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1 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
mine le complexus morbide de la sclérose multilo- culaire, c'est le tremblement à propos des mouvements voulus. Eh bien, ce tre
e, c'est le tremblement à propos des mouvements voulus. Eh bien, ce tremblement intentionnel, on peut le rencontrer dans l'hys-
ré « que la névrose hysté- rique se caractérise quelquefois par des tremblements rappelant d'une manière frappante tantôt le typ
e 43 novembre 1880, M. le professeur Charcot consacrait à ces mêmes tremblements une leçon magistrale qui vient d'être tout récem-
eçon magistrale qui vient d'être tout récem- 1. Rendu, Notes sur le tremblement hystérique et ses variétés (Soc. méd. des hôpitau
1889. 3. Dutil, .\'oui. Iconoyr., 1sou. Contribution à l'élude des tremblements hystériques. 1 : ! NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
il est utile de reproduire ici, bien que nous n'ayons en vue que le tremblement intentionnel : ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES
tre à Necker, dans le service de M. le professeur Dieulafoy pour un tremblement survenu sans cause apparente. 11 se plaignait en
le traite par des bains sulfureux et de l'iodure de potas- sium. Le tremblement s'était amélioré. C'est à ce moment qu'il perdit
efforts pour ne pas tomber. L'occlusion des yeux accroit un peu le tremblement et il menace de tomber par terre. Si on le fa
ement et il menace de tomber par terre. Si on le fait marcher, le tremblement devient encore plus manifeste. La tète, le corp
bres inférieurs tremblent. En outre il traîne la jambe droite. Le tremblement des mains est analogue il celui de la sclérose en
registré dans ces conditions. Dans le membre supérieur gauche, ce tremblement existe mais moins accusé. Ce tremblement intent
embre supérieur gauche, ce tremblement existe mais moins accusé. Ce tremblement intentionnel est augmenté par la fatigue et l'émo
ue et l'émotion. Dès que le malade repose son bras sur la table, le tremblement disparait. Au lit, dans la position liorizontal
et de vertige. Il n'a jamais eu d'attaques convulsives. Lorsque le tremblement est très fort, il éprouve une constriction thor
pression à ce niveau amène l'aura; elle n'exagère ni ne suspend le tremblement ) : l'un au niveau du testicule gauche - c'est l
hôpital pour aller reprendre son travail (fin septembre 1890). Le tremblement s'était modifié durant son séjour et n'existait p
émiplégie droite et d'embarras de la parole; bientôt surviennent le tremblement et les troubles de la vue. Et cependant toutes
es qui nous occupent, mettre quelquefois en éveil. Reste enfin le tremblement : il est « intentionnel », s'exagère par l'émo-
sortie. Il resta alors plusieurs mois chez lui, ayant toujours son tremblement qui s'était généralisé à tout le corps. Il repr
leçon que M. Charcot vient de publier au mois de septembre sur les tremblements hystériques. Le phé- nomène qui attire d'abord
. Le phé- nomène qui attire d'abord l'attention chez DI... c'est le tremblement . Examen du malade couché. Dans le décubitus hor
o-postérieurcs. De même, lorsqu'il étend ses bras ou ses jambes, le tremblement se montre dans ces membres. Il cesse dès qu'ils
érieur gauche, quoique reposant sur le sol, est animé au repos d'un tremblement régulier et son pied bat pour ainsi dire la mes
on dit au malade de croiser sa jambe gauche sur sa jambe droite, le tremblement de la première FIG, ? - Éc)'itu)'c ,I.IIlS un r
t est exécuté. Si on fait aussi étendre les mains ou les jambes, le tremblement se manifeste. Lorsqu'on lui fait porter à la bo
ait porter à la bouche un verre plein de liquide, les caractères du tremblement (nu. 1) rappellent ceux du tremblement de la sc
e liquide, les caractères du tremblement (nu. 1) rappellent ceux du tremblement de la sclérose en plaques. Le liquide est proje
tanément. Les diverses fonctions de la main sont très gênées par ce tremblement ; pour manger et boire il use du stratagème suiv
le tronc, la tête tremblent aussi. L'occlusion des yeux exagère ce tremblement ; mais il n'y a pas de sigue de Romberg bien net
erait en arrière, si on continuait l'expérience. Dans la marche, le tremblement per- siste, mais il ne s'exagère pas très sensi
est pas embarrassée actuellement. La langue est large, étalée, sans tremblement . Elle était l'an dernier agitée de fortes secouss
tympaniques disparais- sent à la suite d'une crise convulsive. Son tremblement , au cours de l'année, s'est modifié à diverses
til et publié dans la leçon de M. le professeur Charcot. Mais si ce tremblement est atténué il n'est pas guéri, ainsi que le mo
die actuelle : vertiges, attaque épileptiforme suivie d'hémiplégie, tremblement intentionnel, peut-être pourrait-on songer à une
aciale, sans exagération des réflexes, etc. Seuls les caractères du tremblement ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS »
la sclérose en plaques. Mais en y.regardant de près on voit que ce tremblement offre quelque chose d'insolite; il est très var
dans le bois de Vincennes une attaque d'hémiplégie droite suivie de tremblement ; il entra à l'hôpital Necker. Comme il travaillai
e il travaillait à cette époque dans le mercure, on diagnostiqua un tremblement mercuriel. Un an après, il entra dans le servic
manifeste. Au dynamomètre : main droite, 23 ; main gauche, 45. 2° Tremblement limité au côté droit du corps. Ce tremblement est
; main gauche, 45. 2° Tremblement limité au côté droit du corps. Ce tremblement est inten- tionnel : au repos on ne remarque au
secousses rhythmiques dirigées d'avant en arrière; il en résulte un tremblement qui se communique au corps tout entier, la têle
nts qui nous avaient été fournis. Il était dans l'état suivant : le tremblement et l'embarras de la* parole ont complètement disp
est survenu un ictus apoplec- tique suivi d'hémiplégie droite et de tremblement que la profession du malade fait qualifier de m
ème attaque se produit t accompagnée cette fois de dysarthrie et de tremblement intentionnel, et on songe à la sclérose en plaq
l'a jamais constaté. Il y a quinze jours, il s'est réveillé avec uu tremblement qui existe encore aujourd'hui et pour lequel il e
e la céphalalgie. Sa parole était plus embarrassée. Etat actuel. 1° Tremblement . Le malade considéré au repos, dans le décubitu
eux ne paraît pas augi-nen ter l'instabilité. Pendant la marche, le tremblement augmente et le malade ne saurait aller bien loi
on fait lever les mains à la malade, on voit dans la main droite un tremblement qui existe (mais moins accusé) au repos. Elle ne
repos. Elle ne peut pré- ciscr la date de son apparition. C'est un tremblement général de tout le membre supérieur. La langue
ment général de tout le membre supérieur. La langue est agitée d'un tremblement continuel qui s'accentue lorsque la malade la t
côté gauche. Le membre supérieur droit tremble continuellement. Ce tremblement s'exagère quand on fait lever la main à la mala
s progrès. La paraplégie peut être considérée comme guérie. Seul le tremblement du membre supérieur droit persiste; il présente
t d'amplitude sans augmenter de fréquence (c'est là un caractère du tremblement hystérique) ainsi qu'on peut s'en rendre compte
Repos. Mouvement. (Action de porter un verre à la bouche). Fic. 5. Tremblement hystérique (Observation Y). Le tremblement existe
re à la bouche). Fic. 5. Tremblement hystérique (Observation Y). Le tremblement existe au repos et s'exagère pendant le mouneiiie
e. Il y a un an, il a eu de la céphalalgie, et de la somnolence, du tremblement plus accusé qu'aujourd'hui, puisqu'il rendait l
chez ce malade, c'est un tremble- ment qui agite tout le corps. Ce tremblement n'est pas continuel : il est nul au repos et pe
et prolongée. Au repos, les membres supérieurs ne présentent aucun tremblement ; mais dans les mouvements, dans l'action de saisi
nel. Durant son séjour à l'hôpital Necker, amélioration sensible du tremblement intentionnel et des divers troubles. N'est-ce
en retrouvons la plupart des caractères, dit M. Rendu : absence de tremblement au repos, oscillations graduellement croissantes,
Aujourd'hui, nous devons penser aux faits d'hystérie masculine, de tremblements hystériques qui sont indéniables bien que peu c
ts. Tout ici, en un mot : vertiges, troubles de la parole spéciaux, tremblement , faciès, etc., relève de la grande névrose. A
si elle tient un objet quelconque, le membre est pris d'un violent tremblement analogue à celui de la sclérose multiloculaire
elle pouvait s'ell servir et qu'il lui restait à peine une trace de tremblement « vit/¿ scarcely a trace of tremor ». Il y avai
voir parler et marcher normalement; elle avait entièrement perdu le tremblement des membres supérieurs « the entirely lost the tr
raplégie hystérique. En outre, la paralysie était accompagnée d'un tremblement intense « coarse tremor » à l'occasion de mouveme
ent intense « coarse tremor » à l'occasion de mouvements voulus. Ce tremblement , ajoute-t-il, rappelait tellement celui qu'on o
laques, à cause de la paraplégie spasmodique datant de cinq ans, du tremblement intention- nel des membres supérieurs remontant
es cauchemars, mais sans vomissements le matin, sans pituites, sans tremblement des mains, sans rien, en un mot, qui se rattachât
perçue. Les mains tremblent un peu quand le malade est ému, mais ce tremblement ne ressemble pas à celui de ÉTUDE DES SYNDROMES
commande de toucher. Si l'on cherche une comparaison pour ce léger tremblement des mains qui ne l'empêche nullement d'écrire,
il 488G, violents accès de colère. En 1880, il commença à avoir du tremblement des membres inférieurs, puis des membres supéri
s observé par l'auteur. Il présen- tait des troubles du langage, du tremblement dans les mouvements volontaires, une expression
plète du souvenir. Evanouisse- ments. Amélioration du langage et du tremblement à la suite d'une angine tonsillaire. Vers la
considérable; puis hémiplégie sensitho-motrice du côté gauclie avec tremblement intentionnel. Pas de paralysie dans le do- main
ril et en mai 1878, nouvel accès dou- loureux, puis réapparition du tremblement et de la dysarthrie (accès inter- current de dé
sert de ses membres supérieurs, parle mieux. Il y a encore un léger tremblement dans les mouvements volontaires avec quelques t
ais ces mouvements ne s'exécutent que lentement et en tremblant. Ce tremblement disparaît dès que les jambes reposent sur le pl
s jambes sont possibles, mais lentes, hésitantes et accompagnées de tremblement . Les mouvements passifs sont raides et résistan
ladroits. Il ne peut manger seul, il répand tout sur lui à cause du tremblement . Le tronc, la tête se mettent à trembler dès que
a marche. Aux membres supérieurs les mouvements sont accompagnés de tremblement . Pas de nystagmus. L'acuité visuelle est normal
trois,jours de dis- tance. Huit jours après la dernière apparut un tremblement dans les deux bras. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRI
l, mémoire affaiblie, langue tremblante, parole lente et traînante, tremblement des paupières, absence de nystagmus. Les sens s
es membres supérieurs sont immobiles au repos; ils sont animés d'un tremblement rhythmique dès que le malade exécute un mouve-
ralysie avec refroidissement des membres inférieurs. Le 18 octobre, tremblement des membres supérieurs plus violent. Vertiges et
a des hallucinations. - Le 19, hémiplégie gauche et aggravation du tremblement du bras gauche. Coma durant toute la nuit. - Le
aralysie se dissipe et le malade reprend sa connaissance. Le 22, le tremblement a presque disparu et l'amélioration fait des pr
par les mouvements volontaires dis- paraissant pendant le sommeil. Tremblement des lèvres pendant l'articulation des mots. La
nt l'articulation des mots. La parole est lente, scandée, monotone. Tremblement généralisé des mains et devras, même au repos,
six semaines, sans laisser do traces. Deux ans plus tard apparut un tremblement des mains coïncidant avec l'affaiblissement des
mains coïncidant avec l'affaiblissement des membres inférieurs. Ce tremblement a pour caractère d'ètre continuel et de s'exagé
u repos, mais dès que X... veut approcher un objet de sa bouche, le tremblement se reproduit avec des oscillations d'autant plus
lui est impossible de boire sans renverser le contenu du verre. Ce tremblement est bilatéral, plus marqué à gauche qu'à droite
onc presque certain qu'il s'agissait d'un hystérique chez lequel le tremblement constituait le principal, presque l'unique symp
peu à peu. Bientôt le bras droit perd de sa force et est animé d'un tremblement analogue à celui de la jambe. La jambe recommen
e de cinquante-sept ans qui au plus léger mouvement voulu montre un tremblement des mains. Lorsque le malade veut faire un mouvem
lité électrique des muscles et des nerfs est intacte. A cause de ce tremblement anormal ou plutôt de ces mouvements tremblants, o
ulaire et une hystérie grave. Les principaux symptômes sont un fort tremblement dans les membres qui s'accentue lors des mouvem
e facile à trancher. Le malade est hystérique à n'en pas douter. Le tremblement intentionnel, les troubles paralytiques, les ac
urs plus tard, il avait commencé à trembler de la main droite et ce tremblement s'était accru depuis au point d'amener une impo
au point d'amener une impotence fonctionnelle presque complète. Le tremblement ressemblait à celui de la sclérose en plaques; il
manger de la main gauche. De même la jambe droite était agitée d'un tremblement spastique et le réflexe patellaire, très exagéré.
ériane, et au bout de cinq semaines il n'était plus question- de ce tremblement . Ons. XX(Rendu, in eod. loc., p. 500). X..., pu
re membres, mais avec une prédo- minance marquée du côté droit. Son tremblement n'apparaissait qu'à l'occa- sion des mouvements
nt hydrothérapique, cette fausse sclérose en plaques disparut et le tremblement s'atténua progressivement. « Il s'agissait, ajo
de la sclérose en plaques, il insiste sur la valeur diagnostique du tremblement intentionnel, qui, dit-il, n'existe pas dans l'hy
ses mains devenaient faibles. Les pouces étaient animés d'un léger tremblement , et souvent le pinceau s'échappait de ses mains
d' elle est au dehors, sans déviation, et elle n'est animée d'aucun tremblement fibrillaire ni de. secousses vermiculaires.. ,
se, i intervalles irréguliers et pour une durée très variable, d'un tremblement rhythmé commandé par les muscles de l'avant-bra
oïncidence, sur une même main, de l'oedème, de la contracture et du tremblement . Ceci corrobore la proposition émise dans le mé
lcools, et surtout absinthe) et ne s'en cache pas. Il a du reste le tremblement caractéristique. Il pré- sente relativement peu
, déterminer aucun- réflexe; par la percussion des tendons. Mais le tremblement alcoolique est augmenté. Cet état de. contractu
seurs une fois cette détente produite. Après cette expérience, le tremblement alcoolique est plus considé- rable du côté qui
ROSNIER & BASÉ ÉDITEURS CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite') 1) En résumé, il existe
LEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite') 1) En résumé, il existe une forme de tremblement hystérique carac- térisée par des oscillations
. Les observations que nous venons de rapporter démontrent que ce tremblement peut se généraliser, persister pendant plusieurs
affectés de trémulationalcoolique, de paralysie générale ou bien du tremblement symptomatique de la maladie de Basedow. Ce tr
ou bien du tremblement symptomatique de la maladie de Basedow. Ce tremblement hystérique vibratoire disparaît pendant le sommei
et délicats de la main et des doigts. C'est là un premier type de tremblement hystérique qui, en raison de ses caractères cli
et graphiques, de ses analogies étroites avec certaines variétés de tremblements vibratoires déjà décrites (tremble- ments alcoo
de Basedow), nous a paru devoir être distrait des autres formes de tremblement que nous allons maintenant étudier. I. Voy. les
t. III, 1890. 108 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. - n TREMBLEMENTS DE RHYTHME MOYEN OU INTERMÉDIAIRES COMME NOMBRE
HME MOYEN OU INTERMÉDIAIRES COMME NOMBRE D'OSCILLATIONS ENTRE LES TREMBLEMENTS VIBRATOIRES ET LES TREMBLEMENTS LENTS L'examen
MME NOMBRE D'OSCILLATIONS ENTRE LES TREMBLEMENTS VIBRATOIRES ET LES TREMBLEMENTS LENTS L'examen des tracés que nous avons pu rec
de la précédente année, nous a montré que les cas dans lesquels le tremblement est constitué par des oscillations se succédant
Ce rhythme moyen est certainement le rhythme de prédilection des tremblements hystériques; les tremblements vibratoires et ceux
nement le rhythme de prédilection des tremblements hystériques; les tremblements vibratoires et ceux à oscillations lentes sont
trois ans, par M. le professeur Charcot touchant, le rhythme de ces tremblements . Il est certain, en effet, qu'envisagés au poin
et, qu'envisagés au point de vue de la vitesse de leur rhythme, les tremblements hystériques constituent, pour la très grande majo
atégorie intermédiaire » qui, dans la classification géné- rale des tremblements proposée par notre maître, a sa place entre le
mblements proposée par notre maître, a sa place entre le groupe des tremblements rapides et celui des tremblements lents. Ainsi
e, a sa place entre le groupe des tremblements rapides et celui des tremblements lents. Ainsi donc, les cas de tremblements hyst
nts rapides et celui des tremblements lents. Ainsi donc, les cas de tremblements hystériques observés par nous et qui figureront
me, c'est-à-dire de la fréquence des oscillations qui composent les tremblements , ne saurait toujours suffire à elle seule pour
clinique. Et cela est particulièrement vrai pour cette catégorie de tremblements dont il s'agit ici et qui, n'étant ni' très rap
lations. Ce sont eux qui, en clinique, impriment à chaque espèce de tremblement son allure, son aspect particuliers. Or, on con
t particuliers. Or, on conçoit aisément que tous ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 109 ces caractères puissent varier
actères puissent varier d'un cas à l'autre, alors que le rhythme du tremblement est toujours le même. C'est ainsi que la classifi
es et surtout en les groupant d'après leurs analogies avec d'autres tremblements déjà décrits et classés en pathologie nerveuse,
et susceptibles d'une description métho- dique. Parmi ces types de tremblements hystériques que nous allons décrire, il en est
nous allons décrire, il en est un qui reproduit trait pour trait le tremblement mer- curiel ; un autre est la copie fidèle du t
trait le tremblement mer- curiel ; un autre est la copie fidèle du tremblement symptomatique de la sclérose en plaques; un tro
épidation spi- nale de la paraplégie spasmodique. De ces espèces de tremblements ils sont en quelque sorte les « sosies » hystér
les « sosies » hystériques, et les sosies par- fois trompeurs. a. Tremblement rémittent intentionnel (type Rendu). Par ses ca
rieure qu'il communique aux sujets qui en sont affectés, ce type de tremblement hystérique imite d'une façon parfaite le trembl
és, ce type de tremblement hystérique imite d'une façon parfaite le tremblement mercuriel, tel du moins que le dépeignent dans
précises, les descriptions les mieux conduites. Il simule aussi le tremblement de la sclérose en plaques, mais d'une façon bea
ersiste dans certaines attitudes de repos, ce que ne fait jamais le tremblement de la sclérose multilocu- laire. Celui-ci, comm
enant étendue, ou de placer ses bras dans l'attitude du serment, le tremblement prend aussitôt une amplitude notable- ment plus
es : la tête, le tronc, les I tc. 26. - Blumlierg .. Malade couché. Tremblement nul au repos, provoqué par un mouvement t inten
mouvement t intentionnel du membre supérieur. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 111 membres, le corps tout entier
ans le sens vertical (fig. 97). Quand le sujet se met en marche, le tremblement redouble encore. Il avance ou bien en hésitant, l
dissant les membres inférieurs comme pour éteindre les secousses du tremblement . Dans le premier cas, la démarche est incertain
n lit, dans une attitude abandonnée, comme pour dormir, aussitôt le tremblement disparait et le sujet repose dans une immobilité
l'oreiller, à élever un de ses membres au-dessus du plan du lit, le tremblement se reproduit aussitôt (fig. 28). Le décubitus
t donc, à l'étal de veille, la seule attitude FiG. 27. Rlumberfi... Tremblement de la tête (malade au repos, puis en marche). F
e la tête (malade au repos, puis en marche). F.r. 28. Malade assis. Tremblement du membre supérieur droit persiste au repos, s'ac
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.' qui entraîne à coup sûr la cessation du tremblement . Nous devons dire cependant que, parfois aussi,
pendant que, parfois aussi, dans l'attitude assise, on peut voir ce tremblement s'atténuer et même disparaître pour quelques inst
nte observé, les oscillations reparaissent aussitôt. En somme, ce tremblement persiste au repos, que le malade se tienne debo
nous proposons de lui appliquer. A ce qui précède ajoutons que ce tremblement , comme toutes les autres variétés de tremblemen
de ajoutons que ce tremblement, comme toutes les autres variétés de tremblement hystérique, prédomine généralement dans les mem
pect et ses allures. Il est facile de comprendre en quoi ce type de tremblement hystérique ressemble au tremblement de la sclér
e comprendre en quoi ce type de tremblement hystérique ressemble au tremblement de la sclérose en plaques et en quoi il en diff
en diffère. , Lorsqu'on voit un malade affecté de cette forme de tremblement se lever et se mettre en marche, on peut, au pr
candé symptomatique de cette affection. Enfin, si l'on considère le tremblement en lui-même, on est nécessairement frappé par s
borne à examiner le malade couché sur son lit, et on croira que ce tremblement cesse d'exister au repos, ce qui est vrai dans ce
est purement et simplement intentionnel, c'est-à-dire identique au tremblement de la sclérose en plaques. La confusion est ÉTU
ment de la sclérose en plaques. La confusion est ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 113 dès lors possible. Et de fait,
ser, soit sur ses genoux, soit sur une table placée près de lui. Ce tremblement persiste donc même au repos, et ce caractère pe
e caractère permet à lui seul de le différen- cier immédiatement du tremblement de la sclérose en plaques. Lorsqu'un sujet atte
qu'il les élèvera pour accomplir un acte quel- conque. Et puis le tremblement hystérique est mieux rllythmé; ses oscilla- tio
et air de va et vient, de balance- ment un peu lent que présente le tremblement de la sclérose en plaques. Somme toute, en dépi
toute, en dépit des analogies réelles qui existent entre ce type de tremblement hystérique et le tremblement symptomatique de la
réelles qui existent entre ce type de tremblement hystérique et le tremblement symptomatique de la sclérose en plaques, nous c
es convulsives anté- rieures, etc., à ne considérer que le symptôme tremblement , une erreur de diagnostic à ce sujet nous sembl
ic à ce sujet nous semblerait difficile à justifier. Parallèle cles tremblements hystériques . et des tremblements mercuriels.
ile à justifier. Parallèle cles tremblements hystériques . et des tremblements mercuriels. Si ce type de tremblement hystériqu
ments hystériques . et des tremblements mercuriels. Si ce type de tremblement hystérique dont nous nous occupons ne simule qu
t hystérique dont nous nous occupons ne simule qu'imparfaitement le tremblement de la sclérose en plaques, il est bien de tous
de la sclérose en plaques, il est bien de tous points semblable au tremblement mercuriel, tel qu'il apparaît dans sa forme gén
etulle1, dans tous ces faits, à quelques légères variantes près, le tremblement se pré- sente avec les mêmes caractères : la tê
ns antéro- postérieur ou transversal, la langue participe ou non au tremblement , ce tremblement persiste au repos, il ne cesse
rieur ou transversal, la langue participe ou non au tremblement, ce tremblement persiste au repos, il ne cesse que dans les momen
malade en lui adressant la parole, produisent une accentuation du tremblement , qui toujours s'accroît d'une manière frappante à
nte à l'occa- sion des mouvements intentionnels, rappelant ainsi le tremblement de la sclérose en plaques (Voir les observation
l, que nous venons de décrire, et l'on est bien fondé à dire que ce tremblement est identique, au moins quanta la forme, au tre
dire que ce tremblement est identique, au moins quanta la forme, au tremblement mercuriel. C'est ici le lieu de rappeler que l'
hystérique à la faveur même de son intoxication puisse présenter un tremblement relevant de l'hystérie et simulant le tremblement
isse présenter un tremblement relevant de l'hystérie et simulant le tremblement mercu- riel. La réalité du fait s'est trouvée é
on de la bande élastique), la guérison rapide, quasi instantanée de tremblements rapportés à l'intoxication mercurielle. Et dès
ion mercurielle. Et dès lors la question se trouva posée : Tous les tremblements dits mercu- riels sont-ils d'origine hystérique
plus grand nombre, il n'ose pas dire pour la totalité des cas, les tremblements mercuriels appartiennent à la grande névrose.
curiels appartiennent à la grande névrose. Dans une leçon sur les tremblements hystériques, M. Charcot* a for- 1. Mugnerot, Du
ur les tremblements hystériques, M. Charcot* a for- 1. Mugnerot, Du tremblement mercuriel et de son traitement par les agents est
4. Charcot, Progrès médical, G septembre 1890. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 115 mulé son opinion à ce sujet da
chez les hydrargyriques, l'hystérie se développe et donne lieu à un tremblement méritant cette fois de porter légitimement le n
ent les résultats définitifs, étudiant avec soin les caractères des tremblements mercuriels, les conditions de leur apparition,
dans quelques ateliers des faits qui nous portent à penser que les tremblements dits mercuriels sont le plus souvent de nature hy
ue fois que, dans un atelier, on nous a présenté un « beau cas » de tremblement mercuriel, nous avons trouvé chez le malade des
Nous avons été frappé également par la diversité des formes de ces tremblements mercuriels; on y retrouve précisément les mêmes m
lades, presque toujours alcooliques, on apprend que l'apparition du tremblement a été pré- cédée chez eux d'une sorte de périod
dans l'éclosion 11C NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. des tremblements mercuriels. Suivant la très juste remarque de M.
rque de M. Le- tulle, beaucoup d'ouvriers redoutent, attendent leur tremblement . Et les patrons savent fort bien qu'un ouvrier
son métier pendant dix-sept ans sans jamais présenter le plus léger tremblement , quitta la maison où il avait toujours travaill
pénétra dans cet atelier ainsi mal famé, il fut brusquement pris de tremblement , cethomme est hémianesthésique. Les ouvriers di
on ne tremble pas; » et cette différence, cette inégalité devant le tremblement n'est véritablement pas toujours impu- table à
ontrent bien la part qui revient « à l'idée » dans la genèse de ces tremblements . Ils nous paraissent être on ne peut plus signi
dans les ateliers, cependant au bout de six mois elle présentait un tremblement tel qu'elle dut interrompre tout service. Elle
irjamais tremblé. » En somme, nous croyons que plus on étudiera les tremblements mercuriels plus on sera conduit à reconnaître q
a conduit à reconnaître que la très grande majo- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 117 rite de ces tremblements ne re
ajo- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 117 rite de ces tremblements ne relèvent pas directement de l'intoxication h
gie de toutes les intoxications professionnelles. L'identité de ces tremblements et des tremblements hystériques, la coexistence
toxications professionnelles. L'identité de ces tremblements et des tremblements hystériques, la coexistence, très fréquente chez
ente chez les malades exposés il l'intoxication mercurielle, de ces tremblements et des stigmates de l'hystérie; la guérison rap
mblements et des stigmates de l'hystérie; la guérison rapide de ces tremblements sous l'influence des agents esthésiogènes, auto
sthésiogènes, autorisent à affirmer qu'ils sont pour la plupart des tremblements de nature hystérique déve- loppés il la faveur
ant accepté, il restera toujours le groupe des cas dans lesquels le tremblement se présente seul, sans accompagnement d'aucun a
u'il faudra s'attacher désormais pour déterminer les caractères des tremblements mercuriels proprement dits. Voici les observa
s observations sur lesquelles repose la description précé- dente du tremblement rémittent-intentionnel (type Rendu) : OBs. III.
donna plusieurs fois son attaque en lui faisant fixer un crayon. Le tremblement diminua notablement à plusieurs reprises, mais
s mois et demi. Pendant ce second séjour à l'hô- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 11J pital, il eut, encore après un
resque subitement » après avoir duré pendant plusieurs semaines. Le tremblement persistait toujours. Bref, depuis sa première att
réflexes tendineux ne sont pas exagérés, mais plutôt affaiblis. 3° Tremblement . De tous les troubles de la motilité qu'il présen
le plus marqué, celui qui le gêne et l'incommode le plus, c'est le tremblement . Ce tremblement n'a jamais cessé d'exister depu
celui qui le gêne et l'incommode le plus, c'est le tremblement. Ce tremblement n'a jamais cessé d'exister depuis qu'il est appar
uées à la tète et aux membres inférieurs. Aux membres supérieurs le tremblement est relativement moins intense; les oscillations
tation assise ni dans la station debout. Aux membres supérieurs, le tremblement est particulièrement pro- noncé au niveau des m
st de même lorsque le malade accomplit un morve- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 121 ment volontaire, lorsqu'il por
arche s'exécutent à peu près normalement, bien que les secousses du tremblement prennent alors une amplitude plus grande; le ma
le pied sur le sol. Il éteint par cet artifice les oscillations du tremblement et la démarche est assez assurée, l'agitation d
diminués qu'exagérés. Ainsi, si on redresse brusquement le pied, le tremblement cesse parfois un instant. Dès qu'on l'abandonne
ec une régularité parfaite. Toutefois, on voit de temps en temps le tremblement s'atténuer un instant dans les moments de calme
e l'attention du malade est éveillée, dès qu'il se sent observé. Le tremblement des mains à l'état de repos présente aussi ce c
le malade s'avancer avec sa démarche raidie, brusque, mais avec son tremblement général et les oscillations, dont sa tête est s
s qui sont évidemment étrangers au tableau clinique que présente le tremblement de la sclérose en plaques. Ce dernier cesse toujo
u'il a déposé l'objet et laissé sa main se reposer sur la table. Ce tremblement ne possède qu'une partie des caractères du trem
la table. Ce tremblement ne possède qu'une partie des caractères du tremblement do la sclérose en plaques. Il n'est pas puremen
ns cru devoir distraire ce cas et celui qui va suivre du groupe des tremblements hystériques purement et simplement inten- tionn
tionnels. ' Cependant lorsque le malade se couche sur son lit le tremblement s'apaise et disparait complètement, pour réappa
e malade ainsi couché, l'analogie est vraiment frap- pante entre ce tremblement et celui de la sclérose en plaques. Ce tremblem
pante entre ce tremblement et celui de la sclérose en plaques. Ce tremblement existe donc depuis deux ans, et depuis l'entrée d
attaque une recrudescence qui dure deux ou trois jours. OBS. IV. Tremblement hystérique, rémittent-intentionnel1. L'observat
-intentionnel1. L'observation suivante est encore un bel exemple de tremblement rémittent-intentionnel portant sur la langue et
de trente-neuf ans, se présente dans le cabinet du Dr L... pour un tremblement des quatre membres qui le gêne beaucoup pour éc
gure résumée dans la note de Mi Rendu, loc. cil. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 123 Les jours suivants M. X... gar
ait pas grand'chose à désirer, mais ce 'qui l'inquiétait c'était un tremblement assez accentué des deux membres supérieurs. A s
il écrivait avec peine et tenait mal les objets avec les mains. Ce tremblement devint de plus en plus fort et se généralisa au
urs mois et s'amenda au point de rendre la marche possible. Seul le tremblement des membres supérieurs nc diminuait pas. Il y
rche pas ses mots. Les membres supérieurs au repos sont animés d'un tremblement vibra- toire très prononcé, même lorsqu'ils rep
iture est impossible. Les membres inférieurs sont animés d'un léger tremblement trépidatoire très net dans la position vertical
ssi sensation de raideur. En somme, on se croirait en présence d'un tremblement mercuriel géné- ralisé des plus nets. C'est le
et de supination involontaires. Au bout de vingt minutes environ le tremblement s'est suffisamment calmé pour que l'avant-bras re
ec la main gauche, sans faire jaillir le liquide. Au côté opposé le tremblement était le même. Une parente du malade est venue
12 avril 1889]). Oss. VII (Rendu, loc. cit.). FORME PARAPLEGIQUE TREMBLEMENT SIMULANT LA TRÉPIDATION DES PARAPLÉGIQUES SPASMOD
PARAPLÉGIQUES SPASMODIQUES L'observation suivante est un exemple de tremblement hystérique de rhythme moyen localisé aux membre
anique ; et cependant, dans ce cas particu- lier, le début subit du tremblement , l'existence d'une zone hystérogène, l'action e
'action excitatrice exercée par la compression de celle zone sur le tremblement , le rétrécissement du champ visuel, etc., ne peuv
c., ne peuvent permettre aucun doute sur la nature hystérique de ce tremblement . C'est le seul cas de tremblement hystérique lo
te sur la nature hystérique de ce tremblement. C'est le seul cas de tremblement hystérique localisé aux deux mem- ÉTUDE CLINIQU
de tremblement hystérique localisé aux deux mem- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1M bres inférieurs que nous ayons
BLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1M bres inférieurs que nous ayons observé. Ce tremblement est d'ailleurs identique à celui qui existait c
ls sont affaiblis. Le redressement brusque du pied fait cesser le tremblement au lieu de le renforcer. Si les réflexes se t
qu'il faudra avoir recours pour établir le diagnostic. Ons. VIII. Tremblement hystérique des membres inférieurs simulant la t
, pendant le sommeil de la nuit, il fut réveillé brusquement par un tremblement très intense de la jambe droite. Les secousses
membre inférieur gauche. Le lendemain, quand il voulut se lever, le tremblement était si fort qu'il pouvait à peine se tenir de
, un peu amaigri. Qu'il soit debout ou assis, ce malade présente un tremblement incessant et très intense des deux membres infé
le parquet à chaque oscillation. .Dans cette attitude cependant, le tremblement se ralentit parfois, cesse même quelques instan
e violence telle que le malade peut à peine se tenir debout. 1 Le tremblement se calme un peu après quelques instants et le mal
uliens sont notablement exagérés. La percussion du tendon excite le tremblement ; par contre le redressement brusque du pied l'i
supprime momen- tanément. Quand le malade se couche sur son lit, le tremblement cesse aus- sitôt, il reparaît dès qu'il soulève
anoeuvre détermine toujours et immédiatement une recrudes- cence du tremblement des membres inférieurs, alors même que le malade
t des membres inférieurs, alors même que le malade est couché. C. TREMBLEMENTS PUREMENT INTENTIONNELS. Le tremblement hystériq
e malade est couché. C. TREMBLEMENTS PUREMENT INTENTIONNELS. Le tremblement hystérique intentionnel pur, c'est-à-dire n'appar
u'à l'occasion des mouvements volontaires et, partant, identique au tremblement de la sclérose en plaques, est une variété rareme
la sclérose en plaques, est une variété rarement ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 127 observée. Nous n'avons pu, pou
côté droit. Enfin, les membres du côté gauche étaient le siège d'un tremblement très violent, se produisant uniquement à l'occasi
ntenu invaria- blement renversé avant d'avoir atteint la bouche. Le tremblement était moins fort dans les mouvements intentionn
esthésie qui persistaient depuis un an et radicalement guéri de son tremblement intentionnel des membres du côté gauche. L'aimant
91, p. 13, obs. I). Elle pourrait se passer de commentaires. " Le tremblement hystérique que présentait ce malade est bien une
nt hystérique que présentait ce malade est bien une copie fidèle du tremblement de la sclérose en plaques, puisque, nul au repos,
ample informé, tenus en légitime sus- picion. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 129 L'absence du nystagmus, l'état
de ce trem- blement hystérique purement intentionnel, simulateur du tremblement de la sclérose en plaques. A.DUTIL, Ancien
rendaient certain le diagnostic de sclérose en plaques, survint un tremblement rhythmique du membre supérieur droit, que je ne p
diagnostic de sclérose multiple. A un premier essai d'hyp- nose, ce tremblement disparut par suggestion et ne reparut plus dans l
atorze ans atteinte de sclérose en plaques (paraplégie spasmodique, tremblement inten- tionnel, nystagmus, rires forcés et atro
trouve en présence d'un malade ayant de l'embarras de la parole, du tremblement intentionnel, des vertiges, ayant eu de la dipl
faut aller chercher les éléments du diagnostic différentiel. 1° Le tremblement intentionnel d'origine hystérique peut exister et
célèrent pas son rhythme, autrement dit, les oscil- 1. Charcot, les Tremblements hystériques (Progr. médical, 6 sept. 1890). ÉTU
e immobile parce que le mouvement le gêne en réveillant chez lui le tremblement . La tristesse et la fixité du regard, l'hébétud
u pour mieux dire, le malade, par suite d'une sorte de sensation de tremblement des genoux, ne pouvait facilement rester debout
tonnière, ces caractères sont CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite et (iu') III (TREMBLEMEN
DE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite et (iu') III ( TREMBLEMENTS LENTS DE 4 A 5 OSCILLATIONS 1/2 PAR SECONDE) "
(TREMBLEMENTS LENTS DE 4 A 5 OSCILLATIONS 1/2 PAR SECONDE) " Ces tremblements sont particulièrement aptes, lorsqu'on les observ
le sous l'influence des mouvements volontaires, il s'ensuit que les tremblements hystériques de cette catégorie imitent à peu pr
sie agitante. Un très bel exemple de cette simulation hystérique du tremblement de la maladie de Parkinson est une des observat
de cette observation, l'histoire d'un sècond malade, chez lequel le tremblement était apparu, comme dans le cas précédent, à la
très analogue au premier, n'en diffère que par la généralisation du tremblement , sa longue durée et l'absence de troubles de la
e interpréta- tion. Frappé surtout par l'origine traumatique de ces tremblements , il les rattache une névrose spéciale créée par
: la pseudo-paralysie générale, la pseudo-sclé- rose en plaques, le tremblement pseudo-mercuriel, la pseudo-para- plégie spasmo
plégie spasmodique, etc. L'observation suivante est un exemple de tremblement lent localisé à la main droite. OBs. XII (due
à l'obligeance de mon collègue et ami Nicolle). Hystéro- épilepsie. Tremblement hystérique de la main droite.-La nommée Godard,
e de 14. 10 sont morts la plupart jeunes, 2 avec ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 181 des convulsions. 4 sont vivant
l'impotence fonc- tionnelle de sa main droite est due bien plus au tremblement dont elle est le siège qu'à l'affaiblissement m
e siège qu'à l'affaiblissement musculaire révélé par le diagnostic. Tremblement . La main droite en effet est constamment agitée.
plus aucune part aux secousses. Les oscillations qui constituent ce tremblement sont au nombre de 5 1/2 par seconde. Elles ne
s, mais leur fréquence et leur régularité ne se modifient guère. Ce tremblement a débuté insidieusement, il persiste depuis six
ment a débuté insidieusement, il persiste depuis six mois. IV - TREMBLEMENTS DE FORMES VARIÉES ET CHANGEANTES Nous avons réu
T CHANGEANTES Nous avons réuni dans ce chapitre une série de cas de tremblements hystériques trop différents les uns des autres
ériques trop différents les uns des autres et des autres espèces de tremblements , trop dissemblables par leur rhythme, leur locali
ins à accentuer la diversité extrême des formes que peut revêtir le tremblement chez les hystériques. TREMBLEMENTS GÉNÉRALISÉS
des formes que peut revêtir le tremblement chez les hystériques. TREMBLEMENTS GÉNÉRALISÉS OBs. XIII. Tremblement hystérique g
blement chez les hystériques. TREMBLEMENTS GÉNÉRALISÉS OBs. XIII. Tremblement hystérique généralisé. La nommée Jeanne Kell...
qu'elle a dans la poitrine une grosse boule qui ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1M l'étouffé ; c'est vers le milie
stant avant de pou- voir continuer sa promenade. Mais l'émotion, le tremblement , la faiblesse des membres inférieurs, se calmèr
s quoi la malade qui s'était mise au lit fut prise tout à coup d'un tremblement géné- ralisé très intense. Au dire de la survei
étouffait, elle pleurait en môme temps, etc. Au bout d'une heure le tremblement cessa et la malade s'endormit. Le lendemain ell
tenir debout, fut obligée de se coucher. Quelques heures après, le tremblement envahit les membres supérieurs et la tête; et d
endineux du coude et du poignet sont aussi notablement exagérés.' Tremblement ? ...- Le tremblement a persisté chez la nommé Ka
u poignet sont aussi notablement exagérés.' Tremblement ? ...- Le tremblement a persisté chez la nommé Kali... depuis le 19 m
te de crise de tout point semblable à celle qui précède le début du tremblement . Voici comment les choses se passaient : la mal
calisée au creux épigastrique; elle étouffail, elle pleurait, et le tremblement prenaitsur-le-chàmp un degré d'intensité con- s
rès quoi le'malaise, l'angoisse respiratoire, s'effaçaient, mais le tremblement restait un peu plus intense qu'avant cette ébauch
er, monter et descendre les escaliers sans le secours d'un aide, le tremblement s'apaisait un peu, mais il ne disparaissait jamai
uatre membres sont animés de secousses parfaitement rhyth- mées, le tremblement est donc généralisé. Il prédomine aux membres in-
plus amples, mais cela ne se produit pas toujours. Parfois même le tremblement s'atténue et même disparaît quand la malade, pass
r, Annales médico-psychologiques, décembre 1881. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 191 que sa jambe et son bras droit
il disait souvent à sa femme qu'il avait peur d'être paralysé. « Le tremblement du membre supé- rieur droit était devenu incess
isaient encore défaut à l'époque où le malade a quitté l'hôpital. Tremblement . L'histoire du tremblement que présente ce malade
'époque où le malade a quitté l'hôpital. Tremblement. L'histoire du tremblement que présente ce malade, peut se résumer ainsi :
om d'un voyageur sur son carnet, que sa main droite trem- blait. Ce tremblement fut assez intense pour l'empêcher d'écrire et le
camarades d'écrire pour lui. Mais, au bout de quelques instants, ce tremblement s'apaisa et disparut. Quelques jours après il rep
isa et disparut. Quelques jours après il reparut ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 189 une chute dans laquelle il se
en délivrant un reçu à un voyageur que sa main droite tremblait. Ce tremblement fut assez prononcé pour l'empêcher d'écrire, ma
ller jusqu'à Madrid. Mais à Bordeaux il fut obligé de s'arrêter. Le tremblement de la main droite s'était accentué de même que
e même que la céphalée constrictive ; il sentait ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1S7 Au sortir de cette seconde att
remarqua que son bras et sa jambe du IL côté droit tremblaient, ce tremblement a toujours persisté depuis. État actuel. Depuis
; elle se sent tout à fait incapable de reprendre ses occupations. Tremblement . Indépendamment de ces divers troubles, elle prés
Indépendamment de ces divers troubles, elle présente d'ailleurs un tremblement très intense qui occupe le membre supérieur droit
n tremblement très intense qui occupe le membre supérieur droit. Ce tremblement que nous avons observé pendant les mois d'août et
reposant sur son abdomen, la main et l'avanl-bras sont animés d'un tremblement bien rhythme, dont les oscilla- lalions sont au
lexion et d'extension'. Mais 'lorsque la malade est un peu émue, le tremblement 'devient d'abord plus ample; puis l'on voit se pr
DE LA SALPÊTRIÈRE. sion ou d'inclinaison latérale. En un mot, à ce tremblement qui existait pri- miliv ement seul sont venus s
liv ement seul sont venus s'ajouter des mouvements choréiformes. Le tremblement présente à peu près ces mêmes caractères lorsqu'o
ulsive, se trouve comme elle dit « très agitée ». Ces jours ? ), le tremblement est con- tinu, et ne cesse que pendant le somme
tation » viennent des périodes de calme relatif, dans lesquelles le tremblement présente des allures tout à fait différentes. I
rèves; pen- dant quelques secondes, une ou deux minutes au plus, le tremblement cesse, puis reprend soit à l'occasion d'un mouv
n du bras (attitude du serment) fait reparaître presque toujours le tremblement . Il en est de même des émotions. L'acte d'écr
ême des émotions. L'acte d'écrire est surtout apte à réveiller le tremblement . Quand, se trou- vant dans un de ses moments de
un crayon et trace, même d'une façon fictive, une série de mots, le tremblement reparaît presque aussitôt, léger d'abord puis t
tôt, en même temps que la malade accuse les symptômes de l'aura, le tremblement reparaît, très intense, persiste alors pendant pl
ident de chemin de fer : neurasthénie et hystérie coiisécit- tives. Tremblement hystérique de la main droite. Claw... Louis, âg
e névropathique. A l'âge de dix-huit ans, il fit ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 185 Les réflexes rotuliens sont tr
s rotuliens sont très brusques; la percussion des tendons.active le tremblement et cependant le redressement brusque du pied, au
secousses, les fait cesser un moment. D Aux membres supérieurs, le tremblement a des allures plus capricieuses encore. Tantôt
re, nul au repos, il apparaît avec les mouvements intentionnels. Ce tremblement des mains consiste en mouvements de flexion et
ations se font dans le sens vertical. Étudions d'abord la marche du tremblement quand la malade laisse reposer sa main sur une
cinq minutes et plus; puis des mo- ments d'arrêts se produisent, le tremblement cesse, reprend, etc. L'influence des mouvements
taine. Nous l'avons déjà indiqué. - Dans l'attitude du serment le tremblement se comporte avec la même irrégularité, la même
, pour un temps plus ou moins long, un cours régulier. En somme, ce tremblement n'est pas absolumentcontinu; les phases d'inter
ciellement, cette malade paraît trembler d'une façon incessante. Ce tremblement n'est pas non plus un tremblement intentionnel,
embler d'une façon incessante. Ce tremblement n'est pas non plus un tremblement intentionnel, puisque le passage du repos à l'act
er cependant soit au repos, soilpendant les mouvements actifs. Le tremblement de la tête est plus régulièrement continu. Il ne
ebout et la slation assise. Quand la malade s'étend sur son lit, le tremblement disparaît. Et alors, si elle soulève une jambe ou
ement disparaît. Et alors, si elle soulève une jambe ou un bras, le tremblement apparaît souvent, mais non à toutes les épreuves.
non à toutes les épreuves. Tels sont les caractères que présente le tremblement de la nommée Kcll... pendant les jours où ce sy
ne de ces ébauches d'attaques qu'elle a de temps en temps, alors le tremblement est incessant, régulièrement continu, sauf dans
ent décrit. IV. 13 186 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. TREMBLEMENTS A LOCALISATION MONOPLEGIQUE OBs. YIV. Surtttetc
ION MONOPLEGIQUE OBs. YIV. Surtttetccge : neurasthénie et hystérie. Tremblement hystérique localisé au membre supérieur droit e
ui avaient marqué le début de la première crise. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 199 nique rendent incertaine la lé
certaines espèces de tremble- ment jusqu'ici admises ; tels sont le tremblement saturnin, certains tremblements dits émotifs.
ent jusqu'ici admises ; tels sont le tremblement saturnin, certains tremblements dits émotifs. Nous ne prétendons pas que ces tr
ertains tremblements dits émotifs. Nous ne prétendons pas que ces tremblements n'existent pas, qu'ils sont tous de nature hyst
ettre, il l'avenir, les faits qui ressortisscnt à ces catégories de tremblements à un contrôle plus sévère, plus attentif. Nous av
us attentif. Nous avons vu et nous pourrions citer plusieurs cas de tremblement saturnin et de tremblements provoqués par une v
et nous pourrions citer plusieurs cas de tremblement saturnin et de tremblements provoqués par une vive frayeur qui appartenaient
aine de l'hystérie. Il y aurait lieu encore de reviser les faits de tremblements d'origine traumatique. Nous croyons aussi que
mblements d'origine traumatique. Nous croyons aussi que parmi les tremblements consécutifs aux maladies aiguës, telles que la
l en est qui sont en réalité de nature hystérique. Enfin certains tremblements hystériques, quand ils prennent la. forme hémip
émiplégique ou monoplégique, pourraient aisément être pris pour des tremblements post-hémiplégiques ou symptomatiques d'une tume
des difficultés que peut présenter le diagnostic différentiel d'un tremblement hysté- rique et d'un tremblement causé par une
er le diagnostic différentiel d'un tremblement hysté- rique et d'un tremblement causé par une tumeur cérébrale. Cas. XVIII. La
t. Aussitôt la malade se tourmente, cela la cha- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 197 sauce, il pouvait parler, mang
ne l'empêche pas non plus de courir, de faire de longues marches. Tremblement . Le membre supérieur droit est le siège d'un trem
S1L1'$l'IIIl;ltl : . ment qui présente les caractères suivants : ce tremblement n'apparaît qu'à la suite des attaques ; il dure
s, mais leur amplitude est très variable. Au résumé, il s'agit d'un tremblement rapide, à forme vibratoire, localisé au membre
u constater chez ce malade l'action de la zone hysté- rogènc sur ce tremblement , car cette zone est très sensible; la plus légère
us légère pression provoque immédiatement l'attaque. A côté de ce tremblement , le malade en présente parfois un autre, mais d
, le pied reposant à plat sur le parquet et quand il est debout, le tremblement ne se produit jamais; quoi qu'on fasse. Le réfl
re premier de ce travail sur la grande analogie qui existe entre le tremblement hystérique à forme vibratoire et les tremblemen
ui existe entre le tremblement hystérique à forme vibratoire et les tremblements également rapides de la paralysie géné- rale, d
écise que possible les traits de ressemblance qui existent entre le tremblement mercuriel, celui de la sclérose en plaques et c
mercuriel, celui de la sclérose en plaques et certaines formes de tremblement hystérique. Nous devons encore faire remarquer
encore faire remarquer que les données aujourd'hui acquises sur les tremblements hystériques, sur leur polymorphisme, la multipl
s sous lesquels ils peuvent se présenter en cli- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 19 ? Motilité. Le membre supérieur
cause dans l'incapacité fonctionnelle du membre supérieur droit. Le tremblement dont il est animé, et que nous allons décrire, en
ution très marquée de l'acuité auditive de l'oreille droite. ~ Le tremblement du membre supérieur droit que nous allons mainten
ns se modifier le moins du monde. Voici quels sont ses caractères : Tremblement . Le tremblement a été chez cette malade la premiè
e moins du monde. Voici quels sont ses caractères : Tremblement. Le tremblement a été chez cette malade la première manifestati
gales, mais aussi beaucoup plus rapides, et cela à tel point que le tremblement prend alors les caractères de la forme vibratoire
ceux de porter un. verre à la bouche, se boutonner. Par contre, ce tremblement menu lui rend impossible l'acte de coudre : « ell
ance quelconque. Il cesse pendant le sommeil. Le 15 septembre, le tremblement persiste sansavoir subi aucune modification. TR
tembre, le tremblement persiste sansavoir subi aucune modification. TREMBLEMENT A LOCALISATION HÉMIPLÉGIQUE Ons. XVII. Hystéro-
EMBLEMENT A LOCALISATION HÉMIPLÉGIQUE Ons. XVII. Hystéro-épilepsie. Tremblement hystérique des membres supérieur et inférieur d
in lournéc en dehors. Il avait toute sa connais- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 193 de nouveau, pour -disparaître
ns commencé à observer ce malade, jusqu'à ce jour (15 septembre) ce tremblement a toujours présenté les caractères suivants : i
lternatives, bien rhythmées, au nombre de 6 à 6 1/2 par seconde. Le tremblement persiste à l'état de repos, mais les oscillatio
es lorsque le malade place sa main dans l'attitude du serment. Ce tremblement peut persister rigoureusement continu pendant des
ou pendante et abandonnée à elle-même, on voit de temps en temps le tremblement cesser pendant quelques instants, parfois très
s. XVI. Chute, émotion vive, neurasthénie et hystérie consécutives. Tremblement hystérique du membre supérieur droit. Armandine
sans motif d'aucune sorte, d'un trem- blement de la main droite. Ce tremblement , d'abord très faible, s'accrut rapidement dans
gne et qu'elle dut renoncer à coudre avant la fin de la journée. Ce tremblement , accompagné d'un degré notable de parésie du me
s de rétrécissement du champ visuel notamment. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 201 grine beaucoup (mars 1887). Un
e qu'elle croit. rendant deux mois, rien de particulier. Début du tremblement . - Il y a quatre mois, vers la fin de décembre 18
u'elle ne vou- lut plus garder chez elle, elle fut prise d'un léger tremblement de la main droite. Il était sept ou huit heures
ssait et recommençait quelques ins- tants après. Le lendemain, le tremblement était un peu plus fort, il se montrait toutes l
nce. La jambe a commencé à trembler il y a deux mois. Depuis que ce tremblement existe, le crâne, le fronl et la nuque sont presq
cela dure une minute au plus- Les membres ne se raidissent pas, le tremblement ~ ne s'accroît ni ne cesse. La malade est un pe
erd pas con- naissance ; cela vient tous les deux ou trois jours. Tremblement . Ce tremblement est localisé exclusivement au mem
aissance ; cela vient tous les deux ou trois jours. Tremblement. Ce tremblement est localisé exclusivement au membre supérieur
niqués. Les yeux, la langue, la face, ne tremblent pas non plus. Le tremblement du membre supé- rieur droit est en quelque sort
is qu'ils tremblent simultanément. C'est au membre supérieur que le tremblement se montre prédominant et de beaucoup. Les oscil
upérieur, s'éteignent souvent après une série de ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 203 quelques légères secousses de
et la santé générale est parfaite. Rien autre. 11 est clair que ce tremblement présentait une grande analogie avec les tremble
st clair que ce tremblement présentait une grande analogie avec les tremblements observés chez quelques-uns de nos hystériques. Ce
'absence d'anesthésie et de zones liysléro- gènes, le diagnostic de tremblement hystérique. Or, dans la nuit du 6 septembre, la
tulle, M. Pitres, ont cité des cas de guérison quasi instantanée de tremblements hystériques qui persistaient depuis de longs mo
qui persistaient depuis de longs mois. Celte disparition subite du tremblement a été constatée tantôt après une séance d'élect
e d'électrisation ou d'aimantation, tantôt après ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 20j suggestion (bande élastique).
aimant et l'électricité n'ont jamais produit aucune modification du tremblement . Nous n'avons pas pu essayer l'effet de la sugg
eds et aux jambes. La perte des réflexes, l'absence de douleurs, de tremblement , de contracture, de troubles de la sensibilité,
et du trochléaire. Mouvements alaxiques de la pointe de la langue, tremblement des extrémités supérieures, absence de coordina
ôtés, mais davantage à gauche. De ce côté, il se produit souvent un tremblement épileptoïde spontané, de longue durée, et qu'on
oïde spontané, de longue durée, et qu'on n'observe pas à droite. Le tremblement s'était déjà produit pendant l'hiver avanl l'at
elle tressaute au moindre bruit, et la moindre émotion provoque un tremblement accentué dans les mains. Entrée le 20 février a
érieurs sont parfaitement mobiles, mais les mains sont animées d'un tremblement menu, rapide, avec quelques mouvements choréifo
au moindre interrogatoire. Elle a, tous les huit jours environ, des tremblements qui durent de dix à quinze minutes et quelquefois
ait vraisembla blement trouvés, que Julia B... avait. des crises de tremblements et une émotivité manifeste, qu'une de ses soeur
il perd connaissance. Alors, sans bouger de place il est agité d'un tremblement généralisé, violent, qui dure un quart d'heure.
complètement qu'on l'aurait voulu. En outre, ce malade présente un tremblement vibratoire généralisé. Son caractère s'est modi
Les mouvements choréiformes, les spasmes sallatoires, les tics, les tremblements , l'astasie-abasie amènent assurément de l'ataxie
de l'éminence thénar. La main tout entière est en outre animée d'un tremblement vibratoire très rapide et très menu. Main gau
, depuis deux mois, la main droite est sans cesse animée d'un léger tremblement vibratoire. Etat actuel. - Jeune fille bien dév
ns fibrillaires très marquées; il en résulte même un léger degré de tremblement pour le membre; il augmente lorsque le malade e
à l'état général, aux paresthésies, à la rigidité muscu- laire ; le tremblement n'a pas été modifié. Dans les méningo-myélites,
arl ! oix, G5. Hystériques (Contribution à l'élude clinique des tremblements -), ), par Dutil, 107, 179. (Contribution à l'é
es (Tracés de tremblcments-), 1, 1, 5, 26, 27, 28; écriture dans le tremblement - .2,3,4. Mensurations cranin-faciales, 19, 5
2 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
maladies du système nerveux. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES I L'existence du tremblement se t
L'ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES I L'existence du tremblement se trouve mentionnée dans un certain nombre d'o
nt été publiées dans le cours de ces dernières années, celles où le tremblement se trouve décrit d'une façon suffisamment expli
esseur Potain et qui présentait, à côté de troubles hystériques, un tremblement du membre supérieur droit que l'auteur a décrit
uvement volontaire, surtout lorsqu'elle essaie de marcher, alors le tremblement devient plus fort au point de se transmettre à to
ements choréiques étendus à toute la moitié gauche du corps et d'un tremblement du membre supérieur droit dont voici la descrip
dent avec beaucoup de régularité et de rapidité. C'est un véritable tremblement dont les oscillations se répètent environ 160 f
hystérique qui, à la suite d'une contrariété, avait été prise d'un tremblement des jambes et des membres supérieurs qui gênait
vingt-neuf ans atteinte d'accidents hystériques non douteux et d'un tremblement des mains survenu après une attaque et rappelan
côté de divers symptômes de nature évidemment hystérique, certain tremblement très intense, généralisé aux quatre membres et do
ur un grand nombre, je n'ose pas dire pour la totalité des cas, les tremblements mercuriels appartiennent à la grande névrose. »
1. Homélie. Hémianesthésic hystérique anormale avec contracture et tremblement du membre inférieur droit; Progrès médical, 5 j
British médical journal, décembre 1887, p. 1216. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 29 Nous pourrions citer encore que
TS HYSTÉRIQUES. 29 Nous pourrions citer encore quelques exemples de tremblement hystérique appartenant, soit à la littérature f
quelques faits qui nous paraissent être des exemples indéniables de tremblements de nature hystérique. Mais, en dehors de ces qu
en vain, dans les auteurs classiques, une description régulière des tremblements * hystériques. , Briquet' en parle incidemment e
en parle incidemment et de façon on ne peut plus som- maire : s Le tremblement musculaire, dit-il, se rencontre assez fréquemm
, dit-il, se rencontre assez fréquemment chez les hystériques... Ce tremblement est toujours passager; après une durée de quelq
e façon incidente, il est vrai, mais très explicite, l'existence du tremblement hystérique et de quelques-uns de ses cacactères
eçons sur l'hystérie de l'homme, M. Charcot décrit en ces termes le tremblement qui existait chez le nommé Gui... « Le tremblemen
en ces termes le tremblement qui existait chez le nommé Gui... « Le tremblement de la main droite est remarquable par la régula
ar seconde; à cet égard il tient par conséquent le milieu entre les tremblements à oscillations lentes, tel que celui de la para
sa main gauche sur son poignet droit, manoeuvre qui fait cesser le tremblement pour un instant. » Et ailleurs, dans la leçon q
nt pour un instant. » Et ailleurs, dans la leçon qui a pour titre : Tremblements et mouvements choréiformes (t. III, p. 212), M.
s choréiformes (t. III, p. 212), M. Charcot, après avoir décrit les tremblements à oscillations lentes, dit encore textuellement :
rie des oscillations rapides, je veux vous mentionner une espèce de tremblement qui tient le milieu entre les deux : c'est le t
espèce de tremblement qui tient le milieu entre les deux : c'est le tremblement hystérique. Nous avons actuellement dans nos sa
t par seconde. Je ne fais que vous citer en passant cette espèce de tremblement , me proposant d'y revenir plus tard d'une façon
xquelles ils ont donné lieu, ne répondent qu'à une seule variété de tremblements hystériques qui est, il est vrai, la plus fréqu
nt appelé l'attention des cliniciens sur la pluralité des formes du tremblement hystérique et indiqué l'analogie frappante qui ex
l'analogie frappante qui existe entre certaines de ces formes et le tremblement , soit de la paralysie agitante, soit de la sclé
s insiste également sur la diversité des formes que peut prendre le tremblement hystérique. « Il n'y a pas, dit-il, un tremblemen
peut prendre le tremblement hystérique. « Il n'y a pas, dit-il, un tremblement hys- térique -toujours et partout identique, ma
mblement hys- térique -toujours et partout identique, mais bien des tremblements d'origine hystérique. » Et M. Pitres propose de
. Pitres propose de les classer en trois groupes distincts : 1° les tremblements trépidatoires; 2° les tremble- ments vibratoire
emblements trépidatoires; 2° les tremble- ments vibratoires; 3° les tremblements intentionnels. Les'faits que nous avons nous-mê
en ce qui concerne la diversité des formes que peuvent revêtir les tremblements hystériqnes et la très grande analogie qui exis
analogie qui existe entre certaines de ces formes et la plupart des tremblements déjà décrits et classés en pathologie nerveuse. C
édicalé des hôpitaux de Paris (12 avril 1889). ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 31 ce nous semble, la mesure de l'
la mesure de l'intérêt pratique qui s'attache à cette question des tremblements de nature hystérique que nous nous pro- posons
ous nous pro- posons de décrire dans le présent travail. II Les tremblements hystériques se développent quelquefois d'une fa
se que les malades, interrogés sur l'époque de l'apparition de leur tremblement , ne peuvent fournir à ce sujet aucune indicatio
ou seulement de l'un deux. C'est là, de tous les modes de début des tremblements hystériques, celui qui nous paraît être de beau
nce, le malade se met à trembler violemment de tous ses membres. Ce tremblement peut s'apaiser au bout de quelques instants. Lo
vulgaire et l'on a affaire en pareil cas à une véritable attaque de tremblement (Obs. II et V). Chez une de nos malades le trem
e attaque de tremblement (Obs. II et V). Chez une de nos malades le tremblement se montra ainsi d'une manière si brusque, ' si
rs à son degré normal. Après une ou plusieurs crises semblables, le tremblement peut s'établir à demeure et persister sans relâ
âche pendant des semaines et des mois. Enfin il peut arriver que le tremblement se produise tout à coup, sans cause provocatric
plus facile, en effet, que de reconnaître la nature hystérique d'un tremblement lorsque ce trouble fonctionnel coexiste avec les
à une attaque classique, il n'en est pas de même dans ces cas où le tremblement constitue, pen- dant un temps plus ou moins lon
hystérie. En pareille occurrence, on porte souvent le diagnostic de tremblements « nerveux », de chorée, etc., et l'on méconnaît
erveux », de chorée, etc., et l'on méconnaît la véritable nature du tremblement jusqu'au jour où une attaque, l'apparition d'une
et première manifestation. Tels sont les divers modes de début des tremblements hystériques. Ces tremblements peuvent être géné
sont les divers modes de début des tremblements hystériques. Ces tremblements peuvent être généralisés ou partiels; dans ce d
gment de membre. Leur durée est également très variable; il y a des tremblements qui persistent pendant plusieurs mois, plusieur
out d'un temps variable pour reparaître à l'attaque suivante. Les tremblements sont quelquefois si légers qu'ils ne gênent en ri
de la jambe pour les membres infé- rieurs, etc.). Par contre, le tremblement peut acquérir une intensité telle que la marche
rès impossible l'accomplissement des actes de la vie commune. Les tremblements hystériques présentent en général un rhythm 1'égu
pides, véritablement vibratoires. Entre ces deux ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 33 modalités extrêmes, il existe d
de de leurs oscillations. Si nous ajoutons à ce qui précède que les tremblements hystériques ne se montrent pas dissemblables d'
le même sujet peut présenter simultanément ou successivement des tremblements d'allures fort différentes, nous aurons, ce nous
nous aurons, ce nous semble, indiqué d'une façon suffisante que les tremblements d'origine hysté- rique sont essentiellement pol
nvisagés au point de vue de la fréquence de leurs oscillations, les tremblements hystériques peuvent être répartis en trois groupe
lements hystériques peuvent être répartis en trois groupes : le Les tremblements à oscillations rapides ou vibratoires (ayant de
u vibratoires (ayant de 8 à 12 oscillations par seconde) ; 2° Les tremblements de rhythme moyen (de 5 1/2 à 71/2 oscillations
rhythme moyen (de 5 1/2 à 71/2 oscillations par seconde); 3° Les tremblements à oscillations lentes (de 4 à 5 '1/ oscillations)
ements à oscillations lentes (de 4 à 5 '1/ oscillations). Parmi les tremblements qui appartiennent aux deux derniers groupes (tr
l convient de ranger ces cas dans une caté- gorie à part, celle des tremblements intentionnels. Tel est l'ordre suivant lequel n
ts intentionnels. Tel est l'ordre suivant lequel nous décrirons les tremblements hystériques que nous avons observés.. - Eu ét
que nous avons observés.. - Eu étudiant ces différentes formes de tremblement , nous ne nous bornerons pas à l'analyse attenti
nous efforcerons, en même temps, de montrer sous quels aspects les tremblements appartenant à chacune des catégories précédente
ents hystériques et les hystériques trembleurs. Il y a en effet des tremblements hystériques qui, par leur localisa- nt. 3 34
paralysie agitante, de sclérose en plaques ou d'une autre maladie à tremblement . Ce fait que les tremblements hystériques peu-
se en plaques ou d'une autre maladie à tremblement. Ce fait que les tremblements hystériques peu- vent simuler les tremblements
ent. Ce fait que les tremblements hystériques peu- vent simuler les tremblements propres à certaines affections organiques ou in
ssayerons de les mettre en relief dans le cours de ce travail. IV TREMBLEMENT A OSCILLATIONS RAPIDES Tremblement vibratoire.
s le cours de ce travail. IV TREMBLEMENT A OSCILLATIONS RAPIDES Tremblement vibratoire. - Cette variété de tremblement hystér
T A OSCILLATIONS RAPIDES Tremblement vibratoire. - Cette variété de tremblement hystérique est caractérisée par des oscillation
e des parties qui en sont le siège. Il n'est pas rare d'observer ce tremblement chez les hysté- riques à la suite des attaques
vice de la Clinique. Par contre, il y a des sujets chez lesquels ce tremblement persiste, sans interruption, pendant des semain
ur ces deux cas que repose la description qui va suivre. Lorsque ce tremblement à oscillations rapides est généralisé, très pro
dès l'abord. Qu'il soit debout ou assis, il est ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 35 agité d'une trémulation continu
de légers et brusques mouvements des doigts. Parfois même, quand ce tremblement est à son maximum d'intensité, comme cela arriv
enons de tracer ne répond guère qu'aux phases d'acuité excessive du tremblement . Dans les périodes de calme relatif, le tremble
té excessive du tremblement. Dans les périodes de calme relatif, le tremblement semble localisé aux seules extrémités. L'aspect
ître et chez lesquels, en l'absence de goitre et d'exophthalmie, un tremblement à oscillations rapides est le seul symptôme app
l'examen méthodique que nous allons faire des caractères propres au tremblement vibratoire que nous décrivons. Prédominant tant
nt tantôt aux membres supérieurs, tantôt aux membres inférieurs, le tremblement ne s'efface que pendant le sommeil. A l'état de
nt pour centre l'articulation du poignet. Les doigts participent au tremblement mais d'une façon passive le plus souvent ; ce n
continu de la trémulation. Dans les cas que nous avons observés, le tremblement des membres inférieurs était toujours apparent,
tion du genou. Quand le sujet est assis, et, dans les moments où le tremblement acquiert une certaine intensité, les membres in
ez nos malades. les réflexes tendineux n'étaient pas exagérés. Ce tremblement à forme vibratoire peut persister, nous l'avons d
à cet égard. Si le malade a une attaque, au sortir de la crise, le tremblement atteint son maximum d'intensité ; il est alors
deux, trois jours, parfois quelques heures seulement; après quoi le tremblement s'atténue progressivement jusqu'à un certain de
tion et des autres sensations qui constituent l'aura hystérique. Le tremblement s'accentuait aussitôt et se montrait à son maxi
endant une heure ou deux. Pendant les périodes de calme relatif, ce tremblement n'apporte aucune gêne dans l'exécution des mouv
ades ne sont nullement gênés dans l'accomplisse- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 37 ment des autres actes de la vie
l'influence d'une des causes que nous avons indiquées plus haut, le tremblement acquiert un certain degré d'intensité. L'écriture
ide, aussi immédiate qu'à l'état normal. Aux membres inférieurs, le tremblement , lorsqu'il est très prononcé, peut aussi amener
chez ce malade et toujours con- jointement avec une exagération du tremblement . Ils disparaissaient en effet a peu près complè
nt. Ils disparaissaient en effet a peu près complètement dès que le tremblement avait repris 38 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
er, se promener dans les cours de l'hôpital, conservant toujours le tremblement à forme vibratoire dont il était affecté depuis p
'existait chez Hacq... que dans les périodes de recrudes- pence, du tremblement . - . Cette remarque étant faite, ce trouble fon
el très particulier (dérobement des jambes) est-il uniquement dû au tremblement ? est-il une conséquence directe, mécanique des
ets atteints de maladie de Basedow où il peut se montrer associé au tremblement vibratoire qu'a décrit M. P. Marie. C'est préci
Basedow avec trem- blement, mais sans exophthalmie ni goitre, et le tremblement hysté- rique répondant au type vibratoire. Ch
que répondant au type vibratoire. Chez notre malade de l'Obs. I, le tremblement s'est développé brusquement à la suite d'une at
te d'une attaque. Chez le nommé Chérub... (Obs. II) l'apparition du tremblement a été précédée, non pas d'une attaque convulsiv
embler violemment des quatre membres. Lors des premières crises, le tremblement ne dura que quelques jours, et c'est après avoir
jours, et c'est après avoir ainsi présenté une série d'attaques de tremblement , que ce symptôme s'établit, à la suite de la' d
ul. Chez une hystérique dont l'observation a été ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 39 rapportée par M. Pitres', le tr
NIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 39 rapportée par M. Pitres', le tremblement a débuté d'une façon insidieuse; voici cette ob
ssement concentrique des champs visuels, etc.), pré- sente un petit tremblement des membres tout à fait semblable à celui de la
tôme, elle répond qu'elle n'en sait rien. » On pourra voir aussi le tremblement hystérique à forme vibra- toire apparaître à la
sairement incomplètes), nous pourrions relever parmi les faits de « tremblement émotif » ou « nerveux » qui ont été publiés çà et
sieurs cas qui, selon toute vraisemblance, ressortissent au type de tremblement hystérique que nous décrivons. Nous allons main
rnir l'exploration directe, nous avons utilisé dans notre étude des tremblements hystériques les indications que donnent les app
produites dans un temps donné, nous avons inscrit parallèlement au tremblement , soit les secousses d'un métronome marquant les s
enveloppe le cylindre. On obtiendra ainsi le tracé photographique du tremblement . Tel est le dispositif que nous avons pu utilis
oscillations de 9 à 1; ? par seconde (Hacq..) ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 41 l'attitude du serment que lorsq
de calme relatif; ils représentent pour ainsi dire l'état moyen du tremblement . Nous avons déjà dit qu'à la suite des attaques
ces conditions, la rapidité du rhythme, le caractère vibratoire du tremblement s'accentuaient à un degré tel que la main de l'
ci-dessus indique assez clairement l'allure que présentait alors le tremblement (fig. 19). Les tracés du tremblement de notre s
lure que présentait alors le tremblement (fig. 19). Les tracés du tremblement de notre second malade (Chérub...) pré- sentent
ctement les mêmes particularités (fig. 20). Diagnostic. - Parmi les tremblements qui ont été méthodiquement étudiés jusqu'à ce j
ents qui ont été méthodiquement étudiés jusqu'à ce jour, seuls, les tremblements à oscillations rapides présentent, tant par leu
ue par leurs caractères graphiques, une ressemblance réelle avec le tremblement hystérique que nous venons de décrire : ce sont
c le tremblement hystérique que nous venons de décrire : ce sont le tremblement alcoolique, celui de la paralysie générale, et
emblement alcoolique, celui de la paralysie générale, et surtout le tremblement de la maladie de Basedow. Tous ces tremblements
érale, et surtout le tremblement de la maladie de Basedow. Tous ces tremblements sont, en effet, constitués par une série d'osci
sur les trois tracés ci-après qui représentent ces trois espèces de tremblements pour se rendre compte que, par leur Pic,. 19. -
ier dans son intéressant travail, a cherché par quels caractères le tremblement de la maladie de Basedow se distinguait des tre
ractères le tremblement de la maladie de Basedow se distinguait des tremblements de l'alcoolisme et de la paralysie générale. Le
oigts ne sont pour ainsi dire pas animés de secousses propres; leur tremblement est plutôt un tremblement communiqué et dû aux
ire pas animés de secousses propres; leur tremblement est plutôt un tremblement communiqué et dû aux secousses des autres segme
le), les muscles des doigts sont particuliè- rement atteints par le tremblement . » Cette particularité lui a été révélée par l'
rale. Fie. 23. Trace VU. \Ial,mlie'Je Basedow. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 43 contraire, dans la paralysie gé
n tracé composé d'une série de saccades. En appliquant à l'étude du tremblement hystérique vibratoire le même procédé d'explora
r M. Marie ne nous paraît donc pas suf- fisant pour différencier le tremblement hystérique à'forme vibratoire des tremblements,
pour différencier le tremblement hystérique à'forme vibratoire des tremblements , soit de la maladie de Basedow, soit de l'alcooli
ie générale. En insistant sur la très grande analogie de ces divers tremblements , il n'est pas dans notre pensée et nous ne vou-
adie de Basedow où le goitre et l'exphothalmie font défaut et où le tremblement vibratoire propre.à cette affection en est le s
tes; sans compter que l'hystérie a ses stigmates propres, et que le tremblement à oscillations rapides est en somme un symptôme
sera difficile de décider auquel de ces deux éléments mor- bides le tremblement devra être attribué. Ces. I. - Hystérie et neur
nie provoquées par le surmenage chez un chauffeur de locomotives. - Tremblements à forme vibratoire. Hacq... (Victor), âgé de tr
modique infantile ont été l'objet de descriptions nombreuses 1; les tremblements , la chorée, l'athétose ont donné lieu à des étu
. 1. F. Raymond, Elude sur l'hélllichorée, (l'kémiaxeslhésie et les tremblements sym- plomatiques, th. 1876. - P. Oulmont, Elude
léchisseurs et des extenseurs CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite,) Vers la fin du mois de n
s l'influence de' la compression des zones hystérogènes, lorsque le tremblement des membres acquiert son plus haut degré d'inte
e de se pro- duire et le sujet reprend sa marche ordinaire. 2° Le tremblement est apparu chez cet homme à la suite de sa premiè
février 1889. Il a toujours persisté depuis cette époque. C'est un tremblement rapide, véritablement vibratoire. Généralisé au
endant les mouvements volontaires, il semble s'accroître un peu. Ce tremblement s'exagère d'une façon remarquable sous l'influenc
s, quelquefois plus; elle apparaissent générale- ÉTUDE CLiNIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 91 ment le soir, et deux ou trois
peu troublées. Après chaque attaque, la faiblesse des jambes et le tremblement s'accroissent; cela dure 3 ou i jours, après qu
e malade se sent un peu plus solide sur ses membres inférieurs ; le tremblement qui ne s'efface jamais complète- ment s'atténue
que chose lui montait il la gorge, il étouffait. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 93 Quelques instants après, survin
instants après, survinrent des battements dans les tempes, puis un tremblement général très violent, entrecoupé de sursauts, de
tait enfui. A cette occa- sion, il fut pris d'une nouvelle crise de tremblement précédée d'une aura carac- téristique ; pendant
ement précédée d'une aura carac- téristique ; pendant deux jours le tremblement des membres fut si intense que le malade ne put
s fonctionnels dont ses membres inférieurs avaient été le siège, le tremblement des quatre membres s'était atténué et avait fin
t une nouvelle perte d'argent, il fut pris de rechef d'une crise de tremblement précédée de l'aura hystérique semblable aux pré
rtir du lit, mais l'astasie s'était reproduite et ce syndrome et le tremblement qui l'accompagne per- sistent encore aujourd'hu
rieure tremble au point de l'empêcher de parler correctement. Ce tremblement s'étend jusqu'aux mains et aux membres inférieurs
même dans les moments d'excitation : il n'existe non plus ni f * tremblement ni' goitre. Il n'y a pas d'exophthalmie. Aucune a
un autre signe de maladie de Basedow, ni goitre, ni tachycardie, ni tremblement . La malade se plaint d'une grande impressionnab
8°, 1887, p. 20). 2. Ch. Féré, Note sur l'étal des forces et sur le tremblement chez- les épileptiques après les attaques (Nouv
idité de la propulsion et la stabilité de la position acquise ou le tremblement . Chez les sujets normaux, la propulsion de la l
danslaparésie ,postépileptique (fig. 4 ! J) et le plus souvent, le tremblement s'objective par des oscillations plus étendues
J ? 0f/rf;/) ? e e< f<i/))«)Of/)'a/)A/c t<M p(HYf/j/<tfes tremblement et l'ataxie tl880). llecherches )));/or)/tM/Me.
er que de ce côté le médius est ankylosé dans l'extension. Pas de tremblement des mains. A la main gauche il porte des traces
3 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
élioration relative de l'accident local, (25 mars 1890). III. Des tremblements hystériques. (Leçon du 13 novembre 1889). Som
ovembre 1889). Sommaire. — Date récente des premières études sur le tremblement hystérique : travaux de MM. Rendu, Pitres, Dutil.
hystérique : travaux de MM. Rendu, Pitres, Dutil. Classification des tremblements hystériques ; leurs rapports avec les autres espè
tremblements hystériques ; leurs rapports avec les autres espèces de tremblements , dont ils ne paraissent être que des imitations p
nt ils ne paraissent être que des imitations plus ou moins parfaites; tremblements hystériques oscillatoire, vibratoire et intention
rts d'évolution avec la névrose hystérique. Relations de trois cas de tremblement hystérique ayant trait, les uns à la variété inte
hui nous occuper de quelques points relatifs à l'histoire clinique du tremblement ou mieux des tremblements hystériques. Il est s
ues points relatifs à l'histoire clinique du tremblement ou mieux des tremblements hystériques. Il est singulier, Messieurs, que c
t, si complet à d'autres égards, on ne trouve que peu de chose sur le tremblement hystérique. Voici d'ailleurs tout ce qu'il en dit
emblement hystérique. Voici d'ailleurs tout ce qu'il en dit(l) : « Le tremblement se rencontre assez fréquemment chez les hystériqu
est pas grand'chose, vous le voyez, Messieurs. Mais ce rôle effacé du tremblement hystérique clans le livre de Briquet tient peut-ê
e. C'est chez l'homme que j'ai pour la première fois reconnu que le tremblement peut occuper une place importante dans la symptom
cherché à le faire entrer dans la classification par moi proposée des tremblements , fondée sur le nombre des oscillations par second
econde (2). Je lui avais assigné là une place intermédiaire entre les tremblements lents et les tremblements rapides ou vibratoires.
ssigné là une place intermédiaire entre les tremblements lents et les tremblements rapides ou vibratoires. A cette époque, nous n'
ns pas encore aperçu qu'il existe diverses variétés bien tranchées du tremblement hystérique ; nous avions reconnu, du moins, (1)
rfaitement établi par les études récentes qu'il ne faut pas parler du tremblement hystérique, mais bien des tremblements hystérique
tes qu'il ne faut pas parler du tremblement hystérique, mais bien des tremblements hystériques, lesquels peuvent être ramenés à un c
présentée le 19 avril 1889 à la Société médicale des Hôpitaux, sur le tremblement hystérique et ses diverses variétés (1). Ce trava
mme ouvrant une ère nouvelle. C'est vraiment la première fois que les tremblements liés à la névrose hystérique ont été décrits et c
Bordeaux) publiait dans le Progrès Médical une série de leçons sur le tremblement hystérique (2). Bien qu'il n'ait eu aucune notion
eu aucune notion du travail de M. Rendu au moment où il étudiait ces tremblements , M. Pitres envisage cependant la question sous le
ions, à savoir qu'il convient d'établir un certain nombre de types de tremblement hystérique distincts les uns des autres. Un peu
méd. des hôp. Séance du 19 avril 1889. (2) Pitres. — Leçons sur le tremblement hystérique. (Progr. Méd., septembre 1889). de m
ourd'hui (1). Il s'agit d'un assez volumineux mémoire dans lequel les tremblements hystériques, étudiés cette fois sur une grande éc
asse l'étude, autant qu'on peut en juger quant à présent, de tous les tremblements hystériques possibles. Il résulte de cette étud
riques possibles. Il résulte de cette étude que les divers types de tremblement hystérique peuvent être rapprochés des types de t
types de tremblement hystérique peuvent être rapprochés des types de tremblement déjà connus, auxquels ils ressemblent plus ou moi
dans la pratique. En d'autres termes on peut dire que chaque type de tremblement non hystérique a, dans la catégorie de l'hystérie
e. L'hystérie, dans cette forme, pourra simuler toutes les espèces de tremblements liés à des maladies organiques ou purement névrop
ien ne sera-t-il pas important, en clinique, de savoir que tel ou tel tremblement n'est pas produit par une sclérose en plaques ou
ifestation de l'hystérie ! Voici, à mon avis, la classification des tremblements hystériques qui peut être proposée dans l'état ac
M. Dutil dans le travail auquel j'ai fait allusion tout à l'heure, Tremblements hystériques! A). Tremblement non exagéré parles
j'ai fait allusion tout à l'heure, Tremblements hystériques! A). Tremblement non exagéré parles mouvements volontaires. B).
s! A). Tremblement non exagéré parles mouvements volontaires. B). Tremblement I existant ou non au' repos, provoqué ou exagéré
l'accélèrent pas, mais augmentent l'amplitude i des vibrations. 1° Tremblement oscillatoire à oscillations lentes (3 à 6 par sec
mblement oscillatoire à oscillations lentes (3 à 6 par seconde). 2° Tremblement vibratoire à oscillations rapides (8, 9 et plus p
nt vibratoire à oscillations rapides (8, 9 et plus par seconde). 3° Tremblement intentionnel (type Rendu), intermé-' diaire comme
rations entre le n° 1 et le n° 2. Imite la paralysie agitante ou le tremblement sénile. Imite la maladie de Basedow, le tremble
agitante ou le tremblement sénile. Imite la maladie de Basedow, le tremblement alcoolique, celui de la paralysie générale. Imi
le tremblement alcoolique, celui de la paralysie générale. Imite le tremblement de la sclérose en plaques. Imite encore plus pa
a sclérose en plaques. Imite encore plus parfaitement peut -être le tremblement mercui'iel (qui, d'ailleurs , d'après les observa
eurs , d'après les observations de M. Letulle, serait fort souvent un tremblement hystérique). ; Comme vous le voyez, Messieurs,
inguons d'abord deux catégories bien différentes. Dans la première le tremblement est constant ; il ne cesse pas d'exister pandant
x sous-divisions fondées sur le nombre d'oscillations que présente le tremblement par seconde : s'il est lent, on le nomme oscillat
dénomination de vibratoire. La paralysie agitante est le prototype du tremblement oscillatoire ; la maladie de Basedow, les tremble
le prototype du tremblement oscillatoire ; la maladie de Basedow, les tremblements de l'alcoolisme, de la paralysie générale sont au
« sosie » dans l'hystérie. La seconde grande catégorie comprend les tremblements hystériques qui sont influencés par les mouvement
On peut établir ici encore une sous-division basée sur ce fait que le tremblement sera ou bien provoqué de toutes pièces par le mou
et augmenté seulement dans les actes volontaires. Ces deux espèces de tremblement se rencontrent dans des maladies bien distinctes.
tion mercurielle. Eh bien, dans l'hystérie, nous pouvons retrouver le tremblement de la sclérose mul-tiloculaire considéré dans son
trembler qu'au moment même où il exécute un mouvement volontaire. Le tremblement de l'intoxication mercurielle, lui aussi, a son p
ielle, lui aussi, a son pendant dans l'hystérie. Il s'agit alors d'un tremblement qui persiste à peu près constamment, bien que peu
é par le mercure et devenu par ce fait hystérique puisse présenter un tremblement relevant de l'hystérie et simulant le tremblement
puisse présenter un tremblement relevant de l'hystérie et simulant le tremblement hydrargyrique. La réalité du fait paraît établie
la possibilité, constatée par M. Letulle, de la guérison de certains tremblements rapportés à l'intoxication mercurielle, à l'aide
Mais doit-on généraliser désormais et aller jusqu'à dire que tous les tremblements dits mercuriels ne sont pas autre chose que des t
tous les tremblements dits mercuriels ne sont pas autre chose que des tremblements hystériques ? C'est une grave question que l'aven
elle (Soc. méd. des hôp. de Paris, 12 août 1887). (2) Mugnerot.— Du tremblement mercuriel et de son traite* ment par les agents e
ogènes. Th. Paris, 1889. disposé à croire qu'il existe un véritable tremblement mercuriel indépendant de l'hystérie, et émanant d
, chez les hydrargyriques, l'hystérie se développe et donne lieu à un tremblement méritant cette fois de porter légitimement le nom
ant cette fois de porter légitimement le nom d'hystérique. En quoi ce tremblement -ci différera-t-il cliniquement du premier ? Cela
éterminer. Pour en Unir avec cet aperçu des caractères généraux des tremblements hystériques, ajoutons qu'ils se montrent tantôt g
rme monoplégique, paraplégique ou encore hémiplégique, tout comme les tremblements des diverses maladies qu'ils peuvent imiter. Vo
e et provoquée par la peur d'un chien, avait inauguré l'apparition du tremblement . Il est clair que ce mode d'apparition du tremb
apparition du tremblement. Il est clair que ce mode d'apparition du tremblement , à la suite d'une attaque hystérique, quelle qu'e
fixer le diagnostic. Il est des cas encore où l'on constatera que le tremblement est fortement exagéré à la suite de chaque crise
ion exercée sur les points hysté-rogènes. Chez certains malades, le tremblement hystérique peut être très fugace, disparaître, pa
nstitue un contraste frappant avec ce qui se voit dans les maladies à tremblement pouvant être simulées par l'hystérie. Vous n'igno
ement pouvant être simulées par l'hystérie. Vous n'ignorez pas que le tremblement de la paralysie agitante, de la sclérose en plaqu
spérante ténacité. Mais il ne faut pas oublier d'un autre côté que le tremblement hystérique peut, lui aussi, malheureusement trop
de vous signaler tout à l'heure. Il s'agit de formes généralisées du tremblement hystérique. Je n'ai en ce moment, sous la main, a
n montrer un jour quelques exemples. Le type à oscillations lentes du tremblement hystérique, celui qui imite la paralysie agitante
essus, parfaite ment tranquille, sans présenter la moindre trace de tremblement . Je soulève successivement ses membres supérieurs
violemment. On le reconduit chez lui en voiture, et, le lendemain, le tremblement persistant toujours, on l'amène à Lariboisière. D
insi qu'à l'hôpital Bichatoù le malade fut admis plus tard (1888). Le tremblement avait progressivement envahi les membres supérieu
adresser. Donc, voici un homme atteint depuis plusieurs années d'un tremblement généralisé, très accentué,comme vous le reconnaît
osant sur les genoux. Il n'y a pas eu encore jusqu'ici apparence de tremblement . Mais je lui ordonne de saisir, à l'aide d'une de
nir dans le membre mis en mouvement un tremble- Fig. 14. — Tracé du tremblement du nommé B... Type du tremblement hystérique inte
t un tremble- Fig. 14. — Tracé du tremblement du nommé B... Type du tremblement hystérique intentionnel. ment à grandes oscilla
s. Nous retrouvons donc là, bien tranchés, les caractères assignés au tremblement classique de la sclérose en plaques. Mais procédo
e, tronc et membres, tout à l'heure immobiles, être saisis de ce même tremblement , dont nous provoquions il y a un instant l'appari
st en cause, il se manifeste par moments, chez notre malade, un léger tremblement parfois diffi- Flg. 15. —Tracé du tremblémont d
diffi- Flg. 15. —Tracé du tremblémont du nommé 15 . montrant que le tremblement existe aussi au repos et est considérablement aug
. Donc, contrairement à ce qui a lieu dans la sclérose en plaques, le tremblement ici peut exister déjà dans ce qu'on appelle le te
la sclérose en plaques, rapproche au contraire notre cas des faits de tremblement mercuriel que nous avons décrit, il y a 2 ans, da
(l; Leçons du Mardi. T. I. Mai I8S3. comme dans l'autre, on note un tremblement de la langue, d'où résulte un certain embarras de
plus haut, M. Letulle a donné des raisons qui portent à croire que le tremblement dit hydrargyrique n'est souvent autre chose qu'un
que le tremblement dit hydrargyrique n'est souvent autre chose qu'un tremblement hystérique. En second lieu, nous relèverons la
les stigmates et les attaques, tandis qu'à celle-là appartiendrait le tremblement intentionnel. Mais voici des arguments qui réduis
à néant cette hypothèse. Nous avons déjà dit que chez notre sujet le tremblement , considéré abstractivement, n'est pas, malgré tan
voici des arguments plus décisifs. Nous avons vu comment chez B... le tremblement s'est développé au sortir d'une attaque qui depui
rs fois constaté et je vous le fais reconnaître une fois de plus — le tremblement vient pour une cause quelconque à s'atténuer, vou
et sans mélange; tout lui appartient chez notre malade, aussi bien le tremblement que les stigmates et les attaques. Toute idée d'u
e proverbiale. Chez notre homme, entre autres, il y a deux ans que le tremblement s'est installé et il a, depuis lors, quoi qu'on a
Ce premier cas, Messieurs, est un bel exemple du type intentionnel du tremblement hystérique, tel qu'il a été décrit pour la premiè
pas de signes d'alcoolisme et n'a jamais eu la syphilis. Fig. 16.— Tremblement hystérique vibratoire chez le nommé Hacq... (huit
e nommé Hacq... (huit à dix oscillations par seconde). Examinons le tremblement qui l'agite en permanence: il est absolument cont
'il y a quelque temps, mais cependant encore bien manifeste. C'est un tremblement vibratoire. Les oscillations, que M. Dutil a enre
qu'il ne s'agit pas ici de cette affection. Le mode de début de ce tremblement va d'autre part nous fournir des données importan
possible de se mettre debout sur ses pieds. Depuis cette époque, le tremblement a persisté presque sans aucune modification ; d'a
voilà assez pour nous permettre d'affirmer la nature hystérique de ce tremblement . Ayant débuté après une première attaque hystériq
l'autre dans l'hypocondre droit. La pression en ces points exagère le tremblement ; elle donne lieu à la production de l'aura et pe
ien établie la nature hystérique de la maladie de cet homme et de son tremblement . Cependant, il y a déjà de nombreux mois que cela
liniques (1), un nouveau malade atteint de la forme intentionnelle du tremblement hystérique. Je donne ici l'observation de ce mala
s. Il était dans cet état depuis une quinzaine de jours, lorsque le tremblement apparut graduellement, dans les deux jambes d'abo
l finit par avoir une stomatite intense et perdit plusieurs dents. Le tremblement persistait et même s'aggravait. Le 20 mars 1889
) L'observation résumée de ce malade se trouve dans le travail sur le tremblement hystérique que M. Rendu a communiqué à la Société
oite : 34 kil. Le trouble de la motilité qui domine chez lui est le tremblement . Tremblement.— Il est généralisé, prédominant a
Le trouble de la motilité qui domine chez lui est le tremblement. Tremblement .— Il est généralisé, prédominant aux membres infé
nt couché. Mais, dès qu'il lève une jambe ou veut saisir un objet, le tremblement apparaît aussitôt dans le membre qui entre en act
e qui entre en action. Il est donc intentionnel. Fig. 17. —Tracé du tremblement de la tête chez le nommé M... Dans la moitié gauc
est assis, si on lui dit de prendre un verre plein d'eau, on voit le tremblement s'exagérer énormément dans le membre qui tient le
le sens antéro-postérieur (le malade « dit oui »). Le rythme de ce tremblement est parfaitement régulier. Le nombre des oscillat
Charcot, dans la leçon où il a présenté cet homme, il s'agit là d'un tremblement hystérique du type intentionnel qui peut être jus
orté dans un autre hôpital, celui d'alcoolisme, se comprend moins. Le tremblement intentionnel de Mas*.*., avec ses larges oscillat
cessation complète, le malade étant couché, n'a aucun rapport avec le tremblement de l'éthylisme qui est vibratoire, continu et nul
es aujourd'hui que nous connaissons mieux les caractères des divers tremblements hystériques, grâce aux récents travaux sur cette
urgitations de glaires spumeux et de consistance épaisse. Jamais de tremblements , ni de secousses involontaires dans les membres n
mouvements. Le membre inférieur droit tout entier est atteint d'un tremblement léger, dont l'intensité augmente par instants. —
ue ses mains devenaient faibles. Les pouces étaient animés d'un léger tremblement , et souvent le pinceau s'échappait de ses mains.
uand elle est au dehors, sans déviation, et elle n'est animée d'aucun tremblement fibrillaire ni de secousses vermiculaires. Il e
cauchemars (chute dans des trous). Quelques pituites le matin, pas de tremblement . Il avoue avoir fait quelques excès alcooliques a
ou, pour mieux dire, le malade, par suite d'une sorte de sensation de tremblement des genoux, ne pouvait facilement rester debout.
ilis ; pas d'alcoolisme; rarement quelques cauchemars la nuit; pas de tremblement ; pas de crampes autrefois, sauf depuis quelque te
nement moins développés que ceux du côté droit. On ne constate pas de tremblements fibrillaires. La sensibilité cutanée est intact
le corps penché en avant, le regard fixe, les mains agitées d'un menu tremblement , vous n'hésitez pas à dire qu'il est atteint de p
d de vin. Les jours suivants j'ai souffert de grands maux de tête, de tremblement nerveux ; la nuit, j'ai eu des cauchemars relatif
derniers, je ne vous rappellerai que la paraplégie spasmodique et le tremblement intentionnel. Quant aux symptômes bulbaires et cé
fficultés de certains problèmes diagnostiques. Sans doute, lorsque le tremblement et la dysar-thrie existent, que le tableau est co
à peu près seule la scène. Ayant déjà remarqué antérieurement que le tremblement est le signe qui disparaît de préférence, lorsque
ie de l'abducens, 6 (2 fois double et 4 fois unilatérale). un léger tremblement des mains, le tout ayant évolué en une série disc
ntérieure de vertiges, d'ictus apoplectiques, de cécité passagère, de tremblement ..... 2° Les signes concomitants, que l'on const
de la diplopie, des ictus apoplectiformes, de la cécité passagère, du tremblement intentionnel des mains....., bref, un ou plusie
; elle va vous apprendre qu'elle a eu autrefois des vertiges et du tremblement intentionnel. Elle tremblait, dit-elle, « comme M
vous montrais mardi dernier et qui vous a présenté le type parfait du tremblement de la sclérose en plaques. Dans la station assise
étaient agités de secousses progressivement croissantes. Ajoutez à ce tremblement les grands vertiges qu'elle éprouvait et vous aur
qui parle — qu'une nouvelle phase commençait; la malade eut quelques tremblements fibrillaires dans les muscles de la face, puis il
ise et très transparente de l'embarras particulier do la parole et du tremblement intentionnel. Rien, pas même le moindre détail, n
ent son rhumatisme, B... resta confinée au lit, incapable, à cause du tremblement , de boire et de manger seule. En 1880, elle entra
c'est durant ce séjour à l'hôpital qu'une rémission se produisit: le tremblement s'atténua et la marche devint possible. Depuis lo
jourd'hui l'inscription est effacée et difficile à lire. En effet, le tremblement a disparu, la marche n'est plus profondément trou
int. Dans ces deux dernières années, nous avons appris à connaître le tremblement hystérique qui, sous une de ses formes (type Rend
. Il s'agit là d'un cas fruste, fruste parce qu'il n'y a pas trace de tremblement intentionnel et qu'il n'y en a jamais eu, fruste
e inférieure tremble au point de Fempêcher de parler correctement. Ce tremblement s'étend jusqu'aux mains et aux membres inférieurs
nerf médian, dans le développement des accidents. ... 29 III. Des tremblements hystériques. (Leçon). Sommaire. — Date récent
es. (Leçon). Sommaire. — Date récente des premières études sur le tremblement hystérique : travaux de MM. Rendu, Pitres, Dutil.
hystérique : travaux de MM. Rendu, Pitres, Dutil. Classification des tremblements hystériques ; leurs rapports avec les autres espè
tremblements hystériques ; leurs rapports avec les autres espèces de tremblements , dont ils ne paraissent être que des imitations p
t ils ne paraissent être que des imitations plus ou moins parfaites ; tremblements hystériques oscillatoire, vibratoire et intention
orts d'évolution avec la névrose hystérique. Relations de deux cas de tremblement hystérique ayant trait, l'un à la variété intenti
oph-thalmoplégique). Paralysie agitante : démarche dans la —, 50 ; tremblement hystérique à forme de —, 50. Paralys:e faciale
stérie et hystéro-traumatisme) — au début de la syringomyélie, 336. Tremblement hystérique, 46 ; classification et formes diverse
sification et formes diverses dos — hystériques, 50 ; — hystérique et tremblement mercu-riel, 51 ; — intentionnel dans la sclérose
4 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
inées. CINQUIÈME LEÇON De la paralysie agitante. Sommaire. — Du tremblement en général. — Ses variétés. —Tremblement in-termi
e agitante. Sommaire. — Du tremblement en général. — Ses variétés. — Tremblement in-termittent. — Tremblement continu. Influence d
tremblement en général. — Ses variétés. —Tremblement in-termittent. — Tremblement continu. Influence du sommeil, du repos et des mo
— Distinction établie par'.Van Swieten. — Opi-nion de M. Gubler. — Le tremblement d'après Galien. — Indépendance de la paralysie ag
n. — Début; ses modes; il est lent ou brusque. — Période d'état. — Le tremblement respecte la tête et le cou. — Changements dans la
trouver réunies, en aussi grand nombre, des femmes chez lesquelles le tremblement paraît constituer le symptôme prédominant ou tout
effet, si l'on se contente d'un coup d'oeil superficiel, le phénomène tremblement chez toutes ces femmes paraît identique ou peu s'
nfluence du repos ou des mouvements volontaires, sur la production du tremblement , il est permis déjà, vous le voyez, de ramènera d
ire des maladies chroniques du système nerveux qui s'accompa-gnent de tremblement . De nos jours, elle a été à peu près uni-verselle
Van Swieten, entre autres, a expressément reconnu les deux espèces de tremblement ; bien plus, il s'était efforcé de rattacher chac
e 625, vous y trouverez une interpré-tation physiologique du symptôme tremblement , interprétation qui est loin d'être dénuée d'inté
térêt, mêmepour le lecteur mo-derne. Ainsi, d'après Van Swieten, le tremblement qui persistepen-dant le repos au lit résulte d'un
rait donc là un phénomène convulsif, — tremor coactus. Par contre, le tremblement qui se manifeste exclu-sivement pendant l'exercic
cles sous l'influence de la volonté. Ce serait là, par conséquent, un tremblement paralytique, — tremor a, debilitate. Une interp
urs modernes qui ont su main-tenir la distinction des deux espèces de tremblement . M. Gubler reconnaît que, dans certains cas, le t
spèces de tremblement. M. Gubler reconnaît que, dans certains cas, le tremblement consiste, non pas en une succession de mouvements
corps ou par la volonté qui, se faisant par saccades, déterminent le tremblement . Dans ce dernier cas, i} existe réellement des co
ble-ment : l'un qu'il désigne sous le nom de tpzpoç^tremor),—c'est le tremblement paralytique ; l'autre qu'il appelle iraXfjioç (pa
ralytique ; l'autre qu'il appelle iraXfjioç (pal-pitation),— c'est le tremblement clonique, spasmoclique, con-vulsif (2). Mais le
entaria, t. II, p. 167. Paris, 1771. deux, à la vérité, comptent le tremblement parmi les symptô-mes les plus importants ; mais,
, dans deux cas d'indu-ration multiple du cerveau et de la moelle, le tremblement ne se manifestait qu'à la suite de mouvements que
te n'ont pas tous une égale valeur. Le plus saillant consiste dans un tremblement existant môme au repos, d'abord limité à un mem
début est insidieux, la maladie s'annonce comme légère et bénigne. Le tremblement est circonscrit à un pied, à une main, au pouce.
r l'avant-bras, celui-ci sur le bras. A ce moment de la maladie, le tremblement peut n'être que passager, transitoire. Il éclate
que de la volonté, suffisent souvent à cette époque pour suspendre le tremblement . Plus tard, il n'en sera plus ainsi. Du reste, en
reste, en même temps qu'il gagne en intensité et en persistance, le tremblement envahit pour ainsi dire de proche en proche — non
re affectés l'un après l'autre. Il est beaucoup plus commun devoir le tremblement borné durant longtemps aux membres d'un seul côté
f qui, pour être exceptionnel, n'en est pas moins digne d'intérêt. Le tremblement n'est pas absolument le pre-mier phénomène consta
on sur le membre qui, ultérieurement, a été affecté de douleurs et de tremblement . La paralysie agitante qui éclate de cette façon
e. Lorsque, à la suite d'une cause morale, d'une terreur profonde, le tremblement est survenu tout à coup, il occupe tantôt un seul
Lorsque la paralysie agitante a acquis son parfait développement, le tremblement , outre qu'il envahit plu-sieurs membres, se montr
rtout à cette époque de la maladie que les caractères particuliers du tremblement apparaissent dans tout leur jour; c'est alors aus
nte; je ne crois pas qu'on les ren-contre dans aucune autre espèce de tremblement . Elles ont été bien reconnues par M. Gubler (loc.
s, il n'est pas très rare de voir la langue, même lorsqu'elle 1. Le tremblement impose â récriture des caractères qui ont quelque
a lèvre supérieure est immobile ; la lèvre inférieure est animée d'un tremblement très fin principalement au niveau des commissures
cution s'est accru considérablement. Quand la malade parle, elle a du tremblement des lèvres et rémission des premières syllabes se
s sont comme accolées l'une contre l'autre. La langue est animée d'un tremblement uni-l'orme, général, même lorsqu'elle est dans la
orsqu'elle est dans la cavité buccale, et quand elle est allongée, le tremblement augmente. La malade préfend qu'elle ne peut laiss
ui rentre dans cette catégorie. Le malade avait à peine remarqué le tremblement , d'ailleurs peu intense éliez lirj, et limité à u
itante. Cependant, el bien que la maladie remonte à quatre années, le tremblement est à peu près nul: il n'occupe que la main droit
st possible de reconnaître la paralysie agitante en l'absence même du tremblement . (B). — Il en fut encore ainsi chez un malade que
t embarras dans l'accomplissement des mouvements, qui ne dépend ni du tremblement ni delà rigi-dité musculaire, et un examen quelqu
ssances motrices. Le malade est encore capable d'accomplir, malgré le tremblement , la plupart des actes moteurs, mais il apporte à
elle tous les symptômes de la paralysie agitante existaient, moins le tremblement , qui esta peine apparent dans les mouvements. (B)
prostration, de fatigue qui s'ac-cuse surtout après les paroxysmes de tremblement ; enfin c'est un malaise indéfinissable qui se tra
ensité. Elle paraît attein-dre son maximum à la suite du paroxysme de tremblement et s'accompagne souvent, en semblable occurrence,
ne manière très accusée, chez des malades qui ne suent pas et dont le tremblement est peu accentué. La connaissance de ce fait m'
à cette période terminale, on voit souvent diminuer et même cesser le tremblement , quelque intense qu'il fût aupa-ravant (1). A l'a
peut exister, comme on le sait, sans qu'il y ait jamais eu le moindre tremblement . Le second groupe comprend les observations pub
re. Ce qu'il importe de sa-voir, c'est que, chez tous ces malades, le tremblement suivit immédiatement ou presque immédiatement l'i
. Elle ressentit sur le champ une vive douleur, et bientôt elle eutun tremblement qui, d'abord circonscrit au pied blessé, se gé-né
'abord circonscrit au pied blessé, se gé-néralisa progressivement. Le tremblement , par la suite,dispa-rut, dit-on, d'une façon comp
douleur vive, occupant le trajet du nerf sciatique, et, peu après, un tremblement se déclara dans toute l'étendue de ce membre. D'a
nt se déclara dans toute l'étendue de ce membre. D'abord passager, ce tremblement devint plus tard permanent, et s'étendit enfin au
fs de la jambe et du pied. Ces parties furent prises les premières du tremblement . Cette douleur, qui s'était développée sponta-ném
ne tarda pas à s'apercevoir que son bras droit était animé d'un léger tremblement qui gagna peu de temps après le membre inférieur
la tête, fixité du regard, du tronc,démarche,propulsion,rétropulsion, tremblement ,etc.(B.)(Note delà2céd.) (Angleterre, Amérique
e, vantée pavTwu$seau.( Journal de Beau),paru m'a plutôt exaspérer le tremblement que le calmer. Vergot de sei-gle, la belladone, p
uit quelquefois un amendement assez marqué, et diminue l'intensité du tremblement (1). Enfin, nous mentionnerons l'emploi de Véle
a distinction qu'il convenait d'établir entre les diverses espèces de tremblement . Je vous ai dit tout d'abord qu'on pouvait les di
abord qu'on pouvait les diviser en deux groupes : l'un dans lequel le tremblement ne survient qu'à l'occasion des mouvements voulus
lus. Puis, partant de cette no-tion, je vous ai cité comme exemple de tremblement dupremier groupe, la paralysie agitante dont je v
e diagnostic. Examen clinique d'un cas de sclérose en plaques. — Du tremblement ; modi-fications qu'il impose à l'écriture : carac
ute spéciale, et souventl'émission des mots était précédée d'un léger tremblement des lèvres. « Je comprends, répartit le médecin,
vez vu la malade entrer, soutenue par un aide, c'est sans conteste le tremblement rythmique tout spécial dont sa tête et ses membre
até également que, lorsque la malade se fut assise sur une chaise, le tremblement a disparu aussitôt d'une manière complète dans le
fois ; vous pourrez vous assurer alors de l'absence de toute trace de tremblement dans les diverses parties du corps. Pour faire re
z reconnaître que, dans ces divers actes prescrits par la volonté, le tremblement est d'autant plus prononcé que le mouvement exécu
l est vrai, mais du reste parfai-tement lisibles (1). En résumé, le tremblement dont il s'agit ne se manifeste qu'à l'occasion de
bord 2 milligrammes puis 4). Sous l'influence de cette médication, le tremblement diminua d'une manière notable, ainsi que l'on peu
e là d'un symptôme pathognomonique : je n'ignore pas, en effet, qu'un tremblement , se présentant avec des caractères à peu près sem
s la sclérose en plaques, lorsqueaucunecomplicationn'estintervenue,le tremblement , si peu qu'il existe, se présente toujours avec l
soit possible. Je vais entrer à ce propos dans quelques détails. Le tremblement de la paralysie agitante existe aussibienà l'état
mouvement par la volonté. Je vous présente une femme chez laquelle le tremblement persiste, depuis de longues années, sans cesse et
un sommeil profond. 11 est des cas où, dans la paralysie agitante, le tremblement se montre seulement par intermittence; mais, chos
malade, que j'offre à votre observation, ce carac-tère particulier du tremblement de la paralysie agitante. Vous observerez en outr
ez en outre, chez ces deux femmes, que la tête ne prend point part au tremblement , ou, si elle paraît agitée par des oscillations,
es secousses dont les membres et le torse sont le siège. L'absence du tremblement delà tête me paraît être un fait à peu près génér
ment persiste en dépit des obstacles occasionnés par les secousses du tremblement , secousses qui, comme nous le disions il y a un i
llent jusqu'à un certain point les gesti-culations de la chorée et le tremblement de la sclérose multilo-culaire. Voici à l'aide de
res supérieurs, c'est-à-dire que, absent pendant le repos complet, ce tremblement se manifeste à l'occasion des mouve-ments intenti
forme, et où — circonstance tout à fait inexpli-cable jusqu'ici — le tremblement n'a pas figuré dans l'ensemble symptomatologique.
urs faits de ce genre. Mais il ne faut pas oublier, Messieurs, que le tremblement peut avoir existé, à un degré plus ou moins prono
ez lesquels ce symptôme paraît faire défaut. Il est de règle que le tremblement disparaît alors que les membres sont immobilisés,
ée de la maladie, par la contracture permanente. S'il est vrai que le tremblement se montre quelquefois presque dès le début, il fa
s reconnaissez même que, tirée hors delà bouche, elle est agitée d'un tremblement très manifeste. Il ne faudrait pas croire que ce
sée à un haut degré, sans que la langue présentât la moindre trace de tremblement . Toujours d'ailleurs, du moins d'après mes observ
gnostic, principalement dans les cas, exceptionnels d'ailleurs, où le tremblement de la tête et des extrémités supé-rieures fait dé
assée, titubante, en raison composée de la faiblesse musculaire et du tremblement qui, tôt ou tard,ne manquent pas de s'y ajouter;
-à-dire il y a plus de trois ans. A cette époque, où la parésie et le tremblement étaient d'ailleurs déjà assez prononcés dans les
ômes qui n'appartiennent qu'à l'induration multiloculaire, savoir: le tremblement des extrémités, Y embarras de la parole, les vert
que aussitôt,dans touteTétendue duraembre correspondant, une sorte de tremblement convulsif qui rappelle la trémulalion déterminée
ue. Cette trémulation, qu'il faut bien se garder de confondre avec le tremblement par-ticulier qui survient à l'occasion des mouvem
pointe du pied, sans que le talon touche à terre,— provoque aussi le tremblement convulsif. Enfin, cetremblement peut encore se pr
r, à la suite d"un(. La certitude ne peut guère s'établir que si le tremblement spé-cial ou.quelqu'un des symptômes céphaliques v
de fève de Calabar. Peu après, accès de faiblesse avec exagération du tremblement , sueurs froides, pâleur de la face. — (Ces phénom
une interprétation beaucoup plus difficile. Tel est, entre autres, le tremblement particulier qui se manifeste dans cer-taines atti
le droite; a taxi e très prononcée des extrémités, surtout à gauche : tremblement de la tête ; parole difficile : atrophie des jamb
ôt exaspéré les symptômes. La strychnine a quelquefois fait cesser le tremblement ; mais son influence a toujours été temporaire. J
es appa-rences de la secousse clonique de la chorée, tantôt celles du tremblement de la paralysie agitantee tremblementliémila-téra
ois — de cet ensemble de symptô-mes et elle siège du môme côté que le tremblement (1). Elle existait à un haut degré chez un homm
cemment l'histoire à laSociété de Biologie,et chez lequel la forme de tremblement , dont j'ai voulu vous donner une idée sommaire, s
68, dans mes leçons de la Salpêlrière, j'ai appelé l'attention sur le tremblement particulier qui, chez certains sujets atteint de
me quelquefois au membre inférieur de l'autre côté. Dans le cas où le tremblement dont il s'agit peut être provoqué par la ma-nœuvr
ccentuée, on réussit à produire,eu redressant vivement les doigts, un tremblement spasmodique de la main en tout semblable à la tré
ur droit avec pied bot varus équin ; la contracture se complique d'un tremblement presque constant (épilepsiè spinale). — Du 10 au
contre le pied gauche. Parfois aussi, la jambe droite est prise d'un tremblement qui dure cinq à six mi-nutes et auquel succède un
gitante. — Début : faiblesse qui envahit successivement les membres.— Tremblement de la tête, puis desmem-r bres. État de la mala
uis desmem-r bres. État de la malade en 1874: Attitude générale ; — Tremblement ; — Marche ; propulsion et rétropulsion ; — Tem
nnus n'aurait été atteint d'affections nerveuses et en particulier de tremblement . Gavr... est venue à Paris à 4 ans. Son enfance
1872), elle était moins affaiblie qu'au-jourd'hui (Bjuillet 1874). Le tremblement aurait envahi les mem-bres dans tes premiers mois
rner, la malade hésite encore plus que pour se mettre en marche. Le tremblement est à peine accusé, surtout au repos. La tête tre
. Il semblerait que la malade rapproche les lèvres pour diminuer le tremblement du menton ; malgré cette précaution, les lèvres s
la bouche la langue tremble ; allongée, elle tremble davantage. Le tremblement de la tête se compose de secousses antéro-pos-tér
pieds frappent de petits coups ra-pides sur le parquet. En résumé, le tremblement a fait des pro-grès à la tête et aux membres infé
parfois d'épistaxis peu abondantes. — Quelquefois aussi, le soir, le tremblement prend une intensité telle qu'il empêche la malade
t entrouverte. Immo-bilité des traits ou expression moqueuse. — Léger tremblement de la lèvre inférieure. — G... parle peu, entre l
i fait faire chaque jour le tour de la salle en la soute-nant. — Même tremblement des mains, des jambes. — Mêmes besoins de déplace
servées. — Caractère doux. — Impressionnabilité assez vive. (B.) Du tremblement dans la maladie de Parkinson. (Paralysie agitan
ns appliqué à certai-nes formes, cependant très accusées, bien que le tremblement y fasse défaut, et dont le diagnostic peut être r
n a contesté les assertions de M. Charcot relatives aux caractères du tremblement de la tête. D'après M. Charcot, le tremblement
es aux caractères du tremblement de la tête. D'après M. Charcot, le tremblement de la maladie de Par-kinson débute le plus souven
cit., 1er édition, p. 154). Plus loin, enfin, lorsqu'il compare le tremblement dans la sclérose en plaqueset dans la paralysie a
« Vous observerez, en outre, que chez elles latêteneprend pas part au tremblement ou si elle paraît agitée par des oscilla-tions, c
es secousses dont les membres et le torse sont le siège. L'absence du tremblement de la tête me paraît être un fait à peu près géné
Un autrepointsur lequel M. Charcot abeaucoup insisté, c'est que le tremblement ne constitue pas un symptôme nécessaire de la mal
pour employer les ex-pressions mêmes de M. Charcot, dans laquelle le tremblement est si léger qu'il passe inaperçu des malades, ou
de son service, à la Salpêtriôre, nommé Guill..., et chez laquelle le tremblement n'avait paru que quatre ans après le début du mal
on. —Besoin de déplacement.—Sen-sation de chaleur. Circonscription du tremblement qui a passé ina-perçu du malade. — Caractères de
ais existé non plus, le malade l'assure du moins, la moindre trace de tremblement . La main droite s'est prise plus tard de la même
che, abandonnée sur le genou correspondant, était agitée par un léger tremblement . Je le lui fis observer. 11 en parut fort étonné,
t jamais remarqué dans aucune partie de son corps la moindre trace de tremblement . « Toute ma maladie, ajouta-t-il, me paraît con-s
uis assuré que la main gauche était la seule partie qui présentait le tremblement en question. Je priai M. R... de prendre la plume
ttitudes, mais non sans effort. Il n'existe pas la moindre trace de tremblement , même aux mains. La malade peut écrire encore d'u
ts. Bien qu'il n'y ait pas, comme on voit à propremement parler, de tremblement des mains, il y a lieu de remarquer qu'à l'occasi
e quelques secousses rythmées, d'ailleurs très fugitives. A part le tremblement qui manque complètement, nous retrouvons chez Mme
furent pris de trépida-tion spontanée et, à un moment, il survint de tremblement de la main droite dans les mouvements volontaires
ieurs, prédominant dans le membre supérieur droit ; — absence de tout tremblement dans les mouvements vo-lontaires. La sensibilité
u. Un mois après le début, on voit survenir, du jour au lendemain, du tremblement des mem-bres inférieurs. A 7 ans, l'enfant marcha
ébut (fin 1875), la diplopie et l'embarras de la parole ont cessé. Le tremblement des mains a diminué. La ma-lade peut s'asseoir su
e et même faire une promenade d'un mille et cela pour ainsi dire sans tremblement . Celui-ci reparaît encore quelquefois quand la ma
e la marche était parfois chancelante et qu'il se produisait un léger tremblement lorsqu'il portait un verre à la bouche. Après tro
culté de la marche, surtout après une station debout prolongée, et le tremblement des membres supérieurs, notamment quand il buvait
présentait les symptômes suivants: Au repos, le malade n'offre aucun tremblement , mais celui-ci se manifeste dans les membres supé
ire éclater les convulsions. On voit souvent survenir des crampes, du tremblement limité à un membre, ou des secoussesgénérales, ac
e douleur vive, occupant le trajet du nerf sciatique, et peu après un tremblement se déclara dans toute l'étendue de ce membre. D'a
la marche persistant encore, elle s'aperçutque son pied tremblait. Le tremblement resta localisé au membre inférieur gauche jusqu'e
mitée au côté droit du corps. Contrairement à la règle, elle offre un tremblement très prononcé de la langue et surtout de la mâcho
t très prononcé de la langue et surtout de la mâchoire inférieure. Ce tremblement a commencé à se produire en septembre dernier,
.. 125 CINQUIÈME LEÇON dé la paralysie agitante. Sommaire. — Du tremblement en général. — Ses variétés. —Tremblement in-termi
e agitante. Sommaire. — Du tremblement en général. — Ses variétés. — Tremblement in-termittent. — Tremblement continu. Influence d
tremblement en général. — Ses variétés. —Tremblement in-termittent. — Tremblement continu. Influence du sommeil, du repos et des mo
— Distinction établie par Van Swieten. — Opi-nion de M. Gubler. — Le tremblement d'après Galien. — Indépendance de la paralysie ag
n. — Début: ses modes: il est lent Ou brusque. — Période d'état. — Le tremblement respecte la tête et le cou. — Changements clans l
e diagnostic. Examen clinique d'un cas de sclérose en plaques. — Du tremblement ; modi-fications qu'il impose à l'écriture : carac
ion de paralysie agitante................................ 409 IL Du tremblement dans la maladie de Parkinson....................
es douleurs ful-gurantes, 76 ; — différences qui séparent l'ataxic du tremblement de la sclérose en plaques, 230 ; — dans la scléro
Chorée, 178, 392, 404. — Mouve-ments désordonnés de la — com-parés au tremblement de la sclérose en plaques, 280, 317. — (V. IlÉ-mi
164, 166, 410, — Symptômes, période d'état, 166, 410. — Caractères du tremblement , 166. — Ecriture, 167, 421. — Attitude du corps d
—, 169, 410, 412; — sa valeur dia-gnostique, 172. — P. agitante sans tremblement , 172, 414. — Sensa-tions pénibles dans la —. 176,
2. Torticolis hystérique, 451. Tuermoanesthésie, 308, 308, 395. Tremblement (Du) en général, 156, — Différence selon l'état
5 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de connaissance diurnes qui sont toujours survenues à la suite d'un tremblement du bras droit accompagné d'un peu de parésie de
jambes l'une de l'autre. Le membre inférieur droit est animé d'un tremblement rhylmique, qui s'accuse de plus en plus, à tel po
langue est toujours fortement déviée vers la gauche et animée de tremblements fibrillaires très marqués. 13. L'examen de la s
hors de la bouche, elle est fortement déviée à gauche et animée. de tremblements fibrillaires. Les troubles de la parole persi
bégayement persistait. Les mains et les pieds étaient animés d'un tremblement géné- ral ; ce tremblement joint aux troubles d
s mains et les pieds étaient animés d'un tremblement géné- ral ; ce tremblement joint aux troubles de la parole, avait fait, so
sa langue qui est très grosse hors de la bouche, on y constate des tremblements très accusés, rappelant ceux qu'on observe dans
ous les mouvements sont possibles, niais elle est animée d'un léger tremblement . Disons en passant que ce tremblement est bien
is elle est animée d'un léger tremblement. Disons en passant que ce tremblement est bien certainement involontaire. Nous avons
ment. Rappelons seulement que les troubles de la parole joints à un tremblement marqué des pieds et des mains ont pu faire song
plus rationnel qu'a cette époque on , ne cunnaissait pas encore les tremblements hystériques. (Voir sur ce dernier point les art
e d'après les leçons de M. Charcot. Loc. cit. maladie DES TICS ET tremblement . ' 27 -j rappelle par ses caractères ceux qu'on
oubles de la motilité de la langue (parésie, déviation spasmodique, tremblement ). ' CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MA
NIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS ET UN CAS DE TREMBLEMENT SINGULIER DE LA TÈTE ET DES MEMBRES GAUCHES;
de la visite. Ils cessent pendant le sommeil. maladie DES tics et tremblement . 29 Durant les périodes troublées, on peut éval
isant symétriquement de part et d'autre de la position d'équilibre ( tremblements ) ; 2° les déplacements non oscillatoires ni sym
subdivise ainsi les mouvements anormaux en quatre catégories : z11, tremblement au repos (type paralysie agi- tante); - 2° trem
ories : z11, tremblement au repos (type paralysie agi- tante); - 2° tremblement dans les mouvements volontaires (type sclérose
ier de part et d'autre d'une position donnée ; ce n'est donc pas un tremblement . Le déplacement, de plus, ne nécessite en rien,
ade n'est pas atteinte de chorée de Sydenham. MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 31 L Nous trouvons ensuite la chorée rythmée,
ramyoclonus (p. 136) le spasme est rapide, ins- MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 33 tantané; il ne se développe, dans la majori
45 observations, recueillies à la Salpêtrière. MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 33 Mais il ne suffit pas de constater que nous
e des plus rebelles, la né- vrose tiqueuse. - MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 37 Voilà donc un premier enseignement à tirer
rette le nom de coprolalie (de ZÓ7tp ? sale ? MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 39 Vous m'excuserez si je vous rapporte une sé
est un phénomène aujourd'hui décrit et analysé; MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 41 ses rapports dans certains cas, avec l'alié
manie bizarre de ne jamais s'adosser à un siège MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 43 quelconque, chaise, fauteuil ou banquette d
des symptômes souvent notés mais contingents. MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 4S D'autres stigmates que nous avons également
ions nombreuses (de 4 à 8) qui sont probablement la conséquence des tremblements musculaires ; b) dans la seconde période, l'imp
ment progressive de la faiblesse motrice ; rigi- dité des membres ; tremblements fihrillaires ; émaciation ; atro- pille muscula
n à la substance grise : l'atrophie mus- culaire progressive et les tremblements fibrillaires indiquaient une affection tropho-i
ique il y a dix-huit mois. fausses- couches multiples de sa femme ; tremblement des mains ; cépha- lalgie intense et persistant
ion; G° sclérose en ,[ -)in bibliographie. plaques, diminution du tremblement après quatre séances. L'au- teur a traité encor
mbres supérieurs sont moins solides qu'auparavant, et agités par un tremblement ainsi que les membres supérieurs. L'auteur à pr
griffe cubito-spasmodique, et la griffe radio-tabétique, parfois le tremblement . Les troubles polyomyélitiques médians sont : 1
et qui simulent dehors les symp- tômes les plus variés, convulsions tremblement , etc. Leur nombre est grand en Amérique. Méde
NIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS ET UN CAS DE TREMBLEMENT SINGULIER DE LA TÈTE ET DES MEMBRES GAUCHES ' ;
al. La moindre émotion, une contrariété quelconque, provoquent - un tremblement passager. A part ces phénomènes tout à fait tran-
is la main gauche à sa 190 CLINIQUE NERVEUSE. bouche, sans que le tremblement constaté à la fin de l'expérience diffère en ri
ehors, le talon frappe le sol, tout le corps est animé d'un violent tremblement , mais c'est encore au niveau de la tête que les
tante, au cours de la discussion qui va suivre. MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 191 Telle est l'histoire de la malade. Passons
sommes portés à penser que le siège des lésions MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 193 anatomiques doit être cherché du côté de l
fication que je vous donnais en commençant, nous avons affaire à un tremblement . Nous sommes en présence d'un tremblement ayant
, nous avons affaire à un tremblement. Nous sommes en présence d'un tremblement ayant pour siège principal la tête, également l
n'ai nullement l'intention de vous présenter une étude générale du tremblement ; vous trouverez cette intéressante question trè
n talent incontesté. Mais il faut,, dans le. cas actuel, prendre ce tremblement , symptôme primordial ? comme point de départ de
ue. J'éliminerai dès l'abord et sans m'y arrêter, tout ce qui est tremblement provoqué, comme la trépidation épileptoïde que
t, vous le savez, en étendant fortement le pied sur la jambe; - les tremblements passagers, ceux par exemple que provoque la fiè
agers, ceux par exemple que provoque la fièvre ou une émotion; - le tremblement post-hémiplégique, malgré la mention un peu vag
s signalés par la jeune fille au début de sa maladie; .- enfin, les tremblements toxiques, dont les tré-. pidations alcoolique e
téristique classique- de la paralysie agitante est l'existence d'un tremblement se produisant au repos. Or, à première vue, le
nce d'un tremblement se produisant au repos. Or, à première vue, le tremblement de la malade semble bien se manifester en dehor
plus complète des phénomènes'permet d'écarter ce diagnostic. ' Le tremblement de la maladie de Parkinson porte ordinai- 1 rem
t un mouvement d'os- cillation verticale, et pas plus. En outre, le tremblement de la paralysie agitante cesse aussitôt que le
ce caractère, qui fait complètement défaut dans MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 195 notre cas. Bien au contraire, la trépidati
rer quelque peu sous l'influence de l'acte- voulu ; en tout cas, le tremblement persiste, s'il ne s'augmente, lorsqu'on dit à l
e est le plus souvent respectée. Gliarcot a même donné l'absence de tremblement céphalique, opposé à la trépidation des membres
suffit, je le crois, à écarter la paralysie agitante. Puisque le tremblement des membres peu marqué au repos, apparaît nette
ères. Il nous sera facile de l'éliminer. M. Charcot, qui a tracé du tremblement de la sclérose en plaques une description magis
s'exécute assez bien; mais, à la quatrième ou cinquième reprise, le tremblement est tel que l'acte devient impossible. Il en es
re que notre malade n'est point atteinte de sclérose en plaques. Le tremblement en effet, s'il se produit au moment et à l'occa
a suite. C'est là un argument décisif. Nous venons de comparer le tremblement de notre malade aux deux types de tremblement d
venons de comparer le tremblement de notre malade aux deux types de tremblement dans le cadre desquels rentrent habituellement
e symptôme. On arrive à peu près toujours, en effet, à rapporter un tremblement au type de la paralysie agitante ou à celui de
ous affaire ? Analysons un peu plus en détail les phénomènes : Le tremblement de la malade présente la particularité sui- van
n rythmique du frontal avec mouvement oscillatoire des sourcils; ce tremblement localisé cessant lui- même si l'on détruit par
ruit par une légère pression le tonus du muscle correspondant. Le tremblement qui, au repos vrai, fait donc défaut, apparaît
uelconque, ou bien qu'elle se produise indépen- MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 197 damment de tout déplacement et dans le but
itus le fait disparaître. Il faudrait donc, entre les deux types de tremblement auxquels je faisais allusion tout à l'heure, en
épondant à la variété précédente. On devra désormais distinguer les tremblements suivant qu'ils se produisent dans l'une ou l'au
1° Dans le repos musculaire complet, la partie qui est le siège du tremblement se trouvant en résolution parfaite; 2" Au cours
durant le tonus destiné à maintenir une position d'équilibre. Le tremblement au repos, et seulement au repos, cessant par la
ar la contraction musculaire, caractérise la paralysie agitante. Le tremblement qui se manifeste pendant la contraction muscula
imprime à la sclérose en plaques son cachet spécial. - Enfin, le tremblement provoqué par toute contraction musculaire accom
inique. Cette variété séméiologique pourrait être appelée type du tremblement sénile ; elle rentre, en effet, d'une façon compl
lité symptromatique. Voici, en effet, les carac- tères cliniques du tremblement sénile , d'après Démange, qui l'a fort bien étu
ranle plus rarement, le début a lieu par les membres supérieurs, le tremblement peut rester longtemps, tou- jours même, localis
s- sivement les membres inférieurs et tend à se généraliser. « Le tremblement sénile est nul au repos, c'est-à-dire quand l'i
attitude fixe, soit surtout pour exécuter,. un mouvement voulu ; le tremblement augmente d'inten- sité si le mouvement exécuté
oute contraction. Une émotion, une attention soutenue, augmententle tremblement ; ,il est plus marqué il jeun et pendant les pre
ageux, et quand l'air est chargé d'élec- - trioté. - i - - , » Le tremblement de la tête est surtout caractéristique; les se-
niformes propres à la tète et bien différentes des secousses, qu'un tremblement quelconque des mem- bres ou du tronc peut lui t
e. Le braillement de la tête a lieu tantôt dans le sens horizontal ( tremblement négatif), tantôt '-dans le' 'sens vertical, tre
horizontal (tremblement négatif), tantôt '-dans le' 'sens vertical, tremblement affirmatif (B. Saunders) ; par- fois la combina
vements imprime à la tête 'des oscillations obliques. ' ...... Le tremblement des membres supérieurs est moins cons- , tant q
vements de métier. Si, pendant que le ' bras est étendu et agité de tremblement , on ordonne au malade de saisir un objet quelco
un effort. Plus l'effort est considérable, plus MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . '199 les oscillations augmententd'amplitude, t
tre elles,pour un effort déterminé. C'est là, la caractéristique du tremblement sénile. Nous avons pu mettre le fait en évidence
Revue de' Médecine, 1884). Nous avons constaté en outre que dans le tremblement sénile, la durée d'une oscillation était de 0,26
est tremblée, les lettres sont bien formées ou. à peu près qnand le tremblement n'est pas trop fort, mais, les traits sont ondu
régulièrement, ce qui rappelle tout à fait les tracés graphiques du tremblement sénile.» t ? Nous avions constaté combien, sy
sénile.» t ? Nous avions constaté combien, symptomatiquement, le tremblement de notre malade diffère des deux variétés de tr
ment, le tremblement de notre malade diffère des deux variétés de tremblement appartenant à la paralysie agitante et à la sclé-
cription, que tous 'ses'caractères le rapprochent, au contraire; du tremblement -;sénile. · 1 , ' ' ' j " Est-ce là un diagno
lement sénile ? Jusqu'à ces " derniers temps,- déclare Démange,' le tremblement sénile était 'considéré comme' extrêmement fréq
omplètement revenu- de cette idée. Déjà, Trousseau démontre ,que le tremblement est loin d'être 'l'apanage constant et exclusif
illesse : « On a coutume de dire, cite Demange, que cette espèce de tremblement est un. effet de la faiblesse que l'âge avancé
l -ne l'est plus d'une manière générale; d'une part en i effet, ce.; tremblement ne s'observe pas nécessairement chez tous les v
n la- question en z, dans .la. Revue de Médecine.}], conclut que le tremblement dit sénile 200 CLINIQUE NERVEUSE. n'est point
localise sur certaines régions de la moelle, une cause fréquente du tremblement sénile. Démange objecte, il est vrai, que beauc
s auraient plutôt tendance à produire de l'affai- blissement que du tremblement sénile. Il termine en faisant de cette variété
ue du tremblement sénile. Il termine en faisant de cette variété de tremblement une névrose à part, ayant sa place distincte à
mais bien l'hystérie; qu'il s'agit en un mot, dans notre cas, d'un tremblement hystérique à forme de tremble- ment sénile. N
champ visuel ni anesthésie cutanée. - L'anes.. MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 201 thésie pharyngée, au contraire, est complè
e l'hystérie chez notre malade. ' Pouvons-nous en conclure que le tremblement qu'elle pré- sente est un tremblement hystériqu
uvons-nous en conclure que le tremblement qu'elle pré- sente est un tremblement hystérique ? Et d'abord existe-t-il un tremblem
- sente est un tremblement hystérique ? Et d'abord existe-t-il un tremblement hystérique ? Je n'hésite pas à répondre affir-
le des hôpitaux ('1 avril 1889). Pitres distingue trois formes de tremblements hystériques : la variété trépidatoire, la varié
hystériques : la variété trépidatoire, la variété vibratoire et le tremblement intentionnel. 1° La forme {¡'épidatoi1'e est
° La forme {¡'épidatoi1'e est ainsi caractérisée par l'auteur : Les tremblements trépidatoires sont habituellement localisés à 2
celui de la ''maladie de Parkinson ; quelquefois, ils Simulent le' tremblement sénile, et d'autres' fois, le tremblement alcoo
quefois, ils Simulent le' tremblement sénile, et d'autres' fois, le tremblement alcoolique.1 » - i -"i 1 t . z Le cas de notr
cas de notre jeune fille entre bien dans cette catégorie. » 3 ? Le tremblement intentionnel a les mêmes caractères que celui d
uer les deux ordres de trépidation. Enfin, tout MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 203 dernièrement ï11 ? 1e, professeur Castan a
ose en plaques, consécutive à la variole, qui pourrait bien être un tremblement hystérique à forme de sclérose en plaques. Vous
ement hystérique à forme de sclérose en plaques. Vous voyez, que le tremblement hysté- rique existe'; celui de notre malade, si
Si nous nous rapportons à la classification de Pitres, ce serait un tremblement à. forme vibratoire. Je préfère, toutefois à ce
paralysie agitante, le type'de la sclérose en plaques, le type du - tremblement sénile. Nous aurions'affaire dans l'espèce, et
du -tremblement sénile. Nous aurions'affaire dans l'espèce, et un tremblement hystérique à forme de tremblement' sénile. ' Je
uence des oscillations. M. Charcot base justement une division des. tremblements en général sur la succession plus ou moins rapi
lus ou moins rapide des mouvements : il dis- tingue de la sorte les tremblements à oscillations fréquentes (huit ou neuf oscilla
nq par seconde). - Dans la première caté- gorie, on peut ranger le. tremblement alcoolique, la trépidation hydrargyrique, les m
e de Basedow et de la paralysie agitante. La deuxième comprend le tremblement sénile, celui de la sclérose en plaques et les
de : C'est là un -fait intéressant qui complète l'analogie de notre tremblement - avec le-tremblement sénile.- Mais cette const
ique de la tré- pidation. Dansl'hystérie, on observe, en effet, des tremblements à. grande fréquence- (Pitres a observé- huit os
fréquence- (Pitres a observé- huit oscillations par seconde) et des tremblements à fréquence minime (trois oscil- ' . i" r . , .
la Nouv. lo7togi,. de la Salpëlrière, un important mémoire sur les tremblements hystériques (1890, n° 1 et suiv.)... , , , .. -
n'infirme en rien notre manière de voir, à savoir qu'il s'agit d'un tremblement hystérique à forme de tremble- ment sénile. Cec
mble- ment sénile. Ceci nous amène à une appréciation nouvelle du tremblement sénile en général. Nous avons déjà établi que l
e du tremblement sénile en général. Nous avons déjà établi que le tremblement sénile n'est pas une conséquence naturelle et f
agitante. Le fait en question nous ouvre des horizons nouveaux : le tremblement dit sénile peut être de nature hysté- rique. Pi
Pitres avait déjà signalé la possibilité du fait. « Certains cas de tremblement chronique qu'on aurait décrits jadis, sans hési
is, sans hésitation, comme des exemples de paralysie agitante ou de tremblement sénile de cuuse psychique, seraient sans doute
ue, seraient sans doute rattachés avec plus de raison au groupe des tremblements hysté- riques. J'ai été très surpris de constat
mate que l'hystérie ne jouerait aucun rôle dans la pathogé- nie des tremblements dont ces malades étaient affectés. Il ne faut p
le professeur-agrégé Mossé, j'ai relevé trois cas où le rapport du tremblement avec l'hystérie paraît absolu- ment incontestab
lu- ment incontestable. On peut dire, par conséquent, que, dansle tremblement sénile, une part doit être faite à l'hystérie com
me agent pathogénique. Je ne prétends pas, bien entendu, que tout tremblement sénile soit de nature hystérique, mais je sou-
-je aucune difficulté à admettre que notre malade est atteinte d'un tremblement hystérique, à forme de MALADIE DES TICS ET TREM
tteinte d'un tremblement hystérique, à forme de MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . O tremblement sénile, ou encore d'un trembleme
blement hystérique, à forme de MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT. O tremblement sénile, ou encore d'un tremblement sénile de na
LADIE DES TICS ET TREMBLEMENT. O tremblement sénile, ou encore d'un tremblement sénile de nature hystérique. Un autre argumen
dé. La, maladie de Basedow, qui se caractérise, elle aussi, par des tremblements , n'offre, au dire de Gilles de la Tourette et C
1 gr., 80 d'acide phosphorique total, 1 gr., 20 MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . r. 207 d'acide phosphorique uni aux alcalis et
t., probable, .elle est même certaine ^mais la nature hystérique du tremblement présenté par la,malade ne doit être acceptée qu
me titre que chez lepremiervenu, et inversement MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT . 209 il n'est pas déraisonnable d'admettre qu'u
miparésie gauche, qui n'a jamais disparu. Consécutivement enfin, un tremblement continu est venu progressivement s'ajouter à la
hémiparésie avec paralysie croisée du moteur ocu- laire commun, et tremblement des extrémités paralysées ». Ce groupement symp
généralisation hâtive, basée sur deux autopsies seule- ment, que le tremblement en général a son siège analomique dans les pédo
PEUR DE CHARBON 211 Le diagnostic définitif est donc le suivant : Tremblement de la tête et des membres du côté gauche cons-
e l'abdomen, mais elle reste divergente en dehors sans présenter de tremblement ; rien du côté de l'articulation du genou ni de
atrophie musculaire spinale au début, car on constate : absence de tremblements fibril- laires, réaction dégénérative complète,
ver le plus de symptômes pos- sible. Il n'y avait pas de goitre, le tremblement n'était pas cons- tatable à cause de l'état men
0 fr. 75. Pour nos abonnés. 0 fr. 50 PITRES (A.) et BITOT (E.). Des tremblements hystériques. - Brochure in-8° de 26 pages. Prix
, et devient très vive, en même temps il éprouve une sensation de tremblement de l'aile gauche du nez. Puis survient une vision
s persécuteurs, et elle criait : «Oh ! mes pieds, mes jambes ! » Un tremblement nerveux s'ensuivait qui la secouait tout entièr
ges. Verona,1889, chez l'auteur. Pitres (A.) et BITOT (E.). - Des tremblements hystériques. Brochure in-8° de 26 pages. Prix :
e, de la carotide gauche, par Proskauer, 77. Tics, maladie des et tremblement de la tête et des membres gauches, par Grasse
6 (1911) La pratique neurologique
). Paralysie de la IIIe paire accompagnée d'hémiplégie croisée avec tremblement . Benedikt considère ce syndrome comme résultant
u facial ; parésie du tri- jumeau. On peut aussi constater un léger tremblement des paupières, du nystagmus, en relation sans d
blement des paupières, du nystagmus, en relation sans doute avec le tremblement généralisé. Trouble de la vue. Il existe quelqu
symptômes de la maladie de Basedow, la ta- chycardie, le goitre, le tremblement . L'exophtalmie bilatérale peut être réalisée ou
éfini- tion que sous réserves. On distingue plusieurs variétés de tremblement oculaire suivant le sens des mouvements. Il y a
son axe antéro-postérieur. Le plus souvent ces diverses variétés de tremblement s'associent les unes aux autres (nystagmus mixt
est ainsi que le nystagmus rotatoire n'existe jamais seul. Certains tremblements oculaires sont des oscillations douces, d'attirés
ont souvent inappréciables (nystagmus congénital). D'autres fois le tremblement oculaire s'accompagne d'un mouvement, d'un trem
tres fois le tremblement oculaire s'accompagne d'un mouvement, d'un tremblement analogue des objets, d'où une gène très grande de
dans les affections de l'oreille. Une injection trop .NYSTAGMUS OU TREMBLEMENT OCULAIRE. '" III t vivement poussée dans le con
constater dans une affection dont l'un des principaux symptômes, le tremblement des membres, augmente dans les mouvements inten
présentent parfois des convulsions, de la contracture pré- coce, du tremblement , des secousses. Enfin, la résolution existe des
ive : au réveil, il y a émission abondante d'urines nerveuses et le tremblement est fréquent. On n'ac- corde plus grande valeur
phalo-rachidien. Il existe une asthénie extrême, de la céphalée, du tremblement lingual, un certain degré de myotonie, mais les t
és ici. Les accidents morbides qui les peuvent déterminer sont, le, tremblement , ]'afa,1. : Íe, la clrorée, les spasmes ou cram
. : Íe, la clrorée, les spasmes ou crampes, lu paralysie. Dans le tremblement , quelle que soit sa nature, l'écriture est petite
allant avec lenteur, de bien former les boucles ou les jambages. Le tremblement se révèle par de fines ondula- [MOUTIER.] ] 2
tude en général. Les formes se modifient naturellement selon que le tremblement est plus ou moins étendu, rapide ou régulier, s
ontribue pour une grande part à cette micrographie. Ajoutons que le tremblement parkinso- nien diminuant ou même cessant dans l
nien diminuant ou même cessant dans les mouvements volontaires, le tremblement est peu marqué souvent dans le graphisme étudié,
possible. Parfois des mouvements choréi- formes ou athétosiques, un tremblement plus ou moins violent inter- viennent et compli
tremble eu effet et présente parfois un certain degré d'ataxie. Ce tremblement et cette ataxie deviennent en certains cas très
des choses ». L'APRAXIE. 223 (absence de paralysie, d'ataxie. de tremblement , de choree, d'aihétosc). Ceci expose, voyons co
r ici les dyslalies dépendant de matforma- 11l1l1S congénilales, de tremblements , d'affections organiques du système nerveux, et
partielle de la z` paire, d'ataxie, dé mouvements choréiformeset de tremblements dans les extré- mités paralysées. Dans le syndr
mpagnée de l'hémiplégie croisée avec ou sans hémianesthésie et avec tremblement constitue le « syndrome de l3eneclili » . Hém
atteints, des mouvements choréo-athétosiformes, de l'asynergie, du tremblement statique, de la dysarthrie et enfin, fait capit
polyurie. Au cours des crises névralgiques, on constate parfois des tremblements tibrillaires, des secousses musculaires. . La
tait poussée il un degré très marqué, par exemple, s'il existait du tremblement ., les réflexes tendineux pouvaient disparaître
petits muscles des mains, gêne dans les mouve- ments des doigts et tremblements fibrillaires dans les muscles de l'avant- bras.
iste, de l'autre côté, non plus une hémiplégie des membres, mais un tremblement soit continuel, soit intermittent, mais alors sur
it du lan- gage : dès qu'il se niellait il parler, on constatait un tremblement , des mouvements involontaires dans tout le memb
des est lente et monotone; ils peuvent présenter du nystagmus et du tremblement des membres supérieurs auquel ne participe poin
estion, n'a retenu que le cas de Collet où il avait été constaté du tremblement des cordes, mais où l'autopsie démontra qu'il s
e la sclérose en plaques (démarche cérébelleuse ou spasmo- dique, tremblement intentionnel et massif, nystagmus, troubles de
myosis, ataxie, douleurs, retard de la sensibilité ou hypoesthésie; tremblement intention- nel, parole scandée; exophtalmie.
urs), ni contractions fibrillaires, ni R. D; paralysie spasmodique, tremblement , nystagmus, troubles visuels. b) Parfois spasmo
ements, d'irrégularité, de maladresse, avec ou sans oscillations et tremblement des bras et des mains. L'écriture est souvent i
ne. Les autres éléments de ce syndrome, tous inconstants, sont : le tremblement des membres inférieurs, du tronc, de la tête, m
rieurs, du tronc, de la tête, moins souvent des membres supérieurs, tremblement qui accentue fréquemment les oscillations et fa
avec une certaincbrusquerie, mais chacun en temps voulu, sans tremblement nota-. ble et sans notables oscillations laté
e du cervelet ou de la protubérance; etm0me, d'après Babinski, le tremblement in- tentionnel, la scansion de la parole et l
Fig. 12. z Ecriture d'un malade atteint de Sclérose en plaques avec tremblement intentionnel très accusé. INCOORDINATION DANS
t, ne le lâchent plus. A cette incoordination s'ajoute parfois un tremblement intentionnel, plus ou moins analogue à celui de
oins nettement au sur et à mesure que le membre approche du but; ce tremblement , quand il existe, rend l'écriture encore plus bri
es dans les posi- tions extrêmes du regard. La langue est animée de tremblements fihril- laires inégaux et agitée de mouvements
la préhension des objets, les membres supé- rieurs sont animés d'un tremblement intentionnel, très manifeste dès le début par l
s, les alté- rations des divers modes de la sensibilité, parfois un tremblement inten- tionnel. Elle se distingue aussi par les
u « syndrome cérébelleux de Duchenne », symptômes associés ou non : Tremblements , vertiges, nystagmus, strabisme, asthénie, vomi
. Il est exceptionnel d'observer de l'atrophie musculaire, mais les tremblements fibrillaires ne,sont~pas rares. Les muscles pré
s tentacules de poulpes. Rien ici qui rappelle les convulsions. Les tremblements , qu'ils soient continus ou surviennent à l'occa
; mais les secousses musculai- res donnent plutôt l'impression d'un tremblement à oscillations étendues que de contractions con
ause en recherchant les signes essentiels de la paralysie générale, tremblement , troubles de la parole, signe d'Argyll-Robertson,
l'accès comitial; ils sont très variables et peuvent con- sister en tremblements généralisés ou partiels, en grincements de dents,
e signaler ici, dans l'ordre moteur, les secousses musculaires, les tremblements , les spasmes qui remontent de la périphérie d'un
ns, rougeurs ou pâleur des extrémités, hoquet, oppression, nausées, tremblements , etc., survient l'aura proprement dite, la « bo
vient à l'une et à l'autre maladie. PXATKHXEUROL. M [ROUSSI.] TREMBLEMENTS par le De CROUZON Littré définit le trembleme
M [ROUSSI.] TREMBLEMENTS par le De CROUZON Littré définit le tremblement : « Une agitation involontaire du corps ou de q
e assez étendues comme dans la sclérose en plaques; enfin, certains tremblements peuvent cesser pendant l'exécution des mou- vem
us allons passer ci-dessous en revue un grand nombre de variétés de tremblements : dans chacune de ces catégories le tremblement s
bre de variétés de tremblements : dans chacune de ces catégories le tremblement sera caractérisé par un certain nombre de point
caractérisé par un certain nombre de points suivants : 1° Siège du tremblement . Le tremblement peut être généra- lisé aux memb
un certain nombre de points suivants : 1° Siège du tremblement. Le tremblement peut être généra- lisé aux membres, il la tête
s limité aux globes oculaires : c'est le nystagmus. 20 Intensité du tremblement . - Le tremblement est quel- quefois très faible
s oculaires : c'est le nystagmus. 20 Intensité du tremblement. - Le tremblement est quel- quefois très faible, le malade ne s'e
fois très faible, le malade ne s'en aperçoit pas, tel est le cas du tremblement alcoolique; il faut alors user de certaines manoe
faut alors user de certaines manoeuvres pour mettre en évidence ce tremblement . C'est ainsi que pour les membres supérieurs il
Caen, 1894) ont montré que le meilleur moyen pratique d'exagérer le tremblement ou de le faire apparaître s'il est insensible,
sible, est de faire exécuter un effort au malade. Ils ont étudié le tremblement par la méthode graphique sans effort et avec ef
ique sans effort et avec effort et ont constaté l'exagération de ce tremblement . D'autre part, l'effort synergique exagère auss
ce tremblement. D'autre part, l'effort synergique exagère aussi le tremblement ; on sait, depuis .lendrassik, que le réflexe ro
xe rotulien peut apparaître pendant un effort, il en est de même du tremblement : si l'on fait un effort dans nn bras, le tremb
st de même du tremblement : si l'on fait un effort dans nn bras, le tremblement s'exagère dans l'autre bras. Mais, à part ces cas
e tremblement s'exagère dans l'autre bras. Mais, à part ces cas oir TREMBLEMENTS 83. l'intensité du tremblement est minime, il e
re bras. Mais, à part ces cas oir TREMBLEMENTS 83. l'intensité du tremblement est minime, il est des cas oil l'intensité est te
quefois pour déceler que cette démarche est rendue difficile par le tremblement . 3° Rythme du tremblement. - Il peut être varia
te démarche est rendue difficile par le tremblement. 3° Rythme du tremblement . - Il peut être variable si les oscil- lations
tres, les trem- blements peuvent être classés en rythmes rapides ou tremblements vibra- toires (8 à 12 oscillations par seconde)
à 12 oscillations par seconde); le type de ce rythme rapide est le tremblement de la maladie de Basedow. Le rythme peut être moy
t être moyen, de y 1/'2 il 7 oscillations J/2 par seconde, c'est le tremblement de la plupart des intoxications. Enfin, le ryth
ouvements volontaires. Le procédé le plus simple pour découvrir les tremblements exagérés ou provoqués par les mouvements intent
e boire. Cet acte peut quelquefois s'accomplir facilement malgré le tremblement . D'autre part, le tremblement peut cesser pen-
fois s'accomplir facilement malgré le tremblement. D'autre part, le tremblement peut cesser pen- dant l'accomplissement de cet
(paralysie agitante). Enfin, il peut s'exagérer et on peut voir le tremblement augmenter progressivement, au sur et à mesure q
e mouvement s'accomplit. Quand le verre se rapproche des lèvres, le tremblement s'exagère, les dents se choquent et le liquide
5° Autres influences modificatrices. L'émotion peut exa- gérer le tremblement fébrile, elle peut au contraire le diminuer ou le
pllObie (Mcigc) peut accentuer le trouble moteur. 6" Évolution du tremblement . Le tremblement peut se produire tout d'un coup
peut accentuer le trouble moteur. 6" Évolution du tremblement. Le tremblement peut se produire tout d'un coup brusquement; il
envahissant successivement toutes les parties du corps. La durée du tremblement peut être variable, quelquefois il est passager c
ante, dans la maladie de Basedow. Mais, il travers l'évolution d'un tremblement , le rythme et ses variations suivant les mouvem
nts intentionnels persis- tent invariables. - 7° Inscription d'un tremblement par la méthode gra- phique. L'enregistrement du
on d'un tremblement par la méthode gra- phique. L'enregistrement du tremblement est le complément néces- saire de l'élude clini
Marcy a permis il Parisot (de Nancy) de constater (CROUZON.] 856 TREMBLEMENTS . dans les tremblements l'existence d'un tremble
t (de Nancy) de constater (CROUZON.] 856 TREMBLEMENTS. dans les tremblements l'existence d'un tremblement respiratoire dont le
ROUZON.] 856 TREMBLEMENTS. dans les tremblements l'existence d'un tremblement respiratoire dont le nombre des oscillations et
à ceux du trem- blement général, . 8° Phénomènes accompagnant le tremblement . Le tremblement peut avoir une répercussion sur
blement général, . 8° Phénomènes accompagnant le tremblement. Le tremblement peut avoir une répercussion sur d'autres fonction
chez les trembleurs, suivant Gilbert Ballet elle serait fonction du tremblement . Pierre Marie estime au con- traire qu'entre le
able du système nerveux central. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL Y a-t-il tremblement ? - On ne confondra pas le tremblement : avec l
NOSTIC DIFFÉRENTIEL Y a-t-il tremblement ? - On ne confondra pas le tremblement : avec les secousses fib1'illail'es des muscles
ée, ce qui est con- traire à la définition que nous avons donnée du tremblement . Les mouvements choréiques qui sont étudiés plu
rs ni rythmés, et leur incoordination suffit pour les distinguer du tremblement . L'asynergie cérébelleuse décrite par Babinski
e série de mouvements irréguliers qui sont tout à fait distincts du tremblement . - , , Les spasmes fonctionnels sont également
quelconque d'un arc réflexe : tel est le DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT . S7 spasme qui accompagne la névralgie du triju
dans le spasme facial (Babinski). Cependant, dans certains cas, le tremblement peut avoir des rapports avec d'autres mouvement
oréiforines. Toutefois, il ne faut pas aller jusqu'à penser que le, tremblement simple peut, dans certains cas, se transformer
r en mouvement arythmique choréiforme. .. DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT Il faut nous demander tout d'abord si le trembl
DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT Il faut nous demander tout d'abord si le tremblement est toujours un phénomène pathologique : Lamarc
ut état pathologique, un trem- blement dans 40 pour 100 des cas. Ce tremblement ne différait du reste ni du tremblement émotion
ans 40 pour 100 des cas. Ce tremblement ne différait du reste ni du tremblement émotionnel ni du tremblement alcoolique, il était
remblement ne différait du reste ni du tremblement émotionnel ni du tremblement alcoolique, il était de petite amplitude et à o
rence nor- maux, sont des sujets pathologiques, et il pense, que le tremblement est un phénomène anormal. Parizot (Congrès de
ne anormal. Parizot (Congrès de Nancy, 1890) a étudié avec Meyer le tremblement t physiologique et pense que tout le monde trem
ct (Société de Biologie, février 1004). Ces auteurs pensent que, le tremblement est un phénomène commun à tous les individus, i
culaire intense et dans la recherche d'une position d'équilibre. Ce tremblement a une vitesse variable suivant les individus et
niformité de vitesse, il présente des irrégularités d'amplitude. Le tremblement physiologique a fait l'objet de la thèse de Husqu
t l'objet de la thèse de Husquet (Paris, 1904). Celte question du tremblement physiologique étant écartée, toutes les lois qu
nt écartée, toutes les lois que ) l'on se trouvera en présence d'un tremblement manifestement pathologique, il y aura lieu d'en
lieu d'en déterminer la cause. Pour cette recherche de la cause du tremblement , les différents auteurs se sont guidés sur des
: c'est ainsi que Charcot, et à son exemple llnibou, distingue les tremblements suivant les modifications que leur donne les mo
ette distinction est plus théorique que pratique et [CROUZON.] 8M TREMBLEMENTS . qu'il convient, en présence d'un tremblement,
et [CROUZON.] 8M TREMBLEMENTS. qu'il convient, en présence d'un tremblement , de se demander tout d'abord si ce tremblement
nt, en présence d'un tremblement, de se demander tout d'abord si ce tremblement est transitoire ou s'il est permanent : dans le
t provoquer le trem- blement : c'est l'ordre que nous suivons. 1" Tremblements transitoires. Le plus fréquent des trem- blemen
ansitoires. Le plus fréquent des trem- blements transitoires est le tremblement émotionnel : il apparaît à l'occa- sion d'une é
, d'une frayeur, d'une perturbation morale quelle qu'elle soit : ce tremblement n'est du reste que l'exagération du trem- bleme
on d'un trem- blement pathologique préexistant. Le frisson est le tremblement du début des pyrexies : l'intensité du tremblem
e frisson est le tremblement du début des pyrexies : l'intensité du tremblement , le claquement des dents, la sensation de froid q
termine l'accès. Reginald Nùller (llrait7,1 ! )()l).) a décrit un tremblement aigu survenant chez les enfants, à mouvements l
rnbro-spinal et dont la guérison survient en quelques semaines. 2° Tremblements permanents. Les tremblements perma- nents ou tr
ison survient en quelques semaines. 2° Tremblements permanents. Les tremblements perma- nents ou tremblements chroniques s'obser
nes. 2° Tremblements permanents. Les tremblements perma- nents ou tremblements chroniques s'observent au cours d'un grand nomb
système nerveux. On peut les diviser, comme le faisait Cliarcot, en tremblements persistants pendant le repos et en trem- blemen
l'un ou l'autre de ces groupes. Nous décrirons successi- vement les tremblements liés à des lésions organiques du système ner- v
mblements liés à des lésions organiques du système ner- veux et les tremblements qui ne sont pas liés à des lésions organiques c
emblements qui ne sont pas liés à des lésions organiques connues. Tremblement dans la sclérose en plaques. Il est le type du
nnues. Tremblement dans la sclérose en plaques. Il est le type du tremblement apparaissant l'occasion des mouvements et de la v
lement apparaissant l'occasion des mouvements et de la volonté : ce tremblement en effet ne se montre jamais quand le malade est
isamment en équilibre sur sa chaise ou dans son lit, c'est alors le tremblement d'attitude. Enfin le tremblement apparaît d'une
ou dans son lit, c'est alors le tremblement d'attitude. Enfin le tremblement apparaît d'une façon très évidente quand le mal
aît d'une façon très évidente quand le malade se met il écrire; le. tremblement s'exagère pendant toute la durée des mouvements
elque temps elle devient tout il l'ait impossible. D'autre part, ce tremblement est imitatif, tout un membre est emporte DIAGNO
est imitatif, tout un membre est emporte DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT . 859 par ses oscillations. Le tremblement part
DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT. 859 par ses oscillations. Le tremblement part de la racine du membre, de l'épaule par ex
t au hras, à l'avant-bras, à la main et aux doigts. Ce caractère du tremblement s'oppose il celui des tremble- ments S('gll1l'n
e quand le malade porte un verre il sa bouche, la tète participe au tremblement et rend l'exécution des mouvements difficiles.
tremblement et rend l'exécution des mouvements difficiles. Si le tremblement est surtout intentionnel, il n'en est pas moins v
d'autres circonstances : 1 étendue du mouvement exécuté exagère le tremblement , l'émotion, l'attention agissant dans le même s
motion, l'attention agissant dans le même sens. L'évolution de ce tremblement est progressive : il s'exagère dans le cours de
malade, il empêche la marche et l'oblige à garder le lit. A côté du tremblement de la sclérose en plaques, nous mentionnerons i
ment de la sclérose en plaques, nous mentionnerons immédiatement le tremblement de la maladie de Friedreich qui est en effet tr
ssociée au signe de Babinski. Nous rapprocherons également de ces tremblements celui observé par Babinski dans certaines affec
et de supination de la main sur lavant-bras; la main présentai ! un tremblement analogue caractérisé par des mouvements alternati
on; quand le malade portait un verre à sa bouche il apparaissait un tremblement caractérisé par des oscillations au nombre de 3
t observé les mêmes troubles de la sensibilité et en particulier le tremblement kinétiquc et statique dans l'atrophie olivo- po
s l'atrophie olivo- ponto-cerebelleuse. Gordon Holilles a décrit un tremblement analogue. Tremblement dans la paralysie général
nto-cerebelleuse. Gordon Holilles a décrit un tremblement analogue. Tremblement dans la paralysie générale. Il se présente quelqu
ent quand le malade commence à parler; si {CROUZON-1 . '.840 .. - TREMBLEMENTS . on demande au malade de tirer la langue on peu
des secousses irrégulières, d'autres fois enfin ce sont de simples tremblements fibrillaires analogues à ceux des lèvres; si l'on
troubles calligraphiques (Joffroy) qui sont caracté- risées par un tremblement dans les jambages des lettres et par l'irrégu-
férieurs et entrer pour une part dans les troubles de la marche. Ce tremblement est minime au repos ; à différents segments du
ons par. seconde). Klippel au moyen du pneumographe a pu déceler un tremblement respiratoire chez ces malades. Parisot (de Nanc
t (de Nancy) a confirmé ces recherches. . Tels. sont les principaux tremblements des maladies organiques cérébro-spinales : il c
nt qui appartient à plusieurs d'entre elles, nous voulons parlcr du tremblement clonifoiî ? ze du pied avec trépidation épileploï
fois à la rotule, quelquefois à la main. Ce clonus est un véritable tremblement , il apparaît à la période de contracture ou le
udié à propos de l'exagération des réflexes achilléens. Pour que ce tremblement soit consi- déré comme un clonus vrai symptomat
une affection organique, il faut, comme l'a montré Babinski, que ce tremblement soit régulier, à rythme pendulaire, et qu'il pu
nt des muscles du malade. Il doit être distingué par -conséquent du tremblement cloniforme qui peut se rencontrer chez les sujets
cependant le rythme est plus irrégulier que dans le clonus vrai. Tremblement de la maladie de Parkinson. Ce tremblement, sui
que dans le clonus vrai. Tremblement de la maladie de Parkinson. Ce tremblement , suivant Brissaud, n'est pas un tremblement pro
aladie de Parkinson. Ce tremblement, suivant Brissaud, n'est pas un tremblement proprement dit : c'est plutôt une agitation au
e de la laine ou compte des écus.. ' , Aux membres inférieurs, le tremblement produit le battement du talon sur le sol quand
puie sur la partie antérieure du pied.. . DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT . - 841 La mâchoire est également animée de mouv
itanie interminable. Nous. avons vu que la tête ne participe pas au tremblement . Damaschino fait remarquer que la langue, lorsq
lorsqu'elle reste enfermée dans la cavité huccale, est animée d'un tremblement assez accusé qui augmente quand elle est tirée
asse pour les autres mouvements volontaires. Mais l'ensemble de ces tremblements de la mâchoire, des lèvres et de la langue ne c
ents de la mâchoire, des lèvres et de la langue ne constitue pas un tremblement de la tête proprement dit; la tète ne tremble d
r 47 .cas de paralysie agi- tante qu'il a examinés, il y avait fois tremblement propre de la tête. Plus récemment (Société de N
nt (Société de Neurologie, juin 190) Klippel et Weil ont signalé le tremblement des paupières qui avait été déjà vu par Koenig
forme de crise trémulante. En résumé, comme l'a montré Brissaud, ce tremblement est toujours le fait d'une série de contraction
pas sur les autres symptômes qui caracté- risent la maladie, car le tremblement est le hllls carucU'risliyuc : ccpen- dant le m
les psychiques pourront concourir à faire faire le diagnostic. Le tremblement n'y est du reste pas toujours constant et si la r
nt et si la raideur et les autres symptômes peuvent exister sans le tremblement , par contre, il semble que le tremblement n'exi
s peuvent exister sans le tremblement, par contre, il semble que le tremblement n'existe jamais sans eux. Mais, en présence d'u
que le tremblement n'existe jamais sans eux. Mais, en présence d'un tremblement offrant les caractères que nous venons d'indiqu
l'existence de maladie de Parkinson; il faut penser quelquefois au tremblement de forme parkinsonienne symptomatique d'une aff
kinsonienne symptomatique d'une affection cérébrale : tels sont les tremblements parkinsoniens symptomatiques d'une tumeur du pé
e Bloch et Marinesco, Société de Biologie, mai 1895). Tels sont les tremblements de forme parkinsonienne 1)('1" 011 posl-hémi pl
rkinsonienne 1)('1" 011 posl-hémi plégiques. Il est des cas où ce tremblement parkinsonien était provoqué par l'hystérie, tel
son, on peut observer des formes aty- piques, tels sont les cas des tremblements unilatéraux de la maladie de Parkinson où le tr
s cas des tremblements unilatéraux de la maladie de Parkinson où le tremblement s'est étendu à des parties du corps qui ne l'in
nt pas habituellement. Nous avons déjà vu les cas de Pelerson où le tremblement siégeait au niveau de la tète. Collet a signalé
siégeait au niveau de la tète. Collet a signalé d'autres cas où le tremblement inté- resse la face, la langue cl le maxillaire
, la langue cl le maxillaire et en résumé il range en 4 groupes les tremblements parkinsoniens anormaux : 1° Le cas où le trembl
groupes les tremblements parkinsoniens anormaux : 1° Le cas où le tremblement s'étend il des parties du corps qui ne l'intére
corps qui ne l'intéressent pas habituellement : , 2" Le cas où le tremblement est unilatéral; 5° Le cas où le tremblement bi-
t : , 2" Le cas où le tremblement est unilatéral; 5° Le cas où le tremblement bi-latéral d'abord devient unilatéral dans la s
unilatéral dans la suite; 4" Le cas de maladie de Parkinson sans tremblement . Tremblement sénile. Le tremblement sénile s'op
s la suite; 4" Le cas de maladie de Parkinson sans tremblement. Tremblement sénile. Le tremblement sénile s'oppose imméclia-
as de maladie de Parkinson sans tremblement. Tremblement sénile. Le tremblement sénile s'oppose imméclia- tement au 'tremblemen
ment intentionnel de la sclérose en plaques. Enfin, il l'inverse du tremblement parkinsonien, il se localise spécialement sur la
rkinsonien, il se localise spécialement sur la tête et détermine un tremblement dans le sens antei'0-posterieni'on dans le sens
posterieni'on dans le sens transversal qui lui donne l'apparence du tremblement affirmatif 011 DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBL
l'apparence du tremblement affirmatif 011 DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT . 84." du tremblement négatif. Ce tremblement es
ent affirmatif 011 DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT. 84." du tremblement négatif. Ce tremblement est donc tout il fait dis
GNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT. 84." du tremblement négatif. Ce tremblement est donc tout il fait distinct cliniquenient du
tif. Ce tremblement est donc tout il fait distinct cliniquenient du tremblement parkinsonien et l'on ne saurait adlllellJ'(' l'
de Démange (Revue de Médecine, 1882) qui a woulu assimiler ces deux tremblements . Gallavanlin et Rheuler ont montré que les -corde
é que les -cordes vocales et le diaphragme peuvent participer il ce tremblement . Le trem- blement sénile n'est du reste pas abs
887) elle a été discutée dans la thèse de liourgarel en 1887. * " Tremblement de la maladie de Basedow. Le tremblement de la
de liourgarel en 1887. * " Tremblement de la maladie de Basedow. Le tremblement de la maladie de Basedow est un symptôme cardin
die (goitre, exophtalmie, tachycardie), M. Pierre Marie a ajouté le tremblement qu'il a décrit dans sa thèse (Paris, 1885). Ce tr
des mouvements précipités qui le font réapparaître. Quelquefois le tremblement se présente comme une vibration perpétuelle trè
fait déshabiller le malade, on voit qu'il existe un grand nombre de tremblements fibrillaires sur toute la surface du corps. A
sont produites par des mouvements de transmission il la main et ce tremblement est assez analogue il celui du tremblement alcoo-
mission il la main et ce tremblement est assez analogue il celui du tremblement alcoo- lique. Du côté des membres inférieurs, o
la jambe se mouvoir suivant un mouvement de pédale, quelquefois le tremblement est assez accenlué et rend la marche difficile.
dans la maladie de Basedow se produisent 8 fois 1/2 par seconde. Tremblement hystérique. Le tremblement hystérique ne peut êtr
ow se produisent 8 fois 1/2 par seconde. Tremblement hystérique. Le tremblement hystérique ne peut être comparé il aucun des tr
érique. Le tremblement hystérique ne peut être comparé il aucun des tremblements précédents ou plutôt il peut être comparé à tou
u plutôt il peut être comparé à tous, car peut les simuler tous. Ce tremblement hystérique a fait l'objet des éludes de Charcot
ndu, et enfin il est le sujet de la thèse inau- [CROUZON.] ] su , TREMBLEMENTS . , ' gurale de Dutil, et antérieurement il étai
urale de Dutil, et antérieurement il était déjà fait mention de ces tremblements dans les travaux de plusieurs auteurs : Briquet,
Germain. Sée, Chambard et Hornolle. Cependant dans quelques cas, le tremblement peut avoir des rapports avec d'autres mou- veme
ois des associations fré- quentes de mouvements choréiformes et des tremblements , telle est la maladie de Friedreich où un mouve
cédé ni d'un choc nerveux, ni d'une attaque quelconque. Le siège du tremblement hysté- rique peut être localisé à une partie du
s mois, quelquefois pendant plusieurs années. Dans certains cas, le tremblement se montre par accès suivis d'une attaque convul
ur s'atténuer et s'effacer. Au bout de peu de temps, l'intensité du tremblement est également très variable, tantôt il est néces-
l'attitude du serment pour le mettre en évi- dence, quelquefois le tremblement est tellement intense que la marche des malades
isir les objets nécessaires pour la vie journa- lière. Le rythme du tremblement hystérique est en général très variable, très l
très variable, très lent, quelquefois très rapide, c'est un type de tremblement vibra- toire, en général, ce rythme est régulie
de tremblement vibra- toire, en général, ce rythme est régulier, ce tremblement apparaît seu- lement à l'occasion des mouvement
e à l'état de repos. , - ' - Enfin- le même sujet peut présenter un tremblement qui varie de siège, d'intensité, de rythme. Le
enter un tremblement qui varie de siège, d'intensité, de rythme. Le tremblement hystérique est donc essentiellement polymorphe
'expression de Dutil, décrire le trem- blement hystérique, mais des tremblements hystériques. Nous allons passer en revue les pr
us allons passer en revue les principaux types qu'a pu présenter ce tremblement . 1° Tremblement hystérique à oscillations rapid
en revue les principaux types qu'a pu présenter ce tremblement. 1° Tremblement hystérique à oscillations rapides vibratoires.
1° Tremblement hystérique à oscillations rapides vibratoires. Ce tremblement présente de 8 à 12 oscillations par seconde, il p
endant des semaines, des mois, il peut être généralisé, il imite le tremblement de la maladie de Basedow, le tremble- ment alco
, le tremble- ment alcoolique et celui de la paralysie générale. Ce tremblement ne s'efface que pendant le sommeil, à l'état de
lesquelles il redevient très peu apparent DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT . 845 et ne gêne pas le malade dans l'exécution
l'exécution des mouvements des membres supérieurs et inférieurs. Ce tremblement , nous l'avons dit, simule le trem- blement alco
emblement, nous l'avons dit, simule le trem- blement alcoolique, le tremblement de la paralysie générale cl le trem- blement de
s symptômes de ces maladies que l'on peut faire le diagnostic. 2" Tremblement de rythme moyen. Les tremblements de rythme moy
l'on peut faire le diagnostic. 2" Tremblement de rythme moyen. Les tremblements de rythme moyen se présentent avec 1/2 à 7 )/2
mme le dit Dutil, ce rythme moyen est le rythme de prédilection des tremblements hysté- riques. Cependant les tremblements qui p
ythme de prédilection des tremblements hysté- riques. Cependant les tremblements qui présentent ce même rythme ne sont pas toujo
elques types classiques assez bien différenciés : a) Il existe un tremblement intentionnel au repos, mais exagéré par les mou
entionnel au repos, mais exagéré par les mouvements volontaires. Ce tremblement rémittent intentionnel, auquel Dutil donne le n
resque constamment agité; dès que l'on commande les 'mouvements, le tremblement prend une amplitude plus grande rendant la marc
ns; si l'on demande au malade de prendre une posi- tion couchée, le tremblement cesse, dans le décubitus en général, il prédomi
e on le voit, non seulement cette description ressemble il celle du tremblement mercuriel, mais elle, rappelle le tremblement de
ressemble il celle du tremblement mercuriel, mais elle, rappelle le tremblement de la sclé- rose en plaques que nous avons décr
tout d'abord, cependant celle res- semblance est imparfaite, car le tremblement persiste au repos et son allure est plus rythmé
emblement persiste au repos et son allure est plus rythmée. b) Le tremblement de rythme moyen peut être localisé aux membres
calisé aux membres inférieurs, il revêt le type paraplégique, et ce tremblement peut éirc assi- milé à la trépidation des parap
différentiels de ce vrai clonus et du faux clonus du pied. c) Le tremblement de rythme moyen peut être absolument nul au rep
urront faire affirmer le diagnostic de la sclérose en plaques. 5" Tremblement lent (4 il 5 1/2 oscillations) par seconde. Les
s. 5" Tremblement lent (4 il 5 1/2 oscillations) par seconde. Les tremblements lents persistent au repos, ils sont peu ou pas mo
imulent d'une façon frappante la paralysie générale, quelquefois le tremblement sénile, quelquefois la paralysie agitante, comm
gitante, comme dans les cas de Rendu, d'Oppcnheim. [CROUZON.] 846 TREMBLEMENTS . ' Le tableau ci-dessous résume les caractères
TREMBLEMENTS. ' Le tableau ci-dessous résume les caractères de ces tremblements : DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT. 847 î
sume les caractères de ces tremblements : DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT . 847 î Suivant Debove et Renault, ce tremblemen
TIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT. 847 î Suivant Debove et Renault, ce tremblement peut se transmettre aussi bien dans la ligne pa
dre aux membres inférieurs, il peut affecter la tête, à la façon du tremblement sénile; enfin chez des membres d'une même famil
pes assez différents. D'après Charcot et surtout d'après Achard, ce tremblement aurait de certaines analogies avec le trembleme
'après Achard, ce tremblement aurait de certaines analogies avec le tremblement sénile, rien en dehors de l'héré- dité ne le sé
emblement sénile, rien en dehors de l'héré- dité ne le sépare de ce tremblement , qui, du reste, comme l'ont montré Charcot, Jof
hébaut, ne se ren- contre pas exclusivement chez les vieillards, le tremblement sénile est du reste héréditaire dans certains c
héréditaire dans certains cas (Démange, Thébauit, Boiircai-el). Le tremblement héréditaire et le tremblement sénile devraient, ê
(Démange, Thébauit, Boiircai-el). Le tremblement héréditaire et le tremblement sénile devraient, être unis dans un même groupe
is dans un même groupe suivant Achard et devraient porter le nom de tremblement essentiel ou de névrose trémulante. Un dernier
ment essentiel ou de névrose trémulante. Un dernier caractère de ce tremblement héréditaire est celui sur lequel ont insisté Ra
t son élève Ilamade et sur lequel a insisté également Bourgarcl; ce tremblement se rencontre surtout chez les dégénérés et chez
thique, tels sont les cas de Langenhagen, de Pelizaeus et Achard. Tremblement toxique. Le tremblement alcoolique est le plus fr
cas de Langenhagen, de Pelizaeus et Achard. Tremblement toxique. Le tremblement alcoolique est le plus fré- quent de ce tremble
ent toxique. Le tremblement alcoolique est le plus fré- quent de ce tremblement toxique, c'est un tremblement variable de petites
coolique est le plus fré- quent de ce tremblement toxique, c'est un tremblement variable de petites oscillations parfois imperc
mander au malade d'étendre les mains dans l'attitude du serment, ce tremblement ressemble donc à celui de la maladie de Basedow
ant la parole, il est en général plus accentué le matin il jeun. Ce tremblement alcoolique a donc un caractère rémittent intent
e rémittent intentionnel et c'est là un caractère commun à tous les tremblements toxiques : café, tlié, plomb et mercure, sulfure
e, haschisch. D'après Jourdran (Presse médicale. 1906) il existe un tremblement palustre persistant. M. Boinet a observé un tre
l existe un tremblement palustre persistant. M. Boinet a observé un tremblement produit par l'opothérapie surrénale chez les ad
nt aux extrémités, il oscillations répétées, , [CROUZON.] ] 8t8 ' TREMBLEMENTS . petites, menues, rapides, au nombre de six par
ts intentionnels. Dans l'intoxication saturnine on peut observer le tremblement en général, il est peu marque au réveil contrai
remblement en général, il est peu marque au réveil contrairement au tremblement alcoo- lique, il augmente avec la l'aligne de l
re assimilé a la paralysie agitante. Lc.trembtement Ulacul'ielestun tremblement assez caractéristique. La séméiologie du .tremb
apeaux, dorure au mercure). La question qui se pose il propos de ce tremblement est relative à sa nature hystérique : les reche
certains trem- blements mercuriels, En est-il de même pour tous les tremblements mercuriels, c'est la une question qui' été réce
sus et surtout d'après l'opi- nion de Charcot, on admettait que le. tremblement était un tremblement Iv'triclle. R;yll«ml et Si
s l'opi- nion de Charcot, on admettait que le. tremblement était un tremblement Iv'triclle. R;yll«ml et Sic;r.l, ('IIiII;lio se
R;yll«ml et Sic;r.l, ('IIiII;lio semblent admettre l'existence d'un tremblement mercuriel propre, ils se basent, sur les argument
t mercuriel propre, ils se basent, sur les arguments sui- vants les tremblements mercuriels sont semblables entre eux, leur débu
ique du symptôme. Guillain a présenté deux malades chez lesquels le tremblement persistait quoiqu'ils eussent cessé leur professi
s constatées par Wising ct liraucr, ct élllcilrc l'hypothèse que ce tremblement est peut être dû il des lésions organiques du cer
tion contre l'opinion exclusive de Charcot qui niait l'existence du tremblement mer- curiel et qui disait que le tremblement ob
i niait l'existence du tremblement mer- curiel et qui disait que le tremblement observé dans les cas d'intoxi- cation mcrcuriel
observé dans les cas d'intoxi- cation mcrcurielle était toujours un tremblement hystérique. CHORÉES par le D' CROUZON On ap
encier ces caractères de ceux des autres mouvements involontaires : tremblements , athétose, myoclonies, et nous chercherons enfi
ons, il le saisit et, si on se sert du procédé déjà employé pour le tremblement , si on demande au malade de porter à sa bouche
nts involontaires. Nous avons déjà vu quels sont les caractères des tremblements , qu'ils soient toxiques, organiques ou fonction
emblements, qu'ils soient toxiques, organiques ou fonctionnels, les tremblements sont caractérisés par leur rythme, leur irrégul
,, tressaillements insuffisants pour provoquer un déplacement ou un tremblement ; ils cessent dans les muscles dès que ceux-ci s
ues peuvent simuler la sclérose en plaques. Dans cette affection le tremblement et la dysarthrie peuvent en effet être simulés
la sclérose en pla- ques ; la paralysie agitantesm;a reconnue à ce tremblement si spécial des extrémités existant en dehors de
e, souvent avec atrophie ; on a noté aussi, à titre d'exception, du tremblement librillaire (Poore) et aussi des troubles de la
tions, d'angine de poitrine. La tachycardie s'accompagne souvent de tremblement à tel point même que l'on peut, suivant Pierre
tel point même que l'on peut, suivant Pierre Marie, distinguer les tremblements en deux groupes, ceux qui s'accompagnent de tac
tion persiste tant que persiste l'affection, elle s'ac- compagne du tremblement auquel elle est associée suivant certains auteurs
Troubles de la motilité linguale. Parmi ces troubles se rangent les tremblements , les paralysies, les contractures et spasmes. L
es tremblements, les paralysies, les contractures et spasmes. Les tremblements sont associés le plus souvent à d'autres (roubles
es tremblements sont associés le plus souvent à d'autres (roubles : tremblement des mains chez les parkinsoniens, nystagmus et tr
t tremble- ment intentionnel dans la sclérose en plaques, etc. Le tremblement est rarement localisé à un seul côté de la langue
st tirée hors de la bouche (paralysie générale, par exemple). Les tremblements peuvent être lents (Parkinson, tremblement dit
le, par exemple). Les tremblements peuvent être lents (Parkinson, tremblement dit st'nite). moyens (sclérose en plaques, hyst
plaques ne montre que de faibles secousses fibrillaires. Dans le tremblement sénile l'aspect est tout à fait caractéristique :
e mouvements d'ensemble, le malade mar- motte sans cesse. Enfin, le tremblement de la langue peut, chez un épi- leptique, marqu
ex; il y a une sorte de', main en cône : La main participe aussi au tremblement général'; en outre elle présente souvent des mo
Ces mouvements se produisent au repos comme d'une façon générale le tremblement des parkinsoniens ; ils peuvent pourtant être e
ertaines chorées, athétose double. Epilepsie, incontinence d'urine. Tremblement héréditaire. Stigmates mentaux. Les décrire tou
nuque (von Beck). L'opistholonos (Tillgren), le signe de Kcrnig, le tremblement (Mocquin, Tillgren), sont exceptionnels ainsi q
l'amaurose, tenait à l'existence d'accès d'aphasie, accompagnés de tremblement de la moitié droite du visage et de pertes de c
amélioration notable de la plupart des troubles de la motilité, le tremblement des membres supérieurs disparut presque complètem
tré de très heu- reux résultats : la fréquence du pouls diminue, le tremblement des mains et les autres symptômes nerveux s'amé
être redevenu très satisfaisant. Parmi les symptômes cardinaux, le tremblement est souvent assez rapidement modifié. Les palpita
dien, 1150. Alcoolisme. Névrites et atrophie muscu- laire, 725. Tremblement , 847. Alexie. 221. Algies centrales, 575, 585
125. (Lésions du -), ), Vertiges, 109. Syndrome cérébelleux, 776. Tremblement , 859. (Tumeurs (lu -), Radiothérapie, 1189. C
aires, 71, 72, 472. Friedreich (Maladie de), incoordination, 777. tremblement , 859. Pied, 1 054. Cytodiagnostic, 'Il 57. Fu
res, 107, 108. - A Troubles de la sensibilité objective, 550. m - Tremblement , 845. radiothérapie, 1189. - traitement électri
aire, 726. - Incoordination, 781. - Crises convul- sives, 85'). - Tremblement , 843. - Chorée, 861. Vomissements, 990. - Par
. l00(i. * Intoxications, vertiges, 174. - aiguës, ataxie, 764. - Tremblement , 847. Intransversaires du cou, du dos, des lo
ons - ). 1'o ? Aliénés. Méralgie pareslhésique, 594. Mercuriel ( Tremblement -), 848. Mérycisme, lll00. Métamérie spinale,
électrique, .1325. - Névroses du larynx, 652. 11'a1l111ati- ques, tremblement , 847. Nez, maladies, 147. - Troubles de l'odo-
aracousies, 151. Paraffine, inclusions, 1555. Paralysie agitante, tremblement , 840. - La main, 1040. Le pied, 909.- Traitem
que, 1550. ' générale. Amyotrophie de type Aran- Duchenne, 706. Tremblement , 859. - Lymphocytose rachidienne, Il 32. 8 ?
es), 515. - . Saturnisme. Névrites et atrophie muscu- laire, 725. Tremblement , 848. Scalènes. Innervation, physiologie, 557.
ons de l'oreille, z Atrophie musculaire typeAran-Duchenne, 705. - Tremblement , 858. - Crises gastriques, 993. - Cytodiagnosti
vation, physiologie, 584. Trapèze. Innervation, physiologie, 570. Tremblement oculaire. Voy. Nystagmus. Tremblements. Siège.
ervation, physiologie, 570. Tremblement oculaire. Voy. Nystagmus. Tremblements . Siège. Intensité, z Rythme. Influence des mouv
ection, 5. Vieillards. Hémiplégie, 462. - Paraplé- - gies, 309, - Tremblement , 842. gies, 509. Tremblement, 842. Viscéralgi
égie, 462. - Paraplé- - gies, 309, - Tremblement, 842. gies, 509. Tremblement , 842. Viscéralgies, 5 in. - Viscères. Trouble
7 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cordons antéro-latéraux : état paréto- spasmodique, contractures et tremblement intentionnel ; 3° le syn- drome associé des cor
avec le syn- drome de Benedikt, qui est un syndrome de Weber avec tremblement post-hémiplégique. Ainsi les mouvements ataxi-
édian du côté droit est altéré. Cette altération explique-t-elle le tremblement et l'ataxie des mou- vements ? Elle a pu y cont
iveau du pédoncule cérébral, détermine une ataxie cérébelleuse avec tremblement intentionnel et asyner- gie des membres du côté
dans le cas actuel au niveau du noyau rouge. PATHOLOGIE NERVEUSE Tremblements infantiles et nystagmus congénitaux. Essai de c
entiels que nous observions au milieu d'autres sujets présentant du tremblement des yeux sympto- matique d'une maladie du systè
sant d'approfondir. L'observation d'une variété exception- nelle du tremblement familial, le Tremblement Infantile Congénital,
ervation d'une variété exception- nelle du tremblement familial, le Tremblement Infantile Congénital, nous a semblé se rattache
symptômes surajoutés et nous avons établi une progression allant du Tremblement ou 103 'l) PATHOLOGIE NERVEUSE. du Nystagmus
ils présentaient à l'examen. Bien que nous soyons convaincus que le tremblement de la tête et le tremblement des globes oculair
en que nous soyons convaincus que le tremblement de la tête et le tremblement des globes oculaires soient des phéno- mènes du
phique que nous avons pu faire, de nous assurer qu'au moins pour le Tremblement Infantile nous partagions les idées d'un certai
la conclu- sion que MM. Achard et Soupault' formulaient pour les tremblements héréditaire et sénile : « Toute distinction ent
tremblements héréditaire et sénile : « Toute distinction entre le tremblement héréditaire et le tremblement sénile nous paraî
sénile : « Toute distinction entre le tremblement héréditaire et le tremblement sénile nous paraît injustifiée et nous estimons
actes et à réunir ces deux affections en une seule sous le nom de tremblement essentiel ou de névrose trémulante. » Nous fais
r bien que nous n'ayons pu nous assu- rer de leur existence. I. - Tremblement infantile congénital familial Observation. Geon
vec écume de ' Achard et Soupault. Gaz. Ieebclon., 22 avril 1897. TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX 403 la bouc
veux bruns. A l'état de repos, l'enfant a la tête agitée d'un petit tremblement à oscillation assez rapides, courtes, brèves, à
llation assez rapides, courtes, brèves, à direction horizontale. Ce tremblement se manifeste dès que l'enfant regarde devant elle
ête et que, la baissant, elle prend un point d'appui même léger, le tremblement cesse. Lorsque l'enfant dort, la tête appuyée,
r, le tremblement cesse. Lorsque l'enfant dort, la tête appuyée, le tremblement cesse encore. Si l'enfant tourne la tête sans p
ncore. Si l'enfant tourne la tête sans prendre de point d'appui, le tremblement cesse encore. Ce tremblement s'exagère à l'occa
tête sans prendre de point d'appui, le tremblement cesse encore. Ce tremblement s'exagère à l'occasion de quelque émotion : joi
e à l'occasion de quelque émotion : joie ou colère. Il n'y a pas de tremblement dans le sens vertical. Les yeux ne présentent
étosiques analogues à ceux des autres enfants. Mais il n'y a pas de tremblement des membres. L'enfant, à ce moment, présente un
ques analogues a ceux qui avaient emporté le frère, atteint du même tremblement . Les tremblements essentiels analogues à celui
ux qui avaient emporté le frère, atteint du même tremblement. Les tremblements essentiels analogues à celui que nous faisons c
du jeudi 2 mai 1901, in Revue Neurologique n° 9, p. 178. Un cas de tremblement essentiel con- génital (du type sénile). ' Th
, analybé in Presse médicale 1901, 13 avril, n° 30, par Tollemer. TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX '108 nerveu
Il s'agit là évidemment d'une affection tout à fait étrangère au tremblement essentiel infantile dont la durée paraît être i
l'infirmité présentée par le grand-père et l'oncle' maternels et le tremblement essentiel congénital de deux des descendant. Ch
, les mouvements lents d'inclinaison ne sont pas assimilables à des tremblements . Il n'en est pas de même des mouvements que nou
avons trouvés dans six de nos observa- tions : il s'agit bien là de tremblements oscillatoires pen- dulaires absolument analogue
hie musculaire, pas de déviation de la colonne verté- brale, pas de tremblement intentionnel. TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAG
tion de la colonne verté- brale, pas de tremblement intentionnel. TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX 107 Le nyst
e vient consulter existe depuis la naissance : c'est un nystagmus à tremblement transversal (non hori- zontal) qui s'exagère pa
lement la tête pour arriver à immobi- liser les yeux. Il n'a pas de tremblement ni d'oscillations (mouve- ments pendulaires) de
et ne présente pas d'atrophies, il est bien conformé, il n'a pas de tremblement intentionnel des membres. Il marche facile- men
plus attentivement le malade on constate qu'il existe un très léger tremblement des mains. Les oscillations de ce tremblement s
existe un très léger tremblement des mains. Les oscillations de ce tremblement se font dans le sens transver- sal. On constate
suite d'une fièvre typhoïde et alors que sa mère se trouvait dans TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX 109 des con
l'instabilité motrice au dire de sa mère. Il présente nettement du tremblement des doigts, de la trémulation et de la spastici
V Lecture facile. Fond d'oeil et milieux oculaires normaux. Pas de tremblement de la tête. La mère raconte que le nystagmus au
ment exagérés, mais dans de faibles proportions. Il n'existe pas de tremblement intentionnel des membres supérieurs. Il n'y a p
de tremblement intentionnel des membres supérieurs. Il n'y a pas de tremblement de la tête, du corps ou des mains, il n'existe
Oscillations pendulaires de la tête . Le sujet ne présente pas de tremblement des mains. Il ne pré- sente pas de Romberg. Les
éniable. Devons-nous donc considérer ces sujets comme atteints de TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX ']'Il sclér
strabisme. Ilm z- 0,75 V = -^-. Lec- ture facile. Ni mouvements ni tremblements de la tête. Réflexes normaux (patellaires). O
ant les mêmes caractères que chez le frère. Pas de mouvements ni de tremblements de la tête. Bonne vision. Le jeune homme est en
enfant a eu, en 1900, des fièvres intermittentes, accom- pagnées de tremblements généralisés qui ont cédé facilement à la quinin
arait pas exister de troubles de sensibilité. D'après le père, le tremblement des yeux aurait toujours existé. Il en serait d
strabisme. Emmétropie. Pas d'anomalies ni de lésions des yeux. ' TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX 113 Observa
xes patellaires sont normaux. ' Examen des yeux. Le nystagmus et le tremblement de la tête présentent les mêmes caractères que
modiques. Il n'a pas de troubles de la sensibilité. Il n'y a pas de tremblement intentionnel des membres supérieurs, et d'une f
ond d'oeil normal. Bonne vision de chaque oeil : emmétropie. Pas de tremblement de la tête. Réflexes oculaires normaux. Milieux
du croup, à l'âge de cinq ans. Il aurait eu, dès son jeune âge, du tremblement des yeux qui a toujours existé. Ce renseigne- m
m très légère. Fond d'oeil normal. Rien dans les milieux de l'oeil. Tremblement de la tête peu accentué, mais nettement pendula
à la piqûre et de la sensibilité thermique. On ne constate pas de tremblement des membres, pas de troubles vaso-moteurs. Réfl
une certaine paresse de cette fonction. Il sait lire et écrire, son TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX 115 intelli
trouvons donc en présence d'une série de malades' chez lesquels le tremblement bien loin d'exister à l'état isolé, occupe seul
ré dans ce sens. Nous avons montré au sujet de notre observation de tremblement infantile quelle importance offrait l'étude des
u sujet de l'observation 3, ou bien l'exagération des réflexes avec tremblement épileptoïde du sujet de l'observa- tion 7. Nous
pileptoïde. 4e type. Manifestation familiale de ce même symptôme ( tremblement ) isolé ou associé à plus ou moins d'autres sign
ique, enfin le cervelet et ' Etude sur le Nystagmus, Paris, 1869, TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX 117 î la pr
M. Achard 2 analyse les hypothèses proposées pour expli- quer le tremblement , dont on a placé la cause dans les centres nerv
n des centres nerveux. La pre- mière interprétation conviendrait au tremblement qui accom- pagne la fatigue, l'anémie, la cache
à celui des fils électriques mal isolés et a cherché à expliquer le tremblement par le mauvais état des conduc- teurs qui ne la
le courant que par saccades. - c. Enfin on a cherché à expliquer le tremblement soit par des altérations des fibres musculaires
al a été démontré expérimentalement. Vulpian a établi que dans le tremblement provoqué par la nicotine chez la grenouille, l'
'encéphale tandis qu'il cesse si l'on sépare la moelle du bulbe. Le tremblement intentionnel a été reproduit par Pasternotsky a
ordons latéraux. « Chez l'homme, ajoute M. Achard, l'association du tremblement à divers mouve- ments anormaux comme la chorée,
s, pouvons-nous tenter de rattacher les nystagmus congénitaux elles tremblements infantiles à une altération définie du système
iées- à des causes multiples : malformation des cellules motrices TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMES CONGÉNITAUX 119 de l'éc
on possible des cellules corticales ou nucléaires donnerait lieu au tremblement infantile ou oculaire et pourrait s'accompagner
'elle puisse paraître, cette conception nous permet d'envisager les tremblements que nous avons passés en revue, à un point de v
t rudimentaires de nature indéterminée, entraînant la production de tremblements divers : nystag- mus simple ou tremblement infa
aînant la production de tremblements divers : nystag- mus simple ou tremblement infantile du type de l'observa- tion de MM. Ray
de signes d'hystérie ; une morsure profonde de la langue; un peu de tremblement des mains ; le malade avoue du reste quelques e
1901, 11" 21.) Communiqué au congrès de Limoges. XVII. Un cas de tremblement fonctionnel de la main droite; par le Dr HLDE1'
urnal de Neurologie, 1901, nu 22.) Localisé dans la main droite, ce tremblement ne survient qu'à l'occasion de l'acte d'écrire
ayon ou d'un porte-plume s'efforce d'écrire sur un plan fixe. Aucun tremblement au repos ni quand le patient trace des carac- t
e tremble pas davantage quand il écrit avec un morceau de craie. Ce tremblement n'est nullement influencé par des causes psychi
noyaux bulbaires et pro- tubérantiels, et enfin sur l'existence de tremblements fibrillaires et la diminution de l'excitabilité
'il s'agit seulement d'une manifestation hystérique. Tachicardie et tremblement . M. Vaquez présente un homme atteint d'accès de
paraissent et tout rentre dans l'ordre. Il ne persiste' qu'un léger tremblement . Le sujet a fait des excès alcooliques.- S'agit
t jamais isolées. Suit une discussion sur l'influence réciproque du tremblement et de la tachycardie à laquelle prennent part M
que. La malade mar- che assez mal; ses mouvements sont atactiques ; tremblement de la langue, des mains et des muscles faciaux,
elle commença à parler mal, se plai- gnait d'un mal de tête et d'un tremblement des mains. La malade parlait peu et si on ne lu
aillements fibrillaires dans les muscles faciaux et dans la langue. Tremblement des membres supérieurs. Ataxie des membres infé
nstater alors, entre autres, l'abolition des réflexes rotuliens, le tremblement de la langue et des mains, l'affaiblissement de l
ation de froid aux cheveux, d'horripilation, l'asthénie motrice, le tremblement musculaire, l'incoordination des' mouvements vo
cès subaigu. Hallucinations mul- tiples professionnelles. Insomnie. Tremblement des mains. Etour- dissements, crampes dans les
perçu qu'il tremblait sur sa voiture. il est valide, mais secoué de tremblements , couvert de sueur et délirant; il a de l'ex- ci
opos sont souvent 'incohérents et dénotent un faible niveau mental. Tremblement des mains et de la langue, inégalité pupillaire
nt, il y a des secousses convulsives de la face et de la langue, du tremblement . Le 12, G... a gâté au lit; le 14 on note de l'em
a situation; les nuits sont fréquemment agitées. Il y a toujours du tremblement , léger, mais généralisé, les pupilles restent i
n même temps il souffre de céphalée, de crampes dans les jambes, de tremblements , d'étourdissements sans perte de connaissance;
onstant, apparaissant surtout aux mots d'épreuve ; il y a un peu de tremblement des doigts et du tremblement fibrillaire de la
aux mots d'épreuve ; il y a un peu de tremblement des doigts et du tremblement fibrillaire de la langue; les pupilles restent
, nouvelles attaques épileptiformes. Le 8 juillet, ictus léger avec tremblement généralisé; de nouveau, l'aphasie s'accuse, il
rieurs et inférieurs. Trépidation épileptoïde des deux côtés. Léger tremblement intentionnel du bras gauche. Pas de troubles de
paternel, mort en 1869 ; rhumatisant ; avait des picotements et des tremblements continuels ; buvait beau- coup, surtout de l'ab
atoire ; 2° Le type' cardiaque ; 3° Le type à sueurs ; 4° Le type à tremblements ; 56 Le type à boulimie; 6° Le. type à diarrhée
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. - aussi piises : exagération de l'ataxie, tremblements intentionnels, mouTements choréiformes. Alors l
n châtrés), et sur l'allongement des membres dans ce dernier cas. Tremblement et tachycardie . GIL13ERT Ballet et L. DLLHERM.
rtains (P. Marie), repoussée par quelques autres (Babinski), que le tremblement qu'on observe dans la maladie de Basedow est fo
manière de voir. C'est un homme de quarante-cinq ans, affecté d'un tremblement très net, généralisé, à oscillations petites et
donc, comme l'avait avancé antérieurement M. Gilbert Ballet, que le tremblement est sous la dépendance de la tachycardie et qu'
manifestation de la maladie de Basedow, M. Marie n'admet pas que le tremblement et la tachycardie soient sous la dépendance l'u
fonc- tions du -, par Raymond et Ces- tan. 81. Nystagmus. Voir tremblements in- faîzliles. Obsessions. Note sur l'évoluti
par hiche et de Gothars, 427. Voir Trou- bles. TACIIICAHDIE ET tremblement , par Vaquez, 176. -Voir Tremblement. Tension
Trou- bles. TACIIICAHDIE ET tremblement, par Vaquez, 176. -Voir Tremblement . Tension artérielle. Voir Hypnose. Thorax en
447. » Toxémie. Voir Troubles mentaux. Traumatisme. Voir Folie. Tremblements infantiles et nystag-- mus congénitaux. Essai d
8 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
la journée, et il est constitué par un mouvement des paupières et un tremblement très rapide, se produisant environ 200 fois par m
vants : embarras spécial de la parole qui est presque inintelligible, tremblement fibrillaire de la langue, tremblement spécial des
qui est presque inintelligible, tremblement fibrillaire de la langue, tremblement spécial des mains, ensemble de phénomènes intelle
ertaine difficulté d'articulation de sons, d'inégalité pupillaire, de tremblement , d'incertitude des mouvements. 2° Variété mélan
ette forme, prédominance des troubles moteurs, embarras de la parole, tremblement des mains et de la langue qui est animée de mouve
atteint de delirium tremens, et a présenté, pendant quelque temps, un tremblement spécial des mains. Mais, depuis quatre ans, il s'
âche que j'espère pouvoir remplir ultérieurement. QUINZIÈME LEÇON Tremblements et mouvements choréiformes. Ghorée rhythmée S
mblements et mouvements choréiformes. Ghorée rhythmée Sommaire. — Tremblement de la sclérose en plaques ; oscillations à grand
— Tremblement de la sclérose en plaques ; oscillations à grand arc. — Tremblement de la paralysie agitante et tremblement senile. —
; oscillations à grand arc. — Tremblement de la paralysie agitante et tremblement senile. — Tremblements à oscillations lentes ; à
arc. — Tremblement de la paralysie agitante et tremblement senile. — Tremblements à oscillations lentes ; à oscillations rapides ou
ile. — Tremblements à oscillations lentes ; à oscillations rapides ou tremblements vibratoires. — Tremblement hystérique. — Tremblem
ations lentes ; à oscillations rapides ou tremblements vibratoires. — Tremblement hystérique. — Tremblements alcoolique, mercuriel,
ions rapides ou tremblements vibratoires. — Tremblement hystérique. — Tremblements alcoolique, mercuriel, de la paralysie générale,
laques que je vous ai montrés dans les précédentes leçons, des divers tremblements , des mouvements involontaires, avec lesquels on p
des mouvements involontaires, avec lesquels on pourrait confondre le tremblement à peu près caractéristique de cette affection. J'
e de cette affection. J'ai insisté sur les çajraclèresjarticuliers du tremblement de la sclérose en plaques, et déjà j'ai démontré
étendue 1. Leçon recueillie par M. Guinon, interne des hôpitaux. ( tremblement intentionnel, lntentionzittern des auteurs allema
taire d'une assez grande étendue, condition nécessaire pour amener le tremblement qui ne se manifeste pas habituellement dans les p
m au moment où le vase approche de la bouche. Ce caractère spécial du tremblement de la sclérose en plaques se traduit facilement p
des appareils enregistreurs. La partie 1 de la fig. 36 représente le tremblement intentionnel de la sclérose en plaques. La lign
t volontaire ; B C figure la durée de ce mouvement, pendant lequel le tremblement est représenté par la ligne brisée xy z... dont c
t d'autant plus long que l'on s'éloigne plus du point B. Tel est le tremblement de la sclérose en plaques. Pour mieux mettre en r
la méthode des contrastes ; en d'autres termes, j'ai voulu opposer ce tremblement à d'autres tremblements appartenant à des maladie
es ; en d'autres termes, j'ai voulu opposer ce tremblement à d'autres tremblements appartenant à des maladies bien différentes, bien
par la(^ralysie agitante.? Comme celui de la sclérose en plaques, le tremblement de la maladie de Parkinson se compose" d'oscillat
ez au malade de porter un verre à sa bouche, vous verrez peut-être le tremblement augmenter d'amplitude, mais jamais il ne produira
e l'appareil enregistreur. La par-lie 2 de notre figure représente le tremblement de la paralysie agitante. On voit tout de suite
epos ; elle est coupée par de petites lignes brisées correspondant au tremblement continu. Au point B commence le mouvement volonta
en plaques. Rappelez-vous aussi que, dans la paralysie agitante, le tremblement n'atteint en général pas la tête et que si celle-
, elle n'est en réalité que le siège de mouvements communiqués. Les tremblements de la^clérose en plaques, de la maladie de^arkins
e en moyenne. Cette même lenteur des oscillations se retrouve dans le tremblement dit sénile. Yoici deux femmes atteintes de ce tre
uve dans le tremblement dit sénile. Yoici deux femmes atteintes de ce tremblement : chez l'une, la nommée La..., âgée actuellement d
sont tout à fait caractéristiques des oscillations delà tête dans le tremblement dit sénile. Avant de passer à la catégorie des
^jDèçe,de ..tremblement qui tient le milieu entre les deux : c'est le tremblement hystérique. Nous avons actuellement, dans nos sal
ept par seconde. Je ne fais que vous citer en passant cette espèce de tremblement , me proposant d'y revenir plus tard d'une façon p
econd groupe. Dans une seconde classe, en effet, nous rangerons les tremblements à oscillations rapides, que j'appellerai tremblem
s rangerons les tremblements à oscillations rapides, que j'appellerai tremblements vibratoires. Le nombre des secousses se monte ici
ente qui les sépare des premiers. Nous comprendrons parmi eux : 1° Le tremblement alcoolique ; 2° Le tremblement mercuriel; 3° Celu
s. Nous comprendrons parmi eux : 1° Le tremblement alcoolique ; 2° Le tremblement mercuriel; 3° Celui de la paralysie générale ; 4°
-là, les doigts tremblent par eux-mêmes, tandis que dans celui-ci, le tremblement individuel des doigts n'existe pas. Ce caractère
du moins interrompue par de très petites ondulations. A côté de ces tremblements ,c'est-à-dire de ces secousses à oscillations ryth
es qui pourrait être, et qui a été effective ment confondue avec le tremblement de la sclérose en plaques. Je veux parler de la c
quer le butjtandis que dans la sclérose en plaques et dans les autres tremblements dont je viens de vous parler, la direction généra
ces phénomènes présentent quelquefois une analogie grossière avec le tremblement de la sclérose en plaques. Ainsi sont formés, M
plaques. Ainsi sont formés, Messieurs, les deux premiers groupes de tremblements ou mouvements involontaires, je vais maintenant v
us ne retrouvons ni les oscillations, ni les^îBrallons, comme dans le tremblement , ni les gesticulations illogiques, contradictoire
en des vertiges survenant tout à coup et suivis de rigidité, puis de tremblement des membres. Il n'y avait pas de perte de connais
-là, fut reconnue l'existence de l'hémianesthésie droite, et aussi du tremblement particulier de la main droite dont il va être que
œil et le cercle de cette couleur est réduit presque à un point. Le tremblement dont il a été question déjà plus haut et qui occu
par seconde. A cet égard, il tient par conséquent le milieu entre le tremblement à oscillations lentes, tel que celui de la paraly
s lentes, tel que celui de la paralysie agitante, par exemple, et les tremblements vibratoires, ou autrement dit à oscillations rapi
vec sa main gauche sur son poignet droit, manœuvre qui fait cesser le tremblement pour un instant. Le sens musculaire est parfaitem
riode épileptoïde est commencée : d'abord augmente et se précipite le tremblement de la main droite, les yeux se convulsent en haut
ayeur ressentie par L... fut très vive; immédiatement, il fut pris de tremblement des membres et la nuit qui suivit, il lui fut imp
dit qu'il avait eu la figure tordue à gauche, les membres agités d'un tremblement , et qu'une fois les convulsions arrêtées, il s'ét
la confirmer. Il existait chez ce jeune sujet une hémianesthésie avec tremblement choréiforme du côté gauche ; un rétrécissement du
oite 40°, à gauche 35°. On remarque que les mains présentent un léger tremblement qui s'accentue notablement quand le malade porte
s, a des attaques fréquentes et depuis deux mois, elle est prise d'un tremblement que plusieurs médecins ont qualifié de chorée hys
le parlie de la moitié droite du corps, la jambe droite répond par un tremblement clonique épileptoïde très prononcé. Une légère pe
traitement tonique et de séances d'électrisation, on constate que le tremblement spontané du côté droit a diminué. Du côté gauche,
........................................... 19:! QUINZIÈME LEÇON. tremblements et mouvements choréiformes. chorée rhythmée. So
emblements et mouvements choréiformes. chorée rhythmée. Sommaire. — Tremblement de la sclérose en plaques ; oscillations à grand
. — Tremblement de la sclérose en plaques ; oscillations à grand arc. Tremblement de la paralysie agitante et tremblement senile. —
s ; oscillations à grand arc. Tremblement de la paralysie agitante et tremblement senile. — Tremblements à oscillations lentes: à o
nd arc. Tremblement de la paralysie agitante et tremblement senile. — Tremblements à oscillations lentes: à oscillations rapides ou
ons lentes: à oscillations rapides ou tremble- ments vibratoires. — Tremblement hystérique. — Tremblements alcoolique, mercuriel,
rapides ou tremble- ments vibratoires. — Tremblement hystérique. — Tremblements alcoolique, mercuriel, de la paralysie générale,
dehors de l'hystérie, 399; — et hystérie, 250, 289, 301, 402, 44?. Tremblements , 209; — de la sclérose en plaques, 209; - de la p
9 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
traduisent par un besoin de locomotion inso-lite, quelquefois par des tremblements saccadés, convulsifs (Gri-maux), dans lesquels l'
anifestes. On constate de la roideur dans les membres, quelquefois du tremblement (Murray), de la lenteur dans les mouvements. Il y
erf cubital. REVUE ANALYTIQUE THÉRAPEUTIQUE I. DU traitement du tremblement mercuriel par les bains élec-triques. — Le trembl
traitement du tremblement mercuriel par les bains élec-triques. — Le tremblement est une des manifestations les plus fréquentes de
mercurielle. Sans présenter aucune gravité pour la vie du malade, ce tremblement est un accident fâ-cheux pour l'ouvrier qui est o
nt de nouveau aux mêmes influences. Le traitement employé contre le tremblement mercuriel consiste dans les sudorifiques, les ton
Chapot, on n'avait encore, croyons-nous, publié aucune observation de tremblement mercuriel traité par les bains électriques. M. La
spécial, inventé par M. Potin, tenta de traiter par l'électricité les tremblements mercuriels, et il obtint de très-bons résultats.
tour savoir quelle était la valeur thérapeutique de ces bains dans le tremblement . Les observations que nous allons donner, d'après
aturine. Paris, 1870- Adr. Delahaye* libraire-éditeur. 4 Gairal, du Tremblement mercuriel. Thèse dé Paris; 1872; Cet appareil s
l'appareil ; voyons maintenant les observations : Observation I. — Tremblement mercuriel. — Traitement par les bains électriques
esse dans les membres; cet état persista pen-dant huit jours, puis le tremblement survint. La main droite trembla deux ou trois jou
droite trembla deux ou trois jours plus tôt que la main gauche. — Le tremblement a toujours été en augmentant. État actuel. Le m
e peut porter sa fourchette à sa bouche. Les jambes sont agitées d'un tremblement considérable; le malade ne peut plus marcher du t
il prend un bain.—Après 7 bains, le malade marche beaucoup mieux; le tremblement a beaucoup diminué dans les bras. 11 se sert de s
El... demande à quitter l'hôpital ; il est parfaitement guéri ; le tremblement a complètement disparu. Voilà certainement une
ons nous répondrons .par l'observation suivante : Observation II. — Tremblement mercuriel remontant à environ un an. — Traitement
erdaient de leur force; puis ses bras commencèrent à trem-bler, et le tremblement arriva bientôt à un tel degré qu'il ne pouvait pr
plus se servir de ses mains. Ses jambes n'étaient atteintes que d'un tremblement léger. Les gencives étaient gonflées; les dents v
l sortit sans être guéri. — Il voulut re-prendre son travail, mais le tremblement devint bientôt tellement violent, que le malade d
lilité des muscles. — Les membres supérieurs sont agités d'un violent tremblement ; le malade ne prend que difficilement son verre p
il prend un bain de même durée. 28 avril. Il a pris 5 bains ; le tremblement a un peu diminué dans les membres supérieurs ; le
ire touchant l'efficacité des bains électriques dans le traitement du tremblement mercuriel. Observation III. — Tremblement mercu
ues dans le traitement du tremblement mercuriel. Observation III. — Tremblement mercuriel. — Traitement par les cou-rants continu
u six jours, ce vacillement qu'il ressentait d'abord se changea en un tremblement qui devint bientôt lui-même très-intense, à tel p
. Il n'avait rien éprouvé d'anormal ; ses jambes étaient agitées d'un tremblement très-violent que le repos ne parvenait même pas à
ès 8 bains, un mieux sensible s'était opéré dans l'état du malade, le tremblement avait beaucoup diminué, et après 23 bains, le ma-
permis de l'em-ployer pendant un temps suffisant. Observation IV. — Tremblement mercuriel remontant à deux mois envi-ron. — Bains
mois envi-ron, il s'aperçut que ses mains étaient agitées d'un léger tremblement . Néanmoins il continua son travail, mais aussi il
tremblement. Néanmoins il continua son travail, mais aussi il vit le tremblement aug-menter assez rapidement, et bientôt il devint
malade ne put plus travailler et entra à l'hôpital. État actuel. Le tremblement des mains, en effet, est très-intense, à tel poin
jambes ont été épargnées, et c'est à peine si on y aperçoit un léger tremblement , qui cependant est évident; sa démarche est assez
es, à l'excellent travail de M. le docteur Chapot. Observation V. — Tremblement mercuriel. — Traitement par les bains électriques
r les bains électriques. — Guêrison après 30 bains. — Réapparition du tremblement . — Même traitement. — Amélioration rapide. — Mari
ossible de se tenir de-bout; ses bras, ses jambes étaient agités d'un tremblement violent. Pen-dant un mois elle se reposa chez ell
t pas, elle entra à l'hôpital. Ses mains alors étaient agitées d'un tremblement considérable qui rendait la préhension des objets
rès 30 bains, la malade quittait l'hôpital parfaitement guérie ; tout tremblement avait disparu. Quelques jours après sa sortie,
is à peine avait-elle travaillé quelques jours, quelle fut reprise de tremblement . Les bras et les jambes tremblaient autant que la
ya aux bains électriques. Le 20 juin l, la malade a pris 14 bains; le tremblement a presque complètement disparu ; encore quelques
re par signes. — A onze heures, il est pris d'un frisson intense avec tremblement général et douleur an-goissante à la région préco
vait retirer de l'emploi des bains électriques dans le traite-ment du tremblement mercuriel ; mais nous n'avons rempli que la premi
symptôme douleur. Ses propriétés sédatives ont été utilisées dans le tremblement mercuriel, et elles ont paru donner de bons résul
est survenu. A l'âge de 59 ans, pour la première fois, il fut pris de tremblement localisé aux mains, et entra à l'hôpital Saint-An
et demi de traitement, il part pour Vin-cennes, sans être guéri. Le tremblement ne gênait pas D... au point de l'empêcher de trav
le en présentant des mouvements de latéralité ; dès qu'il se lève, le tremblement se généralise. Quand on lui fait étendre les bras
malade a eu des étourdissements, de la céphalagie, de l'hébétude. Le tremblement a été légèrement amélioré, la main gauche est plu
ion des pupilles, il passe une grande partie de la journée à lire. Le tremblement a diminué; la marche est assez facile, les mouvem
oration a persisté ; le malade écrit d'une manière assez correcte, le tremblement ne se produit guère qu'à la suite d'émotions mora
rammes d'hyoscyamine ; il n'a pas eu de céphalalgie. — 10 octobre. Le tremblement a de nouveau disparu. On suspend toute médication
ne par jour, pendant trois jours, et les acci-dents disparaissent. Le tremblement est presque insensible; le malade écrit. 11 sort
. On ne peut nier l'action sédative de l'hyoscyamine dans ce cas de tremblement mercuriel ; en effet, son administration a toujou
pondre ici d'une guérison com-plète et soutenue. Observation Vît. — Tremblement mercuriel datant de plusieurs années.— inutilité
es mains ne furent plus aptes à aucun mouvement pré-cis, en raison du tremblement continuel qui les agitait. 11 y a deux ans, il
dilatées.—24et25mars. L'état reste sensiblement le même. —26 mars. Le tremblement paraît diminué.—27 mars. On constate une amé-lior
ion persiste. D... continue l'usage de l'hyoscyamine. Voilà donc un tremblement mercuriel remontant déjà à plusieurs années, trai
atteintes de paralysies agitantes ; elles prétendent avoir moins de tremblement ; mais, à vrai dire, le résultat n'est pas bien br
uy. 1 Yoy. pages 147 et 515. THÉRAPEUTIQUE II. Du TRAITEMENT DU TREMBLEMENT MERCURIEL IAR i/lIYDOCIAMINE et la saturine1. —
M. Gairal, par M. Pillot, élève des hôpitaux. Observation VIII. -- Tremblement mercuriel remontant a un mois envi-ron. — Traitem
eures, et dans la tête, mais là d'une façon insensible. Peu à peu, le tremblement devint continuel, et au-jourd'hui il est très-pro
se de la gorge. 26 janvier. Rêves continuels; pupilles dilatées. Le tremblement a les mêmes caractères, mais avec une intensité i
dans les thèses de MM. Laurent et Gairal, qu'une seule observation de tremblement mercuriel traité par la daturine ; c'est par cett
que nous allons terminer notre revue analy-tique. Observation IX. — Tremblement mercuriel. — Début remontant ci 1854. — Améliorat
sives qui se sont répétées, et, l'année suivante, il a été affecté de tremblement avec affaiblissement de l'intelli-gence et de la
des bains sulfu-reux et des bains de vapeur ; il en sort amélioré. Le tremblement disparut à peu près vers 1858, et se reproduisit
ne à son travail, et est repris fortement au mois d'avril dernier. Le tremblement devient assez fort pour empêcher tout travail, et
t un objet à la bouche. La pa-role est hésitante. Toutes les fois, le tremblement s'est accompagné de salivation; de temps à autre,
gité par des rêves. 7 pilules. 9 août. La nuit a été plus calme; le tremblement a toujours la même intensité. — 10 août. 9 pilule
difficile. Céphalagie. Les pilules de daturine sont supprimées. Le tremblement persiste; il n'y a pas d'amélioration. Le malade
ns quelques-unes des manifestations de l'intoxication ; toutefois, le tremblement n'a pas été sensiblement influencé. — Nous ne pos
Il résulte toutefois des observations que nous avons analysées que le tremblement mercuriel peut être sinon guéri, du moins nola-bl
les accidents dus à l'intoxication mercurielle, et en particulier le tremblement ; 2° L'hyoscyamine et la daturine, mais surtout
iques ; elles peuvent être d'une grande utilité dans le traitement du tremblement mercuriel. G. Peltier. BIBLIOGRAPHIE Sur un
rticolis(Du), leçons de M. Broca, re-cueillies par G. Richelot, 65. Tremblement mercuriel (Traitement par les bains électriques),
10 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
l'hospice de Bicêtre. - Grandes tantes maternelles 'sujettes à des tremblements . Soew' morte de convulsions. Grossesse gémell
ternel, alcoolique, mort en enfance. Arrière grand'mère maternelle, tremblements , étourdissements ? Cousin, caractère bizarre.
Mère, 38 ans, très nerveuse, parle avec volubilité, s'agite, a des tremblements dans les mains lorsqu'elle parle, ne peut reste
ale, non déviée. L'enfant la sort faci- lement de la bouche. Pas de tremblement ni d'atrophie. ^- Dentition assez régulière. Le
ertaines positions du pied. Contractions idio-muscu- laires. Pas de tremblement ni d'incoordination lorsque la malade soulève s
ffaiblissement parétique des quatre membres, prédominant à droite ; tremblement des mains, marche impossible, déviation de l'oe
système pileux, organes géni- taux de 1882 à 18J9. - Caractères du tremblement : spéci- mens de l'écriture. - Amélioration de
ne pouvait plus marcher, ni se sel vil' de ses mains. « Il avait un tremblement , des mains qui l'empêchait de s'en servir. » Il
s bras qu'au bout de deux mois. C'est il ce moment que l'on nota le tremblement de la tête. L'oeil droit, resté dévié après les
ofuleux. - Pas d'onanisme. Il a eu plusieurs fois des oxyures. Le tremblement aurait toujours été modéré à gauche. Il a toujo
ais qu'il a beaucoup de peine à écrire correctement il cause de son tremblement . Il connait il peine la numération. La mémoire
ébrale. Mars. - Bronchite et conjonctivite palpébrale simple. -Le tremblement est très fort et, dans la station verticale, B..
i que les membre supé- rieurs et le tronc. Dans l'acte de boire, ce tremblement offre tous les caractères de celui de la scléro
tions de l'arithmétique ; l'écriture reste défec- tueuse à cause du tremblement . La mémoire est assez bonne. B..... apprend que
1886. - On constate un léger strabisme convergent. Il n'y a pas de tremblement de la langue ni des lèvres. Juillet. - Puberté.
particulier, une diminution consi- dérable du nombrc des accès. Le tremblement des mains est toujours constaté, surtout à droi
énéral du malade. Il n'a plus d'accès, mais conserve toujours son tremblement symptomatique. Examen physique. - Le front est
poumons. Traitement hydrothérapique, etc. 1889. - Pour combattre le tremblement , on institue le trai- tement par le bromure de
e mars, ne donne aucun résultat et n'exerce aucune influence sur le tremblement . En mai, embarras gastrique qui dure trois jour
brosserie déclare qu'il est incapable de travailler à cause de son tremblement des mains. Au mois d'août, les parents demand
que, d'autre part, on ne peut l'employer nulle part à cause de son tremblement . -. D'après la mère, l'accès arrive tout d'un c
taires. Il se relève au bout de 5 minutes avec une exagé- ration du tremblement des bras sans exagération du tremble- ment do l
dont la grossièreté ne le cède en rien à colle de ses allures. - Le tremblement , toujours très- accu-é, l'empêche de rendre des
, ses vêtements en désordre. Il n'a de goût que pour Description du tremblement . 125 la gymnastique et la danse ; on le nomme m
stique. L'escrime lui est presque impossible à continuer à cause du tremblement . Meilleur ouvrier ; toujours maladroit cependan
uisses et sur la partie antéro-interne des jambes. Description du tremblement : Très léger tremblement de la langue ; la paro
antéro-interne des jambes. Description du tremblement : Très léger tremblement de la langue ; la parole est assez libre (' ? )
e la tète. Il saisit assez franchement les objets et les porte sans tremblement à sa bouche. Une règle étant placée entre les d
ompte 28 oscillations en 15 secondes. Dans les grands mouvements ce tremblement des mains est à peine appréciable. Il le devien
ns l'action de porter un verre à sa bouche, il n'y a presque pas de tremblement à gauche. Il est plus pro- noncé à droite et au
itement h ! pfl'olhérapique n'a jamais été interrompu. , . 1 : 26 Tremblement , NYSTAUMUS, épilepsie. 1893. L'examen de la pub
avec la collaboration de M. Lombard, un de nos internes de 1895. Tremblement , céphalalgies, accès. 127 1897. 3 juin. - Bén..
ote le tremble- ment caractéristique d.) la scléruse en plaques. Le tremblement de la tète, léger aujourd'hui, est souvent plus
, mais pas de vertiges : « Mes yeux dansent souvent », dit-il. Le tremblement aurait notablement diminué au bras gau- che et
parole est assez libre, non scandée : « Par- fois, elle s'arrête ». Tremblement assez prononcé des lèvres ct surtout de la lang
coup plus faible ; hier et avant-hier il serait tombé par terre. Le tremblement de la tète serait, plus intense. La parole, par
e des bras, qui demeurent immobiles le long du tronc. - Assis, le tremblement de la tète est encore plus léger; les bras appl
liqués sur le corps et les mains sur les cuisses on ne note. pas de tremblement . B.. se lève régulièrement de sa chaise. Lui-mê
urant les exercices de danse, qu'il exécute tous convenablement, le tremblement diminuerait. Après, la tète tremble davantage.
5 juin 1893 met tout à fait en évidence l'amélioration actuelle du tremblement . L'acte de boire montre toujours le tremblement
ation actuelle du tremblement. L'acte de boire montre toujours le tremblement caractéris- tique avec la main droite. Avec la
e, ce qui lui arrive par périodes. En chantant, il toute époque, le tremblement de la voix est moins accusé. Bien qu'il y ait e
prédominant à droite, qui s'améliora peu à peu en deux mois ; - 3° tremblement des mains et de la tête ; - lao déviation de l'
VI. a) Le symptôme qui attire tout d'abord l'atten- tion, c'est le tremblement . Dans la station verticale, il intéresse tout l
l'acte de boire, il se manifeste avec les carac- tères spéciaux au tremblement de la sclérose en plaques. Les oscillations s'a
y compris la tête, est immobile. Il serait superflu de comparer ce tremblement , si- non pathognomonique tout au moins capital
omonique tout au moins capital de la sclé- rose en plaques, avec le tremblement de la paralysie agitante, maladie de l'adulte o
Les rémissions notées dans la marche de la maladie, portant sur le tremblement les spécimens de l'écriture les mettent bien en
tractées. Il n'a pas bougé de sa chaise. Au bout de dix minutes, le tremblement a cessé mais les pieds et les mains restaient «
, eczémateux, alcoolique, affaiblissement physique et intellectuel, tremblement mi-alcoolique, mi- saturnin. Grand-père paterne
eu de coliques de plomb mais il y a 8 ans, durant trois mois, un tremblement de tout le corps et de la langue ; ni convulsions
le tiers supérieur du vomer. La langue est épaisse, mobile ; par de tremblement de la pointe. Le menton est arrondi; pas de pro
cessé. 1889. 24 jamier. - L'enfant a des colères accompagnées de tremblement dans lesquelles il devient tout bleu. Pas de ca
11 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aques d'angoisse complètes ou rudi- mentaires, de peur, de vertige, tremblements , sueurs, congestion, dyspnée, tachycardie, etc.
vations que la duboisine jouirait d'une réelle efficacité contre le tremblement de la paralysie générale. Cette efficacité, il
mbreux permettant de passer insensiblement du simple au com- plexe. Tremblement fibrillaire, paramyoclonus multiplex, chorée fi
r, 2 heures : Deuxième question du programme. De la sémeiologie des tremblements . Rapporteur, M. le D'' Lamacq. Discussion. -
e passagère par intervalles, des fléchisseurs de la main gauche. Un tremblement généralisé à petites oscillations, et d'ailleur
crises de frissons qui frappent surtout. Brusquement se produit un tremblement aussitôt généralisé, et après quelques secondes
urs de son rhuma- tisme, nous constatâmes des accès hystériques, du tremblement émotionnel passager, un rétrécissement du champ
du 3 août (soir). deuxième QUESTION.DU programme. Séméiologie des tremblements . M. le Dr Lucien LAMACQ. - On dit qu'une partie
, la langue, la mâchoire, la rotule... Pour faciliter l'étude des tremblements , on peut les classer de la façon suivante : 1°
ude des tremblements, on peut les classer de la façon suivante : 1° tremblements au repos (paralysie agitante) ; 2° tremblements
façon suivante : 1° tremblements au repos (paralysie agitante) ; 2° tremblements dans les mouvements volontaires (sclérose en pla-
x que chez les nerveux constatés. L'auteur aborde enfin l'étude des tremblements associés entre eux ou combinés à des mouvements
à des mouvements anormaux. En résumé, la valeurséméiologique des tremblements est variable parce qu'il y a de nombreuses form
ans une affection. Il serait utile aussi de savoir dans quel cas le tremblement est un symptôme pure- ment fonctionnel, dans qu
ible aujourd'hui de rien dire à ce sujet de bien scientifique. Le tremblement à forme vibratoire est extrêmement fréquent chez
ts en apparence normaux. Peut-être est-on en droit de considérer le tremblement émotif, le neurasthénique et celui du goitre ex
rencontre chez plus de 40 p. 100 des personnes en bonne santé. Le tremblement de la paralysie générale parait vraiment carac-
n, recueillie dans son ser- vice hydrothérapique de Saint-André, de tremblement et spasme rythmé, avec stigmates hystériques ta
hérapie et la médication bromurée. En voici les conclusions : 1° le tremblement et les spasmes rythmés, dont nous venons de vou
fils. - Je ne suis pas de l'avis de M. Lamacq sur l'exis- tence des tremblements à l'état normal ; je crois que les sujets que l
ue l'on considère comme normaux et chez lesquels on a constaté du tremblement étaient, en réalité, des neurasthéniques ou des a
tre encore que l'alcoo- lisme joue un rôle dans la production de ce tremblement , c'est que celui-ci est beaucoup moins fréquent
itudes d'intempérance sont plus répandues. En ce qui concerne les tremblements atypiques ou les associa- tions des tremblement
e qui concerne les tremblements atypiques ou les associa- tions des tremblements avec des mouvements ataxiformes et cho- réiform
lérose en plaques que j'ai observée et qui présentait, en dehors du tremblement typique de cette affection, des mouvements aryth-
disparaître par la suggestion les mouvements anormaux surajoutés au tremblement de la sclérose en plaques; je me crois donc aut
pas éloigné de croire qu'il en est souvent ainsi. M. PARISOT. - nu tremblement chez les normaux. L'auteur signale un dispositi
les normaux. L'auteur signale un dispositif spécial pour déceler le tremblement qui existe chez tous les gens normaux, même à l
de la communication de M. Parisot. M. Bernheim. Du traitement des tremblements par l'hypnotisme. = Quels sont, parmi les diver
t des tremblements par l'hypnotisme. = Quels sont, parmi les divers tremblements , ceux qui sont cura- bies ? Voici le résultat d
qui sont cura- bies ? Voici le résultat de ce que j'ai observé. Le tremblement hys- térique, à moins qu'il ne se soit éternisé
st toujours curable par suggestion : exemple, une fillette avait un tremblement de la main droite ; elle ne pouvait marcher par
ssi réussir par l'hypnose et la suggestion à supprimer le phénomène tremblement inten- tionnel ; ce symptôme n'est donc pas inh
éterminé dynamiquement par les lésions. Dans 2 cas j'ai vu ainsi le tremblement disparaître. Les tremblements pftst-hémiptégiqu
lésions. Dans 2 cas j'ai vu ainsi le tremblement disparaître. Les tremblements pftst-hémiptégiques cèdent souvent aussi à la s
de paralysie agitante. L'action psychique de l'ai- mant a guéri ce tremblement .. Je ne voudrais pas dire cependant que tous le
éri ce tremblement.. Je ne voudrais pas dire cependant que tous les tremblements post-hémiplégiques soient accessibles à la sugg
ements post-hémiplégiques soient accessibles à la suggestion. Les tremblements alcooliques et saturnins sont accessibles à la
sont accessibles à la suggestion. Dans la paralysie agitante, le tremblement résiste absolument à la suggestion : il est lié
ques. Dans la maladie de Basedow, on ne supprime pas davantage le tremblement par suggestion. MM. SABRAzÈs et Cabanes. - Nyst
ceptibles à l'oreille à distance et incoercibles. Dans ces cas le tremblement s'accompagne de bruits de craquement perceptibles
à distance. M. GARNIER rappelle les études de M. Lefiliâtre surle tremblement des alcooliques et signale l'intérêt de l'enreg
exclusion de l'absinthe vraie. M. Parant appelle l'attention sur le tremblement de la langue de certains mélancoliques, que l'a
rqué être généra- lement d'origine infectieuse. Quand on observe ce tremblement en masse lent et comparable à celui d'une petit
rables aux bruits musculaires signalés par M. Voisin à pro- pos des tremblements . Séance du mardi 4 août (matin). Présidence DE
A-t-il été sujet aux névralgies ? aux'trémulations musculaires ? Tremblements ? . Etait-il très excitable, dépressible ou irr
successives des fibrilles, ces con- tractions sont indépendantes du tremblement , elles paraissent, aux auteurs, être la cause d
s. (Rivista clinica e terapeutica. Naples, 1895, n°9.) C. XXXVII. Tremblement hystérique simulant LE tremblement DE la maladi
Naples, 1895, n°9.) C. XXXVII. Tremblement hystérique simulant LE tremblement DE la maladie DE Parkinson; par le professeur D
he. Puis con- tracture de Ja main gauche qui disparait alors que le tremblement se manifeste au membre supérieur droit. La sugg
ieurs, le gauche principalement, sont continuellement agités par un tremblement oscillatoire régulier, les secousses étendues e
les secousses étendues et irréguiières y sont peu fréquentes. Le tremblement cesse pendant le sommeil, les mouvements intentio
s spéciaux militent, chez cette malade, en faveur de l'hystérie. Le tremblement est pourtant le tremblement typique de la paral
tte malade, en faveur de l'hystérie. Le tremblement est pourtant le tremblement typique de la paralysie agitante. Ya-t-il donc,
l'impuissance de la belladone, qui améliore toujours, paraît-il, le tremblement de la maladie de Parkinson, tous ces phénomènes
jamais dans la paralysie agitante. Il s'agit donc, en résumé, d'un tremblement hystérique particulier, simulant le tremblement
nc, en résumé, d'un tremblement hystérique particulier, simulant le tremblement si caractéristique de la ma- ladie de Parkinson
ne place parmi les maîtres de la psychia- trie. J. SÉGLAS. IV. Le tremblement ; élude séméiotique ; par le Dr Pikiiaccini (de
Dr Pikiiaccini (de Macerata). Après avoir cité les définitions du tremblement en général don- nées par différents auteurs (Mo
sons. Il distingue le tremble- ment en général et partiel; parle du tremblement congénital dont il croit avoir observé un exemp
tremblement congénital dont il croit avoir observé un exemple et du tremblement par imitation. En général, il a observé plus fr
blement par imitation. En général, il a observé plus fréquemment le tremblement chez les prédisposés héréditaires, les convales
sification la plus rationnelle lui semble être celle qui divise les tremblements en intentionnels et en non-intentionnels, on y re
incipal défaut lui semble être d'avoir réuni dans le même groupe le tremblement sénile et celui de la paralysie agitante. L'a
celui de la paralysie agitante. L'auteur distingue avant tout les tremblements proprement dits, ou typiques, des trémulations
er groupe dit trem- blements primaires, il étudie successivement le tremblement sénile, le tremblement hystérique, les tremblem
ments primaires, il étudie successivement le tremblement sénile, le tremblement hystérique, les tremblements par intoxication (al
uccessivement le tremblement sénile, le tremblement hystérique, les tremblements par intoxication (alcoo- lique, mercuriel, satu
turnin, etc.), avec graphiques à l'appui. Dans un deuxième groupe : tremblements secondaires ou sympto- maliques, il étudie la s
e en plaques, la paralysie agitante, le goitre exophtalmique et les tremblements de quelques autresmala- dies nerveuses (polynév
s, il passe en revue le nystagmus, l'athétose, l'iris trémulant, le tremblement glosso-labié et des cordes vocales. L'auteur ré
r résume dans les propositions suivantes la physio-patho- logie des tremblements : i° le mécanisme du tremblement ne peut être c
vantes la physio-patho- logie des tremblements : i° le mécanisme du tremblement ne peut être considéré comme le même dans tous
e du tremblement ne peut être considéré comme le même dans tous les tremblements ; 2° les tremblements sont en principe d'origine
t être considéré comme le même dans tous les tremblements; 2° les tremblements sont en principe d'origine centrale, cérébrale et
e des lésions anatomiques ou fonctionnelles varient dans les divers tremblements ; 4° ces lésions donnent naissance à un ensemble
proportions, contribuent à déterminer les diverses mo- dalités des tremblements . Et, d'après Stéphan, il conclut : 9 ° que les
. Et, d'après Stéphan, il conclut : 9 ° que les manifestations du tremblement intentionnel de la sclérose multiple dépend de la
stiques dans le thalamus optique provoque peut-être l'apparition du tremblement . L'auteur termine par quelques con- sidérations
sur le diagnostic différentiel, le pronostic et le batte- ment des tremblements . IIL\1\1E ELMEDICI. VARIA. ASSISTANCE DES rl'
XtE DANS LE TABES DORSALIS. 353 moindre émotion lui occasionnait un tremblement des mains. Il est marié. Sa femme n'a jamais fa
a e te1'(lpeutica. Naples, 1896, na ? ) CAMUSET. XLVII. UN cas de tremblement par suite d'auto-intoxication stomacale ; par M
et même l'épilepsie partielle gastrique. L'auteur publie un cas de tremblement qui est également la conséquence d'une auto-int
s en temps, surtout après des écarts de régime, sortes de crises de tremblement durant une demi-heure et plus. Ce tremble- ment
ment approprié commence la guérison des troubles dyspeptiques et le tremblement disparait avec eux. L'auteur rappelle les cas c
teur externe droits. avec paresthésie gauche, anesthésie, ataxie ou tremblement intentionnel. Cette association symptomatique p
DES COLLABORATEURS. 307 Traumatisme crânien, par Stemer, 70. Tremblements . Séméiologie des , par f.amacd, ? 26 : Delmas,
12 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
chemin de fer, d'un choc nerveux quelconque avec ou sans traumatisme, tremblement de terre, accident de voiture, ou au contraire du
star). Ces secousses, qui doivent être distinguées des crampes et du tremblement qui quelquefois se produisent dans les mêmes circ
iente (1). Vers la même époque, elle a éprouvé dans la main gauche un tremblement qui se manifestait lorsqu'elle voulait porter un
e démarche titubante, moins accentuée à la vérité qu'autrefois, et le tremblement intentionnel très manifeste dans le membre supéri
définitive. Combien de fois ne vous ai-je pas fait reconnaître que le tremblement intentionnel des extrémités supérieures, après av
l s'est agi là de la véritable maladie de Parkinson et nullement d'un tremblement quelconque, — les résultats de la suspension ont
d'antépulsion a disparu; par contre, nous n'avons pas remarqué que le tremblement ait jamais subi une modification appréciable. N
ladies de Basedow présentant certaines particularités intéressantes : tremblement , fièvre, paraplégie spéciale dans la maladie de B
employé de commerce, chez lequel le phénomène le plus saillant est un tremblement d'un genre particulier dont l'examen attentif fou
rait déjà à lui seul un élément fort important pour le diagnostic. Ce tremblement occupe, non seulement les membres supérieurs, les
i l'on examine les choses de plus près, on reconnaît ce qui suit : le tremblement en question, étudié aux mains, avec le secours de
succédant l'une l'autre avec une grande rapidité. De tous-les 32 tremblements méthodiquement étudiés jusqu'à ce jour, c'est, on
thodiquement étudiés jusqu'à ce jour, c'est, on peut le dire, avec le tremblement alcoolique et celui de la paralysie générale prog
iser. Ainsi, chez notre homme, qui représente le type à cet égard, ce tremblement donne de huit à neuf oscillations par seconde, ta
mblement donne de huit à neuf oscillations par seconde, tandis que le tremblement mercuriel qui s'en rapproche beaucoup en donne se
ologiques, laisser paraître, à l'égard du diagnostic des « maladies à tremblement », des hésitations qui certes ne sont plus de mis
application de la méthode graphique, d'abord chez un sujet atteint de tremblement mercuriel, puis chez notre homme,qui représente i
ercuriel, puis chez notre homme,qui représente ici le type parfait du tremblement de la maladie de Basedow : c'est bien entendu du
rfait du tremblement de la maladie de Basedow : c'est bien entendu du tremblement des mains qu'il s'agit. Les deux ordres de tracés
par les caractères suivants. Dans le temps de repos, les secousses du tremblement mercuriel cessent par moments de se produire, pou
pour reparaître ensuite sans cause connue, et s'arrêter à nouveau. Le tremblement de la maladie de Basedow au contraire, est absolu
un mouvement voulu la différence qui existe entre les deux espèces de tremblement devient plus frappante encore ; en effet, dans le
tremblement devient plus frappante encore ; en effet, dans le cas de tremblement mercuriel, l'acte de porter à la bouche un verre,
t manquer le but ; tandis que, dans le même acte, les oscillations du tremblement de la maladie de Basedow n'augmentent pas notable
plissement à peu près régulier de l'acte. Ajoutons que vis-à-vis du tremblement alcoolique et de celui de la paralysie générale p
ement alcoolique et de celui de la paralysie générale progressive, le tremblement de la maladie de Basedow se distingue par cette c
u mardi, 1887-88, p. 378. Ces traits cliniques qui caractérisent le tremblement de la maladie de Base-5 secondes 5 secondes 5 sec
e la maladie de Base-5 secondes 5 secondes 5 secondes 5 secondes 1° Tremblement mercuriel au repos (de 5 à 6 oscillations par sec
el pendant l'exécution d'un mouvement. Le mouvement commence en A. Le tremblement devient bien plus accusé et plus irrégulier (de 5
s accusé et plus irrégulier (de 5 à.7 oscillations par seconde). 3° Tremblement de la maladie de Basedow (Marquât). Oscillations
ène de la série, tel que « les crises diarrhéiques », par exemple, un tremblement qui présenterait,bien accusés,ces caractères-là,
as d'aujourd'hui n'appartient pas aux formes frustes, car en outre du tremblement spécial et de la tachycardie, nous constatons che
qu'il a commencé à ressentir les premiers symptômes de la maladie. Le tremblement s'est montré, le premier; tout à coup, un jour du
ow et dont je vous ai, du reste, entretenu plusieurs fois. Après le tremblement dont nous avons indiqué déjà les caractères, l'ex
aractère spécial que vous connaissez par nos leçons de l'an passé, le tremblement , la thermophobie, l'amaigrissement enfin. L'exoph
, du goitre, de la toux sèche qu'il suffira de rappeler, il existe un tremblement surtout marqué aux mains, où l'on compte à l'aide
ide de l'appareil enregistreur de 7 à 8 oscillations par seconde ; ce tremblement est beaucoup moins accentué que dans le cas précé
s de delirium tremens, l'avait menacée de la jeter par la fenêtre. Le tremblement , l'exophthalmie, le goitre se sont succédé rapide
sont peut-être un peu moins gros,mais le goitre est stationnaire. Le tremblement a beaucoup diminué et les membres inférieurs ne s
almie, ont marqué le début de la maladie (en 1880), et, peu après, le tremblement est survenu. Le goitre qui, à un moment donné, es
fois jusqu'à 37°7, mais elle ne dépasse jamais 38°. Anémie profonde ; tremblements vibratoires très marqués, etc. Tous ces symptômes
OTÉ PATERNEL COTE MATERNEL Grand'mère maternelle, morte à 82 ans. Tremblement seniœ depuis l'âge de 61 ans, a été folle pendant
lexe pharyngien. Odorat très diminué surtout à gauche. Au repos léger tremblement vibratoire des mains, lequel disparait si on fait
uvements généraux qui lui sont prescrits. Pas d'incoordination,pas de tremblement dans l'accomplissement de ces actes. Mais, au con
on très incomplète. Les muscles de l'épaule et du bras sont agités de tremblements fibrillaires presque incessants. La main parait g
'annonce chez lui entre autres par un phénomène particulier. C'est un tremblement d'un genre spécial, qui ressemble à quelques égar
un tremblement d'un genre spécial, qui ressemble à quelques égards au tremblement des alcooliques. Comme ce dernier, qui apparaît q
pris un quart d'heure après l'injection de morphme.fi 1 quement ce tremblement : il est assez irrégulier. Nous avons compté qu'i
pt oscillations par seconde. Vous savez-qu'il y en a de 7 à 9 dans le tremblement vibratoire de la maladie de Basedow. Ce n'est don
tremblement vibratoire de la maladie de Basedow. Ce n'est donc pas^un tremblement rapide au premier chef. Il persiste, mais très fa
période d'euphorie. Dès que le besoin de morphine se fait sentir, ce tremblement s'accroît; les oscillations deviennent alors, pro
alors, progressivement,plus grandes 58 et un peu plus rapides. Ce tremblement a été signalé d'ailleurs par la plupart des auteu
mencèrent des plaintes, des gémissements, des pleurs accompagnés d'un tremblement de tout le corps. Dans ses invocations fréquentes
la Société de Biologie par le Dr Onimus, en 1887 (1). Lors du dernier tremblement de terre de Nice, un employé du télégraphe avait,
paupières, l'aphonie, le mutisme, le bégaiement, certaines formes de tremblements et autres accidents qui appartiennent si fréquemm
ouffait. Peu après survinrent des battements dans les tempes, puis un tremblement général très violent, entrecoupé de sursauts, de
res, s'était enfui subrepticement. Alors survint une de ces crises de tremblement précédé d'une aura caractéristique, auxquelles il
mois, durant lesquels il ne s'est pas produit de nouvelles crises de tremblement , précédées d'aura. Le malade a été traité à l'hôp
it définitivement dans la misère, il fut pris derechef d'une crise de tremblements semblable aux précédentes, et qui, elle aussi, se
ales connues. Il y a à observer seulement,dans ces membres,un léger tremblement vibratoire, qui existe également dans les membres
même côté, mais sans rétrécissement bien marqué du champ visuel ; un tremblement des extrémités dont il a déjà été question et enf
en délivrant un reçu à un voyageur que sa main droite tremblait ; ce tremblement fut assez prononcé pour l'empêcher d'écrire, mais
ller jusqu'à Madrid. Mais, à Bordeaux, il fut obligé de s'arrêter. Le tremblement de la main droite s'était accentué, de même que l
il disait souvent à sa femme « qu'il avait peur d'être paralysé ». Le tremblement du membre supérieur droit était devenu incessant;
Au dynamomètre........j gauche_36 _ La main droite est animée d'un tremblement continu assez rapide, qui s'atténue légèrement qu
er un verre d'eau à sa bouche sans répandre une partie du liquide. Ce tremblement cesse pendant le sommeil, il s'accroît sous l'inf
s les premières manifestations hystériques, telles que la parésie, le tremblement des membres du côté droit et les attaques. Le suj
48. — Suspension du malade.............. 20 Pages. Fig. 49, 50. — Tremblement raercuriel (Tracés)......... 233 Fig. 51. — Tre
g. 49, 50. —Tremblement raercuriel (Tracés)......... 233 Fig. 51. — Tremblement de la maladie de Basedow(Tracés) . . . 233 Fig.
...... 428 Fig. 90, 91 — — — ......... 429 Fig. 92.— Morphinisme. Tremblement . . ........... 431 Fig. 93,94 — — ............
ladies de Basedow présentant certaines particularités intéressantes : tremblement , fièvre, paraplégie spéciale dans la maladie de B
basie, 359. Alcoolique (Paraplégie). (Voy. Paralysie alcoolique.) — Tremblement , 232. Alcoolisme, 84. — Difficultés de le décel
ophobie, 235, 236, 237, 239, 241. — Traitement électrique 239, 240. — Tremblement , 231, 232, 234, 236, 239, 241. Baumler, 488, 49
sie, 517, 519. — Traitement des contractures, 282. — Transfert, 283.— Tremblement , 471, 472. —Troubles trophiques, 519. — (Unité de
et somnambulisme spontané, 326, — Tachypnée, 12. — Toux, 4, 7. — — Tremblement , 471, 472. Hystéro-epilepsie, 32. — A crises sé
93.— Stigmates, 289, 294, 531, 532. — Tableau synoptique, 298, 299. — Tremblement , 530, 531. Hystéro-traumatique.—Paralysie, 352.
iques, 188. — Des hystériques mâles, 50. Mercati, 255. Mercuriel ( Tremblement ), 232. Mesnet, 326. Michaud, 179, 180, 182.
431. — Périodes d'euphorie, 431. — Sueurs, 432. — Traitement, 433. — Tremblement , 431. Morphinomanes (Bâillements chez les), 5.
, 79, 101. Paralysie générale.— et paralysie infantile, 144, 145. — Tremblement , 232. Paralysie hystérique.— Paraplégie, etc* (
164, 170. — (Rémissions dans la), 170. — Symptômes oculaires, 163. — Tremblement , 170. Sclérose latérale amyotrophique. — Pronos
veuses, 30. — et neurasthénie, 30. Traumatismes de la moelle, 53. Tremblement . — alcoolique, 232 — dans la morphinomanie, 431,
e générale, 232 — hystérique, 471, 472, 530, 531. — mercuriel, 232. Tremblements (Diagnostic des), 431. Tristram Shandy, 93. T
13 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
d'accidents d'intoxication par le mercure, en particulier jamais de tremblement , jamais de salivation. En 1878, il part en Eg
PHIE DE L'A SALPÊTRIÈRE. yeux ; ils présentent des convulsions, des tremblements , la langue sèche avec perte de l'appétit, mais
LA SALPÊTRIÈRE. Schaw), attitude de pouce simulant grossièrement le tremblement rhyth- mé de la maladie de Parkinson (Muet) (1)
jamais la langue. L'attaque est pré- cédée d'une aura consistant eu tremblements , des lèvres et de la langue. Au dire de la mère
ontre-t-on pas l'hypertrophie dans les différentes cho- rées et les tremblements div ers ? C'est, suivant l'opinion d' Audry, parc
ture désordonnée et à grandes secousses des choréiques, non plus le tremblement fin et haché de la paralysie agitante. Lorsque D.
t de flexion du pied droit sont notablement affaiblis. Secousses et tremblements fibrillaires dans les muscles, surtout du côté dr
Les mouvements ondulatoires s'accompagnent parfois d'une sorte de tremblement irrégulier, qui apparaît dans le muscle exploré e
dans le muscle exploré en même temps qu'eux et cesse comme eux. Ce tremblement est facile à reconnaître sur les tracés A, B, C
s, en même temps, ainsi que l'indique le tracé, il est agité par un tremblement menu et irrégulier, qui ne cesse éga- lement qu
inue à se faire régulièrement, sans mouvements ondulatoires et sans tremblement . Pour le second tracé, B, l'excitation a été ég
racte au contraire davantage, et en même temps il est le siège d'un tremblement semblable à celui du tracé précédent. Au bout d
de secondes la décontraction commence, accompagnée d'abord du même tremblement pendant une dizaine de secon- des environ, b" à
ntractions lentes s'accompagnent de mouvements ondulatoires et d'un tremblement analogue à celui des tracés précédents. (Sur ce
atives de gonflement et de relâ- chement, et aussi la production du tremblement sur lequel nous avons 178 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
ostic différentiel de l'athétose double et des autres maladies avec tremblements ; ce qui serait sortir de notre sujet. Le fait
sortir de notre sujet. Le fait seul de se trouver en présence d'un tremblement , c'est-à-dire d'os- cillations rhythmiques et r
n pourra éviter ainsi, par ce seul caractère, la confusion avec les tremblements hystériques, toxiques, alcooliques, mercuriels, e
blements hystériques, toxiques, alcooliques, mercuriels, etc..., le tremblement sénil, etc. Cependant leur coïncidence avec certa
ord, le clinicien. Maladie de Parkinson. La présence d'un véritable tremblement , l'attitude spéciale des malades, leur air soud
é qui ne se retrouve pas dans la maladie de Parkinson. En effet, le tremblement dans cette dernière maladie se compose d'oscill
parties rappellent quelquefois l'acte de rouler une bou- lette. Ce tremblement est continu (sauf pendant le sommeil) et se manif
fusion serait-elle possible ? à cause du trouble de la parole et du tremblement qui caractérisent la sclérose en plaques. Les
nt dans la langue, les lèvres et les autres muscles de la face. Les tremblements de la sclérose en plaques, à l'inverse des mouvem
en examiner les choses la confusion ne paraît pas possible entre ce tremblement et les mouvements involontaires si caractéristiqu
n soit, au moment même de la frayeur incri- minée, il fut pris d'un tremblement généralisé qui disparut bientôt pour rester loc
deux dernières phalanges, la peau est lisse, tendue, amincie. Le tremblement occupe les doigts et la main ; il ne monte pas pl
nfluence d'une émo- tion ; il présente les caractères ordinaires du tremblement parkinsonnien ; son amplitude est peu étendue,
faiblesse augmentant après le travail ; le pouce aurait présenté un tremblement très menu qui n'a gagné le reste de la main que
s- tants cette attitude vicieuse. Mais alors la tête est prise d'un tremblement peu marqué. Quand on essaye, en saisissant la t
ce appliqué contre l'index sur lequel il frotte continuellement. Le tremblement occupe tout le membre supérieur gauche. , Le
r, dans la main et l'avant- bras droits ; au bout de 6 à 8 mois, le tremblement apparut, limité aux doigts et à la main, la rai
r droit était at- teint à son tour, de raideur d'abord, d'un léger- tremblement limité au pied, en- suite ; progressivement, to
exe rotulien est également fort des deux côtés. Les caractères du tremblement doivent être signalés : Après avoir existé pen-
cer- taines conditions. La main gauche offre il l'état de repos un tremblement peu accusé qui augmente pendant les mouvements
n fait de névrites généralisées, dans lequel il avait rencontré des tremblements et des secousses involontaires des doigts. Rema
eil calme qui lui procure un grand soulagement Sauf dans un cas, le tremblement n'a pas paru être sensiblement influencé. Ce bi
ent monter jusqu'au 55°, 60° (échelle de pression). Il n'y a pas de tremblement . On ne constate pas actuellement de troubles tr
agissait d'un enfant de 10 ans, at- teint pour la troisième fois de tremblements hystériques d'un des membres supérieurs. La pre
isse simuler des mois ou des années une contracture permanente, des tremblements , une rémiz plégie ou une monoplégie, encore moi
existe une foule de mouvements de transition avec la chorée et les tremblements hystériques, mouvements encore mal déterminés,
ordent assez bien avec nos idées actuelles sur le polymorphisme des tremblements hystériques (5). M. IIuchard (6), après W. Mitc
d (6) sont venues établir d'une façon décisive le polymorphisme des tremblements hystériques que nous avons déjà invoqué pour la
mplètent donc le premier et important mé- moire de M. Rendu sur les tremblements hystériques (7), ainsi que les le- çons de M. l
mouvements liémicloréiques du cote droit. Fig. 43. - Graphiques des tremblements à l'ctat de repos. A. Jambe droite. B. Bras dro
se rapportant soit à la chorée rhytmée, soit il certaines formes de tremblement hystérique et s'exagérant par l'acte intentionnel
sement le mollet, la cuisse ou le bras. La peau est insensible ; le tremblement n'a pas varié. Le 12. A la visite du matin, le
scillations rhytmi- ques, régulières comme dans certaines formes de tremblement hystérique. La thèse de M. Dutil, les dernières
e de voir, en établissant d'une façon décisive le polymorphisme des tremblements hystériques. Enfin, est-il besoin de rap- peler
nage d'un de ses camarades guéri avant lui et de la même façon d'un tremblement hystérique. Quoi qu'il en soit, Adolphe T... co
omplètement immobiles. Déjà votre attention aura été appelée par le tremblement qui agite ses membres, surtout les bras, qui pe
t un sentiment de froid dans les bras ; un an plus tard apparaît le tremblement dans les extrémités supérieures ; l'année suivant
pparaissent les phénomènes de l'oeil ; à présent la pesanteur et le tremblement des extrémités inférieures commencent à s'ac- c
à l'étude des phénomènes moteurs : Nous commençons par observer un tremblement de la tôle, des bras et des extrémités inférieu
tremblement de la tôle, des bras et des extrémités inférieures. Ce tremblement n'est pas constant; il disparait pendant le som
lèrent pas, ils augmentent seulement l'amplitude des vibrations. Ce tremblement , qui se manifeste davantage dans les extrémités
es extrémités supérieures, nous rappelle par tousses caractères, ce tremblement hystérique, d'apparence intention- nelle, qui i
tremblement hystérique, d'apparence intention- nelle, qui imite le tremblement de la sclérose en plaques et le tremblement mer
on- nelle, qui imite le tremblement de la sclérose en plaques et le tremblement mercuriel, qui, lui-même, d'après les observati
me, d'après les observations de Letulle, serait très fréquemment un tremblement hystérique. Nous avons déjà dit que le malade é
exagérés, les mouvements actifs et passifs sont souvent suivis d'un tremblement très prononcé; la résistance que rencontrent le
paraître sans que le malade recouvre les mouvements volontaires. Le tremblement disparaît, ou il est moins prononcé il la suite
nt en facilité et en étendue, la disparition des contractures et du tremblement . Dans le 1 cas où le malade peut marcher, le pa
. Hystérie (Rétrécissement du champ visuel ' dans l' -), 44, 45; ( Tremblement -), 43. Maladie de Thomsen (Tracés de secousses
14 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
léger tremble- ment apparaît. Alors nous le plaçons par terre. Le tremblement continue ; les pattes, surtout les postérieures
ssèrent peu à peu. Un mois après leur début, il s'y ajouta un léger tremblement de la main et des doigts de la main gauche, tre
ta un léger tremblement de la main et des doigts de la main gauche, tremblement inconstant, qui revenait aussi pendant l'état d
e temps en temps une série de mouve- ments fibrillaires et un petit tremblement correspondant des doigts au repos; cela se rema
étendue et en force; on ne peut signaler que l'apparition de petits tremblements cloniques de la jambe à la flexion du genou gau
mouvement a surmonté un obstacle considérable. On n'observe pas ces tremblements du côté droit. Pas de troubles moteurs au tronc
e, inégalité pupil- laire, la pupille droite étant plus dilatée, du tremblement très caractérisé des mains, signe d'alcoolisme
position. ne suivant que les mouvements de totalité du corps. Léger tremblement des extrémités, flexibilité des segments des me
t les père et mère ont atteint l'âge de quatre-vingts ans. En 1872, tremblement dans les mains, puis battements de coeur, hy- p
la fréquence du pouls (160 à 180); asystolie. goitre très prononcé; tremblements très intenses dans la-tête, le tronc, les extré
mités à l'occasion des mouvements et sous l'influence des émotions; tremblement dans les pieds, faiblesse musculaire généralisé
très particulière est constituée par la maladie de Par- kinson sans tremblement , dont l'auteur a observé un cas tout à fait car
beaucoup à lui rendre la marche plus difficile encore, c'était un tremblement involontaire qui agitait ses membres plus fort à
d'émotion : Ainsi, quand il se trouvait au marché, la violence du tremblement lui rendait la marche très difficile : plus il fa
l ne frotte presque plus le sol, ses secousses sont plus rares, son tremblement bien moins intense et moins fréquent et enfin s
hanche droite : il ne fait pas la même chose pour le membre gauche. Tremblement involontaire qui apparaît surtout au réveil et
roite pour pouvoir détacher la jambe droite, qui, agitée alors d'un tremblement involontaire dont est bientôt saisi le corps to
er la trépidation épileptoïde : à droite même, pour faire cesser le tremblement , il faut fortement fléchir le pouce du pied.
ès lourds, rigides, qu'il traînait en frottant fortement le sol; un tremblement involontaire contri- buait à rendre la marche b
ns ses jambes qui lui paraissent moins lourdes et moins rigides; le tremblement est moins fréquent et moins intense : les secou
de diverses espèces ; enfin il est tourmenté d'insomnies. Il y a du tremblement aux mains. Il souffre d'une dyspepsie flatulent
I DES SCAPHANDRES. 169 spinale. A droite même, pour faire cesser le tremblement , il faut fortement fléchir le pouce du pied. L'
ment ; mais ses pieds étaient toujours très lourds et agités d'un tremblement , frottant le sol, ayant des secousses et des cont
membres lui paraissent très lourds, ils étaient souvent agités d'un tremblement involontaire, ils se contracturaient, surtout l
et en frottant le sol par ses membres qui sou- vent s'agitent d'un tremblement involontaire. Depuis lors le malade n'a pas sui
it sous l'empire d'une grande émotion, ses membres s'agitaient d'un tremblement involontaire, mais plutôt le membre droit. Cepe
paraplégie spastique exempt de tout autre trouble. Excès d'alcool, tremblement toxique. Histoire. Jean Maitezos, âgé de trente
quilles, faire quelques petits pas. Ses membres étaient agités d'un tremblement involon- taire très fort, et enfin ils avaient
tat actuel (20 juillet 1886). Allures de la démarche spasmo- dique. Tremblement presque continuel qui, à chaque pas, agite non
le pied sur la jambe, soit le gauche, soit le droit, on provoque un tremblement involontaire dont l'in- tensité augmente d'auta
é augmente d'autant plus que le malade s'efforce de l'arrê- ter. Ce tremblement ne tarde pas à se répandre dans tout le corps.
Fonctions génitales normales. Rien aux membres supérieurs, sauf un tremblement qui se fait sentir quand le ma- lade étend les
che ci l'aide d'un appui, secousses. Le 27 juin, marche sans appui, tremblement involontaire. Etat actuel (20 juillet 1886). Tr
rins. Il avait eu, avant l'accident, pendant plu- sieurs années, un tremblement toxique et des rêves effrayants la nuit. Il a c
a pu marcher sans appui. A ce moment, ses membres s'agitaient d'un tremblement involontaire, qui se manifestait surtout sous l
peu exagérés. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 185 Un tremblement involontaire agite ses membres inférieurs, sur-
ssayer plusieurs fois pour obtenir avec beaucoup de peine un peu de tremblement au membre droit. La difficulté d'uriner n'exist
resque, car il y avait encore, à des intervalles éloignés, un petit tremblement qui, avec l'exaltation des réflexes, surtout du
. Faiblesse dans toutes les articulations des membres supérieurs. Tremblement fasciculaire dans les muscles de l'épaule. Exagér
plantaire du même côté. Les autres réflexes ne sont pas exa- gérés. Tremblement fnsciculaire dans les muscles du thorax, des me
résultats. Mais aumilieu de décembre,bouil- lonnements congestifs, tremblements et convulsions des membres, angoisse, brûlure é
angoisse précordiale. La langue sort droite, mais elle estagitée de tremblements fibrillaires, très rouge, plus grosse que norma
is ses allures, ses occupations; le matin de ce jour a encore eu un tremblement assez fort mais le pouls est normal, le malade
coeur, SOCIÉTÉS SAVANTES. 305 des douleurs de tête. Plus lai il, tremblement dans les bras et les jambes, parole chevrotante
et brusquement fléchir le grand doigt du pied pour faire cesser le tremblement involonlaire. 3). Secousses. C'est encore un sy
droit, sous l'influence de certaines conditions, s'agitaient d'un tremblement involontaire. A ce moment, on n'était pas là po
fer; il frottait le soi ; ses membres s'agitaient à chaque pas d'un tremblement très fort ; il avait des secousses, etc.. Une f
les, frotter fort peu le sol, avoir des secousses plus rares; son tremblement bien moins intense et moins fré- quent et les c
lourds et très rigides; il les traîne en frottant fortement le sol; tremblement survenant à chaque pas et très intense; contrac
ses membres qui lui paraissent moins lourds et moins rigides ; son tremblement est moins fréquent et moins intense; secousses
nt, ses membres ont commencé à être agités de - temps eu temps d'un tremblement plus ou moins fort. A 3 heures du soir, il étai
es jambes, frottant le sol, ayant ses membres agités fréquemment de tremblement et de secousses. En outre, il était pris de temps
u membre droit.- Très souvent, les membres paralysés s'agitent d'un tremblement rythmique qui se développe surtout sous l'influ
u réveil, etc. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 373 Le tremblement ou cette épilepsie spinale peut être facilement
son' tronc à gauche. A ce moment, plusieurs fois il est agité d'un tremblement rythmique. Il n'en est pas de même pour la jamb
membres lui paraissent très lourds et s'agitent souvent comme d'un tremblement rythmique. D'un moment à l'autre, sa marche dev
En répétant les coups de marteau, on arrive à donner naissance à un tremblement postéro-iatéra) du corps tout entier. L'examen
passagère; en outre, ils s'agitent par intervalles très variés d'un tremblement rythmique involontaire, surtout développé sous
s l'influence de la fatigue et des émotions morales, s'agitent d'un tremblement rythmique involontaire. On peut le provoquer au
disparu. Les jours sui- vants, le malade avait des secousses et du tremblement aux pieds. Le 17 avril, il a pu marcher sans ap
pieds qui, de temps en temps, frottaient le sol et s'agitaient d'un tremblement rythmique, et à des intervalles variables, il éta
constatait une répétition des mots avec accompagnement brusque d'un tremblement extraordinaire de l'intonation. L'articulation
otion involontaire, rotation, dé- marche chancelante, bégaiement et tremblement de la parole. Les phénomènes procursifs diffè
tales du cervelet, nous citerons les mouvements de rotation et le tremblement . Chez les pigeons, Alitchell et Richardson aura
ation de ce nouveau système. P. K. XXI. Contribution A la genèse DU tremblement qui survient A l'occasion DES mouvements volont
ébrale du foyer scléreux joue le rôle nécessaire à la production du tremblement , car, dans les cas de lésions en foyer exclusiv
ent limitées à la protubérance et au bulbe, il ne se produit pas de tremblement intentionnel. Mais c'est dans l'épilepsie corli
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'ataxie, de la paralysie agitante, du tremblement intentionnel post-hémiplégiques. Enfin (3e part
Enfin (3e partie) y a t-il réellement des mo- tifs de rattacher le tremblement intentionnel à l'existence de foyers scléreux d
s organes terminaux de l'appareil ner- veux, ce qui expliquerait le tremblement , les accidents du côté de la sensibilité généra
es minutes. La crise s'annonce par une légère douleur spéciale, des tremblements de la peau, elle arrive ensuite d'em- blée, gén
ubles psy- chiques consécutifs aux mauvais), par Iluberty, 452. Tremblement dans les mouvements I volontaires,par Steptmn,
15 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eut-être pour le froid. La malade ne présenté ni incoordination, ni tremblement ; elle n'a pas de perte des attitudes segmentair
e malade est assis sur le lit, les extrémités pendantes, on voit un tremblement rythmique dans les pieds. L'excitabilité mécaniqu
dit M. Carlhy, on frappe le nerf sus-orbitaire, il se pro- duit un tremblement fibrillaire de l'orbiculaire des paupières, san
es. Ce n'est pas un réflexe, dit M. Hudovernig, car on obtient le tremblement fibrillaire de l'orbiculaire palpébral en frappan
te après l'extirpation du ganglion de Gas- ser. Faits à l'appui. Le tremblement fibrillaire de l'orbiculaire des paupières n'es
ynergie du membre inférieur gauche, latéropul- sion vers la gauche, tremblement léger des membres supérieurs, hémiplégie légère
s d'abord, puis des membres supérieurs avec secousses spasmodiques, tremblements des mains, conservation des réflexes cutanés, e
rs autres faits recueillis dans la littérature, qui prouvent que le tremblement de la sclérose en plaques n'est pas toujours in
pensions, des trésors inépuisables. Embarras extrême de la parole, tremblements musculaires généralisés, ataxie lin- guale, myo
nystagmus, les réflexes patellaires sont con- servés. Il existe des tremblements des membres, une certaine rigidité, de la débil
lentement mais sans arrêt. Les phénomènes de débilité mentale, les tremblements des membres, les troubles particuliers de la ma
embarras très accentué de la parole, de l'inégalité pupillaire, du tremblement de la langue et de l'exagération des réflexes. De
tions en sont conservées mais lentes. Accrocs nombreux de la parole Tremblements (ibrillaires de la langue et de la face. Cette
. Inconscience. Signes physiques : faiblesse musculaire accentuée ; tremblements des mains, des lèvres, de la langue. Dilatation
rvalles. Quelquefois réactions violentes.- Signes physiques : léger tremblement fibrillaire de la langue et des lèvres. Trouble
proie à de l'agita- tion maniaque. - Signes physiques très marqués, tremblement de la langue : parole très hésitante, un peu ex
lle se rappelle très bien avoir commis quelques actes extravagants. Tremblement de la langue, troubles' très légers de la parol
s jours. Examen du 8 septembre 1903.- Aucun trouble de la parole; tremblements fibrillaires de la langue. Pupilles moyennement d
e 1903. Signes physiques très marqués, trouble léger de la parole : tremblement menu et rapide de la langue; inégalité pupillai
rientée et s'occupe activement dans le quartier. Signes physiques : tremblement de la langue et de la mâchoire inférieure, pupi
e réagit lentement à l'accommodation la pupille gauche pas du tout. Tremblement de la langue. Pas de troubles bien nets de la p
décèle de l'hésitation de la pa- role, une écriture tremblée. Aucun tremblement de la langue; ce sont les muscles des lèvres et
Affaiblissement intel- lectuel accompagné d'idées de satisfaction. Tremblement intense des membres droits. Examen du 7 septe
cile, il existe un achoppement syllabique intermittent et léger. Tremblement de la langue. Pupille droite moyennement dilatée,
ormales à la lumière, à l'accommodation, à la convergence. Pas de tremblement des membres. Il existe des idées de satisfactio
ques très accentués, mais par intervalles seulement, notam- ment le tremblement de la langue, très passager. Inégalité pupil- l
s pupilles réagissent mal à la lumière, très mal à l'accommodation. Tremblements fibrillaires de la langue. Achoppements syllabi
; excitation par intervalles; mutisme. Troubles physiques intenses; tremblement des lèvres, de la langue, des mains. Pupilles t
sont faibles, tandis qu'elles ne réagissent plus à l'accommodation. Tremblement léger de la langue, tremblement des muscles de
réagissent plus à l'accommodation. Tremblement léger de la langue, tremblement des muscles de la face. Diminution de la sensib
ent et lui disent de vilaines choses. Signes physiques assez nets : tremblement de la langue ; pupilles contractées et iné- gal
chondriaques. Elle a, dit-elle, une bête à la place du foie. Pas de tremblements de la langue. Accrocs de la parole rares; la mala
septembre 1903. Dépression avec angoisse. Signes physiques. Pas de tremblement de la langue ni des lèvres. Quelques achoppemen
semaine, ne sait depuis combien de temps elle est à l'asile. ' , Tremblement ribrillaire de la langue ; inégalité pupillaire t
ve. Signes physiques très marqués; parole extrêmement embarrassée ; tremblements très forts de la langue et des lèvres; les pupi
blissement intellectuel très marqué. Signes physiques très nets : tremblement accentué de la langue; · parole lente : pupille
action ; inconscience absolue. Signes physiques peu marqués; pas de tremblement de la langue; la malade ne paraît pas avoir d'h
somatiques très nets ; troubles de la parole très prononcés. Pas de tremblement de la langue. Dilatation pupillaire bilatérale
tation pupillaire bilatérale avec absence de réaction à la lumière. Tremblement de la langue. Pas de troubles de la parole. A l
gissent lentement à la lumière, mais bien à l'accommodation. Pas de tremblement de la langue. Troubles de la parole très intens
s deux pupilles présentent leur réaction normale à l'accommodation. Tremblements fibrillaires de la langue. Parois très lente et
barrassée ; achoppements syllabiques nombreux. Lecture bredouillée. Tremblement des mains par intervalles. Gâtisme intermittent
ptembre 1903. Pas de troubles de la parole ni de la lecture ; aucun tremblement de la langue. Tremblement très marqué des doigt
les de la parole ni de la lecture ; aucun tremblement de la langue. Tremblement très marqué des doigts de la main, surtout à ga
réagir encore mais faiblement. Mouvements de trombone de la langue. Tremblement des membres affectant la forme d'une véritable
: hallucinations de l'ouïe. ° Signes physiques peu marqués. Léger tremblement de la langue; pas d'accrocs de la parole. L'o
Signes physigucs peu nets. Parole embarrassée et empâtée. Pas de tremblements de la langue. Pupilles égales mais réagissant m
d'anxiété, avec ça et là de légères contractions des muscles et des tremblements fibrillaires de la langue. Puis bientôt se prod
, constante dans la maladie, manque dans l'état expé- rimental : le tremblement de la première est représenté par les- convulsi
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 237 XL. Un cas de tremblement intentionnel. Considératious sur la pathogénie
as de tremblement intentionnel. Considératious sur la pathogénie du tremblement intentionnel et du tremblement au repos; par le
Considératious sur la pathogénie du tremblement intentionnel et du tremblement au repos; par le Dr DE Bucu. (Joum. de Neurolog
nte-six ans qui a commencé par pré- senter des vertiges suivis d'un tremblement intentionnel des membres inférieurs prédominant
sant par le cervelet. Etudiant à propos de ce fait la pathogénie du tremblement intentionnel et du tremblement au repos, l'aute
à propos de ce fait la pathogénie du tremblement intentionnel et du tremblement au repos, l'auteur émet l'opinion que le premie
et parfois dans la paralysie générale. Ne pas le confondre avec les tremblements cloniques de la mâchoire inférieure produits pa
ement droit (bras surtout) spasmes laryngés. Outre l'intérêt d'un tremblement parkinsonien nettement hémi- plégique, ces deux
stic facile avec le tremble- ment d'origine organique cérébrale. Le tremblement était si carac- téristique que les autres tremb
cérébrale. Le tremblement était si carac- téristique que les autres tremblements d'origine périphérique ou toxique ont été facil
ne dirons que peu de chose des troubles de la pro- nonciation et du tremblement fibrillaire de la langue et des lèvres qui peuv
de stupeur progressivement croissant; puis cépalée, vomissements et tremblement . Parésie générale au début, prédominante au mem
nt en perte de connaissance immé- diate, paralysies, convulsions et tremblements , troubles de la sen- sibilité et troubles psych
alité pupillaire ; les pupilles réagissent cependant normale- ment. Tremblement du muscle orbiculaire des paupières, léger ptos
ent. Tremblement du muscle orbiculaire des paupières, léger ptosis, tremblement de la langue, des muscles de la face, du muscle
temps et qu'on lui com- mande de prononcer des mots difficiles. , Tremblement considérable des mains. L'écriture n'est pas trop
ral. Comme troubles moteurs on note de l'ophtalmoplégie interne, du tremblement de la langue, des mus- cles de la face, un lége
e la parole, des troubles psy- chographiques et calligraphiques, du tremblement des mains et de l'exagération du réllexe rotuli
a bonne mine. L'em- barras de la parole est peu accentué, mais les tremblements , sur- tout ceux des muscles de la face, ont aug
de l'orbiculaire des lèvres, un léger achoppement des syllabes, du tremblement de la langue et des mains. Du côté psychique
cée, plus souvent gaieté du buveur. Symptômes physiques principaux, tremblement des mains et de la langue pouvant se généralise
t défaut chez les délirants tremens. Au point de vue physique, le tremblement est de beau- coup moins accusé, les troubles de
agitée, désorientée, en proie à des hallucinations de la vue, avec tremblement généralisé et hypoesthé- sie cutanée ; en un mo
r concernant les scènes qui ont précédé sa tentative de suicide. Le tremblement des mains et de la langue est toujours accusé.
a rue de C... (où elle habite), ne reconnaît pas les médecins. Même tremblement et embarras de la parole. Comme elle cherche à
nt et avec qui elle est venue à l'asile, quel médecin l'a reçue. Le tremblement a considérablement diminué; elle ne touche plus
agitation, les multiples hallucinations visuelles, l'exagération du tremblement , tout cet ensemble des symptômes cliniques du d
it 3 et 4 fois plus que dans le liquide céphalo-rachidien normal. Tremblement à forme de sclérose en plaques occasionné par une
e. ! \nI. Brissaud et IL GRENFT présentent une malade atteinte d'un tremblement localisé au membre supérieur gauche et ayant tous
ques ; il n'y a non plus aucun stigmate d'hystérie. Au moment où le tremblement est ap- paru, le malade ressentait au niveau du
Pour ce qui concerne ses zones hystérogènes, ses contractures, ses tremblements , ses trépidations localisées, tout cela résultait
de la main droite; après l'accès les tiraillements de la main et le tremblement de la voix s'affaiblirent ponr quelques heures.
16 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s. Ils comprennent les pares- thésies (premier cas), la parésie, le tremblement du bras, la céphalalgie, les étourdissements et
extenseurs, avec réaction dégénéra- tive, attaques épileptiformes, tremblement ); psychose aiguë appar- tenant au groupe de l'a
, soit un affaiblissement progressif avec exagération des réflexes, tremblements , émaciation albuminurie, élévation thermique, i
e débuta, après un typhus abdominal très grave, par l'apparition de tremblements des membres, de brûlures et de panaris analgési
r., 1890.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 267 XIX. QUELQUES cas DE TREMBLEMENT chez LES vieillards; par J. SACAZE. (Alontpelli
l, l'auteur a cru pouvoir dégager les conclusions suivantes : 1° Le tremblement chez le vieillard est la conséquence de plusieu
l'hérédité, l'hystérie, les excès de tabac, etc.; 2° par contre, le tremblement dit sénile, ne paraît pas exister; 3° le rôle do
inées, le bras droit était périodiquement atteint de faiblesse avec tremblement et oscillations dissociées. Une quatrième conce
ceps fémoral était pris de convul- sions cloniques ressemblant à du tremblement ; la cicatrice était excessivement douloureuse.
on constate que l'artère dor- sale du pied ne bat presque plus. Le tremblement du triceps crural peut être rapproché du tic co
S SAVANTES. 283 la teinte du genre de leurs hallucinations, mais le tremblement de l'alcoolique est plus ordonné, il obéit à un
'une sensation de vertige c'était vers une heure du matin puis d'un tremblement général qui dura un quart d'heure environ. Son
a partie supérieure du membre. Réflexes tendineux normaux, pas de tremblement de la main droite. Pas d'atrophie du membre par
d'atrophie du membre paralysé. La main gauche éten- due présente un tremblement oscillatoire rapide. Spasme : il y existe un sp
moins fréquentes qu'au début de l'affection. La langue présente un tremblement fibrillaire très ma- nifeste, elle. est tirée à
prendre pour un ivrogne. Puis la parole s'est embarrassée, enfin le tremblement des mains est apparu plusieurs mois après. Le m
1° titubation, démarche vacillante ; 2° parole scandée et lenle; 3° tremblement intentionnel de deux mains; 4° nystagmus; atrop
evenir; la démarche titubante, la dy- sarthie très particulière, le tremblement intentionnel, le nys- tagmus, l'atrophie blanch
r N. 11. PoroFr (de Varsovie). Ce n'est pas depuis longtemps que le tremblement comme un symptôme d'hystérie ait attiré l'atten
rs qu'on a appris que parmi les symp- tômes de la grande névrose le tremblement n'occupe pas la dernière place. Les travaux d
nnus, pour qu'on eût besoin de donner ici une description exacte du tremblement hystérique. Ils nous ont démontré que ce trembl
on exacte du tremblement hystérique. Ils nous ont démontré que ce tremblement peut présenter toutes les formes différentes du
ue ce tremblement peut présenter toutes les formes différentes du tremblement , qui ont été jamais observé dans les maladies n
ui fait la diagnosc. Constituant un des symptômes de la névrose, le tremblement hystérique peut présenter des degrés différents
tériaux, affirme d'une manière catégorique, que dans ses cas, le tremblement comme un symptôme principal était observé bien
ez la femme. Relativement rares se trouvent ces observations, où le tremblement a prévalu longtemps dans le cours de la névrose
e la névrose, mais plus rarement encore on rencontre des cas, où le tremblement en gardant le caractère dominant dans le tablea
il est couché tranquille- ment, ses membres inférieurs sont dans un tremblement continu, régulier et rythmique, auxquels prenne
part principale les muscles extenseurs et fléchisseurs du pied. Ce tremblement , très rapide, a des amplitudes courtes, s'accro
acilement l'équilibre. Chaque émotion augmente à l'instant même son tremblement . On observe la môme chose quand on demande au m
ande au malade de faire un effort de la volonté pour suppri- mer ce tremblement . Mais le plus fort devient ce phénomène si l'ob
assez uniforme : sans une cause évidente tout d'un coup apparaît un tremblement des extrémités inférieures et persiste pendant
urs fois l'occasion de voir le malade et de me faire certain que le tremblement per- sistait chez lui durant deux semaines avec
ît tout'd'un coup : le malade se réveille un matin sans éprouver le tremblement , la sensibilité se rétablit; il n'éprouve qu'une
ère des troubles sensitifs, leur appa- rition périodique, enfin, le tremblement , tout cela nous donne bien à conclure que le de
CAS SINGULIER D'HYSTÉRIE MALE. Par ses propriétés essentielles, le tremblement chez notre malade peut être rapporté à la premi
à fait singulier acquiert "notre cas par l'apparition périodique du tremblement présen- tant le plus éclatant symptôme de l'acc
tant symptôme de l'accès hystérique. Quoique Dutil mentionne que le tremblement hystérique peut quelquefois présenter des attaq
pré- monitoires que se développait, chez les malades de Dutil, le tremblement qui ne durait que quelques heures et disparaissai
elle éclosion. Après une ou plusieurs attaques, ajoute l'auteur, le tremblement peut de- venir stationnaire et durer des semain
nes et mois entiers. De ces mots, on doit conclure que les accès du tremblement , observés par Dutil, présentaient seulement une
olution de la grande névrose. M. Pitres en décrivant une forme du tremblement qu'il a nommée trépidatoire, cite un cas, où le
me du tremblement qu'il a nommée trépidatoire, cite un cas, où le tremblement hystérique se bornait, comme chez notre malade,
e Nomolle (hémianesthésie hystérique anor- male avec contracture et tremblement du membre inférieur. Prog. Méd., -1879, p. 518)
Prog. Méd., -1879, p. 518) concerne aussi un accès chronique où le tremblement s'augmentait par les émotions et les mou- vemen
est seulement dans nOS 8S et 56 que sont décrites les attaques du tremblement , lesquelles du reste n'étaient pas fréquentes et
omme une phase le cours de la maladie. Le même caractère porte le tremblement dans un cas très enseignant de Greidenberg (W1'
usqu'à présent cité, parait être le cas de Chambard. (Hémichorée et tremblement hystérique. L'Encéphale, 1881.) REVUE DE PATHOL
s'est développée à l'âge de huit ans et s'est manifestée comme un tremblement du membre inférieur droit, apparu soudainement
et perte de conscience. Souvent dans les inter- valles des accès du tremblement étaient observées des attaques, typiques de la
ypiques de la grande hystérie. Ainsi chez la malade de Chambard, le tremblement était le plus éminent symptôme de la névrose et
. 71édecin-consullant à Bagneres-de-Bigorrc. Dans l'étude sur les tremblements hystériques, après avoir analysé un certain nom
ements hystériques, après avoir analysé un certain nombre de cas de tremblements vibratoires survenus brusquement à l'occasion d
onsidérable qu'on ne l'a cru jusqu'à ce jour dans la pathogénie des tremblements chroniques qui succèdent aux grands ébranlement
Les auteurs classiques affirment que la paralysie agitante et le tremblement sénile débutent quelquefois brusquement à la su
M... s'aperçoit qu'il tremble de lamain gauche. Dans la suite, z le tremblement a envahi le bras, puis lajambe du même côté ; le
ier avec la plus grande facilité, sans le secours de la rampe. Le tremblement occupe principalement le membre supérieur gauch
ssiné pour la Fac-similé de l'écriture tracée de la main droite. Le tremblement en est peu marqué, c'est plutôt de l'hésitation
es lettres. Fac-similé de l'écriture tracée de la main gauche. Le tremblement est ici très net. La figure 5, répond à l'état
fortement appliquée contre le genou. La langue prend part aussi au tremblement ; retirée hors de la bouche, comme à l'intérieur
insi, le matin, dans les premières heures qui sui- vent le lever,le tremblement est moins accusé,la paroleplus facile, les mouv
e- loppement ; chez le malade, en effet, la rigidité a précédé le tremblement . Donc, au point de vue des symptômes réputés pr
res supérieurs reposent sur les cuisses, les mains en pronation. Le tremblement est limité au côté droit; manifeste pour le pie
de dans l'âge auquel l'affection a débuté, dans la manifestation du tremblement tout d'abord au pied droit, bien qup, le malade
s le delirium tremens et dans les cas de sclé- rose disséminée avec tremblement très accusé. Dans les cas d'hys- térie avec hal
e, elle est sans effet. On la trouvera utile, au contraire, dans le tremblement de la paralysie agitante et dans l'alcoolisme c
ar Bourneville et Noir. 228. Transferts des enfants aliénés, 406. Tremblements chez les vieillards, par Sacaze, 267. Trépana
17 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re à l'hospice le 4 janvier 1895. Jitat physique. Débilité marquée. Tremblements légers aux LES MÉLANCOLIQUES. 39 membres su
nseurs et des fléchisseurs aux membres supé- rieurs normaux. Pas de tremblements de la langue. La parole est normale. La sensi
e cornéen. Le réflexe pharyngien est diminué. On observe des légers tremblements de la langue. La parole, quoique traînante et p
pas hésitante ni difficile. Les extrémités supérieures offrent des tremblements , les .5 mouvements des membres sont lents. La f
de la diminution de la force muscu- laire. Le patient présente un tremblement presque continuel de la tête, nous observons de
. La malade distingue bien les couleurs. La langue offre des légers tremblements . La parole est claire. Le réflexe pha- ryngien
lexe rotulien un peu exagéré. Les membres supérieurs présentent des tremblements très marqués. Les réflexes des extenseurs et de
nt bien à la lumière et à l'accommodation. La langue n'offre pas de tremblements . La sensibilité générale à la douleur et à la t
ne difficulté. Le ré ilexe pharyngien est conservé. Il n'y a pas de tremblements aux lèvres, ni de contractions dans les muscles
les muscles de la face. Les membres supérieurs ne présentent pas de tremblements aux extrémités. La force musculaire est diminué
périeurs froides et légèrement cyanosées. Nous observons des légers tremblements en masse des mains. La force musculaire est dim
e la langue et des lèvres. La parole est nor- male. Il n'y a pas de tremblements aux membres supérieurs. La force musculaire est
res supérieurs et le réflexe rotulien sont normaux; elle n'a pas de tremblements de la langue ou des lèvres, mais elle présente
emblements de la langue ou des lèvres, mais elle présente de légers tremblements des doigts. La sensibilité culanée à la douleur
rveux (signe de Romberg, signe de Biernacki, etc., absents). Légers tremblements de la langue et des doigts. La parole courante
contractée, la gauche uu peu dilatée; elles réa- gissent bien. Des tremblements de la langue. Les réflexes des fléchisseurs et
encier les nuances du bleu. L'odorat et le goût sont normaux. Des tremblements de la langue, laquelle garde les impressions de
lements de la langue, laquelle garde les impressions dentaires. Des tremblements des doigts des deux côtés. Le signe de Biernacl
tées et usées. Les pupilles égales réagissent bien. Il n'y a pas de tremblements de la langue, des lèvres ni des doigts. Le réfl
es fléchisseurs et des extenseurs un peu augmentés. Il n'y a pas de tremblements de la langue, des lèvres ni des doigts. Il y a
eurs. L'odorat et le goût sont conservés. La langue offre de légers tremblements et garde les impressions dentaires. La parole n
atées, réagissent directement et par asso- ciation. Il n'y a pas de tremblements de la langue ni des lèvres. Le réflexe pharyngi
lexes des extenseurs et des fléchisseurs conservés. 11 n'y a pas de tremblements des doigts. Les réflexes rotulien et plantaire
servé, l'odorat perdu pour certaines odeurs, excepté l'élher. Des tremblements de la langue, qui'garde les impressions den- ta
our la douleur; normale pour la température. Elle n'offre pas des tremblements de la langue, des lèvres ni des doigts. Le goût e
malade sur le corps. Le réflexe pharyngien est conservé. Il y a des tremblements de la langue, moins des lèvres. La contraction
conservés mais notablement affaiblis. La langue présente de légers tremblements et garde les impres- sions denlaires. Le sens d
rg). Il ne peut pas rester sur un pied. Il présente aussi de légers tremblements des doigts. La force musculaire est très diminu
rotulien est normal, le réflexe plantaire diminué. Il n'y a pas de tremblements de la langue ni des doigts. La sensibilité gé-
s chromatique est normal. Le goût paraît un peu diminué. Il y a des tremblements de la langue et des doigts. Le réflexe pharyngi
ensitive. Le malade reconnaît les couleurs et leurs nuances. Peu de tremblements de la langue, mais plus manifestes aux doigts.
dyschromatopsie. Le goût et l'olfac- tion normaux. Quelques légers tremblements de la langue et des doigts. Le signe de Biernac
rmes, crises épileptiformes, migraine ophtalmique, parésie motrice, tremblement , troubles de l'articulation des mots, de l'écri
es paralysies et les contractures, l'aphonie, le blépharospasmc, le tremblement , les tics convulsifs, la chorée rythmique, les
arche devenait de plus en plus incertaine et vacillante. Plus tard, tremblement et mala- dresse des mouvements des mains. Depui
ent. Front étroit et déclive, occiput aplati; petits doigts courts. Tremblement des mains avec incertitude dans leurs petits mo
ns leurs petits mouvements ; écriture irrégulière (ataxique) avec tremblement léger. Démarche ataxique cérébelleuse. Instabilit
s plus souvent exagérés. Un symptôme assez caractéristique est le tremblement , sorte de trémulation générale, analogue à cell
incomptable; température : 38°,2, le matin; 38 ? r, le soir; léger tremblement des mains, tremblements à oscillations courtes
re : 38°,2, le matin; 38 ? r, le soir; léger tremblement des mains, tremblements à oscillations courtes et rapides, l3·péresthés
u bout de quelques jours, l'appoint alcoolique tend à s'effacer, le tremblement disparaît, l'exaltation ma- niaque elle-même se
s et pénibles, hallucinations de l'ouïe, à prédomi- nance nocturne, tremblement des mains. Rapidement, en quatre ou cinq jours,
rne, tremblement des mains. Rapidement, en quatre ou cinq jours, le tremblement disparaît, les hallucinations visuelles tendent
, avec hallucinations multiples, à caractère pénible, zoopsie, du tremblement dans les mains, des crampes dans les jambes, un
embres inférieurs, ceux-ci étaient pris d'un fort trem- blement. Ce tremblement a toujours été plus prononcé dans le membre inf
gauche que dans le droit. Dans le cours de ces dernières années, ce tremblement a disparu complètement dans le membre droit et
i nous avons eu l'honneur de vous soumettre ce travail. Un cas de tremblement segmentaire dans la sclérose en plaques. M. Gra
e de la jambe gauche avec raideur, une liémianesthésie gauche et un tremblement du bras droit. Plus Lard, la parole devient et
Lard, la parole devient et reste scandée, spasmodique, monotone. Le tremblement , tout en étant toujours beaucoup plus marqué au
ité. Dans les membres gauches 1 hémiauesthésie a disparu, il y a un tremblement intentionnel (moins marqué qu'à droite) et surt
ilité faradique et galvanique sans réaction de dégénérescence. Le tremblement du membre supérieur droit, qui seul nous inté-
396 - SOCIÉTÉS SAVANTES. mouvements nécessaires pour boire, le tremblement reparaît; Il augmente si l'on fait répéter cet
le porte correctement un verre à la bouche. En réalité, elle a le tremblement intentionnel de la sclérose en plaques avec ses
sclérose en plaques avec ses caractères classiques ; toutefois, ce tremblement est limité aux mouvements des doigts et de la m
la table à la bouche. De même, la malade est incapable, à cause du tremblement , d'enfiler une aiguille, de coudre, d'écrire; m
ne mouvoir que le coude et l'épaule. En somme, il s'agit ici d'un tremblement segmentaire, en gant, ce qui n'est ni classique
fréquent dans la sclérose en plaques. A ces deux points de vue, le tremblement de notre malade est l'opposé du tremblement cla
deux points de vue, le tremblement de notre malade est l'opposé du tremblement classique de la sclérose en plaques. Au lieu d'
pas ce diagnostic, un fait reste acqms : c'est que nous avons là un tremblement net- tement segmentaire, c'est-à-dire limité au
'est-à-dire limité aux doigts et à la main. Or, quand on analyse un tremblement , on tient compte de la fré- quence de ses oscil
ide des autres caractères, le siège de la lésion, en distinguant le tremblement SOCIÉTÉS SAVANTES. 397 nerveux périphérique
le tremblement SOCIÉTÉS SAVANTES. 397 nerveux périphérique, le tremblement radiculaire et le tremble- ment segmentaire spi
suite de l'ablation partielle ou totale du cervelet, de même que le tremblement qui augmente à l'occasion des mouvements volont
te à l'occasion des mouvements volontaires et porte le caractère du tremblement intentionnel ne peuvent guère s'expliquer uniqu
graves à forme chronique : contracture de la tête en opistotonos, tremblement exagéré par le stimulus le plus léger, extrême ex
es troubles hallucinatoires, d'une vivacité extrême, s'associent au tremblement de tout le corps, à la trémulation générale de
lexion, d'extension avec écartement considérable du gros orteil. Le tremblement épileptoïde fait défaut et le réflexe rotulien dr
à ses membres contractures le moindre mouvement, ils sont pris d'un tremblement rapide. La face a été respectée, mais la tête,
sexuel, par inlacliellsie, 150. Sclérose en plaques. Un cas ' de tremblement segmentaire dans la - , par Grasset, 395. - méd
18 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
r le petit doigt. L'éminence thénar est aplatie. Il n'existe pas de tremblement fibrillaire. Le malade ne peut résister quand o
nomène singulier du gonflement du cou survenu pendant le cours d'un tremblement qui, d'abord localisé aux membres, avait envahi
taux. Interne îles hôpitaux. NOTE SUR L'ÉTAT DES FORCES ET SUR LE TREMBLEMENT CHEZ LES ÉPILEPTIQUES APRÈS LES ATTAQUES Dans
ées. Cet affaiblissement s'accompagne en général, ajoutais-je, d'un tremblement qui prédomine aussi du même côté, et est souven
e côté, et est souvent proportionnel à la dépression des forces; ce tremblement s'étend à tous les muscles et est capable de dé
être rendue plus sensible à l'aide du dynamographe de Verdin, et le tremblement à l'aide d'un tambour à 1. Note sur l'état des
che). FIG. 7. -a. 1remb[emeul de la main droite à l'état normal; b. tremblement de la main gauche. .10 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE
kil., est plus brusque et plus élevée. . La figure 10 reproduit le tremblement des deux mains une demi- heure après un autre a
s sont beaucoup plus étendues que sur la figure 7 qui représente le tremblement z l'état normal. Les oscillations de la main dr
ui existent entre 1. Les modifications de la force musculaire et le tremblement consécutif aux attaques déterminent chez les ép
de dioite a gauche). NOTE SUR L'ETAT DES FORCES. l'intensité des tremblements et l'affaiblissement des mouvements vo- lontair
époque plus rapprochée du paroxysme. Cette exagération Fic. 10 - a. tremblement de la main droite; b. tremblement de la main gauc
e. Cette exagération Fic. 10 - a. tremblement de la main droite; b. tremblement de la main gauche; i c. courbe pneumographique
sous ' l'influence d'un effort léger de la main droite, est pris de tremblement dans son côté gauche hémiplégique, tremblement
droite, est pris de tremblement dans son côté gauche hémiplégique, tremblement bientôt suivi d'une attaque épileptique avec pe
s; au bout de ce temps, le bras tombe peu il peu, sans secousse, ni tremblement . Il n'existe d'ailleurs ni contracture, ni raid
btenus : ils portaient sur le signe de Romberg, la titubation et le tremblement , qui avaient été consi- dérablement améliorés.
èvres. La respiration est rapide et sifflante, mais il n'y a pas de tremblement . La verge est en demi-érection, il y a écouleme
Son regard exprime l'hébé- tude. Les doigts sont animés d'un léger tremblement ; la force est conservée et énergique, il fait d
et jusqu'au z0 par la main gauche. La langue est animée d'un léger tremblement , cependant la prononciation est peu altérée, le
des plus marqués. La langue n'est pas déviée, elle est agitée d'un tremblement vermiculaire continuel, appréciable sur toute l
oute la surface de l'organe mais prononcé surtout sur les bords. Ce tremblement augmente encore lorsqu'on dit au malade de proj
ases absolument inintelligibles. Du côté des membres supérieurs, le tremblement est peu accusé lorsqu'on fait tendre le bras du
s dans les membres supérieurs qu'inférieurs nous ne constatons s de tremblements fibrillaires, mais, dans les mouvements de ces de
ent. La langue est tremblotante. Les mains sont prises d'un léger tremblement lorsque le bras est étendu. La force musculaire
de citer, cette posture anormale des membres, jointe à l'absence de tremblement , avait été la cause d'une erreur de diagnostic. I
miplégique. Le membre supérieur pré- sente l'attitude fléchie et le tremblement caractéristiques, tandis que la tète et le tron
remarqua que ses doigts tremblaient de temps à autre. Au début, ce tremblement n'était que passager, il n'apparaissait qu'à l'oc
. Le pouce et l'index allongés l'un contre l'autre sont animés d'un tremblement il oscillations lentes, tandis que les autres d
s la paume de la main sont déviés en masse vers le bord cubital. Ce tremblement n'existe qu'à la main gauche; 'il n'apparaît ja
'attitude du membre supérieur gauche, la déformation de la main, le tremblement dont elle est animée, le faciès, enfin l'antépul-
ment. En même temps. apparaissent des efforts expirateurs, un léger tremblement et finalement un étai demi-syncopal avec arrêt
s mon service, le 7 février 1889. Front bas, resserré vers le haut; tremblement des mains. Ilémianesthésie gauche; rétrécisseme
rsista pendant une dizaine de jours Quelque temps après, apparut le tremblement de la jambe et du bras droits. Ce tremblement s
mps après, apparut le tremblement de la jambe et du bras droits. Ce tremblement succédait aux attaques et durait un jour, quelq
peu à reconnaître les couleurs. Ajoutons qu'il existe un très léger tremblement des membres supérieurs qui s'exagérerait au mom
un moment donné, de chorée malléatoire; il est encore le siège d'un tremblement hysté- rique très accentué auquel participe éga
six ans, il a fait des excès de boisson, il avait des pituites, du tremblement des mains, des cauchemars pendant la nuit. De
r un objet, couper sa viande ; mais il tremblait de cette main d'un tremblement lent, rythmé. Ce tremblement s'est atténué, mais
; mais il tremblait de cette main d'un tremblement lent, rythmé. Ce tremblement s'est atténué, mais il a per- sisté à un certai
oubles de la sensibilité restent les mêmes. 28jwùi. Dans la nuit, tremblement dû la jambe et du bras droits : durée : 30 seco
moins marqué. Le pouce et les deux premiers doigts sont animésd'un tremblement léger secousses inégales, peu rapide. Dans la nui
touffement précédé d'une aura très caractérisée, il a été pris d'un tremblement très rapide et très fort du bras et de la jambe d
t très rapide et très fort du bras et de la jambe du côté droit. Ce tremblement a persisté plus de 5 minutes. 2 juillet. - L'am
Durant la nuit, il est agité, il parle tout haut, il a des accès de tremblement . 15 août. - Elancements dans les tempes très do
n pro- voque l'accès ,1' -J, 6l. Epileptiques (état des forces et tremblements chez les - après les attaques), 5, 6, 7, 8. 9
rruchet, 130. Epileptiques (note sur l'état des forces et sur les tremblements chez les- après les attaques), par Féré, 38 ; (
19 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
t preuve d'une très grande égalité d'humeur. Mutisme, bégaiement et tremblement général guéris par la suggestion hypnotique Par
ler et était toute tremblante. Quand on lui faisait une question, son tremblement devenait plus intense et se généralisait. Il s'ét
pouvait parvenir à faire ses lettres. Son nom était illisible tant le tremblement était prononcé. Quelquefois la malade présentait
iminuée. II existait un point ovarien et sous-mammaire à gauche. Ce tremblement général, ce bégaiement et ce mutisme complet ayan
ù cette malade de se laisser endormir. Aussitôt, elle fut prise d'un tremblement plus prononcé : par ses signes et ses cris inarti
omènes. Je fais disparaitre de nouveau par le sommeil hypnotique le tremblement et le bégaiement, et je fais écrire la malade qui
mélancolie, le sommeil J mauvais, quelques signes physiques comme le tremblement 1 général, la congestion du foie, quelquefois la
tait que par l'insomnie, la mauvaise humeur, le mauvais appétit et le tremblement général, j'ai souvent été Trappe par l'aspect fra
ines à vapeur, des automobiles, a fait naître, chez quelques-uns, des tremblements , des boiteries, des pseudo-paralysies, dont la vé
tudes automatiques. On peut en généraliser l'emploi au traitement des tremblements et de la maladie de Parkinson. Nous croyons dev
nne santé. Quand je la vois pour la première fois, elle présente un tremblement de la tête et des membres supérieurs. Ce tremblem
elle présente un tremblement de la tête et des membres supérieurs. Ce tremblement , d'un rythme régulier, est moyen comme amplitude
ar le passé en faisant des travaux de couture. Les caractères de ce tremblement et l'âge de M"" V... donnent, de prime abord, l'i
e de M"" V... donnent, de prime abord, l'impression qu'il s'agit d'un tremblement sénile. Toutefois ce diagnostic comporte certaine
lle congestion pulmonaire. Cette affection ne se déclare pas, mais le tremblement persiste pendant quinze jours. Un an après, ell
urs et l'affaiblit au point de nécessiter le repos absolu au lit : ce tremblement réapparaît ; petit à petit M'"" V... devient de p
iété, une attente prolongée, la moindre préoccupation, exaspèrent son tremblement . Jadis, lorsque son mari mourut, elle se trouva d
le récit du moindre accident la bouleverse au plus haut point. Son tremblement offre la symptomatologie du tremblement sénile ;
rse au plus haut point. Son tremblement offre la symptomatologie du tremblement sénile ; il n'est point polymorphe, comme l'est s
remblement sénile ; il n'est point polymorphe, comme l'est souvent le tremblement hystérique ; et, d'autre part, Mm* V... ne présen
psychique actuelle, je ne suis pas éloigné du tout de considérer son tremblement comme étant de nature hystérique. A la faveur d'u
e et développée ; elle aurait de la sorte conditionné et entretenu le tremblement . Quoi qu'il en fût, je me suis mis en devoir d'
te quelquefois une heure entière sans trembler du tout ; quand le tremblement revient, elle se trouve de plus en plus capable,
age, débilité, misère physiologique, etc. III. — En outre, certains tremblements sont, chez les vieillards, abandonnés à eux-mêmes
enre unique que l'on dénomme Névrose tréraulante les trois espèces de tremblements héréditaire, hystérique, sénile. Le tremblement s
les trois espèces de tremblements héréditaire, hystérique, sénile. Le tremblement sénile proprement dit est donc à l'heure actuelle
ne révèle rien d'anormal. Vous voyez qu'elle présente en ce moment un tremblement à oscillations étendues et rapides: mais elle est
t considère notre homme comme un simulateur. Vous le voyez, il a un tremblement généralisé qui date de l'époque du traumatisme et
hystéro-épileptiques généralisées, convulsions cloniques localisées, tremblements , chorée, tics convulsifs, contractures permanente
tte affection (incoordination généralisée, perte du réflexe lumineux, tremblement de la langue, etc., etc.), ni signe psychique [af
oxyde de carbone, il devient sale, présente des pertes de mémoire, du tremblement , des troubles du côté des yeux, des hémorrhagies
dans leur ensemble, ainsi que les orbiculaires des paupières. 6. Du tremblement , des secousses dans les membres, des contractures
ne opération de hernie. Elle eut des clignotements des paupières, des tremblements des lèvres, des mouvements choréiques de différen
in temps, elle poussa des petits cris qui paraissaient n'être que des tremblements de la partie pharyngienne. Ces faits donneraien
et adopté. M. le D' Jules Voisin rapporte l'observation d'un cas de tremblement hystérique guéri par la suggestion hypnotique.
r lu lecture de la correspondance. La séance est levée à 6 h. 30. Tremblement trépidatoire hystérique guéri par la suggestion h
qui, messieurs, sous l'influence d'une vive émotion, a été prise d'un tremblement trépidatoire. de tout le côté gauched'abord. puis
lle présenta les symptômes pour lesquels elle vint nous consulter. Le tremblement débuta le matin, en se levant, par le pied droit,
et il fut impossible à cette jeune fille de marcher sans soutien. Le tremblement est très bien rhythmé, les oscillations ont lieu
flexion, de petite étendue et de vibrations encore moins étendues. Ce tremblement qui a été hémiplégique le premier jour, est maint
0 janvier 1902. on ne parle pas à la malade. En même temps que ce tremblement , nous constatons de Panesthésie et de l'analgésie
d'abord limitée au côté droit s'étendit au côté gauche le jour ou le tremblement apparut de ce côté. Points hystérogènes au niveau
amomètre, l'aiguille à droite s'arrête à 10 et à gauche à 60 quand le tremblement et l'anesthésie n'existaient pas de ce côté, mais
ons se font bien. Règles régulières. Diagnostic.— En présence de ce tremblement trépidatoire très bien rhythmé, de cette anesthés
chorée, l'ataxie locomotrice qui présentent quelque analogie avec ce tremblement rhythmé accompagné de secousses sont facilement é
malade par la fixation du regard : je lui suggérai de n'avoir plus de tremblement et d'anesthésic et d'être très bien portante. Au
réveillai et la malade était très bien portante. Il n'y avait plus de tremblement et d'anesthésie. Je prescrivis en outre des douch
pour l'étude de la), par Paul Joirc, p. 110. Mutisme, bégaiement et tremblement général guéris par la suggestion, par Jules Voisi
ransvorbératlon do Sainte Thérèse d'Avila, par Henry Lemesle. p. 78 Tremblement trépidatoirc hystérique guéri par la suggestion
20 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
ées, des symptô- mes surajoutés d'hystérie de névrosisme, un peu de tremblement des ex- trémités, du battement rythmique des pa
e d'accomplir les travaux les plus pénibles de son quartier. Pas de tremblement . Les réflexes patellaires, et idio-musculaires
minal est très affaibli. Pas de contractions fibrillaires. Pas de tremblement . Pas d'incoordination. - Pas de mouvements cbor
ALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE) SPASMES ET TREMBLEMENT CHEZ DES PSYCHASTHÉNIQUES PAR le P' F. RAYM
ELLE Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE. T. YVI. PI XLVIII SPASMES ET TREMBLEMENTS CHEZ LES PSYCHASTENIQUES (Raymond et laiiel).
p; Cie, Éditeurs Pliototjpie Bcrthand, Pans \ '. ? ? SPASMES ET TREMBLEMENT , ,WJ ? Z"P ? t&nÉNIQUES 211 temps en temps
n corps : la tête rem'ue fortement comme les bras et les jambes. Ce tremblement est si considérable, et la figure de ce malade av
tentif permet d'écarter immédiatement ce diagnostic. En effet, le tremblement est rapide ; le graphique de la figure 1 nous m
graphique de la figure 1 nous montre 8 oscillations par seconde, le tremblement de Parkinson est plus lent et n'a que 4 à 6 osc
rkinson est plus lent et n'a que 4 à 6 oscillations par seconde. Le tremblement est conti- nuel ; il ne cesse pas pendant les m
ujours, au moins fréquemment dans la paralysie agitante. SPASMES ET TREMBLEMENT CHEZ DES PSYCUASTHÉNIQUES 213 Ici, au contraire
ET TREMBLEMENT CHEZ DES PSYCUASTHÉNIQUES 213 Ici, au contraire, le tremblement persiste au point de gêner le malade quand il v
complètement son écriture (fig. 2). En outre, chez le Parkinson, le tremblement est secondaire, il se sura- joute à une raideur
e peut s'arrêter non plus à l'hypothèse d'une maladie or- ganique à tremblement . En effet, il n'y a aucune modification des réfle
stagmus, ni de troubles de la parole : cela reste bien pour nous un tremblement névropathique. . Est-ce alors le simple tremble
en pour nous un tremblement névropathique. . Est-ce alors le simple tremblement hystérique, dont nous avons vu bien des exemple
er, ne s'en préoccupe pas. Cet homme a une grande conscience de son tremblement , le remarque, le sent et sait très bien en appr
nuances : ce n'est pas là un phénomène hystérique. Reste alors le tremblement sénile précoce, le tremblement essentiel. On sa
phénomène hystérique. Reste alors le tremblement sénile précoce, le tremblement essentiel. On sait qu'il y a des familles où le
dant, pour le cas actuel, nous pouvons aller plus loin que ce mot « tremblement essentiel » qui est un peu un aveu d'ignorance. L
ot « tremblement essentiel » qui est un peu un aveu d'ignorance. Le tremblement n'est pas isolé ; il est accompagné d'autres phén
ère l'avait attaché d'une manière particulière à sa mère SPASMES ET TREMBLEMENT CHEZ DES PSYCHASTHÉNIQUES 215 qui le guidait to
Au milieu de tout cela, quelque temps après la mort de sa mère, le tremblement s'est développé, faut-il dire que c'est un trembl
sa mère, le tremblement s'est développé, faut-il dire que c'est un tremblement essen- tiel qui, par hasard, a coïncidé avec ce
obsessions, ces phobies, ou n'est-il pas plus juste de dire que ce tremblement rentre dans le même groupe que les symptômes pré-
rrivons à la même conclusion : le trou- ble du mouvement, spasme ou tremblement , rentre, pour nous, dans un groupe de symptômes
rissaud, mais s'étendant à tout un côté du corps et d'autre part un tremblement 216 RAYMOND ET JANET généralisé et considérab
de plus en plus. Chez l'homme, un des symptômes de l'émo- tion, le tremblement , qui a attiré davantage l'attention, s'est systém
s et la psychasthénie, t. I, p. 241, 497, 551, 1902. t SPASMES ET TREMBLEMENT CHEZ DES PSYCIIASTHÉSIQUES 217 7 « tic » suivan
et les tics complètement systématisés se placent les spasmes et les tremblements avec systématisation partielle. Ce diagnostic
Ce diagnostic, qui nous fait ranger ce spasme du côté gauche et ce tremblement parmi les agitations forcées des psychasthéniques
ts possibles de la série hystérique, de même si nous faisions de ce tremblement un symptôme de paralysie agitante, il faudrait
e plusieurs grandes pages, la main droite se fatigue rapidement, le tremblement de la main commence au bout d'un quart d'heure
e, ils ne l'abandonnent pas davantage. Pendant un certain temps, ce tremblement qui ne se manifeste qu'à l'occasion de l'écritu
supérieur 'gauche. La gêne dans les mouvements est accompagnée d'un tremblement de tout le membre, et d'une façon inconstante,
r le porte-plume entre les doigts ; elle est agitée, en outre, d'un tremblement qui écarte la plume delà ligne écrite, et le ma
cu- lière à former une majuscule ou une lettre haute (I, d). Pas de tremblement de la main les doigts écartés en extension. D
s les muscles de la nuque. Pas de déformation cra- nienne. Pas de tremblement dans le membre supérieur droit, sinon dans l'écri
ervosisme, le début des acci- dents à l'occasion de l'écriture, les tremblements , les secousses involon- taires à propos de cert
it de réapprendre l'écriture, et la tâche était lourde en raison du tremblement et du mouvement de rotation de la main. Avant d
e, d'autres manifestations méritent d'être signalées. D'abord, un tremblement unilatéral. La malade avait appris à écrire de
ain droite comme les autres enfants. Mais, vers l'âge de 12 ans, ce tremblement survint et l'obligea à apprendre à écrire de la
Elle tient en effet fort mal sa plume et l'on constate nettement le tremblement de la main droite lorsque celle-ci est étendue.
ce diagnos- tic (2). Nous ne nous attarderons pas non plus sur ce tremblement du membre supérieur droit survenu à l'âge de 12
e de 12 ans, sans cause connue. La patho- génie et la nature de ces tremblements sont encore problématiques. Mais nous tenons à
étiformes il y a un ensemble de caractères qui ne font ni un simple tremblement ni un mouvement choréique, ni un trouble de l'é
des symptômes suivants : Depuis trois semaines, il était pris de « tremblements dans tout le corps » et ne pouvait rester debou
ebout. Dans celte position, il avait du vertige,de la faiblesse, un tremblement dans les jambes et il lui semblait qu'il allait t
onnais- sance. Depuis ce temps, il fut saisi de temps en temps de tremblements et d'un sentiment d'agitation dans tout le corp
jambes et dans la région du sacrum. Il sentait une pression et un « tremblement » dans l'estomac, et cela surtout après les rep
Caractère mou, apathique, un peu léger. Emotif ; F... est pris d'un tremblement généra- lisé très apparent et devient d'une pâl
ipitaux (1 pl. en photocollogr.), par Marchand, 100. Spasmes et tremblements chez des psychas- ihénigues (1 pl. 2 dessins),
tercalaire(1 photo), 238. Raymond (H.) et P. Jaunet. Spasmes et tremblement chez des psychasthéniques . (1 pl., 2 dessins),
rose symétrique des lobes occipitaux (Marchand), XXII. Spasmes et tremblements chez des psychas- théniques (Raymond et JANET X
21 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
RALYSIE CHEZ UN MARCHAND DE NOUVEAUTÉS, DE CRAMPE DES PIANISTES, DE TREMBLEMENT DES BRODEURS A LA MACHINE ET DE CRAMPE DES TÉLÉ
grande diminution dans la force d'étreinte de la main, et enfin, un tremblement mar- qué de l'index, du médius et du pouce. Ce
nfin, un tremblement mar- qué de l'index, du médius et du pouce. Ce tremblement , petit et rythmé, apparaît au moindre mouvement
asme tonique) ; B) La douleur ; c) La fai- blesse musculaire] D) Le tremblement ; F) L'atrophie ou quelquefois l' /typer- atrop
paralysie du spasme car le traitement diffère complètement. D. Le tremblement peut survenir (obs. II) ; ce n'est, parfois, qu'u
truction in- complète et partielle de cette substance donne lieu au tremblement mus- culaire, et qu'enfin, sa destruction compl
). Si le malade con- tinue ses occupations, nous voyons survenir le tremblement (destruction partielle), s'il continue encore,
ie dans la marche de l'affection (crampe avec ou sans hypertrophie, tremblement , paralysie et atrophie), il peut arriver que l'
t le stade auquel se trouve la maladie. Le simple spasme et même le tremblement sont cepen- dant plus faciles à traiter que la
pasmo- diques, aux préparations bromurées,à l'hyosciamine contre le tremblement et quelquefois au chloral dans les cas graves.
thésie mammaire et verté- brale ; abolition du réflexe pharyngien : tremblement fibrillaire de la langue ; tremblement irréguli
tion du réflexe pharyngien : tremblement fibrillaire de la langue ; tremblement irrégulier, saccadé, intermittent, exagéré par le
un peu affaibli dans son énergie motrice. Le malade affirme que ces tremblements datent des dernières injections mercurielles, p
ravail, et reste étendu, rigide, le visage blême, le corps agité de tremblements rapides. Il écume, se mord la langue et demeure
s, selon lui, les membres supérieurs seraient souvent le siège d'un tremblement qui s'accentuerait après une marche, une course
la sensibilité thermique; 5° des neurones (1) Ch. BINET-SANGLÉ,DtG tremblement à la paralysie (in Archives médicales d'Angers,
, ainsi que ceux du poignet, sont exagérés. Nous ne relevons pas de tremblement des doigts, ni de la langue ; il n'y a pas de tre
ns pas de tremblement des doigts, ni de la langue ; il n'y a pas de tremblement (ihril- laire. Il nous a été impossible d'obser
ues de dégénérescence. Absence des stigmates hystériques vulgaires. Tremblements , aslasie- abasie, chorée simple, chorée électri
- Emploi du tar- tre slibié : guérison des spasmes, persistance du tremblement . W... né à Marseille, cavalier de 2° classe au
re à l'hôpital Desgenettes le 30 décembre 1900 avec le diagnostic « tremblement hystérique ». Antécédents héréditaires. - Père,
; après une nuit agitée, il tremblait encore au réveil. C'était un tremblement violent à grandes et rapides oscillations, que
'agiter vi- goureusement une sonnette. Durant six ou sept mois le tremblement ne s'est pas arrêté, il persistait pen- dant le
son contenu. Cette incommodité, du reste, ne dépendait pas du seul tremblement . CAfM'ee.Le médecin,au dire de W ? aurait parlé
tit et n'avait pas de fièvre, et il était moins im- portuné par ses tremblements , que par « une grande maladresse qui l'empêchait
lques pas. Par la suite, ces chutes devinrent moins fréquentes, les tremblements moins intenses ne se manifestaient guère que so
zaine, d'un mois au plus aboutissait toujours à une grande crise de tremblement telle que celle qu'il présente actuellement.
naissance. Emolivité. - Les émotions rappellent très facilement les tremblements , et W... est très émotif. Il conduisait un jour
clochers sans avoir le vertige. Il voulait être jardinier, mais le tremblement l'a détourné, à son regret, de cette profession
il n'a pas fait de progrès sensibles, dit-il, depuis sa maladie. Le tremblement l'en empêchait moins, semble-t-il, par la gêne ph
cles dont il souf- frait. Vers le 10 décembre, survint une crise de tremblement dont il ne se serait pas occupé, si l'infirmier
ent pas W... de faire son service. Le 28 décembre nouvelle crise de tremblement , W... nettoyait ses basanes dans sa chambre apr
r à plat ventre. On le porta à l'infirmerie, puis à l'hôpital. Le tremblement des jambes a cessé de lui-même le 28, 'le tremble
l'hôpital. Le tremblement des jambes a cessé de lui-même le 28, 'le tremblement des bras persiste jusqu'au 2 janvier, ce jour-l
supérieurs. Ce spasme était, les jours précédents, dissimulé par le tremblement , mais, d'après W... il existait pourtant : il n
se- maines d'intervalle, on l'a toujours trouvé sans spasme et sans tremblement . Chorée fibrillaire. - Quand W ? est déshabillé
qui ne les soupçonnait même pas. Elles ne sont pas modifiées par le tremblement . Tremblement. Ce tremblement est très irrégulie
çonnait même pas. Elles ne sont pas modifiées par le tremblement. Tremblement . Ce tremblement est très irrégulier dans ses allu
as. Elles ne sont pas modifiées par le tremblement. Tremblement. Ce tremblement est très irrégulier dans ses allures et dans sa
les que chez tout sujet.normal, faisant le même effort. · Mais ce tremblement existe en permanence à l'état latent, il suffit à
nettement que sur les tracés de l'ap- pareil enregistreur. C'est un tremblement vibratoire assez rapide (8 ou 9 oscil- lations
identiques quand on a fait écrire W... C'est en somme une sorte de tremblement intentionnel que, seul, l'acte d'écrire a la pr
ou de détourner du papier. W... prié d'écrire sans s'occuper de son tremblement donne un deuxième échantillon dans lequel on pe
equel on peut voir inscrites toutes les « échappées », mais dont le tremblement n'est pas exclus. Si les oscillations paraissent
MYOCLONIE DU TYPE BERGERON 321 Dès que le malade cesse d'écrire le tremblement disparaît ou se réduit à de très insignifiantes
uit à de très insignifiantes oscillations. Quand il a un accès de tremblement , W... ne peut absolument pas se servir d'une pl
'épaule agitent le membre supérieur dans sa totalité : à la main le tremblement est communiqué. La tête ne tremble pas, ni les
les membres inférieurs si ce n'est pen- dant les grandes crises de tremblement général. Ces accès se manifestent, à intervalle
yoclonique prend un rythme plus lent huit ou dix jours passent sans tremblement . Le froid, les émotions augmentent le trembleme
ours passent sans tremblement. Le froid, les émotions augmentent le tremblement ; une fois W... s'est mis à trembler parce qu'o
l'appelait au laboratoire à une heure inaccoutumée. Dans ce cas le tremblement s'installe sans autre trouble. Rarement l'accès d
é cesse aussitôt et ne re- paraît pas de la journée, mais il y a du tremblement par intervalles. 22. - W... s'est plaint d'être
blement n'a pas reparu. 24. - Hier vers deux heures après-midi, le tremblement reparu très fort pendant dix minutes dans tous
s et deux heures environ dans les bras. Ce matin l'on n'aperçoit ni tremblement ni spasme, les contractions fibrillaires du tra
u depuis l'administration de l'émétique. 27.- Hier court accès de tremblement ; ce tremblement au dire de W...aurait été plus
nistration de l'émétique. 27.- Hier court accès de tremblement ; ce tremblement au dire de W...aurait été plus menu que précéde
bresaut des bras, le sursaut du corps, le dérobement des jambes, le tremblement , la polyurie même sont les manifestations somat
térie reste, manifestée encore par la polyurie, ]'amyosthénie et le tremblement même qui risque de persister si l'effet de la s
turnes, des accès d'asthme et des palpitations car- diaques. Pas de tremblement des extrémités, ni de gonflement du corps thy-
22 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
premier plan et cachent toute autre manifestation. D'autre part, le tremblement alcoolique beaucoup plus accusé domine les phén
e, Et' le D M. BOUDET DE PARIS, ancien interne des hôpitaux. 1 Le tremblement est un des symptômes les plus fré- quents des m
. Nous exposerons successivement les particularités que présente le tremblement pro- voqué chez l'homme sain et le tremblement
ités que présente le tremblement pro- voqué chez l'homme sain et le tremblement patholo- gique. L'état morbide doit toujours
tion du levier inscripteur, et il est facile d'enregistrer ainsi le tremblement du sujet en expé- rience. Le tracé représenté d
dans les .conditions que nous venons d'indiquer. 1 - rzg. 7. - tremblement observé chez l'homme sain. - E E, inscription é
indique seulement leur nombre et leur durée, chaque,oscillation du tremblement , établissant le passage, d'un courant lorsqu'el
ésulte des nombreuses expériences faites dans ces conditions que le tremblement physiologique est tou- jours rlaythmé et qu'il
rie de se- cousses' peut déjà être' considérée comme un véritable tremblement de courte durée. Le phénomène du pied, chez les
i on tend le caoutchouc avec une certaine brusquerie, on obtient un tremblement qu'il est facile dj. ' - mi if . i ' 1 "l d'i
ire des muscles postérieurs; il Fig. 11. - Phénomène du pied ? P J, tremblement des muscles pos- térieurs de la jambe : A J, tr
ied ? P J, tremblement des muscles pos- térieurs de la jambe : A J, tremblement des muscles antérieurs ? D, diapason de 30 vibr
diapason de 30 vibrations doubles à la seconde. e PATHOGÉNIE IDES 1 TREMBLEMENTS , 203 se produit un-, phénomène analogue à ceu
t1 provoqué : par. la) traction avec la,bande de i caoutchouc; T S, tremblement provoqué par l'action du froid; - D, diapason de
u lièu de 7.) * 1 Tout ce que nous venons de dire s'applique au tremblement provoqué; les choses ne se 'passent pas autreme
emblement provoqué; les choses ne se 'passent pas autrement dans le tremblement spontané, c'est-à-dire dans celui qui se produi
roduit en dehors de' toute cause ex- térieure appréciable. " " Le tremblement spontané' ne survient que chez des sujets attei
lement s'exagérer à certains moments qui correspondent aux accès de tremblement . Le rôle que nous venons de voir jouer à la ban
enta- tion de consistance des masses musculaires. Dans'là cas de - tremblement léger, l'augmentation de tonicité PATHOGÉNIE DE
ni- cité d'un muscle antagoniste est donc la condition obligée du tremblement spontané. Dans, le, tremblement physio- logique
te est donc la condition obligée du tremblement spontané. Dans, le, tremblement physio- logique nous avons vu, que c'était la b
, Chez les sujets, atteints de paraplégie avec contrac- ture, le tremblement n'existe pas dans l'état de repos, parce que le
t elle augmente la contracture en même temps qu'elle détermine leur tremblement , et ces derniers réagissent à leur tour sur les
a pu le voir dans la fig. Il. \ L'analyse que nous allons faire du tremblement sénile et de celui de la paralysie agitante mon
nomène. L'ob- servation suivante est celle d'un malade atteint de tremblement sénile, et que nous avons longuement étudié.
ur de pierres, pas de maladies intérieures, très intelligent. Son tremblement a débuté il y a dix-huit ou vingt ans, et a tour
remarquera l'analogie de cette figure et de celle qui représente le tremblement de l'épilepsie spinale (fig., 11). Les . ? ¡(Of
de leurs antagonistes. ' Fig. 13. - T,e»2blen ? eeîl sénile.- M Et tremblement des muscles exté- rieurs du poignet (postérieur
uscles exté- rieurs du poignet (postérieurs) de l'avant-bras;- M P, tremblement des muscles fléchisseurs du poignet' (palmairès
' f ' 1 rJij' 1 t . 1 . j 1 J 1 J-> "" titi , PATHOGÉNIE, DES, TREMBLEMENTS . ' 207 Le tremblement,qchez Urspring ? comme du
j 1 J 1 J-> "" titi , PATHOGÉNIE, DES, TREMBLEMENTS. ' 207 Le tremblement ,qchez Urspring ? comme du reste chéîntous' les'
QJ' .r : t t i , 'Il,, ? 1 U1 t graduelle, on ne produisait pas de, tremblement ;, pour le provoquer^il1 était nécessaire, 'au d
'beaucoup moindre : ' fL · myrYmn H" 1 - r J 9, s %'" Au début'du tremblement , le premier' phénomène que^l'on perçoit est la
e par le poids de l'avant-bras.. - Aux membres inférieurs il y a un tremblement peu marqué et qui n'apparaît que dans certaines
s, ce tracé est identique à celui pris sur Urspring ? bien que le tremblement , dans ces deux cas, occupât des groupes muscula
tude des mouve- ments recueillis doit être plus grande. Fig. 14.- Tremblement sénile. B, tremblement du biceps (contracture) ;
recueillis doit être plus grande. Fig. 14.- Tremblement sénile. B, tremblement du biceps (contracture) ; - T, tremblement du t
- Tremblement sénile. B, tremblement du biceps (contracture) ; - T, tremblement du triceps. PATHOGÉNIE DES''TREMBLEMENTS. 209
t du triceps. PATHOGÉNIE DES''TREMBLEMENTS. 209 Ici; en effet, le tremblement avait un 'siège spécial, 1f 1 i i ii ' 4 4 le
y .i..ti'1'Jt- . H ? " .,..... 1 Y quente,ouplutôt, peu étudiée, du tremblement sénile, car;'jusqu'à présent', on s'est content
les circonstances suivantes : 1° Le sujet pouvait faire cesser son tremblement en se mettant dans une situation telle que son
très intéressant que l'immersion dans un grand bain sup- prime le tremblement , ou. tout au moins ? diminue 1 ? 1...........1.
e la pesanteur a donc aussi une grande valeur dans la production du tremblement spontané : car c'est bien certainement le poids
1 - jï - du de nous a pu observer ,suri iip e ? I : apparition du tremblement alors qu'un , fardeau J¡quelconque, une charge
itue le tonus ; ,1'6d1t'"plly ? 016'gique'ëe même poids provoque le tremblement lorsque le tonus d'un muscle est augmenté. '1 1
facile de se 1 l 1 il ' ' I, ) f , < ' fIl) faire une idée du tremblement des hémiplégiques, c'est- à-dire de celui qui s
Le malade raconte qu'à l'âge de 35 ans il fut subitement pris d'un tremblement de la main gauche ; PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS
que ce premier accès dura à peine cinq minutes; six mois après le tremblement revint de nouveau et n'a jamais cessé depuis. L
ccps et, le triceps sont ,contracturés, surtout le premier, mais le tremblement de ces musclés n'apparaît qu'à de rares interva
contracturés, sont le siège, d'oscillations très visibles. c. A Le tremblement n'existe, pas le, matin, ou, d'une manière géné
alysie agi- tante, il existe quelquefois des cas dans lesquels le tremblement n'existe pas, ou du moins se produit à de rares
s, 212 PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS. on comprend facilement que le tremblement soit à peine appréciable ou mêmefasse complètem
muscle antagoniste des contractions, rhythmiques qui constituent le tremblement ; , .. z 5° Le tremblement spontané, généraleme
ctions, rhythmiques qui constituent le tremblement ; , .. z 5° Le tremblement spontané, généralement limité^, un muscle ou à
soin à ce moment et sommes frappé de voir qu'elle ne présente aucun tremblement même limité, qu'elle n'a aucune convul- sion ch
int de grandes douleurs à la tête, au cou et dans tous les membres. Tremblement léger de la lèvre inférieure et de la langue. L
lare qu'il a toujours été ner- veux et qu'il a souffert beaucoup de tremblement des membres, d'embarras de la tête et d'humeur
dans les membres. En ces dernières années, elle mentionne un léger tremblement de la tête ainsi que des mains et des pieds. Vo
indemne (peu ou pas de symptômes chez notre malade, à part quelque tremblement des mains). Puis, peu à peu la compression exer
viation de la tête et des yeux vers la droite. Vers la fin de juin, tremblement choréiforme de la main droite, contracture dans
r P..., fille de huit ans. Six semaines avant l'entrée à l'hôpital, tremblement , déviation de la bouche à gauche, ptosis de la
ntégrité des fonctions vésicales, rectales, psychiques ; absence de tremblement ou d'amaurose. L'ataxie statique de Friedreich
tone ; et celles de la paralysie générale (délire des grandeurs, tremblements fibrillaires de la face et de la langue, agitatio
ue entière pour tout effort musculaire.- Anesthésie, hyperesthésie, tremblements , modifications de la température, atonie, etc.,
, on trouve quelques détails sur les crampes, les contractures, les tremblements , les secousses, les névral- gies, los phénomène
urs occupations; quelquefois on observe' à la suite de l'accès un tremblement .des membres paralysés, qui petit d'ailleurs se
(propriétés vaso-dilata- trices du), par Jolct et Laffont, 280. Tremblements (pathogénie des), par Debove et Boudet de Paris
23 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
Ce tressaillement ne le quittait jamais cependant, non plus que le tremblement de la langue, et la parole était toujours incom
B..., après une nuit assez tranquille s'est réveillée agitée par un tremblement choréique occupant plus spécialement certaines
Grand..., malade dont nous rapportons l'histoire plus loin, à un tremblement des lèvres. (OBS. XVII, p. 27.) Observation XVI
es, migraines (céphalalgie violente avec vomissements glaireux) ; tremblement de toute la tête vers trente ans augmentant par
emps, il fait entendre une espèce de bourdonnement produit par le tremblement des lèvres. Il évite généralement les obstacles q
- congestion de la face, mais sans cyanose; - course accompagnée de tremblement bilatéral de la tète et d'un bourdonnement résu
et d'un bourdonnement résultant 46 DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. du tremblement labial; - frottement de l'une ou des deux joues
les deux tiers supérieurs. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 53 facile; tremblement fibrillaii'e de la langue' assez marqué] pas de
facile; tremblement fibrillaii'e de la langue' assez marqué] pas de tremblement labial. i , Cou : .circonférence : 36. - Tronc,
server sa connaissance. Peu après, le malade, hébété, est pris d'un tremblement gé- néral; il s'incline en arrière, puis la jam
ncore à plusieurs reprises de nouvelles secousses et d'une sorte de tremblement fibrillaire avec tapotement du talon gauche. Ré
mmissure labiale gauche est tirée à gauche; pas de déviation, ni de tremblements de la langue. Parole libre ; pupilles égales, n
est quelquefois grand galeux. Léger embarras de sa parole; pas de tremblement des lèvres et de la langue. 62 de l'épilepsie P
notes de l'école et son écriture. La parole est un peu traînante ; tremblement de la pointe de la langue. En décembre, on cons
ment de la pointe de la langue. En décembre, on constate un léger tremblement de la langue et des lèvres, de l'embarras de la
soixante ans, assez grande, brune, fait son ménage, ' Début par un tremblement , pas de délire. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 123
biller, le déshabiller. - Il bave etsnce. Pupilles égales. - Pas de tremblement de la langue. Aucune parole; il ne se rend null
constatait une répétition des mots avec accompagnement brusque d'un tremblement extraordinaire de l'intonation. L'articulation
otion involontaire, rotation, dé- marche chancelante, bégaiement et tremblement de la parole. Les phénomènes procursifs diffè
tales du cervelet, nous citerons les mouvements de rotation et le tremblement . Chez les pigeons, Mitchell et Richardson aurai
ique. - Emotion de la mère, trois semaines avant l'accouchement, et tremblement consécutif. - Parésie et tremblement du malade
aines avant l'accouchement, et tremblement consécutif. - Parésie et tremblement du malade dès sa première enfance. - Placé en h
onnée parla mort de son second enfant. Elle au- rait été prise d'un tremblement qui a duré trois semaines, jusqu'à l'accoucheme
it asphyxié. Elevé au sein par sa mère, sevré à vingt-huit mois. Le tremblement aurait été remarqué de suite et serait de nais-
moins chez ses parents. - On attribue sa maladie à l'émotion et au tremblement survenus à la fin de la grossesse. « Ma mère a
bre. Le malade a continué régulièrement les douches; il dit que son tremblement diminue et qu'il ne se sabre plus autant en man
e la bouche involontairement. D... peut la maintenir allongée, sans tremblement durant un assez longtemps, la porter à gauche e
ste de la remplir, il la porte à la bouche vivement et presque sans tremblement . Une fois l'act exécuté une fois, il le répète
he : à partir du début de l'acte, dans la sclérose en pla- ques, le tremblement va sans cesse en augmentant et souvent les mala
des ne peuvent atteindre le but. Chez nos malades, au contraire, le tremblement parait moins accusé à partir de l'instant où le
t où le verre est saisi, jusqu'à son arrivée à la bouche. Enfin, le tremblement s'aggrave de plus en plus à mesure que la sclér
yeux l'exagère considérablement, tandis que chez l'athéto- sique le tremblement ne va pas en s'accroissant du point de départ a
éralise ensuite plus ou moins rapidement; dans l'athétose double le tremblement paraît atteindre son maximum d'intensité et d'é
. La marche des deux maladies n'est pas non plus compa- rable. Le tremblement reste à peu près toujours le même chez l'athéto
membres, 921 ; - Epilepsie, 593; - Convulsions, danse de St- Guy, tremblements , catalepsie, /il ; - Crétinisme, idiotisme, imb
24 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
membres supérieurs et des mo- difications dans l'écriture, un léger tremblement statique de la tête appa- rurent peu après ; be
t bonnes. Mais ce que vous constatez surtout, messieurs, c'est un tremblement statique des deux jambes, une grosse incoordina
pas d'atrophie musculaire, réflexes osseux et tendineux abolis. Un tremblement statique bien marqué rend l'écriture impossible,
ion debout, qui lui est impossible. La tête est agitée d'un léger tremblement statique et la parole est lente et saccadée. Il
blement statique et la parole est lente et saccadée. Il n'y a aucun tremblement de la langue, ni des lèvres, et pas de troubles
e jamais l'incoordination motrice que vous venez d'observer,mais un tremblement provoqué par les mouvements intentionnels. Tand
ition musculaire, cutanée, de la forme du rachis, etc. L'absence de tremblement intentionnel, de nystagmus, de scansion exclut la
osité psychique et physique. Impressionnable, émotive, sujette à un tremblement oscillatoire, rhythmique, latéral de la tête à pr
taxo-spaslllodique de la sclérose en plaques, mais n'a pas trace de tremblement volitionnel, pas d'exaltation des réflexes, pas
ellectuels, pas de vertiges, pas de mouvements incoercibles, pas de tremblement céphalique, pas de trouble de la vue, pas de tr
illaires, une ébauche de nystagmus, aucun déficit sensoriel, pas de tremblement volontaire des membres supérieurs, mais seuleme
nts volontaires sont absolument normaux, il n'y a pas de vestige de tremblement . Quand cet homme est immobile dans la station deb
ments des membres inférieurs, il n'existe pas d'asynergie. Un léger tremblement statique agite la jambe lorsqu'elle est étendue.
'atrophie musculaire. Aux membres supérieurs, on ne constale pas de tremblement intention- nel, mais un tremblement statique lé
périeurs, on ne constale pas de tremblement intention- nel, mais un tremblement statique léger, qui s'exagère dans l'attitude du
IE DE 1'ltIt ? U ! tI : ICII ET llÉnÉDO-.\TAXOE CÉRÉBELLEUSE 125 un tremblement marqué ; les mouvements sont imprécis ; le malade
ues cutanés. La parole est lente, embrouillée, un peu scandée, sans tremblement ,ni des lèvres, ni de la langue. Dans le domaine
La parole est un peu plus lente et plus scandée. Il existe un léger tremblement des 126 RAYMOND Le même syndrome, moins l'aff
n plaques, notre malade a très peu de points de res- semblance : le tremblement encore n'est-il pas intentionnel ; la démar- ch
les à des mouvements athétosiques. A part cela, on ne constate ni tremblement au repos, ni atrophie muscu- laire, ni autre tr
fois à un an d'intervalle. il y a 2 à 3 ans, pituites matinales et tremblement des mains à la suite des excès de boisson. Ve
comme la parésie ou la paralysie de quelques-uns de ces muscles, le tremblement localisé, une altération de l'irritabilité muscul
odique et une forme t ? 'ému{ente,comme l'ataxie loco- motrice avec tremblement . D'ailleurs, nous trouvons dans l'ataxie professi
e le syndrome paralysie générale au complet : inégalité pupillaire, tremblement de la langue, embarras de la parole, tremblemen
galité pupillaire, tremblement de la langue, embarras de la parole, tremblement des mains plus marqué à droite, exagération des r
e malade. Les muscles de la face et de la langue sont le siège d'un tremblement spas- modique. A ce moment, les réflexes pate
, abolition des réflexes pupillaires à la lumière et aux distances. Tremblement fibrillaire de (1) Léri, Etude du nerf optique
inégalité pupillaire, signe d'Arg,yl-Hoberlson, nystagmus latéral, tremblement de la langue, hésitations de la parole, aboliti
un peu diminuée. La force musculaire est diminuée surtout à gauche. Tremblement généralisé. Pas de signe de Romberg, pas de tro
es sont au complet : inégalité pupillaire, embar- ras de la parole, tremblement de la langue, exagération des réflexes patellai-
xagérés aux quatre membres. Les membres et la langue sont animés de tremblement à oscillations éten- dues et rapides. Les réf
ie de frictions à l'alcool sur la colonne vertébrale dorsale que le tremblement dispa- raît et que soeur M. I... retrouve sa fa
our de ses voyages 286 BONNUS d'inspection, voyages fatigants, le tremblement de la main droite pendant l'écriture, apparaît,
e plus dur, la main droite recommence à trembler, puis peu à peu le tremblement disparaît pour faire place à de petites secouss
le écrivait dans les circonstances que nous avons rapportées, et ce tremblement persiste sans changement aucun, jusqu'au moment
jusqu'à l'âge de 5 ans, a été pris alors d'étourdisse- ments et de tremblement nerveux dans les jambes, qui lui rendaient la sta
tion debout difficile. 3. Une soeur du père présente également du tremblement dans tous les mem- bres, elle peut à peine teni
peu s'est développée une paraplégie spasmodique, s'accompagnant de tremblement des mains. La parole était mal articulée, lente
sie. Etat spasmodique marqué des jambes. Faiblesse des mains sans tremblement . Exagération des réflexes tendineux des membres
e et est très maladroit. Après une fatigue légère, il est pris d'un tremblement généralisé qui, aux membres supérieurs, s'exagè
acial inférieur gauche : impossibi- lité de siffler, de souffler. Tremblement des lèvres dans l'effort pour ouvrir la bouche.
, et quand on le met debout, il se tient raide et est secoué par un tremblement généralisé. Attitude du malade assis sur une ch
e des pieds est défectueuse. Tout mouvement un peu fort provoque un tremblement , à oscillations courtes et de peu d'ampleur, gé
exes rotuliens très exagérés, la per- cussion du tendon provoque du tremblement et du tétanos. Clonus du pied. , Réflexe de B
usculaire bien conservée, sauf dans l'acte de serrer les mains. ' Tremblement de la main quand on fait étendre les doigts, droi
la main quand on fait étendre les doigts, droits et gauches. Pas de tremblement dans l'acte de porter le verre à la bouche. Con
f, Naef, Krafft-Ebing, Spiller, Jendrassik, Raymond et Souques). Le tremblement des mains n'existe pas au repos, il est donc inte
ade d'étendre les mains en écartant les doigts. Nous pensons que ce tremblement est l'analogue de celui qu'on observe aux membr
N SPASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILIALE 411 Certains symptômes (parole, tremblement des mains, contracture) pourraient à un examen
joindre. Ainsi, chez la première malade deKojevnikoff, on trouve du tremblement généralisé après la fatigue ; chez les malades de
n 1866 : mouvements des jambes possibles, mais lents et tremblants. Tremblement des bras dans les mouvements. Expression stupide
rde en haut, il se pro- duit un clignottement rapide des paupières. Tremblement intentionnel aux bras. 1874. Impossibilité de
. Schl..., homme de 25 ans. Peu intelligent dès l'enfance. A 15 ans tremblement des mains qui augmente peu à peu. Diminution des
orientation bonne. Dépression morale avec pleurs. Rien aux yeux, tremblement fibrillaire de la langue. Tremblement et se- co
e avec pleurs. Rien aux yeux, tremblement fibrillaire de la langue. Tremblement et se- cousses dans la musculature faciale. Réf
accrocs. Le voile du palais se lève bien. Fatigue rapide des mains. Tremblement même au repos, s'exagérant dans les mouvements
ciés. Réflexes tendineux vifs. Aux membres inférieurs, ni spasme ni tremblement . Démarche particulière : soulèvement à chaque p
.., femme de 32 ans. Dès l'enfance, intelligence médiocre. A 16 ans tremblement des mains et de la figure ; diminution de l'intel
actère très colère, rires et pleurs sans cause. Expression hébétée. Tremblement continuel des paupières infé- rieures et des mu
récis nous manquent, mais qui parla dif- ficulté de la marche et le tremblement peut faire penser à une affection 'spasmodique.
lo-spasmodi- que, de la parole saccadée, de nystagmus et parfois de tremblement inten- tionnel (obs. de Cestan et Guillain, de
nsion. Il en est de même dans l'observation de Pauly y et Bonne. Le tremblement intentionnel qui est noté dans les observations
e, y est signalé comme léger et il faudrait savoir s'il s'agit d'un tremblement analogue à celui de la sclé- rose multiple. D
six jours après le début de cette maladie le malade s'aperçut d'un tremblement aux membres supérieurs. Guéri du choléra sortit
Tenon, Andral, Bicêtre, (1895). Depuis son admission à Bicêtre, le tremblement à augmenté toujours d'intensité. Examen à son
lontaires, le tremblcmcii '' r ? ¡,If' comme un des plus classiques tremblements intentionnels. La parole est scandée. Avant cer-
très difficilement, mais les bras ont conservé leurs mouvements. Le tremblement est très marqué aux mains : le malade ne peut a
ende- main. Résumé CLINIQUE. Raideur progressive dans les jambes, tremblement in- tentionnel, nistagmus, parole scandée, dipl
té progressive (jusqu'à 8 gr. par jour), ce qui fit disparaître les tremblements fibrillaires et enraya complètement la maladie.
che il donne 15, mais la préhension est impossible du côté droit. Tremblements fibrillaires très marqués et très étendus dans to
a prédisposition héréditaire, le père alcoolique, nerveux, agité de tremblements continuels, ayant fini ses jours à Bicêtre ; c'
n fils a 16 ans et lui-même en a 19, non 32. Le langage est empâté. Tremblement de la langue et des mains. Réflexes patellaires
ans les muscles examinés : pas de contractions fibrillaires, pas de tremblement , pas de spasmes, pas de tics, pas de contractur
s tuberculeux ; les sommets de M.... sont intacts. Amyotrophies. Le tremblement fibrillaire et la réaction de dégéné- rescence
25 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
quatre heures : c Atteint de mélancolie aiguë d'origine alcoolique, tremblement des mains, de la langue et des muscles de la fa
rtiges, dyspnée, accélération du pouls, exagé- ration des réflexes, tremblements musculaires, etc. La durée des accidents aigus
ro- gressive ayant débuté par des symptômes d'ataxie locomotrice. Tremblement fibrillaire de la langue et des muscles. Inégalit
03. Affaiblissement des facultés mentales. Em- barras de la parole. Tremblement . Paralysie générale. Signé : Dr PACTET. Antéc
ltés; 2° pas d'inégalité pupillaire. Pas de signe de Robertson ; 3° tremblement de la langue. Troubles de la parole caractérist
° tremblement de la langue. Troubles de la parole caractéristiques. Tremblement de.s mains; 4° pas de signe de Romberg. Pas d'i
26 avril 1893. Troubles de la marche. Station debout peu so- lide ; Tremblement des jambes. Pas d'ataxie proprement dite, mais
hésitation dans la marche ; surtout quand il tourne sur lui-même. Tremblement des membres supérieurs. 25 octobre 1893. Exagér
ne sont cependant pas abolis, mais seulement affaiblis. Gâtisme. Tremblement à larges oscillations irrégulières de tous les mu
uelques secondes à quelques minutes, accompagnée d'une anxiété avec tremblement général ou partiel. Cette amyos- thénie est due
ements, des fourmillements qui lui parcourent le corps, et un léger tremblement des membres. Du - côté de l'abdomen elle a des
rygmes intestinaux douloureux. Dans les intervalles des accès, le tremblement persiste, la malade se sent très faible, et ell
générale, en un état lipo- , thymique avec battements artériels et tremblement général. J'ai repris les injections et après la
RMETTANT D'ENREGIS- TRER TOUS LES TREMBLEMENTS; EN PARTICULIER LE TREMBLEMENT DE LA LANGUE ET DE CERTAINS MUSCLES COMME L'ORB
es asiles de la Seine ; ex-préparateur à la Faculté de médecine. Le tremblement des membres et du corps dans les diffé- rentes
quement par des appareils donnant pour la plupart le gra- phique du tremblement relatif et non du tremblement absolu; quant au
ant pour la plupart le gra- phique du tremblement relatif et non du tremblement absolu; quant au tremblement de la langue ou de
hique du tremblement relatif et non du tremblement absolu; quant au tremblement de la langue ou de certains muscles superficiel
e de Ch. Verdin, novembre 1890, fig. 136), dans son Elude sur les tremblements (Thèse d'agrégation, Paris, 1872), et. dont se
comprend facilement qu'avec cette technique on n'enregistre que le tremblement relatif de la main tenant le tambour (c'est-à-d
r (c'est-à-dire en état de contraction musculaire). Je dis que le tremblement ainsi obtenu est relatif, car il faut une secouss
e). la masse pesante, ne se trouveront pas enregistrées. Quant au tremblement à l'état de repos il n'est pas permis d'en avoir
en avoir le graphique. M. le D'' Dutil, danssonetude clinique des Tremblements hys- tériques (Thèse de doctorat. Paris, 1891),
que l'on fixe solidement sur la surface dont on se propose rig. 4. Tremblement de la main chez un Pailiiiisoii. ENREGISTREMENT
4. Tremblement de la main chez un Pailiiiisoii. ENREGISTREMENT DES TREMBLEMENTS . 163 d'enregistrer les oscillations ». Avec ce
strer les oscillations ». Avec ce procédé on obtient le raphique du tremblement sans que le malade ait à faire le moindre effor
e malade ait à faire le moindre effort. Néanmoins c'est toujours le tremblement RE- LATIF qui est enregistré et non le tremblem
'est toujours le tremblement RE- LATIF qui est enregistré et non le tremblement absolu ; une certaine partie du travail étant e
ulaire du muscle sur lequel porte le tambour myographique et non le tremblement du membre dans sa totalité. Fubini (Novo metodo
l. XXVII, 391-339) décrit un ap- pareil permettant d'enregistrer le tremblement absolu de la main ET DE L'AVANT-BRAS seulement,
ts de la langue lorsqu'elle reposesur le plancher buccal ; quant au tremblement fibrillaire, au tremblement VERMI- culaire, il
reposesur le plancher buccal ; quant au tremblement fibrillaire, au tremblement VERMI- culaire, il n'est pas possible d'en obte
ulaire des lèvres, de la langue maintenue hors de la bouche Fig. 5. tremblement de la langue hors de la bouche dans l'alcoolism
ngue hors de la bouche dans l'alcoolisme aigu. ENREGISTREMENT DES TREMBLEMENTS . 165 ou dans la cavité buccale, nous avons été
er un appareil donnant A. lui seul les graphiques de ces différents tremblements . Notre appareil se compose (fig. 6) de deux tam
urs par un même point d'un axe, autour duquel se produiraient les tremblements de la langue ou des membres; et encore, dans ce
poulie et de sa tige, et, au moment où nous voudrons enregistrer le tremblement , il nous suffira d'appuyer sur le ressort R pou
d'horlogerie avec régulateur de Foucault. ' Technique. 1° POUR LE tremblement DE la langue et DE L'ORBICULAIRE DES LÈVRES : a
nt (fig. 6), en ayant soin de fixer au préalable la tête du Fig. 7. Tremblement de l'orbiculaire des lèvres dans la paralysie g
Exemple : fig. 5, fig. 6 et fig. 7. ( Vitesse lente.) 2° Pour LE tremblement des membres : accrocher l'ha- meçon à la pulpe
çon à la pulpe d'un doigt ou à un point quelconque du membre. Si le tremblement se fait plutôt dans le sens verti- cal, dispose
, disposer l'appareil comme dans la figure 4 ; si au con- traire le tremblement s'exécute surtout dans le plan horizon- tal, di
tal, disposer l'appareil comme dans la figure 3. > 3° Pour LE tremblement du corps : le malade étant cou- ché ou assis, s
ou assis, se servir de l'appareil comme pour l'enregistre- ment du tremblement de la langue (fig. 3). > Tous les graphiques
p. 69. ' Rouillai d. Essai sur les amnésies, 1885, p. 84. Fig. 8. Tremblement vermiculaire de la langue dans la - paralysie g
s souvent. Les autres symp- tômes de l'empoisonnement consistent en tremblements et anai- blissements des extrémités, ataxie, mo
diagnostic de sclérose en plaques a été établi sur l'existence d'un tremblement intentionnel, la parole nettement scandée, l'ex
onne vertébrale; nys- tagmus, sans autre trouble visuel; parfois du tremblement de la tête; embarras de la parole consistant su
moteurs, paralysies, contractures, tics et mouvements choréiques, tremblements , certaines amnésies et aboulies, les attaques, le
toxine diphtéritique, il persiste des symptômes paralytiques et du tremblement qui semblent indiquer des lésions nerveuses cen
oeur de dix ans, offre de l'exagération des réflexes rotu- hens, du tremblement intentionnel, un léger degré de scoliose, de la
'accélération de la respiration, les troubles de l'innervation, les tremblements musculaires, les vertiges, des troubles circula
Saint-Louis, il aurait eu une attaque de nerfs, caractérisée par du tremblement et de la congestion du visage, précédés d'aura ép
pouvoir pisser et a été pris de- vomissements, d'étouffements avec tremblement , d'une véritable attaque de nerfs. Il urine sou
mwell, 127. Tonus palatinus chez les aliénés, par Ferrari, 129. Tremblement hystérique, par Del- mas, 41 ; enregistrement d
26 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
loureuses ou indolentes, soit par des contractions cloniques ou des tremblements , soit par une paralysie*, qui se manifestent se
e des écrivains,pas plus qu'à l'agitation choréi- que ou aux divers tremblements : car le désordre du mouvement, qu'on observe d
s convulsions toniques, soit des secousses c Ioniques ; parfois des tremblements et parfois encore des troubles parétiques. Mais
ée, et si Je courant dure un certain temps, les doigts sont pris de tremblement et d'une crampe persis- tante. » Mais Vaschid
s ; à un deuxième, z de deslruction partielle, appartiendraient les tremblements ; un troisiè- me, de destruction complète, produ
e même plusieurs cas de crampes profession- nelles avec douleurs et tremblement , chez des tailleurs et des cordon- niers, cas o
nte que son grand-père paternel, et son père, étaient atteints d'un tremblement continu des mains, qui les gênaient dans leurs
absolument illisibles, tant était grande son émotion qui amenait du tremblement des mains. Lorsqu'il dut signer, en public, son d
ns. Lorsqu'il dut signer, en public, son di- plôme de bachelier, ce tremblement de la main fut tel que la signature fut tout à
est marié, et a uue petite fille de 10 ans, qui, dit-il, a un léger tremblement des mains. Sa maladie actuelle a commencé en 18
lui d'écrire, le malade est très adroit de ses mains ; il n'a aucun tremblement , pas plus au repos qu'à l'extension des doigts
y a un an, la suite d'une vive contrariété, il fut pris d'un léger tremblement en écri- vant, et il remarqua qu'en même temps
résie avec paralysie croisée du nerf oculo-moteur commun et avec le tremblement des extrémités paraly- sées. Mais les troubles
accident ; pas d'avortements. Nie l'alcoolisme, ne présente pas de tremblement ; pas d'artério-sclérose précoce, CONTRIBUTION
e exagérée, on trouve le signe de Bahinski positif. Il n'y a pas de tremblements , ni de rétractions musculo-tendineuses. Les sph
difficulté. La force musculaire est très diminuée. Il n'y a pas de tremblements , de rétractions tendineuses. C'est encore à la
naïves s'imaginent encore que ce sont les dieux qui produisent les tremblements de terre et provoquent des dé- sastres, puisqu'
uin spasmodique, et flexion des doigts de la main droite avec léger tremblement chaque fois que le malade, tailleur de pierres de
le. xxii 13 3 J 9O MAC DE LÉPINAY commença à ressentir un léger tremblement en écrivant, puis survinrent quelques contracti
istinguait quatre variétés : ]'akinpsie, les troubles de stabilité ( tremblements ), l'ataxie, et l'7apewinésie (crampes ou spas-
n facies est vultueux ; la parole est saccadée ; il existe un léger tremblement éthyli- que des mains ; le sommeil est agité pa
852, a bien étudié cette variété de crampe des écrivains : c'est un tremblement tout spécial de la main au moment de tracer les
lement tout spécial de la main au moment de tracer les lettres ; ce tremblement est oscillatoire, et « consiste en un mouvement
publie six observations très documentées se rapportant toutes à ce tremblement oscillatoire. Quelquefois le tremblement, au li
e rapportant toutes à ce tremblement oscillatoire. Quelquefois le tremblement , au lieu de se passer dans la main, est produit
n du bras ; c'est un véritable mouvement penduliforme (Wilde). Le tremblement est d'abord arrêté par la volonté, mais bientôt i
E SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 203 Un caractère important de ce tremblement est qu'il ne se produit qu'à l'occasion de l'éc
aux névroses coor- dinatrices d'occupation et de le distinguer -du tremblement delà sclérose en plaques, de la paralysie génér
lysie générale, de l'éthylisme, de la sénilité, etc. Cette forme de tremblement exclusivement limité à l'acte d'écrire est rare
'occasion, à la Salpêtrière, d'observer un malade qui présentait un tremblement très marqué de la main droite, tremblement qui
malade qui présentait un tremblement très marqué de la main droite, tremblement qui ne se manifestait que pour écrire, ou jouer
ns, comptable, vient consulter le Dr Voisin en février 1907 pour un tremblement de la main droite qui l'empêche absolument d'éc
C'est à la suite d'une vive discussion avec un de ses chefs que le tremblement est apparu, généralisé à tout le corps, comme u
e mani- festant que dans certaines conditions. Au repos en effet le tremblement n'existe pas ; il commence à se montrer si l'on
Crampe des écrivains. Forme trémulente. 206 - MACÉ DE LÉPINAY Le tremblement cesse lorsque le malade abandonne la plume ; il n
une ponction lombaire est négative. On porte donc le diagnostic de tremblement fonctionnel (crampe des violonistes et des écriva
ez un obsédé. Revenu quelque temps après, M. A... voit plutôt son tremblement de l'écriture augmenter ; le tremblement est to
s, M. A... voit plutôt son tremblement de l'écriture augmenter ; le tremblement est toujours exactement limité ri l'acte d'écri
a raideur dans l'avant bras et le bras. Tout le membre s'anima d'un tremblement peu étendu qui ne dura que quelques secondes, p
é de 13 ans, vient consulter le Dr Voisin le 2 février 1907 pour un tremblement du bras droit, apparu brusquement un mois aupara-
connaissance ; il pleure et rit pour la moindre chose. Au repos, le tremblement cesse presque complètement; la nuit, il disparaît
és de va et ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 209 vient ; le tremblement s'exagère beaucoup lorsque le malade est ému, et
écrire ; et la plume devient inapte à tracer les mots (fig. 5). Le tremblement diminue dès que le malade repose la plume ; il es
prendre un objet, de porter un verre à la bouche, etc. Au début le tremblement a atteint égale- ment le membre supérieur gauch
i au tronc, ni aux membres inférieurs. Se basant sur ce fait que le tremblement n'est pas exclusivement limité à l'acte d'écrire,
nature hystérique. On agit donc par la per- suasion pour arrêter le tremblement ; on ordonne des douches, et un long séjour à l
toniques ou cloniques, tantôt des phénomènes parétiques, tantôt du tremblement . Quoi qu'il en soit, le malade est dans l'impos
la matinée, et très fati- gué, éprouva dans la main droite un léger tremblement , perçu par un client qui lui en fit la remarque
client ; il avait peur de trembler, el il tremblait ; bien- tôt le tremblement se produisit également lorsqu'il lui fallait rase
agir sont l'avant-bras et la main. Il n'y a pas de contractures, de tremblements , de mouvements athétosi- formes. Le malade éc
éritable hypotonie. Aux membres supérieurs l'on peut noter un léger tremblement à caractère sénile. La peau est lisse, humide
pieds; on ne constate cependant aucun trouble paraplégique. Pas de tremblement de la langue et des extrémités. Pas de troubles
malade soulève les pieds au-dessus du sol, ceux-ci sont animés d'un tremblement à oscillations étendues et assez rapides. Les m
duction et adduction du pouce et alors se trans- forment parfois en tremblement non seulement des doigts, mais aussi de toute l
longues qu'ils tracent à main levée on ne remarque aucun indice de tremblement , tandis que leur écriture est peut-être déjà un
isées par le surmenage professionnel, réagiraient par un spasme, un tremblement , ou une paralysie, dans le territoire musculair
egungstorungen. Berlin, 1904. i. - 214. CAZENAVE. Observations de tremblements oscillatoires de la main droite guéri ' ou pall
aladie bronzée d'Addison (Archives générales de médecine, 1903). Du tremblement provoqué ou exagéré par l'opoihérapie surrénale d
ontaires, petits, menus, rapides, rythmiques, inin- terrompus et de tremblements . La main gauche présente une accentuation plus
lsifs se renouvelant par séries de quatre ou cinq, en moyenne, sans tremblement proprement dit, se propageant au bras et il l'é
rophique. 460 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANCHINI , Il n'y a pas de tremblement statique ni dynamique; pas d'ataxie, pas d'asyn
cipe peu ; le diaphragme est abaissé. Faiblesse des muscles du cou; tremblement de la langue. On observe aussi quelques signes de
e qui se produit immédiatement, est très accusé. Il n'existe pas de tremblement sensible au niveau des mains, mais la langue est
lement sensible au niveau des mains, mais la langue est animée d'un tremblement fibrillaire très prononcé. On ne constate pas e
peu plus large que la droite. Pas de véritable lagophtalmos. Pas de tremblement des paupières closes. Exophtal- mie légère du c
tombe sur le dos, il suffoque, se cyanose et perd la conscience. Un tremblement suivi par des con- tractions fréquentes se prod
ments extrêmes surtout latéraux. En fermant les yeux il a de légers tremblements des paupières. Il n'y a aucun trouble du mouvemen
n d'anormal ; au niveau des pieds, elle est froide. II n'y a pas de tremblements ou mouvements fibrillaires. La résistance aux m
le membre supérieur droit on n'observe aucune attitude vicieuse, ni tremblement ou mouvement fibrillaire (au moment de l'examen).
sition de varus bilatéral associé à un léger équin. Il n'y a pas de tremblements ou mouvements fibrillaires (au moment de l'examen
des maladies nerveuses se plaignant de maux de tête, de vertige, de tremblement des mains et de faiblesse générale (10 octobre
27 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Mémoire abolie. Signes physiques : marqués de paralysie générale. Tremblement fibrillaire de la langue, des mains, des muscle
a mémoire est abolie, son inconscience est absolue. Bredouillement, tremblement fibrillaire de la langue, des petits muscles de
remblement fibrillaire de la langue, des petits muscles de la face, tremblement des mains. Réflexe rotulien exagéré. Grande fai
un sou. Excitation intermittente. " Signes physiques très marqués. Tremblement fibrillaire de la 12 ) ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
de la 12 ) ANATOMIE PATHOLOGIQUE. langue, embarras de la parole. Tremblement des mains. Réflexes rotuliens exagérés. Athérom
edreich, les affections céré- belleusés, les tics, les chorées, les tremblements , la maladie de Parkinson, l'athétose, les myôcl
s ovaires, boule hysté- rique, crises nerveuses, évanouissements et tremblements muscu- laires généralisés. Parallèlement à cet
ectives réactionnelles : angoisse extrême, respiration entrecoupée, tremblements généra- lisés, troubles vasomoteurs, rougeur de
à une reprise du traitement. G. C. XVIII. Paralysie agitante avec tremblement limité aux membres supérieurs; par M.-CoLLET. (
.) M. Collet rapporte une observation 'de paralysie agitante avec tremblement limité aux membres supérieurs, mais étendu à la
quante-neuf ans et n'a jamais été malade. Il se plaint seulement de tremblement , de rai- deur des membres et de la colonne vert
s à ces régions. - Les membres supérieurs sont intacts., . Pas de tremblement du larynx. La marche se fait à petits pas. Le m
teint excep- tionnellement la face. Licite quelques observations de tremblement facial dues à Grasset, Ilosentlal, Démange. Wol
al dues à Grasset, Ilosentlal, Démange. Wollenberg cite deux cas de tremblement des paupières ; Westphall un cas de trem- bleme
l un cas de trem- blement des lèvres ; Frederick lllüller un cas de tremblement , des muscles du larynx. G. C. XIX. Radiograph
SOCIÉTÉS SAVANTES. '199 et du faisceau pyramidal dans la moelle. Le tremblement inten- tionnel et le nystagmus ne sont donc pas
as de signes physiques contestables, tels que troubles pupillaires, tremblements de la langue, des lèvres, etc. A son entrée dan
. » Pas d'inégalité pupillaire. La langue ne semble pas animée de tremblement fébrilaire, mais ses mouvements sont très indéc
pas complètement et il la porte de droite à gauche et vice-versa. Tremblement des doigts. « Je travaillais, mais je tremble...
nts accompagnés d'éblouissements. Bourdonnements dans les oreilles. Tremblements des mains. Signe de mélancolie, ne veut plus so
u'à une action réflexe. M. H. XLIV. Un cas de sclérose en plaques à tremblement hémilatéral ; par Remlinger {Revue de Médecine
e Médecine 1899). Observation d'un cas de sclérose en plaques où le tremblement était limité aux membres supérieurs et inférieu
nets ne permettaient pas d'infirmer le diagnostic et d'attribuer ce tremblement à l'hystérie. M. il. XLV. Sclérose en plaques m
ec le tableau clinique d'une hémiplégie spasmo- dique avec un léger tremblement intentionnel du membre supé- rieur. L'étude h
nt dans l'extension des membres et ayant tous les caractères d'un tremblement hystéro-neurasthénique, ce tremblement était plus
ant tous les caractères d'un tremblement hystéro-neurasthénique, ce tremblement était plus accusé et plus diffus à l'époque où
que signature nouvelle la plongeait « dans la douleur extrême et le tremblement 6 ». Et, lorsqu'elle quitta les Ursulines, le 5
Nécrologe, 512, 330 HISTOIRE ET CRITIQUE. usage l'accompagnoit de tremblement 1 D; et, à propos de la signa- ture : Je trembl
ropos de religieuses qui avaient signé : 4 Cela m'a mis dans un tel tremblement et dans une crainte si terrible que Dieu ne m'a
de présente en outre un léger goitre avec tachycardie, et un peu de tremblement mais sans exophtalmie. 350 CLINIQUE NERVEUSE.
aile du nez, le front, la tempe gauche. La malade les compare à des tremblements électriques occasionnant des douleurs très vives
la rougeole. Au dixième mois on remarqua pour la première fois un tremblement des extrémités supérieures et de la tète. La mala
à la suite de la rigidité. Pendant le repos on ne remarque point de tremblement , mais dans les mouvements ce dernier apparaît,
réiques involontaires, point de tiraillements fibril- laires, ni de tremblement . Les réflexes des enveloppes muqueuses et des e
facile. Ou doit encore distinguer des tics certaines athétoses, les tremblements et les crampes professionnelles. Le pronostic d
esthé- sies, des terreurs nocturnes avec réveils angoissants, des tremblements , des secousses musculaires, des phénomènes vasc
de l'examen ; de la conversation, de manifestations exté- rieures ( tremblement , accélération des mouvements cardio-respi- rato
ralentir et accélérer le mouvement. Dans les deux cas, il existe un tremblement abasique, bien visible, quand le mouvement s'ad
complexes réussis- sent avec peine à cause de l'enchaînement et du tremblement , s'associant chaque mouvement volontaire et aug
ortes qu'elles font trembler le lit. Dans l'état-de repos, point de tremblement ou on ~ observe seulement des tiraillement isol
rdissement et une certaine faiblesse dans les bouts desdoigts et un tremblement avec faiblesse des membres inférieurs ; en 1891
des résultats favorables en rapport de l'affaiblissement marqué du tremblement , de l'amélioration de la parole et de la démarc
rier. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 533 LXXV. Formes cliniques du tremblement dans la paralysie agitante, par Collet (Société
. 15 janvier 1902). M. Collet a recherché les formes anormales du tremblement dans la paralysie agitante, ce symptôme étant u
echerches, l'auteur range en quatre groupes les formes anormales de tremblement : 1 ? Les cas où le tremblement est absent ; ,
e groupes les formes anormales de tremblement : 1 ? Les cas où le tremblement est absent ; , 2° Les cas où le tremblement s'é
t : 1 ? Les cas où le tremblement est absent ; , 2° Les cas où le tremblement s'étend à des parties du corps qu'il n'intéress
s du corps qu'il n'intéresse pas habituellement; 3° Les cas où le tremblement est unilatéral ; 4° Les cas où le tremblement,
t; 3° Les cas où le tremblement est unilatéral ; 4° Les cas où le tremblement , bilatéral d'abord devient unilaté- ral dans la
e à l'appui des observations de ces différentes formes cliniques du tremblement . G. C. LXXVI. Paralysies et crises laryngées da
membres intérieurs du même côté, par Duplant. 15. agi- tante avec tremblement limité aux membres supérieurs, par Col- let,
s encéphalites chroniques de l'enfance. Un cas (le - en plaques à tremblement hémilatéral, par Iielnlinner, 279. - en plaqu
28 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
incontinence ni de rétention des urines et des matières fécales. Le tremblement alcoolique est très marqué aux mains et à la fa
orps, entre à l'hôpital avec une parésie des membres inférieurs, du tremblement , de l'amnésie et de la torpeur cérébrale. Un jo
es douches se produisit régulièrement une hémiplégie accompagnée de tremblement puis de ptosis de la paupière droite. Accidents
n des pupilles à la lumière, très légère faiblesse du facial droit, tremblement des mains, violente céphalalgie. REVUE DE PATHO
(sommation). NI. Gudden, se basant sur l'agitation, l'angoisse, le tremblement 62 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des mains, l
par des palpitations, auxquelles s'ajoutèrent ultérieu- rement des tremblements nerveux, elle se compliqua, un beau jour de la
pour la première fois est apparu un accès d'angoisse immotivé, avec tremblement nerveux, qui dura une demi-heure et REVUE DE PA
ns : paralysie chez un marchand de nouveautés crampe des pianistes, tremblement des brodeurs à la machine et crampe des télégra
nerveuse d'où spasme ou crampe, destruction nerveuse partielle d'où tremblement , destruc- tion complète d'où paralysie. L'auteu
e avec diplopie (hémiplégie spasmodique gauche), réflexes exagérés, tremblement intentionnel, diminution de la sensibilité, tro
chezune femme de soixante-seize ans. M. FARTEZ rapporte un cas de tremblement aux allures de trem- blement sénile, mais en ré
e de quelques-unes de ses causes provocatrices habituelles. ' Les tremblements sont, chez les vieillards, trop souvent diagnos-
, alors que parfois ils sont simplement hystériques. D'ailleurs, le tremblement sénile proprement dit n'est pas toujours dû. à
dû. à l'affaiblissement ou au grand âge; on tend à le rapprocher du tremblement hystérique et du tremblement héréditaire et à f
grand âge; on tend à le rapprocher du tremblement hystérique et du tremblement héréditaire et à faire entrer ces trois espèces
Les oscillations sont très rapides, près de 100 à la minute. Léger tremblement latéral du membre supérieur droit. De temps à a
232 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lade croit qu'elle va mourir Un tremblement à petites oscillations accompagne la crise qui
gement, faibles, suffisent néanmoins pour la vie de chaque jour. Le tremblement de la parole, de l'écriture, de la langue, l'in
ment marqué. Incontinence d'urine. Pas de troubles oculaires ni de tremblement . Les troubles de la parole et l'affaiblissement
ue je sentais mes jambes lourdes comme du plomb et agitées d'un tel tremblement que je ne pouvais plus bouger, j'étais envahi p
ésagréable que le sang mye montait à la tête, me causait parfois du tremblement et tout effort était sans fruit. Naturellement
t une terreur intérieure. Je me sentais envahi par l'angoisse et le tremblement et le sang me montait à la tête à tel point qu'un
ps et je sentais lorsque je me levais, cette pénible lourdeur et le tremblement dans les jambes. Je me réjouis lorsque je parti
re est si exaspérée que le plus léger contact des poils provoque un tremblement général convulsif du corps : l'auteur a retrouv
es phénomènes réactionnaires suivants : clignotement des paupières, tremblement des lèvres, mouvements choréiques, etc. Avec M.
ïde a augmenté de volume, se plaint de vifs battements de coeur, de tremblements des mains, d'une sensation de compression au co
s tels que la rougeur de la moitié de la face correspondante, ou un tremblement exclu- sivement lié à la douleur. Quelquefois d
1.- Jeune homme de dix-sept ans et demi, affecté de titubation, de tremblement intentionnel, d'exagération des réflexes tendin
R. BERNARD. (z\'ozw. leozzogr. de la Salpêtrière, n° 4, 1901.) , Tremblement par accès fréquents chez un jeune homme, fils d
pas, notamment, de trem- blement des lèvres et de la langue, pas de tremblement des mains, pas d'embarras de la parole. Elle ne
désordre extrême des propos et des actes, embarras de la parole et tremblement fibrillaire des muscles de la face et de la langu
, perte de la mémoire, idées délirantes de grandeur et de richesse, tremblement des mains, diminution notable de l'acuité visue
de la langue mouvement de trombone manifeste embarras de la parole, tremblement des mains. La mémoire ne semble guère atteinte.
ssive, arrivée à une période très avancée : inégalité pupil- laire, tremblement de la langue et des petits muscles de la face,
laire, tremblement de la langue et des petits muscles de la face, tremblement des membres, embarras de la parole, perte de la
il, possesseur de plusieurs millions. Embarras marqué de la parole, tremblement de la langue et des lèvres. Malade atteint de d
urs, le trouble de la mémoire subsiste. Rien du côté de l'écriture. Tremblements des mains et de la langue, à rat- tacher, de mê
constate, au point de vue physique, de l'inégalité des pupilles, du tremblement des mains et de la langue, l'exagération des ré
ogie avait consisté en un syndrôme de Weber avec démarche ébrieuse, tremblement intentionnel semblable à celui de la sclé- rose
ns, atteint de tous les signes de l'hydrargyrisme chronique avec le tremblement classique intentionnel, rémittent sans troubles
réflexes ni sensitifs. Songeant aux deux théories pathogéniques du tremblement mercuriel (tremblement directement organique, ou
Songeant aux deux théories pathogéniques du tremblement mercuriel ( tremblement directement organique, ou Archives, 2' série, t
ue, ou Archives, 2' série, t. XIII. , 33 514 SOCIÉTÉS SAVANTES. tremblement secondaire par hystérie d'origine toxique), les a
injecté à des cobayes, il produisit des mou- vements convulsifs. Le tremblement mercuriel serait donc bien directement organiqu
gnostic des formes unilatérales de la maladie de Parkinson avec les tremblements prac et post hémiplégiques. Le diagnostic avec
les tremblements prac et post hémiplégiques. Le diagnostic avec les tremblements præhémiplégiques se fera : par les caractères,
émiplégiques se fera : par les caractères, le siège et la durée des tremblements , par les commémoratifs. Les deux principaux tre
durée des tremblements, par les commémoratifs. Les deux principaux tremblements post-hémi- plégiques, pouvant en imposer pour l
symptomatique se fera : par les 524 BIBLIOGRAPHIE. caractères du tremblement et spécialement, son exagération, par les mouve
mémoratifs : ictus, hémiplégie flasque et contractures précédant le tremblement . Les attitudes spéciales de l'hémiathé- tose em
29 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
re, à certaines époques de l'année. Ces frissons ca-ractérisés par un tremblement convulsif, par la cyanose et l'algidité des membr
chronique du rhumatisme. La paralysie agitante, ou tout au moins le tremblement , peuvent coïncider avec le rhumatisme chronique p
agnée d'un sentiment de crampes et de fourmillements, quelquefois, de tremblements dans les extrémités, et bientôt d'une rétraction
e ; la malade y éprouvait un senti-ment de faiblesse, et une sorte de tremblement nerveux. Peu à peu, ils se sont fléchis, contract
Biohf/ie, en 1863 et 1864, qui n'ont pas été publiées (Bj. 11. Du tremblement senile. Contrairement à l'opinion vulgaire, par
ent à l'opinion vulgaire, partagée du reste par quelques médecins, le tremblement sénile n'est pas commun. Une visite régulière, fa
it dans ce passage, de même que dans le précé-dent, aucune mention du tremblement . Ce n'est pas d'ailleurs seidement sur ce point d
laire dans la vieillesse, L. Fleury dit « que l'on observe souvent le tremblement sénile (2). » Dans un article consacré au trem-bl
est le résultat (de la vieillesse) dorme presque constam-ment lieu au tremblement » et qu' « il est rare de voir un vieillard qui n
compl. t. vu. Malad. des Vieillards. 3? decins n'ont pas indiqué le tremblement parmi les phéno-mènes qui caractérisent la vieill
del, Malcomson, Geist et Bibra : ces auteurs ne décrivent même pas le tremblement sénile, à titre d'état pathologique. Quelques cli
tres, Trous-seau. On a coutume, écrit-il, de dire que cet espèce de tremblement est un effet de la faiblesse que l'âge avancé ent
s, il ne l'est plus d'une ma-nière générale. D'une part, en effet, ce tremblement ne s'observe pas nécessairement chez tous les vie
hez des adolescents (1). Ainsi que le lait remarquer M. Charcot, le tremblement dit sénile n'est pas la seule affection que l'on
a montrées à ses auditeurs permet de voir en quoi consiste surtout le tremblement sénile. C'est principa-lement la tête qui est int
le ensuite une autre variété, celle-là un peu plus complexe. Outre le tremblement de la tête, on note une trômulation intéressant l
lapin » pour employer les expressions même de l'une des malades. Le tremblement envahit quelquefois les mains. Pourtant, nous le
exacerbations de ce trem-blement. Il importe de ne pas confondre le tremblement sénile avec les spasmes rhythmés des muscles du c
es muscles du cou, lesquels éclatent dans les mêmes conditions que le tremblement sénile. En pareille occurrence, la tête tourne to
n et d'extension, soit de mouve-ments de la mâchoire inférieure. Le tremblement sénile succède souvent à des émotions morales et
des malades que M. Charcot a présen-tées. Cas I. — Mag..., 70 ans : tremblement prédominant à la tête, ayant débuté subitement pe
quefois les jambes et le tronc tremblent. Cas II. — Ki..., 68 ans : tremblement de la tête surtout et du bras droit, survenu en 1
par la vue d'une « bombe » qui tua 5 ou 6 personnes en écla-tant. Le tremblement se compose de mouvements de latéralité, de flexio
lité, de flexion et d'extension de la tête. CasIII.—Men...,82 ans : tremblement intéressant principale-ment la mâchoire inférieur
et tomba dans une sorte de léthargie. Lors-qu'elle revint à elle, le tremblement avait diminué, et s'était circonscrit. Peu à peu,
est respectée, la parole normale. Il y a, chez cette femme, un léger tremblement des pouces qui l'empêche d'enfiler son aiguille.
ue de fa gauche. Rien du côté des jambes. CasIV. —Blon..., 71 ans : tremblement limité à la tête qui fait alternativement oui et
tremblement limité à la tête qui fait alternativement oui et non. Ce tremblement a paru en 1869, à la suite d'une peur déterminée
e faillit être écrasée. Quinze jours après, son mari s'aperçut de son tremblement : « On dirait, faisait-il remarquer/que tu dis to
dis toujours oui. » Quant à elle, elle ne s'était aperçu de rien. Le tremblement s'est aggravé progressivement et davantage de-
sivement et davantage de- puis qu'elle est à la Salpêtrière. Pas de tremblement des mains ou de la mâchoire (1). Cas V. —Pot...
remblement des mains ou de la mâchoire (1). Cas V. —Pot..., 84ans : tremblement delà tête, sans partici-pation de la mâchoire inf
buté il y a une vingtaine d'années. Pour terminer cette esquisse du tremblement sénile, nous dirons que, jusqu'ici Vanatomie path
oint à un autre, il y a de temps en temps un petit crochet et plus le tremblement est prononcé, plus nombreux sont les crochets.
lquefois sous le nom de chorée sénile et qui n'est autre chose que le tremblement sénile. ( Voir p. 576 ). M. Charcot fait voir plu
Voir p. 576 ). M. Charcot fait voir plusieurs malades atteintes de ce tremblement et signale les différences qu'il y a entre la cho
t et signale les différences qu'il y a entre la chorée vulgaire et le tremblement sénile (1). 1. Leçon résumée par Bourneville et
r l'ostéomalacie sénile................................. 485 II. Du tremblement sénile...........................................
219;—encéphalo-pathie, folie, migraine, chorée, pa-ralvsie agitante, tremblement , ataxie, 228. S Salive dans le rhumatisme aig
— cutanés, 63 ; — de l'oreille, 108, 419, 514; — traite-ment, 285. Tremblement , dans le rhumatisme, 228 ; — senile, historique,
30 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
relevés, la simple impression de l'air froid suffit pour amener un tremblement étendu des deux jambes. La plus petite percussi
si aigus'qu'inter- mitténts'el'passâgers. Autres' symptômes fièvre; tremblement pat- ¡ : Ïébrâ¡"m'èlÚ; t7thmiqué ? parfois' int
,pausé coûrte, 'iristantanée;' à la fei'meture ' des paupières.' Ce tremblement palpébral n'a fait 'défaut que ! chez deux mala
e dans le traitement de la paralysie agitante et de quelques autres tremblements ; le bromure et l'oxyde de zinc, le sul- fate de
5 ; Revision nosogrnphique des atrophies musculaires progressives : Tremblements , mouvements choréiformcs et chorée rhythmée ; A
e d'une fracture du radius; Sur un cas de migraine ophtalmique; Des tremblements hystériques ; L'oedème bleu des hystériques. -
e chez l'adolescent (leçon recueillie par Blocq) ; - Existe-t-il un tremblement mercuriel ? (ibid.). - 1893 : Le somnanbulisme hy
'engageant de porter la main sur la bouche, celle-là est prise d'un tremblement qui augmente d'amplitude avec l'étendue du mouv
lève sa tête, il est immédiatement pris de vertige accompa- gné de tremblement de tout le corps, avec raideur musculaire et co
ebout pendant quel- ques minutes. Je remarque en même temps, que le tremblement des mouvements intentionnels est moins accusé,
ole est un peu lente, mais peu scandée. On remarque encore un léger tremblement qui ressemble à celui des alcooliques, réflexes
ulaire est ' encore relativement bien conservée ; il n'existe aucun tremblement de la face ni des membres, aucune trace de cont
entant les signes cliniques de l'in- toxication aiguë ou chronique ( tremblements , délire spécifique, etc.); 1° les individus dev
ulaires, troubles sensitivo-sensoriels. Hémiplégies ou monoplégies. Tremblements limités à un membre ou à un seul côté du corps.
la plupart des symptômes de la sclérose en plaques et, de plus, un tremblement des cordes vocales, symptôme décrit depuis quel
sion pour faire en quelque sorte une revue générale ' J. Collet. Le tremblement des cordes vocales et les troubles de la phonat
rès normaux. On ne peut produire l'épilepsie spi- nale. Un peu de tremblement des membres supérieurs quand le ma- lade étend
ngoscope, constate des oscillations des cordes vocales analogues au tremblement . A plusieurs reprises, pendant le courant de l'
e des matières fécales. Pouls à 75. Nys- tagmus très accusé. 1 Le tremblement est beaucoup plus accentué qu'autrefois; les ma
accentué qu'autrefois; les mains tremblent presque constamment. Ce tremblement s'exagère considérablement lorsqu'on dit au mal
alternativement appa- raître, puis disparaître par le fait même du tremblement . Ordonne-t-on au malade d'émettre un son, on-vo
lleurs, par l'énorme dilatation de la glotte. La langue présente un tremblement très évident, mais le malade peut la tirer parf
dans cette observation, était en faveur de la sclérose en plaques : tremblement , trépidation épileptoïde, troubles de la parole
égrité absolue de la douzième paire, coexistant cepen- dant avec le tremblement de la langue et les troubles de la parole. Le m
sions et raideurs tétaniques persistantes se produisant par accès ; tremblement semblant avoir lieu surtout à l'occa- sion des
oyons-nous, la place que nous leur donnons dans cette revue. ' Le tremblement , par exemple, se trouve signalé dans l'obser- v
uvait pas se servir d'une canne. Le malade de Meynert offrait des tremblements oscillatoires à l'occasion des mouvements volon-
n offrait des traces. Dans quelques observations, il est dit que ce tremblement avait lieu à l'occa- sion des mouvements volont
- génie n'est peut-être pas bien différente de celle attribuée au tremblement dans cette dernière affection; dans l'une et l'au
ervation, et sur lequel nous désire- rions appeler l'attention : le tremblement des cordes vocales. Dans le travail antérieurem
mouvements oscillants des cordes. En raison de la production de ce tremblement à l'occasion des mouvements volontaires du lary
symptômes de la sclérose en plaques. Lôri l'assimile volontiers au tremblement intentionel des membres, caractéristique de cet
tte affection. Récemment Krzvwicki' donnait la relation d'un cas de tremblement des cordes vocales observé chez une malade qui
in. Il isseîzschart. 1892. - 3 : 71 ANATOMIE PATHOLOGIQUE Mais ce tremblement des cordes vocales n'a pas été décrit uniquemen
r a priori. Il signale également un-cas de paralysie saturnine avec tremblement des cordes qui coïncidait avec une parésie des
sous le nom de nystag- mus pharyngo-laryngien, un cas singulier de tremblement des cordes vocales, chez une jeune fille qui pr
on des mouvements du larynx : il y a là quelque chose de plus qu'un tremblement intentionnel. Dans ces deux cas ils ne présenta
qui concerne la sclérose en plaques, on peut, en l'assimilant'au tremblement intentionnel, comme l'a fait LOri, invoquer pour
fait LOri, invoquer pour éclaicir sa pathogénie l'interprétation du tremblement habituel dans cette maladie, à savoir « la long
n motrice en céphalo-médullaires, peuvent parfaitement expliquer le tremblement , plusieurs fois signalé dans la mala- die qui n
les troubles de l'équilibre, etc. Cette interprétation générale du tremblement dans les affections cérébelleuses nous parait a
éflexes, les raideurs tétaniques, les trépidations épileptoïdes, le tremblement , le nystagmus, les troubles de la parole, bref
, ces troubles de la parole, ne peut déceler de différences avec le tremblement , le nystagmus ou les troubles de la parole de l
trine. Il sait que malgré lui il succombera. Ses tempes battent; un tremblement le secoue, la sueur perle àson front, sa respir
assagers et peu importants des organes pel- viens, dans cinq cas un tremblement passager des mains. Les ré- flexes cutanés sont
nt aussi les fonctions sensorielles. Le père est ensuite atteint de tremblements et de faiblesse des membres inférieurs, SOCIÉTÉ
ssive de Duchonne. L'intégrité des muscles des mains, l'absence des tremblements fibrillaires écartaient ce diagnostic. Ce n'éta
-trois ans présentant du nystagmus, de la scansion de la parole, du tremblement dans les mouvements volon- taires, rendant la m
31 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
fois se blessait. Ces crises, qui se terminaient par des pleurs et du tremblement , duraient 10 à 15 minutes. [Père, nerveux, mort à
la menstruation. — Effets de l'éther ; sensations qu il détermine. — Tremblements . — Amaurose. — 'Sensibilité or. — Traitement par
actuellement de 53 ans, est nerveux, sujet, s'il est contrarié, à des tremblements et à des crises dans lesquelles il étouffe, devie
issance. (Pas de morsure de la langue, ni d'urines involontaires). Le tremblement durerait quelquefois tout un jour. Cet homme fait
L'aura se complique quelquefois d'un sentiment général de froid avec tremblement ( frisson nerveux), de tendance à la syncope, de
on a remarqué que , debout, les membres du côté droit étaient pris de tremblement . — Les injections de morphine ont été pratiquées
ureuses. Quelquefois, il se produit des crampes dans les doigts et un tremblement des mains, comparable au tremblement alcoolique.
es crampes dans les doigts et un tremblement des mains, comparable au tremblement alcoolique. — M... mange peu ; elle n'a d'appéten
sensations douloureuses, énumé-rées précédemment. Elle a des accès de tremblement des lèvres et des membres, sans éprouver, d'aille
oureux persistent. Hier soir, on a observé des tortillements, puis un tremblement du membre inférieur gauche, suivi d'une contractu
r. 26 nov.— Hier matin, palpitations cardiaques très-pénibles, puis tremblement de la jambe droite; parfois, le tremblement envah
aques très-pénibles, puis tremblement de la jambe droite; parfois, le tremblement envahit le bras droit et. plus rarement, le bras
ahit le bras droit et. plus rarement, le bras et la jambe gauches. Le tremblement prédomine, en général, du côté droit. Dans la jou
nesthésie gauche ; — la persistance des crampes, des contorsions, des tremblements , des étoufemeuts et des attaques hystéro-épilep-t
tres manifestations : a) contractures, b) crampes, c) contorsions, d) tremblements , e) secousses, f) névralgies. Un mot sur chacune
ivement les attitudes les plus diverses et les plus bizarres. d) Le tremblement parait avoir été, ici, l'un des premiers accident
ant plusieurs jours consécutifs, alterner les uns avec les autres, le tremblement remplaçant les secousses ou les précédant, etc. ;
ents, 123, 128, 148. Traumatisme chez les hystériques, 71, 75, 113. Tremblement , 113, 124, 128, 140, 144, 148. Trépidation, 139
32 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
he se mit à trembler à chaque émotion, même légère. Un an après, ce tremblement est devenu continuel et a toujours persisté, de
tre malade. Lors de son entrée la Salpêtrière, il ya quatre ans. le tremblement était t uvaLLE ICONOGRAPHIE DE la Salpétrière.
uis,. la maladie a notablement progressé : il y a dix-huit mois, le tremblement a envahi la main droite, puis les membres inférie
ui en donneraitbien davantage ; vous remarquez enfin, Messieurs, le tremblement qui agite ses membres supérieurs et les défor-
défor- mationsconsidérables des quatre membres et du tronc. 1 Du tremblement , je ne vous dirai pas grand'chose. Vous voyez que
mené à venir demander des soins, c'est que, depuis quinze jours, le tremblement a envahi également la main droite. , En l'inter
de est sous vos yeux (PI. fi), que s'il est surtout incommodé parle tremblement , qui seul l'inquiète, il présente cependant les
t l'attitude sont caractéristiques. Mais, procédons par ordre. Le tremblement est localisé aux membres supérieurs. Même lorsque
membres inférieurs, ce qui d'habitude rend manifeste le plus léger tremblement , ceux-ci sont abso- lument indemnes. Par contre
semble, dans le sens horizontal, sans mouvement propre du pouce. Ce tremblement , qui est assez intense pour ébranler tout le co
éjà signalé ces contractions, qui ont un rythme analogue à celui du tremblement dont elles représentent l'un des modes. Vous
tte particularité, que sa rareté rend intéres- sante ; au début, le tremblement aurait été bilatéral, le malade est très affirm
ie de Parkinson. Mais, regardez-le deplus près : vous verrez que le tremblement et la rigidité sont limités au côté gauche du cor
tremblement et la rigidité sont limités au côté gauche du corps. Le tremblement qui agite continuellement sa main gauche est rema
considérables, de tous les doigts : donc nous sommes assez loin du tremblement menu et assez rapide, que vous trouvez décrit d
ns amples qu'à la main, mais présentant les mêmes carac- tères. Ces tremblements des jambes cessent pendant la station verticale,
, voici un malade qui présente, dans les membres du côté gauche, un tremblement , de la rigidité musculaire, avec exagération des
tractions fibrillaires ; vous savez aussi que l'on peut observer un tremblement post-hémiplégique : comment éviter la confusion.
, causes occasionnelles si fréquentes de la paralysie agitante ; le tremblement n'a pas suivi mais précédé l'hémiplégie apparente
Iond) ' LA MALADIE DE PARKINSON 11 ptômes cardinaux ; raideur, on tremblement , à l'exclusion de l'autre. Vous avez pu voir, p
ardent pas à apparaître dans ces cas ; il est même bien rare que le tremblement ou la raideur manquent tout à fait et qu'un exa
membres, ainsi que vous pouvez le constater. ' Six mois après le tremblement , apparut une légère raideur des bras, nui s'aff
feld, Charcot, Kohts, etc.), d'une discussion, d'une colère, que le tremblement a fait t son apparition. III Dans l'état ac
(affaiblissement intellectuel progressif). -Troubles de la parole ; tremblement ; parésie généralisée ; spasme facial ; exagérati
as de troubles nets de la sensibilité. Pas de paralysie oculaire. Tremblement de la langue et des lèvres. Pas de tremblement
aralysie oculaire. Tremblement de la langue et des lèvres. Pas de tremblement marqué des mains. Maladresse marquée des bras ;
iminuée surtout à droite. Pas d'atro- phie musculaire. On note un tremblement continuel et généralisé surtout accusé aux mains
mémoire, des troubles moteurs (paralysie et inégalité pupillaires, tremblements , parésie généralisée, exagération des réflexes
te, les troubles de la marche, les troubles de la parole, voire les tremblements : Déjerine et Thomas (3) citent comme caractéri
omas (3) citent comme caractéristique de l'atrophie du cervelet les tremblements du membre supérieur et les altérations de la paro
ek), des troubles de l'articulation des mots (7 cas de Ladame), les tremblements (Lind), symptômes reproduits dans notre observa
de tout le corps. Au dynanomètre : 6 à droite, 12 à gauche. Pas de tremblement . Réflexes existant, quoique diminués. Aux mem
7 ans. Bonne santé habituelle. Pas de syphilis. Ethylisme (pituite, tremblement des mains). Aucun antécédent nerveux, pas de co
mptômes fonctionnels. D... est atteint, depuis l'ye de 17 ans, d'un tremblement limité aux mains assez comparable au tremblement
ye de 17 ans, d'un tremblement limité aux mains assez comparable au tremblement éthylique. Pas de lenteur, ni de lourdeur des m
eurs dans le membre inférieur gauche. Démarche difficile, ébrieuse. Tremblement des membres inférieurs. Signe de Romberg. Réfle
ns la cuisse, dans la région lombaire et dans les éminences thénar. Tremblement de la langue tirée. Réflexes rotuliens exagérés
sensible aux reproches ; quand on le réprimandait, il était pris de tremblement généralisé en même temps que de légères contrac
n trouble de la motilité; aux membres supérieurs il existe un léger tremblement qui se manifeste dans l'écriture par un peu d'irr
sculaire. Lorsque nous avons reconnu qu'un paralytique général a du tremblement de la langue et des lèvres nous pressentons cer
ssocient le plus souvent des caractères de sénilité. Le malade a du tremblement , quelquefois tellement prononcé qu'il est incap
er spécimen, où .l'écriture est lente, maladroite, et témoigne d'un tremblement très accusé. Cet autre malade queje vous présen
n neuropathoiogie : paralysies, spasmes, contractures, convulsions, tremblements ... «Décrits très complètement chez l'animal par
33 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
'habitude et l'expérience permettent de discerner. Observation i. — Tremblement hystérique simulant la paralysie agitante, datant
ans, entré à l'hôpital de la Charité de Lille le 4 Juin 1891, pour un tremblement des membres du eôté droit. Rien à relever dans
motion. Quinze jours après, il com-mença à trembler do bras droit. Le tremblement , d'abord léger, s'accentue peu à peu. Bientôt le
'accentue peu à peu. Bientôt le membre inférieur doit participer à ce tremblement qui s'éten-dait à tout le côté correspondant. A
te du corps, la sensibilité est normale. Le bras droit est agite de tremblements marqués, presque rythmés, qui persistent à l'état
A l'étal de repos, set membres ne tremblent plus du tout. Un léger tremblement existe encore dans les mouvements voulus, mais il
ue l'impotence se manifeste: les Jambes fléchissent et sont prises de tremblement . Le réflexe corneen est diminué. Le réflexe p
ts inconscients. Sous l'influence d'une contrariété, il est pris d'un tremblement nerveux qui dure quelquefois plusieurs heures. A
d'aliénation. Elle ne dormait pas, elle était prise à tout instant de tremblements convulsifs, elle était triste, elle ne mangeait p
isite à l'Êcole de Nancy. — Paris, Félix Alcan; Liège, Descer, 1889 Tremblement choréiforme du membre supérieur droit- — Lypémani
1870, à la suite de l'incendie de sa maison. Elle avait été prise de tremblement choréiforme du membre supérieur droit qui n'avait
quel était son état fin juin 1888 : Physionomie triste, souffrante. Tremblement choréiforme du membre supérieur droit continu, co
ments rythmés d'élévation de ce membre jour et nuit et comparables au tremblement de La paralysie agitante. Evanouissements fréquen
e deuxième séance (dix jours après), mes suggestion* ont porté sur le tremblement , sur les douleurs du membre, sur les évanouisseme
douleurs du membre, sur les évanouissements et sur la céphalée. Le tremblement seul u'a pas cessé de suite, il a fallu trois aut
emier sommeil provoqué, j'ai pu par suggestion faire disparaître le tremblement , les idées noires, les évanouissements et les dou
les évanouissements et les douleurs des membres. 9 novembre. Pas de tremblement , pas d'évanouissements. Pas d'idées noires. Il
l à ces troubles cardiaques. 16. Bien. Hypnose. 23. A. eu un peu de tremblement cette nuit. Pour le reste, bien. Suggestion hypno
és. En résumé, celle malade était atteinte, depuis dix-huit ans, de tremblement choréiforme lorsque je l'ai vue pour la première
nolique et après trois ou quatre séances, je pus faire disparaitre le tremblement et tous les autres phénomènes morbides. Une rec
ermine l'insensibilité. Dans ce cas, il m'a paru que la cause de ce tremblement résidait dans la partie de la circonvolution fron
heure : sensation de « froid partout ». « de glace dans les veines », tremblements , sueurs froides, hallucinations terrifiantes repr
t tourmentée, et l'idée seule que cela pourrait arriver me donne du tremblement . » Nous avons pu nous assurer de la réalité de
and on essaya de traîner la bête avec son cordon, elle fut prise d'un tremblement général, laissa aller ses urines et ses excrément
la queue se plaçait entre les pattes de derrière, il était pris d'un tremblement général, se roulait par terre en hurlant, et il l
t principalement dans les extrémités inférieures. Enfin apparurent du tremblement , des vomissements, de l'anorexie et l'affaiblisse
à 45 degré;. Pas de zone hystérogène ou hypno-gène. On constate un tremblement marqué des mains, assez fort pour empêcher le mal
ions eurent pour principal objet de déterminer : 1° La cessation du tremblement , de la céphalée, de l'insomnie ; 2° La suppressio
subite, et de réfléchir avant d'agir. Dès le» première* séances le tremblement diminua et le sommeil reparut. Forts de ces premi
turbait plus et n'avait plus de lutte à soutenir contre lui-même ; le tremblement avait cédé aux premières suggestions et le sommei
t le regard est fixe. Pendant qu'on l'interroge elle est prise d'un tremblement rapide et rythmé dans les membres gauches, d'une
âge. quatre frères sont bien portants. Anna M... est atteinte d'un tremblement hystérique très accentué : à son entrée a l'hôpit
tend, elle obéît aux ordres mais sa senribilite cutanée persiste, son tremblement cesse presque complètement et si on la dé6e d'ouv
ts. Adrienne est malade depuis six ans. Un Jour. elle a ressenti un tremblement dans la jambe, et pendant la nuit s'est déclarée
hors des attaques, elle est atteinte de mouvements cholériformes avec tremblement , surtout localisé au côte droit do corps. Par l
psychothérapique. Observation d'un hystérique, par Brémaud, 289. Tremblement choréiforme du membre supérieurdroit. Lypémanie,
34 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ec chutes, affaiblissement de la vue. Etourdissements , krouomanie. Tremblement des mains. Cauchemars. Cris. Février 1898 : tor
e 1905. Du côté droit, c'est-à-dire du côté paralysé, apparaît du tremblement continuel; puis les jambes et les bras des deux
ré- ciable. Corps thyroïde normal. Membres supérieurs animés d'un tremblement intermit- tent, plus marqué, semble-t-il, à gau
avec la déchéance intellectuelle. La préhension devient nulle, du tremblement s'ajoute à l'hémiplégie du côté droit, des seco
s carotides sont animées de battements excessifs. a) Il existe un tremblement très net des mains, menu, rapide, perceptible a
xpliquée des principaux réflexes cutanés et tendineux. G. D. V. - Tremblement intentionnel limité du membre supé- rieur gauch
ions motrices au membre supérieur du côte opposé, a été la cause du tremblement qui prenait naissance à l'occasion des mouvemen
mouvement ; les réflexes pharyn- giens et oculaires étaient abolis, tremblement des paupières; les pupilles réagissaient normal
ve, mais ils disparaissent si on les fait répéter plusieurs fois. Tremblement de la langue, propulsions et rétractions. Iné-
as), au niveau des muscles qui se con- tractent, ainsi que dans les tremblements sénile, hystérique, el alcoolique. Dans le téta
part : II. de la rigidité musculaire ; l'immobilité du masque ; le tremblement caractéristique ; des paresthésies (sensation d
ce de M. Pierre Marie, a vu 8 fois la sialorrheo coïncider avec, un tremblement plus ou moins accentué des terres, 7 fois avec
ersécrétion. Pou ? \1. Catola, la véritable cause en serait : 1° le tremblement du mou- ton, des lèvres et de la langue ; ? " l
e pendant ses règles. Les 3/4 des sujets étaient affectés d'un fort tremblement dans les doigts explicable par le travail des b
nt le siège, même dans l'intervalle des mouvements convulsifs, de tremblements qui déterminent la chule, Quand les mouvements
r, quand elle était moins agitée. At'examen; on observe parfois des tremblements fibrillaires sur la face interne des cuisses :
des cuisses : mais ce signe est inconstant. On observe également un tremblement (ihrillaire limité à la pointe de la langue, tr
alement un tremblement (ihrillaire limité à la pointe de la langue, tremblement très menu, qui n'intéresse pas la masse de l'or
et, ne produit pas de trouble de la parole. Les mains présentent un tremblement également, inconstant, a petites oscillations r
es doigts, et de faible amplitude, variable aux divers doigts. Ce tremblement , n'a aucun des caractères du tremblement alcooli-
able aux divers doigts. Ce tremblement, n'a aucun des caractères du tremblement alcooli- que, auquel les anamnesliques ne perme
quel les anamnesliques ne permettent pas de songer, pas plus qu'aux tremblements l1ydml'g l'i(IUpS de la sclérose en pla- ques,
mblent plutôt à des tics, el par des hoquet* convulsifs espacés. Le tremblement des mains persiste, très affaibli dans son ampl
risés par de l'exophtalmie et quelques secousses nystagmiformes, un tremblement des doigts menu et inconstant ; crise de saliva
gérés, la parole est lente, traînante, sans troubles intellectuels. Tremblement de la langue et mouvements brusques de la tête et
reprises de le placer au dehors, mais il n'a pu y rester à cause du tremblement -dont est affectée sa main droite. De- puis le
0. Pour l'écriture nous n'avons encore rien pu obtenir en raison du tremblement dont il est affecté. Cet enfant a été notableme
e, mauvais et gros- sier. L'écriture très défectueuse est due à son tremblement (sclé- rose en plaques). 1905. - Pell ? prend
dre observation à lui faire, aussitôt les membres étaient pris d'un tremblement convulsif. Il fallait employer les paroles les
mentale avec alcoolisme; cau- chemars, hallucinations terrifiantes, tremblements des doigts. Entré à l'asile, on note l'inégalit
té. Sobre, est tombé sans connaissance pour la pre- mière fois avec tremblement de tous ses membres, le 18 novembre 1902, cinq
ement limitée il ce muscle, ou,quand l'excitabilité est faible, des tremblements librillaires, peu importe du reste à cet égard
cèle un ensemble de signes très complexe ; titubation, nystagmus, tremblement intentionnel des membres inférieurs, hypotonie,
lablement toutes les deux, pour des parts inégales, l'apparition du tremblement . Quant au signe de Babinski il est indépendant
nésie paraît persistante et définitive ; dilatation pupil- laire el tremblement des muscles. (Le malade nie l'alcoo- lisme.)
ntale, ce qui permet de se rendre un compte assez exact du degré de tremblement . (A suivre.) L'absinthe à l'école. Dans une
t qu'elle ne savait plus ce qu'elle faisait, qu'elle fut prise d'un tremblement de tous les membres qui dura un certain temps,
terosseux. Les deux mains ne donnent que 20° au dynamomètre. Pas de tremblement fibrillaire à la lan- gue qui n'accuse pas nett
nts ainsi que le père de névrite interstitielle hyperlrophique avec tremblement intentionnel et troubles de la parole. , 504
es, par Bourneville, 241, 380, 460. Transplantation. Voir Nerf. Tremblement intentionnel limité du membre supérieur gauche,
35 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
appareil, dont j'ai pu voir le fonctionnement, permet d'étudier les tremblements dans le sens vertical, en haut et en bas, horiz
M. Sommer est arrivé ainsi à anahser dans leurs divers éléments les tremblements alcoo- liques, neurasthéniques, celui de la par
rveillante en chef et 1 Sommer. Un appareil nouveau pour l'étude du tremblement . L'ln- que, 4° année, Paris, 1898, p. 617.) V
s'il s'excite un peu dans une discussion, on perçoit un très léger tremblement fibrillaire dans les lèvres. L'auteur est d'avi
M. Marie présentait des contractions fasciculaires, Il existait des tremblements fibrillaires clans les deux cas de M. Milian.
sujet sent bien le sol sous ses pieds. Membres supérieurs. - Pas de tremblement intentionnel des membres supérieurs (yeux ouver
ent de la cheville droite, 1 de tic du côté gauche de la face, 1 de tremblement avec douleur de la jambe droite, 1-de douleur l
- rieurs et supérieurs et un léger nystagmus. Malgré l'absence de tremblement , l'auteur, s'appuyant sur un certain nombre de
se accidentée par une chute de cheval avec grand- émoi et suivie de tremblement , et par des ennuis multiples. Somnolence dès la
urait eu une crise de nerfs caractérisée par l'émission de cris, un tremblement généra- lisé à tout le corps, le tout ayant dur
énués aujour- d'hui. Langue couverte d'un enduit blanchâtre, sans tremblements fibrillaires, l'haleine n'est pas fétide. Coeur
e à gauche. La coordination des " mouvements est suffisante, pas de tremblements . Aucune particu- larité en ce qui touche les or
ettait, maintenant sans lutte, le manchon de cuir, il fut pris d'un tremblement convulsif et mourut. R. DE IUSGR.1VE-CLAT. XX
e autre que dans l'hémiplégie. Le membre supérieur est atteint d'un tremblement à peu près nul l 3M SOCIÉTÉS SAVANTES. au rep
S. au repos et apparaissant à l'occasion des mouvements. C'est un tremblement intentionnel analogue à celui de la sclérose en p
ette hémiasynergie dans la partie inférieure du corps et 1'liéiiii- tremblement dans^la partie supérieure doivent être sous la dé
ie, malade confiné au lit, bave, perte de l'intelligence, escarres, tremblement et spasmes musculaires, parésie, attaques épile
irrégulièrement normale et plutôt basse. Bientôt parésie, obtusion, tremblement , gâtisme partiel, fièvre et mort en février. A
un bon appétit. Bientôt gâtisme com- plet, douleurs, contractures, tremblement , escarres, enfin attaques épileptiformes très f
côté droit du crâne. Trois semaines après, il a été pris d'un léger tremblement de la main gauche, puis cette main a été envahi
uche, puis cette main a été envahie par des secousses cloniques. Le tremblement et les secousses gagnèrent en fréquence et en d
en a eu quatre autres, les jours suivants. Elles débutaient par un tremblement du pied droit; puis, des secousses cloniques en
. Les mouvements séparés des membres n'ont rien d'ataxique, sauf le tremblement des doigts d'origine alcoolique. 11 existe du n
inution des réflexes du genou et des autres réflexes tendineux; les tremblements musculai- res avec articulation imparfaite du l
retombe en léthargie pendant soixante jours. Mutisme, bégaiement et tremblement général guéris par la suggestion hypnotique.
par de la lenteur avec ânonnement et accrocs caractéristiques. 3° Tremblement saccadé (en mouvement de trombone) de la langue
cet état ataxique, la langue acquiert une certaine stabilité et le tremblement prend la forme nettement fibrillaire. 40 Inst
n'est pas toujours aisé de faire étendre la main pour constater du tremblement ; bien des gens surpren- nent ainsi la pensée du
fs; sur ces dix cas : quatre entrés en 1899 et 1900 présentaient un tremblement intense, deux des trou btesparalytiformes avec
atifs, trois fois il n'existait plus de tremble- ment, deux fois le tremblement était très fort, et dans un cas accompagné d'am
présent, mais il parait certain qu'il n'est pas en rapport avec le tremblement puisque nous l'avons cherché en vain chez des m
puisque nous l'avons cherché en vain chez des malades présentant un tremblement très accusé'. Voilà quelles sont les conclusion
1a- bique, un syltahage traînant, une parère du facial gauche, du tremblement de la langue, des muscles de la face et surtout d
lielle. M. 13aucnsm. Le malade atteint d'hémiasynergie et d'hémi- tremblement du côté droit que j'ai présenté à la société au m
s, qui se caractérisent principale- ment au membre supérieur par un tremblement , au membre infé- rieur par une perturbation de
de la constatation qui pré- cède en attendant de nouveaux faits. Tremblement chez un enfant. M. Cestan présente un petit gar
. Cestan présente un petit garçon de trois ans environ atteint d'un tremblement de la tète du type « négateur » ; tremblement q
environ atteint d'un tremblement de la tète du type « négateur » ; tremblement qui se modifie 'par l'action des muscles volont
ît pendant le sommeil ; les membres ne tremblent pas. C'est donc un tremblement identique au tremblement dit sénile. Ce tremble
es membres ne tremblent pas. C'est donc un tremblement identique au tremblement dit sénile. Ce tremblement essentiel dit sénile
C'est donc un tremblement identique au tremblement dit sénile. Ce tremblement essentiel dit sénile n'a jamais été signalé chez
mble. La mère est saine, le père a commis des excès alcooliques. Le tremblement est donc congétinal mais non héréditaire. Myo
l0. Le trailument, par la -. par Woods, 237 Mutisme, bégaiement, tremblement guéris par la . par Voisin, 430. Suicide. Imp
et Feindel, 508. Torticolis mental, par Feiiidel et Meige, 169. Tremblement chez un enfant, par Cestan, 514. Trépanation.
36 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
omme sain. Au bout de quelques minutes, la main droite est prise d'un tremblement convulsif qui gagne peu à peu le bras droit tout
gagne peu à peu le bras droit tout entier, puis le bras gauche. Le tremblement devient de plus en plus violent, mais reste toujo
re droit que dans le membre gauche. Après que l'aimant est enlevé, le tremblement se dissipe peu à peu. Je place alors l'aimant a
erse légèrement en arrière, le corps se raidit et bientôt survient un tremblement des membres inférieurs. Deuxième expérience. —
ir été très surpris moi-même en voyant dans la première expérience le tremblement des bras, puis ensuite par une autre application
ite par une autre application la contracture des muscles du cou et le tremblement des membres inférieurs. Dans la seconde expérienc
expérience, je n'attendais pas plus le sommeil que je n'attendais le tremblement dans la première. Enfin dans la troisième, à pl
dans la troisième, à plus forte raison, après avoir vu se produire du tremblement et du sommeil, je ne prévoyais pas et je ne pouva
t absurde de prétendre que l'un s'est figuré qu'il devait éprouver du tremblement , l'autre du sommeil, le troisième de la paralysie
issance de la première expérience, il devait s'attendre à éprouver du tremblement , et au lieu de cela, il éprouve du sommeil. Le tr
et pouvait croire dans les mêmes circonstances qu'il se produirait du tremblement ou du sommeil au lieu de la paralysie et de la co
Pour la moindre contrariété elle s'emporte c-t. éprouve une prise de tremblement . Les émotions lui oectision-nent des douleurs â l
s il éprouva une sensation terrible d'effroi et d'angoisse, suivie de tremblement , de palpitations et de sentiment de froid et do t
sous le prétexte de le débarrasser d'un mal de dents et d'un certain tremblement (probablement alcoolique) qui l'ennuyait beaucoup
ez bonne, de tempérament mixte ; les membres supérieurs présentent un tremblement notable, les fonctions cardiaques et respiratoire
r les moyens médicaux ou pharmaceutiques. Il ne lui reste qu'un léger tremblement des mains, quelquefois un peu d'agitation la nuit
étit comme on en a quand on travaille au grand air, qu'il n'a plus de tremblement ni d'agitation, que sa santé est bonne, qu'elle s
eux et qui, à la suite d'une discussion avec son mari, fut prise d'un tremblement de la moitié droite du corps, puis d'un mutisme a
tractures, accès convulsifs, mouvements choréiformes, astasie-abasie, tremblements , l'exploration électrique permet de déterminer s'
elle n'est affectée que de crachements de sang, d'hématè-mèses et de tremblement , jamais elle n'a eu d'attaque d'hystérie commune.
ionnableetémotif. Ses mains tremblent, c'est alors que,pour étudierle tremblement de l'écriture, on le fit écrire. Spontanément il
A, et contagion religieuse Penregistre- (l) Ch. Hixet-Sanclé. — Du tremblement à la paralysie. Théorie des neuro-diélectriques.
ses aux voix, sont adoptées à l'unanimité. PRÉSENTATION DE MALADE Tremblement à forme parkin s onlenne traité avec succès par l
nes, la symptomatologie de la maladie de Parkinson, en particulier le tremblement tout à fait typique dans le bras droit et la main
mblement tout à fait typique dans le bras droit et la main droite. Ce tremblement était continu et le malade avait perdu complèteme
nger, boire, écrire et travailler: son faciès est redevenu normal; le tremblement n'a pas complètement disparu, mais il est considé
de cet accident, la difficulté de la marche augmente, il s'y joint du tremblement et de l'agitation des membres inférieurs. Survi
laque. Et, en effet, les membres supérieurs étaient aussi agités de tremblement en portant un verre à la bouche, il y avait exagé
ès l'avoir endormie, lui suggère de ne plus trembler et, en effet, le tremblement cesse, la marche s'améliore, elle rapproche les j
gourdi, la malade y ressent des fourmillements nets. Il y a insomnie, tremblement . Elle vient consulter à la Salpetrière. La forc
sis à gauche. La démarche est bonne. Les yeux fermés, elle éprouve un tremblement général. Les réflexes rotulicns paraissent exagér
diquerait une lésion organique. Mais ce n'est qu'une apparence due au tremblement général hystérique, car si on consulte le réflexe
296. Travail mental ot température, par Pembury et Nicol, p. 191. Tremblement a forme parkinsonienne traité avec succès par la
37 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
térisés par une diminution de l'acuité visuelle, une sensation « de tremblement et de fourmillement » de l'oeil gauche, et une ph
entir dans l'oeil droit les mêmes sensations de fourmillement et de tremblement qu'il accusait depuis deux mois dans l'oeil gau
t étendre la main droite et écarter les doigts, on perçoit un léger tremblement se rapprochant assez du tremblement alcoolique.
les doigts, on perçoit un léger tremblement se rapprochant assez du tremblement alcoolique. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU. 5
es ou exagérées de Wernicke. P. K. XI. UNE modalité particulière du tremblement dans LE DELIRIUM THEMENS DES alcooliques; par N
. (Allg. Zeitsch. f. Psych., L, 3, 4.) Observation. Tandis que le tremblement généralisé ordinaire est modéré, le côté droit
ralisé ordinaire est modéré, le côté droit du corps est secoué d'un tremblement continu si violent que le tremblement général,
roit du corps est secoué d'un tremblement continu si violent que le tremblement général, relégué au second plan, devient à pein
éformations des extrémités et l'ensellure. Jamais on n'a observé de tremblements fibrillaires. Il existe con- tinuellement, sauf
usculaire, sauf un léger aplatissement de l'éminence thénar droite. Tremblement fibrillaire dans les muscles de l'avant-bras dr
masque de la physionomie, le trouble spécial de la parole. Quant au tremblement , symptôme le plus important et le plus précoce,
istaient au début en de la fièvre, de la tachycardie, des crises de tremblement et, souvent aussi, en une agitation accompagnée
fonctionnels précurseurs, émotivité, anxiété des choses ambiantes, tremblements légers, éclat du regard, relevés dans ' l'hyper
écrétion. En effet, tous les symptômes secon- daires de la maladie, tremblements , contractures et convulsions, paralysies, troub
ceux de la maladie de Basedow, tachycardie, instabilité, du pouls, tremblement , éclat du regard, exophtalmie (Béclère). Expéri
d'excitation très manifeste (éclat particulier de l'oeil, crises de tremblement et de dyspnée qui duraient environ deux heures)
t maigri de 3k6,400. Le tour du cou est resté le même, ainsi que le tremblement . Quant J'état mental et à l'agitation, ils n'on
ons, en effet, avec cette malade, en plein domaine hysté- rique. Le tremblement , les troubles sensoriels cutanés, la suppres- s
xophtalmique. Elle a le goitre, l'exophtalmie, la tachycardie et le tremblement ; elle présente, de plus, les signes de la cirrh
attaques apoplectiques. Au point de vue somatique, il faut noter le tremblement , la parésie des membres inférieurs, l'exagé- ra
maient que par une forte contraction des muscles de la face et le tremblement nerveux des bras. Sa voix était rauque, involonta
Les muscles de la face, des lèvres et delà langue sont animés d'un tremblement fibrillaire intense; la parole est hésitante, ent
ns. Pas d'atrophie musculaire; pas de réaction dégénérative, pas de tremblement intentionnel. En juil- let 1891 attaque apoplec
qui, au lieu de rester au-dessous de 37°, monte à 38° et au-dessus, tremblement , sueurs profuses remplaçant la séche- resse hab
abituelle de la peau, affaiblissement des jambes, augmenta- tion du tremblement , tachycardie, vomissements, agitation, excita-
ntre une des photographies annexées à cette communication. Pas de tremblement de la langue, ni des lèvres. Les réflexes rotul
llucinations auditives (M. Cliaslin,. rap- porteur) ; Pathogénie du tremblement (M. Souques, rapporteur) ; internement des alié
e, un affaiblissement de la motilité de la main gauche avec léger tremblement aux mouvements intentionnels, une petite augmen-
s, entre autres certaines dans lesquelles les visions d'animaux, le tremblement , et d'autres symptômes caractéristiques font dé
contractures dans la paralysie générale, l'auteur les rapproche des tremblements divers.- des mouvements choréoïdes et des acci-
ermettait. Les sujets traités par l'auteur sont les suivants : 1° Tremblement . Ce symptôme est étudié d'une part dans son ens
notamment avec intérêt les classifications auxquelles l'élude du tremblement a donné lieu, ainsi que les pages consacrées à la
Gémella1'ilé. ' Émotion vive au cinquième mois de la grossesse : tremblement , douleurs abdominales pendant huit jours. Premi
près l'accès, le réflexe plantaire est encore plus éner- gique avec tremblement et trépidation épileptoïde; les tendineux et id
plus du côté intéressé. En répétant les percussions, on obtient des tremblements fibril- laires spasmodiques qui passent du memb
éflexe pupillaire à droite, parésie faciale, troubles de la parole, tremblement ] des - lèvres et de la langue, exagération des
éaction de dégénérescence pour un certain nombre de muscles. Pas de tremblements fibrillaires. Pas de troubles de la sensibilité
jours avant son admission à l'asile il est pris de maux de tête, de tremblement et de délire. Tout en se présentant avec les de
ulo-moteurs communs (pas de ptosis) ; signe d'Ai,g,1 : -Robeitsoi), tremblement des extré- mités supérieures, démarche incertai
chi et I'iccinino, 465. DBLIfIU\f TIlI : \IEKS, Une modalité de tremblement dans le -, par Os- termayer, 43. Démence juvé
raumatismes suivis d'accidents ner- veux rares, par llarvey, 320. Tremblement . Une modalité du , dans le delirum tremens par
38 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
; sa tète est comme molle, dit-elle ; elle éprouve par moments un tremblement des jambes, avec faiblesse ; on dirait qu'elle va
leur adresse est un peu diminuée. On ne constate aucune espèce de tremblement , pas plus pendant le repos que pendant l'exécut
perte de la mémoire, et l'amaurose légère d'ailleurs. L'absence du tremblement caractéristique de la sclérose en plaques était
e : affaiblissement général et graduel des membres, vertiges, léger tremblement des mains, cécité transitoire, diplopie, rémiss
enant à elle, elle s'aperçut que son bras gauche était atteint d'un tremblement continu. Sept semaines plus tard elle fut admise
rs d'elle-même. Le symp- tôme physique le plus remarquable était un tremblement très accusé, affectant le bras gauche, l'avant-
La respiration devint irrégulière. Au bout de quelques instants, un tremblement convulsif parcourut son corps et ses membres.
parole, gémissements plaintifs et pleurs stertoreux, accompagnés de tremblements localisés dans les bras et les jambes, quand on
sur l'état congestif prodromique, les attaques apoplectiformes, les tremblements de cause affec- tive, les balancements intentio
cérébrales ou du moins leur prééminence ressort de l'évolution, le tremblement se rat- 1 Voir le cas de Ifartdegen : Archives
aies ranger dans la sclérose en plaques ; maison n'a jamais noté le tremblement . Cependant ce symptôme ne serait peut-être pas
ion, où le diagnostic fut confirmé par l'autopsie et dans lequel le tremblement avait manqué. Comme de plus les symptômes de la
parties du corps. Le malade qui est très émotif, présente un peu de tremblement général et d'incerti- tude de la parole. Les ré
oculaires. Dans le mois de mars, le malade est pris subitement de tremblement du bras gauche qui a persisté depuis et cesse pen
uellement, se renouvellent jusqu'à quatre et cinq fois par jour. Le tremblement du bras persiste, il existe également un peu da
anage obligé de la vieillesse. A début lent, longtemps inaperçu, le tremblement sénile cesse durant le repos des parties attein
L'hérédité est la seule cause démontrée. L'anatomie pathologique du tremblement sénile est à faire. Le tremblement débute par l
ée. L'anatomie pathologique du tremblement sénile est à faire. Le tremblement débute par la tête, qu'agitent verticalement, h
été utilisé pour celte étude. < Rare aux membres inférieurs, le tremblement sénile ne s'y montre que lorsqu'on les prive de
celle névrose. 11 les réunirait volontiers sous la dénomination de tremblement rhgthmiquc uàcilltituii-c. D. li. REVUE DE PATH
es autres doigts. ' Il. IL 246 REVUE DE pathologie NERVEUSE. XXI. Tremblement observé au cours d'une fièvre typhoïde ET RAPPE
Tremblement observé au cours d'une fièvre typhoïde ET RAPPELANT LE TREMBLEMENT DE L\ \. SCLÉROSE EN PLAQUES; par M. BoU- VERET
rthermie, la malade est prise à chaque mouvement qu'elle tente d'un tremblement pareil à celui de la sclérose en plaques. Les m
plus vives qu'elle demeure plus longtemps dans cette position. Ce tremblement s'accuse d'autant plus que les autres symptômes
un ! o bi e p- i-ésente dans 1 execulion'des mouvements un léger tremblement ; analogue, au tremblement pbst-)J6miptégiqueët
dans 1 execulion'des mouvements un léger tremblement; analogue, au tremblement pbst-)J6miptégiqueët qui's'étoigne"par beaucoup
'inégalité pupillaire, de la parésie droite du facial inférieur, du tremblement de la langue; parole trébuchante, tremble- ment
, démence, délire des grandeurs. Use mani- feste ultérieurement des tremblements intentionnels dans les extrémités supérieures e
te et fort ambitieuse, est en proie depuis l'âge de douze ans à des tremblements convulsifs dans les mains et les jambes. La psy
vec les symptômes de là paralysie géné- rale. On note également des tremblements des jambes dans la station debout, de l'exagéra
xe, rotulien (sans.ataxie, ni adynamie), de la précipitation et des tremblements dans les mouvements. Crises alternant avec des
s venons d'essayer d'analyser. Cn.uo'ETOEn. Étude clinique sur le tremblement sénile ; par CIL-L-l. 'fllnr.lULT. Thèse de Par
ement sénile ; par CIL-L-l. 'fllnr.lULT. Thèse de Paris, 1882. Le tremblement sénije n'est-pas une affection fréquente, tant s'
même chez l'homme et chez la femme. Dans certains cas, les accès de tremblement sénile se sont produits il la suite d'un trauma
En général, le début est lent et insidieux, et rarement rapide. Le tremblement commence le plus souvent par la tête, quelquefo
io-cérébrale (nou- veties recherches sur la), par Ch. Féré, 86. Tremblement sénile, par Thébeault, 41n; dans ses rapports a
39 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, M. Collet envisage celles qui se distinguent par des anomalies du tremblement . C'est ainsi que l'auteur distingue les foi mes
teur distingue les foi mes suivantes : 1° Maladie de Parkinson sans tremblement , forme la plus connue de toutes, où les syptôme
ptômes cardinaux de la maladie existent bien caractérisés, et où le tremblement seul fait défaut. ` ? ° Maladie de Parkinson à
son à 17-einble ? ? îe ? 2t anormalement étendu. C'est ainsi que le tremblement peut envahir la tête, le cou, la mâchoire, les
endent la plupart des auteurs classiques. 3° Maladie de Parkinson a tremblement unilatéral; dans cette forme le tremblement res
Maladie de Parkinson a tremblement unilatéral; dans cette forme le tremblement reste indéfiniment unilatéral. Ce sont ces cas
l'auteur, qu'il faut décrire comme forme anor- male, car parfois le tremblement peut rester unilatéral, pendant une et même plu
ion tardive sont relativement fréquentes. 4° Maladie de Parkinson à tremblement secondaire unilalérul. Dans cette forme le trem
Parkinson à tremblement secondaire unilalérul. Dans cette forme le tremblement après avoir été géné- ralisé, se limite brusque
sation souvent très 60 - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tardive du tremblement dans la plupart des cas de maladie de Parkinson
ve du tremblement dans la plupart des cas de maladie de Parkinson à tremblement hémiplégique; 3 la dispartion brusque et tardiv
n à tremblement hémiplégique; 3 la dispartion brusque et tardive du tremblement dans une moitié du corps, aboutissant à une for
à une forme secondairement unilatérale; 3° l'extension possible du tremblement à la face, à la langue, à la mâchoire. G. Carrier
e, février 1903). E. B, VII. Contribution à l'origine corticale des tremblements ; parR. AIASSALONGO. M. Massalongo expose ses
GO. M. Massalongo expose ses opinions sur l'origine corticale des tremblements et des spasmes. Il rapporte l'observation d'uu
ieurs avec démarche spasmodique, et de plus, un peu titu- bante, un tremblement léger intentionnel, surtout net aux mem- bres s
M. GRENET présente un hysléro-lraumatique qui présente une forme de tremblement hystérique simulant le clonus du pied. 'M. CANT
rticulation, à la percussion et aux mouvements passifs du genou, du tremblement spasmodi- que ; tous ces phénomènes se peuvent
nilatérale permanente du réflexe du genou, mais non le clonus ni le tremblement spasmodique en dépit de plusieurs centaines de
de dix-huit ans porteur de signes évidents de sclérose en plaques ( tremblement intentionnel, parole lente et scandée, nys- tag
au rendez-vous, il était anxieux, son coeur battait et il avait des tremblements . Il redoutait d'être impuissant; l'érection se
ensité avec son cortège d'angoisses, de palpitations cardiaques, de tremblements et de sueurs froides. Durant toute la première
rétablie, il fut saisi d'angoisse, de palpitations de coeur, et de tremblements , et se sentit repris de son obsession génitale.
ective de l'avenue, il fut à son grand étonnement angoissé, eut des tremblements dans les jambes et serait tombé sans l'appui de
ègue sans avoir de la suffocation, des palpitations de coeur et des tremblements , d'autant plus que l'offensé, malgré ses avance
immédiatement il fut pris d'angoisse avec palpitations de coeur et tremblements , et l'idée s'implanta, obsédante, dans son espr
un buveur d'ancienne date, porteur de parésie du facial droit, de tremblements de la langue, des lèvres et des doigts, d'une dév
sions permanentes, la chorée, 1 athétose, les différentes formes de tremblements , émanent non de l'excitation des contingents co
famille impériale. Pendant tout ce temps, il est inquiet ressent du tremblement dans les membres, éprouve l'idée fixe d'une ano
té droit restait tout à fait indemne. Du côté gauche, il y avait un tremblement très prononcé du membre inférieur; il s'agit, d
ÉPILEPTIQUE. 469 doigts me piquent », et aussitôt, il est pris d'un tremblement géné- ral, les secousses sont plus fortes du cô
asis congénitale et l'hypertrophie vraie. R. C. LXVII. Spasmes et tremblements chez des psychasténiques ; par Raymond et Janet
e ans, évolution régu- lière, à l'âge de dix-huit ans est pris d'un tremblement de la main droite qui le gêne pour écrire, à ce
igne de Groefe, la convergence était impossible. Tachycardie : 120; tremblement considérable; le cou mesurait 35 centimètres; t
100, et un souffle au premier temps à la pointe. Il n'y a plus de tremblement . La diarrhée a disparu. Il n'existe aucun trouble
he; peuple oisif, pauvre, abstinent. Mais abus de café; sensualité, tremblements , sénilité précoce. Alcoolisme. Malaria. 2° Un
ndées de sang. , 111 yocysmie. M. Marie désigne par ce vocable le tremblement musculaire ondulatoire vermiculaire, ressemblan
anique récente du quinzième au vingt et unième jour. Le fait que ce tremblement fibrillaire est bilatéral et se pro- duit seule
ri- mitif avec palpitations muscu- laires, par Newmatk, 122. et tremblements chez les psychas- tuniques, par Raymond et Jane
- chez un musi- cien. par Farez, 511. Traumatisme. Voir Délire. Tremblements . Contribution à l'o- rigine corticale des -, pa
40 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pho- nétiques au centre des notions représentatives. P. K. IV. Du tremblement juvénile héréditaire; par A. 1V.1GY. (Neurol. C
juvénile héréditaire; par A. 1V.1GY. (Neurol. Ccntralbl , 1890.) Tremblement essentiel (jusqu'à nouvel ordre) chez une femme
res de cette famille, dix-neuf sujets sont atteints. Il s'agit d'un tremblement précoce, qui apparaît dans l'enfance, et ressem
es astreignant à une occupation du même genre, on fait diminuer les tremblements . Ceux des membres de la famille qui boivent vol
sclérose en plaques. L'examen du frère de la malade décèle que le tremblement est en voie d'amélioration, sans autre signe de s
voie d'amélioration, sans autre signe de sclé- rose en plaques, son tremblement diminue quand il absorbe une certaine quantité
rd, blépharop- tose droite'. Eu même temps, parésie des jambes avec tremblement pendantla station debout. Trois années après, b
vient très vive. En même temps le malade éprouve une sensation de tremblement de l'aile du nez ou d'autres troubles nerveux,
s elles vont plus loin; le membre supérieur tout entier est pris de tremblement , puis la tête s'incline spasmodiquement vers l'
; puis démarche parético-spasmodique. A ce moment légère cyphose, tremblements dans les bras et les jambes, surtout à l'occasion
moniaque accompagné de phénomènes SOCIÉTÉS SAVANTES. 315 moteurs, tremblement *, trouble de la station ; ces malades devien- n
ême temps une légère attaque visible de convulsions. On constata un tremblement des extrémités pendant l'opération. Il ne fut j
onstata une parésie spas- modique des muscles accompagnée d'un fort tremblement qui, apiès l'opération, avait diminué au point
orce entre les deux côtés. De temps à autre, 1\lm° G... présente un tremblement très léger de lalèvre supérieure, surtout lorsq
ent très léger de lalèvre supérieure, surtout lorsqu'elle parle; un tremblement ana- logue se rencontre dans les membres supéri
i échappaient. En outre de cela, le bras droit devint le siège d'un tremblement dont les caractères seront étudiés plus loin.
ême membre, soit de tous les deux à la fois. Quelquefois ces légers tremblements . se continue quelques secondes même après la pe
de signe de Romberg. Le membre supérieur droit est le siège d'un tremblement qui change de caractère d'un moment à l'autre ;
a moindre occasion. Par exemple, tan- dis que Cha... présentait son tremblement au maximum, je l'in- vite à écrire son nom, ce
re fois, tandis que j'étais en train de lui prendre le tracé de son tremblement avec l'appareil de Marey, je n'ai paspu le fair
ement avec l'appareil de Marey, je n'ai paspu le faire parce que le tremblement s'arrêta tout desuite. Réflexes. Les réflexes c
e, parait au premier abord presque banale; en effet, la parésie, le tremblement du bras, l'aphasie motrice, tous phénomènes qui
mples troubles fonctionnels. L'on peut dire la même chose pour le tremblement . Son caractère intermittent, son rythme changea
ne laissent pas de doutes sur sa nature ; évidemment il s'agit d'un tremblement fonctionnel et comme Cha... est hystérique, com
rdissements sous forme d'accès ; léger trauma- tisme : paralysie et tremblement du bras droit ; hémop- tysie grave et accès de
ouvons la céphalée, la diplopie, l'étourdissement, la paré- sie, le tremblement du bras droit; en plus, s'y sont ajoutés tous l
nelle ; en effet l'angoisse précordiale, le refroidissement et le tremblement des membres figurent bien parmi les manifesta-
. Augenh., juin 1891). Un individu, après une frayeur causée par un tremblement de terre (choc psychique), tomba en syncope et fu
z un homme de quarante- quatre ans ; mutisme, amaurose, hémiplégie, tremblement intentionnel (observation recueillie dans le se
uve de violentes douleurs dans la région occipitale, et présente un tremblement généralisé, surtout accusé dans la marche qui e
t les mouvements. C'est alors qu'apparaît un nou- veau symptôme, le tremblement . y Tremblement. Dans le décubitus dorsal, aucun
C'est alors qu'apparaît un nou- veau symptôme, le tremblement. y Tremblement . Dans le décubitus dorsal, aucun tremblement pe
ôme, le tremblement. y Tremblement. Dans le décubitus dorsal, aucun tremblement perceptible. Les mouvements du membre supérieur
ieur gauche, qui, à l'occasion du moindre mouvement, est animé d'un tremblement rythmique si intense qu'il se propage aux autre
la bouche au-devant du verre afin d'atteindre le but cherché. Même tremblement et même généralisation, si on prescrit au malad
lit et de se tenir debout sans aide. Dans la position verticale, le tremblement est extrêmement marqué et propagé du tronc à la
ants d'obtenir le retour des mouvements ainsi que la disparition du tremblement par la suggestion hypnotique. On n'obtient rien
ches et le malade peut marcher avec l'aide d'une canne, bien que le tremblement persiste aussi accusé 1. Le 16 juin 1892, on
aques apoplecti- formes, troubles oculaires, troubles de la parole, tremblement intentionnel. Cependant, par l'analyse détaillé
. La malade a eu deux frères et doux soeurs qui ont été atteints de tremblements convulsifs. M. MEYER.- Il est indispensable de
l'exophtalmie, des palpitations de coeur. Plus tard surviennent des tremblements , de la polydipsie, de la tendance aux sudations
icité urinaire chez les épilep- tiques, par Voisin et Péron, 178. Tremblement juvénile héréditaire, par Nagy, 79. Trépanati
41 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
forte que la gauche, les réflexes sont très exagérés et il y a des tremblements fibrillaires. Le pouls bat 168 à la minute. Par
- ments. D'autre part on ne releva ni contracture, ni raideur, ni tremblements . Mais la faiblesse et l'amaigrissement augmente
maladie de Basedow (goitre, exophlalmie, tachycardie (130), sueurs, tremblement ) sont au complet. Le diagramme des mains obtenu
s petits nombres correctes. La constatation du dysgrammatisme, avec tremblement méca- nique, l'omission, principalement dans l'
s de son travail, chez un homme de soixante-dix-huit ans atteint de tremblement , sans ataxie, complète la nature du trouble, c'
. XIX. DE la parésie PSEUDOSPASMODIQUE d'origine TRAUM\TIQUE avec tremblements ; par FUERSTNEft. - Id.; par Nonne. (NPtl9'OlOI ?
is en réalité purement fonctionnels. Ce sont surtout des spasmes et tremblements musculaires avec paralysies. Les phénomènes par
utralisé ou augmenté sous une influence psychique. Les secousses du tremblement , excessives à l'occasion des mouvements volonta
exus symptomatique moteur (affaiblissement des membres inférieurs - tremblement progressif surtout intentionnel - secousses à d
ie, associés ou isolés, tels que les tics, la chorée hystérique, le tremblement , les contractures, les anesthésies, les parésie
alériane et l'hydrothérapie ' avait été aussi institué. Un cas de tremblement hystérique chez une fillette de onze ans. - M.
hystérique chez une fillette de onze ans. - M. BÉzy cite un cas de tremblement hystérique chez une petite fille de onze ans et
q ans. ' (B.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 265 sur la rareté des maladies à tremblements dans l'enfance, tandis que l'hystérie est fréqu
ral par la brusquerie du début et la recherche des stigmates, le tremblement hystérique n'ayant aucun caractère spécial. L'enf
re spécial. L'enfant qui est présenté au Congrès a été prise de son tremblement à la suite d'une frayeur ayant occasionné une p
servations en tout), aucune altération. P. KERAVAL, XI. UN CAS DE TREMBLEMENT CONGÉNITAL; par Augustus Usiner. (Edimbourg méd
cal Journal, mai 1897.) On observe parfois des sujets atteints d'un tremblement persis- tant, qu'il est impossible de rattacher
u'il est impossible de rattacher à une affection déterminée. Un tel tremblement peut atteindre plusieurs membres d'une même fam
famille. Il peut apparaître de bonne heure ou assez tard. Plus le tremblement se montre à un moment précoce, plus on est en dro
signes indiquant une affection organique, constitue bien un cas de tremblement congénital. Il s'agit d'un homme de trente-six
nt congénital. Il s'agit d'un homme de trente-six ans, atteint d'un tremblement , qu'il présente depuis l'enfance. Il se souvien
blait en écrivant. Depuis ce temps, les accidents ont progressé. Le tremblement n'existe pas au repos, mais se montre à l'occas
s latéraux et permettent de considérer ce malade comme atteint d'un tremblement congénital essentiel. P. RELLAY. XII. UN cas
t en outre une paralysie des muscles oculaires avec nystagmus, un tremblement pendant les mouvements volontaires. Grâce au trai
aces de coups et blessures, ecchymoses. Symptômes caractéristiques. Tremblements fibrillaires des lèvres, de la langue, des extr
s à la lumière ni direc- tement ni par association. Le malade a des tremblements fibril- laires aux lèvres et à la langue. Aux m
Uë/(U : co'eaH<eM6'<'. Troubles anciens de l'estomac. Goitre. Tremblement . Palpitations. Accès de goitre exophtalmique pe
ses s'améliora de la même façon. A cette époque, A... avait déjà un tremblement nerveux. De vingt-huit à quarante ans, la santé
stomac et digestions fort laborieuses; ils étaient accompagnés d'un tremblement très accentué de tout le corps, plus marqué cep
yée. Après le traitement de l'estomac, le cou avait diminué et le tremblement presque disparu; la digestion était devenue assez
is d'août 1890, le malade éprouve de nouveau des maux d'estomac, un tremblement de' tout le corps, et en plus des palpi- tation
sse mandarine. Il n'y a pas d'exophtalmie; par contre, on note un tremblement qui présente les caractères suivants : tout le co
à oscillations verticales rapides, les mains tremblent aussi et ce tremblement se fait sentir dans l'écri- ture. Le pouls est
cubitus assis. La respiration est rapide, le corps est agité par un tremblement accentué à oscillations dans le sens de l'axe d
des par jour, en augmentant d'un lobe tous les deux jours. 25. Le tremblement s'atténue. Les palpitations ont disparu en même
dance de cette névrose, d'autant plus qu'ils étaient accompagnés de tremblement et de tendance syncopale. Pen- dant ce long int
son des troubles mentaux. Voici les raisons qui nous guident : le tremblement avait les mêmes caractères que celui que nous c
mélancolie anxieuse; les autres phénomènes : goitre, tachy- cardie, tremblement , ont été mal interprétés au premier abord et no
nce que s'il y a des cas de sclérose en plaques où l'on constate du tremblement intentionnel (Charcot), il y a un nombre énorme
nts nerveux, par Debray, 408. Travail manuel, par Fore ! , 163. Tremblement congénital, par Eshner, 321. Trijumeau. Paral
42 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
rire. Verre bleu. — Hallucination donnant lieu à des mouvements de tremblement dans tous les membres. Il crie, il pleure, il gri
prime le dégoût, et il est pris de nausées. Le tout se termine par un tremblement généralisé. Sel de cuisine. — Sa face exprime l
à quelles conséquences saugrenues et folles peut (1) Charcot. — Des tremblements hystériques, leçon recueillie par Georges Guinon
République en Corse. Il avait déjà depuis quelque temps une sorte de tremblement de la main droite qui le gênait beaucoup pour écr
ttaque de nerfs, dont il ressentit tous les prodromes. A ce moment le tremblement de la main était à son maximum. C'est dans cette
lade à l'aide de ce procédé. La main droite est le siège d'un léger tremblement qui gêne le malade pour écrire (Voir planche II l
de pour écrire (Voir planche II le spécimen de son écriture), mais ce tremblement ne se manifeste guère que pendant cet^acte. Au re
On a vu (p. 136) qu'il était à cette époque atteint d'une sorte de tremblement qui l'empêchait d'écrire et l'avait forcé à se fa
s dépêches et ses articles. Pour nous rendre compte du trouble que ce tremblement , déjà bien atténué cependant à cette époque, appo
rmale, celle qu'il avait autrefois, avant l'invasion de ce malheureux tremblement qui le gêne tant. Nous avons maintes et maintes
t le malin esprit avait abandonné son corps, en « causant un horrible tremblement par tous ses membres, » autrement dit elle venait
dent la position qu'on leur donne, sans signes manifestes de fatigue ( tremblement du membre, efforts et accélération de la respirat
e. Marchai (de Calvi)2 a vu le fils d'un père diabétique présenter un tremblement des mains, entre autres accidents nerveux. Il a v
'un d'eux, fait signalé par Mendel, il exisLait dès le jeune âge du tremblement de l'écriture. Chez le même, les réflexes rotulie
raînait un peu la jambe gauche. Pas d'atrophie musculaire. Pas de tremblement spontané, ni intentionnel. Les réflexes rotulie
ite, surtout dans les derniers jours de la vie. Pas de scansion ni de tremblement véritables de la parole. La mémoire est considé
nt. Lorsqu'il se sait regardé, la marche est plus difficile. Quelques tremblements , qui existent spontanément dans les membres, sont
aissance. Ils peuvent varier du simple au compliqué, depuis un simple tremblement ou un mouvement involontaire d'un membre ou d'un
dans ces derniers temps. Aura : Secousse brusque du tronc, vertige, tremblement . Puis « une idée, un souvenir » lui passent par l
tasie-abasie.............. 1 Céphalée des adolescents.......... 2 Tremblement mercuriel.......... 4 Tremblement sénile. .....
lée des adolescents.......... 2 Tremblement mercuriel.......... 4 Tremblement sénile. ........... 3 Tremblement de nature ind
emblement mercuriel.......... 4 Tremblement sénile. ........... 3 Tremblement de nature indéterminée..... 1 Crampe des écriva
rée, hystérie et goitre exophthalmique, névralgie faciale hystérique, tremblement mercuriel, etc.), et ceux qui se trouvent dans le
s heures. Depuis un an ou un an et demi il y aurait aussi un peu de tremblement des mains, surtout à gauche. Le côté gauche, et
u, malgré la faiblesse du côté droit du corps, et malgré une sorte de tremblement chronique, de danse, comme dit le malade, occupan
ique, de danse, comme dit le malade, occupant le côté droit du corps ( tremblement hystérique). Il y a à noter que les fonctions int
onséquence, des accidents d'alcoolisme se sont montrés, consistant en tremblement des mains, cauchemars où le malade revoit des épi
'à 19, et maintenant il en a de 8 à 10. Le malade présente de plus du tremblement prédominant du côté droit et ayant les caractères
s du tremblement prédominant du côté droit et ayant les caractères du tremblement hystérique; il présente les carac- tères de la
hémianesthésie alcoolique avec ou sans hémichorée (car il y a parfois tremblement unilatéral) citées par les auteurs, sont des obse
43 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
PATHOLOGIE MENTALE. de la parole, de l'exagération des réflexes, du tremblement . Mal- gré un traitement spécifique énergique, l
rras de la parole, indécision de la démarche, inégalité pupillaire, tremblement de la langue, ictus apoplecti- formes ou épilep
même temps on constatait chez ce malade des signes d'al- coolisme : tremblement très accentué et étendu il tout le corps, insom
mitives, de la substance blanche de la moelle. Il passe en revue le tremblement intentionnel et la cura- bilité de certains sym
le début de la sclérose en plaques. C'est précisément ce quifait le tremblement inten- tionnel. La suppression de l'action de q
cute par saccades, d'une façon interrompue. C'est précisément là le tremblement intentionnel. Le mouvement intentionnel résulte
ent il ce qu'ont dit Strumpell, Bruns, 0. Huber, il faut séparer le tremblement intentionnel de l'ataxie ; 5° Comme Charcot (
eur habituels. Pas de troubles de la motilité des mem- bres. Pas de tremblement des mains, pas de tremblement inten- tionnel, p
de la motilité des mem- bres. Pas de tremblement des mains, pas de tremblement inten- tionnel, pas de trépidation épileptoïde
peuse était énorme. L'intelligence était bornée. La faiblesse et le tremblement musculaire, ainsi que la cécité partielle que l
ement moral; pour la moelle : douleur au dos, aux bras, au ventre : tremblement des mains et des bras; pour l'appareil digestif
ie de la peau du dos, de la diminution de la puissance génitale, du tremblement des mains et des bras, de l'exagération du réfl
S. toute autre valeur; parmi ces signes de début il faut noter le tremblement de la face, l'hésitation de la parole, la trémula
la sclérose en plaques. Cette dernière affection ne s'accompagne du tremblement typique que lorsque le cervelet est pris ou lorsq
t des fibres cérébelleuses. Quand la moelle est seule atteinte ce tremblement n'existe pas. D'une forme douloureuse de polyné
vement. Voix enrouée. Pas d'anesthésie ni de stigmates hystériques. Tremblement nerveux continuel. Il a chanté toute la nuit de
de la station debout, ni de la marche. Pas d'incoordination. Léger tremblement des doigts. Pas de troubles de la sensibilité s
tion. - Langue épaisse et molasse, sans dentelures, ni atrophie, ni tremblement . Pas de mou- vements de latéralité. Voile du pa
et d'autres. Pas d'atrophie de la langue ni d'aucun muscle ; pas de tremblements fibrillaires. La fatigue qui survient dans les
. Dans les antécédents de la malade on ietrouve du nystagmus avec tremblement de la tête (secousses, tremblement rotatoire) che
de on ietrouve du nystagmus avec tremblement de la tête (secousses, tremblement rotatoire) chez deux de ses frères et deux de s
de goitre exophtalmique à marche aiguë, c'est-à-dire tachycardie, tremblement léger, délire et diarrhée. L'exophtalmie, absente
ntant pas de signes physiques apparents de dégénérescence. Pas de tremblements du corps, des mains seulement et de la langue. Pa
d'alcoolisme ont apparu : insomnies avec hallucinations nocturnes. tremblement des mains, crampes dans les mollets. HYPERESTHE
e. La face est rouge et cou- verte de sueur, les yeux brillants; le tremblement est généralisé à tout le corps. Les pupilles so
ndant il est resté calme et demande sa liberté, se disant guéri. Le tremblement a diminué. Le malade est toujours sous l'influe
ur son âge, assez grand, la figure toute rouge, les yeux brillants. Tremblement généralisé. Comme signe physique de dégénéresce
peut plus les réveiller comme hier, par des moyens artificiels. Le tremblement persiste, et aussi l'hyperesthésie épidermique.
expérimentales pour la détermina- tion de la nature des émotions. Tremblement et forme pui,liirso7zieizne. M. BÉRILLON présen
la symptomatologie de la maladie de Par- kinson, en particulier, le tremblement tout à fait typique dans le bras droit et la ma
r, boire, écrire et travailler; son facies est redevenu normal ; le tremblement n'a pas complètement dis- paru, mais il est con
ouïe n'existent plus. Celles de la vue persistent au même degré. Le tremblement et l'hyperesthésie ont diminué. Même état des r
mptômes immédiats d'alcoolisme ne sont plus aussi évidents, sauf le tremblement , toujours très accusé. Le malade est transféré
nd brun, bien musclé ; les- yeux sont hagards, les traits inquiets. Tremblement généralisé ; pas de température ; le pouls est
... dort d'un sommeil calme, sans cauchemars. L'appétit est bon, le tremblement des mains diminue. Transféré à Ville-Evrard'le
es orteils à droite ; ataxie nette, quoique faible, du bras droit ; tremblement intentionnel de la main droite, surtout pour le
sie et d'un état de rigidité spasmodique des membres inférieurs. Du tremblement intentionnel aux quatre membres. Une exagératio
son développement intellectuel, aucune mal- formation du crâne. Le tremblement intentionnel à grandes am- plitudes, plus fréqu
tives a un. - psychique chez un gly- cosurique, par Farez, 351. Tremblement et forme 1111 kinwn- nienne, par Bérillon, 452.
44 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
y a peu d'années. Il n'a jamais eu d'enfant. Il présente un léger tremblement des mains quand il étend les doigts. Etat menta
Réflexes tendineux des bras exagérés ; réflexes patellaires abolis. Tremblement de la langue. Sur les radiographies de la tète,
ossible. Chez quelques sujets, l'effort de redressement provoque un tremblement classique des membres inférieurs, qui persiste
toir ; elles ont duré quelques secondes et à celles-ci a succédé un tremblement avec engourdissement et sensation de fatigue de
Physiquement bien développé, intelligence au-dessous de la moyenne. Tremblement des mains étendues. Enlin exagération de réflexes
pendant deux jours, se dissipant petit à petit. Etat actuel. Léger tremblement des membres supérieurs à l'extension. A la pres
Peut élever les pieds au-dessus du plan du lit, avec oscillation et tremblement : Réflexe du genou exagéré à droite, moins à gauc
rine, trace d'albumine et quelques cylindres hyalins. 22. Il y a un tremblement intentionnel, ample, des mains. La cachexie s'e
POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 231 Enfin, nous avons vu un tremblement des membres assez notable. Par conséquent, comm
vions en ce cas en présence d'une stomatite, d'une néphrite et d'un tremblement correspondant à ce qu'on peut voir dans l'intox
mercurielle chronique profession- nelle avec de la stomatite et du tremblement d'où est venu plus tardivement parésie des jamb
n mercurielle chronique professionnelle où il y avait stomatite, de tremblement très intense jusqu'aux grandes convulsions, pui
a chaleur fut atteinte d'abord d'une stomatite très intense et d'un tremblement des membres supérieurs qui dura peu de temps, m
nta de la stomatite, plus tardivement des troubles cachectiques, du tremblement et des symptômes correspondant à une polynévrit
vailleur avec de l'amalgame du mercure. Il fut atteint d'abord d'un tremblement , puis d'une parésie des quatre membres. Il y av
es sacro-lombaires, frémissement qui s'accom- pagne d'ailleurs d'un tremblement des membres inférieurs et du tronc. Il n'y a nu
es crémastériens normaux. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de tremblement . Coeur normal. Pouls : 72. Appareils digestif
s et nécessaires, par les intervalles qu'on met entre elles, par le tremblement qui accompagne les efforts que l'on fait, par u
Toujours ràide de tout le corps. Par- fois le patient est pris d'un tremblement aussi bien que de convulsions géné- rales. Le m
, à la main et aux doigts. Il existe d'ailleurs de temps à autre du tremblement fibrillaire sur le deltoïde et au niveau de l'é
e quelques douleurs. A signaler enfin comme autre trouble moteur un tremblement total et intermittent de tout le membre supérieur
emblement total et intermittent de tout le membre supérieur gauche, tremblement s'étendant parfois au membre inférieur du même cô
olie sans avoir présenté d'atrophie musculaire, de paralysie, ni de tremblement . Lui-même marcha de bonne heure, s'éleva normal
e unité active d'autant plus que la main droite se prend et que des tremblements intentionnels très accusés ont succédé aux spas
. C'est volontairement que A... prend cette position pour éviter un tremblement spontané qui le gêne. A. L'atrophie musculaire
L'acuité visuelle est égale à 1. E. On constate, d'autre part, un tremblement à l'occasion des mouve- ments volontaires du ni
n des mouve- ments volontaires du niveau des membres supérieurs, ce tremblement esta rythme lent et à larges oscillations avec
une véritable chorée. C'est donc un type exclusivement cynctique du tremblement . Des contractions fasciculaires spontanées s'ob
ment progressifs suivant la même topographie et caractérisés par un tremblement cynétique arrivant à réduire dans d'importantes
au minimum. b) Par des signes de la série cérébelleuse (asynergie, tremblement in- tentionnel, nystagmus). On note ici l'abs
endant une ou deux minutes ; mais bientôt ses jambes sont prises de tremblement et le malade cherche un appui pour ne pas tomber.
use des violentes douleurs ressenties dans la région lombaire et de tremblements dans les membres inférieurs. Il souffrait, en o
prouve dans la région dorso-lombairé une douleur qu'il compare à un tremblement . Les mouvements de latéralité se font également b
45 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t encore, et ils sont même un peu plus éten- dus que la veille ; le tremblement a diminué; mais l'anesthésie est complète ; le
un bras se comportera différemment et présentera, par exemple, ce tremblement caractéristique qu'a décrit Charcot et qui enlè
d'enchaîner ses idées, de répondre aux questions, de dire son nom. Tremblement très marqué de la langue et des muscles de la f
d'un alcoolique en convalescence d'un accès de délirium tremens. Le tremblement avait disparu, mais on constatait chez ce sujet
courbe d'un alcoolique en plein accès de delirium tremens. Outre le tremblement , a se tient à une cer- taine hauteur, b présent
pendant il avait éprouvé des angoisses extrêmement violentes et des tremblements de mains l'empê- chant presque d'écrire. Au res
leur action, les sensations anormales, les troubles parétiques, les tremblements ont complètement disparu et la maladie a guéri
musculaire extrême, exagération excessive du phénomène du genou ; tremblement podalique suscité par les procédés que l'on sai
scles des yeux. Affaiblissement très notable de la force des mains, tremblements à l'occasion des mouvements voulus, et même sou
lbaire et le tabes. Dans la chorée, il s'agit presque toujours d'un tremblement des cordes vocales, faiblement ten- dues et d'u
la corde vocale gauche ; un autre fait, dans lequel on constate un tremblement marqué des cordes vocales et de la parésie des
trépi- dation est spontanée pour le pouce et rappelle l'aspect du tremblement dans la maladie de Parkinson. La sensibilité cu
e l'exagération des réflexes tendineux, de l'épilepsie spinale, des tremblements spontanés. Même alors, tout peut rentrer dansl'
nhard tire que : 1° le trouble de l'équilibre (sans vertiges) et le tremblement dans les mouvements synergiques se rattachent t
; absence de phénomènes tendineux; démence; trouble de la parole; tremblement à l'occasion de mouvements voulus; cou . vulsio
ieures de mouvements spasmo- diques, de sautillements tendineux, de tremblements intention- nels rappelle, quand on les rapproch
tent néanmoins, sous l'influence de l'électricité galvanique, des tremblements violents, mais de courte durée. Intégrité de la
racine postérieure du renflement cervi- cal) ; sur l'apparition de tremblements en des muscles anatomi- quement sains à l'occas
latées; de temps à autre, son corps et sa face sont secoués par des tremblements convulsifs qui par- fois ne se manifestent qu'à
d'angoisse et d'une oppression à la poi- trine ; c'était suivi d'un tremblement de tout le corps et de con- vulsions cloniques,
es est rétablie; mais on voit toujours la même faiblesse et le même tremblement des jambes après la marche. L'anam- nèse montre
les mouvements de la droite sont plus restreints; on y aperçoit un tremblement con- tinuel. La réaction faradique et galvaniqu
e, arrive une suite d'accès qui portent le même caractère, savoir : tremblement du bras gauche; spasme tonique à la jambe gauch
de. Le 12 septembre, les jambes de D... commencèrent à trembler; le tremblement n'avait lieu que quand il marchait et, si fort,
cours ultérieur de la maladie, il eut plu- sieurs accès de violents tremblements des jambes ; étendu sur le dos, il jetait les j
'il arrivait des jours où la polyurie disparaissait subitement, les tremblements aussi; le malade pouvait un peu marcher facilem
aye de soulever les paupières, le globe oculaire roule en bas. Un tremblement des jambes; les muscles des membres inférieurs
in se répète. L'attaque est précédée d'un violent mal de tête, de tremblements des jambes et d'un spasme douloureux du pha- ry
ts de différents membres, de tressaillements de tout le corps, de tremblements pendant les mouvements volon- taires et de véri
46 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
qui décrit un léger arc de cercle. La déambulation s'accompagne d'un tremblement de la jambe qui s'accuse quelquefois davantage qu
ènes intéressants qui peuvent succéder aux accès, nous signalerons un tremblement des membres paralysés, lequel peut se manifester,
grès de la paralysie sous l'influence des accès d'épilep-sie.— Aura. — Tremblement des membres paralysés.— Sept abcès sur la jambe p
tion involontaire. Après l'accès, elle avait durant une demi-heure un tremblement des membres du côté droit. — Quelquefois même, sa
particularité : les membres paralysés sont parfois atteints d'un tremblement con-vulsif qui tantôt succède aux accès, tantôt a
es journées entières dans un état (Yextase, ayant de temps à autre du tremblement des membres, sans que l'accès devienne complet.
P... voyait sa mère, lui souriait. — Elle se plaint de sa tète et de tremblements dans tout le côté gauche. 1876. P... n'a rien o
s l'épaule et le poignet. — Les mouvements spontanés sont normaux (ni tremblement , ni ataxie). — Au dynamomètre Burq, nous trouvons
gé de lui mettre la camisole. La parole est lente ; il n'y a pas de tremblement ni de la langue, ni des lèvres. La conception des
é à gauche. — Caractères des attaques en juillet 1873. — Secousse?. — Tremblements , sauf-, paralysie, contracture de la jambe droite
3 décembre. — Hier, dans l'après-midi, la jambe droite était prise do tremblement dès que. le pied posait par terre. De 6 heures du
e matin, sa jambe droite tremblait; à partir de 8 heures et demie, le tremblement a été remplacé par des sauts brusques du membre r
ambe droite a commencé à sauter très-fortement, puis a été prise d'un tremblement , qui a duré jusqu'à 8 heures. De ce moment à 10 h
. 38°, 5. — Nitrite d'amyle. — Soir: T. R. 38°. 3 juin. — Ce matin, tremblement de la jambe droite remplacé une demi - heure plus
les de lamotilité ont été nombreux et variés dans ce cas : secousses, tremblement , cho-rée, paralysie, crampes, contractures. a)
si que nous l'avons vu (p. 141) fut, un jour, jetée parterre. b) Le tremblement , les sauts et les soubresauts ont été observés à
158. — daas le délire hystérique, 153. Torticolis hystérique, 188. Tremblement , 50, 133, 136, 141. Trépidation, 70, 76, 79,81, 1
47 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
est pris subitement de convulsions cloniques des quatre membres. Un tremblement très fort secoue tous les mem- 10 DEUX NOUVELLE
t en bas et à droite. Il a des mouvements de mastication, puis du tremblement de la mâchoire inférieure, auquel succède du grin
ut de chaque accès les convulsions sont d'abord légè- res, c'est un tremblement ; mais elles ne tardent pas à se pro- noncer et
e ans et demi. Pas d'aura, oubli de l'attaque. Attaques de sommeil. Tremblement . Stigmates hystériques peu marqués. Attaques li
J'en ai assez, je m'en vais, » ou bien on le renvoyait à cause d'un tremblement qui le prend par moments et l'empêche d'agir sû
des cauchemars mais beau- coup moins souvent que chez lui. Parfois tremblement des deux mains, surtout de la gauche. De plus i
ense. 17 septembre. Depuis 8 jours, l'agitation est plus marquée. Tremblement des membres supérieurs. - 18 septembre. Hier le
de phénomènes librillaires ; de temps en temps, un certain degré de tremblement des membres supérieurs ,- (1) Voir'le Compte-re
ber, le tour de la salle. Etat- général excellent. Il n'y a plus de tremblement des membres supérieurs. ' 16 novembre. - L'ét
vulsion de la dent. 2 août. Pupilles égales ; parole libre ; pas de tremblement des lèvres ni de la langue. Schad... a des idée
s la racine ; quelques autres cicatrices sur le front. - Très léger tremblement de la pointe de la langue ;joue droite un peu g
erait évanouie à la suite d'uue dis- cussion violente, puis a eu un tremblement passager; pas de coups, pas de chutes, pas d'al
aux halles. Fièvre typhoïde étant soldat, très nerveux, violent, tremblement très marqué dans ses accès de colère, buveur ma
e ; excès de boisson. Grand-père paternel cancéreux. Mère nerveuse, tremblement de la tête. Frère, convulsions, mort de méningi
ille]. Mère, 52 ans, brodeuse. Elle a, depuis l'âge de 35 ans, un tremblement de la tête, comparable au tremblement sénile. C
a, depuis l'âge de 35 ans, un tremblement de la tête, comparable au tremblement sénile. Ce tremblement aurait commencé à la sui
, un tremblement de la tête, comparable au tremblement sénile. Ce tremblement aurait commencé à la suite d'une couche, du res
48 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
rd connaissance, ses membres se raidissent dans l'extension, un léger tremblement anime tout son corps, puis, au bout de quel-ques
Il se produit souvent des crampes douloureuses, des secousses, ou un tremblement analogue à la trépidation. Le membre est dans cet
es deux jambes et le bras gauche. Sa main gauche est prise d'un petit tremblement dont parfois elle n'a pas conscience, mais que lu
une ondulation rapide du ventre avec borborygmes bruyants, tantôt un tremblement général ou d'un côté du corps seulement; tantôt l
qué sur nos tracés (fig. 15) où l'on remarque : 1° D'abord un petit tremblement fin de toute la ligne, qui n'existe qu'au commenc
er... « souffle le feu ». lit. A pçine couchée elle est saisie d'un tremblement nerveux. Elle demande des boules aux pieds. « Oh!
, ses yeux se convulsent en haut, tout son corps est agité d'un petit tremblement . Peu à peu elle s'affaisse et re-tombe sur son li
ar une raideur de tout le corps dans l'extension, suivie bientôt d'un tremblement généralisé et violent. ô).La seconde période es
coup la tête tourne à droite. Raideur générale dans l'extension; puis tremblement . b). Cinq grands sauts, — cris, — arcs de cercl
la face est congestionnée, les yeux fermés, il n'y a pas d'écume. Le tremblement général est suivi de quelques secousses. b). c)
fois brusquement surpris par du tétanisme ou bien se mo-difient en un tremblement de tout l'être ou d'une partie du corps, c'est le
dirigés en dedans vers le front, comme dans l'action de loucher; des tremblements , des agitations, des mouvements violents de tout
toïde existe avec la contraction tétanique de la phase tonique et les tremblements , les agitations, etc., de la phase clonique. Pu
en feu, et elle tombe en poussant un cri. Parfois elle est prise d'un tremblement nerveux général, sensation de froid dans le dos,
par jour. Voici comment elles débutent : d'abord elle est saisie d'un tremblement dans le ventre, qui dure d'un quart d'heure à une
elques secousses de peu d'amplitude. Il survient par instant un petit tremblement de tout le corps qui dure peu. La compression o
rdu connaissance. c. Quelques instants après, l'accès débute par un tremblement général, puis quatre à cinq grandes secousses agi
t marqué par le battement des paupières, l'ondulation du ventre et un tremblement partiel, limité à un côté du corps ou généralis
figure est altérée, le regard inquiet, tous les membres agités par un tremblement convulsif; la malade, complètement étrangère à ce
ngement notable se manifesta. Le visage était devenu plus calme, le tremblement convulsif des membres avait diminué, les concepti
iste pas. Les paupières supérieures abaissées sont animées d'un petit tremblement non permanent, mais toujours provoque, lorsqu'on
x mains, à ce moment-là, et j'ai senti quelques secousses et un léger tremblement qui n'ont été que passagers. » Elle paraissait
pliquèrent d'hystérie. On observa également l'a-phonie, le délire, le tremblement , les convulsions violentes, et même le somnambuli
s est large et dépressible (80 pulsations), la langue est humide. » Tremblement marqué des mains, un peu moins accusé des jambes,
fait prendre, dit-il, le poison de La Pommerais, la digitale. 5) Le tremblement des mains est moins considérable. Pouls large 80,
ses camarades ; quelquefois aussi des menaces ou des injures. » Le tremblement des mains a diminué. T. R. 37° 6. Pouls régulier,
gt minutes, on remarque quelques secousses très légères, ou plutôt un tremblement musculaire, aux oreilles, à la nuque. Il manifest
ces qui le forcent par moments à s'arrêter et même à s'asseoir, et du tremblement dans les mains, plus marqué le matin, un neu moin
bilité est exaltée partout au simple contact et au pincement; il a un tremblement considérable des bras et des jambes, des lèvres e
ts, parle à son patron, se cache et veut fuir pour éviter les balles. Tremblement de tout le corps, frémisse-ment des muscles delà
ent fatigués par des nausées et des vomissements; d'autres avaient un tremblement continuel; on en vit même assez souvent tomber da
p. 71). 2. Cité par D'^G. Légué, Documents, etc., p. 70. prise de tremblement . Tout le monde peut dire l'émotion que sa seule v
es pieds : qu'elle demeura en cette posture assez longtemps, avec des tremblements étranges, ne touchant la terre que du ventre : qu
ois et lui remua les bras et les jambes avec des frémissements et des tremblements : que le démon forcé de se retirer par le saint s
iboire que l'exorciste tenait en main, témoignant par ses gestes, ses tremblements , ses cris et ses larmes, de l'horreur, de la révé
tes de confiance et d'amour de Dieu, puis je communiai; il me prit un tremblement fort grand, qui me dura bien une demi-heure, puis
bée, dit un des assistants, en des convulsions qui lui causaient un tremblement et un raidissement dans les bras et dans les jamb
e de mouvements convulsifs qui ont commencé par des bâillements et un tremblement universel : ses yeux se sont tournés en sorte que
plusieurs fois témoin de ses convulsions : elles commençaient par ^p tremblement universel dans tout son corps : après quoi elle é
au tom-beau de Paris, par un engourdissement des nerfs, suivi par un tremblement de tous les membres. « Les mouvements convulsifs
pendant un quart d'heure pour y faire ma prière... Dans le moment, le tremblement me prit, je ne pus me relever; on fut obligé de m
ronc et des bras innnobiles, — la respi-ration coupée de sanglots, du tremblement avec agitation générale et toutes soi'tes de gest
graphe spécial consacré aux caractères médicaux, on trouve signalé le tremblement de tout le corps, la suffocation, le délire avec
49 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
a profession. Lorsqu'on l'examine couché, on ne perçoit guère qu'un tremblement très-accentué du membre inférieur droit, qui s'
us avons dit que le membre inférieur gauche (sain) était animé d'un tremblement déjà très-manifeste le malade étant couché. Aus
malade étant couché. Aussitôt que ce membre exécute un mouvement le tremblement s'exagère, à plus forte raison lorsque pour tir
igué. Veut-il se servir de sa main droite ? celle-ci est prise d'un tremblement nerveux et rapide qui fait que l'écriture est t
es molaires; lorsqu'il la tire hors de la bouche elle est agitée de tremblements et prise d'un spasme qui la dévie plus fortement
a droite. Lorsqu'il veut rire, les lèvres sont également agitées de tremblements ; la bouche ne présente pas de déformation. Le c
er à la gorge et l'étouffer; en même temps presque se produisait un tremblement général de tout le corps avec claquement des de
mains et des bras plus hésitants; la tête elle-même participait au tremblement , ce qu'on n'avait pas remarqué jusqu'alors; enf
e de quatre-vingts ans, est atteinte depuis une dizaine d'années de tremblement sénile. Un frère du père est bien portant; une
près le début de sa maladie, elle a eu la rougeole; à ce moment, le tremblement ne paraît pas avoir augmenté. État actuel, ao
acile- ment à lire et à écrire, mais son écriture se ressent de son tremblement , les lettres sont assez régulières, mais les li
tremblées. La parole est traînante, scandée et un peu nasonnée,. Tremblement très prononcé de la langue lorsque celle-ci est
agmus dans le sens transversal. Lorsque la malade est assise, léger tremblement de la tête. Dans la station debout, elle écarte
léchis d'autre part. Si on lui fait porter un verre à la bouche, le tremblement est assez marqué, mais il est iL peu près le même
de la bouche, on la voit agitée de petites secousses, d'un léger r tremblement en totalité s'effectuant dans tous les sens. Elle
vulsifs permanents. La respiration saccadée peut être rapprochée du tremblement des membres et de la langue, que quelques-uns p
lorsqu'il s'y ajoute l'absence d'un autre signe capital tel que le tremblement . Cette variété de l'attitude dans la paralysie ag
omènes d'alcoolisme : cauchemars légers, troubles digestifs. Pas de tremblement . Rachis. Aucune déviation transversale, symétri
be droite serait maintenant plus faible que la gauche. Il existe un tremblement très marqué des doigts et des mains, tremble- m
marqué des doigts et des mains, tremble- ment qui ressemble fort au tremblement alcoolique; cependant le malade nie tout excès
50 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
expression de la malade. Exagération des réflexes rotuliens. Pas de tremblement épileptoïde spontané ou provoqué. Sensibilité i
ainsi dire escamotées, parler lent, monotone, non scandé. Pas de tremblement des mains. Jamais de maux de tête, ni ver- tige
igneusement examinée à nouveau, elle se plaint d'avoir ressenti des tremblements fibrillaires dans les régions thénar des deux c
e, creusée en gouttière, sortie et ramenée dans la bouche. Quelques tremblements fibrillaires à la pointe. L'atrophie de l'émi
e parait un peu plus développée que la moitié droite ( ? ? ). Léger tremblement à la pointe. Aucun signe de paralysie du voil
tre après avoir existé plus ou. moins longtemps. C'est ainsi que le tremblement , pendant les mouvements intentionnels, aujourd'
Les deux membres inférieurs étaient parétiques, surtout, le gauche; tremblement pendant les mouvements intentionnels des bras,
ber par terre. A la position horizontale, - on ne remarquait pas*de tremblement nul part, pas d'embarras de la parole, sauf une
t les mouvements qu'il faut faire pour écrire; il se développe un tremblement tellement fort que l'écriture est très difficile
t que l'écriture est très difficile à lire. Amélioration notable du tremblement pendant les mouvements intentionnels des bras;
ômes vertigineux se sont complètement passés, pour faire place à un tremblement surtout du membre supérieur droit, que sa mère,
ganique cérébro-spinale et que, vu l'âge du sujet, les vertiges, le tremblement pendant les mouve- ments intentionnels, le nyst
rent un sommeil de trois heures, puis survinrent de l'agitation, du tremblement , des troubles de la parole; la mor- phine seule
égulier, la température nor- male ; les paupières sont agitées d'un tremblement continuel ; la malade répond quand on lui parle
, se lamente, elle est prise de sueurs, de l onomatomanie. 163 de tremblement et avec l'expression de la plus vive anxiété el
rès, la faiblesse augmenta de nouveau, des douleurs dans le dos, du tremblement et des crampes dans les membres inférieurs se f
ai de marcher les jambes lui tremblent. Parfois on observe un léger tremblement et une contraction convulsive de quelques muscl
e. Au surplus, se font sentir de temps en temps des douleurs et des tremblements convulsifs dans les extrémités supérieures, mai
remarquables sont : marche spastique, rigidité des muscles, leur tremblement convulsif et contractures, affaiblissement des
; elle se sent d'ailleurs daus ces cas poussée dans le dos. 44. - Tremblement subit généralisé : « Ce n'est rien, dit-elle, c
toulfe pas, ne sent pas sa boule; dit même. qu'elle ne viendra pas; tremblements du côté droit surtout dans le bras. Pas de trou
puis surviennent des mouvements désordonnés des membres, comme un tremblement excessif, ne ressemblant eu rien à ses an- cien
es secondes. Les mouvements volon- taires exagèrent l'amplitude des tremblements : la démarche est DE LA THÉRAPEUTIQUE SUGGESTIV
nt très développés au coude, au poignet, au genou, au coup-de-pied. Tremblement latéral delà tête peu accentué, pas de déviatio
te : dilatation de la pupille droite. Rien du côté de la langue. Le tremblement persiste pendant le sommeil. , La malade s'affe
une trémulation de tous les muscles, surtout à l'avant-bras. 13. Le tremblement persiste, mais en s'attenuant : cepen- dant la
en- dant la malade manifeste des idées d'empoisonnement. 20. - Le tremblement diminue la marche est possible. Pen- dant toute
consoler et lui enlever cette pensée qui ne faisait qu'augmenter le tremblement . Ne faut-il pas voir dans ce tremblement tnn ph
ne faisait qu'augmenter le tremblement. Ne faut-il pas voir dans ce tremblement tnn phénomène d'induction psychomotrice (Féré),
51 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
loyé par Gubler. Il appelait « astasie musculaire ,, une variété de tremblement saturnin précurseur de la paralysie. Employé da
itement : amélioration no- table de l'état psychique, diminution du tremblement , sommeil et appétit; disparition de douleurs de
an- gienne du pouce de la main gauche ; si- multanément il y a un tremblement et une trépidation rapide des muscles de la f
oduire chez la plupart des sujets une sorte de parésie avec ou sans tremblement des membres inférieurs. Ces phénomènes se mon-
notes de l'école et son écriture. La parole est un peu traînante ; tremblement de la pointe de la langue. En décembre, on cons
ment de la pointe de la langue. En décembre, on constate un léger tremblement de la langue et des lèvres, de l'embarras de la
il peut survenir de l'aboiement, du mutisme (cas de Chauffât), des tremblements choréiformes ; nous n'en finirions pas du reste
que et clinique sur ? tf'n ! : c/t0)'e'e, l'hé- mianesthésie et les tremblements symptomatiques. Th. Paris, 187G. 2 llémiancsthé
roles sans suite, une immo- bilité fixe et rigide de la pupille, du tremblement de la parole, comme s'il allait pleurer; mais l
inique si net et si saillant du malade, à savoir : les vertiges, le tremblement pendant les mouvements intentionnels, le nystag
bien portants. D'autres soeurs sont mortes l'une de ' Début par un tremblement , pas de délire. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 381
'habiller, le déshabiller. - Il baveetsuce. Pupilles égales. Pas de tremblement de la langue. Aucune parole; il ne se rend null
a perdu sa gaieté. Vers la deuxième minute, nous avons constaté un tremblement des muscles bien visible, surtout dans ceux des
la tête soulevée. Après une demi-minute, nous avons constaté que le tremblement a sensiblement diminué pour que l'animal puisse
ce de quarante secondes elles ont repris leur état normal. Quant au tremblement , il persistait encore avec prédominance dans le
c prédominance dans les cuisses. Durant la troisième expérience, le tremblement a été plus intense qu'aux précédentes. Dans l'i
premières expériences elles mettaient environ une demi-minute. Le tremblement s'est propagé aux oreilles, lesquelles, après les
latation commence une demi-minute après le début des mouvements. Le tremblement se produit après la première minute. Après la f
tion que le petit chien. Les symptômes ont été les mêmes, sauf le tremblement qui était moins pro- noncé. M. Laubé nous a r
perdre son équilibre; son regard devient inquiet. Puis viennent les tremblements des muscles et surtout ceux des cuisses et des
tes, la température rectale est descendue à 37° et puis à 36°. Le tremblement des membres qui s'observe souvent pendant le ba
é singulière de conserver indéfiniment (plus d'une demi-heure) sans tremblement , ni sensation de fatigue les positions que l'on
si des phénomènes de même espèce, bien diffé- rents d'ailleurs, des tremblements si fréquents delà mélancolie anxieuse. L'un de
he : à partir du début de l'acte, dans la sclérose en pla- ques, le tremblement va sans cesse en augmentant et souvent les mala
des ne peuvent atteindre le but. Chez nos malades, au contraire, le tremblement parait moins accusé à partir de l'instant où le
t où le verre est saisi, jusqu'à son arrivée à la bouche. Enfin, le tremblement s'aggrave de plus en plus à mesure que la sclér
yeux l'exagère considérablement, tandis que chez l'athéto- sique le tremblement ne va pas en s'accroissant du point de départ a
éralise ensuite plus ou moins rapidement; dans l'athétose double le tremblement paraît atteindre son maximum d'intensité et d'é
. La marche des deux maladies n'est pas non plus compa- rable. Le tremblement reste à peu près toujours le. même chez l'athét
52 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uelconque, d'autre part. Les autres phénomènes irritatifs, tels que tremblements , mouvements choréiques, rares il est vrai aussi
s mélancoliques. Pupilles resserrées, la gauche plus que la droite. Tremblement fibrillaire de la langue. Parole lente et embar
allucinations pénibles. Idées de persécution. Excitation passagère. Tremblement des mains. Pupilles resserrées et inégales. Lég
ssurent le diagnostic de névrose fonctionnelle. Les formes rares du tremblement clonique de l'extrémité supé- rieure (convulsio
e (convulsions de la main par exlension des fléchisseurs profonds) ( tremblements convulsifs de tout le bras par extension du bic
ions au lit) ; le corps thyroïde était légèrement hypertrophié ; le tremblement des membres était très appréciable. A part un c
droite et le bras droit. Le 19 août subitement elle eut d'abord un tremblement convulsif des doigts de la main droite, puis l'
e. La parésie faciale droite et du bras droit semble avoir disparu. Tremblements fibrillaires de la partie droite de la lèvre in
la musculature oculaire ni dans les réactions pupil- laires. Pas de tremblement de la langue. Etat mental. La malade ne reconna
ence, et atteinte, depuis son enfance, de crises épileptiformes, de tremblement et d'athétose. Le tremblement a pour caractères
enfance, de crises épileptiformes, de tremblement et d'athétose. Le tremblement a pour caractères de cesser au repos ou pendant
de la malade lui soient inconnus, l'auteur formule le diagnostic de tremblement hérédi- taire, état morbide que M. M Achard et
t morbide que M. M Achard et Raymond ont démontré être identique au tremblement sénile et qu'ils ont désigné avec ce dernier so
émulante. Dans le cas étudié par M. Labbé, la forme hémiplégique du tremblement et de l'athétose, sa coexistence avec des crise
et l'hypersécrétion du suc thyroïdien. Les symptômes accessoires, tremblement , sensation de chaleur, hyperexcitabilité nerveuse
une amélioration d'un cas de démence avec hésitation de la parole, tremblement des mains et faiblesse des jambes. Dans les aut
s élevées du tronc ; des décubitus se déclarent en même temps qu'un tremblement des mains, rappe- lant le tremblement c intenti
déclarent en même temps qu'un tremblement des mains, rappe- lant le tremblement c intentionnel », et le nystagmus. Au mois de s
ère. Hallucinations multiples et pénibles. Hésitation de la parole. Tremblement des mains. » C'est un homme bien musclé, d'une
cience de la situation. Embarras très caractéristique de la parole; tremblement fibrillaire des lèvres et de la langue. Inégalité
se dit millionnaire. L'em- barras de la parole est caractéristique. Tremblement fibrillaire des lèvres et de la langue. Mémoire
agues de satisfaction. L'embarras de la parole est caractéristique; tremblement fibrillaire des lèvres et de la langue. Les pupil
trois frères ont un aspect caractéristique : nystagmus, bradylalie, tremblement intentionnel des membres, exagération des réflexe
s diminuent ou même les suppriment. Ils doivent être distingués des tremblements qui coexistent avec eux de l'incoordination mot
anset se porte bien, mais est affecté depuisau moins vingt ans d'un tremblement des mains. Une tante paternelle, vivante aussi,
. (Amificun Journal or iîzsa7zity, juillet 1897.) 1 : . 13. XXXV. Tremblement dans la chorée; par le Dr Wallace 13HEIN. On es
r, des mouvements rythmiques vibratoires ayant tous les signes d'un tremblement bien caractérisé. (The alienist and neu- rologi
e Romherg, incoordina- tion moins accentuée aux membres supérieurs. Tremblement léger au repos continuant sans exagération pend
les contractures cataleptoïdes de la stupeur catatoni- que jusqu'au tremblement ordinaire des anxieux. Ces troubles organiques
ve- ments anormaux des hémiplégiques d'après leur pathogénie : 1° tremblement aux mouvements volontaires et spasmes,dégéné- r
leurs vagues sans localisation précise. Pas d'incoordination, ni de tremblement . Pas de troubles tro- phiques, ni d'atrophie mu
ris qui sortent de ma bou- che viennent également de deux âmes. Les tremblements extrêmes qui me saisissent quand le saint-sacre
raitement de la folie, par liussel, 143, par Tobbs, 1 li. CuoRKE. Tremblement dans la -, par llUem, 312. Classification des
nerf - dans la folie, par Gionnone, liO, 330. Débilité mentale et tremblement , par Labbé, 151. Dégénéré. Odvssée d'un anar-
53 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t là progression suivante : TROIS CAS D'IDIOTIE MYXOEDEMATEUSE. I tremblement , faiblesse et sueurs. Deb... marche difficilement
ouverts. Erythème des aines dû aux poussées sudorales. 12, juin. Tremblement de tout le corps sans sueurs, affai- blisseme
ndu jusqu'au 5 juillet. L'érythème inguinal a disparu. 14 juin. - Tremblement des jambes qui oblige de main- tenir le malad
médiocre et le malade se nourrit surtout de lait. 4 juin. - Le tremblement a diminue, les douleurs ont disparu, la tempé
de 2 kilogrammes) ; quelques secousses dans les membres. 13 juin. Tremblement presque continuel des membres supé- rieurs. 1
que continuel des membres supé- rieurs. 14 juin. - Persistance du tremblement . Diminution de l'appétit. Fig. 7. Wat...-eii
effrayée, ne pas s'être trouvée mal, mais avoir été prise d'un fort tremblement qui aurait duré une demi-heure : a Je tremblais
a règle chez les idiots myxoedémateux, monte à 38° et au- dessus, tremblement , faiblesses lypothymiques, sueurs profuses remp
abituelle de la peau; affaiblissement des jambes, augmentation du tremblement , tachycardie, vomissements, agitation, excitati
ération cérébelleuse aurait déterminé des vertiges, de l'ataxie, du tremblement des mains, de la paresse vésicale, de la dysuri
es muscles. On constate, en outre, des convulsions fibrillaires, du tremblement des doigts, des accidents bulbaires. Il y a dimin
ents, de l'asthénie mus- culaire, de l'oppression précordiale et du tremblement , phéno- mènes d'ailleurs qui disparaissent rapi
ration du pouls, la fatigue, le REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 61J léger tremblement des membres, la céphalalgie, les douleurs mus-
6 pages. La Roche-sur-Yon, 1595. yc lvonnet et fils. DELIAS (P.). Tremblement hystérique. Brochure in-8° de 10 pages, avec 24
démarche était nettement cérébelleuse, et la malade présentait les tremblements généraux de l'incoordination des membres qui ac
teur, M. J. Séglas. - 2° Pathologie nerveuse. De la séméiologie des tremblements ; rapporteur, M. Souques. - 3° Législation. De l
étruite, et l'on observe alors des contractions irrégulières et des tremblements fibrillaires, provenant de ce que les centres s
très difficile par la possibilité où l'on se trouve d'attribuer le tremblement à une cause toxique. Le malade a vingt-et-un
squ'à seize ans, c'est-à-dire un an après l'apparition des premiers tremblements . De seize à dix-huit ans, sans être lui-même oc
ans une maison d'étamage de glaces. A quinze ans, apparition d'un tremblement aux mains s'accen- tuant surtout dans les petit
ant surtout dans les petits mouvements (écriture) : à dix-neuf ans, tremblement des pieds. Depuis six mois, projection de la tête
avant et à droite. Le malade étant tranquillement assis, on note un tremblement des mains et des pieds, plus ample que dans la
la langue. Les petits mouvements de pré- cision n'augmentent pas le tremblement des mains. Des deux côtés, exagération légère d
e musculaire. Le malade affirme que lorsqu'il est seul et calme, le tremblement peut disparaître entièrement pendant plusieurs
se en plaques, dit l'auteur, ce cas est anormal en ce qui touche le tremblement puisque les auteurs sont d'accord pour admettre
tremblement puisque les auteurs sont d'accord pour admettre que le tremblement dans cette maladie accompagne les mouvements, e
appuyé pour éta- blir son diagnostic. Si maintenant on étudie ce tremblement même, l'âge, l'aspect du malade font immédiatem
la maladie de Friedreich ou celle de Graves. Seule l'hypothèse d'un tremblement toxique demeurerait admissible sur- tout en ten
ndaires, les paralysies nucléaires, la polyurie, la glycosurie, les tremblements et la mort subite. Les symptômes négatifs compr
s incontestables de sclérose en plaques : exagération des réflexes, tremblement inten- tionnel, nystagmus, décoloration des pap
chez le chasseur novice un réflexe général, sursaut, palpita- tion, tremblement , etc. ; plus tard il ne produira chez ce même c
gravation de tous les accidents, convulsions cloniques précédées de tremblements et suivies d'inertie, mort. Quatre chiens ont suc
54 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
sous-cutané du visage. Volume du foie augmenté. Système nerveux. Tremblement intense et généralisé, qui disparait d'une mani
vements ataxiques et la chute a lieu dulcôlé où penche le tronc. Le tremblement augmente considérablement, 8 CHAGAS lorsque l
beaucoup de ressemblance avec ce qui a lieu chez les ivrognes. Le tremblement généralisé persiste, dans toute son intensité, qu
ents sont coordon- nés. On constate aux membres supérieurs un léger tremblement à l'occasion des mouvements intentionnels. La
sont assez limi- tés. Les deux membres supérieurs sont agités d'un tremblement qui existe au repos et pendant les mouvements.
d'un tremblement qui existe au repos et pendant les mouvements. Ce tremblement est plus marqué à droite qu'à gauche. Les membr
tion de la langue du côté gauche, l'liémiatrophie de ce côté et les tremblements dont elle est le siège (PI. X). Dans l'intérieu
rcourue, uniquement dans sa moitié gauche, 30 RAUZIER ET ROGER de tremblements fibrillaires, de quelques secousses vermiculaires
ance de l'orbiculaire au niveau de la paupière supé- rieure. Pas de tremblements au niveau des lèvres ni de la face. Pas de trou-
drome complexe, comprenant une iiémiatkopiiie linguale gauche, avec tremblements fibrillai- res, signe le plus net, une déviatio
nt et du côté opposé, en arrière et du même côté. La présence des tremblements fibrillaires complète le tableau. Chez notre ma
aucun trauma à l'origine. Le début assez brusque et la présence de tremblements fibrillaires sont contraires à l'idée d'une pol
faveur plaident, chez notre malade, l'atrophie très marquée et les tremblements fibrillaires, qui restent de bons signes des lé
so- motrices n'ont pas été constatées. Dans le cas de Meinertz le tremblement fibrillaire s'est généralisé à presque toute la
du diagnostic différentiel entre les mouvements myocloniques et les tremblements : secousses brèves, rapides, de petite amplitud
rnier et se met à écrire. Il écrit très lisiblement et presque sans tremblement son nom, son prénom, le nom de la commune où il
ligne moyenne, RÉACUTISATION DE L'HYDROCÉPHALIE INTERNE 213 sans tremblements ; les mouvements passifs et actifs des membres son
gueur remarquable. Sur les muscles soumis à l'examen, on ne voit ni tremblement , ni contractions fibrillaires, ni spasmes, ni a
t méconnaissables, certains mots (I3agzolet) presque illisibles, le tremblement , les crochets, les zig-zags sont des plus accen
les autres symptômes basedowiens,l'exophtalmie, la tachycardie, les tremblements , la transpiration, la diarrhée, etc., persis- t
cou rond et ses yeux grands. Les autres symptômes s'aggravent, les tremblements deviennent très manifestes, les transpirations
r exercice et le pouls augmente de suite de 20-30 pulsations. Les tremblements sont très manifestes, la malade est toujours agit
sente des tressaillements. Quand on lui prend le pouls on sent les tremblements et les tressaillements des membres. Les accès
basedowien : un goitre, de l'exophtalmie, de la tachy- cardie, des tremblements , des troubles oculaires, des crises de diarrhée,
d'enfant. Le pouls bat à 100 pulsations par minute. Elle n'a pas de tremblements , la mens- truation est régulière. Prurit au dos
de la face. La mastication est facile, mais elle s'accompagne d'un tremblement asspz marqué des paupières gauches. Si l'alimen
ien d'autres symptômes qui alar- mèrent fort la malade. D'à bord un tremblement convulsif des membres supérieurs et du haut du
: il signale pour justifier son dire de la perte de la mémoire, du tremblement des mains au point de ne pouvoir pas écrire, de l
asymétrique surtout pen- dant le mouvement ; la mimique est lente ; tremblement des muscles de la langue ; la parole est assez
est hagard, le maxillaire inférieur est abaissé et animé de faibles tremblements . Ces tremblements se transmettent à la tête ent
illaire inférieur est abaissé et animé de faibles tremblements. Ces tremblements se transmettent à la tête entière. 24. On note
55 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sa langue remue, mais il ne ' peut parler. Son corps est agité d'un tremblement général. La rougeur est plus ou moins vive suiv
'accommodation. Réflexes rotuliens très vifs des deux côtés. Pas de tremblement des mains, des paupières, ni de la langue. Réfl
sion ». (Annales rnédico-psychologiques, oct. 1896). E. B. II. LE TREMBLEMENT GÉLATINEUX DE LA LANGUE CHEZ LES ALIÉNÉS MELANC
CHEZ LES ALIÉNÉS MELANCOLIQUES'; par le D'' V. Parant. Parmi les tremblements qui intéressent la clinique des mala- dies ment
des aliénés paralytiques est presque le seul remarqué. A côté de ce tremblement l'auteur en décrit un autre qui, s'il n'est pas
men- tales où on le rencontre, une importance véritable. Dans ce tremblement , la langue n'est point animée de mouve- ments i
ations. D'après cette comparaison, M. Parant propose de donner à ce tremblement le nom de tremblement gélatineux. La constata
comparaison, M. Parant propose de donner à ce tremblement le nom de tremblement gélatineux. La constatation de ce Lemblement, i
ectieuse. Cette dernière hypothèse est confirmée par ce l'ait qu'un tremblement analogue s'observe dans des maladies fébriles q
tieuse, telles certaines fièvres typhoïdes. Dans ces conditions, ce tremblement peut être le plus habituel- lement considéré co
lontaires. Associés à ces mouve- ments choréiques, on remarquait un tremblement rythmique assez prononcé des mains et, lorsque
s doigts qui sont courbés en griffe, le malade est agité d'un léger tremblement , les points atteints non douloureux mais hypere
n avec gesticulation. Apparaissent ensuite de l'aphasie motrice, du tremblement , de l'insomnie, des céphalalgies. Deux mois aup
lète, amnésie, gâtisme, oubli de manger, mou- vements automatiques, tremblements , hébétude, liyperexcitabilité des réflexes tend
est prise d'une vio- lente douleur dans le membre affecté, puis de tremblement et de convulsions généralisées suivies d'exagér
ropre et produisent un courant nerveux spécial. P. IiEB4VAL. XLI. TREMBLEMENT consécutif A l'influenza ; par les docteurs de
l'objet de ce travail fut atteint, à deux reprises différentes, de tremblement immédiatement après une attaque d'in- fluenza.
s, de tremblement immédiatement après une attaque d'in- fluenza. Ce tremblement , de rythme moyen occupait surtout le côté droit
t au contraire le dimi- nuer. Pour expliquer le développement de ce tremblement post- grippal, les auteurs supposent que le sys
. Doue..., en juillet 1884 (19 ans). 192 RECUEIL DE FAITS pris de tremblement , ce qui n'empêche pas le malade de le sou- leve
ntprovoquerle reposnoc- turne, améliorer la démarche et diminuer le tremblement des mains. Dans les névroses de coordination, l
avec la chorée, que l'on observe quelquefois, non plus qu'avec les tremblements qui sont habituels. Ils sont faciles à émouvoir
eux ans. Aspect infantile. Pupilles inégales, réflexes pares- seux, tremblement des muscles de la face et de la langue. Hésita-
s inégales, pares- seuses ; troubles de la parole et de l'écriture, tremblement des muscles de la face, exagération des réflexe
éflexes. A vingt-six ans accès d'excitation, troubles de la parole, tremblement fibrillaire de la langue et des muscles de la f
troubles de la parole étaient fréquents (le plus souvent lenteur et tremblement ). Le tremblement de la langue et des mains étai
role étaient fréquents (le plus souvent lenteur et tremblement). Le tremblement de la langue et des mains était souvent très ac
dalupe, sa mère fut profondément impressionnée par les secousses de tremblement de terre dont Panama fut le théâtre pendant plu
des extrémités adroite. Au moindre effort, fatigue extrême; pas de tremblement de la langue ni des extrémités. Pas d'altératio
une affection ; à ce moment il prit une première crise d'épilepsie ( tremblement convulsif des membres, perte de connaissance et
par Broca, 220. Thyroïdectomie expérimentale, par Murray, 367. Tremblements gélatineux de la lan- gue chez les mélancolique
56 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
un autre encore l'exophtalmie fera défaut, mais la tachycardie, le tremblement , la diarrhée, la boulimie paroxystique seront s
illot, et reste la plupart du temps nu dans une cellule capitonnée. Tremblement de la langue, accrocs de la parole; inégalité p
arole ; pas de signes pupillaires, pas de tremble- ment des mains ; tremblement de la langue très manifeste. Reflexes tendineux
rmes de la parole : impossibilité de prononcer aucun mot d'épreuve, tremblement de la langue. Voici maintenant, pour terminer,
at ; embarras de la parole ; inégalité pupillaire, signe d'Argyll ; tremblement de la langue. des mains, de l'écriture ; réflex
de gaieté et de colère ; puis des divagations, des maladresses, du tremblement des mains, de la difficulté à parler. A l'entré
ession d'idées délirantes bien caractérisées ; satisfaction simple. Tremblement des mains, de la langue ; secousses de la face ;
Inégalité pupillaire, signe d'Argyll ; réflexes tendineux normaux ; tremblement de la langue et des mains ; accrocs de la parol
à signaler chez elle qu'une émotivité extrême qui se traduit par le tremblement des mains, de la langue, des lèvres, par l'instab
i existent dans le membre supérieur droit et qui tiennent plutôt du tremblement intentionnel que de l'ataxie. Réflexes rotulien
tteindre le but, une série de mouvements peu amples qui tiennent du tremblement et de l'ataxie, peut-être plus encore du tremble-
he, il le fait bien, mais quand il arrive près des lèvres il y a un tremblement un peu analogue à celui de la sclérose en plaques
; le réflexe cutané plantaire était en extension aussi à droite. Le tremblement particulier dans les membres supérieurs était d
s, à caractère mal défini, qui semblent toutefois relever plutôt du tremblement intentionnel que de l'ataxie vraie. La force mu
ons du cervelet. De même les troubles de la synergie musculaire, le tremblement particulier dans les extrémités supérieures et
ras, le haussement des épaules se font bien. Nulle part n'existe du tremblement ubrillaire ; les réflexes tendineux et périostés
de l'apathie motrice due au toxique. La démarche chancelante et les tremblements ataxiques peuvent s'observer au début dans l'éb
s'accumulent alors avec une ra- pidité d'impulsion marquée que les tremblements ne gênent pas, en rai- son de la rapidité même.
x, d'une manière correcte. Lorsqu'il tire la langue, on remarque un tremblement fibrillaire très net, beaucoup plus marqué à dr
s pas absolument indemne, tant au point de vue de l'atrophie que du tremblement fibrillaire (Pl. XLIII). Le malade se plaint d'
totale, maux tête, nausées. Janvier 1904, troubles psychiques nets, tremblement accentué du bras et de la jambe droite. Exitus
malade furent affectés d'un mouvement de trémolo très frappant. Ce tremblement accompagnait les mouvements intentionnels ; il
; les membres supérieurs pré- 372 RAYMOND ET ALQUIER sentaient un tremblement intentionnel de tous points analogue il celui de
orrespondre aux symptômes particuliers : nystagmus, parole scandée, tremblement intentionnel, que présentait notre malade ; les q
ons-nous dit, un double intérêt. Nous avons souligné l'existence de tremblement intentionnel, de nystag- mus, de parole scandée
es, d'autres symptômes tels que le nystagmus, la parole scandée, le tremblement intentionnel, susceptibles de faire soupçonner
paces, ainsi que de légères contractions musculaires involontaires ( tremblement fasciculaire) et la sensa- tion qu'elle va tomb
des lignes tracées sur la glace, la tête était prise d'une sorte de tremblement qui se terminait par la déroute, et que je consid
re une sorte d'engourdissement du bras, et surtout de la main, avec tremblement à peine perceptible de celle-ci. Suivant l'expr
du côté droit (côté du sterno-mastoïdien contracté) et d'un lé- ger tremblement , ainsi que d'une sensation douloureuse dans l'épa
oucher, me grat- ter, me laver.. ; j'éprouve même parfois un peu de tremblement de la tête, de petites contractions frustes, li
tous les actes moteurs, automatiques ou surveillés. Cette sorte de tremblement de la tête que signale le malade et qu'il dé- c
57 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
« Par la rupture du voile du Temple, l'ouverture des pierres, par le tremblement de la terre, de mesme toy 6 Esprit qui règnes icy
et ne produisant aucun effet utile. C'est ce qui se produit dans les tremblements , dans les contractions convulsives. La diminuti
ression sera : La paralysie. La parésie. La force normale. Le tremblement et les contractions convulsives. La contracture.
ce normale, qui sera : Force normale exprimée par p; parésie par F—n; tremblement par F+n; paralysie_par F—2n; contracture par F+
minution de la sensibilité par places rétrécissement du champ visuel. Tremblement d'un membre. Nous lui donnerons comme formule :
t une observation d'une malade de M. Jules Voisin, sous le titre de : Tremblement trépidatoire hystérique guéri par la suggestion h
la suggestion hypnotique. Nous résumons les symptômes principaux : Tremblement d'abord hémiplégique et en même temps anesthésie
en même temps anesthésie et analgésie limitée à un côte. Plus tard, tremblement des quatre membres et en même temps l'anesthésie
'analgésie s'étendant aux quatre membres. Nous appliquerons doncàce tremblement deux formules successives : La première F + F+n
première F + F+n + F+n — Sn+ + S-n + S La seconde formule, quand le tremblement et l'anesthésie sont généralisés sera : ( F+n +
alade est guérie par une suggestion qui fait disparaître à la fois le tremblement et l'anesthésie c'est-à-dire qui rétablit l'équil
. Elle ne pouvait non plus se tenir assise à cause des convulsions et tremblements qu'elle éprouvait dans la partie affligée. Huit j
t un jour la risée des peuples. COURS ET CONFÉRENCES Apoplexie et tremblement hystériques (1) par M. le professeur Raymond. C
ndant trois quarts d'heure. Revenu à lui, il se met à trembler et son tremblement dure sept mois. Il y a deux ans, il voit une pe
ent ce qui s'est passé avec sa sœur ; il craint de l'avoir battue. Le tremblement a, de nouveau, reparu. Quand il est assis, le c
ses à la Salpê-trière. sa fausse trépidation spinale n'est que du tremblement ; de même, ce sont des mouvements de défense qui
que de la dyschromatopsie ; et, d'autre part, tous les caractères du tremblement , surtout la brusquerie de son apparition, dénoten
nt, surtout la brusquerie de son apparition, dénotent qu'il s'agit de tremblement hystérique. Ces attaques sont des attaques d'ap
hénomène prémonitoire. Quand il revient à lui, il présente, outre son tremblement , une abondante polyurie. 11 n'y a ici aucune as
sculaire et les réflexes sont normaux. Pour guérir cet homme de son tremblement il faudra rééduquer sa motricité, lui bien expliq
divers, des idées égoïstes, des idées altruistes, un égoïsme fait de tremblement et de peur et des sentiments altruistes qu'inspir
quant des esprits malins. Rentré chez lui, Mahomet fut atteint d'un tremblement , comme il arrive souvent après des crises nerveus
jambes chancellent, la peau se couvre de sueur, le visage blêmit, un tremblement général envahit l'organisme, et le chanteur perd
intermittente (Influence des), par Paul Farez, p. 310. Apoplexie et tremblement hystériques, par Raymond, p. 220. Banquet de la
58 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
du pied sur la paume de la main, on déterminait l'apparition d'un « tremblement » qui n'est autre chose que de la trépidation s
ars caractéristiques. Aux mains et à la langue on ne constate qu'un tremblement très léger. - De plus X... est syphilitique dep
uloureux, mais le malade présentait une scansion de la parole, avec tremblement de la langue, de l'affaiblissement intellectuel
antes de grandeur et de persécution, de l'embarras de la parole, du tremblement de la langue et des lèvres, de l'incontinence d
a fait des excès de boisson. Il a de la gastrite, des pituites, du tremblement des mains. De plus, il a des antécédents névrop
provoqué par les mouvements d'élévation des globes oculaires et un tremblement du membre supérieur droit, provoqué par les mou
membre supérieur droit, provoqué par les mouvements volontaires. Ce tremblement , en effet, n'existait point au repos, mais il app
exagérait quand il voulait porter cet objet à la bouche. C'était un tremblement intentionnel, à grandes oscillations lentes et ir
et menace de chute du côté droit. Vous voyez aussi qu'il existe un tremblement intentionnel, assez faible du reste, dans la ma
plexe, caractérisé es- sentiellement par une hémiplégie droite avec tremblement intentionnel, par de la titubation et par des t
les du système moteur de la face et des membres disons qu'il y a un tremblement variable des doigts, c'est-à-dire que tantôt ce
y a un tremblement variable des doigts, c'est-à-dire que tantôt ce tremblement est très accentué et que tantôt il est impossible
qu'on aurait pu pren- dre pour des contractions fibrillaires et du tremblement dont la varia- bilité surtout et l'exagération
ajoute à cette soudure apparente de tous les segments du corps, le tremblement , qui d'ailleurs peut parfois faire défaut,on se r
e travail excessif, la malade s'est aper- çue qu'elle tremblait. Le tremblement a débuté par la main droite. Il existait pendan
e inférieure tremble depuis deux ans et la langue depuis 8 mois. Le tremblement a envahi le côté gauche depuis 6 mois seulement.
elle, elle marche à reculons, faisant une dizaine de pas environ. Tremblement . Les quatre membres et la tête tremblent; le tron
débuté brusquement, à la suite d'une émotion vive; la raideur et le tremblement , localisés d'abord à la main droite, ont envahi
ents du corps et des membres sont soudés dans la demi-flexion. Le tremblement existe aussi dans les muscles des lèvres et la ma
allongées en avant. Quand le talon n'est pas fortement appuyé, le tremblement lui fait battre le sol d'un mouvement rythmique
l l'exécute en géné- ral sans trop de difficultés. La raideur et le tremblement disparaissent pour un temps plus ou moins long,
usculaires. · - Ces contractions fibrillaires sont indépendantes du tremblement dont elles n'ont point le synchronisme. Mais
on de la matière dans le cerveau, une grande crise d'épilepsie avec tremblements et frissons de tous les membres. Ce que voyant,
59 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
un peu haute. — Au bout de trois ou quatre minutes, on note un léger tremblement des mains. Le pouls (P.) est toujours à 108. La r
er, du chloroforme et du chloral. — Accidents dus à la morphiomanie : tremblement , hyperesthésie générale, cauchemars, insomnies, c
beaucoup des mains et a de la peine à écrire son nom et la date ; le tremblement se compose de petites secousses très rapides. T
on de morphine au centième. — Soir :T. R. 38°, 4. 3 septembre. — Le tremblement est encore plus prononcé. La signature est excess
eptembre. — Les vomissements ont cessé ; la diarrhée persiste. — Lè tremblement est plus accusé. — Matin et soir : T. R. 38°, 4.
défécation douloureuse. — Ni sucre ni albumine dans les urines. Le tremblement des mains et des jambes est encore très marqué. —
vais. Nuit et jour les bruits les plus légers la font tressauter. —Le tremblement est un peu moindre. — Elle prend 200 grammes de v
sées, mais les vomissements ont disparu. Diarrhée intermittente. — Le tremblement est très variable : à peu près nul hier, il est a
ès de fou-rire, suivi de perte de connaissance et de divagations avec tremblement du menton1 pendant trois jours. Les règles se son
arrêtées. A l'époque menstruelle suivante, elle a encore eu un peu de tremblement du menton. Depuis ce moment, elle n'a jamais eu d
e à 75 ans, d'une attaque d'apoplexie ; auparavant 1 Cette sorte de tremblement s'observe d'habitude chez les personnes âgées et
'habitude chez les personnes âgées et constitue l'une des variétés du tremblement sémlet elle avait une bonne santé. — Un arrière
sance. Attaques (31 mars 1879).—Pendant l'examen, S...estprise d'un tremblement momentané des membres, et de secousses. Tout d'un
60 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
B. La respiration, la toux et leurs variétés innombrables; G. Le tremblement fibrïllaire des muscles dont les oscillations se
n. Pour obtenir les battements du cœur, du pouls, des artères ou le tremblement fibrillaire des muscles, on appuie, sur le point
gt-cinq, injection de vingt-cinq gouttes de la so¬lution suivante : Tremblement général, poil hérissé, secousses convulsives dans
: injection de dix gouttes de lasolution de fève de Calabar. — 10h23: tremblement , poil hérissé; bave verdâtre très-abondante ; sec
s; oreilles fraîches. — 10h25-50 : urines peu abondantes, selle dure. Tremblement général, plus marqué par moments. Con¬vulsions cl
gme. La respiration se ralentit progressi¬vement. Bruit laryngien Les tremblements , les spasmes diminuent. Mort à 10h45. Dans la p
t après de 40 gouttes de la solution d'atropine. — 6M5 : Faiblesse et tremblement du train postérieur ; urine à deux reprises. — 6h
tions possibles pour qu'il ne reste rien dans la canule. — 6 heures : tremblement , parésie du train posté¬rieur ; quelques secousse
olution au centième de sulfate d'a¬tropine. — 10h5-15 : poil hérissé; tremblement ; marche titubante ; parésie du train postérieur ;
sie sont plus accentués. Convulsions cloniques. — 10h40-ll heures: le tremblement s'affaiblit progressivement; la démarche devient
de fève de Calabar (16 milligr.) à 9h45. — 9h50-55 : selles, urines ; tremblement léger; parésie très-nette du train postérieur. —
minutes plus tard, de 40 gouttes de la so¬lution d'atropine. -9h35 : tremblement généralisé; parésie du train postérieur. — 9h40 :
on de fève (28 mil¬ligrammes), puis de 50 gouttes d'atropine.— 5h55 : tremblement général ; se traîne. — 6h5 : convulsions ; décubi
es de la même solution de fève de Calabar. —5h25 : urine; inquiétude; tremblement ; fai¬blesse du train postérieur. — 5h30 : les con
mode d'emploi et à la valeur du bain électrique dans le traitement du tremblement produit par les intoxications mercurielles et alc
c'est-à-dire celui qui a une assez longue durée et s'accompagne d'un tremblement général, de claquement des dents, etc. Nous n'énu
61 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eux (sensa- tion de pression céphalique, paresthésies sensorielles, tremblement ). I I^ L'anesthésie sensorielle se rencontre da
coolisme chronique (inégalité pupillaire, parésie du facial gauche, tremblements de la langue et des mains), affai- blissement p
. La langue est titée droite, mais elle est tremblottante, et son tremblement est à la fois total et fibrillaire. Les lèvres tr
ité et violent ; il déraisonne complètement. Pupilles irrégulières, tremblement de la langue ; écriture tremblée, réflexes normau
s.au niveau des pommettes, l'émaciation est marquée ; il existe des tremblements des doigts. A quel genre d'aliénation mentale a
int toutefois reste encore rouge et légèrement teinté de jaune; les tremblements des doigts persistent. On ne trouve chez B...
ne d'avril, toute trace d'adynamie a disparu; il en est de même des tremblements des mains, et, quand à ce moment-là, l'affaisse
que quelques particularités nous embarrassaient un peu. Ainsi, le tremblement qui agitait, par sortes d'accès, les membres du
caux. Les deux mains présentaient des désordres du mouvement, du tremblement choréiforme et à gauche une légère alaxie dans
phénomène qui se constate très facilement par les courbes, c'est le tremblement . On aurait pu établir des différences entre le
c'est le tremblement. On aurait pu établir des différences entre le tremblement paralytique, le tremblement fonctionnel ou inten-
ait pu établir des différences entre le tremblement paralytique, le tremblement fonctionnel ou inten- tionnel ; n'ayant pas eu
poursuivre mes observations. Je me borne à montrer une courbe de tremblement sénile. Le tremblement alcoolique va être étudié
vations. Je me borne à montrer une courbe de tremblement sénile. Le tremblement alcoolique va être étudié dans la seconde parti
partie de cet ouvrage. Dans la Planche III, je montre une courbe de tremblement simulé faite par moi. Pour terminer, j'ai pris
eurs, de violentes cépha- lalgies, des mouvements choréiformes, des tremblements convul- sifs, s'abstient de la société de ses c
ion de cavités; au point de vue cli- nique, on n'y rencontre pas le tremblement à l'occasion des mouvements voulus, le nystagmu
la paralysie agitante. Cet au- teur a étudié de près le rhythme des tremblements dans quatre cas de paralysie agitante chez des
, comme conçu en rêve, se mani- festent des troubles digestifs, des tremblements , des visions, multiples, des sueurs, des modifi
rconstances, existent les formes de transition les plus multiples . Tremblement , fai- blesse, hébétude, insomnie sont les sympt
ejaculaliou s'il ne se soustrait pas à leur présence. Il n'y a ni tremblement ni perle de mémoire; les sens paraissent normau
de l'entrée, pupilles légèrement inégales (dila- tation à droite); tremblement et légère .incoordination dans les muscles de l
une affection bien définie du système musculaire constituée par des tremblements museu- lahes ou la rigidité des muscles. 3u L
ment celle de la sclérose en plaques : paralysie avec contractures, tremblement à l'occasion des mouvements volontaires, exagéra-
62 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mention sur les registres auxquels nous empruntons ces détails, de tremblement de la main, de fourmillements à la plante des pie
pied et l'exagération du réflexe rotulien avec la généralisation du tremblement se produisent avec la même intensité, que l'on
1874. Raymond, 7Mdes ! H'<'AëmM- nesthésie, l'hémichorée et les tremblements symptomatiques . Paris, 1876. Lafforgue, Rappor
bservés sans exception. Ce sont de l'affaiblissement musculaire, du tremblement de la langue et des mains, quelquefois môme de
l'attention, et qui est très analogue au delirium tremens : délire, tremblement , in- REVUE DE P.1TIIOLOGIr MENTALE. 101 somni
ment; les selles reprennent leur régularité, le sommeil revient, le tremblement cesse, les pu- pilles redeviennent normales, la
ujourd'hui d'un bon appétit; sa langue est tout à fait nettoyée, le tremblement a cessé. Les pupilles sont moyennement dilatées
: intégrité de la motilité; la tête qui auparavant était agitée de tremblements par accès demeure immobile. Dilatation pupillaire
aintenir leur position ordinaire. Je ne veux pas m.'arrêter sur les tremblements DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 167 signalés chez qu
e vue physique, elle a des maux de tête violents, de l'insomnie, du tremblement des mains, du tremblement fibrillaire des muscl
maux de tête violents, de l'insomnie, du tremblement des mains, du tremblement fibrillaire des muscles de la face et de l'emba
t il se rend un compte exact de ses troubles paralytiques, tels que tremblement des RECHERCHES SUR LA FOLIE AVEC CONSCIENCE. 19
a- tions de la démence compliquées d'incertitude de la parole, de tremblement fibrillaire de la langue, de parésie faciale fais
le rapport de la pathogénie, de la névralgie diaphragmatique, des tremblements en général, do la maladie de Parkinson, des paral
igine nettement rhuma- tismale ; chez quelques malades en effet, le tremblement a été précédé des circonstances qui déterminent
couvertures, et, dès qu'on le découvrait un peu, il était repris de tremblements avec claquement de dents; le sommeil avait comp
esse paralytique dans le membre inférieur droit, avec tendance au tremblement , sensibilité douloureuse de la peau de ce membre
ncinantes dans les extrémités inférieures. Quelques semaines après, tremblements à l'occasion des mouve- ments intentionnels dan
rticipation des cordons antéro-latéraux expliquant en même temps le tremblement intentionnel des extrémités supérieures concomi
s cordons postérieurs, comme l'absence de réflexes patellaires. Les tremblements à l'occasion de mouvements voulus dans les memb
ulsions fibrillaires à la langue, accompagnées d'état sabural et de tremblement des doigts en ce qui concerne les exacerbations
63 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
'ayant jamais présenté de phénomènes nerveux tels que : titubation, tremblements , strabisme. Pas de maladies psychiques dans la
te tout est lature est normale. normal. Pas de paralysies ni de tremblements . Tous les mouve- ments, actifs et pas- sifs
lettres inégales, de ne dénote pas de son frère. dimensions diffé- tremblement . Le Nouv. Iconographie DE la SALPh1RrÈRE. T.
droite, une incertitude crois- sante de la démarche ; plus tard un tremblement et une gêne des mouve- ments des mains ; enfin
, une diplopie. Front étroit, occiput aplati, petits doigts courts. Tremblement et gêne dans les petits mouvements des deux mai
ments des deux mains ; écriture irrégulière (ataxi- que) avec léger tremblement . Démarche ataxique de nature cérébelleuse. Inst
examen ophtatmoscopique : pas de lésions du fond de l'oeil ; pas de tremblement des paupières. Le malade tire la langue, mais c
et inférieurs il ne se produit de contractions fibrillaires. Pas de tremblement . Ces lésions sont absolument' symétriques ainsi
de connaissance ; on note toutefois un état ner- veux habituel avec tremblement émotionnel sous l'influence de la colère. Va- r
nts avec zooptie ; les rêves cèdent s'il interrompt ses libations ; tremblement , le matin à jeun, qui disparaît quand il a bu.
t, ni dans la région pectorale et postérieure de l'épaule. Pas de tremblement , mais instabilité de la main et des doigts qui so
grand'peine dans un plan horizontal. Le malade prétend avoir eu des tremblements du petit doigt sous l'influence du froid ; ce tre
r eu des tremblements du petit doigt sous l'influence du froid ; ce tremblement n'existe pas actuellement. Pas de tremblement
uence du froid ; ce tremblement n'existe pas actuellement. Pas de tremblement à gauche. Quand on chatouille légèrement la pea
à l'accommoda- tion. Pas de strabisme; jamais de diplopie ; pas de tremblement des paupières. Pas de rétrécissement marqué du
otre maître Gilles de la Tourette à l'hôpital Saint-Antoine pour un tremblement hystérique et qui au cours de son séjour à l'hôpi
l'hôpital fut atteint d'incontinence d'urine de même nature que son tremblement ; bien que l'incontinence d'urine d'origine hys
lpteur sur nacre, se pré- sente à la consultation se plaignant d'un tremblement généralisé survenu quelques jours avant à la su
'au moment où il vint, à la consul talion ; nous vîmes alors que ce tremblement était généralisé, lent, 5 à 6 oscillations par se
cédents du malade, la notion de crises antérieures, la cause de ces tremblements il y avait tout lieu de supposer qu'une fois enco
n. Le malade marche bien. Les omoplates ne sont pas saillantes. Tremblements fibrillaires spontanés au niveau des muscles de l
s. Pas de phénomènes du pied. Contracture des extenseurs du pied. Tremblements fibrillaires. Dimensions : mollet gauche .. 27
se gauche 34 à 10 centimètres au-dessus de la rotule. droite 36 - Tremblements fibrillaires. Le malade accuse des crampes dans l
he des inser- tions supérieures, et le deltoïde devient saillant. Tremblement fibrillaire des muscles, ondulations spontanées,
ole est nette. Grande suffisance et satisfaction personnelle; léger tremblement ; insomnies; 380 ' ' G. ÉTIENNE le malade ne s
ue se fait normalement. Les nerfs ne sont pas douloureux. ' Aucun tremblement fibrillaire ne se remarque sur les muscles envoie
plus froid. Les réflexes tendineux sont exagérés ; il n'y a pas de tremblement épilep- toïde, mais la percussion du tendon rot
calme. Les réflexes rotuliens sont très exagérés, il y a ébauche de tremblement épileptoïde des deux côtés. Le membre supé- rie
64 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
ussi bien de fortes secousses d'un réflexe rotulien exagéré que les tremblements de la sclérose en plaques. 1 Malgré cela j'ai r
ed, le tronc oscille de çà et de là, les membres sont agités par un tremblement . Son langage est traînant, elle chantonne, comme
écrâniens sont exagérés. Le malade peut écrire : il n'existe pas de tremblement . La sensibilité objective générale est conservé
eurs sont étendus,rigides,sans atrophie musculaire et présentent un tremblement plus où-moins prononcé pendant l'exécution des
ampes dans les mem- bres inférieurs pendant la nuit. Ni pituites ni tremblement ; pas de signes d'é- tliylisme. , , 136 NOUVEL
s ; m'en étant approché, je la trouvai riante et dans une espèce de tremblement , s'enveloppant avec sa cou- verture comme si el
DORSALIS , PARALYSIE DANS LE DOMAINE D'UN NERF SPINAL (CRURAL) ET TREMBLEMENT lÉlYl7UE DE LA LANGUE PAR R J.-B. CHARCOT C
de la jambe droite, s'accompagnant d'atrophie musculaire ; B. Un tremblement de la langue véritablement ataxique ; C. Une ar
'ait tirer hors de la bouche. Dans ce mouvement, elle est agitée de tremblements nullement fibrillaires mais d'un va et vient d'
ent fibrillaires mais d'un va et vient d'avant en arriére; c'est un tremblement en masse de l'organe. Il s'agit véritablement d
ablement d'ataxie. Nous tenons à bien spécifier que ce n'est pas un tremblement vermi- culaire ni un tremblement congénital, et
bien spécifier que ce n'est pas un tremblement vermi- culaire ni un tremblement congénital, et que nous ne sommes pas en présen
ombone (Magnan), mais ces derniers mouvements sont dus, non plus au tremblement , mais il l'incoordination motrice. » Pierre (4)
ause de ce silence. Nous avons rejeté naturellement les faits où le tremblement pouvait être déclaré normal ou fibrillaire. O
, en 'comptant celui qui fait le sujet de l'observation, avaient ce tremblement . Il s'agissait une fois d'une femme tabétique d
1887. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-MOTEURS 341 C. Tremblement arsenical. Il existe également un tremblement ar-
SITIVO-MOTEURS 341 C. Tremblement arsenical. Il existe également un tremblement ar- senical qui peut se rencontrer seul ou asso
ssocié à la paralysie, à l'incoordi- nation motrice. Il s'agit d'un tremblement général, qui gagne jusqu'aux lèvres ; dans cert
t les avant-bras (1), et alors elle peut se compliquer d'ataxie, de tremblement . Mais ce n'est point là le cas habituel. Le plus
sensitivo-moteurs consécutifs il une intoxica- tion arsenicale, le tremblement peut occuper une place prépondérante. On a vu a
maurose arsenicale, l'une et l'autre curables. De même qu'il y a un tremblement alcoolique, il y a un tremblement arsenical. Enfi
re curables. De même qu'il y a un tremblement alcoolique, il y a un tremblement arsenical. Enfin l'empoisonnement arsenical à l
65 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
t à gauche qu'à droite. Le relèvement brusque du pied provoque un tremblement épileptoïde passager. La raideur de la jambe et d
pas plus marquée dans un groupe musculaire que dans un autre. Les tremblements tibrillaires font défaut. Il n'existe aucun troub
épanchement dans le cul-de-sac supérieur de la synoviale. Quelques tremblements fibrillaires apparaissent dans la région du jam
e décrite, par l'exagération des réflexes rotuliens, enfin par le tremblement épileptoïde. Ces deux derniers symptômes, il fa
i paraissait longue, manifestement roide, agitée fréquemment par un tremblement qui ressemblait à un frissonnement très fort. R
ets contre lacrampe des écrivains (un cas), la sclérose en plaques ( tremblement inten- tonné), 2 cas), le tremblement alcooliqu
cas), la sclérose en plaques (tremblement inten- tonné), 2 cas), le tremblement alcoolique avec, sueurs profuses (2 cas);'il a
nt à l'expression des sentiments, des émotions et de la mimique, le tremblement inten- tionnel de la sclérose multiple, la chor
l'écriture et de la parole, de l'inégalité pupil- laire, un certain tremblement des mains, et une impression géné- rale de bien
vec sentiment de froid et d'engourdissement (à forme hémiplégique), tremblements ' Voyez sur ce sujet Archives de Neurologie, XV
seul subsiste. Il présente en- core le trouble de l'écriture, et le tremblement de la langue déjà signalés, et n'est pas capabl
is ; pas d'alcoolisme; rarement quelques cauchemars la nuit; pas de tremblement ; pas de crampes autrefois, sauf depuis quelque
rnelle, âgée de 80 ans, est atteinte depuis une dizaine d'années de tremblement sénile. Un frère du père est bien portant; une
e personne ivre. Vers le même moment aussi, elle a été prise de son tremblement des mains et de la tête. Quelque temps après
rès le début de la maladie, elle a eu la' rougeole; à ce moment, le tremblement ne parait pas avoir augmenté. " Etat actuel (ao
facilement à lire et à écrire, mais son écriture se ressent de son tremblement , les lettres sont assez régulières, mais les li
peu tremblées. La parole est traînante, scandée et un peu nasounée. Tremblement très pro- noncé de la langue, lorsque celle-ci
mus dans le sens transversal. - Lorsque la malade est assise, léger tremblement de la tête. Dans la station debout, elle écarte
léchis d'autre part. Si on lui fait porter un verre à la bouche, le tremblement est assez marqué, mais il est à peu près le mêm
- Idées de grandeur, de richesse, agitation, insomnie, violences. Tremblement de langue et embarras de la parole.- Pupilles nor
à une certaine époque et qui, à l'heure actuelle, se limitent à du tremblement des mains, à un léger souffle présystolique et
50. 438 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. PITRES (A.) et BITOT (E.) - Des tremblements hystériques . Brochure in-8° de 26 pages. - Pri
66 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, eczémateux, alcoolique, affaiblissement physique et intellectuel, tremblement mi-alcoolique, mi-saturnin. Grand- père paterne
eu de coliques de plomb mais il y a huit ans, durant trois mois, un tremblement de tout le corps et de la langue; ni convulsion
troubles de la parole caractéristiques de la paralysie générale, tremblement de la langue, inégalité pupillaire. Affaiblisseme
s trophiques. Les mouvements volontaires des mains s'exécutent sans tremblement , la parole est normale. L'examen des yeux dénot
s trophiques. Les mouvements volontaires des mains s'exécutent sans tremblement et sans incoordination ; la malade accuse des f
bien conservée. Les réflexes des bras sont exagérés; il n'existe ni tremblement intentionnel, ni troubles de la parole, ni nyst
tiers supérieur du vomer. La langue est épaisse, mobile : pas de tremblement de la pointe. Le menton est arrondi; pas de progn
ents par propagation de la décharge épileptique. F. BoissiEn. XI. Tremblement hystérique; par VaLr y ALDAIHLDE. (Académie , m
isme, s'endort sous un hangar un jour d'été, il se réveille avec un tremblement du bras gauche qui dure actuellement depuis tro
tant a froid; quelques heures plus tard, il éprouve un frisson avec tremblement violent, et perd connaissance. Délire grave. De
ation simple et par laquelle on a jusqu'ici prétendu expliquer le tremblement , les myoclonies, les attaques d'épilepsie et les
nt dues, selon moi, les contractions athétosiques, les secousses du tremblement , des chorées et des tics, les décharges épilept
n sur le conducteur nerveux d'un poison non microbien ou microbien ( tremblement alcoolique, chorée rhumatismale, etc.) ; 2° S
le, etc.) ; 2° Soit à un déplacement moléculaire par ébranlement ( tremblement de Zielgen, hystérie traumatique, etc.) ; 3° So
duira, et ainsi de suite. De là l'intermittence des contractions du tremblement , de l'athétose, des chorées et des tics, ainsi
son in- verse de leur fréquence. C'est ainsi que les décharges du tremblement , qui sont les plus fréquentes, sont aussi les p
nière qu'une absorption d'alcool peut faire cesser momentanément le tremblement alcoolique, phénomène tout à fait comparable à
teurs neuroniens. idiotie 8PILEPTlQUE. 210 i) C'est ainsi que les tremblements , les contractions atliétu- siques et les secous
ndemain 12 novembre, on s'aperçut pour la première fois, d'un léger tremblement de mains, les réflexes étant normaux. La situat
fluctuation ni de ramollissement sur aucun point. Il persistait un tremblement oscillatoire très fin des mains, et on pouvait
étibial provoqué surtout par les efforts du malade pour marcher. Le tremblement oscillatoire menu des mains persista jusqu'à la
nt fait remarquer à son arrivée chez lui l'éclat de son regard : le tremblement vibratoire léger persistait : la circonfé- renc
que l'application de cette manière de voir à l'inter- prétation des tremblements , des convulsions, des paralysies. De ce dernier
erveau : vertiges, réaction pupillaire paresseuse, parésie faciale, tremblement de la langue et des mains, troubles aphasiques, s
jours. L'écriture est examinée : elle est normale, malgré un léger tremblement des doigts. Une fois l'interrogatoire du patien
cé la publication en 1898 dans les Archives médicales d'Angers. (Du tremblement à la paralysie, 1898-1899-1900.) Charles IW r
nfluence de l'aspyrine. Il n'y avait ni rougeur ni température. 1 Tremblement associé à une rétinite du côté opposé. M. I\LIPPE
ans, qui pendant la convalescence d'une lièvre typhoïde fut pris de tremblement choréiforme du membre supérieur droit associé à
- et 511'01, 40. TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. 539 Tremblement hystérique par Alda- balde, 152. - associé il u
67 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
et provoque l'impression de strangulation; en même temps survient un tremblement généralisé avec céphalalgie intense; le malade pe
e. Pour ce qui concerne ses zones hystérogènes, ses contractures, ses tremblements , ses trépidations Iccalisées, tout cela résultait
uelle les genoux se dérobent. 2° Abasic trépidante dans laquelle le tremblement s'accuse dans les membres inférieurs. 3° Enfin,
— COURS ET CONFÉRENCES, i- Crises classiques de grande hystérie et tremblement hystérique monosympto-matique, par M. le P' Raymo
NCES COURS ET CONFÉRENCES Crises classiques de grande hystérie et tremblement hystérique monosymptomatiqne (') par M. le Profes
ue telle que Charcot l'a décrite. Cet homme, lui, présente un grand tremblement transversal, incessant, rapide à sept ou huit osc
parvenir à sa bouche le verre que je viens de lui mettre en main. Le tremblement a gagné tout te corps ; il est surtout accentué a
ps ; il est surtout accentué aux membres supérieurs ; il ressemble au tremblement de la sclérose en plaques. Tous les réOexes son
: S'agit-il d'une affection organique ou d'un trouble dynamique? Le tremblement s'acoroltà propos des mouvements, par exemple qua
s du système nerveux de la Salpétrière. répète, il fait songer au tremblement de la sclérose en plaques. Mais il n'y a pas de n
Il n'y a, en somme, aucun signe de lésion organique. S'agit-il d'un tremblement parkînsonien? Notre homme ne présente aucune raid
masque de la paralysie agitante. Nous sommes dono en présence d'un tremblement hystérique. Mais ce tremblement est monosymptomat
. Nous sommes dono en présence d'un tremblement hystérique. Mais ce tremblement est monosymptomatique; en effet, il n'est accompa
jours après, il éprouve des sortes de frissons et, petit à petit, le tremblement s'installe pour atteindre l'intensité que vous av
es symptômes, enfin, de Vhystéria major, chez le second, seulement du tremblement . Cette différence dans les manifestations tient à
j'aurai recours à l'hypnose qui, certainement, le débarrassera de son tremblement . CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'bypnol
fusil, d'un accès de phobie alarmante, véritable délire, avec pâleur, tremblement et violent effroi : «Tuez-moi, disait-il, tuez-mo
ènes qui en résultent se renouvellent de plus en plus. Il présente un tremblement presque continuel qui lu! rend l'écriture très di
nir pendant la messe. Pondant tout ce temps, il est inquiet, agité de tremblements dans les membres, de démangeaisons, hanté de l'id
s mains tremblent ; parfois ils éprouvent, disent-ils, une sorte de « tremblement interne > ; la parole est hésitante ; ils n'on
t comme des crises hystériques. Lors de sa venue chez moi, elle a des tremblements ou plutôt des hémi-tremblements qui la prennent p
est complètement, au bout de cinq ou six séances, débarrassée de ses tremblements qui ne se sont pas reproduits quand elle quitte C
é le même résultat chez une femme à la ménopause et chez laquelle ces tremblements se produisaient deux fois par jour, avec une tell
. 259. Trac chez un élève du Conservatoire, par Pau) Farez, p. 300. Tremblement hystérique mono-sympto- matique, par Raymond, p
68 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
onnée. Il .se troubla tout à fait, devint très pâle, et fut pris de tremblements . Je crus qu'il parle- rait et je le pressai de
lontaires, quelquefois isolés, quelquefois en série et rappelant un tremblement . Depuis lors ces secousses ont persisté, varian
spondants, de façon que le bas de la jambe est agité d'une sorte de tremblement ; ces secousses se propagent quelquefois à l'aut
, obnubilation extrême du sensorium, expression d'hébétude faciale, tremblements et faiblesse des extrémités, mydriase avec réac
ssive 236 REVUE DE pathologie NERVEUSE. des quatre extrémités, le tremblement qui se montra au début à l'occasion des mouveme
'un autre côté, la rigidité musculaire n'est pas très accentuée, le tremblement disparaît pour faire place aux autres anomalies
, à la gloutonnerie avec amaigrissement, delà rétention d'urine, du tremblement , des convulsions épilep- tiques, des perturbati
s et couleurs). XIV. Révision nosographique des amyotrophies. XV. Tremblements et mouvements choréiformes;. chorée rhythmée. X
es, migraines (céphalalgie violente avec vomissements glaireux) ; tremblement de toute la tête vers trente ans augmentant par
emps, il fait entendre une espèce de bourdonnement produit par le tremblement des lèvres. Il évite généralement les obstacles q
te; congestion de la face, mais sans cyanose; course accompagnée de tremblement bilatéral de la tète et d'un bourdonnement résu
la tète et d'un bourdonnement résultant 342 CLINIQUE NERVEUSE. du tremblement labial; frottement de l'une ou des deux, joues;
les deux tiers supérieurs. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 349 facile; tremblement fibrillaire de la langue assez marqué; pas de t
facile; tremblement fibrillaire de la langue assez marqué; pas de tremblement labial. Cou : circonférence : 36. Tronc, normal
server sa connaissance. Peu après, le malade, hébété, est pris d'un tremblement gé- néral; il s'incline en arrière, puis la jam
ncore à plusieurs reprises de nouvelles secousses et d'une sorte de tremblement fibrillaire avec tapotement du talon gauche.
al Même attitude. Trem- blement assez prononcé de la langue. Pas de tremblement des membres supérieurs. Anesthésie -Analgésie.
buveur émérite, surtout d'absinthe. Il a le faciès alcoolique et le tremblement très prononcé. Il est encore plus sourd que d'h
ce a toujours été sujet à de violentes colères, était alors pris de tremblement très intense. Jamais de convulsions, pas de por
énible et il buvait jusqu'à trois litres de vin par jour. Jamais de tremblement , de pituites, de crampes, de cauchemars. A l'
ant trouvé àl'improvisteen présence d'une femme morte fut pris d'un tremblement , de vertiges, voyait tout noir quoi qu'il disti
, elles sont le siège de la rétraction. Réflexe du coude exagéré. Tremblement fibrillaire. Juin. La rigidité due à la contrac
t la sclérose en plaques. Dans les cas pré- sents, il n'existait ni tremblement aux mouvements intentionnels, ni nystagmus, ni
e. Impossible de décider dans quelle mesure cet affaiblissement, le tremblement aux mouvements intentionnels, les contractures,
69 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns cet ordre de recherches encore, Bianchi vient de publier, sur le tremblement des paralytiques géné- raux', une étude où cett
d trouvé que, dans les deux tiers des cas, les mains participent au tremblement de la face et de la langue. La méthode graphiqu
représentation mentale. Ces rapports si étroits d'analogie entre le tremblement et les autres phéno- mènes mentaux des paralyti
l'abasie. Le malade, quand il était couché, était pris parfois d'un tremblement rythmé, identique à celui qu'il avait pendant l
ou par la percussion du membre ou le relèvement brusque du pied, ce tremblement affectait une grande analogie avec la trépidati
ant ses couvertures, pour que les deux membres fussent pris de ce tremblement . » Sous ce rapport, L... était donc semblable a
évralgies, et dans un cas de sclérose en plaques, elle a diminué le tremblement et augmenté la force du malade. Tiller a essayé
ation mentale. Le méca- nisme serait à peu près celui de l'excès de tremblement de la sclé- rose en plaques, de par l'attention
bsence du signe de Romberg), d'ataxie des mains (difl'érenciable du tremblement intentionnel ; d'alaxie linguale caractérisée p
ns l'émission des mots et du bégaiement avec mouvements associés et tremblements convulsifs des muscles de la bouche et de la fa
, 1890. New-York Medical Journal. Pitres (A.) et BIT01' (E.). Des tremblements /t<e'r ! ? : <M. Brochure in-8° de 26 pag
ude avec maladresse dans les mouvements, quelque- fois même avec un tremblement léger, surtout dans la jambe gauche. Mais, au l
ère les mem- bres atteints (c'est à peine si l'on constate un léger tremblement des orteils). La maladie, un peu plus accentuée
troites, égales, réagissant bien àla lumière; hlépharoptose droite. Tremblement de la langue déviée à droite. Démence avec agit
érienne, de paralysies flasques de la main. Nystagmus dès le début; tremblement intentionnel très net à la fin, envahissant en
nous ne trouvons guère que quel- ques lignes en particulier sur le tremblement , l'état du coeur, des urines, etc..... Le trava
stéries saturnine et mercurielle, et, de plus, établis- sent sur le tremblement hystérique un certain nombre de points absolume
ints absolument nouveaux. . VARIA. 303 A l'occasion d'un cas de tremblement chronique généralisé, intermittent et, surtout,
la sclérose en plaque. On reconnaîtra l'ori- gine hystérique de ces tremblements à leur mode de début, à leur marche, et aux sym
: 3 fr. l'our nos abonnés 2 fr. 50 Pitres (A.) et BzroT (E.). - Des tremblements hystériques. - Brochure in-8° de 26 pages. - Pr
ire. Verre bleu. - Hallucination donnant lieu à des mouvements de tremblement dans tous les membres. Il crie, il pleure, il gri
ime le dégoût, et il est pris de nausées. Le tout se termine par un tremblement généralisé. Sel de cuisine. - Sa face exprime l
. Peut-être pourrait-on trouver également des ressemblances avec le tremblement de la parole dans la sclelose en plaques ou dan
istrée à des lapins, elle provoque des phéno- mènes d'impulsion, de tremblement , de paralysie des muscles de l'appareil respira
70 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
é à être frappée d'attaques convulsives caractérisées par : frissons, tremblements généraux, agitation, convulsions cloniques, mouve
ce n'est pas de couper le client, mais que celui-ci ne s'aperçoive du tremblement . A cette appréhension s'en joint une autre, celle
our le raser tous les matins. Or la crainte que le patron constate le tremblement s'accroît en raison directe du désir qu'il a de c
onsidère comme un bon client que son anxiété apparaît et détermine le tremblement tant redouté. La même anxiété n'existe pas, ou el
atténué, mais suffisant pour lui rendre la main moins sûre. Le léger tremblement de main l'a inquiété, il s'est demandé si sa répu
la table, et alors je sentais distinctement sous mes doigts un léger tremblement qui accompagne toujours un long effort musculaire
ne décadence corporelle générale, une faible puissance musculaire, du tremblement des membres, une disposition aux accès spasmodiqu
s, hémiplégie du côté gauche, hystérie, idées mélancoliques, accès de tremblement de cause psychique, actions involontaires, délire
gissante, paralysie générale, rhumatisme, goutte, schlérose multiple, tremblement mercuriel, troubles de la sensation musculaire, d
stances suivantes : Elle résidait à Marseille. fin février 1887, un tremblement de terre se fit sentir sur le littoral méditerran
nvulsives, dans le cours desquelles se reproduisait toute la scène du tremblement de terre. Elle ressentait la secousse, avait une
ien, de ce qui lui est arrivé pendant les trois mois qui ont suivi le tremblement de terre de 1887. L'amnésie est au contraire de r
plusieurs membres, des impossibilités d'avaler certaines choses, des tremblements , de l'aboulie, des phobies, etc., toutes choses e
ues), l'irritation générale des nerfs, le mal de tête et des yeux, le tremblement du corps entier et les convulsions, excepté quand
m observé a été de 25 litres. Ce qui attire surtout l'attention des Tremblement hystérique simulant la paralysie agitante. M. K
n. Un paysan de trente-deux ans, après une grande peur, fut pris d'un tremblement d'abord des extrémités supérieures et inférieures
es d'hypnotisme, les phénomènes sensitivo-sen-soriels ont disparu, le tremblement a changé de caractère, est devenu franchement hys
pour démontrer les caractères oscillatoires des diverses variétés de tremblements ? Chose non moins attrayante dans cet enseignement
es ayant le caractère suivant : Perte de connaissance, chute à terre, tremblements , mouvements convulsifs saccadés surtout dans les
stets décrit comme il suit : « Le malade est pris de frissons et de tremblements , sa poitrine se soulève, tout son corps s'ébranle
sommeil elle était fort calme, les yeux à demi fermés, avec quelques tremblements rares des paupières-, les membres en résolution e
71 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
rétroversion utérine avec adhérences et péri-métrite douloureuse, du tremblement éthylique des mains et de la langue, de l'anesthé
érie, associés ou isolés, tels que les tics, la choréc hystérique, le tremblement , les contractures, les anesthésies, les parésies,
ait arrivé à y acquérir une certaine habileté, mais, par suite de son tremblement , il est devenu maladroit et hésitant, il ne parvi
udes de Fernand F... sont gravement compromises, d'autant plus que ce tremblement progresse de jour en jour, sans doute lentement,
ment de son système nerveux m. Fernand P..., très incommodé par son tremblement et par ses hallucinations, prend, au commencement
t gagné le pourtour des lèvres et le menton. Cela pose, revenons au tremblement . Celui-ci n'apparaît pas comme très caractéristiq
les trépidations bien mieux par la palpation que par l'inspection. Ce tremblement se compose d'oscillations peu amples, à rhythme m
la continuation de ses études. En somme, quelle est la nature de ce tremblement ? Est-il hystérique ? Mais les stigmates classique
existe chez quelqu'un des ascendants ou des collatéraux. — Est-ce un tremblement dit sénile ? Sans doute, celui-ci peut bien se re
zot et Meyer ont montré, à l'aide d'un appareil très sensible, que le tremblement est physiologique et que nous tremblons tous ; si
r l'amplitude des vibrations ('). D'ailleurs, les différents types de tremblement sont mal définis ; il y a entre eux de nombreuses
olie, alcoolisme, morphinisme, cocaïnisme, hystéro-épilepsie, hoquet, tremblements hystériques, neurasthénie, insomnie, migraine, ch
nomène avait atteint une certaine intensité, la malade était prise de tremblement , et fondait en larmes. Si nous analysons ce sym
die, il se sentit incommodé, vers le commencement de février 1896, de tremblement d'abord, puis de spasmes cloniques dans la partie
il est traité par deux médecins pour un empoisonnement du sang, avec tremblements , agitation, etc., qui ne lui laissent le repos ni
s des maladies organiques telles que l'incoordination de l'ataxie, le tremblement de la sclérose en plaques, la paralysie consécuti
ent des maladies mentales ('). UN APPAREIL NOUVEAU POUR L'ÉTUDE DES TREMBLEMENTS . LE PSYCHOGRAPHE ; par M. Sommer, L'intermédiaire
rit un appareil qu'il a fait construire dans le but d'enregistrer les tremblements et, d'une manière générale, les mouvements incons
ont très nets et donnent sur la direction, ainsi quo sur la forme des tremblements , des détails qu'on ne saurait observer directemen
llaire, des battements du cœur, etc., nous renseignent autant que les tremblements sur les états psychiques. Us sont donc, à ce titr
8. Aura d'expansion humaine (Baraduc), 49. Luys (portrait), 92. Tremblement (cliché), 123, 124. Mosnet (portrait), 225. L
72 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
t l'acte d'adultère avec un étranger, était toujours prise d'un grand tremblement dans la crainte du retour de son mari. La fille d
inte du retour de son mari. La fille dont elle accoucha souffrit d'un tremblement généralisé dès sa naissance jusqu'à l'âge de jeun
ée. —?4. Octobre 1905. BULLETIN Les névroses provoquées par les tremblements de terre.—«Les enfants susceptibles. — Introducti
l'hypnotisme dans l'éducation correctionnelle. A la suite du grand tremblement de terre qui vient de dévaster tout le sud de l'I
e faisait courir l'éboulement des maisons. Il en est chez lesquels un tremblement nerveux persistait encore quelques jours après le
est pas d'accidents qui s'accompagnent d'émotions plus fortes que les tremblements de terre. Bien que les gens n'aient reçu aucune b
te même quand les secousses sont assez faibles. A la suite du dernier tremblement déterre de Nice, en 1887, beaucoup de personnes s
ai eu également l'occasion de traiter de ces névroses consécutives au tremblement de terre de Nice. Des auteurs américains, MM. les
Porcher et Gulteras, ont noté les mêmes accidents nerveux, après les tremblements de terre de Charleston (Etats-Unis), en 1886. E
a les délivrer. La malade de Charcot était occupée par le souvenir du tremblement de terre et, dans l'appartement, elle était pours
qu'on simule la surdité, l'amblyopie, l'aliénation, la paralysie, le tremblement , etc., ou bien, cas très fréquent, qu'on essaie d
e de la sensibilité douloureuse est ici mathématiquement diminuée. Un tremblement menu (nous voudrions pouvoir exclure sans réserve
otions ou par la station debout. Ces caractères les différencient des tremblements et des myoclonies : c'est d'une chorée, de moyenn
et cette chorée, survenant sur un terrain hystérique, a la valeur des tremblements , des myocloniès, etc. Pour guérir cette malade,
rapie, il deviendra quelqu'un. cours et conférences Alcoolisme et tremblement hystérique (') par M. le Professeur Raymond C
par M. le Professeur Raymond Cet homme est âgé de 35 ans ; il a un tremblement , très net aux deux mains, étendu aussi à tout le
ppuie fortement les mains sur les cuisses, il ne tremble pas; mais le tremblement augmente, quand il veut prendre un verre et le po
toxication éthylique a fait appel à l'hystérie : il s'est installé un tremblement hystérique, lequel simule ici celui de la scléros
mment entre deux doigts, n'aurait elle-même pour but que de cacher un tremblement nerveux de la main et du bras. Au fond, il rest
ses hallucinations. TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES Alcoolisme et tremblement hystérique, par Raymond, p. 316. Alcoolisme (Le
Mutisme hystérique, par Pamart, p. 370. névroses provoquées par les tremblements de terre, p. 98. Ouverture du cours de clinique
73 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Ce tressaillement ne le quittait jamais cependant, non plus que le tremblement de la langue, et la parole était toujours incom
..., après une nuit assez tranquille, s'est réveillée agitée par un tremblement choréique occupant plus spécialement certaines
t pas pourrait peut-être être attribué, comme chez Grand..., à un tremblement des lèvres. (OBS. I, t. XIII, p. 323.) Observ
missure labiale gauche est tirée à gauche ; pas de déviation, ni de tremblements de la langue. Parole libre ; pupilles égales, n
est quelquefois grand gâteux. Léger embarras de sa parole; pas de tremblement des lèvres et de la langue. DE l'épilepsie PROC
épression mélan- colique, si nous y ajoutons quelques détails comme tremblement fibrillaire des muscles de la face, inégalité d
et légères plaintes. Ces accès sont fréquemment suivis de violents tremblements , sur- tout dans les bras ; toujours douleurs da
elques mots aux questions qu'on lui adresse ; on constate aussi des tremblements nerveux sans raideur. Dans l'intervalle des acc
bras droits. Emission mécanique de mots; une demi-heure plus tard, tremblement dans les extrémités, surtout à droite, moindre
lle et continue à parler o à à manger, croyant avoir dormi ; légers tremblements con- vulsifs dans les deux épaules et ralentiss
, les attaques syncopales diminuent de nombre et de longueur. Le 10 tremblement par tout le corps; poulslentetirrégulier ; immé
crises se produisent, elle était prise de vio- lents frissons avec tremblement généralisé, à la suite desquels elle se trouvai
evenir le 26, et dans l'intervalle de ne plus avoir de ces accès de tremblement qui ont remplacé les crises hypnotiques et qui
ituelles de sommeil l'ont reprise et qu'elle n'a plus eu d'accès de tremblement . M. le professeur Grasset étant survenu pendant
ique. - Emotion de la mère, trois semaines avant l'accouchement, et tremblement consécutif. Parésie et tremblement du malade dè
emaines avant l'accouchement, et tremblement consécutif. Parésie et tremblement du malade dès sa première enfance. Placé en hos
nnée par la mort de son second enfant. Elle au- rait été prise d'un tremblement qui a duré trois semaines, jusqu'à l'accoucheme
it asphyxié. Elevé au sein par sa mère, sevré à vingt-huit mois. Le tremblement aurait été remarqué de suite et serait de nais-
moins chez ses parents. - On attribue sa maladie à l'émotion et au tremblement survenus à la fin de la grossesse. « Ma mère a
re.- Le malade a continué régulièrement les douches; il dit que son tremblement diminue et qu'il ne se sabre plus autant en man
e la bouche involontairement. D... peut la maintenir allongée, sans tremblement durant un assez longtemps, la porter à gauche e
ste de la remplir, il la porte à la bouche vivement et presque sans tremblement . Une- fois l'acte exécuté une fois, il le répèt
74 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rticulation des mots, les muscles des lèvres sont agités d'un léger tremblement . En outre on constate, à un degré fort apprécia
e. Pas de troubles sensitifs. Amaurose par section du nerf optique, tremblement épileptoïde de la jambe du côté opposé au point
ysique son état général est assez satisfaisant. Mais on remarque un tremblement oscillatoire permanent du membre supérieur, pré
aux doigts et n'augmentant pas dans les mouvements commandés, et un tremblement épileptoïde permanent du membre inférieur droit
çant la main sur son genou; si elle abandonne ces posi- sitions, le tremblement se reproduit instantanément. 11 ne peut être pr
persisté jusqu'aujourd'hui (avril 1897) sans aucun changement, le tremblement de la main est moins accentué. Il n'existe aucun
encore, a des idées d'indignité, se fait des reproches immérités.Le tremblement , après s'être atténué, a complètement disparu d
organe musculeux. Tout se réduit cependant dans les bras à quelques tremblements ; la contraction des muscles de la jambe provoqu
sée par un goitre très gros et des troubles nerveux très accentués ( tremblement des mains, vertiges, sueurs, ballemenls de coeu
bérance du malade, sans amnésie, sans embarras de la parole et sans tremblement musculaire, nous l'avait fait considérer, de pr
e qui existe parfois entre le myxoedème et le goitre exophtalmique ( tremblement et attaque de dyspnée), pas plus que l'exophtal
ue par l'hystérie. R. C. XL1V. Des parésies PSEUDOSPASMODIQUES avec TREMBLEMENT , CONSÉCU- TIVES A un traumatisme; par B. Oeuf.
onique (injection des petits vaisseaux sanguins de la face dilatés, tremblement de la langue et des mains), et en outre, surtou
ngue et des mains), et en outre, surtout aux membres inférieurs, un tremblement comparable à celui que détermine le froid; la.
trémolanle, précipitée, heurtée comme sous l'influence du froid. Ce tremblement -là, minime pendant le repos, se montre au moind
ne faiblesse des mains qui devien- nent en même temps le siège d'un tremblement à caractère inten- tionnel ; l'écriture de la m
ultant de blessures ou de morsures au cours d'un accès comitial, du tremblement des mains et de la langue, de nature à faire pe
qui disent toujours c les « petits oiseaux, les petits oiseaux ». - Tremblement de la langue, tremblement probablement émotif.
« petits oiseaux, les petits oiseaux ». - Tremblement de la langue, tremblement probablement émotif. Comme traitement, nous pre
nstants, des mou- vements fibrillaires des muscles de la face et du tremblement des membres. A la quinzaine, je mentionne dans
aralysie générale. a) Symptômes physiques. - Embarras de la parole, tremblement des lèvres, des membres, inégalité pupillaire,
iv. sp. di (l'en., fasc. 4, 187.) CIII. Contribution A l'étude DU tremblement essentiel héréditaire; par AMORE-BoNELLI. (Riv.
MORE-BoNELLI. (Riv. sp. di (1'en, 1897. fasc. 1.) Etude d'un cas de tremblement essentiel héréditaire, suivi de considérations
de considérations générales sur le diagnostic de cette variété de tremblement . J. S. CIV. Sur un cas DE tabès spasmodique fam
dification de la tension musculaire rendant la marche difficile, du tremblement des mains en écrivant, un engourdissement des d
t la congestion de la face, sans mots, mais non sans paroles, et le tremblement des lèvres. P. KERAYAL. XXII. Nouvelles observa
75 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r ou la rougeur du visage, une trans- piration de tout le corps, le tremblement dans les extré- mités, l'entrave de leurs pensé
ire commun, auditif et trijumeau, et avec hémiasy'nergie gauche, et tremblement inten- tionnel. La branche motrice du trijumeau
forants palatins déterminés par des points d'appui de den- tiers. Tremblement congénital et dégénérescence ; pathologie comparé
eurs, mais débiles; ceux-ci ont tremblé dès la sortie de l'oeuf; le tremblement affecte le corps dans son ensemble ; surtout da
nue au repos. Ces oiseaux sont débiles et inféconds. Il s'agit d'un tremblement congénital avec tare familiale dégénérait e.
iminution de la propulsion et de quelques autres symptômes tels que tremblement et raideur par des injections sous-culanées de
'oeil, nystagmus, diplopie et décoloration de la papille. 11 y a un tremblement intentionnel très léger. Pas d'antécédents spécif
queluche, rougeole, varicelle dans l'enfance. - Ophtalmoplégie et tremblement . MM, BRISSAUD et Moutier présentent une malade
diplopie après guérison. En 1902, elle eut de la lourdeur, puis du tremblement de la jambe gauche, puis dans le bras et en- fi
e gauche, puis dans le bras et en- fin une dysarthrie prononcée. Le tremblement est à typeparkin sonien. Il y a ophtalmoplégie
s les excès du dimanche. En août 190 ? , il s'a- perçoit d'un léger tremblement des mains. Peu après il remarque qu'en travaill
cèrèhrales, mé- ningo-spinales, névrifiques, choréiques ; (tans les tremblements , céphaliqueSj la fièvre typhoïde en activité ou
, du frontal, de l'orbiculaire. des lèvres, ac- compagnée d'un menu tremblement fibrillaire. Finalement tout rentre dans l'ordr
mique. Il pré- sente, avec M. : 'IIEIGE, un parkinsonien atteint de tremblement des paupières et de troubles de la déglutition,
douleurs,et par l'adjonction des symptù- mes moteurs, de spasmes,de tremblements . Le branle-bas peut être général, s'étendre, pa
ytiques généraux avaient des troubles de la marche depuis le simple tremblement des jambes jusqu'à l'impossibilité complète de
asile, on ne trouva pas sur le corps des stigmates de la syphilis ; tremblement des mains et de la langue ; réflexes patellaire
ade était cocher), son état s'aggrava et il commença à présenter du tremblement in- tentionnel, de la trépidation épileptoïde,
els rien ne manquait au tableau clinique : em- barras de la parole, tremblement ataxiforme de la lan- gue et des lèvres, inégal
atiques dans les pachyméningiles. L. \'AHr.. XVII. Obssrvation de tremblement hystérique ; par Boucarut. [Revue de médecine,
des crises convulsi- ves typiques, fut pris sans cause connue d'un tremblement ryth- mique à oscillations assez étendues. Il n
avec ou sans oedème, particulièrement des membres inférieurs ; du tremblement , de la carphologie, du nystagmus, de la dyspha-
PATHOLOGIE NERVEUSE. la parole, démarche ala : \u-[1amodi(IUe, sans tremblement voli- tionnel, ni exaltation des réflexes, ni n
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. puis état catatonique et; attitudes figées, tremblements musculaires, hébétude transitoire avec cyanose
e. Neurasthénie. Psychoses. Maladie de Parkinson ; Chorée ; Tics; Tremblements . Examen électrique. Electrothérapie. Examen des
. Un ancien pre- mier prix du Conservatoire, par Farez, p. 378. Tremblement congénital et dé- générescence pathologie com-
76 (1913) Exposé des travaux scientifiques
e peut être facilement distingué de la fausse trépi- dation, simple tremblement , dont les oscillations ne sont pas aussi réguli
rtie infé- rieure de la joue, déteiminait du même côté une sorte de tremblement du quadriceps crural et du côté de l'anesthésie
mme on le sait, par les mémorables expériences de Flourens. Sauf le tremblement , la parole scandée, les troubles de l'écriture
lus ordinairement à des cas où se mêlaient, en proportions variées, tremblement , hyper- métrie, asynergie, et dont l'analyse n'
membres supérieurs sont correctement accomplis, mais avec un léger tremblement . Il y a un peu de nystagmus, surtout dans le se
aient aussi être incriminées dans la production du nystagmus). Le tremblement bilatéral des membres supérieurs est peut-être
satile très marqué, une exophtalmie bilatérale fort appa- rente, du tremblement des membres supérieurs et une augmentation du n
ions n'étaient plus qu'au nombre de 80 à la minute, le goitre et le tremblement avaient disparu, l'exophtalmie avait diminué, e
nouvel examen pratiqué à la fin de igoo, la guérison du goitre, du tremblement et de la tachycardie s'était maintenue ; l'exop
s crises convulsives, des paralysies, des contractures variées, des tremblements , des mouve- ments choréiques parfois irrégulier
roubles hystériques. Les renseignements communiqués par Neri sur le tremblement de terre de Messine sont également très instruc
stigmates classiques s'ajou- taient tous les accidents possibles de tremblement , d'hémiplégie, monoplégies, hémispasme glosso-l
77 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es sudations. Démence à peine marquée, mais anxiété très prononcée. Tremblement rappelant celui de l'alcoo- lisme, mais en diff
e agitante; très souvent on constate la même attitude et un léger tremblement des mains avec altération de la voix. P. K. XXI
nes hystérogènes, sur la diathèse de contracture, l'amoysthénie, le tremblement . Chemin faisant on trouve des considérations fo
l'ordre physique, voici ce que l'on observe chez ce malade : 1° Un tremblement de la langue et des lèvres, entrecoupé de secou
qui, toujours, apparait dans les conditions sus-indiquées; 3° Un tremblement menu, vibratoire, très prononcé, des deux mains.
Un tremblement menu, vibratoire, très prononcé, des deux mains. Ce tremblement n'existe pas toujours au repos. Il suffit pour le
téristique, l'inégalité de pupilles, le signe d'Argyl Robertson, le tremblement des mains, et traversant de temps à autre ce sy
omme l'insomnie, les cauchemars, les, (hallucinations nocturnes, le tremblement ' des extrémités, etc. L'accès établi, le malad
'un d'eux, fait signalé par Mendel, il existait dès le jeune âge du tremblement de l'écriture. Chez le même, les réflexes rotul
Interrogée dans le service, elle présente une certaine anxiété, du tremblement des mains, surtout à gauche. Elle ne sait pas o
exagéré de la force musculaire, certains troubles de la iiiotilité ( tremblement , blépharospasme), l'exagération des réflexes 1'01
ans se plaignant d'an- goisse et de pleurs nerveux ; céphalalgies ; tremblements convulsifs de la face et dans les deux bras pen
utre anomalie, qu'une zone hyperesthésique au niveau du bregma. Les tremblements convulsifs sont de nature choréique. Quelques m
e la sclérose en plaques; après avoir exposé les analo- gies que le tremblement , les vertiges, les attaques apoplectiformes off
il voit réellement. · La santé physique est bonne. I ! n'a pas de tremblement des doigts ni de la langue. Il a peu mangé jusq
de ceux du REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 tremblement alcoolique et de ceux de la paralysie agitante et
étriques. L'affection gagne les membres supérieurs, il s'y joint du tremblement des mains. La seconde observation est plus part
icielle à la partie postéro-supérieure donne comme fait constant le tremblement de la tête et du cou; la destruction complète p
p. 277. SOCIÉTÉS SAVANTES. 435 diminution de la force motrice ou tremblements dans les extré- mités qui, souvent, ne sont acc
ment les phénomènes suivants : 4° Démence, impotence fonctionnelle, tremblements ataxiques, anarthrie, troubles de la déglutitio
normal (épiphora, symptôme de de Groefe). Du côté de la motilité, tremblement à ondes rapides, un accès d'épilepsie très court.
78 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e tenir sur ses jambes. Pouls petit, fréquent et facile à déprimer. Tremblement des mains. Bientôt le malade s'endort, fait un
l'organisme ne trouve plus de salut. G. de \i,aEWSKA. IV. Un cas de tremblement segmentaire dans la sclérose en plaques ; par l
VELOPPEMENT DE L'HUMÉRUS GAUCHE. 11 7 peu malgré ses efforts, et un tremblement léger apparaît. En même temps l'aisselle gauche
malade au repos. Chen... dit encore qu'il éprouve parfois un léger tremblement dans le côté gauche, mais quelque- fois aussi à
es, dit-il, et surtout de l'idée du suicide, il s'énerve ; il a des tremblements de tout le corps ; c'est dans cet état qu'arriv
aitée. Elle avait parfois des crises très violentes de colère, avec tremblements , mais sans perte de connaissance.- Les première
diagnostic, les phénomènes spasmodiques des muscles des membres, le tremblement qu'il attribue à une lésion des cellules motric
he, ainsi que les lèvres. Pouls plein, dur, un peu accéléré. Pas de tremblement ; titubation, conservation de l'équilibre. Réfle
- phidue ou crainte d'écrire des lettres; phobie contagieuse avec tremblement ; phobie de contamination. (The alienist and neuro
ralysies, légère rigi- dité dans les muscles des jambes ; ataxie et tremblement de mains; parfois tremblement de la tête; intég
ns les muscles des jambes ; ataxie et tremblement de mains; parfois tremblement de la tête; intégrité de la sensibilité et des
onstata une hypertrophie de la glande thyroïde, une tachycardie, un tremblement généralisé et une sensation de chaleur dans tou
près sa sortie les hallucinations, les cauchemars, les pituites, le tremblement des mains réapparaissent avec une légère varian
l dormi, a eu des mauvais rêves, on la précipitait dans un puits. Tremblement des mains. L'examen des poumons ne donne rien d
es, le pyrosis, des vomissements, des crampes dans les jambes et le tremblement des mains. Quelques mois après ce début, B... a
omme « voix mystérieuse », mais tout de même « voix imaginaire ». Tremblement des mains. Les artères radiales sont sinueuses,
congestion céphalique, augmenta- lion brusque de volume du goitre, tremblement des doigts et même du membre supérieur en entie
sommeil redevint normal; le pouls tomba à 100 pulsations. Un léger tremblement et des taches de vitiligo persistèrent. Huit mo
t encore assez facilement, mais avec des mouvements ataxiques et du tremblement des extrémités. Cécité complète (atrophie papil
bre inférieur. Incoordination des mouvements avec maximum à gauche. Tremblement des extrémités des muscles de la face. Déviatio
ans l'oreille droite. Léger tremLlement des lèvres et de la langue, tremblement plus accentué des mains. HALLUCINATIONS PSYCH
x. 480 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XLIX. Quatre observations de tremblement ; par le professeur BOINET. Dans le premier ca
ophie du membre supé- rieur droit en même temps que se manifeste un tremblement com- parable à celui de la sclérose en plaques.
riphérique d'origine infectieuse. Dans les trois cas suivants, le tremblement est d'origine hyst'é- rique ; à type de scléros
la néphrite, I,ttpillsiiy, 500. Sclérose en plaques. Un cas de tremblement segmentai ! dans la -, par Grasset, 49. par H
ment du et des tics similaires, par Ilrissaud et Feindel, 133. Tremblement . Quatre observations de -, par Boinet, 480. T
79 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
omme irascible, manifestant sa volonté avec énergie; il présente du tremblement des mains, sans embarras de la parole ni halluc
mme a eu des secousses et plusieurs fois son membre a été pris d'un tremblement rythmique. La nuit son membre paralytique se ra
pui. Le la octobre, possibilité de marcher sans appui. Secous- ses. Tremblement . Les jours suivants, continuité de l'améliora-
rotuliens et crémastériens. Son membre est plusieurs fois pris d'un tremblement rythmique qu'on peut d'ail- leurs aisément prov
s son membre inférieur droit, qui plusieurs fois s'était agité d'un tremblement rythmique et frottait le sol. Etat actuel (16
nférieur opposé. Le membre paralytique est très souvent- agité d'un tremblement rythmique, surtout sous l'influence de la fati-
de a des hallucinations visuelles (animaux, figures gri- marantes), tremblement alcoolique. Pas d'autres symptômes céphaliques.
n stade du syndrome spasmodique. Les hallucinations visuelles et le tremblement du malade de l'O.BsrRYATION XXVII sont des symp
ues révèlent des différences fondamentales : chez lu simulateur, le tremblement du membre et l'irrégula- rité de la respiration
s lors il n'a pas quitté. A ce moment, ses membres s'agitaient d'un tremblement rythmique. Depuis cette époque, jusqu'à présent
Ses membres paralysés et surtout le gauche sont agités souvent d'un tremblement rythmique qu'on peut aisément provo- quer en re
s l'influence d'une émotion morale, s'agile souvent au réveil, d'un tremblement involontaire. Impossible de provoquer ce trembl
u réveil, d'un tremblement involontaire. Impossible de provoquer ce tremblement . 11 y a une exaltation considérable des réflexe
avec l'explication plus ou moins exacte de sa pathogénie. C'est un tremblement partiel ou général qui ne se manifeste que dans
e que dans des circonstances déterminées. Disons, d'abord, que ce tremblement occupe les bras, les jambes, les lèvres, les yeux
u- ment ; et, aussitôt, commencent des mouvements précipités, des tremblements des bras, des jambes, des lèvres, des paupières..
rant centripète qui sera bientôt réfléchi par le même phénomène, un tremblement plus ou moins général. L'électricité agit très
à, des mouvements nullement en harmonie avec l'effort à vaincre, un tremblement qui n'est que la réflexion avortée des centres
des centres moteurs malades. On ne saurait expliquer autrement un tremblement qui relève directement de la volonté dont ils n
utive (atrophies lentes ayant débuté plusieurs an- nées auparavant, tremblement fibrillaire, anesthésies, liypé- resthésies, do
phénomènes hystériques ne sont pas d'ordinaire simulés. Il cite un tremblement survenu à la suite d'un coup, disparu après tro
a. M. le D'' F. Peterson (de New-York). Contribution a l'étude du tremblement musculaire. M. le Dl Pinnp C. z (de Boston). Tr
80 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
apoplectifoi-ine. Paralysie du nerf moteur oculaire com- mun droit. Tremblement de la langue; trouble de la parole. Verte de la
sculaire ni de para- lysie des membres. Les doigts sont animés d'un tremblement manifeste; la marche est peu assurée, sans qu'i
1. Paraplégie transitoire. Troubles urinaires. Perte de la mémoire. Tremblement intense des lèvres et de la langue. Démence san
les muscles de la face sont animés 24 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. d'un tremblement intense, particulièrement ceux des lèvres; la l
le premier qu'il ait présenté. II et dans un état d'agitation et de tremblement difficile à décrire ; il cause avec la plus gra
gne souvent les états de dépression psychique, on note un véritable tremblement émotif des muscles respiratoires facile à disti
remblement émotif des muscles respiratoires facile à distinguer des tremblements de diverse nature. Chez les paralytiques, outre
peut-être dans chaque 'cas et dès le commencement delà maladie, un tremblement caractéristique, sur la valeur diagnos- tique d
maintes reprises des cauche- mars, des pituites, et il conserve un tremblement manifeste des doigts. Histoire de la maladie.
sistent ; je constate le ♦ signe'd'Ar ? vll-Robei-tsoii ainsi qu'un tremblement fibrillaire- des ' lèvres et de la langue ; les
n'est pas posé d'aplomb sur le soi, la jambe est animée d'un léger tremblement involontaire. Le' tremblement ' est à peine acc
e soi, la jambe est animée d'un léger tremblement involontaire. Le' tremblement ' est à peine accusé aux membres supérieurs. '
die de Basedow, 'est l'effet d'une myélite lombaire. Comme cause du tremblement , on peut rencontrer un léger processus inflamma
par Vassale etRossi. (Riv. sp. di fi-en., fasc. 2-3; 1893.) VII. Du tremblement essentiel héréditaire;, par le Dr UCUFTT. (Riv.
missements, des vertiges, de la dépression, un frisson initial avec tremblement et hyperthermie, qui ouvrent la scène. Puis se
lière et : csubir l'incoordination ? Ce sont : des secousses ou des tremblements suivis de .'sensations, anxieuses ide même que
espèce. Quelquefois attaques f généralisées comme dans l'épilepsie. Tremblements musculaires et convulsions fibril- laires dans
tique, onconstateilaipersistanceide l'hési- tation de la parole, un tremblement vibratoire. des, extrémités; les pupilles, inég
en outre, dans ces moments, le visage s'injecte et il se produit du tremblement des membres. , , , r . Appétit. excellent,' m
on. Dans l'ordre somatique, les premiers en date ont consisté en un tremblement vibratoire des doigts, chaque doigt tremblant p
de projection (mouvements de trômbone);,sur,lesëûtés, il existe du tremblement vermiculaire. Le tremblement des mains est égale-
trômbone);,sur,lesëûtés, il existe du tremblement vermiculaire. Le tremblement des mains est égale- ment plus accentué ; aux a
re-' à ses lèvres;non seulementtle.membre, supérieur présente(due tremblement ,1 mais le maxillaire^, inférieur est-animé. de( l
ls existent sont'constitués par-de l'insomnie, des cauche- mars, du tremblement musculaire, des maux de tête, de l'émotivité ex
tion; de l'anos- miej des perversions du'goût et de l'odorat. Les tremblements intermittents des muscles de la face et de la l
81 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
simulée, la question se complique, cela va de soi. L'affectation du tremblement des membres est encore, pour certains, un moyen d
vis de lividité du visage et des extrémités, claquements des dents et tremblement convulsîf de tout le corps ; respiration profonde
'estomac et une vive surexcitation. L'iodurc de potassium donne des tremblements des membres et une sensation oc brûlure et de pic
uisé qui le surprit. A l'instant même, U tomba évanoui et fut pris de tremblements dans les mâchoires et dans les membres : cette cr
ivre. Dans la nuit qui suivit, il a eu trois crises nouvelles avec tremblements et secousses dans tout le corps, sans perte compl
environ six mois. Puis il fut repris de crises la nuit, sous forme de tremblements et de grincements de dents : chacune des crises d
nvolontaire des urines et des excréments, céphalalgie, vue affaiblie, tremblement des mains, fourmillements dans les jambes, sueurs
ence intacte. Plus de motilite dans les membres inférieurs ; pas de tremblements ni de nystugmus. Disparition de toute sensibili
ettre tour A tour le diagnostic de sclérose en plaques fruste (pas de tremblements , BÏ de nystagmus, ni de trouble de la parole'! ;
affaissée, avait perdu connaissance, et n'avait présenté qu'un léger tremblement dans les membres. A son réveil, elle n'entendait
'elle n'entendait pas. Au bout de dix minutes, il se produit un léger tremblement dans les membres. Pensant que le moment était opp
te soi-disant magnétisée, grâce à une sensation, attraction, souille, tremblement , odeur, etc., qui me sera communiquée par le « fl
une véritable hallucination, car il prétend ressentir la secousse, le tremblement , la démangeaison que je lui ai suggérée, sans qu'
autre personne (Mme R..., âgée de 52 ans) attribua à l'expérience un tremblement musculaire qui lui dura plusieurs jours et qui ét
st la suggestion et qui n'ont pas su détruire les auto-suggestions de tremblement nerveux, de crises hystériques, de terreurs, etc.
sait d'une faooa des plus typiques comme paralysie agitante. Outre le tremblement si caractéristique des mains, il y avait la trépi
que jour. Elle était considérable et généralisée a la quatorzième. Le tremblement des mains a diminué au point que le malade peut p
é a une sclérose en plaques, s appuyant, je crois, sur ce fait que le tremblement était exagéré par les mouvements. M. Jorruov. —
mortelle. ? cette nouvelle imprévue, elle ressentit un frisson et un tremblement dans tout le corps. Les nuits suivantes, elle eut
ie agitante, l'action de l'hypnotisme a toujours été nulle. Un cas de tremblement grave hit complètement guéri : cette guérison se
82 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
, affaiblis- sement progressif des forces, troubles de la marche, tremblements , hébétude de la physionomie (pupilles dilatées,
t quelquefois de la céphalalgie ( ? ). Il n'a ja- mais présenté de, tremblements , de secousses brusques, de changement de colora
isme avec INFANTILISME. SonmAlaE. -Pi-ne, «lc,ooliq2te iticténé ; tremblement ; carac- 1ère -violent,. rhumatisant. - Grand-p
esque constamment en état d'ébriété. Il est atteint maintenant d'un tremblement dû à l'intoxication par l'alcool. Tabagisme. Sy
. - Ni étourdissements, ni Nanisme avec obésité. 113 vertiges, ni tremblements , pas de miction involontaire, pas d'absence. Au
fossette. Langue large, à bords déprimés au niveau des dents. Léger tremblement fibrillaire. Dents : émail de mau- 130CI\NEVILL
convé- nients en déterminant de l'excitation, de l'énervement, du tremblement , en créant un véritable nei-vosisnie. Dans ce c
uts, accès de rire, accès de pleurs. Colères assez fréquentes, avec tremblement généralisé. Fréquentes secousses brusques. Pas
une petite noix à droite. Langue : épaisse, large, étalée. - Pas de tremblement de la pointe. - Fente buccale asymétrique, un p
urdissements, pas de céphalées, pas de krouomanie, de secousses, de tremblements . Quand elle va avoir un accès, elle devient tou
gales; Tendance A la déchéance ; TUBERCULOSE. 207 elle n'a pas de tremblement de la langue ni des mains. Elle parle toujours
té droit restait tout à fait indemne. Du côté gauche, il y avait un tremblement très prononcé du membre inférieur; il s'agit, d
L ÉPILEPTIQUE. ' doigts me piquent », et aussitôt, il est pris d'un tremblement géné- ral, les secousses sont plus fortes du cô
. La déchéance continue et s'aggrave dans le courant de mai. Pas de tremblement de la langue ni des mains, pas d'inégalité pupi
ion à son milieu. Le palais est ogival, la langue petite n'a pas de tremblement . Les amyg- dales un peu rouges sont petites. L'
83 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
urdissements, pas de céphalées, pas de krouomanie, de seoousses, de tremblements . Quand elle va avoir un accès, elle devient tou
soin de dormir. Ses pupilles sont dilatées, égales; elle n'a pas de tremblement de la langue ni des mains. Elle parle toujours
Cette pathogénie se rapproche de celle de l'épilepsie tardive, (lu tremblement sé- nile, de la myoclonie familiale, etc. G. De
le constricteur. 11 existe cependant des sources d'erreur. Tels les tremblements du globe au moment, d'une trêve : il faut s'ass
d'aufu sur le réseau vasculaire épiscléral, qu'on peut croire à un tremblement continu de l'oeil entier. N'attribuons donc la va
dépenser, veut se confesser, etc. Peu à peu l'anxiété augmente, un tremblement généralisé secoue Lout le corps, les traits exp
ants : embarras l''\LI'('nu' de la parole, all'l""il' des pupilles, tremblement de la langue, dill1cull(; de locomotion, affaibli
delà façon suivante : c'étaient des crises qu'il sentait venir à du tremblement ; il pâlissait alors cl lomhait ; il se Llessai
rs, des élourdissemenls fréquents. Ses mains étendues présentent un tremblement rapide a petites oscillations verticales. Enl
ls péni- bles que nous observons la nuit chez notre malade, et le tremblement des mains qu'il présente, témoignent d'au- tre
orëed'aittcurs, a confirmé. Syndrome de 13W élict. ¡'a/ltOgé'lie du tremblement . JI\I. L. LÉvI et BONNIOT montrent un homme at
ire gauche. Le membre supérieur droit est d'autre part animé d'un tremblement intentionnel marqué, il y a en outre asynergie cé
ie, les idées sombres, des sueurs pro- fuses, de la tachycardie, du tremblement des mains et des pieds à ondulations très petit
ie. L'affection est ca- ractérisée par une paraplégie spasmodique : tremblement inten- tionnel, parole stridente et saccadée ;
auparavant, et c'est si mois après que les parents ont remarqué le tremblement , mais la marche a toujours été spasmodique, aus
antéltulsion, rélropulsion, chaleurs paroxystiques, faciès lige, tremblement à l'état de repos, qui apparaît quand les extrémi
le à celui d'une noix, taches pigmrn- taires en plaqueset en semis, tremblement des mains, émolivilé. Hérédité alcoolique. Fi.
on de froid dans les jambes ; la suppression delà menstruation; des tremblements Iibrillaires des muscles de la cuisse il la phase
voix, même le mol de « papa» provoquaient chez elle une crise de tremblement généralisé : elle devenait pâle subitement et t
fections nerveuses accompagnées de paralysies, d'agitations ou de tremblements ; 30 les enfants indociles ou indisciplinés; 40
ique, les réflexes s'exagé- rèrenl, le clonus se ntuulra avec léger tremblement intention- 452 sociétés savantes. nel, mastic
liouma, 139. 13 1 : N E 1) 1 CI'. 'Syndrome de -. Pa- thogénie du tremblement , par Lé\i et Bonniot, 159.' DLQXOLOT ^Rayons
84 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rticulaires qui ne se sont plus reproduites. Grand'mère maternelle, tremblement des mains; sa mère a eu' une hémiplégie hystéri
ns. Paralysie agitante. - Oncle maternel aliéné (manie aiguë). Le tremblement sénile ' se développe quelquefois sous l'influe
n oncle ma- ternel aliénés. Observation XXVI. - J... Tachycardie, tremblement des mains. - Père alcoolique. - Mère épileptiqu
le a des vertiges épileptiques. 1 Tliébeault. Etude clinique sur le tremblement sénile. (Thèse, 1S82.) '- G. Ballet. De quelque
ue. - Son grand-père et un oncle paternels auraient été atteints de tremblements ( ? ). Oncle maternel migraineux. La paralysi
e mettront d'ac- cord. P. K. X. Recherches expérimentales sur les tremblements dépendants DE L'LCOUCE du cerveau ; par Pastehn
plus fai- SOCIÉTÉS savantes. I · ? 7 blés; alors se montrent les tremblements . Or, la situation du paralyse général réalisera
ne transmettent-ils que ce mouvement incomplet connu sous le nom de tremblement . P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ AiLDICO-PSYC
salive coulait sans cesse hors de la bouche. Au lit, il éprouva un tremblement des extrémités qui, les jours suivants, ne se r
survenu l'embarras de la parole ; oubli d'un mot ou d'une syllabe, tremblement des lèvres produisant un balbutiement continuel
sant un balbutiement continuel. Pris de trem- blement de la langue, tremblement des mains, surtout delà droite ; écriture tremb
il n'en est pas de même du corps de la langue, au niveau duquel le tremblement porte seulement sur la partie atrophiée. L'atro
sculaire remarquable et un érythème presque généralisé. G. D. VI. Tremblement hystérique d'origine traumatique DU MEMBRE INFÉ-
veuses, apho- nie, hémianesthésie droite, etc.) était atteinte d'un tremblement convulsif du membre inférieur droit qui la cond
sous l'apparence d'une nouvelle attaque hémiplégique accompagnée de tremblements inten- tionnels dans les membres supérieurs et
nérale. On signale à l'âge de vingt et un ans, de la raideur et des tremblements dans les jambes, sans modifications du côté des
lton, 253. Hystérie (deux cas d'), par Wallon, 253. Hystérique ( tremblement - d'ori- giue traumatique du membre in- férie
rac- tère pseudo-réflexe des phéno- mènes), par Eulenburg, 123. Tremblements (recherches expéri- mentales sur les - dépendan
85 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
r excessive. Les nerfs sus et sous-orbitaires sont sensibles. Léger tremblement des extrémités supérieures. Rigidité des mus- c
er- veux de l'extrémité supérieure droite douloureux à la pression. Tremblement de l'extrémité supérieure droite, la main droit
oppement des névroses professionnelles est le sui- vant : Cas II. Tremblement hystérique pendant le travail. Une employée du
ée du bureau des Pensions, âgée de 45 ans, me consulta pour un fort tremblement qui contrariait son travail. Par ailleurs, elle é
les réflexes faibles, les fonctions cérébrales nor- males aussi. Le tremblement était constitué à peu près par six oscillations à
fectaient que le corps, la tête et les bras, mais non les mains. Ce tremblement n'empêchait pas la malade d'é- crire. Elle pouv
lade ne m'a consulté que deux fois, les incidents dont dépendait le tremblement n'ont pas été constatés, mais les terreurs enfant
à ce moment, la crainte d'une paralysie. C'était l'appréhension du tremblement , dont elle redou- lait les conséquences pour so
l'enfance en est la confirmation. Cette malade s'est guérie de ses tremblements en grande partie et pul reprendre son travail a
en dessinant et en imprimant des lettres, il avait à peine un léger tremblement de la main. Dans ce cas-ci, encore, ce n'était
e bout de son nez ou d'une oreille, la main est ' alors élevée sans tremblement ni déviations ataxiques. Mais le doigt n'ar- ri
compensation par la vue. Le cérébelleux, quand il ne souffre pas de tremblement intentionnel, ne dévie pas pendant le trajet, m
pas d'Argyll Robertson,'pas de nystagmus, pas de dysarthrie, pas de tremblement intentionnel. Ce cas s'écarte donc notablement
ions épileptiformes, les troubles athétosiques et cboréiformes, les tremblements post-hémiplégiques, etc. L'épilepsie jacksonnienn
mes qu'on pourrait le croire à priori ; entre l'accès convulsif, le tremblement , le mouvement athétosique et le geste choréifor
e l'absence d'hy- pertrophie du corps thyroïde, de l'inexistence de tremblements et de ta- chycardie, il est apparu chez notre m
leur rareté dans les graves cataclysmes, par exemple dans les forts tremblements de terre etc., après lesquels les sinistrés pré
du système nerveux, caractérisée par l'irritation, l'insomnie, les tremblements , etc. La neurasthénie est une phase morbide de
membres ou du thorax provoque des dou- leurs vives accompagnées de tremblements généralisés. Le pouls est faible et rapide. Le
86 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
violent, bat ses camarades, et cela en dehors de ses accès. Pas de tremblement de la langue. Il bave beaucoup après ses accès.
d qu'un demi-lobe. Rien dans les urines. Pouls : 120. 9 juin. - Tremblement généralisé, sueurs abon- dantes au visage. Po
. 10 juin. 1/2 lobe. Pouls : 120. Vers 2 heures de l'après- midi, tremblement , faiblesse et sueurs. Deb... marche dillici- le
verts. Érytlhème des aines dû aux poussées sudorales. '12 juin. - Tremblement de tout. le corps sans sueurs, affaiblissement,
pendu jusqu'au 5 juillet. L'érylhème inguinal a disparu. 14 juii. - Tremblement des jambes qui oblige de maintenir ' le malade
urs médiocre et le malade se nourrit surtout de lait. 17 juin. - Le tremblement a diminué, les douleurs ont disparu, la tempéra
s de 2 kilogr.) ; quelques secousses dans les membres. 43 juin. - Tremblement presque continuel des membres supérieurs. 14
esque continuel des membres supérieurs. 14 juin. - Persistance du tremblement . Diminution de l'appétit. 16juin ? La porte d
effrayée, ne pas s'être trouvée mal, mais avoir été prise d'un fort tremblement qui aurait duré une demie heure : « Je tremblai
la règle chez les idiots myxoedémateux, monte à 38° et au-dessus; tremblement , faiblesses lypothymiques, sueurs profuses remp
abituelle de la peau; affaiblissement des jambes, augmentation du tremblement , tachycardie, vomissements, agita- tion, excita
87 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
a débuté par leur racine, les réactions électriques et l'absence de tremblements fibrillaires, sont des arguments qui permettent
ébardeur, profondément et anciennement alcoolique. Mère, éthylique ( tremblement , cauchemars, pituite, etc.). L'enfant, fille un
ormes, des sueurs, surtout au niveau des pieds et des mains; pas de tremblement . On suspend le traitement pendant deux jours.
d'un sommeil de quarante-huit heures. Au réveil, il présentait des tremblements des membres et des yeux et lui, qui avait mar-
ce apportée forcément à son instruction. Il persiste cependant du tremblement intentionnel, du nystagmus et une sensibilité g
. La parole est possible, mais elle est traînante et accompagnée de tremblement des lèvres. Appareil oculaire. La vue est resté
ires. Aux membres supérieurs pas d'incoordination ; par intervalles tremblement à larges oscillations de l'avant-bras ; réflexes
fort apparent. Ils sont absolument immobiles, sans aucune espèce de tremblement apparent, et l'auscultation du coeur et du poumon
ez notable. Enfin, la déviation n'est certes pas en rapport avec le tremblement , puisque celui-ci existe dans les 5 ob- servati
uce, les mouvements les plus variés. Il n'y a ni incoordination, ni tremblement , ni raideur, même pour les mouvements les plus
pas sensiblement la direction du mouvement ; il ne s'agit pas d'un tremblement intentionnel : le verre plein est porté à la bouc
s de lagophtalmie. Quand le malade ferme les yeux, il se produit un tremblement fibrillaire des paupières, signe dont Bard a no
on la voit agitée de petits mouvements fibrillaires, mais à part ce tremblement , la langue peut se mouvoir dans tous les sens ave
certaines secousses muscu- laires que quelques auteurs appellent « tremblements fibrillaires »,bien qu'en réalité ce phénomène
mbres supérieurs sont accomplis avec correction, mais avec un léger tremblement . Le réflexe crémastérien et le réflexe abdomina
ynergie du membre inférieur gauche, latéropulsion vers la gau- che, tremblement léger des membres supérieurs, hémiplégie légère e
nsations vertigineuses, nystagmus, latéropulsion vers le côté lésé, tremblement des membres supérieurs, hémiasynergie du membre
est atteinte dans sa substance. Faut-il attribuer à cette lésion le tremblement intentionnel des membres supérieurs ? Le noyau
est amené de l'Ardèche où il était placé et on nous dit qu'il a du tremblement depuis l'âge de deux ans, sans pouvoir nous donne
rqué des membres inférieurs pour accroître la base de sustentation, tremblement généralisé de tout le corps exagéré par les émo
eux membres inférieur et supérieur droits, mais surtout au bras, un tremblement à oscillations peu rapides et à grande amplitud
ation. Les quatre membres sont contracturés surtout à gauche où les tremblements sont très apparents. Cet état dure près d'un mo
saint Cris- tophe préservait pour la journée de l'eau, du feu, des tremblements de terre, et faisait découvrir des trésors. O
88 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
gence. Scarlatine à 7 ans '/2' -731'îcltcle iL 7 ans, suivie d'un tremblement . - L'tolcrclisse111e11ts avec chute. - Géphalal-
violentes émotions auec perte de connaissance prolongée suivie de tremblement à latin de décembre : disparition des l7-LOUve-
nerueuse.Mère, convulsions de l'enfance. -A1'rièr&- grand'mère, tremblement de la main attribué à la foudre. - Frère, convu
ntelligence. Scarlatine à 7 ans et 1/2. Brûlure à 7 ans suivie d'un tremblement . Étourdissement auec chute. Céphalalgie. Diminu
chute. Céphalalgie. Diminution de l'intelligence ; aggravation du tremblement . -Modifications du caractère. - Accès de colère
e il resta 9 mois à l'hôpital Trousseau. Depuis il lui est resté un tremblement continuel qui existe encore. Il a eu un étourdi
pas de vertiges, peurs fréquentes. De Trousseau envoyé, pour son tremblement et sa faiblesse, il Forges-les-Bains. il en est
gaye quand il veut parler, ce qui ne lui était jamais arrivé, et le tremblement est tel qu'il ne peut écrire. Pas d'onanisme. L
difficiles, ne peut suivre la phrase, ne peut écrire à cause de son tremblement . Connaît bien les cou- leurs mais ne veut pas l
et mentaux qui vont sans cesse en s'aggravant jusqu'à la mort : le tremblement léger, qui existait auparavant, augmente et ren
il perd progressivement ce qu'il avait appris. 11892. Juin. - Léger tremblement de la parole qui est traî- nante. Tenue de plus
a poupée et essayait de coudre. Il ne présentait pas de tics, ni de tremblements en temps ordinaire, mais, quand il riait, ses b
d il riait, ses bras et ses jambes étaient secoués par une sorte de tremblement convulsif. Sa mère ne sait à quoi attribuer sa
89 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
main est maintenue; mais si celle-ci n'est pas stable, comme dans les tremblements , il n'y aura pas à hésiter: il faudra faire la re
s du système nerveux que nous trouvons les plus grandes variétés, les tremblements de diverses natures, la chorée, l'athélhose, les
et d'épi-lepsie, etc. Examinons successivement ces divers cas. Les tremblements peuvent être généraux ou localisés à tel ou tel m
même de son intensité. Nous croyons donc qu'en ce qui concerne les tremblements , les phénomènes du même ordre, il y aura intérêt
à la locomotion animale, aux attaques d'hystérie et d'épilepsie, aux tremblements , à la chorée, etc. Druxième cas : Temps de pose
la respiration, les mouvements du cœur, les efforts musculaires, les tremblements , etc. La plupart des instruments employés et qu
e méthode, nous l'avons appliqué avec M. Dutil à l'étude clinique des tremblements hystériques. La lampe à incandescence était placé
nde longueur qui affectera un caractère variable suivant la nature du tremblement (fig- 58). Fig. 58. Reproduction d'écritures.
phie instantanée...................................... 85 Étude des tremblements ....................................... 86 Repro
90 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
ections. Il n'existe absolument aucune atrophie de la langue, ni de tremblements fibril- la ires. Les muscles masticateurs sont
n symptôme nouveau, non relevé chez sa soeur : il s'agit d'un léger tremblement statique de la tête avec balancement régulier à d
ette discussion, il est certain que dans mes trois observations les tremblements , les troubles de la synergie musculaire, les al
équilibre et la marche sont normaux. Pas de signe de Romberg. Léger tremblement des extrémités. Les réflexes patellaires sont e
est tirée du côté gauche ; les muscles de la face sont animés d'un tremblement fin. Le membre supérieur droit est atteint de s
et du bras sur l'épaule sont encore peu étendus. On note encore du tremblement intentionnel. Les douleurs sont moins vives. Les
ce ne sont alors que contorsions, grimaces, mouvements désordonnés, tremblements con- vulsifs, soubresauts, donnant immédiatemen
s qui fléchissent la cuisse, et parfois agitent tout le membre d'un tremblement convulsif. Tout se passe comme si le malade vou
r ou imagine. On peut cependant les ran- ger en trois groupes : les tremblements , les myoclonies et les spasmes. Il y a d'abord
les tremblements, les myoclonies et les spasmes. Il y a d'abord un tremblement spasmodique généralisé qui se voit sur- tout pe
phénomène pathologique. L'hystérique s'essaye parfois Ù imiter les tremblements pathologiques, il y réussit fort mal, car cela
gnes distinctifs qui ont été donnés, trois (1) sont très bons : les tremblements organiques s'exagèrent par la fatigue, les autres
a fatigue, les autres s'atténuent ; pour les membres inférieurs, le tremblement disparaît lorsque le sujet couché à plat ventre
fléchit les' jambes à angle droit (signe de Seeligmuller) ; dans le tremblement des membres supérieurs, occupez une des mains à
xophtalmi- que ; on ne constate pas de troubles cardiaques ; pas de tremblement , pas de troubles gastro-intestinaux; pas d'amai
9 kil. 700. Examen neurologique. - Mouvement des yeux normal. Léger tremblement dans le mouvement des paupières. En fronçant le
aire au dyna- momètre : 6 ; 2° épreuve : 6. On ne remarque pas de tremblements des mains dans l'attitude du serment. Membre in
buccale, soit quand elle est tirée, la langue est agitée de légers tremblements . La luette est déviée vers la gauche, et, si l'
pothèse, concourent, outre les signes anamnesti- ques, l'absence du tremblement intentionnel et du nystagmus, l'abolition des r
s, mais affaiblis quant à leur force (surtout le gauche). Un faible tremblement avec caractère ataxique et intention- nel appar
ntionner aussi les .symptômes d'irritation des racines antérieures ( tremblement , contrac- 468 FLATAU lions) ou de leur lésion
hénomène céphali- que (sans nystagmus, sans parole scandée) et sans tremblement intention- nel. Il existe donc un type franchem
iologique et clinique de l'hémichorée, de l'laémianestlaésie et des tremblements symptomatiques. On lui doit aussi plusieurs étu
e. Tous ses mouvements sont vifs, prompts et bien exécutés ; pas de tremblement des doigts malgré les habitudes d'alcoolisme. L
les de la marche qui augmentèrent petit à petit, puis survinrent du tremblement , des troubles de la parole. Quelque temps après
u complet avec spasmodicité des membres inférieurs, parole scandée, tremblement intentionnel très marqué, nystagmus. Il existai
91 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
rière comme pour contrebalancer le poids du membre in-» férieur qu'un tremblement involontaire agite avant qu'il soit appuyé de n
est pris de trépidation cha-que fois qu'il est porté en avant, et le tremblement par mo-ments s'étend à tout le corps. Lorsque la
nu dans la flexion par une main étrangère, il s'y produit aussitôt un tremblement difficile à réprimer, impossible même à arrêter p
n d'Achille sont des moyens efficaces pour développer cette espèce de tremblement , ces auteurs ont cherché à établir qu'il a sou or
ue redevenus possibles et assez étendus, ont été gênés bientôt par un tremblement d'une espèce à part, comme choréique : c'est sur
ar un tremblement d'une espèce à part, comme choréique : c'est sur ce tremblement que je vais sur-tout insister. La situation est
rieur droit. Ce désordre du mouvement se rapproche non seulement du tremblement de la sclérose en plaques, comme je viens de vous
un caractère qui sépare foncièrement ces mou-vements choréiformes du tremblement de la sclérose en pla-ques, de la trémulation des
ce côté, dans les mouvements volontaires, était agitée d'une sorte de tremblement ; mais les mouvements choréiformes survenant en d
ses épileptiformes assez mal déterminées, et, vers la même époque, un tremblement choréiforme s'est emparé de ce même membre supéri
lement choréiforme s'est emparé de ce même membre supérieur droit. Le tremblement en question est pour ainsi dire permanent ; il
s par l'ensemble de ses caractères des agitations de la chorée que du tremblement propre à la paralysie agitante ou du trem-blement
digestion. — La langue, tirée hors delà bouche, est animée d'un léger tremblement , prononcé surtout vers la pointe, du côté droit.
grands efforts, ne peut être tenu longtemps, et il s'accompagne d'un tremblement , surtout latéral, des mains, fort singulier. Les
ronique, 227. Toux (De la) dans la compression de la moelle, 148. Tremblement sénile, 371. Trépidation dans la myélite trans-
92 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
par cause morale, telles que: l'hypocondrie, certaines névralgies, le tremblement des écrivains, des névroses diverses, etc.. toute
fillette de 10 ans fut prise un jour pendant la classe d'un accès de tremblement débutant par la main droite et s'étendant à toute
ieurs sont aussi hystériques avec des attaques, des hémiplégies, tles tremblements , etc. Mais ce qu'il importe surtout d'examiner,
seul signe de dégénérescence le plus manifeste que présente le sujet. Tremblement nerveux des mains «le temps en temps. Aucun troub
e nature hystérique. Les momenlsd'interinîttenee du bégaiement et les tremblements passagers observés chez l'enfant me confirmeraien
lettre, si je rencontre quelq :':;n dans la rue, je me sens pris d'un tremblement . Je suis impressionnable comme je ne l'ai jamais
nt une aman rose du globe oculaire droit, et quelques jours après, un tremblement de la main du même côté; enfin, un engourdissemen
ge ; l'écoulement séro-pnrulent continue â diminuer. Il n'y a plus de tremblement des doigts: la déviation de la face a favorableme
ner lieu ù des mouvements plus généralisés. J'interpréterais ainsi le tremblement que j'ai observé plusieurs fois chez un jeune chi
n. Dès qu'ils son) en selle, on les voit osciller. Leur pâleur, leurs tremblements , leurs cris d'effroi et surtout leurs chutes témo
'a avoué le médecin de Lourdes. Il s'agit de paraplégies, «le mutité, tremblements , et tous les maux qui peuvent frapper celte catég
iration. l'accroissement de la fréquence de la déglutition, de légers tremblements musculaires, l'impossibilité de maîtriser les mou
G.— Sue,i;eslion à l'état de veille (Xormandie mêd., 18). DELMAS.— Du tremblement hystériquee (Juurn. de mêd. de brdeaux, 40 et sui
alade. L'idée seule qu'on va l'hypnotiser, le magnétiser, produit des tremblements , des sueurs froides, des battements de cœur, des
?..,. Le peintre qui montre In nature sans contours fermes souffre de tremblement du globe oculaire; celui qui place sur sa toile d
e épilcptique. Surpris, le malheureux Louis est tombé par terre et un tremblement général a gagné son corps. Je n'ai jamais vu l'im
93 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sa parole présente des accrocs 'manifestes, sa langue est animée de tremblement fibrillaire et de mouvements de trombone; il a
n mimique nette avec un léger degré de parésie faciale gauche, du tremblement des extrémités, de l'exagération des réflexes rot
ire est très diminuée, il a peine à nous rappeler son âge. Il a des tremblements des extrémités, qui sont traduites par l'écritu
onc sclérose cérébro-spinale disséminée et le diagnostic clinique : tremblement sénile avec symptômes de sclérose en plaques. G
,manie chronique, la démence, etc. Nerf ph7,éizo-glosso pharyngé : tremblement et déviation de la langue. Nerf spinal accessoire
efforts pour ne pas faire de fautes en parlant sont manifestes. Le tremblement est souvent plus marqué et la chute de la voix pl
euse, en même temps qu'une absence de coordination synchronique. Le tremblement des muscles de la face, et'spécialement des lèv
. l'on a demandé leur signature, on a constaté dans l'écriture un tremblement quelquefois continu, mais le plus souvent interro
cide, revient lentement, progressive- ment au point de départ, sans tremblement , ni secousses, ni inco- ordination, les extrémi
ancés, une lésion anatomique peut être constatée. Enfin la cause du tremblement pouvait être attribuée aux troubles venant modi
lusieurs fois dans la même journée. On rencontre souvent aussi un tremblement généralisé intéressant la langue, fait qui déte
persécution intermittent, il croit qu'on le vole. Etat physique. - Tremblement fébrillaire des lèvres, des muscles de la face,
poque. A vingt ans, à son entrée, voici l'état physique et mental : Tremblement fébrillaire de la langue, des lèvres, des extrémi
pendamment de la trépidation épileptique, on peut observer aussi du tremblement trépidatoire des mem- bres inférieurs, tantôt l
clowns du pied ou de la rotule; 5° Nous n'avons jamais observé de tremblement spontané, de contracture des membres, de REVUE
à maintenir la fixation latérale monoculaire ou binoculaire, avec tremblement dans les mouvements palpébraux ; parésie légère d
ctifs et une grande facilité des muscles des membres à être pris de tremblement fibrillaire incoordonnés. Cet état s'atténue da
es mêmes caractères qui servent à différencier les stéréotypies des tremblements . Il est vrai toutefois qu'on a vu des trembleme
stéréotypies des tremblements. Il est vrai toutefois qu'on a vu des tremblements sans qu'il y ait de lésions cérébrales et qui s
ourt séjour à l'asile, sa démarche était incertaine, et il avait un tremblement bien net des lèvres et des membres. Exagération d
94 (1934) Oeuvre scientifique
bservations d'hystérie (observations de troubles moteurs, attaques, tremblements , etc.), l'existence d'une hémianesthésie avec t
ncépha- lite diffuse se manifestant par des troubles psychiques, du tremblement des lèvres et de la langue, de l'embarras de la
ène peut être facilement distingué de la fausse trépidation, simple tremblement , dont les oscillations ne sont pas aussi régulièr
rossière consistant à prendre pour de la trépidation épileptoïde le tremblement hystérique, dont les oscillations se distinguent
tation d'une lésion des fibres cérébelleuses de la protubérance. Le tremblement des membres et de la tête, la scansion de la pa
e, n° 21, }5 novembre igo2. SÉMIOLOGIE CÉRÉBELLEUSE 187 mus, du tremblement dit intentionnel des membres supérieurs et de l
en plus prononcée il est vrai autrefois que maintenant, et un léger tremblement intentionnel du membre supérieur gauche, on peu
e l'intensité de certains troubles cérébelleux, en particu- lier du tremblement dans la sclérose en plaques. Des observations a
musculaire, lenteur des mouve- ments, démarche à petits pas, léger tremblement , amoindrissement de l'activité. Ce serait un
eur généra- lisée, lenteur des mouvements, fixité du regard. Pas de tremblement . En même temps, la malade éprouve une gêne part
des membres supérieurs, mais il y a des attitudes dans lesquelles le tremblement disparaît complètement. Le tremblement appara
titudes dans lesquelles le tremblement disparaît complètement. Le tremblement apparaît ou s'accentue notablement dans les mouve
plus parfait qu'à l'état normal. Aux membres supérieurs il y a du tremblement intentionnel, mais le malade, après avoir soule
mbres supérieurs sont accomplis avec correction, mais avec un léger tremblement . Le réflexe crémastérien et le réflexe abdomina
, à la position primitive ; en même temps, les pieds sont pris d'un tremblement à oscillations très fréquentes bien distinct de
ée à droite qu'à gauche; la main gauche est agitée par moments d'un tremblement à oscillations rapides ; les réflexes tendineux e
ne couche, à la suite d'une terreur violente, elle a été prise d'un tremblement de la tète, qui, léger pendant dix années, est
troubles rectaux. Trem- blement de la tête, ayant les caractères du tremblement dit sénile. Pas de troubles sensoriels. ' La
ents sont coordonnés. On constate aux membres supé- rieurs un léger tremblement à l'occasion des mouvements intentionnels. La f
variées quant à leur mode de localisation et à leur intensité, des tremblements , des mouvements choréiques parfois irréguliers, m
roubles hystériques. Les renseignements communiqués par Neri sur le tremblement de terre de Messine sont également très instruc
s stigmates classiques s'ajoutaient tous les accidents possibles de tremblement , d'hémiplégie, monoplégie, hémispasme glosso la
s phénomènes émotifs, dont les plus fréquents sont : les larmes, le tremblement , un état d'hébétude dans lequel l'homme ne remue
y a quelques années, contrac- tures réflexes, paralysies réflexes, tremblement réflexes, une foule d'ac- cidents qui appartien
95 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
on un léger vacillement du corps, même du repos, sans caractères de tremblement spécial. A peine a-t-il marché qu'il veut déjà
les avant-bras, les doigts écartés, sans oscillation du membre, ni tremblement des doigts. Il n'existe pas, à proprement parle
ni tremblement des doigts. Il n'existe pas, à proprement parler, de tremblement intentionnel ; lorsque la malade porte un objet
tation il n'existe pas l'atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 347 de tremblement intentionnel. Malgré cela, on remarque assez souv
évier la main du but poursuivi, mais il ne s'agit pas en réalité de tremblement . Le malade raconte d'ailleurs qu'il est plus ma
érieurs, ni aux membres inférieurs. Tête et face. Il n'y a pas de tremblement de la tête, soit au repos, soit pendant l'exécu
nt la description de l'auteur, tiennent à la fois de l'ataxie et du tremblement . Chez la malade de Pierret, la sensi- bilité de
re tremblait, le troi- sième était faible, mais il n'existait aucun tremblement dans ses mou- venients, la démarche n'était pas
inférieurs, les mouvements choréiformes des bras et des jambes, le tremblement de la tête, les oscillations du tronc pendant l
la main hésite au momentde la préhension, elle plane; il existe du tremblement intention- nel, l'écriture est tremblée ; la to
rébelleux ; ajoutons à cela que le nystagmus, la parole scandée, le tremblement intentionnel appartiennent à ces deux affection
e tremblement intentionnel appartiennent à ces deux affections ; le tremblement intentionnel est moins constant et en tout cas
premier cas. Babinski (1) fait remarquer, et à juste raison, que le tremblement intentionnel, la parole scandée et le nystagmus n
, associés à une diminution de l'équilibre, un peu d'incertitude,du tremblement des membres, symptômes qui peuvent t en imposer
s qui sont étrangers aux troubles de l'équilibre : ce sont un léger tremblement des membres supérieurs, les secousses nystagmifor
de la parole; le cervelet aurait-il encore d'autres fonctions ? Le tremblement des membres supérieurs n'existe pas au repos, il
res en particulier, c'est plutôt un léger degré de maladresse qu'un tremblement réel ; peut-être a-t-il sa raison d'être dans la
l est difficile de se rendre compte du mécanisme physiolo- gique du tremblement des membres, du nyslagmus, de l'altération de la
lexes rotuliens étaient exagérés. Deux ans avant la mort apparut un tremblement aux mains et quinze mois avant, la mort il eut
a respiration est aussi rapide (2 par minute environ). Il existe un tremblement menu et régulier des doigts manifestement plus
ou matinale. L'exophthalmie n'a pas changé, ni la tachycardie ; le tremblement est un peu moins apparent mais nous l'avons enr
un grand trouble de la pa- role, l'effort le jetant parfois dans un tremblement général. Souvent il emploie un mot impropre et
ble). Cubital du poignet, les réflexes sont brusques et suivis d'un tremblement marqué, pharyngé, normal. En somme, surtout éta
avec pâleur, anorexie, dispa- rition des règles pendant trois mois, tremblement des membres inférieurs. Eu novembre 1898, elle
96 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
morbide, franchement angoissante, accompagnée de palpitations et de tremblement nerveux n'est autre chose qu'uue phobie. « A ce
lmie. Le coeur était hypertrophié, il y avait de la tachycardie, du tremblement , des transsuda- tions et le caractère « hystéri
thyroïdienne. Le pouls était souvent mais pas tou- jours fréquent. Tremblement des mains. Les premiers troubles basedowiens da
ces cas un trouve aussi des symptômes tels que des palpitations, du tremblement vibratoire, etc., qui rappellent le syndrome de
phie thyroïdienne légère : Dans l'un de ces deux cas on retrouve le tremblement . Dans l'autre il est noté que le pouls battait
les malades présentaient pourtant certains symp- tômes thyroïdiens ( tremblement , palpitations), et on notait en outre dans leur
des membres inférieurs. Signes d'éthylisme : cauchemars, pituites, tremblement . Observation V. Syndrome presbyophréniqzce (1
te. Réactions pupillaires à la lumière paresseuses des deux côtés : tremblement de la langue et des mains. Pas de dysarthrie. A
s et des muscles sous-cutanés du dos ; absence dans ces derniers de tremblements fibrillaires et de réaction 130 ELDAROFF élec
sissement des muscles longs du dos. Dans quelques cas on observe un tremblement fasciculaire, mais on n'a jamais observé de tre
observe un tremblement fasciculaire, mais on n'a jamais observé de tremblement fibrillaire et de réaction électrique de dégénére
(¡5 avec abolition du réflexe lumineux du côté gauche myotique, un tremblement marqué de la langue et des lèvres, une exagérat
fibrillaires dans les muscles de l'avant-bras et du bras. Pas de tremblement intentionnel, pas d'ataxie dans les mouvements.
obre 1879 pour des accidents névropathiques, troubles parétiques et tremblement , qui avaient nécessité déjà un séjour à l'Hospice
es qui sont toujours incomplets. Impos- sibilité de manger seule. Tremblement et mouvements involontaires. Les doigts, la main,
involontaires. Les doigts, la main, les avant-bras sont animés d'un tremblement particulier qui n'existe pas au repos ni pendan
s'efforce de faire un mouvement commandé ; il a alors l'allure d'un tremblement intentionnel de 120 à 150 oscillations. Minime
fut précipitée à terre. Revenue à elle, ses mains tremblaient et ce tremblement ne fit que s'accentuer et gagna tous les membre
mbres supérieurs en flexion sans contracture véritable, animés d'nu tremblement à oscillations rapides et régulières sans augme
entation d'amplitude lorsque le mouvement devient plus prononcé. Ce tremblement est mis eu évidence par la moindre excitation psy
97 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ui prédominent : attaques d'épilepsie, tressaillements des muscles, tremblements et selon que l'écorce participe plus ou moins a
mière période d'observation, l'attention a été attirée sur quelques tremblements fibrillaires, rares, dans les muscles de la jambe
uisses et aux membres supérieurs. Abolition des réflexes tendineux, tremblements fibrillaires dans les muscles intercostaux ; di
ée : pas de phénomènes douloureux, pas d'ataxie ni de Romberg, mais tremblement intentionnel, parole saccadée. Dimmution des ré
et la mouvoir dans tous les sens. Mais, elle est agitée d'un léger tremblement et touche le coin des lèvres à droite. Le voile
, il s'ap- puie sur la jambe droite, il lui vient dans la jambe des tremblements et il perd plus facilement l'équilibre. Aucune
e tendance à incliner le tronc à droite. Je n'ai jamais remarqué de tremblements fibrillaires dans les muscles tant des membres
l'atrophie des muscles est plus grave. L'on n'a jamais constaté de tremblements fibrillai- res dans les muscles atrophiés. Aucu
t les muscles de la cuisse. Qu'on ajoute à cela, qu'il n'y a pas de tremblements fibrillaires dans les muscles atro- phiés. Il
les et réagissent à la lumière et à l'accommodation. On constate un tremblement léger des mains et de la langue : il existe égale
remblement léger des mains et de la langue : il existe également du tremblement fibrillaire des muscles de la face quand le malad
x régulière, de dimension suffisante CARIE DES VERTÈBKES 393 sans tremblements . Extrémités supérieures : le bras droit cassé dan
qu'à 8 milliampères. Le membre supérieur droit présente un certain tremblement . Quand on oblige la malade à mettre le doigt de
quelque temps il jette de la bave à droite sans s'en apercevoir. Le tremblement de la main droite, dans les mouvements, est plu
, avant-bras, bras et épaules sont d'aspect normal. Il n'y a pas de tremblement fibrillaire à leur niveau. On n'en constate d'a
e d'un double menton. Notons encore au point vue somatiquc un léger tremblement des doigts et l'exagération des réflexes rotuli
complète dans le temps et l'espace. Dysarthrie. Propos incohérents. Tremblements des mains, de la langue, des muscles du visage.
alité pupillaire avec diminution prononcée du réflexe lumi- neux. Tremblements dans les muscles faciaux, dans la langue et les d
».On trouve encore signalé l'adhérence des lobules des oreilles,des tremblements des mains et de la langue, la diminution des ré
98 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
sister â la suite de ces attaques (paralysies, contractures, spasmes, tremblements , anesthé-sies, hyperesthésies. amauroses. etc.) ;
ons obtenu soit la disparition passagère des attaques, soit celle des tremblements . des. vertiges. Chez l'un d'eux. la suggestion a
de retomber dans son habitude. Je n'ai jamais constaté l'arrêt des tremblements de la paralysie agitante pendant l'état de sommei
ellement chez un malade atteint de paralysie agitante que lorsque les tremblements auront complètement cesse. On sait eu effet que l
les tremblements auront complètement cesse. On sait eu effet que les tremblements de la maladie de Parkinson s'arrêtent ordinaireme
réveil des malades, nous ayons toujours constaté la réapparition des tremblements chez ceux qui étaient atteints de paralysie agita
constatai ; constitution assez faible, visage rouge, yeux larmoyants, tremblements dans les muscles, marche difficile, vomissements
s à la compression oculaire pendant huit minutes :r.-tiron : 1° Des tremblements musculaires vers la troisième ou la cinquième min
qu'elle avait pris, était en proie à une grande frayeur présentait un tremblement rapide et rythmique de tout le corps. Ce trembl
présentait un tremblement rapide et rythmique de tout le corps. Ce tremblement paraissait nettemet être de nature hystértque. Le
après, débuta comme la première- par un sommeil, «e continua par des tremblement * eonvulsifs. Ce* crises se répétèrent tons les de
exie. Mains fraîches. Pouls 80, régulier. Le matodo présente un léger tremblement . Accuse toujours sa céphalalgie frontale ; mais l
endormi ni m'avoir vu avant son sommeil. A u réveil, il n'a plus ni tremblement léger, ni secousse* nerveuses, comme la veille, p
a patiner et se trouve très bien. 22 janvier. — N'accuse plus qu'un tremblement dans la main qui l'empêche d'écrire. Noua le fais
Noua le faisons écrire son nom; il le fait lentement, arec uu certain tremblement . Après la suggestion, il écrit beaucoup plus vite
plus ferme; il trace une ligne droite qui ne présento plus le moindre tremblement . Le malade quitte l'hôpital. Nous l'engageons à
crispations dans les mollets et dans les orteils, qui sont agités de tremblements . Puis viennent des mouvements de propulsion du ba
99 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
mbulisme!. {Progrès médical, 1890. 20-21-3). CeiLTOW \. — Un ??? de tremblement invétéré traité par la suggestion hypnotique (en
i, depuis douze ans, souffrait d'incontinence d'urine, d'insomnie, de tremblement des lèvres, de mal de tète, de dysménorrhée, de d
abdominales disparaîtraient. Lot résultats furent satisfaisants. Les tremblements furent enlevés dans une troisième séance et, aprè
fâché, quand il voyait deux enfants se battre; il a même conservé un tremblement léger persistante l'état habituel. Sauf cela, il
éterminé chez notre homme une sensation de faiblesse, avec agitation, tremblement , contracture des mâchoires et impossibilité de pa
alade, couché ou assis, soulève la jambe droite, elle est agitée d'un tremblement intense qui dégénère bientôt en grandes oscillati
ntense qui dégénère bientôt en grandes oscillations irrégulières ; ce tremblement existe depuis six semaines et s'est développé, di
fit pendant quinze jours. Avant les injections. U ne présentait qu'un tremblement léger, a petites oscillations rhythmiques, qu'il
rmir. Le 4, il soulève mieux la jambe droite, qui ne présente plus de tremblement aussi violent. Troisième séance. — La nuit, il
de la raideur dans la jambe gauche, qui l'empêche de bien marcher; le tremblement existe toujours dans la jambe droite. Il croit qu
aillements sans douleur à la face postérieure de la cuisse droite. Le tremblement est léger comme avant sa maladie; la jambe droite
ucoup plus, de l'hystérie : les petites crises qu'il a présentées, un tremblement vibratoire habituel et le caractère d'exagération
nel alcoolique; mère hystérique, atleinle de crises convulsives el de tremblements . — L'enfant est très impressionnable. Lorsque sa
t le rapporta à sa mère. El incontinent le même Jour il loy vinst des tremblements et convulsions se plaignant à sadile mère de doul
diat. La déposante « fut Mtîsie soudainement et au mesme instant d'un tremblement en tout son corps, et tel qu'à peine pouvait-elle
oit mesme peu quasi emporter ledit seau rempli qu'à moitié!... lequel tremblement luy dura l'espace de huict jours continuellement.
s passera prou. » Ce qu'en effet arriva, ne s'eslant apperçeu d'aucun tremblement en estant de retour en sa maison. Mais son petit
100 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- Actes de violences envers les autres enfants. Mise en correction. Tremblement léger des mains. - Crises nerveuses, épileptiqu
Impulsions génitales. Etat du malade en 1881. - Nystagmus; léger tremblement des paupières; hypospadias. - Sodomie : syphili
ssait tomber les bouteilles qu'il tenait à la main à cause du léger tremblement dont il est atteint. Il n'aurait pas eu d'accès
z prononcée des arcades sourcilières. -- Léger nys- tagmus et léger tremblement des paupières; pas de strabisme; iris brun, pup
ées; chez une malade, le phénomène d'antépulsion a disparu; mais le tremblement a subi peu de modifications. Des effets favorab
ui peut faire croire à une paralysie générale. Mais il n'y a pas de tremblement manifeste de la parole, il n'y a pas le caractè
mencé à s'agiter surtout au réveil et après un peu de fatigue d'un tremblement rythmique. État du plongeur (le 4 août 1887). I
s paupières, elles restent ou- vertes, mais sont animées d'un léger tremblement , les pupilles sont égales, mais très dilatées;
e. La période nerveuse présentait des symptômes ner- veux, comme du tremblement , des mouvements convulsifs, des contractures te
hangements : ri., les centres mo- teurs inférieurs les expriment en tremblement , rigidité légère et paralysie; b, les centres p
des plus ridicules. On ne saurait non plus attacher d'importance au tremblement du sujet en expé- rience au moment où on essaie
ue ET paralysie générale. 329 animés de secousses fibrillaires : le tremblement de la langue est surtout notable quand la langu
mbres supérieurs est conservée; les doigts sont ani- més d'un léger tremblement . Les réflexes rotuliens sont forts à droite. Il
r pense qu'un certain nombre des grands symptômes de la maladie, le tremblement et les troubles vaso-moteurs en particulier, re
entaux de la sclérose multiloculaire : parole scan- dée, nyslagmus, tremblement à l'occasion des mouvements in- tentionnels. C'
résence au contraire de l'hémispasme glosso-lahié concomittant avec tremblement fibrillaire de la lèvre supérieure, par le muti
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