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1 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re époque, au point de vue de la médecine légale, surtout depuis le travail d'Erichsen', dont les opinions ont été admises
s et par des convulsions grimacières du visage ». Si, à la suite du travail de Bouteille, on avait bien voulu tenir compte
écente et plus féconde que la première, bien que la sanction d'un travail d'ensemble fasse défaut aux observations éparses
les conseils de notre maître, M. le professeur Charcot, analysé les travaux des trois précédents auteurs et montré, en juil
onté, jusqu'à ce qu'un autre sou- bresaut interrompit de nouveau le travail de la main. On ne vit d'abord en cela que de pe
de janvier- février 1881, époque à laquelle il dut interrompre tout travail . Les mouvements tendaient à se généraliser; ils
le curare. Nous laisserons de côté la partie physiologique de leur travail pour ne nous occuper que du mode d'administrati
ilepsie jusqu'à 13 milligr. de curarine sans aucun résultat. · Le travail de MM. H. Liouville et A. Voisin clôt, en quelque
re 10 et 1 1 heures du matin, la malade fut prise, au milieu de son travail et sans cause appré- ciable, d'un accès de toux
sa profession, 58 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. aux heures de son travail en disant entre autres choses : « Regardez, 111
n y trouva tous les éléments du système osseux (périoste, 'Dans son travail sur la Névroglie. (Archives de Neurologie, t. VII
e-décembre 1883.) L'intéressante observation qui fait l'objet de ce travail concerne une femme de trente-cinq ans confinée
'expression d'une épilepsie spinale des muscles respi- ratoires. Ce travail se recommande tout particulièrement par l'in- g
rvations sont consignées. Elles n'apportent aucune modification aux travaux de Kroepelin '. L'auteur insiste simple- ment s
dont la réserve confine à la timidité. Toute la première partie du travail est purement historique, et puisée aux meilleurs
ici les principaux points de cette dernière et courte partie de son travail : lorsqu'elle se réclame sans cesse de l'interv
2.) Cinq arbres généalogiques fort bien dressés orment le fond du travail dont voici les conclusions. Les affections les
ns l'utilisation de l'intelligence, l'assimilation psychique et les travaux sont en conformité parfaite avec la valeur des fo
on : la lessive de soude, l'iode et 1 Voy. Ai,chives de Neurologie, travail de Langreutur, t. VIH, p. 383. revue DE thérape
ndemne de toute atteinte hystérique ou psycuopathique, occupé à des travaux fatigants, est, depuis plusieurs années, capabl
cité; par TIGGES. (Allg. Zeitsch. f. Psych. XXXIX, 6.) D'après ce travail , les courants continus paraissent agir surlout
ive de meurtre qu'il a commise, il avait complètement abandonné son travail et vivait chez lui oisif, toujours inquiet. Sa
elquefois un réel embarras gastrique, de l'apathie, delà lenteur au travail mécanique aller- nant avec des fougues laborieu
ment hmphatico-nerveux, d'une constitution appauvrie, adon- née aux travaux domestiques. Ni les antécédents pathologiques de
airent la synthèse anatomique des organes. Notre opinion est que le travail dont nous venons de rendre compte est clair, bien
ais; le corps); elles ont été inspirées par le professeur Kussmaul. Travail rempli déchiffres et de mensurations dont il es
minalité sont aussi intimes, et l'auteur, s'appuyant sur différents travaux statistiques, fait res- sortir la corrélation q
s maladies du cerveau; par Hermann Wilbrand (Wiesbaden, 1884). Ce travail n'est pas seulement une étude clinique, comme son
s l'étude de la vision. Les nombreuses observations que renferme ce travail n'en cons- tituent pas le moindre intérêt; null
bilité, termine cet important mémoire. Parinaud. VIL L'influence du travail neruo-musculeclre et de la fatigue sur les réfl
contractilité galvanique et t'aradique augmente au commencement du travail ; 138 BIBLIOGRAPHIE. ensuite, au sur et à mesu
à travers les muscles et nerfs « fatigués »; 7° au commencement du travail (fatigue), les réflexes tendineux sont exagérés
et se fléchissent alternativement, les épaules se sou- lèvent ; le travail devient difficile. Presque en même DE l'incoord
ant aux auteurs étrangers, bien que la nature et l'étendue de leurs travaux ne soient pas telles qu'elles nous permettent d
as un ensemble suffisant pour mériter l'analyse et nous arrivons au travail de Beard', qui porte un titre caractéristique :
de O'Brien, si M. Hammoud lui-même n'avait eu soin d'intituler son travail : « Nouvelle ma- ladie du système nerveux ».
e dans beaucoup de pays et que, n'ayant pas encore été l'objet d'un travail d'ensemble, les cas qui s'y rapportent, ainsi q
aresse, et empêche leur développement intellectuel en supprimant le travail ou en y apportant de graves empêchements. Il es
La partie clinique de la première figure déjà dans notre précédent travail 2. 013SI,RN'ATIO ? 1. - Hémiplégie, hémianesthé
à la nutrition de ce môme tissu chez l'homme malade. Par suite tout travail ayant pour but de rechercher si les maladies ne
es qui se passent au sein du système nerveux doit être précédé d'un travail ayant pour but d'étudier la nutrition de ce sys
nces à ce sujet, expé- riences que nous avons consignées dans notre travail intitulé : Recherches sur l'élimination de l'ac
l'épileptiqcce et l'hystérique (G. Masson, éditeur, 188't). Dans ce travail nous avons dû, pour arriver à une solution comp
QUE. querons quelques-uns des faits que nous avons réunis dans le travail que nous venons de citer, travail auquel le lecte
its que nous avons réunis dans le travail que nous venons de citer, travail auquel le lecteur devra se reporter pour de plu
ndividu sain à l'état de repos et chez ce même individu soumis à un travail intellectuel. Suivant qu'ils trouvent ou non, s
nerveux emploie ou non de l'acide phosphorique pour pro- duire du travail . L'acide phosphorique qu'ils trouvent en plus d
écédent sont différents. Mosler, IIammond, Byasson veulent que le travail intellectuel augmente le rendement de l'acide pli
n rendait i gr. 977G dans le même laps de temps sous l'influence du travail intellectuel. Wood, au contraire, pense que la
et ceux obtenus par les autres auteurs dont nous avons rappelé les travaux , on voit, lorsqu'on étudie de près ceux-ci, qu'
jections diverses et telles qu'on peut se demander si c'est bien au travail intellec- tuel que reviennent les modifications
modifications que ces auteurs ont constatées sous l'inlluence de ce travail . Parmi ces objections, nous n'en retiendrons qu
igrammes que se marquent, ainsi que nous le verrons, l'influence du travail in- tellectuel sur l'élimination des phosphates
nce de l'alimen- tation, si on ne veut pas s'exposer à attribuer au travail intellec- tuel ce qui est dû simplement à cette
eut donc se demander si ce n'est pas simplement au régime et non au travail intellectuel qu'il faut attribuer les modificat
ous ne pensons pas, qu'il suffise de constater, sous l'influence du travail intellectuel, une aug- mentation dans le chiffr
er tout ou partie des modi- fications survenues sous l'influence du travail intellectuel dans l'élimination des phosphates.
s par Mosler, Hammond et Byasson, mais lorsqu'on étudie de près les travaux de ces auteurs, on 1 Bischoff. Loco citalo. 2
. 458. , DE LA NUTRITION DU SYS'tÈMË NERVEUX. 'l 3 9 trouve à ces travaux des côtés défectueux qui portent à se de- mande
Constatation des modifications qui surviennent sous l'influence du travail intellectuel dans l'élimination de l'acide phos
élimination chez un même individu à l'état de repos et à l'état de travail intellectuel. Pendant un certain nombre de jours
nous étudions cette élimination chez ce même indi- vidu soumis à un travail intellectuel. Mais pour pouvoir, si des modific
itiation soit influencée par elle ; par suite, il faut qu'à part le travail intellectuel, l'individu en expérience soit, pend
du en expérience soit, pendant l'état de repos et pendant l'état de travail , dans des conditions biologiques absolument sem
dans des recherches fort bien faites sur l'in- lluence qu'exerce le travail musculaire sur l'élimination de l'a- cide phosp
dienne de l'acide phosphorique, pour que, si ou fait intervenir un travail musculaire et si des modifications se produisent
ces modifications puissent être attri- buées à l'intervention de ce travail . Nous avons repris ces re- cherches d'Ëngelmann
nous avons obtenue ? Et si, soumettant l'individu qui précède à un travail intellectuel, des modifications se pro- duisent
ide phosphorique, hésitera- t-on à attribuer ces modifications à ce travail ? Nous ne le pensons pas. , Ainsi, si chez un
s recherches et indiquer les résultats que nous avons obtenus. Le travail intellectuel dans ses rapports avec l'élimination
mination de l'acide phosphorique et de l'azote. Pour savoir si le travail intellectuel modifie l'élimination de l'acide p
t, nous nous sommes soumis à un régime de nature variable et à un travail intellectuel de même nature mais d'intensité diff
s, nous nous sommes ensuite soumis pendant quatre autres jours à un travail intellectuel d'une durée de sept heures ; puis,
d'une durée de sept heures ; puis, pendant deux autres jours à un travail intellectuel de même nature et d'une durée de d
. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 243 Tableau I. Influence du travail intellectuel sur l'élimination de l'acide phosp
trois autres jours ce que devient cette élimination à la suite d'un travail intellectuel d'une durée de sept heures et de m
que celui des expé- riences précédentes. Tableau II. Influence du travail intellectuel sur l'élimination de l'acide phosp
- nation de l'acide phosphorique à l'état de repos et à l'état de travail intellectuel. 1'uL ? u III. Influence du travai
s et à l'état de travail intellectuel. 1'uL ? u III. Influence du travail intellectuel sur l'élimination de l'acide phosp
iences des tableaux II et III, nous retrouvons, sous l'influence du travail intellectuel des modifications dans l'éliminati
tte différence que, tandis que dans l'expérience 2 du tableau I, un travail de sept heures n'augmente pas le chiffre d'élim
fre d'élimination de l'acide phosphorique uni aux terres, ce même travail augmente ce chiffre dans les expériences des tabl
s le tableau III. D'où vient cette différence d'action pour un même travail ? Les expériences consignées dans les tableaux
ence de régime. Dans le tableau I, en effet, l'individu soumis à un travail intellectuel, mangeait un régime mixte, riche e
est à la diète. En d'autres termes, c'est dans le rapport entre le travail et la richesse de l'alimentation en acide phospho
hosphates terreux sous l'influence de l'activité cérébrale. Un même travail augmentera d'autant plus le chiffre de l'acide
moins riche en phosphates ; ce qui revient à dire que, pour un même travail , si l'alimentation est suffisam- ment riche en
sam- ment riche en ces sels pour réparer les pertes faites par ce travail , l'acide phosphorique uni aux terres éliminé par
onséquent, pour avoir une idée complète de l'influence qu'exerce le travail intellectuel sur l'élimination de l'acide phosp
ument tenir compte des rapports qui existent entre l'intensité du travail et la richesse de l'alimentation en phosphates.
ique uni aux terres sont dans un rapport étroit avec l'intensité du travail et la richesse de l'alimentation en acide phosp
. Cette diminution reste, en effet, à peu près la même pour un même travail , peu importe la nature de l'ali- mentation. C'e
leau Ill(diète), le chiffre de l'azote diminue, sous l'influence du travail intellectuel, de 1 gr. 42 et celui de l'acide pho
lis. Cette élimination est seulement en rapport avec l'intensité du travail ; elle est d'au- tantplus diminuée que cette in
terres, pour avoir une notion complète de l'influence qu'exerce le travail intellectuel sur l'élimination de l'azote et de
il faut tenir compte des rapports qui existent entre l'intensité du travail et l'alimen- tation, et dans ces cas, les seuls
ment du système nerveux, on arrive aux résultats suivants : 1° Le travail intellectuel diminue le chiffre de l'azote élimin
de l'acide phosphorique, entre la richesse de l'alimentation et le travail , nos recherches, p. 99, et plus particulièremen
et plus particulièrement, p. 76 et 80. 248 REVUE CRITIQUE. 2° Le travail intellectuel augmente l'élimination de l'acide
mente l'élimination de l'acide phosphorique uni aux terres; 3° Le travail intellectuel diminue l'élimination de l'acide p
ue l'élimination de l'acide phosphorique uni aux alcalis ; 4.° Le travail intellectuel diminue le plus généralement le 'c
tions produites dans l'élimi- nation de l'acide phosphorique par le travail intellectuel se produisent des modifications da
ssi ce que nous avons dit précédemment. Tableau fiv. Influence du travail intellectuel sur l'élimination de l'acide phosp
TÈME NERVEUX. 249 Interprétation des modifications produites par le travail intel- lectuel sur l'élimination de l'acide pho
vail intel- lectuel sur l'élimination de l'acide phosphorique. Le travail intellectuel diminue le chiffre de l'azote et de
Cette théorie est due à Zuelzer. Ce médecin a pu- blié en 18761 un travail dans lequel il cherche à montrer que dans les c
. NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. D'abord, quand on étudie de près le travail de Zuelzer, on peut difficilement attribuer que
ort entre l'a- cide phosphorique et l'azote. Nos recherches2 sur le travail musculaire dans ses rapports avec l'élimination
ans les tableaux qui précèdent, on voit que si, sous l'influence du travail intellectuel, le rapport entre l'acide phosphor
rait être si la théorie de Zuelzer était vraie, avec l'intensité du travail . Elle est plus grande avec un travail de sept h
it vraie, avec l'intensité du travail. Elle est plus grande avec un travail de sept heures qu'avec un travail de dix heures (
ail. Elle est plus grande avec un travail de sept heures qu'avec un travail de dix heures (ex- périence 1 et 2. Tableau I).
de l'acide phosphorique que nous avons trouvées sous l'influence du travail , tiennent à une autre cause qu'au système nerve
tées dans l'élimination de l'acide phosphorique sous l'influence du travail intellectuel, nous devons donc nous demander qu
tats que nous avons obtenus, renvoyant pour plus de détails à notre travail déjà cité (page lt3 à 127). (A suivre.) REVUE
journal, rap- porté descas de tabès chez la femme; dans le présent travail qui contient treize nouvelles observations, il
qui restent, sept avaient été exposés soit à l'humidité, soit à un travail exagéré dans de mau- vaises conditions d'hygièn
e passage qui n'est pas à né- gliger. II. La seconde partie de ce travail a trait à des observations anatomo-pathologique
d'une hémorrhagie sous-arachnoïdienne. Une planche accompagne ce travail . P. K. XXV. Appendice au mémoire intitulé : Sur
s pathologiques ; par Ch. Rosenheim. (Arch. f. Psych., XV, 1.) Ce travail nous rappelle celui de Brissaud. (Thèse de Paris,
icaire (transsudation 1 Voy. Archives de Neurologie, t. VI, p. 403 ( travail d'Hirschberg) ; voy. la thèse (le Croitigneaii
des centres thermiques ou à leur intégrité; il y a là matière à un travail spécial. P. K. XIX. DE l'influence DE l'ivrogne
E l'idiotie; par Kind. (Alla. Zeitschr. f. Psyle., XL, 4.) . Long travail de statistique qui se résume de la façon suivante
llectuelles, la substance corticale n'ayant pas subi de dommage. Le travail se termine par des remarques sur la genèse et l
c'éphaliques ; par IIAKTUANN. (Ai-eh. f. Psych., XV, 4). ? At2 T. Travail d'ensemble fondé sur des recherches bibliographiq
tableau réunit vingt-huit cas accom- ' Voy, Archives de Neurologie, travail de Kundrat, t. VI, p. 156. ItVU : : U Y.11'HUt.
impressions auparavant innocentes ; la diminution de la capacité de travail intellectuel ; la persistance de paralysies ou
s ses rapports avec les autres formes de l'aberration génésique. Le travail du professeur Tarnowsky est très 1 elle en obse
t de considérations gé- nérales sur la question. Si cette partie du travail offre certains points discutables, le lecteur t
sur les vaisseaux, dans les prisons, les casernes, etc. D'après les travaux récents il est permis de douter de l'existence
somatiques de la pédérastie active et passive. Cette partie de son travail ne pré- sente qu'un intérêt médico-légal tout à
er, tant cela l'ennuie de préparer ses repas ; elle n'aime plus les travaux de couture, d'ailleurs sa vue baisse; elle se lèv
-récents comme chez les vrais vieillards. mais le souvenir do leurs travaux accomplis et de leurs services rendus persiste
iments fournissant la même quantité de force. Ce qui existe pour le travail matériel existe aussi pour le travail moral et
force. Ce qui existe pour le travail matériel existe aussi pour le travail moral et intellectuel. Toutes ces notions sont
apable de procréer. Les résultats de Berkham sont confirmés par les travaux de Monteyell sur l'hérédité dans les familles dég
es lapins, nous croyons utile de tracer un court exposé de tous les travaux concer- nant l'élongation des nerfs depuis le j
gique de la moelle. C'est à ce dernier groupe que se rapporte notre travail . Groupe Ie'. Elongations de nerfs pratiquées da
suc- cès l'élongation du plexus brachial et d'autres nerfs. Leurs travaux , du reste, sont trop connus en France pour que
1 Le Fort. Gazette médicale de Paris, 1882, p. 387. ' Paget Voir le travail de M. Chauvel, loc. cit. 7 Blum. - De l'élongat
oelle 2. Un fait que nous avons observé depuis la rédaction de ce travail , et qui rentre dans'la catégorie de ceux de Ber
lacé plus tard dans une maison de commerce, où il était occupé à un travail de bureau. A l'âge 1 Société anatomique, 1879.
mbre 1883, et entra chez un commissionnaire en rouenneries. Là, son travail con- sistait à traîner une petite voiture charg
en courte pour en avoir effacé toute trace; j'ajouterai même que le travail inflammatoire de la seconde période, aurait dû
s aussi divergents que ceux que nous avons ren- contrés à propos du travail intellectuel. Et naturellement les opinions de
. Nous avons insisté sur cette erreur dans la première partie de ce travail ,, et si nous la rappelons ici, c'est pour indi-
si nous la rappelons ici, c'est pour indi- quer que, comme pour le travail intellectuel, nous avons dû, pour l'aliénation
la vie. Et cependant nous avons vu, dans la pre- mière partie de ce travail , qu'en se plaçant dans certaines con- 364 REVUE
phosphorique dans des proportions telles que l'intervention d'un travail se marque facilement. Par conséquent, ce que no
sein du système nerveux ? Nous avons déjà vu, en effet, à propos du travail intellectuel, que les modifications qu'on const
n'est pas tout. Lorsque nous avons étudié l'influence qu'exerce le travail intellectuel sur l'élimination de l'acide phosp
ns qu'on cons- tate. DE LA. NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 369 , Travail musculaire et acide phosphorique. Nous serons b
laire et acide phosphorique. Nous serons bref sur ce qui a trait au travail musculaire dans ses rapports avec l'acide phosp
apitre de notre ouvrage déjà cité (chap. in, p. 67 à 91) : 1 ° Le travail musculaire augmente la quantité d'azote éliminé
mente la quantité d'azote éliminé par vingt-quatre heures ; 2° Le travail musculaire augmente la quantité d'acide phos- p
alcalis et de l'azote, tel est donc le fait capital de l'action du travail mus- culaire sur l'élimination de ces substance
nation de ces substances. Cette action est donc inverse de celle du travail intellectuel; celui-ci, en effet, diminue l'éli
seu- lement le chiffre des phosphates terreux, phosphates que le travail musculaire laisse intacts ou diminue même. Le tab
suivant indique, on ne peut mieux, l'influence qu'exercent ces deux travaux sur l'élimination des phostates et de l'azote.
ur l'élimination des phostates et de l'azote. On le voit donc si le travail musculaire agit, l'élimination de l'acide phosp
es modifications produites. Connaissant l'influence qu'excercent le travail intellectuel, le travail musculaire et la nutri
Connaissant l'influence qu'excercent le travail intellectuel, le travail musculaire et la nutrition générale sur l'élimina
e jusqu'à leur guérison complète. Nous avons consigné dans un autre travail les résultats que nous a donnés jour par jour l
résultats que nous a fournis l'étude de l'influence exercée par le travail intellectuel sur l'élimination de l'acide phospho
rique éli- miné que d'azote, ainsi qu'il arrive sous l'influence du travail musculaire; dans les périodes d'état, au contra
fications abso- lument semblables à celles constatées à la suite du travail in- tellectuel, et qui reconnaissent évidemment
endre compte. Pour cela, rappro- chons-les de celles que produit le travail intellectuel chez l'homme sain. Nous synthétiso
sain. Nous synthétisons dans le tableau suivant ce qui a trait à ce travail et à la lypémanie. hiairet. - Goco cilalo, p. 1
CRITIQUE. Tableau X. -Comparaison entre l'influence qu'exercent le travail intellectuel et la lypémanie sur l'élimination
tefois davantage sur les recherches de Lépine et Jacquin 3. Dans un travail intitulé : Excrétion de l'acide phosphorique pa
e donne lec- ture d'un discours où il passe en revue les différents travaux de - la Société pendant le courant de l'année 1
83, ce prix, d'une valeur de 1,200 francs, sera accordé au meilleur travail relatif à l'idiotie, et de préférence aux lésions
oignages des hommes qui ont fait de l'étude de la folie l'objet des travaux de toute leur vie. » Inisdea, malgré de courage
son nom, de m'avoir permis de mettre sous vos yeux son intéressant travail . M. DAGONET. M. Miraglia a eu raison de conclur
ir meurtriers. M. MoREAU (de Tours) donne lecture de l'analyse d'un travail du SOCIÉTÉS SAVANTES. 405 docteur Solivetti,
nt tout 'le jour dans leurs locaux d'habitation, de les stimuler au travail sans coercition ni menace, de leur donner une c
de, qui, paraissant totalement dément, absolument incapable de tout travail physique, ne manifestant aucune réaction à l'ég
à l'établissement. Le premier effet du traitement est la reprise du travail , qui apporte une déviation aux idées délirantes
s d'hommes, un tiers de femmes. Selon l'occupation et l'aptitude au travail des malades, on paye, pour leur entretien 8 à 3
uelles, » de sup- primer le paragraphe 5, relatif à la fixation des travaux de chaque séance, qui n'est pas praticable. D'a
verbal, établira la liste des membres et provoquera les éléments de travail . On admettra des étrangers. 4° Lieu et époque d
e juin, qui se tiendra toujours li Berlin, on dressera le bilan des travaux de l'année écoulée, et l'on procédera à la nomi
rnmztnicat*on sur l'assistance des idiots. Elle est tirée d'un gros travail qui va bientôt paraitre sur les idiots et les éta
réunie à Fribourg, invitait à la construction d'asiles de ce genre. Travaux de Guggenbulil et Gor- don (critiques); statist
t de traiter une question sur laquelle ont jeté un certain jour les travaux publiés dans ces dernières années sur la folie ci
la paralysie spinale spasmodique des en- fants. Rappelons aussi les travaux de Ross sur l'hémiplégie et la paraplégie spasm
homme. Ce prix, de la valeur de 1,300 fr., sera décerné au meilleur travail manuscrit relatif à l'idiotie et de préférence
Germain (Philippe), surveillants et VOLLF (Antoine), conducteur des travaux à l'asile deMontdevergues (Vaucluse). Lettres d
et original ; il a été, on peut le dire, l'inspirateur de tous les travaux qui ont été publiés depuis sur l'importante que
e l'Académie des sciences morales et politiques, bien connu par ses travaux sur les questions pénitentiaires et l'abolition d
specteurs généraux, de voir ses voeux réalisés en 1876. Parmi les travaux publiés par notre regretté confrère, nous citer
quinze ans. On lui doit, d'après The Journal of mental science, les travaux suivants : Ele- znents of rsychological Medicin
ries). Il était âgé de quatre-vingts ans. On lui doit, entre autres travaux : What Asyluan werc, arc. alzrl oziglb to be; O
s. Elle avait épousé le Dr Allen Sturge, connu par ses intéressants travaux sur les maladies nerveuses. L'an dernier, elle
des nerfs chez l'homme (iu- 454 1 TABLE DES MATIÈRES. fluence du travail nervo-muscu- laire et de la pratique sur 1'), p
2 (1913) Exposé des travaux scientifiques
1 Exposez r DES TRAVAUX SCIENTIFIQUES DU " dur J. BABINSKI , -.....
liothèque CtlarS91 FONDS PERCHeRON " Réf. Î1 f ç EXPOSE DES TRAVAUX SCIENTIFIQUES EXPOSE DES TRAVAUX SCIENTIFIQ
Réf. Î1 f ç EXPOSE DES TRAVAUX SCIENTIFIQUES EXPOSE DES TRAVAUX SCIENTIFIQUES DU Dr J. BABINSKI PARIS MAS
t.r.VAftD SAIKT-GHKtAÏX (6.) 1913 AVERTISSEMENT L'exposé de mes travaux scientifiques est divisé en deux parties, consa
'indique les confirmations principales obtenues par certains de mes travaux . Quelques-unes d'entre elles sont incorporées d
'ai publié dans les Archives de Médecine expé- rimentale (2 £ 1) un travail complémentaire sur ce sujet. Voici la descripti
éjà constatés par d'autres, en particulier par Golgi. Cependant mon travail n'a pas été, ce me semble, sans utilité. Il a é
épart de mémoires divers dont les auteurs ignoraient d'ailleurs les travaux antérieurs au mien (voir en particulier : a) Pi
ÉSENTENT LES MUSCLES APRÈS SECTION DES NERFS QUI S'Y RENDENT D'un travail (8) que j'ai fait paraître sur ce sujet en ]88, j
f. C'est là le vertige voltaïque dont on doit la con- naissance aux travaux de Breiier, de Ilitzig et de plusieurs autres e
rimentateurs. Je vais indiquer les résultats de quelques-uns de mes travaux cor- roborant des idées émises par d'autres que
cft, 167, 182, 200, 201). 1° A l'époque où j'ai publié mon premier travail sur le vertige vol- taïque, en 19° 1, les physi
r toute la portée (voir p. 195). Je citerai plus loin (p. gi) les travaux confirmatifs des miens sur les réflexes tendine
u de l'irréflectivité tendineuse. Les confirmations relatives à mes travaux sur l'inversion du réflexe du radius sont nombr
ise tardive» (Revue neurologique, tgt t, t. XXII, p. t4r, publient un travail duquel j'extrais le passage suivant : « Cette i
e dégénérescence dans les muscles biceps et long supinateur ». Leur travail se termine par cette phrase : « Cette observati
du réflexe du radius. » Il revient encore sur cette question dans un travail fait en collaboration avec Akerblon ayant pour
pements. A cette fin, je ferai d'abord quelques extraits du dernier travail que je viens de rappeler. « En général, ce n'
rien à retrancher de ce que j'ai écrit il y a quinze ans et si les travaux publiés de toutes parts, depuis cette époque, ont
déjà que ces deux réflexes ne sont pas incompatibles. b. Dans un travail (106) paru en igo4, et relatif aux perturbations
phéno- mène. « Schaefer n'a sans doute pas eu connaissance de mon travail sur le « phénomène des orteils », non plus que
ovoquer ce réflexe. » Ci-dessous, je donne une liste des principaux travaux confirmant les miens. J'arrête cet index à l'an
gros orteil. Voici ce que j'ai écrit à ce sujet dans mon pre- mier travail (97). « L'excitation de la plante du pied provo
ection cérébrale. » Il n'existe pas, du moins à ma connaissance. de travail confirmatif consacré spécialement à l'étude de
a syphilis. EN collaboration avec A. Charpentier. Dans un premier travail présenté au mois de juillet 1899 à la Société d
e des Hôpitaux, 1901, pp. 143ti et suiv.), écrivent : « ... grâce aux travaux de Babinski, la valeur pratique du signe d'Argy
s les Bulletins de la Société médicale (1902, pp. 825 et suiv.), un travail ayant pour titre : « Le signe d'Argyll Robertso
ation, je ne crois pouvoir mieux faire que de citer des extraits du travail où je l'ai décrit (122). « En raison del'imporl
st aussi à la suite de ce chapitre que je donnerai l'indication des travaux confirmatifs des miens. C. Enfin, j'ai attiré l
ble par la longue durée des accidents, fera d'ailleurs l'objet d'un travail spécial; aujourd'hui nous nous bornons à la sig
du liquide céphalo-rachidien. Les observations sur lesquelles notre travail est fondé étaient au nombre de trois ; dans 2 d
ité de leur développement. (EN collaboration avec O\1\OIP Dans ce travail (21) nous rappelons d'abord qu'en ce qui concerne
prédisposé, le triceps sural est réfractaire. Nous montrons dans ce travail que l'anatomie de développement permet de compr
humain, a corroboré d'une façon indirecte les conclusions de notre travail . MYOPATHIE PRIMITIVE 7.'i B. Excitabilité idi
er un ensemble avec ces matériaux épars. Je ne fais que signaler ce travail qui n'est pas, à proprement parler, une oeuvre
IATIQUE Scoliose sciatique. J'ai fait paraître, il y a 25 ans, un travail inspiré par mon maître Charcot sur la scoliose
lition du réflexe achilléen dans la sciatique. Ce signe, objet d'un travail (7)6) publié en 1896, avait été, il est vrai. m
ril igi i , j'ai fait paraitre avec Charpentier et Delherm (IJ9) un travail basé sur quatre observations semblant bien établi
u sourcil)». Dcleni analyse (Revue neurologique, 1906, p. 10Z12) un travail de C. Negro sur « l'IIémispasme facial comme éq
quel il a constaté tous les signes que j'ai décrits. Meige, dans un travail intitulé : « Les convulsions de la face. Une form
dait sur ce sujet étaient rudimentaires avant la publication de mes travaux . Il y a des ouvrages de neurologie de date tout
une lésion non destructive de la voie pyramidale. Dès mon premier travail sur cette question (51) j'ai montré que les dégén
aires. Depuis ma deuxième publication sur ce sujet (177), plusieurs travaux confir- matifs ont paru. Souques, dans la séa
nski». C. Lian et J. Rolland relatent un fait du même ordre dans un travail inti- tulé : « Paraplégie spasmodique avec cont
éen existe et le réflexe rotulien est aboli. Les résultats de mes travaux ne tardèrent pas à être vérifiés et parmi les pre
périeurs. L'état de ces réflexes, dans le tabes, a été l'objet d'un travail de Fraenkel (Revue neurologique, i go i, p. 245
thèse méritant d'être contrôlée. Un de mes élèves, Barré, a fait un travail important sur ce sujet (Les osléo-arthropalhies
bulbaire infectieuse et troubles dans les réflexes tendineux). Ce travail est fondé sur l'observation d'une malade atteinte
la suite de l'emploi des rayons X (128). Voici un extrait de mon travail sur ce cas : « En résumé, un sujet, après un gr
ion avec J. Jumentié ET J..TARA011'SAI) Voici les conclusions de ce travail (198). 10 Les lésions méningées observées rentr
de la lésion. HÉMORRAGIE MÉNINGÉE . J'ai publié avec Jumentié un travail sur ce sujet (195). Voici les quelques points q
, à « forme jacksonienne». Craniectomie. Guérison». J'extrais de ce travail les passages suivants : « Dans la séance du 3 m
nt de la chirurgie cérébrale en France. La craniectomie, malgré les travaux parus à l'étranger sur ce sujet. ceux de I-Iors
07), j'ai réuni les documents épars relatifs à ces questions. Mes travaux ont apporté, j'espère le montrer, des notions 1
t avoir échappé à l'atten- tion des neurologistes car, sauf dans le travail de IIuppert, je n'ai trouvé de description des
métrie dans les affections cérébelleuses chez l'homme datent de mes travaux . Ce symptôme a été constaté et étudié par plusi
inésie ? Voici l'interprétation que j'en ai donnée dans mon premier travail sur ce sujet : « Afin de comprendre l'adiadococ
inférieurs peuvent être localisés d'un côté (côté lésé). Dans un travail intitulé « IIémiasynergie et hé- mitrcmblement
lle l'explication que j'en avais donnée en citant un passage de mon travail sur ce sujet » (voir p. 121). Dans les cas qu
ôme aujourd'hui classique. F. X. Dercum, de Philadelphie, dans un travail intitulé : Diagnosis and Loca- lisation of Brai
mme ce malade (dont l'observa- tion détaillée a été relatée dans ce travail ) est à la fois asynergique et cataleptique, on
l'époque où nous avons observé les malades qui font le sujet de ce travail , mon attention n'avait pas été encore attirée p
voltaïque chez l'homme, et dont l'exposé va suivre, sont dues à mes travaux , sauf en ce qui concerne l'abolition du mouvement
a lieu très souvent dans les expertises relatives aux accidents du travail . Ils peuvent contribuer à établir le diagnostic
alvanische Reaktion. Medicinische Iflinik, 26 mai 1907) a publié un travail très documenté sur 1' « Inclination unilatérale»,
il vestibulaire des données précieuses. Mais, comme il s'agit là de travaux tout récents encore à l'étude, je me contente de
al of nervous and mental Disease, sept. igi i, p. 5/)o) présente un travail sur le traitement du vertige auriculaire parla po
Bossi ont publié sur « la Pathogénie du Torticolis dit mental » un travail analysé dans la Revue neurologique (igo-li, p. 17
a nature et qui a son siège dans la zone motrice de l'écorce. Ces travaux , comme on le voit, viennent à l'appui de ma thèse
pas- modiques qui la mettent dans l'impossibilité de se livrer à un travail quelconque, elle paraît absolument désespérée.
é nos idées sur la nature de cette maladie, car il résulte de leurs travaux qu'on trouve assez souvent chez les choréiques
à leur véri- table cause l'adiposité et les troubles génitaux. Le travail de Frôhlich date de 1 po 1. Outre ce mémoire, il
arrêt de développement des organes génitaux » (61). Le titre de mon travail joint aux deux photographies qui y sont 181 A
ui le constituent le nom de syndrome, détail sans importance. Mon travail serait le premier sur ce sujet, n'était celui de
nné par Pechkrantz à son mémoire. On reconnaîtra, je pense, que mon travail , s'il est le deuxième en date, est le premier d
re autres faits, voici une observation résumée que j'extrais de mon travail (71) publié en igoi : « Il s'agit d'une jeune f
père (Arch. m<M., Toulouse, 1902), par Joussement qui, dans son travail sur « le traitement du goitre exophtalmique » (
philis qui les ratta- chait les unes aux autres. J'extrais de mon travail sur cette question le passage suivant : « Je ra
lletins de la Société médicale des Hôpitaux, 1902. pp. 79 et 80, un travail qu'il voulut bien intituler : « Syndrome de Bab
92 AFFECTIONS DE L'APPAREIL CAliUlO-VASCULA1R Paul Vautier, dans un travail (Thèse, Paris, igo5) inspiré par P. E. Launois et
dobesco, de Bucarest, accepte aussi mes idées et les expose dans un travail qui a pour titre : « Les troubles pupillaires dan
ujet il y a une vingtaine d'années, à l'époque où parut mon premier travail de revision. L'hystérie était généralement conç
ciale hystérique de la paraly sie faciale organique (35, 38). Ces travaux successifs, confirmés de toutes parts, ont entraî
sujet abondaient. A partir de yogi, époque où a paru mon premier travail d'ensemble sur la délimitation de l'hystérie, ces
dernières années. Cette histoire n'est plus qu'une légende 1. Les travaux que je viens de résumer ont eu pour effet de rest
l y a plus de vingt ans, en 1890 (27). Voici du reste un extrait du travail dont je viens de donner l'indication, p. m i et
ontrant un terrain favorable, sera le point de départ d'un complexe travail d'auto-suggestion dans lequel l'analyse psychol
ésormais subsiste seul tandis que risque de passer inaperçu tout le travail d'auto- et d'hétéro-suggestion qui l'a précédé
n est restée étrangère à son développement. Or, celle-ci 1. Dans un travail fait en collaboration avec J. Dagnan-Bol1\eret. a
e, elle ne me parait pas fondée; j'ai cherché à la réfuter dans mon travail en collaboration avec Dagnan-Bouvcrct. Elle a
répondent psychologiquement il une réalité quelconque. De nombreux travaux , entre autres ceux de Hibot, ont montré que tou
moi, n'est qu'une dépendance de l'hystérie. Quelques extraits d'un travail récent (175) exprimeront ma manière de voir sur
ns que le malade semble avoir conscience de leur mécanisme. - Mes travaux sur l'hystérie, outre l'intérêt spéculatif qu'ils
ncapacité qu'ils entraînent. Par suite, la loi su ries accidents du travail prèle moins aux divers abus qu'elle avait d'abo
n de Brissaud au « Congrès interna- tional de Rome des accidents du travail » et intitulée : « Les troubles nerveux post- t
Société médicale de Hôpitaux, r3 novembre 18gi). 32. Notice sur les travaux scientifiques du D' Babinski (Janvier ¡8 ! J2, ch
decine interne et de thérapeutique, mai igog). 162. A propos d'un travail de M. Ettore Levi intitulé : « Quelques nouveaux
3 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
posées aime que l'on s'amuse avec lui, commence à se rendre utile aux travaux du ménage. Il est complètement guéri du gâtisme.
. Intelli-gence au-dessous de la moyenne, aucune disposition pour le. travail manuel. L'instituteur se basant sur ce que l'enfa
de l'école d'in-firmiers. Il désire avoir le diplôme d'infirmier. Le travail manuel laisse encore quelque peu à désirer. Ëpi
table, bavard et familier, ne voulant l'aire que ce qui lui plaisait. Travail intermittent. S'est aujourd'hui amélioré d'une fa
et géographie et a obtenu le Certificat d'études primaires adul-tes. Travail manuel : est entré à la cordonnerie où il n'a pu
rester, puis à la brosserie où son patron est assez satisfait de son travail . Dégénérescence mentale avec périodes d'excitat
e n'avait aucune notion pour tout ce qui concerne l'enseignement; son travail , en classe, consistait à tracer, des bâtons et de
y a nécessité de suspendre complète-ment les exercices scolaires, le travail manuel, la gymnastique, etc. D'autres fois, ils p
nt : 1° — Surveillance des classes. — Maîtres, matériel, propre-té, travail , entrée des classes, surveillance des récréations
a géométrie est enseignée aux jeunes garçons qui suivent les cours de travail manuel, quelques-uns ont commoncé l'étude des pro
ustes, les plantes portent des étiquettes nominatives, s'ajou-tent le travail manuel dans les ateliers, les exercices physiques
mémoire, de l'activité intellectuelle, l'inaptitude non seulement au travail scolaire mais aussi au travail manuel, l'indiffé-
ctuelle, l'inaptitude non seulement au travail scolaire mais aussi au travail manuel, l'indiffé-rence aux jeux; la tendance à l
yons sur les conséquences quotidiennes de l'onanisme, apathie pour le travail , et ultérieurement: spermatorrhée, impuissance, d
és à la, gymnastique (mouvements, agrès), à la danse, à l'escrime, au travail manuel, soit dans les ateliers, soit dans les jar
tats obtenus par eux en 1905 et qui se chiffrent par 26.706 fr. Les travaux de jardinage seuls ne sont pas évalués, et comme
'en avoir tout au moins une évaluation approximative. Évaluation du travail . Nombtie Années. travail évalue d'apprentis
valuation approximative. Évaluation du travail. Nombtie Années. travail évalue d'apprentis 1884 .....................
s de Paris : Palmarès, etc. — Feuilles d'Alphabet pour les classes. — Travaux divers pour les hôpitaux, pour la Société Amicale
travailler ni à l'école, ni à l'atelier. Lorsqu'ils ont des accès, le travail est momentanément suspendu; les autres enfants so
font perdre à un groupe, plus ou moins nombreux, une demi-journée de travail . Administrativement, après avoir douté de la po
que abusive des couvents, doivent fournir réguliè-rement une somme de travail fixe. Et on y tend administrativement, car on vou
y tend administrativement, car on voudrait leur faire faire tous les travaux d'entretien de la section, oubliant qu'il s'agit
it primer dans un service comme le nôtre, c'est l'influence morale du travail , qui est l'adjuvant du travail scolaire, des exer
le nôtre, c'est l'influence morale du travail, qui est l'adjuvant du travail scolaire, des exercices physiques, du traitement
t pas à dédaigner. Les enfants eux-mêmes sont heureux devoir que leur travail est productif, qu'il se traduit par des résultats
pas interrompre leur apprentissage et de ne pas perdre le bénéfice du travail des enfants. Nous renouvelons notre récla-mation.
vice à 6 heures du matin, à été très préjudiciable, en ce sens que le travail qu'ils donnaient de 6 à 10 heures incombe au serv
e de jour qui n'a pas été augmenté dans la proportion qu'exi-geait le travail . La distinction en soignait ts et hommes de peine
onnaissances pratiques de nos malades, donner plus de variété à leurs travaux de couture et de repassage, nous avons autorisé l
s objets de toilette, bien entendu en dehors des heures régulières de travail . Le travail, de ce fait, qui n'occasionne pas de
toilette, bien entendu en dehors des heures régulières de travail. Le travail , de ce fait, qui n'occasionne pas de surmenage, q
mois par mois le nombre des apprenties régulières et l'évaluation du travail . Visites, permissions de sorties, congés d'essa
lique une écono-mie de................ 2.884 fr. 20 h'évaluation du travail manuel des enfants (Blanchissage, repassage, ouvr
res des doigts des poignets des coudes, des épaules; soins du ménage, travaux du jar-din. Correction des tics, des manies, del'
tion, apprendre à lire une image, faire assister l'en-fant à tous les travaux nécessaires à la vie (culture, cons-truction, ate
nt des malades dange-reux. En classe ils ne peuvent s'astreindre à un travail assidu, parce que c'est un travail imposé. Ils n'
e ils ne peuvent s'astreindre à un travail assidu, parce que c'est un travail imposé. Ils n'acceptent aucune observation, aucun
pair avec son instabilité mentale. Tandis que Y indiscipliné fera un travail de longue haleine, qui lui plaira, et surtout qui
d'abord, pour exiger davantage à mesure que le ter-rain se modifie. Travail et occupations très variés. Courtes séances du mê
odifie. Travail et occupations très variés. Courtes séances du même travail . Ne jamais avoir l'air de triompher quand ils cèd
t sensibles. Pour vaincre leur première résistance, exiger d'eux un travail qu'on sait leur être agréable, puis passer à un t
iger d'eux un travail qu'on sait leur être agréable, puis passer à un travail qui sera pour eux d'une utilité immédiate. S'il
là qu'il apprennent le mieux à obéir. Les bains, Yhydrothérapie, le travail manuel, sont pour eux d'un grand secours. Le tr
'en guérir beaucoup et d'améliorer le plus grand nombre (1). (1) Ce travail a été rédigé pour le Congrès de l'enseignement qu
à terme ou prématuré (cause), naturel ou avec intervention, durée du travail , chloroforme, mode de présentation ; quantité des
el-ques petites phrases. Il s'éveille de plus en plus et s'occupe aux travaux du ménage. 1899. — La mémoire se développe. B..
Fig. 11. —Maz. àlôans (1890). 1897. — Le caractère s'améliore; le travail à la classe est bon; l'enfant est envoyé 1/2 heur
nant, il ne s'est occupé plus sérieusement et avec plus de goût aux travaux du ménage. La conduite est bonne, et il se plaît
nde thyroïde, sa taille est devenue normale. Il est habile à tous les travaux du ménage et à la gymnastique. Maz... travaille d
1904. -— L'amélioration persiste au point de vue de l'éco-lage, du travail à l'atelier, du dessin et du solfège. 1905. — L
essin et du solfège. 1905. — L'enfant, en raison du caractère et du travail , peut être classé aujourd'hui parmi les enfants n
pte de tout ce qui se passe autour de lui, et travaille avec goût aux travaux du ménage. Il suit les exercices de la grande gym
ucune amélioration. L'enfant reste brutal. Sa tenue est mauvaise, son travail à la classe est aussi mauvais, l'enfant n'y fait
1905. — L'enfant change sensiblement. Sa tenue est meil-leure. Son travail à la classe plus soigné. Est moins enclin aux mau
tion. Il va à l'atelier de brosserie; son patron est satisfait de son travail . Caractère toujours indisci-pliné et impoli avec
our l'orthographe et semble moins réfractaire au calcul. 1900. — Le travail de cet enfant est régulier et il est très ponctue
rès scolaires sont peu sensibles, mais il apporte beaucoup de goût au travail manuel et s'y prend très adroitement. Dans l'état
cice, tous ses mouvements étaient lents. Elle n'était capable d'aucun travail manuel. Aucune aptitude pour l'étude; ne connaiss
p plus vifs. Amélioration notable au point de vue du caractère, des travaux manuels et de l'in-continence d'urine. XLI. Gor
nt bien que mal à ses ablutions; les soins du ménage, de même que les travaux manuels, tout était inconnu pour elle. Elle urina
donner aux plus jeunes; on lui a donné quelques emplois concernant le travail corporel sur-tout; de sorte que notre malade a mo
couture n'est pas son occupation préférée; il faut à cette enfant des travaux qui exigent du mouvement. Elle fait bien la gymna
vancé, on n'espérait aucun résultat. Peu à peu, l'enfant prit goût au travail , à la classe. Elle lit aujourd'hui très courammen
râce, quelquefois de fort mauvaise humeur; car indépendam-ment de son travail , l'enfant a conservé ses bizarreries, nous dirion
inence d'urine. — Amélioration notable au point de vue classique, des travaux manuels et du gâtisme. LVI. Blancha... (Marcell
chaussure, se tient proprement. Marcelle n'est pas paresseuse, aucun travail ne la décourage, elle aime les soins du ménage: b
est mise, elle tra-vaille bien, pourvu qu'elle soit dirigée dans son travail . Elle a beaucoup de facilité pour les ouvrages ma
rmaine peut être rendue un jour à sa famille et vivre du fruit de son travail . LVIII. Peuli... (Elise), née le 1" janvier iSg
et à se donner les soins de toilette deux ans après l'admission. Les travaux du ménage attiraient particulièrement son attenti
opies, elle con-naît ses lettres et commence à les assembler. Pour ce travail , elle manque de bonne volonté. Par contre, les le
la géographie, elle travaille bien au dessin. Ce n'est qu'à force de travail que l'enfant a pu réaliser ces progrès, car elle
du ménage et pour les ouvrages manuels elle se plaît à ces différents travaux et on voit que l'enfant est fout à fait dans son
ès convenables et veillent sur elle. Us sont très satisfaits de son travail ; elle est vive, tra-vailleuse et propre; elle a d
ne nous a jamais fait aucun reproche ni sur sa con-duite, ni sur son travail . Cette malade qui était gravement atteinte à so
son entrée est rendue à la société et vit aujourd'hui du fruit de son travail . LXV. Imbécillité, /perversions instinctives, f
evenir une bonne coutu-rière. Elle est également habile pour certains travaux manuels qu'elle confectionne avec goût. Elle repa
e, mais ces moments-là sont de courte durée. Elle se tient bien à son travail , est avancée dans son apprentissage et se conduit
repasse de même. Dès qu'elle e.-.t mieux, elle s'occupe à différents travaux , prend soin des plus jeunes comme une grande pers
els progrès en gym-nastique. 1905. — Les progrès au point de vue du travail manuel o-M augmenté graduellement. Mer... a de ré
nour la classe, tandis qu'ils sont très notables au point de vue dès travaux manuels. LXXIV. Bida... (Jeanne), âgée de 16 an
ait et se déshabillait avec lenteur. Elle n'avait aucun goût pour les travaux de couturé, ni aucune notion de. la gymnastique,
mouvements, y est devenue très agile. Elle se livre avec plaisir aux travaux de couture, s'y prend bien et n'est pas maladroit
méchant, ni taquin, mais il est obser-vateur, elle remarque tout. Le travail manuel est lent, mais constant; elle se rend de b
donne des chansonnettes. Elle s'applique bien à l'ouvroir, aime les travaux à l'ai-guille, on la voit confectionner des effet
ctuel. — Elle aime faire le ménage, se rend utile dans les différents travaux de la maison; elle est très propre et très minuti
n'aime pas les jeux bruyants. Elle se rend utile dans les différents travaux du ménage. Elle a fait des progrès notables en co
e et sans perdre un moment, pourvu qu'elle soit bien dirigée dans son travail . Elle est très attachée au personnel et aime bien
udes qu'elle ne lui soupçonnait pas. Elle a beaucoup de goût pour son travail et pourra devenir une bonne ouvrière. Cette enfan
ment sa vie d'ici peu. XCIII. Imbécillité prononcée et épilepsie. — Travail ... (Georgette), née le 3 août 1896, 5 ans, en 190
de vue physique et au point de vue intellectuel. 1905 (juillet). — Travail ... continue à se développer sous tous les rapport
e occupation rentre tout à fait dans son élé-ment: l'enfant aime tout travail qui exige un certain dévelop-pement de force. Ell
er, transformer son état nerveux. L'hydrothérapie, la gymnastique, le travail ma-nuel continuent sans arrêt. Fig. 52. — Prov.
e rend de bonne grâce dans tous les ateliers et prête attention à son travail . Si elle continue ainsi elle pourra plus tard êtr
le pourra plus tard être rendue à la société et vivre du fruit de son travail . XCVIII. Provo... (Edm,), né en mars 1891, entr
e d'assez bonnes notions sur la musique. Est apprenti tailleur et son travail , à l'atelier comme à la classe, est satisfaisant.
catégorie de malades que pour les autres. d'études; l'aptitude aux travaux manuels : menuiserie, serrurerie, imprimerie, cou
nnerie, vannerie, cannage et paillage des chaises, pour les garçons ; travaux du ménage, blanchissage, repassage du linge, cout
quartier................ Achèvement du dit...................... Travaux complémentaires............... Total des travau
................ Travaux complémentaires............... Total des travaux d'architecture y compris frais d'agence........
.................... Le mobilier A........................... Les travaux en carrières B.............. Part contributive
entilly desservant la Fonda-tion Vallée............................ travaux . 167.629 63 1.270.037 84 » 164.025 56 408.1
7.615 34 9.600 2.187.215 34 65.746 40 11.345 78 77.092 18 travaux en carriè rk s b. totaux. 45.000 » 3.195
Rochet. dates liquidations. 1884 1886 1888 1886 1890 1892 1894 Travaux scientifiques faits dans le service. (Thèses et
). 1880. Bourneville. — Contribution à l'étude de l'idiotie. — Ce travail comprend deux parties, dont la seconde a été fait
II. Enseignement professionnel................... liv Évaluation du travail des enfants......... lv Énumération des produit
ques. (Service du docteur Bourneville)..................... 137 II. Travaux Scientifiques faits dans le service............
4 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
DE LA RÉGION DU CENTRE CORTICAL VISUEL, PAR JOUKOWSKY. Dans les travaux très importants de Henschen (1), Von Monakow (2),
as ont été mis à ma disposition par mon maître, M. Pierre Marie. Ce travail a été fait à son laboratoire et c'est sous sa d
trouva autour des artères de petits foyers d'inflammation. Le même travail , fait mention d'un cas de Roger, dans lequel la p
enaient le chercher directement lorsqu'ils ne le voyaient pas à son travail . A l'autopsie, la calotte crânienne enlevée, le
pileptiques. Maisce ne fut qu'au milieu de ce siècle que, grâce aux travaux de Leuckart, on admit l'identité du toenia solium
e permet pas de constater de troubles paraphasiques : « Ce sont des travaux de huit jours, répète plusieurs fois le malade...
ivit comme complication de la paralysie infantile. Malgré plusieurs travaux , qui ont mis en lumière l'influence de quelques a
Presse médicale (3) : tels sont, d'après nos recherches, les seuls travaux publiés sur la question. . Dans tous les cas
s ont été le point de départ de la présente étude, et de nos autres travaux sur le même auteur. Nous profitons de cette occ
tératures anciennes durent attendre avec impatience le résultat des travaux du praticien de Vreden. N'oublions pas que Coha
mode avaient été connue à ce moment-là, ajoute Cohausen. Après le travail venait l'heure de la récréation, les jeunes fille
en 1488 sous le règne d'Edouard IV, et y passa sa jeunesse dans les travaux les plus (1) Observation méd., 1. 4, observ. 3.
ssant La philosophie de la longévité dans lequel il résume tous les travaux de ces dernières années. Les démogra- phes, les
un nouvel essor à toutes ces idées. M. Metchnikoff dans plusieurs travaux publiés dans les Annales de l'Institut Pasteur
s ce pays à peine sorti du joug sarrasin, étaient capables d'un tel travail , et d'ailleurs les noms des figures de saints,
evenot. - Saint-Dizier (Haute-Marne). 14e Année N° 2. Mars- Avril TRAVAIL DU LABORATOIRE DE L'INSTITUT PATHOLOGIQUE DE GENÈ
ires oupérivasculaires, dont l'impor- tance a été démontrée par les travaux de Wilks, Heubner, Lancereaux, Déjerine et Sott
ularité que dans les formes aiguës ou subaiguës. - En résumé, les travaux récents semblent démontrer que la moelle épi- n
. Le tronc cérébro-spinal ne présente pas d'anomalie. (A suivre.) TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU S
été atteint d'une maladie de foie, qui l'a forcé à interrompre son travail dans ces derniers mois et s'est terminée par la
ans une ferme comme aide berger; de plus il est arrivé il faire des travaux beaucoup plus délicats ; il écrit et dessine bi
e pour la production d'une pareille luxa- tion. Dans un important travail de Ivümlnel sur les malformations des mem- bres
A ces 13 cas nous pourrions en ajouter deux autres publiés depuis le travail de Kümmel et étudiés à l'aide de la radiographi
avec les difformités qui résultent de l'absence du radius. Dans le travail de Kûm- mel on peut voir figurés quelques cas d
agnant l'absence du radius. Kummel, avonsrnous vu, a réuni dans son travail G7 cas d'absence du radius. On y pourrait ajout
La principale cause est la prolongation dans une fausse position du travail musculaire. A l'appui de cette remarque, nous p
une jeune femme de 28 ans, brodeuse à la machine. Pour effectuer ce travail , elle est obligée de tourner tantôt dans un sen
autre, une roue fixée sous la table. Pendant toute la durée de son travail , la main et le bras restent dans une fausse posit
-dire du groupe musculaire physiologique employé pour effectuer son travail à la machine. Elle a été soumise aux courants g
ntrons journellement dans notre pratique. Comme on peut le voir, le travail continu et prolongé d'un groupe mus- culaire pe
oxémies persistantes, amèneront une crampe tellement forte que tout travail est rendu impossible. Dans ce dernier cas, l'af
ituelles. Parmi les facteurs étiologiques, le plus important est le travail prolongé 158 THOMAS D. SAVILL et répété d'un
énéralement la mauvaise méthode est plus importante que la durée du travail . Dans cer- tains cas, on rencontre une prédispo
chirurgicale. ETUDE IIISTOLOGIQUE. Dans la première partie de ce travail , nous n'avons fait que signalerle côté histolog
es la- cunes n'y manquent pas. Le nombre relativement restreint des travaux parus sur cette question, l'insuffisance docume
cytes, les éléments fixes des tissus semblent posséder, d'après les travaux de Virchow et de Ranvier, des aptitudes analogu
névroglie, déjà proliférée pour combler les vides, peut achever le travail en majeure partie exécuté par les leucocytes et
arri- ver, notamment par le traumatisme facial, peut reprendre son travail , sans fatigue ni faiblesse, au bout d'un quart
dans le Traité de médecine,Charcot-Bouchard-Brissaud, t. IV, et le travail de TAUCHON, Thèse de Paris, 1896-97. (2) Bart
un enfant partout où elle allait. Morte subitement au milieu de son travail , à 59 ans environ. II. Frères et soeur du père.
is par an, il tombe subitement sans con- naissance au milieu de son travail , et reste étendu, rigide, le visage blême, le c
état normal au pleu- rer spasmodique. Et comme on sait depuis les travaux de Nothnagel, de Bechterew et de Brissaud (2) q
ôle que l'on sait, a entraîné chez notre malade une augmentation de travail (1) C. S. Sherrisgton and C. S. Roy, On the rég
sultats par des chiffres, c'est simplement pour ne pas encombrer ce travail . L'examen du système moteur nous montre que les
é avait été, comme les autres personnages de la scène, l'objet d'un travail préparatoire très sérieux. Or il n'est pas admi
e et la bibliographie de la question. Le manuscrit de cet important travail a été égaré par le service des postes, et malgr
t à lui exprimer ici publiquement son profond regret pour la perte du travail primitif, et ses remerciements les plus vifs po
;, cartilage, x),doo¡;t1l, former). Depuis, on n'a rien modifié aux travaux de Winkler qui a nettement décrit les diffé- re
s achondroplasique. Nous emprunterons ces notions non seulement aux travaux anciens de Winkler, de Müller, de Kauffman etc.
iographie a confirmé tous ces détails chez notre petite malade. Les travaux de Broca onl élucidé le mécanisme de l'ossificati
s adultes) , PAR R E. APERT, Chef de clinique de la Faculté. ( Travail de la Clinique médicale de 1'llôtel-Dieu.) Jusq
ala- die pendant la gestation.) Accouchement difficile : durée du travail : 49 heures; application de forceps. L'enfant e
BÉGOUIN et J. SABRAZÈS (de Bordeaux) Il a été publié de nombreux travaux sur les malformations des doigts. Nous citerons
es (1), relatives à l'influence des excitations sensorielles sur le travail ont montré qu'en général toutes les excitations
recours. Comme dans ses recherches précédentes, sur la question du travail , c'est l'auteur qui est le sujet des expérience
même heure une expérience qui est (1) Etudes expérimentales sur le travail chez l'homme et sur quelques conditions qui inf
ce des excitations agréables et des excitations désagréables sur le travail (ibid., p. 88). Note sur le travail alternatif de
excitations désagréables sur le travail (ibid., p. 88). Note sur le travail alternatif des deux mains (ibid., p. 130).- L'e
43). - De l'influence de réchauffement artificiel de la tête sur le travail (Journ. de l'anat. et de la phys., 1901, p. 291
s que nous nous sommes servis pour établir la com- paraison avec le travail fourni dans les expériences actuelles. Toutes l
agir les excitants sensoriels deux minutes avant le commencement du travail . Ce n'est pas constamment au moins la meilleure
les expériences actuelles, on a fait commencer l'excitation avec le travail , puis on a augmenté progressivement la durée de l
r totale de soulèvement et en centimètres leur hauteur moyenne ; le travail est indiqué en kilogrammètres. La dernière colonn
ndiqué en kilogrammètres. La dernière colonne indique le rapport du travail total des quatre ergogrammes de la série moyenne
EXCITATIONS DE L'ODORAT 329 Exp. I. - Excitation commençant avec le travail .' « 1re Série : Odeur d'essence de cannelle.
le. 330 FÉRÉ Exp. IV. Excitation commençant huit minutes avant le travail . Odeur d'essence de cannelle. RECHERCHES SUR
citation, 332 FÉRÉ repos insuffisant pour la réparation, donne un travail supérieur à celui de la première : Dans l'expér
s de l'expérience VI. Cette exaltation secondaire de la capacité de travail n'est que passagère : le tra- vail est devenu t
u'une excitation agréable qui a pour effet d'exalter la capacité de travail peut,si elle est prolongée, avoir un effet dépr
série a été précédée et suivie d'une expérience de contrôle, où le travail ergographique n'a été précédé ni accompagné d'a
334 FÉRÉ Exp. VIII. - L'excitation commence en même temps que le travail . po Série : Odeur d'essence d'absinthe. RECHE
DE L'ODORAT 337 Exp. X. - Excitation commençant 4 minutes avant le travail Hauteur Nombre Travail Hauteur Rapport du tot
. - Excitation commençant 4 minutes avant le travail Hauteur Nombre Travail Hauteur Rapport du totale des en moyenne e trav
Hauteur Nombre Travail Hauteur Rapport du totale des en moyenne e travail au tra- soulèvements kilogrammètres vail normal
ion. 340 FÉRÉ Exp. XII. Excitation commençant 12 minutes avant le travail . Hauteur totale Nombre. Travail 1 Hauteur Rappo
tion commençant 12 minutes avant le travail. Hauteur totale Nombre. Travail 1 Hauteur Rapport des soulève- en kilogram- moy
bre. Travail 1 Hauteur Rapport des soulève- en kilogram- moyenne du travail au ments mètres travail normal 1 r. Série : O
port des soulève- en kilogram- moyenne du travail au ments mètres travail normal 1 r. Série : Odeur d'essence d'absinthe.
o. 1. I. Série d'ergogrammes pris au repos sans excitation donnant un travail total de 22 kilogrammètres 14 (première série d
nutes d'excitation de l'odorat par l'essence d'absinthe, donnant un travail total de 15 1. 21 (Exp. XV). - III. Série d'erg
nutes d'excitation de l'odorat par l'essence d'absinthe, donnant un travail de 14 k. 31 (Exp. XVI). 348 - '' FÉRÉ Cc. 3.
nutes d'excitation de l'odorat par l'essence d'absinthe, donnant un travail total de i r h. 16 (Exp. XVII). V. Série d'er
nutes d'excitation de l'odorat par l'essence d'absinthe, donnant un travail de 9 k. 69 (Exp. XVIII). RECHERCHES SUR LA FATI
S DE L'ODORAT 349 Exp. XVII. - Excitation de 8 minutes précédant le travail de 1 heure. Odeur d'essence d'absinthe. 350 F
putées désagréables et les autres agréables et on peut juger par le travail obtenu de leur action déprimante persistante. Dan
nces la durée de l'excitation a été uniformément de 8 minutes et le travail n'a commencé qu'une heure après la fin de l'excit
. - Excitation de 8 minutes (odeur d'asa /oe< : ft) précédant le travail de 1 heure RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EX
351 Exp. XXII. Excitation de 8 minutes (odeur de musc) précédant le travail , de 1 heure. 352 -) FÉRÉ Après 45 minutes
essus infectieux et toxiques à tous les réseaux lymphatiques de (1) Travaux de MOYEN, Toxicitiit des Urins und des .1lilexkl'
quant, pour expli- quer la méningite chronique diffuse, non plus un travail inflammatoire subaigu propagé par contiguïté, i
bien passé le reste de la journée, et la nuit suivante, il va à son travail ; sur le soir il sent quelques dou- 366 DUPRÉ E
CANISME FONCTIONNEL, PAR N. VASCI31DE et Claude VURPAS Chef des travaux Interne à l'Ecole des Hautes-Etudes. des Asiles
à l'Ecole des Hautes-Etudes. des Asiles de la Seine. I Dans deux travaux précédents (1), nous avons analysé et étudié la v
ure anatomique intime de son névraxe. Disons d'abord que dans notre travail nous ne voulons pas entamer de discussion, notre
s par la tumeur vasculaire dont il a été question dans un précédent travail ) ? (1). Dans ces conditions la substance nerveu
ons qu'in- diquer, et effleurer, nous proposant d'y revenir dans un travail ultérieur avec examen de la tumeur vasculaire l
urd'hui de ce point intéressant, nous proposant d'y revenir dans un travail ultérieur. En résumé notre cas peut être consid
as dans lesquels il existe des tumeurs dans la mamelle. Depuis le travail de Gilles de la Tourette qui cite des observation
ents sains, le père étautbeaucoup plus vieux que la mère, occupée aux travaux domestiques, a eu alternativement des manifesta
ales d'électrobiologie, t. IV, p. 37. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. LE pr DÉJERINE. UN CAS D'O
re, comme nous l'avons vu. La radiogra- phie montre qu'il y a eu un travail de néoformation osseuse, constitué de minces la
éfaction, un trouble de l'in- nervation explique peut-être mieux le travail de néoformation et le bou- leversement complet
tte MAMNESCO, loc. cit. (2) L. Lévi, loc. cil. L'INFLUENCE SUR LE TRAVAIL VOLONTAIRE D'UN MUSCLE DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES M
s de nouveau depuis avec t'ergographe de Mosso (3) ; j'ai vu que le travail du médius droit se relève s'il a été précédé pa
ommodation. J'ai montré que les mouvements des yeux agissent sur le travail de la main (4). Le travail intellectuel (5) n'est
les mouvements des yeux agissent sur le travail de la main (4). Le travail intellectuel (5) n'est pas non plus sans influe
e la Soc. de biologie, 1900, p. 742) ; Etudes expérimentales sur le travail chez l'homme et sur quelques conditions qui influ
eur (Journ. de l'anat. et de la physiologie, 1901, p. 1). Note sur le travail alternatif des deux mains (L'année psychologiqu
(5) Sensation et mouvement, p. 6. Note sur l'influence réciproque du travail physique et du travail intellectuel (Journ. de
nt, p. 6. Note sur l'influence réciproque du travail physique et du travail intellectuel (Journ. de l'anat. et de la phys., 1
s expériences antérieures ont montré que la neuvième série donne un travail égal ou un peu inférieur il 50 0/0 du travail de
uvième série donne un travail égal ou un peu inférieur il 50 0/0 du travail de la première. Dans les expériences récentes l
50 0/0 du travail de la première. Dans les expériences récentes le travail de la première série oscille, en général, pour
22 et 23 kilogrammètres. pour le médius gau- che entre 15 et 16. Le travail total des 9 séries varie pour le médius droit d
me de comparaison avec les expé- riences suivantes. Les rapports du travail des séries sont établis relative- ment au trava
. Les rapports du travail des séries sont établis relative- ment au travail de la première série à 100, pour le médius droit
stimulation du cerveau. C'est un fait qui ne surprendra pas, car le travail de la mastication est loin d'être un travail insi
surprendra pas, car le travail de la mastication est loin d'être un travail insignifiant au point de vue mécanique, la pres
aux (1). Exp. III. - Médius droit. - Pendant toutes les reprises du travail , on associe aux mouvements de flexion du médius
MUSCLES 441 Exp. V. - Médius gauche. Pendant toutes les reprises du travail , on associe aux mouvements de flexion du médius
43 444 ri ' féré . TABLEAU II Représentation proportionnelle du travail de 9 séries de 4 ergogrammes dans des condition
ig. 1 b Fig. 2 6 Fig. 3 b ' Fig. 4 b Fig. 5 b Fig. 6 b Fic.. 1 b. - Travail du médius gauche après un repos complet, sans exc
ammètres, 79 = 100. - Décroissance lente ; la dernière série donne un travail de 46,37 0/0 du travail normal. Fic. 2 b. - T
oissance lente ; la dernière série donne un travail de 46,37 0/0 du travail normal. Fic. 2 b. - Travail du médius gauche av
érie donne un travail de 46,37 0/0 du travail normal. Fic. 2 b. - Travail du médius gauche avec association de mouvements d
e plus rapide qu'à l'état normal : la dernière série ne donne qu'un travail de 25,01 0/0 du travail normal. FiG. 3 A. - Tra
t normal : la dernière série ne donne qu'un travail de 25,01 0/0 du travail normal. FiG. 3 A. - Travail du médius gauche av
ère et moins rapide qu'à l'état normal : la dernière série donne un travail de 50,93 0/0 du travail normal. FiG. 4 b. - Tra
l'état normal : la dernière série donne un travail de 50,93 0/0 du travail normal. FiG. 4 b. - Travail du médius gauche, a
série donne un travail de 50,93 0/0 du travail normal. FiG. 4 b. - Travail du médius gauche, avec association de mouvements
ion des doigts de la main droite : 128 k.94.- Accroissance lente du travail : la dernière série donne un travail de 69,66 0
8 k.94.- Accroissance lente du travail : la dernière série donne un travail de 69,66 0/0 du travail normal. FiG. 5 b. - Tra
nte du travail : la dernière série donne un travail de 69,66 0/0 du travail normal. FiG. 5 b. - Travail du médius gauche av
série donne un travail de 69,66 0/0 du travail normal. FiG. 5 b. - Travail du médius gauche avec association de mouvements d
et d'extension de la jambe gauche, 122 k. 82. - Décroissance lente du travail ; la dernière série donne 61 0/0 du travail nor
- Décroissance lente du travail ; la dernière série donne 61 0/0 du travail normal. FIG. 6 b. - Travail du médius gauche av
l ; la dernière série donne 61 0/0 du travail normal. FIG. 6 b. - Travail du médius gauche avec association de mouvements d
jambe droite : 98 k. 22. La dernière série donne encore 36,17 0/0 du travail normal. L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE L'ACTIVI
riences si on compare les diagrammes 1 a (Exp. I) qui représente le travail du médius droit dans les 9 séries norma- les et
oit dans les 9 séries norma- les et 1 b (Exp. II) qui représente le travail du médius gauche aux dia- grammes 2 a (Exp. III
aux dia- grammes 2 a (Exp. III) et 2 b (Exp. V) qui représentent le travail du mé- dius droit et du gauche coïncidant avec
t aux diagrammes 3 a (Exp. IV) et 3 L (Exp. VI) qui représentent le travail correspondant à la mastication du côté opposé.
, c'est-à-dire qu'il y a à un moment quelconque une augmentation de travail ; l'augmen- tation est très marquée pour le méd
uée pour le médius droit. En général à l'augmentation momentanée du travail succède une précipitation de la fatigue. On voit
ui travaille produit une recrudescence d'autant plus marquée que le travail était devenu moindre. Dans les deux expériences
a (Exp. VII) et 4 b (Exp. VIII) montrent une excitation durable du travail . Et on voit que quand la fatigue est venue avec
e main, la mastication du côté correspondant donne un relèvement du travail , relativement plus consi- dérable quand il étai
lus bas. 1 Exp. VII. Médius droit. - Pendant toutes les reprises du travail on associe aux mouvement de flexion du médius d
,c'estla fatigue de la jambe qui se manifeste la première. Quand le travail s'est arrêté, la jambe est dans l'impossibilité d
gue du médius et produisent une augmentation au moins momentanée du travail . 2° En général plus l'exaltation du travail a é
au moins momentanée du travail. 2° En général plus l'exaltation du travail a été faible au débutplus la dépression est rap
143), De l'influence de l'échauffement artificiel de la tête sur le travail (Journ. de l'anat. et de la phys., 1901, p. 291).
travail (Journ. de l'anat. et de la phys., 1901, p. 291). Fie. 1. - Travail du médius droit sous l'influence de l'odeur d'ess
ries terminales sont tou- jours au-dessous de la normale. FiG. 8. Travail du médius droit sous l'influence de la lumière ro
us droit sous l'influence de la lumière rouge : 90 k. 78. Fio. 9. - Travail du médius droit sous l'influence du bruit d'une s
luence du bruit d'une sonnerie électrique : 129 k. 54. Fia. 10. - Travail du médius droit, sous l'influence du goût d'essen
l'influence du goût d'essence de cannelle : in k. 01. Fio. 11. - Travail du médius droit, sous l'influence d'un sinapisme
médius droit, sous l'influence d'un sinapisme : 90 k.15. Fia. 12. - Travail du médius droit sous l'influence de la saveur de
droit sous l'influence de la saveur de l'alcool : 98 k.6 . Fio. 13. Travail du médius droit sous l'influence du haschisch : 1
médius droit sous l'influence du haschisch : 119 k. 37. Fio. 14. - Travail du médius droit sous l'influence de l'opium : 122
du médius droit sous l'influence de l'opium : 122 k. 21. Fla. 15. - Travail du médius droit sous l'influence de la théobromin
uence de la théobromine : l09,7S. 460 FÉRÉ TABLEAU V Fio. 16. - Travail du médius droit sous l'influence de la masticatio
luence de la mastication du café torréfié : 123 k. 19. Fio. l7. - Travail du médius droit sous l'influence de la dégustatio
e de la dégustation de l'infusion de café : 147 k. 93. Fio. 18. - Travail du médius droit sous l'influence de l'ingestion d
ence de l'ingestion de l'infusion de café : 131 k. 46. FiG. 19. - Travail du médius droit sous l'influence de la caféine .(
oit sous l'influence de la caféine .(0, 25) : 128 k. 13. Fio. 20. - Travail du médius droit sous l'influence de la caféine à
nce de la caféine à doses fractionnées 138k. 90. Si on compare le travail fourni par le même procédé d'exploration sous l
sous l'influence de l'excitation par une activité volontaire, et le travail fourni sous l'influence d'excitations sensoriel
que. Si nous considérons, en le représentant par des diagrammes, le travail fourni par le médius droit dans nos expériences
es excitations sensorielles ou toxiques diverses nous voyons que ce travail est constamment inférieur au travail fourni sous
es diverses nous voyons que ce travail est constamment inférieur au travail fourni sous l'influence d'une activité volontai
ntaire associée. Il n'y a qu'une exception, c'est dans le cas où le travail associé est le mouvement du membre infé- rieur
ocié est le mouvement du membre infé- rieur gauche qui constitue un travail additionné assez pénible en lui- même. Le tra
ui constitue un travail additionné assez pénible en lui- même. Le travail total pour les neuf séries d'ergogrammes du médiu
ées (ibid., p. 153). (4) L'influence de l'alcool et du tabac sur le travail (Arch, de neurologie, 1901, 2° série, t. XII, p
érie, t. XII, p. 378). (5) Note sur l'influence du haschisch sur le travail (C. R. Soc. de Biol., 1901,p.697). (6) Note sur
. de Biol., 1901,p.697). (6) Note sur l'influence de l'opium sur le travail (ibid., p. 125). (7) Note sur l'influence de la
(ibid., p. 125). (7) Note sur l'influence de la théobromine sur le travail (ibid., p. 593). (8) Note sur l'influence du ca
le travail (ibid., p. 593). (8) Note sur l'influence du café sur le travail (ibid., p. 621). (9) Cn. Féré, Mahtiie Fiuncill
Anvers), m'ayant auparavant procuré le plaisir de présen- ter leurs travaux à la Société de Neurologie de Paris (Séances des
Copenhague) a eu l'obligeance de nous communi- quer un intéressant travail dans lequel il relaie l'histoire de 4 individus
s un élément aussi étranger qu'on le suppose généralement. Dans son travail inaugural inspiré par Gubler, Collette (1), l'un
(1). « En dehors de la thèse de Collette, dit l'auteur, ni dans les travaux parus récemment, soit sur les atrophies mus- cu
s; celles-ci seraient réparties selon le principe de la division du travail . L'on y reconnaîtrait une spécialisation d'empl
une dernière observation concernant le sujet qui est l'objet de ce travail . Nous remarquerons d'abord que dans les cas d'h
pro- fesseur Debove, parmi les antécédents de la malade. Dans un travail paru ici même (2), M. Henry Meige décrit une affe
t à changer constamment d'atti- tude. Ajoutons que la nature de son travail n'est pour rien dans son infirmité, celle-ci ét
oint de vue de la résistance aux mala- dies. Au moment d'envoyer ce travail à l'impression, le sujet de notre première obser-
DU THOPHOEDÈl\1E CHRONIQUE, PAR R M. HERTOGHE (d'Anvers). Des travaux récents (1) ont attiré l'attention sur le troplue
n résultat heureux, et la patiente ne revint plus. Plus tard, les travaux de Henry Meige, Vigouroux, Lannois, sur le tropho
embre inférieur. , Les troubles de cette nature ont fait l'objet de travaux récents. Je cite- rai en particulier l'étude d'
prise d'un côté, les membres et le tissu du côté opposé : dans leur travail , Sabrazès et Cabannes n'en rapportent aucun cas
utres enfants. L'accouchement à terme s'est bien passé, la durée du travail a été normale. Interrogés plusieurs fois, les p
le de publier son histoire et ses photographies. AUTOPSIE Notre travail était à l'impression, quand le malade a succombé
tent un caractère à demi-barbare; d'autres, au contraire, sont d'un travail achevé, et nous reportent à l'époque la plus fl
ies de Reims (Les), par Henry Meige (3 pl. en photocollogr.), 97. Travail d'un muscle {Influence sur le) de l'activité d'
ar les excitations de l'odorat, 321. Féré CrI. L'influence sur le travail d'un muscle de l'activité d'autres muscles (5
5 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
is et c'est la seule fois que nous ferons usage de ce procédé dans ce travail . Maintenant, nous demanderons à M. Grasset en q
, mais ce qui m'agace le plus, c'est mon incapacité absolue pour tout travail intellectuel. Chaque matin je me mets au travail
té absolue pour tout travail intellectuel. Chaque matin je me mets au travail avec toute la bonne volonté imaginable; il m'est
té, d'avoir son esprit clair et lucide, ainsi qu'une facilité pour le travail intellectuel etde n'éprouver jamaisde fatigue. Le
es par la suggestion hynoptique. Au mois de décembre il reprend son travail très fatiguant jusqu'au mois de juin, puis il par
présente à son directeur en demandant la permission de reprendre son travail . Le directeur et ses amis de l'administration des
logie de la voix. C'est un préambule destiné à servir de préface à un travail plus étendu. Pour étudier la psychologie de la
conditions, il est permis de croire à l'efficacité du sommeil sur le travail de l'esprit. J'en atteste la croyance généralemen
e sommeil, l'esprit continuait de travailler et ils ont attribué à ce travail les découvertes soudaines qui suivent les premier
t le savoir autrement que par le souvenir d'avoir continué en rêve le travail auquel nous étions occupés au moment de nous endo
'un décianchement automatique. Autrement dit, vous avez facilité le travail du souvenir en lui laissant son libre jeu. De mêm
ement des sciences se tiendra à Lyon, du 2 août au 8 août 1906. Les travaux de la section (pédagogie et enseignement) auront
nt. — Les membres de l'enseignement sont invités à collaborer aux travaux de la section. Il n'est pas nécessaire d'être mem
Ricard, professeur agrégé à la Faculté de Paris ; M.Vaschide, chef de travaux du laboratoire de psychologie des hautesétudes ;
compétence en matière de psychothérapie tient à honneur d'y voir ses travaux cités, analysés ou publiés. Vous connaissez tous
l'occasion de votre nomination dans la Légion d'honneur. Vos nombreux travaux si intéressants et si variés ont été couronnés pa
réalisé une des idées les plus chères du professeur Henri Bouley. Les travaux de cette laborieuse Société de pathologie comparé
créant la Société de pathologie comparée. L'idée de grouper, pour le travail en commun, les médecins et les vétérinaires est d
ociété d'hypnologie ; il en fait l'éloge et résume ses principaux travaux . La société charge M. le Secrétaire général d'adr
ométrie. Je ne me suis jamais expliqué pourquoi, car j'y apportais un travail obstiné, et les autres branches des mathématiques
e théorèmes à démontrer me retenaient de longues heures à ma table de travail . Combien de fois n'ai-je pas rallumé ma lampe, qu
n peut dire, avec le profeseur Lionel Dauriac, que « j'ai facilité le travail du souvenir en lui laissant son libre jeu. De « m
t commencé à les examiner, peut-être même à les traiter, lorsque leur travail fut interrompu par une véritable émeute. La plupa
: respiration, digestion, élimination, etc. L'excédent est dépensé en travail mécanique. Une journée de 8 heures d'un trava
nt est dépensé en travail mécanique. Une journée de 8 heures d'un travail moyen et continu équivaut à un travail de 127,000
Une journée de 8 heures d'un travail moyen et continu équivaut à un travail de 127,000 kilogramme très, soit 300 calories ou
iences. — Discours de MM. les professeurs Lippmann et Teissier. — Les travaux de la section de pédagogie, sous la présidence du
s plus que les excursions scientifiques et industrielles n'ont nui au travail des vingt sections dans lesquelles n'a cessé de r
de leurs méthodes, par la rigueur avec laquelle nous poursuivons nos travaux , que nous ne sommes pas de ceux qui taxent d'acce
uragement et un emblème ». Nous voudrions pouvoir signaler tous les travaux du Congrès de l'Association française qui mériten
el du président. Nous pouvons citer, parmi ceux qui ont pris part aux travaux de la section : M. Ogliastroni, directeur de la c
rbourg; M. Chaurand, professeur au lycée Ampère ; M. Bretin, chef des travaux à la Faculté de médecine; M. le professeur Lacass
directrice d'école; Mme Robin, directrice d'école; M. Prost, chef de travaux à la Faculté des sciences; M. Chalier, inspecteur
t, examinateur à l'Ecole polytechnique ; M. le D' E. Martin, chef des travaux à la Faculté de médecine, Mme Bérillon; M. Mironn
ue. M. J. Depoin : La sténographie envisagée comme un auxiliaire du travail intellectuel et un facteur de l'avancement des sc
ntition des enfants anormaux, etc., etc. Pour la première fois, les travaux de la section de pédagogie ont revêtu un caractèr
hropologie criminelle, créé par le professeur Lacassagne. Le chef des travaux de médecine légale, M. Etienne Martin, a fait, av
otisme lui-même. Ce n'est pas le lieu d'insister longuement sur les travaux et les litres divers de notre ami. En lui offrant
vent nos compatriotes à estimer les hommes non par la valeur de leurs travaux , mais pour les honneurs qui leur ont été attribué
mond, fut organisé par lui, comme l'avait été le premier Congrès. Les travaux de ce Congrès ont été très importants et ils ont
« escapés » de Courrières, par M. le Dr Jacques BertillON, chef des travaux statistiques de la ville de Paris. I Je ferai
temps de développer chez ce jeune garçon l'horreur du vol, le goût du travail et le désir de s'instruire. Ses patrons actuels e
rmira pas de sitôt, parce qu'il a entrepris l'éducation du caractère, travail colossal dans les temps où nous vivons, et travai
tion du caractère, travail colossal dans les temps où nous vivons, et travail d autant plus difficile qu'il y a tant de gens sa
rtout à M. Bienvenu-Martin qui a su récompenser en vous le mérite, le travail et le dévouement. Je bois à la santé de l'ami q
a croix, j'ai tenu non seulement à honorer ses nombreux et très beaux travaux , mais à montrer que l'enseignement libre, les rec
aient passées au crible de la critique la plus serrée. Je divisai mon travail en deux parties : Dans la première, je rangeai le
sincérité, et si vous le voulez bien, vous allez vous associer à mes travaux , car je suis convaincu que nous ferons de bonne b
un homme de grand caractère mettait à mon service les instruments de travail les plus rares et les plus précieux. De ma collab
qui a eu son heure de célébrité sous le nom d'école de la Pitié. Les travaux de cette école furent publiés, de 1882 à 1887 dan
un autre journal scientifique. Les principes qu'il formulait dans ce travail , sous le titre de l'hypnotisme en thèrapeutique,
ffluaient. Chose extraordinaire, les rapporteurs avaient terminé leur travail bien avant la date qui leur avait été indiquée. T
agements comment ne pas se sentir animé du désir de triompher, par le travail , et par l'effort soutenu, de toutes les difficult
plupart des phénomènes, sont décrites dans la première partie de mon travail de 1843 ; j'y renvoie le lecteur. » (Ch. A., p. 2
le tabac est un stimulant du cerveau et la plus grande partie de leur travail est faite, la pipe ou la cigarette à la bouche. A
rgique, actif, à la figure mobile, il ne vit que pour la science. Ses travaux font le plus grand honneur à sa patrie. • » *
demoiselle Hcusler, qui, il y a deux ans, avait été condamnée aux travaux forcés sous l'accusation d'avoir empoisonné sa do
ontrer que le repos nocturne devait être proportionné à l'activité du travail . C'est, en effet, durant le sommeil que le corps
ie de projections d'écritures provenant déjeunes gens surmenés par le travail et la privation de sommeil. On pouvait y lire, en
ypnotisme, tentées par M. Azam d'après les principes établis dans mon travail de 1843. » (Ch. A. p. 227.) Quels sont ces prin
n d'un auteur, est de lire son résumé. » Appliquons ce précepte à son travail de 1843. La Neurypnologie est divisée en deux p
ortants d'entre eux, afin que dans cet appendice la traduction de mon travail de 1843, que va publier M. Masson, présente nn ré
Braid : « Après une série d'expériences délicates, j'ai pu, dans mon travail intitulé The power of the mind over tke body, pub
, aussi, que quelques médecins ne donnent pas autant d'importance aux travaux de ceux qui ne sont pas de la profession. Mais il
tion de diminuer, en quoi que ce soit, le vrai et le grand mérife des travaux de Braid. Notre objet est de demander, seulement
e pouvaient assurer qu'un recrutement médiocre, nous terminions notre travail par les conclusions suivantes : « Notre proposi
n laryngologie, de M. Bérillon en psychiatrie, etc. « Ces champs de travail de nos grands spécialistes sont plus visités par
dre utiles, faire le ménage, ranger les objets, se livrer à de petits travaux manuels. Le développement intellectuel peut être
chaque section ne comprendra pas plus d'une dizaine d'enfants; et des travaux manuels devront toujours alterner avec les leçons
emande encore un certain temps, je détourne mon attention sur quelque travail mental intéressant. Je concentre mon esprit, par
n tout cas retenir que les animaux paraissent se transmettre ce (1) Travail du laboratoire de psychologie comparée. (Institut
Chaumel, vétérinaire, et le Dr Fernand Rudler ont publié un petit travail dont nous extrayons les passages suivants : « L
e, tout au moins en vétérinaire, au point de vue des tics et ce petit travail n'a pas pour but de classer les tics, de donner d
ans l'une et l'autre médecine. PSYCHOLOGIE ANIMALE La division du travail chez les abeilles M. Gaston Eonnier vient d'exp
s les nouvelles expériences qu'il a faites cet été sur la division du travail chez les abeilles. Pour faire ces expériences,
se rendre compte du nombre de butineuses nécessaires pour tel ou tel travail déterminé. M. Bonnier fait encore remarquer que
remarquer que lorsque les abeilles sont comme « commandées » pour un travail défini, elles ne se détournent pas pour en exécut
Pamart. III. Laboratoire de psychologie expérimentale. Chefs des travaux : D' Bérillon, D'Biancbi. IV. Laboratoire de psy
llon, D'Biancbi. IV. Laboratoire de psychologie comparée. Chefs des travaux : MM. Lépisay et Grollet, médecins-vétérinaires.
et Grollet, médecins-vétérinaires. V. Education physique. Chefs des travaux : M. Gosset. VI. Musée de psychologie. Conféren
lté de Montpellier, le collaborateur de Renou-vier, auteur de tant de travaux de psychologie musicale, traitera l'Etude des sen
les théomanes de nos asiles seraient en d i oit de faire censurer les travaux des alie'nistes par les facultés de théologie pro
xtrêmement rares. Aussi faut-il avoir soin, lorsqu'on se livre à un travail de psychologie historique, de dégager les faits d
été heureux d'attester par ma présence l'intérêt qui s'attache à vos travaux , et de montrer que le gouvernement de la Républiq
ion d'honneur. Il avait bien gagné cette récompense nationale par ses travaux remarquables poursuivis pendant plus de vingt ans
ergie. Mais souvent la recherche de cet état est l'unique objectif du travail corporel que l'homme s'impose volontairement. C'e
ouvements. Il s'est donc produit, dans les organes qui exécutent le travail , des changements matériels capables d'augmenter l
gmentation de volume et de densité du muscle, par le fait même de son travail , explique l'augmentation de sa force chez l'homme
dû à l'insuffisance de la respiration, par suite de l'augmentation de travail que doivent subir, pendant tes exercices de vites
es muscles : le cœur et le poumon. Quand les muscles font beaucoup de travail en peu de temps, ils produisent plus d'acide carb
là un supplément d'effort qui l'épuisé rapidement. Aussi, dès que le travail des muscles arrive à un degré de vitesse ou d'éne
e fortifie, comme tous les muscles, par le fait même du supplément de travail que l'entraînement lui demande et devient plu
de l'usure exagérée des tissus vivants sous l'influence de l'excès de travail . Chez l'homme entraîné, les tissus vivants résist
travail. Chez l'homme entraîné, les tissus vivants résistent mieux au travail et font moins de déchets, et. d'autre part, les o
de l'augmentation de sa force, pour cette raison que sa puissance de travail continue à croître, au moment où le développement
ice musculaire, et deviennent ainsi, en quelque sorte, des organes du travail . Ces facultés se développent et se perfectionnent
le, le jugement. On comprend aisément le rôle de la volonté dans le travail musculaire. Klle commande le mouvement, le déterm
celui du muscle. Pour bien comprendre le rôle de la volonté dans le travail musculaire, il faut se rappeler qu'on peut expéri
es muscles assez énergiquement pour développer encore sa puissance de travail , au moment où son volume ne peut plus augmenter.
olonté. Le rôle du jugement, dans l'augmentation de la puissance de travail des muscles, est beaucoup moins direct que celui
faire rendre à nos muscles, en les exerçant, une plus grande somme de travail sans leur demander plus d'efforts, et, simplement
Lorsqu'il s'agit de se rendre intéressants, ou simplement d'éviter un travail qui leur déplaît, beaucoup d'enfants et même d'ad
s si méritées que leur ont valu leur enseignement et leurs importants travaux scientifiques. La morale professionnelle du méd
itulaires), de professeurs extraordinaires, assistés par des chefs de travaux et des préparateurs, tous rétribués par l'univers
vient. Pour cela, le candidatdoit prouver, par un certain nombre de travaux originaux, qu'il est apte aux recherches scientif
entifiques. Il doit aussi montrer, par l'analyse et la discussion des travaux faits avant lui, qu'il possède une réelle capacit
e d'élèves et de travailleurs qu'il sait réunir autour de lui, et des travaux qu'il publie ou suscite. Le privat-docent ne reço
enseignement médical ; nous croyons utile de reproduire in extenso le travail que nous avons présenté au Congrès de Lyon en 189
a pas même été externe des hôpitaux. Si l'on établissait le bilan des travaux vraiment originaux sortis de l'Institut Pasthur,
is- sances inutiles ou démodées. Il ne peut se consacrer qu'à des travaux d'érudition. Toute manifestation d'originalité sc
sion de rendre une éclatante justice à ce grand neurologiste dont les travaux l'avaient souvent inspiré. Charcot savait lui-mêm
nnu, il y arrive prévenu, avec une physionomie fermée. La société, le travail , la règle lui apparaissent sous un aspect redouta
te musculaire, aussi rapide que soit la succession des mouvements, un travail de l'Esprit, à défaut duquel le mouvement serait
e pure, tels que le soulèvement des poids très lourds. Et pourtant le travail de coordination intervient toujours, même dans le
ourtant le travail de coordination intervient toujours, même dans les travaux professionnels les plus grossiers, dans ceux qui
l yaune manière de s'y prendre, un « tourde main o, — c'est-à-dire un travail de coordination particulier. Et ceux qui s'y essa
e-ci est un avertissement qui marque la limite au-delà de laquelle le travail devient nuisible à l'organe. Mais si la puissance
uit, il a la faculté d'y résister plus longtemps sans interrompre son travail . Il semble que l'homme entraîné sache obtenir de
« rendement » des muscles, c'est-à-dire leur permet de faire plus de travail avec une moindre dépense de force. On comprend qu
qu'il en résulte une aptitude à moins se fatiguer en faisant un même travail . L'homme entraîné se fatiguera moins en marchant,
gie. On le retrouve dans toutes les phases de l'accou- tumance au travail ; et il nous montre le rôle prépondérant de l'édu
quand il a déjà perdu la faculté de réparer les pertes causées par le travail . Il n'est plus mis en garde par la sensation de f
âtres regorgeant d'auditeurs. La grande autorité, qui s'attache à ses travaux et à ses enseignements cliniques, en fait le port
visuel que lorsque l'oculistique était une science déjà faite, et les travaux marqués de l'estampile officielle n'ont rien ajou
ent rien à renseignement officiel. Elle s'est entièrement dégagée des travaux des Pinel, des Esquirol, des Baillarger, des Falr
grain,les Sérieux, et beaucoup d'autres médecins aliénisles, dont les travaux font autorité. Alors qu'elle n'avait que l'embarr
référa confier la chaire de psychiatrie à un agrégé que rien dans ses travaux antérieurs, ne désignait à ce choix. Ce psychia
ment officiel. Quand il est apparu, il n'a pu que s'inspirer de leurs travaux , sans toutefois arriver à les faire oublier. La
'il s'était allié aune famille protestante. On lui doit cependant des travaux d'une importance considérable, ainsi que la créat
plus aux appréciations conjecturales des jurés de concours qu'à leurs travaux personnels. (à suivre) Lois de suggestion app
tudes, leur demandant quelques recherches à la bibliothèque, quelques travaux particuliers. Elles étaient heureuses de nous ren
x particuliers. Elles étaient heureuses de nous rendre service, et le travail en commun nous rapprochait. Comme nous causions l
a cause de cette décadence. On me rendra cette justice que, dans un travail paru en 1897 dans la Revue de l'Hypnotisme, et ti
ans laquelle se trouve notre enseignement médical universitaire. Ce travail a été réimprimé naguère par Y Avenir médical de L
rs débuts, nul ne peut nier aujourd'hui l'importance et la valeur des travaux inspirés dans tous les pays du monde, par l'étude
rs, aient dédiés leurs ouvrages comme à un maître vénéré. Grâce à ses travaux , grâce aussi à la reconnaissance de ses nombreux
ens sont des plus utiles. Il faut de plus soumettre l'hystérique à un travail cérébral régulier et ce travail devra, bien enten
t de plus soumettre l'hystérique à un travail cérébral régulier et ce travail devra, bien entendu, nécessiter un effort d'atten
honévroses, il nous sera agréable de rappeler la part qui revient aux travaux de notre société dans l'évolution de la psychothé
uis un pauvre malheureux ; mon père a perdu sa situation, il est sans travail depuis sept ans, j'ai besoin de travailler pour g
Lejonne et Lher-mite sont revenus dans un récent et très intéressant travail . « Pendant longtemps, écrivent ces auteurs, un or
vation des individus ayant à peu près le même âge. Cela aurait été un travail plus facile mais moins complet. Depuis que la p
, ses extravagances, son instabilité d'humeur, son incapacité pour le travail des idées lui échappent. Il croit avoir eu toujou
aresse et la mollesse chez l'enfant. — L'adaptation de l'organisme au travail . 2° Les enfants indisciplinés. — Procédés médic
nseignement. Candidats, il leur est très difficile d'entreprendre des travaux personnels pendant la préparation des concours. D
concours. Devenus agrégés, ils n'ont plus le temps démener à bien un travail de quelque importance. Cela est si vrai, que tous
nente, basée sur le succès de l'enseignement et sur la production des travaux scientifiques ». Dans la Médecine moderne, M. l
ment la vie et les œuvres des autres que je n'ai pu approcher. Leur « travail » est à peu près le même, démontrant la réalité t
t de preuve tangible et notre vénération de la science, réclament des travaux positifs pour démontrer leur immortalité. Ceux de
du concours qu'on les voit survenir inopinément sous l'influence d'un travail excessif. Il s'agit là d'une véritable neurasthén
age. Absolument découragés par la constatation de leur impuissance au travail , ils manifestent un véritable désespoir et une an
orifique, (Hallopeau) p. 32, (Magma et Lemesle) p. 233. Division du travail chez les abeilles, par Bonnier, p. 218. Ecole d
6 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
sang, do cœur et des vaisseaux. La réunion en un même vo-lume de ces travaux , disséminés dans un grand nombre de recueils, ser
lement, nous l'espérons, par le public médical. Sans doute, parmi ces travaux , dont cer-tains datent de plus de 30 ans, il en e
ès rapide-ment accomplis de nos jours, après tant de recherches et de travaux souvent restés stériles, dans le champ de la path
pathologiste doit concentrer une bonne partie de ses efforts dans les travaux du laboratoire et de l'amphithéâtre d'autop-sie,
les je viens d'insister (Fig. i). Elle est empruntée à un intéressant travail de M. Heale sur la structure du poumon *. Elle mo
egretterez pas le temps que nous jugeonsn écessaire de consacrer à ce travail .Se- Ion notre habitude, d'ailleurs,pour souteni
conformes aux résultats consignés par M. Eilhard Schultze dans un des travaux les plus justement estimés qui aient paru sur la
alvéolaires de M. Schultze, aux lobulettes de M. Waters, auteur d'un travail très estimable sur la structure du poumon, publié
ur la première fois, sérieusement abordée et qui, malgré les nombreux travaux dont elle a été l'objet, n'est pas encore résolue
Leur existence, longtemps contestée, a été mise hors de doute parles travaux de Colberg, de Schultze et deReindfleisch. Elles
ai fait placer sous vos yeux quelques-unes des figures an-nexées à un travail célèbre dans l'espèce, celui d'Elenz, un des él
ent des feuillets interne et externe. Or, suivant M. His, auteur de travaux embryogéniques bien connus et quelques observateu
dier anatomiquement toutes les phases du processus morbide. Parmi les travaux récents publiés sur ce sujet, je citerai ceux de
homme, tout un groupe d'affec-tions pulmonaires désignées, depuis les travaux de M. Zenker, sous le nom de Pneumonokonioses (t|
linéaments du plan de la structure du foie de l'adulte, telle que les travaux de Hering surtout nous l'ont fait bien con-naître
tée des lésions qu'on observe en pareille circonstance, d'après les travaux de MM. Friedlan-der et Otto-Frey, montre que les
ient aux recherches de Friedlander4 et de Frey s. C'est d'après leurs travaux et d'après des recherches de contrôle faites dans
enl que l'état fœtal a été l'objet d'une description en règle dans le travail de Legendre et Bailly. On doit Je distinguer de Y
réalité des choses. DE LA PNEUMONIE CHRONIQUE Le petit nombre cie travaux qui ont été écrits sur la pneu-monie chronique se
t Laennec avait pu même contester l'existence. Aujourd'hui, après les travaux de MM. Andral, Chomel, Grisolle, Requin, Raymond
us grande obligeance, a bien voulu nous autoriser à l'insérer dans ce travail ; les deux autres ont été recueillies par nous il
niquer et qui m'ont été d'une grande uti-lité pour la rédaction de ce travail . gangreneux, des corps étrangers introduits dan
peuvent, par exemple, dans certains cas être le point de départ d'un travail de phlegmasie chronique. Mais ici en-core les fai
es ré-sultats de ses recherches. On doit au docteur Ileschl1 quelques travaux sur le même sujet, intéressants surtout pour ce q
res atteignant jusqu'à 1 Voir l'analyse que nous avons donnée de ce travail dans la Gazette heb-domadaire, 1857, p. 519. (Voi
ulmonaire induré par le fait de l'inflammation chroni-que. D'après un travail du docteur Traube (de Berlin), dont nous ne conna
guer de toutes les au-tres espèces de phtisie celle qui résulte de ce travail pathologiqne.—Le D1 Stokes 1 dit avoir rencontré
un poumon atteint d'une induration chro-nique. — Dans son intéressant travail sur la pneumonie et ses suites, le docteur Thomas
e oppression lorsqu'elle faisait quelque mouvement et se livrait à un travail fatigant. L'écoulement des règles qui étaient ven
crachats. Elle fit peu attention à cet accident et put continuer son travail , quoique imparfaitement, durant huit à dix jours.
vraison de Y Atlas d? ana-tomie pathologique (pl. V). Dans ce cas, un travail d'inflammation aigué s'était emparé du tissu pulm
laquelle la fonte ichoreuse s'empare du poumon induré, par suite d'un travail d'inflammation lente 3. 1 Voyez sur ce sujet, P
parenchyme pulmonaire sans qu'il y ait eu cependant coexistence d'un travail inflammatoire. Quoi qu'il en soit, lorsque la pne
mble être, dans certains cas, un indice de l'extension progressive du travail phlegmasique ' Wunderlich, loc. cit., p. 365. 2
e Pneumonie chronique réputée vénérienne ; l'autre est empruntée à un travail de William Munk (Lond. med. Gaz., 1841). celle
une stase du sang- dans le tissu intervésiculaire, suivie ou non d'un travail phlegmasique lent et sourd, est la cause de l'aff
tation de ces conduits; il suppose que ces tractus sont le siège d'un travail d'inflammation lente qui y occasionne un dépôt de
caractères non équivoques de l'induration grise. L'observation VIe du travail de M. Earth offre un exemple de ce genre : il nou
un exemple de ce genre : il nous paraît probable que dans ces cas, le travail phlegmasique s'est propagé des bronches au parenc
les lésions du parenchyme pulmonaire paraissent être le résultat d'un travail d'exsudation et elles ne diffèrent en rien d'esse
, t. VU, 40 livraison. * Voir l'analyse que nous avons donnée de ce travail dans la Gazette heb-domadaire, 1886, p. 400. cu
ques, la rapproche de Vinduration grise de la pneumonie chronique. Le travail d'inflammation chronique est peut-être, en pareil
mps au sein du parenchyme pulmonaire, sans qu'il y ait persistance du travail inflammatoire. 2° Des pneumonies lobaires prolo
ent les principaux traits de la carnisation avancée, dans son célèbre travail intitulé: Cirrhosis of the Lung. (Dublin journal
). Il faut signaler aussi un mémoire de M. Sutton 2 et de nom-breux travaux présentés dans ces dernières années àla Société p
és dans ces dernières années àla Société pathologique de Londres. Ces travaux sont en quelque sorte résumés dans deux articles
a bronche et les alvéoles péribronchiques avec leur contenu !. 1 Ce travail a paru dans la Revue mensuelle de médecine et de
uée par du charbon, elle pénètre dans le poumon avec l'air inspiré. — Travail de Pearson (1813). — Mode de dis-tribution de la
organes et en particulier dans le parenchyme pulmonaire. Le premier travail méthodique qui ait été consacré à l'étude de la m
s qu'il a lui-même instituées que s'est appuyé M. Villaret *, dans le travail où il a cherché à établir la provenance intestina
— Thèse de Paris, 1862. Ainsi donc, on peut trouver, même dans les travaux des adversaires de la doctrine de Pearson, des fa
ky : Virchow's Archiv, Bd, 35, p. 326. 2 M. Buppert, dans un récent travail , est arrivé à des conclusions ana-logues. (Expcvh
osphère chargée de particules charbonneuses. Bien qu'il eût cessé son travail depuis trois mois, il rendit encore des crachats
Nuremberg à la préparation du papier qui sert à couvrir l'or fin. Son travail consistait à appliquer sur une feuille de papier
très fine, jusqu'à imprégnation complète de la feuille. Du reste, ce travail s'effectuait dans un local étroit, ventilé d'une
et on peut choisir pour exemple l'observation suivante, empruntée au travail de M. Greenhow2. Il s'agit d'un homme de 65 ans,
ordshire). Depuis deux ans, cet homme avait été obligé de cesser tout travail . Il toussait et était oppressé. Le seul fait clin
eux; le 1 Peacock. — British and foreigris Review, 186'1, p. 215. travail s'effectuait au voisinage des cours d'eau ; il ét
es individus de même âge placés en dehors de la profession. Dans un travail plus récent portant sur 19 autopsies, dont 4 suiv
nfin, des amas tubercu-leux deviennent parfois, ci un moment donné du travail mor-bide, de véritables foyers d'infection d'où é
ions analomiques étant bien établies, on peut poursuivre le résumé du travail de Rind-fleisch. D'après l'habile histologiste,
rmation des cavernes. Caséifîcation. —Pour donner une idée juste du travail de caséilication, il faut prendre pour exemples,
erne. Il faut maintenant pénétrer plus avant dans les détails de ce travail d'excavation. On doit tenir compte tout d'abord d
urs an-glais William et Powel. S'il ne se fait point ailleurs d'autre travail de ramollissement tuberculeux, l'état général s'a
possi-ble que ce centre caséeux puisse se résorber et disparaître. Ce travail d'enkystement est marqué par un certain degré d'i
se, et cette propriété d'infection a été bien mise en lumière par les travaux de Yirchow, Rindfleisch, Lépine, Pon-fick, Charco
st parsemée de granulations grises qui n'ont d'ailleurs suscité aucun travail réactionnel de voisinage; on ne constate à leur n
ercules, et par conséquent point de place pour le dévelop-pement d'un travail phlegmasique de quelque valeur. Il faut ajouter
pneumonie et que Cruveilhier se trompait quand il pré-tendait que le travail tuberculeux est incapable de produire à lui seul
legmasie suppurative de l'organe. Ainsi donc, dès l'instant que les travaux les plus récents ont démontré que les pneumonies
re de cette cellule géante est un point encore à l'étude. De nombreux travaux faits dans ces derniers temps, en Allemagne, ceux
par Langhans suffit pour rejeter l'idée d'une simple coagula-tion. Un travail récent de M. Brodowski (Virch. Arch., t. LXIII, p
du sang. C'estlà, sans doute, une des circonstances qui favorisent le travail de modification que subit à peu près né-cessairem
présen-tent à peine quelques indices d'irritation épithéliale, ou de travail exsudatif inflammatoire. « La pneumonie catarrhal
comment elle a été en quelque sorte sup-plantée, sous l'influence des travaux de Reinhardt et surtout de Virchow. Pour ces aute
e ainsi produite, grise, demi-transparente, dans la première phase du travail de désintégration des produits morbides, répond a
longtemps à l'allération est habituellement rétrécie par le fait d'un travail d'endartérite ; — c) enfin l'aire caséeuse ou vit
oup étudiée, grâce à l'impul-sion donnée, dans ces deux pays, par les travaux de Bennet (d'Edimbourg) et de Virchow (de Wurtzbo
dans un tableau que nous croyons utile de repro-duire à la fin de ce travail , n'en compte que vingt-six. A ces vingt-six obser
dans le service de M. Rayer, par M. Leudet, et qui fait le sujet d'un travail historique et critique fort intéressant, lu à la
tération du sang par des granules et des corpuscules de pigment Des travaux récents ont appelé l'attention des médecins sur u
istiques. i Extrait de la Gazette hebdomadaire, 1857, p. G:9. Les travaux concernant la mélanémie sont peu nombreux ; ils o
sentéri-ques, à la suite des fièvres intermittentes. — Dans un second travail , Meckel8 a repris l'étude delà mélanémie etil a r
lschaft der Aerz/e zu Wien. 1830. 8 beistehe Klinik, 1850. 50. Le travail de Planer1 sur le même sujet contient des observa
on d'étudier l'affeclion mélanémique sur une grande échelle. Dans son travail , l'au-teur a pris surtout pour tâche d'élucider l
hebdomadaire 4. Tels sont, à notre connaissance du moins, les seuls travaux qui aient été publiés sur la mélanémie; les docum
rtain nombre de cor-puscules de pigment. — Si l'on en juge d'après le travail de Frerichs, l'altération pigmentaire constituera
é-thargiques, épilepliques, etc., telle qu'elle a été établie par les travaux impérissables des Mercado, des Morton, des Weiiho
ur en France depuis trois ans ; depuis cette époque, il se livre à un travail assez fatiguant, qui l'oblige à avoir les mains s
iforme, observés dans deux cas d'anévrisme partiel du cœur. Dans un travail lu à la Société de Biologie, en 1851 l, j'ai cher
Propfbildungen, etc., Erlangen, 1854.) Depuis la publication de mon travail , j'ai eu l'occasion d'ob-server deux faits qui dé
ci comment, d'après les recherches les plus récentes1, s'accomplit ce travail morbide: les éléments constitutifs de l'endocarde
illeurs, se revêtir de concrétions et de vé-gétations fîbrineuses. Ce travail aigu d'ulcération peut être primitif ou, au contr
nt pro-gressivement développés dans l'espace de huit jours à peine. travail . — L'observation x de Frerichs (Klinik der Leberk
fait déjà pen-dant un certain temps avant le frisson initial un sourd travail morbide dans le repli valvulaire qui allait se pe
morbide dans le repli valvulaire qui allait se perforer. Ce pre-mier travail ne se sera pas accompagné de phénomènes assez int
quel a marqué le début de l'affec-tion. On sait, par un intéressant travail de notre collègue M. Leu-det *, que les abcès des
gorie que doit rentrer l'observation qui fait l'objet principal de ce travail . Dans l'impossibilité où l'on est, pour les cas
appeler ici que c'est à M. le docteur Legroux qu'on doit les premiers travaux importants sur la migration des caillots sanguins
on entrée, vers midi. Le 13 et le 14 les douleurs persistent, mais le travail ne fait point de progrès sensibles. Le 15, à la v
Les glandes 1 M. le docteur Mordret n'en fait pas mention dans son travail , d'ailleurs si riche de faits, Sur la mort subite
e trente et un ans, accouchée naturellement, après dix-neuf heures de travail , le 12 octobre 1851, fut prise le troisième jour
re par des caillots. Les deux observations qui suivent, empruntées au travail de M. Virchow, confirment le fait indiqué par M.
eci est la princi-cipale conclusion de cette première partie de notre travail , — celles que nous avons rapportées permettent dé
notre sujet. Malheureusement il nous a été impossible de consulter le travail de ce dernier auteur. ties du système veineux p
— Une dame, âgée de trente-quatre ans, accouche le 18 août 1851 ; le travail fut facile el naturel. Tout alla bien jus-qu'au 3
orphose régressive qui leur est particulière. De là résulte un double travail de disso-lution, qui aboutit, en définitive, lors
e de complications ou d'incommodités, accoucha naturellement après un travail d'une durée moyenne et médiocrement pénible, le 1
flammation aiguë. Mais c'est surtout à l'immense retentissement des travaux de J. P. Franck qu'on doit attribuer l'importance
elles ne tardèrent pas à acquérir un grand nombre de partisans. Les travaux de Reil, de Schônlein et de plusieurs autres mé-d
alé par Bizot qui le considérait comme l'un des premiers indices d'un travail in-flammatoire. Cette observation, d'ailleurs par
uvaient donner naissance à ces rubéfactions infra-vasculaires, et les travaux de M. Louis en ont démontré l'existence dans la f
à la manière des tissus vascu-laires, elle pourra cependant subir un travail pathologique de même nature que les cartilages, l
mmé. La membrane interne, dépourvue de vaisseaux, est le siège d'un travail différent. On a décrit, même dans ces der-niers t
à sang rouge, dont l'origine serait entièrement indépendante de tout travail inflammatoire. La membrane interne du vaisseau
e, donne lieu à la formation de foyers purulents. Dans un intéressant travail sur cette affection peu connue, M. Leudet (de Rou
t dans le chapitre où il analyse, avec sa supériorité habituelle, les travaux de ses prédécesseurs, Mnr-gagni fait observer, av
mes n'étaient que très imparfaitement connues, au siècle dernier. Les travaux de Corvisart et de Scarpa, mais surtout les dis-c
esque fatalement mortelle. On ne saurait oublier, d'ailleurs, que les travaux qui ont éclairé d'une lumière nouvelle la théorie
ontraire, à une sorte d'u-sure purement mécanique. M. Leudet, dans un travail récent, considère les perforations de l'œsophage,
ue....... 9 » L'aorte abdominale.................. 9 » D'après un travail plus récent du même auteur, les ané-vrismes de l'
et d'offrir des paroxysmes souvent périodiques (Greene). D'après un travail récent de M. Krishaber, la tumeur ané-vrismale, a
nt engoués chez les malades atteints d'une lésion sembla-ble. Dans un travail récent, Habershon attribue ces conges-tions passi
smale, et s'exaspère par les mouvements, les im-pressions morales, le travail digestif, etc. Elle paraît atteindre son maximu
rencontre ce genre de lésions aussi bien chez les hommes voués à des travaux sédentaires que chez ceux qui sont habi-tués à dé
de cette espèce que par la difficulté plus grande encore d'obtenir ce travail réparateur, et l'impossibilité ab-solue de recour
ù la trachéotomie puisse offrir quelques chances de succès. Dans le travail récent que nous avons signalé plus haut, M. Krish
meris avait donné une place dans la bibliographie des anévrysmes à ce travail , dont it n'avait même pas fidèlement rapporté le
eber das aneurysma der Bauch aorta und ihrer Zweige Berlin, 1865. —Ce travail renferme une bibliographie très étendue des Anévr
pe, Rokitansky, ont étu-dié cette lésion : Un résumé complet de leurs travaux a été publié par Peacock en 1849 ; plus tard, Rok
dues que dans les cas exceptionnels où, la vie s'étant pro-longée, le travail pathologique a pu se développer d'une façon plus
ner le décollement des membranes. Gela tient probablement à ce que le travail pathologique qui accompagne le dévelop-pement d'u
verture des anévrismes aortiques dans l'une ou l'autre oreillette, le travail de Wade, sur les communica-tions de l'aorte avec
ncement de ce siècle que la question a été sérieusement discutée. Les travaux de Scarpa, de Ilodgson et d'A. Cooper ont établi
t observateur, l'oblitération du canal artériel est déterminée par un travail inflammatoire, qui provoque la formation d'un bou
lerait que, dans quelques cas, les parois de l'artère ont pu subir un travail inflammatoire plus ou moins prononcé. Le resser
à la rupture delà membrane interne. Il arrive souvent que, pendant le travail , les pieds de derrière viennent à manquer sur un
ineuses de l'aorte présente un intérêt nouveau, d'autant plus que les travaux récents qui ont mis en lumière les conséquences d
ons fîbrineuses implantées sur l'aorte peuvent, elles aussi, subir ce travail régressif. Chez une femme âgée qui mourut à la Sa
-no?'. M. Rayer, dans un mémoire approfondi sur cette matière, où les travaux de ses devanciers sont résumés et souvent rec-tif
testinales, aux tiraillements que ces vais-seaux éprouvent pendant le travail des animaux ; mais M. Rayer fait observer, avec r
, les bronches et l'œso-phage peuvent devenir le point de départ d'un travail ulcéra-tif qui finira par envahir les tuniques ar
et, dans quelques cas, rares à la vérité, l'aorte elle-même a subi ce travail pathologique. On a vu des végétations de mauvaise
p. 136), nous terminerons ici Y étude des maladies de laorte \ ' Ce travail fait en commun avec M. le Dr Ball, est extrait du
s collègues, MM. Goubaux et H. Bouley, aux-quels on doit d'importants travaux sur ce sujet, ont plusieurs fois appelé l'attenti
us est peu familier, nous ne cesserons de prendre ici pour guides les travaux des observateurs distingués que nous venons de no
es apparences de la meilleure santé, est pris tout-à-coup, pendant le travail ou la course, de boite- 1 Mérn. de la Société d
aciles à provoquer sous l'influence des mouvements que nécessitent le travail oula course. Enfin, la paralysie tend à devenir p
ours, tout était rentré dans l'ordre, et le malade put repren-dre son travail . C'est à partir de cette époque que se sont mon
e de ce qu'il appelait son infirmité, se livrer tant bien que mal aux travaux nécessités par sa profession de peintre en bâtime
observés à une certaine époque de la maladie. Nous avons entrepris ce travail et nous devons déclarer que, jusqu'à présent, i
e oblitération complète de F aorte, dont M. Barlh a fait l'objet d'un travail important, nous voyons que la maladie, au début d
auche. Envahissement lentement progressif et aggravation sur place du travail de gangrène, douleurs atroces, insomnie absolue,
erwig Pont décrite, à leur tour, en 1838 et 1843. Enfin, un excellent travail sur la question, publié en 1846 est dû au pro-fes
s, n'est plus assez grande pour le nourrir conve-nablement pendant le travail . La nutrition des muscles se modifie profondément
e membre, par la voie des collatérales. Depuis la publication de ce travail , plusieurs observations du même genre ont été rec
rineux multiples qui fixaient surtout notre attention. D'intéressants travaux qu'on doit à des médecins étrangers et dont les p
n'est sans doute pas très rare de rencontrer dans la pratique. Ces travaux tendent à faire admettre que des parcelles de mat
servations sur lesquelles s'appuie la partie purement descriptive des travaux dont il vient d'être question, établissent plusie
NDICE i. Sur l'infarctus hémoptoïque du poumon, à l'occasion d'un travail de M. le docteur Heschl 1 (Voir p. 127) L'his
qu'à ces derniers temps telle ou à peu près telle que l'ont faite les travaux de MM. Laënnec, Cruveilhier, Andral et Rokitansky
ordées. C'est à l'étude des questions de cet ordre qu'est consacré le travail du docteur Heschl sur l'infarctus hémoptoïque du
r-vir de point de départ pour les recherches ultérieures. Parmi les travaux qui ont été écrits sur le même sujet, et que l'au
araît surtout guidé, dans son étude de l'apoplexie pulmonaire, par le travail bien connu de Paget sur l'apoplexie du cerveau. O
plus haut degré d'altération. Le professeur Heschl, dans un récent travail (Prager Vierteljah- 1 Voir sur ce point spécial
récent travail (Prager Vierteljah- 1 Voir sur ce point spécial les travaux de MM. Gulliver (Med. Chir. Trans., 18:i9, p. 144
spéciale du parenchyme pulmonaire, qui paraît dépendre à la fois d'un travail d'exsudation et d'une tendance générale aux hé-mo
entent dans leur texture aucune modification. Tel est en résumé, le travail du docteur Heschl. Nous le répé-tons, nous ne cro
vail du docteur Heschl. Nous le répé-tons, nous ne croyons pas que ce travail soit appelé à fixer défi-nitivement la science, r
uée par du charbon, elle pénètre dans le poumon avec l'air inspiré. — Travail de Pearson (1813;. — Mode de dis- tribution de
PENDICE i. Sur l'infarctus hémoptoïque du poumon, à l'occasion d'un travail de M. Heschl...................................
7 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Bien qu'un peu vif dans la forme nous avons cru de- voir publier le travail de M. Coulonjou, car il ne ren- ferme pas de pe
co. (Journ. de Neurologie, 1905, il» 12.) L'auteur décrit dans ce travail les principales lésions des neurofibrilles, qu'
ux ou trois semaines supplémen- taire, enfin dans la suppression du travail mental et de toute excitation. A. ;\1. IV. Un
Journ. de Neurologie, 1905, n° J. La conclusion qui se dégage de ce travail est que le ver- tige est presque toujours d'ori
logie, 1905, no 3.) ) Les auteurs s'attachent à démontrer dans ce travail qu'il existe un rapport étroit entre la tendanc
eunesse cet enfant ne fut plus préoccupé en dehors de ses heures de travail , que des moyens de se rapprocher des femmes mûr
de Neurologie, 1\)05, n° 10.) L'observation qui fait l'objet de ce travail a trait à un paralytique général tabétique, qui
3.) Les dix observations d'états hypochondriaques relatés dans ce travail plaident en faveur de la présence d'un élé- men
e services, d'un exposé de ses titres, d'un résumé restreint de ses travaux , dudépôtde ses publications, ainsi que des pièces
1',\1\ [<'ÉLI.\ BOSE, Chef de clinique adjoint à la Faculté. [ Travail de la cliniq lie des112alad ¡es nerveuses Salpêtr
ureux et constitue, une simple gêne des mouve- ments. La somme de travail qu'il fourni test aussi bonne que celle de ses
u'il fourni test aussi bonne que celle de ses compagnons, hienqu'au travail son mal peut lui jouer des vilains Lnurs.lluand
son summum, et lui em- pêche de déposer la planche sur sa table de travail . Il maintient soulevée dans ses bras raidis et
nimes. Il y aurait donc, dans la paralysie générale, déviation du travail curatif, formation du pus. Cette tendance à la
ans la marche de la pa- ralysie générale. Si l'on s'en rapporte aux travaux de nombreux aliénistes, il n'y aurait pas là se
t pour l'électro-diagnostic. Il semble en revanche que. d'après les travaux publiés, les courants sinusoïdaux on- dulatoire
orsale, ni flexion plantaire des orteils. M. Bechterew rappelle son travail sur le réflexe tarsophalan- gieil (1901). - Il
ar ! tUE FI'. (Revue de médecine, numéros de février et mars 1903.) Travail important de la clinique médicale du prof. Bernhe
ne du Babinski ; un léger vacillement du bras à l'occasion des fins travaux . Il. - Sclérose en plaques débutant par une fat
des émotions ou à des ennuis de famille, 3 fois à des accidents du travail , fois la cause est. restée inconnue. Le début a
nt affectés d'un fort tremblement dans les doigts explicable par le travail des bras. Les réflexes acliilléens ont toujours
ociologie, d'électrothérapie, de de biologie générale. Ses derniers travaux sur la biomécanique et la morphologie ont eu un
cine de 1867 ; très littéraire, il con- naissait et citait tous mes travaux ; il fut un des premiers Français qui connut et
es (1,)Op, p. 389) à propos d'un nouveau cas nous avons signalé les travaux parvenus à notre connaissance. En terminant, no
lade était atteinte depuis longtemps de chorée électrique, que le travail a fait disparaître momentanément, et d'épilep-
ne modification du fait de la gros- sesse, si ce n'est au moment du travail . En outre, chorée et épilepsie s'influençaient
moteur, que notre malade devint rapidement inapte à exécuter aucun travail régulier exigeant quelque précision dans les mou-
ait surtout autrefois à garder des bestiaux, quelquefois à de menus travaux d'intérieur, quand elle était moins agitée. At'
. Aucun l rouble nerveux ne vient entraver ni modifie) la marche du travail , qui est régulière et simplement ralentie par f
inurie, décelée par des analyses répétées pendant toute la durée du travail . Malgré l'arrêt de la dilatation, la tête se dé
est définitive. Nous avons insisté sur le détail de l'évolution du travail , pour montrer que les trou- bles nerveux n'ont
ait observée à la clinique s'est produite un jour avant le début du travail ; c'est en même temps la plus complète. Notons
atténuée d'elle-même, sans aucun adjuvant thérapeutique, pendant le travail : celui- ci, quia duré ^ jours entiers, ne s'es
es lavements de chloral. Cet arrêt spontané et momentané pendant le travail ne - <e rencontre pas dans la chorée gravidi
re pas dans la chorée gravidique qui s'exagère au contraire lors du travail , chaque contraction utérine augmentant le désor
haque contraction utérine augmentant le désordre des mouvements. Le travail , il défaut de la grossesse, a donc exercé, dans
l'étude systématique des auto-intoxications de la grossesse : les travaux de Bouffe de Saint-Biaise ont bien établi l'inf
provocatrice. La théorie nerveuse explique facilement pourquoi le travail a atténué les mouvements choréiques, au lieu que
que l'auto-intoxication les exagère dans la chorée gravidique. Le travail a fourni une dérivation : quel qu'en soit le mé-
nt exercé chez notre malade aucune influence sur la grossesse et le travail , qui ont évolué d'une façon à peu près normale.
ssions y insister. La présentation était normale jusqu'au moment du travail , et le défléchissement trop prématuré de la têt
très habile ; il était, nous dit sa soeur, beau- coup plus apte aux travaux mécaniques qu'au travail intellectuel. A 31 ans
ous dit sa soeur, beau- coup plus apte aux travaux mécaniques qu'au travail intellectuel. A 31 ans, il se marie avec, une f
di Nevrologia. Naples, 1904. Fascicule IV.) L'auteur commence son travail par un rapide résumé histori- REVUE D'ANATOMI
mant des divers symptômes de la paralysie générale. Finalement, ses travaux l'ont amené aux conclusions suivantes : 1° Su
HI. (Annali di Nerrologia. ' tapies, 1 ! 10 i, fasc. VI.) Dans ce travail consciencieux et documenté, l'auteur montre tou
commence par rappeler les noms des auteurs qui ont déjà publié des travaux sur cette question, et il cite en particu- lier
récédentes faites par d'autres expérimentateurs ; il espère que ces travaux pour- ront contribuer à servir pour un but scie
ir à la formation de plu- sieurs calices. Chaque fois que, dans des travaux précédents, on trouvait que, parmi les nombreux
rimentale à l'étude des phénomènes subjectifs de la fatigue dans le travail volontaire; par Trêves. (In Rivista di patholog
ionnelles caractéristiques de la fatigue. Finalement, il résume les travaux de Kroepelin sur celle question, et, termine pa
s névroses, action très probablement d'or- dre toxique, suivant les travaux du Lannoiset Teissier et les idées émises par P
neloup. (Soc. Méd. des 7Aip. de byon, 21 mars 1905.) Des différents travaux publiés sur ce sujet il résulte que le ré- tréc
ymptômes pathologiques frustes, type bien mis en W i- dence par les travaux du Brissaud et Hertoghe. Comme traitement, on a
e amélioration suf- fisante pour que le malade puisse reprendre son travail abandonné depuis plusieurs années. L'auteur ins
rtance professionnelle et pédagogique de l'éducation physique et du travail , l'influence du l'instruction et de l'éducation
ion à l'école et résume son article dans la formule : Du pain et du travail ..1. S. X. Epileptique sympathitectomisée pour n
e encore certains troubles : parole hachée, lente, exigeant tout un travail cérébral quoique le malade possède tout son voc
réunir bientôt la Commission de la tfrnn- nologie. Le repos et le travail intellectuel. M. Lionel DAURIAC. Quand on cherc
la détente ut au repos qu'apporte le som- meil et non en vertu d'un travail intellectuel continué pendant le sommeil. ' B
ues. Une trentaine d'observations, dont 'i nouvelles, complètent ce travail . 1 . - Contriblltion à l'étude de la myélite sy
'appui,des observations,les unes nouvelles, lus autres extraites de travaux antérieurs. Cette thèse, qui est un résumé des
e chez l'enfant ; Par le IPE. R. Daiche, (mai 1905), 95 pages. Ce travail , exécuté à la Clinique infantile, a en vue l'étud
chez l'adullu, sont actuelle- ment bien connus en France depuis tes travaux de Régis sur la confusion mentale ; ils sont ra
xquelles la rigi- zidilé spasmodique infantile peut donner lieu. Ce travail expose clairement la situation de nos connaissa
s, du ses collaborateurs de tous grades et. de ses malades. " Ses travaux , publiés ou manuscrits, notamment sa thèse inau
fouillé et, chose devenue rare, rend pleine et entière justice aux travaux anté- l'ieur 1D'' Pichonl. » . Gilbert Petit
nombreuses collections et exa- minées soit au microscope, dans les travaux pratiques, soit, pro- jetées sur écran dans les
ques petites phrases. Il s'éveille de plus en plus et s'occupe aux travaux du ména 1899. - La mémoire se développe. B ? co
Fig. 1.1. Maz. à 13 ans (1S9J;. 1897. Le caractère s'améliore; le travail à la classe est lion; l'enfant est envoyé 1/2 h
OGIQUE. . s'est occupé plus sérieusement et avec plus de goût aux travaux du ménage.. La conduite est bonne, et il se plaît
e thyroïde, sa taille est devenue normale. Il est habile à tous les travaux du ménage et à la gymnastique. Maz ? travaille
1904. - L'amélioration persiste au point de vue de l'éco- lage; du travail à l'atelier, du dessin et du solfège. 1905. L'e
dessin et du solfège. 1905. L'enfant, en raison du caractère et du travail , peut être classé aujourd'hui parmi les enfants
e de tout ce qui se passe autour de lui, et travaille avec goût aux travaux du ménage. Il suit les exercices de la grande g
une amélioration. L'enfant reste brutal. Sa tenue est mauvaise, son travail à la classe est aussi mauvais, l'enfant n'y fai
1905. - L'enfant change sensiblement. Sa tenue est meil- leure. Son travail à la classe plus soigné. Est moins enclin aux m
on. Il va à l'atelier de brosserie; son patron est satisfait de son travail . Caractère toujours indisci- pliné et impoli av
our l'orthographe et semble moins réfractaire au calcul. 1900. Le travail de cet enfant est régulier et il est très ponct
s scolaires sont peu sensibles, mais il apporte beaucoup de goût au travail manuel et s'y prend très adroitement. Dans l'ét
ce, tous ses mouvements étaient lents. Elle n'était capable d'aucun travail manuel. Aucune aptitude pour l'étude; ne connai
296 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. au point de vue du caractère, des travaux manuels et de l'in- continence d'urine. XLI.
ien que mal à ses ablutions; les soins du ménage, de même que les travaux manuels, tout était inconnu pour elle. Elle urina
nner aux plus jeunes; on lui a donné quelques emplois concernant le travail corporel sur- tout; de sorte que notre malade a
uture n'est pas son occupation préférée; il faut à cette enfant des travaux qui exigent du mouvement. Elle fait bien la gym
é, on n'espérait aucun résultat. Peu à peu, l'enfant prit goût au travail , à la classe. Elle lit aujourd'hui très courammen
e, quelquefois de fort mauvaise humeur; car indépendam- ment de son travail , l'enfant a conservé ses bizarreries, nous diri
ence d'urine. - Amélioration notable au point de vue classique, des travaux manuels et du gâtisme. LVI. 1LANCHA ? (Marcelle
haussure, se tient proprement. Marcelle n'est pas paresseuse, aucun travail ne la décourage, elle aime les soins du ménage
t mise, elle tra- vaille bien, pourvu qu'elle soit dirigée dans son travail . Elle a beaucoup de facilité pour les ouvrages
aine peut être rendue un jour à sa famille et vivre du fruit de son travail . LVIII. PEULL.. (Elise), née le n' janvier 1891
à se donner les soins de toilette deux ans après- l'admission. Les travaux du ménage e attiraient particulièrement son att
aloit se reposer une heure. FOLIES traumatiques ET accidents DU travail . 305 Après son dormir estoit un espace avec ses
43, 44, 45.) CLINIQUE MENTALE Folies traumatiques et accidents du travail ; Par le D' MARIE, médecin en chef des Asiles.
port à la législation spéciale nou- velle en matière d'accidents du travail . (1) Les principales observations détaillées se
(1) Les principales observations détaillées servant de base à ce travail constituent le fonds de la thèse de M. le D' Moll
actères distinctifs. 1\1, Christian, à qui on doit une synthèse des travaux parus sur la question, repousse cependant l'éti
mportance considérable depuis la loi de 1898 sur les ac- cidents du travail . Le médecin est, en général, appelé clans les c
i elle peut légitimement ètre FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL . 307 attribuée à ce traumatisme. Or cotte quest
'un érysipèle dont les consé- FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL . 309 quences profondes au point de vue de l'alt
t une érection réflexe qui le FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL . 311 poussait, à la maison, à rechercher les fe
ce guéri, partit en Amérique. FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL . '313 d'où il revint deux ans après pour se soi
uation. Embarras marqué de la FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL . 315 parole. Trouble paralytique de l'écriture.
ha cependant des indemnités d'une compagnie pour ses incapacités de travail , consé- cutives à la plupart de ses accidents,
ervenu avant ou après letrau- FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL . 317 matisme le problème reste le même, et il e
. (V. Obs. de Thébault. Etudes médico- légales sur les accidents du travail . Progrès Médical. Dé- cembre 1903, p. -.9-50).
]00 ! -]i<03, mai 1905, n° 2.4J7. Assimilation aux accidents du travail de maladies causées par le plomb, le mercure, l
et affections contagieuses.) FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL . 310 tiens visuelles multiples grouillantes et
. Atrophie lamellaire des cellules de Purkinje ; par André Thomas. ( Travail du laboratoire du professeur Déje- rine, à la.
ologia. Na- ples, 1110 , fasc. X.i i Après avoir rappelé tous les travaux qui ont été déjà publiés sur celle question, l'
e dessein de réunir successivement, dans l'ordre chronologique, les travaux les plus importants relatifs à l'idiotie, ou mi
oires, notes et observations sur l'idiotie, contient la plupart des travaux de 1773 il 1836. lia a été complété, pour cette
lin. Des prix décernés nous relevons les suivants relatifs à des travaux de pathologie mentale et nerveuse . .. Prit : A
ger . - ? 000 francs. - Ce prix sera décerné à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeutique des maladies mentales et s
Lorqucl. 300 francs. Ce prix sera décerné il à l'auteur du meilleur travail sur les maladies mentales. Nota. Les concours d
E NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Folies traumatiques et accidents du travail ; Par le D'A. MARIE, médecin en chef des Asiles
vec apathie, incapacité de s'occuper et de fixer son attention à un travail suivi, douleurs vagues erratiques, insomnie, cr
es vasomoteurs. Préoccupations monotones relatives à un accident du travail à dater duquel il n'aurait plus pu travailler c
ut s'appliquer aux hypothèses FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL . 357 spéciales de psychoses post-traumatiques q
. Voyait des voleurs la nuit. FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL . 359 C. lléclical. - 2(i mars 1904. Est atteint
ue ces lignes furent écrites, en ce qui concerne les ac- cidents du travail . La loi du 9 avril 1898 ne vise, en principe, q
accidents, à leurs relations avec le traumatisme ou plutôt avec le travail , et leur pronostic, forment désor- mais un grou
t surtout psycho pathologique, les quatre jours d'incapa- cité de travail sur lesquels il s'agirait de se baser pour appr
r : K Pre- mière pratique médicale de la loi sur les accidents du travail » (Thèse de Paris, 1901).] FOLIES TRAUMATIQUES
ail» (Thèse de Paris, 1901).] FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL . 363 Il importe ensuite de déterminer les suite
ement consolidation de la blessure ? ) 4° Le blessé qui a repris du travail depuis l'accident a- t-il néanmoins subi une pe
cupations antérieures sans pour cela être incapable de reprendre un travail cé- rébral moins complexe. Enfin, en dehors d
apparente guérison et des accidents précoces suivis de reprise du travail avec ou sans incapacité partielle intermédiaire.
es, elle con- naît ses lettres et commence à les assembler. Pour ce travail , elle manque de bonne volonté. Par contre, les
géographie, elle travaille bien au dessin. Ce n'est qu'à force de travail que l'enfant a pu réaliser ces progrès, car elle
ménage et pour les ouvrages manuels elle se plaît à ces différents travaux et on voit que l'enfant est tout à fait dans so
PÉDAGOGIQUE DES IDIOTIES. 405 elle. Ils sont très satisfaits de son travail ; elle est vive, tra- vailleuse et propre; elle
nous a jamais fait aucun reproche ni sur sa con- duite, ni sur son travail . Cette malade qui était gravement atteinte à so
entrée est rtrrdue à la société et vit aujourd'hui du fruit de son travail . LXV. Imbécillité, perversions instinctives, fu
nir une bonne coutu- rière. Elle est également habile pour certains travaux manuels qu'elle confectionne avec goût. Elle re
ais ces moments-là sont de courte durée. Elle se tient bien à son travail , est avancée dans son apprentissage et se conduit
progrès en gym- nastique. 19°5, - Les progrès au point de vue du travail manuel ont augmenté graduellement. Mer ? a de r
our la classe, tandis qu'ils sont très notables au point de vue des travaux manuels. LXXIV. BIDA ? (Jeanne), âgée de 16 ans
et se déshabillait avec lenteur. Elle n'avait aucun goût pour les travaux de couture, ni aucune notion de la gymnastique,
ouvements, y est devenue très agile. Elle se livre avec plaisir aux travaux de couture, s'y prend bien et n'est pas. maladr
chant, ni taquin, mais il est obser- vateur, elle remarque tout. Le travail manuel est lent, mais constant; elle se rend de
u spontané, influence de la chaleur. (Rapport de 1. KELSCH sur un travail de AI. le prof. VINCENT (du Val, Ite-Gl'âce), Séa
, altération mécanique des tissus, hémorrha- gies, etc.). Dans le travail actuellement soumis à l'Académie, M. Vincent a
l'atteindre. Au bruit des détonations, IL Bastin, entrepreneur des travaux de construction de la ligne d'Orange au Buis et
x. Présentation d'un microcéphale, par M. GI : rÉNIOT. Pendant le travail , l'enfant présenta des mouvements convul- sils
7, à Gentilly. - M, Bourneville. Visite du service (gymnastique, travail manuel, écoles, et présentation de malades) le sa
n petit vacher, Jlar- cel Nicol, âgé de 14 ans, n'avait pas fait le travail qu'elle lui avait commandé. Elle se mit à sa re
s axes longitudinaux. » Barbacci (1) a publié un très intéressant travail sur l'abcès cérébral expérimental, par inoculat
en général. Si nous rapprochons les uns des autres ces différents travaux , nous voyons que dans la paroi de l'abcès céré-
oi de l'abcès cérébral, et confirment dans leurs grandes lignes les travaux des auteurs que nous avons cités. On peut avec
donne des chansonnettes. Elle s'applique bien à l'ouvroir, aime les travaux à l'ai- guille, on la voit confectionner des ef
uel. - Elle aime faire le ménage, se rend utile dans les différents travaux de la maison; elle est très propre et très minu
'aime pas les jeux bruyants. Elle se rend utile dans les différents travaux du ménage. Elle a fait des progrès notables en
et sans perdre un moment, pourvu qu'elle soit bien dirigée dans son travail . Elle est très attachée au personnel et aime bi
es qu'elle ne lui soupçonnait pas. Elle a beaucoup de goût pour son travail et pourra devenir une bonne ouvrière. Cette enf
ment sa vie d'ici peu. XCIII. Imbécillité prononcée et épilepsie. - Travail ? (Georgette), née le 3 août 1896, 5 ans, en 19
e vue physique et au point de vue intellectuel. 1905 (juillet). - Travail ? continue à se développer sous tous les rappor
cupation rentre tout à fait dans son élé- ment : l'enfant aime tout travail qui exige un certain dévelop- pement de force.
rend de bonne grâce dans tous les ateliers et prête attention à son travail . Si elle continue ainsi elle pourra plus tard ê
pourra plus tard être rendue à la société et vivre du fruit de son travail . XCVIII. Provo ? (Edm,.), né en mars 1891, entr
d'assez bonnes notions sur la musique. Est apprenti tailleur et son travail , à l'atelier comme à la classe, est satisfaisan
aulres. 494 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. d'études; l'aptitude aux travaux manuels : menuiserie serrurerie, imprimerie, co
rie, vannerie, cannage et paillage des chaises, pour les garçons; travaux du ménage, blanchissage, repassage du linge, co
nier chapitre, expose les conséquences et, les conclusions de son travail . I . La pseudencéphalie et l'anencéphalie sont
. de Neurologie, 1905, n° 4.) Des cinq religieuses étudiées dans ce travail , l'une appar- tenait à une famille présentant d
? LXX1V. Recherches expérimentales sur l'influence du sel sur le travail ; par Féré. (Rev. de méd., février 1906.) C'est
mentation detravail.On doit craindre la dépression consécutive ; le travail sans fatigue, la disparition de la fatigue grâc
Lux\11. - Recherches expérimentales sur l'influence du sucre sur le travail ; par M. Féré. (licu. de méd, de janvier 1906.)
nce ; par Henri Dumora. [Thèse de Bordeaux, 1905-1906, n° 16.) Ce travail est basé sur l'étude de dix observations de parap
de Bordeaux, 1905-1900, n" S ? .) Les conclusions de l'auteur de ce travail sont les suivantes : Le problème du discernemen
the. L' à l'école, lui.16. Accidents psychiques. V. Oreille. - du travail . Voir Folie. Accouchement. Peut-on provoquer
Liège, 240. Fatigue. Des phénomènes subjec- tifs de la dans le travail vo- lontaire, par Trêves, 205. Fibres. Du dép
choc moral, par Pelle- tier, 188. - traumatique et ac- cidents du travail , par A. Ma- rie, 305, 353. Foudre. Voir Troub
vernig, 324. - - musculaire, Voir Excitabilité. Repos. Le - et le travail intel- lectuel, par Dallrlac, 230. Réticulum
8 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
; interne- ' Cette division a été placée, depuis la rédaction de ce travail , sous la direction médicale de NI. le Df Jlarml
e assez rare dont R... est atteint et à laquelle nous consacrons ce travail . Toute excitation mécanique de la peau et des d
us distingués de ce maître, M. Balzer, consacra à l'érythrasma un travail descriptif court, mais substantiel, auquel nous
on minutissimum de Burchardt dont Balzer a récemment donné, dans le travail que nous citions tout à l'heure, une descriptio
onnaire encyclopédique et nous aimons mieux renvoyer le lecteur aux travaux que nous venons de citer que d'aborder, en ce m
encyclopédique des sciences médicales. ' Depuis la rédaction de ce travail . M. Lowff, a présenté, sous le nom d'Urticaire
quitta l'hôpital de Toulon, il travailla comme ajusteur mécanicien ( travail debout devant un étau) et pouvait faire ses jou
ines. En 1870, il fut rappelé à bord du Montcalin, mais, comme le travail de chauffeur lui aurait été trop pénible, il eut
douleurs d'estomac avaient presque disparu. Il reprit de nouveau du travail dans diffé- rentes usines. Depuis cette époque,
ouleurs d'estomac et de reins continuaient, il ne put reprendre son travail qu'au bout de quinze jours, les jambes étaient,
ivies d'éjaculation immédiates Traitement suivi pendant trois mois. Travail dans l'air comprimé, pointes de feu, ioditi-e d
y a pas de symptômes céphaliques. Nous avons ordonné au malade le travail dans l'air comprimé, l'application de petites poi
'urines pai-oxystique, spasmodique. Traitement suivi de trois mois. Travail dans l'air comprimé. Application de pointes de
amené aussi M. Reynaud 56 CLINIQUE NERVEUSE. dans son intéressant travail à accepter à tort la pos- sibilité de lésions s
nels. Il a commencé à travailler en juin 488-2 et il a continué son travail dans l'air comprimé durant les mois, de juin, j
à quinze fois par jour. Presque immédiatement alors, il reprend son travail pour guérir, faisant trois ou quatre immersions
d'un appui. Epilepsic spinale ^spontanée. Contractures passagères. Travail dans l'air comprimé. 10-12 brasses de profondeu
extension pendant quelques minutes. Aussitôt le malade reprend son travail par compression, 10 à 15 brasses de profondeur
tres encore que j'ai omises à dessein pour ne pas encom- brer nos travaux d'observations plus ou moins ana- logues entre
mais il n'a pas non plus progressé, malgré l'imprudente reprise du travail , les aggravations pas- sagères qu'il a causées
itiques ou paludéens, pas de maladies antérieures. Il a commencé le travail dans l'air comprimé, en mai 1883. Il a travaill
ique de l'hypnotisme ; il est de fait que depuis la publication des travaux de la Salpêtrière, la réalité des symptômes hyp
n'est sans doute pas près de s'arrêter. Seulement, à mesure que les travaux sur l'hypnotisme se sont multipliés, des contro
nions des deux écoles. En 1878, nous l'avons déjà dit, malgré les travaux de Braid et de ses successeurs, le monde scient
isième sur laquelle nous insisterons longuement dans la suite de ce travail , dont elle formera môme la partie essen- tielle
entale. )I. LI : SECnÉrvnF général fait connaître les résultats des travaux du comité d'orga- nisation du Congrès internati
ançais à 20 francs; celle des adhérents étrangers à 1,; francs. Les travaux du congrès se composeront : Io De communicati
nerveux et mentaux de la grossesse, manie tran- sitoire pendant le travail , éclampsie puerpérale et aliénation mentale, sy
i les DD'S Bally Tuke et Yellowlecs. Le D1' Oscar T. WOJDS lit un travail sur la folie à deux dans la même famille, dont
pecteur général Foville, qui lui a rendu dans le cours de ses longs travaux des services pour lesquels je suis heureux de t
agnostic : 3° Examen de la parole. Revue de ses diverses anomalies; travaux de fussmaul, Broca, Charcot ; utilisation du sc
é et élé- gance, malgré la nature du sujet; ce n'est en effet qu'un travail de physiologie pure, où sont réunies, développé
ion par la plupart de nos écrivains littéraires contemporains. Ce travail renferme des notions qui se rapportent à la physi
était peu fondée son opinion, nous le mettions au défi, dans notre travail snr l'Hypnotisme et les états analogues au poin
ur les appréciations toutes médicales qui forment le fonds de notre travail . Et pourquoi donc M. Liégeois nous combaltra-t-
e des chefs de service dans la force de i'âge et capables par leurs travaux scientifiques de contribuer à la bonne renommée
souvent appelé l'attention. C'est qu'on n'y tient aucun compte des travaux antérieurs des candi- dats. Aussi ne pouvons-no
t, la Commis- sion s'est arrêtée à la rédaction suivante : 4° Les travaux scientifiques antérieurs des candidats seront exa
la clinique mentale. Tel est, monsieur le Ministre, le résultat des travaux de laCom- mission que j'ai été chargé par elle
aximum des points sera de trente ; 4° Une épreuve sur titres. Les travaux scientifiques antérieurs des candidats seront e
Impossible de trouver dans sa vie des refroi- dissements, excès de travail ou phases particulières, ni abus, ni même usage
z les juifs) ; il n'y avait influence ni de refroi- dissement ni de travail excessif, mais par contre l'existence de la syp
e la vie militaire, les excès vénériens, l'hérédité (très important travail de Ballet et Landouzy). .Quelques-uns vont même
u'il a lui-même écrit. Il faut, .encore une fois, s'en rapporter au travail extrêmement précieux de M. Ballet qui, dans son
nt de diabète, qui, quand on lui demandait'de lire, se livrait à un travail d'application soutenue et proférait alors quelq
fait beaucoup d'immersions exactement dans les mêmes conditions de travail , c'est-à-dire même profon- deur, même durée du
elle a tout à fait disparu. Depuis ce moment, il n'a pas cessé son travail dans l'air comprimé, faisant ses campagnes. ' ,
sse qui a guéri dans l'espace de deux mois. - Il avait commencé son travail dans l'air comprimé en 18-5 et il aurait travai
ait eu un catarrhe bronchique dans son enfance. 11 a commencé son travail dans l'air comprimé, en mai 1886, il avait travai
336 CLINIQUE NERVEUSE. son enfance la coqueluche. Il a commencé son travail dans l'air comprimé, l'été de 1883, et il a tra
ntécédents personnels n'offrent rien d'important. Il a commencé son travail dans l'air comprimé en 1880 et aurait travaillé p
'important. Il est d'une constitution très forte. Il a commencé son travail dans l'air comprimé en 1870 et il a travaillé p
a duré au total trois heures et le lendemain matin, il reprend son travail . Le 7 août 1874, il fait cinq immersions sans a
gie dure quatre jours seu- lement, au bout desquels il a repris son travail , étant parfaite- ment bien portant. Depuis lo
ns. Pas d'antécédents héréditaires ou personnels. Il a commencé son travail en 1885 et il travailla pendant une année sans
ypothèse de la suggestion. Nous avons fait remarquer au début de ce travail que chez les grandes hypnotiques les trois état
érience d'hypnotisme, qu'elle était occupée à l'état de veille à un travail manuel, un violent bruit produit par un coup de
oli, indépendamment de toute suggestion. Je mentionnerai aussi le travail récent de 1111. Octavio Maira et David Benavent
ture au moyen de l'aimant, quoique je ne me sois pas occupé dans ce travail de cette question; mais la netteté de GRAND ET
thèse d'hystérie. Or, ne sait-on pas aujourd'hui surtout depuis les travaux récents de notre maître que l'hys- 268 REVUE CR
tat de veille. 2° Nous avons fait remarquer au commencement de ce travail que l'hypnotisme pouvait être comparé au point de
évropathique'. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE RÉSUMÉ DES PRINCIPAUX TRAVAUX RUSSES, CONCERNANT LA NEUROLOGIE5; Par F. RAY
e la bibliographie de l'hypnotisme, nous renvoyons le. lecteur à un travail récent de NI. Max Dessoir, consacré exclusivement
rtie, aussi condensée que possible, contient le résumé succinct des travaux intéressants publiés en langue russe pendant ce
différents des organes. Dans cet ordre d'idées, nous re- levons les travaux suivants : Anomalies morphologiques du cerveau.
scissures fondamentales ne sont pas communes. J'ai relevé dans les travaux russes deux exem- ples d'anomalie de la scissur
iste entre la structure de cet organe et ses fonc- tions. Parmi les travaux qui existent sur ce sujet un des plus intéressa
une conception qui s'impose aujourd'hui en pathologie nerveuse. Les travaux suivants, do M. Bechterew,' montrent combien es
aisceau solitaire. Constitution du corps restiforme. Dans un second travail , se rapportant au même ordre d'idées, Bechterew
, relativement né- gligée en France. Le cas sur lequel est basé son travail , est le suivant : Un sujet était atteint de s
iennent excitables qu'à ce moment. Nous exposerons maintenant les travaux qui se rapportent à la systématisation des lési
ondantes. anatomie des racines postérieures. Comme complément des travaux de Bechterew, nous citerons une étude du profes-
sortes de fatigue : 1° La fatigue par épuisement proportionnelle au travail fourni.- 2° La fatigue par intervalle insuffisa
4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Je me bornerai à citer les quelques travaux suivants sur l'anatomie descriptive des nerfs p
ontractiles arythmiques de la cathode à l'anode. Elude critique des travaux publiés depuis. P. K.' XV. Un cas DE surdimut
e quitter le fauteuil delà Présidence, résume en quelques mois, les travaux de la société pendant l'année qui vient de s'éc
isme dans la race et l'espèce, où com- mence réellement le sujet du travail . M. Combemale nous montre au début les effets d
ation de MM. Dujardin-Beaumetz et Bardetestle point de départ de ce travail de contrôle, où la nouvelle subs- tance est étu
les troubles fonctionnels provoqués par les hémisections. Ainsi son travail comprend-il deux parties, la première physiologiq
e : on y trouve aussi un exposé critique inté- ressant des nombreux travaux jusque-iainstituésdans cette direc- tion. Les
comprendront que nous leur épargnions le compte rendu détaillé d'un travail qui ne semble pas avoir été écrit pour eux, ain
8, t. X, p. 613. (Voyez-y la bibliographie jusqu'en 1878.) Le même. Travaux de la société des médecins russes de Moscou, 18
hiu der lieilkunde, 1863, Bd. VI. Ni- kolsky. Eczéma neuroyathique. Travaux du 2e congrès de la société des médecins russes
schen Symptôme der Leprcc. Neurolog. Centralblalt, 1-1' 16, 1884. TRAVAUX NON CITÉS DANS CE MÉMOIRE ET DANS CELUI DE 1878
es sciences biolo- giques, il n'est pas plus loisible d'ignorer les travaux des Italiens que ceux des Allemands ou des Angl
Des 1878, Luciani avait publié Sur la pathologie de l'épilepsie^ un travail magistral de phy-' siologie expérimentale, dont
t il faut citer les termes lorsqu'on aborde l'analyse des récents travaux de Seppilli sur l'épilepsie corticale. Enfin, il
utres auteurs italiens, nous attacher surtout à faire connaître les travaux de Tamburini, de Luciani et de Seppilli sur les
i sur les localisations des fonctions du cerveau. Pour qu'un pareil travail soit utile, il doit avant tout reproduire l'ord
ois pour toutes, l'indépendance et l'originalité scientifique des travaux des auteurs italiens dont on expose ici les doc
lace précisément entre Exner et Goltz ! On verra par la suite de ce travail que ces auteurs italiens pèchent par le même dé
agues confins des centres relatifs d'Exner. Aussi, dans un récent travail sur les Derniers résultats de l'étude des local
ital, il alla s'é- tablir à Odessa, où il continua le même genre de travail ; il rentra à Moscou, six mois avant son admiss
son admission à l'hôpital. Pendant les huit premières années de son travail , le malade se porta toujours bien ; au bout de
les coliques, si fortes qu'il était parfois obligé d'abandonner son travail pour deux ou trois jours. Il y a sept ans il pa
it, comme nous l'avons déjà dit, pour Odessa où il continua le même travail . Moins d'une année après, il fut de nouveau att
s bains, son état se fut un peu amélioré, il se remit de nouveau au travail , et de nouveau appa- rurent les constipations,
dans notre hôpital, il arriva sou- vent que le malade continua son travail même pen- dant ses accès et enfin depuis le moi
ester à l'hôpital. Il ya vingt ans que In... s'empoi- sonne par son travail et depuis douze ans déjà, les symptômes d'intox
o-labes ', d'autres celui d'ataxie aiguë, etc. Eu nous servant d'un travail très intéressant de M. Leval-Piquechef 2, nous
le fait que M. Althaus n'a pas justement compris le titre de notre travail commun publié dans le tome VII des Archives de
t ivrogne, son frère est déséquilibré, il ne peut pas se fixer à un travail , il vagabonde. Lui porte d'une manière évidente
fait bien 'des immersions, tout à fait dans les mêmes conditions de travail , comme profondeur et comme durée du séjour sans
re sont déterminés. Ce sont : l'excitation alcoolique, les excès de travail intel- lectuel, l'insolation, la frayeur, les c
cend pour la quatrième fois absolument dans les mêmes conditions de travail . Aussitôt après l'enlèvement du casque, il sent
re différence et, à peu de chose près, dans les mêmes conditions de travail ; il est par conséquent tout à fait inutile de l
pt ans, sans antécédents héréditaires ou personnels, a commencé son travail de plongeur à scaphandre, il y a déjà .quatre a
suivant. Le malade est dé- sespéré de ne plus pouvoir continuer son travail dans l'air com- primé. Car, dit-il, dès que la
se décomprimer. Traitement. Nous lui avons défendu sévère- ment le travail dans l'air comprimé pour la raison qui sera donné
ans, sans antécé- dents hériditaires ou personnels, a commencé son travail de plongeur à scaphandre, en 1884, et il a trav
s'est fait brusquement décomprimer. Il a fait, dans le cours de »on travail , un grand nombre d'immersions, à la même profon-
ralysie, pas d'autres symptômes. Le lendemain malin, il reprend son travail . DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 40
dents héréditaires ou personnels, a commencé, le 15 mai 1886, son travail dans l'air comprimé. Ce jour-là, il ne fait qu'un
emps à autre. Au mois de novembre de la même année, il a repris son travail , faisant des immersions à une profondeur qui va
mètres ; il ne peut pas exactement définir les autres conditions du travail . Au cours de ce mois, après avoir déjà antérieu
phandre qui n'ont pas eu d'accidents douloureux au cours de leurs travaux . Ces douleurs peuvent siéger partout et se lo-
observée par M. Pérochaud, interne des hôpitaux de Nantes, dans son travail inti- tulé : « Trois mois à la clinique chirurg
s héréditaires ou personnels dignes d'être notés. Il a commencé son travail en 1877. Il avait travaillé pendant deux années
TÉ DES ACCIDENTS CHEZ LE MÊME PLONGEUR A SCAPHANDRE AU COURS DE SON TRAVAIL DANS ' L'AIR COMPRIMÉ. - Si parfois il arrive
e plongeur à scaphandre d'être atteint à différentes époques de son travail de la même forme d'accident, à preuve, par exem
cond deux fois du même accident, d'aphasie motrice au cours de leur travail ; le plus sou- vent, au contraire, le scaphandri
- vent, au contraire, le scaphandrier est atteint au cours de son travail des accidents les plus@multiples et .les plus v
vent survenir chez le même plongeur à scaphandre au cours de son travail , nous allons relater un certain nombre d'observ
malade se portait parfaitement bien, au point qu'il a repris son travail . Le 20 juillet 1879, il descend à une profondeu
l'usage de ses membres et le malade le lendemain malin a repris son travail . Ce plongeur, depuis celte époque jusqu'au tO avr
oit donc que ce plongeur à scaphandre a été atteint au cours de son travail de trois accidents tout à fait différents. Le p
vingt- quatre heures. 2° Le 16 juin 1882, dans des conditions de travail que le plon- geur ne peut pas déterminer, il a
hasie ont complètement disparu et le lendemain matin il reprend son travail . 3° Le 20 juillet 1882, ce scaphandrier étant d
ts absolument différents l'un de l'autre. Il a eu au cours de son travail : 1° des accidents douloureux multiples; 2° Un
) 2° (13 septembre 1818.) Huitième immersion. Mêmes conditions de travail profondeur de 22 brasses, séjour de dix à douze m
ou personnels, âgé de trente-cinq ans, a commencé en mai 1873 son travail dans l'air comprimé, il a travaillé pendant cinq
et décompression brusque; il est redescendu dans les conditions de travail exactement semblables, pas de fatigue. Immédi
ression brusque, il redescend à jeun dans les mêmes con- ditions de travail . Immédiatement après la décompression et l'en-
urines tout seul. Enfin rien, et le lendemain matin il reprend son travail . 4° Le 2 juin 1883, n'ayant pas la moindre indi
USE. Ce scaphandrier, comme on l'a remarqué, a eu au cours de son travail quatre accidents différents. Le premier est un
ent survenir chez le même plongeur à scaphandre ins le cours de son travail . Je pourrais multiplier les - as de ce genre si
est due à l'excellente thèse de M. Alphonse Gai l et la seconde au travail de MM. Tetzis et Parissisz, toutes les deux rel
'observa- tions incomplètement exposées, que l'on trouve dans les travaux de mes devanciers, semblent démontrer que dans
andre sont morts subitement en 430 CLINIQUE NERVEUSE. quittant le travail sous-marin. Pas d'observations. La lettre de M.
uffrance; mais la paralysie des membres est restée complète. , Le travail de M. Lampadarios' contient une seule observati
ription relativement précise sont celles qui sont contenues dans le travail de MM. Fetzis et Paris- sis. Je les reproduis i
termes d'un jugement normal. Souvent, la malade s'endort sur son travail pour devenir rêveuse. Les facultés passent alors
es choses les plus simples et les plus naturelles, l'insouciance du travail et cette attention toujours fixée sur un objet
elle n'est plus folle, ce qu'elle justifie par la cessation de tout travail , un isolement complet de tout ce qui Archives,
t entraînées sur la mauvaise pente. Le somatisme, lui-même, suit ce travail de déchéance ; l'usure orga- nique commence à a
impuissante ; les plaques étaient paralysées. Ici, au contraire, le travail de dénutrition a commencé par les centres psych
es sécrétions ; mais, c'est dans les centres principalement, que ce travail a commencé, et a fait jusqu'à présent, les plus
spéciales. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XX. RÉSUMÉ DES PRINCIPAUX TRAVAUX RUSSES, CONCERNANT LA NEUROLOGIE'; Par F. RAY
age, etc.). Il a été fait en Russie, dans ces dernières années, des travaux importants sur les altérations du système nerve
zotées. Les D" Grammatchikoff et Ossendowslcy ont publié le premier travail sur ce sujet. Leurs expériences ont porté sur c
rs temps des phénomènes paralytiques. M. Erlitsky doit publier un travail sur l'anatomie patholo- gique de la paralysie a
t de Kiew lors de notre passage, nous a fait part dernièrement d'un travail sur le changement des expressions de la face ch
, notamment \11. Ball, Arnozan et Régis qui affectent d'ignorer les travaux que nous avons publiés sur cette'question, soit
chiques qu'il a si fortement marqué de son empreinte la plupart des travaux publiés depuis trente ans. De ce qu'il existe d
mie les élé- ments d'une classification et il nous fait part de ses travaux sur cette question importante. On peut se senti
, dit en terminant M. Paul Garnier, ne rend hommage aux magnifiques travaux de M. Baillarger, qui mar- quent comme une traî
la profonde modification qui s'est opérée dans les idées, grâce aux travaux de More ! et de ses succes- seurs/sur les dévia
Non seulement, leur influence se fait sentir sur l'universalité des travaux spéciaux publiés dans notre pays, mais on en tr
re et la méthode ne sont plus à discuter ni à exposer. Ce serait un travail inutile qui exigerait de longues pages d'une re
re et qui lui valut une mention honorable. Un grand nombre de ses travaux ont été faits en collaboration avec M. Bour- ne
argés. En dehors des questions portées sur le programme, d'autres travaux concernant la pathologie mentale, l'assistance pu
e service des idiots et épileptiques de M. le Dr Bourneville. Les travaux du Congrès seront recueillis et publiés par les s
evront gratuitement : 1° A bref déla'i, un procès-verbal résumé des travaux du Con- grès ; 2° ultérieurement, un compte ren
gie (observations de), par Bernhardt, 292. Neurologie (résumé des travaux russes sur la), par Raymond, 269, 460. Névr
9 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cord parfait avec les recherches embryologiques de Ilis et avec les travaux de von Leubossek, qui prouvent que le prolongem
confirmation de ses recherches personnelles dans les résultats d'un travail de Laehr2. - Laehr a montré, par l'examen des
orme des 2-égii- lations inconscientes de nos mouvements dues ci un travail rl'élobo- ration sous-corticale (ou spinale) de
s les régions primitivement affectées, s'expliquerait par la fin du travail de la dégénérescence, par la disparition com- p
allemandes : l'une antérieure, l'autre posté- rieure aux mémorables travaux de Griesinger. Dans la première, on se contente
les diverses clini- ques, entre 2,3 et 5,5 hectares. La durée des travaux a été en général de deux années. Les murs n'ont
choses aiguës par le repos au lit. » Semaine médic, Il oct. 1899. Travail et alitement dans le traitement des maladies ment
bert- C. Bond. ( ? 71e Journal of Mental Science, avril 1897.) Ce travail est la continuation et le complément de celui que
.-J. iIAN : 11NG. (7'/te Journal of Mental science, avril 1897.) Ce travail se compose de trois observations. Observation I
s muscles tenseurs du tympan, et il se propose de démontrer dans un travail ultérieur que l'imperfection de leur vision est
. Lloyd ANDRirZEN. (Itte Journal of Mental Science, avril 1899.) Ce travail à la fois philosophique et médical, est très inté
postérieurs, étant très nom- breuses, je ne me baserai que sur les travaux de notre propre Ins- titut pathologique, dont q
que ; par A. CESTAN (de Paris). (Présentation du malade.) Dans un travail antérieur (Progrès médical, 10 juin 1899), nous
du malade est caractéristique ; comme nous l'avons indiqué dans le travail cité plus haut, ces malades avancent en steppan
siste depuis près de trois ans, guérison qui est à rapprocher des travaux de M. Lannelongue sur le traitement de l'idiotie
aize, avait le cerveau un peudétraqué. Son mari, en rentrant de son travail , a trouvé la. malheureuse pendue dans sa chambr
dans la littérature médicale, de nombreux cas analogues. Dans le travail récent de M. Christian sur la démence précoce d
ecin certificateur, le malade était assez calme, se refusant à tout travail et voulant toujours entreprendre de nouvelles occ
et son beau-frère par le gaspillage qu'il fait et le-refus de tout travail . » C'est pour- quoi la famille se décida à le f
suivie des mêmes effets ; aussi fallut-il renoncer à l'envoyer aux travaux extérieurs. En 1893, il eut une poussée de tube
te. Contrairement à son frère, il consentit vo- lontiers à aller au travail et s'occupe régulièrement aux travaux agricoles
entit vo- lontiers à aller au travail et s'occupe régulièrement aux travaux agricoles. , DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMEL
loration de Nissl, encouragé encore par la lecture d'un remarquable travail de von Lenhossek, Weber den Bail der Spinalgal1
état normal ou pathologique de la .cellule nerveuse, encore que des travaux récents de Goldscheider et de Flatau doivent il
fonction spécifique, les méthodes employées par les auteurs dans ce travail ne leur ont pas permis de la déceler. Si le cha
4-1897). ' Voir la liste bibliographique de ces auteurs et de leurs travaux dans Redlich. loc. ci ? p. 1 53. 128 . . ' RE
pothétique dans ces idées, qui ont; surtout trouvé un écho dans les travaux de Finger (car on,ne connait pas plus ces produ
er Tabes dorsalis. D. Arch. f klin. lled. Bd kLIII, 1888. Dans ce travail Jendrassik croit pouvoir déduire d'observations c
demeure constant, ainsi que l'avait établi Redlich dans son premier travail sur la matière, qu'au début de l'affection tabé
ience, janvier 1898.) On ne peut ici que conseiller de consulter ce travail sans essayer de l'analyser : l'abondance des dé
Mmtal Science, janvier 1898.), Résumé très intéressant des derniers travaux de Flechsig sur la - localisation daus le cerve
daus le cerveau des processus mentaux ; mais pour être analysé, ce travail exigerait la, reproduction des figures de Flech
s tissus d'évolution supérieure; l'auteur rappelle sur ce point les travaux de Retzius. Preuves cliniques. Dans l'insuffisa
Gordon-Munn. (The Journal of Mental Science, janvier 1899 ) - Ce travail , beaucoup plus gynécologique que neurologique, se
ental Science, jan- vier 1898.) . Nous nous bornons à signaler ce travail , ne pouvant le résumer, puisqu'il est lui-même
recherches sur le point dans un des tableaux qui accompagnent 'son travail . 1 Substance chromophile. - En examinant la cel
agocytique des leucocytes sur la cellule nerveuse, et .rappelle les travaux de Sir John Batty Tuke et les siens propres sur
hn Batty Tuke et les siens propres sur ce sujet ; et il termine son travail par quelques remarques sur la nature de la subs
'exécution de cer- taines actions définies de nature routinière. Ce travail est accom- pagné d'une planche. Il. DE MlJSGI1.
Journal de Neurologie, 1900, n° 15.) L'observation contenue dans ce travail est celle d'une femme de. trente-neuf ans, chez
ka. (revu. mèd. de la Suisse Romande, 1900, n° 7.) 1 L'auteur de ce travail s'est proposé de rechercher : 1° si l'absence,
de Neurologie, 1900, nua 14.) , - Des recherches exposées dans ce travail , les auteurs concluent- que la neuronophagie n'
jour ? de Neurologie, 1900, n° 8.) Le malade qui fait l'objet de ce travail présentait : 1° une atro- phie musculaire progr
NO. (Jo2ern. de Neurologie, 1cl00, n° 12.) L'auteur établit dans ce travail iL la suite des recherches faites sur deux cas
alors l'érecteur parésié de droite fournit cependant encore quelque travail pour arrêter l'excès d'inflexion latérale du tr
e social, parce que l'évolution des idées pédotogistes exige que ce travail de perfec- tionnement soit exercé dans le sens
use, particulièrement sous sa forme mentale. L'auteur mentionne les travaux faits dans ce sens, par M. Mac Donald en Amériq
n. (Presse médicale, 7 février 1900.) Voici les conclusions de ce travail : il est possible de réaliser expérimentalement
er un diagnostic définitif. Aussi ai-je été très heureux de lire le travail de Babinski qui jette une vive lumière sur la q
thoraciques. Il suffit au sujet d'être distrait, de se livrer à un travail quelconque, à une lecture, pour être débarrassé
ans des séances communes. z M. Pierre Marie résume brièvement les travaux de la Section de Neurologie et adresse les reme
i- sation. - M. le Professeur 11AYMO : 'lD annonce la clôture des travaux de la Section de Neurologie du XlIIo Congrès in
pression sanguine chez les aliénés. M. LEGUA ! ') rend compte d'un travail de AI. Pilez, médecin assis- tant de Vienne, su
emercie les membres de la Société de l'avoir invité à diriger leurs travaux pour cette première année, i\I. JOFraoy les fél
le réflexe du tendon d'Achille; mention en est faite dans d'autres travaux , mais il a oublié dans quel sens. M. Raruow v
ors de doute. Il faut donc faire des réserves sur les résultats des travaux faits uniquement avec la méthode de Nissl qui n
ecteur : la loi sur l'exercice de la médecine, sur les accidents du travail , le décret sur la nomination des experts et enf
pourront dé- finie leur nature anatomique. Dans ces conditions, ce travail , pour prématuré qu'il puisse paraître', pourra
seulement d'un peu de faiblesse de la jambe gauche après un fort travail . Il n'y a pas de déviation de la colonne vertébra
lors âgé de vingt-deux ans. L'année suivante, à l'occasion, du même travail , les mêmes phé- nomènes se reproduisirent, mais
. Le sujet n'accuse qu'une fatigue pas très prononcée après son dur travail jour- nalier. Organes des sens. La vue est bo
ément frappés. Il est à remarquer que c'est en se livrant aux mêmes travaux de culture, à la même époque de l'année, que le
é électrique des nerfs et des muscles. Cousot, dans son remarquable travail *, fait connaître l'observation d'une famille ch
jambe et le bras inactifs, le bras actif ne se prenait que quand le travail était fini. Si le malade marchait, la paralysie
e paralysie par inhi- bition. La- malade de Cavaré, relatée dans le travail de Causot. était très nerveuse : quarante-huit
e. Il en serait de même des faits de Gibney, rapportés dans le même travail : il s'agissait de deux enfants, l'un âgé de se
s fibrilles primitives et formation de vacuoles. Dans son pre- mier travail l'auteur émet l'hypothèse que dans la pathogénie
sant : successivement jusqu'à la. moitié, denovembre. L'important travail de Donath sur la paralysie périodique, traumati
iversités les moins considérables : puis si l'ensei- gnement et les travaux dmprofesseur.lui ont'fait un nom, on- voit les
extraordinaire attend tout'de sa réputa- tion scientifique, de ses travaux , qui seuls le désigneront' au choix de telle ou
dans leurs études et par suite préoccupés par leurs examens, leurs travaux pratiques, voire même la préparation d'autres c
mun de la science, mais qui s'efforce de l'augmenter par son propre travail . On sait bien apprécier sur les élèves et les a
in statu nas- centi ». Mais, dans le domaine de la psychiatrie, le travail person- nel du professeur est précisément la co
au maître un champ d'observation aussi favorable que possible à son travail ; pour cela il faut un choix de malades qui embr
icke, sont en première ligne des instituts pour faire progresser le travail scientifique, ainsi que le pensait Griesinger,
Terminons en empruntant notre conclusion au U''Pozzi qui dans son travail sur l'Enseignement de la gynécologie ei Alle ? 2t
- prime ainsi : « Quand notre pays sera doté de pareils moyens de travail , il reprendra vite, dans cette branche de la scie
organisation '. » Index bibliographique. P. Sérieux et FARNAROER. Travail et alitement dans le traite- ment des maladies
e 13uc6 et van DER Linden. (Joum. de Neurologie, 1900, n° 11.) Ce travail contient la relation de deux cas d'ulcères variqu
John A.CoNEs. (The Journal of àIe71tal Science, juillet 1897.) Ce travail est basé sur 43 observations (21 hommes et 22 fem
1897.) En parcourant les dix-huit pages de tableaux annexés à ce travail , on constate que l'auteur a expérimenté le traite
ciée à la suggestion suffit pour faire disparaître la douleur. Ce travail se termine par quelques observations choisies par
de Neurologie, 1900, n° 13.) Les conclusions qui se dégagent de ce travail peuvent être for- mulées ainsi : Ni les lésio
' Féré. (Journal de Neurologie, 1900, n° 17.) On trouvera dans ce travail trois observations qui montrent l'étroite paren
le de la Suisse Ro- mande, 1900, n° 11.) M. Ladame résume dans ce travail l'observation (déjà publiée par le Dr Oppenheim
de contester leur existence. , L'auteur s'attache, à la fin de son travail , à concilier les opi- nions qu'il vient d'émett
cliniques de cette maladie telles qu'elles ont été établies dans le travail classique de Beard. R uE 111USGUA1'E Ccax. XV :
e(tl Joiti-ital, 30 juillet 1898.) L'auteur s'est proposé dans ce travail non de développer des considérations générales,
on rencontre dans la neurasthénie : la céphalalgie, l'inaptitude au travail intel- lectuel, les troubles de la digestion, l
cette lésion lo symptôme pathognomonique des tumeurs cérébrales. Ce travail se termine par la relation détaillée de cinq ob
ustavus ELIOT. (Tlie Neiv York Médical Journal, 2 octobre 1897.) Ce travail a pour objet de rappeler les caractères distincti
de vue du plus ou moins de précocité des symptômes tertiaires, les travaux et les statistiques de Fournier et résume assez
qui n'est presque jamais normale. L'auteur relate à la,, fin de son travail deux cas d'encéphalopathie grippale à terminai-
ELDS. (Tlie Nciu-York Médical Journal, 1" octobre 1898.) Ce court travail est accompagné d'une planche qui montre l'état
vra être basé sur la parfaite connaissance des individualités. Ce travail inspiré par M. Keraval est en même temps une revu
ignements utiles : l'auteur donne, entre autres, la traduction d'un travail du Dr Heerman qui, dès 1837, réclamait un stage
ioration du sort des aliénés. Très consciencieusement documenté, ce travail sera consulté avec fruit. P. Sérieux. VI. yu/
éditeur.) Ce Compendium analytique se propose de résumer tous les travaux qui paraissent chaque année en Neurologie et en P
aux qui paraissent chaque année en Neurologie et en Psychia- trie ; travaux particulièrement nombreux, puisqu'ils dépassent
obtenu déjà à l'Exposition une médaille d'argent (classe 1 1-) pour travaux sur l'alcoolisme (février 1901). M. le D' Bonne
eau au moins chez l'enfant, nous ne lisons pas moins dans un récent travail de M. Pierre Marie '' que : « La congestion cér
ournal de Neurologie, 1900, nos 19 et 20.) L'auteur revient dans ce travail sur la question encore débattue de la nature de
urnal, 13 août 1898.) Nous reproduisons ici presque complètement ce travail intéres- sant : L'auteur a eu l'occasion d'étud
. Dana. (T/itYetf 0 Médical Jour- 12al,'26 février 1898.) Dans un travail précédent, dont il rappelle quelques passages,
er que l'élan nouveau de la psychologie est principalement dû aux travaux accomplis en anatomie cérébrale. Après un histo
ttre avec Ribot, paice que c'est au moins la une bonne hypothèse de travail « que les phénomènes psychiques ne peuvent pas
et les diverses voies de transmission. L'auteur rappelle ici les travaux de Remak et de Deiter, elles progrès, qu'ils on
es de Golgi que date une ère nouvelle en anatomie cérébrale ; à ses travaux sont venus se joindre pour les compléter ceux d
fonctions, le cerveau constitue une unité. Le but principal de ce travail , que nous avons abrégé, mais dont nous avons re
e pouvons que relever très sommairement les principaux points de ce travail , qui est accompagné d'une planche. L'auteur a p
logie cellulaire avec la folie. Si, comme paraissent le prouver les travaux récents, le siège de l'impulsion nerveuse n'est
, septembre 1900.) « De l'exposé des statistiques contenues dans ce travail il est per- mis de tirer les conclusions suivan
séparément ou conjointement en médecine. L'auteur rappelle ici les travaux de l'école de Nancy et de l'école de la Salpêtr
y ayant formulé la grande loi de la suggestion, et les gigantesques travaux de Charcot ayant fait con- naître et admettre p
bien que nous reproduisions presque textuellement une partie de ce travail , reproduire ici ces trop longs, mais fort intér
pénétre tous les êtres et toutes les choses. L'auteur termine ce travail par la relation d'un fait qui lui est personnel
tationnaire depuis deux ans et un état de quasi-guérison. Le seul travail qui soit parvenu à la connaissance de l'auteur su
The Journal of Mental Science, avril 1898.) ° Les conclusions de ce travail sont les suivantes : 1° L'impulsion au suicide
1) ? VID-BOWER. (The Journal of Mental Science, janvier 1899.) Ce travail est consacré à la démonstration de cette insuffis
gent par 10 malades. Les médecins sont nombreux et connus par leurs travaux aux Congrès internationaux : ce sont entre autr
ce tiès diffi- cile, très pénible. Ils ne sont susceptibles d'aucun travail , et lors- qu'ils deviennent calmes, la Seine le
satisfaction qu'ils éprouvèrent et décrit en détail les différents travaux auxquels on les lit se livrer chacun selon leur
avait une colo- nie de 23 malades vivant de la vie de, famille; des travaux divers attachent tout le monde à la ferme; le s
on fonde.des quartiers de femmes toujours dans le même esprit; les travaux domestiques des hommes pouvaient trouver avanta
cette dernière entité morbide, ainsi définie, on détacha, grâce aux travaux de Delasiauve, la con- fusion mentale. Baillarg
ats de l'apothé- rapie et l'ovaritie est indiquée. Le remarquable travail de M. le Ur Capgras est, ainsi que le montre l'
erveux. Ce qui frappe quand on regarde les nombreuses figures de ce travail c'est la res- semblance presque identique des l
prisonnement, de l'influence bienfaisante de l'air des champs, du travail et des distractions, enfin des relations de sympa
l'homme à l'état normal recueille les impressions qui éveillent le travail de l'esprit, n'existent pas pour l'aliéné enfer
au contraire, de se mouvoir comme il le voudrait, de se livrer à un travail régulier. Encore un stimulant soustrait au cerv
Lieubain, notamment, furent son oelivre. » « Parallèlement à ces travaux d'ordre administratif, il s'appli- quait, médec
me étage, les bureaux de la Direction, à côté d'une grande salle de travail ; une salle des fêtes, la bibliothèque médi- cal
ne salle des fêtes, la bibliothèque médi- cale, une petite salle de travail , un laboratoire de photographie. A l'étage supé
on de santé. Il en sortit au bout de quelques . mois et se remit au travail comme par le passé. ' Lorsque hier, dans la soi
semblablement de l'opération, ainsi que des traces bien nettes d'un travail dégénératif. Après l'opération, on trouva le br
A part cela, il était plein' d'entrain et il pou- vait se livrer au travail , sans aucune gêne. 5° L3naoN (Ueber die Erfolge
. Lord. (7Vte./ou)'Ha<o ? MeH<f.Sc ! t'Hce, avril 1898.) Ce travail intéressant est accompagné de figures qui en faci
ric-P. Harder. (T/te Journal of Mental Science, janvier 1898.) Ce travail est bien en effet une analyse, très soigneuse et
Jour- 1 nal, 30 juillet et 6 août 1898.) ' Les conclusions de ce travail , qui reposent sur dix-huit observa- tions, sont
surtout en l'absence des figures qui les accompagnent. Le titre du travail d'ailleurs résume les faits d'une manière suffisa
poser l'existence de centres trophiques ? Depuis les plus récents travaux on tendrait plutôt à rejeter cette idée et à at
de la moelle sont le siège d'altérations importantes que les beaux travaux de Heubner ont légitimement rattachées à l'action
té du traitement. La doctrine de l'ataxie telle qu'elle résulte des travaux de Duchenne de Boulogne et de Char- cot ne para
ical Journal, 11 février 1899.) L'auteur laissera de côté dans ce travail les névroses vraies, d'origine gynécologique, t
vent naissance à des états névropathiques intenses. Dans un autre travail l'auteur a déjà attiré l'attention sur les névr
e la masturbation et n'est pas moins nuisible. L'auteur termine son travail par des considérations étendues sur le traiteme
qui sont nécessaires à la pleine intelligence du texte, rendent ce travail difficile à analyser; mais les conclusions par le
. ' Quelle est donc la nature de la tumeur dont il s'agit dans ce travail ? Là réponse est malaisée : cependant il semble p
moelle montra une diminution des faisceaux pyramidaux à gauche. Ce travail est accompagné de deux planches. R. de Musgrave
L'auteur déclare qu'il aurait peut-être plus justement intitulé son travail « l'analgésie chez les aliénés » : tous les alién
r CONOLLY NoRMAN. (The Journal of Mental Science, avril 1899.) Ce travail débute par des considérations étendues sur la fac
age et sur l'aphasie en général, et-l'auteur rappelle et résume les travaux de Marie, de Brissaiid, de Finkelberg, de Heil-
o/'JU6n< Science, octobre 1899.) Le premier chapitre de ce long travail est consacré à la phtisie considérée comme caus
tales, l'auteur signale les suivantes par lesquelles il conclut son travail : surmenage du système nerveux par la lutte pour
G. SMITII. (Tite Journal of Mental Science, juil- let 1899). 1 Ce travail est intéressant à cause du grand nombre de cas su
ces chiffres s'ils ne confirmaient sur presque tous les points les travaux antérieurs du même genre et particulièrement ce
uel en est le siège chez l'homme en donnant pour cela un résumé des travaux d'Elliot Smith : il signale ensuite les différe
ristaux d'hématoïdine, etc. M. le professeur Roth indique nombre de travaux russes que M. Préobrajensky a négligé de consul
. Préobrajensky a négligé de consulter. En 1878, dans son pre- mier travail sur la syringomyélie, M. Roth a mis en évidence d
oppement de la névrite grave, en soustrayant l'ouvrier du milieu du travail . Discussion. M. KORNILOFF dit que des anomalies
gie sexuelle; par HAVELOCK ELLIS. (Ed. Davis Company, 1900.) 1 Ce travail du savant aliéniste anglais est d'une documentati
cientia, n° 7. Carré et Naud, 1900.) L'auteur s'est proposé dans ce travail non de faire une étude complète de l'irritabili
ndit sur un lit, attendant la mort. Lorsque M. Eucher rentra de son travail , il trouva les deux corps étroitement unis. L'e
s continuera les mercredis à la même heure. M. Vaschide, chef des travaux du laboratoire, exercera les élèves, les lundis
rations cliniques. Des conférences complémentaires, accompagnées de travaux pratiques, auront lieu sur les matières suivant
. Examen de l'audition : M. le Dr Mahu. ' Pour prendre part à ces travaux , s'adresser au Laboratoire. BULLETIN BIBLIOGRAP
2 planches hors texte. 1901. - Librairie A. HoLDER.. Chipault (A.). Travaux de neurologie chirurgicale (Cinquième année). I
er cas de paralysie générale juvénile connu en France et le premier travail spécial sur le sujet 1. Depuis j'ai succes- siv
s déli- cate, est affaiblie intellectuellement et incapable de tout travail ' manuel. Père charretier, buveur, mais surto
rieusement, ainsi qu'on peut s'en convaincre en lisant les derniers travaux d'ensemble parus sur la question, en particulie
n sur son état mental. Doux et discipliné, n'étant astreint à aucun travail manuel ou intel- lectuel, il passait pour un es
se, soit dans l'épilepsie essentielle, principalement après que les travaux de Ctaslin furent connus. Les résultats laissèr
aisceau pyramidal déduite de la lésion cérébrale. Cestan, dans le travail que je viens de citer, rapporte des observation
re sa marche ulté- rieure. En nous retournant les épreuves de son travail (mars 1901), M. le professeur Estèves y ajoute
ici textuellement les conclusions très détaillées de cet important travail : 1° la glande thyroïde contient une ou plusieu
l Science, octobre 1899.) L'auteur rappelle que dans un précédent travail , il a. posé trois principes : 1° d'abord qu'un
conditions domestiques et sociales des parents, les,po- grès et les travaux qu'il a accomplis, les passages aux classer sup
ples. Voici maintenant des phénomènes plus complexes, auxquels le travail cérébral participe, bien que l'impression suit mo
gnan et remercie la Société qui l'a appelé de nouveau à diriger ses travaux . M. Motet qui l'année prochaine prendra aussi p
ée de la tête dans le sens contraire, ce qui facilite sans doute le travail mécanique des muscles des globes oculaires. 2
s paralytiques généraux la fréquence de l'inégalité pupillaire, les travaux sur cette question se multiplièrent, mais il se
de la façon suivante résumer les conclusions auxquelles aboutit ce travail . L'inégalité et les déformations, symptômes ban
e, la variabilité. L'analyse qui précède montre tout l'intérêt du travail très con- sciencieux de M. Vignot. Inutile d'in
e et de la démence précoce. Paul Sérieux. ». Le co nple rendu des travaux de la clinique des maladies ner- veuses et psyc
encyclopédie, le pro- fesseur Bechtereff a réuni la statistique des travaux accomplis par lui et scs'nombreux élèves pendan
x compara- tirs, concernant les différentes discussions en cours du travail . En première ligne se discute le régime des ali
à 30 p. 100. Des moyens thérapeutiques employés par les auteurs du travail analysé la thérapeutique diéto-hygiénique, occu
m et le codéine. 'l'el est grosso modo le résumé de cet intéressant travail du savant neurologiste de Saint-Pétersbourg. Le
nt travail du savant neurologiste de Saint-Pétersbourg. Le reste du travail contient la description des différentes formes pa
élicitaient de toute leur àme de cette récompense justifiée par des travaux dont les lecteurs des Archives connaissent le n
obtenu déjà à l'exposition une médaille d'argent (classe 112), pour travaux sur l'alcoolisme. Précoce incendiaire. Ces jour
10 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d, après les ictus dont il a bien vu l'importance ; au cours de son travail , nous relevons trois observations où le caractè
ses enfants aux besoins desquels il ne peut subvenir. Mais déjà le travail du bureau excède ses forces, il sent ses facultés
errain manque tout à coup : on ne voit plus comment une partie du travail accompli par le système nerveux peut devenir ou
onnaissance de la structure anatomique d'un mécanisme, la nature du travail qu'il accomplit : il faut encore prédire ce que
du travail qu'il accomplit : il faut encore prédire ce que sera ce travail dans telle circonstance. Rien d'uto- pique, sel
« un organe central », Edinger dit peu de choses dans le dernier travail que nous analysons ; sa réserve pourrait encore,
et Barnefe. (Nouv. Iconogr. de la Salpé- trière, n° G, 4900.) Les travaux antérieurs sur ce sujet permettent de diviser les
aralysie post-tabétique ; par , GARBINI. (Il Manicomio, 1899, 3.) Travail long et minutieux qui a conduit l'auteur aux conc
e j01tmal of Mental Science, avril 1899.) 1 . Une grande somme de travail accomplie dans les asiles, demeure effectivemen
servir utilement de leurs mains, et à chasser ainsi l'ennui par le travail . La proposition fut acceptée en 1883, et aujour
seigner aux 52 asiles d'aliénés. 1 malades impropres à tout autre travail , ou paralysés et alités, de petits travaux qui
s impropres à tout autre travail, ou paralysés et alités, de petits travaux qui les occupent et les amusent; ce comité de dam
ersonnel de l'asile si on essayait de l'en charger. La ^variété des travaux permet d'utiliser ce que chaque malade peut avo
ar R.-ll. SnEEIV. (The Journal of Mental Science, janvier 1900.) Ce travail très intéressant, très détaillé, est accompagné d
salles d'hommes, des serviteurs chargés de les aider, pour les gros travaux et les besognes qui exigent de la force musculair
ns l'affaiblissement de l'appareil de la déglutition par suite d'un travail exagéré; 2° dans l'apparition des paresthésies
ésultats avec la médi- cation tonique (fer, arsenic, hydrothérapie, travail physique) et calmante (bromures avec codéine).
rs du champ de la science stable et acquise, caractérise ce nouveau travail . On sent que l'homme qui l'a écrit, versé à fon
liénistes éminents ont pressenti la question. A la lumière de leurs travaux Bail la résolvait dans le sens affirmatif (1880
en plus étroitement. Avec les observations 74 VARIA. jointes à ce travail , l'auteur se défend contre l'objection de simple
H. Lhote, ancien externe des hôpitaux de Lyon. Th. Lyon, 1900. Ce travail est basé sur 160 observations du service des épil
ez son patron suffisamment d'ouvrage pour l'employer, il resta sans travail . Il continua bien quelque temps de s'occuper po
e 8 mars, se voyant sans argent il leur restait 10 centimes et sans travail , malgré le retour de la saison ouvrable, tout f
sque dans la chaîne des souvenirs. R... se souvient avoir cessé son travail le 6 janvier, il se rappelle, après quelques hé
seulement que j'avais des idées noires, ne pouvant plus trouver de travail et étant dans la misère. » En outre, et c'est l
s,etc... » et plus loin : « Je demande ma sortie pour cher- cher du travail pour contenter mes enfants afin de pouvoir leur
mage éveillée aux autres images, la fait rentrer dans le moi par un travail de synthèse, fait que le sujet a conscience de
ciens, a hérité simplement, tout en multipliant, par la division du travail physiologique, les mêmes effets de de plus en p
ger lui-même, quelques auteurs, L. Neumayer entre autres, dans un travail entrepris sous les auspices de von Kupffer, ont
nt supérieure qu'elle soit, du fait d'une division physiologique du travail toujours plus avancée et dont la plus haute a é
plifié ». La raison en est que, depuis une dizaine d'années, les travaux d'Edinger et de ses émules ont si fort avancé l
on d'un cas analogue par l'écoulement à celui qui sert de base à ce travail : c'est celui d'une femme de vingt-neuf ans qui
pure- ment nerveuse. ' Le cas que l'auteur décrit dans le présent travail est tout diffé- rent : La malade a cinquante an
The Journal of Mental Science, avril 1900.) 1 L'auteur divise son travail en deux parties l'une psychologique, l'autre ps
erson- nalité mentale, ou du Moi. Dans le deuxième chapitre de ce travail , consacré à la psycho- physiologie, l'auteur ét
ry NI UD3LI,'Y. (The Journal of Mental Science, juillet 1900.) Ce travail est un discours prononcé à la réunion de l'Associ
d'une manière plus suivie et plus systématique. Il ne manque pas de travail pour toutes les méthodes d'étude de l'esprit qu
re était donc habituel à Léo- nard. L'auteur veut démontrer dans ce travail que ce mode d'écri- ture était non seulement ha
uche. Supposons qu'on soit obligé de faire avec la main gauche un travail qui s'exécute d'habitude avec la main droite, et
se déplace tel ou tel appareil de la mécanique à faire mouvoir : le travail s'exécute parfaitement. Il en est de même pour
rés, ont une aptitude particulière à exécuter de la main gauche les travaux analogues à l'écriture. Par la pensée, ils metten
. de neurologie, 1901, nos 5 et G.) Les recherches exposées dans ce travail montrent que les phé- nomènes de réaction et de
algie serait donc la contre-partie exacte de la maladie de Haynaud, Travail intéressant dont les conclusions ne reposent qu
de potassium; par l'oR1'IOI.I. (Il 11101'{J(/gni, 1899, octobre.) Travail du laboratoire de pathologie expérimentale de l'U
es ; par LUZlèN ? BERGI R. (Itiv. mens, de i psich. for, 1900-1.) Travail intéressant, dont il est inutile de faire ressort
commence à octobre 1894, juste au mo- ment où il est revenu de son travail . 11 ignore la mort d'Alexandre 111 et l'élévati
r W.-C. Sullivan. (The Journal of Mental Science, avril 1900). Ce travail est très documenté et appuyé sur des statistiques
ieux aux troubles épileptiques du langage : l'auteur admettra de ce travail les trois catégories suivantes : 1° Aphémie ou im
'auteur a signalé dans son ',138 REVUE DE- PATHOLOGIE lIiENTALE.- travail que le vocabulaire des épileptiques est ordinaire
ré nous a donné des renseigne- ments intéressants sur sa méthode de travail , qui ne le conduisit pas toujours à la clarté,
avec la migraine. Plusieurs observations ont été présentées dans un travail du même auteur publié dans le Boston Med. and.
éphalite hémorrhagique surtout employée en Allemagne, à la suite du travail fondamental de Wernicke, les altérations ne se
olis spas- modique chez un polisseur de pierres précieuses, dont le travail exige une attitude analogue à celle qu'impose l
de ce carac- tère en des passages plus ou moins importants de leurs travaux , ils en sont restés comme Gorrès et Ideler à un
par une longue retraite de contemplation mentale intensive, par un travail cérébral excessif, par une fruga- lité extrême
eprésentants des écoles d'assistance : « Comment .sont préparés aux travaux manuels pour imbéciles, les normaliens et les m
t elle ne sait même pas écrire ; elle réussissait assez bien divers travaux manuels, la couture princi- palement. G ? a pas
e SOCIÉTÉS SAVANTES. ? 3Õ française, tous connus par d'importants travaux et porteurs de noms qu'il faudrait tous citer.
probablement parmi nous que peu de collaborateurs. Non pas que vos travaux nous laissent indifférents, ou que les sujets d
IÉTÉS SAVANTES. Je ne veux songer qu'au but de vos réunions, de vos travaux , au but de ce congrès, et je ne puis m'empêcher
tren, de Gay-Lussac et de Cruveilhier. Mes chers collègues, . Le travail n'exclut ni la curiosité ni les distractions. A c
maladies. Elles n'ont plus rien de commun avec la métaphysique. Ce travail graduel d'émancipation a été puissamment secondé
r s'y est prêté de la meilleure grâce, connaissant la valeur de vos travaux , l'importance de vos réunions, et appréciant, com
j'ajoute que dans l'état actuel de la psychiatrie, en présence des travaux étrangers, de l'évolution des esprits en ce qui
t, il nous faut suivre avec plus de soins scrupuleux que jamais vos travaux , connaître vos voeux, vos résolutions, car c'es
ctions microbiennes ou toxi-infectieuses. Depuis cette 'époque, les travaux publiés sur cette affection établissent que l'on
brile, et en 1898 dans les états toxi-infectieux. D'autre part, les travaux récents en pathologie mentale établissent l'exi
rmer qu'elle est aujourd'hui acceptée par tous les auteurs dont les travaux font autorité. Le très savant rapport de MM. A.
r au délire aigu. J'ai aussi suivi avec le plus grand intérêt les travaux de Bianchi et de ses élèves sur le même sujet,
ue dans laquelle se développent vos efforts et se multi- plient vos travaux . Ce soir, c'est avec plus de simplicité, de fam
maître, M. le professeur Brissaud, reprises par lui dans plusieurs travaux , en collaboration avec M. Feindel. Le torticoli
l'état particulier des dégénérés. Quelques membres rap- pellent les travaux de Morel, de Lucas, etc. Paralysie générale juv
ersécution. C'est un dément qui s'occupe le plus souvent, mais à un travail toujours le même. Cas. II. B..., vingt ans, cél
aralytiques géné- raux; par le Dl' Philippe RICARD. Reprenant les travaux du De Régis, l'auteur étudie dans une cinquanta
s vaisseaux dans la syphilis du cerveau : toute cette partie de son travail consiste surtout en un résumé de la question d'ap
nfant est dans une école, on a coutume de lui faire abandonner tout travail ; le plus souvent, c'est une faute, el il ne fa
souvent, c'est une faute, el il ne faut conseiller cet abandon du' travail et surtout de la vie el du milieu scolaires que
rapport de M. Crocq. par ailléurs très complète, l'indication d'un travail publié en 1884, dans la lieviie de médecine, pa
cette opinion ont été développés par M. Maurice de Fleury dans son travail . La non-identité de nature de la trépidation ép
n opératoire. Nous aurons l'occasion probablement de revenir sur ce travail : Deux observations d'algidité centrale d'assez
appelons Phanlagènie physiologique. Autre exemple : au milieu d'un travail qui absorbe votre atten- tion, un point lumineu
on et que nous en avons longue- ment exposé les raisons dans divers travaux =. .. Je me bornerai à en indiquer quelques-unes
ille, se déshabille seul et proprement. Il se rend utile à tous les travaux du ménage. Son travail à la classe est bon, il
et proprement. Il se rend utile à tous les travaux du ménage. Son travail à la classe est bon, il écrit assez lisiblement,
arle, marche, s'habille et se déshabille seul, et se rend utile aux travaux du ménage. - Il écrit lisiblement, mais est lent
jours à l'atelier des tailleurs, où son patron est satisfait de son travail . Mil... (Emile), neuf ans, est entré le 10 août
HAUD, ancien externe des hôpitaux de Lyon. Th. de Lyon, 1\)00. Ce travail , inspiré par 11. le professeur Pierret, a pour bu
ques, causés par des personnes saines à des aliénés ou anormaux, le travail se termine par l'étude légale des maladies ment
médical est insuffisant à Bethel, mais l'organisation générale, le travail , l'activité, le bien-être y sont excellents. Les
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. L'influence de l'alcool et du tabac sur le travail ; Par CH. FÉRÉ, médecin de Bicêtre. Lorsqu'on
ques 1 montre que ces deux ' Ch. Féré. Études expérimentales sur le travail chez l'homme et sur quelques conditions qui fon
des exci- tations agréables et des excitations désagréables sur le travail . (Année psychologique, 1901, p. 88.) - L'excita
ettre que les habitudes alcoo- liques ont un effet dépressif sur le travail . Quant à l'effet immédiat de l'alcool, les expé
cation et la dégradation réchauffement artificiel de la tête sur le travail . (Jouon. de l'anat., etc., 1901, p. 291.) - Not
suelles. (Ibid., p. 668.) Note sur l'influence du haschisch, sur le travail . (Ibid., p. 696.) Note sur la fatigue par les exc
ns du goût. (Ibid., p. 722.) Note sur l'influence de l'opium sur le travail . (Ibid., p. 725.) Note sur la fatigue par les e
tanées. (Ibid., p. 753.) 1 E. Destrée. Influence de l'alcool sur le travail musculaire. (Journ. méd. de Bruxelles, 1897, p.
eskuitde, 1898, lin 25.) L'INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL . 371 alcooliques sont intenses, moindre est l'e
ouvements que sur leur énergie, sur le temps de réaction que sur le travail 2. Il n'est pas plus favorable au travail menta
de réaction que sur le travail 2. Il n'est pas plus favorable au travail mental qu'au travail physique3. Les effets de l'a
r le travail 2. Il n'est pas plus favorable au travail mental qu'au travail physique3. Les effets de l'alcool ne sont pas p
l physique3. Les effets de l'alcool ne sont pas plus heureux sur le travail des animaux que sur celui de l'homme*. Les diff
ts en expérience, et il n'est guère douteux que l'alcool ait sur le travail intellectuel les mêmes effets d'excitation que z
le travail intellectuel les mêmes effets d'excitation que z sur le travail manuel. Lauder Brunton raconte que lord Derby l
ui me paraissent bien propres à montrer l'action de l'alcool sur le travail , tant au repos que dans la fatigue. 1 De Bock
uss. (ilsych. Arbeiten, 111, 1900.) 1 A. Chauveau. La production du travail musculaire ulilise-t-elle comme po<e;tt ëtte
cool au sucre alimentaire en quantité isodynamique sur la valeur du travail musculaire, etc. (Ibid., p. 110.) ' P. Nacke. D
sclze Centralblalt, 1900, p. 648.) G L'influence de l'alcool sur le travail . (C. R. Soc. de Biol., 1900, p. 825.) 372 PHYSI
de ce genre, sans excitation d'aucune sorte et au repos, donnent un travail de 143 à 150 kilogram- mètres. Dans une expérie
22kil. 47. C'est ce chiffre qui nous servira de comparaison pour le travail de chaque série. Du reste, nous allons rapporte
ontre bien l'accumulation de la fatigue et la décroissance lente du travail lorsque aucune excitation n'est venue le troubl
repos, sans excitation. L'INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL . 373 374 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Le travail
ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL. 373 374 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Le travail total des 9 séries est est de 144 kil. 94. C'est
E. Le travail total des 9 séries est est de 144 kil. 94. C'est le travail ordinaire dans les expériences faites sans excita
té faites dans diverses circonstances ont donné, avons-nous dit, un travail variant entre 143 et 150. Expérience II. Au déb
cm3 d'eau dis- tillée. L'INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL . 375' · 376 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. \'·',1
QUE. \'·',1 ? 4 r. é ? l'influence DE l'alcool ET DU tabac SUR LE TRAVAIL . 377 378 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.' L'INFLUEN
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.' L'INFLUENCE DE l'alcool ET DU tabac SUR LE travail . 379 380 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. L'INFLUENC
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. L'INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL . 381 eS7 1 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. 4 - . dé
quatrième ergogramme. - L'INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL . 383 384 CLINIQUE MENTALE. surtout à l'irrita
me quantité du même mélange, produisait une dépression immédiate du travail 1. La déglutition, qui n'est qu'un résultat aut
s que celles-ci des altérations en ' L'influence de l'alcool sur le travail . (C. R. Soc. de Biologie, 1900, p. 825.). RÉA
squirol, avait entrepris le traitement d'un idiot, et son pre- mier travail sur ce sujet date de 1838. C'est à lni que revien
sez. (The Journal of Mental Science, Octobre 1900.) Cet intéressant travail est accompagné de planches : il se résume dans
cience, juillet 1900.) L'auteur rappelle sommairement ses propres travaux sur la question des réactions pupillaires et se
question des réactions pupillaires et se propose dans le présent travail de se borner il l'étude des muscles oculaires int
TC. (The Jour- nal of Mental Science, janvier 1900). Le but de ce travail est d'examiner les diverses formes de folie que
tit mal. Ces cas se ter- minent par la démence. L'auteur termine ce travail par quelques considérations sur l'influence de
peau dans certaines maladies mentales : l'auteur se propose dans ce travail de n'étudier que quelques affec- tions cutanées
dical des ser- vices, tandis que les autres seront occupés aux gros travaux . M. DouTREBENTE fait remarquer que cela existe
es, dans tous les quartiers, ne sont pas seulement chargés des gros travaux ; ils sont appelés aussi à soigner les malades, à
impos- sible d'avoir des chefs d'ateliers diplômés. Il pense que le travail est le but essentiel des ateliers; le chef d'at
icat ou diplôme, 11 se sont retirés, les autres ont échoué. 4° Le travail dans les asiles doit être considéré comme un mo
lt-Scher- bitz, des colonies d'aliénés où les malades, employés aux travaux des champs, jouissaient de plus de liberté, ave
malades travailleurs l'impression pénible de rentrer, une fois leur travail terminé, dans une prison munie de murs et de gr
ortis guéris ou améliorés des asiles du canton en leur procurant du travail , en leur donnant des secours (argent, aliments,
nvier 1900.) Selon notre coutume, nous nous bornons à indiquer.- ce travail ,"436 asiles d'aliénés. de comparaison, qui,
e traitement des aliénés, a fait l'objet, en Allemagne, de nombreux travaux (Fùrstner, Kraepelin, Sommer, Lührmann, Sioli,
es, la pratique de la réflexion, la surveillance et la direction du travail combat- tront les auto-suggestions nuisibles. L
restreint (2 personnes) on a pu pendant le pre- mier mois, avec un travail régulier, réaliser des bénéfices réellement éno
avillon ayant été faite dans un tra- vail spécial (Voir Recueil des travaux , t. 1, 1901, P. Masson, éditeur), nous avons te
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. L'influence de l'alcool et du tabac sur le travail ' ; Par Cii. FÉRÉ, médecin de Bicêtre. II. En
ley, Ilouâh, qui ont expérimenté sur ses propriétés relativement au travail musculaire, s'entendent à reconnaitre ses effet
périence IV. On commence à fumer la cigarette cinq minutes avant le travail et on continue pendant la première série d'er-
physiologie pathologique. INFLUENCE DE l'alcool ET DU tabac SUR LE travail . 468 466 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. EXPÉRIEN
EXPÉRIENCE V. -On commence à fumer la cigarette 5 minutes avant le travail et on continue pendant la première série d'er-
gogrammes (une cigarette). INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL . 461- 1" 468 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. INFLUE
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL . 469 470 . PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE... - , -.
GIE PATHOLOGIQUE... - , -. INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL . 471 472 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Expérience
amme (trois cigarettes). INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL . 473 474 Il PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. INFLUEN
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL . 475 476 PATHOLOGIE NERVEUSE. l'activité inte
ou- vements est passée quelque peu sous silence au moins dans les travaux français : ce sont les stéréotypies. Ordinaire-
observations dues à notre maitre M. Séglas, qui nous a ins- piré ce travail et nous a grandement aidé à son accomplis- seme
ion. Deux études importantes, qui nous ont beaucoup servi dans ce travail , ont paru dans deux revues de psychiatrie ita-
a fait paraître un article sur la question. . Malgré ce nombre de travaux , les stéréotypies sont res- tées dans l'ombre.
es exemples que Bin- der a mis « ces têtes de chapitre ». Dans le travail de Brugia et Marzocchi, nous trouvons une class
lent constamment une phrase musicale, telle que celle notée dans le travail de M. A. Marie (p. 61). D'autres chantent en da
ccusation auraient commencé à le hanter ». Il revenait alors de son travail en disant qu'un tel lui avait fait ceci ou cela
es jours seulement avant son entrée (c'est alors qu'il a quitté son travail ), il a commencé à dire qu'il était criminel, qu'i
estations de la grande névrose dans la suite des temps. Grâce à ces travaux , les maladies invraisemblables, les épidémies d
nomène relativement rare. On le trouve à peine men- tionné dans les travaux anciens... Si l'on voulait dépouiller toutes le
isait exacte- ment tout l'ouvrage de la maison. Après deux ans de travaux et de peines, un jour qu'il faisait un fossé, i
usiasme général par lequel on avait accueilli au début les premiers travaux de Nissl a fait place à un scepticisme assez pr
e. C'est chez l'homme et non chez les animaux qu'il faut faire des. travaux pré- paratoires. Il faut s'occuper de toute l'é
r des pro- portions de l'ensemble du squelette appendiculaire. Ce travail se termine par une excellente bibliographie du su
; par John 'foRNER. (The Journal of Mental Science, octobre 1900.) Travail accom- pagné de planches. Ces trois mémoires
ultés du dia- gnostic. R. DE DIUSGRAVE-CL.1Y. LXVI. Continuité de travail dans des conditions différentes ; par le Rev. H
ie active. R. M. C. LXVIf. Sur la meilleure méthode à appliquer aux travaux anatomo- pathologiques des asiles irlandais; pa
n. de Neurologie, 1901, n° 13.) L'observation qui sert de base à ce travail est celle d'une femme de trente-huit ans attein
isme tendineux; par CROCQ. (Journ. de Neurologie, 1901, n° 2.) Ce travail contient huit observations de lésions du faisceau
Ys. (Journ. de Neurologie, 1900, n° 25.) . D'après l'auteur de ce travail , les réflexes rotuliens 'et achilliens auraient
nal of Mental Science, juillet 1900.) On ne peut qu'indiquer ici ce travail utile à consulter, sans l'analyser, parce qu'il
l'analyser, parce qu'il n'est lui-même qu'une analyse de quelques travaux récents sur les diverses médications adoptées ou
aitement des maladies nerveuses ; par le Dr OSTANKOFF. (Recueil des travaux de la cli- nique des maladies nerveuses et ment
redis, à dix heures du matin, par M. le docteur Schrameck, chef des travaux d'ophtalmologie. Enseignement de la médecine lé
, par Benedikt, 43. Alcool. Influence de 1'- et du tabac sur le travail , par Féré.369, 463. Alcoolique. Homicide -, p
éral, par Sano, 43. TAB1C. Influence de l'alcool et du - sur le travail , par Féré, 369, 463. Tabès. Sensibilité ocula
11 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
circulaire , etc., états que l'on tend aujourd'hui, à la suite des travaux de l'Ecole allemande, à grouper sous le terme g
éments de son célèbre mémoire sur la Folie ci double forme. . Les travaux de ces deux auteurs ayant servide hase à la con
à bon droit sous le nom de période contemporaine, ou. d'après les travaux qu'elle compte jusqu'ici à son actif, sous celui
rre Falret, qui lut à soniourù l'Académie, quelques jours après, un travail ayant pour titre « Mémoire sur la folie circula
conclusion capilalequi se dégage de ce débat, c'est que ce sont les travaux de Pierre Falret et de Bai1l111'- gel' qui ont
rolongée de ma part. Sans rien changer aux habi- tudes de vie et de travail , ce traitement consiste ex- clusivement à nouer
e la ,oc. de nu·tl. cle l3elgique, février 190.) 11 résulte de ce travail que la pression du liquide céphalo- rachidien e
tous les traitements, guérissent aujourd'hui facilement depuis les travaux de Sabou- raud : enfin nous rappellerons les te
3° que les si- tuations officielles acquises et justifiées par des travaux antérieurs soient respectées. Il insiste sur
ASEMSKI. (Obo.m3niJ psichiatrit, IX 1\)04.) .Mémoire il l'appui des travaux de Paul Farez sur ce sujet (Re- we de l'hypnoti
. de 111';(/. février t90G.) Tous les neurologistes connaissent les travaux de )Iauriee Faure sur i- ii cil 1-e (le rééduca
le néoplasme du myélo-hyoidien et du digastrique pos- térieur. Ce travail se termine par la description des altérations tro
Lif'PE1. et LHERMITE. (L'Encéphale, 190(;, n° 2.) Comme suite à des travaux antérieurs, les ailleurs étudient dans trois no
lsive, mais qui peu il peu en vintà ne pouvoir se livrer il an- cun travail tant elle était fatiguée la déglutition devint im
e. Un dernier chapitre décrit les traitements. Tel est le nouveau travail de 31. 31asselon ; j'aurais voulu être plus con
s causes des maladies mentales, - se propose d'indiquer l'ordre des travaux auxquels il faut s'appliquer dès l'abord mais déj
quelle partie du travailleur est assi- gnée, et pour coordonner le travail qu'ils auront accompli. Par intervalles régulie
ur leurs résultats, et l'on délibérera suivant quelles rè- gles les travaux devront être continués. Docteur Frank. (Zuric
apport avec celui qui existe chez les personnes normales. (Cfr. les travaux de Iioller et de Diem). ! Il. Alcoolisme. - 1. a)
1880. LLS SYMPTOMES OCULAIRES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. Or) son travail ) et peut-être alors faut-il invoquer l'influence
es médecins aliénistes ont choisi un champ très favo- rable à leurs travaux . Il fait l'éloge de M. Vincent, préfet du Nord,
professeur Grasset, l'éminent neurologiste, ap- pelé à diriger les travaux du Congrès; de la ville de Lille, où la vie ind
ssistancepubliqueest, dit-il, saisi de plusieurs questions nées des travaux des Congrès ; l'unification des retraites et le
fs, et dans chacun de ses congrès, par les importants rap- ports et travaux que vous connaissez, répond nécessairement aune
préambule net et conçis, lI. DmE expose les traits généraux de son travail : Le poids spécifique du sang est légèrement au
s faits si bien exposés par M. Dide. M. TATY félicite M. Dide de ce travail appelé à prendre place désormais dans tous les
en- tale. Il le remercie de l'allusion faite dans son rapport aux travaux de l'Ecole lyonnaise sur la typho-psychose, trava
son rapport aux travaux de l'Ecole lyonnaise sur la typho-psychose, travaux sur lesquels il reviendra d'ailleurs en communi
e traitement habituel de la syphilis. M. MAURICE FAURE rappelle les travaux qu'il fit dans le la- boratoire de il. Gilbert
illeurs, par cetteconclusion que s'étaient t terminés, en 1901, les travaux de l'auteur. 11. Sasaazès (de$ordeaux). -J'ai f
ue MiM.Lejonne et Lhermitte ont publié sous ma direction différents travaux sur les paraplégies des vieillards et montré qu
Vol. XXX, fascicule 1.) Ces recherches constituent le complément de travaux anté- rieurs sur le mode de formation de la cel
ale di Freniatria, HJOt. Vol. XXX, fasc. 1.) Après avoir cité les travaux antérieurs de Ilis, de Beard, de Galforw, d'Apa
'origine, réunis matériellement avec le système nerveux central. Ce travail , extrêmement intéressant, est accompagnée de figu
manipulations né cessaires et ajoute des figures à l'appui de. son travail . En termi- nant, il dit que par la constance de
1905, fascicule 6.) L'auteur rappelle d'abord que, dans un premier travail publié en 1901, il avait établi qu'à l'hémiatro
question : » GaisLe-t-il vraiment une proportion entre la somme de travail exigée à l'école et la capacité mentale des élè
y a à résoudre un semblable problème, il préconise la suspension du travail aussitôt qu'il y a a des signe» manifestes de f
ations caractéristiques exté- rieuresdfretf maladie. Plus lard, les travaux (le Heehlinghau- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
ta sperimentale di Freniatria, 1904. Vol. XXX, fasc. Il, 111.) Ce travail est divisé en trois parties, qu'il convient d'étu
ricellulaire, les considère commodes produits de coagulation. Les travaux de Donaggio, confirmés par ceux de Hel<), ont
e des vertébrés vient du reticu- lum fibrillaire endocellulaire. Ce travail est accompagné de 16 li·uces qui ajoutent à l'i
ésultats, discutés par Arrivé et Brugnon, nnt été confirmés par les travaux de Lsgrain, LasèguJ, Lance "('aUN', Jacquet, Bo
dicina légale délie alienapone mentale, 1904. Vol. fascicule Il. Ce travail accompagné de planches, a amené son auteur a con-
XXX, fascicule 1.) L'auteur, étudiant les résultats obtenus par un travail d'une heure, en expérimentant à l'école publiqu
ant à l'école publique de garçon, conclut que : 1° La quantité de travail produit pendant chaque quart d'heure se présent
ité ; lÕ4 REVUE liE Y : 1'CHOLO.iII, NERVEUSE. 2° La qualité du travail va en diminuant (nec chaque quart d'heure ; 3
lité du travail va en diminuant (nec chaque quart d'heure ; 3° Le travail accompli dans les écoles dans une heure de l'aprè
s- midi est moindre en quantité et plus mauvais en qualité que le travail fait le malin dans la même période de temps ; 4
période de temps ; 4" Aussi bien le malin que dans l'après-midi, le travail produit par les écoliers dans les derniers jour
us grande, mais constamment d'une qualité plus mauvaise que le même travail obtenu dans une même période de femps, au début
(Journ. de Neurologie. 1900, no 'i.) Les auteurs relatent dans ce travail deux observations dans lesquelles le tic rappel
une diminution de ''4,1 "/&#x201e;. Si nous nous reportons aux travaux publiés en décembre 1905, nous verrons que ces
es qua- tre membres. Après une semaine, le patient, reprenant son travail , observe un affaiblissement dans les membres, s
r lui-même dans sa thèse (2). F.Raymond et S ? 1. Sicard, dans leur travail déjà cité, pu- blient un cas analogue, et J. Ba
simplement en vedette les symptômes dominants consti- tuent un bon travail de classement destiné à déblayer ce qui apparti
stiné à déblayer ce qui appartient il l'avenir. . Pour aider à ce travail , il importe au plus haut point de tâcher de dép
précis pour qu'il nous soit permis, alors qu'elle s'appuie sur des travaux antérieu- rement produits, d'en tirer une concl
lumières, ni les capacités officielles (parait-il) requises pour ce travail . Il y a des gens qui sont trop curieux,me disaien
MM. Brissaud, Raymond et Ballet. Il résulte cependantd'une série de travaux allemands et anglais sur ce sujet, qu'il y a pr
son interne, Mlle R. Maugeret, seront publiées dans le recueil des travaux du Congrès. Hydrocéphalie congénitale. La der
s, par exemple, les hysteriques, les paralyti- ques généraux. Les travaux de Féré sont assez probants pour qu'on ne puiss
TEYKO. (Jou1'n, de Neurologie, 1906, no 1.) L'auleur montre dans ce travail que la courbe ergographique est soumise àl'infl
tions de torticolis et de scoliose rapportées par les auteurs de ce travail . A défaut d'expression clinique précise, il faut
n'a aucune action, sauf dans la forme de Carrière. Au cours de leur travail , Iluchard et Fiessinger rapportent une observatio
(Joum. de neurologie, 1906, n- 12.) . Le Dr Morel donne, dans ce travail , sous forme de tableau, les résultats de l'exam
ulgation des lois relatives aux accidents BIBLIOGRAPHIE. 231 du travail : Bollinger, Michel, Kol, Brums, Stadelmann, Krau
e services, d'un exposé de ses titres, d'un résumé restreint de ses travaux , du dépôt de ses publications, ainsi que des pi
ment, de Belgique, fé- uier 190a.) Les principaux éléments de ce travail sont empruntés au re- marquable rapport de 1. S
tude de ses facultés intellectuelles et qu'il est apte à tous les travaux dont les jeunes aveugles ou les jeunes sourds-mue
les coo- pèrent et que la prédisposition soit fécondée et mise en travail par un élément occasionnel. 246 pathologie me
i la psychiatrie doit, en outre de cette folie simultanée, d'autres travaux remarquables, telles, par exemple, ses deux sup
temps doué d'une érudition considérable,il connait à fond tous les travaux parus non seulement dans son pays, mais encore
Or le savant aliéniste russe rapporte que M. Antonio Marro,dans son travail de 1893, établit que bien longtemps avant Morea
e se faire une idée de la folie gémel- laire. En effet, d'après les travaux les plus récents, on peut avancer que le pouvoi
de la vie psychique humaine. Voici l'analyse de cet inté- ressant travail . Méthode : Les recherches ont été faites pendan
angement de la forme de l'activité a une influence favorable sur le travail . Dans les recherches avec du brome. les moyenne
on de l'addition qu'elle n'était pas en réalité. Le tableau IV du travail de Lcwald contient les don- nées des épreuves d
près la prise du médicament, mais dans le second quart d'heure le travail diminue de presque 100 chiffres, pour s'élever
Ru. La durée de chaque épreuve était d'une heure. Le tableau VI du travail de l'auteur contient le nombre des chiffres app
pération initiale et l'opération maxima sont aussi concordantes. Le travail descend, sans oscillation jusqu'à la fin, à un
I. Recherches ergographiques. Ces recherches devaient établir si le travail des mus- cles souffre quelque influence de la p
oyé un pédomètre pour pouvoir fixer le rapport entre la quantité du travail et l'influence du temps de réaction. Le table
As Mémorisation DES syllabes avec TROUBLE. Un tableau \ : SI) du travail de L&#x152;WALI> représente les syllabes
é l'effet de l'exercice intervenu dans le second groupe, le plus de travail est donné dans le premier groupe, mais cela doi
s rapide et moins évi- dente dans la seconde série, de sorte que le travail aug- mente pendant, ainsi qu'après l'épreuve tr
t influencé réellement l'opération, il en résulte de l'élévation du travail pendant la seconde demi-heure et cela d'autant
été les N. I, N. Il et N. III. Dans les épreuves avec du brome, le travail opéré pendant le second quart d'heure est, à l'
xcitations troublantes. Aussi l'influence favorable du brome sur le travail est claire comme le jour. Cependant il est à vo
nué à ap- prendre encore pendant une heure et on a tenu compte du travail fait par quart d'heure. Chaque jour pris séparé
iales, naturellement petites, dans le 4e quart d'heure, la somme du travail augmentant au-des- sus du maximum des jours nor
Et alors il arrive le fait suivant,qui est très intelligible, le travail qui rencontre de grosses difficultés intérieures,
s difficultés intérieures, est facilité par le brome, tandis que le travail qui s'ac- complit avec facilité n'est influencé
herches c'est que par ce moyen certaines difficultés intérieures du travail sont combat- tues. Cela explique aussi l'accélé
LA TUBERCULOSE DANS LES ASILES D'ALIENES. 28' ? ' 60 Dès que le travail est rendu difficile par des troubles distractif
leurs que la résultante et la consécration ofli- cielle de nombreux travaux individuels sur un sujet de- venu d'actualité e
té et dont nous citerons les plus récents. En Angleterre, après les travaux du prof. Clouston, ce sont les études et les ob
en Allemagneles publications deNoetel, Snell, Ilagen et surtout le travail récent de Geist sur la tuberculose dans les asi
r Marie, celle de Chardon et Raviart au Congrès de Bruxelles et les travaux scien- tifiques du D' Anglade qui s'est attaché
iale, voilà ce que nous voulons établir par la revue méthodique des travaux dont nous venons de faire le rappel historique.
urer trop longtemps et le remplacer à temps par la thérapeutique du travail . Il est nécessaire d'organiser des stations d'o
tivité, en lui fournissant les moyens avec lesquels, par son propre travail , il puisse pourvoir à sa subsistance, et ne lui
en procurant aux membres de sa famille les moyens de vivre par leur travail . a) Etant donnéque les subventions matérielleso
u bien à une ac- tion commune (fondation d'Instituts, de maisons de travail , de bureaux d'information et de placement) qui
e premier rapport était celui du Dr Courjon. Il a rendu hommage aux travaux de NI. Bour- neville dans des termes trop juste
eptiques et des arriérés adultes. Le principe de la colonisation du travail pourles aliénés chro- niques paraît clairement
ciliter le placement du malade après sa guérison et son retour à un travail normal, de s'occuper enfin des conditions moral
ciété de med. ment, de Belgique, juin 1905. j On trouvera dans ce travail un modèle de rapport médical dressé sous l'orme
pas à s'éteindre tout à fait,. » Un ne saurait trop insister sur le travail manuel et les exercices physi- ques et les leço
du sujet l'efface. Dès lors, la sensation n'exista plus pour lui.Le travail est divisé en quatre chapitres. Dans le premier
es sont également demeurées définitives f. «Nous considérons que le travail agricole entre pour une part « importante dans
, basses de plafond, il été nécessaire de faire récemment de grands travaux pour dégager la fosse d'ai- sance commune aux a
infirmes puissent les maineuvrer facilement. On y fait beaucoup de travail manuel (pliage, tressage, etc.), on n'y lait ma
e simple observation, est ordonna à un autre domestique de faire ce travail . Lefèvre s'en alla en maugréant et passa la soi
ondation Vallée). - M. Bourneville. Visite du service (gymnastique, travail manuel, écoles et, présen- tation de malades) l
somme jamais rien jusqu'au 6 janvier 1896. Ce jour là, étant à son travail , en train de charger des corni- ches en bois, i
plus travailler, je suis si bien ici » . Il se remit de suite au travail , mais en poussant sa varlope (long rabot), il s
e peine, il demeura inoccupé pendant deux mois, puis il obtint du travail chez son ancien patron et recommença son métier
ébéniste. Il était content; malheureusement au bout de 15 jours, le travail faisant défaut, il fut momentanément remercié.
er ce qu'il allait devenir. Ecoutons-le : « Je pense toujours à mon travail , si les patrons voudront encore de moi, ça me c
a recommence, je me vois jeter la pierre par tout le monde, pour le travail , pour tout, et alors j'ai beaucoup de mal dans
que ; elle a l'in- convénient d'être tardive. Mais en décrivant les travaux d'Anglade sur la propagation de la tuberculose
erculeuse ; nous le trouvons en tête de toutes les con- clusions de travaux des spécialistes, des rapports des commissions
et la ventilation, amélio- ration du régime alimentaire, du mode de travail au graml air et des promenades, destruction des
nneux et sec, éloignement des centres de popula- tion, extension du travail agricole. On n'y semble pas partisan du pavillo
ologie Interne. « une grande liberté et toutes les facultés pour le travail « des champs. » Aussi peut-on discuter les av
fatigue, l'alcoolisme, les re- pas avant l'immersion, les excès de travail , la trop grande prc- fondeur des plongées. Des
resL). (Journal de Neurologie, 1905, n° : 2'2,) Ou trouvera dans ce travail d'intéressants détails sur la mor- phologie et
e de l3e'yiyuc, juin 1905). Voici les principales conclusions de ce travail : la densité du liquide céphalo-rachidien se ma
e de Belgique, n ? 1' et 1 ? 3). L'auteur passe en revue, dans ce travail , tous les essais de clas- silication (lui ont é
de la Société de méd. mentale de Belgique, 1905. nos 123 et 124.) Travail enrichi de nombreuses observations et d'expérienc
n d'août 1905, approuvé par le ministère de l'intérieur et dont les travaux vont commencer incessamment, comblera prochaine
vons étudié les lésions si variées que nous avons pu rencontrer. Ce travail , fait en collaboration avec Al. le Dr Raviart,
ans les maladies nerveuses ; Par Mlle le D' I. IOTEYKO Chef des travaux au laboratoire de psycho-physiologie de l'Unive
peut nous fournir l'ergographe, non seulement quant à la source de travail mécanique, mais aussi quant à la nature de cett
n'est que préliminaire, c'est à-dire que la partie physiologique du travail étant étudiée à fond, la partie pathologique n'
à l'action des centres nerveux, dont l'effort grandit au cours du travail ergographique pour lutter contre la pa- ralysie
nfluence de petites doses d'alcool (20 à 30 gr. d'alcool à 50°), le travail mécanique est considéra- blement accru. La cour
cle. La diminution de a montre que 1 intoxication produite par le travail musculaire est beaucoup moins forte quand le su
ssimilables, ce qui permet au muscle de con- - - ~ tinuer encore le travail sans la nécessité d'attaquer les - matériaux al
nt par excellence, mais qui n'est pas un excitant Ici se place le travail de Mlle Kipiani qui a fait dans mon laboratoire
at d'inanition,ce dernier s'accompagnant d'excitation cérébrale. Le travail mécanique est consi- dérablement augmenté apiws
avec l'anémie du bras ont montré , i une diminution très notable du travail mécanique avec di- minution de la hauteur moyen
nsidérablement augmenté, les substan- ces toxiques produites par le travail restant sur place ; b (action des centres) est
onc des effets d'accumulation de fatigue d'une courbe à l'autre. Le travail mécanique diminue progressivement. L'examen des
nfantile, 1906. Dans nos autres publica- tions nou" avons ci le les travaux étrangers. REVUE nE PATHOLOGIE NERVEUSE. 4*)7
fait les auteurs ont recherché dans la littéra- ture les principaux travaux auxquels a pu donner lieu la ques- tion de la c
qui doit le plus aux rhuma- lismes. Cette opinion s'appuie sur les travaux de MM. Pierrot, Brissaud, Spiher, sur les reche
résenté, dit-il, par une inaptitude particulière et inexplicable au travail physique ou mental. Parmi les psychoses, c'es
8 juin 19011.- Veuille/, à ce sujet : 10 M'exposer sommairement les travaux de la commission spé- ciale que ma circulaire v
en outre, à cette occasion, et vous me transmettrez la liste de ses travaux scientifiques personnels. Rapprochées de celles
e et la nourriture, puis permet- tant et facilitant la recherche du travail , constituerait pour le dé- partement une dépens
, entraînant une union, dans la- quelle les conjoints s'incitent au travail social, en commençant par- leur éducation mutue
ne, 1906 ; hroch. in-8° de 104 pages. Les principaux passages de ce travail ont été publiés par les Archiv. de Neurol., sou
es donnent un pour- centage encore supérieur. Puis, de l'examen des travaux sur les relations entre la tuberculose et l'ali
l'Intérieur, à Messieurs les Préfets. Pour me permette d'achever un travail en prépa- ration sur les établissements de sour
12 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la Salpêtrière. Elle habile en général la campagne et se livre aux travaux des champs. Antécédents héréditaires. Ses grand
difficultés qu'elle éprouve à gagner sa vie; ils se raillent de son travail . Indignée, elle leur répond avec force et les i
ÉS DANS LES PSYCHOSES. 21 son ménage pour venir à Paris chercher du travail , mais au demeurant c'était un homme calme, bon
ë de Westphal, étudiée par l'Ecole de Vienne, a donné naissance aux travaux de Meynert et Fritsch. Seulement Fritsch a dési
-Ebing, d'emblée méthodiques et systématiques, elles émanent d'un travail de raisonnement, et s'enchaînent en formant un- é
THORNBURN. (Brain, Part. III, 1893, p. 355.) Le Dr Head, dans un travail paru dans la première partie du REVUE d'aNAToMI
t des fibres en connexion avec la pyramide antérieure. P. S. XII. Travaux récents SUR LE CERVELET ET SES rapports; avec DES
(The Journal of nervous and mentale disease. Septembre 1894.) Ce travail très soigné porte sur les points suivants : 1° qu
et à la chaleur est indiquée par des sché- mas qui accompagnent le travail ; 5° dans la plupart des expériences la sensatio
nies où ils trouveraient réunis tous les éléments d'éducation et de travail adaptés à leur situation, en même temps qu'un tra
on de Charenton, connu dans le monde entier pour ses remar- quables travaux sur les affections du système nerveux. Nous somme
ut envoyé à Paris pour terminer ses études médicales. Son ardeur au travail ne se ralentit pas ; il continua à fréquenter l
lprodiguait, avec un dévoue- ment sans bornes, à ses malades et aux travaux qui ont illustré son nom. Royer-Collard se prit
n. Il apprécia bien vite, lui aussi, l'assiduité et la puissance de travail du jeune Calmeil; il en fit pour ainsi dire son
ations qu'il y avait recueillies. Il soumit, sans l'en prévenir, ce travail au con- cours pour le prix qu'il avait fondé, e
on plan tout tracé et bien arrêté dans ma pensée, je ne veux que le travail avec l'indépendance. » Ce plan, il l'a exécuté
et là, après un court sommeil de quelques heures, il se mettait au travail avant l'aube, hiver comme été, et composait les
orrection et d'une bienveillance entières. Il s'intéressait à leurs travaux , à leurs études, et leur inspirait le sentiment
r leur profession. C'est pendant cette période qu'il couronna ses travaux par la publication de son remarquable ouvrage s
nu, avec beaucoup de lucidité, de son existence à Charenton, de ses travaux et il a pris plaisir à me narrer plusieurs anec
rent et l'objet de leur vénération. Voici la liste des principaux travaux du Dr Calmeil : De l'épilepsie étudiée sous le
r l'Épilepsie, citait avantageusement M. Cal- meil et notamment son travail sur la paralysie considérée chez les aliénés. L
estie et d'une honnêteté sans exemple, il ne doit qu'à lui et à son travail le haut rang qu'il occupe dans la science. Esprit
sement contrôlé, et ce n'est souvent qu'après plusieurs années d'un travail opiniâtre qu'il se décide à livrer son oeuvre à l
s l'amentia de Meynert, il y a suppression, totale ou partielle, du travail d'association, de coordination des images corti
nation habituelle sont, aussi bien que ceux qui 'sont un produit du travail intellectuel, tombés en désuétude. Quand 96 CLI
phyxie disparaissait quelques heures après elle. A propos de son travail , Armaingaud propose l'introduction dans les cad
t, de Belgique, sept. 1895.) Les considérations développées dans ce travail peuvent se résu- mer de la façon suivante : au
a paralysie agitante, au mou- vement par la sclérose en plaques. Ce travail contient de nom- breuses planches représentant
rveuses et artérielles. Deux planches histologiques accompagnent ce travail . P. S. XXVI. UN cas DE TUMEURS hydatiques INTRA
complètement faite. Pour achever l'oeuvre de M. Zambaco, un nouveau travail s'im- pose, c'est d'examiner séparément et à l'
es. M. Vallon se demande si la toxicité du sang ne résulte pas du travail musculaire qui accompagne l'attaque épileptiforme
qu'on établit les élé- ments cliniques de ces deux formes. Le même travail est encor SOCIÉTÉS SAVANTES. 141 plus diffici
se coïncidence, elle donnait une sorte de consécration clinique aux travaux que notre ami Magnan poursuivait alors. Magnan
dépôt des aliénés à la Préfecture de Police, c'était un surcroît de travail qui n'effraya pas M. Motet. z Mais, nous a-t-il
nt paru les plus difficiles; celles qui ont exigé de moi le-plus de travail , le plus d'attention soutenue. » En 1886, apr
gique en 1883 : avant et depuis, M. Motet a pris une large part aux travaux de cette Société; secrétaire-général de la Soci
Annales d'hygiène et de médecine légale. Ne pouvant citer tous les travaux et rapports de M. Motet, nous nous bornerons à
e; par le Dr Ronier. (Genève, 1892.) La conclusion capitale de ce travail intéressant est que la folie n'est contagieuse
ec-Valley (New-York), la Société natio- nale pour l'organisation du travail des épileptiques a créé la colonie industrielle
e médico-légal ; rapporteur, M. Parant. 2° Lectures, présentations, travaux divers. 3° Excursions, visites des Asiles, banq
peine de mort n'était plus applicable, Maumy n'encourait que les travaux forcés à perpétuité ou à temps. La veille de sa
tes. La cour, en consé- quence, a prononcé la peine de vingt ans de travaux forcés avec vingt ans d'interdiction de séjour.
debout pro- voquaient des accès. La malade dut bientôt cesser son travail . Elle ne réussissait pas à dormir pendant la nu
pèse actuel- lement 44 kilogrammes. La malade sort et reprend son travail . Elle revient nous voir le 1G septembre. Elle
l. 500. Elle devait venir le 30 septembre, mais n'a pu à cause d'un travail pressé. Ce jour- là, à 10 heures du matin, elle
- leurs. Elle avait de nouveau pensé à sa soeur. Ayant repris son travail , elle éprouva des douleurs en voyant une robe b
lle qu'avait portée sa soeur; cette vue est le point de départ d'un travail psychologique subcons- cient à résultat habitue
nouvelles observa- tions d'érythromélalgie, qui seront l'objet d'un travail ultérieur. Dans le premier cas, il s'agit d'un
congestion rouge sont provoquées par la cha- leur extérieure et le travail de la digestion. " Les troubles fonctionnels so
té, parce qu'on s'est moqué d'elle pour être arrivée trop tôt à son travail , elle éprouve des douleurs sourdes sans sudatio
de profonde. On est autorisé à craindre du côté de l'encé- phale un travail morbide analogue à celui qui occupe la péri- ph
e ces idées fixes peut produire la guérison. - On peut résumer ce travail dans les conclusions suivantes : A. -1° Il est
en ce qui a trait aux formes aiguës de la Paranoïa, c'est le récent travail de Chaslin qui présente l'état de la question e
ont de la confusion mentale ou Verwirrtheit. Il se réfère aussi aux travaux de Delasiauve (1851), Becquet (1866) et de Dago
et une tare héréditaire considé- rable. Qui ne connaît, depuis le travail de Séglas, la littérature et et les opinions it
les ma- nières de voir adoptées par les savants slaves. C'est le travail russe de M. Korsakow qui montre le mieux la con
omplètement satis- faction aux exigences des nosographes, aussi les travaux relatifs à la confection d'une classification p
erronée c d'un auteur justement estimé » que M. Régis entreprend ce travail . M. Régis a trouvé dans la littérature médicale
de voir, on pourrait invoquer de nombreux arguments, notamment les travaux récents et déjà bien connus démontrant l'importan
elgique, sept. 1894.) Le sujet dont l'observation sert de base à ce travail a présenté durant toute sa vie diverses pervers
' (Brain, part. I, 1894, p. 50.) VII. REVUE CRITIQUE DES récents travaux sur l'hystérie ET la NEU- BASTHÉNIE; par Miche
ke. (Brain, part. II, 1894, p. 179.) Dans la première partie de son travail , l'auteur passe en revue et donne des observati
éclate sous forme de délire. L'observation relatée dans le présent travail vient corroborer ces notions intéressantes. Il
ons et d'agitation, est le type de la folie infectieuse d'après les travaux les plus récents. M. Cullerre pense que l'infec
éd. ment, de Belgique, septem- bre 1894.) L'auteur relate dans ce travail les observations de deux femmes chez lesquelles
ociété de l'honneur qu'elle lui a fait en l'invitant à présider ses travaux . SOCIÉTÉS savantes. 225 3 commission des prix
e pour la pathologie des organes centraux. Tout récemment dans un travail sur la paralysie générale, Buiswanges a attribué
a suivie, méthode lente, mais sûre, qui fait apprécier la somme de travail que représente un pareil ouvrage, le plus origi
nsidérer le plus possible l'em- bryon humain, en s'appuyant sur les travaux de His, dont il repro- duit un grand nombre de
sujet, mais bien d'une oeuvre originale, person- nelle, fruit d'un travail minutieux, patient et sûr. On peut prévoir 240
s jusqu'à ce jour. En même temps qu'il est une synthèse de tous les travaux précédents, il constitue un grand progrès dans no
chure in-8°. Doin, Paris, 1893. Bon résumé et exposé très clair des travaux les plus récents de Golgi, Ramon y Cajal, van G
sa destination. Berne consacre plus de 1,400 francs à une maison de travail pour femmes; Lucerne verse le total des recette
pauvres; Schvyz emploi 9,000 francs à la fondation d'une maison de travail forcé. Glarus donne ses recettes entières (6,10
struction des pauvres, et une autre de 4,000 francs à une maison de travail forcé. D'autres cantons emploient également leu
hement, lactation); par le Dr FVBOT. (Thèse de Lyon, 189 : i.) Ce travail , sur un sujet qui a été l'objet déjà de nombreux
s leçons cliniques de M. le professeur Pierret et dans les nombreux travaux de ses élèves. L'aliénation mentale est une mal
ement pour objet le traitement des malades indigents. En outre, les travaux projetés sont d'ordre purement hygiénique, et s
, sur 224 garçons, il y en avait 103 capables d'instruc- tion et de travail ; 52 n'étaient capables que de travail manuel; 6
apables d'instruc- tion et de travail; 52 n'étaient capables que de travail manuel; 69 étaient incapables de travail; sur 1
n'étaient capables que de travail manuel; 69 étaient incapables de travail ; sur 158 filles, 100 étaient capables d'instruc
e travail; sur 158 filles, 100 étaient capables d'instruction et de travail ; 17 n'étaient capables que de travail : 41 étai
capables d'instruction et de travail; 17 n'étaient capables que de travail : 41 étaient incapables d'occupation. Les gardi
s considérations cependant très intéressantes ; notre but dans ce travail sur l'épilepsie générale essentielle, est assez d
nombreuses ressemblances, de nombreux points communs. Depuis les travaux du professeur Bouchard', l'examen des urines pr
ux en conversant avec les maîtres. Nous lisons, en effet, dans le travail déjà cité de 11. Cramer. Il existe des symptômes
fications. Le mélange semble 'encore plus intimé quand on lit leurs travaux dans le texte,'et quand, surtout, on étudie leu
hercher un appui au délire chronique de' Magnan, et en étudiant les travaux italiens qui, eux aussi, lorsqu'ils parlent de
r, et elle ne se sert de la main droite qu'avec difficulté pour des travaux délicats. Je puis ajouter ici que l'examen micr
ne cicatrice. Mais cette transformation ne s'effectue pas sans un travail inflammatoire, en lui-même irritatif. On devait
prises pendant la vie intra- utérine, et la mère devra éviter tout travail pénible, toute émotion. Pendant la première enf
u- dinal postérieur et l'aqueduc de Sylvius. ' ' En 1891, dans un travail paru sur la paralysie progressive des muscles d
ite des accès. Chez un homme de vingt-huit ans, fort surmené par le travail (c'était un négociant), indemne de syphilis, il
. lYerven)zeil>D.). M. ScnoLTZE passe en revue quelques nouveaux travaux sur lapolio- my élite aiguë ; pour, lui il s'ag
st que de six fois à l'état nor- mal, dans les pires, conditions du travail intellectuel. i ' ' i Conclusions. L'ideenflu
nclusions. L'ideenflucht a pour caractères : 1° la préémi- nence du travail intellectuel moteur; 2" une 'modification dû jeu
elle est aussi, improbable que l'augmentation de l'effet utile du travail intellectuel. '' ' I M. H. DEiiio. De certaines
ntièrement. Il y a, semble-t-il, quelque ingratitude à profiter des travaux de nos devanciers sans s'inté- resser à leur pe
é scientifique que comportait nécessairement un pareil ouvrage. Les travaux des uns et des autres, y sont énuméres.avec une
arcot. Je lui en suis profondément reconnaissant, j'espère/que mes. travaux pourront quelquefois lui apporter quelques docu
ous étonner un peu. (7ette opinion était également soutenue dans le travail de Zvynos et de Galezowski2 et dans la thèse de
tions, mais il déclare ces phénomènes très rares. Dans mon propre travail sur l'anesthésie, je rappelai que sur un grand no
je pense, elle ne le sera jamais. » Il n'y a à signaler qu'un seul travail récent qui constate avec précision l'hémiopie,
oint considérer comme voisine, la neurasthénie. Je veux parler du travail de MM. Déjerine et Vialet sur une forme spéciale
uej'essaie de mettre en lumière depuis quelque temps dans plusieurs travaux . Elles me sem- blent pouvoir être désignées sou
ce me',parait ici tout à fait prépondérante. Vous connaissez ^ lest travaux déjà anciens de Charcot et Régnard eh,1878,de'M
dont nousr relatons les' obser valions dans une autre-,partie de ce travail ? nous devons^dire'que les auteurstontsignaléla
er toute particulière. La moindre réponse semble leur demander un travail considérable qui n'aboutit d'ailleurs pas toujour
s relatifs à ce sujet : Vaud..., dix-neuf ans (déjà citée dans ce travail ). Eu février 1893, elle a 238 accès épileptique
es maladies organiques du système lier- veux) ; par Rossolimo. Ce travail a pour but l'étude des mouvements convulsifs invo
pression lente et modérée chez l'hystérique. Suit une critique du travail d'Etfertz sur l'hystérie, l'hypnotisme et la sugg
- qu'elle soit difficile à mettre en pratique. M. MERCKDN lit son travail sur la conscience de l'état morbide dans la par
ns qui se livrent spécialement 'à l'étude des maladies mentales. Ce travail a nécessité de la part de l'auteur des recherch
l possède des langues étrangères lui a permis d'examiner encore les travaux publiés en Allemagne et dans les autres pays. C
celle de Meynert, Willé, etc. Le Dr Chaslin après avoir résumé les travaux français, examine -avec soin ceux qui ont paru
arle Dr Chaslin avec -une grande netteté ; elle résume les nombreux travaux publiés par - les auteurs ; elle est de-la plus
t les unes sur les autres des actions excitatrices, il rappelle les travaux de Binet et de Pierre Janet sur le fonctionneme
iorés, travailleurs avec ateliers nombreux et une organi- sation du travail sérieuse, où les chefs d'ateliers soient surveill
iée, avant-hier jeudi, par le charbon. Son père, en rentrant de son travail , à 7 heures du soir, l'a trouvée inanimée. Un mé-
t les plus nombreux de ceux que possède actuellement la Seine. Ce travail nous l'entreprenons pour Ville-Evrard et nous sou
era consacré qu'aux premiers, les seconds seront l'objet d'un autre travail . Les éléments communs à tous les quartiers d'un
ert en même temps à éclairer la pièce. Nous touchons au terme de ce travail ; quelques mots néan- moins sur la borne- fontai
elons que les opinions exprimées par nos collaborateurs, dans leurs travaux originaux, n'engagent ni le Comité de direction
er dans l'espace, et qu'il se croit souvent en état d'accomplir des travaux gigantesques. Nous voyons la même chose chez le
suprême degré, et se croient capables d'accom- plir les plus grands travaux , de même que les épileptiques et les paralytiqu
suivre.) REVUE D'ÉLECTROTHÉRAPIE. I. ELECTIIOPIIYSIOLOGIE. Les travaux d'éleclrophysiologie ont surtout roulé cette anné
hysiologique et thérapeutique. Je dois mentionner tout d'abord un travail de M. Ram : Action des différents poisons sur l
entales et cliniques et intitulée : La Résistance des nerfs et leur travail physiologique, M. Charpentier, professeur de ph
ont une grande impor- tance en ce qu'ils permettent d'apprécier le travail physiologique du nerf envisagé pour son propre
montré Chauveau, l'équi- valent entre l'énergie et l'absorption du travail intérieur. Pour déterminer la manifestation de
rption du travail intérieur. Pour déterminer la manifestation de ce travail absorbé pendant le fonctionnement du nerf, la m
Dans tout circuit électrique, lorsqu'il se produit quelque part du travail , la résistance augmente. Il en est de même dans u
résistance augmente. Il en est de même dans un nerf qui produit un travail physiologique d'excitation ou de transmis- sion
te augmentation de résistance une fois déterminée à l'évaluation du travail physiologique corres- pondant au fonctionnement
des mêmes actes par le système nerveux absorbe de moins en moins de travail . Suivant la loi bien connue de la transformatio
électrique, l'intensité du courant baisse quand le nerf produit du travail . Au lieu d'être E- elle devient ? e désignant la
- elle devient ? e désignant la force contre électro-motrice due au travail nerveux. C'est cette force qu'il s'agit de mesu
st-à-dire sensiblement en dixièmes de hilogi·ammètres, la valeur du travail physiologique correspondant. Le travail physi
gi·ammètres, la valeur du travail physiologique correspondant. Le travail physiologique varie suivant l'excitation du nerf.
il y a proportionnalité entre l'énergie du courant excitateur et le travail physiologique produit. Il pense cependant qu'el
le existe dans certaines limites. La possibilité de cette mesure du travail des nerfs fournira évidemment en patho- logie n
r en finir avec l'électrophysiologie, il me reste à mentionner deux travaux importants : l'Elude graphique de la contraction
niques, n° 24, déc. 1874. REVUE d'électrothérapie. 457 Dans son travail , M. II. Bordier étudie d'abord l'influence du s
augmente et que par conséquent la densité du courant diminue. Le travail de M. Dignat donne les résultats de 62 mensuratio
les des nerfs tibiaux et péronniers. IL ELECTROTHÉRAPIE. Si les travaux ne brillent pas par le nombre, ils sont au moins
matériel extraordinaire. Il me reste à signaler le très intéressant travail du D1' P. Guyenot, médecin attaché à l'établiss
ouches n'est certes pas près d'être élucidée malgré que de nombreux travaux aient été déjà publiés sur ce sujet. L'emploi d
nt seulement sur quelques points secondaires, les conclusions de ce travail important : 1° Dans l'épilepsie, je considère l
hériques ou cylindriques; il est peu d'opticiens qui apportent à ce travail assez de soin et de pré- cision ; ii° Les obj
des développements véritablement exagérés. Il y a en elfet, dans ce travail , des discussions si mul- tiples sur la psycholo
bibliographie. mann.Il est indispensable de lire en entier ce long travail . II sou- lèvera, je le crois bien, de violentes
ence. Voici donc un aperçu tout à fait superficiel du contenu de ce travail . Une première partie est consacrée aux lois fon
r A.-V. Rothe. (Leipzig et Vienne, chez Franz Deuticke, 1895.) Le travail de M. von Rothe sur le développement du traitemen
tère russe, comme le fait remar- quer avec juste raison l'auteur du travail que j'analyse ici. Avant la christianisation, i
vinciaux « semslmo ». On trouvera dans des tableaux insérés dans le travail de M. Rothe des chiffres indiquant les immenses
péciale envers les aliénés, c'est cette originalité qui fait que ie travail que je viens d'analyser est une contribution im
générale; par M. le Dr L. Guérin. (Th. de Lyon, janvier 1895.) Ce travail , inspiré par M. le professeur Pierrel, touche un
alement démontrée; cependant M. Legrain diffère quelque peu dans un travail uniquement expé- rimental sur la pathogénie des
hésite pas à rapprocher les conclusions de M. Legrain. de celles du travail de M. Guérin. 1° Pour l'interprétation des acte
anciennes théories. Il semble qu'après la lecture de l'intéressant travail de M. Guérin, complété par celui de M. Leprain,
les choses de la ville, telles que la bibliothèque, les écoles, les travaux du club des hommes, etc., et à la même époque, il
ravaux du club des hommes, etc., et à la même époque, il faisait un travail important, traitant avec le plus vif intérêt tout
ns les dernières années, il fut obligé à cause de l'augmentation de travail , de renoncer à ces visites, ce fut pour lui une
s plaisirs de la table : un repas ne lui faisait jamais oublier son travail , et sa famille souriait et grondait alternativeme
nous pensons qu'il est temps de noter la nalure et la somme de ses travaux , ainsi que son influence sur : la « psychiatrie
: la « psychiatrie B anglaise. Le 1)' Tuke avait une aptitude à un travail intellectuel suivi comme très peu en possèdent.
ment jusqu'à des heures matinales très avancées dans son cabinet de travail et cependant il était régulier dans son travail
dans son cabinet de travail et cependant il était régulier dans son travail professionnel de Londres. Il possédait toujours
qu'elle fût exacte et parfaite. Il a non seule- ment mené à bien le travail ordinaire, mais encore il y a ajouté un Index-M
ui, ayant quitté les asiles, ne peuvent reprendre complètement leur travail , et qui ont besoin d'une espèce de maison de co
ils pourront donner la preuve de leur aptitude à retourner à leur travail ordinaire. Le Dr Tuke était président de cette as
le-même mais il appartenait à la philanthropie moderne de donner au travail raisonné, méthodique toute sa valeur comme moye
13 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
rappeler l'horrible situation de ce qu'on appelle l'infirmerie. Les travaux en cours d'exécution sur lesquels nous allons d
ace de maille jardinier et utiliser un certain nombre d'enfants aux travaux hor- ticoles. EVALUATION DU TRAVAIL. V' vie
ts justifient les éloges que nous leur adressons. VI avantages DU travail . L'évaluation du travail des enfants donne, en
que nous leur adressons. VI avantages DU travail. L'évaluation du travail des enfants donne, en chiffres ronds, 13.600 fr
600 fr. ; mais il est inférieur à la réalité en ce sens que, si les travaux de menuiserie et de serrurerie sont évalués d'a
s, croyons-nous, aux prix de la ville, il n'en est plus de même des travaux de cordon- nerie et de couture, évalués d'après
raison de 6 fr. 50 par jour (2), soit 9.867 fr., nous voyons que le travail des enfants, qui n'est encore qu'en voie d'orga
et nous aident puis- samment au point do vue de la discipline et du travail , les malades récalcitrants sachant qu'ils peuve
de l'Assistance publique, M. Môring, fit dros- ser un programme des travaux par M. Brelet, alors inspec- teur chargé de l'h
es dortoirs de l'infirmerie, précisé- ment en raison du surcroit de travail qu'entraînait la des- cente des escaliers; en o
chouer. Rapport de la Commission chargée de l'examen du projet de travaux relatif à la création d'un nouveau service pour
diots ou épileptiques. Aucune d'elles ne semble découragée par le travail souvent répugnant qu'elles accomplissent. Leurs v
pileptiques, doit obtenir d'urgence (2), la préférence sur tous les travaux qui s'imposent à l'Assistance publique, dans se
d, et la situation ayant empiré, M. E. Ferry conteste l'urgence des travaux 1 XXX RAPPORT DE f. E. FERRY. chaque jour. En
e Directeur do l'Assistance publique vous a donné l'énumération des travaux urgents à exécuter dans les divers établissemen
00,000 de francs a été votée en 1881 pour commencer la série de ces travaux . L'emploi do cette somme est actuellement bien
irecteur a fourni, au mois d'août 1882, un nouvel aperçu des grands travaux à exécuter dans les établissements hospitaliers
il Municipal par l'Assistance publique, pour l'exécution des grands travaux dans les divers établissements hospitaliers.
! RAPPORT DE M. E. FERRY. outre mesure la possibilité de fournir du travail aux aliénés tranquilles (1). Ainsi que l'indi
recteur dans son mémoire, on commencerait par une première série de travaux s'élcvant à 1,380,000 fr.. auxquels il est bon
sistance publique au Conseil municipal, pour l'exécution des grands travaux indispensables dans les établissements hospital
s les établissements hospitaliers, notamment en ce qui concerne les travaux des hôpitaux d'enfants que nous no cessons de r
tte conclusion, votre Commission croit devoir insister pour que les travaux soient poussés avec la plus grande vigueur. Ell
oussés avec la plus grande vigueur. Elle constate qu'en général les travaux entrepris dans les établissements s'accom- plis
er la dépense nécessaire pour l'exécution de la première partie des travaux . On espérait ainsi que le projet serait enterré
nt déjà écoulés et que le nombre des voeux du Conseil signalant les travaux urgents fut considérable ; 2° en obtenant du Co
spice de Bicêtre ; par BOURNEVILLE (2). Messieurs, Le projet do travaux , dont nous vous entretenons aujour- d'hui, va r
1° Bicêtre,. - Il reste encore beaucoup à faire, mais, parmi les travaux d'une urgence extrême, nous mentionnerons la Cons
c'est afin que vous émettiez le voeu que l'Administration, dans les travaux qu'elle exécutera, fasse les appropriations fut
ctoral acceptant l'adjudication fut signé le 29 sep- tembre, et les travaux ont commencé dans la seconde quinzaine d'octobr
et montant à 1,380,216 fr. 83 c. Ce devis comprend les bâtiments et travaux suivants, savoir : EXAMEN DES CRITIQUES DE M.
l'urgence d'une création nouvelle puisqu'il avait voté un projet de travaux en 1879 (1) et il ajoute : Votre Commission a
mande si elle « doit obtenir, d'urgence, la préférence sur tous les travaux qui s'imposent à l'Assistance publique, dans se
pal, en 1880, est actuel- lement bien déterminé; que la plupart des travaux sont en cours d'exécution, et il ajoute qu'une
Di- recteur a fourni au mois d'août un nouvel aperçu des grands z travaux à exécuter dans les établissemeuts hospitaliers,
municipal par l'Assis- tance publique, pour l'exécution des grands travaux dans les di- vers établissements hospitaliers.
rimètre n'amoindrira pas outre mesure la possibilité de fournir du travail aux aliénés tranquilles (1). » M. le Rapporteur
u projet. et Etant bien entendu, ajoute-t-il, que l'ensemble de ces travaux deviendrait une charge spéciale, ne préjudician
istance publique au Con- seil municipal pour l'exécution des grands travaux indispensables dans les établissements hospital
ns les établissements hospitaliers, notamment once qui concerne les travaux des hôpitaux d'enfants que nous ne cessons de réc
tte conclusion, votre Commission croit devoir insister pour que les travaux soient 'poussés avec la plus grande vigueur. El
ssés avec la plus grande vigueur. Elle constate qu'en géné- ral les travaux entrepris dans les établissements s'accomplissent
................ Emet un avis favorable a l'exécution immédiate des travaux nécessaires pour la création, à Bicêtre, d'un q
réserve que la Con- seil municipal voudra bien voter, en vue de ces travaux , des fonds spéciaux, et que ce vote de fonds ne
s spéciaux, et que ce vote de fonds ne ]Jl'éjlldiciel'a en rien aux travaux plus urgents encore qui sont indispensables pour
1883. Le Conseil de surveillance propose, il est vrai, une série de travaux qui absorberaient cette somme et au delà ; mais
ment il pourrait être procédé a l'exécution de la première série de travaux , la plus importante. en réalité. Elle a trouvé
istance publique n'a pas encore soumis au Conseil UN SEUL PROJET de travaux pour l'emploi des trois millions que vous lui a
or- dinaire. Pour faire face aux dépenses de la première série de travaux , il reste il trouver G00.000 francs. La Commiss
fasse remplir avec promptitude toutes les formalités, afin que les travaux puissent être com- mencés à la fin du mois d'ao
e publique à prendre les mesures les plus éner- giques pour que les travaux votés par le Conseil municipal soient exécutés
i exactement que possible - ce qui n'avait pas lieu auparavant - le travail des élèves me- nuisiers par M. Bussy, inspecteu
. Total du 1er octobre au 31 mai : 1,815 francs. COMMENCEMENT DES TRAVAUX . LXI rent l'obligeance, conformément aux désirs
Rigaud, rapport dont nous ex- trayons le passage suivant : « Les travaux de reconnaissance et de consolidation à exé- cu
D'une façon générale, on peut entreprendre immédiate- ment tous les travaux de la surface, sauf ceux du bâtiment élevé d'un
superposées et dont l'exécution anticipée pourrait occasionner des travaux en sous-oeuvre qu'il conviendrait d'éviter auta
uré par ces déclarations, M. Gallois donna l'ordre de reprendre les travaux à la fin de décembre. Grâce à un hiver très dou
ment suffisant pour qu'on fût assuré de mener la première série des travaux à bonne fin sans avoir besoin de nouveaux crédi
tion qui s'élevaient à la somme de 428,000 fr. (t) La dépense des travaux de consolidation s'est élevée à 45'853fr. LI1
us de l'opération, réserve assez fortement entamée déjà du fait des travaux de conso- lidation des carrières qui ne paraiss
nsportées au budget de 1883; 2° les dépen- ses occasionnées par les travaux de consolidation des car- rières, à la date d'a
différentes re- prises l'ancienne section et constaté la marche des travaux de la nouvelle. Aidé par eux, nous avons obtenu
blique à employer les bonis de l'adjudication à la continuation des travaux . Les atermoiements de l'Assistance publique dur
L'architecte s'empressa d'obéir, et en quelques jours dé- posa son travail ; mais l'Administration de l'Assistance pu- bliq
termes : « Les adjudications qui ont eu lieu pour l'exécution des travaux ont produit, en effet, un boni de 428,339 fr. 54
e pour la remise en état du sol entre les nouveaux bâtiments et les travaux de canalisation de toute espèce à tra- vers les
e, 1884, p. 109, 123, etc. DOURNEVILLE 1886. H LXIV EXÉCUTION DES TRAVAUX . ENCOMBREMENT DU BUREAU D ! ADMISSION. LXV IV
, l'ont amenée à s'intéres- ser vivement à la prompte exécution des travaux de notre section et à nous aider efficacement à
l'Assistance publique la nécessité, tout en pressant l'ensemble des travaux , d'achever rapidement le premier des bâtiments,
ission de surveillance des asiles, janv. 1884, p. 14. URGENCE DES TRAVAUX . LXVII dont dispose la science pour les .amélio
e sangle, des tables sco- laires, etc. Il demande ce qui arrête ces travaux dont l'exécution est d'une extrême urgence, ain
i dernier, que son admi- nistration peut activer la terminaison des travaux et aménager dès à présent le premier corps des
souvent guéris par l'étude, la gymnastique, le chant, et surtout le travail manuel. « Il est absolument impossible de ne pa
ksonnienne Par BOURNEVILLE et P. 131UCON. Depuis les remarquables travaux de M. Hughlings Jackson sur la forme d'épilepsi
arce que les doigts formaient crochet; il était content de faire ce travail sous prétexte que cela détendait son bras. De o
le curare. Nous laisserons de côté la partie physiologique de leur travail pour ne nous occuper que du mode d'administrati
épilepsie jusqu'à 13 milligr. de curarine sans aucun résultat. Le travail de MM. H. Liouville et A. Voisin clôt, en quelque
ues et le mode d'emploi de l'acide sclérotinique par l'examen des travaux publiés jusqu'alors (1882) sur ce nouvel agent
- minglaus). Nous n'avons pas la prétention d'analyser tous les travaux allemands modernes que la plupart de nos lec- t
consacrent un chapitre à la roséole, qui y est décrite d'après les travaux de MM. Thomas, Emminghaus, etc. Autrement dit l
idèle de leurs opi- nions, comme on en peut juger par l'analyse des travaux des quelques auteurs français que nous citons.
ous citons. Loin de nous toute- fois la pensée de prétendre que les travaux contemporains étran- gers n'aient pas aidé à él
par tous les cliniciens. Ces auteurs tiennent du reste compte des travaux français, leur bibliographie en fait foi, et il
et il serait étonnant que, nous français, nous méconnaissions des travaux que d'autres reconnaissent (1). La roséole idio
ous en avons rassemblé une vingtaine de cas qui seront l'objet d'un travail ultérieur (B). HÉMORRHAGIE CÉRÉBRALE : TEMPÉRAT
es maladies du système nerveux, p. 9 il, 121. On trouvera dans ce travail l'historique complet de la question. - Cette obse
1 cheval. 145 nous y reviendrons lorsque nous exposerons dans un travail spécial l'ensemble des malformations des organes
ait encore de temps en temps, et que, le matin, en se rendant à son travail , il prenait un petit verre de rhum. C'est vers
yons S... avec sa mère. Sa conduite est régulière ; mais, comme son travail le retient tard, afin d'éviter les mauvaises re
qui est, nous assure-t-on, très satisfait de sa conduite et de son travail . Cependant cet homme, interrogé plus tard par l
. La conduite de S... continue à être bonne. Il va exactement à son travail , ne découche point, passe ses di- manches à la
14 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
e français sur la « Suggestion mentale » (Paris 1877) et de plusieurs travaux en polonais concernant la physique et la psycholo
ale. Ce sont les deux causes, pour lesquelles j'ai entrepris l'ingrat travail de compulser les journaux énumérés, d'en choisir
sera probablement écrit en français. Je ne considère pourtant pas mon travail comme superflu, car il contiendra les opinions de
a tension des muscles du médium (qui était en ce cas Mlle X..,) et le travail mécanique du rideau en mouvement. Le général Star
'Asile de Ville-Evrard, et j'ai été amené aux mêmes conclusions. Le travail que j'ai entrepris sur ce sujet devant paraître a
néralement des aliénés criminels. J'ai depuis vainement recherché des travaux similaires sur cette question, et à part l'observ
it être considéré comme la source où j'ai puisé l'idée première de ce travail . C'est donc la triple assertion de Alberto Seve
civil (correctionnelle, assises). 4 ont subi des peines militaires ( travaux publics). Les renseignements manquent dans 10 c
e M. le professeur Beaunis, a déjàproduit de nombreux et intéressants travaux ; M. Binet les présente et les analyse dans ce vo
vec émotion les grandes qualités de Baillarger et de Falret, dont les travaux ont eu une influence si marquée sur l'étude de l'
epsie, la fatigue musculaire, et même la difficulté de se livrer à un travail soutenu, les mêmes malades ont souvent une tendan
ons des neurasthéniques ne se rattachent pas par quelque côté à leurs travaux habituels. C'est un fait qui jusqu'ici n'a pas pa
estion contre des phobies survenues inopinément sous l'influence d'un travail excessif. Notre qualité de médecin de l'Associa
uits à l'impuissance absolue de lire et d'appliquer leur attention au travail . Ils manifestent un véritable désespoir, une anxi
amélioré par l'hypnotisation. Cette observation a été publiée dans un travail en collaboration avec M. le professeur Lemoine, s
ur suivant, il tombe malade, nous dit-on, plusieurs fois, étant à son travail . Hier matin, en sortant de chez lui, il était b
ier, se dégoûtait vite de ce qu'il faisait et quittait facilement son travail par simple caprice. Il aurait eu une certaine d
es et affectives dans la folie. C'est le souvenir de ces importants travaux et de cet enseignement profitable à tant d'élèves
s dès le cinquième mois de la vie fatale. L'histologie a confirmé ces travaux originaux. Baillarger a fait ici ces travaux su
tologie a confirmé ces travaux originaux. Baillarger a fait ici ces travaux sur les rapports de la surface du cerveau avec le
psychique. Par le Dr Schrenck-Notziko, de Munich. La plupart des travaux de l'année écoulée sont consacrés à édifier la do
rapeutique. Parmi les monographies, je citerai en première ligne le travail d'Obersteiner1. Les observations personnelles de
mettre son opinion dans la question discutée de la suggestion, et son travail ne contient rien de spécialement neuf. De même
t de leurs rappports avec l'hystérie, a provoqué un certain nombre de travaux habiles et d'observations instructives. L'ouvra
ouronne de laurier, on devrait se garder de publier si légèrement des travaux sur des tentatives qui n'ont pas encore dépassé l
période embryonnaire, et d'en tirer des conséquences générales. Le travail du Dr Friedrich a donc manqué son but, s'il voula
résultat, tandis que le traitement psychique est efficace. Dans un travail instructif sur\e somnanbulisme hystérique, Guinon
emble de l'état de la science. Nous pouvons indiquer seulement, les travaux de Cullerre m, Bon-jean n, Benedikt 3&, et Re
et thérapeutique de la suggestion. » Le Dr Schaffer. 32 a publié un travail important sur les réflexes de la réline dans l'hy
d'une façon inconsciente,selon la théorie de l'expérimentateur. Un travail de Bfchtehew 31 donne des renseignements sur « le
'autre : deux choses qui, unies, forment la pensée. Puisse ce petit travail , — je l'ai composé dans ce but, — apporter de la
dans la mémoire ; elle sert par dessus tout à aider et à favoriser le travail intellectuel ; à comparer et à raisonner ; bref,
mêmes marqués d'avance l'arrivée précise. Seulement alors, dès que le travail d'équilibration et de reconstitution des forces n
aitement psychique Par le d' Schhesck-Notzing, de Munich. Dans un travail sur les phénomènes psijchiques du sommeil, Pilcz
rotide interne. Le manque d'espace ne nous permet pas d'étudier les travaux de Luys 39, Donath 40, Laloy 41, Robertson42, Har
ensemble, sans points de vue nouveaux ; et il en est de même pour les travaux de Donath 61 et de Clllerre52. Robertson53,54 a e
plète fut obtenue. Hypnose par fixation. Période de somnolence. Les travaux de Brunschwig 67 et de Gibert 68 s'occupent de la
ôté thérapeutique de l'hypnose (sans points de vue nou- veaux). Les travaux de Mesnet «, de Surbled de Dufay «, de Franco63,
pluralité de conscience dans le même individu n'est qu'apparente. Son travail n'est essentiellement qu'une exposition plus éten
sion instituée en 1800 pour étudier l'hypnotisme (au bout de 2 ans de travail ), a déclaré que l'hypnotisme, comme agent thérape
les crimes par suggestion. L'auteur de cette revue a publié dans un travail spécial sa casuistique comme complément à l'ouvra
Bernheim soumet l'étude de la suggestion sur le cœur. Il termine son travail par ces mots : « Sans une connaissance approfondi
t opérées par suggestion. Il y a quelques, mois, il vint, pour divers travaux , au château de la famille de Salomon. La conversa
u'il avait étudié auprès de Wetterstrand, de Stockholm. Dans tous ses travaux sur la suggestion hypnotique, Von Corval s'était
explication. La simple comparaison de la partie ci-dessus de notre travail avec la précédente fait voir que M. Br. Reichman
conséquence particulière d'une loi générale, formulée par lui dans un travail intitulé : « La force considérée comme mouvement
ées par la volonté suggérée ou auto-suggérée au médium, exécutent les travaux mécaniques compris dans le répertoire des product
ble que M. Ochorowicz incorporera la grande partis de son intéressant travail de t Hebdomadaire Illustre, dans son livre frança
lustre, dans son livre français qu'il promet de publier. Sans cela ce travail resterait inconnu au public européen. qui ne pe
urs de l'histoire religieuse. Tout récemment, M. Henri Meige, dans un travail sur les p'ossédés des Dieux dans l'Art antique (N
ccasion des mystères et des fêtes). Nous-même avons recherché dans un travail publié ici le rôle de l'hystérie dans la genèse d
me de 830 francs pour la fondation d'un prix destiné à récompenser un travail , qui sera mis au concours par la Société d'hypnol
Louis Figuier Nous apprenons la mort de M. Louis Figuier. Dans un travail très complet sur l'Histoire du Merveilleux, M. Fi
pourra les faire rester chez eux. Pour la majorité de ces malades, un travail intellectuel ou corporel, adéquat à leurs forces
résultats sur cette question, il faudrait introduire une division de travail entre les assistants et donner à chacun un côté d
contrôle ; d'autre part, il serait téméraire de nier, en présence des travaux de Maxwell et de Hertz sur la théorie dynamo-élec
les remarques, avec celles des Drs Harusewicz et Watraszewski et les travaux du Dr Ochorowicz, contribueront le plus au dévelo
notable au point de vue de la dextérité manuelle. Leur application au travail est peu soutenue, leur caractère est indocile. En
vif éclat sur l'hospice de la Salpétrière, par son enseignement, ses travaux , ses émi-nentes qualités professionnelles. Il a r
louse de sa gloire et qui ne vivait que de son bonheur, son âpreté au travail et son indomptable ténacité, ses merveilleuses ap
e œuvre durable. Il apporta autant d'ardeur à se tenir au courant des travaux étrangers ayant trait à la pathologie médicale, q
à vulgariser en France, dans des revues de journaux, ceux d'entre les travaux étrangers qui lui paraissaient utiles à être conn
ormés un grand nombre d'anatomo-palhologistes et d'où sont sortis des travaux de premier choix. Lorsqu'en 1872, la chaire d'a
Charcot ne s'est pas contenté d'inspirer, par un nombre prodigieux de travaux et de recherches, ceux qui ont été ses élèves à d
e journaux spéciaux et de revues. II a pris une part considérable aux travaux des sociétés savantes ; il a été un des fondateur
e jeudi, à deux heures, auprès de MM. Philippe et Courtier, chefs des travaux . Un nouveau journal d'études psychiques. — M. l
'instruction publique, un prix de 500 francs (legs Montyon), pour ses travaux ayant pour effet « les effets physiologiques de l
Académie de médecine. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE D' G. Apostoli. — Travaux d'élcctrolhérapie gynécologique. Un volume in-4°,
itulaires), de professeurs extraordinaires, assistés par des chefs de travaux et des préparateurs, tous rétribués par l'univers
ient. Pour cela, le candidat doit prouver, par un certain nombre de travaux originaux, qu'il est apte aux recherches scientif
entifiques. Il doit aussi montrer, par l'analyse et la discussion des travaux faits avant lui. qu'il possède une réelle capacit
e d'élèves et de travailleurs qu'il sait réunir autour de lui, et des travaux qu'il publie ou suscite. Le privat-docent ne reço
a pas même été externe des hôpitaux. Si l'on établissait le bilan des travaux vraiment originaux sortis de l'Institut Pasteur,
sion de rendre une éclatante justice à ce grand neurologiste dont les travaux l'avaient souvent inspiré. Charcot savait lui-mêm
rs débuts, nul ne peut nier aujourd'hui l'importance et la valeur des travaux inspirés dans tous les pays du monde, par l'étude
nseignement. Candidats, il leur est très difficile d'entreprendre des travaux personnels pendant la préparation des concours. D
concours. Devenus agrégés, ils n'ont plus le temps de mener à bien un travail de quelque importance. Cela est si vrai, que tous
anente, basée sur le succès de l'enseignement et sur la production de travaux scientifiques. » Dans la Médecine moderne, M. l
ndes, et surtout les lésions du système osseux, se cicatrisent par un travail lent et progressif. Natura non facit saltus. Attr
résents et futurs, même étrangers à la médecine, de se livrer à leurs travaux . Les professeurs Delbœuf, à Liège; P. Janet, au H
ume donnera le compte rendu aussi complet que possible des différents travaux de psychologie parus en tous pays pendant l'année
née 1894, un index bibliographique contenant l'indication de tous les travaux parus pendant la même, année et intéressant l'his
vec planches, graphiques et tables, représentant la majeure partie du travail du laboratoire de la Sorbonne ; et enûn l'indicat
essent à la psychologie, et sera pour les chercheurs un instrument de travail des plus utiles. Hospice de la Salpétrière. — M
ue médico-légal; rapporteur. M. Parant. — 2° Lectures, présentations, travaux divers. — 3° Excursions, visites des Asiles, banq
raissent comme par enchantement. Luette et superstitions. — Dans un travail assez récent sur les anomalies de la luette, le D
t l'accouchement. S'il y a des mouches dans la chambre où commence le travail , ce sera un garçon. Autre procédé. Quand le pre
bonné de recevoir, non plus seulement l'indication bibliographique du travail qu'il recherche, mais le texte complet de ce trav
bliographique du travail qu'il recherche, mais le texte complet de ce travail . A partir de novembre 1895, cette Bibliothèque
ficace. Le retour aux châtiments corporels. Le Dr Curier, dans un travail lu devant l'Académie de médecine de New-York, dem
89. Et en 1878-1883, des leçons de clinique thérapeutique. Tous ces travaux lui ouvraient le 15 juin 1880 les portes de l'Aca
'épreuve de la thèse aujourd'hui supprimée. La thèse consistait en un travail dont le sujet donné par le jury était tiré au sor
des candidats; du premier coup, ils distinguent le point faible d'un travail . Charcot fit sur la pneumonie chronique, une thès
les symptômes étaient soigneusement superposés. Parlerai-je de ses travaux sur les névroses ? Seulement pour dire qu'ils fur
eux, et vous verrez que notre cours deviendra de ce fait l'exposé des travaux de notre maître. Un autre titre de gloire de Ch
se ménageait même du temps pour s'occuper d'art. II se reposait d'un travail en s'occupant d'un autre, de ses études médicales
de mieux travailler ensuite. La meilleure façon de vous reposer d'un travail est de passer à un autre travail. Si vous me perm
meilleure façon de vous reposer d'un travail est de passer à un autre travail . Si vous me permettez une comparaison empruntée à
usé du système des jachères). Faites comme Charcot, reposez-vous d'un travail en vous livrant à un autre. Un médecin qui ne ser
s de la vie matérielle, que jamais on n'essaya de le distraire de ses travaux . Son esprit ne fut jamais obligé de descendre d
ues et motive comme suit son opinion : « Qu'en effet, il appert des travaux préparatoires de cette loi que, si o le législate
nal de la Seine avait posé très nettement ces trois points : 1° Les travaux préparatoires de la loi révèlent que l'on ne s'es
roduits par la cour d'Angers sont, en résumé, les suivants : 1° Les travaux préparatoires de la loi ont, au contraire, établi
la main. D'ailleurs, les tribunaux ont le droit de puiser, dans les travaux préparatoires d'une loi, des éléments précieux d'
éparatoires d'une loi, des éléments précieux d'appréciation: mais ces travaux ne sont pas la loi. Le texte sorti de la discussi
ck, professeur de physique à l'Université de Prague, connu par divers travaux sur la sensation. Faculté de médecine de rome.
aid, à vulgariser la connaissance de l'hypnotisme. Il avait publié un travail important sous le titre Sleep Walking and hypnoti
struction il avoua tout, fut traduit en cour d'assise et condamné aux travaux forcés à perpétuité. Appelé comme témoin dans son
erdant tout son pouvoir de faire effort, par suite du dédoublement du travail de son esprit, ce sujet devenu plus ou moins sans
ternes, et veille sur l'être endormi pour l'avertir d'un danger, d'un travail mécanique qui s'arrête et voire même du temps éco
sé, qu'ils aboutissent à des conceptions criminelles hardies. Dans un travail intéressant sur les hallucinations oniriques, M.
t être mis à mort. » On sait ce que fît frère Jacques. Dans le même travail , on trouve aussi, d'après les Témoignages histori
très caractéristique, me réservant de lui soumettre prochainement un travail d'ensemble sur le même sujet. Séance du 17 déce
Après avoir examiné au point de vue physiologique les conséquences du travail musculaire développé par les cyclistes, M. Doguel
dans lesquelles les extrémités inférieures du cycliste exécutent leur travail ne sont pas irréprochables; 3° Un emploi prolon
utes les autres parties du corps de celte gymnastique exclusive. Le travail prolongé et systématique des muscles des membres
'hygiène de l'enfance de l'Académie de médecine. La Société a reçu un travail de M. le docteur Schrenck-Notzing, membre de la S
r votre mémoire, et brusquement, sans transitions, on vous demande un travail original ! Pour intelligent que vous soyez, vous
eut faire une thèse. L'interne s'entend avec l'éditeur, lui porte son travail , corrige les épreuves. Le candidat n'a rien à fai
travail, corrige les épreuves. Le candidat n'a rien à faire. Son seul travail consistera à accoler les épitaphes du début : a A
on se partageait la besogne, et à jour dit, chacun revenait avec son travail de bibliographie, et tant bien que mal on ordonna
l on ordonnançait le tout ; et il s'est trouvé des admirateurs de ces travaux ! i Mais la thèse de doctorat n'est pas seuleme
onné ces costumes surannés. Les thèses soutenues en Sorbonne sont des travaux assez sérieux pour pouvoir se passer d'un apparat
idées lixes dans l'hystérie a commencé, comme vous le savez, avec les travaux de Charcot sur Us accidents traumatiques des hyst
other disorders ot motion and sensation dependent of idea », 1869. Un travail sur le même sujet de Err, 1878. sur le traiteme
idée fixe » Revue philosophique, février 1891, p. 12!. Dans tous ces travaux , j'ai insisté sur ce point que les stigmates, l'a
t la connaissance de cette malade, que j'ai déjà signalée dans divers travaux sous le nom de Maria. (1) Il y a quatre ans, je t
aconte bien qu'elle s'est sentie malade et angoissée au milieu de son travail , mais elle déclare qu'à ce moment elle ne pensait
ur la description du type en 1889 et 1891, et dans un grand nombre de travaux plus récents. J'ai été très heureux de voir un él
simplement cherché a effacer le rêve de suicide. En Allemagne, les travaux de M. Pick, de M. Breuer, de M. Freud, ont apport
s mêmes faits. Enfin, vous connaissez le très récent et remarquable travail de M. Lévy sur la maladie de Raynaud et Pérythrom
maladie de Raynaud et Pérythromélalgie chez les hystériques (i) : ce travail nous montre très bien comment des rêves subconsci
mble que ces études peuvent être présentées comme la continuation des travaux de Charcot sur les maladies par idée, par imagina
er- sonnelle qu'il m'a engagé à développer et à consolider, dans un travail écrit. C'est donc sur lui que doit peser la respo
médecin en chef de l'asile de Charenton, et rappelle l'importance des travaux de M. Calmeil au point de vue de la médecine phil
ier, membre de l'académie de médecine. Elle rappelle qu'il dirige les travaux de la Société d'hyno-logie dont il est président,
15 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
te de Lagrave. Paul Magnin. Wiazemsky, de M. Scié-Ton-Fa, ainsi qu'un travail du Dr Stadelmann sur La psychopathologie et l'Art
tioston Society for medical improvement. Indépendamment de nombreux travaux sur divers branches de la science médicale, on lu
es opinions sur l'hypnotisme se trouvent clairement exposées dans des travaux intitulés : 1° The therapeutic value of suggest
de ? eczéma et de ladermatlte par ta suggestion / dans cet important travail il démontrait l'efficacité qu'une psychothérapie
ulte Ulrichs, qui était lui-même homosexuel, et qui nous a laissé des travaux importants sur l'inversion sexuelle évalue le pou
iences se tiendra à Clermont-Ferrand du 3 août au 10 août 1908. Les travaux de la section (pédagogie et enseignement) auront
ortant. — Les membres de l'enseignement sont invités à collaborer aux travaux de la section. Il n'est pas nécessaire d'être mem
as. l'homosexuel s'expose à l'emprisonnement, à la refusion, même aux travaux forcés. Le législateur a-l-il eu tort de ne pas
alité s'observent couramment, ainsi que le relatait tout récemment un travail de M. le médecin aide-major Jude. Ils s'expliqu
éussit à supprimer les douleurs de l'accouchement et à régulariser le travail . De nombreux travaux scientifiques en témoignent.
s douleurs de l'accouchement et à régulariser le travail. De nombreux travaux scientifiques en témoignent. J'ai eu moi-même l'o
) Wiazemsky. —Cas d'application de l'hypnose pendant l'accouchement. ( Travaux de la société physico-médicale de Saratoû*, 1904.
nt. (Travaux de la société physico-médicale de Saratoû*, 1904.) (2) Travaux du 8• Congrès en l'honneur du D' Pirogoi. un
a pu sans les hypnotiser, obtenir l'insensibilité chez des femmes en travail d'accouchement, par le seul emploi de certains pr
tion, c'est justement au moment où l'on se plaint de la diminution du travail chez les enfants, et où ils ont le plus besoin d'
re système d'éducation actuel, avec sa discipline et ses sanctions du travail , — et elle rentre dans le cadre des études de l'E
de plus de bien que de mal. Là première condition du progrès est le travail ; mais le travail rencontre un obstacle dans la di
ue de mal. Là première condition du progrès est le travail; mais le travail rencontre un obstacle dans la distraction, et dan
u, je m'en allais mécontent de moi-même. Ce n'était pas qu'à force de travail je ne fusse, dès la troisième, assez distingué da
soutenus uniquement par l'appât d'une récompense ? Pour obtenir un travail fructueux, il faut d'abord solliciter l'attention
eties. (Au moins nous en avons connu il y a quelques années). Dans ce travail , en commun. les hommes apportent des idées plus l
ssement de la taille est subordonné à la nutrition du squelette et au travail physiologique spécial qui s'opère dans les epiphy
s missions à l'étranger et aux colonies. En honorant d'une préface ce travail d'un de ses collaborateurs. M. Eug. Etienne, anci
es étaient beaucoup plus fréquents au Moyen Age que de nos jours. les travaux d'assainissement étant à peu près inconnus. Aussi
us les autres. Aussi M. Jollivet Castelot a-t-il pensé effectuer un travail utile en résumant, en commentant et en adaptant a
rivât, Toulouse 1908, 3 tr. 50. F. Gâche : Collégiens et Familles. Le travail de l'enfant à la maison ; L'éducation de l'enfa
dans leurs rapports avec U jurisprudence et U médecine légale. Ces travaux eurent un grand retentissement et quand, en 1890,
s cette époque, le professeur Liégeois avait continué ft défendre ses travaux et ses idées sur l'hypnotisme. Membre correspon
yau qu'eût dû fournir à la biologie sa merveilleuse organisation ». TRAVAUX ORIGINAUX Considérations psychologiques sur le
t préserver l'esprit du dormeur de tout danger de ce genre. Dans un travail publié en 1889 (1) le Dp Toknrsky recherche en qu
tendons à nn. Une jeune blanchisseuse de Brookley, revenant de son travail , le soir, ' longe le cimetière de Deptford ; un h
ympathie est un des stimulants les plus puissants de l'application au travail . Tout ce qu'on fait par amour est aisé, et les éd
. au lieu de s'entendre pour la répartition raisonnable des heures de travail . Parfois les jeunes maîtres, manquant d'expérienc
ures a un sujet ingrat, il en tirera peu de chose. Alors il bâcle son travail et contracte la mauvaise habitude de consacrer a
de consacrer a d'autres occupations le temps qu'il devrait donner au travail . Evitons donc le surmenage scolaire, si nous vo
menage scolaire, si nous voulons obtenir une attention soutenue et un travail utile, et ne sourions pas toujours quand on prono
n le plus puissant. L'apparition inopinée d'une grande application au travail chez des jeunes gens qui jusqu'alors avaient mani
pour but principal de stimuler l'esprit de l'élève, de l'entraîner au travail , mais surtout de le diriger et de lui apprendre à
ux, comme en Allemagne, où ils représentent la principale sanction du travail . On pourrait encore citer mille causes particul
revue les moyens naturels qui stimulent l'attention et facilitent le travail : éducation en commun, coeducation, intérêt des c
ucation attrayante et sympathie du professeur, répartition mesurée du travail , stimulant de l'intérêt personnel, examens de pas
un grand nombre d'enfants. L'émulation n'existe pas, dit-on, ni le travail , là où il n'y pas de sanctions matérielles. De là
e partageons pas l'opinion de notre collègue. Mme Vimeux, qui dans un travail récemment publié, conclut purement et simplement
inintelligent, anti-pédagogique et à peu près condamné. H dégoûte du travail . Or le travail fait avec ennui ne peut être profi
anti-pédagogique et à peu près condamné. H dégoûte du travail. Or le travail fait avec ennui ne peut être profitable. Nous adm
oubler une classe nombreuse, détourner l'attention et compromettre le travail de tous. Il faut s'efforcer surtout d'obtenir l'o
u jusqu'à présent mal décrits ou, au moins, à peine indiqués dans les travaux qui concernent les sujets atteints de cette toxic
recte, à l'expé-» rimentation et à l'analyse immédiate, en un mot, au travail personnel •. 31• Appell a exposé a exposé ensui
sur les yaz rares de l'atmosphère. Nous voudrions signaler tous les travaux du Congrès de l'Association française qui mériter
rt instructif do l'hygiène alimentaire et vétérinaire, dont ses beaux travaux ont fait un objet d'enseignement très ponctueux.
e, au mois d'août 1909. * * La section de pédagogie a clôturé ses travaux par un banquet réunissant le plus grand nombre de
banquet réunissant le plus grand nombre de ceux qui avaient suivi ses travaux . Il eut lieu sous la présidence de M. Bravant, pr
es possède ? Witham (Essex) un asile d'aliénés, ft qui l'on impose un travail nianuol qui leur permette de gagner leur vie. Co
t celle du prêt à Intérêt, et de l'usure en particulier. Mais ses travaux les plus originaux et les plus connus sont ceux q
re de médecins français vont se rendre a Vienne pour prendre part aux travaux du congrès. A cette occasion aura lieu, sous la p
ration, M. le Br Bérillon, médecin Inspecteur des asiles d'aliénés. TRAVAUX ORIGNAUX Psychologie de l'olfaction : La fascin
ns, souffre d'une maladie de cœur. Comme il ne peut se livrer à aucun travail , il décide de se suicider et se porte plusieurs c
début de la guerre, le général Ducrot ne put taire exécuter quelques travaux de défense sur la rive droite de la Sauer, qui eu
re recommença, toujours la même, et c'était cette lenteur précise, ce travail mécanique fail avec sang-froid qui maintenait le
ement prétendre arriver, dans son art. dans sa profession ou dans son travail , a des résultats équivalents a ceux quo l'on a co
1° Les élèves, dit-on. fout des revisions hâtives, ou négligent le travail général de la classe. — Il est évidemment excessi
gué du Siam. Un certain nombre de savants neurologistes ont suivi les travaux du congrès, en particulier le professeur Benedict
cord pour se loner de son zèle et de son inlassable courtoisie. Les travaux dn congrès ont abouti a l'organisation d'une conf
professeur Benedikt qui pour témoigner de l'intérêt qu'il porte à nos travaux nons a adressé une note dans laquelle il rapp
t, mais la majorité des « Révérends • resta irréductible. Parmi les travaux des sections, signalons le rapport de M. Maurice
éllnqnence, par Miss Grant, ?? Président M. Wallas donna l'analyse du travail du professeur Lombroso où il préconise l'emploi d
nspecteur général et Mrs Brereton et parles autres savants anglais. TRAVAUX ORIGINAUX Uranisme et unisexualité. Antinous et
exemple, certains élèves remarquablement doués pour le dessin et les travaux manuels se révèlent comme de futurs artistes. Ne
t mieux inspirée, en accordant une heure de jeu, pour trois heures de travail environ. M. Devinât déposait récemment au Conse
s élèves ayant obtenu une moyenne de 7 sur 10 pour l'ensemble de leur travail , pourraient recevoir des témoignages de satisfact
ait à nos étudiants, tout en admirant leur sérieux^ leur endurance au travail .de vivre un peu isolés et de négliger les qualité
r, sans même y penser. Le paysan est journellement exposé, dans son travail , à des accidents de toutes sortes. Contre tous il
intimement liée à la connaissance de la biologie f Par ses nombreux travaux de psychologie expérimentale, par des études qu'i
u College de France d'un psychologue eminent et d'un homme de bien. TRAVAUX ORIGINAUX Uranisme et uni sexualité. Antinous e
quement poursuivie sur les fonctions de l'odorat. Dans ce remarquable travail intitulé : Dissertation sur tes odeurs, sur les s
Oullah, de Constantino; le. La correspondance imprimée comprend un travail de M. le professeur Bencdifct, de Vienne, intitul
es humaines où il s'employait du simple fait de l'inachèvement de ses travaux et de la suppression inattendue de ces beaux frui
ertaines suggestions. Je ne me souviens que d'un cas où il a fallu un travail énergique pour les faire disparaître. La malade e
ts de cette activité psychique comparativement avec ceux que donne un travail intellectuel déterminé et conçu d'avance. H a étu
es, en les laissant livrés à eux-mêmes on en leur faisant exécuter us travail d'une heure. Chez le professionnel normal, ce tra
ant exécuter us travail d'une heure. Chez le professionnel normal, ce travail • extérieur > détermine déjà une fatigue mesur
s, montrent toutes nne plus grande fatigue qne quand 11 accomplit son travail extérieur, cependant très absorbant. Pour se rend
cependant très absorbant. Pour se rendre compte de l'importance de ce travail • interne >, psychique, M. Laufer a étudié les
ire une dernière fois combien il est fâcheux que SI. Huchard dont les travaux sur les cardiopathies font autorité, dont Io tale
Joffroy avait publié, en collaboration avec ces maîtres, d'importants travaux en neurologie ; il était resté orienté dans cette
cas dnns lesquels les phobies de ses malades se rattachaient à leurs travaux habituels. Enfin sa communication se terminait pa
ne sont que l'exagération pathologique de sensations normales. » Le travail publié en 1894 par le Dr Bérillon dans lequel U m
sant et en se réjouissant en fumille. M. Gréhant, lui, la consacre au travail et ne paraît mime pas se douter que nous fêtons s
e laissait cette véritable fête de l'amitié et do la psychologie. TRAVAUX ORIGINAUX Psychologie de l'olfaction : La fasci
psychologique qui existe entre l'état d'un esprit qui s'applique k un travail et l'état passif que je viens de provoquer. J'ajo
ar exemple une heure dans une passivité complète. Je considère que le travail de l'hypnotiseur est, dans cette méthode en a
Les musulmans résidant à Paris sont invités à suivre assidûment les travaux de la Société d'études Islamiques, Les communicat
ardiere. III. Laboratoire de psychologie expérimentale. Chefs des travaux : Dr Bérillon, Dr Demoncht. IV. Laboratoire de p
on, Dr Demoncht. IV. Laboratoire de psychologie comparée. Chefs des travaux : MM. Lépisay et Grollet, médecins vétérinaires.
et Grollet, médecins vétérinaires. V. Education physique. Chef des travaux : M. Gosset. VI. Musée de psychologie. Conféren
rincipal initiateur, par son enseignement a la Salpétrlère et par ses travaux personnels, de la grande question, devenue aujour
pénitentiaire ; ceux qui ont pu, dans les sociétés dont 11 dirige les travaux , apprécier l'autorité de son savoir et l'élévatio
ociété d'hypnologie et de psychologie, par ceux qui ont pris part aux travaux du Congrès international de l'hypnotisme en 1900
la construction de la Grande-Muraille qui est un des plus formidables travaux de l'art militaire qui ait jamais été conçu. Tsin
raires de l'étranger n'ont pas rencontré de résistance organisée. TRAVAUX ORIGINAUX Psychologie de l'olfaction : Les apti
est venu prendre sa place au bureau. if. le Dr Demonchy analyse le travail de M. le professeur Bénédikt (de Vienne), intitul
aux comités s'occupant surtout de ces questions ; il participe à ses travaux . Un autre est intéressé a la production ouvrière
ues témoignent d'une aptitude incomparable à la conception des grands travaux militaires. Et, si les Tartares, les Mongols, les
t naturellement discipliné, il est doué de vaillance, son aptitude au travail est merveilleuse; il a donc toutes les qualités r
quises pour être un bon soldat. L'homme qui fait preuve de courage au travail sera courageux en tout : celui qui saura faire pr
ble de tenir bon au feu. Par contre, ceux qui sont veules dans leur travail , seront veules sur le terrain de la guerre ; ils
ombrables populations de l'hindonstan ne manifestent aucun courage au travail , aussi il n'est pas étonnant qu'elles subissent a
ime retournent d'elles-mêmes à ceux qui se montrent vaillants dans le travail , vaillants dans la production de la richesse nati
caractérisent les races supérieures : l'entraînement à l'action et au travail , l'amour des sciences, des lettres et des beaux-a
du caractère, la glorification du courage et l'amour de la patrie. TRAVAUX ORIGINAUX Psychologie de l'olfaction : La fasci
ien des méthodes de rééducation employées aujourd'hui dérivent de ses travaux qu'on regrette de voir à. peine cités dans les ou
paraissaient à l'occasion d'efforts volontaires. Devant chercher du travail par suite de besoins de pins en plus pressants à
son fonds de commerce, elle pleurait à l'occasion de la recherche de travail . Elle pleurait parce qu'elle ne pouvait trouver
erche de travail. Elle pleurait parce qu'elle ne pouvait trouver du travail ; elle ne pouvait pas trouver de tra\'ail parce q
rie, car sa volonté n'était pas annulée. Elle voulait bien trouver du travail mais elle ne le pouvait pas dans la crainte de pl
s ateliers, apprend même un métier. Rousseau met ainsi en honneur les travaux manuels, bien négligés aujourd'hui dans nos lycée
nature si désintéressée, par votre vie faite toute de simplicité, de travail et de dévouement, votre vie si utile à vos sembla
rge part à l'enseignement. La presse, en publiant vos leçons et vos travaux , mon cher maître, se réjouit de l'éclat qui en a
orité et quelle haute courtoisie à la fois, notre confrère dirige les travaux des sociétés dont il a étéou est encore le Présid
rofonde que nous avons pour le savant ouvrier qui a contribué par ses travaux au grand mouvement de la science. Et, si la lumiè
té et à la pratique du bien. (Vifs applaudissements). (A suivre). TRAVAUX ORIGINAUX Psychologie de l'olfaction : La fasci
d'observations peu sérieuses. Discussion : Dr Bêrillox.— Dans le travail ou je mentionnai le procédé dont Dele-, george s'
mais s'il arrive à créer cette communion d'idées avec ses élèves, son travail est à la fin merveillement facilité. Ajoutons c
t la séance d'ouverture, sa haute autorité scientifique a donné à nos travaux l'impulsion qui en a assuré le succès. Au nom d
ux enfants si déshéritée. Lorsque, après la journée consacrée à vos travaux professionnels, vos yeux se porteront sur ce bron
ois, pour un homme tel que vous, c'est C-tre à la peine que d'être au travail — il était légitime que l'heure de la justice son
rapports, si indispensable en pareil cas ;si je rappelle, enfin, tes travaux personnels, devenus classiqnes, sur l'idiotie, l'
Ce que je souhaite, pour toi. comme pour moi. c'est que ces temps de travail heureux, durent le plus possible. Et je termine
. * Encore une fois : Merci. {Triple sa/re d'applaudissements). TRAVAUX ORIGINAUX Le centre du réveil, interprétation a
on sommeil, tandis que pour les hommes de l'équipage appelés ainsi au travail , il conservera toute sou efficacité. H est certai
nu, est Irrité par le contact de sa sécrétion, des aliments et par un travail de plusieurs heures et qu'il manifeste cette irri
x divers moyens thérapeutiques alors en usage. REVUE CRITIQUE Les travaux récents sur l'hypnotisme en Allemagne ? XeîÎich
rapeutique et la psychothérapie pour réserver la place principale aux travaux anatomiques et psychologiques. Contrairement à
s. Le nouveau journal publiera des articles succincts (laissant les travaux de longue haleine aux Arehiees) et des analyses d
issant les travaux de longue haleine aux Arehiees) et des analyses de travaux sur la thérapie hypnotique et la thérapie suggest
tion de sa volonté par une gymnastique méthodique, par la lecture, le travail , le théâtre, lu musique, le choix d'une carrière,
neurasthénie, l'épilepsie, les névroses consécutives aux accidents du travail et autres, l'influence d'événements psychiques su
notions de botanique élémentaire, de dessin, et leur enseigne un travail manuel qui se présente sous la forme d'un Jen.
mes qui peinent pour donner à tous plus de bien-être : ils verront le travail énorme que nécessitent tous les rouages de la vie
Coulllnud, maire de cette ville, ainsi qne l'exercice de Sldi-Okba. TRAVAUX ORIGINAUX L'évolution dans la thérapeutique des
intoxications organiques, médicamenteux ou alimentaires, les excès de travail musculaire, les abus des divers excitants, les ex
aucune initiative et ne peuvent arriver à exécuter en temps voulu le travail commandé. Si le caractère est doux, l'enfant ne r
u maximum. Dans l'Ecole, la plus large part doit être attribuée aux travaux manuels, car ceux-ci assouplissent et développent
'essence de l'état hypnotique. Il s'appuie dans cette analyse sur les travaux et les expérimentations du docteur 0. Vogt qui, d
morale qui lui défend d'abîmer sa santé, de détruire son aptitude au travail . Son devoir moral comporte qu'il veille à sa sant
r ses pensées d'une sensation, d'une' idée spéciale, soit au moyen du travail , soit par l'application de remèdes extérieurs mai
sit souvent là où toute autre médication avait échoué. Il termine son travail en relevant qu'une sage psychothérapie n'entend p
teur, mais encore de son esprit éminemment pratique. La lecture de ce travail ne fatigue pas par le rebâchage de faits et l'exp
sme (Traité dc l'), par Paul Joire. p. 63. Hypnotisme en Allemagne ( Travaux récents sur l'), par Van Renterghem, p. 341. Hy
16 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
marquables. Voici le résumé de trois faits qui sont consignés dans un travail de Corrigan (the Dublin Hospital Ga-zette, 1845).
i naturel d'en-seigner aux autres ce qu'on croit être la vérité. Ce travail , long et substantiel, se divise en deux grandes p
en que les questions traitées aient déjà été soulevées, soit dans des travaux de M. Woillez lui-même, soit dans des publication
almologistes ressemblaient un peu trop à des opticiens. Les immortels travaux de Brucke et d'Helmholtz sur les couleurs condamn
don, 1868. 4 Archives de physiologie, t. III, p. 155. 1870. Dans le travail auquel notre observation sert de fondement, nous
z grand nombre, qui ont été recueillis depuis la publication de notre travail . Ainsi la lésion des cellules motrices se trouve
ement le siège primitif du mal. Le plus souvent, sans aucun doute, le travail d'irritation gagne secon-dairement la névroglie e
té pour combattre la ménorrhagie (Churchill, Sylver), pour activer le travail de l'accouchement (Christison, M. Grégor). II.
ome enflammé, mais à un fibrome qui avait subi et subissait encore un travail de dégénérescences sar-comateuses; que la tumeur
découvrir ces substances dans un liquide. Il mentionne également les travaux relatifs à la thérapeutique et dont ces substance
l'homme, par Fontagnères. Nous avons publié l'année dernière divers travaux ou analyses de MM. Thaon, Peltier, Fontagnères. A
onnaissances, il est facile de s'expliquer la forme de la griffe. Les travaux de M. Duchenne (de Boulogne) nous ont ap-pris que
du Hachisch ont été rapportés par O'Sanghuessy, dans son intéressant travail sur le chanvre indien. Ce médecin en a observé tr
es Annales médico-psycho-logiques (janvier 1872), ne renferme d'autre travail original que celui de M. Brierre de Boismont sur
ments particuliers intimes sur Griesinger, ils n'abondent pas dans le travail de M. Brierre. C'est cependant d'après ces partic
n tour, soit par la pression de la poche ara-clmoïdienne, soit par un travail inflammatoire. Chaque fois que cette ouverture es
ace d'altération ou de prolifération annonçant qu'il y avait eu là un travail de résorption ou d'inflam-mation du tissu osseux.
r l'urèthre est complète. —Les faits de Sédillot, repro-duits dans le travail de Gaujot1, celui si caractéristique que j'ai pub
, même dans deux branches spéciales, Yanatomie et la physiologie, les travaux pro-duits ont une certaine valeur. Nous en présen
crane et de l'encéphale, par P. TliUL- lard. — Malgré les nombreux travaux dont il a été l'objet, le système veineux du crân
de sa description, certaines lacunes qui ont été eom- blées par les travaux du docteur P. Trullard ; son livre est ainsi résu
rie en sens inverse. » VII. Structure du rein, par Muron. — Dans un travail communi-qué à la Société de Biologie, M. Muron a
la même séance, MM. Ed. Mathieu et Y. Urbain, donnent le résultat des travaux qu'ils ont entrepris sur les circonstances qui fo
nt varier la proportion des gaz du sang dans le système artériel. Ces travaux établissent : 1° que l'influence dépressive des s
ant que « l'air comprimé arrête la circulation dans le poumon. » — Ce travail est la confirmation de celui dePoiseuille, publié
aline, sur les tissus et fonctions de l'économie. De l'ensemble de ce travail , il résulte : « que la digitaline n'agit pas sur
rochainement, nous présente-rons le résumé des objections faites à ce travail par M. Constantin Paul. Signalons, en terminant
, nous force de ren-voyer à un prochain numéro l'analyse de plusieurs travaux impor-tants : le livre de physiologie comparée de
tre d'hiver de M. Cl. Bernard, sur la physiologie expérimen-tale, les travaux de MM. Béchamp etEstor, sur les microzymas, et la
ration constatée par M. Dumarest est précisément un des ter-mes de ce travail de gangrène partielle. (Lyon médical, n° 5.) L.
ste ? Ce sont les points que M. Derlon a entrepris de traiter dans un travail riche de faits, d'idées et d'aperçus ingénieux. I
t d'aperçus ingénieux. Initié surtout, par de laborieuses études, aux travaux de la chimie et de la pharmacologie, l'auteur s'e
Nous n'avons pas besoin d'entrer dans de plus grands détails sur ce travail qui nous paraît éminemment utile, et qui sera con
double à cause de la difficulté du diagnostic. La seconde partie du travail de M. Armaingaud est l'exposition de six observat
lume, si bien que, au bout de peu de temps, le malade dut cesser tout travail . La marche était devenue fort difficile, tant à c
ux pour l'ouvrier qui est obligé de gagner sa vie chaque jour par son travail . La marche de la maladie est lente; de plus, elle
occuper, en utilisant les renseigne-ments que nous trouvons dans des travaux récents dus à MM. Cha-pot1, Oulmont*, Laurent3 et
récents dus à MM. Cha-pot1, Oulmont*, Laurent3 et Gairal*. Avant le travail de M. Chapot, on n'avait encore, croyons-nous, pu
aris depuis cinq ans seulement. Jusqu'à vingt ans, il s'est livré aux travaux des champs, et ce n'est qu'en arrivant à Paris qu
ains de vapeur; il sortit sans être guéri. — Il voulut re-prendre son travail , mais le tremblement devint bientôt tellement vio
ins étaient agitées d'un léger tremblement. Néanmoins il continua son travail , mais aussi il vit le tremblement aug-menter asse
n suivante que nous emprun-tons, comme les précédentes, à l'excellent travail de M. le docteur Chapot. Observation V. — Tremb
ns varient beaucoup. Chez le 1 C'est vers cette époque que parut le travail de M. Chapot; voilà pourquoi l'observai ion n'est
servations publiées; il ne nous sera donc pas possible dans ce rapide travail d'ensemble de pouvoir toujours spé-cifier exactem
s de la Société vétérinaire (année 1855), on trouve un rapport sur un travail de M. Heu, ayant pour titre : Notice sur l'apople
oposons défaire passer sous les yeux du lecteur quelques points de ce travail intéressant. L'auteur, par suite de son séjour da
in l'idée est lancée. Espérons qu'elle fructifiera et que de nouveaux travaux viendront éclairer complètement la question. Dr
lequel nous aurons l'occasion do revenir souvent dans le cours de ce travail : l'histoire des diverses hypertrophies du col de
pathologie utérine. Historique.— Tout en faisant une large part aux travaux antérieurs de Desormeaux, Boyer, etc., M. Iluguie
point, et la science put enregistrer successivement les remarquables travaux de Bennet, Virchow, Herpin, Boivin , Scanzoni et
de la matrice, qu'au terme de la grossesse, part le premier signal du travail : c'est donc là qu'il faut éveiller la conlractil
rculation plus active, demande au cœur une somme plus considérable de travail . III. Déchirure centrale du périnée pendant l'a
55 cas les malades se rétablirent, dans 25 elles moururent pendant le travail ou des suites de l'accouchement. Non-seulement
u'il faudra avoir recours. Nous ne pouvons que renvoyer le lecteur au travail de M. Chantreuil pour cette dernière partie si im
sieurs observations à l'appui de cette opi-nion. De l'ensemble de son travail il paraît bien résulter qu'il existe réellement
ement annuelles et qu'elle arriveront à dominer, par l'importance des travaux qui y seront apportés, toutes les sociétés offici
— Ils seront exonérés de toute rétribution pécuniaire. Art. 4.— Les travaux du Congrès se composeront : Io de communications
tions du programme ou sur un autre sujet sont invités à adresser leur travail à M. le secrétaire général au moins une semaine (
a une ou deux séances par jour suivant le nombre et l'im-portance des travaux . Art. 0. — Chaque question n'occupera qu'un jou
programme; 2° discussion; 3° si le temps le permet, communication des travaux laissés à l'initiative indi-viduelle. Art. 10.
mité, s'il y a lieu, en vue de donner accès à un plus grand nombre de travaux . Art. 11. — A l'ouverture de la première séance
s mains du secrétaire général ; ils sont la propriété du Congrès. Les travaux du Congrès seront publiés en totalité ou en parti
psie puerpérale. Notre malade, ayant été prise d'éclampsie pendant le travail , fut accouchée par le forceps dès la première att
tirées par M. Bourneville, tant des faits qu'il a rapportés dans son travail (Mouvement médical, numéros des 14 et 28 janvier
considérée comme une véritable machine en activité, accomplissant un travail actif; la source de la force vive est l'altératio
imique des métaux en contact et l'on peut dire qu'une pile produit du travail en brûlant des métaux, comme une machine à feu or
me une machine à feu ordinaire en brûlant du charbon. Une partie du travail actif de la pile consiste à surmonter les ré-sist
trémités des rhéophores d'une pile, la force élec-trique, résultat du travail chimique de la pile, cherche à se recom-biner à t
et, elles ont des masses considérables à traîner, elles produiront ce travail bien plus facilement si elles sont nombreuses que
ce sujet la note de M. Cornillon {Revue,.p. 179) et dans ce numéro le travail de M. Hervieux. écrasé sur place par les voies
r. Les lecteurs du Mouvement médical ont eu, en 1870, la primeur du travail que M. Villard a publié sur le Cancer primitif de
l décrit, d'après Frerisch, mais qu'il décrit ensuite à la fin de son travail d'après Rokitansky et deux de ses élèves, MM. Hes
encore un nouveau motif qui nous engage à conseiller la lecture de ce travail . Dr G. BOUTEILLIER. Essai sur le pansement im
Delaliaye. Dans le numéro de février de la Revue, analysant divers travaux sur les maladies de la peau, nous avons résumé pl
. 11 agit ainsi par sa tension et plus la tension est grande, plus le travail chimique autonome de chaque élément sera augmenté
chaleur delà chaudière se transforme, par des mécanismes spéciaux, en travail méca-nique, de même le mouvement moléculaire chim
ments Daniell, pas plus que l'on ne peut confondre sous ce rapport le travail mécanique et la chaleur de la vapeur d'eau d'une
isca : si, à part quelques observations inédites et intéressantes, ce travail ne renferme aucune particularité nouvelle relativ
des inconvénients de la dénudation dans la ligature des artères. Son travail est divisé en plusieurs chapitres. Il étudie succ
de vastes abcès du creux poplité. Le chapitre le plus important du travail de M. Delbarre concerne la dénudation dans les li
en n'est pas suffisamment dé-montrée. M. Delbarre s'efforce, dans son travail , de montrer les conséquences de la dénudation sur
tte les personnes du service témoins de ses accès 1 Voy.àcesujet le travail lu à la Société de biologie, par M. Hanot, un int
ment. Un ouvrier de la maison Charrière, forgeron, au moment de son travail , et en frappant un fer chaud, éprouva tout à coup
rs défauts, M. Cl. Bernard passe à la conclusion [qui] résulte de ses travaux : Le sang veineux est plus chaud que le sang arté
ation par le Dr Peet. — Plus que toute dissertation métaphysique, des travaux comme ceux de M. J.-L. Peet1 serviront à avancer
5, en 1833, et plus récemment M. Clin6, en 1868, en firent l'objet de travaux sérieux. Toutefois ces différents auteurs se pla-
s'en assurer par les observations suivantes, que nous empruntons aux travaux de MM. Laurent et Gairal. Observation VI. — Int
e et du mercure, dans une pièce fortement chauffée. Après neuf ans de travail , il commença à ressentir des douleurs vagues par
nalyse que par les paroles d'un des juges de cette thèse : « C'est un travail important que le chirurgien et le médecin pourron
es. M. Arnstein s'attache à démontrer que cette tumeur est due à un travail d'infiltration et non de prolifération. « La bell
des plaies, par le Dr Maximilian Schuller. — Quelle est la nature du travail qui se produit à la périphérie d'une plaie en tra
ontre pas de résistance et s'étend aussi dans diverses directions. Un travail semblable s'établit autour des vais-seaux au vois
de vapeur, des bains sulfureux. À sa sortie, le malade retourne à son travail , et est repris fortement au mois d'avril dernier.
d'avril dernier. Le tremblement devient assez fort pour empêcher tout travail , et B... entre à l'hôpital Lariboisière. État a
ru avec soin les observations rapportées par l'auteur à la fin de son travail , et c'est à peine si nous avons trouvé deux faits
t amené la dénudation osseuse. » (Contri-bution à la chirurgie.) Le travail de M. Gremion-Menuau est surtout, ainsi que nous
ilieu un trait ver-tical de fracture, qui ne présente aucune trace de travail réparateur — Au-devant de la onzième côte, au n
ueuse rectale semble se con-tinuer sur les bords de ce dernier, et ce travail d'organisation indique une origine ancienne. — En
épars dans les auteurs en y ajoutant des observations inédites. Son travail est divisé en trois parties. Dans la première, il
henne (de Boulogne), ïarnier etParrot lui ont permis de compléter son travail . Les paralysies de la face et les paralysies du
nombre d'observations nouvelles qu'il renferme qui rendra surtout le travail de M. Nadaud intéressant à con-sulter. VIII. Ét
dans la présentation du sommet, et de leur influence sur la marche du travail de l'accouchement. » C'est le mémoire présenté pa
, mais encore par la Société de médecine de l'université de Liège. Ce travail divisé en six chapitres peut être considéré comme
aison à l'ac-couchement par les fesses, car la cause de la lenteur du travail , dans ces deux cas, vient du défaut de rapport qu
tion de l'occiput en arrière (épuisement ner-veux, lenteur extrême du travail , inertie utérine, immobilité per-manente de la tê
iés par M. Sentex. — Nous recommandons au lecteur cette partie de son travail dont il pourra tirer grand profit; nous ne pou-vo
plus longtemps prolongée serait nuisible à la mère ou à l'enfant. Ce travail qui a élé élaboré pendant nos années de dé-sastre
e minute et même trois minutes, suivant l'urgence du cas, l'époque du travail où l'on se trouve et la sensibi-lité de la patien
'elle facilite. Un certain nombre d'observations, rap-portées dans le travail de M. Suchard, et dues à Kristeller et à Llayfayr
é par les muscles du périnée. C'est sans doute la publication de ce travail qui a déterminé M. le docteur Thierry-Mieg à mett
pres-sion utérine en deux heures un quart, tandis que précédemment le travail , abandonné à lui-même, avait duré une fois trente
icale, sur laquelle M. Depaul a depuis longtemps publié d'excel-lents travaux , est surtout très-pratiquement exposée. Dans le
examen des altérations médullaires, l'auteur, après avoir rappelé les travaux de MM. Turck, Charcot, Bouchard sur les myélites
es. Je sais bien qu'une telle œuvre leur eût coûté plus de dix ans de travail pour être menée abonne fin, car n'est pas thérape
membranes eut lieu à 9 heures, spontané-ment, preuve, qu'au début du travail , la tête ne s'engageait point. La perte d'eau fut
argent. Les contractions cependant devinrent plus rapprochées, et le travail , après avoir suivi toutes les phases d'un accouch
léments. — La plupart des cas que nous rapportons dans le cours de ce travail appartiennent à cette variété. Non-seulement le c
s conditions fondamentales de la phy-siologie cérébrale. » Lorsque ce travail sera publié en entier, nous chercherons à reconna
es, les églises, l'intérieur des bains y sont figurés. A la fin de ce travail se trouve une carte de la localité. — Les cinquan
ette voie. — En résumé, rien ou presque rien de scienti-fique dans ce travail . II. Traitement complémentaire et prophylactiqu
; nous nous con-tenterons pour aujourd'hui de dire quelques mots des travaux pu-bliés par MM. Mégevand et Blaquart. I. M. Mé
a été possible d'extraire environ la moitié de cette quantité. Son travail contient une critique du mode opératoire suivi pa
servir a l'histoire du seigle ergoté, par le docteur Leteurtre1. — Le travail de M. Leteurtre, quoique incom-plet, constitue un
leau détaillé de ces diverses épidémies termine la première partie du travail de M. Leteurtre. La deuxième partie est consacr
siologie pathologique ; il ne suffisait pas d'un long emprunt fait au travail remarquable d'ailleurs de M. Millet sur l'ergot d
lle et l'action phy-siologique de l'ergot exposée surtout d'après les travaux de Parola, Millet et Holmes; on peut la résumer e
et Holmes; on peut la résumer en rapportant les conclusions mêmes du travail de Holmes : 1° l'ergot de seigle et sa principale
rs que l'on veut obtenir une sédation puissante, mais passagère. Le travail de M. Leteurtre, nous le disions en commençant, p
s autres colorations morbides de la peau. « Pour la rédaction de ce travail , dit M. Pouzol, j'ai souvent eu recours aux notes
17 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
sont dans un état permanent de fatigue psychique qui se tra- ' Ces travaux , déjà anciens, publiés en 1886 et 1887 et sur le
de l'attention sont si grandes qu'elles troublent non seulement les travaux intellectuels, mais modifient même la vie norma
e mouvement. Ce dernier point a été particulièrement étudié dans le travail intéressantde M. Piclc 2. Des distractions semb
couper trois fois du côté droit'. » Il suffit de rappeler les beaux travaux de M. Charcot, de M. Babinski, de MM. Gilles de
ces expériences sont résumées d'une manière intéres- sante dans le travail de AI. Myers, Subliminal consciousness. (Procee-
es. La plupart des auteurs étrangers que nous avons étudiés dans ce travail arrivent à la même conclu- sion : D'après M. St
de l'aboulie. Plusieurs personnes se sont étonnées que dans notre travail sur les stigmates mentaux de l'hystérie, nous ayo
ence mentale et l'hys- térie, disait aussi cl. Roubinovitch dans un travail présenté à la Société médico-psychologique, par
hasthé- niques. CONCLUSION. Nous n'avons pas à insister dans ce travail sur l'étiologie ni sur l'évolution de l'hystéri
érébrale. La nouvelle histologie du système nerveux, fondée sur les travaux de Golgi, Ramon v Cajal, Kôlliker, etc., tradui
nt le moi se délivre ou par la voie de réaction motrice ou par un travail psychique associatif. Si l'individu ne peut ou ne
que n'a pas été éliminée par la réaction motrice adéquate ou par le travail psychique cons- cient. Mais même si ce mécanism
cription des veines intra-rachidiennes, a repris leur étude dans un travail tout récent et encore inédit. Il attribue le dé
ac de la dure-mère et la paroi postérieure du canal vertébral. Du travail de 1\1. Trolard, il se dégage la conclusion suiva
s tempéraments, sur les causes des maladies chroniques, à propos de travaux du D' Foucault sur le même sujet, 1842; Considéra
iment des devoirs que leur imposait leur profession les incitait au travail et.se faisait un plaisir de les aider dans l'éla-
iété médico- psychologique, dont il fut le président, et prit à ses travaux une part des plus actives, ainsi qu'en témoigne
médical ou aux Archives de Neurologie qu'il a donné ses derniers travaux . Ce n'est pas tout. Pour être complet, nous dev
ce, au point de vue social, de la médecine et du médecin. Par ses travaux en psychiatrie, M. Delasiauve s'était créé une
atrie et de la République. BOURNEVILLE. Voici la liste des autres travaux de M. Delasiauve : Discours prononcé le 10 juin
1858, p. 161); La Société médico-psychologique ; ses phases et ses travaux (1858, p. 161, 585) j - Effet de l'opium NÉCROL
illustré la médecine mentale française au xixe siècle, et dont les travaux im- portants laisseront une trace profonde et d
sérieuses sur les diverses branches de la pathologie mentale et ses travaux sur l'organisation médicale, l'éducation popula
publia alors son livre sur l'Organisation de la médecine en France, travail auquel il attachait une grande importance, et qu'
bora à plusieurs journaux républicains, sans négliger cependant ses travaux sur la médecine mentale, NÉCROLOGIE. 73 l'épi
les Annales médico- psychologiques, qu'il a déposé les résultats du travail incessant de toute sa vie, et en particulier se
une dizaine d'années et qui ne fut interrompu qu'en 1870 ! Tous ces travaux sont connus et suffiraient à lui assurer une plac
ien loin l'action des pouvoirs publics. Quel que soit le mérite des travaux de M. Delasiauve, relatifs à l'enseignement et
lasiauve, véritable vie de bénédictin, toute entière remplie par le travail et la pratique du bien, et rappeler que chez M. D
siauve avait déjà jeté les bases de sa renommée et ses remarquables travaux sur l'épilepsie et l'i- 78 NÉCROLOGIE. dioLie
l était, comme on le sait, fidèlemont attaché à la société et à ses travaux , et il ne manquait pas une de ses séances bimen-
e je voudrais vous dire un mot. Quelque absorbé qu'il fût par ses travaux , M. Delasiauve ne s'est jamais désintéressé des
çues et réclamées par ce vaillant esprit, particulièrement dans des travaux remarquables sur les questions d'enseignement et
composée d'hommes très compétents, n'ait pas poussé plus avant ses travaux pour s'occuper du traitement et de l'hospitalis
devrait être évitée par la limitation réglementaire des heur es de travail ; enfin il faudrait multiplier pour les malades
non aliéné est très souvent intelligent, capable d'instruction, de travail , et s'il a dans la société une situation diffic
out, couché sur le dos et continuellement mouillé. A la suite de ce travail fatigant, M... a eu, à la nuque, un furoncle vo
légère parésie des membres inférieurs, le gênant beaucoup dans son travail . Peu de temps après les débuts de ces premiers
ent, ayant l'intention de l'étudier bientôt à nouveau dans un autre travail . IV. Lésions des nerfs et des muscles. - Les gr
portantes de la syringomyélie ; c'était là une exagération dont les travaux modernes ont fait justice. Après Rumpf (Neurol.
sans substratum organique, dont l'hyperthermie n'est pas due à, un travail musculaire,' aux' convulsions) par exemple. Deux
tions signalées plus haut).^ 1, uu 1-, ? - `' ` Résumé de quelques- travaux , sur la parole des,.idiots (mémoire 'de Solfier
893.) , ? 1, 4 , ti,n î-i , , ? L'observation qui sert de base à ce travail est celle d'une femme, à antécédents héréditair
en pages, elle se trouve séparée. Nous ferons, à propos de ces deux travaux , quelques remarques sommaires : 1° S'il y a des
des opérations. C'est donc avec raison que le Dl' Parsons, dont le travail est résumé plus haut, conclut au danger et à l'
craniotomie. C'est ce que nous avons montré également dans les deux travaux que nous avons rappelés et, auparavant, dans no
émondé l'arbre, lui ont permis de prospérer par l'étude divisée du travail et la cohésion d'éléments qui se serrent de plu
nt resserré les liens qui nous unissaient déjà. Vingt-cinq ans d'un travail ininterrompu nous donnent la satisfaction de vo
un sang nouveau à notre Société et nous laissent espérer que leurs travaux peuvent encore compter sur vingt-cinq années de
rnés à des auteurs qui n'auraient pas mérité le prix, mais dont les travaux seraient jugés dignes de récompense. Une somme
d concours, il arrivait à l'agré- gatioii En dépit de son ardeur au travail , de ses connaissances aussi sûres qu'étendues,
, qui s'accroissait d'année en année. C'est de là que sortaient les travaux qu'il communiquait à la Société de biologie, do
tions sans la sévérité, parfois extrême, du maître pour ses propres travaux . Il reprit la composition des leçons sur les tr
nt faire grâce au temps, mûrissent dans une laborieuse solitude les travaux qui doivent les conduire à une légitime célébri
mes en ont fourni une semblable, accomplissant ainsi d'« immenses travaux connus dans le monde entier ». Cela lui a été-
e. C'est pendant l'été de 1876 que M. Charcot fit la revision des travaux de Burq sur la métalloscopie et la métallothéra
à l'hypnotisme alors qu'ils ne constituent qu'une petite partie des travaux dus à son génie. Ils ont répandu son nom dans l
uement » . Depuis lors jusqu'à ce jour se sont succédé, à côté de travaux sur l'hypnotisme, sur les maladies orga- niques
ladies orga- niques du cerveau et de la moelle épinière, d'autres travaux sur l'aphasie au point de vue de la clinique et
s. de Clinique des mala- dies du système nerveux qui réunissent ses travaux pendant les années 1889 à 45913. On a osé écr
t pas le résumé analytique fait par lui de ces 196 J.-M. CHARCOT. travaux . Sachant l'allemand et surtout l'anglais qu'il
plaisait à rendre à chacun la justice qui lui était due : tous ses travaux en témoignent. Sa bibliothèque fournissait auss
ses amis, faisaient partie de sa famille. Il les aidait dans leurs travaux , les soutenait dans leurs luttes. Il partageait
nsidérait le dessin comme la base fondamentale de la peinture et le travail comme la condition première de toute oeuvre d'a
s. Chez lui, même, il aimait à employer ses rares loi- sirs à des travaux d'art. Il copia deux fois les célèbres émaux de
, les peintures décoratives du plafond de son magnifique cabinet de travail à Paris ont été entière- ment exécutées par Mme
naissances acquises sous les yeux d'un tel père, par son amour du travail est de ceux qui sauraient au besoin se diriger
é du Maître depuis vingt- cinq ans, associé à la publication de ses travaux , à ses luttes scientifiques et administratives
ur où elles perpétueront devant l'étranger, J.-)1. CHARCOT. 1.103 TRAVAUX DE li. CHARCOT. Nous n'avons pu indiquer, dans
n'avons pu indiquer, dans l'article qui précède, que les principaux travaux de M. Charcot, et encore en avons-nous certaine
83), forme un volume de 200 pages. Nous nous bornons à indiquer les travaux du Maître, de 1883 à ce jour 1. § I. Travaux pu
bornons à indiquer les travaux du Maître, de 1883 à ce jour 1. § I. Travaux publiés dans les Archives de Neurologie. Contri
ument ou une institution durables, le nom illustre et les immortels travaux de ce grand Français. A défaut de l'initiative of
amyotrophie hystérique ? diffi- cultés de diagnostic, 1893. II. - Travaux publiés dans le Progrès Médical. 1884 : Hémiplé
ysie labio-glosso-laryngée PI'O{]I'eS- sive dans le tabes. § III. Travaux publiés dans la Nouvelle Iconographie . DE LA S
les Arthropathies coæo-fémomles au début du tabès ataxique. § IV. Travaux publiés dans les autres journaux. Revue de méde
édecine et de chirurgie : De 1884 à 1889 inclus, il ne publia aucun travail ; en 1890, il publia : Sur la para- lysie facia
comme sédatif. Elle a déjà inspiré un nombre assez considérable de travaux , surtout à l'étranger. C'est ainsi qu'en Allema
vue les résultats obtenus par ces aliénistes, car ce mémoire est un travail exclusivement clinique destiné à faire connaître
ainsi que le constatait tout dernièrement encore M. Mendel dans le travail le plus récent paru sur la duboisine; aussi nous
gulière de dix à douze heures de calme, et le malade s'est remis au travail ; très régulièrement sieste d'une heure. Deuxièm
ièrement une moyenne de dix à douze heures de tranquillité avec bon travail et rarement une heure de sieste, puis brusqueme
ssi bonne que par le passé; sept à huit heures de tranquillité avec travail moins soutenu; plus rarement encore qu'avant, s
bien loin d'avoir atteint le but. M. Charpentier (de Paris) lit un travail sur les auto-intoxica- tions dans leurs rapport
it être en partie résolue par l'attribution intégrale du produit du travail des aliénés et des effets de succession. Quel q
s Sociétés de patronage n'ont pas seulement pour but de procurer du travail aux malades sortants, mais qu'elles poursuivent
ongrès les résultats de re- cherches comparatives sur le produit du travail des aliénés dans tous les asiles publics de Fra
rt. 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. RAtADIER (de Rodez), lit ensuite un travail sur le goitre et sa fréquence sur les aliénés d
e le disait un autre malade auquel il est fait allusion au cours du travail , la maladie évolue comme « une obsession qui de
dans un cas rapporté au Congrès de Blois par l'un des auteurs. Ce travail se termine par les conclusions suivantes : certai
9° A Mons on ne fait pas assez travailler les malades. A Tournai le travail est plus en honneur ; - 10° On n'écrit pas réguli
e comme on sait de toutes pièces (1884), l'étude correspondante des travaux allemands et anglais sur l'assistance des alién
venons de spécifier, notamment pour ceux qui sont susceptibles de travail . Tel est le fond du mémoire de M. Noecke, peut-
prix de 2.000 fr. à titre de récompense ou d'encourage- ment à tout travail inédit, comme ouvrage spécial, sur la structure
manifestations de la force connue sous le nom d'influx nerveux. Ces travaux devront con- courir au but que s'était proposé
our la première fois par Exner CI 881) : il me suffira de citer les travaux de Tuczek, Zacher, Greppin, Friedmann, Kronthal
qui sont si abondantes dans la tu- meur qui fait l'objet du présent travail . ASILES D'ALIÉNÉS. Notice SUR l'asile d'alién
t achetée- moyennant le prix* de o 50,000 fr. et l'adjudication des travaux fut faite Ie23janvierl817; ' Les travaux furent
fr. et l'adjudication des travaux fut faite Ie23janvierl817; ' Les travaux furent commencés, mais avec unè sage lenteur. Les
"\I\CiJIYl : S. t. XXVI. 20 306 asiles d'aliénés. ateliers et aux travaux extérieurs, qui surveillent et dirigent les tra
ateliers et aux travaux extérieurs, qui surveillent et dirigent les travaux des malades. Le personnel médical se compose d'
ue dans une certaine mesure. Il en est de même de l'organisation du travail , qui fait qu'un grand nombre de malades, vivent
illeurs, plus d'aliénés que les autres régions. J'ai montré dans un travail précé- dent 1 que la cause de ce phénomène deva
lation rurale proprement dite, celle qui se livre exclusivement aux travaux agricoles, fournit, bien que ses qualités de so
té, le système du délire est un phénomène secondaire produit par un travail psychique normal, tandis que l'exagération des
logie ou de la psychologie physiologique; aussi les analyses de ses travaux sont-elles presque des traduc- tions : ce sera
conscience, pour ne se préoccuper que des actes neuriques. Dans ce travail , il limitera ses observations à l'action inlra-
ons intéressantes de mort subite dans la manie, l'auteur résume son travail dans ces conclu- sions : 1° L'embolie pulmonair
al of Mental Science, octobre 1891.) L'auteur s'est proposé dans ce travail deux objets principaux : il veut tout d'abord p
il indique aussi le rôle que peuvent jouer la solitude, l'excès de travail , le célibat ou le veuvage, les vices solitaires,
.. of Mental Science, avril 1891.) ' '1> . Les conclusions de ce travail sont les suivantes : l'auteur a mon- tré, dit-i
oglosse dans l'hémiplégie fonctionnelle Présentation de malades. Ce travail sera publié in extenso dans la Neurolog. Cent2,
? \ '=if(lf t.<J '. , o..Fe - . j 1.f ? 1 1 Ir, f - t' Dans un travail ; qui a pour titre «, le- Juif Errant ci là Salpê-
l'une « et à l'autre; mais nulle part ils n'ont encore rencontré le travail « qui leur convient ni le remède qu'ils cherche
érose des pédoncules cérébelleux moyens et des olives. Une série de travaux nous a renseignés sur la destina- tion des fibr
ns appeler l'attention : le tremblement des cordes vocales. Dans le travail antérieurement publié par l'un de nous dans les
sous forme de conclusions les quelques faits mis en lumière dans ce travail ; nous nous sommes seulement proposé, après avoi
ur donna le nom d'exhibitionnistes. Plus tard les recherches et les travaux de M. Magnan ont complètement élucidé et défini
ance à la ma- « ladite. » L'histoire qui précède ces lignes dans le travail de Lasègue, est celle d'un jeune homme intellig
ès que celui-ci la quittait; et les heures qu'il consa- crait à ses travaux extérieurs étaient pour elles remplies d'angoisse
gré ces points défectueux, il vit assez largement du produit de son travail ; ses patrons, d'ailleurs, se montrent satis- f
intellectuelles en général, que l'on trouve abon- damment dans les travaux des médecins légistes. Rappelons, en passant, l
ent accompli. Dès qu'il a pu, il a déployé une activité assidue aux travaux des champs. Son entourage n'a jamais remar- qué
ll Hall et de Brown-Séquard, M. Christian rappelle que depuis les travaux de Ferrier, il faut, sans dépouiller la moelle de
on sans hésitation, appliqué la peine d'un an d'emprisonnement avec travail forcé. M. Urquhart fait remarquer, avec raison,
iplicité des efforts qu'exige un projet déterminé et de la série de travaux préparatoires, des plans subordonnés auxquels il
Wilson relativement à la paralysie générale. Son intention dans ce travail est d'insister sur l'impor- tance, dans la genè
urnal of Mental Science, octobre 1891.) Voici les conclusions de ce travail : 1° Les affections cancéreuses sont rares chez
e, octobre 1891 et janvier 1892.) Nous ne pouvons que signaler ce travail dont le compte rendu, pour être intelligible,'
e segment lombaire de la moelle. D. Comparaison des résultats de ce travail avec ceux des auteurs. P. K. XXV. DE L'INFLUE
Le sens de l'effort résulte d'une association de sensations avec un travail molléculaire siégeant dans les centres sensitivo-
tionnelles, et de toutes les affections mentales étudiées dans ce travail , c'est elle qui a donné le moins d'hémorrhagies m
titution de la cellule nerveuse, et en particu- lier des importants travaux de Retzius et de R. y Cajal. P. S. SOCIÉTÉS SAV
la bouche dans un cas de paralysie bulbaire apoplectique, dans son travail intitulé Contribution à la pathologie de la par
S. S. Korsakov. Moscou, 1893, 604 p. (en russe). Après une série de travaux remarquables touchant aussi bien à la pathologi
que juste assez pour permettre à ceux qui 1 Citons quelques-uns des travaux de M. Korsakov : « Sur une forme de maladie men
er et à con- sulter. En terminant cette analyse trop courte pour un travail aussi documenté qu'il nous soit permis de dire
rai, mais coupable et le plus souvent résignée.- Dans de précédents travaux l'un de nous, à différentes reprises, a insisté
l'empêche de faire ce qu'elle veut, on lui retient la main dans son travail ; ou lui retire sa pensée; si elle a une idée,
entés et devaient se présenter à mon observation. Mon but dans ce travail sera donc d'exposer le résultat de mes expérien
riques ainsi que l'a proclamé Charcot et son interne Blocq dans son travail sur cette affection. La disparition subite du m
je suis obligé de me borner pour ne pas donner trop d'étendue à ce travail . Observation VI. Gastralgie. Vomissements. As
, je lui fais une nou- velle suggestion. Et la malade reprenait son travail dans les champs, mangeait les aliments les plus
à merveille, a pris de l'embonpoint ne tousse plus et se livre aux travaux des champs. Cette relation nous montre qu'on do
BLES DUS AUX MALADIES CONCOMITANTES. J'ai dit dans l'exposé de ce travail que l'hypnotisme n'était efficace que dans l'hy
e de la Vendée que j'habite, car, comme je l'ai dit au début de mon travail , il ne se passe pas de jours que je ne trouve à
et, par conséquent, sans grandes déceptions. Il vit de peu, et son travail lui assure toujours un bien-être suffisant. Pou
associations d'idées elles- mêmes gagnent en qualité, par suite du travail intime de la pensée inté- rieure et de ses coor
IV ,Ay , f 1li 'P,'Fait'difficilô de rendre' comptemtilement d'un, travail détaillé 'qui'ne'comporte pas moins de quarante
avoir .confusion entre les deux maladies. M. Hoffmann, , dans1 son travail , repousse les formes^ frustes dont'il importe "ce
indique la fatigue mentale. Si l'on exécute une somme importante de travail efficace dès les premiers efforts, il y a lieu
ntage ou bien qu'on est fatigué ; en ce dernier cas, la capacité au travail diminue gra- duellement. Tout repos améliore le
ons. Mais, si l'on a poussé trop loin la fatigue, l'interruption du travail ne suffit plus pour rendre dispos; il faut cess
eulement. L'alimentation change la disposition d'es- prit. Quand le travail a été prolongé, l'efficacité de l'effort s'accroî
nt la journée ; plus actif le matin et graduellement plus dispos au travail jusqu'à midi, l'aptitude au travail baisse brus
et graduellement plus dispos au travail jusqu'à midi, l'aptitude au travail baisse brusquement après le repas ; puis l'acti
Cette courbe naturellement peut être modifiée par la division du travail , la répartition des reprises, la multiplication d
déjà mentionnées et ne réagit pas semblablement. La fatigue due au travail phy- sique est différente de la fatigue psychiq
de chaque disposition d'esprit soient autant de caméléons. Mais le travail , l'ingestion alimentaire, et le sommeil y marqu
la réceptivité des excitations externes, diminuent la résistance au travail et son effi- cacité ; l'association des idées d
ù l'infection diphtérique tient la plus grande place. En un mot, ce travail sans conclusion est une simple compilation, les a
fance; par E. ROSENTIIAL. Paris, J.-B. Baillère et fils, 1893. Ce travail , basé sur cinquante-trois observations, est une t
affaiblissement de l'influence du cerveau sur la moelle ». Dans un travail intitulé : Etude sur les tics chez les dégénéré
cérébrales, nous avons nous-même soutenu la même hypothèse. Dans ce travail , du reste, nombre de tics coordonnés et de phén
e tirer peut-être d'autres conclusions intéressantes, et puisque ce travail a un cha- pitre d'anatomie pathologique, nous r
é médico-psychologique, devant laquelle M. Roubinowitch a résumé un travail du Russe Tokarsky sur le même sujet. J. Noir. X
es maladies nerveuses par l'hydrothérapie, auraient dû rappeler les travaux faits sur le même mode de traitement. Depuis bien
ique. Tous les ans nous le rappelons. Nous avons publié en 1882, un travail spécial avec P. Brieon, un de nos élèves, qui d
des maladies nerveuses a été exclusivement consacré à un exposé des travaux et de la vie du docteur Jean CHARCOT. « Une d
Bielefield, et quelques malades mâles y seront bientôt placés. Les travaux de jardinage, bêchage, y seront faits, mais à m
18 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tères spéciaux, cette tendance est encore bien plus accusée dans le travail publié par Skae. Cet au- teur, se basant sur 10
traumatique, et dont il cherche à établir la symptoma- tologie. Ce travail soulève bien des objections; il a le grand tort
tard, sous l'influence d'une cause occasionnelle. J'écarte de mon travail les faits que Krafft-Ii : bin a rangés dans la
ou dans les Recueils des Sociétés savantes ; et, pour terminer, un travail qui vient de paraître (Ch. Vibert (élude médico
out de quelques mois, on s'aperçut que D... n'avait plus de goût au travail , qu'il deve- nait distrait, irritable, qu'il se
ence, et le carac- tère, et la sensibilité morale ? . Combien mon travail aurait gagné en précision, combien il eût été r
e. Ces adhérences indiquent évidemment qu'il y a eu irritation et travail phlegmasique à la face externe de la dure-mère.
e qui est plus important, les auteurs italiens, ignorant encore les travaux de Munk à ce sujet, arri- vaient à constater, a
ERVEAU. 41 confirmation de sa doctrine à cet égard dans les beaux travaux d'anatomie fine du système nerveux et de physio
tte sûreté d'analyse. On se rappelle l'attention qu'excita le grand travail de Fùrstner sur un trouble particulier de la vi
ie des lésions du lobe occipital. Tamburini et Riva, dans un récent travail sur l'anatomie patholo- gique de la paralysie p
ntres nerveux leur eût prêté quelque fondement. Le chapitre de ce travail consacré aux localisations sensitivo-mo- trices
udition verbale à laTs. Seppilli connaît et loue à son habitude les travaux français sur cette matière, surtout ceux de Cha
ordinaire, avec cette pénétration que l'on rencontre dans tous ses travaux de pathologie nerveuse. » Il est juste de recon
re parler ainsi. En 1884, quand ces auteurs présentèrent leur grand travail à l'Institut royal lom- bard des sciences et le
orps genouillé interne. Les auteurs italiens n'ont pu connaître les travaux postérieurs à la publication de leur livre en l
i l'on remarque que la partie clinique et anatomo-pathologique du travail de Seppilli, consacré au centre cortical de l'au-
recherches présentent un air de famille bien frappant avec tous les travaux de l'École italienne sur les localisations céré
es notes de Pol et Watelle sans y ajouter rien de nouveau; c'est un travail de compilation privé de toute originalité. Il a
s vues physiologiques si remarquables qui sont développées dans son travail (de l'air com- primé. Strasbourg, 1886) et dont
rtérielle exa- gérée, comme l'a fait M. Foley. S'il est vrai que le travail muscu.. laire est une source importante d'acide
s mêmes conditions de compression et de décompression que celles du travail dans l'air com- primé des plongeurs à scaphandr
ans le récipient d'air épuisé (p. 47). » Cet auteur dans un autre travail , faisant remarquer de nouveau la formation des
es gaz du Ut CLINIQUE NERVEUSE. sang puissamment combattue par le travail de M. Gi- raud-Teulou en 1857 a été à la même é
re d'expériences en reproduisant exactement les mêmes conditions de travail des ouvriers sous l'air comprimé. Les préparati
exactement dans les mêmes conditions que celles des ouvriers des travaux sous l'air comprimé, sont venus nous dévoiler l
n. » Le savant professeur de Nancy, Feltz, dans son re- marquable travail 2 communiqué à l'Académie des sciences et basé
te : Dans la genèse des accidents survenant chez les ouvriers des travaux sous l'air comprimé, l'oxygène est pour bien pe
à ça ». Depuis quelque temps, on était assez content de lui, de son travail et de sa conduite. Il a obtenu le certificat d'
royal Soc. of. London). Il faudrait, pour analyser cet important travail , le citer mot pour mot, car c'est l'exposé succ
. Pichon, le prix est accordé à M. Thivet, interne à Charenton. Son travail a pour titre : La Folie chez les Vieillards. M.
rande clarté et l'esprit de méthode qui ont présidé à cet important travail en rendant le résumé aussi facile que la lecture.
on générale se confinant de préférence sur le système nerveux. Ce travail est, on le voit, le remède le plus complet de tou
sychologie de la cri- minalité, 254 pages in-8°, Moscou, 1888. Ce travail présente un intérêt, non seulement pour le jurisc
nous nous proposons d'analyser ne constitue qu'une faible partie dn travail entrepris par l'auteur. Cette partie traite de
ec un grand nombre d'obser- vations cliniques à l'appui, tirées des travaux de Pinel, Legrand du Saulle, Magnan, Auguste Vo
homme peut commettre des actes les plus dangereux. Falret, dans son travail « De l'hypocondrie et du suicide », en a donné
fonctions de la cellule nerveuse. Là finit cette première partie du travail entrepris par M. Drill sur les enfants criminel
et psychologiques; par le Dol CaRRE. - (0. Doin, Paris, 1880.) Ce travail tire son principal intérêt de l'excellent exposé
echerches clinique*; par le Dr L. Lichtviiz (Paris 1887). Dans ce travail inspiré par M. le professeur Pitres, l'auteur s'e
? ? On aurait tort cependant de ne pas poursuivre la lecture de ce travail où se trouvent consignés beau- coup de faits in
fendues par lui et toute son école. A signaler aussi parmi d'autres travaux la communication de M. Schwarz au Congrès des m
letins de la Société anatomique. Nous n'avons pas fait non plus un travail de topo- graphie cérébrale; et cela pour deux r
et amaigries. L'examen histologique a été fait au laboratoire des travaux pra- tiques de la faculté. Le cerveau avait été
idus restent bizarres, mal équilibrés, impulsifs, incapables d'un travail suivi ou d'un effort soutenu : ils ren- trent d
'Iliade de maux dont deviennentvictimes les malheureux ouvriers des travaux sous l'air com- primé. La troisième c'est les f
ION. Ces causes relèvent toutes des conditions qui pré- sident au travail lui-même. Elles sont au nombre de quatre : 1° l
ongeur à scaphandre, qui a été atteint à différentes époques de son travail (OBs. LVIII). Maintenant, il est temps de pro
les immersions antérieures faites dans les mêmes con- ditions de travail , sauf bien entendu la durée du séjour, sans acc
fait nous avons ins- titué, en imitant exactement les conditions du travail des plongeurs il scaphandre, un certain nombre
térieurement fait bien des immersions dans les mêmes conditions de travail comme profondeur et comme DES ACCIDENTS PAR L'E
DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 223 mêmes conditions de travail à savoir 20 brasses de profondeur, dix minutes
ait fait quatre immersions antérieures dans les mêmes conditions de travail , à savoir même profondeur 24 à 27 brasses, même
e observation a été vic- time à différentes époques au cours de son travail admettent tous les deux un seul élément étiolog
accident et trois fois avant celle du second, les condi- tions du travail étant exactement les mêmes, c'est-à- dire même
tion XLV. - Pour peu qu'on fixe son attention sur les conditions de travail du plongeur de cette observation, on ne tarde p
tte observation a été atteint à différentes époques au cours de son travail de quatre accidents qui tous sont dus à une seu
chaque immer- sion successive faite dans les mêmes conditions de travail , à savoir : même degré de compression, même dur
ait descendu un grand nombre de fois dans les mêmes conditions de travail , comme profondeur pas au delà de 22 brasses, co
ette cause est indubi- table. Parmi les accidents contenus dans ces travaux , il y en a deux qui admettent comme seul et uni
ment descendus un grand nombre de fois dans les mêmes conditions de travail , sans aucun accident et c'était à la suite de l
ans les circonstances suivantes : le 13 juillet (après une année de travail sous-marin sans accident), il fait sa première
it l'acci- dent et les autres faites sous les mêmes conditions de travail sont-elles restées sans effet ? Est-ce qu'il y a
e, tandis que le plongeur en question a fait dans le cours de son travail un grand nombre d'immersions il la même profond
rt évidem- ment la conclusion suivante : toutes les conditions du travail en scaphandre étant les mêmes et étant donné le
On voit en effet un accident grave survenir dans des conditions de travail exceptionnellement favorables : ainsi le scapha
t d'accidents cz la fin de chaque campagne toutes les conditions du travail dans l'air com- primé étant égales . Cette préd
igrissement survenant aux scaphandriers au bout de quelque temps de travail continu, qui a été constaté du reste par tous l
e la nuit et inconsciemment, auto- matiquement, il faisait certains travaux dans la campagne. Le lendemain, il ne se souven
rine fut donnée par les savants anglais, après quoi une quantité de travaux traitant de cette question parut en France et e
et recherches durant cette dernière année. La Russie présenta deux travaux expérimentaux sur le rôle de la glande thyroïde
hénomènes du myxoedème. Il serait injuste de passer sous silence le travail du D'' Bourneville, qui en rattachant la questi
qui évoluait dans les téguments du corps. En même temps apparut le travail de Hadden 1 qui nous démontre que cette maladie
proposait de publier sous le nom de cachexie pachydermique. Mais ce travail fut devancé par celui d'Ord. D'après Hadden, l'
nisme entier. LeD'' Bourneville", qui a enrichi parses remarquables travaux la neuro-pathologie et surtout les articles de
sa en fureur accompagnée du délire de grandeur. En z1881 parut le travail de Hammond e ; le cas rapporté par lui présenta
o-eapillaire, qu'on rencontre souvent ici et là. En 1882 apparut le travail du D'' Biaise 4. La seconde partie de ce travai
En 1882 apparut le travail du D'' Biaise 4. La seconde partie de ce travail contient le rapport du cas suivant : la malade,
e. Gazette médie., 1880-81. 2M REVUE CRITIQUE. En 1882 apparut le travail du Dr Bail' sur un cas de cré- .tinismo sporadi
'auteur rattache cet état à celui de crétinisme. En 1886, à paru le travail de MM. Bourneville etBricon', 1, qui traite d'u
qui traite d'un autre point de vue, la question du myxoedème. Ce travail a pour but de prouver l'existence d'un lien intim
pathologie expérimentale. C'est à la même époque qu'apparurent les travaux des au- teurs allemands. Riess 4 après un aperç
xuel des femmes. Outre cela l'histoire de cette maladie possède des travaux physiolo- giques, expérimentaux et pathologique
e avait beaucoup d'adeptes et beaucoup d'adver- saires. Quantité de travaux apparut, entre lesquels on peut citer les trava
ires. Quantité de travaux apparut, entre lesquels on peut citer les travaux sérieux de Rilliet et Rosch, pour le moment oub
iologie expérimentale de la glande thyroïde a donné lieu à bien des travaux , autant dans le domaine de la physiologie que d
elui de l'anatomie et de la chirurgie. Ainsi nous pouvons citer les travaux de Schreger, Warton, Schmidmüller, Ropp, Luschk
, 188b. ' Fuhr.- Arch. expér. fa</to/oy., 1886. 5 Rogowitch. - Travaux du second Congrès des médecins russes, t. II, p
En ce dernier temps a paru une communication préliminaire <e du travail du Dl' Avtokratoff qui arrive à la conclusion que
s un liquide muqueux contenant de la mucine. ' Prof. V. Paschoutin, Travaux du second Congrès des médecins russes, t. Il, p
'janvier 1879 l'établissement contenait 400 prisonniers. D'après ce travail , on rencontrerait dix fois plus d'alié- nés che
nt de l'extré- mité antérieure du corps strié. L'auteur termine son travail par la relation d'un cas de mutilation volontai
ns avec CONSCIENCE (INTEL- LECTUELLES, ÉMOTIVES ET instinctives) un travail dont la discussion est renvoyée, sur la proposi
t les actes psychiques purs. M. KORSAKOFF (de Moscou) communique un travail sur UNE FORME particulière DE maladie mentale C
GLAS présente sur le dédoublement DE la personnalité un intéressant travail . Ses malades entendaient des voix extérieures e
SETMAL (de Mons) communique au sujet des FOLIES PÉNITEN- TIARES, un travail qui repose sur les bases les plus solides. Il a
mêmes inconvénients en ce qui concerne l'hyoscine. M. BRIAND lit un travail sur les TROUBLES DE la mémoire dans L'IN- T031C
chez un paralytique général. M. Llmoinf. (de Lille) communique un travail sur l'arthritisme comme cause DE la paralysie g
ce du 8 août (soir). Présidence DE M. DELASIAUVE. M. GARNIER lit un travail sur la PROGRESSION corrélative DE la FOLIE ALCO
. M. SoLLIER communique, au nom de \l. Bourneville et au sien, un travail sur la PORENCÉPR.1LIE ET la PSEUDO-PORENCÉPIIALIE
e du même auteur au Congrès de l'alcoolisme). M. CHRISTIAN lit un travail sur les rapports DE LI syphilis et de la paraly
n. Il existe là une véritable cécité psychique. ,NI. BINER lit un travail sur l'acuité SENSITI1'o-SENSOItIELLE DES HYS- S
entifiques où intervient la suggestion, 1. Babinski communique un travail sur le RÔLE DE la suggestion DANS L'HYPNOTISME
. Charcot et subsiste encore aujourd'hui. M. Cu, RICHET piésente un travail concernant l'inconscience de SOCIÉTÉS SAVANTES.
ue 11. Richet au sujet de la réalité de ces faits. ! IL GLEY lit un travail sur le sens musculaire qui consiste, selon lui,
'hypnotisme deux cas de métrorrhagie. AI. FORE (de Zurich) lit un travail sur les hallucinations NÉGA- TIVES chez LES ali
uand ils semblent l'être, ils simulent. - AI. LAURENT communique un travail sur Faction SUGGESTIVE DES milieux pénitentiair
iers d'industrie et des transports. 11f. LASCIII (de Vérone) lit un travail sur le CRIME POLITIQUE au POINT DE vue anthropo
UR LE DÉVELOPPEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 1\l. VIrrERT, dans un travail sur ce sujet, constate en bloc l'exis- tence de
ontraction musculaire, mais dans des conditions physiologiques ; le travail fonctionnel du muscle peut être exagéré, mais i
ière Couhtenay (The Journal of Mental Science, avril 1886). Dans ce travail qui contient plusieurs tableaux, l'auteur s'est
communiqué à « The New- 1'01 society of médical jurisprudence » un travail au cours duquel il affirme avoir trouvé des cer
te, d'autre part, rendent compte jusqu'à un certain point de ' Un travail prochain de M. le D' Babinski aura pour but de fa
en apparence; mais il est nerveux, irrité, il peut se 'remettre au travail , cependant. Au mois de février 1882, il a une t
n est évidente et comme elle est encore petite nous pouvons voir le travail de vascularisation qui l'accompagne. Le nommé
- vation ont été publiés par MM. Bourneville et Bricon, dans leur travail sur l'épilepsie procursive). Examen histologiqu
'accomplissait cette évolution. Aussi, nous sommes-nous bornés à un travail purement des- criptif, à l'examen d'une série d
de la zone motrice ? « Je les ai considérés, dit Hitzig, dans deux travaux de 1837 et de 1876, comme l'expression de troub
i- culier, restons-y. Sans doute, à l'époque où ils écrivaient ce travail , ils subissaient l'influence des doctrines régn
t caudés. 1 C'est à ces idées que Seppilli se range dans son récent travail sur les Tumeurs cérébrales, d'une érudition si
a demandé où il était, et il s'imaginait être parti le matin à son travail . Il n'a- vait pas ou peu mangé, car une partie
ès avoir travaillé dans une corroirie, qu'il a quittée parce que le travail était trop dur, il est resté quelque temps sans
t son voyage il eut trois attaques. 1887. 3 janvier. - A repris son travail ici et s'est remis aux douches. 12 avril. - H
à tâcher d'attirer l'attention de mes honorables collègues sur mon travail . Jusqu'à présent l'étude clinique et expériment
L. (Gaz. méd. de Paris, 1887.) L'observation qui fait l'objet de ce travail est celle d'un homme qui présenta dans sa jeune
méd. de Paris, 1887.) Il résulte des observations contenues dans ce travail que si l'antipyrine est sans l'action sur la ma
a neurasthénie se recon- naît, non pas à l'incapacité d'exécuter un travail , mais à la ra- pidité avec laquelle les faculté
cérébrale se complique du trouble de l'énergie de la puis- sance du travail et de la diminution de l'action des forces d'arrê
nution de l'action des forces d'arrêt. L'épuisement de l'énergie au travail se traduit par une modalité torpide; celui de l
ns légistes, afin d'établir à qui il faut imputer l'incapa- cité de travail , le degré de celle-ci et la quotité de la rente à
de celle-ci et la quotité de la rente à ser- vir à ces invalides du travail . Leur état mental n'était pas tel qu'on dût les
itation cardiaque, l'organe affolant par périodes sans effectuer de travail utile ; surles légers accidents de parésie et d
e tend à rien moins qu'à leur enlever selon le degré de capacité de travail constaté, leurs ressources, ils sont sous l'inf
ite. Le temps est trop avancé pour que l'on entende la lecture du travail de M. BRosus sur la question des gardiens. (Allg
ssement DE la criminalité chez LES enfants mineurs. Il résulte d'un travail de M. Henry Joly, communiqué à l'Académie des S
ET, etc. 11 est inutile de rappeler ici à nos lecteurs la liste des travaux de COTARD ; qu'il nous suffise de signaler sa thè
19 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
; la malade pou- vait alleret venir, mais restait incapable d'aucun travail , ce n'est que depuis deux ans, que la marche es
bras du côté répondant à la lésion). Jacobsohn et Ja- mane dans un travail tout récent 3, donnent, entre autres, une obser
n scène. « Au lieu d'analyser les mots au point de vue grammatical, travail entièrement stérile, on analyse les faits par l
ttle. (North-Lancet, décembre 1896.) L'auteur rappelle les nombreux travaux qui ont éclairé la physio- logie du corps thyro
quitter le fauteuil de la présidence, passe en revue les différents travaux de la société dans le cours de l'année 1896 et
et J. Voisin. Prix Moreau (de Tours). Huit candidats ont remis des travaux . Commission : MM. Febvré, P. Garnier, Moreau, P
i, qu'il rencontra sur une route qu'il traversait pour se rendre au travail avec d'autres aliénés et un gardien. Une acti
anda à la société s'il a commis une faute en envoyant cet aliéné au travail . Le tribunal l'a condamné à 100 francs d'amende
ence géniale et la dégénérescence en moins. Cependant, malgré les travaux si probants de Moreau (de Tours), de Lelut de L
atrophie musculaire ; par G. AInawESCO. Thèse de Paris, 1897. Ce travail se compose de deux parties : dans la première l'a
centres se trouveraient dans la région cervicale de la moelle. Ce travail , comme tous les travaux antérieurs du même auteur
dans la région cervicale de la moelle. Ce travail, comme tous les travaux antérieurs du même auteur, est frappé au coin d
EL, Préparateur à la Faculté, Steinheil, 1897. Beau livre et beau travail sur l'arsenicisme chez l'homme (l ? partie) et
et 42 lapins ont servi aux expé- riences. Il s'agit en somme d'un travail substantiel, de longue haleine, qui a dû exiger
t opératoire des maladies du cerveau. Nous indiquons ci-dessous les travaux qui seront présentés par les adhérents de notre
agnifique en son droit de punir, la société condamnera cet être aux travaux forcés... Hélas ! dès maintenant, c'est plutôt
gie habituellement obscure. Cependant on trouve notamment dans le travail de Leudet sur la méningite chronique et son inf
l sur sa nature nosologique. A quoi tendent en effet les très beaux travaux de Huchard ? D'abord à décrire la sclérose mult
s de folie que l'opéra- tion elle-même, et il donne dans le présent travail le résultat de cette étude ainsi limitée. Sur
of Mental Scienco. Octobre 1896. - Dans la première partie de ce travail , M. Wilson expose des con- sidérations de physi
urnal of Mental Science, juillet 1896.) 11. Rivers poursuit dans ce travail l'étude et la propagation des méthodes ingénieu
absolument insuffisant pour neutraliser la fatigue provoquée par un travail mental de la même durée ; et que, même après un r
chute présentait une forte névralgie oculaire ne put reprendre son travail , il resta chez lui et au bout d'un mois présent
tte colonie peut' recevoir 1200 épileptiques, que l'on occupe à des travaux variés. Il importe de créer des asiles spéciaux
Hébétude et somnolence progressives. Successivement, incapacité de travail et rélégation au lit. Aspect stupide, yeux et b
ataxie de la main et diminution du sens musculaire dans ce bras; le travail a été repris, le malade écrit de la main gauche.
n d'histologie du système nerveux, qui suscite actuellement tant de travaux et de recherches. Dans la première partie de so
nt tant de travaux et de recherches. Dans la première partie de son travail , l'auteur étudie les effets produits par la dég
r les nerfs eux- mêmes, il donne d'abord un historique détaillé des travaux con- sacrés à l'étude de la dégénérescence asce
de Hayem et Gilbert (1884) sur les nerfs et la moelle des amputés, travaux de Vanlair (1891), Krause (1886), Marie (1892),
est plus altérée que les cylindraxes. Dans la seconde partie de son travail , Fleming étudie les effets de la dégénérescence
e la cellule ganglionnaire normale, tels qu'ils sont connus par les travaux les plus récents (Nisst). Cette cel- lule, chez
glie. M. Robertson combat l'opinion de Weigert en se basant sur les travaux de Bevan Lewis et de Golgi, et il résume, en te
Weigert que M. Pellizzi a tout récemment formulée en Italie dans un travail sur la structure de granulation de l'épendyme.
ECFITEREN. (AMt'00. Centralbl., XIV, 1895.) L'auteur rappelle son travail antérieur (voy. Archives de Neuro- logie, ch. X
chiatrie, t. LII, f. 1er, p. 134-166, avec 4 figures.) Depuis les travaux de Hitzig et de Fritsch, la plupart des centres
clusions identiques à celles de Ferrier. Il faut citer encore les travaux d'Unverricht, de ICuicl : . Ce dernier place , co
de celles d'un certain nombre d'autres observateurs l'auteur de ce travail conclut qu'actuellement aucun hypnotique n'est
trois fois par jour : les quelques observations rapportées dans ce travail viennent confirmer son opinion. (Amel'iean Journa
ar petits groupes. P. KERAYAL. XVIII. Contribution au chapitre du travail manuel; par A. FOREL. (Centralbl. f. Nervenheil
g von Nervenheilsletten) . (Anal. dans le Progrès médical.) 1° Le travail qui convient aux aliénés est celui qui fait agir
amment dans la neuras- thénie (encéphalasthénie). La direction du travail de Grohmann, sa méthode, sa disci- pline, sa di
du travail de Grohmann, sa méthode, sa disci- pline, sa division en travaux d'hiver et travaux d'été, sont particu- lièreme
ann, sa méthode, sa disci- pline, sa division en travaux d'hiver et travaux d'été, sont particu- lièrement recommandables.
al of Mental Science, juillet 1896.) Nous ne faisons qu'indiquer ce travail qui vise quelques points spéciaux de la législa
gleterre et ceux de la France ne permettent pas de rendre compte de travaux du genre de celui- REVUE D'ASSISTANCE ET DE LÉG
rnal of Mental Science, juillet 1890.) Nous indiquons simplement ce travail , dont la portée est tout administrative. R. M.
l'enseignement de leur généreux appui, et fait enfin le tableau des travaux et des résul- tats obtenus pendant le dernier e
NS MEDULLAIRES DU TABES 1)ORSLTS; ·-^ Par CL. PIIILIPPE, Chef des travaux anatomo-pathologiques la Clinique de la Salpètriè
des travaux anatomo-pathologiques la Clinique de la Salpètrière. Ce travail se propose d'exposer les résultats de quelques
cordons postérieurs de la moelle apparaissent, d'après les derniers travaux , comme formés par deux grands sys- tèmes de fib
rfs périphériques et de l'écorce cérébrale, comme le démontrent des travaux récents. Nous ferons simplement observer que nous
abé- tique des autres scléroses des cordons postérieurs, dont les travaux récents nous démontrent la fréquence. - En appo
me nerveux surtout, la clinique doit trou- ver son compte dans tout travail anatomo-pathologique, qu'elle dirige et contrôl
avec la symptomatologie du tabès médullaire. Ainsi entendu, notre travail comprend de deux parties : dans la première, no
e sujet se sont considérablement augmentées à la suite de plusieurs travaux tout récents ; ces travaux ont montré que les c
ement augmentées à la suite de plusieurs travaux tout récents ; ces travaux ont montré que les cordons postérieurs se compo
méthodes dont les procédés et les résultats sont exposés dans notre travail inaugural : méthodes expérimentale, histblo- gi
met antérieur effilé et terminé derrière la commissure grise. Les travaux récents, faits avec la méthode des dégénérations
es dégénérations secon- daires ; elle a été employée, dans quelques travaux récents dont notre mémoire inaugural a donné l'
, et le centre ovale de Flechsig (por- tion lombaire). Les derniers travaux faits avec la méthode des dégénérations seconda
r le sys- tème radiculaire postérieur, comme le répètent quelques travaux récents. Sans doute, les cas que nous avons pu ex
ndaire ait cours du processus tabétique : cette conclusion de notre travail inaugural est justifiée par les faits suivants.
ndromes constitutifs, cesse d'être une maladie cyclique. Dans notre travail inaugural, nous avons réuni quelques exemples t
uchenne; et nous conservons l'espoir de reprendre, dans un prochain travail , l'étude de certaines parties du problème que p
choses que je me propose de signaler et de dis- cuter dans un autre travail '. Ce mémoire est, en effet, exclusi- vement co
t avec une telle organisation quiconque désirerait pour- suivre des travaux scientifiques serait contraint de rester médeci
matériels de la maison ne laisse pas le loisir de mener à bien les travaux scientiliques, si on n'en veut pas, dis-je, il
ns de se consacrer exclusi- vement au traitement des aliénés et aux travaux scientifiques, qui laisse au médecin en chef la
tions de médecine; chacun reste dans sa sphère. Cette division du travail scientifique est devenue de nos jours la conditio
nés où tout doit aboutir encore davantage aux malades, y compris le travail . Nous persistons dans l'opinion que nous avons
s poisons est l'acide urique. On a cru longtemps qu'il résultait du travail muscu- laire ; mais il résulte surtout de l'ali
besoin de peu de viande. L'abus de la viande impose un surcroît de travail au foie et aux reins, en même temps que l'accum
e lui permet pas d'éliminer ses principes toxiques comme le fait le travail , ensuite parce que le bien-être le porte à la bon
tique, hystérique, neurasthé- nique etc., M. Lentz démontre dans ce travail qu'il y a lieu de faire une place à part pour l
la parole, mais l'oubli des événements récents et des phases de son travail , chez un homme de soixante-dix-huit ans atteint
e en règle de Pinel et d'Esquirol; mais il me semblé que placer nos travaux sous les auspices de ces noms qui dominent de s
'admire l'incontestable originalité de SOCIÉTÉS SAVANTES. 237 ses travaux sur les hallucinations et les illusions, la merve
où elles sont exprimées, pourraient servir d'épigraphes à bien des travaux récents. « Tous ces germes d'idées, ainsi jetés
aris, dans ces hos- pices mêmes où ils conçurent leurs remarquables travaux , au milieu des malades qu'ils ont tant aimés, d
e de la. 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. cause première de la névrose. Les travaux les plus importants sur ce sujet ont été écrit,
testable de rap- porter ici ne fût-ce qu'une citation de chacun des travaux écrits sur ce sujet; aussi avons-nous pensé qu'
us les auteurs que nous allons citer donnent eux-mêmes dans leurs travaux une bibliographie abondante ; il sera donc plus'
ent, mais sans la décrire. La seconde période est remplie par les travaux de la Salpêtrière, qui établissent bien netteme
un peu sur la précédente et arrive jusqu'à nos jours, comprend les travaux des médecins d'enfants. Nous n'insisterons pa
pas sur les erreurs qui règnentjusqu'àl'appa- rition de l'important travail de Briquet en 1859 : Traité de l'hysté- rie. On
t en 1859 : Traité de l'hysté- rie. On trouvera, du reste, dans les travaux indiqués, tous les renseignements à ce sujet. N
e jusqu'à l'année 1888, époque de l'apparition de ce très important travail . Pour la période qui nous occupe en ce moment,
est, c'est-à-dire pour une maladie psychique par excellence. Aux travaux de Charcot et de ses élèves, qui traitent de l'hy
ies dignes d'attention : tout d'abord, il faut citer les importants travaux de Bourneville et de ses élèves, dont nous donn
estion et le point où elle était au moment où parut cet impor- tant travail . Troisième période. - En mars 1880 parut la thè
d pour point de départ une observation personnelle et s'inspire des travaux de Bourneville. Il insiste sur la bénignité du
urs), qui l'avait déjà traitée au Con- grès de Grenoble en 1885. Ce travail fut l'objet d'un rapport d'Ollivier à l'Académi
n rapport d'Ollivier à l'Académie en 1892. Nous reviendrons sur ces travaux en discutant la question de l'âge du début de l
térie infantile. En janvier 1803 parait la thèse de Bardol. Dans ce travail encore c'est un point de vue spéciale qui va êt
hystériformes et une hérédité goutteuse très chargée. Dans le même travail , l'auteur se demande si les hémoptysies hystériqu
parents exigeront de celte enfant 254 SOCIÉTÉS SAVANTES. trop de travail ou trop d'excitation (visites où l'on s'occupe tr
matisme. Bosc rapporte z 1 Nous publierons prochainement un nouveau travail clinique de M. Terrou sur le même sujet. La Rev
enfant a été méconnue et est encore difficile à déceler, malgré les travaux de Charcot et la découverte des stigmates si ut
venu combattre ou défendre cette thèse. ' M. LE Filliatre a lu un travail intitulé : Nécessité d'une nouvelle organisatio
r Dubois, président du Conseil général de la Seine, a communiqué un travail tiré de son Rapport général sur le service des
s présentées. Cette séance s'est terminée par la communication d'un travail de M. le professeur n1 : 11RET, de la Faculté d
ur les malades, l'ornementation des salles communes, l'extension du travail même au dehors, même chez des étrangers, la mul
sont des dégénérés; et c'est là leur point de ressemblance. Dans ce travail privé de base clinique, M. le D'' Vial demande à
ssai sur les mimiques voulues ; par le Dr G. Dupuis. Lyon, 1897. Ce travail est l'étude des troubles que l'action de la volon
ion constantes ; d'où la vérification minutieuse des instruments de travail dans les ateliers, à la sortie des aliénés trav
z les ouvriers non sédentaires, les indivi- dus qui se livrent à un travail manuel, qui peinent pour vivre ? Par cette no
emarquées2, malgré les belles leçons de Jules Simon, Charcot et les travaux de Bourneville 3, il reste ' Besy..Hyë'e <H/
TÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 319 D'après Erhardt, qui a réuni dans un travail (thèse 96) un certain nombre de cas, la soif ch
mais à l'action combinée de tous les poisons. Les conclusions de ce travail sont d'abord qu'il y a une augmen- tation moyen
être mise sur le compte d'autres causes que la crise, soit le grand travail musculaire effectué pendant la crise, soit l'acti
res, Grassel, Flechsig, etc.), nous ne voulons considé- rer dans ce travail que deux groupes bien différents. A. Les - abou
sible de donner ici cette méthode en détail. Nous le ferons dans un travail ultérieur, plus complet, consacré à la même que
les tendent de nos jours à augmen- ter le nombre des vagabonds; des travaux de statistique seraient t intéressants pour éta
a dégénération et l'inflammation. Par suite, rien d'étonnant que le travail anatomique soit morpho- logiquement le même dan
mais tout au contraire augmente- ront la quantité et la qualité des travaux dans les congrès généraux. L'auteur suppose que
le il propose de donner le nom de scléro-gliose. L'auteur finit son travail en notant la coïncidence de la région de la pla
thèse étudie dans la deuxième partie de 360 BIBLIOGRAPHIE. ' son travail . Le monopole de la rectification de l'alcool est
se de Nancy). Paris, 0. Doin, éditeur (in-8° de 256 p.), 1897. Ce travail est avant tout clinique, comme M. Aimé a soin de
ffectés d'une lourde lare héréditaire. Nous ne trouvons pas dans le travail de M. Aimé la fixation des contre-indications d
sion d'apprécier de près et qui s'est manifesté dans un ensemble de travaux justement appréciés. Au cours de dix-sept année
ues qu'il présentait au public médical, l'analyse substantielle des travaux de neurologie et de psychiatrie parus en France
, lauréat de l'Académie de médecine en 1891 (prix Civrieux) pour un travail sur la Paralysie générale, CAMUSET avait été fait
s; il est fort et vigoureux, et il commence à aider ses parents aux travaux de labour. Observation XIV. Fillette de sept an
e souvenir que le vrai n'est pas toujours vraisem- blable. Dans mon travail sur l'llystérie en Vendée (numéro de décembre 1
quelques instants, elle secoue la jeune Estelle pour la remettre au travail , impossible de la tirer de son sommeil ; c'est
on sommeil ; c'est à ce moment qu'on m'appelle dans la chambre de travail . Je trouve la petite dormant profondément, elle e
fons, retire son mouchoir et retourne à sa place dans la chambre de travail . - Elle avait suivi exactement le trajet que j'
e des stigmates révélateurs éclate à chaque pas dans le cours de ce travail , en tête de mes observations, j'ai su du moins
ociés à une méningite tuberculeuse. Dans l'observation XVII de ce travail on voit l'hystérie et la dégénérescence mentale c
normal des névroses dans ce pays. 9° Traitement. Dans mon premier travail sur l'hystérie en Vendée,je disais : «L'hypnoti
ons, le cerveau, lui, s'agite, il ne chôme pas, il travaille, et ce travail cérébral, souvent répété, peut entraîner par la s
avons tonjours eu recours à la gymnastique, à l'hydrothérapie, aux travaux manuels et intellectuels, cherchant à occu- per
es (plèvres, foie, reins, intes- tins, rectum, vessie). NOT.I. Ce travail a été fait sous l'inspiration de notre éminent ma
us chez notre malade. Nous n'avons voulu considérei dans le présent travail que lu côté clinique de la question, nous serons
896, 2 et 9 janvier 1897.) Nous avons rendu compte à cette place du travail du D1' Ranney et du mémoire du Dr Peterson : no
rment par cela REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 411 même le complément des travaux que nous avons précédemment analysés. Voici le
le plus souvent, chacun s'est attaché, naturel- lement, à lire son travail le jour où étaient inscrits des com- patriotes
nt pas trop intenses, les sujets peuvent continuer de se livrer aux travaux de leur profes- sion. D'habitude ils cachent le
. M. Séglas surtout s'est occupé de la question, et, dans plusieurs travaux , a démontré que l'hallucination ne doit pas êtr
voquées par l'anémie temporaire de cet organe. Depuis notre premier travail , nous avons reproduit sur un plus grand nombre
t généralement laissée au second plan. " ' .. Nous avons, dans un travail publié avec M. Cabannes dans la .Nouvelle Icono
point de vue. Elles nous mon- trent en même temps l'importance des travaux expérimentaux et biochimiques, même dans la neu
sclérose. C'est le mémoire de Charcot et Vulpian, fait d'après les travaux de Wunderlich, qui a lancé ce médicament dans l
naît l'action vaso-constrictive de l'ergot de seigle, et depuis les travaux de Tuczek, confirmés expérimentalement par Grun
REY et GLEY, 5° série, t. IX, Masson, éditeur. Voici les titres des travaux relatifs au système nerveux parus dans cet impo
my; - Critique des expériences de Hirn sur la thermodynamique et le travail chez les êtres vivants. Comment elles auraientd
boutir à des conclusions exactes sur la valeur de l'énergie que le - travail mécanique « prend » ou « donne » aux muscles, s
constantes avec minima "et maxima en rapport avec les conditions du travail digestif. 2° Les attaques convulsives présenten
ndre. Voici d'abord l'observa- tion du malade qui nous a suggéré ce travail : SoMM.\iRE. tUë/(U : co'eaH<eM6'<'. Trou
s symptômes; cependant le malade n'avait plus la même faci- lité de travail ; il avait des dégoûts et déjà quelques préoccupat
élancolie simple, qui ne l'empêche pas d'exercer son ministère; les travaux qu'il affectionnait ne sont plus pour lui qu'un
us ne trouvons pas l'instabilité, soit dans les idées, soit dans le travail ; cet homme a été calme, pondéré, travailleur no
et résultant de l'excitation exagérée et passa-- gère que cause un travail laborieux. L'expérience journalière nous montre
ment par les courants faradiques pendant six à huit semaines. Tout travail d'esprit et de fatigue physique doit être évité.
nchyme cérébral, et s'évitent les lésions régressives. Le but de ce travail ne nous permet pas d'entrer dans plus de détail
peu à peu toute son intelli- gence et aujourd'hui il s'est remis au travail . Il y a deux ans et demi que l'opération a été
n, diagnostic, traitement. M. Jules Geoffroy (de Paris). - Dans les travaux , d'ailleurs très remarquables, qui ont été publ
ui l'anime est lui-même atteint, ou que le muscle a été soumis à un travail excessif ou trop prolongé : l'atonie est une cons
ils auraient un champ suffisamment vaste pour produire d'excellents travaux . Leur jeunesse, leur bonne 532 asiles d'aliénés
leures intentions et la plus scrupuleuse sagesse - apportée dans le travail de la loi, on doit fatalement compter sur des i
cés dans les familles; ils en partagent la vie, les plaisirs et les travaux . Au point de vue de la surveillance, le territo
immédiate a été de 8. La plupart des malades sont occupés soit aux travaux agri- coles (98), soit aux soins du ménage et à
et à la garde d'enfants (102) ; un certain nombre se livrent à des travaux de couture, decordon- ' Et cela avec juste rais
. (Thèse de Mont- pellier, 1896-1897, n° 39.) Comme résumé de son travail , l'auteur formule les conclusions suivantes : 0
ès lui, M. Wulfran Jauffret, secrétaire général, a rendu compte des travaux de l'année 1896. Le Comité a eu à s'occuper ' N
ent. Le rapporteur rend compte de l'organisation de l'école et du travail dans la prison Chave. Il présente le compte finan
'anti- pyrine et des sur les éléments nerveux, par Debray, 408. Travail manuel, par Fore ! , 163. Tremblement congénita
20 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
n du Service photographique de la Salpêtrière. Cet Ouvrage, fruit des travaux et des recherches que j'ai pu faire grâce à votre
lles lisent les noms de ceux qui l'emploient journellement dans leurs travaux . Elles verront que la Photographie est venue appo
i a déjà été fait on peut bien augurer de l'avenir. Le but de notre travail est de montrer plus spécialement l'utilité de la
s avons jugé utile de montrer au lecteur, et, dans l'intérêt de notre travail lui-même, nous avons emprunté nombre de planches
e ne remontent donc pas bien loin. Il convient cependant de citer les travaux de Rousseau, d'Onimus et Martin, de Hardy et Mont
ntméja, ceux de Duchenne de Boulogne. Au point de vue historique, ces travaux ont pour nous une valeur indiscutable, car ils on
te époque le Service photographique de la Salpêtrière. Les premiers travaux exécutés dans ce laboratoire ont été faits par MM
cité partout en France et à l'étranger comme un modèle du genre. Les travaux exécutés dans ce laboratoire ont également obtenu
Nous espérons que le lecteur, après avoir pris connaissance de notre travail , sentira l'importance de l'application de la Phot
ir de la Photographie d'une manière courante, mais s'il donne à ces travaux iconographiques la même publicité qu'à ses observ
, à l'élément primordial altéré. Le microscope sera son instrument de travail et le lecteur n'est pas sans ignorer que c'est gr
égal, nous aurons terminé notre tâche et nous osons espérer que notre travail engagera ceux de nos lecteurs que la question int
i. INSTALLATION ET MATÉRIEL. En commençant cette partie de notre travail qui a trait à l'organisation d'un service de Phot
TRÉ. L'atelier vitré est indispensable pour exécuter couramment des travaux ayant une véritable valeur; non pas que l'on ne p
journées, dans la mauvaise saison, par exemple, pendant lesquelles le travail est très difficile, surtout quand il s'agit, comm
onner aux parties non vitrées de l'atelier une peinture favorable aux travaux que l'on doit y effectuer. On emploiera un ton so
ujours préférable. Il est indiscutable, en effet, que pour faire un travail régulier, obtenir des clichés d'intensité détermi
ans les cuvettes les unes après les autres; ce qui permet de faire un travail régulier et rapide. En dessous de la cuve de pl
ce focale principale la plus faible. Nous n'indiquerons pas dans ce travail la manière de mesurer la distance focale absolue
On peut donc, dans certains cas, arriver à des poses telles que tout travail pratique sur un modèle vivant sera impossible. Il
t d'excellents résultats. Bien que ces plaques nous suffisent pour le travail courant, il est cependant des cas où leur rapidit
teur en possession d'une bonne marque rapide qui lui servira pour les travaux d'après nature : mais doit-il garder la même marq
travaux d'après nature : mais doit-il garder la même marque pour des travaux qui n'exigentpas une pareille sensibilité?Étant d
enant de la même émulsion. Ce sera une garantie pour la régularité du travail . Nous avons du reste pris l'habitude, lorsque nou
du temps de pose et le développement; nous renvoyons le lecteur à ce travail (1 ). INFLUENCES PRATIQUES. Nous venons d'étu
est prise comme unité. Le même Tableau s'appliquera rigoureusement au travail fait à l'intérieur de l'atelier. Hauteur du Sol
dans notre laboratoire de la Salpêtrière que nous avons rencontré les travaux les plus divers, les plus com pliqués, les diff
n cherche. Nous engageons d'ailleurs notre lecteur à se procurer le travail spécial que nous avons fait sur le développement
, ont été faites magistralement par M. P. Richer, dans son magnifique travail sur Y Anatomie artistique ({). Dans cet Ouvrage,
t amené les modifications de la forme extérieure de l'individu. Des travaux analogues ont été depuis repris par M, le profess
de Fried-reich, etc. Il sera toujours intéressant, dans ces divers travaux , de se procurer des photographies antérieures : o
s aux maladies de la peau. Nous rappellerons, en terminant, le beau travail de Hardy et Montméja que nous avons déjà cité au
, dans l'un ou l'autre procédé, de donner les colorations voulues. Ce travail , bien entendu, devra se faire sous la direction d
erché l'influence de la physionomie sur le geste. Se basant sur les travaux de Duchenne (de Boulogne) qui avait indiqué le pr
e nouvelle branche de la Photographie est relativement récente et les travaux accomplis se comptent. Après l'Américain Muybridg
areil de ce genre peut être d'une grande utilité et donner lieu à des travaux originaux; mais il sera nécessaire, croyons-nous,
on ne saurait méconnaître. On n'a qu'à se rapporter pour cela au beau travail qu'a publié notre ami le Dr Gilles de la Tourette
articulière sur laquelle il nous paraît inutile d'insister. De tels travaux ne peuvent être exécutés que par des spécialistes
nt il faut citer le larynx et l'œil. Nous allons donner un aperçu des travaux qui ont été exécutés et dont nous avons eu connai
armi les applications de ces procédés, il faut citer les intéressants travaux du Dr Quenu et de M. Demeny, le collaborateur de
le. C'est ainsi que MM. Debierre et Doumer ont procédé dans leur beau travail sur les centres nerveux. (2) Nous ne prétendons
artificiels que l'on a toujours à sa disposition et qui permettent le travail à tout instant. Il en est trois que l'on emploi
ntretenir avec soin et couper la mèche avant chaque séance. avec un travail régulier et de tous les instants. Aussi ne l'empl
on fait actuellement n'ont plus ce défaut. On emploiera, suivant le travail à exécuter, les objectifs grossissant convenablem
t s'effectue avec beaucoup plus de facilité. Néanmoins, pour certains travaux courants, il peut être préférable d'installer l'a
phique sans avoir rien à déranger. L'appareil comprend une table de travail , dans le prolongement de laquelle se trouve un ba
hambre microphotographique de M. Duchesne. A, B, rails; C, table de travail ; D, banc optique; E, plateau pour recevoir la sou
ffit de monter sur l'appareil un objectif photographique approprié au travail que l'on veut exécuter. Avec un appareil de ce
s pouvons cependant lui faire savoir comment nous avons opéré dans le travail que nous venons de faire récemment sur l'Anatomie
ans ce but que MM. Cornil, Doyen et Yvon ont entrepris le gigantesque travail de former un Atlas renfermant la reproduction pho
océdés de coloration les plus usuels pour le tissu nerveux. — Dans le travail que nous avons fait avec le D1' Paul Blocq, nous
ous fournir les renseignements nécessaires pour cette partie de notre travail . Nous lui adressons à ce sujet nos plus vifs reme
qui est la plupart du temps insuffisant, nous aurons en dix heures de travail 4o épreuves seulement. Pour en avoir iooo il faud
avail 4o épreuves seulement. Pour en avoir iooo il faudra 25 jours de travail , en supposant encore que le temps soit toujours f
considérable. Il faudra donc réserver les premiers procédés pour le travail journalier et lorsque le tirage n'est pas considé
'il n'y ait plus de grain. La quantité de vernis variera d'après le travail à effectuer, en se sont fabriquées spécialement
gélatine est d'abord mise à gonfler dans de l'eau courante, de aux travaux ayant peu de demi-teintes. C'est par un mélange c
vaincu, et c'est à ce titre que nous avons voulu lui faire dans notre travail une si large part. M. Ch. Petit s'est attaché à n
aller à la Salpêtrière un appareil spécialement destiné à ce genre de travail . Une ouverture faite dans la muraille et garnie d
ambre classique à trois corps, qui permet du reste facilement le même travail . L'avantage que nous trouvons au dispositif que n
image pendant un temps plus ou moins long. Il faut pour ce genre de travail employer un objectif rectilinéaire Solution À.
ageuses. Développement des plaques à projection. — Dans ce genre de travail , où l'on peut régler la pose d'après la valeur du
n pas tant au point de vue de la transparence que de la régularité du travail . En effet, les plaques au chlorure (Perron) donne
tes ces raisons réunies nous ont fait abandonner ces plaques, pour un travail où il faut avant tout de la régularité et de l'un
r des procédés uniquement photographiques et sans l'intervention d'un travail quelconque de la main. Voici le procédé qu'ils on
men des mains professionnelles (Pl. XVII). Tl est reconnu que dans le travail manuel certaines déformations des mains, certaine
icroscopique ou toxicologïque. En un mot, au fur et à mesure de son travail , il aura intérêt à conserver par la Photographie
21 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
t ont suivi une marche ascensionnelle, lente mais sans arrêt ; leur travail classique se rapproche de plus en plus de celui
ouragement. Presque chaque jour les enfants, dont la conduite et le travail ont été satis- faisants, reçoivent du dessert.
ution des récompenses et reçoivent chacun quelques sous pour leur travail manuel et classique. Le gain, quelque modeste qu'
rer l'éducation de leur main, de fixer davantage leur attention. Ce travail n'est pour ces enfants qu'un moyen d'éducation.
llité, obésité, nanisme. - S'est signalé par sa bonne conduite, son travail assidu en classe et a fait assez de progrès pou
sie. - Après une longue période de paresse, l'enfant s'est mis au travail , est devenu courageux, moins emporté, plus persé-
, les plantes portent des étiquettes nominatives, s'ajou- tent le travail manuel dans les ateliers, les exercices physiqt
ts obtenus par eux en 1901 et qui se chiffrent par 29.792 fr. Les travaux de jardinage seuls ne sont pas évalués, et comm
pproximative. Les sept maîtres, non compris le jardinier, dont le travail de ses apprentis et le sien dépassent assurément
raison de 6 fr. 50 par jour, soit pour l'année 16.607 fr. 50. Le Travail des enfants, évalué par l'économe, (1) Chaque f
jeux, portes, bancs, etc., croisées et parquet du gymnase, tout le travail neuf lixe du service, cloison, porte vitrée ave
phabet, etc., pour les Ecoles de Bicêtre et de la Fondation Vallée. Travaux divers pour les hôpitaux et hospices : Boucicau
es : Boucicaut, Bicêtre, Maison de santé, Saint-Louis, Salpêtrière. Travaux pour la Société des Sous- employés de l'Assista
les résultats éco- nomiques de l'enseignement professionnel et du travail accompli, au point de vue pratique, nous avons
ice ou dans Paris, promenades qui font perdre une demi-journée de travail . Administrativement, après avoir douté de la po
ue abusive des couvents, doivent fournir régulièrement une somme de travail fixe. Et on y tend administrativement, car on v
end administrativement, car on vou- drait leur faire faire tous les travaux d'entretien de la section, oubliant qu'il s'agi
e qui doit primer dans notre - service, c'est l'influence morale du travail , qui est Statistique, mouvement DE la populatio
qui est Statistique, mouvement DE la population. LI l'adjuvant du travail scolaire, du traitement médical et non le produ
à dédaigner. Les enfants eux-mêmes sont heureux de voir que leur travail est productif, qu'il se traduit par des résulta
, avec des arrêts beaucoup trop longs, faute d'une bonne méthode de travail , dans ces divers services (1). (1) Les infirm
géographie, elle travaille bien au dessin. Ce n'est qu'à force de travail que l'enfant a pu réaliser ces progrès, car elle
énage et pour les ouvrages manuels ; elle se plaît à ces différents travaux et on voit que l'enfant est tout à fait dans so
ers que nous possédons ont continué à fonctionner régulièrement. Le travail , évalué par M. Maupré, économe de Bicêtre, d'ap
jets de toilette, bien entendu en dehors des heures régulières de travail . Le travail, de ce fait, ne rentre pas natu- re
ilette, bien entendu en dehors des heures régulières de travail. Le travail , de ce fait, ne rentre pas natu- rellement dans
ois par mois le nombre des apprenties régulières et l'évaluation du travail . Visites, permissions de sorties, congés. Les
ons par la traduction, duc à l'un de nos internes, M. Morel, d'un travail d'ensemble sur cette question qui intéresse vive-
3 instituteurs, 21 institutrices; et un total moyen de 24 heures de travail par école. - Le rapport scolaire de 189G c w la
fallu il ces hommes et ces femmes cinquante années d'efforts et de travail pour que le public s'intéressât il leur oeuvre.
s'intéressât il leur oeuvre. Ces différents rapports, ainsi que les travaux publiés à l'étranger constitueront, il n'en pas
tement ne pourra obtenir quelque résultat que dans l'exécution de travaux élémentaires, tels que le balayage ou le lavage
nous dire combien un arriéré, garçon ou fille, porte entrave à tout travail sco- laire ; comment toute tentative quoiqu'ell
faut une santé robuste, sous peine de ne pouvoir mener à bien leur travail scolaire, une aptitude quelconque ne tient pas
u femme, le maitre idéal doit être familiarisé avec les détails des travaux manuels ; il doit savoir dessiner; et il n'y au
six jours on attribue 24 heures à l'étude. A Londres, 25 heures de travail intellectuel par semaine de 5 jours avec un rep
atitude pour établir l'emploi du temps, sous cette réserve que : le travail in- tellectuelle plus difficile soit exécuté le
il l'instituteur plus ou moins de latitude dans la - progression du travail de ses élèves. Le choix du traitement et de l'é
, à la cuisine, à la buanderie et autres . Classes spéciales. cxv travaux peu pénibles qu'on leur apprend d'ordinaire (1).
e du foot- ball, des exercices militaires, de la gymnastique, des travaux de couture ou de cordonnerie ; mais aussi aux e
Les exercices varient de demi-heure en demi-heure. Chaque heure de travail est suivie de 10 iL 15 minutes de repos. Les ch
l and Physical Conditions of' Childhoocl, » contient l'exposé des travaux antérieurs, relatifs la question. L'auteur rapp
e terrain névropathe, pour soumettre secondairement le cerveau au travail intellectuel (1). » Ce système est en parfait acc
posons de publier un double rapport médical et pédagogique, sur nos travaux au cours de ces cinq dernières années. Je m'emp
nt clérical. Il va sans dire, très honoré docteur, que si pour un travail quelconque, vous avez besoin de statistiques im-
le Dr .T. Il. llùbertz. - 2° Ebberoclgoarcl, asile et ate- lier de travail pour environ 400 enfants et adultes des deux se
Vejle). Kellers Austalt comprend un asile école et un atelier de travail pour environ 600 pupilles, adultes et enfants des
variété des occupations, l'importance des exercices physiques, du travail manuel, du dessin, du chant, le rôle capital du
s, malades, infirmes de corps ou d'esprit, orphelins, citoyens sans travail . Remplir cette tâche avec l'esprit d'humanité l
nt témoin ; de la difficulté, sinon l'impossibilité, pour eux, d'un travail suivi, leurs accès les faisant ren- voyer des a
terme ou prématuré (cause), naturel ou avec intervention, durée du travail , chloroforme, mode de présentation; quantité de
15, résumées dans la thèse de M. le Dr Palliait, 1875. - Revues des travaux publiés sur le bromure de camphre (Progr. méd.,
ans accidents particuliers. - Le traitement, outre les douches, les travaux scolaires et manuels et la gymnastique a contin
n parait un peu large et permet facilement l'entrée de l'index. Son travail , son activité et sa tenue ne laissent rien à dési
des hommes. Elle aime les jeux bruyants, est très adroite pour les travaux manuels, sait faire marcher la machine à coudre
es de son âge, est serviable. C'est l'une des plus avancées pour le travail manuel. Celte amélioration du caractère coïncid
volontiers à la moindre invitation. Pour tout ce qui concerne les travaux de repassage et à l'aiguille elle est très adroit
l'enfant ; les mouvements étaient modérés. - Accouchement à terme, travail assez long, l'enfant est venue toute noire, à l
Juin. - Les vertiges diminuent. De Mich... a assez de goût pour les travaux scolaires. Elle n'est maladroite ni pour la cou-
pricieuses et de peu de durée. Il n'y a aucune persévérance dans le travail intellectuel. Très instable, il veut changer à
st poli avec tout le monde, docile aux obser- vations, assidu à son travail scolaire. Il fait régulièrement la gym- nastiqu
laire. Il fait régulièrement la gym- nastique, s'occupe à de petits travaux de jardinage et paraît faire tous ses efforts p
let. Bon mois au point de vue de la véracité et de l'assi- duité au travail . Du 14 au 21, période de mélancolie et de tacitur
és et vraisemblables. En classe il fait des progrès, s'habitue à un travail régulier, et en gymnastique acquiert une adress
s et bains ; sirop de fer ; huile de foie de. morue ; gymnastique ; travaux scolaires ; travaux mauuels ; trais tement mora
e fer ; huile de foie de. morue ; gymnastique ; travaux scolaires ; travaux mauuels ; trais tement moral. Des observation
elle depuis plus de trois ans. « Lorsque ma mère allait livrer son travail , papa se nettoyait devant moi, puis levait sa c
898. 1899. Janvier. - L'amélioration se coufirme en classe et aux travaux manuels. Fait de la dentelle au lieu de jouer. Pa
nt dans ces sortes d'études, M. Paul-Boncour, d'entre- prendre un travail préliminaire tout à fait spécial destiné anous
ie du fémur, et ce qu'a publié l'un de nous comme introduction à ce travail sur les modifications osseuses, et d'une façon
te sur leur production et leurs variations, il faut se reporter aux travaux de Manouvricr (loco citato) et De la Platymérie
les variations individuelles de l'ouverture de l'angle. D'après les travaux antérieurs, parmi lesquels il faut surtout cite
e et analysons ses mouvements. On y retrouve cette inéga- lité du travail effectué par chaque membre. Quand le corps prog
moyens. Durant le pas, l'hémiplégique abrège le plus possible le travail de son membre malade et se hâte de retrouver un
é la marche chez l'enfant et qui s'est inspiré dans cette étude des travaux de M. Gilles de la Tourette. La lJ1'ession es
ant été pourvu malgré cela d'une musculature disproportionnée à son travail , a été le siège d'un phénomène identique à ceux
fémur. Ce chapitre, qui est plutôt une sorte d'appendice il notre travail , a pour but de démontrer que les considérations
mauvaise hygiène de- l'école et à l'ardeur qu'apportait l'enfant au travail . A 12 ans première attaque de folie : excitatio
x, sa santé redevenait florissante; en second lieu, son ardeur au travail , il lui arrivait souvent de se lever au milieu de
uit la classe et semble s'y intéresser; il n'en est pas de même des travaux manuels pour lesquels elle ne montre aucun goût
tous les exercices, s'applique de son mieux tant à -t'étude qu'aux travaux manuels, mais elle est un peu nonchalante et l'
part volontiers, etde bonnegrace, à tous les exercices, à fous les travaux scolaires et manuels. Son intelligence est reve
liographie complète de la question, mais seulement l'indication des travaux les plus importants, à notre connaissance. Ka
taient rares et faibles. Accouchement a terme, après cinq heures de travail ; il fut facile, ne nécessita ni le concours d'
ommu- nes devront être soumises à l'Administration centrale. B. Travaux scientifiques faits dans le service. (Thèses et
de Paris. Bourneville.. Contribution à l'étude de l'idiotie. - Ce travail comprend deux parties, dont la seconde a été fait
s lésions de la corne d'Ammon dans l'épilepsie. Thèse de Paris. - Travaux faits dans LE service. 195 1882. BRICON (L.).
logie de l'idiotie et de l'imbécillité. Thèse de Paris, , . 196 , Travaux faits dans LE service. RETROUVEY (A.). - Contri
sai sur le traitement chirurgical de l'épilepsie. Thèse de Paris. Travaux faits dans LE SERVICE. 197 1899. CESTAN (R.).
IL Enseignement professionnel................... XLV Évaluation du travail des enfants........ XLII Enumération des produi
22 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
e anniversaire du Musée Guimet. — Le respect des morts, p. 1. II. — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. Les femmes â barbe : Etude psyc
quitté de sa tâche avec l'ardeur et le talent qu'il met dans tous ses travaux . Son travail, imprimé sous la forme d'une élégant
tâche avec l'ardeur et le talent qu'il met dans tous ses travaux. Son travail , imprimé sous la forme d'une élégante brochure, o
thérapeutique et sur le mouvement psychologique contemporain par les travaux des chercheurs qui, à la suite de Liébeault, ont
efforts, de labeurs opiniâtres. » Après avoir exposé les précédents travaux de Gilles de la Tourette, qui n'avaient pu s'effe
fructueux auquel puisse se livrer l'intelligence. L'influence que ce travail mental exerce sur la formation de nos idées est s
En effet, on pourra être surpris de rencontrer successivement dans ce travail toutes les formes typiques de la reproduction imp
sa barbe, la femme que l'artiste a figurée ne se désintéresse pas des travaux de son sexe. Les mains sont armées d'un fuseau et
té antérieure. Douée d'une grande activité intellectuelle, ayant le travail facile, elle est entrée fort jeune à l'Ecole norm
ttéraires coïncident avec une période où ma sanlé. m'inlcrdisant lout travail scientifique, je me rejetais sur des travaux litt
anlé. m'inlcrdisant lout travail scientifique, je me rejetais sur des travaux littéraires auxquels j'avais toujours pris, du re
ien; profondément aboulique, elle devient incapable de se livrer à un travail quelconque, même un décalque de broderie. On a pr
bué au progrès de la psychologie pathologique. Après avoir exposé les travaux du Dr Tripler, qui fut le principal créateur de l
oire d'un homme illustre. Qu'un homme arrivé à la notoriété par ses travaux et par le hasard des événements politiques ait qu
ne manque au tableau, ni le feu pétillant dans l'Atre, ni la table de travail couverte de plumes et de papier, ni le siège sur
ière, terminaison d'une longue maladie, a donné matière à de nombreux travaux de médecine rétrospective. On peut donc considére
iel do la Sociale d'bypnologie et de psychologie, enregistre loua les travaux publiée en France et a l'Etranger sur les applica
n bulletin sur les faits importants du mois; 3' Des articles de fond ( travaux et mémoire* originaux!; 3* Des revues critiques ;
du mouvement scientifique ; 8- Un index bibliographique do tous les travaux l'articles. ouvrages) paru* *ur l'hypnotisme. L
E. PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE, FOLKLORE LIVRAISON H'AOUT 1904 I. — TRAVAUX ORIGINAUX.— 1. Le sommeil, agent caratlf, par M.
la théorie histologique du sommeil normal, telle qu'ello résulte des travaux do Golgi et de liamon y Cajal, et la théorie du s
'emploi de l'hypnose dans l'antiquité nous ont été facilitées par les travaux de Santini de Biols, que nous remercions ici de s
besoin d'être prolongé. Pendant le « sommeil prolongé, il se fait un travail latent où les sugges-« tiens antérieures germent
me a barbe. Agée Je 83 ans. tlSSSj. à cette femme à barbe. Dans son travail il révèle que cette vierge fameuse avaiteu un enf
i, elle parlait couramment plusieurs langues et était fort habile aux travaux de son sexe. Des témoins oculaires qui l'ont obse
liquent la chose. J'arrive à mldf moins le quart et je vols une (I) Travaux de 11 Société des Naturalistes a Saratow, 1901, v
ui, il rencontre chaque jour quinze ou vingt modistes qui vont à leur travail ou rentrent chez elles ; il voudrait bien faire l
Clément Dukey vient de faire une intéressante enquête sur la somme de travail qu'on peut demander au cerveau au point de vue pé
surmener leurs élèves. Pour M. Dukey, qui s'est surtout occupé du travail cérébral des jeunes filles, on ne peut leur deman
ent de beaucoup cette limite. Le dressage des Jeunes acrobates Le travail des jeunes acrobates est régi par une loi. « Ils
reize ans, et encore accompagnés de leurs parents. Les inspecteurs du travail décident, dans les cas douteux, s'il y a lieu de
iel du la Société d'hypnologio et de psychologie, enregistre ion' le* travaux publiés en France et a l'Hlranger au: loi applica
Un bultoUn sur les faim important* du mois; Des articles - do fond ( travaux et mémoires originaux); S' Dos revues critiques;
du mouvement scientifique; 8' Un Index bibliographique de loua les travaux (articles, ouvrages- parus *ur l'hypnotisme. La
Bor-deu. — La psychothérapie aux stations thermales, p. 65. II. — TRAVAUX ORIGINAUX. - I. Les femmes à barbe : Etude psyc
vicieuses chez les enfants, par le D' Bérillon (de Paris), etc... Les travaux du congrès se terminèrent par une séance de proje
leur sympathie. A la séance d'ouverture du congrès de Pau, dans un travail où l'érudition le dispute à l'esprit philosophiqu
vination scientifique presque génial. Il est en effet certain que ses travaux sur la sensibilité et sur la composition des tiss
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours d
e la Société de pathologie comparée, créée dans le but d'associer les travaux des vétérinaires et des médecins, M. Bérillon s'e
iel do la Soeiolé d'hypnologto et de paychologle, enregistre tous tel travaux publics en Franco nt à l'Etranger sur le* applica
bulletin sur le* fait* importants du mois; î* Dca articles de fond ( travaux et mémoires originaux!; s* Dca revue» critiquea
du mouvomont scientifique; 8* Un indoi bibliographique de tous les travaux (articles, ourrageai parus sur 1 "hypnotisme, La
PSYCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE, FOLKLORE LIVRAISON D'OCTOBRE 1904 I; — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. Los femmes a barbe : Etude psycho
it membra dea Académies do Vienne et de Berlin, a publié d'importants travaux historiques et de nombreux mémoires archéologique
e se passe rien de saillant; elle s'adonne aux soins du ménage et aux travaux des champs. En janvier 1886, survient une nouvell
as a disparaître et Gésine, gaie, alerte, bien portante, se remet aux travaux féminins. Elle déclare que sa tête est maintenant
t déborder un vase plein jusqu'aux bords, de même, par un minúscula « travail décrochant », comme ont dit en mécanique, cette i
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours d
oulue. Un seul de ces malades a placé ma photographie sur sa table de travail , tous les autres évitent de la regarder et la pos
les cas de Montaigne, Lillrow, Pampoukis que j'ai rapportés dans mon travail sur le Traitement psyohologique du mal de mer et
ociété d'bypnologio el da p j ¦ ¦ ¦>'-¦¦ -i-, enregistre ton* lfi« travaux publié* an Franco et a l'Ktranger aur les appliea
ulletin -.ir les faits Importants du mois; 2* Des articles do fond ( travaux et mémoires originaux!; S' Dca revues critiques
du mouvement scientifique; 8* Un index bibliographique de tous les travaux (artielei. ouvrages! parua sur i'hypnousme. La
nelaux, sociologue et psychologue [arec un portrait), p. 129. II. — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. Los femmes o> barbe : Etude
IM) la Revue générale des Sciences, une étude assez étendue sur les travaux scientifiques de Duclaux. Il faisait ressortir l'
mérité d'être considéré comme un psychologue. Rien cependant dans les travaux spéciaux de Duclaux ne semblait faire prévoir qu'
gé de 30 ans, a toujours été bien portant. Il est méticuleux dans son travail et s'applique toujours dans tout ce qu'il fait. I
ées, ayant été bousculé par un de ses supérieurs qui lui demandait un travail pressé, il s'est mis à trembler et ne put écrire
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours d
lant la mort récente de M. le D' Liébeault, qui fut l'inspirateur des travaux de l'école de Nancy, expose le rôle important jou
impropre, car ceux qui ont été inspirés dans leurs recherches par les travaux de Liébeault ont travaillé individuellement et ne
l'influence du rêoe sur le délire (essai de psycho-physiologie). Ce travail débule par un historique très complet de la quest
la Psychothérapie ; il sera pour nous une excellente recrue ; par ses travaux et ses observations, il contribuera, pour sa part
ux, de l'arrêt du développement des neurones cérébraux que le moindre travail épuise et force à la rétractation, au sommeil.
conception trop simpliste, tous les jours démentie par les faits. Les travaux des psychologues rapprochés de oeux des clinicien
r ! do la Société d'bypuologie ei do psychologie, enregistra tous les travaux public* en France et à fY.ixaap.tr aur les applic
ulletin aur les faits important* du mois ; l' Dos articles de fond ( travaux et mémoires originaux); S* Dos revues critiques
du mouvement scientifique; 8* Uo index bibliographique de tous les travaux (articles, ouvrages» paras sur l'hypnotisme. La
YCHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE, FOLKLORE LIVRAISON DE DÉCEMBRE 1904 I. — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. L«s femmes a barbe : Etude psyc
ait celui d une femme. Tous ses goûts et ses aptitudes la portent aux travaux de son sexe et aux soucis du ménage. Douée d'un c
ent à une femme véritablement digne de ce nom. Elle se complaît aux travaux féminins, aimant la couture, la broderie, le croc
ses goûts étaient féminins et elle s'adonnait avec ardeur à tous les travaux qui sont du domaine de la femme. Elle aimait à co
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours d
mps ordinaire, une somme d'activité supérieure à celle que réclame le travail normal de l'ouvrier honnèto et laborieux. On devr
iel de la Société d'hypnologie et d« psychologie, enregistre ions les travaux publies en France et a l'Etranger sur les applica
Un bulletin sur les faits importants du mois; Des articles de fond ( travaux et mémoires originaux); 3* Dca revues critiques;
mouvement scientifique; &• Un index bibliographique de tous les travaux (articles, ouvrages* para* sur l'hypnotisme. La
psychical Kesearch. — Le congrès de Psychologie de 190G. p. 193. IL — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. Les femmes a barbe : Etude psycho
rendu dans notre prochain numéro. M. Marcellin Berthelot, dont les travaux font rejaillir sur notre pays la gloire la plus p
que cette élection constitue un hommage à un savant français dont les travaux font autorité en physiologie, elle indique une or
udes féminines. Excellente mère, elle aimait beaucoup à s'occuper des travaux du ménage. Pendant de longues Fig. 3t. - Mme Au
gne, partageant son temps entre les soins donnés à ses enfants et les travaux agricoles. Les deux sœurs étaient grandes, fortes
uvrement intellectuel ou bien excès d'exercice physique et trop grand travail d'esprit ; émotions tristes ou malsaines, chagrin
rouvent d'importantes contributions â leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours d
ne. Chez les premiers, nous emploierons l'exercice automatique sans travail des centres nerveux, les mouvements faciles, la m
ropre des jeux est de faire produire à l'organisme humain beaucoup de travail sans grand effort. Autant pour le - surmené « n
médication, de l'hygiène, que nous recommandons. S'il faut pousser au travail et à l'application, il no faut pas prétendre agir
certaine des accidents imminents: une grande modération dans tous les travaux , une action physique et psychique réduite en cons
exactitude et fidélité. C'est une école d'Initiative, de dignité, de travail . Le soldat plus cultivé, l'officier plus instruit
uté tiennent la première place. Discipline et courage, application et travail , dévouement et bonté, ne sont plus seulement des
iel de la Société d'hypnologie et de psychologie, enrogittre tooa lea travaux publiée eu France et a l'Etranger iur le» applica
ulletin sur le» faits importants du mois; 2' Ile* articles d* fond ( travaux et mémoires originaux); 3* Oes revues critiques
du mouvement scientifique; 8* Un Index bibliographique de tous loi travaux (articles, ouvrages) parus sur l'hypnoUime, La
cadémie dos Sciences, membre de l'Académie française, p. 245. II. — TRAVAUX ORIGLNAUX. — 1. Etude de la force nerveuse exté
admirateurs et défenseurs de Liébeault. En dehors de ses remarquables travaux qui ont fait de lui un des maîtres de la physiolo
e. Enfin, nous avons à déplorer la mort du professeur Tarde que ses travaux de criminologie et de philosophie sociale avaient
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours d
la puissance de Vauto-suggestion. Il l'a exposé avec clarté dans son travail intitulé : De l'empire de l'esprit sur les sentim
iel de la Société d'hypnologie et de psychologie, enregistre tous les travaux publiés en France et s l'Etranger sur les applica
bulletin sur les faits importants du mois; 2* Des articles do fond ( travaux et mémoires originaux! ; 3' Des revues critique
du mouvement scientifique ; 8- Un index bibliographique de tous les travaux (articles, ouvragesi parus sur l'hypnotisme. La
lstes. — Suggestions thermiques chez les tuberculeux, p. 257. II. — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. Lo Tarot des bohémiens, par M.
PRIX : 3 fr. 50 Solution §romurée $|cry aux Sels de Magnésium Les travaux de Gaubb ayant montré de façon indiscutable l'imp
ypnotisme, n» de juillet 1901 et suivants. Xekrassow. O'est à son travail que nous empruntons les renseignements qui vont s
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les cours d
oujours eu des goûts féminins. Elle aime la couture, mais préfère les travaux à l'aiguille délicats, ainsi que la broderie fine
chez lui ; il n'est plus emporté, il est redevenu gai, il fournit un travail très actif et très régulier. Pour arriver à ce
les rayons de Blondlot, l'autre: 17» cas de claire audition. Ces deux travaux sont renvoyés à l'examen de MM. Lionel Dauriac, B
'examen de MM. Lionel Dauriac, Binet-Sanglé et Paul Parez. Un autre travail , adressé par M. Peldmann (de St-Pétersbourg) et i
C'est à V'illejuif que notre camarade, le D* Toulouse, a accompli ses travaux sur les instruments permettant d'étudier les sens
bulIcUn sur les faits important* du moi*; 3* Des articles de fond ( travaux et mémoires originaux); y De» revues enUques;
du mouvement icieuliGque ; 8* Un index bibliographique de tous les travaux (articles, ouvrages) parus sur l'hypnotisme. La
LETIN. — Les agents physiques et la psychothérapie, p. 289. II. — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. Les femmes a barbe : Etude psyc
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-phy siologiq uc. Les cours
édit.) La thèse si intéressante de M. Marnay a été inspirée par les travaux de l'Ecole de Psychologie et du dispensaire anti-
iel de la Société d'Mypnologie et de psychologie, enregistre tous les travaux publié* on franco cl à l'Ku-anger sur le* applica
bulletin sur les lails importaula du mois; f Des articles do tond ( travaux et mémoires originaux); 5* Dos revue* eriliques
du mouvement scientifique; 8* Un index bibliographique de tous les travaux lartielcs, ouvrages) parus sur l'hypnotisme. La
I. — BULLETIN*. — Le Congres de psychologie de Rome. p. 371. II. — travaux originaux. — 1. Les femmes A barbe : Etude psyc
ologie pour arriver à la mise en valeur de l'intelligence humaine. Ce travail remarquable, nous l'espérons, sera traduit en fra
les merveilles artistiques et archéologiques de la Rome antique, les travaux du congrès ont été très suivis. Pour exprimer le
tent d'être soumises à l'attention de nos lecteurs. Nous citerons les travaux de M. le professeur Sciammana sur les fonctions d
nce de l'alcool, il sent un certain bien-être. Son humeur s'égaie, le travail de la pensée s'effectue plus rapidement, la parol
émoussent. L'individu reprend son train de vie réglée, il se remet au travail avec zèle, tâchant par là de faire oublier sa con
en proie à toutes ces pensées incohérentes, refuse pour ainsi dire le travail . Tout est perdu pour lui, il n'y a plus d'issue,
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Les coure d
urrait intituler « La psychologie de l'annonce ». — Il résulte de son travail que, pour avoir quelque eflet, une annonce doit p
iel de 1« Société d'hypuotogio et de psychologie. enregistre lot» les travail * publiés en Franco et k l'Etranger sur tes applic
bulletin sur les faits Importants du mois; 2* Des articles de fond ( travaux et mémoires originaux!; 3' Des revues critiques
— Les mains prédestinées. — L'écriture aveu la langue, p. 353. II. _ TRAVAUX ORIGINAUX. - 1. Les femmes à barbe : Etude psycho
ritable maestria. Il était fort intelligent. Il a laissé d'excellents travaux sur les Rétrécissements du bassin et sur différan
manoeuvrait l'aiguille aveo la langue et les lèvres, en exécutant ce travail assez rapidement. En trois semaines, elle avait r
ficultés qu'elle avait rencontrées, pour assurer son existence par un travail régulier. Le portrait de la femme Koch, née Fol
a Tait place à un désir subit de s'occuper, de travailler. Comme les travaux d'aiguille ne plaisent pas à Marie-Louise, elle v
auditeurs d'élite qui du premier coup y voient clair, suppose un long travail ; elle atteste de longues habitudes d'analyse et
iel do la Société d'hypnologie et de psychologie. onrcgistre toui le* travaux publiés eu Franco et à l'Etranger sur les applica
bulletin sur les faits importants du mole; 2* Des articles de fond ( travaux et mémoires originaux); 3* Des revues critiques
du mouvement scientifique; 8' Un indox bibliographique do tous los travaux (articles, ouvragos) psrus sur l'hypnotisme La Re
23 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
réunir dans ce recueil les principales leçons que j'ai faites et les travaux les plus intéressants qui ont été publiés clans m
ait à des cas observés et étudiés dans mon service. Les éléments de travail ne manquent pas à la Salpêtrière. Sans compter le
mes élèves, qui y puisent à pleines mains, les matériaux de nombreux travaux qui sont publiés sous ma direction à droite et à
i sont publiés sous ma direction à droite et à gauche. De ces leçons, travaux divers, notes, observations, j'ai pensé qu'il ser
lexus pathologique — je n'ose dire encore cette maladie — d'après les travaux de M. Morvan lui-même et ceux des quelques auteur
ent dirigées contre lui, et elles sont nombreuses. Parmi les autres travaux sur le même sujet et à la suite, je signalerai le
Ce rapprochement avait été fait, en effet, par M. Roth, qui, dans son travail sur la gliomatose médullaire (Arch. de Neurol., 1
t relative à ce même malade que je vais vous montrer aujourd'hui), le travail de Monocl et Reboul (Arch. de méd., 1888), la thè
ecueillis çà et là dans les divers auteurs. Enfin, tout récemment, un travail de Heckel d'après une clinique de Jûrgensen (de T
s tout à l'heure. Telle est la description initiale. Mais, dans les travaux qui suivirent, M. Morvan modifia quelque peu le p
uère qu'en Bretagne. Ce fait semblerait à la rigueur corroboré par le travail de Prouff, qui exerçait dans le même pays. Fait a
ion de cette leçon, les idées se sont modifiées à ce sujet, grâce aux travaux de M. Joffroy. Voir plus loin le n" XII (G. G., m
lée. On le sortit de là, et, après avoir beaucoup vomi, il reprit son travail jusqu'à la fin de la journée. Pas de perte de con
re ans. Il continue à travailler à son métier, s'apercevant, dans son travail de charretier-terrassier, que sa main gauche, pou
occupe actuellement. Sorti de l'hôpital en juin 1888, il reprit son travail , mais ne put continuer, malgré un essai de cinq m
harnacher ses chevaux et était obligé de payer un homme pour faire ce travail à sa place matin et soir. Après un certain temp
t vu condamné, par ses déformations persistantes, à une incapacité de travail définitive. Au trouble profond apporté par la mal
re 1889). Après sa sortie de Vincenncs, le malade put reprendre son travail et la guérison se maintint pendant deux mois. Mai
. — Date récente des premières études sur le tremblement hystérique : travaux de MM. Rendu, Pitres, Dutil. Classification des t
itaux, sur le tremblement hystérique et ses diverses variétés (1). Ce travail important peut être regardé comme ouvrant une ère
r le tremblement hystérique (2). Bien qu'il n'ait eu aucune notion du travail de M. Rendu au moment où il étudiait ces tremblem
lication des leçons de M. Pitres, M. Dutil, mon interne, composait un travail sur le même sujet, travail fort intéressant, fond
itres, M. Dutil, mon interne, composait un travail sur le même sujet, travail fort intéressant, fondé surtout sur l'étude (1)
lades rassemblés par nous à cet effet dans le service de clinique. Ce travail , non encore publié, a été présenté par lui à un c
blis par M. Rendu. Mais il est, on peut le dire, plus complet que les travaux antérieurs, en ce sens qu'il embrasse l'étude, au
uel des choses. Elle ne diffère en rien d'essentiel de celle (l) Le travail de M. Dutil est aujourd'hui paru dans la Nouvelle
augurale. (Th. Paris, 1891]. (G. G.). qu'a adoptée M. Dutil dans le travail auquel j'ai fait allusion tout à l'heure, Tremb
ovembre 1888, il commença à se plaindre d'une grande fatigue dans son travail . Ses nuits étaient agitées, son sommeil entrecoup
t qui ne le quittait guère et ne contribuait pas peu à lui rendre son travail difficile. (1) Oharcot* —Leçons du Mardi, tome
Enfin, le 26 février 1889, rentrant chez lui, après avoir terminé son travail , il fut pris d'une violente crise de nerfs qui du
t normale. (1) L'observation résumée de ce malade se trouve dans le travail sur le tremblement hystérique que M. Rendu a comm
les caractères des divers tremblements hystériques, grâce aux récents travaux sur cette question. C'est un chapitre de plus à a
es maladies organiques de la moelle épinière (th. Paris, 1891) et son travail paru dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtri
kellähm.ungen, Wiesbaden, 1889, p. 347), Joachim et enfin Senator. Le travail de ce dernier auteur, publié dans les Archives de
es sept observations publiées antérieurement à la publication de leur travail par les divers auteurs, en les faisant suivre de
onnu aujourd'hui. Premières observations de M. le professeur Charcot, travaux récents sur cette question. Description de deux c
ues, on en a publié quelques cas. Vous en trouverez un dans le récent travail de M. Trintignan (1), qui le doit à M. Raymond. C
and développement des phénomènes hystériques, est relatée dans divers travaux (2). Quant à l'accident local lui-même, je ne pou
2) L'observation complète et détaillée de ce malade se trouve dans le travail de MM. Gilles de la Tourette et Dutil sur l'œdème
propos que tout récemment un auteur allemand, M. Tolken, a publié un travail dont les conclusions viennent à l'encontre des
la ferme. Le soir même elle pétrit du pain. Aussitôt en finissant ce travail , la main se ferma, c'est-à-dire que les doigts se
mouvements s'accentua, la main se ferma davantage, au point que tout travail devint impossible. Il ne semble pas que l'on ait
ur les nombreuses observations qui forment la base de son remarquable travail , il nous est facile de noter que l'atrophie dont
Des faits de ce genre existent cependant. Plusieurs années avant le travail de M. Landouzy, M. Bianchi (2) avait rapporté des
ui les étudièrent plus complètement et avec plus de détails. Dans les travaux de Lefebvre (1), de Brivois(2) (1876) et, à une é
le forceps. Pas de douleurs ni de crampes dans le3 jambes pendant le travail . Presque aussitôt après, la malade ne sent plus s
pplications de forceps avec chloroforme. La malade dit que pendant le travail elle ressentait de vives douleurs dans les deux m
faisante que l'autre. M. Lefebvre (1), qui cherche à établir dans son travail que toutes les paralysies traumatiques consécutiv
s traités de pathologie, soit généraux, soit spéciaux, dans aucun des travaux ou mémoires traitant spécialement de ce sujet, qu
, des conseils qu'il a bien voulu nous donner pour la rédaction de ce travail . ce qui montre que ce n'est pas à leur rareté q
Sciences, après un examen de 661 femmes, conclut que « l'influence du travail et de la machine à coudre est nulle sur le systèm
, cette douleur l'empêchait de dormir. Mais, de crainte de perdre son travail , notre malade dissimulait sa souffrance à l'ateli
. En septembre, ses douleurs sont si vives qu'elle doit quitter son travail ; elle reste chez elle à la chambre, sans toutefoi
rche ascendante, notre observation se rapproche de l'observation X du travail de MM. Guinon et Parmen-tier,dans laquelle il s'a
a névralgie et la névrite, distinction que confirma définitivement le travail de M. Landouzy. Les choses en étaient là et la qu
iatique de même nature, elle est, depuis longtemps, connue, grâce aux travaux de M. le professeur Four-nier. Il est bon d'y pen
mémoire publié dans les Transactions médico-chirurgicales (1879). Ce travail porte un titre intéressant à connaître: « On ojih
s plaidé en faveur de cette solution. M. Dufour (de Lausanne) dans un travail paru récemment dans les Annales d'oculistique (18
t des fractures des bras. En juillet 1889, M. X... prenait part aux travaux du jury de l'Exposition universelle de Paris. Il
) il se sentait incapable de continuer son métier. Il cessa donc tout travail à partir de ce moment. Il avait déjà remarqué q
était devenu nettement irrégulier. Ainsi que nous l'apprenons par le travail de M. Goldflam, le malade était mort d'une pneumo
{Type Morvan) (1). Sommaire. — Syringomyélie et maladie de Morvan. Travaux de M. Joffroy démontrant l'unicité des deux affec
'est-à-dire quinze mois avant la présente leçon et antérieurement aux travaux de M. Joffroy, dans laquelle M. Charcot discutait
ne grande importance clinique. Ce résultat est dû, vous le savez, aux travaux de deux collègues allemands, M. Schultze (de Bonn
M. Achard (Gazette hebdomadaire, 1890, n° 53, p. 504), un intéressant travail tout récemment paru de M. Bernhardt : Lieber die
re fulgurant; absence des réflexes rotuliens. — Un mot d'Historique : travaux de Raymond et Oulmont, de Worms, de Bernard éi Fé
es alternes en particulier, qui ont été consignés, en 1883, dans un travail de deux de mes élèves d'alors, MM. Bernard et Fér
i parlé de ce fait dans mes leçons. On en trouve des exemples dans le travail de MM. Bernard et Féré; deux autres de mes élèves
t est bouleversé à notre détriment. Je n'en veux pour exemple qu'un travail de M. Leyden, homme éminent fort au courant en gé
néral, dans ses rapports avec le diabète et la glycosurie, il cite le travail d'Auerbach (1885) bon mémoire, sans doute; mais d
nombre de cas de diabète, M. Leyden cite le Dr Raven (1887) Mais les travaux de M. le professeur Bouchard datent de trois ans
mieux paraplégique et plus précisément ataxique. Voyez à ce sujet le travail de M. Leval-Picquechef sur les pseudo-tabes \ Ces
qu'il s'affaiblissait et il attribuait cette faiblesse à la dureté du travail . Puis il y a deux ans, (1er novembre 1887), il fu
relient les familles arthritique et 1 Voir plus loin, n° XXVII, mon travail sur ce sujet en collaboration avec M. Souques, in
. Faut-il vous rappeler, à l'appui de ce que j'énonce, les nombreux travaux parus récemment sur ce sujei? Qu'il me suffise de
l'inverse que l'on est appelé à constater. Reportez-vous encore au travail de M. Souques, actuellement mon interne, qui a re
salle de 32 malades, on avait reçu en un an 2G hystériques mâles. Son travail aboutit aux mêmes conclusions que celui de M. P.
ravailleurs manuels », est en train de se produire. En Angleterre les travaux de l'école de Man 1 A. Souques.— L'hystérie mâl
ourette avait, alors qu'il était mon chef de clinique, publié déjà un travail sur la superposition des troubles de la sensibili
pasmes de la face et du cou chez les hystériques \ Il s'agit dans son travail de spasmes et non de paralysies; mais les deux gr
il était remis complètement et le jour même il pouvait reprendre son travail . Il importe de relever qu'à la suite de cet acc
re attaque hys-téro-épileptique. Il était à l'Entrepôt occupé à son travail habituel, lorsque tout à coup après avoir ressent
i, comme l'a dit ingénieusement M. Georges Guinon, dans son important travail , « cumul de facteurs étiologiques » ; mais à tout
dénomination, c'est parce que l'observation qui sert de fondement au travail de cet auteur est absolument typique. C'est en ef
ou plutôt le rapport de M. Millard1 est antérieur de quelques mois au travail de Gubler2, mais il faut reconnaître que Gubler a
savez, parmi les maladies spinales. Elle a suscité déjà d'importants travaux ; on a appris à la reconnaître, et chaque jour des
ou de la deuxième vertèbre dorsale. Là s'est produit par la suite un travail d'irritation latente, d'inflammation lente, d'où
e de neurasthénie préparatoire : tristesse, abattement, incapacité de travail , céphalée frontale et sous-occipitale. Un acciden
c'est l'ar-térite syphilitique qui est en jeu. Nous savons par les travaux de quelques auteurs, par ceux d'Heubner en partic
ent, ces vertiges se reproduisirent fréquemment et lui rendirent tout travail impossible. Le 25 janvier, en se couchant, il res
tendue. Son existence n'est pourtant pas douteuse. M. Pitres, dans le travail que je vous citais tout à l'heure, en a rapporté
ieur que les phénomènes (1) Par MM. Parinaud et Georges Guinon. "Ce travail a été publié dans la Nouvelle Iconographie de la
ements hystériques est de date récente, car nous ne connaissons aucun travail sur ce sujet avant la Leçon du mardi, 23 octobre
a névrose. A ce titre, ces phénomènes méritaient d être le sujet d'un travail d'ensemble dans lequel nous rapporterons les opin
llis. (1) Par MM. Gilles de la Tourette, Georges Guinon et Huet. Ce travail a été publié dans la Nouvelle Iconographie de la
889, p. 1 et suiv. Nous ne pouvons cependant passer sous silence un travail de M. Ch. Féré, publié ici même (1), sur les Bâil
ux à utiliser dans une description ; nous emprunterons toutefois à ce travail les éléments d'un diagnostic différentiel. Aussi
. — Date récente des premières études sur le tremblement hystérique : travaux de MM. Rendu, Pitres, Dutil. Classification des t
onnu aujourd'hui. Premières observations de M. le professeur Charcot, travaux récents sur cette question. Description de deux c
la sciatique [paralysie amyolrophique dans le domaine du poplitè). ( Travail de MM. Georges Guinon et E. Parmentier). . . 127
ire généralisée (polioencéphalomyélite). —Diagnostic. (Extrait d'un travail de MM. Georges Guinon et E. Par-mentier).........
orvan). (Leçon). Sommaire. — Syringomyélie" et maladie de Morvan. Travaux de M. Joffroy démontrant l'unicité des deux affec
e fulgurant; absence des réflexes rotu-liens. — Un mot d'historique : travaux de Raymond et Oulmont, de Worms, de Bernard et Fé
333 XVII. Sur un cas de syringomyélie observé en 1875 et 1890. ( Travail de MM. J.-M. Charcot et Brissaud)......350 XVII
l'Orbiculaire des paupières, compliqué d'Hémiplégie du même côté. ( Travail de MM. Parinaud et Georges Guinon).....420 XXII
420 XXIII. Contribution à l'étude des bâillements hystériques. ( Travail de MM. Gilles de la Tourette, Georges Guinon et H
24 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
races d'une terre identique à celle qui souillait ses chaussures de travail dont l'empreinte s'ap- 4 MÉDECINE LÉGALE. pli
x, doué d'aucune aptitude spé- ciale, ne connaissant aucun genre de travail et incapable de rester nulle part à cause de so
'avait eu qu'à se louer de lui au point de vue de la conduite et du travail , ajoutant : Je n'ai jamais remarqué qu'il m'eût
tre ramoneur de la ville, qui l'embaucha; mais au bout d'un mois de travail , n'ayant pu ob- tenir, a-t-il dit, le paiement
s et demi. Il raisonnait bien et m'a paru très intelligent pour son travail de couvreur. C'est un bon ouvrier et je ne me sui
ement de ses facultés mentales. Enfin, un ouvrier, son compagnon de travail , avait fait une déclaration identique. J'ai tra
seulement d'avoir dupé plusieurs médecins, mais d'être apte à tout travail , ce qui était évidemment exces- sif. On aurait
alades et du person- nel. Tout alla bien pendant quelque temps, son travail d'ail- leurs fut excellent et rapide et il étai
étranger n'est pas à imiter, et nous l'avons démontré dans un autre travail inséré dans les Archives de Neurologie. On s'ac
une, voulue, ou non, qui n'en tourne pas moins au grand avantage du travail et, surtout, des malades. Ne sont admises dans
s malades absolu- ment calmes et qui sont susceptibles de donner un travail réel et productif et qui sont immédiatement réi
telier de couture par quartier, où chaque malade donnera la dose de travail qu'elle pourra donner, sous la surveillance d'i
10. REVUE CRITIQUE. Sur le sens musculaire à propos de quelques travaux récents ' ; ; Par Henri VERGER, Chef de clini
ns nous-même étudié cette question avant d'avoir con- naissance des travaux que nous venons de citer 3 et nous sommes arriv
ouve dans la zone rolandique. Les auteurs dont nous analysons les travaux s'abstiennent pour la plupart d'émettre une opi
TALE. 1. Génie et folie ; par le De A. Regnard. Dans un important travail aussi attachant par le fond que par la forme, l
DIAR1NUON de 10 ? TYIL. (Presse médicale, 10 juin 1899.) Dans ce travail , 111. Marandon de Alontyel rapproche les résul-
résulte des mariages consanguins fait de temps à autre le sujet de travaux médicaux, en même temps qu'il a été reconnu par
se, les lois civiles et la croyance populaire. D'après les derniers travaux sur ce sujet il n'y a pas plus de chances de ma
es condi- tions extérieures, d'avoir les mêmes habitudes, les mêmes travaux , les mêmes distractions, tend à engendrer les m
la relégation perpétuelle e dans des colonies pénitentiaires où un travail obligatoire indem- nisera les honnêtes gens des
e, novembre et décembre 1898.) Al. Sikorsky affirme la nécessité du travail pour l'entretien de la vie et de la santé du sy
tème nerveux; mais il ajoute que si un REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 63 travail régulier et modéré exerce sur la santé neuro-psyc
ro-psychique une influence favorable, en revanche l'irrégularité du travail et son exagération, le surmenage, ont sur elle
urmenage, ont sur elle une action manifeste- ment perturbatrice. Le travail d'élaboration des idées qui constitue le mode l
ieurs. L'auteur est d'avis qu'il faut périodiquement interrompre le travail quotidien ordinaire et le remplacer par le trav
t interrompre le travail quotidien ordinaire et le remplacer par le travail intellectuel; il est amené à souhaiter la dimin
ctuel; il est amené à souhaiter la diminution du nombre d'heures de travail de l'ouvrier, nécessaire pour donner à celui-ci
cas de syphiliphobie etc. Nous trouvons encore men- tionnés dans ce travail , de nombreux succès complets ou partiels, obten
ique et thérapeutique, décembre 1897.) M. Liébault donne, dans ce travail , un résumé de ses idées surle principe, le mode
rveau sur les fonctions et les tissus de l'organisme. « D'après les travaux de lI. le D1' Du- rand (de Gros), on sait que l
et une sorte d'agoraphobie. Le traitement, exposé en détail dans ce travail , a consisté en un entraînement progressif, physiq
me. Nous résumons ici les diverses observations con- tenues dans ce travail . 1° Observation I. - Femme de quarante et un an
ons dans lesquelles il a été blessé ; il voulait même continuer son travail mais ses camardes l'en ont empêché ; il a un pe
tra que cette tumeur était un glio-sarcôme. ' L'auteur termine ce travail par quelques remarques sur trois points qui éta
pathique supérieur doit dans un cas de glaucome, avec une revue des travaux publiés sur la chirurgie des ganglions cervicau
ce d'un cas de glaucome sans perte complète de la vue. La revue des travaux publiée sur la chirur- gie des ganglions cervic
publiée sur la chirur- gie des ganglions cervicaux, qui termine le travail est intéressante et utile. R. DE 11USGRAYE-CLAY
outald lit une étude critique de psychologie com- parée d'après les travaux de Godenius Rudolphus, Laurent Joubert, Louis V
une grande réserve les nombreuses observations plus ou moins ' Ce travail a fait l'objet d'une communication à la Société d
les ciseaux à l'âge de vingt-quatre ans. Dès qu'il entreprenait un travail exigeant une attention soutenue, il était vite
uait souvent les doigts ; mais il avait le sentiment d'accomplir un travail utile et cela le calmait momentanément. On re
n dévouement et une abné- gation rares. Mais il était jaloux de son travail ; il ne pouvait supporter de la voir active et
l faut en croire ces mêmes auteurs, car je n'ai pu me pro- curer le travail original, une seule des malades de King, sur un
au contraire une rare exception. Perctti, la même année, dans un travail souvent cité, rela- tant douze cas de chorée hé
la même souche, ne mentionne nulle part les idées de suicide. Le travail de Huber, de Zurich, paru en 1887, très docu- m
888, en Angleterre et en Italie. Ilerrin- gham, très au courant des travaux américains, ne dit pas un mot du suicide, et Se
ent s'aggraver jusqu'à la mélancolie avec tendance au suicide. Le travail fondamental de Iluet sur la Chorée chronique es
c tentative de suicide, après huit ans de chorée. N'ayant pas eu le travail original sous les yeux, j'ignore si l'auteur a
e Karl Zinn a pu dire (A1'ch. ? Psych., t. XXVIII, p. 427) dans son travail « Beziehungen der Clrorea zu Geistesstôrung n q
consulter TROUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 117 le travail original. Je citerai encore une observation de L.
le Der Gaston BÉCIIET, E\-interne des Asiles de la Seine. Dans un travail paru dans le journal l'Encéphale (1883) sur les
gurale. Nous la reproduisons aujourd'hui, nous appuyant sur le même travail mais avec des conclusions qui nous sem- blent d
ces familles normales qui servent de point de comparaison dans le travail de MM. Bail et Régis ? Où trouver ces familles
s les 40 familles de paralytiques géné- raux qui font l'objet de ce travail , nous avons pu obtenir les renseignements les p
outissant de l'alcoolisme chronique. Nous n'avons pas voulu dans ce travail étudier les relations de la syphilis et de la p
ans les lrchiv f. patholog. Anato- mie, t. 132, 1898) a critiqué le travail de Lenhossek sur le même sujet in Archiv f. Psy
arfaitement saine, sans tare et bien constituée qui, par suite d'un travail prolongé à la buanderie, présente une première
! l1'nal, 17 juillet 1897.) Les principaux points signalés dans ce travail sont les suivants : Reaucoup de personnes dont
al Journal, 31 décembre 1898.) , Nous n'avons pas à insister sur ce travail , les opinions et les méthodes du savant aliénis
-P. MAC NABB. (The New-York Médical Journal, 25 février 1899.) Ce travail , qui renferme deux observations, se termine par l
e des types morbides intéressants. Jusqu'ici il n'existe guère de travaux sur ce sujet si l'on en excepte la folie gémellai
rappelle que cette idée avait été déjà exposée par M. Régis dans un travail sur la folie à deux. M. TouLOUSE pense que la c
t la première période, il la suite de mala- dies incidentes ou d'un travail phlemasique trop intense. Elle lui est prouvée
e phéno- mène. M. Schaefer n'a sans doute pas connaissance de mon travail sur le Phénomène des orteils, non plus que des
rvicale hypertro- phique ; par M. Miura et par M. Schwarz, dans des travaux plus récents. MM. Cl. Philippe et Oberthur, en
es localisations cérébrales, telle qu'elle a été constituée par les travaux de Fritsch et Ilitzig, David Ferrier, Hermann M
au cabaret, presque tous ont l'habitude, avant de se rendre à leur travail , d'absorber a jeun un nombre plus ou moins cons
est passé hier soir. Dans l'après-midi, le père s'était rendu à son travail . Vers quatre heures, FAITS DIVERS. 191 les pe
a été étudiée en 1891, par MM. Debove, Mathieu, Babinski et leurs travaux sont consignés dans les Bulletins de la Société
te consacre à la polyurie un long chapitre très documenté. Quelques travaux , peu nombreux, ont paru à la suite. Dans la f
après son arrivée à Bordeaux. Dans l'impossibilité de continuer son travail plus longtemps, les besoins d'uriner devenant p
e voir débarrasser de cette affection gênante qui lui interdit tout travail soutenu, toute propreté dans ses vêtements, et
a malade lorsque l'anesthésie est en voie de régres- sion. En plein travail , je percute doucement les points cérébraux sans
mblable à celles publiées par M. Sollier. Zoé a présenté pendant le travail de resensibilisation des réactions presque iden
ression pittoresque : Je sens que tous mes membres se collent. Le travail auquel j'ai soumis ma malade m'a permis de cont
tions que voici : un matin il quitte un de ses amis, qui part à son travail . Quelques heures après on lui demande de prêter
nsons à des crises d'hystérie. Après avoir repris quelques mois son travail , le malade est enfin hospitalisé à Saint-Jacque
entes et assez intenses pour empê- cher le malade de se livrer à un travail quelconque. Mais à mesure que l'on s'éloigne de
tation motrice intense et prolongée ou au ralentissement exagéré du travail musculaire et peuvent être ainsi considérées co
les DIS Finzi et VEDIIANR. (Rie. sp. di faSC. 1-11, 1899.) Dans ce travail , les auteurs se sont inspirés des vues exposées
urnal, 18 mars 1899.) Voici les points principaux à relever dans ce travail : Chez 50 des aliénés observés, la moyenne des
ais non d'anomalies ou de mons- trtcosités. Féré, dans ses premiers travaux , ne parait pas s'en préoccuper, et c'est seulem
ant des extrémités inférieures. L'auteur passe ensuite en revue les travaux publiés dans divers pays. En France, Féré, jusq
vue les travaux publiés dans divers pays. En France, Féré, jusqu'au travail mentionné plus haut, ne s'est pas occupé du rac
'est pas occupé du raccourcissement du membre. Il passe ensuite aux travaux publiés par Bourneville et ses internes; en raiso
ternes; en raison du caractère très novateur et très complet de ces travaux , en raison surtout des mensurations prises syst
r lon- gueur. Enfin Virchow a publié sur le phocomelus, en 1898, un travail que M. Clark n'a pu se procurer. L'auteur exa
New York Médical Journal, 4 septembre 1897.) L'auteur commence son travail par un historique sommaire de la question du cr
é plusieurs cas de crétinisme sporadique, et il les relate dans son travail ; le premier de ces cas était remarquable par t
Journal, 20 août, 27 août, 10 septembre et 17 septembre 1898.) Ce travail est la reproduction de deux leçons cliniques fait
réjugés dignes du moyen âge. » « 3° Les opinions énoncées dans ce travail aideraient certaine- REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
et lui qui était grand tra- vailleur, perdit absolument le goût du travail . Comme il y avait en jeu une question de dommag
teur emploie le mot parésie : nous conservons dans l'analyse de son travail la dénomination, plus habituelle, de paralysie gé
ans la conclusion suivante qui est la dernière de son consciencieux travail : « Quant aux aliénés victimes des erreurs judi
de la folie. Je ne saurais donc trop recommander la lecture de son travail à tous ceux que ne laissent point indifférents
e d'esprit autant que de corps, on ne put jamais l'employer à aucun travail sérieux : au cours de la seule tentative qn'on
uet assassin. La cour d'assises de l'Aisne a condamné à huit ans de travaux forcés le nommé Joseph Hubert, vingt et un ans,
de médecine men- tale de Belgique, 1898, décembre, n° 91, p. 387 et Travaux delabo- ratoire de l'institut Solvay, Bruxelles
). Le sommeil hibernal et les modifications des neurones cérébraux. Travaux de laboratoire de l'Institut de Solvay. Bruxell
es den- drites cérébrales et leurs différents états physiologiques. Travaux de Laboratoire de l'Institut Solvay. Bruxelles,
cellules nerveuses cor- ticales chez la souris après la naissance. Travaux de Laboratoire de l'Institut Solvay. Bruxelles,
servation personnelle et une revue critique très intéres- sante des travaux antérieurs sur le sujet. En ce qui concerne en
es que la folie systématisée. P. KERAVAL. LVII. Étude critique du travail de A. Bethe. Les éléments anato- miques du syst
nerveux moteur, des modifications à caractère général de spasme. Le travail de Kahlbaum a donné lieu à de nombreuses discus
rissaud ; par J. Crroaa. (Journal de Neurologie, 1899, n° 15.) Ce travail contient la relation de deux observations qui vie
n qui lui sert de point de- départ et de base de discussion dans ce travail . Il considère l'idée comme la syn- thèse foncti
ous croyons devoir reproduire textuellement, son très inté- ressant travail : 1° Il y a suggestion chaque fois qu'une idée es
er pour la production d'effets communs. La plus grande partie de ce travail est consacrée à la justification de cette conce
envoyés dans les services d'aliénés, comme semble le confirmer les travaux de Baillarger et de Vernicke. Hémiplégie droite
à une question sur laquelle je me propose de revenir, dans un autre travail , d'une manière pins complète, ne pouvant la déve-
, facteur de tuberculisation au pre- mier chef. L'auteur, dans ce travail du plus haut intérêt, après avoir rap- pelé dan
considérations médico-légales très développées, les divisions de ce travail d'ensemble. L'auteur se rallie à la doctrine de
e annuel du compte rendu des séances, il prit une part active à ses travaux et fut élu prési- sident en 1891. Il était depu
ssement. De cette collaboration naquirent de nombreux et importants travaux , dont les plus connus sont, d'une part, la stat
membre résidant de notre Compagnie, quel prix on attachait à ses travaux , à ses recherches, à son enseignement. La vie f
science et ils vous rappel- leront ses mérites de clinicien et ses travaux originaux. Il m'appartient plus particulièremen
en 1881 et 1886. Nos comptes rendus gardent quelques traces de ses travaux . Deux observations qu'il y donna, en 1867 et 18
iers pour les malades. Il fut un des précurseurs dans cette voie du travail des aliénés, et, à ce point de vue comme à bien
C'est dans ce sentiment que nous allons, Messieurs, re- prendre nos travaux . VARIA. Asiles d'aliénés. Concours pour des
l. Le maximum des points sera de 30. 4° Une épreuve sur titres. Les travaux scientifiques antérieurs des candidats seront e
l'objet imaginaire. » L'hyperesthésie, que nous cherchons, dans ce travail , à localiser dans l'écorce cérébrale, dans les
ns ; apprenait facilement mais ne travaillait pas, dit-elle, car le travail l'ennuyait. N'a jamais eu de convulsions, mais un
uit ans, le malade buvait déjà beaucoup. Il aidait sa mère dans les travaux du lavoir, « et, dit-il, c'est un métier qui donn
délirante. Nous nous sommes expliqués suffisamment au début de ce travail pour ne pas insister ici. La vue, le goût, l'ouie
en 1889, p. 409. CORDE MUSCULAIRE DANS LA MÉLANCOLIE. 415 Dans un travail d'ensemble sur les auto-intoxications dans les
ll. de la Soc. de méd. ment, de Belgique, 1899, nos 93 et 94.) Ce travail se termine par les conclusions suivantes : Cert
us ou moins profondément 1. G. Deny. ' M. le Dr Villers a réuni ses travaux sur les délires de la jalousie dans une brochur
bles de se présenter isolément. Trois observations relatées dans ce travail prouvent que les phé- nomènes tardifs et consci
urnal of Mental Science, juillet 1899.) L'auteur s'occupera dans ce travail non seulement des épilep- tiques aliénés, mais
coolique et la folie épileptique ont été déjà signalées. Le présent travail a pour but de montrer de nouveau ces analogies,
ont suivies de remarques que nous résumons ici. Bn se reportant aux travaux de Hughlings Jackson sur les folies épileptique
phalalgie qui succède à une sim- ple fatigue cérébrale par excès de travail et qui ne peut être due qu'à l'épuisement des c
Installation du bureau. M. J. Voisin passe en revue les différents travaux de la Société dans le cours de l'année qui vien
sie générale conjugale est beaucoup mieux connue, surtout depuis le travail de mindel ; mais le tabes conjugal est plus rar
ture des émotions. M. le professeur STUnIPF (de Berlin) présente un travail dans le- 452 BIBLIOGRAPHIE. quel, après avoir
uer et Hahn BIBLIOGRAPHIE. 453 constituent la matière première du travail de M. Nodet, qui a pu d'autre part trouver dans
aire. L'impression sensorielle ne devient représentation que par le travail des identifications successives, travail qui in
représentation que par le travail des identifications successives, travail qui insère le passé sur le présent par un mouveme
sion purement corticale bien que dans toutes les observations de ce travail il y ait extension du processus destructif à la s
verbales, etc.). Pourquoi en avoir fait une agnoscie générale ? Le travail de M. Nodet est assez important pour qu'il eût
on la tendance actuelle en neurologie ; la lecture de cet excellent travail y gagnerait en aisance et en intel- ligence pou
la nécessité et la restriction de ses écarts. » De A. Marie. XII. Travaux de neurologie chi1'llI'(licale, revue trimestriel
u maire. Puis il dirigea son tir vers deux vignerons qui étaient au travail . Ceux-ci n'échappèrent aux balles qu'en se jeta
' G. RAVI,IRT, Médecin directeur de l'asile Préparateur, chargé des travaux pratiques d'Armentières. d'anatomie pathologiqu
r, que ses mains sont tremblantes, ce qui le gêne beaucoup pour son travail , qu'il vomit le matin en se levant. Son caractè
commentaire. Y a-t-il réellement des boissons épileptisantes ? Les travaux de Macé, Magnan, Laborde, Cadéac disent que l'a
qui traversent la cou- che optique ? Très probablement, d'après les travaux de Meynert, Ellenberger, Monakow, Flechsig et H
L'existence des trophonévroses n'est plus à démontrer et depuis les travaux de Ross, Allen, Stear, Head, ces troubles peuvent
. (Journal de Neurologie, 1899, n° 16.) D'après les auteurs de ce travail les différents amas cellulaires qui existent à
eur sur le chien, le chat et le lapin et exposées en détail dans ce travail , permettent d'affirmer, malgré les légères diff
par A. M. BLEILE. (The New York Médical Journal, 8 mai 1897.) Ce travail porte sur l'examen de l'urine de douze malades pe
légie hys- térique. - ho. Stadelmann (de Wurtzbourg) fait part d'un travail .dans lequel il relate un certain nombre d'expé
vrite du médian. Elles paraissent plutôt avoir été produites par un travail ayant exposé pendant plusieurs semaines les émi
on maitre Delasiauve, il y fit paraître de nombreux et intéressants travaux , parmi lesquels ses Etudes historiques sur l'alié
n'ont pas été ter- minées ; ses notes, fruit de plusieurs années de travail , disparu- rent, brûlées sans doute pendant la c
s'éloigner sans crainte et revoir les siens. Il reprit ensuite ses travaux et ses occupations. BIOGRAPHIE. 537 Ses étu
idiots ne constitueront plus un danger public et pourront par leur travail , si minime soit-il, compenser une partie des sa
seulement pour but de donner à l'enfant des habitudes d'ordre et de travail , il lui procu- rera un moyen d'existence pour l
trera dans la société. Les indisciplinés qui ne voudraient pas d'un travail assidu, seront employés d'abord aux corvées enn
emelaigne, biographie, 531. SENS musculaire. A propos de quelques travaux récents, par Verger, 32. Sensibilité. Connais
25 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
méningée sous- arachnoïdienne ; Par MM. Paul COURMONT et CADE. { Travail de la clinique de tll. le professeur 73o·zclet.)
alade a présenté une courbe de température analogue à celle que les travaux de Charcot ont montré appartenir à l'hémorrhagi
la symptomatologie physique et mentale de la paralysie générale. Ce travail , le troisième, est consacré au sens génital. Le
de la question, en rapportant les appréciations contenues dans les travaux les plus récents sur la paralysie générale et r
nous servant des trois moyens d'information exposés au début de ce travail et nous avons pour nos 1599 constatations d'auo
eux ; on peut signaler aussi les émotions et la frayeur, l'excès de travail intellectuel, la puberté dont l'influence est trè
par le Dr SOLDER (Journ. de Neurologie, 1899, n 25.) L'auteur de ce travail propose d'employer la gymnastique pour réveille
étant repré- 48 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. sente par la longueur du travail de l'accouchement, qui a fait naître l'enfant e
lui permette de gagner sa vie ou à peu près. Dans tous les cas, les travaux qui s'accomplissent au dehors doivent être préf
les travaux qui s'accomplissent au dehors doivent être préférés aux travaux intérieurs, d'autant plus que beaucoup de petit
éférés aux travaux intérieurs, d'autant plus que beaucoup de petits travaux de ferme, de jardinage, de laiterie, sont à la
iles, avec un peu d'habitude. Il n'y a pas de rai- son pour que les travaux du dehors soient uniquement réservés anx garçon
ivation absolue du poison sous toutes ses formes. A la fin de son travail , M. Legrain exprime cette opinion, que, si la d
discipline à la fois sévère et humaine, qu'en les astreignant à un travail continu et en les privant complètement de l'usage
exes dans des asiles différents mais assez rap- prochés pour que le travail agricole et autre des hommes profite à l'exploi
des hommes profite à l'exploitation de l'asile des femmes et que le travail des femmes (lavage, cuisine, racommodage), prof
a Soc. de illéd. mentale de l3elyique, juin 1899.) Il résulte de ce travail que la proportion du nombre des aliénés indigen
ailler et on y soigne et surveille ceux qui sont incapables de tout travail , Cet asile a été ouvert eu juin 1892 avec 131 m
toutes jeunes et paraissent en bonne santé; elles se livrent à des travaux de couture, de blanchissage et de tricot. Lil
s en 1893, époque à laquelle il a recueilli les éléments du présent travail . Gheel est situé dans la province d'Anvers à en
tés à l'égal des membres de la famille : ils partagent la table, le travail et les amusements de leurs hôtes ; ils paraisse
Belgique, mars 1900.) Les tableaux statistiques contenus dans ce travail montrent la progression constante de la populat
. Je ne tarde pas à apprendre qu'elle s'est remise assidûment à son travail , qu'elle ne pense plus à son individu, qu'elle
d'ail- leurs, son intelligence s'est développée ; il a pris goût au travail et peut suivre utilement ses classes. M. PAUL
nches, 1899. Progrès médical et F. Alcan, édi- teurs. Ce sont les travaux du chef de la 4° section du quartier des alié-
oissons : 154 avaient été conçus pendant l'ivresse. Une liste des travaux scientifiques faits dans le service termine le
s; par A. fièvre, in-8. ('Ih. Pari*. 1899, Jouve et Boyer.) Si ce travail documenté montre le vague et la diversité de tout
ulter pour lui, pour sa nouvelle famille et pour sa descendance. Ce travail s'appuie principalement sur des observations comm
di qu'il était renvoyé. Ne voulant pas avouer qu'il n'avait plus de travail , il alla s'étendre sur la voie du chemin de fer
rons ici que du traitement par la méthode de Flechsig. Le premier travail de rlechsiâ date de 18911. La méthode de traite
recommander mes appareils, lesquels sont décrits en détail dans mon travail intitulé « Exercices ». (Recueil de leçons de c
er avec des cordes. On put constater en janvier 1896 que, malgré ce travail manuel, la force tensionnaire des muscles n'ava
sorte que le signe de Babinski, comme nous l'avons montré dans des travaux antérieurs, vient nous révéler avec certitude l
termes, qui semblent disparates : spas- modicité et tabès ? Dans un travail antérieur, nous avons essayé de démontrer que c
mars, l'enfant a quitté l'infirmerie. Elle partage les jeux et les travaux des autres enfants, elle est raisonnable et n'a
nie et l'excitation. La gymnastique, les exer- cices scolaires, les travaux manuels, employés durant les rémissions, puis a
le télen- céphale. - G. U. II. De l'influence de l'alcool sur le travail du muscle fatigué ; par les U1'5 de l3oecR et G
ôt les sujets se livraient à un tra- vail ininterrompu, tantôt à un travail interrompu. Les résultats obtenus ont varié ave
li. A l'appui de cette opinion, M. Van Gehuchten rapporte dans ce travail l'observation d'un malade atteint d'hémiplégie av
BUCK. (Joumz. de Neurologie, 1899, u° 19.) Les conclusions de ce travail peuvent être résumées de la façon suivante : Le
de Belgique, décembre 1899.) \ La Belgique, dit l'auteur de ce travail , est très en retard sur les autres pays en mati
s asiles-écoles. Les colons seront autant que possible employés aux travaux champêtres et hospitalisés dès que le diagnostic
6.) Sur les 1G observations, dont 2 inédites, rapportées dans ce travail , 12 concernaient des tubercules du cerveau et 4 d
Journal, 17 septembre et z septembre 1898.) Les conclusions de ce travail sont les suivantes : f° L'hystérie est une neur
niectomie dans la mirocé. phalie. - M. Lecrain donne une analyse du travail de M. A. Pilez de Vienne sur la microcéphalie.
dans la paralysie générale. - M. HAMELINE donne communication d'un travail accompagné d'observations cliniques sur l'héréd
oir les cas publiés dans les Archives de Neurologie et les nombreux travaux de M. Ilourneville sur cette question, démontrant
de l'oreille chez les lutteurs japonais. - M. CHRISTIAN analyse un travail de M. Sakaki, sur les déformations de l'oreille
professeur profite de cette occasion pour reprendre et exposer les travaux nouveaux parus sur le sujet. L'auteur revient e
Mme CE- CILE VOGT. (In-8°, 72 p. Th. Paris, Steinheil, 1900.) Ce travail est un premier aperçu d'un ouvrage plus considéra
dents d'honneur et des membres du bureau. Fixation du programme des travaux de la section. Exposé et dis- cussion d'une des
). MM. les rapporteurs, en raison de la longueur du programme des travaux , sont priés de ne pas dépasser un quart d'heure p
iénés, par les D''s Marie et Toulouse (de Villejuif). - Clôture des travaux de la section. Séance du soir, 2 heures. Séan
quer plus loin. D... bêchait la terre tout près de là. Au retour du travail , il vient détacher sa chèvre et constate qu'ell
isins, le feu a pu heureusement être éteint après une demi-heure de travail . Quant à Adolphe Tichaut, il a été consigné au
ns nous parait en effet devoir être féconde en enseignements. Notre travail est divisé en deux parties. Dans la première, nou
A moins d'indication contraire, les chiffres donnés au cours de ce travail se rapportent à l'année 1891. - °- V. Paul Séri
CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 207 Le professeur Sommer est l'auteur de travaux intéressants sur : le Siège de l'âme, d'après c
e, je l'étends à toutes les secousses pathologiques. L'ensemble des travaux ded'Arsonval, les expériences de Beaunis sur la
t encore, comme les accumu- lateurs, les conséquences d'un excès de travail ou d'un trop long repos. Le système nerveux e
r l'origine grippale des deux cas de sciatique qu'il relate dans ce travail sur ce fait que les deux sujets qui en ont été
ER. (Bulletin de la.Société mentale de Belgique, décembre 1900.) Ce travail se termine par les conclusions suivantes : la syp
(Presse médicale, 28 février 1900.) Les auteurs rapportent, dans ce travail , les constations anatomo- pathologiques et hist
nde, 1900, n° 3.) - La malade dont l'observation fait l'objet de ce travail était con- sidérée comme une épileptique ordina
aliénés méconnus et condamnés. Après avoir rapporté brièvement les travaux publiés en France et à l'étranger sur celte que
ce qui concerne l'interdiction, les testaments et les contrats. Ce travail doit être lu en entier et ne se prête 'pas à l'an
rononce le discours suivant : . Messieurs, A l'ouverture de nos travaux , j'ai un pieux et douloureux devoir à remplir,
cientifique provoque par les admirables découvertes de Pasteur, les travaux de M. Bou- chard sur la nutrition, ceux de M. G
ion des liquides de l'économie à l'état de santé et de maladie, ces travaux ont déjà donné des résultats appréciables, ouve
ts-Unis, en Allemagne, en Angleterre, des maisons de retraite et de travail pour les buveurs d'habitude et l'on tend, parto
ée générale d'inauguration, la Section de Neurologie a inauguré ses travaux . M. le professeur F. RAYMOND, président du Comi
postérieures et des faisceaux blancs dont se compose la moelle, les travaux de ces deux illustres physiolo- gistes fondaien
dent, pour ainsi dire, à toutes les manifestations de la vie. Les travaux de Stilling et de Wallach marquent une première
ec les fibres centrales et péri- phériques. Un peu plus tard, les travaux de Deiters nous valurent les pre- mières donnée
gie de cette affection nous était déjà connue, en partie, grâce aux travaux de Horn, de Vunderlich, de Romberg. En 1863, Fr
s les scléroses systématiques combinées. Vers la même époque, les travaux de Rindfleisch, de Leyden, de Zencker, nous rév
cement qui n'a guère été dépassé, grâce surtout aux remarquables travaux de Bouchard. Entre autres notions de pathogénie,
r, en passant, la part prépondérante qui revient à Wernicke dans ce travail de rénovation. Je ne ferai qu'évoquer les tâton
er en revue, même dans une énumération sommaire, les innombrables travaux qui ont concouru à l'édification de notre connais
n de l'humanité ? Saluons donc le siècle qui s'en va, car c'est aux travaux et aux découvertes des cent dernières années qu
organisa- tion de la Section de Neurologie, expose le programme des travaux de la Section. La Section de Neurologie, qui
avec le XIIL° Congrès international de Médecine. L'abondance des travaux qui incombent aux neurologistes et aux psychiat
it seule avec son fils, l'avant-dernière nuit, son mari étant à son travail ; elle se leva vers quatre heures du matin, se re
nt suicidé par nostalgie. - Les époux Alphonse, ne trouvant plus de travail à Calais, avaient quitté cette ville pour la régi
R.). - La peste bubonique de Porto, 1899. Sa découverte, pre- miers travaux . - Volume in-8" de 78 pages, avec 6 planches et u
s des aliénistes alle- mands. Beaucoup d'auteurs ont consacré leurs travaux à à - cette question, mais je ne veux pas entre
s- table dans l'assistance des aliénés, par exemple, le régime de travail . Outre ces points principaux, irlême divergence
ents et des malades chroniques tout à fait calmes qui s'occupent de travaux . Ces malades sont ordinairement placés dans des
é que l'effet calmant du repos et de la position horizontale sur le travail du coeur et la res- piration était incontestabl
use avec succès dans les hôpitaux bien organisés, où le système du travail est régu- lièrement établi et où l'on pratique
ui semble être, comme nous l'avons vu, l'issue la plus fréquente du travail phlegmasique, la simple prolifération formative
w. Pour le myxoedème de l'adulte, M. Thibierge, se basant sur les travaux de Roger et Garnier, a montré la réalité de la th
ouvelle dite des neuro-diélectriques, qui n'est que le prélude d'un travail plus étendu devant paraître ultérieurement. Cet
ons que soutient M. Binet-Sanglé. Cet auteur parai.ssant ignorer ce travail , je crois devoir en rappeler ici certains point
nerveux et l'accu- mulateur (p. 1 G, 196, 202). Tout le long de mon travail , je me suis efforcé à mettre en évidence cette
mentale de la théorie de neuro-diélectriques de I. Binet-Sanglé, ce travail antérieur, et probablement ignoré de lui, où il
à peine 1/5 du cerveau normal; et cette observation est le premier travail scientifique que nous puissions trouver de l'af
Les cas traumatiques, dus à la compression de la tète pen- dant le travail anormalement prolongé ; ou moins souvent à l'us
s minutieuses observations micros- copiques, et, en terminant notre travail , nous appelons l'attention sur ses travaux et s
, et, en terminant notre travail, nous appelons l'attention sur ses travaux et ses illustrations, qui montrent d'une façon co
squ'à leur mort. Puis il a terminé ainsi : En nous appuyant sur les travaux que nous avons poursuivis depuis vingt-cinq ans
alade, si bon lui semble, de quitter le lit, pour prendre part à un travail , à une distraction, à une pro- menade au jardin
fois déjà pendant la période aiguë, de combiner l'alitement avec le travail et le mouvement en plein air, ce qu'on peut fai
manières (occupation au lit, succession alternative du repos et du travail ou des promenades, système mixte de Toulouse). Il
S1G (Leipzig). La division de l'écorce cérébrale qui résulte de mes travaux , SECTION DE NEUROLOGIE. 33S division en sphèr
séparait mes interventions sugges- tives, il se faisait en elle un travail latent ; mes suggestions anté- rieures germaien
lette d'un cheval. Il excellait dans l'art de natter les crinières, travail qui n'est pas à la portée du premier venu. Ce n
out récemment MM. Richer et Cestan ont montre dans leur intéressant travail , fait dans la clinique du professeur Raymond, q
ns un certain nombre de renseignements et le plan de la Clinique au travail du Dr Buffet, A travers asiles, Luxembourg, 1888.
rofesseur sont très suivis et son laboratoire, d'où sont sortis des travaux d'anatomie du cerveau du plus haut intérêt, trè
it professeur ordinaire et directeur de la Clinique. La plupart des travaux qui ont rendu son nom célèbre ont eu pour base
basée sur l'apparition de la myéline dans les centres nerveux ; ses travaux sur les lésions systématiques de la moelle (187
nfin sur les centres d'asso- ciation et de projection. Ces derniers travaux ont complètement renouvelé notre conception du
Un terrain de culture de 69 ares permet d'occuper les patients aux travaux de jardinage. A la partie sud du terrain, une r
rien à faire, au moins directement, avec ceux-ci ». En outre de ces travaux sur la localisation des fonctions motrices (18î
ion de 30 à 40 gr. aux membres infé- rieurs. Nous empruntons à un travail récent de MM. E. et Ed. Hitzig quelques renseig
'en réclame pour un ouvrier du poids de 70 kgr., et se livrant à un travail qui n'exige pas de fatigues exagérées. Les recher
rticularités du cas, formule le traitement : abstinence complète et travail . Le professeur Grashey n'est point partisan de
ysiologie des muscles et des neifs offre encore malgré les nombreux travaux qui ont déjà été publiés un large champ de rech
CTROPHYSIOLOGIE ET D'ÉLECTROTHÉRAPIE. Je citerai en premier lieu le travail de MM. Carvalho et Weiss sur la force limite du
Les elfets de l'électrisation ont été révélés par la comparaison du travail mécanique moyen correspondant au tracé pris après
musculaire, et dépendent du degré d'excitabilité du muscle. De ce travail on peut rapprocher la communication faite au de
r les différentes manifestations de l'énergie potentielle (chaleur, travail , électricité) qui accompagnent l'activité de l'
nt préoc- cupé Muller et Bordier. Le premier dans son intéressant travail a déterminé les sensa- tions visuelles galvaniq
ne sont pas appréciables. Du même auteur je dois citer un important travail sur la gal- vanisaiion cérébrale lu à la Sociét
-. ET D'ELECTR01'HER1P10. Pour terminer nous aurons- à. citer : les travaux : de Gaetano Corrado sur les altérations des ce
ectriques. Le premier, après- avoir passé en revue* les différents* travaux publiés sur cette importante qliestiorule physi
nt des sciences de f3oulonne-sur-\Ier a fourni de très intéressants travaux . M. Crocq (de Bruxelles) a lu une étude sur le
out pour les applications à la fête. J'ai également communiqué un travail sur le Traitement du goitre eXlJpht1wlmir¡lIe p
ms et de 1 200 ohms de l'autre côté. J'ai également communiqué un travail sur le Traitement des névrites d'origine trauma
doit plutôt se représenter les divers éléments qui con- courent an travail psychique comme répandus sur l'écorce cérébrale
dus sur l'écorce cérébrale tout entière. Il existe sûrement pour le travail psychique des con- ditions anatomiques nécessai
l'élude de la névroglie et de la cellule. Malgré le grand nombre de travaux qu'on publie tous les ans sur l'anatomie des fi
il faut que les besognes soient distribuées; 3° cette divi- sion du travail doit être rationnelle; elle doit tenir compte de
autres branches scientifiques. Je rappelle ici la haute division du travail et en même temps la cen- tralisation que l'on t
aladies nerveuses; par Marinesco (de l3ucharest). M... rappelle les travaux de Muybrige, Marey, Paul Richer, sur la marche
r de ses discussions ce sujet fort intéres- sant auquel de nombreux travaux , de date relativement récente, donnent l'attrai
, Bicètre est le mieux partagé, quant au nombre et à la variété des travaux exécutés par les aliénés. Pinel avait désiié qu
vailler vont aux champs ; l'hiver on les occupe ordinairement à des travaux de terrassement. Quant au petit nombre de ceux
aliénés instruits peuvent, le soir et dans les moments de repos du travail manuel, s'adonner à la lecture; mais ce n'est l
A. 447 en tienne compte, mais non pas qu'on y cède. Organisez des travaux , préparez des ateliers, et avec un peu d'adresse
ur la paralysie générale. Frappés, non seulement par la pénurie des travaux sur Archives, 2° série, t. X. 29 - 150 CLINIQ
d'un seul coup, la question d'une manière irrévocable. Ce modeste travail n'a d'autre but que de nous permettre de nous f
ue nous avons obtenus, nous jetterons un rapide coup d'oeil sur les travaux déjà faits à ce sujet, en ne retenant que les c
x dire, il y a de la flexion des orteils. Mais, résumant dans son travail les recherches faites jus- qu'alors, Cestan rap
s neuro-diélectriques. (Réponse à M. PAUL SOLLIER.) Au début d'un travail intitulé Théorie des que j'ai publié ici même e
r succéda Westphal (1868). Tout le monde connaît les remar- quables travaux du professeur de Berlin sur les réflexes tendineu
eux une surveillance très rigoureuse, de les priver souvent de tout travail . ce qui rend leur vie très pénible et aggrave l
onditions d'avancement du personnel des asiles; par Doutrebente. Du travail comme moyen de traitement des aliénés et spéciale
Du travail comme moyen de traitement des aliénés et spécialement du travail agricole à la colonie du Verger, annexée ci l'asi
s consécutives Ú cet empoisonnement ; parle De Terrien (Vendée). Ce travail a été publié in extenso dans le n° 37 du Progrè
on pas comme un effet purement fonctionnel, mais comme l'effet d'un travail anatomique qui se produit par suite d'une dégén
les opérations de la vie. Aux muscles qui doivent à l'exactitude du travail joindre l'intensité de l'action, le cerveau et
n ; le cervelet et les cordons postérieurs sont des modérateurs. Le travail actif de ces deux systèmes antagonistes aboutit
Hier, dans l'après-midi, profitant que son mari, maçon, était à son travail , elle faisait absorber sa petite fille, âgée de s
s élèves sont exercés, sous la direc- tion de M. Vaschide, chef des travaux , et d'autres spécialistes, à. l'examen des mala
On est prié de se faire inscrire au préalable pour prendre part aux travaux pratiques qui sont gratuits. Hystérique voleuse
- nés par Hoppe, 55. Drames de l ? î9. Influence (je 1'- sur le travail des muscles fatigués, par de Boeck et Gunzbourg
s les famil- les, par Shuterland, 487. Traite- ment, des - par le travail , par Lapointe, 493. Colonie d' - ,à Lierneux,
26 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
rmaux: procédés pédagogiques pratiques et résultats obtenus ; 2° Le travail manuel à l'école primaire : 3° L'obligation de
ion de pédagogie se présente comme devant être des plus attrayants. TRAVAUX ORIGINAUX La psychothérapie et les méthodes de
La vertu eurative de l'hypnotisme a été mise en évidence par les travaux d'un grand nombre d'auteurs. Braid dans plusieurs
a fait figurer, comme étant de Trousseau lui-même, bon nombre de ses travaux personnels. C'est presque avec enthousiasme que
té déviée ; on ne le dispense pas de travailler, mais on rééduque son travail . Ici le problème n'est pas de restreindre la quan
ond en 1900, le professeur Liégeois avait exposé dans ces congrès des travaux remarquables sur les rapports de l'hypnotisme ave
vent au faux témoignage apporté publiquement, entraînant la mort, les travaux forcés, l'emprisonnement, qui sera moins difficil
amente et se désespère depuis deux ans ; celui-là a dû abandonner son travail depuis un an, cet autre depuis six mois ; ils vie
nsion considérable et comme il est seul pour la diriger il cumule les travaux techniques et administratifs : il en est résulté
usait une grande diminution de la mémoire, la perte de la capacité de travail , qui autrefois au contraire était très considérab
'arrive pas à résoudre le problème que je cherche. C'est même dans ce travail auquel je m'acharne et dans cette préoccupation c
penser jusqu'au mois d'octobre. A cette époque, voulant reprendre son travail , il avait cherché ses documents, et ses dessins :
rouver. Il s'était donc mis de nouveau à l'œuvre pour recommencer son travail , mais arrivé à ses combinaisons de courants il se
ndant tout ce temps, la physionomie de M. F. exprime la réflexion, le travail , une recherche profonde. Il tient, d'une main, so
ra tirer certaines conclusions pratiques utiles, tant pour le fait du travail cérébral qu'il est possible d'obtenir dans un éta
l'Assistance familiale, directeur des Arclw de Xeurotoyie, auteur de travaux de grande valeur en psychiatrie, promu officier.
e la Pooponlère, ont été nommés chevaliers, recevant la récompense de travaux Importants et de services signalés dans des ordre
hérapeutique sociale en faveur des enfante à caractères anormaux. TRAVAUX ORIGINAUX La psychothérapie et les méthodes de
à dire s'il fallait énumérer les pratiqués religieuses monotones, les travaux automatiques, les habitudes sociales qui aboutiss
p de gens une véritable intimidation. Comme je l'ai démontré, dans un travail publié en 1907, les phénomènes d'inhibition qu'on
grande valeur dans le traitement de l'alcoolisme. Je disais dans un travail datant de huit ans : Un dernier moyen qui est de
es et l'activité propre de l'élève, de l'avantage que présenterait le travail manuel dès le début de la scolarité primaire en c
jugement Xous devons noter, à la section de pédagogie, un important travail de M. le docteur Bérillou, de Paris, sur : Les ar
nts tirés des faits de l'expérience ; 4° Réaliser l'entraînement au travail manuel dont l'exécution initie progressivement au
le D' Cuebvis, membre de la Commission des missions et do Comité des travaux historiques et scientifiques au Ministère de l'In
simple résumé bibliographique montre assez toute l'importance de son travail , pour lequel il n'a marchandé ni son temps ni sa
re, au cours de l'artérîo-sclérose. Un chapitre consacré â l'étude du travail du cœur en clinique complète ces recherches. En
et de ses collègues. Bené Pamart s'était inspiré dans ses leçons des travaux de notre éminent maître, M. le professeur Lionel
t k cet hommage rendu au savant disparu, qui s'était illustré par ses travaux sur l'hypnotisme. M. Liégeois, fils, juge d'instr
nd de cumuler avec l'exercice d'absorbantes fonctions officielles, le travail d'une préparation, à lui tout seul, non pas seule
Etablissement thermal. De plus éloquents que moi feront l'éloge des travaux de Jules Liégeois et rappelleront les traits prin
ur Liégeois. Je laisse a d'autres le soin de retracer sa vie et ses travaux . Mon premier mot sera pour remercier 31. le d
nt de notre station. Chaque année, il aimnit venir s'y reposer de ses travaux dans le calme et la tranquillité. Il affectionn
et du grand savant que fut le professeur Jules Liégeois. (à suivre) TRAVAUX ORIGINAUX La psydrothérapie et les méthodes de
ologie psychique : discuter une a une les idées « fausses, tel est le travail auquel s'attachent toujours les familles de « nos
des punitions eucournes pour insubordination on pour Insuffisance de travail on de valeur. Cette constatation mérite surfont l
teurs de l'école de Nancy. Anjourd'hui, on s'incline devant leurs travaux qui font partie du patrimoine de l'humanité et le
accident que vous savez. Il serait hors de propos d'analyser ici les travaux de Jules Liégeois sur l'hypnotisme. Une fois le
ts ne firent pas défaut au vigoureux novateur. Mais la force de son travail , basé sur l'argumentation la plus irrésistible :
l. C'est à ce titre que je salue cette grande et vénérée mémoire. TRAVAUX ORIGINAUX La psychothérapie et les méthodes de
pable de réaliser une conception originale, c'est en synthétisant les travaux encore mal coordonnés'de ses ancêtres et de ses c
à toutes les antres. A la fin de l'excellent livre où il résume ses travaux antérieurs sur les névroses (2), M. Pierre Janet
quand ils éprouvent quelque sensation d'impuissance à se remettre au travail . Ces applications nouvelles de la psychothérapie
on application. Enfin, un jour, il se sentit capable de reprendre son travail habituel. L'accident, par son peu de gravité, n
selon les cas jusqu'à 25 ans. Le meilleur moyen d'éducation, c'est le travail continu et méthodique. Pour les ineducables, l'in
la mémoire du savant inspirateur que fut le professeur Liégeois. TRAVAUX ORIGINAUX La psychothérapie et les méthodes de
quay (3) s'efforcèrent, en France de faire ressortir l'importance des travaux de Braid. Xi l'éloquence de Durand de Gros (4) ni
a valeur scientifique. Comment se fait-il que. dans ce domaine ou les travaux d'hommes d'une si haute valeur scientifique avaie
idée est une force, partant un commencement d'action. » (2) Dans un travail dlus récent, M. Alfred Binet. après avoir insisté
qui jouent trop, qui se surmènent avant de s'installer à la table de travail et sont alors incapables de fournir l'ettention e
ds, au développement de l'enfant, elle sollicite le moins possible le travail d'élaboration et l'initabilité réflexe. Ou suppri
donc pas-les organes digestifs et ne réclame d'eux que le minimum de travail , d'où la rapide amélioration des états dyspeptiqu
ganes ne fonctionnent qu'à petit bruit sans que s'arrête cependant le travail normal de l'élimination. Même une sieste, l'après
er l'intéressante discussion entre M. Pierrot qui. s'appuyant sur les travaux de Pagano, Cherringhtonj Bechterew. etc.. soutien
Bryan (de Leicesier) Le cas suivant est un exemple a l'appui de mon travail critique sur l'état de veille apparente comparé à
ardière. III. Laboratoire de psychologie expérimentale. Chefs des travaux : Dr Bérillox. Dr Demonchy. Dr Oreda. IV. Labora
onchy. Dr Oreda. IV. Laboratoire de psychologie comparée. Chefs des travaux : MM. Lépinay et Géollet, médecins vétérinaires.
t Géollet, médecins vétérinaires. V. Education physique. Chef des travaux : M. Gosset. VI. Musée de psychologie. Confére
l'avis des plus grands économistes. Proudhon n'a-t-il pas dit : « Le travail amenant par sa division parcellaire, l'affaibliss
clusion de Tocqneville : « A mesure que le principe de la division du travail reçoit une application plus complète, l'ouvrier d
e la faculté de médecine no m'en voudra assurément pas d'eu douter. TRAVAUX ORIGINAUX La psychothérapie et les méthodes de
reprendre cette question d'un intérêt si capital Je l'ai fait dans un travail paru en 1903 sons le titre : « L'hypnotisme fortu
t les voilà lancés dans une mauvaise voie. J'avais, dès 1897, dans un travail intitulé : Les phobies neurasthéniques envisagées
t un pays éloigné ; par surcroît, nous nous trouvions à la saison des travaux champêtres (août). Cependant, je ne désespérais p
de la façon que voici. TTn expérimentateur, assis dans son cabinet de travail , prend, sur sa table, le premier objet venu (port
tion ont (1) P. Poidiapolsky : De l'hypnotisme et de la suggestion. Travaux de la Société des naturalistes de Saratov. 1901.
re, déterminée par la suggestion verbale en état de sommeil provoqué. Travaux de la Société des naturalistes de Saratov v. IV,
térie : brûlure suggérée. Reçue de l'Hypnotisme 22e année n° 6. (3) Travaux de la Soc. des naturalistes de Saratov. v. III, f
inq ans plus tard, mariée, accourut à mon appel, en pleine période de travaux champêtres, rien que pour se laisser provoquer à
resque toujours, adapté aux exigences de l'homme ; il l'aide dans ses travaux , le sert dans ses plaisirs, le porte à la guerre
lications médicales, fait ressortir l'importance et la variété de ses travaux scientifiques. Ils ont pu consacrer a cet exposé
intensité surprenante a toutes les impressions, a la lecture d'un bon travail scientifique on d'une belle œnvre littéraire, à l
e aux efforts de ses collaborateurs ; ¡1 combinera de se consacrer au travail Í» la Clinique du cœur, pulsqu'aussl bien le trav
se consacrer au travail Í» la Clinique du cœur, pulsqu'aussl bien le travail uni ii l'espérance et h l'amitié, assure les meil
pérance et h l'amitié, assure les meilleures conditions de bonheur. TRAVAUX ORIGINAUX Le sophisme de la « suggestion à l'ét
son pays retombent spontanément dans un sommeil profond dès que leur travail est interrompu et qu'ils se mettent dans une atti
ur normale sa santé et surtout sa force physique nécessaires pour les travaux de printemps, il se plonge, lui et sa famille, da
rtées par MM. Maggiorana Babinski, etc. M. Lombroso, dans son dernier travail , a émis diverses hypothèses qui se rattacheraient
rsonne ne le prit au sérieux^ on le considéra comme un rêveur, et son travail ne fut pas inséré dans les Philosophical Transact
Leipzig, M. Sydney Abrutz, docent de Psychologie à Upsala, publie un travail de 40 pages, où il démontre l'existence de certai
e (faits expliqués d'ailleurs par M. Abrutzi. M. Bérillon, dans ses travaux , et, en particulier, dans Psychothérapie et les m
es théories. Je ne veux pas abuser de votre attention en citant les travaux récents de Egger. Bartholdi, Cruchet (Bordeaux),
combattent avec beaucoup d'arguments la théorie de M Babinski, ni les travaux de ses partisans parmi lesquels il faut mentionne
e des stigmates propres à l'hys-térie. Si je vous rappelle tous ces travaux et si je vous cite tous ces auteurs, c'est pour b
en plus répandue dans les milieux intellectuels et enfin le dédain du travail musculaire* Tout cela contribue à former des géné
ions proposé de réunir, en un musée psychologique, les instruments de travail et les souvenirs se rattachant aux maîtres auxque
s se rattachant aux maîtres auxquels nous devons tant d'impérissables travaux .Nous avons pu recueillir ainsi un assez grand nom
t été coupable, peu importe qu'il cherche par une vie d'honneur et de travail à racheter la faute passée, les actions héroïques
pour toujours. Il restera l'homme qui a été en prison, qui a été aux travaux forcés ; il représente une victime de la fatalité
avais avec lui, peu de temps avant sa mort. Le voyant, malgré tant de travaux absorbants, toujours plein de sérénité, je lui de
dans notre pays pour des efforts généreux et de libres initiatives. TRAVAUX ORIGINAUX Le sophisme de la « suggestion à l'ét
existence une durée si grande qu'elles nuisent à l'accomplissement du travail professionnel et sont susceptibles d'entraver une
incipal inconvénient est de constituer un obstacle à la régularité du travail . Tel était le cas d'un jeune officier qui con
est revenu à maintes reprises sur la même question. En 1885. dans un travail intitulé : Des zones hystérogènes et hypnogènes e
de hasard, hâtives et non mûries, qui peuveut fausser et retarder le travail patient et méthodique de l'exploration scientifiq
ne efficacité plus marquée, sera réservée pour les vrais malades. TRAVAUX ORIGINAUX Dépendance organique de la psychologi
et son défaut de réaction personnelle. La loi sur les accidents du travail a eu, entre autres effets inattendus, celui d'abo
saud a défini : « une idée fixe que tout accident survenu au cours du travail constitue un dommage comportant réparation » est
e la i11 -11 phinomanie, le Dr Jennings est assurément celui dont le6 travaux ont le plus d'autorité. Je ne crois pas qu'il pui
psychothérapie, et sa communication trouvait ainsi sa place, dans les travaux de notre société. Rôle de la suggestion dans la
fini qu'il déploie pour démontrer la nécessité de cette alliance. » TRAVAUX ORIGINAUX Quelques défaillances humaines. — Leu
ordres, recevaient de sévères réprimandes et étaient condamnées à des travaux matériels extrêmement pénibles. Tontes ces initié
instruit, était occupé à surveiller, dans son habitation rurale, des travaux de charpente, lorsque, tout à coup, la rupture d'
s de son alitement. Le 27, amélioration croissante. Le 28, reprise du travail . Or, le soir de ce même jour, vers 8 heures et de
ituellement sous forme de réminiscences oniriques, Il faut lire les travaux de cet auteur pour saisir avec quelle variété d'a
plus ou moins obsédants, de dispositions ou d'aptitudes à tel ou tel travail , etc., le tout parfois associé à des processus al
t de milieu, les voyages ? Comme le dit plusieurs fois Freud dans ses travaux , il aurait pu arriver que dans un autre milieu ce
marchât mécaniquement ; et, dès que le mauvais temps venait gêner ses travaux champêtres, c'était un homme perdu. En 1900, sa
'une intervention quasi miraculeuse. Bjo-rnsljerne-BJœrnson que les travaux de Charcot et de ses élèves sur l'hypnotisme aval
rdi 15 février 1010. — Présidence de M. le D* Jules Vom*. (Suite) TRAVAUX ORIGINAUX La fascination auditive. — Emploi des
leur valeur par des médecins non psychiatres. Nous le voyons dans les travaux du gynécalogue, le prof. TTalthard (1. c.) qui a
dans sa clinique une section de thérapeutique psychique, et dans les travaux de l'oculiste, le Dr Salser, qui trouve aussi que
s facultés d'acquisition, mais non d'élaboration. M. Lepïxay. — Les travaux de M. Guenon sur « l'Ame du cheval et sur le mule
s phénomènes cardio-vasculaires et, d'autre part, nous basant sur les travaux de Winogi adow (contribution à l'étude de l'influ
hiques nous pensons (conformément à une opinion déjà exprimée dans un travail antérieur) (l)que le sommeil hypnotique.exerce un
ique débarrassant le sujet de tout choc •émotif, moral, enfin de tout travail psychique,régularise l'afflux sanguin par les cen
de l'Hypnotisme 1909). tionne les organes des centres (d'après les travaux de Mosso) et spécia— lement le cerveau, dont le r
ébauche, ils ne vivent que pour la satisfaction de leurs caprices. Le travail soutenu et l'exercice d'une profession régulière
don d'une vingtaine de mille francs à l'effet de récompenser ceitalns travaux snr l'homosexualité. Les mémoires devaient démont
le passé au présent et à l'avenir. C'est l'action. C'est la vie. TRAVAUX ORIGINAUX La Psychologie du Progrès A propos
ployé, comme s'il désignait le libre arbitre... pour le moins. Et mes travaux sont sans valeur parce que j'emploie le terme d'a
nt, s'impose à la Psychologie personnelle et sociale comme à tous les travaux scientifiques. Malgré quelques hésitations et que
les uns à côté des autres et par leur réunion former la sphère. Ce travail de montage et de démontage est facile et l'enfant
bles d'un grand perfectionnement. A ce point de vue, les exercices du travail manuel devraient trouver place dans les programme
t les usages reçus, qu'à l'homme seul, celui qui vit exclusivement du travail de la femme est à peu près inconnu. Les enfants
équentent les écoles pendant quelques années, d'autres s'adonnent aux travaux d'industries locales, mais dans les campagnes pre
d'explorateurs circulèrent librement et purent ensuite publier leurs travaux : scientifiques. Le même que la protection, l'as
27 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
jours croissant de publications de bon aloi. Pendant longtemps, ces travaux sont restés dissé- minés dans les grands recuei
, nous en avons la ferme conviction, par une bonne' organisation du travail . C'est là une thèse qui sera peut-être, ici mêm
echerches d'anatomie, de physiologie normales et pathologiques; aux travaux dans lesquels l'expérimentation, les procédés d
de départ à nos recherches a été exposé tout au long dans un autre travail =. Nous avons eu l'occasion de faire l'autopsie
ET CHRONIQUE. NÉVRITE SEGMENTAIRE PÉ1U-AX1LE. Par 11. GOMBAULT ( Travail du laboratoire d'iiiutomie pathologique de la Fac
rieure des nerfs sectionnés. Nous nous proposons de montrer dans ce travail que le processus est, dans certains cas tout au
er que la désorganisation a été ici moins pro- fonde, et partant le travail de reconstitution plus facile et plus rapidemen
u sa régularité et se réduit en gouttelettes, tout indique que le travail est moins avancé et n'en est encore qu'au début
cette recherche sera mieux à sa place dans une autre partie de ce travail , lorsque nous envisagerons le mode probable de
ourvus chacun d'une gaine de myé- line et d'un cylindre d'axe. Le travail pathologique qui se passe dans les tubes nerveu
les muscles d'un même membre. *' Tschirjew, dans son remarquable travail , a soutenu que l'ataxie était due à l'absence o
isant une force muscu- laire 10; les muscles tonifiés produiront un travail représenté par 14, les fibres non tonifiées par
« Ce qui caractérise essentiellement, dit-il, dans son intéressant travail , les mouvements incoor- donnés de l'ataxique c'
ération du mouvement voulu.1 » » Nous croyons pouvoir résumer notre travail par les deux propositions suivantes : l'incoord
la misère, prétend ne plus avoir de forces, être incapable de tout travail ; elle s'attribue des fautes imaginaires, elle s
A L'ÉTUDE DE L'IDIOTIE Par BOI1RNEVILLE, médecin de Bicêtre. Les travaux publiés sur l'idiotie et ses variétés sont rela
ie, il faut les avoir examinés pendant de longues années. Dans le travail actuel, le côté anatomo-patholo- gique l'emport
s, tailleur, âgé de 45 ans, est subitement frappé, au milieu de son travail , d'une attaque d'apoplexie. -La perte de connai
conditions faciles à contrôler, à répéter et à discuter. Aussi les travaux n'ont-ils pas tardé à se produire, à l'étranger p
ent à la thermométrie cérébrale. Mais, avant de passer en revue ces travaux et ceux qui les ont précédés, nous devons justi
araissaient élever la température de la tête plus facilement que le travail purement intellectuel. Dans ses publications po
pé de l'échauffement des centres nerveux eux-mêmes dans l'important travail des Archives de Physio- logie que nous citions
nt une température plus élevée que celles de droite, et que lors du travail intellectuel il y a une élévation de tempé- rat
cision des observations de l'auteur alle- mand ne donnent pas à son travail d'autre valeur que celle qu'il faut attribuer à
a température céphalique et qui confirment les conclusions de notre travail . DE LA THERMOMETRIE CEPHALIQUE. 105 cliniqu
e la clinique cérébrale, nous en trouvons des applications dans les travaux de MM. Gray, Mills, Maragliano et dans un tout
ceux que nous avions précisés au cours de cette revue. V. Dans un travail tout récent, M. R.-W. Amidon a cherché à appliq
nombreuses températures ont été prises; elles forment la base d'un travail important, et dont l'auteur est venu communique
raux sous-jacents : cette com- paraison se poursuit tout le long du travail de l'auteur et l'amène à signaler à l'attention
qui empêchait la flexion, et, partant, l'entier accomplissement du travail mécanique du muscle, mais ne s'opposait nullement
muscle. C'est là, on le jugera sans peine, le point attaquable du travail de M. Amidon. On peut se demander si l'action, de
nc là une idée nouvelle, originale, véritablement clinique, et le travail de M. Amidon peut être considéré à juste titre co
des faits ana- , tomiques sur l'homme et les singes, complétant ce travail par des études expérimentales faites sur des ch
phincter anal à la suite des lésions de la moelle épinière. Dans un travail précédent, M. Ott (Journal of physiology., vol.
ent, selon cet auteur, dans les cor- dons latéraux de la moelle. Le travail de MM. Ott et Smith a pour but de rechercher si
faisceaux conducteurs dans la moelle chez LE chien; par N. Wriss. ( Travail de Institut de patho- logie générale et expérim
t mis en lumière par le détail des observations intercalées dans le travail . Restait à interpréter ce retour de la motilité
saient que des troubles passagers de la motilité, connus par les travaux de Hitzig, Ferrier, Munk, etc. Chez les jeunes
nt inculte porte aujourd'hui des vignes et,des orangers, grâce au travail de cinquante ouvriers pris parmi les trois cents
re ayant'constamment présente à l'esprit la valeur marchande de son travail , trouve que la nourriture et le vête- ment n'en
auvre), de vastes cours, des jardins, ont été établis, grâce à leur travail . N'oublions pas en terminant cette notice sur l
puis plusieurs années toute son activité. H. d'O. IX. Les excès DE travail intellectuel; par M. HACK TUKE. L'auteur a eu p
ver l'apparition de maladies mentales diverses consécutivement à un travail intellectuel exagéré, et trouve qu'on a jusqu'à
une période d'excitation survenant chez un jeune homme par excès de travail , est ordinairement passagère et 152 REVUE DE PA
alors un nombre considé- rable de sujets chez lesquels les excès de travail intellectuel ont évidemment constitué une cause
e. Après avoir discuté longuement sur le nombre exagéré d'heures de travail et le surmenage de la mémoire qu'on exige des é
es dégénérations secondaires telles que les ont fait comprendre les travaux de l'École de la Salpêtrière. On trouvera aussi
s chapitres précédents. Ce n'est que dans la deuxième partie de son travail que M. Arnozan a étudié l'action trophique en e
stériles : c'est ce qui la recommande à l'attention du lecteur. Ce travail résume bien l'état de la question, mais il n'en
ns reconnaître que M. Chau- vet a profité de son plan, et a fait un travail fort complet; à la fin de chaque chapitre, on t
ues et les lésions syphilitiques. Les critiques que nous faisons au travail de M. Chauvet portent donc plutôt sur le plan a
y avait un sujet de thèse très vaste, très inté- ressant, aussi son travail est-il long et nourri de faits, quoique il ait
y dans son introduction. On devra donc s'attendre à trouver dans le travail de M. Landouzy une série de mono- graphies se s
sans grand' peine faire le sujet d'une thèse; c'est ce qui rend le travail de M. Landouzy assez volumineux, mais c'est aus
alyse succincte, citer les faits ou les discussions que renferme le travail de M. Landouzy; nous devons nous borner à indiq
noms qui les cou- vrent, telles sont les qualités dominantes de ce travail : ce sont celles du reste qu'on est habitué à r
e de ces paralysies en ayant un point de départ dans le remarquable travail critique de M. Landouzy : malgré son volume app
ures et d'une planche, mais il y a une différence sensible entre ce travail et les précédents. Si à propos de la thèse de M
à propos de la thèse de M. Landouzy, on s'étonne de ne pas voir un travail encore plus long; à propos de celle de M. Robin,
es- criptions d'anatomie normale ; fallait-il mettre dans un même travail le scotome scintillant et la cécité verbale ? Fai
but auquel il fallait tendre. L'embarras est grand pour analyser le travail de M. Robin. On se heurte à chaque page à des p
dans ce sens ou selon tout autre plan clinique, eût coûté moins de travail à l'auteur et eût, ce nous semble, répondu dava
de la question. Nous n'entendons du reste rien enlever au mérite du travail de M. Robin, mais nous ne le comprenons pas de
nera en 1881 le prix Aubanel, de 3,000 fr., à l'auteur du meilleur travail sur un sujet de pathologie mentale et nerveuse. L
ÉVRITE SEGMENTAIRE PÉRI-AXILE (Suite); Par le Dr A. GOMBAULT « ( Travail du laboratoire d'anatomie pathologique de la Facu
iverses catégories de faits qui ont servi de point de départ à ce travail . NÉVRITE SEGMENTAIRE PÉRI-AXILE. 185 Le fait
poser l'histoire complète. Pourtant, nous croyons devoir limiter ce travail à un point particulier. ii 1 i . t En pratiqu
<j ? )'<'' '' W r> > ,.v I .Mil' t r M 1 ' 'Il (- ? il travail nous paraissaient justifier, l'opinion que nous
revue ont été, depuis - q'uàtf Í1s.u ? ? ,ùl) l'objet^de" nombreux travaux . -- Ils,for- ment maintenant un ensemble théori
quelques autres fonctions. ' Nous allons commencer par exposer les travaux de M. Burq. Ils seront le canevas auquel se rat
a- leur de 'la' métallotliérapie interne dans une autre partie de travail . ' ' Nous dirons pourtant, dès à présent, que,
la Commission de la Société de biologiesedisposaitàentreprendreson travail de con- trôle sur l'existence 'et la nature des
d mémoire d'Andry et Thouret (So- ciété royale de médecine,' 1779), travail intéressant que nous aurons souvent occasion de
'surtout contré les désordres nerveux. Des gravures annexées à leur travail montrent la forme des plaques .. i ' ? , ;>
ploi de l'aimant .dans les maladies nerveuses. Il faut dire que ces travaux , malgré .leur valeur, n'avaient 'pas eu beaucou
justice envers le prof. Maggiorani ! Nous n'avons d'abord connu les travaux de cet ob- servateur que'par une excellente ana
mémoires de l'ancienne Société royale de médecine. Il s'y trouve un travail extrêmement remarquable de Mauduyt (année 1783,
s, nous réservant de traiter complètement ce sujet dans un prochain travail ; car, il faut le dire sous forme de parenthèse,
sorte accidentelle, il en sera question dans une autre partie de ce travail . (A suivre.) LES NOUVEAUX ANESTHÉSIQUES ET L'AN
us occuperons seulement des plus importants, qui ont été l'objet de travaux récents. 18 '27t. REVUE CR1TIQUK. Le bicldo
12,e-i7îdz*- cations il l'anesthésie chirurgicale (1880). Dans ce travail , on trouvera aussi une étude synthétique des tr
80). Dans ce travail, on trouvera aussi une étude synthétique des travaux de MM. Vulpian, Franck, Arloing, etc., sur l'acti
des anesthésiques sur le coeur et la respiration. C'est d'après les travaux de ces physiologistes que nous avons cru pouvoir
Tels sont, relatés très-sommairement, les résultats importants des travaux récents sur les anesthésiques, principalement en
lberg. (Centralblatt f. Nervenheilkunde, etc., n° 8, 1880.) Dans un travail publié par l'Amera'can Journal of médical scien
nclusions auxquelles est arrivé Ed. Spitzka dans son très important travail sur les effets de la strychnine sur le système
I$ L'auteurjj résume , dans les, trois propositions suivantes,son travail , f6rt,ïqru; il, 'rs ? gfit,,Iql; tijaa"o'), 19 ag
neraous and, 2nental disease, 1 °r fascieule 1 S80, p. 5 t .) ' , Travail de thermométrie cérébrale dont il a1 déjà été ren
e dans l'observation IV,<les'accidents survinrent àla suite d'un travail inaccoutumé. Dans l'observa- on 11, l'Jîl1111di
vers phénomènes à'l'affaiblissement du coeur qui ne peut suffire au travail exagéré subitement imposé par la paralysie - de
ô, tl°e i 8t 9.), yl .. . n n(m4yJ,n ' fU'Ji ' ». y > . , i Le travail de M. Worlcman est une traduction des recherches
ôté de faits nouveaux, l'exposé de faits déjà étudiés en France. Ce travail mérite d'être médité par tous ceux qui regarden
ent déplus en plus incurable. » M. Earle rap- porte à la fin de son travail quelques chiffres intéressants : les malades n'
s. On peut résumer pour quelque points les données principales du travail de M. Beard : 1° Les effets thérapeutiques de l'é
ale n'est presque jamais due à l'alcoolisme, mais très souvent à un travail excessif qui nécessite aussi l'abus des spiritu
août 1880, in-4° de 26'a p. avec VIII pl., chez Boehm et fils. Le travail de M. Blaise est important et contient de nom-
maladies cérébrales. Nous serons bref sur la première partie de ce travail qui porte sur les mêmes docu- ments que ceux qu
cérébrale dont M. Grasset a observé deux cas. La deuxième partie du travail que nous analysons est consa- crée à la tempéra
siologie pathologique n'est pas encore fixée. La dernière partie du travail de M. Biaise est consacrée à l'action thermogèn
nent cette thèse et servent de pièces justificatives. L'ensemble du travail de M. Blaise est intéressant; ces recherches se
hologie nerveuse en Italie sous l'influence de cette société et des travaux de l'asile de Reggio, qui sont publiés dans la
au concours; 2° que les ré- compenses pourraient être accordées aux travaux imprimés aussi bien qu'aux travaux manuscrits e
es pourraient être accordées aux travaux imprimés aussi bien qu'aux travaux manuscrits envoyés à la Société. Mais la Sociét
ort à Alençon, le 2 juillet, à l'âge de 77 ans. Auteur de plusieurs travaux estimés, M. Belloc était membre correspondant d
Dr BRocA est mort subitement, le 7 juillet, à l'âge de 56 ans. Ses travaux et ses titres sont trop connus pour que nous ayon
observations qu'il nous reste à rapporter pour compléter ce premier travail sont relatives à des enfants idiots, chez lesqu
. Récemment Beets inspirait à un de ses élèves, van der Eyden, un travail sur les lésions encéphaliques qu'on observe che
ite) Par le D' ROMAIN VIGOUROUX '. On a vu, au commencement de ce travail , quel était l'état de la question au moment où
; mais il ne dit rien de leur structure intime. Les auteurs de ce travail se sont servi, après M. Ranvier, et en suivant
ts de la circulation de l'encéphale. Il ne fait que con- firmer les travaux de M. Duret et ceux de MM. Heubner, Key et Retz
) Nous signalerons quelques-points seulement de cet intéres- sant travail . Un fait extrêmement remarquable, c'est la poss
ON. (Zeitschrift für klinische Medicin, 1880, t. II, fasc. 2.) Ce travail est un commentaire assez détaillé de 9 observa-
imées par M. Lion, que nous les avons formulées nous-même dans un travail antérieur ' . Nous pensons au contraire que l'i
dans un historique détaillé de la question, M. Russell rappelle les travaux des -auteurs. Budd (1839), Marshall Hall, Flech
le malade nervose, janv. et mars 1880. fasc. I et II, p. 74). Ce travail n'est autre chose qu'une revue des faits publiés
ans ses leçons de la Salpêtrière (Progrès médical, 1879, n° 17.) Le travail que publie M. Krishaber s'appuie sur quatre obs
1edicz'ne, New-York, fév. et avril 1880.) L'auteur étudie dans ce travail les différentes conditions des muscles dans les
M. Mulhall fait, à propos de cette malade, une revue d'ensemble des travaux relatifs à la toux hystérique, mentionnée pour
irait chez un grand nombre de femmes, sous l'influence des excès de travail , des couches répétées, de la lactation, etc.
couches répétées, de la lactation, etc. La plus grande partie du travail de M. Beard est consacrée à une revue détaillée
IE NERVEUSE. 471 d'après M. Beard, certains ouvriers épuisés par le travail dans des ateliers surchauffés, deviendraient ne
s, parfaitement associés. Maladresse et gaucherie telles que tout travail , si peu de soin qu'il exigeât, devenait impossi
cations. Les guérisons résultent probablement, dit l'auteur de ce travail , de transformations dans la nutrition du cerveau,
neur qui en résulterait. Trois observations viennent à l'appui du travail de M. Boisson. Ces monomanies hypocondriaques dif
sous le nom d'agoraphobie. M. Ritti fait une intéressante revue des travaux publiés sur la question ; deux observations l'u
ances spéciales à chacune des deux affections. Mais ces nuances, le travail actuel de M. Régis, simple ébauche, il est vrai
Med2= cin, t. 26 ; fasc. I et II.) Dans la première partie de son travail l'auteur rappelle que la compression de la caro
LES BAINS FROIDS ET LE BROMURE DE POTASSIUM ; par M. Rousseau. Ce travail , d'un titre trop général, consiste en deux obser-
ical.) Bien que le titre en semble restreint au premier abord, ce travail n'en touche pas moins à la plupart des questions
jusque dans les cellules des cornes antérieures de la moelle. Le travail de M. Brissaud est divisé en trois parties : La
'atrophie musculaire qu'il a décrite dans la première partie de son travail ; cette atrophie serait surtout apparente aux m
rouvées à l'autopsie; ces dessins ajoutent encore à la valeur de ce travail , il n'est pas besoin de dire à nos lecteurs qu'
ar M. Deleporte et Mlle Nicole. Depuis, se tenant au courant de nos travaux , et désirant les faire connaître, il semble s'ê
enir de sa pupille une douceur relative, sa coopération à de petits travaux ( dévider, carder, nettoyer, éplucher) et la ma
dans les groupes, participent souvent d'une façon cor- recte à des travaux , ou à des exercices isolés. Pour elles, c'est u
professeur MIERZEJEWSKY (Suite). Dans cette seconde partie de notre travail , nous allons achever la description des circonv
m ub ziip. s-yin^ ? 0^ ? 2"îVfi ,niol .,41ruiv{tM £ r/p, \Dans un travail publié en 1878 ]ai cherchera }f9 : va9)f)nf"r s
- a41 no ? s; 4`r a^ trrsrrl91osYs rrlrnlu2 09 11J9J0B i même, ce travail comprendra donc : - - 8000 Jud 9'IdOtI 9)9 A 19
caractéristiques de l'ataxie locomo- trice sont évidemment liées au travail irritatif dont les racines et les cordons posté
orsal, le point qui se dégage avec le plus de netteté. Comment le travail irritatif, qui porte sur les racines et les fai
gerhans, Biésadeclii), pourront, dans certains cas, provoquer là un travail phlegmasique. On comprendrait ainsi, par exempl
tngsber. Bd. 74, juillet 1876, p. 1). 2 A. Cossy. Réflexions sur le travail précédent. (Arcli. de physiol. 1876, p. 832.
latateurs pendant les poussées congestives et les recrudescences du travail inflammatoire qui s'effectuent probablement ver
s aAesMeHes.Ainsi que nous le verrons dans la dernière partie de ce travail , une application faite sur un point quelconque
r CHR. LEEGAARD. (Deutsch. Archiv. fur. Klin. " fedzl ? 1880.) Ce travail comprend trois parties. I. La première est cons
vient dans la réparation. L'auteur se proposant de contrôler les travaux de Bruch, Schiff, Waller, Lent, Hjelt, Eulenburg
tantôt dans ceux-ci, tantôt à travers eux. (Dans une note jointe au travail précédent, le professeur Westphal , reconnaît l
x sont personnels au professeur;' 'la dernière observation émane du travail de Flournoy. Tous diffèrent des premières embol
tion de la tète. Ce centre serait situé dans le cervelet. Dans un travail sur l'étiologie du'vertige (Ediab. met. Journ., f
ans le tabes dorsalis par Hempel (Graefe's Arch. Ophtla., 1876). Le travail le plus complet sur cette question est la thèse
itz). A l'chiu. sur Psychiatrie u. l1'e·venkrankheiten, 1880.) Ce travail embrasse les troubles mentaux des femmes grosse
terminaison de lagravidité, elle modifie souvent la perception du travail ou de l'avortement accidentel au point que lés
ns communiquées par M. Pick, nécessiteraient le résumé préalable du travail de Kirn (Die periodischen Psychosen) ; et l'his
nique, les exercices de l'esprit et du corps, la musique, enfin les travaux manuels qu'on peut faire exécuter aux malades.
et du traitement de l'ivresse chloralique. L'auteur cite les rares travaux déjà pu- bliés à ce sujet, dus à sir William Je
T r¡.'1'" rr ? ? l "Qr ? 'p"" ,\ l, 11' n ""f;}"" Il .. , plusieurs travaux seront consacrés au régime'des établissements ? P
880'1 dans"la Revistà' 'cliiiie "idi l3olognci; nous - signalons ce travail comme' contenant de nombreux documents - nouvea
. Dans dix observations, il a vu que la température s'élevait. Ce travail est donc intéressant au point de vue clinique et
fs à ces faits curieux. C'est ce que nous ne trouvons pas dans le travail de M. Descosse qui porte surtout sur les phénomèn
u'exigeait le service êt;Lriôri content d'exécuter le programme dés travaux convenus' entré' nous,' provoquant,sans cesse d
j it r i i j 1 1 ' i > t .....p 1 f t i 1'" > i dus plusieurs travaux insérés dans le Progrès' 'médical et dans les A
'être libre et tout il fait en mesure de s'adonner sérieusement aux travaux de laboratoire. Peu de mois s'étaient écoulés q
u, courant de ses projets d'avenir. A ses éludes clinique», (31 se» travaux de laboratoire, il voulait ajouter l'expérience
il se mit il étudier la thermométrie médicale. « C'est grâce à son travail et à ses écrits, écrit le New-York médical Reco
es Etats-Unis, mais de l'Angleterre, etc. Tout le monde connaît ses travaux dans ce sens ; ses communications il l'Associat
iots de Bicêtre et de la Salpêtrière. Voici la liste des principaux travaux d'Ed. Séguin : Résumé de ce que nous avons fait
E \ - Oi,t i 1, ,Y., 6'e . 1 1 ueménls de 1870, out interrompu les travaux de la[ Commission nommée,à eeLLe,époque.\, Il ?
le et conclut : ' Il- JU, j 1 ;; / « Ce premier numéro est plein de travaux et de documents intéressants à lire, et, à en j
écessaire la'création d'une revue spéciale enre- ,gistrant tous les travaux , toutes les recherches qui se poursuivent ., da
.1 ¡lit. Nécrologie. - M. Collin DEIPL,\ : \CY, dont les. nombreux travaux z sur la sorcellerie,, la démonologie, les mira
ier à la spécialité mentale, tout en publiant uû çéi·tain nombre de travaux en dehors de cette branche médi- 11 ? ",fG"1 HI
mbreux 'Journaux de médecine, Lander Lindsay a laissé beau- coup de travaux de psychologie mentale et d'administration. Il a
partout il avait laissé le souvenir d'un homme de recherches et de travail , aussi ne peut-on que regretter, avec nos confr
s chez eux, par Gray, 494 ; - des affections du trijumeau, 493. Travail intellectuel (excès de), cau- sant la folie, pa
28 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
cas connus dans sa thèse inaugurale'. Il nous semble, malgré ces travaux très intéressants, l qu'il reste encore beaucou
let, autant qu'on en peut juger par la photo- graphie annexée à son travail . Enfin, pour expliquer la persistance en quelqu
dedans s'étaient déjà reproduites. Le lendemain, après une heure de travail , le mal avait repris toute son intensité. Un no
ute à pieds joints, court à « quatre pattes », monte sur une 1 Ce travail a été déposé aux Archives'de Neurologie, le 2 aoû
ître, ont donné naissance, depuis plus de vingt années, aux beaux travaux de l'école célèbre de la Salpêtrière. RECHERCHE
e nous avons constaté dans la moelle de notre chien tiennent à un travail inflammatoire qui s'est développé au pour- tour
pporte à la myélite chronique. Le profes- seur Hayem, dans son beau travail , fait remarquer aussi que la science n'est pas
llisse- ments de la moelle sont de nature inflammatoire. Dans le. travail de M. Friedrich Schultze' est relatée en détail
juillet, sous la pression même de trois atmosphères. Au cours de ce travail , le malade robuste, toujours bien portant et jama
llement après deux ou trois jours si le malade ne continuait pas le travail dans l'air comprimé). Après une longue interrup
omprimé). Après une longue interruption, il a repris de nouveau son travail dans le caisson au commencement du mois d'août
ravail dans le caisson au commencement du mois d'août : le temps du travail était habi- tuellement de six heures; la pressi
causée par une diminution brusque de la pression barométrique». Ce travail intéressant est basé sur une observation avec a
embre. La même localisation a eu lieu quinze fois au cours de son travail . La brusquerie de l'invasion et l'intensité exc
i fait le sujet de l'OBSERVATION LI ne pouvait plus continuer son travail dans l'air comprimé, car dès qu'il commençait à
onc un peu le schéma de Luciani. 80 PHYSIOLOGIE. Aussi bien les travaux mêmes de ses élèves, exécu- tés au laboratoire
ans doute que les rapports croisés 1 Dans la partie clinique de son travail , .Masini constate la persistance des paralysies
rale; par C. REINHARD. (A ? ,ch. f. Psych., XVII, 3; XVIII, 1,2.) Travail personnel basé sur seize observations relatées in
des faits, mais il importe de résumer les conclusions de ce long travail . 1° Les lésions de l'ensemble des circonvolutio
par A. FORE ( : 1 TCIt. f. Psych., XVIII, I.) 1. Contrôle du grand travail de Golgi. M. Forci. accorde ce qui ' On donnera
on à la suite d'une rupture de la cloison recto-vaginale pendant le travail de l'accou- chement. Dans le premier cas seul
- Présidence de M. Falret. Le Secrétaire général fait un résumé des travaux du Congrès de médecine mentale. '. De la méla
re 1888. - Présidence DE M. JOLLY. M. JOLLY (de Strasbourg), lit un travail sur le traitement de la manie par l'opium. La m
ment le vrai desideratum à remplir. M. LANDERER. La somme réelle de travail produite par les aliénés est bien moindre qu'on
oup plus spéciales, comme le traumatisme, les chagrins, etc. . Ce travail , qui a obtenu le prix Aubanel en 1887, touche, co
largeur de vues et une originalité de concep- tions, qui rendent ce travail non moins intéressant que profitable. Son but a
espèces données d'un même feuillet blastodermique. Cet excellent travail marque un stade intéressant dans l'histo ire de
mort a été instantanée. L'incendie a été éteint après une heure de travail ; les dégâts sont assez considérables. LES DR
cal, en collaboration avec M. Gilles de la Tourelle, un intéressant travail sur la nutrition dans l'hystérie. Faculté DE
l'objet de la thèse d'agrégation de M. Barth et d'un intéressant travail de M. Gilles de la Touretle, publié dans les Arch
es de Milan ayant établi un concours international pour le meilleur travail original sur la question de l'hypnotisme a décern
e ce tissu qui a donné lieu à la formation d'une cavité. Depuis les travaux de Simoun' et de Schultze2, on rapporte la form
elle de l'histologie normale et pathologique de cet organe, que les travaux d'anatomie de Golgi et. de ses élèves sur la te
ensitifs et sensoriels de l'écorce cérébrale, vient de recevoir des travaux de llermann Munk une démons- tration expériment
es traités, p. 3-G, même volume. Cf. aussi l'analyse critique de ce travail , par Marchi, dans la Riv. speriment, di ji'cnia
giques des régions mo- trices et sensorielles de l'écorce. Dans son travail Sur les localisations motrices (1878), D. Marag
t un intérêt capital pour la physiologie du système nerveux, est le travail Sur les nerfs des tendons de l'homme et des aut
des organes périphériques du sens musculaire. C'est au sujet de ces travaux que M. Ran- vier, parlant des terminaisons nerv
é et une durée suffisantes, renseigne la conscience sur la somme de travail accompli par tel ou tel groupe de muscles. Si l
s. Inutile d'insister sur la portée de pareils résultats. Après les travaux de Meynert, de Huguenin et de Luys, leur nouvea
téristiques, et, si c'était le lieu, nous pourrions citer plus d'un travail récent où les mouvements réflexes, automatiques
les et cliniques. Nous ne saurions passer ainsi en revue tous les travaux de V. l\Iarchi 1, et l'analyse de ceux des autres
cision, de clarté et de sobriété scientifique qui caractérisent les travaux sortis du laboratoire d'histologie de l'Univers
o dei leleostei. Roma, 1887. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 203 bles travaux . Je citerai celui d'Alfredo Conti Sur l'épaisse
les deux substances grise et blanche. L'année même où paraissait ce travail de Conti (1884), Baistrocchi publiait ses reche
eneraiep7,ogi-essiva. - Itiv. speriment. di fren., 18t;8, 36 sq. Un travail de Franceschi, Sulla varia grossezza della sostan
e l'observation anatomo-cli- nique. Cionini a noté, à la fin de son travail , que l'épais- seur de l'écorce était, chez ses
l'hémisphère droit plus lourd que le gauche. Mais Seppilli, dont le travail Sur le poids des hénti- sphères cérébraux chez
o et Pizza', le savant médecin de Turin a publié sur ce sujet les travaux les plus étendus et les plus solides. Les obser
liénât ! . Archiv. ital. per le mal. nerv., 1881, XXI. 214. Cf. les travaux de Calori, de Lus- sana, de : \lal1tegazzlI, de
s hémisphères correspondants chez les aliénés. R. Roscioli, dans un travail récent sur les Asymétries fronto faciales chez
e (ce qui peut tenir aussi à une lésion de l'attention). Tous ces travaux d'anatomie normale et patholo- gique, chaque jo
selsberg, assistant de la clinique du professeur Billroth. Dans son travail M. Eiselsberg, après un examen magistral de ce
fficile à résoudre est celle que pose le professeur Schiff dans son travail et que l'expérience ré- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
al of Mental Science, avril 1887.) La concision qui règne dans ce travail , malgré son étendue, la rigueur des déductions
ne tentons pas cette analyse, et nous bornerons-nous à signaler ce travail important comme un remarquable chapitre de cliniq
nt simplement écartées, dissociées et non atrophiées. P. K. IX. Travaux sur LE système NERVEUX parus dans LE « Finska L
ont eu l'heureuse idée de publier dans la revue mensuelle de leurs travaux et des comptes rendus de leur Société médicale,
ux et des comptes rendus de leur Société médicale, le résumé de ces travaux et de leurs séan- ces en langue française. C'es
Dans ces deux dernières années, nous trouvons un certain nombre de travaux intéressants. Dans le recueil de 1887 se trouve
t de quitter le fauteuil de la présidence, énu- mère les différents travaux auxquels la Société a pris part sous sa directi
de la médecine actuelle par l'hypnotisme, avec démonstrations. Les travaux de maîtres français tels que Charcot, Liébeault
ibres entre-croisées, complètement ou incomplètement atrophiées. Ce travail paraîtra in extenso dans les Arch. f. Augen- he
889. M. Lissauer communique à la place de M. MAMRUTH, empêché, un travail sur quelques observations formant le chaînon inte
et de l'idiotisme dans les familles royales, s'est attaché dans ce travail à relater l'histoire pathologique du roi Louis II
grammes; il était gorgé de sang un peu ramolli. En terminant son travail , Ireland fait les réflexions suivantes, auxquel
e à récompenser, sous le titre de Prix Lunier. l'auteur du meilleur travail sur la question suivante : « Quelles sont les c
our en atténuer les effets ? » Les candidats devront s'inspirer des travaux de Limier sur l'alcoolisme La Société française
aux moyens moraux, sociaux, thérapeutiques, etc. Par exception, les travaux imprimés depuis moins de deux ans, au ter janvi
uffisante pour pouvoir le désalcooliser, pour lui rendre le goût du travail , et, par une éducation morale appropriée, lui r
chacun, mais autant que possible au grand air. Entre les heures de travail , l'économe et ses aides cherchent à agir sur les
morphinomanie. 11 est mort le 27 janvier 1890. z La plupart de ses travaux ont été publiés dans l'llgemeinc Zeitschrift fi
l. On nous pardonnera de ne pas insister davantage sur les nombreux travaux de ce neuru- pathologiste éminent. Voici la lis
es alternes en particulier, qui ont été consignés, en 1883, dans un travail de deux de mes élèves d'alors, MM. Bernard et F
rlé de ce fait dans mes leçons. On en trouve des exemples dans le travail de MM. Bernard et Féré; deux autres de mes élèv
t bou- leversé à notre détriment. Je n'en veux pour exemple qu'un travail de M. Leyden, homme éminent fort au courant en
ral, dans ses rapports avec le diabète et la glycosurie, il cite le travail d'Auerbach (1885) bon mémoire, sans doute; mais
de cas de diabète, M. Leyden cite le Dr Raven (1887)'. \ Mais les travaux de M. le professeur Bouchard datent de trois an
ieux paraplégique et plus précisément ataxique. Voyez à ce sujet le travail de M. Leval- Picquechef sur les pseudo-tabes'.
'il s'affaiblissait et il attribuait cette faiblesse à la dureté du travail . Puis il y a deux ans, SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE
E FRIEDRE1GH'; PAR PAUL BLOCQ, et Georges DIARINESCEO, Chef des Travaux Anatomo-pathologiqucs Assistant à l'Institut de P
titut de Pathologie à la Salpêtrière. expérimentale de BÜcarest. ( Travail du Laboratoire de M. le professeur Charcot.) I.
ce qui concerne sa partie clinique. C'est au point que les derniers travaux n'ont, pour ainsi dire, rien ajouté aux premièr
decin'. La seconde autopsie est celle qui servira de base à notre travail . Elle a trait à un sujet dont l'un de nous a ég
- logie (séance du 22 février) par llvl. Letulle et Vacquez : notre travail étant déjà remis il la Revue, nous n'avons pu l
ues association morbide dont la valeur a été mise en relief dans le travail précité et c'était là encore un point de vue di
Il ne peut entrer dans le cadre nécessairement, res- treint de ce travail , de reprendre l'histoire détaillée de chacun de
en détail dans la thèse de Socca, et c'est d'après ce remarquable travail que nous extrayons les résumés qui suivent : AV
ou d'alté- ration de cette zone. En effet, en s'en rapportant aux travaux de Lissauer lui-même, ces faisceaux peuvent êtr
point pour des scléroses systéma- tiques, comme l'ont démontré les travaux de 11111. Dé- jerine et Babinski. Mais, en dépi
e plus des troubles d'irrigation. En résumé, il paraît résulter des travaux antérieurs et nous pensons que notre examen con
t, est devenu le centre de ce genre de recherches et l'ensemble des travaux publiés dans les « 7/<MOMCe67f/ ? » peut mon
de notre étude, nous croyons qu'il est utile de résumer d'abord le travail de Ludwig Lange qui a proposé une correction im
les centres de perception doivent se réunir entre eux, et quand le travail d'association de ces centres arrive à rompre l'
te excitation, il arrive, après un temps plus ou moins long, par un travail de cérébration, à retrouver cette excitation pe
ssaire pour leur aperception ou quand elles arrivent au moment d'un travail mental occasionné par d'autres impressions cont
1° Une impression visuelle peut être perçue inconsciemment; mais un travail de cérébra- tion volontaire (ou involontaire) f
En dehors de ce champ, il est perçu inconsciemment et il faut un travail mental (suggestion ou autosugges- tion) pour qu
of Mental Science, juillet 1886.) L'auteur s'est proposé dans ce travail d'étudier les rapports de la folie avec le crim
ort regrettable, et qui ressort nettement des cas rapportés dans ce travail par AI. Savane. Voici en effet le résumé de ces
he Journal of Mental science, avril 188ti.) Les conclusions de ce travail sont les suivantes : « Le droit accordé à toute
l of Mental Science, avril 1888.) Nous ne pouvons que signaler ce travail intéressant à ceux de nos confrères qui s'occup
oublieux; il a commis une tentative puérile de suicide : l'excès de travail , les préoccupations paraissent avoir agi comme
G. E SHUTLEWORTH. (The Journal of Mental Science, octobre 1886.) Travail très intéressant, très nourri de faits et de chif
yllcntal Sciencc, janvier 4887.j Nous ne pouvons qu'indiquer ici ce travail ; les recherches déli- cates et détaillées qui
se. Conformément à la motion de M. MENDEL, le Bureau a transmis les travaux de la Société t à la Commission du code civil ;
é difficile de choisir parallèlement ceux qu'il fallait destiner au travail agricole de la colonie qu'on installait en même
adrass le prouve. M. POETz (d'Alt-Scherbitz). En conduisant bien le travail , on arrive à des résultats surprenants. Au lieu
leur donner de l'exercice, même quand ils répugnent obstinément au travail . Ils acquèrent ainsi de l'appétit, dorment mieu
; contribution à la physiologie de ces centrez. La conclusion de ce travail , c'est qu'on parvient, chez le chien, en excita
alement des variétés individuelles en rapport avec la difficulté du travail , mais ces variétés s'effacent à mesure qu'on ex
, à la suite des pauses en ques- tion, l'énergie et l'eflicacité du travail intellectuel sont bien plus grandes qu'avant; m
duisent de plus en plus. Avant de se prononcer sur la capacité de travail , il faut déter- miner la disposition momentanée
traire à celles qu'elles font sur les fonctions motrices. Voici le travail psychique décomposé en ses éléments naturels. C
une recherche spéciale exacte. M. Kroepelin a étudié la qualité du travail produit en enre- gistrant la durée des associat
actation, ni dans celles qui, à cet âge, résultent d'un surcroît de travail ou de causes émotionnelles. 21. Les folies méla
re que ce sont là de minces détails pour en avoir fait l'objet d'un travail spécial, mais ceux-là ne penseront pas ainsi qu
x (évolution et dis- solution du), par Hugtings Jackson, 2S3 ; - ( travaux Finlandais sur le), 217. Tabac (prix de la So
29 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. 8 CLINIQUE NERVEUSE. . Une digression est ici nécessaire : des travaux assez récents ont montré l'existence, dans les
édullaires : en Allemagne et en Autriche ce sont principalement les travaux de Mayer (1894), puis de Pick, de Hoche et plus
erg, etc. Mais si les auteurs dont je viens de- vous rappeler les travaux sont suffisamment d'accord dans leurs description
e confusion de conscience. En évaluant les résultats généraux des travaux de diffé- rents auteurs et nos observations per
par R. G. Rows. (1'lae Journal of Mental Science. Avril 1902.) Ce travail a été lu au moment où le Dr Orr venait de montrer
d'origine syphilitique. En 1898, Juliusberger et Meyer publient un travail dans lequel ils déclarent n'avoir pas trouvé de
es quoique pleines d'espoir déjà codi- fiées exercer sur le mode de travail des naturalistes une influence bienfaisante et
ories pathologiques de cette affection, con- duit les auteurs de ce travail à considérer le tabes comme une affection beauc
oyal ; parle De Binet-Sanglé (Journ. de Neurologie, 1903, n°45). Ce travail contient cinq observations qui font suite à celle
duite qu'un certain temps après que le malade avait déjà cessé tout travail . G. D. V. Réflexions sur un syndrome d'astasie-
ques qu'il a citées, et les considérations qu'il a édifiées sur les travaux des savants, em- pruntés à d'autres domaines de
eNeurologie, 1903, n° 10.) D'après les expériences relatées dans ce travail , le menthol est un excitant énergique pour les
s études antérieures sur les rapports existant entre la capacité du travail volontaire normal et ce même travail soumis à l
existant entre la capacité du travail volontaire normal et ce même travail soumis à l'influence d'excitants divers ou de m
de camphre et suivant la méthode déjà exposée (ergographe de Mosso, travail du médius), expose le résultat de ses recherche
oses, la fatigue se trouve accélérée ; quelle que soit la valeur du travail total, il se produit à la fin de l'expérience u
a fin de l'expérience une diminution considérable de la capacité du travail qui peut être inférieure à un dixième du travai
de la capacité du travail qui peut être inférieure à un dixième du travail normal ; l'action des bromures est rapide, elle
York llecaicul Journal, il Janvier 1902). z Les conclusions de ce travail peuvent se résumer de la manière suivante le no
ans les plaies pénétrantes par arme à feu sera étudié dans un autre travail . Mais si l'intervention doit être rare dans la
ire est capital ici et les auteurs se réservent d'y revenir dans un travail ultérieur. SOCIÉTÉS SAVANTES. 81 Sensibilité
rangers. Louvain, A. Uystpruyste, éditeur, 1903. Voici la liste des travaux renfermés dans le cinquième volume (1903). A
différents états d'aliénation men- tale. 11 ressort également du travail de M. Bichebois, mais il aurait pu le montrer a
qu'il nous donne, comme couronnement de ses études médi- cales, un travail à la fois très complet et très inédit sur les tro
r un nouvel historique. Je me bornerai adonner dans le cours de mon travail l'opinion des derniers auteurs qui me semblent
vrages traitant de l'épilepsie, depuis le livre de Portai jusqu'aux travaux les plus complets et les plus récents de MM. Fé
pur à celle de l'épilepsie franche. Morel, dont les remarquables travaux sur les dégénéres- cences font encore autorité,
ués qui offrent les troubles les plus graves. J'ai cherché, dans ce travail , les particularités en rapport avec le sens de
reviendrons sur ce cas dans les observations données à la fin de ce travail ). Celle qui viendrait en troisième lieu comme v
e générale conjugale observés dans notre pays2. Depuis, de nombreux travaux ont ajouté à ce premier con- tingent des faits
notre premier article nous avons essayé de montrer, en analysant un travail de Bernheim sur l'hystérie, que la Défini- tion
dentiques aux accidents hystériques. Lorsqu'on lit attentivement le travail de Babinski, on se rend compte que ces deux déf
n au sens éthymologique et précis que Babinski a développé dans son travail 1. Si le sujet tombe dans cet état d'inertie ap
rés de l'hypnose. Nous ne le suivrons pas dans sa revue de tous les travaux publiés depuis plus de vingt ans sur ces points
rd, se sont modifiées, et que les restrictions qu'il énonça dans un travail ancien le grand et le petit hypnotisme ne doive
tion de Babinski sur 1 Nous avons déjà développé cette idée dans un travail intitulé : Rela- tions qui existent entre la sy
maître nous prie d'af- firmer - et cette pensée ressort de tous ses travaux depuis dix ' ans - que si autrefois, conforméme
dans l'hypnose par suggestion et tout ce que nous avons dit dans ce travail des phénomènes hypnotiques peut être main- tenu
idérations cliniques, pathologiques et chimi- ques exposées dans ce travail , que l'on est autorisé à conclure que la diminu
log. Centralblatl , XXI, 1902). L'auteur fait quelques critiques au travail de Head : Certain mental changes thaï accompany
session; parM.-I. LAKH- TmE. (Obozi-énié psichiat1'ii, VI, 1901). Travail très intéressant à lire en entier. P. KERAVAL..
16 juillet 1902). - Les faits cliniques et les conclusions de ce travail ont été résumés par l'auteur de la manière suiv
ait là matière à une thèse ou à une monographie intéres- sante. Aux travaux cités nous ajouterons : Idiotie amauro- tique,
intoxication n'en est qu'à ses débuts, et que la nature même de ces travaux , leur extraordinaire difficulté, excusent la pauv
tiques, du miroir, etc., etc. De l'étude de ces observations et des travaux des auteurs, M. Trapieznikow tire que la théori
il 1902, p. 587, 595). D'après les statistiques analysées dans ce travail : 1° la paralysie générale représente à peu prè
ersion des sen- timents affectifs, colères violentes, inaptitude au travail , etc. Sou- mise à une éducation longtemps conti
ncte de l'important mémoire de Mor- selli représentant un excellent travail d'ensemble, sur un sujet fréquemment étudié, ma
ortants, observés dans le service pendant l'année 1902. Plusieurs travaux sont consacrés à faire connaître l'idiotie mon-
g. 3. - Sclérose atrophique. 184 BIBLIOGRAPHIE. golienne, que les travaux du Dr Bourneville ont puissamment con- tribué à
erdict de culpabilité. La cour a condamné à six ans 190 VARIA. de travaux forcés le meurtrier inconscient (Le Matin, 20 jan
édecin en chef. Interne. A l'Asile de Ville-Evra,,d. \ Le présent travail est le complément de deux mémoires déjà publiés
itent à l'appui les 4 observations' publiées par M. Ducosté dans un travail sur « Les songes d'attaque des épileptiques 1».
e, comme tant d'autres apportées dans les premières parties de ce travail , que le corps thyroïde, dont l'influence sur le d
us l'avions, du reste, démontré déjà, dans la première partie de ce travail . 2° classe. - Les épilepsies secondaires d'orig
mentale, vertiges, etc Je reviendrai, dans la dernière partie de ce travail , sur quelques points de pathogénie, à l'occasio
1111, Dolphine POPPÉE. (Joum. de Neurologie, 1903, n° 7.) Dans ce travail , l'auteur s'attache à démontrer l'importance de
dans un autre milieu. Quant à ceux qui, tout en étant capables d'un travail utile, sont agités ou violent*, l'asile est évi
évidemment leur place naturelle. Ceux qui sont incapables de tout travail utile mais demendentune surveillance permanente a
le est bien le lieu d'internement qui leur convient. Le reste des travail est consacré à l'examen des dispositions ad- mi
e le tableau exact, de la paralysie générale de l'adoles- cence. Ce travail est accompagné de huit observations. R. DE 111U
Belgique, par J. Crocq. (Journ. de neurologie, 1903, n° 1.) ' Ce travail , qui a été communiqué au Congrès de l'assistance
nce dans la production des suicides à l'asile, l'auteur termine son travail par quelques considérations sur les moyens et l
Janvier 1903.) 252 asiles d'aliénés. On ne peut qu'indiquer ce travail qui entre dans beaucoup de détails sur la maniè
ainsi qu'on pourra en juger en comparant ses résultats à ceux de ce travail : la fréquence chez les catatoniques (G3 fois s
200 francs plus les oeuvres de Baillarger, sera décerné au meilleur travail manuscrit, sur un point de pathologie mentale.
ques de l'incrédulité. Tel a été également le but poursuivi dans ce travail . « Le jury chargé de décerner les récompenses,
e vous renverrai, si vous désirez approfondir cette question, aux travaux de Charcot sur la paraplégie douloureuse, à la
es, Oberthur et Monsseaux. C'est en par- tie des résultats de leurs travaux dont j'ai à vous entretenir maintenant. Les c
e cancer des racines rachidien- nes. Vous connaissez tous les beaux travaux deCharcot sur la paraplégie douloureuse des can
être dissipées, on est autorisé à se demander, en se basant sur des travaux récents, si les lymphatiques ne suivent pas le
es cas sem- blables, l'action de la compression par l'instrument de travail (pinceau, brosse, etc.); mais plus tard il se r
jet a été suffisante pour lui permettre de reprendre assez vite son travail , fait à noter, car dans le type Aran-Duchenne l
pa1'athy- roides ont peut-être ici une importance plus grande. Des travaux de Moussu, de Vossale, de Gley, il semblé résul
nser qu'en cas de crises d'éclampsie, chez une femme enceinte ou en travail , surtout si le corps thy- roïde n'a pas subi so
en deux semaines. Le début avait été brusque, la malade était à son travail quand elle s'aperçut tout à coup qu'elle n'y vo
s est fort rare, les auteurs font en effet remarquer que, depuis le travail initial de Kussmaul, les observations publiées
(The Journal of Mental Science, juillet 1903.) Dans un précédent travail , l'auteur a démontré que, dans tous les cas de
sur l'anatomie pathologique de la maladie de Korsakow (d'après les travaux étrangers) et sur la pathogénie des symp- tômes
ns le tissu con- nectif qui entoure les reins. L'auteur termine son travail par l'observation d'un cas analogue qui lui a é
abord des voix qui l'insultent et cher- chent à le détourner de son travail , pour le malade ce sont'les mauvais esprits qui
ul Farez. Une primipare, arrivée au terme de sa gros- sesse, est en travail depuis trois heures du matin. A six heures du s
nsi que par les principaux Hôtels de Pau. Un programme détaillé des travaux et des excursions sera publié, à bref délai, et
nclut en disant que, dans les salles d'hommes d'un asile, il y a du travail pour des infirmiers et des infirmières, et qu'i
DE la tuberculose (The Journal of Mental Science, octobre 1903). Travail accompagné de plusieurs tableaux, et que l'auteur
traduit la forme la plus achevée de l'avalanche motrice. I Nos travaux ont porté sur différents ordres de recherches e
la connaissance de l'état mental d'un sujet. , Dans un précédent travail nous avons cru pouvoir déter- miner. « 1° Qu'il
anique, l'épuisement du muscle, comme il arrive par exemple dans le travail musculaire. Dans ce der- 3Î7 PHYSIOLOGIE PATHOL
tat de l'intensité des échanges organiques au niveau des muscles en travail . Dans l'acte sexuel, les phénomènes se passent
-GOLDAN (The New-l'o·l : Mental Journal, 3 janvier 1903.) bans ce travail , accompagné de deux observations, l'auteur s'at
ique (Bibliographie). Technique. S6 observations person- nelles. Le travail parait avoir été l'ait avec le plus grand soin, e
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 379 Les conclusions de ce travail sont les suivantes : i° Si les observations hém
uivantes : i° Si les observations hématologiques consignées dans ce travail sont exactes, elles démontrent pratiquement que
restaienttoujours nettement différenciés. J. S. LXXVI. Influence du travail intellectuel prolongé et de la fatigue mentale
és de la respiration sont généralement liées à des irrégularités du travail mental, soit dans sa rapidité du calcul, soit dan
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 3S y a des alternatives périodiques de travail et de repos. 3° Une des principales causes des
ule, est due au fait que le langage intérieur accompagne et aide le travail mental. 4° Les irrégularités de la respiration se
et. 5° La rapidité de l'inspiration est d'autant plus grande que le travail mental est plus intense et plus rapide, peut-êt
s profondes, mais plus brusques et rapides qu'à l'ordinaire. -7° Le travail mental du calcul est plus intense durant l'expi
intense durant l'expiration, si l'on fait exception des périodes de travail accomplies pendant quelques pauses. 8° L'expirati
ccomplies pendant quelques pauses. 8° L'expiration contemporaine du travail mental est à l'ordinaire allongée, non uniforme
cadée. z 9° L'allongement de l'expiration semble être l'indice d'un travail mental contemporain, tandis que d'autre part la
é des A. M. 11° La modification de l'expiration, contem- poraine au travail mental, peut aussi manquer; mais elle est un bo
pendant qu'une pause quelconque peut être associée à une période de travail mental, et être alors l'expression, soit d'un p
a respiration et l'intensité 390 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. du travail mental n'est pas toujours constant. 19° Spécialem
si bien que l'on peut dire d'une manière très générale que plus le travail men- tal est intense et absorbant, plus la resp
fréquence respiratoire aux variations d'intensité et de rapidité du travail mental est très sensible et très vive. 22° D'ordi
ravail mental est très sensible et très vive. 22° D'ordinaire, à un travail mental représenté par des phénomènes d'aperceptio
difficiles et les sensations d'engourdissement augmentaient par le travail . A part un peu de dyspepsie et de polyphagie av
te au point de vue médico-légal. Il s'agit d'un maçon employé aux travaux du tunnel du Credo, qui le 2 janvier 1902 avait
ux par M. Tissié en 1806. Il les reprend, car il pense que grâce au travail de P. Marie elles peuvent mieux être classifiée
ar M.-J. MOLAN, (fin - Journal of Mental Science. Avril 1903). Ce travail se compose de quatre observations intéressantes :
Journal of Mental Science, avril 1902.) , . Pour analyser ce long travail il faudrait presque le traduire : il est rempli
LEES. (rA6youn ! a< of Mental Science. Octobre 1902) . '. ' Ce travail est très intéressant, et les recherches sont cond
(Tlee Journal of Mental Science. Avril 1902.) Les conclusions de ce travail se résument ainsi : les malades homicides, que
et de l'Irlande. (7'he Journal of Mental Science. Juillet 190z.) Ce travail , très documenté, ne peut pas être analysé : il co
par C. HUBER Bond (The Journal of Mental Science, octobre 1902). Travail intéressant mais qui nécessiterait pour être conv
teur nous ont fait résumer longuement, souvent presque traduire, ce travail qui est on le voit, le procès complet de la toxém
ants délirants pris pour des aliénés ; par le D'' C. Rouge. De ce travail se dégagent les réflexions suivantes : 1° On de
'9 Serge SOUKHANOFret Pierre Jannouckiiinf. Les conclusions de ce travail sont les suivantes : Il La mélancolie, comme to
SIB13ALD (Tite Journal of Mental Science. Avril 1902). Le but de ce travail est de signaler l'insuffisance actuelle des moy
ons décrites par Schiefferdecker et Schuetze (Bonn) en 1903 dans un travail con- SOCIÉTÉS SAVANTES. 419 9 sacré à l'étude
à ses élucubrations ; elle se trouve ainsi condamnée à une sorte de travail forcé. Les ouvrages se succèdent, de plus en pl
r M. Henri Carrier, Un vol. 427 pages, Baillière, Paris, 1904. Le travail de M. Henri Carrier fait éloge à son auteur ; il
écrit sa technique et sa méthode d'examen, l'au- teur a' divisé son travail en trois parties. La première partie est une ét
delirium tremens. Cette étude fait l'objet de la deuxième partie du travail . C'est l'étude des altérations histologiques de
herches auxquelles M. Henri Carrier s'est livré, et qui font de son travail , non seulement une étude critique très document
la question, mais elle ne fait que débuter dans cette voie. - Le travail psychique du débile mental est supérieur à celui
e services, d'un exposé de ses titres, d'un résumé restreint de ses travaux , du dépôt de ses publications, 'ainsi que des p
ent à la suite désemparé, Isole dans la vie : il n'épiouve qu'une ' Travail fait dans le service de M. le Dr Sérieux. Archi
qu'éprouve l'intelli- gence dès qu'elle se trouve en présence d'un travail qui exige un certain effort intellectuel. M. N.
l'isolement n'a fait que croître depuis lors, que sa capacité de travail , l'intérêt qu'il prenait à tout ce qui l'entourai
s semblent les meilleures à cet égard. Je crois, d'ailleurs, que le travail peut être considéré chez eux comme un endigueme
délire de persécution et de jalousie joint d'ailleurs au dégoût de travail consti- tuait peut-être les symptômes avant-cou
atement les côtés pathologiques du délire. Il est bien aidé dans ce travail par le défaut de la mémoire. Il serait intére
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. à roue et soumis à un excès de travail , présentaient une dégéné- rescence des colonnes
ue, que reproduire ici les conclusions principales de cet important travail , après avoir toutefois indiqué d'après l'auteur
tinuité les unes avec les autres.Après avoir rappelé brièvement les travaux de Hill et de Held, l'auteur ajoute que ses obs
au niveau du réseau et de la cellule qu'il contient. Dans un autre travail l'auteur a fait remarquer que, tandis que dans
urs et chez l'homme. M. Kingsford rap- pelle ensuite et discute les travaux de Sir Williams Gowers, de '484 REVUE D'ANATOMI
The New-York Médical Journal, 25 octobre 1902.) L'auteur résume son travail dans les conclusions suivantes : « Pour nous to
: <r; ! tt<o/'Me) : <a< ? CHCc, oct. 1902). Intéressant travail accompagné de plusieurs observations détail- lé
st W. WU1T1 ? (Tice Journal of Mental Science. Avril 1903.) Dans ce travail l'auteur étudie avec sagacité les moyens les plus
veuse est particu- lièrement frappant, et ici l'auteur rappelle les travaux de Hodges et de Hamilton Wright. L'ensemble de
onisé ce qu'il appelait la nutrition substitutive; mais ce sont les travaux de Toulouse et Richet qui ont remis la méthode
M. DEVAY (Lyon médical, 15 et 22 février 1903.) M. Devay dans ce travail apporte de nouveaux faits en faveur de l'influe
au régime et à la dis- cipline, infailliblement liés avec la vie de travail . Dans beaucoup de cas de paranoïa chronique, le
e une observation, expliquée injustement. L.-S. MINOR trouve que le travail du rapporteur a plutôt con- firmé que refuté le
pensé le moins à réfuter les observations de BnA ; le cours de leur travail lui- t même les -a dirigés et les a poussés ver
autre côté, d'indiquer dans quelle direction peut être continué le travail productif ultérieur. Sur l'aphasie amnestique.
l sujet, l'hérédité. Après avoir rappelé en indiquant leur sens les travaux récents sur cette question et fait une large part
Weismann, l'auteur constate que, malgré une somme considé- rable de travail , les lois qui gouvernent les processus de l'héréd
(l'auteur emploie ce mot de diathèse vésanique dans le cours de son travail simplement pour la com- modité et la brièveté d
n, la recherche des lois intimes de l'hérédité. Les résul- tats des travaux de ce dernier quart de siècle surtout sont prao-
H Médical Association, tenu à Manchester. .luillet-aoùt 1902. Ces travaux parus en 1903 ont fait l'objet d'analyses publiée
en France. Mais cette passion, naturellement, faisait du tort à son travail et peu à peu ses pratiques l'abandonnèrent. Ell
s de Port-Royal, par Bi- net-Sanglé, 61 Respiration. Influence du travail intellectuel prolongé et de la fa- tigue ment
30 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
le en 1894. Aux professeurs viennent se joindre un groupe de chefs de travaux , de préparateurs et d'assistants zélés. Les div
ayant trait à l'histoire de la pénalité et de la criminologie. Les travaux originaux publiés par les professeurs et les élèv
ngrès de renseignement supérieur de Lyon, en 1894, etc La plupart des travaux de l'Institut sont présentés â la Société d'hypno
des étudiants qui se sont fait régulièrement incrire pour suivre les travaux de l'Institut psycho-physiologique, s'est élevée
naturel » ni de « diabolique ». M. le Secrétaire général analyse un travail de M. le docteur Milne Bramwel intitulé : Hypnoti
des idées de doute et d'anxiété. Il craignait de ne pas accomplir son travail consciencieusement et recommençait le même métrag
mesurer du fil, du ruban en lui assurant qu'ii s'acquitte bien de ce travail et qu'il fera de même pour ses étoffes. Il pa
de même pour ses étoffes. Il part satisfait et peut reprendre son travail . 11 est amélioré à tous les points de vue : c'est
amelon était saillant et il semblait à la malade qu'elle éprouvait un travail , une congestion dans les organes du petit bassin.
ins, et certainement il se faisait, du côté des glandes mammaires, un travail sympathique de la fonction utérine. Cela étant,
e sommeil normal l'avantage d'obtenir une suspension plus complète du travail mental. Il serait à ce point de vue doué de propr
raphique des fluides électrique, vital, psychique, où je résumais mes travaux commencés en 1893. Ce fait continuellement conf
ion de notre vitalité intime après une fatigue, par exemple; c'est le travail réparateur. FORCK COURBE. — ÉTHER subtil N" — F
sumées en quelques propositions substantielles, les conclusions de ce travail : 1° Si, faisant abstraction, pour un temps, de
rédaction de ce rapport. Voici quelles étaient les conclusions de ce travail magistral : ¦ 1" La suggestibilité est une prop
atives à l'hypnotisme. D'abord, M. le D' Tokarsky donna lecture d'itn travail ayant pour titre : De l'application de Vhypnntwne
hypnoli»me associé aux narcotiques et aux anesthêsiques. Ces divers travaux ont provoqué l'ouverture d'une longue discussion
ifique et à la courtoisie avec laquelle le P* Kojénikoff a dirigé les travaux de la section. Les réceptions organisées au Club
ants de Moscou ont rivalisé d'empressement et de cordialité. B. • TRAVAUX ORIGINAUX Le traitement psychothérapique de l'h
us continuons à l'hypnotiser une fois par semaine et lui suggérons un travail plus rapide et moins pénible. A la fin de mars (4
e continuellement la sensation de contractions sans douleurs, mais le travail avance fort peu. Ce qu'elle éprouve la surprend a
es vomissements ; et, de plus, il est intéressant de constater que le travail de l'accouchement a été considérablement accéléré
t de deux, trois et peut-être quatre semaines. Avant de terminer ce travail , deux remarques nous restent à faire. Premièrem
Leçons cliniques sur tes principaux phénomènes de l'hypnotisme), ses travaux s'étaient particulièrement concentrés sur la path
ommuniquait à l'Académie des Sciences et à la Société de Biologie ses travaux sur la photographie des effluves digitaux. La l
sieu. Les onychophages illustres. A la suite de la publication du travail du Dr Bérillon intitulé l'Ony-chophagie, sa fréqu
dans ses rapports avec le droit civil et le droit criminel. Séance et travaux de l'Académie des sciences morales et politiques
Cour d'assises du Var (France) a condamné ce misérable à 10 années de travaux forcés. IV. Autre affaire, en 1879, dans laquel
—, est très intelligent; il satisfait d'ordinaire ses maîtres par son travail et il occupe régulièrement l'une des premières pl
riques, mais il se trouve incapable de se livrer encore à ce genre de travail , car il ne peut plus faire usage du tire- lig
cer une ligne droite. De plus, !e programme de son école comporte des travaux manuels de menuiserie et de serrurerie ; notre je
outonnement, c'est à peine s'il mâche ses aliments, et il se remet au travail ^immédiatement après le repas; en outre, il absor
il n'a pas assez d'énergie pour fixer fermement son attention sur son travail ou pour refréner toute trémulation. On lui affirm
re est plus facile et plus prompte . il ne se fatigue plus au moindre travail ; il est capable de s'appliquer avec fruit à sa b
iques sont exacts et précis ; il a recouvré son ancienne habileté aux travaux manuels ; en outre, les hallucinations ont complè
r et de mastiquer avec soin tous ses aliments, de ne pas se mettre au travail immédiatement après ses repas ; on a com- bat
é d'une grande quantité d'électricité, il est capable de suffire à un travail considérable, mais tout travail devient impossibl
icité, il est capable de suffire à un travail considérable, mais tout travail devient impossible lorsque l'énergie potentielle
à celles d'autres observateurs. On connaît peu, sur le continent, les travaux anglais; je saisirai donc cette occasion pour ind
s, 1897. Le mouvement actuel est dû, à l'exception de mes propres travaux , à l'influence de Liébeault. Vint d'abord le D'
mènes, et de la valeur thérapeutique de l'hypnotisme. Les meilleurs travaux théoriques publiés en Angleterre le furent sous l
prouvait leur origine subjective. Peu de personnes connaissent les travaux do Braid en dehors de la Neurypnologie ; cependan
travaux do Braid en dehors de la Neurypnologie ; cependant ses autres travaux , dont j'en ai retrouvé 36, sont des plus importan
e, il évoque le souvenir des scènes auxquelles il a assisté ; un vrai travail intellectuel actif s'accomplit en lui ; ses idées
pouvoir préciser l'origine de nos idées. Qui de nous, à la suite d'un travail prolongé, sous l'influence d'excitants, n'ayant p
ésultats d'élucu-brations nocturnes pour mettre la dernière main à un travail pressé ? De là à confondre la genèse de certains
nt nous avons déjà parlé plus haut, et sur laquelle nous préparons un travail Spécial ('). Il n'est pas rare de voir ces diff
lité possible, car, il ne faut pas se faire illusion, malgré tous les travaux et toutes les discussions qui se sont multipliés
(Pitres, Grasset, Flechsig, etc.), nous ne voulons considérer dans ce travail que deux groupes bien différents. —A. Les aboulie
ossible de donner ici cette méthode en détail. Nous le ferons dans un travail ultérieur, plus complet, consacré à la môme quest
un butcrimincl et collaboré avec le D'SchreDk-Kotzing à un important travail sur le procès Czinski. Heidenhain Au moment d
né le 29 janvier i834àMarîenwerder, avait publié en 1880 les premiers travaux sur l'hypnotisme scientifique parus en'Allemagne.
de stimuler et de développer la faculté d'attention et d'aptitude au travail . Ces applications avaient été faites chez des élè
la pédagogie suggestive dans le domaine de la pratique. C'est par nos travaux personnels sur cette question, que l'orthopédie m
de où il avait déliré activement. 3° sensibilité réflexe Bien des travaux contemporains ont mis en relief les réflexes chez
é en affirmant la part qui revient à l'usage du miscros-cope dans les travaux de la médecine clinique. C'est à lui que nous d
es recherches, son enseignement et ses publications, à encourager les travaux de la Société d'hypnologic et de psychologie. J
r de rendre à sa mémoire la justice que lui méritent la valeur de ses travaux scientifiques et l'aménité de son caractère.
ures dans un fauteuil, et se trouvai1 ensuite frais et dispos pour le travail de la journée. Dans un des derniers numéros de
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Avis. — Cou
ra une conférence sur : La physiologie du neurone. — Applications des travaux de Branly à l'étude de la conductibilité nerveuse
apport avec le droit civil et le droit criminel {'}. (1) Séances et travaux de l'Académie des Sciences morales et politiques,
de la Tourettc et de Rochas. Je ne sais comment ces savants dont les travaux ont eu quelque retentissement, apprécieront des a
ormule incisive, tranchante comme l'acier, M. Hartenberg supprime les travaux de Braid, de Durand (de Gros), de Liébeault, de C
resta ainsi plusieurs années dans l'asile réclamant sa liberté et du travail sans donner de signes d'égarement. Le docteur fin
nner de signes d'égarement. Le docteur finit par lui signer un bon de travail et je l'occupai dans divers ateliers, en dernier
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. cours pra
cur qui, depuis deux ans, avait suspendu son activité, interrompu ses travaux . Il était né à Saumur, en 1825. C'est a l'Ecole
e chez les hystériques, l'attention était éveillée sur eux depuis les travaux de Gendrin, de Briquet, de Macario, de Beau, de L
nt et le travailleur acharne que fut Mesnet. E. B. La plupart des travaux de Mesnet relatifs au somnambulisme et à l'hypnot
des ateliers (sparterie, menuiserie, etc.,) où nous avons vu de beaux travaux effectués par les malades, complètent cet ensembl
M. le Dr Oscar Vogt (de Berlin) a déjà publié un certain nombre de travaux très substantiels parmi lesquels je liens à vous
4° Un autre article sur les représentations suggérées ; 5° Un long travail sur l'importance psychologique de l'hypnotisme ;
ue directe dans les états hypnotiques conscients. Ces cinq derniers travaux ont paru dans la Zeitschrift fur Hypnotismus. S
prochainement en lumière, pour les psychologues français, ce que ses travaux contiennent d'essentiel. Quoique relativement j
tique, le rapide ou vif, le violent et le modéré. L'acte traduit le travail cérébral. C'est par lui que ce dernier nous est d
st donc en étudiant la sensation et l'acte, qu'il faut reconnaître le travail cérébral. La chose n'est pas si simple qu'elle
vent d'importantes contributions dans leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. _ cours pra
vertige mental ». Ess.,2° éd., II, 8-41.} Peut-être, dans un prochain travail , aurai-je l'occasion de revenir sur ce point. (
outir sans doute un jour aux états-unis terrestres, a présenté un travail de concentration continuel. Au père de famille co
r. Encore est-il impossible d'asseoir une conviction sur les quelques travaux scientifiques, tels ceux de Crookes eldcGurney, M
ccès à l'étude des maladies nerveuses qui font le sujet principal des travaux de notre Société. Dans ces dernières années il
es travaux de notre Société. Dans ces dernières années il publia un travail important sur le somnambulisme provoqué. Ceux d'e
ortant sur le somnambulisme provoqué. Ceux d'entre nous qui ont lu ce travail ont pu se rendre compte de la prudence, de la sag
vec laquelle Mesnet poursuivait ses observations cliniques. Dans ce travail se révèle la science profonde que Mesnet possédai
ue Mesnet n'avait pas eu le loisir de rédiger complètement ce dernier travail . Espérons qu'une de ses dernières volontés aura é
nt. La Revue de l'Hypnotisme a publié une notice sur les principaux travaux de Mesnet *, mais c'est un pieux devoir pour nous
é de son caractère, la solidité de ses affections et la valeur de ses travaux justifient la grande douleur qu'ont ressenti ies
précédente est lu et adopté. La correspondance imprimée comprend un travail dépo^é par M. Béril-Ion. Ce travail a pour tilre
rrespondance imprimée comprend un travail dépo^é par M. Béril-Ion. Ce travail a pour tilre : L'hypnotisme et l'orthopédie menta
vent d'importantes contributions dans leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Institut ps
continua son modeste rôle de guérisseur. En 1881, M. Dumont, chef des travaux physiques de la Faculté de Médecine, eut l'idée d
ne guère qu'une amélioration passagère. A ce propos (bien que dans ce travail je m'applique uniquement à exposer un mode généra
nsi que l'on endort la volonté, que l'on supprime l'attention dans le travail cérébral, qu'on substitue la rêverie au raisonnem
Qu'il ne faut s'affliger de cette affliction. Mais, grand Dieu, mon travail est vain ; Il faut un esprit plus qu'humain Pour
cot et ses élèves, par l'ignorance où l'on était encore, à Paris, des travaux de Durand (de Gros), publiées en 1855 et 1800, et
t, Binet, Courtier, Vicior Henry et Vas- chide. La plupart de ces travaux reposent sur de minutieuses recherches de laborat
mographe, on a mesuré aux diverses heures de la journée les effets du travail musculaire, du iravail intellectuel et de la vie
enfance, — l'étude des facteurs généraux qui interviennent pendant un travail continu soit physique, soit intellectuel, à savoi
angers; la troisième partie csl une table bibliographique de tous les travaux qui ont paru dans les diverses Revues d'Europe et
vues d'Europe et d'Amérique. Un tel ouvrage représente une somme de travail considérable; il montre combien est grande la vit
alement utile à ceux qui ne sont guère au courant des méthodes et des travaux récents de psychologie expérimentale. Il contient
laire, binoculaire). On y lira aussi avec intérêt le résumé de divers travaux entrepris par des savants comme Cattell, Sanford,
e contention, etc., en usage chez les aliénés ; leurs œuvres (écrits, travaux manuels) ; les photographies des malades ; des cr
e domaine des sciences pures et appliquées et de contribuer par leurs travaux a. la gloire de ta patrie et au bien de l'humanit
vent d'importantes contributions dans leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. OUVRAGES RE
Dans le numéro de novembre 1897, M. le profr Bernheim critique mon travail et prétend rectifier mes assertions afin de place
tion. Je me propose de donner, à la fin de cet article, une liste des travaux sur lesquels je m'appuie ; mais comme ceux-ci ne
notique » {Brain, 1896) dont je lui ai adressé un exemplaire. Dans ce travail , je montre que la doctrine de Nancy sur l'automat
le montant de ses cotisations. M. Aug.Voisin offre à la Société un travail imprimé ayant pour titre : Traitement de quelques
rit, sur diverses questions relatives au système nerveux, de nombreux travaux appréciés, vient d'entreprendre la publication d'
publier eu extrait sous le titre de a Neuropathologic viscérale ». Co travail comporte six chapitres dont les cinq premiers son
ics différentiels deviennent faciles dès que l'on prend pour guide le travail de M. Levillain. Mais ce livre n'est pas de ceux
. Paul Richcr, professeur à l'Ecole des Beaux-Arts, est l'auteur d'un travail considérable sur la grande hystérie et le grand h
in de la Salpètrière. Nous rappellerons dans notre prochain numeróles travaux scientifiques de ce maître éminent. M. Auguste Vo
ques de ce maître éminent. M. Auguste Voisin laisse en hypnologie des travaux considérables, et sa perte sera péniblement resse
vent d'importantes contributions dans leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. OUVRAGES RE
31 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
t homme perdit, coup sur coup, plusieurs parents, et se trouva sans travail ; il eut, en outre, d'autres soucis en même temp
ement systématique des fibres dans les territoires radiculaires. Ce travail m'a permis de préciser sur certains points les no
usieurs données, aujourd'hui classiques, qui sont erronées. ' (1) Travail des service et laboratoire de M. le Dr Babinski e
ses dimensions dans le tabes incipiens où il est respecté. Dans les travaux récents, il s'est établi entre ce faisceau et le
rritoire de chaque racine dans la moelle ; pour cette partie de mon travail , l'observation II me fournira des documents préci
ires n'ont pas eu le temps de se produire dans l'observation I.dece travail ; 2° qu'il n'existe, suivant toute vraisemblanc
erine et Theohari ont confirmé les faits énoncés par Hoche. Dans un travail fait en collaboration avec mon excellent ami Ch.
centre ovale deFlechsig, nous avons déjà, Ettlinger et moi, dans le travail cité plus haut, insisté sur la distinction radi
amps postéro-externes à la région cervicale. HOSPICE DE 131CTRE TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. LE Dr PIERRE MARIE ANATOMI
rdons latéraux : c'est une sclé- rose combinée tabétique. , ' Les travaux de ces dernières années ont permis de prévoir cli
ans la sémiologie des affections de la voie motrice pyramidale. Les travaux de Brissaud, de Babinski, ont attribué aux mouv
S QUELQUES AFFECTIONS SPASMODIQUES DE LA VOIE' PYRAMIDALE. I. Les travaux de Babinski, van Gehuchten, etc, ont démontré que
euse a duré trois ans, avec des rémissions permettant la reprise du travail ; le malade se fatiguait toujours très vite ; mai
relever lorsqu'il était resté quelque temps assis et courbé sur son travail . -- En 1900, le malade a eu des hémoptysies abo
esse à la ceinture ». Les premiers jours de décembre il reprend son travail et peut le continuer sans incident. Cette sci
3 cas de spondylose ankylosante que je publie ici comme suite à mon travail sur la Spondylose rhumatismale (in Archives génér
ger, puis cultivateur, puis mar- chand de volailles de Bresse. Le travail pour plumer les volailles se fait dans un local f
thropathies se sont développées, exposi- tion au froid, à la pluie, travail dans un local traversé par un courant d'air (ob
, parait dépendre du facteur profession, celle-ci ayant comporté le travail , la fatigue dans une attitude penchée du tronc
qu'elle était surtout d'origine blennorragique. Or dans mon premier travail sur les 17 cas de spondylose, il n'y en avait q
seudo-névratgique, comme j'en ai cité des exemples dans mon premier travail (10 cas). Après cette période plus ou moins lon
aux et les fixant comme dans une gangue (j'en ai reproduit dans mon travail un spécimen d'après une pièce du Musée Dupuytre
4 : Cyphose d'origine articulaire ou musculaire. (Voy. ci-dessus le travail en question. DÉFORMATIONS RACHIDIENNES 99 y a
ns dans nos recherches, nous n'avons pas pu trouver d'indication de travaux publiés sur la question, à l'exception de celui
a question, à l'exception de celui de Mlle Stéfanovska (1). Mais ce travail a assez de rapports avec le point particulier que
microscopique ont été entièrement faits par M. le Dr Taty, chef des travaux de médecine mentale à la Faculté, qui a bien voul
publient un cas de méningite diffuse qu'ils rattachent non plus au travail inflammatoire propagé par contiguïté, mais à la r
RIE PSYCHOLOGIQUE SUR LE TRAITEMENT DES ALIÉNÉS PAR LES MÉTHODES DU TRAVAIL PAR le D' Marco Levi BIANCHINI, Vice-Directeu
u nombre total des psychoses) laissent à l'organisme la capacité au travail qui est en rapport avec la vali- dité de la nut
né au mouvement et à la pensée, ce qu'on ne peut obtenir que par le travail physique et la sug- gestion mentale. La loi b
Les mécanismes qu'elle emploie sont au nombre de deux l'idée et le travail . Ceux-ci tout en apparaissant extrêmement divers,
eux dire 140 BIANCHINI la thérapeutique des psychoses au moyen du travail musculaire et de la suggestion mentale. Qu'on m
e sa plus précise indication; mais elle ne doit pas être séparée du travail physique qui s'y joint comme sédatif et comme a
de toute chose. On peut très bien fournir à ces derniers malades un travail simple et systématisé : en les distrayant de leur
ue la moitié des aliénés peuvent être traités, avec les méthodes du travail . - . II. - Les femmes travailleuses surpassent
a femme non seulement est plus soumise que l'homme, mais encore les travaux féminins sont bien plus simples et plus mécaniq
laver en même temps, et nous ne pouvons pas l'appliquer à d'autres travaux qu'à ceux du ménage qui,- dans un asile bien orga
nage d'une famille. Nous allons maintenant examiner plus de près le travail appliqué aux différentes psychopathies (tab. II
constitue l'issue définitive. L'on peut soigner au contraire par le travail ces cas de psychose alcoolique qui se manifeste
ement par des impulsions ». Tandis que dans les premières formes le travail n'est pas possible, on réussit très bien à l'appl
démence catatonique est notablement plus rare, mais inaccessible au travail , puisque le plus absolu négativisme musculaire en
l'es- sence morbide. Chez les déments paranoïdes au contraire, le travail est appliqué avec succès et dans un pourcentage
ceptions déli- rantes et par leur intermédiaire les diriger vers le travail . J'ajoute encore qu'en dehors des périodes init
ersécutés et les persécuteurs processifs ne peuvent être réduits au travail , soit à cause de la prépondérance du délire, so
mmes. Les formes périodiques sont plus facilement traitables par le travail que les formes circulaires ; celles à type expa
aussi bien que certains alcooliques peuvent être admis au genre de travail qu'ils accomplissaient anciennement, parce que
es asiles d'Italie ; elle est largement traitée par les méthodes de travail . Cela constitue un résul- tat vraiment remarqua
reux que dans le Nord : nous les adaptons facilement à une série de travaux légers et faciles. Plusieurs aliénistes ont de
r fait croire contraire à tout précepte de technique manicomiale le travail des épileptiques. C'est une erreur. Avant tout,
ce exagérée, ne peut s'opposer à ce qu'ils soient employés à divers travaux . Mais nous ajouterons encore que le travail distr
oient employés à divers travaux. Mais nous ajouterons encore que le travail distrait l'épileptique, qu'il évite la promiscu
re de tous les vices et de toutes les convulsions. Naturellement le travail ne doit être ni lourd, ni fait avec des instrumen
nt la première indiquée, ne peut agir effi- cacement qu'à l'aide du travail . Les 83 0/0 de nos hystériques travaillent. (1)
ons qui déterminent la cons- cience du devoir et de la nécessité du travail . Certains d'entre eux, mena- cés d'une réclusio
perdue. Les Pltrénasténiques au contraire, sont très adaptables au travail : notre statistique en donne les 78 0/0 avec un
es tail- leuses, des couturières. Les idiots sont réfractaires au travail . La cellule nerveuse qui a subi une lésion peut
ils se trouvent en « état de démence ». Après ces données sur le travail appliqué aux diverses formes de psy- choses, no
des facteurs climatiques, géologiques et d'ambiance, la méthode du travail à une directe et prépondérante relation avec la
hiffre de la mortalité. 1 Quoi qu'il' soit, il est certain que le travail détermine l'optimum de l'é- quilibre dans les f
te doit envisager comme postulat fondamental que : L'application du travail physique aux aliénés a pour seule et immédiate
ens coercitifs, le bien-être somatique des aliénés chroniques. Le travail doit être appliqué avec des méthodes rationnelles
rogressivement si possible, avec douceur, jamais avec violence : le travail ne sera jamais pénible : le repos et la nourritur
. Jamais l'aliéniste ne doit se retenir autorisé à « exploiter » le travail des fous : s'il en tire quelqu'avantage économiqu
n de l'asile et de la province. Mais précisément à cause de celà le travail doit être appliqué avec les seuls critères cura
qu'à 325 en 1903 ; il l'a pu en bâtissant les édifices avec le seul travail des fous. Dans cet espace de temps, à l'exception
e vaste échelle, lasomme qui a été épargnée par la province avec le travail des fous et qui est représentée par les bâtimen
és par les autres travailleurs. Nous voulons encore observer que le travail des fous appliqués au ter- rain cultivable s'un
sont basées sur une loi élémentaire de la psychologie humaine. Tout travail musculaire et intellectuel doit être dirigé vers
le. Il doit être provoqué par l'aliéniste grâce à la rééducation au travail {ergothérapie) ou grcïce à la suggestion mental
ie végétative {alimentation, digestion) existent inaltérées ; et le travail physique est possible grâce à l'intégrité des m
ulaires et de leur innervation. ' Le traitement des aliénés avec le travail physique a pour seule et immé- ERGOTHÉRAPIE ET
; il serait provoqué par tout effort un peu violent, surtout par le travail , quel qu'il soit; alors, « le point de côté monte
est acquise pour toujours... » « Il n'en est pas moins vrai que le travail pathologique peut durer plus longtemps encore e
; on ne peut nier toutefois que l'organisme n'ait été le siège d'uu travail de réaction contre cette hypothyroïdie, travail
t été le siège d'uu travail de réaction contre cette hypothyroïdie, travail qui a abouti en partie puis- que la croissance
l'incompatibilité de la glycosurie et du myxoe- dème (1). (1) Ce travail était imprimé quand j'ai eu connaissance des inté
ES HEMIPLÉGIQUES (Loeper et Cromjm). Masson & CI', Éditeurs TRAVAIL DE LA CLINIQUE MÉDICALE DE L'HOTEL-DIEU SERVICE
es pendant une durée suffisante. M. Dide en a réuni 45 cas dans son travail fondamental : « Le pseudo-eedéme catatonique , pa
Mon collègue E. Tonrrenc qui depuis le mois de jan- vier prépare un travail sur la menstruation chez les aliénées veut bien m
on représente un type assez complet d'une affection qui, malgré des travaux récents, ne peut encore être considérée comme b
, nous réclamons pour elle la valeur d'un fait clinique peu commun. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE 111. LE PROFESSEUR DEJERINE H
PAR ANDRÉ THOMAS ET GEORGES HAUSER. \ . I. Introduction. Les travaux sur le tabes s'accumulent, les procédés d'examen
ur les racines ou dans le ganglion rachidien- ? . Dans un précédent travail (1), nous avons cherché à élucider cette questi
un grand nombre de recherches personnelles et passant en revue les travaux anté- rieurs, nous n'avons pu nous faire qu'une
otre avis, la question était loin d'être tranchée. Au cours de ce travail qui avait pour principal objet les lésions radi-
ut de vérifier les résultats obtenus par Nageotte dans une série de travaux antérieurs, résultats qui avaient amené cet aut
aussi dense, aussi compact qu'à l'état normal. Dans notre premier travail nous écrivions : « quant aux cellules ganglion-
res radiculaires, ce point ayant été suffisamment développé dans un travail antérieur. Il est cepen- dant deux faits que`no
s : l'enchevêtrement des fibres ner- veuses et des cellules rend ce travail en quelque sorte impossible : toute- fois pour
ription, on peut distinguer, comme nous l'avons fait au début de ce travail , une zone circonférentielle et une zone médiane
laquelle nous nous gardons de répondre d'une façon catégorique, ce travail ayant pour but un exposé de faits et non l'édi-
à l'intérieur desquelles on voit un fin piqueté de boules noires. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. GILBERT BALLET (hôtel-dieu
es est permanent. A Echternach, il n'y a guère que trois jours de « travail » : la veille, le jour même et un peu le lendem
exer à cette documentation imagée les observations cliniques et les travaux anatomo-pathologiques correspondants. Sous cett
les premières années. Qu'on en juge par la simple énuméra- lion des travaux signés de son nom : En 1888, L'élude et la marc
e la Salpêtrière. On y trouve, condensés en trois volumes, tous les travaux qui, sous l'impulsion de Charcot, ont été entre
de Maladie de Gilles de la Tourette. Cette brève énumération des travaux de Gilles de la Tourelle est loin d'être complè
nues, ou que son diagnostic exige un examen plus approfondi des (1) Travail présenté au 2° Congrès Latino-Américain célébré à
scles interosseux. Nous avons reproduit cette observation après les travaux de MM. Klippel et Durante (1), de M. Londe (2),
hérédo-ataxie cérébelleuse qu'il s'agit, ainsi que l'a déjà montré le travail de M. Switalski. (6) P. LONDE, ZOC. Cit. UN
e de l'arrondissement de Kazan. Nous avons acquis dans le régime du travail un critérium nouveau et précieux pour juger des
ion survenue dans l'état du malade. Dans les asiles où le régime du travail est appliqué dans une large mesure et où par cons
ic. Mais il est incontes- table que sous ce rapport-ci le régime du travail prendra une importance pratique encore plus con
est de présenter une tentative d'analyse psychologique de quelques travaux d'aliénés, voire des broderies dues à la main de
la main de femmes ' malades. Tout aliéniste praticien sait que le travail des aliénés à l'exception de quelques ouvrages
ection les ouvrages des malades constitue justement le but de notre travail . Voici les matériaux dont nous disposons : 1° u
ns le cas.donné être unifiées par l'idée dominante du but. Dans son travail ultérieur, la malade cède complètement à une marc
épuisement dont elle était affectée au moment de son internement. TRAVAUX MANUELS DES ALIENES 315 Pendant sa maladie la
LS DES ALIENES 315 Pendant sa maladie la patiente s'adonna peu au travail ; elle cousait cepen- dant, elle brodait, elle
plus rapide. Dans la période d'incohérence la malade fil t quelques travaux dont nous reproduisons ici un exemplaire (fig. 3)
ilité complets, etc. Il est facile de prévoir que la productibilitédu travail d'un pareil malade sera nulle ou presque telle.
reste tranquille en conservant ainsi ses forces physiques que jus- TRAVAUX MANUELS DES ALIÉNÉS 317 7 qu'à ce qu'il ait éve
lade est en état de concen- trer tant soit peu son attention sur le travail , les productions de celui-ci don- nent générale
ne série de points, en se laissant distraire à tout instant de leur travail ; elles passent d'un endroit du cane- vas à l'a
ous font voir comment l'incapacité complète de se concentrer sur le travail , de créer quelque chose de fini, de déterminé, ne
confient leur âme pour la première fois. L'expérience du régime du travail introduit dans les cliniques psychiatriques per
es paranoïques deviennent parfois d'excellents ouvriers oubliant au travail et leur grandeur royale et les sévices que leurs
rigent contre eux. Mais il arrive que la maladie reprend ses droits TRAVAUX MANUEL DES ALIÉNÉS 319 et que les motifs délira
ant trouvé une application pratique, la malade se livre au cours du travail à son idée dominante ; elle oublie le des- sin
t une matière précieuse et géné- reuse à l'application du régime du travail et d'une discipline médicale sensée dans les hô
rière assez assidue. Jusqu'au dernier temps elle venait à bout d'un travail aussi peu compliqué que le raccommo- dage du li
semblent ni à des étoiles ni à des croix. Ces propriétés rendent le TRAVAUX MANUELS DES ALIÉNÉS 321 dessin indiqué très car
les tant soit peu compliqués est au-dessus de ses moyens. Seuls les travaux les plus simples et grossiers dont le succès dé
ne). 17° Année N° 5 Septembre-Octobre UNIVERSITÉ DE MONTPELLIER TRAVAIL DE LA CLINIQUE MÉDICALE DE M, LE PROFESSEUR GRASS
régiment manu militari et malgré lui. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND UN C
lcification dans le système nerveux central ; c'est surtout dans le travail cle lIubricli (7) ') que nous trouvons la premi
généres- cence sans aucun ordre. Pourtant un très petit nombre de travaux ont été faits avec examen histologique sur ce s
(1) L'observation clinique de ces malades a été publiée dans notre travail : Cécité et Tabes. Étude clinique, 1904. Nouv
par- ses encore assez nombreuses. HOSPICE DE LA SALI'L'1'ItIZRG TRAVAIL DU LABORATOIRE DU Pr DEJERINE. HISTOLOGIE PATHO
our une métrorrhagie. Depuis elle resta toujours moins vaillante au travail , elle marchait lentement et avec plus de peine. E
es vasculaires et des tissus ambiants, des phénomènes isché- (1) Ce travail était en cours d'impression lorsque 112111. Raymo
uccession de phrases logiquement unies les unes aux autres. Tout ce travail intellectuel est tra- (1) Leçons recueillies pa
jourd'hui bien armés pour une telle entreprise, grâce aux nombreux travaux que le problème de l'aphasie a suscités au cours
nsiste beaucoup et que je dicte : « Monsieur (1) Indépendamment des travaux de Marcé, Max Simon, Emile Garnier, A. 111athieu,
mile Garnier, A. 111athieu, etc. consulter plus particulièrement le travail intéressant d'un graphologue distingué, le Dr E
comprend dans une certaine mesure, car si la copie dispense de lout travail d'idéation, elle n'en comporte pas moins une séri
n comporte pas moins une série d'opérations mentales nécessitant un travail d'attention et de mémoire qui peuvent être très
ion ap- parente du reste de la musculature, de telle sorte que tout travail devient impossible. Réaction électrique myotoni
veau des orteils. Chez les deux malades qui font l'objet du présent travail , existait depuis longtemps un pseudo-oedème man
e à laquelle jusque-là il s'était montré soumis. Il abandonnait son travail pour des motifs futiles,restait souvent inactif
résentée par M. Henry Meige). Cette étude clinique fait partie d'un travail d'ensemble sur la « Dégénérescence chez l'animal
animal, et plus spécialement du cheval. Nous n'envisageons, dans ce travail , que l'étude clinique de ces stigmates, et nous
es quatre livres du physicien Porta sur la physionomie humaine, les travaux de Cuvier, de Camper, le traité de physiognomon
Séglas et Féré (2), Schwalbe (3). Il semble résulter toutefois des travaux les plus récents (Séglas et Féré, A. Lévy et F.
et la grande variété des mouvements. Une sudation excessive pour un travail insignifiant, l'habi- tude de se coucher souven
our- d'hui encore, octogénaire, après un demi-siècle d'études et de travail . La première période de son art se relie à l'ép
exposition des primitifs français (2 pl.), par J. Genévrier, 405. Travaux manuels des aliénés (Une tenta- tive d'analyse
g.), 376. ToponKOFI ? Une tentative d'analyse psy- chologique des travaux manuels des alié- nés (5 figures), 311. Treps
32 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
masticateur pour siège, nous ne ferons que résumer brièvement les travaux qui ont été publiés pendant ces dernières année
evoir rentrer dans le cadre DE L'OBSESSION DENTAIRE. ' 3 de notre travail . Que ces malades soient des arthri- tiques ou n
tournant ainsi, sous des formes plus élémentaires, en général comme travail mécani- que, au sein du monde extérieur ». Vo
ère, du mésocéphale et du cerveau. Ajoutons que, depuis les récents travaux de Steiner, elles expliquent l'évolution de la
et l'intelligence, « expression sub- jective de l'une des phases du travail d'acquisition et d'organisation des êtres vivan
semble suspendue et même anéantie, la' cénesthésie persiste, et le travail de l'idéa- tion délirante, sans se traduire au
sument tous dans un seul, l'affaiblissement pro- gressif. Mais le travail le plus profond, et d'une très gran- de portée
diées dans ces derniers temps. Après,Séglas, dont il cite les beaux travaux sur les hallucinations verbales (motrices', Tam
tre senties emportées dans les airs sur le manche d'un balai. Les travaux des physiologistes et des cliniciens ita- liens
ey. - Etude expérimentale sur l'élat du pouls carotidien pendant le travail intellectuel Paris, 1881. Cf. De l'influence du t
pendant le travail intellectuel Paris, 1881. Cf. De l'influence du travail t' ? tHe(;- tuel sur la température générale. C
rature et l'augmenta- tion des déchets chimiques qui accompagent le travail cérébral. Ainsi, il faut admettre, concluait A.
c'était pour lui l'évidence même, que « la sensation, la pensée, le travail d'esprit n'ont point d'équivalent mécanique, c'
e tra- vail psychique doit être, autant que possible, assimilé au travail musculaire; l'équation est la même pour le musc
évaluer, avait écrit Lavoisier, ce qu'il y a de mécanique dans le travail du philosophe qui réfléchit, de l'homme de lett
lettres qui écrit, du musicien qui compose. Ces ef- ci. Richet ? Le travail psychique et la force chimique. Rev. sciee2tif.,
la force chimique. Rev. sciee2tif., 1886, XII, 788. La pensée et le travail chimique, XII, 83. Cf. La physio- logie et la m
n général, qui peut être consciente ou incons- ciente '. La pensée, travail intellectuel, a certainement été confondue par
tologie de Pavie, à Golgi lui-même, pour avoir son sentiment sur ce travail . Voici, sans commentaire, la lettre par laquell
en 1883, nous trouvons l'existence de ce syndroma affirmée dans un travail de MM. Charcot et Richer, sous le titre c Sur u
son traité « Ueber statische Reflex- kmmpf6 », et Henoch, dans son travail «.Hystérie des enfants 7 », Romei, dans une obs
fut là l'objet d'un mémoire de PaulBlocql, qui, en 1888, publia un travail d'ensemble où ce syndrome fut nettement différe
mes « astasie- abasie « que nous trouverons mentionnés les derniers travaux . Depuis, Blocq est revenu à plusieurs reprises
sous forme d'accès3 et le professeur Binswanger vient de publier un travail très remarquable sur ce syndrome, sous le titre
IV. - Après un exposé de onze observations, M. Blocq dit dans son travail ' : « Le début est assez brusque, dans la plu-
s races; c'est ce que Souza Leite a voulu du moins établir dans son travail 3. La tare héréditaire est un des éléments étio
cétanilide sur l'homme sain et sur l'animal. Voici le résumé de son travail et de celui de ses collaborateurs. Chez l'hom
orme l'oxyhémoglobine en methemoglobine, ainsi que cela résulte des travaux de M. Aubert. Le sang artériel des animaux soum
ce, Octobre 1888.) L'auteur résume lui-même très sommairement son travail dans les considérations qui suivent : - Dans
itation, ou de tentatives d'évasion. Dans la dernière partie de son travail , il étudie la folie puerpé- rale ; mais ici enc
longtemps s'étaient abstenues des plaisirs sexuels. La partie de ce travail que l'auteur consacre ri la psychologie physiol
et juillet 1888.) . Nous ne pouvons qu'indiquer ici cet important travail qui repose sur deux cent cinquante-huit observa
liénés dits criminels. M. CHARLII donne lecture de l'analyse d'un travail de M. Mégalhès Lémos. De la mélancolie (suite
certaines lacunes dans l'onde mens- truelle et intermenstruelle. Ce travail est intégralement publié dans I*Allgc711. Zeils
la base dans le chiasma Les décrire plus à fond serait répéter les travaux de Bellonci. Tous les vertébrés possèdent une s
s inaperçus jusqu'alors de la pathologie mentale. En 1843, parut le travail sur la stupidité. On croyait alors que cet état
e que, s'il ne l'a pas découverte, c'est lui qui l'a décrite. Les travaux de M. Baillarger sur cette dernière affection son
mémoires dont six réalisèrent cinq grandes découvertes. En tête, le travail de 1860 sur la relation qui existe entre le délir
s'étonner, avec lui, qu'il soit resté si longtemps méconnu. Puis le travail de 1860, où le savant aliéniste publia les prem
s les contrées atteintes par l'endémie. Mais après avoir indiqué le travail sur la fréquence du goitre dans les deux sexes et
ls de l'exécution pour laquelle l'auteur a dû dépenser une somme de travail extraordinaire. Son anatomie ne comprend pas mo
enter. 150 BIBLIOGRAPHIE. Croit-on, pa"r exemple, qu'un semblable travail ne soit pas utile au médecin, et le livre de M.
13ACx KurE. (TlteJow ¡¡al o f dlenlal Science, juillet 1888.) Ce travail porte sur la répartition des aliénés et des idiot
Richard GRi : ENE. (The Journal of Mental Science, juillet 1888.) Travail intéressant dans lequel l'auteur étudie les dispo
peux jamais en venir à bout. C'est plus fatigant que mon véritable travail . » Enfin, il y a encore à tenir compte de ce fa
re autres, mais certainement moins nombreux que les premiers. Les travaux de BROCA, ont contribué à enrayer les recherche
relative à cette bandelette et à laquelle il fait allusion dans son travail des « Archives », je ne puis dire si c'est la m
ologistes italiens sur la température des centres nerveux durant le travail psychique. Dans sa réponse à A. Gautier, Ch. Ri
de la production de chaleur, un phénomène inverse accompagnait le travail positif du muscle : la chaleur diminuait. Des e
amique, c'est-à-dire accompagnée d'effets mécaniques extérieurs, de travail utile ou positif. Béclard en tirait dès lors ce
u'il n'y a que la partie de la force musculaire non .utilisée comme travail mécanique qui apparaisse sous forme de chaleur.
que produit. La chaleur musculaire n'est que compté. mentaire du travail mécanique utile produit par la 1 J. Béclard. De
tile produit par la 1 J. Béclard. De lu chaleur produite pendant le travail de la con- traction musculaire. C. R. de l'Acad
chimiques qui s'accomplissent dans les muscles a pour équivalent le travail effectué par ce mouvement; le reste seul appara
masquait presque, le phénomène d'absorption de chaleur résultant du travail positif du muscle se trouvait sans doute de val
arquer Ch. Richet : le muscle s'échauffe, donc il ne produit pas de travail . Or on sait déjà que, dans la « phase dynamique
phase dynamique » de la con- traction musculaire, dans la phase du travail positif, le muscle se refroidit. Le postulat d'
ur et Herzen, ont aussi accusé un léger refroidissement au début du travail positif du muscle*. « En 1883, écrivait Herzen,
. Mais, on le voit, il est précédé par un déficit, dû sans doute au travail mécanique considérable. » Chez le chien, l'abai
nditions, on peut observer nn abaissement bien réel au début d'un travail positif. » Seulement l'exercice provoque bien-
idissement du muscle actif. Réponse à Chauveau sur l'équivalence du travail physio- logique. Ibid. 1888, p. 188. 224 PHYS
ent de soulève- ' Laborde. Modifications de la température liées au travail muscu- laire. L'échauffement primitif du muscle
liées au travail muscu- laire. L'échauffement primitif du muscle en travail est indépendant de la circulation. C. Il. de la
de la contrac- tion tétanique des muscles, représente la phase du travail utile, la phase dynamique, comme s'exprime Labo
pas autrement que pour le muscle actif, en d'autres termes, que le travail cèrébral, psy- chique, ne détermine pas seuleme
mais manifeste bien, au début de cette activité, dans la phase de travail , un refroidissement apprécidble, ainsi que le p
attention aux variations successives de la température durant le travail cérébral, on constatait l'existence de vérita-
siège l'écorce cérébrale " elle-même et pour condition immédiate le travail fonc- tionnel qui s'y effectue. Ces variations
dement, à la manière d'une suite d'explosions ner- veuses. Que le travail positif du cerveau repose, comme celui du muscl
veloppée pour sa formation (Berthelot). « Si nous admettons qu'à ce travail de dissociation succède immédiatement le retour
ements à des processus d'intégration. L'hypo- thermie représente le travail positif du cerveau, la mise en liberté de l'éne
s des physiologistes sur les oscillations ther- miques du muscle en travail : le refroidissement du cerveau, pendant la pha
cle en travail : le refroidissement du cerveau, pendant la phase de travail positif, corres- pond à l'oscillation négative
un point de vue plus général encore, le fait qu'à la production du travail fonctionnel correspond un re- froidissement du
nous paraissent nécessaires à cet égard '. 'Dans une critique des travaux de Corso et de Tanzi, présentée par Dorta. {Etu
e'. » Cette étude capitale de Tanzi avait été précédée d'un autre travail , de Tanzi et Musso, sur les varia- tions thermi
auteurs avaient noté que la température de la tête augmente avec le travail cérébral (travail intellectuel, émotions, mouve
té que la température de la tête augmente avec le travail cérébral ( travail intellectuel, émotions, mouvements volontaires)
r, tristesse, etc. De tous les états subjectifs qui accompagnent le travail cérébral, les émotions, nous l'avons dit, sont
par l'éveil successif ou simultané de leurs représentations. Or, le travail nerveux de ces régions de l'écorce s'accompagne
ans cette hypothèse, s'il se développe, dans les lobes frontaux, un travail plus intense que dans les autres parties du cer
fonctionnelles dn cerveau, telle qu'elle résulte de l'ensemble des travaux italiens, est de nature essentiellement éclecti
étermine, au début de cette activité, dans la phase dynamique ou de travail positif, un refroidis- sement appréciable de la
. XII. Ces variations successives de la température du cerveau en travail constituent de véritables oscilla- tions thermi
gration et de réintégration fonc- tionnelle des centres nerveux. Le travail cérébral est une forme de l'énergie. L'intellig
d l'oreille du même côté que la lésion était bouchée. Mais dans ses travaux avec Sanger-Brown, il réussit il lever tous les
nd faire une rectification à la citation que Ziehen a donnée de son travail . Il conclut que : les contractions musculai- re
inférieures de l'hypoglosse. P. K. XIV. Rectification relative au TRAVAIL PUBLIÉ dans LE T. V. DES Archiv. fùi- Psychiatr
r ajoute qu'en 1871, dans les archives de Virchow, il a pu- blié un travail sur l'oreille bestiale de Darwin (Darwinischcs Sp
lacune, d'un arrêt de for- mation. On comparera avec fruit ces deux travaux à la communi- cation de Schwalbe au XI Vo congr
cer. Dans ce discours, le président sortant rappelle les principaux travaux de la Société et indique quel a été son rôle au
oTT et V.-A. Mouratoff. Moscou 1890. Br. in-80, 47 pages. Dans ce travail , les auteurs publient deux cas présentant une p
culier sur le tremblement, l'état du coeur, des urines, etc..... Le travail dans son ensemble constitue toutefois une excel
par Richard GREENE. (In Journal of Mental Science, juillet 1888.) Travail intéressant dans lequel l'auteur étudie les dispo
ment; il est économique; enfin il décharge l'asile d'un surcroît de travail , et lui permet de mieux remplir son rôle qui es
de Sainte-Gemmes (Maine- et-Loire, est compris dans la 2° classe. Travaux A l'asile clinique (Sainte-Anne). -Dans sa séance
rédits suivants pour dépenses hospitalières : 1° 79,266 francs pour travaux à exécuter en 1891 à l'asile Sainte-Anne (créatio
tement authentique. Il serait intéressant de rechercher dans les travaux modernes sur l'intoxication par la morphine, et d
té examinée parM. le docteur Charcot. Tout à coup, il abandonne son travail , sort de'sa maison et marche à travers les rues
e des circonvo- lutions du cerveau (1840) sont classiques; c'est un travail auquel les auteurs modernes ont certainement aj
res d'arrêt et de leur action psycho-pathogène. La multiplicité des travaux de Baillarger nous oblige à nous montrer plus c
omination, c'est parce que l'observation qui sert de fondement au travail de cet auteur est absolument typique. C'est en
plutôt le rapport de M. Milliard est antérieur de quelques mois au travail de Gubler', mais il faut reconnaître que Gubler
ainsi dire les nombreux exemples qu'il donne dans le cours de son travail , M. Mesnet pouvait dire en par- lant du sujet d
délire de la phase passionnelle de l'attaque hystérique. Depuis les travaux de M. Mesnet, M. Pitres (de Bordeaux) avait éga
de voir, ainsi que nous l'avons fait remarquer dans le cours de ce travail , des phéno- mènes analogues se manifester dans
dans l'hystérie et dans l'hypnotisme. Nous avons constaté, dans un travail 1 antérieur, l'influence des impressions sensor
ailleurs publiée avec une série d'autres, par l'un de nous, dans un travail en préparation sur le délire hystérique, d'aprè
s devant vous peuvent contribuer à leur solution; s'ils excitent le travail des autres dans le but d'arriver à des conclusi
ardet. M. le Dr Desnos, qui vient de publier un long et intéressant travail sur ce sujet, considère ces doses comme étant p
e à ne pas impressionner trop vivement l'organisme. De leur premier travail , MM. Dujardin-Beaumetz et Bardet tirent la conc
i incom- berait en outre la mission de désigner, toujours selon les travaux de ces fonctionnaires, l'avancement par classes
délire de persé- cution, M. Dagonet, dans une seconde partie de son travail , passe successivement en revue les formes que p
e ancienne que le malade retrouve dans sa mémoire, par suite d'un travail rétrospectif qui est le résultat d'une rumination
Dr Febvré sont tout aussi concluantes à cet égard. Enfin, dans des travaux antérieurs à la discussion du point en litige,
fournit aucun fait ni aucun argument nouveau. La conclusion de son travail estqu'il ne faut dire : « ni jamais, ni toujour
du sens musi- cal chez les idiots. Une conséquence pratique de ce travail sur laquelle ne manque pas d'insister l'auteur,
affaele HOSCLOLI. (Il manicomio, 1589, n° 1.) Voici le résumé de ce travail : les asymétries d'intensité mini- mum, et dépe
sité, calculables, celles dont il a été tenu compte surtout dans ce travail se rencontrent avec une certaine fréquence non se
rocessus pathologique quelconque. M. MOURaTOFF (de Moscou) a lu son travail a sur la pathogénie des atrophies musculaires d
ulaire de l'individu malade. M. le professeur KojEWMhon'- a lu un travail sur la paralysie alcoolique fondé sur de nombre
érie d'auteurs. Cependant, malgré le nombre assez considé- rable de travaux consacrés à l'étude de ces formes, leurs limites
e la physiologie du cerveau. M. Greidenberg (Simpheropol) a lu un travail « sur le type 7-écui,- rent dans la marche des
iqué en démontrant qu'il est la conclusion logique et naturelle des travaux antérieurs et qu'il est analogue aux signes ind
ce traité, une place plus grande, surtout d'après les plus récents travaux sur les polio- encéphalomyéliles. La deuxième
, par le Dr ZIaHEN. Iéna, 1891. Le Dr Ziehen, connu par plusieurs travaux de psychiatrie, publie 470 bibliographie. en
ogrès médical, Paris, 1890.) La préface dont M. Charcot a honoré ce travail en exprime mieux l'idée générale que ne pourrai
ar exemple. Mais, en considérant que ce volume constitue le premier travail d'ensemble qu'on ait produit sur cette question
s de l'Eure par une condamna- tion capitale et une condamnation aux travaux forcés, mériterait d'attirer l'attention des mé
ons à la prison ont achevé sa démoralisation. Quant au condamné aux travaux forcés, Vatinel, vingt-cinq ans, il a déjà subi
33 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hasard une tumé- faction de l'un des testicules. Un des derniers travaux importants sur ces manifes- tations ourliennes
mment (1884) que P.-J. Môbius a appelé sur elle l'attention dans un travail où se trouvent rapportés un cas qu'il a étudié
autres observations analogues de v. Hasner et de Saundby; depuis ce travail , d'autres observations ont été publiées par Tho
écidives et surtout à la périodicité de 1 Depuis la rédaction de ce travail nous avons trouvé dans la Semaine Médicale sous
possible de la déterminer d'une façon rigoureuse. En intitulant ce travail : « Névralgie et paralysie oculaire à retour pé
ui accompagne d'ordinaire le syndrome clinique des para- 1 Voy. les travaux de Pitres, Issartier et, eu particulier, un cas d
dalités les moins fré- quentes de ce syndrome. Citons à ce sujet un travail de MM. Charcot et Magnan, paru dans les Archive
du coma diabétique. Nous indi- querons au préalable les principaux travaux qui méritent d'être plus spécialement consultés
rale terminée par le coma : ils ne sauraient l'expliquer. Dans un travail récent, Abeles a signalé chez trois diabé- tiqu
e ? Sur les 32 observations réunies par J. Cyr dans son intéressant travail , 112 seulement ont trait à des femmes, Frerichs
que nous échappe encore, les conditions qui paraissent favoriser ce travail chimique, ou du moins l'action nocive du poison
rance, Angleterre». STATISTIQUE REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 91 travail , la rémunération qu'on leur alloue est le huitièm
G. -H. Swage. (Journal of Mental Science. Juillet 1883.) Dans ce travail , auquel de brèves considérations sur les états
sur la tombe de ce membre regretté. M. Christian rend compte des travaux du congrès de médecine mentale tenu récemment à
des prix de journée plus faibles, une utilisation mieux entendue du travail . A Altscherbitz, la colonie n'est pas éloignée de
ffectives , l'intelligence n'est pas amoindrie, et l'impuissance de travail et d'exécution psychique tient à un léger état
es professeurs. il s'agit de limiter le plus possible les heures de travail , d'exempter une partie des élèves de cet âge de
vre entreprise par la Société, l'orateur a fixé l'ordre du jour des travaux du Congrès. Deux questions importantes, dont la
ecteur général des établissements d'aliénés de la Belgique, a lu un travail sur la Colonisation des aliénés. En Belgique, c
GIR.1UU, médecin de l'asile de Quatre- Mares, a donné lecture d'un travail deM. Foville (de Paris) sur le droit de requête
ragilité des os chez les paralytiques généraux. Le titre même de ce travail nous montre que l'orateur ne partage pas l'opin
a folie est absolument incontestable. S'appuyant aussi bien sur les travaux de ces auteurs que sur un grand nombre de dossi
er. » C'est qu'en effet l'érudition tient la première place dans ce travail ; les matériaax y sont accumulés avec un grand
uctions pour le vivant, l'une étendue, l'autre réduite. A côté du travail d'érudition pure, il y a aussi dans le livre de
cles, fait créer une salle d'étude, où les aliénés, non occupés aux travaux manuels, peuvent tout à l'aise se livrer à un t
occupés aux travaux manuels, peuvent tout à l'aise se livrer à un travail intellectuel quelconque et où il est fait des lec
it mal, dit-il, en le retenant. Lesjours suivants, B... reprend son travail de cultivateur, mais il n'a pas son entrain hab
es de symptômes subjectifs bien connus pour être en rapport avec un travail irritatif profond; par DE L'ALIÉNATION MENTALE.
ui met fin à ces lésions, c'est que cet abcès est la terminaison du travail pathologique qui tenait en même temps sous sa d
ogéniques entre les lésions et l'alié- nation mentale, la nature du travail qui tient cette der- nière sous sa dépendance s
nière sous sa dépendance se trouve, elle aussi, démon- trée ; ce travail est de nature inflammatoire. La nature de ce tr
n- trée ; ce travail est de nature inflammatoire. La nature de ce travail nous étant connue, la moda- lité qu'a revêtue c
ions dans la paralysie générale, de dire que, chez notre malade, le travail inflammatoire a porté en même temps sur les mén
hériques nous rend parfaitement compte de l'évolution qu'a suivi le travail cérébral. D'abord plus généralisé, ainsi que l'
phalite qui a évolué vers la guérison. La nature inflammatoire du travail pathologique qui tenait sous sa dépendance les
ces troubles. Ce n'est qu'une fois la nature inflamma- toire de ce travail démontrée, que nous avons invo- qué la physiono
xistence d'une méningo-encépha- lite. C'est qu'en effet, depuis les travaux de M. Bail- larger ', il ne suffit plus, pour q
isant pour nous permettre de rejeter dans ce cas l'existence d'un travail inflammatoire, comme paraissent le penser certa
e veux seulement mettre en relief l'analogie ou mieux l'identité du travail inflam- matoire périphérique qui ne me paraît d
r notre confrère anglais et parce fait que, dans cette dernière, ce travail semble avoir son siège principal au niveau de l
ce siège est au niveau de la fosse temporale. Dans les deux cas, ce travail n'atteint que secondairement l'appareil auditif
pareil auditif, ainsi que le prouve la conservation de l'ouïe. Ce travail , disons-nous, n'atteint que secondairement l'ap
novembre 1881 par Charcot, pourraient servir d'épigraphe au présent travail . Dans l'étude analytique que l'école contempora
eux et de constituer ainsi quelques types cliniques nouveaux. Ce travail ne peut qu'être utile s'il est fait avec pru- d
i synthétisent en quelque sorte d'avance les conclusions de notre travail , étaient nécessaires pour justifier notre entre-
la moelle. DU TABES COMBINÉ. 159 I. HISTORIQUE ' C'est dans les travaux de Friedreich sur l'ataxie héréditaire que nous
éditaire appartiennent, en réalité, au tabes com- biné. C'est à ces travaux que sont empruntées les ob- servations 11" 1, 9
ervations 11" 1, 9-, 15, 18 et 19 de nos tableaux. En 1867, dans un travail consacré à l'étude de la moelle dans la paralys
ore nécessaires pour éclaircir complètement ce sujet. De nouveaux travaux de Yestphal' commençaient à paraître, beaucoup
scute, les rapproche des autres faits déjà connus, etc. C'est là un travail capital dans l'his- toire de la maladie que nou
er consacrée à l'élude de la maladie de Friedreich. Dans ce dernier travail ,' l'auteur, alors mon interne à l'Hôpital génér
166 PATHOLOGIE NERVEUSE. Nous devons signaler alors le remarquable travail de Ballet et Minor ', sur lequel nous aurons à
e nous essayons de le faire) en un seul faisceau. C'est du reste un travail beaucoup plus ana- tomopaihotogique que cliniqu
émange 2 (in- téressants à rapprocher à certains points de vue du travail de Ballet et Minor) sur les scléroses d'origine
A cet historique appartient au contraire de plein droit le récent travail deDéjerine ', qui contient deux observations no
: Damaschino : Soc. médio. des hop., IS82; Notice sur les titres et travaux scie ? itif., 1884, p, 26; Encéphale, 1884. 168
que. Presque tous les mémoires cités dans notre Historique sont des travaux d'ana- tomie pathologique. Par suite les antécé
nt' et dont l'observation a été précisément l'occasion du présent travail . 23 septembre 1885, M. G..., âgé de quarante-ne
t qu'il est absolument impossible d'en traiter complètement dans un travail destiné à être lu dans une séance ordinaire de
que j'ai observé, je veux faire quelques remarques sur le but de ce travail et indiquer brièvement les parties du sujet que
tie du cerveau, y compris les couches optiques. Depuis, l'important travail du D' Starr, qui donne le résumé de tous les ca
s je ne la fais pas entrer dans ma statistique. J'ai entrepris ce travail , afin d'éviter toute espèce d'erreur, de pouvoir
au centre cortical de la vision dans un hémisphère. L'objet de ce travail est d'étudier les cas suivis d'autopsie, d'hémi
tion, je passe aux considérations cliniques et pathologiques de mon travail , qui s'appuient sur quarante observations avec
877, p. 251. 41, 1877. Jastrowitz. Cas rapporté brièvement dans son travail in llirschberg's Centrnlbl. f. pruet. Avgezzlze
d'autres moments, la conversation de A et B ne trouble pas le petit travail de la malade, à l'occasion de cette perturbation
attitudes doivent refléter l'état du centre nerveux. Dans le court travail qui nous occupe, l'auteur examine à ce point de v
'honneur de Bacchus, trouvée sur un vase grec et reproduite dans le travail de sir William Hamilton, le Caïn du palais Pitt
ce, avril et'mai 1884.) Comme l'indique le Litre de cet important travail , le savant pro- fesseur de Lausanne s'est propo
instinctif, réflexe, automatique, mé- « canique. Mais, en dépit du travail de plus en plus intense, forcé, « étourdissant,
de malades, a encore été peu étudiée. Je dois cepen- dant citer le travail du Dr Krauss, dans l'Allgemeiner Zeitchrift sur
in . ET A l'état malade ; par J. Donath (Arch. f. Psych., XV, 3). Travail fait à la clinique des maladies nerveuses de la C
oient plus imprégnés d'hérédité que les autres aliénés. Il cite les travaux de MM. Billod etLasègue qui ont cherché à établir
toutrapportfait jus- qu'àprésentdéfaut. Ce n'est que dansles grands travaux historiques ou dans les narrations de même ordr
iennent, lisent, fument. Quelques femmes cousent, ou font de petits travaux sem- blables. A des moments déterminés, tous le
es se- 281 SOCIÉTÉS SAVANTES. maines plus tard, nouveau dégoût du travail , sorte de folie systé- matique hallucinatoire a
de son entendement, participant aux exercices communs ainsi qu'aux travaux de la maison. A d'autres moments, il se conduira
me des psy- choses correspond aux causes qui les ont produites ! Le travail d'llartmauu le reconnaît, quand il indique que
x fut Pasteur ». Les savants qui prirent la part la plus active aux travaux de la section de Psychiatrie et iyezii-optitholog
ation mentale organisée. ' D. Poetz. L'importance des colonies de travail agricole pour le traitement des maladies mental
sa division de la paralysie générale en trois groupes. Ce serait un travail bien utile que d'établir par des examens métho-
n calculer aisément la durée. 314 SOCIÉTÉS SAVANTES. la vie. Ce travail est encore sur le chantier. Jusqu'ici il a consta
gnent de l'hyperexeitabilité des centres moteurs; leur puissance de travail est plus grande, puisqu'ils entrent plus facile
uvement qu'ils produisent dure plus longtemps, et leur puissance de travail tient à l'existence de phénomènes d'arrêt empêc
t que comme le tableau d'une maladie spino- bulbaire. Sur ce, les travaux du congrès sont dédales clos. On se sépare aprè
'acquisition des domaines et du mobilier et 50,000 (62,500 fr.).aux travaux du service des eaux. Rarthaus Pricll près Regen
, rétablissement a étendu son territoire pour pouvoir développer le travail agricole. Zwiefalten. Série de transformations
ommes travaillent à la colonie, 18 sont des infirmes. Le produit du travail de ces malheureux a atteint 3,100 marks. (3,8-,
re de nombreux cas d'érysipèle souvent graves. On a pu oc- cuper au travail agricole 139 hommes. Le capital de la fondation
servir à fonder un prix biennal, destiné à récompenser le meilleur travail envoyé sur un sujet concernant l'anthropologie.
titué par le roi de Belgique, sera attribué en 1889 n au meilleur travail sur les progrès de l'électricité comme moteur, mo
euvent être faites n. S'adresser au ministère de l'industrie et des travaux publics à Bruxelles pour tous les renseignement
e la personnalité, action i des médicaments à distance. D'après les travaux de i\111. Bnunnu ut Bunor. Broclmre in-8 de 81
daient les caractères. De même , dans le fait étudié au cours de ce travail , nous avons vu la névrite dite dégénérative se
, elles seraient les manifestations simultanées d'un seul et même travail pathologique qui parfois envahit une grande éte
de ces affections à la hauteur actuelle, et M. Hcigyes a fait un travail remarquable sur la localisation des mouve- ment
t. S'il y a des centres d'inhibition, leur action exige un double travail du système nerveux, de même si 366 PATHOLOGIE N
. Au contraire, le mou- vement le plus faible exigera le plus grand travail du système nerveux, puisqu'il faudra que l'inhi
upprime presque entièrement l'action, tandis que pour le maximum du travail il suffira de la moitié de cette force. Mais si
relative de l'action et de l'inhibition détermine la gran- deur du travail , l'inhibition demande une dissipation des force
peut les expliquer plus simplement. Je ne peux pas m'occuper ici du travail entier, je veux me borner aux expériences qui o
èse, il dit seulement dans ses leçons que, pendant la léthargie, le travail de l'écorce est éteint : « le cerveau est endor
pas expressément indiqué, soit que ces cas fus- sent antérieurs au travail de Westphal sur la valeur de ce signe dans le t
e se livrer à sa profession, avait épuisé toutes les ressources. Le travail à l'aiguille ne suffi- sait pas toujours à les
chez lesquels on ne remarque rien d'anormal. Il a fait des excès de travail dans sa jeunesse et se livrait à la boisson. Jama
Newth. (The Journal o/'meatut SCiel2ee, Octobre 4 884) . ' Dans ce travail , l'auteur plaide la cause de l'électricité dans l
e pouvons reproduire ici que les conclusions de ce très intéressant travail : « La conclusion générale que l'on parait pouv
(B.). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 429 » faits rapportés dans ce travail , c'est que les états anormaux « de l'utérus son
adoption lui parait avantageuse. Après avoir examiné la question du travail des aliénés, travail qui doit être approprié à
vantageuse. Après avoir examiné la question du travail des aliénés, travail qui doit être approprié à leurs aptitudes physi
oints suivants : fiches d'admission, listes des malades qui vont au travail (avec indication de ceux qui ont des tendances
de bains. En somme, les directeurs d'asiles peuvent trouver dans ce travail , à côté de conseils généralement déjà suivis, que
lle montre une tendance bien nette à s'étendre. - En terminant ce travail très intéressant et très digne d'une lecture at
e Journal of Mental Science, avril 1884.) L'auteur rapporte dans ce travail l'observation de deux jumelles qui présentent u
ants, dit l'auteur. A continuer. La note de Joeckel est relative au travail d'Adam (Annales rnédico- psychol., juill. 1881)
x de l'électricité est « propre à provoquer le sommeil. » Dans ce travail , M. de Watteville n'a fait aucune allusion à la
clinique médicale (Lyozz 7nétl., 1884, t. XLYII.) Il ressort de ce travail , basé seulement sur trois observations, que le
tout cas les quelques observations détaillées qu'on trouve dans ce travail ne font que venir à l'appui des conclusions de M.
. Babinski, ancien interne des hôpitaux de Paris, prépara- teur des travaux pratiques à la Faculté. (Thèse, 1885.) La thèse
. L'auteur s'est proposé exclusivement dans ce 456 BIBLIOGRAPHIE. travail d'apporter de nouveaux documents pour l'histoire
tance, pour ainsi.dire inerte, qui ne peut opposer de résistance au travail destructif exeicé sur elle par les cellules lym
sances actuelles, relate douze observations qui sont la base de son travail ; six d'entre elles sont inédites et cinq sont p
34 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nos yeux l'évidence de l'une et de l'autre. En ce moment, pour un travail , délaissé depuis trente ans, et que nous nous n
ce mécanisme, la lésion, évidemment, à cause de l'inces- sance du travail mental, aura pour signe la généralité et la per
ifiée, s'empourpre ou se rembrunit, sous l'influence apparente d'un travail de concentration intérieure, qui, parfois aussi
ur le moment cette particularité dont j'essaierai, dans un prochain travail , de fournir l'in- terprétation anatomo-physiolo
successifs l'impressionnent vive- ment ; son sommeil se trouble, le travail lui paraît plus pénible et plus fatigant, et se
aye de s'occuper de la classe; mais les idées sont moins nettes, le travail plus pénible et la fatigue arrive plus vite. Le
s que nous avons observé, il nous semble utile de rappeler deux des travaux les plus im- portants, faits dans ces derniers
pas déjeuné et avait seulement bu son vin, il était retourné a5 son travail à midi et demi jusqu'à deux heures et demie, ma
, a partir de la, on l'a perdu de vue; on le croyait retourné à son travail . A quatre heures, heure de la rentrée dans le ser
81. Il s'agit ici moins d'une revue que d'une analyse, celle d'un travail paru il y a déjà plus d'un an. Peut-ùtrela trouve
us avons demandés à l'anatomie et à la pathologie. Bien que dans le travail , dont nous donnons ici l'analyse, nous nous soy
et fort bien traitée par notre ami 1,,tfForutie, dont l'intéressant travail a puissamment contribué à faire dé- finitivemen
r les précieuses indications que nous trouvions dans les importants travaux de l'éminent professeur de Vienne. Deux mots d'
ur le terrain ex- périmental. Les cas nombreux réunis, depuis ces travaux , par divers ob- DU FAISCEAU SENSITIF. 79 serv
partie postérieure de la capsule. Depuis la publication de notre travail , M. Dérignac a com- muniqué à la Société anatom
ie, n° 2, janvier-février 1881.) Après avoir rappelé les principaux travaux publiés sur ce sujet et appelé l'attention sur
respondant du côté opposé qui n'a pas été irrité. A la fin de son travail , l'auteur développe ses idées sur les fonctions
tère qui devient sombre, morose, timide, un dégoût prononcé pour le travail , une indifférence qui va jusqu'à l'apathie com-
re de rente de trois cents francs destiné à récompenser le meilleur travail présenté à un concours dont les conditions sero
uverte, incapable d'attention et d'application, il était rebelle au travail et ne montrait d'aptitude que pour les exercices
de donner des congés hors de l'asile aux criminels psychopathes. Ce travail concerne à la fois les aliénés criminels qui, v
on d'une personne responsable chargée du libéré sont suffisants. Au travail , et notam- ment à celui de l'agriculture qui a
l'agriculture qui a déjà produit de bons effets, il faut joindre le travail social par des mi·es en liberté provisoires acc
érébrale chez tel ou tel individu. L'auteur rappelle à ce propos le travail de M. Stenger, celui-ci recommandant non de pra
Freihof. Les résultats objectifs apportés par l'auteur en faveur du travail en liberté des malades émanent d'une obser- vat
soins ressortissant à une commune organisation du traitement et du travail , le fusionnement dégrevant le budget. 3° On par
arce qu'on ne peut compter que sur une fraction des aliénés pour le travail et que le re- 136 SOCIÉTÉS SAVANTES. crutemen
ne le croit généralement; de plus, ils fournissent en somme peu de travail . Il est impossible d'apprécier même approximative
se en nombres ou en fractions, en prenant pour unité la capacité de travail des gens bien portants. 11" L'avenir de la colo
onsulté au sujet d'une des malades de NI. Hagen (observation III du travail : les maladies des reins comme cause de psychos
des négations seule est devenue d'ob- servation vulgaire depuis les travaux de M. Baillarger. C'est dans les Fragments psyc
et on fait encore des expériences phy- siques et métaphysiques. Ce travail n'était pas connu d'elle avant 1827. Voilà une
tion les persécutés chroniques. J'ai indiqué, au commencement de ce travail , l'oppo- sition et la résistante systématiques
délire est arrivé au degré que j'ai indiqué au commencement de ce travail , ou peut dire que le délire des négations est'
aladies sexuelles sur la folie. Enfin, Boyé 3, se fondant sur les travaux des autres et sur ses propres observa- tions, a
des recherches, j'ai fait les miennes,' comme' dans. mon précédent travail , d'après le plan qui consiste prendre chez chac
est de cent cinquante-cinq. En y ajoutant les quarante-cinq de mon travail antérieur (loc. cit.), les résultats actuels de
t dans le rôle important des organes affectés. ' En terminant mon travail , je remercie M. le pro- fesseur Charcot et M. M
roites limites, nous nous conformons d'ailleurs au titre donné à ce travail , car, en pathologie mentale, les mots folie ave
nous, employons les mots conscience et folie avec conscience. Ce travail ne sera ni une oeuvre, d'érudition, ni une oeuv
héorie. Je n'ai pas plus la prétention de retracer l'historique des travaux publiés jusqu'à ce jour sur la folie avec consc
grès accomplis à notre époque en psy- chologie, je sais combien les travaux de l'école alle- mande et de l'école anglaise o
rçoivent qu'ils n'ont plus les mêmes aptitudes ni la même ardeur au travail . Ils rapprochent ces modifications psychiques d
là relativement rares, qui sont plus particulièrement l'objet de ce travail , seront étudiés bientôt dans tous leurs détails
une nouvelle preuve. Observation II. Hérédité congeslive. Cxcis de travail . Paralysie générale progressant sans rémission
à l'asile de Toulouse en mai 1879. Hérédité con- gestive, excès de travail , telles sont les causes de la maladie. A. l'adm
ntelligence, il est facile de comprendre son rôle. Au début de ce travail , j'ai eu soin de spécifier que le mot conscience
au lieu d'un cal exubérant, on constate l'absence complète de tout travail de consolidation. La forme anatomique de cette
nent d'être passés en revue, dont on retrouve deux exemples dans ce travail . Longtemps réputée incurable, la maladie de Mén
ensuite l'histoire de l'bystéro-éyilepsie, en mettant à profit les travaux de MM. Charcot, Bourneville et lticller ; .son
neville et lticller ; .son but, il le dit lui- même au début de son travail , a été de donner à ses confrères des Etats-Unis
des conceptions irrésistibles, en exagéranil'arrt de l'ensemble du travail cérébral, augmente à ce point les tensions centra
ne Etude des altérations du sang dans le Délire aigu; Régis pour un travail sur l'Eliolorlie de quelques formes de la Paral
c'est à cause du nombre des concurrents, de l'importance de leurs travaux et pour ne pas décourager les candidats qui se pr
à l'organisa- tion de ces établissements, et, pour faciliter votre travail , nous avons formulé sous forme interrogative qu
propose de résoudre les questions suivantes qui faciliteront votre travail . Première question. A quelle catégorie d'aliéné
leur bonheur. L'asile de Dullunda, près Calcutta, est un modèle de travail ; on y tresse, tisse, martelle, pile, moud ; qu
spèce une lésion généralisée. M. Richter (de Pankow) communique son travail sur la Produc- tiotz des conceptions délirantes
journal publié par la Société dont il ust l'organe. Aussi, tous les travaux dont on ne trou- vera pas l'analyse à l'article
générale. Le reste de la séance est consacré à la discussion sur le travail de M. Pohl, lu à la séance du 12 janvier. Séa
tzers. · M. Fritsch, secrétaire, produit son rapport annuel sur les travaux de la Société pendant l'année 1580-81. Les six
s Annales de la Société, qui ont en outre ouvert leurs colonnes aux travaux suivants, pendant l'année qui vient de s'écoule
vérification des comptes. La séance est terminée par la lecture du travail de M. le pro- fesseur Meynert intitulé : Des se
satisfaites. M. Hu- chard n'a négligé aucune des ressources que les travaux ré- cemment parus aussi bien à l'étranger qu'en
dications bibliogra- phiques. En même temps qu'un hommage rendu aux travaux du passé, c'est toujours une lâche ingrate dont
particulièrement refondue. On y trouvera analysés les plus récents travaux de l'École de la Salpêtrière sur les grandes et
l'absinthisme chronique; par L. Gautier. Thèse de Paris, 1882. Le travail de M. Gautier est basé sur de nombreuses observat
R. GaunH : , 1882. Thèse de Bordeaux, 1882. 0. Doin, éditeur. Ce travail , fait sous la direction de M. le professeur Pitre
spécial pour l'asile-hospice de Villejuif. On nous a assuré que les travaux de cet asile étaient actuellement poussés avec
t mieux le re- connaître les exemples s'en multiplient. Depuis le travail de Ménière, après les expériences de Flourens e
et de ses successeurs, les leçons de M. le professeur Charcot, les travaux des élèves de la Salpê- trière, ont beaucoup fa
s mortels et si nets ne sont point de ceux que j'ai montrés dans ce travail . En général nos malades, à part les accidents d
noncer des autopsies, des descriptions de pièces et j'ai dit que ce travail est abso- . Jument clinique. On sait au reste c
ployé, à l'étude des cas de vertige de Ménière, que je cite dans ce travail , deux nouveaux procédés d'investigation, au moy
e et laborieuse,' n'a fait d'autres excès, dit-on, que des excès de travail . Il restait chaque jour à son bureau jusqu'à de
une améliora- tion très notable. M™ G... est calme, s'occupe à des travaux d'aiguille, cause volontiers ; mais elle est to
laiîcolie anxieuse (4 ? in. méd.-psy,ch., 1880). liq 'Je termine ce travail par un tableau synoptique ré- sumalit·'le paral
sodomie, effleure à peine la question de folie, et, à la fin de son travail , après avoir montré le peu de valeur des excuse
peine, non point qu'il fût dénué d'intelligence, mais parce que le travail le fati- guait promptement. Depuis huit ans sur
oduisirent pen- dant le jour; alors qu'il était le plus appliqué au travail , et qu'il espérait y trouver une diversion salu
hent de ceux déjà connus; c'est surtout quand il est plongé dans un travail absorbant, la tête dans les mains, méditant pro
t-ils très appréciés. En même temps qu'il a une grande puissance de travail , il a une imagi- nation très exaltée ; il resse
écrire, mais il a été peu appliqué et toujours irrégulier dans son travail et sa conduite. A quinze ans, il aperçoit flott
ous conduit à une conclusion intéressante et nou- velle. Dans mon travail sur « les vaisseaux de la moelle épinière chez
èrent pas de ceux de la rétinite albuminu- riquc. Leber', dans le travail déjà cité, a pu réunir dix-neuf obser- vations,
crit par Kussmaul ; il n'a guère été étudié en France que depuis le travail de r1111. Bourneville et Teintu- rier C'est un
ire de M. Adamkiewicz); par H. DuRET, chirurgien des hôpitaux. Le travail remarquable et digne d'intérêt de \1. Adamkiewicz
ns devoir re- produire en entier : « Enfin il nous faut signaler un travail méritant de Duret sur la circulation des centre
édical, 23 novembre 1873, n" 24)., Il est encore fait mention de ce travail , avec l'indication bibliogra- phique exacte dan
suffisante, nous aurions mauvaise grâce à ne pas reconnaître que le travail de l'auteur allemand ren- erme plusieurs détail
Ainsi que nous avons pris soin de le faire remarquer déjà, dans nos travaux , cette disposition des artères médianes répond
fidélité. En résumé, d'après cette étude critique : alité de notre travail publié il y a dix ans reste intacte : deux branch
arisation de la moelle épinière. Une dernière coïncidence entre les travaux des deux auteurs frappera encore l'esprit des l
teurs. M. Adamkiewicz, comme déduction pathologique à la fin de son travail , établit que les lésions de l'ataxie locomotric
ne; par Cn. Féré. (Revue d'an- thropologie, 2° série, t. II.) Les travaux de M. Féré ont contribué pour une part consi- d
ur est plus au courant des recherches publiées en Allemagne que des travaux français. Il ne cite pas et ne parait pas conna
faisceaux de fibres ? Voici le résumé de l'observation, base de ce travail . Début de la maladie en 1866 à la suite d'un tr
on, base de ce travail. Début de la maladie en 1866 à la suite d'un travail manuel exagéré, par des douleurs lancinantes da
cole de l'asile de Richmond, et les renseignements que renferme son travail sur le fonc- tionnement de cette institution so
us ou moins utile, plus ou moins facile ; nous souhaiterions que le travail de M. Fox fût lu et médité par tous les directe
cela pour les raisons indiquées, que les chiffres indiqués dans ce travail comme étant les chiffres (p. 100) des paralytiq
HAciç. TUKE. (The Journal of Mental Science, n° d'avril 1882.) Le travail de M. Ilack Tuke est une critique, très modérée
eurs rapports réciproques; par Vallon. (Thèse de Paris, 1882.) Ce travail comprend' deux parties : dans la première, l'aute
ons faire mieux que de résumer les con- clusions de cet intéressant travail . ' I. En dehors de toute prédisposition hérédit
res, éparses dans des jour- naux spéciaux; n'y sont pas compris ses travaux si appréciés sur la pellagre. Ces deux volumes
instruc- tion ne leur est donnée. Les malades sont employés à des travaux de culture, de jardi- nage. Comme moyens de coe
35 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
heureux Borras fut condamné à mort. Sa peine fut commuée en celle des travaux forcés à perpétuité. Le véritable assassin fut dé
STION HYPNOTIQUE Grossesse. — Hypnose pendant la première partie du travail . — Récidive des accidents au retour des règles :
par la résistance du périnée, vient au monde après dix-huit heures de travail : c'est une fille, forte et bien constituée. Su
meil provoqué pendant la période de dilatation, n'en a pas retardé le travail , qui s'est accompli pour ainsi dire à l'insu de l
cœrcitives, telles que l'internement dans un hospice ou une maison de travail , à l'égard des individus habituellement adonnés i
devoir de remercier ici ceux qui m'ont le plus aidé dans ce laborieur travail de réunion de documents d'observations et de port
Sous l'influence de quelques excès alcooliques, de quelques excès de travail pour passer des examens ou des concours, son état
Par le Docteur Paul garnier Le Dr Paul Garnier vient de publier un travail important sur les causes de la folie, l'accroisse
tre réservé aux aliénés criminels, et c'est là une des conclusions du travail du Dr Paul Garnier. L'augmentation du bien-être
Etats-Unis (The ameriam Society for Psychical Research), cessera ses travaux après sa prochaine assemblée annuelle". La " So
an Society for Psychial Research ne sera pas dissoute et continue ses travaux , mai* elle est devenue une branche de la " Societ
on de neurologie, un grand nombre des confrères qui avaient suivi les travaux du Congrès de l'hypnotisme, en 1889 Parmi eux. no
alepsie. Les résultats de ces expériences sont consignés dans les travaux suivants : Vient ensuite une série de 22 tablea
Ces laits n'ont pas d'autres causes que l'organisation des écoles. Le travail des enfants s'accroit de classe eu classe ; les c
nt provenir de la maison paternelle ou qui sont liées à l'école et au travail d'écolier, on peut affirmer que la somme de trava
s à l'école et au travail d'écolier, on peut affirmer que la somme de travail demandée actuellement aux enfants dépasse leurs f
rment moins encore. 11 est a remarquer que plus le nombre d'heures de travail est grand pour une classe donnée, plus est restre
au sommeil. C'est aux dépens du som-meil que l'on allonge la durée du travail . Mais peut-on démontrer par la statistique que
s peut-on démontrer par la statistique que cette durée trop longue du travail à une influence sur la santé des enfants? Oui. Ap
ants? Oui. Après avoir es-timé exactement le nombre moyen d'heures de travail fourni par une classe, les écoliers ont été divis
que l'expérience n'a pas suppriméé les causes de maladie autre que le travail . Pour les deux classes inférieures, cet accroisse
e et tombe en état de paraplégie complète. Pendant qu'il exécute un travail commandé, un jeune soldat ressenti un indicible m
la persuasion. (1) M. Norman Kerr ne connissait évidemment pas les travaux modernes sur la suggestion lorsqu'il a émis les a
édecin et du patient. Le Dr G.-C. KINGSBURY (de Blakpool), dont les travaux forment avec ceux du D' Norman Kerr, la base de l
partis en dix-huit sections. Nous nous bornerons à donner parmi les travaux de la section de Psy- \ chiatrie et de Neurologie
de rigueur. Les folies intermittentes m. Magnan (de Paris). — Mon travail a pour but de réunir, dans une même espèce pathol
âges : les observations rassemblées par Paul Blocq, qui a publie le travail le plus complet sur cette affection et lui a donn
t pas toutes été couronnées d'un égal succès. Cependant, des nombreux travaux qui ont été publies sur la question, il résulte,
rès international de l'hypnotisme, tenu à Paris en 1889. Le but de ce travail n'est donc pas de revenir sur une démonstration d
éja à la suggestion plus de 500 succès thérapeutiques. Les bases du travail que nous soumettons au Congrès inter- j national
. Aujourd'hui, on le laisse sortir seul et il peut s occuper à divers travaux ; ce qui lui était impossible auparavant. Etant
-mutité. Comme nous le disions au Congrès de l'Hypnotisme : « Les travaux d'un grand nombre d'auteurs avant démontré la val
res des docteurs Moil, de Berlin et Lloyd- Tuckey, de Londres. De ces travaux de deux jeunes médecins, qui ont beaucoup contrib
ra parfaitement servir de préparation à l'étude de l'hypnologie. Le travail du docteur Lloyd-Tuckey (Psycho-Therapeutics, Lon
ins fidèle des doctrines de M. Charcot. On n'a qu'à se rappeler son travail sur « l'action des médicaments à distance », pour
uses. Le professeur Delbœuf, de Liège, vient de publier un deuxième travail sur l'action curative de la suggestion. On se rap
origine des effets curatifs de l'hypnotisme » paru en 1887. Ce second travail est intitulé f De l'étendue de l'action curative
M. Leplat qu'ont été prises U plupart des mesures annotées dans ce travail . Mon rôle spécial a consiste à hypnotiser le mala
man Kerr. Avec autant d'animo-sité que d'éloquence, méconnaissant les travaux récents sur la suggestion hypnotique, il a co
par ses voya-ges en Afrique, le docteurR. Felkin. vient de publier un travail , intitulé « Hypnotim und psycho-thérapeutics Lond
profession, afin de jouir du repos qui lui est si bien acquis par son travail assidu et desintéressé. Nous qui avons pu appréci
ur LADAME de Génève (1). MESSIEURS En parcourant le programme des travaux de la section de psychiatrie, vous aurez été surp
e que le pseudo-monomane a de son trouble mental. Malheu-reusement le travail de l'auteur est obscur, vague et confus. Les seul
d'impureté. » Pendant la même année Morel (1) publie son important travail sur le délire émotif"', dans lequel on trouve les
étude de cette maladie et a exercé une influence considérable sur les travaux subséquents. Quelques années avant Legrand du S
gner cette espèce de maladie mentale. Nous arrivons maintenant à un travail qui fait époque dans l'histoire 1 La folie du d
ns d'aucune sorte. Jamais Je délire du toucher. Incapacité absolue de travail depuis 6 ans, à cause J- idées ". Mlle X. de ta
latives aux choses de l'autre monde. Elle a toujours beaucoup aimé le travail etdésirait s instruire. Au sortir de l'école prim
n journaliste me disait: «j'aibeaucoup à travailler et quelquefois le travail me répugne. Je me fais alors une piqûre et desque
ans un harem, la femme la moins favorisée se rejouit d'avoir moins de travail a faire. 11 est probable que l'opium joue aussi u
réguliers pendant 10 ou 1* minutes exactement comme si elle était en travail d'enfantement, et chaque fois la suggestion a été
du soir la patiente accuse de légers fourmillements : à 10 heures le travail commence franchement, les contractions douloureus
s s'accentuent. Nous faisons une première expérience de suspension du travail , qui souslinlluencc de lasuggestion s'arrête pend
lasuggestion s'arrête pendant une heure, de onze heures à minuit. Le travail reprend ensuite mais les souffrances sont supprim
i*l 4tn 4*mt* toi «+/«1 «•«, !•*• «¦» min* arité. de suspension du travail . la suggestion est suivie d'effet pendant 2 heure
ion du travail. la suggestion est suivie d'effet pendant 2 heures, le travail reprend sa marche naturelle jusqu'à onze heures d
usqu'où peut s'étenJrc l'action de l'accoucheur dans la suspension du travail , à ce moment la dilatation est complète la tête e
la suggestion de n'avoir plus de contractions utérines, de cesser le travail de l'enfantement, cette expérience a réussi a sus
ps à la vulve pour résistance des parties molles ou ralentissement du travail n'ont plus raison d'être il suilit d'une suggesti
j'ai faites, à plusieurs reprises, d'arrêt prolonge dans la marche du travail n'ont eu pour but que d'établir ce fait. Le rel
euse. Mais l'opération dans laquelle non-seulement l'arrêt complet du travail , et même le relâchement utérin absolu sont d'une
à plusieurs reprises suscité en cours de grossesse un commencement de travail d'enfantement, chaque fois je l'avais interrompu
Aperçus historiques sur le magnétisme animal et l'hypnotisme. Récents travaux scientifiques de Biraid à Richet, de Charcot à Be
ie; les uns apportent leurs privilèges, les autres, leur sang et leur travail . C'est la Fête de la Fédération. Tantôt des idées
e la physiologie, encore fort obscure, du sommeil normal. Les récents travaux sur l'hypnotisme, les tout récents surtout, n'ont
'autre part, il se croit incapable « moralement » d'accomplir quelque travail que ce soit. Tout céla le préoccupe et l'obsède.
at-actuel de nos connaissances sur une maladie connue surtout par les travaux des palhologistcs français. L'ouvrage du docteu
nérescence physique ou mentale. Son livre est la preuve évidente d'un travail laborieux et d'un esprit essentiellement scientif
teur en chef du Progrès médical. En attendant la publication de mon travail sur la « folie du doute et le délire du touchet »
résidant à Paris. H parait même que M. le professeur Beaunis, que ses travaux retiennent a Paris pendant plusieurs mois de l'an
nouvelles expériences, affirmer son existence et sa vitalité par des travaux qui défient toute critique. Pour nous résumer, l'
ais aussi qu'allait-il faire dans cette galère? Dr EDG. BÉRILLON. TRAVAUX nRICI.YUX DES VARIATIONS DE LA PERSONNALITE DAN
presque chaque jour. (l) V. Revue de l'Hypnotisme. p. 175 (2) Les travaux de M. Azam sur cette cette questîon ont élu réuni
nie pénitentiaire de Saint-Urbain (Haute-Maroc), où on l'occupait aux travaux des champs. Un jour, en mai 1879, pendant qu'il
les avoir bien comprises. En faisant connaître, dans notre pays, les travaux du savant autrichien, nous faisons donc à la fois
ressort de la lecture des rapports du Dr Lacassagne. Vient ensuite le travail de MM. Brouardel, Motet et Ballet, dans lequel la
iques. U n'ignore pas que nous avons consacré le chapitre IX de notre travail , inspiré par M. Charcot, '('Hypnotisme), etc. 188
es caractérisés. Pendant que M. Charcot poursuivait le cours de ses travaux , et qu'au point de vue médico-légal, chaque nouve
ciles de l'École de Nancy, la Salpétrière poursuivait le cours de ses travaux , essayant de guérir (1) les victimes des Hansen e
est là l'enseignement de la Salpe-trière! Conclusion : vingt ans de travaux forcés de la pari du jury réfraclairc aux suggest
nouvelles expériences, affirmer son existence et sa vitalité par des travaux qui défient toute critique. » Sages conseils, c
oignée a laquelle ils ont été publiés pour la première fois. Tous ces travaux sont empreints de cette finesse et de cette vigue
nt médecin de la Salpêtrière. Le second volume renferme surtout des travaux sur l'assistance, la législation et la médecine l
Comptes rendus de la Société de Biologie (2 mai 1890J contiennent un travail de MM. Gilles de la Tourelle et Cathelineaa. inti
ue, l'hypnotisme et l'hystérie ont de nombreux liens de parenté. Ce travail est fondé sur les recherches suivantes : A savoir
rsion de la formule de ces derniers. Les conclusions des auteurs du travail me touchaient d'autant plus que j'ai fait entrer
occasion se présentait de vérifier l'exactitude des conclusions de ce travail , puisqu'au moment où il paraissait, j'essayais su
clusion est absolument contraire à celle du mémoire qui a provoqué ce travail . Ces analyses m'ont paru présenter cet avantage
nt le sommeil ne dure que une heure à huit heures. Je tirerai de ce travail ces conclusions: 1° La nutrition n'est pas trou
de savants étrangers ont abordé les mêmes études. Parmi ceux dont les travaux méritent une mention particulière, nous devons ci
et à la stupéfaction du sujet, s'éveillant au milieu d'un cabinet de travail et d'une assemblée dont aucun visage ne lui était
blée dont aucun visage ne lui était connu. » Si l'on se reporte anx travaux publiés par les plus autorisés des élèves de la S
di; elles sont très fortes, très irrégulières, mais n'avancent pas le travail . Dans la nuit, les douleurs, toutes les 5-10 m.,
ce de sa corporation en matière de criminalité et leur peu de goût au travail . Alors on pourrait remplacer les juges par un cod
classée ». La conclusion de tout cela, c'est qu'il faut diviser le travail et séparer nettement la magistrature civile et la
Garofalo, que le condamné â lu prison y reste jusqu'à ce que, par son travail , il ait économisé une somme déterminée, jugée pro
me ne l'avaient calculé. Je ne fus appelé par M. Delbœuf que quand le travail était déjà commencé. C'était le -a janvier dernie
dessous de l'ombilic et sur une ligne allant (Il Lu rédacu'on de ce travail , sauf les notes et le posl-acripluui, appartienne
Je donnai à celui-ci l'assurance que tout se présentait bien, qne le travail marchait normalement et môme avec une certaine ra
us espacées. L'enfant ne souffrait nullement. Il était visible que le travail se ralentissait. I.a patiente ne parlait plus et
it vraisemblablement le résultat d'efforts de vomissement au début du travail . Cela agaçait beaucoup la femme qui sentait de pl
ndre le moins du monde. Elle était beaucoup plus calme qu'au début du travail . A midi moins le quart, la petite fontanelle ét
état hypnotique, on s'est borné à constater quelle était la marche du travail , mais sans faire de suggestion relativement aux c
nts d'arrêt. La matrice semble se reposer, pour reprendre ensuite sou travail avec plus d'énergie. Quand cela ne se prolonge pa
conclusion du /> G. Chaigneau (1) et d'autres accoucheurs, que le travail , la délivrance, cl les suiles de couches, ne sont
nt, les faire revenir plus souvent, et de cette façon activer même le travail de l'accouchement. Par suggestion, nous avons pu
réussir. La femme esl inquiète, agitée, elle souffre dès le début du travail . Il est le plus souvenl impossible par conséquent
é employé avec plus ou moins de succès, comme anesthésique pendant le travail de l'accouchement, ont été rapportés par Liébeaul
rrêts de développement qu'elle présentait, il était à craindre que le travail ne pré- (1) Traduit de l'anglais par le D'E. Bé
près de la malade à sept heures trente du malin, et je la trouvai en travail ; le col était dilaté et les douleurs revenaient
ce cas avait été absolument livré à la nature, il est probable que le travail aurait duré beaucoup plus longtemps, car la malad
uer ce procédé, si les circonstances font prévoir quoique obstacle au travail de la nature. MÉMOIRE RELATIF A CERTAINES RADIA
Par le Baron DE REICHENBACH. Suite et fin (1) ACTION CHIMIQUE Le travail chimique nous fournit partout d'abondantes effluv
6 h. soir, la femme crie sans cesser, et cela dure depuis le début du travail . Dilatation complète. Je lui propose de l'endormi
occupe la partie la plus importante et peut-être la plus utile de ce travail ; il nous faut y renvoyer le lecteur qui désire c
o-légal. • Aussi souhaitons-nous le meilleur accueil au remarquable travail de notre collègue et ami M. le Dr Levillain. E. B
e le 26 avril 1891, sous la présidence de M. Yves Guyot, ministre des Travaux publics, et de M. le LV E. Vidal, de l'Académie d
de l'Œuvre, par M. le Dr A. Motet, l'allocution de M. te ministre des Travaux publics, le rapport de M. le Dr Philbert sur les
Collineau, une récompense de 1,200 francs a été attribuée i l'unique travail envoyé, dont les auteurs sont MM. Mabille, médeci
e du docteur Lièbeault. — Qui de cous ne se rappelle les remarquables travaux du professeur Bernheim sur la suggestion à l'eut
leurs rapports avec la jurisprudence et ta médecine légale s, est un travail érudit et consciencieux, dont la lecture et la me
sacrée à la fondation d'un prix périodique, destiné à récompenser des travaux publiés sur l'hypnotisme, et que cette fondation
s aventurières. Son attitude était modeste. Elle aidait volontiers au travail et se montrait très reconnaissante du bon traitem
soit à un peu d'embarras gastrique, soit à un effort musculaire dù au travail pénible de l'enfant. Elles sont exagérées et rete
état neurasthénique : elle mange à peine, elle est incapable d'aucun travail , des idées sombres la tourmentent, ses jambes son
it à la machine. Le mouvement des cuisses nécessaire dans ce genre de travail provoquait souvent chez elle des sensations volup
eu anx interprétations les plus fausses. Si nous nous reportons aux travaux d'Esquirol, de Marc, de Foville, nous restons emb
le lieu de !a réunion de la Société et l'ordre du Jour détaillé des travaux , qui rempliront plusieurs séances. Parmi les prin
36 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
; il n'avait plus ni volonté, ni énergie. Il dut bientôt cesser son travail , se désintéressant de tout ce qui était extérie
pportée dans tous ses détails, l'observation qui fait la base de ce travail . Nous allons maintenant tâcher de faire ressort
lcoolisme, ne nous occuperont pas non plus, nous limite- rons notre travail à l'épilepsie vraie. Le traitement de l'épileps
ce mentale. Les enfants intelligents ne seront pas poussés vers des travaux intellectuels demandant une grande tension d'es
intellectuels demandant une grande tension d'esprit. L'assiduité au travail leur est funeste et pro- voque des convulsions.
leur est nuisible. Il leur faut une vie calme à la campagne, et un travail manuel aux champs leur est des plus favorables.
Un homme épileptique, ayant des accès fréquents, ne peut trouver de travail dans les ateliers; il est renvoyé par ses patro
devenir l'objet d'une phobie. L'auteur se propose, dans un prochain travail de démontrer qu'il existe une névrose spéciale,
correspondante du thorax. Cette infirmité en le rendant peu apte au travail manuel, lui qui ne possédait rien, le 52 REVUE
CHIPAULT. (Nouvelle Iconog. de la Salpêtrière, 1894, n° 5.) Dans ce travail , l'auteur n'étudie pas le diagnostic des arthrite
re endogène de nombre - dépendances criminelles est un résultat des travaux de l'école de - Lombrosu. Sans doute les stigma
epro- duction aussi sincère que possible de son enseignement et des travaux qu'il a inspirés à ses élèves. Si le professeur
l'inter- prétation fidèle des opinions du professeur Charcot et des travaux de l'école de la Salpêtrière. Ceux qui ont suiv
ce traité, entourées d'une pro- fusion de documents, d'analyses de travaux et d'observations, les idées si fréquemment émi
ns ce volume. A propos des troubles gastriques nous signalerons les travaux de l'auteur et de M. Calhelinau sur les vomisse
mps que d'études microsco- piques ; 5° une chambre obscure pour les travaux photographiques; 6° une chambre pour recevoir l
mprunt de deux millions pour l'achat des terrains et les pre- miers travaux , a décidé qu'un concours serait ouvert auquel pre
Le jeune Timpagnon Louis, âgé de seize ans, peintre à Troyes, sans travail , a été BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 95 recueilli
veuse quasi délirante qui s'empare de cer- taines femmes pendant le travail ne soit pas de la folie et ne puisse excuser de
oyens très prémédités, se livrant le lendemain de ses couches à ses travaux habituels, soignant son bétail, char- geant des
ve des exercices d'imitation. C'est encore là un moven de varier le travail et de prévenir la lassitude chez le sujet. Ces
'amuser notre idiot, qui suit sou- vent avec tant d'indifférence un travail qui lui semble inutile. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
ici ils ne sont pas suffisants. Antisepsie intestinale. Depuis les travaux du professeur Bouchard, sur les auto-intoxicati
cale symétrique, il suffit pour donner une idée du très intéressant travail de M. Paul Richer. Dans ce mode de station, le
lignes suffiront, je l'espère, pour faire saisir l'im- portance du travail de M. Paul Richer. Au point de vue purement art
travail de M. Paul Richer. Au point de vue purement artistique, ce travail constitue une sorte d'anatomie raisonnée des fo
n REVUE d'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 149 précédent travail analysé dans ce journal : Des différents modes de
gauche. Par suite, le tronc s'incline à droite. En terminant son travail , l'auteur rappelle ce que disait Charcot de l'i
é volontaire appliquée à l'équilibration. La seconde partie de ce travail est consacrée à l'interprétation, par les donné
méthode de Nissl. Il nous est impossible de donner l'analyse de ce travail important qui est essentiellement descriptif et
re sclérose des cordons pyramidaux croi- sés. Les conclusions de ce travail sont que le noyau principal de l'hypoglosse est
al of Mental Science, avril 1894.) Les conclusions de cet important travail sont les suivantes : 1° parmi les cas de folie
Bayle, qui attira l'attention sur ce point trente ans avant que le travail d'Esmarch et de Jessen ne parût. (Revue neurolo
aux. Ils pourront également, s'ils sont adhérents, parti- ciper aux travaux et aux excursions du Congrès de l'avancement des
ou une salle dans laquelle l'Association pourrait s'occuper de ses travaux . Une question plus avancée se trouve dans une d
ya la proposition qu'une personne soit nommée pour faire avancer le travail de l'Association. La réunion de 1884 fut tenue
épinière a été connue plus tard que celle du cerveau. Les' anciens travaux ne citent que des tubercules solitaires et ne c
ation subaiguë et parle d'une méningomyélite tuberculeuse. Dans son travail , publié dans les Archives de physiologie, Liouv
sa thèse d'agrégation : De la myélite aiguë, que Liouville par ses travaux sur les anévrysmes mi- liaires et sur la méning
ion lombaire. Ce tuber- cule est parti de ? vaisseaux centraux. Son travail est remar- quable surtout par un examen microsc
que. Dans son index bibliographique, le même auteur cite encore les travaux de Bideau, Green, Gendrin (1829); Holmess, Jacc
al de Pott. Nous regrettons de n'avoir pu prendre connaissance du travail de Cornil : Tuberculose méningo-cérébrale, Arch.
les diverses formes de la tuberculose de la moelle. Dans le présent travail , je me propose de communiquer un cas de tubercu
alement la forme nodulaire de la tuberculose de la moelle. Dans les travaux publiés jusqu'à présent par Liouville', Hutinel
M. le professeur Hlava qui a bien voulu mettre à ma disposition ces travaux de statistique. ' Mais il faut tenir compte de
Depuis 1884, il se plaint d'une certaine fatigue aux reins après le travail . La marche devient un peu lourde. Au mois de fé
ez nos dégusta- teurs de vins. En terminant, M. Berniquet parle des travaux de la Faculté de médecine de Bordeaux et de son
étran- gers, qui, avec l'éclat de votre nom et le concours de votre travail , nous apportez le témoignage précieux et appréc
directeur-médecin de l'asile de Lafond, donne les conclusions d'un travail publié en 1890 en collaboration avec M. Lallema
La théorie thyroïdienne du goitre exophtalmique est issue de deux travaux initiateurs : celui de Moebius et la thèse de mon
dont une partie est écrite de la main de M. Renaut. Dans ce dernier travail , le goitre exophtalmique est considéré comme un
les attendons avec impatience et les lirons avec intérêt : tous les travaux éclairant la question seront toujours les bienven
e avec toute responsabilité. M. Verrier, après avoir apprécié les travaux faits sur la question, rapporte, sous une forme
fections mentales. Le monde savant applaudit à la conscience de vos travaux , à la persévérance que vous ne cessez de déploy
hie artério-scléreuse présente des lésions en foyer. M. VOGT lit un travail sur les faisceaux de fibres des corps calleux.
presque tous indiqués dans quelques brochures que je joindrai à ce travail . Il a parfaitement senti à quel point il import
E GÉNÉRALE ET LA SYPHILIS SPINALE ; Par le Dur NAGEOTTE, Chef des travaux d'anatomie pathologique de la Clinique des maladi
s nerveuses à la Salpêtrière '. Les faits sur lesquels le présent travail se fonde n'ont pas trait.à la lésion que nous c
e de maladies nerveuses chroniques, dont la clinique. nous montre Travail du laboratoire de M. le P' RAYMOND. Archives, t
ons qui suivent, et celles que nous rappelons, mon- trent que notre travail n'est pas basé sur des faits excep- tionnels. m
oissante des membres supérieurs empêche le malade de se livrer à un travail quelconque depuis plusieurs mois déjà. Il n'y a
neurologique, juillet 1894.) Les conclusions qui se dégagent de ce travail sont les suivantes : 10 le substratum anatomiqu
seconde en 1882; la troisième en 1893. La malade a pu reprendre le travail après chaque accès de névrite. Actuellement l'aff
pétition des rechutes : la première atteinte occasionna un arrêt de travail de cinq mois, la seconde de sept mois et la tro
iciens en général, quelque limité que puisse être le champ de leurs travaux . E. B. 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ('XX
ue de Charcot, un instant condamné et auquel on tend à revenir. Les travaux récents ont mis en lumière la fréquence de son
s entrer ici dans le détail des nombreux cas rapportés dans ce long travail . Le sujet est intéressant et parait préoccuper
s accidents qui peuvent devenir mortels'. 1. 1 Nous publierons ce travail complètement. SOCIÉTÉS SAVANTES. 323 M. Balle
. M. DEVAY (de Lyon). De la mélancolie chez les syphilitiques. Ce travail est basé sur quatre observations. Les malades ont
ations relatives à l'athétose sont encore peu nombreuses. Depuis le travail du neuropatlhologue américain Hammond, qui a do
hologiques, par M. le Dr Girard de Cailleux. En conclusion de son travail , le Dr Pailhas dit : 1° Il existe une variété d
hydrothérapie dans son application aux maladies nerveuses. Dans ce travail l'au- teur, dont la compétence, reposant sur un
n rapporter l'éclosion à aucune lésion valable. M. Verrier lit un travail sur l'aquapuncture dans le traitement de l'anes
hésie hystérique ou paralytique. ` M. LAGRANGE (de Poitiers) lit un travail sur l'étiologie de la para- lysie générale prog
l'égard du pro- ,nostic. M. GARNIEIi dit que M. le Dl Rey a fait un travail sur .cette question. M. Régis réclame la priori
cot et Joffroy, Duménil, Hayem, etc. Sous l'influence de ces divers travaux , l'atro- phie musculaire type Duchenne-Aran règ
premier décrite. Son voeu se trouve' exaucé et s'il pouvait lire le travail de son fils, il aurait tout lieu d'être satisfait
s ferons, au cours de cette brève étude, de nombreux em- prunts aux travaux de M. Kirchhoff, de M. H. Laehr, de M. A. Paetz
pas internés. En 1677, dans la même ville, les fous sont soumis au travail comme les détenus avec lesquels ils sont confon
eurent aussi le mérite d'insister sur l'importance thérapeutique du travail , si bien mise en évidence par Pinel en 1801, da
année par Wagner. . Reil, en 1803, publie à Halle ses Rltapsodieen, travail devenu classique, sur le traitement psychique d
Reil.recommande pour les aliénés les occupations en plein air, les travaux agri- coles : « le travail, dit-il, entretient
liénés les occupations en plein air, les travaux agri- coles : « le travail , dit-il, entretient la santé, favorise le som- ?
'aliénés. Tous les malades, sauf les agités, y furent occupés à des travaux divers ; les moyens de contention, dont on avait
asilesNen pleine campagne, afin de pouvoir employer les malades aux travaux agricoles. 360 asiles d'aliénés. d'exception;
ve de ce maître et d'Esquirol, et partisan convaincu de l'emploi du travail comme agent thérapeutique, donnait tous ses soi
vit puissamment la cause de ces infortu- nés. » IIorn recommande le travail comme un des plus actifs parmi les agents théra
s curables, et comme un moyen palliatif chez les incurables. « Le travail , dit-il, doit être assidu, nécessiter toute l'att
dépravation. Heinroth se montrait cependant partisan de l'emploi du travail comme moyen thérapeutique. « C'est, disait-il e
gitation est cal- mée. » Bergmann, en 1828, recommande également le travail pour tous les aliénés quelles que soient leur s
L'Ecole somatique s'élevait en face de l'école spiritua- liste. Les travaux de Griesinger eurent, entre autres, un grand re
e service admi- nistratif ; il montre la part importante donnée aux travaux de culture, aux exercices de l'intelligence, au
1853. z Nous avons donné une description de ce pavillon dans notre travail sur l'Assistance des alcooliques en Suisse, en
ldesheim, qui occupait depuis 1860 un certain nombre de malades aux travaux des champs, loue un domaine de 15 hectares qu'i
des, soit 19 p. 100 de l'effectif des hommes, sont em- ployés à des travaux agricoles sur un domainedel73 hectares; le rend
de Reil- witz (90 hectares), où 104 femmes accomplissent tous les travaux agricoles, sauf pour ce qui concerne la conduite
eux-mêmes. « Ces sujets peu- vent, gràce à l'influence favorable du travail , rester plusieurs années dans un état de santé
asile fermé, ont pu, sous l'influence d'une liberté relative et du travail dans une colonie, reprendre possession de leurs
iatrie. Leipzig, 3'edit., p. 232. * On doit à M. Paetz un important travail sur la colonisation des aliénés dans ses rappor
psychiatrie. Treize sociétés de patronage s'occupent de procurer du travail ot de recourir les aliénés guéris à leur sortie d
la conclusion à laquelle M. Marandon de Montyel, dans un précédent travail , était arrivé relativement à l'emploi du chlora
con- tractait plusieurs fois fournissaient progressivement moins de travail et il y avait un moment où il n'en fournissait
es lésions des nerfs craniens sont relevées pour l'olfactif dans le travail de Reinhard qui trouva une dégénérescence grise d
s'en dégager tout naturellement. Nous ne pouvons que signaler ce travail qui ne saurait être résumé, étant présenté sous u
la médecine exacte, qu'il était au contraire au courant de tous les travaux même étrangers. Il explique le maintien des anc
au premier rang parmi les moyens de traitement des psychoses, le travail . " " P. S. XXXIX. SUR l'augmentation de fréquen
progrès de la civilisation, un plus grand désir de jouissances, le travail supplémentaire du cerveau comme conséquence néc
exes a beaucoup changé, les femmes se livrent en grand nombre à des travaux intellectuels et corporels. Ce fait explique déjà
urs dépense des sommes considérables sans augmenter sa puissance de travail . De vastes étendues de terrain sont perdues qui
Sur l'atrophie des fibres corticales chez les aliénés. - Depuis les travaux de Tuczek sur l'atrophie des fibres à myéline i
). Rapports de l'alcoolisme et de l'hystérie. L'Auteur rappelle les travaux de Dagonet et Magnan (1873-1874), ceux de Charc
. le Président, le professeur Pelman, ouvre la séance et résume les travaux du Congrès des médecins aliénistes allemands' de.
bizarres 422 SOCIÉTÉS SAVANTES. parfois dans l'exécution de leurs travaux . D'après Kroepelin, cet état psychopathique se
é aux bureaux de l'asile, il fait preuve de zèle et accom- plit son travail avec exactitude. Il se distrait par la lecture, l
ce d'idées délirantes, faculté d'orientation conser- vée, ardeur au travail , exécution correcte de la lâche accoutumée, con
ne façon correcte sur ce qui a trait à sou SOCIÉTÉS SAVANTES. 423 travail dans l'asile. La confusion n'apparaît que lorsqu'
énérale; par le D'' M. Tm ? OEL, (Th. P. 1891, Steinheil.) C'est un travail de recherches, à la fois' cliniques et anatomo-
d'observation à son appui ; mais il 426 BIBLIOGRAPHIE. limite son travail à l'étude du délire chez les faibles d'esprit.
téres- santes de son mémoire encore inédit. Les conclusions de ce travail sont les suivantes : le pouvoir déli- rant d'un
es tics convulsifs, - Cette maladie est traitée surtout d'après les travaux dus à l'Ecole de la Salpêtrière, notamment pour
-intoxicalions et s'est également inspiré des récents et importants travaux publiés sur ce sujet par les médecins autrichie
portants travaux publiés sur ce sujet par les médecins autrichiens, travaux grâce auxquels l'ancienne tétanie de Trousseau
'il réalisait la perfection, nous avons montré dans notre premier travail ce qu'il fallait en penser, on l'a répété douze f
ien aménagé. Je m'en rapporterai donc entiè- remcnt sur ce point au travail de M. Bourneville, auquel je renvoie le lecteur
iénés, qui tous, dans cette catégorie, sont occupés au dehors à des travaux plus ou moins propres. En rentrant du travail,
pés au dehors à des travaux plus ou moins propres. En rentrant du travail , ces malades doivent pouvoir se laver les mains e
cial et seront tels que nous les avons décrits dans notre précédent travail . Pour les dortoirs 25 mètres cubes par individu
inuellement en faisant de grands gestes; très irritable; le moindre travail appliqué, la moindre ten- sion de l'esprit l'én
uise n'est pas aussi débordante; elle est heureuse de s'occuper aux travaux du ménage. Son jugement ne parait pas aussi naï
ectifs, les notions de forme se précisent dans son esprit; dans les travaux manuels elle progresse : IMBÉCILLITÉ PRONONCÉE
les mouvements spasmodiques semblent avoir disparu. A l'école le travail est plus assidu : elle connaît l'orthographe de t
e ordinaire, se plaisant aux occupations de son sexe et de son âge ( travaux de ménage et de couture). Personnelle- ment, no
gé. Chez lui, il se rétablit assez promptement; néanmoins, dans les travaux des champs qu'il partage avec les siens, il se
rt, chez les enfants atteints d'imbécillité morale, l'émulation, le travail intellectuel poussé trop loin ne peuvent qu'êtr
st une revue de la question où l'auteur rappelle sommai- rement les travaux allemands de lVestplal, Casper, Ulrichs, Krafi't
ES ; par le professeur S. Venturi. Dans la première partie de son travail , l'auteur apporte de nou- veaux faits cliniques
and bien de la cause de Ja tempérance et il formule le voeu que les travaux du Congrès de Bâle aient un grand retentis- sem
er, assistant à la clinique psychia- trique de Heidelherg. Ces deux travaux roulaient sur le même sujet, à savoir l'action
alcool peut diminuer à l'insu de celui qui l'absorbe la capacité de travail de l'homme; deux décilitres de bière suffisent
nsistèrent pour maintenir les conclusions que l'on peut déduire des travaux com- muniqués le matin. Ils ont un caractère de
jet difficile et complexe a dû nécessiter de la part de l'auteur un travail considérable. -.\1. Toulouse a réussi à donner
our la plupart, ont dû y être internés, faute de pouvoir trouver du travail à cause de leurs accès. (Allg. Zeistch. f. Psyc
37 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lies par M. Magnan et une de ses élèves M"° Skwort- zoff 1. Dans le travail de MUe Skwortzoff, une observation de Déjerine
be et de la première circonvolution temporale8. » C'est d'après les travaux et les observations de SI. Wernicke9, qui le pr
anck que, malgré quelques faits cliniques antérieurs aux importants travaux de Fritsch et Hitziâ 2, de Ferrier3, contrôlés
Journal, mars 1875.) . ' Carville et Duret.C)'t< ! 'yueM;p. des travaux de Fritsch, M/zi,Fe)'- rier. (C.-li. Soc. Biol.
ce point, ayant déjà exposé longuement ces faits au début de notre travail . Nous ne pour- rions que nous répéter. Quant
au moins n'a-t-elle rien d'invraisemblable depuis que les derniers travaux de l'école de la Salpêtrière ont mis en relief
CH.1BDIÉRE. (Rev. de méd., 1886.) Des observations publiées dans ce travail il ressort : 1° que la sclérose en plaques par
ental Science, juillet 1885.) Nous devons nous borner à signaler ce travail , car pour en rendre l'analyse possible, il faud
rapporte plusieurs observations très intéressantes, et termine son travail parles conclusions suivantes : 1° Les cas relat
f Mental Science, juillet 1885.) Le lecteur qui chercherait dans ce travail des données médicales ou administratives sur la
. Charcot a appelé l'attention sur elles. En Allemagne, l'important travail de Lûcke a éclairé ces faits d'un nouveau jour;
intelligente, peut utiliser ses doigts pour écrire et exécuter des travaux manuels de femme. Elle a appris à marcher à l'â
c'est ce regretté collègue, qui pre- nait une part si active à nos travaux , qui aurait porté et soutenu à cette tribune un
borée dans le sein de votre commission, presque dès le début de ses travaux ; et la lecture qu'il vous a faite vous a appris
une parole autorisée ? Je l'ai cherché à peu près vainement dans le travail , d'ailleurs si savant, de M. le rapporteur. L
r fournissent. C'est en s'appuyant uniquement, exclusivement sur le travail du médecin qu'ils vérifient l'exactitude de ce
ement sur le travail du médecin qu'ils vérifient l'exactitude de ce travail . En un mot, pour recti- fier l'opinion du médec
l'acte d'internement est un acte solitaire. Il est le résultat d'un travail pour ainsi dire collectif, d'une opinion commun
re du conseil, vous augmentez dans des proportions considérables le travail des parquets et des tribu- SÉNAT. d23 naux. D
eront également sentir. D'après les statistiques consignées dans le travail de l'honorable M. Roussel, le mouve- ment annue
est au bas de l'échelle, de 26 seulement. Ainsi, l'accroissement de travail pour les tribunaux se répartira d'une façon for
lique d'inconvénients. C'est là un inconvé- nient que d'accabler de travail certains parquets et certains tri- bunaux ; c'e
et dans laquelle il résume claire- ment toutes les opinions et les travaux des auteurs, tant en France qu'à l'étranger. Ma
des auteurs, tant en France qu'à l'étranger. Mais pourquoi, dans un travail où l'origi- nalité n'a rien à avoir et où le bu
trépanation quand le début des convulsions est nettement déterminé. Travail utile à consulter en somme et qui résume bien l
à ce point qu'il semblerait qu'on tombe dans l'excès contraire. Le travail de M. Grimodie tend à réagir contre cet entraîn
n; les premiers faits appartiennent à Dnplay et Morat, et c'est aux travaux tout récents du docteur Déjerine et de l'école
ompris l'importance et la portée de cette catégorie de lésions. Les travaux de WesLpliall, d'Erb, de Mayor, de Ureschfeld,
scientifiques mais toujours intéressants et qui ont dû demander un travail considérable pour être rassemblés d'abord et êt
ant plus,si lasommed'aliments réparateursnerépond pas à la somme de travail fournie. Il doit y avoir une prédisposition de la
comme plus influents, les chagrins, les soucis (24,21 p. 4 00), les travaux intellectuels exagérés (24 p. 100). Les Causes
un résumé des formes frustes dont les éléments sont puisés dans le travail de M. Marie, auquel il n'ajoute rien. P. B. I
les amnésies toxiques ; par CàcàRRiÉ. ' Tti. Paris, 1887. Dans ce travail inspiré par le Pr Bail, l'auteur se propose d'étu
a, comme on le voit par ce court aperçu, rien que de banal dans ce travail , si l'on en excepte quelques observationsintére
ir les maladies du système nerveux avec le traumatisme. Les récents travaux de M. Charcot sur l'hystéro-traumatisme, lui do
de la même pié- disposition héréditaire. La seconde partie de ce travail , examine diverses autres ques- tions, en voici
r Grégoire. Th. Paris, 1883. L'auteur parait s'être proposé dans ce travail de mettre un peu d'ordre et de lumière dans les
sez de clarté les déductions qui ressortent des observations et des travaux des auteurs. Quoi- que aucune idée originale et
auteurs. Quoi- que aucune idée originale et nouvelle ne rehausse ce travail , dont les observations même sont empruntées pre
plus complète, et particulièrement en ce qui concerne les nombreux travaux publiés dans ces dernières années à l'étranger
s qui touchent la pathologie des scaphandriers. Nous divisons notre travail par cha- pitres des travaux et nous étudierons
des scaphandriers. Nous divisons notre travail par cha- pitres des travaux et nous étudierons successivement : 1. L'histoi
L'histoi,ique dans lequel, nous, passerons en revue les différents travaux qui ont été publiés jusqu'à présent sur les acc
a généralisation de celte manière de pêcher les éponges. Le premier travail qui a été publié relativement aux accidents des
Rouquayrol et Denay- rouze, a servi de base pour la rédaction de ce travail , d'après le dire de l'auteur. C'est donc avec j
ourt doit être considéré comme l'initiateur de ces études. Dans son travail , qui ne con- tient pas d'observations médicales
qui sont morts n'ont jamais expiré au fond de l'eau. Le troisième travail est dû à M. Alphonse Gai qui a soutenu, le 19 j
19 juillet 1872, sa thèse de doctorat inti- tulée : Des dangers du travail dans l'air comprimé et des moyens de les préven
a Faculté de Montpel- lier. Cet auteur a puisé les matériaux de son travail dans une campagne qu'il avait faite dans l'Arch
travail dans une campagne qu'il avait faite dans l'Archipel. Son travail est divisé en deux parties, dont la première est
éjour dans 148 CLINIQUE NERVEUSE. l'air comprimé. Le reste de son travail est consacré à l'étude des dangers des fortes p
CCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 149 Nous devons le quatrième travail à M. le Dr Lam- padarios, qui, sous le titre «A
s les fascicules VI et VII du journal grec Asclepios (Esculape). Ce travail est divisé en 6 parties, dont la première conti
yclinique et l'autre à un certain docteur. La seconde partie de son travail est consacrée à un exposé rapide de l'appareil
exposé rapide de l'appareil immersif. La troisième est un résumé du travail de M. Leroy de Mericourt. Dans la quatrième, il
Leroy de Mericourt. Dans la quatrième, il fait une critique de ce travail et cherche à faire reposer sa théorie pathogé-
ice, ce qui est tout à fait erroné : nous y reviendrons. Enfin, son travail est ter- miné par des considérations relatives
r descente et pour des rai- sons tout autres. Les six parties de ce travail sont fort succinctes, constituant en tout un en
constituant en tout un ensemble de dix-neuf pages. - Le cinquième travail , document précieux , est dû au distingué médeci
ux , est dû au distingué médecin de Nauplie, M. Cotsonopoulos. Ce travail , qui porte le titre « Un cas de paraplégie chez
à notre chapitre d'Aîîatomie pathologique. En 1882, il a paru un travail intéressant et original de M. Nicolas P. Pariss
ur agrégé de la Faculté d'Athènes et de M. Jean Tetzis '. Dans ce travail , après une description détaillée et précise de
suite. ' Cet exposé rapide, qui ne contient naturellement que les travaux relatifs aux accidents survenant seu- lement et
ie. Syndrome spasmodique. - Amélioration sensible par la reprise du travail . Légère parésie slucistique. Le 10 août, G sept
1876 le malade, sans tenir compte de son état de santé, reprend son travail dans l'air comprimé, prenant pourtant la précau
asses. Le malade affirme d'une façon formelle que la reprise de son travail lui a causé une grande amélioration. Vers le
selles de quarante-huit heures environ. Le 13 août, il reprend son travail , son état parétique étant tout à fait le même q
étier de scaphandrier le 10 juin 1879. Au bout de quarante jours de travail , pas d'accidents ; le 20 juillet, après avoir f
ant que son état restait stationnaire, il se décide à reprendre son travail , comme moyen thérapeutique, en se comprimant à
che. Syndrome spasmodique dans la suite. Grande amélioration par le travail dans l'air comprimé. Etat du malade le 20 juill
ans l'air comprimé au mois de mai 1883. Pendant six mois environ de travail presque continuel, il n'a eu aucun accident. Ce
in de la quatrième semaine de son accident. Aussitôt il reprend son travail comme traitement et fait tous les jours quatre
ent, il se décide à faciliter cette tendance à la guéri- son par le travail dans l'air comprimé, en faisant quatre à cinq i
/<em6H<)'eogt'MS : t)e. Guérison survenue dans un mois par le travail dans l'air comprimé. Plusieurs accidents de par
164 CLINIQUE NERVEUSE. héréditaires ou personnels, a commencé le travail dans l'air com- primé au mois de mai 1871, il a
utre symptôme quel qu'il fût; le jour suivant, cet homme reprit son travail dans l'air comprimé, mais il n'a pas eu la chance
engagé volontaire dans l'armée, car il n'a pas voulu continuer son travail dans l'air comprimé. Pour compléter le traiteme
e 15 mai 1872. Le 15 juillet, c'est-à-dire après deux mois juste de travail , il était descendu à une profondeur de 23 brass
sions a été faite antérieurement sans suite ; mêmes condi- tions de travail . Symptômes d'invasion : troubles respiratoires ;
à travailler dans l'air comprimé en 1879, et pendant quatre ans de travail régulier, il n'a eu aucun accident sérieux, sau
tions qui les ont occasionnées. Cet homme, alors effrayé, cesse son travail pendant une année environ. Au commencement du p
ersion. 4 immersions précédentes sans accident. Les condi- tions du travail de la cinquième immersion étaient parfaitement le
ui sont restées sans effet. Le 18 mai, ce scaphandrier a repris son travail avec imprudence, en faisant des immersions de 2
uis- sance génitale persistait complète. - Le malade continue son travail pendant les mois de juillet et d'août suivants,
successives sans accident. Il ne peut appré- cier les conditions du travail de ces immersions. Comme il n'a- vait pas encor
e la sensibilité au membre droit. Troubles urinaires. Trwi- tement, travail dans l'air comprimé, application des pointes de
cet homme commet des excès d'alcool depuis qu'il s'est livré aux travaux sous-marins. Il avait eu, avant l'accident, penda
nvolutions fron- tales. MM. Charcot et Pitres dans leur plus récent travail , ont cependant placé avec Nothnagel le pied des
. Traduit et annoté par Kéraval. Paris, 1885. 3 Meynert. Voir les travaux de Meynert complètement exposés en fran- çais d
. Th. Paris, 187 i. 3 Carville et Duret. Critique expérimentale des travaux deFritsch, Hit- zig et Ferrier (Soc. de biologi
u de toute cause de que- relle. M. Echeverria a lui-môme résumé son travail dans les conclusions suivantes : « Il n'exist
emblera soudaine, spontanée, alors qu'elle aura été préparée par un travail antérieur de plusieurs an- nées. Si l'aliéné en
large mesure pour les individus dépourvus d'initiative , inaptes au travail , qui, à l'asile , s'abrutissent toute la journée,
r , un far-niente interminable, indisciplinés, dépités et butés. Le travail agricole devient lui-même impuissant à leur éga
EHR senior. Cette séance, de fin d'année, s'ouvre par le résumé des travaux de la Société et le renouvellement du bureau. P
MENDEL. Un cas de folie gémellaire. A propos d'un cas em- prunté au travail de M. Euphrat, l'orateur communique unie observ
et très accidentée (voyages aux colonies), d'excès d'opium, et d'un travail excessif, prit, par prescription médicale, pour c
vomissements, excitabilité, dépression, tristesse, incapa- cité au travail , hébétude, allure enfantine timorée et penaude.
hyde, il fournit quelques renseignements : sa mémoire est bonne, le travail physique ou intellectuel l'épuisé vite, il n'a
. Le maximum des points sera de 30 ; 4° Une épreuve sur titres. Les travaux scientifiques antérieurs des candidats seront e
l historique, nous devons toutefois rap- peler un certain nombre de travaux qui nous sug- gèrent quelques critiques. Jusqu'
un fait du même genre '. Nous avons essayé de montrer dans un autre travail 2, que ces épidémies ne sauraient germer ailleu
re à l'édification duquel chacun ap- porte une part égale. C'est un travail en commun; il y a une émulation réciproque; l'u
t d'une façon très irrégulière, et seu- lement quand elle manque de travail . Sur cet état mental se sont greffés des syndro
cutions commence pour elle. On la tourmente, on lui nuit dans son travail , on l'empêche de gagner sa vie, on lui cherche no
t se trouvait en rétrogression fort avancée et qui avait repris son travail , survien- nent quatre nouveaux accidents parapl
te des pieds, anesthésie en plaques, signe de Romberg. Traitement : travail dans l'air comprimé, pointes de feu, seigle erg
de syphilis, pas d'alcoolisme, pas d'impaludisme. Il a commencé le travail dans l'air comprimé l'été de 1877 ; dès lors, il
paraissent t se faire régulièrement. Nous lui avons ordonné : l°le travail dans l'air comprimé dans les conditions que nou
syphilis. Pas d'impa- ludisme. Pas d'alcoolisme. Il a commencé son travail de scaphan- drier l'été de 1883. 11 a très régu
r, il descend pour la quatrième fois dans les mêmes condi- tions de travail . Il n'est pas sans intérêt de remarquer que ce
n a fait encore quelques progrès, mais le malade ayant continué son travail sans aucune prudence, s'étant adonné à la boiss
hydromyélie et les cavités formées par d'autres voies. Dans le même travail , nous avons indiqué ce fait, que parmi les dive
ne fût-ce que d'une seule autopsie, je considérerai le but de mon travail comme complètement atteint. DE 1.'ÉPILGPSII, PR
la glande thyroïde qui, ainsi que nous l'avons démontré dans notre travail avec M. Bricon, parait être la caractéristique
ts de la molilité prco ou post-hémiplégiques qu'on l'a observé. Les travaux d'IIublin : s Jackson, 1'ilrclc, Bouchard, Charco
d'Gsmarch.) C. une observation de crampe par excès de fatigue et de travail dans le domaine des nerfs médian et du cubital
11111. Nasse, HERTZ, Ripping. M. Finkelnburg lit un rapport sur les travaux de la commission choisie par la Société dans sa
honorable collègue M. Magnin au Corps législatif; en 4871, dans les travaux de la Société de législation comparée; en 1872,
jour pour les placements définitifs. Or, une pareille oeuvre, un travail aussi gigantesque est absolument impossible dans
disait lui-même tout à l'heure que les chambres du conseil et leur travail sera, par cela même, ajoutait-il, moins considé
articulières; par M. Bigorre. Th., Paris, 1887. Il s'agit dans ce travail d'un résumé succinct et incomplet des connaissa
crétaire général adjoint de la Société d'anthropologie de Paris. Ce travail , dédié au professeur Mathias Duval, constitue u
l'alcool n'est-il pas le génie delà dégénérescence ? » Le reste du travail de M. Combomalle est con- sacré à l'étude des s
486 VARIA. danls est une des parties les plus intéressantes de ce travail . L'au- teur y donne des observations d'idiotie,
tante de la responsabilité des aliénés. - On lira avec intérêt ce travail riche en bibliographie et où l'au- teur, à côté
les secours, grâce auxquels tout danger disparut après une heure de travail . Seuls la grange et le foin furent détruits. (La
38 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
mey se donna tout entier, des lors, aux questions d'enseignement. Les travaux qu'il fit paraitre à ce sujet méritent d'être cit
s prospère. Le nombre de nos collègues ne cesse de s'accroître et les travaux de la Société sont de plus en plus suivis. Le D
'observation et le bon sens. Notre rôle est de nous inspirer de leurs travaux sur le traitement médico-pédagogique. Grâce à l
e faire de fautes d'orthographe. Dès que l'adolescent se livre à un travail , si minime soit-il, une récompense doit lui être
mpose à la multitude l'ordre, la probité, la propreté, la justice, le travail , voilà ce qui est indispensable dans un établisse
er son existence, tout au moins de rendre service à la société par un travail en commun dans une colonie d'adultes. On favorise
a symétrie, de l'harmonie des lignes absolument comme le dessin. Le travail , couture, nettoyage, jardinage, serrurerie, vanne
peut mettre obstacle à l'accomplissement des actes de la vie sociale, travail , mariage, etc. Des établissements reçoivent et
grands hommes, justement honorés pour leurs découvertes et pour leurs travaux . Quelques-uns ont leur statue sur la place publiq
tabilité, de la turbulence et de l'irrégularité dans l'application au travail . Seul un médecin compétent est qualifié pour po
onnaîtra les principes de l'adaptation de l'organisme de l'enfant. au travail et à la vie. M. Baguer, directeur de l'Instit
t départemental des sourds-muets. — J'ai collaboré avec assiduité aux travaux de la commission des enfants anormaux constituée
aître peut arriver quand il juge un enfant d'après son application au travail pour lui donner des notes scolaires. Récemment un
nt des sciences se tiendra à Reims, du 1er août au 7 août 1907. Les travaux de la section (pédagogie et enseignement) auront
paresse et la mollesse chez l'enfant — L'adaptation de l'organisme au travail : Rapporteurs : Dr Witry (de Trêves) et Dr Bérill
esseur spécial d'agriculture à Reims. Dans l'après-midi, à 1 h. 1/2 : Travaux de la section et visites scientifiques. Le soir
rmale de Bar-le-Duc : Le rôle de l'alimentation dans la production du travail scolaire. M. Quinque, directeur de l'Etablissem
recteur de l'Etablissement médico-pédagogique de Créteil (Seine) : Le travail manuel dans l'éducation des arriérés. M. Desnoy
tant. — Les membres de l'enseignement sont invités à collaborer aux travaux de la section. Il n'est pas nécessaire d'être mem
ortant. — Les membres de l'enseignement sont invités à collaborer aux travaux de la section. Il n'est pas nécessaire d'être mem
à la brillante pléiade des médecins psychologues qui, s'inspirant des travaux du maître Liébcault, se sont adonnés à l'enseigne
r des lignes que l'enfant aveugle peut associer lui-même. C'est là un travail psychique qui développe l'adresse de sa main, éve
es disparait. Seules restent les secousses dans le ventre. Dans les travaux de Bouchacourt (de Lyon), et de Spencer Wells on
de ses amis les plus dévoués. Nous avions publié de lui, en 1896, un travail d'une haute valeur intitulé Expériences sur les r
ésentée par six de ses membres. Parmi les personnes qui ont suivi les travaux de la Section.nous pouvons mentionner M. Lefèvre,
Congrès de l'Association française a pris l'habitude de couronner ses travaux par un banquet dans lequel se groupent amicalemen
rend justice à l'élévation et au tact avec lesquels il a conduit les travaux du Congrès et demande trois hourras en son honneu
Je lui fais une sage répartition de sa journée, fixant les heures du travail et du repos, celles de la récréation, l'heure du
lever et celle du coucher, les moments des repas, faisant la part du travail intellectuel et de l'exercice musculaire. Redou
s des classes. Elles sont dressées surtout au ménage. Un atelier de travail manuel avec établis de menuisier et tours mus par
e développer son attention. II n'y a point de punition. Les heures de travail ne sont pas uniformément reparties. Il n'y a pas
imum la somme disponible d'intelligence de l'enfant, lui apprendre un travail manuel, le préparer si possible à la vie sociale
s le manche après la cognée, en se jugeant a priori incapable de tout travail , de toute initiative personnelle. Et c'est là u
en somnambulisme provoqué. 11 n'y a rien là qui puisse étonner ; les travaux de M. Janet, entre autres,ont nettement démontré
bien rare qu'on s'en préoccupe. M. le Dr Stigter (de Leyde), dans un travail publié tout récemment par le Nederlandsch Tijdsch
Stockholm, lorsqu'il commença à s'occuper d'hypnotisme. Dans tous ses travaux , il s'est appuyé sur la base solide de l'observat
il a contribué au développement de la science médicale et ce sont ces travaux spéciaux qui porteront son nom à la postérité. Il
xprimée par sa théorie bien connue du sommeil prolongé. a Un de ses travaux les plus connus : « L'hypnotisme et ses applicati
es psychologiques, je citerai, en première ligne, le très remarquable travail de M. le professeur Régis (de Bordeaux) sur la* P
dans le prétoire ? C'est véritablement le triomphe de la division du travail . On pourra vous demander à quels caractères vous
Il l'invite à exercer graduellement son activité, à entreprendre des travaux d'une longueur et d'une difficulté croissantes, à
dmirablement organisée, et dont l'arrangement reproduit le cabinet de travail de Charcot, la possibilité de poursuivre les étud
situation, c'est que les professeurs imposent à leurs élèves tant de travaux à domicile, que les jeunes gens consciencieux son
uence, le fonctionnement du système nerveux lui-même, et notamment le travail cérébral et la faculté d'attention, sont considér
à une mesure trop naive et qui ferait plus de mal que de bien, car un travail physique, joint à un surmenage intellectuel, loin
c alléger les programmes déjà trop encombrés, supprimer une partie du travail intellectuel et y substituer un exercice physique
ant de sa propre défaite que de ruiner sa constitution par l'excès de travail intellectuel. « La volonté forte, l'infatigable
s enfants doivent-ils faire chaque jour des exercices physiques et un travail manuel. On en sent le besoin pour donner de l
M. le D' Van Renterghem (d'Amsterdam). M. le Dr Bérillon résume les travaux présentés à la section de pédagogie qu'il a prési
se, tenu à Genève et Lausanne en août 1907, dépose un rapport sur les travaux du congrès et, en particulier, sur le vœu qu'y a
25 octobre 1886, à la Société médico-psychologique ('), à propos d'un travail sur la suggestion etl'action des médicaments à di
hardière. III. Laboratoire de psychologie expérimentale. Chef des travaux : D' BéniLLoif, D' BiaKCUï. IV. Laboratoire de
Loif, D' BiaKCUï. IV. Laboratoire de psychologie comparée. Chef des travaux : MM. Lépisay et Grollet, médecins-vétérinaires.
t Grollet, médecins-vétérinaires. V. Education physique. Chef des travaux : M. Gösset. VI. Musée de psychologie. Confér
étérinaires trouvent un terrain d'union, favorable à l'étude de leurs travaux communs, l'idée d'Henri Bouley est en partie réal
J'ai un ami qui s'imagina être vieux à 50 ans ; il se retira de tout travail actif, et commença en effet à se courber, à march
t être « Jeunesse perpétuelle » et « Travaille aussi longtemps que le travail est une joie pour le cœur ». Henry Gaze est un
pouce ; malgré cette infirmité, la malade peut écrire et exécuter les travaux manuels courants. Les organes internes ne présent
e, Nous ne présentons pas cette communication ou plus exactement ce travail récapitulatif comme une question nouvelle. Vous s
ement désirables. Nous allons nous y appliquer maintenant et dans des travaux ultérieurs. Pourquoi les animaux pris en général,
es enveloppes fœtales : cet instinct a été étudié depuis peu dans des travaux sur la placentophagie observée même dans l'espèce
l dit à l'enfant : « Fais ton devoir, tu as assez joué, mets-toi au travail , étudie, il faut étudier, c'est le moment de trav
l, étudie, il faut étudier, c'est le moment de travailler,mets-loi au travail , allons, vas à l'étude, vas â la table de travail
vailler,mets-loi au travail, allons, vas à l'étude, vas â la table de travail , prends tes livres, prends tesplumes et tes crayo
vingt suggestions ou de suggestions plus nombreuses encore se met au travail et fait son devoir. Ce qu'une suggestion n'a pu
uto-suggestion, et los pensées que cette pratique a fait naître. Ce travail est divisé en trois parties. Dans la première p
e rarement me poursuivre. Et cependant je la remplace toujours par le travail . Il existe des degrés dans la passion, et j'ai
pression est grandie, augmentée, multipliée considérablement grâce au travail de l'auto-suggestion naturelle et spontanée. Ce
ur à Reykjavik (Islande) ; M. Vernier, chef du cabinet du ministre du Travail ;M. Deniel, ingénieur des Ponts et chaussées ; Mm
assionnent. Qu'il me suffise de citer, pour mémoire, ses remarquables travaux sur le tic mental et la discipline psycho-motrice
homme doit aimer la femme, c'est la loi de l'humanité. Toutefois le travail de l'intelligence exige la chasteté, la continenc
tinence ; et dans un autre ordre d'idées, la sobriété, le jeûne. Le travail de l'intelligence exige une grande sommedauto-sug
passion naturelle et héréditaire depuis toujours est plus fort que le travail de l'intelligence, plus récent en date dans l'hér
gence, plus récent en date dans l'hérédité. L'homme qui s'adonne au travail de l'intelligence et qui le désire par- fait
. Pour cela l'homme travaille tous les jours. Il gagne sa vie. Ce travail quotidien lui assure toute l'année les vivres néc
'homme doit savoir se servir des aliments. L'homme qui s'adonne aux travaux de l'intelligence doit surveiller son alimentatio
son adversaire, c'est le cerveau qui fonctionne et qui travaille. Le travail de la digestion est alors troublé, il s'arrête ou
rs troublé, il s'arrête ou bien il se fait d'une façon imparfaite. Le travail cérébral ayant accaparé toutes les forces disponi
tion un nombre d'heures suffisant. Puis il réservera au cerveau et au travail de la pensée les heures rendues libres. Il devr
mandent à l'estomac un effort des plus restreints. De la sorte le travail cérébral pourra être librement exécuté pendant •
miner certains aliments qui sont indigestes pour le savant adonné aux travaux intellectuels, non pour le paysan et l'ouvrier qu
e la pensée il faut jeûner, et demander à l'antagoniste du cerveau le travail le plus restreint possible. Il faut une bonne s
les tuberculeux ne peuvent pas jeûner. Toutefois le tuberculeux a Je travail cérébral facile car la déperdition d'éléments occ
riser le repos. Si les forces de l'organisme sont accaparées par un travail musculaire, par une marche, serait-elle agréable,
erait-elle agréable, les forces ne peuvent plus être utilisées par le travail cérébral, pour la production de l'intelligence.
travail cérébral, pour la production de l'intelligence. Pour que le travail de la pensée soit le plus parfait possible. Il fa
égrité absolue. La moindre fatigue porte préjudice à la perfection du travail cérébral. La sagesse conseille de se coucher de
des Hébreux. Toutefois, d'après le Dr W. Wulfing-Luer, à l'excellent travail duquel nous empruntons ces données ('), on trouve
respectueux sentiments. Emile Bocquillon Instituteur • Dans un travail paru en 1892 dans la Reuue de l'Hypnotisme sous l
des aliénistes et neurologistes tenu à Genève-Lausanne, a terminé ses travaux par l'adoption, à une faible majorité, d'un vœu f
e * Un des effets inattendus de la loi de 1898 sur les accidents du travail a été d'enrichir le dictionnaire médical d'un nou
mparait de l'ouvrier accidenté, que tout accident survenu au cours du travail constitue un dommage comportant réparation. » I
s que pour les incapacités qui sont la suite directe d'un accident du travail ; Attendu que l'incapacité dont l'ouvrier parai
l'hystérie n'a réellement commencé, je vous le rappelle, qu'avec les travaux de Brodie en Angleterre, de Briquet en France ; v
, médecin-inspecteur des asiles d'aliénés (suite) () Tandis que des travaux importants, au premier rang desquels il faut cite
psychiques de Marseille, Verdier, sous-chef du Cabinet du Ministre du Travail . Ces candidatures sont adoptées à l'unanimité. •
a production d'impulsions, d'idées et de phobies obsédantes. Dans son travail « Les sensations externes et internes ; leur infl
er ses aspirations sont revenus. La malade a récupéré son aptitude au travail intellectuel ; elle peut suivre les cours, sans é
erte par mon ami M. Smirnoff, connu pour se3 voyages en Orient et ses travaux scientifiques. D'un de ses voyages au Turkestan,
et elles ont été adoptées, de nos jours, par M. Binet-Sanglé dont les travaux , sur ce sujet, font autorité. CHRONIQUE ET CORR
i, en suggestion à l'état de veille et l'hypnotisme dont ses premiers travaux semblaient exagérer les bienfaits n'existe plus.
us insuggestibles qui se puissent rencontrer. Quoi qu'il en soit,'les travaux de M. Babinski n'en ont pas moins le très grand m
isaient aux hébreux d'accomplir, le jour du sabbat, certains actes ou travaux ; mais le Christ guérissait au jour du sabbat. Là
t grâce à l'enseignement de M. Miinch de Kieff, (mon oncle), et à ses travaux que je puis me permettre, moi, naturaliste adonné
e des superstitions et des préjugés. Us exercent • (1) IV* volume des Travaux de la Société des Naturalistes à Saratoff. su
1908. — La guérison persiste. La malade a repris, depuis janvier, son travail . Cette observation est des plus instructives. Ell
de, il insiste sur une bonne nourriture, une meilleure répartition du travail et du repos, l'administration de la lécithine, de
nt), j'ai l'honneur de vous demander de vouloir bien participer à nos travaux . Les questions suivantes, inspirées par le souci
lle montre combien l'observation des malades s'éclaire de par les travaux des psychologues, et il faut l'avouer, c'est là u
cette série d'hypothèses si ingénieusement enchaînées et termine son travail par cette conclusion peut-être très philosophique
ons fondamentales de la production de l'hypnose. A propos du récent travail du professeur Brissaud sur la sinistrose et pour
e. Éveillée ensuite, elle était, par les soins de M. Gosset, chef des travaux mécanothérapiques de la Clinique, soumise pendant
39 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sique, il avait un bec de lièvre qui nécessita deux opérations. Son travail l'obli- geait il de fréquentes et plus ou moins
e du regard ; Par le prof. W. nECIITETOE\Y, Dernièrement, dans un travail intitulé : La phobie du regard, le Dr Ilartenbe
quelques années ; néanmoins, l'auteur n'en dit pas un mot dans son travail . En 1899. j'avais décrit un cas de sourire impo
rd d'autrui ; celle-ci augmentait toujours et rendit il la fin tout travail intel- leclucl il l'Université tout à l'ait imp
mystérieux', la constance du caractère el la persévé- rance dans le travail , et à cùlé de cela l'indécision et la douceur.
e personne de Hongrie bien- tôt après la publication de mon premier travail sur la phobie du regard écrite en allemand, «
ns un journal de Budapest, â paru aujourd'hui un article sur "votre travail de la phobie du regard tl'aulrui. Ces lignes m'
xemple, dans notre deuxième cas pour la- quelle j'avais consacré un travail spC·cial(1), et avec le sourire imposé, que j'a
fs qui vculent bien les associer dans une très large mesure à leurs travaux et à leur labeur administratif. Mais encore un
mener quelques aliénés étrangers. BIBLIOGRAPHIE. 57 Le produit du travail des aliénés a été évalué à 17.980 fr., la journ
uit du travail des aliénés a été évalué à 17.980 fr., la journée de travail est payée de 50 à GO centimes. La dépense pour
algré une santé chancelante, passait son temps entre son cabinet de travail etson jardin. L'usage despurgatifs est à recomm
rénales. Ce sont 72 CORRESPONDANCE. des infirmes, incapables d'un travail régulicret sujets à une mor- talité considérabl
journée ; 5° la nécessité de . substituer les moyens mécaniques au travail manuel dans les - services généraux. ~ R. LEROY
ruté sans concours, et c'est fort heureux, car le concours, avec le travail qu'il demande et les hasards qui l'accompagnent
eue ae cnn ? par tuberculose sacrée ; Par le D' ITALO BOSS ! . ( Travail du Laboratoire de la Clinique du Pr R.muow.) Da
publié en 1901 par Cestan et Ba- bonneix (2). Bartels (3) dans son travail paru en 1903 sur les lésions de la queue de che
cines. C'est donc avec raison que Bartels, dans son re- marquable travail , dit que l'anatomie pathologique de la lésion d
6 sur Neur. und Psyschiatrie, 1901, 497.) 84 CLINIQUE NERVEUSE. travaux cités plus haut, sur la possibilité de la tubercu
quent par moments ; il est forcé de faire effort pour continuer son travail , puis apparaissent des sueurs fréquentes et un
ne riche bibliogra- phie. De nos jours, Charrin (4), répondant au travail de Grilli, qui nie la fréquence des lésions hép
nés, puis Klippel (5).Joffroy (6), Léopold Lévy (7), ont publié des travaux avec observations, qui concluent à un rapport e
ls sont également étudiés par cer- tains auteurs. Sans remonter aux travaux des anciens, (1) Fauconeau-Dufuesne. Nouvelles
ux, amené cette prostration, cet aspect quasi-comateux. » Dans un travail consciencieux de Cullere, nous trou- vons deux
herches de laboratoire, de l'anatomo- pathologie, manquaient il ces travaux . Une théorie ne vaut qu'autant qu'elle repose s
IOLOGIE PATHOLOGIQUES 113 Vingt et une observations accompagnent ce travail qui a le «rand mérite d'attirer l'attention des
e pousser à se contracter se contracte déjà régulièrement pour tout travail exigeant la vision de près. Ce mécanisme inap
; par G. VoLpi-GniRARDiN;. f11'ermn- log. Centralbl. XXIV, 1905.) Travail accompagné de belles figures dont l'auteur conclu
. Centralbl., XXIV, 1906.) Etude détaillée de 3 observations et des travaux des auteurs. 1. Les troubles de la sensibilit
RT Robin. Les bons et les mauvais simulateurs dans les accidents du travail . M. A. GOURT.1ULT. - Depuis l'application de la
de la loi du 9 avril 1898, les prétendus invalides ou estropiés du travail sont nom- breux ; pour obtenir une indemnité, c
au 31 décem- bre 1904 : 144 bibliographie. se sont occupées de travaux manuels ; la plupart peuvent s'y li- vrer et c'
est l'enseignement qui donne les meilleurs résultats d'ensemble. Le travail manuel est entrecoupé de chants, de réci-, 1 ta
ention spéciale ceux de MM. Marie, Colin, Picqué et Gourneville. Le travail de M. Marie concerne la convalescence des alién
inis- tère de l'Intérieur, délégué parle ministre pour suivre les travaux du congrès ; A. Giraud, de Saint-Yon, pré- side
anger, et qui ont pour but de se communiquer le résultai de leurs travaux , de joindre leurs efforts pour combattre le plus
voir chez nous les amis de la science et de l'humanité. « Que vos travaux , messieurs, soient féconds, et si de votre séjo
alisme provincial. L'après-midi de ce même jour vit commencer les travaux du Congrès dans le grand amphithéâtre du P. C.
.lliénistes. Dès le lendemain matin, les congressistes étaient au travail dans l'amphithéâtre du P. C. N., la Faculté des
, avec quelque précision, Pierre Roy oppose les observations et les travaux des deux auteurs qui lui semblent représenter a
gumentaires, déterminées pour chaque organe grâce aux nom- breux travaux antérieurs de Ilead. Cette douleur viscérale ré
re de documents cliniques et anatomo-pathologiques. En dehors des travaux de Ilead, beaucoup d'observations confirment qu
ce qui caractérise l'hypochondrie, c'est l'algie. Les accidentés du travail qui présentent ce manque de sécurité, à la suit
s abstenu de publier foules mes observations personnelles dans un travail d'ensemhlc,me contentant de les donnera mes élè-
s il faut, comme- je n'ai cessé de le répéter dans mes pré- cédents travaux , une union intime entre le psychiatre et le chi
port. Il se défend d'avoir voulu donner une importance exagérée aux travaux de Dubois (de Berne) et de Henry Ilead. Il a si
r avee elle, dans leurs rapports médico-légaux sur les accidents du travail . Diagnostic Le diagnostic ne devra être fait qu
ascendante au point de vue de la loi de 18'JS sur les accidents du travail . Voilà une maladie qui aboutit générale- ment,
n médico-pédagogique a été inu- tile ; il en a été de même pour les travaux d'intérieur ou de la culture. Le malade meurt à
général et des aliénistes,en particulier, le rapporteur résume son travail en ces conclusions : 139LN1 : 01 ? lÉR PI ET HY
a surface cutanée et le débit sanguin à la périphérie qui dépend du travail du coeur. , Or, ce travail du coeur varie dan
sanguin à la périphérie qui dépend du travail du coeur. , Or, ce travail du coeur varie dans de très grandes propor- tio
1\D1.1cs D". A. DUROCHER et A. LEBORGNE (de Rennes).-Au début de ce travail , nous admettrons tout d'abord, avec notre maîtr
imples, appellent la solution de la question de l'orga- nisation du travail des aliénés adultes valides placés en fa- mille
dient,par comparaison avec les pratiques étrangères, le contrôle du travail au profit des nourriciers et sa rétribution, la
travail au profit des nourriciers et sa rétribution, la question du travail pour et par l'administration de la Co- lonie, a
uco passe en revue tout ce qui augmente la capa- cité du cerveau au travail , le sommeil réglé, le régime alimen- taire, l'a
des quatre humeurs. En- treprise hardie, presque surhumaine, car le travail de démo- lition demandait plus de courage et d'
pleine et entière, tant qu'il ne cause ni désordre ni scandale ; le travail du ma- lade n'est pas forcé. La surveillance of
le Dr L. L'IloEST, médecin en chef de l'Asile Sainte-Agathe. Les travaux du Congrès comprennent deux parties : 10 Rappor
ons choisies pour la session de 1905, sont : .' a) Psychiatrie : Le travail considéré comme moyen thérapeuti- que. Rapporte
té. Peu à peu la ma- lade redevient capable de se livrer à quelques travaux d'aiguille, mais continue à marmotter des parol
ransformation corporelle. Quelle a été l'origine de ces idées ? Les travaux de Wernicke, de Storch, de O. Foerster, auxquel
roubles psychiques de l'influenza ont été étudiés. Citons parmi les travaux les plus importants sur le sujet, ceux de Kroep
ontaine lcg.9cS), etc. Il résulte de leurs observations et de leurs travaux , très concordants, que la psychose de la conval
ahrg1893-4, 20 avril z4. Nous n'avons pu nous procu- rer ce dernier travail dont nous avons eu connaissance par l'art. Cerv
moteurs, car notre conception toute schématique de la division du travail nerveux en énergie de sensation et énergie de m
e entre les états de veille et de sommeil (1). Toutes ces (1) Les travaux épars dans la littérature scientifique ont été re
u'il mosoit per- mis de remercier ici M. le D' Vurpas, auteur de ce travail , pour sa complaisance il reprendre devant moi l
la topographie des centres de la moelle. Les divers auteurs de ces travaux , sont d'accord sur les localisations, sauf quel
, entrer dans certains développements qui ont nuià l'unité, de ce travail . Rappelons donc les principaux points qui nous
Y. (Journ, de Neurologie), 1904. lie 20.) L'auteur relaie dans ce travail les observations de quatre en- fants âgés de l
use et très complète dans laquelle une large place est réservée aux travaux des anciens : de Strambio, Nardi, Venturi, Land
pti- REVUE DE pathologie nerveuse. 321 ques. De l'ensemble de ces travaux se dégage une conclusion gé- nérale, c'est que,
'être appris. Mais si te cerveau se livre aussitôt après à un autre travail le jeu desopé- revue d'anatomie ET de PHYSIOLOG
èrent que pendant quelques minutes. ' Quand Kroepelin avance que le travail est facilité par un tra- vail antécédent (c'est
mpressionné le cerveau, la mise en train ou stimulus exercé par les travaux simples suivis, cesse au bout de 5 à 10 minutes.
de 5 à 10 minutes. Il semble même que le stimulus déterminé par un travail disparaît, a l'égal de l'adhérence des idées, s
a l'égal de l'adhérence des idées, sous l'influence d'un nouveau travail . La tendance à la répétition ou iL la résurrect
s corticales et dont l'activité mentale est vive, la préparation au travail par un travail simple peut être d'une très rapi
dont l'activité mentale est vive, la préparation au travail par un travail simple peut être d'une très rapide efficacité.
ntes, plus, par la persévérance des mécanismes intra- corticaux, le travail des additions il venir est assuré.- C'est juste-
essus moléculaires corrélatifs, il faut nous attendre à ce que tout travail d'entraînement préparatoire puisse soit arrêter s
l d'entraînement préparatoire puisse soit arrêter soit faciliter le travail suivant, selon que ce dernier utilisera ou non
e qui permet à nos sortants de vivre quelques jours en cherchant du travail ». Dans notre service d'enfants, pour une autre
sans motif. Juin. L'enfant apporte de moins en moins de goût au travail . Il devient niais dans ses conversations. Il dema
g., 4 ccnt.; circonf., (i. Testicules toujours à l'anneau. Juin. Le travail devient du plus un plus mauvais en classe el la
ononcé. Le corps s'incline de plus en plus, D..., incapable de tout travail , n'arrive plus à reconnaî- tre ni son chemin, n
e époque, il eut de violents maux de tèle et per- dit l'aptitude au travail . Il avait de l'insomnie et manquait d'ap- pétit
se passa vite également, F... fut rendu àla liberté. Il reprend son travail jusqu'au 31 décembre duo-2. Le soir, en rentrant,
une grande activité musculaire, en sont généralement exempts. Les travaux proprementdils du Congres ont occupé quatre séa
celle du - Sens DE la douleur sur laquelle Mlle -OTFYl0, chef des travaux du laboratoire de psycho-physiologie do l'Unive
s deux avant pour sur stratum l'ébranlement des mêmes centres. Le travail dans la thérapeutique des maladies mentales. Te
t préoccupés d'a- llIéliorcr le sort de l'aliéné ont soutenu que le travail était le moyen le plus sûr de détourner son esp
peuvent lui être utiles (Griesinger). M. Cuylitz admet bien que le travail déplace l'attention et la fixe ailleurs, mais c
, que les maladies mentales soient heureusement influen- cées parle travail physique ou psychique. Le travail ne peut 1 pré
heureusement influen- cées parle travail physique ou psychique. Le travail ne peut 1 prétendre du'il être un moyen de dist
' '1 Kn tout cas, la conclusion formelle du rapporteur est que le travail , quel qu'il soit, ne doit être considéré que comm
se plaçant il des points de vue dix ers, l'heureuse in- fluence du travail , physique ou intellectuel dans le traitement de
avancer en disant qu'après comme avant le rapport de M. Cuylitz, le travail , physique du moins, continuera vraisemblablemen
pensionnaires, et qui.s'ils n'établissent pas l'action curative du travail sur les maladies mentales, semblent du moins pr
suffrages. A la vérité il existait bien quelques omissions dans le travail de M. de Buck et, M. SA13RAZI,S (de Bordeaux) n
sition du rapporteur (moins de trois mois) pour mener 1\ bien son travail . Le co-rapporteur, ,\1. lleo, a fait connaître
, aux dépens de leurs patrons. Toutes les victimes d'accidents du travail ne simulent pas, le plus grand nombre exagèrent
ent aux ouvriers qui intentent des procès pour cause d'accidents de travail à tirer le meilleur parli de leurs blessures. D
e très nerveuse, mais en aucune façon hys- térique ou irritable. Le travail ne fut pas particulièrement labo- 1-ietil; ; ma
Ces spasmes, qui naissent soif spontanément, soit lorsqu'il fait un travail un peu minutieux, comme rouler une cigarette, a
ux ans', dans l'aggravai ion certaine due à la reprise immédiate du travail et à la fatigue (le malade reprit son travail l
reprise immédiate du travail et à la fatigue (le malade reprit son travail le lendemain du traumatisme et le poursuivit pend
diographies, coupes histologiques). servent de hase à cet important travail qui intéressera non seulement les médecins, mai
t ce qui regarde, par exemple, 1 amnésie, laconfabulation etc., aux travaux de lIonhoen'el', llé- ntallt, Pichet Meisser. D
, se ren- dait avec ses deux filles, Antoinette et Joséphine, à des travaux des champs. Au passage à niveau, les deux femme
M. BOURNEVILLE. Visite du service (gJI1na : ;lique, danse, fanfare, travail manuel, écoles, musées) et présentation de mala
s survenant au cours du mal de Pott ; l'Ail le D' 1T.\LO HüSS1 ( Travail du Laboratoire de la Clinique de M. le Prof. R m'
ur des constatations anatomo-pathologiques,d'autresrésul- tent de travaux expérimentaux, d'autres encore sont dé- duites
des altérations médul- laires que nous voulons étudier. Jusqu'aux travaux de Michaud, en 1871,on recherchait la cause des
urement mécanique d'Ollivicr et Louis, succédait, en 1871, avec les travaux de Michaud,la théo- rie inflammatoire.' Déjà Ec
paraplégie. Mi- chaud (4), CImRCOr (6) sous la direction duquel ses travaux ont été faits, ne nient pas d'une façon absolue
cet au- leur, publiés par Redakd et autres. Dans son remarquable travail . Tillmanns attire encore l'attention sur une autr
KnASKE (/. c.)dans 5 sur 14, Chipault(7. c.) dans 2 sur 5, dans le travail de 1 lc.rLu (/. c.) on la trouve mention- née d
mal de Pott soit extrêmement rare, le fait est prouvé ; depuis les travaux de Schmaus, j'ai pu en relever seule- ment deux
es suivantes : Pal, Clieson, Marchi, hématéine-éosine, Nissl. Notre travail se limitant à l'étude anatomo-pathologique delà
. '1 Le sang dans l'acromégalie et le gigantisme (.1 1)-OI)OS du travail de -Il. le D Sa7W1'J'ap/lOS) ; Par le D A. MARI
dant de la Société de Médecine de Paris, a envoyé à la Société un travail original sur un cas d'acromégalie avec gigan- t
int de vue de l'état du sang. La Société m'a chargé de résumer le travail de notre correspondant et d'en présenter l'anal
conclusions contraires m'eussent été d'autant plus agréables quece travail a été fait au laboratoire d'anatomie pathologiq
mes anormales qui sont des formes (1) Il n'est question ici que des travaux postérieurs aux miens. Antérieurement, il n'exi
ès commune en An- gleterre et aux Etats-Unis. Voici la liste de nos travaux sur cette maladie : Courneville. Art. dans Tr
1905. Dans ces diverses publications, nous avons indi- qué tous les travaux étrangers relatifs au mongolisme parvenus à not
er, ASILES D'ALIENES 1. Une tentative d'analyse psychologique des travaux - manuels des aliénés, par COPORICOFF; (Nouv. I
Fursac, déjà connu par un Manuel de Psychiatrie très apprécié. Son travail est divisé en trois parties : la première const
is en 187, Pierre Roy avait de bonne heure mon- tré ses qualités de travail qui lui avaient valu les plus bril- lants succè
ales une monographie sur la Démence précoce qui fut un des premiers travaux parus en France sur cette ques- tion. Interne
landes génitales mâles et le développement du squelette ; etc. etc. travaux qu'il con- densa dans sa thèse inaugurale : Con
ulé -.Etudes biologiques sur les géants (Paris, Mas- son, 1904). Ce travail important réunissait les observations détaillée
ante-quinze géants vivants ou autopsiés. Après l'examen de tous les travaux importants sur ce sujet NÉCROLOGIE. 91 et not
é. Dupuy-Dutemps, chef du service ophtalmologique; Alquier chef des travaux d'analomie pathologique ; Iluet, chef du se ! 'vi
a- ralysie penérale. Une tenta- tive d'analyse psychologique de travaux manuels des -, par Toporkoff, p. 485. ' Altér
e, p. 157. KIIOEPI,IX. La direction des in- vestigations dans les travaux de- psychologie de -, par Weygiindt, p. 40.
n des mentales par Dide, TABLE DES MATIÈRES. Il-)09 p. `28U. Le travail dans la thérapeutique des men- tales, par Cuy
Simulateurs. Les bons et les lllf1uvais - dans les acci- dents du travail , par Cour- ta1' ! lt, p. 137. Simulation La -
40 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
NTALE Contribution à l'étude de l'oeil chez lessàiiénés 5 1 ? , Travail du laboratoire de l'asile d'Amiens Par 111JI. L
ticulièrement le champ visuel des aliénés ; tel est le but de notre travail .L'idée première nous en a été four- nie par M.
pu les diviser en champs »étrécis, élargis, et à 'oscillations. Ce travail a été divisé en deux chapitres distincts : dans
visuelles. , (11 Nous le signalons plusieurs fois au cours de notre travail . " (2) 11 ne nous a pas été donné d'examiner d'
ure. 24 août. Levée se trouve mieux, travaille. 12 sept. Rentrée du travail , parce qL'elle se sentait fatiguée. 13 sept. Mo
pagnent les ictus. Nos résultats concordent avec les conclusions du travail de MAL A. Rodiet, Dubos et P. Pansier, en ce qu
. Quant à la perception des couleurs, nous en reparlerons dans un travail d'ensemble, dont nous avons déjà les éléments,
hystériques, épileptiques et dégénérés ont suscité de très nombreux travaux . Je les ai étudiés moi-môme (1) il y a quelques
ire ici le tableau qui résumait les dévelop - pements de ce premier travail . Je rappelle que je rejetais dès cette époque,
s légendai- (1) Les citations suivantes donneront une juste idée du travail de M. Tissié : « Nous avons pris, dit l'auteur,
que E. Schultze, Donalt et Heilbronner ont fait sur ce sujet des travaux d'ensemble.Ils répètent d'ailleurs, sans mo- di
nettement les malades que nous allons (1) Le dernier en date de ces travaux allemands est d'IIeilbron- ner : Ueber Fugues u
rangères m'ont été infiniment précieuses, que j'ai pu consulter les travaux allemands, russes, etc., approchant plus ou moi
ervations de cet excellent Maître et à ses conseils précieux que ce travail a pu être mené à bonne fin. Je suis heureux de
versitoet Helsingfors, 1905.) 1 Le professeur Homen traite dans ce travail du bacillus botuli- nus ou bacille du botulisme
herches avec d'autres bactéries anaérobies. Les planches jointes au travail , et qui re- présentent à des grossissements div
La science et une vie future ; par William Graham. Janvier 1905.) Travail intéressant mais encore plus métaphysique que sci
lfred W. Campbell. (The Journal of Mental Science, Octobre 1904.) Travail intéressant accompagné de planches qu'il faudrait
., que, par contre, elle est très rare chez l'ouvrier, soumis il nu travail iiiteil. sif, lorsque ce travail est à à l'air
rare chez l'ouvrier, soumis il nu travail iiiteil. sif, lorsque ce travail est à à l'air libre. G. Deny. V. Un cas de glos
t, de Belgique, 1906, n° 125.) L'observation qui fait l'objet de ce travail est celle d'un hypochondriaque, àl'aulopsie duq
cent. (The Journal of Mental Science, avril 1904.) Le titre de ce travail peut lui servir de résumé. R.M.C. III. Les rapp
l'examen du médecin au point de vue de la direction à donner à leur travail et à leur éducation. REVUE DE THliRVPEU TIQUE.
véronal c'est que son prix est élevé. R. de Musgrave Cl.1)-. X. Le travail dans la thérapeutique des maladies mentales ; p
méd. men- tale de l3elrirue, octobre 1905). (Voir l'analyse de ce travail in Archives de Neurologie, 11 novembre I;JO,5).
W. EDRIDGE GREEN. (The Journal of Mental Science, avril 1904.) Ce travail se résume ainsi : non seulement il n'y a entre la
es sortes étaient invoquées : excès sexuels, alcoo- lisme, excès de travail physique et intellectuel, exposition au froid e
de Neurologie, 1906, no' 10 et 11.) L'auteur passe en revue dans ce travail les différents modes d'assistance qui ont été s
ction des facilités à se procurer de l'alcool pendant les heures de travail et la facilité compensatrice de substituer à l'
IIna- YEN BAIRD (The Journal oi menlal Science, juillet 1905.) Ce travail comporte les conclusions suivantes . . Il J. RE
r C. C. EASTERBROOK. (The Journal of Mental Science. Avril 1905.) Travail très étendu, très bien conduit,mais qui par sa na
cerveau, prouvant qu'ilne peut avoir d'organe de la conscience, le travail plastique du grand cerveau, les automatismes se
ampagne » : l'abstinence de boissons alcooliques y est totale ; les travaux corporels sont combinés aux intellectuels ; les
royale de médecine de f3elgidue ? Bruxelles 1906. Ce remarquable travail contribuera puissamment à éclaircir la nature,
s plus contradictoires. M. Sano fait le premier l'historique de ces travaux ; il en trouve 329 ayant trait plus ou moinsàla
l'ono[lha-' gieseule. Aucune conclusion ne peut être tirée de ces travaux . Quelle est la nature des éléments neuronophage
n du phénomène ? Pour résoudre la question, Jl.Sanu a entrepris des travaux personnels considé- rables. Nous ne pouvons rep
n jour scientifique Le mémoire se termine par l'énumération des 329 travaux retrouvés par M.Sanoetpar 13 ligures coloriées.
, mais sans cesse ajournée, se trouvait inscrite tout en tête des travaux de l'Assemblée, et sa discussion était annon- c
loi Dubief en 1907, et c'est ce qui m'a décidé à entre- prendre ce travail critique, que je remercie vivement ici M. Bourn
, ou presque. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE X. A propos ds récents travaux sur l'auscultation du muscle dans les paralysie
n" 14.) L'auteur attire l'attention, dans celle noie, sur un récent travail de Link qui eo'ouscullanlle muscle ,Ion.; diver
onclure que le relèvement des salaires, la diminution des heures de travail , l'augmentation du loisir s'accompagnent d'un acc
H. B. STOV - DABT. (The Journal ot Mental Science, octobre 1904.) Travail interressant accompagné de figures et de schémas
e paralysie générale peut-être créée ou hâtée par un accident du' travail et par là ouvrir la porte à une demande d'indemni
en- tal Science, janvier 1904.) Malgré, son très réel intérêt, ce travail comme celui que l'auteur a consacré à la réorga
, pour l'honneur qu'ils lui ont fait en l'appelant à présider leurs travaux . M. RTTt remercie les deux Présidents des éloge
s), ROURINO\1'ITCII. , De la confusion du langage. Rapport sur le travail de .31. E. Stransky. l.'auV'ur a fait des expér
muniqué par M. Dheur. Troubles mentaux consécutifs à un accident de travail . MM. Vigouroux et Delmas rapportent les observa
ant présenté des troubles intellectuels à la suite d'un accident de travail ; l'administrateur provisoire des aliénés, ajou
enta, tout d'abord, aucun trouble intellectuel et put reprendre son travail , mais à l'autop- sie nous pûmes nous convaincre
Allemagne. L'Educateur Moderne de février public sous ce litre un travail très intéressant dont nous extrayons ce qui con
e degré 1, 4 heures dans le degré H, 3 heures dans le degré 111. Le travail manuel sera en- seine heures dans toutes les cl
personnel est d'ailleurs trop souventhors de pro- portion avec les travaux qui les surchargent, rendent ces inspec- tions
ux, les Rochers de Nave, la Gruyère, etc. Un programme détaillé des travaux et des excur- sions sera envoyé ultérieurement
ation Vallée). 111. BOUCANE- ville. Visite du service (gymnastique, travail manuel, écoles et présentation de malades), le
er, Nietzsche. En 1905 parut une importante élude sur la vie et les travaux de F.-J. Gall. La même année, à la Faculté de M
dans'la`thèse dej'Bérillon (Paris 1884), surtout p. 103 à 132 ; ce travail contient en outre l'analyse des plus importante
n effet équivalent. La thèse de Bérillon (Paris 1884) représente le travail le plus important qui ait paru jusqu'ici sur la
tc., sont tels qu'on se les représente en se reportant à la date du travail . Parmi les plus intéressants : l'absence de corps
plexité des voies de communication. On trouvera dans l'important travail de Ch.FéI·é sur l'alternance d'activité des deux
tivité des deux hémisphères (1902) l'indication de quelques-uns des travaux faits sur le dua- lisme cérébral depuis Wigan.
sur le milieu : c'est-à-dire l'activité ex- térieure coordonnée, le travail , la lutte contre ce milieu ; identiques enfin l
aussi favorables' à la diversité des aptitudes et de la division du travail , étant donnée la nécessaire comple- xité croiss
centres du cortex : on nous pardonne- ra de rappeler à ce sujet le travail d'ensemble de Wertheimer et la revue générale d
es des fonctions et de leurs organes. 11 y obvie par la division du travail , 218 PSYCHOLOGIE. poussée à un tel point qu'a
gens auxquels il tient le plus, et je parle, ici comme dans tout ce travail , par expérience personnelle. Il peut lui interd
egretter de m'être bien mal fait comprendre si, à la lecture de mon travail , on me regardait comme un détracteur systématiq
enl, court la route cantonale de L : hia"o, \or,3 l'occident (1) Cu travail élail terminé lorsqu'on me communique une série
pavillon des semi-agités, la proportion est de un pour sept. -Le travail a été organisé de la façon la plus simple dans la
des travaillent dans tous les quartiers. Les hommes sontoccupés aux travaux des champs, aux services géné- raux, etc.- Les
reniatra, Reggio en Emilie, 1905, vol. XXXI. fasc. III, Fiv.). Ce travail qui\n'a pu être publié entièrement dans le numéro
olique, cocaïnomane, haschishomane, qui avait perdu toute notion de travail et s'était fait révoquer de son emploi. Au bout
éthode de la rééducation de l'attention est essentiellement due aux travaux français. Inaugurée par Charcot, de\ eloppée par
erses observations générales ; vous recommanderez aux auteurs de ce travail de s'y conformer. 1° à chaque groupe devront co
gagner leur viehonnétement ; 5° de participer par ses délégués aux travaux du Comité interna- tional pour l'Elude de la Pr
délires pseudo- systématisés, etc. M. Meeus,dans son remarquable travail sur la démence précoce (1), oùil étudie 40 cas,
a- vons pas à nous en occuper ici. Elle a été l'objet de nombreux travaux de la part des auteurs remarquables : Delasiauv
Rien ne l'impres- sionne, elle est complètement apathique. Aucun travail nI) l'attire, elle ne parait avoir aucun désir, e
Le malade est incapable de faire un effort ou de s'appliquer à un travail sérieux. 11 a cherché ¡d'aire du théâtre. Sa mémo
las, 1903 ; Janel etc.), soit d'une façon générale dans de nombreux travaux psychiatriques récents que ces observations ne
u'aux altérations profondes et persistantes de la personnalité. Les travaux de.Ribot,Pierre Janet,A.Binet,Pitres et d'un gr
oient pourtant beaucoup plus qu'on ne le croyait avant les derniers travaux sur les neu- ro-fibrilles). Mais pour les Verté
urnal of mental Science, avril 1906.) - L'auteur se propose dans ce travail d'étudier quelques points de l'alcoolisme, de n
oge au nouveau livre de JI. Le Double qu'en constatant que c'est un travail qui restera, en raison de l'honnêteté scientifi
linet, édit. à Nantes.) . M. le D1' Piaule rappelle d'abord que les travaux d'agrandisse- ment ont été autorisés par l'Admi
lesse et la paresse chez l'enfant. L'adapta- tion de l'organisme au travail . Jeudi 23 mais La question des enfants anormaux
n trouve que je n'ai pas rendu tout l'hommage qu'ils mé- ritent aux travaux si remarquables deM. Pierre Janet, le seul fait
el de la conscience unique. Le moi'est un potentat dispensé de tout travail extérieur et chargé seulement de vouloir. Il a
e l'établissement puisse faire exception ». «Le DT Lunier dans un travail sur l'aliénation mentale enSuisse,prétendait qu
anière de voir, car si les direc- teurs médecins sont surchargés de travail , ils peuvent se décharger sur le secrétaire de
assu- rer l'unité et l'harmonie dans les services, d'organiser le travail des aliénés dans des conditions convenables, d'
sé de le proclamer. Nous nous proposions de relever ce passage du travail critique très intéressant de M. le Dr Bourdin 1
XI, fasc. III-IV.) Deux faits sont étudiés rapidement dans ce petit travail : 1 les caractères du pouls dans la démence pré
uteur expose sa technique personnelle et le résultat de ses propres travaux : il a été amené à conclure que la présence d'u
r M. F. W. l\IOTT, (The Journal of mental Science, octobre 1906.) Travail très nourri de faits et de recherches personnelle
ition qui n'est pas seulement spéciale. A la vérité dans le présent travail , la psychologie des Croisades n'est pour ainsi
ison Lectures V.) (The Journal of mental Science, avril 1906.) Ce travail renferme des recherches et des vues intéressantes
e de l'évo- lution ascendants de l'espèce, et il rappelle les beaux travaux de Ribot sur l'évolution de la mémoire. Puis il
jan- vier 1906.) L'observation que nous avons faite sur plusieurs travaux du même genre, quelle que soit leur importance,
aphasies et les maladies men- tales ; l'auteur rappelle ensuite les travaux de Lichtheim, et attire particulièrement l'atte
n'est signalé que dans l'ouvrage de Ma- gnan et Sérieux, et dans un travail de Zargowla (Annales médico- psychologiques de
al Science, juillet 1906.) L'auteur rappelle que, dans un précédent travail , s'est attaché à distinguer deux formes d'alcoo
bituel est considéré par celui qui le pratique comme un adjuvant du travail . Chez la plu- part des sujets, l'alcool à doses
lant psycho-moteur augmentant considérable- ment le développementdu travail musculaire ; mais cette action sti- mulante est
en apparence utile de l'alcool se manifeste chez l'ouvrier, que son travail soit surtout un travail de force musculaire et
alcool se manifeste chez l'ouvrier, que son travail soit surtout un travail de force musculaire et que la dose d'alcool puiss
oolisme, ayant pour base l'influence de l'alcool sur la capacité de travail nécessaire à l'ouvrier pour le bon exercice de
méd. mentale de Belgique, 1905, n° 124.) L'auteur établit dans ce travail que deux pays seulement ont constitué jusqu'à p
T. OUT- TERSON WooD. (The Journal of mental Science, avril 1906.) Travail concernant des questions d'administration intérie
. (The Journal of Mental Science, janvier 1906.) ' Le titre de ce travail en résume la pensée ; l'auteur étudie en détail
L. (The Journal of mental Science, avril 1906.) Ce très intéressant travail , très documenté et accompagné de graphiques se
of mental Science, janvier 1906.) On peut noter au passage dans ce travail plusieurs données inté- ressantes ;on a soutenu
Mental Science, avril 1904.) Nous ne pouvons que mentionner ici ce travail qui en effet est purement descriptif. R. M. C.
a sensibilité au contact et à la pression. M. MAx'EGGER présente un travail fait dans le service du prof. Raymond ; après a
paraison d'un très grand nombre de cerveaux. Le Dr Kaes, dont les travaux , joints à ceux de ses élèves (Crüc- kmann, etc.
p. 45), vaguement mentionné par les traités classiques, d'après les travaux antérieurs du ]Jr Kaes, est main- lenant au-des
gie nerveuse et mentale des Juifs n'existe pas encore ; et tous les travaux que l'on peut consulter sur ce sujet ne sontéta
ondation Vallée). M. DOURE\'II.I.E, Visite du service (gymnastique, travail manuel, écoles et pré- sentation de malades) le
a connaissance di- recte,due au simple témoignage des sens avant le travail de l'esprit qui la généralisera, lorsque ce tra
s sens avant le travail de l'esprit qui la généralisera, lorsque ce travail est suspendu dans l'attente d'une documentation
de la conscience, la lutte contre le milieu, « la haute dignité du travail » (p. 154), le sentiment de responsabilité, etc
mou- vante», d'un groupe permanent de principes rationnels dus au travail de l'esprit sur les données des sens (princi- p
vante d'expliquer seul (p. 154) ; il reconnaît «la haute dignité du travail ». C'est commettre entre ce système scientifiqu
nt de liberté, sait que les notions qu'il retire de l'étude et du travail , conscientes ou inconscientes deviendront plus
souvenir homologues, diversité en accord avec la loi de division du travail , et dont le résultat naturel est d'accroître la
ntient, outre l'indica- tion bibliographique, l'exposé critique des travaux cités de Cha- bry, Driesch, Campton, Herbst, et
travaux cités de Cha- bry, Driesch, Campton, Herbst, et des autres travaux des mêmes auteurs sur la mécanique du développe
Weber. (Nouv. Icon. Salpê- trière, 1906, n° 3.) Comme suite à un travail publié dans la Nouvelle Iconographie 1905, n° 2
ils légers et bien construits augmente notable- ment la capacité de travail et d'attention ; les lunettes sont à cet effet
socié par les radiations thalamiques se rendant au pulvinar. De son travail l'auteur tire d'autres conclusions ; le cingulum
TODDART, (The Journal of men- tal Science, juillet 1906.) Dans ce travail ingénieusement conduit et sévèrement déduit, l'
r Sydney J. Cote. (7'he Journal of Mental Science, juillet 1905.) Travail intéressant mais trop détaillé pour être résumé :
ns, après avoir don;lé, un quart de siècle durant, l'exemple d'un travail opiniâtre et méthodique entrepris par une haute
siologiste et psychopathologiste de premier ordre. Les innombrables travaux consacres par lui à la « Patholo- gie des émoti
té de Biologie sont remplies d'un nombre difficile à compter de.ses travaux ,tous marqués au sceau delascience la plus élevé
lée, si l'on peut ainsi parler. Ses expériences mémorables sur le « travail musculaire » et la «physiologie des mouvements
registrement graphique, sur la « sensa- tion et le mouvement sur le travail et le temps de réaction» ont porté au loin et d
ces sujets utiles à eux-mêmes et aux autres, à les rendre aptes aux travaux manuels. Menuiserie, serrurerie, imprimerie, co
chaises sont les métiers qu'on s'efforce d'apprendre aux gar- çons. Travaux du ménage, blanchissage, repassage, couture, ta-
d'identité qui leur don- nera le droit : a) de participera tous les travaux du Congrès ; b) d'assister à toutes les fêtes;
ad- mises seront : le français, l'allemand et l'anglais. Vit. Les travaux du Congrès seront divisés en séances généra- le
s qui assistera à la séance. ' X. Le président fixera l'ordre des travaux ; les secrétaires des sections rédigeront les p
éducation, ses droits et ses devoirs. L'assistance familiale et le travail agricole. Le traitement des aliénés ayant comparu
E. Fondation Vallée. - BOURNEVILLE. Visite du service (gymnastique, travail manuel école et présen- tation de malades) le s
ement hors des asiles d'aliénés ; par Raw, p. 55. mentales ; voir Travail . ai- guës ; voir Manie. mentales. Voir non-sa
9 Traumatisme et paralysie géné- rale ; par Middlemass, p. 143. Travail . Le dans la thérapeu- tique des maladies mental
t Hal- bcrstadt,'p. 149. - mentaux consécutifs à un accident du travail ; par Vigouroux et Del- mas, p. 151. Les psychi
41 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent et moins complètement du côté malade que du côté sain ». De son travail , Ilallopeau conclut que : « si les filets de l'
iese de l'extrême obligeance avec laquelle il nous a communiqué son travail original. Qu'il reçoive l'expression de notre viv
, il est paralysé. » Telles sont les importantes conclusions de ces travaux très remarquables, et sur lesquels nous aurons
u ou prou intéressé. Les rapporter serait allonger inutilement ce travail . L'existence possible de la paralysie du facial s
CLINIQUE NERVEUSE. de trois des malades qui ont servi de base à ce travail . L'examen macroscopique des cerveaux a seul été
la Société de Biologie (9 juillet 1898), Ilartley Bunting ' d'un travail sur ce sujet conclut que le releveur de la paupiè
elui de la face dont il fait en quelque sorte partie. Depuis que ce travail a été donné à l'impression, nous avons pu obser
s à un seul chiffre, sans trop de com- plications. En général, tout travail psychique, toute manifestation intellectuelle e
'onanisme. Devient plus instable que jamais, après vingt minutes de travail , ça ne va plus. On ne sait à quoi attribuer c
t suivant : un bain par semaine ; une douche par jour; gymnastique; travaux du jardin; travaux scolaires; traitement moral.
par semaine ; une douche par jour; gymnastique; travaux du jardin; travaux scolaires; traitement moral. ' A partir du mo
is recommence aussitôt. Au jardin, s'acquitte assez bien des petits travaux qu'on lui fait faire (brouette, ratissage des a
sa famille, sans qu'il y ait une tentative vrai- ment sérieuse. Le travail intellectuel devient de plus en plus difficile.
plus que l'apprentissage gaz REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'un travail de coordination manuelle n'affine chez un homme s
dans l'étiologie de la folie ; par le Dr Putnam STEARNS. Dans ses travaux sur l'hérédité, Weismann suppose qu'a une certa
d'empêcher nn excès de pression dans les artères lésées ; éviter le travail intellectuel, les émotions, les grands écarts d
897 du service de Bicêlre et de la fondation Vallée. On y trouve un travail sur le patronage des aliénés et des enfants arr
un cas très curieux d'idiotie congénitale complète. Une liste des travaux scientifiques élaborés dans le service de 1880
obilité opiniâtre, mais au contraire il se promène et aide même aux travaux de l'asile. Il manifeste le désir d'être libéré,
ifs sont diminués. Il nous dit qu'il est pauvre et qu'il vit de son travail . Il ne peut pas faire un calcul, il n'a pas la
Le malade parait éprouver une très grande difficulté et déployer un travail notable dans son cer- veau, pour pouvoir mettre
vé. Comme moyens de traitement, la loi anglaise préconise : 1° le travail dans les ateliers ou dans les champs. Si le rende
à celui que nous obtenons dans nos asiles de la Seine, bien que le travail y soit absolument gratuit, alors que chez nous
es qui ont la liberté de sortir hors de l'asile après les heures de travail pour lequel, nous l'avons dit, ils ne reçoivent
loyalement ses idées et ses aspirations. Cette Commission, dont les travaux sont déjà commencés, apportera, j'en suis per-
ontrées dans ces cellules. Dans les deux cas qui font l'objet de ce travail , l'autopsie complète démontra l'absence d'aucun
ses malades avant et après le traitement thyroïdien accom- pagne ce travail .. · " A. V. IX. La démorphinisation. Mécanisme
d'idiotie myxoedé- maleuse, 1888, 1889, 1SJ0, 1891, 1895. Tous ces travaux , parus dans le Progrès médical ou dans les Arch
s énumérations incomplètes; cela s'explique par le peu d'étendue du travail : M. Ley a simple- ment voulu donner à ses conf
r Taty, à la Tour-de-Salvagny (Rhône) ; 20 lectures, présentations, travaux divers; 3° visite de l'asile d'aliénés de Marse
nistes français ; 5° excursions ; 6° impression et distribution des travaux du Congrès. Prix de la cotisation : 20 francs.
bile auquel avait obéi ce jeune gre- din. Justin a été condamné aux travaux forcés à perpétuité. (Le Temps, du 26 novembre
le M. le professeur Jotiroy a si souvent insisté dans ses leçons et travaux . C'est par cette prédisposition qu'on peut expl
aralytiques géné- raux. Aujourd'hui, je me propose de faire le même travail pour les familles d'épileptiques, d'après une m
née d'internat à Ville- Evrard. Si quelque erreur, inhérente à tout travail de ce genre, s'est glissée dans cette étude, no
égis. (Presse médicale, 3 août 1898.) L'auteur a résumé lui-même ce travail dans ses conclusions ainsi formulées : 1° les d
aque 220 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. L'auteur, dans le présent travail , rapporte deux observations personnelles intére
ntion) et des troubles organiques de l'agitation, l'auteur, dans un travail intéressant, passe en revue les affections ment
d'un homme de cinquante et un ans qui, rentrant chez lui après son travail , dine avec sa femme avec qui il était en fort b
nuque. La douleur fut peu vive et ne l'empêcha pas de continuer son travail ; ce furent ses camarades qui s'aper- çurent que
tes opératoires furent bonnes, et le malade guéri put reprendre son travail abandonné depuis deux ans. La seconde observa
; par Ch. FEUE. (Revue de médecine, 189S.) C'est une réponse à un travail récent de M. Lamacq qui tout en admettant la na
oteurs chez les hystériques. L'hypothèse de M. Lépine est tirée des travaux de M. Mathias Duval et Itamon y Cajal sur le ne
influx nerveux. A cette explication physiologique M. Gerest dans un travail .récent, sous l'inspiration des travaux de Al.
iologique M. Gerest dans un travail .récent, sous l'inspiration des travaux de Al. Branly sur les « radio- conducteurs », o
nt dix ans environ la malade dont l'observation est relatée dans ce travail n'a présenté qu'une paralysie limitée au bras dro
force ne parais- sent pas être de règle. L'auteur accompagne son travail d'une observation de névrite alcoolique qui peu
ingen on enverra plutôt les aliénés valides et supposés capables de travail ; à Pforzheim surtout les aliénés faibles, malp
siers, etc., puis une école. 75 p. 100 des hommes sont employés aux travaux de la Colonie, en particulier aux travaux de la
hommes sont employés aux travaux de la Colonie, en particulier aux travaux de la ferme et des champs. Archives, 2e série,
SISTANCE ET DE LÉGISLATION. 81 p. 100 des femmes sont employées aux travaux de couture, buanderie, etc. Toute la viande c
résidence, passe en revue, dans une allocution très documentée, les travaux de la Société, au cours de l'année qui vient de
/tue de la sensibilité dans les myélites transverses (à propos d'un travail récent de M. Marinesco). , L'orateur rectifie
. , L'orateur rectifie une inexactitude qui s'est glissée dans un travail de M. Marinesco, publié dans la Semaine Médicale,
M. Marinesco, publié dans la Semaine Médicale, 1898, n° 20. Dans ce travail , M. Marinesco prétend que la dissociation syrin
ur les troubles de la sensibilité dans les myélites transverses. Le travail de M. Marinesco, qui se croit être le premier à a
fort ancien, il a été publié il y a dix- huit ans et caché dans un travail volumineux qui porte un titre fort obscur et sa
tandis que le cas de M. Marinesco est très différent. En effet, le travail de M. Minor où se trouvent signalés les trouble
u en présence de M. Marinesco ; les conclusions et les thèses de ce travail ont été publiées dans le même journal (Semaine
liées dans le même journal (Semaine Médicale) où parut plus tard le travail du M. Marinesco. En outre, M. Minor a remis à M
remis à M. Marinesco une série de prépara- tions se rattachant à ce travail , et cette remise a été accompagnée d'explicatio
t donc bien en droit de reprocher à M. Marinesco d'avoir oublié son travail et d'avoir omis de reconnaitre que M. Minor ava
ion, qui doit paraitre à intervalles irréguliers, est consacrée aux travaux faits dans l'asile des épileptiques de Galli- p
yer aux documents historiques que nous indiquerons à la fin de ce travail . La synthèse en a d'ailleurs été magistralement f
rose dans les psychoses en- démiques du moyen âge a fait l'objet de travaux multiples dans ces dernières années; en particu
st bien quelque chose, et elle a servi pour ainsi dire d'amorce aux travaux de toute sorte venus depuis. D'autre part, ce
pinion au point de vue nosologique. Il résulte en effet de tous les travaux , sans exception, qui ont paru sur la matière, q
verses descriptions que nous avons données dans le cours de notre travail et les observations qui les accompagnent ne peuve
soi, d'après cela, et c'est ce qui résulte de l'en- semble de notre travail , que la confusion mentale peut affec- ter, dans
x et toxiques. Thèse de Bordeaux 1896.) Voici les conclusions de ce travail qui résu. ment notre pensée : « 1° Les symptô
rmait il s'assoupissait, et se croyait dans sa maison, occupé à son travail . Il nous fut facile, chez cet individu, de prov
e de son propre cas, l'auteur arrive à cette conclusion, but de son travail , que « le délire fébrile peut, dans certains ca
nfusion mentale halluci- natoire. A noter, dans ce très intéressant travail qui mérite d'être lu, qu'au moment de l'amélior
oxiques, en ayant déjà parlé à maintes reprises dans le cours de ce travail et nous nous bornerons à rappeler que suivant l
et six photographies de préparation de la moelle accompagnent ce travail . XVIII. Le réflexe viril ou bulbo-caverneux; pa
En mai 1890, Otianoff avait communiqué à la Société de Biologie un travail établissant l'existence à l'état normal d'un réfl
ronostic. Peu de temps après, en janvier 1891, et sans connaître le travail d'Onanofî, l'auteur publiait sur ce même réflexe
ulé : « Note sur le réflexe viril. » Il joint, du reste, au présent travail , deux lettres de Brown-Sequard, relatives à cet
ard, relatives à cette question d'historique. Depuis les premiers travaux sur ce réflexe, M. Hughes a trouvé une meilleur
e, 1898, n" 17.) Il résulte de l'observation qui fait l'objet de ce travail que seize mois après une section complète du ne
n. de Neurologie, 1898, n° 10.) Sur les six faits relatés dans ce travail quatre concernaient une lésion de la partie cer
. Rosa. (Celatnulbf. f. JV6)'ueH/te</A., XXI, N. F. ;x, 1898.) Travail de patience exécuté par un professeur non médecin
s qui voit une hirondelle au ciel et s'écrie : « une hirondelle » ; travail intel- lectuel de l'homme devenu sourd qui répè
nt générateur et les résistances dans le circuit. Dans le présent travail , M. Jendrassik ne s'occupe que des qua- lités p
les lésions rencontrées sur des cerveaux d'aliénés. Dans le présent travail , le Dr IIoch expose ses recherches sur un seul
sont en quelque sorte artificielles. La conclusion à tirer de ce travail est que de telles altérations rencontrées dans
eurone ; par le Dr F. BARIER. Il y a sept ans que la publication du travail célèbre de Waldeyer fit connaître la doctrine d
ulaire ou dendritique de l'autre : il n'y aurait, en somme, dans ce travail qu'une confirma- tion de la doctrine du neurone
e du neurone est trop solidement établie pour être ébranlée par ces travaux dont les résultats demandent encore à être revu
s lépreux; par les D's JEANSELME et P. Marie. Les conclusions de ce travail sont les suivantes : 1° dans certains cas de lè
anatomo-pathologique, les différents stades de cette affection. Ce travail , appuyé sur des coupes macroscopiques et micros
te affection. Les conclusions suivantes résument très clairement ce travail : 1° Il existe une variété particulière de para
R. (Revue M ? de la Suisse romande, 1898, n° 3.) Il résulte de ce travail que l'alcool n'est ni un aliment d'épargne, ni
m. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, nos 2, 3, 4, 5 et 6, 1898.) Travail d'analyse minutieux, comprenant les SI observatio
que son mari l'eût quittée comme d'ordinaire, pour se rendre à son travail , sans avoir rien remarqué de particulier, elle
vée, causant de choses et d'autres avec lucidité, s'occupant iL des travaux de crochet, descendant au jardin où elle se tie
is dans ces dernières années. Chez la malade qui fait l'objet de ce travail l'apparition des symptômes myxoedémateux, quelq
verbale peut être renforcée par divers moyens. M. Lévy consacre son travail à l'étude de deux d'entre eux, le recueillement
irées. Vous proposerez à l'examen critique de tous, le fruit de vos travaux personnels, de votre expérience de chaque jour,
nt du congrès d'Angers, M. le D1' Motet, qui après avoir dirigé vos travaux l'an dernier avec tant de tact, de dignité et de
quis de bonne confraternité. Il ne reste pas seulement de Sauze des travaux scientifiques, amis fidèles, il reste mieux enc
alité, m'a exprimé tout le chagrin qu'il avait de ne pas suivre vos travaux ; au nom de l'Association des anciens internes
cette délicate attention nous démontre que vous vous intéressez aux travaux que nous pour- suivons en commun, l'amélioratio
Monsieur le Ministre de l'Intérieur, qui s'intéresse toujours à nos travaux , vous a désigné cette année pour le représenter à
lement, l'union est nécessaire dans toutes les corporations, que le travail en commun s'impose souvent et qu'il a, en tout ca
d'une idée fixe subconsciente, de nature hystérique, telles que les travaux de MM. Haymond et Janet nous l'ont fait connaît
uenza : c'est pourquoi nous avons eu l'honneur de vous soumettre ce travail . Un cas de tremblement segmentaire dans la sclé
ternité et d'admiration que nous professons pour sa personne et ses travaux scientifiques. Monsieur le Maire, Il s'est pr
ion d'un rapport sur les délires systématisés secondaires a fait un travail de longue haleine, dont on ne saurait trop louer
pour notre plus grand profit à tous ; il nous a, en effet, donné un travail qui fera époque dans notre spécialité. SOCI
due de ses connaissances bibliographiques, nous faire connaître les travaux faits àl'étranger, et il a réussi par une heure
uestion des aliénés méconnus et condamnés, il saurait pro- duire un travail , que mieux que personne, il était en mesure de
un affaiblissement de la vie psychique, mais non une suspension. Le travail mental ne peut se poursuivre uni- formément, l'
es qui relèvent de l'intoxication par les boissons spiritueuses. Ce travail a le mérite d'étudier le délire de persécution
u milieu des circons- tances les plus difficiles... » En résumé, le travail de M. Cololian renferme plus d'un chapitre inté
et l'homme gauche (2° ar)ic)e).Bévue générale; V. Ill ? Niti : Les travaux récents de z (tin). Analyses et comptes rendus.
estent 1 On pourra trouver quelques indications à ce sujet dans les travaux suivants : Witkowski. AU. Z. sur Psych. Bd XLII
arole presque entière. Depuis cette époque, on a publié beaucoup de travaux importants surtout au sujet du bégayement ; pou
ologie offre encore bien des points obscurs, et un vaste champ de travail y resté toujours ouvert aux investigateurs. Nou
ues sans base matérielle. D'une grande portée sont ici les derniers travaux de Flechsig qui a démontré, par des raisons ana
n de constituer les conceptions verbales. Sans nier la valeur des travaux ci-dessus mentionnés, nous croyons toutefois qu
tions hystériques ' Cette question est traitée en détail dans notre travail : Spaslische Aphonie. (I'he)». Uo7<«/6/tf/&l
un malheureux, indigne de pitié et qu'il doit se réhabiliter par le travail dans la prison. » De l'Asile clinique, P... est
envoyé dans les bureaux de la Direction ; on lui confie des petits travaux d'écriture dont il s'acquitte convenablement.
ureaux de la direction où il s'est bien acquitté de tous les petits travaux qu'on lui a confiés. Pondant son séjour il a do
. qui pendant cinquante-sept jours avait correctemement effectué un travail de bureau et vécu d'une vie en apparence normal
vue anatomo-pathotogique. 11 insiste tout particulièrement sur un travail récent de halhden portant sur dix cas de porencép
donne les deux observations com- plètes sur lesquelles s'appuie son travail . L'histoire clinique ne permet pas de douter qu
par le Dr SouMi.4Kon ? de Neurologie, 1899, n° 3.) Il ressort de ce travail que des doses toxiques d'une solution d'arsenit
erches statistiques ne valent que par la confiance qu'inspirent les travaux sur lesquels elles reposent, je dois déclarer,
des prisons, soit dans des pénitenciers, soit dans les ateliers de travaux publics. b) Indépendamment des conseils de guer
armée. Voici ces données : 1° Prisons, pénitenciers et ateliers des travaux publics. Dans ce groupe on a réformé pour « ali
,5 p. 100. Ainsi donc dans les prisons, pénitenciers et ateliers de travaux publics on réforme annuellement pour aliénation
e de l'armée; 2° il y a dans les prisons, pénitenciers, ateliers de travaux publics, quatre fois plus d'aliénés que dans le r
st hors de conteste que dans les prisons, pénitenciers, ateliers de travaux publics, bataillons d'Afrique, compagnies de di
u des rechutes dans la maladie. Les tableaux que nous joignons à ce travail le montrent d'une façon très nette. Chez nos tr
ire l'acquisition du terrain sur lequel s'élève l'asile actuel. Les travaux furent poussés activement; mais, hélas ! la mor
on de Marseille du Congrès des aliénistes et neurologistes dont les travaux peuvent marcher de pair avec ceux des sessions
bureaux du Progrès Médical, 14, rue des Carmes.} La lecture de ce travail nous a particulièrement intéressé, pour cette r
ait très souvent disparaître complètement. En résumé il s'agit d'un travail bien fait qui corrobore tout ce qui est déjà di
42 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
quente que la paraplégie flaccide, à telle enseigne que, jusqu'au travail de Bastian, on ignorait presque les- paraplégies
veuses, dont 4 améliorations sur 6 cas de tabes. Ils concluent leur travail en affirmant que, si la suspension agit par un
e, comme méthode de traitement des maladies nerveuses. (Recueil des travaux de la clinique des maladies nerveuses de Saint-
ai publier, à cause de ses allures exception- nelles. La lecture du travail de Hopkins, résumé dans un des derniers numéros
méd. de la Suisse Romande, 1901, nos 4 et 5.) Les conclusions de ce travail peuvent être formulées de la façon ' suivante :
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. dont l'observation fait l'objet de ce travail qu'il s'agissait bien d'une paralysie faciale p
par Jean ABADIE. (Nouv. lconogr. de la Salpêtriere, n° 5, 1900.) Travail appuyé sur la bibliographie complète et jusqu'à c
lepsie essentielle. SIMOUN. XXXVII. Revue critique semestrielle des travaux parus sur l'épi- lepsie ; par Pierce CL,aeE. (T
American Journal of Insanity, - 1900, p. 709-719.) - - Revue des travaux de Hering, Bischoff (anatomie pathologique) ; W
1901, n° 7.) - L'observation avec autopsie qui fait l'objet de ce travail , plaide en faveur de l'origine toxique et infec
tions. Il commet un fort excès d'alcool. Le lendemain, incapable de travail , il est épuisé, abattu. Il dort une heure dans l'
ts dont les pupilles réagissent bien ou faiblement à la lumière. Le travail de M. Antal a pour but de déterminer comment le
passe en revue au point de vue spécial indiqué par le titre de son travail sont l'ataxie locomotrice, la sclorose multiple
entendre aussi avec le gouverneur pour le régime, les vêtements, le travail , et même les punitions. SIMON. XI. Démence séni
niversaire de la mort de Durand de Gros, apprécie l'ensemble de ses travaux et présente son livre posthume : Questions de p
évrier 1902. N° 74. ARCHIVES DE NEUROLOGIE- CLINIQUE NERVEUSE.. Travail DE la clinique DE M. LE professeur A. Pitres. ' ,
de santé. Histoire de la maladie. Il y a quatre jours, pendant son travail , G... a ressenti une douleur dans la main gauch
LIQUE. '103 petit verre; mais durant toute son existence, malgré un travail pénible, il a été fort mal nourri. Histoire d
nt de plus en plus : il ne peut plus tenir son outil, abandonne son travail et entre à l'hôpital Saint-André six semaines e
rarement. Histoire de la maladie. - Il y a huit jours, pendant son travail , L... a ressenti dans son bras droit une gêne t
éger et qui n'a été que passager. Depuis, L... n'a pu reprendre son travail , il ne peut saisir son outil, il a difficulté à
sensitifs inquiètent fort peu le malade qui a hâte de reprendre son travail , il ne revient plus à la consultation. Observat
lle s'est développée le jour : trois fois, subitement, au milieu du travail , sans aucuns prodromes (obs. III, V et VI), une
e partie à l'extension. Le profes- seur Bechtereff1 conclutdans son travail sur la suspension, que dans certains cas la sus
ncopes 5° enfin chez les obèses. ' Nous avons vu par l'exposé de ce travail , que plusieurs de ces contre-indications se sup
s hôpitaux et dans notre cabinet de consultation. Nous terminons ce travail par une courte conclusion d'usage. - De tout
es frontal, central et occipi- tal, sans altérations vasculaires ni travail de sclérose : les altéra-* tions cellulaires pa
ccn Journal of hzscanit, 1900, p. 501-50G.) , L'idée inspirant ce travail était de trouver un signe aidant à la diagnose
. (JOU1'Il, de Neurologie, 1901, n° 15.) L'auteur s'attache dans ce travail à réfuter les objections qui' ont été adressées
pond à la troisième circonvolution primitive (figure), détermine le travail sécrétoire suivant dans l'estomac muni d'une fi
inutes après, l'application des électrodes sur l'écorce, indique un travail chimique des glandes de l'estomac. Celui-ci du
ue du système nerveux cérébro-spinal, et dont l'étude complétant un travail antérieur conduit l'auteur aux conclusions suivan
pyramidales et de leurs prolongements sera l'objet d'un pro- chain travail avec planches. En tout cas, la cellule nerveuse
ue. Il est l'organe d'union physiologique de tous les pro- duits du travail sensoriel et moteur des autres territoires cortic
dans le mémoire. C'est le gouvernement qui utilise les produits des travaux de tous les membres du parle- ment, au bénéfice
sie, toute déviation a disparu. Actuellement le malade a repris son travail et ne présente plus aucun signe ni inconvénient.
ier à avoir fait faire sur ce dernier point un 168 bibliographie. travail d'ensemble et suivi, aussi viens-je le rappeler,
de M. J.-J. Van Biervhet a exigé de son auteur une grande somme de travail . C'est plutôt un résumé d'expérimenta- tions, q
eureux. BIBLIOGRAPHIE. 171 1 L'auteur est trop modeste. Certes ce travail est bien le résultat des observations de l'aute
ncore aujourd'hui, mais pour signaler, à titre de complé- ment, les travaux qui ont suivi notre étude et les principaux poi
paux points qui s'en dégagent. D'une façon générale, ces nombreux travaux , qui montrent combien le sujet a suscité de l'i
us figurons à tort après Bechterew. Cela provient de ce que notre travail , cité là comme ayant paru dans le numéro de jan
monde a pu le lire; tandis que, par une erreur inverse, le premier travail de Bechterew, paru dans le numéro de décembre 1
1895. Notre apport à la question, déjà annoncé du reste dans des travaux précédents, en particulier dans : une leçon sur
et que nous n'avons vue citée nulle part pour ainsi dire, est un travail très important de 120 pages, avec 13 observations
la rougeur méritait, elle aussi, une description particulière. Les travaux si nombreux et si intéressants qui ont suivi no
ions ce que ces recherches pouvaient avoir - d'intéressant. 7 Des travaux dans ce sens ont été tentés d'une part par MM.
nce elle-même, nous signalions déjà, on l'a vu, dans notre premier. travail , que l'intensité de l'obsession variait suivant
vent, de palpitations. Emotivité moins grande, moins pénible. Mon travail en était à ce point, lorsqu'une crise morale me l
léchit et étend sur le cou. Séance de 1/2 heure. 5. Répétition du travail de la journée du 4. Louis n'entend que moi et p
le Louis ne me répond plus. Kéveil après soixante-quinze minutes de travail . 7. Sentez le genou droit : mouvements de flexi
n. La langue se paralyse toujours. 2. Séance de réveil général. Travail identique à celui de la journée du Ier septembre.
puis voit et entend sa mère avec laquelle il cause. Je commence le travail sans me préoccuper, en apparence de ce qui vien
il sent les forces lui revenir, parce qu'il se donne tout entier au travail . 11 a quitté son caractère sombre, méfiant et s
dans ces conditions, faire oeuvre utile par l'apport de mon modeste travail , tout d'expéri- mentation et d'observation, pou
mars 1901.) Cet article n'est qu'une traduction par le Dr Ley d'un travail de Tamburini paru dans la Riuisla sperinzentale
oquer l'avortement préventif de la folie puerpérale. - Aendant le travail , les troubles mentaux transitoirs rappellent l'
... · Hôpitaux psychopathiques. Ne pas les écarter des centres de travail , et surtout des laboratoires de psychologie qui y
sorte d'entraînement moral. Péterson émet à ce sujet l'avis que le travail au milieu des fous serait un excellent exercice
illeurs ensuite, ne nous trouvons-nous pas trop restreints dans nos travaux ? Que la politique ne se mêle pas du choix des mé
; mais elle amène le dégoût de la connaissonce exacte qui exige un travail laborieux ; elle fait perdre la confiance en so
retardé, et les impres- sions externes contribuent exclusivement au travail intellectuel. La mémoire étant bonne, celui-ci
nt ralliés à peu près tous ceux qui s'occu- pent de la question. Le travail de M. Vires contient une foule de faits des plu
te et, malgré l'auto- rité du professeur de Nancy et de l'auteur du travail analysé, j'avoue qu'elle ne me satisfait pas be
dont le côté mystérieux est encore peu élucidé, malgré les nombreux travaux sur le sujet de l'hypnotisme. - P. KOUINDJY.
rimentale. O. Doin, éditeur, 1901.) M. Sergi est trop connu par ses travaux pour qu'il soit utile de mettre en relief les q
de la ville, avait été congédiée par son patron. En rentrant de son travail , elle apprit à sa mère ce qui venait de se pass
hide et Marchand) fournissent de nouvelles raisons de croire que le travail cérébral détermine direc- tement certaines modi
dement renforcé par les modifications organiques qui accompagent le travail cérébral, mais ces modifications, à elles seule
rofondies. C'est là un point sur lequel nous avons insisté, dans un travail publiéenl892, en collaboration avec le professe
e Casper, obligeamment traduite par le Dr Lalanne. A la liste des travaux sur l'Ereutlophobie que nous avons donnée, il y
et nous comprendrons qu'elle ait droit à une biographie complète, travail qui n'a peut-être pas encore été tenté. S'il est
éfaire. Cette idée me faisait concevoir des théories insensées. Mes travaux , que j'avais néces- sairement à faire, je ne le
ans ma représentation. De telles pensées me tenaient éloigné de mon travail , et quoique ayant mon livre devant les yeux, je
mes livres cependant il ne m'arrivait pas d'être tout entier à mon travail le démon de mes tourments ne m'abandonnait pas
pue dans laquelle le malheureux a passé toute sa vie, si on suit ce travail con- tinuel, on ne peut que respecter un sentim
pricieuses et de peu de durée. Il n'y a aucune persévérance dans le travail intellectuel. Très instable, il veut Ancumrs, 2
st poli avec tout le monde, docile aux obser- vations, assidu à son travail scolaire. Il fait régulièrement la gym- nastiqu
laire. Il fait régulièrement la gym- nastique, s'occupe à de petits travaux de jardinage et parait faire tous ses efforts p
let. Bon mois au point de vue de la véracité et de l'assi- duité au travail . Du 14 au 21, période de mélancolie et de tacitur
és et vraisemblables. En classe il fait des progrès, s'habitue à un travail régulier, et en gymnastique acquiert une adress
an journal of 121sa.7zily, 1900, p. 103-115.) L'auteur rappelle ses travaux antérieurs, ceux de Haig et ceux de Krainsky, s
énérale le lendemain de son administration, et n'entravant point le travail intellectuel. Il semble également que l'organis
fréquente de l'angoisse précordiale. M. Salomonsohn rappelle ses travaux , ceux de Druault, de Tscherning (1898 et 1899)
UKHA. (Obozl'énié psichialrii, V, 1900.) Le principal intérêt de ce travail réside dans les expériences per- sonnelles de l
e excitation tonique pouvait devenir dépressive. C'est le but de ce travail appuyé sur de nombreuses expériences, portant s
xpériences, portant sur des excitations prolongées de l'odorat ; le travail moteur étant enregistré pour le médius à l'aide
: une excitation agréable qui a pour effet d'exalter la capacité de travail peut, si elle est prolongée, avoir un effet dépri
eurs n'augmentent pas la capacité de vouloir et par conséquent du travail ; leur usage prolongé entraine un état de fatigue
e lecture d'une analyse dont il avait été chargé é et relative à un travail de M. Mobius sur «l'hérédité du talent poé- tiq
cinquantenaire, nous vous dirons quels hommes ils étaient, quels travaux ils ont accomplis; nous, trouverons dans la pieus
ses et la prophylaxie de la folie. M. Arnaud donne une analyse d'un travail de M. le professeur Funaioli (de Sienne), sur l
il et ayant pour titre : L'aliéné dans le droit civil brésilien. Ce travail est surtout un examen critique de la révision d
? C'est à cette der- nière hypothèse que s'arrêtent les auteurs. Le travail de dégénéra- tion est en eflet depuis longtemps
'anatomie pathologique et de la bactériologie relatent les derniers travaux parus. Dans la question de l'identité de la lèp
agent soit tou- jours le même, c'est là une hypothèse à laquelle le travail de Krainsky n'a apporté aucune preuve qui ne so
ion de la température dans l'accès épileptique étant due surtout au travail musculaire produit pendant la période tonique, il
formations, dont deux cas d'hemi- mélie. Lorsque nous publierons ce travail , nous rappellerons le cas très intéressant de 1
s beaucoup plus considérables (jusque 12 ans). Soukhanoff dans un travail paru en 1900 ', a réuni les cas de confusion me
dessus la tête, la main gauche appuyée sur la hanche. Il faisait ce travail depuis deux ans quand, tout à coup, il ressenti
t de l'anesthésie, d'origine réflexe (augmenta- tion douloureuse du travail du coeur respiration profonde et fréquente-état
ses preuves. Mais nous sommes méfiants. Il nous manque en effet un travail préliminaire. Nous ne savons encore pas exactem
à la Société neurologique de- Brooklyn (à laquelle il communique ce travail ) un autre cas de paramyoclonus multiple chez un
dorsalis. Dans un historique assez complet, l'auteur rappelle les travaux de Leyden, d'bslein, de Pick, de II. Strauss, d
dant plusieurs chirurgiens en ont signalé, et l'auteur commence son travail par un bon histo-- rique du sujet : cet histori
C.-A. Mercier. (The Journal of mental Science. juillet 1901.) Les travaux de M. Mercier sout d'une logique sévère et il est
spère pas d'entraîner l'unanimité. Il rappelle que dans son premier travail il soutenait - qu'un aliéné ne doit pas nécessa
W. 1\'onwooD East. (The Journal of Mental Science, octobre 1901.) , Travail très substantiel et très documenté, que l'auteur
de la criminalité juvénile. J'ai déjà rendu compte de plusieurs des travaux dont ce phénomène sociologique donné comme symp
ien s'il faut les considérer comme valables. La conclusion de son travail est la suivante : lorsque la paraly- sie généra
ire accorder des circonstances atténuantes et dans les accidents du travail la responsabilité du patron peut être discutée.
de M. Ferron est non-seulement une étude critique et une analyse de travaux , mais aussi un travail fort intéressant où 1G B
ulement une étude critique et une analyse de travaux, mais aussi un travail fort intéressant où 1G BIBLIOGRAPHIE. « l'a
ement dits d'après M. Weill.. M. Nicollet termine son intéressant travail par un essai d'expli- cation pathogéuique de l'
musculaire; la substance toxique serait produite par les muscles en travail et excercerait un pouvoir paralysant sur la pla
infectieuse ; par A111° C. l\1AMONOFF. (Th. Lyon, 1900-1901.) Le travail de Mlle Manonoff est un simple résumé des théorie
la Salp¿Úièl'e, n° i, 1901.) Cette note s'ajoutant à l'intéressant travail antérieurement publié par l'auteur Les Nains et
reproduction d'une gravure du XVII. siècle et venant à l'appui des travaux de Marie et du travail récent de Cestan, tend à
vure du XVII. siècle et venant à l'appui des travaux de Marie et du travail récent de Cestan, tend à montrer que les nains
dogma- tismes sociaux et la libération de l'individu. - G. Ruuarsn. Travaux so- ciologiques sur le droit de punir. - G. BEL
sociaux. - G. Richard. Sociologie st science politique d'après des travaux récents. - Analyses et comptes rendus. - Revue
SE. Le lendemain, C... était rétablie et en état de reprendre son travail . En septembre dernier, elle a eu une troisième
e assez forte amnésie. Toutefois, lamalade, qui s'était remise au travail , se rendit compte qu'elle ne distinguait plus l
ns psycho-motrices ; PAR R N. VASCIIIDE, ET C. VUItPAS, Chef de travaux du laboratoire de psychologie Interne des asiles
délire plus ou moins systématisé. Nous avons montré dans plusieurs travaux antérieurs, qu'elle peut porter soit sur le mon
rons brefs sur l'observation qui a déjà fait l'objet d'un précédent travail sur le délire par introspection mentale 1. 1
éléments indispensables pour mettre en 1 N. Vaschide et Cl. Vurpas. Travaux cités. Voir surtout le travail de la Nouvelle I
ttre en 1 N. Vaschide et Cl. Vurpas. Travaux cités. Voir surtout le travail de la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière,
ction, le critérium néces- saire pour distinguer l'élaboration d'un travail mental ou même les mentalités différentes qui j
sence, ni la signification, ni la portée. Sa vie mentale et tout ce travail subconscient, avec cette source d'images flotta
sance pour expliquer, s'arrête de plus en plus atten- tivement à ce travail subconscient et arrive au bout de quelque temps
s, des plus complètes, avec tracés des champs visuels et examen des travaux des auteurs, permettent à M. Reznikow de conclu
; de profits qui sont : 1° les pensionnaires à tarifs élevés; 2° le travail .fourni pendant environ trois cents jours par a
qui culti- vent la ferme et les jardins et font à peu près tous les travaux nécessaires à l'établissement, sous la directio
'air suffisant à respirer, à ce qu'ils ne soient jamais surmenés de travail . La camisole a été depuis longtemps abandonnée,
des deux sexes, de religieuses, de chefs d'ate- liers, de chefs des travaux de ferme, et de commis d'administration, en tou
ements pécuniaires. Inutile de faire remarquer les avantages que le travail fournit au traitement des malades. Les disposit
hur E. PATTERSON. (The Journal of Mental Science, juillet 1900.) Ce travail ne se prête à aucune analyse, sa partie fondament
manière dont il a remanié un vieil asile qui lui était confié ; ce travail est accompagné d'un plan. R. M. C. \ VI. La c
GER. (ull. de la Soc. de tlléd. ment, de Belgique, déc. 1901.) Ce travail est un plaidoyer en faveur de la création d'un du
aux malades et de la surveillance de ces derniers, à s'occuper des travaux de propreté des quartiers, du vestiaire (chaque
t de modifier le traitement mercuriel comme je l'ai indiqué dans un travail récent. \f..I. BABiNsKi. La question du traitem
t par leur localisation avec ce qu'elles devraient être d'après les travaux de Monakoff et Déjérine si elles avaient occasi
iazgite et de méningo-encéphalite chroniques (Fig. 30 et' 31). Deux travaux démontrent aux observations très concluantes le
fort intéressante et très complète sur le crâne dans les idioties, travail fait en collaboration avec Paul Boncour. L'ouvr
est manifestement insuffisante pour faire comprendre l'intérêt du travail de M. Masselon. Les observations, prises toutes à
constipa- tion lymphatique, par Olrlmacber 56. Revue critique des travaux parus sur-, par Ctarke. 56. Voir Migraine. 57
43 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
é- rieurs du côté droit. » Ils la considèrent comme « l'indice d'un travail inflammatoire ». Quant à nous, nous serions plu
es de la sensibilité car- diaque que la malade a dû interrompre son travail , et non pour les accidents si marqués qu'elle p
e un cas personnel, qu'il croit t unique dans la science. Depuis le travail de cet auteur, nous n'avons trouvé qu'un nouvea
doit poursuivre de nouvelles recherches. C'est là la raison de ce travail . Nous donnerons d'abord l'observation pour disc
n entrée it l'hôpital et aux rapports desquels nous consacrerons ce travail : un goitre kystique très volumineux et une sco
e chez celle malade comme chez celle que nous avons étudiée dans ce travail , les mamelles étaient peu développées. On sait
e, elle était un peu faible, mais elle ne tarda pas à reprendre ses travaux pénibles. Un jour, un mois après la naissance d
elon cet auteur l'atrophie débute- rait par les muscles soumis à un travail exagéré : ainsi les muscles du mollet chez un d
n ouvrier qui levait et abaissait les bras alternativement dans son travail , les épaules chez un meunier qui portait des lo
n deuxième cas avec autopsie. Ensuite Etienne, en 1899 (3), dans un travail d'ensemble, décrivit deux cas depolyomyélite ch
BIIRIO, Stillh ptogi. del c.ipo.Ce mémoire a paru dans un recueil des travaux publiés en 19d4 dans l'occasion du XXVe anniver
ïdien. Pour ce qui a trait à la branche externe, après les derniers travaux de Schlodtmann, de Remak et de Ferrio (1), il e
e demeurait parfaitement intacte. Un an après, Ferrio dans un autre travail (3), relate le cas d'une jeune femme de 24 ans
ud et la Pratique médico-chirurgicale il n'existe, en France, aucun travail d'ensemble sur cette question. Plus récemment,
us précise. Le mot de crampe apparaît pour la première fois dans un travail de Cazenave (33) en 1835. Quelques années plus
de remercier ici tous ceux qui m'ont aidé dans la rédac- tion de ce travail : M. le professeur agrégé Sicard qui m'en a inspi
galement, par Locher-Balber (185). Onimus (193) consacre en 1875 un travail à la crampe des télégraphistes; Napias (191) en 1
ographes, et, tout dernièrement, la crampe des automobilistes. Le travail d'ensemble le plus important sur ces questions es
trer : 1° les névralgies d'occupation, douleurs occasionnées par le travail ; tel par exemple les cas publiés par Féré (177)
s diverses 70 MACÉ DE L1 : P1NAY impotences fonctionnelles. Notre travail sera donc divisé en trois parties : : , Dans la
sou- tenue, concentrée du sujet, nuisent à la bonne exécution d'un travail habituel. De là les premiers désordres moteurs
ntraire fait jusqu'à présent le sujet que d'un très petit nombre de travaux ; il est possible que, mieux connue, elle soit
s sa rapidité d'apparition, dans son existence même, à la nature du travail exécuté ; que, s'il s'agissait d'un travail d'écr
ce même, à la nature du travail exécuté ; que, s'il s'agissait d'un travail d'écriture agréable ou inté- ressant, ta crampe
e,puis les doigts se crispaient, et le sujet devait interrompre son travail . Se frappant beaucoup de cette infirmité et craig
encore l'observation d'un plieur de journaux, qui à la suite de son travail répété, avait eu d'abord des fourmillements pui
, enfin des crampes dans ces mêmes doigts, l'empêchant de faire son travail . Mais, ajoute Remak, bientôt il eut aussi de la
tude disproportionné avec le mal qu'il éprouvait ; il n'était pas au travail depuis un quart d'heure que les mouvements spas
ou- velle tentative, mais il dut renoncer bientôt définitivement au travail . On ne constatait aucun trouble de la sensibili
fréquente chez les psychasthéniques; depuis quelque temps aussi son travail lui paraissait mal fait, ridicule, honteux ; quan
mmé comptable à la Caisse des dépôts et consignations de Paris. Son travail consistait à faire toute la journée des écritures
titre de réclames, dans tout le monde médical. Sans doute, dans les travaux médico-artisti- ques ainsi diffusés, certaines
ces dernières années. Il suffit de rappeler, parmi les plus récents travaux de ce genre, celui du Dr. Pailhas publié dans ce
s la bibliographie de ce mémoire qui ne comprend, en effet, que les travaux parus après 1905 ; il nous a semblé inutile de fa
t que toujours l'impulsion première vienne du dehors. ' " Dans un travail intitulé : Contribution à l'étude de la pathogéni
et dans sa produc- tion. Elle représente dans la matière vivante un travail plus ou moins compas rable l'action exercée par
l'objet et qui est parfaitement adapté à sa fonction, parce que le travail auquel il est soumis, le laisse modifié spécifiqu
forçons de la reconstituer. Dans une oeuvre intellectuelle comme ce travail , par exemple et dans la réalisation de laquelle
ience concentrée sur quelques pensées n'abolissent nullement d'autres travaux intelligents. Si les rêves donnent lieu à des m
r sera inconscient et contiendra tout le mécanisme cérébral dont le travail est insensible, puisque son existence même est
ubsiste encore . ESSAI SUR LA PHYSIOLOGIE DE l'esPRIT 173 Dans un travail purement intellectuel comme celui que j'élabore e
de la matière sur laquelle je me suis étendu plus longuement dans le travail sur les névroses déjà cité. Je ne la rappelle i
cience puissent agir sur des phénomènes purement physiques. Tout le travail de la cérébration est donc certainement mécaniq
t à la physiologie le fonctionnement intellectuel et que le présent travail rectifie et en partie complète, j'avais placé d
perfectionnement de la matière. Affirmons d'abord bien haut que ce travail de réflexion est complètement mécanique puisqu'
tée, il posséderait une facilité plus ou moins grande à effectuer des travaux divers, mais il n'aurait pas d'idée, n'ayant pa
quivalent organique vivant. La réflexion n'est que la conscience du travail souterrain qui s'accomplit dans l'étage infé- r
ois que le malade, tailleur de pierres de son métier, se mettait au travail . Chez les deux autres sujets, atteints de cramp
l'avons vu, chez les sujets atteints de crampes professionnelles. Le travail cérébral exagéré favorise l'apparition ou la re
habet : le bras devient raide, et il est impossible de continuer le travail . Nous espérons avoir démontré, par un certain n
oison sur des cellules cérébrales physiologiquement épuisées par un travail trop soutenu. Quoi qu'il en soit, les faits son
sept heures par jour à l'appareil Morse. Au bout de deux ans de ce travail il fut pris dans la main droite d'une crampe pr
re a attiré l'attention des médecins, et a suscité les intéressants travaux de Cazenave, Duchenne de Boulogne, Gallard, etc.
nt vite et sont difficiles à mouvoir ; s'il veut persister dans son travail , les troubles augmentent ; souvent des douleurs
esse existait surtout au réveil, lorsqu'il se mettait à sa table de travail ; mais au bout de quelques minutes il « se déroui
XVII (Féré). M. D..., 33 ans, employé de banque, fut pris, après un travail d'écriture prolongé, d'une crampe de la main dr
ong séjour à la campagne où le petit malade devra exécuter les gros travaux des champs. Deux mois plus tard, l'enfant revie
roche tout naturellement de la crampe des écri- vains, en raison du travail mental qui intervient de la même façon dans ces
le médius ; enlin la main tout entière devint inapte à ce genre de travail . Plus il s'opi- niâtrait à vouloir continuer, p
de- puis Onimus ; hommes et femmes en sont égalements atteints. Le travail cérébral intensif et le surmenage local que néc
nous faisons un plaisir de reproduire : « La fatigue que cause le travail de manipulation est excessive. L'appa- reil est
essine, dérouler lentement une feuille de papier : c'est là tout le travail apparent ; mais, pour être bien fait, il nécessit
graphistes. En réa- lité, quel que soit le mode de transmission, le travail cérébral garde sa même intensité avec les deux
s ; ce spasme fonc- tionnel ne se manifestait qu'à l'occasion de ce travail . Romberg (118) observa de même un cloutier chez
fatigue extrême ; il lui fallait un vrai courage pour continuerson travail , et encore devait-il fréquemment l'interrompre, t
r dans les doigts, puis de vives douleurs lorsqu'elle se mettait au travail . Un ouvrier qui roulait des cigarettes, observé
t telle que la cigarette tombait à terre; le spasme cessait avec le travail . Il importe de distinguer cette crampe profession
5) a observé un peintre de cadrans de montres, qui,sur- mené par ce travail minutieux, avait une crampe de la main droite dès
un étudiant qui, pour préparer son baccalauréat, s'était livré à un travail forcé et continu. Cette trop grande contention d'
. Il comportera tout d'abord une enquête minutieuse sur le genre de travail du sujet, sur les troubles que le ma- lade accu
des troubles moteurs de nature hystérique à la suite d'accidenls du travail . Il serait donc possible qu'exceptionnellement
petite taille. Il peut marcher assez facilement et s'occuper à des travaux manuels. L'atrophie des muscles de la cuisse n'es
embres supérieurs et des mains lui permet encore de faire de petits travaux . Les cuisses, les quadriceps, sont très atrophi
t publié le premier mémoire de Sir James Paget (4). Dans ce premier travail et dans un deuxième publié en 1882 cet auteur r
ls; la lésion s'est produite à la suite d'une bles- sure pendant le travail ; le fils, âgé alors de 1 ans, a entendu faire à
t héréditaire, parfois aussi peut-être congénital ». A la suite des travaux de cet auteur, de nombreux cas de trophoedème f
plus grande partie de la littérature contemporaine est citée dans le travail du D. Fûrnrohr (Die Rüutgenstrahlen im Dienste
nt augmenté et leur importance clinique a fait l'objet de plusieurs travaux . Avant tout, il résulte de ces recherches, que
mander des effets très différents : tel muscle en hypotonie fera un travail profitable et augmentera de vo- lume sous l'inf
ait guère la plume quand il écrivait, quand il « créait ». Dans ses travaux de copie cette sensation disparaissait, mais pour
une vague appréhension chaque fois qu'il s'agissait de commencer un travail , et une impossibilité d'écrire aussi vite qu'aupa
out d'abord appliquée au traitement des tabéliques ; les importants travaux de Constensoux (1903), de Maurice Faure (1903),
son application aux crampes pro- fessionnelles et aux tics date des travaux du professeur Brissaud (22), de Meige et Feinde
e des écrivains, devra, dit M. Paul Faurt (d'Alger) abandonner le « travail de vitesse en ligne » pour s'adonner aux exerci
: ils peuvent souvent exécuter encore d'une manière convenable les travaux de leur spécialité, et dans les lignes plus ou
ve éparpillée sur les deux tracés d'écriture, et la nouveauté de ce travail ,le petit effort qu'il nécessite pour être bien ex
la Société anatomique, Paris, 1908, p. 54 UNIVERSITÉ DE BRUXELLES TRAVAIL DU SERVICE DU D' R, VERHOOGEN LA POLYNEVRITE GR
adies toxiques ou infectieuses. (1) Voir pour la technique : Cajal, Travaux du laboratoire, t. V, p. 4, 4907 ; Dostis, L'in
is de démontrer l'existence des deux phénomènes essen- (1) Voir les travaux de Cajal et de Marinesco. Voir aussi un exposé su
e en place, tandis que les cylindraxes persistent, comme depuis les travaux de Ba- binski (2) qu'ils persistent au sein des
nt à nouveau prendre contact avec les plaques musculaires. Ce court travail ne constitue, nous le répétons, qu'une modeste co
° 1, 1907 : la lésion est figurée dans la planche qui accompagne ce travail , fig. 4). Rappelons que, dans ce cas comme ici,
beaucoup augmenté nos con- naissances sur cette maladie. Parmi les travaux que ces épidémies ont suscités, nous cilerons e
ces épidémies ont suscités, nous cilerons en premier lieu les deux travaux de notre compa- triote Wickman (l'un se rapport
atomie pathologique, l'autre à l'élude clinique de la maladie). Ces travaux et un travail antérieur d'un autre Suédois, Med
gique, l'autre à l'élude clinique de la maladie). Ces travaux et un travail antérieur d'un autre Suédois, Medin, qui se rap
aladie pendant les dernières années, tel que nous le présentent ces travaux et un grand nom- bre d'autres parus dans divers
ient déjà commencé à se modifier en ce sens à la suite de plusieurs travaux notablement antérieurs aux épi- démies des dern
n anatomique de ces cas, mais nous n'en parlerons que dans un autre travail . La question dont nous voulons en premier lieu
oyée pendant la convalescence. Enfin, dans le dernier chapitre du travail , je discuterai quelques ques- tions générales c
ite aiguë à la phase initiale de la maladie. C'est surtout dans les travaux français qu'on trouve des exemples de cette nat
ong du dos. Il cite plusieurs cas de cette na- ture empruntés à des travaux antérieurs ; pour ces cas nous nous borne- rons
n certain nombre de cas la ponction lombaire. Quand on s'occupe des travaux faits sur la ponction lombaire et des recherche
u polychrome ou de cristal violet». Nageotte et Lévy-Valensi (1) Ce travail était achevé quand nous avons appris par le trait
ien, mais il n'y avait pas de symptômes nets et elle a continué son travail à la fabrique. Le 6 novembre elle est restée de
ge- ment des troubles de la sensibilité, nous nous reporterons à un travail que 402 PETRÉN ET EHRENBERG j'ai publié (P. 7
a- tions ayant presque la même valeur que des expérimenta lions. Ce travail m'a conduit à une conception des voies de la se
sibilités cutanées reste encore. Depuis la date où j'ai publié ce travail , les observations faites dans di- vers travaux
te où j'ai publié ce travail, les observations faites dans di- vers travaux n'ont nullement parlé contre cette conception sur
a- gnostic du fait sur lequel nous avons attiré l'attention dans ce travail , c'est-à-dire que les symptômes méningitiques d
nnement : nous n'insis- terons pas sur ce fait qui est l'objet d'un travail de l'un de nous. (1) Travail du service et du l
s pas sur ce fait qui est l'objet d'un travail de l'un de nous. (1) Travail du service et du laboratoire du professeur Gilber
t de déve- (1) La partie clinique, radiographique et critique de ce travail revient surtout à M. E. Levi; la partie relativ
ns acti- vité, sans énergie, lents dans leurs mouvements, fuyant le travail , fatigués presque aussitôt qu'occupés, en un mo
e géant qui a été tou- jours incapable de s'adonner à tout genre de travail et qui, faible d'esprit et de corps, a toujours
ne péni- blement en marchant, et monter un escalier est pour lui un travail assez grave. Malgré cela, il est habituellement
EVI ET GIUSEPPE FRANCHINI w Aussi bien dans l'acromégalie (voir les travaux récents de Franchini) que dans notre cas de gig
lorence; l'élude complète de ces squelettes fera l'objet d'un autre travail ,mais nous pouvons dire dès à présent que E. Levi
és suivant les trajets nerveux mériteraient d'être étudiées dans un travail critique; si certaines d'entre elles semblent à l
sommes-nous empressés à reconnaître la part qui lui revient dans ce travail . Ce malade présente au niveau de la région pect
e de la question qui nous intéresse est déjà réunie dans .plusieurs travaux antérieurs (Bechlerew a compté 35 cas de son type
compté 35 cas de son type). Nous indiquerons ici seulement quelques travaux . Marie et Astier (1897) n'ont pas trouvé d'atro
nières sont dues, l'une à Marie, l'autre à Marie et Léri. Dans ce travail , nous apportons le 7° cas d'ankylose de la colonn
qu'après 15 jours environ, le malade était en état de reprendre son travail . Le 13 juin de la même année, il est revenu con
tre comparées avec les données radiogra- phiques. Abadie, dans le travail cité ci-dessus, rapporte deux examens nécrosco-
s est également décrit t par ces derniers auteurs et publié dans le travail d'Abadie ; il avait été antérieurement l'objet
dans le travail d'Abadie ; il avait été antérieurement l'objet d'un travail de B. Auché (Bulletins de la Société anatomique
poser, ajoutées à celles plus générales que nous avons extraites du travail de Pansini, sont suffisantes pour nous donner u
r un cas plus démonstratif que celui dont je me suis occupé dans ce travail et auquel je puis ajouter les radiographies qui
Hopkins, Hosp. Bull. n° 139, 1902) : je n'ai pu me procu- rer ni le travail original ni un résumé. 6°Cas de Graetret (TaGis
e radiographie confirme pleinement tout ce que dit Abadie, dans son travail , au sujet de l'analomiepathologique des ostéo-art
tomo-palllologiquement, la forme de coin dont parle Abadie, dans le travail que nous avons cité à maintes reprises. Mais en
oncomitance avec la raréfaction osseuse, comme s'il se préparait un travail pour obvier aux inconvénients qui auraient pu nui
ême par la déformation de la colonne vertébrale. Avant de livrer ce travail à la publicité, j'ai eu occasion de revoir C. S
ati- nn 35 323 R0ASENDA vement fort et peut encore vaquer à ses travaux assez pénibles de mécani- cien, quoiqu'il prése
deux jours. Après avoir fait du massage local, il put reprendre son travail , d'autant plus facilement qu'il ne souffrait pa
relatif, la conservation suffisante des forces et de l'aptitude au travail con- cordent avec ce qui a été écrit par la maj
rendre le matin. Le soir, alors que les autres ouvriers quittent le travail , il reste à l'usine, ne comprenant pas que la jou
et il s'est senti plus malade, mais il pouvait encore accomplir son travail . Le jour suivant encore de la céphalalgie, des
du sixième peuvent être atteints par la poliomyélite est, depuis le travail de Medin, si connu que je ne m'en occuperai plu
d'abord d'une façon normale. J'ai déjà insisté sur ce fait dans un travail paru en suédois (80). 1° La première fois que
n et la fonction du coeur est bien en accord avec les résultats des travaux des physiologistes qui prouvent que le coeur pe
'est beaucoup modifiée ; car nous savons maintenant, surtout par le travail de Wickman (comme aussi parle travail postérieur
ns maintenant, surtout par le travail de Wickman (comme aussi parle travail postérieur de Leegard) qu'il peut se présenter
, aient insisté sur sa valeur. Il y a 5 ans quej'ai étudié, dans un travail en suédois (79), le traitement des différentes
x (sauf le tabes) par des exercices méthodiques. Je vais publier ce travail dans une revue française (Archives de Neurologi
ômes acromégaliques (sur cet argument nous renvoyons le lecteur aux travaux de Cagnetto). Les observations de ce genre so
584 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANCHINI de l'échange matériel ; les travaux que l'un de nous (Franchini) a déjà publiés sur
bservations ont porté sur des sujets détenus dans les ate- liers de travaux publics et sur des hommes envoyés dans les compag
dernier. A la suite de cet incident, il est condamné à cinq ans de travaux publics. Son père est mort alors qu'il avait si
de 12 à 16 ans, il suit assidue- ment les réunions de la Bourse du travail où il est connu sous le sobriquet du « petit ac
esprit de L... l'idée des souf- frances qu'il endure à l'atelier de travaux publics. Observation III. - (Tatouage n° 3.)
is daus l'eau, c'est moi, dit-il ; le pot d'eau, c'est l'atelier de travaux publics. » Observation VII. (Tatouage n° 7.)
Le tatouage n° 7 est porté par le nommé S..., détenu à l'atelier de travaux pu- blics. Il a été fait par l'artiste tatoueur
aucune honte de ce vice. Deux mois après son arrivée à l'atelier de travaux publics, il s'était fait tatouer dans le dos une
on XIII. (Tatouage n° 13.) D... Cet homme est détenu à l'atelier de travaux publics pour refus d'obéis- sance, coups et ble
complètement déviées. L'homosexualité active, dans les ateliers de travaux publicsetdans les compagnies de discipline, n'est
ial et incorporé dans un bataillon d'Afrique. Envoyé à l'atelier de travaux publics à la suite de voies de fait sur un supé
rges pour le compte d'une compagnie anglaise. Rapi- dement lassé du travail exténuant qui lui était imposé, il demande à rega
éléphant. Il reste quelque temps à Calcutta où on l'em- ploie à des travaux de jardinage, et finit par regagner la France. Il
egagner la France. Il arrive à Marseille où il cherche vainement du travail . Il ne réussit qu'à faire la connais- sance de
de violence, il est condamné par le conseil de guerre à cinq ans de travaux publics. Les tatoua- ges que C... présente sont
n XXIII. - (Tatouage n° 25.) J..., typographe détenu à l'atelier de travaux publics. C'est encore un poète, mais il n'a pas
ette étnde est extraite d'un livre en préparation sur les Ateliers de travaux publics. Le gérant : P. Bouchez. Imp. J. Thev
E DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (hospice DE la S,\LPÊl BIL.IOE) Travail du laboratoire de M. le professeur Raymond. ATR
araît mériter une étude plus approfondie. Nous avons montré dans un travail récent (1) en quoi elle différait au point de v
du tissu graisseux, Parhon et Zalplachta (·1), dans un intéressant travail sur un cas de gigantisme précoce avec polysarcie
qués par l'influence de l'hypophyse. E. Muetier a publié, dans un travail sur l'influence des tumeurs céré- brales sur la
uffert dans son enfance ? Cet argument a été l'objet d'intéressants travaux surtout de l'école française. C'est en 4t375 qu
ue les symptômes au début des deux maladies sont analogues. Dans ce travail , nous avons insisté sur le fait qu'en général les
qu'il s'agirait de maladies d'une nature identique. Dans un autre travail paru quelques années plus tard (1891), Strüm- p
raideur des articulations des membres inférieurs. Il a continué son travail encore deux jours, puis il a été obligé de cess
oire précédente. A la fin d'août 1908, il a plusieurs fois fait son travail sous de fortes pluies, a été tout mouillé puis a
sur la poliomyélite telles que j'ai essayé de les indiquer dans ce travail , me semblent bien être de nature à mettre en lu
mme on l'a déjà remarqué (Baumann et d'autres). J'ai montré dans ce travail que des troubles moteurs de la vessie peu- vent
, la forme ataxique. A la suite des considérations exposées dans ce travail , j'essaierai de for- muler en quelques mots nos
ie de la poliomyélite aiguë. En terminant cette étude, je reçois le travail de Leegaard, qui traite de la grande épidémie n
é, un notable per- fectionnement. Elle n'est que la perception d'un travail intérieur et ce- lui-ci étant déterminé, la pen
l'état d'ébauche chez les êtres cellulaires. Cette mé- (1) Tous nos travaux antérieurs aboulissent à la même conclusion. Voir
enforcée par la coopération d'un plus grand nombre d'individus à un travail commun. La bile, le suc gastrique sont maintena
sculaires qui, individuellement, ne peuvent fournir qu'une somme de travail impercep- tible, soulèvent de lourds fardeaux e
sse vivante, les cellules se diffé- rencient, se spécialisent et le travail se centralise. Le développement d'un organe est
homme, par le seul fait du fonctionnement de la matière vivante, un travail analogue à celui qui se produit dans le règne v
'une véritable vitalité qui se mani- feste par le déplacement et le travail « intelligent » des molécules. Sans parler du m
velopper, le cerveau a besoin des excitations purement physiques du travail intel- lectuel, comme les muscles doivent être
du travail intel- lectuel, comme les muscles doivent être soumis au travail manuel pour conserver et augmenter leur puissan
t de l'intelligence et un élargissement des connaissances. Par le travail qu'elle nécessite, l'étude de la nature est le me
st impossible de juger beaucoup et de haut, si l'on connait peu. Le travail intellectuel par la double ac- tion qu'il exerc
ntre les fails des rapports nouveaux. L'intelligence fortifiée par un travail incessant et enrichie d'une foule de connaissan
puissante diversité de son savoir, la constante originalité de ses travaux , et, par-dessus tout, sa rare personnalité mora
44 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s tantôt gais, tantôt désobligeants; ces voix le suivaient dans son travail et répétaient tout ce qu'il faisait. C'est par
dou- leurs à une méningite spinale, la parésie, la paralysie à un travail inflammatoire des cornes antérieures, les contr
temps qu'il voyait double. ' ' Au cours de tous ces accidents, un travail escharotique avait DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE SPI
i me paraissent vraisemblables. i ' ' D'ailleurs, pour faciliter ce travail et ne pas nous égarer, nous décrirons exclusive
mbien de malades qui paraissaient atta- chées à une lecture ou à un travail et qui sont incapables, si on les interroge que
multiplication à faire. Pendant qu'elle est bien absorbée dans son travail , nous remarquons les mêmes phé- nomènes de dist
étudier ces phénomènes. Celui qui s'aventu- rait dans de semblables travaux risquait de compromettre sa réputation et sa ca
ndre enregistreur pour convaincre les incrédules. C'est grâce à ces travaux , ne l'ou- blions pas, que le droit à l'étude du
t dans la science savoir être recon- naissant, pour que nos faibles travaux , quand ils seront bien vite dépassés, ne soient
e. La ' Pour l'étude de ce somnambulisme complet de Wit..., voir le travail de Jules Janet, Hystérie et somnambulisme, d'ap
us les deux mois environ et duraient une journée : Au milieu de son travail , il était toutà coup pris d'une impulsion ; il
l s'est levé un matin à 6 heures comme d'ordinaire pour aller à son travail . A - peine est-il sorti de la porte-cochère qu'
l'impulsion irrésistible de marcher. Et sans penser davantage à son travail , envahi par cette obsession, il file droit deva
tre à cinq jours, mais le malade reste mélanco- lique, incapable de travail ; il croit avoir perdu la mémoire, craint de ne
Schwanberg un vieux bâtiment et l'on est en train d'y exécuter les travaux d'appropriation nécessaires à sa transformation e
récents. La simulation découverte, on le con- damne à quinze ans de travaux forcés. Nouvel accès de stupeur anxieuse; au bo
ujet au médecin de l'établissement. M. ZINN n'a rien à ajouter à ce travail complet. Discussion : M. DE KIt9PrT-EHING. C'es
as pouvoir disposer en même temps de l'enseignement pédagogique, du travail manuel, de l'entraîne- ment agricole. Les épile
malades adolescents et adultes ; d. De constructions économiques ( travail agricole); e. Hospice avec section spéciale pou
ussion. M. MOELI rappelle les recherches de Fristsch et Hitzig, les travaux ' de Wernicke, Kussmaul, Lichtheim, Grashey, en
e et de l'écriture, constituent des fonc- 1 . ' ' On trouvera ces travaux dans les Archives de Neurologie. SOCIÉTÉS SAVAN
mément atteints. Celles qui nécessitent de la peine, par exemple le travail de la composition des mots par des lettres, i s
a psychophysique qui concernent le temps employé à l'exécution d'un travail mental; - 8° A l'exemple de Grasheyt qui a obse
viter des épidémies dans l'établissement. Nous connaissons tous les travaux de Heidenhain, Gruetzner,. Charcot, Bernheim, F
e de la suggestion, ou bien des conceptions suggérées provoquent un travail d'assimi- lation, de digestion psychique qui ab
es conditions de vie dans les villes (surmenage cérébral, manque de travail manuel au grand air, etc.). Chez les paysans ru
commençons dans ce numéro l'analyse, nous ne dirons pas de tous les travaux qui ont paru sur la chirurgie du cerveau, mais
du chef de l'école de la Salpêtrière. On y trouve dès le seuil, le travail dans lequel il dé- montre en s'appuyant sur prè
les recueils périodiques. De plus qu'on veuille donc bien relire le travail de M. Charcot sur les néo-membranes de la dure-mè
psychiatrie. Cependant, jusqu'à présent, nous ne possédions pas de travail d'ensemble sur cette question; c'est pour- quoi
volume, ou M. Gaj- kiewicz a su réunir le suc, pour ainsi dire, des travaux les plus importants parus sur la matière, avec
s hospices et des asiles ou comme hommes de peine chargés de gros travaux . ' B. SUICIDE D'UNE aliénée. Une vieille femm
réel moyen d'action dans le traitement; il ne pourra pas juger du travail intellectuel ou l'exciter encore en mettant en oe
BEDHILL. Le rapport annuel montre que, pendant l'année dernière, le travail a été en progrès constant dans toutes les décis
nds génies qu'elle ait jamais comptés. C'est par le concours de ses travaux anatomiques que la physiologie cérébrale prit u
pour se perfectionner par la parole du grand maître. Le nombre des travaux qu'il a publiés est immense. Meynert fut le fon
udes sur la toxicité urinaire, nous ont obligé à publier d'abord un travail qui, pour nous, ne devait être qu'un corollaire
n'a été apporté; depuis l'année dernière cependant, une série de travaux ont été publiés dans une voie parallèle. Sous l'i
es l'amblyopie transitoire se manifeste. Au sur et à mesure que les travaux des neurologistes (sur- tout de Charcot et de s
centres nerveux devait s'imposer..Voilà, justement, le plan- de ce travail . Nous nous proposons, donc, d'examiner les diff
dus à Vater ('l723) et Demours (97ô`), selon Pravaz (1828). Mais le travail de Piorry (4)(1831) est le premier dans lequel
. Les accès se produisaient deux ou trois fois par mois, pendant le travail du matin, entre 6 et 7 heures, et prenaient par
le remercier de l'extrême obligeance qu'il a mis à m'aider dans ce travail . ! \lme Françoise Hus... (39 ans). Antécédents
tement disparu. ' Depuis cette époque, et toujours au milieu de son travail , les mêmes phénomènes ont reparu quatre ou cinq
es que les précédentes, mais entraînant cependant la cessation du travail pendant quelques jours et nécessitant l'emploi du
on que m'impose le prix Cameron. Ce prix est, en effet, décerné aux travaux purement thérapeu- tiques parus dans le cours d
nt élargies, et' l'Université peut aujourd'hui récompenser d'autres travaux que' ceux parus dans l'année, sans se limiter a
. Cette relation venait d'être mise en évidence par Broca, mais les travaux de ce maître n'étaient pas encore suffi- sammen
dans le n° 21 du Neurolog. Cen- trolbl., 1890, en rendant compte du travail de Cunningham (Lan- cet, 1890), qui adopte la t
nerveuses (embryon humain de huit mois). P. KERAVAL. XK Annexe au travail intitulé : Des différentes situations et dimen-
u pyramidal; par W. Bechterew. (Neurol. Cen- tralbl., 1891 1.) Le travail de Lenhoessek sur le même sujet (Anat. Anzeig., 1
de vue absolu mais, relativement plus lourd. Cela tient à ce que le travail des échanges nutritifs, qui est sous la dominat
ude SUR LES poisons DE L'INTELLIGENCE; par le Dr Legrain. Dans ce travail , à l'aide d'une analyse minutieuse d'un nombre
vre dans tous les détails qu'il donne dans la seconde partie de son travail (partie analytique); c'est une accumulation de fa
poison en particulier. L'auteur a tout naturellement éliminé de son travail analytique les poisons très connus, ceux qui so
ns. . Nous n'avons donné qu'une bien faible idée de cet important travail qui ne comporte pas moins de quatre-vingts pages.
n mémoire très instructif et utile il consulter. C'est un véritable travail d'encyclopédie. Nous espérons que notre trop co
sibilité, de l'intelligence, de la vue; pas de nystagmus. Depuis le travail d'Unger, il y en a sept REVUE DE pathologie NER
Théophile. Roussel a été désigné, par acclamation, pour diriger les travaux du Congrès. Il a remercié, ses collègues de ce
ur le sujet, on ne peut réunir sur la matière qu'un petit nombre de travaux dus à Cotardi, à M. Séglas, des observations is
. L'histoire du délire des négations tient tout entière dans quatre travaux de Cotard, corroborés par M. Séglas. De l'ensem
e travaux de Cotard, corroborés par M. Séglas. De l'ensemble de ces travaux se dégagent très nette- ment certaines données
a fait disparaître les contradictions et les lacunes de son premier travail . Il importe donc d'établir un groupement parmi
certains de ses malades ne les présentaient pas. Dans son principal travail sur le délire des négations, il s'attache avant
us grand nombre d'individus par suite des bénéfices produits par le travail des malades venant alléger le poids des charges
(de Paris). Nous sommes tous d'accord pour reconnaître l'utilité du travail agricole pour la santé des malades, la discipli
des asiles on ne vienne pas créer des colonies annexes, mais que le travail agricole soit seulement développé dans le plus gr
t l'état mental du malade ; 4° Les colonies agricoles ou mieux le travail horticole et agricole, donnant aux malades la v
xion de fermes ou, si l'on veut, de terrains donnant aux malades du travail horticole et agricole parait avoir été réalisée
ance pu- blique. Auzouy, parlant de l'application des aliénés aux travaux agricoles, l'appelle la « réforme de lerrus a.
e 7 hectares de terrain qui pourraient être utilisés et affectés au travail des malades, au lieu d'être ensemencés de céréa
il suffirait d'un patronage pour pouvoir vivre en liberté. « De ce travail il résulte que 653 déments, séniles, imbéciles ou
ort que les familles de Dun en voyant qu'ils ne peuvent tirer aucun travail des déments, des séniles, des idiots et des imb
3° sur un vaste champ de luzerne qui n'avait jamais été affecté au travail horticole fait par les alié- nés. Pour ce qui e
ul pavillon, et cela suffira amplement pour remplir l'indication du travail en plein air. Quant à la grande culture proprem
, je la rejette pour bien des motifs. Elle exige en premier lieu un travail excessif et aboutit fatalement à l'exploitation
oir-et-Cher qui a publié un compte-rendu détaillé et très exact des travaux du Congrès. « M. Rousse, dit ce journal, a reme
allet répond qu'il n'ignore pas cela et que le but principal de son travail a été de mettre en relief le caractère particulie
ives. 312 ruz) SOCIÉTÉS SAVANTES. M. F. RAYMOND (de Paris) lit un travail sur les troubles délirants du goitre exophtalmi
n plus d'intérêt. M. Bourneville énumère ensuite un grand nombre de travaux qui ont été publiés sur la craniectomie, depuis
édiaires qui le prouvent. M. RAYMOND (de Paris) rappelle aussi le travail de Kussmaul. Dans le premier cas, il regrette q
aiguë, la confusion mentale primitive. M. Chaslin rapporte dans ce travail , l'observation d'un malade du ser- vice de M. D
elle, car il fait tout l'historique de la question, rappelé que les travaux allemands sur la confusion mentale n'ont fait que
son nom et au nom de M. Lalle- - SOCIÉTÉS SAVANTES. * 325 mant un travail sur le Sulfate neutre de Duboisine dans le traite
pas brûlés comme sorciers ! Grâce à vous, Messieurs, grâce à vos travaux , grâce aux persévé- rantes recherches, au dévou
l'asile d'Orléans, alors qu'il leur faut de l'espace, de l'air, le travail agricole, aux champs, dans une liberté aussi gran
n au Congrès de Blois (p. 316)1 . ' Voir n' 70, p. 131. ' ' Notre travail débute par un historique de la question où sont c
rd, 21 février 1891, p. 233.) Garçon né à terme, le 2 février 1890, travail normal, sans diffor- mité, pesant environ 6 liv
que CHIRURGICALE. Encouragé par le rapport d'un cas de Lannelongue, travail que je n'avais vu que dans un article du Médica
(American journal of med. Sciences, juin 1891.) J'ai intitulé ce travail craniotomie linéaire au lieu de craniectomie, t
circonfé- rence de la tête : 53e,3. La malade est née à terme. Le travail dura vingt-quatre heures et fut très pénible. P
ptième mois elle faillit être écrasée'et eut une grande frayeur. Le travail fut normal et dura trois heures; pas de forceps
enfant d'un an, est née avant terme (huit mois). La mère dit que le travail fut rapide, naturel et facile, et qu'on n'eut rec
rte que sa main gauche est presque aussi agile que là droite. (Ce travail est accompagné de deux figures. Sur la figure 2,
étose dans lesquels on pourrait espérer quelque amélioration. Les travaux qui précèdent nous paraissent prêter à quelques
aucun écarte- ment ; dès le lendemain de l'opération, il se fait un travail de réparation, tendant à combler la brèche. Mêm
au traitement et à l'éducation de ces malheureux; qu'ils lisent les travaux publiés sur cette partie de la pathologie et il
est Tnct2osr. Th. Paris, 1892, aux bureaux du Progrès médical. Ce travail , entrepris sous la direction du or Bourneville, e
x bisannuel de 2.000 francs qui sera décerné à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeu- tique des maladies mentales et
ue sorte, par un mot (ours, serpent) sans relation aucune avec le travail accompli, c'est une sorte de moyen mnémo- techn
este silencieuse, se tient à l'écart, ne rit pas, ne commence aucun travail . Dès qu'elle aperçoit 3 bougies allumées, elle
m'arrivait de compter les mots de phrases parlées. Vous pensez quel travail tout cela me donnait et combien cela devait me
lle lavée, elle disait ours et ainsi de suite pour chaque espèce de travail . Elle exigeait que sa fille fût présente au mom
elle-même fort ridicule, elle devient inquiète, s'imagine que le travail est mal fait, elle éprouve des palpitations, ne p
us offre la cli- nique. Mon intention n'a pas été d'exposer dans ce travail d'une manière méthodique et complète, tout ce q
ière méthodique et complète, tout ce qui se rapporte à ce sujet. Un travail de ce genre ne pourrait être que la repro- duct
ile dans la plus grande partie des cas d'établir le diagnostic. 4 Travail de la clinique de M. le professeur CHARCOT. 388
ysté- riques simulateurs des maladies spinales '. Dans le présent travail , nous n'avons pas eu l'idée d'entre- prendre un
et elle avait de la peine à se remettre debout. A cette époque, son travail à cause de l'Exposition était énorme, elle se s
Bref, en février 1890, )I-e Gi ... tout à fait impuissante pour un travail quelconque, fut obligée d'entrer à la Salpêtriè
Salpêtrière et rentrer de nouveau chez Duval pour y reprendre son travail . Mais bientôt son état empira de nouveau. En jan-
rmait comme cela pour de courts instants. Ainsi et par son genre de travail et par la façon dont elle se reposait, Mme G...
le frappât le bras gauche, lequel comme les jambes était sujet à un travail journalier très rude ? La raison de ce que les
réfléchir à nouveau combien cela était fatigant à cette époque. Ce travail demandait une vigueur physique peu ordi- naire,
rampes aux doigts de la main droite qui l'obligent à interrompre le travail . Ceci lui devient de plus en plus pénible ; à l
sements. Cette diplopie lui arrivait soit pendant qu'il était à son travail , soit dans les autres conditions de la vie. En 18
eures environ devaient s'écouler avant que Cha... pût reprendre son travail . Après quatre mois Cha... pût se convaincre que
instants tout rentrait dans l'ordre et Cha... pouvait reprendre son travail . Il continua comme cela jus- qu'en 1886. Ce fut
phie. Mais la paye, très mi- nime, la peur de devenir impuissant au travail , la préoccupation de ne pouvoir pas satisfaire
ns de défaillance qui l'obligent à s'asseoir et à inter- rompre son travail ; cette sensation se présente sous une forme d'a
conséquences de sa bronchorrhagie, de façon à pouvoir reprendre son travail ? Comment s'expliquer leur forme d'accès en uni
rêtèrent et B... parut guéri. Au commencement de 1890 il reprit son travail ; mais les affaires allaient mal pour la petite
.- Archiv., 1880, t. LXXX, p. 345. 416 PATHOLOGIE NERVEUSE. à son travail , le marteau lui parut lourd et la paralysie du
tère; la faiblesse de ses membres droits s'accrut tellement que son travail , lui devint impossible, ainsi il se présenta à
mps. Mais, si l'on était arrivé de la sorte, comme le montrent le travail de Féré (1881) et la thèse de Raullet (1883), à d
tels que nous les avons fait ressortir dans la seconde partie de ce travail , nous devons dire avant tout que ces rap- ports
les atta- ques, il faut en considérer les causes occasionnelles (un travail intellectuel prolongé, un excès quelconque, des
ion. Les mouvements habi- tuels se font de même; elle fait quelques travaux à l'aiguille et exécute au crochet d'interminab
tout cela est effectué dans un état bizarre. Elle se fixe sur son travail , n'est plus en relation avec le monde extérieur,
ot dans l'es- prit que les images essentiellement nécessaires à son travail et ne garde aucun souvenir quand elle a fini.
t ne garde aucun souvenir quand elle a fini. N'insistons pas sur ce travail curieux de Berthe qui provo- querait bien des r
erses catégories de l'aliénation mentale. Il cite en outre dans son travail quelques chiffres intéressants fournis par l'asil
- gique, 1891.) Il résutte des considérations développées dans ce travail : 1° que le médecin aliéniste n'est pas, en tan
influence désavantageuse sur aucune des phases de la grossesse, du travail , des suites de couches. La patiente est encore
eront dans un ouvrage qui paraîtra prochainement et qui réunira les travaux du congrès. Au moment de l'Exposition de 1889,
les membres de la Society for psychical researche ont consacré un travail considérable à préparer le congrès dans ses moind
uestions moins spéciales. Comme nous ne pouvons suivre dans leurs travaux ces différentes sections, il nous paraît utile
expérimentale. Pour des raisons que nous avons indiquées dans notre travail précédent, on peut distinguer les quatre classe
td'êtrecomplet. M. leprofesseur Ribota envoyé une note résumant ses travaux récents sur les idées générales; le Dr Newbold
ur la théorie des locali- sations. Le Dr A.-D. Waller a lu un grand travail sur les fonctions attribuées à l'écorce cérébra
modifications des mouvements dans les émotions. Citons également le travail du professeur M. Preyer (d'Iéna), sur l'ori- CO
allucinations naturelles ont été l'objet, en Angleterre, d'un grand travail . La' Société des recherches psychiques a entrepri
e 17.000 ré- ponses ont été dépouillées et les résultats de ce long travail ont été présentés au congrès par M. Sidgwick et
ns, si incomplètes, indiquent seulement le nombre et la variété des travaux qui ont été présentés au Congrès et peu- vent e
s au Congrès et peu- vent encourager quelques chercheurs à lire les travaux eux-mêmes dont beaucoup sont indispensables à c
gistes tant français qu'étrangers. On lui doit un certain nombre de travaux importants parmi lesquels nous trouverons à ' c
45 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
e de la des- cription de l'auteur' et des planches annexées à son travail . A ce cas unique, nous pouvons maintenant en aj
e grande cellule pyramidale. 1 Pour ne pas allonger démesurément ce travail , nous ne donnerons dvec détails dans l'une et l
icilement, mais continuait cependant à faire, comme d'habitude, son travail de couture. En mars 1883, un soir après dîner
nerf à la suite de l'élongation d'un autre nerf. Dans son excellent travail , M. Prévost cherche à élucider encore une autre
recherches de Fiesler, Feinber E, Klemm 3 et Hayem 4. De tous les travaux concernant l'élongation des nerfs que nous veno
ibué surtout à élucider cette question. Mais jusqu'à présent, aucun travail concernant les altérations de la moelle produit
longation des nerfs, ce qui constitue le principal objet de notre travail . Les animaux furent sacrifiés à différents inte
rfs sou- mis à la traction ne sont que le but secondaire de notre travail , qui a pour objet principal les altérations de la
à l'appui de notre démonstration : M. Westphal,1, dans son dernier travail , dont nous avons fait mention, . énonce une con
e 'reconnaissance pour la bienveillante direction accor- dée à ce travail . Nous adressons également nos remerciements sin
mple de guérison. Qu'on veuille se rapporter à l'introduction de ce travail , qu'on se rappelle que dans la sclé- rose en pl
lques circonstances extraordinaires qui nécessitent un plus grand travail nerveux, un plus grand nombre de fibres nerveuses
es, les cylindres axiles résistent jus- qu'aux dernières limites du travail destructif, et s'il est très difficile de trouv
ue faite au début de la sclérose en plaques, a peut-être empêché le travail destructif de progresser et dans ces conditions
ssi redevables à M. Pari- naud, qui a si bien décrit dans plusieurs travaux successifs, les troubles oculaires de la scléro
ont fixé notre diagnostic. En résumant les principaux points de ce travail nous dirons : 1" Que la sclérose en plaques e
nous avons consta- tées dans cette élimination sous l'influence du travail intel- lectuel. Ces rapports entre la nutriti
n peut faire remonter la dimi- nution constatée sous l'influence du travail intellectuel dans l'élimination de cette substa
e moindre décomposition provient-elle de la substance nerveuse ; lé travail intellectuel diminue-t-il les échanges nutri- t
phosphates neutres, aux rapports qui existent entre l'intensité du travail et la richesse de l'alimentation en acide phosp
La diminution de l'azote que nous constatons sous l'influence du travail intellectuel ne se rattache donc pas à une diminu
tage attribuée à une moindre activité du système musculaire dont le travail augmente l'élimination de l'azote ; nous avons
usculaire abso- lument semblables, pendant les états de repos et de travail intellectuels. La diminution de l'azote élimi
La diminution de l'azote éliminé sous l'influence de ce der- nier travail ne pouvant être recherchée ni dans le système n
U SYSTEME NERVEUX. 79 nisme ' », force encore est d'admettre que le travail intellectuel ralentit la nutrition générale.
rale. La diminution produite dans l'élimination de l'azote par le travail intellectuel se lie donc au ralentissement de la
phosphorique uni aux alcalis, qu'on constate sous l'influence du travail intellectuel. Nous savons, en effet, que la nutri
écessaire de rechercher d'où vient l'augmentation pro- duite par le travail intellectuel sur l'élimination de l'acide phosp
tuel sur l'élimination de l'acide phosphorique uni aux terres. Le travail intellectuel retentit sur l'ensemble de la nutrit
onc la conclusion que nous impose la connaissance de l'action de ce travail sur l'élimination de l'a- zote et de l'acide ph
ide phosphorique uni aux terres, qu'on retrouve sous l'influence du travail intellectuel, ne peut-elle pas s'expliquer par
nts en phosphates serait plus grande. Or, nous avons vu, lorsque le travail n'était pas très intense, l'acide phospho- riqu
entation des phosphates terreux qu'on rencontre sous l'influence du travail intellectuel. Et comme toutes les autres cond
ment les mêmes lorsque les individus en expérience sont soumis à ce travail ou lorsqu'ils sont à l'état de repos, nous ne p
phates terreux qu'on retrouve en plus dans les urines à la suite du travail intellectuel ne proviennent-ils pas de ce que le
erres, qu'on retrouve en plus dans les urines sous l'influence du travail intellectuel, est dû à des échanges plus actifs s
phorique produit par ces échanges. Nous pouvons donc dire : 1° Le travail intellectuel emploie, pour se produire, de l'acid
lation ; sinon le cerveau serait bientôt privé de phosphore et tout travail in- tellectuel deviendrait vite impossible. Pou
Ces phosphates, nous l'avons vu, sont diminués sous l'influence du travail intellectuel, et rapprochant cette dimi- nution
cile à résoudre; nous n'aurions qu'à voir si, sous l'in- fluence du travail intellectuel, ce rapport est diminué ou non. Il
hosphorique uni aux alcalis et l'azote chez un individu à l'état de travail intellectuel, comparative- ment à ce qu'il est
prononcer à ce sujet'. Remarquons, toutefois, que c'est lorsque le travail intellectuel est le plus intense (tableau I, n° 3
e des modifications absolument semblables à celles que produit le travail intellectuel ; seulement l'activité cérébrale éta
à penser que la diminu- tion de l'acide phosphorique que produit le travail intellectuel ne se lie pas à la seule nutrition
aux alcalis del gr. 65, ces chiffres deviennent, à la suite d'un travail intellectuel de sept heures, de 52 centigr. pour
pour le pre- mier et de 1 gr. 53 pour le second, et à la suite d'un travail de dix heures, de 58 centigr. et de 1 gr. 27. I
de phosphorique uni aux alcalis, qu'on constate sous l'influence du travail intellectuel, ne reconnaît pas comme seule caus
es alcalins trouvés en moins dans les urines, sous l'in- fluence du travail intellectuel, sont absorbés par la substance ne
ellectuel, sont absorbés par la substance nerveuse pour produire ce travail , et servent à compenser les pertes en cet acide
ux alcalis, ET REND DE L'ACIDE phosphorique UNI aux terres; 2° Le travail INTELLECTUEL RETENTIT SUR la NUTRITION GÉNÉRALE
LECTUEL RETENTIT SUR la NUTRITION GÉNÉRALE QU'IL RALENTIT ; 3° LE travail INTELLECTUEL MODIFIE l'élimination DE L'A- CIDE
après la mort. Nous ne pouvons donner ici que les conclusions de ce travail , d'après l'auteur lui-même : 1° Chaque fibre
n s'entre-croisant entre elles et formant une sorte de plexus. Ce travail est accompagné de figures très claires quoique no
s dans LES cellules nerveuses ; par P. Rosenbach. Remarque SUR LE travail DE R. SCHULZ, intitulé : Des altérations artifi
. (Centralbl. f. Ne2,ve2zheilk. 188t.) Le sous-titre rationnel du travail est : Tabes et 111° et 7F° paires sacrées. En e
iers linéaments de pseu- do-hallucinations ; avant d'écrire un long travail , il pose les grands points principaux de son ét
ragement, d'apathie, d'indifférence, sans pouvoir se livrer à aucun travail . Mariée à vingt et un ans, elle eut deux enfant
nilatérale du muscle crico-aryténoidien postérieur. A rapprocher du travail récent de M. F. Krause, qui rattache la plupart
toriale, comme annexe au pro- pre rapport de cette commission. Ce travail qui a extrait des actes du Parlement anglais ce
tions, de visiter trop peu les aliénés des wor- khouses (maisons de travail ), et de ne pas visiter du tout les aliénés indi
x de revient est de 5 fr. 50 par jour. Les Workhouses ou maisons de travail , instituées en vertu de la loi des pauvres, com
u somnambulisme, de la léthar- gie, de la catalepsie, etc. Mais les travaux de M. Charcot ont jeté depuis quelques années u
au MOYEN des asiles pendant ces dernières années; par LOEIlR. Ce travail a pour but de soumettre au public le développemen
derie, le chauffage à la vapeur (système Sulzer). Pour préparer ces travaux , il fallut faire éclater le porphyre dont se co
a coûté 975,000 ares (1,218,750 fr.) ; on y commença aussitôt les travaux . Aujourd'hui 500 malades y trouvent place. Le tie
a Société, dans sa séance du 5 mai 188ï, a décidé : 1° Que tous les travaux se rapportant à la tempérance et aux boissons alc
s au concours; 2° que des récompenses pourraient être accordées aux travaux imprimés aussi bien qu'aux travaux manuscrits e
es pourraient être accordées aux travaux imprimés aussi bien qu'aux travaux manuscrits envoyés à la Société. La So- ciété n
e-médecin, je constatais un calme complet, comme si elle était à un travail . Je m'occupe aussi de la lecture des pensées sa
se latérale amyotro- phique. Nous relevons la même erreur dans un travail récent de M. H. Blumenthal' : « Nous trouvons c
ents affectueux, sans initiative, n'étant propres qu'à exécuter des travaux manuels qu'il faut leur commander, mourront san
p amélioré, il est moins grossier, plus docile et plus courageux au travail . Il n'est pas méchant, n'a pas de mauvais insli
le font sortir. 196 CLINIQUE MENTALE. 188J. La publication de ce travail ayant été 1 ctard,c, nous ajouterons quelques n
ogrès réalisés sous l'influence du traitement : école, gymnastique, travail professionnel, hydrothérapie, etc. Bout... (Dés
reste guère en. arrière que.pour les exer- ,cices physiques et les, travaux manuels, il, connaît tousses objets usuels. Sai
sommation. Il se croit toujours alors à Saint-Urbain, cause de ses travaux de jardinage, répond aux questions qu'on lui pose
l 1879; il croyait, en nous causant, s'adresser à ses compagnons de travail ; il igno- rait jusqu'au nom de l'asile de Bonne
etc.); 3° Législation par rapport aux aliénés ; 4° Occupations et travaux dans les maisons des aliénés; 5° Administration
sont dues à la formation de poches kystiques sous-arachnoïdiennes ( travail inflammatoire spécial) qui exercent une compres
s et non bavarois, au placement ultérieur des ma- 1 A rapprocher du travail de Rieger. Voy. Archives de Neurologie, t. VIII
r : .. fJ"I : i.' 1, tttf"gl. hypochondrie due a 1 exagération., du travail intellectuel; i , 1 ..1", l>lnt4 I"fi U el ?
ères. Nous pénétrerons dans ce laby- rinthe en nous guidant sur les travaux de Kussmaul etWernicke. Prenons d'abord les dys
' capable de' développement intellectuel ; en effet elle connalt un travail manuel facile; peut-écrire certaines lettres soit
, étoic gnés des aliénés proprement dits, ils puissent se livrer ad travail et jouir de la plus grande liberté pendant les
sonnes hystériques., - Trois observations forment le fonds de ce travail . Elles ont déjà été publiées dans le Neul'olog, C
tions de l'organisme. A proprement parler, il faudrait diviser ce travail en deux parties : la première présente les résult
rébrale. Nous ne saurions pas suivre les détails de celte partie du travail ,qui, faiteavec un soin extrême, présente avec u
enfaiteur de l'humanité. « Je n'ai pas, messieurs, à énumérer les travaux , à exposer les titres scientifiques de cet illu
s plus compétents le soin de retracer la vie si bien remplie et les travaux scientifiques si importants accomplis parPinel.
trangers, concentré en un seul faisceau toutes les lumières que les travaux de ce siècle ont projetées sur cette terrible m
considère le nombre prodigieux de grands hommes qui ont, par leurs travaux , leurs méditations et leurs luttes, préparé pen
cesse de paraître. Nous le regrettons, car ce recueil contenait des travaux intéressants et était fait avec soin. Asile cli
e cette thèse n'existe pas encore il p(.tel'sbourg-. I,tis, dans le travail que j'ai cité déjà, 11111. Ballet et Minor ont di
. L'im- portance du résultat, s'il était acquis, justifierait mon travail , car il importe, au plus haut degré, que la méd
e au complet. Responsabilité atténuée. Condamnation à cinq ans de travaux forcés. En 18R ? , six incendies éclatèrent dan
ances atténuantes. Claude Saron n'a été con- damné qu'à cinq ans de travaux forcés. Observation II.()Ma'e incendies. - Accu
nce ae certains actes.- Responsabilité. Condamnation à douze ans de travaux forcés. En 1883, quatre incendies éclatèrent à
des circonstances atténuantes. La cour l'a condamné à douze ans de travaux forcés. - Observation III. Sept incendies. - Ac
ire, pas même un métier ; tout au plus était-elle propre à quelques travaux grossiers de 344 MÉDECINE LÉGALE. manage'ou d
S FAMILLES D'IDIOTS'; Par BOURNEVILLE et SÉGLAS. Pour terminer ce travail , nous avons encore à parler de deux familles ay
es exercices physiques : gymnastique, danse et escrime, et pour les travaux manuels. Cet enfant est actuellement un des mei
nuiserie. En somme, il se tient bien, est docile, actif, apporte au travail toute la bonne volonté possible, et fait en tou
sur le diabète, ont fait l'objet, dans ces derniers temps, de deux travaux d'ensemble intéressant, la revue critique de MM
tions ; par R. DE Pfun- GEN. (Jahrbùch. f. Psych., V, 1, 2.) Long travail de revue critique très minutieuse, conçu et exé
e et des fonctions de l'appareil d'association, l'auteur résume les travaux d'Arnold (fibres propres), d'IIitzig, de Meyner
T. Claye SHOW (Journal of Mental Science, juillet 1883.) Dans ce travail , M. Claye Shaw reprend et examine, en les serra
des chiures provenant de sources aussi peu uniformes. En somme, ce travail , légèrement éclectique, quoique favorable en gé
s observations détaillées de ces quatre cas sont consignées dans ce travail , ainsi que les constatations faites à l'autopsi
ENGELSKJON. (Arch. f. Psych., XV, 2.) C'est la première partie du travail dont nous avons déjà con- signé in extenso les
and ils ne deviennent pas aliénés ? M. Foville donne lecture d'un travail de M. Parant, sur la simu- lation des maladies
andouzy 9 qui, dans son impor- tante monographie, a résumé tous les travaux antérieurs, fait remarquer dans ses conclusions
SAVANTES. 443 à lire à l'école de Mlle Breuille. Il est employé aux travaux d'agriculture. Son souvenir s'arrête exactement
re sur les psychoses; Wille seul la nie opiniâtrement dans tous ses travaux sur ce point. Dans son dernier compte rendu ann
i fatigues, ni refroidissements, ni nourriture indigeste. (Voy. les travaux de Froehlich. Arch. f. Klin, med. 1879.) Endémi
. M. Tuczek tient d'ailleurs compte dans cette brochure de tous les travaux , de tous les procédés de préparation anté- rieu
ons cérébrales dans les maladies mentales. Depuis lors, de nombreux travaux ont paru sur cette question de psychologie ou d
ant principale- ment sur l'hypnotisme expérimental. Cet important travail nous est annoncé comme le résultat de nombreuse
tte solide base, M. Bérillon expose, dans la deuxième partie de son travail , les résultats qu'il a obtenus au moyen de l'hy
étudiée plus à fond. M. Gou- dal reconnaissant dès le début de son travail deux formes dans la démence dite sénile, nous a
mbre dernier, à l'âge de soixante-troisans. Nous citerons parmi les travaux qu'il a publiés : Recherches surlea paralysie g
s arti- ficielles du); - Crétinisme ; et un certain nombre d'autres travaux qui, de même que les précédents, ne survivront
Société, dans sa séance du 5 mai 1885, a décidé : 1° que tous les travaux se rapportant à la tempérance et aux boissons alc
s au concours; 2° que des récompenses pourraient être accordées aux travaux imprimés aussi bien qu'aux travaux manuscrits e
es pourraient être accordées aux travaux imprimés aussi bien qu'aux travaux manuscrits envoyés à la Société. La So- ciété n
46 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
xistence une vocation Inattendue pour la pratique de l'hypnotisme. Ce travail sera publié dans un de nos prochains numéros. L
amp;oté d'Alger. Réflexions préliminaires Nous avons entrepris ce travail dans le but de prouver qu'il n'y eut rien de mira
peut rester longtemps assise, est capable de faire longtemps le même travail et de temps à autre elle éprouve un besoin impéri
, le 13 mai au matin. La crise fatale le surprit en pleine énergie de travail incessant, durable et passionné et au début d'une
ontinu de ses idées. Dans tout l'ensemble, assez considérable, de ses travaux d'anthropologie criminelle et de sociologie, on n
rs la commission a été constituée. Elle va commencer incessamment ses travaux , et on peut dire que sous l'impulsion de M. Rucha
e perfection. L'Extase hypnotique. — Dans ces dernières années, les travaux sur l'hypnotisme ont éclairé d'une singulière man
usculaires. » Il est un préjugé universellement répandu, c'est que le travail mène à tout : aussi les procédés d'éducation et d
n enfant ou un adulte est capable de faire face à une somme donnée de travail . On fait naître ainsi des idées ambitieuses qui t
Les climats, les saisons, les heures de la journée, la nourriture, le travail , 1 âge et le sexe ont une grande influence sur le
tes normales, plus il y aura d'éréthisme cérébral, plus d'aptitude au travail physique ou psychique ; plus le rapprochement est
est grand, plus il y aura de fatigue cérébrale et moins d'aptitude au travail . Il y aura alors besoin de repos et le sommeil vi
u cerveau le calme nécessaire pour réparer les forces épuisées par le travail Tous ces faits sont transitoires et répondent à u
nt de la même façon dans le même temps, les cas de la dissociation du travail dans les deux lobes n'étant point rares. Au momen
r notre front et sur notre tête et deviennent des agents puissants du travail cérébral pendant la vie. C'est presque une comm
ler la conclusion générale que l'Illustre penseur tirait de ses longs travaux et le conseil qu'il (1) Paru dans la Revue scie
onieuses de l'humanité future. » Après le discours de M. Giard, les travaux des sections ont commencé ; quelques-unes ont été
e des anormaux y seront également à l'ordre du jour et ramèneront les travaux de la section aux études de pédagogie expérimenta
de ces phobies ne soient pas plus vulgarisées. Malgré les importants travaux qui ont été publiés sur cette question par MM. le
uel se retrouve le fini que les artistes grecs apportaient dans leurs travaux . A n'en pas douter, le groupe en or qui se tr
ites du livre de M. de Ham-mer. Elles avaient été reproduites dans un travail fort curieux publié en 1851, à Dijon, par M. Mign
a thérapeutique contemporaine est considérable, M.Robin pense que les travaux inspirés par l'hypnotisme et parla suggestion don
il fut l'initiateur. En effet, nous nous appliquons à récompenser des travaux qui s'inspirent directement de son enseignement.
onnions le prix. Cette année, nous avons tenu à décerner le prix à un travail se rattachant plus directement à la psychothérapi
ns la cure des buveurs d'habitude. Cette thèse a été inspirée par les travaux de l'Institut psycho-physiologique et du dispensa
, fondé par le Dr Bérillon. Je ne m'étendrai pas sur les mérites du travail de M. le Dr Marnay, et je me bornerai à dire qu'i
numéro 7, 1904. L'article russe sur le même sujet est publié dans les Travaux de la Société des Naturalistes de Saratow. Vol. I
plus autorisés, un « précieux encouragement » qui « légitime bien son travail ». Nous entrons dans le vif du sujet avec l'étu
les digestifs, affaiblissement et lourdeur de tète surtout pendant le travail de la digestion; il nous fait remarquer ce point
il nous fait remarquer ce point très important que son ardeur pour le travail n'est pas diminuée, il voudrait toujours entrepre
arasitisme social. Dr Cocrtault : La simulation dans les accidents du travail . M. Caustier, professeur au lycée Condorcet : La
promenades, à des jeux en plein air, à des exercices physiques, à des travaux manuels gradués, au modelage, au dessin, à la mus
édecins français et belges. M. le professeur Lépinc, en ouvrant les travaux du congrès a prononcé un discours d'une haute por
tous ces discours, vigoureusement applaudis, le congrès s'est mis au travail . Mais il est juste de reconnaître que les fêtes e
e les membres de la Société professent à l'égard d'un maître dont les travaux font tant d'honneur à la science française. En
provoqué une très intéressante discussion. Celui du D'Cuylitz, sur le Travail considéré comme agent thérapeutique, contenait ég
. le Dr Demonchy, de Mme la Dresse Lipinska, de M. le Dr Bérillon. Le travail du Dr Bérillon, sur les Nouvelles applications de
nclusion, aussi judicieuse que précise, qu'il convenait de donner aux travaux du congrès de la Tuberculose. Après avoir, d'un
u'hallucinations maladives. XIII Nous devrions terminer ici notre travail sur Bernadette, mais ne voulant rien laisser debo
ussion DT Paul Farez. — Je me bornerai à rappeler à M. Rambotis les travaux , nombreux et convaincants, présentés ici même sur
vrit à Dan, l'ancienne Lais de la Bible, desstatuettes en bronze d'un travail fort curieux. Pour lui, ce sont incontestablement
ner une excellente éducation. Ses goûts l'ont toujours portée aux travaux de son sexe. Elle a toujours fait preuve d'une co
D' Albert Roonr. La psychologie du simulateur dans les accidents du travail . Le bon et le mauvais simulateur. par M. le D
guées actuellement à peu près partout en Europe, sur les accidents du travail constituent une des manifestations humani- '(I)
s ses efforts, le consoler dans ses épreuves et l'encourager dans son travail . Il finit même par se sentir tellement garanti po
votre attention. ¦ Avant la législation spéciale aux accidents du travail , l'ouvrier blessé, abandonné à lui-même dès sa so
it pu croire cet homme à tout jamais incorporé parmi les invalides du travail . Dans nos deux Rapports au Congrès de Liège, il
s semaines, sur la Mécanolhérapie appliquée aux suites d'accidents du travail et sur les Ateliers de convalescence pour les ble
s du travail et sur les Ateliers de convalescence pour les blessés du travail , nous citons de nombreux exemples démontrant l'in
vitable suggestion que font naître, dans l'esprit de chaque blessé du travail , les indemnités stipulées par la loi, loi humanit
sserai-je de répéter. Aussi les prétendus invalides ou estropiés du travail sont-ils devenus légion depuis la loi de 1898 et
ment à simuler ou à exagérer. Ces deux actes sont l'expression d'un travail anormal, pathologique de l'organe psychique. L'on
nt perdre de vue que, sans l'assurance, un ouvrier continuera son travail malgré une foule de misères petites ou grandes, b
affaire. Lbs bons et les mauvais simulateurs dans les accidents du travail . C'est qu'en effet, comme il y avait autrefois
après l'accident, entretient chez M. Cavier une réelle incapacité de travail . Le 31 juillet 1904, M. Cavier fut examiné par M.
sque pourvu d'une faible rente, il se trouve obligé de se remettre au travail . Du coup il en oublie sa maladie imaginaire. Ra
rofession, incapacité temporaire, permanente, partielle ou absolue de travail ; à quelle époque doit être fixée la consolidatio
il n'existe aucun indice de cette prétendue luxation. L'incapacité de travail résulte simplement d'une topoalgie névropathique
en présence de quiconque ne le croit pas atteint d'une Incapacité de travail permanente absolue. La colère à laquelle il s'est
démonstration. La fréquence de la simulation dans les accidents du travail en fait une question toute d'actualité. Les faits
plus compétent et au plus savant. La simulation dans les accidents du travail démontre la nécessité qui incombe au médecin cont
ue rien puisse troubler sa sérénité, partager son existence entre les travaux scientifiques et les devoirs sociaux qui constitu
pathologie dentaire comparée. Enfin, M. le Dr BériUon a communiqué un travail de psychologie comparée relatif aux manifestation
Pour cela, la jeune fille barbue s'appliquera avec ardeur à tous les travaux de son sexe. Elle ne négligera aucun artifice de
ents pouvant nous éclairer. Il nous faudra donc dans le courant de ce travail qui sera en somme le résultat des études que nous
es au Laboratoire de Psychologie comparée, nous servir des admirables travaux faits sur l'hypnotisme chez l'homme. Pour pouvo
ans les aliments en une certaine somme d'utilités de diverses sortes, travail musculaire, production de lait, de chair, de grai
bro-spinales doivent donc se borner à assurer la vie végétative; tout travail cérébral s'accompagnant de mouvement, d'agitation
été nommé lauréat du Prix Lallemand, en récompense de ses importants travaux surl'épi-lepsie, sur l'idiotie et sur l'éducation
ne me permettrait pas, en sa présence, de vous rappeler les nombreux travaux qui lui ont assuré sa réputation scientifique. Je
le prix Lallemand, destiné à récompenser, chaque année, les meilleurs travaux parus sur le système nerveux. Notre maître sait
quel sens il faut lui attribuer. Dans un récent et très intéressant travail , M. le Professeur Grasset définit la psychothérap
vous montre quel esprit hautement philosophique préside toujours aux travaux de M. Grasset et, à cet égard, les remarques que
lleux et vous savez comment l'hypnotisme s'est transformé, de par les travaux de Liébeault, pour devenir la thérapeutique sugge
me il ne mangeait ordinairement qu'une fois le jour. Très appliqué au travail , il employoit toute son activité à suggestionner
ordiale, affable, et aucun de nous ne regretta son dérangement. Les travaux du Congrès se divisaient en trois parties : 1" Le
ce plus complète des choses. » Le rapport de M. le Dp Cuylits: a Le travail dans la thérapeutique des maladies mentales >,
ouleva de nombreuses objections. M.leD* Cuylits n'est pas partisan du travail dans les asiles d'aliénés, et, ironie des choses,
port dans un asile d'aliénés où nous eûmes à admirer leurs différents travaux exposés dans la Salle de Réception. J'aurai l'h
er sous les yeux de la Société une photographie que j'ai prise de ces travaux . Les autres communications faites par les membr
qui se gonflent et durcissent pendant les contractions énergiques du travail . C'est ce qui constitue la fatigue subjective car
on chemin. Sans prétendre adopter toutes les doctrines auxquelles les travaux du Dr Liébeault ont donné naissance, je crois qu'
entau sentiment éclairé du patriotisme, c'est d'honorer ceux dont les travaux contribuent à la prospérité et à la grandeur de l
ion des idées philosophiques et scientifiques de son époque quand ses travaux ne visent que la recherche de la vérité. Il nous
avait été le témoin. Devant son insistance, le D' Dumont, chef des travaux physiques à la Faculté de Nancy, assista à une co
oquent, il rappela le mouvement scientifique si considérable dont les travaux de Liébeault avaient été le point de départ. Aprè
médecin hypnotiseur. Il m'avait fait le grand honneur de me dédier ce travail , qui fut reproduit, en appendice, dans la seconde
e de cliniciens autorisés, qu'il nous est impossible d'énumérer leurs travaux . Actuellement les médecins qui nient a priori l
s sciences morales et politiques. Quant à M. Beaunis, apportant aux travaux de Liébeault le contrôle de la méthode expériment
rs débuts, nul ne peut nier aujourd'hui l'importance et la valeur des travaux inspirés dans tous les pays du monde par l'étude
ers, aient dédié leurs ouvrages comme à un maître vénéré. Grâce à ses travaux , grâce aussi à la reconnaissance de ses nombreux
dans une allocution très goûtée, rappela l'influence exercée par les travaux de Liébeault dans le domaine de la médecine légal
strats et les avocats fussent plus souvent appelés à prendre part aux travaux de la Société d'hypnologie. Ensuite M. le profe
ur Lionel Dauriac, retraçant l'existence de Liébeault. dont la vie de travail s'est passée à l'écart, loin du bruit de la foule
in, professeur a l'Ecole de Psychologie. {suite et Jin) ('} Dans un travail paru en 1888 sur Vhypnotisme et les états intermé
Coste de Lagrave a fait de l'auto-suggestion une étude complète. Les travaux parus depuis sur la question n'ont pour ainsi dir
ions de ces deux thérapeutiques », M. Grasset analyse à la fin de son travail les bons résultats qu'on obtient au moyen de l'hy
une bouteille à la main. Van Helmont vivait dans l'aisance, excité au travail par les yeux bleus et languides de l'être aimé.
constater que le gouvernement tend de plus en plus à tenir compte des travaux et des titres de ceux que nous appelons les « non
s, il écrit : « Il fut pris de maux de tète, d'insomnies ; le moindre travail amenait la confusion d'idées et les études durent
e la langue et de la concision des sciences !. Avant de terminer ce travail , nous avons voulu chercher dans plusieurs livres
s à celles que nous rencontrerons en parlant du sujet principal de ce travail , c'est-à-dire des idées do M. Dubois sur la sugge
seuse. Celle-ci lui ayant adressé quelques reproches, au sujet de son travail . Argentina s'échappe à nouveau, va à Xice et, che
ui fait déborder un vase plein ; il peut être assimilé à ce minuscule travail décrochant qui suffit à mettre en branle certaine
vient de décerner la moitié du Prix Lalle-mand pour ses remarquables travaux et son livre Sur VE-pilepsîe. Les communicati
es professeurs, les instituteurs et les pédagogues à prendre part aux travaux de cette section. Monsieur, L'Association fra
nt), j'ai l'honneur de vous demander de vouloir bien participer à nos travaux . Les questions suivantes, inspirées par le souci
pour se livrer à l'hypnotisme écrit dans son livre : « Je termine mon travail en disant que la suggestion hypnotique est d'une
e Lyon), et de M. de Coynart. La correspondance imprimée comprend les travaux suivants : Les Raies de feu ou méthode pour appli
47 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
encore de vives discussions. Elle a provoqué un certain nombre de travaux et des interprétations diverses. Tout récemment
u livre de M. Séglas sur le Délire des négations, nous trouvons les travaux suivants sur la question : Francotte. Obser- va
peut pas se soigner ? Elle voit son voisin partir pour aller à son travail ; mais en réa- lité il ne doit pas aller à son t
r aller à son travail; mais en réa- lité il ne doit pas aller à son travail , il sort et rentre aux heures ordinaires, mais
actif, elle est calme et s'occupe avec la plus grande régularité de travaux de couture. Cet état persiste jusqu'en décembre
tait très bien doué. Sans motif plausible, malgré leur assiduité au travail et leur bonne conduite. on les vit perdre à l'â
e leurs éludes, auxquelles ils durent renoncer pour se livrer à des travaux manuels, qui constituent depuis lors leurs moye
nt à l'emporter. Il ne faut pas croire non plus qu'on se remet d'un travail mental fatigant par des exer- cices corporels f
ize à quinze ans, et étant au lycée où il s'était distingué par son travail et ses succès, à devenir indiffèrent à tout, quin
roïdes : par M. GLry. (Presse médicale, 12 janvier 1898.) Dans ce travail , l'auteur passe en revue diverses hypothèses ém
(Presse médicale, 20 janvier 1898.) L'observation rapportée dans ce travail diffère, par les caractères suivants, de l'accè
a. de Neurologie et d'flypnologie, 1897, na 21.) Il ressort de ce travail que si les courants de haute fréquence ont une
du professeur Debove, à la Société médicale des hôpi- taux, et d'un travail de M. Lejars, à la Société de chirurgie, ces au
développement exceptionnel. Secondairement, sous l'influence de ce travail irritatif, le tissu interstitiel réagit, se dév
resque un corollaire thérapeu- tique : c'est la troisième partie du travail . I. La précision de l'étiologie semblait devoir
ysie générale. Derrière cette unité clinique, que trouve-t-on comme travail anatomique ? On trouve que «la dégénération est
vail anatomique ? On trouve que «la dégénération est à la base du travail anatomique de la paralysie générale. L'inflammati
tomique de la paralysie générale. L'inflammation qui caractérise ce travail n'est donc pas une inflammation franche, c'est
Par le D D. AINGLADE, Médecin adjoint de l'asile de Toulouse. ( Travail du laboratoire de l'asile.) I. Dans un mémoire'
la thèse de notre interne, M. Soucaill, qui serviront de base à ce travail . Et d'abord, disons un mot des méthodes d'inves
llu- laires. Klippel le fait remarquer avec juste raison dans son travail de 1894'. 1. Au moment même où nous rédigeons c
e, nous lisons dans la Revue neurologique du 15 janvier z1898, un travail de Berger qui a soumis au Nissl 10 moelles de par
Nous lisons, dans les Archives de la Neurologie de janvier 1898, un travail inté- ressant de M. Cololian sur les troubles t
sur ces faits, si intéressants pourtant, sans sortir du cadre de ce travail . Disons seulement que Klippel a bien vu les alt
ELECTROPHYSI 0L0G1E. Dans l'année qui vient de s'écouler, quelques travaux très impor- tants méritent d'être cités. En pre
huitième^ minute. L'affaiblissement est d'autant plus grand que le travail effectué par le muscle est lui-même plus "rand
n électrique à cette période accélère la mort du muscle. Lorsque le travail anaérobie a été moindre, il suffit de rendre l'
ssez rapidement; la période de restauration est même activée par un travail régulier à l'aide de la faradisation. Dans tout
rit des électrollrérapeutes; aussi aurons-nous un certain nombre de travaux intéressants à résumer. En premier lieu, celui
disation de Walteville. Pour terminer, nous citerons un remarquable travail de 111. le professeur Bergonié (Arch. d'électr.
vulsifs qui n'ont pas reparu depuis six mois. L'auteur rappelle les travaux de Bouchard et ceux de Feré, Voisin, Petit, Ala
ade sourcilière, comme un monocle. Il y a deux ans, à la suite d'un travail prolongé, il ressentit autour de cet oeil une vib
e commença avec le matin, subsistant, se montrant même en dehors du travail . Actuellement elle persiste du matin au soir, a
uer cette rougeur émotive du visage, du cou, de la poitrine. · Ce travail était imprimé en russe quand M. de Bechterew a eu
était imprimé en russe quand M. de Bechterew a eu communication du travail de Pitres et Régis. Traitement, suggestion et a
des symptômes morbides. (Une des observations rappor- tées dans ce travail concerne une malade qui n'a pas eu de crise dep
rocq fils. (Jouin. de Neurol. et d'Hypnologie, 1898, n° 4.) Dans ce travail , M. Crocq fils revendique la priorité de l'emploi
tingué qui, par son caractère, son dévouement pour les malades, ses travaux scientifiques, honorait le service des aliénés,
hef. Les Annales perdent en Guillemin un collaborateur; parmi les travaux qu'il a publiés, nous signalerons surtout les deu
du professeur Delboeuf (1831-1896) et énumération de ses principaux travaux scientifiques. L. Ib6 VARIA. LIliI3b : .aUL
s l'appartement de 11f. Soissons qu'il trouvait dant son cabinet de travail , assis devant son bureau. Le pauvre fou se préc
s procédés expérimentaux. Néanmoins la plupart des auteurs dont les travaux ont beau- coup contribué à l'étude de la syring
98. 3 Charrin et Mavrojanis. Société de biologie, mars 1898. 1 Ce travail a été communiqué au Congrès des aliénistes et nen
tement de ces intéressants malades. c Nous sommes persuadés que les travaux auquels vous allez vous livrer, marqueront une
quelques jours, sont venus vous témoigner tout l'in- térêt que vos travaux inspirent, toute l'estime qu'on a pour des homm
ves, et pro- jeter une vive lumière sur des questions obscures. Les travaux de Ribot, de Richet, de Ferrier, de Janet, de B
es hommes d'une haute auto- rité scientifique, acquise au prix d'un travail patiemment, longue- ment soutenu. Je sais, pour
us, mes chers collègues, je présiderai les séances remplies par vos travaux . Il me restera de l'honneur que m'ont réservé vos
Séance du soir. Présidence DE M. MOTET. Le Congrès a commencé ses travaux à 2 heures dans le grand amphithéâtre de l'Écol
Messieurs de mon tire de président, vous avez hâte de commencer vos travaux , je cède la parole au rappor- teur de la premiè
viser le sujet : après avoir passé en revue, dans l'historique, les travaux parus jusqu'à ce jour, nous verrons les différe
anesthésiques. En 1888, Werth, de Kiel, lit au Congrès de Halle un travail sur l'origine des psychoses consécutives aux op
Il ya lieu de citer encore le mémoire de Ferrarini en Italie, les travaux de Rohé de Baltimore, de Baldy, de Gray, de Eder
étant la prédisposition héréditaire ou personnelle. Du reste, les travaux deviennent de plus en plus nombreux, l'attentio
à laquelle arrive M. le Dr Ernelle dans sa thèse toute récente. Son travail fort bien documenté est d'une lecture particuli
les productions de la psychose. Enfin, et c'est en cela que leur travail se montre plus particulière- ment intéressant,
elativement considérable d'obser- vations empruntées aux différents travaux publiés en France et à l'étranger. La plupart d
ort bien approprié, de * délire raisonnant de dépossession >. Un travail d'ensemble a été publié sur cette question, l'ann
paraplégie flaccide. M. BRISSAUD (de Paris). - On admet depuis les travaux de Charcot que la dégénérescence secondaire des
esse, bercé dans une vie heureuse, partagée entre l'espérance et le travail . «Avec un tel sujet, et sur un terrain si bien
· « Maintenant je salue le maître éminent qui vient présider vos travaux , l'académicien dont la science fait autorité, cel
lui, comme les satellites d'un astre lumineux, et dont les glorieux travaux vont enrichir la pathologie nerveuse, actuellem
proposant de nous faire voir quelques-uns des malades, objet de son travail , je demande que la discussion soit ajournée à l
ommunication à la Société de biologie, M. Petrucci doit publier son travail dans les Archives de médecine d'Angers, nous es
chroniques de ce syn- drome sont plus spécialement étndiées dans ce travail : phobies permanentes, manies dégénératives tar
prix de journée total à 1 fr. 40. Une étude clinique accompagne ce travail cherchant à catégoriser les aliénés aptes à bén
sant une réputation légendaire d'acti- vité, de philanthropie et de travail . Nuit et jour on le voyait par- tout ; cet homm
boni, permet- tant au Conseil général de pouvoir commencer ce grand travail . Il est aidé dans sa tâche par l'habile archite
a fois de votre bienveillance et de l'intérêt que vous prenez à nos travaux . La meilleure manière de vous remer- cier, Mess
oses. Assistance familiale directe des aliénés. M. TERRIEN lit un travail sur l'assistance familiale directe des aliénés.
es et préfets se rendraient de la sorte un compte plus exact de nos travaux , de l'utilité de ce Congrès, et y trouveraient
de tousles services, que seule elle permet d'instituer largement le travail des aliénés, qui est un des plus puissants moye
ique, condition qu'on me parait trop dédaigner. L'organisation du travail des aliénés est très difficile, ne peut être qu
quitter d'une manière conve- nable du service médical, de faire des travaux scientifiques ; que mus par des sentiments pure
à mes fonctions administratives, celles-ci ne consistant qu'en un travail de direction et de surveillance, puisque le trava
istant qu'en un travail de direction et de surveillance, puisque le travail matériel peut être fait et doit être fait par l
s semestriels, les statis- tiques, le rappoit médical annuel, etc., travaux dont j'eusse été obligé de m'acquitter seul si
n province les directeurs médecins ne font pas toujours beaucoup de travaux scientifiques, cela tient à ce qu'ils n'ont pas l
aliénés, mais qui n'en reçoit pas chaque année 140, exige moins de travail qu'un service do la Seine de 350 lits, qui a pl
la première année. Les anciens malades demandent beaucoup moins de travail ; leurs observations n'ont besoin d'être complét
i- sons qu'on observe chez eux s'obtiennent plus par le calme, le travail , des distractions, quelques moyens hydrothérapiqu
majorité des malades travaillent, aidant leurs hôtes dans les rudes travaux de campagne dans la mesure du possible; ils tra-
l s'empara d'un « merlin », énorme marteau qui lui servait dans son travail , et se jeta sur sa femme. Celle-ci, s'attendant
. (Presse médicale, 23 février 1898.) L'observation relatée dans ce travail concerne une femme âgée de 41 ans, alcoolique,
ltat. Le crétinisme a donné lieu ces temps derniers à de nombreux travaux etla valeur du traitementthyroïdien estici nettem
atiques. A fortiori chez les sujets malades. Soit dit pour tous les travaux affirmatifs ou négatifs REVUE D'ANATOMIE ET D
ne Zeitschr, f. Psychiat., LIV 3, qui sera mieux analysé d'après le travail complet. P. IL. · XV. Généralités SUR l'interfé
(Centmlbl. f. Nervenlaeillc., XX, N. F., vin, 1897.) Analyse des travaux de ces 20 dernières années : 1° sur les fibres
nologie, 1S97, nos 23 et 24.) Les deux questions envisagées dans ce travail sont : te celle des relations d'identité ou d'é
Neurologie et d'Hypnologie, 1897, n° 21.) D'après l'auteur de ce travail les symptômes d'Argyll-Robertson n et de Westph
e pratique, aujourd'hui abandonnée, est combattue a nouveau dans ce travail par M. Cuylits qui s'appuie surtout sur l'autor
ts qui s'appuie surtout sur l'autorité de M.Jacobs et sur un récent travail de MM. Angeluccini et Pieraccini lequel se term
s l'âge de treize ans. Intelligence affaiblie, caractère irritable, travail . 1871, janvier; indocile, paresseux; accès d'ép
1872, janvier; accès fréquents, hébétude profonde et alors plus de travail . 25 juillet; malade ordinairement très irritabl
cours suivant : « Messieurs, « Nous voici arrivés au terme de nos travaux : je n'essaierai pas de les résumer, mais je pu
té transportés à la carrière de l'Hermitage, où ils ont assisté aux travaux du fendage et de l'extraction au puits à ciel o
çant à la carrière des con- cours pour se consacrer entièrement aux travaux qui lui avaient déjà conquis,la notoriété, il e
lie ainsi : 1° Changement de vie. P ? paysan robuste, habitué aux travaux des champs, devient un domestique inoccupé. 2°
inué. Hier matin, la malade était tout à fait bien et se livrait au travail manuel ; mais quelques instants après elle a ét
il est possible de rapprocher ces troubles les uns des autres. Ce travail , qu'à notre connaissance personne encore n'a eu
fférents. Nous commençons aujourd'hui la partie analytique de notre travail par l'examen du sens tactile et pour mieux mett
rièvement rapporter ce qu'en France et à l'étranger contiennent les travaux les plus récents relativement à l'état du tact
aissait quand les troubles de la mobilité devenaient manifestes. Ce travail a eu un retentissement tel qu'aujourd'hui, aprè
phase de la maladie. Les auteurs que nous avons cités et dont les travaux sont les derniers publiés ne nous apportent auc
tissu mixte : fibro-myo-lipôme. L'auteur revient, dans le présent travail , sur l'étude macroscopique et microscopique de la
r le Dr Van Gehuchten. Réponse aux objections posées dans un récent travail de ' M. Gerest, à la théorie de l'auteur relati
de spéciale : la sclérose latérale amyotrophiquer Depuis lors, ce travail de désagrégation n'a pas cessé et l'on voit peu
ion plus exacte que les auteurs, dans leur important et intéressant travail , ont employé les mots : crimi- nalité chez les
mique. J. Séglas. RECDERCHE SUR l'action DE QUELQUES nervins sur LE travail des muscles fatigués; par Tavernari. (Riv. sp.
NGELUCCI et Pieraccini. (iliv. sp. di frela., fasc. II, 1897.) Ce travail est le résultat d'une enquête internationale, à l
stic ET traitement DE la mélancolie; par le D'' ZtEOEr` (d'Iéna). Travail important qui constitue une véritable monographie
assistant d'natoolic p&thotogfqne a l'Université de Genèse. e. ( Travail DU laboratoire du I)1' DÉJERiE .1 la S,ILP8TRIÈ !
bas le résultat détaillé. Nous ne présenterons donc dans le présent travail que l'anatomie et l'histologie pathologiques du
avec la topographie des lésions constatées, fera l'objet d'un autre travail de la part de notre maître. Qu'il nous soit p
chez l'homme, Ilayem conclut à l'identilé du processus. Depuis les travaux de Cohnheim sur la diapédèse on a aujour- d'hui
ischémique. En 1890, Friedmann ? dans un long et très intéressant travail , parle le premier de l'encéphalite aiguë spontané
t décrit jusqu'à ce jour. Nous dirons même que Friedmann dans son travail va plus loin : il essaie d'établir une forme d'
mation aiguë qu'il admet, cela n'entre pas dans le cadre de notre travail . Nous ne relevons ici que ce qui a trait aux obse
orme d'encéphalite. Sur les 16 cas que cet auteur rapporte dans son travail , 13 sont empruntés à différents auteurs et 3 lu
orté dans la littérature depuis 1890. Mais c'est surtout depuis les travaux de Wernicke'2 en 1881 1 et de Strtimpell3 en 18
tance blanche de n'importe quelle région de l'encéphale. Depuis les travaux de ces deux auteurs les observations se sont mu
, le rôle principal aux éléments constitutifs du tissu nerveux, les travaux de ces dernières années font voir au contraire
xplication mécanique des phénomènes de la pensée 1. Mais, 'Voir les travaux de Rabl Ruckard, de Lépine, de Duval, de Cajal,
e légère qui gêna le jeu de la mémoire et lui rendit difficiles des travaux qui n'étaient pas dans le courant ordi- naire d
e, après la section de son cylindraxe, l'auteur tire de son présent travail les conclusions suivantes : 4° la solution de c
ale pure et simple), permettent de conclure que la suppres- sion du travail bio-chimique capsulaire entraîne une altération '
ts territoires musculaires de la face. L'auteur, dans un prochain travail , étudiera les fonctions du noyau à cellules pol
Neurolog. Cent1' £ ! lbt., XVI, 1897.) Ce sont les conclusions d'un travail publié en russe, qui repose sur 18 expériences
nnales d'hygiène et de médecine légale pour 1894, fut condamnée aux travaux forcés à perpétuité. Au bout de sept ans, une n
la peine, par Makaiewicz, professeur à l'Université de Cracovie. Ce travail étendu est d'un érudit auquel les docu- ments s
nse faite pour boire. Il convient d'ajouter la valeur des heures de travail per- dues ; des matières premières gaspillées;
dues ; des matières premières gaspillées; de la dépréciation d'un travail mal fait; des affaires négligées, et de cent autr
e énergiquement par beaucoup d'hommes dévoués. Nous avons publié le travail de l'un des plus actifs, notre ami le Dr Legrai
r le 1)' Aider BLUMER. Bien qu'on ait depuis longtemps préconisé le travail comme un moyen de rendre les aliénés chroniques
iles de la société, il reste encore beaucoup à faire pour rendre au travail la place importante qui lui revient dans la prati
saire à leur santé. Aussi, en mainte circonstance, l'exercice, le travail rendront-ils beaucoup plus de services que le n
l'ennui de la vie monotone de l'hôpital, acceptent avec plaisir le travail : quant à la crainte du danger qu'il peut y avo
on restreint. L'utilisation d'un grand nombre de malades aux divers travaux de l'asile peut amener il une production plus g
48 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
s sa fondation, la Société d'hypnologie et de psychologie clôture ses travaux , chaque année, par une séance annuelle. Le but qu
lettres d'excuses témoignent de l'intérêt avec lequel ils suivent les travaux de la Société. Parmi ceux dont les encouragements
os cérébral plus ou moins prolongé ». Une discussion complète de ce travail remarquable de Babinski ne serait pas ici à sa pl
ir certains hystériques par le même moyen. D'ailleurs, dans le même travail , Babinski envisage l'hypothèse de certains neuras
at de suggestibilité. (1) « J'ai déjà développé cette idée dans mon travail sur la migraine ophtalmique hystérique, paru en 1
l'individu qui vous consulte. S'il s'agit d'un grand homme, dont les travaux sont précieux pour la société, il convient, à mon
e une tasse de café noir et, l'estomac presque vide, s'en vont à leur travail . Ce travail, ils le font mal, sans goût, s'éton-l
de café noir et, l'estomac presque vide, s'en vont à leur travail. Ce travail , ils le font mal, sans goût, s'éton-liant de ne p
opolare et dans lequel le Dr Nicephoro (de Lausanne) fait l'éloge des travaux de la Société d'hypnologie et de psychologie de P
s'épuiser en vains efforts et de se voir contraints de suspendre leur travail , pour attendre que leur esprit soit mieux disposé
idées, les mélodies, les vues sont là, venant on ne sait d'où] et le travail créateur se fait comme /par intuition} Jean Paul
des liens de parenté trop étroits pour pouvoir louer ou critiquer son travail ; je désire seulement, à l'occasion de ce travail,
uer ou critiquer son travail; je désire seulement, à l'occasion de ce travail , présenter à la Société quelques courtes réflexio
és à la commère, qui agit alors toujours et se sert de ses ciseaux de travail . « La même chose se pratique, je crois, dans qu
Francotte s'est révélé un psychologue de premier ordre en ouvrant les travaux du Congrès par une remarquable étude sur la timid
compagnée de projections, sur l'hypnotisme chez les grenouilles. Ce travail nous parait destiné à jeter une vive lumière sur
sont destinées, savoir: 1° Une salle d'attente. 2° Un cabinet de travail dans lequel il examine les malades. Cet examen se
nos jeunes collègues. Je leur demande de nous faire profiter de leurs travaux , de soulever des discussions et des controverses
a très estimée Revue de l'Hypnotisme, je vous tiendrai au courant des travaux importants qui seront présentés à la société cade
re, c'est qu'ils n'ont en main aucune profession, aucun métier qui, à travail égal, rapporte autant que la profession religieus
r ces exemples. Discussion M. Félix Regnault. — J'estime fort les travaux si intéressants du Dr Binet-Sanglé et je saisis l
raiment le surnom de rénovateur de la neuropathologie. Enumérer les travaux de Charcot, c'est passer en revue toute la série
s eux-mêmes par l'éducation, par le caractère, par la nature de leurs travaux , l'un vivant dans le pur domaine des spéculations
cteur Charles Bixet-Sanglé, Professeur à l'Ecole de Psychologie. Ce travail comprend quatre parties. Dans la première, j'ét
e et du soldat : si elle a doublé, triplé le labeur et la capacité de travail du médecin militaire, elle a entraîné tout aussit
e allure : il met au jour, à chaque instant, sans arrêt ni trêve, des travaux importants, spéciaux ou généraux, d'instruction s
timent public. Qui ne se rappelle le triste accueil fait aux derniers travaux , aux dernières communications de réminent Brown-S
endu citer aucun nom d'auteur, invoquer aucune autorité, bien que mon travail ne soit qu'un modeste écho des principes enseigné
l a mené l'existence agréable du fils de famille que rien n'oblige au travail , sans toutefois « faire la féte » au sens mondain
et languissante. Il parait heureux et reconnaissant. Il a l'amour du travail et de la propreté. Il a horreur du bavardage, de
commettre une indiscrétion, qu'il va bientôt nous doter d'un nouveau travail sur l'hypnotisme chez le cheval. M. Guenon ne s'e
chez des savants fort recommandantes, à qui nous devons d'estimables travaux . Uniquement préoccupés de rapprocher les animaux
fréquentation d'animaux de toutes sortes, me laissent espérer que des travaux suivis pourront bientôt faire rentrer un grand no
émédiablement la valeur d'un jeune cheval, c'est de le soumettre à un travail prématuré. L'organisation actuelle du travail sco
st de le soumettre à un travail prématuré. L'organisation actuelle du travail scolaire est défectueux sur un grand nombre d
jà, en 1871, que les muscles de la grenouille produisent une somme de travail très variable suivant l'époque de l'année; par ex
en octobre, et 250 seulement en janvier. Non seulement la somme de travail mécanique fournie par les muscles est inférieure
iff (*), la contracture est une maladie des grenouilles d'hiver (1) Travail du laboratoire de l'Institut Solvay, à Bruxelles.
ronecker, Ueber die Ermùdungund Erholungâer quergestreiften Muskeln. ( Travaux du laboratoire de Ludwig, 1871.) (3) TiEûsL. Ue
temps variable d'un à dix mois. Les expériences consignées dans ce travail vont démontrer qu'il existe réellement un rapport
eau-du-Doigt (Bretagne). 8* Un autre doigt : Ile de Malte. Voilà du travail pour les érudïts, qui sont à la recherche des rel
incestueuse d'Hérode-Antipas avec Hérodiade, sa belle-sœur. Dans un travail antérieur, nous avons montré que saint Jean était
seignements, d'Auguste Guimbeau, qui collabore avec assiduité aux travaux de l'Ecole de psychologie et, enfin celui de Rivi
ù la hauteur des vues s'allie à la hardiesse des conceptions. Dans ce travail intitulé : Du Positivisme en médecine par la fonc
ière, M. le Dr Legrain, médecin en chef de Ville-Evrard, dont les travaux sur l'aliénation mentale et sur l'alcoolisme font
te) (1). Plusieurs années après la communication de Preyer parut le travail d'Emile Heubel dans lequel l'auteur discute longu
omme le veut Preyer. « C'est un sommeil naturel pur et simple. » Le travail de Heubel renferme donc la description des faits
excitations douloureuses que tactiles. En 1891 parut un intéressant travail de Biernacki (';, qui a inauguré une nouvelle sér
lle accouchait uue femme arrivée au terme de sa grossesse; pendant le travail , avant que la téte n'apparaisse à la vulve, la pa
ur le corps ou de déterminer le sexe, il y a là, incontestablement un travail créateur de la part de l'organisme maternel. L'
n, le savant médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard, dont les travaux sur la dégénérescence et sur les folies toxiques
ribe, nous envoie chaque année, un important compte-rendu imprimé des travaux accomplis à l'Institut psycho-physiologique qu'il
ns ces régions torrides, le nègre seul peut supporter les fatigues du travail physique. Or ce fléau compromet l'existence même
t pour des paresseux. La vérité est qu'ils ne peuvent accomplir aucun travail suivi, ni exercer convenablement leur profession
nne, parmi les élèves qui venaient le plus régulièrement assister aux travaux pratiques, se trouvaient deux étudiants qu'on ne
yse psychique pourra rendre encore des services, car toute méthode de travail peut être bonne en elle-même, et le succès dépend
bizarres et peu équilibrées. Les photographies qui accompagnent le travail de Verworn représentent bien cet état de choses.
us dans un état d'inhibition plus ou moins prononcé. Il résulte des travaux que nous venons de passer en revue, que l'hypnose
ance des matières nous oblige à remettre au prochain numéro la fin du travail de notre collaborateur, M. le D' Tiinet-Sanglé, s
'entreprendrons pas aujourd'hui d'exposer l'œuvre de l'homme dont les travaux ont eu pour principal résultat de créer de toutes
ie, sont restés fidèles à la méthode scientifique. Depuis lors, les travaux et les études du D' Liébeault ont été publiés dan
eule séance de suggestion a ramené le calme, et l'enfant a repris son travail à l'école. Vous pouvez constater l'heureuse trans
docteur Liébeault n'en fut pas moins un savant de rare mérite, et ses travaux sont d'un haut intérêt, a Nous avons dit qu'il
elle aurait pu guérir. A ce sujet nous rappellerons que le premier travail publié sur la dormeuse de Thenelles a paru dans l
sentiments maladifs par la seule volonté de les maîtriser. Dans ce travail , Kant indique comment il arrivait à pratiquer sur
er les rapports réciproques des éléments dont il se compose ; dans ce travail consiste la tâche de l'esthétique. Etymologique
chez les personnes affaiblies. Une série de faits énumérés dans ce travail permettent de supposer que l'hypnose est favorisé
ientifique sur la suggestion ne se public sans signaler le nom et les travaux du docteur Liébeault. Sa notoriété était immens
lerie, les hallucinations, la magie. En !.¦¦¦:. M. Dumont, chef des travaux physiques de la Faculté de médecine, suivit ses c
oujours une biographie fort documentée suivie de l'exposé complet des travaux de Liébeault. M. le D* Liébeault (de Nancy).
son livre: Du sommeil et de quelques états analogues, antérieures aux travaux de Charcot sur l'hypnotisme, trouvé-rent des adep
hypnotisme et la suggestion comme des phénomènes pathologiques. Les travaux de Liébeault, bien qu'il soit permis de discuter
d'avoir fait revivre sous leurs yeux le souvenir de l'homme dont les travaux les ont inspirés. COURS ET CONFÉRENCES Disc
es, aux accidents. Des lois ont été créées pour fonder l'assurance du travail ; les différents métiers se sont groupés pour fond
ous, des assurances, des mutualités, des sociétés d'assurances par le travail ou d'assistance familiale; si nous voyons des œuv
d'etre néglige, puisque celte malade est réduite à une incapacité de travail qui dure depuis deux ans. Après l'accident, il su
e 56 ans. Dans notre prochain numéro, nous rappellerons la vie et les travaux scientifiques de notre regretté collaborateur.
flu en apparence, a une grande importante dans la vie. La division du travail poussée à l'extrême a rétréci le champ dans leque
de nature morale, comme le courage, le dévouement, le patriotisme. Le travail spécialisé de l'homme moderne ne fait point appel
ent de l'art. L'industrie est basée sur le principe de la division du travail , et cela a rompu le fécond lien qui a existé une
antes, qui les uns après les autres accomplissent leur petite part du travail ; l'invention est de l'un, l'exécution de l'autre.
iences le prix du barron Larrey ; rappelons que ce prix est donné aux travaux originaux réalisant une amélioration dans l'hygiè
btenus par la course en flexion. Je fais en ce moment sur ce sujet un travail en collaboration avec le Dr Burlureaux. Je me con
qui la porte, une sorte d'individualité originale, et abrège ainsi le travail du livreur en facilitant la reconnaissance à prem
arlé. Ouvrier bronzeur, il n'a cessé de se livrer régulièrement à son travail . Son patron, qui me l'a envoyé, n'a aucun reproch
e qu'on lui dit, mais il se désintéresse de tout ce qui n'est pas son travail . Il ne lit plus le journal et parait indifférent
asile, ce qu'il a évité jusqu'à présent grâce à la régularité de son travail et de sa conduite. Discussion. M. Voisin. — C
aillé par la science officielle, provoqua, vingt ans après, plusieurs travaux publiés également dans notre ville et qui, joints
ous commencerons la série des études psychologiques illustrées par un travail important sur la Psychologie des femmes à barbe,
ctions de directeur de la statistique au ministère de la Justice. Ses travaux sur la criminologie, sur la philosophie sociale a
ociété d'Hypnologie et de Psychologie et s'intéressait vivement à ses travaux . Collaborateur à la Revue de l'Hypnotisme, il a
ce nom. De fortes émotions ne peuvent que troubler le savant dans son travail ; mais il en est tout autrement de l'artiste,
rs les œuvres d'art qui agissent suggestivement sur eux et donnent du travail à leur esprit. Ils trouvent une jouissance d'une
que; le jeu perdra une grande partie de son attrait et ressemblera au travail , sans on avoir le sérieux et l'utilité. Il y a
» • * L'analgésie obstétricale a déjà fait l'objet de nombreux travaux . L'hypnotisme, par exemple, a souvent permis de f
quées, puis plongées très facilement dans l'hypnose, au début même du travail . Mais, vouloir hypnotiser d'emblée, pour la premi
Mais, vouloir hypnotiser d'emblée, pour la première fois et en plein travail , une femme qui, de plus, présente l'état d'exaspé
Le chloroforme ne peut guère être employé que tout à fait à la fin du travail , ou, par exemple, pour une application de forceps
anesthésique, procurer l'analgésie complète pendant toute la durée du travail . Elle remplace, en outre, avec avantage le chloro
s. Traitement hypnotique dans les maladies organiques incurables ( Travail de la clinique des maladies nerveuses et mentales
aladie s'étendit au bras droit et, un an après, il dut renoncer à son travail du télégraphe. 11 est de taille moyenne et de con
la littérature qu'elle comporte, nous voulons dire seulement que les travaux de Bechterew (1), Bernheim (2), Bérillon (a), Lié
ction perdue, en ne se servant que du traitement hypnotique. Voir son travail : * Maladies nerveuses », Tome I, Kazan, 1894, su
tre tous ces symptômes, lorsque la malade est forcée de continuer son travail est chose fort difficile. Nous sommes en présence
éral de la malade, vu l'obligation où elle se trouve de continuer son travail au magasin. Il est vrai que cet exemple n'est p
pnotisme, 1, 1903. les autres. La malade vit exclusivement de son travail à la machine à écrire et cette perte du champ vis
excessivement. A cause de cela la tète lui tourne souvent pendant le travail . Elle chancelle en marchant, trébuche et se cogne
e regretté confrère. Dans notre prochain numéro, nous analyserons les travaux de Gilles de la Tourette qui avait consacré d'imp
49 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
e, très-productive, très-irritable, il s'est laissé attribuer tout le travail et les qualités de cette dernière. lia passé pour
ie de développement. Sans insister davantage sur ces faits, que les travaux modernes, surtout ceux de M. Ranvier, ont rendus
aiguë primitive de la moelle des os, que j'ai cru devoir donner à mon travail . historique L'élude des maladies aiguës des o
le nom d'ostéo périoslite juxtaépiphysaire. Comme Klose, il place le travail morbide vers l'extrémité diaphysaire. La questi
bia nécrosé, sans attendre que cette élimination fût pré-parée par un travail naturel. Stone donnait trois observations très-co
ité de pathologie externe de Follin. Si, après ce rapide examen des travaux antérieurs, nous en re-cherchons un peu l'esprit,
nt, les obser-vations que nous avons analysées dans le cours de notre travail . Ce tableau permettra au lecteur de se rendre mie
1° La détresse morale et physique, la primiparité, la longue durée du travail , les difficultés de l'accouchement, les manœuvres
ité qui nous paraît avoir été démon-trée d'une façon évidente dans un travail très-intéressant, dû à M. Fontaine, ancien intern
uses du fémur sont également adhérentes à leur périoste. A ce niveau, travail d'ostéite au début et suppuration grisâtre remont
) se rapporte au malade, dont l'observation se trouve relatée dans le travail de Peltier, sur l'Emploi du chloral dans le tétan
en 1853. « Les con-scrits, disait-il dans la discussion qui suivit le travail de M. Chas-saignac sur les abcès sous-périostique
orner là cette enumeration et terminer cette première partie de notre travail par un résumé clinique de ces manifestations arti
s. La seconde période, elle, dure en quel-que sorte indéfiniment ; le travail pathologique, s'il s'arrête quel-quefois, progres
physiologie, normale ou pathologique, est surtout représentée par les travaux de MM. Bert, Jolyet, Brown-Séquard, Laborde, Le-v
s d'Inde, etc. MM. Laborde et Leven ont exposé les résultats de leurs travaux sur les effets de l'esérine, et sur ceux de l'aci
née par M. Thaon. La pathologie proprement dite comprend différents travaux dont quelques-uns présentent un grand intérêt. Un
vier; un mémoire de M. Lépine sur la température des nou-veau-nés, un travail de M. Roque sur l'inégalité des papilles dans les
ude qui en est la conséquence. Nous espérons que le résumé des divers travaux publiés sur ce sujet ne sera pas sans intérêt pou
douleurs abdominales. — L'accouchement (primiparité) a été facile. Le travail commencé à 8 heures du soir se terminait à minuit
veille de l'admission de la ma-lade à l'hôpital. Du reste, l'arrêt du travail n'est pas la règle. Jolly cite 23 cas dans lesque
contractions utérines ont persisté. (Des ruptures utérines pendant le travail de Vaccouchement, 1870.) IV. En prenant pour ép
désigné sous le nom à'état de mal épileptique. Dans le cours de notre travail , nous nous servirons donc, par analogie, des mots
température dans l'état de mal épileptique. En com-parant ce premier travail à celui que nous publions aujourd'hui, le lecteur
6. Lem... a encore eu des attaques ; elles n'ont pas été comptées. Le travail a bien marché ; la Kig. 2. — Température 1 heur
de Paris. — Brochure in-8° de 142 pages. Ad. Delahaye, éditeur. Ce travail , fait avec beaucoup de soin, comprend tous les ca
ième et dernière partie, M. Rigaud fait un Ndus avons communiqué ce travail à la Société de biologie. * Notre excellent ami E
s indications que l'on peut retirer des faits qui font la base de son travail ; — ce sont ces indications que nous allons briève
expectation et l'intervention à l'aide du forceps. En tout cas, si le travail se prolonge, on ne doit pas tarder à appliquer le
du membre ; par le docteur E. Rœckel. Voici les conclusions d'un travail intéressant qui a paru dans les derniers numéros
'ossification, doivent occuper, lorsqu'ils existent, les points où le travail d'ossification est le plus actif, et en même temp
particulier de ceux qui revêtent la forme comateuse et convulsive. Le travail qui suit a pour but de montrer qu'il s'agit, dans
ui confirme la proposition formulée par M. W. Roberts au début de son travail , à savoir : « Si la suppression de l'urine per-si
it avec une rapidité très-variable. Dans les cas les plus simples, le travail morbide semble s'arrêter sans pénétrer dans les c
insi, en quel-que sorte, le secret de ses succès incontestables. Le travail de M. Reverdin est divisé en trois chapitres : le
le coïncide avec la cessation de l'uréthrite légère qui accompagne le travail de cicatrisation, et dont la durée est généraleme
tumeur ainsi que les ganglions. Le tissu mor- 1 T. W. Nunn, dans un travail intitulé : Abstract of notes of fifty cases of Ca
à la bibliothèque de l'Ecole de médecine, nous n'avons pu traduire ce travail . * Voy. Revue photographique, 1871, pages 25 et
n, que l'on parvient à réduire.— A neuf heures du soir, voyant que le travail n'avançait pas, l'interne de garde applique le fo
cables ; la seule cause plau-sible que l'on puisse invoquer, c'est le travail qui s'opérait du côté des plaies qui, cependant,
les renseignements que nous avons pu ras-» sembler en parcourant les travaux publiés sur ce sujet et les recueils de ta temp
isante qu'il s'agit là, ainsi que nous le disions en commençant notre travail , de deux affections à tous égards dissem-blables.
dées pratiques qu'on regrette de ne pas tou-jours rencontrer dans les travaux nombreux qui ont été faits sur les diverses branc
ues; rien, dans les jours pré-cédents, ni excès de table, ni excès de travail , ne pouvait avoir occasionné ces accidents. Il es
faible douleur spontanée. Elle est aug-mentée quand il se livre à son travail . Aux pieds, l'éruption a les mêmes caractères q
e gagnait son bras droit, et qu'il ne pouvait continuer longtemps son travail . Les mêmes contractions qui le tourmentaient dans
venir de cette conclusion un peu radicale ; nous faisons allusion aux travaux publiés en 1869, d'un côté par M. Hayem, d'un aut
déjà soupçonnée en 1855 par M. Cruveilhier. Voici les conclusions du travail de M. Hayem : Un certain nombre d'altérations m
la nuit dernière. Il s'agit d'une présentation normale du sommet. Le travail se fait lentement. N... offre : 1° à la face inte
rupture de la bride elle-même. Ces prévisions se sont réalisées : le travail a été lent, et, bien qu'on eût pratiqué une incis
les médullites ; elles en calment les douleurs, peu-vent ralentir le travail morbide, mais restent insuffisantes pour remplir
é, Landois, Mar-monier; elles sont réunies, au nombre de 175, dans un travail sta-tistique publié par M. de Belina dans les Arc
encore, le même auteur a fait pa-raître sur le même sujet un nouveau travail dont nous allons rendre compte à nos lecteurs.
tion n'est pas admise par tous les auteurs. Oré, de Bordeaux, dans un travail présenté à la Société de chirurgie, le 20 décembr
un peu considérable, elle amène rapidement la mort de l'animal. — Le travail de Panum est très-soigné; ses expé-riences sont c
un très-heureux hasard de m'être trouvé deux fois, au courant de mon travail sur la nature des concrétions urinaires, dans le
cette maladie, et auquel jious assignerons sa valeur dans un prochain travail , se trouvait aussi en quantité considérable dans
rs, etc.). M. Saison rapporte neuf observa-tions dans le cours de son travail , qui est surtout clinique, et ter-mine par les co
roscopique très-détaillée. Ces deux derniers auteurs ont joint à leur travail une ana-lyse élémentaire de la substance amyloïde
laquelle est également arrivé C. Schmidt. Depuis lors ont paru divers travaux intéressants à différents titres, et où l'on trou
je signalerai également la Thèse de M. Ghevillion qui résume tous les travaux de ses prédécesseurs et qui fixe l'état de la sci
t dans le sang. Un peu plus tard, Heschl et Planer continuèrent ces travaux impor-tants et publièrent un grand nombre de fait
à l'activité' fonctionnelle et à la structure des divers organes? Le travail de formation pigmentaire dont la rate est le sièg
iers, et de fréquentes palpitations. Cependant il pouvait aller à son travail . Le 18 mai, tout d'un coup, frisson très-violent
at général. Ce sont là les bases solides sur lesquelles s'appuie le travail de M. Daudé, et qui lui permettent de nous donner
e mémoire de M. Tachard. Il contient les principales indi-cations des travaux publics sur ce point particulier et s'appuie sur
ons de l'hypertrophie ; qu'il nous suffise de signaler encore ici les travaux de Naumaim, de Heusinger sur les maladies de la r
rulente, c'est là une lésion qui atteste, à coup sûr, 'existence d'un travail phlegmasique, pourvu qu'elle ne dépende pas du ra
er guère au delà de trente années pour trouver chez nous les premiers travaux médicaux sérieux écrits sur le Hachisch. Déjà dep
t, 1840). En 1844, Léautaud lut à l'Académie des sciences de Paris un travail sur les propriétés physiologiques et thérapeu-tiq
priétés physiologiques et thérapeu-tiques du chanvre indien : dans ce travail , il considère l'ivresse produite par l'usage de c
jusqu'alors considérés qu'avec incrédulité ou indifférence. Aussi son travail fut suivi d'un grand nombre de publications, soit
résumé succinct en nous appuyant sur les documents renfermés dans les travaux dont nous venons de faire mention. § II. La p
e pharmacie un mémoire sur l'analyse du chanvre indien. 11 résulte du travail de cet habile chimiste qu'il a pu obtenir par dis
teint un centimètre d'é-paisseur autour de chaque flèche. —31 mai. Le travail de mortifica-tion est tout à fait terminé. Comme
une satisfaction d'amour-propre national, en couvrant du silence les travaux d'un de nos savants les plus distingués. Thaon.
tie, il existe de nombreuses stalactites osseuses qui témoignent d'un travail d'hyperostose qui se produit parallèlement au tra
témoignent d'un travail d'hyperostose qui se produit parallèlement au travail d'atro-phie que je viens de vous signaler. D'un
ies et des atrophies des extrémités osseuses, mais dans lesquelles le travail de destruction l'emporte de beaucoup. Il en résul
ombre des manifestations les plus communes de l'ataxie. Dans un petit travail que j'ai publié il y a quelques années sur ce suj
re encore sur plusieurs points, a fait, en 1843 et 1844, l'objet d'un travail très-intéressant publié par M. Vigla dans les Arc
es dans les ouvrages ou dans les écrits périodiques ; c'est encore le travail le plus complet que nous ayons sur l'affection qu
orsqu'il s'agit de notre pays, où le hachisch n'a été l'objet d'aucun travail thérapeutique sérieux, n'est pas applicable à nos
ez eut de nouveau recours au hachisch, à l'hôpital Cochin, et dans un travail publié en 1866, notre excellent ami le docteur Bo
ction soit à la hauteur de l'original. Un vé-térinaire, connu par ses travaux du monde savant, M. Zundel (de Mulhouse), a été l
s de service l'étudient avec soin, et nous espérons que bientôt leurs travaux vien-dront apporter à la médecine générale un app
50 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
e la tête et de yeux a suscité de nombreuses -discussions depuis le travail fondamental de Prévost. Dans ces dernières anné
voir le premier soulevé cet impor- tant problème. Dans une série de travaux , Parhon a discuté et indiqué les moyens qui peu
-de-lièvre et l'incisure sous-mentonnière (2). Je citerai encore un travail extrêmement important, déjà ancien, de l'anatom
montrée suffisam- ment pour l'appareil génital. , Dans le présent travail nous apportons une contribution à l'étude des r
itale de Fra;lich.. Nous-même nous avons contribué dans plusieurs travaux à démontrer la fixité du diagnostic radiologiqu
a région centrale de l'os sphénoïde : nous la développerons dans un travail à part dédié à ce sujet. Dans le cas actuel n
celui qui correspond au syndrome de Froelich. Il faut rappeler les travaux de Schüller (2),qui sont très importants pour l
rtains troubles hypopbysaires. Dans le cas illustré dans le présent travail , ces liens nous paraissent absolumentprobanls ; n
e origine hypophysaire. Fumarola théoriquement s'était basé sur les travaux de Babès (2) qui, ayant rencontré fréquemment,
e et les altérations des glandes vasculaires. Je rappellerai ici le travail remarquable d'un grand anatomiste italien, Calo
s de la calotte peut correspondre la synostose des os basilaires. TRAVAIL DE L'AMBULATOIRE ? RU7'HOLOG7QUE-DC ROUE dirigé
de la moelle cervicale. Nous nous occuperons spécialement, dans ce travail , des dégénérescences ascendantes en grou- pant
la litté- rature médicale. Malgré l'importance incontestable des travaux expérimentaux de Molt (1), Kohnstamm, Bocleuelc
pinales, leurs con nexions elleurs terminaisons chez l'homme. Les travaux qui traitent de ce sujet ne sont pas très nombreu
les pour les légendes des figures. xxvii si 62 LONG z trouve le travail de Schaffer qui comporte un examen du bulbe ; ceu
ées par la méthode de Marchi.Nous avons joint à la bibliographie le travail de Patrick qui a suivi avec la méthode de Weige
pas davantage sur l'état des régions sous-jacentes à la lésion, ce travail étant plus spécialement desliné à l'étude des dég
raphique de ces groupes de fibres dans les planches annexées à leur travail , mais ils n'acceptent pas l'interprétation de I
la formation réticu- lée pédonculaire (voir les figures 15 et 16 du travail que nous avons pu- blié en 1908 avec notre coll
es cérébelleux supérieurs. - x Py, entrecroise- ment pyramidal. ' TRAVAIL DO SERVICE DU D' FAISANS ET DU LABORATOIRE DU D
CEAUX PYRA- MIDAUX. - Par \11. Am. COYON et A. BARRÉ. Dans un travail publié en 1899 dans les « Bulletins et Mémoires d
clinique et anatomique est encore restreint, et ce fait donne à ce travail son principal intérêt. Ajoutons dès maintenant qu
t vaquer à ses occupations habituelles, et c'est au mi- lieu de son travail , quelques jours après l'apparition des douleurs,
'ai piis la résolution de publier seulement 52 de ces cas. Dans mon travail le pro- secteur de l'hôpital N. A. Alféeysky m'
vations ne sont-point terminées, mais, ayant égard il la rareté des travaux sur l'hématologie de la pellagre.*elles ne sont p
encore d'autres fadeurs, jusqu'à présent inconnus. En terminant mon travail je voudrais bien qu'on y fasse attention à ce que
clarté sur la pathogénie de la pellagre. INFLUENCE DU MILIEU ET DU TRAVAIL SUR LES STÉRÉOTYPIES, PAR MM. René CHARON e
recommence invariablement son sautillement sur le pied droit. Le travail exerce là une suspension évidente sur la stéréoty
la ',3.LPtFRILRF. r. XXVII. PI. XXIX A B C D INFLUENCE DU TRAVAIL SUR LES STÉRÉOTYPIES (R. Charon el P. Courbon).
OTYPIES (R. Charon el P. Courbon). A. Marche du malade pendant le travail . B. Le même en dehors du travail. C. Attitude p
n). A. Marche du malade pendant le travail. B. Le même en dehors du travail . C. Attitude pendant le sommeil. D. Attitude au
es de repos. Masson & Cie, Editeurs INFLUENCE DU MILIEU ET DU TRAVAIL SUR LES STÉRÉOTYPIES 105 que la preuve de la gu
omutilation. est envoyé la ferme. Dès le premier jour, il se met au travail avec docilité et adresse et ne se livre à son occ
à la suite d'une discussion et d'une bagarre avec des camarades de travail , on le laisse au quartier et c'est alors, qu'en q
talons aux fesses. Pour briser cette stéréotypie on le renvoie au travail ; le succès obtenu n'est pas complet. Pendant t
s repose sur le rôle que l'oisiveté et le INFLUENCE DU MILIEU ET DU TRAVAIL SUR LES STÉRÉOTYPIES 107 travail jouent dans l'
et le INFLUENCE DU MILIEU ET DU TRAVAIL SUR LES STÉRÉOTYPIES 107 travail jouent dans l'éclosion et la disparition de ces s
nt et du sautillement sur une jambe, que nous voyons exercer par le travail , n'est pas pour surprendre si l'on songe, que, de
les agents thérapeutiques, le plus efficace dans la démence est le travail . La ruine des facultés conscientes du dément le
les ou même simplement inutiles qui s'organisèrent spontanément. Le travail manuel répond pleinement à ces deux indications
hysique de fatigue ou d'infection nuit nécessairement à l'effort du travail . Ce n'est pas cependant l'effort lui-même qui cau
elle avait eu dans les bureaux un désagrément avec une compagne de travail , qu'elle qualifie de femme ignorante et sans co
. Cet épisode l'a tracassée longtemps, et comme elle peut faire son travail pres- que automatiquement, elle était libre pre
e le faire aussi vite et aussi bien que possible, les erreurs ou un travail insuf- fisant ne sont pas tolérés mais elle est
térin. Enfin, à cause de vertiges elle a été forcée d'abandonner le travail qu'elle faisait d'abord, celui de déployer l'ar
erdit courage. Je lui conseillai de sortir et de s'abstenir de tout travail pendant au moins un mois encore. . Elle décla
contraction douloureuse des muscles de la main : elle fait tout son travail avec la main gauche et semble plus aigrie que j
lles est le sui- vant : Cas II. Tremblement hystérique pendant le travail . Une employée du bureau des Pensions, âgée de 4
de 45 ans, me consulta pour un fort tremblement qui contrariait son travail . Par ailleurs, elle était en bonne santé. La
ion du tremblement, dont elle redou- lait les conséquences pour son travail qui la faisait trembler. La nature psychogénéti
st guérie de ses tremblements en grande partie et pul reprendre son travail après sa simple explication de' la nature psychog
s employés admis plus tard à cause des résultats peu satisfaisants du travail des premiers. La préparation spéciale ¡\ laquel
elle s'étaient livrés les premiers employés, au lieu d'accélérer le travail , n'avait fait que développer chez eux le sentim
incapable de travailler ; il croit généralement que ce n'est pas le travail lui-même mais plutôt un accident qui l'a rendu in
rés, cependant, peut montrer qu'il s'agit quelquefois d'une peur du travail lui-même. CAS IV. -Perte de courage après un ac
de son abattement mental. Il se sentait incapable de reprendre son travail . Dans sa famille heureuse ne se trouvait aucun
cet homme se sentait incapable, et ne voulait pas reprendre le dur travail d'un employé de chemin de fer, travail auquel e
e voulait pas reprendre le dur travail d'un employé de chemin de fer, travail auquel en réalité il était, par tempérament, ma
elle. En essayant de persuader cet homme qu'il devrait retourner au travail , j'aurais pu être comparé à celui qui essaye de
é, employé au bureau des Forêts, faisait depuis plusieurs années un travail de bureau entraînant la responsabilité de la surv
n azote, beaucoup d'exerci- ces physiques et la cessation totale de travail pendant quelques jours. Cependant la douleur ét
comme délivré d'un cauchemar ; et il re- tourua tout de suite a son travail sans plus d'ennuis. C'est là un cas d'irritatio
gique. Les accidents n'avaient rien à faire éliologiquement avec le travail propre- ment dit. Cas VI. Epuisement intellec
in, se sentait épuisé et sans énergie pendant toute la journée. Son travail intellectuel lui semblait pé- nible, tandis qu'
'est souvent qu'une tentative faite pouréchapper aux exigen- ces du travail . Le suicide est une forme extrême de la fugue. En
ais les devoirs requis me parut étrange, car je n'avais pas fait de travail pharma- ceutique depuis trois ans. L'homme pour
je ressens encore. A ce moment l'occasion se présenta d'accepter un travail au grand air. Pendant trois mois je travaillai
as. Un jeune homme attente à sa vie quatre fois pour échapper à son travail . Le fils d'un fermier, âgé de 22 ans, après que
pation; mais elle provenait néanmoins d'un manque d'adaptabilité au travail , comme dans les cas précédents. La cause actuel
ns les cas précédents. La cause actuelle du désordre n'était pas le travail en soi, mais^bien entendu, le fond mental du ma
la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière où ont déjà paru tant de travaux de M. Paul Richer sur la morphologie humaine et
ste de l'Hôpital de In Sainte-Cioix à Barcelone. L'objet du présent travail esl la description et l'exposition iconographi-
en propor- tion avec le degré d'atrophie des muscles qui entrent en travail . Quand il y a altération visible et palpable d'
averser avec un stylet ou avec le man- che du scalpel. Lorsque le travail de restauration se produit, les os s'unissent san
i peuvent arriver jusqu'à la gangrène. ' (1) Voir il ce sujet mon travail sur la dégénéra lion et la régénération du systèm
t acquis après un traumatisme de peu d'intensité dû â un accidentdu travail , motif pour lequel il m'a été difficile de recher
ant sur l'origine neurotique de celte amyotrophie. Depuis lors, les travaux se sont multipliés, et j'aurai l'occasion, chemin
rir quelque peu la littérature pour constater l'extrême pénurie des travaux consacrés à cette importante question. Bien que d
aient entraîné une atrophie notable du noyau rouge. Dans ce premier travail , toutefois, von Monakow n'arriva pas à des conc
lle question fort complexe, fut Dejerine (1). Cet aule.ur, dont les travaux sont basés sur l'étude soignée d'un très grand
apport de documents particulièrement nombreux et significatifs. Les travaux de von Monakow sonL basés, en partie ,ur des re
thalamiques et corticales. Nous regrettons que le cadre du présent travail ne nous per- mette pas d'analyser plus au long
as il n'en est que six dont la description détaillée figure dans le travail que nous analysons actuellement. Les autres obser
la région cenlro-operculaire. ' Von Monakow termine son remarquable travail en posant, de la façon suivante, les principes
ge, c'est-à- dire la couche péri -rubrique ventro-latérale. - Nos travaux personnels sur les radiations corticales du noyau
rt intéressant mériterait d'être publié à nou- veau dans le présent travail si ce n'était que, le tronc encéphalique ayant
neusement les coupes sériées de tous les cas qui ont servi pour nos travaux antérieurs sur le faisceau longitudinal inférieur
ni aucun trou- ble de la parole. Cette observation a figuré dans un travail antérieur sur les Localisa- tions de l'Aphasie
res et la sclérose névroglique compensatrice. Avant de terminer ce travail , il nous parait utile d'exposer quelques consid
milli- mètres, alors que chez, le fujct qui fait l'objet du présent travail , le dia- mètre antéro-postérieur est de 26 mill
ion sur laquelle il n'y a pas lieu d'insister. Mais on sait que des travaux récents, en particulier ceux de Harvey Cushing et
seul montrera, et c'est la conclusion de Claude (1) dans un récent travail , la signification rigoureuse de chacun d'eux.
ayant sa signification propre. J. Salmon, dans son très remarquable travail , a du reste insisté sur ce fait qu'il fallait évi
gérant : P. Bouchez. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne) TRAVAIL DE L'HOPITAL MUNICIPAL DE ROTTERDAM Dir. : D' v
ns les premières connais- sances du mécanisme de ces mouvements aux travaux de Voodortlt (Thèse de Paris). Dans l'exécution
UE CURABLE - Par le Professeur Léon RÉVILLIOD (de Genève). Ce travail a pour objet de faire connaître la suite el la fi
s les modes de sensibilités générale et spéciales, sans modifier le travail digestif propre- ment dit. Anatomiquement on
ois déjà la coexistence de ces deux affections, cas relevés dans le travail de Wolssohn et Ernst vlarcuse (7). Mais dans
ent à notre gré du cas particulier qui est le point de départ de ce travail ; elles s'écartent dans une mesure appréciable
complète en remontant de la main vers le bras. Dans notre précédent travail nous avions admis, d'une façon provisoire, un a
examiné la ques- tion sous ses divers aspects dans notre précédent travail et nous ne pour- rions que nous répéter sans pr
r- rions que nous répéter sans profit. Le côté nouveau du présent travail , et qui mérite d'attirer l'attention, c'est la
it bon), se trouva subitement beaucoup trop intelligent pour un tel travail , il alla prendre des leçons pour obtenir le bre
attaques depuis 8 ans et pouvait néanmoins faire régulièrement son travail . Il y a quelques jours, dans une chute, il a fr
donner un autre nom (épilepsie hydrocéphaliqiie), car ce serait un travail presque interminable de séparer l'une de l'autre
e est la caractéristique chez le nerveux de toutes les modalités de travail , mental, corporel ou viscéral. Du côté de la sp
lité nerveuse, Quand, par exemple, le débile nerveux se force en un travail mental, ou émotif, ou môme en un travail physique
ile nerveux se force en un travail mental, ou émotif, ou môme en un travail physique, il n'est pas rare de voir la langue s
i, et une fois de plus, les notions que j'ai résumées dans un autre travail sur les réactions cliniques élé- mentaires du s
sera la neurasthé- nie. La cellule nerveuso intoxiquée commence son travail paresseux et anormal, avec les caractères de l
d à l'intoxication par l'asthénie, c'est-à-dire par la faiblesse du travail nerveux ; l'hystérie par la facile désagrégation
près, il est heureux, souriant, il exalte sa force, sa puissance de travail et redevient coléreux et furieux. On introduit
RoN(René) et COURBON (Paul Î (d'A miens). Influence du milieu et du travail sur les stéréotypies, 103. CHEVALLIER (Faut).
s d'acromé- galie, 226. COURISON (Paul) et Charon. Influence du travail sur les stéréotypies, 103. COYON (Am.) et Barré
51 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
ychologie physiologique, folklore LIVRAISON DE JUILLET 189 9 I. — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1° Introduction à l'étude de l'hypno
. C'est ce qu'avait pensé Azum, lorsqu'il fit connaître en France les travaux do Braid. Il amplifia quelque peu la définition p
Mai 1C44. Singlin le poussait au diaconat. Entre 165G et IGGÛ, a le travail et lu vie pénitente l'avaient tellement afTaihli,
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. IS Administ
lieu â des débats fort importants. Tous ceux qui ont pris part aux travaux de ce congrès se souviennent de l'esprit de conco
hibition est venue confirmer l'idée de Bi-chat (2) sur ia division du travail mental et la dissociation psychique pendant le so
rel et des rêves a fourni la première démonstration de la division du travail mental. Les recherches des physiologistes contemp
her avec une canne. II n'osait plus s'éloigner de chez lui pour son travail de crainte d'être pris par une crise. Je lui fa
uit des insomnies et l'empêchaient dans lu journée de se livrer à son travail . Elle fui guérie par trois applications d'aimant.
étudiant d'une de nos facultés vient se plaindre d'une inaptitude au travail , qu'il éprouve depuis uncertain temps et qui le t
n esprit se trouble, se distrait et il n'est plus capable de faire un travail utile. Après une première application de l'aima
age, et lorsqu'il revient trois jours après, il reconnaît que déjà le travail lui a été beaucoup plus facile, qu'il comprend mi
te sa vigueur intellectuelle et trouve même à son grand étonnement le travail plus facile qu'autrefois. Dans les cas que je v
s pendant io sommeil profond révèlent les étapes et l'existence de ee travail cérébral inconscient, auquel nous devons, à notre
lait Anatole. On pourrait comparer l'état mental de ces rêves avec le travail inconscient de la veille. 3· Il y a une relatio
moins accessible. En somme, il ressort clairement de l'ensemble des travaux de ce Congrès que l'hypnotisme est entré décidéme
bromure, delà paraldehyde, de l'alcool, etc., en faisant des excès de travail physique ou psychique. D'intensité des rêves au r
alisateur qui devait le caractériser : à dix-huit ans, il écrivait un travail philosophique sur les principes de l'algèbre: uni
ntilique (1894, Félix Alcanjl où sont repris et condensés ses anciens travaux . Durand de Gros ne fut pas seulement un précurs
ant concours dans la lutte pour l'existence (poly-zoisme). Tous ces travaux restèrent longtemps lettre morte. En ces dernière
ice de la médecine; qu'ainsi, il n'y a pas d'argument sûr à tirer des travaux préparatoires ; Attendu, en réalité, que d'aprè
on de file blancs môme clairsemés. Un soir, il rentrait chez lui, son travail achevé, précédé à quelques pas de son mulot sur l
t pâle a le charme des choses jeunes et inachevées, il est propice au travail , parce que sa simplicité ne distrait pas, et aux
ent « le patriarche des anatomo-pathologistes modernes », et dont les travaux sur la phtisie pulmonaire sont cités encore parto
ie dans la médecine et la médecine dans la philosophie ». Les beaux travaux de l'époque médicale que nous étudions ont amené
urgicale, M. Philippe fait, comme il convient, la critique des divers travaux déjà parus sur le sujet ; il utilise cn outre les
nés tous par la puissance des bourdonnements acoustiques. » Tout le travail nneslhésique a donc consisté jusqu'alors à « isol
ions fonctionnent con-me durant la veille, l'imagination conïinue son travail , la conscience reparaît brusquement sans que la d
le résultat auquel, par manière de conclusion, aboutit cet important travail . Telles sont aussi la valeur et la fécondité des
alyse. FOLKLORE Les superstitions médicales du Morvan. Dans son travail inaugural, qui fourmille de documents originaux e
poser, il semble au premier abord que celle loi du repos succédant au travail accompli ne doive pas s'appliquer au nouveau-né d
travail accompli ne doive pas s'appliquer au nouveau-né dont le seul travail est de téter ; mais cn regardant de plus près, on
rissant bien et se développant normalement. Qu'on songe, en effet, au travail ou, si on veut, à la dépense que fournît i'cnfanl
usqu'à une octave. D'aprè3 l'analyse que M. Victor Henri a donné du travail en question, le ventriloque en parlant ne doit pa
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Cours prati
comme un modèle de clarté et d'esprit pratique. Parmi ses nombreux travaux nous devons citer: De l'insomnie chez les enfan
884. — Paradoxes, 1885.— Les maladies du Siècle, 1889. Les derniers travaux publiés chez Alcan, ont pour titre : Paradoxes so
rapie de l'asthme. Pour plus de détails je renverrai le lecteur à mon travail , paru sous ce titre dans le second volume du Zeit
vence avec moi, ce parent feignit d'avoir besoin de lui pour certains travaux des champs. Comme notre alcoolique n'avait rien à
rois, contribuer ù ce résultat : l'exemple, les occasions évitées, le travail , ainsi que la vie calme et paisible des champs, a
ouvent d'importantes, contributions a leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Cours prati
iable pour le patient, il vaut mieux ne point être distraits de notre travail par des cris et des mouvements intempestifs qui n
aient très fortes avant son départ. Nous arrivons vers six heures, le travail était commencé depuis une heure à peu près, mais
ant rompue, avec écoulement abondant de-liquide amniotique, la fin du travail en est facilitée. Dans les dernières douleurs seu
et l'accouchement se terminer très heureusement avant dix heures. Le travail avait duré environ quatre heures. Cette femme n
issent se répéter en vain, malgré leur force et leur durée, et que le travail n'avance pas, je me décide à une application de f
page n="185"> Les lecteurs de votre Revue connaissent trop vos travaux pour que j'insiste; mais je me dois de leur appre
taines lettres oubliées au fond d'un petit meuble, dans sa chambre de travail , le tracassaient. A tout prix, il ne voulait pas
ion a est amusant, dans la bouche d'un Américain, car il veut dire un travail , une situation. C'est à peu près le langage d'un
n soir à l'iniprovisie à la maison par une suspension imprévue de son travail de nuit au tunnel, le mari trouva sa :·· .. comme
éveillée, mais seulement hypnotisée, par cet incube inaccoutumé. Le travail mental et la température. C'est une question tr
ion très discutée parmi les physiologistes, que celle de savoir si le travail mental cause une sensible élévation de températur
leurs études à ce sujet. Ils en arrivent à cette conclusion que le travail intellectuel n'a que peu ou point d'action sur la
'a que peu ou point d'action sur la température profonde du corps. Le travail mental entraîne le repos musculaire proprement di
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Cours prati
tisme paru, en 18G0, dans les Archives gé-. nérales de médecine. Ce travail fut le premier publié en France sur l'hypnotisme.
adémicien qui prononçait ces paroles est complètement oublié. Par ses travaux sur l'hypnotisme etïa double conscience, Azam a a
ré l'immortalité de sen nom./page> page n="197"> Les divers travaux d'Azam ont été publiés dans les Comptes rendus de
mes cérébraux ;— Le Caractère dans la Santé et dans la Maladie. Ces travaux ont été groupés depuis sous les titres suivants :
; — Hypnotisme et Double Conscience; origine de leur étude et divers travaux sur des sujets analogizes, Paris, Alcan, 1893, in
lèbre Felida, dont l'observation a fourni .à Azam le sujet do tant de travaux psychologiques d'un s: puissant intérêt. La Réd
une communication qui a eu un grand retentissement. Bérillon, dans un travail sur les faux témoignages suggérés chez les enfant
de l'Académie française avec cette mention spéciale que, dans ce gros travail sur le Rire, il n'y avait pas le plus petit mot p
r la mesure de temps psychiques, par M. îo Dr Jean Philippe, chef des Travaux au Laboratoire de Psychologie physiologique de la
î! D3 mna^ua jamais do n. us .;!::Ir la pr'raeur de ses principaux travaux . Ces', c/nsi que, dès 1870, lirons Ci consaîî.e l
: nous reçûmes sa dernière visite ; et par sa présence comme par ses travaux 11 contribua à maintenir nos laborieuses traditio
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiclogiquc. Cours prati
ofesseurs, ses traités, ses recueils (sermonologes, homiliaires), ses travaux pratiques, et celui qui monte dans la chaire chré
comme à la Revue de VHypnotisme, ont été exposés un certain nombre de travaux louchant les anesthésiques médicamenteux duns leu
médecin en chef de l'établissement qui succomba. Condamné à 20 any de travaux forcés, lo meurtrier, qui, pour nous, a toujours
t presque. Cette attitude vicieuse se répète fréquemment et rend tout travail impossible. Le tic du. bras droit est provoqué pa
uées du membre supérieur droit. En outre cet homme a pu reprendre son travail . Etat mental des hystériques, par ie Dr Glorieu
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. CoUItS pb4t
intéressés ou soient participants. La représentation mentale est un travail , une opération, un acte qui a lieu dans le centre
t'des canons.les obus, les charges de cavalerie, etc., etc. Tout ce travail se fait dans le centre nerveux par autosuggestion
, et je trouverai ma récompense dans l'estime des hommes. » Tout ce travail de l'esprit constitue la pratique de l'autosugges
il existe des malheureux qui ne sont pas malades et qui demandent du travail . La maison de secours aux malheureux leur donnera
ent du travail. La maison de secours aux malheureux leur donnerait du travail , leur donnerait le moyen de se procurer les resso
raçant ses lignes sur tout ce qu'il trouve. Au dehors, il continue le travail commencé à l'intérieur. C'est le physicien ou l
naître les règles de la volonté pour lui faire produire le plus grand travail possible. L'auto-suggestion est comparable à un
ue. Par entraînement raisonné on fait produire au corps le maximum de travail utile, on fait produire à l'intelligence le maxim
voisins qui l'évitaient et il a retrouvé sa gaieté et son aptitude au travail . C'est par l'inhibition des rôves, réalisée par l
voisins qui l'évitaient et il a retrouvé sa gaieté et son aptitude au travail . C'est par l'inhibition des rêves, réalisée par l
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Cours prati
d'Académie de nos collaborateurs les docteurs Paul Magnin, auteur de travaux bien connus sur l'hypnotisme expérimental, le doc
conditions, l'ombre et la lumière agissent, l'une en affaiblissant le travail cérébral, l'autre en déterminant, lorsqu'elle éma
s-ifc'neaicntft répondent par avance à l'objection suivante tirée des travaux de àltisculus el von Menng : après l'ingestion *·
ssances artistiques. Le D' Lange, do Copenhague, bieu eonnu par ses travaux sur la psychologie des émotions, vient de publier
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. Cours annex
ipes de philosophie naturelle. M. le Secrétaire général présente un travail de M. le professeur Stumpf, de Berlin, dans leque
êve. Les années passèrent. Il occupa une situation qui lui donna un travail régulier, maie trop peu absorbant. Sa vie intelle
devient calme. De retour chez lui, il enferme le fer dans sa table de travail . Pendant une année, il l'y laisse, et pendant tou
'une fugue. Après quelques jours de repos, notre malade reprend son travail . Le 26 décembre, il arrive à la gare Saint-Lazare
bre, il arrive à la gare Saint-Lazare, a une discussion à propos d'un travail supplémentaire qu'on lui a confié et on ne sait p
mme, en effet,/page> page n="337"> s'est épuise à faire des travaux supplémentaires presque chaque jour pendant la so
ignant la cause qui a déterminé et entretenu ses fugues, à savoir les travaux supplémentaires. Jadis, je vous aï parle d'un e
de la Charité,portée à bras par ses parents. Elle dit que, durant son travail d'étirageuse, le matin même, elle a dû se laisser
lité qu'elle s'en rappelle les moindres détails. Les souvenirs de son travail reviennent constamment dans ses rêves. Cependan
achant fréquemment des larmes et la forçant à se faire aider dans son travail . Notre malade, dont le métier se trouvait en fa
ies. En neuropatbologie, uous signalerons entre autres une série de travaux expérimentaux et anatomo-cliniques sur les locali
la maladie qu'il a le plus spécialement étudiée et pour laquelle ses travaux feront autorité pendant longtemps, c'est le diabè
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'Institut psycho-physiologique. COURS A L'É
Lundi 14 mai. — Etude psychologique de l'hypnotisme. — Division du travail mental dans les états hypnotiques: dissociation d
anisation du congrès par le Secrétaire général. 4° Commencement des travaux par la lecture des rapports généraux soumis à la
généraux soumis à la discussion du congrès (le programme détaillé des travaux du congrès sera distribué à cette séance). Comm
on consécutives à un traumatisme psychique, par Paul Farez, p. 296. Travail mental ot température, par Pembury et Nicol, p. 1
52 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lemagne, qui s'est d'abord inspirée, et pendant longtemps, de leurs travaux traduits et commentés par ses pre- miers sujets
la critique et la réflexion affaiblies demeurent im- puissantes au travail de la vérification. Finalement, les association
a suffi aux exigences de sa carrière; il a écrit, il a produit les travaux néces- sités par les diverses études qu'il lui
ar les diverses études qu'il lui a fallu faire, et' il a fourni des travaux d'homme fait. Il apprend encore facilement et s'a
l'accès de migraine soit suivi d'une certaine fatigue cérébrale, le travail consécutif est néanmoins possible et efficace;
r Marécual. (jours. de Neurologie, 1899, n° 9.) On trouvera dans ce travail la relation de deux cas de diabète au cours des
) Observation d'une femme de quarante-cinq ans qui, à la suite de travaux de couture exagérés, est atteinte depuis plus de
si malade un sang contenant beaucoup d'hémoglobine pour produire un travail plus grand. C'est pourquoi le régime lacté n'es
lésions moins dange- reuses est très importante au point de vue du travail que le malade peut produire. Il faut qu'au mome
la vérité de cette loi ana- tomo-clinique (qui découle des premiers travaux de Charcot) : les contractures permanentes et l
sur elles un jugement précis. Mais ce qu'il peut dire, c'est que le travail de M. Orchanski met en relief bien des points d
n- naissance. Une mention très honorable est en outre accordée au travail de M. Wahl sur La descendance des paralytiques gé
z 59 La myoclonie épileplique. M. Maurice Dide donne lecture d'un travail sur la myoclonie épi- leptique. Le phénomène, i
tz a communiqué à la Société de Méde- cine mentale de Bruxelles, un travail très important sur les opéra- rations gynécolog
logiques, inconnues au moment où Loiseau et Azam pu- bliaient leurs travaux sur la folie sympathique. ' L'importance des ca
mené de rechutes. Cette remarque a son importance, au moment où les travaux sur les folies post-opératoires tendent à faire
ire l'acquisition du terrain sur lequel s'élève l'asile actuel. Les travaux furent poussés activement; mais, hélas ! la mor
en et même le spécialiste. L'auteur met en lumière, au début de son travail , toute l'impor- tance pratique de son sujet, en
ue de son sujet, en affirmant avec l'autorité qui s'at- tache à ses travaux , « qu'il reste certainement au-dessous de la vé
ie myxoe- démateuse (l'idiotie crétinoïde). Après avoir rappelé les travaux du 74 BIBLIOGRAPHIE. Dr Bourneville et des au
et de 142,1 pendant la période 1891-1894. (Bulletin de l'Office du Travail de février 1899.) Un FOU furieux A la SALPÊTRIÈ
pait. Il travaillait très irrégulièrement et laissait facilement le travail pour aller s'amuser. Très peu intelligent, sa c
« Certes, dit-il, ce n'est pas moi qui agissais. » Il quittait son travail et allait au dehors propager l'Evangile. Il se
étroite de tous les instants : le jour, quittant plusieurs fois son travail pour rentrer chez lui à l'improviste, dans le b
dans un sens fort large. C'est également ce qu'on trouvera dans les travaux de G. Ballet - 2 et SOUQUES'. 3. L'idée fixe
de Chen... On en peut voir des exemples décrits et figurés dans un travail récent de P.-S. de Magalheies ' et dans les mém
et gisent souvent en pleine substance blanche (8° couche). Dans le travail in caeM qu'il prépare, l'éminent histologiste e
température 35°, ; pouls, 10 à. L'enfant regardait à la grange les travaux , son pied glissa et il REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
en faisant saillir le derme a été rencontrée par les auteurs de ce travail à des degrés divers chez 48 aliénés sur 229. C'
fils. (.Tou·n. de Neurologie, 1898, n° 19.) . La conclusion de ce travail est que les phénomènes occultes se relient inté
spéciale que deux cas semblables à celui qui faisait l'objet de son travail . L'auteur en signale un troisième, cité en résu
ions catégoriques. D'autre part il n'a pas été fait mention dans le travail de Worobieff sur les particularités psychiques
pollution. Pour se montrer, il lui est arrivé parfois de quitter le travail ; mais habituellement il profite des heures de r
M. le professeur JOFFROY ouvre la séance en donnant un aperçu des travaux qui ont été accomplis en France et à l'étranger d
ne des orteils dans l'épilepsie. M. M.-J. Baiunski. Dans le dernier travail que j'ai publié sur le phénomène des orteils j'
ns, qui souffrait d'une méralgie paresthésique occa- sionnée par un travail excessif. M. Mauclaire fit la résection du lémo
attention, mémoire, association d'idées, raisonnement, imagination, travail cérébral court, s'inscrivent tous sur le tracé
pathique ; par le D1' Biuaxd. Aucun fait nouveau à signaler dans ce travail . 4. Des psychoses dans leurs rapports avec les
7. Essai sur la pathologie des sémites; par le D1' l3LRacD. Dans ce travail consacré à la biologie et à la sociologie des I
accidents physiques, on rencontre tous les degrés. On voit par les travaux de M. Janet combien ces idées fixes subconsciente
ns des ascendants est d'une manière frappante la plus fréquente. Ce travail rendra donc de féconds services à tous les homm
t aux divers problèmes abordés dans le cours de la thèse termine ce travail intéressant dont nous n'avons esquissé que les
uis déjà longtemps soutenue au point de vue physiologique (voir les travaux de Schiff, Tripier, Bastian, Dana, Luciani et T
ons faire ici l'historique de cette question, et citer les nombreux travaux auxquels elle a donné lieu (Cru- veilhier, Fovi
d'une façon magis- trale par Miraillé (Arch. Neur., 1899. n° 1). Ce travail très complet nous permettra d'être bref. DOUB
paralysies pseudo-bulbaires. , ' ' Wernicke, loc. cil ? 3 Dans un travail fait en collaboration avec M. Levic, nous avions
it entre la symptomatologie et le siège de la lésion. - Depuis ce travail qui tendait à faire de l'apoplexie pro- gressiv
critiques formulées contre lui par M. Mari- nesco, dans de récents travaux . S'appuyant sur ses expériences et ses travaux
sco, dans de récents travaux. S'appuyant sur ses expériences et ses travaux personnels, il s'attache à démontrer que son cont
xactitude, attestée d'ailleurs par les figures qui accompagnent son travail . De même, la dégénérescence et la disparition des
s chroniques des os, etc. Plusieurs illustrations sont jointes à ce travail . A. M. VI. Anatomie pathologique d'un cas de my
de cette question toujours discutée et qui a donné lieu à tant de travaux , soulevé tant de discussions, et conduit aux conc
isme, les phobies et l'appétence alcoolique ont disparu, le goût du travail est revenu, le caractère a été modifié heureuse-
dccin-alljoinl de l'Asile d'aliénés de Limoges. Malgré les nombreux travaux qui ont été consacrés en ces dernières années à
rébraux. M. Rayneau les a relatées, en détail, dans son remarquable travail . ' De Rayneau. Les troubles psychiques posl-opé
it une difficulté croissante à mouvoir ce membre. Il dut cesser son travail ; puis, le volume de la tumeur s'étant accru dan
veiller son esprit engourdi. La lenleur avec laquelle s'effectue le travail cérébral est attestée par les longues hésitatio
infirmiers pour un autre employé de l'asile, son ancien camarade de travail et de fête, et donne aux autres personnes, dont p
mps que son intelligence recouvrait son ancienne vigueur, et que le travail de la pensée devenait de plus en plus facile, s
x au creux épigastrique. Mais le D1' Valin se tenait au courant des travaux de Charcot et de ses élèves, et il pensa de sui
ion de froid. L'auteur fait à cette occasion une revue complète des travaux relatifs 1l ce phénomène et conclut à la syring
Frédéric BATTEURS. (l31lisle med, Journal, 19 novembre 1898.) Ce travail a été lu il la British association d'Edimbourg. I
ill." XXI, N. F. IX, 1898.) Il s'agit d'un forgeron qui pendant son travail a reçu sur le bord supérieur de 1 orbite gauche
aveur de la seconde ; c'est du moins ce qui paraît ressortir de son travail , bien que l'observation très complète présentée c
rature de la question. S... arrive à conclure que l'organisation du travail régulier dans les asiles des aliénés s'impose s
physiologie pathologique de la contracture vraie ou organique. Le travail commence par une mise au point des théories patho
variés, mais connexes, sont les sujets que l'auteur aborde dans son travail inaugural. Sur chacun d'eux, M. Cestan a su don
d'impor tantes conclusions et amorcent de nouvelles recherches. Ce travail est donc surtout un copieux recueil de bonnes o
en discus- sions casuistiques. Bien que le n° 1 ne contienne aucun travail se rapportant à la neurologie, je ne saurais le
1882. Prix triennal de 900 francs devant être décerné au meilleur travail sur l'Idiotie. 1885. Moyens propres à développe
fasse plus complète de jour en jour grâce aux observations et aux travaux récents, il n'est pas sans intérêt d'apporfar'iit
ur de ces observa- tions, elle ne saurait actuellement résister aux travaux où ' Nauwerk et Barth. Zierller's Bei ? Oye : /
on remarquait que T... changeait beaucoup : lui, si ponctuel à son travail , il devenait irrégulier. On voyait que souvent il
15, et douche complète à partir du 10, tous les jours; gymnastique, travaux scolaires et manuels, traitement moral. ' Févri
le malade réapprend ce qu'il avait perdu. Il devient capable d'un travail intellectuel et physique assidu, il retourne au c
Thèse de Paris, 1899, 280 pages, î5 figures. Steinheil, éditeur.) Travail du plus haut intérêt où l'auteur estime que, dans
M. Marinesco aux assertions formulées par M. Van Gehuchten dans un travail sur le même sujet, publié dans le nu- méro dn 4
appréciables comme l'indique le tableau des Il cas cités dans le travail . Quant à la paralysie générale, il n'existe pas d
sterno-cléido-mastoïdien, du trapèze et du deltoïde empêchant tout travail et qui fut traité par la suggestion indirecte (
11 h. 1/2 sur 29 h. 1/4) est consacré à l'éducation physique et aux travaux manuels; les enfants arriérés classés d'abord sel
llissement célébrai, sans autre indication topographique. Or si les travaux classiques de Virchow, de Charcot et de. leurs
ion aiguë, parti- culièrement de Y hyperthermie. THERAPEUTIQUE. TRAVAIL ET ALITEMENT DANS LE TRAITEMENT DES MALADIES ME
r le nombre des chroniques, des incurables et des convalescents. Le travail a fourni sous ce rapport d'excel- lents résulta
t appelés à bénéficier des avantages multiples et incontestables du travail . Quant aux aliénés aigus, aux sujets curables -
les de la seule méthode thérapeutique considérée comme efficace, le travail , ils furenl quelque peu perdus de vue. A la f
e ces errements déplorables et d'avoir insisté sur les avantages du travail . « Dans tous les asiles publics, comme les pris
ntien de la santé, des bonnes moeurs et de l'ordre, est la loi d'un travail mécanique rigoureusement exécutée. Celte vérité
e enclos, ou plutôt de le convertir en une sorte de ferme, dont les travaux champêtres seraient à la charge des convalescen
cents »'. Remarquons en passant, que Pinel insiste sur l'utilité du travail pour les convalescents. Esquirol exprime sur l'
u travail pour les convalescents. Esquirol exprime sur l'utilité du travail une opinion ana- logue. Il déclare qu'on ne peu
na- logue. Il déclare qu'on ne peut trop multiplier les salles de travail . « A la Salpêtricre, le mot travail retentit sans
t trop multiplier les salles de travail. « A la Salpêtricre, le mot travail retentit sans cesse à l'oreille des femmes alié
ent les unes les autres : c'est une idée dominante. En rappelant au travail les aliénés, on distrait ces malades, on arrête
pussent s'occuper. « Après l'isole- ment, disaient-ils, la loi d'un travail mécanique, d'un exer- cice pris en plein air es
rès avoir exprimé son opinion concernant l'action bienfaisante du travail au point de vue thérapeutique, exprime ses regret
e l'Eure, 1839. LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES. 445 lisan du travail , c'est la visite qu'il a faite plusieurs années
forme de fermes. Il recommande les occupations en plein air, les travaux agricoles : « Le travail, dit-il, entretient la s
commande les occupations en plein air, les travaux agricoles : « Le travail , dit-il, entretient la santé, favorise le somme
rn, qui enseigna la psychiatrie jusqu'en 1818 à Berlin, prescrit le travail comme un agent thérapeutique actif chez les mal
s malades curables et un moyen palliatif chez les incurables : « Le travail , dit-il, doit être assidu, nécessiter toute l'a
nt d'excellents résultats en employant les malades de Bicêlre aux travaux agricoles sur les champs voisins ; en 1832, la
né sent qu'il se rapproche des habitudes ordi- naires de la vie; ce travail régulier, s'accomplissant au grand air pur des
abandonne. » Toutefois, la campagne énergique menée en faveur du travail , si elle a abouti à la colonisation des aliénés c
indiquions plus haut, a dépassé le but. On en arriva à voir dans le travail , une véritable panacée, un remède héroïque de l
n de traitement, fut sacrifié à l'aliéné travailleur. « La loi d'un travail mécanique », d'un exercice en plein air, était
considérée comme la condition la plus favorable de la guérison; le travail , comme la base même du traitement de l'aliénati
t de l'aliénation mentale. C'est ainsi que pour le D'Lapointe, le « travail dans la majo- rité des cas est presque l'unique
ais des aliénés que l'asile renferme. Au résumé, c'est donc dans le travail que se confond la thérapeutique par excel- lenc
-. » On en est même arrivé, dans certains asiles, à considérer le travail moins comme un moyen de traitement que comme '
ice des aliénés ont dû rappeler aux chefs d'établissements que le travail ne devait pas être envisagé comme un moyen d'aug-
n moyen de traitement et de distraction '. Résumons l'histoire du travail considéré comme agent thérapeutique dans les ma
ychoses aiguës que la nature de leur affection rendait inaptes au travail . On en arriva ainsi à oublier que l'asile d'alién
tre entravée; et, précisément, certains agents hygiéniques comme le travail si précieux quand il s'agit d'aliénés chronique
ique reçoit un éclatant témoignage du nombre et de l'importance des travaux qu'il a suscités, ainsi que de la concordance d
il n'est pas impossible, en effet, que le dogme de la nécessité du travail dans le traitement des maladies mentales, et auss
it la pensée d'opposer la méthode du repos au lit à la méthode du travail ; chacune d'elle a son mérite, ses indications, et
tats; l'une complète l'autre. Loin d'être en effet l'antagoniste du travail considéré comme agent thérapeutique, l'alitemen
cisément chez les sujets qui ne peuvent bénéficier des bienfaits du travail . Pour résumer en une formule simple notre maniè
ous dirons que le repos au lit est pour les malades aigus ce que le travail 1 P. Sérieux et F. Farnarier. Le traitement des
e a gagné du terrain et qu'elle a suscité un nombre considérable de travaux . D'Alle- magne le traitement par le lit se répa
chenburâ 1 Lubeck en 1874. A cette période se rattache également un travail de Rabow0. En '1871, à l'asile de Brème, les ce
à l'opinion de ceux qui, à l'exemple de Koeppe, voyaient dans le travail l'agent curatif le plus puissant, il montre que l
a mesure hygiénique la plus importante pour amener la guérison. Les travaux ayant trait à l'alite- ment se multiplient. Cit
TIQUE. Enfin, dans ces dernières années ont paru en Allemagne les travaux de Hebold', de Roller de lilinkc3, de Paetz v,
elques services d'aliénés, il a fait l'objet d'un certain nombre de travaux . Citons les pages que lui ont consacrées Roubin
té. REVUE CRITIQUE. SUR LE SENS MUSCULAIRE A PROPOS DE QUELQUES TRAVAUX RÉCENTS; - Par llewu VERGER, Chef de clinique
action du muscle, et nous retrouvons cette même conception dans les travaux de Landry, 1852. Les auteurs qui suivirent ne t
es. Notre intention n'est pas de faire ici un exposé complet de ces travaux , désirant nous limiter à l'étude critique de qu
Ces questions ont été étudiées presque simultanément dans plusieurs travaux récents qu'il est intéressant de comparer. Ce s
la sensation de position et de direction. Et ici- se place dans le travail de Claparède une discussion des plus intéressan
d'un élément central du sens musculaire. Par de nombreux côtés son travail réalise un progrès sensible. Le rôle des sensat
otant simplement. C'est à M. le Dr Sérieux que l'on doit le premier travail intéressant sur ces faits', travail publié à l'
érieux que l'on doit le premier travail intéressant sur ces faits', travail publié à l'occasion du cas d'une malade paralyt
gauche. Il s'agit donc d'une sénile affaiblie par l'âge et les durs travaux , ayant subi un choc du fait d'une chute, tout en
haussé de cuir léger ou de pantouffles. La maladie a débuté avec ce travail pénible, debout, exigeant un effort considérabl
re pour s'aper- cevoir que les uns sont paresseux par incapacité de travail , que d'autres le sont par neurasthénie, que la
ne homme de vingt-six ans, en entrant chez lui après une journée de travail dans les champs, s'était senti malade, était mo
la symptologie des signes physi- ques des -, par Bemstein, 339. Travail et alitement dans le traitement des -, par Séri
par Long, 399. Sens VUSCI,L : IInC. Sur le - à propos de quelques travaux récents, par Verger, 461. 538 TABLE DES MAN
53 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
coT. Œuv. compl. t. vu. Malad. des Vieillards. pure en présence des travaux de l'esprit moderne, armé de tous les moyens d'in
nents; je rappellerais que, même dans l'exercice normal de la vie, le travail de nos organes ne s'accomplit pas sans qu'il y ai
éments anafo-miques, l'entretien de la vie est lié à l'existence d'un travail moléculaire incessant qui s'exprime par des phéno
— Gesehkhte rter Medicin, p. 332. Stuttgard, 1859. cette fièvre de travail , qui ne paraît pas encore près de s'éteindre, a e
e on est aujourd'hui trop disposé peut-être à ne tenir compte que des travaux allemands, nos voisins, grisés par le succès, sem
vue. Si l'on en excepte le petit traité de Floyer, publié en 1724; le travail plus récent de Welsted ; celui de Fischer enfin
la pathologie ordinaire sont-elles bien rarement si-gnalées dans ses travaux , bien qu'il ait passé la plus grande parti de son
es à une étude approfondie par l'éminent pro-fesseur (1). Deux de ces travaux surtout sont restés juste-ment célèbres. Le premi
équente à une période avancée de la vie, loin d'être le résultat d'un travail inflammatoire, serait une destruction sénile, off
dire, et nous aurons d'ailleurs plus d'une occasion de mentionner ces travaux dans le cours de nos leçons. Nous terminerons ce
de leurs éléments villeux et glandulaires (3). En quoi consiste ce travail d'atrophie qui porte ainsi son action sur l'ensem
reins, t. I, p. 3. 2. Il est à peine nécessaire de rappeler ici le travail justement célèbre de Bizot, inséré dans le 1er vo
. Cependant la trame conjonctive ne participe pas au même de-gré à ce travail de destruction lente ; on la voit même prédo-mine
dominaux. Mais à un degré plus avancé, l'atrophie s'accompagne d'un travail de dégénération, c'est-à-dire que les éléments su
sur laquelle notre grand naturaliste Dauben-Lon (I) a insisté dans un travail intéressant, mais peu connu, ne dépende en grande
; mais il faut reconnaître qu'aujour-d'hui, le témoignage unanime des travaux modernes s'est prononcé en faveur de l'opinion ac
s le seul auteur qui ait répondu à cet appel. Mais, de nos jours, les travaux de Gavarret (1839), de Bouillaud, de Monneret et
des recherches importantes ont été faites par Sidney Ringer, dont les travaux sont consignés dans l'ouvrage d'Aitken. nous pe
ulement dans les cas où les 1. Consultez à cet égard le icmarquable travail de Traube : Ueber Krisen, nncl Kritische Tage. Be
ce ingrate, a été négligée ; et malgré toute l'importance de quelques travaux récents, il nous reste, à cet égard, bien des pro
e celui de la Salpêtrière qui seuls peuvent entreprendre un semblable travail ; il est indispensable, en effet, pour remplir ce
Nous commencerons cette étude, par l'histoire de la goutte. Grâce aux travaux récents dont elle a été l'objet cette affection n
révulsif sur un point envahi par l'inflammation goutteuse ; car tout travail phlegmasique a pour effet de faire disparaître l'
tendu ou s'il est au contraire en plus faible quantité, ainsi que les travaux modernes semblent le démon-trer. Pour bien réso
elque ressem-blance avec la goutte, si l'on réfléchit que chez eux le travail de désassimilation, ainsi que l'ont prouvé Davy e
'expérimentation physiologique. C'est ce qui résulte d'un intéressant travail publié à Tubingue, par M. Zalesky. Cet observat
érables de matière crayeuse. Lorsque cette élimination se fait sans travail phlegmasique, les concrétions crétacées se trouve
posée presque en entier d'urate de soude. Il résulte parfois, de ce travail phlegmasique, des ulcères difficiles à guérir. L'
soit général. Garrod a même constaté que, lorsqu'on veut réprimer ce travail par des applications astringentes, on voit quelqu
le siège d'affections permanentes. On sait du reste que, d'après les travaux physiologiques modernes, le foie et la rate sont
ent attribués à la goutte ; aujourd'hui, le rhumatisme, en raison des travaux modernes, a conquis la priorité. Toutefois la gou
s chez les diabé-tiques ; et M. Marchai (de Calvi),sans connaître les travaux de ses prédécesseurs, a eu le mérite d'appeler l'
e l'acide urique. D'un autre côté, nous savons aujourd'hui, grâce aux travaux de Bartels (1), que des urines qui ont conservé u
éniques : Climats ; — Alimentation excessive, défaut d'exercice ; — Travaux intellectuels. — Excès vénériens. — Boissons l'er
, ils se sont certainement approprié une partie considérable de leurs travaux . que ce mouvement rétrograde de la goutte paraî
rait nier non plus l'influence exercée par les causes cérébrales. Les travaux intellectuels, les émotions morales, une grande c
se.' Cette opération se fait pendant la marée basse, et les heures de travail tombent, par conséquent, tantôt le jour, tantôt l
ssion de la sueur, sont dans le même cas ; 4° II en est de même des travaux intellectuels immodérés, sur lesquels nous avons
ortement torréfiée, elle contient peu de glycose au moment même où le travail commence, et ne sera jamais, par conséquent, auss
e Yacide lïthique (acide urique). — Influence de cette donnée sur les travaux mo-dernes. — Recherches de Garrod. — Il démontre
à chaque accès subséquent. Malgré tout l'intérêt que présentent les travaux que nous venons de signaler, l'époque des connais
ns-forment en géline ; cette substance se dédouble à son tour, par un travail de désassimilation, en acide urique et en urates.
s efforts de M. Garrod. Nous allons vous exposer les résultats de ses travaux , mais en vous faisant observer qu'il ne s'agit pl
les dépôts qui se forment extérieu-rement ne sont point précédés d'un travail inflammatoire, et s'ils déterminent quelquefois d
ile d'expliquer, ce sont ces métastases soudaines qui transportent le travail morbide d'un point sur un autre : du gros orteil
lésions locales. Unité de cette affection. — Indication des premiers travaux qui se rapportent à ce sujet. Caractères fondam
stinctes : c'est là le seul moyen d'éviter toute con-fusion. Après ce travail préliminaire, nous nous efforcerons de mettre en
pas remonter bien loin dans l'histoire, pour ren-contrer les premiers travaux qui se rapportent à notre sujet. Les médecins d
que n'a été reconnu comme une espèce morbide à part, que depuis les travaux de Sydenham et de Musgrave et les premières monog
peu de chose à désirer ; cepen-dant, une mention spéciale est due aux travaux de MM. De-ville et Broca, sur Y arthrite sèche (1
avons faites nous-meme que nous allons vous donner une description du travail morbide qui caracté-rise le rhumatisme articulair
s de la forme aiguë ; elles correspondent à une phase plus avancée du travail morbide. L'analogie que nous signalons ne frappe
frappante encore; elles paraissent, dans certains cas, participer au travail phlegmasique. D'après Gurlt (1), la moelle des ex
(Grossissement de 200 diamètres.) M. Lancereaux, auquel on doit un travail approfondi sur cette matière, s'est attaché à déc
mental du cartilage peuvent se présenter çà et là sous l'influence du travail inflammatoire qui, à un moment donné, s'empare de
ions ambiantes, qui ne parti-cipent point à la chaleur qui résulte du travail pathologique. S0 Durée. — D'après Budd, chacune
u'elles laissent si sou-vent derrière elles sont la conséquence de ce travail inflam-matoire. On sait que, dans près de la moit
En quoi consiste donc le processus pathologique ? A l'état aigu, le travail morbide débute par la tuméfaction du point malade
t du dépôt consé-cutif d'une couche fibrineuse. Mais pendant que ce travail s'accomplit, les vaisseaux se développent. Dans l
égation, 1866, p. 28. trentà la période chronique de la maladie. Le travail phleg-masique se propage en changeant de nature ;
rendus de la Société de Biologie, 3e série, 1862. *? III, p. 269. Ge travail est reproduit plus loin dans ce volume. Mais no
hent point au vice rhumatismal. Gonsidter, à cet égard, l'intéressant travail de M. le Dr Mougeot. (Thèses de Paris, 1867.) m
res à cet égard. Le début a eu lieu par : sont la conséquence de ce travail morbide. Elles sont surtout prononcées chez les j
La grossesse est aussi l'une des causes de cette affection. Dans un travail qu'il a bien voulu me communiquer, mon collègue M
de malades, éviter les tristesses, les préoccupations et les excès de travail intellectuel. je l'ai déjà dit, à propos de la
oduit la fièvre, pourra, si on l'emploie à une époque plus avancée du travail de décomposition, déterminer l'effet in-verse, le
d'observations cliniques et nécroscopiques, qui font la base de notre travail Les femmes qui ont été l'objet de nos études pr
sent. Nous aurons à re-venir sur ce sujet dans plusieurs points de ce travail , et, en particulier, au moment où nous chercheron
luleuses dans un sens ou dans l'autre, et président par conséquent au travail des déviations articulaires. Pendant que les join
au plus d'un peu de tuméfaction et de rougeur. Elles continuent leurs travaux , souvent pénibles, malgré l'apparition successive
l'influence des sexes : c'était de ré-péter h l'hospice de Bicêtre le travail que nous avons entre-pris à la Salpêtriôre ; mais
l'observation d'un de ces malades ; elle se trouve à la fin de notre travail . Terminons ce chapitre , en faisant remarquer q
té pratiquées les autopsies qui font la base de cette partie de notre travail sont au nom-bre de six; elles ont succombé à des
es analogues, par plusieurs médecins étrangers. Dans son remar-quable travail sur les altérations du sang et de l'urine dans la
d'observer, concordent parfaite-ment avec celles qui sont annexées au travail du docteur Budd. Pendant longtemps, nous avons
nt être rapportés à l'urate de soude. Dans le cas qui fait l'objet du travail du docteur Bran-son (lue. cit.), les dépôts craye
moins vive qui s'empare des parties avoisinantes. L'intervention d'un travail inflammatoire n'est cependant ici nullement néces
e. Un jour, enfin, elle tomba sans que le malade s'en aperçût. Or, ce travail d'élimination spontanée s'est effectué sans que
out prononcées aux mains, et depuis long-temps elles empêchaient tout travail . Les deux, mains forte-ment maintenues en pronati
ons des gout-teux. En 1843, le docteur Garrod, dans son remarquable travail sur les altérations du sang et de l'urine, dans l
Celenkknorpel. in Zeitsch, fur rationnel medium, t. III, p. 175. Le travail le plus complet, publié sur ce point d'anatomie p
ce-t elle une influence sur le développement de la goutte ? Dans un travail lu en 1854 devant la Société médico-chi-rurgicale
pération ne peut se faire que pendant la marée basse, » les heures de travail sont réglées par cette circonstance, et tombent,
cette circonstance, et tombent, tantôt » le jour, tantôt la nuit. Ce travail expose les ouvriers à toutes les intempé-» ries e
ion. C'est là un fait très intéressant et qui semble démontrer que le travail » musculaire, quelque intense qu'il soit, ne suff
— Sur la pathologie historique de la goutte, consulter un intéressant travail du docteur A. Corradi (della odierna diminu-zione
ien le rhumatisme noueux. Les observations sur lesquelles se fonde le travail de Landré-Beauvais ont toutes été recueillies à l
s, 1823. t. I, p. 120). Sujet à la goutte, et auteur d'un intéressant travail sur cette maladie, M. le docteur Galtier-Boissièr
tout prononcées aux mains, et depuis longtemps elles empêchaient tout travail . Les deux mains for-tement maintenues en pronatio
tisme noueux. Dans cette dernière maladie, les déformations (1). Ce travail a été reproduit dans ce volume (p. 363 à 389).
s dures de l'oreille externe se détachent tôt ou tard, par suite d'un travail d'élimination qui s'effectue d'ailleurs souvent s
de la Société de biologie, 3e séi\, t. II, 1861, p. 47. (p. 88). —Ce travail figure dans ce volume (p. 419 à 425). Noyaux d'
e absolument pa-thognomonique de la goutte. Il résulte, en effet, des travaux de M. Garrod lui-même (Loc. cit., Med.-chir. Iran
asche, Hamernjk, Hirschprung et quelques autres observateurs dont les travaux se trouvent résumés dans la Gazette hebdomadaire
de urique. D'un autre côté, il est aussi parfaitement établi, par les travaux récents de Bartels, que des urines qui ont con-se
g, mais bien sur la sérosité obtenue par l'application de vé- 1. Ce travail se trouve à la page 390 du présent volume. sica
t degré, par l'expérimentation. C'est ce qui résulte d'un remarquable travail publié récemment à Tubingue par le docteur Zalesk
colchique; plusieurs faits qu'on trouve consignés dans un intéressant travail du docteur Potton, de Lyon (De la goutte, etc., p
angers de l'application du froid. — Plusieurs faits rapportés dans un travail du docteur F. J. Lynch (On the metástasis of dise
encore, à certains égards, qu'on trouve rapportées dans l'intéressant travail du docteur Lynch (loc. cit., obs. VII et VIII). L
es de folie goutteuse ont été rapportés par le docteur Lynch, dans le travail déjà cité (obs. IV et V). Au point de vue du diag
toute vraisemblance, à la goutte, sont consignés dans un intéressant travail de M. J. Begbie (Contribu-tions to practical méde
tism, Rheumatic gout, Sciatica. 3e edit. London, 1890. En outre des travaux cités par M. Garrod dans ce chapitre, consultez s
rite sèche. Ces études ont été complétées, à certains égards, par les travaux de plu-sieurs médecins qui, à l'examen des lésion
nu, ont ajouté le contrôle des observations microscopiques. Parmi les travaux de ce genre nous citerons ceux de Redfern (Edimb,
thro-rhumatisme aigu, des altérations qui y révèlent l'existence d'un travail phlegmasique : MM. Olïivier et Ranvier (Compt. re
hygiéniques : Climats. — Alimentation excessive, défaut d'exercice. — Travaux intellectuels. — Excès vénériens. — Boissons ferm
l'acide lithique (acide urique). — Influence de cette donnée sur les travaux modernes. — Recherches de Garrod. — Il démontre q
sions locales. —Unité de cette affection. — Indication des premiers travaux qui se rapportent à ce sujet. Caractères fondamen
auses excitantes, 146 ; — indigestions, 146; — froid hu-mide, 147 ; — travaux intellectuels immodérés, 147 ; — traumatismes, 14
54 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
le remède au mal qui nous dévore est trouvé nous a soutenus dans nos travaux , et nous fait entreprendre aujourd’hui une public
uvres que nous proclamons viendront nous apporter les récits de leurs travaux ; nous les publierons pour en encourager d’autres
ommune A tous, et que qui veut faire du bien le peut sans beaucoup de travail . Le magnétisme, comme agent physique,' doit d’a
s tâcherons enfin que notre journal soit le livre où s’inscriront les travaux de ceux qui propagent le magnétisme, et qu’il ser
us formiez des vœux pour le succès de votre maître et encouragiez ses travaux par des marques nombreuses de votre sympathie.
les traités sur le magnétisme. Nous donnons à cette partie de notre travail le titre de Manuel du magnétiseur. Il est justifi
du Magnétisme a modifié nos idées à ce sujet. Nulle part ailleurs ce travail ne pouvait être mieux placé. MANUEL DU MAGNÉTIS
ns le même cas : il peut constater l’augmentation ou la diminution du travail intérieur. Bien plus, j’ai vu apparaître presque
enne, une solution de continuité, il peut constater en cet endroit un travail singulier; il y sent quelque chose qui lui rappel
mouvement et la vie, car quelquefois il est môme insuffisant pour ce travail de tous les instants. Lorsque vous êtes parvenu
iaire, et, si la maladie est curable, il prend alors la direction des travaux . Il attend avec impatience l’heure à laquelle vou
us qu’ailleurs, savoir bien distinguer le produit de la maladie et du travail naturel qui se fait dans l’organisation de celui
, appel inutile, car ce n’est pas là qu'il fallait frapper. Tant de travaux pourtant ne sont point perdus. Nous vivons à une
nce se manifeste. Serait-il raisonnable aujourd’hui de quitter tout travail ? Non. Il faut, au contraire, multiplier les ouvri
ts bourbeux peut être rompue. 11 faut la consolider en ajoutant à vos travaux . Nous vous dirons bientôt ce qu’il vous reste à f
ni la chaleur qui pourra se manifester; elle n’est que le résultat du travail qui se fait par vos efforts et de l’augmentation
ci espérer être compris que d’un très-petit nombre d’hommes. C’est un travail curieux que de semblables magnétisations ; il fau
ntinuez. Vous ne devez vous arrêter que dans un seul cas, celui où le travail médicateur est trop considérable, où la fièvre se
irus vénérien et do l’administration de préparations mercurielles. Le travail était évident : des plaques cuivrées survenaient
nsupportable avant la magnétisation, n’incommodait plus le malade. Un travail singulier avait lieu dans les os, qui avaient aug
t nombre. On pouvait toujours suivre la marche et se rendre compte du travail critique qui avait lieu. La nature, renforcée, ai
quer le sommeil lucide. Voici deux cas où vous pourrez constater le travail critique dont je vous parle; ils contiennent auss
xisté si l'état de somnambulisme eût été rompu immédiatement après le travail d’exploration. Cet état de calme, que je me gar
encore deux ou trois fois, et cet homme fut en état de reprendre ses travaux ordinaires. Dans ce cas, où il y a augmentation d
à l’édification de la science magnétique par la publication de leurs travaux et de leurs observations,je vous adresse dans ce
y avoir un artiste pour tracer le plan et un ouvrier qui exécutât les travaux , en fournissant les matériaux nécessaires. L un,
ossible. En voilà assez pour les curieux, reprenons le cours de nos travaux . L’agent magnetioue, ayant pénétré dans un CO
vation prouve que cela suffit; mais en laissant moins d'intervalle le travail médicateur est plus sensible et la guérison plus
nt naturellement est presque toujours certain, et ce qui résulte d'un travail de l’esprit no présente plus la même garantie. Je
de ces procédés. (1) Nous publierons désormais le comple-rendu des travaux des sociétés savantes qui ont rapport au magnétis
mbrai. Cette société, composée d’hommes actils et dévoués, publie ses travaux dans un recueil intitulé : Archives de la Société
es se répétaient dans la partie postérieure dos jambes. Le jour, tout travail lui est impossible; la nuit, tout sommeil interdi
eures, se coucha et dormit toute la nuit. Lundi matin , il reprit ses travaux habituels, ne conservant de ses douleurs que le s
u’un petit nombre de questions et donner le temps d’y répondre : tout travail forcé est mauvais. Il faudrait aussi que, lorsq
sont composés une sorte de pharmacopée à eux, et, pour s'éviter tout travail , ils vous ordonnent, à vous qu’ils voient pour la
tôt sert à vous encourager. Ce que vous me faites est bony je vois le travail qui s’opère en moi ; continuez, je guérirai; tell
leur effet s’ils n’étaient secondés, soutenus par une augmentation du travail médicateur. Il est probable même que l’on arriver
aisd’ou vient ce feu qui me brûle? D’où me vient cette ardeur que nul travail ne peut éteindre? Où ai-je puisé cette force qui
ur mission. J’ai aidé autant que je l’ai pu à l’accomplissement de ce travail , et nul ne peut se flatter aujourd’hui d’avoir fa
durée de cette vie ? Ne sais je pas que le repos l’abrége plus que le travail ? Ne suis-je pas convaincu que la fortune corrompt
ut du livre, mais un compatriote de l’auteur, M. Meade, ayant fait ce travail , nous allons en donner la traduction. « A la pa
e cette étrange découverte. En arrivant, je trouve à qui parler : mes travaux , ma pratique aussi m’ont été profitables; mon nom
e récompense, et le plus souvent on l’oublie tout en jouissant de son travail . Mais dans l’un et l’autre cas on ne renvoie ce n
a Tribune lyonnaise du 5 juin annonce que désormais elle publiera les travaux des membres actifs de l'Athénée électromagnétique
il garda le lit six mois consécutifs, au bout desquels il reprit ses travaux , quoique toujours souffrant. En 1842, il fut repr
el du Magnétiseur, « qui a semblé si bien approprié à la nature des « travaux de la société que notre collègue s’est cru obligé
bien recevoir mes remerciements. Je les ai souvent dérangés de leurs travaux habituels; ce sacrifice leur était, il est vrai,
mpter par jours, mais par mois. Bien se garder d’user, par de forts travaux ou applications de l'esprit, les forces déposées
des accès de colère ou de violentes contrariétés; il arrête ainsi le travail de la nature, lorsqu’il no détruit pas ce qui u d
e, le zèle du magnétiseur se ralentit; cependant c'est souvent par un travail sourd, moléculaire, que la nature procède; la vie
ous donner des renseignements sur leurs statuts et la nature de leurs travaux . La plus ancienne, celle de Cambrai, dont plusieu
groupe des partisans du magnétisme, on s’aperçoit avec douleur que le travail qu’il y a à faire pour que la vérité règne sur le
de toutes les découvertes, les suivre dans leur marche; un semblable travail n’apprendrait rien de nouveau : on snil, et les h
tous les novateurs qui ont paru depuis que le inonde existe. Un rude travail les attend, quoiqu’ils marchent à une conquête as
ute plus. Pourquoi vous magnétiserais-je désormais? C’est pour moi un travail forcé, et au fond ces expériences me répugnent à
écroître; on voit le fait, il se produit, mais nous ne sentons pas le travail moléculaire qui se fait en nous. Cependant il est
a vie, à petit bruit, et qui disparaissent sans laisser apercevoir le travail qui s’accomplit en nous-méme. Lorsque la vitalité
uverte, et, peut rendre non-seulement visible, mais aussi activer son travail qui devient plus efficace. Nous avons assez lai
un obstacle insurmontable. Mais comment apprendre ces choses? Parle travail et en réfléchissant souvent sur les causes qui vo
doigts en pointe suffisamment de temps sur chaque partie, examiner le travail qui s’y fait, travail qu’il faut deviner parfois,
samment de temps sur chaque partie, examiner le travail qui s’y fait, travail qu’il faut deviner parfois, car les sens apprenne
ar des faits brillants et quelques aperçus; mais ils ont abandonné le travail commencé, comme des gens sans cou- rage qui se
r, car ceux qui parmi vous se distinguent doivent leur supériorité au travail et à la réflexion. Je voudrais que tous les magné
e peut démentir, car l’effet que j’annonce est le résultat forcé d’un travail organique déterminé par l’agent magnétique agissa
IONS SCROFIILF.USKS. Ici le magnétisme montre rarement aux yeux son travail ; il faut le deviner sur de petits signes à peine
int la nature par des purgatifs, car tout se resserrerait bientôt. Le travail critique se fait bien seul. Des évacuations alvin
sensible ; ne craignez rien cependant; elle n’est que le résultat du travail qui s’opère dans les tissus , travail nécessaire
; elle n’est que le résultat du travail qui s’opère dans les tissus , travail nécessaire à l’expulsion des fluides qui obstruai
estomac et le ventre que VOUS devez agir, car c’est là que se fait le travail , qu’aura lieu la crise. Quels que soient les engo
iminua sensiblement alors ; seulement une légère chaleur annonçait le travail critique. Une amélioration sensible se lit de jou
rument, ç’a été pour moi l'objet d'une étude suivie, car je voyais le travail qui se faisait intérieurement, et toujours je l’a
ur nous évident. Quel esl l’homme, par exemple, qui, se livrant à des travaux d’imagination, n’a pus trouvé, parfois el tout d’
n magnétisme. Mais quels tâtonne* menis! du Lulle à Lavoisier, que de travaux inutiles! quelle lenteur en tout ! De IV;).c'xrpo
, aidé de plusieurs ouvriers, il mel la main à l’œuvre et exécute les travaux nécessaires pour amener l’eau au point désiré. Il
à la santé comme à la maladie. Il est temps cette nuit de cesser tout travail . Remettons au lendemain... Mais quel bruit sc fai
que lorsque l’esprit humain, qu’il devait compléter, mûri par le long travail des générations, serait assez fort pour cueillir
'esl mis it l'œuvre, el l’on esl déjà parvenu à (|iiarnnte pieds. Les travaux continuent. (Courrier Français.) Il esl à crain
La nouvelle liste des souscriptions au buste de Mesmer, l’analyse des travaux hebdomadaires des sociétés du Mesmérisme el pliil
ises déjà passées, et vice versa. Des heures s’écoulent ainsi dans un travail inutile et très-fatigant ; il faut alors changer
tez ceci. Par quel mystère s’opère la réunion des cœurs? On sent le travail commencer en nous ; un regard, une main qui touch
serait bien temps de créer une organisation propre à régulariser les travaux d’une foule de praticiens, en général moins intér
orrespondant de la Société et président de celle de Cambrai. Voici ce travail en entier, il a pour titre : APPLICATION DU MAG
e, el, le nouveau magnétiseur ne suivant pas la marche du premier, le travail critique qui s’opérait dans les organes sera cont
euse attaques de nerfs qui l’empêchaient de sortir et de se livrer au travail . Tous les remèdes de la médecine ayant été sans
lle tomba en crise, cl je ne pus la calmer qu’après une demi-heure de travail . A la séance suivante j’employai les mômes proc
eil; au moment où il se croyait, dans un rêve, livré de nouveau à son travail , cl désespéré de composer avec si peu de verve et
un fluide subtil répandu dans l’air, idée que j’ai déjà émise dans un travail sur l'influence de la musique inséré dans la Fran
l’action magnétique qui les avait envahies. Séance du 0 octobre. — Travaux administratifs. Vote de la réimpression des Statu
rue Ncuvo-Sainl-Augustin. Ce changement a pour molif la reprise des travaux d’en-scignement deM. le baron Du Potel, qui auron
le principe on l’ouvrier principal ne saura plus comment diriger les travaux . C’est le médecin qui modifie chaque jour son tra
consacré à l’enseignement, une récompense honnête el légitime à votre travail . DIFFICULTÉS QUE PRÉSENTENT LES EXPÉRIENCES PUB
ausé, à moi, bien des perplexités. La voici : Ce n’est jamais sans un travail critiquo qu’une guérison s’opère ; mais ce travai
est jamais sans un travail critiquo qu’une guérison s’opère ; mais ce travail , vous, seul l’appréciez, le reconnaissez. Pour ce
l l’appréciez, le reconnaissez. Pour ceux qui entourent le malade, ce travail n’est autre chose qu’une aggravation de la maladi
sme produit des crises heureuses, sachez les discerner, distinguer du travail destructeur qui a lieu dans toute maladie grave.
st souvent un besoin importun. La force qui vous anime vous incite au travail , et la pensée vous tient malgré vous en éveil. He
55 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nous renverrons le lecteur désireux de les consulter à l'excellent travail de notre interne le Dr P. Caudron 1. Qu'il nous
n au délire confirmé. C'est cette évolution qui fera le sujet de ce travail , dans lequel je me bornerai à exposer les déduc
emps qu'elles s'accroissent d'éléments nouveaux. C'est une sorte de travail de pénétration lente aboutissant à l'appau- vri
1 srne. t. XV. 4 50 THÉRAPEUTIQUE. démontré qu'en lui imposant un travail régulier et pro- gressif, en le soumettant à ce
Mais ce développement porte alors exclusivement sur la quantité de travail possible, et ces mêmes muscles ne seront pas po
rganes qu'elle adapte à des conditions spéciales, en sorte que leur travail utile se trouve, aux points de vue quantitatif
-eux-mêmes, de reconstituer la fonction compro- mise, au moyen d'un travail d'éducation nouvelle de rééducation c'est que t
partiellement leurs mouvements ; les médecins ont souvent aidé ce travail de réparation en provoquant les mouvements volo
he et nous-même, l'ont suivi dans la voie indiquée, publiant divers travaux sur ce sujet. Depuis lors, l'idée de rééducatio
or- ' maux n'ont été obtenus chez l'enfant ou l'adulte que par un travail d'éducation spéciale des éléments nerveux qui com
cérébraux, dont nous commençons à entrevoir le rôle. Or, ce long travail d'analyse des diverses anomalies des mouvements
men attentif aurait dû en écarter absolument l'idée. Mais ce même travail d'analyse n'est pas moins indispen- sable pour
par lequel un organe se modifie à mesure qu'il doit accomplir un travail plus considérable : il en est ainsi des parois ca
compensation ne peut rétablir que la quantité et non la qualité du travail effectué. ' La possibilité des suppléances orga
s deux opinions contre lesquelles nous nous élevions au début de ce travail , savoir que la rééducation consiste en une vagu
nt déjà intéressantes, et elles ont marqué le point de départ des travaux actuels. , On trouve de maints côtés des origin
convient de citer à ce propos Goldscheider et Jacob, en France les travaux de l'école de la Salpêtrière inspirés par M. le
ond ; après les leçons de M. Raymond, M. Faure fait paraître divers travaux sur la 68 THÉRAPEUTIQUE. rééducation, puis vi
ent. Cette question 70 O THÉRAPEUTIQUE. fera en effet l'objet de - travaux ultérieurs, mais rappelons du moins ou signalon
spensable encore de procéder pour chaque malade en particulier à ce travail d'analyse des éléments de son incoordination et
d plan, mais l'effort considérable que représente pour le malade le travail de rééducation pourrait même alors excéder ses
e habitude; ce n'est pas chose indifférente que de soumettre à un travail d'entraînement physique un tabétique, c'est-à-
ance pratique d'un pareil progrès. Si, dans la seconde partie de ce travail , nous nous sommes bornés à l'étude de la réédu-
pas sans un peu d'étonnement que nous avons lu le compte rendu d'un travail de MM. Charrin, Delamarre et Moussu, sur la tra
d'être plutôt banales. Toutefois, les savants distingués dont les travaux nous ont si fort intrigué ont poussé plus loin
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. V. L'influence sur le travail volontaire d'un muscle de l'activité d'autres m
onduites selon la méthode déjà exposée par l'auteur, portant sur le travail du médius, et enre- gistrées à l'aide de l'ergo
gue du médius et produisent une augmentation au moins momentanée du travail . 2° En général, plus l'exaltation du travail a
au moins momentanée du travail. 2° En général, plus l'exaltation du travail a été faible au début, plus la dépression est r
el des fibres pupillairescentri- pètes (Bernheimer). Discussion des travaux de Bernheimer, Edin- ger et Westphal, Bach et W
s plusieurs mois ; le malheureux est incapable de se livrer à aucun travail et il est dans la misère. 11 présente des stigm
ates manifestes d'hystérie. Je l'hypnotise et il peut reprendre son travail après la deuxième séance. Quelques mois après,
rsonnelle du caractère, mais d'une étude historique et critique des travaux consacrés à cette question d'une déconcertante
II. Oreille et hystérie ; par FLEURY-CuAVANNE. (Th. Lyon 1901. Le travail très important de M. Chavanne intéresse à la fois
es et celle de 1'li's [éro- trauma- tisme de l'oreille terminent ce travail sur les rapports de l'oreille et de l'hystérie.
eurs années, dans la Revue neurologique, de nombreuses analyses des travaux russes con- cernant la neurologie. Enfin il a p
fut décrit pour la première fois par 13aill,argerl en 1857. Dans ce travail , paru dans la Gazette des Hôpitaux de 1870, l'a
Paris, 18SO. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FOLIES PAR CONTAGION. 131 travaux parurent, soit en .France soit à l'étranger, sur
re des folies par contagion. A partir de 1892, parurent de nombreux travaux sur la contagion mentale morbide et sur les for
entale fut alors acceptée, mais pour ce seul délire. Plus tard, les travaux de Legrand du Saulle, Nedhans, Savage, prouvère
la mère, et aussi des soucis que lui donne son fils condamné aux travaux forcés, mais qu'elle dit innocent. Les phénomèn
nt de s'occuper pendant deux jours. Puis peu à peu elle reprend son travail , les hallucina- tions deviennent de plus en plu
écrite par nlorel, mais surtout bien définie de nos jours grâce aux travaux de M. Magnan et de son école, se traduit au deh
nnée la coïncidence fréquente de ces divers tableaux cliniques. ' Travail fait dans le Service de M. le D, )1.GNAN(,%Sile c
n toute hâte lui prodigue les soins et la sauve. Elle reprend son travail ; mais il y a deux mois, l'idée de suicide germe
e idée nette des caractères généraux indiqués au commencement de ce travail . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 177 Bref, comm
a paralysie bulbaire de Duchenne. I. L'auteur fait remarquer que ce travail constitue le complé- ment de celui qu'il a fait
e des animaux auxquels on a injecté du sang de ces malades (Ce.ni). Travail complet en préparation. P. KERAVAL. X. Observ
Z.WAiNSCATEiN.(06o : ? ? psichiatrii, V, 1900.) Etude critique du travail de M. Motschoutkowsky intitulé : Recherches cli
: 1° les phobies; 2° la psychose du doute ou de l'incer- titude. Ce travail est accompagné de 19 observations que nous ne p
YLE M'INTRR. (The Jour- nal of dlentul Science, janvier 1901.) Ce travail est un commentaire ou une discussion des mémoires
ous occupe, mais dont nous devons réserver l'élude. Dans un autre travail 1, nous avons montré que la neuras- thénie post
onet. r\eurasllténie posl-opéraloire; Piqué et Dagonet, Recueil des travaux . 2° volume, 1902, Masson. ÉTUDE DES PSYCHOSES P
seur Walther de Gothembourg (Suède) et qui se trouve à la fin de ce travail (obs. IX), il est probable qu'il s'agissait d'u
la psychose, puisque nous savons aujour- d'hui, grâce à de nombreux travaux , que cette variété de psychoses ne peut se prod
nts importants au point de vue chirurgical. Déjà en 1887, dans un travail intéressant lu à la Société médico-psychologiqu
es et rebelles, et les premiers jours de mars elle a dû cesser tout travail à cause de sa faiblesse. Elle souffrait en outre
ts foetaux et les battements cardiaques cessèrent d'être perçus. Le travail commença à la nouvelle année mais cessa après d
extra-utérine, probablement la trompe gauche, et aussi pourquoi le travail cessa à la nouvelle année. Restait maintenant
s à notre collaborateur et ami, le Dr Régis. CLINIQUE NERVEUSE. Travail du Service D'ELEC'CROTIiÉR 1PIE de la Clinique CI
la tête de l'enfant par la ceinture osseuse du bassin, au cours du travail , ou encore par la chute de l'enfant dans un acc
est à peine si on les connaît. L'observation qui fait l'objet de ce travail tendrait à faire ranger l'hérédo-syphilis parmi
les D's DE BucK et DEBRAY. (Joiti-ii. de Neurol., 1902, n° 14). Ce travail est basé sur deux cas de spondylite dont l'un se
as de névrite périphérique des membres infé- rieurs relaies dans ce travail , les réflexes rotuliens étaient exagérés et com
CROCQ. [Journal de Neurologie, 1902, n° 12). Les conclusions de ce travail peuvent se résumer de la façon suivante : la di
ons relatives à la thérapeutique prophy- lactique et à l'hygiène du travail intellectuel des gens arrivés à la période crit
.Marie, à laquelle M. Scluiller (de Vienne) a consacré récemment un travail . Ils n'ont jamais trouvé que la marche de flanc
i concerne la signification de ce réseau, ici aussi, comme dans les travaux précédents sur cette question, l'auteur pense que
bien des réformes destinées à améliorer le sort de ses malades. Ses travaux sur les questions médico-admi- nistratives ayan
ait membre titulaire, à la Société de chirurgie; il a publié divers travaux dans les Archives de neu- rologie, le Progrès m
ents des ateliers et des services généraux astreints à une durée de travail plus limi- tée. Enfin, la visite de son service
l'assistance aux valides trop âgés pour trou- 316 varia. ' ver du travail , sans l'être assez pour participer aux secours pu
ADES. - (Assistance médicale, visite des pauvres, assistance par le travail .) 1° OEuvres d'assistance matérielle et morale
s. 1° Assistance aux mutilés, notamment aux victimes d'accidents du travail bénéficiaires d'une loi récente; 2° Patronage d
mble. Elle 'se disait « une pauvre ignorante » 1, et s'occupait des travaux les plus bas. Tristesse. Elle présentait une pr
l., VII, 65. ' Supplément au-Nécrologe. 152. CLINIQUE-NERVEUSE. Travail DU SERVICE D'ÉLECTnOTHÉnA.PtE DE la Clinique CILA
t en arriver là qu'en cas de nécessité absolue, et dans son dernier travail , cet auteur arrive à cette conclusion, que l'op
tonie; par A. Pisniatsciiewskv. (06ozréni é psichialrii, V. 1900) Travail fort substantiel accompagné de six observations p
la nature morbide du cas. Il reprend l'étude de ce sujet dans un travail des plus intéressants et des plus documentés, d
s lui ont fait en l'appelant, pour la seconde fois, à diriger leurs travaux . Cette circonstance lui a permis de pré- sider
faire connaître le plus rapidement possible, au public médical, les travaux qui lui sont présentés; elle attirera ainsi les
tif du cerveau avec lésions dystrophiques très avancées. Le dernier travail est consacré à une observation très remarquable
tia maniaque). D'un autre côté, il faut, pourtant, dire que dans ce travail nous avons recueilli dans un groupe les cas, où
aintenant à l'analyse du matériel clinique, qui a servi de sujet au travail actuel; nous nous sommes servis des historiques
mmes. En examinant les malades, qui ont servi de matériel pour le travail présent, dans notre esprit surgissaient encore
autonome sous le nom de « Névrose d'Angoisse ». Voici, d'après le travail primitif de Freud et d'après mes recherches per
de Loewenfeld, de Kisch, dont j'ai résumé les observations dans mon travail sur ce sujet. Tout récemment, M. Pierre Janet,
es cas de névrose d'angoisse pure existent. Depuis que les premiers travaux attirèrent l'attentionsur elle, un cer- tain no
fet celui qui avait été un enfant vigoureux écrira plus tard : « Le travail corporel ne me con- venoit en aucune sorte, sel
e et de mon tempérament ne pouvoit pas me permettre, de soutenir un travail pénible2. » - - Le 2 novembre 1658 (vingt-quatr
nt consumé par l'austérité de sa pénitence que par son assiduité au travail »3. Avec de pareils documents, il est plus faci
l- ques neurologistes (Dupré, Féré, etc.). Il s'agit donc là d'un travail très important et très digne de retenir l'atten
its indiscutables et très originalement mis en lumière. Jusqu'aux travaux de 11. et H. Larger, la dégénérescence paraissa
est que celles-ci sont connues depuis peu de temps. » Pourtant, les travaux de Lucas, de More], de Magnan et de ses élèves
urologie, 1902 n° 11. Des recherches expérimentales exposés dans ce travail , il ressort que la notion de la rapidité de la
plicité et de la régularité qui semblaient être évidentes après les travaux de Monakow, Ann- frovicz et Déjerine. (Revue ne
ouv. Iconogr. de la .Sf ! )- ! €)-e,n° 2-1902). Dans une suite de travaux antérieurs sur le vertige, le tabes labyrinthiq
t de conscience, le fait de conscience, lui, n'est pas localisé. Le travail de M. P. Bonnier n'est pas un nouvel exposé méd
ssion : M. AIIDLLEIIASS, collaborateur de l'auteur dans son premier travail , confirme sur tous les points les opinions émises
ans celui-ci. M. George Robertson, absent, fait donner lecture d'un travail qui ne fait que résumer son travail analysé par
bsent, fait donner lecture d'un travail qui ne fait que résumer son travail analysé par nous ici-même. M. Rhodes, approuve
ciikine et Serge Sockhanoi-'f. Les auteurs se sont servis pour leur travail de 1-1 malades stationnaires de la Cli- nique p
de nos connaissances sur les localisations médullaires, d'après les travaux récents de Bech- terew, Déjerine, Edinger, Jako
ons anatomo-ctiniques, avec planches, illustrent avantageusement ce travail très conscien- cieux. p. R. VARIA. ASSISTAN
euve de cette prospérité est d'ailleurs manifestée par les nombreux travaux effectués sur les ressources de l'établisse- me
ie de nouvelle, que nous avons cru intéressant de comparer ces deux travaux , cha- cun d'eux avec les travaux antérieurs des
u intéressant de comparer ces deux travaux, cha- cun d'eux avec les travaux antérieurs des auteurs respectifs et de recherc
uestion des idées nouvelles, contradictoires ou complémentaires. Le travail de M. Babinski ayant des droits d'aînesse c'est
festations hystériques : c'est l'hypnotisme. M. Babinski, dans un travail ancien, développant l'opi- nion de son maître C
t hystérique3; Paralysie faciale hystérique \ etc.. Dans tous ces travaux on constate chez l'auteur la préoc- cupation co
éjà de l'hystérie la conception que nous venons de résumer. Dans le travail sur les « Contrac- tures organique et hystériqu
e pas propre) les réflexes tendineux sont normaux, etc. Parmi les travaux de l'auteur à cette époque il en est deux sur l
roubles hystériques sous l'influence de la suggestion), etc... Ce travail sur les associations hystéro-organiques met en
obtenues que celles-ci paraissent plus merveilleuses. Le deuxième travail est intitulé : Hypnotisme et hystérie, du rôle
ule lecture, devoir être réformé. III. M. Bernheim, dans son récent travail , donne de l'hystérique la définition suivante :
à vu les mêmes idées dans les leçons du mardi de Charcot et dans le travail précédemment cité sur « l'Association de l'hyst
la part des neurologistes... et des malades. Revenant à son récent travail , nous constatons que l'au- teur a sensiblement
à l'hystérie et n'appartenant qu'à elle. Ni, Bernheim termine son travail par ces mots : « Dans ce « court aperçu qui se
IATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 513 De l'étude comparative des travaux que nous avons passés en revue, il ressort, pou
ue nous avons passés en revue, il ressort, pour nous, que le récent travail de - àl. Bernheim ne justifie pas son titre, pu
érie, mais une atté- nuation à certaines affirmations anciennes. Le travail anté- rieur de M. Babinski nous paraît justifie
a moitié droite du corridor s'ouvrent un grand laboratoire pour les travaux microscopiques, un vaste atelier de photographie,
ut rester assis et qui se contorsionne désespérément dès qu'il a un travail devant lui. Ce malade ne présente pas des signe
, M. Minor cite les expériences des auteurs étrangers et aussi le travail du professeur Sinitzine. Il présente à l'appui le
plaint, dans ses fautes d'hygiène et son abandon du séjour et des travaux des champs, toutes causes dont les effets se sont
tlem Gebreile de ? ' Neurologie zzncl Psychiatrie. L'Annuaire des travaux et mémoires, ayant trait ci la Neurologie et à
nt relevés et même analysés, s'ils ont quelque importance, tous les travaux 858 BIBLIOGRAPHIE. portant sur les méthodes s
ais oui fait oeuvre de critique toutes les fois que l'importance du travail le comportait. ' XX. Le cerveau; par les Drs
t un immense progrès sur le passé'. 1 Voir l'analyse de l'important travail du Dr Robertson dans le n° de mai des Archives,
un asile construit spécialement en vue des climats tropi- caux. Son travail est accompagné d'un plan. R. 1L-C. V. Discours
al of Mental Science, janvier 1901.) On ne peut que signaler ici ce travail qui, bien que dépourvu de caractère scientifiqu
s et nerveuses. ltap- porteur : M. le D'' Trenel (de Saint-Yon); 2° Travaux divers, démontrations, etc. Nous avons tout l
de nous adresser, avant le le'juillet, un résumé succinct de leurs travaux , résumé qm sera immédiatement imprimé et distri
xelles. Enseignement DES SOURDS-MUETS. Voici les conclusions d'un travail publié il y a quelques mois par notre ami le Dr
Méthode nouvelle du traitement du -. illuscr. L'influence sur le travail volontaire d'unde l'activité d'autres muscles
56 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
'est efforcée d'enregistrer, de la façon la plus impartiale, tous les travaux accomplis, pendant la même période de temps, dans
tes, nous les trouvons formulés aussi clairement que possible dans le travail de M. le professeur Beaunis sur le Somnambulisme
nôtre, le lecteur s'effraie quand on lui demande, tout d'un coup, un travail intellectuel trop considérable; s'il ne voit pas
tion, que le livre est parsemé de résumes nombreux qui facilitent son travail , en réduisant ce gros volume i quelques pages où
émane. M. Baréty aurait donc consacré un peu inutilement son immense travail à l'étude d'une disposition qui pourrait n'être q
es jeunes Parisiens ? Incapables d'accomplir un long et consciencieux travail , ils excellent d'ordinaire aux choses artistiques
été médicale de l'Elysée, par le Dr Oscar Jennings. Dans le premier travail , l'auteur préconise un nouveau traitement qui aur
d'étudier l'état du coeur et du pouls au moyen du sphygmographe. Ces travaux sont exposés dans ce mémoire et ont permis a l'au
t s'adresse a l'inhibition par des agents pharmaceutiques. Ce dernier travail peut se résumer en quelques lignes: le besoin de
ans les hôpitaux, soit » dans la pratique civile ou militaire. » Le travail demande peut être une thèse pour le doctorat, mai
d'or de cent francs, est offert par M. le Dr Depierris, à l'auteur du travail le plus méritant sur la question suivante : « D
'hypnose n'entraverait point la contractilité de 1 organe, pendant le travail ? Deux observations publiées dernièrement : L'u
accouchement d'Alice D.., qui fut assistée, pendant toute la durée du travail , par M. Lion, mon interne. Alice D..., domestiq
les conditions les meilleures pour l'élude que nous voulions faire du travail dans ses diverses périodes. Depuis longtemps dé
insi ! De 2 à 3 heures, les douleurs sont régulières, efficaces; le travail marche régulièrement, la dilatation du col est co
ion du col, aurait-il donc été insuffisant, peut-être nul, pendant le travail de la dilatation périnéale ? Et cependant, la mal
moment. 2° La contractilité de l'utérus n'a point été troublée ; le travail , commencé à onze heures du soir et terminé à cinq
ADIER, médecin adjoint (i). Le malade qui fait le sujet de ce court travail est bien connu. Il a été l'objet de plusieurs étu
uvaient pour pouvoir marcher, travailler manuellement et s'occuper de travaux intellectuels. Sous l'influence de ces sensatio
has commence par exposer les lois de la polarité humaine, d'après les travaux récents de M. Ch. Dècle et du docteur Chazarain.
yen de se soustraire facilement a tout danger provenant d'un excès de travail . Je crois donc que si le surmenage existe, c'est
à faire coucher les enfants de bonne heure et à ne pas prolonger leur travail dans la soirée. Cependant, il faut bien qu'ils
xication alcoolique. Le sommeil a été bon. Le caractère est calme. Le travail est maintenant régulier. Les joues ne sont plus
que je recueille en ce moment et qui, tôt ou tard, fera l'objet d'un travail plus complet. Elle est destinée a compléter les p
s bien réellement, dans le cours de l'année scolaire, surchargés d'un travail excessif ? Y a-t-il donc, dans tout ce qu'on leur
ué le cerveau. Vous savez tous, messieurs, avec quelle intensité le travail organique se développe dans le système nerveux ch
à la mise en œuvre de cet admirable instrument, et, sous prétexte de travaux forcés et de surmenage, arriver à encourager la p
l'adolescent de faire une coupure salutaire dans la continuité de ses travaux ; et puis encore ne savons-nous pas tous que tout
'état actuel des choses, il n'y a pas disproportion entre la somme de travail demandée à nos écoliers et la somme d'efforts des
é que chez ces jeunes sujets, la plupart du sexe masculin. le goût du travail est bien développé; on les met au lycée, comme le
d'études ne doivent pas être diminués au point de vue de la somme de travail demandée, car l'examen anatomique prouve que le c
iences. — Congrès de Toulouse. Le Congrès de Toulouse ouvrira ses travaux le septembre. Un assez grand nombre de communicat
dans la Gazette médicale (décembre 1859 et janvier 1860). Dans leur travail , les auteurs faisaient le plus grand cas des prop
on française pour l'avancement des sciences est réuni à Toulouse. Les travaux de ses sections sont en pleine activité. Déjà
nts. Nous espérons cependant que nos lecteurs ne seront pas privés du travail préparé par M. Layet. Ils peuvent, d'ailleurs, êt
holéra asiatique, de porter sur soi des plaques de (1) D'importants travaux viennent d'appeler l'attention du monde savant su
scute, expérimente. C'est ainsi que les faits qui font le sujet de ce travail , si étonnants qu'ils tussent, ont eu la bonne for
re de même de leur interprétation, et c'est sur ce point que, dans ce travail , devait porter l'effort de notre argumentation.
outes les influences extérieures. Telle est l'idée dominante de notre travail . Les applications pratiques, dont nous avons esqu
e connaissance de cause par un savant qui a été longtemps associé aux travaux du docteur Charcot, à la Salpêtrière. Dans son
, mais ce n'est qu'en 1868 que parut la thèse d'Estradère, magnifique travail d'ensemble sur les effets du massage. C'est la Ho
uence de Mezger et de ses élèves, recueillit tous les avantages de ce travail , et aujourd'hui encore on vient de tous les point
directeur de la maison de santé cantonale de Zurich. En ouvrant les travaux du congrès, le président. dans une vive et chaleu
t-elles fonctions de l'éducation ou de l'hérédité? Dans un récent travail , le Dr V. Galippe, se basant sur un grand nombre
malies sont .plus fré- (1) Nom avons reçu de M. le Dr Aug. Forel un travail sur le même sujet: que nous publierons dans notre
déjà : « Les motifs les plus puissants, les résolutions les (1) Ce travail a fait l'objet d'une communication au Congrès int
es. Je n'ai pas besoin de rappeler les conclusions de l'intéressant travail de M. Voisin, que nos lecteurs ont pu lire dans l
en-être après la séance et toute la journée du lendemain. Bonne nuit. Travail facile. 11 n'a plus du tout le sentiment de la so
le malade n'a plus du tout d'accès de mélancolie; il a repris goût au travail et à la vie. Il n'a plus le sentiment morbide de
urs de la Revue se le rappellent: nous leur avons donné l'analyse des travaux du professeur Lombroso et d'autres encore. Emprun
ste, parce qu'il est de même sens que celui du sujet. Il résulte du travail de MM. Chazarain et Dècle que les applications d'
s noms celui de notre colla- borateur M. le docteur Collineau. Le travail qu'il a publié sur la gymnastique es certainement
, à réveiller et à développer la (acuité d'attention et d'aptitude au travail chez plusieurs collégiens et lycéens, menacés d'ê
r Liébeault a endormi un grand nombre de personnes qui se livrent aux travaux des champs. Mais la question n'est pas la. Il n
housiasme de M. Moll aura grand'peine à résister aux assauts dont son travail a été et dont il ne peut manquer d'être encore l'
utique. Nous sommes heureux de donner à nos lecteurs la primeur de ce travail qui marque un pas si puissant dans l'étude de l'h
concluent comme le commissaire de police, et Berthe est condamnée aux travaux forcés à perpétuité. Tandis que la jeune fille
positif. Je ne serais pas revenu sur les conclusions de mon premier travail , si je n'avais pas constaté encore tout dernièrem
es ont bien mis en lumière le caractère de ces malades. Grâce à leurs travaux , les médecins ont tous les moyens de déjouer les
t répétée en tête du mémoire. Cette enveloppe n'est ouverte que si le travail mérite une récompense. VARIÉTÉS L'HYSTERIQUE
e que joue la prédisposition est prépondérant. Et aujourd'hui que des travaux réitérés ont signalé à l'attention les retentisse
repriser un bas entre 1 heure et 1 h. 5. Par conséquent, la mesure du travail exécuté par elle donne une indication assez e
ez exacte du temps pendant lequel elle est restée éveillée. Or le travail de reprise exécute par Mme B... ne pourrait être
me dit qu'il lui faut à peu près quarante-cinq minutes pour faire ce travail . On peut donc considérer qu'une durée d'environ q
et ordre, et j'en ai moi-même parlé, sommairement d'ailleurs, dans un travail présenté comme thèse inaugurale . la Faculté de m
i pas » (mes idées absurdes;. 31 mars. La malade a pu reprendre ses travaux (elle remplace une institutrice) et bien les remp
en vais, assurant à nouveau la guérison; j'ordonne la promenade et le travail . Je recommande aux parents de ne plus demander à
and pié: « Contre le vent elle fait un rempart d'arbrisseaux, à grand travail . » Et cette expression, que l'on peut lire dans
dico-pratique- décernera un prix de 600 francs à l'auteur du meilleur travail de médecine, chirurgie ou obstétrique, qui lui au
ations sur les malades très soigneusement faites; en un mot. c'est un travail très e moderne ». Je regrette que ce travail n'ai
tes; en un mot. c'est un travail très e moderne ». Je regrette que ce travail n'ait pas appelé l'attention des auteurs qui se s
Londres aurait beaucoup moins ému nos confrères, s'ils avaient lu le travail de MM. Bourneville et Regnard. Il ne s'agissait,
niers temps, depuis les publications de la Revue de l'Hypnotisme, des travaux de MM. Voisin. Fontan et Ségard et autres, l'opin
eurs nous ont. à diverses reprises, demande notre appréciation sur le travail de MM. Fontan et Ségard ; mais l'éditeur ayant om
ormé le projet suivant : « Je me réserve de faire une addition à ce travail : je rechercherai l'explication de beaucoup de ch
fant, et parait très attristée. Au bout de deux jours, elle se met au travail , rend des services dans son quartier, et écrit à
degré de sommeil plus ou moins profond. Chloroformisons une femme en travail par le procédé à la Reine, et nous la maintiendro
abitude avec plus de difficulté qu'à l'état normal. » 2° Pendant le travail , l'hypnotisme peut vraisemblablement exister sous
° L'hypnotisme ne paraît pas avoir d'influence nette sur la marche du travail , si ce n'est peut-être un certain ralentissement
jardin-Beaumetz, fut de fixer les limites de ses recherches et de ses travaux . Elle décida qu'elle ne s'occuperait exclusivemen
ps, ont à nouveau insisté sur le fait. Du résumé qu'il donne de leurs travaux et de son enquête personnelle, Peugniez conclut à
s'arrêter complètement, au moins pour un certain temps. La somme de travail fournie par le jeune pianiste depuis le 17 mai 18
il a semblé rationnel aux médecins consultants de diminuer d'abord le travail de l'enfant, puis de le soumettre à un repos comp
le que leur cerveau est parfaitement creux, et ils sont incapables de travail intellectuel et corporel. Pendant la journée ils
ersonne qui se sépare delà société et qui se livre judicieusement aux travaux du Collège, est dans des conditions bien meilleur
di 22, mercredi 23, jeudi 24 et vendredi 25 mai seront consacrées aux travaux du Congres. La séance générale aura lieu dans le
cherche a s'évader, et il est impossible d'obtenir d'elle le moindre travail . Traitement. — Bains, injections de morphine.
elle se roulait à terre, déchirait ses vêtements, se refusait a tout travail . Cette agitation augmentait encore pendant ses rè
cieuses, de se produire. L'oisiveté avive la sensibilité nerveuse. Le travail manuel la réfrène. Les privations émoussent la su
alent d'exposition et avec une compétence indiscutable, l'analyse des travaux accomplis dans ces dernières années par les école
sous leur responsabilité, continuer leurs études dans leur cabinet de travail . Il ne leur viendrait d'ailleurs jamais à l'espri
re part des considérations générales qui l'ont guidé dans l'important travail qu'il va publier. (2) Paris. O. Doin, éditeur,
y ajouter, grâce surtout, comme l'a dit M. le professeur Beaunis, aux travaux des docteurs Durand (de Gros), Liébeault, Bernhei
dépenser au dehors. Vous pourrez le châtier, non le corriger.. Les travaux supplémentaires, les pensums, en condamnant l'enf
comprend que très imparfaitement et que nous forçons â accomplir des travaux dont il ne voit pas le but, souvent contre son gr
enfant une somme d'attention dont il est incapable, ni lui imposer un travail de longue haleine, ni le condamner a l'immobilité
ission pénible. Il est conduit dans une pièce réservée, un cabinet de travail qui lui est peu familier et qui est éclairé par u
par la suggestion. M. Aug. Voisin (de Paris). — Vous connaissez les travaux de MM. Bérillon et Félix Hément sur l'influence h
, de terreurs nocturnes, de chorées et mime de défaut Supplication au travail , etc., etc. La réalité de ces faits ayant été con
iation saine et juste ont été surtout l'œuvre des médecins, quand les travaux les plus sérieux ou les découvertes les plus inté
ropositions suivantes, les conclusions qui lui semblent sortir de son travail ) : 1. Il est désirable que l'hypnotisme continu
ctère, une insomnie complète. » Livrés à toutes les conséquences d'un travail excessif auxquelles il faut ajouter l'effet des p
seule prolongation de son action. Or, c'est ce que ne font jamais les travaux de la littérature et des beaux-arts. Mais ce qui
lettres et des arts les effets des passions accessoires à ces nobles travaux . » De son côté, Aug. Voisin insiste sur la possib
De son côté, Aug. Voisin insiste sur la possibilité de se livrer à un travail intellectuel, même considérable, sans courir les
r beaucoup acquérir sans danger, il faut, dit-il, beaucoup varier ses travaux ; de même, pour beaucoup produire, il est essenti
tiel d'avoir des connaissances variées. Le principe de la division du travail et des spécialités, qui s'applique si bien à tout
ues de la suggestion à la pédagogie, par Bérillon, 176. Aptitude au travail , réveillée par (suggestion, 177. Arrêt du besoi
57 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
'est efforcée d'enregistrer, de la façon la plus impartiale, tous les travaux accomplis, pendant la même période de temps, dans
tes, nous les trouvons formulés aussi clairement que possible dans le travail de M. le professeur Beaunis sur le Somnambulisme
nôtre, le lecteur s'effraie quand on lui demande, tout d'un coup, un travail intellectuel trop considérable; s'il ne voit pas
tion, que le livre est parsemé de résumes nombreux qui facilitent son travail , en réduisant ce gros volume i quelques pages où
émane. M. Baréty aurait donc consacré un peu inutilement son immense travail à l'étude d'une disposition qui pourrait n'être q
es jeunes Parisiens ? Incapables d'accomplir un long et consciencieux travail , ils excellent d'ordinaire aux choses artistiques
été médicale de l'Elysée, par le Dr Oscar Jennings. Dans le premier travail , l'auteur préconise un nouveau traitement qui aur
d'étudier l'état du coeur et du pouls au moyen du sphygmographe. Ces travaux sont exposés dans ce mémoire et ont permis a l'au
t s'adresse a l'inhibition par des agents pharmaceutiques. Ce dernier travail peut se résumer en quelques lignes: le besoin de
ans les hôpitaux, soit » dans la pratique civile ou militaire. » Le travail demande peut être une thèse pour le doctorat, mai
d'or de cent francs, est offert par M. le Dr Depierris, à l'auteur du travail le plus méritant sur la question suivante : « D
'hypnose n'entraverait point la contractilité de 1 organe, pendant le travail ? Deux observations publiées dernièrement : L'u
accouchement d'Alice D.., qui fut assistée, pendant toute la durée du travail , par M. Lion, mon interne. Alice D..., domestiq
les conditions les meilleures pour l'élude que nous voulions faire du travail dans ses diverses périodes. Depuis longtemps dé
insi ! De 2 à 3 heures, les douleurs sont régulières, efficaces; le travail marche régulièrement, la dilatation du col est co
ion du col, aurait-il donc été insuffisant, peut-être nul, pendant le travail de la dilatation périnéale ? Et cependant, la mal
moment. 2° La contractilité de l'utérus n'a point été troublée ; le travail , commencé à onze heures du soir et terminé à cinq
ADIER, médecin adjoint (i). Le malade qui fait le sujet de ce court travail est bien connu. Il a été l'objet de plusieurs étu
uvaient pour pouvoir marcher, travailler manuellement et s'occuper de travaux intellectuels. Sous l'influence de ces sensatio
has commence par exposer les lois de la polarité humaine, d'après les travaux récents de M. Ch. Dècle et du docteur Chazarain.
yen de se soustraire facilement a tout danger provenant d'un excès de travail . Je crois donc que si le surmenage existe, c'est
à faire coucher les enfants de bonne heure et à ne pas prolonger leur travail dans la soirée. Cependant, il faut bien qu'ils
xication alcoolique. Le sommeil a été bon. Le caractère est calme. Le travail est maintenant régulier. Les joues ne sont plus
que je recueille en ce moment et qui, tôt ou tard, fera l'objet d'un travail plus complet. Elle est destinée a compléter les p
s bien réellement, dans le cours de l'année scolaire, surchargés d'un travail excessif ? Y a-t-il donc, dans tout ce qu'on leur
ué le cerveau. Vous savez tous, messieurs, avec quelle intensité le travail organique se développe dans le système nerveux ch
à la mise en œuvre de cet admirable instrument, et, sous prétexte de travaux forcés et de surmenage, arriver à encourager la p
l'adolescent de faire une coupure salutaire dans la continuité de ses travaux ; et puis encore ne savons-nous pas tous que tout
'état actuel des choses, il n'y a pas disproportion entre la somme de travail demandée à nos écoliers et la somme d'efforts des
é que chez ces jeunes sujets, la plupart du sexe masculin. le goût du travail est bien développé; on les met au lycée, comme le
d'études ne doivent pas être diminués au point de vue de la somme de travail demandée, car l'examen anatomique prouve que le c
iences. — Congrès de Toulouse. Le Congrès de Toulouse ouvrira ses travaux le septembre. Un assez grand nombre de communicat
dans la Gazette médicale (décembre 1859 et janvier 1860). Dans leur travail , les auteurs faisaient le plus grand cas des prop
on française pour l'avancement des sciences est réuni à Toulouse. Les travaux de ses sections sont en pleine activité. Déjà
nts. Nous espérons cependant que nos lecteurs ne seront pas privés du travail préparé par M. Layet. Ils peuvent, d'ailleurs, êt
holéra asiatique, de porter sur soi des plaques de (1) D'importants travaux viennent d'appeler l'attention du monde savant su
scute, expérimente. C'est ainsi que les faits qui font le sujet de ce travail , si étonnants qu'ils tussent, ont eu la bonne for
re de même de leur interprétation, et c'est sur ce point que, dans ce travail , devait porter l'effort de notre argumentation.
outes les influences extérieures. Telle est l'idée dominante de notre travail . Les applications pratiques, dont nous avons esqu
e connaissance de cause par un savant qui a été longtemps associé aux travaux du docteur Charcot, à la Salpêtrière. Dans son
, mais ce n'est qu'en 1868 que parut la thèse d'Estradère, magnifique travail d'ensemble sur les effets du massage. C'est la Ho
uence de Mezger et de ses élèves, recueillit tous les avantages de ce travail , et aujourd'hui encore on vient de tous les point
directeur de la maison de santé cantonale de Zurich. En ouvrant les travaux du congrès, le président. dans une vive et chaleu
t-elles fonctions de l'éducation ou de l'hérédité? Dans un récent travail , le Dr V. Galippe, se basant sur un grand nombre
malies sont .plus fré- (1) Nom avons reçu de M. le Dr Aug. Forel un travail sur le même sujet: que nous publierons dans notre
déjà : « Les motifs les plus puissants, les résolutions les (1) Ce travail a fait l'objet d'une communication au Congrès int
es. Je n'ai pas besoin de rappeler les conclusions de l'intéressant travail de M. Voisin, que nos lecteurs ont pu lire dans l
en-être après la séance et toute la journée du lendemain. Bonne nuit. Travail facile. 11 n'a plus du tout le sentiment de la so
le malade n'a plus du tout d'accès de mélancolie; il a repris goût au travail et à la vie. Il n'a plus le sentiment morbide de
urs de la Revue se le rappellent: nous leur avons donné l'analyse des travaux du professeur Lombroso et d'autres encore. Emprun
ste, parce qu'il est de même sens que celui du sujet. Il résulte du travail de MM. Chazarain et Dècle que les applications d'
s noms celui de notre colla- borateur M. le docteur Collineau. Le travail qu'il a publié sur la gymnastique es certainement
, à réveiller et à développer la (acuité d'attention et d'aptitude au travail chez plusieurs collégiens et lycéens, menacés d'ê
r Liébeault a endormi un grand nombre de personnes qui se livrent aux travaux des champs. Mais la question n'est pas la. Il n
housiasme de M. Moll aura grand'peine à résister aux assauts dont son travail a été et dont il ne peut manquer d'être encore l'
utique. Nous sommes heureux de donner à nos lecteurs la primeur de ce travail qui marque un pas si puissant dans l'étude de l'h
concluent comme le commissaire de police, et Berthe est condamnée aux travaux forcés à perpétuité. Tandis que la jeune fille
positif. Je ne serais pas revenu sur les conclusions de mon premier travail , si je n'avais pas constaté encore tout dernièrem
es ont bien mis en lumière le caractère de ces malades. Grâce à leurs travaux , les médecins ont tous les moyens de déjouer les
t répétée en tête du mémoire. Cette enveloppe n'est ouverte que si le travail mérite une récompense. VARIÉTÉS L'HYSTERIQUE
e que joue la prédisposition est prépondérant. Et aujourd'hui que des travaux réitérés ont signalé à l'attention les retentisse
repriser un bas entre 1 heure et 1 h. 5. Par conséquent, la mesure du travail exécuté par elle donne une indication assez e
ez exacte du temps pendant lequel elle est restée éveillée. Or le travail de reprise exécute par Mme B... ne pourrait être
me dit qu'il lui faut à peu près quarante-cinq minutes pour faire ce travail . On peut donc considérer qu'une durée d'environ q
et ordre, et j'en ai moi-même parlé, sommairement d'ailleurs, dans un travail présenté comme thèse inaugurale . la Faculté de m
i pas » (mes idées absurdes;. 31 mars. La malade a pu reprendre ses travaux (elle remplace une institutrice) et bien les remp
en vais, assurant à nouveau la guérison; j'ordonne la promenade et le travail . Je recommande aux parents de ne plus demander à
and pié: « Contre le vent elle fait un rempart d'arbrisseaux, à grand travail . » Et cette expression, que l'on peut lire dans
dico-pratique- décernera un prix de 600 francs à l'auteur du meilleur travail de médecine, chirurgie ou obstétrique, qui lui au
ations sur les malades très soigneusement faites; en un mot. c'est un travail très e moderne ». Je regrette que ce travail n'ai
tes; en un mot. c'est un travail très e moderne ». Je regrette que ce travail n'ait pas appelé l'attention des auteurs qui se s
Londres aurait beaucoup moins ému nos confrères, s'ils avaient lu le travail de MM. Bourneville et Regnard. Il ne s'agissait,
niers temps, depuis les publications de la Revue de l'Hypnotisme, des travaux de MM. Voisin. Fontan et Ségard et autres, l'opin
eurs nous ont. à diverses reprises, demande notre appréciation sur le travail de MM. Fontan et Ségard ; mais l'éditeur ayant om
ormé le projet suivant : « Je me réserve de faire une addition à ce travail : je rechercherai l'explication de beaucoup de ch
fant, et parait très attristée. Au bout de deux jours, elle se met au travail , rend des services dans son quartier, et écrit à
degré de sommeil plus ou moins profond. Chloroformisons une femme en travail par le procédé à la Reine, et nous la maintiendro
abitude avec plus de difficulté qu'à l'état normal. » 2° Pendant le travail , l'hypnotisme peut vraisemblablement exister sous
° L'hypnotisme ne paraît pas avoir d'influence nette sur la marche du travail , si ce n'est peut-être un certain ralentissement
jardin-Beaumetz, fut de fixer les limites de ses recherches et de ses travaux . Elle décida qu'elle ne s'occuperait exclusivemen
ps, ont à nouveau insisté sur le fait. Du résumé qu'il donne de leurs travaux et de son enquête personnelle, Peugniez conclut à
s'arrêter complètement, au moins pour un certain temps. La somme de travail fournie par le jeune pianiste depuis le 17 mai 18
il a semblé rationnel aux médecins consultants de diminuer d'abord le travail de l'enfant, puis de le soumettre à un repos comp
le que leur cerveau est parfaitement creux, et ils sont incapables de travail intellectuel et corporel. Pendant la journée ils
ersonne qui se sépare delà société et qui se livre judicieusement aux travaux du Collège, est dans des conditions bien meilleur
di 22, mercredi 23, jeudi 24 et vendredi 25 mai seront consacrées aux travaux du Congres. La séance générale aura lieu dans le
cherche a s'évader, et il est impossible d'obtenir d'elle le moindre travail . Traitement. — Bains, injections de morphine.
elle se roulait à terre, déchirait ses vêtements, se refusait a tout travail . Cette agitation augmentait encore pendant ses rè
cieuses, de se produire. L'oisiveté avive la sensibilité nerveuse. Le travail manuel la réfrène. Les privations émoussent la su
alent d'exposition et avec une compétence indiscutable, l'analyse des travaux accomplis dans ces dernières années par les école
sous leur responsabilité, continuer leurs études dans leur cabinet de travail . Il ne leur viendrait d'ailleurs jamais à l'espri
re part des considérations générales qui l'ont guidé dans l'important travail qu'il va publier. (2) Paris. O. Doin, éditeur,
y ajouter, grâce surtout, comme l'a dit M. le professeur Beaunis, aux travaux des docteurs Durand (de Gros), Liébeault, Bernhei
dépenser au dehors. Vous pourrez le châtier, non le corriger.. Les travaux supplémentaires, les pensums, en condamnant l'enf
comprend que très imparfaitement et que nous forçons â accomplir des travaux dont il ne voit pas le but, souvent contre son gr
enfant une somme d'attention dont il est incapable, ni lui imposer un travail de longue haleine, ni le condamner a l'immobilité
ission pénible. Il est conduit dans une pièce réservée, un cabinet de travail qui lui est peu familier et qui est éclairé par u
par la suggestion. M. Aug. Voisin (de Paris). — Vous connaissez les travaux de MM. Bérillon et Félix Hément sur l'influence h
, de terreurs nocturnes, de chorées et mime de défaut Supplication au travail , etc., etc. La réalité de ces faits ayant été con
iation saine et juste ont été surtout l'œuvre des médecins, quand les travaux les plus sérieux ou les découvertes les plus inté
ropositions suivantes, les conclusions qui lui semblent sortir de son travail ) : 1. Il est désirable que l'hypnotisme continu
ctère, une insomnie complète. » Livrés à toutes les conséquences d'un travail excessif auxquelles il faut ajouter l'effet des p
seule prolongation de son action. Or, c'est ce que ne font jamais les travaux de la littérature et des beaux-arts. Mais ce qui
lettres et des arts les effets des passions accessoires à ces nobles travaux . » De son côté, Aug. Voisin insiste sur la possib
De son côté, Aug. Voisin insiste sur la possibilité de se livrer à un travail intellectuel, même considérable, sans courir les
r beaucoup acquérir sans danger, il faut, dit-il, beaucoup varier ses travaux ; de même, pour beaucoup produire, il est essenti
tiel d'avoir des connaissances variées. Le principe de la division du travail et des spécialités, qui s'applique si bien à tout
ues de la suggestion à la pédagogie, par Bérillon, 176. Aptitude au travail , réveillée par (suggestion, 177. Arrêt du besoi
58 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
Les maîtres de l'hypnotisme : M. le Dr Dumontpallier, p. 1. II. — TRAVAUX ORIGINAUX : 1° Les mystères de la suggestion, p
'action de la suggestion. Depuis lors, M. Dumontpallier apublié des travaux divers sur l'anes-thésie dans le travail de l'acc
M. Dumontpallier apublié des travaux divers sur l'anes-thésie dans le travail de l'accouchement (Société de Biologie, 28 févrie
e, son nom serait resté à l'égal de celui de beaucoup de médecins aux travaux estimables, voilà tout. Il parla et se trouva pla
ongres International de l'Hypnotisme. Tous ceux qui ont pris part aux travaux de ce congrès se rappellent l'autorité et l'impar
et l'impartialité avec lesquelles il a dirigé les discussions et les travaux de ces assises mémorables. Le 25 mai 1891, il pré
ent absolument étrangères aux détails et à la coordination de tout ce travail physiologique ; donc la suggestion sait se passer
tribuerait-il de sa foi, de sa créditivité et de sa complaisance à ce travail suggestionnel interne et sourd dont il ne soit ri
l . exposait, à la grande surprise de tous ceux qui avaient suivi ses travaux , cette doctrine tout à fait inouïe jusque-là dans
urellement tout le public moutonnier, on n'eut garde de consulter les travaux des vieux spécialistes, qui, depuis tant et tant
d'un de nos zoologistes les plus consciencieux. C'est donc au récent travail de M. Xavier Raspail que j'emprunte les faits qui
de cinq sections travaillant en même temps. Par ce fait, beaucoup de travaux ayant un caractère très original, sont passés pre
inaperçus et n'ont été l'objet d'aucune discussion. Cette méthode de travail , imposée par le trop grand nombre des assistants,
coquetterie, les soins de la chevelure seulement le matin, l'amour du travail et le désir de bien faire, l'horreur de ce qui es
e, docile, aimable, bonne, reconnaissante, affectueuse ; elle aime le travail , la propreté, et ne ronge plus jamais ses ongles,
i ne furent nullement empêchés, par leurs obsessions, d'accomplir des travaux valables. La plupart étaient des émotifs, en effe
ont ici marchent sur les traces de ces maîtres et ont tous publié des travaux originaux ayant un caractère très personnel. Je s
nnaître le phonendoscope, je connaissais Bianchi par ses intéressants travaux sur la suggestion. Le toast que je vous propose d
enteur au Congrès de Pérouse auquel il avait communiqué également des travaux nombreux et remarquables. Ledocteur Bianchi est u
t s'est adonné de bonne heure à l'étude de la physiologie, et ses travaux sont considérables. Ils peuvent être résumés .ain
e (Comptes rendus de l'Académie des sciences, 1877-1878), et dans son travail sur les Propriétés chimiques et physiologiques du
x, publié dans le Journal de l'anatomie et de la physiologie en 1878, travail couronné par l'Académie des sciences (prix de phy
ar l'Académie des sciences (prix de physiologie expérimentale). Ses travaux sur la contraction musculaire des invertébrés, co
gularisation thermique et dans divers mémoires sur la respiration, te travail musculaire, l'influence de l'alimentation, l'infl
erumthérapie, qu'il appelait alors l'hémato-thérapie. On trouvera ses travaux spéciaux publics, dès l'année 1888, dans les Comp
ent en deux phénomènes : l'hallucination et l'automatisme. » Par ce travail , la première en date des publications de l'Ecole
devait d'ailleurs faire l'objet d'un autre congrès, et la division du travail ne pouvait que favoriser le progrès de cette scie
est un admirable appareil de vivisection psychologique. Grâce aux travaux des médecins et des physiologistes qui ont étudié
nous devrions dire que ce penseur, non content d'avoir acquis par ses travaux la réputation d'un des premiers savants de notre
u point de vue purement psychologique serait peut-être épuisé, si les travaux de l'Ecole de Nancy n'avait démontré que les même
structeur quelque illusion sur la réalité du fait. En 1891, dans un travail communiqué à la Société d'hypno-logie et de psych
uestion, nous trouvons d'abord des documents très importants dans les travaux de la société anglaise for Psychical Research. Le
M. Dumont-pallicr, membre de l'Académie de médecine. La reprise des travaux de la Société aura lieu le lundi 19 Octobre, à 4
rticaux, comme ont peut le voir sur les tableaux qu'il a joints à son travail . La guérison s'effectue en deux ou trois septén
pos au lit et l'installation des salles de surveillance; influence du travail et du repos dans le traitement des maladies menta
lésion pulmonaire ni cardiaque. De plus, après les repas, pendant le travail de la digestion stomacale, elle était souvent pri
l'esprit calme, l'intelligence lucide, et elle reprend avec joie son travail longtemps interrompu. Une légère rechute, en se
e maladie, M. Delbceuf, professeur à l'Université de Liège, à qui des travaux nombreux, sur les sujets les plus divers, avaient
ués, quand on jette un coup d'oeil, même rapide et incomplet, sur les travaux qui ont rempli sa vie ! Philosophie, Mathématiq
discours de Médée, dans Euripide, (1894) On peut rapprocher de ces travaux , comme s'en écartant moins que ceux dont nous aur
353, XXVIII, 113; 1895, t. XXIX, 345. Parlant de l'ensemble de ses travaux sur les mathématiques et sur ce qu'on pourrait ap
cet ouvrage, antérieur a la publication du#Mémoire de Hicmann et aux travaux de Helmoltz et de Boltrami, M. Delbœuf. n'ayant q
uf publie, en collaboration avec son collègue et ami M. W. Spring, un travail important sur le Daltonisme, recherches expérimen
isés, et à laquelle Delbœuf lui-même fera quelques emprunts, dans son travail intitulé : Pourquoi mourons-nous? dont nous auron
: La matière brute et la matière vivante. Il lui a été inspiré par un travail « haulemèhj intéressant» de M. Maupas, sous-bibli
une sphère un million de fois plus volumineuse que le soleil 3. Le travail du professeur de Liège, que je viens de relire, l
« rapport lumineux comme lui seul sait en faire, son approbation à un travail qu'on lui présentait comme sauvant la liberté. »
as. dout on trouvera plus loin l'appréciation sur la haute valeur des travaux scientifiques de Dclbœuf, cite de lui celte belle
sume dans ses lignes essentielles l'idée qu'il a déjà exposée dans un travail antérieur : Le sommeil et les rêves, considérés p
tats semblables, aurait été tiré de rien.... Sans doute, depuis les travaux de Clausius précédés déjà, en 1824, de ceux de Ca
ou à citer d'après lui-même, les principales idées dont s'inspire le travail de Delbceuf sur te Déterminisme et la Liberté. No
-être gré de mentionner ici, comme renseignement bibliographique, les travaux dont nous n'avons pu parler dans le texte. Revue
sont fermés brusquement. La gêne de cette situation est telle que ses travaux ont dû être interrompus. L'attitude de la tête
symétrique de la moelle; d'où mouvement. Si le courant n'est (1) Ce travail fait suite a un précédent : Essai sur la volonté,
visite à l'Ecole de Nancy1. J'ai dit déjà, en rendant compte de ce travail 2 : « M. Delbœuf nous laisse le meilleur souvenir
ntifiques. Je préfère de beaucoup, à Magnétiseurs et Médecins, deux travaux publiés l'un en 1887, l'autre en 1890, et qui ont
plus douloureuses1? » Tout ceci dit, non pour diminuer la valeur du travail infiniment curieux et suggestif, dont nous venons
mon savant ami de Liège aimait par dessus tout. Le second des deux travaux sur l'action curative de l'hypnotisme, rapporte,
gique, 3e série, t. XXVIII, n° 12, pp. 521-553, 1894. 3. Séances et Travaux de l'Académie des sciences morales et politiques,
esquels j'appuyais mon système, et je le montrerai, j'espère, dans un travail ultérieur. Comme preuve de cette entière bonne
. Le sommeil et les rêves, p. w Paris, Alcan, 1885. 2. En outre des travaux importants relatifs à la suggestion, que nous ven
lboeuf, j'avais demandé à un philosophe émi-nent ce qu'il pensait des travaux philosophiques de l'ami que nous venions de perdr
1896. « Mon cher ami, « ... Vous me demandez ce que je pense de ses travaux philosophiques. Je les crois tous marqués au coin
pétence que tout le monde lui reconnaît, il y rend pleine justice aux travaux de Delbœuf sur la philosophie des mathématiques,
ra au contraire, dans la plus large mesure possible, la liberté et le travail d'un chacun. Mais doit-il toujours s'effacer et
e notre Société. Dans le volume qui paraîtra sous peu, suite à ce travail historique, sous le titre de : Los secrète d'Yild
s un cas il s'agissait d'un membre de l'Académie française, auteur de travaux considérables, qui a pris de la morphine pendant
ve ne décèle plus, et j'assiste au réveil des idées de soumission, de travail et de bonne conduite. De l'aveu de ses parents et
re à développer les bons instincts de l'enfant, à le rendre assidu au travail et d'une chasteté exemplaire Le 22 juillet, tous
e jeu normalement restreint de leurs articulations, développer par le travail des muscles rudimentaires et produire enfin l'aut
hacune de ses couches, elle se livrait, même en étant nourrice, à des travaux de ménage pénibles, en dehors des occupations que
otisme et sur l'emploi thérapeutique des actions psychiques. Tous ces travaux démontrent cependant l'énorme pouvoir de notre ac
produisent une profonde tristesse 1res explicable. Mais à coté de ce travail d'idées conscientes se passe un autre phénomène,
lité : le type moteur, le type visuel, le type auditif. — Division du travail mental dans les états hypnotiques ; dissociation
uelle de l'American Psychological Association, M. A. L. Lewis a lu un travail intéressant sur la comparaison du temps de la réa
rcot. — La foi qui guérit. Broch. 38 p. Paris, 1897. A. Chipaclt. — Travaux de neurologie chirurgicale. Un vol. broche 352 p.
e traitement de la morphinomanie, comme nous l'avons démontré dans un travail précédent, le sommeil constitue un moyen très eff
on Graefe, de Zehender, Seeligmüller ; voir, en outre, à ce sujet les travaux de Borel sur les affections hystériques des muscl
aques d'épilepsie, diurnes et nocturnes, qui le rendent inapte à tout travail . Les renseignements concernant la marche de son
eu des nouvelles de la malade à divers intervalles; elle a repris ses travaux de ménage, et, de plus, non-seulement elle marche
oyées dans un magasin et qui étaient encore vêtues de leur costume de travail . M. Braid les endormit, puis, il s'assit au piano
Eugène Bernard Leroy, So, rue Miromesnil, — Paris.) N. B. — Dans le travail définitif, il pourra être fait mention sous cette
rches expérimentales. A plus forte raison n'a-t-il pas parlé de leurs travaux . Un troisième obstacle à l'emploi psychologique
des caractères d'immoralité ou d'infamie très marquée. Dans un autre travail , nous entrerons dans des détails plus précis sur
t les images sonores qui correspondent aux neuf premiers chiffres. Le travail mental se fait donc chez l'auditif non pas dans l
ôt à plusieurs pour creuser la terre au-dessous du petit cadavre ; ce travail marche avec une grande rapidité et, quand le sol
rcot. — La foi qui guérit. Broch. 38 p. Paris, 1897. A. Chipault. — Travaux de neurologie chirurgicale. Un vol. broché 352 p.
e a publié, dans l'American journal of Psychology (vol. IV, p. 1), un travail sur les calculateurs prodiges, mais ce n'est là q
séances de trois à cinq heures. A cette occasion, il a publié divers travaux dans la Revue des Deux-Mondes et dans la Revue ph
ireraient aller aux sources et lire dans leur entier les remarquables travaux relatifs à ce sujet, nous nous faisons un devoir
it emporter le chef de la famille. Jeanne F.... rentre un soir de son travail , juste à temps pour voir son père lui tomber mort
à une conception variable "qui fait l'individualité psychique. De ce travail cérébral nous ne connaissons que l'idée ou la sen
», signifie d'abord souvenir, puis amour, elle laisse reconnaître le travail de pensée d'un esprit original qui, pour exprimer
e de M. Tarde ait paru. 11 est évident que M. Tarde n'a pas connu mon travail . Or, je n'ai pas non plus connu le sien, pour la
ngres de Moscou {section des maladies nerveuses et mentales). 2° Un travail original de M. le Dr Clark Bell (de New-York) sur
rès sagace, et l'on ne saurait trop rendre hommage à ses remarquables travaux . Sa proposition parait au premier abord excellent
x qu'il est indispensable de ne point transgresser : par exemple, les travaux intellectuels ne devront jamais nuire au développ
chiffres était extraordinaire, mais, il était incapable de tout autre travail iniellectuel ou de toute occupation manuelle ; so
sion sur eux. Or, dans la vie, il importe, certes, de pouvoir par son travail assurer sa subsistance et celle des siens ; il im
degré on peut donner aux enfants de nos écoles cette somme énorme de travail qui ne fait autre chose que consumer le système n
ppement intellectuel des jeunes générations, et veillent à ce que les travaux donnés comme devoirs classiques à l'école ou à do
59 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
hage perd donc beaucoup de sa dextérité. Il devient inapte à tous les travaux qui demandent une certaine agilité manuelle. Ce n
professeurs onl déjà remarqué qu'ils avaient peu d'aptitude pour les travaux de précision (I). Considérations psychologiques
ra'.L intéressant de vi-riOer «relie observation dans les ateliers de travail manuel qui vont Otre o ^anisés dans un certain no
orsque l'attention du sujet est absorbée par une préoc-ËU pat ion, un travail , une tension d'esprit quelconque. Les enfants jse
e comme étant les plus mauvais au point de vue de la discipline et du travail avaient été isolés des autres et installés à une
Conof expérimental psychology. Londres 189?. p. 166. (1) Malgré les travaux successifs que nous avons publiés sur la même que
Son in-vlligcncc est paresseuse, if est mou. manque d'activité el son travail laisse toujours â désirer. Il est vrai que sa
oreilles sont grandes et mal bordées. .Vu lycée, on se plaint de son travail , de sa conduite. Il se soumet difficilement â la
liquant par des suggestions appropriées â stimuler son application au travail , à éveiller le pouvoir de résister â ses impulsio
ite) 4. De l'aiipb'cation, de l'attention, de la mémoire 'ilotes de travail 5. Des sentiments affectifs 6. De la moralité
. De la propreté— 8. De la dextérité manuelle écriture, ateliers de travail manuel 9. Des aptitudes spéciales (dessin, chan
ême heure. Cependant, son état s'améliora et elle put reprendre son travail ; mais ou reniarqua alors que. lorsqu elle écriva
. professeur ii la faculté de Valladolid. bien connu par d'importants travaux sur l'hypnotisme et la suggestion, vient d'être n
raient immédiatement droit de cité dans la science officielle. Les travaux de M. Charcol sur l'anatomie pathologique et la n
moyen de l'hypnose et ou j'ai eu l'occasion d'intervenir. Dans, mon travail sur l'Origine des effets curatifs de l'hypnotisme
rêveur. et à ce dernier propos, j'invite ceux qui vont lire ce court travail à suivre mou exemple : ils s'apercevront comme je
Dans le sommeil, par exemple, qui est en grande partie l'objet de ce travail , la force nerveuse s'accumule et se lixe sur l'id
sycho-physiologiques les plus importantes. Il a eie établi, dans le travail en question, que le sommeil est l'effet d'une idé
ologiques dans l'organisme, ainsi qu'il en naît sous l'influence îles travaux actifs de la veille, cette pensée, grâce à l'idée
rveuses â l'harmonie là où l'harmonie était troublée. Dans ce petit travail , je me propose d'étudier davantage certaines mani
ration, ne peuvent être acceptées tout d'abord par ceux qui lisent ce travail ; mais j'espère qu'à nu-sure qu'ils avanceront da
à quatre mois, et plus de conception depuis. A la suite d'excès de travail et de surmenage, elle commence par éprouver en 18
eieutifique. Outre ses Cliniques des maladies du système nerveux, ses travaux publiés dans la revue de médecine, dans les Archi
cot évoque une doctrine ; ce nom survivra en raison de ces admirables travaux qui font la gloire incontestée de leur auteur. Ch
n action, vint avec elle lejourd'après nous apporter l'ébauche de son travail nocturne. La somnambule ne se souvenait de rien e
tion, lesquelles ressemblent aux rêves oubliés d'un court sommeil: le travail mental, émotif ou non. qu'on ne saisit pas dans s
seconde classe dont je vais parler tlans cette seconde moitié de mon travail . Je lésai étudiés au passage sur moi-même, du 5 o
s un asile publie ou privé, nu lieu d'être condamnés à la prison, aux travaux forcés ou à la mort. On peut diviser les crimin
on agricole est négligée; M. X. n'a de goût à rien, il n'aime plus le travail , il surveille encore son bétail par habitude
juillet 1803 : « Ministère de l'agriculture, de l'industrie et des travaux publics. « Sérvice de santè. hygiène publique e
me — AuTorisation temporaire ¦ Le Ministre de l'agriculture, et des travaux public». « Vu l'article 2 de la loi du 30 mai 189
ez la femme, chez les jeunes gens et les personnes vouées à de grands travaux scientifiques ou littéraires. Le Dr Mendès l'a
jets parla gymnastique, l'hydrothérapie, le séjour à la campagne, les travaux îles champs et une !onnc éducation morale. Le chi
ù l'une et a l'autre; niais nulle part ils n'ont encore rencontré le travail qui leur convirnt ni le remède qu'ils cherchent.
Stroobant, docteur ès sciences, de la direction des recherches et des travaux pratiques. M. le D' Morîcourt. ancien interne d
tte puissance, il la paie au prix de sa personnalité ; se» idée», son travail sont dépensés, disséminés en articles signé» ou n
des médecins aliénistes a décidé, qu à l'avenir il associerait à ses travaux les médecins qui s'occupent de neurologie. Déso
professeur Charcot. « L'avenir consacrera l'importance durable des travaux de Charcot en an j tomie pathologique el on nonro
térie. ¦ L'École de la Salpèlrière a fail une graude opposition aux travaux de l'école de Nancy el avait restreint dans d'étr
de Nancy el certes il eùl un jour reudu pleine cl entière jntlîre aux travaux de Liebeault el de Bernheim. Du reste n'a-t-il pa
douée d'un caractère calme, accomplissant librement et volontiers son travail : d'hvstérie. aucune trace. Elle a. depuis sa q
e pouvait plus ni coudre,'ni écrire et était aussi incapable pour les travaux du ménage. Pendant six mois tous les moyens fur
Société de médecine de Berlin. En ouvrant la séance de reprise des travaux de la Société de médecine de Berlin, M- le profes
t nos concitoyens, car en l'honorant dans son chef, elle routière les travaux et l'éclatante réputation de l'Ecole de Nancy, he
celle du droit, ont été triomphalement répandues grâce aux incessants travaux de MM. Bernheim. Beaunis. Liégeois, Du m ont, qui
ssées des chercheurs, le gouvernement récompense officiellement leurs travaux : on vient de songer à M. Bernheim. Mais un autre
non seulement sur le mouvement scientifique dont M. Liêbault. par ses travaux , a été le premier initiateur, mais aussi sur les
ns charitables auxquelles ce vénéré mitre a consacré toute une vie de travail , d'honneur et de désintéressement. La psycholog
eurs de mon cerveau comme de mes jambes ; il ne vaut guère mieux. ï.c travail me fatigue. Je n'ai plus d'entrain ; les idées ne
épit de leur malheureuse position, continuent à exécuter leurs utiles travaux . — Il n'est pas vrai que tous les épilepliques so
cations introduites dans l'application des méthodes. — Les heures (de travail ) doivent être plus courtes, et les intervalles en
ur nous qu'un simple état de conscience. Elle n'est qu'un effet de ce travail psycho-physiologique dont une partie seulement en
té. Kn d'autres ternies, et pour no vous laisser aucune équivoque, le travail psycho-physiologique de la délibération aboutit d
existe pas moins et je dois avouer en ce qui me concerne que. dans un travail publié il y a dix ans [2], j'adoptaisla manière d
. s s-J Le .onction pivehc-motriec, Rcvae philos.. 188't. Dans ce travail où j'ai voulu présenter sous nu aspect philosophi
ion se réalisa ; elle reprit sa physionomie tranquille el se remit au travail courageusement ; son sommeil redevint paisible, s
le à l'extériorisation spontanée ; les expériences rapportées dans ce travail ne prouvent nullement la non existence de la pseu
ntoine et de l'Hôtel-Dieu. et qui n'avaient pas médité les différents travaux qu'il avait publie- depuis leîGtl dans les Archiv
préparés pour en extraire la valeur, pourraient rendre justice à ses travaux personnels. Dr Ul'NOXTPALLH.N, (A suivre) Mem
. 152 pages. París, 1893). K. Combemale. — Xotiee sur les titres et travaux scientifiques de (in-4°, 42 pages, Le Bigot. 68.
ment et pouvant accomplir avec plus ou moins de ditliculté un certain travail , mais elle ne se renforce pas elle-même. Klle n'e
J'ai attiré spécialement l'attention sur cette forme en 1884 dans un travail cilé plus haut. On peut distinguer aussi la neu
ème nerveux ; les émotions tristes, les excès vénériens, les excès de travail prolongés suffi- (I) Op. cit.. r. I, p. 635 et
affaires Chambige. Weiss et Goutte. Il n'entre pas dans le plan de ce travail de faire une étude approfondie des deux dernières
our d'assises de Constanline et l'accusé a été condamné à sept ans de travaux forcés. Rappelons le» faits en quelques mots. C
siles publics d'aliénés de la Seine. Depuis quelques années, divers travaux dus â des médecins militaires ont appelé l'attent
officier. M. F..., âgé de 40 ans, commandant d'état-major, chargé de travaux importants relatifs à la mobilisation, s'était im
ituée. A force de diplomatie el de souplesse, eu s'astreignant à un travail extraordinaire dans les bureaux, en m mettant en
e guérir le jour de sabbat (chap. XII). Ils ne voyaient donc là qu'un travail , et n'auraient pas eu celte idée s'ils l'avaient
vait été plus forte que nos suggestions hypnotiques. L'n des derniers travaux de M. (lharcot. ayant pour titre : « La foi qui g
so produire. de faire connaître ses méthodes et les résultats de ses travaux dans une réunion de savants destiner à discuter l
rs d'hommes de sciences nous devons mettre au mieux en évidence notre travail national, notre enseignement, nos savants et nos
s Nancy. L'hypnose comme moyen thérapeutique, tel est le titre d'un travail publié dans les Annales des hôpitaux municipaux d
e n'ai pas eu la peine d'y répondre. D'autre part je ne connais aucun travail allemand qui ait contredit mes conceptions physio
, je dois le reconnaître, une appréciation juste et impartiale de mes travaux . « La France, dit encore l'auteur, est le pays
Verrier dépose sur le bureau une brochure : Or l'hypno-tisme dans le travail de l'accouchement. La contagion du meurtre. P
ui n'ont pas passé par l'école ,le médecine, que la dissection est un travail intellectuel qui n'absorbe pas constamment toute
n peut, en ménie temps, siffler, chauler. Je comparerai volontiers le travail de dissection à celui que fait le peintre ou le s
ure véritablement pntholoffiqae de ces épidémies s été entres ne. 1es travaux d'esquirol. Brtcrre ds Boismoat, Calmcil. prosper
le Panama 1 . ou de leur côté les entrepreneurs se Tout payer pour du travail qu'ils ne font pas : en bas, plus de conscience n
Roane. Xous remettons au prochain numéro I* I« com- pir rendu des travaux de la section de psychiatrie, neurologie et anthr
arée au Muséum d'Histoire naturelle. Georges Pouchel s'élall. par ses travaux biologiques, placé an premier rang des savants fr
dans la section de médecine et de chirurgie. La ii- éuuméraiion des travaux de Brown-Séquard demanderait plusieurs colonnes d
ations suivantes : — M Félix Alran. l'éditeur bien connu de tant de travaux psychologiques vient d'èlre nommé chevalier de la
de la ville et où avaient été installés les services du Congrès, les travaux des sections ont été suivis avec une grande assid
e confrère a raison, car c'est ici, à ln Société, quo doit se faim le travail d'ensemble à la collaboration duquel chneun de no
uniquer à la Société quelques faits, en attendant qu'ils servent à un travail ultérieur que mes malades ne me donneront peut-êt
ouleurs. Son mari conlirmo son dire ; elle ne s'est pas plainte. Le travail a fait peu de progrès. Je dois diner le soir chez
es contractions qui parafaient fortes, mais ne se plaignant pas. Le travail depuis ma dernière visite a fait bien des progrès
éméraire d'entreprendre aujourd'hui une analyse autorisée de tous les travaux de ce savant. Il n'est guère de sujet en physiolo
urager les éludes expérimentales qui devaient consacrer la valeur des travaux de Braid. Aussi n'hésita-t-il pas, pour fixer l'a
me époque, Brown-Séquard prouva qu'il était au courant des différents travaux français et étrangers sur l'hypnose expérimentale
eur du Collège do France. Dans ce rapide exposé de quelques-uns des travaux de Brown-Sequard notre but a été do montrer que,
Tout son temps se passait dans le laboratoire ou dans son cabinei de travail . On tic le voyait dans aucune réunion, si ce n'es
a Société de médecine de Constanlinoplc, une notice sur In vie et les travaux de l'illustre savant, à qui le sultan a fait honn
entre autres. Un homme fort intelligent, neurasthénique par excès de travail intellectuel, avec de vives préoccupations morale
pothêse simpliste, elle anime l'Univers qui nous apparaît toujours en travail d'élaboration dans - son perpétuel enfantement
t lu et adopté. M. le Secrétaire général fait part à la Société des travaux concernant l'hypnotisme qui ont été communiqués à
ertain nombre de membres de la Société d'hypnologie ont pris part aux travaux de cette section qui comprenait également une sou
objection ne fa pas arrêté et il a public le résultat de ce laborieux travail . Pour bien dormir, pour obtenir le plus rapidem
60 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n'avons pas cru devoir rappeler, dans un chapitre d'historique les travaux bien connus de Lasègue, Gubler, Jaccoud, Bour-
t pris de troubles respira- toires qui le forcèrent à suspendre son travail et à s'aliter. Il fut pendant quelques jours dy
l y a deux mois, une nouvelle crise de dyspnée le fit suspendre son travail et garder le lit. Il ne s'est jamais rétabli comp
aires. L'albumine dimi- nue. Le 20 juillet, le malade* est mis au travail . Il a pu travailler régulièrement du 20 juillet
ir le numéro de juin, p. 13. - Le professeur Sommer est l'auteur de travaux intéressants sur : le Siège de l'âme, d'après S
veille; le quatrième il a à s'occuper des corridors, des bains, des travaux de propreté, du transport des aliments. Ce roul
lade, c'est-à-dire en juin,' le père pouvait être sur- mené par les travaux de la fenaison qui exige un labeur considérable
mbre. Lem... apporte beaucoup d'application à la gymnastique et aux travaux de la classe. Il comprend bien ce qu'il lit, éc
de Neurologie, 1902, no, 19 et 20). L'auteur passe en revue dans ce travail toutes les critiques qui ont été dirigées contr
l'idée de mouvement soit renforcée par l'intensité de l'attention : travail pénible entraînant la sensation d'une tension v
e dispose àreprendre la suite du cours. Seulement la persistance du travail intra-cortical s'évanouit dès que le champ de l
à immobiliser les attitudes ; en d'autres termes, la persistance du travail intra-cortical serait en l'espèce très accusée.
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 65 L'auteur a résumé lui-même son intéressant travail dans lès con- clusions suivantes : 1° Les air
(lieu, médicale de la Suisse romande, avril 1902. Le titre de ce travail en indique nettement l'intérêt. Il s'agit de de
e à une neuro-rétinite. Dans l'observation qui fait l'objet de ce travail les troubles visuels concomitants des symptômes
es formes précitées. Dans l'observation qui fait l'objet du présent travail , à un ensemble de symptômes bien nettement myop
au cours de la carie tuberculeuse du rachis ? Dans presque tous les travaux publiés récemment se retrouve une grande comple
ations rapportées par les auteurs viennent à l'appui des principaux travaux publiés sur les paraplégies du mal de Pott et c
herches anatomo- pathologiques et expérimentales. A la suite de ces travaux , di- verses opinions, qui d'ailleurs ne s'exclu
régénérations. Nous nous proposons de préciser ces rapports dans un travail ultérieur. L'Assistance et l'Éducation des En
quement un tabes traumatique. Parles observations relatées dans ce travail il ressort que le traumatisme peut suffire à prod
avons recueillies, mais nous les faisons néanmoins figurer dans ce travail pour permettre aux médecins, désireux d'employer
ormales de celte même région, indiquées par M. Papillault. dans son travail surlasuture métoprque (blémoies cle lcaSozété d
s généraux : nous les avons étu- diées en détail dans notre premier travail , aussi comprendra-t-on que nous n'insistions pa
s après la mort de son petit-fils il fut obligé d'inter- rompre son travail , de s'aliter. Le médecin fut appelé parce que D
nce d'une certaine quantité d'albumine, D... n'a pu u reprendre son travail et les troubles psychiques ont été en s'ac- cro
re des monologues, etc. Il se porte très bien et veut reprendre son travail . Cet état d'excitation persiste pendant la prem
10 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. I. Le traitement de l'épilepsie parle travail manuel et la gymnas- tique ; par le Dr SPRATLIN
difficile; mais il peut être ajouté, et cela est nécessaire, que le travail manuel est le plus grand agent thérapeutique pour
es de l'état de Kew-Jersey, dit que quand vient l'hiver, et que les travaux du dehors cessent, le nombre des accès augmente
ra institué remplacera et sera le supplément des autres formes de travail manuel. L'opinion formulée par les D9 Spratling
e à la réalité. C'est parce qu'il se rendait compte de l'utilité du travail manuel que Ferrus avait créé la ferme Sainte-An
log. en l'espace de cinq à six mois : ils redevinrent ca- pables de travail . On constata néanmoins trois fois le retour des
ption de son appa- reil, dont plusieurs figures qui accompagnent ce travail rendent le mécanisme parfaitement clair. Il. de
n, il 3 a des précautions à prendre : l'enfant est précoce, il a le travail facile, la mémoire complaisante, les parents so
e, les parents sont enchantés de le faire briller et le poussent au travail , ce qui est une faute grave. Le travail intelle
e briller et le poussent au travail, ce qui est une faute grave. Le travail intellectuel doit être léger, simple, et n'entraî
problèmes en faisant appel, dans la plus large mesure possible, aux travaux d'autrui, sans rien aban- donner de mes opinion
re si suggestive des atrophies musculaires progressives, depuis les travaux deDuchenne (de Boulogne), jusqu'à nos jours.
tellectuelle : très laborieuse jusqu'alors elle perdit tout goût au travail ; enfin, appa- rut une anxiété diffuse, une crai
aucoup d'entre eux portent des dénominations détermi- nées. Dans le travail actuel nous voudrions attirer l'attention sur c
obsédantes, sur laquelle nous voudrions nous arêter encore dans ce travail , concerne la peur pathologique du refroidisseme
es de l'article de M. Keraval, nous n'avons pu insérer la fin de ce travail dans le précédent numéro. DÉLIRE ET PETIT BRI
des paroles grossières. Durant cette période d'exacerbation tout travail régulier est difficile : elle coud mal, envoie so
ols, allemands, hollandais et russes étaient venus prendre part aux travaux du Congrès. La France était brillamment représe
Congrès et prédit un grand succès et un grand retentissement à ses travaux , M. Gérard, ministre de France a pris la parole
lques mots les deux ministres du grand intérêt qu'ils portaient aux travaux des congres- sistes ; puis, selon l'usage, il a
ésidence effective du professeur Brissaud, l'assemblée commence ses travaux par la discussion du rapport de M. CLAuss, sur
à la précision des débats. Mais il a fait une synthèse délicate des travaux aujourd'hui nombreux et souvent contradictoires
iantes doctrina- les en cours dans les différents pays. Depuis le travail de Westphall, en 187., il a régné eu Allemagne
e ont paru à certains moments un peu spéculatives, il s'est fait un travail im- mense, qui a eu pour résultat de pousser à
partie à l'école d'ileidel- berg, qui s'est largement inspirée des travaux de Kahlbaum et de Hecker, et dont le représenta
cipaux chapitres. Après un aperçu général historique, rappelant les travaux de l'Ecole française, M. Claus divise les école
n comble toutes les notions que nous avons acquises, et oblige à un travail immense d'observation et d'analyse. N'aurait-il
par More), l'illustre aliéniste français, elle a acquis, grâce aux travaux remarquables de l'Ecole d'Heidelberg, son droit
este, n'ob- serve-t-on pas aussi chez l'homme normal absorbé par un travail intellectuel, ou chez certaines personnes distr
. Mais il faut reconnaître, notamment pour le second groupe, et les travaux de M. Régis sont d'accord sur ce point avec les
d'atypiques par Stoick. Comme l'a écrit M. Coulon, dans son récent travail : « on peut déjà con- cevoir, par la localisati
up adonnée aux soins du ménage ; elle est assez minutieuse dans son travail , elle est stable et assidue. Elle fait très bien
égaiement, elle porte donc sur 50.000 sujets environ. Il résulte du travail de M. Chervin que le bégaiement est beaucoup plus
us musculaire a été dans ces dernières années l'objet de nombreux travaux , l'appréciation de ce tonus-fait maintenant parti
a suite d'une grippe. Impossibi- lité de s'appliquer longtemps à un travail sans déterminer des accès d'angoisse et des sen
cins, neuropathologistes, magistrats, anthropolo- gistes, que leurs travaux amènent à faire une incursion sur le do- maine
quelette chez les eunuques, les femmes et les animaux, auxquels les travaux récents de P. E. Lannois et Pierre Roy sur le g
igation scientifique employés par les écrivains naturalistes. De ce travail il résulte que les qualités de cette école, imp
méthode de Pitres) ; par le Dr Cruchet. Nous ne revenons pas sur ce travail très complet dont il a été très longuement parl
infirmiers ries asiles; Distiactions aux malades ; Rapport sur les travaux du Congrès des aliénistes et neuro- logistes de
otre confrère le considère comme un déséquilibré, incapable de tout travail suivi, vantard, pusillanime et alcoolique avec id
heures. Or, il s'agit d'un ouvrier qui se rend tranquillement à son travail . Interrogé par M. Bertulus, juge d'instruction,
ociation Médico-Psy- chologique de Grande-Bretagne et d'Irlande, un travail dans lequel il recommandait l'établissement de
Elles doivent être capables de se livrer à quelque occupa- tion : travail à l'aiguille, ou avec des perles, vannerie ou b
u dans la ferme et le verger ; les femmes font du blanchissage, des travaux à l'aiguille ou s'occupent des soins du ménage.
tale et d'espérance. De plus, sa santé générale s'améliore et son travail aide à procurer la variété de nourriture qu'il es
criture, arithmétique, chant, récitation, leçons de choses, dessin, travaux à l'aiguille pour les filles, exercices physiqu
essin, travaux à l'aiguille pour les filles, exercices physiques et travaux manuels. C'est là un très bon arrangement car i
i les plus âgés, les garçons appren- nent différents métiers et les travaux du jardin et des champs; les filles apprennent
isine, le blanchissage et l'économie domestique pratique, outre les travaux à l'ai- guille déjà mentionnés. Malgré tout c
propre faute, mais simplement parce qu'ils n'avaient pu obtenir de travail . Il faut espérer que les autorités non seulemen
Chalfont, car la loi permet de faire un tel arrangement. Dans ce travail je n'ai parlé que du traitement des épileptique
dait à la Salpêtrière pour faire de gros ouvrages, entre autres les travaux de salubrité. (l3.) SOCIÉTÉS SAVANTES. XIII"
ues et des épileptiques (B.). 318 SOCIÉTÉS SAVANTES. ses premiers travaux , l'anémie cérébrale dans le sommeil et la conge
années sur l'his- tologie du sommeil. Malgré le haut intérêt de ces travaux , qui pourraient aujourd'hui fournir à de longue
uteur tente de faire un choix, en remontant autant que possible aux travaux primordiaux. Et, de son propre avis, peut-être
es en 1898. Nerf accessoire de 11'illis. Nous avons établi, dans un travail antérieur, que les fibres bulbaires du nerf de
que, chez l'homme normal, même lors- que l'esprit est occupé par un travail intellectuel intense, comme aussi chez les suje
sont destinées, à savoir : 1° une salle d'attente; 2° un cabinet de travail dans lequel il examine tous les malades*. Cet e
us normalement. Mon excellent confrère et ami, le Dr Bert, chef des travaux ana- tomiques a la Faculté de médecine de Lyon,
des agrès; - b) la danse, les rondes ; - c), l'escrime même; ti) le travail manuel; 2° le traitement du gâtisme, les leçons
mesures nécessaires pour envoyer les deux exem- plaires d'usage des travaux du Congres aux journaux de médecine qui, en ins
rnissées, et où sont installés, comme dans un cercle, des salles de travail , des salles de lecture, un salon et une salle à m
e table bibliographique où nous trouvons rénuméra- tion de tous les travaux ayant trait à la psychologie, depuis les articl
uleurs à la tête, qui se mam- l'estaient de temps en temps après le travail intellectuel intensifet de longue durée. En out
ier, sans doute à la suite de la fatigue des yeux, cau- sée par les travaux pratiques à l'institut polytechnique, il se déve-
HOK. Médecin adjoint Interne de l'Asile d'Armentières. Dans des travaux antérieurs : Thèse deLille l90 ? , Mémoires des
de l'oeil dans la paralysie générale et montré leur fréquence. Le travail que nous publions aujourd'hui, nous a paru être
qui touche la moelle, une découverte récente, et l'un des premiers travaux sur cette question est celui de Nonne, qui, sur
(Jo : trM. de Veurolopie, 1902, nez 22). La première partie de ce travail basée sur l'étude clinique de 10 cas de démence
ties sont celles qui sont le plus ordinairement découvertes dans le travail des champs. On observe aussi des plaques foncées
à faire le diagnostic diffé- rentiel avec la paralysie générale. Ce travail se termine par six observations détaillées et i
x. Ii0liEItTSO\ (The Journal of Mental Science. Janvier 1902). Ce travail est le complément de celui que l'auteur a publié
a plupart des asiles néerlandais. Pour les aliénés chroniques, le travail reste toujours le principal sinon l'unique moye
ommes, les infirmiers étant presque exclusivement réservés pour les travaux domestiques. Ajoutons que pour réaliser cette e
ut et favorisé le développement de la station. 11 parle ensuite des travaux des médecins de la station qui ne restaient pas
aujourd'hui. n. « Depuis, les progrès ne se sont pas ralentis. Des travaux incessants ont été accomplis dans ces dernières
sculptés. sur l'une le vieil hospice de la Salpêtrière, le champ de travail de Charcot, et les attributs de la clinique; su
nt du siècle dernier et au commencement de celui-ci, les estimables travaux du professeur Dupré, de Mont- pellier, des D1S
s illustre parmi les médecins du siècle dernier, du savant dont les travaux sur le système nerveux, ont une si haute portée
emblables par l'éducation, par le caractère, par la nature de leurs travaux , l'un vivant dans le pur domaine des spéculatio
is de la bouche du malade, nous apprendre qu'il s'est agi là d'un travail de sclérose conjonctive sans réaction infectieuse
me de la lésion destructive initiale de même que par l'extension du travail phlegmasique originairement déve- loppé au vois
t ici avec la dernière évidence que c'est bien la section et non le travail phlegmasique qui l'a suivi, qui a commandé tout
vec la méfiance, la dissi- ' Nous citerons cependant un intéressant travail deRAGGi.SMooMto dei pa : zi; tl manicomio, tasc
S.On trouve encore quelques indications sur cetie question dans les travaux suivants : Kit%USE. - Ueber Zustkntle von ertCM
es hallucinalions unilatérales est encore discutée ; un remarquable travail de M. Séglas dans les Annales médico-psycliolog
térales. Empruntant la classification exposée par M. Séglas dans un travail antérieure on peut dire : dans le premier il s'
ning (Tlte Ncul-Yoi-1, reécliccal Jozrranl, la février 1902). Ci; travail rappelle les causes ordinaires de l'hémorrhagie c
plus dans les sphères démocratiques, dans les classes qui vivent du travail manuel, que les manifestations en devenaient vari
e dans un asile. Il est rare d'y voir entrer un malade capable d'un travail quelconque; la plupart du temps leur seule et v
cussion : M. Midlleuass, collaborateur de l'auteur dans son premier travail , confirme sur tous les points les opinions émises
ans celui-ci. M. George Robertson, absent, fait donner lecture d'un travail qui ne fait que résumer son travail analysé par
bsent, fait donner lecture d'un travail qui ne fait que résumer son travail analysé par nous ici-même. M. Rhodes, approuve
-J. Morton (The Vew I'orek Médical Journal, 12 avril 1902). Dans ce travail , pourtant assez court, l'auteur aborde des sujets
ants du premier à ? e et les enfants moralement abandonnés. Par ses travaux sur le pellagre et son projet de loi sur le régim
elloizel présentent un sujet de trente ans victime d'un accident du travail à la suite d'une chute grave le 28 juillet 1903
ur l'utilité medico-légale de ce signe en présence des accidents du travail . M. S)CtttD ajoute que si ces signes imposent l
ntre un relèvement immédiat et constant de l'énergie épuisée par un travail précédent. Au contraire chez les neurasthénique
dans la littérature mé- dicale, quoique nous n'ayons pas trouvé des travaux spéciaux, consacrés à cette question, sauf ceux
musicales bien ryth- mées. Ainsi les centres rotandiques entrent en travail d'une ma- nière presque automatique, et par ass
sé T. Borda, chef de clinique de psychiatrie. Buenos-Aires, 1902. Travail très consciencieux et complet basé sur l'étude mé
ainsi. Il touchait au moment où il allait récolter le fruit de se^ travaux ! Dans quelques semaines, le concours d'agrégat
ient s'instruire sous sa direction. Je vous rappelle ses principaux travaux : ses belles études sur le tabès et les cordons
, où il devint rapidement interne des hôpitaux et aussitôt, par ses travaux , avec Bard sur la myocardite interstitielle chron
vocateurs ries accès d ? pa) Feré, 57. Le traitement de l' par le travail manuel et la ym- nastique, par Sprathng, ]t6.
61 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de l'obliga- tion de se tenir longtemps sur ses jambes, de faire un travail . Si le voyageur n'est pas également fatigué, c'
e l'aliénation mentale. A côté de ces notions très justes que les travaux récents ont confirmé tout en les précisant dava
gné à chaque symptôme l'importance qu'il méritait. Aussi, après des travaux si complets, on ne saurait prétendre à la nouve
nt jusqu'au 14 octobre. Ce jour-là, tandis qu'il était occupé à son travail il fut pris d'un vertige plus fort que d'habitu
ique. Donc le diagnostic d'apoplexie hystérique 1 mis en tête de ce travail est pleinement justifié. - Observation VL- Sur
aris, entrecoupé de temps à autre de quelques essais infructueux de travail . La douleur lom- baire se calma peu à peu; seul
augmentant, de telle façon qu'il ne put s'adonner à aucun genre de travail . Con- gédié par son ancien patron et ayant vain
isé à l'établir au premier coup d'oeil. Arrivés à la fin de notre travail , qu'il nous soit permis d'ex- primer une conclu
autres documents figurés qui vont nous être d'un grand secours. Les travaux de M. Paul Girard, ancien élève de l'école d'At
- lacé, comme je l'ai appelé, et l'on sait aujourd'hui, après les travaux de M. le professeur Renaut, de Lyon', que l'oedèm
P. Sérieux. (Bull, de la Soc. de 11féd, ment. de Belgique, 1891.) Travail destiné à mettre en relief les caractères différe
ta- tion, peur, hallucination). Une dernière conclusion dans leur travail est que la quantité d'acétone augmente considér
équation personnelle, c'est-à-dire les différences individuelles du travail mental ou des impressions qui sont dans des lim
yse, etc., etc. On mesure le temps que demande chez chaque sujet ce travail mental à l'aide d'une montre à déclancliement p
années, à propos du délire des persécu- tions, a engendré plusieurs travaux sur le délire chronique. Je crois assez volonti
délire de persécution à évolution chronique. Il rappelle ensuite le travail de MM. Séglas et Londe qui ont démontré qu'elles
W se range à l'avis du professeur Korsakow et invoque à l'appui les travaux de l'uùichum. - Séance du 21 février 1892. M.
I. Des folies diathésiques ; par MM. MABILLE et LALLEMANT. Dans ce travail , riche de faits, qui a valu à leurs auteurs le pr
thri- tisme, à la goutte, aux accidents urémiques, au diabète. Le travail est divisé en quatre grands chapitres : 1° la fol
rincipales de cette connexion et les auteurs citent à leur appui un travail que nous avions communiqué à la société médico-
sera consulté avec intérêt ainsi que celui sur l'obésité. C'est un travail original, auquel les auteurs n'ont pas épargné
dies du système nerveux. Cette histologie est bien décrite dans les travaux d'un certain nombre d'auteurs : de Charcot, de
e temps qu'une certaine excitation de l'activité psychique. Mais le travail forcé et prolongé, amène, au contraire,' une dépr
accompagne d'une sensation de bien-être, de plaisir ; tandis que le travail excessif comme l'inac- tion amène une dépressio
s par- ticulières. Les personnes qui se proposent de participer aux travaux du Congrès de la Rochelle sont priées d'adresse
de Montyel. L'auteur est persuadé que, loin d'être une entrave aux travaux scientifiques, la direction médico-administrati
actif et intelligent peut mener de front et l'administration et les travaux scientifiques, aidé qu'il est par un médecin- a
qui permette de tout combiner pour le bien-être, le traitement, le travail des malades et cela même au grand bénéfice de l'a
enaient subitement tan- dis'qu'il était aux champs, il quittait son travail et courait vers ses parents en proie à une fray
ANDOUZY-DÉJERINE, AVEC AUTOPSIE; Par PAUL BLOCQ et G. MARINESCO. ( Travail du Laboratoire de M. le professeur Charcot.) No
pelle qu'il n'a trouvé de descrip- tion les concernant que dans les travaux d'Oppenheim et Sie- 1 J. Renaut. - Recherches s
s de dégénération des nerfs. Nous rapprocherons l'un de l'autre les travaux qui concer- nent, à notre avis, les mêmes systè
tre les travaux qui concer- nent, à notre avis, les mêmes systèmes, travaux de Langhans2 et de Kopp 3, son élève. Langhans
Nous devons ajouter que presque en môme temps que nous et dans un travail , dont nous n'avons eu connaissance qu'ul- térie
u reste M. Metchnikoff revient sur ses premières assertions dans un travail récemment publié dans la Revue scientifique.
affaiblissement, prostration, insomnie, inappétence, incapacité de travail de tête, de penser, inertie complète, faiblesse e
n septembre, l'audition est revenue telle que la malade reprend ses travaux et ses forces sont à peu près normales. Elle cont
Elle fera pro- chainement, de la part de l'un de nous, l'objet d'un travail spécial. Aussi, nous bornerons-nous ici, à prop
dans zzos BEVUES analytiques, nous publions le résumé de tous les travaux qui paraissent dans les journaux con- sacrés à
liquides et dont nous avons rapporté plusieurs exemples dans notre travail avec M. Bourneville. Avec Canlarano, M. Cristia
on. L'attention, organique, chez l'homme, est apte à accomplir un travail compliqué, à choisir les éléments nerveux exigés
V. DE la paralysie chronique PROGRESSIVE DES MUSCLES DES YEUX, 1 travail posthume de C. WESTPHAL, mis en ordre et publié p
lontpelliel' méd., 1890.) De l'ensemble des faits consignés dans ce travail , l'auteur a cru pouvoir dégager les conclusions
si l'on n'eût rien fait, a pu, pendant dix-huit mois, reprendre son travail et- en tirer profit; il a sans encombre support
ytique se rattachant à la résultante intellectuelle pathologique du travail d'élucubration cérébrale des sensations. Il est
alade de sommeil. Elles surviennent spontanément ou à la suite d'un travail SOCIÉTÉS SAVANTES. 285 pénible ou encore aprè
- fessionnelle, survenant chez des femmes anémiques à la suite de travaux manuels. En tout cas, c'est une maladie des plus
NT CHIRURGICAL DE L'IDIOTIE ' 1 Nous continuons l'exposé résumé des travaux publiés sur le traitement chirurgical de l'idio
et se serait considéré simplement comme un instrument en faisant le travail mécanique indiqué. Le D1' Bremer se fait à lui-
Dr BREMER expliqua que le Dr Tuholske avait été choisi pour lire un travail sur ce sujet, parce qu'il était le seul chirurgie
ou de laloneuroses spasmodiques. ' Il est difficile d'analyser un travail aussi touffu, et où l'auteur a jeté presque à c
nce et appeler l'attention sur eux constitue encore un mérite de ce travail d'ensemble, le plus complet qui ait été encore
i les prix décernés, nous .relevons ceux qui ont été accordés à des travaux sur la pathologie mentale et nerveuse. Pria;
onne pas de résultats, c'est-à-dire si personne ne s'impose par ses travaux , on ouvre un concours avec épreuves. Ce système
un concours avec épreuves. Ce système a l'avantage d'encourager le travail personnel et d'éviter que des hommes de valeur
voir éprouvé des chagrins et travaillé six nuits de suite, en plein travail , le malade est pris, sur son échelle (il peignait
bras pris de faiblesse était tombé à plusieurs reprises pendant, le travail . Aucune cause immédiate; on peut noter cepen- d
es doigts restaient para- lysés. Il se remit à travailler mais d'un travail facile, il mélangeait les couleurs. De temps en
température des pièces de chauffe est de 60 à 80°. Douze heures de travail par jour. Ce métier très pénible altéra un peu sa
, après des pé- riodes de repos, mais chaque fois il dut cesser son travail au bout de quelques jours. C'est il y a quatre
ACAZE, Chef de clinique médicale à la Faculté de Montpellier. Des travaux récents viennent d'établir la présence assez fré-
grande névrose le tremblement n'occupe pas la dernière place. Les travaux de Charcot, de Pitres et de leurs élèves, parmi
immédiatement après l'attaque, le ma- lade ne peut s'occuper de ses travaux agricoles. Des accès se sui- vent toujours à ce
es négations est de date récente : c'est eu effet dans une série de travaux publiés de 1880 à 1888 que Cotard à décrit un t
juillet 1892.) On ne peut que signaler ici ce court mais judicieux travail , qui contient des appréciations justement amère
eur non motivée, troubles du sommeil et de l'appétit, inaptitude du travail , modifications du caractère qui devient soup- ç
ntellectuel serait très précoce. L'auteur termine cet intéressant travail par quelques considéra- tions sur le diagnostic
e Journal of Mental Science, octobre 1892 et janvier 1893.) . Les travaux qui ont été consacrés à la maladie de Huntington
ues dans la paralysie générale. M. LE- FIr.InTaE donne lecture d'un travail statistique d'où il résulte que sur 40 paralyti
Je rappellerai à l'occasion de la communication de M. Lefiliâtre le travail de M. Liondimov paru dernièrement dans le Messa
ns l'écorce cérébrale des paralytiques généraux, et au cours de son travail il a cherché à établir d'une façon aussi précis
- des progrès inces- sants de la science », il évitait de citer les travaux de ceux qui avaient protesté contre ses prétent
ssent-elles servir d'enseignement ! Voici la liste des principaux travaux de M. le professeur Ball : Leçons sur les malad
privés (avec M. Rouillard), 1889; - De 1882 à 1889, AI. Ball a ' Ce travail a été fait en partie avec des observations recuei
n qu'énoncées avec une exal- tation et une volubilité maladives. Ce travail de la pensée, caracté- risé par des association
seconde énumère les faits historiques et passe en revue les divers travaux des savants et des médecins sur cette ques- tio
u directeur-médecin de l'asile et de l'architecte qui a exécuté les travaux . 11 contient tou- tefois des données trop techn
HE-CLAY. D'UN SALAIRE A DONNER aux malades DES asiles EN échange DU travail fourni par eux ; par CHARLES Mercier. (The Jour
n double avantage à obtenir des aliénés internés dans les asiles un travail régulier : avantage pour l'aliéné que le travai
dans les asiles un travail régulier : avantage pour l'aliéné que le travail distrait plus ou moins de ses conceptions délir
vantage pour l'asile, dont on diminue ainsi les charges, lorsque le travail obtenu est un travail utile. Mais beaucoup d'al
dont on diminue ainsi les charges, lorsque le travail obtenu est un travail utile. Mais beaucoup d'aliénés sont réfractaires
est un travail utile. Mais beaucoup d'aliénés sont réfractaires au travail proposé ou imposé ; les plus raisonneurs, sinon
r ces objections et de réveiller ces bonnes volontés en payant - le travail des aliénés, et en le payant d'une façon qui tout
qui tout en res- tant très inférieure à la valeur commerciale de ce travail , lui serait cependant proportionnelle. Il est t
a fait remarquer par la meil- leure conduite' et son application au travail ; L'autre de 70 francs, qui sera remis à l'infi
r « à étudier isolément chacun des groupes symptomatiques; après ce travail préalable, on réunira les fragments et on recom
as entièrement blâmables et nous croyons être utile en résument les travaux qui ont été récemment publiés sur ce sujet par
. 421 générale n'a pas la prétention d'être complète, beaucoup de travaux sans doute nous sont restés inconnus, en outre, p
érêt. Comme quelques-unes de ces études font allusion à nos propres travaux et même adoptent les idées générales que nous a
iques. Celte étude n'a commencé d'une manière précise qu'avec les travaux de M. le professeur Charcot, à la Salpètrière, su
ystériques. Reprenant pour les compléter et les expliquer d'anciens travaux de Brodie 2 et 1 Briquet. - Traité clinique et
- bius. Cet auteur rend hommage de la façon la plus courtoise aux travaux de M. Charcot; il les a, croyons-nous, complétés
aques spéciales qui seront étudiées avec plus de détails dans notre travail sur Les accidents mentaux de l'hystérie. 430 RE
velle conception de l'hystérie 5. On peut peut-être reprocher à ce travail d'être un peu trop schématique, mais il a le gran
et les con- sidère comme caractéristiques de cette maladie. Mais le travail le plus important qui soit venu confirmer nos a
aussi de celles de Benedikt. Nous regrettons de ne pas connaître ce travail . ' A. Pitres.- Leçons cliniques sur l'hystérie
e et écrire; son enfance s'est écoulée à garder les bestiaux ou aux travaux des champs. Mis en apprentissage à quinze ans,
ce les bénéfices que lui donnait sa profession. Malheureusement, le travail se ralentit, et de ce côté, il est complè- teme
uelle il se trouve depuis quatre à cinq ans, par suite du manque de travail . Exanien du malade. - Tète quelque peu soudée a
Journal of Mental Science, janvier 1892.) - Les conclusions de ce travail sont les suivantes : . 1° A doses convenablemen
; par Percy Smith. (The Journal of Mental Science, janvier 1891.) Travail impossible à analyser, puisqu'il serait indispens
à l'origine primitive des symptômes : cette deuxième partie de son travail surtout renferme des vues très ingénieuses. R.
inoris resistentia; ; aussi M. Savage constate-t-il au début de son travail que les con- séquences névropathiques de l'infl
(The Journal of Mental Science, jan- vier et avril 1892.) Dans ce travail étendu et accompagné de planches, M. Turner s'e
l est remis à M. La- chaud, interne des asiles de la Seine, pour un travail fait à Ville- juif, et intitulé : Dissimulation
nt perdus de vue, c'est ce qui est notamment arrivé à Roll dans son travail intitulé : (De la coexistence de la paranoïa orig
il évolue, et que l'on analyse l'activité morbide de la pensée en travail , qu'on en saisisse les éléments aptes à procréer
rience cli- nique. J'ai personnellement lu au sein de la société un travail sur la paranoïa dans lequel j'attribuais une im
ditions de la chorée et de l'athétose ne sont pas élucidées. r Ce travail sérieux ét clair Repose sur un grand nombre d'obs
M. Henschen, professeur à Upsal, déjà avantageusement connu par des travaux antérieurs. De préférence à sa langue maternell
ateur de cette société .savante. Ce premier fascicule est rempli de travaux originaux très -intéressants.. Pour le moment,
ce des sociétés scientifiques dans leur développement. » Les autres travaux sont : « Un cas de pychose consécutive au cholé
62 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Section des enfants nerveux.) Le lendemain de la communication d'un travail intitulé : De l'idiotie avec cachexie pachyderm
l'objet de notre seconde observation. 1 Consulter entre autres les travaux de MM. Walther, Battincourt, Se- rano, Horsley,
r aucun changement sur un masque toujours impassible. L'aptitude au travail sco- laire augmente. Nous avons fait faire to
9, t. X, p. 106, etc. 2 7&<W., 1891, t. XII; p. 34. 3 Ce travail a été communiqué au Congrès des aliénistes el des
nte-Anne), comme aliéné. Pendant son dernier séjour il y aidait aux travaux de ménage, chez le pharmacien de l'établissemen
de au D''Dubuisson une permission sous prétexte d'aller chercher du travail en ville, de façon à s'assurer des moyens d'exi
qu'en soit d'ailleurs la pathogénie. Elles ont été établies par les travaux de L. Clarke, de Charcot, de Joffroy, de Gombau
des recherches expérimentales sur l'animal et passant en revue les travaux sur la question, étudie successive- ment le sym
ée. La guérison a marché régu- lièrement, et le malade a repris son travail . Chez ces deux malades, le temps qui s'est actu
n A. «ALLIS. (The journal of Mental Science, juillet 1894.) Dans ce travail , accompagné de deux plans, l'auteur entre dans
les conclusions de l'expertise, a condamné Je malade à cinq ans de travaux forcés. Gracié peu après, il est aujourd'hui sé
'OE, directeur de l'asile de MitnsLerliiigeii (Thur- govie), lit un travail sur la statistique des décès imputables à l'alc
ussions sont : l'allemand, le français, l'anglais et l'italien. Les travaux du congrès se feront soit dans les séances géné
ile la compréhension du rapport. Quant aux détails du programme des travaux , les membres du comité local donne- ront volont
logie, de Médecine clinique el de Bactériologie publieront : I. Des travaux origi- , naux avec planches et Illustrations. I
Thomas DRAPES. (The Journal of Mental Science, octobre 1894.) Ce travail , très richement documenlé, est accompagné de seiz
rnière revue, j'ai aujourd'hui à parler de nombreux et intéressants travaux , tant en ce qui concerne la physiologie que pou
chariot adoptés par le congrès des électriciens de 1881. Dans un travail paru le 31 juillet 1895 dans la Semaine médicale,
au mois de novembre à la Société fran- çaise d'électrothé1'apie un travail très intéressant sur l'influence de la résistan
certaines conditions instrumentales. M. Huet s'est attaché dans son travail à montrer comment on peut faire varier quelques-
ciée à d'autres médications a été l'objet d'un certain nombre de travaux . Je dois signaler d'abord celui du docteur L.-H
ion feront excuser l'étendue que nous donnons au compte rendu de ce travail , dans certaines parties duquel nous sui- - vron
nous sui- - vrons l'auteur presque pas à pas. Lombroso, dans son travail sur l'Anthropologie criminelle appli- quée, cit
de se corriger, il faut l'enfermer, le condamner si l'on veut à un travail forcé, mais utile pour subvenir à son entretien
'il n'est pas impossible de res- treindre. Mais il veut terminer ce travail de criminologie par quel- ques considérations s
rit. En terminant, l'auteur s'excuse des lacunes que présente son travail ,' et il exprime une fois de plus l'espoir de voir
agréable au lecteur de nous voir rendre compte un peu longuement du travail de M. Ireland. L'auteur déclare tout d'abord qu
York Médical journal, 27 juillet 1893.) Les points principaux de ce travail sont relatifs à l'utilité du diagnostic différe
par John EusTACE. (The Journal of mental science, octobre 1894.) Travail intéressant et bien documenté, mais que nous devo
rtout un intérêt local; aussi devons-nous nous borner à signaler ce travail à ceux de nos lecteurs qui s'intéressent spécia
fred W. C.amBELL. (The Journal of mental Science, avril 1894.) Ce travail est basé sur l'étude de douze cas intéressants :
ERNON CHAP : .IAN. (The Journal of mental Science, juillet 1894.) Travail intéressant, très largement documenté, concernant
aladie somatique modifie la maladie mentale. L'idée fondamentale du travail des deux auteurs est qu'il ne fau- drait pas se
ou tel symptôme de la maladie dite « confusion mentale ». C'est un travail d'analyse très intéressant; mais la synthèse ma
nt à l'Asile de Villejuif,. Nous avons cherclié à montrer, dans des travaux anté- rieurs', que l'organisation du service mé
oit souvent, par des occupations tout à fait étrangères, telles que travaux pratiques de dissec- tion, de médecine opératoi
oint terminé leurs études, d'une importance capitale (en raison des travaux pratiques obligatoires, des examens). Aussi ass
ls seraient devenus d'habiles ouvriers ? Comment qualifierait-on ce travail de Pénélope ? ' ? l'internat DES asiles d'alién
études médicales, et par suite préoccupés par leurs examens, leurs travaux pratiques, voire même la préparation d'autres c
es de l'Académie de médecine de Belgique, XIV, fasc. 2, 1895.) Ce travail , basé sur 160 observations personnelles, ne const
marquée la dégé- nérescence partielle. » Ainsi après l'examen des travaux que nous venons de citer concernant l'objet qui
THÉRAPEUTIQUE. PHARMACOLOGIE DU CORPS THYROÏDE; , Par M. YVON, ( Travail du laboratoire de thérapeutique de la Clinique de
chives de Neurologie, 1896, n° 1, p. 1 ; Progrès méd., 1896, p. 66, travaux où sont rappelées un certain nombre d'indicatio
he complète en jet en éventail (30") tous les jours, gymnastique et travaux manuels, travail intellectuel à heure fixe, trait
t en éventail (30") tous les jours, gymnastique et travaux manuels, travail intellectuel à heure fixe, traitement moral. -
it habitué à son nouveau genre de vie. Il fut aussitôt, soumis à un travail régulier. liai. Même traitement. Nous constaton
Camille travaille à heure fixe, il s'occupe au jardi- nage et à des travaux de terrassement. Il a fallu insister beaucoup p
n sans demander la permission. Fait preuve de persévérance dans son travail . Ne laisse plus un travail inachevé. Beaucoup p
on. Fait preuve de persévérance dans son travail. Ne laisse plus un travail inachevé. Beaucoup plus sociable, joue sans dis-
ons pu lire ses bulletins trimestriels, ils fournissent tous sur le travail de Camille de bonnes notes, et ne se plaignent
reusement pour nous, qui ne pouvons reproduire ici les planches, le travail de M. Fraser renvoie presque à chaque paragraph
ions subies parle système nerveux des vieillards ont été l'objet de travaux assez nombreux, mais elles n'ont guère été étud
système nerveux central. L'auteur rappelle et résume au début de ce travail les diverses théories physiologiques qui ont été
moelle paraît saine du moins à l'oeil nu. Une planche accompagne ce travail et montre troi. aspects de ce cerveau. H. M. C.
pent à l'analyse. Les observations de M. Peterson qui terminent ce travail ont surtout trait à l'historique du sujet et aux
York Médical Journal, 10 novembre 1894; 12 janvier 1895.) Dans un travail antérieur, publié il y a deux ans, M. Phelps av
ers la surface des projections verruqueuses. Sous l'influence de ce travail il est naturel que des cellules épithéliales se
BULLEN. (The Journal of mental science, avril 1895.) L'objet de ce travail est de présenter quelques-unes des vues les plu
ns le 'trajet où elles sont justement séparées des fibres optiques. Travaux -sur ce segment de Gudden, Darkschewitsch, Flec
dée d'une diminution des fonctions, d'une réduction de l'énergie du travail fonctionnel. P. KERAVAL. XXX. Contribution A la
Moreau ET Charpentier. M. P. Moreau passe en revue les principaux travaux de la So- ciété, au cours de l'année écoulée et
prématurément loin de tout centre « d'études, privé de toutmoyen de travail scientifique (bibliothèque, « laboratoire, etc.
ablement les critiques que nous nous sommes permis d'émettre ? Le travail très intéressant de M. P. Sérieux mérite d'attire
la question. Il a rédigé un questionnaire très complet d'après les travaux de G. Brandes : Idiotie et asiles d'idiots; d'A
e dortoir des enfants et prennent leur repas avec ces derniers. Les travaux de couture, de jardinage de cuisine, font parti
r 10) ; les enfants doivent y être conduits après l'école, après le travail et après chaque repas 1. Dans les dortoirs et d
très multipliés. VARIA. 253 emploie de préférence les enfants aux travaux des champs. En 1894, on a compté, en moyenne, p
dans un asile en cas d'in- curabilité. On cherche à leur trouver du travail , autant que possible dans les environs de l'asi
veillance d'un infirmier. - Le règlement de l'asile est annexé au travail . (Krayatsch. Visite des asiles d'idiots d'Allemag
donnerie, de vannerie ; ils s'occupent égale- 254 VARIA. ment aux travaux agricoles et aux soins du ménage. Les ateliers,
gislation; rapporteur, M. Paul Garnier. IL Lectures, présentations, travaux divers. III. Excursions, visite de l'Institut a
Jean-de-Dieu dont il devint le médecin-directeur en 1887. Parmi ses travaux nous signalerons une communication au Congrès m
decin-adjoint des Asiles publics d'aliénés. Depuis les intéressants travaux d'Elleaume (Essai sur les causes de mort subite
est dans la moelle plutôt que dans le cerveau. L'auteur termine son travail par quel- ques considérations sur le traitement
) L'auteur formule en ces termes les conclusions générales de son travail : 1° tout ce que nous savons sur la pathogénie de
urnal, 27 avril 189 : i.) Nous résumons les points principaux de ce travail . Les abcès du cerveau ne sont pas aussi rares q
emblements. De seize à dix-huit ans, sans être lui-même occupé à ce travail , il est employé dans une maison de nickelage et
s, et la variabilité des réflexes tendineux. L'auteur termine son travail par le résumé de quatre observations Archives,
e, surtout avec grandes attaques comme ici. Elude com- parative des travaux de Mathieu (polyurie hystérique in Revue Neurol
C'est contre cette lacune de la loi que s'élève M. Derode. Dans son travail , il s'efforce de prouver que l'interven- tion d
la mémoire. M. JaN\ET. - Un auteur anglais, Mayer, qui a publié un travail sur la mémoire, désigne le phénomène du nom de
et des indigents, etc. Il occupe une place importante dans tous les travaux des auteurs qui se préoccupent du placement, de l
en France, il devient très difficile de rendre utilement compte des travaux de ce genre ; nous nous bornerons donc à reprod
hommes dans un asile de femmes et vice versa (lingerie, cuisine, travaux divers; 4° de l'impossibilité où l'on serait de r
bsence de mur extérieur et intérieur, développement considérable du travail , portes et fenêtres ouvertes, visites à volonté
tains sujets ayant dépassé ce dernier âge ; on les utilise pour les travaux agricoles et dans les nom- breux ateliers (de t
d'aliénés. rie, de brosserie, etc.). Les filles sont employées aux travaux du ménage, à la buanderie. Deux cents enfants s
paralysie spinale aiguë ou de l'atrophie musculaire progressive. Ce travail se termine par l'observation d'un malade attein
oins que les auteurs ne s'engagent à en supporter les frais. Au cun travail , déjà imprimé ailleurs, ne pourrait être communiq
'fIOLOGIQUL : DE L'OEDÈME BLEU; Par le D A. ALELEKOFF, de Moscou. Travail fait au laboratoire DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND.
, l'épaississement de ces dernières correspond à cette surcharge de travail qu'elles sont obligées de suppor- ter. La lésio
e, M. le professeur Raymond, pour l'intérêt qu'il a montré pour mon travail et pour l'hospitalité qu'il m'a donnée dans son
es hommes qu'elle avait soudoyés. Elle fut condamnée à vingt ans de travaux forcés, et ses complices condamnés à mort. Or,
C'est contre cette lacune de la loi que s'élève M. Derode dans son travail ; il s'efforce de prouver que l'intervention de la
nce, octobre 1894.) Après avoir résumé, au début de son intéressant travail , l'his- torique de la question, et rappelé les
intéressant travail, l'his- torique de la question, et rappelé les travaux de Lasègue, Jules Falret, Magnan, Morel, Ballet
n'ont ici que la valeur d'une confirmation. Sur le second point, le travail de M. Bondurant vient à l'appni de l'opinion gé
suivantes que nous fournit l'auteur lui-même : « Mon but dans ce travail a été de démontrer que la paralysie générale n'
de pathologie mentale qui ne peuvent guère être éclairés que par un travail collectif. R. M.-C. XXXIV. SUR l'augmentation D
Les conclusions de l'auteur sont les suivantes; elles résument son travail : La loi demande à savoir à quel moment une per
t-C. Bristowe. (The Journal of Mental Scéezzce, julllet 9895.) Ce travail est le complément de celui que l'auteur a publié
-dire l'expérience. De quelle manière et en quel lieu s'effectue le travail mental correspondant aux mouvements acquis par
organisme et préparait son terrain, manifestant seulement son sourd travail par les troubles cérébraux et nerveux. (Annales
sseur BERNHARDT. (Revue neurologique, novembre 1895.) a propos du travail d'Escat, paru dans le n° 20 de la Revue nou- 1"
scou que le leur avril 1895, par con- séquent après l'apparition du travail de l'auleur. Bien que l'affection soit locale,
pinaux, unipolaire, n'est qu'une apparence, comme en témoignent les travaux de Cajal, Lenhossek, van Gehuchten ; 384 REVUE
I. Encore une RRM.41SQUE au PROFESSEUR FLECBSIG. relativement A son travail sur UN nouveau principe DE division 01<, la SU
e, augmenter son autorité, lui gagner la confiance des malades. Les travaux mécani- ques seront confiés a des infirmiers en
une longue revue générale de l'hystérie, telle que l'ont faite les travaux de Charcot et de ses élèves, y compris la psycho-
ine cultural se trouve un bâtiment où logent 60 malades occupés aux travaux agricoles. Le domaine varia. 411 cultural a u
18 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. pathologie nerveuse que nous devons à des travaux relative- ment plus anciens. - S'il existe un
r y insister ici. 2° Des prolongements protoplasmiques que dans les travaux récents on nomme dendrites1. Ces prolongements
es fibrillaires jusqu'à un certain point. (Rappelons à ce sujet les travaux de Benda.) Dès lors il n'y a rien d'extraordina
oins destructives : ce sont celles que nous avons regardées dans le travail précédemment cité, d'après les observations des
ague, mais elle est néces- saire dans notre ignorance actuelle. ' Travail en collaboration avec le Dr Azoulay. (.1t,eh. de
ues', 1, mais on est encore loin d'avoir tout dit sur ce sujet. 1 Travaux de Tuczek, de Marie, de Joffroy, etc. Voir aussi
des lésions qu'il a observées et d'ailleurs sans s'inspirer de nos travaux avec M. Durante. On peut donc dire que les dégé
, pense qu'on ne peut pas encore tirer de conclusions formelles des travaux sur cette question. Nous partageons cette maniè
que, en d'autres termes, elle est cellulipète. Mais, après quelques travaux publiés sur ce sujet, il en faudra encore beauc
ernières années, ont été l'objet, durant cette période, de nombreux travaux . Elles ont d'abord été étudiées séparé- ment. P
ZZ1NI. (Neurolog. Centl·albl., XIV, 1895.) u Etude critique des travaux récents, de laquelle l'auteur déduit que : il n
tive persistante (bien qu'inégale dans ses. résultats) en face d'un travail de dissociation mentale, REVUE DE PATHOLOGIE ME
être des substances qui se produisent dans l'organismedébilitéparun travail excessif du système nerveux. La forme anatomiqu
l'asile de Maré- ville, Nancy. (Imprimerie A. Nicolle, Nancy.) Le travail inaugural de AI. le Dr Santenoise indique chez so
de l'auto-intoxication dans les maladies mentales, conclusions d'un travail d'une logique presque mathématique et qui se ré
r son ignorabimus. » Bien qu'arrivant à une conclusion négative, ce travail a une réelle valeur, puisqu'il remet au point u
63 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
de 1903 (p. XIV), continue do s'amé-liorer. Il est moins timide ; son travail à la classe est bon ; il n'y a guère que pour cal
ises; et lorsqu'on veut lui faire une observation ou exiger de lui un travail qui lui déplaît soit à l'atelier, soit au dessin
s'est considérable-ment amélioré au point de vue de la conduite et du travail . Il était auparavant grincheux, hargneux, irritab
st beaucoup plus gai qu'autrefois et il joue moins brutalement. Son travail en classe était mauvais. Il n'avait aucune per-sé
oit sans récriminer les observations, et recommence plusieurs fois un travail mal fait ou un problème faux. Est employé actuel-
ires. A l'atelier des tailleurs son patron n'est pas mécontent de son travail . Malheureusement les accès sont assez fréquents.
pose assez bien, lait les corrodions et a un goût particulier pour le travail a la machine (minerve) dont il a appris à se serv
,), 18 ans. Progrès très sensibles au point de vue du caractère et du travail manuel. Il étaiD autrefois fantasque, grossier, o
ux ou trois jours qui précèdent l'accès mensuel. Au point de vue du travail (Menuiserie), il est devenu très courageux. Il pr
race son bois, le découpe, en assemble les par-ties et finit seul son travail en montrant beaucoup de goût. Pourrait être placé
y a nécessité de suspendre complète-ment les exercices scolaires, le travail manuel, la gymnastique, etc. D'autres fois, ils p
a géométrie est enseignée aux jeunes garçons qui suivent les cours de travail manuel. Le cours de dessin d'art est également su
ustes, les plantes portent des étiquettes nominatives, s'ajou-tent le travail manuel dans les ateliers, les exercices physiques
mémoire, de l'activité intellectuelle, l'inaptitude non seulement au travail scolaire mais aussi au travail manuel, l'indiffé-
ctuelle, l'inaptitude non seulement au travail scolaire mais aussi au travail manuel, l'indiffé-rence aux jeux; la tendance à l
yons sur les conséquences quotidiennes de l'onanisme, apathie pour le travail , et ultérieurement: spèrmatorrhée, impuissance, d
tés à la gymnastique (mouvements, agrès), à la danse, à l'escrime, au travail manuel, soit dans les ateliers, soit dans les jar
tats obtenus par eux en 1901 et qui se chiffrent par 21.731 fr. Les travaux de jardinage seuls ne sont pas évalués, et comme
'en avoir tout au moins une évaluation approximative. Évaluation du travail . . , NOMUIÌE ANNEES. Travail évalue d'appre
ation approximative. Évaluation du travail. . , NOMUIÌE ANNEES. Travail évalue d'apprentis 1884 .....................
: Palmarès. Diplômes, etc. — Feuilles d'Alphabet pour les classes. — Travaux divers pour les hôpitaux, pour la Société Amicale
travailler ni à l'école, ni à l'atelier. Lorsqu'ils ont des accès, le travail est momentanément suspendu; les autres enfants so
; que celle-ci ne se rend pas compte de l'importance thérapeutique du travail ; qu'elle n'intervient pas auprès des malados ci c
font perdre à un groupe, plus ou moins nombreux, une demi-journée de travail . Administrative-mont, après avoir douté de la p
ique abusivedes couvents, doivent fournir réguliè-rement une somme de travail fixe. Et on y tend administrativement, car on vou
y tend administrativement, car on voudrait leur faire faire tous les travaux d'entretien de la section, oubliant qu'il s'agit
it primer dans un service comme le nôtre, c'est l'influence morale du travail , qui est l'adjuvant du travail scolaire, des exer
le nôtre, c'est l'influence morale du travail, qui est l'adjuvant du travail scolaire, des exercices physiques, du traitement
t pas à dédaigner. Les enfants eux-mêmes sont heureux devoir que leur travail est productif, qu'il se traduit par des résultats
pas interrompre leur apprentissage et de ne pas perdre le bénéfice du travail des enfants. Nous renouvelons notre récla-mation.
ice à fi heures du matin, à été très préjudiciable, en ce sans que le travail qu'il donnaient de la à 10 heures incombe au serv
e do jour qui n'a pas été augmenté dans la proportion qu'exi-geait le travail . La distinction en soignait [s et hommes de peine
ioration notable sous tous les rapports. Imbécillité et épilepsie — Travail . .. (Georgette), 8 ans. — A son entrée le 28 mars
ctuel. —Elle aime faire le ménage, se. rend utile dans les différents travaux de la maison; elle est très propre et très minuti
le but de consolider sa guérison. L'hydrothérapie, la gymnastique, le travail manuel continuent. L'amélioration notable acqui
le commencement de la Fondation est venu s'ajouter la buanderie. Les travaux , commen-cés le 7 avril , ont été terminés le 16 j
e elle a fonctionné régulièrement comme les deux anciens ateliers. Le travail , évalué par M. Maupré, économe do Bicêtre, d'aprè
onnaissances pratiques de nos malades, donner plus de variété à leurs travaux de couture et de repassage, nous avons autorisé l
objets de toilette, bien entendu en dehors des heures régulières de travail . Le travail, de ce fait, qui n'occasionne pas de
ilette, bien entendu en dehors des heures régulières de travail. Le travail , de ce fait, qui n'occasionne pas de surmenage, q
mois par mois le nombre des apprenties régulières et l'évaluation du travail . Les salaires des maîtresses de couture et de r
ur les trois maîtresses : 4.750 fr.. L'évaluation, à prix réduits, du travail des enfants, faite par M. l'économe, s'élève à 3.
ibles, mais ils prendront une part, plus ou moins importante, dans le travail commun, et un certain nombre d'entre eux en viend
ir scientifique, de citer ou même de faire la moin-dre allusion à nos travaux sur la création des classes spéciales et, allant
exercices en commun de gymnastique, de chant, de danse, continuent ce travail de développement. A la grande école, où l'enfan
ntes, le temps qu'il faudra (loin d'être le même pour tous). L'âge du travail manuel est arrivé. Le garçon aura à choisir entre
r son matériel d'en-seignement ou améliorer ses méthodes. Devant ce travail essentiellement laïque, devant tous ces dévouemen
e m e n t s par la loi du 28 j u i n 1904. 2° Morlaix 5 10 1 6 22 Travail a u t a n t que possible à l'air libre. Promenade
(Hte) (St-Dizier) 10 9 7 26 Essais de l e c t u r e et écriture, travaux de cult u r c . Mayenne (La Rochc-G andon)
t i e r spécial demandé. Tarn (Albi) 6 2 2 1 11 Balnéation et travail agricole. Tarn-et-Garon. (Montauban) Néant.
es enfants prennent une part plus active aux exercices physiques, aux travaux manuels, aux soins domestiques; elles s'édu-quent
le calcul. Elle leur apprenait aussi la couture et à faire de petits travaux de dames. Elles viennent à Cler-mont prendre des
serait fort utile de faire certains Bourneville, Bicètre, 1904. 2 travaux et constructions pour lesquels M. l'Architecte dé
négligée par suite de crises épilepliques, a repris des habitudes de travail , d'ordre et a fait des progrès rapides. L'autre
oncerne les filles, une surveillante qui s'efforce de les occuper anx travaux les plus élémentaires du ménage, quand elles ont
t sans motif. Juin. — L'enfant apporte de moins en moins de goût au travail . Il devient niais dans ses conversations. Il dema
., 4 cent., circonf., G. Testicules toujours à l'anneau. Juin. — Le travail devient de plus en plus mauvais en classe et la t
prononcé. Le corps s'incline de plus en plus, B.... incapable de tout travail , n'arrive plus à reconnaî-tre ni son chemin, ni s
tives d'avortement. — Accouchement à terme, naturel, sommet, après un travail de deux heures. Liquide amnotique en moyenne quan
tie et des spé-cimens anatomo-pathologiqucs de toutes les idioties. Travaux scientifiques faits dans le service. (Thèses et
. 1880. Bourneville. — Contribution ;i l'élude de l'idiotie. — Ce travail comprend deux parties, dont la seconde a été fait
II. Enseignement professionnel................... li Évaluation du travail des enfants......... Lit Enumeration des produi
es enfants nerveux et arriérés............................... 153 Travaux scientiliques faits dans le service 155 Liste d
64 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
'assez bonnes notions sur la musique. Est apprenti tailleur, et son travail , à l'atelier comme à la classe, est satisfaisant.
omme très améliorés ont continué à suivre une marche ascendante; le travail scolaire a été bon pendant toute l'année et les
ère s'est modifié favorablement, il est plus docile, plus poli; son travail s'en ressent; il lit couramment et comprend ce
ondait que par oui et non aux questions que nous lui adressions. Le travail , les jeux le laissaient indif- férent. Craintif
, d'améliorer l'éducation de leur main, de fixer leur attention. Ce travail n'est pour ces enfants qu'un moyen d'éducation.
éométrique est enseigné aux jeunes garçons qui suivent les cours de travail manuel, tel que bois, fer, etc. Le cours de des
Sa conduite depuis lors est satisfaisante. Il en est de même de son travail . 2° l3ric ? âgé de 15 ans. - Epilepsie. - Entré
uvaise humeur persistant des journées entières. Pendant ce temps le travail en classe était nul ou à peu près. Malgré de do
t le inonde, même au maître. Peu à peu cependant, il reprit goût au travail , voulait toujours être en train de travailler,
et de mau- vaise humeur sont devenus de plus en plus espacés, le travail s'est maintenu et; l'enfant a obtenu le certifica
xpression grossière, est toujours poli et a une bonne conduite. Son travail en classe est régu- lier et en progrès. Il ai m
ée a bien se tenir ayant cepen- dant quelques légères rechutes. Son travail a l'atelier est satisfaisant et son patron est
Bon caractère, bonne tenue, attentif en classe; il comprend que le travail est un devoir. Notions du juste et de l'injuste
naissances. Ses devoirs écrits sont toujours bien faits. Il aime le travail en classe et au dehors, Bon caractère ; obéissa
i par comprendre que son intérêt était de se mettre sérieusement au travail . Ne sachant lien sous le rapport classique, les
la conversation devint enjouée et le malade se mit sérieusement au travail . ltiout.... lit couramment ; a une bonne écritu
, les plantes portent des étiquettes nominatives, s'ajou- tent le travail manuel dans les ateliers, les exercices physiqu
oire, de l'activité intellectuelle, l'inaptitude non seulement au travail scolaire mais aussi au travail manuel, l'indiffé-
uelle, l'inaptitude non seulement au travail scolaire mais aussi au travail manuel, l'indiffé- rence aux jeux; la tendance
sur les conséquences quotidiennes de l'onanisme, apathie pour le travail , et ultérieurement : spermatorrhée, impuissance
et, l'art. 9 dit que le médecin désigne seul les aliénés pour les travaux et les exercices auxquels ils peuvent être occu
s à la gymnastique (mouvements, agrès), la danse, à l'escrime, au travail manuel, soit dans les ateliers, soit dans les j
la réfec- tion de la cour des classes (repiquage et bitume); les travaux du tout à l'égout, la réfection de tous les cabi-
ure des réfectoires de la grande et de la petite écoles. Tous ces travaux , bien que très avancés, ne sont pas encore term
btenus par eux en 1903 et qui se chiffrent par 23.790 fr. 20. Les travaux de jardinage seuls ne sont pas évalués, et comm
proximative . Les sept maîtres, non compris le jardinier, dont le travail de ses apprentis et le sien dépassent assurément
6 fr. 50 par jour, soit pour l'année 16.607 fr. 50. Évaluation DU travail . Enseignement professionnel. LXIX if Produi
Palmarès. Diplômes, etc. - Feuilles d'Alphabet pour les classes. Travaux divers pour les hôpitaux, pour la Société Amicale
du Personnel hospitalier de l'A. P., etc., eto.. LXX Évaluation DU travail des enfants. Le Travail des enfants, évalué par
de l'A. P., etc., eto.. LXX Évaluation DU travail des enfants. Le Travail des enfants, évalué par l'économe, M. MAuPRÉ, e
les résultats éco- nomiques de l'enseignement professionnel et du travail accompli, au point de vue pratique, nous avons
availler ni à l'école, ni à l'atelier. Lorsqu'ils ont des accès, le travail est momentanément suspendu; les autres enfants
ice ou dans Paris, promenades qui font perdre une demi-journée de travail . Administrativement, après avoir douté de la po
abusive des couvents, doivent fournir réguliè- rement une somme de travail fixe. Et on y tend administrativement, car on v
end administrativement, car on voudrait leur faire faire tous les travaux d'entretien de la section, oubliant qu'il s'agi
ce qui doit primer dans notre service, c'est l'influence morale du travail , qui est l'adjuvant du travail scolaire, des ex
service, c'est l'influence morale du travail, qui est l'adjuvant du travail scolaire, des exercices physi- ques, dutraiteme
s à dédaigner. Les enfants eux- mêmes sont heureux de voir que leur travail est pro- ductif, qu'il se traduit par des résul
ù ils restent désoeuvrés au grand détriment de leur santé, car le travail est l'un des meilleurs modes de traitement, et
interrompre leur apprentissage et de ne pas perdre le bénéfice du travail des enfants. Nous renouvelons notre récla- mati
nir une bonne coutu- rière. Elle est également habile pour certains travaux ma- nuels qu'elleconfectionne avec goût. Elle r
ouvements, y est devenue très agile. Elle se livre avec plaisir aux travaux de couture, s'y prend bien cl.,n'est. pas malad
es chanson- nettes. - Elle s'applique bien il l'ouvroir, aime les travaux à l'aiguille, on la voit confectionner des effe
et se déshabillait avec lenteur. Elle n'avait aucun goût pour les travaux de couture, ni aucune notion de la gymnastique
ers que nous possédons ont continué à fonctionner régulièrement. Le travail , évalué par M. Maupré, économe de Bicêtre, d'ap
aissances pratiques de nos malades, donner plus de variétés à leurs travaux de couture et de repassage, nous avons autorisé
objets de toilette, bien entendu en dehors des heures régulières de travail . Le travail, de ce fait, ne rentre pas naturell
ilette, bien entendu en dehors des heures régulières de travail. Le travail , de ce fait, ne rentre pas naturellement non pl
ois par mois le nombre des apprenties régulières et l'évaluation du travail . , C.XIY VISITES, CONGÉS. enfants, a été le
e de 1.Ij'2S fr.. ? i l'on ajoute à ce chiffre celui du bénéfice du travail professionnel soit 3.i'17 fr., on voit que nous
neuf. Enfin, rappelons qu'en raison des modifications des heures de travail du personnel de jour et du personnel de nuit, i
nécessité de suspendre complètement les exercices sco- laires, le travail manuel, la gymnastique, etc. D'autres fois ils
qu'on émet devant eux la possibilité de les faire parler ? (1) Ce travail a paru dans les Archives de neurologie, en 1895,
des exercices d'imitation. C'est encore là un moy- en de varier le travail et de prévenir la lassitude chez le sujet. Ces
'amuser notre idiot, qui suit souvent. avec tant d'indifférence, un travail qui lui semble inutile, (Ftg.16) Comme applic
qui lui semble inutile, (Ftg.16) Comme application des notions du travail précé- dent, nous avions fait composer par l'im
ximum il la fois; ils seront soumis à la même discipline et au même travail que notre personnel ; ils ne recevront aucun tr
aché au service et mis à la disposition de la surveillante pour les travaux de pro- preté. Le matériel scolaire devra êtr
t, un peu déroutées au début et n'étant pas habituées à la somme de travail qu'accomplit de bonne volonté, notre personnel,
tre but, aujourd'hui, n'est pas de les uti- liser tous, de faire un travail d'ensemble, mais d'en détacher un chapitre spéc
ée. Les neurologistes l'ont étudiée, il leur tour, dans de nombreux travaux qui pourraient faire l'objet d'une thèse ou d'u
en état de tra- vailler dans une certaine mesure, doivent donner ce travail , con- tre une rémunération déterminée, à la Mai
ction de la peau. Il y a six ans, douleur sciatique à la suite d'un travail dans un lieu humide. Alcoolisme invé- téré, plu
rs moment -s ? - .lccouc/iemeni à terme. Présentation du sommet. Le travail aurait duré 2 jours ? ? Asphyxie de l'enfant. P
bibliographiques que nous avons données, à la fin de nos précédents travaux , nous ajouterons la suivante : Fennell (C.-11.)
antile est trop connue pour que nous la donnions de nouveau dans ce travail que nous avons hâte de terminer. Nous ne rappel
nue de s'accroître, en dehors de tout traitement. En terminant ce travail , nous croyons devoir nous excuser auprès de nos
sont perverties, la manie du vol s'est accusée progressivement. Le travail scolaire qui avait été productif est devenu sta
mois et demi. Accouchement à terme naturel, par le sommet; durée du travail , six heures; pas de chloroforme; quantité des e
tement classique (polybromures, hygiène, douches, vie au grand air, travail manuel, etc.) qui produit des résultats supérie
einte à cause de a famille. L'accou- cément ut naturel, la durée du travail ne dépassa guère 4 heures, la présentation étai
des cas de myxoedème qui ont été ou sont encore dans le service. Travaux scientifiques faits dans le service. (Thèses et
). 1880. BOURNEVILLE. - Contribution l'étude de l'idiotie. - Ce travail comprend deux parties, dont la seconde a été fait
ORLOT (E.). - Sur une forme grave de l'épilepsie. Thèse de Paris. Travaux faits dans LE SERVICE. 329 CouLBAUT (G.). Des l
Paris. GOTTSCHALK (A.). - Valeur de l'influence de la consan- 330 Travaux faits dans LE SERVICE. guinité sur la productio
aris. 1897. BOYER (Joseph). - Éducation du sens musculaire chez Travaux faits dans LE service. 331 l'idiot. (Prix Belho
s toxiques produits par l'éosinate de sodium. Thèse de Paris. 332 Travaux faits dans LE service. GILLET (Th.). - Étude du
I. Enseignement professionnel................... LXVI Évaluation du travail des enfants........ LXVII Énumération des produ
i- sés et traités dans le service 325 346 -Table' des matières. Travaux scientifiques faits dans le ser- BOURNEVILLE, B
65 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
875, résumées dans la thèse de M. le D, Patliault, 1875. Revues des travaux publiés sur le bromure de camphre (Pi,og ? -. z
sans accidents particuliers. Le traitement, outre les douches, les travaux scolaires et manuels et la gymnastique a contin
n paraît un peu large et permet facilement l'entrée de l'index. Son travail , son activité et sa tenue ne laissent rien à dési
des hommes. Elle aime les jeux bruyants, est très adroite pour les travaux manuels, sait faire marcher la machine à coudre
de son âge, est serviable. C'est l'une des plus t avancées pour le travail manuel. Cette amélioration du caractère · coïnc
volontiers` à la moindre invitation. Pour tout ce qui concerne les travaux de repassage et à l'aiguille elle est très adroit
er l'enfant ; les mouvements étaient modérés. Accouchement à terme, travail assez long, l'enfant est venue toute noire, tu
Juin. Les vertiges diminuent. De Mich... a assez de goût pour les travaux scolaires. Elle n'est maladroite ni pour la cou-
ble. On peut s'en rendre compte, en étudiant son influence sur le travail avec l'ergographe de Mosso. Comme dans les expé-
tat normal, une première série faite après repos complet donne un travail de 22 à 23 kilogrammètres et que 9 séries succe
ail de 22 à 23 kilogrammètres et que 9 séries succesives donnent un travail total de 143 à 150 kilogram- mètres, la dernièr
Loc. cil., p. 5. ' Ch. Féré, Note sur l'influence de l'opium sur le travail (Cf. Soc. de Biologie, 1901. p. 725]. Note sur
1. p. G31).. 6 Ch. Féré. L'influence de l'alcool et du tabac sur le travail (drch. de Neurologie, 1901, 2° série, t. XII, p
p. 372). 24' PHI810LOGIE.... Expérience 1. Cinq minutes avant le travail , on prend une pilule fraîche de 0 gr. 25 d'extr
rd ensuite de la durée, puis disparaît tout à fait dès le début. Le travail total des neuf séries d'ergo- grammes après avo
ue, les doses croissant toujonrs : avec 25 centigrammes, on a eu un travail total de 111 kg. 054; avec 50 centigrammes, un
, on a eu un travail total de 111 kg. 054; avec 50 centigrammes, un travail total de 114 kg. 55; avec 75 centigrammes, un t
tigrammes, un travail total de 114 kg. 55; avec 75 centigrammes, un travail total de 197 Icg..49; avec un gramme, un travai
5 centigrammes, un travail total de 197 Icg..49; avec un gramme, un travail total de 89 kg. 85; avec 2 grammes ; un travail
avec un gramme, un travail total de 89 kg. 85; avec 2 grammes ; un travail total de 76 kg. 14; avec 3 gram- mes, un travai
vec 2 grammes ; un travail total de 76 kg. 14; avec 3 gram- mes, un travail total de 56 kg. 37. On a ainsi une sorte de mes
des résultats analogues. Expérience VIII. -Immédiatement'avant le travail , 0 gr. 20 de valérianate d'ammoniaque enrobé, p
mière expérience avec 25 centigram- mes d'extrait, de valériane. Le travail total diminue aussi quand la dose s'accroît : 1
rédité fâcheuse. Pas de syphilis : il menait sans effort une vie de travail fatigante. L'apparition des symptômes a été brusq
t répit d'une quinzaine pendant lequel il a essayé de reprendre son travail , puis une rechute. il est parfaitement sensé, i
IOLOGIE pathologiques'. ? -* 57 chez les sujets qui ont accompli un travail pénible, il n'est pas à-la connaissance de l'au
ulant, de ses états de service et d'une note résumant ses titres et travaux scientifiques, ainsi que des pièces faisant la pr
ptiques doivent être hospitalisés, traités avec soin, occupés à des travaux manuels (ateliers, fermes). Si les accès devien
ans les Archio. de Psychiatrie, puisd'As- tros dans son remarquable travail de la Revue de Médecine , de 1894 sur le syndro
de la tête qui s'exagèrent, disent les parents, sous l'influence du travail ou d'une émotion. Le sujet ne présente pas de
e ; du moins nous ne connaissons dans la littérature médicale aucun travail inspiré dans ce sens. Nous avons montré au suje
'après la variété considérée. D'ailleurs nous 'n'avons entrepris ce travail qu'à un point de vue purement clinique et les h
blié dans le Dictionnaire de Jaccoud, M. Abadie signale l'important travail du Dl Ga- taud' déjà ancien dont nous extrayons
cas de délire épileptique; Par le D' A. PETIT. On sait depuis les travaux de Magnan et de son élève Respault que le délir
ibliothèque et de pouvoir consulter incessamment les volumes où les travaux des congrès sont reproduits. Pour le Président
ombes. L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE Par LE Dr ROUBY MON BUT. Ce travail n'est pas seulement une étude sur un point d'al
ner la revision de l'histoire des Religions, et c'est par là que ce travail peut avoir une importance particu- lière. Pas
Une relation de sa vie où nous avons puisé pour la confection de ce travail ; 1562 (Relation de K vida) ; 2° le chemin de la
Vasciiide et VuRpAs. (Journal de Yeii ? o- logie, 4902, n° 5.) Ce travail contient un exposé des observations et des recher
ologie, 1902, n° 3.) La malade dont l'observatiou sert de base à ce travail présentait une paralysie motrice des membres in
ec terminaison par sclérose, dégénérations secon- daires, etc. Ce travail se termine par l'exposé des symptômes qui traduis
, juillet 1901.) M. Benedikt a lu avec d'autant plus d'intérêt le travail de M. Beagles, qu'il se préoccupe depuis longte
nce sexuelle sont extrêmement fréquents dans la race juive. Dans un travail précédent, l'auteur estime avoir trouvé une for
ience, octobre 1901.) Il faudrait pour donner une idée exacte de ce travail reproduire l'arbre généalogique qui l'accompagn
ose par altération de l'érecteur du tronc. D'autre part de nombreux travaux ont prouvé l'existence d'une scoliose purement
s, par A. VA ? GEHUCUTEX. (Journal de Neurologie, 1900, n° 3.) Ce travail est basé sur trois observations . la ire est un c
logie, 1900, n° 4.) Le malade qui a servi de point de départ à ce travail présentait les symptômes suivants : 1° une paré
une sensation générale de fatigue exagérée par les mouvements et le travail intellectuel ; 3° une exhaustibilité des foncti
nt parfois mal rejoints., On voit par là qu'il s'est fait tout L un travail , transformant profondément 1 image primitive : on
Ritti, dans une étude des plus docu- mentés, retrace l'histoire des travaux de la Société médico-psycho- logique (1852-1902
ue où sont mentionnés en par- 174 SOCIÉTÉS SAVANTES. ticuliee les travaux de 111. Klippel, du Pl Joffroy, de 11. L. Levi, d
es sérums toxiques sur l'écorce cérébrale du cobaye. XL Dopter. Des travaux antérieurs ont montré à M. Dopter que l'injecti
s clinique très sûr, d'une observation très approfondie, ce premier travail est une oeuvre vraiment remarquable ; il a fixé
oires entre elles », il reste, aujourd'hui encore, un des meilleurs travaux sur cette affection dont la bibliographie est s
t à toutes les branches de la pathologie cérébrale. Dans tous ces travaux , Jules Falret a semé des idées nouvelles, qui son
s, restée dans le langage médical. Un peu plus tard; il publiait un travail critique sur les Théories physiologiques de l'é
responsabilité légale des aliénés (1876), etc. La plupart de ces travaux ont été réunis en deux volumes, sous le titre d
lière, 1890). ' ' Malgré leur importance et leur nombre, ces divers travaux ne représentent qu'une partie de l'oeuvre de Ju
uvèrent la haute estime en laquelle ils tenaient sa personne et ses travaux en l'élevant, à deux reprises à la présidence d
ond aux opinions des autres auteurs, c'est que l'occupation par les travaux champêtres, à condition de la vie à la campagne
iquer son attention à des opérations intellectuelles simples, à des travaux manuels ordinaires, à élaborer des conceptions
e ordinaire en disant qu'elle n'osait point parler, essaie quelques travaux d'aiguille. Mais le 13 janvier elle rechute bru
aumatique. Voici ce qu'écrit, en effet, Brière de Boismont dans son travail sur le Délire aigu observé dans les établisseme
ois; la malade va bien, son appétit est normal, elle a accompli son travail jour- nalier comme d'habitude et personne n'a r
côté des seins. S'est couchée à huit heures et demie, aussitôt son travail ter-1 miné, a causé raisonnablement avec les je
m- maire ; pendant la gestation il se fait au niveau des seins un travail qui est le corollaire et le complément du travail
veau des seins un travail qui est le corollaire et le complément du travail uté- rin ; à la ménopause, enfin, lorsque toute
r tenir vos assises. Vous trouverez ici un milieu favorable à vos travaux . Notre ville, qui s'honore d'avoir en tous temp
sur nous, pendant quelques jours, l'éclat de leurs noms et de leurs travaux . Vous serez, Messieurs, conduits dans notre pay
iberabit. ' Messieurs, Je ne veux pas retarder plus longtemps vos travaux . Vous allez tenir dans cette Ecole la plupart d
ité. » Après ce discours très applaudi, le Congrès a commencé ses travaux par l'exposé et la discussion du rapport de M.
forme aiguë et 'une forme chronique, cette dernière à la suite des travaux remarquables de Cotard et de Seglas. La mélanco
s retiendrons surtout la magistrale description de Trousseau, les travaux de Charcot et de ses élèves, de Gilles de la Tour
ues, mais ils ne sont pas que cela ; c'est un des grands mérites du travail de MM. Meige et* Feindel d'avoir mis ces caractèr
autres tics; d) MM. Meige et Feindel insistent dans leur dernier travail sur l'utilité des mouvements en miroir pour corri
int de la question des tics, à savoir leur pathogénie : de tous les travaux SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 contemporains, et spéc
M. Noguès, ni MM. Meige et Feindel ne se soient occupés dans leurs travaux respectifs des tics chez les animaux, notamment
itres (Bordeaux). Je connais fort bien et j'apprécie hau- tement le travail de mon excellent ami le professeur Brissaud sur
s auxquels il convient. de rattacher les tics. J'ai exposé, dans un travail publié en 1896 par la Semaine Médicale, la path
ris en octobre icJ0l, la section psychiatrique dut constater que le travail considérable qu'elle venait d'entamer ne pouvait
iers indépendants, des cottages, des fermes-asiles, des colonies de travail . Le régime intérieur a été adouci : on donne au
temps des signes de dérangements cérébraux et avait dû cesser tout travail . Sa femme, âgée de trente- six ans, était depui
s mêmes termes et d'une façon presque identique. - 6. Pour que ce travail intellectuel puisse s'accomplir parallèle- ment
ste peu cohérent, naïf, enfantin, confiant. En août, on l'occupe au travail des écuries et on esf assez cornent de lui. Mai
incohérent, confondant les objets entre eux; ne peut continuer son travail . Le 4, nouvelle attaque épileptiforme, toujours
e aigu. C'est là un fait qui a été signalé par M. Magn'an dans ses' travaux sur l'alcoolisme, mais il est bien rare qu'il'
séjour à l'asile survient une rémission, et G... peut reprendre son travail , mais il reste avec une intelligence amoindrie.
diverses enceintes serait, avec des changements de nom, répéter le travail que nous venons de faire pour les oraisons ; no
t possession de sa personne. CREDO quia ABSURDUM. En terminant ce travail , nous rappellerons un mot de sainte Thérèse qu'
réunis dans une des salles de l'asile pour la continuation de leurs travaux . Séance du 4 août 1902, (soir). Traumatisme e
rle, marche, s'habille et se déshabille seul ; il se rend utile aux travaux du ménage. Il écrit assez lisiblement, mais est
iser nos recherches microscopi- ques. Effectivement, le plus récent travail sur le sujet est celui de liezuilcow. Il est in
erritoires de la corticalité, car, lorsque nous voulons exécuter un travail pénible avec le membre supérieur droit, par exe
es membres du Congrès. Dans sa communication, il rappelle que les travaux dans les- quels on s'est occupé de l'étiologie
igestion, les éléments cellulaires n'aient à accomplir qu'un faible travail pour reconstituer des albumines aux dépens des
t considérés comme dangereux, sauf quelques-uns employés à de menus travaux et étroitement surveillés. Le nombre des malade
dans sa dignité, nous trou- vant très indélicats de lui imposer un travail d'esprit dans un mo- ment de douleur morale (si
es et bains ; sirop de fer ; huile de foie de morue ; gymnastique ; travaux scolaires ; travaux manuels ; trai- tement mora
de fer ; huile de foie de morue ; gymnastique ; travaux scolaires ; travaux manuels ; trai- tement moral. - 422 RECUEIL D
elle depuis plus de trois ans. « Lorsque ma mère allait livrer son travail , papa se nettoyait devant moi, puis levait sa c
1898. 1899. Janvier. L'amélioration se confirme en classe et aux travaux manuels. Fait de la dentelle au lieu de jouer. Pa
ermettent de les distinguer : l'auteur les expose en détail dans : on travail et les résume dans le tableau suivant : 1t3' RE
igue générale, d'asthénie des muscles du squelette, d'inaptitude au travail , ou- encore il se combine à des troubles nerveux
sler. (Revue neurologique, novembre 1899.) Résumé et conclusions du travail publié par les auteurs dans les Archives de psy
e Journal of Mental Science, octobre 1901.) Les conclusions de ce travail sont les suivantes : 1° La principale action ph
l A. WEATUËRLY. (The Journal of Mental Science, janvier 1901.) Ce travail est lui-même une analyse de celui de l'auteur, qu
r sur la carrière de IL Dagonet la plus heureuse influence, car les travaux et les luttes administratives qu'il entre- prit
il était nommé interne à Maréville (Meurthe). Le 5 juillet 1850 ses travaux scienti- fiques et la connaissance approfondie
e au clinicien et à l'étudiant. Le premier y trouvera le reflet des travaux du Pr Bris- saud, du D1' Widal et de l'auteur;
ès a voté les conclusions suivantes, qui résument l'ensemble de ses travaux : 1° Pour une partie assez considérable d'alién
e Iunderland. Les infir- mes hospitalisés sont astreints à quelques travaux manuels dont la vente leur assure un petit reve
pas trop intenses, les sujets peu- vent continuer de se livrer aux travaux de leur profession. D'habitude, ils cachent leu
rnard IIOLLANDER. (Tite Journal of Mental Seicnce, juillet 1901.) Travail étendu, très intéressant, très documenté, qui con
, doit nécessairement nous révéler une lésion : on a fourni dans ce travail des preuves expé- rimentales et anatomiques qui
es à analyser, de quelques-uns de ces résultats, qu'est consacré le travail de M. Kirchlioff. - A. Fenayrou. XXXVII. Etud
ILLAIN. (Reu2ce neurologique, décembre 1899.) Les conclusions de ce travail sont les suivantes : i° La circula- tion des li
expériences très ingé- nieuses dont on trouvera la relation dans ce travail , les auteurs se croient autorisés à affirmer qu
juillet 4901.) Les conclusions de cet intéressant et consciencieux travail sont les suivantes : - Il est remarquable dan
e du malade dans les pays civilisés, attend encore sa réponse. Ce travail se termine par une bibliographie étendue du sujet
James lIIDDLEUss. (The Journal ol mental Science, juillet 1901.) Travail renfermant plusieurs observations dont l'auteur t
érapeutique, juillet-août 1899). Les auteurs font ressortir dans ce travail l'identité de certains phénomènes qui s'observe
cale, 31 décembre 1.S98). M. Séglas a résumé en ces termes dans ce travail son opinion sur l'influence exercée par l'auto-
éducation, la contagion de l'exemple, l'entraînement, le manque de travail , la paresse, le besoin de luxe, etc. Pourtant i
soin de luxe, etc. Pourtant il existe des femmes - et l'intéressant travail de l'au- teurlen cite de nombreux exemples qui
cl paralysie à forme atypique ». Pendant que M. Ireland achevait ce travail , Nietzche succombait (2 août 1000), à une hémor
66 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
re ; tel est le plan que je me suis proposé dans la publication de ce travail . Mais avant de m'engager dans cette longue et p
ant et comme poussé par la conviction intime de l'utilité d'un pareil travail qu'il publia ses premiers fascicules, prêt à y re
te par d'autres occupations, n'ait pas poursuivi la publication de ce travail avec plus d'activité. Bleuland (36), secondé pa
happer de ses mains le sceptre quelle a conquis par de si import an s travaux . Et si, à l'exemple de Morgagni, les médecins f
de suivre l'exemple de nos émules et de faire avec eux un échange de travaux propres à compléter la science des altérations or
es qui tantôt corps étrangers, sont rejetées au-dehors au milieu d'un travail inflammatoire; tantôt produits i,c livraison, b
rablement attaché à l'anatomie des organes sains, et qui met dans ses travaux un dévoûment et une constance dignes des éloges q
'un de ces cas, au bout de quatre jours de douleurs très-vives, aucun travail ne s étant déclaré, des syncopes survenant à chaq
nu dans les cellules du placenta. L'enfant est venu mort, bien que le travail eût été très-naturel. Je ne pense pas qu'une hémo
des fémurs, luxation sur laquelle M. Dupuytren a publié un excellent travail dans ces derniers temps. Les capsules fibreuses a
ramollissement, s'il est le résultat d'une inflammation ou bien d'un travail de toute autre nature ? Pour répondre à cette que
Voici la note qui m'a été remise à ce sujet par M. Barruel, chef des travaux chimiques de la Faculté. « Cette matière a une
uls phénomènes qui attestent leur présence. Presque toujours c'est un travail inflammatoire, un ramollissement tout autour de l
réfrigérans ; mais il ne peut nullement subvenir à ses besoins par le travail . Tout-à-coup à la tristesse, à la morosité succèd
ait depuis long-temps; il avait dépéri; mais il pouvait continuer ses travaux et prendre ses alimens comme les autres détenus.
parts le foyer gangreneux. Mais, dans la seconde période, lorsque le travail de cicatrisation a commencé, les parois se sont d
couches voisines des parois de la poche, et qui n'avaient subi aucun travail de décomposition, étaient d'une densité telle qu'
le., lacérée clans un grand nombre de points, preuve bien évidente du travail de destruction qui a lieu incessamment dans les p
uffît souvent pour amener la rupture. Mais le plus ordinairement le travail morbide qui a lieu dans les parois de la poche s'
invasion subite de l'ascitc et de l'anasarquc peut s'expliquer par le travail d'élimination dont étaient le siège les parois de
le travail d'élimination dont étaient le siège les parois des kystes; travail qui a eu pour résultat l'amincissement de ces kys
ent. L'apoplexie capillaire du cerveau est en un mot accompagnée d'un travail fluxionnaire, comme l'inflammation ; ce n'est en
de la douleur, il y avait même de longues rémissions. Il continue ses travaux de commis marchand*, consulte néanmoins un médeci
sorption du sang épanché ; 3° pour maintenir dans de justes bornes le travail de réparation. Je crois que les saignées locales
is-sablés à leurs flexuosités, vaisseaux qui avaient seuls résisté au travail désorganisateur. Aux limites de la gangrène, aucu
Commémoratifs. La maladie, qui date de huit jours, paraît due à un travail excessif, au passage subit du chaud au froid. Au
es tissus, sans trace de vaisseaux qui ont disparu enveloppés dans le travail désorga-nisateur. Mais dans le ramollissement il
ellerais volontiers atrophie aiguë, et qui consiste peut-être dans un travail morbide d'absorption du tissu lui-même. Les porti
uoi ont - elles résisté ? Ne serait-ce pas parce qu'elles ont subi ce travail d'inflammation? Quoi qu'il en soit, les lésions
re, une gêne dans les mouvemens qui attestent qu'il s'est passé là un travail organique qui a eu un résultat organique. Il est
le avait servi de barrière impénétrable à la matière caséiforme et au travail morbide dont elle est le résultat. Fracture de
te et présente tous les caractères extérieurs d'un utérus étranger au travail de la grossesse. A chacune d'elles sont attachés
cusera une imperfection d'organisation, un trouble quelconque dans le travail de formation qui n'a pas permis la conjugaison de
eineuses ; 4° enfin érosion de la membrane interne et commencement du travail d'expulsion (*) Observation et pièce présentées
veines utérines elles-mêmes distendues, contuses, tiraillées dans le travail récent de l'accouchement, surtout après l'avulsio
d'un plexus veineux accidentel partout où existe une sécrétion ou un travail morbide accidentel. Ici ces veines présentent le
ue des moyens spéciaux pour les atteindre, ou plutôt pour modifier le travail morbide qui les produit. Tumeur fibreuse du tes
tôt de pus concret MT, MT, entouré d'un cercle rouge qui annonçait un travail extrêmement actif. La substance du testicule TT,
ment augmenta; la face devint jaune; amaigrissement rapide ; mort. Le travail de cicatrisation de la plaie n'avait été nullemen
x de quelques heures, d'une demi-journée : pendant notre inaction, le travail morbide continue; du pus, la fausse membrane, se
ucité dans la voix depuis huit à dix mois. Il n'avait discontinué son travail que depuis quinze jours; d'ailleurs, point de fiè
de substance cérébrale est également induré et porte les traces d'un travail de cicatrisation. Quant à la présence de la séros
jours, parce que c'est du quatrième au huitième jour que commence le travail réparateur, et il était plus que probable que le
it pas résister aux premiers mouvemens fluxionnaires que nécessite ce travail . La couleur du sang, la couleur rouge du foyer,
compression qu'elle exerçait sur les vaisseaux du bassin, soit par le travail fluxionnaire dont elle était le siège ? Notre m
la différence des symptômes. Ainsi, au bout de trente-cinq jours, le travail de réparation, qui suit nécessairement la présenc
dans l'épaisseur de la cuisse ou de la jambe? Tout le temps que le travail d'absorption est en pleine activité, le malade es
éninges, soit de la substance cérébrale. Il est rare néanmoins que le travail morbide tuberculeux, quelque latent qu'il soit, n
es ulcérations, des vaisseaux artériels et veineux qui ont échappé au travail désorganisateur ; d'autres fois, ces vaisseaux on
r que dans ces cas, non-seulement les follicules sont détruits par le travail ulcéreux, mais encore la membrane muqueuse, la me
ère d'une escarre; l'intestin peut être perforé immédiatement dans ce travail désorganisateur. i°. Dans \gangrène non circonscr
l désorganisateur. i°. Dans \gangrène non circonscrite et diffuse, le travail morbide a bien commencé par les follicules, mais
umonie; la fièvre persiste et augmente tout le temps que s'accroît le travail local désorganisateur qui n'est pas la cause de l
dinary structure of villous coat.] 5°. La planche qui accompagne le travail de MM. Petit et Serres, bien qu'elle laisse beauc
; on est toujours tenté de leur savoir mauvais gré d'avoir ignoré le travail de Peyer ; car ils n'auraient pas manqué d'établi
t indiquer une cicatrisation antérieure. On ne saurait méconnaître un travail de cicatrisation incomplet dans des espèces de ca
le. On pourrait croire que la rupture du sac avait été le résultat du travail de l'accouchement, si un grand nombre de faits an
ois les intestins du fœtus hors de l'abdomen avant le commencement du travail . D'ailleurs, ici, les débris du sac herniaire pré
herniaire présentaient cette coloration brun jaunâtre qui atteste un travail morbide ancien. Plusieurs faits m'autorisent à
ans le mémoire de Louis, ceux plus nombreux encore recueillis dans le travail critique des frères Wenzel, quelques faits qui me
eurs fongueuses à la face interne de la dure-mère. Ebermaier, dont le travail sur les fongus de la dure-mère atteste l'éruditio
regarde les mouvemens épileptiformes comme le signal de l'invasion du travail morbide, qui a eu pour résultat le ramollissement
la dureté, et néanmoins les deux malades continuaient à se livrer aux travaux de leur profession. Le retour des douleurs les fo
adie qui avait attaqué d'abord l'épididyme, 20 sur le mode subaigu du travail morbide, mode qui a ordinairement pour résultat l
, et reste au lit la plus grande partie du jour. Il est évident qu'un travail intérieur a lieu dans la tumeur; l'extirpation du
Au moins, l'attention de tous serait éveillée sur ces lacunes, et des travaux arriveraient en foule pour les combler. Les lux
s, on pourra déterminer sur le cadavre si l'individu se livrait à des travaux pénibles ou bien à des occupations de cabinet, ci
considérable, en une sorte de mucus gélatineux, sans aucune trace de travail morbide dans les parties environnantes , durent p
lle qu'il compare à celle des alimens à moitié dissous par l'effet du travail digestif, et d'étudier l'influence que le genre d
ue clinique et pathologique que j'ai envisagé cette affection dans un travail présenté à l'Académie des Sciences en 1821 (*). U
elquefois chez 1 adulte. IV. Il résulte des faits consignés dans ce travail , et de faits bien plus nombreux encore que j'ai r
iolence extérieure; voilà en quelque sorte la base fondamentale de ce travail , qui, comme l'a très-bien fait observer le savant
té également par les critiques distingués qui ont rendu compte de mon travail , publié en 1821. Je suis même fondé à croire (cec
ct du ramollissement gélatiniforme; car, comment supposer que dans un travail publié en 1824 , ce consciencieux observateur n'e
lié en 1824 , ce consciencieux observateur n'eût pas fait mention des travaux antérieurs, s'il n'avait pas cru être sur un terr
n remarque encore une escarre molle E d'un jaune ochré qui atteste un travail morbide et milite contre l'opinion d'une altérati
ngulièrement favorable à la production de ce ramollissement, c'est le travail de la digestion stomacale, travail fluxionnaire,
ion de ce ramollissement, c'est le travail de la digestion stomacale, travail fluxionnaire, qui a pour résultat l'accumulation
ccasion d'examiner la muqueuse gastrique d'individus morts pendant le travail de la digestion, l'estomac étant dans un état de
té. Toutes les fois qu'on fait mourir violemment un animal pendant le travail de la digestion stomacale, on trouve le même phén
se lait sans changement de couleur, sans injection vasculaire , sans travail de réaction quelconque : on dirait un corps inorg
un vice local. Il y a d'abord érosion de la muqueuse, en vertu de ce travail morbide que Hunter a si ingénieusement nommé infl
stre, et quelquefois douleur épigastrique extrêmement vive pendant le travail de la digestion ou même en l'absence de tout alim
lésions organiques et souvent au cancer lui-même, ne peut échapper au travail ulcéreux. Il n'est pas rare de voir un ulcère sim
s il éprouve un léger malaise qui ne l'a pas empêché de continuer ses travaux , ni même de commettre des excès de boisson. La ve
l'estomac complètement cicatrisés, excepté dans un seul point où le travail ulcéreux se maintient et finit par opérer une per
it l'hémorrhagie. Le tissu artériel, si réfractaire en général à tout travail morbide, n'échappe pas à l'inflammation ulcéreuse
cessaires au malade pour lui faire recouvrer ses forces. Revenu à ses travaux , il se livra de nouveau à sa funeste habitude sa
uleur à l'épigastre; perte d'appétit. Il peut néanmoins continuer son travail jusqu'au 3o au soir qu'un malaise général le forç
es ulcères de F estomac. Les ulcères de l'estomac guérissent par un travail de cicatrisation tout-à-fait semblable à celui de
poser également en nature dans l'épaisseur de tel ou tel organe, sans travail inflammatoire préalable de ces organes. A Dieu ne
idiopathiques, c'est-à-dire, formés au sein même des viscères par un travail inflammatoire. Ce sont de gros tubercules aigus,
ulletin (voy. Nouv. bibl. méd.), et qui ont fait ensuite l'objet d'un travail très-étendu (voy. Archiv. gén. de méd., décembre
chiv. gén. de méd., décembre 1828, janvier et février 18*29). Dans ce travail très-remarquable, qui repose sur un grand nombre
onie. Si on objecte que souvent le foyer gangreneux ne présente aucun travail de réaction dans ses parois, que le tissu sain en
les jours. i° Pendant F accouchement, ces tumeurs peuvent rendre le travail plus long en diminuant l'efficacité de la contrac
que par une couche extrêmement mince, soient expulsés par suite d'un travail morbide qui s'opère dans cette couche intermédiai
espérance, après l'expulsion de ces corps étrangers. Quelquefois ce travail d'élimination est accompagné de la gangrène du ti
t de ce mode d'expulsion des corps fibreux de l'utérus au milieu d'un travail de suppuration, il en est un autre qui s'opère sa
ransformation de tissu tout-à-fait semblable à celle que détermine le travail de la grossesse. La fig. 3 présente une coupe a
. J'ai dit que dans les polypes nés du tissu propre de l'utérus, le travail désorganisateur qui pouvait s'en emparer s'étenda
cette échancrure, résultat évident d'une déchirure opérée pendant le travail , n'aboutissait pas jusqu'à l'orifice du col utéri
rifice du col utérin. Réflexions. — Cette observation prouve que le travail de l'accouchement peut être accompagné de déchiru
s s'établir entre le foie et les parties voisines : on conçoit que ce travail d'irritation puisse s'élever jusqu'à l'inflammati
s l'une à coté de l'autre; que toutes deux peuvent être le siège d'un travail désorganisateur qui a pour résultat la formation
ive qui diminue au milieu du jour. Le malade continue à se livrer aux travaux de son état; il se trouve bien du lait; je l'enga
habit, soixante-douze ans, pauvre de Bicêtre où il était occupé à des travaux pénibles, fut pris de vomissemens pendant la nuit
ète d'accidens du côté du foie, peut se concevoir par la lenteur du travail d'adhésion et d'ulcération. Le calcul biliaire, u
xcavation ulcéreuse de la tumeur était grisâtre, sans aucun indice de travail morbide; on eût dit d'une coupe récente de la tum
éral. VIL Si l'on examine la surface interne de l'utérus pendant le travail de suppuration, on trouve que les cotylédons utér
t régulier; mais combien d'accidents ne viennent-ils pas traverser ce travail de réparation et de restauration. On concevra la
la fréquence et la gravité de ces accidents, si l'on considère que ce travail ne consiste pas purement et simplement dans la ci
e pus a-t-il été formé dans les vaisseaux lymphatiques par suite d'un travail inflammatoire, ou bien y a-t-il été apporté par v
de pus ressemblent exactement aux ganglions mésentériques pendant le travail de la chylifîcation. Le tissu des ganglions ne pr
énétrés d'un pus formé au sein même de ces ganglions par l'effet d'un travail inflammatoire. XV. Je regarde donc comme chose
hement naturel a terme le 11 février à cinq heures du matin, après un travail de onze heures ; le même jour, à onze heures du s
, entrée à la Maternité le 2 mai 1831, accouche le même jour après un travail de neuf heures (l'épidémie avait complètement ces
a division vide avait conservé les caractères d'un utérus étranger au travail de la grossesse ; il n'y avait, dans l'un et l'au
seront la conséquence immédiate. Les faits qui ont servi de base à ce travail ont été recueillis, pour la plupart, à l'ambulanc
ourdissement, de fourmillement; crampes, inaptitude à toute espèce de travail manuel ou intellectuel; tantôt par un accès fébri
ssesse, ont accouché. La plupart sont mortes sans la moindre trace de travail . L'opération césarienne, pratiquée immédiatement
été surpris, par les symptômes les plus intenses, au milieu de leurs travaux habituels, dans un voyage, dans une promenade; qu
arer qu'à celui qu'ils présentent chez les individus morts pendant le travail de la digestion. L'estomac moyennement dilaté,
isme. Or, cette force de réaction est en quelque sorte épuisée par le travail de l'accouchement; c'est ainsi que j'ai vu périr
nomie; d'un autre coté, un fait bien digne de remarque , c'est que le travail de l'accouchement survenant chez les femmes cholé
ait suivant semble prouver, entre autres choses, non-seulement que le travail de l'accouchement ne saurait s'établir chez une f
ir chez une femme gravement affectée du choléra, mais encore que ce travail est subitement arrêté par l'invasion d'un choléra
travail est subitement arrêté par l'invasion d'un choléra violent. Le travail de l'accouchement suppose une réaction vitale; so
mais passagère. Etat de bien-être inexprimable. Mort dans la stupeur. Travail complètement arrêté. Grande quantité de liquide c
t des extrémités ; les membranes sont rompues; il y a commencement de travail . Commémoratifs. Il y a quinze jours, forte céph
e , pratiquée immédiatement après la mort, amène un enfant mort. Le travail de l'accouchement n'a pas avancé d'un pas depuis
able, sans crampes et sans coliques , qui lui permet de continuer son travail . Il était si bien le soir qu'il put lutter très v
nuit : on le réveille à quatre heures du matin pour qu'il aille à son travail . Quelques instants après, cinq ou six selles; sen
uniformément rosée comme chez ces individus qui succombent pendant le travail de la digestion ; quelquefois ce n'est même pas d
il n'en est pas de même du choléra épidémique qui fait l'objet de ce travail . Les médecins européens, de même que les médecins
use de la mort d'un bon tiers des enfants qui, pleins de vie avant le travail , succombent pendant l'accouchement. Je l'ai obser
es causes les plus fréquentes de la mort des enfants, soit pendant le travail de f accouchement, soit dans les premiers jours q
stance cérébrale. V. La cause de l'apoplexie des enfants pendant le travail de l'accouchement, est impossible à déterminer da
forceps prévient un grand nombre d'apoplexies. Est-ce la longueur du travail ? cela est probable pour la grande majorité des c
: toutefois , nous avons vu des enfants apoplectiques à la suite d'un travail ordinaire, même à la suite d'un travail très-prom
apoplectiques à la suite d'un travail ordinaire, même à la suite d'un travail très-prompt; tandis que, par opposition, des enfa
'arachnoïde spinale. Troisième fait. Enfant mort-né à la suite d'un travail très long et de tentatives répétées de version. U
rs les plus empressés. La tête était volumineuse, l'enfant énorme, le travail avait été très long; l'écoulement des eaux prémat
ice d'un épanchement sanguin antérieur à la naissance, ou plutôt d'un travail morbide inflammatoire ancien ; que les caillots d
r infiltration séreuse du tissu du poumon. Cet enfant est né après un travail fort court et presque après la rupture de la poch
toire, i° par la coloration brun-marron, jaune orangé, qui atteste un travail morbide de réparation des débris du cerveau; colo
orbide de réparation des débris du cerveau; coloration qui atteste un travail de cicatrisation analogue à celui qui s'opère dan
péricardite et plus particulièrement de son diagnostic sur lequel les travaux récens de MM. Louis et Bouillaud ont jeté un si g
bservation, qui était d'ailleurs le calque de toutes les autres. Le travail de suppuration était plus avancé; le pus commença
éminentes, pourra résister à la compression exercée sur elles dans le travail de l'accouchement. Joignez à cela que les parois
nuité de ces parois. L'ouverture de la tumeur peut-elle précéder le travail de l'accouchement ? La solution de cette questi
ndue plus ou moins considérable. Or il est infiniment probable que le travail d'ulcération pourra, dans quelques cas, envahir t
r douleur et par efforts d'expulsion semblables à ceux d'une femme en travail , moitié par hémorrhagie. A l'ouverture, je trouva
large ouverture; mais, sous l'influence d'une cause d'irritation, un travail s'est établi dans l'épaisseur des parois artériel
, un travail s'est établi dans l'épaisseur des parois artérielles, ce travail a été suivi de la sécrétion d'une matière plâtreu
ude peut encore profiter à la thérapeutique en mettant sur la voie du travail morbide qui engendre telle ou telle altération. O
, fournie par les parois du kyste qui sont quelquefois le siège d'un travail de suppuration et d'élimination. Les poils sont
altérés dans leur organisation , et alors tantôt ils sont usés par un travail d'élimination , tantôt ils sont le siège d'une al
purement mécanique. Les parois du kyste peuvent être le siège d'un travail inflammatoire : des adhérences peuvent s'établir
aura été détruit ou plutôt transformé en tissu fibreux , par suite du travail morbide qui a lieu incessamment dans ces poches a
ar de longs intervalles. Mùhlbeek appelé, ne trouvant aucun indice de travail , prescrivit le repos. Les douleurs cessèrent. La
ais dans les mêmes circonstances; et sans pouvoir préciser le mode de travail organique qui amène cette coloration, il est cert
re: les derniers mois de la grossesse furent pénibles ; vint enfin le travail de la parturition. « Une sage-femme appelée ne
à la manière d'un anévrysme; aucune végétation osseuse n'attestait un travail morbide développé dans l'épaisseur du tissu osseu
acture datait de quelques jours, on expliquait par le commencement du travail de consolidation, le défaut de netteté de la crép
drait les mêmes résultats. Les belles observations consignées dans le travail de M. Tonnelle sur l'inflammation des sinus de la
ure-mère (1), plusieurs faits recueillis depuis la publication de son travail , sont venus confirmer m es prévisions, et prouver
es changemens qui s'opèrent dans les parties ramollies par suite d'un travail de résorption ou d'inflammation. Les nuances ou
uite d'une ulcération qui s'empare d'un point de la cicatrice ou d'un travail d'érosion limité au vaisseau. La mort est la co
La convalescence fut difficile, incomplète : il ne put reprendre ses travaux pénibles qu'au bout de plusieurs mois : mais il f
67 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
igé de pas- ser devant un atelier de couturières, en sortant de son travail , ne pouvait le faire qu'en prenant son élan et
autre, si on lui adresse brusquement la parole, quand il est à son travail , se baisse et a l'air de chercher quelque chose
Pour oublier, je buvais, et l'absinthe en deux jours détruisait le travail de quinze jours. Moyen moral : très réellement
celle-ci pour ainsi dire. C'est là le point le plus impor- tant du travail de M. Steffani ; les modifications morbides qui
les conséquences pratiques et théra- peutiques qui découlent de ce travail amènent à conclure à la nécessité d'hospitalise
, rappelant l'origine récente de cette' entité morbide, signale les travaux antérieurs à 1861 dans lesquels Graves par- lai
- gel' Stewart,l\Ial'inesco et Ormeron, I.lIIarinesco rappelant les travaux 82 * REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de MM. Cha
cliniques identiques ou analogues. M. Roubinovitch a entrepris le travail peu aisé qui consiste à rapprocher, à comparer le
thode d'observation clinique et anatomique donna lieu en France aux travaux de Pinel, d'Esquirol, de Georget, de Calmeil, d
ales circonscrites, de l'idiotie, de la folie morale, etc., etc. Le travail de M. Roubinovitch sera d'une réelle utilité et f
ne réelle utilité et facilitera en France la lecture et l'étude des travaux allemands. A ce point de vue, cotte sérieuse cr
taire auquel ils sont soumis justifie encore celte assimilation. Le travail est peu employé et une douzaine de malades seul
en- sable à leur traitement, quand leur guérison est possible. Le travail est en honneur à l'asile et y donne les résultats
; ' 2° De leur donner l'apprentissage nécessaire pour le genre de travail ou d'industrie auquel ils désireraient se consacr
en nombre ceux qui seraient heureux de profiter des instants où le travail ne va pas et qui ne coïncident pas DES VISITES
de l'histologie du système nerveux central et périphérique que les travaux des grandes Ecoles contemporaines d'anatomie fine
ions des remarques à faire sur différents points de l'intéres- sant travail de Marandon de Monthyel, nous les résenons pour p
la portée n'échappera à aucun des histologistes qui connaissent les travaux actuels sur ce sujet, j'entends sur la nature d
s sensilifs et sensoriels de l'écorce cérébrale, a reçu naguère des travaux de Hermann Munk une démonstration expérimentale
nisse. Arch. f. Psych., XVIII, 1887.) Il reconnaît toutefois que le travail de Golgi, Recherches sur l'histologie des centres
ari, etc., nous ne dirons rien ici, préférant rappeler les derniers travaux des représentants les plus récents de la grande
.) Nous ne pouvons qu'indiquer ici les grandes lignes de ce vaste travail (250 pag., VII planches et 80 figures) qui compor
latralLl., XV, 181Jû,) - M. de Bechterew a, depuis 1866, repris les travaux de Golgi 128 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. (ni
Neurologie, octobre 1896, 11" 22.) Le malade qui fait l'objet de ce travail fut atteint, à deux reprises différentes, de tr
et s'exagérait sous l'influence d'une émotion ou de la fatigue. Un travail manuel modéré semblait au contraire le dimi- nu
Paul Sérieux, médecin de l'Asile de Villejuif, auteur de plusieurs travaux inscrits sous le n° 3. Prix Charles Boullard, 1
des maladies mentales à la Faculté de mé- decine de Paris, pour son travail portant le n° 4. Une somme de 400 francs est pa
le n° 3 ; 2° 300 francs à M. le Dr Paul Rodet, de Paris, auteur du travail inscrit sous le n° 7 ; 3° 300 francs à MM. Andr
Une mention très honorable est décernée à M. L. Guinard, chef des travaux de physiologie à l'Ecole vétérinaire de Lyon, mé-
e sur l'épilepsie et les maladies nerveuses. L'Académie a reçu cinq travaux pour ce concours. Le prix est décerné à M. le D
est décerné à M. le D'' Gilles de la Tourette, de Paris, auteur du travail inscrit sous le n° 3. Des mentions hono- rables
0 francs (bisannue ! ). Ce prix sera décerné à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeutique des maladies mentales et s
n unilatérale DES annexes DE L'UTÉRUS; par le Dr Louis AUBRÉE. Ce travail consacré aux dangers et aux avantages résultant d
apeutique est beaucoup plus contestable. Il n'est rien dit, dans ce travail , de la lombo-ponction dans la paralysie générale,
e sont les - perversions et les dépravations sexuelles, d'après les travaux récents des auteurs, est passée en revue l'infl
S PHYSIOLOGIQUES ET pathologiques; par Antoine GU1LIIOU. Très bon travail , du laboratoire du professeur Jolyet, à con- su
ladies NERVEUSES ET mentales. Aperçu MÉDICO-LÉGAL ; par DE PERRY. Travail intéressant de 225 pages, dans lequel l'auteur, a
r le D1' H. Meunier. (Paris, 1896.) M. le Dr Henri Meunier, dans un travail fort remarquable, en se basant sur la clinique
lammes et les vitres du séchoir éclataient. Après une demi-heure de travail le feu a été circonscrit par la pompe de l'asil
motrices de l'articulation et celui des motrices graphiques. Les travaux postérieurs du même auteur, joints à ceux de Sé
s conventionnels, tels que des dessins grossiers d'instruments de travail , facilitant ainsi quelque peu l'expression de leu
aux choses usuelles et courantes. Pour se faire comprendre dans les travaux de son métier il portait toujours sur lui un ca
er- vation, et, d'autre part, ne pouvant tirer des conclusions de travaux antérieurs d'autres auteurs, nous dûmes dévier no
gations et d'études postérieures pour arriver à la publication d'un travail qui pourra s'intituler « le langage intérieur et
avec inspirations psychomotrices et la possession démoniaque. Le travail de systématisation constitue la période de prépa-
xtérieures est rendue impossible. L'auteur a démontré dans un autre travail le rôle de l'hypérémie corticale et de ses cons
en général, on prescrit l'exercice, on réclame de cet organisme un travail de réparation qu'il n'est pas en mesure d'accom
métiers manuels, qui les rendent à même d'exécuter presque tous les travaux de la maison : le goût du travail, l'émulation
même d'exécuter presque tous les travaux de la maison : le goût du travail , l'émulation seront entretenus chez eux par. de
est d'abord très utile au traitement ; il donne au point de vue du travail exécuté des résultats excellents ; enfin il réa
. 'l'ULL VLS11. (The Journal of Mental Science. Avril 1896.) - Ce travail est accompagné de dix-huit observations et de plu
oJ'k Médical Journal, 6 juin 1896.) L'auteur laisse de côté dans ce travail les médicaments que l'on peut appeler classique
mental Science, ' octobre 1895.) - L'auteur s'est proposé dans ce travail de faire connaître ses observations sur l'alime
ence, octobre 1895.) . .Nous avons analysé à cette place le premier travail de M. Bruce : les conclusions de ce nouveau mém
itions mentales et physiques, à leur permettre par des habitudes de travail , de se suffire à eux-mêmes : quant aux cas sans
gie et d'hypnologie, 1896, n°27.) La conclusion qui se dégage de ce travail , c'est que les idées fausses se manifestent dan
énés; l'auteur a pu en rassembler trois cas, dont il publie dans ce travail les observations, et qu'il fait suivre de quelq
as Pmup C01VAN. (The Journal of Mental Science, janvier 1896.) Ce travail renferme cinq observations dont nous relevons ici
r W. H. R. RivERs. (The Journal of Mental Science, octobre 1894.) Travail intéressant dans lequel l'auteur a montré avec qu
la suite de la scarla- tine qu'à la suite de la fièvre typhoïde. Ce travail n'est qu'une con- tribution à l'étude de l'infl
(New-York Médical Journal, 14 novembre 1896.) Les conclusions de ce travail sont les suivantes : 1° Les urines riches en in
e Journal of Mental Science, janvier 1896.) Les conclusions de ce travail sont les suivantes : Les cas de diabète, ou plu
, avant de quitter le fauteuil de la présidence, passe en revue les travaux et discussions qui ont eu lieu dans le sein de
déséquilibrés. Faut-il les condamner, les interner dans un dépôt de travail ou dans un asile d'aliénés ? 7e séance : 20 nov
e, surtout la nuit; diminution de la mémoire et de l'application au travail . Excitabilité, troubles de la parole, puis, en
acité des épileptiques ci prêter serment et à servir de témoins. Ce travail sera publié ulté- rieurement. M. Brie (DÜren)
E. Cowles, sur les Progrès de la psy- chiatrie en Amérirl2ze; - Du travail médical dans les salles des hôpi-' 254 VARIA.
eignements fort incomplets. Plusieurs indiquent la néces- sité d'un travail d'ensemble sur ce sujet. En prenant au hasard q
, il peut être atteint plus rarement encore. * Ici Vulpian cite les travaux de Topinard et de Pierret que nous allons retro
d'ailleurs, au cours de l'évolution, par l'eflet de la division du travail physiologique,- il nous paraît, comme à von Mon
ntellectuel considérable des hommes qui se livrent sans relâche aux travaux de l'esprit; 2° l'existence de cerveaux de volu
psychiques, mais à leurs conditions. Plus récemment encore, dans le travail intitulé : Algunas conje- turas sobre el mecani
roit pas possible de pousser plus avant l'ana- lyse du mécanisme du travail cérébral, ignorants que nous sommes de ce qu'es
que variable, auquel on doive rapporter les changements infinis du travail mental. Cajal n'ignorepas les hypothèses suivante
ules de névroglie de la substance grise. Connues surtout depuis les travaux de Retzius » et de W. Lloyd Andriezen 2, tantôt
tion de la question où l'on retrouve les qualités dominantes de ses travaux , ' G. B. Pellizzi. -- Snlla-,slrullrtrrt e anll
. (The Journal of Mental Science, jan- vier 1896.) Dans ce double travail M. Wood-Renton, en sa qualité de légiste, abord
ie et d'Hypnologie, 1897, n° 2.) Les observations contenues dans ce travail tendent à prouver qu'il existe un somnambulisme
édecin directeur de l'asile de Blois. 2° Lectures, présentations, travaux divers ; 3° Visite de l'asile d'aliénés de la H
tes français ; 5° Excursions ; 6° Impression et distribu- tion .des travaux du Congrès. Prix de la cotisation : 20 francs.
t qui, par la grande autorité qu'ils ont acquise et basée sur leurs travaux scien- tifiques et pratiques donneront tout le
t aux voeux résultant des discussions auxquelles donneront lieu les travaux présentés. Elle sera reconnaissante à tout adhére
urant du mois de juin ainsi que, dans l'avenir, le compte-rendu des travaux du Congrès. Toutes les demandes de renseignemen
récompenses proclamées nous relevons les suivantes, décernées à des travaux sur la physio- logie et la pathologie du systèm
e Dr LEGRAIN, médecin à l'asile d'aliénés de Ville-Evrard, pour ses travaux sur l'alcoolisme. Une mention honorable est acc
ix-huit cents francs, est destiné à « récompenser ou encourager les travaux relatifs au système nerveux, dans la plus large
ifs au système nerveux, dans la plus large acception des mots». Les travaux destinés au concours devront être envoyés au Se
raves. Cette constatation expliquera que certaines professions, 1 Travail de la consultation externe et du laboratoire de c
malade excerce son métier de fleuriste depuis plus de dix ans, son travail consiste à enrouler du papier vert autour de ti
. de Neurologie et d'Hypnologie, juin 1896.) D'après l'auteur de ce travail , la rigidité généralisée et la para- plégie spa
A LOCOMOTION; par le Dr AURELIO Lui. Le recherches relatives à ce travail ont été poursuivies dans le laboratoire de phys
GEHUCHTEN. (Journal de Neurologie et d'Hypnologie, 1897, n° 1.) Ce travail est un exposé succinct des recherches de Flechsig
maux inférieurs, et c'est ce que l'auteur a voulu démontrer dans ce travail . R. DE Musgrave-Clay. XXXVII. SUR H nomenclatur
Alzheimer. (Allg. Zeilscla. f. Psychiatrie, t. LII, fasc. 3.) Ce travail , le plus complet que nous connaissions sur la que
cieusement les troubles psychiques de l'épilepsie; puis vinrent les travaux de Grie- singer, de Sander (1872), de Samt (187
mbent sou- vent sous le coup de la loi. Les uns, ne trouvant pas de travail , deviennent des vagabonds ou des voleurs d'habi
s d'une tumeur cérébrale (dépres- sion, irascibilité, inaptitude au travail , incapacité de penser) ne nécessitent pas, en g
mais pouvaient donner des explications précises et accomplir leur travail . L'auteur n'a observé celte analgésie postépilept
elte analgésie postépileptique que peu de temps avant la fin de son travail , ce qui fait qu'il n'a pu présenter un grand no
36,608 francs sur le précédent. Celte augmenta- tion porte sur les travaux de maçonnerie, le bâtiment nouveau étant constr
e par suite des rabais qu'on obtiendrait lors de l'adjudication des travaux et que l'on peut évaluer sans exagération à 25
dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, M. Gasne, dans son travail , qui est du plus haut intérêt, montre que clini
notion de cause dans quelques cas. On ne pouvait mieux compléter le travail d'ensemble très remarquable que M. Gasne nous d
Académie), lit-12, 333 pages, Paris, F. Alcan, 1897. Les nombreux travaux qui ont été publiés depuis vingt ans sur les qu
r avec la vie. Vendredi der- nier, pendant que sa femme était à son travail , le malheureux a mis à exécution son funeste pr
Ce qu'il n'a pu dire à Nancy, M. Marandon de Montyel l'expose en un travail marqué au coin de l'intérêt persuasif qu'il sai
e, sorties provisoires de quelques jours à deux et quatre semaines, travail largement développé, non-restraint aussi absolu
es, les nouvelles VARIA. 427 conceptions consécutives aux récents travaux de structure du tissu nerveux, ont diminué la p
est fixé à 20 francs. Les adhérents recevront le compte rendu des travaux du Congrès. Les auteurs de communications personn
aire général, au commencement du mois de juillet, un résumé de leur travail ; ce résumé sera imprimé et distribué aux membr
9) ». Il serait facile de multiplier ces citations. Dans tous les travaux consacrés à la paralysie générale on retrouve une
e me semblent comporter les chiffres et les faits consignés dans ce travail . J'ai dit plus haut que, dans les cas où la par
mpêcher la production. Je rappellerai, en terminant, un intéressant travail pré- senté par M. Rist à la Société médico-psyc
endre, parfois assez longtemps si ceux-ci sont aux ateliers, ou aux travaux des champs. Autoriser les familles à visiter les
mptômes du côté de la sensibilité. Dans la seconde partie de leur travail , les auteurs ont été amenés à formuler les conc
1lUGIi T. PATRICE. (Neiv-York médical Journal, 15 janvier 1896.) Travail intéressant, mais impossible à analyser, où le di
l. de la Soc. de méd. ment, de Belgique, mars 1896.) L'auteur de ce travail a recherché le réflexe radio-bicipital d'une pa
parmi les classes élevées que parmi celles des ouvriers livré à un travail physique. Sa fréquence ne dépend pas des questi
t que, par conséquent, les femmes sont forcées de vaquer aux lourds travaux agricoles, est, selon l'auteur, une des raisons
ière nuisible, dominent de nos jours; aussi les ouvriers, livrés au travail physique, et la disposition de la populace viva
neurasthénie est presque aussi générale chez les ouvriers voués aux travaux physiques que dans les classes cultivées. Les p
L'examen de ce cas, et d'un certain nombre de cas relatés dans ce travail , permet d'établir que dans quelques cas d'anémie
'une façon normale, savait tenir un ménage, gagnait sa vie avec des travaux de couture et subvenait aux besoins d'une jeune
68 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
iples, n'avaient pas été favorables à l'analyse et, dans notre second travail (1) avec M. Pitres, nous disions : « Le lobule pa
acillaire. M. le Dr Poirier, professeur agrégé à la Faculté, chef des travaux anatomiques, après avoir pris connaissance de not
qu'elles comportent naturellement, nous réservant d'y revenir dans un travail en préparation sur le délire hystérique (voir plu
ade dans une (1) Par Georges Guinon et Sophie Woltke (d'Odessa). Ce travail a été publié dans la Nouvelle Iconographie de la
du grand hypnotisme. Son nom revient à chaque instant dans les divers travaux de M. Charcot et de ses élèves sur l'hystérie et
esse surtout (1) Par Georges Guinon el Sophie Woltke (d'Odessa). Ce travail a été publié dans les Archives de Neurologie, 189
our ainsi dire les nombreux exemples qu'il donne dans le cours de son travail , M. Mesnet pouvait dire en parlant du sujet de so
e délire de la phase passionnelle de l'attaque hystérique. Depuis les travaux de M. Mesnet, M. Pitres (de Bordeaux) avait égale
nt de voir, ainsi que nous l'avons fait remarquer dans le cours de ce travail , des phénomènes analogues se manifester dans l'hy
er dans l'hystérie et dans l'hypnotisme. Nous avons constaté, dans un travail antérieur, l'influence des impressions sensoriell
on a noté que les somnambules s'occupaient, dans leur accès, de leurs travaux habituels : élèves préparant leurs devoirs, ouvri
bituels : élèves préparant leurs devoirs, ouvriers s'occupant de leur travail journalier, etc. D'autres sujets ont des impulsio
instants, et alors le malade, par exemple, continue inconsciemment le travail auquel il se livrait au moment de l'accès. D'au
ambulisme). La grande attaque d'hystérie est bien connue depuis les travaux de M. le Pr Oharcot, dont la description remonte
rcot) (3). On peut voir aussi, et ce sont (1) Par Georges Guinon. — Travail publié dans le Progrès médical, 1891. (2) Charc
même peuvent manquer complètement.Nous montrerons dans le cours de ce travail que l'une d'elles, la phase passionnelle, qui che
s de Mesnet doivent, ainsi que nous le montrerons dans le cours de ce travail , rentrer dans la catégorie du délire de la phase
ce genre sont extrêmement fréquents. Depuis que nous avons rédigé ce travail , nous avons eu dans nos salles, à la Salpêtrière,
jours l'attaque, et d'ailleurs, comme on le verra dans la suite de ce travail , le somnambulisme hystérique et le somnambulisme
sans grande étendue et sans grande violence. Puis il se remettait au travail , les yeux toujours fermés, faisant son ouvrage av
Charcot. — Leçons du Mardi, t. II, p 326. Nous avons publié dans un travail antérieur (1) les résultats des recherches de M.
'enseignement de notre maître éminent que nous avons écrit le présent travail . Laissant de côté les observations de M. Mesnet
citation des organes des sens, renvoyant le lecteur à notre précédent travail (v. n° XXV, p. 30). Il est intéressant de rapproc
ûment constaté, surtout quand ceux-ci ont puisé les éléments de leurs travaux dans un matériel clinique tout à fait étranger à
ospice, a reconnu cependant, ainsi que nous le disions au début de ce travail , la période délirante comme un élément caractéris
tel-Dieu, où on l'hypnotisa de nouveau. Enfin, après avoir repris son travail pendant un mois, il se présenta à la consultation
Nous lui en avons (1) Voir à ce sujet l'observation publiée dans un travail de M. Dunin (de Varsovie): Einige Bemerkungen ueb
ires, que nous avons eu si souvent l'occasion de citer au cours de ce travail . Chez sa première malade (1860), il note que « le
cune idée étrangère à l'idée provoquée. Nous avons publié ailleurs un travail sur ce sujet et montré quels sont les caractères
hystérique — et cette proposition domine en quelque sorte le présent travail dans toute son étendue — ne serait qu'une manifes
ttaques habituellement diurnes, se lève pendant la nuit, accomplit un travail d'écriture qu'il a l'habitude d'exécuter pendant
érique nocturne, dont nous vous avons d'ailleurs cité, au cours de ce travail , un exemple bien caractérisé. A propos de cette q
em (1) Voir au sujet de cette malade n° XXVII, p. 67. prunte à un travail que vient de publier mon ancien interne et chef d
de la Faculté, et dont vous n'ignorez certainement pas les importants travaux en neuropathologie. « L'histoire du sommeil mor
connue que la physiologie encore bien obscure du sommeil. Les récents travaux sur l'hypnotisme, les tout récents surtout, n'ont
us voyez, sans qu'il soit nécessaire que j'y insiste, à quels récents travaux fait allusion M. Ballet. Il est certain qu'on y p
as tout à fait à la réalité. En effet, à en croire les auteurs de ces travaux , quatre-vingt-dix pour cent parmi vous, Messieurs
alité d'origine hystérique [vigilambulisme hystérique) (1). Dans un travail publié récemment, dans le Progrès médical (2), j'
egré, de même la période des attitudes (1) Par Georges Guinon. — Ce travail , publié dans le Progrès médical (1892), est le dé
délirante, soit de l'attaque de somnambulisme. J'ai montré, dans le travail cité plus haut, sous quels différents aspects peu
ique durer jusqu'à dix jours pleins (Obs. de la nommée Sch... dans le travail déjà cité; voir plus haut, p. 102). Ce n'est pa
t d'homme célèbre (voir à ce sujet, passim, les observations dans mon travail déjà cité). C'est, à proprement parler, un automa
méricaine de Mac Nish (1). Il a été reproduit dans tous les livres ou travaux traitant de la question des troubles ou maladies
ns un atelier de couture avec d'autres femmes dont elle dirigeait les travaux , lorsque tout à coup un bruit se fait entendre. S
avant. Au bout de quelques secondes, elle se redresse et reprend son travail , qu'elle exécute maintenant sans l'aide des lunet
L. ne chan- (1) Voir à ce sujet la note contenue dans mon précédent travail sur le somnambulisme hystérique, note dans laquel
us voilà ! » puis paraît se souvenir et reprend la conversation ou le travail interrompus au point où elle les avait quittés...
observations détaillées dont ils ont été l'objet, forment la base des travaux les plus complets sur le dédoublement de la perso
es, analogues à celles dont j'ai cité des exemples dans mon précédent travail sur le somnambulisme hystérique. Le fait de pouvo
ans (1858 à 1890) et après avoir publié son histoire dans différents travaux (2) a pu enfin constater la cessation des trouble
ns la fin relative à sa guérison) ainsi que l'indication des nombreux travaux dans lesquels M. Azam a publié les différentes ph
s son enseignement et aidé de ses conseils que j'ai rédigé le présent travail . Observation de Marguerite D... Cette jeune f
tude du moment. Nous l'avons aussi maintes fois surprise dans quelque travail d'aiguille, ou mettant la main sur le bouton d'un
par M. Charcot dans ses leçons cliniques (1) et ont fait l'objet d'un travail de MM. Marie et Souza-Leite (2). Il s'agissait
s bien et exécuter, outre des ouvrages de couture vulgaires, quelques travaux d'aiguille ou de crochet plus délicats et plus co
acs pour la lingerie de l'hospice), mais est incapable de faire aucun travail au crochet et est fort étonnée quand elle trouve
Pu blique et conformes, d'autre part, aux antécédents notés dans le travail déjà cité de MM. Marie et Souza-Leite, à propos d
aque d'état second. Les observations que j'ai relatées au cours de ce travail contiennent plusieurs exemples de ce genre, et vi
èse —• et c'est là une des conclusions que l'on peut tirer tant de ce travail que de mon précédent mémoire — il y aurait donc d
je ne saurais mieux faire que de renvoyer le lecteur à mon précédent travail sur le somnambulisme hystérique, dans lequel je d
cas de somnambulisme hystérique (le malade de B... de notre précédent travail , l'homme de M. Mesnet... et d'autres) dans lesque
à des actes délictueux (Voir le cas de M. Garnier dans mon précédent travail ). Le vigilambulisme, au contraire, dans son état
on a pareillement établi (1) Par MM. Georges Guinon" et A. Souques. Travail de la Clinique de M. le professeur Charcot, publi
les numéros 66 et 67 des Archives de Neurologie. (2) Au début de ce travail , il nous semble indispensable de soulever une que
sujet et à l'interprétation des phénomènes morbides. Sans doute des travaux ont surgi qui portent atteinte à l'ancienne conce
— Lui-même est sobre mais s'est pendant de longues années livré à des travaux intellectuels excessifs; il a été rédacteur de pl
bète vrai associé au tabès. Appendice au précédent nun\éro. Notre travail était déjà sous presse lorsque M. le D1' Latil (d
oint de vue anatomique et physiologique. Aussi les conclusions de son travail , qui, à l'époque de sa publication, ne reposaient
un très petit nombre de faits, ont-elles été confirmées depuis. (1) Travail du laboratoire do M. le P* Charcot, par MM. Blocq
ôté — dans l'observation que l'un de nous a publiée récemment dans le travail que nous citions plus haut (1), et où il paraît s
oulogne) sortie du cadre des amyotrophies myélo-pathiques, depuis les travaux de MM. Landouzy et Dejerine. En effet, dès 1874,
naître le signe de l'orbiculaire aies pan- (1) Par Georges Guinon. ( Travail publié dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêt
e cette idée, renvoyant pour cela à la leçon de M. Charcot et à notre travail précédemment cité. La démonstration nous paraissa
ue et delà forme de Erb, établie par Erb lui-même dans ses importants travaux ; d'autre part, également entre la forme de Erb e
us tard, le côté droit (bras en premier lieu) se prend à son tour. Le travail est possible, mais devient de plus en plus diffic
nnée 1890. Toutes les modifications survenues dans son état depuis le travail de MM. Le Noir et Bezançon jsesont donc produites
tte proposition que M. P. Marie et moi émettions dans notre précédent travail sur ce sujet, à savoir que dans la maladie myopat
autions, ou bien le malade, au moment où il est sous le coup de (1) Travail de la clinique de M. le Pr ChâRCOT, par Georges G
petite statistique que nous avons dressée pour servir de base à notre travail , et ils y figurent au nombre de quatre (n0s 45, 4
l se dit : « Tiens, le contremaître va arriver ; il faut se mettre au travail . » D'autres fois c'est le souvenir de son ancien
r volume des Leçons du Mardi de M. le Pr Charcot. breux éléments de travail . Le mardi matin, jour de la consultation, dès la
rpréter les faits analogues à celui rapporté par M. Blachez, dans son travail sur ce qu'il appelle la chorée du larynx, et où i
. Il y a dix-huit mois, sans aucun motif, un matin en se mettant au travail , il sentit tout à coup sa jambe gauche « se plier
nomalie prévue, classée, décrite par MM. Ballet et Crespin, dans leur travail sur les attaques d'hystérie à forme d'épilepsie p
t un mois, à partir du début de l'attaque, il n'a pas discontinué son travail ; il combattait sa maladie par des purgatifs qu'i
esthésie alcoolique. C'est depuis une dizaine d'années, à la suite du travail d'un excellent observateur, M. Magnan, que l'on p
dans les phases cataleptique et somnambulique du grand hypnotisme. ( Travail de M. Georges Guinon et Mlle Sophie Woltke). . 22
s hallucinations de la phase passionnelle de l'attaque hystérique. ( Travail de M. Georges Guinon et MUe Sophie Woltke). . 36
nnelle de l'attaque, attaque délirante, attaque de somnambulisme). ( Travail de M. Georges Guinon).......... 70 , xxix. Du
la personnalité d'origine hystérique ; vigi-lambullsme hystérique. ( Travail de M. Georges Guinon).........177 xxxi. Sur u
..........266 xxxii. Association du tabès avec le diabète sucré. ( Travail de MM. Georges Guinon et A. Souques). ... 289 x
xxxiii Sur un cas de paralysie conjuguée de la sixième paire. ( Travail de MM. Blocq et Georges Guinon)......349 XXXIV.
pe Landouzy-Dejerine avec pseudo-hypertrophie de certains muscles. ( Travail de M. Georges Guinon)..........367 XXXV. Défo
éformations thoraciques dans la myopathie progressive primitive. ( Travail de MM. Georges Guinon et A. Souques). . . . 384
. 384 XXXVI. Etude clinique sur l'aura de l'accès épileptique. ( Travail de MM. Georges Guinon et Raïchline). . ... 389
XXXVII. La policlinique de M. le Pr Charcot à la Salpètrière. ( Travail de M. Georges Guinon). "........430 APPENDICE.
69 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
ue cette défense se trouve en très bonnes mains. Cependant, dans le travail si soigné de M. Kuborn, il est quelques opinions
aines et même pendant plusieurs mois, leur aptitude si remarquable au travail d'esprit. Ils avaient une étrange diminution de l
n in-8. Il suffit de s'attaquer à la définition sur laquelle tout son travail est appuyé. Celle-ci renversée, tout ce qu'elle s
s maladies simulées chez les enfants, un mémoire plein d'intérêt. Les travaux des devanciers et les observations personnelles d
le domaine de l'hypnotisme. A l'heure actuelle, après les importants travaux publiés sur la question, il n'est plus permis à p
nd actuellement sur le monde entier. » C'est pourquoi, négligeant les travaux plus anciens, l'auteur consacre sa bibliographie
rs, comprend les grandes divisions suivantes, qui embrassent tous les travaux répandus dans les neuf chapitres dont nous avons
uire intégralement ici, pour donner une idée de l'interêt qu offre le travail de M. Dessoir. Statistique. Dans la bibliogra
inspirer à la malade la confiance à l'égard de son mari et le goût du travail , et, en second lieu, de lui faire prendre en horr
'hypnotisme extra-scientifique. A la suite de la publication de son travail sur la nécessité d'interdire les séances publique
l'hypnotisme. Il n'en est heureusement rien. Des expériences et des travaux personnels ne sauraient engager que la responsabi
e l'expérimentation, si magistralement données par Bacon, que tant de travaux contiennent des erreurs positives et viennent ent
igmates, des vesications, des brûlures. {t) Cette étude complète le travail publié en 1887 par notre collaborateur M- J. Delb
rement déjà, avec la grande autorité qui s'attache à son nom et à ses travaux . M. Charcot avait démontré l'existence et la natu
ffalo, le Rév. Oscar Mae-Culloch, d'Iodianopolis, a lu un remarquable travail sur la dégradation sociale. Il a fait l'exposé de
ltait une dégénérescence intellectuelle et une incapacité générale au travail , occasionnées par la charité publique et les seco
fant, a mesure qu'il grandit. Cette table permet alternativement le travail assis et le travail debout, ce qui constitue un m
grandit. Cette table permet alternativement le travail assis et le travail debout, ce qui constitue un moyen efficace de com
a rédaction. Dr L.-H. Petit. (Ce volume contient la bibliographie des travaux publics sur la tuberculose en 1887, par L.-H. Pet
a libené est un fait d'expérience qu'il me parait absolument (i) Ce travail forme la première partie du discour» prononcé i l
es soumettre au contrôle de ceux qui ont partagé nos angoisses et nos travaux . L'émïncnt évéque de Madrid ne s'adresse pas au
t profond. la mémoire faiblit et il y a impossibilité de continuer le travail commencé. Cependant il n'y a jamais eu de perte d
chapelle, Mme Bol-vin et plusieurs autres femmes distinguées dont les travaux ne sont malheureusement pas assez connus. Mais,
ecrète jalousie — ou comme une crainte de voir bientôt apparaître des travaux émanant de femmes instruites et capables, elles a
portant. Nous invitons les auteurs, dans le but de vulgariser leurs travaux et de faciliter de nouvelles recherches, à nous t
des nouvelles doctrines, a provoqué l'apparition d'un grand nombre de travaux . Beaucoup ont une réelle valeur. Malheureusement,
particulier et encore peu étudié jusqu'à ce jour, malgré les nombreux travaux sur le somnambulisme artificiel. F... Mathieu,
éprou%-ait de l'oppression et restait couché. Il a pu reprendre son travail pendant une quinzaine de jours, mais les nuits ét
s éclatent. Elles en subissent ou modifient les teintes, fécondent le travail , élargissent le rayon, éclaircissent ou assombris
edicinen, par leJ Dr Orro G. VVetterstrànd, Stockholm, iS88.^/ Le travail du médecin de Stockholm peut être consideré comme
l'hypnotisme devient de plus en plus volumineuse; la seule liste des travaux parus à notre époque forme une forte brochure (i)
tout cœur l'auteur de son ouvrage si instructif et intéressant. Le travail de M. le docteur de Schrenck-Notzing est excellen
mme le premier ouvrage allemand qui entre en ligne avec les meilleurs travaux publiés en France. Elle les surpasse même en quel
n les publie. Alors commence, dans tous les centres scientifiques, un travail de contrôle. Les expérimentateurs se procurent la
esseur, il dit : La métaphysique vint constamment à la traverse des travaux scientifiques qu'il entreprenait. En iSi3, il con
et en i8i5. une correspondance des plus curieuses. Son. cabinet de travail s'ouvrait ¡1 toute heure et à tout venant. Maisef
stribuée en on ou plusieurs prix destinés a récompenser les meilleurs travaux relatifs à l'établissement des jeux gymnastique
Berlin.) Nous invitons les auteurs, dans le but de vulgariser leurs travaux , à transmettre aux bureaux de la Rédaction, 40 bi
c mesure, à des phénomènes analogues ? Nous sommes absor-j bés par un travail intellectuel, pendant qu'on parle et discute à cô
. 11 n'existe dans sa famille aucune maladie nerveuse. Habituée aux travaux de la campagne, elle n'a jamais souffert dans son
officielles. Il constate qu'il a fallu quatre-vingts ans pour que les travaux de ce célèbre naturaliste, partis initialement du
fendre les séances publiques d'hypno-tisme. Cours libre. — Cours et travaux pratiques de chimie et Je micrographie médicales.
l'Académie des sciences, vient de récompenser quatre auteurs dont les travaux sur l'hypnotisme lui ont paru inspiresiH un vérit
ans ce but. des matériaux toujours de plus en plus nombreux. Ce grand travail aurait été facile à faire si 1 on avait agréé la
bien. Depuis l'âge de 7 ans est devenu paresseux, n'a pas de goût au travail et est très peureux. De plus, il sort souvent sa
ise 4 fois-1 en sommeil profond, elle a montré plus de disposition au travail . N'est plus revenue. 11.—28 septembre. — L... (
; venu chez moi se faire endormir pour acquérir plus d'application au travail ; pour être détourné d'une tendance trop prononcée
ois par jour, ce lycéen a été porté à travailler davantage, et de son travail il a retiré plus de fruits: mais dès qu il a cess
, l'un, par une trop grande application à l'étude, et l'autre, par un travail physique trop pro-longé et trop violent. Les méde
n'a présenté aucune habitude de masturbation. Il a été épuisé par des travaux pénibles qu'il exécute en compagnie de son père :
propos des prix qu'elle avait à décerner, a eu à se prononcer sur des travaux de cet ordre. Le moment me parait donc propice
e n'en est pas moins susceptible de résultats positifs et précis. Les travaux de ces dix dernières années l'ont prouvé. Comme
le plus de la suggestion provoquée durant le sommeil, donrde nombreux travaux dans ces dernières années, particulièrement ceux
édical du 3 décembre 1887. On retrouve l'histoire d'Eudoxic dans le travail de M. Gilles sur les attaques de sommeil. Ccu
onorable ei une somme de 800 fr. à M. le Dr. Edgar Bcrillon, pour son travail sur ; La dualité cérébrale, ex une citation honor
nces qui se forment et qui s'accumulent dans les muscles par suite du travail musculaire, sont exprimées par les manipulation»
alades travaillent. L'abstinence absolue des boisson* alcooliques, le travail obligatoire et la suggestion hypnotique sont la b
s en sont le contre-pi^. ifbt la bonne volonté, de la déférence, du travail , voila, a tous les degrés de l'enseignement : pri
et généreux? Autre considération : Mécanique ou intellectuel, tout travail implique résistance. De quel droit, donc, réclamc
out travail implique résistance. De quel droit, donc, réclamc-t-on le travail , ai l'on commence par paralyser chez celui qui le
ls l'élève n'attache aucun intérêt par lui-même; quand, en un mot, le travail difficile s'impose, comment faire: — Alors, dit l
de laisser à son esprit des détentes ; ménagez-lui des alternances de travail , de repos et de plaisir. s ^"Découvrir les apti
n fait aux maîtres jure, la plupart du temps, avec la lourde somme de travail qu'on leur demande et les immenses services qu'on
igé d'assister à tous les cours de chaque semestre, aussi bien qu'aux travaux pratiques et aux leçons cliniques. A la fin de ch
te et soutient sa thèse de doctorat. Cette thèse est ordinairement un travail de grand mérite, qui suppose une connaissance trè
s approfondie du sujet traité, jet sa préparation matérielle exige un travail de dix-huit mois à deux ans. Ce diplôme, supérieu
la Faculté de Ulle. I est:me de tous ses confrère» par son énergie au travail et par la droiture de son VAdministrateur-Géran
de sa grossesse, il nous avait été •acile. pendant toute la durée du travail , de la maintenir en état somnambuiique continu, e
mé général, me réservant d'entrer dans de plus amples détails dans un travail ultérieur, qui sera précédé de l'historique de la
ieurs grandes salles sont destinées aux laboratoires, aux cabinets de travail : chimie, microscopie, photographie, autopsies, a
nt occupés de cette science ont déjà fourni un nombre considérable de travaux importants sur l'anatomie. la phvsiologie et la p
vsiologie et la pathologie du système nerveux. Les plus connus de ces travaux appartiennent au professeur Bcchtercw. de Kazan.
ement réserves aux services de ces cliniques, à l'enseignement et aux travaux des étudiant* en médecine. Avant de terminer ce
gie, je veux citer quelques publications importantes qui résument les travaux personnels de ceux qui produisent dans cene branc
an ; chaque numéro forme un volume de 400 à 5oo pages, contenant des travaux parus dans toutes les langues, sur la Psychiatrie
ait six fois par an, par livraisons de 1S0 pages; il publie aussi des travaux oricioaux et fournit des indications bibliographi
hologie, mais il y a d'autres journaux qui donnent ose large pbce aux travaux concernant les maladies mentales et nerveuses. Le
domadaire, dont chaque numéro est de 34 pages : ce journal publie les travaux faits au laboratoire de M. Mierjiewsky. a Saint-P
iciels des différentes Universités, et dans lesquels sont publics les travaux faits dans l'Université qui dirige chacun de ces
fkyziologique, du professeur Danilewsky, journal ne publiant que dci travaux originaux dont la plupart sont relatifs à la neur
originaux dont la plupart sont relatifs à la neurologie. Parmi les travaux les plus remarquables parus en langue russe dans
aration a demandé plus de deux ans et qui a paru en 1S87. Parmi les travaux importants publiés depuis deux ans dans les journ
ral après Tablation du corps thyrt>ïde, par Rogowitch, 1888. Le» Travaux sur l'anatomie du système nerveux central, publié
ques du système nerveux central dans la démence senile, par Belakoff: travail publié, en 1S87. dans le Messager de Mier-jiewsky
en iSSS, dans les Archives de Kowalewsky. L'énumération de tous ces travaux peut déjà donner une idée de la place importante
, que de phénomènes complexes on sent se dérouler! Que d'études et de travaux accumulés on perçoit dans la plus simple de ces m
oix, deviennent les interprètes fidèles des phrases écrites; c'est un travail mental complexe, qui met en œuvre toutes les ress
en clef deso/.cequi est encore un supplément de complication dans le travail mental qui s'accomplit, attendu que la lecture vi
notre génération, ainsi que de la prestidigitation et du merveilleux travail accomplis par les artistes musiciens du dix-neuvi
mardi 4, mercredi 5. jeudi 6 et vendredi 7 juin jeront consacrées aux travaux du Congres. La séance générale aura lieu dans le
nt comme hors de discussion. Ce (ï) Revue de rHypnotisme, iSSS. travail , qui est très simple, pourrait être fait pour tou
être employés à des études qui seront plus tard inutiles et à des travaux qu'on laisser» ensuite de côté. A 35 ou 40 ans. l
iqué des Hautes Études. — Les personnes qui désirent prendre part aux travaux du laboratoire de psycholosie physiologique, sont
précurseur de l'ère scientifique, l'ère moderne, est Braid, dont les travaux connus paraissent (1845) au moment même où l'Acad
pas accordé plus de créance qu'à ses devanciers, mais encore tous les travaux ultérieurs auraient été impossibles. Je ne me r
e, sans celui-ci, celui-là n'aurait pas existé. Sans Charcot, les travaux de Bernhcim auraient subi le sort des recherches
culier autrefois. Elle a repris ses anciennes habitudes d'ordre et de travail . La constipation est enrayée: les selles ont lieu
gestible en cet état. Ce fait indéniable vous explique pourquoi les travaux de la Salpêtrière. si riches et si complets sur c
esseur Honsley et d'autres, n'est pas recevable, attendu qu'un pareil travail veut une éducation égale des éléments moteurs des
la postérieure de l'autre pendant qu'il l'expliquait verbalement. Son travail était évidemment simultané ; mais l'incitation au
droit, put. après huit jours de traitement hypnotique, reprendre son travail . Autre cas : un homme robuste ne quittait plus
ution faible et nerveuse, et un jeune garçon de 11 ans. Obligées a un travail très fatigant et insalubre, au milieu des émanati
70 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
moins développée suivant les sujets : la suggestibilité (')• Dansun travail très intéressant sur la suggestibilité, M. Crocq
n'est pas toujours exempt de difficulté ; mieux que tous autres, les travaux dé Charcot et de ses | élèves l'ont péremptoireme
dans le mécanisme du sommeil et aussi du réveil. Quand, par suite du travail , de la fatigue, etc., une quantité suffisante d'a
cool, et beaucoup d'entre eux s'étaient ruinés, devenus incapables de travail . Ces malades appartenaient à toutes les classes d
Ces personnes conservent quelquefois assez . longtemps l'aptitude au travail qui est interrompue de temps ài autre par des acc
suggestion pure et simple fut toujours impuissante : d'ail- (1) Ce travail fait suite à celui publié dans la même Bévue, en
crits sous le nom de folie morale et il existe sur cette question des travaux très nombreux. Deux facteurs principaux entrent
s animaux et non d'abrutir nos frères; inférieurs avec des coups. Les travaux de l'Institut psycho-zoologique, doivent donc int
i 893 (affaire du zouave Jacob) : «.....Qu'en effet, il appert des travaux préparatoires de la loi que, si le législateur
isme et de l'hypnotisme pour exercer la profession de guérir. » Les travaux préparatoires auxquels font allusion les considér
pérant obligation, disposition ou décharge, sera puni de la peine des travaux forcés à temps. — Quiconque, à l'aide de la menac
eusement nécessaire pour caractériser la nature de l'extase; c'est ce travail qu'il m'a paru utile d'accomplir. C'est dans la
s hystériques et sans reprendre les arguments déjà développés dans le travail précédent, citons quelques particularités psychol
ant pour le moment de côté tout ce qui a irait à la composition et au travail de l'auteur. L'interprétation d'une œuvre music
e, où il s'agit de traduire les sentiments d'un personnage figuré, le travail de l'artiste est très complexe. En effet, la situ
modifier l'expression de ses sentiments. Analysons sommairement le travail psychologique qui doit être fait par l'artiste.
emme du monde, élégante et raffinée, et l'ouvrière habituée aux rudes travaux et aux privations ; le savant et l'homme des cham
l'artiste pour qu'il ne lui reste plus rien de lui-même. Ce premier travail étant fait, il faut le sensibiliser de nouveau, e
t une observation bien caractéristique. On ne se fait guère l'idée du travail énorme exigé des artistes dans les théâtres de pr
se trouvait dans un état de surexcitation nerveuse développée par le travail , la mémoire affaiblie, la voix fatiguée, il lui s
lités peuvent toutes, jusqu'à un certain point, être modifiées par le travail et l'exercice ; mais la suggestion hypnotique pro
anière considérable, et quand elle vient s'ajouter à l'exercice et au travail , elle permet au chanteur d'aborder avec aisance l
ltat s'obtient avec une rapidité que l'on ne trouverait jamais par le travail seul. Le timbre est amélioré par un mécanisme q
us.soumise et plus humble qu'elle, et qui choisit plus volontiers les travaux les plus bas » (4). Elle était d'une « ferveur
el, qui naturellement n'est pas normal ; car au lieu de poursuivre le travail entrepris et de s'en faire une profession plu
ns leur donnent des coups, ou soit qu'ils ne réussisent pas dans leur travail . Pour le moindre prétexte, ils passent indifférem
assée ; ce qui montre que la faute n'est pas imputable à la nature du travail , mais à la nature de ses enfants et à leur insurm
ères difficultés, aux premières révoltes contre la dure discipline du travail , la famille les met dans Pater-native de donner t
er à Paris, etc., mais il est docile et attentif, il prend du goût au travail , son intelligence s'éveille, sa mémoire augmente;
s frères inférieurs (?) de réfléchir et d'observer pour compléter ces travaux et rendre à l'hystérie ce qui lui appartient. Dan
des phénomènes psychiques chez les animaux et venir prendre part aux travaux de cette société qui ne cesse de faire des études
tifications du monastère. « Elle avoit un attrait singulier pour le travail et le silence » (*), qu'elle observait « avec une
s de la Seine. En 1890, au Congrès international de Berlin, dans un travail ayant pour but de fixer les indications de la sug
'elle réagisse avec effet, pour qu'elle donne la plus grande somme de travail possible, il faut que les règles et les lois qui
e nous sollicitons de toutes nos forces ne peut faire accomplir qu'un travail insignifiant ; par exemple, une dizaine de lignes
ns de vouloir. Nous ne savons pas faire rendre à la volonté tout le travail dont elle est capable. La règle qui régit la vo
pons dans notre pensée. La représentation mentale se développe par ce travail de méditation, d'une façon spontanée et suivant n
onne idée. « L'entraînement facilite dans une très grande mesure ce travail de la pensée. * • Il y a une différence entre
idée donne lieu à mille représentations mentales de celte idée par le travail particulier de l'autosuggestion. Aussi la puiss
le il étudie la suggestibilité dans la fatigue. Si dans le cours d'un travail , alors que la fatigue se fait sentir, on détermin
de la suggestion. En tous cas, lorsqu'on a obtenu une augmentation du travail , il est indispensable de continuer à produire la
docteur J. BàBINSEI, médecin do la Pitié Malgré le grand nombre des travaux dont l'hystérie a été l'objet, les médecins ne se
t bien que ses craintes {!) J'af déjà développé cette idée dans mon travail sur la migraine ophtalmique hystérique, paru en 1
atrophie musculaire dans les paralysies hystériques, par J. Babixski, Travail publié en .1886 dans les Archives de Neurologie.
e voit menacé de folie et cette obsession, qui constitue un véritable travail de l'esprit, aggrave les phénomènes neurasthéniqu
ou non les caractères de la définition proposée; c'est (1) Dans mon travail intitulé Hypnotisme et Hystérie, que j'ai mention
le de la « facilité de son génie » (;>) et de son « ardeur pour le travail » f6). suggestibilité. — Elevée chez les Ursuli
orte. Us étaient distribués en divers groupes de cénobites, vivant du travail de la terre. Il n'y avait pas de femmes parmi eus
logie, dont il fut le président perpétuel et où il nous associa à ses travaux , soit dans cette Ecole où il continua son enseign
rture et sut avec de si encourageantes paroles louer votre méthode de travail ; M.H. Huchard, le grand maître et le rénovateur
là sociologie et de la philosophie contemporaines. Les noms et les travaux des hommes éminents qui assurent, avec mon ami M.
hes et des psychologues, ni les recherches des physiologistes, ni les travaux des cliniciens n'ont réussi à nous éclairer sur c
nt à l'âge de 75 ans. M. Eugène Bérillon était l'auteur de nombreux travaux historiques et sociologiques. Un de ses livres, l
immédiat. « 11 était d'ailleurs des nôtres par le caractère de ses travaux pédagogiques ou historiques, qui tous portent la
ance. — Jules Bois. Le Mécanisme de la suggestion (') d'après les travaux de M. F. Myers {de Cambridge) par M. Marcel Mangi
à nous, semblent si entièrement èn dehors suivant d'un chapitre du travail considérable sur : a La conscience subliminale »
de démontrer leur existence par des caractères saisissants. Or, les travaux de la Salpêtrière ont prouvé précisément que les
ménage et surtout de gagner sa vie comme par le passé en faisant des travaux de couture. Les caractères de ce tremblement et
pour le plus grand bénéfice de ses audi- teurs, le fruit de leurs travaux personnels. Cette innovation est certainement exc
lusieurs semestres, suppléé M. Ribot; sa carrière scientifique et ses travaux spéciaux le désignaient plus que tout autre pour
endu d'immenses services, car il a été le point de départ de tous les travaux actuels, mais c'est l'opposé de la psychothérapie
a une importance toute spéciale. Voici ce qu'il dit dans son dernier travail , paru récemment et intitulé : A l'aurore du siècl
es autres domaines. Le mécanisme de la suggestion (') d'après tes travaux de F. Myers {de Cambridge) par M. Marcel Mangin (
quelques mois, mécanicien de chemin de fer, il s'est acquitté de son travail à la satisfaction générale; il s'est marié et a e
utes les branches de l'art de guérir; ne « pourrait-on pas diviser le travail entre deux ordres de praticiens : les « médecins
iens ou philosophes, sont arrivés à la puissance d'abstraction par un travail continu et par un entraînement obtenu dans la pér
et de sa somnolence. L'inconvénient est qu'il faut se lever pour les travaux de la journée et que le temps nécessaire ne peut
e seule pensée, indéfiniment. Mais il faut des moments de repos carie travail d'auto-suggestion s'accompagne d'une certaine fat
re de fois assez grand ; de dix à cinquante fois de suite. Et ce même travail sera exécuté successivement pour les autres auto-
secondairos qui pourront être exécutées comme repos, comme variété de travail intellectuel, lorsque les auto-suggestions princi
est jamais fatigué. VI. — De la méditation*. La méditation est un travail cérébral qui vient compléter l'autosuggestion et
se de la facilité des cellules nerveuses à se reproduire en raison du travail qui leur est demandé, ce développement est l'occa
suggestion, auoir de bonnes idées. Le centre nerveux qui préside à ce travail peut donner dans une journée un nombre d'idées as
e bonnes idées aura été pratiquée, le centre nerveux qui préside à ce travail aura été sollicité, son activité aura été stimulé
aura été sollicité, son activité aura été stimulée, et il produira un travail dix fois plus grand, soit cent bonnes idées dans
ule nerveuse, il y aura dix ou cent cellules nerveuses, effectuant un travail dix ou cent fois plus grand. Il existera un vérit
erveux. Ce sont en effet les cellules nerveuses qui produisent tout travail , musculaire ou intellectuel. Une idée produite ou
lte mesure. Quelquefois on pourra y consacrer moins de temps, mais le travail effectué sera minime. Quand on veut avoir un ré
tigue qui empêche la perfection des résultats, fatigue qui empêche le travail attendu de s'effectuer, fatigue qui ne laisse plu
de s'effectuer, fatigue qui ne laisse plus de forces pour produire un travail , une résultante louable et belle. IX. — Note
ochtone celui de fascinateur. M. le D' Paul Farez signale un récent travail de M. Bloch, sur Tauto-topographie, lequel contie
éantissent. Elle dort à peine, ne mange pas, et est incapable de tout travail . Jugeant ma visite nécessaire, je vois cette mala
cinq heures. Sujet de la conférence : Le grand hypnotisme d'après les travaux de Charcot et de Dumontpallier. — Les médecins et
, par exemple, — le criminel dans une colonie agricole et l'oblige au travail ; — non, il faut aussi suivre jour par jour la vie
arriva très pâle et très émotionnéc. Elle n'en continua pas moins son travail . Mais celle scène du jeune homme lui revenait sou
ttention et la volonté surtout, font défaut. S'agit-il d'accomplir un travail , l'enfant n'en a ni la volonté ni le pouvoir; il
qui sont réunies en un tout systématique, qui participent toutes à un travail commun ; chacune de ces parties a son emploi prop
au plus haut degré l'énergie, la volonté, la persévérance, l'amour du travail , puis, couronnant le tout, l'esprit d'association
ne immédiatement sa place sans une heure d'interrègne... Avant que le travail pût être réorganisé sur des bases toutes nouvelle
t-il, aujourd'hui, d'arracher au patronat une réduction des heures de travail et une augmentation de salaire, si le loisir gagn
ement sociétaire au morcellement individualiste, l'amour passionné du travail productif au génie de la destruction, et enfin l'
dère que ses muscles ne sont pas suffisamment exercés pour fournir un travail continu, il commence à l'envoyer pour une période
es. Si ses aptitudes et ses goûts lui permettent de se livrer à des travaux plus difficiles ou plus délicats, il lui sera loi
vert sur le grand livre de l'établissement un compte particulier. Son travail est évalué à 2 fr. 50 par jour et, chaque mois, i
par des porte-clefs spéciaux pour se rendre en file indienne à leurs travaux . En dehors des ablutions journalières, les homm
71 (1934) Oeuvre scientifique
J. BABINSKI OEUVRE SCIENTIFIQUE RECUEIL DES PRINCIPAUX TRAVAUX PUBLIÉ PAR LES SOINS DE . J.-A. BARRÉ, J. CHA
3z) .T. BABINSIU r OEUVRE SCIENTIFIQUE RECUEIL DES PRINCIPAUX TRAVAUX PUBLIÉ PAR LES SOINS DE J.-A. BARRÉ, J. CHAIL
llement rapportés à son propre jugement exprimé dans cet Exposé des Travaux scientifiques du Dr Babinski établi en 1913 {Pari
us condensé par lequel Babinski lui-même fit le compte rendu de son travail dans son Exposé, la référenee étant pareil- lem
et elle nécessite aussi, sachez-le bien, un long apprentissage, un travail assidu, au même titre que la sémiotique des aff
il demande à être indemnisé en vertu de la loi sur les accidents du travail . Il déclare qu'il éprouve des douleurs très vives
l s'agit de déterminer dans une expertise relative à un accident de travail s'il existe ou non chez le sujet en observation
facilement que de cou- tume, n'ont pas leur aptitude habituelle au travail . Des impressions de ce genre n'ont pas grande s
s, bien conformés, n'accusant aucun malaise, capables de fournir un travail moyen, par exemple des jeunes soldats. Il sera
avance dans la vie. C'est ce qui ressort nettement d'un intéressant travail du Dr Dupuy, médecin-major de la garde républic
des membres supérieurs dans le tabès ont été, en 1901, l'objet d'un travail de Fraënkel (v. Revue neurologique, 1901, p. 2 !
pelée aujourd'hui myasthénie et généralement considérée, depuis les travaux de Goldflam et Joly, comme une maladie du muscl
J'ai publié, en collaboration avec MM. Jarkowski et Vincent, quelques travaux sur les réflexes de défense dont voici les indi
n plantaire à sa partie externe ou à sa partie interne ; 2" dans un travail paru en 19°1 C), où je me suis occupé des pertu
pinion diamétralement opposée depuis près de vingt ans, mon premier travail relatif à cette question datant de t83(2). Je sui
sonne pour défendre la thèse ancienne. En 1909, à l'occasion d'un travail de M. Ettore Levi, intitulé : « Quelques nouvea
Ballet (3) et de Chantemesse (4). Koening a produit sur ce sujet un travail intéressant (') et pour ma part j'ai relaté, da
éflexes comme un caractère différentiel de grande valeur. Dans un travail publié il y a sept ans('), j'ai soutenu l'opinion
aractéristique. J'ai décrit ce signe pour la première fois dans mon travail que je vous ai déjà mentionné sur la contractur
gigue, numéro de mars-avril 19 12.) La malade qui fait l'objet de ce travail était atteinte d'hémiplégie gauche et de cécité
question a été l'objet de nouvelles recherches. Schaefer, dans un travail publié en 1899, sur lequel je reviendrai plus l
sent au chapitre des réflexes de défense. Van Gehuchten, dans des travaux ayant principalement pour but d'oppo- ser aux r
avant tout il me parait essentiel, pour bien préciser l'objet de ce travail , de montrer en quoi consistent les réflexes de dé
'appelait « réflexe antagoniste ». D'une critique (2) que je fis du travail de cet auteur j'extrais le passage suivant : .
oexistent fréquemment, mais il n'en est pas toujours ainsi. Dans un travail antérieur ('), auquel je renvoie le lecteur, j'
ur à tour dans divers états pathologiques où ils ont été l'objet de travaux spéciaux : dans l'hémiplégie cérébrale, dans l'
plégies. Plusieurs des physiologistes dont nous avons mentionné les travaux sur les réflexes de défense au début de cet art
t. Ces réflexes ont été de nouveau étudiés par Claude qui, dans son travail , a eu particulièrement en vue ceux du membre supé
même, concorderaient avec ceux que j'ai notés déjà dans mon premier travail sur la paraplégie en flexion et sur lesquels je
e lésions du système nerveux central intéres- (') Voir : Exposé des travaux scientifiques du Dr Babinski, igi3, chez Masson e
contraction et surtout la décontraction sont lentes ; or, dans mon travail sur le phénomène des orteils, en 1898, je faisais
la question du point de vue clinique et, comme je l'ai dit dans mon travail sur les réflexes de défense publié en gi4, « mett
ier à la nier, ayant été le premier à signaler en 1900, à propos du travail de Schaefer sur le réflexe antagoniste du pied,
é superficielle et profonde des membres inférieurs. J'extrais de ce travail le passage suivant : « Le fait intéressant pour l
même orteil existe dans toute sa pureté. » Du reste, déjà dans un travail publié par moi en mars 1899 Q, basé en particul
ou dans certains cas d'hémiplégie ancienne » ; et, dans un deuxième travail sur les réflexes d'automatisme médullaire ('),
essant, à l'appui de ma thèse, de noter que M. Van Woerkom, dans un travail Sur la signification physiologique des réflexes
es orteils et parfois des muscles péroniers. Van Gehuchten, dans un travail présenté au Congrès de Médecine de Paris en aoû
ments d'adduction de la cuisse. » . Je reviens sur ce sujet dans un travail publié en igo4 à la Société de Neurologie et in
logique, t. XX, p. 121), Pierre Marie et Foix publient leur premier travail sur ce sujet. Il est intitulé : « Sur le retrait
ens sur ce sujet (Revue Neuroloclique. t. XXIV, p. 77). , Nouveau travail de Marie et Foix en mai 1912 (Revue Neurologique,
les Réflexes d'automatisme médullaire dits de défense ». Dans un travail intitulé : « Quelques remarques sur les réflexes
génie de ces phénomènes. Voici maintenant l'indication de plusieurs travaux sur le sujet qui nous occupe qui sont l'oeuvre
associé à une lésion pyramidale. J'ai insisté déjà en 1898, dans un travail relatif au phéno- mène des orteils ('), sur la
une communication à la Société de Neurologie. Voici un pas- sage du travail où ce fait est relaté (') : « Ce qui est capital
n'est peut-être qu'apparente et j'ai cherché à l'expliquer dans mon travail de agi4, dont j'extrais le passage suivant : «
éflexes cutanés, les réflexes de défense, me rapportant surtout aux travaux de MM. Head et Riddoch qui ont cherché à établir
mieux faire pour vous en donner une idée que de citer un passage du travail de MM. Marie et Foix('). Les observations qu'il
on de décrire moi-même les troubles vésicaux en ques- tion dans mon travail déjà cité. Voici le passage qui s'y rapporte :
sur les mouvements réflexes des membres supérieurs. Claude, dans un travail : « Sur certains phénomènes d'hyperkinésie ŸAIt
ont fait une étude appro- fondie de ces réactions motrices dans un travail dont j'ai donné déjà l'indication bibliographiq
ai exposées sur ce sujet, je pense que le mieux est d'extraire d'un travail que j'ai publié en 1912 dans le Bulletin Médica
l'influence cérébrale. » A ce sujet, je rappellerai que dans mon travail de igi 1 sur la Paraplégie spasmodique avec con
» observés par Sherrington chez les animaux décérébrés). Dans un travail ultérieur, « Automatisme et hyperalgésie dans l'h
les réactions observées chez les malades qui font l'objet de notre travail sur la réflectivité hyperalgésique sont des réfle
orteils. Je rappellerai à ce propos que M. Van Woerlcom, dans le travail cité plus haut, fait ressortir que « le gros or
temps que la triple flexion. Je vous signale, avant de terminer, un travail de M. Minkowski ayant pour titre : « Sur les mo
individus dont la sensibilité est normale et qui sont la base de ce travail . On trace, par exemple, un trait le long de la
ts réflexes. Nous allons exposer les observations sur lesquelles ce travail est fondé ; elles se rapportent à des malades p
ôté droit. Son état s est rapidement amélioré ; il a pu reprendre son travail de contre-maître : il ne lui est resté qu'une c
s'agit d'un malade dont nous avons déjà rapporté l'histoire dans un travail publié en agi3 en collaboration avec Chauvet (voi
aquelle le réflexe à la lumière sera faible ou aboli. (1) Dans un travail fort intéressant, M. Magnus a signalé incidemment
.. .. w . .' DANS SES RELATIONS AVEC LA SYPHILIS^) ;[ : ~ Dans un travail présenté, il y a deux ans, à la Société de Dermat
ations que nous avons faites depuis la publication de notre premier travail ont encore fortifié notre manière de voir, à l'ap
est scandée, ils ont du nystag- (') J. Babinski (Extrait du premier travail : Sur le rôle du cervelet dans les actes volition
es inférieurs peuvent être localisés d'un côté (côté lésé). Dans un travail intitulé Hémiasynergie et hémitremblement d'ori
lle l'explication que j'en avais donnée en citant un passage de mon travail sur ce sujet. Pour comprendre l'interprétation
a Société de Biologie, 25 avril igo3. I. LE VERTIGE YOLTAIQUE Les travaux de Bl'eÜer (1), de Hitzig (2) et de plusieurs aut
tif. C'est là le vertige voltaïque. . En igoi date de mon premier travail sur ce sujet l'accord n'était pas fait sur le m
erches est le pigeon, dont s'est servi Flourens dans ses mémorables travaux sur le labyrinthe. J'ai mis à nu sur l'oreille
re du côté de la lésion sur l'hémisphère du côté sain ('). (') Un travail plus complet sur ce sujet, surtout au point de vu
ation curative, Ce sont là des notions que surtout les remarquables travaux de Horsley ont servi à établir; les faits, déjà
'une de l'autre de 160 kilomètres. Pour accomplir plus aisément son travail , il aurait pris de l'arsenic, à des doses qu'il n
ns cas, à une irritation du système pyramidal. M. Destarac, dans un travail tout récente), rapporte une observation qui a q
cident saillant. Il est tailleur sur acier pour bijoux. Pendant son travail , il est obligé, paraît-il, de porter presque co
ressé les fibres de la voie pyramidale. (') Extrait de l'exposé des travaux scientifiques de J. Babinski, y3, p. 1-18.' III
ts où l'amélioration obtenue a été persistante ('). J'extrais de ce travail le passage suivant : « Les deux autres sujets
desquelles la malade, en apparence tout à fait remise, a repris son travail . Mais au mois de mai 1921, soit trois mois aprè
ociété il y a plus de deux ans, et il a été le sujet principal d'un travail sur l'asynergie cérébelleuse, auquel on devra se
s présentant un syndrome assez bien défini, dont le L ) titre de ce travail met en évidence les traits essentiels et qui dépe
ccentuées et se sont accompagnées d'une diminution de l'aptitude au travail et des facultés intellectuelles, de troubles de l
de l'extension, mais tôt ou (') Voir à ce sujet le très intéressant travail du pr van Gehuchten sur : « L'état des réflexes e
ts antérieurs et en particulier une observa- tion rapportée dans un travail publié il y a sept ans(') m'avaient en effet ap
NSKI.] Publié dans le Bulletin médical, 25 janvier 1911". Dans un travail publié il y a déjà plus de dix ans ('), j'ai cher
chez la malade qui fait le sujet de l'observation I de mon premier travail , précédemment cité ; elle avait été examinée, à
rd'hui à l'examen de la SociétéQ et qui est, (') Voir à ce sujet le travail de l. Noïca, ayant pour titre : « Sur la contract
Mais cela n'est pas constant; dans l'obser- vation I de mon premier travail , où les réflexes tendineux n'ont jamais été exa
x à la contracture du tabes dorsal spasmodi- (') Voir à ce sujet un travail que j'ai publié en collaboration avec 11. Jarkows
scillations avec maintien de la pression artérielle. Mais dans le travail où nous avons exposé ces faits, nous avons signal
cet égard. J'ai cru cependant devoir me servir, dans le titre de ce travail , de l'expression de névrite rétro-bulbaire infec-
e de la moelle qui l'a, paraît-il, fait (1) J. Babinski, Exposé des travaux scientifiques, page ioi. z (2) J. Babinski, Soc
ut sommeil, lui enlevaient tout appétit, la rendaient inapte à tout travail et lui paraissaient abso- lument intolérables ;
s visuels d'atrophie tabétique. Pour ne pas allonger inutilement ce travail , nous joignons simplement aux champs visuels l'
u que, d'après l'opinion des auteurs cités au commencement de notre travail , il y a presque toujours en même temps que rétr
her notre observation de celles déjà publiées et rapportées dans le travail de M. Petren : Ueber die Bah- nen der Sensibili
faire découvrir quelques observations semblables aux nôtres dans un travail de IL Head et Th. Thompson (The grouping of affér
s précieuses, ainsi que nous avons déjà cherché à l'établir dans un travail antérieur C) et comme nous allons essayer de le p
ère, en prenant les précautions déjà indi- quées dans notre premier travail , en rapprochant les résultats obtenus à plusieu
lusions, nullement en opposition du reste avec les notions dues aux travaux de Scherrington, sont fondées sur nos observation
'ils peuvent même disparaitre temporairement. L'un de nous, dans un travail en collaboration avec Enriquez et Jumen- tié, a
s renvoyons le lecteur à ce que nous avons écrit à ce sujet dans un travail antérieur (2). Mais nous nous plaisons à reconn
ire en mettant à profit les données que nous avons établies dans un travail antérieur, relatives aux réflexes de défense (').
t forma- tions glieuses du type syringomyélique », par J. Jumentié. Travail du Laboratoire de la fondation Déjerine. COMP
gue généralement, ainsi que nous avons cherché à le montrer dans un travail antérieure), par quelques traits qui lui donnen
fixer la limite inférieure de la compression, nous renvoyons à nos travaux antérieurs ('). Les conclusions auxquelles nous é
ale des Hôpitaux, séance du 24 mars 18qq). (2) Voir à ce sujet le travail de M. Froin, interne de M. Widal : « Inflammation
er un ensemble avec ces matériaux épars. Je ne fais que signaler ce travail qui n'est pas, à proprement parler, une oeuvre
IQUE J'ai fait paraitre, dans les Archives de Neurologie en 1888 un travail inspiré par mon maitre Charcot sur la scoliose
ade. L'abolition du réflexe achilléen dans la sciatique, objet d'un travail publié à la Société médicale des hôpitaux en 18
actuelle. M. Brissaud, en effet, dont j'ai rappelé les intéressants travaux par le sujet qui m'occupe, s'exprime à cet égar
scles au double point de vue auquel nous nous sommes placés dans ce travail , on constate que, pour la plupart d'entre eux,
e Paris, séance du 7 novembre 19 0 I . Malgré le grand nombre des travaux dont l'hystérie a été l'objet, les médecins ne
ns la paralysie du nerf (') J'ai déjà développé cette idée dans mon travail sur la migraine ophtalmique hystérique, paru en
voit menacé de folie et cette obsession, qui constitue un véritable travail de l'esprit, aggrave les phénomènes neurasthéni
rophie musculaire dans les paralysies hystériques, par J. Babinski. Travail publié en 1886 dans les Archives de Neurologie.
ravail publié en 1886 dans les Archives de Neurologie. (i) Dans mon travail intitulé « Hypnotisme et Hystérie », que j'ai men
voit menacé de folie et cette obsession, qui constitue un véritable travail de l'esprit, aggrave les phénomènes neurasthéniqu
égale », par J. Bakinski (Gazette des Hôpitaux, r octobre igo4). Ce travail se rapporte au sujet qui nous occupe. &78 l
le dire une admiration profonde pour le grand neurologiste dont les travaux sur l'hystérie, fort importants d'ailleurs malg
rtains signes objectifs que j'ai découverts depuis. Dans un premier travail sur ce sujet paru en 18c3, et ensuite à maintes r
utrefois de faire obstacle aux abus que la loi sur les accidents du travail a engendrés et dont la conception ancienne de l
ement, au détriment d'autrui, de soi-disant victimes d'accidents du travail , que la notion de ces prétendus troubles hystériq
HYSTÉRIE ET PITHIATISME [J. BÀBINSKI. Publié dans l'exposé des travaux scientifiques de J. Babinski (ici3). Ce fait qu
ontrant un terrain favorable, sera le point de départ d'un complexe travail d'auto-suggestion dans lequel l'analyse psycholog
ésormais subsiste seul tandis que risque de passer inaperçu tout le travail d'auto- et d'hétéro-suggestion qui l'a précédé
paraître sous l'influence d'une émotion (') sans aucune (') Dans un travail fait en collaboration avec J. Dagnan-Bouverel, ay
, elle ne me paraît pas fondée ; j'ai cherché à la réfuter dans mon travail en collabo- ration avec Dagnan-Bouveret. . El
répondent psychologiquement à une réalité quelconque. De nom- breux travaux , entre autres ceux de Ribot, ont montré que toute
Séance du 16 novembre Tg28. MM. Tinel, Baruk et Lamache, dans un travail ayant pour titre : « Crises de catalepsie hysté
es et les troubles d'origine lésionnelle. » D'autre part, dans un travail paru dans le n° 3, 2 septembre 1928, de la Revu
lus ou moins durables qui en résultent sont le point de départ d'un travail d'auto-suggestion. Si minime soit-elle, cette épi
iagnostic de contracture réflexe n'a même pas été envisagé dans les travaux dont nous venons de nous occuper. Les faits d
s n'est venu jusqu'à présent changer notre manière de voir. Dans un travail publié à la Société de Neurologie de Paris le 4
iques me parait actuellement jugée. Tout le monde admet, depuis les travaux de Babinski, que ces oedèmes n'existent pas. Dans
cité remarquable de la contre-sug- gestion. C'est ainsi que dans un travail tout récent ayant pour titre « Des troubles vis
s'est-il constitué ? Son origine est déjà lointaine et remonte aux travaux de Hunter, de Charcot et de Vulpian. John Hunte
D'ORDRE RÉFLEXE 55 confirmées et complétées par toute une série de travaux . Nous retiendrons seulement parmi ceux-ci le mé
ves aux lésions des nerfs périphériques. Il se dégage de tous ces travaux l'impression que, dans un grand nombre de Centr
s troubles vaso-moteurs et thermiques d'ordre réflexe est extraite du travail suivant : Des troubles vaso-moteurs et thermiqu
binski et Froment. Enfin Lortat-Jacob, Oppenheim et Tournay dans un travail ayant pour titre Topographie des modifications
ni viennent à l'appui de cette opinion. Voici les conclusions de ce travail (Société médicale des Hôpitaux, 29 juin 1917) :
ULAIRE PAR LA RACHICENTÈSE [J. Ï3ABINShI. Extrait de l'exposé des travaux scientifiques de J. Babinski, Paris, ig rg. Voi
'interven- tion chirurgicale, exposé qui est le but principal de ce travail , je veux dire quelques mots de la radiothérapie
ion ne provoquaient plus de grandes crises et C... avait repris son travail . On fit en tout cinquante séances jusqu'au mois
état général et son moral sont très satisfaisants ; il a repris son travail depuis plus de neuf mois. Or, nous devons signa
qu'auparavant. Le 25 octobre, le malade est obligé de suspendre son travail . Il ne peut marcher qu'avec l'aide de deux cann
ciété médicale des Hôpitaux, t 3 novembre 1891). 32. Notice sur les travaux scientifiques du Dr Babinski (Janvier 1892, chez
cine interne et de thérapeutique, mai 1909), . 162. A propos d'un travail de M. Ettore Levy intitulé : « Quelques nouveaux
ion avec Tournay. Congrès de Londres, août igi3). 208. Exposé des Travaux scientifiques (Librairie Masson, rgr3). 209. Dé
rveux. Accidents hystériques. Troubles ner- veux d'origine réflexe ( Travaux des centres de neurologie) (en collaboration av
16). z3g. Réformes. Incapacité et gratifications dans les névroses. Travaux des centres de neurologie (Revue neurologique,
72 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tin Paul', Labbé8, Dubois et Bidot'; nous n'insisterons pas sur ces travaux et nous ferons seu- lement ressortir les deux p
thérapeutique de l'acétophé- none ; nous voudrions, dans le présent travail , indiquer les résultats que nous a donnés l'emp
e générale. Agitation actuelle se rat- tachant à une suractivité de travail organique. Depuis plusieurs nuits, la malade ne
nation mentale, peu importe la nature fonctionnelle ou organique du travail cérébral qui tenait sous sa dépendance l'agitat
tira davantage et frappera mieux l'esprit. DE LA PYROMANIE. 23 Ce travail sera ainsi le complément de mon essai, publié d
de ce seul fait écartée, ainsi que je l'ai établi dans mon premier travail . Il importe donc de commencer l'étude de la pro
rut plus vive que la veille. Mais il résista encore et se rendit au travail . A onze heures et demie il ne fut plus maître d
autait dans sa poitrine, ses idées étaient con- fuses. Il quitta le travail pour aller donner satisfaction à son besoin. Il
'ordinaire le sujet était gai et expansif indiquaient clairement le travail morbide qui, à certains moments, s'opérait dans
erchait à les entraîner à la pédérastie. Il était incapable d'aucun travail sérieux, mais seulement de quelques corvées. Il
de la paralysie générale. Cet examen m'a immédiatement remémoré le travail de MM. Bourneville, d'Olier et Brissaud sur la
une grande analogie avec celles que décrivent ces auteurs dans leur travail . Les épileptiques pré- sentant quelquefois des
nées (1857-1883), de symptômes susceptibles d'être rat- tachés à un travail morbide du côté des centres nerveux. Un doute e
pertrophie du cerveau ». Il s'agit des observations II et III de ce travail . En voici le résumé : 1° Idiot, extrêmement méc
bservations a beaucoup de rapport avec celle qui fait l'objet de ce travail . La seconde s'en rap- proche surtout en ce qu'o
estion de la Paranoïa, il nous a semblé qu'une revue des principaux travaux publiés jusqu'ici sur ce sujet ne serait pas ho
systématisée primitive. Nous pouvons citer encore dans ce sens les travaux de Lélut et de Voisin sur la folie sensorielle
S78) partage ces idées. Nous signalerons encore cette même année un travail de Feauxl sur la folie systématisée hallucinato
ptique dès l'enfance, présentant des antécédents héréditaires. Le travail de Kandinslcig et le livre de Weiss y (188f ), ne
POSÉES SELON LA MÉTHODE de complication ; par le docteur W. TcHiGE ( travail du la- boratoire de M. le professeur Wundt.) (
gique du mot héréditaire. Le sens qui s'y trouve attaché depuis les travaux de Morel en fait un synonyme de dégénérescence.
des organes législatifs. Dès maintenant, il s'agit de commencer les travaux préparatoires propres à asseoir les éléments fo
17, 104, 425, t XI, 237. 1 Nous appelons l'attention sur le dernier travail d'ensemble de M. de Gudden, eu faisant remarque
erveux; par H. Michel. (J.-B. Bail- lière, éditeur, Paris, 1885.) Travail inspiré par M. B. Teissier (de Lyon), qui sur un
ges, produit à l'école de la Salpêtrière. Et, en effet, ce sont les travaux de M. Charcot surtout et les observations publi
Des XXVI observations exces- sivement complètes consignées dans son travail , l'auteur déduit que : L'hérédité est la princi
que sorte à l'attention des dépravés. Dans la seconde partie de son travail , M. B... montre que la con- formation anatomiqu
ion était sans tache et que toute sa vie avait été remplie par le travail . 1 ' Sur ces entrefaites, quand la fille se vit
non de route Fabrice Hildanus, chirurgien ordinaire célèbre par ses travaux et sa pratique éclairée, qui exerçait à Paterni
sous tous les rapports tant par son âge, son esprit, ses nom- breux travaux que par sa vertu et sa vie intègre, et Daniel H
tôt chez l'un, tantôt chez l'autre, et de vaquer à leurs différents travaux à la lueur des lanternes) : on lui demandait si
e, pour en voir l'application sur place, expliquent la durée de nos travaux et justifieront, je l'espère, cette lente évolu
la discussion des articles, quelques explications de détail sur ce travail de révision que le Gouvernement a entrepris en
nouveaux salariés. Messieurs, voilà les trois objets capitaux du travail de la com- mission. Le projet du Gouvernement,
j'avais eu à peine le temps de jeter un coup d'oeil sur ces grands travaux ; j'espère que le Sénat voudra bien leur faire u
nent les déplacements. Tout cela a été soigneusement calculé, et ce travail a été fait, il y a deux ans, au ministère de l'
x difficultés qui naîtraient de la fréquence des déplacements et du travail excessif qui en résulterait, il y a là une object
odard. 1,000 fr. Ce prix devait être décerné à l'auteur du meilleur travail sur la pathologie interne. Dix-neuf mé- moires
mie partage le prix entre : 4° \f'e A. Klumpke (de Paris), pour son travail : Contribution à l'étude des paralysies radicul
VERBALE; Par le Dr H. ARNAUD (de la Jasse). Sous l'influence des travaux déjà nombreux de Wernicke, Kussmaull, Kohler et
s complète de la mémoire de la signification des sons ». Dans son travail non moins remarquable, M. G. Bal- let admet ave
elle que l'on observe encore chez l'homme adulte, fatigué par un travail excessif ou absorbé par une préoccupation puiss
les étaient provoquées et augmentées par le mouvement, surtout un travail pénible, des émotions ou un état général de fatig
avail pénible, des émotions ou un état général de fatigue; aussi le travail lui est-il devenu très difficile ces dernières an
ndre qu'un bras. Le malade cependant n'est pas trop empêché dans le travail de ses mains ; il écrit assez facilement, n'éta
des fatigues et un refroidissement que le malade dut renoncer à son travail de charpentier. Dans les cas de Lôwenfeld et de
LA TEMPÉRATURE DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE. Dans nos premiers travaux sur la température des épilep- tiques (1859-187
78), puis Erb complétèrent ces descriptions. Môbius (1879), dans un travail assez complet, insiste particulière- ment sur l
si à gauche. Aussi ne peut-il se servir de ses mains que pour des travaux grossiers, et l'écriture lui est-elle devenue imp
ire, mais en la reléguant tout à fait au second plan. Dans un autre travail ', il avait déjà in- sisté sur sa rareté (cinq
es Centrnlblalt, 11- 5, 1883.) ' 2 A la suite de la lecture de ce travail présenté à la Société de psychia- trie et de ma
tion pn- 2 : 2 REVUE CRITIQUE. Witkowski' (1885) consacre tout un travail à lanosographie de la Verrücktheit dans ses rap
) /. Psych., Bd. XLII, 6,1880.) LA paranoïa. 225 Citons encore le travail de Vejas' * (1886) sur l'épilepsie et la folie
e nous retrou- vons la conception de la folie systématisée dans les travaux de Tiling (1878-t879), de Kadinski (188t), de M
, diseases, 1881). LA PARANOÏA. 229 Citons encore en Amérique les travaux de Beard', Fenn 2, Hammond 1. IV. Mais, apr
doivent exister entre les idées, les sentiments, les actes. Dans ce travail Buccola étudie la genèse du délire, et reste in
), et diminue le tonus musculaire (d'où, hypothermie, diminution du travail physiologique, anoxhémie, lésions cutanées, ten
ie ses collègues qui l'ont appelé par leurs suffrages à diriger les travaux de la société. Du délire chronique (suite de la
t de vue mental ; il est un peu autre qu'auparavant, moins actif au travail mais non aliéné. A l'âge de vingt ans, il part
, des maisons rurales, des cottages avec de l'espace, des moyens de travail pour tous les aliénés qui sont propres au trava
ce, des moyens de travail pour tous les aliénés qui sont propres au travail et qui n'exigent pas une surveillance coûteuse.
oussé de partout, ne trouvant nulle part un foyer qui s'ouvre ni du travail qui lui donne du pain, n'a pas d'autre refuge q
our servir de guide à ceux qui veulent consacrer leur temps et leur travail à soigner les aliénés. Le sujet est d'une impor
s, Françoise Fontaine. Jean Wier,- La Possession de Jeanne Fery, ce travail ne le cède pas en intérêt à ses aînés. En effet
dico-légales variant selon les législations, c'était encore tout un travail pour assimiler les résultats indiqués par le li
directrice qu'il faut chercher le secret de la précision de ce beau travail . La première et la plus importante partie du li
n seul but, le traitement. Quant au régime, l'application large des travaux manuels jointe à une liberté raisonnablement em
é de la colonie agricole étant donné que les aigus pour lesquels le travail manuel constitue souvent un auxiliaire importan
uxiliaire important du traitement, ne pourront être envo- yés à ces travaux . Ils ont parlé ensuite contre la suppression ab-
atrique avec hos- pice ». C'est une maison à type colonial avec des travaux lar- gement organisés par les malades, de telle
s prennent part à la cons- truction de l'établissement et par leurs travaux couvrent presque toutes les dépenses. Ce projet
ssement colonial de Khol- mossprès de la ville de Novgorod) que les travaux des aliénés ne diminuent presque pas les dépens
nses exigées par leur entre- tien. Du reste, il faut considérer les travaux des aliénés non varia.' 311 comme une source
llent sous la direction d'un inspecteur spécial. Du reste, tous les travaux de la maison se font généralement par les malad
, il a été trou- vé porteur de quatorze francs provenant non de son travail , mais probablement soit de vols (on signale dep
ndéterminés eu Afrique. Retour en France. Hébé- tude. Incapacité de travail . Accès de violence épileptiforme. Brise, frappe
t, nous ne pouvons dire aussi si ces lésions sont consécutives à un travail iullam- 1 Etoc Demazy.. Du la stupidité considé
x, semble plus âgé qu'il ne l'est en réalité, et est incapable d'un travail suivi. Tous quatre sont d'intelligence assez bo
e ses comptes et ne se trompe guère dans le calcul de ses heures de travail ; il lit également sans peine et assez correcte
n nous confier la rédaction', on vit apparaître de toutes parts des travaux dont plusieurs sont de première importance. Nou
complète. Nous ne pouvons toutefois nous empêcher de signaler les travaux fondamentaux de Lancereaux et de Leudet, qui, e
qui nous intéresse avant tout, c'est de mettre en pleine lumière le travail de James Jackson, paru dans un journal difficil
r, a eu l'obligeance de communiquer à M. Charcot un exemplaire du travail de .T. Jackson. Nous en donnons la traduction s
ment, sortit tout à fait bien portant et capable de reprendre son travail . J'ai employé divers remèdes ; le suivant m'a p
alcooliques, mais pendant un an, lorsqu'il travaillait à Berne, le travail était pénible et il buvait jusqu'à trois litres d
aires ; pas ou peu de démangeaison, pas de fièvre, ne cessa pas son travail ; durée : huit jours environ. En 1873, fièvre
lectuel. (Syn. : démence incomplète.) .. V. En France, depuis les travaux de Morel, nous ne rencon- trons sur ce,sujet qu
ssées en revue. 1. Nous signalerons principalement. dans ce sens le travail de M. Ach. Foville ' sur la folie avec prédomin
que nous croyons typique. Mais c'est surtout en nous reportant aux travaux de M. Ma- gnan que nous verrons mieux, par comp
documents fort intéressants sur la question qui nous occupe dans le travail de M. Legrain qui étudie toutes les formes de d
pect, a cependant été déjà traitée en grande partie. Rappelons un travail antérieur de M. Saury 3 qui avait étudié aussi
1886. LA paranoïa. 405 Il nous reste peu de chose à dire sur les travaux français se rapportant à la question de la Para
880; Déricq, Th. Paris, 1880; - Kra(1t-Ebing, loc. cit. - Parmi les travaux venus à notre connaissance, depuis la composition
s tantes, religieuse, le destine au noviciat. Son peu d'aptitude au travail , la lenteur de son intelligence et l'apparition
acy forScotlund'.) On est en outre frappé dans cet établissement du travail agricole en liberté. L'asile de Woodilee reçoit
és de plus de soixante ans soit 10 p. 100. On n'exclut abolument du travail que les malades atteints d'affections somatique
plus de confiance. Ce personnel a été obtenu en Ecosse. Quant au travail agricole en plein air, il a un avantage tout hy
provient des conditions sociales. Les conditions défavorables du travail ont empêché bien des malades de rester au dehors,
'ai dit qu'il y avait une quarantaine d'années qu'il avait fait ces travaux . Le Journal officiel me fait dire une quinzaine
à y traiter. Puisque j'ai parlé de Séguin, je dois ajouter que ses travaux écrits en langue française sont antérieurs à la
Amérique, et c'est là qu'il a fait en langue anglaise ses derniers travaux . Les bien- faits de sa méthode ont été justemen
eiiient très rare, les accidents hystériques. M. Duguet termine son travail par cette conclusion, c'est que « quelque soien
Pitres, dont les observations constituent d'ailleurs le fond de ce travail . Mais M. Rivière a eu le mérite de faire un exp
eschares chez les aliénés; par FOISSACL. Thèse de Paris, t887. Ce travail n'est qu'une étude critique sur les eschares envi
raction; la permission d'y assister, qu'il faut avoir gagnée par le travail , ce grand agent thérapeutique, est un puissant
! , journal de neurologie, vient d'être chargé de lapublication des travaux de la Neurological Society of Londoiz. La rédac
73 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
étape considérable dans le progrès des sciences philosophiques. Le travail de M. Pierre Janet sur l' automatisme psychologiq
béralement ouverte à tous les auteurs qui publieront sur ce sujet des travaux inspirés par un esprit vraiment scientifique. L
enue triste : elle n'avait plus de goût à rien et elle négligeait les travaux de son ménage, elle ne pouvait plus ni penser ni
homme soit malade au moral, que, par suite de fatigue physique ou de travaux intellectuels excessifs, ou bien après de violent
l'esprit se rétablir de son trouble passager. Mais elle a accompli un travail souterrain, elle est devenue assez puissante pour
rrants l'ont transporté sans qu'il s'en doute, quand au milieu de son travail il entend sa bouche murmurer sans cesse un nom to
tant de fois reprise du surmenage cérébral s'imposait. Au résumé des travaux récemment publiés sur le sujet, fait suite une cr
dre cette importante question, tt nos lecteurs sont au courant de ses travaux . L'interprétation des phénomènes y est donnée.
ut gagner peu a peu bien des amis a la cause de l'hypnotisme, par des travaux scientifiques exempts d'enthosiasme et d'exagérat
teurs de cette Revue adressaient un timide appel aux savants dont les travaux ont fait entrer définitivement l'hypnotisme dans
onoreront de leur visite l'accueil le plus sympathique. Pendant les travaux du Congrès, diverses attractions leur permettront
nal de l'hypnotisme, par son caractère intime et par l'intérêt de ses travaux , laissera dans l'esprit de ses membres le souveni
que le caméléon », selon l'expression pittoresque de Sydenham. Les travaux de Charcot (5) ont complété l'œuvre de ses devanc
équemment intolérables pour leur entourage. Malgré les remarquables travaux de Lasègue, de Legrand du Saulle et de Huhard, il
rises, dés lors, des malaises croissants l'obligent à interrompre son travail . Admis A l'hôpital Laennec. il présente l'état su
A 9 h. 1/2. — Réception et soirée chez M. Yves Guyot, ministre des Travaux publics, à l'Hôtel du Ministère, 246, boulevard S
points de vue différents. Nous ne saurions oublier sans injustice les travaux de quelques jeunes savants qui se disposent à mar
ng). Le Congrès de l'Hypnotisme, qui avait cru devoir inaugurer ses travaux en affirmant sa réprobation formelle contre les s
uivants, l'impression ressentie par tous ceux qui ont pris part à ces travaux si soutenus et si intéressants : « Eh bien, a dit
rouver une ample satisfaction dans la grande valeur reconnue de leurs travaux . Qu'il me soit permis de rappeler l'importance
e Genève) et Forel, (de Zurich.. Nous devons une mention spéciale aux travaux de notre collègue le docteur Mesnet et aux mémoir
fesseur de Bordeaux avait donnée par ses expèriences personnelles aux travaux du chirurgien de Manchester. Personne de nous n
ement pour établir la raison d'être de notre Congrès. Mettons nous au travail . Prouvons la valeur de notre entreprise scientifi
s zélés et les plus autorisés d'entre nous, par les communications de travaux originaux. Marchons vers le progrès et ne preno
ments au bureau du Conseil municipal de Paris et à M. le Ministre des Travaux publics qui ont invité tons les membres du Congrè
ies d'acclamation. Le secrétaire général expose ensuite l'ordre des travaux du Congrès qui se composeront : 1° de séances con
lui ont permis d'organiser en moins de deux mois, un congrès dont les travaux sont appelés a un retentissement considérable.
suivis. Nous regrettons vivement de ne pouvoir publier en entier le travail remarquable et si consciencieux de MM. van Renter
urs présidents et secrétaires et se communiqueront mutuellement leurs travaux dans les réunions périodiques qu'elles décideront
ns qui ont présidé au choix des questions, et fixe l'organisation des travaux . Le bureau est ainsi composé : Président, M.
eux qui sont relatifs à la repro-« duction. Les beaux et intéressants travaux de M. le professeur Claude « Bernard relatifs à l
ion vaso-motrice dont la prolongation finit par susciter un véritable travail organique. L'action de cette force psychique qui
yp-notique ayant été signalé. On n'oubliera pas non plus que c'est le travail de l'ovulation qui donne l'impulsion à la fonct
de cette fête ; je sais qu'elles ne s'intéressent pas seulement à nos travaux d'une façon platonique, mais que, vraiment dévoué
chose m'a particulièrement frappé, c'est la galerie de l'histoire du travail . Vous pardonnerez cette prédilection a un économi
esse médicale et politique ont répondu à nos invitations et suivi les travaux du Congrès, rappelle le concours si libéral qu'il
ongrès dont le succès est si considérable. C'est grâce à elle que les travaux importants qui y ont été accomplis seront portés
putation M. Auguste Voisin; aussi je n ai pas à faire ici l'éloge des travaux qui lui ont valu la haute situation qu il occupe.
ève mon verre bien haut ; dans cet antique hospice, témoin de tant de travaux , de souffrances et d'événements, soyons joyeux un
s entraînements, et c'est avec une rigueur extrême que j'exclue de ce travail les faits contestables soit par le diagnostic, so
sent quelque foi en moi et pourtant je suis parvenu, avec beaucoup de travail , a les améliorer considérablement et quelquefois
om fait autorité dans la science autant par son caractère que par ses travaux scientifiques, M. le professeur Vulpian, doutait
ieuses et accès submaniaques intercurrents, j'ai réussi a produire le travail et à supprimer les tendances vicieuses. Les attaq
t est ici peut-être indirect, par l'intermédiaire de la production du travail qui suffit souvent 1 déterminer de pareilles amél
kilo mètre dans ma journée et à différentes reprises, c'était tout le travail que je pouvais faire. Un soir de décembre 1887. j
haleur. Le résultat obtenu. les pieds étant chauds, j'ai cessé tout travail d'autosuggestion. En très peu de temps, les pieds
continué ce jour-là l'auto-suggestion d'avoir chaud aux pieds, car le travail que j'ai fait, c'est-à-dire l'auto-suggestion pra
le mal d'estomac disparaît et ne reparaît plus. Je puis me mettre au travail . (b) Dans les mêmes circonstances, ayant mal à
n d'avoir des idées fausses. Le lendemain, quand je veux me mettre au travail , il ne me vient que des idées absurdes, erronées,
9e Écrire. Je pratique l'auto-suggestion pour écrire. La somme de travail donné est toujours proportionnée à l'auto-suggest
pour moi. est la plus probante. Souvent, je me suis mis à ma table de travail sans m'étre donné l'autosuggestion d'écrire et av
atiquée pendant une durée suffisante, je pouvais écrire, accomplir un travail que je constatais. La valeur du travail n'est pas
pouvais écrire, accomplir un travail que je constatais. La valeur du travail n'est pas en question, mais le travail existait ;
ue je constatais. La valeur du travail n'est pas en question, mais le travail existait ; il a été deux fois jusqu'à quatorze pa
après m'être donné l'auto-suggestion d'écrire, j'étais a ma table de travail , une plume blancne dans la main. J'ai rêvé que
oi ; je la surveille, pendant que de mon côté, installé à ma table de travail , je me livre a mon exercice d'auto-suggestion, je
ux qui proviennent de l'hypnose, fatigue, dépression proportionnée au travail effectué, etc. etc. Je ne veux pas développer ce
eux heures le matin, je me livre à cet exercice. Je veux me mettre au travail dans l'après-midi, mais le résultat est nul. Je s
également très propre à l'autosuggestion. L'auto-suggestion est un travail qui est quelquefois pénible et fatigant; ce n'est
é avant cet excercice est excellent, car les nerfs sont capables d'un travail plus grand et l'autosuggestion est plus parfaite.
arce qu'on s'y amuse, qu'on y passe agréablement une soirée après son travail fini. Mais rapidement des relations secréent et s
argent au café, sans compter que le lendemain on a peu de courage au travail . On revient presque naturellement au café, et on
ux du commis les agréments d'une vie large et heureuse, les ennuis du travail régulier supprimés, les longues soirées de noce e
le presque toujours de s'intéresser sérieusement â une lecure ou à un travail intellectuel quelconque, les heures lui paraissen
ns, il se sauvait de la maison, vivant depuis de mendicité, de petits travaux et de vols à l'étalage. Bien qu'il ait dix-sept
usse monnaie. La cour d'assises de la Seine vient de le condamner aux travaux forcis a perpétuité. Voici donc deux individus
icale). Epïlepsie procursive. Cette affection est exposée dans un travail publié dans la Revue de la Suisse romande, par le
a ce qu'ils n'y soient pas. Acuité anormale de la mémoire Dans un travail publié dans le ?ulletin médical sur l'étude de qu
us les faits positifs acquis dans le domaine de l'hypnotisme. A ces travaux d'ensemble se joignent un nombre considérable de
plus, il leur suffirait de parcourir le beau volume qui renferme les travaux du Congrès pour voir se dis-siper leurs derniers
le, j'eus l'idée de contracturer le bras gauche, dans l'espoir que le travail musculaire ramènerait plus facilement la chaleur.
les mettre dans des positions dégradantes, à leur faire exécuter des travaux pènibles, méprisant leurs souffrances ou prenant
fin, il perdit même la cité de Donlatabad. où quelques uns des grands travaux qu'il entreprit atlestent encore ses vastes desse
éprouvent des maux semblables et qu'en conséquence, le corps sans son travail est épuisé de lassitude et que toutes les fonctio
ataille, et il aura bonheur et victoire sur ses ennemis. Une femme en travail , sur laquelle on mettra la dite oraison sera déli
usc idée de présenter un petit Traité complet sur cette matière. Ce travail comprend deux parties: dans la première, l'auteur
ptoïde. Le regard devient fixe, la malade cesse la conversation ou le travail commencés et reste immobile dans la position qu'e
us voilà ! » puis parait se souvenir et reprend la conversation ou le travail interrompus au point où elle les avait quittés.
ux depuis de grands froids supportés pendant la guerre. Grâce â son travail , à son économie, il devint chef de maison et réus
s qui auront la bonté de mettre à sa disposition leurs notes ou leurs travaux d'ensemble déjà publiés sur les questions demandé
-pathologîstes les plus éminents, ceux auxquels on doit les meilleurs travaux sur l'hypnotisme. Nous adressons donc A cet ani
nces de Milan ayant établi un concours international pour le meilleur travail original sur la question de l'hypnotisme, nous so
i son grand âge, il prit encore l'année dernière une part assidue aux travaux du Congrès de l'Hypnotisme, il y reçut de nombreu
évrier. Or, le 50 décembre au matin, des douleurs surviennent et le travail s'établit. La jeune tille attribue ces phénomènes
qu elle en sortait), mais il n'a fait aucune tentative. Ce puissant travail d'imagination terminé. M. Rauzier va trouver la m
llants, par exemple en regardant les aiguilles à tricoter pendant son travail . M. Krafft-Ebing admet l'existence chez cette m
danseuses Javanaises. « Le maquillage de leur visage est un véritable travail , dit-il. Elles ne craignent pas de procéder aux s
ée à récompenser, sous le titre de: Prix lamier, l'auteur du meilleur travail sur la question vivante : « Quelles sont les co
u pour en atténuer les effets? Les candidats devront s'inspirer des travaux de Lunier sur l'alcoolisme. La Société français
ux moyens mauraux sociaux, thérapeutiques, etc. Par occupation, les travaux imprimés depuis moins de deux ans, an ler janvier
edreich : in-8° 76 pages. Genève. 1889. MAGITOT. — Compte-rendu des travaux du Congrès international d'Anthropologie criminel
été chargée, à la demande de l'illustre Claude Bernard, d'étudier les travaux du docteur Burq. Les membres de la commission éta
développés, au moins, en apparence ; la volonté est très arrêtée ; le travail acharné ; il y a indifférence pour tout ce qui n'
ON Par le docteur LEGRAIN Médecin de la colonie de Vaucluse Les travaux , si remarquables à tous égards, de l'école de Nan
en plusieurs malades atteints de troubles nerveux (1). J'avais lu les travaux de Charcol, les mémoires de liai-denhain.Weinhold
s sur ce point; ils me sont arrivés « contradictoires. » Au lieu du travail souterrain auquel il s'est livré, M. Delbœuf, don
nous avons l'honneur ¿. vous inviter à bien vouloir prendre part aux travaux de notre section Ce sera pour nous un plaisir et
Nous vous communiquons ci-contre le programme provisoirement fixé des travaux de la section, et nous vous prions de nous inform
nications ou démonstrations que vous désirez faire. Comptant sur un travail fructueux et profitable à notre science, nous vou
ats-Unis (The amrerican Society for psychical research) cessera tes travaux après sa prochaine assemblée annuelle. Comme le f
s de cette détemination. En effet, jusqu'ici, rien, dans les nombreux travaux publics par celte société, n'avait paru justifier
é: 1° Un prix de 1, 500 francs a M. le docteur F. Lagrange pour son travail relatif à rétablissement de jeux gymnastique et a
deux ans, il dut modifier complètement sa manière de vivre. Chargé de travaux importants relatifs à la mobilisation, il s'impos
n profond découragement. Se sentant incapable de se livrer au moindre travail intellectuel, il se voit dans la nécessité d'inte
sitait pas â récompenser, dans la même année, quatre auteurs dont tes travaux avaient trait à l'hypnotisme, sans compter que la
les hystériques, ils sont bien connus, surtout depuis les remaquables travaux ce Legrand du Saulle et d'ailleurs ils ne dépende
les examens du doctorat, une année d'études complémentaires, avec les travaux des laboratoires de chimie, de toxicologie, de mi
ins les premières lignes en sont tracés. Le Dr Cleisz m réuni dans un travail d'ensemble une foulé de notes éparses. Pour lui
ne femelle. Telles sont les grandes lois qui semblent se dégager du travail du Dr Cleisz Et il en arrive â cette conclusion:
à ce prix seulement. Le docteur Voisin qui a su dépenser une somme de travail et de temps inoui pour atteindre ce but, a été pl
ie à l'Université de Louvain qui s'est distingue déjà par de nombreux travaux sur l'hypnotisme,et M. le docteur Schoofs (de Niv
ement le corps médical.Nous reviendrons prochainement sur l'important travail de M. le professeur Masoin. NOUVELLES Académi
74 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
facial à sa sortie du bulbe . Au cours des dernières années, divers travaux notas- ment l'important mémoire de Henneberg et
ppées d'atrophie. Mais, c'est ce qui fait l'intérêt principal de ce travail , tandis que dans la neuro-fibro-sarcomatose, on
ée. ' sclérose ATROPHIQUE hémisphérique. 21 chloroforme. Durée du travail , 12 heures. Présentation du sommet. Beaucoup d'
sont perverties, la manie du vol s'est accusée progressivement. Le travail scolaire, qui avait t été productif, est devenu
g. (--Vel4'olog. Cel1t¡'alúl" XXII 1903.) , Mémoire complétant le travail publié en 1S ! )S. (Archives de Neurologie, t.
lte méthode doivent êlre soumises a une critique sljyèrc. - 10, Les travaux des chercheurs qui attribuent, les altérations
iceau 1')- ramidal entrecroisé. l'. 1lER.tV1L. IX. -, Biologie et travail de la cellule nerveuse centrale; par P. Krontha
Soc. de méd. mentale de Belgique, 1904, n° 115.) . L'auteur,dans ce travail ,fait le procès de la théorie intellectuelle el
eurologie, 1903, nos 2 et 2J.) Les auteurs passent en revue dans ce travail les différents complexus S) ntpLuma liclue alpa
(Bull, de la Soc. de xxécl, ment, de Belriqzce,190u, n° 116.) Ce travail est destiné il montrer que les maladies du coeUl'
es arbitraires. La chimie physiologique n'a point encore produit de travaux capables de servir de ca- nevas aux problèmes d
omplcnl suivre pour se rendre à Rennes. Un programme défaille des travaux et des excursions sera pu- ])Ii, dès qu'il sel
sa tcmmeavoc tel ou tel. 11 per- dait souvent toute uno journée de travail à rester sous une fe- nêtre il la guetter. Deva
s le départ dosa seconde femme, il était resté assez longtemps sans travail . Puis, sous l'influence de ses idées do persécu
devinront plus instables, il changeait plus souvent. Cependant son travail lui-même n'en souffrait pas, restait aussi bien
rès au contraire, c'est uno baisse progressive de ses facultés. Son travail est de plus en plus imparfait, et l'unacommela
nt désormais incapables, il est maladroit, il ne peut plus faire do travail fin, ni fixer longtemps le même objet, il s'énerv
vera le personnel insuffisant ; tel directeur-médecin, surchargé de travail de bureau, ayant à soigner avec un adjoint sans
loges du Conseil général, obligé de consacrer tous ses loisirs à un travail de comptable, il devient administra- leur,et, f
dispen- sable d'interroger les uns et d'ausculter les autres ; ce travail retient le médecin-directeur assez longtemps par-
nitiative, aucune autorité ; sa critique a fait l'objet de nombreux travaux , et Marandon de Montycl a pu dire de lui : a ..
psychiatrique. Malgré les efforts de quelques rares aliénistes. las travaux de Lasègue. on ne croyait pas encore que l'étud
ntale, et une sur ti- tres, où il est tenu le plus grand compte des travaux spé- ciaux antérieurs. Grâce au choix qui résul
ême l'altération du cervelet supprime la nfulilité sans troubler le travail mental. De même que l'écorce du cerveau se comp
AD- .faNLaNT2. (Obo;réHié lJsichiatrii, IX, 1904.) - L'examen des travaux parus depuis 1890 sur le centre de la 132 REVUE
l'al'. \'-\'1.) Voici les principales conclusions de cet important travail . La catatonie tlo laallllrnlno n'est pas une en
ouvons que signaler à la curiosité des chercheurs les titres de ces travaux . l° Matériaux pour servir à l'histoire de l'hos
ure de l'allocution dans laquelle .\1. Brunet, faisant la revue des travaux de la Société, dans le cours de l'année 1 ! J0'
instinctive de la so- ciété, des idées d'indépendance, le dégoût du travail intellectuel leur font fuir l'école où ils se s
En Angleterre, au contraire, on essaie de leur donner l'habitude du travail ; on leur enseigne un 1l1(,[iel'; il" onl lie ]¡O
descrip- lion des asiles de la région de l'Est de la France. . Le travail de 31. P. Sérieux comprend plus de 1000 pages. Lu
e, etc., esl suivie d'indications précises sur les statistiques, le travail , le personnel, etc., de ces établissements. Des
sion n'est pas nouvelle non plus. Il ressort en effet également des travaux de notre maître que la partie dorsale des faisc
il ne se produit jamais de ramollissements pure- ment corticaux. Travaux non cités dans le texte : v. Monakow. Ueber den
24. M. le prof. v. Monakow a bien voulu s'intéresser à notre petit travail ; nous le remercions vivement pour ses indicatio
sif des déments précoces. La revue de Bru- gia et Marsocchi (1), le travail plus récent de Galion (2), nous présentent ce s
le courant de la journée, et on l'employait couramment il divcrs travaux auxquels il vaquait avec une docilité tout auto
régation, ainsi que nous nous efforçons de le montrer dans un autrc travail . A cette catégorie appartiennent la plupart des
t à formule uniforme a justement sa raison d'être dans une foule de travaux manuels, et d'une façon géné- ralc dans la plup
(Riv. crit. di clinica medica, n° 18, 190'L) Après a\oir résumé les travaux de Schirmer, Benlteimer, Boclr, Merma, Lev insu
t, par suite, la pression s'abaisse dans le système vasculaire : le travail du coeur est ainsi facilité, d'autant que Cyon et
712CCliCll. 1904. n° 2a, 24 et 25.) Très long et très intéressant travail dont voici les conclusions : 1° la paralysie sp
omyélie ; par Uudovernig. (Xeurolog. Cenl1'alúlatl, XX, 1901.) Le travail de M. Kienboeck intitulé : Troubles trophiquesdan
e calcul. Elle leur apprenait aussi la couture et à faire de petits travaux de dames. Elles viennent à Cler- mont prendre d
. Pour compléter l'oeuvre, il serait fort utile de faire certains travaux et constructions pour lesquels M. l'Architecte
égligée par suite de crises épileptiques, a repris des habitudes de travail , d'ordre et a fait des progrès rapides. L'autre
. (JOUI'I1, de Neurologie, 1903, no 20.) De l'examen d'une série de travaux , dont la plupart ont été pu- bliés à l'occasion
rvi de préférence àl'ac- thite réflexe inconsciente. La division du travail avec les wen,- REVUE n'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
et de nerfs du froid. ' P. Keraval. LXX1\ . Revue des plus récents travaux sur le sens mus- culaire ; pari. \\'. BOROWIKON
; pari. \\'. BOROWIKONN-. 1901). Celle revue met à contribution le travail de Henri. (Année psy- chologique, IS ! ) ! 1),
r trace un tableau 1res complet du torticolis men- tal, d'après les travaux de Brissaud, de Lannois, de Grasset, de Schulze
oc. de méd. ment, de Belgique, avril 1904.) L'auteur relate dans ce travail un certain nombre d'observa- tions destinées à
zona relèverait donc d'une infection banale. ' L. W. LX11. Récents travaux sur l'alcoolisme; par HOPPE. IC< ! ¡t- trcel
e psychologique sur le traitement des aliénés par les mé- Diodes du travail , et considérai ions statistiques sur le mouve-
énés à l'asile de Girifalco (Calahre), tendantèt démon- trer que le travail est une méthode de traitement, la plus efficace
articles originaux avec un résumé, en fran- çais, des analyses des travaux delà Neurologie, de la psychiatrie el do la thé
eureusement remplacé le vieil asile. On lui doit, entre autres, les travaux suivants : Quelques considérations sur l'emploi
HCCIIET, Chef de Clinique* il l'Université de nmdcnux. Depuis les travaux de Parinaud, Chariot, Pitres. Bernheim. Pierre
, de sécheresse ou d'hu- midité, de l'insuffisance ou de l'excès de travail causé par les résistances mécaniques et sociale
elle que j'ai eu le plus souvent recours. Jusqu'ici, en effet, mon travail s'est presque réduit à dé- pouiller des documen
1}' ! JE Bucks (Jour, de Neurologie, 1 ! J01, no ? 1,) . Dans ce travail , M. de Bucl : oppose l'une à l'autre les deux t
-REVUE DU. PATHOLOGIE NERVEUSE. Nous donnerons, il l'occasion de ce travail , le résume d'un mémoire intitulé : Des centres
ouBaca. (Journal de Neurologie, 1905, n°2.) L'auteur relate dans ce travail les observations de deux ma- lades, un mélancol
11é psi- c)tintrü. V11, 19G ? .1 . , Intéressant discours sur les travaux qui ont contribué à éclai- rer l'étiologie des
N existent-ils } ' )1. Louis FAURE commence une étude critique des travaux pu- ])Iiésstii, les rayons X. Il montre l'impor
lesado- 1L'cenls aux adultes. M. HrrT ? J'ai publié autrefois un travail où il était dit que les Allemands avaient été l
péciaux » nos malades atteints de tu- berculose pulmonaire. Dans le travail communiqué par nous au Congrès des médecins ali
les conditions les meilleures et les plus propres à les (1) Voir ce travail dans les Archives de Nell1'olo : .ie, ? série, 10
raitenwnt dont Pinl'l affirmait déjà l'utilité et l'efficacité : le travail sous toutes ses for- mes, selon les aptitudes d
rélèvement annuel d'une pareille somme est l'enrayement complet des travaux d'améliorations en cours d'exécution et la pers
s et d'accoucher, et qu'on ne saurait humainement exiger d'elles un travail normal'pendant. le dernier mois au moins de la
nombreux prix distribués, nous relevons les suivants décernés à des travaux de pathologie mentale et nerveuse. Prix Bailla1
1'ge1' : ' ! ,000 francs. Ce prix, destiné à l'auteur du meil- leur travail sur la thérapeutique des maladies mentales et sur
LUIav, de Paris. Prix Ernest G,irlaz'cL : 1 .000 francs au meilleur travail sur la pathologie interne. Le prix est décerné
nerveuses : Prix llc·n,oi Lorquet : 300 francs (annuel) au meilleur travail sur les maladies menlales. NOTA. - Les. concour
ue, réalisant 750 constatations sur lesquelles nous basâmes notre travail . Ces constatations indiquaient sans doute dans
des erreurs auxquelles expose toute autre méthode que celle de ce travail , car il y a trois ans nous n'avions pas mé- nag
oïdes, etc., (1). , Bourneville. (1) La plus grande partie de ces travaux ont été reproduits dans les Comptes-rendus de I
tous, s'exprime ainsi : « Ce rapport est le produit et le résumé du travail de tous mes collaborateurs, par les soins de qui
t les hospices, est en pleine voie d'exécution. « Dans un an, les travaux étant de beaucoup plus avancés et les pavillons
sont réservées pour les jours où le mauvais temps ne permet pas le travail aux champs ou la promenade. Le nombre des ali
t de 24. Nous croyons que l'Asile n'en reçoit plus. -Le produit des travaux de toutes sortes exécutés dans rétablissement p
açon passagère, à titre d'es- sai et comme moyen de traitement, aux travaux des champs ou des ateliers. Le prix de journé
d'eau, en 190 : 1» » (voir n° de mai, p. 404). Avec l'isolement, le travail manuel, les bains et l'hydrothérapie sont les p
HEI M WUNDT ET SA .PSYCHOLOGIE. Article en l'honneur de la vie, des travaux , de l'oeuvre de Wundt, et de son influence sur
- ques-uns, faute de temps, restaient perdus pour la science. Ses travaux sur les maladies mentales sont si nombreux qu'i
s déboires amers. Mais il avait dépensé sa grande énergie pour un travail moins stérile. 11 avait connu les délices d'un
usque, si imprévue . Garnier disparaît en pleine activité, en plein travail , laissant inachevées des oeuvres dans lesquelle
ico-légale singulièrement instructive. Hélas ! c'est le sort de ces travaux , tous personnels, de ces documents patiemment a
ociété de Médecine légale de France. Il nous communiqua de nombreux travaux , il prit à nos discus- sions une part des plus
tifiques de Paul Garnier, je puis dire que, par l'ensemble de ses travaux sur les folies urbaines, l'alcoolisme, la crimina
on zélé secrétaire des séances, l'ap- pela, en 1897, à présider ses travaux . Nous n'avons pas oublié le discours que Paul G
issonné. Tous. nous lisions avec le plus vif intérêt les importants travaux que lui inspiraient ses nombreuses expertises m
de circonspcction, Ces qualités, nous les constatons dans tous les travaux PAUL GARNIER. 479 de médecine légale publiés
om de la Société médico-psychologique que vous avez honorée par vos travaux et par votre existence si digne et si bien remp
ttestation de tout le mérite d'une existence qui a été consacrée au travail et à,l'accomplissement du devoir professionnel.
un ans de service, sir John était resté très actif, s'adonnant aux travaux scientifiques. Il y a quelques mois, sir John S
r John Sib- bald a lutté aussi pour l'occupation des malades par le travail dans l'asile. En 1870, il a été nommé Deputy
ne grande considéra- lion, ayant une valeur indiscutable. Son petit travail : « Insanily in ils public aspects », était le
a été rédacteur cons- ciencieux du Journal of' mental Science. Son travail , présenté il la Société Royale de statistique,
ent des.suicides était inventé et suggéré. En 1877, il puhliait ses travaux dans les «Morison Lectures of lnsanity au Royal
«Morison Lectures of lnsanity au Royal collège des médecins ; ses travaux comprenaient les instructions cliniques sur l'ali
- vaux physiques, par exemple : en hiver sciage de bois ; en été, travaux de labourage. 490 ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE. La
tre doctorat et en témoi- gagne de l'admiration générale pour votre travail d'un demi-siècle nous tenons à vous exprimer no
que le montre votre livre Des affections mentales des enfants. Vos travaux et votre pratique médicale rendent la science e
pratique médicale rendent la science et l'homme vos débiteurs. Vos travaux personnels sur les maladies moniales et nerveus
s que l'enseignement se douve organisé, et nous ne mentionnons le travail du savant psychiatre de Meeremberg que pour annon
c serie) (l'anato- mie pathologique. - )1. le 1), ALQUIER, chef des travaux anatomi- 494 FAITS DIVERS. ques, commencera,
isme. Drames de l ? 164, 414, 493. Les crimes de 1 ? 174. Récents travaux sur l ? par Happe, 317. Aliénés. Contribution
corticales et de sa si- gnitlcation, par Iwanoff, 41. Biologie et travail de la - nerveuse centrale, par Kron- (lIai, :
aques (nouveaux procédés), par Bielsehowskv, 40. Remarques sur ce travail , par Stroehuber, 45. Les fibres nerveuses amy
SES-, par Mélia, - 251. Sens. Voir Tact. Revue des plus récents travaux sur le mus- culaire, par Borowikow, 299. Pert
75 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt au DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQUE. 9 'front. Il devint moins apte au travail . Un jour, étant en train de forger, il se senti
ent contrarié par la menace d'un renvoi, il reprend néanmoins son travail , mais au bout de quelque temps, il s'aperçoit que
à la gorge qui lui semble prise dans un carcan. Il interrompt son travail et il rentre chez lui, où il reste jusqu'au surle
s déplacements qu'il provoqne à des mouvements intentionnels. Les travaux sur le paramyoclonus se sont multipliés depuis
ifs. p M. Charcot enfin, pour donner plus d'autorité encore à ces travaux issus de la Salpêtrière, a consacré au diagnostic
un observateur sagace et érudit, M. Cullerre. (Voir sur ce sujet un travail de cet auteur dans les Annales médico -psycholo
uantité et ses propriétés ne furent réellement connues qu'après les travaux de Gahn et de Scheele qui, en 1769, le retirère
., 1887, t. LVI.) Il résulte des deux observations relatées dans ce travail que le diagnostic du mal de Polt d'avec la rach
De l'examen comparatif des quatre observations contenues dans ce travail , les auteurs croient pouvoir conclure que les sig
ance psychique et morale, soit pour leur conserver leur aptitude au travail ; 6° les dangers auxquels les épileptiques sont
WULFF (de Langenhagen). Du poids du cerveau chez les dé- ments. Ce travail , qui se résume en de nombreuses courbes et de n
tares héréditaires, traumatisme céphalique, surmenage intellectuel, travail au feu. Il ne s'agd ici que du sexe masculin. A
ralysante), par E. HONDOT. Bordeaux, imprimerie du Midi. 1889. Ce travail est le résumé de quelques leçons cliniques faites
ades an point de vue de l'étude de la sensibilité. Il conclut de ce travail : I, que la paréso-analgésie séparée anatomiqueme
ité humaine; par Pierre JANET. F. Alcan, éditeur. Paris, 1889. Ce travail réalise une heureuse tentative de psychologie cxp
ogie en général et la chirurgie, nous trouvons dans ce recueil deux travaux qui nous intéressent particulièrement : 1° un t
recueil deux travaux qui nous intéressent particulièrement : 1° un travail du D'' 1'eber- ghien sur le traitement des mala
ien été fait de mieux sur cette question et qui a servi de base aux travaux ultérieurs. Citons encore dans le premier vol
la seconde; que ce qui est est surtout funeste ce n'est pas tant le travail intel- lectuel même considérable, que le travai
n'est pas tant le travail intel- lectuel même considérable, que le travail irrégulier, que l'excès. Le remède, c'est la ré
xcellent volume, l'Histoire de lJicetrc par M. Paul BRU qui, par un travail assidu et conscien- cieux, a su nous faire revi
ystématisée de Leloir et l'atrophie musculaire d'Aran- Duchenne. Le travail de L. Bruhl nous parait constituer une ex- cell
Le maximum des points sera de 30 ; - 4° Une épreuve sur titres. Les travaux scientifiques antérieurs des candidats seront e
o- lisme chronique et l'ivrognerie que de sevrer de l'alcool par le travail , travail à l'air libre dans des conditions hygi
chronique et l'ivrognerie que de sevrer de l'alcool par le travail, travail à l'air libre dans des conditions hygiéniques con
ne de malades; ils se partagent les salles de jour, les alités, les travaux domestiques. La garde de nuit est en outre * Vo
ttant comme dans le cas précédent dans l'im- possibilité d'avoir un travail régulier. Suicide d'un enfant DE douze ANS. Sou
s nombreuses- observations qui forment la base de son remarquable travail , il nous est facile de noter que l'atrophie dont
Des faits de ce genre existent cependant. Plusieurs années avant le travail de M. Landouzy, M. Bianchi ' 1 avait rapporté d
les étudièrent plus complètement et avec plus de détails. Dans les travaux de Lefebvre2, de Brivois 3- (187G) et, à une ép
lications de forceps avec chloroforme. La malade dit que pendant le travail elle ressentait de vives douleurs.dans les deux
faisante que l'autre. M. Lefebvre 1, qui cherche à établir dans son travail que toutes les para- lysies traumatiques conséc
traités de pathologie, soit généraux, soit spéciaux, dans aucun des travaux ou mémoires traitant spécialement de ce sujet,
des conseils qu'il a bien voulu nous donner pour la rédaction de ce travail . SUR UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. '161 O
ples de guérison d'une chorée devenue chronique) de l'incapacité du travail , qu'elle entraine tôt ou lard, de l'affaiblisse
le fait en évidence par des tracés graphiques rapportés dans notre travail (Démange, Revue de' Médecine, 1884). Nous avons
(trois oscil- ' . i" r . , . , ' Pendant l'impression même de'ce travail Dutil publie dans la Nouv. lo7togi,. de la Salp
p. 76)de son étude sur les modi-" fications urinaires dépendant du travail intellectuel. La propor- tion des phosphates te
phospho- rique uni aux terres ? ' . i ' '1" ') il. : 1 t « 2° Le travail intellectuel retentit sur la nutrition 'générale
on 'générale qu'il ralentit. > ! : ,. -jj . , > . ? « 3° Le travail intellectuel, modifie l'élimination de l'acide ph
s de doc- trine et de pratique. i> Le même auteur apprécie les travaux , simultanément parus, d edeux grands neuro-path
e question a été bien étudiée récemment par Poelchen qui résume les travaux de Simon 2, les observations et les recherches
., que cette bles- sure légère a cependant émue, veut reprendre son travail , mais elle peut à peine se servir de sa main. U
ide ou impression brusque d'eaux de diverses températures, excès de travaux professionnels (couture, repassage, blanchissag
iquement close à un courant de poussière vigoureusement projeté. Le travail exige que l'ouvrier, qui naturellement se tient
rès probablement une paralysie saturnine. A un moment donné de leur travail , ces ouvriers inter- posent entre l'enclume et
essive surtout mar- quée l'après-midi et à la suite d'un assez long travail . Elle ne diffère pas de la manifestation mise e
que présente se termine par une invitation à lire et à mé- diter le travail de Kandinsky, qui « pousse à penser et offre beau
it de punir un homme pour une action injuste. Tel est le sens de ce travail tiré d'un livre sous presse intitulé ; Etude th
. (The Journal of Mental Science, juillet 1887-avril 1888.) - Les travaux de philosophie pure s'écartent trop du cadre de
utres causes, en particulier de l'hérédité. M. M : 1LFILATRE lit un travail sur le rôle des myélopathies dans l'étio- logie
oût 1890. - PRÉSIDENCE DE M. HALL, 1\1. LAIT LIER (de Rouen) lit un travail intitulé : Considérations sur l'urine dans la p
es lecteurs des Archives de Neurologie connaissent quelques-uns des travaux de M. Bourneville sur ce sujet. Il trace un his
hes de MM. Gilles de la Tourette et Cathelineau. . M. VOISIN lit un travail sur l'aide que le chloroforme, à très petite do
éromateuse à l'origine de la crosse de l'aorte. M. ROUILLARD lit un travail sur la statistique et le fonctionnement de la c
et sans appel par le Conseil général. M. Brunet (d'Evreux) lit un travail tendant à demander la créa- - tioaz d'asiles sp
n'y a eu que quatre voix contre). M. BnuNET lit un mémoire sur le travail agricole des aliénés con- cluant à la suppressi
ant à la suppression des colonies spéciales, et à l'organisation du travail agricole dans chaque asile en particulier. 1r°
nservé l'usage de la parole et des sens. M. BAYOL (de Rouen) lit un travail sur la folie dans les prisons, d'où il résulte
auto-suggestion spé- ciale peut se généraliser et accompagner tout travail d'aulo-sugges- SOCIÉTÉS SAVANTES. 281 tion. L
cultural assez vaste pour accuper tous les aliénés susceptibles de travail maraî- cher ou agricole; - Que l'enseignement d
e ressortir l'hérédité directe a été soutenue par WESTPHAL dans son travail sur le Tabès et la Démence para- lytique (Allg.
HEl1EAU, Présentation de pièces microscopiques. - M. KERÀVAL lit un travail commencé il y a quelques années à Vaucluse et t
SOCIÉTÉS savantes. 291 des pièces microscopiques à l'appui de leur travail . Les lésions mi- croscopiques sont indépendante
l. Le maximum des points sera de 30. 4° Une épreuve sur titres. Les travaux scientifiques antérieurs des candidats seront e
pus de notre maître M. Charcot, qui a démontré, dans une série de travaux successifs, que les manifestations de l'hystérie,
déplacées, je le suppose, ni étrangères au sujet principal de ce travail . Il m'a semblé, en effet, qu'il était essentiel
vation 1 2. C'est cette thèse que je me propose de soutenir dans ce travail , en me fondant sur plusieurs observations recue
54. * Voir Leçons de mardi, 1887, 1888, p. 101. 3 Un résumé de ce travail a déjà paru dans les Bulletins de la Société de
ans le but de justifier une idée préconçue que j'ai com- mencé ce travail , sans autres guides que Dos clas- siques frança
ables à ma thèse '. Ainsi se trouve justifiée la publication d'un travail , qui n'est pas complet puisqu'il devrait compre
ées chez les autres animaux. Je dois dire cependant qu'une fois mon travail terminé, j'ai fait quelques recherches sur le c
nerveux de l'olfaction ne soit pas comprise dans le cadre de mon travail . De par l'histologie, l'embryolo- gie et l'anat
ex- périences, ce qui a retardé la publication de la suite de notre travail . LES AUTEURS. DK LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENTI
ptômes de la maladie, ceux-ci, n'ayant que peu d'importance pour le travail présent. Ajoutons cepen- dant, que les observat
logique de la Salpêtrière et décrites à plusieurs reprises dans les travaux , sortis de ce laboratoire. Tous les cas examiné
instant à l'autre. Ce fait se trouve très bien concorder avec les travaux de nombreux auteurs, qui ont déjà constaté que
ette relation; au moins, nous n'en trouvons aucune mention dans les travaux qui ont trait à la psycho-physiologie de la vis
s de l'amblyopie hystérique. 382 PHYSIOLOGIE. Au cours de notre travail , nous avons noté à plusieurs reprises la différ
fférentielle pour la lumière blanche. Dans la deuxième partie de ce travail où nous traite- ions la question de la percépti
tique et l'électricité. Elle était reperceuse en bijoux; c'était un travail très dur, et sou- vent elle passait des nuits à
et la nature des troubles de la mémoire. Nous savons, d'après les travaux psychologiques récents, qu'il faut distinguer plu
localisations du cerveau, » j'ai pensé en considérant les nombreux travaux publiés dans ces dernières années sur ce sujet
difficile de faire en peu de mois, si bien remplis d'autre part, le travail qui seul aurait pu exiger une longue période, e
par M. Friedmann. (Neurol. Centralbl., 1887.) L'auteur rappelle ses travaux au sujet du système des fibres propres de la zo
S artères corticales DU cerveau; par M. Bissons. Il résulte de ce travail que les artères cérébrales, au moins les cortic
y, par L. GOLDSTEIN. (Centralbl. f. Nervenheilh. 1888.) Résumé du travail de l'auteur américain, paru dans l'American Jon
pour DONNER ET tester ; par le Dr BIAUTE. Des faits relatés dans ce travail , il ressort : 1° que la folie simple peut surve
KURELLA. (Centralbl. f. Nervenheilk., 1888.) Revue analytique des travaux d'anthropologie criminelle et du système pénal
uolz. (arcs. f. Psychiat., XX, 3.) Le titre indique la substance du travail . P. K. LX. DE l'albuminurie ET DE la PROPRPTOVU
ychoses, par M. KOEPPEN. (Al'ch. f. Psychiat., XX, 3.) D'après ce travail énorme, basé sur quatre-vingts observations per
nfluence d'une excitation intellectuelle (coup de chaleur, excès de travail physique, excès de boisson) a accompli les actes
Progrès médical, Paris 1890. La préface dont M. Charcot a honoré ce travail en exprime mieux l'idée générale que ne pourrai
ar exemple. Mais, en considérant que ce volume constitue le premier travail d'ensemble qu'on ait produit sur cette question
à l'Université de Louvain, qui s'est distingué déjà par de nombreux travaux sur l'hypnotisme, et M. le Dr Schoofs (de Nivel
spécial pour les idiots, mais qu'il ne saurait être question de ce travail pour cette année, le programme des travaux appr
rait être question de ce travail pour cette année, le programme des travaux approuvés par le Conseil général n'ayant pas en
eur sort,pour devenirun atelier où on ne se pré- occupe que de leur travail . On se rappelle le terrible accident sur- venu
76 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
médecine il la-Salpêtrière. Nous nous proposons d'établir dans ce travail que dans certains cas de sciatique il se dévelo
ant supportables, et pondant un mois et demi le malade continua son travail . Les douleurs devinrent ensuite plus intenses e
assemblés par M. Charcot sur la question, qui forment la base de ce travail dont notre maître nous a ainsi donné et l'idée
emière étude où soit affirmée l'existence de cette affection est un travail de MM. Charcot et P. Richer publié dans la Medi
l'astasie ET DE l'abasie 29 occasion les faits déjà exposés dans le travail que nous avons cité '. M. Weir-Mitchell décri
ion que nous rapportons plus loin, publiée par Erlenmeyer. Dans son travail , l'au- teur différencie, sous le nom de convuls
tions que nous avons rassemblées, et qui forment la base de notre travail , sont au nombre de onze. C'est encore peu pour
sonnels. Pas d'excès alcooliques ni sexuels. En 1833-1884, excès de travail pendant huit à dix mois, à la suite 42 PATHOLOG
abondantes que lorsqu'il mange. D'autres fois, c'est pendant son travail qu'il s'aperçoit d'une transpiration au niveau de
ganglionnaires, dilatation des vais- seaux. M. Riehl cite dans son travail une observation due à M. Guttmann et qui se rap
epuis quelques mois, il toussait et était essoufflé; il a cessé son travail il y a un mois et depuis il a vu survenir de l'
ussi dans la thèse de M. Bézard, dans celle de M. Bouveret, dans un travail de M. Bergou- nhioux, des observations semblabl
sser toutes ces divergences. En effet, jusqu'à la publi- cation des travaux de notre éminent maitre sur la grande attaque h
de notre éminent maitre sur la grande attaque hystéro-épileptique, travaux présentés avec un talent et une originalité si
ons IX et X, nous seront d'un grand secours dans la rédaction de ce travail . Les ouvrages de1111LBournevilleetRegnardetdeM.
iode actuelle de la question, période féconde, comprenant plusieurs travaux importants que nous aurons l'occasion d'a- naly
llage de Thenelles près Origny-Sainte-13enoîle (Aisne), adonnée aux travaux des champs, est née d'un père alcoolique qui a
graphie détaillée de la question aétéindiquée parle. Popoff dans un travail sur le traitement de la dypsomanie (Wratsch, 1886
er des hallucinations. Dans ses diverses communications et dans les travaux qu'il a inspirés à Begis, il poursuit un seul b
ant pas; pour cela, il convient de leur réserver quelques heures de travail dans les classes d'enfants normaux 1. M. le dir
forme que dépendront les progrès dans l'enseigne- ment visuel et le travail manuel. L'enseignement des idiots doit donc com
diverses branches de l'enseigne- ment, on prépare l'enseignement du travail manuel qui les com- plète et est, lui, tout à f
toire des origines des organes sensoriels élevés. - Résultat des travaux de Blaue, Beard, Froriep, concernant le développe
s, répandu sur la surface entière du corps des poissons. Mention du travail de II. de Graaf, important pour la morphogénie
es enquêtes faites sur la loi de 1838, que tout service exigeant un travail assi- du, régulier, ne s'exécute bien que lorsq
cas inté- ressants ! On ne peut pas exiger de personnes qui font un travail gratuit, si honorables, si dévouées qu'elles so
es. Il existe des commissions pour les bâtiments civils, pour les travaux publics; il existe au ministère de l'intérieur un
nts continuaientà se pro- duire dans les doigts après la fatigue du travail , de même qu'à l'extension maxima passive; penda
1885 avec ténacité. Vers l'âge de dix-neuf ans, très épuisé par le travail et l'insuffisance du sommeil, le malade se rendit
l'hiver, mais depuis le commencement de 1885, il abandonna aussi ce travail . Etat actuel. - Le malade est de taille moyenne
vation de la co- '164 pathologie NERVEUSE. lonne vertébrale à son travail d'enduiseur. Le malade s'aperçut pour la premiè
oir eu de refroidissement intense; pas de traumatisme du dos, ni de travail épuisant autant qu'il s'en souvienne. Jamais il
Fig. 20. 184 pathologie NERVEUSE. par l'oedème; il augmente parle travail ; au repos il ne per- siste qu'au-dessus de l'a
chute. Nous faisons tous nos mou- vements avec peine et non sans un travail sérieux ; peu à peu l'acte devient moins raison
d'ordres et de contre- ordres à envoyer aux fibres musculaires. Le travail s'accomplit sous une direction compétente et éc
, p. 9. 200 pathologie NERVEUSE. mais, à force de répéter le même travail , les commu- nications deviennent plus étendues
s deviennent plus étendues et les voies plus aisées. A la longue le travail finit par être exécuté par le plan inférieur et
'après les faits d'ordre clinique qui forment la substance de notre travail , que l'incoordination motrice astasique et abas
qu'il en soit, on peut voir, sur la planche que nous ajoutons à ce travail , les altérations que nous avons trouvées en exa
e maladie ! où suis-je ? » » Il se remet ensuite paisiblement à son travail . Chez lui Bu... accomplissait parfois, avant l'
roprement dite, dont ils diffèrent de tous points. - Dans le même travail Oscar Berger rapporte plus loin quel- 254 REVUE
pannungs-Irresein. LA CATATONIE. 3 I Le premier et le principal travail sur la Catatonie date de 1874 et est dû à Kahlb
drait plutôt incriminer la grossesse, l'accouchement. Les excès de travail , la religiosité joueraient aussi un rôle importan
êtement, la résistance. LA CATATONIE. 6X Depuis la publication du travail de Kahlbaum, nous en trouvons un certain nombre
faut noter aussi l'importance de la puberté, l'onanisme, etc. Un travail tout récent de Clemens Neisser vient encore - s
galement d'autres, que nous avons déjà étudiées dans un pré- cédent travail sous le nom de léthargie lucide*, dans lequel i
'ils soient d'ailleurs. Ce point a été bien mis en lumière dans les travaux déjà cités de MM. Debove et Achard. Ces auteurs
là, du diagnostic, et, nous n'hésitons pas à le dire, ce sont les travaux de 11. Charcot et de ses élèves qui seuls ont per
es de sommeil. C'est un sujet que nous avons déjà traité dans notre travail sur l'Hypnotisme et les états analogues au poin
ue thérapeutique ; par le Dl J. Couturier. (Loire méd., 1886.) Ce travail contient les observations de plusieurs malades qu
N, avant de quitter le fauteuil delà présidence, passe en revue les travaux de la Société pendant le courant de l'année qui
M. Corann remercie ses collègues qui l'ont appelé à diriger leurs travaux . r Commission des prix. -Après élections, les c
énérales syphilitique et alcoolique, et à celles qui succèdent à un travail psychique, à une tension d'esprit exagérés et pas
elà France une réforme unique et merveilleuse pour qui ignorait les travaux des autres nations, voilà, dit M. Loehr, l'exac
rtie delà population placée sous l'oeil de la police, il se fait un travail sur les fiches tous les ans pour leur destructi
ositions nouvelles concernant les aliénés dits criminels. » « Si le travail qu'exige l'exécution de cette me- sure, etc. »
ge l'exécution de cette me- sure, etc. » C'est, on peut le dire, un travail facile et très simple 314 SÉNAT. qui sera fai
iècle. On y traitait les aliénés à la campagne, on leur imposait le travail , restaurateur de l'intelligence au suprême degr
nt ont parlé les historiens du temps : lorsqu'on voulait imposer le travail manuel à ce qu'on appelait alors les nobles, on
ui guérissait le moins, tandis que les indigents qui acceptaient ce travail répara- teur étaient précisément ceux qui guéri
plus vite. Or, dans vos asiles publics, vous ne pouvez pas avoir le travail agricole ou, du moins, vous ne pouvez l'avoir qu'
e ne dis pas que dans tous les asiles publics il n'y ait un certain travail ... Un sénateur à gauche. Travail agricole ! 1
es publics il n'y ait un certain travail... Un sénateur à gauche. Travail agricole ! 1 AI. de Gavardie... Oui, on cultive
de Gavardie... Oui, on cultive des fleurs... Ai. LE Rapporteur. Le travail est un des plus grands moyens de traitement.
ns la consomma- tion, c'est là une question encore d'actualité. Les travaux publiés tout récemment sur ce sujet à divers au
servations, à la vérité soigneusement prises, forment la base de ce travail . Peut-être n'est-ce pas suffisant pour affirmer
ieures et prétend qu'elles sont plus faciles à découvrir. En somme, travail intéressant et consciencieux renfermant beaucoup
de 150 ont été guéris, et plus de 450 sont partis amé- liorés. Le travail améliore les conditions physiques et intellectuel
nluminures des lettres, la coloration de tableaux peints, sont d'un travail très perfectionné. La buanderie, la cuisine, le
uanderie, la cuisine, les ateliers de couture et de tailleur et les travaux de fantaisie occupent beaucoup de ma- lades.
années que l'on a adopté le plan général de traitement suivant : Io travail intellectuel et physique; il agit très bien ; l
s seront mieux soignés, et où on pourra utiliser les facultés et le travail dont ils sont capables, tout en leur laissant u
teurs invariables à considérer dans l'organisation d'un hôpital. Le travail de l'hospice peut bien être fait par des individu
ruit à cet effet. Avec le système d'organisation actuelle, les deux travaux sont effectués par les mêmes personnes, qui tro
e domestiques, de paneteries, etc., aussi bien qu'une écono- mie de travail et de nourriture. Si l'avantage pour les malades
suivante : « Muon très cher et savant confrère, « A la fin de mon travail : « De la curabilité de la sclérose en plaques-
l'Allier à contracter un emprunt de 150,000 francs applicable aux travaux d'agrandissement de l'asile d'aliénés de Sainte-C
trois pour une place et une question orale. Il sera tenu compte des travaux antérieurs des candidats. Société DE Biologie.
rendre un bon nombre des cas qui l'embarrassaient. Tout d'abord les travaux de MM. Charcot et Pierret ont démontré qu'au po
its de ce genre que sont SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 341 basés le travail de M. Déjerine sur le nervo-tabes périphérique
cas contradictoires auxquels nous faisions allusion au début de ce travail . Il y a, croyons- nous, une variété de faux tab
nstitué par des crises de courbature musculaire. Sans avoir fait de travaux pénibles Pur.. éprouvait de temps en temps une
e heure de repos, la courbature se dissipait et Pur.. reprenait son travail . Ces crises survenaient aussi bien dans la matiné
rachialgiques et la polyurie parurent s'atténuer. Pur...reprit son travail , souffrant toujours de temps en temps de ses do
sposition ner- veuse héréditaire. Les 17 cas rapportés dans notre travail nous avaient paru suffisamment démonstratifs po
lques-uns. Nous en avons mentionné deux exemples dans notre premier travail : il s'agis- sait dans l'un des cas d'un malade
ns électriques normales. Nous avons déjà indiqué dans notre premier travail que la paralysie faciale (c'est là encore un ca
en assurer, de jeter un coup d'oeil sur les faits consignés dans ce travail : on est frappé de voir que, parmi les maladies
rchives de Neurologie, n° H, p. 2H. * Nous citerons encore quelques travaux sur la catatonie que nous n'a- vons pu nous pro
n Rinecker lit à l'assemblée des aliénistes de 1880, à Eisenach, un travail de Fink sur l'hébéphrénie. Dans ce mémoire, Fin
surtout en France (Bail- r larger'.) Aujourd hui encore, depuis le travail de Kalh- baum, beaucoup d'aliénistes continuent
1 Kralft. Ebing. - Loc. cit" Bd. I. LA CATATONIE. - 429 9 ressant travail de Knecht 1, rapportant des cas de combinai- so
u des adolescents, qu'elle fait parfois revenir logie l'analyse des travaux de Sclimid (t. I, p. 695), Gowers (t. IV, p. 90),
nervation anormale. Plusieurs chro- molithographies accompagnent ce travail consciencieux. J. CO1BY. XVI. DE QUELQUES PHÉ
ale n'a rien qui doive surprendre. Ne sait-on pas, en effet, que le travail cérébral peut parfois déterminer l'apparition d
elle n'a jamais aimé s'oc- cuper de ménage, mais elle préférait les travaux d'homme. » Ce passage ferait supposer des dispo
res de mes anciens internes, dans diverses publications. Dans leurs travaux personnels mes élèves conservent, M. Séglas n'e
uire leur roman systématique, il en est d'autres chez les- quels ce travail de formation du délire est si rapide qu'on saisit
andeurs, nous trouvons, 'continue111.n1agnan, dans ce consciencieux travail la contre-partie du délire de persécution de La
s allusion à propos de Morel. Après avoir fait ressortir dans les travaux de nos devanciers, les causes d'erreur qui pour
m de délire chronique à évolution systématique. Ce que j'ai dit des travaux de Lasègue, de Morel, de Foville, ma réponse à
fouet aux altérations péri- phériques dont le tabes est coutumier ( travaux de Oppenheim et Siemerling). (Voy. Berlin. klin
ont servi à la rédaction de ces leçons proviennent presque tous de travaux poursuivis en commun par l'auteur et par M.le p
le. Il expose l'état actuel de la question, tel qu'il res- sort des travaux publiés depuis une dizaine d'années, et décrit :
77 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
qu'ici de solution administrative. Après avoir re- connu utiles les travaux d'aménagement et les avoir fait exécuter, on hé
s les six mois, l'éten- due et le timbre de la voix des enfants. Ce travail nous fournira, croyons-nous, des renseignements
tenuspar eux en 1899 et qui se chif- frent par 29.114 francs. Les travaux , du jardinage, seuls, ne sont pas évalués. Il e
dans ce sens. Les sept maîtres, non compris le jardinier dont le travail de ses apprentis et le sien dépassent assuré- m
raison de 6 fr. 50 par jour, soit pour l'année 16.607 fr. 50. Le Travail des Enfants, évalué par M. l'économe et par l'a
r les résultats économiques de l'enseignement professionnel et du travail accompli, au point de vue pratique, voici l'énu
de l'installation du nouveau sous-sol, 10 caisses à fleurs. Tout le travail fixe neuf du service et toutes les réparations
abet, etc., pour les Ecoles de Bicêtre et de la Fondation Vallée. - Travaux divers pour les hôpitaux et hospices : Boucicau
aut, Bicêtre, Maison de santé, Hicord, Saint- Louis, Salpêtrière. - Travaux pour la Société des Sous-em- ployés de l'Assist
ue abusive des couvents, doivent fournir régulièrement une somme de travail fixée. Nous le répétons, ce qui doit primer dan
ce qui doit primer dans notre service, c'est l'influence morale du travail , qui est l'adjuvant du travail scolaire, du tra
service, c'est l'influence morale du travail, qui est l'adjuvant du travail scolaire, du traitement médical, xc Statistique
à dédaigner : les enfants eux-mêmes sont heureux de voir que leur travail est productif, qu'il se traduit par des résulta
'entretien des dortoirs. - Elle a fait beaucoup de progrès pour les travaux à l'ai- guille. Elle coud bien, fait elle-même
amations et insisté auprès des Commissions officielles pour que les travaux projetés, d'après notre programme, et approuvés
pprouver ce projet dont le devis s'élève à 17,0'cli fr., savoir : Travaux , 15,297 fr. 20 c. Imprévus, 591 fr. 80 c. - Hon
c. - Honoraires, 1,157 francs. - Total égal, 17,046 francs. - Les travaux , tels que le plan l'indique, consisteraient en
bains de pieds, Cet aménagement nécessiterait, en outre. différents travaux de maçonnerie et de canalisation, ainsi qu'une
crédits; une somme de 17,046 francs, économisée sur le montant des travaux régulièrement autorisés pour la construction du
dget de report de 1898, chap. 19, 3lcr, art. 128. « Art. 3. - Les travaux seront confiés aux entrepreneurs ordinaires de
blissements Ilerscher. « Adopté 1899 ; 128). A l'heure actuelle les travaux sont très avancés et tout permet d'espérer qu'i
ers que nous possédons ont continué à fonctionner régulièrement. Le travail , évalué par M. LEQUEL'x, économe de Bicêtre, d'
- serie ; 4 savent tricoter et 8 commencent à savoir accomplir ce travail . Le tableau ci-après donne mois par mois le nom
s par mois le nombre des apprenties régulières et l'évaluation du travail . (1) Ces ateliers, après prélèvement des salair
nées au personnel de l'inlir- merie des enfants. - Notons enfin les travaux entrepris pour le sous-sol du nouveau bâtiment.
spécial de Bruxelles (1). Je vous adresse;, en épreuves, ce nouveau travail , en y joignait ! les précédents. Ces divers doc
i organisées pré- sentent un double danger pour l'école. D'abord le travail de l'élève, comme celui du maître, se trouve en
ués reçoivent un enseignement incomplet, plein de lacunes, et leurs travaux dégénèrent rapidement en travaux de mémoire pur
omplet, plein de lacunes, et leurs travaux dégénèrent rapidement en travaux de mémoire purement mécaniques ; d'un autre côt
ur le courage avec lequel ils tâchent d'aider leurs parents dans le travail qui est le gagne-pain de la famille, 'pourraien
être internés, paraissent incapables de participer à la vie et aux travaux des écoles publiques. Ces classes particulières
conque, ils n'étaient pas assez bien doués pour tirer bénéfice d'un travail en commun avec les normaux. Les constatations f
tats obtenus doit revenir aux maîtres parfaite- ment préparés it ce travail . D'un autre côté, on ne peut nier que des class
e. 11 s'agit des enfants qui ne peuvent avec fruit participer aux travaux des écoles publiques, mais qui sont cepen- dant
oyaux devront me dire dans quels établissements de leur district un travail aussi méritoire se fait. Une opinion de princip
e : Onze heures et demie sont consacrées il l'éducation physique ( travaux manuels, gymnastique, excursions, récréations).
ien en chef de l'hospice de Bicêtre, qui ayant eu connaissance d'un travail de 1\[..Jung : st, relatif à cles Ilecherches e
15, et douche complète à partir du 16, tous les jours; gymnastique, travaux scolaires et manuels, traite- ment moral. Fév
ait perdu. 92 Hystérie mâle DE l'enfance. Il devient capable d'un travail intellectuel et physique assidu, il retourne au
intelligence lourde, comme somnolente au moins quand il s'agit des travaux scolaires ; dans la vie pratique, tant dans sa
lète en jet en évantail de 30 secondes tous les jours, gymnastique, travaux manuels, travail intellec- tuel à heure fixe, t
antail de 30 secondes tous les jours, gymnastique, travaux manuels, travail intellec- tuel à heure fixe, traitement moral.
'amélioration intellectuelle et morale s'accuse tous les jours ; le travail en classe est régulier et plus prolongé, l'orth
âle de l'enfance. 103 s'améliorer.... il commence à prendre goût au travail des champs, cela me donne un peu d'espoir pour
sont reproduites plusieurs observations du ser- vice (1). Tous ces travaux , pas plus que notre mémoire (avec Voulet, n'ont
apprend quelques petites fables. Il apporte de la bonne volonté au travail , est docile. 1884. - B..... a fait de nouveaux
premier semestre, les instituteurs paraissent peu satisfaits de son travail et se plaignent de sa tenue négli- gée et de sa
n séjour de 10 jours à l'hôpital Tenon. A sa sortie, n'ayant pas de travail , il partit de chez ses parents et vécut de mend
droit est toujours plus faible. - B... travaille actuellement à des travaux de terrassement à la Salpêtrière. Il dit que le
me et leur énergie puisque le malade est capable de se livrer à des travaux qui exigent un déploiement sérieux de force mus
parce qu'il exigeait une augmentation de salaire, ne faisait pas un travail régulier et répondait. Il n'a plus rien fait pe
té soumis au traitement médico- nécl ? ori-ye : école, gymnastique, travaux manuels, bains, hydrothérapie, dès son entrée e
mars, l'enfant a quitté l'infirmerie. Elle partage les jeux et les travaux des autres enfants, elle est raisonnable et n'a
mnie et- l'excitation. La gymnastique, les exercices scolaires, les travaux manuels, employés durant les rémissions, puis a
'awnatimI.Cs divers dans les accès. - Incon- science consécutive. - Travail intermittent, renvoi des aleliers, misère. : se
res chansons ont été faites il Ifi ans). 10 août. - Mun... est sans travail depuis plusieurs mois; il est venu s'en plaindr
on le remercie immédiatement et on ne lui paye que la moitié de son travail . Il conte que sa femme aurait eu il la suite de
l'oeil et il la bosse frontale du côté droit. En allant livrer son travail à un client, il a eu un accès, et on l'a prié d
a femme. il ! Les iris sont d'iule couleur marron clair. 23< ! Travail intermittent, misère. 19 août. - Le 30 juillet,
ade avait trouvé de l'ouvrage le 7 février. Il est allé prendre son travail à 7 heures; il 10 heures, il eut un accès et fu
n. 12 juillet. Après sa demande d'entrée à Bicêtre il a trouvé du travail . D'avril à,juillet son salaire a été suffisant
de. 9 novembre. Les choses ont change : depuis deux mois, plus de travail . Ces dix derniers jours cependant il travaille
Il dit que sa mémoire diminue de plus en plus « aussi bien pour son travail que pour autre chose. " 1895. 30 mai. Le malade
u moment des accès. Il constate que sa mémoire diminue. Il est sans travail depuis 15 jours. Il a travaillé pendant quelque
très content de lui, au point de vue des progrès accomplis et du travail , mais il se plaint de sa turbulence, qui distrait
e d'oreillons. Liste des Internes ayant passé dans notre service. Travaux scientifiques faits dans le service. (Thèses et
e de Paris. BOURNEVILLE Contribution à l'étude de l'idiotie. - Ce travail comprend deux parties, dont la seconde a été fait
78 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pollakiuriques. comme M. J. Janet l'a bien fait ressortir dans son travail et j'ai eu l'occasion de constater que quelques
nt à l'exposé sommaire des faits cliniques qui servent de base à ce travail . Mais une chose que l'on ne saurait trop répéte
ois de son infirmité, ce que j'attribue à la fatigue causée par les travaux de la moisson et sans doute aussi à l'absorptio
n, il avait toujours peur de mal faire, soit au point de vue de ses travaux , soit au point de vue de sa conduite. Il ressen
it pour songer aux fautes qu'il craignait d'avoir commises dans ses travaux d'écolier. De même pour sa conduite; n'avait-on
pagnées d'automatisme ambulatoire, ressent brusquement, pendant son travail , une violente douleur aux reins. Il tombe, perd
qu'au nom d'agents provocateurs. Tout d'abord M. Freud commence son travail par une innova- tion nosographique. Pour lui le
ouissance sexuelle anti- cipée, mais des reproches défigurés par un travail psychique inconscient de transformation et de s
aient être incriminées comme causes de l'épilepsie. En attendant un travail plus étendu sur ce sujet, l'auteur résume l'exa
des ganglions de la base et du lobe temporal. L'auteur termine son travail par quelques considérations intéressantes sur l
e (7,50). Cette nouvelle médication a déjà donné lieu à de nombreux travaux de la part de Salzburg, de Benneke, de Slein, d
X. FRANCOTTE. (Journal de neurologie, n° 5, 1896.) Il résulte de ce travail basé sur quatre observations que la duboisine j
; par M. LAILLER. Résumé aussi documenté qu'intéressant des divers travaux pu- 64 li. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ])liés sur
l, la paraldehyde, le méthylal, le somnal, la duboisine. Ces divers travaux ayant été deja analysés ici, pour la plupart, n
morphinisme chronique sont arrivés à des résultats positifs. Les travaux de Nissl et des auteurs qui ont appliqué sa métho
« Wahizsiiin », la « Ven'ttc/ft/t6t< » et la « Para- noïa ». (Le travail sera publié in extenso ultérieurement.) 2. M. S
ils. Ciiipault (A.), BItAQUEIIAIE (J.), DEMOULIN (A.Î, DALEIM (E.). Travaux de neurologie chÏi'll1',r¡icale (1895). Volume
Par )1. le D' lll.wu f)UOUI;, Ancien iritei ne des hôpitaux. , TRAVAIL DE L\ \ CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈ\lE NERVEUX
signes se confondent avec ceux de tant d'autres 3. Plus lard en des travaux tels que ceux de Binet (180G) et Brunet (18SU),
eux. timide et bienveillant. Rangé, scru- puleux même, assidu à son travail , il était seulement enclin, si on le poussait à
on caractère est altéré, il devient mou, indifférent, abandonne son travail , il est plus irritable que jamais, et perd beau
ié que la dénomination communément adoptée. » Sur les huit cas du travail cité cette inflammation n'a jamais fait défaut,
s malades des centres nerveux étaient en effet ' Wiglesworth en des travaux très documentés appuie cette opinion sur un nom
itiques et des névralgies syphilitiques. Ce mémoire est .surtout un travail de critique très richement documenté, et accomp
ganisation de l'assistance des aliénés en Allemagne. Dans son grand travail pa ! u en 1887, Lunacy in many Land (p. 698), M.
s malades et de leur famille, c'est anéantir le zèle et l'ardeur au travail du médecin, dont les efforts deviennent vains;
vues sur la question du délire des quérulanls et signale, parmi les travaux récemment parus sur ce point, le livre de M. II
ge à la mémoire de son maître, avait fait sentir à ses auditeurs le travail considérable qu'il avait accompli. Toute sa car
tes de la névrose, constituent les points les plus saillants de ses travaux . Mais pour bien comprendre l'oeuvre de Charcot,
rendre l'oeuvre de Charcot, pour bien saisir toute la portée de ses travaux , ce n'est pas'avec nos idées actuelles qu'il fa
r à Nancy, pourront également, s'ils sont adhérents, paiticiper aux travaux et aux excursions du Congrès de Méde- cine inte
ercices de grammaire. Enfin, trois enfants ont été occupés à divers travaux , l'un à la ferme, un autre au jardin, le troisi
isième atteint de surdité a appris à coudre et fait quelques petits travaux sous la direction de l'infir- mière. Comme résu
ation libérale de bibliothèques et de laboratoires, nécessaires aux travaux scientifiques. « 2° Il faut réagir par tous les
domaine géné- ral de la médecine tout ce qui pourrait servir à nos travaux spé- ciaux, il serait nécessaire aussi d'appele
s le service de notre regretté maître Dujardin-Beaumetz. Dans notre travail paru en janvier 1893, nous avons exposé le prin
posé quelques indications et contre-indications. En 1894, paraît un travail sur le même sujet du Dr Ostankoff 2, fait dans
nière toute la bibliographie de la question est épuisée. Dans notre travail actuel, basé sur une expérience de plus de cinq
de s'entendre sur la dénomination de la méthode. Dans notre premier travail nous l'avons appelée : gymnastique raisonnée, v
63 professeur Leyden l'appelle traitement compensatoire. Dans son travail récent le D'' Frenkel propose de nommer sa mé-
mbien de temps il pourra marcher ou exécuter n'im- porte quel autre travail musculaire. Beaucoup de tabétiques sont portés
tabétiques par cette mé- thode de traitement. Dans notre premier travail sur le même sujet nous avons insisté sur ce.fai
ation. Chez l'homme bien portant en vertu du principe du partage du travail tous les organes des sens ont leur part dans la
s organes qui, par les circonstances, sont appelés à un surcroit de travail peuvent atteindre un très haut degré d'affineme
ptibles pour des personnes, qui ne sont pas habituées à ce genre de travail . La danseuse de ballet, le virtuose du piano, l
ndant réservé à cet égard. Il y a quatre ans nous avons, dans notre travail sur le même sujet, appelé l'attention pour la p
je parle au milieu de professeurs et., de médecins qui donnent leur travail et leur vie à la lutte, trop souvent inégale, e
cemment et grandement enrichi ; vous avez trouvé, dans les derniers travaux des écoles française et italienne sur l'hérédit
direction des affaires de l'assistance publique, s'intéresser à nos travaux et nous encourager à pour- suivre l'oeuvre phil
de plus en plus affirmé sa vitalité par le nombre et la qualité des travaux qui lui ont été soumis. La collection de ses ac
es principes à l'étude, de l'étiologie des maladies mentales. Leurs travaux se succédèrent alors rapidement. Les recherches q
léments dans la médecine générale, laquelle les avait empruntés aux travaux de laboratoire de notre illustre Pasteur et de se
ne veux pas, Messieurs, retarder plus longtemps l'ouverture de vos travaux . Permettez-moi cependant, avant de terminer, d'
phtéritique et tétanique et du bacille pyocyanique. M. CROCQ lit un travail sur l'acrocyanose que nous reproduisons in exte
de l'acromégalie. M. DOUTREBENTE communique la première partie d'un travail (1189-1827) suri' Hospitalisation des épileptiq
s colonies agricoles, des hospices spéciaux, des refuges, asiles de travail et sociétés de patronage doivent être étudiés et
le traitement moralisateur dont l'élément le plus important est le travail surtout au grand air. M. Marie. Au risque de to
quant que le Congrès remerciait le rapporteur de son intéres- sant travail . Il ne s'ensuit pas que la majorité du Congrès fa
té médicale des hôpitaux au cours de cette année. Nous donnerons ce travail in extenso au 33ecùejl'des travaux du Congrès.
e cette année. Nous donnerons ce travail in extenso au 33ecùejl'des travaux du Congrès. ' C;.<" ^'après cette communic
te communication, le président, M. le professeur Eitres, résume les travaux du Congrès remercie les vice-pré- 'sidents, MM.
partir avec eux « préférant, dit-il, être seul ». On lui procura du travail chez un fabricant de cigarettes, mais bientôt,
rouvons tour à tour à Londres ou à Glas- gow, ne manquant jamais de travail et économisant le plus pos- sible. Au bout de d
Grandeur anormale ou exagération des choses ? Forte application au travail ou aux affaires ? Désir de voyager ? Désir de d
ce qui les occupe, etc. 35. On emploie les malades aux différents travaux de menuise- rie, boulangerie, buanderie, cordon
emmes dans les quartiers d'hommes, sauf pour les agités et pour les travaux trop pénibles ; c'est-à-dire qu'elles pourraient
cas de myélite transverse AIGUË; par M. le Dr 1. NAGEOTTE, chef des travaux d'anatomie pathologique à la clinique de la Sal
J'ai précisément rendu compte dans les Archives de Neurologie d'un travail d'un des auteurs, M. Richer, sur les attitudes
re et non à un état myopathique spécial. Les auteurs terminent leur travail par cette dernière considéra- tion. C. XXXII.
rne des hôpitaux. (Nouv. iconogr. de la Salpêtrière, 1896, n° 2.) Travail important et d'assez grande étendue, riche en con
re, et l'auteur en a rassemblé un certain nombre d'inédites dans le travail actuel. La syphilis peut frapper la moelle à tr
si variées de la syphilis acquise. - Telles sont les conclusions du travail de M. Gilles de la Tourette, qui les a, du reste,
it au grand complet. Je ne peux le suivre dans cette partie de- son travail , je ne citerai que quel- ques-uns des travaux q
cette partie de- son travail, je ne citerai que quel- ques-uns des travaux qu'il analyse, les plus importants ; ainsi les
culaire généralisée, cachexie et mort par myélite, etc.. Tous ces travaux , ces expériences, ces observations démontrent q
es assignées à ce compte rendu, d'exposer l'analyse complète d'un travail aussi important; je ne puis qu'en donner un aperç
ui a plusieurs crises par jour ; son état l'empêche de se livrer au travail et il occupe ses loi- sirs à vendre des lunette
de Ville-Evrard, prési- dait la réunion. Il a fait l'historique des travaux de l'année. Nous en avons retenu que la société
lver dans sa poche, en tira quatre coups sur un de ses camarades de travail , M. Toussaint Damien, âgé de qua- rante et un a
Archives, 2e serie, t. II. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE. étant à son travail fut subitement prise de fourmillements dans le
rent pendant une semaine et rendaient la malade inca- pable d'aucun travail , la privaient complètement de sommeil. Ces acci
seule cesse de vaquer à ses occupations. Elle s'adonne alors à un travail assis de couture pendant dix heures par jour, pou
nt son admission. 12. On aurait fait faire à des malades femmes des travaux exces- sifs et peu compatibles avec leur sexe.
uets. Mais l'hygroma se produit souvent sans cause apparente, et le travail en question n'excède pas les forces de la femme
et réparer les anciennes; on a commencé les 366 ASILES d'aliénés. travaux et il faut espérer que l'on remédiera bientôt aux
uteur remarque d'abord que le premier mémoire de Korsa- off (1887), travail qui n'a jamais été traduit du russe, avait pour
etc., dont il reproduit les points intéressants. Il insiste sur le travail de Frankl-Hochwart qui a étudié 27 cas de ce genr
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 387 cités. Le jour il abandonnait son travail et allait se cacher dans des endroits où on ne
pprendre à lire, à écrire, à compter. Pararniiésie, incapacité d'un travail soutenu, pas de sentiments affectifs, vagabonda
diotie microcéphale suivant l'auteur et après examen des différents travaux parus sur la question, parait pouvoir tirer un
e D'' L. Ruiiru (Journ. de Neurologie, 1896, n° 14.) L'auteur de ce travail considère le trional comme complètement inoffen
té des divers alcools, en particulier des alcools supé- rieurs, les travaux de tous les expérimentateurs sont unanimes et d
sensorielle ; par Ca. Mirallié. (Stenheil, 1896.) Le très important travail de M. Marallié a trait à un des points les plus
nt intacte, il y a intégrité du langage intérieur. Le remarquable travail de M. Mirallié se termine par un recueil de 62
l'histoire et l'interprétation critique. M. Meige, le titre de son travail l'indique, a recherché dans les différents musé
es de ces douze tableaux ou gravures qui constituent le fond de son travail . Eh bien, ces douze tableaux ou gravures représ
de celles des persécutés ordinaires non religieux. Samt', dans son travail sur l'application des méthodes naturelles à l'é
'espèce) surgit alors en vertu d'une sollicitation provoquée par le travail syllogistique sous-jacent, ayant pro- gressivem
le D' DOUTREBENTE. ! ' 1 : E M 1 È It E PAR TI E , 1-195-182-1 7 Un travail d'ensemble sur le service des aliénés a été publi
cette commune, la soumission du citoyen Guillon, entrepreneur de travaux publics sous la date du 6 du même mois portant as
de l'Intérieur, du 8 ventôse an IV, concernant l'adju- dication des travaux des routes, ceux dont il s'agit peuvent se faire
n même temps une lettre d'avis avec l'affiche de l'adjudication des travaux à faire dans les terrains du bureau de bienfais
avoir reçu à temps, avant l'adjudication, communication du plan des travaux à adjuger. Le 15 mars, sans retard, le préfet
eu connaissance du plan qu'au moment de la mise en adjudication des travaux , le local était insuffisant, les épileptiques n
cas actuel plus ou moins d'analogie et il termine en résumant les travaux modernes sur les toxines qui se forment dans le t
; il les croit causées par les toxines tuberculeuses qui, comme des travaux récents l'ont démontré, ont une grande part dan
ce. (Lo Sperimentale. Section de biologie, 3e fascicule, 1895.) , Travail effectué à l'Institut des hautes études de Floren
e la question soit aujour- d'hui résolue. Ils font l'historique des travaux effectués sur ce sujet et montrent que les expé
IVES DES CELLULESNERVEUSES ; par M. l iti,,iFsco. L'auteur, dans un travail du plus haut intérêt, accompagné de figures dém
e, bien mis en relief dans les quatre observations publiées dans ce travail , c'est que chez les malades atteints de cette a
vient à la moelle, ou ce qui revient aux racines. Dans le présent travail , il Lente celte dissociation pour un groupe bie
jets normaux et dans 47 p. 100 seulement chez les aliénés. De son travail , l'auteur tire la conclusion que la déformation e
des non traités par le repos au lit, il en est 2 qui s'occupent aux travaux du ménage, les autres trouvent a s'occuper sans
umain. M. le Dr P. Richer ne l'ignorait pas, et il avait signalé le travail de M. le Dr Clozier dans une note jointe au man
êmes dancers que l'hypnotisme vrai, M. Crocq émet le voeu dans ce travail que la loi qui interdit en Belgique les représent
79 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
de tenir toutes ses promesses. xix 1 HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE ET DU LABORATOIRE DE il. LE PROF
BBOSITÉ ' (SÉMÉIOLOGIE ET DIAGNOSTIC) PAR L. ALQUIER Chef des travaux anatomiques à la Clinique des Maladies Nerveuses.
sur les maladies du système nerveux. Paris, 1893=i$94. (2) Touche, Travaux de neurologie chirurgicale, 31 mars 1901. 4 ALQ
l de Pott ; nous (1) Touche, Soc. méd. hôpitaux, 24 janvier 1901 et Travaux de neurologie chirurgicale^ 31 mars 1901. (2)
e et les troubles sphinctériens). Malheureusement Chipault, dans un travail ultérieur où il publie un cas analogue (1) dans
ioration progressive. Au bout de 2 ans, le malade put reprendre son travail . En même temps se développait une atrophie bila
ndant 2 mois, insuffisante pour obliger le malade à interrompre sou travail . Au bout de 2 mois,douleurs dans les épaules, p
NERVEUX 27 Effectivement, dans les 5 cas personnels relatés dans ce travail , nous n'avons constaté qu'une seule fois une tu
eignements sur les lésions destructives de ceux-ci, mais des divers travaux publiés jusqu'à ce jour, il ne se dégage rien d
4. Analysé in Sem. méd. du 16 novembre 1904. HOSPICE DE BICÈTRE TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE LA SPONDYLOSE
chronique vertébral ankylosant a été récemment l'objet d'importants travaux de la part de J. Teissier, de Mayet, de Foresti
Iollarits, le pr Lépine, MM. Teis- sier et Roque dans leur premier travail , etc.. Les auteurs italiens ont en général attr
La lumière sur l'infantilisme n'est pas encore complète. Malgré les travaux récents, il est mal connu à tous les points de vu
454. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 51 D'abord, dans ce travail de délimitation, il convient de séparer de l'infa
vais INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 53 insister dans ce travail en étudiant un cas clinique dans lequel elle s'im
ndividuel, ce qu'il est en dernière analyse. Je me propose, dans ce travail , de montrer l'existence d'un type mixte, formé
té. Il avait « un esprit féminin » ; ne trouvait plaisir que dans les travaux des dames qu'il affectionnait surtout. Il passa
f. C'est la seule particularité qui inté- resse le but visé dans ce travail . Reprenons donc l'histoire du malade. Il a ét
t physique du malade que je me propose d'examiner et discuter dans ce travail ; mais avant d'y arriver, et pour finir l'histo
ivilège de l'élasticité et de la fraîcheur de la jeunesse, l'amour du travail , éprouveront le désir de tâcher à découvrir un
uble des centres vaso-moteurs et trophiques. HOSPICE DE BICÈTRE TRAVAIL DU LABORATOIRE ,DE M. PIERRE MARIE. LE FAISCEAU
ew-York). Bien qu'il y ait eu dans ces dernières années de nombreux travaux consa- crés à l'étude des grands faisceaux de l
velle dans l'histoire de l'anatomie nerveuse. Depuis les importants travaux de Dejerine et de ses élèves Vialet et Miral- l
i aucune part : il nous a fait le grand honneur de nous confier 'ce travail et c'est avec empresse- ment et reconnaissance
espond à la couche sagittale externe) ; dans chacun de ses nombreux travaux , il modifie assez souvent ses opinions sur l'orig
e celles qui proviennent des autres régions. Dans d'autres de ces travaux , Probst (3) (d, e, f, g) attribue de nouveau à la
corps genouillé externe. Il n'est fait mention nulle part dans son travail de fibres ayant leur origine dans le corps genoui
ture à courte distance; mais il me restait une grande difficulté'de travail prolongé. J'ai essayé des lorgnons variés de fo
es lunettes ; j'ai trouvé une augmenta- tion notable de la durée du travail , surtout avec les appareils qui sont supportés
récier les conditions physiques de l'attention d'après la valeur du travail avec l'ergographe de Mosso ; à la suite d'autre
Mosso ; à la suite d'autres expériences j'ai essayé de comparer le travail sous l'in- fluence des lunettes et du lorgnon ;
ffort après 18 minutes de repos, repos suffisant pour reproduire un travail normal (3) ; quand les lunettes ou le lorgnon o
m'éclaire mieux et qu'il en résulte une excitation qui favorise le travail . L'augmentation de la capacité du travail, prov
itation qui favorise le travail. L'augmentation de la capacité du travail , provoquée par les verres, mon- tre qu'il y a i
senter les parties environnant l'oeil. Magnus (2) en parle dans son travail en se basant sur les oeuvres de la sculpture gr
le est formée par un trou profondément creusé. L'importance de ce travail se remarque le plus sur les monuments de David
de vertiges et de tremblement du globe, qu'il éprouvait pendant ses travaux dans la chapelle Sixtine.Pendant des semaines e
répétés plusieurs fois par jour, survenant brusquement au milieu du travail , correspondant avec mouvement exagéré de la nuq
relatives à l'atro- phie numérique et ont été indiquées au début du travail . Il n'y a pas lieu d'y revenir. Mais d'autre
out l'infection, origine de la lésion cardiaque. On sait depuis les travaux de Potain, de P. Teissier, de Tripier que diver
dystrophies tuberculeuses décrites par M. Landouzy. On sait que des travaux récents ont établi solidement l'exis- tence de
réquemment l'école buissonnière, non par paresse, mais préférait le travail des champsà l'école. Défaut de mémoire pour la
aux machines à coudre, puis aux automo- biles, son salaire pour le travail à la journée est de 3 fr. 75 alors que la paie
lle faisant fonction de poulie de réflexion. HOSPICE DE B1CÉTRE TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE. ~ LE FAISCEA
ble à l'exposition logique des faits qui se sont déga- gés de notre travail , de décrire brièvement ce que la photographie est
J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). 19e Année N° 3 MAI-JUIN ( travail DU laboratoire d'histologie DE l'école DES hautes
u me convaincre que les massues observées par mot (1) Depuis que ce travail a été remis à la rédaction, j'ai eu l'occasion d'
n d'une façon disproportionnée aux maigres résultats obtenus par un travail très long et minutieux. Le fait seul que la cou
entants. Nous sommes en janvier 1881. Il est malade de la poitrine. Travail intellectuel nettement ralenti. 248 ' WEBER
s'agissait beaucoup plutôt d'un ralentissement, d'une inhibition du travail intellectuel que d'une des- truction en bloc. E
de revenir plus tard sur ce mécanisme. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE ET DU LABORATOIRE DU PROFESSEUR RA
sie complète sont, ainsi que nous l'avons indiqué dans un précédent travail (1), des plus variées. Chez l'individu en voie de
t parler, cette étude ne rentre pas strictement dans le cadre de ce travail , nous ne pouvons la passer sous silence en raison
c les autres affections musculaires du vieillard. Au début de son travail , Empis fait remarquer que cet affaiblissement m
e d'origine myélopathique, ainsi qu'on en trouve un exemple dans le travail de Démange.. Cet auteur qui avait si bien vu et d
es ainsi que nous avons essayé de le démon- trer dans notre premier travail (1). C'est après avoir étudié dans le service d
aient s'occuper à l'aide de leurs mem- bres supérieurs à différents travaux . En dehors des conditions étiologiques dont nou
s de graisse. Quant aux antagonistes des muscles qui participent au travail de fibrose (1) Unverhicht, Deutsche med. Wochen
PERRIN. ARTROPATHIE NERVEUSE CHEZ UN PARALYTIQUE 277 interrompu son travail que pour soigner son genou. Il ne s'alcoolisait p
lles étaient faites. Il a fait partie du conseil départe- mental du travail en qualité de secrétaire d'un syndicat. Dans son
une hydarthrose volumineuse, récente, du genou droit; il suspend son travail pendant 3 mois,le reprend ensuite pendant 6 moi
igu, se produisit un incident important : un jour qu'il était à son travail , occupé tourner un manche d'outil, il sentit brus
t qu'il se servait toujours de sa main gauche de préférence pour un travail nécessitant adresse ou force, même avant la lux
ns une école, où il est obligé de fournir une somme considérable de travail et là ses deux tics s'accentuent et deviennent de
pide de frottement sur le front ou sur le menton (Fig. C et D). Son travail à l'école a été couronné de succès, mais ses effo
s grandes fréquence et intensité sont le soir, après une journée de travail ; ils sont à peine accusés dans la matinée, après
sont rares ou même absents. L... continue très régulièrement son travail ; seulement, de temps à autre il est obligé de
h. ROUX et Jean HEITZ 1 Anciens internes des hôpitaux. Le présent travail nous a été suggéré par le désir d'apporter des fa
es constatations, nous croyons utile de passer une revue rapide des travaux antérieurs. Il ne semble pas qu'antérieurement
és. ' SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 303, Dans le travail de Koster (1) dont nous n'eûmes connaissance que
, cines postérieures. Par la lecture des observations annexées à ce travail , on peut se rendre compte que ces examens ont é
me, à la disparition complète de la fibre. Revenons maintenant au travail de Koster, et constatons tout d'abord qu'il n'e
m- plètement indemne de toute altération. Vers la même époque, un travail de Trouchkowsky (3) apportait confirmation de c
s posté- rieures est certainement, parmi les points abordés dans ce travail , celui qui a suscité avant nous les plus nombre
e celles-ci des contradictions capitales, à tel point que malgré le travail accu- mulé sur ce sujet, la question ne semble
ation pour en dégager la réponse à la question posée au début de ce travail : Quelle est l'influence de la section des racine
ons sympathiques. Cette opinion s'accorde avec ' les conclusions du travail récent de Paviot (2), à savoir que les lésions mé
er que rien ne me semble plus spécieux que la critique de Ladame au travail de Long. En effet si la lésion que Long a décri
e des phénomènes nou- veaux survinrent l'empêchant de continuer son travail . Dans le membre inférieur droit il commença à é
. Beitr., 1888, no 3. Cet index bibliographique ne contient que les travaux cités dans le texte. x.x 24 LES APHASIES MUSI
888, date de l'ouvrage de Knoblauch, pour rencontrer un véri- table travail d'ensemble sur ce point spécial ; jusqu'alors, no
omposé ou écrit la partition. En septembre 1883, après des excès de travail et d'autre genre, il s'apprêtait à copier de la
ovenait de l'hésitation de la parole et des sons émis. Dans ce même travail il fait remarquer que Brazier et Lichteim avaie
e méconnaît la valeur des paro- les et des tons. , Ferrand, en un travail postérieur (1), a insisté sur ces formes patholo-
nt les impulsions musicales et d'autres phénomènes semblables. Un travail de Lôwenfeld (1) et deux monographies de Sante de
ons pouvoir prochainement- contrôler. UNIVERSITÉ DE MONTPELLIER TRAVAIL DE LA CLINIQUE DE M. PROFESSEUR GRASSET. UN CAS
lle-même sur une hypothèse que nous avions émise dans notre premier travail . ' Il est nécessaire de récapituler brièvement
y a trois faits sur lesquels j'ai surtout insisté dans mon premier travail ce sont : 1° L'âge du malade et son développeme
ennent à l'appui de cette opinion. * si Déjà dans notre premier travail j'ai émis une hypothèse pour donner une explica
edisent pas cette assertion, comme je l'ai indiqué dans mon premier travail . D'autre part, c'est un fait bien connu que la fo
mparant ces faits aux opinions des auteurs cités dans mon pre- mier travail , je suis arrivé à l'hypothèse suivante : ' « La
t d'ovaires dès le mois de septembre 1904. Le but principal de ce travail est de faire connaître les résultats théra- peu
directement la fonction de la glande hypophysaire. Dans mon premier travail j'avais envisagé la possibilité d'une influence
peutique pour atteindre les buts proposés. Déjà, dans mon premier travail ,j'avais soutenu que « l'excès de la fonc- tion
onfirmation de l'hypothèse théorique, déve- loppée dans mon premier travail . Pour ces- raisons, j'ai résolu de recourir aux
t confirme absolument la thèse que j'ai soute- nue dans mon premier travail , en disant que « l'excès de la fonction des org
des testicules vers la fin du traitement ovarien. Dans mon premier travail j'ai mentionné que les organes génitaux du mala
mations permanentes de la main. Charcot présidait : il loua fort ce travail et fut émerveillé des trois planches à l'eau-fo
r les Paralysies et les contractures hytériques furent vos premiers travaux . Ils firent sensation, notamment en raison des
ecine (1 ü02). HOMMAGE 1 M. PAUL RICHER 4*5 Tout en exécutant ces travaux remarquables, vous rêviez de représen- ter par
ffection et notre orgueil ; elle a été si intimement associée à vos travaux et à vos triomphes, qu'elle daignera nous autor
blanche de la moelle. L'un de nous (2) a décri sommairement dans un travail récent la régé- nérescence des racines postérie
sidérable de fibres nervenses ainsi que nous l'avons montré dans un travail antérieur. Aussi, le grand nombre de fibres de
urones corres- pondants. ' Le lecteur a rencontré, au cours de ce travail , le nom de cellules aJ1(Jtro- phiques, nous pen
s été ainsi amenés à faire suivre notre observation d'un aperçu des travaux publiés jusqu'à présent sur le même sujet. Ob
de Duchenne-Dejerine, et la myopathie du type Leyden-Moebius. Aux travaux de Werdnig et d'Hoffmann il faut ajouter les publ
tf7., septembre 1900. Atonie musculaire congénitale, avec analyse des travaux ci- dessous. jr)v ? La Pedi,tiria, mars 1906.
a 111uscolare congenila di Oppenheim. UNIVERSITÉ DE MONTPELLIER TRAVAIL DE LA CLINIQUE DE M. LE PROFESSEUR GRASSET. SYR
. 11 s'est aperçu un jour par hasard, il y a 8 ans, que pendant son travail (il est menuisier) des clous ou des échardes de b
troubles trophiques au niveau des mains, cet homme a dû quitter son travail depuis un an. -. Rien dans ses antécédents pers
ne gagne pas la face antérieure- D'après les schémas joints à notre travail on pourra se rendre compte de la distribu- tion
de l'observation suivante nous a été procuré par M. Pécard,chef des travaux de clinique à l'École d'Alfort. Observation. -
L lll. Frrl1lrn i ç ri AT. FCTlYrr 1. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DU SERVICE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND. AGÉNÉSI
mbre d'autres systèmes appartenant surtout au côté droit. mu 31 TRAVAIL DE LA CLINIQUE DU PROFESSEUR RAYMOND A LA SALPÊTR
N SUIVIE D'AUTOPSIE) PAR Il J. DEJERINE et ANDRÉ-THOMAS Dans un travail publié il y a treize ans,en collaboration avec le
musculaire type Charcot-Marie. Ainsi que nous le montrerons dans le travail actuel il n'y a aucune analogie quelconque à ét
imprimerie, et quelques semaines après, il fut forcé de cesser son travail par suite d'une inhabilité manuelle qui l'empêc
ugmen- tant avec une certaine rapidité, il est obligé de cesser son travail , et reste chez sa mère à trier des vieux papier
erveau sont normaux. Nous n'avons pas l'intention de donner dans ce travail une description détaillée de la symptomatologie
de la névrite interstitielle hypertrophique et nous renverrons aux travaux publiés par l'un de nous sur ce sujet. Le table
ués. Chez le malade dont nous rapportons l'autopsie dans le présent travail la recherche de la topogra- phie radiculaire de
malades de 506 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS C'est qu'en effet dans un travail paru en 1894, Marinesco ('1) a soutenu que la n
amiliale et non héréditaire. xix . 31 HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND QUIN
' ÉTUDE DES LÉSIONS NERVEUSES ' PAR ) L. ALQUIER, , Chef des travaux anatomiques à la Clinique des Maladies nerveuses.
spéciale, méritent une étude plus approfondie que ne le comporte ce travail (le n° 684 a déjà été publié in extenso (1), le 8
oglique. Nous ren- voyons pour l'étude de cette lésion, si un autre travail fai tavec Lhermi tte (4 ). (t) ALQUfEIi ét Lher
, Tranquilli, LUZZATTO, EULENDOUIIG, GUI\I3G.1ULT, CENAS : pour les travaux respectifs, voir la bibliographie complète recuei
gilité de nos constructions fasciculaires, Mme Dejerine invoque les travaux de : Vialet,Henscben,von Monalow,Ii.edlich,Sachs,
es plus vives controverses ? Ne sait-on pas que cette éclosion de travaux de si fraîche date est la signa- ture même du p
ur nous est mieux connue que d'autres, c'est que les re- marquables travaux de l'école française eu ont débarrassé de bonne h
de ce mémoire, nous n'en ferons la description complète que dans un travail ultérieur. Passons à la protubérance de notre f
la corticalité occipitale; nous reviendrons sur ces faits, dans un travail ultérieur. Enfin, nous avons vu que ce ganglion
hombencéphale) ; la voie sensorielle est mieux délimitable dans son travail intra-hémisphérique que la voie pyramidale et p
80 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t pour les calmer. Mais, vers le mois de juin, ayant à fournir un travail plus soutenu pour la fin de l'année qui approchai
uivante, il voulut se préparer au baccalauréat ès sciences. Mais le travail des mathématiques lui parut trop pé- nible ; il
endantlajournée, et était, par moments, excessivement pénible. Tout travail de tête l'exaspérait. Le jeune homme, qui avait
excellente disposition. Le mal de tête ne le reprenait que quand le travail était trop prolongé. Mais alors le repos suffis
r. Au troisième mois, il put même prolonger davantage ce temps de travail . Il ne prit alors qu'une seule douche par jour, h
re étudier l'enfant, et il conseilla aux parents d'interrompre tout travail . Au mois de juillet, on emmena l'enfant au Righ
ant, quand les symptômes sont très violents, après une tentative de travail , par exemple, la douleur s'étend un peu vers le
grande. Il surmonta cependantson chagrin et se remit avec ardeur au travail . Mais, au bout de quelques semaines, l'état cép
eux mois, la douleur do tête ne se manifestait du reste qu'après le travail ; elle cessait le soir, aussitôt qu'il était au li
le-ci ne le reprend que vers dix heures ou plus tôt, s'il se met au travail . Souvent, le visage est un peu congestionné, le
e. Au mois de juillet, elles avaient presque totalement disparu, le travail pouvait être soutenu sans peine, plusieurs heur
s DU DÉLIRE DANS LA VÉSANIE. 17 ont commencé à troubler un peu le travail . Mais, à la rentrée suivante, au bout d'une qui
t obligé de rentrer à la maison après le déjeuner et de cesser tout travail . Depuis quinze jours on s'est décidé, sur l'avi
que nous poursuivons depuis cinq ans; nous comptons publier notre travail prochainement, avec les nombreuses observations c
u si elle doit;dispa- raître devant la lypémanie stupide. Avant les travaux de M. Baillarger' tout le monde était d'accord
ntmllt qu'un grand nombre de stupides con- servent le souvenir d'un travail intellectuel intense et. le 0 1 ell, t 1 [PATHO
les.malades ¡selon da persis- tance ou l'absence du souvenir d;un¡ travail .intellectuel .,) ? - - t, pendant la dépressi
êves quiu pourtant, pendant ! le sommeil, ,ont;été le résultat d'un travail cérébral actif,- que d'amnésie, des. somnambule
à un ami. Pour faire diversion' à à son idée, fixe,, il se livre au travail ardemment, passe avec succès, un concours diffi
nt ^ aussi active que par le passé ; elle ne s'occupait plus de son travail ,1 mettait le désordre dans les ateliers. Tout c
suivantes, .mieux que, toute description,, montreront ,1e curieux travail . qui s'opère alors dans l'esprit ? te 211'</'1
entransformer, il comprenait n'avoir plus., la même intelligence au travail .' Il chercha une cause à cette métamorphose psy
( ? trav.alux,j adis faciles, et,,i.1, ajoute pleine et entière aux travaux , jadis faciles, et il ajoute pleine et entière
: mémoire,^ derdéfaut deC¡ suite' dmls iJesTidées d'inaptitude ! au travail ¡éstp çqntrelltoute¡' : ¡')révision,élé trouble
mptômes observés. -1' "f -Ilf . , ' Plus récemmènt'encore a paru un travail fort intéressant de notre'ami'G. Ballet, sur qu
", "'T 1 n't : l'·· -il. 1 n -fin 1" Nous-mêmes nous avons, dans le travail cité plus haut, rap- porté' un certain nombre d
noncé 'pour 'rendre' celles-ci' tout' à ! fait inhabiles à certains travaux '(écriture; couture, dst sou- vent moins marqué
n''diaâriostic. 'L'examen des observa- tions"coilléÍliiè's dan's'ce" travail prôîîvérâ ItlÎ ? mri1 ? súFa15oi1 damment que l
en incomplètes ! 'Ce "n'est guère qu'el') "1786" qu'Õn rencontre un travail sérieux' sur le mé- rycisme ; il est'dû-'à Pipe
.{ ? 1 t ,,+ .11' Jf I, ! I ? l'hl J piéter cet, expose rapide. des travaux .laits sur e merveisme l-ll ? llll i,, .I/»- J-
U,, ? JL, ft)< < <JlI' ? ..." ? », , ? J nous citerons unt travail , sur lâ,zuminatiôiydâii's 1 éspece,ly maine dû
Les archives ne donnent qu'un résumé de ce long et intéressant - travail , pour lequel l'auteur,a examiné plus de.deux cent
xpérimentale sur LES centres moteurs corticaux ; par A. 1li.nc.ccl. Travail du laboratoire de physiologie de la Sorboyne(Ar
U » ? ' M'i1' l.i rU H '/I/'l '1 "dl I ' La première partie de1 'ce travail 'est'seûle'puhliéé : La seconde, où la question
,o\l,ZY ,tj} ? jç ? e, J' Q}lLS> ? }q4Rit, Il 1 1 , 1 . P.yl 1 , ? travaux ,, sur la pathologie du, système nerveux..S'il, fa
t -,1^I(`W Jflni 8'i ,i'Wfrl·l, : I ,/tlîuG(1`YI`iJlli 'rt Dans les travaux où celte question a été abordée, on, n'a1pas,re-,
,surl'lié.1 mj¡p : IstJIi ,dj h : rstériqu¡¡, ,et) nO1;I,mmen Jes', travaux "de,rM.'r ¡en professeur lyrçç,t, et,dç,l,;icbr,
ojj £ ! .)uob'( 'wÜ1 ! l1q L'observation qui sert de fondement à ce travail nous paraît mériter ]plpeineid'uiie apal3=se :
,gr'" .. "'111 'l'l, ¡o - ,1 Il',(' '"r¡ "1 "L'auteur rappelle les' travaux 'publiés sur 'ce' sujet ? et 'les f points deme
f r J ob La' première observation,' qui serti de soutènement ,à ce; travail , 1 concerneli,ll1e ,fillette de;cinrlaans;5rlui
ne syphilitique, semble de toute i évidence) aux fauteursqde ce ! 1 travail . Les troubles prononcés de l'excitabilité' électr
: 11OTRT. ? · ? M. CU,\RPENTIER1 donn lecture d'unirapport sur -les travaux de M. Pierret, candidat au titre de membre corr
rd et.Legrand .du Saullo2, mous ne chercherons point à.ajouter, aux travaux de ces auteurs en ce qui concerne les troubles
une tressé sans nn'qu'cUe n'e ! relie pas'au reste de l'ouvrage. Ce travail peut durer 'des heures ? toujours avec la même
re ou chronique. 2° Ceux qui, sans être aliénés, sont incapables de travail productif, et qui réclament un traitement hospi
des méri- tent qu'on s'occupe d'eux parce qu'ils sont incapables de travail , parce qu'ils ont besoin de soins, et qu'enfin
re de retrait de M. Nusser Obersanitàtsrath. M. Hollsnder lit son travail sur la Moral Insanity 1. Il en con- clut que ce
i.M. POIIL propose de consacrer désormais une revue critique aux travaux imprimés,, tant dans les séances que dansil'organ
4 mai 1882. --ci "wuwi^u ii i"i a ,"t"c hl. POIIL communique son, travail sur la folie impulsive }., La cpn- ? f"-f 1 i -,u
Restant en caisse 215 florins, 46 kreuzers. Compte-rendu annuel des travaux de la Société, par M. i-il5eh. Nous en omettons à
lax1 Société, ! '¡Ls}¿mQlél' pouJ ? r ! 3PJc\re le, cours^de leurs. travaux . 2,,1W'1J 11 untjBfto.si. b e9')(j¡j "JI fn ! h t
progressive. Il sera publiéin ete7r,<or. La discussion que- ce, travail ¡ suscite met en lumièrel'opinion de Nasse et de
loppements [draps) hu- mides dans le traitement .des psychoses., Ce travail : sera- publié in ex- tenso séparément^.] 9b à
u« « 1 M ? le* professeur 'NEl1M,\Ñ;ÙiP un' rapport sur les recenls travaux de membres de la Société. 11 s'agit en premier
stique municipale. M. Jacques Bertillon vient d'être nommé chef des travaux de statistique municipale de la ville de Paris,
, démence hypochondriaque. Nous voici donc arrivés à la fin de ce travail ; quelle est la loi générale qui s'en dégage ?
'elle s'effectue jusqu'au bout. Telle est la loi nosologique que ce travail avait pour objet d'étudier : l'évolution du dél
ous le poids du corps; cependant Olivier pouvait encore aller à son travail . Mais le 23 avril, en voulant descendre de son
i, car une dissociation délicate aurait exigé plusieurs semaines de travail assidu) chacun des faisceaux cons- tituant le t
ent, aucune question historique ou théorique, et de laisser à notre travail le caractère d'un simple recueil de faits. .
orts et surcharge lourdement leur bonne vo- lonté. Qu'est-ce que le travail intellectuel de l'enfant, si ce n'est l'exercic
a première fois vers la fin de l'année scolaire, à l'époque où le travail devient plus difficile et plus soutenu pour les
met en mouvement l'élaboration directe de la pensée. L'influence du travail intellectuel est donc des plus évidentes : il e
pacité cérébrale qu'en raison des souffrances occa- sionnées par le travail . Cet état est dû le plus souvent à des fatigues
la nature pour rétablir l'équilibre rompu pendant un temps par ce travail physiologique. Les choses parais- sent, en effe
mps, il dut l'abandonner, l'enfant étant incapable de fournir aucun travail sérieux. Le père, désolé, fut obligé de renonce
évité ces retours. Au commencement de la cure, on fera cesser tout travail de tête, pour placer l'enfant dans les meilleur
ls ont obligé nos jeunes gens à suspendre presque complètement tout travail intellectuel, et cela pen- dant un temps en gén
s altérations sont les mêmes que celles qui sont décrites dans le travail de MM. Bourneville et Brissaud. Nous relèverons,
iographique serait incomplet si nous n'a- joutions pas que, dans un travail très approfondi, qui nous fut indiqué par M. Ch
YCIS,llIE CHEZ L'HOMME SAIN D'ESPRIT. Quand nous avons entrepris ce travail sur le mérycisme, nous nous proposions de l'env
préférons réserver l'étude clinique pour la seconde partie de notre travail ; où les observations prises chez l'idiot sont s
nt régulier de l'estomac, imposant pour ainsi dire une surcharge de travail à cet organe, peut 1 Ducasse. Froriep's Notizen
prenait rapidement son repas, se livrait, au sortir de table, à un travail intellectuel». Suivant sa propre observa- tion,
e, suivant le cas. » Nous avons terminé la première partie de notre travail et rapporté tous les cas à nous connus de méryc
s l'exercice de l'estomac. Telles sont, par exemple, l'étude et les travaux stationnaires peu ou point actifs immédiatement
écorce et, nuisant à la vitalité des cellules, arrête de ce fait le travail de la pensée et les phénomènes biologiques pour
hez1 un paralytique : <$cnérulM ! es 2JÍndi vidlS'q uel vise cei travail ¡ élaienléattein ls ,soi l'Jq'une ,ambIJ : bpie
lérisent la névrose hystérique.' l' - .. 1 .1/" « Au début de notre travail ,' nous avions déduit de l'observation expérimen
ème question du concours de Salamanque, résument parfaitement notre travail et peuvent lui servir d'épilogue. » CH. F. V.
osé suffira, nous l'espérons, à montrer l'intérêt chirurgical de ce travail , et nous regrettons de ne pouvoir lui donner pl
Pour n'avoir pas résolu cet intéressant problème de physiologie, le travail de MM. Reverdin n'en est pas moins remarquable :
Société, dans sa séance du 6 juin 1882, a décidé : 1° que tous les travaux se rapportant à la tempérance et aux boissons a
concours; - 2° que des récom- penses pourraient Cire accordées aux travaux imprimés aussi bien qu'aux travaux manuscrits e
es pourraient Cire accordées aux travaux imprimés aussi bien qu'aux travaux manuscrits envoyés à la Société. La Société ne
les grandes articula- tions. Elles ont été depuis lors le sujet de travaux impor- tants dus à MM. Ba112, Cliiford Albutt,
est-à-dire que, rapportés, ils doivent s'em- boîter strictement. Ce travail merveilleux exige une coordination extrêmement
d c'est l'exercice de la prononcia- tion des sons, c'est-el-dire du travail de l'articulation, dans le sens rigoureux du mo
er d'une quantité de faits dénotant que la principale difficulté du travail arti- culaire réside dans la complexité de la c
nte-Anne. Les hallucinations, qui ont déjà été l'objet de tant de travaux , conservent le privilège d'attirer l'attention
ur lui parle à gauche, le traite d'imbécile, d'animal, critique son travail ; le protecteur intervient par l'o- reille droi
les rattacher. AncmVES; t. VI. 23 354 CLINIQUE MENTALE. Dans un travail sur les hallucinations unilatérales (Encéphale,
Rolh, mon ancien chef de clinique, qui a bien voulu m'aider dans ce travail . Moscou, 15/27 mai 1883. EXPLICATION DES PLAN
l'acte stomacal de la digestion : pendant tout le temps que dure le travail , il a les yeuse fixés; loin de pa- raitre souff
iminution des matériaux constitutifs de l'urine ; c'est donc ici le travail mus- >M. Stenger explique le mécanisme fonct
ats de cette étude d'hydrodynamique physiologique. La diminution du travail des nerfs vaso-moteurs engendre non le pouls le
ent arrondi (rotundo-tardus) des aliénés dérive de la diminution du travail du ventricule cardiaque. Les pouls lents que l'
rvicale; par ERLITZKY. (Ibid.). Dans l'étiologie de ce cas excès de travail intellectuel et sy- SOCIÉTÉS SAVANTES. 413 ph
ntractures ni troubles de la sensibilité. De moins en moins apte au travail , elle n'a jamais été malade et n'a pas présenté
8 SOCIÉTÉS SAVANTES. gommes frontales, permettent de supposer qu'un travail analogue s'est produit dans la cavité crânienne
s singulières du caractère. Un beau jour, il quitte sans raison son travail , cherche dispute à sa femme qui est obligée de
2 ans, marié depuis dix-huit ans, rentre aussi inopi- nément de son travail , coupe la gorge avec un rasoir à son plus jeune
ives de suicide de leur part sans qu'elles paraissent préparées. Ce travail sera publié in extenso 1. Discussion. M. SCIIUL
quer que c'est précisément dans l'exposé des motifs que résidera le travail du comité de la société des alié- nistes allema
é. (Archives de Neurologie, t. I, p. 4'J.) . bibliographie. 135 travail de M. respaut vient à l'appui de la même idée, to
i échappait; à vrai dire, elle n'eût rien ajouté à l'intérêt de son travail . Après avoir établi la distinction entre la gly
ille tentative nous paraît prématurée. » La deuxième partie de ce travail n'est pas nouvelle pour les lecteurs des Achive
des maladies des enfants, est décédé le ;¡ août. Outre de nombreux travaux de pathologie médicale, M. Parrot a public de n
81 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
lieu à des débats fort importants. Tous ceux qui ont pris part aux travaux de ce congrès se souviennent de l’esprit de conco
primée avant l'ouverture du Congrès; elle est destinée à faciliter le travail delà Presse médicale. Renseignements relatifs a
uront lieu au moment du Congrès. Banquet. —Un banquet terminera les travaux du Congrès. Confèrences. — Plusieurs conférence
nisation du congrès par le Secrétaire général. 4° Commencement «les travaux par la lecture des rapports généraux soumis à la
généraux soumis à la discussion du congrès (le programme détaillé des travaux du congrès sera distribué à cette séance . Le
je lui suggère de ne plus penser à son jeune homme, de sc remettre au travail , de reprendre ses leçons, d’être gentille pour sa
dans son langage et dans sa tenue; elle se refusait à toute espèce de travail , ne se prêtait à aucune discipline, désobéissait
llectuelle, les imaginations morbides disparaîtront et seront, par un travail inconscient, remplacées par des représentations n
ée avec casque, migraine assez fréquente, exagérée par des séances de travail prolongées; la mise en train est du reste assez l
ionnelles à ne donner aux repas qu’un temps minimum, à se remettre au travail en pleine digestion, sans repos suffisant, M. X..
rouvent d’importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l’institut psycho-physiologique. Salpêtrière
rimée avant l’ouverture du Congrus ; elle est destinée à faciliter le travail de la Presse médicale. Délégués des Gouvernemen
até, d'ailleurs, son intelligence s'est développée; il a pris goût au travail et peut suivre utilement ses classes. M. Paul F
e, nacrée, diaphane, indique la volupté. La narine large dénonce le travail dès l’enfance. Enfin, celui dont le nez s’attac
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l’institut psycho-physiologique. Index bibli
ans le but d’éfcjidier lamétallothérapiedeBurq; il se mit aussitôt au travail avec ardeur et, pendant deux ans, dans le service
édicales, et divers congrès ou sociétés scientifiques lui doivent des travaux et des communications fort estimés, principalemen
daires ot ne tarda pas à conquérir le diplôme de bachelier. Ardent au travail , doué d’une volonté peu commune, il fut externe e
la bonne parole el combattant le bon combat. Parmi ses très nombreux travaux , il convient de donner une ment ion toute particu
cliotogiephysiologique (1871). Malgré tous ces très remarquables travaux il fut, par les uns, honni et méprisé, par les au
reux en ménage, el dans ses relations de famille, s’il est surmené de travail et n'a pas une alimentation suffisante, la diffic
qui séparait mes interventions suggestives, il se faisait en elle un travail latent; mes suggesiions antérieures germaient et
es procédés physiologiques sommairement décrits au commencement de ce travail , et leurs adjuvants, tels que la tête à mâchoire
sement qu’ils ont mis à répondre à notre appel et à nous apporter des travaux du plus haut intérêt. Cet empressement de tous
s haut intérêt. Cet empressement de tous les savants à partager nos travaux ne peut étonner personne, quand on pensera que ce
rédigés par les plus autorisés d’entre nous et les communications des travaux originaux, vous prouveront la marche ascensionnel
ont atteint si elles étaient restées isolées. Précédemment, bien des travaux analogues avaient déjà vu le jour, sans avoir eu
• Le Sourd et Brochin, a toujours donné à sos lecteurs la primeur Jcs travaux de DumontpaHier, do Burq et deLuys, et de tous ce
e DumontpaHier, do Burq et deLuys, et de tous ceux qui ont publié des travaux intéressants sur l'hypnotisme. ¥ • Parmi le
ations pratiques, les résultats ont été encore plus appréciables. Les travaux de M. Liébeault et des professeurs de l’Ecole de
ervice des Enfants arriérés et des épileptiques. Il est connu par scs travaux sur l'idiotie, sur ¡'épilepsie et les troubles ps
ns «ju’elle en eut conscience. Le domestique fut condamné àdix ans de travaux forcés. Vous pourrez encore être commis dans de
la Société depuis de longues années. M. Boirac a publié d importants travaux de philosophie et de psychologie expérimentale.
rouvent d’importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l’institut psycho-physiologique. NÉCROLOGIE
besogne, le professeur Winkler a dès le début suivi et étudié les travaux sur l’hypnotisme expérimental et thérapeutique, e
ur la brèche depuis 1887. Il a doté la science hypnologique de maints travaux lus dans les différents congrès et publiés dans l
délégué au prochain congrès de Psychologie et se propose d'y lire un travail sur l’Autosuggestibilité pathologique comme signe
D. Sligter de Leyde, vient de publier le mois dernier un intéressant travail intitulé : Suggeslie in hypnose a/s geneesmideel.
l’hypnotisme et de la suggestion pour les recherches indirectes (les travaux si remarquables de M. Pierre Janet prouvent suffi
avais dit qu’elles pouvaient s’ôtre passées. Aujourd’hui, après les travaux de Charcot, de l'Ecolc de la Salpe-trière et de l
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l’institut psycho-physiologique. Cours prati
eler très brièvement ce que fut sa longue et épineuse carrière. Ses travaux portent sur les sujets les plus divers : hypno-lo
spéculative plus grande encore : c’est ce que nous démontrons dans ce travail . (2) Voir pour plus de détails, Dr 1**. Regnaul
t et Gley, expérimentant sur des hystériques, ont montré que pour des travaux intellectuels différents, on obtenait des variati
Mon collègue Achille, qui, depuis longtemps, connaît etencou-rage vos travaux , se joint à moi pour vous recevoir et vous souhai
oulu le dire le docteur Bérillon, je me suis vivement intéressé à vos travaux . Je n'entrerai pas dans la discussion de savoir s
II y a là tout un avenir infini ouvert à vos investigations et à vos travaux . Nul ne peut prévoir où s’arrêtera votre science.
mprimerie, atteinte de maladie de Basedowentraînant une incapacité de travail absolue, et que le docteur, en la traitant au cor
ippe, chef de laboratoire, nous montre et nous explique ses salles de travail , scs solutions, scs instruments, scs plaques micr
es on se séparait, comme à regret, en se donnant rendez-vous pour les travaux du congrès. Le lendemain, le Matin complétait s
ndateur du criticisme français a conservé une incroyable puissance de travail ; il continue à écrire des volumes impatiemment a
ie de médecine, M. Jules Soury a également été proclamé, pour le même travail , lauréat du prix Saintour, de la valeur de 2.000
es. Cette partie de l’ouvrage comprend l’analyse el la critique des travaux de savants nombreux et de tous les pays. Ici enco
r aujourd'hui, détachons-en les lignes suivantes; elles ont trait aux travaux de Charcot sur l’hystcrie et l'hypnotisme: « Il
rouvent d'importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l’institut psycho-physiologique. COURS ET CO
chologie. 32 pages, in-12, Paris, 1397. S crils et l’exposé des travaux publiés, de 1889 à 1897, par les professeurs et l
maître vénéré Dumontpallier, le savant médecin des hôpitaux, dont les travaux sur l'hypnotisme ont eu une si grande inlluence s
de Parme,l’inventeur de la phonendos-copic; Edouard Branly, dont les travaux ont inspiré la découverte de la télégraphie sans
e. Ils travaillent d’une façon indépendante et les résultats de leurs travaux leur sont personnels. En résumé, les études aux
Congres de l'Hypnotisme (août 1900). (2) Consulter sur ce point les travaux de l’école de Bordeaux (Pitres, Tissié, Régis, Ki
gis (J.-13. Bailliére, 1809). lin (*) et tout récemment, dans les travaux de M. Santé de Sanctis (2). Il y a quelques ann
nes citations, d’indiquer ici la succession, formant ensemble, de mes travaux et de ceux de mes élèves sur la question des déli
nce d'une idée fixe subconsciente de nature hystérique, telle que les travaux de MM. Raymond et Janet nous l’ont fait connaître
ux qui ont trait aux maladies organiques. En 1893, Charcot, dans un travail qu’il n’osa pas publier en France, relatait la gu
quintes, abat sa carte à propos, en un mot fait preuve d’un excellent travail intellectuel dans ce jeu compliqué. Le dixième
s calcaires. Cette observation mérite d’être rapprochée des savants travaux du professeur Lannelongue sur le traitement de l’
illeurs par les illustrations, dues à son crayon, qui remplissent ses travaux , M. Paul Richer s’était révélé comme un véritable
dessins, eaux-fortes ou sculpture) destinée à les compléter. Dans ses travaux sur la grande hystérie (1881) qu'a couronnée l'Ac
rouvent d’importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l'institut psycho-physiologique. COURS &
894, à propos d'un cas d’hystérie à forme particulière (2). « Dans un travail récent, disait en substance réminent clinicien, a
oient mieux prises et surtout autrement prises. Actuellement, noire travail doit être simplement critique : montrer combien l
traitants;... » Le professeur Ramon y Cajal. dont les remarquables travaux sur l’anatomie du système nerveux central sont un
ur but la création d’un laboratoire où le savant puisse continuer ses travaux en s’entourant de tous les perfectionnements mode
rouvent d’importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l’institut psycho-physiologique. COURS &
le faisait partie; elle fit de la bicyclette en chambre, se remit aux travaux de dentelle et de tapisserie, prit des leçons de
surdi-mutité. Le Dr Saint-Hilaire vient de combler cette lacune. Son travail volumineux, exempt de discussions oiseuses et de
bord été limité aux points suivants; taille, hauteur du buste, poids, travail ergographique, force de préhension des mains, sen
rouvent d’importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l’institut psycho-physiologique. Cours a l'E
du Secrétaire de la rédaction de la Grande Encyclopédie, ainsi qu’un travail imprimé du Dr L. Fuster: Troubles physiques et ps
a première publication du professeur Leyden, de Berlin. Et ce sont là travaux de premier ordre, comme du reste ceux qu’il a pub
rouvent d’importantes contributions à leur thèse de doctorat dans les travaux de l’institut psycho-physiologique. Cours a l’E
éuni un nombre suffisant d’observations. Mais chacune d'elle exige un travail considérable. M. Félix Regnault. Je n’ai jamais
e symptômes non coordonnés, est, depuis quelque temps déjà, grâce aux travaux de Beard, de Charcot, de Bouveret, de Levillain,
pourra les faire rester chez eux. Pour la majorité de ces malades, un travail intellectuel ou corporel, adéquat à leurs forces
la paralysie ascendante aiguë ». L’auteur, y exhumant les importants travaux de Duménil parus dix ans plus tôt, relevait dans
périphériques sans participation de la moelle à cette altération. Ce travail fut couronné par la Faculté de Médecine. Ce n’éta
fit époque sur YHérédité des maladies du système nerveux. Dans ses travaux , il eut le rare avantage d’être puissamment secon
ion et le talent paraissent héréditaires, qui aurait dû par ses seuls travaux conquérir pour elle-même une place importante dan
r ses ambitions légitimes aux succès scientifiques de son mari. Les travaux du professeur Déjerine sont si importants et si n
dullaire des racines postérieures, les fibres pyramidales, etc. Ses travaux sur la pathologie de la moelle épinière eurent pl
82 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
s, et aussi pour utiliser des ma- lades qui ne prennent pas goût au travail des ateliers, nous avons réclamé de nouveau un
apprend aux enfants à nettoyer réciproque- mont leurs souliers. Ce travail avait lieu autrefois sans aménagement spécial d
us, ils pourront travailler à l'atelier commun de la maison et leur travail compensera en partie, et pendant de longues ann
i représentent ce pavillon. Nous terminions le chapitre relatif aux travaux exé- cutés en 1888, en annonçant que M,. Peyron
uses que nous lui avions données, avait fait préparer les devis des travaux restant à faire pour compléter la section et qu
essieurs, J'ai l'honneur de soumettre à votre examen un Projet de travaux pour l'achèvement du quartier des Enfants idiots
vention extraordinaire de 1. 500.000 fr. pour la conti- nuation des travaux , et en vue spécialement de la construc- tion d'
sement d'urinoirs dans la cour du parloir. Il prévoit, enfin, les travaux d'assainissement et d'adduction d'eau et de gaz
nt et d'adduction d'eau et de gaz dans les cours et chemins, et les travaux de viabilité nécessaires pour mettre en communi
avec une plaque tournante au droit de chaque pavillon. Les divers travaux à exécuter pour la réalisation de ce pro- jet s
rai, la disponibilité de ces crédits pour les affectera de nouveaux travaux qu'après la clôture de l'Exercice 1888 et l'app
ÉSISTANCE AU CONSEIL DE SURVEILLANCE. des parties successives de ce travail . II était donc naturel que M. le Rapporteur, no
nnu. M. le Rapporteur pense inutile de donner des détails sur les travaux qui sont proposés aujourd'hui, puisque le mémoire
Rapporteur propose d'é- mettre un avis favorable à l'exécution des travaux pour l'achè- vement de la section des enfants i
là une somme importante. Ne pour- rait-elle pas être employée à des travaux d'une utilité plus grande, qui donneraient sati
moire par lequel M. le Directeur sou- met à son examen un projet de travaux pour l'achèvement du quartier des enfants idiot
louée en 1889 à l'administration pour grosses réparations et grands travaux (4° annuité de l'emprunt municipal de 2.')U mil
nicipal de 2.')U millions); Vu les plans,-vu le devis estimatif des travaux s'élevant avant rabais, y compris l'imprévu et
louée en IS89 à l'Administration pour grosses réparations et grands travaux (4« annuité de l'emprunt municipal de 250 milli
harges ordinaires de l'Administration, et par nature d'ouvrage, les travaux de diverse nature prévus au devis de l'opératio
de diverse nature prévus au devis de l'opération, à l'exception des travaux de plomberie pour gaz, qui, en raison de leur p
mportance, seront con- fiés à l'entrepreneur de l'entretien, et des travaux de dallage en grès cérame et d'établissement d'
d'un service des enfants idiols, mais le Conseil recule devant les travaux matériels que cette création nécessiterait à Sa
s nerfs vaso-moteurs. Il vint ensuite à Genève, où son assiduité au travail , le fit choisir comme assistant par le professe
es, soit avec nous-même,de OBSÈQUES DU Dr P. BRICON. LUI nombreux travaux qui furent souvent analysés ou reproduits avec
it successivement en anglais, en espagnol et en italien. D'autres travaux scientifiques de Bricon, qui remontent à 18882
u Manuel de technique des autopsies. C'est en nous appuyant sur ses travaux spé- ciaux que nous avons demandé, au début de
on ami, de rendre ici, un hom- mage public à ton existence toute de travail , de probité, de dévouement, à toi qui, jusqu'au
xine. Il a passé sa thèse le 16 mai de cette année (1889). Dans son travail , il a donné sur chacun de ces médicaments un ré
ait quelques progrès depuis son entrée ; met de la bonne volonté au travail . Les différentes fonctions n'offrent aucun trou
chydermique [Idiotie z.wclén2ateec.sel ; Par bouiixe ville, Les travaux que nous avons poursuivis depuis une quinzaine
ents inédits que nous avons rassemblés, nous croyons utile (1) Ce travail a été communiqué à la section de médecine de l'
s un tableau, les observations qui ont servi de base à nos premiers travaux : 54 clinique. dans trois autres cas, l'autop
re autres du Dr Gimeno. Ce médecin, ayant eu l'occasion do lire les travaux de M. Charcot et de ses élèves, en particulier,
ologie, fut publié, par MM. Bourneville et Bricon, un remarquablo travail sur la cachexie pachvdermique, travail dans leque
le et Bricon, un remarquablo travail sur la cachexie pachvdermique, travail dans lequel, après avoir passé en revue tous le
pium; à 7 mois, sans cause connue, est sur- venu un commencement de travail : « La matrice restait ouverte » au dire de la
M. Revcrdin (4 avril 1883) que ce dernier auteur a communiqué son travail au Congres de chirurgie de Berlin. (2) Nons avo
Congres de chirurgie de Berlin. (2) Nons avons donné un résumé des travaux de M. Horsley et de M. Schiff, dans notre premi
letins de la Société anatomique. Nous n'avons pas fait non plus un travail de topo- graphie cérébrale; et cela pour deux r
et amaigries. L'examen histologique a été fait au laboratoire des travaux pra- tiques de la Faculté. Le cerveau avait été
n est évidente et comme elle est encore petite nous pouvons voir le travail de vascularisation qui l'accompagne. Le nommé
- vation ont été publiés par MM. Bourneville et Bricon, dans leur travail sur l'épilepsie procursive). Examen histologiqu
'accomplissait cette évolution. Aussi, nous sommes-nous bornés à un travail purement des- criptif, à l'examen d'une série d
a demandé où il était, et il s'imaginait être parti le matin à son travail . Il n'a- vait pas ou peu mangé, car une partie
ès avoir travaillé dans une corroirie, qu'il a quittée parce que le travail était trop dur, il est resté quelque temps sans
t son voyage il eut trois attaques. 1887. 3 janvier. - A repris son travail ici et s'est remis aux douches. 12 avril. - H
artie, p. 3665 et Progrès Midi- cal, 1889, 17 août, p. HU. C'est ce travail qui est reproduit à la page 59. . cachexie pach
(Rev. méd. de la Suisse romande, lév. et août 1884). Bien que ce travail ait paru dans le na des Archives de Neurologie du
11..Enseignement professionnel .................. xv Evaluation du travail ........................ XVII Progression du tr
Evaluation du travail ........................ XVII Progression du travail ....................... xix In. Statistique - Mo
83 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
t tous les actes nécessaires pour arriver au point où nous en sommes, travaux longs et laborieux; mais quelle que soit l’import
t sur l’écorce d’un arbre que le temps a couronné, je continuerai mon travail malgré la cognée qui 1 abat. Baron du Potet.
era, sous ce point de vue, encore un bienfait, puisqu’on apprendra le travail de l’âme dans ces moments où elle ne s’est levée
sco Orioli. Corfû (Corfou), dulla typo-graphia del governo. 1 842. Ce travail mérite d’être lu par chaque magnétiseur, outre sa
ntoue, une lettre de mon ami et confrère, Louis Coddé, fameux par ses travaux sur l’homœopathie, dans laquelle il me communique
on nid avec des matériaux divers qu’il cherche et choisit; il fait ce travail avec un art infini; mais si j’examine l’oiseau lu
n ne pouvait méconnaître Florentin, récemment condamné à vingt ans de travaux forcés pour ce crime. » M6 Louis, avocat, a pla
est de M. le comte de Mirville dont nos lecteurs connaissent déjà les travaux . — L'Abeille médicale de décembre reproduit l’a
devint encore plus sombre et taciturne qu’auparavant, et se livra au travail avec une application qui prouvait un besoin impér
nts ! Correspondance. — Les réflexions que nous avons faites sur le travail de M. Jobard ( tome v, page 337), nous ont valu l
s des savants. Pardonnez-moi de vous avoir distrait de vos nombreux travaux ; mais j’avais à m’excuser près de vous, tout en r
dehors de nous, et que nous ne pouvons nous l’approprier, que par le travail et l’étude. Sans doute tous n’ont pas le même deg
orloger, etc. Pour ce qui concerne ces derniers, il sullit de voir le travail de l’ouvrier pour se rendre compte du degré de co
us craignions à chaque instant d’être interrompus dans nos pacifiques travaux par un pouvoir ombrageux; ce n’était qu’avec rése
besoin de liberté pour se développer et grandir; notre parole et nos travaux , quoique en dehors du mouvement politique, étaien
bien grande de vous venir interrompre au milieu de vos scientifiques travaux ; c’est pourquoi, reconnaissant toute mon importun
eur, que j’ai pour vous la plus grande estime et que j’apprécie vos travaux . Votre tout dévoué, Baron du I’otet. Paris,
rophié l’impression que sa main y avait produite en tombant, et qu’un travail extraordinaire se produisait dans tonte son étend
ne croyait plus nécessaires. Cette interruption brusque fit cesser ce travail bienfaisantquiallait amener la résorption de cesg
de loin en loin, obtenir des parents une demi-heure d’interruption de travail , pour verser dans son organisme le principe de vi
son cerveau, comme soulagé d’un poids considérable, put supporter le travail d’une journée de 12 heures. Mais aussitôt qu’il i
six mois atteint d’ophthalmie, il avait été obligé d’interrompre tout travail , ne pouvant plus supporter la moindre lumière ; e
n. Cependant il ne tarde pas en effet à être en état de reprendre ses travaux , sensiblement soulagé mais bob guéri. Ah! pourquo
douleurs, ainsi que du côté de la rate; des borborygmes témoignent du travail qui s'opère dans les intestins. J’ordonne pour un
re les fleurs et la verdure ; les fruits viendront après couronner le travail de l’homme. En sera-t-il de même pour les science
semblement du peuple seront ceux où il est convenu de se dispenser de travail . Les dimanches ou. les décadis seront donc des jo
a fantasia, comme disent les Arabes. Tout le monde connaît le saivaoL travail de Silvestre de Sacy, sur la dynastie des asscwsù
nté du magicien. >i (Ici l’auteur transcrit une partie du savant travail de M. Léon de La borde que nous avons inséré tome
aisons aux malades, que par le soin que nous prenons d’écarter de nos travaux tout ce qui pourrait nous jeter hors de la route
u plutôt du somnambulisme jusqu’à la lin de sa vie ; le mérite de ses travaux détruits ne nous était pas connu. — Il y a au M
Plus de division, plus d’injustice; du soleil pour tous ainsi que du travail . Science! noble science, arrive pour guider les
ilité a permis qu’ils tombassent en sommeil magnétique. Mais c’est un travail forcé de l’intelligence, souvent même c’est une c
est caché sous toutes les allégories égyptiennes et grecques. Un tel travail est difficile, sinon impossible, et quelle que so
ncé. Membre de la commission d’examen du magnétisme, il en suivit les travaux de 1826 à 1831, et signa le rapport si favorable
esse et de la prévoyance humaines ! M. Guersent laisse, dit-on, des travaux commencés; qu’on les imprime, nous ne voyons aucu
tel sujet nous imposent la retenue. Nous nous bornerons à signaler ce travail à ceux de nos lecteurs qui sont versés dans ces m
té de Mesmérisme de Paris, considérée comme foyer central de tous les travaux magnétologiques, et présidée par un homme dont le
Florence, Il Ricoglitore, du 4 octobre dernier. La publication de ce travail a eu le meilleur résultat dans la Péninsule, où i
asse d’hommes. Réfuter de si grossières erreurs, ce serait perdre son travail et son temps. Oui, ne craignons pas d’allirmer
e animal et sur plusieurs autres thèmes relatifs au même sujet est un travail de longue haleine, un travail qui surpasse tout c
es thèmes relatifs au même sujet est un travail de longue haleine, un travail qui surpasse tout ce que l’on pouvait espérer, so
u se cacher sous un tel pseudonyme, est déjà très-connu pour d autres travaux dans le monde littéraire et scientifique. Rien d’
détruit-elle quelque peu la connexion des idées si nécessaires en des travaux de ee genre. Je dis peut-être, car pour qui lira
autre à Cincinnati, mais je ne saurais encore vous rien dire de leurs travaux . Yoilà déjà longtemps que je voulais vous soume
u magnétisme. En donnant, comme vous le faites, de la publicité aux travaux des magnétiseurs de tous les pays, vous répandez
ublié dans le Journal de la médecine homœopathique, n° de février, un travail très-remarquable sur la mé-decinedes rebouteurs.
ncelles avant de produire l’immense foyer qui éblouit et dévore. Quel travail dans les esprits avant 89 ! Comme tout s’ébranle
ue peu de temps à vivre, se porte aujourd'hui très-bien, se livre aux travaux rudes de la campagne et est aujourd’hui enceinte
. 11 y a bien longtemps que nous n'avons entretenu nos lecteurs des travaux de la société du Mesmérisme; l’espace nous a manq
ésenté le 17 février dernier. Ce document porte: .....Dans le grand travail des idées, qui s’opère et pousse l’humanité ver
enir a besoin d’efforts multiples : tous lui sont utiles ; et, si nos travaux n'ont point un grand éclat, n’excitent au loin le
monde : organisons-nous.......... Le rapport énumère ensuite les travaux de la Société dans le cours de l’année qui expire
craignions qu’elle gravât nos tristes pensées ; nous avons livré les travaux d’autres hommes, a peine si nous avons fait quelq
écions tellement l’importance que nous reproduirons en entier le long travail de M. Mattel', dans notre prochain numéro. — La
Son existence, 219, application, 221. Athénée magnétique de Lyon. — Travaux , 112. — troyen de Mesmérologie. — Sa fondation
Membres honoraires, 127. — du magnétisme de la Nouvelle-Orléans. — Travaux , 180, 289, 310, 321. — royale d’horticulture. —
qui, jusque-là, était un homme tranquille et ne s’occupant que de son travail , est devenu tout à coup sombre et mélancolique; à
urs et fort régulièrement, malgré le préjudice que cela causait à son travail ; dans chaque séance les désordres étaient réparés
ue venu en charrette, il put s’en retourner à pied et se mettre à son travail ; cet état de choses continua pendant cinq à six
nt débarrassé, mange la soupe avec appétit, et se rend gaiement à son travail . Le lendemain et jours suivants, mémos résultat
de notre avis. Les réflexions naissent en foule à la lecture de ce travail ; il en faudrait une critique mais chaque magnéti
igés par le président de la société impériale, avait procédé dans des travaux de vérifications dont voici l’origine. En 1845, l
tâche d’une manière inimitable. Cela est parfaitement démontré par le travail du rapporteur. Ce document, dis-je, m’inspire don
ous avons cru reconnaître. Nous avons agi ainsi à l’égard de divers travaux recommanda blés; c'est au même titre que nous ins
pinions, mais écouter toutes les voix et former leur jugement sur les travaux de tous les hommes intelligents. En accueillant l
nt sur les travaux de tous les hommes intelligents. En accueillant le travail de M. Charpignon nons croyons leur être agréable
e tâtonne toujours, arrive lentement et échoue bien des fois dans ses travaux . De même le médecin qui n’agit qu’à l'aide de l’e
ernesont suivi ces grands maîtres, et ont rajeuni l’humorisme par des travaux éminemment utiles sur les altérations des liquide
t conciliant la méthode expérimentale avec la théorie, il prépare les travaux de Bordeu, de Barthez et de l’école de Montpellie
ins intense, il est vrai, mais plus pernicieuse, car, on a empêché le travail éliminateur qu’elle opérait : il s’agissait, en e
use de la maladie. L’oppression, les douleurs sont déterminées par le travail de coction qui doit élaborer le mucus arrêté dans
pour nous, mais pour le magnétisme, qui a coûté tant de peines et de travaux à établir, car nous le voyons tout prêt d’entrer
dois, Messieurs, réclamer avant tout votre indulgence en faveur d’un travail , ipie l’insuffisance de mes instants de loisir ne
s pénétrer; mais M. Beckensteiner, dont nous avons déjà mentionné les travaux magnétiques, croit pouvoir établir que ce lluide
steiner, 011 est porté à croire que M. Viancin avait connaissance des travaux du savant lyonnais, alors publiés, et dont le pha
ont manifesté le désir de faire partie de la Société. Afin que les travaux de chacun soient utiles à tous, les membres « doi
il. Tout le monde connaît M. Raspail, chimiste célèbre, habitué aux travaux microscopiques et aux méditations sur les atome
ion de médecin doit paraître sublime à celui qui l’a comprise ! quels travaux de toute la vie ! Oh ! oui, Hippocrate était un v
si nous mettions sous les yeux de nos lecteurs le résumé de tous les travaux du monde magnétique?.:... Mais pourquoi écraser u
par un choix de médicaments toujours appropriés aux désordres; si le travail était alors jugé par l’œil de l’esprit, et les cr
se sont adonnés à l’étude de la philosophie occulte poursuivent leurs travaux mystérieux sans s'inquiéter du jugement des incré
l’affaire, et, toujours présente aux convulsions des possédés et aux travaux des exorcistes, recueillait de prétendus aveux qu
is, nous dit-il, dans ma chambre très-près de la fenêtre, occupé d’un travail relatif à ma profession et qui nécessitait une ce
es, et l’on eût dit que quelqu’un penché sur mon épaule examinait mon travail et me faisait part de ses idées. Puis l’ironie et
, plus j’appréciais ce courant. 11 arrivait souvent qu’absorbépar mon travail je le sentais comme une atmosphère lourde et tièd
bouii au même résultat avec les mêmes impressions pour ma part. Mon travail souffrait de toutes ces recherches, je ne pouvais
en était plus temps, comme la suite vous l’apprendra. Cependant mon travail s’avancait de jour en jour; j y élais forcément r
gré ces vexations sans nombre qui duraient depuis trois semaines, mon travail touchait à sa fin par suite de la persévérance qu
ue temps de ces lieux de malédiction pour porter les résultats de mon travail à la personne qui me l'avait confié et qui habita
défectuosité ne se révéla. Si j'appuie sur cette particularité de mon travail , ce n’est point par esprit de vanité, mais afin q
’il l’ignore, car il n’a pu en méconnaître l’importance. 11 y a là un travail immense à faire, et jusqu'à ce qu’il soit terminé
aient d'un acte sans préméditation; car s’il en était instruit par le travail de ma pensée, il se prémunissait contre mes mauva
depuis mon retour, et j’avais différé jusqu’à ce jour l’exécution des travaux qui m’avaient été confiés. Je sentais donc la néc
n ennemi est captivé par une profession qui lui occasionne un certain travail d’esprit. Ils étaient donc portés à croire que ce
se maintient sans nécessiter de sa part la même assiduité et le même travail que dans le principe. Ainsi par le moyen de son f
donc fait que rédiger etcoordonner tous ces faits; par conséquent le travail que je vous envoie n’est qu’une compilation assez
Depuis il s’occupa beaucoup de magnétisme, et on lui doit de nombreux travaux sur ce sujet. » Le Journal des Théâtres est dan
s ai observées pendant quinze ans de recherches consciencieuses et de travaux entièrement désintéressés ; aussi ne m’est-il plu
e que je vois ; j'aurais la douleur d’avoir consumé mes jours dans le travail pour ne rien savoir. » Cette ingénuité ne nous
r. Qu’il me suffise aujourd’hui d’en citer une seule à la suite de ce travail . J’avais observé plusieurs fois des phénomènes
blir ; mais ses parents, lui ayant administré une purge pour aider au travail , contrarièrent la nature, et ce ne fut que le moi
és de son espèce pour leur recommander la prière. Mais j ai trouve ce travail trop incorrect pour vous 1 envoyer de suite. D’ai
générations à venir se moqueront de notre ignorance. Car, à force de travaux , on aura rendu clairs et sensibles les faits qui,
ulièrement la distribution de ces forces , ce qui peut arriver par un travail forcé de l’intelligence ou des perceptions trop a
é du cerveau, à l’altération d’une ou de plusieurs de ses parties, au travail seul des forces qui sont en l’être, et qui ont pe
eux de tous. C’est avec une grande joie que nous enregistrerons leurs travaux . Nous reviendrons sur ce sujet, car il nous intér
84 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
pour l'année 16 607 fr. 50. Cette somme, étant déduite de celle du travail des enfants (31.900 fr. 80), il reste un bénéfi
'architecture M. Delahaye et par M. Baron, économe, montrent que le travail des enfants non seulement couvre la dépense occ
tre. Enseignement professionnel. xvii commun de la maison et leur travail compensera en partie, et pendant de longues ann
ur permet pas d'en profiter. Mais, en revanche, ils aiment les gros travaux et seraient utilisés au jardinage avec fruit po
ouvelle section. XXXIII - IV. La nouvelle section. Achèvement DES travaux votés EN 1889. - h,STALLATro : : >i D'UN sec
: : >i D'UN second SERVICE DE propreté (Traitement DU gâtisme). Travaux complémentaires : installation des musées, ETC.
Compte rendu, il ne restait plus à la fin de 1891 qu'à procéder aux travaux de peinture et à l'aménage- ment des musées et
des musées et du laboratoire. Il restait aussi à terminer quelques travaux secondaires en cours d'exé- cution, tels que le
uis la mise en service de ces cabinets (26 sep- tembre 1891), aucun travail de réparation n'a été nécessaire ni aucune mauv
ur les projections ne sont pas encore com- mencées. Pendant que les travaux se poursuivaient (1) Celles-ci se font actuelle
était prévue à 250 fr., a été autorisée par l'Administra- tion. Le travail de réfection a été fait avec soin par M. Tixier
-dessus du sol. Cet auvent est couvert en tôle ondulée (4). » Les travaux , commencés durant l'été de 1891, ont été termin
(4) iiote de M. Delahays, inspecteur du service d'architecture. XL Travaux complémentaires. pensé qu'il convenait d'en pro
améliorations reconnues nécessaires. Le programme de ces différents travaux a été dressé, après un examen attentif, d'accor
qui nous intéresse et dans lequel se trouve un exposé suffisant des travaux récla- més. M. Lannelongue, rapporteur, donne
essieurs, J'ai l'honneur de soumettre à votre examen le devis des travaux qu'il serait nécessaire d'exécuter à l'hospice de
r l'installation du service des enfants idiots et épileptiques. Ces travaux ont été demandés par M. le Chef de service. Ce
tion d'eau complémentaire pour assurer l'alimentation du service; Travaux complémentaires. XLR Prolongement du chemin de
matériaux dont les enfants se serviraient pour faire une partie des travaux dont il s'agit. La dépense est évaluée à la som
on et de révision. En voici le détail par nature d'ouvrage : XLII Travaux complémentaires. à l'exception de la machine à
ordinaire de 1.200.000 francs allouée au budget de 1890 pour grands travaux (5" annuité de l'emprunt). En vous proposant d'
uartier des enfants idiots et épileptiques. En effet, le compte des travaux autorisés pour la création et la continuation d
es 50.000 francs qu'on propose d'employer, à Bicètre, à de nouveaux travaux qui lui paraissent avoir un caractère de luxe,
ns qu'il a développées, à une séance précédente, sur un projet de travaux analogues. M. le Directeur remercie M. Lannelon
croît pas. Il ne s'agit pas, d'ailleurs, de dépenses de luxe ; les travaux proposés sont indispensables pour que le fonction
M. le Directeur de l'Administration soumet à son examen un devis de travaux à exécuter pour compléter l'installation du qua
a lieu d'approuver le devis susvisé ; 2° De confier l'exécution des travaux aux entrepreneurs adjudicataires de l'entretien
ferons remarquer tout d'abord que si le rapporteur, M. Lan- XLIV Travaux complémentaires. nelongue, avait connu la situa
de deux cent trente deux mille francs, réalisés sur l'ensemble des travaux , grâce au zèle et à l'acti- vité de l'architect
r le Compte-rendu de 18S'a, p. XIX, XXV. (2) Ibidem, p. LIX. XLVI Travaux complémentaires. notre ami Strauss au sujet de
au sujet de l'imputation de la somme demandée pour l'exécution des travaux complémentai- res que nous examinons. Ce point
. Imputation sur le pari mutuel de la dépense occasionnée par les travaux complémentaires du quartier des enfants de Bicê
- nière séance, approuvé un devis de 50,100 fr. 63 concernant les travaux à exécuter à l'hospice de Bicêtre pour complèter
ORTELOUP, qui était favorable, en principe, à la conti- nuation des travaux , hésite à accepter l'imputation sur le pari mut
té imputée sur les fonds d'emprunt. - M. Horteloup estime que les travaux projetés ne présentent pas un caractère d'urgen
s, qui doit pouvoir compter sur les ressources extraordinaires du Travaux complémentaires. LVII pari mutuel pour faire fa
les grosses et petites réparations. Les 10 millions desti- nés aux travaux extraordinaires doivent être exclusivement empl
ressource dont dispose actuellement l'Assistance publique pour les travaux projetés de Bicêtre est le pari mutuel. Cette r
, d'ailleurs, été employée tout récemment à l'acquit de dépenses de travaux dans beau- coup d'établissements; pourquoi écar
de la dernière séance, par lequel a été décidée la continuation des travaux en acceptant, suivant la proposition; de M. le
ri mu- tuel. L'avis favorable, mis aux voix, est adopté. De ces travaux , quelques-uns seulement ont été effectués, tels
e. .. nsei-nemeiat hrofesionnel. - Il 1 été limité, en .1891, aux travaux du ménage (entretien des dortoirs, lavage de la
ideaux, des bonnets, des fichus, des corselets, des pantalons. Le travail , évalué par M. Baron, économe de Bicê- tre, d'a
t en tout, 1874 fr. 65. (En 1890, de mars à décembre, le produit du travail avait été de 771 fur. 75.) Voici le tableau men
n'arriverait probablement pas. Il est des gens qu'il faut forcer au travail . M. BOURNEVILLE. - La question soulevée est dou
question. M. CERCUEIL. - Est-ce qu'on ne pourrait pas imposer un; travail à ces malades ? ' ? M. le Dr Bourneville. C'est
6-250) et 1887 (p. 187-195), ont été pleinement confirmées par un travail très intéressant de M. le Dr Lemoine, reposant
yiclcce du cerveau et de la moelle. lia élé fait au Laboratoire des travaux pratiques d'histologie de la Faculté par il. 1c
rents. Nous avions à la Salpêtrière une imbécile qui se livrait aux travaux grossiers de la maison, moyennant un très léger
a .conception.- Rien de particulier pendant la grossesse, sauf le travail fatiguant à la machine fait par la mère jusqu'au
des périodes où l'enfant est paresseux. Il a peu de goût pour les travaux de la classe, mais en revanche, il aime les gros
pour les travaux de la classe, mais en revanche, il aime les gros travaux et y montre une certaine habileté. Il est propre,
is à manger, à s'habiller conve- nablement et prenait goût aux gros travaux du ser- vice. V. La particularité la plus int
85 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
s à Lassar (2), à Schutz (3). On peut, encore citer sur ce point un travail tout récent d'Herscheimer et Hartmann (4) qui a
sant les extrémités. A cette occasion, j'ai réuni dans le présent travail , avec l'observation dé- taillée du malade. les
d pour les obligeants conseils qu'il n'a cessé de me donner dans ce travail . Je suis aussi fort reconnaissant à M. G. Humbe
, il n'a jamais eu d'hémoptysie, n'a jamais été interrompu dans son travail pour ses « rhumes ». Il dit avoir été toujours
t que son état a empiré. Il est maintenant obligé d'interrompre son travail . Depuis quelque temps en effet, il ne peut rien t
er et laissent peu de trêve au patient. Celui-ci est mal habile aux travaux exi- geant quelque minutie : et dans deux des o
ue analogie est le lupus pernio : et dans la planche I annexée à un travail (2), qui provient du moulage du musée de St-Louis
taquer la conception du sens musculaire telle qu'elle res- sort des travaux expérimentaux et cliniques de ces dernières année
asset lui-même, qui a fait « une place honorable » clans son récent travail sur le Vertige, aux conceptions de M. Bonnier,
TTITUDES » 47 aux discussions des nativistes et des empiristes, aux travaux de Weber, IIelmlfoltz, Taine, etc., et surtout
ismes pareils. Une seconde source de difficultés, lorsqu'on lit les travaux de M.Bon nier provient de sa terminologie. Imag
école ? Je me permets de reproduire ici quelques lignes tirées d'un travail (2) dans lequel je cherchais à montrer dans que
ncore un singulier procédé de discus- sion de M. Bonnier. Citant le travail dans lequel je remarque que nos impressions cor
SOI-DISANT ci SENS DES ATTITUDES » 57 thèse de Mlle Markova (1), au travail de Frster, ci-dessus mentionné, qui contient un
s formes céré- brales, date surtout de la thèse de Volpert (1), des travaux de Gilles de la Tourelle (2), de Gasne (3). Si
st intéressante car non seulement elle confirme les résul- tats des travaux antérieurs sur la localisation des centres visuel
ent où elle put se diriger seule elle était capable d'accomplir les travaux les plus pénibles de son quartier. Pas de tremble
ette catégone ; Cari v. Rad (1) vient de lui consacrer un important travail basé sur 12 cas. Les symptômes rappellent ceux
en arrière cette fosse pathologique. Quand on l'a observée après le travail de l'accouchement, cette pellicule ne formait que
P. SPILLMANN et L. HOCHE Professeur de clinique médicale Chef des travaux d'anatomie pathologique à la Faculté de médecin
nt le sac durai de ses attaches avec les parois du canal rachi- (1) Travail du laboratoire d'anatomie pathologique de M. le p
eut plus subsister depuis la nouvelle technique histologique et les travaux de Stroebe, qui ont corroboré l'ancienne opi- n
RNIG, et Uros Pétry POPOVITS, Chef de clinique. Interne. Dans son travail Sur le Gigantisme, paru en 19U,141. Henry Meige (
saire, et concluent qu'elle est un organe rudimentaire, sans (1) Ce travail a été communiqué par M. Henry MEIGE, à la Société
ption. Ce garçon est en général méchant, désobéissant, incapable de travail sérieux; il cherche toujours la société des adu
elques autres particularités des organes génitaux au cours de notre travail . Sur l'état et l'influence de l'hypophyse. - No
les moissonneurs. Le soir, le fermier réunit tous ses compagnons de travail à sa table. Devant les convives, défile une dem
de ces gens aux rudes visages, encore revêtus de leurs costumes de travail . Vers la fin de ces pantagruéliques repas, appa
ouchements sont ex- trêmement nombreux. Ils ont été déjà l'objet de travaux importants, parmi lesquels ceux de M. Witkowski
entre ses deux bras ; il est mécanicien de 16 à 18 ans, et, pour ce travail de force, les deux bras lui rendent absolument
upation habituelle le montage et le démontage de machines à tisser, travail qui consiste principa- lement à serrer et à des
t em- ployé à limer et à buriner ; toutes ces manoeuvres exigent un travail soutenu et suivi du membre supérieur droit. La
e course, pourvu qu'elle marche lentement. Elle se livre à de menus travaux de dessin ou de couture, toujours avec une extr
e- çons. (2) D'ailleurs, l'un de nous ayant consacré une série de travaux à l'étude des Infan- tiles, nous ne pourrions q
), Gaz. des Hôpitaux, 22 février 1902.- Voir aussi les im- portants travaux de Hertoghe et le récent ouvrage de JANDELIZE,
ie syringo- myélique ; nous n'en avons pas trouvé d'autres dans les travaux récents sur les arlhropathies nerveuses et dans
zier (Hauto-Marnu). 16e Année N° 5 Septembre-Octobre HOTEL-DIEU TRAVAIL DU LABORATOIRE DE 111. LE PROFESSEUR BRISSAUD R
linique et dans son laboratoire, et m'a permis la publication de ce travail . ADIPOSE SOUS-CUTANÉE SYMÉTRIQUE ET SEGMENTAIRE
ut rester assis et qui se contorsionne désespérément dès qu'il a un travail devant lui. C'est bien là l'ensemble des symptô
e indéterminée, vague, en errant çà et là, sans but et surtout sans travail déterminé. Vous voyez que les choses sont bien pl
des inquiétudes, atteint d'une aboulie professionnelle typique. Le travail lui-même et la pensée même du travail lui occas
e professionnelle typique. Le travail lui-même et la pensée même du travail lui occasionnent une extrême angoisse. Le malad
s, et c'est pourquoi la position assise suffit pour lui rappeler le travail et pourquoi elle peut lui occasionner l'angoiss
ous avons étendu nos recherches sur les indications de M. Mater aux travaux du LXV" congrès d'Archéologie de France tenu pr
ans la grande salle de son palais de Bourges des tapissiers pour un travail commandé (1). Un certain nombre de ces ouvrie
démoniaque de la folie. (1) A. d.c. CHAMEAUX et P. GAUCHERY, Les travaux d'art exécutéspar Jean de France, duc de Berry,
, (1) Voy. pour certaines particularités de l'histoire de Gheel, le travail que l'un de nous a publié avec le Dr Frans Meeu
ill., loc. cil. (2) Les textes originaux sont en flamand ; voir les travaux cités plus haut. LES POSSÉDÉS DE SAINTE-DYMPHNE
ls de son organisation actuelle, que l'un de nous a exposés dans un travail publié à l'occasion du treize centième annivers
LPETRIERE. T, XVII, PL. LXI. z 16e Année N° 6 . NOVEMBRE-DÉCEMBRE TRAVAIL DU LABORATOIRE DU Der l'0liAK. NÉVROME ADIPEUX
objection nous paraît de peu d'importance si, comme le veulent les travaux modernes, on accorde à chaque segment interannu
ouveau et plus conforme à la structure générale de l'organisme, les travaux récents permettent de concevoir la constitution
re sans elle. - Cette doctrine s'appuyait : En embryologie, sur les travaux de His qui avait décrit des cylindraxes nus bou
ais été démontrée et paraît même controuvée par tout un ensemble de travaux parus dans ces dix der- nières années. En emb
été soutenue par Boll Engelmann et plus récemment par Gedoelsl. Les travaux de ces auteurs, ainsi que ceux de Apathy, Bethe
et, représentent ou ne représentent pas une unité cellulaire. Les travaux récents font de plus en plus ressortir le peu de
e de cette loi et de cette doctrine est infirmée par un ensemble de travaux récents montrant que le nerf est, non pas formé
s, M. le professeur Perrin de la Touche et moi, publié récemment un travail sur les lésions thyroïdiennes chez les aliénés en
iendrai sur ce point dans la tentative de synthèse qui terminera ce travail . III. Diagnostic du ]Jseudo-oedème catatonique.
il. III. Diagnostic du ]Jseudo-oedème catatonique. Dans un récent travail , j'ai essayé de montrer que le pseudo-oedème ca
es qu'on ne le pense : on en trouvera la preuve dans le remarquable travail de Jeandelize (1). Il existe à l'asile d'aliéné
conseils personnels dont nous tenons à le remercier au début de ce travail . .Conformément au plan adopté par nousdans l'ét
minutes ; ils se produisent de préférence à l'écurie, au retour du travail (fait cons- taté chez tous nos sujets),, quelqu
oit capable de tics va- riables. Nous aurons à rechercher, dans les travaux ultérieurs, si le psy- chisme évidemment très i
liquer que par la participation de l'écorce cérébrale. Dans le même travail , nous avons noté des troubles du caractère (ner
du pied, s'ex- cite, se couvre de sueurs alors qu'il ne sue pas au travail . Notus est colère, entêté ; Tunel cherche à mor
le se produisant à l'occasion de causes futiles et indépendantes du travail . Il n'existe pas de troubles trophiques marqués
soit comme cheval de trait, et quelquefois en double adaptation le travail varié d'un régiment d'artillerie (garnison, école
onvulsifs, de durée variable, fréquents principalement au retour du travail . A été soumis autrefois, pour des troubles digest
ucation ont raison de ces défauts. Notus reçoit alors, après chaque travail spécial, du pain et surtout du sucre ; il contrac
ur, particulièrement après avoir reçu une friandise ou au retour du travail ; en route, manifeste pen- dant les premières m
Notus, léchage de la main du cavalier offrant du sucre après chaque travail ). Mais cette constatation n'est pas une explica
anifestement à la pression intempestive et réitérée du mors dans un travail à pied pro- longé par la difficulté d'obtenir,
sa plus grande fréquence quand il est penché, c'est-à-dire dans ses travaux de jardi- nage ; le léchage est alors ininterro
sente de l'impatience professionnelle, s'énerve facilement dans son travail de jardinier; quand il entreprend une occupation
uoiquepas aussi bien qu'auparavant. Nous pensons que la capacité au travail chez ces malades diminue, par la suite de l'abais
continu, nous trouvons indispensable de dire, que pour le but de ce travail , nous nous sommes servis seulement des cas qui
ux individus appar- tenant aux professions non intelligentes, où le travail physique joue le rôle principal (cultivateurs,
êt pour Alcmène ; ainsi elle se délivre d'un double mal par un seul travail , et elle est garantie du soupçon d'adultère ; l
ments pour l'avenir. Elle saura n'y point manquer. · Le nombre de travaux scientifiques qu'elle a publiés, la collection de
icale des oeuvres d'art, en faisant surtout appel, depuis 1893, aux travaux personnels de son Rédacteur, M. Henry Meige. Ai
écente aurait pu apporter un nouveau témoignage de l'importance des travaux consacrés par les médecins fran- çais à la crit
art, si, par suite d'une regrettable lacune, les indications de ces travaux ne s'y trouvaient presque complètement oubliées
ique et [médicale de M. Paul Richer, l'an- cienneté de ses premiers travaux de critique des oeuvres d'art, ont donné à son
et la Mède- cine, du Dr Paul Bicher, une oeuvre qui, basée sur les travaux de l'Ecole de Charcot, contient une collection
( ! ) compréhensive de ces matières. » Et il ajoute : « Si mon travail n'avait pas été si proche de sa fin, ce livre aur
ient tou- jours le divin Hippocrate, de même de nos jours dans tout travail scienti- fique, le nom de Rudolf Virchow fait b
-artistiques dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière où ces travaux n'aient été rappelés ; sou- vent même on y a fa
re une fois, et encore adjectivé, en faisant seulement allusion aux travaux de l'école du maître. Charcot, et les autres au
leure preuve n'est-elle pas qu'un auteur dont la tendresse pour les travaux germaniques n'est pas contestable, a observé le
der, déclare lui- même qu'il a fait là une « oeuvre joyeuse », un « travail extra-profession- nel ». Il a raison ; car une
t advenir que plusieurs auteurs, sans avoir con- naissance de leurs travaux réciproques, entreprennent chacun de leur côté
t la poursuivent sans s'inspirer les uns des autres. Mais alors, le travail de chacun d'eux porte l'empreinte d'un esprit et
es descriptions, surtout des interprétations déjà énoncées dans des travaux antérieurs, et qui sont cependant présentées de
pendant assez riches en Allemagne pour pouvoir donner matière à des travaux vraiment originaux. Témoin l'intéressante publi
représentation des difformités ou des maladies, un certain nombre de travaux de Henry MEME complètent la série que ce dernie
ntiques (L'anthropologie, 1895). Le Mal de Polt dans l'drt antique ( Travaux de neurologie chirurg., 1891). La Peste dans z.
ple Alliance : Histoire, Art et Médecine, où sont signales tous les travaux de critique médicale émanant de Charcot ou de s
rtoires bi- bliographiques très consciencieux de M. L. Hahn sur les travaux français concernant l'Histoire, la Géographie e
« Journal des Connaissances médicales » de 1893 à 1899. Dans les « Travaux de Neurologie chirurgicale » de A. CIIIPAULT se t
86 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
intaines. Dans la seconde partie, nous avons rassemblé les nombreux travaux de M. Charcot sur la métalloscopie, la métallothé
rveau Charcot. CEuv compi. T. ix. Hémorragie cérébrale. i Dans ce travail , fondé sur des faits nombreux, rhémorrlia-gie cér
Pestallpzzi, Virchow. Les anévrysmes qui font l'objet principal de ce travail siègent tous sur des artères visibles à l'œil nu,
démonstration de cette proposition que doit être consacré le présent travail . II, par excellence, hérnorrhagie qui, très f
de cette gaîne périvasculaire décrite par M. Robin et que depuis les travaux de M. His on désigne généralement sous le nom de
es dans lesquelles nous devons nous renfermer et le but spécial de ce travail nous ont déterminé à ne les reproduire ici qu'en
ite de la troisième attaque, on insista pour que cet homme quittât le travail de la buanderie, et, depuis cette époque, il fut
que basée sur 39 faits dont la plupart n'ont pas trouvé place dans ce travail , parce que le plus souvent les anévrysmes n'avaie
rhagie cérébrale. C'est une tâche que nous n'avons pu remplir dans ce travail , mais que nous nous proposons d'aborder dans un p
Je n'ai, du moins, rencontré jusqu'ici qu'un seul cas dans lequel le travail de mortification ait envahi les deux fesses, simu
rminaison à la peau plus complexe qu'on ne le croyait autrefois ; les travaux récents tendent à montrer que dans le dernier, il
il y a des réseaux nerveux qui vont jusqu'à l'épiderme. Enfin, les travaux de MM. Philipeaux et Vulpian (de l'union bout à b
action statique de M. BéclardJ. La contraction ne s'accompagne pas de travail mécanique ; elle produit de la chaleur, et cette
'hémorrhagie méningée ; c'est du moins ce que tendent à démontrer des travaux nombreux déjà et d'une grande valeur, et dont nou
urs n'hésitent pas à attribuer le développement de ces membranes à un travail inflammatoire du feuillet séreux. Ces néoplasmes
u'avait exposés M. Virchow trois années auparavant. Il ne cite pas le travail de son devancier, mais, bien évidemment, il n'en
Virchow, Brunet et les auteurs dont nous avons encore à signaler les travaux . M. Calmeil range les faits qu'il a observés en p
uvent, dans d'autres circonstances, disparaître sous l'influence d'un travail réparateur: les membranes s'aminciraient par une
ologique, et dans le même sens que les précédents auteurs. Tous ces travaux concourent donc à nous enseigner le mode réel sui
re, les néo-membranes de la dure-mère se développent par le fait d'un travail inflammatoire, et sans qu'il y ait eu préalableme
ne (Comptes rendus de la Société de Biologie, 1854, p. 76 et suiv. Ce travail est reproduit plus loin, p. 135.) qui se font r
l'opinion qu'à notre tour, nous cherchons à faire prévaloir. Si les travaux de M. Baillarger ont eu le résultat très importan
xistence d'une fausse membrane. Mais l'auteur qui, antérieurement aux travaux tout à fait récents, a le mieux entrevu la théori
le même sujet, MM. Heschl, Virchow (1) et les quelques autres 1. Le travail de M. Virchow date de 1856. M. Virchow y compare
et Guido Weber. auteurs allemands dont nous avons indiqué déjà les travaux dans une autre partie de cet article. Il y a donc
s. Rappelons seulement, afin de rendre justice à qui de droit, que le travail de M. Heschl, où l'important témoignage de l'étud
néo-membranes de la dure-mère, il nous reste à mentionner encore deux travaux importants : c'est en premier lieu, un des articl
ils se sont éclairés des lumières de l'histologie pathologique. Le travail de M. Brunet nous paraît surtout remarquable à ce
périodes, procèdent de la pachyméningite. Des recrudescences dans le travail subinflammatoire dont la dure-mère et les pseudo-
Envisagée aux divers points de vue que nous avons présentés dans ce travail , l'histoire des hémorrliagies intra-arach-noïdien
s sous l'influence delà pachyméningite, se termine quelquefois par un travail régressif à la suite duquel elles peuvent dispara
e vers le 10 mars. L'accouchement est extrêmement long et pénible; le travail dure trois jours. L'enfant est mort, et même sa m
. Mon cher ami, Ceux de vos lecteurs qui ont pris connaissance du travail publié par M. le docteur Auburtin dans les dernie
hère cérébral qui avoisi-naient le foyer de ramollissement. Dans le travail auquel je faisais allusion plus haut, M. le docte
se soutenue par M. Auburtin? En vain ai-je cherché dans le volumineux travail de cet auteur des faits tirés de son propre fonds
ose consécutive descendante). Ces résultats ont été consignés dans un travail de MM. Prévost et Cotard et dans la thèse inaugur
our le moment, ajouter beaucoup à ce qu'en a dit, dans un intéressant travail , dont la publication est toute récente, un de mes
bservations du professeur Mitchell. L'un d'eux a été rapporté dans un travail de M. le doc-leur Bail (3) et reproduit dans la t
ique ; par la compression comme dans le mal vertébral, ou bien par un travail phlegmasique développé dans la gangue conjonctive
roduisent seulement dans les cas où, consécutivement à la section, un travail inflammatoire s'est développé dans le serment sup
s jointures, peuvent, en réalité, être rattachées habituellement à un travail d'irritation inflammatoire qui s'est emparé des m
lume du nerf médian doivent aussi, croyons-nous, être rapportées à un travail d'inflammation. À l'altération des synoviales s
ctères d'une prolifération nucléaire très active, indice certain d'un travail d'irritation inflammatoire. Les altérations de
rale ? Sur cette question nous serons 1. Il n'est question clans ce travail que de l'arthrite telle qu'on l'observe dans l'hé
thérapeutique. La commission de la Société de biologie a divisé son travail conformément à ces vues. Dans un premier rapport
servations de la métallothérapie. En dehors de sa participation aux travaux de la commission, M. Gharcot s'est préoccupé de d
esthésie des organes des sens spéciaux : ouïe, vision, odorat, goût. ( Travail collectif de la commission 1er rapport). C. Etu
égale de la région.,symétrique de l'autre côté de la ligne médiane. ( Travail collectif de la commission, 1er rapport. — En ce
plication est faite sur le côté sain; dans le cas d'hémia-nesthésie. ( Travail collectif de la commission, 2e rapport; et Charco
avec moi, MM. Bouley, Béclard et tous les médecins qui ont suivi les travaux de la commission qui fonctionne dans mon service
s mémoires de l'ancienne Société de médecine, M. Charcot a trouvé des travaux de Thouret et d'An-dry, relatifs à l'action du ma
latifs à l'action du magnétisme sur certains états pathologiques. Ces travaux sont très intéressants, et il a pu déjà s'assurer
n ordre de phénomènes pathologiques ou physiologiques qui, depuis les travaux publiés par Braid (de Manchester) en 1842, par MM
rançais. Sur l'état cataleptique chez les animaux voir, en outre, des travaux du I)r Michéa, de Crermak. (Archives de physiolog
dry et Thouret. (Mémoires de la Société royale de médecine, 1780). Ce travail , exécuté sur la demande de l'ancienne Académie de
l, et c'est sur ces entrefaites qu'Andry et Thouret entreprirent leur travail . Leur mémoire ne contient pas moins de 48 observa
lades, qui ignorent assurément tous les détails de la myologie et les travaux de Ch. Bell. Je produis les mêmes effets, la cont
1878 ; Gazette médicale de Paris, numéros 46, 47, 48, 1878. Tous ces travaux sont reproduits dans le présent volume dont l'art
i Freniatria. Reggio, 1881). 3. A l'époque où parurent les premiers travaux de la Salpêtrière, le seul travail récent sur la
l'époque où parurent les premiers travaux de la Salpêtrière, le seul travail récent sur la matière était un mémoire de M Charl
'anatomie et delà physiologie, 1875 Antérieurement, il faut citer les travaux de Pan de Saint-Martin (1869), de Bailly 1868), d
-chenne (de Boulogne), sur l'action partielle ou combinée des 1. Ce travail est reproduit ci-après, p. 310. ?. Il s'agit se
de fois sur des sujets différents (1). 1, La première partie cle ce travail (p. 297-304) a été lue à. YAcad. (tes Sciences (1
de nous (Gharcot) à la Salpôtrière, a depuis fait paraître plusieurs travaux sur ce sujet : Revue scientifique, n° 13, 1881. S
sujet de l'étude de l'hypnotisme. A l'époque où parurent les premiers travaux de la Salpôtrière, le seul travail récent sur la
l'époque où parurent les premiers travaux de la Salpôtrière, le seul travail récent sur la matière était un mémoire de M. Ch.
la physiologie de Ch. Robin, 1875. Antérieurement, il faut citer les travaux de Pau de Saint-Martin (1869), de Baillif (1868),
rs sur les muscles tributaires du nerf. 11 importe, en terminant ce travail , de faire remarquer que nous n'avons eu en vue qu
é dans la verticale. 1. Voy. Archives de Neurologie, n°s 5,6, 7. Ce travail est reproduit à la page 309 de ce volume. 2, Vo
t des résultats obtenus à cette épocpie, est en même temps le dernier travail important publié sur l'électrisation statique. Bi
az de Rischop; il nous est très utile pour les longues séances, où le travail d'un aide serait tout à fait insuffisant. Ce syst
fique de l'hypnotisme ; il est de fait, que depuis la publication des travaux de la Salpêtrière, la réalité des symptômes hypno
n'est sans doute pas près de s'arrêter. Seulement, à mesure que les travaux sur l'hypnotisme se sont multipliés, des controve
pinions des deux écoles. En 1878, nous l'avons déjà dit, malgré les travaux de Braid et de ses sucesseurs, le monde scientifi
oisième, sur laquelle nous insisterons longuement dans la suite de ce travail , dont elle formera même la partie essentielle, et
ypothèse de la suggestion. Nous avons fait remarquer au début de ce travail que, chez les grandes hypnotiques, les trois état
xpérience d'hypnotisme, qu'elle était occupée à l'état de veille à un travail manuel, un violent bruit produit par un coup de t
zioli, indépendamment de toute suggestion. Je mentionnerai aussi le travail récent de MM. Octavio Maira et David Benavente (2
acture au moyen de l'aimant, quoique je ne me sois pas occupé dans ce travail de cette question; mais la netteté de cette obser
pothèse d'hystérie. Or, ne sait-on pas aujourd'hui surtout depuis les travaux récents de notre maître que l'hystérie est très f
'état de veille. 2° Nous avons fait remarquer au commencement de ce travail , que l'hypnotisme pouvait être comparé au point d
erne la bibliographie de l'hypnotisme, nous renvoyons le lecteur à un travail récent de M. Max Dessoir, consacré exclusivement
87 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
té effec- tive. Non seulement il nous remettait régulièrement les travaux qu'il faisait rédiger, pour les Archives, par s
Leineurologiste, M.'Donaldsôn; médecin'distingué; est-l'au- teur de travaux appréciés sur l'anatomie et la physiologie des
searclt, Journal of comparative 11'eurology, etc., etc. Parmi les travaux les plus importants sortis de ces laboratoires
de la grande névrose. M. Henry Meige, dans ce savant et intéressant travail d'exégèse, étudie, à ce point d e vue, deux bas
e. L'auteur admet cette responsabilité même'pourries incapacités de" travail , les pertes de temps et d'argent résultant d'un
DIÉES D'APRÈS LA MÉTHODE DE GOLGI Par les Dr' KLIPPEL et AZOULAY. Travail du laboratoire du Professeur JOFFROY (clinique de
nts en ce qui concerne la structure normale du système nerveux. Les travaux de Ramon y Cajal, pour l'encé- phale, et de van
- tuelle et la sphère morale. Les malades ont le dégoût pour tout travail cérébral, ils éprouvent depuis une paresse inte
ies arsenicales ont été moins étudiées expéri- mentalement. Dans un travail déjà ancien, Scolosubofi' 1 concluait à la myél
éther, ainsi que l'ont signalé Pitres et Vaillard 1. Au cours de ce travail , nous avons pris, comme moyen de comparaison d'
ige. (Nouu. Iconogr. de la Salpètrière, 1893, n°,5 4, 5 et 6.) Ce travail a été analysé par M. J.-B. Charcot dans le tome X
i a pu observer plusieurs cas d'algidité vient de faire paraître un travail où il étudie la question del'hypotermie chez le
ermie chez les aliénés. Après un historique où il rappelle tous les travaux antérieurs parus sur le'sujet, travaux surtout no
ique où il rappelle tous les travaux antérieurs parus sur le'sujet, travaux surtout nom- breux à l'étranger, l'auteur entre
vrait créer pour eux des asiles spéciaux où ils seraient tenus à un travail l forcé ; malheureusement, la législation actue
AVANTES. blable législation. M. Ballet voudrait les voir obligés au travail ; c'est trop juste ; mais de quel oeil seraient
que de l'influence psychopathique des professions sera l'objet d'un travail exact et ultérieur. Les cercles les moins nuisi
rocher ceux dans lesquels prédomine l'industrie minière et celle du travail du fer. Moins favorables sont ceux à industries
t des enseigne- ments précieux. Leur vie, consacrée tout entière au travail , aux progrès de la science et au bien-être des
dait pas à être traduit en plusieurs langues. Un peu plus tard, ses travaux statistiques sur les aliénés, les suicides et les
'était déjà fait remarquer par l'originalité et l'importance de ses travaux et de ses découvertes. Observateur rigoureux
nt chaque jour des éléments utiles à leurs recherches. Les autres travaux sur les hallucinations sont aussi remarqua- ble
ts, aujourd'hui clas- siques, on les trouve en germe dans les beaux travaux de M. Baillar- ger. Tels sont les titres qui av
e. titre de Recherches sur les maladies mentales, la plupart de ses travaux ; il les a groupés par séries distinctes, met-
nt président; et, à son tour, il apporta dans la direction de leurs travaux et de leurs débats tout le poids de son autorit
Ces deux hommes d'élite, MM. Baillarger et Falret, émules dans le travail et la science, restent émules dans la charité et
ades, de les encourager, de les protéger, et les aider à trouver un travail rémunérateur, de les suivre ensuite dans les di
157 Î possible le Congrès, enfin il recevra un livre contenant les travaux du Congrès ; « 2° Des locaux, chambres, pensi
ouvert sous la présidence de M. le préfet du Puy-de-Dôme ; « 4° Les travaux du Congrès seront dirigés sous la présidence de
uverture, les uns et les autres recevront le programme détaillé des travaux et récréa- tions de l'assemblée (séances où ser
tte physionomie qu'ils aimaient à voir gaiement animée. Parmi ses travaux , nous noterons : sa thèse de doctorat sur les Mal
st enregistré et non le tremblement absolu ; une certaine partie du travail étant employée à déplacer la masse métallique f
savoir. Ce qui est soir c'est qu'elle ne pouvait se livrer à aucun travail nécessaire à son existence. Elle se désolait, r
s l'incendie, elle trouva une place de concierge, et ce fut le seul travail auquel 170 CLINIQUE NERVEUSE. elle se livra a
de l'asile. Ils suffisent à occuper tous les malades capables d'un travail quelconque, et au point de vue budgétaire, ils co
ue, un nombre presque illimité de malades. Or, on sait com, bien ce travail en plein air est précieux dans le traitement des
al, Charcot, et j'aimerais à penser que, pour toute la durée de nos travaux , ils seront 'au milieu de nous pour inspirer à
mains de Vulpian, cet autre maître z qui tirait son originalité de travaux d'anatomie et de physiologie - comparée, poursu
t surprendre les actions et les réactions de la cellule vivante. Ce travail , si difficile à première vue, il est, vous le qav
mie, le crétinisme, un empoisonnement. De tous côtés surgissent des travaux qui, mettant, en évidence la toxicité des humeu
lus variées de l'intelligence. Que dis-je ? nous savons, depuis les travaux de Bouellard, que la cellule fatiguée s'empoiso
urs de ces dernières années, ont produit dans ce sens les meilleurs travaux et vous vous convaincrez qu'avant peu, d'années
, Laurent, Breuer et Freud, d'autres encore. Au premier rang de ces travaux il convient de citer ceux de M. Pierre Janet. C
oelle qu'un certain nombre d'auteurs ont déclarée indemne, plus les travaux se multiplient, plus les méthodes d'examen se p
la cavité vaginale des cordons nerveux. Déjà, M. Vanlair', dans un travail très intéressant, vient d'appeler l'attention s
mal, on a institué des écoles de cuisine; on a fait des lois sur le travail dans les fabriques; on a créé des cantines économ
absolue locale ou nationale ou système américain. Quand on lit les travaux et les statistiques publiés par les mé- decins
hérapie, médication et remèdes suivant les indications. Occupation, travail , récréation. Change- ment de régime et régulari
ans. ' ' .... 14. L'abstinence totale des boissons alcooliques, le travail et la discipline sont les principes fondamentau
ar- tiers de plus en plus grands pour les malades tranquilles. Le travail à air libre ne serait permis qu'aux alcooliques à
ues ; mais au bout de quelques jours ils sont employés à différents travaux dans l'inté- rieur de l'établissement et la réc
t les bois- sons alcooliques les plus variées à leurs compagnons de travail quand ce n'est pas le chef d'atelier lui-même q
erret. Depuis près de vingt-cinq ans j'ai publié un grand nombre de travaux sur le tabes; je n'y reviendrai pas, je désire
tions, échanges de propos gros- siers. J'ai commencé à organiser le travail . La tâche m'a été relati- vement facile, carie
organiser le travail. La tâche m'a été relati- vement facile, carie travail est bien rémunéré. Le prix de la journée de tra
t facile, carie travail est bien rémunéré. Le prix de la journée de travail est à Gaillon de 1 fr. 25 par jour; cette rémunér
rovince, soit 0 fr. 20 à 0 fr. 10. C'est là un vif encouragement au travail , car cela permet à ces malades de s'offrir à la
s Laurent (Thèse de Bor- deaux, n° 13.)- Intéressant et important travail de 180 pages, fait sous l'inspira- tion de M. l
le délirant chronique, rien de pareil. C'est au sommet d'une vie de travail que sourdement se modifie un état men- tal jusq
nt où son intelligence fléchit : alors, sous la violente poussée du travail syllogistique, le délire ambitieux affleure à l
nes. Le cer- veau fonctionnait bien dans son mécanisme, bien que le travail intellectuel fût, dans l'espèce, extrêmement af
d. de Bor- cteaux, 1893, p. 339 et 386.) La première partie de ce travail , fait de critique et d'expérimen- tations perso
63 et 4 février 1876. t Adopté. Le mobilier ET LES instruments DE travail DES aliénés pauvres ET CURABLES. t M. TATY. (
e presque continus, mais 326 6 SOCIÉTÉS savantes. exagérés par le travail , et qui aboutirent à la formule neurasthé- niqu
s symptômes suivants : céphalée constante, impossibilité absolue de travail , vertiges, insomnie, amyosthénie matutinale, tr
cédèrent jamais com- plètement, s'exagéraient au moindre effort de travail . En outre, quelques accidents se développèrent
exagérée depuis par M. Magnan et ses élèves, et, à en juger par des travaux récents, sans excepter quel- ques-unes des comm
st trouvée sensiblement la même qu'eux. M. DEVAY (de Lyon) lit un travail sur les localisations cérébrales des convulsion
ions n'aient pas permis aux méde- cins de Royat de prendre part aux travaux du Congrès, il a exprimé l'espoir de revoir les
e jusqu'ici sur la matière. Elle représente incon-' testablement un travail assidu et continuel de plusieurs années. Toutes
s tous ses mouvements, reste assise la plupart du temps à faire des travaux de crochet ; elle est des plus dociles, se lais
la direction de notre excellent maître M. le professeur Joffroy, ce travail sur l'urine des paralytiques généraux, qui a po
n'avons point la prétention de faire ici un historique complet des travaux sur l'urine des paralytiques généraux, et nous
portion notable; nous chercherons à expliquer ce fait dans un autre travail . Aspect. Il est bien rare que l'urine soit tran
re, instructor in expérimental psy- chology, et auteur de plusieurs travaux remarqués. Ce laboratoire n'est ouvert qu'aux é
La bibliothèque générale de l'Université renferme la plupart des travaux qui ont été publiés sur la psychologie expérimen-
ightner Witmer, ' M. Nichols, quoique encore jeune, est l'auteur de travaux très appréciés. 2 C'est M. Sage, que nous avons
gny, à Brown University et à Wellplpv. * mobilier ET INSTRUMENTS DE travail . 385 essor, et y a acquis ses titres de grande
énergie de M. Beaunis pour triompher des obstacles. Mais, grâce aux travaux sortis du laboratoire de la Sorbonne, grâce aux
eux résultat. ASILES D'ALIÉNÉS. LE MOBILIER ET LES INSTRUMENTS DE TRAVAIL DES ALIÉNÉS PAUVRES ET CURABLES 1 Par)eD'IATY
ortune qu'un mince mobilier, quelques outils, quelques vêtements de travail , le tout d'une valeur minime, acquis bien souve
es particuliers ? Cela coûterait presque mobilier ET INSTRUMENTS DE travail . 387 aussi cher et, à ce compte, toutes les res
nnemis intimes dont on n'y a nul besoin. MOBILIER ET INSTRUMENTS DE TRAVAIL . 389 Je ne m'arrête point à ces difficultés. Le
ici nos vifs remerciements, a bien voulu MOBILIER ET INSTRUMENTS DE TRAVAIL . 391 s'intéresser à notre communication et nous
tous les asiles pour sauvegarder le mobiliei et les instruments de travail des aliénés pauvres et curables et pour les res
ier curateur, M. ScnuELE, ouvre la séance en faisant l'histoire des travaux de la Société arrivée au vingt-cinquième anni-
ion ; ceux qui restent continuent et continueront les traditions de travail et d'honneur des vieux maîtres ; que la devise
s un établissement intermédiaire qui serait « l'asile spécial ». Ce travail est basé sur un grand nombre d'observations perso
arche, de la fugue et le souvenir complet de tous ses détails. Le travail se termine par quelques considérations médico-lég
upé ; il dort mal, perd l'appétit, montre moins d'aptitude pour ses travaux accoutumés; à cette phase de la maladie il pour
rmal. Petits cultivateurs dont la vie avait été toute d'ordre et de travail , ils sont morts, le père à soixante-treize ans,
a bonne harmonie règne dans le ménage, la vie est facile à cause du travail régulier des deux époux. Cette heureuse exist
des ouvriers, par des mar- chands, en les menaçant de les priver de travail . 11 parle tantôt d'une voix forte, tantôt d'une
enir à Paris s'embaucher comme manoeuvre; puis, las de cette vie de travail forcé, il partit pour la Californie, allant à la
ne perd pas courage; elle revient auprès de sa mère et se remet au travail . Ouvrière régulière et rangée, elle ne change q
encore on monte des cabales contre elle, on l'empêche de trouver du travail . Elle pense que peut-être les concierges sont l
t guéri, il est devenu ndocile. Se sentant capable de reprendre son travail , il a voulu quitter la Salpêtrière, le 2 septem
P. KERAVAL, Médecin en chef des asiles de la Seine. Les nombreux travaux écrits sur les délires dans lesquels il existe
ameuses discussions delaSociété médico-psychologique et les récents travaux de la Société psychiatrique de Berlin (1893-189
. DE LA PARANOÏA. 477 En 1876, Westphal insiste sur l'anomalie du travail con- ceptuel qui, indépendamment des éléments a
eurs (Quoerulantenwahnn) et la Verrücktheit aiguë ; dans un autre travail , il sépare la confusion mentale ( )'<6W<Ae)
n mentale ( )'<6W<Ae) de la Verrücktheit. Buch confirme les travaux de Westphal sur ce sujet. Qu'on nous permette d
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 48-Dà capacités et d'incapacités de travail ), sans lésion en foyer (paralysie générale avec
nglober la folie morale (moralischer Wahnsinn). Eu 1865 parait le travail de Snell aîné, sur la genèse de la folie systém
est contenté d'esquisser à grands traits les tableaux morbides; ses travaux sur ce sujet sont suffisamment importants pour
ificiel. Comme l'a parfaitement indiqué M. Jastrowitz, malgré les travaux antérieurs de Snell et Sander, le mémoire de West
e polynévritique) ; parle D1' G. HAURY. (Thèse de Lyon, 1894.) Ce travail de pure critique, inspiré par M. le professeur Pi
t simplement de côté. Tilling (de Riga) avec plus de raison dans un travail basé sur sept obser- vations reconnaît que l'al
ranger, Slewart, Thomas Buzzard, etc.). Mais il découle de tous ces travaux que le plus souvent à l'action de l'alcool s'aj
nstant la maladie de Basedow, donne à son- ger qu'il s'agit là d'un travail de compensation. La transformation de la maladi
lysie générale où se trouvent condensés et coordonnés les multiples travaux parus sur le sujet. Il serait superflu d'insister
inique et anatomo-pathologique de la question. Le résumé de tant de travaux sous une forme à la fois concise et claire était
on trouve l'analyse plus ou moins détaillée suivant les sujets des travaux médicaux et chirurgicaux de l'année précédente.
prêter son aide, en cas d'incendie par exemple. Les malades vont au travail en trois colonnes sans gardiens ; chaque semain
e malades jouit du système des portes ouvertes, les malades vont au travail sans surveillance. Ceux-ci se décomposent com
liographiques qu'il a pu se procurer pour éclairer ses lecteurs. Ce travail qui ne comporte pas moins de quatre-vingt- trei
sponsabilité, par Kerr, 52. Aliénés, mobilier et instruments de travail des , par Taty, 385. Alilmste, retraite du corp
88 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
mies réalisées grâce à la surveillance inces- sante exercée sur les travaux par M. Imard, inspecteur de l'Assistance publiq
t, au Palais de l'Industrie, VIII DISTRACTIONS. à l'Exposition du Travail , au Jardin des Plantes (4 fois), au Luxembourg
ace nous manquent pour don- o ner aujourd'hui même un aperçu de ces travaux qui transforment complètement ce côté de l'asil
rte dans un endroit neutre et à proximité de tous les services. Les travaux d'appropriation, autorisés quelques semaines ap
NSEIGNEMENT PROFESSIONNEL. oublier, d'ailleurs, que l'évaluation du travail est infé- rieure à la réalité en ce sens que, s
ion du travail est infé- rieure à la réalité en ce sens que, si les travaux de me- nuiserie et de serrurerie sont évalués d
n peu inférieurs aux prix de la Ville, il n'en est plus de même des travaux de cor- donnerie et de couture qui sont évalués
r. 15 par la Société anonyme. Si nous insistons sur le rendement du travail des en- fants, c'est pour faire voir à nos adve
its par le Conseil municipal sont parfaitement justifiés ; que le travail des enfants, non seulement couvre la dé- pense
autorisant l'achat des matières premières, ou bien des commandes de travail , par exemple pour l'atelier de vannerie, ou enc
réclamations et les trouvant justes a donné des ordres pour que le travail des ateliers ne soit jamais suspendu et devienn
; Bénard, maître serrurier, et Maréchal, maître vannier. ÉTAT DES TRAVAUX EN J.1\\-il : Ii. \11f IV. LA NOUVELLE SECTIO
X EN J.1\\-il : Ii. \11f IV. LA NOUVELLE SECTION CONTINUATION DES TRAVAUX ; INSTALLATION . Au commencement de 1885, la
188G. A la fin de 1885 il n'y avait plus qu'à terminer quel- ques travaux secondaires (1), par exemple la pose des balcon
des efforts que nous avons tentés pour obtenir la continuation des travaux , nous croyons utile de fournir quelques renseig
ues renseignement sur la section, non plus tant au point de vue des travaux d'architecture, qu'au point de vue du fonctionn
s du- rant le mauvais temps et où nous avions installé, à (1) Ces travaux ont nécessité un devis complémentaire dont la d
mission de préparer les devis. Le 10 juin 1884 ils remettaient leur travail à l'Administration. Durant ce temps, l'Administ
Or la première a été faite, comme c'était prévu, sur le crédit des travaux , et l'ameublement n'a coûté que Go.i4G fr. 10. Ce
conduite et le savoir de cel administrateur. DEMANDE DE NOUVEAUX ' TRAVAUX . XLIX Malheureusement il ne s'était pas'conform
é à M. le Directeur de l'As- sistance publique, la continuation des travaux . C'est en réponse à cette demande que M. le Dir
pour être soumis au Conseil municipal, un mémoire sur un projet de travaux dont nous allons ex- traire les principaux pass
idiots et épileptiques, demande que l'Administration détache des travaux restant à faire : 4° le pavillon d' isolement ; 2
et d'égout ; 5° un pavillon pour dortoir... La dépense totale des travaux est évaluée à la somme de 598.639 fr. 59, impré
dépense réelle restera bien au-dessous de ce chiffre, soit que les travaux soient confiés aux adjudica- taires de la premi
" ministration n'a pas de ressources qu'elle jouisse affecter aux travaux projetés (1). Dans cette situation, (1) Il y av
des familles n'ayant pas d'autres ressources que le produit de leur travail , chargées d'en- fants, dans une situation voisi
ents affectueux, sans initiative, n'étant propres qu'à exécuter des travaux manuels qu'il faut leur commander, mourront san
81, une note intéressante qui doit naturellement figurer dans notre travail . Il s'agit d'un homme, du nom de John Whaup, dé
p amélioré, il est moins grossier, plus docile et plus courageux au travail . Il n'est pas méchant, n'a pas de mauvais insti
et surtout lorsqu'ils le font sortir. 1885. La publication de ce travail ayant été retardée, nous ajouterons quelques no
ogrès réalisés sous l'influence du traitement ; école, gymnastique, travail professionnel, hydrothérapie, etc. Boni... (Dés
ne reste guère en arrière que pour les exer- cices physiques et les travaux manuels, il connaît tous les objets usuels. Sa
des ivrognes, des imbéciles à différents degrés. Pour terminer ce travail , nous avons encore à parler de deux familles ay
es exercices physiques : gymnastique, danse et escrime, et pour les travaux manuels. Cet enfant est actuellement un des mei
nuiserie. En somme, il se tient bien, est docile, actif, apporte au travail toute la bonne volonté possible, et fait en tou
leur intensité et leur durée l'obligeaient souvent à suspendre son travail . [Père mort, à 70 ans, d'une enflure des jambes,
et voit des voleurs dans les coins de l'atelier ou sous la table de travail . Tout à coup, il croit s'apercevoir que les vol
89 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
facultés, sans délire actif. La mémoire diminue progressivement. le travail intellectuel devient de plus en plus difficile,
malement; elle est en imminence morbide, et incapable d'un excès de travail . Tant qu'elle n'est soumise qu'à' un ' Deulafoy
nd elle est plus accusée, à toute la profondeur de l'encéphale. Les travaux de Lubimoff et de llierzewslcy ont confirmé les
omme trouble trophique. Il nous serait impossible de citer tous les travaux qui se sont succédé depuis Bird ; d'ailleurs, n
e des troubles oculaires. L'appareil de la vision, dès les premiers travaux sur la paralysie générale, a attiré l'attention
ns étranges perçues par les amputés. Dans la première partie de son travail , l'auteur décrit les sensa- tions illusoires do
lli. G. Marinesco. (Presse médicale, 27 jan- vier 1897.) Dans ce travail , l'auteur s'est, dit-il, « simplement attaché à
ogénique thérapeutique telle que la suggestion. » C'est dire que ce travail est composé à la plus grande louange de l'école d
osées à la gustation, est loin d'être élucidée, malgré les nombreux travaux des physiologistes modernes. Récemment encore,
ette structure que la chromophilie per- mettra de révéler (voir les travaux de Nissl). P. KE ! \AY.\L. XXVI. QUESTIONS crit
n de l'oreille donne de pré- cieuses indications. A la fin de son travail , l'auteur étudie le traitement de l'abcès du ce
est l'existence de la fièvre dans la syphilis cérébrale. Depuis les travaux de Four- nier on connaît bien la fièvre syphili
de l'acuité ; 1 malade a été obligée depuis longtemps de cesser ses travaux de broderie ; elle voit tout en gris, ne distingu
diaires entre la névrite optique et la stauungs-papille ; enfin les travaux des anatomo-pathologistesqui affirmaient qu'il
d'une vie exclusivement organique. Elle a refusé de s'occuper à des travaux d'aiguille, ne cause pas à ses voisines. On tro
SIE GÉNÉRALE. 127 7 nous sommes d'ailleurs néanmoins inspiré et des travaux de nos devanciers et de notre expérience cliniq
35 déjà recueilli et publié un certain nombre, notamment dans un travail soumis à l'Académie de médecine de Paris en 1892,
les observations de démence syphilitique rapportées au début de ce travail . Tant que la démonstration ne sera pas faite qu
une lettre au Dr Hughes, relate ses obsessions : « Je me mets a mon travail en pleurant et en criant. Je me dis que j'ai ju
laxie. R. DE àlU SGIt.4 VE- CLAY. XXV. Remarques additionnelles au travail DE M. ALZHE131ER, INTI- TULÉ : c DES hallucinat
l'on trouve des lésions paralytiques. P. KERavaL. XXVII. Récents travaux SUR l'hérédité; par H. IiURELL1. (Centralbl. f.
pronostic, très variable, doit être réservé. L'auteur termine son travail par quelques indications thérapeutiques; antiseps
par P. Noecke. (Neurolog. Centralbl., XV, 1896.) Bleuler dans son travail : DereooreK6 Verbrecher (Munich, 1896), dit que
veux. Des men- lions honorables sont accordées à M. Voisin pour son travail Sur l'épilepsie; à MM. Onuf et Collins, pour le
ion du poids du cerveau dans la paralysie géné- rale, et d'un autre travail intitulé : Les coupes du système nerveux centra
ix-huit cents francs, est destiné à « récompenser ou encourager les travaux rela- tifs au système nerveux, dans la plus lar
fs au système nerveux, dans la plus large acception des mots ». Les travaux destinés au concours devront être envoyés au Secr
illet 1896. Sa mémoire avait des lacunes ; elle ne faisait plus son travail aussi bien. A eu la syphilis en 1890. Actuell
Régis', deux ans plus tard (1878), revient sur la question dans un - travail présenté pour le prix Esquirol, mais il n'insis
série, t. V. , 13 194 CLINIQUE MENTALE. vations sont rares et les travaux peu nombreux. Shaw1 a noté des arthropathies an
un mémoire sur la question. En 1874, M. Liouville publiait un autre travail et rappor- tait le résultat de l'autopsie de de
dans la paralysie générale ne supportait plus de doute. Depuis, les travaux se sont suivis : citons la thèse de Grellière 7
ont suivis : citons la thèse de Grellière 7 l'article de Bail ? les travaux de Westphal, de Simon et de Claude. Depuis 1892
loie et d'hypnologie, 1897, imb 20 et 21.) L'auteur établit dans ce travail que la douleur physiologique e--t t produite pa
neurologie et d'/t/pHO/ogte, 1897, n° 18.) L'auteur relate dans ce travail deux expériences qui lui ont per- mis de consta
n< 1 , lo, 16 et 17.) - Les conclusions qui se dégagent de ce travail basé sur un cas de compression lente de la moel
sco. (Presse médicale, 16 juin 1897.) Dans la première partie de ce travail , l'auteur expose les résul- tats de ses nouvell
raire, lui ont dénié cette fonction. Dans la dernière partie de son travail , M. Marinesco s'efforce d'établir que les élément
(Jo2tI·n. de neurologie et d'hypnologie, 1897, no, 12 et 13.) Ce travail contient la relation d'un cas d'aphasie sensoriel
E l'adulte; par M. Briquet. (Presse médicale, 9 octobre 1897.) Ce travail est basé sur l'observation d'une malade âgée de q
PATHOLOGIE NERVEUSE. tement prolongé, veillées et fatigues après le travail de la journée) et avoir coïncidé avec une suppr
servent de réactifs psycho- physiques. Celui qu'il présente dans ce travail est un schéma arithmétique. Les difficultés que
7.) ` Homme, trente ans, pas d'antécédents à noter, après un rude travail de nuit s'asseoit dehors sans ôter ses vêtements
nte; par le Dr p. JANFT. , (Presse médicale, 28 juillet 1897.) Ce travail est basé sur l'observation d'une malade de trente
evue de médecine, mai 1897.) Après un court résumé historique des travaux faits sur cette question (Korsakoff, Bobinski,
ne fonc- tion de l'industrialisme du siècle. Il ne croit pas que le travail intensif qui résulte des transformations indust
monde doit être abstinent, y compris le directeur et le médecin. Le travail doit être obligatoire et la discipline sévère.
sseur à l'universilé de Bruxelles, me la fournit par son magnifique travail traitant de ]'Influence de l'alcool sur le trav
r son magnifique travail traitant de ]'Influence de l'alcool sur le travail corporel et le travail intellectuel. Les anti-a
l traitant de ]'Influence de l'alcool sur le travail corporel et le travail intellectuel. Les anti-alcooliques d'avant-gard
le n'était pas suivie d'une phase dépressive et que finalement le travail fourni était supérieur à la normale. (d suivre.)
t sans aucune occupation ; une moitié a pu être employée à quelques travaux ne demandant ni efforts, ni intelligence, sous
capables d'exercer un métier ou de se soumettre volontairement un travail régulier. Enfin le but de la loi n'a pu être atte
souvent en réintégrer au 260 BIBLIOGRAPHIE. pénitencier. Tout le travail effectué sous la surveillance adminis- trative,
ens d'existence par l'exercice d'une profession ou un engagement de travail . Et, comme les moyens de s'employer sont plus v
eux, les relégués libres ont atteint le chiffre de 90 en 1890. Le travail pénitentiaire a été aussi plus important : 60 hec
eur donner satisfaction. D'autre part, les thèses étant surtout des travaux d'actualité, bons à consulter au moment de leur
hologie morbide; par A. Guillon. ' Très important et très sérieux travail de 260 pages, dans lequel l'auteur traite, dans
s de <'ë<HmcM<fe< ? 'espo ? tsa6 ! <t'M; par GuyoT, Travail considérable et thèse hardie, ainsi qu'on en peut
ez les persécutés-persécuteurs. - Les conclusions principales de ce travail sont les suivantes : Il existe une catégorie de
erne (184-1), médecin des hôpitaux (1859). On lui doit entre autres travaux : Paralysie hystérique (Thèse 4552);-rolie rhumat
der le fau- teuil de la présidence à M. Meuriot, passe en revue les travaux de la Société, au cours de l'année qui vient de
. M. Meuriot remercie la Société qui l'a désigné pour diriger ses travaux et félicite M. Garnier sur la façon délicate dont
n chef de l'asile de Villejuif (Seine). 2° Lectures, présentations, travaux divers; 30 Visite de l'asile d'aliénés de Maine
stes français ; 5° Excursions ; 60 Impression et dis- tribution des travaux du Congrès. Prix de la cotisation : 20 francs.
ur, Stanski, Tremblay et Vernois, pouvant adresser à l'Académie des travaux , manuscrits ou imprimés, sont exceptés de cette
nérales, des Epidémies, de l'Hygiène de l'Enfance et de la Vaccine, travaux faits en dehors des questions posées pour les p
illa·ger. 2.000 francs. Ce prix sera décerné à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeutique des maladies mentales et s
point de vue social. Celui qui est capable de faire dériver dans un travail utile l'énergie d'une tendance qu'il reconnaît
très courtes. Accouchement à terme, normal, sans chloroforme. Le travail IDIOTIE HYDROCÉPHALIQUE ACQUISE. 291 dura dix
urvu qu'il combatte. Il avait envoyé à Bruxelles Msr Savoy, dont le travail fortement charpenté sur la lutte antialcoolique a
dans le riche service du professeur Raymond. Les conclusions de son travail sont les suivantes : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
Il. IIEAD. (B7·(1L72, part. LXXIV, 1896.) Ayant dans un précédent travail étudié la localisation simple- ment topographiq
ccouchement laborieux sur la'mentalité de l'enfant. Il rappelle les travaux de Kundrat et H. Spencer sur les hémorragies mé
ies de ce genre résultent de dystocies ayant provoqué la lenteur du travail ou les interventions obstétricales, telles que
ie EN Amérique; par le D1' HUGHES. Après avoir constaté combien les travaux américains ont fait progresser la neurologie et
e longue bibliographie, répartie par noms d'auteurs, des principaux travaux relatifs à la neurologie et à la psychiatrie, p
vient de donner au mot de dégénérescence. M. Leniz propose, dans ce travail , de ne l'appliquer désormais qu'aux sujets qui
et développée que par les influences du milieu ambiant (langage, travail manuel adapté). Une prédisposition est une qualit
'oeuvre générale- ment mal connue de Braid, que depuis ses derniers travaux peu de choses vraiment importantes ont été déco
rs n'existent plus qu'au 13ritisli Muséum. Une notion meilleure des travaux de ce grand homme eût évité, selon l'auteur, bi
tale de Belgique, 1897, n', 86.) Le Dr Peeters se plaint, dans ce travail , qu'on envoie à la colonie de Gheel, dont il es
ques, des paralytiques généraux, etc. On trouvera en outre, dans ce travail , quelques renseignements intéres- sants sur les
ordre de choses plus élevé, des plus profitables a la valeur et au travail . Dans les promotions, les infirmiers titulaires
e. Délires infectieux et toxiques; par A.-G. PICIION. Intéressant travail consacré au développement de l'opinion sou- ten
l'étude de la paralysie générale aiguë; - par E.-F. Richault. Ce travail contient simplement quelques observations de para
Ereuthophobie ou Obsession de la rougeur émotive; par RÉGNIER. Ce travail , consacré à l'étude de la très curieuse obsession
s avec tous les détails qu'ils comportent, la première partie de ce travail constitue une élude clinique sérieuse, qui ne peu
ocumentée, établit le traitement rationnel de ces affec- tions. Son travail est un livre d'expérience émanant d'une connais-
vante et animée. C'est ce retentissement, ce murmure per- pétuel du travail vital universel qui, arrivant de tous les point
x central des invertébrés est construit sur le même plan. Grâce aux travaux de Retzius, de Biedermann, de Burger et surtout
. S FA MEN (Lo Sperimenlaleet Arehiv. di biologia, f. 1, 1897.) Les travaux publiés sur ce sujet par Schulz, Charcot, Leyden
stificatives et publient vingt-huit graphiques. Les résultats de ce travail sont les suivants : sous l'influence de la dige
- pique. L'auteur se propose de revenir sur cette théorie dans un travail plus complet. (Revue neurologique, juin 1897.)
ement DU tabès DonsaLis; par le Dr RAiCIIL1,NE. L'auteur, dans ce travail , expose quelques faits et déductions thérapeuti
O)t à l'élude du délire aigu. Après un aperçu général des récents travaux concernant la question du délire aigu, les aute
En comparant les résultats de leurs recherches avec les données des travaux plus anciens, les auteurs constatent que, grâce a
l'emploi de la thermométrie aux Etats- Unis et inséré, en 1866, un travail important dans Chicago Médical Journal, sous ce
« Bazeilles est, à tout instant, injurié, on lui refuse partout du travail , à tel point que ce brave ouvrier écrit aux journ
s basant sur les localisations radiculaires bien connues depuis les travaux de Feré, rerrier et Yeo, Forgues, Sher- rington
génique, de l'embryon dans l'ordre ontogénique). Nous renvoyons au travail de Brissaud2 pour cette question. Nous voulons
t qui vient de naître » : elle se livre journellement à un' curieux travail , consistant à relire un dictionnaire qu'elle co
IGSSE et Mari- NESCO. (Presse médicale, 29 janvier 1898.) Dans ce travail , les auteurs exposent les constatations anatomo-
1T; paL' L 11R13SdUD. (Pressé médicale, la janvier 1898.) Dans ce travail , M. Brissaud s'attache à réfuter les idées soute-
. (Reu. mécl. de LeaSuisse romande, 1897, n° 1.) 11 résulte de ce travail que, comme Griessbach l'avait déjà démontré, la
un retour à la normale des perceptions des sensations tactiles. Les travaux écrits servant d'examens partiels provoquent une
visions des agités et de la surveillance continue. de les priver de travail et de toute liberté, ce qui aggravait leur état
lève de l'école du service de santé militaire. Lyon, décembre. Ce travail se termine par des conclusions suivantes : l'étio
ante aiguë (syndrcfme de Landry). Etude lilsto- rique et critique. ( Travail de la clinique des maladies du système nerveux)
s obtenus dans cet hospice pour une période de sept ans. C'est à ce travail fort inté- ressant que nous puisons les détails
itll. de la Soc. de inéd. ment, de Belgique, décembre 1897.) . Ce travail contient un certain nombre de renseignements sur
ère adorait ses enfants (trois ans et six mois). En rentrant de son travail , M. Perdriau, fut surpris de trouver la porte f
ité d'établis- sements spéciaux pour ces malheureux, asiles-écoles, travail ma- nuel, demi-liberté, surveillance et patrona
SUPERSTITIONS D1N8'CARN-ET-GARONNI : Dans la première partie de son travail , le chanoine Henry Cal- hiat, de la Société arc
EKi'.DnË dans les maladies men- tales, par Briscoe, 1 18. Récents travaux sur l ? par ltii-ella, 150. - et névroses, par
90 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
uisse fournir pour la motilité d'utiles renseignements. - Par les travaux de Sano, Van Gehuclten, Marinesco, etc... nous sa
nerfs périphériques qui s'y - terminent. » Parhon, dans ses divers travaux (Parhon et Popesco, Parhon et Goldstein, in llo
ts dans les thèses de Ducbenne de Boulogne et deLaborde et dans les travaux qui les ont suivies, car à cette époque la distri
impossible de pousser plus loin l'analyse car, malgré les nombreux travaux de Panniza, Müller, Forgue, Russell, Scherrinat
eurs auteurs dont nous avons eu l'occasion d'analyser récemment les travaux (1) : à savoir que le caractère le plus importa
amment suivis de dou- leurs dans les reins et dans les hanches ; le travail prolongé du crochet ame- nait également des dou
faibles qu'à l'état normal, ils permet- tent à la malade des petits travaux comme le crochet, et ce n'est qu'après un assez
petits travaux comme le crochet, et ce n'est qu'après un assez long travail qu'elle est arrêtée par la fatigue. Muscles de
Ancien chef de clinique à la Salpétrière. Interne des hôpitaux. [ Travail de la Clinique nerveuse de la Salpêtrière) En m
e, absent au contraire dans la myopathie hyper- trophique, mais les travaux d'Erb, de Marie et Guinon ont montré que cette
tout particulièrement in- sisté MM. Landouzy et Déjerine dans leur travail de 1883 sur la myopa- thie à forme facio-scapul
la syphilis. Célédo- nia a toujours habité la campagne, occupée des travaux pénibles : très sobre elle n'a jamais bu. Son p
s se fait sentir dans la publication, pendant 5 ans, d'une série de travaux dont le dernier, remarquable par la perfection de
à Hoffmann (1) et parut dans le recueil jubilaire d'Erb. Tous ces travaux font ressortir une des très importantes particula
presque tous les jours apparaissent de nouvelles recherches et des travaux critiques qui font comprendre qu'il ne s'agirai
la ligure placée devant vous Elle est emprun- 92 RAYMOND tée à un travail du professeur Schultze, de Bonn. Les hachures, qu
'urine et des matières fécales, de l'autre. HOSPICE DE BICÊTRE ( TRAVAIL DU LABORATOIRE DE )1. PIERRE MARIE). ANATOMIE
oyau lenticulaire, atteignent la capsule (1) Nous avons consacré un travail d'ensemble à l'étude clinique et anatomique des
ces dernières an- nées, toute une série de nombreux et inléressants travaux (1), parmi les- quels ceux de Brissaud et IIert
(1) Consulter, pour la bibliographie de l'infantilisme, la liste des travaux relatifs à ce sujet qui fait suite à la Revue g
(1), M. le professeur Grasset une place hono- rable dans son récent travail sur le Vertige (2), M. Le Dantec, une analyse e
e ne donnerai donc pas d'autre définition que celle qui commence ce travail : le sens des attitudes nous défi- nit le lieu
riel en le dirigeant vers tel ou tel point, j'ai la sensation de ce travail d'attention auquel je me li- vre, j'ai la notio
varia- bles selon les points considérés, la sensation de sa mise en travail est également uniforme. Et cela se conçoit si l
t. » § 6. - Le sens des attitudes et le sens de l'espace. Dans un travail récent (1), M. de Cyon reprend une idée qui faill
dans notre historique nous aurions dû tenir davantage compte de ses travaux . « Cette question, nous dit-il, je l'ai posée e
, C ... pouvait marcher, mais en titubant ; il n'a pu reprendre son travail et est rentré chez ses parents; cependant le mal
rminées par eux serait à la rigueur possible. Nous avions essayé ce travail de patience ; mais il nous a semblé que ses rés
ut rester assis et qui se contorsionne désespérément dès qu'il a un travail devant lui. C'est bien là l'ensemble des symptô
e indéterminée, vague, en errant çà et là, sans but et surtout sans travail déterminé. Vous voyez que les choses sont bien
é par des scrupules et des inquiétudes, il voulait toujours que son travail soit très bien fait, trop bien fait même, il voul
des scrupules et des angoisses, plus il devenait incapable de tout travail réel : il gâchait ainsi des pièces, il perdait se
jeune femme l'aboulie ne se manifeste qu'après quelques semaines de travail et l'angoisse plus vague ne s'associe pas avec
sse commence tout de suite, s'asseoir avec la chaise, instrument du travail et il y a phobie de la chaise. On observera plus
'oubli de son métier lui permettra de se reposer sur une chaise. ( TRAVAIL DU LABORATOIRE DE PSYCHOLOGIE EXPÉRIMENTALE DE
VIE BIOLOGIQUE D'UN XIPHOPAGE PAR R N. VASCHIDE ' " et Chef de travaux à l'Ecole des Hautes- Etudes. CIL. VURPAS Int
es té- ratopages ou la tératogénie; on les trouvera dans .plusieurs travaux très bien documentés parmi lesquels nous citons
. Ob- LA VIE BIOLOGIQUE D'UN XIPllOPAGE 2-49 On trouvera dans ces travaux et principalement dans ceux de M. Baudoin et M.
vue d'une intervention chi- rurgicale nos sujets. On trouve dans le travail cité les rapports et les no- tes des médecins q
Institut international de bibliographie scientifique, 1901. Dans ce travail on trouve résumées toutes les communications qu
bulletins de la Société de chirurgie de 1900. Il faut citer encore le travail de Biau- det et de Bugnon publié dans la Revue
dicale de la Suisse romande, 1882, no 2. Le Dr Witowski a publié un travail documentaire très intéressant sur ce sujet (Ste
acé pris quinze jours après. Comme nous l'avons dit dans d'au- tres travaux , les sujets peuvent synchroniser rapidement leurs
Chapot- Prévost à propos de son xiphopage Maria-Rosalina. Dans son travail cité plus haut (p. 87-104) on trouve des tablea
ientifiques et par conséquent précises. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DU SERVICE DE il. LE DEJERINE. UN CAS D'HÉMIMÉL
grandes variétés ; par absence du tibia, par absence du péroné. Le travail le plus récent, en France, sur l'absence congénit
son et de nombreux auteurs allemands (Brautigam, Kummel, etc.). Ces travaux sont résumés en grande partie dans un chapitre
ou par l'étroitesse du capu- chon amniotique, classique depuis les travaux de Dareste, a été attaquée dans ces derniers te
hoïde. Un frère de sa mère avait la même tare, il était employé aux travaux des champs ; ses camarades le plaisantaient sou
chez une paralytique générale, Arch. de Neurologie, 1894, ne 94. TRAVAIL DU LABORATOIRE DU P' DEJERINE. HOSPICE DE LA SA
rd en'relief, en proclamant leur cons- tance et leur intensité. Les travaux ultérieurs confirmèrent l'opinion de Vulpian, e
prépondérante dans l'anatomie pathologique du tabes ; et malgré les travaux récents d'Obersteiner, de Redlich, de Nageotte, o
vi en même temps à préciser la terminologie qui sera usitée dans ce travail . Le schéma ci-joint permet d'ailleurs mieux que
prolongé dans le bichromate. Mais cette lacune est comblée par les travaux de nombre d'auteurs dont les recherches ont préci
d'affections mentales très différentes les unes des autres (1). Des travaux postérieurs tendirent à montrer que, si opposées
- maient toutes deux une part de vérité. Quelques années après le travail de Kahlbaum, Hecker avait déjà tenté d'établir
inévitablement à la démence dans l'hébéphrénie. A cet égard, les travaux ultérieurs ne partagent pas cet optimisme pro-
que désormais acquis. Nous y avons déjà insisté, dans notre premier travail avec M. Chaslin; nous n'y reviendrons pas aujou
voir permettre la sortie du malade. Après sa sortie, il reprend son travail , revoit la jeune fille et tente de nouer des re
trouve une canne à la main, s'escrimant contre le mur. Son chef de travail , ses camarades lui disent de reprendre son serv
és (Ann. méd. psych., janv. févr. 1902). Nous avons signalé dans ce travail l'existence constante du dermo- stéréographisme
ur et d'érudit. L'étude suivante, qui devait inaugurer une suite de travaux similaires, accen- tuera les regrets causés par
s- tiques. Il eût été parfaitement inutile d'en citer davantage. Un travail d'analyse est ici forcément aride puisqu'il s'e
on nette d'une lordo-scoliose. Deux photographies sont jointes à ce travail ; malheureusement, la malade est habillée, si b
aintenant, nos cas personnels. Pour ne pas allonger outre mesure ce travail , nous résumons, en deux tableaux synoptiques, ce
vertébrale : des radiographies, que nous aurions voulu joindre à ce travail , ont été faites dans trois cas (obs. 5, 10,12)
, mais encore imparfaitement connus. L'un a déjà fait le sujet d'un travail publié dans la Revue Neurologi- que en juin 190
, gêne qui existe aussi pour certains mouvements compliqués, tel le travail au crochet. A 16 ans, se montre une sorte de bo
e jeune fille est gênée pour écrire, mais el.le l'est aussi pour le travail du crochet, elle léserait, sans doute,de même,
uvements simples, le trouble disparaît. Or, nous savons, depuis les travaux de Luciani, de Thomas, de ltunel, etc., que le
ologiques, nous nous abstiendrons de toute conclusion prématurée. TRAVAIL DU LABORATOIRE DU Pr DEJERLNE. HOSPICE DE LA SA
épaissi. C'est surtout au niveau desou cul-de- sac terminal que le travail inflammatoire parait actif. Il se traduit par l
gie, 1894. Voir aussi p. 429 note (2), pour l'indication des autres travaux de l'auteur. 416 THOMAS ET HAUSER donné, augm
ULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 421 bien mise en lumière par les travaux d'Oppenheim etSiemmerling (1), Guizetti, Dinkle
ur le trajet de la fibre nerveuse. D'autre part, on sait depuis les travaux de Westphal, Pierret, Déjerine, Pitres et Vaill
leur pénétration dans la moelle. Nous insisterons dans un prochain travail sur l'état des méninges spinales dans le tabes; f
nimal, on peut l'obtenir de l'homme. - On peut peser la capacité de travail volontaire d'un individu notam- ment avec l'erg
édicament. Nous avons déjà publié dans ce recueil une expérience de travail nor- (1) A. V. GuEHVEH, Des M ! odt/ ! ea< :
- rologique, 1899, p. 430). , Fig. 1. - Diagramme représentant le travail normal de neuf séries de quatre ergogram- mes.
minutes de repos. Neuf séries successives donnent respectivement un travail total de 22,71 kilogramme- tres,- 20,43,-18,54,
gramme 1 (fig. 1) représente le tra- vail total des neuf séries. Ce travail a varié dans les expériences faites dans les mê
La comparaison de ce diagramme avec les diagrammes représentant le travail dans les expériences qui vont suivre et qui sont
os complet, permettra de comprendre l'influence des bromures sur le travail volontaire. Dans toutes les expériences les b
om2se de potassium. Exp. I. - Cinq minutes avant le commencement du travail , ingestion d'un gramme de bromure de potassium.
dessous de la normale. Exp. V. - Immédiatement avant le début du travail ,ingestion de 5 grammes de bromure de potassium.
Bromure de sodium. Exp. VI. - Cinq minutes avant le commencement du travail , ingestion de 1 gramme de bromure de sodium.
YSIOLOGIQUE DE QUELQUES BROMURES 459 Exp. XI. Cinq minutes avant le travail , ingestion de deux grammes de bromure de camphr
URES 461 V. Bromure d'ammonium. . Exp. XII. Cinq minutes avant le travail , ingestion d'un gramme de bro- mure d'ammonium.
É ACTION PHYSIOLOGIQUE DE QUELQUES BROMURES 463 dans la limite du travail normal. Toutefois, à la fin de l'expérience, la
p plus marquée qu'à l'état normal. Exp. XIII. Cinq minutes avant le travail , ingestion de deux grammes de bromure d'ammoniu
ses, la fatigue se trouve accélérée. Quelle qu'ait été la valeur du travail total, on trouve à la fin de l'expérience une d
'état normal la neuvième série donne encore à peu près la moitié du travail initial normal, tandis qu'avec les bromures cette
vec les bromures cette série ne donne quelquefois pas un dixième du travail normal. L'action des bromures est rapide ; elle
urologie, 1901, p. 631). (2) Note sur l'influence de l'opium sur le travail (compte rendu de la Soc. de biolo- gie, 1901, p
biolo- gie, 1901, p. 725). Note sur l'influence du haschisch sur le travail (ibid., p. 696). (3) CoH<''t&M'on a t'ac
m- pagnent cette observation, M. Soca me reproche d'avoir, dans mon travail inaugural (1), rejeté arbitrairement du cadre d
l'amyotrophie qui nous occupe ? (1) Un erratum s'est glissé dans le travail de M. Sainton sur un cas d'eunuchisme familial
question en suspens et avec quelque raison ; si l'on se reporte au travail de Tooth, on constate qu'aucun des 3 cas dans les
us démonstratifs. Je dois ajouter que, depuis la publication de mon travail inaugural, j'ai eu la bonne fortune d'observer av
aitement ne lui procura aucune amélioration. La malade reprit . son travail chez elle ; bientôt les désordres de la marche s'
te, laissant comme trace durable un foyer hémorrhagique. De par les travaux de Minor nous savons que les foyers d'hématomyéli
nté à la Société de Neurologie, dans la séance du 17 avril 1902, un travail sur un syndrome lié à une lésion bulbaire uni-
mblent intéressants. Cette étude est un complément de notre premier travail ; elle est particulièrement consacrée à parfair
rs l'é- corce - en cela notre observation vient corroborer tous les travaux ré- cents.Nous avons constaté également qu'aucu
e chacune des formes de la syphilis du système nerveux. Les récents travaux accomplis à la suite do la découverte de Widal
symptôme asynergie, pour l'étude clinique duquel nous renvoyons aux travaux antérieurs de l'un de nous. Nous devons toutefois
i écrire, sa mémoire paraît défectueuse. Elle est incapable de tout travail et vit seule dans une chambre de la charité publi
normal et qu'il en était de même de la cou- che granuleuse. Dans un travail récent Switalsky (4.) dit qu'il en était de mêm
in- différentes, atrophiées, ne présentant aucune ap- parence de travail de spermatogénie. Pas de sper- matozoïdes dans
se souvient au juste de l'endroit où il a dû aller. Du reste, le travail des paotred ar zabat est un travail maudit : au-
où il a dû aller. Du reste, le travail des paotred ar zabat est un travail maudit : au- cune trace de labour ne demeure la
Des coques, répondit le paysan mécontent d'être dérangé dans son travail , dis donc, mamm coz (2), j'ai mieux que cela à ma
91 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eureuses sont les descriptions dans lesquelles P. Berger résume les travaux allemands (art. Cerveau du Dictionnaire encyclo
faite par Berger d'une manière très exacte ; seulement, d'après les travaux allemands que 12 ANATOMIE. l'auteur résume, i
s des vues suffisamment indiquées par tout ce qui précède. C'est un travail que nous avons entrepris et qui sera prochainem
auditif, ce dont ils publient un dessin (PL. I, fig. 23-24 de leur travail .) Ils ne disent pas cependant, si ces deux espè
les pensées sensuelles, mais souvent la sensualité l'emporte sur le travail et je suis arrêté au milieu de l'examen très ap
ncre rouge, et au moment où il franchissait le seuil de la salle de travail , l'en- crier tombe de la poche, se brise, répan
phénomènes consécutifs ne s'opposant pas à la reprise immédiate du travail , se rattachent à l'hystérie plutôt qu'à l'épile
cot « avait découvert de son côté le myxoedème et allait publier un travail à ce sujet, sous le. nom de Caclaexieac7aydez°n
dème. De son côté, Thaon fait paraître dans la Revue mensuelle un travail d'ensemble intéressant. On y trouve une observa
vers consécutifs à Nice. L'auteur se livre à une revue critique des travaux de Gull et de Ord. Il repousse la dénomination
u et du tissu cellulaire, état cérébral particulier. La fin de ce travail comprend la reproduction de trois observations
s étaient plus abondantes. Ilya deux ans, elle s'est aperçue que le travail à l'aiguille devenait difficile. En même temps
cendante droites. ' .. ' J à M. H. de Boyer, dans son remarquable travail sur les locali- sations cérébrales, donne un ca
se servent du membre supérieur droit pour faire es gestes, pour les travaux délicats ; ils sont donc droi- ÉTUDE DE L'APHAS
de fines fibrilles conjonctives, atrophie des cellules nerveuses un travail identique dans la couche sous-épithéliale de l'
te époque que 112 : Lidell a puisé les matériaux de son impor- tant travail ,' dont nous reproduisons ici les conclusions : .u
; ? »in" nli1'ri't . If M. Motet, rendant.comple à lai Société, des^ travaux , du Congrès médical,de Londres, s'étend longuem
mploi del'ltyoscyamizze dans' les psychoses. Après avoir résumé les travaux de Lawson, Mendel, Savage, Prideaux, Gray sur c
maladies. C'est par une inaptitude, par une répugnance pour tout travail , par une paresse de l'esprit, qu'elle se manifest
dredi 2o novembre à l'age de 80 ans. On lui doit un grand nombre de travaux scientifiques parmi lesquels nous citerons son
IE NERVEUSE. inhabiles, particulièrement pour ce qui concerne les travaux , délicats, tels que le travail à l'aiguille. La
culièrement pour ce qui concerne les travaux, délicats, tels que le travail à l'aiguille. La démarche est quelquefois décid
très médiocre, a peu de mémoire, mais elle est laborieuse, aide aux travaux du ménage; et parait sincère. Elle est très irr
sson. Par suite de la multiplicité des accès, il dut renoncer à son travail et en- trer à Bicètre. A l'hospice, il persévér
rébraux; Ferrier, De la localisation dans les maladies du cerveau , travaux où sont consignées la plupart des observations
ter longtemps leur attention sur une lecture, sur une élude, sur un travail quelconque. Tous ces changements se produisent
sa- tion de la faim, mais aussi parce qu'elles s'imaginent que le travail digestif détermine des douleurs trop vives ; une
fréquente d'écrire et de composer,des vers, elles se livrent à des travaux manuels, elles., s'occupent de leur maison et r
p s'écroule cet échafaudage trop fragile de grandes promesses. Le travail suppose un effort -persévérant de la volonté; ell
é de l'hyslene, p. 02-93. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 21 1 Si ce travail que nous arrêtons ici reste encore incomplet, il
pel ayant été fait, de nouveaux experts furent commis, et après des travaux qui durèrent un mois, déposèrent un rapport dan
pnotisme et la neuro-hypnologie, et à éclairer l'Angleterre sur les travaux de l'Anglais Braid. C'est l'histoire de ce revi
aite le 12 mars : le 28 juin, le malade put sortir et reprendre son travail habituel, qu'il n'a pas cessé depuis. Bien qu
il considère comme en rap- port avec une lésion de la protubérance ( travail de Couty dans la Gazette hebdomadaire de 1877 e
des noms de collègues qui s'excusent de ne pouvoir prendre part aux travaux 1 On en trouvera l'analyse dans les Revues anal
ique du Nord. Planches nombreuses à l'appui. Voyez sur ce sujet les travaux de O.-C. Marsh et Wiedersheim publiés en ces der-
Dr TuczEK (de Marbourg), désireux de compléter en quelque sorte le travail publié par le De Siemens dans les Archives de Wes
gle ergoté, l'ergotine et l'acide sclérotinique feront l'objet d'un travail ultérieur qui sera publié. Enfin, après avoir
VII. Etude expérimentale sur l'état du pouls carotidien pendant le travail intellectuel ; par E. GLEY. Thèse de Paris, 1 881
vail intellectuel ; par E. GLEY. Thèse de Paris, 1 881 . Pendant le travail intellectuel, on observe une augmentation du no
sition de terrains et 476,456 fr. pour commencement d'exécution des travaux . Enfin, le Conseil général avoté une nouvelle s
Conseil général avoté une nouvelle somme de 885,936 fr. 53 pour les travaux (30 novembre 1881). Les indemnités allouées par
eil, en date du 30 novembre 1880, pour commencement d'exécution des travaux . Après ce prélèvement, l'Administration aura à
èvement, l'Administration aura à sa disposition, pour commencer les travaux , une somme de 1,231,757 fr. 38. Espérons que l'
des voeux si souvent exprimés par le Conseil général, poussera les travaux avec la plus grande rapidité. Hospice DE la SAL
atin -et français. Les mé- moires, les communications et les autres travaux destinés au Con- grès seront dans les mains de
ission organisatrice avant le 31 mars prochain; on ne recevra aucun travail après ce jour, s'il n'y a pas un accord unanime
premier numéro a paru le 27 janvier, est bimensuel. Il comprend des travaux originaux et surtout des revues portant sur l'ana
ant à noter, parce que nous le verrons se reproduire au moment du travail . 30 octobre. Le fond de l'utérus remonte jusqu'
ondent au siège des ovaires à cette période de la gros- sesse. Le travail a commencé dans la nuit du t9 au 20 novembre, 3
t par le sommet, en position occipito-iliaque gauche antérieure; le travail marchait normalement. Le point doulou- reux ova
aissés, en suivant le fond de l'utérus. Pondant toute la durée du travail , l'hypnotisalion a été absolument impossible, s
ulement à cause de la douleur. Nous n'avons donc pas pu, pendant le travail , contrôler par le réveil le siège des points ov
ire le même phéno- mène du côté droit. (Notons que, pendant tout le travail , nous avons pu constater la persistance de l'an
tte, sa cuiller. 27 novembre. F... se sent en état de reprendre son travail ; M.Vùlpian.qui a repris son service depuisle 1
. RANNEY. (7%eM;-ym ? ? nMM/OM)'Ha/, mai 1881, p. 5t3- 546.) Ce travail , rédigé d'après un ouvrage de l'auteur, n'est qu'
s ont observé ce phénomène. MM. Ott et Smith ont été amenés par des travaux antérieurs au présent mémoire à admettre, dans
t qu'il est indispensable de persévérer dans la voie tracée par les travaux deBetz. P. M. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XI
à peu près également les deux sexes. Spontanément ou à la suite du travail intellectuel prolongé, d'un excès, de trou- ble
urcie par ces accidents, M. Féré, s'appuyant principalement sur les travaux de M. Reynaud, sur l'aphyxie locale des extrémi
révost. {Revue anéd. de la Suisse Romande, 1881, nos 1, 2, 3.) Le travail très intéressant de M. le professeur Prévost est
en lésant la moelle, obtint l'épilep- sie spinale (1858) ; puis les travaux de Charcot et Vulpian (1866) et de leurs élèves
médullaire obtenue par la compression de l'aorte. On sait, par les travaux de Brown-Séquard, Schiff, Kùsmaul, Vulpian, etc
e manière de vivre moins monotone et de la vie de société, enfin le travail rendu plus attrayant et plus facile. La créatio
e 1881. Prlsidence de M. DErASlAUVE. M. Dally offre à la Société un travail sur l'ethnologie considérée au point de vue soc
lle. M. Luys, après avoir retracé en quelques mots les principaux travaux soulevés au sein de la Société dans le courant de
cerné pour la preniièt e fois en avril 1,883 à l'auteur du meilleur travail sur l'Idiotie. Les conditions du concours seron
ervations déjà publiées; et encore l'auteur s'est-il arrêté dans ce travail de compilation, à l'année 880, c'est-à-dire à u
67 obser- vations en les superposant les unes aux autres. Or, de ce travail de synthèse qui semblait devoir aboutir à la co
ement le calaclère topo- graphique de la lésion. On conçoit qu'un travail si consciencieux ait permis à l'auteur de se fa
e ? Tel est le problème que se proposait de résoudre l'auteur de ce travail , écrit sous l'inspiration éclairée de M. Bourne
nous proposons donc simplement de retracer les grandes lignes de ce travail . L'auteur le divise en quatre chapitres corresp
e posed'emblée. M. llublé la tranche dansl'espèce en i appelant les travaux de Swartz dlehaud, de Ed. Dubois (1874) et Clin
rnés a des auteurs qui n'auraient pas mérité le prix, mais dont les travaux seraient jugés dignes de récompense. Une somme
té, renfermant le nom et l'adresse des ailleurs. Le pli annexé i un travail couronné est ouvert en séance publique par le p
oires dont elle a ordonné l'impression cinquante exemplaires de ces travaux tirés à part et leur laisse la faculté d'eu obt
ouls carotidien (étude expérimen- tale sur l'état du - pendant le travail intellectuel), par Glcy, 216. Prix 3611 - de
nes chez les Cu- Inuta et les adolescents, 37 i. Tétanie, 23 j. Travail intellectuel (pouls ctioti- (licii pendant le',
92 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
trouvaient sous sa main. Actuellement, l'enfant est plus calme, son travail à la classe ainsi qu'à la gymnastique, est bon.
rer l'éducation de leur main, de fixer davantage leur attention. Ce travail n'est pour ces enfants qu'un moyen d'éducation.
'habileté de main que du soin et de la propreté dans l'exécution du travail . « Un certain nombre d'élèves ont montre'' un g
enir le certificat d'études primaires. Par sa bonne conduite et son travail soutenu à l'école et à l'atelier il a été jugé
ns : imbécillité, I ? Iepto)ta)iie, est devenu bon élève. Assidu au travail , cherche à bien faire. Ses dictées renferment p
n classe. Menuisier : grands progrès ; s'efforce il bien faire tout travail . 10° Saiut-Lanth... (Uaslln René), 19 ans. - Im
, les plantes portent des étiquettes nominatives, s'ajou- tent le travail manuel dans les ateliers, les exercices physiqu
re,, de. l'activité intellectuelle, l'inaptitude non seulement au travail scolaire mais aussi au travail manuel, l'indiffé-
uelle, l'inaptitude non seulement au travail scolaire mais aussi au travail manuel, l'indiffé- rence aux jeux; la tendance
sur les conséquences quotidiennes de l'onanisme, apathie, pour le travail , et ultérieurement : spermatorrhée, impuissance
la gymnastique [mouvements, agrès), il la danse, à 1 escrime, au travail manuel, soit clans les ateliers, soit dans les
s 'obtenus par eux en 1902 et qui se chiffrent par 28.786 fr. Les travaux de jardinage seuls ne sont pas évalués, et comm
pproximative. Les sept maîtres, non compris le jardinier, dont le travail de ses apprentis et le sien dépassent assurément
raison de 6 fr. 50 par jour, soit pour l'année 16.607 fr. 50. Le Travail des enfants, évalué par l'économe, M. 1\lAUPI\I
: Palmarès. Diplômes, etc. Feuilles d'Alphabet pour les classes. Travaux divers pour les hôpitaux, pour la Société Amicale
les résultats éco- nomiques de l'enseignement professionnel et du travail accompli, au point de vue pratique, nous avons
ice ou dans Paris, promenades qui font perdre une demi-journée de travail . Administrativement, après avoir douté de la po
ue abusive des couvents, doivent fournir régulièrement une somme de travail fixe. Et on y tend administrativement, car on v
end administrativement, car on vou- drait leur faire faire tous les travaux d'entretien de la section, oubliant qu'il s'agi
ce qui doit primer dans notre service, c'est l'influence morale du travail , qui est l'ad- juvant du travail scolaire, des
rvice, c'est l'influence morale du travail, qui est l'ad- juvant du travail scolaire, des exercices physiques, du traitemen
s il dédaigner. Les enfants eux-mêmes sont heureux de voir que leur travail est productif, qu'il se traduit par des résulta
rs que nous possédons ont continué il fonctionner régulièrement. Le travail , évalué par M. Maupré, économe de Bicêtre, d'ap
issances pratiques de nos malades, donner plus de variétés il leurs travaux de couture et de repassage, nous avons autorisé
objets de toilette, bien entendu en dehors des heures régulières de travail . Le travail, de ce fait, ne rentre pas naturell
ilette, bien entendu en dehors des heures régulières de travail. Le travail , de ce fait, ne rentre pas naturellement dans l
s par mois le nombre des appren- ties régulières et l'évaluation du travail . Enseignement PROFESSIONNEL. LXXXIX xc Visite
.856 l'r. 80 cent. Si l'on ajoute à ce chiffre celui du bénéfice dn travail professionnel soit 3.220 fr. tï0, on voit que nou
ymnastique, eurythmique au son du piano, excursions, douches et les travaux manuels dessin, pliage, construction, coloriage
ondamné par le conseil de guerre siégeant il Besançon à cinq ans de travaux publics, inculpé de violences envers ses supéri
nmoins, s'attache vite. Traitement : Bains, douches, gymnastique, travaux du ménage, exercices scolaires. 1898. Septemb
longues années dans la même administration, mais avait cessé tout travail durant les cinq ou six dernières années de sa v
bout d'un an, son intelligence diminua, ainsi que son goût pour le travail . Par contre, il resta affectueux comme par le p
4-5 mois. Accouchement à terme, présentation du sommet. Durée du travail , 10 heures. Asphyxie bleue pendant 10 à 15 minute
'csl un excellent adjuvant du traitement thyroïdien. Il termine son travail en disant qu' « il y a un réel intérêt pour le
ïdes (lion. (le la Suisse romande, et aoûl 18S4). (2) Bien que ce travail ait paru dans le n° des Archives de Neurologie du
avons recueillies, mais nous les faisons néanmoins figurer dans ce travail pour permettre aux médecins, désireux d'employer
ormales de cette même région, indiquées par M. Papillault, dans son travail sur la suture métopique (Mémoires de la Société
re. - Lem... apporte beaucoup d'application à la gymnastique et aux travaux de la classe. Il comprend bien ce qu'il lit, éc
des paroles grossières. Durant cette période d'exacerbation tout travail régulier est difficile : elle coud mal, envoie so
comme les autres et de même force. Accouche- ment à terme, naturel, travail très long (toute une journée), présentation du
de la Revue de thérapeutique médico- clâ1'w'gicale, l'analyse d'un travail du IF Strasser, parti dans ljl. ? lilin. 77;/d)
ique pendant les années 1880 et 1881. L'année suivante (1), dans un travail commun (1) BounEiLLE. Tec/t. clin, et thérap. s
) Voir Compte-rendu de 1888, p. 17 et de 1900, l·. 77 et la liste des travaux scientifiques à la fin du volume. Consanguini
e la mélancolie à 14 ans, par périodes; diminution de l'aptitude au travail ; onanisme; anémie. - Idées de culpabilité; muti
, et au lieu de rentrer chez lui, comme il en avait l'habitude, son travail fini, il s'en va au Bois de Boulogne et ne rega
ponde, très bas, lorsqu'on l'interroge. A l'ouvroir elle exécute le travail qu'on lui donne mais sans dire une parole. Elle
rmie ; Atrophie du cervelet ; PAR BOURNEVILLE et CROUZON (1). Des travaux récents ont attiré l'attention sur les affectio
ntion sur les affections familiales du système nerveux. Depuis le travail de Frcnd sur les formes héréditaires des diplé-
brales publié en 1893, on a vu successive- ment paraître en 1896 le travail de Sachs sur l'idiotie amaurotique familiale ;
sur la ]Jal'8]Jléuie spa.sH1odiq11c familiale ; en janvier 1900 le travail de Trénel relatant un cas de maladie familiale
'un des deux, faite dans le laboratoire de M. P. Marie ; enfin le travail de Cestan et Juillain paru dans la Revue de (1)
d-père paternel, cultivateur, sobre ; est mort à 72 ans, usé par le travail . Grand'mère paternelle, morte à 77 ans de vieil
enfant mort en venant au monde. Une tante paternelle, usée par le travail , 69 ans, pas d'accidents nerveux. Elle a eu un fi
nisme avec myxoedème (Compte-rendu de 1880, p. 16). Voir nos autres travaux , sur le myxoedème infantile dans les Com- ptes-
rès les deux beaux cas d'atrophie cérébelleuse qui précé- dent. Travaux scientifiques faits dans le service. (Thèses et
de Paris. BOURNEVILLE. - Contribution a l'élude de l'idiotie. Ce travail comprend deux parties, dont la seconde a été fait
Des lésions de la corne d'Ammon dans l'épilspsie. Thèse de Paris. Travaux faits dans le service. 275 1882. BntcoN (L.).
Psychologie de l'idiotie etde l'imbécillité. Thèse de Paris. 276 Travaux faits dans LE SERVICE. Retrouvey (A.). Contribu
sai sur le traitement chirurgical de l'épilepsie. Thèse de Paris. Travaux faits dans LE SERVICE. 277 1899. OESTAN (R.).
chez les idiots, hystériques et épileptiques. Thèse de Paris. 278 Travaux faits dans LE service. 1902. BOYER (Jules).-
93 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
reau (de Tours) ont été les initiateurs dans cette voie, et leurs travaux méritent d'être cités à la gloire de la médecine
nerveuses qu'accessoirement et d'une manière générale. De nombreux travaux ont été accumulés depuis, qui nous aideront à c
dif. On pourrait en dire autant des excès vénériens, des excès de travail intellectuel, etc.; de telle sorte que les habi-
e. Mais on reconnaît que les causes principales sont : les excès de travail , les excès de bois- son, les excès vénériens pr
e doit-on point considérer que ceux qui se livrent à des excès de travail psychique, à des excès de boisson ne soient des
ue qu'on peut établir une frontière, pas plus que ne l'ont fait les travaux de Michéa 2, de Solbrig3, etc. M. Despine4, a
que chez les sujets prédisposés, c'est ce qui existe en effet. Le travail récent de M. Lhirondel 3 nous montre que souven
omme on peut le voir sur les belles figures reproduites à la fin du travail de West- phal. 4e type. - Contrairement au ty
nous a pas été possible d'assigner une place dans le cours de notre travail . Ces vois observations présentent entre elles que
rmal, dans le tissu interstitiel de la moelle, comme il résulte des travaux de Jastrowitz \ de Golgi 3, de Fr. Boll ', de D
ue la lésion de l'ataxie locomotrice pro- gressive, qui, depuis les travaux de MM. Charcot et Pierret, est considérée comme
ori- gaine péri-vasculaire, d'autre part leur diffusion. Or, les travaux de Heubner, Cornil, d'autres encore ont montré
place ici. L'un de nous s'est attaché à les présenter dans un autre travail fait en collaboration avec M. Landouzy et qui p
raîtra pro- chainement '. Nous nous contenterons de renvoyer à ce travail . VI. Considérations cliniques. SJnahtomalolog
et a eu pour cause prochaine une peur violente : Reve- nant de son travail , la nuit, alois qu'il montait l'escalier de sa ma
e dans l'intervalle, il fut pris de sa première attaque pendant son travail habituel, dans une verrerie; la seconde survint l
t de quelques secondes, sans a\oir de convulsions et continuait son travail , comme si rien d'anormal n'était survenu. 188
n instant après, il a com- plètement repris ses sens et se remet au travail . Cinq minutes s'écoulent, au bout desquelles il
serru- rerie ; il s'y montre turbulent et difficile à maintenir au travail ; il ne pense qu'à jouer et « cherche à aller au
s, n'affectant pas le caractère de cauchemars, et ayant trait à son travail : il cause parfois à haute voix pendant son som
sommeil. Son occupation actuelle consiste à aider sa mère dans les travaux du ménage. La sensibilité est parfaite, et les zo
.. ; sur le moment, il n'a ni pleuré, ni tremblé; il s'est remis au travail , mais au bout de dix minutes, durant lesquelles
a crise n'a duré que deux minutes, et il s'est remis aussitôt à son travail . Les mi- graines persistent et reviennent chaqu
e. Ces différences chez les animaux dont il s'agit, i Depuis que ce travail est fait, il nous est parvenu d'autres documents
son trajet intra-cérébral, du faisceau dit de l'aphasie. Le présent travail se divise en quatre parties. Les troubles de la
et la déglutition étaient libres, et le malade put retourner à son travail . Quatre jours plus tard, il n'existait plus de
ression lorsque nous avons trouvé dans The Brain (juillet 1882), un travail de Ross sur le même sujet. Le travail de Ross c
The Brain (juillet 1882), un travail de Ross sur le même sujet. Le travail de Ross contient quelques faits nouveaux de par
stion, et voici les conclusions qui ressortont de la lecture de son travail . L'hémiatrophie de la langue peut s'observer à
toire à la suite de fatigues physiques, d'excès vénériens , ou de travaux intellectuels exagérés, d'émotions dépressives.
ATHOLOGIE NERVEUSE. 251 1 connues : il importe donc de signaler des travaux comme celui de Th. Frerichs qui se recommande n
qu'il a pu trouver dans la litté- rature médicale. A la fin de ce travail se trouve une analyse d'un mémoire de Johnson s
re longue et laborieuse, à laquelle sur- tout ont été consacrés les travaux depuis vingt ans. Le problème étiologique n'a é
ur malades de la première classe ainsi que des salles de jour et de travail d'un petit nombre de maladesl calmes de la dern
lateau de l'Agenais, la vallée de la'l'ardolre, etc., enfin par les travaux des savants tels que Broca, Lartet, Reverdit, P
ovoqué chez les hystériques. Cette communi- cation sera suivie d'un travail de M. le professeur Guillaud, sur un Gisement d
le Doctetir COTARD. ? 1 J'ai appelé l'attention, dans un précédent travail ,'sur un état psychique, propre aux anxieux chro
ait de quitter. M. "` est à la tête d'un bureau de contentieux. Son travail , qui exige beaucoup d'attention, est actuelleme
e malade, vif quoique vivant un peu à l'écart, s'occupe beaucoup de travaux d'esprit très pénibles. Il est petit, malingre.
sculaire exagéré diminuait le mal, mais que la vie sédentaire et le travail de tête le faisaient durer jusque vers minuit.
'ailleurs, la rumination est diminuée. Au contraire, s'il se met au travail immédiatement après son repas, il ne cesse de r
chirjew, Gowers, Prévost que passe M. Westphal, pour termi- ner son travail par l'exposé de son opinion personnelle sur la
de la genèse des néoplasmes. L'historique de la question termine le travail . P. K. XXXIII. UN cas DE tubercule occupant le
mentale. M. Charpentier. On est surpris, en compulsant les nombreux travaux sur les causes de la folie, de voir combien peu
ndérante a été mise en relief, à savoir l'hérédité affirmée par les travaux aussi bril- lants que nombreux de Moreau (de To
les troubles intellectuels dus au dégagement du sulfure de carbone ( travail du caoutchouc); l'a- mélioration de ces trouble
Imbert Gourbeyre (de Cler- mont-Ferrand), qui a observé de près le travail des écorces d'oranges dans cette localité, a dé
a folie; cette influence est aujourd'hui connue et admise grâce aux travaux de 111LVosiu et Loiseau, sur les folies réflexe
t même n'en faire qu'un avec le précédent. Aujourd'hui, grâce aux travaux si bien conduits de Berthier, Legrand du Saulle
Morel sur l'impaludisme et les folies qui s'y rattachent, grâce aux travaux de MM. Christian et Charcot sur les folies cons
nt de l'encombrement, de l'insalubrité de l'atelier ou du milieu de travail (humidité 350 SOCIÉTÉS SAVANTES. marécage tra
ou du milieu de travail (humidité 350 SOCIÉTÉS SAVANTES. marécage travail des mines), de l'air vicié, de la fatigue et du s
, la folie traumatique déjà étudiée par Eleis, mieux connue par les travaux de Lasègue, Azam, Val- lon (1882) et surtout Sc
ire l'élévation de la tête et des bras, attitude nécessitée par les travaux des tapissiers, des ouvriers du bâtiment, des hom
rop pré- venu. Songeons encore aux professions qui nécessitent un travail de nuit ou un sommeil trop court. Quand on pe
s auxiliaires indispensables de toute dépense, c'est-à-dire de tout travail utile. Elles permettent enfin d'apprécier le rô
liénés, de sa participation si utile comme inspec- teur général aux travaux de la commission du Sénat chargée de la révisio
fourni matière à d'importantes discussions. Je vous rappellerai le travail de M. Billod sur la conduite à tenir quand on e
vec des développements critiques de la plus haute im- portance, les travaux des médecins qui sollicitaient l'honneur de fai
orieux, qui lui apportent, avec leur activité, leur ardent amour du travail , une poussée de sève nouvelle, MM. Ballet, Feré,
t reçu de nous, leur aura prouvé en quelle estime nous tenons leurs travaux , comme il leur aura fait pressentir que nous co
re exactement l'esprit et la 356 SOCIÉTÉS SAVANTES. lettre de vos travaux , et cette longue collaboration a laissé chez mo
us ne négligerons rien pour maintenir à leur hauteur habituelle les travaux de la Société médico-psychologique qui, après tre
s dans son sein les maîtres vénérés qui nous ont donné l'exemple du travail , les hommes du présent qui se sont efforcés de
ues considérés à un point de vue psychiatrique, tel est le titre du travail , se trouvent entre les mains de l'assemblée, M.
ndu, aucuneraison de séparer les idées des divers argumentateurs du travail de Tuczek. Nous grouperons même leurs réflexion
rs. A ce moment, le malade a lui-même, conscience desoninaptitudeau travail intellectuel, de l'impuissance de sa volonté, d
roubles psychiques vrais. L'épuisement fonctionnel de l'activité du travail psychique est le facteur premier des symptômes
ège peu à peu les périodes de séjour au lit, et l'on permet quelque travail intellectuel (petites lectures, conversations).
de l'oculo-moteur commun. M. RoLLER (de Kaiserswerth) renvoie 1 son travail sur le ruban de Reil '. Le paragraphe intitulé
e la présentation des pièces annoncées, ou la lecture inscrite du travail de M. Kroepelin, touchant : « l'importance de la
étrangère à la décision de l'Académie. Nous nous bornerons dans ce travail à exposer, aussi fidèlement que possible, les o
ois, M. Blanche en montre les nombreux incon- vénients (surcroit de travail pour les procureurs et les médecins, surcroît d
de utilité. Nous ne doutons pas que ce conseil, dans l'ordre de ses travaux , ne mette au premier rang la question du concou
appréciée des médecins qui s'occupent de ces questions, car les s travaux de Lasègue, dispersés dans les Recueils périodiqu
s idiots et des gâteux complets, des semi-agités encore capables de travail , des tranquilles, des epileptiques et des infir
ui z175 malades. L'idée qui a servi de règle dans l'exécu- tion des travaux , c'est qu'il fallait pour les aliénés incurables
s personnelles. Le pécule pro- vient de l'évaluation pécuniaire des travaux taxés d'avance ; les aliénés s'en servent pour
tale dans une Faculté de l'Etat, l'avantage pourra être doublé. Les travaux et publications scientifiques d'un candidat lui s
u'ils ont à leur disposition la clien- tèle, la consultation ou des travaux scientifiques. A ce compte, on écarterait tous
e département des hommes dans la force de l'âge, capables par leurs travaux scientifiques, par leur enseignement, d'aider à
ceux sur les deux autres thèses, avant le 30 septembre 1884. Chaque travail devra être accompagné d'une devise répétée sur
94 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
intérieur. Comme nous le disions au Congrès de l'Hypnotisme : « Les travaux d'un grand nombre d'auteurs ayant démontré la val
fois vous n'avez pas voulu laisser passer l'occasion de rappeler mes travaux . Merci. Mis par vous en scène avec mon loup-gar
ue de la marine. Il était officier de la Légion d'honneur. Malgré ses travaux techniques, il n'avait jamais cessé de prendre un
emment de violentes céphalalgies. Il lui est impossible de fournir un travail continu, aussi ses études ont-elles été mal faite
ment sans douleur pendant l'hypnose après la guérison. Azoulay: Les travaux de Golgi et de Cajal : la théorie histologique du
otisme. MM. les DrsValentin, Félix Regnault et Lagolouse, chefs des travaux , complètent l'enseignement donné à l'Institut psy
Belgique vient de décerner le prix de 600 francs accordé au meilleur travail du concours sur les névroses traumatiques à notre
oses traumatiques à notre collaborateur M. le Dr Jean Crocq. Dans son travail , M. le Dr Jean Crocq consacre un chapitre à l'act
r à l'école à côté des jeunes enfants, et il parvint ainsi à force de travail et de patience à combler les lacunes de son éduca
tisme. MM. les Drs Valentin, Félix Regnault et Lagelouse, chefs des travaux , complètent renseignement donné à l'Institut psyc
uque persistant encore aujourd'hui. Le 8 décembre, il dut arrêter son travail , et ressentit en outre une douleur à la région lo
la région sus-inguinale et sous-ombilicale droite. Il dut arrêter son travail pendant deux jours, essaya de le reprendre, mais
nt mutuellement et n'agissent jamais l'une sans l'autre. Le premier travail est le résultat de l'observation; le second est u
; le second est une application des lois psychologiques. Ce premier travail ne peut s'opérer que par l'étude de toutes les ac
de l'âme humaine et les donne dans leur intensité. Reste alors le travail psychologique de la recombinaison de ces éléments
il psychologique de la recombinaison de ces éléments, pour obtenir le travail d'ensemble, qui peindra la nature psychique d'un
différents éléments constitutifs des trois grandes facultés de l'àme, travail d'observation mathématique, mais aussi presque mé
té qui a une action prépondérante dans le caractère. Là commence le travail réellement intellectuel et psychologique du portr
Reste alors la mise en œuvre de toutes ces observations, c'est là un travail absolument personnel et pour lequel toute indépen
Suite). Dissimulation chez les aliénés. M. Larroussinie. — Peu de travaux ont été faits sur la dissimulation chez les alién
qui puissent être reprochées au prévenu ; qu'en effet, il appert des travaux préparatoires de cette loi que, si le législateur
otisme. MM. les D" Valentin. Félix Regnault et Lagelouse, chefs des travaux , complètent l'enseignement donné à l'Institut psy
ers collaborateurs de la Revue de l'Hypnotisme et dont on connaît les travaux sur la psychologie et l'hypnotisme, vient d'être
ents dans les mains, qui ne dis- paraissent qu'après une heure de travail . De plus, à gauche il sent constamment des picote
on de Surveillance des asiles d'aliénés de la Suisse, étudie, dans ce travail d'une lecture très attachante et éminemment instr
e toute boisson alcoolique : l'eau est la seule boisson autorisée. Le travail en plein air (culture maraîchère, etc.) est consi
rganisation de l'établissement projeté dans la Suisse. Les annexes du travail renferment des documents intéressants sur les Soc
provoquer une attaque. Cette idée s'impose, elle grossit peu à (1) Travail communiqué au Congrès des Aliénistes et Neurologi
santes que nous observons dans la clinique. Quand j'ai, dans un autre travail (1) cherché auprès des meilleurs auteurs une défi
aque dont est atteinte la jeune femme qui nous occupe peut tenir à un travail organique morbide de même que mon accès, heureuse
ui auraient besoin de se ménager, tels les nerveux qui réparent (1) Travail communiqué au Congrès des Aliénistes et Neurologi
rincipale des phobies, en provoquant des échanges plus rapides par un travail musculaire méthodiquement imposé. Si cette prép
ion générale, qu'on peut avoir affaire à des auto-intoxications qu'un travail musculaire mal réglé augmente. Si un exercice mod
tude demanderait un développement qui n'entre pas directement dans ce travail . L'hydrothérapie et le massage n'ont pas d'action
e psycho-physiologique du sujet est moins élevé. D'autre part, tout travail intellectuel d'abstraction provoquant l'attention
édecin. Quatre mois après, on l'envoie chercher. La patiente était en travail ; les douleurs étaient violentes, absolument semb
ût 1896 adresse À tous les psychologues une invitation à assister aux travaux de ce Congrès. Le Comité de réception est ainsi
re et présentantun intérêt scientifique exceptionnel. L'analyse de ce travail nous a été donnée par la Médecine Moderne, et c'e
s et les élèves du professeur Kogevnikoff lui ont dédié un recueil de travaux sur les maladies du système nerveux et les maladi
tat de veille des mouvements coordonnés, mouvements nécessaires à son travail auquel elle avait rêvé pendant la nuit. Une aut
suggestion. La Préface de Bown-Séquard en tête du livre de Braid, les travaux de Carpenlcr sur l'Expectant attention m'avait de
mentales et nerveuses à Saint-Pétersbourg. Elle contiendra : I. Des travaux originaux concernant la psychiatrie, la neuro-pat
r ce qui restait encore de fibres musculaires et à obtenir d'elles un travail de plus en plus considérable. Rentré chez lui,
gnostio et traitement par la suggestion Par M. Marchant (t). Ce travail est basé principalement sur une observation remar
des angines de poitrine vraies, c'est-à-dire de cause organique. Ce travail contient des documents intéressants et ajoute un
s do cette observation, l'auteur, et c'est le côté intéressant de son travail , se demande s'il existe une paralysie des abducte
islation. Rapporteur : M. Paul Garnier. 2° Lectures, présentations, travaux divers. 3° Excursions, visile de l'Institut ana
a fin de l'article l'auteur donne une bibliographie très complète des travaux de l'illustre professeur. Le nombre des mémoire é
e se former pour élevé un monument à la mémoire de Hack Tuke dont les travaux ont si largement contribué aux progrès de la psyc
valoir ses propriétés, elle parait en somme avoir été astreinte à un travail cérébral et en lutte à des préoccupations industr
rand nombre d'observations do ce genre pour vous communiquer un petit travail sur ce sujet. M. le Prof Delbœuf m'a fait me hâte
-axe est très loin du corps cellulaire, c'est-à-dire du noyau, et les travaux des cytologistes nous ont appris combien le voisi
st ainsi que les cellules glanduiaires présentent des alternatives de travail et de repos. Cependant on peut, par des excitat
à demeurer en activité malgré leur besoin de repos ; en présence d'un travail urgent à terminer, nous multiplions les excitatio
ones se désarticulent; la pensée n'a plus sa coordination normale; le travail cérébral prend les caractères des rêves; et final
traux sont encore restés dans l'isolement; il faut, pour se mettre au travail , exciter vivement ces retardataires, et, comme pa
mieux réussir ('). Telle est, résumé à grands traits, l'intéressant travail de M. le D' P. Hartenberg. Directement inspiré de
action favorable. En résumé, il n'y a rien de très original dans ce travail . L'auteur se borne à rappeler comme personnelles
périmentale de l'attention Par M. S. de Saxtis (de Rome). Dans ce travail très bien documenté sur la manière d'étudier et d
iou. Sculpture médicale. Le docteur Paul Richer, si connu par ses travaux d'anatomie artistique pour lesquels il a mis à pr
à moins que les auteurs ne s'engagent à en supporter les frais. Aucun travail , déjà imprimé ailleurs, ne pourra être communiqué
Cette nouvelle correction reste sans effet, et le jeune homme, (1) Travail communiqué à la Société de Médecine et de chirurg
importants, ainsi que l'ont démontré, dans ces derniers temps, divers travaux émanés surtout de l'Ecole bordelaise. M. Tissié
Pierre Janet s'est également occupé de la question dans ses nombreux travaux sur la psychologie de l'hystérie (6). Il est do
rcer sur eux une action des plus efficaces. C'est ce qui ressort d'un travail tout récent de M. Bérillon, qui cite à l'appui qu
auquel il avait, avec succès, suggéré une plus grande application au travail . L'année suivante, en 1887, au Congrès de l'Assoc
communications, et nous pensons que c'est à notre initiative et à nos travaux sur la question que la pédagogie suggestive doit
Nous sommes heureux de rendre ici hommage à la grande valeur des travaux de M. Durand de Gros. La Société d'hypnologie n'a
, changeant souvent, parce que ses douleurs l'empêchaient de faire le travail qu'on lui imposait. A ce moment elle fut atteinte
tés par la suggestion. Par M. le D* Lloyd-Tuckby, de Londres. Les travaux de Krafft-Ebing, de Moll et de Schrenk-Notzing su
s Congressistes, etc. IV. — Toutes les communications relatives aux travaux de ce Comité et toutes demandes dc renseignements
'intéressait vivement aux études d'hypnotisme. Il avait pris part aux travaux du Congrès de l'hypnotisme, en 1889.? l'Académie
sa courtoisie et à l'organisation remarquable qu'il avait donnée aux travaux du congrès. NOUVELLES Enseignement de l'hypno
Cet état de somnambulisme qui persistait toujours avec incapacité de travail et état mélancolique, fut, après quelques semaine
douleurs depuis 2 heures. En arrivant, je la trouve dans la salle de travail , souffrant de douleurs vives qui lui arrachaient
d, à M. Wallish et à la sage-femme. Elle est ramenée dans la salle de travail . Elle y est restée depuis il) h. 1/4 jusqu'au len
où elle est accouchée à 7 heures du matin. Pendant tout ce temps, le travail s'est fait d'une façon normale. Elle manifestait
trices dont le domaine s'étend à tous les êtres supérieurs. Dans un travail intitulé : La folie communiquée de l'homme aux an
quefois, en occupant l'esprit des malades par des distractions ou des travaux intéressants, à chasser l'idée subconsciente, ori
e, par le Hector magnifie us, M. von Baur. Le Congrès terminera ses travaux le vendredi 7 août, dans l'après-midi. Réunions
95 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
tudinal de quelques millimètres de largeur, sur lequel est basé le travail actuel. Ce tractus se voit sur la coupe horizon
insi dire, bande à part, en dehors des noyaux de la base. Dans ce travail , notre but est d'établir cliniquement : que les
uffit de jeter un coup d'oeil sur la planche VIII du tome II de mon travail sur la capsule interne'. La planche Y du même t
ome II de mon travail sur la capsule interne'. La planche Y du même travail donne une idée de l'épaisseur des fibres descen
ves. La Planche IV comble l'un des desiderata con- tenus dans mon travail sur la capsule; elle permet en effet de disting
i à l'im- proviste ni au hasard. Le plus souvent, elle tient, les travaux de Morel l'ont brillamment établi, à une dé- gé
et cinq aux femmes; mais, dans une note rectificative annexée au travail de M. Rousseau, il a spécifié quatre ans et cinq
Gi- raud, il y a cinq hommes, chiffres qui se retrouvent dans le travail de M. Rousseau. De mes huit observations, je n'
acile. Il est très laborieux et travaille toute la journée à divers travaux , surtout au jardinage. Dans l'asile, il jouit d
Durant l'été de 1878, Dup... se calma, et on put l'occuper à divers travaux d'aiguille ; mais elle conserva toujours des idée
uelles sont lentes à se produire; le ma- lade est incapable de tout travail d'esprit. La santé physique est altérée. Au b
tions intéressantes à ce point de vue; mais ce n'est guère dans les travaux qui ont trait à l'éclampsie. Michéa' cite d'apr
six ans. A cette époque elle accoucha de son cinquième enfant. Le travail s'accompagne d'attaques éclamptiques très intense
e aux trois questions que nous nous étions posées au début de notre travail , et montrent que l'éclampsie et l'épilepsie ne
nalogues, disséminés dans les auteurs sous différents noms. Dans un travail postérieur {Archives de Neurologie, septembre 1
, plongée dans un abatte- ment excessif qui ne lui permettait aucun travail ; et cela la déso- lait beaucoup, bien que sa co
qui appartiennent à M. Charcot, seront rapportées dans un prochain travail sur ce sujet. (G. T.) REVUE D'ANATOMIE ET DE
aires de cette substance ; parmi les figures qui sont jointes à son travail , il en est une qui représente deux de ces cellule
arkey tire les conclusions suivantes, qui concordent avec celles du travail de MM. Charcot et Pitres (Revue de Médecine, 18
oc. méat. de la Suisse romande.) Après avoir analysé les différents travaux qui ont paru sur cette question, Ni. Prévost po
IURES; par I. P. LF : GEIDItE. L'observation qui fait l'objet de ce travail semble démontrer, d'une part, que, chez les épi
r physio- iogischen Psychologie (f880). Comme il ne s'agit pas d'un travail cli- nique et que l'auteur ne fournit pas d'obs
i le sang n'était pas altéré dans le délire, aigu, comme de récents travaux nous ont démontré qu'il l'était dans la fièvre
confiés par M. Topinard. L'auteur ne tire aucune conclusion de son travail ; mais il espère que les nombreux tableaux qu'i
, à titre d'encouragement, est donnée au mémoire no 4. Ce dernier travail a pour auteurs MM. Brun, médecin-adjoint à l'asil
i leur pécule, établi d'après une taxe, en rapport avec la somme de travail fourni, à moins qu'on ne l'ait auparavant emplo
e, et des corps opto-strie·. comme on l'avait affirmé dans certains travaux antérieurs. Sous ces plaques de méningite adhér
gurale de M. Chantemesse; on voit, par cette courte analyse, que ce travail marque un réel progrès dans l'étude d'une des l
emboursement de la dette de l'asile d'aliénés de Rennes et à divers travaux à exécuter dans cet établissement. Commission d
heté renfermant le nom et l'adresse des auteurs. Le pli annexé à un travail couronné est ouvert en séance pu- blique par le
rès la proclamation du résultat du concours, faire prendre copie du travail , à ses frais, lorsqu'il aura fourni au se- crét
res dont elle a ordonné l'impression cinquante exemplaires de ces travaux , tirés à part, et leur laisse la faculté d'en obt
r, indique très nettement la chose. On sait d'autre part, grâce aux travaux de Briquet, grâce surtout à ceux de M. Charcot,
s d'hystérie franche.. Nous nous proposons donc d'établir dans ce travail : 1° Que, dans certains cas, l'attaque d'hystér
oyen de diagnostic de premier ordre dans les cas embarrassants. Les travaux de MM. Charcot, Bouchard et Bourneville ont, de
siste, la parole revient peu à peu. Dans l'observation XL du même travail recueillie, comme la précédente, dans le servic
gauche, sans se préoccuper de-la paralysie. Aujourd'hui, après le travail de M. Duret sur la cir- culation cérébrale; apr
le travail de M. Duret sur la cir- culation cérébrale; après notre travail sur l'état de la couronne rayonnante dans le lo
ue de cette proposition. M. Chapman s'est attaché à montrer dans ce travail que, con- trairement à l'opinion que nous venon
e point principal sur lequel l'auteur se propose d'insister dans ce travail c'est le grand développement de la névroglie (cel
pensé qu'il ne ferait pas oeuvre tout à fait inutile en publiant ce travail . ter- mine par quelques considérations sur l'ac
nvient de donner aux malades des classes élevées; s'il est quelques travaux à l'aide desquels on peut occuper indistinctement
u traitement : « 4° Il ne faut jamais exiger d'un corps faible un travail phy- sique excessif; « 2° L'occupation que l'
d'asile privé, qui ne se sent pas décidé à accepter ce sur- plus de travail , fera mieux de renoncer à l'application de cette
plication de cette méthode ; « 4° Non seulement il faut varier le travail des malades, mais il faut multiplier pour, eux
oûteront d'autant mieux que les intervalles auront été consacrés au travail ; -h i « 5° Enfin, il faut que les malades aient
t de fréquentes réunions des pension- maires dès deux sexes, que le travail soit chaque semaine coupé par un congé ou deux
de ce mémoire, connu depuis longtemps par une série d'intéressants travaux sur la paralysie générale, a étudié avec soin l
halalgie' frontalp etroccipitale.reparaidetcla force à cesser tounq travail intellectuel..Il3aquati·ecmois,lapparitiondè trou
s et des faisceaux pyramidaux. Discussion. M. Hitzig rappelle les travaux de Schiff. Il y a matière à rattacher l'atrophi
t, souhaite la. bienvenue à t'assemblée. li lit un compte rendu des travaux produits pendant l'année qui vient de s'écouler
de graisse (épileptiques, etc.), elc. M. Oppenbeim espère que son travail , tant incomplet soil-il, suscitera des recherches
occupation. En second lieu, joindre à l'enseignement psychique, le travail mécanique et «artistique afin d'harmoniser, les
t donné par un re- lieur, un modeleur, un cartonnier expert en fins travaux de car- tonnage.De la ville viennent un peintre
r la gymnastique, des exercices, des jeux, des chants; Deux par des travaux horticoles. ' Les professeurs de science sont e
cture de ces deux mémoires ayant absorbé le temps dispo- nible, les travaux annoncés de1111. Falk et Friedmann s'ont ajournés
l'intelligence s'altère, plusieurs accès convulsifs se montrent Ce travail , publié in extenso ailleurs, se trouve analysé da
, ne reconnais- sait que la forme secondaire, finit, à la suite des travaux de Swll, par admettre une parauoia primitive. P
our volumineux. L'ordre du jour appelle la discussion relative au travail de \I. l111'sNUI : L Süf la Pu·unoia. M. JIST
de part du sol cultivé forme des jardins. Le nombre des journées de travail s'est, en 1880, pour une moyenne de 254 malades
ficie de l'asile est de 8 bect. 82. Culture à la bêche. Journées de travail , en 1880, pour une moyenne de 183 malades 2o,90
ons préside à la fourniture aes denrées alimentaires. Jour- nées de travail en 4880 : 8,630 pour les hommes (20 à 30 hommes),
lettres, comprend une salle de jour, un réfectoire, une chambre de travail , une tisannerie, un parloir, une chambre de bai
s (524 fr.), plus 60 oeres par jour, comme en- tretien. Le bilan du travail se liquide, en 1880, pour une moyenne de 450 al
ges, divisé de chaque côté en treize cellules. Salles de jour et de travail partout séparées. Les corridors, qui occupent l
r 1\fonnnT, médecin en chef de l'asile d'aliénés de la Sarthe. Ce travail , présenté àl'AcLdéiiiiede médecine en 4880 a méri
. (Barcelone, Ramires. 1884.) Ce volume est un recueil de plusieurs travaux déjà publiés par M. Armangué y Tuset soit en Fr
rmettre de porter le diagnostic nosologique. Arrivés au terme de ce travail , nous résumerons en quelques propositions les e
ONNIENNE; Par 13OURNE'ILI,E et P. BRICON. Depuis les remarquables travaux de M. Huglilings Jackson sur la forme d'épileps
arce que les doigts formaient crochet; il était content de faire ce travail sous prétexte que cela détendait son bras. De o
de chacun d'eux, c'est qu'elles sont courantes. Qui ne connaît les travaux de Bur- dach, Rolando, Arnold, Foville, Husclik
par T.-A. Cu pm (Joui-ii(il of mental Science, avril 4 883, p. 4.) Travail intéressant de statistique, renfermant de nombreu
plusieurs influences d'ordre différent. M. Mickie rapporte dans ce travail quatre observations dans les- quelles la paraly
et Moreau (de Tours). SOCIÉTÉS SAVANTES. 365 M. BASOROFF lit un travail anthropologique sur les criminels, basé sur l'é
nnues. M. ERB (d'Heidelberg). Sur l'étiologie du tabes dorsalis. Ce travail a été publié pour sa plus grande part dans la .
s remarques relatives au processus anatomopathologique du tabes. Ce travail sera publié t) ! etenso ". M. BORELL (directe
ltération pathologique, plus ou moins aiguë a entravé une partie du travail actif de la zone corticale gauche qui préside à
r les troubles de la vue qui suivent les «t- taques congestives. Ce travail sera publié in extenso '. M. Mommsen (d'Heidelb
genèse, de l'association, des produits des éléments psychiques, les travaux de E. H. Weber, Fechner, Wundt,Ptlùger, Brenner
de l'asile des aliénés de Bordeaux, une mention honorable pour son travail sur l'alcoolisme portant pour titre : L'ivrogne
96 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t qui revient à l'hérédité. Dans tous les faits rapportés dans ce travail il s'agit de paralysies faciales périphériques,
ze jours qui ont précédé l'hémiplégie, il a eu un grand surcroit de travail et il y a eu chez lui un véritable surmenage in
malade est guéri au bout de deux mois. , Au moment de terminer ce travail , nous avons eu la bonne fortune de recueillir à
e, a été surmené et obligé depuis quelques années de se livrer à un travail excessif pour subvenir à ses besoins. C'est dan
ychologie par les méthodes positives de l'observation médicale. ' Travail du laboratoire clinique de M. le professeur Charc
moment où nous avons entrepris les recherches qui font l'objet du travail présent (le 1 ex mai 1885), nous n'avons eu con
il présent (le 1 ex mai 1885), nous n'avons eu connaissance d'aucun travail ayant trait à l'étude des phénomènes psychophys
ce sont les résultats de ces recherches qui font l'objet de notre travail présent, ce dernier n'étant disons-le tout de s
esseur Charcot, pour le précieux con- cours qu'il a prête'; à noire travail , pendant toute la durée de nos recherches. Nous
oints étant d'une importance majeure pour l'intelligence du présent travail . Tout excitant pour être perçu doit atteindre u
ue. Depuis l'appréciation faite par Fechner de leur importance, les travaux de Weber ne sont pas seulement devenus la base
naer. 1'atur. curiosor., déc. I, observ. 71. -Citation empruntée au travail de Itard. 2 Brescon (Pierre). - Traité de l'épi
précis. Les Archives générales de médecine ont inséré en 1825 un travail très intéressant d'Itard' contenant un très gra
une voix haute et brève. Un quart de minute après, il reprend son travail , se remet à parler à ses ouvriers, à leur donner
r physiol. des Menschen, t. II, p. 500). Gerdy, dans ses différents travaux , l'étudie aussi et lui donne le nom de « sentim
uscu- laire entre dans une phase nouvelle marquée par de nombreux travaux . Ce sont tout d'abord les observations de Pulchel
loin. Wundt émet une théorie spéciale sur sa nature dans différents travaux et ouvrages ; il lui donne le nom de « sens de
nous n'avons voulu faire qu'une rapide énumération des prin- cipaux travaux auxquels on peut se reporter pour l'étude du se
les elles croîtraient et décroîtraient constamment avec le degré de travail interne et externe accompli par le muscle. Mais
l évite l'expression de sens musculaire, et dit dans ses derniers travaux que la destruction des centres corticaux a pour e
laire, en particulier dans l'hystérie 2, ' Voir la traduction de ce travail par : \1. Sorel dans le tome XIII des Arch. de
TIIESIE droite ; pll' LhEIiIIET. (Lyon médical, 1880, t. XLI.) Ce travail estfondésur l'observation d'une maladequi, à la s
1 M. Freud (Neui-ologisches Centralblatt, n" 6, 1887) a analysé le travail de M. Adamkiewicz, et il est aussi d'avis qu'il
ull. méd. du Nord, 1886.) L'observation qui constitue la base de ce travail est celle d'un homme de quarante et un ans, san
t près de la tête quelque chose de très embarrassant au toucher. Le travail progressa rapi- dement jusqu'à ce que l'occiput
chondriaque et attaques hysté- riformes. M. CHAMBARD lit ensuite un travail sur un cas de pa- ralysie générale avec délire
NISTES RUSSES A MOSCOU (Suite'). V. M. Vtcrorsors lit ensuite son travail Sur l'assistance des alienés dans le départemen
ec lesquels ils vivent d'une vie commune en les aidant dans leurs travaux agricoles. VIII. M. ROUBIKOVITCH (de Paris) a e
les soins dus aux aliénés, leur nourriture, leurs vêtements, leurs travaux et distractions portent un cachet tout àfait sp
éné. La commission avait pensé et cela résulte de l'ensemble de son travail que le procureur de la République qui, après la
statistique cri- minelle. Eh bien, messieurs, je me suis livré à ce travail . M. le garde des sceaux est là, il pourra contr
n'est plus aujourd'hui à démontrer, et depuis deux ans, grâce aux travaux de M. Charcot et de ses élèves, la question a f
tion de 1815. Hérédité. On tend généralement à croire, depuis les travaux de Lunier et Doutrebente, que la paralysie géné
n'ai rien à changer aux conclusions par lesquelles je terminais un travail lu en 1880 à la Société de médecine de Paris (B
autres organes doivent être regardées comme indifférentes. Dans un travail récent, publié dans les Archives de physiologie
autrement de celle de. l'ataxie locomotrice progressive. Depuis les travaux de Baillarger, qui le premier a signalé cette c
rois ans; fils unique de petits cultivateurs, il arrive, à force de travail et de peine, à l'école polytechnique, et sort d
er une fatigue prolongée de l'organe (cha- grins, veilles, excès de travaux intellectuels ou physi- ques, etc.). Ces derniè
, le processus pathogénique est toujours le même au fond : c'est un travail d'hyperemie congestive ([ni s'organise, qui se
rologie générale de l'armée une place importante, grâce aux récents travaux de 272 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. M. Charco
ion d'esprit et les préoccupations de la responsabilité jointes aux travaux intellec- tuels qui provoquent de concert, avec
chés d'assister à la séance, le président fait un rapport sur les travaux de la Société pendant l'année précédente. Il pro-
ment modifiés par ce système et prennent de plus en plus part aux travaux agricoles de leurs nourriciers. Discussion. MM.
vingt-dix malades, aussi bien des femmes que des hommes. Suivant le travail que fournis- sent les malades, on donne aux nou
rogressif des maladies mentales dans ce pays. Pour l'au- teur de ce travail , M. BRIANT7OFr, ce triste envahissement serait
rveuses et men- tales, et cependant, dans aucun pays il n'existe de travaux spé- ciaux, ni de données statistiques relatifs
fait en conséquence une proposition tendant à faire entrer dans les travaux du Congrès la question de la prostitution et de s
ieurs années. Un rôle pré- pondérant dans l'éducation est donné aux travaux physiques. La clôture du Congrès a eu lieu le i
apoplexie hystérique; par Ch. Acuann. (Th., Paris, 1887.) Dans ce travail inspiré par M. Debove, l'auteur étudie une ma-
accidents qu'elle entraîne et qui forment le sujet principal de son travail , nous devons signaler, comme s'y rattachant d'u
rale amyotrophique, telle qu'elle est aujourd'hui connue, grâce aux travaux de M. Charcot, offre aussi une étude fort intér
1869, la thèse de M. Gom- bault parue en 1877, enfin le remarquable travail inséré par MM. Charcot et Mario dans les Archiv
substance grise des cornes antérieures. La sclé- rose succède à un travail inflammatoire comme le prouve l'exis- tence de
es principales données mises assez heureusement en évidence dans ce travail . P. B. VI. De quelques troubles cérébraux liés
a dilatation de l'estomac et le Pr Bouchard dans ses remarquables travaux sur cette affection avait déjà indiqué ces signes
ença sa belle carrière comme superintendant de l'asile d'Utica. Ses travaux comme directeur en chef de l'Américan journal o
toire de la charité publique. Il avait de grandes facilités pour le travail . Outre la superinten- dance de l'asile, il surv
relatives à l'aliénation, et un Mémoire sur le suicide; en 1880, un travail sur la Jusquiame en aliénation; en 1884, l'llér
e, Raccompagnant de troubles de la vue, qui lui rend difficile tout travail un peu délicat comme celui de la couture. Obser
tibilité différentielle; mais ce que Wolfisberg a désigné dans son travail sous la rubrique de « sens de la lumière », est
spensables établies, nous allons maintenant procéder à l'examen des travaux publiés jusqu'ici sur la question. Fôrster. a
jà commencées avant que nous ayons pu prendre connaissance de ces travaux publiés dans des recueils ophtalmologiques, pou
poisons métalliques, il n'y a pas eu de trau- matisme spinal, ni de travail physique épuisant. Il prend de l'eau-de-vie en
yon 777,t(L., 1886, t. LUI.) L'observation qui fait la base de ce travail est celle d'un indi- vidu jeune et bien portant
yon Mf'fMc., 1886, t. 1JI.) Les cinq observations contenues dans ce travail sont celles de malades qui ont été soignés à Sa
ns et de son traitement; par E. Lallemand. (Th., Paris, 1887.) Ce travail ne contient qu'une observation personnelle, mais
nique ; par G. LAFossE. - (Th., Paris, 1887.) * L'auteur, dans ce travail inspiré par M. Charcot, s'est proposé d'explore
lques brèves considérations sur le pronostic et le traitement. Ce travail fait avec soin s'appuie sur des documents statist
s élèves du service avant que l'auteur n'eût choisi le sujet de son travail . Aussi, plusieurs d'entre elles sont fort incom
ique ; par I. Condoléon. (Th., Paris, 1887.) .) Il s'agit dans ce travail d'une observation bien prise d'amyotro- phie ta
s est même déja parvenu à une habi- leté suffisante dans ces divers travaux ; de telle sorte que voilà des adolescents que l
nel aux malades ont coûté 11,800 francs pour l'année, tandis que le travail de leurs élèves représente une valeur de di;800
linge sale. Dans la partie clinique, signalons un très remarquable travail de MM. Bourneville et Bricon sur « l'idiotie co
ie compliquée de cachexie pachydermique (idiotie crétiiioïde) ». Ce travail comprend deux SÉNAT. 421 1 grandes divisions
a publié précisément à l'occasion de la revision qui nous occupe un travail très étudié, dans lequel il a proposé un systèm
lonté. Or, on peut être certain qu'en fait tout service exigeant un travail régulier, soutenu, et qui n'est pas rémunéré, n
es que propose la commission du Sénat. Il est fâcheux que lors du travail de la dernière heure les conclusions de ces rappo
ion dans tous les cas difficiles, décentraliser les résul- tats des travaux des commissions départementales et de présenter
projet. Les préoccupations politiques, qui ont pesé sur beaucoup de travaux entrepris à cette époque, ne permirent pas SÉNA
la commission de per- manence. Elle avait trouvé ce projet dans un travail préparé par la Société de législation étrangère
et dans un travail préparé par la Société de législation étrangère, travail qui avait passé dans le projet de loi déposé en
des infirmières absolument illettrées étaient arrivées, à force de travail et d'énergie, à remporter dans leurs classes le
il faut que vous le secondiez par votre bonne volonté et par votre travail . Or, je suis obligé de constater que l'assiduité
Mémoire (sur la), par Steinberg, . 302. Méningocèle empêchant le travail , par Loxton, 109. Méningite hystérique (cas d
97 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nous sachions, décrite en France et nous ne connais- sions aucun travail sur ce sujet; c'est notre maître, 111. le profe
rale sans être soulagé de ses vertiges. Chute à terre, le 30, à son travail , sans perte de connaissance; chute en avant; pl
ongs inter- valles de tranquillité ; santé générale excellente ; le travail est possible ; les bourdonnements continuent en
la part de M. Legrand du Saulle et .de M. Ritti l'objet de savants travaux . Il n'en est pas de même pour les cas où la con
casions de rester seule chez elle. Dès que son mari sortait pour le travail , elle partait, ne prenant pas même le temps d'a
preuve soit faite. II. Plus récemment encore, et surtout depuis les travaux de M. Benedikt 4, on s'est efforcé d'établir un
Nous-même avons consacré à la défense de cette thèse un important travail dans lequel nous avons pu réunir vingt-deux obs
sont d'autant plus inté- ressantes qu'il n'était pas au courant des travaux qui se pour- suivaient alors à la Salpêtrière,
ès les auteurs français, il donne une analyse détaillée de tous les travaux de M. le professeur Charcot et de ses élèves su
ent aux grandes veines longitudinales. M. Adamkiewicz termine son travail sur la circulation 86 REVUE d'anatomie. de la
brale; par CH. Féré. [Revue d'anthropologie, 2e série, t. IV.) Ce travail est divisé en six chapitres, qui bien que portant
mois, l'amélioration devient telle que le malade peut reprendre son travail . Des phénomènes moteurs rapprochés des troubles
bilité des quatre membres. Entrée en convales- cence et capacité de travail suffisante jusqu'en 1879 : il ne reste au malad
OGIE DES LOCALISATIONS EN ALLEMAGNE ; par le Dr H. DURET. Dans ce travail couronné par l'Académie des sciences de Caen, M
lui consacrer que 200 pages. Aussi ne pouvons-nous analyser ici ce travail et croyons- nous préférable de nous borner à en
de loi que la commission extra-parlementaire vient d'élaborer. Les travaux de cette commission ont été poussés un peu trop
mière distinction que M. Cotard a très nettement établie dans son travail entre ces deux formes mélancoliques. Poursuivant
Pour résoudre ce problème il n'avait, dit-il, que deux moyens : le travail persévérant ou le vol. Continuer à travailler dan
de potassium. Mémoire sur les tumeurs cérébrales, par M. Mills. Ce travail contient douze observations et étudie surtout l
endre compte. Élongation de la moelle épiizièî,e, par M. DANA. - Ce travail sera analysé ultérieurement. - Sécczcc dzc so
a analysé ultérieurement. - Sécczcc dzc soi·. -111. Morton lit un travail sur les améliorations apportées dans l'emploi d
remarquer l'in- iluence extrêmement nocive sur la santé mentale des travaux que les élèves emportent à faire chez eux. Une
médecins à Wiesbaden (f873) ', une brochure de liasse2 et enfin le travail récent du directeur scolaire Petermann concluent
combiné, en trompant leurs professeurs, se préserver de l'excès de travail ; les autres, élèves consciencieux, sont écrasé
vosisme et à la dépression mentale qui succèdent à l'exagération de travail intellectuel ; il les a vus souvent chez les ga
.NDÔGGER craint de rabaisser le niveau des études en di- minuant le travail . Pour lui les inconvénients proviennent des élè
pilocarpine) ; par le Dl Paul Bricon. (Thèse de Paris, 1882). Ce travail est le fruit d'un an de laborieuses recherches fa
paralysies des mouvements associés des yeux qui font l'objet de ce travail . Les mouvements de l'oeil, comme la plupart de
emple. C'est, à vrai dire, la seule qui soit bien connue ; mais les travaux dont elle a été l'objet montrent tout ce qu'il
de départ de PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 147 ces travaux a été dans l'observation clinique. En 1858, la
pporté plu- sieurs exemples, sans paraître avoir connaissance des travaux français antérieurs ; il a en outre remarqué qu
e avec sensation de translation, du type de celui de Ménière. Des travaux récents rendent à peu près certaine l'existence
ident, le sujet est resté sourd et abasourdi, étourdi, incapable de travail ; la tête lourde, serrée; avec constriction des
rdissements. Accès d'asthme nocturnes; appétit réglé. Incapacité de travail depuis deux ans. Oreille droite : audition de l
ronde de la platine de l'étrier, tels que je les ai exposés dans ce travail : extinction du son, épreuve négative. Ainsi d'
prendre par la base l'étude des névrites périphériques, et déjà les travaux de 111AI. Charcot, Joffroy, Cotard, Gombault ,
s destructif s'est arrêté sur quelques tubes, pour faire place à un travail de restau- ration. Aussi existait-il sur chaque
xceptionnelle ; elle a ce- pendant été notée par M. Charcot dans le travail où il a décrit pour la première fois les eschar
Je n'ai du moins rencontré jusqu'ici qu'un seul cas dans lequel le travail de mortification ait envahi les deux fesses sim
atomo-pathologique que nous avons voulu faire connaître. Depuis les travaux de MM. Liouville, Ilayem et Magnan, plusieurs o
? par AUSTIQ Flint. (The Bi-aii ? , t. IV, p. 43.) L'auteur de ce travail combat l'opinion généralement acceptée sur l'or
r et l'ouïe lui sont plus utiles que la vue, M. Brunton termine son travail en concluant modestement qu'à défaut de vérité, i
ion; d'autre part, et c'est là certainement le point capital de son travail , il a voulu vulgariser une méthode d'exploration
i d'être la pre- mière en date et d'avoir été suivie dans nombre de travaux importants; tout ce que nous désirons, c'est qu
ratiste que le rédac- teur en chef du recueil dans lequel a paru ce travail est M. Seguin dont le nom est synonyme d'intern
tant, est brusquement frappé d'hémiplégie au moment de se mettre au travail , sans vertiges, ni perte de connaissance. Contr
ent de méningite. Voici résumée l'observation qui sert de base à ce travail : Après une chute insignifiante, un soldat robu
convenablement les impressions extérieures. M. Iladden termine son travail par les conclusions sui- vantes : 1° Dans la
OTRICE ; par LECOQ. (Reuuc de llédeeine, 1853, n 6.) Dans ce long travail , riche d'observations et de citations exactes,
tre, son maître, M. Il. Hirzei, ainsi qu'une poire tournée en bois, travail très fin du sourd-muet-aveugle. M. WALDEYKR (
t décernée à M. SNELL. M. Snell ouvre la séance par la lecture d'un travail ayant pour titre : Rapports de la démence paral
, ils se sont iden- tifiés avec elle et, de bon gré, ont accepté le travail qui a réveillé leurs activités chez ceux mcmedo
èse de Paris, chez Doin, éditeur, 1883. L'auteur de cet intéressant travail , ancien interne de M. l3oucnL- lOEA.u, à l'asil
fait don au dépar- tement. Asile puunc d'aliénés du Moruuiwn. On travail activement a cet asile qui sera terminé avant l
ravailleurs environ, que l'on emploie soit à la cuisine, soit à des travaux de terrasse- ment, de jardinage, de menuiserie
1VI. E. 13.mc, chef de clinique de lafarulté et Du Castel, chef des travaux anatomiques' de'1'iiôpital'Necker. (Extrait des
ans; il a beaucoup maigri, .et n dû interrompre plusieurs fois son travail . Jamais il n'a eud'lIé- moptysic, mais, depuis
t do l'oedème des membres inférieurs, il dut cesser tout à fait son travail ; mais pouvait encore faire quelques courses. Il
PNOTISME, CHEZ, LES (HYSTÉRIQUES. 319 ,9,11 importe, en terminantce travail , de. faire remarquer que nous n'avons eu en vue
ou,,leur. comparaison avec les pli-noinèi s du ' môme .ordre. aux, travaux qui. ont ete iusqu ici, publiés sur la matière
récissement coii- centrique du champ des couleurs, conformément aux travaux ? t : 1^.111 r·'ftljW 1 · . 1 ry.r Ilr n n1 · 1 *
ivers d'hystérie : nous renvoyons, sur ce point, à l'énumération du travail . Le seul traitement auquel M. Rosenthal ait con
il relate même une amélioration considérable. L'examen critique des travaux et expériences de Heidenhain, Owsjaniliow, et T
Les'trois observatiôn§avec'autôpsiéTqui'for : lëlitlâ''basé de ce, travail (concernent en",effet'des trouble's'dé fâ iliôtil
e tombant pas trop souvent, peuvent fournir une certaine fournie de travail . Il leur faut une policlinique où on leur délivre
net l'âlia- lyse.des dix.neuf, observations,qui, forment la,base du travail confirme,én,somme cetteoinion,ldlanioinsslorsqi
uteuil de la Présidence à 11. nlotet, passe en revue les différents travaux entrepris par la Société pen- dant le cours de
cun de vous de nous faire profiter tous de son expérience et de ses travaux . Plu- . sieurs questions d'ailleurs nous sollic
tre utile aux aliénés. Pour ma part, je m'efforcerai de diriger vos travaux de manière à ce que'nos séances soient toujours
mieux préciser, le professeur Furstner apporte son con- tingent de travail au complexas symptomatique décrit par Kceppe so
r les idiots accessibles a l'éducation, une section qui permette le travail à ces déshérités, voire une colonie. M. Loehr i
e obligation immédiate. Le président remercie M. le rapporteur d'un travail qui place des jalons dans le champ d'une questi
néralité des idées émises, invitant la com- mission à continuer ses travaux , dont elle voudra bien présenter le résultat da
ncipe aux criminels invalides qu'on y envoie pour les occuper à des travaux faciles, soit dans les salles, soit à l'infirmeri
occupent qui à la ferme, qui à la buanderie, qui au ménage, qui aux travaux faciles. Les agités, consignés au rez-de-chauss
al, l'auteur expose, dans un style sobre, clair et précis, tous les travaux scien- tifiques qui ont mis en lumière les diff
ique, de création récente, a déjà fait l'objet d'un grand nombre de travaux . Nous n'insisterons pas sur l'historique de la
adjuvant. Les nombreuses observations rapportées dansle coursde ce travail contribuent à lui donner un caractère éminemmen
onnel eut permis à l'auteur de rappeler que les véritables premiers travaux sur cette affection sont dus à des opbtlialmolo
écompense. Nous ne saurions mieux faire pour donner l'analyse de ce travail que de l'emprunter au rapport de SI. Charpentie
aliénés placés à la même époque dans la même salle. « En résumé, ce travail nous présente un fait absolument nou- veau. La
ratique de l'électrothérapie et des maladies nerveuses. Son premier travail (1866) a pour titre : Electi-icity us a Tonie ;
Traité d'Electricité médicale et chirurgicale. Parmi ses principaux travaux , nous citerons une série de mémoires FAITS DIVE
premier à décrire cet état qui avait déjà fait l'objet de plusieurs travaux , notamment de la part de SI. Boucbut, il a plus
ard n'était pas seulement un in- vestigateur, il a publié plusieurs travaux de vulgarisation, notant-. ment sur des questio
-. ment sur des questions d'hygiène. M. le Dr BERTILLON, chef des travaux de la statistique munici- pale de la ville de P
neuf ans, des suites d'une affection cardio-pulmo- naire. Parmi ses travaux les plus importants, nous citerons ceux re- lat
ph(ile; depuis cette époque il avait publié un certain nombre de travaux sur les maladies nerveuses, parmi lesquels nous c
98 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
R DU SERVICE PHOTOGRAPHIQUE CHEF DE CLINIQUE PAUL BLOCQ. CHEF DES TRAVAUX ANATOMO-PATHOLOGIQUES TOME TROISIEME Avec 79
e; on le sortit de là et après avoir beaucoup toussé, il reprit son travail jusqu'à la fin de la journée. Pas de perte de con
uatre ans. Il continua à travailler de son métier, sentant dans son travail de charretier-terrassier que sa main gauche pour
ccupe actuellement. Sorti de l'hôpital en juin z1888, il reprit son travail , mais ne put con- tinuer, malgré un essai de ci
rnacher ses chevaux et était obligé de payer un homme pour faire ce travail a sa place matin et soir. Après un certain te
tatée avec certitude antérieurement à nous par M. IIanot d'après le travail de qui nous la rapportons. Quant à nous, nous n'a
part le chagrin, la dépression morale résultant de l'incapacité' de travail et de l'impossibilité pour ce mal- heureux de g
e travailler. Au bout d'un an il put reprendre ses habitudes et son travail . Il « servait » les maçons dans les chantiers d
mme dans un état d'infirmité relative. Incapable de se livrer à des travaux de force, il gagnait sa vie comme il pouvait; tan
rd qu'elles présentent dans cette dernière 1. L'idée première de ce travail appartient a notre maître, M. le professeur Charc
le il a facilité notre tâche en nous aidant de ses conseils dans ce travail fait à la Clinique des maladies du système nerv
t hystérique appartenant, soit à la littérature française, soit aux travaux allemands, qui, dans ces derniers temps, ont ét
ure hystérique que nous nous pro- posons de décrire dans le présent travail . II Les tremblements hystériques se développe
anchés. Nous essayerons de les mettre en relief dans le cours de ce travail . IV TREMBLEMENT A OSCILLATIONS RAPIDES Trem
nt singulièrement (fig. 21, 22, 23). M. Marier dans son intéressant travail , a cherché par quels caractères le tremblement de
sa be- sogne lui paraissait plus pénible. Bien qu'aucun surcroît de travail ne lui eùt été imposé, il était plus fatigué qu
spontanées sur lesquelles il n'existe pas à notre con- naissance de travail d'ensemble, sont cependant beaucoup plus fré- q
rie infantile (1888 ? Iletsingfurs. Obs. XIII, p. 7.), en français, travail de la Salpêtrière). 2. Cas de maladies rares ob
des premiers dans cette question et il semble, à voir le nombre de travaux accumulés, qu'il ne reste rien à glaner dans un
ous aurons à parler pour en faire ressortir toute la justesse 5. Un travail d'ensemble fait seul actuel- lement défaut et n
cette lacune. L'état mental des hystériques femmes, en dehors des travaux de l'École de la Salpêtrière, a été particulièr
ntal hystérique a son déterminisme qui ne ressort pas nettement des travaux précités. Incontestablement les observations su
ptions des auteurs qui, avant la période actuelle inaugurée par les travaux de M. Charcot, ont écrit sur l'état mental des
ste un autre incomparablement plus fréquent et que les plus récents travaux de M. Charcot ont seulement mis en lumière. Sa
facile- ment fatigué, pas assez cependant pour ne pas continuer son travail . » Nous avons tenu à citer le tableau tout enti
la mémoire que nous avons signa- lées et rendent naturellement tout travail impossible. Ces lacunes de la mémoire sont très
el .qu'il soit, homme, femme ou enfant, mérite, d'après les récents travaux de l'École de la Salpêtrière, d'être consi- 1.
lement la douleur qui l'obligeait à prendre le lit et à cesser tout travail actif. Le séjour au lit amena une diminution de
résis- tance aux mouvements passifs d'extension entraîne un certain travail du côté des muscles des lombes, lequel travail
entraîne un certain travail du côté des muscles des lombes, lequel travail étant douloureux, la malade préfère céder au mo
ature indiquent l'envahissement des corps vertébraux et le début du travail qui s'opère à ce niveau. Plus tard ces corps ve
ents hystériques est de date récente, car nous ne connaissons aucun travail sur ce sujet avant la Leçon du mardi, 23 octo-
névrose. A ce titre, ces phénomènes méritaient d'être le sujet d'un travail d'ensemble dans lequel nous rapporterons les op
ns recueillis. ' Nous ne pouvons cependant passer sous silence un travail de M. Ch. Féré, publié ici même', sur les Bâill
x à utiliser dans une description; nous emprunterons toutefois à ce travail les éléments d'un diagnostic différentiel. Auss
autres maladies du système nerveux par la suspension', de nombreux travaux se sont succédé sur la matière, les uns vantant l
son efficacité. Notre intention n'est pas d'analyser ces différents travaux , dont on trouvera la critique fort bien faite d
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES Travail du Laboratoire de M. le Professeur Cnutcor. I
ée dans la thèse de Mme Déjerine-KIumpke1. Dans les chapitres de ce travail qui sont consacrés a la symptoma- tologie des p
vations de polynévrites, parues dans ces derniers temps, jusqu'au travail publié récemment par M. Déjerine3. Cet auteur, ét
été mis en valeur, du moins en nous en rapportant, non seulement au travail de M. Déjerine, mais encore au Traité cependant
nombre est très réduit, et ceux de ces éléments qui ont échappé au travail de destruction sont ratatinés et privés de leur
scles mis à notre disposition. PAUL BLOCQ, G. MARINESCO, Chef des travaux nnatomo-pathologiqucs Assistant à l'Institut do p
vérité, mais qui se traduit par une netteté d'esprit facilitant le travail intellectuel. Si on aspire trop de fumée à la f
s à la Clinique de la Salpêtrière que nous exposons dans le présent travail , avec les réflexions qu'ils nous ont suggérées.
ITES LCCPU6NIEN Se Babé, éditeurs POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES Travail du Laboratoire de M. le professeur Charcot (Sui
ues petits noyaux granuleux. PAUL BLOCQ, G. Marinesco, . Chef des travaux anatomo-patholoe-iques Assistant à l'Institut de
té peut être fort diversement modifiée dans les né- vrites. Dans un travail sur les troubles de la sensibilité d'ori- gine
surgir des réclamations rétrospectives et apparaître de nou- veaux travaux . M. le professeur Erb, dans une lettre publiée
lbert avait publié dans la Wien. merl. Presse, nos 1 et 3, 9886, un travail intitulé : Veine eigenthiimliche Art der total
n attitude vicieuse. De son côté, Schudel, élève de Kocher, dans un travail publié en z1888 sur ce sujet, réclame la priori
jet, réclame la priorité pour son maître. Massalongo enfin, dans un travail récent, croit devoir faire honneur de cette déc
règle générale tracée par MM. Charcot et Babinski. Grâce à tous ces travaux , cette déformation spéciale du tronc est aujour
ICONOGRAPHIE DE LA Salpêtrière. dans la journée, le soir après leur travail , il leur arrive de sortir dans la rue sans pren
ention; il a pu se lever, marcher comme d'habitude et continuer son travail ordinaire. Cependant, lorsqu'il restait longtem
E INTESTINALE. 271 Tableau XX POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES ' Travail du Laboratoire de M. le professeur Charcot - (S
ction a été décrite mais n'a pas été différenciée, jusqu'au premier travail publié par cet auteur dans le journal de Mierjews
de. Korsakoff a réuni seize observations sur lesquelles il base son travail ; dans quelques-unes, nous notons un début subi
s parties de cet appareil. - PAUL BLOCQ, G. MARINESCO, Chef des travaux anatomo-patliologiqucs Assistant à l'Institut de
cléaire. L'observation de Lichtheim complétée par Dufour dans son travail d'ensemble sur l'ophthalmoplégie est d'autant p
des fractures des bras. En juillet 1889, M. X... prenait part aux travaux du jury de l'Exposition universelle de Paris. I
périeure de la préparation. PAUL BLOCQ, ALBERT LONDE, Chef des Travaux anatomo-pathologiquea Chef du Service photographi
99 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
uelque j temps, des idées obsédantes qui entravaient sérieusement son travail , il prononçait des vœux auxquels il associait des
insistèrent tellement, que j'acceptai, mais sans aucune confiance, le travail qui m'était imposé. Evidemment, en pareille occ
honoraire, tout membre fondateur ayant participé depuis deux ans aux travaux de la Société. Art. S. — Pourra sur sa demande
candidat au titre de membre titulaire doit lire en séance publique un travail inédit. Art. 8. — Toute demande d'admission, à
ÉTÉ D'HYPNOLOGIE Titre Ier. — Des séances et de la publication 'des travaux . Article Ier — La Société se réunit réglementai
décision do comité de publication, il y aurait lien de faire dans les travaux primitifs. Il donne seul les bons à tirer. Art
. 11« peuvent, à leur gré, publier les titres et conclusions de leurs travaux ; mais s'ils devançaient autrement la publicité d
honorables. Si l'entente ne cesse de régner entre ses membres, si ses travaux sont toujours inspires par l'e-pnt scientifique l
t partie de la commission de l'Académie, e*t venu, lui aussi. dans un travail très intéressant et très détaillé, défendre les c
scientifique de Londres, dont nous avons parlé plus haut, quoique les travaux de cette dernière, non plus que ceux de Bird, ne
eur. Le professeur Sikorsky a publié presque en môme temps, dans un travail spécial, des données psycho-physiologiques qui ex
que de : « Six preuves •. Mais qu'on veuille bien se reporter à notre travail lui-même, et l'on se convaincra que d'autres argu
une patience moins grande de ma pari, occasionnée par un surcroît de travail par suite d'une plus grande affluence de malades
s formes connues de mouvement lumineux ou calorifique, non plus qu'en travail mécanique, elle s'accompagne seulement de faibles
ompagne nos différentes sensations et représentations, ainsi que tout travail intellectuel, par exemple, la solution d'un probl
iques auxquels, à mon avis, l'Ecole de Nancy n'a pas accordé dans ses travaux l'importance qui leur est due. Les contractures
thérapeutique suggestive est loin d'avoir dit son dernier mot, et les travaux que l'on entreprendra dans ce sens amèneront, je
question qui n'est pas moins intéressant. Vous vous souvenez tous du travail de M. Motet, dans lequel il démontra que certains
nous préoccuper, qu'elle ne devait pas être à l'ordre du jour de nos travaux ; j'ai seulement voulu faire remarquer que nous d
i aura élé ordonnée, » n faut lire aussi, messieurs, le remarquable travail de M. le Dr Boddaert, pro-fesseurà l'Université d
s pratiques sur les applications cliniques de l'hypnotisme et sur les travaux récents de psychologie-physiologique. Les leçon
voir, aussi richement que lui, entrevu toute la portée. L'ensemble du travail constitue un système exposé avec une suite cl on
on doit de a cire pas complètement oubliée pendant vingt ans. Par ses travaux . M. Meanet a été un véritable initiateur dans les
arrivé k cette conviction, et je la faisais déjà pressentir dans mon travail sur la Liberté des représenta-lions publiques d'h
ergographe de Mosso, qui m'intéressait au point de vue de mes anciens travaux sur la fatigue. Il y avait là plusieurs docteurs
abstient de toute supposition, de toute conjecture, puisque un pareil travail de la pensée, en détournant une certaine partie d
cciano et de sa fille; et pour prouver qu'il ne s'aidait, pendant son travail , que du toucher et du sens musculaire, il accompl
à suivre no» séances. Il pense quelle est du meilleur augure pour les travaux de la Société, qui ne tarde pas à appeler sur ell
raitement par la suggestion hypnotique. Par le D- LLOYD-TUCKEY Le travail de M. Lloyd-Turkey contient dix observations (1)
'une persévérance à toute épreuve. Le D' von Corval donne, dans son travail , un aperçu concis et très Juste de la matière qui
du jour : t* Dutfoxtpallieb : De l'action de la suggestion dans le travail de l'accouchement : un cas d'accouchement sans do
s pratiques sur les applications cliniques de l'hypnotisme el eur (et travaux récents de peychologie physiologique. M. le D" Bé
. Lloyd-Tuckey et Bérillon. De l'action de la suggestion pendant le travail de l'accouchement. Par M. le Dr DUMONTPALLIER,
ue malin dans le but d'obtenir plus facilement l'hypnose au moment du travail . Chez elle la suggestion verbale, aidée de la fix
rait ne pas souffrir et sentait cependant parfaitement les progrès dn travail . Le périnée était fortement tendu, l'occiput étai
rbale, il est possible de déterminer l'hypnose avec analgésie dans le travail de 1 accouchement. Cette observation est encore
atténuation des douleurs pendant la première et la seconde période du travail . Elle est encore remarquable, el c'est là le coté
sujet a ele laissée de côté, l'auteur ne voulant pas empiéter sur les travaux du comité. Le côte historique n'a été esquissé qu
e personnelle. Dans un chapitre spécial, le Dr Kingsbury résume son travail dans quelques conclusions générales : 1° Il n'e
de Liège (1) L'anthropologie criminelle est née d'hier et déjà les travaux auxquels elle a donné lieu se sont multipliés dan
the hypnotique s ta te f| , par Hauilton Osgood, de Boston. Dans un travail important, lu devant le Boston Society for Médica
guéries. Après l'intéressante discussion qui suivit la lecture de ce travail , Osgood conclut en disant : qu'il n'avait jamais
ns pratiques sur les applications cliniques de l'hypnotisme et sur Us travaux re-centode psychologie physiologique. M. le Dr Bê
me de 800 franes pour la fondation d'un prix destiné à récompenser un travail qui sera mis au concours par ta Société d'hypnolo
t être matérialisée ou, en autres termes, cela est impossible sans le travail des tissus nerveux. II. Il existe beaucoup de p
1 intérêt qu'ils présentaient serait peut-être épuisé, si les récents travaux de l'école de Nancy, en démontrant que les mêmes
artient en propre, ce qui lui a été suggéré, il est affranchi de tout travail d'analyse, et sa mémoire, entrant seule eu jeu, l
vagerie. Le groupe ethnique en question a de la répugnance pour les travaux de culture; il exploite les forêts ou travaille à
frappé par la maladie. L'auteur a mis à profit, dans ce livre, ses travaux personnels et une expérience (\) Bulletin de ta
ons pratiques sur les applications cliniques de (hypnotisme et sur Us travaux récents de psychologie physiologique. M. le Dr Bé
ère de deux enfants, heureux dans son ménage, il n'accuse ni excès de travail physique, ni excès de tension intellectuelle, ni
deux jours, pais cela recommençait. Le 3 décembre, il dut arrêter son travail , qu'il n'a pas repris depuis. Alors ces mêmes dou
ilée par quinze mois de douleur et d'insomnie ; il était incapable de travail physique et intellectuel. Quand le malade comme
rantes; le moral est très bien et il ne songe plus qu'à reprendre son travail . Le 13, il continuait à bien se porter et deman
ont été étonnés de le voir revenir sans bâton. Il a pu reprendre son travail ; il n'est plus réveillé la nuit par la douleur, m
en réalité, je n'ai rien à ajouter aux conclusions formulées dans le travail que j'ai publié sur ce sujet, et j'avoue que l'él
emportés, etc. que tous les neurasthéniques ne sont pas des (I) Le travail de M. bernheim, trop lonp pour être publié dam le
leur dynamométrie, chiffrez leur excrétion d'urée, soumettez-les à un travail musculaire ou intellectuel d'une certaine durée e
que M. Fére a développées dans son liés intéressent et très suggestif travail sur : Sensation et Mouvement. Vous savez avec que
moins nettement déterminée, et que Béard a fait, dans son magnifique travail de 1862, une description magistrale à laquelle, j
d'anorexie, d'inappétence et d'anémie qui l'empêcha de reprendre ses travaux habituels. Cet état persista jusqu'au mois d'août
général, il faut assez se défier de l'interprétation des lois par les travaux parlementaires. La discussion donne jour à toules
la loi se contredisent. En l'espèce ou jamais, il faut écarter les travaux parlementaires. Il reste alors le texte, tout s
ypnotisme. . Mais s'il n'y a pas d'hypnotisme?... Répétons-le : les travaux parlementaires sont embrouillés et contradictoire
souri, parce que tous êtes laborieux autant qu'admirablement doué.Vos travaux vous ont donné la fortune et les honneurs; votre
il, penser à autre chose qu'à son chagriu, n'avait de goût ni à son travail , ni à quoique ce fût, était hanté par de fréquent
en quelques pages, pour la Société d'Hypnologie, les conclusions d'un travail que je viens de publier dans ta lievue philosophi
me rends bien volontiers à l'expression de ce désir. Rappelant les travaux antérieurement publiés par l'École de Nancy, et,
e, de ces trois causes célèbres: J'y reviendrai prochainement dans un travail distinct. (2) Les compagnies de chemins de fer
Un jour, s'emparant d'une scie, il voulut tuer un de ses camarades de travail , qu'il accusait d'être l'auteur de tout ce qui lu
regard. H dormit au bout de cinq minutes du sommeil somnambulique. Le travail était fait : l'individu était suggestif et obéiss
ant-hier seulement le numéro du bulletin où se trouve le texte de son travail . Comme j'attache à sa communication une réelle im
t des hystériques. Les faits de cet ordre sont bien connus depuis les travaux de Lasèguc et Legrand du Saulle, et il ne se pass
ère. — MM. les Dr A. Dutil, chef do clinique, et Paul Blocq, chef des travaux anaiomo-pathologiques. commenceront à la Salpetri
ique, a publié de très intéressantes éludes de physiologie. Parmi ces travaux , nous signalerons particulièrement ceux qui ont t
à l'Académie, le médecin Broca en fit le plus grand éloge. Dans un travail paru en 1871 dans le Journal de Médecine de Borde
Etudes scientifiques sur te somnambulisme. Malgré l'importance de se» travaux . Prosper Despine était resté un peu en dehors du
à la Sorbonne, l'ouverture du Congrès des Sociétés savantes, dont les travaux se poursuivront durant les journées du mercredi 8
de l'Instruction publique d'usé mission à l'effet de prendre part aux travaux du Congrès international d'anthropologie criminel
Schwindler, Stuttgart, bei Enke 1891), Une traduction française de ce travail intéressant et original serait, me semble-t-il, u
cquis, c'est-à-dire avec les influences du milieu sur son cerveau. Le travail de la vie est l'adaptation des puissances cérébra
t même aux médecins que l'alcool est utile, fortifiant, nécessaire au travail , etc., lors même que, en réalité, c'est un poison
de décembre; elle doit accoucher; il y a un véritable commencement de travail ; depuis plusieurs jours, il y a des douleurs plu
, heure pour heure, les douleurs suspendues reprennent leur cours, le travail recommence sérieusement, la dilatation interrom
me et de la psychologie. Nous tiendrons nos lecteurs au courant des travaux de cette importante Société. Congrès internatio
méro, la liste des communications, ainsi que le programme complet des travaux du Congrès. Symptômes psychiques de la goutte,
TIQUE DES MATIÈRES Accouchement [action de la suggestion pendant le travail de l'), par Dumont-pallier, 175. Affaire des ma
100 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
quable entre tous que M. Gilles de la Tourrette, dans son intéressant travail sur la maladie des tics (Archives de Neurologie),
tre, — c'est ce dont vous pourrez vous convaincre par la lecture d'un travail de M.Guinon, qui vient compléter à quelques égard
lleurs il existe, dans la « Wiener med. Presse 1886, nos 26 et 27, un travail sur la matière datant de 1885 et appartenant à M.
le docteur Babinski, où la question est traitée avec grand soin. Ce travail a été publié dans les Archives de neurologie pour
titude instinctive dont le but est de diminuer autant que possible le travail du membre où siège la douleur en faisant porter s
y (1). Je ne saurais trop vous engager à prendre lecture des divers travaux que je viens de signaler à votre attention ; vous
inq semaines ; au bout de huit semaines, le malade a pu reprendre son travail ; mais il a toujours souffert depuis cette époque
un moment donné, notre malade mis dans l'impossibilité de fournir un travail suffisant a dû quitter le four à plâtre pour exer
rative de terrassier. Et justement c'est alors qu'il se livrait à des travaux de terrassement, qu'il devint victime d'un trauma
te impuissance absolue où il est, assure-t-il, de selivrer au moindre travail , l'insomnie dont il souffre, les rêves épouvantab
ndri. — Il n'a plus de courage, plus de volonté, plus de goût pour le travail et il se fatigue depuis sous l'influence des moin
rs. 1. Gazette des Hôpitaux, 1884. 2. G. Guinon: A propos de deux travaux récents sur l'Hystérie traumatique. Progrès médic
, il faut citer Duchenne de Boulogne et Bouchardat. Mais le premier travail approfondi sur la matière date de 1856 ; il est d
'Académie de Médecine. On peut dire que, dans l'espèce, c'est là le travail initiateur. Un nouveau travail, dû au même auteur
t dire que, dans l'espèce, c'est là le travail initiateur. Un nouveau travail , dû au même auteur, est destiné à compléter les p
our ainsi dire qu'énumérer et je vous renvoie pour plus de détail aux travaux du maître.La section porte,je suppose, comme dans
années, ainsi que vous le verrez par la lecture d'un très intéressant travail publié dans les Archives de Neurologie pour 1888
erniers temps M. Debove et son élève M.Achard ont publié d'excellents travaux sur ce qu'ils appellent « l'apoplexie hystérique
et y occupe un rang distingué. t. Voir, à ce sujet, dans un nouveau travail de M. Neumann : De la prédisposition nerveuse dan
uelques personnes européennes ayant résidé à Panama, à l'occasion des travaux du percement de l'isthme. Mais dans le cas que
en soit, au lavoir de Charenton comme dans les autres sans doute, le travail commence le matin de très bonne heure. Le « garço
st conduit à boire beaucoup et souvent. Puis il y a encore, dans le travail , les temps de repos nécessaire, pendant lesquels
grande partie et à partir du 18 août 1882 le malade put reprendre son travail qu'il ne quitta plus qu'en 1887. Mais les jambes
accusée n'a désormais jamais cessé d'exister. Il fallut renoncer aux travaux très fatigants et se contenter dans le lavoir d'u
sie complète ; et, par l'accumulation de toutes ces circonstances, le travail étant devenu absolument impossible, B... dut dema
imentale ; c'est ainsi que MM. Mairet et Combemale rapportent dans un travail présenté récemment à l'Académie des sciences (2)
nous avons sous les yeux, je ne pense pas qu'il puisse reprendre son travail assez sérieusement pour subvenir à son existence,
uelques exceptions que relevait l'autre jour M. le Dr Neumann dans un travail publié par Y Union médicale (15 novembre 1888). O
avait, —j'y insiste, — depuis cette époque jamais été arrêté dans son travail , lorsque le 17 août dernier, alors qu'il conduisa
spos et se préparait en conséquence à reprendre très sérieusement son travail . C'est alors qu'il s'aperçoit pour la première
ivanfes). Vous consulterez également avec fruit sur ce même sujet, un travail de M. Ch. Féré inséré dans le quatrième volume de
eu et le repos au lit pourront être utiles en vue de com- battre le travail inflammatoire supposé, et pour ce qui est des phé
é ses forces d'autrefois; sa santé est restée chancelante, le moindre travail le fatigue. L'anémie profonde sous le coup de laq
s desquelles tout récemment M. Audry écrivait pour le Lyon médical un travail intéressant (1). Mais, pour tirer parti de notr
ns l'ombre, du moins en France (1). Nous devons la connaissance de ce travail à M.le DrRaymond, agrégé de la Faculté, qui a eu
La seule revue scientifique qui ait donné une analyse détaillée de ce travail au delà des frontières russes est le « Physician
tkowsky dans le mémoire auquel nous avons fait allusion plus haut. Ce travail contient plusieurs observations détaillées ; nous
ssance motrice. M. le Dr Motchoutkowsky fait connaître dans ce même travail qu'il a traité encore douze autres ataxiques par
t et à marcher presque toute la journée. Il est fort empêché dans son travail depuis deux ans, époque à laquelle l'incoordinati
acte intentionnel. dow ont été parfaitement mis en lumière dans le travail de M. Marie, Associé à la tachycardie et à quelqu
s inquiétudes qui nous hantaient lorsque nous avons rencontré dans un travail récemment paru, un certain nombre d'observations
venue triste; elle n'avait plus de goût à rien et elle négligeait les travaux de son ménage, elle ne pouvait plus ni penser ni
l'abus des plaisirs, par les préoccupations d'affaires ou l'excès des travaux intellectuels. C'est là un préjugé que je me suis
». Il travaille de ses mains sans doute mais il prend à sa charge des travaux qu'il répartit entre plusieurs ouvriers. Pas d'an
30 août, c'est-à-dire il y a cinq mois, en se rendant le matin à son travail , il fut mordu assez fortement à F avant-bras droi
lassitude extrême l'obligent après quelques efforts à renoncer à tout travail . Le voilà naturellement tout à fait désolé, d'a
voir, par un effort de volonté, contraindre son cerveau à un excès de travail (1) ; chez les étudiants qui affrontent les conco
atteindre pour que notre pauvre « tâcheron » pût aller reprendre ses travaux . II. — Le second cas du groupe est relatif à un
affaibli ; cependant il avait pu depuis plusieurs mois, reprendre son travail , et tout allait bien, lorsqu'il lui vint à l'idée
ymptômes dont il ait souffert. Au bout de ce temps, il a repris son travail , mais trois jours à peine s'étaient passés lorsqu
e, souffrant aux moindres efforts, lorsqu'il essaye de se livrer à un travail manuel, de douleurs dans la région sacrée et d'un
t, se sentant un peu mieux, il se croit assez fort pour reprendre son travail ; mais à chaque instant il se voit obligé de l'int
s certainement sera pour longtemps encore incapable de se livrer à un travail manuel suivi, et en particulier de remonter sur s
le, facilement fatigué, pas assez cependant pour ne pas continuer son travail . Tels sont les accidents nerveux d'ordre neuras
ère d'hystéro-neurasthénie survenant chez l'homme vigoureux, voué aux travaux manuels, la forme nosographique reste fixe en pré
mme aucun accident nerveux. Il avait repris toutes ses habitudes, son travail , ses visites en ville, et sa santé générale ne
t monte deux étages, dépose sa cravache, passe ses fausses manches de travail et les attache, descend en récréation, mange du p
u moins fortuite, cette description, dis-je, ne se trouve pas dans le travail de M. le Dr Delamarre, non plus que dans ceux, su
té clinique de M. Leyden, mon impression est, après la lecture de son travail , que l'existence de crises gastriques en tout sem
t pour Bruxelles où, à son grand désappointement, il ne trouve pas de travail . Bientôt son trésor s'épuise et n'ayant plus qu
méfaction, pas d'empâtement, pas de chaleur révélant l'existence d'un travail inflammatoire. On sait que la boiterie date des p
articuler les mots. Tout cela ne s'acquerra pas, tant sans faut, sans travail et sans efforts ; c'est dire anatomi-quement et p
emporanea (n° 1, p. 6), journal dirigé par le professeur Sem-mola. Ce travail a pour titre : Sur une forme spéciale d'impuissan
ent avec intérêt quelques faits relatés par le Dr Erlenmeyer dans son travail sur les convulsions statiques réflexes, lesquelle
de « paraplégie infantile du seul acte de la marche (6). » Mais le travail où vous trouverez les renseignements les plus com
n enseignement sur cette question-là, développées avec talent dans le travail de M. Blocq (1). Je me bornerai ici à relever que
ralysies périphériques dont nous devons la depcription aux importants travaux de MM. Bourdon, l'initiateur dans la matière (l),
hèse inaugurale 1843. 2. Leudet. Arch. gén. de médecine 1865, puis, travail lu à l'Académie de médecine 1883 3. Rendu, Soci
s relèvent immédiatement de l'action 1. P. 130, 1889. 2. Voir les travaux de Simon, Arch. fur Psychiatrie, 1.1; Klebs. Virc
che la solitude. Souvent le soir, lorsqu'il rentre chez lui après son travail , il se sentenvahi par une grande tristesse et épr
notisme, on peut, ainsi que l'a rappelé M. Blocq dans son intéressant travail , produire expérimentalement, pour ainsi dire à vo
térie avec les diverses formes de lu dégénérescence mentale plusieurs travaux inspirés par m. le dr Ballet: —Marquezy : L'homme
r suite con-damnéàmort.Sa peine fut commuée, paraît-il, en dix ans de travaux forcés : en conséquence, il fut envoyé en Algérie
ée par une atrophie manifeste de la plupart des muscles affectés. Les travaux de MM. Erb, Landouzy et Déjerine et quelques autr
r de myélite infantile (1). » Je vous renvoie pour les détails à ce travail et je me bornerai ici à vous dire d'une façon gén
autrefois dans la tephromyélite antérieure aiguë, le premier siège du travail morbide (1). C'est au voisinage 1. Conformément
nion que M. Charcot a soutenue dès l'origine, M. John Rissler dans un travail fort intéressant, fait sous la direction du Pr Wi
ndre modification. Messieurs, M. Boudin auquel on doit une série de travaux intéressants concernant la foudre, considérée pri
dement : elle a été confirmée par une foule de faits relatés dans les travaux d'Arago,de Boudin, dans le livre de Sestier, etc.
Sur la foudre globulaire consultez, en outre du livre de Sestier, les travaux de M. Gaston Planté et en particulier la note qu'
de l'élément neurasthénique développé sous l'influence d'un excès de travail et de chagrin qui, ainsi que nous l'avons express
tion? C'est encore là un de ces cas dans lesquels la connaissance des travaux récents relativement à l'hystérie mâle eût rendu
epuis, ils ont persisté toujours à un certain degré, si bien que tout travail lui est devenu complètement impossible. La mémo
eur à Prague, qu'on doit d'avoir, à partir de 1882, dans une série de travaux importants, appris à rattacher à la lésion syring
en soit, en lui rendant, pour la pratique, un service signalé par les travaux auxquels je viens de faire allusion, MM. Schultze
r, Freud, A. Baümler, etc. ; en Russie, nous signalerons un excellent travail sur le même sujetde M. A. Roth,publié dans les Ar
consacré à cette forme anatomique qu'il appelle myélite cavitaire, un travail important. Je sais bien qu'on a voulu, dans ces d
dernier terme, le diagnostic est resté oscillant. La connaissance des travaux concernant la syringomyélie n'était pas encore ré
tome de la pathologie de la moelle épinière telle que l'ont faite les travaux récents (Fig. 104). Nous savons que les lésions é
s trouvé place dans 1. Roth. obs. II, V. 2. Voir aussi un nouveau travail de M. le Dr Morvan : De Vaneslhéne sous ses diver
e l'analgésie et la thermo anesthésie qui, ainsi que l'ont montré les travaux récents, appartiennent à la syringomyélie et peuv
le diagnostic est resté flottant jusqu'à l'époque, où éclairé parles travaux récents relatifs à 1. Gharcot. Leç. sur les mal
on si particulière des trois modes de la sen- 70 sibiiïté que les travaux de MM. Schultze et Kàhler ont bien mis en relief,
e dans le mémoire de M. Strümpell, paru en 1888, et, dans son dernier travail sur la matière (Die traumatische Neurosen 1889) M
1. Voir la leçon 13, p. 292, et le tableau p. 298. 2. Extrait d'un travail publié par M. Dutil, interne du service de la cli
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