle s'étendrait de ce même côté au membre supérieur, au
tronc
, au cou même, de telle sorte que la face serait p
teraient l'un et l'autre une élévation relative de la température. Le
tronc
et les membres de ce côté auraient conservé leur
s suivants : A l'origine, une douleur vive occuperait le trajet des
troncs
nerveux comprimés et irrités ; il pourra s'y join
de ces mem-bres. 1 Sur la paraplégie cervicale par compression des
troncs
nerveux, consultez : Brodie. — Injuries of the sp
drie dans les membres paralysés et dans toute la partie inférieure du
tronc
, jusqu'au niveau de la 3° côte. Une vaste escarre
lle — perte de la sensibilité dans diverses parties des deux côtés du
tronc
et aux membres inférieurs, surtout à l'anus, au p
cles de la vie animale, en particulier aux muscles des mem-bres; le
tronc
, la lête, ne sont pas épargnés, tant s'en faut; m
, dans les cas de ce genre, une diminution remarquable du calibre des
troncs
vasculaires. Il est des circonstances où le refro
membre dans toute son étendue ; on en retrouve souvent des traces au
tronc
, au bassin, aux épaules et même, dans certains ca
lité cutanée ne sont en rien mo-difiés sur les différentes parties du
tronc
et des membres supérieurs. Quant aux membres in
noter, durant cette période de trois jours, c'est l'apparition sur le
tronc
d'un zona double dont on voit encore aujourd'hui
t. Couché sur le dos, il lui est tout à fait impossible de relever le
tronc
. Quand le malade, maintenu dans la station vertic
le voit, à chaque pas, se haïicherh. l'excès et incliner fortement le
tronc
successivement vers un côté, puis vers l'autre cô
es muscles antérieurs à la cuisse gauche, une tendance mar- quée du
tronc
à s'incliner dans la station debout et la marche
et remonte à l'avant-bras, au bras, à l'épaule, gagnant ensuite le
tronc
. Dans la règle, elle ne s'étend aux membres infér
les, la station debout et la marche. 2° L'envahissement primitif du
tronc
est beaucoup plus rare. M. Duchenne l'a noté dans
à'anesthésies qui peu-vent s'étendre jusqu'à la partie supérieure du
tronc
. Ce n'est pas tout encore ; les membres inférie
rebrantes revenant par accès et siégeant sur les membres, la face, le
tronc
; dou-leurs permanentes fixées sur certains point
rent au bassin paraissent jouer le rôle principal et dans lesquels le
tronc
se renverse en arrière. Les pieds, pendant ce tem
rs le malade pour le soulever entièrement » et le porter en avant, le
tronc
se redresse et se renverse en » arrière comme pou
cher un pas, quoique appuyés sur une canne, qu'en se ren-» versant le
tronc
et la tête en arrière, de telle sorte que leur
Vous voyez comment, appuyée sur ses béquilles, cette femme marche, le
tronc
incliné en avant, littéralement sur la pointe des
obiles, rigides, plus ou moins fortement appliqués sur chaque côté du
tronc
; dans ces membres, la trépidation est sans doute
dossier et qu'elle faisait glisser sur le parquet ; à chaque pas, le
tronc
se renversait fortement en arrière, inclinant, en
e, celle qui se pré-sente tout d'abord à l'esprit, est celle-ci : Les
troncs
nerveux seraient la voie par laquelle, de proche
la sensibilité est, de ce côté, profondément modifiée sur la face, le
tronc
et les mem-bres. Voilà pour la sensibilité généra
duit aucune réaction. Enfin, il y a sur tout ce côté du corps : face,
tronc
et membres, une analgésie des plus accen-tuées, p
ibilité générale, elle est redevenue à peu près normale à la face, au
tronc
et au membre inférieur du côté droit. Seul le mem
nt dimi-nués, la malade ne pouvant rapprocher complètement le bras du
tronc
; les signes de la luxation existante ne sont pas
L'atrophie, tout en faisant des progrès aux membres supérieurs et au
tronc
, n'avait pas envahi d'une façon appréciable les m
, remarquablement amaigris et affaiblis, ils sont pendents le long du
tronc
; mais, de plus, à l'épaule, aux avant-bras et au
se remarquent encore sur tous les muscles de la partie supérieure du
tronc
. Us sont aussi très marqués aux muscles du cou, m
'y fut adjoint de troubles notables des fonctions respiratoires. Au
tronc
, il ne s'était produit aucun phénomène nouveau. L
sont certainement, avec ceux de la langue, les plus altérés. 4° Au
tronc
. La masse sacro-lombaire, à sa partie inférieure,
s autres et masqués en partie par des amas de noyaux. Les mus-cles du
tronc
et des membres inférieurs ont présenté la même al
de noyaux plus nombreux que d'habi-tude. Pas plus que les racines, le
tronc
de ces nerfs n'était dans son trajet ultérieur no
e, le glosso-pharyngien et le spinal, surtout, sont grêles. Quant aux
troncs
nerveux éma-nés de ces racines, ils paraissent êt
lle part, elles ne sont en amas, sous forme de corps granuleux. Les
troncs
des nerfs hypoglosse, spinal et pneumogastrique,
ne hémiplégie gauche avec analgésie intéressant à la fois la face, le
tronc
et les membres et des mouvements choréiformes occ
cond lieu, les muscles contracturés compriment directement les gros
troncs
veineux du cou à leur entrée dans le thorax et
ur regarder en face, le malade était obligé d'incliner fortement le
tronc
en avant comme le montre bien le dessin de prof
s, purent exécuter quelques mouvements volontaires. Ni le cou ni le
tronc
n'étaient rigides. Le lendemain de l'accident, à
etc. Cette anesthésie remontait en ceinture et envahissait tout le
tronc
jusqu'au niveau d'une ligne circulaire s'arrêta
e talon ne pouvait loucher le sol que lorsque l'enfant inclinait le
tronc
à gauche et mettait la jambe droite en demi-fle
rax 3 milligrammes de pilocarpine; et, dans le segment inférieur du
tronc
, 2 milligrammes de chaque côté. Au bout de deux
visage et des mains, et presque en même temps aussi des pieds et du
tronc
. En trois à six mois cette augmentation atteign
on lui parle. On peut communiquer de même des attitudes bizarres au
tronc
, lui faire tenir la t(''te fléchie ou étendue,
gantesque, des quatres extrémités et de la ceinture qui rattache au
tronc
chacune des deux paires de membres. La face tou
sur le dos et que la tète repose sur un plan inférieur il celui du
tronc
. Du reste, l'occlusion de l'oeil n'est pas seul
membre supé- rieur gauches, un peu moindres pour le côté gauche du
tronc
, el peu accentuées 116 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
E LA Salpêtrière. pour le membre inférieur gauche. Le côté droit du
tronc
et le membre infé- rieur droit ont leur sensibi
dans le membre supérieur droit : le bras est en adduction contre le
tronc
, l'avant-bras fléchi à angle droit sur le bras,
ns le domaine des nerfs sectionnés. A la suite de la destruction du
tronc
ner- veux il s'est produit une anesthésie il la
A 1·'OIiIfE HÉMIPLÉGIQUE AVEC ATTITUDE ANORMALE DE LA TÈTE ET DU
TRONC
(EXTENSION) Le faciès et l'habitus extérieur du
ans la station debout, la tête est fortement inclinée en avant : le
tronc
est lui-même penché dans le même sens. Les membre
toutes leurs jointures; les coudes sont tenus faiblement écartés du
tronc
, les avant-bras étant légèrement fléchis sur les
e rendre compte que si, par l'inclinaison en avant de la tête et du
tronc
, ce sujet appartient au type vulgaire, il s'en
léchie et le tremblement caractéristiques, tandis que la tète et le
tronc
se trouvent fortement rejetés en arrière au lieu
plégique. Attitude anormale. - Extension excessive de la tête et du
tronc
. Pauline Dro... âgée de 50 ans, plumassière, en
ment en arrière, en extension forcée, sans inclinaison latérale. Le
tronc
est, lui aussi, penché en arrière, dans une att
ce membre dans la paralysie agitante. Le coude est un peu écarté du
tronc
, l'avant-bras modérément fléchi est en pronation.
que lentement, péniblement cl par un effort soutenu. La tête et le
tronc
restent également figés en extension. Les mouveme
peu fréquent. 1. Ce facics associé au redressement de la tête el du
tronc
donne à la malade un air de majesté très singul
à remarquer, qu'en dépit de l'altitude permanente de la tète el du
tronc
, l'antépulsion persiste et que la l'éll'opubiull
l'anesthésie semblait atteindre seulement le segment inférieur du
tronc
se limitant au-dessous de l'ombilic par une zone
justement cela s'observe dans les espèces inférieures. L'examen du
tronc
n'offre pas de moindres analogies. Tout d'abord
côté comme de l'autre que 290 millimètres. 1 Par l'inclinaison du
tronc
en avant, le bassin a subi une rotation sur la
ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE 191 rieurs par rapport au
tronc
avaient un excès de longueur de 8 centimètres.
ètres, de là résulte que le membre supérieur serait, par rapport au
tronc
, plus long de 100 à 230 millimètres : Mais, vis-à
tir sur les artères qui se distri- buent aux parties supérieures du
tronc
(cou et tête), aussi ces artères devaient- elle
associer avec les contrac- tures des muscles de la face, du cou, du
tronc
ou des membres. d) Les contractures provoquées
la cuisse. En soulevant tout le membre, on entraîne le bassin et le
tronc
qui demeure rigide dans l'extension. Le membr
es mouvements oscillatoires recommencent plus forl». On voit alors le
tronc
exécuter des mouvements d'oscillation d'avant e
ue une partie de la FIG. 02. - Les fesses dans la flexion légère du
tronc
. Les muscles fessiers sont contractés. NOTE S
uve en bas eten dedans sous l'influence de la pesanteur. Quand le
tronc
se fléchit en avant, le pli fessier tend à dispar
age en deux branches qui ont elles- mêmes la môme importance que le
tronc
, 6 millimètres; le grand splan- chnique est la
filcls nerveux plus ou moins importants, nous ne trouvons qu'un gros
tronc
nerveux irrégulièrement bosselé. Portion abdo
la paume des mains tournée en dehors. Il ne pouvait qu'incliner le
tronc
en avant et l'étendre, ce qui lui permettait de
t l'atrophie porte uniquement sur le bras droit et le côté droit du
tronc
, y compris la fesse. Mais il faut aussi faire r
également sur le bras et se montre d'une façon intermittente sur le
tronc
, sur le sein, toujours il gauche. OEdème dur, l
de particu- lier que sa localisation, sur les parties latérales du
tronc
et- sur les bras. Au point de vue objectif, c'é
'était un eczéma vulgaire, sans poly- morphisme, caractérisé sur le
tronc
principalement par de nombreuses petites vésicu
jusqu'au niveau des coudes; diminuée jusqu'au moignon de l'épaule.
Tronc
: normale. - Membres inférieurs : hyperesthésiés.
aires déviés de côté et l'expression fixe du regard. Les muscles du
tronc
et des membres sont violemment secoués, les réf
ifficiles à décrire et lance ses membres avec une force extrême, le
tronc
se contourne de la façon la plus bizarre; on obse
s de à forme hémiplégique avec attitude anormale de la tête et du
tronc
(extension), par Dutil, 165. Paralysie généra
it l'élévation et l'abduction directe du bras, qui va s'écartant du
tronc
jusqu'à atteindre la situation horizontale. Pou
Il n'en est plus de même, lorsque je le prie d'écarter les bras du
tronc
. L'abduction est certainement très limitée, sur
hes terminales du plexus brachial, et qu'après, s'être détaché d'un
tronc
qui lui est commun avec le. radial, il chemine
asse dans le (1) Pièce anatomique (tête, cou, membres supérieurs et
tronc
d'un cadavre) disséquée M. A. Julien. 1 Fig.
27 cessaire pour assurer la rectitude de la colonne vertébrale, le
tronc
s'infléchis- sant à droite ou a gauche s'il n'e
sont l'objet étaient atteints. L'état paralytique des membres et du
tronc
qui a persisté jusqu'à l'âge 28 NOUVELLE ICONOG
cipalement au niveau des lobes temporaux et pariétaux. ' Les gros
troncs
artériels de la base, les artères sylviennes et l
aucoup moins sensible que les côtés. La ligne médiane antérieure du
tronc
est moins sensible il la douleur que la ligne m
t le corps ; le 23 août, il n'y avait pas une région de la tête, du
tronc
ou des membres qui n'ait été en- vahie. Complèt
'un enfant. Le cou est grêle, les épaules tombantes et étroites. Le
tronc
est arrondi. Les seins extrêmement développés for
ppe graisseuse qui remonte sur les faces postérieure et latérale du
tronc
. Cette couche graisseuse fait disparaître les sil
musculaire en rapport avec une irri- tation du nerf crural (racine,
tronc
, ou ramifications). Peut-êcre celte irritabilit
nt avec l'eau froide ; d'autre part les pieds restant immobiles, le
tronc
avait à exécuter, sans cesse, un mouvement de rot
du corps en avant, les fessiers sont distendus, dans l'extension du
tronc
, ce sont les muscles grands droits de l'abdomen e
bras's'élève et s'abaisse, les masses sacro-lombaires alors que le
tronc
se fléchit ou s'étend, etc. Cette palpitation d
face profonde duquel furent soigneusement disséqués et réséqués le
tronc
de la branche dorsale et les trois rameaux qui
seule accusée spontanément par le malade, pour une hyperesthésie du
tronc
du nerf cubital lui-môme : un. examen attentif no
, et l'é- paule la plus basse est en même temps comme détachée du
tronc
. ot nous cherchons ta corrélation qui existe en
nique des mains, des bras et des pieds. Anesthésie il la douleur du
tronc
et des extrémités. (Fig. foi-5) XII. Cas décr
aume de la main. f Toutes les autres régions de la moitié gauche du
tronc
sont le siège d'é- ruptions de même ordre, mais
pli du coude, la main et aux pourtours de l'éminence thénar. Sur le
tronc
, la confluence est telle qu'il n'est plus permis
raphies ci-jointes ; 20 Distribution analomique parallèle à certain
tronc
nerveux, comme au bras, par exemple ; . -, 3°
aciale (maladie de Iloulller), dans le tabes et dans les lésions du
tronc
même de l'hypoglosse, lésions dues il des traum
et se couche par terre sur un matelas, dans la position assise, le
tronc
appuyé de préférence dans une encognure de sa c
sent lui ser- vir de protecteurs. Il s'isole en outre la tête, le
tronc
et les cuisses avec trois demi-cylindres en cui
maine des vaisseaux du sillon postérieur. Nous avons noté que les
troncs
nerveux des membres inférieurs en particulier s
e augmentation de volume plus marquée dans le sens transversal. Ces
troncs
nerveux étaient oedématiés. , A ces lésions m
peut donc supposer qu'un ou plusieurs rameaux artériels, émanés du
tronc
basilaire vers sa partie supérieure, ont été frap
s ra- meaux. Vous savez que la protubérance reçoit ses vaisseaux du
tronc
ba- silaire el que ses artères se divisent en m
ianes antérieures de la moelle, naissent de la partie supérieure du
tronc
basi- laire, se dirigent directement en arrière
ard, en présence d'une méningite basilaire localisée, englobant les
troncs
des nerfs oculaires et lésant simultanément le pé
». Dans la forme grave, la contracture se généralise aux muscles du
tronc
pour gagner le larynx et occasionner des accide
L'avant-bras est en demi-flexion sur le bras, les coudes écartés du
tronc
. Le poignet reposant sur le ventre est fortement
es avec participation des bras et des jambes comme précédemment. Le
tronc
et la face ne sont pas pris. Cette fois les cri
laques anesthésiques sur les faces postérieures droite et gauche du
tronc
, sur la nuque et la région occipitale. Pas de z
ns tout le membre inférieur droit et cette abolition remonte sur le
tronc
, où elle se limite en dedans par la ligne média
DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË ? -; s i ? $7 dans la moitié gauche du
tronc
et à la partie supérieure de la face anté- rieu
mbre supérieur gauche abaissé en masse semble n'être plus retenu au
tronc
que par des liens insuffisants. Une ligne passant
aquements clans l'articulation radio- cubitale supérieure droite.
Tronc
. Les muscles sus-épineux, sous-épineux et sous-sc
eux et sous-scapulaires sont normaux des deux côtés. Les muscles du
tronc
paraissent également indemnes, il n'y a pas de
mor- phologique de ces malades. « Dans la station debout (1), le
tronc
est. penché en avant et la tête in- clinée dans
dans leurs diverses jointures, les coudes sont faiblement écartés du
tronc
, et les mains, qui subissent aussi une déformat
ante à forme hémiplégique avec atti- tude anormale de la tête et du
tronc
{extension). Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, 18
La face est figée, sans expression ; la tête inclinée en avant,' le
tronc
, légèrement affaissé, également penché en avant,
environ. Tremblement. Les quatre membres et la tête tremblent; le
tronc
n'est agité que de mouvements communiqués; le c
ment dé salive par la bouche. Il y a de l'hyperhyclrose surtout au
tronc
et } à la figure. ' Les chevilles et les pied
diviser le corps de l'homme sain en qua- tre segments : tête, cou,
tronc
et jambes. Les axes de ces différents segments
hanches au centre des épaules peut être considérée comme l'axe du
tronc
. Du centre des hanches au centre de l'articu- l
OGIQUE SUR LA MALADIE DE PARKINSON 367 en bas en arrière ; l'axe dû
tronc
se porte au contraire en avant, et celui des me
rder devant eux. L'anomalie est complète en ce qui regarde l'axe du
tronc
qui, au lieu de se renverser en arrière, est au
sens, explique l'instabilité de l'équi- libre des Parkinsoniens. Le
tronc
, le cou, et la tète tendent à se porter en avan
e dans certai- nes formes cliniques des maladies de Parkinson, le
tronc
et la tête peuvent être renversés en arrière d'
pièce sur leur chaise, et une fois assis, ils restent immobiles, le
tronc
penché en avant, le dos plus ou moins voûté, co
lte-attitude, le membre intérieur droit, les membres supérieurs, le
tronc
appuyés ne tremblent pas. Sa tête tremble (n'ét
le malade se lève, ses membres inférieurs se mettent à trembler; le
tronc
, la tête tremblent aussi. L'occlusion des yeux
aussi affaiblissement musculaire dans les muscles de la tête et du
tronc
. Les muscles de la face sont eux-mêmes affaiblis;
e se plaint en outre d'éprouver des douleurs dans le côté gauche du
tronc
. Le D' Semon, qui a examiné son larynx, a dit q
ide, bien que sa démarche fût un peu gênée et qu'elle progressât le
tronc
incliné en avant. Elle attribuait cette in- cur
uait alors et s'étendait bientôt aux autres régions musculaires, au
tronc
, aux membres supérieurs et à la nuque. En même
peut manger seul, il répand tout sur lui à cause du tremblement. Le
tronc
, la tête se mettent à trembler dès que le 1ti N
du thorax et du cou, si bien que,les bras sont ballants le long du
tronc
et que la tête insuffisamment maintenue est ent
duction des pouces. Les membres inférieurs, la moitié inférieure du
tronc
, paraissent au pre- mier abord absolument indem
tend de même, sans résistance. Le bras s'écarte incomplète- ment du
tronc
, ne peut se porter ni en avant ni en arrière. L'é
ro- phies partielles qui sont liées il une diminution de calibre dn
tronc
artériel correspondant à l'atrophie; cependant
prennent une amplitude et une brusquerie plus grandes : la tête, le
tronc
, les I tc. 26. - Blumlierg .. Malade couché. Tr
nt pour centre prin- cipal l'articulation du genou, de sorte que le
tronc
et lés épaules oscil- lent dans le sens vertica
moelle. On l'enveloppe dans un appareil silicate pour immobiliser le
tronc
, on lui met des pointes de feu le long de la co
ligne paral- lèle située au-dessous, puis à la face postérieure du
tronc
s'incline est bas et en dedans, suivant la lign
douloureuse. Les membres inférieurs sont complètement paralysés, le
tronc
et les membres supérieurs sont nor- maux. Absen
du gros orteil à la jambe, aussi bien que les muscles abdominaux au
tronc
, ne présentent pas la réaction de dégénérescenc
ge en un mot pour recevoir les organes sous-jacents. Au niveau du
tronc
, la malade étant examinée dans le décubitus hori-
et parallèles au ligament de Poupart. Sur la partie postérieure du
tronc
, les sillons sont beaucoup moins accusés, sauf à
danse; le bras, en oscillant, s'écarte et se rapproche légèrement du
tronc
; l'avant-bras, en demi-flexion et en demi-prona
e l'épaule (côté de la flexion) sont particulièrement douloureux.
Tronc
. Région ovarienne gauche. Membres inférieurs. L
oureux ne semblent pas correspondre tous uni- quement au trajet des
troncs
nerveux. Il s'agit là d'une sensibilité doulour
226 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. par un mouvement du
tronc
et des épaules. Si quelques mouvements sont enc
de la ceinture scapulaire, l'omoplate étant notablement détachée du
tronc
et renversée de façon que son angle supéro-intcrn
. Mais ce n'est pas tout. Si nous considérons l'aspect extérieur du
tronc
, nous voyons que, tandis que chez l'indi- vidu
iitaieiit aucune trace do dege- rescence. granulo-graisscuse. Les
troncs
radiculaires des oculomoteurs.dos abduccutes, exa
névrite périphérique, bien que la parfaite intégrité anatomique des
troncs
radiculaires n'aille pas à rencontre de cette hyp
ais. Pas d'altération microscopique appréciable de l'encéphale. Les
troncs
des nerfs oculomoteurs externes étaient réduits
évrite alcoolique, cas dans lequel il a pu constater l'intégrité du
tronc
et des fibres radiculaires du pneumogastrique et
à fond à cause de l'état psychique du patient). La compression des
troncs
nerveux et des muscles ne provoque nulle part de
térations portant sur les cel- lules d'origine des nerfs et sur les
troncs
nerveux eux-mêmes. Il exis- tait en effet au ni
aque côté de la figure. Le malade ne mesure que lm40 de hauteur. Le
tronc
présente une conformation assez normale, il a m
des dents chez les idiots ou les mélancoliques. IV Sommaire. -
Tronc
et membres : anthropométrie : instruments, points
criptif. Classification des données de l'examen morphologique. D.
TRONC
et membres. L'examen du tronc et des membres sera
données de l'examen morphologique. D. TRONC et membres. L'examen du
tronc
et des membres sera fait également aux deux poi
ente à l'acromion, cette hauteur devient alors la hauteur totale du
tronc
. Largeur en millimètres : Grande envergure. D
ue l'on rencontre d'ordinaire. 2° Examen descriptif. --Du côté du
tronc
, vous pourrez rencontrer des malformations dive
DE LA SALPÊTRIÈRE. Organes génitaux. Dans l'examen morphologique du
tronc
les organes génitaux méritent une attention tou
es cuisses (celles-ci étant presque dans leur attitude normale), le
tronc
incliné en avant. Les membres supérieurs ne pré
os. A partir de ce moment, la malade prend l'habitude d'incliner le
tronc
vers le côté droit, soit qu'elle marche, soit q
l'hyperesthésie dorsale non seulement persiste mais s'étend à tout le
tronc
du côté gauche. La marche devient de plus en pl
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sur les parties hyperesthésiécs du
tronc
, il y a exagération de la toux et sensation de
e pouvait plus marcher du tout et avait peine à se tenir debout, le
tronc
se renversant en arrière ; la raideur et la tré
té est beau- coup moins altérée sans être cependant intacte. Sur le
tronc
, elle semble nor- male. Le sommeil est régulier
de la voûte crânienne, des maxillaires, anomalies den- taires), le
tronc
(chapelet rachitique, rétrécissement du thorax av
embres que sur la partie antérieure et sur la partie postérieure du
tronc
, sur les fesses, est marbrée de plaques violacé
entué. Il ne se tient pour ainsi dire plus; il ne redresse plus son
tronc
ni sa têle : les membres du côté droit sont rigid
f ou bien sont délimitées par une ligne perpendiculaire il l'axe du
tronc
. 2° Les troubles moteurs, l'exagération des réf
ntà les remuer et à les déplacer, mais en faisant des mouvements du
tronc
, les coudes appuyés sur le lit. En réalité, les
immobiles et suivre mécaniquement les divers mouvements imprimés au
tronc
, comme les jambes d'un tabétique arrivé à la pé
Il marche péniblement, les mem- bres inférieurs un peu fléchis, le
tronc
fortement incliné en avant, à petits pas, jetan
t moins profonde sur le membre supérieur et la partie antérieure du
tronc
du même côté). Partout ailleurs elle est absolue.
s et les régions sous-orbi- laires; le cou est rarement atteint; au
tronc
, elles occupent de préfé- rence les deux seins,
droit : l'avant-bras était fléchi sur le bras, qui restait collé au
tronc
; si on essayait de l'étendre, on y parvenait, m
é d'atrophie du même côté droit (cette asymétrie se retrouve sur le
tronc
). La langue est un peu tirée à droite, la commi
miplégie, l'épilepsie symptomatique et l'asymétrie de la face et du
tronc
. Mais c'est là tout le bilan, pensons-nous, de
ides, soit solides, repas- sent parfois par le nez du malade. (d)
Tronc
. Au tronc, on ne constate point d'atrophie des mu
solides, repas- sent parfois par le nez du malade. (d) Tronc. Au
tronc
, on ne constate point d'atrophie des muscles de l
tenseurs des orteils où elles sont très affaiblies. c. Muscles du
tronc
. Réactions abolies à gauche, diminuées à droite
aucoup plus déve- loppé du côté gauche aussi bien aux membres et au
tronc
du'1 la face; en outre, il existe du côlé droit
res supérieurs, sont imputables en partie à la compression des gros
troncs
vasculaires et nerveux, en partie à l'action de
y explique l'action de la suspension en partie par l'élongation des
troncs
nerveux, en partie par l'amélioration de la cir-
ui dépend de l'augmentation de la pression laté- rale dans les gros
troncs
vasculaires. MaisIIessing et Eisenlohr (44) obte-
ar l'élongation de la colonne vertébrale sans l'élongation des gros
troncs
nerveux des extrémités. Quant à la tension des
dans la position horizontale. C'est ce que j'ai fait. A cet effet, le
tronc
d'un chien était entouré en arrière et en avant
é les exaspérait. Aussi, pendant deux mois, le malade a maintenu le
tronc
et les membres inférieurs dans une complète imm
était aperçu d'une perte complète du senti- ment, dans la moitié du
tronc
et dans le membre inférieur droit. De ce même c
uité du bassin réagit par l'intermédiaire de la colonne sur tout le
tronc
et lui imprime à l'état permanent les caractères
membres ont subi un avortement plus ou moins complet, la tête et le
tronc
étant normaux ; ils se subdivisent en trois gen
ais-Royal, dans un bocal d'alcool ; sans bras ni jambes ; le bas du
tronc
présentant une ressemblance avec « une poitrine d
Cholmogoropf, 1888. Garçon né à terme, pesant 2700 grammes ; tête,
tronc
, ceintures scapulaire et pelvienne, organes génit
elette rudi- mentaire. 8. CoES,R, 1889. - Garçon mort-né; tête et
tronc
bien développés, mais volumineuse hernie ombili
UZA FONTES, 1877. Garçon de trois ans, bien portant, intelli- gent.
Tronc
normal ; amélie parfaite du côté droit ; à gauche
fant à terme. La face ne présente aucune anomalie. , Le cou et le
tronc
sont également bien constitués : le thorax ne pré
mais le malade ne peut porter la main sur sa tête, l'écartement du
tronc
se fait avec facilité, la musculature de la fac
dans les régions suivantes : membres supérieurs, face antérieure du
tronc
et de l'abdomen, face antérieure de la cuisse gau
leur flexion est impossible. Quand on veut lui écarter les bras du
tronc
, il n'oppose qu'une faible résistance. Fig. 3.-
- bres supérieurs, à la face antérieure et postérieure du cou et du
tronc
, la li- mite inférieure de la thermo-anesthésie
ERVEUX UN CAS DE CONTRACTURE HISTRO-TRAU1VIATIQUL. DES MUSCLES DU
TRONC
PAUL RICHER Directeur honoraire du Laboratoir
oratoire de la clinique. La contracture hystérique des muscles du
tronc
est un'fait assez rare. Dans ce même journal, M
rre Janet (3), a publié huit observations de spasmes des muscles du
tronc
chez les hystériques. Il s'est particulièrement
s dans les muscles extenseurs et dans les mus- cles fléchisseurs du
tronc
. On sait qu'il est de règle, dans les contracture
Paris, 1892. (3) P. Janet, Note sur quelques spasmes des muscles du
tronc
chez les hystériques. France médicale, G décemb
s dans l'après-midi. C'est à ce moment qu'il commença à courbe ? le
tronc
en avant, pour atténuer la douleur qu'il ressen
en outre, persisté depuis lors. Pour l'éviter, le malade penchait son
tronc
en avant. Il essayait de temps en temps de se r
orné, somme toute, à la douleur dorsale et a l'attitude vicieuse du
tronc
. Lorsque cet homme vient, en mars 1895, consult
on plus pronon- cée en avant l'est également. De telle sorte que le
tronc
se trouve fixé dans l'attitude vicieuse décrite
tes fléchisseurs et extenseurs. En examinant la face postérieure du
tronc
, on trouve la cicatrice de la plaie ancienne. C
ale. - En résumé, tout se borne chez lui à une attitude vicieuse du
tronc
, déterminée par une hyperesthésie dorsale. Cett
ation. z CùN1'HACTUIU : : HVSTL : : fO'TiAUMATIQU¡'; DES MUSCLES DU
TRONC
. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES MALA
lement le rôle que les lésions vasculaires géné- ralisées [aux gros
troncs
comme aux artérioles viscérales] jouent dans l'
général du tabes, cetle technique reste, appliquée non plus aux gros
troncs
nerveux, mais aux petites branches périphérique
s accidenls de la suspension en fai- sant fléchir les jambes sur le
tronc
, soit directement (Bonuzzi) (5), soit à l'aide
ambes étendues, la poulie située dans leur intervalle (Fig. 2) : le
tronc
est fixé par la sangle du dossier, afin d'évite
ure preuve qu'il se produit une élongation de la moelle et des gros
troncs
nerveux qui se rendent aux membres inférieurs :
échie sur le thorax, les bras seront pendants ou repliés le long du
tronc
. Dans ces conditions, aucun accident n'est à re
encontrer des faits qui nous fe- ront assister à l'envahissement du
tronc
par les troubles sensitivo-moteurs à dispositio
ute l'étendue du membre inférieur et de la moitié correspondante du
tronc
, jusqu'à la hauteur occupée pur la cicatrice. D
du sens musculaire était intacte et une large zone d'anesthésie au
tronc
s'étendant de la 40e il la 5e côte ; ri droite,
t, enfin hyperesthésie. A gauche, anesthésie des deux membres et du
tronc
, qui remontait jusqu'au cou et dont l'intensité a
e Brown-Sequard ne s'est pas montré avec sa netteté habituelle ; au
tronc
et aux membres on a simplement constaté de l'hy
elle fonction dans laquelle entrent en jeu des muscles dépendant de
troncs
nerveux très différents. C'est ainsi que pour l
ique aux membres supérieurs, à la face antérieure et postérieure du
tronc
. C'est Charcot, comme on le sait, qui pour la p
ulève ; en môme temps le bras gauche s'applique fortement contre le
tronc
(PI. XXVI, 13) ; enfin le bras droit est fortem
ord atteint de torticolis : « inclinaison du cou et de la tête sur le
tronc
, ' disent les classiques (1)), presque toujours
que, à son maximum, le bras gauche se colle en même temps contre le
tronc
, et le bras droit est projeté en arrière. Donc,
géographiques, siégeant sur le côté droit de la face, du cou et du
tronc
, et par quelques taches adhérentes de dimensions
périphérique du zona. Bulle- tin médical, 1896, p. 89 ; Le zona du
tronc
et sa topographie. Bulletin médical, 1896, p. 2
e Aran-Duchenne, Anesthésie dissociée en bande zos- stéroïde sur le
tronc
. Gazette hebdomadaire, 1896, p. 361. DES NtEVf
ue avec aphasie depuis 1893. Avant-bras fléchi sur le bras collé au
tronc
. Ankylose absolue de l'articulation scapulo-humér
n-s 1 et 3, 4897. x 22 306 ' " F. RAYMOND .. ' ou moins sur le
tronc
; c'est ce qui se voit quand l'hémisectiol1 intér
onnaient normale- ment. Les mouvements des membres supérieurs et du
tronc
s'effectuaient avec une parfaite régularité. Le
mais on fut frappé du changement de coloration de sa peau. Tout le
tronc
, aussi bien la partie postérieure que l'antérie
imètres de diamètre. La coloration était à peu près uniforme sur le
tronc
, plus foncée encore à la base du cou et sur la
ccupait les mêmes régions que la première fois, plus foncée vers le
tronc
et à la racine des membres et du cou, s'atténua
facement de la coloration vers la ra- cine des membres, puis sur le
tronc
où elle persiste plus longtemps, vers les aisse
constante. Le bras se contracture en adduction, se colle le long du
tronc
d'où, au bout d'un temps toujours court, il devie
erveuse une coloration bien plus claire, dépendent de la lésion des
troncs
nerveux. Nous pouvons désigner ces anomalies dé l
coup plus long qu'il n'est réellement àcause du raccourcissement du
tronc
par incurvation vertébrale. 378 E. BRISSAUD ET
plan- che),414. Contracture hystéro-traumatique des muscles du
tronc
(un cas de), par PAUL BICHER et A. Souques (1 p
Souques. Un cas de contracture hystéro-traumatique des muscles du
tronc
(1 planche), 109. Sabrazès (T.) et C. CABANNES.
;RICHER. Un cas de contracture hystéro-traumatique des muscles du
tronc
(1 planche), 109. TARGOWLA. Un Job moderne. Atr
le rabique, XIX. Contracture hyst'èro-traumatiquedes mus- cles du
tronc
, XV. Dédoublement du tourbillon des cheveux,
eu volumineux, et le droit moins que le gauche. — La moitié droite du
tronc
est moins ample que la gauche. Membre inférieur
L'avant-bras est d'habitude à demi fléchi et repose sur le devant du
tronc
(ceinture) durant la marche. Quelquefois, ilest p
est très-rigide ; on parvient à placer le bras à angle droit avec le
tronc
en provoquant des craquements et de la douleur. —
nocturnes et surtout diurnes. Le bras droit est appliqué le long du
tronc
; l'épaule est plus élevée que la gauche; ses mou
; la malade ne peut écarter le bras à plus de 10 ou 12 centimètres du
tronc
; elle est incapable de porter la main droite sur
as qui se porte d'abord sur la partie latérale et postérieure clu
tronc
; l'index et le médius sont allongés, l'auriculai
a poussé un cri prolongé, avertissant de l'arrivée d'un, accès : Le
tronc
se soulève en avant les yeux se dévient fortement
sur le bras du fauteuil. L'avant-bras gauche, demi-fléchi, écarté du
tronc
, est élevé de telle façon que la main est à la ha
Le membre supérieur gauche, soulevé à demi, est légèrement écarté du
tronc
et tordu en pronation; —• la main est fléchie à a
gts sont fléchis; le pouce est placé entre l'index et le médius. Le
tronc
se fléchit à demi. Le membre inférieur gauche,
is : Aïe ! aïe ! le bras gauche s'élève, se met à angle droit avec le
tronc
; la main reste à angle droit sur le poignet et le
est immobile. En même temps que ces modifications se produisent, le
tronc
s'infléchit en avant, et quelquefois sur le côté,
les pupilles se dilatent; la rigidité des membres augmente ; puis, le
tronc
s'incurve , les bras , après s'être fléchis, se p
aut : mouvements du ventre qui se soulève brusquement , mouvements du
tronc
qui se fléchit et retombe plusieurs fois de suite
apidement 8 ou 10 mouvements alternatifs de flexion et d'extension du
tronc
, dans lesquels la tête frappe violemment l'oreill
nde période. Période clonique : grands mouvements de balancement du
tronc
avec soulèvement alternatif du ventre. Période
Période épileptoïde. a) La tète et le thorax se portent à droite;—le
tronc
s'incurve, décrivant une courbure à convexité lat
s'est réveillée en sursaut plusieurs fois. — A 5 heures, secousses du
tronc
qui se fléchissait en avant; — de la jambe et sur
n genre particulier. La tête se porte fortement dans l'extension ; le
tronc
retombe violemment sur le lit; la bouche, grand'o
re. — Depuis le 1er novembre, chorée rhythmique affectant la tète, le
tronc
et les membres du côté droit. La tête et le tro
ctant la tète, le tronc et les membres du côté droit. La tête et le
tronc
se portent en arrière et vont toucher le lit et l
le lit et l'oreiller ; en même temps : 1° le bras se colle contre le
tronc
; Lavant-bras, qui était allongé, se fléchit; la
uer sur la ré- X... se plaint de tiraillements I gion sternale ; le
tronc
s'in-dans la tempe droite et dans | cline en avan
us pendue, la contracture disparaît et les mouvements rhythmés du
tronc
et des membres tout à l'heure étendus et rigides
te des signes affirmatifs et négatifs ; enfin elle laisse retomber le
tronc
sur le lit et quelques instants après, reprend co
de leur mettre la camisole, de fixer leurs pieds, leurs bras et leur
tronc
. Cette exagération des mouvements, l'énergie que
des mouvements de flexion des jambes, et des contorsions sur place du
tronc
. c) Phase de stertor : Respiration bruyante, pr
est prise de grands mouvements cloniques de flexion et d'extension du
tronc
qui se fléchit en avant et retombe brusquement su
rès une grande colère. longe les bras et les roidit en tendant le
tronc
, elle rend plus difficile la production d'une att
ion, 20S, 207. I Incontinence d'urine, 103, 113. Incurvation du
tronc
, 145. Injections hypodermiques ^atropine, 103;
ution de Broca du côté gauche. Quant aux phénomènes spasmodiques du
tronc
et des membres, sans anomalies de l'exci- tabil
ale. La peau présente sur les membres et la plus grande partie du
tronc
des altérations qui rappellent un peu l'icthyose.
son pilon, et il avance le membre inférieur gauche en inclinant son
tronc
à droite et en avant et en proje- tant ainsi so
quille ? , pour avancer son membre inférieur gauche, il incline son
tronc
en avant, et il entraine ainsi son membre, le p
le membre inférieur paralysé en avant, cette personne incline le
tronc
du côté opposé à la paralysie, faisant reposer
, le long du corps, légèrement contracture; on ne peut l'écarter du
tronc
que d'une façon très limitée. Les doigts sont f
nsation d'un corps très lourd qu'on aurait appendu au côté droit du
tronc
; dès son réveil, il s'est aperçu qu'il lui étai
ance. Au toucher, les extrémités sont plus froides que la peau du
tronc
. Le malade, soulevé sur le lit, ne peut s'asseoir
es; il n'existait pas d'atrophie musculaire. Les autres membres, le
tronc
et la face ne présentaient rien d'anormal; ni p
trémités inférieures bien qu'elles puissent englober les muscles du
tronc
nécessaires a certains actes d'ensemble. Bien d
dans l'espèce inflammation de fibres nerveuses, trophiques, que le
tronc
du facial pourrait bien con- tenir sur une cert
iné du muscle de l'étrier. Mais il est cer- tam qu'une affection du
tronc
du facial même est capable d'en- gendrer un zon
des troubles de la sensibilité dans les quatre extrémités, sur le
tronc
, à la face, troubles de la sensibilité subjectifs
teur insiste sur l'absence de douleurs proprement dites le long des
troncs
nerveux, les phénomènes fulgurants étant plutôt
ion uniforme ; atrophie irrégulièrement disséminée des mus- cles du
tronc
et des membres supérieurs ou inférieurs. Asymétri
de la maladie et surtout de sa marche régulière, sans saccades, du
tronc
vers la périphérie. C'est une atrophie quasi-ac
êmement fines, après être sortis de la pie-mère, se détour- nent du
tronc
radiculaire principal en dehors en paraissant se
pneumogastrique, de l'hypoglosse. Les branches périphériques et les
troncs
sont atteints de névrite parenchymateuse ou int
ion plus étendue, et dans le sens transversal et sur la longueur du
tronc
(névrite) jusque dans les plus fins ramuscules
ité du sens musculaire ; douleurs dans les bras et les jambes; gros
troncs
nerveux sensibles à la pression; affection arti
servation des réflexes cutanés, sensibilité à la pression des gros
troncs
nerveux); il analyse comparativement les faits du
sent concurremment à gauche (pau- pière) pour envahir finalement le
tronc
lui-même (opistho- tonos, trismus, tétanisme) ;
douleurs; il se plaint aussi d'avoir mal lorsqu'on presse les gros
troncs
nerveux des jambes. La sensibilité à la douleur
bilité à la douleur dans les jambes et dans la partie inférieure du
tronc
a disparu; il n'éprouve pas de douleurs même lo
s bobines étant entièrement poussées). Dans la partie supérieure du
tronc
et dans les bras, la sensibilité est aussi émou
lexus droit et sur ses nerfs devient douloureuse. La sensibilité dn
tronc
parait meil- leure, mais le malade donne tout d
supérieure et inférieure du thorax; les mouvements de la tète et du
tronc
sont douloureux; la vessie urinaire est relâ- c
u corps. Une sent ni piqûres ni attouchement sur le côté droit du
tronc
ni devant, ni derrière; dans la partie gauche la
uche; flexion du coude gauche ; la tête se rejette en arrière et le
tronc
se courbe aussi en arrière, tandis que le malad
attouchement ainsi qu'à la douleur; la sensibilité du côté droit du
tronc
, du bras droit et du côté droit de la face est
s ne fait voir aucun trouble dans l'excitabilité des muscles et des
troncs
nerveux, bien que le malade, près de quatre moi
on lit, le dos en l'air, prend la position à la vache et, jetant le
tronc
d'arrière en avant, donne des coups de tête con
a démarche des malades est très caracté- ristique : en marchant, le
tronc
déjeté en arrière devient raide, ils traînent l
nt une réponse lente à venir et comme traînée. L'habitus général du
tronc
et des membres est assez remar- quable. Outre l
erait par conséquent extrêmement atrophié. Sur toute l'étendue du
tronc
, la peau est fine, d'un blanc mat, assez résist
rts, empâtés, et la peau y présente les mêmes caractères que sur le
tronc
; toutefois, on y observe un abaissement de temp
1 ans (mai 1882). IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 301 Sur le
tronc
et les membres, la peau est absolument glabre,
r che-' velu. Cette desquamation, surtout marquée aux membres, au
tronc
et à la face, était furfuracée. Elle a disparu so
ge, et si la grosseur des diverses parties du corps, de la fête, du
tronc
, des membres, n'était démesurément exagérée. La
exagérée. La tête, en effet, est volumineuse, le col est court, le
tronc
est trapu, et les membres sont fort gros. - Le
étendues 'du dos; peau assez pâle. Les veines des extrémités et du
tronc
sont visibles; face cyanosée ; l'épidémie desqu
partout, (excepté sur la face), et surtout aux parties latérales du
tronc
. Le corps paraît atteint d'anasarque généralisé
graisseuses et épaisissement scléreux ; il en est de même des gros
troncs
descendants; aucune trace de tissu thy- roïdien
les, pas d'augmenta- tion des leucocytes. 2° Musculature normale au
tronc
et aux extrémités; pas d'hyperplaste conjonctiv
stitiel abondant. - 4° La peau des diverses parties du corps (tête,
tronc
, membres, scrotum), est normale, sauf un fort p
'action de l'acide phénique pendant l'opé- ration, à une lésion des
troncs
nerveux, situés dans le voisinage de la glande
ux; 3° elle doit être dessinée de façon à ne point diviser les gros
troncs
artériels qui fournissent le sang à cette porti
sseur Schâfer et moi nous avons montré que le centre des muscles du
tronc
était situé dans la circonvolution marginale su
es deux espèces de sensations sont supprimées quand on comprime les
troncs
nerveux périphériques; 4° la sensibilité à l'ég
ier, sauf le certain degré de min- ceur précédemment mentionné. Les
troncs
nerveux ne sont pas sensibles à la palpation.
angement du volume de ce dernier, de la douleur à la pres- sion des
troncs
nerveux ; le symptôme caractéristique était la fo
e cas 1'liéniiatropliie est strictement limitée à la tête et que le
tronc
, le cou et les membres ne présentent pas trace d'
ant les cas d'hémiatrophie faciale s'accompagnant d'hémiatrophie du
tronc
et des membres et les cas d'hémia[cophie sans par
occupe dans l'espace par. rapport à celui des autres segments ou du
tronc
. En d'autres termes, con- naître l'attitude d'u
ont d'ailleurs exactement superposées. 76 BRISSAUD ET BHUANDET du
tronc
, deux grands territoires d'hypothermo-algésie son
at normal, la capsule de l'articula- tion scapulo-humérale forme un
tronc
de cône dont la grande circonfé- rence est au c
; dans le cas actuel,c'est la dis- position inverse qui existe. Le
tronc
de cône a sa grande circonférence en dedans, au
cé- rébrale infantile. Toute la moitié gauche du corps, la face, le
tronc
et les membres présentaient un arrêt de dévelop
hexie était extrême, la fonte musculaire complète aussi bien sur le
tronc
que dans les membres. Le malade mourut trois ans
ste par une sensation de frôlement aux membres inférieurs, gagne le
tronc
et les membres supérieurs. En serrant fortement
rre qui est à sa portée et de boire, on le voit d'abord incliner le
tronc
pour porter le membre supérieur dans la direction
ans l'impossi- bilité de soulever le bras, s'aide des mouvements du
tronc
et de la nuque pour porter - non pas son verre
t normale et intelligente. Pas de trouble de la mimique. Cou et
tronc
. Pas d'atrophie des muscles du cou ou de la nuque
illies de racines nerveuses dans leur trou de conjugaison. Tous ces
troncs
s'arrêtent brusquement comme amputés après quelqu
ions, fusionnés les uns aux autres. Leur masse donne naissance (les
troncs
nerveux qui constituent un plexus brachial à disp
e. De chacun des ganglions (Schéma 2) du côté central part un petit
tronc
nerveux qui vient faire une des saillies que no
e une des saillies que nous avons vues dans le sac dural ; tous ces
troncs
longs de quelques millimètres s'arrêtent comme
la gangue fibreuse de ces ganglions des foyers hémorrhagiques ; les
troncs
nerveux au-dessus et au-dessous ont des cylin-
nsibilité est normale. Les muscles du bras droit, de l'épaule et du
tronc
présentent un degré très net d'atrophie. A la
protubérance occipitale; - langue volumineuse et très étalée. Au
tronc
: Développement exagéré du thorax, par rapport à
te normal. GIGAN'l'lSME ET ACROMÉGALIE 165 int1échi en avant ; le
tronc
peut encore être redressé, mais aux dépens de con
érique. Nous avons vu souvent de ces contractures unila- térales du
tronc
qui tordent le corps d'une façon tout à fait anal
us-cutanée segmentaire et symétrique des membres et d'une partie du
tronc
; elle pèse, en effet, 85 k. 800, bien que sa tai
et aux fesses, en un mot à toute la partie sous-diaphragmatique du
tronc
(2). Au contraire, le thorax, les épaules, le c
du corps. La tuméfaction des membres et de la portion inférieure du
tronc
est due en partie à l'épaississement de la peau
e de la chaussure : les pieds ne sont pas augmentés de volume. Au
tronc
et aux bras, la tuméfaction n'a pas de limites su
qu'elle était loin de présenter une hypertrophie des membres et du
tronc
comparable à celle qui existe aujourd'hui; cett
était normal. Tous ses mouvements passifs et actifs de la tête, du
tronc
et des extrémités se faisaient sans douleur et to
assis. Nous avons observé bien des hystériques incapables de tenir le
tronc
dans une position correcte et qui tombaient d'u
mptômes dans notre description d'un cas de paralysie des muscles du
tronc
(1). A de certains moments, la paralysie était in
complète et la malade pouvait se retourner dans son lit et plier le
tronc
latéralement, mais elle restait tout à fait inc
VI 22 332 DURANTE que dans l'aisselle. A mesure qu'il s'élève, ce
tronc
énorme s'atténue progressivement et devient plu
tre normal (Voy. fig. A, ni). Les rameaux musculaires partant de ce
tronc
sont également jaunâtres, hypertrophiés,et peuv
rminal du bout central : 1,5 centim. de large, sur cent.'de long.
Tronc
du médian au-dessus de névrome : 1 centim. de dia
. Tronc du médian au-dessus de névrome : 1 centim. de diamètre. .
Tronc
du médian au niveau de l'aisselle 0,5 centim. de
erminaux : 17 centimètres. La fig. A, dans laquelle c représente le
tronc
du cubital au niveau de la moitié supérieure de
on chirurgicale ancienne, nécessitée par une tumeur du nerf dont le
tronc
respecte offrait encore la trace sous forme d'une
aux tissus voisins. Il résèque le moignon du nerf à 1 cent. 1/2 du
tronc
qui en part et qui a près du volume du pouce. G
on inflammatoire. Malgré une résection aussi étel1due,supprimal1tle
tronc
du médian depuis 324 DURANTE la moitié de l'a
s des vaisseaux interfasciculaires sont notablement épaissies. 3°
Tronc
du médian. Plus on s'élève, moins le tissu lâche
trairement à ce que l'on observe dans le bout périphérique, dans le
tronc
du médian les cylindraxes sont presque toujours p
utopsie pratiquée quatre ans après, permet de vérifier l'absence du
tronc
nerveux sur une étendue de 17 centimètres. Le bou
lons dans le névrome terminal, sont réguliers et volumineux dans le
tronc
du médian. Mais ici, ils sont composés d'un mélan
au contraire, au-dessus du point réséqué par le Dr Péraire, tout le
tronc
est envahi régulièrement. Nous ne connaissons p
naissons pas d'autre fait analogue de lipome diffus cylindrique des
troncs
nerveux. Nous verrons, du reste, qu'il y a lieu d
pas absolument constante lors- que la lésion porte, non pas sur le
tronc
, mais sur le seul nos au gris d'ori- gine. Trop
ouru, pour une part, à la formation du tissu adipeux qui infiiti e le
tronc
nerveux. Les fibres renflées de distance en dis
, etc. etc., ont également observé des faits de section complète du
tronc
du médian sans troubles sensitifs consécutifs.
ation, localiser exactement des sensations gagnant l'écorce par des
troncs
autres que le médian. Il est vrai que l'on s'ex
cause et parfois même de la compléter. Planche LXII. Fin. A. - m,
Tronc
du médian, du milieu de l'avant-bras jusqu'à l'ai
fibres un peu obliques sectionnées. Fio. F. Coupe longitudinale du
tronc
du bout périphérique, correspondant environ à l
tement que dans quelques-unes. FIG, G. Autre coupe longitudinale du
tronc
du bout périphérique. FiG. II. Autre coupe long
u tronc du bout périphérique. FiG. II. Autre coupe longitudinale du
tronc
du bout périphérique. Parmi les fibres différen
os du pied et le dos de la main. Si par ailleurs, les membres et le
tronc
paraissent épaissis, c'est que là le tissu graiss
ntracture. L'aneslhésie occupe tout le côté gauche, les membres, le
tronc
, la face, à l'exception des parties qui avoisinen
reste, que dans la paralysie agitante, les muscles des membres et du
tronc
sont dans un état de tension permanente qui déter
doit être relevé ; c'est que, en agissant sur les muscles et sur les
troncs
nerveux, la faradisation détermine des contractio
observe dans le membre supérieur, dans l'inférieur, dans la moitié du
tronc
et de la tête. Vous voyez que cette jeune malade
non seulement la peau, mais encore les parties profondes, muscles et
troncs
nerveux, puisqu'on peut, en excitant les nerfs et
t pas sur les membres l. Mais on les voit sur la partie antérieure du
tronc
, au niveau de la ligne médiane (poignée du sternu
s zones ont les mêmes propriétés que celles que l'on rencontre sur le
tronc
ou sur la tête (Gaube : Recherches sur les zones
siè gauche, occupant non seulement la main, mais les deux membres, le
tronc
, la tète ; la malade n'est pas affectée parla far
sensibilité est revenue sans transfert au membre supérieur droit, au
tronc
, à la tête, au bras, mais non à la main et au poi
faits tendant à établir que certaines lésions des extrémités, ou des
troncs
nerveux peuvent retentir sur le centre spinal et
petit scialique, un peu après leur sortie de l'échan-crure. Les deux
troncs
nerveux ont donc pu, et ils ont dû être simultané
une chute sur la fesse, alors que celle-ci porte sur un plan uni, le
tronc
nerveux reste protégé. Vous voyez que les conditi
ut se relever, et déjà, à ce moment, la douleur occupant le trajet du
tronc
du nerf sciatique et de ses branches s'était déve
t de deux éléments: a) douleur permanente, localisée sur le trajet du
tronc
nerveux, particulièrement en certains points où l
si, par exemple, dans des cas où la douleur a occupé exclusivement le
tronc
du grand sciatique, l'atrophie se produit non seu
ue les muscles innervés par le grand et le petit sciatiques, les deux
troncs
nerveux simultanément contus, sont, pour la plupa
difficulté de la station qui en résulte, inclinaison du bassin et du
tronc
à droite, inclinaison à droite, quand le pied dro
erai donc aux remarques suivantes : il est probable qu'à l'origine le
tronc
de la sylvienne a été oblitéré. Ainsi s'exp iquer
membres ne se prennent que consécutivement, les bras d'abord, puis le
tronc
. Enfin, fait important à signa- Fig. 28 et 20.
mbre, est obligée de le projeter violemment en haut, en l'écartant du
tronc
, et ce mouvement est tellement caractéristique qu
par exemple. S'ils sont assis, au contraire, les muscles du cou et du
tronc
entrent en jeu pour maintenir la position vertica
verticale du corps et il se produit des oscillations de la tête et du
tronc
, tandis que les membres sont au repos. Youlez-vou
te et très variable, elle se renverse en arrière, les bras écartés du
tronc
, les mains enpronalion, les doigts fortement fléc
t en avant, les bras croisés sur la poitrine, les jambes en l'air, le
tronc
et la tête soulevés, les fesses et les reins repo
eut pour effet seulement de rendre la sensibilité moins obtuse sur le
tronc
, la face, le membre inférieur. L'anesthésie et la
ute l'étendue du membre, main, avant-bras, bras et épaule. Du côté du
tronc
, cette anesthésie est limitée par une ligne circu
s profondes ; on peut, en effet, faradiser fortement les muscles, les
troncs
nerveux eux-mêmes, tirailler énergiquement les li
ieur, mais sur ces derniers points, ainsi que sur la moitié gauche du
tronc
, on retrouve l'analgésie déjà signalée lors du sé
at de résolution, de flaccidité absolue du membre. Il pend le long du
tronc
comme un corps inerte et retombe lourdement quand
ainsi que la faradisation, même énergique, soit des muscles, soit des
troncs
nerveux, alors qu'elle provoque cependant de fort
de P... et de lui enjoindre de chercher son avant-bras tenu écarté du
tronc
, de le saisir, à l'aide de sa main gauche. Il tât
tion de la zone d'anesthésie est tout autre : par en haut, du côté du
tronc
, elle est beaucoup plus étendue que chez D..., pu
forme d'analgésie, dans toute l'étendue de ce même côté droit, face,
tronc
et membre inférieur. Il s'agit donc là, en ce qui
atifs: analgésie répandue sur la moitié gauche de la tête, du cou, du
tronc
et sur toute l'étendue du membre inférieur gauche
au plus haut degré, les parties profondes, à savoir les muscles, les
troncs
nerveux, les ligaments, etc. Ainsi l'on peut, vou
ouvements de torsion ou d'élongation les plus violents, faradiser les
troncs
nerveux et les muscles au point de produire dans
ar la pression exercée sur les masses musculaires, les tendons ou les
troncs
nerveux (contracture des léthargiques), et l'immo
cas, d'après M. Yerneuil, seraient le résultat de la compression des
troncs
artériels et nerveux par un épanche-ment profond
action du tissu cellulaire sous-cutané. La compression portant sur un
tronc
nerveux aurait pu, à la rigueur, produire la para
culière le mode de limitation que présente du côté de l'abdomen et du
tronc
, l'anesthésie des membres inférieurs chez notre m
s parties saines, par une ligne à peu près perpendiculaire à l'axe du
tronc
, et passant au voisinage de l'ombilic. — Le mod
du côté des parties saines, par une ligne perpendiculaire à l'axe du
tronc
, passant au voisinage de l'ombilic. D'un autre
près sa force, que le trapèze et les autres muscles de l'épaule et du
tronc
se contractent d'une façon tout à fait normale.
e des lèvres; on ne constate non plus aucune paralysie des muscles du
tronc
. En somme, la paralysie présentée par cette malad
hystérogènes, une analgésie de toute la moitié gauche de la tète, du
tronc
et de la cuisse ; la piqûre est perçue comme un f
n du corps, d'avant en arrière, est de vingt-et-un pouces et demi. Le
tronc
, parfaitement conformé dans la région sus-ombilic
La fig.3, grandeur naturelle, représente la partie sous-ombilicale du
tronc
, vue par la région postérieure. On voit à la part
naturelle, représentent le squelette de la moitié sous-ombilicale du
tronc
. Fig. 4- Face antérieure. Bassin vu en avant :
ieur de l'articulation du genou, répondaient à la face postérieure du
tronc
. La figure 6 représente le fémur, vu du côté ex
embres supérieurs ne peuvent s'appliquer sur les parties latérales du
tronc
, sans effort,sans traction considérable de la pea
qu'on donne à ces membres supérieurs une direction perpendiculaire au
tronc
. Il me paraît donc positif que, si cet enfant eût
nt remarquer la fusion des deux nerfs tibiaux postérieurs, en un seul
tronc
, qui se bifurque comme le tronc commun des deux
erfs tibiaux postérieurs, en un seul tronc , qui se bifurque comme le
tronc
commun des deux artères tibiales postérieures, po
Les deux nerfs sciatiques poplités internes sont confondus en un seul
tronc
NSPI, qui commence immédiatement au dessous du ba
le, et presque constamment une éruption miliaire qui occupait tout le
tronc
. Le malade a continué à se livrer à ses travaux,
re pour se continuer avec ceux que nous avons vus sur la tête. « Le
tronc
est fléchi de manière à continuer la courbe comme
, en sorte que son plus grand diamètre est transversal. La couleur du
tronc
est à-peu-près la même que celle de la tête; il p
suspension à l'enfant dans la cavité abdominale. « Le côté droit du
tronc
offre des traces de décomposition putride; ainsi,
tion. L'os coxal du même côté est aussi à découvert. Tout le reste du
tronc
est parfaitement conservé; il offre à la pression
gauche est parfaitement conservé; la portion numérale est accolée au
tronc
; l'avant-bras directement fléchi sur le bras, et
nes.Le droit est réduit à son squelette vers son articulation avec le
tronc
; plus bas se voit une fracture du fémur voisine d
rvaient probablement de moyens de suspension. (i) Sur la figure, le
tronc
a été redressé. Une commission nommée dans le s
t été soumis dans cette attitude, par exemple dans un renversement du
tronc
en arrière, pourrait très bien rendre compte de l
n et la presque totalité du foie, s'accompagnait d'un renversement du
tronc
en arrière et de côté et de pied-bots avec atroph
ès minces, qu'on peut détacher avec la plus grande facilité. Les gros
troncs
de ces vaisseaux nouveaux sont sous la plèvre, le
les divisions pulmonaires gauches, au moment où elles se séparent du
tronc
d'origine étaient remplies d'une concrétion blanc
degrés de la phlébite. Ainsi, ces concrétions sont blanches dans, les
troncs
principaux et présentent du pus à leur centre;ell
mmes en couches présente des variétés. Lorsque la phlébite occupe les
troncs
veineux seulement, la douleur est limitée au traj
tendent au contraire à tout le membre, lorsque la phlébite occupe les
troncs
et leurs divisions. Voici la théorie de la phlé
ue de l'obturation des vaisseaux veineux : circonscrite au trajet des
troncs
veineux, lorsque la phlébite est limitée à ces tr
e au trajet des troncs veineux, lorsque la phlébite est limitée à ces
troncs
, la douleur occupe, au contraire, tous les points
œdème est véritablement douloureux, lorsque la phlébite occupe et les
troncs
et les divisions. Un de mes meilleurs élèves, M
__Dans le cas représenté planche iv, l'inflammation était limitée aux
troncs
veineux, et ne s'étendait à aucune veine collat
et rachidiennes suppléent surabondamment à la circulation de ces gros
troncs
veineux; on peut même compter parmi les voies sup
Du reste, la distinction de la phlébite en celle qui occupe les gros
troncs
seulement et en celle qui occupe à-la-fois les gr
e les gros troncs seulement et en celle qui occupe à-la-fois les gros
troncs
et les veines collatérales est du plus grand inté
es extravasations sanguines de la couche sous-cutanée. A la cuisse le
tronc
de la saphène interne était également le siège de
l'état le plus parfait d'intégrité. La phlébite occupait encore les
troncs
des veines profondes, tibiales , péronières, popl
tée AP, fig. 2et 3, de l'artère tibiale antérieure ATA, fig. 3, et du
tronc
tibio-péronier A TP, fig. 3; l'artère tibiale pos
ieurs de la poplitée, adhérens et denses dans le sixième inférieur.
Tronc
tibio-péronier rempli par une concrétion très den
l'aide des collatérales; l'oblitération, dans une grande étendue, du
tronc
principal d'un membre peut également n'être suivi
s ont cessé de battre dans le membre; la pression exercée le long des
troncs
artériels est douloureuse et ces troncs artériels
pression exercée le long des troncs artériels est douloureuse et ces
troncs
artériels résistent, sous le doigt explorateur, à
ation peut occuper les divisions de troisième et quatrième ordre, les
troncs
étant libres ou à-peu-près: l'oblitération peut o
es troncs étant libres ou à-peu-près: l'oblitération peut occuper les
troncs
ou l'artère principale des membres dans une étend
étant libres. — L'oblitération peut se rencontrer à-la-fois dans les
troncs
et dans les divisions. — L'ossification ou pétrif
naissaient de la partie la plus élevé de ces sinus. La longueur du
tronc
brachio-céphalique, le rapprochement à leur origi
u tronc brachio-céphalique, le rapprochement à leur origine des trois
troncs
artériels qui constituent l'aorte ascendante doiv
ur anévrysmale située à l'origine de l'artère rénale droite ARD. Le
tronc
cœliaque TC est remarquable par sa longueur inacc
icuspide. On voit, en outre, le rapprochement des trois orifices : du
tronc
brachio-céphalique OTBC ; de l'artère carotide pr
essous de l'artère sous-clavière gauche; et par conséquent, les trois
troncs
qui constituent l'aorte ascendante naissent de l'
de cette ampoule. J'ai vu, dans un cas de cette espèce, l'origine du
tronc
brachio-céphalique précédée par une sorte de prol
ondait à l'origine du vaisseau et dont le sommet tronqué répondait au
tronc
brachio-céphalique lui-même. Une sorte de valvule
dont le grand cul-de-sac répondrait au-dessous de l'origine des trois
troncs
qui constituent l'aorte ascendante ; la petite co
étrécie du demi-ovoïde, formé par l'anévrysme. Les orifices des trois
troncs
de la crosse aortique étaient parfaitement libres
s sacs surajoutés à un premier sac qui communique directement avec le
tronc
artériel. Je viens de faire la dissection d'un
u côté du cœur, était à un pouce au-dessus des valvules sygmoïdes; le
tronc
brachio-céphalique établissait sa limite opposée.
dessous de l'artère sous-clavière gauche,de telle sorte que les trois
troncs
de l'aorte ascendante naissaient de la partie la
he 3. L'anévrysme de l'artère vertébrale de même que l'anévrysme du
tronc
basilaire doivent déterminer tous les symptômes d
du dos, au niveau des premières vertèbres dorsales. Les mouvemens du
tronc
sont douloureux. Le malade ne peut pas se baisser
pêche de se soutenir dans la position verticale. Il lui semble que le
tronc
est divisé en deux parties superposées, et que la
jours ceinture ou barre douloureuse, surtout dans la moitié gauche du
tronc
; il semble au malade que son corps soit coupé en
e latéral de l'artère carotide primitive. La figure 2 représente le
tronc
brachio-céphalique TBC et l'artère carotide droit
au dessus et au dessous du froncement. Il n'en [jetait pas de même du
tronc
brachio-céphalique, de ses deux divisions, des ar
d'un tiers que dans l'état naturel. Les branches qui partaient de ces
troncs
avaient augmenté de volume dans la même proportio
i nous occupe. L'aorte avait à son origine son calibre ordinaire : le
tronc
brachio-céphalique et l'artère sous-clavière gauc
érieures et postérieures correspondantes, puis, se continuant avec un
tronc
artériel intercostal, venait se jeter dans l'aort
tale supérieure, née de la sous-clavière, venait se confondre avec le
tronc
de la deuxième intercostale aortique. Les artères
pigastriques. Il en résultait, de chaque côte de la ligne médiane, un
tronc
, dont le volume dépassait celui de l'artère iliaq
une impulsion considérable, qui est due à la crosse de l'aorte et au
tronc
brachio-céphalique. Appliqué sur les carotides, l
rosses artères. Les bruits doubles du cœur s'entendent souvent sur le
tronc
brachio-céphalique, ou plutôt sur les portions de
s portions de carotide et de sous-clavière les plus rapprochées de ce
tronc
; un bruit simple s'entend sur les carotide et sou
tte tunique celluleuse ; d'une part, autour de la crosse aortique, du
tronc
brachio-céphalique, de l'artère sous-clavière dro
rotides, les crurales, et les principales branches qui émanent de ces
troncs
, étaient presque totalement ossifiées. M. Fleury
A dater du 8 juin, l'oppression augmente, l'infiltration s'étend au
tronc
et à la face. Dans les rares instans où le malade
qu'assis sur son séant,il se couche à droite: aussi l'iufiltration du
tronc
et de la face occupe-t-elle principalement le côt
use. La sensibilité allait en augmentant à mesure qu'on approchait du
tronc
: en même temps qu'ils étaient insensibles, les pi
ntation du sentiment et du mouvement à mesure qu'on s'élevait vers le
tronc
. La compression avait lieu sur le bulbe racbidi
llait gagner progressivement le membre inférieur droit, les parois du
tronc
, la vessie, le rectum, et peut-être aussi les mem
ffet ce qui advint les jours suivans. Les deux membres inférieurs, le
tronc
, les membres supérieurs présentèrent ce singulie
rachidienne. Le 5 juin, elle occupait toute la partie inférieure du
tronc
jusqu'au niveau de la mamelle ; le 6 juin, elle s
bas en haut. Sensibilité tactile abolie presque complètement sur le
tronc
comme aux extrémités. A peine le chatouillement e
douleur dorsale ou spinale a persisté depuis le premier moment où le
tronc
a été affecté. Peu d'appétit ; peu de fièvre: tou
ralysie cutanée qui envahit successivement les membres inférieurs, le
tronc
et les membres supérieurs, paralysie qui survient
nfant au berceau. Douleurs générales et dans les membres et dans le
tronc
; tremblemens légers par momens, tantôt d'un côté
ficile à rendre. Elle rougissait, riait, pleurait; ses membres et son
tronc
étaient saisis de mouvemens involontaires, qui la
upérieurs, érosion. Aucune douleur spinale. La sensibilité tactile du
tronc
est engourdie. La malade ne sent très bien que la
ent tous les muscles ou certains muscles des membres; 2° sur les gros
troncs
nerveux d'où résulte une lésion paralytique ou do
ue la face repose sur l'épaule de la personne qui le porte, et que le
tronc
soit vertical. S'il arrivait qu'on le mît au lit
la supination : et lorsqu'il est obligé de se mouvoir, la tête et le
tronc
se meuvent tout d'une pièce. Le pouls est plein,
s , en sorte que ce corps occupe presque la surface du cervelet. Le
tronc
basilaire, les artères vertébrales et cérébelleus
qui attestent cette altération de l'organe formateur, de même que le
tronc
des vieux arbres atteste, par l'altération des co
omie pathologique. Pl. 3 ( demi-grandeur). —La région antérieure du
tronc
présente une multitude de tubercules et de tumeur
tous ces tubercules et tumeurs sont limités à la région antérieure du
tronc
; un certain nombre se voit à la partie inférieure
emières divisions de la veine rénale. Le caillot est adhérent dans le
tronc
de la veine rénale et sans adhérence dans les div
oedème dur, éléphantiasique. L'œdème s'étend à la partie latéralp du
tronc
. Une multitude de tubercules miliaires, pisifor
la veine jugulaire interne d'une part et d'une autre part, le long du
tronc
veineux brachio-céphalique gauche, auxquels ils a
s différences bien tranchées, suivant que la phlébite occupe les gros
troncs
veineux seulement, ou qu'elle occupe les gros tro
occupe les gros troncs veineux seulement, ou qu'elle occupe les gros
troncs
veineux et leurs divisions. La phlébite est-elle
ncs veineux et leurs divisions. La phlébite est-elle limitée aux gros
troncs
veineux, la douleur ne dépasse pas le trajet de c
gros troncs veineux, la douleur ne dépasse pas le trajet de ces gros
troncs
veineux: elle est nulle dans les autres points de
t sortie, mais une résistance insurmontable s'opposait à la sortie du
tronc
de l'enfant: trois heures s'étaient écoulées depu
les deux bras de l'enfant dont la tête était sortie; puis, portant le
tronc
en haut et en avant, il amena le dos, les fesses
eure (demi-grandeur). L'adhésion a lieu par la région antérieure du
tronc
. Elle est limitée à la région sus-ombilicale de l
de ces réflexions. L'adhésion était également limitée à la portion du
tronc
comprise entre l'ombilic et l'appendice xyphoïde.
Suspension de douleurs après la sortie de la tête. Sortie tardive du
tronc
. m Enfant mort-né par apoplexie, à la suite d'un
Suspension des douleurs après la sortie de la tête. Sortie tardive du
tronc
. = Apoplexie chez un enfant mort-né à la suite d'
= Choléra moyen très in- tense; crampes abdominales et latérales du
tronc
; vomisse-mens ; hoquet. Guérison rapide. lke liv
son.= Choléra moyen très intense; crampes abdominales el latérales du
tronc
; vomissemens; hoquet. Guérison rapide. 14e liv.,
veloppement énorme des ganglions cervicaux du grand sympathique et du
tronc
nerveux de communication entre ces ganglions. lre
spension des douleurs après la sortie de la tête. Sortie tardive , du
tronc
= Enfant mort-né à la suite d'un travail très lon
de phlébite ; distinction de la phlébite en celle qui occupe les gros
troncs
seulement et celle qui occupe en même temps les v
de phlébite ; distinction de la phlébite en celle qui occupe les gros
troncs
seulement et celle qui occupe en même temps les v
s faible que la droite. Pendant cette période, également, le bras, le
tronc
du côté droit et la moitié droite de la face étai
se tenir debout. Immédiatement vous voyez le corps tout entier, tête,
tronc
et membres, tout à l'heure immobiles, être saisis
et, de stigmates hystériques permanents très accentués. Il y a sur le
tronc
, la tête et les membres, une hémianesthésie droit
r que l'affection, quelle qu'elle soit, ne porte pas sur la partie du
tronc
nerveux qui contourne le pédoncule cérébral, car
ans un de ces cas (Weiss, Wiener med. Woch. 25 avril 1885, n° 17), le
tronc
du nerf a été trouvé farci de masses tuberculeuse
ousses fibrillaires dans le triceps droit atrophié. Rien du côté du
tronc
ou des membres supérieurs. La malade est maigre
tact est conservé dans cette étendue. Rien d'autre aux membres ni au
tronc
, sinon un certain degré d'hypoesthésie pour le ch
nous voyons nettement que les troubles ont porté tout d'abord sur le
tronc
tout entier du sciatique. La névralgie totale de
sciatique, mais encore de tous les nerfs du membre inférieur. Puis le
tronc
et les premières branches fémorales se dégagent è
erne, » admet que cette branche nerveuse est formée uniquement par le
tronc
lombo-sacré. Il a constaté en séparant par la dis
rf sciatique poplité externe se continuent directement avec celles du
tronc
lombo-sacré. Or ce nerf est situé dans le bassin
, l'alcoolisme, les lésions nerveuses se localisent de préférence aux
troncs
nerveux animant les muscles extenseurs, de même c
e une légère déformation de la colonne vertébrale avec inclinaison du
tronc
adroite. Fig. 24.— Zone d'analgésie et d'hypoes
noter ni refroidissement, ni traumatisme, ni compression apparente du
tronc
nerveux ou du plexus sacré. Mais la scia-tique s'
l'atrophie dégénérative constatée dans les muscles animés par ce même
tronc
nerveux. Les troubles moteurs et sensitifs sont
n extension. Attitude. — Le malade présente une légère déviation du
tronc
vers la gauche. Il marche-en traînant la face p
portant sur le territoire de distribution musculaire et cutanée de ce
tronc
nerveux; 2° Cette complication se présente auss
frent rien d'anormal. Motilité. — A. Membres inférieurs, face, cou,
tronc
, membre inférieur gauche, sains. B. Membre infé
n 1886, je remarquai, pour la première fois, la déviation spéciale du
tronc
qui, depuis lors, a fait l'objet de si nombreuses
plexus sacré, ni gibbosité, ni la moindre gene dans les mouvements du
tronc
en arrière. C'est en partie pour ces motifs que j
la mobilité et la symétrie. Il est concevable, du reste, que si le
tronc
du nerf moteur oculaire est atteint après sa form
es noyaux moteurs, on rencontre en même temps, en diverses parties du
tronc
et des membres, des amyotrophies plus ou moins gé
s, du thorax et du cou, si bien que les bras sont ballants le long du
tronc
et que la tête insuffisamment maintenue est entra
duction des pouces. Les membres inférieurs, la moitié inférieure du
tronc
, paraissent au premier abord absolument indemnes.
et s'étend même, sans résistance. Le bras s'écarte incomplètement du
tronc
, ne peut se porter ni en avant ni en arrière. L'é
uction de la cuisse est parfaite. L'abduction est un peu affaiblie.
Tronc
. — Le malade, couché sur le dos, peut redresser l
affaiblie. Tronc. — Le malade, couché sur le dos, peut redresser le
tronc
; il ne peut cambrer les reins. Les omoplates se r
ir au but voulu, de les lancer, en quelque sorte, par un mouvement du
tronc
et des épaules. Si quelques mouvements sont encor
s de la ceinture scapulaire, l'omoplate étant notablement détachée du
tronc
et renversée de façon que son angle supéro-intern
as. Mais ce n'est pas tout. Si nous considérons l'aspect extérieur du
tronc
, nous voyons que, tandis que chez l'individu atte
bien que la paralysie hystérique puisse occuper toutes les parties du
tronc
et des extrémités, très rarement,jamais peut-être
aut à savoir : attaques convulsives épileptiformes avec projection du
tronc
en avant; plaque hyperesthésique siégeant sur l'h
nne, puis sortent de l'épaisseur de ce dernier organe sous forme d'un
tronc
unique qui n'est autre chose que l'oculo-moteur c
lombaire. Le membre inférieur gauche et la moitié correspondante du
tronc
, au-dessous d'une ligne horizontale passant par l
. Vous pouvez observer aussi l'attitude vicieuse et la déformation du
tronc
: élévation de l'épaule droite, gibbosité assez m
age costale. J'ajoute qu'il n'existe dans les muscles du rachis et du
tronc
aucune anomalie appréciable sur laquelle puisse s
ersistante, limitant d'une façon notable les mouvements de flexion du
tronc
de ce côté. Dans tout cela il n'y avait rien en
ne. Les orteils sont relevés, la face plantaire regarde en dedans. Le
tronc
est incliné à gauche; l'intervalle costo-iliaque
qui a pour but de porter la jambe paralysée en avant. Elle porte son
tronc
sur le côté opposé à la paralysie et repose le po
s quel- ques circonstances, pourra s'étendre aux ramifications d'un
tronc
vasoulaire ; et, comme il s'agit d'une artérite v
: anesthésie totale du bras droit; anesthésie de la moitié droite du
tronc
, en arrière seulement ; rétrécissement concentriq
-ments qui, au moment où-ils se détachent de la cellule, figu-rent un
tronc
volumineux, lequel s'amoindrit à mesure qu'il sub
s nerveux peut être le siège. . Vous-vous souvenez comment les gros
troncs
artériels, les deux carotides internes et les deu
imitive et la vertébrale du côté gau-che. La carotide droite vient du
tronc
innommé, gui s'incline sur la crosse de V aorte,
brale antérieure. —S, S, Artères deSylvius. — V, V, vertébrales. — B,
tronc
basilaire. — GP, CP, cérébrales postérieu-res. —
en avant, convergent vers la ligne médiane et s'unissent en un seul
tronc
, le tronc basilaire (B). Celui-ci, vers le bord a
, convergent vers la ligne médiane et s'unissent en un seul tronc, le
tronc
basilaire (B). Celui-ci, vers le bord an-térieur
st du cercle de Willis et des deux premiers centimètres de ces divers
troncs
artériels que naissent les artères nourricières d
l'objet particulier de nos études. Vous sa-vez de quelle façon trois
troncs
, émanés du cercle de Willis, se partagent la circ
che de la basi-laire, provenant elle-même de la confluence en un seul
tronc
des deux artères vertébrales. A. Chacune de ces
pondant à la distribution d'autant d'artères secondaires, émanant des
troncs
principaux. B. Ne nous arrêtons pas plus longte
, — Distribution de Vartère sylvienne (Figure demi-schématique.) — S,
tronc
de l'artère sylvienne qui pénètre dans la scissur
n rameaux de troi-sième ordre, au nombre de deux ou trois pour chaque
tronc
secondaire. Ces rameaux tertiaires constituent ai
artent non-seulement des extrémités des rameaux, mais encore de leurs
troncs
eux-mêmes. Contrairement aux assertions de la plu
n d'une branche de deuxième ou de troisième or-dre. L'oblitération du
tronc
de la sylvienne elle-même pour-rait avoir pour ef
tion portant soit sur une bran-che de Y artère sylvienne, soit sur le
tronc
de cette artère, — je prends ici la sylvienne pou
la matière poussée dans l'un quelconque des départements, soit par le
tronc
principal, soit par les rameaux, pénètre toujours
d'un territoire vasculaire explique pourquoi l'obli- tération d'un
tronc
principal a souvent pour conséquence le ra-mollis
). Plusieurs fois j'ai vu, pour mon compte, l'oblitération de ce seul
tronc
artériel produire un ramollissement limité au seu
qui constituent le système central naissent de chacun des trois gros
troncs
artériels du cerveau, au voisinage immédiat de le
ur point de départ, se dirigent perpendiculairement à la direction du
tronc
principal. Cette direction perpendiculaire nous
ères médianes naissent à angle droit de l'artère basilaire qui est un
tronc
volumineux, et elles pénètrent jusqu'aux parties
e. Les artères médianes du bulbe ne naissent pas directement des gros
troncs
de l'artère vertébrale; elles prennent leur origi
raison de l'ab-sence bien établie des collatérales. Les trois gros
troncs
artériels du cerveau, ainsi que je l'ai répété en
ticulaire, et qu'on peut appeler internes ; après s'être dé-achées du
tronc
de la sylvienne, ils s'élèvent presque verti-cale
interne, née de la cérébrale postérieure, tous près de son origine au
tronc
basilaire, qui fournit à la face interne de la co
peut être oblitéré en conséquence de la thrombose ou de l'embolie du
tronc
artériel principal. Alors, le ramollissement port
e médiane du corps, établit la limite de l'in-sensibilité qui, sur le
tronc
, déborde cependant un peu en avant le sternum e
reste, un détail d'importance secondaire. La tête, les membres, le
tronc
, d'un côté du corps, sont donc affectés en même t
ce qui suit. Les plus importantes de ces artérioles proviennent du
tronc
de la sylvienne dont elles se détachent perpendic
uniquement sur les membres ; ainsi, quelquefois, du côté paralysé, le
tronc
est incomplètement développé ; la cage thoracique
s appuyer à terre. Enfin, dès les premiers mouvements de marche, « le
tronc
se redresse et se renverse en arrière comme pour
lors le malade pour le soulever entièrement et le porter en avant, le
tronc
se redresse et se renverse en arrière comme pour
marcher au pas, quoique appuyés sur une canne, qu'en se renversant le
tronc
et la tête en arrière de telle sorte que leur att
devient dès lors plus difficile d'habiller l'enfant ; quelquefois le
tronc
lui-même est raide. Arrive l'âge de marcher, et l
outefois, la progression exagère toujours la raideur des jambes. Le
tronc
, la face, le cou sont également raides. La tête e
prochain numéro des Archives de physiologie. modique permanent. Le
tronc
et la tête sont encore raides. La parole et la dé
maladie, consistant dans une déviation avec inclinaison latérale du
tronc
vers le ¡ côté sain. Peu de temps après, MM. Ba
tion faite des cas où elle relève , Defonllation pOEI'liculièl'e du
tronc
causée par la sciatique, Th. Paris, 1888, tio 1
eaucoup de sujets atteints de sciatique, on peut constater que le
tronc
se porte vers le côté sain, latéralement avec une
ent couchés. Dans la position horizontale, la déviation latérale du
tronc
ne peut môme pas être soupçonnée. On ne l'appré
lade fait porter tout le poids de son corps sur la jambe valide. Le
tronc
se penche vers le côté sain en" vertu d'une inc
jours facile de déterminer l'existence de la courbure. Lorsque le
tronc
est fortement dévié, on n'a. pas. be- soin de p
iatique, non pas celle qui consiste dans un transport t en masse du
tronc
vers le côté sain, mais celle' qui n'existe en
donné que la sciatique produit parfois la déformation secondaire du
tronc
, cette déviation DES SCOLIOSES DANS LI-,S NEVRA
ue fruste dans certaines circonstances où l'inclinaison latérale du
tronc
échappe à toute inter- prétation plausible. M.
Ce sont les 'muscles du côté sain qui produisent l'inclinaison du
tronc
. Il n'y a là rien d'essentiellement articulaire.
, à l'extrême rigueur, qu'une contracture réflexe des muscles -du
tronc
puisse être déterminée par une scia- tique, ce
la troisième hypothèse, en vertu de laquelle l'attitude vicieuse du
tronc
serait la conséquence d'une simple contraction
hement exagère, comme nous venons de l'expliquer, la déformation du
tronc
; mais cette défor- mation tient, avant tout, au
pathologique. Tel nous semble être le mécanisme de l'attitude du
tronc
et des membres inférieurs chez les sujets atteint
UES. 19 dans le cas de la sciatique, la cause de l'inclinaison du
tronc
vers le côté sain est toujours le déplace- ment
re pas, un sujet qui aune jambe plus courte que l'autre, incline le
tronc
du côté de la jambe la plus longue. Celle-ci, e
e pour porter en avant la jambe paralysée : elle porte d'abord le
tronc
du côté opposé à la paralysie et appuie tout le
portante est évidemment l'action permanente des muscles latéraux du
tronc
du côté sain. Nous avons dit que, dans le princ
liquer la persistance en quelque sorte indéfinie de la déviation du
tronc
, M. Babinski admet l'hypothèse que les muscles
r lequel nous voulons insis- ter nous en avons rencontré trois ouïe
tronc
s'était, contrairement à la règle, incliné vers
alléolaire. Cette femme pouvait se tenir debout et marcher, mais le
tronc
était incliné en arrière et du même côté que la
ture spasmo- dique des muscles du membre inférieur.- Déformation du
tronc
. Inclinaison du rachis du côté malade. Louis
r de la ver- tèbre proéminente. En somme, toute la moitié gauche du
tronc
paraît affaissée. Mais ce n'est pas le fait d'u
points en question correspondent à des branches de distribution du
tronc
du sciatique. Il s'en faut que sa démonstration
oureuses qu'il est bien dif- ficile de rapporter à une névralgie du
tronc
sciatique proprement dit : le point lombaire, p
ubitement une telle exagération des phénomènes spasmodiques, que le
tronc
s'était incliné du côté para- lysé, comme dans
e il est forcément attiré à gauche et qu'il ne peut pas incliner le
tronc
à droite, il porte fortement la hanche à droite
e affection dou- loureuse qu'il est souvent difficile de limiter au
tronc
et aux branches de distribution du nerf sciatiq
certaines branches des plexus lom- baire et sacré indépendantes du
tronc
sciatique. On doit même reconnaître que, le plu
onc pas nécessairement les mêmes que les li- mites de convention du
tronc
nerveux. En d'autres termes, la sciatique n'est
tiques spasmo- diques une scoliose homologue. 4° L'inclinaison du
tronc
du côté sain, dans la scia- tique névralgique s
u côté sain, lesquels agissent énergiquement de façon à incliner le
tronc
de leur côté. 8° La persistance de la scolios
par le nerf sciatique ; elle s'étend, dans la région laté- ralè du
tronc
, aux muscles innervés par les branches du plexu
issue à 600 grammes d'urine. 25. - liypéresthésie des téguments du
tronc
; l'urine contient de l'albumine. La sensibilité
s dans l'ataxie spinale : mais le sens musculaire des membres et du
tronc
est seul atteint dans l'ataxie cérébelleuse. En
niciens appellent l'ataxie cérébelleuse. La tête, les membres et le
tronc
sont agités de continuels mouvements cloniques,
ois après l'opération, ces mouvements de la tête, de la nuque et du
tronc
que rend assez bien l'expression de titubation
si, cette zone pourrait être subdivisée en cen- tres de la face, du
tronc
, des extrémités supérieure et inférieure, etc.
aux du facial, non dans ceux de l'oculo-moteur externe, ni dans les
troncs
périphériques du facial, mais bien dans- le noy
éléments de ce nerf empêche l'accroissement ultérieur des fibres du
tronc
central jusqu'au muscle, une atrophie lente maras
u tronc central jusqu'au muscle, une atrophie lente maras- tique du
tronc
central et de ses origines cellulaires ; 3° chez
des masses lipomateuses sur les parties latérales et inférieures du
tronc
, ainsi que dans le creux axillaire. Circonféren
1. Le bassin est très étroit par rapport à la partie supérieure du
tronc
; les fesses sont régulières, assez fermes et n
d'une grande quantité de kéloàdes indurées qui occupent la peau du
tronc
et des extrémités. C'est surtout pendant ces de
upérieure correspondante; les mêmes phénomènes se rencontrent surle
tronc
etles membres infé- rieurs, mais ils ne tardent
A cette catégorie appartiennent : - Les centres des extrémités, du
tronc
, de la parole, les centres de l'ouïe, de la vue
du côté droit. Les extrémités gauches, le côté gauche du cou et du
tronc
étaient in- sensibles aux excilations tactiles
la capsule interne, irrigués par les artères centrales provenant du
tronc
de la sylvienne, ne sont pas compris dans la lési
cm . 5 ; le pal- per sur le trajet de l'artère ne révèle rien. Les
troncs
nerveux au bras parais- sent normaux. Main dr
es à la cubitale. L'artère radiale qui ne bat plus se sent mal, les
troncs
nerveux paraissent normaux à la palpation. Memb
atteignant non seulement les petits vaisseaux, mais encore les gros
troncs
artériels, les deux radiales au poignet. On sait
main, sur les masses mus- culairès de la main et du bras et sur les
troncs
nerveux est très douloureuse et la malade éprou
fonctionnelle sont la conséquence des deux anciennes fractures. Au
tronc
, on remarque trois petits angiomes séniles, et un
auche. Le signe du peaucier, la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
font défaut. Pas de troubles de la sensibilité
membre de polichinelle. Les masses muscu- laires atrophiques et les
troncs
nerveux ne donnent qu'une légère douleur à la c
, ainsi que l'on a vu pour les membres supé- rieurs. Les muscles du
tronc
sont eux aussi paralysés et atrophiés : des mus
s et la douleur, quoique très légère, des masses musculaires et des
troncs
nerveux à la pression. Un dernier fait d'une ce
rement, comme dans le cas de Rosen- heim,à des hémorragies dans les
troncs
nerveux, hémorragies qu'on n'a pas vérifiées da
est plus intense dans les branches nerveuses terminales que dans les
troncs
nerveux eux-mêmes, mais que la moelle et les ra
sément par le Weigert (Fig. 12). Méthode de Mardi. - Les différents
troncs
nerveux, excepté toujours le nerf sciatique, on
on profonde du cylindraxe diffuse d'un bouta l'autre des différents
troncs
nerveux. Nous sommes donc bien loin des différe
ous voyons qu'au 'membre supérieur, le bras est un peu rapproché du
tronc
, le coude fléchi, l'avant en légère pronation,
ur le bras à peu près à angle droit, tandis que le bras s'écarte du
tronc
pour se porter à la fois en avant et dans l'abd
! 11...cela va sans dire. Après avoir modifié légèrement le port du
tronc
et des branches de manière à leur donner l'appa
sur un banc de la cour des travailleurs, à l'ombre projetée par le
tronc
d'un acacia. Au milieu du feuillage de cet acacia
remier acacia venu. « Sera-t-il Dieu, table ou cuvette ? » Voilà un
tronc
et un branchage qui rappelle un tronc de femme,
table ou cuvette ? » Voilà un tronc et un branchage qui rappelle un
tronc
de femme, les bras tendus au ciel dans une attitu
pudendum n'était pas affecté et l'enflure ne s'étendait pas sur le
tronc
. S'il y avait des régions des membres inférieur
e e est moins accentuée. - La paroi abdominale, les membres et le
tronc
du côté opposé, le mem- bre inférieur du même c
ère pour porter en avant la jambe paralysée : elle porte d'abord le
tronc
du côté opposé à la paralysie et appuie tout le
ambe saine et en se penchant en avant que, à l'aide. des muscles du
tronc
, le sujet parviendra à faire progresser son membr
s que tandis que l'hémiplégique flasque vrai fait des mouvements du
tronc
compensateurs constants et rationnels pour porter
n avant et du côté sain, tirant par son poids et par les muscles du
tronc
le membre paralysé, l'hé- miplégique hystérique
aux, soit en ce qui regarde ses membres, soit en ce qui regarde son
tronc
. Il va sans dire' qu'aucun de ces mouvements ne
s mouvements d'équili- bre avec ses bras et inclinait fortement son
tronc
sur l'articulation de la hanche. Je me demand
paradoxale que je viens de décrire. Ici encore l'enfant inclinait son
tronc
sur la jambe malade et de plus battait très net
t au mollet gauche et qui, au lieu d'incliner pendant la marche son
tronc
sur le côté sain pour graviter sur la jambe de ce
leurs au mollet gauche et qui pendant la marche se penchait avec le
tronc
sur le côté malade. Cette même malade pouvait c
un regard sournois et se campe ensuite dans une attitude figée, le
tronc
et la tête penchés en avant, les yeux fixés à ter
t en dehors qu'en dedans est nulle. Vient-on a écarter le membre du
tronc
, pour l'appliquer à nouveau contre le thorax, le
s : L'excitabilité électrique (faradique et galvanique) de tous les
troncs
ner- veux est bonne. L'excitabilité faradique
elle est accompagnée de l'inexcitabilité galvanique et faradique du
tronc
nerveux et de l'inexcitabilité ou l'hypoexcitabil
mais son épaisseur est diminuée (3 min. 5 à la partie moyenne). Le
tronc
cérébral semble de même normal. Quant au cervel
comme symptômes médul- laires : 1° Un état parétique des muscles du
tronc
, du cou et des mem- bres, le plus souvent accom
rvicale et dans la région lombaire. 11 se meut tout d'une pièce, le
tronc
est rigide et rectiligne, la tête fléchie en av
Lorsqu'il marche, il s'appuie sur une canne, et avance sans que le
tronc
ni les cuisses n'exécutent aucun mouvement : tout
tion qui se traduisent par l'existence d'un double genu valgum ; le
tronc
est relativement peu développé, les bras sont a
première adolescence. La tête est petite et bien pro- portionnée au
tronc
; le développement du thorax et du bassin est har
leur à la pression et à la per- cussion. L'énergie des muscles da
tronc
est normale ; il n'y a pas d'asynergie avec les
normale. Aucune douleur à la palpation des masses musculaires, des
troncs
nerveux et des sur- laces osseuses. L'énergie d
. Pas de douleur à la pression soit des masses musculaires soit des
troncs
nerveux. Les mouvements actifs sont possibles d
ans que l'on remarque la moindre oscillation du 312 2 ETTORE LEVI
tronc
. Elle se tient debout aussi sur un seul pied et a
très svelte et élancée il a les jambes très longues par rapport au
tronc
. De conformation osseuse très grêle, de formes
aisseaux apparaissent petits,mais proportionnés au développement du
tronc
. Pas de persistance du thymus. L'examen objec
erveuse plus grande à droite qu'à gauche. Rien de particulier l' au
tronc
et aux membres. , Examen ophtalmoscopique. Les
sa coloration varie, suivant les différentes régions du corps ; au
tronc
et aux membres infé- rieurs, elle est normale ;
raire le bras peut être levé presque verticalement. ' Le reste du
tronc
, le cou, la tête, les membres inférieurs ne prése
g) : le développement du coeur et du squelette se fait donc du même
tronc
originaire elles deux se ressen- tent également
ues ron- des ; physionomie infantile et grosse tête relativement au
tronc
; squelette peu développé ; cou court et gros ;
nguleuses, épaules larges, extrémités inférieures longues et fines,
tronc
relativement petit, sternum infantile, bassin i
e des jambes dont le développement est excessif, comparé à celui du
tronc
; ce fait qui est considéré par plusieurs auteurs
nne au contraire le crâne est légèrement trop grand relativement au
tronc
et présente un soupçon de caput quadratum hydro
s optiques au niveau du chiasma ou au niveau du point de sortie des
troncs
nerveux à travers les trous optiques ; l'ostéit
en que la paralysie hystérique puisse occuper toutes les parties du
tronc
et des extrémités, très rarement, jamais peut-ê
à savoir : attaques convulsives épileptiformes avec projection du
tronc
en avant; plaque hyperesthésique siégeant sur 1
s provoquent l'appari- tion d'une « élevure de la peau D blanche.
Tronc
. Motilité. Pas de paralysie des muscles abdominau
lement parla partie interne des deltoïdes. La partie postérieure du
tronc
est insensible à partir d'une ligne horizontale
ur la tête et les membres supérieurs; -, les bras se rapprochent du
tronc
, les avant-bras se fléchissent brus- quement et
péro-inlertie est redevenue sensible jusqu'à l'arcade de Fallope.
Tronc
. Au-dessus d'une ligne horizontale passant à quel
une vaste zone d'anesthésie occupant toute la partie postérieure du
tronc
, les épaules, la nuque. En avant, au-dessus de
ant électrique. Elle était caractérisée par de subits mouvements du
tronc
, de la tète, de flexion des avant-bras et des d
ent soulevées et projetées en avant, les bras se rappro- chaient du
tronc
. Dans les cuisses, on remarquait également quel
evées et projetées en avant tandis que les bras se rappro- chent du
tronc
. Elles se répètent en général toutes les trois ou
ême les deux cordons antérieurs n'offrent aucun changement. Dans le
tronc
cérébral, on n'a trouvé rien d'anormal. - Ainsi
s ne me paraissaient pas avoir une im- portance en rapport avec les
troncs
olfactifs. J'ai fort heureusement rencontré un
deux faisceaux. La division principale, qui est la continuation du
tronc
d'origine, suit le trajet que j'ai indiqué pour
st-à-dire aux centres des extrémités, de la face, de la nuque et du
tronc
. Mais il faut ajouter que, d'après ces au- teur
t préfrontaux renfer- ment des centres d'innervation des muscles du
tronc
, et que le développement de cette partie de cer
it par un spasme musculaire d'une région, toujours circonscrite, du
tronc
, de la face ou des extrémités, auquel succédait u
convulsions générales. Au con- traire, les muscles de la face et du
tronc
y participaient pleine- ment, ce qui s'accorde
à quatre centimètres de la grande scissure interhémisphérique deux
troncs
veineux arachnoïdo-dure-mériens, ce trajet extr
complète de la partie moyenne et inférieure de la moitié droite du
tronc
et de la parésie des fonctions sensitives sur la
c et de la parésie des fonctions sensitives sur la moitié gauche du
tronc
; ces accidents portaient surtout sur les impressi
me; 3° une forme irradiée, l'exagération du réflexe gagnant, par le
tronc
, l'autre côté du corps sur les deux extrémités;
ts, à la suite de mouvements choréiformes continuels des muscles du
tronc
et des extrémités, mouvements qui s'accentuent
aire. Le membre inférieur gauche et la moitié correspon- dante du
tronc
, au-dessous d'une ligne horizontale pas- saut p
us pouvez observer aussi l'attitude vicieuse et la déformation du
tronc
: élévation de l'épaule droite, gibbosité assez
e costale. J'ajoute qu'il n'existe dans les muscles du rachis et du
tronc
aucune anomalie ap- préciable sur laquelle puis
rme au type des autres circonvolutions. Conclusions. Les nerfs ou
troncs
olfactifs, au niveau de l'espace perforé antéri
on spon- tanée d'ecchymoses multiples, ayant pour siège la face, le
tronc
et les membres, très étendues surtout au bras g
ctuellement, on constate une diminution de la partie postérieure du
tronc
et la disparition de la sensibilité de la patte
s. Aucun symptôme tabétique. On diagnostique une lésion gommeuse du
tronc
de l'oculomoteur commun et du trijumeau. Le mal
de Westphal des deux côtés. La pression sur les ori- gines des gros
troncs
nerveux (radial, cubital, sciatique poplité ext
re part, ceux dans lesquels ces phénomènes-ci s'étendaient jusqu'au
tronc
; qu'on a rapporté à la même catégorie, d'un côt
es cinquième et sixième racines à la suite d'un névrome occupant le
tronc
commun de ces deux paralysie radiculaire brachi
le conlact ne sont pas perçus sur la moitié antérieure gauche du
tronc
, du cou et de la face. Elle est conservée sur le
rieur gauche à partir de l'aine. Sur la moitié antérieure droite du
tronc
, la sensibilité est conservée mais obluse. Il y a
mais obluse. Il y a anesthésie de. la moitié postérieure droite du
tronc
, du bras droit et du membre inférieur droit. La
crie « oui ! »; la rigidité est très marquée; la face est rouge, le
tronc
se soulève à demi rigide ; la tête est en exten
nts tout à lait classiques avec flexion des jambes, des cuisses, du
tronc
, projection des membres en l'air, puis il retom
tombe, présente des mouvements du bassin et de grands mouvements du
tronc
. Enfin repos prolongé dans lequel le malade dem
dos. Ou bien il se place sur la tête dans l'attitude d'un clown, le
tronc
étendu, les membres à demi-fléchis. Il retombe,
nsuite à genoux les paupières fermées, les bras allongés le long du
tronc
, qui est penché en avant. Après un moment le ma
c, qui est penché en avant. Après un moment le malade se relève, le
tronc
incliné sur le côté gauche, puis il retombe bru
tation de tout le corps, le malade remue les bras et les jambes, le
tronc
restant immobile. Cette agitation dure deux min
s- tent seulement dans les jambes et dans les bras et pas dans le
tronc
. Au début de chaque accès les convulsions sont d'
es deux côtés de la face, mais d'une façon plus marquée à gauche au
tronc
, aux bras et aux membres inférieurs. La sensibili
atténuée du côté droit au cuir chevelu, à la face et au cou. Sur le
tronc
et les membres inférieurs, les yeux fermés, elle
roix, les jambes écartées.- Secousses dans tous les mem- bres et le
tronc
. Résolution de deux minutes. Il se dresse alors
s allongées l'une contre l'autre; le bras gauche allongé le long du
tronc
, le bras droit perpendiculaire. Il se retourne
lus il a quelquefois des secousses des deux bras et même de tout le
tronc
, qui ont beaucoup diminué. Hallucinations. -
tions du cerveau. Nous nous bornerons à étudier le développement du
tronc
du cerveau (développement phylogénique), n'étan
vent leurs vaisseaux des branches artérielles voi- sines, et si les
troncs
sont volumineux, une artère spé- ciale leur est
, L. XXIII. 1 ? 2 \ ' ANATOMIE, queuses dans l'épaisseur des gros
troncs
nerveux, ainsi que Bichat l'a vu le premier sur
d'incidence et de péné- tration, leur division dans l'épaisseur du
tronc
ner- veux, obéissent à certaines lois que l'on
' Or, à ce point de vue, on peut poser une double loi : 1° chaque
tronc
nerveux tire ses artères d'une origine constant
'une origine constante; 2° elles ne lui viennent jamais d'un seul
tronc
artériel, mais toujours de sources multiples. Q
exité interne, et le sang que charrie la sous-clavière n'aborde les
troncs
nerveux qu'après un double détour. Poursuivant
longues arcades artérielles qui règnent sur tout le tra- z jet du
tronc
nerveux et se continuent sur ses deux branche
périeure. 10 O ANATOMIE. ils assurent l'irrigation artérielle des
troncs
nerveux par la multiplicité des sources et des
en est de même : les précautions sont aussi bien prises. Lorsqu'un
tronc
nerveux reçoit ses arté- rioles d'une grosse ar
avant-bras, les artérioles deviennent descendantes et parallèles au
tronc
principal qui les donne, mais elles fournissent
re un assez long trajet et se recourber en dehors pour gagner les
troncs
du pneumogastrique et du sympathique. Trajet ré
ce n'est pas tout. Une artériole ne plonge jamais d'emblée dans un
tronc
nerveux ; elle se divise et se bifurque, avant
ulation par grandes arcades anastomotiques. Au contact ou près du
tronc
nerveux, chaque rameau qui l'aborde se sépare e
cades. Ainsi divisés, les vasa nervorum rampent à la sur- face du
tronc
nerveux, presque toujours parallèles à son gran
s voies direc- trices du système artériel sous-cutané ; 2° Chaque
tronc
nerveux reçoit ses artères d'ori- gines constan
ande impor- tance (pneumogastrique et sympathique au cou) ; 3° Un
tronc
nerveux ne reçoit jamais toutes ses artères d'u
3° Un tronc nerveux ne reçoit jamais toutes ses artères d'un seul
tronc
artériel : la multiplicité des voies d'apport p
usque du sang artériel, se retrouvent pour les nerfs. a. Quand un
tronc
nerveux reçoit ses artères du tronc artériel sa
t pour les nerfs. a. Quand un tronc nerveux reçoit ses artères du
tronc
artériel satellite, ces vaisseaux ne l'abordent
vant leur volume, et ne plongent définitivement dans l'épaisseur du
tronc
nerveux, qu'après une nouvelle division et une
suivra jusqu'au pied; en dépit de ces étroites connexions, le gros
tronc
veineux ne lui fournit aucune branche. Richemen
ose le long du bord postérieur du tibia, glis- sent au-dessous du
tronc
de la saphène, en lui abandonnant une mince
réseau veineux des nerfs ; aucun ra- meau direct ne s'étend des
troncs
veineux su- perficiels aux nerfs qui cheminen
e \ ci ne sous- cutanée. 20 ' ANATOMIE. moses (BB) destinées au
tronc
veineux superficiel voisin. Il faudrait nous ré
e; quelques-uns, toujours grêles, poursuivent leur trajet jusqu'aux
troncs
veineux superficiels, et figurent autant d'anas
rfs pro- fonds : très rarement leurs veines se rendent aux gros
troncs
, où la voie est large, mais sou- vent obstrué
ruée, jamais toutes celles d'un nerf satellite n'aboutissent au
tronc
veineux voi- sin : une grande part va toujour
rigine musculaire. Et le fait se reproduit sur toute la longueur du
tronc
nerveux : c'est toujours par la voie d'un afflu
bres, les unes et les autres se réunis- sent en une série de petits
troncs
, qu'on pourrait qualifier de veines névro-muscu
vasorum de l'artère numérale (au bras) rece- vant les veines d'un
tronc
nerveux satellite (nerf médian). ÉTUDE SUR LE
épaules. Quelques petits mouvements concomittants de la tète et du
tronc
en arrière démontrent que certains muscles autr
ela, il suffit de presser sur les épaules, la partie postérieure du
tronc
et les régions fessières. Dans ces conditions,
es membres supérieurs, qui tantôt s'écartent et se rappro- chent du
tronc
, rappelant un battement d'ailes, tantôt oscil-
luence sur l'astasie. De plus la pression des zones postérieures du
tronc
qui supprime les troubles musculaires relatifs
e l'harmonie musculaire par la simple compression des épaules ou du
tronc
, conduisait à supposer qu'il s'agissait là d'un
ent une activité exagérée par rapport aux autres, et la pression du
tronc
arrête cet excès d'activité. , Y aurait-il de
. Comme au microscope il n'y a aucune anomalie de la moelle ni du
tronc
du cerveau, pas plus qu'ailleurs dans l'hémisphèr
, remonte le long du membre inférieur et du côté correspondant dn
tronc
, puis s'étend à la face droite et à la moitié dro
lent rapidement le long du membre inférieur, de la moitié droite du
tronc
, gagnent l'é- paule et de là descendent en suiv
upérieur droit, surtout au niveau des doigts de la main, et, sur le
tronc
, jusqu'à la sixième côte; mais les fins contacts
, réflexes tendi- neux abolis, atroph'e et faiblesse des muscles du
tronc
, et de préférence des parties centrales des ext
s bras, sans raideur, balayent le sol; les mains s'ar- rêtent surle
tronc
, et suivant l'expression consacrée, «chiffonnent
culaires; ainsi, dans l'un des angles que forme une branche avec le
tronc
, il y a toujours un noyau, mais il en existe au
ganglions du cerveau, le cervelet, les régions les puis diverses du
tronc
du cerveau, qui du reste ne présentent aucune a
s muscles de la cuisse et du bassin, et, finalement, des muscles du
tronc
. Symp- tômes symétriques. L'affection gagne les
ente du reste point le type Duchenne-Aran ; atrophie des muscles du
tronc
(pectoraux, sous et sus-épineux) ; atrophie de
Si on fend la paroi du ventricule droit en suivant la direction du
tronc
artériel, on voit que celui-ci' aboutit à un vé
nière passe au devant de la crcsse aortique. Sur le bord droit du
tronc
pulmonaire, au niveau de sa bifurcation ,se dét
ux carotides primitives et aux deux sous-clavières. Il n'y a pas de
tronc
brachio-céphalique. Réflexions. Cette observati
L'aorte naît de la région antéro-supérieurc du ventricule droit. Le
tronc
brachio-céphalique est placé à ,gauche.- Le ven
une réponse lente à venir et comme traînée. L'habitus général du
tronc
et des membres est assez remar- quable.0utre le
a tête est légèrement fléchie sur le thorax. Sur toute l'étendue du
tronc
, la peau est fine, d'un blanc mat, assez ré- si
s, empâtés, et la peau y pré- sente les mêmes caractères que sur le
tronc
; toutefois, on y observe un abaissement de temp
heures, n'a pas permis de doser l'urée éliminée de ce côté. Sur le
tronc
et les membres, la peau est absolument gla- bre
uir chevelu : cette desquamation, sur- tout marquée aux membres, au
tronc
et à la face était furfuracée. Elle a disparu s
atine paraît symétrique; elle est profonde légèrement ogivale. Le
tronc
et les membres sont bien conformés. - Le testic
ute rapidement une série de mouvements d'extension et de flexion du
tronc
et des jambes ; le tronc et la tête se redresse
mouvements d'extension et de flexion du tronc et des jambes ; le
tronc
et la tête se redressent et s'inclinent en avan
s'étendent bien- tôt au corps entier. Les bras sont ramenés près du
tronc
, les avant-bras fléchis, et sont presque aussit
diatement la position en arc de cercle. Dans certaines attaques, le
tronc
est fléchi latérale- ment.La compression succes
e lit : mouvements violents et rapides de flexion et d'extension du
tronc
et des membres inférieurs. Repos. La figure de
nts, l'enfant exécute une série d'arcs de cercle dans lesquels le
tronc
est soulevé directement en avant à une hauteur
s marquée au-dessous et autour des plaques métalliques; au pied, au
tronc
et à la tête les piqûres sont nettement senties
omosées par lacom- municante antérieure. Enfin, les vertébrales, le
tronc
basi- laire, les carotides sont parsemées de no
balancement rhy- thmique. Le bras droit est ordinairement collé au
tronc
, l'avant-bras demi-fléchi, la main pendante à a
VEZOU (J.-C.) De quelques phénomènes consécutifs aux contusions des
troncs
nerveux du bras et il des lésions diverses des br
a poitrine se rétrécit à partir de la pointe de ces os. Le reste du
tronc
* En 1896, la circonférence du cou est de 31 ce
tés dans leur développe- ment par rapport à là moitié supérieure du
tronc
. - La colonne vertébrale décrit une légère cour
iation de la sensibilité). Pas de troubles de la sensibilité sur le
tronc
et les membres inférieurs. Avril. - Deux furo
, le battant s'il refuse. 1892. Juillet. - Puberté. Le visage, le
tronc
et les membres sont glabres. Quelques poils sou
ste, et il en est de même de l'arrêt de développe- ment du reste du
tronc
(fig. 29). Les mesures suivantes en donnent une
s inférieurs con- servant leur attitude de la station verticale, le
tronc
repose sur le gros orteil droit et sur les deux
sibilité générale. - Elle est conservée sur la face, au cou, sur le
tronc
et les membres inférieurs. Toutefois 1;... préten
itude, d'un arrêt de développement de la moitié correspondante du
tronc
, la face et le crâne demeurant à peu près tout à
sont plus pro- noncés à droite qu'à gauche aux deux membres. Sur le
tronc
et la face, la sensibilité et la contractilité
s de glande thyroïde; pseudo-li- pomes sus et sous-claviculaires.
Tronc
assez long, large. Ventre de batracien ; petite h
join- tures et sont tous profonds. Les bras sont rapprochés du
tronc
, les avant-bras demi- fléchis dans la main, le
t le membre, et les mouvements se passent 16P.t're l'omoplate et le
tronc
. Néanmoins, nous sommes par- venus à communique
uelques poils au menton ; poils abondants aux aisselles, au pénil ;
tronc
glabre ; poils aux quatre membres. Pas d'adénite.
eur. Le membre supérieur était contracture, le bras collé contre le
tronc
, l'avant-bras presqu'à angle droit sur le bras
se compliquait d'un arrêt de déve- loppement de la moitié droite du
tronc
, thorax et abdomen, et d'une double incurvation
ux cuisses sont dans l'adduction et dans la flexion complète sur le
tronc
. Les jambes sont fléchies, les talons sur les f
t moins développé. l'as cle troubles oculaires, ni sensoriels. Le
tronc
, poitrine, abdomen et bassin et l'examen des orga
otent, l'enfant est incapable de s'en servir. Le bras est accolé au
tronc
, l'avant-bras -fléchi, la main pendante, la fac
bitude générale du corps. La tête est un peu rejetée en arrière, le
tronc
arqué, les bras pendants, les jambes molles. Lé
trice consé- cutive probablement à un abcès scrofuleux. Poitrine et
tronc
bien conformés. Cicatrice en dehors de l'olécrâ
coule toujours. Puberté : visage glabre ainsi que les aisselles, le
tronc
et les membres. Rien au pénil ni aux bourses qu
de Pott, qui n'a jamais existé. Membres inférieurs ratatinés sur le
tronc
, contractu- res. - Marche à 6 ans et demi, les
s dans les bras (1), et que jusqu'à près de 10 ans, il balançait le
tronc
d'avant en arrière et la tête latéralement ; il
ent ; on craint à chaque instant qu'il ne tombe. Dans la marche, le
tronc
est animé d'un balancement et le côté gauche es
mêmes. Puberté. Le visage est glabre ainsi que les aisselles, le
tronc
et le pénil. Pigmentation assez prononcée de la v
ambes. Le talon gauche ne porte pas sur le sol. Dans la marche le
tronc
est incliné légèrement en avant, les cuisses et
sselles qui sont le siège d'une sécrétion sudorale assez abondante.
Tronc
glabre. Duvet très fin sur les membres /ip. 41
nt relatif des membres inférieurs et de la moitié correspondante du
tronc
par rapport à la poitrine et aux membres supéri
es supérieurs qui sont bien développés; puis l'altitude générale du
tronc
, penché en avant et celle des membres inférieur
érieurs et les défor- mationsconsidérables des quatre membres et du
tronc
. 1 Du tremblement, je ne vous dirai pas grand'c
rsque la malade ouvre la bouche. Les déformations des membres et du
tronc
sont fréquentes dans la ma- ladie de Parkinson,
- dance à l'antépulsion ; il remarque, enfin, que sa tête, puis son
tronc
, ont tendance à se courber en avant. Jamais cet
ent raide, droit comme un soldat au port d'armes, la tête haute, le
tronc
légèrement ensellé, avec un léger degré de lordos
avant, la tète relevée sur la nuque. Les omoplates sont écartées du
tronc
. Le malade tient toujours les bras dans la demi
beaucoup l'attitude du coureur profession- nel qui va s'élancer. Le
tronc
est non seulement courbé eu cyphose régulière o
ue à la suite d'une sciatique). Il faut noter que la déformation du
tronc
a commencé vers le Se mois de l'affection au mo
os aplati, les genoux fléchis, légèrement, et déplace la tête et le
tronc
tout d'une pièce. L'attitude est raide, figée e
genoux. La marche se fait les jambes écartées avec oscillations du
tronc
. Il a peine à se retourner dans son lit. Epau
dos aplati, les genoux légèrement fléchis, et déplace la tête et le
tronc
tout d'une pièce. L'attitude est raide, figée ;
rtébrale est rigide, y compris le cou. Il y a inclinaison légère du
tronc
à droite, d'où abaissement de l'épaule cor- res
aule cor- respondante. - 1 Marche. - Se fait avec oscillations du
tronc
et les jambes écartées, mais reste facile et as
ayant comporté le travail, la fatigue dans une attitude penchée du
tronc
: deux des malades (obs. II et III) étant cordon-
brisé en 3 points, d'où 4 segments : les 2 supérieurs, tête, cou et
tronc
formant un angle ouvert en avant, les 2 inférie
rtées, les genoux déjetés en dehors, avec oscillations latérales du
tronc
, mais sans difficulté, les hanches étant intact
dé, figé étant le fait de l'immobilisaton de la tête, du cou, et du
tronc
. Tout au plus y a-t-il une différence entre les
rs dans un cas de tumeur céré- belleuse observé par M. Raymond (4) (
tronc
et tête déviés d'un côté, parole embarrassée, r
reusement la preuve des lésions des ganglions intracardiaques et du
tronc
du pneumogastrique, qu'un oubli MALADIE DE FRIE
caractères, ce document est remarquable par l'extension exagérée du
tronc
qui se courbe en arrière avec une telle violence
nt presque les seuls restes subsistant d'une école locale, issue du
tronc
byzantin, et qui a peu duré. Nous y avons relev
it plus jeune. Le bassin est large, mais pas plus que l'ensemble du
tronc
; le diamètre bi- trochantérien ne surpasse guè
se guère le diamètre bia-acromial, et la ligne qui circon- scrit le
tronc
réalise plutôt le quadrilatère masculin que l'ovo
existe une autre entre la longueur des membres et les dimensions du
tronc
qui sont depuis la fourchette sternale jusqu'au
s dix ans et principalement dans la dix-septième année, occupant le
tronc
et les membres, respectant la face. La pigmenta
e long des bran- ches nerveuses sous-cutanées ni au niveau des gros
troncs
nerveux : pas de névromes plexiformes. L'examen
nt abondant au cou où il forme col- lier ; largement répandu sur le
tronc
et les membres supérieurs, il respecte les orga
eurs fulgurantes dans les membres inférieurs, plus rarement dans le
tronc
et dans les bras. - Eu 1896 on constate peu de
- rynx ; et finalement, aux muscles innervés par la moelle, ceux du
tronc
et des extrémités ; toutes ces paralysies s'agg
bulbe et la protubérance, et d'autres, enfin, par les mus- cles du
tronc
et des extrémités. Nous pouvons donc accepter une
étendue, ne peuvent être rattachés qu'à une compression des divers
troncs
nerveux; une lésion centrale d'abord ne serait
est reconnu partout; le froid n'est reconnu nulle part, sauf sur le
tronc
. Goût et odorat affaiblis du côté gauche. Diminut
tête, sur- venant par accès, avec participation le plus souvent du
tronc
et des (1) GIiASSET et RAUZIER, Maladies du sys
notablement moins at- teints que ceux des membres inférieurs et du
tronc
. Aux membres supérieurs même, les muscles du br
nseur commun, le pédieux, l'adducteur du gros orteil ; au niveau du
tronc
, les chefs claviculaire etsternal du grand pect
D'une manière générale, les muscles de la racine des membres et du
tronc
sont beaucoup plus riches en vésicules adipeuses
t réparties ces lésions dans les différents muscles. Au niveau du
tronc
, l'atrophie et les lésions scléro-adipeuses sont
supérieurs, dans le grand pectoral et le grand dorsal au niveau du
tronc
, dans le droit an- térieur, le biceps, le jambi
ion en flexion des membres supérieurs et inférieurs, la rigidité du
tronc
qui malgré l'atrophie permettait au malade de m
t une fibrose toute particulière des fléchisseurs et des muscles du
tronc
. Si bien qu'en face des formes pseudo-hypertrop
nt progressive, en ce sens qu'une dégé- nérescence débutant dans le
tronc
orbitaire ou intracanaliculaire doit, à une épo
re atrophies seraient dues à une compression, à un étranglement des
troncs
nerveux. On peut dire en somme que toutes les o
s exactement perpendiculaire à la direction du Fig. 2. 366 LÉRI
tronc
nerveux, mais un peu obliquement. L'aspect du ner
est très diminuée sur tout le côté gnuche, au membre inférieur, au
tronc
, au membre supérieur; à droite on trouve nettemen
à l'exception de la face, et du côté droit la partie supérieure du
tronc
, l'épaule et la partie externe du membre supéri
assez facilement par un mouvement de rep- tation de la main sur le
tronc
. Ebauche de quelques mouvements de la main gauc
îné en quelques jours une paralysie complète de tous les muscles du
tronc
et des quatre membres avec intégrité complété d
des phénomènes myotoniques dans les muscles de la face, du cou, du
tronc
, de la ceinture scapulo-humérale et des membres
tigantes indéfiniment conservées : jambes fléchies sur les cuisses,
tronc
penché en avant : vu de profil, son corps figure
ager successivement sur le crâne, la face, les organes des sens, le
tronc
et les membres, les organes génitaux, la peau e
reuse expression de de Curnieu, « la clef de son individualité. »
Tronc
et membres, L'examen du tronc et des membres peut
eu, « la clef de son individualité. » Tronc et membres, L'examen du
tronc
et des membres peut être fait au double point d
e un chapitre intéressant aux carac- tères ethniques fournis par le
tronc
et par les membres ; tout récemment enlin, l'un
la main gau- che pouvaient être mis en légère flexion. De même, au
tronc
, presque tous les muscles étaient paralysés, sa
mais qui était atteinte d'une paralysie complète des membres et du
tronc
compliquée d'une atro- phie musculaire intense
té une anesthésie totale à la jambe droite et dans le côté droit du
tronc
. En 1894, IIomen (1) a publié une observation d
t, on avait constaté une anesthésie totale dans la moitié gauche du
tronc
, à la cuisse gauche, à la jambe et au pied droits
avait en- vahi les membres supérieurs, dans toute leur étendue, le
tronc
, et finale- ment les membres inférieurs. La sen
sibilité n'était conservée que dans des ilots bien circonscrits, au
tronc
. Quand le malade fermait les yeux, il n'avait p
r le compte de son écoule- ment, qui l'épuisait, dit-il, quoique le
tronc
ne maigrissait pas ; cette amyotro- phie est co
elle empiète sur la région antérieure, laissant en arrière les gros
troncs
vasculaires et nerveux. Aussi l'hémorrhagie ne se
uatre jours); il'est resté -sur son lit, absolument im- mobilisé du
tronc
.et clés membres inférieurs. C'est dans cet état
nt à la dissociation dite syringomyélique (Fig. 11 et 12). Sur le
tronc
, l'anesthésie complète s'établit peu à peu à mesu
atteints dans des pro- portions au moins égales il celles des gros
troncs
extra-spinaux dont ils émanent. Les artériole
l'endartérite oblitérante, au moins en ce qui concerne les trois gros
troncs
artériels juxtaspinaux. . Au moment où elle s
93. GOMME~SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA MOELLE ÉPIN1ÈRE 77 ralysie du
tronc
et du membre inférieur, à gauche); en outre, la t
régions supérieures du domaine paraplégie, les surfaces cutanées du
tronc
jusqu'à la limite précisée plus haut, on constata
. 90 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈHE qu'olle s'assied, le
tronc
oscille de çà et de là, les membres sont agités p
issance et qui porte sur presque tous les muscles des membres et du
tronc
succède, ainsi qu'il est de règle en pareil cas
vement aux membres supérieurs, un véritable arrêt de développement.
Tronc
. Cyphose très marquée à la région dorsale supérie
uloureuse. Cicatrices cutanées. La peau de la région postérieure du
tronc
est parse- mée de cicatrices. A la région dor
Pas de troubles trophiques cutanés.' Pas de troubles vaso-moteurs.
Tronc
. L'hyperesthésie des jambes s'arrête en avant ver
rachitisme. ' On y retrouve aussi ces déformations de la face et du
tronc
qu'ont si bien indiquées, Teniers, van Ostade,
qui, elle, est inclinée presque horizontalement en avant; aussi le
tronc
sem- ble-l-il avoir été cassé en deux par son m
rimitive donne également lieu à des déformations consi- dérables du
tronc
. La taille de Mpae, signalée par M. Marie (1) che
région dorso-lombaire qui contribuent au maintien de l'équilibre du
tronc
étant souvent, eux aussi, frappés de paralysie ou
oracique, et aux rapports réciproques des membres, de la tête et du
tronc
. Les bossus ont aussi leur facies, que chacun c
es méninges d'autre part. Les vaisseaux. Examinons d'abord les gros
troncs
, l'artère et la veine spinales antérieures. Lor
s pleines de sang, vaisseaux néoformés qui cherchent à suppléer les
troncs
normaux dont il ne reste même plus de traces. D'a
eur de la moelle, montrent une variété infinie des lésions des gros
troncs
spinaux antérieurs. Ces altérations nous les re
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE elle envahit les muscles du
tronc
. A cette période, l'enfant, complètement privée
cles, en particulier ceux des membres infé- rieurs. La pression des
troncs
nerveux, en des points où leur trajet est super
ébute par les membres inférieurs; plus tard, elle peut s'étendre au
tronc
, à des organes innervés par l'encéphale. Aux memb
très pénible ne manque presque jamais ; les muscles et surtout les
troncs
nerveux sont douloureux à la pression, mais cel
devint complète aux membres ; elle s'étendit à certains muscles du
tronc
, aux masticateurs, aux muscles des paupières. Une
orps froid développait une sensation de chaleur. Les muscles et les
troncs
nerveux PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SE\S
lysie, qui avait envahi les quatre membres ainsi que des muscles du
tronc
. L'atrophie s'empara ensuite des muscles paraly
e des muscles paralysés. Les réflexes tendineux étaient abolis. Les
troncs
nerveux étaient douloureux il la pression ; on
néralisée aux quatre membres et à un certain nom- bre de muscles du
tronc
; je viens de vous en citer des preuves, et notre
es de la sensibilité persistent. Les muscles, quelquefois aussi les
troncs
nerveux sont devenus douloureux à la pression.
elle se propage des membres vers leurs racines, puis aux muscles du
tronc
, quelquefois à des muscles innervés par des ner
t alors sa marche est centripète ; elle peut envahir les muscles du
tronc
, les muscles innervés par l'encéphale. Dans les
boutir à la fonte des muscles des quatre membres et d'une partie du
tronc
, sans que pour cela le malade coure un nouveau
L'impossibilité de faire un mouvement de rotation, le balancement du
tronc
et la chute dans différentes directions, pendant
ux. Le nerf facial gauche fut trouvé absolument intact, et ni dans le
tronc
de ce nerf, étudié depuis son origine bulbaire ju
quatre, c'est avec le sinus latéral droit. Le sinus droit, qui est le
tronc
commun des veines intra-cérébrales, arrivé au niv
tendue entre le golfe et l'os hyoïde, l'autre entre l'os hyoïde et le
tronc
veineux brachio-céphalique. Dans sa portion sus-h
mpagne la carotide primitive dans sa portion sous-hyoïdienne jusqu'au
tronc
veineux brachio-céphalique. Son calibre moyen mes
; q) Les veines pharyngiennes ; r) Le sinus carotidien ; s) Le
tronc
thyro-linguo-facial. a) La veine émissaire occi
En s'anastomosant avec les veines cérébrales, elles forment plusieurs
troncs
contenus dans l'épaisseur de la tente du cervelet
a face inférieure du lobe temporo-occipital, en formant deux ou trois
troncs
qui s'engagent dans l'épaisseur de la tente du ce
s. H y a ainsi dans l'épaisseur de la tente du cervelet deux ou trois
troncs
volumineux résultant de la convergence de toutes
en, qui reçoit le sang venant du plexus sous-muqueux, forme plusieurs
troncs
qui se déversent dans la jugulaire interne. r)
la jugulaire interne et reçoit les veines carotico-tympaniques. s)
Tronc
thyro-linguo-facial. — Le tronc thyro-linguo-faci
les veines carotico-tympaniques. s) Tronc thyro-linguo-facial. — Le
tronc
thyro-linguo-facial forme une ampoule au-dessus d
E II ENCEPHALE L'encéphale comprend le cerveau, le cervelet et le
tronc
encéphalique (couche optique, tubercules quadriju
trois segments. Disons tout de suite que la localisation au niveau du
tronc
encéphalique est exceptionnelle. § i. — CERVEAU
ve aux appareils moteurs de l'oreille et aux muscles de la tête et du
tronc
. Par l'intermédiaire des noyaux pontiques et de l
t qui prouve bien la réalité de l'asthénie. L'animal ne peut tenir le
tronc
dans la position horizontale. Le flanc du côté op
er et presque continu, plus prononcé à la tête, mais étendu à tout le
tronc
. Elle provient d'un manque de fusion des mouvemen
'écartement des membres inférieurs, les oscillations de la tête et du
tronc
qui rendent la marche titubante, ébrieuse; l'ab
l'œil du côté opposé, plus un mouvement de torsion ou de rotation du
tronc
en rapport avec la déviation oculaire. Cette forc
auche regardera en dedans et l'œil droit en dehors, et une torsion du
tronc
telle que le corps tombera sur le côté gauche; le
troisième ventricule, la corne spbénoïdale du ventricule latéral, le
tronc
et la queue du noyau caudé, la couche optique, le
parle. - L'attitude de la tète est naturelle. Membres supérieurs,
tronc
, etc. - Les doigts de la main gau- che sont plu
ux de la main droite. Les avant-bras, les bras, les deux moitiés du
tronc
, les seins, ont les mêmes dimensions. Membres
membre supérieur gauche, fléchi à angle droit et reposant sur le
tronc
, est rigide ; les doigts sont fléchis sur la paum
résolution la plus complète. Le chatouillement, le pincement (bras,
tronc
, jambes), ne pro- duisent aucun mouvement réfle
ent du réveil. Avant l'accès, Br... a dans les bras, les jambes, le
tronc
, des secousses subites, rapides. A-t-elle alors
rouges et brûlants ; la peau sur le reste du corps (mains, pieds et
tronc
), était, au contraire, pâle et froide. La main
du corps, les pattes s'étendent et se roidissent tout d'un coup. Le
tronc
participe à cette rigidité ainsi que la tête qui
uqueuse buccale, etc., chez les animaux, - de la face, du cou et du
tronc
chez l'homme. Cette congestion qui pa- rait pré
édominer chez l'homme, à la tête, au cou, à la partie supérieure du
tronc
et sur les membres supérieurs, mérite qu'on s'y
égère sur les avant- bras. La rougeur des bras jusqu'aux coudes, du
tronc
, des hanches, a été observée par M. C. Browne s
résente un pointillé ecchymotique. Tout le corps devient rigide, le
tronc
se recourbe (opisthotonos). A cette phase qui d
elle élève l'un ou l'autre membre inférieur qu'elle fléchit sur le
tronc
et rapproche jusqu'à la hauteur de la bouche. P
plus que sur la nuque et les talons. Les muscles des membres et du
tronc
ne sont le siège d'aucune convulsion clonique.
. Le membre supérieur est dans l'extension, le bras fixé le long du
tronc
. l'avant-bras allongé et dans la pronation, le
terre et souffrait beaucoup à ce moment. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. H5 Le
tronc
s'incline à droite; tout le corps est rigide. Les
ras entoure le jarret de la jambe gauche qui est perpendiculaire au
tronc
ou appliquée directement sur. la poitrine, ou b
ns l'extension à l'ori- gine, il devient bientôt perpendiculaire au
tronc
; parfois, le membre inférieur gauche le croise
jarret. Membre inférieur gauche. - Il est fléchi fortement sur le
tronc
, de telle sorte que le genou repose sur le sein e
'avant l'attaque (contracture). Le bras droit est rigide, accolé au
tronc
; Lavant-bras légère- ment fléchi en pronation;
s ont l'attitude suivante : Membre supérieur. Le bras est accolé au
tronc
, l'avant-bras fléchi à angle droit sur le bras,
nt absolue sur le membre inférieur droit et sur la moitié droite du
tronc
; mais, au cou, à la face et sur le bras droit,
l'influence de cette sensation, elle s'est débattue de la tète, du
tronc
et du bras droit redevenu à peu près libre depuis
rameuses représentées dans celle-ci, interposées ou faisant suite aux
troncs
de celle-là. On y voit des (*) Nouvelles recher
veloppement énorme des ganglions cervicaux du grand sympathique et du
tronc
nerveux de communication entre ces ganglions. (
érable, altération dont je ne connais aucun autre exemple; i° que les
troncs
nerveux qui s'étendent de l'un à l'autre de ces g
mmet du poumon droit était profondément échancré pour la recevoir. Le
tronc
brachio-céphalique BC la remplace à gauche. L'art
artère AD naître de la partie supérieure de l'aorte abdominale par un
tronc
commun avec la dia-phragmatique inférieure, et se
g qui a été revivifié dans les branchies vient se réunir dans un seul
tronc
artériel situé vers le dos et remplissant les fon
mmençaient par quinze ou vingt vaisseaux radiés, se rendant tous à un
tronc
plus volumineux. Il put compter autant d'orifices
sses, sont restées étendues et appliquées sur la partie antérieure du
tronc
; il en est résulté que les pieds, areboutés sous
tristesse, à la morosité succède une disposition toute contraire. Le
tronc
se courbe en avant; la tête s'incline sur la poit
ne présentaient point de traces d'inflammation. Quelques-uns des gros
troncs
artériels pulmonaires contenaient des concrétions
ches divisés ( fig. 1 et 2 ). L'artère pulmonaire présentait dans son
tronc
et dans toutes ses divisions de petites plaques s
aisseaux de la partie; dans le second cas, le sang n'arrive ni par le
tronc
artériel principal, ni par les vaisseaux collatér
tères, la sous-clavière, la vertébrale et la carotide, et à droite le
tronc
brachio-céphalique. La veine sous-clavière gauche
it de la partie la plus élevée de l'ampoule AT), entre l'origine du
tronc
brachio-céphalique et celle des artères carotide
as comme anévrys-ma tique : quelquefois même la dilatation s'étend au
tronc
brachio-céphalique, qui vient battre au-dessus de
l'œsophage ; i° la partie supérieure de la crosse entre l'origine du
tronc
brachio-céphalique et celle des artères carotide
; respiration paisible et naturelle. Il y avait paralysie complète du
tronc
, de la vessie et du rectum ; l'abdomen était tend
be, à toute une extrémité inférieure; rarement occupait-il la peau du
tronc
. Dans d'autres cas, cette cause se fixe sur les c
manation du tissu utérin; ils en ont l'aspect et la texture. Les gros
troncs
veineux VLU, qui longent le côté droit de l'utéru
sidérable au niveau des anfractuosités, très-épaisse le long des gros
troncs
vasculaires, très-ténue ie long de leurs subdivis
des fomentations toniques, des frictions sur les extrémités et sur le
tronc
avec de l'oxycrat très-chaud ou du vinaigre pur,
it le mouvement de la marche, mais la tête et la moitié supérieure du
tronc
l'entraînent en avant comme une masse inerte. L'e
périeur, l'animal n'a éprouvé aucun accident. IX. L'oblitération du
tronc
veineux principal d'un membre, dans un point ou d
éable du vaisseau; mais si l'oblitération occupe toute la longueur du
tronc
vasculaire, si elle s'étend dans les veines colla
'épaisseur de cette couche était un peu plus considérable le long des
troncs
vasculaires, vu la quantité plus grande de tissu
e coronaire stomachique, tandis que la seconde est due à la lésion du
tronc
lui-même. Il est singulier de voir l'artère seule
lébite capillaire), des inflammations des principales divisions et du
tronc
même de l'artère pulmonaire, qui, comme on le sai
était facile de voir que la coagulation du sang avait commencé par le
tronc
artériel pour s'étendre de là dans les dernières
divisions étaient rouges, peu consistans, tandis que les caillots Au
tronc
principal présentaient par leur cohérence et par
rentes qui présentaient divers degrés d'ancienneté. Blanches dans les
troncs
principaux, ces concrétions contenaient du pus à
autres parties du corps, examinées avec le plus grand soin dans leur
tronc
et dans leurs ramifications, n'ayant présenté auc
, de même que certaines atrophies générales à la compression des gros
troncs
vasculaires. Uictère, si fréquent dans ce genre d
l ne s'observe que dans un petit nombre de cas, dans ceux où les gros
troncs
biliaires sont comprimés. XXIII. Il est d'aille
ns du canal hépatique : souvent elle envahit toutes ces divisions, le
tronc
hépatique lui-même, les canaux cystique et choléd
le du tissu de l'utérus. La ligne médiane seule était respectée : les
troncs
lymphatiques les plus volumineux longeaient les b
ce. Choléra moyen très intense; crampes abdominales et latérales du
tronc
; vomissements ; hoquet. Guérison rapide. Verg
lèvres violettes ; refroidissement plus grand ; crampes latérales du
tronc
qui le font renverser de coté. Prescription : B
n seulement dans les muscles des extrémités, mais encore dans ceux du
tronc
, dans les muscles droits et obliques de l'abdomen
; froid déglace avec sueur froide aux extrémités; sueur chaude sur le
tronc
; apparence d'état comateux , interrompu par des
ra : chez plusieurs sujets, au bout de dix-huit heures, la chaleur du
tronc
s'était maintenue à peu près, comme dans l'asphyx
cas de présentation de l'extrémité céphalique, ou après la sortie du
tronc
, dans le cas de version ou de présentation par l
on par les pieds, l'application hâtive du forceps, après la sortie du
tronc
, sur-tout dans un premier accouchement , préviend
Suspension des douleurs après la sortie de la tête. Sortie tardive du
tronc
. Un accouchement qui se présentait sous les meill
te, ayant échoué, on fut obligé d'opérer une seconde fois. Lorsque le
tronc
fut sorti, la tête resta long-temps au passage, l
ersal du foie un foyer purulent à parois très denses qui entourait le
tronc
de la veine-porte; que de ce foyer comme d'un cen
mbilicale VO, et la veine porte VPH, VPV avaient reçu l'injection; le
tronc
de la veine porte était très volumineux : le cana
auche est constitué par deux veines qui vont aboutir en bas à un seul
tronc
. Je n'ai point vu de communication entre les ci
des parois abdominales était soulevée par de grosses veines, dont le
tronc
commun se jetait dans la veine crurale, à quelque
t dans la veine crurale, à quelques lignes au-dessous de l'arcade. Ce
tronc
se divisait presque immédiatement en deux branche
omalies du svstème artériel conduisant à ce résultat général, que les
troncs
vasculaires remplacent souvent de petites branche
postérieures, les veines caudales et rénales se réunissent en un seul
tronc
qui va se jeter dans la veine-porte hépatique.
nt rare de rencontrer chez l'homme cette communication entre les gros
troncs
veineux appartenant aux deux systèmes, il ne l'es
estement dues à la contraction de tous les muscles. Renversement du
tronc
et delà tète en arrière. Rien de particulier dans
ie cadavérique, dix-sept heures après la mort. Etat des membres et du
tronc
, comme pendant la vie ; raideur extrême des artic
te dans sa partie ascendante, c'est-à-dire en deçà de la naissance du
tronc
bra-chio-céphaîique, trois tumeurs anévrysmales,
a veine rénale était gonflée comme après une injection : cette veine (
tronc
, branches, rameaux), était remplie par une matièr
le à celle contenue dans l'épaisseur du rein ; il en était de même du
tronc
de la veine cave depuis son origine à la réunion
tourait l'aorte. La veine cave ascendante, la veine rénale dans son
tronc
et jusque dans ses plus petites divisions étaient
ire ou permanente, l'hémiplégie avec ou sans rigidité, la rigidité du
tronc
ou des membres; tels sont les symptômes qui ont é
a colonne vertébrale est très fortement recourbée sur elle-même. Au
tronc
, on distingue la cavité thoracique delà cavité ab
la surface du corps et plus particulièrement la région postérieure du
tronc
était couverte d'une innombrable quantité de tume
tom. 1er, 8e année. par une pluie battante. Douleurs vives dans le
tronc
et le bras droit. Plus tard, douleurs névralgique
9 mai : morosité portée à l'extrême; décubitus sur le côté gauche; le
tronc
courbé en avant; les cuisses fléchies sous le ven
la veille. Le bras gauche, à demi contracté, tend à être rapproché du
tronc
par saccades convulsives, qui font bientôt place
ostic. Toutefois l'invasion des symptômes cérébraux, l'incurvation du
tronc
en avant, les mouvemens convulsifs de la moitié g
on du tronc en avant, les mouvemens convulsifs de la moitié gauche du
tronc
, les alternatives de contraction et de résolution
veloppement énorme des ganglions cervicaux du grand sympathique et du
tronc
nerveux de communication entre ces ganglions.....
outent ces auteurs, diffère totalement de celui des géants au grand
tronc
, ou tout au moins au tronc développé proportion
totalement de celui des géants au grand tronc, ou tout au moins au
tronc
développé proportionnellement avec le reste du co
ILISME ET ACROMÉGALIE C'est ensuite, l'uniformité de la longueur du
tronc
dans toute sa hauteur, exactement limité par de
urs jambes sont d'une longueur exagérée par rapport à la hauteur du
tronc
; et, enfin, que chez les animaux châtrés, le chap
and elle restait assise elle gardait longtemps la même position, le
tronc
courbé en avant et les avant-bras en demi-flexi
is lors son état s'est aggravé. La démarche devient impossible, son
tronc
s'est ans 3 a4 MARINESCO, PARHON ET M1NEA d
xcitabilité galvanique a donné le résultat suivant : En excitant le
tronc
du facial au niveau du trou stylomastoïdien avec
osse on observe également quelques plaques qui se continuent sur le
tronc
brachio-céphalique et l'aorte thoracique. Le cali
Les phénomènes ostéomalaciques (douleur en ceinture, déformation du
tronc
, etc.), étaient apparus deux mois avant l'entré
ières comme nombre, forme, grandeur et implantation. Etat normal du
tronc
et des membres inférieurs. Quant aux membres supé
e son crâne, de sa face contraste singulièrement avec t'exiguïté du
tronc
et des membres. Un vêtement, très seyant d'aill
veté des membres, le développement disproportionné de la tète et du
tronc
. Il n'a omis ni le ptosis de la paupière supérieu
que est aplatie. Immobilité des régions lombaire et thoracique. Le
tronc
se meut comme un seul bloc aux dépens des artic
, la respiration est d'un type mixte (abdominal et costal). Tout le
tronc
ainsi que la tête sont dans une immobilité comp
corps devaient mesurer 175 millimètres au lieu de 72 centimètres.
Tronc
. Le thorax est loin de présenter les déformations
s et notamment cette .impression de force, de solidité que donne le
tronc
du malade se remarquent aussi très bien sur la
enant nous opposons ces trois parties du corps, membres supérieurs,
tronc
et membres inférieurs, nous constatons que ces de
bien que proportionnellement longs, s'harmonisent assez bien avec le
tronc
. Tronc solide, membres inférieurs robustes, pie
proportionnellement longs, s'harmonisent assez bien avec le tronc.
Tronc
solide, membres inférieurs robustes, pieds énorme
par leurs contractions, provoquent ces oscillations du bassin et du
tronc
quand le malade est debout, car ce sont surtout c
ndage est très simple, on n'a qu'à entourer la partie inférieure du
tronc
, l'abdomen et les fesses, en descendant en bas ju
la station verticale, produisent alors ces oscillations brusques du
tronc
, ressemblent à des spasmes. Pour constater ce fai
pace de temps très court. Ce sont ces contractions qui impriment au
tronc
ces petits mouvements oscillatoires, brusques.
uns après les autres, sans aucun ordre, il est bien entendu que le
tronc
se mettra à osciller. Mais ici il s'agit seu- l
seulement nos pieds soient bien fixés par terre, mais aussi que le
tronc
n'oscille pas latéralement. Supposons, dans ce ca
nvolon- taires et intempestives surviennent, il en résultera que le
tronc
et le bassin pourront être entraînés latéraleme
, c'est-à-dire que la tête du fémur est remuée latérale- ment et le
tronc
aussi, par des contractions musculaires désordonn
déglutir ; il existait une anesthésie du côté gauche, localisée au
tronc
. En 1901, lemalade commença visiblement à perdr
s et une certaine multiplication des vaisseaux. Dans la région du
tronc
cérébral, il existait u ne leptoméningite moin
que 98, 4 est un des plus élevés qui aient jamais été constatés. Le
tronc
est tout il fait normal comme dimensions; à noter
ngtemps l'attention des observateurs. Dans ces deux dystrophies, le
tronc
est sensiblement normal, l'anomalie porte exclu-
LASIE . 377 7 plus tard : ils n'ont pas grandi ; leur buste et leur
tronc
son bien dévelop- pés, mais la brièveté relativ
le : le visage n'est pas bouffi ; infiltra- tion adipeuse légère du
tronc
et des membres ; les téguments du tronc et des
ra- tion adipeuse légère du tronc et des membres ; les téguments du
tronc
et des membres inférieurs sont un peu épaissis
disproportion qui existe entre la longueur des membres et celle du
tronc
. Assis, il paraît d'une taille très ordi- naire
la parole assez lente sur un ton dolent et monotone. - Le cou, le
tronc
et les membres sont un peu amaigris : la peau est
isse, semble un peu épaissie et blafarde. L'absence de poils sur le
tronc
, aux aisselles et au pubis frappe immédiatement
ues augmente, entraînant de vives douleurs dans toute la hauteur du
tronc
, dans les épaules et les hanches, aussi le ma-
tant entre les bras et les avant-bras (PI. LXXI,lig, 2). Alors que le
tronc
et les membres inférieurs sont bien proportionn
d'oeil sur la photographie (fig. 3) montre que la tête, le cou, le
tronc
sont parfaitement proportionnés ; il en est de
i se présentent quelque peu arqués, les deux membres inférieurs, le
tronc
et la tète sont normalement conformés. Comme on
en marchant. Les membres inférieurs sont normaux aussi bien que le
tronc
et la tête. Comme dans les cas précédeuts, les
osseuses consécutives à des traumatismes intéressant directement les
troncs
nerveux périphériques ou les centres nerveux. C
rouble sensitif localisé ne permettent de soupçonner la lésion d'un
tronc
nerveux périphérique. S'il existe dans les cas qu
a suite d'un traumatisme banal, qui n'intéresse en aucune façon les
troncs
nerveux, une décalcification, véritable dystro-
En plus, le malade présentait de très grands troubles ataxiques du
tronc
, qu'on ne pouvait expliquer que par le même méc
en un trouble d'équilibre statique. Comme ces troubles ataxiques du
tronc
étaient très démonstratifs, je désire les décrire
aux avec un peu d'em- bonpoint). Si je lui demande de redresser son
tronc
, immédiatement il perd son équilibre, et risque
ues sur les oscillations et surtout sur le sens des oscillations du
tronc
et des membres inférieurs. Avant de passer à un
impossible de le faire, surtout avec- main droite. Pas d'ataxie au
tronc
. blembresin('érin.urs. Le toucher et la douleur
La thrombose, en effet, non seulement peut atteindre tous les gros
troncs
de la base, mais elle peut aussi se localiser s
e mécanisme, soit l'oblitération brusque, soit la rupture d'un gros
tronc
de la base. Dans le premier cas il y a anémie b
suivant la sylvienne gauche, au niveau du point où elle^' donner le
tronc
commun des artères frontale inférieure et frontal
t rabattues de chaque côté; iln'envoie pas de prolongements dans le
tronc
com- mun des frontales. L'artère est perméable
LA SYPHILIS. 19 nous forçait à admettre une lésion siégeant sur le
tronc
de la sixième paire gauche. Pouvait-on aussi lu
aires, vestiges probables d'une éruption antérieure iden- tique. Le
tronc
, le dos et les membres supérieurs sont indemnes.
'une femme qui, droite, sur ses jambes bien tendues, incli- nait le
tronc
au point d'arriver à placer sa tête à ses pieds,
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 55 XI. Du CENTRE DES MUSCLES, DU
TRONC
DANS LA RÉGION SENSITIVE DE l'écorce du cerveau
ascendants, n'a chez ces animaux aucun rapport avec les muscles du
tronc
; 2° les incurvations de la colonne vertébrale,
les centles des membres avec les centres médullaires des muscles du
tronc
. Quatre nouvelles expériences, qui semblaient i
entre le cerveau frontal et les centres médullaires des muscles du
tronc
du côté opposé, sont contredites par l'étude mi
e de Marchi). S'il y a par conséquent une union avec les muscles du
tronc
, cette union subit dans le cerveau moyen une in
cervical supérieur avec 3 centimètres et demi à 4 centi- mètres du
tronc
nerveux sous-jacent des deux côtés. Immédiate-
ouvé des modifications très marquées des cellules dans la région du
tronc
cérébral, ce qui donne la possibilité ,de rappo
tion disparut tout à fait. Sur les coupes transversales, prises des
troncs
nerveux et des racines, on remarque une formation
en même temps des douleurs extrêmement vives, dans les membres, le
tronc
, au niveau des viscères même. L'examen le plus
ées, quoique encore très vives. Les douleurs dans les membres et le
tronc
ont complète- ment disparu. Pendant son séjour
s ne trouvons pas là, en somme, cette paralysie générale classique,
tronc
en quelque sorte de la vieille paralysie généra
eurs. Quelques minutes plus tard, la paralysie gagna les muscles du
tronc
et la jambe droite ; en même temps, parésie de
ndon d'Achille (trépidation spinale du côté gauche) ; anesthésie du
tronc
à partir de la ligne qui passe en arrière, au n
s'étend au domaine des nerfs sacrés et aux régions plus élevées du
tronc
; des décubitus se déclarent en même temps qu'u
même temps qu'on remarque une parésie des mains et des muscles du
tronc
. An mois de novembre apparaissent,'des symptômes
cisives inférieures sont à moitié détruites. Au milieu, comme en un
tronc
d'arbre coupé, on voit une couche jaune, la pul
agies. Il existe des fibres dont la myéline est dégénérée, dans les
troncs
du moteur oculaire commun, du facial et de l'hypo
ie, il existe des pseudo- réminiscences, tandis que l'affection des
troncs
périphériques ne se traduit que par des douleur
st caressaute. Tics : elle balance d'avant eu arrière la tête et le
tronc
toute la journée ; se déchausse constamment. El
e dernière attitude, parésie des membres inférieurs, inclinaison du
tronc
en arrière et chute dans ce sens, recherche d'u
'affection. Démarche titubante, vertiges, steppa2e ; vision faible,
tronc
légèrement penché en avant, tête un peu tournée
ici,' non', comme chez les vertébrés, du corps cellulaire, mais du
tronc
du prolongement nerveux (Retzius et Cajal); 2°
par les collatérales de son prolongement nerveux; celles-eh par le
tronc
de ce prolongement, conduisent à la cellule J'ext
e de fins ramuscules ou branches collatérales de même nature que le
tronc
dont elles sortent et qui se terminent par de l
la racine des membres inférieurs et empiétant plus ou moins sur le
tronc
. L'hémisection intéresse la moelle à un niveau qu
partent les fibres radiculaires qui vont tout simplement former le
tronc
de l'oculo-moteur externe correspondant. Un s
RISSA. (IYell-010g. Centralbl., XVI, 1897.) Prenez par exemple le
tronc
du cerveau et mettez-le dans un liquide composé
mique et douloureuse) dissociée du bras gauche et du côté gauche du
tronc
. Tous ces phénomènes s'étaient déve- loppés d'u
s du côté gauche avec diminution de la sensibilité du côté droit du
tronc
et de la jambe droite. Quelques mois plus tard
ectifs delà sensibilité en dehors de ces contractions douloureuses.
Tronc
. - Les troubles de la sensibilité objective s'éte
Tronc. - Les troubles de la sensibilité objective s'étendent sur le
tronc
, jusqu'au niveau d'une ligne horizontale passant
lade est incapable de se soulever ou de se tourner : les muscles du
tronc
semblent complètement paralyses. Il n'y a pas de
avec plus de force que le second. L'omoplate est appliqué contre le
tronc
et en position normale : il bascule normalement
ste de la moelle au point maximum d'épaisseur de la tumeur; mais le
tronc
médullaire parait complètement englobé tant par
moelle au-dessous de l'atlas, l'exci- tation des nerfs sensibles du
tronc
n'agit plus sur la pupille (Sallçovslçy Remar
du chat parla méthode de Marchi et AIâeC1 : 1° Quand on a lésé le
tronc
du trijumeau à la hase, à l'endroit où le nerf
ssivement dans la substance géla- tineuse comme lorsqu'on a lésé le
tronc
du trijumeau; b) Au- dessus de l'endroit lésé,
ent entrer dans la masse comme du corps restiforme. 3° La lésion du
tronc
des hémisphères dans la région du tubercule qua
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. est douloureuse; celle des gros
troncs
nerveux ne l'est pas. Mêmes oscillations qu'il
resseur de l'angle de la bouche réagissent un peu ; l'excitation du
tronc
du facial ne fait contracter aucun des muscles
toire du facial. < P. KERAVAL. XCVII. Tractus dégénérés dans LE
TRONC
DU cerveau par lésion DE la MOELLE cervicale in
inaux ascendants;deux trousseaux, pauvres en fibres, passent par le
tronc
du cerveau entier, et peuvent être suivis jusqu'à
her de t'ataxie, par Spiller, 315. Cerveau. Centre des muscles du
tronc
dans la région sensitive de l'écorce du -, par
embranes de la dure-mère, et celle des ruptures des sinus ou des gros
troncs
artériels de la base. Enfin, nous n'aurons pas à
p. 286. ' « graisse uses ou calcaires ou même les ossifications de
troncs
plus ou moins volumineux. Une semblable opinion s
es. Nous n'avons pas suivi les altérations histologïques sur les gros
troncs
de la base ou des méninges ; mais, ainsi que nous
ar l'auteur des cas d'hémorrhagies dues à la rupture d'anévrysmes des
troncs
artériels de la base du cerveau, et il paraît l'a
otablement ralentie. L'anesthésie s'étend sur la partie inférieure du
tronc
, jusqu'au niveau de l'ombilic; if n'existe pas de
iaires du membre, paraissent suivre principalement le trajet des gros
troncs
nerveux, et sont exaspérées très manifes-ment par
nt rendues plus vives par une pression exercée sur le trajet des gros
troncs
nerveux. A plusieurs reprises, l'application de v
a été complètement liémia-nesthésique de tout le côté droit du corps,
tronc
, membres et tête. Aujourd'hui, l'hémianesthésie e
e et, en outre, une insensibilité incomplète de ce côté gauche (face,
tronc
, membre supérieur). Tous les deux ou trois jours,
e, c'est-à-dire s'étendre à tous les muscles de la vie animale, face,
tronc
, membres, ou, au contraire, partielle, c'est-à-di
pression, à l'aide d'un bâton, d'un manche de plume, par exemple, le
tronc
d'un nerf: alors les muscles qui sont tributaires
peuvent être directement excités de la même façon sur les membres, le
tronc
, au cou ; les excitations un peu intenses et plon
e secousse violente dans toute l'épaule et qui peut même s'étendre au
tronc
tout entier. Une de nos anciennes malades, Bar.
e met en pronation et en légère flexion, puis ramené sur les côtés du
tronc
, le membre tout entier s'immobilise dans une atti
nation, l'autre jambe est également contracturée dans l'extension, le
tronc
s'est redressé, la tête est maintenue renversée p
nerf, nous avons choisi, pour les soumettre à l'expérimentation, des
troncs
nerveux assez volumineux et facilement accessible
e tous les muscles innervés parle médian. A priori, l'excitation du
tronc
nerveux lui-même produira les mouvements suivants
paire, a provoqué la contraction en masse des muscles innervés par ce
tronc
nerveux et n'a pu produire qu'une grimace. » La
u, dans le cours des expériences que nous venons de rapporter que les
troncs
nerveux comme les muscles eux-mêmes étaient aussi
gnés des muscles qu'ils innervent, le proLivent péremptoirement. \ Le
tronc
de la septième paire est accessible à l'excitatio
trique par le procédé suivant : « On peut, dit Duchenne, atteindre le
tronc
de ce nerf à sa sortie du tronc stylo-mastoïdien,
« On peut, dit Duchenne, atteindre le tronc de ce nerf à sa sortie du
tronc
stylo-mastoïdien, en plaçant dans le conduit audi
humide et en appuyant sur le cartilage inférieur; dans ce point, son
tronc
nerveux n'est séparé du rhéophore que de trois à
de trois à quatre millimètres ». On conçoit qu'en ce même point, ce
tronc
nerveux, protégé par les os et les cartilages, so
xpérience représentée Figure 2 (Planche V), l'excitation porte sur le
tronc
nerveux lui-même, en avant du lobule de l'oreille
l'excitation des masses musculaires; en dernier lieu l'excitation des
troncs
nerveux. Enfin ce n'est que dans les cas les plus
at cataleptique est uniformément développé sur tous les membres et le
tronc
; 4° L'hyperexcitabilité neuro-musculaire n'exis
il en existe. Et en troisième lieu, lorsque l'excitation porte sur le
tronc
d'un nerf mixte, les nerfs sensitifs qui viennent
manche de plume, par exemple, ou encore par un léger attouchement, le
tronc
d'un nerf, tous les muscles tributaires de ce ner
oc répété des tendons, à la malaxation musculaire, au froissement des
troncs
nerveux. On peut également produire la contractur
certains cas, vous aurez une généralisation dans tout le corps, tête,
tronc
, face, comme vous pouvez le constater chez un de
sont, comme on le sait, très fréquentes. L'excitation mécanique des
troncs
nerveux agit sur les muscles tributaires du nerf
s, de comprimer un membre avec une bande élastique, de presser sur un
tronc
nerveux, pour voir la contracture se développer.
fet, la compression d'un membre par une bande élastique ou celle d'un
tronc
nerveux peut-elle éveiller l'idée d'une contractu
présentai mon malade. Sans m'avertir de son projet, il pressa sur le
tronc
du nerf cubital au coude, le sujet étant hypnotis
année il exécu- tait un balancement antéro-postérieur continuel du
tronc
. C'est dans le cours de l'année 1883 que ses pa
faisant. L'enfant n'a pas- encore atteint sa puberté. La tête et le
tronc
sont glabres. Les testicules descendus dans les
vier. L'état général est assez satisfaisant. Puberté. La face et le
tronc
sont glabés. Les testicu es, des- cendus dans l
na- tion, des tics : balancement antéro-postérieur conli- nuel du
tronc
, manie d'effilocher les objets tissés. VI. Au p
de particulier. Les lèvres etles joues sont glabres ainsi . que le
tronc
et la région génito-périnéale. Pas de cicatrices
édominant du côté droit. Les bras sont habituellement rapprochés du
tronc
les avant-bras en demi-flexion, la main fléchie
davérique peu accusée. Lividités cadavériques sur les membres et le
tronc
. Appareil respiratoire. Fausses membranes grisâ
convulsions. Tics : grincement des dents; mouvement de rotation du
tronc
. - Mastication nulle. - Gâtisme. - Mort par con
ant sa tête de tous côtés et exécutant un 'mouvement de rotation du
tronc
sur le bassin. Son som- meil était de courte du
u matin, s'asseyait sur son lit et recom- mençait ses mouvements du
tronc
et de la tête. Il chantonnait quelquefois; sa m
lui fait exécuter des mouvements de rotation de gauche à droite. Le
tronc
participe aussi par- fois à ces mouvements. De
racité, surtout pour le chocolat; pas de salacité; balancement du
tronc
d'avant en arrière; habitude d'allonger et de ret
affectueux, mais sujet à des accès de colère. Tics : balancement du
tronc
d'avant en arrière et latéralement; tournoiemen
z les idiots, en particulier le balancement. Jans... balançait le
tronc
et la tête d'avant en arrière ; d'autres idiots l
ce propos, de rappeler que sur les crâ- nes de Rcn.. (p. 00) et de
Tronc
... (p. 00, fig. 0) les s (1) Voir Bourneville R
ale. 92 Description DU malade. La conformation générale du corps,
tronc
et membres, est régulière. Les appareils organi
parfois des dents ; il avait un balancement antéro-postérieur du
tronc
. Pas de succion, de grimaces, de secousses ni d'é
trique; le ventre peu' volumineux et souple. La face postérieure du
tronc
, semblable à droite et à gauche, n'offre pas de
t un peu relevé; les articles sont normaux; la main, les doigts, le
tronc
et le bassin sont bien conformés. Tête. Cuir
poils peu longs, assez abondants. Les favoris sont bien marqués. Le
tronc
est glabre. Poils assez fournis sous les aissel
, très fournie au menton; poils assez abondants sous les aisselles,
tronc
entièrement glabre. Poils bruns assez abondants
eure par jour. Puberté. - Très léger duvet sur la lèvre supérieure,
tronc
, aisselles et membres glabres. Léger duvet sur
te, des grincements de dents et un balancement antéro-postérieur du
tronc
. La parole est absolument nulle. Il crie et ple
d'une dyspnée extrême ; emphysème généralisé à la tête, au cou, au
tronc
et aux membres supérieurs. La cyanose va en aug
ysie du côté droit. Attitude particulière du bras qui est écarté du
tronc
en formant un angle droit. L'avant-bras est flé
urs et inférieurs n'ont pas une lon- gueur proportionnée a celle du
tronc
; les mains et les doigts sont courts, carrés; i
cloniques, fléchissant et laissant retomber violemment la tête et le
tronc
, et cela cinq ou six fois de suite. Puis, elle re
ase de stertor incomplète). Période clonique : grands mouvements du
tronc
, des jambes. avec soulèvement du ventre, qui of
ecousses cloniques, à oscillations circonscrites, sans déplacement du
tronc
. c ) La face rougit ; la respiration devient st
rabat sur le visage qu'il dissimule ; les bras sont un peu écartés du
tronc
, les doigts sont fortement fléchis, le pouce gauc
i sont en varus équin, de telle sorte qu'entre la face postérieure du
tronc
et le lit, il y a un intervalle de 30 à 40 centim
adie, la simple application de la main sur n'importe quelle partie du
tronc
ou des ' Iconog. phot. de la Salpétrière, t. 1e
es paupières, aussitôt les bras qui étaient élevés tombent le long du
tronc
, P... fait une grande inspiration : elle est reve
ps. — A gauche, la sensibilité est revenue sur tout le bras et sur le
tronc
, en avant et en arrière, jusqu'à la ceinture, à l
qu'à la clavicule, du quart inférieur de l'avant-bras, de la main, du
tronc
au-dessous de la ceinture et du membre inférieur
ilepti-formes. —Dans l'intervalle, P... demeure rigide, et parfois le
tronc
décrit un arc latéral qui s'accentue au moment de
lepsie. — On ouvre les paupières : état cataleptique. Les membres, le
tronc
gardent les attitudes exagérées qu'on leur impose
t, l'anesthésie est totale à la face, au cou, au membre supérieur, au
tronc
; elle s'arrête à une ligne horizontale passant à
te rapidement des mouvements alternatifs d'extension et de flexion du
tronc
, et son visage exprime la plus vive satisfaction,
il frappe entre les deux épaules, est beaucoup plus désagréable si le
tronc
est fléchi, que s'il est redressé le plus possibl
La pression, supportable sur les bras, reste très douloureuse sur le
tronc
et aux jambes. Langue saburrale, tremblante, ai
des « Oh ! oh ! oh !», s'asseyait et laissait retomber brusquement le
tronc
sur le lit. Ces grands mouvements se répétaient 5
a rigidité peut être vaincue ; les bras placés perpendiculairement au
tronc
, les doigts étant écartés, conservent cette posit
Anesthésie complète de la face ; de toute la moitié droite du cou, du
tronc
, sauf au niveau de la région ovarienne droite où
par des passes répulsives faites de la base au sommet, en suivant le
tronc
ou la tige et les branches, selon son importance,
en catalepsie (Fig. 11) et il est facile d'imposer aux membres et au
tronc
, toutes les attitudes que l'on veut. 1er avril.
GESTION Planche XXXVI. CATALEPSIE DÉCLAMATION aux membres, au
tronc
, la physionomie reflète des sentiments très diver
I,lmi;l POLYDACTYLIE ET TÉRATOME HYPOPHYSAIRE 17 18 BERTOLOTTI
troncs
nerveux indolores à la pression, aucune parésie a
qu'ils sont relativement peu développés en rapport à la longueur du
tronc
. En effet, nous trouvons l'indice claviculaire de
ments actifs et passifs des membres supérieurs et inférieurs. et du
tronc
sont normaux. Les réflexes tendineux (olécranie
ires, sens stéréognos- tique et vibratoire). Examen électrique. -
Tronc
du facial'droit et de ses branches excitables a
isme du bulbe oculaire, des hémorragies peuvent se produire dans le
tronc
même du nerf optique, suivies par une amau- ros
acial. Ces fibres, au contraire, sont détruites en cas de lésion du
tronc
nerveux où les fibres homo-latérales et contro-la
et.abduction légère. Pouce droit en extension et abduction légère.
Tronc
ner- veux de l'extrémité supérieure droite doul
nt disséminées sur tout le corps, et particulièrement abondantes au
tronc
et au thorax : Le diagnostic de maladie de Reck
e généralement sur les bran- ches périphériques avant d'envahir les
troncs
nerveux. Bien plus, les ter- minaisons nerveuse
ique soient détruites, il y a invasion du processus lépreux dans le
tronc
du nerf. Dans ces cas, l'hyperalgésie ne reparaît
a reparu dans le même endroit. Lorsque la formation de la tumeur du
tronc
nerveux se trouve dans la période ascendante, a
t, le type de projection nerveuse par effet de la lésion de quelque
tronc
s'observe quoique, généralement, plus on cherche
reste moins fléchi, est transmise plus directement au bassin et au
tronc
. Ainsi instinctivement ces malades acquièrent au
, si les deux personnes se tiennent serrées de manière que les deux
troncs
soient latéralement en contact, alors elle marche
it le plus fréquemment les branches périphériques du nerf avant son
tronc
. El par conséquent, quoique les caractères généra
rave, chez les deux labyrinlhiques le processus commun a envahi les
troncs
des VII" et Vllle paires el chez la femme lépreus
icles d'un membre, mais même plusieurs membres et par conséquent le
tronc
et la tête. Les secousses peuvent être produi
ntrent en travail. Quand il y a altération visible et palpable d'un
tronc
nerveux, la com- pression exercée sur elle et s
rivée a son complet développement, semble respecter indéfiniment le
tronc
, le cou et la face. Chez nos malades, les muscl
iment le tronc, le cou et la face. Chez nos malades, les muscles du
tronc
contrastent par leur relief et leur vigueur avec
plus longue que pour ceux des extrémités. Intégrité des muscles du
tronc
, des épaules et de la face. « Existence de.cont
eux malades. Je ferai particulièrement remarquer que, chez eux, les
troncs
nerveux périphériques ont un volume normal et une
ticulièrement votre attention sur l'hypertrophie considé- rable des
troncs
nerveux : certains filets du plexus cervical supe
sur les filets musculaires qui sont frappés d'atrophie simple. Les
troncs
restent de volume normal et ne présentent de lé
re publié à nou- veau dans le présent travail si ce n'était que, le
tronc
encéphalique ayant été séparé de l'hémisphère c
lésion, soit au niveau de l'hémisphère cérébral, soit au niveau du
tronc
encéphalique. Dès cette constatation, nous nous
utes les paralysies zostériennes, quel que soit leur siège, membre,
tronc
ou face, relèvent d'un mécanisme analogue. Il fau
ue des chutes. Mis sur les pieds, le dos est légèrement courbé ; le
tronc
et la tète sont en agitation perpétuelle par de
és, se manifestant par des grimaces, par des mouvements en avant du
tronc
entier; enfin, le membre est lancé en avant. Parf
a absence de toute dégénérescence fasciculaire. Mais comme dans le
tronc
encéphalique, la prolifération diffuse de la névr
tes, pas de réaction à la lumière. Les muscles des extrémités et du
tronc
montrent une raideur générale. Les mouvements p
dans la position suivante : les membres pendant inertes le long du
tronc
, la tête fortement penchée en avant, le menton
la digitale et la caféine. L'oedème des membres inférieurs gagne le
tronc
., puis les bras et la face, très variable d'un jo
a un volume 320 OBREGIA, URECHIA, POPEA normal à la palpation. Le
tronc
de la malade est gros, avec une adiposité qui p
ervalles de peau normale. La pigmentation existe il la face, sur le
tronc
et les membres. Le cou est très fortement color
cou est très fortement coloré, les lâches y sont confluents. Sur le
tronc
on peut noter de même plusieurs plaques plus la
supérieure gauche, d'autres, plus petits, criblent le front. Sur le
tronc
, les tumeurs sont très nombreuses; les unes son
de taches chamois ou café au lait clair crible de façon diffuse le
tronc
, les membres, prédomine au cou et au dos. Sur l
ransversaux. A la palpation, on sent les os du carpe disposés en un
tronc
de pyra- mide dont la grande base s'articule av
bres sont petits, gros, épais et relativement courts par rapport au
tronc
; la disproportion cependant est moins accusée c
'extension passive et la flexion, douleur à la pression le long des
troncs
nerveux en parti- culier sur le trajet du nerf
arti- culier sur le trajet du nerf sciatique gauche. Les muscles du
tronc
étaient également parésiés et douloureux et l'e
thyroïdien dans un têt cas. II. Atrophie primitive des muscles du
tronc
et des membres ; par 13.RLO ? C'est un cas de p
. On pour- rait donc admettre que l'oblitération a porté non sur le
tronc
prin- cipal de l'artère, mais sur une de ses br
eux de la ceinture scapulaire, du système locomoteur du bras sur le
tronc
, du bras, de la cuisse. Finalement sont pris ceux
e très avancée des racines antérieures; faible dégénérescence des
troncs
nerveux antérieurs. Les muscles subissent : l'atr
, quant à]la main droite elle est un peu émoussée. Les muscles du
tronc
, à l'exception de la faiblesse des muscles abdomi
bitude générale du corps. La tête est un peu rejetée en arrière, le
tronc
arqué, les bras pendants, les jambes molles. Lé
catrice consécutive probablement à un abcès scrofuleux. Poitrine et
tronc
bien conformés. Cicatrice en dehors de l'olécrâ
coule toujours. Puberté : visage glabre ainsi que les aisselles, le
tronc
et les membres. Rien au pénil ni aux bourses qu
sseuses. Les modifications présentées par les vaisseaux sanguins du
tronc
nerveux sont intéressantes ; on peut presque dire
extrémités inférieures, de phénomènes douloureux sur le trajet des
troncs
nerveux avec sensibilité à la pression, d'un cert
la face, qui se sont aggravées et ensuite propagées aux - bras, au
tronc
et aux jambes. Ces spasmes sont partiellement maî
3, 1893.) ' Parmi les troubles de la sensibilité, l'hypesthésie du
tronc
appa- raît de bonne heure et paraît être consta
re et paraît être constante. Pendant longtemps elle se manifeste au
tronc
par une diminution de la sensibilité aux frôlem
la douleur et la notion de position qui diminuent tout d'abord. Au
tronc
, les troubles apparaissent d'abord dans la zone d
es dans ce membre envahissant bientôt les autres extrémités et le
tronc
et s'accompagnant de contractions musculaires inv
a partie sous-jacente à la tumeur ainsi que du lobule lingual et du
tronc
de la troisième paire à 288 REVUE DE PATHOLOGIE
oit sont normaux; le membre supérieur gauche pend inerte le tons du
tronc
. Le malade peut le lever légèrement quand on le
ature répétée plusieurs fois a montré une différence de 4 à 5°. Les
troncs
nerveux sont indolores à la pression. Pour se r
ns intervertébraux et sympathiques. Il en est de même pour les gros
troncs
nerveux du membre malade, sauf pour le nerf cub
es dans les petits nerfs cutanés, quoi- qu'on ne trouve pas un seul
tronc
nerveux où toutes les fibrilles soient dégénéré
statées, plus prononcées dans les nerfs de la peau que dans le gros
tronc
nerveux. Ainsi donc les lésions anatomo-patho-
qui frappait, c'était le petit développe- ment de la poitrine et du
tronc
relativement à celui des membres. La longueur d
très minces. L'auteur donne différentes mensurations portant sur le
tronc
, le bassin et les membres. Dans ses considérati
sibilité à la douleur et du sens thermique dans la moitié droite du
tronc
et des membres, intéressant les différentes renio
ination dans les mouvements des muscles des membres, de la tête, du
tronc
, des muscles de la phonation et du langage arti-
férieures; anesthésie de la face interne des bras et avant-bras, du
tronc
à partir de la troi- sième côte et des jambes;
la section des nerfs laryngés supérieurs et récurrents, et lésé les
troncs
du sympathique et des vagues. Cette opération n'a
a poitrine se rétrécit à partir de la pointe de ces os. Le reste du
tronc
' En 1896, la circonférence du cou est de 31 ce
tés dans leur développe- ment par rapport à la moitié supérieure du
tronc
. La colonne vertébrale décrit une légère courbu
iation de la sensibilité). Pas de troubles de la sensibilité sur le
tronc
et les membres inférieurs. Avril. -Deux furon
, le battant s'il refuse. 1892. Juillet. - Puberté. Le visage, le
tronc
et les membres sont glabres. Quelques poils sou
ste, et il en est de même de l'arrêt de développe- ment du reste du
tronc
(fig. 29). Les mesures suivantes en donnent une
s inférieurs con- servant leur attitude de la station verticale, le
tronc
repose sur le gros orteil droit et sur les deux
ensibilité générale. Elle est conservée sur la face, au cou, sur le
tronc
et les membres inférieurs. Toutefois B... prétend
itude, d'un arrêt de développement de la moitié correspondante du
tronc
, la face et le crâne demeurant à peu près tout à
sont plus pro- noncés à droite qu'à gauche aux deux membres. Sur le
tronc
et la face, la sensibilité et la contractilité
force du courant et vous obtenez : une rotation de la tête et du
tronc
autour de l'axe du corps vers le côté excité, ave
s du cordon antérieur des pyra- mides ne se mélangent point dans le
tronc
du cerveau, avec celles du cordon latéral. Si e
également constaté dans les coupes antéro-poslérieures à travers le
tronc
du cerveau nor- mal. A ces fibres postérieures
ntrale de la moelle des animaux nouveau-nés, produit la rotation du
tronc
et de la tête autour de l'axe du corps du côté
; par W. Goebel. (Neurolog. Centmlbl" XIV, 1895.) L'analgésie du
tronc
du cubital dans la rainure du condyle interne d
a conservation, ni la suppression de la sensibilité à la douleur du
tronc
ulnaire ne peuvent servir d'élément de diagnostic
chez les - par Grasset, 493. Atrophie primitive des muscles du
tronc
et des membres par Barlow, 47. - de Charcot che
-labiaux, le buccinateur; résultats aussi nuls quand on agit sur le
tronc
du facial ou sur ses branches. Mais on peut faire
buminurie; glycosurie; fièvre le soir. Mort. P. K. IV. Analgésie DU
tronc
du cubital constituant un SYMPTÔME DE tabès; pa
es en avant. La malade ne. peut siffler ni souffler un peu fort. Au
tronc
: Tous les muscles sont plus ou moins atteints.
ibilité dépassent le membre et on les retrouve à la moitié droitedu
tronc
, jusqu'au niveau de la deuxième vertèbre lombai
es avant-bras ont à peu près conservé leur forme et leur volume. Au
tronc
: thorax rectangulaire; grand relief des côtes; m
malade pend son appui sur ses genoux avec ses mains, il incline le
tronc
eu avant et le soulève légèrement, il descend ens
e et place le poing droit sur la fesse droite. Il redresse alors le
tronc
et applique le poing gauche sur la fesse gauche
ing gauche sur la fesse gauche. Debout alors, la face antérieure du
tronc
formant une courbe convexe qui équivaut presque
une hyperesthésie cutanée et des douleurs sur le trajet de certains
troncs
nerveux, ces symptômes ne furent que transitoir
lligente, ne peut main- tenir la tête droite sans appui. Assise, le
tronc
se fléchit à droite ou à gauche. Elle lève diff
i- tant des paralysies et contractures des muscles de la tête et du
tronc
, on trouve une intéressante discussion sur l'ex
nsuite l'un avec l'autre un angle de 35°. Le poids de la tête et du
tronc
est transmis aux membres inférieurs par l'inter
abdomen, les muscles lombaires n'agissent pas. Dans la station du
tronc
sur les cuisses, l'équilibre est instable par s
u'on pourrait croire de prime abord, pour maintenir la station du
tronc
sur les cuisses. La ligne de gravité passe en arr
ers n'agissent, en réalité, que pour rectifier l'équilibre quand le
tronc
penche en avant. Quant à la station des cuisses
rare chez les myopathiques. Quelles que soient les déformations du
tronc
dépendant d'une atrophie oud'une rétraction mus
r cas, le plan des épaules est antérieur à celui des hanches, et le
tronc
est incliné en avant. Dans le premier la dispos
incliné en avant. Dans le premier la disposition est inverse, et le
tronc
est plus ou moins fortement incliné en arrière.
sin du côté de la jambe oscillante, et ensuite à une inclinaison du
tronc
1ôO REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
ambe droite, c'est-à- dire qu'il se produit à gauche. Par suite, le
tronc
s'incline à droite. En terminant son travail,
processus cylindraxiles des cellules ganglionnaires au-dessus du
tronc
des nerfs glosso-pharyngien et pneumogastrique.
essus du tronc des nerfs glosso-pharyngien et pneumogastrique. Le
tronc
du facial reçoit un large apport de fibres du fai
elle éprouva dans les membres inférieurs et la partie inférieure du
tronc
, une sensation d'engour- dissement et de froid
l'étendue des deux membres infé- rieurs et la partie inférieure du
tronc
limitée en haut suivant une ligne circulaire pa
ononcée dans les membres inférieurs et dans la partie inférieure du
tronc
, de plus la paralysie subite des membres inféri
nts. L'anesthésie atteint les membres inférieurs et s'étend dans le
tronc
jusqu'à la sixième et septième vertèbre dorsale e
t les cas et entraînent mécaniquement la mort (obstruction des gros
troncs
artériels de la crosse aortique). On ne peut do
évi- dente d'hémorragies anciennes et de congestions répétées. Le
tronc
basilaire a des éléments bien colorés, sauf sa tu
casélfication. Les artères, par contre, sont à peu près saines; le
tronc
basilaire présente en un point une légère infil
ur quel- que point de leur trajet que ce soit (filets articulaires,
troncs
ner- veux, cordons postérieurs); 2° ce sont les
adhérer; on rompt les adhé- rences et on met à nu le ganglion et le
tronc
nerveux sur une étendue de deux pouces : ni l'u
trations gommeuses, il suffirait qu'une pareille lésion entourât le
tronc
nerveux de la sixième paire en comprimant ou al
sie complète des membres inférieurs et de la moitié infé- rieure du
tronc
; un certain degré d'ataxie dans les mouvements
s hystériques d'une part et de celles produites par des lésions des
troncs
ou branches nerveux. D'accord avec Mme Déjerine
ambe gauche fut atteinte comme la droite, puis le bras gauche et le
tronc
. Des phénomènes bulbaires et probable- ment une
che, on constate que cet acte s'accomplit assez difficilement : son
tronc
est courbé ; la tête est inclinée et le corps d
les cas très graves peuvent s'ajouter des paralysies des muscles du
tronc
, du diaphragme, des muscles oculomoteurs, des t
s tremblements fibril- laires spasmodiques qui passent du membre au
tronc
et se diffusent dans le membre de l'autre côté.
très accentuée avec paralysie complète des muscles des membres, du
tronc
et de la nuque et atrophie seulement bien nette
ez les paralytiques généraux. Ce signe consiste dans l'analgésie du
tronc
du cubital à la pression. Cramer pensait que ce
ait constaté l'existence, d'un seul côté, du signe de Biernacki. Le
tronc
nerveux était intact ce qui prouve que l'analgé
côté gauche. A l'au- topsie on trouva une dégénérescence accusée du
tronc
du moteur oculaire commun droit. Des coupes en
s et troubles de la sensibilité par Sa- ville, 67. Analgésie du
tronc
cubital cons- tituant un symptôme de tabes pa
es. Arthropathies -, par Londe et Serrey, 71. Tabès. Analgésie du
tronc
du cubi- tal constituant un symptôme de - , p
tableau représenté par la phot. n°2 (PI. XI). Toutes les parties du
tronc
cérébral se trouvant devant le cervelet sont (1
sparaît ; ici commence la formation du pont de Varole. Des côtés du
tronc
cérébro-spinal on trouve le pédoncule cérébelleux
ur la coupe précédente, s'étale sur les côtés du pont de Varole. Le
tronc
cérébro-spinal ne présente pas d'anomalie. (A s
on G..., âgé de 24 ans, est de taille moyenne. La tête, la face, le
tronc
et les membres inférieurs paraissent bien const
des muscles qui recouvrent les omoplates et des au- tres muscles du
tronc
; la colonne vertébrale ne présente pas de déviat
ont assez bien développés mais pa- raissent directement attachés au
tronc
, les parties intermédiaires, avant- bras et bra
bres, était montré dans les foires sous la désigna- tion de l'homme
tronc
; il écrivait, dessinait, tirait au pistolet, etc.
leurs membres. Un d'en- tre eux cependant a le bras droit écarté du
tronc
, l'avant-bras à demi flé- - chai, la main large
breuses artérioles et veinules, du domaine de la sylvienne, dont le
tronc
, re- foulé et sinueux, rampe entre la face post
ire, en raison du type cérébral de la paralysie faciale ; et sur le
tronc
de l'oculo-moteur, en déterminant une paralysie d
e la peau, limitée au côté gauche pour les membres supérieurs et le
tronc
. Cette coloration est répartie de la façon suiv
Cette coloration est répartie de la façon suivante : (PI. XXVII).
Tronc
. - Côté gauche. - Large tache rouge vineux, à laq
on voit apparaître une légère marbrure sur les régions indemnes du
tronc
, en avant il droite, et en arrière au niveau des
'on percute ou si NOEVUS VEINEUX ET nYSTÉRIE 217 l'on flagelle le
tronc
, on obtient assez rapidement des taches semblable
e sous-cutané sont épaissis à gauche pour le membre supérieur et le
tronc
. De là les résultats sui- vants : Demi-périmè
va aboutir la sixième vertèbre cer- vicale. 2° Dans une région du
tronc
limitée : en haut par une ligne à peu près horizo
au côté gauche 226 BINET-SANGLÉ ET VANNIER pour les membres et le
tronc
, et, pour le tronc, s'arrêtant en avant et en a
6 BINET-SANGLÉ ET VANNIER pour les membres et le tronc, et, pour le
tronc
, s'arrêtant en avant et en arrière exactement à
l'origine nerveuse de ce naevus dont les taches s'arrê- tent sur le
tronc
, en avant et en arrière, exactement à la ligne mé
gros, gonflé. Le bras droit, seul visible, est légèrement écarté du
tronc
, le coude en extension forcée, et nous retrouvo
rastent ainsi singulièrement avec l'apparence à peu près normale du
tronc
. Mais avant toute analyse détail- lée de ces si
rmal de 8 à 10 ans, la hauteur du corps vaut 6 têtes, la hauteur du
tronc
2 tètes 1/4, la distance qui sépare la crête il
; le milieu du corps se trouve vers l'ombilic au lieu du pubis. Le
tronc
mesure 2 tètes (chiffre normal), mais la distan
, la tête étant trop grosse aussi bien pour les membres que pour le
tronc
; d'autre part, la micromé- lie, les membres ét
mé- lie, les membres étant trop courts par rapport à la longueur du
tronc
; ces deux facteurs se réunissent pour créer un
urs son volume et sa consistance habituelles. Dans son ensemble, le
tronc
est à peu près normal ; les côtes régulières, s
plasie avec des membres trop courts et une tête trop grosse pour un
tronc
normal, et qu'en somme le dieu Phtah peut très
c notablement au-dessous de la moyenne. Cependant les dimensions du
tronc
semblent normales ; il y a 57 et 58 centimètres
dérable de la longueur des os longs des membres, les proportions du
tronc
et de tète, constitués par des os plats ou cour
rs extrémi- tés, les dimensions au contraire à peu près normales du
tronc
et de la tête, l'absence de déviations ou de dé
s naevi : un à la queue du sourcil gauche, une demi-douzaine sur le
tronc
. Cypho-scoliose à concavité droite manifeste, non
térielle du néoplasme était assurée par trois branches détachées du
tronc
de la sylvienne, qui étalaient, sur la périphér
t une mélanodermie extrêmement accusée, étendue uniformément sur le
tronc
, les bras et les membres inférieurs. La peau ét
ns à notre grand regret, n'ont pu, porter que sur lui seul. Dans le
tronc
principal, les petits vaisseaux du tissu conjonct
e. ' Lors de la deuxième autopsie de Gilles de la Tourette (1), les
troncs
ner- veux des membres inférieurs ont été examin
irsemé des fibres nerveuses. L. Lévi (2) a également trouvé dans le
tronc
du sciatique, de l'endopériartérite prononcée et
assez accentuée des gaines de myéline. Nous avons pu noter dans le
tronc
du nerf tibiai antérieur des altérations de même
ive; elle a de la fièvre, quelques rares plaques d'urticaire sur le
tronc
; agitation et mou- vement fébrile plus prononcé
d'un côté que de l'autre. Lorsque l'enfant est nue, l'asymétrie du
tronc
est très manifeste : la diffé- rence entre les
sur la face et sur la langue, et à gauche sur les membres et sur le
tronc
. J A la face l'hypertrophie est surtout marquée
tres parties il n'y a pas de dif- ' férence appréciable. ' Sur le
tronc
et sur les membres, plus particulièrement pour le
e presque complète; il en est de même du reste des articulations du
tronc
, du cou et des membres supérieurs. , - La têt
normalement. Les"mouvements de flexion, d'extension, de torsion du
tronc
sont impossi- bles ; la colonne vertébrale semb
ssin paraît complètement ankylosé et sans mouvement possible sur le
tronc
; les cuisses sont également tout d'une pièce ave
parties inférieures de l'hémisphère cérébelleux. On distingue dans le
tronc
de l'arbre de vie des éminences vermiformes trois
tylédon extra-ventricu-laire du corps strié. X montre la place où. le
tronc
de l'arbre fibreux de l'hémisphère se combine ave
re du corps strié. F, couche fibreuse intrinsè-que du corps strié. G,
tronc
de l'arbre fibreux de l'hémisphère. K, ourlet fib
droit, et toute la partie antérieure a été enlevée. On voit en H le
tronc
de l'arbre fibreux intrinsèque de l'hémisphère. C
voit en H le tronc de l'arbre fibreux intrinsèque de l'hémisphère. Ce
tronc
s'insère à la partie externe du noyau cérébral da
es faces latérales du noyau. Les couches fibreuses qui succèdent au
tronc
de l'arbre fibreux de l'hé-misphère se portent ju
e l'hémisphère. D'nn autre côté on voit en H" des fibres provenant du
tronc
fibreux H, et qui se portent clans la seconde cir
c lui la moitié correspon-dante du noyau cérébral. On voit en H' le
tronc
fibreux qui fait suite à la région fasciculée du
sseur des cotylédons du corps strié. H montre les prolongements de ce
tronc
fibreux à leur sortie du noyau cérébral; H"H" H",
eux à leur sortie du noyau cérébral; H"H" H", les prolongements de ce
tronc
fibreux dans les deux circonvolutions de deuxième
ution d'enceinte de la scissure de Sylvius, à des expansions du grand
tronc
fibreux de l'hémisphère. T U, sections des cotylé
spour ne nous occuper que de celles qui se montrent dans les gros
troncs
nerveux des membres. Celles-ci du reste ne surv
nerfs dans l'intoxication saturnine chez le cochon d'Inde. , : Les
troncs
nerveux (sciatique, nerfs du plexus brachial, etc
ésultats étaient peu étonnants si l'on songe que la tête séparée du
tronc
était exsangue et soumise au refroidissement. L
erve des déviations du galvanomètre en irritant la périphérie ou le
tronc
d'un nerf sensitif. Toutes ces opérations délic
ntenue avec lui dans une gaine commune. - Le nerf de Wrisberg et le
tronc
principal sont intimement unis avant d'avoir do
les lésions des tubes nerveux ont paru plus prononcées du côté des
troncs
et de leurs extrémités périphériques qu'au nive
On aura ainsi toute l'apparence d'une dé- génération ascendante des
troncs
nerveux, alors qu'en réalité rien de semblable
- - , J' -j,Il. ta m U ' - rieur, et il faut éviter de pencher le
tronc
en arrière ' . r 1 01, ,. #* t et de contreba
st elle' qui donne aux malades cette rigidité si caractéristique du
tronc
, des membres et de la face. Chez là plupart de'
tiques de la paralysie agitante ; immobilité de la face, roideur du
tronc
r e\)4e,membre, propulsion et rétropulsion, etc
. Artères. Les deux communicantes antérieures ,sont reunies en un
tronc
commun'sur une'longueur d'un centimètre ' et de
es par la communi- - 'icimtè"aÍltérieüretEnl1n, les vertébrales, le
tronc
basilaire, les èi- carotides présentent de nomb
REVUE DE PHYSIOLOGIE. maigre, chétif, très petit pc ur son âge ; le
tronc
et les membres sont bien conformés et ne présen
uellement et finis- REVUE DE physiologie. 283 sait par envahir le
tronc
et les membres antérieurs, de sorte que l'anima
rononcée. R. Y. XVI. Note sur un appareil servant a soumettre les
troncs
nerveux A DES COMPRESSIONS GRADUELLES D'UNE VAL
on plus dans les portions dorsale et lombaire de la moelle, dans le
tronc
du sciatique. Il s'agit donc ici d'une véritabl
, I ? 0 " tige1, énTbûtrër'fâradisâtionr,des'mùscles'du'cou et'du'1
tronc
* qui ((partiêipaiêiie'à lii'é'crârripel,I Pas '
' Il Il . 1'. d. l. d dl ? l ^excitation faradique et galvanique du
tronc
du facial, au- dessus de la lésion (dans le méa
...,.( L ! f 'fLl ? 1-' .. ? .....i d . des racines plutôt que, des
troncs
nerveux. En effet, la pupille ? 1 ' 1 r4 , - -le
men, et les jambes contre les cuisses ; on trouvait la tête et le
tronc
tordus en arrière et en forme d'arc. Si on arri
longueur. Du bord supérieur du sternum à la symphyse du pubis, le
tronc
a 49 centimètres. Les organes génitaux ex- téri
egarder la face interne de celui-ci : le bras droit, par rapport au
tronc
, se tient dans l'adduction. Du côté gauche, l'a
e retrouve dans la même attitude qu'à droite : mais, par rapport au
tronc
, le bras gauche est complètement en adduction.
elques ganglions dans les aines. , , Le cou est un peu raide ; le
tronc
est très régulièrement conformé, si ce n'est un
Si on fend la paroi du ventricule droit en suivant la direction du
tronc
arté- riel, on voit que celui-ci aboutit à un v
s artérielles, p. 23). 404 CLINIQUE MENTALE. Sur le bord droit du
tronc
pulmonaire, au niveau de sa bi- furcation, se d
carotides primitives et aux deux sous-cla- vières. // n'y a pas de
tronc
brachio-céphalaque. Des causes multiples sont i
bras et de la jambe s'étendre graduellement et se rencontrer sur le
tronc
; tandis que l'anesthésie envahit, sui- vant une
é spécialement l'état de la sensibilité dans les parties profondes,
troncs
nerveux et muscles. Il serait intéressant de
tre jusqu'à la troisième paire, ils sor- tent pour se jeter dans le
tronc
sympathique et de là dans les nerfs sphanchniqu
leur excita- bilité dans l'ordre suivant : en premier lieu les gros
troncs
, puis les filets nerveux qui se rendent aux mus
e vivant; le maximum d'excitabilité du muscle a lieu quand les gros
troncs
nerveux deviennent inexcitables. La perte de la
eints une heure et même plus avant les fléchisseurs. Les muscles du
tronc
con- servent le plus longtemps leur contractili
glosso-pha- ryngien et le facial ne constituent qu'un seul et même
tronc
nerveux. R. BL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
ent de faiblesse générale (contrairement à ce que dit Berger). Le
tronc
et les parties supérieures du corps ne sont jamai
nation et de supination incessantes. C'est alors que les muscles du
tronc
participent à la folie musculaire et que le cor
athéromateuse étendue des artères de la base et particulièrement du
tronc
basilaire ainsi que des carotides, qui leur don
ire moyen est destiné à l'innervation des muscles des membres et du
tronc
. Il correspond aux deux tiers antérieurs du seg
? f <v<~- '-1 calleux, la coupe porte sur.toute 1 étendue du
tronc
de ,eo u u' Jl'.ai>iia ? r0') euD(f9t&;
psule interne et par conséquent sur le pédoncule cérébral auquel le
tronc
fait suite. (PL. XIX.) >Li> ? JLl '411" 9
ntral par la contusion, la section, la résection, ou la ligature du
tronc
nerveux correspondant (expériences sur des chie
se préoccuper du tissu cicatriciel qui, à la suite de la section du
tronc
nerveux, inter- vient dans la réparation. L'aut
et paralysies) ? 6° Altération des. nerfs sensitifs (face, membres,
tronc
); 7° Troubles psychiques ou altéra- tion de l'é
xtrémités supérieures. Anesthésie presque complète des jambes et du
tronc
. Cécité, surdité, dégénérescence presque absolu
ait des mouvements choréiques de tous les membres et des muscles du
tronc
et de la face. L'enfant avait perdu l'usage de
son de leur infirmité. (13.) 630 bibliographie. et postérieure du
tronc
, puis vient s'appliquer en travers de laré- gio
nt ordi- nairement très limitées; elles siègent généralement sur le
tronc
, vers les mamelles ou les aînés, sur le rachis,
secondaires la thèse de 111. Ch. Avezou : Etude sur la contusion de
troncs
nerveux du bras. (Paris, 1879, publication du P
senlohr ? 8. Claustrophobie, par Ritti, 482. Compresseur pour les
troncs
ner- veux, par Franck, 283. Concours, 17 i, 1
es nerfs dans l'intoxication saturnine chez le cochon d'Inde. Les
troncs
nerveux (sciatique, nerfs du plexus brachial, etc
permanente du pied et des orteils, l'extension des mains, puis du
tronc
: tout le corps se met en extension exagérée quan
ion exagérée quand la malade est debout; puis s'opère la flexion du
tronc
quand elle veut avancer. Là malade remédie à ce
éralité absolue; 2° la distribution anatomique parallèle à certains
troncs
nerveux ; 3° le caractère névralgique des doule
basant enfin sur les dispositions anatomiques des artères venues du
tronc
basilaire et destinées aux noyaux d'origine des
origine des nerfs de la région, il arrive à préciser les rameaux du
tronc
basi- laire, sur lesquels l'artérite s'est déve
ellectuels de la dégénérescence des alcoo- liques. A lami-1893, les
troncs
nerveux sont tuméfiés, douloureux 52 REVUE DE P
riens ; hyperesthésie générale. Il existe dans les extrémités et le
tronc
, surtout au ventre, des douleurs persistantes, s'
REVUE<-DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 53 afin d'éviter la flexion du
tronc
qui exagère les douleurs. Les dou- leurs dans l
cuisse, s'appuie à l'aide d'un coude sur l'oreiller, tire à lui le
tronc
et finalement les jambes après lui. Pour se lever
l laisse pendre lesjamhes mais non complètement, soulève ensuite le
tronc
avec circonspection en s'appuyant solidement sur
s'appuyant solidement sur les mains, afin d'éviter toule flexion du
tronc
. Aucune altération musculaire. Depuis quelque t
des de la sensibilité aux extrémités les plus reculées des membres,
troncs
nerveux un peu sensibles à la pression; muscles
se et intact. On trouve deux très petits nodules d'alhérome dans le
tronc
basilaire, et quelques petites plaques de même
avec cela il était en voie d'artério-sclérose, que plu- sieurs gros
troncs
avaient laissé voir les premières atteintes d'u
uelques petites plaques clair- semées d'athérome dans quelques gros
troncs
artériels et un peu d'endartérite invisible à l
a sensibilité, ni dans la motilité des membres supé- rieurs. ' Au
tronc
il est à noter une sensation très pénible de cons
avec contorsions, grands mouvements- de ilexion et d'ex- tension du
tronc
, vociférations, puis phase de somnambulisme, av
ui, suivant une marche progressive, gagnèrent d'abord la tête et le
tronc
, puis les bras et enfin les jambes. Au bout de
égèrement attirée en arrière et un peu du côté gauche, le cou et le
tronc
se raidissent ; les sterno-cléido-mastoidiens e
à la tête qui se raidit et à une secousse brusque qui par- court le
tronc
et les bras, .parfois même la tête seule est affe
ntes faisant entrer successivement en action les centres moteurs du
tronc
, du membre supérieur et du membre inférieur.
s du corps dans lequel les divers axes, axes de la tête, du cou, du
tronc
, etc., étaient étudiés à l'état physiologique. On
à l'état physiologique. On sait qu'à l'état physiologique l'axe du
tronc
est oblique de haut en bas et d'arrière en avan
s autres axes du corps sont étu- diés de la même façon que l'axe du
tronc
et chacun d'eux donne lieu à des déductions int
blie et retardée, sensibilités thermique et algésique abo- lies. Au
tronc
anesthésie complète qui s'arrête à gauche au nive
reste à expliquer la zone d'hyperesthésie trouvée de chaque côté du
tronc
, immédiatement au-dessus des régions anesthésié
t : état général satisfaisant, paralysie complète des membres et du
tronc
avec atrophie musculaire intense généralisée, l
absence de la rigidité caractéristique des muscles de la face et du
tronc
, la marche normale, la flexion des doigts (qui
seul, ou s'étendre à la face (plagioprosopie), au thorax, à tout le
tronc
. C. LA LÉSION DE L'OSTÉITE déformante DE PAGET;
servé la sensibilité tactile. L'anesthésie tactile se répand sur le
tronc
et s'arrête à la hauteur de la troisième côte.
n plus de retard dans la perception de la douleur. Pas de retard au
tronc
, mais partout où le toucher est aboli la sensibil
qûre sont toujours con- fondus. Tous ces troubles existent aussi au
tronc
, mais peut-être moins accentués qu'aux membres
tilité, ni de sensibilité aux membres supérieurs. Rien d'anormal au
tronc
, excepté une petite région anesthésiée des deux
e ou spondylarthrocace. La médication usuelle : immobilisation du
tronc
, révulsifs au niveau de la lésion, faradisation d
autre, ainsion l'observe auxmembres inférieurs, aux supérieurs, au
tronc
, à la face ; parfois il siège sur toute une moiti
la paralysie vaso-mo- trice, soit dans un membre en sectionnant son
tronc
nerveux, soit dans l'oreille du lapin en extirp
des nerfs rénaux, regardent comme établi que ces nerfs viennent du
tronc
coeliaque, mais qu'ils s'entremêlent aux maille
on périphérique porte surtout sur les ramuscules nerveux ou sur les
troncs
d'émer- gence. La lésion cellulaire est, par su
rcée et on peut les voir se manifester aussi bien aux membres qu'au
tronc
. Une telle association combinée avec les formes
quatre parties principales : substance grise de la moelle, celle du
tronc
cérébral, celle du cervelet avec ses noyaux et
ris celles des racines posté- rieures et antérieures; les fibres du
tronc
cérébral ainsi que les faisceaux qui unissent l
ort le cervelet avec la substance grise médullaire et les noyaux du
tronc
cérébral de même que celles qui unissent les di
noyaux centraux avec la substance grise médullaire et les noyaux du
tronc
cérébral (système des libres de projection), et b
ments opaques siègent au niveau des sillons les plus profonds. Les
troncs
artériels de la base, non plus que les artères sy
ur commun, et que l'on a considérés comme dus à une altération du
tronc
nerveux, pourraient, à raison des rapports de voi
2° à produire, par une traction exercée sur la partie supérieure du
tronc
, la flexion progressive des rachis. Exposé des
bilité et de mouvements : efforts d'immo- bilisation de la tête, du
tronc
et des membres, fixation du regard, 64 REVUE
loppement complémentaire con- sécutif ne s'obtient plus que pour le
tronc
et les membres supé- rieurs, encore le bassin n
et en se mettant à quatre pattes, puis redresse gra- duellement le
tronc
en appuyant les mains sur les jambes. Dans la n
ffets atteignant aussi bien les termi- naisons périphériques que le
tronc
et les racines du nerf affecté. L.-R. REGNIER.
umière; celle degauche réagit lentement. Douleurs dans le dos et le
tronc
. Absence de réflexes patellaires. Autopsie. Un
C. LIII. UN cas DE CONTRACTURE HYSTÉRO-TRAUMATIQUE DES MUSCLES DU
tronc
; par Paul RICHER et A. Souques. (Nouv. Iconogr. d
ouleurs au niveau des cicatrices dorsales et il se met à courber le
tronc
en avant pour atténuer ces douleurs. Huit mois
au des cicatrices provoque une crise nerveuse. Attitude vicieuse du
tronc
déterminée par une hyperesthésie dorsale, ne po
out en sautant irrégulière- ment sur divers territoires nerveux. Le
tronc
est resté intact. Cette allure indique la proba
ignant à la fois les terminaisons périphériques, les branches et le
tronc
du trijumeau, et peut être même le ganglion de
faisance, conférences, etc.; 5° des dons manuels; 6° du produit des
troncs
placés dans les asiles et quartiers d'hos- pice
nt conservés; phé- nomène du pied à droite. Sensibilité diminuée au
tronc
et sur les deux jambes, mais seulement dans le
s périphériques. Paralysie des muscles de la moitié inférieure du
tronc
; la malade a beaucoup de peine à se tenir sur son
dominante aussi dans le domaine des nerfs cubitaux. L'anesthésie du
tronc
ayant monté jusqu'au cou, il n'y a que la face
ie à caractère dégénératif de la plus haute intensité; en outre les
troncs
nerveux des plexus lombaire et sacré sont envel
n de la bataille, 931 blessés atteints aux membres inférieurs et au
tronc
. Ces malheureux, sortis de ce danger par les Prus
is lenticulaires, coalescents. La pigmen- tation anormale occupe le
tronc
, depuis la racine du cou jusqu'à la naissance d
oblitération artérielle a pu provoquer une altération passagère des
troncs
ner- veux. Ce mécanisme a, du reste, été invoqu
e une telle parésie dans les mus- cles extenseurs de la tête sur le
tronc
que le patient portait sa tête penchée avec imp
, l'atrophie envahissait les muscles des membres supé- rieurs et du
tronc
, produisant dans sa dévastation les lésions qui
quelques semaines après il pendait inerte et décharné le long du
tronc
. Cette atrophie était accompagnée de fortes contr
é dans les deux mains par une pro- fonde dépression. Les muscles du
tronc
, en particulier ceux du côté gauche, ont presqu
tion : la sensibilité est normale dans ces derniers points. Dans le
tronc
l'analgésie s'étend dans le côté droit jusqu'à l'
dans le membre inférieur gauche que dans l'opposé et le reste du
tronc
. Les figures 23 et 24 représentent la distributio
sations de l'atrophie dans les muscles des membres supérieurs et du
tronc
et la déformation de la colonne vertébrale. C
ns la cuisse du même côté et dans la jambe gauche. Dans la tête, le
tronc
et la cuisse droite, la sensibilité à la SYRI
mais elle en- vahit conjointement ceux des quatre membres, ceux du
tronc
et du visage. Dans le cas de Manuel de la 0...,
des mains et l'intensité de l'atrophie des muscles supérieurs et du
tronc
, il y a aussi la différence prin- cipale de ce
re de voir les symptômes sensitifs et moteurs passer de la jambe au
tronc
et à l'extrémité supérieure. Après avoir dé- ta
s mouvements de la région cervicale sont limités. Les mouvements du
tronc
provoquent des douleurs aux lombes, aux aines e
es aux jambes; troubles de la sensibilité générale aux jambes, au
tronc
et aux bras ; ataxie très prononcée des membres i
des réflexes rotuliens, l'anesthésie complète des deux jambes et du
tronc
jusqu'au niveau de deux travers de doigt au-des
tés aux muscles des membres, puis ils envahissent ceux du cou et du
tronc
, les masse- ters, et enfin parfois l'orbiculair
sseaux. On trouve toujours au milieu ou à côté du foyer plu- sieurs
troncs
vasculaires ; en outre ce dernier est parcouru pa
n revue les faibles altérations de la substance grise loin des gros
troncs
vasculaires. C'est loin des foyers inflammatoires
ltérations de l'écorce cérébrale, à mesure qu'on s'éloigne des gros
troncs
vasculahes, diminuent rapidement d'intensité. Les
présentant entre eux une grande ressemblance. Macroscopiquemenl, le
tronc
cérébral seul est conservé avec une moelle allo
Rio-de-Janeii'o, on découvrait dans un panier un sac contenant un
tronc
de femme. Peu après on pécha un autre sac dans le
equel se trouvaient les membres et la tête qui se rapportaient à ce
tronc
. Et voici alors ce qu'on apprit. Un nègre, Timo
une mulâtresse. Les membres et la tête furent jetés à la mer, et le
tronc
confié à l'un des métis, Sol Porto. Celui-ci ex
mieux encore lorsqu'on agit faradiquement ou galvaniquement sur un
tronc
nerveux. Ainsi en faradisant le nerf cubital
; difficulté pour étendre les doigt une fois fermés. Les muscles du
tronc
, de la vessie, de l'intestin, ne sont pas affec
que l'amblyopie ; puis la langue s'est prise, ensuite le bras et le
tronc
, et en dernier lieu la jambe. La crise totale a
muscles de la face, puis sur le cou, d'où elles se propagent sur le
tronc
et les extré- mités. Ces convulsions sont d'une
ands mouvements commença. Après une suc- cession de soulèvements du
tronc
de plus en plus violents, elle s'élança en quel
ar l'étbérisation, ou par une vive faradisation des membres et du
tronc
. La période qui suivait les convulsions n'était p
rricier les régions cellulaires. On s'explique aussi comment par le
tronc
d'une artère basilaire, ou par une des artères
u qu'on reste longtemps sans s'occuper d'elle : paralysie totale du
tronc
et des extrémités, sans raideur ni contracture; l
ryn- gienne, la cavité nasale gauche, et dans la moitié droite du
tronc
y compris les deux extrémités du même côté. Réfle
S MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 165 quatre 'ou cinq faisceaux ; son
tronc
ne paraît du reste nulle- ment dégénéré à l'oei
ivant des malades et les lésions rencontrées après la mort dans les
troncs
nerveux altérés. C'est donc une simple série de
nombreuses préparations faites, soit des filets cuta- nés, soit du
tronc
lui-même, il n'existe plus une seule fibre sain
e sent le mouvement des yeux. La physionomie exprime la terreur. Le
tronc
se soulève lentement, la malade se met sur son
ttent sa poitrine, se décroisent, le gauche s'arrondit au devant du
tronc
comme pour soutenir l'objet qu'elle serrait tout
e la rétine et dont la production n'est pas influencée par les gros
troncs
nerveux de l'oeil. Nous ne connaissons pas de s
filets du médian péri- phérique s'étaient aussi rattachés à ce même
tronc
. Avec le rétablissement de la continuité, la fo
s une série de mieux et de plus mal, de crises doiloureuses dans le
tronc
et les extrémités, le malade, dépourvu de toute
tose (dégé- nérescence graisseuse) de tout le système musculaire du
tronc
, du bassin, des extrémités inférieures, du coeu
e hémiplégie flasque, plus marquée au bras, épargnant la face et le
tronc
, sans aucun trouble de la sensibilité, ni des r
bservateur a reconnu l'exactitude des données de Brenner, quant aux
troncs
nerveux moteurs. D'une manière générale, la for
est intacte comme la motilité à la face, au membre supérieur et au,
tronc
. Au membre inférieur, la sensi- t i / i >y i
"l' T ° M> Li ili"IXI ,1'iiiui, > i ip-"i . -iJ i . z Leur
tronc
et les branches terminales qui rampent sous la
ons tout^ à fait semblables' à celles qui se rencontrent dans' le !
tronc
(Ju sciatique' gaucher avec cette par-' ticular
u niveau du trou de conjugaison, et en imposer pour une lésion d'un
tronc
nerveux périphérique; ce, sont des faits qui,on
nombre de muscles, toujours .les mêmes, sans que le. domaine, d'un.
tronc
nerveux soit, tout -, entier ou exclusivement p
j t ? ... , ).)..., tes racines ont pour but de transmettre par les
troncs
nerveux ,il " ? t , ? . nécessalres am muscles
es'' ? donnent toujours une même proportion de fibres aux mêmes 1
troncs
nerveux. Quand on, examine la moelle, , il est
er de la périphérie vers le centre, dans tout son trajet le long du
tronc
nerveux. dont il émane, et le suivre à travers
e'nous avons essayé de mettre en pratique, t ± ~ . >t , Certains
troncs
nerveux sont bien nettement constitués part des
des recherches de Krause, d'où il résulte qu'il existe, dans les
troncs
nerveux eux-mêmes de véritables .plexus, à-<pe
ous nous sommes servi de nouveau-nés et de foetus chez lesquels les
troncs
ner- veux, sans aucune préparation préalable,'
ons absolument inextricables;, et quand, on considère à'la loupe'un
tronc
nerveux bien dépouillé, de, sa, gaine ! conjonc
on qui ''nous 'occupé. Ainsi, sur.un, sujet, nous,avons,t trouvé un
tronc
commun fourni par lé nerf dugong snpmateurq et
pmateurq et la branche superficielle du radial simplement accolé au
tronc
de ce nerf, se laissant nettement dissocier dan
exemple quand une puissante excitation galvanique des plexus et des
troncs
nerveux engendre des mouvements convulsifs inco
ide de, lames métalliques chaudes ou froides, delà compression d'un
tronc
artériel,.d'es- sence de moutarde appliquée aya
, é rpite,ae,substance,nervcuse sépare ce double' appareil. Buis le
tronc
originel, fond, brusquement 1)Ollrdispa-. leii.
ite à la- suite d'une sédation. L'autopsie révèle simplement'sur le
tronc
du nerf sus-orbi taire du côté lésé' un renflem
tés au bras droit, ils ont envahi la face, les autres membres et le
tronc
. Leur extension aurait été occasionnée par de n
que les mouvements se sont généralisés aux membres inférieurs et au
tronc
. Etat actuel. - Jeune fille, suffisamment dével
LADIE DES TICS. 27 ralisés, ils occupent la tête, les membres et le
tronc
; ces derniers sont de beaucoup les plus fréquen
'appliquant contre le droit; enfin, des mouvements de latéralité du
tronc
en tout point comparables à ceux que provoquera
ements restent les mêmes pour la face, les membres supérieurs et le
tronc
, mais la jambe droite se met en flexion (positi
ue secousse musculaire détermine le soulèvement et la projection dn
tronc
en avant, de sorte qu'à la fin de chaque con- t
s sur la poitrine, le sautillement, les mouvements de latéralité du
tronc
sont tout autant de contractions qui ne diffère
bras droit, la face, puis se sont étendues aux autres membres et au
tronc
; voilà qui est d'accord avec la marche envahis
ec son épaule gauche un peu plus élevée, le bras pendant le long du
tronc
, l'avant-bras en très légère flexion et supinatio
pas même pour une seconde. En marchant, B... incline légèrement le
tronc
vers sa droite; parfois il fauche avec sa jambe
ticulation du pied sont insignifiants. Les mouvements de flexion du
tronc
sont très limités. En res- tant debout, Bo... n
che de la face, dans le bras gauche et dans la partie supérieure du
tronc
jusqu'aux rebords costaux, les piqûres d'épingl
ement le membre supérieur gauche, la moitié gauche de la face et du
tronc
, limitée en bas par une ligne correspondant au
venue dans tout le mem- bre inférieur, dans la moitié inférieure du
tronc
au-dessous d'une ligne correspondant à peu près
ue dans tous les membres inférieurs et dans la moitié inférieure du
tronc
jusqu'à quelques doigts transversalement au-des
le faisceau direct occupant rigoureusement la périphérie externe du
tronc
du nerf, de même que dans le chiasma et la band
e, disposée avec beaucoup de symétrie sur une partie de la tête, du
tronc
et des extrémités ; quelques petites plaques hy
ndante de Landry. - Paralysie des quatre extrémités, des muscles du
tronc
, du dia- phragme ; phénomènes bulbaires très pr
la force musculaire de la main droite, du membre inférieur et du
tronc
. Secousses fibrillaires des muscles de la main ga
prouve une légère courbure à concavité droite. Quand la malade a le
tronc
renversé en arrière, Archives, t. XXV. 13 1\)
usion. Les lèvres prennent de plus en plus la forme de museau. Au
tronc
, l'ensellure s'accentue ; la station debout persi
quer aussi minutieusement que nous l'eussions désiré les muscles du
tronc
et des membres. SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITI
'âge de cinq ans ; ils furent tués par une paralysie des muscles du
tronc
avec lésion secondaire des poumons. Furent épar
s une mare de sang, la tête affreusement fracassée et détachée du
tronc
. Non loin du cadavre, on a trouvé la crosse d'un
considérable à se tenir sur ses jambes. On le voit alors porter son
tronc
fortement en arrière, ne toucher le sol qu'avec
pas, n'avançant ses pieds qu'au prix d'un effort considérable; son
tronc
décrit en même temps des oscillations latérales
ses mains, ce qui lui permet de hisser en quelque sorte le haut du
tronc
et la tête jusqu'à la situation cherchée. Il ne
nt de l'année 1889, l'atrophie apparaît aux jambes, aux cuisses, au
tronc
et s'accentue un peu plus aux membres su- périe
nous revoyons le ma- lade. L'atrophie des jambes, des cuisses, du
tronc
et des bras est très évidente; les fesses possè
assis sur un siège très peu élevé, ce qui lui permet d'appuyer son
tronc
sur la face antérieure des cuisses et sur les g
nts. Par lui-même, il est incapable, non seulement de relever son
tronc
en avant, tandis qu'il est assis, mais encore de
peut appuyer ses coudes, de manière à mieux maintenir le haut du
tronc
et l'empêcher de s'effondrer davantage. Pour fair
eurs, mais aussi sensitifs. L'irritabilité mécanique des muscles du
tronc
et des membres, ainsi que les réflexes tendineu
nsibilité cutanée sur la tête, les extrémités supérieures et sur le
tronc
demeuraient intactes, tandis que sur les extrém
z le tremblement a envahi le bras, puis lajambe du même côté ; le
tronc
s'est infléchi en avant; la tête est devenue immo
à dérider. L'altitude est non moins caractéristique : le haut du
tronc
infléchi enrayant, la tête comme soudée sur les
récédemment, mais les mains repo- sent sur les parties latérales du
tronc
ou bien sont appliquées l'une sur l'autre contr
ui-même, expériences qui l'ont amené à conclure que les lésions des
troncs
nerveux périphériques entraînent non seulement
r. à ' un état morbide spécial qu'à,unc altération localisée. ! au,
tronc
"de tel ou tel nerf ? . D'ailleurs, si, abandon
cs nerveux* a baisser réaction llegenel'a Ive, . ,eXCl a )1 l e, es
troncs
nerveux a JalSe, 1 f'ApJ'èsr'êtl ! e dinÍ1cuÍÍé
'autre, .d'une, méningite ? 2'li(ÍueJ : Ùt¡LIhJ])i ! o]1;'gé sur le
tronc
de la douzième paire. Ces nerfs étaient» réduits'
er nerf, des origines ; fasciculailes et d'une partie dès fibres du
tronc
de la septième paire. hitégritéile l'oculo-diot
me )paire, Ces fibresohliquesfdâps5léplan= cher se dirigent vers le
tronc
de1 rbculo-moteur.' (pierret' ! )10.'Jfil ''i -
ordination .phonétique,, une paraplégie complète avec projection du
tronc
et delà tête en avant, dc l'éma- 81u ? <tt !
e des nerfs collatéraux du pouce et de l'annulaire. Intégrité des
troncs
du nerf radial et du nerf médian. Nerfs du memb
émités terminales de certains nerfs périphériques, tandis que les
troncs
nerveux intermédiaires et les racines anté- rie
tériennes et sacrées, des fragments des nerfs fessiers et de divers
troncs
nerveux des membres inférieurs, enfin plusieurs
la myéline en fines granulations avec état variqueux (type 3). 4°
Tronc
du sciatique poplité externe gauche. Toutes les
esquels on rencontre aussi le type 1 et quelquefois le type 4. 5°
Tronc
du sciatique gauche. -Dans les nombreuses prépa-
altération dominante est figurée par les types 1, et 3. De même, le
tronc
du sciatique poplité externe n'est que faibleme
riques, c'est que l'altération remonte, en s'atténuant, le long des
troncs
nerveux. Dans les nerfs des membres qui sont pl
tés ex- ternes sont moins gravement atteints et que les fibres du
tronc
des sciatiques sont tout à fait normales; de te
t pour ainsi dire perdues au milieu des fibres saines dans les gros
troncs
nerveux des membres. Mais nous avons dû renonce
semaines de travail assidu) chacun des faisceaux cons- tituant le
tronc
du sciatique et le tronc du crural, sans en exc
idu) chacun des faisceaux cons- tituant le tronc du sciatique et le
tronc
du crural, sans en excepter un seul, et, dans c
mais il faut ajouter que sur les coupes transversales complètes des
troncs
ner- veux durcis par l'immersion successive dan
aucune altéra- tion appréciable des faisceaux ni des fibres de ces
troncs
nerveux. L'étude des racines rachidiennes a f
e montra un affaiblissement progressif des membres supérieurs, du
tronc
, puis des membres inférieurs. Les masses musculai
bre inférieur gauche, depuis les collatéraux des orteils, jusqu'aux
troncs
du sciatique et du crural, et quelques racines
iégeaient exclusivement sur les branches terminales des nerfs : les
troncs
ner- veux intermédiaires et les racines antérie
ence sur les terminaisons périphériques des nerfs, en épargnant les
troncs
nerveux intermédiaires. Il serait assurément pl
nue de l'in- flammation de la moelle aux racines, des racines aux
troncs
nerveux et des troncs nerveux aux terminaisons
ion de la moelle aux racines, des racines aux troncs nerveux et des
troncs
nerveux aux terminaisons périphériques. Mais l'
euses voisines de ses extrémités et disparaître totalement dans les
troncs
nerveux; elles paraissent ainsi avoir une march
'altération centrale et l'altération des nerfs périphé- riques, les
troncs
nerveux étaient sains et présentaient toutes le
4.o°,ü. ' 2. zut. R. 42°,4. Dans la journée, 199 accès. La tête, le
tronc
, et les membres sont symétriques. Organes génit
es, couvertes de fuligir.osités. c Le bras droit est rapproché du
tronc
; l'avant-bras est en demi- flexion et demi-pron
A't 1 plJ;r)acnlú'ê'è dansnles petiles branches'qué dans les gro'sP
troncs
? 1 il'a vu aussi que' les1 muscles 'atrophiés^
os eb5ensitifs; etnotaîriinëilt là"séri's;b', toute spéciale des. i
troncs
nerveuxet'dos muscles"à Impression1 ? * ? dll,J i
i troncs nerveuxet'dos muscles"à Impression1 ? * ? dll,J i'^VH1-'
troncs
ne1'vOLIx'etldO.s muscles 'il là pressIOn. ' ,
ment dans les mouvements des extré- mités et en partie dans ceux du
tronc
. Anamnèse. - Le malade ne paraît présenter aucu
s inférieures, le malade commença à remarquer que les mouvements du
tronc
n'étaient plus aussi libres; dès le printemps d
est très singulière : il rejette légèrement la partie supérieure du
tronc
en arrière, plie un peu les jambes aux articula
t les produire, non seulement sur les extrémités, mais aussi sur le
tronc
, particulièrement sur les muscles de l'épaule e
sentaient également aucune modification. La majorité des muscles du
tronc
et des extrémités avaient un aspect normal quoi
rmaux ; ceux des membres supé- rieurs étaient peu atteints, ceux du
tronc
un peu plus et ceux des membres inférieurs, quo
érées, c'est-à-dire que les centres des mouvements des jambes, du
tronc
et, en partie, des extrémités supérieures se trou
tébrale et des membres, les convulsions cloniques des membres et du
tronc
; les contractions toniques sont plus rares. De
s expan-sions de l'encéphale et forme le névrilème des racines et des
troncs
des cordons nerveux. La structure très délicate
ganglion, elles s'accolent aux racines antérieures et consti-tuent un
tronc
unique à la fois sensitif et moteur, ou nerf mixt
es fibrilles, les racines grises optiques, qui gagnent directement le
tronc
du nerf optique correspondant. La substance gri
, espace perforé de Vicq-d'Azyr. De leur face antérieure émergent les
troncs
des nerfs moteurs oculaires communs. 15. — Sect
es des lobules orbitaires et des lobes sphénoïdaux. 1. — Section du
tronc
des nerfs olfactifs, prismatique et triangulaire,
— Ce système vasculaire, par sa réunion à celui qui est fourni par le
tronc
basilaire, forme, à la base du cerveau, un cercle
et fait partie constituante de la substance grise du névraxe. 8. —
Tronc
des nerfs moteurs oculaires communs. Ils ont leur
substance grise du ganglion olfactif (7, Pl. XLVI et PL XLVII). Ces
troncs
nerveux sont en rapport avec la série d'artériole
e d'un petit cône gris, situé à l'entrée de la scissure olfactive. Le
tronc
du nerf olfactif, qui résulte de la réunion de ce
rt avec le segment moyen du noyau jaune. 15. — Coupe prismatique du
tronc
des nerfs olfactifs. LI. — Encéphale dont on a
tus, dans la scissure olfactive, la forme triangulaire de la coupe du
tronc
des nerfs olfactifs; on remarque que la substance
assent d'un bord à l'autre de la scissure, sans former une gaine à ce
tronc
. LU. — Coupe verticale transverse passant par l
e com-plètement isolée du noyau intra-ventriculaire. 12. — Coupe du
tronc
du nerf olfactif dans la scissure olfactive, mont
ssus du point formé par la pie-mère et l'arachnoïde, sous l'aspect de
troncs
prismatiques et triangulaires. LIV. — Coupe ver
corne frontale de la cavité des ventricules latéraux. 8. — Coupe du
tronc
du nerf olfactif, montrant la forme triangulaire
olution voisine, nommées par Gratiolet fibrœ propriœ. 4. — Coupe du
tronc
du nerf olfactif, sur le bord du gyrus rectus, da
entre le 17 novembre 1892 pour des syphilides papulo-squameuses du
tronc
, des membres et de la face ; des syphilides croùt
cules larges aux membres inférieurs, grisâ- tres et bistrées sur ce
tronc
; jambonnées sur les membres supérieurs. Quelques
é- rieur paraît remonté ; à droite, l'angle inférieur est écarté du
tronc
. La saillie du deltoide est très marquée. Le cr
nsversalement, est obligé de le lancer en l'air par un mouvement du
tronc
et une fois cette position atteinte, il est à pei
Muscles de la paroi abdominale affaiblis. Impossibilité de relever le
tronc
, quand il est couché sur le dos. En ce qui co
s doigts repliés en griffe et le bras du même côté restant collé au
tronc
. Pas de chorée, ni d'athétose. Rien à la face n
e hémiparésie droite avec asymétrie correspondante de la face et du
tronc
. L'amyotrophie de la main droite, qui est venue
muscle releveur de la paupière. La lésion ne siège pas alors sur le
tronc
unique des filets de l'oculo-moteur commun qui ém
xcité que le pneumogastrique. Il est utile que le malade incline le
tronc
et élève la tête. C'est la seule mé- thode pour
ppui) forme un véritable cadre qui rapproche les deux extrémités du
tronc
nerveux et les main- tient déjà sensiblement en
ment diminuée sur les membres inférieurs et la partie inférieure du
tronc
. Les membres supérieurs sont indemnes. Pas de p
lysie musculaire d'origine périphérique (branches terminales du nerf,
tronc
nerveux basilaire et racines pédonculaires) s'a
e secousses rhylmi- ques qui occupent toute la moitié supérieure du
tronc
et les membres supé- rieurs. Rien n'attire l'
des troubles sensitifs très importants indiqués ci- dessous. Sur le
tronc
, l'abdomen, les fesses, les bras, les avant-bras,
es et, de plus, sur le front, au-dessus des arcades sourcilières.
Tronc
. Les diverses sensibilités sont normales. Au pli
lique très nette de la sensibilité sur les membres supé- rieurs, le
tronc
, le crâne et la face. Le nerf cubital très hypert
, de 40 pour la main gauche. Il ne pré- sente sur les membres et le
tronc
aucune déformation notable. Il n'a aucune trace
a défécation. Tandis que sur les membres et la partie supérieure du
tronc
il n'existe que quelques poils fo- lets à peine
e pour apparaître sous la peau (Pl. XXII). Il semble alors que le
tronc
soit suspendu à deux membres inférieurs. Cette
acte un chancre induré sur la verge. A la suite, roséole limitée au
tronc
; plaques muqueuses à la face interne des joues, d
ssement. Les artères de l'hexagone, ainsi que les vertébrales et le
tronc
basilaire ont leurs parois hypertrophiées : ces v
bes nerveux sont aussi plus raréfiés que dans le chiasma. Coupes du
tronc
basilaire. Le tronc basilaire et les artérioles
plus raréfiés que dans le chiasma. Coupes du tronc basilaire. Le
tronc
basilaire et les artérioles qui cheminent à la su
UE 215 formation, très vascularisé. Les grosses artères de la base (
tronc
basilaire, vertébrale) ont leurs parois épaissi
ire du rachis, elle peut se propager aux régions correspondantes du
tronc
sous forme de douleurs extrêmement violentes, c
. Le contact, la douleur, la température sont perçus partout sur le
tronc
aussi bien que sur les membres inférieurs. Mais i
is il y a une hyperes- thésie manifeste sur la partie inférieure du
tronc
et sur les deux cuisses. Cette hyperesthésie a
du musée de Vienne (St Ignace guérissant les possédés). La tète, le
tronc
, les membres ont l'attitude et les contorsions
été précé- dente. Les membres inférieurs^ la partie inférieure du
tronc
parfois, sont le siège d'une anesthésie qui peu
us ses modes dans les membres inférieurs et la partie inférieure du
tronc
(Déje- rine). Cependant il arrive aussi que l'a
rémités supérieures sont fléchies à angle droit et ramenées vers le
tronc
; les mains présentent les anomalies suivantes :
tance est insignifiante. L'excitabilité mécani- que des muscles des
troncs
nerveux (phénomène facial) n'est pas aug- menté
ension. Du côté gauche, la force musculaire est un peu diminuée. Le
tronc
étant adossé au fauteuil, la malade ne peut se
th, bouche ; Fool, pied ; Toes, orteils; - Thigh, cuisse ; - Trunk,
tronc
; Upper, supérieur ; Lower, inférieur; Wrist, po
'oeil. - C, région de l'oreille. - H, légion du cou. - S. région du
tronc
. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 0)) saut avec
lus et ne réagit presque pas lorsqu'on l'excite. L'excitabilité des
troncs
ner- veux périphériques est diminuée. Il résult
oteurs et sensitifs il se pro- duisit, sur la partie postérieure dn
tronc
et sur la région anté- rieure de l'abdomen une
'il se produit chez des sujets plus âgés. Restait à déterminer le
tronc
nerveux sur le trajet ou les ramifications duqu
t brusquement élevée par un ren- versement volontaire et calculé du
tronc
, et elle retombe non moins brusquement sur le s
celles du long supinateur ? Dans le cas où il se serait fixé sur le
tronc
du nerf ou sur ses origines dans le plexus brac
tés respectives. Mais admettre que les filets, rameaux, branches ou
tronc
d'un même nerf ne ressentent pas au même titre
'oeil. - G, Région de l'oieille. -Il. Région du cou. - J. Région du
tronc
. - B est placé sur cette portion de l'écorce qui,
dité absolue des membres infé- rieurs et de la partie inférieure du
tronc
, de fièvres et de douleurs intolérables quandon
lesse des membres inférieurs, mais bien plutôt de] l'instabilité du
tronc
. Cette instabi- lité paraissait elle-même être
ence de la perte du sens musculaire ou de la sensibilité interne du
tronc
: ce qui semble confirmer cette interprétation
ant très bas la malade réussissait à maintenir l'é- quilibre de son
tronc
en l'étayant avec ses deux avant-bras, les coud
le de tabes avec paralysie bilaté- rale de la partie postérieure du
tronc
; dégénérescence des muscles sans lésion des noy
se répar- tit irrégulièrement sur les muscles des extrémités et du
tronc
. Intégrité du facial. Exagération très marquée
l'encéphale entier avec ses ménin- ges; le manteau, le cervelet, le
tronc
cérébral, avec et sans leurs membranes respecti
rontal, puis s s'étend au manteau entier et finalement intéresse le
tronc
. La 276 revue d'anatomie ET DE physiologie path
imitifs. Névrite interstitielle intra- musculaire, névrite des gros
troncs
nerveux et des racines spinales antérieures. Da
e, puis sortent de l'épaisseur de ce dernier organe sous forme d'un
tronc
unique qui n'est autre chose que l'oculo-moteur
'est localisée soit aux membres supérieurs ou infé- rieurs, soit au
tronc
, mais nous n'avons pas pu établir une relation
al l'anesthésie affectait tout le côté opposé, face, bras, jambe et
tronc
. Donc on ne peut pas conclure à l'existence de
a convexité de l'hémisphère, les centres de la jambe, du pied et du
tronc
étant seulement partiellement atteints; ceux de
de la concavité de l'hémi- sphère : c'est-à-dire les mouvements du
tronc
, les muscles de la hanche et quelques mouvement
te dans les deux hémisphères; comme il semble que les mouvements du
tronc
sont bilittéralement coordonnés dans la circonv
ion bilatérale, succède la paralysie la plus absolue des muscles du
tronc
.. « L'attitude d'un singe chez lequel on a fait
ale des orteils frotte contre le sols. » En outre des mouvements du
tronc
, il y en a d'autres qui sont représentés bilaté
u côté droit de la face et du bras et l'anesthésie du côté droit du
tronc
. Le troisième cas, publié aussi par Petrina, est
une anesthésie non seulement de la face mais aussi de la moitié du
tronc
. 11 semble donc que de 284 cas atteignant la zo
roximité de leurs oreilles, ou s'ils le faisaient, ils remuaient le
tronc
et la tête en masse. L'ablation des régions pré
rgie que les gau- ches. Quoique l'animal pût étendre sa tête et son
tronc
, il ne pouvait les maintenir dans une position
égion frontale chez les chiens produit une paralysie des muscles du
tronc
et il appelle la région fron- tale la sphère se
u tronc et il appelle la région fron- tale la sphère sensorielle du
tronc
, quoiqu'il dise très distincte- ment qu'il n'a
Horsley et Scha;fer ont montré que les centres pour les muscles du
tronc
sont dans la circonvolution marginale. Il est p
ale. Il est probable cependant que 1 altération des mouvements du
tronc
que Munk a pu observer, est due à une altération
ent, idées de présomption et idées de persécution émanent d'un même
tronc
pathologique, car, tandis que le mé- lancolique
hes sentent la dou- leur moins bien que les droits. A la face et au
tronc
, la sensibilité à la douleur est conservée ; su
erve pas ces tremblements du côté droit. Pas de troubles moteurs au
tronc
(diaphragme, thorax, muscles abdominaux, etc.).
l'acoustique, mais bien atrophie partielle et très marquée des deux
troncs
du nerf auditif, et destruction étendue des appar
. goitre très prononcé; tremblements très intenses dans la-tête, le
tronc
, les extrémités à l'occasion des mouvements et
se musculaire généralisée, apathie, amnésie. La peau de la face, du
tronc
, des extrémités et par-dessus tout celle des or-
t et le porter en avant, il est forcé d'incliner, mais très peu, le
tronc
de son corps à gauche et d'élever de cette mani
il est obligé, en s'appuyant sur son bâton, d'incliner fortement le
tronc
à gauche et un peu en arrière et de lever la ha
que le malade fait en frottant le sol : il est forcé d'incliner le
tronc
à gauche et de lever la hanche droite pour pouvoi
ononcée à son membre infé- rieur droit. Il est obligé d'incliner le
tronc
à gauche et un peu en arrière et de lever la ha
n sert que quand il est fatigué. A chaque pas, le malade incline le
tronc
de son corps à gauche et lève la hanche droite,
che, qu'il ne peut détacher du sol et faire avancer sans pencher le
tronc
à droite, etc. - 174 CLINIQUE NERVEUSE. Si l'
e étant bien plus paralysé que le droit, il est forcé d'incliner le
tronc
à droite et de lever la hanche gauche pour pouv
au des membres paralysés, mais aussi depuis la partie inférieure du
tronc
jusqu'aux côtes, aurait été complète- ment abol
ité au niveau des mem- bres paralysés et de la partie inférieure du
tronc
aurait été com- plètement abolie. A ce moment,
canal, occupe une grande place, tend à se vider du côté des gros
troncs
veineux thoraciques. Le liquide céphalo-rachidi
en soulevant lour- dement les pieds et en frappant le sol ; le
tronc
est incliné à gauche et les deux genoux co-
E l'épilepsie PROCURSIVE. 241 sillons. Par suite de la déviation du
tronc
basilaire vers la gauche, l'artère cérébrale po
e au niveau de la fos- sette sus-olivaire, constituant en partie le
tronc
du facial à son origine apparente (facial infér
al commence à se dissocier. Un groupe de fibres motrices s'isole du
tronc
du faisceau et vient se placer dans, l'étage su
fonde et se manifestait par l'attitude suivante : les membres et le
tronc
étaient à l'état de légère flexion, et la tête
salle lui était insupportable : il tenait cette fois la tête et le
tronc
bien droits et parlait très raisonnablement. J.
n dix-sept jours. L'autopsie révèle une intlammation aiguë des gros
troncs
nerveux avec hémorrhagies interstitielles; faib
res du trousseau non entre-croisé occupent la .. région latérale du
tronc
du nerf optique; la plupart d'entre elles occu-
tre elles occu- « peut la plus grande partie de la périphérie de ce
tronc
. Dans l'orbite, « elles se dirigent plus en bas
radique; rougeur, tumé- faction, surcharge graisseuse de la peau du
tronc
jusqu'au nombril; sudation, surtout à la paume
le : ainsi le malade de l'OBSGRVATION IV était obligé d'incliner le
tronc
à gauche et un peu en ar- rière et de lever la
mbre inférieur gauche, il n'était nul- lement obligé d'incliner son
tronc
à droite et de lever sa hanche gauche, car les
spas- modique ; c'est ainsi que le malade est obligé d'incliner son
tronc
à gauche et de lever sa hanche droite pour déta
he. Pour faire avancer la jambe droite en marchant, il incline son'
tronc
à gauche. A ce moment, plusieurs fois il est ag
ire avancer son membre inférieur droit, il est forcé d'incliner son
tronc
à gauche et, de cette manière, lever sa hanche dr
il est obligé de s'ap- puyer sur le membre gauche et d'incliner le
tronc
de son corps de ce côté pour soulever et porter
r sur un de ses membres, par exemple le gauche, et d'in- cliner son
tronc
de ce côté pour détacher et soulever le membre dr
it à accomplir une série de mouvements involontaires de la tête, du
tronc
ou d'un des mem- bres, etc. (chorées rotatoires
ie du muscle, le signe de Romberg. Enfin, tout à fait à la fin, les
troncs
nerveux sont atteints à leur tour : douleurs sp
trophie 111·LologiIue de toute la région des oculo-moteurs communs (
troncs
, fibres radiculaires, cellules des noyaux réels)
rer de lignes sail- lantes dues à la constriction des membres et du
tronc
par des liens circulaires ou la marquer de l'em
ience; à ce moment, la sensibilité au niveau des membres et même du
tronc
jusqu'au cou aurait été complètement 30 CLINIQU
que la tête. La sensibilité au niveau des membres para- lysés et du
tronc
aurait été complètement abolie. N'oublions pas
téralement spasmodique ; c'est ainsi qu'il est forcé d'incliner son
tronc
du côté gauche et un peu en arrière pour arriver
arche du malade de ]'OBSERVATION XXVII qui est forcé d'incliner son
tronc
du côté gauche et un peu en arrière pour arrive
ibilité de remuer le membre supérieur droit qui pend le long de son
tronc
comme une masse inerte. Les douleurs sont local
qu'on peut être affirmatif sur ce point en l'absence d'autopsie.
Tronc
. Très rmxoedémateux, surtout au niveau des aissel
nt, comme on le sait, très fréquentes. L'excitation mécanique des
troncs
nerveux agit sur les mus- cles' tributaires du
apitres qui ont pour titre : 1° La tête après la décapitation et le
tronc
après la déca- pitation chez les animaux ; 2o L
aux ; 2o La mort par la décapitation (phénomènes dans la tête et le
tronc
) chez l'homme. On trouvera au début de chacun d
rès exagérée dans les membres inférieurs et la moitié inférieure du
tronc
, mais, par endroits, îlots d'anesthésie complèt
de comprimer un membre avec une bande élastique, de presser sur un
tronc
nerveux, pour voir la contracture se développer
la compression d'un membre par une bande élastique ou celle d'un
tronc
nerveux peut-elle éveiller l'idée d'une contractu
sentai mon malade. Sans m'a- vertir de son projet, il pressa sur le
tronc
du nerf cubital au coude, le sujet étant hypnot
fonctions à la fois de l'intensité et du nombre des excitations. Le
tronc
ner- veux ne joue aucun rôle dans ces phénomène
mplètement à une certaine époque. Il est certain que la plupart des
troncs
nerveux qui s'y rendent provien- nent d'un noya
cle de l'étrier ; en tous les cas il existe une légère paralysie du
tronc
de l'acoustique. P. KERAYAL. AfHBT03E bilatér
ute de la base. Syphilis supposable avec infiltration primitive des
troncs
, pour trois de ces faits. Pas de tuberculose. P
. P. K. XIII. Contribution A la morphologie et A LA morphogénése du
tronc
des hémisphères cérébraux; par G. JEL01· : RS3f
éphale de cinq idiots. L'auteur conclut ce qui suit. Le bulbe et le
tronc
des hémisphères contient trois systèmes : A, un
centres primitifs.' *' Les hémisphères se formant bien après que le
tronc
du cerveau est terminé, c'est par degrés que le
llectuel, poussant ses racines au travers de l'arc réflexe, crée le
tronc
de labase. Cha- cun des organes des sens s'acce
ouble fonctionnel des nerfs périphériques ( ? ), mais intégrité des
troncs
radiculaires des nerfs moteurs des yeux. Aucune a
s. La sensibilité est excessivement modifiée dans presque tout le
tronc
depuis les deux spina scapuloe, dans les membres
qu'au milieu de l'hypocondre gauche. Toutes les autres parties du
tronc
sont aussi atteintes d'anesthésie, mais à un degr
dans les membres inférieurs, les jambes (du genou au pied); dans le
tronc
, la moitié droite de la poitrine et du dos et tou
dans notre cas, mais ces anesthésies, qui remontent si haut dans le
tronc
, sont loin d'être rares même dans les cas les p
phénomènes parétiques et une douleur lors de la pression des grands
troncs
nerveux : aucun de ces phénomènes ne se retrouv
rche est tout à fait spasmodique. Le malade est forcé d'incliner le
tronc
de son corps à droite et un peu en arrière, pou
tacher du sol et faire avancer sans qu'il soit obligé d'incliner le
tronc
à gauche. Il va sans dire qu'il lui est absolumen
ralysie. De plus, il porte à la partie postérieure et inférieure du
tronc
une large eschare de 14 centimètres sur 15. Tou
IE NERVEUSE. 163 fièvre typhoïde, présenta des douleurs le long des
troncs
ner- veux avec hypéresthésie, paresthésie et an
elles sont plus avancées dans les petits rameaux que dans les gros
troncs
et elles prédominent aux extrémités des membres
rs, ni hypéresthésie cutanée ; dou- leurs à la pression le long des
troncs
nerveux ; réllexes cutanés et tendineux abolis,
12, 309. Hémisphères cérébraux (morpholo- gie et morpho-genpse du
tronc
des), par Kurella, 292. Hémarrhagies cérébral
es nerveuses périphériques, c'est de ne jamais s'anastomoser dans les
troncs
nerveux avec les fibres voisines. Chaque fibre ne
èles à sa base, de même dans une seule vertèbre se retrouve l'idée du
tronc
tout entier ; en un mot, une vertèbre est au tron
retrouve l'idée du tronc tout entier ; en un mot, une vertèbre est au
tronc
ce que l'unité est au nombre dans une quantité co
andes ouvertures. Ces ouvertures sont des passages , par lesquels les
troncs
des racines du cervelet pénètrent dans sa masse.
e nom d'arbre de vie. Cet arbre a une disposition fort élégante ; son
tronc
, qui est excavé par la saillie de la corne moyenn
de la sensibilité et du mouvement. A cet égard, la face ressemble au
tronc
. Il pourra donc y avoir dans chacune des paires n
se partage entre trois paires nerveuses. Racines du trijumeau. Le
tronc
commun de ces racines plonge dans une ouverture o
e de ces sinus ?—Ils logent dans leurs gaines inextensibles de larges
troncs
veineux, réduits à leur paroi épithéliale. D'une
nstances particulières. Dans le crâne des vertébrés, par exemple, des
troncs
veineux extensibles auraient pu, en se dilatant,
face inférieure et s'unissent au niveau de la protubérance en un seul
tronc
médian, connu sous le nom d'artère ba silairc.
en un seul tronc médian, connu sous le nom d'artère ba silairc. Ce
tronc
se divise au-devant de la protubérance, se recour
érébrales postérieures ou profondes. Une division considérable de ces
troncs
remonte vers la toile choroïdiennc et donne des r
es antérieures. 2° Au-devant de la réunion des deux vertébrales, le
tronc
basilaire donne les petites artères cérébelleuses
s le nom de communicantes, unissent les cérébrales postérieures aux
troncs
des carotides, à leur entrée dans la cavité de la
anastomose transverse et, en arrière, les deux branches terminales du
tronc
basilaire. Ce cercle entoure l'infundibulum. C'es
pédonculaire. En outre, entre la Sylvienne et la communicante, chaque
tronc
carotidien fournit de petits rameaux que Vicq-d'A
éseaux très-fins et très-serrés. Les veines de l'encéphale ont pour
troncs
communs les sinus de la dure-mère. On distingue
sinus droit. 6° Les veines cérébelleuses inférieures, qui ont pour
troncs
le sinus droit et les sinus latéraux. 7° On doi
natomiste distingue dans cette membrane trois réseaux superposés. Les
troncs
lympathiques, qui naissent de ces réseaux, suiven
s réseaux, suivent dans leur trajet les veines du cerveau. Tous ces
troncs
artériels, veineux ou lympathiques, appartiennent
rs arcs inférieurs la même opposition dont les différentes régions du
tronc
nous offrent un exemple. Les arcs crâniens supéri
e syrien Pausanias tomba de voiture et reçut une contusion au haut du
tronc
. Les mouvements demeurèrent libres, mais deux doi
u'il animait. Cela est vrai; mais le sujet est complexe. En effet, un
tronc
nerveux n'est pas une seule chose et comprend un
grand nombre de filaments nerveux élémentaires. Or ce qui est vrai du
tronc
en général peut ne l'être pas de chacun de ces fi
anéantissement immédiat de la puissance nerveuse dans les segments du
tronc
; c'est là un fait parfaitement constaté par des o
de la moelle une influence beaucoup plus grande que l'irritation des
troncs
nerveux eux-mêmes. Cette observation prouve deux
nsibles dans la peau cessent graduellement d'être excitables dans les
troncs
nerveux qui se rapprochent de la moelle, et 2° qu
e demander si ces bandes ne pourraient pas être considérées comme les
troncs
communs des nerfs du corps en tant que ces nerfs
ie aux hypothèses. On supposa que les faisceaux antérieurs étaient le
tronc
commun des racines motrices, les faisceaux postér
dent-ils à dire que ces cordons sont beaucoup moins sensibles que les
troncs
nerveux, et rien ne prouve que les fibres qui s'e
le que les fibres sensibles de tous les ordres, je parle de celles du
tronc
, ont àla fois un effet direct et un effet croisé.
e reste attaché à la tête, c'est la tête qui vit; s'il demeure uni au
tronc
, le tronc seul vivra, et conservera des mouvement
taché à la tête, c'est la tête qui vit; s'il demeure uni au tronc, le
tronc
seul vivra, et conservera des mouvements volontai
ent, sont les environs des lèvres, les parties latérales du cou et du
tronc
, surtout chez les enfants, et enfin certaines rég
dans le voisinage des régions excitées; ainsi les chatouillements du
tronc
éveillent des spasmes génitaux ou diaphragmatique
T. Il, p. 214. quand ils sont exercés sur le trajet des principaux
troncs
nerveux. On ne peut s'empêcher de rappeler que le
nation, que de torchons suspendus ont passé pour des fantômes! Que de
troncs
dépouillés ont, au détour d'un bois, et sous les
ductible, dans le temps, au type de gigantisme acromégalique (grand
tronc
, hypertrophie des extrémités, déformation du ma
re : attitudes vicieuses et mouvements involontaire des membres, du
tronc
et de la tête. L'affection parait différenciée
exécuter des mouvements alternatifs de flexion et d'extension du
tronc
sur le bassin, comme pour la recherche du « mouve
assin, comme pour la recherche du « mouvement combiné de flexion du
tronc
et de la cuisse. Pendant l'exécution de ces act
mps à droite le phénomène de la flexion combinée de la cuisse et du
tronc
. Ce fait me suggère cette idée que le spasme fo
siques ne sont pas limitées aux membres; elles intéressent assez le
tronc
: le mot ocro-paresthésie est donc mau- vais.
amen histologique; névrite amyolrophique, limitée à un ou plusieurs
troncs
nerveux, et s'accompagnant de troubles subjectifs
e elles présentent des teintes blanches sur la partie extérieure du
tronc
, au-dessous des seins. Enfin, dans une statisti
olume de ces nerfs atteint presque le volume du petit doigt pour le
tronc
du radial et du cubital,celui d'une plume d'oie p
des profondes atrophies musculaires de toutes les extrémités et du
tronc
; il y avait un abaissement très marqué de l'exc
nctériens, les douleurs s'étendent à tous les nerfs du thorax et du
tronc
. La dyspnée et la toux s'ins- tallent, l'impote
pas les terminaisons fines intra-muscu- laires, mais bien les gros
troncs
. En un mot, ce sont avant tout des névrites tro
ent frappés. Ainsi pour deux branches nerveuses émanées d'un même
tronc
, le tronc postérieur, vous trouvez des altération
s. Ainsi pour deux branches nerveuses émanées d'un même tronc, le
tronc
postérieur, vous trouvez des altérations d'un d
nous a montré une forte réaction de dégénérescence. De même pour le
tronc
antéro-externe, vous ne trouvez pas de réaction
re de la réaction de dégénérescence et de la parésie. Enfin pour le
tronc
antéro- interne formé par les racines inférieur
er du degré de compres- sion et de gêne dans lequel se trouvent les
troncs
nerveux à ce niveau. Ce que nous venons de di
me nerveux périphérique, principalement dans les points où les gros
troncs
nerveux sont réunis pour former les plexus. Est
ment les accidents dus à la compression et à 1' 'envahissement des
troncs
nerveux, véritables accidents mécaniques, des p
uction néoplasique. Une dissection attentive de tous les muscles du
tronc
, du thorax, des mem- bres découvre des quantité
s, sont atro- phiés en masse, décolorés, infiltrés de sérosité. Les
troncs
nerveux, les plexus examinés soigneusement ne m
U CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX. 289 d'invasion cancéreuse dans les
troncs
nerveux accessibles à la dissection, ni au sein
osé dans ma dernière leçon, et l'envahissement ou la compression de
troncs
ner- veux isolés, ou réunis en plexus, par une
u- , ses, ce qui s'explique facilement par la résistance des gros
troncs
nerveux à l'envahissement cancéreux, par la persi
u- vez encore très facilement reconnaître et suivre tous les gros
troncs
nerveux. Examinés à un grossissement plus fort,
est loin d'être totale. Vous voyez donc, Messieurs, que ces gros
troncs
nerveux offrent'une résistance assez longue à l
oupe verticale de la figure précédente. A, 5calèue anlé1Ïc.ul' : B,
tronc
1'cH.liocil'conflc\c : r.. médian eL 111lIsculo-c
périphérique. » Pour les nerfs crâniens il n'en est pas ainsi et le
tronc
nerveux individualisé, à part quelques branches
itesse des canaux osseux, une lésion minime pourra retentir sur les
troncs
ner- veux d'une manière rapide et précoce. C'
ombaire et sacré avec douleurs également intenses à la pression des
troncs
nerveux. C'est à ce moment une véri- table névr
lleursla phlébite cancéreuse des veines méningées pas- sant par les
troncs
de conjugaison, f.tit suite à la phlébite très
llement injectés. Les muscles avaient une teinte jaunâtre, mais les
troncs
nerveux avaient l'apparence saine. A l'ouvert
à appor- ter quelques soulagements momentanés. La libération des
troncs
nerveux comprimés, leur résection, la section ou
bre ou un segment de membre qui est intéressé, tantôt ce sont les
troncs
nerveux périphériques qui commandent la localisa-
de l'analgésie et surtout de la thermo-anesthésie des membres et du
tronc
du côté droit du corps. Çes symptômes pouvaient
ent et mourut. A l'autopsie, on trouva un athérome très prononcé du
tronc
basilaire et des cérébrales postérieures et un
es. 1. Lanuois range ces sujets dans cette catégorie. Chez eux le
tronc
et la tète sont sans déformation, les bras trop c
nt au raccourcissement comme les os du poignet et ceux du pied ; le
tronc
est court, la tête est brachycéphale. A propos
ytiques atteignant aussi bien les terminaisons périphériques que le
tronc
et les racines du nerf affecté. ' C- REVUE DE T
sont tributaires de la paralysie musculaire. Pas d'Argyll. Tous les
troncs
nerveux très douloureux à la pression, de même
le contact ne sont pas perçus sur la moitié antérieure gauche du
tronc
, du cou et de la face. Elle est conservée sur le
rieur gauche/à partir de l'aine. Sur la moitié antérieure droite du
tronc
, la sensibilité est conservée mais obtuse. Il y a
e mais obtuse. Il y a anesthésie de la moitié postérieure droite du
tronc
, du bras droit et du membre inférieur droit. La
crie « oui ! Aj la rigidité est très marquée; la face est rouge, le
tronc
se soulève à demi rigide; la tête est en extens
nts tout à fait classiques avec flexion des jambes, des cuisses, du
tronc
, projection des membres en l'air, puis il retom
tombe, présente des mouvements du bassin et de grands mouvements du
tronc
. Enfin repos prolongé dans lequel le malade dem
dos. Ou bien il se place sur la tête dans l'attitude d'un clown, le
tronc
étendu, les membres à demi fléchis. Il retombe,
nsuite à genoux les paupières fermées, les bras allongés le long du
tronc
, qui est penché en avant. Après un moment le ma
c, qui est penché en avant. Après un moment le malade se relève, le
tronc
incliné sur le côté gauche, puis il retombe bru
tation de tout le corps, le malade remue les bras et les jambes, le
tronc
restant immobile. Cette agitation dure deux min
s- tent seulement dans les jambes et dans les bras et pas dans le
tronc
. Au début de chaque accès les convulsions sont d'
es deux côtés de la face, mais d'une façon plus marquée à gauche au
tronc
, aux bras et aux membres inférieurs. La sensibili
atténuée du côté droit au cuir chevelu, à la face et au cou. Sur le
tronc
et les membres inférieurs, les yeux fermés, elle
roix, les jambes écartées.- Secousses dans tous les mem- bres et le
tronc
. Résolution de deux minutes. Il se dresse alors
s allongées l'une contre l'autre; le bras gauche allongé le long du
tronc
, le bras droit perpendiculaire. Il se retourne
lus il a quelquefois des secousses des deux bras et même de tout le
tronc
, qui ont beaucoup diminué. Hallucinations. Il
rs. Peau blanche ; pas d'éruptions; pieds et mains un peu cyanoses.
Tronc
et membres bien conformés. Fonctions digestiv
n aper- çoit à la partie externe, lorsque le bras repose le long du
tronc
; elle a le volume de la moitié d'une orange. C
leurs. - Caractères des accès convulsifs. - Examen physique : tête,
tronc
, etc. Déformation du rachis. Stomatite ukéro-me
muqueuse des joues, recouvertes d'un détritus pultacé, jaunâtre.
Tronc
. Il existe une légère déviation du rachis à la ré
on frontale, laquelle, comme on sait, se détache préma- turément du
tronc
de la cérébrale moyenne, se trouve en- globé da
ruption. L'exanthème se montre abon- dant à la face, au cou, sur le
tronc
; il est peu marqué sur . les membres ; conjonct
age et 108 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. le cou, se montrent rares sur le
tronc
et font défaut aux membres. Les yeux, déjà atte
ition de l'exanthème ce matin. L'éruption se voit à la face, sur le
tronc
, sur la paroi antérieure du thorax, à la racine
égulières, sauf le lobule qui est adhérent ; le nez est aquilin. Le
tronc
est bien conformé il en est de même des membres
L'éruption se fait à la face et au niveau des deux fesses. Rien au
tronc
ni aux membres. Le coryza per- siste ; la conjo
à la face et au cou; il existe quelques taches rubéoliques sur le
tronc
, très peu sur les membres. La diarrhée, à l'éta
38°,6. 20 janvier. Apparition de l'exanthème à la face et sur le
tronc
. Les membres en sont indemnes. L'auscultation dé-
9",4. (Fig. 4Gj. 21 janvier. L'éruption est assez confluente sur le
tronc
et le visage ; elle se dispose en corymbes ; el
riode d'éruption. L'exanthème ne se voit qu'à la face, au cou et au
tronc
. Les membres en sont in- demnes. Le malade est
nstate ce matin l'éruption de la rougeole. Elle siège à la face, au
tronc
, à l'abdomen, au dos, aux fesses, et à la racin
t l'aspect ne rappelle en rien celui d'une rougeole normale. Sur le
tronc
, l'abdomen, les cuis- ses, il prend la forme d'
e visage ; d'autre part, exanthème pointillé, fin, écarlatc, sur le
tronc
. Les phénomènes thora- ciques ne durent qu'un t
e hypertrophie des amygdales. Oreilles moyennes : cou assez court :
tronc
et membres bien conformés. Cheveux châtains, pe
MPLIQUÉE. 159 fluent, surtout à la face. Il existe également sur le
tronc
, en avant et en arrière, à la racine des cuisse
logiques et pathologiques sur les muscles qui meuvent l'épaule sur le
tronc
et le bras sur l'épaule. Mémoire présenté à l'Aca
on sont tous parfaitement applicables à la myologie des membres et du
tronc
, et je reconnais, avec Bérard, que, grâce à eux,
rer son action dans un muscle ou dans un faisceau musculaire, dans un
tronc
ou dans un filet nerveux. C'est à l'étude de la
usculaire qui produit les mouvements physiologiques des membres et du
tronc
n'est nullement comparable à celle des mouvements
quelques développements. Il n'est pas un mouvement physiologique du
tronc
ou des membres qui ne soit le résultat de la cont
à l'aide d'un courant électrique, on voit le scapulum se détacher du
tronc
, à la manière d'une aile. J'ai expliqué ailleurs
une des extrémités d'un animal dont la teto vient d'ôtre séparée du
tronc
, on observe des mouvements qui produisent la flex
lorsque j'excitais les muscles homologues des membres non séparés du
tronc
. J'ai fait aussi des expériences sur les animaux
ents ont été absolument identiques, que la tète fût ou non séparée du
tronc
. De l'ensemble de ces faits, il ressort donc év
aide à comprendre la raison des reliefs musculaires des membres et du
tronc
, il ressort des considérations précédentes : Io q
arts plastiques, pour ce qui a trait aux mouvements des membres et du
tronc
, on peut affirmer qu'elle est bien moins utile en
xpressifs de la physionomie ne sont pas, comme ceux des membres et du
tronc
, soumis à l'influence de la volonté; car l'âme se
moteur de la houppe du menton.— — F. Filet moteur du peaucier. — D'.
Tronc
du facial à sa sortie de l'aqueduc de Fallope. —
fig. 2), a provoqué la contraction en masse des muscles animés par ce
tronc
nerveux, et n'a pu produire qu'une grimace. (1)
lles le geste et l'attitude concourant puissamment à l'expression, le
tronc
et les membres doivent être photographiés avec au
ouchante et plus belle. Elle se tient assise, les mains jointes, le
tronc
penché en avant, le dos un peu voûté, la tête ren
tifice. Longtemps il fut admis dans la science que les muscles du
tronc
étaient respectés dans l'hémiplégie. Aujourd'hui
ent respectés dans l'hémi- plégie, au même titre que les muscles du
tronc
par exemple. Pour tous ces muscles la paralysie
absolument iden- tique à celui que l'on observe dans les muscles du
tronc
du côté paralysé. Pour mieux mettre en éviden
iques, très incomplètement le facial supérieur comme les muscles du
tronc
dont les mouvements sont essentiellement synerg
il se frappe la tête de ses poings, raidit tout le corps, porte le
tronc
en avant ; la face est congestionnée, les yeux
ypotonie est inégalement grande des deux côtés. Une forte ataxie du
tronc
peut gêner la capacité de la locomotion avant q
qui consis- tait en ceci : lorsqu'on comprime suffisamment fort le
tronc
du cubital dans la région de l'olécrâne, le bra
étend leur attribuer Cra- mer, et ils concluent que l'analgésie dit
tronc
du cubital ne peut pas être considérée comme un
e retient à souffrir des piqûres profondes. A l'esthésio- mètre, au
tronc
et aux membres elle répond à une distance de 6-
. L'excitabilité des nerfs cubi- taux est exagérée, la pression des
troncs
nerveux est doulou- reuse. Le réflexe pharyng
les piqûres. A l'esthésiomètre le malade répond à 4 centimètres au
tronc
et aux membres supérieurs ; à t)' centimètres pou
iennes dont l'excitation détermine des mouvements de la tête sur le
tronc
; 2° la position exacte de la tête déterminée p
malade est caractéristique. Il semble comme soudé, comme empalé. Le
tronc
est projeté en avant par ankylose en flexion de
ive des articulations coxo-fémorales, soudure du rachis, flexion du
tronc
en avant, etc. Même début lent et insidieux. M.
plus fines branches des dendrites et s'étendent graduelle- ment aux
troncs
plus épais jusqu'à atteindre le corps cellulaire
aiguë. L'affection commença par les membres inférieurs, envahit le
tronc
puis les membres supérieurs, enfin les muscles de
ne vertébrale. Au bout de trois semaines le malade remarque que son
tronc
se courbe en avant; au bout de deux mois, bien
articipation d'autres articulations qui maintiennent la position du
tronc
. M. le professeur KoJEwmKow croit que l'ankylos
connaissons. A la première blessure elle a dû tourner la tête et le
tronc
vers le côté d'où le coup lui était porté, c'es
boïdes et les angulaires. Le bras finit par être appliqué contre le
tronc
et les mouvements devinrent impossibles. Rien
estait sur un fauteuil, fut obligée de s'aliter, car les muscles du
tronc
furent atteints à leur tour. 11 ? ... avait,
périphérique, j'avais la douleur provo- quée par la pression surles
troncs
nerveux et la masse musculaire, la réaction de
nt les premiers atteints. puis les membres supérieurs et, enfin, le
tronc
et la partie supé- rieure du corps. Il est bien
attitude du pied en équin, douleurs spontanées et à la pression des
troncs
nerveux, exagération des réflexes tendineux ain
l fut constaté une thrombose complète de la veine basilaire gauche,
tronc
important qui reçoit les veinules du pédon- cul
ié droite du cervelet se trouve en rapport avec la moitié droite du
tronc
; la moitié gauche du cervelet correspond au côt
du tronc; la moitié gauche du cervelet correspond au côté gauche du
tronc
: le lobe moyen se trouve en rapport indistinct
e moyen se trouve en rapport indistinctement avec les deux côtés du
tronc
; le vermis supérieur correspond aux membres in
ils leur succèdent ; 4° Les mouvements ataxiques de la tête et du
tronc
qu'on observe à la suite de l'ablation partielle
du cervelet correspond à SOCIÉTÉS SAVANTES. 411 1 la moitié du
tronc
du même côté; le vermis répond aux deux côtés;
muscles de la main fonctionnent assez bien. Parmi les mus- cles du
tronc
on constate surtout une hypertrophie des muscles
ets est de 43 centimètres. Malgré ce volume, la force musculaire du
tronc
et des jambes est insigni- fiante. L'excitabili
ties du corps, et notam-- ment : rouge dans la partie supérieure du
tronc
, et blanc dans la partie inférieure, plus prono
réflexes rotuliens; parésie atrophique des membres inférieurs ; les
troncs
nerveux sont dou- loureux. Affaiblissement de l
let. Abolition des réflexes cutanés, crémastérien et abdominal. Les
troncs
nerveux sont souvent douloureux à la palpation.
et à la douleur est diminuée. Les muscles du cou, de la nuque et du
tronc
ne sont pris que quelques heures plus tard. Alo
avait sec- tionné nettement les trois quarts de la circonférence du
tronc
de l'artère méningée moyenne. Le trait de fract
ent n'a pu le soulager. Elongation du plexus solaire en dénudant le
tronc
c,clia(ll1e, A la suite de cette intervention,
c la ménopause et comprimant le chiasma. Alcoolisation locale des
troncs
nerveux. )1.)I. Brissaud, Picard et'fAHON ont p
t'fAHON ont pratiqué des injections d'alcool stovainé au contactdes
troncs
nerveux pour névralgie du trijumeau et pour spa
n et Scltltrsser étalée heureux résultats. Ils ont aussi injecté le
tronc
sciatique dans certains cas de contracture, tre
notamment celle (fig. 5) qui représente la face latérale droite du
tronc
cérébral et du cer- velet, montrent une grande
ntenant du sang et de l'urobiline. Teinte li- vide des téguments du
tronc
et surtout de la face. Sang noi- râtre, très fl
ont pas plus à l'abri de l'incoordination que les autres muscles du
tronc
et des membres. Au précédent Congrès de Neurolo
tiques, précisément par l'in- coordination des muscles du cou et du
tronc
. Les troubles de la miction et de la défécation
alysies ou des atrophies d'un groupe de mus- cles des membres ou du
tronc
chez les ataxiques. Cet acci- dent est imputabl
, HI01- Vol. XXX. fasc. Il.1[[1. Les recherches onl porté sur les
troncs
encéphaliques d'un REVUE D'ANATOMIE ET DE PHY
des boutons en petit nombre siégeant sur la face et les membres, le
tronc
étant à peu près intact. Il s'agissait d'une va-
sie, sont, en partie, des cas d'incoordination ou d'anesthé- sie du
tronc
méconnus. M. Maurice Faure (de La Malou). Certa
t atteints d'anesthésie profonde des articulations de la hanche, du
tronc
, et d'incoordination des muscles spi- naux, lom
le se Ilé- chir ou s'incliner sans qu'ils en aient conscience, leur
tronc
perdre son équilibre, - et il suffit, parfois,
avec des tractions mêmes légères, peut corriger des oscillations du
tronc
de quelques centimè- mètres (suffisantes pour c
he librement (en apparence). Le tabétiqueatteintdeces troubles du
tronc
, ne saurait être comparé, pour la séméiologie,
irrégulière attire l'attention des moins prévenus. L'incoordonné du
tronc
, au contraire, se meut lentement, avec circonsp
ue, en révélant l'étendue des anesthésies et dss incoordinatious du
tronc
inaperçues, donne la clef de tes accidents. Il
aussi le traitement. Par des exer- cices méthodiques des muscles du
tronc
, par l'entraîne- ment journalier de la sensibil
bilité, du sens des attitudes, on arrive à corriger les troubles du
tronc
, comme on corrige les troubles moteurs des jamb
ompensatoires indiqués par Frenkel. Dans le cas d'incoordination du
tronc
, le réapprentissage de la mar- che, de l'équili
s avons ré- glées dans ce but; mais la cure des troubles moteurs du
tronc
dans le tabès est plus longue et plus difficult
nt seulement de l'anesthésie et de l'incordination des muscles du
tronc
. Et quel labeur pour ces malades, s'ils son sou-
ension, d'équilibre, sans point d'appui, avant que leurs muscles du
tronc
aient été entraînés méthodiquement, individuell
s surfaces articulaires, mains en trident, dimensions nor- males du
tronc
et de la colonne, ensellure lomhaire, déviations
ir les mêmes fruits portés par les branches diverses issues du même
tronc
, mais qu'en ce qui concerne la vraie folie géme
a et quelquefois, mais beaucoup moins fréquemment dans les premiers
troncs
des prolongements proloplasniiques. ,I. S. XX
l'A. ne spécifie pas l'espèce re- jetée). Les mouvements étendus du
tronc
et de la tète étaient pénibles, réveillaient la
ensibilité au contact et à la piqûre est légèrement diminuée, ; les
troncs
du crural et (le l'obtura leur sont particulièr
s possible de paralysie et éli- mine successivement : la lésion des
troncs
nerveux pendant l'opé- ration (rapidité de l'am
t l'opé- ration (rapidité de l'amélioration) ; - l'inflammation des
troncs
nerveux par une paramétrite (examen négatif pen
r Hystérique. Alcooliques. Voir Suicide. Alcoolisation locale des
troncs
nerveux, par Brissaud, Picard et Talion, p. 4
e, sont, en par- tie, des cas d'incoordination ou d'anesthésie du
tronc
mé- connus, par Faure, p. 198. Voir Marche.
la douleur. Cette anes- thésie s'observe à la face, aux membres, au
tronc
et à l'abdomen. Toutefois, comme on peut le voi
spondant aux parties blanches du schéma, existent aux membres et au
tronc
. Au niveau de plusieurs de ces plaques, notamme
ls sont alors à peu près généralisés à tout le corps, aussi bien au
tronc
qu'aux membres. Assis, il remue moins, le tronc
orps, aussi bien au tronc qu'aux membres. Assis, il remue moins, le
tronc
est presque immobile, sauf quelques oscilla- ti
fois des mouvements d'élé- vation et d'abaissement de la rotule; le
tronc
, au contraire, offre des mouvements de torsion
e. Cette lésion périphérique et irrégulièrement disséminée des deux
troncs
ner- veux, avait produit un syndrome unique (pa
git d'une ophtalmopiégie nucléaire par lésion des noyaux nerveux du
tronc
ducerveau et en particulier de ceux qui command
proche de la 16 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. base et englobe les
troncs
nerveux périphériques. Observation avec autopsi
(Neural. Centralbl., 1886.) Due à une compression exercée sur les
troncs
nerveux du bras pendant un profond sommeil de d
u) ne produisit aucun effet. Et pour exciter par cet agent les gros
troncs
nerveux périphériques, ainsi que les muscles, i
ous voyons nettement que les troubles ont porté tout d'abord sur le
tronc
tout entier du scia- tique. La névralgie totale
tique, mais encore de tous les nerfs du membre inférieur. Puis le
tronc
et les premières branches fémorales se dégagent
» admet que cette branche ner- 'veuse est formée uniquement par le
tronc
lombo- ' sacré. I ! a constaté en séparant par
sciatique poplité externe se continuent directement avec celles du
tronc
lombo-sacré. Or ce nerf est situé dans le bassi
alcoolisme, les lésions nerveuses se localisent de pré- férence aux
troncs
nerveux animant les muscles exten- seurs, de mê
e légère déformation de la colonne verté- brale avec inclinaison du
tronc
à droite. Nous avons été fort étonnés en consta
r ni refroidissement, ni traumatisme, ni compression apparente du
tronc
nerveux ou du plexus sacré. Mais la sciatique s'e
trophie dégénérative constatée dans les muscles animés par ce même ^
tronc
ner- veux. Les troubles moteurs et sensitifs
en extension. Attitude. Le malade présente une légère déviution du
tronc
vers la gauche. Il marche en traînant la face
rtant sur le territoire de distribution musculaire et cutanée de ce
tronc
nerveux ; 2° Cette complication se présente aus
propre- ment dit, c'est-à-dire quand le bras est appuyé le long du
tronc
, la main sur les genoux et le pied reposant à t
tes des secousses, qu'un tremblement quelconque des mem- bres ou du
tronc
peut lui transmettre. Le braillement de la tête a
de sphacèle '.Ces accidents seraient causés par la compression des
troncs
artériels et nerveux par un épanche- ment profo
L'auteur discute le diagnostic d'avec : névralgie, compression des
troncs
nerveux, névroses profession- nelles connues, n
tion fréquente, avec des interruptions de trois à cinq minutes, des
troncs
nerveux et de la colonne vertébrale (cathode en
ale : cela est incontes- table. - De plus,- comme on le voit, ces
troncs
auxquels on ne donnait comme origine que deux r
le de faisceaux profonds qui se continuent soit avec les fibres des
troncs
olfactifs soit avec la subs- Fig. 29. - Schéma
sur leur route. Jetés en l'air, ils volaient la tête rétractée, le
tronc
à moitié levé, les jambes pendantes, heurtaient l
coude. - An/de, poignet. du Fingers, doigt. genou. - liallux, premier
tronc
. Wp, hanche. Anlde, cheville du pied , Knee, ge
nerfs en question sont lésés. S'il est vrai qu'une alté- ration des
troncs
nerveux ne pourrait produire l'ophtalmoplégie e
éro-latéraux. Leur exci- tation produit des convulsions toniques du
tronc
, de la tète, des extrémi- tés et les phénomènes
muscles de la vie animale, en particulier aux muscles des membres; le
tronc
, la tête ne sont pas épargnées, tant s'en faut ;
r ses défauts physiques, et ne veut pas, à toute force, être bossu.
Tronc
et membres. —A. Membres supérieurs. — Les éminenc
e est manifeste. Il est plus petit que ne le com-porte la longueur du
tronc
, lequel, mesuré de l'apophyse proémi" nente de la
r. Au moment de son entrée à l'hôpital, ses jambes, ses bras, et le
tronc
étaient le siège de mouvements spasmodiques plus
e membre dans toute son étendue; on en retrouve souvent des traces au
tronc
, au bassin, aux épaules et même, dans certains ca
d., loc, cit. 3 Heine, loc. cit., p. 15. marquable du calibre des
troncs
vasculaires. Il est des circonstances où le refro
t environ la grosseur d'un pois. Ces tumeurs, très-multipliées sur le
tronc
, étaient assez abondantes sur la face, au cou et
e hémianeslhésie complète, occupant les deux membres contractures, le
tronc
et la face du même côté. Non-seulement l'anesthés
ent du hile de chaque rein sont nombreuses et viennent former un gros
tronc
qui tombe de chaque côté de la veine cave inférie
e chaque côté de la veine cave inférieure, à 2 centimètres environ du
tronc
cœliaque. Le bassinet gauche est volumineux; l'
, et l'angioleucite une inflam-mation des réseaux lymphatiques et des
troncs
qui vont des réseaux jusqu'aux ganglions ? ou l'é
ante, on remarque une tumeur de la grosseur des deux poings. Sur le
tronc
et les membres on voit une foule de véritables li
s jusque dans les papilles du derme. — On ne voyait pas dans ces gros
troncs
de globules sanguins, mais des masses irrégulière
époque. L'examen permet de noter les particularités suivantes : Le
tronc
est déjeté en avant, les membres inférieurs étant
légère en de-hors: le pied droit n'a pas de déviation appréciable. Le
tronc
est lé-gèrement incliné du côté gauche, et la cui
par projection latérale, en portant le corps en avant et inclinant le
tronc
de chaque côté. La marche n'est cependant pas tro
orte d'attaque dans laquelle prédomine une roideur semi-tétanique, du
tronc
et des membres. Ne paraît-il pas d'après cela trè
tribuant à la région ramollie, à deux centimètres de son émergence du
tronc
principal, on trouve un caillot jaunâtre long d'u
uivants, on s'aper-çoit que la solidification a marché en bas vers le
tronc
de l'occipi-tale, de telle sorte que le sang qu'a
les parties avoisinantes. On en trouve trois. L'occipitale, dont le
tronc
est très-volumineux dans sa branche externe de te
bide qui aura, atteint la veine maxillaire interne et la portion du
tronc
jugulaire voisine de la parotide enflammée. Mais
hlébite concomitante, soit de la veine maxil-laire interne, soit d'un
tronc
jugulaire, produite probablement par propagation
es les saillies globuleuses situées sous les membres supérieurs. Le
tronc
doit être divisé" en trois portions : l'une ventr
avoir dénudé la cage thoracique, on voit que la partie antérieure du
tronc
peut être divisée en deux régions, la ventrale et
cot, à grand diamètre horizontal. De sa convexité supérieure, part un
tronc
commun pour la partie supérieure, veine cave supé
partie correspondante de la poche dorsale. De la cavité partent deux
troncs
, veines iliaques non réunies pour former la veine
ue des déformations du squelette. Du côté de la face postérieure du
tronc
on voyait des déformations encore plus accusées.
me dont les membres in-férieurs sont si développés en tous sens et le
tronc
si court... Les membres supérieurs, loin de pré
petites artères fait aug-menter la pression artérielle dans les gros
troncs
; 5° cette action paraît se manifester même après
ont en général nombreu-ses, et recouvrent parfois toute la surface du
tronc
, de manière à simuler assez exactement l'éruption
s, une teinte violacée ré-pandue sur les parties les plus déclives du
tronc
et sur les ex-trémités des membres ; l'abondance
rapide-ment que dans les cas de fièvre typhoïde (Jenner). La peau du
tronc
et des extrémités, surtout aux parties déclives,
cadavres, la rate volu-mineuse et ramollie; le cœur droit et les gros
troncs
veineux sont gorgés d'un sang noir, comme sirupeu
oi interne des veines caves, celle de l'artère pulmonaire et des gros
troncs
artériels. — Les recherches d'hématologie positiv
entaient des altérations analo-gues. Pendant la vie, l'irritation des
troncs
nerveux s'était révélée par d'atroces douleurs oc
ur coloration normales à droite, les ganglions spinaux, ainsi que les
troncs
ner-veux formés par la réunion des racines spinal
ci ayant conservé tous les caractères de l'état normal. En dehors des
troncs
de conjugaison, la coloration rouge des troncs ne
normal. En dehors des troncs de conjugaison, la coloration rouge des
troncs
nerveux s'efface peu à peu, et elle n'esl plus gu
ant du plexus cervical. L'examen microscopique des ganglions et des
troncs
nerveux, rouges et tuméfiés, a démontré ce qui su
rame lamineuse des noyaux plus nonîbreux qu'à l'état normal. Dans les
troncs
nerveux, le névrilème présen-tait également une i
déterminée par la pression qu'exerçaient sur les ganglions et sur les
troncs
nerveux, au niveau des trous de conjugaison, les
certaine étendue, aux deux branches des nerfs spinaux ; mais dans les
troncs
nerveux, comme dans les gan-glions, les altératio
tomatique se développe de préférence dans les cas où l'af-fection des
troncs
nerveux consiste en une véritable névrite ; mais
llons et les fentes sont disposés dans un certain ordre. Au cou et au
tronc
, ils affectent une direction verticale et se port
aient, les unes des artères vaginales du côté gauche et les autres du
tronc
même de l'artère utérine du côté droit. Les petit
urs ont confondu leur histoire symptômatique avec celle des kystes du
tronc
cellulaire, elles ont été soumises aux mêmes indi
ore quelques aliments liquides, les refuse complètement. Les bras, le
tronc
et la face s'amaigrissent à un degré extrême ; ce
contre la constipation, l'emploi de l'eau froide en affusions sur le
tronc
et la colonne vertébrale, les onctions avec la po
ent des doigts. Le tact est moins diminué sur la surface cutanée du
tronc
qu'aux membres : mais il est loin d'y être normal
igner. Les mains sont fai-bles. Le tact est aussi très obtus sur le
tronc
. Les masses musculai-res de la région postérieure
tus sur le tronc. Les masses musculai-res de la région postérieure du
tronc
ont encore bien peu de vi-gueur, et pour s'asseoi
t arrivés chez elle à un plus haut degré de gravité dans les yeux, le
tronc
et les membres supérieurs que dans les membres in
illements dans les doigts ; sensibilité cutanée très affaiblie sur le
tronc
. La malade éprouve encore maintenant les douleu
chée, la faiblesse des masses musculaires des parties postérieures du
tronc
ne lui permettant ni de s'asseoir d'elle-même, ni
rqué] pas de tremblement labial. i , Cou : .circonférence : 36. -
Tronc
, normalement conformé; Appareil circulatoire (P
nt étendu à terre sur l'ab- domen, les bras s'écartent lentement du
tronc
jusqu'à angle droit; les jambes s'écartent égal
ugit, la contracture devient générale; le cou est en extension ; le
tronc
raidi se dresse à moitié; les membres supérieur
ec ses doigts. - Circulation, rien de particulier. - Musculature du
tronc
et de l'abdomen bien développée. Organes géni
s. Attitude. - Corps incliné en avant, les bras un peu écartés du
tronc
, les avant-bras à angle droit transversalement.
en soulevant lour- dement les pieds et en frappant le sol; le
tronc
est incliné à gauche et les deux genoux co-
42 DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. sillons. Par suite de la déviation du
tronc
basilaire vers la gauche, l'artère cérébrale po
it à accomplir une série de mouvements involontaires de la tête, du
tronc
ou d'un des mem- bres, etc. (chorées roicaloirc
aux mouvements désordonnés des membres supérieurs. - Contorsions du
tronc
, du cou, des muscles de la face; signes plus ma
e froid semblent être plus vivement perçus à gauche qu'à droite, au
tronc
, aux membres et à la face ? DEUX CAS D'ATHÉTO
lui, les membres supérieurs quittent leur position allongée sur le
tronc
, s'écartent, s'élèvent et se rapprochent vers l
garde les bras allongés, les mains restent en contact, il penche le
tronc
en avant, fait un effort considérable pour se m
la station verticale, la tête est animée de petites oscillations le
tronc
se tient à peu près droit, mais les cuisses sont
ppelant celles des pantins à ressort. Dans la marche, D... porte le
tronc
un peu en arrière et incliné à droite, la tête
né à droite, la tête dans l'extension ; le bras droit est accolé au
tronc
, l'avant-bras très écarté et. élevé; le bras ga
nt, grandes ou- vertes sur les barreaux des lits, en même temps le-
tronc
et le cou se contournent et les plis de la face
quelques égards. Assis, Lem... a les bras allongés sur le devant du
tronc
et tient sa main droite avec la gauche; la jamb
à la hauteur de la tête et un peu en arrière, en même temps que le
tronc
s'incline à droite et en arrière, le côté gauche
e les mêmes préparatifs : éléva- tion du bras droit, inclinaison du
tronc
, etc.; puis, il saisit la cuillère avec des mou
facilement. Dans l'acte de se lever de sa chaise, Lem... penche le
tronc
en avant, étend fortement les bras dans la même
nfluence des émotions même légères les mouvements des membres et du
tronc
et les grimaces de la face s'exagèrent à un hau
apismes sur les jambes, les cuisses et à la nuque, fric- tionner le
tronc
avec de l'alcool camphré, en même temps que nou
es une hypesthésie assez régulière, et relativement précoce, sur le
tronc
, hypesthésie qui ne correspondait pas à la dist
la moelle dorsale les cas où les extrémités inférieures et tout le
tronc
présentent des phénomènes d'anes- thésie étendu
cher les hypesthésies d'abord isolées, et s'étendant par bandes, du
tronc
, à des dégénéra lions locales, isolées, de quel
, qui permettent d'affirmer l'existence d'altérations dans les gros
troncs
nerveux périphériques et dans les arborisations
éphale. G. D. XXIV. Contribution à la physiologie des mouvements du
tronc
et à la théorie de la scoliose sciatique; par L
tant pendant, avec une très grande précision. De même la flexion du
tronc
peut s'effectuer malgré l'atrophie ou la paralysi
oints d'insertion rapprochés les uns des autres. Dans la flexion du
tronc
l'action des extenseurs ou antagonistes est don
ne celle des fléchisseurs. Si les extenseurs n'agissaient point, le
tronc
, par le fait de la pesanteur, REVUE D'ANATOMIE
de gravité, et toute flexion graduelle serait impossible. Quand le
tronc
s'incline à droite, ce sont les muscles chargés d
Que se passe-t-il donc dans les extenseurs pendant les flexions du
tronc
, dans les muscles inclinateurs de gauche pendant
c, dans les muscles inclinateurs de gauche pendant l'inclinaison du
tronc
à droite ? Il s'y passe un phénomène d'arrêt gr
tion. Sinon la force opposée de la pesanteur ne pourrait pousser le
tronc
en avant ou sur le côté. Il faut que pour que l
ronc en avant ou sur le côté. Il faut que pour que l'inclinaison du
tronc
soit graduelle et efficace, l'innervation des m
ace, l'innervation des muscles chargés de maintenir la rectitude du
tronc
, diminue à mesure que les fléchis- seurs, c'est
enèse de la scoliose ? Dans la situation de la rectitude normale du
tronc
, les muscles érecteurs des deux côtés doivent m
ue la colonne demeure droite. Dès que, pour un motif quelconque, le
tronc
tend à s'incliner à droite, l'érecteurde gauche
de ses nerfs moteurs, perd de sa force, comme dans la sciatique, le
tronc
, par l'effet de la pesanteur, penche à gauche.
encore quelque travail pour arrêter l'excès d'inflexion latérale du
tronc
; il le peut, en effet, car la sciatique n'entrain
été lente et incomplète. Comparées il des névrites traumatiques des
troncs
nerveux, les paralysies radiculaires du plexus
ndaire plus rapide et plus intense que les lésions traumatiques des
troncs
nerveux eux-mêmes, ou bien la cau-e qui produit
ypho-scoliose dorso-lombaire à grande courbure, et une plicature du
tronc
en avant, au niveau du creux épigastrique. Cett
res. Elle était pro- - agressive, frappait les quatre membres et le
tronc
; les mâchoires restaient mobiles, la déglutitio
avail classique de Beard. R uE 111USGUA1'E Ccax. XV : Anesthésie du
tronc
dans l'ataxie locomotrice; par Hugh T. Patrick.
mbre d'observa- teurs ; aussi est-il surprenant que l'anesthésie du
tronc
, si remar- quable par son siège, sa délimitatio
n effet, est en substance une analgésie, tandis que l'anesthésie du
tronc
est essentiellement tactile. Quant elle est peu
des segments de la moelle. A mesure que l'anesthésie monte sur le
tronc
, elle envahit les extrémités supérieures, exactem
une faiblesse, une perversion ou une abolition de la fonction du
tronc
nerveux malade. Dans tous les cas observés par l'
r, ni d'hémorragie, ni de lésions macroscopiques inflammatoires des
troncs
nerveux, la lésion vraie consistant, autant du
. Au lit, les jambes res- tent allongées, les bras collés contre le
tronc
, les avant-bras fléchis, les mains fermées repo
pour les membres supérieur et inférieur, réaction normale pour -le
tronc
et la face. Aux membres supérieur et inférieur dr
, consécutive à une généralisation d*'un cancer de l'uté- rus ; les
troncs
nerveux sont comprimés et en partie dégénérés, le
aque convulsive. Cette paralysie s'ex- plique par la compression du
tronc
du facial, à l'endroit où il sort à la surface
e trajet de la vertébrale gauche au niveau où elle se jette dans le
tronc
basilaire, destruction presque complète de l'hé
ndant à l'abdomen et le long des cuisses : la sensibilité du bas du
tronc
et des jambes était abolie ; le pouls était nor
le membre supérieur avec l'avant-bras en flexion, était appliqué au
tronc
: le membre inférieur était aussi en flexion, l
les pieds sont indemnes, l'infiltration adipeuse est diffuse sur le
tronc
mais net- 508 SOCIÉTÉS SAVANTES. tement nodul
à - Il- de Derby, par Legge, 432. - 529. Ataxie. Anesthésie du
tronc
dans il-, par Patrick. 246. Troubles moteurs
ns la -, par l'reobrajensky. 436. Mouvements Physiologie des du
tronc
, par Mann, 146. 1)1)1 : LITE-.N-%TUIE et traite
x. Cet état indicateur d'une affection scléreuse et atro- phique du
tronc
des nerfs optiques éveilla l'attention sur une
teindre les leviers osseux constituant l'armature des membres ou du
tronc
. Ces déplacements sont déterminés par l'action
1° Station et locomotion (mouvements des membres inférieurs et du
tronc
) : chez les tabétiques, les hémiplégi- ques, le
es postérieurs de la cuisse, de ceux de la ceinture pelvienne et du
tronc
. Sans doute aucun neurologiste ne peut ignorer
n neurologiste ne peut ignorer l'existence de l'incoordi- nation du
tronc
, mais sa fréquence était méconnue ; au con- tra
xiste des troubles de l'équilibre, la statique et les mouvements du
tronc
sont anormaux, et qu'un médecin qui ne disposer
à propos de la rééducation. Nous avons déjà signalé l'importance du
tronc
à cet égard. Nous avons essayé de montrer que
, prises en grande considération : la participation si fréquente du
tronc
, par exemple, complique beaucoup les difficulté
canne et de l'autre sur un bras. L'incoordination, assez accusée au
tronc
et à la jambe gauche, compromet à tout instant
e rétablit à mesure que se corrigent les signes observés du côté du
tronc
. Aujourd'hui B... n'a plus besoin d'au- cun app
, on assiste à une poussée de la maladie, l'incoordination gagne le
tronc
. Après cette poussée, le traitement est repris.
.., cinquante ans, comptable. Incoordination moyenne intéressant le
tronc
et le membre inférieur gauche. Le LA RÉÉDUCATIO
arfois l'équilibre, ce défaut se corrige bien par la rééducation du
tronc
; la démarche devient régulière, la plupart des
trophie intéresse la face et la langue, à droite, les membres et le
tronc
à gauche; dans le deuxième cas, la face est ind
complètes, au moins très serrées de la plupart des articulations du
tronc
et des membres. L'auteur élimine le diagnostic
t en quelques endroits, et sensibilité à la pres- sion de plusieurs
troncs
nerveux (sciatique, péronier, médian, tri- jume
d'un nerf crânien, pour atteindre avec le temps également d'autres
troncs
nerveux. Parmi les nerfs crâniens, le facial, plu
artie supérieure du plancher du quatrième ventricule, soit dans son
tronc
et ses branches par le moyen des nombreux filet
e à la fatigue des membres. En peu de semaines les extrémités, le
tronc
et la nuque témoignent du même syndrome et de la
a suivante : prédominance sur le maxillaire inférieur ; atteinte du
tronc
et de la nuque plus que des jambes, des jambes
s jambes, des jambes plus que des bras, des parties avoisinant le
tronc
plus que de celles qui en sont éloignées. La ré
muscles innervés par les nerfs crâniens, mais aussi les muscles du
tronc
et des membres tributaires des nerfs rachidieus
nquante- neuf ans, atteinte de mouvements singuliers de la tête, du
tronc
et des membres. Ces mouvements, à première vue,
u visage, des hochements de tête et toutes sortes de contorsions du
tronc
et des membres. Ces mouvements sont tantôt conv
avec plus ou moins de rapidité 240 0 CLINIQUE NERVEUSE. jusqu'au
tronc
principal et aux centres. Dans presque tous les
obertson ; cypho-scoliose ; hypertrophie et dureté très marquée des
troncs
nerveux des extrémités ; hérédité simi- laire.
EUSE. 283 libres nerveuses des nerfs intra-musculaires, lésions des
troncs
ner- veux de l'avant-bras et de la jambe) ; lés
. On y a recours lorsqu'on considère comme témé- raire d'aborder le
tronc
lui-même du trijumeau. Dans ces dernières année
ant par suite de coexistence de flexion combinée de la cuisse et du
tronc
et peut-être du signe de Babinski de con- clure
, paupières, globes oculaires, vision, nez, lèvres, mâchoires, cou,
tronc
, épaules, bras, bassin, membres inférieurs, etc
s, les mouvements mimiques menus sontabolis. Dans la musculature du
tronc
et,en partie, dans les extrémités, on observe a
atrophique par les muscles de la nuque, de la région postérieure du
tronc
et de la ceinture pel- vienne,' d'où attitude e
s ans des phénomènes myotoniques généralisés de la face, du cou, du
tronc
et des membres. L'examen anatomique des muscles
549 Du trouble dissocié de la sensibilité cutanée dans la lésion du
tronc
cérébral. Dr G. Rossolysio. L'auteur communiq
et thermique dans toute la moitié gauche de la face, de la tête, du
tronc
et des extrémités gauches. Un petit affaiblisse
édoncules céréhelleux antérieurs de reconnaître l'existence dans le
tronc
cérébral des voies particulières, ne correspond
pris à part. C'est ensuite les expressions données par la tête, le
tronc
et enfin les membres qui sont examinés un à un d'
plégie. Du - dissocié de la sensibilité cutanée dans la lésion du
tronc
cérébral, par Rossoluno, 519. 'I'ROI'llol-DÈ3
ment. Deuxième coupe. (PL. II.) La section tombe à la fois sur le
tronc
ou portidn verticale de la capsule et sur une p
s faisceaux de la couronne rayonnante elle-même, la constitution du
tronc
de la capsule in- terne et celle du centre oval
secousse violente de toute l'épaule et qui peut même s'étendre au,
tronc
tout entier. Une de nos anciennes malades, Bar.
met en pronation et en légère flexion, puis ramené sur les côtés du
tronc
, le membre tout entier s'immobilise dans une at
tion, l'autre jambe est également contracturée dans l'extension, le
tronc
s'est redressé, la tête est maintenue renversée
f, nous avons choisi, pour les soumettre à l'expéri- mentation, des
troncs
nerveux assez volumineux et faci- lement access
tous les muscles innervés par le médian. A priori, l'excitation du
tronc
nerveux lui-même pro- duira les mouvements suiv
par une sorte d'élection, aux extrémités nerveuses, tandis que les
troncs
et centres nerveux lui sont indifférents. Out
ents. Il existe d'ailleurs d'autres tracés pour les oscillations du
tronc
, pour celles des bras pendant la marche, pour l
humide pernicieuse, on voit I'oedème des membres inférieurs et du
tronc
, la bouffissure de la face se développer rapideme
a pro- voqué la contraction en masse des muscles innervés par ce
tronc
nerveux et n'a pu* produire qu'une grimace. » L
dans le cours des expériences que nous venons de rapporter, que les
troncs
nerveux comme les muscles- eux-mêmes'étaient au
des muscles qu'ils -innervent, le. prouvent pé-t remptoiremenf. Le
tronc
de''la'septième paire est ac- ' i cessible. à l
On peut, dit'Duchenne,t atteindre le tronctde ce nerfàsa sortie du
tronc
stylo-mastoïdien, enlipla- çantdans le conduit
, e-t , ! ,inr,· ,3 lif - [;, 0 On conçoit qu'en ce même point ? ce
tronc
nerveux protégé par les os et les cartilages,-
nce représentée Figure 2, PLANCIIE IY, l'excitation porte sur le -
tronc
nerveux- lui-même, en avant du lobule de l'orei
antes au creux épigastrique, avec irradiations douloureuses dans le
tronc
et les membres et une sensation très pénible de f
240 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tumeurs existent sur plus d'un
tronc
nerveux principal ou sur ses branches. L'articl
. : <.n m r - \u* ; . j REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 241 d'un
tronc
nerveux de petites tumeurs fusiformes, non adhé-
lésion du trijumeau ou des fibres sympa- thiques contenues dans le
tronc
nerveux (Eulenburg) ; trouble vaso-moteur de la
e marasme, la mort arrive dans le sopor au milieu de convulsions du
tronc
, répétées. Durée de l'affection : neuf mois. Le
role dans' le second/5 les' secousses n'occupent que les muscles'du"
tronc
! des 'épaules* et quelques muscles de la face;
ard pense, au contraire, que lorsqu'un choc arrêtant brusquement le
tronc
a lieu, la moelle épinière suit le mouvement ac
est conservée aux membres supé- rieurs et à la partie supérieure du
tronc
jusqu'au niveau de l'ombilic, suivant une ligne
agnent d'une contraction qui a pour effet de rapprocher les bras du
tronc
. 19° jour. - IIyperesthésic des muscles des mem
pression à leur niveau est très douloureuse. Les bras sont fixés au
tronc
et le malade pousse des gémissements lorsqu'on
ccusé des membres supé- rieurs. Il accuse, à la face postérieure du
tronc
, une sensation de froid humide comme s'il était
rvenus des mouvements involontaires dans les muscles de la face, du
tronc
et des membres, mouvements qui n'ont fait que s
de secousses convulsives des muscles de la face, des épaules et du
tronc
. Mais assez souvent 42 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'
lle. A la fin de tous ces phénomènes-là, la malade transpire sur le
tronc
; mais principalement sur le cou et sur le visag
es qui ouvrent et ferment la mâchoire inférieure; 6" La nuque et le
tronc
sont, dans les convulsions hémitatérales, tirée
et en second lieu sur le centre spinal, sans excepter cependant les
troncs
nerveux ; il doit y avoir aussi une action à pa
u par le nez dans l'intérieur de la tête, ou lui séparer la tête du
tronc
pour lui faire cesser les sensa- tions pénibles
t en italique. Le chapitre qui traite du cerveau se scinde en A, le
tronc
avec les ganglions de la base; B, le manteau (s
rons l'attention sur la structure histologique des masses grises du
tronc
. On y rencontre d'abord une série de coupes tra
ue et la zone de transition de cette région en d'autres portions du
tronc
du cerveau. La région optcco-nucléo-lenticulair
e la même façon. Enfin, en guise de synthèse, l'auteur examine le
tronc
cérébral à l'aide de coupes horizontales, et résu
é par M. Gull 3 sous le titre : Atrophie progressive des muscles du
tronc
et des extrémités supérieures à 1 Saint Petersb
vant et ne peut être rejetée en arrière que par les oscillations du
tronc
. La marche était vacillante plutôt à cause de l
nte plutôt à cause de la faiblesse des mus- cles qui soutiennent le
tronc
que par la faiblesse des jambes. Le malade ne p
rveuses intra- musculaires, dégénérescence qui occupe également les
troncs
, mais y est moins accusée; intégrité des vaisse
inution évidente de la sensibilité tac- tile. La paralysie gagne le
tronc
et le diaphragme (fréquence très grande du poul
élite. llorris (1879) : Traction du nerf sciatique à l'émergence du
tronc
chez un enfant de sept ans ( ! ) pris de tétano
moteurs, nous voyons l'anesthésie épargner la partie supérieure du
tronc
et les membres supérieurs, lorsque la paralysie
e lentement. Le retour de la sensibilité s'opère aussi très vite au
tronc
, et finit par gagner, mais beaucoup plus lentem
chet était le même aux éminences de la main. Le bras était collé au
tronc
, et le malade ne pouvait l'en détacher. La flexio
es organes sensoriels droits. Intégrité de la plus grande partie du
tronc
et de toute l'extrémité inférieure droite quanta
lle se limite principalement au bras droit et à la moitié droite du
tronc
. Graduellement se développe de l'insen- sibilit
ilité dans tous ses modes sur les deux extrémités su- périeures, le
tronc
, le cou, la région du maxillaire inférieur, les
parésies sur les groupes mus- SOCIÉTÉS SAVANTES. 435 culaires du
tronc
et du facial, modifications dans l'aboiement, t
un état prononcé de démence, avec parésie des quatre extrémités, du
tronc
, des muscles innervés par le facial. Le pre- mi
s et que la tête lan- cée en l'air par un ressort retombe devant le
tronc
par son propre poids, pour être de nouveau reje
outre des expériences électriques montrant que si on électrise les
troncs
nerveux dans un moignon ou au- dessus on provoq
de particulier à la palpation. Douleur nulle à la pression sur les
troncs
nerveux, sur le plexus brachial, au-dessus et a
s inférieures et sur le sympathique cervical ; pôle positif sur les
troncs
nerveux du plexus brachial. De temps à autre, q
par le procédé de Jendrassik, sous l'influence des mouvements du
tronc
et des membres supérieurs. Quoi qu'il en soit,
, mais ne présentait aucun signe de myélite. Les muscles et lesgros
troncs
nerveux portaient des signes de processus infla
mbre pend le long du corps, incapable d'être soulevé ou écarté du
tronc
. Tous les muscles sont en pareil cas intéressés
tion de la sensibilité de ce côté porte sur la moitié antérieure du
tronc
et sur le membre supérieur tout entier. Le ventre
ité normale. A gauche, la sensibilité est également émoussée sur le
tronc
et sur le membre supérieur (voir le schéma), ma
nt étendu à terre sur l'ab- domen, les bras s'écartent lentement du
tronc
jusqu'à angle droit; les jambes s'écartent égal
e mord les mains; elle est affectée de mouvements de balancement du
tronc
d'arrière en avant et vice versa. Le 15 mai 188
ltération de la sensibilité de ce membre, et de la moitié gauche du
tronc
. Il n'existait ici dans cer- tains endroits, qu
gésie observées sur l'épaule droite, sur la partie supé- rieure du
tronc
du même côté, avec lésion limitée de la face un
cen- timètres au-dessous de la clavicule à la surface antérieure du
tronc
. Le sens de la température est considérablement
au lit, parfois sentiment de chancellement et de secousses dans le
tronc
même dans la position assise d'origine ap- pare
e aux mouvements désordonnés des membres supérieurs. Contorsions du
tronc
, du cou, des muscles de la face; signes plus ma
e froid semblent être plus vivement perçus à gauche qu'à droite, au
tronc
, aux membres et à la face ? La vue est bonne.
lui, les membres supérieurs quittent leur position allongée sur le
tronc
, s'écartent, s'élèvent et se rapprochent vers l
garde les bras allongés, les mains restent en contact, il penche le
tronc
en avant, fait un effort considérable pour se m
la station verticale, la tête est animée de petites oscillations le
tronc
se tient à peu près droit, mais les cuisses sont
ppelant celles des pantins à ressort. Dans la marche, D... porte le
tronc
un peu en arrière et incliné à droite, la tête
né à droite, la tête dans l'extension ; le bras droit est accolé au
tronc
, l'avant-bras très écarté et élevé; le bras gau
uvements choréiformes exagérés qui lui font tordre et contracter le
tronc
, les quatre membres et le cou à chaque pas qu'i
ent, grandes ou- vertes sur les barreaux des lits, en même temps le
tronc
et le cou se contournent et les plis de la face
quelques égards. Assis, Lem... a les bras allongés sur le devant du
tronc
et tient sa main droite avec la gauche; la jamb
à la hauteur de la tête et un peu en arrière, en même temps que le
tronc
s'incline à droite et en arrière, le côté gauche
e les mêmes préparatifs : éléva- tion du bras droit, inclinaison du
tronc
, etc. ; puis, il saisit la cuillère avec des mo
facilement. Dans l'acte de se lever de sa chaise, Lem... penche le
tronc
en avant, étend fortement les bras dans la même
nfluence des émotions même légères les mouvements des membres et du
tronc
et les grimaces de la face s'exagèrent à un hau
mme la nervure principale de la feuille. Cette veine, comparable à un
tronc
court, relativement d'un fort calibre, (1) Le m
t comme les rayons d'un cercle ; —dans tout le reste de l'éten-due du
tronc
, les branches naissent perpendiculairement à sa d
cularité digne d'être relevée, qui, chemin faisant, même sur les gros
troncs
, se détachent perpendiculairement, se répandent d
voit dans les canaux portes et dans les espaces. Il y a souvent deux
troncs
artériels pour un seul tronc veineux. On distingu
t dans les espaces. Il y a souvent deux troncs artériels pour un seul
tronc
veineux. On distingue trois ordres de rameaux ar-
avité de l'intestin. Il est des cas où l'ulcération s'ouvre dans le
tronc
de la veine porte ou dans les branches qui lui do
gue à celui que nous avons vu se présenter à propos de la phlébite du
tronc
porte, consécutive aux lésions du canal cholédoqu
ré-seau, deviennent progressivement moins volumineux. Tandis que les
troncs
d'origine, répondant aux canalicules interlobu-la
que subissent les divers rameaux qui se renden à la veine porte et le
tronc
lui-même de la veine. Cette dis-tension peut alle
ites par les veines sus-hépatiques et par l'artère hépatique, dont le
tronc
est quelquefois dilaté jusqu'à mesurer 14 à 15 mi
tra-hépati-ques a quelquefois pour résultat une oblitération des gros
troncs
extra-hépatiques eux-mêmes. C'est, en particulier
e gastrique supérieure ou coronaire stoma-chique qui se jette dans le
tronc
de la veine porte. Les deux derniers vaisseaux pe
ù il résulte que, si la circulation hé-patique persiste dans certains
troncs
volumineux, le sang pourra passer par l'intermédi
e sur le sinus de la veine porte. Quand l'obstacle siège soit dans le
tronc
de la veine porte, soit au-dessous, la circulatio
dessous, la circulation supplé-mentaire devra se faire plutôt par les
troncs
d'origine de la veine porte : hemorroidales, œsop
exité étroite avec le système porte intra-hépatique, car, lorsque les
troncs
portes ne sont pas oblitérés, l'injection y pénèt
quelque sorte capillarisée, les capillaires des lobules et les grands
troncs
veineux conservant seuls, du moins dans la règle,
patiques. Nous avons fait ressortir déjà que, d'après M. Frerichs, le
tronc
de l'artère hépatique est, dans la cirrhose vulga
r ordre, s'abouche, ainsi que d'autres canaux du même ordre, dans des
troncs
plus volumineux, lesquels viennent s'ouvrir par u
présenté sur la surface de section, par la région comprise entre deux
troncs
artériels interlo-bulaires. Au,centre du lobule s
uté le second jour de la maladie et couvrait au moment de l'entrée le
tronc
et les membres; la gorge était à peine affectée,
hens. Les capillaires qu'elle fournit déversent le sang dans un autre
tronc
veineux qui porte ajuste titre le nom de vena ren
e système capillaire provenant de la veine porte rénale, soit dans le
tronc
même de cette veine. Vous comprenez aisément qu
hir. Lorsqu'on cherche à mettre le bras en abduction par rapport au
tronc
, la malade accuse une certaine douleur dans la
nt aux lits voisins, et encore faut-il la soute- nir. La tête et le
tronc
sont très penchés en avant. La plus grande part
faire un signe négatif, elle est obligée de remuer presque tout le
tronc
pour imprimer à sa tête le mouvement désiré. On
Voy. Avezou : De quelques phénomènes consécutifs aux contusions des
troncs
nerveux du bras. Thèse de Paris, 1879. 6 Hayem.
scalpel les muscles fessiers, et on arrive au tiers supé- rieur du
tronc
du nerf sciatique, à l'endroit qui pré- cède la
moment, le lapin est chloroformé. On fait ensuite passer sous le
tronc
nerveux un crochet métallique, et on opère la t
près une traction s'élevant à 5 kilos, et aussi après la rupture du
tronc
nerveux. Somme toute, les lapins supportent ass
presque autant de tubes dégénérés que dans les cas de rupture du
tronc
nerveux. Il nous est arrivé maintes fois de rom
TIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 63 lève tout le corps du malade sur le
tronc
nerveux, à l'arrachement d'un nerf avec ses rac
ons spinaux; il porte encore sur quelques ganglions et sur quelques
troncs
nerveux en arrière. Il en résulte une paralysie
ures directement atteintes, dégénérescence descendante de plexus et
troncs
nerveux co-affectés, atrophie dégénérative des
troubles de la sensibilité; atteinte successive des extrémités, du
tronc
, du diaphragme. Il y avait concur- remment tube
intégrité de leurs éléments à leur origine. Intégrité également des
troncs
nerveux du bras droit, intégrité des racines an
nerveuse, de dimensions fort variables, ont pour siège ordinaire le
tronc
et les membres. Tantôt une douleur caractéristi
éflexe consiste en une inflexion très prompte et assez énergique du
tronc
du côté excité, et un peu en avant; en même tem
ille et Re-nard, M. Richer n'en ont rencontré que sur la tête et le
tronc
; il résulte des explorations de M. Pitres que che
hystérogènes seulement sur les membres; il y en avait aussi sur le
tronc
ou la tête. Dans la majorité des cas, les zones d
es convulsions. Il est probable que le point de départ est dans les
troncs
nerveux, car ou peut également provoquer l'attaqu
peut également provoquer l'attaque par la compression énergique des
troncs
nerveux qui se rendent il. la zone sous-cutanée
le, DES FAMILLES D'IDIOTS. 187 comme les rameaux divers d'un même
tronc
», dit Moreau (de Tours). Ce serait fort mal co
e reposé. MALADIE DE THOMSEN. 209 Les mouvements de la tête et du
tronc
sont gênés de la même façon que les mouvements
ait le faire un sujet tout à fait sain. De même il peut incliner le
tronc
en avant et le relever sans aucune difficulté p
motilité que nous venons de décrire pour les muscles des membres du
tronc
et de la face. La déglutition et la phonation s
etard de la sudation du côté hémi-anesthésié. Bientôt le visage, le
tronc
et les membres supérieurs sont couverts de sueu
il a conservé l'habitude de plier et de relever alternativement le
tronc
. 11 a pris en affection dès l'entrée un autre e
use confluente à la région lombaire, discrète sur les membres et le
tronc
; à la nuque, les papules présentent une petite
ption est modérément continente vers la face, peu contluente sur le
tronc
; les taches, larges et pâles, sont difficiles à
, a eu, dans le courant de l'hiver 1872, un eczéma de la face et du
tronc
qui n'a pas reparu. Pas d'alcoo- lisme, ni de m
les-ci ont été suivies de dimi- nution de la sensibilité cutanée du
tronc
et des membres. Mort de phthisie pulmonaire. Au
bras, à jeter ces membres en avant ou en arrière, à faire subir au
tronc
la même gymnas- tique, pour régulariser le jeu
ent et cependant le patient le sent derrière le dos, comprimé parle
tronc
qui pèse sur lui, ou bien il le croit sur sa po
s montre un malade alleinl d'hémiplégie droite sen- sitivo-motrice (
tronc
et membres) avec paralysie gauche de qua- tre n
tain rôle dans la production des accidents. L'intégrité absolue des
troncs
nerveux parle déjà contre celte hypothèse ; seu
méningite gommeuse de la base du cerveau affectant en l'espèce les
troncs
nerveux en question. L'état ophtalmoscopique et
avec la cavité cérébrale et l'oedème central ne peut se propager au
tronc
du nerf optique. La papille étran- glée passagè
pour lutter contre l'incoordination des membres infé- rieurs et du
tronc
, des membres supérieurs, et de certains mus- cl
itation qui, parties de la périphérie,se propa- geaient le long des
troncs
nerveux,pour gagner la moelle. Uneréaction cont
la suite d un traumatisme, d'une plaie, sont véhiculées le long des
troncs
périphériques (voir expérimentation), jus- LE S
constata- ble par la radiographie, et surtout par la palpation des
troncs
nerveux souvent hypertrophiés. Le diagnostic
ifération du tissu conjonctif, l'hypertrophie des bran- ches et des
troncs
nerveux, et la destruction secondaire des tubes
, le microbe ne remonte ni bien haut, ni bien loin à l'intérieur du
tronc
nerveux. Il est appelé du reste à disparaître,
(Lyon). On admet que dans le plexus brachial de l'homme les divers
troncs
résultant de la fusion des racines s'organisent
racines s'organisent pour former un plan postérieur d'ex- tension (
tronc
radio-circonflexe) et un plan antérieur de flex
e. Chaque racine (surtout Cv , CYI, Ci"). avant la constitution des
troncs
, se sépare déjà très nettement sur la fin de so
ceaux postérieurs de C , CVI, CVII, par leur fusion, constituent le
tronc
radio-circonflexe qui vient renforcer le faisce
dio-circonflexe qui vient renforcer le faisceau postérieur émané du
tronc
commun de CVIII, et Di. Les faisceaux antérieur
s faisceaux antérieurs de Cv , Cn, Vif, forment par leurfu- sion le
tronc
commun du médian et du musculo-cutané (dit raci
tronc commun du médian et du musculo-cutané (dit racine externe du
tronc
) que vient renforcer un gros faisceau UN CAS D'
S D'HYSTÉRIE SIMULANT LA SCLÉROSE EN PLAQUES. 230 antérieur venu du
tronc
commun C"" et D' (dit racine interne du médian)
n élec- trique, démontrer la persistance de l'excitation, dans le
tronc
inférieur de la moelle au niveau des cordons anté
sensitives y sont bien constituées, en rapport avec des racines des
troncs
nerveux du moteur oculaire externe des septième
rotubérance (forme bulbo-protubérantielle), soit par les muscles du
tronc
et des extrémilés(formespinale) . Les muscles man
anes du bassin. Il existait des douleurs aiguës indépendantes ; les
troncs
nerveux étaient sensibles ; les doigts médians
n d'un oeuf de pigeon. Gland découvrable (smegma, abondant.). Face,
tronc
, mem- bres, périnée, anus, glabres. Verge : lon
ale, donnent une idée exacte (déviation antérieure et latérale du
tronc
, inclinaison de la tète, bouche, héante) et la
gérés. 11 a Iles cas .où l'activité (les muscles de la jambe' el du
tronc
est plus intense que celle des muscles de la fa
n avant. Son rôle esl d'a ? sul'l'l'l'('l(uilihl'alinl1 latérale du
tronc
si elle <Ol'IHN' à l'inflexion latérale de l
nt une voussure mar- quée du dos : la tète est portée en avant ; le
tronc
est tassé ; les genoux sont légèrement fléchis
échis et écartés l'un de l'autre, les bras s sont tenus éloignés du
tronc
. Les déformations, que' les auteurs décrivent e
tieux détails illustrés par la photographie, portent surtout sur le
tronc
et les membres inférieurs : le thorax tourmenté
x, parfois repoussant, duvsage, l'affaissement souvent notable du
tronc
donnent il ces malades un aspect bien spécial. Le
ables, sans inlilll'ation ni dans les parois ni en dehors. Les gros
troncs
veineux de la pie-mère, au niveau du sillon ant
l'u'dème n'est pas seulement d'o- rigine mécanique (compression des
troncs
veineux anté- rieurs de la pie-mère) mais aussi
ale. La peau présente sur les membres et la plus grande partie du
tronc
des altérations qui rappellent un peu l'icthyose.
nir et comme traînée. 26 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. L'habitus général du
tronc
et des membres est assez remar- quable. Outre l
erait par conséquent extrêmement atrophié. Sur toute l'étendue du
tronc
, la peau est fine, d'un blanc mat, assez résist
rts, empâtés, et la peau y présente les mêmes caractères que sur le
tronc
; toutefois, on y observe un abaissement de temp
eures, n'a pas permis de doser l'urée éliminée de ce côté. Sur le
tronc
et les membres, la peau est absolument glabre,
ir che- velu. Cette desquamation, surtout marquée aux membres, au
tronc
et à la face, était furfuracée. Elle a disparu so
ge, et si la grosseur des diverses parties du corps, de la tête, du
tronc
, des membres, n'était démesurément exacérée. La
exacérée. La tête, en effet, est volumineuse, le col est court, le
tronc
est trapu, et les membres sont fort gros. - Le
tendues du .dos; peau assez pâle. - Les veines des extrémités et du
tronc
sont visibles; face cyanosée; l'épiderme desqua
partout, (excepté sur la face), et surtout aux parties latérales du
tronc
. - Le corps parait atteint d'anasarque générali
graisseuses et épaisissement scléreux ; il en est de même des gros
troncs
descendants; aucune trace de tissu thy- roidien
s, pas d'augmenta- tion des leucocytes. - 1° Musculature normale au
tronc
et aux extrémités; pas d'hyperplasie conjonctiv
stitiel abondant. - 4° La peau des diverses parties du corps (tête,
tronc
, membres, scrotum), est normale, sauf un fort p
'action de l'acide phénique pendant l'opé- ration, à une lésion des
troncs
nerveux, situés dans le voisinage de la glande
raideur persistante de la jambe droite et du bras droit; raideur du
tronc
. Ins- piration rude et soufflante à l'auscultat
fini. Enfin,deux ou trois fois par jour, il avait des secousses du
tronc
. Pendant les cinq mois qu'il est resté chez ses
ent de môme) : il est atteint d'un balancement antéro-postérieur du
tronc
; au lit, il aime à se bercer lui- même. Il tou
par la mère. TICS, ACCÈS DE COLÈRE, ETC. ib9 Assis, il balance le
tronc
d'avant en arrière et la tête laté- ralement ;
gai ; quand on le tient par les mains, il fait des mouvements du
tronc
comme s'il voulait sauter. On le renvoie à la pet
l'acoustique gauches sont également accolés à la tumeur, mais leur
tronc
parait de volume et d'aspect normal et n'est pa
issociante et atro- phique. Nerf trijumeau gauche. A l'oeil nu le
tronc
du trijumeau est étalé en fascicules grêles à l
tionnés et remplis de globules. A l'abord du ganglion de Gasser, le
tronc
du trijumeau gauche ne présente pas histologiqu
malade ne présente absolument rien à relever du côté de la face, du
tronc
et des membres supérieurs. Par contre les membr
s pé- nible à raison du mouvement inverse et contraire que le
tronc
est obligé d'exé- cuter sur le bassin. L'exam
ts, par l'immobilisation des membres supérieurs appliqués contre le
tronc
, les mains en pronation forcée. Il faut ajouter
agit pas d'une myélopathie ; il y a de la douleur à la pression des
troncs
nerveux, etc. Mais à côté de cela, notre homme
tion électrique des régions du cerveau, président aux mouvements du
tronc
ET DE la nuque chez le chien; par Werker. (Allg
ment délimités sur l'écorce céré- brale. Les centres des muscles du
tronc
et de la nuque n'ont pas encore été localisés d
uestion ; il a cherché où étaient situés les centres des muscles du
tronc
et de la nuque chez le chien, et s'il existait
tabilité du lobe frontal et au point de vue du siège des centres du
tronc
et de la nuque. Il n'y a à retenir que son affi
et Il. de Boyer, s'éleva Munk. Ce physiologiste place le centre du
tronc
chez le chien, dans le lobe frontal ; le centre
Ce dernier place , comme Unverricht, le centre de la musculature du
tronc
sur le gyrus sigmoïde postérieur enlre les cent
que les circonvolutions frontales prési- dassent aux mouvements du
tronc
et de la nuque. L'auteur a fait des expériences
dirigé du côté du centre excité ; 2° le centre de la musculature du
tronc
est situé sur le girus sygmoïde postérieur entr
Il en tenté la nosographie. - Généralement la blessure intéresse le
tronc
, surtout le dos seul ou concurremment avec d'au
r la voie ferrée, le corps d'un homme dont la tête était séparée du
tronc
. Aidé du garde-barrière, il ramassa le cadavre,
résumer que les vasomoteurs des veines cutanées sont situés dans le
tronc
nerveux général, très près des nerfs de la sens
des nerfs moteurs artériels et de l'hypoglosse droit, aneslhésie du
tronc
(plus bas que la clavicule) et des mem- bres du
phiés, la contraction à deux courants (comme du muscle ainsi que du
tronc
nerveux) = 0 ; dans les muscles qui ont conserv
scle orbicu- laire de la bouche du côté droit. A l'électrisation du
tronc
commun du nerf facial auprès du trou stylo-mast
tions grimpantes sont successivement en connexion avec le corps, le
tronc
et les branches protoplasmiques de ces neurones
rborisation quitte peu à peu le corps cellulaire pour envelopper le
tronc
protoplasmique d'abord, puis chacune de ses bra
'une vient se greffer sur l'autre, et, dans ce cas, laquelle est le
tronc
et laquelle est la greffe. Si la vie affective
es, avec celles qui apparaissent consécutive- ment aux sections des
troncs
nerveux, telles qu'elles ont été cons- tatées p
n clas- sique formulée par Cruveilhier, une oblitération totale des
troncs
artériels du membre intéressé et de leurs colla
importantes ont été trouvées dans la moelle épinière et dans les
troncs
nerveux. Dans la moelle, ces lésions s'observent
e de la moelle. Dans le nerf crural et nerf ischiatique et dans les
troncs
du plexus brachial, il existe uue prolifération
n fit des recher- ches comparatives sur une moelle saine et sur des
troncs
ner- veux sains d'une personne du même âge; les
La dégénérescence rétrograde qui, à la suite de l'interruption d'un
tronc
nerveux, remonte dans le bout central vers le cen
ment terminé, elle se trouva paralysée des membres inférieurs et du
tronc
, de sorte qu'elle ne pouvait se tourner dans son
ilité à la douleur et à la température dans la partie supérieure du
tronc
et dans les membres supérieurs; 3° troubles tro
endroits excoriés ne renferment point de bacilles de la lèpre; les
troncs
des nerfs sont indemnes; la peau ne présente pa
-nous pas tous d'accord sur le centre qui correspond aux muscles du
tronc
. La loi acceptée sans discus- sion, enseigne qu
saurait être invoquée et ne cadre pas avec le neurone. Un seul gros
tronc
du membre ayant parfois suppléé à toute la sens
é à toute la sensibilité du membre,il faudrait admet- treque chaque
tronc
peut assurer à lui seul toute l'innervation d'un
(manque de réflexes patellaires, douleur à la pression de certains
troncs
céré- braux, démarche mal assurée, amaigrisseme
le antérieure. Dans beaucoup d'endroits de la moelle épinière et du
tronc
céré- bral on remarquait une grande accumulatio
e, je veux parler des altérations objectives dont sont le siège les
troncs
et les filets nerveux; l'exploration montre, en
de polynévrite qui réalise une semblable augmentation du volume des
troncs
nerveux : devons-nous donc conclure dans le cas
ubles trophi- ques du côté de la peau, enfin par l'hypertrophie des
troncs
nerveux périphériques, le tout survenant chez u
plate tandis que le bras pend librement et naturellement le long du
tronc
en pronation légère, celui-ci fait un léger mou
cussion des parties postérieures du deltoide : le bras s'éloigne du
tronc
ou s'élève. , William Pickett revendique la pat
ent à se restituer graduellement, mais dans la partie supérieure du
tronc
des deux côtés et dans le bras droit resta la par
De la paralysie atrophique des muscles de la partie supé- rieure du
tronc
des deux côtés, plus accentuée du côté droit ; de
et égaux des deux côtés. Dans les muscles de la face, du cou, du
tronc
, des membres supérieurs et', en partie, des membr
Archives, 2- série, t. XVIII. 13 194 PATHOLOGIE. souvent, sur le
tronc
, ils sont légèrement saillants et présen- tent
. Le siège des lésions cutanées serait par ordre de fréquence : -
Tronc
. Membres supérieurs. Abdomen. Tète. Très
que les nævi existent sur tout le corps mais, de préférence, sur le
tronc
; pour M. Delbet on les observerait plus fréque
a tête. Nos observations nous ont montré que ces lésions siègent au
tronc
puis aux membres supérieurs, contrairement à l'
répit, les malades se dissimulent complètement sous leurs draps, le
tronc
et les membres repliés sur eux-mêmes, les genou
ard vague, la tête légèrement inclinée, les bras ramenés le long du
tronc
,' les membres tantôt résistants, impossibles à dé
rnis par les organes des sens, la bouche (asymétries dentaires), le
tronc
et les mem- bres. Stigmates physiologiques. 1
que com- plète ; la température s'élève, les membres supérieurs, le
tronc
se prennent à leur tour, et tellement complètem
urs brusques sont consécutifs aux tics des membres supérieurs et du
tronc
; 3° Les tics de frappement (coups de poing ou
de suite; , 2° Leur rôle est d'assurer l'équilibration latérale du
tronc
, de s'opposer à l'inflexion latérale du rachis
résumer ainsi. A. Les cérébrales antérieures peuvent provenir d'un
tronc
commun issu d'une des carotides internes, toujo
nées. L'auteur énumère 17 combinaisons différentes de flexions du
tronc
en tous sens, de moulinets des bras et des jambes
droite que l'on porte plus loin vers la droite, puis on redresse le
tronc
, on place le pied droit sur le sol à une certai
la presque totalité des organes moteurs terminaux, après section du
tronc
nerveux, se font avec le concours et la partici
ne ceinture abdominale qui immobilise toute la partie intérieure du
tronc
et empêche les soulèvements du bassin. L'auteur
au de l'extrémité. Un léger duvet le recouvre. Le bras est collé au
tronc
; l'avant-bras fléchi sur le bras angle droit, e
cussion du foie, de la rate, des fosses iliaques. Les deux côtés du
tronc
sont à peu près semblables. Organes génitaux et
cune lésion dans le système nerveux périphérique (filets du spinal,
tronc
du sympa- thique cervical, ganglions cervicaux
ions au niveau du système nerveux périphé- rique (filets du spinal,
tronc
et ganglions du sympathique cervical) ne permet
les, bande de poils châtain brun, assez longs, de 6 cent. sur 2. Le
tronc
, les membres, sont glabres. Les seins, égaux, s
aillie légère, elliptique, presque lisse, à peu près sans rides. Le
tronc
, les membres, le périnée et l'anus sont glabres
oustaches naissantes ; duvet sur le reste de la face ; aisselles et
tronc
glabres. Pénil assez bien garni (8 cent. de lar
upérieure; rien à la lèvre inférieure ni au menton, niaux joues. Le
tronc
, en avant et en arrière, les bras, sont glabres.
e l'enfant : la physionomie n'est pas en rap- port avec son âge, le
tronc
, en particulier le bassin,n'est pas développé,
RNEVILLE, Bicêtre, 1903. 4 ùo ' De quelques formes de nanisme. Le
tronc
est cylindrique. Le thorax et l'abdomen ne sont
s abon- dants sur la paroi brachiale que sur la paroi thoracique.
Tronc
glabre, sauf à la région lombaire où il y a des p
vec infantilisme. 59 Abdomen : globuleux, pas trop volumineux. Le
tronc
(thorax et abdomen) est parfaitement cylindri-
urs s'effilent ré- gulièrement de leurs racines à leurs extrémités.
Tronc
cylin- drique. - Thorax globuleux, arrondi. - A
es de l'infantilisme. Le thorax est petit, l'abdomen saillant, le
tronc
est cylindrique. Les saillies musculaires du thor
périeure, rien à la lèvre inférieure ni sur les joues. Aisselles et
tronc
glabres. Fin duvet entre les deux épaules, rien
int de vue génital, est nulle pour le système pileux de la face, du
tronc
et des mem- bres. OBS. 1LII.- Idiotie : nanis
sse un pli cutané qui sépare la cage thoracique des os iliaques. Le
tronc
et l'ab- domen sont donc bien séparés l'un de l
ectoraux sont bien indi- quées. Les membres sont bien musclés. Le
tronc
n'est pas cylindrique, mais l'abdomen est proémi-
x peu épais ; foie, rate, rien. Fonctions digestives naturelles. Le
tronc
est cylindri- que. La taille n'est pas encore d
oins marquée que la courbure dorsale. Toute la partie supérieure du
tronc
est inclinée à droite (Fig. f0) et les fausses
ilité au contact, à la douleur, à la température, est intacte. Le
tronc
et les membres sont entièrement glabres. Il en es
au de l'extrémité. Un léger duvet le recouvre. Le bras est collé au
tronc
; l'avant-bras fléchi sur le bras à angle droit,
cussion du foie, de la rate, des fosses iliaques. Les deux côtés du
tronc
sont à peu près semblables. Organes génitaux et
. A. Fenayrou. XIV. Artérite syphilitique des deux sylviennes et du
tronc
basi- - laire; par M. C. Bacaloglu. (Presse méd
oyau lenticulaire. Il existait en plus de l'artérite oblitérante du
tronc
basilaire, sans nécrobiose du bulbe. Cette ob
inet est complet à droite; à gauche malgré une forte inclinaison du
tronc
vers le côté opposé, le cône décrit par le bras
pour la flexion et l'extension des poignets. - Les mouvements du
tronc
, du bassin, des membres inférieurs ne diffèrent
ridé, lèvres contractées, de temps en temps un rire sardonique. Le
tronc
et les membres inférieurs sont tranquilles et nor
ix minutes dans les membres inférieurs, elles sont moins longues au
tronc
et aux membres supérieurs. L'alimentation impos
périphériques des membres; certaine sensibilité à la palpation des
troncs
nerveux, notablement gonflés et durs, et qui, a
e Déjerine, trouve que chez la malade, présentée par Rossolimo. les
troncs
nerveux se comportent quelque peu autre- ment à
. Il en est ainsi par exemple des muscles du pharynx, du larynx, du
tronc
, etc. Cependant ces muscles obéissent encore d'
t est absolument aboli ; il en est de même pour la moitié gauche du
tronc
, du cou et de la face. Sensibilité à la piqûre.
e membre droit. La sensibilité est très diminuée au niveau du
tronc
, de l'abdomen et de la face du côté droit; el
bien cambré. La peau des membres rappelle de tous points celle du
tronc
; comme celle-ci, elle est blanche, fine, et dépou
s développée qu'à l'entrée de M... à l'asile ; cependant la peau du
tronc
et des membres a gardé sa blancheur et sa fines
larynx, par le bassin; il était femme par la chevelure, la peau du
tronc
et des membres, la finesse des dents, la gracil
généralement admise. Faut-il regarder le développement imparfait du
tronc
et des membres comme la conséquence directe de
de la mastication ; parésie de tous les muscles, des membres et du
tronc
sans H, D.; intégrité de la sensibilité, des ré
bien que l'affection fondamentale per- siste (même hypertrophie des
troncs
nerveux) les phénomènes mor- bides sont en gran
ment; cette paralysie est flasque, sans contracture. Les muscles du
tronc
et de la ceinture scapulo-humérale paraissent p
des nerfs périphériques - qu'une étude restreinte bornée à quelques
troncs
nerveux : médian et sciatique poplité externe d
itifs sub- jectifs, par la douleur à la pression des muscles et des
troncs
nerveux, par une évolution plus lente et une gu
t dans l'extension la plus prononcée, les bras se collent contre le
tronc
, la face se congestionne, les traits se cris- p
nfant ne tombe pas, mais debout, il fait plusieurs pas en avant, le
tronc
très incliné, on doit le soutenir pour éviter u
s'appliquent encore aux cellules de la protubé- rance, du bulbe, du
tronc
, des hémisphères, des cornes posté- rieures, ce
60 fois sur les tempes, 24 sur les reins, 4 sur les pieds, 5 sur le
tronc
, 1 sur la nuque, etc. Les maladies qu'ils avaie
l'écorce pendant l'attaque d'épilepsie; à la section transverse du
tronc
du cerveau à diverses hauteurs de cette souche,
nesthésie totale des pattes' postérieures et du tiers postérieur du
tronc
, sur toutes leurs faces : analgésie presque abs
e de vingt-deux ans, d'accès douloureux le long des sciatiques. Les
troncs
nerveux sont en effet très sensibles au tiraill
xistence de la réaction dégénérative, indique que les racines ou le
tronc
de l'hypoglosse sont affectés. Mais l'atteinte
deux jambes; une diminution de tous les modes de la sensibilité au
tronc
, à droite seulement; sensibilité normale à la t
chymose qui, longue de 1 cent. 1/2 à 2 centimètres, avait aplati le
tronc
nerveux. Au microscope, on ne put déceler aucune
Bernard, 111. Arthrite syphilitique des deux syl- viennes et du
tronc
basilaire, par Bacaloglu, 56. An'unnLCIr. De
que ce sont des mouve- ments choréiqnes généralisés de la tête, du
tronc
, de la face et des membres; des grimaces, des c
, comme ébrieuse. Il fait deux ou trois pas avec des contorsions de
tronc
, puis soudain une jambe frappe le sol et s'arrê
et séparées les unes des autres par le tissu conjonctif multiplié (
tronc
nerveux des bras, et minuscules destinés aux mu
erf qu'il est bien plus difficile d'exciter que le radial, c'est le
tronc
de l'hypoglosse. L'exploration faradique en est t
utres cas on constate toujours quelque dégénérescence des fibres du
tronc
du cerveau ; cette dégénérescence n'est jamais
bues, est de moins en moins accusée, au cou, à l'épaule, le long du
tronc
jusqu'aux plis inguinaux en avant et aux fesses
Le réflexe pharyngien est très affaibli. Les masses musculaires du
tronc
et des membres ont un volume et une tonicité no
fait une grande inspiration -) Elle fait un mouvement de sursaut du
tronc
. Pourquoi ? On m'a piqué dans le dos + Ça m'a p
téressants : du côté droit du corps, sur la face, les membres et le
tronc
, il existe une anesthésie totale, complète pour
la conformation particulière des extrémités, surtout par rapport au
tronc
, l'épaississement de la langue, les rides du fr
symétriques d'arté- rite nodulaire, situés entre la bifurcation du
tronc
basilaire et la communicante postérieure. La
gauche. Dissociation de la sensibilité aux membres supérieurs et au
tronc
. Anesthésie complète à la douleur et à la tempé
diminution de la sensibilité thermique dans la moitié inférieure du
tronc
et des membres inférieurs. Après avoir constaté
étendu à terre : la tête avait été presque complètement détachée du
tronc
à coups de rasoir. Cette constatation faite, le
plus voisine de la verticale, et en tout cas. que la posi- tion du
tronc
est plus droite. La position du sujet et du tronc
la posi- tion du tronc est plus droite. La position du sujet et du
tronc
res- tant la même, le pouls cérébral est d'auta
se et les tissus mous qui la recouvrent. Dans la position droite du
tronc
, toutes conditions relatives à la forme, à la pos
r le nez. Constatation de la paralysie de la corde vocale gauche.
Tronc
et extrémités. Maigre, elle a perdu 47 livres. Pa
i- nantes dans les jambes, la sensation d'une ceinture serrant le
tronc
au niveau du sacrum ou un peu plus haut. Si on y
avaient encore de temps en temps le sentiment de la constriction du
tronc
, la sensibilité douloureuse un peu émoussée de
sur l'extrémité supérieure ; sensibilité normale au thorax et au
tronc
. Si nous avions affaire à une lésion des voies co
mort. Celle-ci est la conséquence de la paralysie des muscles du
tronc
et des extrémités. Il peut arriver que la paralys
ôt des talons. - Les membres supérieurs en flexion et rapprochés du
tronc
ont des mouvements moins fréquents. Les doigts
mission des accès pendant trois moisr. z Secousses de la tête et du
tronc
. Description de la malade ù l'entrée (novembre
'ils étaient modifiés et consistaient en secousses de la tête et du
tronc
, revenant deux ou trois fois par jour. L'état i
mouillée. Lorsqu'elle est assise, balancement antéro-postérieur du
tronc
en même temps qu'elle tourne la main gauche et ag
it lui donner. Notons encore la bave, le gâtisme, le balancement du
tronc
, les tics, les accès décris, etc. IV. Sous l'in
ou- voir être attribuée à une lésion vasculaire (oblitération) du
tronc
sylvien et de presque toutes ses branches qui, ul
OGIE PATHOLOGIQUES. 0O0 topsie, au moins moitié plus petites que le
tronc
et les bran- ches du côté gauche. A cette lés
lité ; atrophiés également dans des cas de section expérimentale de
troncs
nerveux chez le chat. Ce mémoire de plus de 40
du facial inférieur qui passe devant le masséter. Chez le lapin, le
tronc
du facial, à sa sortie du trou stylo-mastoïdien
▲